BULLETIN PACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES S’-PETERSBOURG. 2 TOME NEUVIÈME. - / ^ (Avec 4 Planches.) Sr.-PÉTERSBOURG, 1866. Commissionnaires de l'Académie Impériale des sciences: qi -Péterhours- à Riga. a Leipsig. -- Eggers & Comp. : k laiii M. Samuel Schmidt, 5 M. Léopold en. Prix du volume; 2 Roub. 70 Kop. d'arg. phir i E TL de Proste ponr و‎ Li J P a ; 7 5 (EE + 252 TABLES DES MATIÈRES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES. MATHÉMATIQUES. Minding, F. Quelques remarques analytiques à l'occasion d'un ou- vrage de M. le Prince S. S. Ouroussof. 48— Somof, J. Sur les accélérations de divers ordres dans le mouvement relatif. 469— 77. ASTRONOMIE. Savitch, A. Obserradlená des planétes à l'observatoire de St.-Péters- سب‎ Sur la détermination de la résistance de Pair au mouvement . du pendule. 477 Struve, 0.7 - Découverte de de ain nébuleuses. 569—573. ESE DU GLOBE. gass, n A. de la congélation de la mer sur les côtes “Oct et de "Zen deeg , R. Observations magnétiques dans quelques points des côtes de la Finlande et de l'Ehstonie. 419—426. CHIMIE. iuum, H. Analyse de plusieurs bronzes antiques et "OM en fer, trouvés en Sibérie. 89. Sehmidt, Dr. C. Etudes hydrologiques. Les eaux salines E Se de Stolypin. 315—331. Fritzsche, J. Pes les hydrocarbures solides tirés du goudron de houille. —2 MINÉRALOGIE ET GEOLOGIE. Goebel, Ad. Sur le Carnallit de Maman, en Perse, Së sur les causes <5 de la couleur rouge de quelques sels naturels. — Sur le Catalogue du Cabinet minéralogique ai l'Académie, publié par Lomonossof. 26—35. , J. Remarques à l’occasion de la notice de M. Goebel sur le Carnallit de Maman, en Perse, et sur = causes de la x ‘couleur rouge de quelques sels naturels. 56— € Nicolas de Leucht , La ous. 188—192. marof, N. Sur le gg eristalloÿraphique et les angles du "Ja nite. 192— du es de quelques cristaux. 231—240. BOTANIQUE. . J. Sur une algue d'eau douce, trouvée dans la marne ent de Viatka. 35—43. 1 Ruprecht, F. J. Nouvelles recherches géo- — sur le Teher- noziom. 482—569. ZOOLOGIE ET PALÉONTOLOGIE. Brandt, J. F. Rapport sur la seconde partie de son travail sur les degrés de développement des Ganoides, 43— Brandt, Ed. Sur une carotide particulière de Pdias Äere, (Avec une planche.) 273—279. Br "m J. F. Quelques mots sur l'extermination de la Rhytina. eege A. Quelques observations sur les m apparte- nant au groupe des Crabronides. 248—27 ANATOMIE ET PHY SIOLOGIE. Baer, Ch. de —. De la découverte faite par M. Wagner, de larves qui se propagent; des observations qui la complètent de M. Ganine, et de la Paedogenèse en général. Reeg une planche.) —137 Knoth, Dr. J. Sur hist! (oai du Bothriocephalus proboscideus. (Avec une planche.) 290 1 Meeznikof, El. Sur ed وی‎ b. (Fasciola terrestris 0. Fr. Müller?), une planaire Seege d'Europe. 433—447. PHILOLOGIE ET HISTOIRE. و‎ Dorn, ۰ Acquisitions nouvelles du Musée asiatique pendant l'année 1864. 137—142. — ce au catalogue des manuscrits orientaux ache tés à M. Khanykof par la Bibliothèque Impériale publique. 202 — 981. a Wiedemann, F. J. Rapport sur un voyage executé en 1865. dans PEsthonie et la Livonie, pour l'étude de 8 langue ehste. 241—243. Nauck, A. Remarques critiques. IV. 332—406. Brosset, M. Traité géorgien du comput ecclésiastique, composé et écrit en l'année mondaine: 6741, ére grecque (5508); 6837, ère géorgienne (5604); 453 du 13 cycle pascal géorgien, 1233 de l'incarnation (manuscrit de Mtzkhétha), traduit par — . 448—469. Etat du personnel de l'Académie des es an 1 A 1866. Bulletin bibliographique. 143—144, 240, 432, aba ——‏ 966ص B. TABLE ALPHABÉTIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) — و‎ Dusche état de son personnel au 1 janvier 1866. 426. Baer, C . De la découverte faite par M. Wagner, de larves dre se م‎ des observations qui la complètent, de Ph + son travail sur les degrés de développement des ی‎ — Quelques mots sur l’extermination de la rw na. 279 Brandt, Ed. Sur une carotide particuliére de Pelias berus. (Avec une planche.) 273. . Traité géorgien du comput ecclésiastique, composé et écrit en l’année mondaine: 6741, ère grecque (5508); 6837, ère géorgienne (5604), 453 du 13° cycle pascal géorgien, 1233 l'incarnation (manuscrit de pre traduit par —. 448. Bulletin bibliographique. 143, 240, 432, 5 Dorn, B. Acquisitions nouvelles du AR asiatique pendant l’an- née 1864. 137. — Additions au catalogue des manuscrits orientaux achetés à M. Khanykof par là Bibliotheque Impériale publique. 202. Fritzsche, J. Sur les hydrocarbures solides tirés du goudron de houille. 406. — Remarques à l'occasion de la. ERO de M. Goebel sür la Car- en Perse, et sur les causes de la couleur 56. Goebel, Ad. Sur le Carnallit de Maman, en Perse, et sur les causes de la couleur rouge de quelques sels naturels. 1. — Sur le Catalogue du Cabinet minéralogique. de l’Académie, | d ru Lomonossof. 26. Knoch, . Sur Venbtyologie de BOBS proboscideus. a ine planche. Sylvanite, Struve, H. Analys ‚N. Sur le Fan ee et des ۳ du | 192. ZH Kokeharof, N. Résultats du mesurage de quelques cristaux. 281. ascen M, le Due Nicolas de —. La Leuchtenbergite. 188. Z; R. Observations magnétiques dans quelques erg: des côtes sir la Finlande et de l'Ehstenie. 419. —— El. Sur Geodesmus bilineatus PE terrestris uller ?), une planaire ini زا‎ 4 Reg, 7 Quelques remarques nn à a 5 ou- nc sot 48. ` S. Ouro mie A. Quelques observations sur 2 Hynicnoptéres ی‎ u groupe des Crabro nides. 243. Ke: A. et critiques. IV. 332 Ruprecht, 'F. J. Sur une algue d'eau te, trouvée dans la marne au gouvernement de ۵ — Nouvelles recherches géo- واه وی‎ lek sur ۳ Tchernoziom. 482. Sass, le baron A. de —. De la congélation de la mer sur les. côtes .d'Oesel et de Moon. 145. | eod Saviteh, À. یت‎ des planètes à l'observatoire de St. Péters- urg. 1 E ein و‎ 12 Are de la résistance de Pair au mouvement du pendule. Ban Dr. d ein hydrologiguen. Ge eaux sense. leen e Stol | 915. " Sonor, 3 J. Sur » accélérations de diners ordres denm d monve- Struve, En Découverte de queues n nébuleuses. 869." ‚ plusieu ; antiques et X. d'objets en fer, trouvés en “Sibérie. 1 5 x E id: A. deg CX voyage executé en 1 1865 ` | na . J'Esthonie et SCH de la langue ehste. 24 8 € "rt Hay 0 AA 1 d 4 d GESELLSCHAFT T. IX, N° ۰ BULLETIN DR L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. (5 Edd TOME IX. ai (Feuilles 1 — 9.) CONTENU. ۱ Page Ad. Goebel, Sur le Carnallit de Maman, en Perse, et sur les causes de la couleur rouge | de'quelques sels naturels, ..:4.....:...0.,.. esse مع‎ nn e 1 — 26 Sur le Catalogue du Cabinet néons de l’Académie, publié par Lo- و‎ ae 26 — 35 F, J. Ruprecht, Sur une algue d'eau douce, trouve dons la marne au gouvernement de sans nerve دقر واف‎ us ces. 35 — 43 J, F. Brandt, Rapport sur la ER partie de son travail sur les degrés de dévelop- ET N memes ce sn a RE 43 — 48 F. Minding, Quelques remarques analytiques à l’occasion d'un ouvrage de M. le Prince o9 wo 9215 000) 099 qe e poetice PEE M e EE 48 — 56 J. Fritzsche, Remarques à Toccasion de la notice de M. Goebel sur le Carnallit de EE EE EE O RE? 56 — 64 ظ‎ K. de Baer, De la découverte, faite par M. Wagner, de larves qui se propagent; des Soest | observations qui la complètent, deM. Ganime; et de la Paedogenèse en général. À (Aver uno Pb د‎ ee a ها‎ Bh gen Ee 64—137 - B. Dorn, Acquisitions nouvelles du Musée asiatique pendant l'année 1864........... 137 — 141 | A. Savitch, Observations des planètes à l'observatoire de St.-Petersbourg...........- 141 — 142 Boot Dibliograpbigne. sin cE a ee 143 — 144 Mo. B den, x 1897 = On. es chez MM. Eggers & Cie, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de Dm (Koxurers Ilpaszenis Huneparopexoi Axaxeuin Hapet} et co. Aa Voss, T libraire à Leipzig. EE و‎ Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 3 thalers de Prusse pour l'étranger. Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9۳ ligne, N°12) ne BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. . Untersuchung des Carnallits von Maman in Per- sien und über die wahre Ursache der rothen Färbung mancher natürlichen Salze, von Ad. Goebel. (Lu le 18 mai et le 15 juin 1865.) Salzmulde von Maman. — Bunte Salze nnd Carnallitknollen. — Zu- sammensetzung der Letzteren. — Wirkung der Hitze auf den Car- nallit und Folgerungen daraus. — Organisirtes Schwammgebilde im Carnallit. — Microscopische Untersuchung desselben und Fol- gerungen. — Chemische Prüfung. — Nähere Verhältnisse der La- gerung des Carnallits. — Mamanit, ein neues die Bildung des Carnallits; Bedingende Ursachen der Abscheidung des Carnallits; Gepetischer Zusammenhang des Schwammgebildes mit der Ausscheidung der Carnallitsubstanz. Chemische Capillari- tätswirkung. — Analoge Vorgänge in der Natur. — Beziehungen des Chlorkaliums zu den Spongien. — Fernere Beispiele. — Carnallit von Stassfurth. — Schwammgebilde analog denen von Ma- auch im Salze von Stassfurth. Meinung H. Rose’s und Re chardts über die rothe Färbung desselben. — Microscopische Wier 2 und chemische Prüfung derselben. — Färbung des Tachy ber die rothe Fárbung manchen Steinsalzes. — Rothe Fárbung vieler Salzseen. Das zuerst von Heinrich Rose in dom sogenannten Abraumsalz des Bohrloches von Stassfurth bei Mag- deburg entdeckte und beschriebene und von ihm Car- nallit genannte merkwürdige Salzmineral findet sich auch in einem der bedeutendsten Steinsalzbergwerke Persiens, zu Maman, eine Tagereise östlich von dem durch seine giftigen Zecken berüchtigten Miané, im südöstlichen Aderbeidjan, welches ich auf der Durch- reise im August 1859 flüchtig zu sehen Gelegenheit hatte. Das Steinsalz ist hier in Begleitung von mächtigen Gypslagern, die als fórmliche kleine Bergzüge auf- treten, so wie von gelblichen Kalkmergeln und bun- ten Thonen muldenfórmig dem Supranummulitenkalk Abichs eingelagert, der seinerseits wiederum dem Südwestabhange eines SO. — NW. streichenden Hó- ges chocoladefarbener und violettgrauer por- phyrartiger Trachyte sich anschliesst, von welchen er gehoben und durchbrochen worden ist. Dieser Hö- henzug gehört zur Kette des Kafılan-Kuh, welche, dem Talyschinischen und Ghilanischen Küstengebirge pa- rallel, das Hochland von der Provinz Irak-Adjemi im Nordosten begränzt. In den nur wenig verworfenen, fast horizontal ge- Tome IX. schichteten Lagen des körnig krystallinischen Stein- salzes, welches in einer der Hauptschürfe durch tür- kische Arbeiter bis zu 25 Fuss Mächtigkeit abgeteuft worden war, ohne durchsunken worden zu sein, fand ich in ziemlicher Menge auftretende knollenförmige amorphe Massen von ziegelrother, durch Carneolfarbe ins Blutrothe übergehender Färbung und von bitter- - lich zusammenziehendem Salzgeschmack. Sie waren von Erbsen- bis Kokosnussgrösse und traten in Be- gleitung feiner Gypsschnüre, sowie dünner, bräunlich- grüner Thonlagen und rein weisser, blättrig krystalli- nischer Knollen eines Polyhalit-ähnlichen Minerals i- stets an der Gränzfläche zweier Salzschichten auf, mit deren gelblich- und bräunlich -weisser Färbung die rothen Einschlüsse grell contrastirten. Oft auch waren sie in einem rosenrothen grob-krystallinischen durchscheinenden Salze eingeschlossen, welches, aus einem Gemenge von Chlornatrium, Chlorkalium und Chlormagnesium bestehend, in Nestern und ganzen Schichten im Steinsalze auftrat, bildeten dann aber stets die oberste Lage desselben. Ich werde indess weiter unten Gelegenheit haben, | auf die detaillirten Verhältnisse ihres Auftretens nä- her einzugehen. Die chemische Untersuchung, welche wie überhaupt der grösste Theil dieser Arbeit Ende 1860 im Univer- sitätslaboratorium von Dorpat unternommen wurde aber nicht vollendet werden konnte, ergab mir far die rothen Knollen Folgendes. Die Salzknollen sind völlig amorph, hart Si äus- serst spröde, im Bruche muschlig splittrig wie Glas oder Harz; auf den Bruchflächen, wie äusserlich am Fundorte selbst, von Glasglanz, in dünnen Splittern und Stücken schwach durchscheinend und sie lassen sich in dieser Hinsicht mit dem Schellack vergleichen. Auf frischen, in verticaler Richtung blossgelegten Bruchflächen zeigen die Seks schon dem blossen Auge eine sehr feine gebändert hselnd hellere und dunkle Streifung und Schichtung, derjenigen man- cher rothen Achate und Garneole ; - Bulletin de VAcademie Imperiale 3 diese feine bei schwacher Vergrösserung aufs delt: lichste wahrnehmbare Schichtung ist der allgemeinen horizontal erfolgten Schichtenrichtung des Steinsalzes paralleläufend. An der Luft zieht es Wasser àn, der Glasglanz geht in Fettglanz über, die Oberfläche des Salzes wird sodann trübe und bedeckt sich mit einer losen Kruste feiner würfelförmiger Krystalle von Chlor- kalium; zuletzt zerfliesst es völlig mit Zurücklassung ei. ner geringen Menge rother Materie und des Alcalichlo- rürs. In Persien hielt es sich mehrere Tage glänzend und trocken an der Luft, ohne feueht zu werden. Erst beim Hinabsteigen vom Hochlande in die sumpfigen Ufer- gelände des Urmia-See's war ich veranlasst, die Stücke in mehrfache Lagen papierdünner Guttaperchaplatten einzuwickeln; auf diese Weise gelangten sie, nachdem ich sie nebst anderen Naturalien zu Nachitschewan an der Grenze; in eine Kiste gepackt hatte, nach Jahres- frist unversehrtin meine Hände. In Dorpat konnten die Stücke namentlich während der vomMärz bis November auch iñ Zimmern feuchten Luft, nur durch Aufbewah- ren über Schwefelsäure, unter einer Glasglocke vor dem Feuchtwerden und Zerfliessen bewahrt werden. Seinen Bestandtheilen nach erwies es sich aus Chlormagnesium Chlorkalium und Wasser zusammengesetzt. Beim Auf- lösen in Wasser hinterblieb eine sehr geringe Menge organischer Materie, deren feuerbeständiger Rückstand aus Eisenoxyd und Kieselerde bestand. Die wässrige Lösung des Salzes liess verschiedene Male keine Spur von Kalk und nur bisweilen. schwache Spuren. von Schwefelsäure erkennen. Die gelblichweissen krystallinischen, diese rothen Knollen einschliessenden Steinsalzschichten sind fast reines Kochsalz, das weder Chlorkalium noch eine Jodverbindung durch Reagentien nachweisbar und nur Spuren von Kalk, Magna und Schwefelsäure enthielt; Zur Analyse wurden sche یج‎ aus dem Innern eines der rothen Knollen angewendet, 41,997 gr. des Salzes liess 0,0012 gr. geglühten — in Wasser unlöslichen Rückstandes wm وود‎ - und Kieselerde bestehend). dL 1,043. Br. Substanz emm 0,8743 gr. Kaliumpla- HL 0,5325 e Bebes 0,8195 gr. Chlorsilber. IV. 1 u gr. gaben 1 nit ی‎ WA: kaum; bei ped dont Die Mengé dés Magnesiums — sich nach Be- stimmung des Chlorkaliums aus der Chlordifferenz. Hiernach haben wir folgende Zusammensetzung: ER 38,072 ET iris 13,445 Magnesium. . . . .. 8,753 Schwefelsäure . . . . Spur Eisenöxyd u. Kieselerde 0,060 Wasser u. org. Subst. 39,670 100, 000 Gefunden Aequiv. Berechnet Chlorkalium . . . . . 25,621 26,900 Chlormagnesium . 34,649 = 342 210 UnlóslicherRückstand 0,060 u Wasser u. org. Subst. 39,670 12 38,8 890 100,000 100,000 Die Formel des Minerals ist initbin die des Car- nallits (KCl = 2 MgCl) + 12 aq. Die directe Bestimmung des Wassergehaltes war wegen der chemischen Béschaffenheit des Salzes mit den grössten Schwierigkeiten verknüpft und lieferte, in verschiedener Weise versucht, keine genügenden Resultate. Nur langsames und vorsichtiges Erhitzen bis 200? C führte am nächsten zur Wahrheit, ohne dass indess auch hierbei völlig übereinstimmende Wägun- gen erlangt werden konnten. Das Chlormagnesium wird in der Doppelverbindung mit Chlorkalium durch- aus nicht vor der Zersetzung selbst bei schwächer Glühhitze geschützt, wie solches angenommen wird; andererseits lässt sich auch durch Glühen’ über der Spiritus-Lampe mit doppeltem Luftzuge nicht alles Chlormagnesium caustificiren. Die geglühte Masse ziehe an der Luft wiederum Feuchtigkeit an und zerflit Mit Anwendung von Quecksilberoxyd geschieht di Zersetzung erst vollständig. 1 ‚050 gr. des Carnallits lieferten längere o m 160? C. erhitzt 0 ‚4285 gr. Gewichts- Verlust = 40,809 pC., noch zwei Stunden länger bei stärke- rer Hitze 0,540 gr. Glühverlust — 51,427 pC. Da die Erscheinungen beim raschen. Erhitzen e reres Beachtenswerthe darboten, so will ich sie auf- führen, indem ich bemerke, dass. ich sie, um das Mate- rial zu schonen, nicht weiter verfolgt habe, In einem zur Hälfte bedeckten Platinatiegel der Hitze. einer Wein- 3 des Sciences de Saint- Petershourg. 6 geist-Berzeliuslampe ausgesetzt, trübt sich das glän- zende, helldurchscheinende Salz plötzlich und wird dann von den Berührungsstellen der Tiegelwand aus- gehend, nach innen zu, aber stetsscharf abgeschnitten, allmälig weiss und krystallinisch, während Wasser- und Chlorwasserstofidämpfe nebst Luftblasen aus der rothen Masse entweichen; schliesslich wird das ganze Stück weiss und krystallinisch, sodann schmilzt. die Masse zu einer wasserklaren Flüssigkeit, wobei anfangs un- ter Spritzen ein geringes Sublimat von hochgelber Farbe an der unteren Fläche des Tiegeldeckels sich absetzt. Darauf verdampft Chlorkalium, das gelbge- färbte Sublimat verschwindet und zuletzt bleibt nach stundenlangem Glühen eine trockene, theils weisse, theils gelbliche, geschmolzene, warzenförmig-krystal- linische Masse mit vielen feinen, stark glänzenden Würfelflächen untermischt, im Tiegel zurück, welche bei der Hitze der Berzeliuslampe keine Gewichtsab- nahme mehr erleidet, an der Luft aber lebhaft Wasser anzieht und nach einiger Zeit unter Zurücklassung von Magnesiahydrat und Chlorkalium-Krystallen zer- fliesst. Jenes pest ere ne der Hitze bewirkte Trüb- und Krystallinischwerden beruht auf der in kleinen Würfeln erfolgenden Ausscheidung des Chlorkaliums aus seiner bis dahin bestandenen völlig amorphen Dop- pelverbindung. mit dem Chlormagnesium. Der. gelbe is auf. der unteren Flüche des Tiegeldeckels er- e re gesch (satu don de chlorwasserstoff sauren Dämpfe entstanden war, welche aus der Wech- selzersetzung des Chlormagnesiums und einem Theile seines Krystal ltirten und auf die geringe Menge des i im Salze vorhandenen Eisenoxydes agirten. (3. CIH + Fe, 0, — Fe, Cl, + 3 HO.) Diese an ag geringfügig erscheinende Thatsache führt aber zu einigen weitern Betrachtungen. Eisen- chlorid wird unter den Sublimationsproducten der umarolen des Vesuys genannt"). Findet durch irgend eine Ursache, und eine solche lässt sich mehrfach be- rouden, ein communicirender Zusammenhang des esjenes littoralen Vulcanes mit dem Meerwasser zeitweilig statt, sọ muss uy einem solchen Falle das in dem letzteren Fa ir 3 (c EK TT VEN ی‎ io aa d 8 weg TU CET e. Handbi ch der Mineralchemie, EN el 9 pC. des Salzgehaltes betragend) im Contact mit Oxydationsstufen des Eisens enthaltender glühend- flüssiger Lava, die Ursache zur Bildung von Eisenchlo- rid werden, welches alsdann mit den Wasserdämpfen der Fumarolen zur Oberfläche gelangt. Die Vesuvlava von verschiedenen Jahren 1855, 1858, 1811) ent- hält nun nach Rammelsberg’) gegen 10 pC. an Ei- senoxyden und wird obendrein durch Chlorwasserstoff- säure fast vollständig zersetzt und gelöst, Ein höheres Interesse dürften indess noch سب ور‎ Thatsachen beanspruchen: Legt man ein Stück unseres Camallit's in use; ohne das letztere zu agitiren, so löst sich das Salz unter Entwickelung zahlreicher Luftbläschen zwar vollstän- digauf, ein weiches flottirendes Gebilde von der Grösse, Form und Farbe des ursprünglichen Stückes bleibt aber in der Lösung suspendirt und begiebt sich schwimmend aufwärts zur Oberfläche der Flüssigkeit, falls dieselbe einigermassen concen- trirt ist. Die aus sehr feinen parallel übereinanderge- lagerten helleren und dunkleren Schichten hestehende Structur dieses ziegelfarbenen Körpers ist jetzt dem Auge besonders deutlich und erinnert im Ensemble an die Structur einiger der niedersten Pflanzenformen, namentlich an die Species Palmella Kütz. und ۵ unter den Wasser Pilzen ?). Jenes voluminüse Gebilde ist dabei von ausserordentlicher Zartheit; wird das Wasser, in dem es sich befindet, durch Schütteln des Gefässes agitirt, so zertheilt es sich gleich in mehrere Stücke. Aus dem Wasser genommen, sinkt es; zu ei- nem schleimigen Klumpen zusammen, der, abermals ins Wasser gebracht, die frühere Form nieht wieder erhält. Auf eine Glasplatte oder auf Papier gebracht (abfiltrirt), trocknet ein Cubikzoll grosses Stück aus- serordentlich zusammenschwindend, zu einer ziegelro- then, feinen, blättrigen, pap men, welche, äusserlich schimmernd- und seidenglän- zend, beim Zerreissen eine etwas zühe und sehr feine laden: oder filzartige M 77 — EUN eingetrocknet, haftet die Substa: dem: Berzeliuspapier sehr fest an, s pier ohne Zerreissung desselben kaum | getrennt wer- den kann. Die مب‎ Vache Trennung erfolgt jedoch 2) Ra panel DT p e en geologischen Ge- sellschaf aeee alesh v maid abulae phy T; 1845 — 1849, Lë Bulletin de l’Académie Impériale ل‎ sehr leicht, wenn das Papier benetzt wird, worauf die Blättchen mit einer feinen Pincette leicht sich abhe- ben lassen. Wiederum in Wasser gebracht, quellen sie nicht wieder auf, auch nicht beim allmäligen Erwär- men bis zum Sieden; sie haben dann im Wasser das Ansehen feiner glä der Gli huppen. Auf dem Platinblech erhitzt, schwärzen sie sich und verglim- men alsdann unter lebhaftem Erglühen, eine reichliche Menge rother Asche hinterlassend, welche dem blos- sen Auge einige feine b.igemengteQuarzkörnchen zeigt sonst aber aus Kieselerde und Eisenoxyd besteht. Die im Vorstehenden angeführten Thatsachen dürf- ten schon für sich genügend sein, zu beweisen, dass wir in der fraglichen voluminósen Substanz, welche beim Lösen eines Carnallitstückes, die Form des Mi- nerals beibehaltend, in Wasser übrig bleibt, einen or- ganisirten Körper vor uns haben, der nach Form und Structur denniedersten bekannten Pflanzen- und Thier- formen sich anreiht. Da in der Natur stets das Stoff- liche dem Formgebenden untergeordnet ist, wenn- gleich die Form selbst von Ersterem bedingt erscheint, o werden wir zu der Schlussfolgerung bewogen, die ım Steinsalz eingeschlossenen Carnallitklumpen von Maman mindestens mit gleichem Rechte als Or- ganismen aufzufassen, wie als Minerale. Indem ich nun zur microscopischen Betrachtung jenes Körpers übergehe, bemerke ich, dass es mir hier- bei nur auf die Feststellung der nothwendigsten That- sachen ankommt, und dass ich durch das Nachste- hende einen Specialisten (Algo- oder Spongiologen) veranlassen möchte, diesen Gegenstand وه و‎ zu behandeln. Lässt man einen feinen üschen Splitter des Salzes | auf dem Objectträger in einem Tropfen destillirten Wassers zergehen, so geht zunächst eine Spaltung des Salzes in seine beiden näheren Bestandtheile vor sich. Das Chlormagnesium löst sich zuerst und in der concentrirten Lauge scheiden sich die würfel- förmigen Chlorkaliumkrystalle aus, die bei weiterem | Zusatz von Wasser sich sogleich, oder durch Was- seranziehung von Seiten des Chlormagnesiums aus der Luft, allmälig von selbst zerfliessen. In dieser Flüssigkeit schwebt der schwammartige Körper mit völliger Beibehaltung der ursprünglichen Form des Salzsplitters. Er ist indess | dabei in seinem Bau so | £ POET, اي‎ 7 VERUER ARE WT FER VERAM ای ییا‎ >) welche beim vorsichtigen Hinzufügen eines Tropfens Wasser aus dem Tropfgläscheu durch Adhäsionswir- kung entsteht, hinreichend ist, ihn in mehrere Stücke zu zerreissen. Das noch so vorsichtige Auflegen eines feinen Deckgläschens pflegt ihn gleichfalls zu zertrüm- mern. Nur sehr feine Glimmerblättchen fand ich ge- eignet, die Präparate beim Bedecken in ihrer Ganz- heit zu erhalten. So betrachtet, zeigt er sich unter dem Microscop bei 250- bis 300-maliger Vergrösserung als ein sehr feines, farbloses, bisweilen gelblich gefärbtes schwam- miges Gewebe, dessen Grundsubstanz scheinbar völlig structurlos, aber mit zahllosen starren Nadeln und runden Körperchen meist moleculärer Kleinheit erfüllt ist, welche ich nacheinander einzeln betrachten will. 1) Zunächst ist die Grundsubstanz von zahllosen, feinen, spiessigen Nadeln erfüllt, die nach allen Rich- tungen hin gelagert sind. Sie sind von unmessbarer Kleinheit, sehr an Länge, aber nur unbedeutend an Dicke allmälig wachsend. Das Maximum der Dicke (des Querdurchmessers) erreichen sie bei einer Länge von 0,06 Millim. Bei weitem die meisten der Nadeln sind von dieser Beschaffenheit, von da an nimmt bei vielen mit zunehmender Länge die Dicke ab, so wie ‚auch die starre gerade Beschaffenheit derselben ver- schwindet und einer gekrümmten und gebogenen Form Platz macht, welche bei noch bedeutenderer Länge und Feinheit einzelner Nadeln in eine S-förmige oder mehrfach gebogene Form übergeht (s. Fig. 3). Selten übersteigen sie indess die Längevon 0,1 Millim.(0,0968 Millim. im Mittel mehrerer Messungen) ‘). Ihr Quer- durchmesser (Dicke) übersteigt nicht 0,0012 Millim. Bei 250-maliger Vergrösserung übertraf sie nicht die scheinbare Dicke des Spinngewebfadens im Oculare. In dem Masse, als man eine stärkere Vergrösserung an- wendet, treten, so weit die bei stärkerer (700-bis 1000- maliger) Vergrösserung abnehmende Helligkeit des Ge- sichtsfeldes ein deutliches Wahrnehmen gestattet, an derselben Stelle des Präparats stets nur ewe in die 4) Die Messungen sind unter einem älteren d Mi- croscope mit dem dazn gehörigen Sehranbeiimiérometér- worden, welches eine genaue Able f den santo, ^ eil | (und Schätzung ai na eines eilstriches des 0,01 Par. Zoll entsprechenden und in 100 Th eilten Schraubenum- ganges zulässt, voll zur Reduction anfden wahren Messungswerth, er von Harting (Das بو‎ à 1860, p. 505) für das Schiek’. sche Micrometer gefundene Coefficient benutzt wurde. des Sciences de Saint- ۰ Länge gezogene Nadeln und dazwischen liegende mole- culäre Körnchen vor die Augen. Wiederholte Beobach- tung zeigt, namentlich mit Hülfe künstlicher Beleuch- tung, dass das bei schwächerer Vergrösserung scheinbar structurlose Gewebe, bei stärkerer sich stetsin ein filz- artiges Haufwerk jener feinen nadelartigen Gebilde mit dazwischen liegenden Körnchen auflöst, und man ge- langt zu der Überzeugung, diese beiden als die letzten sichtbaren, das Ganze constituirenden Formelemente déruschen, deret weitere Erkennung‘ bei scheinbar ins AKlein heit der moleculären Körnchen schliesslich in der Un- vollkommenheit des vergrössernden Instrumentes ihre Gränze findet. : Die kleineren, dicken Spiesse sind bisweilen zu sternfórmigen Gruppen vereinigt, ähnlich, wie wir sol- ches bei den microscopischen Krystallaggregaten von Leucin aus Horn dargestellt, sehen °. Bei alledem tritt aber eine gesteigerte Anhäufung dieser Nadeln in abwechselnder linear-paralleler Rich- tung, welche der horizontalen Schichtenrichtung des Salzes entspricht, deutlich hervor. Dieses gedrängtere Auftreten in schichtenweis linearer Anordnung be- dingt eben jene schon mit blossem Auge und durch die Loupe wahrzunehmende feine Streifung. Jene feine, in geradlinig paralleler Schichtung an- geordnete Zusammenhäufung der richtungslos durch einander gewirrten Nadeln, verbunden mit der aus- serordentlichen Zartheit des ganzen Gebildes, schei- nen zu beweisen, dass die Entwickelung jenes Kör- pers nur in einer stillen und ruhigen, mindestens wäh- rend des einstigen Wachsthums nie heftig bewegten Flüssigkeit vor sich gegangen sein konnte; oder man müsste denn annehmen, dass wührend der vitalen Pe- riode jenes Organismus, das Gewebe eine De Te- nacität besessen habe. 79) Ausser den Nadeln sieht1 man i fernerzahllose dunkle date | 1 LES 4327 heit bis zu 0,0092 Millim. im Dürchmesser. Die grösse- ren dieser Körnchen lassen stets eine scharfe äussere Contour und einen hellen Inhalt erkennen, der meist carminroth bis blutroth gefärbt ist. Sie sind es hauptsächlich, welche die Farbe des Carnallits bedin- p Die rothe Färbung dieser runden Kórper wird in CZ 5) Funke, physiol. Atlas 1858, tab. IL. fig. 6. Maasse deutlicher, als ihre Grösse zunimmt. Auch dem hier gelangen bei Anwendung stärkerer Vergrösse- rung stets neue Kórnchenmolecule zur Wahrnehmung, wührend die als solche bereits erkannten die üus- sere Contour und den hellen Inhalt deutlich geschie- den erkennen lassen. Ich wage nicht diese Kórper wei- ter zu deuten, zum wenigsten nicht als Zellen im ge- wöhnlichen Sinne, da sie der Hitze widerstehen und wie die Nadeln, nach dem Glühen scheinbar unverün- dert bleiben.Schliesslich muss ich als bemerkenswerth hervorheben, dass mehrere der gróssten dieser run- den Kórper mit rothem Inhalt, deren Anzahl übrigens nicht bedeutend ist, indem sie mit der Grösse abnimmt, einen deutlichen Übergang von der runden scheiben- förmigen zur sechseckigen Gestalt deutlich verfolgen lassen. Die Form des Sechseckes ist bei vielen, ob- wohl die Ecken ófters gerundet sind, scharf und deut- lich ausgeprägt. Ausser diesen rothen Körperchen giebt es noch welche, aber an Zahl geringe, von schwarzer Farbe, deren Deutung ich mich enthalte. Vielleicht erschei- nen sie nur durch Anhäufung des rothen Farbestoffes opak und fallen ihrem Wesen nach mit den beschrie- benen zusammen. Als accidentelle Vorkommnisse muss ich ferner er- wühnen: e 3) Luftblasen. Der grösste Theil derselben wird, wie bereits erwähnt, beim Lösen des Salzes vom Was- ser verdrängt, einige bleiben indess in dem filzartigen Nadelgewebe eingeschlossen, und zeigen eine meist birnförmig verlängerte Gestalt. Um über die Art und Weise des Vorkommens im ursprünglichen Salze Auf- schluss zu erhalten, stellte ich mir dünne Plättchen des Letzteren her, welche durch Schleifen von flachen Carnallitsplittern mit Hülfe von Terpentinöl auf einer, matten Achatplatte leicht bis zu 0,5 mm. Dickeerhalten werden konnten. Die Carnallitsplitter waren zu diesem Zweck in verticaler Richtung aus einer vertical ste- henden Knolle gemeisselt, so dass man den Dureh- schnitt mehrerer üb schichten des Nadelfilzgewebes bekam. Die sodann mit Terpentinöl abgespültei eigten in den glasklaren, vom Nadelfilz erfüllten Salze zahlreiche in bogenförmigen Reihen geordnete, längliche Luftbläs- chen, in rn dro. wie wir sie häufig im plötzlichen Festwerden luft- A 1 Bulletin de l'Académie Impériale 12 haltiger Flüssigkeiten zu beobachten Gelegenheit ha- ben 4) Pilzzellen. Das Auftreten derselben ist geeignet, im Anfange zu Täuschungen und Trugschlüssen zu füh- ren. Sie stellen sich als ovale oder längliche Zellen dar, mit grumüsem Zelleninhalt (Protoplasma) und oft deut- prägtem Zellenkern. Nie sind sie indess weder in einem feingeschliffenen Carnallitplüttchen noch in einem mit Wasser frisch dargestellten Prüparat sicht- bar; sie treten aber einzeln bald auf, namentlich wenn das Letztere einige Zeit der Luft ausgesetzt war. Stückchen von Carnallit hatte ich im Sommer 1860 in Uhrgläsern, die unter einer Glasglocke standen, in reinem destillirten Wasser zergehen lassen. Nach ein paar Wochen zeigte sich ein Stückchen der in der | unterdessen zum Theil eingetrockneten Salzlösung sus- pendirten Nadelfilzkürper unter dem Microscop derart von Pilzzellen erfüllt, dass diese nüchst den Nadeln die wesentliche Hauptmasse des Ganzen ausmachten. Zugleich hatte sich am Boden des Uhrglases eine weiss- liche feinpulverige Schicht abgelagert, die nach unter das Miseroscop gebrachten Proben lediglich aus den erwühnten Pilzzellen bestand. Die Entstehung dieser Pilzzellen haben wir offen- bar nur den in der Luft verbreiteten Keimen dieser Wesen zuzuschreiben, welche in der Chlormagnesium- Chlorkaliumlósung alle Bedingungen zu einem fróhli- chen Gedeihen vorfanden. Ich erwähne dieser Beobach- tung bloss darum, weil man einwenden könnte, dassjene Pilzzellen nur eine weitere Entwickelungsstufe bereits im Nadelfilzgewebe enthaltener moleculärer Keimkör- perchen oder Zellenkerne seien. Solches erweist sich aber bei näherer Betrachtung als unhaltbar. Hier in Pe- tersburg, im October und November desselben Jahres 1861) gleichfalls in bedeckten Uhrgläsern stehende Darnallitlösungen liessen auch nach mehreren Wochen keine Pilzzellen erkennen. Wenn die Keime derselben im Carnallit ursprünglich vorhanden gewesen wären, so hätten sie sich jedenfalls entwickeln müssen, da hierfür alle Bedingungen, die Wärme eines beständig geheizten Zimmers, Licht und Feuchtigkeit vorhan- den waren. Da sie sich aber nicht zeigten, so muss | man schliessen, dass entweder die Luft des mineralo- gischen Museums der Academie zu St. Petersburg im | November keine dergleichen Keime enthielt, wie sie | im Mai in der im dörptschen chemischen Laboratorio | befindlichen Luft vorhanden waren, oder dass, wenn dergleichen Keime in der Luft vorhanden waren, sie zu jener Jahreszeit (Winter) in nicht entwickelungsfä- higem Zustande sich befanden. Der letztere Grund hat die meiste Wahrscheinlichkeit für sich und wird, wieich: mich überzeugt, durch die Thatsche gestützt, dass in un- serem Klima Wasser in verschlossenen, aber bisweilen gelüfteten, im Zimmer befindlichen Gefässen im Win- ter, abgesehen von den auf chemischem Wege erfol- . genden Absätzen, sich unter Umständen Wochen, ja Monate lang klar erhält, während im Frühlinge und Sommer wenige Tage genügen, um Millionen infuso- rieller und pflanzlicher Gebilde in demselben Wasser entstehen zu sehen. Ausserdem sind als zufällige Beimengungen noeh. 5) amorphe Quarzkórnchen und 6) einzelne kieselschalige a ee zu bezeichnen, welche dem untersuchten feinen Gewebe eingebettet sind, und die nach Behandlung des Letz- teren mit heisser Chlorwasserstoffsäure isolirt werden können. In zwei Fällen sah ich den Quarz als hexa- gonales Prisma mit aufgesetzten Pyramiden an beiden Endflächen, und einmal eine Anzahl Diatomeen, stäb- chenförmig aneinandergereiht und scheinbar in eine Röhre eingeschlossen, in analoger Weise, wie die von Kützing beschriebenen Fragillaria-Arten °). Wird jenes Nadelfilzgewebe auf dem Objecttrüger mit destillirtem Wasser ausgewaschen und eingetrock- net, so rollt und zieht es sich zusammen; es haftet dann ziemlich fest am Glase und bildet eine bräun- lichrothe, schwach seidenglänzende lederartige Masse. Eben so wird beim heftigen Bewegen des in einem Gefässe in Wasser flottirenden Gebildes, dasselbe zer- rissen und zu unförmlichen Klumpen verfilzt, aus de- nen wegen ihrer unentwirrbaren opaken Beschaffenheit kaum ein zur mieroscopischen Darstellung geeignetes Präparat mehr gewonnen werden kann. Es geschieht hier im Kleinen dasselbe, was wir im Grossen an ei- ner aus stachlichen Strauchästen gefertigten Decke beobachten würden, wenn dieselbe faltig femme” schlagen und gerollt würde. ۰ Werden diese Formelemente ^ audh ein geschli- fenes Carnallitpláttchen unter dem Microscop im pola- risirten Lichte betrachtet, so zeigen die Quom: 6) Kützing, die دشاح 8 ابت اج‎ Bacillarien oder 1 Diatomeen. Nordh. 1844. Tab. 16, fig. IH und IV. le, Des Ar MOT OUI OA) LIS iria T T? des Sciences de Saint- Pétersbourg. 14 chen wie der Carnallit die prachtvollen Farbenerschei- nungen der doppelten Lichtbrechung. Die rothen Sechs- ecke und rundlichen Scheiben, wie die Nadeln (die grössten derselben zeigen gleichfalls eine gelbe, ins rothe übergehende Färbung) sind aber völlig indifferent. Auf rothem Grunde wird ihre Farbe erhóht, auf grü- nem dagegen aufgehoben. Wegen der, dem Gewichte nach so àusserst gering- fügigen Quantität jenes Gebildes (sie beträgt nur we- nige hundertstel Procent des Carnallits), war ich nur auf einige der wichtigsten chemischen Reactionen be- schrünkt. Das durch Auswaschen vom Salze befreite, auf ei- ner Glasplatte erhitzte Gebilde verglimmte unter ei- genthümlich empyreumatischem Geruche, der sehr an jenen beim Glühen von Algen und Schwämmen erin- nert, wovon ich mich durch eine Gegenprobe mit Spon- gilla fluviatilis überzeugte. Der vom Eisenoxyd schrill roth gefärbte Glührück- stand zeigte die Nadeln, rothen und schwarzen Körn- chen unter dem ra völlig unverändert; ja durch die Zerstörung der geringen Menge organischer Sub- stanz war das Bild in seinen Einzelnheiten noch kla- rer geworden. Concentrirte Essigsäure löste auch in der Wärme nichts auf. Coneentrirte Ätznatronlösung mit dem frischen Ge- bilde zur Trockne verdampft liess die drei genannten Formelemente gleichfalls unverändert. < Verdünnte Jodlösung bleibt völlig indifferent gegen das frische Gebilde, welches dadurch nur gleichmäs- sig gelb gefärbt wird. Diese Färbung verändert sich nicht durch Hiuzufügung von Schwefelsäure von ver- schiedenen Concentrationsgraden. Hiernach ist keine Cellulose vorhanden, die Obrigas auch nicht zu er- warten war. ? :5/Oblorwasserstoffsitite isa: wirkt; وروی‎ beim Erwärmen, sehr energisch auf das frische, wie auf das geglühte Gebilde. Die Nadeln und rothen Körper, gleichwie ein grosser Theil der schwarzen Molecule werden vollständig zu einer von Eisenchlo- rid dunkel. gier Flüssigkeit gelöst, und es bleibt nur eine -grumüse Masse zurück, die haupt- sächlich aus s Quarzkörnchen und farblos durchschei- | - nenden Partikeln besteht, wie sie feiner Thon zu zei- ` gen pflegt. Da feine Thonlagen als äussere Beklei- dung jener Carnallitknollen auftreten und auf mechani- schem Wege nicht leicht gänzlich von ihnen zu trennen sind, so stehe ich auch nicht an, jenen in Salzsäure unlöslichen Rückstand als Thon zu betrachten. Bis- weilen finden sich noch ausserdem, wie ich bereits er- wähnt, einzelne vollständige Quarzkrystalle und Dia- tomeenpanzer vor. Eine weitere chemische Prüfung, resp. Analyse un- terblieb; wegen der geringen Quantität und Kostbar- keit des Materiales, konnte sie erst nach der biologi- schen Untersuchung folgen, Es war mir in den letzten Jahren keine Gelegenheit gegeben, chemische Unter- suchungen auszuführen. Der etwas fragmentarische Charakter dieser, als Bruchstück einer grösseren ent- nommenen Abhandlung findet hierin seinen Grund. Ich wünschte indess die früher gewonnenen Thatsachen der Vergessenheit zu entreissen. ‘ Gehen wir schliesslich auf die näheren Umstände des Vorkommens des Carnallità ein, wie ich sie an Ort und Stelle beobachtete, um hierdurch noch mehrere Anhaltspunkte zu gewinnen, welche zur Deutung und Entstehung unseres Gebildes beitragen werden. Wo die Carnallitknollen zwischen Schichten reinen Steinsalzes eingeschlossen auftreten, findet stets, wie solches aus verticalen Querdurchschnitten ersichtlich ist, eine Stórung in der sonst horizontalen und paral- lelen Schichtung des Letzteren statt. Die Knollen selbst liegén, wenigstens die. grüsbe- ren, frei und ungezwungen, ohne durch von oben wir- kende Pressung gestreckt zu sein. Solches beweist, dass sie während ihrer Bildung einem von allen Sei- ten gleichmässig wirkenden Drucke ausgesetzt waren. Oft legt sich das Steinsalz direct dem Garnallit an, meistens aber sind die Carnallitknollen zunächst von einer feinen, einen bis mehrere Millim. dicken Schicht eines eigenthümlichen weissen, seidenglänzenden, dem Polyhalit ähnlichen Minerales von blättrig fasriger Struetur umgeben, dessen Blätterrichtung stets senk- recht zut Peripherie der Knollen steht. Dieses Mine- ral tritt, ähnlich dem Carnallit, auch in gatis selbststän- digen Concretionen zwischen den St auf, deren grossa ie ib don Fu gleich kam. 15 Bulletin de l’Académie Impériale KO, $0, 2 MgO, S0, 9 CaO, SC, und ich möchte ihm daher den Namen Mamanit, nach der in der Nähe seines Vorkommens befindlichen Ört- lichkeit, beilegen. In einzelnen grösseren Knollen dringt der Mamanit- überzug bisweilen scheinbar in die Zwischenräume der Knollen hinein. Durchschnitte haben aber das Anse- hen, als wenn ein Aggregat selbstständiger rundlicher Carnallitindividuen sich entwickelt hätte, deren Inter- stitien mit dem erwähnten Mamanit und darüberlie- gendem einschliessendem Steinsalz ausgefüllt sind. Die das Liegende des Carnallits bildende Steinsalz- schicht ist häufig mit einer dünnen Lage bräunlich grünen oder schwärzlich bläulichen Thones bedeckt. Diese Salzschicht verläuft meistens horizontal, biegt sich indess an der Knolle bisweilen nach unten, den Krümmungen der Letzteren sich anschliessend. Die zunächst aufliegenden Schichten brechen in der Regel bis zur Mitte des Umfanges der grösseren Knollen plötz- lich ab, und die darauf folgenden oberen steigen wie- derum aufwärts, sich den oberen Krümmungen der Carnallitknollen anschmiegend und dadurch eine ent- sprechende wellenförmige Aufbiegung der zunächst aufliegenden Steinsalzschichten veranlassend. Sehr bemerkenswerth ist es, dass in den Steinsalz- schichten, welche die Carnallitknollen zunächst um- geben und einschliessen, beim Auflösen von Stücken derselben keine Spur jenes microscopischen Nadel- filzgewebes sich nachweisen lässt. Ebensowenig war in dünnen Splittern oder feinge- schliffenen Pláttchen des Mamanits etwas von den be- schriebenen Nadeln und runden Körperchen sichtbar. Wohl aber trat dieses schwammartige Gebilde reich- lich auf in den früher erwähnten Schichten und Bän- ken eines Salzgemisches von Carnallitsubstanz und Chlornatrium, deren rosenrothe bis morgenrothe Fär- bung sie bedingte. Nur fand es sich nicht in zusammen- hängenden Massen, sondern flockenweise und gleich- sam zerrissen und zerstückelt durch die ganze Masse der grobkrystallinischen Schichten vertheilt. Wenn wir nun, auf die sóhlige Schichtung der Stein- salzmassen von Maman und die chemische Beschaffen- heit des Salzes selbst fussend, von der Überzeugung + 9 aq. ausgehen müssen, dass wir einen durch Eintrocknung der Mutterlauge eines Salzsee's oder abgetrennten Meeresbeckens entstandenen Schichtencomplex vor uns haben, so lassen sich aus den im Vorhergehenden mitgetheilten Thatsachen folgende auf die Bildung des Carnallits bezügliche Schlüsse ziehen: Nach dem Absatz der Steinsalzschichten, welche das Liegende in gleichem Horizont befindlicher Car- nallitknollen bilden, musste eine kurze Periode der Ruhe (resp. Verdünnung der Lauge durch Regengüsse) eingetreten sein, während welcher sich zunächst die ` dünne Thonschicht ablagerte. Hierauf ging die ge- sonderte Abscheidung der Carnallit- und Mamanit- concretionen vor sich, wobei die des Letzteren noch stattfand, als die Bildung der Carnallitknolle durch schichtenweise Entwickelung des spongienartigen Na- delfilzes und gleichzeitige Fixirung des Chlorkaliums und Chlormagnesiums zu einer amorphen Doppelver- bindung innerhalb desselben bereits beendigt war, wie solches der feine Überzug des Mamanits auf dem Carnallit bezeugt. Der hierauf wiederum erfolgte Ab- satz von Steinsalz, durch Niedersinken an der Ober- fläche des Wasserbeckens durch Verdunstung gebil- deter feiner Kochsalzkrystalle, umgab und umschloss zugleich mit wechselnden feinen Lagen von Thonsub- stanz und von Mamanit die knolligen Gebilde. Wäh- rend des Wachsthums der Letzteren verfingen sich Diatomeen in dem Filze, gleichwie Quarzkörnchen und Thonpartikel, in Form von Staub durch Wind auf die Wasseroberfläche getrieben, darin niedersan- ken, auf die schwammartigen Organismen trafen und von neu zuwachsenden Schichten derselben einge- schlossen wurden. Versuchen wir nun, auf die Ursachen einzugehen, welche die Abselieideng des Carnallits in knolliger amorpher Gestalt bedingten. Wir könnten das Ganze als einen Petrificationsprocess auffassen, in welchem an Stelle der Sarcode in der Salzlauge vegetirender Schwämme Carnallitsubstanz getreten ist. Doch ge- nügt der mechanische Vorgang der Pseudomorphose nicht zur Erklärung der gen des zerfliessli- chen Carnallitsalzes. Wenn in der concentrirten Lósung eines Gemisches mehrerer verschiedener Salze die Ausscheidung von Salzverbindungen stattfindet, so pflegt man anzuneh- men, dass es das Streben de gg Molecule 17 des Sciences de Saint-Pétersbourg. IC nach gegenseitiger Vereinigung sei, welche hierbei in einzelnen oder zu Doppelverbindungen vereinigten Sal- zen austreten. Diese Ursache lag auch der Abschei- dung der beiden genannten concretionären Salzmine- ralien zum Grunde. Bei der Selbstverdunstung grosser Mengen von Seewasser findet nach gesonderter Ab- scheidung des Gypses und sämmtlichen Kochsalzes zuletzt gleichfalls die Abscheidung von Chlorkalium- Chlormagnesium als Doppelverbindung statt, aber in krystallisirter Form. In unserem Falle dagegen weist das constante und ausschliessliche Zusammen-Vor- kommen des Chlormagnesium-Chlorkaliums mit dem geschilderten organisirten schwammartigen Gebilde, durch welches die äussere Form der Carnallitbil- dungen bedingt wird, aber auch mit Entschiedenheit auf einen ursächlichen und genetisch bedingen- den Zusammenhang beider hin. Dass die Ausschei- dung des Doppelsalzes in Folge der von dem Nadel- filze dargebotenen spitzen und rauhen Oberfläche ein- getreten: sei, in gleicher Weise, wie wir in Lósungen g oder Krystallisation stets von den Rau- higkeiten und Unebenheiten der innern Gefässoberfläche zuerst ausgehen sehen, kann hier keine Geltung ha- ben, da in einem solchen Falle die Anlagerung von Carnallittheilen, nachdem sie einmal begonnen, noch weit über die Grenze des Nadelfilzes hinaus hätte statt- finden müssen. Obendrein ist auch die Carnallitsubstanz in den Knollen nicht krystallisirt, sondern glasartig amorph. Wird ein Stück der Knolle gelóst und die Lósung sich selbst überlassen, so krystallisirt einerseits Chlorkalium in Würfeln, so wie das Chlormagnesium in langen Prismen jedes für sich wieder heraus; bei weite- rer Concentration und vólligem Eintrocknen verschwin- den die Prismen des Chlormagnesiums und vereinigen sich mit dem Alcalichlorür wiederum zu einer krystal- lisirten Doppelverbindung. In jener glasartig amor- phen Beschaffenheit des Salzes innerhalb des Umfan- ges jener Spongienbildung dürfen wir somit wieder- um einen Beweis des Abhängigkeitsverhältnisses bei- n. Ob die Carnallitabscheidung in Folge eines eriellen Beschaffenheit des organischen Gebil- des eigenthümlichen Fähigkeit, unter den Salzen der Mutterlauge die des Carnallits auszuwählen und an- zuziehen, zuzuschreiben sei, oder ob die Verdichtung des genannten Doppelsalzes zu einer amorphen Masse nur als chemische Capillaritütswirkung aufzu- Tome IX. fassen sei, bleibt dahingestellt. Der letztere Grund hat vieles für sich, seit wir durch Prof. Schoenbein wissen, dass durch Capillarität allein Trennungen und Aus- scheidungen chemischer Verbindungen hervorgebracht werden. Der vorliegende Fall fordert auch zu Expe- rimenten in dieser Richtung auf. Suchen wir indess nach analogen Vorgängen in der Natur, so dürften deren nicht wenige sein. Es gehört hierher schon die allgemeine Fähigkeit der Pflanzen, wie der niedersten Thierformen, aus dem sie umgebenden Medium gerade diejenigen B dtheile inihrem Orga- nismus zu concentriren, welche gegenüber den anderen Bestandtheilen des Bodens, des Wassers, der Luft, nur spurenweise vom Chemiker nachgewiesen werden kön- nen. Eine Anzahl vergleichender Anulysen des Was- sers und des Aschengehaltes in demselben gewachsener Pflanzen hat solches auch für Wassergewächse fest- gestellt. Unter den Salzen des Seewassers gehört das Chlorkalium zu den in geringster Menge auftretenden Bestandtheilen, und es scheint gerade dieses Salz in Beziehung zu unserem Spongiengebilde zu stehen, wie folgende Beobachtung beweist. Ich fand in dem Verticalschnitt eines anderen Schur- fes in der Mulde von Maman, wo die schwach gebo- genen Schichten des Steinsalzes bis zu 2'/, Meter Mäch- tigkeit aufgedeckt waren, die gelblichweissen krystalli- nischen Steinsalzschichten durch eine rosenrothe, grob- krystallinische, mehrere Zoll mächtige Zone getrennt. Diese hicht bestand aus Chlornatrium und Chlorkalium und verdankte ihre Färbung den ge- schilderten, sie erfüllenden, hier aber nur flockenweise auftretenden Brengt Ate? Sie enthält 45 pC: Chlorkalium, welches Salz in den zunächst einschlies- senden, Sb Kochsalzschichten auch bei allen Vorsichtsmassregeln durch Platinchlorid | nicht nachzuweisen war. Magnesia war in der rosenrothen rothen Schicht in kaum bestimmbarer Spur vorhanden die Spongienreste fehlten ihrerseits inden hellen Koch- salzschichten gänzlich. Hier darf man billig fr ob nicht jene Spongien deren vermodert 7 vor uns sehen, in einer Beziehung zum ‚Chlorkalium- gehalte des Wiisdis standen? Die Bildung knolligen See-Erzes in den finnländi- schen Seen durch Milliarden Gallionellen, welche wäh- rend ihres لساك‎ den os nget Eisengehalt des Was- sers in ihren Organismen concentrirten, دس‎ Auftreten is Bulletin de l'Académie Empériale der oft aus ursprünglichen Schwammgebilden beste- henden Feuerstein- und Hornsteinknollen in derK reide- und der oberen Juraformation, das Silificiren der Hölzer und anderer Organismen, in reinen Braunei- senstein verwandelte Petrefacten in den weissen Krei- deschichten u. A. m. sind sämmtlich sich hier anrei- hende Erscheinungen, die auf eine gemeinsame Ur- sache, den noch nicht genügend erkannten Einfluss der feineren Elementarstructur organisirter Körper auf die Ausscheidung gewisser Bestandtheile in wäss- riger Lösung hinweisen. Über die Vorgänge der Dif- fusion bei den niedersten und einfachsten Pflanzen- und Thierformen wissen wir aber noch gar nichts. Schon nach der vorläufigen Untersuchung des Car- nallits von Mamat fragte es sich, ob ähnliche Erschei- nungen nicht auch bei dem Carnallit von Stassfurth, dem einzigen Fundorte dieses Salzes in Europa, so viel mir bekannt ist, sich zeigen würden. Ich gehe deshalb hierauf über. . Carmallit von Stassfurth, _ Das Steinsalzlager von Stassfurth bei Magdeburg, eines der grössten und mächtigsten der Erde, ist bis 1200 Fuss durchsunken worden, ohne dass man da- mit die Mächtigkeit des Salzlagers erschlossen hätte. In einer Tiefe von 820 bis 1100 Fuss traf man auf ein Gemenge bunter oft zerfliesslicher Salze, die un- ter einem Salzmergel- und Anhydritlager sich be- fanden und welche in mineralogischer Hinsicht reich- lichen Stoff zu interessanten Entdeckungen und halur- gisch - geologischen Aufschlüssen darboten. Martinsit, Kieserit, Stassfurthit, Carnallit, Tachydrit und eine An- zahl verschiedenartiger Salzgemische aus jenen Schich- ten sind der Analyse unterworfen worden. Heinrich Rose °) und Oesten, sowie Reichardt °) untersuch- ten den rothgefärbten Carnallit, Sie wert °) dasselbe | Mineral von milehweisser Farbe. Keiner von ihnen er- wähnt indess jener spongienartigen Gebilde und mi- croscopischen Formen, wie sie in den rothgefürbten Salzen von Maman so reichlich sich zeigen. | Eine erste 4— des in den EE we `7) Pogg. Ann. Bd. 98, S. 161. /8) Reichardi, das Steinsalzw Stassfurth. ‚Jena, Fr. From- € Pag. 631. (So e eu 5 den Acten der K. K. Leopol- ch - 1 emie.) SE Zeitschrift für esammten Naturwissenschaen von Gie- bel und Heintz. Bd. Fe aan «Bruche muschlich und stark glänzend von 'Fettgl: |«sind, aber durch leichte Anziehung von Feuchtig- «keit eine Oberfläche erhalten, die matt, aber doch iu poems M Mae — ist, - ob sie = des chemischen Laboratoriums zu Dorpat vorhan- denen Carnallits von Stassfurth, welchen Professor C. Schmidt von Hrn. Heinrich Rose erhalten und aus Berlin mitgebracht hatte, zeigte mir, dass in die- sem Salze Schwammgebilde in Fülle vorhanden waren, welche, wenn auch an microscopischer Gestaltung nicht identisch denen von Maman, doch vollkommen analog und zum Theil weit instructiver als diese sich erwiesen, Ein Gleiches zeigten mir Stücke des Car- nallits von Stassfurth, welche vom Hrn. Akademiker Fritzsche, der während einer Reise im Auftrage des Hrn. Pine im J. 1862 gelegentlich Stass- furth besucht hatte, von dort mitgebracht und e. mineralogischen Museum übergeben worden waren. Auch im Carnallit von Stassfurth ist es ein Cer" artiges Nadelfilzgewebe, mit schön ausgeprägten ro- then hexagonalen Krystalltafeln, welches ihm die in- tensive rothe Farbe mittheilt und in reinen Stücken seine äussere Form’ bedingt. Auch hier zeigt sich an vollkommen amorphen, fettglänzenden Stücken mit. muschlig-splittrigem Bruche dieselbe feine paral- lele Horizontalstreifung wie bei dem Salze von Maman, welche eben durch jene microscopischen spi- culae bedingt wird, indem sie bunt durcheinander gefilzt, in reihenweis paralleler Anordnung dichter gruppirt sind. Heinr. Rose sagt vom Carnallit, dass er durch sehr geringe Mengen von Eisenoxyd, YT. er an einer anderen Stelle als Eisenglimmer bezeich- net, roth gefärbt sei. Dr. Reichardt sagt sogar Miu à Koss doti wurde durch Eisenoxyd ganz roth ge- «färbter Carnallit untersucht, jedoch das Eisenoxyd, «selbst unter dem Microscop, nieht i in krystallinischer «glimmerartiger Form gesehen, es war gewöhnliches «Eisenoxydhydrat, welches die verschiedenen Nuan- | «cirungen der rothen Färbung i in der verschiedensten «Menge hervorrief:» ` | Heinrich Rose sagt ferner: a «Dasselbe (Salz) bildet grosskörnige Massen, ‚die im i D «che nichts zu sehen ist; doch neigen de im Bruch ff Ma * nE SI 10) Reichardt 1. c. p. 631. - DU E que Ape نز۳95‎ Ke "EE RE PP geet Ww امد‎ 4 ur Re CUT CMS UNE PONTS دا‎ vw Tu, DU sé rms ای و 2 فيكف‎ i pe T KN S " T adi dici cn 21 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 22 «häufg gerade parallele. Linien, die sich von Zeit zu «Zeit, wiederholen, und auf Zwillingsverwachsung «schliessen. lassen, Sie lösen sich leicht, im Wasser «mit Hinterlassung von einer sehr geringen Menge «glimmerartiger rother Blättchen von Eisenoxyd, von «welchem, die filtrirte Lösung ganz frei ist.» ‚Dass die beobachteten Erscheinungen der Parallel- streifung und des glimmerähnlichen Aussehens der abfiltrirten Blättchen richtig sind, aber nach dem von mir. früher Erörterten anders gedeutet und erklärt werden müssen, scheint einleuchtend. Durch das Agiti- ren des Wassers beim Auflósen sinkt. der voluminöse Nadelfilz zu einem winzigen, unentwirrbaren blattarti- gen dichten Klümpchen zusammen, das der Prüpara- tion unter dem Microscope Schwierigkeiten entgegen- setzt. Diesem Umstande mag es vielleicht zuzuschrei- ben sein, dass Hrn. Dr. Reichardt die Erkennung deäselben ganz entgangen ist, Übrigens muss ich bemerken, dass in einzelnen Fällen, namentlich aus Stücken unreinen krystalli- sirten .Carnallits von Stassfurth, dem schwefelsaure Salze und Chlornatrium stark له للد‎ waren, die Spongien auch beim ruhigen Zergehen des Salzes in Wasser, in verfilztem und etwas zusammengesunkenen Zustande auf dem Boden des Glases fielen, in solcher Form aber auch vollkommen tauglich für das Micros- cop waren. Umstände, welche die Erlangung grösse- rer. constinuirlicher Spongiengebilde aus dem unreinen Salze von Stassfurth sehr erschweren, sind einestheils das reichlicbe Vorhandensein von Chlornatriumkry- stallen und Gyps, welche, nachdem die Carnallitsubstanz bereits aufgelöst, das rückbleibende flottirende Gewebe durchbrechend, nach unten zu Boden sinken, und an- drerseits zahllose Gasbläschen, die beim gen aus den Interstitien der Salztheilchen sich. entwickelnd, nach oben streben, und das überaus zarte Gewebe zer- reissend, in die. Hóhe steigend Theile desselben mit führen, winzigen Luftballons mit dranhängenden ‚täuschend. ähnlich. Amorphe Partieen in die- einen krystallinischen Salze entsprachen stets : ten und یا‎ aeiio Besse: gefundene : Verilzung Vocal! CS die Mutterlauge = قهن فا‎ Salzbeckens agitirt ge- wesen sei, sei es auch nur durch das Herabsinken an der Oberfläche der Flüssigkeit gebildeter Kochsalz- zeichneten krystalle. Bei den in meinem Besitz befindlichen Stü- cken analogen krystallinischen rothgefärbten Salzes von Maman, dem Chlornatrium in starker Quantität (von 11 bis zu 46 pC.) beigemischt ist, und das ich in einer Grube, von Gyps überlagert, sechs Fuss unter der Bodenoberfläche beginnend, in sieben Fuss Mächtigkeit aufgedeckt sah, sind diese Spongien in Form zarter leichter Flocken ohne ein fortlaufendes Continuum oder individuelle isolirte Massen, wie in den reinen Carnallitknollen zu bilden, reichlich verbreitet und ebeufalls stets an das Chlgtmaghekinm und Chlorka- lium geknüpft. | Ein in gleicher Weise wie der Carnallit von. Ma: man behandelter Splitter des amorphen Salzes von Stassfurth zeigt, wie bereits erwähnt, analoge Erschei- nungen. Eine scheinbar ganz structurlose Masse, wie solche der Sarcode von Schwämmen oder manchen Pilzen eigenthümlich ist, bildet die Grundsubstanz. Sie ist mehr oder weniger gelblich und bräunlich ge- färbt, und enthält zahllose freiliegende zellenähnliche ri von unmessbarer Kleinheit bis zu 0,0062 mm, Durchmesser; ähnlich wie im Mineral von Ma- man waren sie auch hier zweierlei Art: rothgefärbte, das Licht durchlassende, und völlig opake. Die rothen Scheibchen gingen über in zahllose schön ausgeprägte hexagonale Tafeln, mit denen. sie einem dichten. Spi- culaefilz eingelagert waren. ` ie Spiculae sind weit grösser und breiter. als die von Maman, oft sehr in die Länge gedehnt, so dass sie sich krümmen und mehrfach gewunden auftreten. Die breiteren unter ihnen sind deutlich gelblich oder rôthlich gefärbt. Die breitesten erreichten. im Mittel 0,012 Millim. Durchmesser (0,0116 Millim). Sie müs- sen hohl sein, da die fárbende Substanz bisweilen Un- terbrechung erleidet und das Innere nicht gänzlich aus- füllt. Bei sehr starker Vergrösserung erwii H: auch die Nadeln von Maman als geschi bender Substanz erfüllte Röhren. / Die grössten der h atel bis 0,05 Millim. Durchmesser"), wies starker dan: ne ca Gi iahE 11) Zeng zweier diameti 0,043 m Be 0 يوج‎ theile ich on W inkelgrösten nach ge- Jk Bulletin de l’Académie Impériale der hexagonalen Endfläche oder mit aufgesetzten Py- ramiden, die durch eine auf der Hauptaxe senkrechte Ebene abgeschnitten waren. Durch ungleichmässige oder stärkere Entwickelung zweier gegenüberliegen- der Kanten erscheinen die Sechsecke oft verscho- ben und in die Länge gezogen. Durch gänzliches Schwinden zweier gegenüberliegender Kanten treten sie bisweilen als rhomboidische Tafeln auf. Sie sind vollkommen durchsichtig; wenn zwei von ihnen sich theilweise decken, so sind die Umrisse des darunter- liegenden scharf sichtbar. Ihre Farbe ist vorherrschend hochroth, sie ändert aber bei manchen ins morgenro- the und gelbe ab; einzelne zeigten sich sehr blass und sogar völlig farblos. Andrerseits geht in einzelnen Fällen durch Anhäufung des Farbestoffs die hochrothe Farbe ins schwarzrothe und sogar, aber seltener, ins völlig Opake über. Sie müssen sehr spröde und zer- brechlich sein, da sie sich oft nur stückweise mit scharf ausgebrochenen Rändern und Bruchkanten vor- finden. Bisweilen zeigen einige ein sonderbar verän- dertes Aussehen, indem sie längs den Kanten unförm- lich zerrissen und blasig aufgedrungen waren, in ähn- licher Weise wie Hornsubstanz durch Einwirkung von Hitze. In einigen Fällen rührte diese unförmliche, scheinbar blasige Beschaffenheit der Ränder nur von mechanisch an die Kanten der grósseren Krystalle an- gelegten kleinen rothen Theilchen her, die auch oft auf oder unter den Tafeln selbst liegen. Endlich finden sich auch hier ühnliche فاد نود‎ Beimischungen vor, und zwar in noch grösserer Menge, als bei dem Carnallit von Maman. Zunächst sind es einzelne Gypskrystalle und zahlreiche krystallinische Quarzkörnchen, die bisweilen inwohlausgebildetenKry- stallen als Combination des hexagonalen Prismas er- ster Ordnung mit der Pyramide auftraten. Schliesslich wurden auch Reste von Kieselpanzern angetroffen, unter denen Bruchstücke eines Coscinodiscus deutlich erkennbar waren. Alle diese grösseren und schwere- ren Beimengungen lassen sich durch‘ vorsichtiges Schlämmen zum grossen Theile leicht vi von gege Besten des organisirt Um über die chemische Beschaffenheit mia quan- titative Zusammensetzung dieses Schwammgebildes | genügenden Aufschluss zu erhalten, wäre der im Was- ser unlósliche Rückstand mehrerer Kilogramme des Stassfurther Salzes erforderlich. Beim Carnallit von Maman betrug dieser Rückstand bei 120° C. getröck- net, nur 0,045 bis 0,60 pC. des Salzes (im Ganzen hatte ich an Gewicht nur wenige Milligramme dieses Rückstandes zur Untersuchung); in anderen krystalli- nischen Salzgemischen von ebendaher betrug es das Doppelte (0,11 pC.) hier aber war die Menge der ac- cidentellen Beimischungen auch weit grösser. Bei den wenigen Stückchen des Salzes von Stassfurth, die mir - zur Hand waren, musste ich mich mit einigen micro- chemischen Reactionen begnügen, und diese ergaben für die Spongiengebilde von Stassfurth ein völlig iden: tisches Verhalten mit dem von Maman. In der Hitze schwärzt sich und verglimmt die or- ganische Substanz; die Spiculae nebst den hexagona- len Tafeln bleiben nach dem Glühen, in eine opake Masse eingebacken zurück. Verdünnte Chlorwasser- stoffsäure zieht hieraus reichlich Eisenoxyd aus, nnd nun gewährt der Nadelfilz mit den mdp Tafeln ein sehr zierliches Bild. Mit concentrirter Ätznatronlauge bis zur Trockne erhitzt, darauf wieder mit Wasser aufgenommen, blei- ben die Spiculae nebst den Tafeln unverändert; Salz- säure löst sie dann schliesslich auf, obwohl sie deren Einwirkung lange widerstehen. Aus der ungeglühten bis 120° getrockneten Sub- stanz zieht concentrirte Salzsäure sogleich Eisenoxyd und eine Spur Kalk aus; nach dreimaliger Behandlung mit der Säure ist alles bis auf die اعمط ع اميم سي‎ Diatomeenreste gelöst. Dass das Bedingende der rothen Färbung. vom Kec | mischen Gesichtspunkte aus im Eisenoxyd liegt, ist keinem Zweifel unterlegen. Auch dürften die feinen 4 Spieulae zum Theil aus Kieselerde bestehen. Da mir … Fluorwasserstofisäure nicht zur Hand war, so konnte der Beweis von dieser Seite nicht geführt werden. ‚Schliesslich muss ich erwähnen, dass auch der Taz chydrit (CaCl +- 2 MgCl + 12 HO) von Stassfurth seine gelbe Farbe diesen organischen Beimischungen ver- dankt, welche indess in weit geringerer Quantität dar- in auftreten. Ein Stückchen Tachydrits in Wasser zer- lassen, hinterlässt leichte flottirende Flocken, die aus | denselben haarförmigen Spiculen mit Roth hc nalen Tafeln و‎ wie im deg rnallit da > A ann AN SEET dE 25 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 26 Durch das Vorhergehende wird die Frage angeregt, ob die rothe Färbungmanchen Steinsalzes nicht durch ähnliche Vento hervorgebracht wird, wie die des Carnallits. Ein Stück وا‎ Steinsalzes von Hall, sowie meh- rere Stücke rothgefärbten Steinsalzes von unbekann- ten Fundorten, die im mineralogischen Museum sich befanden, wurden deshalb von mir untersucht, Hier konnte man sich überzeugen, dass deren Färbung meist von formlosen amorphen Eisenoxyd, welches sich par- thieenweise und fein vertheilt in dem krystallinischen Salze ausgeschieden hatte, bedingt war. Einige Stücke gaben beim Lösen auch leichte in der Lösung schwim- mende Flocken in ziemlicher Menge; dieselben stel- len ein zerstörtes, völlig structurloses Gewebe dar, in welchem sich aber keine organisirten Formgebilde ent- decken liessen. Auf dem Platinblech erhitzt, schwärzte es sich. Quarzkörnchen, Thonpartikel, Gypskrystalle, und in mehreren Fällen ziemlich zahlreiche infuso- nielle Kieselpanzer bildeten ausserdem stets den im Wasser unlöslichen Rückstand; es würde indess über- flüssig und ohne Nutzen sein, hier meine Beobachtun- gen darüber genauer darzulegen; das Vorkommen von | Kieselinfusorien ist durch Prof. Zeuschner in War- schau für das Steinsalz von Wieliczka in umfassender Weise nachgewiesen. Es scheint mir aber durchaus | nicht unwahrscheinlich, dass jene structurlosen orga- nischen Flocken, wie das Eisenoxyd als Reste ehema- liger organisirter Schwamm -Gebilde anzusehen sind. «Endlich drängt- sich auch noch die Frage auf, ob die tattern (Falk, Pallas, Herr- mann, Gmelin d. J., mein in Vater, Woskoboinikow, Abich u. A.) is rothe Färbung des Wassers mancher Salzseen der Krym, Transkaukasiens und der Astrachanschen und Sibirischen Steppen von analogen Ursachen herrühre wie die Färbung des Salzes von Stassfurth und yon Maman. Es liegen darüber, so- ekannt t, keine detaillirten Beobachtungen vor. Jene rothe Färbung des Wassers wird stets mit einem veilchen- od en Geruch in Verbindung s sich auch dem aus diesen Seen gewon- heilt. Ich selbst habe diese Erscheinung nur in drei Fällen wahrgenommen. Die Salzseen Mas- nenen Salze mi da sasyr und Binagadi auf der Halbinsel Apscheron, die ihre Entstehung Salzquellen verdanken, wie der Salz- see Kityk unterhalb des Fortes Alexandrowsk auf Tjup-Karagan (Mangyschlak), welcher nur der Rest einer abgeschnürten Meeresbucht ist, zeigten im Juli- monat eine schwach rosenrothe Fürbung des Was- sers und einen eigenthümlichen schwachen Geruch, der allerdings an den frischer Himbeeren erinnerte. lm Anfang September 1863 sah ich ferner das Was- ser des Kratersees Porssi-Góll am Nordfuss des Höhenzuges Tschokrak auf der. Turkmenen - Insel Tscheleken im Caspi von intensiv himbeerrother Farbe und starkem himbeerühnlichen Geruch, der nicht einmal durch den Geruch der aus dem Grunde und längs den Ufern des Sees aufbrodelnden gas- förmigen und flüssigen Kohlenwasserstoffe (zum Theil Petroleum) verdeckt wurde. In den beiden ersten Fäl- len rührte die Färbung her von Algenzellen, die un- ter dem Microscop entschiedenen Dichroismus zeigten, indem sie bei auffallendem Lichte roth, bei durchfal- lendem grün erscheinen. Sie schliessen sich den voi Kützing beschriebenen Protococcus-Arten ") an. Ich werde an einem anderen Orte i en dar- über ausführlicher zu reden. Über die von Lomonossow ‚edirten Cataloge des er Akademie, und deren Inhalt, von Ad. Goebel. (Lu le 15 juin 1865.) Im Jahre 1745 wurden von der Akademie die von Lomonossow redigirten Cataloge des mineralogi- schen Theiles der akademischen Sammlungen heraus- gegeben. Diese Cataloge sind vom Dr. Gmelin be- gonnen, von Lomonossow zum Theil nach dem Plane seines Vorgängers fortgeführt und beendigt worden. Die Originalmanuseripte beider befinden sich noch fast vollständig in der Bibliothek der Akademie. Die Cataloge erschienen unter dem Titel: Musaei Impe- rialis Petropolitani Vol. I. Pars tertia qua ۷ res naturales ex regno minerali. Eine theilweise russische- تست‎ e zow mit Correctur von Lomonossow's eigner Hand ist gleichfalls im Manuscript. vorhanden, aber, soviel mir bekannt, niemals im Druck erschienen. . Von allen Catalogen und Beschreibungen, welche im Archive des EDICT erch, bewahrt werden, sind er - À nM 12)Kützing, Aiii sé m 27 Bulletin de l'Académie Impériale hu jene lateinischen die einzigen, ‚welche seit dem Be- stehen der Akademie gedruckt wurden. Sie umfassten 3030 Nummern und repräsentirten den ganzen Be- stand der damaligen akademischen Sammlung, welche durch Vereinigung aller einzelnen, bisher gemachten Acquisitionen zu einer einzigen Gesammtcollection gebildet wurde, Solches geht mit Evidenz aus der vom Dr. Gmelin im Jahr 1732 geschriebenen, aber von seinem Nachfolger nicht in den Druck aufgenommenen Einleitung hervor, welche auch die ausführliche Mo- tivirung des beim Anordnen zu befolgenden Planes enthält. Einige Bemerkungen über den Inhalt dieser Cata- loge, die sich mir früher im J. 1861 bei der Durch- sicht derselben aufgedrängt hatten, und die ich zum Schlusse mittheilen werde, waren die Veranlassung, dass Hr. Akademiker Kunik, welcher zur Zeit sich uit einer kritischen Zusammenstellung aller auf Lo- monossow bezüglichen Materialien beschäftigt, in Folge eines Gesprüches hierüber gegen mich den Wunsch äusserte, eine Vergleichung der in der Bi- bliothek vorhandenen Manuscripte mit dem gedruck- ten Exemplare vorzunehmen. Ich werde in Folgen- dem das wesentliche Resultat. dieser ن‎ kurz darlegen. Es sind im Ganzen drei Convolute Manuscript vor- handen. Das erste und stärkste trägt die Aufschrift: Des sel. Dr. Gmelins Catalogus vom Mineralien Ca- binet, so Ao 1732 gemacht worden. Es haben sich ausser Gmelin’s noch CM drei verschiedene Handschriften daran betheiligt; die eine von ihnen hat Ähnlichkeit mit der des Aka- demikers Amman; es ist aber möglich, dass Gmelin sich später eines Schreibers bediente, und ich werde daher in der Folge dieses Convolut, wie die Aufschrift es besagt , als Gmelin's Manu seript bezeichnen. Das zweite Convolut ist betitelt: Lomonossow's Catalogus von den Steinen und Pire. | -factis im ee welcher gedruckt ist. Es scheint durchgängig einer und derselben Hand- schrift. anzugehôren , welche mir Hr. Akad. Kunik für die Lomonossow’s erklärte, und À. ist, wie das vor- | gegangen zu sein; vs findet em Convolut G | noch i in dem Lomonossow 's, wohl aber i in Golubzow's. wegen der Art erwähnte, in lateinischer Sprache geschrieben. ` Das dritte Convolut trägt den Titel: von Lomonosso weg pen c übergegangen ima auch der T: ; Ilepesoóuuxa. 1043/64060. pocciückoü nepesods Mune- رز‎ 101110101005. cò nonpasseniamu T. Zeg H0C084. Es ist eine von Lomonossow corrigirte De setzung des Gmelin'schen Manuseriptes. Es erweist sich bei einer sorgfältigen Vergléi chung dieser gedruckten Cataloge mit obigen Hand- schriften, dass Lomonossow einen bedeutenden An- theil an der Ausarbeitung derselben hatte. Der Plan, nach welchem Dr. Gmelin das Ganze anlegte, muss für den damaligen Zustand der Kenntnisse von der anorganischen Natur vollkommen zweckentsprechend genannt werden. Es wäre indess nutzlos, näher auf (diesen Plan einzugehen, der einer längst verschollenen Periode der Wissenschaft angehört. Hier sei nur er- wähnt, dass Gmelin das Mineralreich in zwei grosse Gruppen theilte, deren eine die gestaltlosen (Salze, Erden, Steine und Erze), die andere aber die eine bestimmte Gestalt repräsentirenden Fossilien (Kry- stalle, thierische und pflanzliche Formen) in sich begriff. Gmelin, und, wie es scheint, Amman hatten den bedeu- tenderen Theil, die Beschreibung der Erden, Salze, Schwefel und sämmtlicher Metalle") vollendet. Lo- monossow schaltete der Arbeit seines Vorgüngers einzelne in der Folgezeit gemachte Acquisitionen ein, so z. B. beim Golde 3- NN*; beim Silber $ ۱۱۱ ag. und er vollendete das Ganze, indem er die Beschrei- bung der Krystalle, steinartigen Mineralien im Allge- meinen, des Bernsteins und der Versteinerungen hin- zufügte. Von den 227 Druckseiten gehóren, sammt den von Lomonossow gemachten Einschaltungen cr — 90 ihm selber, die übrigen 137 seinem Vorgänger an. i Hinsichtlich des Werthes der Arbeit beider Män- = ner kann man nicht umhin mit Überraschung zu be merken, dass zunächst das Ganze von Lomonosso in einer Art redigirt ist, die das Gepräge von Eile - und Flüchtigkeit, ja Nachlüssigkeit nicht von sich weisen kann. Vergleicht man die Handschriften mit dem gedruckten — zeigt sich, | ass der eil unverändert in 1) Nur in Bezug auf das Eisen scheint us Mat ei t sich weder i me lis God FEU TE Ms tien CSC tzung; 3 mm Set muss ich es Gmelin zuschreiben. i7; ; ze der Einra o 1g Lei | er Mun, کنات از‎ INNERN a ln à Se "EE 5 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Antheil ist wörtlich abgedruckt, nur mit zahlreichen Weglassungen sehr wesentlicher Dinge und Angaben. Das Original des von Lomonossow bearbeiteten Theiles ist-mit einer Eile und Hast geschrieben, die das Bestreben zeigt, schnell fertig zu werden oder sieh einer-nicht angenehmen Arbeit bald zu entledi- gen. Erscheint nicht den mindesten Werth auf die Angabe der Fundorte gelegt zu haben, da er in dem von ihm bearbeiteten besonderen Antheil auch nicht einen einzigen anführt, obwohl solche bei sehr vielen Sachen in den Sammlungen gewiss nicht gefehlt haben werden. Auch kann man nicht annehmen, dass in je- ner Zeit überhaupt wenig Werth auf die so wichtige Angabe der Fundorte gelegt wurde. Die Cataloge der Sammlungen des Bergraths Henkel in Freiberg, des Lehrers Lomonosso w's, welche später im J. 1766 von der Akademie angekauft wurden, beweisen schon das Gegentheil durch die überaus sorgfältige Angabe der Fundorte, die sich für Bergwerke bis auf die Gru- ben und Stollen erstreckt. Sehr viele der in den concis und klar geschriebenen Manuscripten des Con- voluts seines Vorgängers, des Dr. Gmelin, angeführten Fundorte sind beim Druck ganz weggelassen, andere ` sind verkürzt oder entstellt, wie: auch "einzelne kurz gefasste, für den technischen Betrieb sehr wichtige Notizen, wie z. B. der Gehalt der — 7 barem Metall u. dergl. nicht angeführt. ` Es scheint mir ebenso nutzlos als ermüdend zu sein, hier Schritt vor Schritt die angedeuteten Differenzen zwischen Gmelins Original und Lomonossow's ge- druckter Ausgabe zu verfolgen, da das Buch heute à reellen Werth ist. Beispielsweise sei hier nur angeführt, dass in der 176 Nummern betra- genden Gruppe der Silbererze ein und vierzig nähere und sehr wesentliche Angaben G melin's über Fund- orte u. dergl. von Lomonossow gar nicht in den Druck men worden sind. Nur eines Umstandes er- iube ich mir unter anderem noch speciell Erwäh- | zu thun. Auf S. 1 des Werkes heisst es von ei- ۱ Bib NU و‎ ana as «Argentum nativum quarzo albo per strata satis Diese selit originelle, einem Widderhorn: etwas ähnli- | che Masse n Silbers hatte Peter der Grosse bei seinem Besuche-in Kopenhagen vom Könige von "| sung solcher Wechselwirkung b .|anheim. Es ist solches ech che des Biog aph meinen Angaben in Bezug auf T Dänemark zum Geschenk erhalten. Sie ist noch jetzt im Museum vorhanden. Ich fand ihr Gewicht im J. 1862 indess nicht 17 Pfund, sondern nur 6 Pfund 73 Solotnik 82 Doli. Akad. Lehmann, der Nachfolger Lomonosso w's, begnügt sich, von dieser Stufe in sei- nem neuen Verzeichnisse zu sagen: «complures libgas pendens». Hingegen in dem zur Zeit der Kaiserin K a- therine II. vom Akademiker Georgi und Reno- vantz in den Jahren 1787 — 1789 redigirten Cata- logen ist dieselbe Stufe ebenfalls mit einem Gewichte von nur 6 Pfund 71 Solotnik aufgeführt. Woher also diese enorme Differenz von mehr als 10 Pfund Silber? Es hat auf den ersten Blick den Anschein, als sei solche die Folge des 1747 stattge- fundenen Brandes der Akademie gewesen. Es ist aber sichtlich nichts davon abgetrennt, da die Masse für sich ein Individuum bildet, welches in der Gangart ein- geschlossen war. Die Sache erklärt sich jetzt tagen" dermassen: Es steht in Gmelin’s Manuseripten (es sind ihrer meist zwei gleichlautende vorhanden, ein Browillon und eine Reinschrift) die römische Ziffer VI nach dem Pfundzeichen, jedoch in der Art, dass die V, wie es häufig geschieht, durch einen oberen Übergangsstrich mit der I verbunden ist, wodurch das Ganze in der Art, wie es geschrieben, grosse Ähnlichkeit mit der arabischen Ziffer 17 gewinnt, wofür. ويا‎ oder der Setzer es auch gelesen haben’). Es regt sich nun die Frage nach den etwaigen Ur- ‚sachen der im Vorhergehenden angedeuteten Incem cinnititen. Der Nachwelt ist auch das minder tende im Leben geistig hervorragender Männer, die durch ihre Stellung und ihre Arbeiten auf den Ent- wickelungsgang ihrer Nation einen wesentlichen und bestimmenden Einfluss ausgeübt haben, for l werthvoll. In den hóhern geistigen Product onen wie in den einfachsten amtlichen Arbeiten spiegeln Aë die bewegenden Triebfedern ‚der 1556 T CN fällt der Kritik auf ethisch-psychi i ogi: cher ir n Lo: pom Georgi's und re der Solotnik finden selbst- ‚Verschiedenheit der im Zeitraum Bulletin de l’Académie Impériale kann nicht meine Absicht sein, bei einem verhältniss- mässig so wenig wichtig erscheinenden Gegenstande hier darauf einzugehen. Kehren wir daher zu den Catalogen zurück. Dieselben haben, wie schon erwähnt, heutzutage nur historischen Werth. Sie erlangten diesen schon un- gemein frühzeitig, denn bereits zwei Jahre nach ihrem Erscheinen brannte, wie erwähnt, ein grosser Theil des akademischen Gebäudes ab, und namentlich wurde derjenige Theil vernichtet, in welchem die Sammlun- gen sich befanden. Die Cataloge enthalten indess ei- nige Dinge, welche heutzutage von mehr oder min- der allgemeinem Interesse sein werden, weshalb ich, was mir erwähnenswerth erscheint, in Folgendem be- trachten will, da es einerseits zeigt, dass man in früheren Sammlungen Dinge bewahrte, deren wichtige und erst nach vielen Jahrzehenden erkannte Bedeu- tung man damals nicht ahnte, und andrerseits Nach- weisungen und Aufschlüsse ertheilt werden, die im Laufe der Zeit scheinbar unbegreiflicher Weise ver- gessen worden und verloren gegangen sind. I. Aus dem Verzeichnisse der Eisenerze geht mit grösster Wahrscheinlichkeit hervor, dass unter ihnen Eisenmeteoriten in der Sammlung vorhanden gewesen sein müssen, wie solches die Bezeichnung folgender Nummern auf S. 150 erweist: | N* 148. Ferrum purum. à N*149. Ferrum sibiricum contortum و‎ magna ` croci quantitate tectum. Ni 150. Ferrum nativum. Bekanntlich ist alles Eisen, welches bis jetzt in gediegenem Zustande auf der Erde gefunden wurde, kosmischen Ursprunges. II. Werkzeuge aus dem sogenannten historischen | Steinalter fanden sich bereits in der ersten Hälfte des vorigen Jahrhunderts, wo man ihre Bedeutung noch nicht erkannt hatte, in den Mineraliensammlungen vor. Es heisst unter den Silices S. 196: N° 12. Silex in formam cunei excisus.. “Adjacent alii silices minores diversi generis. ` . N: 18. Silex subflavus figurae ده یو‎ eui fa n | ‘cent alii duo deformiores. minores calce obducti. ` Auch Folgendes aus der im J. 1732 von Gmelin | | gesetzte Plan i N° 17. Silex fuscus in cuneum excisus ; gëfteg plij مج‎ Pin t Sor ال‎ geschriebenen Einleitung?) zu diesen Catalogen deu- tet auf Steingeräthe hin, und weist auf eine Gegend, aus welcher sie stammen. Gmelin geht zum Schluss, nachdem er der drei ersten Klassen der lapides figu- rati, welche die versteinerten Körper pflanzlichen und thierischen Ursprunges in sich begreifen, erwähnt hat, zu den dem Anschein nach künstlich — Steinen über. Er sagt: Sub quarta denique classe و انیت‎ eos lapi- des, qui rerum artificialium simulacra aut modulos cavitatum earum exacte referunt. Haec classis nova est, sed necessaria esse videtur ob varios lapides qui- bus hoc praedicatum competit. Cum anno 1731 aquae- ductum Ladogaensem inviserem, jussu Celsissimi Co- mitis de Münnich varii lapides oblati sunt, in terra quae effodiebatur, copiose reperti, qui argillae indu- ratae substantiam habent, et ita figurati sunt, ac si vel torno fabrefacti "-— vel in cavitate rerum tor- natilium formati. Hierunter kónnen, ausser Steinwerkzeugen, veli auch solche Steine mit einbegriffen sein, welche nach Art der Rollsteine (Imatrasteine, Marlekors in Schwe- den) ihre Gestalt der mechanischen Thátigkeit "e sender Wasser verdanken. III. Unter den Goldstufen enn auf 8. 7 9 Folgen des die Aufmerksamkeit: y. N: 50. Aurum nativum squamarum fere forma, E arena litorali elotum. Ex litore fluvii Dari de- promptum esse perhibetur. In späteren Catalogen kommt. diese Angabe nicht à mehr vor. Dafür aber wird sowohl in den Verzeich- - nissen Lehmann's 5) (1766) als Georgi’s°) (1789) ES Goldsand-und Waschgold aus der Bucharei erwähnt, deren Vorhandensein im Museum sich noch jetzt agi weisen lässt. Da jetzt ein Theil des E EA des Syr-Darja bereits in unserem Besitze sich befindet und. auch zu : hoffen steht, dass der Amu-Darja in nicht ferner Zeit dem Handel zugänglicher werden. wird, E ۳ a Diese ng scheint wohl deshalb. ne in den Druck aufgenommen worden zu sein, weil en von Gmelin auseinander- wurde. - ee N° 96. Auri nativii Aug SEH in granis ex Bucharia, 7 unciar., grana 20. . Aurum ex | mellae ex Buabesis. 0 5) eh لل‎ Catalog der ausländischen Mineralien. urum des Sciences de Saint- Pétershourg. solche alte positive Nachrichten über das Goldvorkom- men in jenen Gegenden ein erneutes Interesse. Ich erlaube mir daher in Folgendem noch histori- sche Notizen hinzuzufügen, welche geeignet sind, die Authenticität jener Goldéchantillons zu stützen und ihre Herkunft zu erklären. + Ein vornehmer Turkmene, Chodsha - Nefes, der im Jahre 1713 mit astrachanischen Kaufleuten sich von Mangyschlak nach Moskau begeben hatte, machte die erste Anzeige von dem Vorkommen des Goldsan- des am Amu-Darja, so wie auch von der Abdümmung dieses Flusses, der sich ehemals in das Caspische Meer ergoss, durch die Usbeken. Darauf erschien in dem Jahre 1714 hier in St. Petersburg ein Gesandter des Abulchair Sultan, Chans von Chiwa, welcher Nach- richt von Golderzen in dem zu Chiwa gehórigen Ge- birge Schuldet Tau gab °), ferner das Vorkommen von Goldsand in den dortigen Flüssen bestütigte, und dazu den Vorschlag machte, der Kaiser móchte befehlen, an dem Orte, wo vordem der Amu-Darja in die Caspische See einen Ausfluss gehabt"), eine Stadt zu bauen, und dieselbe mit 1000 Mann Soldaten zu besetzen. Zugleich brachte auch der Gouverneur von Sibirien, Fürst Ga- garin, der damals in St. Petersburg eintraf, Nachrich- ten vom Vorkommen des Goldsandes in der kleinen Bu- charei bei Jerken (Jarkand?) am Syr-Darja’), und that der Regierung darauf bezügliche Vorschlüge?). Alle diese Gründe hatten zur Folge, dass Peter I. zunächst eine vorläufige Expedition unter dem Befehl des Tscher- kessenfürsten Alexander Bekewitsch ausrüstete, um zunächst die Ableitung des Flussbettes des Oxus zu constatiren, im folgenden Jahre aber eine grosse Expe- „Falk, Be Belle, bur oer. Kenutn. des russ. Reiches Bd. III. andern Stelle nennt Falk dies Gebirge Altyn Tau, 3 h. Gold-Gebirge. Die Sage von ei ehemaligen Einmündung des Amu-Darja in cursirt noe och heat su Tage unter den turkmenischen Be- ich Gelegenheit hatte. Dagegeu wuss- ien des es anzugeben. Von den Kir- rysch die Turkme- m| Ne ۸ dition unter dem Befehle desselben Mannes aussandte, zur Realisirung ausgedehnter Pläne für den russisch- indischen und cèntralasiatischen Handel. Welch kläg- liches Ende dieselbe nahm, durch Vernichtung des grössten Theiles des Expeditionscorps und den grau- samen Tod des Fürsten Bekewitsch, ist hinreichend bekannt. T Es sind ohne Zweifel von den betreffenden Perso- nen dem Kaisér Proben des Goldes aus jenen Gegen- den dargebraeht worden, indem eben diese Nachrich- ten vom Vorkommen des Goldes von wesentlichem Einfluss auf Peter's I. Entschluss gewesen sind. Da nun nach dem Tode Peters des Grossen dessen Sammlungen in den Besitz der von seiner Gemahlin gegründeten Akademie der Wissenschaften übergin- gen, so ist es hóchst wahrscheinlich, dass zum min- desten jene Angabe in dem Gmelin-Lomonossow'- schen Cataloge durch das Vorhergehende ihre Erklä- rung findet und dass unter dem fluvius Darii wohl der Amu- Darja zu verstehen sei. IV. Schliesslich erhalten wir dürch den Catalog der Silbererze in dem betrachteten Werke noch Nach- richten von dem reichlichen Vorkommen gediege- nen Silbers auf der Bäreninsel (Mexsbxiä ocrposs) des Gouv. Archangel im Weissen Meere. Die vier letz- ten Nummern im Verzeichniss der Silbererze, von de- nen nur die erste in Gmelin's und Golubzow’s Con- voluten vorhanden, die drei andern also, als spüter in den Bestand der Sammlung eingetreten, von Lo- |monossow hinzugefügt sind, PRET solches. Ich setze sie vollständig her. ak 97 N° 173. Argentum nativum verrucosum seleiticoalbe fluori et minerae argenti cinereae et permixtum. Argentum tanta copia hisce ma- teriis admixtum est, ut plus duabus tertiis ntt purum censeri queat. Ex peer schei- Ostrow dicta, Gubernii Archang litani. Hujus quinque sunt specimina, una pendenti: M Se ناماه كاوه‎ - P. nota- “bili رو‎ Ud Rami saepe lati et compressi, saepe etiam teretes Wie LS pg — mg Ex eadem insula; > de wt 4 mtt Pubs N? 175. Argentum ginge, wagnoe d tantum Bulletin de l'Académie Impériale non purissimum, solidum, sive paucis tantum locis cavernósum. Duo hujus- frusta, una 6. libras 66. Solotnik pendentia, in littore orien- tali nominatae insulae in arena infra altum | montem proxime ad mare iuventa sunt. N*-176. Argentum nativum botrytes sive verrucosum, e quarzo candido selenitico enatum, eui 6 inde permixta est vena plumbi, tum illa, ‘quae plumbeo colore est et Galena dicitur, tum ila, quae e luteo viridescenti. Ejusdem loci. Frustum LN pendet: 12. dibras 2 + Solotnik. Die Akademie war also einst im Besitze von über 44 Pfund Stufen gediegenen Silbers vou der Bären- insel. Der grösste Theil dieser Silberstufen muss beim Brände im J. 1747 verloren gegangen sein, denn wir finden 1789 in den Catalogen von Georgi und Re- novantz nur drei Stufen von der Bäreninsel, im 'Ge- sammtgewicht von 10 Pfund. 28 Sol. erwähnt. Im J. 1820 wird aber vom Akademiker Ssewergin in seinem gedruckten Berichte über den Bestand des Museums nur noch eine einzige Stufe von der Büreninsel von ein Pfund Gewicht als besondere Merkwürdigkeit auf- | | OSO: unter 32? ‚geneigt sind, während: die obersten geführt. ` . Auf der Büreninsel hatte unie dem Géneraldired- tor der russischen Bergwerke, dem aus Sachsen stam- menden Oberberghauptmann von Schónberg, kurze Zeit. (vom 1734 bis 1742): der Bergtiau geblüht. Mit alles wikier verfallen und völlig vergessen worden zu sein. Die detaillirte Angabe des Fundortes in N? 175 «am Ostufer, unterhalb eines hohen Berges, im Sande, zunächst am Meere» der übrigens nicht | ` grossen und unbewohnten Insel dürfte für eine et- waige Wiederaufnahme yon Bergarbeiten besonders schätzenswerth sein. Ich hoffe, bei einer andern Ge- 1 scheint legenheit auf Mac Ren ausführlicher wieder | © RAR 1,19 ARMORED HHP BIHI Lh m de. D L Pa ss " nmm CIC Bestandtheil gewisser | ckung eines weichen, im hu Lebuss;onebheiuond einer. Diluvial-Bildung. Daich ` Mergel des gegen i liegt auf mehreren Höhen, die durch den so weit ver. breiteten rothen Lehm gebildet sind, ein weisser, shos rizontal und dünn geschichteter, fester, im Bruchemu- scheliger Kelkmergel: ten unbekannter, wie es scheint, nicht t htigkeit. Auf einem Hügel, über welchen die Strasse 20 Werst: westlich von: Malmysch führt, sieht man bis 1'4 Sashen breite unverselirte Platten; wie Parketartige Entblóssungen, in ihrer. ur: sprünglichen Lage, während an anderen Orten diese Schichten zertrümmert sind in Folge ihrer geringen . | Dicke;bis auf kleinere Stücke, die sich mit den Hänt den nicht mehr leicht zerbrechen lassen. Auf diesen weissen Mergelschichten liegt '/, bis 5j; Fuss mächtig Tschornosjom, an anderen Orten sind sie jedoch Det von Dammerde entblôsst und es wachsen auf solchen Höhen meistens verhältnissmässig seltenere Pflanzen; Murchison erwähnt (Geol. Russ. 161) dieser Mer: L J stone and marlstone, which form the summits of these hills», Es scheint, dass er den rothen Lehm ۱ Mergel dieser Gegend für die obersten Schichten der | Perm'schen Formation hält, und da er fand; dass die tiefer liegenden Mergel- uud Sandsteinschichten nach weissen Mergelschichten fast horizontal: liegen, 0 glaubt er, dass diese Nichtüberei ung für die Al- terbestimmung von Wichtigkeit sei. 191324] 19h Mich interessirte dieser weisse Kalkmergel nur als braunen Tsehornosjom’ s uid: als zötksehhnfis: Bede- nn A. ای‎ md gel als «horizontal bands of thinly laminated white lime: die Unterlage des scharf begrünzten auf ihm liegenden 2357 27 g nach Versteinerungen in ihmsuchte, so nahm ich nur auf Geradwohl eine Probe 20 Werst SW. yon merksamkeit guerst gt diese Probe, da seine vor Di Lë 1 etilockte und im Bulletin‘ eye‏ سر م3 تون demie. DO. 273) mit 3 BE Fo ato er "—— PRE (Lu le 4 |. mad — ^s mai 4865) orii ar milde Im südlichen Theile des pus Wjätke, “besonders um Malmysch und bis nach Arsk (imGouv. Kasat), | ‚gewöhnlich nu. Partikelchen ü ies g auf f eine Age li : d SEN AME RS Malmysch mit. Hr. Dr. Weisse lenkte meine Auf: i 5 ngi: A anat pn ram E pe A ni m. |-"« "2.941 ۳38 csss LR T LE 37 — 3s scharfen Loupe ein Gewirr von äusserst feinen, zar- ten, biegsamen Fäden erkannt wird. Bei stärkeren V man Zellreihen einer verästel- ten Conferva (naeh den älteren vor-Agardh schen Be- | ١ Par. Linien Dicke, in den Ästen noch feiner und in äusserst dünne, selten verästelte, pfriemenartig zugespitzte Enden sich verlierend. Die durch schwache Säuren gewonnenen Präparate sind farblos, auch der Zell-Inhalt, der übrigens in den stärkeren Zellen meistens nicht mehr vorhanden ist. Jodtinktur giebt keine Parbühg; TM eine etes amne wie bei ——— l ول )ور‎ | J^ Hu d Af 1111112 SUB 869351 aH 1 WIR p i AN di HESE e H 2 C Y oi Pig OBIS F [90/51 À GE. GEE E 9111111114101777 ANN Í ,» s 5 x d: d 1 sareat 4 Y » É 17187 A ۲ ta N Y 1 99 "m. ^ polip masb isal 2310 9 tunsi عل وو عدوا أ نودم إ زمار‎ Ate bou Bid heban, tent. rir atê « ` Ein solcher Bau kommt glückliche Weise weder bei den einfachsten Gattungen der rothen, noch bei den ‚olivenbraunen Algen vor. Bei Callithamnion und be- ‚sonders Myxotrichia sieht man zwar auch zuweilen feine Enden und dünne e hyaline. Fäden (Kützing Tab. A OE N # anf den dicken Zellreilien oder es bundenen, wie z. B. Erythroclathrus rivularis. Ebenso ist unter den niedrigsten Formen und jüngsten Ent- wickelungsstufen der Land-Cryptogamen nichts Ähn- liches zu finden. ` d "Wohl sind aber unter des grünen Algen borsten- fürmige dünne ungefürbte Endzweige sehr beständig und charakteristisch für mehrere Gattungen, welche Hassal 1845 in Folge dieses Merkmals zur Gruppe der Chaetophoraceae (Draparnaldiaceae) vereinigt hat. Alle Glieder dieser Gruppe haben einen äusserst zarten Bau und leben in ruhigen Gewässern und Quel- len. Keine marine oder Salzwasserform ist bekannt. .| Wir haben es daher mit einer Süsswasser - Alge zu thin, wenn unsere Pflanze zu dieser Gruppe gehört. Lässt sich unsere fragliche Alge auf eine bekannte Gattung oder Art zurückführen? Chaetophora besteht aus parasitischen Formen, aus Fäden, die unterein- ander mit Schleim verbunden und in einen kugelför- migen oder gelappten Körper zusammengeballt sind. Ulothrix hat durchaus unverästelte Fäden, Microtham- nion Kütz: (Tab. phye. III, 55) ist parasitiseh, noch zu wenig gekannt und gehört nicht sicher in diese Gruppe. Ebenso verschieden sind Bolbochaete und Coleochaete, deren Borstén unmittelbar auf grossen Zellen sitzen, die bei der ersten Gattung zwiebelartig aufgeschwollen , ‚bei letzterer meist in eine Membran vereinigt sind. Draparnaldia, nach der neuen Begräh- zung von Thuret (plumosä als Typus), unterscheidet ‘sich durch eine dicke farblose Zellreihe, die die Rolle einer Axe spielt und keine Zoosporen ausbildet; diese | cht Zweige localisirt. In Folge dieser Auffassung stellte | Thuret die Gattung Stigeöclonium Kütz. bir v welche aus Draparnaldia tenuis Ag. und anderen? wandten Arten gebildet war, eue att Q4: 1 go ae besonders der ebenso چا‎ ke ihr . | gen. ra ze 3 pur -oft ihre Bulletin de l’Académie Impériale 40 | den zahlreichen Arten von Stigeoclonium, die in Kü- tzing's unentbehrlichem Werke (Tab. phyc. IL.) dar- gestellt sind, hat St. lubricum auch verästelte feine Endfäden, die bei St. longipilus beträchtlich lang sind; St. stellare und irregulare haben Vacuolen, wie un- sere Alge; bei einigen anderen Arten werden auch die Zellen ohne Inhalt mit doppelter Contur gezeich- net. Bei unserer fraglichen Alge ist das letztere Merk- mal sehr auffallend, besonders durch den Umstand, dass solche leere Zellen unregelmässig gewölbt sind, wo- dureh der Faden hóckerig wird und an den Scheide- wünden etwas eingeschnürt, was ich weder in Abbil- dungen noch bei aufgeweichten Exemplaren von Dra- parnaldia und Stigeoclonium finden konnte. Diese Er- scheinung ist nicht Folge des entleerten Zellinhal- tes, denn man findet auch ziemlich dicke knotige Fä- den mit Zellinhalte. Noch scheint mir die Zellmem- bran dicker und fester, als jene von Stigeoclonium zu sein, welche äusserst zart ist und mit oder bald nach dem Austritt der Zoosporen zerfliesst. Ohne Zweifel hat bei unserer Alge der Versteinet auf die Conservirung aller Zellen eingewirkt, so dass sie aufgeschlossen noch wie frisch aussehen, aber ein- mal, wenn auch nur auf kurze Zeit ausgetrocknet, sich nicht mehr herstellen lassen und sich auch in Glyce- rin nicht aufbewahren lassen, eher in Chlor-Calcium. günstig Dieser Charakter «fila ad artieulos contracta (nec cylindrica), cellulis majoribus gibberosis» unterschei- det unsere Alge von allen Arten der Gattung Stigeo- clonium und beansprucht eine Scheidung von ihr. Es gelang mir nicht, Zoosporen oder andere Fruchtorgane aufzufinden, wesshalb der vorgeschlagene Name Li- thobryon (Theophrast IV, 7 naunte verschiedene kleine Algen ßpvov) vorläufig nur den Werth einer Untergat- tung beanspruchen kann. Der geologische Werth dieser versteinerten Alge lässt es, mehr als in anderen Fällen, wünschenswerth erscheinen, dass kein Irrthum in der Bestimmung ob- walte, dass der genaue Ort im Systeme angewiesen werde, welcher den weiteren Schluss erlaubt, ob man es hier mit einem Bewohner des Süsswassers oder Meerwassers zu thun habe. Ich schickte daher die Ergebnisse meiner Untersuchung, nebst Zeichnungen und Proben des Materials an Hrn. Professor Kützing, die competenteste Autorität in dieser speziellen Fra- | W ge, mit der Bitte um Mittheilung seiner Ansicht. Mit seiner Zustimmung kann ich Folgendes weiter mit- theilen: «Gestern habe ich die übersandten Proben näher untersucht und, wie auch nicht anders zu erwarten war, Ihre Angaben bestätigt gefunden. Anfangs glaubte ich, dass das kleine Vegetabil nur an der Oberfläche des Kalksteins vorkomme, ich habe mich aber danach überzeugt, dass es auch überall im Innern der Stein- masse sich befindet. Die besten Präparate zur Unter- suchung erhielt ich, wenn ich ganz kleine Kalksplitter auf dem gläsernen Objectträger mit verdünnter Säure behandelte. Das kleine Object bleibt dann in seiner natürlichsten Lage zurück. Dass Sie dasselbe mit ei- nem besonderen Namen bezeichnet haben, kann ich nur gerechtfertigt finden, auch Ihre Angabe, dass es in die Nähe von Stigeoclonium gehört, lässt sich ver- theidigen, obschon ich beim ersten Anblick meiner Präparate unwillkührlich an die Leptomiteae erinnert wurde. Die Neigung zur Membran- oder zusammen- gesetzten Bildung kommt übrigens bei der Familie der Ulotricheen (wozu Stigeoclonium gehört) öfters vor, und darum halte ich auch Ihre Ansicht, dass Ihr Li- thobryum in die Nähe von Stigeoclonium gehört, für die richtigere. Dass das kleine Vegetabil eine Süss- wasserbildung und keine Meeresbildung ist, nehme ich ganz entschieden an. Ihre Abbildungen sind so- 1 schón und treu, dass ich nichts würde hinzufügen kön- nen.» Diese Alge ist jedenfalls neu, im Systeme noch nici verzeichnet. Ob sie sich irgendwo noch lebend erhal- ` : ten hat, ist eine Frage, die sich vor der Hand nicht beantworten lüsst, denn alle unsere Kenntnisse über solche mikroskopische Algen sind fast ausschliesslich + das Resultat von Studien in unserem Jahrhunderte. Dass unzweifelhafte Algen so wohl erhalten und in solcher Menge in Mergelschichten sich finden, it wohl eine neue Thatsache, und Algologen werden ein ` neues Feld für mikroskopische RE = winnen. De ‘Eine Ablagerung kohlensauren: Kalkes in dett d von Krystallen ist von Schübler bei Hydrurus und ` von Kützing bei Chaetophora endiviaefolia, also in derselben Familie wie Lithobryon, nachgewiesen. Diess ` ist indessen noch keine Versteinerung. Phanerogame Batrachia, Mvri t Potamogeta, ebenso Schilf, inerustiren, - auch wenn ال ۱۳۳۳۲ ۱ des Sciences de Saint - Pétersbourg. 42 das Wasser nur wenig kalkhaltig ist, sobald nur der Gehalt an Kohlensäure gross ist. Damit ist die Kalk- inerustation bei Chara nicht zu verwechseln, denn diese ist bedingt durch die Eigenthümlichkeit der Species, wahrscheinlich durch einen ungewóhnlich grossen Ver- brauch an Kohlensáure für ihren Lebensprozess, denn gewisse Arten von Chara sind nur wenig oder gar nicht incrustirt, ebenso die Arten der ehemaligen Un- tergattung Nitella, die zuweilen in demselben Tei- che mit stark verkalkten Charen leben. Die Ablage- rung bei Chara ist geringer in den jüngeren Zellen und steigert sich in den älteren dichten Verästelun- gen nicht bis zur Verknetung. Bei Lithobryon, wel- ches einen dichten pelzartigen Überzug bildete, der jährlich wahl nur wenige Linien wuchs, konnte das Ganze leicht in eine gebundene feste Kalkschicht zusammengebacken werden; der Verkalkungsprozess konnte auf dieselbe Weise erfolgt sein, wie bei den Polypiers calcifères Lamouroux's. Corallinen und Nul- liporen verkalken mehr, gewisse Melobesiae und Ga- laxaurae weniger. Die Versteinerung der Nullipora ist nicht vollkommen vergleichbar mit jener von Lithobryon, denn bei ersterer sind die Zellreihen in Bündeln zu einem Kórper geschlossen, der durch und durch verkalkt ist, während bei letzterem die Fäden und Verästelungen locker sind und zwischen ihnen sich viel mehr Kalk abgelagert hat; das Auf- schliessen desselben geht mit Bildung grosser Bla- sen und eines schmutzigen Niederschlages vor sich, bei Nullipora mehr gleichfórmig mit kleinen Bläs- chen und ohne Rückstand. Die Kalkniederschläge auf Moosen und Oscillarien in Tivoli und Karlsbad er- folgen, nach Cohn, erst in einer solchen Entfernung, wo das heisse Wasser bis auf einen gewissen Grad sich bereits abgekühlt hat. Die örtlichen Verhältnisse der Wjütka'schen Conferven-Mergel sind der Art, dass eine Bildung, ähnlich der des Travertin’s oder Kalktuffes nicht statthaben konnte; dagegen sprechen die le physikalische Beschaffenheit des Gesteins, die Ab- it aller Quellen oder Durchsickerungen durch ۱ n, die horizontale Lage der Schich- ten auf den Spitzen der Hügel. Die Ausscheidung des Kalks ist erfolgt aus einer Süsswasserbedeckung. auf das Lithobryon, welches an Ort und Stelle vege- tirte. Eine Ab und Niederschlag auf hinge- eser Alge ist schwer anzuneh- men, in Betracht der ausserordentlichen Zartheit und guten Conservirung, der wiederholten Lagerung einer und derselben Species und Abwesenheit aller ande- ren organischen Beimischungen. Die Mergelplatten des Lithobryon sind an den mit- gebrachten zwei Proben 3°, Par. Linien dick und an- dere von mir an mehreren Punkten gesehene werden nicht sehr bedeutend von diesem Maasse abweichen. Schichten von dieser Dicke lósen sich leicht von ein- ander ab. An den mitgebrachten Platten konnte man deutlich noch zwei fest verwachsene Schichten erken- nen, eine obere von 2—2", Linien Dicke, auf wel- cher der Tschornosjom liegt, und eine ای‎ von 1}, —1}, Linie. Über ihre Bedeutung wage ich nicht, etwas zu sagen; im frischen Bruche verschwand diese Schichtung. Mir ist nicht bekannt, ob über die Ent- wickelungsgeschichte und den Winterzustand irgend einer Chaetophoracea genaue Beobachtungen gemacht worden sind. Die Fortpflanzung erfolgt (ob bei allen?) durch Zoosporen mit 4 Wimpern am Schnabel (Thu- ret Recherch. 1851), die sich oft nur einzeln aus dem grünen Zellinhalte bilden und dann austreten, schwär- men, sich festsetzen und keimen. Auf einer solchen jugendlichen Entwickelungsstufe fand bei Lithobryon wahrscheinlich noch keine Kalkabsonderung statt. Es konnte möglicherweise auch ein Jahr oder mehr ver- flossen sein, bevor auf gänzlich ausgestorbenen Stellen ein neuer Anwuchs aus der Nachbarschaft wieder er- schien. Hat nun Lithobryon bei dem Versteinerungs-Pro- zesse eine passive oder eine active Rolle gespielt? Nehmen wir das erstere an, so haben wir uns die | Mergelschichten als r E Ablagerungen vorzu- stellen, die nur an gewissen Orten den zufälligen Al- ومع ان‎ des Bodens bedeckten. Der Niederschlag ging nicht das runde Jahr vor sich, sondern es trat ein periodischer Stillstand ein, angenommen in der Zeit, als die seichte Wasserbedeckung im, Winter bis zum Boden ausfror. In diesem Falle : müsste die Ye- getationsperiode der Alge genau der Dauer d der flüs- sigen Bedeckung entsprochen ha nn beide Flä- chen der Mergelplatte enthalten Algen-Vegetation, es ist keine reine Kalkschicht am A oder Eude der Periode nachzuweisen. Ist ı die Ablagerung ohne Zuthun der Alge erfolgt, , 50. mü sten die Mergelschich- d MER ten stellenweise vegeta ionsleer s sein, was zwar nicht 43 Bulletin de l'Académie Impériale 44 mit den vorliegenden Beobachtungen übereinstimmt, indessen nicht unmóglich ist. Ist das Lithobryon, wie bei den Charen und ver- kalkten Meeresalgen die Ursache der Kalkablagerung gewesen, so ist diese nur in der kurzen Vegetations- zeit in einer Mächtigkeit von 3—4 Linien erfolgt und ist jede Schicht gleich einer Jahresperiode; diesem geringen Wachsthume ist das, was wir von einigen Ar- ten dieser Familie wissen, sehr wohl entsprechend. Die weiteren Beobachtungen müssten indessen nachweisen, dass diese Mergelschichten überall diese Alge enthal- ten. Das Einzige, was jetzt gegen diese Auffassung zu sprechen scheint, ist der Umstand, dass das Volumen der Alge so gering ist im Verhältnisse zum Volumen der einschliessenden Kalkmasse und dass diese oft nur junge Entwickelungsstufen enthält. Dieselbe Art, meistens in dickeren Exemplaren, ist noch von einem etwa 3 Meilen weit entfernten Orte nachgewiesen, nämlich in Mergeltrümmern von einer Anhöhe, 8 Werst NW. von Malmysch. Leider hatte ich keine Ahnung ven der vegetabilischen Natur die- ser Schichten. Zwölf Werst nördlich von Arsk führt die Strasse über eine ähnliche weisse Mergelschicht, die hier von keinem Tschornosjom überlagert ist. Mur- chison's Fundorte liegen zwischen Malmysch und Kasan, bei dem Tatarendorf Salaouck, oder zwischen der Poststation und Malmysch, aber 4 Werst seit- wärts, vielleicht auch bei der Stadt Arsk. Schon Falk (Beiträge III, 24) spricht von einem weissen Kreide- mergel an der Kasanka bei Arsk und unter dem Ra- sen in der Isetischen Provinz, am Tobol. Es wird sich hoffentlich bald herausstellen, wie weit dieser Con- ferven -Mergel verbreitet ist. Die weissen Mergel- Streifen in den oberen Lagen der Wolga-Berge, die Falk ebenfalls erwähnt, sind sehr häufig auf dem rechten Ufer zwischen ER und Simbirsk; am letz- teren Orte ist es ein bröckliger, weisser Mergel un- ter der Dammerde und es enthält derselbe keine m kroskopischen Organismen. ` JF. Brandt Bericht à = ‚seiner «Beiträge zur zur der Entwi- ` ekelun i ud e Es M 2 1: juin due ne ne 18. E dianie; ich! mir der se SI Resum& meiner ersten auf die Entwicke- lungsstufen der Ganoiden überhaupt bezüglichei Ab- handlung für das Bulletin vorzustellen. In der hem. gen möge es mir vergönnt sein ein Gleiches in Betreff 1 der zweiten zu ۰ Dieselbe bildet gleichsam einen Commentar zur ersten, da sie umfassendere, monographische Details - in der Ersten nur theilweise und - über die beiden, beiläufig besprochenen Abtheilungen der vorweltli- chen Panzerganoiden enthält. Sie führt den besondern M Titel: Zur Charakteristik der Agassiz’schen Cephalaspi- den als Glieder zweier typischen Hauptgruppen der Py: erganoiden. Zo Die fragliche Abhandlung beginnt mit einleiten- 1 bereits im ersten Theil meiner Beiträge zur Kenntniss der Ganoiden auf. den Bemerkungen über die drei, gestellten, Typen der Panzerganoiden (Arthrothoraces, Aspidocephali und Antacaei). Ihnen folgt dann zu- kan 2 A edipi S nüchst eine genaue, morphologische Beschreibung je A ner von Pander in seiner trefflichen Arbeit über die Placodermen so eingehend erórterten Panzerganoiden, H deren zum grossen Theil aus mehr oder weniger den ` Kopfknochen homologen Schildern zusammengesetzter Kopfpanzer jederseits durch ein Gelenk (ginglymus) ` mit den Seiten des Rückenpanzers verbunden war und f die daher von mir als Arthrothoraces bezeichnet den. Der Typus entspricht der Familie ۵ M'Coys und Panders, zerfällt aber, wie bereite der ersten Abhandlung gezeigt wurde, in drei Fami- EEE a M lien. Der morphologischen Charakteristik des Typu der Arthrothoracen folgen ausführliche Erörterung über seine näheren Verwandtschaften mit den andeı Ganoiden, (den Aspidocephalen, Antacaeen und den | schuppten rer À Ganoidei pholidoti), so wie ül seine weniger innigen Beziehungen zu manchen I milien der Knochenfische (Siluriden, | tracionten und Aspidophoren), denen sich ۸ gen über seine Körpergrösse, seine Wohn- und Fu orte, ferner über die Zeit seiner Existenz und übef ` "à seine muthmaassliche Lebensweise anreihen. Allge - 1 meine Folgerungen, die sich auf den höheren‘ 1 | nie — deren Standpunkt beziehen, den die : unter den Ganoiden eingenommen haben dürften, 52 | das Verhältniss ihrer Stellung zu ihren Ver betreffen, bilden den ei ate rakterist Typus. ` AB NET. nta‏ يا مد Die der : die: di E‏ MAS it as ie: EE A5 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 46 genden Mittheilungen enthalten eine ausführliche Schil- derung der morphologischen und verwandtschaftlichen Beziehungen der Gattungen der Arthrothoraken, na- mentlich der Familie der Pterichthyden mit den Gat- tungen ‚Pterichthys Ag. und Chelyophorus Ag. Daun der bisher nur nach Maassgabe von Kopf- und Rü- ckenschildern zu charakterisirenden Heterosteiden mit den Gattungen Homosteus Asmuss und Herosteus Asm., sowie endlich der Coccosteiden mit der bisher einzigen, von Agassiz aufgestellten Gattung Coccosteus. ١ Hierauf wird der zweite, als Aspidocephali bezeich- nete, Typus der Panzerganoiden, welcher sich durch einen einfachen, weder aus den Kopfknochen homolo- gen, Schildchen zusammengesetzten, noch mit dem Rückenpanzef artikulirten -Kopfschild unterscheidet, auf ähnliche Weise, wie der erste, ausführlich charak- terisirt. Die ihm bis jetzt zugetheilten Familien (Ce- phalaspides und Menaspides), wovon jedoch die Letzt- genannte nur provisorisch sich ihm anreihen lásst, sind gleichfalls umstündlich, in morphologischer und verwandtschaftlicher Beziehung geschildert. Was die vier bisher aufgestellten, wie es scheint eine zusam- menhängende Entwickelungsreihe bildeuden, Gattun- gen der Familie der Cephalaspiden (Pteraspis K ner, Ce- phalaspis Ag. e. p., Auchenaspis Egert. uud Thyestes Eïchw.) anlangt, denen vermuthlich sich eine fünfte zwischen Auchenaspis und Thyestes zu stellende (Thy- | estaspis nob.) anschliessen dürfte, so werden auch sie nach Maassgabe der vorhandenen Materialien mehr oder weniger vollständig beschrieben. Dass übrigens den Aspidocephalen als möglicher Verwandter von Thyestes vielleicht auch die Pander’sche Gattung Schidiosteus angehören könne, wurde in einem beson- deren Anhange bemerkt. : Der letzte Abschnitt de A Mb eue enthält Schluss- folgerungen, die sich nicht bloss auf die speziell darin besprochenen Typen der Arthrothoraken und Aspido- delen, sondern auch gleichzeitig auf den dritten, in einer anderen, unter der Presse befindlichen Arbeit *), cen der A ER beziehen. Ein solcher. Zusatz ١ war erforderlich, wenn die Schlussfolgerungen ein über- sichtliches. e, den Entwickelungsstufen der drei Typen der D Pange pe und ihrer a وتو‎ cU PD e Anê ut بيت‎ / dg t längst ausgestorbenen lichen Beziehungen liefern sollten. Betrachtet: man die fraglichen drei Typen näher, so findet sich, dass der der Antacaeen, nach Maassgabe des Verhältnisses seiner Kopf- und Nackenbeschilderung zwischen dem der. Arthrothoraken und Aspidocephalen gleichsam in der Mitte steht, Die Antacaeen besitzen nämlich, wie erwähnt; Kopfschilder, die, wie bei den Arthrothora- ken, zum grossen Theil als Homologa der Kopfknochen angesehen werden können; dagegen erinnert die durch keine Gelenke vermittelte Art der Verbindung: des Hinterkopfes der Antacaeen an die Aspidocephalen. Die Annäherung der Letzteren an die Antacäen, erscheint aber deshalb unzulässig, weil den schon oben mitge- ‚theilten Andeutungen zu Folge, die Aspidocephalen durch die Bildung des einfachen oder, aus kleinen, zahlreichen, schuppenähnlichen, nicht an die Kopf- knochen erinnernden Schilderchen bestehenden Kopf- | schildes von den Antacäen, wie von den Arthrothora- ken, abweichen. Da nun die Antacäen sich gleichzeitig auch den Pholidoten Ganoiden durch die Körperform, so wie die Stellung der Flossen, namentlich der Bauch- flossen, nähern, so lassen sie sich keineswegs als reine Mittelbildungen zwischen den beiden anderen Typen der ‚Panzerganoiden ansehen. Sie können aber auch nicht als reine Mittelformen zwischen den mit fest an- liegender Haut, wie bei Lepisdosteus, bekleideten Kie- fern versehenen Panzer- und Schuppenganoiden gelten, da die Bildung ihres mit fleischigen Lippen versehe- nen.Mundes, so wie die ihres protraktilen Kiefergau- | menapparates ihnen einen ganz eigenthümlichen Ub; rakter verleihen. Dessenungeachtet werden die E nach e Grundsatze ubi plurima nitent , in der Abtheilung der im Sinne .ل‎ Müller’s genommenen. Ganoiden als die nächsten Verwandten der alten Panzerganoiden zu be- trachten sein, obgleich sie später als diese, jedoch, soviel wir hia jetzt wissen, früher als die meisten ty- pischen Knochenfische (im Sinne. Müllers) auftraten, und als freilich. modifizirter, ی‎ Eeer ‚der Er وه‎ ag siiurisvu-uv ^na. ganoiden (der Arthrothoracen und 4 jidoc pi n) in der Jetztzeit gelten können. . 4! Es ist indessen nicht zu de es auch ein- zelne Familien unter den Knochenfischen. der Gegen- wart giebt, die durch besonder -Modificationen des Panzers; manchen. Formen der alten Panzerganoiden 47 Bulletin de l'Académie Emperiale 48 muthmaasslich näher zu stehen scheinen als die An- tacäen, so manche Siluriden, Ostracionten und die, so viel ich weiss, bisher nicht in Betracht gezogenen, Aspidophoren. Indessen findet die scheinbar nähere Verwandtschaft einerseits zwischen Gliedern von ver- schiedenem anatomischen Grundbaue statt, kann also keine innige und nähere sein; andererseits bezieht sie sich genau genommen nur auf eine ähnliche Mo- difikation der Hautbedeckung, die nicht nur an sich von mehr untergeorduetem Werthe ist, sondern auch noch dadurch an Bedeutung verliert, dass die Art der Hautbedeckung sogar in den einzelnen Familien. der Knochenfische, namentlich bei den Süwriden und Ca- taphracten mannigfach abweicht; so dass bekanntlich in der Familie der Süwriden selbst Formen mit und ohne Panzer wahrgenommen werden. Einige Aufmerk- samkeit móchte auch der Umstand verdienen, dass man theilweis typische Flussfische (wie die Silwriden und Loricariden) mit wahren Meeresbewohnern(Arthro- thoraken und Aspidocephalen) in Vergleich gestellt hat, der dadurch offenbar abgeschwächt wird. Man darf daher, wie mir scheint, bei der Feststellung der Verwandtschaften der Panzerganoiden die Beziehun- | gen, mit den vier oben genannten Familien der Kno- | chenfische keineswegs in den Vordergrund stellen, son- dern muss wohl nach dem Grundsatze ubi plurima ni- tent, den, wie es scheint, hinsichtlich der Mehrzahl der Arten (wenigstens der europáisch-asiatischen) wüh- rend des gróssten Theils ihres Lebens im Meere ver- weilenden Antacäen eine weit grössere Anwartschaft | auf die Verwandtschaft mit den alten Panzerganoiden einräumen. Da übrigens die Antacäen mit den mei- | sten Familien der genannten Knochenfische sich im mehrfachen verwandtschaftlichen Connexe befinden, ja selbst denselben, wenn auch nicht in der Panzer- bildung, noch etwas näher stehen dürften als jene | Panzerganoiden, wie ich ebenfalls umständlicher ge- zeigt habe, so könnte man selbst meinen, dass die Antacäen die Verwandtschaft der alten Panzerganoiden mit jenen vier oben genannten Familien der Knochen- fische (als eine Art von Zwischenstufe) gritos, sen vermittelten. - Wirft man einen عم :نوت ای‎ Rückblik auf die Verwandtschaften der Familie der Arthrothoraken, so ergiebt sich, dass die Pterichtyden die anomalsten For- men sind, obgleich auch sie in manchen Beziehun- gen sich nicht bloss den Coccosteiden, sondern auch den Heterosteiden annäherten, während die Coccostei- den andererseits durch Panzer- und Körperform den Cephalaspiden, namentlich zunächst wohl Pieraspis, gleichzeitig aber auch, wie die Cephalaspis bie den Antacäen verwandt erscheinen. Die Heterosteiden, so viel man aus ihren wenigen, bisher bekannten , charakteristischen Überresten zu schliessen vermag, lassen sich vorläufig, da Homos- teus mehr zu Pterichthys, Heterosteus aber zu Coccos- teus hinneigt, als Mittelformen zwischen den Pferich- thyden und Coccosteiden ansehen, könnten aber auch vielleicht hinter den letzteren einen Platz einzuneh- men haben. Die Entdeckung vollständigerer Reste der Heterosteiden wird einzig und allein die Natur- forscher in den Stand setzen, die eben ausgesproche- nen Zweifel zu beseitigen. Quelques remarques analytiques à l’occasion d'un ouvrage de Mr. le Prince S. S. Ourous: sof, par Ferd. Minding. (Lu le 15 juin 1865.) publié à Moscou en 1863, Mr. le Prince Ourous- 'sof vient de prendre en considération quelques-uns de mes travaux et de les soumettre à un jugement dé- - taillé. C'est sans doute à cette circonstance que je sis avec empressement l'occasion de m'expliquer Kä différents points mis en question, espérant qu'un libre discussion de ces objets ne sera pas sans quelque utilité. Il s’agit surtout de mon mémoire sur Pi gers. C'est à l’occasion d’une équation très connue, - dont je me suis servi dans le dit mémoire, comme point ` de départ, que Mr. l'auteur ajoute les Tomar m #5: vantes (p. 117). T 1) La substitution appliquée dans le mémoire cité ne permet de résoudre le probléme, que lors¢ Mais de telles équations peuvent aussi ser par toutes les autres méthodes. Dans un ouvrage sur les équations différentielles, dois l'exemplaire du dit ouvrage, que Mr. Pauteur i A la bien voulu faire parvenir entre mes mains. Je sa — gration des équations différentielles, publié par ۲ Aen | démie en 1862 parmi les mémoires des savans étran- 1 (dans l'équation Mdx + Ndy = 0) M et N son — des fonctions rationelles et entiéres de & e E 2) Des équations très simples, qu’on résout 20 1 des Sciences de Saint- Pétersbourg. ment par toutes les méthodes connues, ne se ré- solvent pas par le procédé du dit mémoire ; comme p. e. (z— y’)de + 2zydy = 0. Ainsi la substi- tution ne donne aucune méthode nouvelle d'inté- gration, mais elle reste simplement un procédé pour trouver le facteur intégrant de quelques ` équations, qu'on sait déjà résoudre par d'autres substitutions ou d'autres méthodes. 3) Donc la partie instructive du dit mémoire ne con- siste pas dans les calculs et les équations qu'on y traite, mais dans les questions qu'il soulève et les conséquences qui découlent de la substitution. Le lecteur sera curieux de savoir, comment l’auteur est parvenu à conclure que la substitu- tion y = ax + م‎ devait conduire à la solution? Et si cela n'est pas difficile à deviner, ne peut- on pas tirer de cette substitution quelque règle pour transformer des fonctions beaucoup plus compliquées? | J'espère avoir fidèlement rendu le sens des re- marques de Mr. l'auteur, dont l'ouvrage, écrit en langue russe, ne m'est devenu accessible que par la traduction que je me suis procurée des endroits qui touchent mes travaux. - Quant à la première remarque, j'ai supposé dans mon mémoire que M et N étaient des polynomes en- tiers par. rapport à l’une des deux variables, pour laquelle j'ai pris y, mais dont les coefficiens pouvaient être des fonctions quelconques de l’autre variable. E Aussi les substitutions ou plutôt les solutions, parti- culières qui servent à former le facteur intégrant, sont-elles en général des fonctions quelconques de z, désignées par Yj; Ya -Il faut encore obseryer qu'on peut, si y — y, et y =), satisfont à l'équation diffé- rei ntielle, introduire d'autres variables u et v par les T uations y =V وم‎ V, — Y, = u (si seulement la ifférence y, — - 9, n'est pas constante). Par ce moyen oy aur ur ai es Kos Nu c parue particulières v = 0 et v = u; | intégrales particulières; c'est-à-dire J "i "M ete. étant évidemment des fonctions v = 0 et pour y = y,, v= t; Sy. 146: , une autre y; à z, pour présenter tuas IX. | une équation différentielle entre u et v, ! réduite une des solutions par- | les équations différentielles sous Jes formes les plus simples sans en diminuer la généralité. Cependant j'ai traité avec quelque étendue le cas où, M et N étant des fonctions entières en z et y à la fois, il y a un nombre suffisant de solutions linéai- res pour en déduire le diviseur intégrant. Je me per- mets de mettre sous les yeux dn lecteur l'équation Mda + Ndy = 0, dans laquelle on a (p. 72 du mé- moire) M — a سب‎ a, 2 + a,y سه‎ (la A- ma) a? T PASA + mb, — ba) ty — mb, y” + (la, -+ mb,) سب‎ m(ma, a- e, imba) y سب‎ am, N mb bane buy e bua + mb ‚u lka, iiie m(ma, سف‎ mb, — ba) ja ب‎ lb £ y, les constantes a, a,, ds, b,b,,b,,b,, Im étant entièrement arbitraires, et dont je trouve par mon procédé le fac- teur intégrant d’une manière simple et générale. J'a- voue de ne pas connaître d’autres méthodes pour parvenir à cette intégrale. Mais je passe à Ja seconde remarque. Je n’ai pas entendu donnér dans mon écrit une méthode générale d'intégration, mais seulement des additions (Beitfäge) aux méthodes connues. Ainsi j je ne prétends pas que toutes les équations soient trai- tables suivant cette méthode; au contraire, c'est classe bien définie d'équations, à laquelle s'applique le procédé de mon mémoire. Cependant, quant à l'exemple cité et jugé inaccessible à ce procédé, je dois dire d'abord qu'il ne vaut pas la peine de parle de l'équation (r — ÿ)dx + 2zydy = 0; mais puis- qu'ici il s’agit de méthode, je vais montrer dub procédé s’y applique de deux manières différentes. En effet, en considérant y comme variable: nd dépen- dante et x fonction de y, et écrivant dans ce se ` au lien dez et # au lieu de y, ona. — Wa b équation dans laquelle on voit y — 0. Profitant de cette solu facteur intégrant admet la forme y^ 5, ii coi tout de suite à la valeur ec ب‎ avec cela au divi- seur intégrant y. Autreme : mettons nettor “ds” Téqua- | tion donnée y^ — z, elle deviendra (z— ۰ 0. Soit م‎ — 2, une soh 8 de la proposée; où aura Leen a a erg sonstrayat celle-ci 51 Bulletin de l'Académie Impériale de la précédente on obtient (z, —2)dx + xd(2 — z) = 0 d(z — 2| ou bien 7— Le, ce qui donne l'intégrale; on peut par exemple prendre 2 — ب‎ slogs. Mais tout cela n'est pas nécessaire pour une équation qui s'in- tegre à la premiere vue. Quant au défaut de nouveauté de mes intégrations, je laisse au lecteur de mon mémoire le soin de juger, s'il est possible de résoudre l'ensemble de mes pro- blémes par une quelconque de ces méthodes connues, qui sont si restreintes et conduisent à tant de täton- nements infructueux. Pourtant il me sera permis de citer le probléme proposé par Euler dans le $ 497 des institutions de calcul intégral, qui consiste à rendre intégrable l'expression Py"da (Q= yy" dn au moyen d'un diviseur j^ + My-- N, P, Q, M, N étant des fonctions de x qu'il s'agit de déterminer. Appli- quant à la condition de l'intégrabilité sa méthode des coéfficiens indéterminés, Euler se trouve arrété par un systeme compliqué d'équations différentielles; voici comment il continue: Verum si hine vellemus V eli- dere, in aequationem differentio- differentialem dela- beremur. Casus tamen quo n = 2 expediri potest. (Inst. cale. int. t. 1. p. 355 de l'édition de 1768. Depuis ce temps rien n'a été ajouté à la solution d'Euler; ainsi le probléme a subsisté à peu prés pen- dant un siècle sans être résolu, excepté le cas n— 2. Ce fut done un fait important et qui augmentait la confiance que je mettais dans mes procédés, que je réussis aisément à en parvenir à bout, quelque füt le nombre entier et positif »; ce qu'on trouve exposé dans le numéro 8 de mon mémoire (p. 24 et suiv.) La troiseme remarque de Mr. l'auteur m'engage à m'expliquer un peu sur l'origine de mes idées, ce qui peut étre utile pour gagner quelque lecteur à les suivre. Ce fut surtout l'étude du second chapitre de la 2۳ section des institutions d'Euler, inscrit: de in- tegratione aequationum ope multiplicatorum , dans lequel je cherchais quelque chose de plus que ne don- nent les traités sur cette matière évidemment peu cultivée. J'y trouvais nombre d'exemples curieux, obtenus par un calcul habilement conduit; mais je n'y trouvais nulle part expliqué la cause du succès que je désirais surtout à connaître. Je parvins enfin Me. découvrir سي | dans certaines. Mito particuliéres s, dont évidemment se compo- général, pour en descendre ensuite aux applicat du simple au composé. En renversant l'ordre j —— sait le facteur intégrant. Aprés avoir donné une courte note sur cet objet dans le Bulletin de 1845, je. le 1 quittais pour n'y revenir qu'en 1858, oü voyant par occasion combien cette matière était généralement i négligée, je me décidai à en faire l’objet d’un travail : 3 systématique, qui a paru en 1860. Ce travail a abouti à fixer une certaine classe d'é- 1 quations différentielles, dont on peut former le fac- 1 teur intégrant à l'aide de certaines solutions particu- 4 lières qu'il faut d'abord découvrir. Mais je ne peux _ que renvoyer le lecteur au numéro 9 de mon mé- i moire, p. 29, oü l'on trouve expliquée la forme. ; plus دج‎ à du facteur intégrant qui appartient à la classe d'équations dont il s'agit et le théorème qui a sert de base à mon procédé d'intégration. L'avan- 1 tage du théorème consiste à décéler certains élémen du facteur intégrant, si d’ailleurs ce facteur add réellement la forme supposée. Ainsi le procédé est — trés restreint vis-à-vis du probléme général d'inté- gration, mais comparé aux moyens connus jusqu il me parait étre d'une étendue bien grande. i Quant à l'arrangement de mon mémoire, Du d’abord conçu le plan de commencer par le théorè Lon ai lisses SOEN‏ اوی و M‏ دی ی particulières. Cependant ce plan semblait faire pendre les cas les plus simples et qui offraient facilités particulières, d'une théorie qui n'était. cessaire que pour des cas plus compliqués. Ce 1 tif m'a determiné à préférer une marche ascend rais certainement prévénu une critique qui revier peu prés à dire que tout mon travail ne roule que: la substitution y — ar + 8, puisque dans le pren numéro j'ai montré le. parti qu'on peut tirer des int grales particulières de cette forme pour l'intégrati d'une équation trés imple et trés connue, mais qu a toujours traité d'une maniére à mon avis moi ۱ recte. Je ne peux passer sous silence une obs tion toute spéciale concernant la manière d’après quelle Mr. l'auteur présente dans le numéro 48 ( ouvrage, p. 117, mon procédé d'intégration del équation différentielle, dans laquelle on a = az «-by--c, Naz yc, Max + Ndy - Dans le cours de l'exposition on trouve dit. 5 cune démonstration, que le quotient 7. vest con: 2177 al ai 33 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 54 mais comme cela n'est nullement évident en soi-méme, il parait qu'on l'a regardé comme résultant d'un cal- cul simple, qu'on a laissé au lecteur. Cependant il est trés essentiel, sinon dans le cas particulier, au moins pour la méthode, de familiariser le lecteur avec une maniére expeditive de parvenir à la dite conclusion sans aucun calcul, par la seule considéra- tion de la valeur z de x qui rend y, = y,, comme on le trouve expliqué p. 5 de mon mémoire. Ainsi j'ai vu, avec regret, dans l'exposition de mon procédé tronqué ce qui en fait véritablement la pointe. Mais j'abandonne toutes ces réflexions pour m’a- dresser aux lecteurs qui n'ont aucune connaissance de mon mémoire et leur proposer quelques exemples simples, tirés (à l'exception du premier) des formules générales de mon mémoire, et qui donnent lieu à com- parer entre elles les différentes méthodes qu'on pour- rait y appliquer. On trouve dans l'ouvrage de Mr. le Prince Ourous- sof, p. 108, le facteur intégrant de l'équation sui- vante: | Màx + Ndy = 0, M= ف “رو‎ y^ + 24x + 4yx + 22, N = (93? + y^ سود‎ Jay + 22r. Pour traiter cette équation d'aprés mon procédé, il faut d'abord observer qu'elle est satisfaite par y — — 1, M étant divisible par y,. Soit M = G(y = 1), on aura G — y’-+-2yc-+ 2x. On peut encore remarquer und une autre solution est donnée par x = 0: mais je n'ai pas besoin de connaître à priori les solutions indépen- dantes de y. Táchons de former le facteur intégrant e^" de la manière la plus simple avec la solution obtenue y, — — 1; ce qui se fait en supposant | W = V--slog (y + 1); V sera en général un polynome entier en y, mais on voit aisément qu'il suffit de supposer V indépendant de y. L'équation de condition à laquelle il faut sa- tisfaire devient dans ce cas: dM dN av ara ce. qui revient à dV 2 Ey — (W نو‎ + Am + 20( 7 1 i + ey’ + 2xy + 2). Comparant des deux côtés les termes affectés d'éga- les puissances de Y, on n'obtient que les trois con- ditions: 2 = UF +6, 2——7 * SZ EEN qui s’accordent à donner e =— e e= — 2; donc on a V = — 21ogz et le facteur intégrant 7 — gy a 1}. L'intégrale est: (24° + 3yz +- 30) (y + 1)? — Const. Soit proposé (y+-x)(y— 1) dx — 9 (x —1) ydy — 0; on remarquera tout de suite les solutions particu- lières y — 1 et y = z; profitant de ces solutions, on trouve par un calcul trés simple le facteur intégrant y—a Pie? @ — Dy i AIDS) on à 2 3 (c — 1){y — 1) 51+2 fee pee d’oü l’on tire Q — Ex L’&quation [1 — (1 + h)y cos x + (h (1 — h) sin a?) y^] dz + (1 Dig acoge. gé, offre les solutions y = 6% et sg", étant Y —1, dont on tire le diviseur intégrant: 1+h . (cosg) . (1 —2ycosx + y) * (sin “رب‎ Pour abréger je désignerai par R le radical Y 1— 2ycosx سف‎ y^; on aura done [1— Logis nal iac — h) sin d — h) sinzcosz. cd ni— IFA Th ‚cos = 4o; ١ GE l'intégrale peut être mise sous la forme: ^. ^. p 1—4 EIE ach ST? d er E fs + fin d" de. Si l'on a k = 0, l'équation devient | (1 — y cosg + y sina?) dz + sinzcosz. yy 0 dont on aura avec le diviseur intégrant sin z. r. cosa R l'intégrale ; pop ag» lati Soit proposé en dernier lieu mr SS 0, M1 = 2 بهد 997 سه‎ da (du Dyl N=(e ay — à pn it les solution y= 0 et y=2, | ie on remarquera d'abord 1 Bulletin de l'Académie Imperiale br A 4 = GC S m. 56 ۴ " dont on tire le facteur intégrant "a, —, 33 ON aura ih» T sët? 3 m ?*(y — m'a donc 2x — 2yrtydy re 28 (ne m yita e (zy — 2 — : | 7 (y — xa? = dU l'intégrale est transcéndante. Dans tous ces exemples, dont il serait aisé d'aug- menter le nombre, aprés avoir démélé les solutions préalables, on obtient le facteur intégrant par un cal- cul bien régulier, sans des tâtonnemens vagues. Cependant la méthode n'est, évidemment, appli- cable que si l'équation différentielle appartient réelle- ment à la classe indiquée, c’est à dire si son facteur intégrant est en effet capable de la forme proposée dans mon mémoire. Mais, dans tous les cas, on peut au moins s'assurer, si les solutions particulieres qu'on aura pu trouver, sont ou ne sont pas suffisantes pour en former le facteur intégrant. . Je ne peux m'empécher de citer encore quelques mots de Jacobi, qui me semblent énoncer l'opinion généralement admise sur le présent sujet. Voici ses mots: quid? quod casu simplicissimo, quo una tantum adest variabilis independens, si proponitur aequatis differentialis vulgaris inter duas variabiles, (telle que ‘Mds + Ndy = 0), innumerae datae esse possunt ipsius z functiones y, quae aequationem praecedentem identicum reddant, neque tamen ex iis erui potest so- lutio generalis vel integrale completum. (Journal de Crelle, t. 22, p. 21). En thése générale la proposi- tion est trés juste, mais, à mon avis, elle méconnait l'importance des exceptions qui en « xistent. Dans une seconde partie de son ouvrage Mr. le mosa Ouroussof revient, entre autres questions, à un problème dont je m'étais occupé en 1846, et qui consiste à soumettre au calcul les circuits du ca- valier sur l'échiquier. Je ne peux que me féliciter de la maniére avec laquelle Mr. l'auteur vient de ré- susciter mon ancien travail du profond oubli, dans lequel il a été enseveli jusqu'à présent; mais je n'ai rien de nouveau à y ajouter. J'ai cherché une mé- te genre de problèmes, et en pure Jy ai pour résoudre ce problème, ou plutôt réussi; mais en pratique ma tentative a échoué devant _ l'obstacle d'un ealeul excessivement long, quoique ١ à la vérité fini. Peut-être un jour parviendra-ton _ à rendre le calcul plus expéditif par des méthodes ` 1 convenables d'approxoximation; à présent je ne peux. qu'attendre avec le plus grand interét ce qu'on po mi obtenir par des considérations basées sur des figures géométriques. s na 1 Bemerkungen zu der Abhandlung des Hrne Zoe, bel «Untersuchung des Carnallits von Maman … in Persien und über die wahre Ursache € 3 rothen Färbung mancher natürlichen £ von J. Fritzsche. (Lu le 17 aoüt 1865.) Hr. Goebel hat die sehr interessante Beobachtun gemacht, dass ein von ihm im Salzlager von Maman _ in Persien in Form von Knollen aufgefundener Car = nallit gänzlich mit mikroskopischen Gebilden erfül ist, welche zwar nur wenige Hundertstel Procent de Carnallit betragen, aber beim Auflösen des Minerals in Wasser als weiches flottirendes Gebilde von der - Grösse, Form und Farbe des ursprünglichen Stückes - in der Lösung suspendirt bleiben. Die Struktur dieses ziegelfarbenen Körpers erinnert, Hrn. Goebel zufolge, _ im Ensemble an die Struktur einiger der niede Pflanzenformen, namentlich an die Species Pal A Fiu und مار‎ unter den Wasserpilzen; und ii dem er ferner meint, die angeführten Thats che dürften schon für sich. genügend sein, zu bewei ۳ dass wir in der fraglichen voluminösen Substanz ۵ organisirten Körper vor uns haben, der nach F und Struktur den niedersten bekannten Panzer. t 1 Thierformen sich anreiht, wird er zu der ën | gerung bewogen, die im Steinsalze einges 604 — Carnallitklumpen von Maman mindestens‘ idi de . chem Rechte als Organismen — Bi. als Minerale. Auch im Carnallit von Stassfurt fand Hr. | bel in Fülle jene mikroskopischen Gebilde, elche 1 | als Schwammgebilde oder als Reste organisirter 8| giengebilde bezeichnet werden, und von "abu 8 wird, dass sie, wenn auch an mikroskopischer G tung nicht identisch mit denen von Maman, doch | kommen pie zum Theil weit instr diese sich Dem? schte AE Lee à à PE en ESP AT PR PEN A ET EE ae ei, Elte, vin äu Lt Lu Ok PENSE ZEN GT a PE A Ey Zu Li Li m VIP تا تج بان ایا ا‎ em NUS 57 . des Sciences de Saint- Pétersbourg. 58 Goebel einleuchtend, dass die bisher bei diesem Car- nallit beobachteten Erscheinungen der Parallelstrei- fung und des glimmerähnlichen Aussehens der abfil- trirten Bláttchen nach dem von ihm früher (beim Car- nallit von Maman) Erórterten anders gedeutet und erklürt werden müssen. Die eigenthümliche Deutung, welche Hr. Goebel den mikroskopischen Gebilden giebt, indem er sie als Organismen, oder wenigstens als Reste von solchen betrachtet, und die Bildung der Carnallitknollen durch schichtenweise Entwickelung des spongienar- tigen Nadelfilzes unter gleichzeitiger Fixirung des Chlorkaliums und Chlormagnesiums zu einer amor- phen Doppelverbindung innerhalb desselben erklärt, bewog mich den Carnallit von Stassfurt, der mir al- lein zur Disposition stand, einer mikroskopischen Un- tersuchung zu aile crée, Die Resultate derselben theile ich hier in möglichster Kürze mit, weil sie, ob- wohl Hrn. Goebel’s Beobachtungen vollkommen be- stätigend, in der Deutung derselben gänzlich von sei- ner Ansicht abweichen, Das Material zu meiner Untersuchung bestand an- fangs in einigen kleinen Stücken von Carnallit, wel- che ich 1862 selbst aus Stassfurt mitgebracht hatte; da es mir aber wünschenwerth erschien, grössere Men- gen dieses Minerals zur Disposition zu haben, so wen- dete ich mich nach Stassfurt, und bin dem Director des dortigen Steinsalzwerks, Hrn. Bergrath F. Bi- schof, für zwei mir mit der grössten Bereitwilligkeit gemachte Sendungen zu dem grössten Danke ver- pflichtet. | Die mikroskopische Beschaffenheit des Carnallit von Stassfurt ist durchaus nicht gleichmässig; die erste Sendung, welche ungefähr 15 Kilogramm betrug, bestand fast nur aus deutlich krystallinischen Stücken, welche mehr oder weniger durchsichtig waren, und in welchen das Färbende ungleichmässig, vertheilt war. In einer theilweise farblosen, und theilweise nur wenig rothgefärbten Hauptmasse befanden sich dun- kle Nester, in welchen hauptsächlich rothe glänzende Tafeln angehäuft waren, von denen viele schon mit unbewaffnetem Auge als solche erkannt werden konn- ten. Beim Auflösen-in Wasser *), wobei der Carnal- lit auf einer ‚Glasplatte i in der halben Höhe eines mit 5$) Hia À Auflösen des Carnalit' hörte ich jederzeit das vom Knistersalze bekannte Knistern. | d Wasser angefüllten Glasgefässes lag, liessen diese Stücke kein zusammenhängendes Gebilde zurück, aber es stiegen dabei zahlreiche kleine flottirende Theile solcher Gebilde an die Oberfläche, welche ganz die von Hrn. Goebel beschriebene Struktur hatten, und von denen viele wenigstens vermuthen liessen, dass sie von fein eingesprengten Stückchen eines Mi- nerales von anderer Beschaffenheit als die Hauptmasse herrührten. Solche eingesprengte Stückchen liessen sich auch in der That hier und da auffinden, und Splitter von ihnen liessen beim Auflösen dites dem Mikroskope ganz zusammenhängende Gebilde zurück. In etwas grösserer Menge fand sich ein solcher Car- nallit nur bei zweien von den 20 Stücken der ersten Sendung, und zwar nur auf der einen Fläche dersel- ben, als dichte, amorph aussehende, flache Stellen von IT In den von mir selbst aus Stassfurt mitgebrachten Stücken fanden sich verhältnissmässig grössere Einsprengungen der carneolfarbigen Varie- tät, und da ich gern grössere zusammenhängende Stücke des flottirenden Gebildes haben wollte, erbat ich mir eine zweite Sendung vorzugsweise verni farbigen Carnallit’s aus Stassfurt. Von solchem er- hielt ich nun auch ein Paar Kilogramm, aber in viel kleineren Stücken, was mich vermuthen lüsst, dass sein Vorkommen beschränkt ist. Der Carnallit dieser Sendung zeichnete sich dadurch aus, dass er ein brec- cienartiges Ansehen hatte, indem darin unregelmäs- sige Stücke von ver ichs ar Grösse und verschie- dener Textur neben einander lagen, scharf von einan- der durch dunkle Linien getrennt. Er hatte im Gan- zen eine braunrothe Farbe, welche aber je nach dem Auffalen des Lichtes verschieden dunkel erschien; bei gewisser Beleuchtung zeigte sich schon auf der matten Oberfläche, deutlicher aber noch auf dem fri- schen glasartigen iride ein Flimmern, welches ent- weder schon mit blossem Auge, oder doch durch die Loupe von eingemengten glimmerartigen Blättchen herrührend erkannt wurde. Beim Behandeln mit Was- ser lösten sich sogleich zahllose sehr feine, rothe, glim- merähnliche Blättchen los, und es blieben zwar be- deutend mehr flottirende Gebilde zurück, als bei dem Carnallit von der ersten Sendung, allein niemals in zusammenhängenden Partien von erheblicher Grösse. e n habe ich nun un- | croskope ‚betrachtet, wozu ich zählige unter dem: 39 Bulletin de l’Académie Impériale mich vorzugsweise eines binocularen Instrumentes von Nachet und einer 300maligen Linearvergrösse- rung bediente; immer fand ich ein Haufwerk von Na- deln und Tafeln, oft auch feine haarförmige Fäden, alle diese Bildungen aber hatten stets den Charakter von Krystallen. An vielen Stellen dieser, meist unre- gelmässigen Aggregate konnte ich deutlich sehen, dass in ihnen leere Höhlungen sich befinden, deren ^ Wände gleichsam von den stets aneinanderhängenden Nadeln und Täfelchen gebildet sind, so dass sich mir die Überzeugung aufdrängte, Such dia scheinbar amorphen Carnallitmassen seien Krystallconglomerate, und die wahrscheinlich zur Zeit ihrer Bildung die Flüssigkeit gleichmässig erfüllenden mikroskopischen Krystallgebilde seien bei der Krystallisation des Dop- pelsalzes nach den Seiten gedrüngt worden, so dass sie sich auf den Grenzen zwischen den Individuen anhäufen mussten. Dass, wie Hr. Goebel anführt, eine Scheinbar ganz strukturlose Masse, wie sie der Sarcode von Schwümmen oder manchen Pilzen eigen- thümlich ist, die Grundsubstanz bildet, welche zahllose, freiliegende, zellenähnliche Kórperchen von unmess- barer Kleinheit enthält, halte ich für ganz unmöglich, und dass keine solche organische Grundsubstanz und eben so keine Zellen vorhanden sein können, geht aus einem von Hrn. Goebel selbst angestellten Versuche hervor. Als derselbe Carnallit von Maman im Pla- tintiegel erhitzte, schmolz die Masse nach einiger Zeit zu einer wasserklaren Flüssigkeit; wäre eine orga- nische Grundsubstanz und Zellen vorhanden gewesen, so würde die geschmolzene Masse nothwendig durch Kohlentheilchen getrübt gewesen sein, welche wegen Abwesenheit von Sauerstoff nicht یم وق‎ iU konn- ten. Dass aber Hr. Goebel organische Substanz im | Carnallit annimmt, geht aus Folgendem hervor. Von dem Carnallit von Manon wird angeführt: 1) «beim «Auflösen in Wasser hinterblieb eine sehr ‚geringe «Menge organischer Materie, deren feuerbeständiger | ] _substanz zusammengeklebt seien und dadurch i ini gegenseitigen Lage erhalten würden; man sieht n 1 «Rückstand aus Eisenoxyd und Kieselerde bestand». 2) «das durch Auswaschen vom Salze befreite (flotti- «rende) Gebilde verglimmte beim Erhitzen auf einer «Glasplatte unter. eigenthümlich empyreumatischem Eih? der sehr an jenen beim Glühen von Algen ۱ erinnert, wovon ich mich durch illa وی ی‎ dasselbe geführter leiser Luftstrom giebt davon ein besonders deutliche Anschauung. Dafür aber, dieses Zusammenhängen nicht durch organische | «zen sie sich (die getrokneten Gebilde) und verglim. « «men alsdann unter lebhaftem Erglühen, eine reichli- «che Menge rother Asche hinterlassend». Eben e " heisst es vom Carnallit von Stassfurt: «in der Hitze _ «schwärzt sich und verglimmt die organische Substanz», ` Dieses Schwärzen und Verglimmen aber kann ich : nicht als hinreichenden Beweis für das Vorhandensein 1 organischer Substanz anerkennen, denn es können - diese beiden Erscheinungen auch bei vollkommener | Abwesenheit derselben eintreten. Eisenoxyd, aus wel. _ chem wenigstens der Hauptmasse nach die in Rede _ stehenden Gebilde bestehen, hat, ehe es geglüht gewe- _ sen ist, gleich der Zirkonerde und dem Chromoxyde _ bekanntermassen die Eigenschaft, beim Erhitzen kum : vor dem Eintreten des Glühens eine Feuererschei- + nung, ein sogenanntes Verglimmen zu zeigen; ausser F dem aber kommt dem Eisenoxyde auch die Eigen " schaft zu, beim Erhitzen eine viel dunklere, fasi 4 schwarze Farbe anzunehmen, die es beim Erkalten _ wieder ‚verliert, und das ist ein vid CN welches 4 WEG HEED — kann, m Durch das Gesagte will ich jedoch keinesweges nen Gehalt von organischer Substanz im Carnalli g Reste gefunden, welche theils aus deutlichen. Ze von Sphagnum, theils aus nicht sicher bestimmbi ren Zellen einer holzartigen Pflanze, vielleicht e Cycadee, bestehen, und von Autoritüten wie Ehi berg u. A. dafür anerkannt worden sind; auch habe allerhand E Gebilde darin gefunden e lich in der That diese Gebilde immer mannigfac sammenhängen, und ein, während der Beobach eines in Wasser liegenden, unbedeckten Objectes TER ein سس مدای‎ rl مت یی‎ ET INTEREST 61 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 62 stanz hervorgebracht sei, spricht der Umstand, dass der Zusammenhang meistens nicht aufgehoben wird, wenn man concentrirte Schwefelsäure auf das soge- nannte Schwammgebilde einwirken lässt. Man braucht dasselbe zu diesem Behufe nicht erst nach dem Aus- waschen eintrocknen zu lassen, sondern kann nach möglicher Entfernung des umgebenden Wassers das von dem Gebilde noch eingesogene durch wiederhol- tes Behandeln mit einem Tropfen Schwefelsäure und Ablaufenlassen allmählich ganz entfernen. Dabei lösen sich nun allerdings viele Nadeln und Tafeln von ei- nander und schwimmen jetzt frei in der Schwefelsäure umher, allein ich halte dies für eine beginnende Ein- wirkung der Säure auf die Substanz der Krystalle, durch welche nur die sehr lose zusammengewachsenen getrennt werden. Keinenfalls aber könnte eine so ge- ringe Menge organischer Substanz, dass ihr Vorhan- densein in Zweifel gezogen werden kann, als Stütze für Hrn. Goebel’s Ansicht dienen. Übrigens ist es ja auch weniger die Gegenwart von organischer Sub- stanz, worauf es hier ankommt, als vielmehr die Be- schafienheit des unorganischen Theiles der mikrosko- pischen Gebilde, und es fragt sich hauptsächlich, ob zur Entstehung dieser unorganischen Gebilde die Mit- wirkung von Organismen als nothwendige Bedingung angenommen werden muss, wie z. B. für die Nadeln der Spongien, oder ob sie auch ohne Organismen auf rein unorganisch-chemischem Wege entstehen konnten. Wenn ich nun die für Spongien Spiculae ähnliche Körper erklärten nadel- und haarförmigen Bildungen sowohl, als auch die für zellenähnliche Körper gehal- tenen Tafeln mit Bestimmtheit sämmtlich für auf rein unorganisch-chemischem Wege entstandene krystal- linische Gebilde erkläre, glaube ich nicht nöthig zu haben, dafür noch haie Beweise beizubringen, denn mikroskopischen Krystallbildungen von solchem Ansehen ist jeder mit dem Mikroskope arbeitende Che- miker unzähligemal unter Umständen begegnet, wel- che keine Hypothese in der Art wie die des ۰ Goebel zulassen. Wohl aber muss die Frage beleuch- tet werden, ob j jene Gebilde überhaupt eine Berechti- gung haben , irgend wie für Organismen angehörig betrachtet zi werden. Obgleich mir nun hierin wohl eine Stimme zukommt, da ich im Laufe meiner 34jäh- rigen Beschäftigung mit dem Mikroskope aus Liebha- | berei viel Gelegenheit gesucht und gefunden habe, 1 bei Ehrenberg und anderen Meistern in der Mikrozoo- und Mikrophytographie über die kleinsten Organismen Belehrung zu erhalten, und auch selbstständige, dahin gehörige Arbeiten Ee habe, so wollte ich doch in diesem Falle noch den Ausspruch einer mikrobio- logischen Autorität einholen, und habe mich deshalb an unser correspondirendes Mitglied, Hrn. Geh. Rath Dr. Weisse, gewandt. Dieser nun erklärt, dass er in dem flockigen Gebilde des Carnallit weder einen No- stoc, noch eine Spongia erkennen könne, von Palmella Kütz. gar nicht zu reden; dass er die von Hrn. Goe- bel für Spongien Spiculae -ausgegebenen Kórperchen unmóglich als Spongillen-Nadeln ansehen kónne; und dass in dem flottirenden Gebilde einen Organismus anzunehmen eine durch nichts begründete Hypothese sei. Diesem Ausspruche vollkommen beistimmend füge ich noch Folgendes hinzu. Der Carnallit von Stassfurt enthält alle Übergänge von den feinsten, moleculüren Kórnchen, welche bei den allersárkéteri Vergrósserungen بای تلع‎ i als Täfelchen sich erkennen lassen, bis zu den schon mit blossem Auge als sechsseitige Tafeln erscheinenden Krystallen, welche durch alle ihre physikalischen und chemischen Eigenschaften sich als Eisenglimmer cha- rakterisiren. Die dunklen Körper, deren Hr. Goebel erwähnt, sind nichts Anderes als dickere und deshalb undurchsichtige Krystalle von wahrscheinlich reinem Eisenoxyd, welches ausserdem auch noch in Pri- smen von der mannigfachsten Grösse und Dicke und daher auch letzterer entsprechenden Färbung vor- kommt. Es ist nicht unmöglich, dass ein Theil der moleculären Körnchen noch aus amorphem Eisenoxyd- hydrat besteht, welchem nicht Zeit genug gela worden ist, TM in Eisenglimmer umzuwandeln; : eine solche Umwandlung ist aber eine geologische Thatsa che, für welche G. Bischof in seinem Lehrbuche der EEE und physikalischen Geologie 2 B. 2 Abth. Bonn 1855 p. 1345 — 1348 mehrfache Beisp anführt. Ich glaube sogar, dass schon. : 6 ۱ Eisenglimmerblättchen sich bei lang der Lösung, aus welcher sich der Carna abgesetzt hat, in grössere Blättehen umwandeln konnten, denn analoge Erscheinungen ki kommen in che- mischen Laboratorien nicht a ar. Die haarförmigen ! Gebild: und wahrscheinlich we- nigstens theilweise die feinen Nadeln scheinen nicht 4+ Bulletin de l'Académie Imperiale 64 aus Eisenoxyd zu bestehen, worüber ich übrigens keine Versuche angestellt habe, da die nähere Ermittelung dieses Umstandes meinem Zwecke fern lag. Was nun noch den Umstand betrifft, dass Hr. Goe- bel bei den grösseren Körnchen im Carnallit von Ma: man stets eine scharfe äussere Contour und einen hellen Inhalt erkannte, welcher meist carminroth bis blutroth gefärbt ist, so findet sich dafür eine natürli- che Erklärung in Hrn. Goebel’s Beschreibung einiger "Krystalle von Stassfurt, wo die unförmliche, schein- bar blasige Beschaffenheit der Ränder nur von mecha- nisch an die Kanten der grösseren Krystalle angeleg- ten kleinen rothen Theilchen herrührte; solche Kry- stalle habe ich fast in jedem Objecte beobachtet, und verkleinert gedacht werden sie das von Hrn. Goebel beschriebene Ansehen haben. Solche kleine rothe Theilchen sah ich auch nicht selten -reihenweise auf den Flächen des Eisenglimmers aufsitzend, so wie auch den gleich zu erwähnenden gelben Krystallen zu- weilen rothe Täfelchen von Eisenglimmer fest anhaf- teten. ‚Ausser den von Hrn. Goebel aufgezählten fremden Beimengungen fand ich im Carnallit vonStassfurt noch sehr schön ausgebildete compakte Krystalle, deren Farbe unter dem Mikroskope hellgelb, durch die Loupe betrachtet aber brandgelb erscheint. Sie finden sich unter den Quarzkörnern und dunklen Eisenoxydkry- stallen nach dem Abschlämmen der leichteren Theile und können schon deshalb mit dem Eisenoxyde in kei- ner Weise verwechselt werden, weil sie bei viel be- deutenderer Dicke als dieses stets vollkommen durch- Sichtig sind. Ihre Flächen sind glatt, glänzend und gut ausgebildet, und ich habe mit Hülfe der Loupe einige von ansehnlicher Grösse aussuchen können, wel- che vielleicht Messungen erlauben würden; deshalb. zweifle ich auch nicht an der Möglichkeit, aus grósse- ren Mengen von Carnallitrückständen bei der techni- schen Bearbeitung desselben hinreichendes. Material aussuchen eutunger 1 aber muss ich mich ec dieser en beschrän- ken und es Anderen ül ibe n Pee Gegenstand weiter zu verfolgen. a Schliesslich muss ich uid i Med ا‎ bbildu aus dem Carnallit von , welche Hr. Bergrath F. Bi- | Btassfurt erwähnen i- reife charakterisirt , sob dle dient. میب‎ schof in seiner Schrift: «Die Steinsalzwerke bei Stass- furt, Halle 1864.» gegeben hat, so wie auch der mir brieflich gemachten Mittheilung, dass von ihm in der - Sitzung der Deutschen geologischen Gesellschaft von | 3. Mai (über welche leider noch kein Bericht in der dedos derselben erschienen ist) über die oben er: | wähnten organischen Beimengungen und über p volle Bergkrystalle im Carnallit von "e be richtet worden ist. | p am : E Über Prof. Nic. Wagner's Entdeckung vor ? ven, die sich fortpflanzen, Herrn Ganin's ver v. Baer. (Lu le 15 juin 1865.) 1 (Mit einer Kupfertafel zu Hrn. Ganin’s Beobachtungeu fl 1 Bekanntlich hat Hr. Professor Nicolai Wagner in Kasan schon im Jahr 1862 in Russischer Sprache) mit angehängter, Deutsch abgefasster Übersicht, aus- führliche Beobachtungen publicirt, nach welchen e kleine Art von zweiflügligen Inseeten, zur T 1 der Cecidonyiden gehörig, sich auf solche Weise fi pflanzt und vermehrt, dass von der weiblichen Fli nur wenige, aber sehr grosse Eier gelegt werden, jedem Ei dann, wie gewóhnlich eine Larve, oder man hier sagen Koi, eine Made auskriecht, AN Generation von Larven aber nicht, wie es me ten Regel ist, nach verschiedenen للق أن‎ ja Bau, die man Metamorphose nennt, zu der vollko ij neren Form sich ausbildet, sonder eine neue Gen tion von Larven entwickelt, welche der Mutterla ganz ähnlich werden, und sobald: sie die- Ausbildung der Mutterlarve erreicht haben, hervorbreehen und sie zerstreuen, um ein selbstständiges Leben zu fü Sie bleiben nur etwas kleiner als die Mutterla '€ Aber auch diese zweite Generation kommt no och zu der vollkommenen Form, welche die Ge Entwickelung von einer neuen Generation E | gleich gebildeten aber wieder etwas kleiner bleibe den Larven. So geht eine unbestimmbare Reile solchen Generationen neuer Larven innerh talb def früheren den un Herbst, ‚Winter und | 1) ini ۳ ۱ Hukosan Bargepa, حرسي جب‎ 1862. Fol 65 des Sciences de Saint- Petersbourg. 66 vor sich, bis im folgenden Sommer endlich die letzte Generation sich verpuppt und aus der Puppe zu aus- gebildeten und geflügelten Cecidomyiden von zwei ge- trennten Geschlechtern sich ausbildet. Jetzt erst ist wieder geschlechtliche Fortpflanzung möglich, und in Folge von Befruchtungen kommt es nun wieder zur Erzeugung der wenigen und grossen Eier. Es sind ihrer höchstens 5, wie Wagner sagt, mit denen die Vermehrung auf dieselbe Weise neu beginnt. Dass alle nach der primären Brut innerhalb dieser ersten Gene- ration von Mutterlarven und in allen späteren Genera- tionen sich bildenden Tochterlarven nicht durch ge- schlechtliche, sondern nur durch ungeschlechtliche Zeugung entstanden sein können, springt in die Au- gen, da in Insectenlarven überhaupt ein ausgebil- deter Geschlechtsapparat, der fähig wäre zeugende Stoffe entgegengesetzter Art zu bereiten, nicht vor- kommt, häufig nicht einmal eine unentwickelte Anlage der Geschlechtsapparate sich erkennen lässt. Nach Wagner istesder Fettkörper der Mutterlarve, in wel- chem die neuen Keime sich bilden, die zuerst die Form von runden Bläschen haben, dann sich verlängern, wobei sich allmählich die Masse des Fettkörpers um sie gruppirt und sehr verschiedenartige Zellen in sich entwickelt, die viel Ähnlichkeit mit den Dotterzel- len der gemeinen Fliegenlarven haben. Später tre- ten nach ihm diese neuen Individuen aus dem Fettkör- per hervor, bewegen sich im Leibe der Mutterlarven hin und her, bekommen die äussere Gestalt und die Gliederung der Mutterlarve, auch die Augen dersel- ben und brechen endlich hervor, nachdem sie auf Kosten des Fettkörpers und zuletzt auch der übrigen Organisation der Mutterlarven sich vergrössert haben, und diese geht in Folge der Entwickelung und des Selbstständigwerdens ihrer Brut zu Grunde. Diese Larven hatte Prof. Nic. Wagner in der Um- gebung von Kasan im verrottenden Baste mehrerer Laubhölzer, namentlich der Linde, Ulme und der Vo- gelbeere (Sorbus) gefunden, wo sie von der Feuchtig- keit, die den in Zersetzung begriffenen Bast durch- zieht, sich zu ernähren scheinen. Von der Larve hat Wagner eine sehr specielle Zergliederung gegeben, in Bezug auf die äussere Gestalt, den Verdauungs- Apparat, das Herz, das Nervensystem, die Augen, Athemröhren, aber keine Anlage von einem Fort- pflanzungsapparate gefunden. Tome IX. Vom 6. bis 8. Juni verpuppten sich alle Individuen der letzten Generation und in 3 bis 4 Tagen schlüpf- ten die ausgebildeten Zweiflügler, nach der Abbil- dung zur Familie der Cecidomyiden gehörig, aus den Puppenhülsen aus. Die Entwickelungszeit der Lar- ven früherer Generationen setzt Wagner auf etwa 7 Tage an”), worauf jedoch ohne Zweifel die Tempera- tur und andere äussere Verhältnisse einen bedeuten- den Einfluss ausüben werden. Wie gross dieser Ein- fluss ist habe ich darin erfahren, dass ich in Kasan am 11. (23.) und 12. (24.) Juli 1863 in einem für mich mehrere Wochen, vielleicht einige Monate lang, in einem Keller aufbewahrten Klotze noch sehr viele lebende Larven, aber nicht eine einzige verpuppte finden konnte. Es liess sich erwarten, dass diese Entdeckung Wag- ner’s vieles Aufsehen, aber auch viele Zweifel erre- gen würde, bevor sie vollständige Bestätigung oder Widerlegung erhalten haben würde. Dass in einer ausgebildeten Insectenlarve eine Brut von neuen Lar- ven derselben Art sich entwickele, war bis dahin nie beobachtet worden, so viele, Abweichungen von der in den höheren Thieren gewöhnlichen Fortpflanzungs- weise man auch schon in den niederen Organisatio- nen beobachtet hatte. So hat denn auch der Herr Prof. von Siebold, dem Wagner schon im Novem- ber 1861 seine Entdeckung zur Weiterverbreitung durch seine mit Prof. Kölliker gemeinschaftlich her- ausgegebene «Zeitschrift für wissenschaftliche Zoolo- gie» mitgetheilt hatte, sich lange nicht entschliessen können, dieselbe zu publiciren. Der erste auswärtige Naturforscher, welcher die Beobachtung Wagner’s als richtig anzuerkennen wagte, war Prof. Filippi aus Turin, der, aus Persien im Jahre 1862 zurück- kehrend, in Kasan von deren Wahrheit durch mitge- theilte Präparate sich überzeugte, und auf seiner fer- neren Reise auch hier seine Überzeugung mit: Zu- versicht aussprach. Unterdessen liess Herr Professor Wagner seine Beobachtungen in der oben genannten Schrift drucken, die zum Winter 1862 — 1863 hier ankam, wo man Anfangs auch bedenklich und zwei- felhaft war. Ich glaube der erste gewesen zu sein, der die Richtigkeit der Beobachtung öffentlich aner- kannt hat, denn Prof. Filippi hat, so viel ich weiss, 2) v. Siebold's und Kólliker's Zeitschrift für wissenschaft. Zoologie, Bd. XV, S. 107. 5 67 Bulletin de l'Académie Émpériale KX ۲ sich damals öffentlich nicht ausgesprochen, wenn es nicht in einer italienischen Zeitschrift geschehen sein sollte, die wir hier wenig zu Gesicht bekommen. Nachdem ich die Schrift von Prof. Wagner aufmerk- sam gelesen hatte, theilte ich den wesentlichen In- halt derselben am 24. April 1863 anerkennend der Akademie mit. Nur die unmittelbare Entwickelung aus dem Fettkörper schien mir zweifelhaft oder einer näheren Erklärung bedürftig. Diese Mittheilung wurde für das Bulletin gedruckt, und es wurde mir schon ein Correcturblatt zugeschickt, als im Mai desselben Jahres unser College Owsiannikow aus Kasan hier ankam, und einen, von Prof. Wagner ihm mitgege- benen, Klotz mit verrottetem Baste mitbrachte, in welchem diese Larven noch voll Leben sich befanden. Owsiannikow hatte schon in Kasan an den Beob- achtungen Wagner’s anhaltend Theil genommen. Wir konnten uns jetzt alle überzeugen, dass in diesen Larven andere ganz ähnlich gebildete sich lebend be- fanden, in den Mutterlarven sich hin- und herbeweg- ten und hervordrangen, wenn sie die gehörige Ent- wiekelung erlangt hatten. Die ersten Stadien waren aber nicht mehr zu sehen. Damit war das Wesent- liche der neuen Entdeckung bestätigt, wenn auch der Anfang und das Ende dieser ganzen Entwickelungs- reihe von uns um diese Zeit, theils nicht mehr, theils noch nicht beobachtet werden konnte. Ich nahm Ge- legenheit am 25. Mai diese Bestätigung als Anhang meiner früheren Mittheilung hinzuzufügen 71. Es wurde später von einer dazu erwählten akademischen Com- mission (bestehend aus den Herren Brandt, Owsian- nikow und mir) vorgeschlagen, in der nächsten Ver- theilung der Demidowschen Prämien Herrn Professor Wagner einen vollen Preis zuzuerkennen, Nur we- gen der Zahl der proponirten Preisertheilungen (für das gesammte Gebiet der Wissenschaften) hat die Schluss-Commission bloss den halben pesé ——— len möglich gefunden *). eur 8) So ist sie im Bulletin de Acad: Bd. VI, S. 280 — 341 er- schienen, indem der ersten M n kurzer Anhang bei- gegeben ist. Es ist also nicht ganz richtig, w wenn Herr Prof. Wagner in einem späteren Briefe (Zeitschr. f. w. Zoologie, Bd. XY, S. 109) an Prof. v. Siebold sagt, ich ‚hätte mich in Kasan von der Rich- tigkeit der Beobachtung überzeugt. Ich kam erst am 9, Juli 1863, wo ich Prof. nn im Begriff abzureisen fand, nach Kasan. Am 11. und 12. werde ich den für mich aufgehobenen Klotz untersucht haben. Mein erster ] ne war aber schon vor 6 Wachen gedruckt und 6 وا‎ vorher in E Akademie vorgetragen Diese Entdeckung hat nicht ermangelt " an derweitige Bestätigung zu finden, und solche Best tigungen sind sogar schneller Reggie als man erwart — ten konnte und als gewöhnlich geschieht. Kann es mir persönlich willkommen sein, dadurch ein Zeuge " niss zu erhalten, dass ich mich mit der Anerkennung nicht übereilt habe, so scheint es mir von der andern ` Seite auch Pflicht, die vaterländische Akademie von den Bestätigungen einer Entdeckung in Kenntniss zu setzen, die, wie ich glaube, einen wesentlichen Ein fluss auf die Gestaltung unserer Vorstellungen über - die verschiedenen Arten der Fortpflanzung der orge _ nischen Kórper ausüben wird, uud die in der ultima ` Thule orientem versus der wissenschaftlichen - Anstal- | ten, in Kasan, gemacht ist, zuletzt aber Bestätigung - auch Eréünzundon von Charkow erhalten hat. ^ Was zuvörderst die Bestätigungen anlangt, 0 kam | die erste aus Dänemark. Hr, Fr. Meinert, Dr. phil. — in Kopenhagen, hat schon in der ersten Hälfte de — Jahres 1864 in der Naturhistorisk Tidsskrift (3: Ba 1 3. Bd., 1864) einen Aufsatz in dänischer Sprache ` deackeii lassen, in welchem er die Wagner’ sehen ` Beobachtungen im Wesentlichen vollständig bestätigt: | Er hatte die proliferirenden Larven unter der Rinde ` des Stumpfes einer Buche, ‚einer Baumart also, die — in Kasan gar nicht vorkommt, gefunden. Es wurde = bemerkt, dass die Zahl der Larven, die man mit: den — verrotteten Baste in einem Glase verwahrte, in dem selben sich sichtlich mehrte, und dass die leer zur — rückgebliebenen Häute der Mutterlarven sich vorta den. Die Zahl der in einer Mutterlarve eingeschlo® — senen Tochterlarven fand Dr. Meinert im Allgeme ` A nen grösser eg eroe sie indi: better er wohl vong il 1 ital wi نی dete ‚so wie für die Art dd Namen 1 Miastor metraloas vorschlägt, weil die Larve bei ihrer Eutwickelung die Mutter vernichtet; Wenn aber ` 0 Hr. Meinert glaubt, die Umwandlung i in eine Ny E HE‏ اي cy;aenie yupemzennsixs dL H HOTTES marpaan, 36‏ E A, 3 H ist abgedruckt in: Tpuxnams Tperbe Opn- y 1 3 1864 roza, crp. 238 — 242. T ds = FRERES des Sciences de Saint - Pétersbourg. zuerst gesehen zu haben, so scheint es, dass er die Druckschrift des Prof. Wagner nicht gekannt hat, wo die Puppe in den Figuren 38 und 39 abgebildet ist. Ich weiss nicht, ob es eine Bemerkung Meinert's, dessen Originalaufsatz ich nicht vor mir habe, oder des Hrn; v. Siebold's ist, dass Wagner vermuthet habe, die grösseren Larven wären der Verpuppung nahe, wogegen umgekehrt die kleineren in die Ver- puppüng übergehen. Aber dieselbe Bemerkung macht auch Wagner, dass die nachfolgende Generation, obgleich die einzelnen Individuen wachsen, immer kleiner bleibt als die vorhergehende, In Bezug auf die Entstehung der Tochterlarven unmittelbar aus dem Fettkörper der Mutter scheint Herr Meinert sich auch vollständig an Wagner anzuschliessen, in- dem er bemerkt, dass der Fettkörper nichts anderes als der bei der Entwickelung der Larve nicht ver- brauchte Bildungsstoft ist. Übrigens kenne ich diese Abhandlung des Herrn Meinert nur aus der Mitthei- lung des Herrn v. Siebold in seiner und Kölliker’s Zeitschrift, Bd. XIV, Heft 4, 8. 394 — 399. … In demselben Hefte erschien eine Abhandlung des Prof. Pagenstecher: «Über ungeschlechtliche Ver- mehrung der Fliegenlarven». Prof. Pagenstecher hatte in verdorbenen Pressrückständen vou Runkel- rüben neben anderen mannigfaltigen Thierchen, theils Vibrionen, theils Insectenlarven, auch mit Brut ge- füllte Dipterenlarven gefunden, jedoch nicht von der Species, die Wagner beobachtet hatte, sondern von einer verwandten. Diese Larven konnten zwar nicht bis zum Auskriechen der enthaltenen Tochterlarven ernührt werden, liessen aber doch keinen Zweifel, dass sie zwar den von Wagner beobachteten im All- gemeinen ühnlich, aber von ihnen verschieden waren. Ihre Grüsse war viel geringer, und sie hatten nur auf der unteren Flüche ihrer Ringe die in Dipterenlarven بوه‎ háufigen Spitzen oder Stacheln auf der äusseren Haut, und zwar auf dem vorderen Rande der einzel- nen Sehienen, wogegen die Wagner’schen Larven an der oberen und unteren Fläche grössere, an den zere Stacheln haben, die auf dem hinteren Rande der Schienen sitzen. Andere mehr oder weni- fallende sich, ungeachtet in fast allen orga- nischen وه‎ a denen Prof. Pagenstecher sehr specielle Besc n giebt. Das ausgebil- 2o10cton انا تیگ‎ dee 11 i intos dete Insect, dem diese Larven angehören, konnte nicht bestimmt werden, da es nicht gelang, ein In- dividuum zur vollen Ausbildung zu bringen.—In Be- zug auf den Antheil, den der Fettkörper der Mutter- larve an der Entstehung und Ausbildung der Tochter- larveu haben soll, ist Prof. Pagenstecher, wenigstens für die von ihm beobachtete Art, ganz anderer Mei- nung als Prof. Wagner. Er kann sich nicht der An- sicht anschliessen, dass die neue Brut aus dem Fett- körper hervorgehe; es scheint ihm vielmehr, dass die Keime der neuen Brut unabhängig von dieser Sub- stanz entstehen, und der Fettkörper nur auf indireete und sogar ungleichmüssige Weise als Stoff für die Ausbildung und Ernährung derselben verbraucht werde. Die in seinen Dipterenlarven erzeugten Fort- pflanzungsproducte haben nach ihm den Character von Eiern, welche Anfangs sehr klein sind, dann aber bedeutend an Grösse zunehmen. Man erkennt sie schon bei 0,005 Mm. Durchmesser, und kann sie von da aufwärts bis zu 1 Mm. Länge, wenn sie schon gereifte Embryonen entbalten, continuirlich verfolgen. Ungeachtet dieser colossalen Zunahme erfolgt die- selbe nie durch unmittelbares Hinzutreten eines Thei- les des Fettkörpers, sondern nur auf dem Wege der Ernührung durch die Hülle hindurch aus dem allge- meinen ernührenden Material. Die jüngsten erkenn- baren Keime fand Pagenstecher frei im Hinterleibe, von. wo sie bei fortschreitender Entwickelung im Mutterkórper immer mehr nach vorn rücken und un- regelmüssig zwischen den Organen des Leibes sich lagern. Über die erste Bildungsstätte dieser Keim- zellen blieb Pagenstecher zweifelhaft, indem er drei Gegenden im Hinterleibe der Larven angiebt, wo. sich Gruppen von Zellen zeigen, welche, dig Bi pen liegen der Innenflüche der Haut, die di itte e de senwand des Darmes an, keine bildet einen geschlos- senen Kórper. Wohl hat Hr. Pagenstecher geseh dass in Va Serie gen hei si lich kanat und abgel He st, I formt sich der Embry ven: e er eine Häutung ch die Mutter- bg 71 Bulletin de l'Académie Impériale arve sondert sich vor dem Absterben von ihrer bis- herigen Chitinhülle, wie von einer Puppenhülse. «Die aus den Eihüllen befreiten Embryonen leben endlich geradezu von den zerfallenden Organen der Mutter». Die Hauptsache, die wiederholte Generation von Larven innerhalb früherer Larven ist also vollständig von Hrn. Prof. Pagenstecher anerkannt. Was von den abweichenden Resultaten der Pagenstecher- schen Untersuchungen auf Verschiedenheit der un- tersuchten Art beruht, und was als Widerspruch und Verbesserung zu betrachten ist, lässt sich vorläufig noch nicht bestimmen, denn die Differenz im Bau der Larven ist doch nicht ganz gering. Aber auch an andern Orten ist man mit der Ve- rifieirung und Erweiterung der Wagner’schen Ent- deckung beschäftigt gewesen, und ohne Zweifel noch ‘beschäftigt. Namentlich hat Prof. Leuckart zu Gies- sen, in Verbindung mit seinen Schülern sich dieser Untersuchung gewidmet. Die Resultate derselben sind in diesem Augenblicke (15. Juni 1865) noch nicht bis hierher gelangt. Eine vorläufige Nachricht hat aber Hr. Metschnikow Hrn. Prof. Kessler mitge- theilt, der sie in der Zeitschrift Harypammere (1865, N° 8) veröffentlicht hat. Die hierher gehörige Stelle lautet so: Mur, e» Jl CHKAPTOMP, 11301181088211 paa- 318107561116 1111911110145 Cecidomyidae, y KOTOPHXE Ha- 111111165 3801۳110۲۲6۲, Abaaıiech Ha OTAEABHBIA KAMepbr, 1113831011118 680602110 Bb 110106111 TÉJA M nponsBogaimia HOBbBIXB SaPotbimeñ. Pasenrie nocibimuxs A موف‎ 11801101215 1 883111611 , TO OHO 1311615 mkkoropoe CXOACTBO Cb H3BbCTHBIMB 73318111161115 Chironomi (rare poza KOMapoo6pa3HbIX' HACEKOMBIXb), HO 1161221 OTB HETO BO MHOTHX'b BAMHBIXB 117115535. Hoener, Hbe Bcero, gro 330211111111115 06۵۵3۳1۵۲68 11355 HENO- cpeacrBeHHaro mpespamresis «HOJSpHbIXb KIÉTOUeKb» 1181181011111561 1:۵1 H y poga Chironomus, een 61a- ا للك‎ Nach dieser Mittheilung wären in Giessen "— Keimstöcke, sapoabrmunkn, in den Cecidomyidenlarven gefunden, die sich theilen, und deren Theilungspro- fiiin Leibe der Muttér sieh frei bewegen und zu neuen Keimen (Individuen) sich entwickeln. Diese Entwickelung hat der Briefsteller verfolgt, und ge- funden, dass sie mit der Entwickelung von Chirono- mus "Ähnlichkeit hat, aber in mancher Hinsicht doch auch abweicht. Wir werden weiter unten der vor- trefflichen Untersuchungen des Herrn Ganin zu er- wähnen haben, welche ebenfalls einen eigenen Keim- stock oder Eierstock, wie man ihn nennen will, ausser Zweifel setzen Aber in der hier in der Original- sprache wiederholten Mittheilung des Herrn Metsch- nikow kommt noch etwas vor, was von höchstem Interesse wäre, wenn es sich bestätigen sollte: «Am interessantesten ist es, dass die Keimstöcke durch un- mittelbare Metamorphose der «Polzellen» sich bilden, welche, wie in Chironomus, vor der Bildung des Bla- stoderma, erscheinen. Man könnte «moaspubia gab- royku» auch «polare Zellen» übersetzen. Allein es scheint mir unzweifelhaft, dass der Briefschreiber sich hier auf die von Dr. Weismann sehr früh, noch vor Ausbildung des Blastoderma im hinteren Ende der Eier von Chironomus und anderer Musciden beobach- teten, ganz isolirt sich zeigenden Zellen, die er «Pol- zellen» nennt, bezieht. Wenn es sich bestätigen sollte, dass aus diesen Polzellen die neuen Keimstócke sich hervorbilden, so würe ein wichtiger Beitrag zu un- serer immer mannigfaltiger werdenden Kenntniss der Vorgänge in der Entwickelung der Thiere gewonnen. Solche Absonderungen einzelner Zellen aus der Bil- dungsmasse, aus der ein Embryo werden soll, kom- men ja unter den mannigfachsten Modificationen be- sonders bei den Mollusken vor. Ich erinnere nur an die Absonderung isolirter Zellen (oder Massen?) aus dem Ei der Gasteropoden und Muscheln. Bei Tergi- pes Edwardsii nimmt sogar eine solehe abgesonderte Masse die Gestalt eines Thierchens mit Fangfüden an, und scheint, einige Zeit wenigstens, ein eigenes Le- ben zu führen”). Gewöhnlich scheinen sie ganz ver- loren zu gehen, wenn nämlich die sogenannten Rich- tungszellen und die Polzellen der Fliegenlarven iden- tisch sein sollten, wie wenigstens der Verfasser dieser Zeilen bei Lesung der Weismann'schen Beobach- tungen, vorläufig angenommen hat. Es fragt sich also: Sind solche Absonderungen gleichbedeutend , oder ursprünglich verschieden? oder erhalten sie, obgleich genetisch übereinstimmend, verschiedene Bedeutung, je nach der Lagerstätte auf welche sie abgesetzt wer- den. In Fliegenlarven sah Dr. Weismann ganz ähn- liche Palzellen wie in و وس‎ und: سح‎ on md 5) Nordmann: RER des Tergipes WEEE dá den MIR irme à TAcad. de St. Dote E Vol, IV, P 570, ی امد ee ER‏ E RN EEN d 5‏ ا Nr ER ET en‏ 73 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 74 ihre ursprüngliche Bildung weiter zurück verfolgen. Aber Fliegenlarven sind doch nicht proliferirend. Oder werden hier gewöhnliche Eierstócke aus diesen Zel- len? Jede neue Beobachtung und neue Deutung in der Entwickelungsgeschichte erzeugt neue Fragen; weleher Zauber aber die neuen Individuen den alten endlich gleich werden lässt, erfahren wir doch nicht, weil wir das bildende Princip in diesen, die vis forma- trix der Alten, den Bildungstrieb Blumenbach's, die aus dem Bildungsstoffe hervorgehende Nothwendigkeit der Neuern, doch nicht unter das Mikroskop bringen kónnen. Eine mündliche Anerkennung der Wagner'schen Beobachtungen habe ich vor Kurzem durch den Ba- ron Osten-Sacken bei seinem neulichen Besuche in St. Petersburg erhalten, die mir um so willkommener war, als dieser fleissige Dipterolog, dem ich mein Exemplar der Wagner’schen Schrift zugesendet hatte, mir damals sehr bedenklich darüber geschrieben hatte. Ich glaube keine Indiscretion zu begehen, indem ich hier darüber óffentlich spreche. Es geschieht, um anschaulich zu machen, wie verschieden die Propa- gationsweise in verwandten Formen sein kann. Herr v. Osten-Sacken ist ja gerade Beobachter von an- dern Cecidomyidenlarven, und wird für diese als Auto- ritüt angeführt. Das ist noch neulich im Schlusshefte der Berliner Entomologischen Zeitschrift vom Jahre 1864 durch den hervorragenden Dipterologen Loew geschehen, dessen Anerkennung in dem Litteraturan- hange des genannten Heftes hier noch anzuführen ist. = Herr Director Loew beginnt seine Anzeige mit den Worten: «Unter allen Entdeckungen, welche in den letzten Jahren auf dem Gebiete der Fortpflan- zungsgeschichte der Insecten gemacht worden sind, dürfte wohl kaum eine zweite so viel Aufsehen er- regt haben, als die durch Prof. Nic. Wagner in Ka- san gemachte Entdeckung einer Dipterenlarve, welche ihr selber ähnliche Larven hervorbringt. Diese That- sache ist so interessant und so ausserordentlich, dass ein kurzer Bericht über Wagner's Angaben und über die bestütigenden Mittheilungen, welche dersel- ben von anderer Seite gefolgt sind, für die Leser die- | ser Zeitschrift voraussichtlich nicht ohne Interesse sein wird». Es wird nun summarisch noch über Wagner's Beobachtungen berichtet, die Genauigkeit seiner Darstellung gelobt, einzelne Deutungen aber werden bezweifelt, wie auch von Prof. Pagenstecher geschehen war, vorzüglich aber, dass die Tochterlar- ven unmittelbar durch Metamorphose des Fettkörpers gebildet würden. Dieser letzte Zweifel konnte sich schon auf die Beobachtungen Pagenstecher's stüz- zen. In Bezug auf die von Dr. Meinert aufgestellte Gattung Miastor meint Herr Loew, dass sie entwe- der der Gattung Spaniocera (aus der Familie der Ce- cidomyiden) sehr nahe stehe, oder zu ihr gehóre. Der Berichterstatter geht dann zu den Untersuchungen des Prof. Pagenstecher über. Das Wesentliche der Wagner'schen Beobachtungen, die ungeschlechtliche Vermehrung, wird natürlich überall anerkannt. Sie hatte schon durch Dr. Meinert und Prof. Pagen- stecher ihre volle Bestütigung erhalten, doch ist Herr Loew augenscheinlich mehr geneigt zu der von Pagenstecher begründeten Ansicht, dass die neuen Keime separirt vom Fettkórper sich bilden. Die wichtigste Bestätigung und Erweiterung, welche die Wagner'schen Beobachtungen bisher erfahren haben, findet sich aber wohl, so lange die Untersu- chungen, welche in Giessen gemacht wurden, noch nicht zur vollständigen Veröffentlichung gelangt sind ®), in einer Mittheilung des Proseetors Ganin in Char- kow. Herr Ganin hat diese Beobachtungen im No- vember und December des vorigen Jahres angestellt, und einen Bericht darüber an die Akademie der Wis- senschaften zu St. Petersburg eingesendet, der am 2. März 1865 in derselben zum Vortrage kam. Die- ser in Russischer Sprache abgefasste Bericht ist auch bereits in we Sauuckn Muneparopcroï Akajewiu Haykp, rot, 7, kumska (1865), erp. 36 — 56 abge- druckt, mit at Kupfertafel, welche die eingeehiek- ten Zeichnungen darstellt. Da aber die 3anmexu nur in Russischer Sprache aus- gegeben werden, und daher im Auslande nur eine sehr geringe Verbreitung haben können, die Beob- achtungen des Herrn Ganin aber sorgfältig und um- sichtig sind, und in ganz Europa, besonders jetzt, von dem grössten Interesse sein müssen, so scheint es mir nicht überflüssig, EEE sehr voll- E s. Pon Ber 7 پا‎ de SR diui 6) Während des Abdruckes des ۱ mme erhielt ich die Einsicht von No. 8 der Nachrichten der er Wissen- schaften zu Göttingen vom 14. April d. dm wo em ein cen von Herrn Prof. Leekan findet, welchen ic ich zum Schlusse noch mittheilen werde. dapib ed v: 75 Bulletin de l'Académie Impériale ständigen Auszuge auch im Bulletin de l Académie, mit Hinzufügung derselben Kupfertafel, welche in den 3anucku erschienen war, mitzutheilen. Es wäre doch zu bedauern, wenn sie nur dem Russischen Publicum zugänglich blieben. «Ein glücklicher Zufall», sagt Herr Ganin, «hat «mir die Möglichkeit gewährt, im Verlaufe von fast «1'/, Monaten den von Prof. Wagner im J. 1861 in «Kasan entdeckten merkwürdigen Vorgang von der «Vermehrung der Larven eines zweiflügligen Insectes «zu beobachten; und da es mir scheint, dass jede «neue Beobachtung und jedes neue Factum, welche «auf diese hóchst interessante und ganz neue Frage «Bezug haben, von Bedeutung sind, so will ich meine «Beobachtungen publiciren. Überdies wage ich zu «hoffen, dass meine Untersuchungen den Zoologen «von Interesse sein werden, zuvórderst weil sie mit «Bestimmtheit die Frage entscheiden, von wo. die «neue Brut der Larven ihren Ursprung nimmt, da ich «ein eigenes Organ für diesen Vorgang aufgefunden, «und die Entwickelung seiner Elemente zu der Nach- «kommenschaft verfolgt habe. Überdiess waren meine «Beobachtungen, wie es scheint, an einer anderen «Species ühnlicher Zweiflügler angestellt; ferner habe: «ich die Vermehrung der Larven im Winter ange- «sehen, und endlich waren auch die Verhältnisse, un- «ter denen ich die Larven fand, etwas anders als die, «unter denen sie bisher beobachtet worden sind». ‚Der Verfasser beschreibt nun die Localitüt, in welcher er die proliferirenden Larven gefunden hat. In einem dunkeln Winkel des Hauses war unter einem Waschgeschirr wegen fortgehender Befeuchtung eine Stelle des Fussbodens verrottet, und es hatte sich eine ansehnliche Öffnung gebildet. Die Dienerschaft hatte sich gewöhnt, den Kehricht täglich in die da- durch geöffnete Grube zu versenken. Es hatte sich im Laufe der Zeit hier eine Masse in langsamer Zer- setzung begriffener organischer, besonders. vegetabi- lischer Stoffe gebildet. Herr Ganin konnte die Schaa- len der Saamenkerne von Helianthus annuus, einer be- liebten Nüscherei der Dienerschaft in Russland , von Arbusen und Kürbissen, die Schaalen von Haselnüs- sen, neben Stücken von faulem Holze, aber auch von Papieren aller Art erkennen, theils von dicker beklei- sterter Pappe, theils von Papyroshülsen, Baumwolle u. del, Alle diese Ingredienzien waren mehr. oder weniger mit Erde gemischt und befanden sich in’ an. haltend feuchtem Zustande. In diesem langsam sich zersetzenden Gemische entdeckte man am 24. Nov. (6. Dec.) die proliferirenden Larven. Ihr Aufenthalt hatte also mit dem in Zersetzung begriffenen Bast und mit den verderbenden Pressrückständen von Runkelrüben eine allgemeine Ähnlichkeit. In demselben Gemische gab es auch noch andere Thierchen: Anguillulidae, En- chytraeus, Lumbricus, Julus und zwei Arten von Flie- gen-Larven. Die proliferirenden Larven fand Ganin kleiner als die von Wagner beobachteten, aber grösser als die von Pagenstecher. Eine ausgewachsene Larve, mit frei in ihrem Innern sich bewegender Brut; hatte 3 Mm. Länge und 0,62 Mm. Breite, die eben ausgeschlüpfte aber 0,9 Mm. Länge und 0,1 Mm. Breite. — In der Farbe wechselten diese Maden etwas nach dem Aufenthalts» orte. Die frei in einem Klumpen Erde sich haltenden waren ganz weiss, die in faulem Holze und in den Saa- menhülsen sitzenden (wo sie unter die innere Lamelle sich vergraben hatten), waren von schmutzig gelber Farbe, andere, welche in dicke mit gelbem- Papier beklebte Pappe sich eingegraben hatten, waren blass gelbroth; eben ausgekrochene Larven aber hatten eine rothbraune Farbe, die von der Färbung: der Fettkör- per herrührte. (Es ist nicht ganz deutlich, ob alle eben ausgekrochenen Larven diese Farben hatten, oder, was wahrscheinlicher ist, nur die in der Pappe sitzenden.) - Darauf werden die beobachteten Larven ziemlich ausführlich beschrieben. Sie scheinen weder den Wag- ner'schen noch den Pagenstecher'schen gleich, son- dero von einer besondern Species, aber den Wagner’ schen ähnlicher. 14 Segmente, von denen das erste sehr klein, konisch und an der Spitze dunkel kaneel- farben ist, oben und unten mit einer Chitin-Verdickung bekleidet. Die Antennen zweigliedrig, das untere Glied ringförmig, das obere, auf beiden Seiten, äusserlich und innerlich, mit löffelförmiger Vertiefung, die Spitze in ein sehr kleines Knöpfchen: auslaufend, Die Verlän- gerung, in welche die Larve nach hinten ausläuft; soll, wenn diese die Mutterlarve eben verlassen hat, lappig oder gezähnt am freien Ende erscheinen. == | Die charakteristischen Spitzen auf den Leibesschienen sind mehr der Pagenstecher'schen Form gleich, denn sie finden sich nur auf dem vordern Rande der Schie- nen, und nur auf der Bauchseite, fangen von dem 77 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 78 5ten Segmente an, haben die Spitzen nach hinten ge- richtet, nehmen fast '/, des Segmentes ein, und stehen in Queerreihen, die aber in der Mitte der Bauchseite sich oft vermischen. Am zahlreichsten sind diese Reihen auf den mittleren Segmenten des Leibes, nach vorn und nach hinten nimmt ihre Zahl ab. Zugleich werden die Spitzen gegen diese Enden hin kürzer. Die drei brei- tern Vorragungen oder Zähnchen, welche Wagner zuweilen an der dritten Schiene sah und welche Pa- genstecher an seinen Larven nicht finden konnte, sah Ganin immer (Fig. 1,5), doch glaubt er nicht, dass sie zum Vorwärtsbohren dienen; eher könnten sie auf die Zurückziehbarkeit der beiden vordern Segmente eine Beziehung haben. Wenn diese Larven sich wei- ter bohren, z. B. in feuchte Pappe oder in vermodern- des Holz, so sah Hr. Ganin immer, dass sie das spitze Kopfende vorwärts drängten, und da dieses sehr hart ist, so meint er, mit Recht, wie es scheint, dass es als genügendes Bohrwerkzeug diene. — Die Erweiterung des verdauenden Canales, welche Wagner Schlund nennt, fand Ganin etwas weiter nach hinten liegend, sonst aber war der Bau des verdauenden Apparates sehr übereinstimmend mit Wagner’s Beschreibung. Die Drüsen, welche Wagner Speicheldrüsen benannte, und die Pagenstecher an seinen Larven kaum finden konnte, sind mächtig entwickelt. Jede besteht aus zwei Abtheilungen, von denen die birnförmige besonders gross ist, sie scheint aber, wenn ich die Beschreibung richtig verstehe, an dem vordern Ende mit dem an- dern sich zu verbinden, so dass jede Drüse einer Seite zweilappig wäre. Die Ausführungsgänge beider Drü- Sen vereinigen sich zu einem engen Kanale, der in den Mund auszulaufen scheint. — Der erste Magen ist hell, innerlich mit grossen polygonalen Zellen mit grossen Kernen und kleinen Körnchen in den letztern besetzt. Der zweite Magen erscheint dunkler durch ی‎ von Fettbläschen, die theils zwischen, theils gro Izellen sich finden. Eine ei- ide: die durch den Tractus intestinorum sich poss wie Wagner und Pagenstecher an ihren , konnte Hr. Ganin nie sehen, wie er sagt. Der Name Pagenstecher, den der Verfasser nicht recht verstanden zu haben scheint, ist hier wohl mit Unrecht genannt, und es bleibt nur zu bemerken, | «alten geht nicht vom Fettkórper aus, und Hr. Pa- dass Hr. Ganin nie eine vom Darme هی‎ äus- sere Schicht sah. — . i«genstecher hatte ` In Bezug auf die Stigmata und Luftkanäle ist wieder grosse Ahnlichkeit mit den Wagner'schen Larven und Verschiedenheit von denen Pagenstecher's. Ganin sah auf jeder Seite sehr deutlich 9 Stigmata. Sie fehl- ten nur auf dem 1sten, 2ten, 4ten, 5ten und 14ten Segmente. Die Tracheenstämme der Rückenseite sind bedeutend stürker als die der Bauchseite, alle vier unter einander verbunden. Von dem Nervensysteme sagt der Verfasser, dass die zunächst auf die Schlund- ganglien folgenden drei Nervenknoten nicht so eng zusammengedrängt seien wie bei Wagner und dass man zwischen ihnen die verbindenden Strünge deut- lich sehe. Das Augenpigment ist karmin- oder dun- kelroth. — Vom Fettkórper spricht Hr. Ganin ziem- lich ausführlich, seine Bedeutung als keimbereitend entschieden verwerfend. Schon bei der jungen Larve, die so eben die Mutterlarve verlassen hat, besteht er aus Abtheilungen oder laugen Sücken, die durch schmale Verbindungen zusammenhängen. Die Haupt- masse des Féttkórpers erstreckt sich von dem 4ten Segment bis zum 14ten; auf jeder Seite liegen vier solcher Säcke, der 9te unpaarige Sack liegt in der Mitte auf der Rückenseite, hinter den Ober-Schlund- ganglien beginnend, und bedeckt mit seinem hintern Abschnitte einen Teil der Speicheldrüsen (Spinudrüsen nach Pagenstecher). Die einzelnen Säcke des Fett- kórpers sind in der jungen Larve durchsichtiger und enthalten rothbraune Fettblasen; sie werden später dunkler, doch bleibt der unpaare Lappen meist heller. Wenn die Keime der neuen Brut sich entwickeln, geht eine bedeutende Veränderung in den Säcken des Fett- körpers vor sich. Jeder Sack theilt sich in eine Menge Segmente. Das Fett nimmt in diesen Segmenten ab und die körnige Masse mehrt sich. Die Gruppen hel- ler Zellen in den drei letzten Segmenten des Leibes, in welchen Pagenstecher die Bildungsstätte der neuen Brut vermuthet, hat Ganin auch gesehen. Er fand sie aber immer riv hell und ohne Kerne. Er giebt eine ausführliche Bildun > der neuen Brut. Da diese Bild liche der Mittheilung des Hrn. Pain bilde und sie durch zahlreiche Abbildung: wollen 5 sie mit seinen. Worten wieder geben. ` «Die Entwickelung junger Larven ` ze? der TT يناه‎ 88 6 Recht im Verlaufe Bulletin de l'Académie Impériale «seiner Abhandlung zu sagen: «Nachdem ich aber ««einmal die jungen wirklichen Eier gesehen, kann ich ««jene (Abtheilungen des Fettkörpers) nicht für Eier ««ansehen»»”) und am Schlusse (S. 413): «Ich zweifle ««nicht, dass es gelingen wird durch einen bestimm- «sten Nachweis der Keimstöcke die Analogie zu ver- ««vollkommnen.»» Es ist mir gelungen die Vorhersa- «gung Pagenstecher’s zu bestätigen; ich habe in «der That einen Eierstock gefunden, in welchem sich «Eichen entwickeln, die der neuen Brut das Dasein «geben.» «Ich werde ihn hier nach dem Zustande beschrei- «ben, in welchem er sich in der jungen Larve gleich «nach ihrem Auskriechen aus der Mutter zeigt. Der «Lage nach befindet er sich in sehr enger Berührung «mit dem Fettkörper. (Obgleich hier vom Eierstocke «in der Einzahl gesprochen wird, wird man sogleich «hören, dass er doppelt vorhanden ist.) Die tiefsten «seitlichen Abtheilungen (Säcke) des Fettkörpers ha- «ben auf der obern Fläche und von der innern Seite «eine ansehnliche Vertiefung, worin der Eierstock «liegt. Diese Stelle entspricht dem 11ten Segmente «des Leibes. Der Eierstock ist ein paariges Organ, «denn es giebt zwei Eierstöcke von übereinstimmen- «der Lage. Um diese Zeit (nämlich gleich nach dem «Auskriechen) ist der Eierstock durch die Haut des «Thierchens hindurch gut zu sehen (Fig. 2). Aber mit «der Vergrösserung des Thierchens vergrössern sich «auch die obern Theile (Säcke) des Fettkörpers und «bedecken die Eierstöcke, die man dann nur finden «kann, wenn man ihre Lage genau kennt. Der Eier- «stock stellt sich dar als ein helles Säckchen von ova- «ler Form, dessen Längenaxe 0,037 Mm. und die Quer- «axe 0,0208 Mm. beträgt (Fig. 3). Die Bekleidung (060- «104Ka, tunica) des Eierstocks zeigt sich um diese «Zeit in äusserst zarter, schwacher Contour, aber mit «der Entwickelung des Eierstocks wird sie sehr viel «deutlicher. Der ganze Inhalt des Eierstocks besteht «aus sehr kleinen hellen Zellen, mit Kernen im In- «nern, welche sich als helle Punkte zeigen; die Sub- «stanz zwischen diesen Zellen ist vollständig amorph. «Mit andern benachbarten Theilen ist der Eierstock «mit zwei sehr zarten Fäden (aaen) °) verbunden, 7 Zeitschr. für wissenschaftl. Zoologie. Bd. XIV, S. 411. 8) Ceaska ist nicht eigentlich ein Band (igamentum), sondern | Bindemittel. erbar ist es, dass der diese An- «welche am obern und untern Ende des Eierstocks «befestigt sind. Schwer zu entscheiden ist es, wo sie mit «den andern Enden sich ansetzen, doch scheint es, dass «der untere mit dem Speisekanal verbunden ist, denn «beim Auspräpariren des Eierstocks wird er hier lange «gehalten, der obere an den obern Sack des Fettkörpers. «Der Eierstock erhält einen starken Zweig des Tracheen- «Systems, doch ist dieser erst deutlich, wenn die Eier «anfangen sich zu entwickeln. Dieser Zweig kommt «aus einem Verbindungsgliede der Hauptkanäle, der «im 12ten Segment liegt. Während der Jugend des «Thierchens liegt der Eierstock in der erwähnten Aus- «hóhlung des Fettkórpers, der äussere Theil ist «eng an die Bekleidung des Fettkórpers angeheftet «und nur der innere Theil ragt deutlich vor (Fig, 2). «In Folge dieser sehr engen Verbindung wird bei Be- «wegung des Thiers auch der Eierstock mit dem Fett- «körper hin- und hergeschoben und geht in das 10te «und 9te Segment, oder in das 12te über. Aber beim «Fortschritt der Entwickelung hebt sich der Eierstock «mehr aus seiner Grube, die ihn nicht mehr fassen «kann, und die Verbindung mit dem Fettkórper wird «geringer. Der linke und der rechte Eierstock sind ein- «ander fast ganz gleich, und jeder Vorgang in dem «einen zeigt sich eben so auch im andern.—» «Den Eierstock fand ich schon in sehr jungen Lar- «ven, in solchen, die noch nicht aus den Eihäuten «ausgekrochen waren, aber sich frei darin bewegten «In Fig. 4 ist ein Eierstock abgebildet, des aus einer «Larve kurz vor ihrem Auskriechen genonimen ist, de- «ren Mutter aber schon in den leblosen Zustand über- «gegangen war, wo einige der Tochterlarven sich aber «noch in ihren Eihüllen befanden. Dieser Eierstock «von 0,025 Mm. Länge und 0,01025 Mm. Breite be- «stand aus kleinen hellen Zellen, mit Kernen; ausser- «dem waren darin noch zwei gróssere Zellen in Form «von hellen Blasen, von denen die eine zwei, die an- «dere drei junge Zellen einschloss (Fig. 4). Um den «Fortschritt der Entwickelung des Eierstocks zu ver- «folgen, musste ich sehr viele Larven óffnen. Bemerkt «muss werden, dass die Grüsse der Larve nicht ge- «nau der Entwickelung des Eierstocks — was heftungen bei ältern Eierstócken i in Fig. 3 und 5 sehr dünn abbil det, an dem ganz jungen in Fig. 2 aber so weit, dass sie das Anse- hen von Róhren haben. Dass sie gar nicht als Röhren functioniren, lehrt der Erfolg. Sr des Sciences de Saint- Pétersbourg. «von den verschiedenen Verhältnissen der Ernährung «abhängen wird.» «Alle wesentlichen Entwickelungen im Eierstock, «so lange die Larve noch nicht die Länge von 1,5 Mm. «und die Breite von 0,3 Mm. erlangt hat, bestehen darin, «dass der Eierstock in allen Dimensionen sich ver- «gróssert, und dass in ihm rasch die Zahl der Zellen «sich vermehrt, aber die Grósse der meisten sich gleich «bleibt. Doch sind einige unter ihnen viel grósser und «zeigen sich als grosse helle Blasen mit zwei oder drei «Kernen, aber es kommen auch solche vor, in denen «man zwei oder drei junge Zellen sieht, woraus man «schliessen kann, dass die Vermehrung der Zellen «dadurch bewirkt wird, dass in den frühern Zellen «Tochterzellen entstehen. Fig. 5 stellt einen Eierstock «vor, der aus einer Larve von 1 Mm. Länge und 0,17 «Mm. Breite genommen ist. Um diese Zeit hat der «Eierstock eine Länge von 0,05 Mm. und eine Breite «von 0,029 Mm. In Fig. 6 ist der Eierstock einer «Larve von 1,33 Mm. Länge und 0,22 Mm. Breite; «der Eierstock hat um diese Zeit 0,075 Mm. Länge «und 0,0415 Mm. Breite; die Zahl der Zellen ist ver- «mehrt und sie liegen dichter zusammen. Der Eier- «stock hat sich nicht gleichmässig nach allen Richtun- «gen vergrössert, sondern ist mehr in die Länge ge- «wachsen, als in die Breite. Wenn die Larve unge- «fähr 1,5 Mm. Länge und 0,3 Mm. Breite hat, kann «man im Eierstock die ersten Spuren der künftigen «Eier bemerken. Das zeigt sich zuvörderst darin, dass «die Zellen, die im untern Theile’) und auch die, «welche im freien Rande des Eierstocks liegen, etwas «grösser und die Kerne in ihnen etwas deutlicher wer- «den; dann umgeben sich einige Gruppen dieser Zel- «len auf der Seite des freien Randes des Eierstocks «mit einer zarten halbkreisförmigen Contour, die bei «der Einwirkung von Essigsäure deutlicher wird, — «wahrscheinlich weil hier von der einen Seite die «Zellen etwas kräftiger die Theilung der umgebenden «Masse bewirken. Am untern Rande des Eierstocks «sieht man zu derselben Zeit schon eine Zellengruppe «von | — Hài Kreise — (Fig. 7). SE EI Es springt i in die Augen, dass der Verfasser in Bezeichnung sich nicht gleich bleibt, und nicht selten, was nach hinten liegt, als unten liegend bezeichnet, und also, was bei Ana- tomen so häufig vorkommt, = Raumverhältnisse der Thiere nach en im Menschen bezeichnet. B. Tome IX. «Der Eierstock ist um diese Zeit 0,075 Mm. lang und «0,0583 Mm. breit. — Wenn die Larve 1,6 Mm. lang «und 0,31 Mm. breit ist, sind schon die vier ersten «Gruppen völlig umkreist und es sind noch drei an- «dere Gruppen dazugekommen (Fig. 8). Alle spätern «Phasen in der Entwickelung des Eierstocks, so viel «ich deren habe beobachten können, bestehen darin, «dass die ganze Masse der Zellen, aus denen der Eier- «stock besteht, sich in ziemlich viele Gruppen sam- «melt und sich von einander durch zarte, aber deut- «liche Contouren scheidet. Die Zahl der Zellen in «einer Gruppe beträgt 9, 10, 11, 12 und sie verhar- «ren in diesem Zustande bis die so gewordenen Eichen «in weitere Entwickelung eingehen. — Die weitere «Entwickelung besteht darin, dass diese neu entstan- «denen Eichen sich vergrössern, was dadurch bedingt «wird, dass die Zellen, die sie zusammensetzen, be- «deutend sich erweitern. Ein so eben deutlich gewor- «denes Eichen vom untern Ende des Eierstocks hat «0,0125 Mm. Durchmesser.» «In Fig. 9 ist ein Eierstock dargestellt, der aus einer «Larve von ungefähr 2 Mm. Länge und 0,35 Breite ge- «nommen ist. Darin finden sich 15 gut abgegrünzte Ei- «chen; die, welche dem hintern Ende der Eierstocks nä- «her liegen, sind grósser, die Zellen in ihnen sind grós- «ser und haben deutlichere Zellen. Um diese Zeit zeich- «net sich eine von den Zellen, aus welchen ein Ei be- «steht, durch Grósse und Deutlichkeit des Kernes aus; «sie liegt häufig dem Rande nahe, doch auch zuweilen «in der Mitte. Ob das von Bedeutung ist, weiss ich «nicht, denn später scheinen die Zellen mehr gleich «und man kann nicht eine solche vorragende unter- «scheiden. In Larven von 2,2 Mm. Länge und 0,356 «Mm. Breite erkennt man, dass um die jungen Eichen «ein Hülle (Bekleidung) sich bildet, in Form einer pe- «ripherischen, das Licht stark brechenden Schicht von «0,00416 Mm. Dicke. Man sieht sie sehr deutlich mit «Hülfe von Essigsäure (Fig.10). Der Durchmesser eines «Eichens um diese Zeit ist 0,03 Mm.; der Eierstock «selbst hat 0,13 Mm. ‚Länge und 0,08 M Mm: Sege, » «Indem die Eichen «(doppelwandige) Bekleid «immer mehr gegen die -Oberfläche des Eierstocks; «die Bekleidung dieses letztern wird dabei dünner und «bleibt nur 99 deutlich. wischen den Eichen. Die «Verbindung des Ei mit. dem Wen wird PA cem 8 ۳۳۶ 2 MA AAA KS St, 55 Bulletin de l’Académie Impériale «sehr schwach, so dass er sich oft auch ohne Präpara- «tion vollständig von ihm löst. Das Auftreten einer deut- «lich gesonderten Bekleidung ist ziemlich das letzte «Stadium, zu welchem ein Eichen imEierstocke gelangt. «Doch ist das Austreten nicht gleichzeitig. Fast im- «mer fand ich viele solcher ausgetretener Eichen frei «im Leibe der Larve, aus einer Gruppe ziemlich gros- «ser heller Zellen mit deutlichen (und vergrösserten) «Kernen und mit verdickter Bekleidung bestehend. «Aber sie lösen sich nicht gleichzeitig ab. Zuerst tren- «nen sich die, welche dem untern (hintern?) Rande des «Eierstocks am nächsten sind, vielleicht weil hier der «Überzug des Eierstocks sich am schnellsten ver- «dünnt. Einmal beobachtete ich eine Larve, in wel- «cher 8 Eier frei im Leibe lagen; nach Verlauf von «einer Stunde waren noch 5 dazu gekommen, die Larve «war in dieser Zeit sehr unruhig und verkürzte sich «stark. Ähnliches habe ich mehrmals gesehen. — Die «losgetrennten Eier sammeln sich im hintersten Ab- «schnitte des Leibes, aber einige von ihnen sind sehr «beweglich und werden auch bis in das 12te Seg- «ment geschoben. Ein abgesondertes Ei ist kugelig und «hat 0,05 Mm. im Durchmesser.» «Der nächste wichtige Moment in der Entwicke- «lungsgeschichte der Eier besteht im Auftreten des «Dotters. Gewöhnlich zeigt sich dieser zuerst in den «frei gewordenen Eiern. Doch habe ich zuweilen das «Auftreten des Dotters in Eiern gesehen, die noch im «Eierstocke sich befanden. Vor dem Erscheinen des «Dotters verlängert sich das Ei und geht aus der Ku- « gelform in eine ellipsoidische über. Dann erkennt man «an einem Ende dieses Ellipsoids den Absatz sehr klei- «ner dunkler Körnchen in den Zwischenräumen zwi- «schen den Zellen, darauf vermehrt sich der Absatz «der Kórnchen, wodurch das Ei an dem einen Ende «dunkler wird, dann erscheinen unter den KörnernFett- «tröpfehen mit scharfen Umrissen. Erfolgt die Verdun- «kelung des einen Poles vom Ei innerhalb des Eier- «stockes, so wird die bis dahin vällig amorphe Masse, «die zwischen den Eiern liegt, hellkörnig (Fig.11). Ein- «mal öffnete ich eine Larve mit vollkommen entwik- «keltem Eierstocke, aus welchem aber, bei der Unter- «suchung, die Eier umgeben von einer Schicht dunk- «ler Masse herausfielen (Fig 12, 13). Im Leibe war «vorher kein ace freies Ei. ge Die Bildung ee «auf Y, der Eier, selten bis auf die Hälfte. — Die fer- «nere vollständige Ausbildung des Dotters erfolgt in «abgelösten Eiern. Je mehr das Ei sich verlängert, «desto mehr dehnt sich der Absatz der dunklen körni- «gen Masse aus. Einige Zellen schimmern noch durch «die dunkle Masse hindurch , werden später aber ganz «unkenntlich. Die kleinen Fetttröpfehen werden grös- «ser und vermehren sich. Grosse helle Zellen bleiben «noch sichtbar in dem Theile des Eies, welchen der «Absatz des Dotters noch nicht erreicht hat. Mit der : «Verlängerung der Eier wird die Umhüllung derselben «dunkler und wenn das ganze Ei mit Dotter gefüllt «ist, zeigt sie nur Eine scharfe Contour. Wenn die «eine Hälfte der Eier mit Dotter gefüllt ist und dun- «kler erscheint, hat das Ei eine Länge von 0,1 Mm. «und 0,06 Mm. Breite. Wagner hat in der Zeit- «schrift für wissensch. Zoologie, Bd. XIII, auf Taf. «XXXVI, Fig. 25 einen ovalen Kórper abgebildet, «von welchem die eine Hälfte dunkel und die andere «hell ist und nennt sie in der Erklärung zwei ano- «mal verwachsene Embryonaltheile u. s. w. Mir scheint, «dass Hr. Wagner hier ein Ei hatte, das zur Hälfte mit « Dotter gefüllt war. — Wenn schon ein grosser Theil «des Eies mit Dotter angefüllt ist, so sammeln sich die «Zellen an dem einen (hellen) Pole desselben, obgleich «sie an Grüsse zunehmen; wenn aber das ganze Ei mit «Dotter angefüllt ist, sind sie überhaupt nicht sichtbar. «Welche Veründerung sie erfahren, vermag ich nicht «zu entscheiden. Der aufgetretene Dotter füllt das Ei «endlich ganz aus und liegt eng an der umkleidenden «Haut an. Er besteht aus Fetttröpfehen verschiedener «Grósse und sehr kleinen dunklen Kórnchen zwischen «ihnen. In diesem Zustande hat das Ei seine vollstän- «dige Entwickelung erfahren. Das Ei hat ein ovale | «Form, dessen grosse Axe 0,26 Mm. und die kleine0,1 «Mm. misst; bekleidet ist es von einem dünnen durch- «sichtigen Häutchen (F. 17, 18, 19.» ` e EI «Die jüngern Eier befinden sich immer in den hin- «tersten Segmenten des Embryos, die mehr entwickel- «ten vertheilen sich zwischen den Eingeweiden. Wenn «die Dotterbildung beginnt, sr sich ma - «immer noch im Eierstock.» «Ohne befruchtet zu sein — bed Ei seine Ent- «wickelung fort, und der Embryo fängt an sich in ihm «zu bilden. Die erste Umänderung, die sich nun zeigt, «besteht darin, dass auf der Oberfláche des Dotters b 85 des Sciences de Saint- Petersbourg. «ein Blastema entsteht, eine Schicht dichten festen «Stoffes von der Dicke von 0,00416 Mm., worin sich «eine Schicht ovaler gekernter Zellen entwickelt. Diese «Zellen sind sehr klein, ausserordentlich zart und bald «verschwindend "). Ich habe niemals eine Schicht Bla- «stema allein gesehen. Immer zeigte die Oberflüche «eine Menge sehr zarter Furchen, die Abgrünzungen «der künftigen Zellen, oder eine peripherische Schicht «von ausgebildeten Zellen. Vor dem Auftreten dieser «Schicht hat die Form des Eies sich etwas verändert, «die eine Seite wird convexer, die andere mehr grade, «die erstere entspricht der Bauchseite, die letztere der «Rückenseite des Embryos. Die peripherische Schicht «von. Zellen besteht sehr kurze Zeit, in allen spütern «Zuständen sah ich sie nicht mehr. Auf der Oberfläche «des Dotters erscheint eine helle feinkórnige Masse, «aus welches der Kórper des Embryos sich aufbaut.» «Mangel an Material für die entsprechenden Phasen «der weitern Ausbildung nóthigt meine Beobachtun- «gen hier abzubrechen. Ich füge nur noch einige Worte «hinzu, namentlich dass die peripherische feinkór- «nige Schicht auf der gewólbten Seite des Embryos «sich verdickt, woraus die «Embryonalanlage» oder «der «Keimstreif» hervorgeht. Ob dieser Entwickelung «eine Keimhaut vorhergeht, weiss ich nicht. — Die «Ausbildung des Embryos geht nur von einem Theile «des Keimstreifensaus. Hier erscheinen bald einige tiefe «Furchen, die nicht bis auf die Rückenseite übergehen. «In mehr entwickelten Eiern zeigen sich in der ganzen «Embryonalanlage viele solche Furchen. Die Menge «des Dotters vermindert sich rasch ; der Rest zieht sich «nach der Rückenseite und geht unmittelbar in den «Fettkörper der künftigen Larve über.» «Die Zahl junger Larven, die in einer Mutter- «larve sich bilden, ist fasst immer sehr gross. In einer |. «alten todten Larve fand ich 30 junge, die noch wenig «entwickelt waren. Ein anderes Mal beobachtete ich den «Vorgang des Ausschlüpfens; die Zahl der Ausschlüp- «fenden war 27. Ein drittes Mal zühlte ich 25, und «überhaupt fast nie weniger als 22. Als Ausnahmen | «kann ich zwei Fälle anführen, wo in einer Mutterlarve «nur 5, und in einer andern nur 2 junge waren. Die jun- «gen waren ganz ausgebildet, und bewegten sich frei «durch die Eihäute, Verwunderlich war es, dass die 30 s ‚meine Untersuchungen habe ich in Eiweiss Si | führt. Gan «alten Larven in diesen Fällen sehr klein waren; sie «hatten nur ungefähr 2 Mm. Länge und 0,27 Mm. «Breite. Die jungen aber waren fast von der gewöhn- «lichen Grösse.» Die Zeit, welche die Larven zu ihrer Ausbildung brauchen, schien Hrn. Ganin im Allgemeinen bedeu- tender als Hr. Wagner für seine Larven fand. Da Wärme und Nahrungs-Vorrath hierauf grossen Ein- fluss ausüben müssen, so ist auf diesen Unterschied wohl wenig Gewicht zu legen. In Bezug auf das Aus- kriechen bemerkt Hr. Ganin, dass die vorderste der Tochterlarven durch Bewegungen der Kopfspitze ein Loch in die Haut der abgestorbenen Mutterlarve bohrt, durch dasselbe hervorschlüpft und die Geschwister ihr folgen. Von dem Leibe der Mutterlarve bleibt nichts übrig als die Chitinschicht der Haut mit den Spitzen, die Tentakeln, ein kleiner Theil des Fettkür- pers in Form von dunklen Körnchen und ein Theil der Tracheen. Alles übrige wird von den Jungen auf- gefressen. Mehrmals hat Hr. Ganin gesehen, dass bald nach dem Auskriechen der Tochterlarven Anguillu- liden in die verlassene Hülle der Mutter sich einquar- tirten. Die auskriechende Larve soll weder Stigmate noch Tracheen haben, doch sind die beiden Längs- stimme der Luftröhren auf der Rückenseite kenntlich und die Zahl der Reihen von den Hautspitzen ist geringer. Zuletzt fasst Hr. Ganin die Resultate seiner Un- tersuchungen auf folgende Weise zusammen: Die Untersuchung der höchst merkwürdigen Ent- wickelung dieser Thiere zeigt: 1) dass ihre Entwickelung nicht aus dem Fettkör- per vor sich geht; pif 2) dass die jungen Larven aus Eiern hervorgehen, die in Eierstöcken sich bilden; 3) dass der Process der Ausbildung der Eichen einige Ähnlichkeit mit der Ausbildung einiger ganz entwickelter (B3pocasıx») Zweiflügler (Musca vomitoria, Sarcophaga carnania) haben. Das Ei- chen bildet sich aus vielen Zellen, unterscheidet sich aber vom Eichen eines entwickelten Insects ‚durch das Fehlen des Purkinjischen Bläschens; 4) dass das Eichen, ohne befruchtet zu sein, an- fängt, in sich einen Embryo auszubilden und dass diese Entwickelung einige Ähnlichkeit mit der entwickel- وم دوه D 11 ۸۱۸۸ CA‏ *6 Kä 8 P S7 Bulletin de l'Académie Impériale ten Zweiflüglern Ähnlichkeit hat. Diese Entwik- kelung geht von einem Theile der Embryonal- anlage aus; 5) dass in Folge von alle dem der Vorgang der Vermehrung dieser Larve, statt des Räthselhaf- ten, welches er nach Wagner’s Entdeckung zu haben schien, eine mehr natürliche Lösung findet. er Es muss nun nachträglich auch über die Leu- ekart’schen Untersuchungen berichtet werden, welche sich wie oben (S. 74) in der Anmerkung 6 gesagt ist, in den Nachrichten von der K. Gesellschaft der W. zu Góttingen N* 8 (vom 19. April) d. J. befinden. Prof. Leuckart’s Aufsatz ist sehr gedrängt, und be- sonders darauf gerichtet, das Organ nachzuweisen, in welchem die neuen Keime sich bilden. Er ergänzt also wesentlich die Beobachtungen von Wagner und Pagenstecher, stimmt aber mit Hrn. Ganin in der Ablösung eigener Organe für die Entwickelung der Brut überein. Es ist kein Zweifel, dass in Giessen und Charkow dieselben Organe beobachtet sind, obgleich sie von Prof. Leuckart Keimstöcke und von Hrn. Ganin Eierstócke genannt werden. Ob ein wesentlicher Unterschied zwischen solchen Keimstócken, welche den Eiern ähnliche entwickelungsfähige Keime produci- ren, und Eierstöcken besteht, welche Eier produci- ren, die, um sich zu entwickeln, vorher befruchtet werden müssen, ist jetzt grade ein Gegenstand des Zweifelns geworden, da einige in wahren Eierstöcken gebildete Eier ohne Befruchtung entwickelungsfähig | sich erwiesen haben. Hr. Prof. Leuckart ist grade in diesem Fache eine gewichtige Autorität, und ich ge- stehe gern, dass ich mich freuen würde; wenn der früher auch von mir angenommene morphologische Un-. terschied von Keimstöcken und Eierstöcken aufrecht erhalten würde. Hóren wir daher, wie Prof. Leuk- kart im vorliegenden Falle diese Ansicht durchführt. . Nachdem er erklärt hat, dass die Keime aus einem Keimstock und keineswegs aus dem Fettkürper ent- stammen, fährt er fort: «Aber dieser Keimstock ist «weder die subeuticulare Zellenschicht, noch die den | «Mastdarm umgebende Zellenmasse, die Pagenste- «cher bei seiner Vermuthung im Auge hatte, sondern «ein ganz distinctes Organ, das in paariger Anzahl, «rechts und links, meist symmetrisch, neben der dor- «salen Mittellinie des drittletzten Kórpersegments ge- «legen ist, und augenscheinlicher Weise nichts Ande- «res als die erste Anlage einer Geschlechtsdrüse där. «stellt. Wie letztere (z. B. bei den jungen Larven an- «derer Tipuliden) hat es die Form eines ovalen klei- «nen Zellenhaufens, an dem man mitunter noch einen «kurzen Anhangsfaden, der wohl das Rudiment eines «Ausführungsganges darstellt, beobachtet. Statt nun «aber, wie sonst bei den zur Geschlechtsreife gelan- «genden Insecten zu einem Eierstock oder Hoden zu «werden, durchläuft dieses Gebilde bei den viviparen «Larven unsrer Cecidomyiden eine andere Metamor- «phose, und zwar in allen Individuen dieselbe. Es «verliert nach einiger Zeit die frühere ovale Form, «bekommt eine Anzahl von Einschnitten, wie eine ge- «lappte Niere und zerfällt schliesslich in einzelne Bal- «len, die nach der Ablösung frei in die Leibeshöhle «hineinfallen.» Die Existenz, Lage, Gestalt, Übergang in Nierenform und Zerfallen des Keimstocks also wie bei Ganin; die Zurückführung dieses zeugenden Or- gans auf einen unausgebildeten Eierstock ist im We- sentlichen auch übereinstimmend. In der weiter folgenden Darstellung See die Deutungen etwas weiter auseinander, was davon ab- hängig scheint, dass das Vorherrschen Einer Zelle, das von Ganin zwar vorübergehend bemerkt (S. 82), aber nicht weiter berücksichtigt ist, Hrn. Prof. Leuckart Veranlassung giebt, in ihr das Analogon des wahren Eies der Insecten zu finden. «Ein jeder dieser (oben «bezeichneten) Ballen besitzt eine structurlose Tunica «propria, die ausser einer Epitheliallage, noch etwa «6 — 8 grössere, undeutlich begränzte Zellen — oder «auch vielleicht nur eine von eben so vielen bläschen- «förmigen Kernen durchsetzte trübe Protoplasmamasse «— in sich einschliesst. Nach einiger Zeit setzt sich «eine dieser Zellen schärfer gegen die übrigen ab. «Sie wächst durch Aufnahme einer körnigen Substanz «und allmáhlig in einem solchen Grade, dass die ge- «sammte übrige Zellenmasse bald weit dahinter zu- «rückbleibt und der ursprüngliche: mon eine langge- «streckte Form annimmt.» ^. gi «Die hier hervorgehobenen ا عا‎ siudige- «nau dieselben, wie sie bei der Eibildung in den so- «genannten Keimfächern der weiblichen Insecten vor «sich gehen. Die wachsende Zelle gleicht dem jungen «Ei und die übrige Zellenmasse den sogenannten Dot- Worse ce E A CREE IN TOR s HP زا‎ En li al ANNEE 775/7۳ Kr" + LU ui E C RIT, Are —nhda daclien M: a We T 5 notes À 59 des Sciences de Saint- Petersbourg. , 90 «terbildungs-Zellen in einer so frappanten Weise, dass «man sich berechtigt sieht, den Ballen seiner morpho- «logischen Natur nach als ein loses Keimfach zu «bezeichnen.» «Aber die Entwickelungsgeschichte des jungen Eies «bleibt bei unsern Larven ohne den gewöhnlichen Ab- «schluss. Nicht bloss, dass es niemals zu einer Aus- «scheidung einer festen Eischale kommt, auch in so «fern verhält sich dasselbe anders, als die eigentlichen «Insecteneier, als es bereits vor Abschluss seines «Wachsthums und vor dem Schwinden der Dotterbil- «dungs-Zellen auf seiner Oberfläche eine zellige Keim- «schicht ausscheidet und damit anfängt, sich in einen «Embryo zu verwandeln. Die Membran des Keimfaches epersistirt mit ihrer Epithelialanlage im Umkreis des «Embryo; bis dieser seine völlige Ausbildung erreicht «hat.» «Die Vorgänge der Embryonal-Entwickelung, die «Hr. Cand. Metschnikow aus Charkow auf meine «Veranlassung specieller studirt hat, zeigen keinerlei « wesentliche Unterschiede von dem gewóhnlichen Ver- «halten der befruchteten Eier, sind aber in so fern | «hóchst interessant, als sich bei unsrem Thiere mit «Bestimmtheit nachweisen lässt, dass die Bildung der «Keimzellen durch eine mehrfach wiederholte Theilung «des Keimbläschens eingeleitet wird. Ein eigenthüm- «liches Faltenblatt wird nicht gebildet, wohl aber eine «Gruppe von Polzellen, die später von der Keimhaut «umwachsen und merkwürdiger Weise in die Genital- «anlagen aufgenommen werden, so dass man fast un- | «willkührlich an die O wen'schen Ansichten von der Wo CS CEP e ES 3 1.1 OH 5 erinnert‏ ویک TER SH Seren Heu Prof, توس‎ en steht mit seiner Autorität dafür ein, dass die ursprünglich abgesonder- ten Polzellen zur Anlage der Fortpflanzungsorgane aufgenommen ‚werden; ras auch in dem kurzen Be- | t war. Auf welche nan that ‚ist aber noch nicht eilt „Offenbar ist eine nähere Darstellung noch Be In dieser werden sich auch wohl die | kleinen Differenzen, die in dieser letztern Darstellung und der Hrn. Ganin noch bestehen, vüllig ausglei- ‚chen, da die Ganin’schen Anschauungen jetzt völlig bekannt sind. eem ist. ns Riesig | mung in beiden. ` PE aperia Die besprochenen eiartigen Keime glaubt der Ver- fasser am besten als Pseudova bezeichnen zu können. Zuletzt sagt Hr. Prof. Leuckart noch, dass die Species, zu welcher diese Larve gehört, erst später bestimmt werden wird, wenn die geschlechtliche Ge- neration zur Entwickelung kommt. Jedenfalls scheint die Fortpflanzung unbefruchteter Larven nun schon an drei Arten beobachtet zu sein, die wohl alle zu der Familie der Cecidomyiden gehó- ren werden: 1) an der von Wagner und wahrscheinlich auch von Meinert beobachteten; 2) an der von Prof. Pagenstecher beobachteten; und 3) an der von Hrn. Ganin beobachteten Larve. Ob nun die in Giessen untersuchte Art, die sich unter der Rinde eines pilzkranken Apfelbaumes be- fand, zu einer von diesen dreien gehórt, oder noch eine vierte ist, wird erst die Zukunft lehren. Es hat also an Bestütigungen der Wagner'schen Entdeckung von proliferirenden Insectenlarven nicht gefehlt und es ist nicht zu zweifeln, dass jenseit der Weichsel jetzt noch manche Bestätigungen erfolgt sind, die ihren Weg durch die Druckerpresse und den Buchhandel noch nicht bis zu uns gefunden haben. Dass die Entdeckung zuerst mit Zweifeln aufgenom- men zu sein scheint, wie denn auch Hr. v. Siebold ausdrücklich sagt, dass sie ihm fast unglaublich ge- schienen habe, zeigt nur wie unerwartet sie kam, und wie wenig man auf sie vorbereitet war, — ist also ein Zeugniss für ihre Wichtigkeit, und so zu sagen, ein Compliment für sie. Ich erinnere mich eines Aus- spruchs von Wilhelm v. Humboldt, der, als eine seiner frühern philologischen Arbeiten و‎ nira in einer Replik sich ungefähr so äusserte: «k das gleich bei seinem Ersch Beifall findet, verdiente eigentlich gar “nicht gedruckt zu $ sein, denn es enthält nur, was in den Ube ‚Aller vollständig herrschend, oder wenigstens völlig vorbe- reitet war,» Das ist sehr cotes den das wirklich Neue kann, ‚wenn es wic atig und en ıgreifend ist, nur allmählich Eingang indien eine Menge Überzeu- en, um der neuen den — Dass die Korallen 91 Bulletin de l'Académie Imperiale 92 von Thieren bewohnt sind, hatte der Schiffsarzt Peys- sonel in den Jahren 1723 — 25 entdeckt und es war kein schlechterer Mann als der grosse Réaumur, der diese Entdeckung als eine Absurditüt im Jahr 1727 zurückwies (D. nachdem ihm Peyssonel seine Beob- achtungen mitgetheilt hatte. Diese waren mehrere Jahre fortgesetzt und waren in der That sehr man- nigfach und umsichtig, denn Peyssonel sagt: in den Röhren der Tubipora (die er Tubularia nennt) süssen Thiere; was man für Blüthen an der Edelko- ralle halte, seien auch Thiere, denn sie kümen zu jeder Jahreszeit vor und zügen sich zurück, wenn sie berührt würden, und wenn man die Koralle aus dem Wasser hebt; in den Madreporen seien die Thiere den Orties de mer, d. h. den Actinien gleich; die Rinde der Korallen verbreite bei der Zersetzung ei- nen thierischen Geruch und selbst die chemische Un- tersuchung weise thierische Substanzen nach. Alle diese Gründe führt Réaumur an, schliesst aber doch damit, dass die Korallen Pflanzen sind, welche eine steinige Substanz absetzen; wenn man Thiere darin sieht, so müssten diese wohl eingedrungene Schma- rotzer sein. Er kann sich überhaupt, wie man sieht, in die Vorstellung von verzweigten Thieren nicht its den. Aus Schonung nennt er den Namen des Mannes gar nicht, der so sonderbare Dinge behauptet hat. So blieb also Peyssonel ganz unbekannt und unbeach- tet. Als aber später Trembley seine Beobachtungen über die Süsswasser-Polypen bekannt machte und man an den Aussprossungen derselben ein verästeltes Thier vor Augen hatte, da bat Réaumur den Botaniker Bernard de Jussieu, der an die Seeküste reiste, nachzusehen, welche Bewandtniss es mit den Koral- len habe. Da nun auch Jussieu sich für die thieri- sche Natur erklärte, glaubte endlich auch Réaumur | daran und nahm sein früheres Urtheil zurück "). Peys- sonel, der in Westindien erfuhr, dass seine Réau- mur zugeschickte Abhandlung nicht veröffentlich sei, dass aber später die Richtigkeit seiner Entdeckung Anerkennung gefunden habe, schickte im Jahre 1751 eine neue Abhandlung, nicht nach Paris, sondern nach. London, wo sie 1753 in den Philosophical Transac- tions erschien. Dreissig Jahre waren also hingegangen, 11) ëng E Mémoires de l’Académie des sciences (de Paris). Année 1727. p et 281. med servir à l'histoire des Insectes. Vol. VI, p. 70. bevor es ihm nur gelang, seine Entdeckung zu veróf- fentlichen und noch 5 Jahr gingen hin, bevor sie durch die 10te Ausgabe von Linné's Systema naturae (1758) zu allgemeiner Gültigkeit gelangte. — Wie viele und heftige Schriften erschienen nicht gegen Harvey’s Darstellung des Kreislaufes, weil man die Luft oder die Geister (Archaei), die man.in den Arterien sich aufhalten liess, gar nicht zu bergen wusste, und als Harvey 20 Jahre nach Veröffentlichung seiner Ent- deckung starb, war sie noch nicht zur allgemeinen Anerkennung gekommen. Noch viel länger währte es, bis die Entdeckung von Kopernicus allgemeine Gel- tung fand und die Erde musste noch sehr oft ihre Bahn um die Sonne beschreiben, bevor der heilige Stuhl erlaubte, öffentlich davon zu sprechen. Ich sollte vielleicht nicht durch die Erinnerung an solche Epoche machende Entdeckungen den Eindruck, der von uns besprochenen schwächen, die mit solchem Maasse gemessen zu werden nicht beansprucht. Es kam mir nur darauf an, anschaulich zu machen, dass der Zweifel und der Widerspruch, wenn sie überwun- den werden, sich in Anerkennungen verwandeln, weil sie anzeigen, dass die neue Lehre zu den gangbaren Überzeugungen nicht passt und diese ihr deshalb den Raum versagen. Hat man nach der neuen Lehre die frühern etwas anders gestaltet, so findet sich in der. Regel, dass der Widerspruch gar nicht so gross ist, als es schien, und dass von dem Neuen allerdings Ei- niges schon bekannt, nur anders gedeutet oder ein- gefügt war. Deswegen sagt Agassiz, dass wenn eine neue Lehre vorgebracht würde, sie drei Stadien durch- zumachen habe; zuerst sage man, sie sei nicht wahr, dann, sie sei gegen die Religion, iind im dritten. Sta- dium, sie sei längst bekannt gewesen. DerWagner’schen Entdeckung wird man wohl mee | vorwerfen, dass sie gegen die Religion — oder richti- - ger gegen angenommene Dogmen sei, denn kein Dogma. | wird sich wohl mit Fliegenlarven befasst haben. Aber. | dass sie zuvörderst bezweifelt wurde, hat sie hinläng- lich erfahren; es kommt nur darauf an, sie an die frühern Kenntnisse anzuschliessen, was, wie es mir scheint, geschehen een wenn man diese ein — umstellt. Man hat, hess in dem Laufe dieses dcin 7 | derts, so viiia Variationen in der Art, wie Pflanzen und Thiere sich vermehren, kennen gelernt; dass wahr, een VUES Eer ny Or DE E Rad dE E AR. mA P ea o A کی عبج بض‎ des Sciences de Saint- Pétersbourg. 94 = lich kein Grund mehr besteht, die Verhältnisse, die unter den Wirbelthieren alleingültig sind, für die all- gemein gültigen zu halten, und alle andern Vorgänge für Ausnahmen und Abweichungen zu erklären. Wenn ich die verschiedenen und weitverbreiteten Formen des Zertheilens und Aussprossens bei Pflanzen und nicht wenigen Thieren betrachte, so scheint es mir immer, dass die Fortpflanzung oder die Vermehrung der Individuen einer Organisations- Form wesentlich und ursprünglich in einer Fortsetzung des Wachsthums über die Schranke der eigenen Individualität hinaus besteht, und dass also eine Fortpflanzung, welche ei- ner Befruchtung bedarf, um vor sich zu gehen, zwar eine höhere Stufe dieser organischen Function, und normal für die höhern Thiere, im Grunde aber doch für die Gesammtheit der organischen Körper eine Art Ausnahme ist. Wir haben sie nur für die Regel ge- halten, weil wir natürlich zuerst auf uns und unsere nächsten Verwandten sahen. Der Mensch sieht sich eben so nothwendig in der Mitte seines geistigen Ho- rizontes, wie in der Mitte seines mathematischen. Die Befruchtung beherrscht zwar die Fortpflanzung sehr vieler Thiere, und namentlich aller höher entwickel- ten als Nothwendigkeit; sie ist auch sehr weit ver- breitet in der Pflanzenwelt, aber sehr häufig nicht mehr als Nothwendigkeit, da das Aussprossen viel all- gemeiner ist, und jede verästelte Pflanze, insbesondere aber die verästelten Bäume in eine Familie verwan- delt, bevor noch eine Fortpflanzung in die Ferne mög- lich ist. Ja die Organe, welche die separirte Fort- pflanzung bewirken, gehen ja bei den Pflanzen selbst nur aus dem Spross hervor. ` Wie viel häufiger und allgemeiner in der Pflanzen- welt die Vermehrung der Individuen durch Ausspros- sen verschiedener Art, aus Wurzeln, Knollen, Zwie- beln, Ranken, Ästen vor sich geht, als durch Frucht- bildung; air uns anschaulich, nicht allein wenn wir einen Baum betrachten, und an ihm bemerken, dass nur einzelne Sprossen Blumen und Früchte produciren, sondern auch wenn wir bedenken, dass von den vie- len Millionen Kartoffeln, die man jährlich zur Ein- saat in die Erde steckt, und von der zehn mal so grossen Zahl, die man jührlich verzehrt, kaum ei- nige wenige, eines wissenschaftlichen Experiments we- gen, aus Saamenkernen gezogen sind; dass von allen Trauerweiden, welche in den Gärten von Europa und selbst in den Europüischen Colonien in andern Welt- theilen vorkommen, keine einzige aus einem Saamen- kerne kommt, indem alle, nur weibliche Kätzchen tra- gen; nur in St. Helena auf dem Grabe Napoleons sol- len die aus England dahin verpflanzten Trauerweiden einige männliche Kätzchen entwickelt haben, weshalb man glaubt, dass nur einmal Wurzelschösslinge aus dem würmern Asien nach Europa gebracht sind, viel- leicht nur von einem Wurzelstocke, und dass davon alle Europäischen und aus Europa weiter verpflanz- ten stammen; wenn wir ferner bedenken, dass von den Zwiebel- und Knollengewächsen unserer Gärten nur sehr wenige aus Saamenkórnern stammen; dass die perennirenden Gewächse ja eben dadurch peren- nirend sind, dass sie jáhrlich neue Sprossen aus der Wurzel treiben und dass eben deshalb auch manche Pflanzen, die gar keine Saamenkórner haben kónnen, ganz häufig in den Gärten gezogen und vermehrt wer- den, z. B. Bellis perennis mit gefüllten Blumen. Man könnte fast sagen, dass für die perennirenden Pflan- zen die Fruchtbildung nur auf die Voraussetzung be- rechnet ist, dass noch unbesetzter Boden sich finden werde. Die gefüllte Bellis perennis kann sich nicht ge- schlechtlich vermehren, weil die dazu nothwendigenOr- gane bei ihr verkrüppelt sind. Aber haben wir nicht viele Pflanzen in unsern botanischen und sonstigen Kunstgärten, welche wohl in ihrem Vaterlande Früchte tragen, denen wir aber nicht das dazu dienliche Klima schaffen können? In der freien Natur ist es nicht anders. An den Gränzen der natürlichen Verbreitungsbezirke giebt es viele Individuen, die, obwohl aus Saamenkör- nern erzeugt, doch keine reifen Früchte produciren können. Als ich Nowaja-Semlja bei schon eingebro- e chenem Winter verliess, hatte noch keine ۳ reife Saamen, Rowitoulis nivalis und Lychnis alpina vielleicht ausgenommen; doch war der vorhergehende Sommer kein ungewóhnlicher gewesen. Ich halte in der That diese Insel für ein grosses ium, wel- ches durch Wind, Wellen und Eis hergebrachte Fin- delkinder, meist Früchte, selten Wurzelstócke, auf- nimmt und die genügsamern auch ernährt, aber nicht selbst Früchte tragen lässt. . Was sprossen kann, hat den- noch gute Nachl in der Fa- milie bleibt, d. h. kleine Rasen bildet, oder neben der Mutter sich ansiedelt, wie die Ranken aussendende Saxifraga axillaris. Sicher hätte die menschliche In- 95 Bulletin de l'Académie Impériale dustrie sich fast ausschliesslich auf die Benutzung der Sprossenbildung geworfen, wenn unsere Cerealien nicht einjährige Gewächse wären, und in der That hat der Mensch in den Anfängen seiner Cultur sich wohl nicht mit dem Ausstreuen von Saamenkörnern befasst. Die Schweizerischen Pfahldörfer scheinen mir schon durch die Cerealien, die sich in ihnen finden, nachzuweisen, dass sie der Urzeit nicht angehören. Aber auch in den untern Classen der Thierwelt ist ja die Vermehrung durch Selbsttheilung und durch Spros- sen sehr allgemein in Infusorien, Polypen, Korallen Bryozoen und zusammeng. Ascidien. Sie kommt auch bei den isolirten Ascidien vor"). Nehmen wir noch die andern Formen ungeschlechtlicher Vermehrung hinzu, so steigen wir bis in die bewegliche und kunstreiche Clásse der Insecten hinauf, und mehrere gut ausge- bildete Formen kennen, wie es scheint, die Befruch- tung gar nicht. Niemand hat ein Männchen vom Coc- cus (Lecanium) hesperidum, von Chermes abietis L., von Psyche Helix Sieb.(?) oder ein Männchen von einer Cynips- Art gesehen"). Doch pflanzen sie sich fort. Man muss sie also wohl, so lange sich die Münn- chen nicht zeigen, für fruchtbare Jungfern halten, de- nen Hr. v. Siebold eine ehrenvolle Stelle in der Thier- welt bis an die Wirbelthiere gesichert hat. Von an- dern Arten sind allerdings Männchen gefunden, aber nur sehr selten, wenigstens in gewissen Gegenden ”). Dass bei manchen Arten von Insecten, deren Männchen gar nicht selten sind, dennoch unbefruchtete Weibchen entwickelungsfähige Eier legen können, ist in neue- ster Zeit so viel besprochen, dass wir an diese Par- thenogenesis bloss erinnern wollen. Nur von der obersten Abtheilung des Thierreiches, | von den Wirbethieren, ist keine sichere Beobachtung bekannt, dass ein Ei ohne Befruchtung sich entwickelt hátte, so wie sie auch durch Aussprossen nur Defecte des eigenen Körpers ergänzen können, und auch diese 13) Eysenhardt in Nov. Act. Phys. med. Vol. XI, Pars I, p. 1. 14) Lubbock: On the ova and pseudova of Insects. Phil. Trans. : 15) 2. B. die رن موی‎ Solenobia renge und triquetrella. Ich habe Si Ind unter den Insecten genannt, von welchen man em ee kennt; weil mir ein sehr unterric Entomolog sagte, es sollten von diesem Schmetter- linge dennoch Männchen gefunden sein. Indessen da Hr. von Sie- bold in seiner neuesten Schrift: ie: m (1862, 49) noch entschieden versichert, dass ännchen bekannt seien, ML nur mündlich ertheilte ueris doch Sg unbegründet Fähigkeit in den warmblütigen Thieren fast ganz auf- hört. Es wird also, je höher die thierische Form und In- dividualität sich entwickelt, um so mehr die unge- schlechtliche Fortpflanzung durch geschlechtliche er- setzt. Die Befruchtung steigt zwar hinunter auf recht tiefe Stufen der Organisation, theilt aber hier mit der Sprossenbildung das Geschäft der Ausbreitung dieser organischen Form. Wenden wir uns nun von diesem allgemeinen Über. blicke zurück zu unsrem speciellen Gegenstande, zu der Vermehrung der Cecidomyiden-Larven, so springt in die Augen, dass die ungeschlechtliche Vermehrung an sich gar kein Aufsehen und keinen Zweifel erregen konnte, selbst dass diese ungeschlechtliche Vermeh- rung an einem Insect beobachtet war, hätte nur einige Theilnahme veranlassen können, da die Liste der un- geschlechtlich sich vermehrenden Gliederthiere damit vergrössert wäre, wie die Daphnien sich nicht allein geschlechtlich, sondern auch ungeschlechtlich vermeh- ren. Allein dass eine Larve, eine ganz entschiedene Form von Insectenlarven — eine Made — sich mehrte, das erregte Zweifel — und Widerspruch. Ich kann sagen, dass, wem ich auch brieflich die neue Beob- achtung mittheilte; ich entweder keine Äusserung, pose sehr entschiedene Zweifel als Antwort erhielt. Aber steht denn diese Erfahrung so ganz ohne ver- wandte Vorgänge, ohne Gleichen da? An die Aphiden hat wohl Jedermann gedacht und deren Entwickelung hat man doch schon lange unter den Generations- wechsel subsumirt. — Wir werden gleich auf sie zu- rückkommen. H Vorher wollen wir nur ins Auge fassen, dian die Fortpflanzung unsrer Larven von Furthonogeneihe‘ auf- fallend verschieden ist, denn sie zeigt sich in ganz unentwickelten und gar nicht befruchtungsfähigen jun- gen Thieren. Ich habe deshalb in dem amtlichen Gut- achten zum Demidow'schen Preise vorgeschlagen, diese Vermehrungsform Paedogenesis — dem schon gangba- ren Worte Parthenogenesis analog — zu nennen. In Leem sollen die ersten Sylben das Zeugende andeu- ten x 7 SE 16) Ich theile vollkommen Leuckart’s Ansicht, dass das Wort Parthenogenesis mehr die Geburt einer Jungfrau, als das Gebähren durch dieselbe bezeichnet, allein da dieses Wort ganz allgemein n ge- zu folgen. worden ist, kann man nicht umhin, seiner Analogie سر ARE ANON, RCE CINE د‎ S Fan RE 9 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 99 Die Anerkennung einer eigenen Form der Vermeh- rung und die Bezeichnung derselben durch eine ei- gene Benennung werden, wie es mir scheint, die Auffindung ühnlicher Vorgünge erleichtern und die An- reihung neuer beschleunigen. Es ist meine Absicht nicht, neben den Generationswechsel eine neue Ent- wickelungsform unter dem Namen Paedogenesis hinzu- stellen. Vorläufig soll sie nur eine Differenz von der Parthenogenesis anzeigen, da jene das Hervorgehen eines neuen Individuums aus einem unreifen und diese aus dem nicht befruchteten Ei eines geschlechtsreifen Individuums andeutet. Wie sich aber ihr Verhältniss zum Generationswechsel zu gestalten hat, werden wir sogleich zu untersuchen haben. + Kehren wir zunächst zu unsren proliferirenden Lar- ven zurück. Vom Fettkörper ist nicht mehr die Rede. Ein eigenes Organenpaar, aus welchem die Keime stam- men, haben Prof. Leuckart und Hr. Ganin nicht nur gefunden, sondern sie haben nachgewiesen, wie in ihnen die Keime sich bilden, die man auch Eier nennen kann, denn ein abgegränzter, mit eigener Haut um- schlossener Keim ist eben ein Ei. Hr. Prof. Leuk- kart möchte sie am liebsten Pseudova nennen, Dieses Wort bk von Huxley für die Benennung von Eiern lagen, welche, ohne der Befruchtung zu be- dürfen, zur Entwickelung kommen. Durch ihn veran- lasst hat Lubbock versucht, einen morphologischen Unterschied zwischen wahren und falschen Eiern ( Pseu- dova) aufzufinden'”). In den Apparaten, welche nur Pseu- dova erzeugen, fand er allerdings grosse Verschieden- heit mit den Apparaten, die ec meurent, Eier erzeugen und dasselbe Thier in hóhere Entwickelungs- stufen bringen, wie schon Siebold, Leydig, Huxley, Leuckart nachgewiesen hatten. Allein was die Fort- pflanzungsproducte selbst anlangt, so schliesst er, nach- dem er sich auf die ohne Befruchtung sich entwickeln- den Eier der Bienen und einiger Schmetterlinge beru- feniihati «We-are then; I think, justified in asserting “the present state of our knowledge no differ- ore em be pointed out between the avarian devel- in insects. and the — 17) Lubbock 1. 6 - Tn derselben Abhandl. ist T. XVII, Fig.4 ein Oynips li Ei der z von der sonderbarsten Form abgebildet. Es وج‎ aon دم وله‎ ein di i und e kolossales Spermatozoid mit verwsensen wären. a E mit einem ee. Packen Saamen- | fäden. . REN 1 He ES Lë Tome IX wahrscheinlich, denn die / | | Winter gesteet und bei der dar offenbaren ovum». Der verschiedene Name würde dann nur die Verschiedenheit der Befähigung und des Erfolges an- deuten. — Die wesentlichste Differenz zwischen den Resultaten und Deutungen Leuckart’s und denen in Charkow besteht aber darin, dass nach ersterem die Theile, in welche sich das Keimorgan auflöst, nicht allein aus unächten Eiern bestehen, sondern aus abgetrennten Keimfüchern, von denen jedes ein Ei enthält. Das nähert die Entwickelung der Cecido- myiden-Larven ungemein der Embryonen- Bildung in den ungeschlechtlichen Aphiden, in denen die junge Brut, zuerst in Eiform, auch in besondern, diesen un- geschlechtlichen Thieren eigenthümlichen Keimfächern (Eierstocks-Gipfeln) sich bilden, die aber nicht von einander sich trennen, da sie die Embryonen durch einen regelrechten Ausführungsgang fortschieben kön- nen. Dieser fehlt in unsern Larven und da müssen freilich die Keimfächer sich trennen, wenn in ihnen die Pseudova sich entwickeln. Man sollte aber erwar- ten, dass dann eine äussere Schicht, als nicht zum Ei géhorig, abgestossen würde. Oder geht sie durch Re- sorption verloren? Die Vermehrungsart der Cecidomyiden, wie man sie jetzt kennen gelernt hat, und die der Aphiden, sind einander sehr ähnlich, scheinen aber in einiger Hin- sicht von einem geregelten Generationswechsel ab- zuweichen, denn man kann nicht sagen, dass unge- schlechtliche Vermehrung und geschlechtliche mit ein- ander wechseln. Beide Vermehrungsarten scheinen nicht von innerer Nothwendigkeit an einander gebun- den, sondern durch äussere Verhältnisse bedingt. Prof. Wagner fand, dass vom 6. — 8. Juni (wohl a. St.?) alle Larven der letzten Generation sich verpuppten und in wenigen Tagen als ausgebildete Münnchen und Weib- lichen ausschlüpften. Ich fand nicht nur die ره‎ des Mai untersuchten Larven noch alle voll Brut und gar keine Anstalten zur Verpuppung, sondern noch am 11. (23.) und 12. (24.) Juli in Kasan alle Larven schwanger mit neuen; nicht eine einzige Puppe liess sich bei 2 tügiger Durchsuchung des Stumpfes finden. Man hatte für mich einen Baumstumpf in eine Schaale ' | mit Wasser gestellt und E gehalten. Hatte der Mangel an Somm ne die Ausbildung der reifen Insecten gehindert? Es ist mir nicht sehr iden werden gegen den Bulletin de l'Académie Impériale Ähnlichkeit ist es schwer glaublich, dass das eine In- sect durch Wärme, das andere durch Kälte zur ge- schlechtlichen Entwickelung gelange. Es scheint mir, dass die Beobachtungen, die der Diaconus Kyber vor mehr als 50 Jahren anstellte, eine andere Deu- tnng darbieten. Allgemein bekannt ist, dass es Ky- ber gelang, Blattläuse vier Jahre lang den Sommer und Winter hindurch lebend zu erhalten und dass sie in dieser langen Zeit immer nur lebende Junge zur Welt brachten, Eier und Männchen dabei aber sich nicht zeigten ^). Daraus schon ist ersichtlich, dass nicht nothwendig eine bestimmte Zahl unge- schlechtlicher Generationen auf einander erfolgen muss, bevor es zu einer geschlechtlichen kommt. Die nähern Umstände seiner Beobachtungen werden aber wenig berücksichtigt und diese scheinen mir den ent- schiedenen Beweis zu liefern, dass es nicht die Wärme ist, welche geschlechtslos proliferirend macht, son- dern der starke Zufluss der Säfte in den Pflanzen, also die reichliche Nahrung der Aphiden. Am frühesten tritt im Freien ‘das Eierlegen, und was damit noth- wendig verbunden ist, das Erscheinen der geschlecht- lichen Thiere, bei solchen Arten ein, die auf Pflanzen leben, deren Saftbewegung früh abnimmt. Die Weiden sind bekanntlich im Frühlinge so saftreich, dass die Rinde sich vom Holzkörper ganz abhebt. Sobald die Blätter ihre völlige Ausbildung erhalten haben, ist dieser Zufluss an Säften gering. Bei der Weiden-Blatt- laus tritt das Eierlegen schon am Ende des Juni ein, also grade beim Begiune der grössten Wärme. Man kann selbst im Freien das Erscheinen der Männchen und der Eier aufhalten, wenn man Blattläuse, die auf zeitig absterbenden oder hartwerdenden Pflanzen leben, bevor es zum Erscheinen der Männchen kommt, auf frisch gesäte oder gepflanzte Vegetabilien der- selben Art setzt "TL Ähnliches wurde mehrmals wieder- holt. In warmen und heitern Tagen erfolgten die Ge- burten häufiger als in trüben, Die Stubenwärme im Winter ersetzte auch den Sonnenschein nicht ganz in der Productionskraft der ungeschlechtlichen Blatt- läuse, wahrscheinlich weil eine gl. Wärme die Saftbewegung der Pflanzen weniger be- fördert, als wenn die Blätter durch den obsita REA E TRA CE. TEM TUEUR تلا ون‎ uv He it odia Magazin der o Erster Ra 2tes 19) dé 15 5 a. 0. von oben getroffen werden. Die geschlechtlichen Blatt- läuse scheinen nach Kyber sehr bald nach der Paa- rung abzusterben. Einzelne überwinternde, die er un- ter Steinen oder Blättern erstarrt fand, legten nach der ` Erwärmung lebendige Junge, waren also geschlecht- lose. Sie scheinen, zum Theil wenigstens, solchen Pflan- zen angehört zu haben, die noch MM im Jahre - tiren, z. B. Disteln. Dasselbe Verhältniss nun scheint mir die Ent- wickelung der Cecidomyiden zu beherrschen. Dass - Wagner vom 6. bis 8. Juni rasch die Verpuppung eintreten sah, wird nach meiner Vermuthung von dem Austrockenen des Baumstumpfes abhängen, wo- gegen der Bast des für mich aufbewahrten Stum- pfes reichlichen Zufluss von nührender Feuchtigkeit hatte und die Larvengeburten immer fortgingen. Auf- fallend war mir, dass ich nur wenige Tochterlarven fand, meistens 2 oder 3. Aber schon im Mai hatte ich | eine geringere Zahl gesehen, als in Prüparaten von Wagner. Ob mit der óftern Wiederholung der Ent- wickelung die Zahl der Individuen abnehmen mag, oder die geringe Temperatur, in der beide Stümpfe gehalten waren, dahin wirkte, lasse ich wen unent- schieden. Dass der reichliche Zufluss ernährender Flüssigkeit die Prolification des Keimstocks befördert, die Ab- nahme derselben aber die Entwickelung ausgebildeter Individuen, kann natürlich auf so geringer Basis von Beobachtungen nicht mit Bestimmtheit behauptet werden, doch spreche ich diese Vermuthung aus, um jüngere und fähigere Beobachter zu. mannigfachen Versuchen anzuregen. Es kommt darauf an, ob ein Wohnplatz von Cecidomyiden-Larven,*dem man im- mer reichlichen Zufluss giebt, länger oder vielleicht ununterbrochene Larven entwickelt, wie die Apbiden auf saftreichen Pflanzen, und ein anderer, mehr trok- ken gehalten, früher die fliegenden Insecten hervor- bringt. Es würde uns dadurch ein Blick. in den Bim fluss äusserer Einflüsse auf die G währt, und gar manche entfernt würde sich anreihen. Pflanzen an feuchten und. schat- tigen Orten sprossen mehr und blühen später als In- dividuen derselben Art an trocknern und sonnigeren Stellen. An sich unverständlich würde es auch nicht sein, dass bei Insecten, welche überhaupt in der Ju proliferiren können, reichlicher Zufluss an Nahrung lieg anda: Lä rfahrung des Sciences de Saint diese Prolification und die ungeschlechtliche Entwicke- lung befördert. Die Keimstócke oder Eierstócke — gleich viel wie man sie nennen mag — liegen gebadet in der allgemeinen mit nührender Flüssigkeit gefüll- ten Leibeshóhle. Sind nun solche Organe überhaupt fähig, Keime zu entwickeln, so wird dieses innere Sprossen durch reichlichern Zufluss von Nahrung wahrscheinlich gefórdert, und vielleicht auf Kosten der Entwiekelung des neuen Individuums, das nicht Zeit gewinnt, seine individuelle Entwickelung zu voll- enden. Geht aber bei mangelnder Nahrung die Ent- wickelung der Keime langsamer vor sich, so mag das neue Individuum, oder auch das alte, mehr Zeit ha- ben, seine Entwickelung bis zu der Stufe fortzu- setzen, die seiner vollendeten Form gebührt. Warum aber dann fast immer Individuen von entgegensetzten Geschlechtern sich bilden"), gehört zu dem grossen Geheimniss, welches auch wohl Hr. Thury nicht aufgeschlossen hat, — dem geheimen Gesetz, das in grossen Länderstrecken und langen Zeiträumen auch unter den Menschen das Verhältniss der Geschlechter Constant erhält, so schwankend auch dieses Verhält- niss in den einzelnen Familien ist. - Was aber die Larven der Cecidomyiden ganz be- ‚sonders wichtig und, wie mir scheint, belehrend macht, ist der Umstand, dass sie ganz aussehen nicht nur wie Insektenlarven, sondern speciel wie Maden von 'Zweiflügern, und doch proliferiren, obgleich das Pro- liferiren bei andern Cecidomyiden nicht vorkommen ‘soll. Sie können dadurch den sogenannten Genera- tionswechsel, der meistens noch als eine Abson- derlichkeit in den Entwickelungsweisen der Thier- reihe betrachtet wird, in seine ihm gebührende Stel- lung bringen. Dass auch die Aphiden, welche lebende Junge zur Welt bringen, nicht geschlechtsreif sind, haben uns die Untersuchungen des Hrn. v. Siebold erwiesen, der gezeigt hat, dass die Saamentasche die- sen ا‎ fehlt. Indessen ist ein mehr ausgebil- deter Apparat da, welcher einem Eierstocke von In- secten ähnlich sieht, und in welchem ohne Befruch- tung die Jungen ausgebrütet werden. Es haben zwar eu ERES von — — und Leuk- 20) In klei — —— men. K ban 1 einer seven , die nur Weibchen hervor- Tuus "Diese ACE ier, C3 ‚aber ohne e blieben. kart gezeigt, dass der wahre Eierstock der weibli- chen Aphiden von etwas anderem Bau ist. Immer aber ist jenes Organ höher entwickelt, als in unsern Ceci- domyiden-Larven und mit einem ausführenden Kanale verbunden. Überdies sind die ohne Befruchtung ge- borenen Individuen nicht nur den geschlechtlichen ähnlicher-als gewöhnlich, sondern sie fallen auch nicht so unmittelbar durch ihre Ähnlichkeit mit andern Lar- ven auf. Bei einigen Arten von Aphiden scheint nach C. v. Heyden auch die proliferirende Larve selbst in den geschlechtlichen Zustand übergehen zu kónnen. So bei Lachnus Quercus (Stettiner entom. Zeit., 1857, S. 33). Ob das nicht auch von unsern Larven gilt, müssen erst neue Beobachtungen lehren. Da nun beide Thierformen sich auf doppelte Weise vermehren, sowohl durch befruchtete Eier im ge- schlechtsreifen Zustande, als auch ohne Befruchtung in früherer Jugend, so kann man nicht umhin, in ih- rer Vermehrungsweise auch den sogenannten Gene- rationswechsel wieder zu finden. Dass die geschlechts- lose Production hier in mehreren Generationen nach einander erfolgt, deren Anzahl wahrscheinlich von äussern Verhältnissen abhängt, lassen wir vorläufig unberücksichtigt, und gehen gleich zu der Frage über: Sind nicht alle geschlechtslosen Individuen, welche geschlechtliche erzeugen, ganz einfach als Larven zu betrachten? Die Antwort wird verschieden ausfallen nach dem Begriffe, den wir uns von Larven bilden. Man hat, wenn ein Thier sehr verschiedene Formen in seiner Entwickelung durchläuft, diese Umänderung eine Metamorphose genannt, und bezeichnet dieselbe als eine vollkommene, wenn durch einen Chitinpan- zer die allmählichen Übergänge nur verdeckt: sind, und die Umgestaltungen bei oberflächlicher Unter- suchung plötzlich scheinen. Bekanntlich müssen aber alle höher organisirten Thiergestalten bedeutende Um- gestaltungen im äussern und innern Bau erfahren, bevor sie zu der Form und Organisation mehr aus- geformter Thiere gelangen. Ein bedeutender Unter- schied besteht eigentlich nur duy dass bei einigen Thieren die gen in eine sehr frühe Zeit fallen, und man später in der äussern Form wenig andere Unterschiede hme des Kör- pers sieht, ‚obgleich die geschlechtliche Reifung im Innern in eine wesentliche || Veränderung ist. Man hat nun bei solchen Thieren, 7 Bulletin de l'Académie Impériale deren Metamorphose äusserlich sehr auffallend ist und sich auf einen längern Abschnitt des Lebenslaufs aus- dehnt, die frühern unreifen Zustände, in denen das Thier gewöhnlich auffallend viele Nahrung zu sich nimmt, um Stoff für die spätern Umbildungen zu sam- melon, Larven genannt, weil das Thier, das ohnehin in seinem letzten Zustande viel mehr bemerkt und gekannt wird, in der Jugend sich gleichsam: ver- larvt und verkleidet darstellt. Will man nun das Wort Larve nur für den Jugendzustand eines be- stimmten Individuums gelten lassen, das man später in seiner Entkleidung sehen will, so wird man freilich anstehen, dieses Wort auf die proliferirenden Jugend- zustände der Thiere mit Generationswechsel auszu- dehnen, aber Jugendzustände sind sie doch. Wenn in diesen Jugendzuständen die Organismen sich vermeh- ren kónuen, so ist es gar nicht möglich, dass man die erste aus dem Ei gekrochene Larve bis in ihr Alter als Individuum verfolgen kann. Sie ist die Stamm- mutter oder der Stamm von allen Männern und Wei- bern, die zuletzt aus ihr hervorgehen. Sie ist in allen ihren Nachkommen, aber in keinem allein. So ist es ja auch bei unsern Larven, die doch ganz gewiss Lar- ven zu nennen sind. Soll man eine solche Larve nun nicht Larve nennen, weil man nicht sagen kann, in welchen geflügelten Cecidomyiden sie sich wiederfin- det, nachdem sie ihre Verkleidung abgelegt hat? Un- sere Larven haben überdiess das Unglück, dass sie zu Grunde gehen, bevor ihre Tóchter zur Welt kommen, die alle von ihr nicht nur das Leben, sondern eine Grundlage zu ihrem Leibe erhalten haben. Dieses Verhältniss ist nicht allgemein im Generationswechsel, da die proliferirenden Larven das Selbststündigwerden der Nachkommenschaft nicht selten eine Zeit überle- ben und neue Nachkommen gebären, wie die Blattläuse. Aber angenommen, die Benennung Larven: wäre unpassend für ein Verhältniss, wo der Jugendzustand eines Individuums in diesem selben einzelnen Indivi- duum seine volle Entwickelung nicht erreicht, sondern in einer spütern oder mehrern spätern Generationen, 50 hat man doch jedenfalls Recht, den frühern Zustand einer we Eintwickelang: "uen dngendxusisnd gehen I| sei es durch äussere Sprossen, YME Keime oder durch eiartige, der Be- fruchtung nicht bedürftige Keime, sind also Unreife, sind raides, und. die Zeugungsfähigkeit, die sie haben, nenne ich Paedogenesis, wobei es mir zu gute kommt, dass يتمع‎ sowohl einen Knaben als ein Mädchen bes deutet — überhaupt ein Unreifes. Es springt von selbst in die Augen, dass grade in dieser Paedogenesis, wenn sie sich nicht auf die Erzeugung eines einzelnen In- dividuums zweiter Generation beschrünkt, der Grund liegt, dass man das ursprüngliche Individuum nicht als solehes bis zu seiner Blüthe oder Geschlechtsreife verfolgen kann. Der Generationswechsel also ist der dei der Fähigkeit einer organischen Species, ihre Indivi- duen sowohl in der Jugend durch Paedogenesis, als mm der Geschlechtsreife durch Gynaecogenesis, die zuwei- len durch Parthenogenesis ersetzt wird, zu vermehren. Dass die Productionsfähigkeit in zwei verschiede- nen Alterszuständen das Wesen des Generationswech- sels bildet, hat Steenstrup nicht nur erkannt, son- dern diese Erkenntniss bildet eben den Kern des wun- derbaren Buches, dem er diesen Titel gegeben: hat: Dennoch kämpft er gegen die Anwendung des Begriffs der Metamorphose lebhaft. Er sagt namentlich S. XII. des Vorwortes, in welchem die allgemeinen Resultate nochmals zusammengefasst werden: «Am häufigsten: «hat man sie (nämlich die verschiedenen Formen, die. «eine Thierart in dem Generationswechsel zeigen) als. «Metamorphosen oder Verwandlungen betrachten wol- «len, indem man den wesentlichen Einwand übersah, «dass die Metamorphose nur die an demselben Ines «dividuum stattfindenden Veränderungen umschliessen. «könne; wenn aber aus diesem andere Individuen ent- «stehen, dann liegen diese ausserhalb des Bezirks der. «Metamorphose.» Der Begriff der Metamorphose und: der des Generationswechsels (des Wechsels von Pae- dogenesis und der Fortpflanzung im geschlechtlichen: Zustande) decken sich freilich keinesweges, aber sie schliessen sich auch nicht aus. Wenn in einem orga- nischen Entwickelungsgange die einzelnen Zustände ein sehr verschiedenes äusseres Ansehen haben, sg nennen wir das eine Metamorphose. Wenn aber ein Organismus die Fähigkeit hat, schon in frühen Zustän- u | den sich zu vervielfältigen, so Wis es a undp - einem Befrachteten‘ Keime oder einer Frucht hervor- die Metamorphose sich vollziehe, und. bleibt auch - ganze Nachkommenschaft mit dem Stamme i wir oben bemerkten, dass an dem Tm 4 1 o PU 1 z SE, 3 0 NET ee وان اا اا‎ ee pere ap he c dati eS A الا انا‎ PIER ]1ح‎ 1 1 1 : ou on TOM PS EG EEE een des Sciences de Saint- Pétersbourg. wie. bei einem Baume, so kann neben der Metamor- phose der einzelnen Erzeugten, in so weit eine solche pre: een weng noch eine Metamorphose in der ] g bestehen, und sie ist gewöhn- lich recht auffallend. Das wird am auschaulichsten, wenn wir in dem Citate aus Steenstrup fortfahren: «Daher ist es durchaus unrichtig, Scyphistoma einen «Larvenzustand der Medusa aurita zu nennen, da Sey- «phistoma sich nie zur Medusa aurita entwickelt, son- «dern die Quasimutter eines ganzen Stockes desselben «wird.» Da eine Vermehrung schon sehr früh in Form einer Selbsttheilung eintritt, so ist die nothwendige Folge davon, dass die Stammlarve nicht in ein Indi- viduum, sondern in eine ganze Sippschaft übergeht. Unser Text fährt fort: «Sars und Lovén haben das «Verhältniss in sofern richtiger betrachtet, indem sie «in der: Entwickelung der Medusen und Campanula- «rien metamorphosirende Generationen sehen.» Sehr gut! Aber noch bezeichnender ist es doch zu sagen, dass im Verlaufe einer Metamorphosenreihe eine oder mehrere Generationen sich bilden. «Es ist um so we- «sentlicher, dass man den Unterschied zwischen einer «Wechselgeneration und einer Metamorphose: gleich «auffasst, da eine Metamorphose sehr gut innerhalb «der einzelnen mit einander wechselnden Generationen «stattfindet, so wie es uns z. B. die Entwickelung der «Distomen und Aphiden zeigt. Es giebt keinen Über- «gang von einer Metamorphose zu einem Generations- «wechsel, und eine begonnene Metamorphose kann «nicht über die Generation, nicht über das lebende «oder todte Individuum hinaus zu einem andern Indi- «viduum übergehen.» Gewiss giebt es keinen Über- gang von einer Metamorphose zu einem Generations- wechsel, weil beide Begriffe ganz verschiedenen Ka- tegorien angehören. Wenn man aber sagt, die Meta- morphose kann nicht über das lebende oder todte In- dividuum hinaus, so denkt man sich die Metamorphose nur, wie wir sie von früher her, von Swammerdam an, kannten. Wenn wir aber die Metamorphose als ung in einem organischen Entwickelungs- wer "und. in Erfahrung bringen, dass im Ver- eine neue Genera- d tion auftritt, s ‚so muss wohl die ‚Metamorphose von ei- id zu: andern ‚übergehen, RER, m E wenn sie PS Së PS "SST werden soll. Deswe- | Th gen ist es rathsam „diese Zwischengeneration auch mit ! einem besondern Worte zu bezeichnen. Göthe hat ein sebr berühmt gewordenes Buch über die Meta- morphose der Pflanzen geschrieben, in welchem er nachwies, dass von Knoten zu Knoten die morpho- genetischen Elemente des Pflanzenbaues, Blattkreis und Stengel sich umformen. Seine Anschauungen ha- ben allgemeine Aufnahme gefunden, und Niemand hat dabei verkannt, dass jedes einzelne Internodium bleibt wie es war. Das ist eine Metamorphose in der Ent- wickelung, wobei die frühern Glieder persistiren. Aus- nahmen davon sind in der Pflanzenwelt selten, weil, ungeachtet der Individualitüts- Ansprüche der einzel- nen Internodien, die Wurzel gemeinschaftlich bleibt und alle ernähren muss, so lange das Wachsthum fort- geht. Die Thiere ziehen nicht durch Wurzeln ihre Nahrung aus dem Boden. Eine Larve, welche die neue Generation erzeugt hat, hat ihre Aufgabe er- füllt und kann vergehen — die Entwickelung geht doch fort. Der ebenso kenntniss- als geistreiche Huxley hat einmal die Ansicht aufgestellt, man sollte alle Salpen, welche von einem befruchteten Ei allmählich erzeugt werden, als Ein Individuum betrachten, was eben so auf alle Formen des Generationswechsels Anwen- dung fiinden müsste. Er geht von dem Gedanken aus, dass im Thiere der physiologische Vorgang, der Le- bensprocess, das Wesentliche ist. Das war nach mei- ner Meinung, sit venia verbo! zwar etwas zu geistreich, weil es die leibliche Einheit von der Einheit eines Entwickelungsganges nicht unterscheidet, allein es hebt doch die Einheit und Vollstündigkeit des Ent- wickelungsganges gut hervor, wenn auch auf Kosten unsers Begriffs von einem körperlichen Individuum, die uns nicht erlaubt, ein lebendiges Individuum uns zu denken, das mit einem Theile nach Osten und mit dem andern nach Westen wandert. So wenig wir in einem Mohnkopfe die Mehrheit der Saamenkórner zu verkennen vermógen, obgleich ein einziger Rei- fungsprocess die Anlage zu all diesen Eiern, aus de- nen die Embryonen wurden, gegeben hat, wes 80 we- nig mögen wir alle T wel Kolonien, weil sie aus einander gesprosst: sind, für Ein Individuum ansehen. Was räumlich getrennt ist, sein. Wo im i intritt, mu muss der Eine Ent- kafe امد‎ I» kann hera dai p "Y TES ۲ ad ۳ ۶ 1 Bulletin de l’Académie Impériale 108 licher Individuen erzeugen; das liegt ja im Begriffe der Paedogenesis. Selbst wenn die neuen Generationen körperlich zusammen gehalten werden, hat man sie im Thierreiche immer für besondere Individuen an- gesehen , weil alle ihr eignes Begehrungsvermögen haben. Nur noch ein Wort über die Anwendbarkeit des Begriffes der Metamorphose auf den Generations- wechsel. Prof. Leuckart hat in seiner herrlichen Abhandlung über Zeugung, mit dem, wie mit einem grossen Siegel, das «Wörterbuch der Physiologie» ge- schlossen ist, in dem Abschnitt über Generations- wechsel ungefähr dieselben Anschauungen gehabt, die ich hier entwickele, doch scheint es mir, dass er sie nicht consequent durchgeführt, wenn er Seite 983 sagt: «Sehen wir auf den Entwickelungsgrad und die isationsverhältnisse der Ammen, so ha- «ben wir zweierlei Formen derselben zu unterscheiden, «solche, «die im Wesentlichen den Bau und damit denn «auch die Lebensweise der Geschlechtsthiere theilen, «die also als ausgebildete Individuen zu battich- «ten sind, und solche, ` - «die sich durch den Besitz von iii Or- «ganen und Zuständen als Larven zu — ge- then: » ‘Zu den ersteren werden nun ausser den proliferi- renden Anneliden, die Salpen Doliolum und Gyrodacty- lus gerechnet, zu den letztern die Trematoden, Band- würmer, Quallen u. s. w. Allein der Vollkommenheit der Organisation in P sprossenden Salpen, den sogenannten Ammen, fehlt die geschlechtliche Entwickelung und diese ist doch nicht unbedeutend für eine thierische Organisation. Sollten wir nicht besser thun, die gewohnten Aus- drücke von vollkommener und unvollkommener Meta- morphose, so wenig bestimmt auch ihre Gränzen sind, hier ebenfalls anzuwenden? Die aus dem Ei biioehdi den Salpen und das JDoliolum bringen überdiess ei- nen Anhang mit, den Stolo, der in der ausgespross- ten Generation fehlt. Worum sollte man sie nich Lar- ven nennen, und eine etwas weniger auffallende Me- tamorphose anerkennen, da ohnehin auch ausser der Geschlechtslosigkeit und dem Sprossenstamm noch andere Unterschiede genug da sind? Allerdings hat Q « viš wenigstens Doliolum einen noch frühern Zustand, in- dem es aus dem Eie kommt, und es ist in diesem Zustande den aus dem Ei geschlüpften Larven andrer Tunicaten noch ähnlicher. Allein es ist doch eigent- lich nur eine sehr dicke Hülle, die es abstreift, um in den sprossenden Zustand überzugehen und eine erste Häutung, nach welcher die Form einer Larve sich et- was veründert zeigt, kommt ja auch sonst wohl vor. Allein sie für ausgebildete Individuen anzusehen, kónnte leicht die richtigern Begriffe verwirren. Wir hütten ein ausgebildetes Thier, welches Thiere von anderer Art erzeugt, was wir der Synapta digitata über- lassen wollen, wenn sie es durchführen kann. Wann sind sie eigentlich ausgebildet, wenn ihr Spross noch nackt ist, wenn sich die ersten Thierblüthen daran -| zeigen, oder wenn diese als reif abfallen? Bleiben wir lieber bei der Anerkennung des proliferirenden Jugendzustandes. Also vollkommene und unvollkom- mene oder besser auffallende und weniger auffallende Metamorphose im Verlaufe der Entwickelung, auch da, wo die Jugend die Fühigkeit hat, sich zu vermeh- ren. Dass auch in der Paedogenesis oder dem Genera- tionswechsel so geringe Veränderungen in der Kór- perform vorkommen kónnen, dass man, wie auch sonst geschieht, von einem Mangel an Metamorphose spre- chen kann, kommt vor, scheint -pa sehr selten. Der Gyroiaciyini ist vielleicht das dste Beispiel. Da nach Dr. G. R. Wagener (Reichert’s Arhiv 1860) der Stamm-Embryo eine geschlechtliche Frucht, die in ihm enthaltene Generation oder die Generationen ungeschlechtlich entwickelt scheinen, so muss man diese Fortpflanzungsart wohl zum Generationswech- sel rechnen, allein diese späteren Generationen zeigen neben geringerer innerer Ausbildung so viele Über- pO wë E deeem Foris dass man nach dim vi j hier sei ein Generationswechsel ohne en Dadurch wird es eben recht anschaulich, dass die Begriffe von Metamorphose und dem Wechsel von ungeschlechtlicher und geschlechtlicher Vermehrung gar nicht zusammengehören, sondern beide Verhält- nisse vereint und gesondert vorkommen können. Das wird wahr bleiben, wenn es sich auch künftig erwei- sen sollte, dass bit Gyrodactylus das Sperma auf ir- gend eine noch unbegriffene Weise zur — der spätern Generationen wirken sollte, : — 2 SY IF 109 des Sciences de Saint-Petersbourg. 110 ^ Dass ganz entschiedene Larven proliferiren, lehren | den proliferirenden Aphiden u. s. w. sehr verschie- ja die Cecidomyiden. Benutzen wir den Wink und den, die doch offenbar mit einer nicht befruchteten substituiren wir den Ausdruck von Larven oder, wenn man will, von unreifen Thieren für den. von Ammen, so wird, wie ich glaube, das ganze Verhältniss klarer. Wahre Ammen ernähren ja fremde Brut, wie der Wirth eines eingewanderten Schmarotzers Kostgänger, die nicht seine Nachkommen sind, ernáhren muss. Im Generationswechsel ernährt aber die erste geschlechts- lose Generation nicht allein die zweite, geschlechtli- che, sondern sie erzeugt sie auch aus sich auf unge- schlechtlichem Wege. Steenstrup neigt zwar zu der Annahme, «dass die Ammen den Generationen nie selbst keimbereitend sind, sondern dass sie mit Kei- men in den Organen geboren werden» (۰ Allein diese Ansicht wird wohl jetzt nicht mehr festgehalten wer- ` den konnen, nachdem genaue Beobachtungen nach- gewiesen haben, dass auch im Thierreiche manche un- geschlechtliche Vermehrungsart dem Vermehren der Pflanzen durch äussere Sprossen entschieden ent- spricht, wie in Salpen und im Doliolum, in Sertularien, Campanularien und vielen andern. Aber auch wo die ungeschlechtliche Vermehrung der Thiere aus inne- ren Keimen, Keimstócken oder wahren Eierstöcken hervorgeht, darf man diese Keime wohl nicht als durch die vorhergehende geschlechtliche Zeugung hervor- gebracht annehmen , sondern als in den Larven (Am- men) erzeugt, da, wie die proliferirenden Insecten- larven zeigen, die Zahl der ungeschlechtlich erzeug- ten Generationen von den äussern Verhältnissen ab- hängt. Ein ganz deckendes Gleichniss für die unge- schlechtliche Vermehrung lässt sich in den mensch- lichen Verhältnissen nicht finden, daher war die Be- zeichnung von Ammen, wenn man von menschlichen Verhältnissen ausgehen wollte, wohl das zunächstlie- gende, aber wenn man von wissenschaftlichen Erfah- rungen ausgeht, so ist der Begriff von proliferirenden Larven, der jetzt offen vorliegt, doch wohl der am meisten: deckende. Wollte man diesen Begriff auf menschliche Verhältnisse reduciren, müsste man von Schwangern aber nicht geschwängerten Kindern spre- chen. Mit Ammen vergleichen wir gern mit Steen- strup die brutpflegenden Individuen der Bienen, Wes- چ‎ dtes BR egent sie mir von drohnenbrütigen Bienenkönigin mehr Ähnlichkeit ha- ben, als mit normalen Arbeiterinnen. Ausser den verschiedenen Graden von durchlaufe- ner Metamorphose sind noch gar viele Modificationen im Generationswechsel, da bald ein reines Sprossen aus der Larve zu sehen ist, bald die Nachkommenschaft aus innern, zerstreuten Keimen, aus besondern Orga- nen, ja aus einer Art von Eiern sich ausbildet, und ausserdem die proliferirende Larve entweder, ohne in der Metamorphosenreihe fortzuschreiten, nur-wieder Larven hervorbringt, oder zu der Bildung geschlecht- licher Formen übergeht, wobei wieder die für die Geschlechtsreife bestimmten Individuen entweder die Larvenzustände vorher durchmachen müssen, oder, diese hinter sich lassend, sogleich in die imbre ge- schlechtlichen übergehen. Aber es ist meine Absicht nicht, alle Modificationen des Generationswechsels durchzumustern. Dazu wer- den jüngere Kräfte tauglicher sein und. der Stoff dazu wird sich täglich mehren. Dagegen móchte ich wohl noch auf die weite 2 breitung des Generationswechsels in der organischen Welt einen Blick werfen, um den Göthe’schen Satz: «Die Natur geht ihren Gang, und was uns als Aus- nahme gilt, ist in der Regel», den allerdings schon Steenstrup so schön, — und ahnungsvoll möchte ich sagen, zu einer Zeit, in der man viel weniger Formen vom Generationswechsel kannte, commentirt hat, noch einmal im weitern Sinne durchzuführen, indem ich die ` Pflanzen mit heranziehe. Ich hatte mich in diese Zu- sammenstellung schon zu vertiefen angefangen, in der Überzeugung, Steenstrup habe die Pflanzen ganz bei Seite gelassen. Erst jetzt, nachdem ich die Steen- strup’sche Schrift nochmals durchlese, finde ich, dass er zum Schlusse allerdings auf die Pflanzen hinweist, aber so kurz, dass mir davon, nach dem. ersten Stu- dium dieser Schrift, die so viel Neues. enthielt, gar keine Erinnerung geblieben war. ‚Oder h da mals weniger bestimmt aufgefasst, dass der Genera- tionswechsel in der Verbindung einer. lichen und einer geschleci lichen Ur EEE ist, dränet ne Wie diese V lung lebendig 8 —! aii - Allerdi BEER , bat die 4 istellung der Pflanze Bulletin de l'Académie Impériale mit dem Thiere grade für diese Vergleichung ihre | Thiere anzuwenden. Alle Phanerogamen und auch Schwierigkeiten, da die Abgränzung eines Individuums in beiden Reichen nach verschiedenem Maasse zu be- stimmen ist. Im Thierreiche leiten uns Empfindung und Willen, und doch finden wir zusammengesetzte Thiere, in denen neben den individuellen Willens- und Gefühlsäusserungen auch gemeinschaftliche sich gel- tend machen. In den Pflanzen, deren Leben auf die Selbstbildung beschränkt ist, zeigt sich die Gemein- schaftlichkeit noch allgemeiner. Die Botaniker haben daher die Grünze des Individuums sehr verschieden bestimmt und einige wollen nur die Zellen dafür gelten lassen. Indessen das sind doch wohl nur die Indivi- dualitäten der histogenetischen Elemente. Die Inter- nodien mit ihren Blattkreisen haben schon mehr An- sprüche, für Besonderheiten zu gelten, allein ich móchte sie doch lieber den morphogenetischen Elementen der Thiere, den Wirbeln der Wirbelthiere und Segmenten der Gliederthiere, mit dem dazu gehórigen Antheile von andern organischen Systemen gleichstellen. Mit dem Individuum eines Thieres lässt sich nur der ganze Spross vergleichen, und da die Wurzel für alle Spros- sen eines Stammes gemeinschaftlich ist, muss man an- erkennen, dass das Individuum viel seltener seine volle Abgrünzung erlangt, als in der Thierwelt, und dass nur die niedern Thiere den Pflanzen hierin näher ste- hen, wie in so vielen andern Beziehungen. Die zusam- mengesetzten Thiere kann man Aggregate von Indivi- duen nennen, denn sie bedürfi istens einander nicht, da jedes Individuum sich selbstständig ernähren kann. Die verüstelten Pflanzen móchte ich eine Vereinigung in einander wurzelnder oder in einander gepflanzter Individuen nennen, weil jeder Spross durch den Stamm mit der Wurzel in Verbindung steht. Die Verbindung ist inniger und die Individualität viel weniger ent- wickelt, weil die Pflanze ihrer Natur nach die meiste Nahrung aus dem Boden zieht. Das Thier aber, selbst wenn es an den Boden geheftet ist, nimmt seine Nah- rung aus dem Wasser oder aus den umgebenden Or- ganismen im Boden oder über dem Boden. Das Treiben von Sprossen, d. h. die Entwickelun- gen nach aussen, welche mehr oder weniger die Fähig- keit haben, selbstständig werden zu können, ist so allgemein in der Pflanzenwelt, dass darüber kein Wort zu verlieren isí. Man hat ja den Begriff von Spros- sen von den Pflanzen genommen, um ihn auf die die höhern Kryptogamen haben ausserdem die Fähig- keit, durch geschlechtliche Entwickelung Früchte her- vorzubringen. Es kommt also allen diesen Pflanzen eine doppelte Generationsweise zu. Sehr häufig zwar gehen viele sprossende Generationen den geschlecht- lichen voran. Dann kann man also nicht sagen, dass ein regelmässiger Wechsel stattfände, allein ein regel- mässiger Wechsel ist auch nicht bei allen Thieren, Grade wie wir an den Blattläusen und unsern Cecido- myiden-Larven fanden, dass reichlicher Zufluss von Nahrungsstoff die vorbereitenden, ungeschlechtlichen Zeugungen mehrt, so finden wir, dass Pflanzen auf feuchtem und fruchtbarem Boden mehr Sprossen trei- ben und später zur Blüthe kommen, als Pflanzen der- selben Art auf trockenem Boden. Immer aber ist, so viel ich weiss, die Blume, wenn nicht ein eigener Spross, so doch der Gipfel eines Sprosses, und im- mer ist das Lebensalter, in welchem es zur Frucht- bildung, zur Gründung einer neuen Entwickelungs- reihe kommt, als das reifere, spütere zu betrachten. Zwar giebt es Pflänzchen, welche gleich mit der Aus- bildung der Generationsorgane zu beginnen scheinen, wie die sogenannten Vorkeime der Farren, aber grade diese sind nur Sprossen aus geschlechtslosen Indivi- duen, welche sich ablösen und nach der Ablösung geschlechtlich sich entwickeln, um neue Früchte zu erzeugen. Ähnliches zeigen andere Blatt-Kryptogamen. Hier also ist der Generationswechsel nicht nur ganz offenkundig, sondern da das sprossende Jugendalter, der Wedel der Farren, und der geschlechtliche Zustand, den man zuvürderst allerdings den Vorkeim genannt hat, der aber, mit andern Pflanzen verglichen, die selbstständig gewordene Blume ist, in getrennten In- dividuen bestehen, so hat der Entwickelungsgang in die Augen springende Ähnlichkeit mit dem Generations- wechsel der Thiere. Je mehr Pflanzen und Thiere nach ihrer eigenthümlichen Natur sich von einander trennen, um so mehr gehen ihre Entwickelungsgünge nach der Richtung der ursprünglichen Differenzen zwischen Thier und Pflanze auseinander, bewahren-aber. doch einen bedeutenden Grad ursprünglicher Übereinstim- mung. So liegt es wohl in der Natur der Pflanze, dass der geschlechtlich gewordene Spross sich viel. seltener abtrennt, und namentlich in den hóhern Pflanzen nicht, in deren Bau und Entwickelung. der. vegetabilische 113 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 114 Charakter sich so sehr ausbildet, dass bei der Befruch- tung derPollenschlauch gegen den Eikeim hinanwächst, wührend bei den Thieren die entsprechenden Sperma- tozoiden das Ei umschwürmen und in dasselbe einzu- dringen suchen, einzuschwimmen oder einzukriechen móchte man sagen, um den Unterschied zu bezeichnen. Dem vegetabilischen Charakter gemäss gehen ge- wöhnlich mehrere Sprossungen der Fruchtbildung vor- aus, aber es giebt auch Pflanzen, die nur einen Spross treiben, der aus sich die Blume aussprossen lässt. Von der andern Seite haben wir in den niedern Formen des thierischen Generationswechsels vegetabilisch fest- sitzende, jedoch nicht eingewurzelte sprossende Ju- gendzustánde, welche die Geschlechtsthiere wie Blumen an den Sprossen tragen, die grosse Familie der Cam- panularien, Sertularien, Corynen. Noch andere Fa- milien oder zusammengesetzte Thiere schwimmen zwar frei umher durch gemeinschaftliche Schwimm- apparate, sind aber so zusammengesetzt, dass man ernstlich in Verlegenheit kommt, was man hier Indi- viduum nenen soll. Die grossen Scheiben - Quallen, die man bis in die neueste Zeit als ganz selbststündige und abgeschlossene Thiere betrachtete, sind nichts desto weniger die Producte festsitzender ganz einfa- cher Larven, und aus ihren geschlechtlich entwickel- ten Eiern werden zuvórderst wieder diese Larven, aus denen die Medusen hervorsprossen, selbst noch unentwickelt, und langsam erst die Geschlechtsorgane bildend, aber schon in der künftigen Gestalt. ` In andern Formen des Generationswechsels zeigt das äussere Ansehn viel weniger Ähnlichkeit mit den Pflanzen, dennoch ist der Vorgang des Aussprossens wesentlich derselbe, nur dass nach dem Charakter der Thiere ein ernührender Blutstrom aus dem Mutter- kórper in den Spross übergeht. So in den Salpen, die zu keiner Zeit festsitzen. Ein Individuum ist durch Zeugung entstanden, und aus ihm gehen durch Spros- sung neue Individuen hervor, zuvórderst nur als Theile desselben, die sich ablösen und früher oder spä- ter geschlechtlich sich entwickeln. Es ist, wenn wir bei der Vergleichung mit den Pflanzen bleiben, als ob die geschlechtlichen Sprossen sich ablösten und da- durch selbststindig würden. In dieser ausgesprossten Generation bilden sich Sperma und Eier und die letz- tern entwickeln sich, so viel man weiss, nur wenn er- steres auf sie gewirkt hat, obgleich die Zeit der Reife Tome IX. beider Sexualorgane nicht immer zusammenfällt, und die Befruchtung nur durch andere Individuen be- wirkt wird, wie ja auch bei nicht wenigen Pflanzen beobachtet ist. Durch die vortrefflichen Untersuchun- gen von Krohn (Annal. des sc. naturelles 1846) und Huxley (Phil. Transact. 1851. part 2) ist der Vor- gang dieses Aussprossens so vollständig klar geworden, wie wenig andere Vorgünge der Entwickelung. Aus einem sehr früh sich bildenden Stolo knospen, indem sich dieser zugleich selbst vergróssert, zuerst unfórm- liche, dann immer mehr ausgebildete und organisirte Seitentheile hervor, die durch unmittelbaren Übergang des Blutes der Mutter durch den Stolo ernährt werden, die also ursprünglich als Theile der Mutter betrachtet werden müssen und bald die Anlagen von Sexualorga- nen in sich entwickeln, wie das Blumenreis einer Pflanze. Es sind diese neuen Sprossen , die erst später selbst- ständig werden, also auch mit den Blumen der Pflan- zen zu vergleichen, nur sind die Perigonien anima- lisch organisirt, wie ja auch der Stamm, aus dem sie aussprossten, ein thierischer ist. Die Frucht, die Entwickelung aus dem befruchteten Ei, wird zwar auch durch das Blut der Mutter ernährt, aber nicht durch nnmittelbaren Übergang, sondern, wie es bei an- dern Thieren ist, durch blosses Herantreten — und zwar hier vermittelst eines Mutter- und eines Frucht- kuchens. — Mit Ausnahme dieses letztern Umstandes scheint der Generationswechsel der Cestoideen und der Medusen aus polypenartigen Gebilden wesentlich denselben Vorgang zu haben. Aus einem ungeschlecht- lichen Individuum wachsen geschlechtliche hervor, ver- gleichbar — in Bezug auf den Entwickelungsgang — mit den Blumen der Pflanzen, am ähnlichsten aber mit der Entwickelungsweise der Farren, denn hier treibt der Wedel Knospen (Sporen), die sich ablösen und in günstigen Verhältnissen zu geschlechtsreifen Indivi- duen sich entwickeln, aus deren geschlechtlich « erzeug- ten Früchten wieder Wedel sich entwickeln. Wenn bei der ungeschlechtlichen Vermehrung in der Thierwelt die neuen Individuen aus zerstreuten ` innern Keimkörnern, oder bua ER vorgehen, 7 ist der Vorgang al erdin lichen Sprossen nicht ganz See 9 E er nicht in einer سينا‎ aus ‚der äussern Oberfläche besteht. 'roducte der — zu un- 115 Bulletin de l'Académie Impériale 116 geschlechtlicher Vermebrung. Man hat sich daher er- laubt, sie ein inneres Sprossen zu nennen, und nicht ganz mit Unrecht, wie ich glaube, wenigstens für die untern Formen. Ein durch eine eigene Umhüllung ab- geschlossenes und in einem drüsigen Organe, dem Eier- stocke, ausgebildetes Ei ist allerdings von dem äus- sern Spross schon so verschieden, dass ich nicht gern den Ausdruck von innern Sprossen auf die ohne Be- fruchtung einen Embryo erzeugenden Eier der ge- schlechtslosen Aphiden ausdehne. Wollen wir sie lie- ber Eier nennen, und anerkennen, dass diese Eier Keime enthalten, die, ohne der Einwirkung des Pro- duetes der männlichen Geschlechtsdrüsen zu bedürfen, entwickelungsfähig sind, dass aber bei den höchsten Formen des thierischen Lebens in ähnlichen Eikeimen die Entwickelungsfähigkeit gehemmt ist, bis das männ- liche Sperma auf sie wirkt und sie zur weitern Ent- wickelung befähigt. Es soll damit eine Erklärung kei- nesweges versucht werden, allein es scheint mir, dass die Entwickelungsfähigkeit unbefruchteter Eier, die in der Insectenwelt häufiger vorzukommen scheint, als man ursprünglich glaubte, weniger auffallend wird, wenn wir uns erinnern, dass das in der Geschlechts. drüse gebildete Ei nur eine höhere Form eines innern Keimes ist. Dass wir innern Keimen in dem Reiche der ausgebildeten Pflanzen so wenig begegnen, liegt, wie es scheint, in der Natur der Pflanzen, die ganz eine äusserliche ist, so dass auch alle Theile, welche den Werth von Organen haben, an ihnen äusserlich her- vortreten, wogegen sie in der Thierwelt bei höherer Entwickelung immer mehr nach innen treten. Nur bei den niedersten Cryptogamen, wo diese Entfaltung nach aussen noch nicht ausgebildet ist, sehen wir diese in- nern Keime vorherrschend. Zu einer ausgebildeten Ge- schlechtlichkeit kommt es hier in der Regel gar nicht ”). DiePropagation beruht also bei diesen niedersten Pflan- zen, wie bei den niedersten Thieren, fast nur auf un- geschlechtlicher Vermehrung. Man könnte sie Paedo- genesis ohne Gegensatz zur geschlechtlichen Fortpflan- zung nennen, da diese Organismen überhaupt im Ver- e Mehr auffallend ist es, dass dennoch einige zur Geschlechts- reife kommen, wie die Algen mit solchen Schwürmsporen, die die Function der Spermatozoiden auszuüben scheinen. So auch das Vorkommen von Spermatozoiden in Infusorien nach Balbiani's Beobachtung, die doch wohl nur als seltene Ausnahme zu betrach- ten ist. Eine regelmässige Abstufung fehlt offenbar um so mehr, je unausgebildeter die Organismen sind. hältniss zur vollen Idee einer Pflanze oder eines Thie- res als unausgebildet oder als bleibende Embryonen angesehen werden kónnen. Lassen wir diese geschlechtslosen Pflanzen ganz bei Seite und fassen wir nur die hóhern Cryptogamen und die sämmtlichen Phanerogamen ins Auge, so finden wir bei ihnen ausser der geschlechtlichen Fruchtbil- dung, mit weleher ein neuer Entwickelungprocess beginnt, fast überall die Fähigkeit der ungeschlecht- lichen Vermehrung durch Sprossen der verschieden- sten Art, durch welche der Entwickelungsgang nicht neu begonnen, sondern nur fortgesetzt wird, dabei aber die Individuen gemehrt werden. Sie besitzen also die beiden Vermehrungsweisen, welche den Genera- tionswechsel der Thiere charakterisiren. Vom Gene- rationswechsel der Thiere entdeckt man in den nie- dern Regionen der Thierwelt immer neue Formen, und so kónnen wir wohl sagen, wenn wir das Gesammtge- biet der organischen Welt überschauen: «Was uns als Ausnahme erschien, ist in der Regel», nämlich der Verein der ungeschlechtlichen und ge- schlechtlichen Propagation. = Ausnahme ist es vielmehr, wenn wir die Gesammt- heit der organischen Kórper im Auge behalten, dass die hóhern Thierformen nur vermittelst der durch ge- schlechtlichen Gegensatz erzeugten Früchte sich ver- mehren kónnen, nicht allein die Wirbelthiere, sondern auch bei weitem die meisten der beweglichen. Insec- ten, und der grösste Theil der Mollusken und zwar wieder die hóher ausgebildeten. Aber diese schein- bare Ausnahme, die uns entgegentritt , wenn wir das gesammte Reich der organischen Welt überblicken, ist selbst in der Regel. Sie bildet einen Theil. der grossen Regel: Je höher ein organischer Klin nh det ist, um so bestimmter auch die عون هديو‎ 06 Leibes wird. Deswegen oder nach dieser Rep ist in den nie- dersten Organisationen die Propagation meistens nur eine Fortsetzung des Wachsthums oder der Selbstbil- dung. Das histiologisch und morphologisch wenig de- terminirte Individuum wächst bis es in viele zerfällt, oder es verlängert sich in Sprossen , die ursprünglich mehr oder weniger nur Theile des Stammindividuums sind, diein ihm wurzeln, oder durch Vuci UUICH uM? ` des Sciences de Saint-Pétersbourg. 118 rung wie bei Korallen, durch die Mantelbekleidung wie bei zusammengesetzten Ascidien, an ihn haften, die aber selbstständig werden können, wenn diese Verbindun- gen sich lösen. Je mehr das thierische Leben sich ent- wickelt, um so mehr tritt die Fähigkeit der äussern Sprossen zurück und nur im Innern entwickeln sich Keime, welche nicht selten proliferirend sind, in den scharf ausgebildeten Thierformen, und den mehr le- bendigen möchte ich sagen, aber nur die Möglichkeit sich selbstständig zu entwickeln erlangen, welche Mög- lichkeit durch Einwirkung des männlichen Spermas zur vollen Befähigung kommt. Die Ausnahmen von dieser Anordnung finden sich in der Insectenwelt, wie es scheint, vorherrschend bei den weniger beweglichen. Es kommt weniger auf die Organisationsform als auf den Mangel an thierischer Beweglichkeit an. Die se- dentären Sackträger unter den Lepidopteren, die noch mehr sedentüren Chermes-Arten?) und Lecanien unter den Hemipteren, die meisten Cynips-Arten, wenn nicht alle, unter denHymenopteren. Die proliferirenden Aphi- den und Cecydomyiden-Larven sind nicht viel beweg- licher. Wenn man noch mehr Beispiele von geschlechts- loser Fortpflanzung bei den Insecten auffinden will, wird man, wie ich glaube, sie mehr bei den festsitzen- den und einsamen, als bei den frei beweglichen finden. Selbst die als Ausnahme bei manchen Schmetterlingen beobachtete Parthenogenesis scheint bei den beweg- ‚lichen Tagschmetterlingen nicht beobachtet. -= Sind aber die lebendig gebärenden Aphiden wirk- lich als Larven zu betrachten? Jedenfalls ist ihr Ge- nerationsapparat nicht vollständig, Überhaupt habe ich mit der Bemerkung, dass beim Generationswechsel die Ammen als Larven anzusehen sind, nur meine Über- zeugung aussprechen wollen, dass sie Zustände vor Entwickelung der Geschlechtlichkeit, also unreife Zustünde sind. Von der einen Seite lüsst sich nicht ‚ein allgemein gültiges Gesetz aufstellen, bis wie weit der Larvenzustand bei den Thieren zu rechnen ist. "Wenigstens ist noch nicht ein. allgemein gültiges Maass یی هب‎ da zuweilen ein مس‎ Larvenzustand äh el Ce urg adis von Chermenir oceineus as rie idi Ft. e einen pure. aber keine Spur Wé د‎ erkennen liessen z. Forstinsekten IIT, S. 200). "Wenn die Hoden nicht später Gi m sind, was ich nicht weiss, SO weite man sie lieber natür- liche Castraten oder männliche Neutra nennen. Jedenfalls Eschen “sie die ese Re €—— so die "ed ببس سس ب‎ sind. ` ۱ auf einander zu folgen scheint, den wir sehr bald etwas näher ins Auge zu fassen haben werden. Von der andern Seite scheint aber die Paedogenesis oder.die Fähigkeit, vor der Pubertät Nachkommen zu erzeugen, in den verschiedenen Organismen in sehr verschiedenen Altersstufen eintreten zu können. Die lebendig gebärenden Aphiden erzeugen ihre Brut in einem Apparat, der jedenfalls Generationsapparat zu nennen ist, ja einige scheinen aus dem Zustande des Lebendiggebärens unmittelbar oder ohne auffallende Veränderung in den Zustand des Legens von befruch- teten Eiern überzugehen, nachdem sie vorher sich dazu die Männchen durch Prolification erzeugt haben, wie Hrn. v. Heyden’s Beobachtungen an Lachnus Quer- cus wahrscheinlich machen ?*), Auch in andern Aphiden ist die Verschiedenheit der proliferirenden und der eierlegenden Individuen nicht gross, sie stehen also höher als gewöhnlich Larven und man kann sie, unter Berücksichtigung des nicht fehlenden Geschlechtsapparates, wohl für Nymphen ansehen. Nehmen wir dagegen die sogenannte Strobila, den Stammkörper einer ganzen Gesellschaft von Me- dusen, die sich allmählich von ihm ablösen! Wie wenig ausgebildet ist dieser Stammkörper, ein. roher abge- stutzter, auf das engere Ende gestellter Kegel aus Sarcode, der sich furcht und von dessen breiterem Ende sich ein Individuum nach dem andern absondert, um noch eine lange Reihe von Entwickelungssta- dien bis zur Pubertät durchzumachen. Die Strobila ist also eine sehr frühe Stufe im Entwickelungs- gange der Medusen. Ich habe vor sehr langer Zeit in den «Beiträgen zur Kenntniss der niedern Thiere», als der Generationswechsel noch wenig berücksichtigt war, verwandte Gebilde «lebendige (oder selbstständig ge- wordene) Keimstócke oder Keimschläuche» genannt. Diese Benennung hat keinen Anklang gefunden. Ich gestehe, dass dieser Ausdruck mir für solche Formen doch bezeichnender scheint als der von. Ammen, von denen ein Stück nach dem andern als selbststündiges Thier wegschwimmt. Auch Ammen, welche nur Kin- der in die Welt setzen und sie dann für sich selbst sorgen lassen, wie die Aphiden, wollen mir nicht ge- fallen, noch weniger Ammen, die so ‚schwanger sind, dass sie vor der Geburt sterben müssen und ihre Kinder 24) Stettiner Entom. pin 1887. am 5 119 Bulletin de l'Académie Impériale sie auffressen. Lieber móchte ich sie doch hóher or- ganisirte Keimstócke nennen, indessen am richtigsten ist doch wohl der Vergleich mit schwangerer Jugend. Aber die Prolification oder die ungeschlechtliche Vermehrungsfühigkeit scheint in noch viel frühern Zu- ständen vorzukommen, indem die Dotterkugel sich theilt und die einzelnen Theilmassen als Individuen sich weiter bilden, ein Vorgang, den van Beneden développement par oeuf multiple ou par vitellus divisé nennt”). Das ist ja aber die gewöhnliche Dotterthei- theilung, oder vulgo Dotterfurchung, kann man ein- werfen. Allerdings, nur dass die Theile sich selbst- ständig entwickeln, während gewöhnlich die Dotter- theile (vulgo Furchungskugeln) nach fortgesetzter Thei- lung zu einem Ganzen vereinigt bleiben, aus welchem der Embryo sich ausbildet. In der Familie der Tubu- larien und den nächsten Verwandten also theilt sich zuweilen ein Individuum, gleich nachdem es Indivi- duum geworden ist, durch einen Vorgang, der sehr allgemein vorkommt, aber gewöhnlich gar nicht diese | Bedeutung hat. Das mag uns als Beispiel dienen, wie verschieden uns dieselben Vorgänge der Natur nach unsrer Auffassung erscheinen kónnen, da diese mei- stens mehr den Erfolg im Auge hat, als den Vorgang selbst, dessen innere Bestimmungen (bestimmende Nothwendigkeiten) wir nicht auffassen kónnen. Der Dottertheilungsprocess im Ei der hóhern Thiere, wel- ches auch sein Resultat sein mag, ist ja überhaupt von der endogenen Zellenbildung nicht wesentlich ver- schieden. Allein die Abgrünzung des Individuums ist eine sehr unbestimmte in den Polypenstöcken; es ist mir daher lieb, auf einen Vorgang mich berufen zu kónnen, wo scharf begrünzte Individuen in andern Individuen, die auf sehr niedriger Stufe der Ausbil- dung stehen bleiben, sich bilden. Der wahre Keim ei- ner Conifere etwickelt sich in der Endzelle eines Or- ganismus, den die Botaniker Vorkeim genannt haben. Was ist dieser aus scharf gebildeten vegetabilischen Zellen gebildete Kórper anders als selbst ein Pflan- zenkeim, der aber aus einem Theil seines Selbst einen neuen Keim entwickelt und dabei zu Grunde geht. Dieser sogenannte Vorkeim (Pro-embyo), ganz ver- schieden von dem, was man, einige Zeit wenigstens, Vorkeim bei Farren genannt hat, ist die offenbare 25) van Beneden in Müller’s Archiv. 1844. S. 123 und in den Recherches sur l'embryogénie des Tubulaires p. 38. Folge der Befruchtung — ist also, was den Ursprung anlangt, wohl der eigentliche Keim, der erst einen zweiten erzeugt, der nur durch den Erfolg Ansprüche auf die Benennung Keim machen kann. Es ist kein durch Befruchtung, sondern von einer Amme oder Larve erzeugtes Individuum. Ja ich gestehe, dass ich schon die vorhergehende Bildung, die abgeschlossene grosse Zelle, in welcher der Vorkeim entsteht, die R. Brown so unbestimmt Corpusculum genannt hat, als den Anfang der neuen Entwickelung und als Folge der Einwirkung des Pollenschlauches zu betrachten geneigt bin, und also als einen ursprünglichen Vorkeim. Aber ich verzichte ganz darauf, diese Ansicht geltend zu machen, da die Corpuscula früher entstehen, als der Pollenschlauch in den Embryosack vorgedrungen ist. Die Naturforscher wollen scharfe Gränzen und sie mógen darin Recht haben, die Natur aber variirt un- endlich und wird darin auch ihr Recht haben. Der Pollenschlauch der Coniferen dringt nicht stetig vor gegen den Eikern, sondern in zwei grossen Absätzen, zuerst gegen den Mund des Eikerns und dann nach langer Pause weiter. Während des Vordringens bil- den sich die Corpuscula. Dass ich ihre Entstehung der Nähe des noch abstehenden Pollenschlauches zu- schreibe, kónnte man wohl als Rückfall in die Lehre von der Aura seminalis perhorresciren. Allein von einer Aura ist hier nicht die Rede. Der befruchtende Pollenschlauch verliert, wenn er den Embryosack er- reicht, wirkliche Substanz, die wohl so hinüberwan- dert, wie überhaupt im Zellgewebe der Pflanze aufge- löste Substanz wandert. Dass die Auswanderung vom Inhalte des Pollenschlauches bei Pinus schon beginnt, bevor dieser weiter vorgedrungen ist, vermuthe ich nur daraus, dass nach Hofm eister) schon vor dem zweiten اه‎ Veränderungen in den benachbarten Zellen vor sich gehen, und der zweifa- ` chen Periode des Vorrückens des Pollenschlauches auch wohl eine zweifache Wirkung entsprechen wird. Indessen das ist nur Hypothese von meiner Seite. Dass aber der Keim ein Product des Vorkeims ist, scheint mir offenbar. — Auch im Thierreiche können wir so frühzeitige Prolification finden, unter den Bryo- zoen und zusammengesetzten Asciden. Aus dem noch 26) Hofmeister Vergl. ۳ اد‎ der هه‎ Entfal- faltung und nee der — MP ut tage — der Coni- feren. S. 132 u 45 BS xdg ار وی‎ 121 | des Sciences de Saint- Pétersbourg. 122 ganz") unausgebildeten, mit Flimmerepithelium besetz- ten Embryo, der vielleicht noch richtiger ein Ei zu nennen ist, sprossen noch innerhalb der Eihaut zwei Individuen hervor, die sich bald mit dem einen Ende vordrängen, aber mit dem hintern Ende angeheftet bleiben. Bei Didemnum gelatinosum (Ascid. comp.) geht nach Gegenbauer aus einem Ei ein Embryo hervor, der fast sogleich in zwei unter einander verbundene In- dividuen aussprosst, von denen das eine früher zur Ausbildung kommt als das andere, und dieses also auch als aus dem ersten ausgesprosst betrachtet wer- den kann”). In den meisten proliferirenden Organismen bilden sich neue Individuen erst in viel spätern Entwicke- lungszuständen. Die Prolification oder die Fähigkeit, ungeschlecht- lich sich zu vermehren, tritt also bei den verschiede- nen organischen Körpern in sehr verschiedenen Stufen des Entwickelungsganges ein, vom ersten Moment des- selben an bis zur völligen Geschlechtsreife. Wenn in letzterem Zustande ein ausgebildetes Weibchen Eier legt, die, ohne befruchtet worden zu sein, sich ent- wickeln, mag es nun an Männchen überhaupt fehlen, oder mögen diese in den vorliegenden Fällen nicht zur Hand gewesen sein, so nennen wir mit v. Siebold diese Vermehrungsart Parthenogenesis. Indem wir vor- schlagen, die ungeschlechtliche Vermehrung in frühern Entwickelungszuständen Paedogenesis zu nennen, soll damit überhaupt der geschlechtlich unreife Zustand, nicht eine bestimmte Stufe des Lebensganges sngaden- tet werden. ‚Der و یت روخ‎ tiet sich aber über- haupt, mag Prolification eintreten oder nicht, in n.den verschiedenen Thierfamili g Die vier auffallend verschiedenen Zustände, ie | in der Entwickelung der Schmetterlinge und der Zwei- flügler besonders scharf geschieden sehen, und mit | den Worten: Embryonen (im Ei), Larven, Nymphen und ausgebildete Insecten bezeichnen, sehen wir schon In den andern Ordnungen von Insecten mehr. ver- 'Wischt und noch viel mehr, wenn wir in andere Clas- Sen hinübergreifen. Den ungeschwänzten Batrachiern 'Schreibt.man ganz allgemein auch eine sichtbare Me- tamorphose zu, weil in der That die geschwänzten 27) van Beneden وتو ما‎ | 28) Reich. u. Dub. Archiv 1862, S. 165. und mit äussern Kiemen versehenen Larven von dem ausgebildeten Thiere sehr verschieden sind. Allein vergeblich sucht man bei ihnen nach einem Lebens- abschnitte, welcher, dem der Puppen oder Nymphen der Insecten ähnlich, nur der innern Umbildung ge- widmet wäre. Eben so wenig finden wir in dem Ent- wickelungsgange vieler niedern Thiere, auch wenn ihre Formumänderungen, also ihre Metamorphose sehr auf- fallend ist, die Abstufungen grade so wieder, wie wir sie aus der vollständigen Metamorphose der Insecten kennen. Die Umänderungen scheinen zum Theil mehr- fach und selten ist ein Zustand wahrnehmbar, der mit dem der Puppe vergleichbar wäre. In der Metamor- phose der Distomen, wenigstens einiger, ist ein sol- cher bemerklich, aber ihm gehen mehrfache andere Zustände voraus, mit oder ohne Prolification. Man hat die wechselnden Zustände in der Entwickelung der Eingeweidewürmer Scolex, Strobila und Proglottis ge- nannt, und in der ersten Stufe wieder Protoscolices und Deuteroscolices unterschieden. Aber abgesehen davon, dass Scalex einen Wurm bedeutet, und insbesondere einen Spulwurm, das Wort Strobila, das Sars einge- führt hat, wohl Strobilus heissen sollte (?), um Fich- tenzapfen oder Kreisel zu bedeuten, passen beide Be- nennuugen nur auf ganz bestimmte Formen von Zwi- schenzuständen, für die sie ursprünglich erfunden sind, Scolex für die Larve von Cestoideen und ähnlichen Würmern, Strobilus aber für die zapfenfórmigen, sich theilenden Larven einiger Medusen. Schon aus diesem Grunde scheinen die gen der Zwischenstufen, wie wir sie von den Insecten her gewohnt sind, für eine allgemeine Anwendung viel passender, da sie nicht eine bestimmte äussere Form bezeichnen, sondern nur eine Verhüllung der künftigen Gestalt andeuten. . Es scheint mir aber auch, dass die Stufen in der- jenigen Umwandlungsreihe, die wir bei den Insecten die vollkommene Metamorphose nennen, nicht nur-das Wesen derselben, sondern die Abgrünzungen am be- stimmtesten offenbaren. Es leuchtet ein, dass die vier | Stufen, wie wir sie aus der Entwiekelung der Schmet- terlinge kennen, eigentlich. nur auf zwei Lebenszu- stände zurückführen. ۱ Zuvürüerst: springt in ' ‚die Au- gen, dass der P g des Eizustandes ist. Die Puppenhülle verbirgt die grossen innern Umbildungen aus den aufgespeicherten Stoffen | für die Ausbildung des en Zustandes , wie die Ei- Bulletin de l’Académie Impériale schaale die Ausbildung des Embryos aus den Stoffen, welche das Ei aus dem mütterlichen Leibe als Mitgift erhalten hat. Der Embryo ist die noch in der Bildung begriffene, deshalb noch nicht freigewordene Raupe, und die Puppe ist der noch in der Bildung begriffene, deshalb noch nicht freigewordene Schmetterling. Die Raupe aber ist der geschlechtslose, fast allein auf Nah- rungsaufnahme und Wachsthum gerichtete Zustand, der Material für die spätere Umwandlung und für Ein- hüllung dieses Umwandlungszustandes sammelt. Die- ser nimmt zuerst keinen neuen Nahrungsstoff von aus- sen auf, beginnt aber gleich mit Umwandlung des Ge- schlechtsapparates, der bis dahin nur angelegt war, ohne weiter vorzuschreiten. Die audern Umwandlun- gen, eingeleitet im Momente des Einspinnens und der Verpuppung, sind ja alle darauf berechnet, eine neue Form des Daseins für das geschlechtlich ausgebildete Thier einzuleiten, das sich frei in die Luft erhebt, mit leichterem und besser gegliedertem Leibe und getra- gen von einem doppelten Flügelpaar, nur wenig und sehr zarte Nahrung aufnimmt, aber mit voller Ge- schlechtsreife aus der Puppenhülse schlüpft, und von dem früher aufgespeicherten Material so viel für die nachkommende Generation aufgespart hat, als noth- wendig ist, um in den Weibern Keimstoffe in kleinen Portionen in den Eiern zu sammeln, und in den Männern ‚Stoff, um diese Keime zur Entwickelung zu bringen. Diese scharfe Sonderung in einen unreifen geschlechts- losen Zustand, der vorherrschend der Ernährung und dem Wachsthum, mit einem Worte, der Selbstbildung gewidmet ist, und in einen geschlechtlichen, der Fort- pflanzung eegen, von denen jeder eine gegen die Aus Einleitungsperiode hat, scheint mir besondere geeignet, als Maassstab zur Ver- gleichung mit andern Entwickelungsgängen zu dienen, und da das Wort Larve keine Form andeutet, so scheint dieses anwendbar, so weit überhaupt die Natur diese ‚Zustände geschieden hat, mag nun das Geschlechts- thier aus der Larve proliferiren, wie bei Salpen, oder ‚nicht. Es verschieben sich zwar die Zustände gar sehr, wenn wir die verschiedenen Thierklassen mit einander ‚vergleichen. Bei den Wirbelthieren sehen wir alle -Hauptveründerungen der Kórperform auf eine sehr frühe Entwickelungsperiode concentrirt, und bei den "warmblütigen sämmtlich auf das Leben innerhalb der Eihäute. Wo wir aber an den Wirbellosen bedeutende Formänderungen erkennen, scheint mir der Begriff von Larven immer anwendbar. Nicht selten sieht man vor der beginnenden Geschlechtsreife, móge eine Verpup- pung kenntlich sein oder nicht, mehrfache Larvenzu- stände ohne oder mit Prolification, wie bei den Tre- matoden, die besonders wohl zu der Benennung von Ammen geführt haben. Man könnte sie Larven des ersten und zweiten Grades, oder Vorlarven und wahre Larven nennen, denn Larven in entomologischem Sinne sind sie doch ohne Zweifel, da sie ganz geschlechtslos sind. In der Insectenwelt selbst wird das Larvenleben zuweilen auch in zwei auf einander folgende Zustände getheilt, selbst da, wo man, nach dem cevöhalishen Sprachgebrauche, eine voll} Met ph erkennt. Nach den höchst NAS Untersuchun- gen von v. Siebold, Newport und de Filippi?) haben nicht nur die grengen: sondern ein Ptero- malin (Ichneumonid, also Hymenopter), auch Meloe, also eine Käferfamilie, einen doppelten Larvenzustand. Alle drei sind im zweiten Larvenzustande schmaroz- zend, in Hymenopteren oder deren Futter. Es ist also auch nicht so auffallend, dass Distomen, die einen wah- ren Puppenzustand haben, vorher einen zweifachen Larvenzustand durchzumachen haben, wobei der erste sich wiederholen kann. Der Entwickelungsgang der Distomen weicht nur darin ab, dass ihre ersten Lar- ven proliferirend sind, und dass sie in diesem Larven- zustande sich nur wenig bewegen, im zweiten aber ungemein beweglich sind. Letzteres ist bei den ge- nannten Insecten umgekehrt. Allein diese haben im ersten Zustande die Thiere aufzusuchen, an welchen ‚sie sich weiter bilden können, die Di | So wie hier die für die Erhaltung der Thiere noth- vendi eyes und sonstigen Vorrichtungen Loi LVL EL ioni Zustandes sich vertheilen, und augenscheinlich von Nahrungsquellen und dem پیب یکی‎ abhän- gig sind, so finden wir unter den Wirbelthieren die | ungeschwünzten Batrachier, welche im ersten Lebens- alter ihre Nahrung im Wasser suchen, um diese Zeit von ganz anderer Gestalt als spüter. Man hat sie in diesem Zustande deshalb Larven genannt. Aber die وروت مین‎ reicht viel weiter; موی‎ Larven d 4 29) v. Siebold, Wiegm. fee e 1842. Newport, Tanim Transactions, Vol. XX et XXI: de Filippi, Annales scient. nat:, gme série, Vol. XV. © des Sciences de Saint- Pétersbourg. cc: wären also, der Lebensgeschichte nach, nur Larven des ersten Grades, Vorlarven, in der Gestaltung ab- hängig von dem Aufenthaltsorte. Im Grunde ist aber der ganze Entwickelungsgang in den Wirbelthieren von dem der Insecten so verschieden, dass eine tref- fende Vergleichung gar nicht durchzuführen ist. In den Wirbelthieren sind alle wesentlichen Formverän- derungen, wie gesagt, auf eine sehr frühe Periode des Lebens im Ei verlegt, besonders aber bei den höhern, den warmblütigen, die lange im Ei sich umbilden. Die Batrachier und Fische verlassen früher die Eihülle, und weil die ersteren ihre Form wesentlich verändern, schreibt man ihnen eine Metamorphose zu, den Fischen aber nicht, weil sie die letzte Embryonalform wenig verändern. Die Hauptverschiedenheit, die eine Ver- gleichung ungenügend macht, liegt aber im Entwicke- lungsgange selbst. In den Insecten tritt das Geschlechts- leben am Schlusse des individuellen Wachsthums auf und die Sorge für die Nachkommenschaft tritt auf, wenn die Sorge für die Selbstbildung beendet ist. Manche Insecten nehmen im geschlechtlichen Zustande gar keine Nahrung mehr auf und wenigstens bei denen mit mehr ausgebildeter Metamorphose ist mit Eintritt der Geschlechtlichkeit das Wachsthum geschlossen. In den Wirbelthieren bildet die Geschlechtlichkeit nicht den Schluss des Lebens; das Wachsthum geht in den niedern unter ihnen lange noch fort und das Nahrungs- bedürfniss in allen. Bei den Fischen und den beschupp- ten Amphibien nimmt die Grösse des geschlechtlich reifen Individuums in der Regel noch bedeutend zu. Der Süsswasserstint (Osm. Eperlanus) laicht nach mei- nen Beobachtungen schon im zweiten Jahre, ist dann aber noch klein und wächst später noch so viel, dass er völlig ausgewachsen wohl 30 mal so schwer ist, als zur Zeit der ersten Fortpflanzung. Weniger wach- sen nach Eintritt der Pubertät durchschnittlich die Säugethiere und noch weniger die Vögel, die über- haupt, wie in der Fähigkeit des Fliegens, in gar man- cher Hinsicht die Verhältnisse der höhern Insecten wiederholen. Bei allen Wirbelthieren aber ist die letzte Lebensperiode weniger ausschliesslich der geschlecht- ectetuer الود‎ gewidmet, als bei so vielen In- secten. Überall geht das Bedürfniss der Ernährung und Selbsterhaltung fort und der Trieb der Fortpflan- Zung tritt, mit Ausnahme des Menschen, nur perio- disch ein, hervorgerufen durch die Periodicität in der Natur und äussere Verhältnisse, Dass er im Menschen nicht bedeutend abhängig ist von einer einzelnen Jah- reszeit — hat offenbar sehr wesentlich zur hóhern Ent- wickelung der Menschheit beigetragen, die nur auf dem Familienleben beruht. Dass im Familienleben die Mutterliebe eine anhaltende Sorge der Erziehung der Kinder— wenn auch nur der physischen, widmen muss, wobei sie ihre Sprache dem Kinde übertrügt, macht uns noch anschaulicher, dass die Propagationsverhält- nisse des Menschen seine Eutwickelungsfähigkeit ein- leiten. Ohne die lange Abhüngigkeit als Kind würde der Mann sich schwer dem Willen eines andern fügen, und ohne diese Fügsamkeit ist doch eine gesellschaft- liche Ausbildung nicht móglich. Wie ganz anders würde es sein, wenn die Menschen durch Sprossen, äussere oder innere — sich vermehrten! Das sind teleologische Ansichten, die nicht in eine naturhistorische Betrachtung passen, werden Viele hierbei ausrufen. Ich weiss es wohl, dass manche Na- turforscher jedes Auffassen der Ziele verdammen. Grade deshalb habe ich jene an sich unbedeutende und etwas bei Seite liegende ?) Äusserung nicht unterdrücken wollen, weil in mir das Bedürfniss sich regt, in die- ser Mittheilung, die vielleicht die letzte ist, die man von mir erhült, die Überzeugung auszusprechen, dass diese Furcht vor Zwecken, oder besser Zielen — diese Teleophobie, wie man sie nennen kónnte, mir eben so sehr aus einer Begriffsverwirrung hervorzugehen scheint, wie die Ansicht jenes Schulmeisters, der die Weisheit Gottes darin erkannte, dass er die grossen Flüsse immer dahin geleitet habe, wo die grossen Städte liegen. Da kein einzelner organischer Körper und noch weniger eine Welt bestehen kann, wenn die wirkenden Nothwendigkeiten nicht zielstrebig würen und die Ziele nicht mit Nothwendigkeit verfolgt würden so scheint es mir, dass der Naturforscher überall dreierlei Fragen sich zu beantworten habe, wie? wodurch? und wohin? oder wozu? Auf das visf olor was? antwortet er durch die reine Beobachtung. Auf das wodurch? mit Unter- suchung der wirkenden Bedingungen. Er findet dabei Nothwendigkeiten, die er Naturgesetze nennt, wenn er sie bis auf die letzten erkennbaren Formen zurück- führen kann, ischen, b À WWE. mre 1111 ۸ aiit UVA Vie , besonder 3 HERF FE g: F a mr som IE | | bei Seite als sie erständlich هم ی‎ tene cursum die Paodugenesis völlig E ES S fe we d Bulletin de l'Académie Impériale , 128 der thierischen Welt Nöthigungen des Willens, die er Triebe nennt. Aber die Folgen oder Wirkungen die- ser Nothwendigkeiten können doch selbst wieder Fol- gen haben. So ist es ja offenbar im organischen Le- ben und zwar in mehreren Gradationen. Wenn alle diese Wirkungen nicht zielstrebend wären, so könnte der Verlauf des organischen Lebens nicht fortgehen. Die Frage wozu? oder wofür? ist auf die Erkenntniss der Zielstrebigkeit gerichtet. Sie scheint mir zum vol- len Verständniss nicht weniger wichtig als die andern. Sie ist nur in Misscredit gekommen, weil man in frü- hern Jahrhunderten, in denen man einer gesetzlosen Allmacht huldigen zu müssen glaubte, auf die unbe- stimmte Frage warum? sogleich mit Angabe der Ziele antwortete und diese Ziele nicht durch Nothwendig- keit, sondern wie menschliche Zwecke durch Klugheit erreicht sich vorstellte. Die Untersuchung der Entwickelungsgeschichte der Thiere ist grade derjenige Zweig der Naturforschung, der uns die Ziele am meisten vorhält, denn ein orga- nischer Körper soll werden, und da bisher so wenig von den wirkenden Nothwendigkeiten sich offenbart hat, so minutiös auch die Vorgänge selbst erforscht sind, so ist es um so dringender, die Ziele ins Auge zu fas- sen, wie Prof. Leuckart in dem Artikel Zeugung mit so viel Erfolg gethan hat. Dass diese Vorgänge zielstrebig sind, lehrt der Erfolg; dass die Folgen von Nothwendigkeiten bedingt sind, müssen wir annehmen; aber zu glauben, dass wir deswegen auf die Ziele nicht zu achten hätten, wäre eben sowohl ein wissenschaft- gel, dass der Mensch die stärksten Glutäen habe, um religiöse Dinge nachdenkt. Man muss nur die Ant- wort auf das wozu? nicht für eine Antwort auf das | wodurch? halten, und muss die Ziele nicht durch Klug- heit erreicht sich denken, sondern durch Nothwendig- | keiten und Nöthigungen. Zu erfassen, wie in zielstre- bigen Nothwendigkeiten und nothwendig verfolgten Zielen das Naturleben besteht, scheint mir die wahre Aufgabe der Naturforschung. Was weiter führt, — dem Gemüthe an. Ich habe mich in sise een verirrt und es will nicht mehr zusagen, eine einzelne Bemer- kung ausführlich zu erörtern, die ich doch nieht ganz unterdrücken möchte. Zu den Zweifeln, welche man | hat. Aber der Spross zei lange der Wagnerschen Entdeckung entgegengesetzt hat, gehört wohl auch das Bedenken, eine Entwicke-- lungsweise für eine Cecidomyide anzuerkennen, die von andern Dipteren und namentlich auch wohl von an- dern Cecidomyiden so sehr abweichend scheint. Wir präsumiren, dass verwandte Thiere auch einen sehr ähnlichen Entwickelungsgang durchmachen müssen, Haben wir in dieser Annahme Recht oder Unrecht? Mir scheint, wir haben in der Annahme selbst Recht, in der Anwendung kommen wir aber in Gefahr Unrecht zu haben. Wir haben doch schon eine Menge Abwei- chungen von dem Verlaufe, der Regel zu sein scheint, kennen gelernt. Einige Echinodermen gehen eine Me- tamorphose durch und haben im ersten Zustande eine völlig abweichende Gestalt, andere nieht. Die Aphi- den proliferiren und zwar auf sehr verschiedene Weise nach den Gattungen und Arten, die Cieaden aber nicht. Einige Schmetterlinge bedürfen der Befruchtung nicht, kónnen sie nicht haben und pflanzen sich doch fort, andere kónnen zuweilen ohne Befruchtung Nachkom- men haben, obgleich diese in der Regel erfordert wird u.s. w. Mir scheint daraus hervorzugehen, dass alle diese Verschiedenheiten nicht so gross sind als sie scheinen, und dass sie nur auf die Einleitung der or- | ganischen Entwickelung sich beziehen, diese aber dann nach bestimmten Typen mit geringen Variationen vor sich geht. So ist ja das Ei unsrer Cecidomyiden, wenn die Entwiekelung des Embryos beginnt, dem Ei an- derer Dipteren sehr ähnlich, oder wenigstens das erste Rudiment des Embryos selbst, wie auch die Ausbil- lieher Aberglaube, wie die Ansicht des ehrlichen Spi- | dung der ungeschlechtlich erzeugten Aphiden der von verwandten Insecten ähnlich ist, und ich zweifle nicht, auf einem weichen Polster zu sitzen, wenn er über | dass man kein Insect finden wird, dessen Leib vom Rücken aus den Dotter umwüchst; nur die ersten Ein- leitungen sind verschieden oder scheinen uns verschie- den, weil wir die Einwirkung des Sperma, wodurch es ien Entwickelungsgang erweckt, nicht näher beur- theilen kónnen. So ist auch der Unterschied in der Entwickelung der Echinodermen so gross nicht als er scheint. Eine Asterias sprosst aus einer kee herê vor, die gar keine Ähnli M uru ds 3:5 3 3 "m pus, und der Larvenkörper, der dem Spross als Wur- zel dient, wird bald unscheinbar. In einzelnen For- men von Strahlthiere wird diese Vorbildung nicht be- merkt. Denselben Unterschied sehen wir aber auch des Sciences de Saint- Pétersbourg. unter den Wirbelthieren. Im Vogel vergróssert sich zuerst die Keimhaut, aus ihrer Mitte sprosst erst der Embryo hervor und dieser nimmt den Darm in sich auf, der grösstentheils ausserhalb lag. Beim Frosche entwickelt sich der Embryo nach demselben Typus, aber da der Vorrath von Dotter gering ist, hat er sehr.bald die Länge des Eies und ragt schon an bei- den Enden vor, wenn der Schluss des Rückens beginnt; die sich verdickenden Seiteu umschliessen einfach das ganze Ei mit dem Darme. Man könnte dies Blasto- derma des Vogels eben so gut einen Larvenzustand nennen, denn dass die Larve des Echinus wie ein halb- aufgeschlagener Parapluie aussieht, kann bei so weit abstehenden Thieren kein Einwurf sein gegen die Be- merkung, dass auch die Wirbelthiere, obgleich in übereinstimmender Reihe embryonaler Entwickelun- gen fortschreitend, doch im ersten Anfange sehr ver- schieden scheinen. Das Blastoderma liegt schlaff auf dem Dotter. In den Echinodermen wird es durch feste Stäbchen offen gehalten, weil dieser ausgeschlüpfte Embryo sich selbstständig im Wasser bewegt und Nah- rung aufsucht, die das Blastoderma an seiner untern Fläche bei sich hat. — Unter den Säugethieren selbst, welche Verschiedenheit in der Form der Eier! Es ist aber offenbar, dass diese von der Gestalt des Uterus abhängt. So scheint es mir, dass auch in den andern Classen die Abweichungen, die wir mit verschiedenen Ausdrücken belegen, mehr in den Einleitungen liegen. Finden wir dennoch in spätern Zuständen Verschie- denheiten, so werden wir nicht umhin kónnen, sie mehr in den äussern Verhältnissen, dem Aufenthaltsorte u. 8. Ww. zu suchen, als im typischen Bau der Thiere. In- sectenlarven, die im Wasser sich nähren, müssen Kie- men haber, wenn sie nicht leicht an die Oberfläche kommen können. Sind sie dazu befähigt, so können sie durch auslaufende Athemróhren den Luftwechsel besorgen. Sind diese Bemerkungen gegründet, so be- stätigen sie auch wohl, dass das Sperma, wenigstens bei den Insecten, nur eine Anregung giebt, die zu- weilen entbehrlich ist. Wenn es mehr wäre als ein Reiz- oder Stärkungsmittel, müsste es ersetzt werden, wenn na dasselbe Rich sein soll. A. i Hi E er Sr Tome IX. Schluss Der Nachweis, dass eine Dipterenlarve von gewöhn- licher Form proliferirend ist und dass ihre Nachkom- menschaft sich in Organen bildet, welchen die Benen- nung von Eierstöcken kaum versagt werden kann, oder die wenigstens im Verlaufe der Entwickelung aus ein- fachen Keimstöcken zu Eierstöcken sich entwickeln, schien mir so entschieden das Verhältniss von Parthe- nogenesis und dem Generationswechse] im eigentlichen Sinne, ich meine, wo die Vermehrungsweise reg. Imäs- sig wechselt, aufzuklären, dass ich der Versuchung nicht widerstehen konnte, die verschiedenen Formen der Propagation für mich wenigstens und mein Bedürfniss bei mir zu ordnen. Ich bitte das darüber bier Niederge- schriebene als ein Selbstgespräch zu betrachten, das vielleicht einige jüngere Forscher auffordert, für sich und ihr Bedürfniss eine ähnliche Zusammenstellung zu versuchen. Es treten dabei wenigstens die Aufgaben, welche noch näher zu verfolgen sind, schärfer hervor. So ist es, wie es mir scheint, dringend zu wünschen, dass der Einfluss äusserer Umstände auf die Wiederho- lung der Prolification sowohl bei den Aphiden als den Cecidomyiden näher durch directe Versuche erörtert werde. Hier hat man die Mittel zu Versuchen ziem- lich in seiner Gewalt. Vielleicht führen diese auch näher zu dem Verständniss, warum in manchen Thier- formen offenbar verwandte Arten einen, für unsere Auf- fassung wenigstens, verschiedenen Entwickelungsgang zu gehen scheinen, warum z. B. eine Oceania nach Krohn (Müller’s Archiv 1855) direct aus dem Zu- stande einer schwimmenden Larve in den der ausge bildeten Meduse übergeht, andere Gattungen aber, die wir für verwandte halten müssen, sich festsetzen, sich theilen und auch aussprossen. Aber der Fragen sind noch so viele und die bestimmte Lösung einer derselben kann nicht umhin, auf die andern Licht zu werfen. Wir wissen ja nicht einmal, ob die geschlecht- lichen Cecydomyiden neu erzeugt werden müssen oder aus den sonst proliferirenden Larven sich ‚ausbilden. Indem ich versuchte, für mich die mir bekannten | Facta zu ordnen, konnte ich nicht umhin, die Jugend- formen im Generationswechsel unter die Larven zu subsumiren, da wir jetzt proliferirende Larven vor uns haben. Ich habe nicht geglaubt, damit Neues zu sagen, da es mir nicht unbekannt war, dass Leuckart 9 2 & 1 Bulletin de l’Académie Impériale (Zeitschr. f. w. Zoologie, III. $. 182 u. 183) und van Beneden (variis locis) ™) sich dahin erklärt hatten. Aber es scheint wenigstens, dass Prof. Leuckart spä- ter (im Artikel Zeugung und in dem Werke über Einge- weidewürmer) an dem Rechte dieser Reduction auf eine allgemeinere Benennung zweifelt. Ist das in Folge der über diese Frage erschienenen, nicht ganz freund- lichen Streitschriften geschehen? Aber es ist doch of- fenbar, dass der hohe Werth von Steenstrups genia- ler Schrift, die, wie ein Ferment, eine Masse von ver- wandten Vorgängen theils verständlich gemacht, theils neu beobachten gelehrt hat, dadurch unmöglich ver- lieren kann, wenn man die dort verzeichneten Jugend- zustände Larven nennt. Dass diese Larven proliferi- ren, hat sie dennoch zuerst gezeigt. Wenige Schriften können sich einer so zahlreichen Nachkommenschaft rühmen. Unsere Larven reihen sich an die dort und später erzählten Beobachtungen an und sind doch ohne allen Zweifel Larven zu nennen, mögen sie nun auch Mütter oder Ammen werden. Dagegen muss ich es besonders bemerken, dass ich die ausführliche und reichhaltige Abhandlung von Quatrefages (Les mé- tamorphoses et la généagenèse) erst kennen gelernt habe, nachdem dieser Aufsatz fast ganz gedruckt war. Sie ist in der Revue des deux mondes in den Jahren 1855 und 1856 erschienen, zu einer Zeit, die ich in Astra- chan zubrachte. Auch wenn ich hier gewesen wáre, hätte ich sie in jener Zeitschrift wohl nicht kennen gelernt und sie scheint nicht selbstständig in den Buch- handel gekommen zu sein, wenigstens finde ich sie in Engelmanns und Carus Bibliotheca zoologica nicht als selbststándige Schrift aufgeführt. Ich muss das nothwendig bemerken, weil ieh es sonst vermieden hätte, umständlich noch einmal auf die Anwendung des Wortes Larven zurückzukommen, denn dieselbe Tendenz ist vollständig bei Quatrefages, der eben so die Propagation vor der Geschlechtsreife von der geschlechtlichen unterscheidet. Und hier will ich nur, c^ Behr bestimmt res práeis im enn de l'Acad. de jan ration alternante est . dans le double mode de SE par sexes et par agamie» und vorher p. 10: La génération alternante est un phéno- mène qu'il faut chercher à faire rentrer dans la loi commune de la reproduction et non pas laisser comme une exception dans la science. Série: Das Wunder muss verschwinden — aber das Zurückführen der ungeschlechtlichen und geschlechtlichen Zustände auf die für de ickelungsgeschichte der Bandwürmer RT Namen licht zusagen. um nieht noch einmal in diese Erórterung zu verfal- len, bemerken, dass der Begriff von Larven, wie er Raupen und Maden in sich schliesst, auch Scolices, Redien, Sporocysten, Cercarien, Bipinnarien, Bröcliies larien, Tornarien, Pluteen, Strobilen, Scyphostomen u. s. w. umschliessen kann, da er nichts weiter als die von der ausgebildeten Form abweichende Jugend- form andeutet. Jede besondere Benennuug bleibt dann noch für die besondere Form. Auch könnte man die proliferirenden von den gewöhnlichen als Larvenstöcke (Strobilae u. s. w.) und Larvenstämme (die Medusen erzeugenden Hydroiden) von den gege Larven un- terscheiden. Soll ich versuchen, den Inhalt dieser و‎ in kurzem Ausdruck übersichtlich EEN 80 würde ich sagen: Die organischen Körper haben die Fähigkeit, sich selbst nach einer ihnen innewohnenden Norm auszu- bilden, wenn sie den dazu nothwendigen Stoff aufneh- men können. Sie haben aber auch die Fähigkeit, neue Individuen derselben Art zu erzeugen oder sich fort- zupflanzen, wie man sagt, im Grunde die Art durch neue Individuen fortzusetzen und zu mehren. Die Selbstbildung schreitet immer von ganz ein- fachen Formen und elementaren Theilen durch all- mähliche Umbildung zu mehr modifieirten Formen und Bestandtheilen fort, und zwar werden diese Umbil- dungen nach einem bestimmten Rhythmus (einer Rei- henfolge) durchlaufen, um zu dem jeder Art gehö- rigen Typus zu gelangen. Man bezeichnet die Reihen- folge dieser Umünderungen wissenschaftlich mit dem Ausdrucke Entwickelung, | dm gemeinen Leben auch mit dem A an vorzüglich die Vergrösserung: dés Körpers i im i Auge e hat. Die Ver- grösserung hört aber in jedem einzelnen Lebensgange früher oder später auf; obgleich trieb fortwirkt, führt die Umänderung doch endlich zur Auflösung. — Die Fähigkeit der Fortpflanzung schafft dagegen neue Individuen derselben Art. Ob auch diese Fähigkeit der Erhaltung der Art in sich selbst begränzt ist, wissen wir noch nicht. Eine Menge Or: Lévis DZ | ganismen ikben früher bestanden, die jetzt nicht mehr bestehen, ob sie aber durch äussere Verhältnisse oder durch innere Nothwendigkeit aufgehört haben, bleibt für die meisten zweifelhaft. Sind die Jugendzustände der in der Entwickelung وس des Sciences de Saint- Petersbourg. 134 begriffenen Individuen in der äussern Gestaltung sehr verschieden von den spätern, so pflegt man sie mit besondern Namen zu belegen. Der Ausdruck Larven, mit dem man die aus dem Ei gekrochenen RM bis zu ihrer geschlechtlichen Umbildung zu belegen pflegt, und der keine bestimmte Gestalt, sondern nur die Verhüllung der künftigen andeutet, scheint die allgemeinste Anwendung für alle solche Entwickelungs- günge zu verdienen, wo der vorgeschlechtliche Zustand in seiner Gestaltung von dem geschlechtlichen merk- lich verschieden ist. Man pflegt daher in dem Ent- wickelungsgange der warmblütigen Wirbelthiere kei- nen Larvenzustand anzuerkennen, weil alle bedeuten- den Formänderungen in das Embryonenleben und zwar |- in eine frühe Zeit desselben fallen. Die Fähigkeit der Fortpflanzung zeigt sich in zweier- lei Formen. Entweder müssen zweierlei Stoffe auf ein- ander wirken, von denen der eine, der weibliche, durch ein eigenes drüsenartiges Organ in eigenen Zellen (meist mit einer innern wasserhellen Zelle in jeder) abgesetzt wird, der andere, der männliche, auch in Drüsen abge- setzt, bewegliche Theile enthält, und in flüssiger Form, entweder durch ursprüngliche Flüssigkeit oder durch spátere Beimischung derselben auf jene weibliche Zelle (das Ei) gebracht werden muss, um sie zur Entwicke- lung zu befähigen. Diese Entwickelung beginnt dann den Rhythmus der Selbstbildung immer ganz von vorn. Man nennt diese Art der Fortpflanzung die geschlecht- liche, obgleich die geschlechtlich differenten Drüsen bei vielen Thieren in demselben Individuum sich fin- den, die man Hermaphroditen nennt. In allen Wirbel- thieren kommt nur diese geschlechtliche Fortpflanzung vor und alle haben geschlechtlich verschiedene Indi- viduen, mit Ausnahme sehr weniger Fische. ` ` Eine zweite Art der Fortpflanzung ist die unge- schlechtliche. Sie ist überhaupt bei den Pflanzen und den niedersten Thieren sehr häufig. Bei den nieder- me Formen scheint die geschle ortp 8 nur seltene Ausnahme und bei den viret ganz zu fehlen. Dennoch pflanzen auch diese sich fort. Ihre 0 geschiel ch Theilung oder Ausspros- E "welche ‚die: verschiedensten Formen annehmen. Kann. Beide sind nur Fortsetzungen der Selbstbildung und die Sprossen sind daher, wenigstens im Anfange, und nicht selten auch bleibend, Theile des Stammorga- | nismus, obgleich einige später موی(‎ fortleben | können. Das Keimkorn, die Spore, von dem Pilze aus- geworfen, ist als ein entwickelungsfühiger Spross zu betrachten, der, ohne g verschiedene Stoffe nur. durch die Selbstbildung des Pilzes erzeugt, ur- sprünglich auch.ein Theil desselben war, aber wenn er entwickelungsfühig geworden ist, ausgestossen wird, Die Spore unterscheidet sich aber darin vom wahren Spross, dass sie den ganzen Rhythmus der Entwicke- lung immer. von vorn anfängt, wogegen der Spross nicht von vorn anfüngt, sondern den Zustand des müt- terlichen Stammes fortsetzt, und, wenn er selbststän- dig wird, erst spüter die ersten Dildungen (z. D. die Wurzel bei den Pflanzen) nachholt. Die ungeschlechtliche Vermehrung kommt aber bei sehr vielen Organismen zugleich mit der geschlecht- lichen vor, namentlich bei weitem bei den meisten Pflan- zen, mit Ausnahme der niedersten, und bei vielen Thie- ren, mit Ausnahme der hóchsten und mancher der niedersten, Man kann diese Verbindung zweier Arten von Vermehrung nach O w en Metagenesis oder mit van Beneden Digenesis nennen, Den Ausdruck Genera- tionswechsel, (generatio alternans) sollte man nur da anwenden, wo diese Generationsformen mit Nothwen- digkeit mit einander wechseln. Es würden dann die Zweifel, ob die Aphiden einem. Generationswechsel unterworfen sind, wegfallen, wobei es zu wünschen bleibt, dass man durch Experimente zu erfahren suchte, ob die ungeschlechtliche Vermehrung ihrem Entwicke- lungsgange überhaupt nothwendig ist. Die geschlechtliche Vermehrung, die man vorzüg- lich auch Zeugung zu nennen pflegt, kann nie in den Anfang der individuellen Entwickelung fallen, da vor- her die Geschlechtsapparate gebildet und ihre Secrete 2 ١ | | abgesondert sein müssen.. Wir nennen den Zustand der entwickelten Geschlechtlichkeit den Zustand. der Reife, weil wesentliche Umgestaltungen später nicht mehr vorkommen, obgleich das individuelle Wachs- thum in manchen Organismen noch fortgeht; in vielen hört aber auch dieses auf, Den Zustand vor der Ge- schlechtlichkeit nennen wir überhaupt Unreife. Die geschlechtlich erzeugte Frucht muss immer den Rhyth- mus des diesem Organismus. ام يدوم‎ Entwicke- lungsganges von vorn anfangen. Die ungeschlechtliche Vermehrung Lun auftreten im Zustande der Reife eines weiblichen Individuums, und heisst dann Parthenogenesis. Wir schlagen vor, 9# 135 Bulletin de l'Académie Impériale die Fortflanzung im unreifen Zustande Paedogenesis zu nennen. Sie kann in sehr verschiedenen Perioden des Entwickelungsganges auftreten, und zeigt sich un- ter sehr verschiedenen Formen, fängt auch entweder den Entwickelungsgang jedesmal ganz von vorn an, oder sie setzt ihn fort. Theilung, Sprossung und Keime kommen hier eben so gut vor, wie bei solchen Organis- men, denen eine geschlechtliche Zeugung fehlt, oder sehr seltene Ausnahme ist. Theilung und Sprossung setzen den Entwickelungsgang fort und sind nicht sel- ten mit einander verbunden, wie bei den Anneliden, wo die Theilung durch ein Sprossen aus der Mitte des Mutterkórpers nach beiden Seiten eingeleitet scheint. Wenn da$ Sprossen ohne Theilung oder mit sehr spà- ter Theilung eintritt, entsteht ein zusammengesetzter Körper, was unter den Pflanzen sehr häufig, unter den Thieren seltener ist, und hier die verschiedensten Formen annehmen kann und verschiedene Namen, Bandwurm, Strobila u.s. w. erhalten hat. Da derSpross den Entwickelungsgang nur fortsetzt und nicht ganz von vorn anfángt, so entwickelt sein Product sehr bald die Geschlechtlichkeit, wenn er überhaupt dazu bestimmt ist, obgleich eine Zeit der Knospenbildung vorangeht. Zuweilen muss aber bei Thieren erst eine neue Sprossung eintreten, um den geschlechtlichen Zu- stand hervorzubringen, wie neulich Keferstein am Doliolum erwiesen hat, und bei Pflanzen sehr oft. Die Keime der Thiere scheinen sehr verschiedener. Art, und es ist zu bedauern, dass man ihr erstes Wer- | den selten genau kennt. Die Keime in den Sporocysten | und Redien scheinen den Entwickelungsgang fortzu- setzen, da sie, ausgewachsen, eine höhere Entwicke- | lungsstufe darstellen, als die Redien und Sporocysten selbst. Hóher entwickelte und in besondern Organen erzeugte Keime, die man Pseudova genannt hat, fan- gen den Entwickelungsgang von vorn an, und es scheint wenigstens bei Aphiden und Cecidomyiden von äus- sern Einflüssen abzuhängen, ob die Producte dieser . Pseudova zur geschlechtlichen PEER kommen oder nicht. In reifen Geschlechtsapparaten erzeugte Eier fan- gen immer den Entwickelungsgang von vorn an, wenn sie überhaupt sich entwickeln. Dass sie zuweilen auch ohne Befruchtung entwickelungsfähig sind, scheint an- zudeuten, dass die Befruchtung nur die schlummernde سويد‎ Energie hebt und zu neuer Selbstbildung befähigt, da bis dahin das Ei, durch den Entwicke- lungsgang der Mutter erzeugt, nur ein Theil ihres Organismus war. — Da ausser den Sprossen und Kei- men auch die wahren Eier Producte der Selbstbildung eines Organismus sind, so wird man nicht anstehen können, alle Propagation in der allgemeinsten Bedeu- tung als eine Fortsetzung des Selbstbildungsprocesses über die Schranke des Individuums hinaus anzusehen, obgleich bei den höchsten organischen Individualitä- ten ein neues Individuum nur werden kann, wenn der im Ei vorbereitete Keim durch das Sperma befähigt wird, einen neuen Selbstbildungsprocess zu beginnen. Erklärung der Kupfertafel, die zu Ganin’s Darstellung (S. 74 f.) gehórt. | Die drei ersten Segmente der Larve von der untern Seite; b. der vermeintliche Bohrapparat. Hinterer Theil der jungen Larve; o. er a. die hin- tere seitliche Abtheilung des Fettkör örper 3. Ovarium einer jungen Larve, die so Kéi aus der Mutter ausgeschlüpft ist. Ovarium aus einer jungen Larve, die noch nicht aus der Mutter ausgeschlüpft ist, aber sich frei in dem Sacke be- wegte, in welchen die Mone sich verwandelt hatte. Ovarium aus einer Larve von 1 Mm. Lànge und 0,17 Mm. Breite; a. das Band (Befestigungshedét); b. Mutterzelle. . Ovarium aus einer Larve von 1,33 Mm. Länge und 0,22 Mm. Breite. Ë Mitis an dem man die Spuren der künftigen Eichen er- nnt. Fig. 1. p » x S Wa LM cow RUE dia » a ل‎ mit 7 jungen Eichen, » 9. Ovarium mit 15 jungen E:ch . Ovarium, in welchem auf 4 randständigen Eichen des untern eM Endes vom Eierstock eine Umhüllung (tunica) sich x سم‎ e à Tui eines Eierstocks, aus welchem fast die halbe Zahl der . Eichen sich abgelöst hat; in des Eichen hat schon das Auf- treten des Dotters begonnen; di e Substanz, welche die Ei- chen im Eierstocke unter مب‎ verband, ist aus völlig amorphem Zustande in einen hellkórnigen übergegangen. . 18. Die Eichen, welche aus dem vorbezeichneten Eierstock sich gelöst hatten, haben eine zieml:ch dicke Schicht einer dpa lallus Substanz mitgenommen. in welchem ein grosser Theil der Eichen sich schon mit einem Háutchen umkleidet findet. An dem äus- pe Substanz 3 in en x مم‎ N x mn Ha sersten hat schon der Absatz einer dunkelk an einem Pole begonnen; noch ist kein Eichen herausgefal- e (ausgelóst) aus dem Eierstock; die كد‎ Ty Substanz 3 سم‎ e ‚Eichen, in welchem die Bildung des Dotters be- gann, als es schon frei n in der Leibeshóhle der Mutter lag. . Eichen, - pros: zur Hälfte mit Dotter angefüllt ist . Eichen m %, mit Dotter angefüllt ist; die Zahl der helleu Zeilen 1 sich vermindert; sie sind nur am hellen Pole des Eichens kenntlich; ihr "Uuaog ist Fes ge- worden. . Eichen, das fast ganz mit Dottersubstanz angefüllt ist; von den ursprünglichen sind nur noch 6 kenntlich. vou Ó Fei -1 a 3 T CO ES ve و‎ mo yt "OR. 8 137 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 138 Fig.19. Ein Eichen, das seine schliessliche Entwickelung erhalten hat; der Dotter füllt es ganz aus und seine Umhülluug zeigt sich nur in Einer scharfen Contour. Ohne befruchtet zu sein, hat es die Fühigkeit, sich weiter zu entwickeln. Alle Abbildungen sind 280 mal vergróssert, mit Ausnahme von Fig. 2, in welcher die Vergrósserung 240fach ist. Gan Die Bereicherungen des asiatischen Museums im J. 1864, von B. Dorn. (Lu le 24 août 1865.) . Ausführliche Nachricht über das asiatische Museum bis zum J. 1845 findet man in dem unten genannten Werke). Über die ihm seit dem genannten Jahre bis 1863 zugekommenen Bereicherungen, so wie über sei- nen ganzen Bestand gewährt der in den Zongen Mm- meparopckoit Akagewmim Hayks, Th. V abgedruckte Be- richt die gehórigen Andeutungen ?). Ich füge über die Erwerbungen wührend des J. 1864 Folgendes hinzu. .1) Vor allen erwühne ich die grosse Sammlung von chinesischen, mandschuischen, mongolischen, tibetischen und Sanskrit- Holzdrucken und Hand- schriften, welche das asiatische Departement des Mi- . nisteriums der auswürtigen Angelegenheiten der Aka- demie als Geschenk überlassen hat. Sie übertrifft an Bändezahl und Mannichfaltigkeit sogar die drei dem Museum in den Jahren 1833, 1835 u. 1838 einver- leibten Sammlungen von Ladyschensk y und dem Ba- ron Schilling‘). Die Sammlung war zum Theil schon durch den i. J. 1843 u. 1844 gedruckten Catalog °) bekannt, aber in der Folge noch bedeutend vermehrt und vervollständigt worden. Der ganze Bestand betrug beim Empfang 2836 Bände nebst 50 Packeten oder Bänden mit chinesischen Zeitungen aus den J. 1827 — 1831, also eigentlich 2886 Bänden, nebst 6 Rollen mit As Hinsichtlich der Sprachen stellte sich die Sammlung (nach den Verzeichnissen) so heraus: I. Chinesische ...... 2163 Bände. IL Mandschuische. 313 . » III. Tibetische ........ 249. —» IV. Mongolische ..... 95. » V. Sanskrit ....... pine Mgr VI. Kalmückische ... $. n 2886 Bünde. a E‏ سا 1) Das Asiatische Museum der Kaiserl Akademie der Wissen- schaften. Von B. Dorn. St, Petersb. 1846. ١١ 2) Wieder abgedruckt in: Oyepk» Heropin Myseess Hunep. Axazexin Haerz C. II. 1865. ..8) 8. «Das Asiatische Museum», S. 608 folgd. 4) Karazors KENTAN, PyKonucaup M Fan HÀ Kuralickoms, Ich will hier nicht unerwähnt lassen, dass laut ei- nes Beschlusses der histor.-philol. Classe vom 9. Febr. d. J. Hr. Skatschkov, in d. J. 1859—1863 russischer Consul zu Tarabagatai im westl. China, ein gelehr- ter Kenner der chinesischen Sprache, es übernommen (hat, die gesammte chinesische Sammlung — die alte und neue — in eine zu verschmelzen und einen wis- senschaftlichen, zum Druck bestimmten Catalog zu verfertigen. Es ist kein Zweifel, dass diese Arbeit den Werth der Sammlung in vollem Lichte erscheinen lassen und den Sinologen. und andern Freunden der Wissenschaft hóchst willkommen sein wird. An japanischen Schriften gingen sechs Werke in zehn Heften als ein Geschenk des Hrn. Maximo- wicz ein. Nach dem Ausspruch des Hrn. Skatschkov, welcher diese Schriften näher zu bestimmen die Ge- fälligkeit gehabt hat, sind sie sämmtlich werthvolle; s. den Anhang. 2) Auch die Sammlung von Druckwerken aus Per- sien und Ägypten hat sich auf eine erfreuliche Weise vermehrt. Zwar waren von ersteren vorläufig nur drei- zehn eingegangen, aber die zuvorkommende Bereitwil- ligkeit des diesseitigen Gesandten am Hofe zu Tehe- ran, Hrn. v. Giers, liess erwarten, dass das Museum bald, so wie es sein sollte, sämmtliche in Persien ge- druckte oder lithographirte Werke besitzen werde A Dagegen sind aus dem Nachlasse J omard’s in Paris 111 meistens arabische, in Ägypten gedruckte Werke, welche das Museum auch noch nicht besass, erstanden worden. 3) Die Abtheilung der muhammedanischen Hand- schriften ist um acht vermehrt worden. Ein Theil ist ein Geschenk des moskauischen Kaufmannes ۰ Aleksejev, aus der ehemaligen Bibliothek des Grafen Tolstoi. Ein seltenes ge Werk hat ı unser Col- Mamrpuxypekows, Momroxsckows, THOCTCKOMD u CAHCKPHTCKOND —R Bp Buóaiorexb Asisrckaro /Iemaprawemra. C. II. 1843. 8. — Die Titel im Original: Karaxors u. s. ۰ 1844. 5) Diese Hoffnung ist zur Zeit schon zu füllung gegangen. Andere 64 dergleichen ۲ der Monate Mai und Juni d. J. dem Museum aus |zugékommen, so wie 77 in Constan — berausgegebene arabi- sche, persische und türkische Werke, deren g dle Consi in der ge zu besorgen die Güte nn hat, In etwas mehr als einem Jahre Mies — wen -— — Ägypten und Constantinopel eed ode + : en, welche über 300 ei Werke grösseren oder eineren Um- oui in sich schliessen, da in. einem Bande oft mehrere Schriften enthalten sind. Bulletin de l’Académie Impériale 140 lege Hr. Weljaminov-Sernov dem Museum ver- ehrt). 4) Das asiatische Museum besass früher nur eine syrische Handschrift und ein Bruchstück aus dem samaritanischen Deuteronomium "1. Fraehn hatte dieselben in die dritte Abtheilung?) des Museums ver- wiesen, weil sie in der That zu unbedeutend waren, um eine besondere Rubrik zu bilden. Im Anfange des Jahres aber erhielt das Museum in der schon erwähnten Dar- bringung des Hrn. Aleksejev vier hebräische, auf Pergament geschriebene Handschriften, drei Gebet- bücher und das Buch Esther. Wir betrachten diesen Erwerb als den Anfang auch einer Sammlung von se- mitischen Handschriften. 5) An diese Erwerbung schliesst sich unmittelbar eine andere an, welche zur Zeit noch hinsichtlich ihres vollen Werthes und ihrer hohen Wichtigkeit in verschie- denen Hinsichten unbestimmt geblieben ist. Schon frühere Reisende hatten von alten jüdischen Grabstei- nen in der Krim gesprochen. Jüdische, namentlich karaitische Gemeinden hatten seit langer Zeit an ver- schiedenen Orten der Krim gewohnt. Der Anfang ih- rer Einwanderung ist nicht bekannt, denn die Behaup- tung der Karaiten selbst, dass sie lange vor der christlichen Zeitrechnung Statt gefunden habe, ist bis jetzt wenigstens nicht überzeugend nachgewiesen ). Da wandte der ehemalige karaitische Religionslehrer (Chasan) in der Krim, Hr. Abr. Firkowitsch, den dasigen jüdischen Handschriften und Alterthümern und darunter auch den Grabsteinen seine besondere Aufmerksamkeit zu. Er nahm treue Abdrücke von den ihm zugänglichen Grabinschriften. Das ungemein hohe Alter welches er mehreren derselben, in Folge der darauf befindlichen Aeren zusprach, wurde von aus- ländischen Gelehrten nicht angenommen und auch die Echtheit der Steine in Zweifel gezogen. Hr. Fir- kowitsch schickte nun auf seiner Resê in den Orient 6 S. Bullet. T. VII, S. 351: Notice û sur un manuserit persan du Raouzet-et-tahirin 7) Das Asiatische Museum, S.77. 110. 8) S. das Museum, S. 114. 9) So z. B. nimmt der Karaite Salomon Beym in seiner Schrift: Erinnerung an Tschufut - Kale, Odessa 1862 (Hamars o Yyoyrs- Kaze, S. 22), an, dass die Vorfahren der Karaiten noch vor der Re- ligions - - Spaltung in verschiedene Secten (s. S. 20) mehr als.500 Jahre vor Chr. in die Krim übergesiedelt seien. Unter den Karai- ten habe sich die Überlieferung erhalten, dass sie zu einer Zeit in die taurische Halbinsel gekommen seien, als noch der erste Tem- pel stand u. s. w. neun dieser Grabsteine hierher nach St. Petersburg und stellte sie zur Verfügung des Hrn. Ministers des Kaiserlichen Hofes, welcher sie der Akademie anbot. Diese nahm sie natürlich mit besonderem Danke an. Nach der Erklärung des Hrn. Firkowitsch und vor- läufig Hrn. Neubauer's") stammen acht derselben aus den Jahren 30, 89, 180, 305, 625, 670, 678 und 719 n. Chr. Der neunte ist aus neuerer Zeit. Die Zulässigkeit dieser Jahre so wie andere Eigen- thümlichkeiten der Inschriften ist nun, soviel mir be- kannt ist, wiederum von mehreren Gelehrten für un- móglich oder wenigstens hóchst unwahrscheinlich ge- halten worden. In der That kommen mehrere Um- stánde zusammen, welche ganz besondere Bedenken erregen müssen. Sollten aber durch fortgesetzte Un- tersuchungen ') jene Inschriften sich wirklich so alt erweisen als sie von den genannten Hebraisten ange- nommen werden, so würden die Steine, deren Echt- heit kaum einem Zweifel unterliegen kann, in ge- schichtlicher, palaeographischer und sprachlicher Hin- sicht von hóchster Bedeutung sein. Auf jeden Fall sind sie eine werthvolle Erwerbung des Museums. ` 6) Die von Hrn. Kästner abgenommene Keilin- schrift aus Armavir ist eine schöne Zugabe zu den andern Inschriften des Museums, zumal da sie aus einem Lande herstammt, welches deii russischen E ter unterworfen ist ^). ; 7) Das Münzkabinet hat zwar nur einen kleinen Zuwachs erhalten, aber doch darunter ein unicum, um so werthvoller, als diese einzige Münze einer einst in den Kaukasus-Landen mächtigen Dynastie angehört. Es ist eine Münze des Schirwanschahes Minutschehr I., von welchem wir bisher kein Münzdenkmal aufzu- weisen hatten "). Sie ist ein Geschenk des Generals v. Bartholomaei in Tiflis. Drei Sasaniden- Münzen sind dem Museum von Hrn. Grig. Spassky-Avtono- mov übergeben burger? 10) Die fedischen, Grabsteine | in ) der Krim, Bullet. Ts vil, 5 974 — 408. . asi < 119. E 11) Hr. Prof. Chwolsohn-hat eine ausführliche gelehrte Ab- handlung über diese Steine verfasst, welche in den Memoiren der Akademie erscheinen VINE 12) S. M. Brosset, sur diverses inscriptions, recueillies par MM. J. Kástner et Ad. Biren; Bullet, T. VII, 8: 275. Eine Übersetzung dieser Inschrift v . Dr. Mordtmaun befindet sich im Museum. 13) S. Dorn, Eine Más. des Sehirranschahes Minuscher Bullet. 1. c. S. 482. 141 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 8) Die allgemeine Bibliothek erhielt einen Zuwachs von 520 Nummern. Anhang. 1) Khi-tha-ie-so-thsi-se khiei, Description de l'archipel de Sakhaline, géographie, ethnographie, commerce, usages etc. etc. Ouvrage de Khi-shi-khi- io-chi-ki-lo, en 4 cahiers, avec des dessins. Jédo 1858. 2) Khi-tha-ie-so-ió-hi, Supplément à la de- scription de l'archipel de Sakhalin, par le méme au- teur, en 1 cahier, avec dessins. Jédo 1860. 3) Khi-na-hi-io-so-io-ha-na-si, Description de l'archipel des iles Kouriles, écrite, d’après les ré- cits de l'auteur des deux premiers ouvrages, par Hie- sai, en 5 cahiers, avec dessins. Jédo 1859. ` 4) Ji-hi- ha-ri-ni-khi, Mémoires écrits à Jéso, au confluent de la riviére Jihihari, description géo- graphique, ethnographique etc. etc. Ouvrage de Ma- khou-la-tha-kechi-lo, en 1 cahier, avec plan de la riviere et dessins. Jédo 1860. f 5) Je-so-om-ha, Esquisses tracées à Jéso; de- scriptions des usages, des ustensiles etc. etc. de la partie septentrionale de Jéso. L'auteur de cet ouvrage est inconnu; en 1 cahier avec dessins coloriés. Jédo 1858. 6) Je-so-hoo-hen-mo-hio-kou-sa, petit dic- tionnaire Japonais- Jéso. Ouvrage de Kho-sai, en 1 cahier, avec une carte de Jéso. Jédo 1837. Observations des planètes à l’observatoire de St.- Pétersbourg, par A. Sawitch. (Lu le 18 " War1865) 2 Les positions des planétes, en ascension droite et en déclinaison, ont été déterminées au moyen du cercle méridional et se rapportent aux temps des passages de ces astres par le méridien de St.-Pétersbourg. Les corrections rélatives à la réfraction et à la parallaxe ont été appliquées aux déclinaisons. Le titre: Obs. — N. A. désigne le lieu observé moins le lieu de la planéte que l'on trouve pour le méme instant dans le 142 Neptune (opposition en 1864). Date Asc. dr. app. | ia oy" Décl. app. we: A Sept.18 ۰.۰ .. 028 59:10 | — 170 | 1°27 308 |— 95 ین‎ x 28 53, | 1 2 47,9 |— 125 RE 28 47,35 | — 4,70 36120 |— 88 Get, Bas 27 28,05 | — 4,86 | 47 39,8 | 8 E MEERE 27 16,23 [= 1,49 16 14,3 | — 10,7 Zeches 3,65 1,95 145,5 | — 3 Ke Cie 26 3410 | — 1,55 | ° M4 444 | 104 ee 26 27,96 | — 1,78 11 67 | — 104 Difference moyenne — 15744 | Diff. m. — 10755 Etoiles de comparaison: y, k, o des Poissons d'a~ prés le Nautical Almanac anglais; à des Poissons d'a- prés la détermination faite à l'observatoire de Poul- kowa pour la déclinaison, et d'aprés Brit. Ass. Cat, pour l'asc. dr. On a ainsi: pour le I oct. 1864 à 11^44'12* temps moyen de St.-Pétersbourg. Asc. droite app. = 0” 27’ 40:40 Décl. app. .... = + 1? 185254. Vesta (opposition en 1865). Les positions observées ont été comparées à celles qui sont données dans les éphémérides de Berlin (Berliner Astronomisches Jahrbuch für 1865); l'effet de l'aberration a été pris en considération, ainsi que les corrections dües à la réfraction et à la parallaxe. Sous le titre: Obs. — B. J. se trouvent les différences entre l'observation et le lieu de la planéte d'aprés le Berl. Astr. Jahrbuch für 1865. Temps moyen deSt.-Pét. Asc.dr. |p y Mars 14 à 12^ 3 19"... 11/1 7 » 745545827. N, s 17514845. A 38,00 ب‎ » 18»114353… 40 33,790 8,7 ۰ BASE 39 38,51: — 8,69] s Doi 38 43,20 e a FE: ra -1137 48,54 .— 8, Différence moyenne — — 8 Etoiles de comparaison: /, x, 3 Leonis d'après le Naut. Almanac anglais pour 1865. On a ainsi en terme moyen, pour le 18 mars 1865, à 11^43'53* temps moyen de St.-Pétersbourg: lasc. droite de Vesta = 1140 33,84 la déclinaison. + - 14954 154. ۰ Nautical Almanac anglais pour l’an 1864. Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint - Pétersbourg. 144 BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Villa, Ant. Il congresso dei naturalisti Svizzeri in Sama- den nell’ Agosto 1863. Milano 1864. 8. Jahresbericht der Naturforschenden Gesellschaft Graubün- dens. N. F. IX. Jahrgang. Chur 1864. 8. The transactions of the Linnean Society of London. Vol. XXIV. p. IL London. 4 Journal of the proceedings of the Linnean Society. Botany. N° 27 — 30, Zoology N° 27 — 29. London 1863 — 64. 8. Address of George Bentham read at the anniversary mee- ting of the Linnean Society. 1863 and 1864. Lond. 8. List of the Linnean Society of London. 1863. 8. Correspondenzblatt des Naturforschenden Vereins zu Riga. XIV. Jahrg. N° 12. Bulletin de la Société impériale des naturalistes de Mos- cou. 1829. N° 6. 7. 8. — — — — Année 1864. N° III. Moscou. 8. Béron, Pierre. Physique simplifiée par la découverte de l'origine = mouvement et de l’affinité. Paris 1861 — 64. 4 vol. — Atlas pe ره وم‎ Paris 1859. Fol. max. Avec un texte in-4°. Matzenauer, Engelbert. Kometen und Sonnenlicht, eine Wirkung der Attraktion, aus Professor P. T. Meissner’s Wärmelehre gefolgert. Wien 1865. 8. Clausius, R. Abhandlungen über die mechanische Wär- metheorie. Iste Abtheilung. Braunschweig 1864. 8. The Journal of the Chemical Society. Ser. II. Vol. II. en August, September 1864. London. 8. Quetelet, A. Physique du globe. 8 Tide-tables for the coast of Lapland and some points of the arctic ocean at the time of navigation in the year 1864. St.-Petersbourg 1864. Fol. Béron, P. Atlas météorologique.. Paris 1860. Fol: max. Avec un texte des explications des faits contenus dans l'atlas in-4°. Quetelet, Ad. Des phénomènes périodiques en orio 8. — Observations des en sw périodiques. 4. — Sur les étoiles filantes. — Notice sur la bag des ‘étoiles filantes du mois de novembre. 8. — Etoiles filantes; 1863. 8.. — Etoiles filantes de la période du 10 août 1863. 8. Luvini. Proposta di un nuovo metodo d’osservazione delle | stelle cadenti. 1864. 8 Haidinger. Mémoire sur les relations qui existent entre les étoiles filantes, les bolides et les essaims de météo- rites. 8. ii aérolithe et ouragan en décembre. Rose, Gustav. Beschreibung und Eintheilung der Meteo- riten. Berlin 1864. Observations météorologiques faites à Nijné-Taguilsk. ix née 1563. Paris 1864. 8. The — Journal of ei Geological Society. Vol. XX. . N° 80. London. HUE - à k. ی‎ Reichsanstalt. XIV. Band. N’ 3 List of the Geological Society of London. 1864. 8. Kokscharow, N. v. Vorlesungen über Mineralogie, lster Band, 1ste Lief. St. Petersburg 1864. 4. Villa, Ant. Gite malacologiche e geologiche nella Brianza e nei dintorni di leuo e particolarmente alla nuova miniera di piombo argentifero nella Valsassina. Mi- lano 1863. 8. — Roccie e fossili cretacei della Brianza spediti alle espo- sizioni di Firenze et di Londra. Milano 1863. 8. — Notizie sulle torbe della Brianza. Milano. 8. Göppert, H. R. Beiträge zur Bernsteinflora. 1864. 8. — Über die Tertiärflora von Java. 1864. 8. Flora oder allgemeine botanische Zeitung, herausg. von der k. bayer. botanischen Gesellschaft in Regensburg. Neue Reihe. XXI. Jahrg. Regensburg 1863. Bulletin du congres international d'horticulture qui a été reuni à Bruxelles les 24— 26 avril 1864. Gand 1864. 8. Annales Musei botanici Lugduno - Batavi, ed. F. A. Guil. Miguel. T. I. fasc. IX. X. Amstelodami 1864. Fol. Béron, P. Déluge et vie des plantes avant et aprés le déluge. Paris 1858. 4. Flora Batava. Afbeelding en beschrijving van Nederland- ` ‚sche Gewassen, door W. Jan Kops, gevolgd door J; F. A. Hartsen. Aflevering 188, 189. Amsterdam. 4. . Fries, Elias. HAC 07 hymenomycetum Sueciae, Vol. II. Upsaliae 1863. Exposition universelle Pi GM qui s'ouvrira au prin- temps de l'an 1865 dans le palais de l'industrie à Amsterdam. Réglement et programme. 8. Villa, Ant. Apparizione periodica della carruga comune o Melolonta. Milano 1863. 8. — Le zanzare. 4. Göppert, J. R. Über lebende und fossile Cycadeen. a 1 Villa, Ant. Le cantaridi. 8. Scandinaviens coleoptera, e bearbetade af C. G. Thomson. Tom. VI. Lund 1864. 8. Stilling, Dr. B. Neue Untersuchungen über den Bau des Rückenmarks. Cassel 1859. 4. Mit Atlas. Fol. Rosny, Léon de. Mémoire sur la chronologie japonaise, précédé d'un aperçu des temps anté-historiques. Pa- ris 1857. 8. Correspondance de Napoléon 1°, publiée par ordre de l'em- pereur PUN 11]. T. I—XVI. Paris 1858—64. 4 Paru le 23 septembre 1865. (SES ` " 9 z CN IX. N° 2. de - Ee Se uL BEE — سس سا سل‎ Dec? us A 2 u‘ nie CE ^ Dh. E, À Fh 3 | m Ln A | de.” PRIS | X. mra ^ $ DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURC. TOME IX. | (Feuilles 10 — 15.) | | CONTENU: Page Dr. A. F. Baron de Sass, De la congélation de la mer sur les côtes d'Oesel et de Moon 145 — 188 M. le Due Nicolas de Leuchtenberg, La Leuchtenbergite.......,...............,..,. 188 — 192 N. Kokcharof, Sur le systeme erystallographique et les angles du Sylvanite.......... 192 — 202 B, Dorn, Additions aux catalogue des manuscrits orientaux achetés à M. Khanykof | par la Bibliotheque Impériale Publique. ................................ 202 — 231 N: Kokeharof, Résultats du mesurage de quelques crystaux.................,...... 231 — 240 Bd MODEM. و‎ in vues EE rem htt 240 | | | | | | | | ——— — \ | | | d | | On s’aboune : chez MM. Eggers 2 Cie, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l'Académie (Koxurer» Ilpasıenin Hxuepavopcxoii Axaxeuiu Hays) et chez M. E Voss, libraire à Leipzig Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la SE, | 3 thalers de Prusse yn l'étranger. ZG Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9°:ligne, N* 12.) ——ÀMMÀ— — DOS BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Untersuchungen über die Eisbedeckung des Mee- res an den Küsten der Inseln Ösel und Moon, von Dr. Arthur Ferdinand Baron von Sass. (Lu le 18 mars 1865.) : 1) Einleitung. Zu denjenigen grossartigen Vorgängen in der Na- tur, welche bisher von den Naturforschern verhältniss- mässig wenig berücksichtigt, sind, gehört unstreitig das Gefrieren des Meeres in den polaren Gegenden unserer Erde. Es mag vielleicht die Gewöhnlichkeit der Erschei- nung daran Schuld sein, dass sie wenig beachtet ist. Der menschliche Geist fühlt sich ja stets zuerst von dem Seltsamen, als dem mehr in die Augen Fallen- den stärker angezogen, als von den Vorgängen, die wir täglich vor unseren Augen haben. Wenn wir nun aber die Grossartigkeit der Naturerscheinung des Ge- frierens des Meerwassers erwägen, wenn wir beden- ken, dass durch eine unsichtbare Kraft sich regelmäs- sig zu gewissen Jahreszeiten grössere Meeresstrecken mit Eis bedecken, dass sich an Stellen, wo früher nur Schiffe oder Kähne über das flüssige Element da- hingetragen wurden, jetzt plötzlich eine harte Kruste bildet, über welche nicht nur Menschen und Thiere, sondern auch grosse Lasten wie auf festem Erd- boden hinweggeführt werden, so staunt unser Geist vor dieser grossartigen Umwandlung, die noch dazu gewöhnlich in wenigen Tagen oder Wochen vor sich geht, und wir fragen: was ist die Ursache und wel- ches ist die Natur dieses Phänomens? — Abgesehen von der Grossartigkeit dieser Erscheinung sollte man doch glauben, dass besonders Inselbewohner das Stu- dium dieses Naturvorganges mehr ausgebildet hätten, denn bei diesen wird die Eisbedeckung ihrer Küsten oft zur Lebensfrage, denn wenn wir bedenken, dass die Zwischenzeiten, die zwischen dem Offensein und vollkommnen Gefrorensein des Meereswassers liegen, oft Wochen lang dauern, in welcher Zeit aller Ver- kehr mit benachbarten Ländern, Handel und Wandel einer Stockung unterliegt, so sollte man doch glauben, Tome IX. dass schon das praktische Interesse zum Studium der Natur dieses Vorganges geführt hätte. Nun finden sich zwar bedeutende Forschungen über dig physika- lischen Eigenschaften des Eises in den Annalen der Naturforschung. Aber über die Art des Auftretens des Eises im Haushalte der Natur, über die physisch-geo- graphische Rolle, welche das Eis unter den verschie- denen Breiten spielt, ist noch sehr wenig bekannt, am meisten noch aus den innerhalb des Polarkreises liegenden Gegenden unseres Planeten, weil das Eis daselbst ein den Charakter der Meere und Länder zu allen Jahreszeiten beherrschender Gegenstand ist. Im Folgenden soll ein Beitrag zur Kenntniss der Art des Auftretens des Eises in der Ostsee geliefert werden. Meine hierauf bezüglichen Nachrichten beziehen sich auf folgende Theile der Ostsee: I. Auf den grossen Sund zwischen Ehstland und der Insel Moon. . Auf den kleinen Sund zwischen den Inseln Ösel und Moon. . Auf den Hafen von Arensburg auf der Insel Ösel. . Auf die Küsten der Insel Ósel im Allgemeinen. Die Nachrichten I und II verdanke ich dem gegen- wärtigen Ordnungsrichter von Ösel, Eugen Baron Buxhówden, der die Güte hatte, mir zu gestatten, die seit dem Jahre 1850 regelmässig dorthin einge- sandten Berichte über den Zustand der Sunde von den Poststationen Kuiwast auf Moon und Orrisaar auf Ösel zu benutzen. Die Nachrichten über den Hafen zu Arensburg, welche von 1843 — 1862 reichen, gab mir der Zoll- director zu Arensburg, Herr Liccop '). Was endlich die auf die Küsten von Ösel im All- gemeinen sich beziehenden Nachrichten anlangt, so 1) Die Nachrichten über die Eisbedeckung des Arensburg'schen Hafens reichen noch viele Jahre weiter zurück, aber Hr. Liccop weigerte sich entschieden, dieselben mir zu geben. Aus welchen Gründen ist mir unbekannt. 10 147 i Bulletin de l’Académie Impériale 148 verdanke ich dieselben dem Hrn. Kreisriehter Alexan-| Diesen Herren sage ich hierdurch meinen öffentli- der von Poll, welcher während seiner langjährigen | chen Dank für ihre gütigen Mittheilungen. Amtsthätigkeit als Ordnungsrichter Gelegenheit ge- habt hat, zu allen Jahreszeiten wiederholt die Küsten Ösel’s und Moon’s zu besuchen, und daher von den Soweit es mir möglich war, habe ich das gesam- Vorgängen der Eisbedeckung Di gut unterrichtet melte Material tabellarisch zusammengestellt, da da- ist. durch die Übersicht wesentlich erleichtert wird. 2) Das gesammelte Material. A. Der grosse Sund. $ Tragkraft des 4 E è ^ 8 Besondere Auf- Jahr.| Datum. Bises. gene Loge em joe 4 Treibeis. | Beschaffenheit | Offenes Wasser. , des Eises. Eise. Eise. des Eises. wasser. l. و‎ (2.3.4.5 ja 1851112 Jan. |... wen ES NAA A EUM sehr dün à رز‎ +: GE DE APPART à de PU X. با‎ s PECH e و زک‎ ee en Bei Werder D von 1 NORTON BU مب تاه مرها سن جام‎ REN ET 1 Spalte K qo in der Mitte Sundes. « TIR Los Dus و‎ ER Por ^ اه ما بخ‎ Das Eis ist schwammig und), rbe. » 11 » .... ka e D و و وا هآ و و وه و و و وه هآ هه من وهاه 6 ]و ةزه‎ en و‎ zs ۰ ۰ و و و هآ 5292229 و و و هو ]و‎ + ss. Bei Wer- der. 4 Ud X 1 PIT. has ES Viele Lócher. 6 Werst von Kuiwast ist 1 Spalte von 2 » Hb.» I. : N eg ge ae os d ai LER Voll Treibeis. و‎ » visae bacca ا‎ ess Tea UP Treibeis von ۱ |Schildau hinein- getrieben. » JM. » 1 wx 6 Add Cy ES BE SE RISE A pcs] EREBO DOOR eds senken to ....| Im Sunde offe- puer Noster. nes Wasser. » > 5.lhwcuaxcs IN EEE RE BP E E ad NO Lr Wr ER un UTEM DOS OffenesW asser. » | 8 Dec.| + Bei > + 2M gt MIU ELE PPI NATA و‎ EE EE ..| Bei Rohhi Werder na offenes Was- . Kui- wast am fer. » i : | ee xg gun cip UA rg MR cas we SOCKS TA TE A ane be » | ERA dae] Tejano Ké re, SR OCC ا‎ SN CTO ۳ و‎ ARTEN LE SUN de O EE | : er. 1852 4 Jam esse MU ۳ رک‎ 1 EE : ARS ARE 2i uc er Bei We råe VERS Werst Treibeis, » 2۱۰ ۱ ات ون‎ E مق مه‎ RE هه هه‎ Ds Licet doe eee e ei Werder 2 | Werst ی‎ ۱ à durch: den SW. | lhineingetrieben. 2». HO Del... is etes E RE 5 EE eve. TIT UR ME | » n grill. RE NU. eL IA EEE Vorhanden. » Dod cames sh aee Ws SE. wb S LR 5 مه | 66 6 28خ‎ E وم‎ OEE ee ECL N, er. S LINGEL.... | + Š -Offenes Wasso! ظ‎ ۱ D. lasse. ۳ > + » 8 a D La mg i » ES a RN E + m uAanl....-cd-Ienzele leoi d ER ....| In allen Rich- tungen mehrere i Spalten, von wel s t Eds 1 brut LN BIS OBL. oe...» Y ....| 4 Spalten. » E M ER + P "ms... ..L....... | Eeer ee 4 offene Spalten.| . des Sciences de Saint- Pétersbourg. 150 Tragkraft d | emm ge e Dicke des! Löcher im Spalten im I |, B - | 4 ۰ بسن‎ Eises. Eise. Eise. Treibeis. wn Aufwasser. Offenes Wasser. terr hs | | 1852 |26 April ail | | | » 130 » a ER ع‎ E Bei Werder 1 | ١ Spalte von 3 | Í Brei ۳ را ار و‎ E Ee a EE Kg geg E واه‎ E E PR TT TE | Das Eis ist sehr | mürbe. | TEREE EE ers are DerSundistan-| gefüllt mit Eis- blöcken. | » Sud وم‎ OTA و با‎ ed E وا و وه روا‎ te dessu ER و‎ EE E 0 ` 1853 |19 Jan. +... ... T | — » |20 » | ۰ ۳ | » |28 » + | » 128 » "mL Zwischen Kui- wast und Rohhi Ninna 5 Spalten, 7 die sich kreuz- weise schneiden | » 0 lol... | SEET Mai E E EE E E EE sv lis ودع‎ agi de Vornanden. eee mener Zwischen d. Treib- ۱ | eise führt eine Stras- | offen. Wassers von ` | Kuiwast nach Rohhi a nach Wer » a TR ET و وه ام مه ور را ور اه‎ E KE 6 6 5 Soon] ee و‎ eode Offenes ورس‎ » |20 Deet » 21 » Lë ^ 205 BERTI gët APP PP NT DU BOC Bei Werder mehrere Spal- » 8 » GE = » 9 Màrz delet 3 و زر‎ S دا اه‎ » 124 » فا ام‎ » |26 » + » 180 » E EL e Spalte von 2’ * Breite. » | 1Aprill..) + E de A Ou © PS Spaltebei Wer- der !/,' breit. Sg e e tel. EE EE RE 1 Spalte (UA d^ I TE Hinter Ullut ist! bre das Eis ze | mert. EE llke ss Voller Löcher. qu. DEM PE E Aude (ius ci deu] TOR اده‎ Der Sturm hat das 5 n 2’ Breite Eis von Pater Noster EV TR pages aded Be A en 2 grosse Spal- 4 T (ten. £25 » »** E » n WË x e eg a es RAT en د ره‎ E ل‎ Vorhanden. [T riet Ze 1 ater Noster 1 RE EN ام ی‎ EN مر‎ REN TE. pph Ufern bei » AE il. £ ERFREUT OO DEN DL LEN EISEN kuivast u. bei Schil- ; تیم بای‎ Seitensi nsieht e 3 RTE ere DEE WE Ee GE EE en nsie ۱ » 17 T Dis ۳ + 5 se Sa وم و و و و ها و و و وه‎ tn. voe هه و و و و يمعو ومو وا‎ man offenes Wasser. 5.191] s y WADE Be prn cv Cres HT Fuer NM NT Bei Werder Valais Der Sund hat freies Werst zer? in d. T 9 5 Sund hinein ge- fallt mit Treib- a » |28 » S e Der Sand istge- d füllt mit Treib- $4 eis. 8 ee TE L eate es ..| Der Sund ge-| Bei Werder و‎ ‚füllt. mit Treib-| WerstfestesEis. | i ۱ FREE 5 Bulletin de l'Académie impériale سس i Besondere‏ ` IR dli iles Löcher im Spalten im Treibeis. | Beschaffenheit | Aufwasser, Offenes y‏ از Jahr. Datum. ————— Eises. Eise. Eise. des Eises.‏ ا S MNA‏ .5 .4 .2.3 .1 ei erder TE‏ وی با ` à‏ PIA‏ عد EDER RS RE lien. e‏ ما ادا PRESSEN‏ Bei Werder 1‏ ام c» ët eg de‏ se | Werst Eis.‏ موه .... وا و موم موه موم ما هه .. » 80 » Nov. + ;‏ 126 » Bei s0-‏ | S Det. PONT VS DES AS DRE coena ranae "LIS e | de i 0‏ Kuiwástl' Werst KR AS‏ | Eis. Sg :‏ " e; ......, Offenes Wasser,‏ كله MAD ABI Zub XA (950 QUA‏ ی در Ver cA Ey vase RR roS‏ Bei Werder ein T‏ ذلك SER iis Ee e 3 85 uon Geh cadis‏ : ۳ VEO PRX SN eee des da wenig Ef. d‏ OffenesWänsen ^‏ .دنه ند موه REN NNUS ERA ENT PEAR‏ ل "NU DEREN RS RUN,‏ ESAR om A E EE SE EE EE Rn T DEAN TUO EM enes Wasser. —‏ eeh M mit‏ اب ی جات Mb EN es‏ » Treibei‏ ST AN erini lebt Bei Werder 1‏ اه هه دی ی Sal,‏ ۵ von Treibeis. |Werst und bei‏ | Kuiwast 2 Werst‏ dün is. `‏ TE — Wi‏ ید :۲ M tee e ANS E 1 eid. Paw un‏ » 28 » weni‏ I en TTT Werder‏ اه وه NT PS URS de‏ عل للك Won : OT‏ is. GR ae‏ | Gefüllt mit | DerSW.brach- Su‏ |.... وی RIME BRR ER ee NR GD e‏ 1 1۳06 Treibeis. as unter Kui-‏ wast befindl. Eis n‏ fort. ^ ee‏ ist‏ ee ME tes teint OH: mit‏ ما E‏ ITreibeis.‏ ` Bei Werdernur|............ ..| Bei Werder 2‏ Spalten von 1⁄7 4‏ Breite,‏ Ss Leu EE ES ec e s vss Bei Werder 1‏ palte.‏ Bei der Spalte|...;..........] 1 Spalte von 6'‏ |4 SCH das Eis sehr Breite.‏ bik Im Eise sind = Spalten, jede E‏ بسن > zum halbenSun- viele Löcher. |3° breit.‏ de ist das Eis a K ;‏ dick, bei Werder‏ nur 3—4",‏ e d ZS EN as Eis reicht‏ اد هار باوج ره | E LET‏ ان bi‏ مخ ود i von‏ Pater Noster;‏ hinter Schildau‏ ist auch Eis.‏ ۱ eje je ess... Der Sund ist Bei Moon am‏ ید مهف AS EON‏ Ufes ist sehr‏ دا voll Treibeis‏ Fe 3 Pater Noster dünnes Eis, das‏ sehr bröckl. ist.‏ ei Der S.‏ سم PER e AEE REN EU‏ Eis hinter Schil‏ 593 : ag dan geführt.‏ ep EEE Zwischen Wer-|‏ Rn a. und. Rohhi‏ Dës der it des : | inna Treibeis,‏ Eis idt di prie‏ Bei Werder Von der Mitte‏ |..... .۰۰.۰ viele offene Lö- des Sundes bis‏ —- eher. ۱ Werder1Spalte. 7‏ ` te, d‏ ۱ ۰ * des Sciences de Saint - Peötersbourg. 154 Tra Jahr. Datum , eg les Dicke des | Löcher im | Spalten im | aimé | Ss : Lë r e Offenes Was- r. "m f ; | : reibeis. | Beschaffenheit | ram n Eises. Eise. | Eise. | | a ei | ufwasser. | | | 1855 23 Dec. |..|. EEN ET n | Bei Werd. Ar | l rere Spalten | | | Spalt. gehen De | | 'rallel dem Wege | | | 'von Kuiw. | | | erder. | | | 1856 | 8 Jan. |..|..|..|:.|..|..:4. ETS NET d ioo ciuis 1 Spalte !/,' br | | » JOApril..|4-.. TSF ARE o eros 1 Spalte 2t/,' br | wv H8 *» Le Bei derSpal-| Bei Werder ist 1 Spalte über 3' te ist das Eisin der Nàhe der | palte das Eis | chlöchert ». 118 » Das Eis bei| Aufdemganzen| Die comen o P ءام عم‎ ME ICT UN. Das Auf- d. Spalte dün-|Sunde ist das Eis über 7 bre wasser ist ner als 1. |durchlóchert. stellenwei- se üb.3' tief. » 1 o» ماه ام ام ناویل‎ 28/0077, ech 229001 B uix Bei Werder ist nen Hinter Pater 1 Spalte 8’ br. | Noster und : | Mimpi offe- | nes Wasser. » 129 » 1452321916 112 RT NOI Bei Kuiwast bis 2 Werst in den Sund hinein Treibeis. » Ma E هك ورم د او حون كه‎ EE Offen. Wasser. » 114 ۸۱۵۲۱14 ماه ام‎ 02610. 069185 m Trees. s tem EN EE A TA A EE E OOO RAR DerS.hatdasTreib Von Kuiwast eis unter Werder te- bisRohhi Nin- bracht. na offen. Was- i ser. 391 DSS TEE BE EEN POS KIG E: E RR E eege sf Vorhanden. » | 4 Dec + » | 8 » E TT Der Regen hat das Eis unhalt- bar gemacht. » 12 » rt BE dul dai ER | Durch den SW. ist Treibeis nach Wer- |derangetrieben, kam darauf nach Kuiwast, kehrte wieder nach "Werder zurück und ی‎ 3 ۸ am Ufer l » |28 » |, ه|ء‎ ۱ 1857| 1 Jan. |..|--|..l.. saure A DAMM. = pis Fe EE o A Viele Spalten, welche sic verschied. Rich- tungen schnei- Es den;sie sind mit Leg Schnee bedec x cb + Spalt. e? verschwunden. Er T » |10 April ....l Viele Löcher. = p Spal-|..... .| Das Eis ist sehr uS. 2 ga m unhaltbar. Offen. W. » | 8 Mai . ` — auri »::130 No Bei Werder Y, m e na ۳۹ 4 t Eis SCH En » 3 Der ge erc E * FA 3 e Bei Werder x | wenig Eis. : » 1 Zwis SES 13 » : deru. $ na ist ١ ER 7 kia 1 f ies A boss n M Offen.Wasser. » stt $ 7 = = T 155 Bulletin de l’Académie Impériale 156 "Tragkraft des e A A : Besondere sd .. Eises. Dies des | Lächer mm | Der | "nop | Beschaffenheit AufWásser. Offetéd ی‎ Eises. Eise. Eise. des Eises. 1.2 3 4 5 Dec | E یو ویر زد انوا‎ tcl RAR MJ tiles ec عدو‎ wiwu Zwischen Wer- 1867 ap deru.RobhiNin- na ist der Sund mit Eis bedeckt und bei Kuiwast 1858| 4 Jan. |. .|--l. ..| Bei Werder ist ist Ma Werst Ris. d.Eis sehr dünn. » For qul Y zs 25 » ehe dv PE DS tet S ER [ess EXE TR Bei Kuiwast 4| Bei Werder 6 s Werst Treibeis.|Werst sehr dün-| e » 129 » + » 1Febr.|..|+|..|. SR » |11 » +... و ۳ واگ‎ .....| 3 gr. Spalten längs des Weges v. Kuiwast nach Werder, auch ch viele ande- : re sich durch- schneid. Spalt. 8 Hé 5 اه ایا با‎ Ri En ie Spalt. sind noch offen. » 125 März...» -+...|..| BeiSchildauist| Das Eis voller d. Eis sehr dünn. Löcher » 128 » vlegege tss Mehrere Spal- n. » RADE BAT لك سد مه دم م اق‎ Bei Werd. sind viele offene Lö- cher. RP .| 4 unbedeuten-| i de Spalten. »|9 » E Vds e red UE Y VW dr E 4 Spalten. » n2 » Š Das Eis ist ganz Idurchlôchert. » 116 » sus... Das Eis ist ganz] durchlöchert. » 125 و«‎ x En US ان‎ RII ME E DerSundist voll Treibeis, wel- ches bei Kuiwast| u. Werder 2 W weit im Treiben begriffen ist. » 30 si S ee nr را ای‎ a Zwischen Wer- der und Rohhi Ninna ist Eis. » INO ها وان ابا‎ eg "t i ...| Bei Kuiwast u. | zen ist 15 W. » 9 » dus ENSE EIL Ei ar .| Vorhanden. » | 3 Dec IU LL فا‎ DEVE Vorhanden. vois Wiens دوه ود ده ده‎ SES BeiKuiwastviel Zwischen Wer- Treibeis. r und Rohhi | Ninna eine Eis- schicht. » |6 » Je llechin ewer e TEEN VS ANRT WETTE BeiWerderviel| 8. » |91 » ah EE 3 RER Bei Kuiwast 5| Bei Werder 5 Werst Treibeis. Werst sehr dün- 1 16 : » 124 » Bei Werd. sehr, Viele Löcher dünnes Eis, pM e cH ul e Lu وش فا‎ SENEE Bei Werder ist y: ۱ , eine 3’ breite Spalte. ASE e le e Le 1859| 3 Jan... ebe mS Bei Werder ist...... uq ue Bei Werd. sind das Eis 6 dick. mehrere Spalt. wp Lu. 3 NOU URS 1 .| Mehrere offene ........ ind EIER Hinte ter Pat. No- Spalten. ster nach Pucht ` zu offen. P TS AERE ONT ROSE ANA a EN Frage Wasser. ` ud 1 | | | des Sciences de Saint- Pétersbourg. Tragkraft des ^ : ۱ فا کار‎ Eises. Dicke des Löcher im Spalten im aii Besondere. | | : Rit OX unde Eises Eise Eise Treibeis. | Beschaffenheit | Aufwasser. Offenes Wasser. 1.2. 3.4.5. ; : des Eises. | 1859 |18 Jan. |..|..|. = RE RER ME ERSTE Viele Spalten. |......... BEL 22 erm RRA GERIT RE PUR | Zwischen Pa- iter Noster und Rohhi Ninna of- fenes Wasser. 35-190. پا‎ Are 1: 129. 3». À SE" ee EE +: |, RS, Te a BEE sans EEN الوه‎ AT "E d Së Zwischen Pa- er Noster un wem; Ninna of- » 480 » Kor: euere, Wer WS Spalte Vy,’ breit » 3Febr DOSEN N M E TE tendant و د‎ dents ce sos sue sde de o S | DEER OA E dh Bei Kuiwast u. dünn. Werder an den Ufern offenes í Wasser. » 6 » F + » |10 » s ها رای‎ » 13 » 5 + » MZ -» x | » ۱20 » F MES » |24 » ae » 2 März + » 5 p Se + » 17» LIEN Vut bob... ccc attendi es TOTEM iet doen RIESE: ei Kuiw. à Sunde bis Wer- undWerder der ist das Eis Aufwasser. inn. » 20 » Ghiboh A » ۱21 » ES BER ET ا‎ EG 2 SE E Sr EE We rg Das Eisbeginnt {sich aus d.Sunde herauszubewe- p. Geg. Abend tritt jedoch wie- der Stillst. ein. t 94 » 1 E EE POT M VEN TRE Bei Werd. sind 2 Spalten; bei Kuiwast ist eine Spalte; die bei- den Spalten sind Ww AT 9 er E a » |l4April|.j|4- 3 39 nn BIN... . ee, ias à ve RO RENE NOTE ER Der Sund voll E Treibeis ® ER sich bew E M en nn a In der Mite des Zwischen Wer. Sundes ist über der hhi 1 W. Treibeis. Ninna ist festes CS is. a » 125 » > 4 ss... toire. EEE CEE E UNE EEE EU EL WEN I EEE ES SIERT to. uec Offen. Wasser. » | 8 Dec. b ما و وید اوه وق‎ e e Fe pad vs Bei Kuiwast u. en ist Treib- » 1938 » Se rn drehe "e "Bei Schild. be- 1 wegt sich das À : Treibeis. Win o PRE s pr MT dc z ۳ SERM 5 MT TE ELEY Me DEENEN E با‎ Be Re í ... = # 10 ير‎ FRE | Bei Kuiwast ! nenne k » 2» Log d Ié Penes Was SONDE CLIN Ve yr » HO» | Lb E Lë EE E ES ET Ee sllrsceeleedea hom x IN دده‎ Viele Spalt. i 12 CAE t = Bias verschied. Rich- dei Ask sc tungen. sens e ۶ و مه مه و و‎ ss. «6 هه و هب ةفقو و66‎ e t.s... s... — Bulletin de l'Académie Imperiale 160 Tragkraft des à : : : Besondere Jahr.! Datum. SER — E Kb "m Treibeis. Beschaffenheit | Aufwasser. |Offenes Wasser. Eises. Eise. Eise. des Eises. 1.|2.|3.|4.| 5. 1860 26 Jan. E. sx ace ccs een Die Spalt. sind mit Schnee be- deckt. » |29 » 3 1 6° bei Werder, م‎ K Bei Werder | und Kuiwast. sind mehrere mit! Schnee bedeck- te Spalten. ». 127 Deel Lett »-10 Wh, mM 1861 | 1Aprill..|..+ » 5 ١ Si EH EE ی الوا ا‎ 9 Das Treibeis bewegt sich ge- gen Pat. Noster. e EST RE R N ام اه ی اه‎ een Bei Werder istl.......... Bei Kuiwast ist viel Ei offenes Wasser, » 0 » MES DRE اك الو‎ ER cra erect ewe r و و مه‎ NN e MENT Nr vor Led dla vd UT SUN os Leo 5 3۳ OO 0 ددم ی فا‎ SSO De اه ماد‎ e, RU eV VERS ES epi VE ko ric Offenes Wasser beiRohhi » 28 » باه‎ e مخ ام‎ N ies O DRE UR EL E C UE. CUEVA EV Te BeiWerderEis.|.......... Offenes W beiRohhiNinna. » MÀ s RES e E EE EE Re APR ERA DE SRE RS INR ا‎ RER EE D TRS RIRE RR Offenes Wasser. SE ne Ne ا‎ ed LEE ی‎ EV IR Ee etre di CAD. Ee Offenes Wasser. » 16 » sb kennen د‎ Bei der Brücke bei Kuiw. Treib- eis. » Ibo RTE RES NN PEP قاع‎ Dole ado ss او‎ Ur a S Vereinz.Stücke! Hansa im Sun-| y SE et RL اد ی و‎ RS AED CR E ای ده‎ one cute TE NER Mie LA EOS lee OS ۱ | Offenes Wasser. WESER ET EEN Eee EE Vorhanden. » ]25 » وا مه و اه‎ pue ero DNUS Ld n ase EE Bei Kuiwast 8 W. pe mit 3 Treibei 1862 | 8 Jan. |.. + » 9 » : E EEN e EECH TC E R E lten » 119 » sl, RS BES ا‎ A E Bei Kuiwast 1 Spalte. » 116 » +E bé Kuiwisb ae 9Spalt., welche 1/2! bei Werder. izugefroren sind. » 1 März 1 ds » 114 April wi » lle "ES srt | هم موم‎ id pate ۳ "brit. » "0: x عم‎ E ger a RT LEE EEE ne PS nt EE .| Hint. Püssi Nin- wast u. Schildau e as- ` list das Eis sehr na 97 dünn. » |24 » |... Viele Löcher. bes Spalten. » | 6 Mai We scs CRU N EIC EE COCA Soter Treib- » 8» E n t ماه اد اه‎ GARS TT POUR TSUNAMI Orts ados s ۰ Offenes Wasser. In Bezug auf die Spalte «Tragkraft des Eises» muss ich bemerken, dass die verschiedenen Grade dersel- ben von 1 — 5 von den Berichterstattern so angege- ben wurden: 1 = eine Eisschicht, welche noch keinen Fussgänger trügt. 2 — eine Eisschicht, welche schon Fussgänger trägt. 3 — eine Eisschicht, welche schon einen mit einem 4 — eine Eisschicht, welche einen mit 2 Pferden be- Pferde bespannten Schlitten trägt. spannten Schlitten trágt. trágt. 5 = eine Eisschicht, welche die grössten Lasten Das Datum ist stets nach neuem Styl angegeben. Das Kreuz in der entsprechenden Rubrik bezeich- net, dass an dem angeführten Datum die Tragkraft des Bises eine solche ist, wie die oben agente Zahl anzeigt. Ganz derselben Bezeichnungen bedienen wir uns auch bei der folgenden auf den kleinen Sund, zwischen den Inseln Ösel und Moon, se Tabelle. des Sciences de Saint- Petersbourg. B. Der kleine Sund. Tragk | Jahr. Datum a r 59 Dicke des | Löfther im Spalten im Treibe Besondere y 1 Hi. AES 0 e = A 4 reibeis. | Beschaffenheit) Aufwasser. |Offenes Wasser. Lia. 3.14. "i Eises. Eise. Eise. sé Kises. | 1851 13 Dec EI اوقا‎ e نات دا‎ SE ET .ونين عم‎ | mit ge » 22 » +. ۰ و همم و ۰ » ه و وه ه و موم و و و‎ RR) s... ss... Ve lever NEE des ۰ + + ۰ n [ rs. Bei Orrisaar of- 1852 |10 Jan. |. .|+ | fene Wasser. » |21 » 7 S Lr ل رين‎ oc " RARE TE ..| Gefüllt mit d » | 2Febr RE Treibeis. » | BApril .|+ » 198 » MEZ » | 6 Mai RAT » 6 » ۰ وه مه‎ | v «098 ۵ 6 1 6 m» ۵ len واو واه ماه مها هام وان وا و هو هه‎ ne + ۰ ۰ .. b... Offenes Wasser. 1853 |19 April os... ... 03 A 4 ۰ ۰ . ss. LI és... 9 ۰ ۰ ۰ + ۰ ۰ ۰ + + LA] LI js... »surte® .| Offenes Wasser. » ۱16 Dec. + ١ ان‎ BETT.. Lt 1854 16 März kt ege e, e GE EE DER Da بو‎ "1 5 DN " D LW . LI + Gei, wt EE ES EE » | PAP ۰۱۰0] 1 ها‎ cesse) ne ales را‎ EE ان‎ I .......| Ein wenig Auf- rius wasser. » 7 » selles | es... Bei Wac htn ss sos .... Bei W achtna m Spalte. viel Tria. » 19 » +... ss... فععوية‎ ۰ "^ s.s.s.: soes nenne ren rien un ne CRIE "n n B ... An den Ufern Se" á offenes Wasser. mé Re. Ll. Ner EH AN Airis Bei Matsilause säär das Treib- leisin e ed | (RW D D LJ ۰ ۰ c . lors... ۰ . > ۰ ۰ + nt t Offenes Wasser. IET us visa at di ` اد‎ Offenes Wasser. «| Sehr viele Ló-| 1 sehr breite cher. Me Spal mL 1se rgr. te! bei Kee 8 1 ۰ ۰ .. Das Eis is .. ۰ É ۰ .. Von Illik Laid ‚durchlöchert. pe Orrisaar of- | fenes Wasser. op نوم‎ Os ea did a o e Das Eis ist ganz eu i f d E? b i klich. + A Së 11 1 eo: sers. ۰ sss... Bei Wachtna CCR LL Der Sund ist Treibeis. frei von Eis, , Lid e e Sota ۰ وه‎ o n ۰ ی‎ rete u... s... .> Auf dem gan- bei Wachtna. | zen Sunde sehr, — — 3 ١ : viel Aufwasser. | ` ae. TE & .«.| Bei Keinast 5 nenne | 8 Tre eibe is. EE 7 4 eU gi N Hs k ۴ 1 4 3 5 i GË LE id d t à p pi "S CF iii .. "ES? Kn FEE Cé "Mehrere Spal-|.. 3 RI ۰ Viel Brucheis. | 8 H P hd Zeck ww pi ۳ | «de | 1 Ze MO CER. Yide Tücher, E era 5 A z j des BeiKoggo offe- ase CC (0 UN Ines Wasser. ho a ah TTL eo ese soe ne) Offenes Wasser. Ss RARE A AR FETE d i da Ka ži Me GST RAT H se i Bei Moon und stie nct em LE ute Econ d 23 Keinast offenes e STE | Tis . 25 IWesber. „aleta. de Académie: Impériale m ۱ Tragkraft des) Besoridere | nr 4 Jahr.| Datum Bises. Dicke des Lacher = Sp dra E Treibeis. | Beschaffenheit Aufwasser. [Offenes Wasser m rp ve T Eises. ise. ise. des Eises. 1858| 1 Jan. + E ». VE? lei » | 1Aprill,.+ » T p ووه‎ SITE LITE FIIR RI TR RE area 5 * هون و ها ام و هوهو وو واو هو وو و و هه‎ ses ۰ 9 Wasser. » 6 Dee... + F tjo 1859 35 Jan. CLE Re ای‎ er MEC on Md pus mE Wu e Durch d. Sturm Aufwasser aus » wels ۰۰ ۰ + SW. de 9 Febr. Se, Kos » 13 März, و وه و و و جوم ره ماو مه موم موه و ۰ و ۸ و و ۰ ۰۰ ام جوم مهو‎ ۰ ss... ss... StarkesAufwas-| ser, » وان‎ » les. In d. Mitte|..............| Bei Wachtna 2 SEENEN زوع‎ D ch das zu- ist das Eis Spalten. fliessende Land- 7" dick. wasser ist das Eis überall an r den Kanten vom ۳ Lande getrennt. « , BW و‎ Lk EI Ee e AUER AE Mehrere grosse Spalten. | » 81» HE HL 1 es. Sin.) ZWISClen اا‎ E E CEES Zwischen Gros- 3 sik u. ۷ senhof u ist noch Se Laid ist دسج‎ po | Eis. Wasser. » |12 Aprill.. ten Ba E roi مج‎ BEE east E .....| Offenes Wasser. d. Treibeis fort- ; s .Nu y Keinast ist noch ۹ 1 £ METUS... وی مرا را هو و مزب‎ LORI NOIL x lo eS مج‎ d یی سب نا‎ ours een nes] Offenes Wasser. » |16 Nov.+ d ۱ 4 ١ » | 4 Dec.|..|+ AR وه‎ RER ماه ای مدوم مه‎ à مد‎ urms of- t ۳ 14 n fenes Wasser. | 1860 April Loi, ` äi Das is istganz r E Idurchl öchert. 1 ü » 23 » D 5 ... r D ۵ ۰ هم و و هه 4 ۰ ۵ ۰ ]هه و و‎ + tonte. siressa orars k OfteneaWasser. » 20 Dec. ۱ + À o 1861 | lApril|--|.. e| Bei Wachtna 1,..............| DasEisistganz| » 21 » 3 =; vf ere Voll Tribe gan o c aene e.a Be 25 » e Saunen هب و‎ or. Bei K Br... ernst ss... Treibeismassen |... aufgethürmt. | et 11 indé tê GA M. Nix. s... واه‎ EL و ماه ]ره همم‎ ve ss: vs a9 L115 150 ۲ TE ais A m Sturm ze ii^ T9 i وب‎ Ti : |mert. S DT a seele ss. ss... VV ES E LE sos, کت‎ tS ۰ ۰ ۰ + ۰ 6 ۵ 6 ۵ ۰ O ۰ ۵ ۵ ۵ ۰ ۰ ۵ 1 Mitten im Sun- 9 1 | de zwisch. Orri- dau saar u. Wac 1 LM ffenes 4 BUE fiti rh ۰ و ۰ ۰ ۰ + و ۰ ۰ و‎ E * Li KK: GEERT RER يوه فى ةهاع‎ PR ع‎ E Zwi en Orri-]. rs A € ari | " / وه‎ oi Insel) REN pm XI yu 1 : A T U SI d Tin hat: uy [bua ; ١ ` ۱11 V VY ath HFEF apoE + 44 erg a ml E Veo dee "e.t n ^ un Le k aui aH LE | ni En. JE itia xb rt des Sciences de Saint- Petersbourg. 166 C. Der Hafen zu Arensburg. Die auf den Hafen von Arensburg sich beziehenden Nachrichten, welche mir der Hr. Zolldirector Lic- cop aus dem A g'schen Zollarchiv mittheilte, gaben nur an, an welchen Tagen durch das Gefrieren des Wassers die Schifffahrt aufhören musste, und an welchem Tage durch das Schwinden der Eisdecke dieselbe wieder beginnen konnte. Datum Datum Jahr des Aufganges. des Zuganges. 1843 17 April 14 December 1844 AT uar 18 November 1845 29 » 13 December 1846 6 » » 1847 5 Mai 19 » 1848 17 April 19 » 1849 97 5h 27 November 1850 97 5 um 13 December 1851 23 » » 1852 3 Mai 2 » 1853 » 8 » 1854 17 April 26 November 1855. 94 » » 1856 80 5 » 1857 209 8 December 1858 25. » 14 November 1859 A 8 19 December 1860 20 » 26 November 1861 18: » » 1862 28 -' —» 24 » D. Die Küsten Ösels im Allgemeinen. Die hierher gehörigen Nachrichten, welche ich er- hielt, sind folgende: | : ` a) Westküste Ösels von der Zerell’schen Spitze bis Hundsort. Bei strenger Kälte und ruhi- ger See friert selten das Meer bis 1 Werst weit vom Ufer. Es hängt dieses Gefrieren aber wesentlich von der Stärke des Wellenschlages ab, wobei es ganz gleich- gültig ist, ob derselbe durch Land- oder Seewind verursacht worden ist. In der unmittelbaren Nähe des Landes und der Inseln friert die See stets zu. In den schiffbaren Buchten hängt das Gefrieren sowohl von der Richtung als Stärke des Windes ab. Bei SW., Meere eine Stelle mit sehr starker Brandung, woselbst nach Aussage der hieselbst wohnhaften Bauern das Wasser niemals gefriert. Wenn sich in der Nähe die- ses Ortes auf dem Meere Eis ansetzt, so wird es als- bald von den Wellen der angränzenden Brandung zer- schellt und nach NO. oder SO. ans Land getrieben. Weiter vom Lande in der hohen Ostsee westlich von Ösel sieht man stets sehr viel Treibeis. b) Die Nordküste Üsels. Von der Undwa'schen Spitze bei Hundsort an bis zum So&la’schen Sunde, zwischen Ösel und Dagden, friert die See niemals zu. Bisweilen kommt in diese Meeresregion auch Treib- eis, aber es bleibt niemals hier stehen. Höchst selten ereignet sich der Fall, dass das Treibeis bis zur Ent- fernung von 3 Werst einen Tag stehen bleibt. Östlich vom Soëla-Sund, er selbst sowohl, als auch das ganze Meer bis zum grossen Sunde und den Küsten Ehstlands friert regelmässig zu und kann stets während des gan- zen Winters mit Schlitten befahren werden. c) Die Ostküste Ösels. Über diese vergleiche man die über den kleinen und grossen Sund unter A und B gegebenen Nachrichten. d) Die Südküste Ösels umfasst das Becken des Riga’schen Meerbusens. Von der Zerell’schen oder , Küra'schen Spitze bei Zerell auf Sworbe bis Kurland friert bei starker Kälte das Meer häufig zu, aber nie- mals auf lange Zeit. Eine Sage erzählt sogar, dass vor langer Zeit hier aus Ösel nach Kurland Men- schen übers Eis gegangen seien, welche Nachricht jedoch nicht historisch feststeht. Wenn diese Meer- enge friert, muss eines Theils die Kälte sehr streng sein, anderes Theils Windstille herrschen. Biswei- len findet sich in dieser Meerenge auch Treibeis ein, welches sich jedoch hier nur sehr kurze Zeit aufhält, ‚gewöhnlich nur einige Stunden. Der Grund des Nicht- gefrierens und des kurzen Aufenthaltes des Treibei- ses in diesem Meerestheile ist eine hier sich befin- dende Strömung, welche weder festes Eis noch Treib- W. und NW. hat der Frost durchaus gar keine Wir-|eis duldet. Daher flüchten sich auch bei strenger kung auf das Gefrieren des Wassers. "Wenn O., NO. und N. weht, bildet Eisdecke. Im Frühling erscheint häufiger als im He Kälte die Schiffe hierher. An der östlichen Küste von sich wohl, | Sworbe im Riga'schen Meerbusen ist das Meer ge- besonders wenn die Windstärke unbedeutend ist, eine | wöhnlich offen. Das offene Wasser bildet nach dem 'bst | Meere zu einen Treibeis, dessen Aufenthaltszeit an den Küsten ganz | Spitze bis zur Südseite von Abro. Hinter diesem, im Halbkreis von der Dondangen’schen von der Richtung des Windes abhängig ist. Bei Muhha | Westen von der Sworbe'schen Halbinsel begrenzten Ninna, in der Nähe von Lahhentagge, befindet sich im | offenen Theile des Riga’schen Meerbusens ist derselbe 11* 167 Bulletin de l'Académie {Impériale mit Eis bedeckt, während wiederum das Innere des Meerbusens gewühnlich offenes Wasser hat. Bisweilen friert es jedoch auch zu und zwar so fest, dass selbst Menschen zu Fusse über das ganze zugefrorene Be- cken des Riga'schen Meerbusens hinübergehen kön- nen, wovon nicht allein die Annalen der Geschichte berichten, sondern es ist sogar wührend der letzten 20 Jahre zweimal der Fall vorgekommen, dass Bewohner der Insel Runó von ihrem in der Mitte des Riga'schen Meerbusens gelegenen Eilande im Winter übers Eis nach Ösel gekommen sind. Östlich von der Insel Abro bis zu den Sunden und den Küsten Livlands friert das Meer stets zu. | 3) Perioden der Eisbedeckung. Wir müssen bei Betrachtung der Eisbedeckung 4 Perioden unterscheiden: 1) Die Zeit des Offenseins umfasst den Zeitabschnitt des Jahres, wührend dessen gar keine Eisbilduug a. im Meerwasser stattfindet. Jedoch kann während dieser Periode auch Treibeis vorkommen. Die Zeit des Zufrierens, welche die Zeit in sich schliesst, während welcher das Eis von dem er- sten Beginn seiner Bildung bis zum höchsten Grade seiner Stärke, welche oben unter der Rubrik «Tragkraft des Eises» mit der Zahl «5» über- schrieben ist, fortschreitet. 3) Die Zeit des Zugefrorenseins ist diejenige, wäh- rend welcher das Eis in der Stärke 5 verharrt. 4) Die Zeit des Aufganges, in welcher das Eis von dem Stürkegrade 5 bis zum günzlichen Verschwin- den übergeht. Die folgende Tabelle umfasst die Zeit jeder dieser 4 Perioden vom 1. October eines Jahres bis zum 1. October des folgenden. Hierin bedeutet G. S. — der grosse Sund, K. S. — der kleine Sund, A.= der Ha- fen zu Arensburg. A 4 SR 1 d. o RS: mr BEER we . „| des Gefroren- ;..| der gesammten Eis- Jahre. des Offenseins im: | des Zufrierens im: | jeita pi des Aufgangs im: La ung im: 6.$|K.$.| A |GS.|X.&| A. |G.S|K. S.| A. [G. S|K.$| A» | G8. | K.S. | A. 1843—1844 |............ Re E DEE ek EL EU SU escis ERIT. Lillo 4| 208 iino MATRA: 3 ۲ et 162 1842-15-46 1 . nl... EE کر ما که‎ E e qe RIO Oi Eu. rrt 114 1946—1847 1. EH ESR. pie: Mäe, iY e E E Ee E E 153 847—1848 و و و و و و‎ ۰ Ú... 246 “..... o |... |... ۰ ه ها وه ها اه مه‎ ۵ és.. 120 i RAGUSII. ei ها ی‎ E ا‎ fe Vo ROW SE RQ MONA) 199 1849— 185 208.11. 1129.5. ID SEL. d. د‎ ee ی‎ cken d] 157 1850—1851 |965 |...... IT ام‎ Fe 09 EN اه وه‎ d ) 1100: (1. wn et 181 1851-1822 |228 1219 ۱916 |37 | 4 178 199. |....198. | 11 1.....1188° |147. | 150 1852—1853 1253. 2910118 1a. Ce E "hasc 17 TEE CG, 155 1853—1854 |245 |230, |255 122 | 9 |..... Bi 306 LE: 130. |... 120 , |123. | 130 - 248 :|195 216 Jon |32 |..... 13 d) apo REP" ag 01.1777. 150 ^|191' 8 1855—1856 [222 |207 "am |16 MAS NEAR 107.181 رامیب‎ SAA :یل‎ 144 1159. |159 1856—1857 [201 ۱188 |202 152 7 88 118 [...124 198 |.....1164 1177. |164 1857—1858 |209.*|216 2231 |53 -|59 ایا‎ 10 ^| 68 1:::,583 dos [06.186 1149 : | 149 1958—1859 1233 ۱247 19294. |77 47 |..... 54 JA Nil RO با‎ 132 |118. "Hi 1859—1860 |246 |206 244 ۱4۵ ۱99 ۰ BE ده هش فقو رن‎ Mole 120 ۱160 9 1860-1861 ۲258 |288 ۰.1297 | 3 Sisi و9‎ Ion. Lg 26 ۰. 107 ۰1 1138 1861—1862 |226 193 166 ۱59 18 |... 78 , ۱۵ |....137 124 [.....|169 |145 .|199 Mittel... | 237,06 214,35 220,57 54,56 | 0 ۰ 76112 96,80|. .| 18,26 24,10]..... 134,33 144,25 144,68 Aus dieser Tabelle ersehen wir, dass die Zeit des Offenseins des Wassers im grossen Sunde am längsten, im kleinen Sunde am kürzesten währt, während der Hafen von Arensburg zwischen beiden liegt. Die Zeit des Zufrierens dauert im Mittel im gros- sen Sunde 11,21 Tage länger als im kleinen Sunde. Die Zeit des Gefrorenseins währt im Mittel im kleinen Sunde 20,68 Tage länger als im grossen | Sunde. | Die Zeit des Aufganges ist. durchschnittlich i im ki nen Sunde 5,84 Tage länger. als im grossen Sunde. ` Die Zeit der ganzen Eisbildung dauert im kleinen Sunde am längsten, im grossen Sunde nimmt sie die kürzeste Zeit in Anspruch, während die Zeit, welche esim Arensburg’schen Hafen währt, zwischen den e den oben genannten. liegt, P Es wurde ferner beobachtet. die. absolut ae eu PHG #7} A A AP E des Sciences de St.-Pétersbourg. des Offenseins Zufrierens » »> و و و t‏ ^" و 4 vite 9e Wé Ré ss ss II Gefrorenseins ...... » LK Aufganges......... DI Es wurde beobachtet die » Aufganges » ur tiis ge LE o Sg à © * a‏ و ل كلب 9 np‏ هو ۵ ۰ + ۰ a o» o» م ده‎ e ...s e’ و © + ها و ه ههاء zs واه‎ * 0.» » kleinen grossen Sunde DE SOE 1858 — 1859, » Arensburg’schen Hafen 1845 — 1846, » grossen Sunde » kleinen » grossen » kleinen » grossen ». kleinen grossen » kleinen CES Cw ME Gs E 1857 — 1858, de emi aee 1861 — 1862, BE Ga AE 1854 — 1855, نا‎ 1861 — 1862, Di h.t 1856 — 1857, » Arensbı » kleinen grossen Sunde.. g'schen Hafen 1861 — 1862, absolut kürzeste Zeit: D Trees Vu 1858 — 1859, 1855 — 1856, 1855 — 1856, . 1861 — 1862, 1856 — 1857, » Arensburg'schen Hafen. 1861 — 1862, » grossen Sunde » kleinen ». grossen » kleinen » grossen » kleinen potas » kleine e , 9 vr 40ص‎ | LARES hi die ie 1850 — 1851, 1858 — 1859, » Ateniburg schen Hafen. 1845 — 1846, 1860 — 1861, 1860 — 1861, 1858 — 1859, 1858 — 1859, 1852 — 1853, 1851— 1852, » 1850 — 1851, nämlich 265 رو‎ 2 Es wurden aus dem Vorhergehenden aus der beob- |rens, Gefrorenseins, Aufganges und der gesammten achteten Zeit die grössten Differenzen zwischen den | Eisbildung, die innerhalb der Perioden vorkommenden längsten und kürzesten Zeiten des Offenseins, Zufrie- grössten Variationen, wie folgt, festgestellt. Das Offensein D EW » » | Zufrieren. ». ee 4$ * Be e Ke, s...» osre $ و $9 ماه اه جما مه (2 » LN وه‎ © 4 ۲ ات من Der‏ | LR Di a Bisbildung » » E Nehmen wir nun div ts |o Mittelwer- bedeutet, dass der direct b be the als die Normalwerthe für jede Periode in der Eis- bildung. an, so erhalten wir folgende Differenzen in | zeit, das a ne? +, der jedesmaligen Beobachtung, indem das Zeichen + | dauert. » » Wa eg 49.059 Se Te 1971 » » im grossen Sunde.. . » kleinen » » Arensb.’schen Hafen ED » » grossen Sunde..... » ^» » » kleinen » grossen » kleinen $e ege ée 7 م حور‎ HF Her » kleinen » kleinen » Ge gehen Hafen‘ pt DU » » » » » e » » n ۰ » » » » » » i » » » die beistehende Zahl länger d dort. dass dieselbe. um soviel kürzer tte ` yani prié .. zeigt die grösste Differenz von 69 Tagen. 59 171 Bulletin de l’Académie Impériale 172 Differenz zwischen der Normalzeit und der beobachteten Zeit während r der gesammten Eis- Jahre. dés Offenseins: des Zufrierens: deg Rene des Aufganges: 8 bildung: 6:8. | K.8.| A )@8|K8|GS5.| ۰ 065 | Tres. | gos TR SLA 1843 — 1844 |....... | SAM MON OSEE LII palis ده‎ RE E REE REE e We oy Tam man یار‎ COT ERES EUER: So METTE PROPRES + 17,32 1845 — 1844 ۱۶ مارم ام‎ t. يا‎ 99291 EE GENE خر‎ FE eint RARE to — 80, 1846 — 1847 : CHEF SU E ایا ام‎ E ی‎ AL M 5. 8,32 Aaf مب‎ IIIS. vomit. u BET RT ل‎ dos IPM E A IH ST ok — 24,68 TT — Mu9: 1... oes هن‎ 15,43 dees rl ae ae those. ESN *..|-- 15,68 B0 Kell RETTET | اذلو ة. ماد و وی‎ ER 2 ee des uarie اا‎ 19 1850 — 1851 |+ 33,19,....... + 13,43 — 17,81,....... — 11,19 شت و موی‎ 4202 a سب‎ 4 un — 13,68 1851 — 1852 |j 381+ 2,40— 4,57,— Lëtz: 16,40 + 1,88 — 4,80 4,74 — 13,10+ 3,67— 0,50 مب‎ 5,32 1852 — 1853 |4- 21,19... ..... — 10,57| — 25,81]. ...... 19,88. .... i| 53 1559815: Lou ون‎ EA 10,32 1853 — 1854 13,19 + 13,40, + 14 ,49| — 16, 18,60-1- 7,88 + 7,2( 4,26 — 4,10/+ 14,67, — 24,50 — 14 1854 — 1 16,81.— 21,60|— 4,57|4- 30,19/+ 440— 412— 8,80 — 9364 25,90 -+ 15,67 + 22,50 + 4,32 1855 — 1856 |— 9,811— 9,60. — 13,57, — 22, + 30,88 34,20 2,74 — 5,10 + 9,67 + 11,50,4- 14,32 1856 — 1857 |— 36,81. — 28,60 — 18,57|4- 13,19+ 9,40/+ 11,88 + 92,20 5,74 — 3,10/+ 29,67 + 29,50 + 18,32 1857 — 1858 |— 22,81.— 0,60 2,43 + 14,19/+ 31, 0 — 6,12.— 30,80/4- 14,74 — 0,10 + 21,67+ 1,50— 2,6 1858 — 1859 |+ 4,19/+ 30,40 + 3,43 + 38,19 + 19,40 — 42,12 — 55, 2,74-+ 5,90B— 2,83,— 29,50 — 3,68 1859 — 1860 |+ 14,19|— 10,60/+ 1843 + 3,19 5,60 11,12 سه 14,33 — 8,10 —5,26 — 25,20 سف‎ 12,0 — 22,68 1860 — 1861 |+ 97,19 — 21,60/4- 6,43, — 35,81, — 25, ,60,4- 21,88 + 2,20 — 12,26 4- 1,9 27,83, — 20,50 6,68 1861 — 1862 |— 35.81- 3,40. = 54,571 20,19|— 12,60 — 3,19 نه‎ 9,20.4- 18,74|— 0,10|4- 34,67|— 2,50 -+ 54,32 Mittel....... — 079- 3,304- 1,00|— 0,14 d ,00 سه‎ 0,96 0, 00+ 021 0,00+ 2,42 0,00 . 0 Da die Jahre durch die alle 4 Jakid wiederkeh- | Zeiträume aller dieser 4 Perioden für jedes Jahr als renden Schaltjahre nicht stets gleich lang sind, so | Procente auszudrücken, wie folgende Übersicht zeigt. erschien es zur genauen Übersicht nothwendig, die 2 Offensein. Zufrieren. | Gefrorensein. Aufgehen. Gesammte Eisbildug. 6.8. | giset a FES. | ES. | a.s. | 8.168 |ks cs انه عل‎ A Eer ` ]....... esos 68:11 یی‎ lan es چم الت اس انا(‎ E 36,89 198 —12381.7..5..H. VE DESEE CL. 1 RENTE e DEI 44,39 1845 — 1846 |.. 68,76 |..... ROUES d ia ak 31,24 1846 — 1847 |.......]..... 58,08 |...,.. ارب‎ Er SE De bh. EN TB E 41,92 1847 مق ای 1848 بت‎ 67,21 e وا جا‎ ev 8 1848 Lee? 1849 ۰ 64,65 on ه و ه وم هم‎ ۵ |... oo s... ۰ ۰ ۰ 85,35 849 — ss... .. 56, D se .. ۰ D 43,02 1850 — 1851 60 ..| 64,1 75 DST A coe al net s, ; 35,90 êl 1851 — 1852 | 62,29 | 60,83 | 59,00 | 10,10 | 12,02 | 21,31 | 25,13 | 6,28 | 3,00 ۱ 37,71 | 40,17 | 41,00 18 853 Dë eg 57,53 C HE 419830 مر و‎ B9 ne 30,66 ۱۰۰۰۰۰۰۰1 42,47 1853 — 1854 | 67,12 | 63,01 | 64,38 | 6,03 | 2,45 | 23,01 | 28,49 | 3,83 | 5,47 | 32,88 | 36,99 | 35,62 1854 — 1855 | 58,90 | 53,42 | 59,17 | 18,90 | 8,74 | 19,72 ‚10 | 2,46 | 13,69 | 41,10 | 46,58 | 40,83 1855 — 1856 | 60,65 | 56,55 555 | 4,37 45 | 29,93 | 35,79 | 5,73 | 5,19 | 39,35 ‚45 | 43,45 1856 — 1857 | 55,06 | 51,50 | 55,34 | 14,24 | 10,10 | ‘24,10 6,57 | 5,7 1 A0 | 44,66 1857 — 1858 | 57,26 | 5 1,12 | 14, 6,16 | 19,17 | 18,08 | 9,04 | 6,57 | 42,74 | 40,80 | 38,88 1858 — 1859 | 78,90 | 67,68 | 61,36 | 21,09 | 12,87 ‚sı | 11,23 | 5,73 | 8,21 | 36,17 | 32,32 | 38,64 1859 — 1860 | 67,21 | 56,28 | 66,66 | 11,47 | 6,01 | 17,75 | 33,38 |. 8,55 | 4,37 | 82,79 | 48,72 | 33,34 1860 — 1861 | 70,68 | 65,20 | 62,02 | 0,81 | 0,54 | 26,84 | 27,12 | 1,64 | 7,12 | 29,32 | 34,80 | 37,98 1861 — 1862 | 53,70 | 60,27 | 45,47 | 4,10 | 4,10 | 20,00 | 29,04 | 10,13 | .6,57 | 46,70 | 39,73 | 54,53 Mittel...... | 71,55 | 59,29 | 66,68 9,58 | 7,54 | 21,21,| 26,49. 505 6,59 | 36,78 | 40,71 | 33,32 Durch diese Übersicht werden die Verhältnisse ein| d == Zufrieren des grossen Sundes. EA Bian, i wenig modificirt, was sich weniger bei den Mittelwer-| 6 = » » kleinen » then als den einzelnen Jahren zeigt. Í = d des grossen » - Bezeichnen wir jetzt diese erhaltenen mittleren] g= xw » kleinen » . Verhältnisszahlen, wie folgt, so erhalten wir für die| A= Aufgang » grossen » e s verschiedenen Perioden: E » kleinen » ` ,.& = Offensein des grossen Sundes. k= Gesamte Gët im grossen Ms hum m . x»: kleinen » i l= MER: » kleinen wt € — » ` » Arensburg’schen Hafens. ris ms Mr Arensburg. Hafen. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 174 Unterwerfen wir jetzt diese verschiedenen Perio- den der Eisbildung in den genannten Gewässern einer genauen Untersuchung, indem wir die kleinste Mittel- zahl bei jeder Periode gleich 1 setzen, so ergeben sich folgende Verhältnisse: A. Zeit des Offenseins. Hier sei 59,29 — 1, so verhalten sich nach obiger Bezeichnung zu einander: tb :d= 10 11 B. Zeit des. Zufrierens. Hier sei 7,54 — 1, so verhält sich: dre BOF: 1 C. Zeit des Gefrorenseins, Hier sei 21,21 — 1, woraus: وا‎ :1,2%8. D. Zeit des Aufganges. Es sei 5,05 = 1, wodurch sich ergiebt: hide 1 1,30: E. Zeit der gesammten Eisbildung. Es sei hier : 33,32 — 1, so folgt hieraus: a SR EEA E R “Um nun das Verhältniss der Zeit der verschiede- nen Perioden in einem und demselben dieser drei Gewässer unter einander genauer festzustellen und auf kleinere übersichtlichere Zahlenwerthe zu brin- gen, wurde die Mittelzahl, welche bei jedem Gewässer die kürzeste Zeit angiebt, — 1 gesetzt und die Ver- hältnisse der übrigen dazu berechnet. Hierdurch er- halten wir folgende Angaben, indem wir die obigen Bezeichnungen beibehalten: À. Der grosse Sund. Hier ist a — 63,32 :d = 9,58; df 21,21; & 35,085. 4 — ۳ Es sei nun 5,05 = 1, so verhält. sich: kardifihrk= 12,53: 1,89 :4,20:1:7,28. E Der kleine Sund. Hier ist: 0 — 59,29 je 7,54, 0 26,49; i— 6,59; 12 0/71, Es " 6,59 = 1, so ergiebt. sich folgendes Verhältnis: ó و‎ eg -isles 8,99: 1,14: 4,01: 1: 6, 17. o Der Arensburg'sche Hafen. Hier ist: c= 66,68 | und m — 33,32. Es sei nun 33,32 = 1, durch sich folgendes Verhältniss ergiebt: ce:m=2:]. Beginnen wir, um die vollständige Eisbildungspe- riode jedes Winters beisammen zu haben, jede Reihe unserer Beobachtungen, wie schon oben bemerkt wurde, mit dem 1. October und führen sie fort bis zu dem- selben Datum des folgenden Jahres, so erhalten wir für die Zeit des Beginns der Eisbildung im Mittel, wenn wir den 1. October bei Zählung der Tage der Beobachtungsreihe mit 1 bezeichnen und so fort zählen bis zum folgenden letzten September, folgende Tage für den Beginn und den Schluss der Eisbildung. wo- B. Der grosse Sund. Beginn der Eisbildung. Schluss der Eisbildung. Ke Wie vielster ag in der Tag in Jahr Datum. | ER. Jahr. | Datum. B ال‎ tungsreih e tungsreihe 1850 | 11 Jan 103 1851 19 April 201 1851 7 Dec 68 1852 13 Mai 226 1852 18 Jan. 110 1853 9» 221 1855 | 19 Dec. 80 1854 | 17 April 199 1854 25 Nov 56 1855 23:09 205 1855 8 Dec. 69 1856 29 ‘» 212 1856 | 21 Nov 52 1857 3 Mai 215 1857 | 24 Dec 85 1858 25 April 207 1858 6 » 67 1859 16 » 198 1859 23 » 84 1860 20 » 208 1860 26 » 87 1861 5 » 187 1861 19 Nov 50 862 6 Mai 218 Demnach ist beim grossen Sunde der mittlere Tag des Beginns der Eisbildung der 76. Tag der Beobach- tungsreihe, nämlich der 15. December, der mittlere Tag des Schlusses der Eisbildung der 217. Tag, nämlich der 25. April. Betrachten wir nun diese Verhältnisse für den klei- nen Sund, so erhalten wir folgende Übersicht: C. Der kleine Sund. Beginn der Eisbildung. Schluss der Eisbildung. ۰ [Wie vielster| Y ah pe: pe Jahr. | Datum, | Tag in der gh Datum. | TE bach- "EO Beobach ngsreihe. | : 9 GE | tungsreihe. 1851, | 21 Dec 82 | 1852 |16 , 2329 1858 | 15 » 76 1854 | 6 I: 1854 | 16 Nov. 47 |] 185 , 4 22 1855 | 94 » 55 1856 2€ I 1856 KR 98: : Jo MIT 178 e (ër CU LCS 1858 | 15 Dec. 76 | 1859. = 1859 | 15 Nov. | | ا‎ | 2 200 1860 | 20 Dee موه‎ | 7 Mai | 220 175 Bulletin de l'Académie Impériale 176 Hiernach ist beim kleinen Sunde der 60. Tag der Beobachtungsreihe, nämlich der 29. November, im Mittel der Tag, an welchem die Eisbedeckung beginnt, und der 208. Tag, nümlich der 25. April, der Tag, an welchem der Schluss der Eisbedeckung erfolgt. Es folgt nun die Untersuchung über den Arensburg'- schen Hafen: €. Der Arensburg'sche Hafen. Beginn der Eisbildung. Schluss € der r Eisbildung. Wie vielster Wie vielster Tag in der ae Jahr. Datum D. Wii Jahr. | Datum. D seb tnngsreihe. | , ]|tungsreihe. 1843 14 Dec 75 1844 | 27 April 210 1844 18 Nov 49 1845 29 » 212 1845 13 Dec 74 1846 » 188 1846 | 2» 63. 1847-1-6 Mai | 218 1847 19 » 80 1848 17 April 200 1848 19 9 80 1849 A D 210 1849 | 27 Nov 58 1850 27 » 210 1850 13 Dec 74 1851 23:» | 205 1851 5.» 66 1852 3 Mai 216 1852 2.» 63 1853 5D. » 218 1858 » 69 1854 17 April 199 1854 26 Nov 57 1855 24 .» 206 1855 22 5 53 1856 30 » 213 1856 10 » 41 1857 22 2 204 1857 3 Dec 64 1858 25 .» 207 1858 14 Nov 45 1859 5 Mai 218 1859 19 Dec 80 1860 20 April 213 1860 26 Nov. 57 1861 13.» 194 1361 13 » 44 1862 28 » 210 1862 24 » 56 d Hiernach beginnt im Arensburg’schen Hafen am 62. Tage der Beobachtungsreihe, nämlich am 1. De- cember, im Mittel die Eisbedeckung und schliesst. am 207. Tage, nàmlich am 24. April. Hieraus folgt, dass die Differenzen zwischen ۴ Tagen des Zuganges folgende sind: Zwischen dem Tage des Zuganges P | Ke des grossen Sundes u Sundes 4 5Tage » » » » » Arensb. schen Hafens 47 » » kleinen » » Ð » » 2 is Und die Differenzen zwischen dem Aufgange sind: Zwischen dem Tage des Aufganges des grossen Sundes u. des kleinen Sundes.......... 0 Tage. » » » » » Arensb. Jeep Hafens 1 » » kleinen » » M LS Aus dieser Übersicht folgt, din im Zugange der verschiedenen Gewässer grosse Differenzen stattfinderr, während der Aufgang oder das Ende der Eisbedeckung in diesen drei Gewässern beinahe gleichzeitig erfolgt. Diese Erscheinung wird darin ihren Grund finden, dass das Gefrieren des Wassers in geschützten Buch- ten und schmalen Wasserstrassen stets leichter erfolgt, als anf grossen Wasserflächen, die mehr den Bewe- gungen und Schwankungen des offenen Meeres unter- worfen sind, während in ersteren diese Kräfte nicht ihre Wirkung mit so grossem Erfolge ausüben kön- nen. Ausserdem gefriert der grosse Sund auch aus dem Grunde viel schwerer, weil in ihm eine bedeu- tende Strömung existirt und bekanntlich fliessendes Wasser viel schwerer gefriert, als stehendes oder wie im Meere schwankendes. Die Übereinstimmung des kleinen Sundes mit dem Arensburg’schen Hafen fin- det namentlich auch darin ihre Erklärung, dass der kleine Sund eben ein enges Gewässer ist, und wesent- lich von der an den Küsten stattfindenden Eisbildung beeinflusst wird. Die Angaben, welche ich über den Arensburg’schen Hafen erhielt, beziehen sich auf den ersten Beginn der Eisbildung in diesem Meerbusen zu der Zeit, wenn die Schifffahrt unmöglich geworden ` ist. Hier finden wir ganz ähnlich, wie im kleinen Sunde, eine Meeresbucht, welche einige Inseln ent- hält, und daher vie! Anknüpfungspunkte für die Eis- - bildung darbietet. Was nun die Gleichzeitigkeit des Aufganges der Gewüsser anlangt, so ist diese darin begründet, dass das Eis im Frühling nicht durch den Schmelzungs- process an unseren Küsten verschwindet, sondern. da- durch, dass es durch einen heftigen Sturm zermalmt | und fortgeführt wird, um dann als Treibeis seine Reise durch die nordischen Gewässer anzutreten, wo es dann immer mehr zertrümmert wird, dabei dureh die zu- | nehmende Frühlingswärme allmählich schmilzt, bis es sich endlich gänzlich auflöst. Bei seiner Durchschiffung | der verschiedenen Theile der Ostsee äussert es. auf diejenigen Küstengegenden, in deren Nàhe es sich ge- rade aufhált, einen sehr schüdlichen Einfluss, indem l'es die Luft و‎ abkühlt. Da nun der das Eis zerschellende Sturm an allen Küsten Ösels gewöhnlich vollkommen gleichartig ist, so tritt auch seine das Eis | von den Küsten lósendé und zerschellende Wirkung | gleichzeitig auf, worin das gleichzeitige Verschwinden der festen Eisdecke. an den drei genannten. Orten seine Erklürung findet. : Untersuchen wir jetzt, wie die Zeit des Dog der Gewässer sich zu der des تپ‎ verhält, 80 müssen wir zunächst unterscheiden: ^ ^ — ^ des Sciences de Saint- Pétersbourg. 1) Den Normalzugang, welchen wir auf einen Zeit- raum von 10 Tagen festsetzen wollen, indem wir die Zeit von 5 Tagen vor bis 5 Tage nach dem gefundenen Mittelwerthe für diesen Normalzugang annehmen. 2) Den frühen Zugang, welcher vor dem Beginn der Zeit des Normalzuganges eintritt, und den wir mit den Zeichen -+ begleiten. 3) Den späten Zugang, welcher vor dem Beginn der Zeit des Normalzuganges eintritt, und den wir mit dem Zeichen — begleiten. 4) Den Normalaufgang, welchen wir ebenfalls auf ei- nen Zeitraum von 10 Tagen festsetzen wollen, in der Weise wie beim Normalzugange. 5) Den frühen Aufgang, welcher früher eintritt, als der erste Tag der Normalaufgangszeit eingetreten ist, welchen wir mit dem Zeichen — begleiten. .6) Den späten Aufgang, der nach dem letzten Tage .. der Normalaufgangszeit auftritt; dieser soll von .. dem Zeichen + begleitet sein. . Stellen wir nun eine Tabelle zusammen, welche die Differenzen zwischen den beobachteten Zugängen und Aufgängen des Meeres und dem Normalzugange und Normalaufgange angiebt. Grosser Sund. Kleiner Sund. Arensb.’scher Hafen.‏ بر int | Differenz zwi- Differenz zwi- Differenz zwi-‏ |schen dem beob-| .. |schen dem beob-| — |schen dem beob-‏ .„ E ju u. dem 4 lachteten und dem| 4 |achteten und dem‏ DH Fa. z 7 4 1 T s R 4 é 8‏ Normal rmal- Normal- | Normal-- Normal- | Normal-‏ | © A‏ اج muganga; "nip A zugange.‏ و ب Be eme‏ | 0 + | .8 — + 8 ED H | = 4‏ شت - 0 | وه‎ 6 DS — 13 | — 2. i — 13 |+ 0 " + 0|+ 0 — 1l BETINE H + 4 — 17 | + 16 11851 Æ 0 | + 4 + 9! HESSE = 0 له‎ 6 — 3 [1853| — 11 | = 0 {1853| — 2 |. — 8 en + 8 | + 3 [854 £ 0 | #0 ib E: + 01320485 + 4 | + 1 el + 17 | + 3 [1856| + 16 | 0 + 0 118571 + 0 | — 30 11857 zc 0 | + 0 - À — 11 | — 10 [1858| + 12 | + 6 Plu 4.9 | A — 13 |+ 0 =" 6 | — 15860 — 16 | = 0 ]i860 + 0| — 8 t; I. 6j +. 8-4 7 [861 +18 | Æ 0 i Le | . Nach dieser Übersicht sind beobachtet worden: : A. Im grossen. Sunde in 12 Jahren - | E ee, 1 mal a IX. Fon Fr 178 Spätzugang ....... 5 mal Normalaufgang.. n » Frühaufgang ..... » Spätaufgang...... : » B. Im kleinen Sunde in 10 Jahren Normalzugang... j mal Frühzugang...... » Frühaufgang.....2 » Spätaufgang......4 » C. Im Arensburg'schen Hafen in 20 Jahren Normalzugang... 7 mal Normalaufgang.. 10 » Frühaufgang..... 4^» Spütaufgang ...... 5 » Um nun für die Vergleichung der verschiedenen Zu- und Aufgänge des Wassers in den verschiede- nen Meeren ein absolut richtiges Maass zu erhalten, wurde die Anzahl der einzeln beobachteten Normal- zugänge, Frühzugänge, Spätzugänge, Normalaufgänge, | Frühaufgänge und Spätaufgänge als Procente der Summe aller Beobachtungen ausgedrückt, wobei wir folgende Übersicht erhalten: A. Grosser Sund. Normalzugänge... 8,33%, ۱ Frühzugänge...... 50,00 » 1 Spätzugänge....... 41,66» Normalaufgünge..33,33 » Frühaufgänge.....33,33» 4# — ^ Spütaufgünge ..... 33,33» 7 B. Kleiner Sund. Normalzugang.... 20,00%, Frühzugang........ 40,00» Spätzugang........ 40,00» ` 3 Normalaufgang... 40,00» - Frühaufgang......20,00» ` Spätaufgang ...... d T à C. Arensburg’scher Hafen: o . Normalzugang. 2 .35, 00 7 Frübzugang.... ent a (A » 8 ee 3 » pätzugang .. ec? " Bulletin de l'Académie Impériale 179 Normalaufgang... 52,63, Frühaufgang ...... 21,05 » Spätaufgang ....... 26,31 » Suchen wir nun die Frage zu beantworten, ob ei- nem frühen Zugange auch ein früher Aufgang ent- spricht, oder ob überhaupt zwischen diesen beiden Naturvorgängen irgend ein Zusammenhang besteht, so werden uns die obigen Übersichten hierüber beleh- ren. Wir finden, dass: A. Im grossen Sunde: Dem Normalzugange 0 mal ein Normalaufgang entspr. Frühaufgang » » » ` S » » 0 » » Spätauigang » » Frühzugange 2 » » Normalaufgang » » » 1 » » Frühaufgang » » » 3 » » Spätaufgang » » Spätzugange 2 » » Normalaufgang » » » 2 » » Frühaufgang » » » 1 » » Spätaufgang » B. Im kleinen Sunde: Dem Normalzugange 1 mal ein Normalaufgang entspr. » » ] » » Frühaufgang » » uro 0 » » Spätaufgang » » » Normalaufgang » » Frühzugange » Frühaufgang » » » Spätaufgang » » Spützugange » » Normalaufgang » » » » » F rühaufgang » » » » om Spätaufgang » C. Im Arensburg’schen Hafen: Dem Normalzugange 3 mal ein Normalaufgang entspr. Frühaufgang » Spätaufgang » Normalaufgang » Frühaufgang » Spätaufgang » Normalaufgang » Frühaufgang » » د د‎ » » » 1 Ww —J » x » » » Frühzugange » Spätzugange » » © ينم من‎ to © 0 o » » Aus dieser Übersicht geht hervor, dass sich zwi- schen der Zeit des Zuganges und der des Aufganges der Gewässer kein Zusammenhang nachweisen lässt. Obgleich während mehrerer Jahre von dem Hrn. Oberlehrer Werner in Arensburg meteorologische Beobachtungen angestellt worden sind, so konnten dieselben doch nicht dazu benutzt werden, um einen Zusammenhang zwischen den meteorischen Vorgän- gen in unserer Atmosphäre und der Eisbildung nach- zuweisen, da leider die Winde in dem Tagebuche nicht verzeichnet worden sind. Nun ist es aber gerade der Wind, sowohl hinsichtlich seiner Richtung als Stärke, der wesentlich auf die Bewegung des Meeres ein- wirkt, und daher an den verschiedenen Küsten seinen besonderen Einfluss, der oft durch locale Verhält- nisse bedingt ist, ausübt. 4) Tragkraft des Eises. Für den Verkehr mit dem nahe gelegenen Conti- nente und den benachbarten Inseln ist die Tragkraft des Eises von grösster Bedeutung. In den von den Sunden mitgetheilten Berichten sind daher fünf ver- schiedene Stärkegrade des Eises zu unterscheiden, welche, wie oben bemerkt, durch die Zahlen 1 — 5 angegeben sind, worin 1 den geringsten und 5 den bedeutendsten Stürkegrad der Tragkraft bezeichnet. Die Tragkraft und Dicke des Eises stehen durchaus nicht in einem direkten Zusammenhange. Nur im Herbst kann man die Dicke des Eises auch zugleich als Maassstab seiner Tragkraft ansehen, dagegen ist dieses im Frühling durchaus nicht der Fall. Im Früh- ling wird das Eis porös, löchrig, voll Spalten, Schründe, sehr bröcklig, wie ein Schwamm vom Wasser durch- zogen. Durch diese Eigenschaften verliert es seine Tragkraft, denn seine Consistenz hat aufgehört, und jeder stärkere Wind ist im Stande, das Eis zu zertrüm- mern, was vornehmlich dadurch geschieht, dass der Wind das Meer in eine starke schwankende Bewe- gung versetzt, und die Wellen mit Leichtigkeit die über ihnen ruhende morsche Eisdecke zerschellen. Wollen wir nun genauer untersuchen: 1) Wie lange im Winter ein vollkommen sicherer Waarenverkehr möglich ist, d. h. wie lange das Eis in der Stärke 5 ۳ 2) Wie lange den Reisenden mit Pferden der Ver- kehr über die Sunde móglich ist, d. h. den Stär- kegrad 4 hat. . 3) Wie lange das Eis in dem Stärkegrad verharrt, des Sciences de Saint-Pétersbourg. dass man nur mit einem einzigen Pferde hinüber- fahren kann, d. h. im Stärkegrad 3 verharrt. 4) Wie lange die Zeit anhält, während welcher nur kegrad 1 hat. Fussgänger den Sund passiren können, d. h. das Eis den Stärkegrad 2 hat. 5) Wie lange der Verkehr dadurch, dass man nicht | Tabelle belehren. Grosser Sund. über das Eis hinüber kann, mit den Nachbarlän- dern vollkommen stockt, d. h. das Eis den Stär- 6) Wie lange die Sunde vollkommen frei von Eis sind. Über alle diese Verhältnisse wird uns die folgende —2 و‎ — 8 ٩ bezeichnen die verschiedenen Grade der Tragkraft des Eises. 3—4 0 offenes Wasser Z = die Zeit dx: سیر‎ " e A wm a» Aufgan Aus dieser Tabelle ergeben sich folgende Resultate: A. Für den grossen Sund: Im Mittel dauert die Sundsperre....... 7,33 Tage Pp s » » Herbstsundsperre .. 8, o » » Frühlingssundsperre 6,04 . » Das Maximum T Sundsperre i im Herbst dauert 25 Tage. » » » » Frühling » 11 Sundsperre. BehindertePassage. Offene Passage. Rech 0 — 1. 1—2. 2—3. 3—4. 4 — 5. 5. 0. Festes | Offenes A. Z A. 2. A. 2. A. Z A. Es | Waati 1850-1851] 1 Tag 3 Tage 8 Tage 10 Tage] 3 Tage 1 Tag | 4 Tage 1 Tag | 4 Tage| 1 Tag | 65 Ta e 205 Tage 1851—1852] 16 6 R 6 a 7 y, 7 d 3 " 2 Sj 4 Kä 3 ZS 5 ^| 78 r 228 d 1952-1808 » |1 9» 11 511 049, 5 bina B o» | 150 1511.» 6 » Ges » 1809-18941 2 » | 5 « | 6 « | 8 » |, و« | » 84| » 1 | » 4| » 1| »-4| » 1 | و‎ 1854-1855118 » | 4 » | 4 » |4 »14 » | 1 » 5 9i» Bi. 1^» 7 » ۱248 » 1855—18561 1 » |4 » ! 1 :» H5 » 11.» | 1» 1-55 Mls l2»5.Ll1.».1100:;».1999 > 1856—1857118 » | 5 » 125 » | 4 » 13 » | 5 » B »]4 * 4 »16 » » 201 » 1857—1858|20 » | 7 » 120 » 17.» 10 » | 8 م‎ La Dd Lal.» 70 » 1209 » 1858—1859 WILDE O N Se Eë e RR یر و‎ E B »]|6.».M8 » 7.» 94 » 1238 » 1859—1860]10 » |5 » ll « |4 » 16 » | 3 » 6 WIE 8: »-t1-» 65 » 246 » 1860-1801 1. 8۱ 1.» |1.» | Lise LT: » |1 » 11 © |] 4 seit sik » [498 » 1258 » 1861—1862]18 » | 8 » | 8 م .2|» 13 » 9 | سر‎ 3 » | 4 » Kis mn 75.» ۱296 ۵ Mittel.....| 9,16 | 4,08 8,08 8,00 5,25 2,75 9,16 2,12 6,83 3,37 76,12 1237,06 Kleiner Sund 1851—1852| 8. » | 3 » 180 » [9 :» 192: » | 1 » 8 ». E -» 8 »432 » Log p 1219 » 1953-1854] 2 +. KH هر‎ 7.9 48.5 Ll WE.» e Kee e UM rw » IM. فا‎ 1250: à 1854 —I1H5M D » PS: STG NS هذ نما‎ I1 S | 119 HO » |1.»123:.»-|1 WTO 195 » 1855—1856! 1: » | 8 » |1 ۵ ۱9 »]|1.» |1 » 2 ا‎ A ۶ pci » 9251 s BOL > 6—1857 ^ IB O38 * Hole». BD 1. STATS 1 »|4 » 1119 » 1188 » 1857—1858]87. » 1123- »-| 5 I $^ 1*0» H1)» Grp IT E E E 66 » 1216 » 1859 » M2::»-186 .»:118 25] 8 MPO T4 »|2 » JU» I » 41 » |947 » 1859—1860| 1 » |6 » 20 » |7,» ] و‎ » |1» 4.» |4 » | » | 1 » 1122 » 1206 » 1860—1861| 17» 128 » [1 » |1^-13 E Ke |3 F » |i » | ۸ » |99 » 1288 » 1861—1862]14 » | 4 28. ns.) VL LE RE Bikini 221106 051198 5 Mittel..... 8,90 116,35 9,35 1,70 2,05 2,80 1,40 3,00 1,65 96,80 1214,35 0—1 » Minimum » <» » Herbst » - رک‎ E di ib d | aos oii | we » © weh is Bulletin de l'Académie Impériale Im Mittel dauert die behinderte Passage jährlich . . » » » » » » » » » » » Hte Maximum der Dauer is behinderten Passage im Herbst.. » » » » » » Minimum » » » » » » » » » Maximum » » » » » » » Minimum » » » » » » » » » des festen Eises.. » offenen Wassers » 265 » » festen Eises... » 34 » offenen Wassers » 201 » 155191 Tage. im Barbe 5,08 » » Frühling 2,74 » ist 48 Tage. » » Frühling » 15 » » » Herbst » 1 » » » Frühling » 1 » . ist 107 Tage. Durchschnittlich beträgt die Zeit der offenen Passage jährlich 313,18 Tage. B. Für den kleinen Sund: Im Mittel dauert die Sundsperre im Jahre . » Herbst.. » Frühling 9,12 » Das Mau der Sundsperre im Herbst.. Frühling » 40 » » Herbst.. » 15i» Frühling » x » Im Mittel dauert die ee Passage im Jahre . » » » » » » » » » » » » » » » Minimum » o» » » » » » » » » » » » » » » » » Das Maximum der Dauer der behinderten Passage im Herbst.. » » » » » » » MIA, w nai » » » Maximum » » » Minimum » » des festen Eises... » offenen Wassers » 247 » » festen Eises... » 41 v » offenen Wassers » 188 » - 10,47 Tage. 11,82 »- dauert 37 Tage. . 2,10 Tage. » Herbst.. 2,50 » » Frühling 1,70 » ist 12 Tage. » ns Frühling » 7 » » » Herbst.. » i » » » Frühling » i » ist 131 Tage. Durchschnittlich betrügt die Zeit der offenen Pas-| der zu Wasser oder übers Eis mit dem benachbarten: sage jährlich 311,15 Tage. Berechnen wir diese Mit- | Continente hat, während 14,76 °/, des Jahres die Pas- telwerthe procentisch, so ergiebt sich, dass Osel | sage mehr oder weniger durch die Eisbildung gehemmt | 85,24%, des Jahres vollkommen freie se entwe- | ist. Das Maximum der offenen.. » » » behinderten » Minimum » offenen.... » » » behinderten 5) Dicke des Eises, Über die Dicke des Eises an unseren Küsten sind | ‚noch so wenig Messungen angestellt, dass sich aus den- selben keine allgemeinen Schlüsse ziehen lassen. Das dickste hier gemessene Eis maass 4. So viel scheint ausserdem noch mit Sicherheit angenommen werden zu können, dass im grossen Sunde bei Werder das . Passage beträgt 97,58°/, des Jahres. » » ; D » » » » 13,15» » » 2,47» » » » » Eis gewöhnlich dünner ist, als bei Kuiwast an der Küste der Insel Moon. 6) Löcher im Eise, Die Löcher zeigen sich im Eise stets im Frühling, nachdem es viel geregnet hat, oder längere Zeit Auf- - wasser auf dem Eise gewesen ist, denn beide Male 185 des Sciences de Saint- Pétersbourg. zehrt das Wasser Löcher ins Eis durch den Schmel- zungsprocess, welches Zehren oft auch noch durch eine mildere Temperatur und die erwärmenden Son- nenstrahlen unterstützt wird. Bisweilen finden wir je- doch auch schon im Herbst Löcher im Eise, welche dadurch sich bilden, dass unter ihnen sehr seichtes Wasser ist, und der Meeresboden Quellen enthält. Wenn eine plötzliche starke Kälte eintritt, so dass sie die Kraft besitzt, die Wirkung der Quellen zu über- winden, so treten keine Löcher auf; tritt aber allmäh- lich Frost von wenig Graden ein, der ohne zuzuneh- men eine längere Zeit anhält, so besitzt er nicht die Kraft, die Quellenstellen mit Eis zu belegen, und die Folge ist, dass sich im Eise längere oder kürzere Zeit Löcher erhalten. Es giebt hiernach also zwei Ar- ten von Löchern im Eise: a) Löcher, die vom Wasser hineingezehrt werden, b) Löcher, die an Quellenstellen durch Nichtgefrie- ren des Wassers sich offen erhalten. 7) Spalten im Eise. Aus der oben unter dem Abschnitt «gesammeltes Material» gegebenen Aufzählung der Spalten, welche beobachtet worden sind, ergiebt sich, dass die grösste Anzahl der Spalten im Frühling beim Aufgange des Meeres entsteht. Wenn wir jetzt unsere Aufmerksamkeit der Breite der Spalten zuwenden, so waren dieselben, wie folgt: Beim Zugang durchschn. 1,08’ breit aus 6 Beobacht. » Aufgang » 2.61' ka T9 » Maximum der Breite beim Zugange 3. BEER rom » Aufgange ۰ Minimum » » » Zugange EN . onim » » » Aufgange ed Hieraus ergiebt sich, dass im Frühling beim Auf- gange die Breite der Spalten bedeutender als im Herbst beim Zugange ist. Was die Länge der Spalten anlangt, so ist dieselbe sehr verschieden, indem sie zwischen 3 1 mi mehreren Werst ۰ Die Richtung der Spalten ist sehr verschieden. Wenn mehrere Spalten vorhanden sind, so liegen sie bald einander parallel, bald durchschneiden sie sich i in | den verschiedensten Richtungen. Was die Entstehung der Spalten betrifft, so bilden | sich dieselben plötzlich, erweitern sich, oder erhalten gleich ihre fortdauernde Breite, ziehen sich auch oft‘ zusammen und gefrieren hänfig auch in der Art, dass das offene Wasser in der Spalte gefriert, während die beiden Begrenzungsflächen des Querschnittes des Eises sich weder nähern noch berühren. Oft jedoch finden wir, dass die durch die Spalte von einander getrenn- ten Eiswände sich in einer Bewegung befinden, indem sie bald sich nähern, bald sich von einander entfer- nen, oft sogar sich so sehr nähern, dass sie sich be- rühren, wobei die Spalte sich schliesst, und durch den Frost die beiden Eiswände an einander festfrieren, wobei sich an der Berührungsstelle eine unbedeutende erhöhte Eiswulst bildet, welche ich mit dem Namen Eissaum bezeichnen möchte, Die Ursache der Spaltenbildung im Eise scheint meiner Ansicht nach vornehmlich in der Bewegung des unter dem Eise sich befindenden Wassers begründet zu sein. Wie wir oben sahen, friert die Ostsee nie- mals ganz zu, so dass man sagen könnte, dass nórd- lich von den Dänischen Inseln bis hinauf in die inner- sten Häfen des Bothnischen, Finnischen und Riga’- schen Meerbusens eine Eisfläche sich befindet. Im Gegentheil giebt es sogar Küstenstrecken, welche an ihren hervorragendsten Halbinseln stets vom Wasser bespült werden. Hier nun sind, wie im Sommer, die unregelmässigen Bewegungen des Meerwassers eine Reaction des Windes auf das Wasser. Im Winter tre- ten dieselben Niveauschwankungen des Ostseewassers auf, wie ich dieselben während mehrerer Jahre beob- achtet und beschrieben habe °’). ۱ Diese Bewegungen oder Schwankungen im Niveau des offenen Wassers theilen sich dem unter dem Eise befindlichen Wasser mit. Durch Hebungen des Niveau’s wird die Eisdecke aufs Höchste gespannt, bis endlich die Consistenz des Eises dem nach oben wirkenden Wasserdrucke nicht mehr widerstehen kann, berstet, wodurch eine oder mehrere Spalten sich bilden. Hier- bei tritt häufig Wasser an die Oberfläche, und es bil- det sich stellenweise mehr oder weniger Aufwasser. . Es ist dies jedoch nicht die einzige Ursache der Spaltenbildung, sondern wie J. 0. Deicke?) gezeigt 2) Bulletin de Acad. Imp. ge se. de St.-Pötersb., T. VI. pag. 957 — نت‎ ١ جود‎ S ES? [£y 187 Bulletin de l’Académie Impériale hat, gestützt auf seine am Bodensee angestellten Be- obachtungen, wird die Spaltenbildung im Eise auch noch hervorgerufen, durch: a) Temperaturunterschiede der Atmosphäre, «wo- durch das Eis ausgedehnt oder zusammengezo- gen wird»; b) durch «angehäufte, comprimirte Luft unter dem Eise, die einen Ausweg sucht». Das sicherste Anzeichen der Mitwirkung dieser Luft ist, dass man sehr häufig bei der Bildung der Spalten die verschiedenartigsten Detonationen unter und in dem Eise vernimmt. 8) Treibeis, Bei der Betrachtung des Treibeises in der Ostsee treten uns hier dieselben Erscheinungen entgegen, welche wir in allen Eismeeren zu beobachten Gele- genheit haben. Die Eisblócke sollen an unserer Küste die Hóhe von 5' über dem Wasser erreichen, was auf eine bedeutendere Mächtigkeit unter dem Wasserspie- gel schliessen lásst. Was die Bewegung der Treibeis- massen an unseren Küsten anlangt, so scheint, wie sich aus der Übersicht auf dem grossen Sunde zeigt, das Eis vorzüglich längs der Küsten von Moon und Werder sich zu bewegen, während das Treibeis weniger häufig sich in der Mitte des Sundes zeigt. Dies beruht je- doch wahrscheinlich auf einer Täuschung, indem näm- lich in der Mitte des Sundes eine Strömung ist, wel- che die Treibeisblócke sehr schnell fortführt, wührend derjenige Theil des Treibeises, welcher nüher bei den Küsten vorbeigeht, hier langsamer sich bewegt und daher länger sichtbar bleibt. Eine ganz besonders wichtige geologische Bedeu- | tung hat bei uns das Treibeis wegen des jährlich, na- mentlich während des Frühlings stattfindenden Trans- portes erratischer Blöcke, welche an secundärer La- gerstätte an fernen Küsten aufgethürmt liegen und durch das Eis zu uns forttransportirt werden. Die genaue Erörterung dieser Verhältnisse gehört jedoch nicht hierher. 9) Aufwasser, Das Aufwasser erscheint entweder plötzlich in grös- seren Mengen über dem Eise, oder es bildet sich all- mählich über demselben. Im ersteren Falle entsteht es entweder durch starke Regengüsse oder dadurch, dass plötzlich sich heftige Stürme aus Gegenden er- heben, wo das Eis von offenem Wasser begrenzt wird, und der Sturm nun Wassermassen auf das Eis führt. Diese Art Aufwasser erscheint bisweilen auch zu sol- chen Zeiten, während denen heftige Kälte herrscht. Die langsame Bildung von Aufwasser kann beinahe während jedes Frühlings beobachtet werden. Sie er- folgt dadurch, dass sich Spalten bilden, durch welche Wasser an die Oberfläche des Eises gelangt; hier an- gelangt verharrt es im flüssigen Zustande oder gefriert höchstens während der Nacht, um schon am Morgen wieder durch die erwärmenden Strahlen der Sonne in Wasser verwandelt zu werden, welche in die vie- len Luftblasen dringt, die wie eine grosse Menge von Pooren das Eis in verschiedenen Formen und Grup- pirungen, durch dünnere oder dickere Zwischenräume von einander getrennt, durchziehen. So verschwindet eine Zwischenwand nach der andern, es bildet sich immer mehr Wasser, und die ganze Eisoberflüche ist mit Wasser bedeckt, so dass die Passage vollkommen gehemmt ist. Das Eis wird morsch und brócklig, bis schliesslich ein Sturm es vollends zerschellt und fort- Auch die im Frühling ihrer Eisdecke entkleideten Landgewässer, welche ihr Wasser ins Meer ergiessen, wührend dieses noch mit Eis bedeckt ist, vermehren bedeutend das Aufwasser und tragen hierdurch das Ihre zum Schmelzprocess des Eises bei. ME La leuchtenbergite. Par le Duc Nicolas de Lot oh tenberg. (Lu le 31 aoüt 1865). La leuchtenbergite est considérée par certains wé néralogistes comme une espèce particulière; d’autres au contraire la tiennent pour une variété de la penniné (Des Cloizeaux et Nauman), ou de clinochlore, ou même pour une pseudomorphose de la chlorite et du talc. Ce sont ses propriétés physiques et sa composi- tion chimique qui conduisirent à cette divergence d’opi- nions. La composition chimique a été précisée par des analyses faites sur des exemplaires dont l'inva- riabilité de la composition n'a pas été garantie OG l’étude des propriétés physiques. Nous possedons deux analyses de la actin 1° de M. Kommonen'), faite sur un exemplaire évi- 1) Verband. d. Min. Ges. zu St, Petersb. J. 1842. S. 64. des Sciences de Saint- Pétersbourg. demment metamorphosé; la densité, la couleur et la petite quantité d’eau qu’il a donnée, le prouvent suf- fisemment; 2° de M. Hermann’) qui ne donne au- cune indication des propriétés physiques du minéral soumis à l'analyse et dit seulement qu'il a analysé une variété de la leuchtenbergite, qui se trouve en cristaux de la grandeur de pois implantés dans la stéatite. Nous avons fait plusieurs analyses de différents exem- plaires de la leuchtenbergite plus ou moins métamor- phosée, et en outre nous avons analysé un exemplaire que nous devons à l’obligeance de M. Kokcharow et que l'on peut tenir pour normal. Cet exemplaire qui a servi aux recherches optiques de M. Haidinger, a été pris dans les montagnes de Chichime, qui font partie de la chaine d'Oural. Les cristaux du minéral presentaient de grandes tablettes hexagonales. Leur elivage était facile suivant la direction perpendicu- laire à l'axe optique. Les lames séparées par le cli- vage étaient bien transparentes et présentaient dans la lumière polarisée les phénomènes des cristaux à un axe. Elles avaient l'éclat gras de la nacre de perle suivant la base. La couleur en était blanche ou lé- gèrement verdâtre. Elles étaient tenaces, mais peu élastiques et flexibles, presque comme le talc. Le mi- néral se laisse diffieilement réduire en poudre fine, qui est complétement blanche et onctueuse au ES cher. Une fois calcinée la leuchtenbergite devient blanche, garde son éclat, mais perd la transparence. Sous le microscope cependant on remarque que les feuillets les plus minces laissent passer la ۰ Au chalumeau la leuchtenbergite s'exfolie et se fond difficilement et seulement sur les pointes les plus minces. Elle se fond avec les phosphates en un verre legerement verdátre dans le chaud et incolore à là température ordinaire. La dureté — 2,5, la densité = 2,61 — 2,64. -. On remarque dans les lames de la leuchtenbergite ii eristaux de grenat (colophonite) et de petits cri- staux d'une couleur brun-pale, ayant le plus souvent la forme des prismes quadrilatéres. Leur longueur sur- passe rarement 0,14 millim. Ils paraissent. être épar- pillés sans ordre dans le minéral. Aprés avoir été cal- cinés ils deviennent brun-foncés, ce qui facilite le triage à Vaide. d’une forte im M. Kenngott a pat ER tp. Ch. XL. 1847. e as des cristaux octaédriques de fer oxydulé dans la pen- nine; nous n'avons pas trouvé de cristaux de cette forme dans la leuchtenbergite. Outre les cristaux prisma- tiques on remarque à l'aide d'un microscope (à 120 gr. lin.) dans les lamelles du minéral normal, ainsi que dans celles du minéral métamorphosé, des Mam d'une Fon- gueur qui atteint 0,3 millim. Ces lignes sont tantôt nombreuses, tantót rares, mais elles conservent tou- jours trois et quelquefois deux directions, se croi- sant sous un angle de 60? et formant des rhombes et des triangles équilateraux. Quelquefois leur nombre est si grand que la lamelle présente l'aspect d'un ta- mis. Ces lignes ne doivent pas étre des fentes, mais bien des cristaux aciculaires, peut-étre de la méme substance que les prismes dont nous avons parlé plus haut; on remarque que les aiguilles qui ont une cer- taine épaisseur sont teintes en couleur brun-claire, la méme que celle des prismes. Nous n'avons pas pu trouver ces aiguilles, de méme que les prismes dans aucune des chlorites soumises à l'examen. Les analyses que nous avons faites du minéral nor- mal nous ont donné moyenne oxygène SiO, 30,60 30,33 30,46 16,24 10,0 Bett 2,02 2,43 2,92 1,99 Ca,0 0,11 0,1] (oxydule 14,33 . 8,8 udo pent 34,64 34,59 ۱ ۸۱0, 19,63 19,85 4 9,29 5,7 HO 12,76 12,73 12,74 11,32 6,9 99,42 100,09 99,79 Nous nous sommes convaincus, par une expérience directe, que le fer entre en combinaison en “o d’oxydule. Ces analyses nous donnent la formule suivante: 5 Si'"O, + 2 AO, + 9 Mg"O +7 HO Cette formule exige 08/5. 5 EN 30,3 2 ۱ DR 20,6 MEO PAROI 36,3 TAS. 2 v3 12,7 99,9 Cette formule est identique à celle que M. Des Cloizeaux propose pour le clinochlore?) qui est un minéral à deux axes optiques. | Manuel de Miner. 1862. p. 446. -‏ رو Bulletin de l'Académie Impériale Nous voyons ainsi que la leuchtenbergite, d’apres ses propriétés optiques determinées par MM. Des Cloizeaux et Haidinger, appartient à la pennine positive (de Zermatt et d'Ala! et par sa composition chimique au clinochlore. Les différents exemplaires de la leuchtenbergite métamorphosée se distinguent du mineral normal et par les propriétés physiques et par la composition chimique. Les propriétés physiques varient en rapport aux quantités relatives des substances constituantes. - Un des exemplaires, analysé par nous (a), présen- tait de larges tables hexagonales juxta posées confu- sément les unes auprés les autres. Il provenait des mon- tagnes de Chichime du district de Zlatooust (Oural). Les lames étaient d'une couleur vert-jaune, flexibles, peu élastiques, d’éclat de nacre assez gras, transpa- rentes seulement quand elles possédent un certain de- gré d'épaisseur. Poussiére blanc-jaunátre, onctueuse au toucher. Dur. — 2,5. Dens. — 2,76 Les cristaux d'un autre exemplaire (b) étaient moins verts, mais plus jaunes, d'un clivage difficile, fragiles, de surface inégale, de peu d'éclat, de dureté plus grande, densité — 2,89. Aprés avoir été calcinés ils se broient plus facilement que a. Le phénoméne de la double réfraction est bien plus énergique dans a, que dans b; dans ce dernier il est à peine visible. On voit dans a et dans b les mêmes cristaux que dans le minéral normal. Pad le Marre ا‎ b paraît moins homogène que a. La différence dans les résultats des analyses prove- nait évidemment de la métamorphose plus on moins complète du minéral et non pas de la présence des grenats, car on éloignait avec grand soin toutes les lamelles qui contenaient les corps étrangers, soit gre- pat, soit cristaux brun-clairs. La quantité des substances dans les exemplaires de la leuchtenbergite métamorphosée soumis par nous à l'analyse variait ainsi qu'il suit: celle de l'eau de . . . . 10,75% à 9,30%, » » la silice de. . . 84,43. à 82,14 » » la chaux de 6,88 À 3,75 » » la magnésie de. 29,07. à 22,79 » » loxydedeferde 10.00 à 7,00 i » l'alumine de . . 18,60 à 15,30 TR on peu remarquer que la quantité de Na Jit et de chaux varie avec la magnésie, mais en pro- | — portion inverse; que la quantité de. lalumine varie comparativement moins; que plus le minéral est fra: gile, plus il contient de silice et de chaux, et moins d'eau. . D'aprés ce qui est connu à présent sur les a tés physiques et sur la composition chimique de la leuchtenbergite, il nous parait possible de considérer ce minéral comme une espéce particuliére, apparte- nante au grand groupe des chlorites. Über das Krystallsystem und die Winkel des Sylvanits, von N. v. Koksoharow, (Lu le M août 1865.) DenSylvanit oder das Schrifterz trifft man so selten in deutlichen Krystallen an, dass, ungeachtet der Mes- sungen der ersten V vitari n sein Krystallsy- stem bis jetzt noch nicht mit aller Sicherheit be- stimmt werden konnte. Mohs gab die erste Kunde über die Krystalle des Sylvanits, welche er als zum rhombischen Krystallsysteme gehörig betrachtete, obgleich er selbst von der Richtigkeit seines Schlusses nicht ganz überzeugt war). In der Folge sprach Gustav Rose sich schon mit mehr Bestimmtheit über diesen Gegenstand aus und erklärte, dass die Krystalle des Sylvanits entschieden zum monoklinoëdrischen Sy- steme gehören, «Die Krystalle des Sylvanits», sagt G: Rose, «sind von Mohs 1 und 1 axig beschrieben, «dedi vermuthet letzterer schon selbst, dass die von «ihm beschriebenen Krystalle Zwillings-Krystalle und «die einfachen Krystalle 2 und 1 gliedrig sein möch- «ten, eine Vermuthung, die durch die Messungen von «Phillips und meine eigenen bestätigt wird, Ich «habe kleine, aber sehr deutliche Krystalle gemessen; «die unzweifelhaft 2- und lgliedrig waren»?) Lei- der beschränkte Gustav Rose sich damals nur auf das oben Gesagte, ohne Resultate seiner Messungen 1) Mohs ‚sagt unter موم وه‎ «Es à ist ZEN? dass de auf Tig: weiter mitzutheilen, Dies is st wahrscheinlich der iis I «52 vorgestellte Krystall nicht einfach, sondern aus. zwei D dividuen = «in Pr + oo zusammi engesetzt ist, in welchem Falle die Combina- | «tionen hemiprismatisch sein könnten ». (Leichtfassliche Anfang | gründe der dro gt o des Mineralreichs, v. F; Mohs; zweitet - Theil, Wien, 1839, S. 2) Elemente der op von À Rose, — 1833, di erste Auflage, S. 1 & repe des Sciences de Saint د‎ Pétersbourg. aus dem fast alleneueren Mineralogen, als Haidinger, Naumann, Dana, Quenstedt u. m..a., ihm nicht gefolgt sind, sondern sich auf Miller’s Messungen stützen und den Sylvanit wieder als-einrhombisches Mineral betrachten. Vor kurzem erhielt ich, durch die Güte des Hrn. General - Majors Hofmann, drei kleine Krystalle (N° 1, N° 2 u. N°3), vermittelst welcher ich im Stande war mich zu überzeugen, dass das Krystallsystem des Sylvanits nicht rhombisch, sondern, wie Gustav Rose geäussert hat, monoklinoëdrisch ist. Zwei der er- wähnten Krystalle (Fig. 2 u. 2 bis, Fig. 3 u. 3 bis) sind einfache Krystalle mit dem wesentlichsten Cha- rakter der monoklinoëdrischen Combinationen. Der dritte Krystall (Fig. 1 u. 1 bis) ist ein Zwilling, und daher hat er, beim ersten Blick, eine gewisse Ähn- lichkeit mit den rhombischen Krystallen. Übrigens ist in diesem letzten Krystalle die Zusammensetzungs- ebene beider Individuen (Zwillingsfläche) leicht zu er- kennen nach der Nath, welche auf den Flächen b = (Pe) deutlich sichtbar ist. Fig 2. und 2 bis. Fig. 1 und 1 bis. Tome IX. Fig. 3 und 3 bis. Auf Fig. 1 ist der Zwil- ling ganz vollständig darge- stellt; derselbe war aber in seinem natürlichen Zustande nur am oberen Theil gut conservirt, der untere, mit welchem der Krystall an der Bergart aufgewachsen war, war abgebrochen. In den Sylvanitkrystallen: habe ich durch meine eige- di nen Messungen 12 Krystall- m formen bestimmen können: 4 monoklinoödrische Hemi- pyramiden, 2 Klinodomen, 1 ` Hemidoma, 2 Prismen und 3 Pinakoide. :Diese Formen f 6 sind unten nach den W eiss, schen und Naumann’schen Methoden bezeichnet. a Basisches Pinakoid. Nach Weiss. Nach Naumann. e BEIN. BEYER EOF | Orthopinakoid a t HELLO GOES UE Ps Klinopinakoid | b (eo aes e). tes tinh (»P») ‚Prismen. Mira (ooa: 0( ود‎ odis œP finik 2h Gables „SAN (P2) : Hemidoma. site jams Jub pe iii eyi D ۸ Klinodomen. H v OF UEC O (4 P») y (a : 560 10) 1,025 PORA Hemipyramiden. Eo: + (a:b: ¢). +¬) P2) 2. + (abit esr ss 45 (D. - ien — (a be on P Cip en A ET (P2) Die Formen s = + (4P2) und v = ( Po) sind nicht in den Figuren angegeben, weil ich dieselben 13 195 Bulletin de l’Académie Impériale l erst bestimmte, als die Zeichnungen schon vollendet | waren. Die Form s stumpft die scharfe Combinations- kante r und die Form v die Combinationskante : ab. Von dem äusseren Aussehen der Krystalle geben schon die Figuren einen deutlichen Begriff. Zuweilen haben die Krystalle ein mehr oder weniger tafelfór- miges Ansehen, was von der grossen Ausdehnung ei- nes oder des anderen Pinakoids abhängig ist. Die Kry- stallfiächen sind glänzend und daher zu den Messun- gen mit dem Reflexionsgoniometer tauglich. Die Zwil- lingskrystalle sind nach dem gewóhnlichen Gesetze der monoklinoédrischen Zwillinge gebildet, d. h. die Zwillingsebene ist die Fläche des Orthopinakoids a == eo Pe» (Fig. 1). Was das Axenverhältniss der Grundform anbelangt, so habe ich dasselbe nur aus den Messungen des Kry- stalls N° 1 abgeleitet, weil die Winkel, welche dieser Krystall mir lieferte, mit den berechneten, so wie mit denen, welche Miller erhalten hat, sehr gut überein- stimmen, dagegen die Winkel der beiden anderen Kry- stalle von den berechneten oft ziemlich stark abweichen. Diesen Umstand muss man der Unvollkommenheit der Krystallbildung zuschreiben. In der That, bei ei- ner guten Reflexion, wurde durch Messung erhalten: am Krystall N° 2 f: f= 56° 32 20 und M: M= 93° 45' 40", Wenn wir aber den ersten dieser Winkel als Datum annehmen wollen, so erhalten wir durch Rech- nung M: M = 94° 10' 14, also + 0? 24 34" Diffe- renz. Man sieht also, dass der Krystall N° 2, unge- achtet seiner glänzenden Flächen, nicht gut ausgebil- det war. Dasselbe bezieht sich wahrscheinlich auch auf Krystall N° 3. Aus diesem Grunde habe ich die Krystalle N° 2 und N? 3, bei der Berechnung des Axenverhältnisses, nicht in Rücksicht genommen. Vermittelst des Mitscherlich’schen Goniometers, welches mit einem Fernrohre versehen war, habe ich folgende Resultate erhalten: M: a (anliegende). 0 N°1=137°16 10 ziemlich. And. Kt. — 137 16 50 gut. png Mittel = 137° 16’ 30” 8) Die Grade der Reflexion der ie en werden hier durch die | : siemdich, BEN sehr gut bezeich M:a (über b). N°1 — 42? 48' 10" ziemlich. And. Kt. = 42 49 0 » Mittel — 42° 48/35” M: x (anliegende), N'1— 158°46' 20" gut. M :z (nicht anliegende). N’ 1 = 21? 18 20" gut. . M:f (anliegende). N’2 = 161? 22' 10" gut. M: f (über b). N:2 = 104? 49' 0" ziemlich. M: f (über a). N°2 — 75° 11' 10" ziemlich. M: c (über o). N'2 = 114^ 15 0" ziemlich. M:c (Complement). N°2 — 65° 46' 50" ziemlich. A b (über f). N°2 = 133? 7' 10" ziemlich. f:a (über M). N'1 = 118? 28'0" ziemlich. f:a (über b); N' 1 = 61? 37 50" ziemlich. f:5 (anliegende). N'2 = 151? 44 40" ziemlich. ` And. Kt, — 151 44 0 » N3-—1515030 » Mittel = 151? 46/23" f:b (über a). N'2 — 28° 17 10” ziemlich. 1۱۷۲5 ت‎ 98 1550 '» Mittel = 28° 16/30” f: f (über a). N’2= 56° 3320" ent ` N'3—56 24 0 ziemlich. Mittel = 56° 28 40" ` fif (über bh. N°2 = 123? 28' 50" gut. des Sciences de Molist: Piterabonzs, 198 fir c (stumpfe Winkel). N°2 — 105? 27' 30" gut. And. Kt. — 105 26 o ziemlich. N'3—105 23 50 gut. And. Kt. — 105 30 30 ziemlich. And. Kt. — 105 24 0 » Mittel — 105? 26' 22" f:c (Complement). N°2 — 74? 32' 50" sehr gut. And. Kt. — 74 32 30 ziemlich. And. Kt. — 74 32. 0 » N'3—74 34 20 » Mittel — 74? 32' 55" f:s (über c). N: 3 ع‎ 55° 32'0" ziemlich. x : a (anliegende). N’ 1 = 128° 31’ 10" gut. And. Kt. = 128 33 0 ziemlich. Mittel — 128?32' 5" 2 : a (nicht anliegende). N°1 = 51? 32'0" ziemlich. x : b (anliegende). N°1 = 134° 18' 30" ziemlich. æ:b (nicht anliegende). N'1—45?40'50 g:n (anliegende). N: 1 = 134° 40' 40" ziemlich. y:a (anliegende). N: 1 = 107? 18 0° ziemlich. y:a (nicht anliegende). N: 1 — 72? 43' 30" ziemlich. y : b (anliegende). N°1 = 148° 38’ 50" ziemlich. y: 6 (anliegende). N°3 — 121° 29 30" ziemlich. c: (anliegende). N°1 — 124? AU 10" ziemlich. c:a (nicht anliegende). N°1— 55° 24' 0" ziemlich. c:n. (Zwillingskante). N:1—74?44'0" ziemlich. ` ` c: 8 (anliegende). N’ 3 — 130° 8' 0" ziemlich. €: s (nicht anliegende). N’ 3 ع‎ 49° 56' 0" ziemlich. n:a (anliegende). N° 1 = 160° 40' 50" gut. n: a (nicht anliegeunde). N’ 1 = 19° 23' 0" ziemlich. 2 : a (über x, y und o). N° 1 = 99? 45’ 40" ziemlich. a:b. N’ 1 = 90° 0° 0" ziemlich. b:c. N° 2 — 90° 0' 0" ziemlich. Für die Grundform ist eine monoklinoédrische Py- ramide angenommen, mit folgendem Axenverhält- niss: a:b:c=1,773240:1: 0,888976 y= 55°21 30", wo a die Verticalaxe, b die Klinodiagonalaxe, c die Orthodiagonalaxe und y der Winkel ist, welcher die Klinodiagonalaxe mit der Verticalaxe bildet. i Ferner wurde erhalten: Nach Rechnung. 8 43" Nach Messung im Er. gt s:a— 96° s:b=134 35 48 s:c=129 47 40 | s:s— 90:48 24 Si PIE s:f=124 31 46 p 6m Nm نت و و‎ 99744 25700.525 271 99? 4g/* ^^ :و‎ —151 46 17 CHRISTUM 2:€ 22117 21 33 d siat eL 4 IIR Koss 0:0 —= 141 54 19 018 5103 28 21 07c——-132 26 51 5795-113 “9 19 "ec 0:M— 162 12 56 EL mE æ:a—128 24 ai, SELD 31 2:b= 134 28 24... weree lä 19 2:€—129 56 41 4m 91 314 2:M— 158 Mile d RTT 44 .. 13* 199 BuMeün de FAcadémüe Impériale — — — 200 din = 134° A. 1345 41' Fläche zu dem klinodiagonalen Hauptschnitt mit X, ef = 155 4353 2 zu dem orthodiagonalen Hauptschnitt mit Y und zum و‎ 2۵6 = 16059380: ee 160 39 basischen Hauptschnitt mit Z. Ferner, den Neigungs- n:b — 90.0.0 winkel der klinodiagonalen Polkante gegen die Verti- ae —]144 0 0 calaxe mit j.,. derselben Polkante gegen die Klinodia- ya 25107 19 18 در‎ :107 17 gonalaxe mit v, der orthodiagonalen Polkante gegen y:0 Tt 58 38: :::... .148 39 die CS mit رم‎ und der basischen Kante gegen ۷:6 —121 21 29 die Klinodiagonalaxe mit | PUER y:y — 62 42 44 Die Winkel der negativen Hemipyramiden werden via — 116 4 6 | wir mit denselben Buchstaben bezeichnen, nur werden vib —129 22 13 wir zu denjenigen Winkeln, die einer Änderung in v:c — 140 37 47 ihrer Grösse unterworfen sind, einen Accent hinzu- piv تست‎ 15.84 fügen. Auf diese Weise erhalten wir für die negativen Me 15913 90155. SOY UN 137 14 Hemipyramiden: X; Y; Zœ und v. Mil zs Lä, A, Nach dieser Bezeichnung erbalten wir durch ۰ 65 20 33 nung RS Werthe: o ارو‎ 114 39 27 و‎ — 4- (A P9). iaa ES 94 96 0 OX 4552419" Mu Yi 8351 17 Wa er 85 34 0 Z —50 12 20 GE | säi 38-53 t AUN NETT 9 51 v. 25. 59 37 . anliegende ; ۱ ef | | م‎ —45 4 34 ^fber ies 75 35 51 0-953 57702 Ir en 104 24 9 TRE über Ai — 1 -< 487 "d — 118 22 0]: 7. "DR JH 118 25 Y= KÉ 44 25 ES f:b =151 37 9 | Ze 502 4807 "71. edet 74 19 26 p — 110 57 9 E . . M05 40 34 vs 1341 Ë | fif em ‚56 45 42 ب 3733 26 = م‎ € über al" ges UTDE15: SS ET 1=123 14 18 "om P FAT : über bf Fe Fis X — 56*31' 39" | so- 55.98.14 derr Y gg 5 ati 7 iH ep —124 BON 124 30 Z= 47185 29 E. 907ات چ ار‎ el Ära ۳ — 19:21:80; ء‎ n ien Ty por dla v=36 0 0 | ; Vorausgesetzt, dass eine jede: TEE dot ree 26 37 33 [* Py ams zwei Hemipyramiden EECH Ris 41 3811 ist, einer positiven (über dem spitzen Winkel y) und | | s= (P3) x^ einer negativen (über dem n beier Y); 80 be- x 15° 31 36° er wie folgt. e, E WT ER allen positiven Hemipyramiden: die Neléung der SOAS. 13 19 X sot des Siciences de Saint- Pétersbourg. 202 ترا‎ 29^29' 5" Mecs 114285) eub. nodis 114? 39' 27" ges Ah A3 5 M:b189: 1641 eine 132 47 0 o 2 26 37.33 Ce 106 365. Lux ids 105 40 34 0 i5#:28:.:.07:52 fab 151 48 ارب‎ 151 37 9 nés Ps Freis 129: 68:40, اياون‎ 9 129 56 41 Y'— 19° 91’ 30” 2:0:25184 29... E eg 134 28 24 7—36 0 0 9gtb.os:148:9842 ياو ومنو كرا ل‎ 148 38 38 | „= (Po) 0 / " : sd e 7 Nachträge zu dem Verzeichniss der von der Kai- an serlichen öffentlichen Bibliothek erworbenen Chanykov’schen Handschriften und den da v= (4 Pes) mitgetheilten Nachrichten über die Baby und | x 50?37 47" deren Koran, von B.Dorn'). (Lu le 24 août 1865.) — Ta pnmum Bald nach dem Erscheinen des genannten Verzeich- رل‎ "89 22 78 | nisses ist Kasembek's in demselben angekündigtes M= ~P Werk über die Baby’) erschienen. Es ist aus den zu- X — 4713 0" verlässigsten Quellen zusammengestellt und giebt eine ۲ — 49 470 sehr vollständige Geschichte der durch Bab (de m f (P2) بباب‎ n ne und seine Anhünger in den Jahren X — 28? 99’ 51" 1844 — 1852 angestifteten Unruhen. Unter den Quel- Y—61 37 9 len wird unter anderen die neueste Geschichte Persiens: Um die Figur, welche Miller giebt, mit den mei: fð zu bringen, muss man seine Flächen a für meine c, n für mi für x, c für b, s für f und r für M annehmen. Um diese زر‎ Vergleichung zu erleichtern, füge ich hier die Fig. 4 von Miller bei, und neben mei- oo ru nen Buchstaben stelle ich die von Miller in Klammern. Auch stelle ich hier einige Winkel neben einander, welche Miller und ich ge- meinschaftlich erhalten haben. — ES Miller (berechnet). . CoU d T!‏ ود SÉ eg 90 H. dee IM y:c=121 26 ...-...... 121 21 22 deba Za و‎ A rt 117 17 16 wn Gees La 43... عو‎ meme te 140 37 47 OP سود‎ E 44 26 arte 194 BEEN 98 30 na [44 BE dur nigen in Übereinstimmung a^, m für a, f für v, e für y, Kokscharow (berechnet). | 90° 0 o" Nasich el- Tewarich a dl ناس‎ angeführt. Auch dieses Werk ist mir erst vor Kurzem unter den per- sischen D en zug geworden, welche das asiatische Museum aus Persien selbst erhalten hat. Gegen das Urtheil über die von mir in Barfurusch i.J. 1860 erworbene (kurze) Geschichte der Baby in Masanderan habe ich weiter nichts zu erinnern als was ich schon in dem ersten Aufsatze gesagt habe. Wenn 1 ۳ 252 8 | ich dieselbe also hier ganz mittheile, so thue ich das aus zwei Gründen. Erstens, damit man ersehe, welche . Einzelheiten, die sich sonst nicht finden, deren Rich- tigkeit ich aber keinesweges vertreten will, ein an- geblicher Augenzeuge angiebt und zweitens — und das ist ein Hauptzweck — damit auch der masande- ranische Text als ein Beitrag zur Kenntniss der ma- sanderanischen Sprache ans Licht komme. Der Mit- theilung desselben nebst Übersetzung will ich den Ver- lauf der Geschichte der Baby in Masanderan nach | Kasembek’s und Supehr’s Darstellung in gedrängter 1) Bullet. de l'Académie, T. VIII, S. 245. Mélanges asiat. T. V, 221 ۳ 2) Bag u Baómuu: Pexuriosno - moxwTWSecKim eur m Iep ein pt, 1844 — 1852 roxax». C. II. 1865. f 209 Bulletin de l'Académie Impériale Übersicht vorausschicken, damit dadurch die Sichtung der dort befindlichen Angaben im Allgemeinen erleich- tert werde. Es versteht sich von selbst, dass solches in Bezug auf die Einzelheiten nur durch eine Ver- gleichung ‚mit den beiden genannten Werken selbst geschehen kann. I. Hadschi Muhammed Aly, welcher sich schon (als Mudschtehid?) eine Berühmtheit in Masanderan erworben hatte, erklärte sich offen als Anhänger des Bab. 8. 62. In Barfurusch schloss. sich ihm Mulla Husain an (1848). S. 66. Die Besorgniss vor Unru- hen veranlasste die Oberbehórde von Barfurusch letz- teren zu bitten, die Stadt zu verlassen. Mulla Hu- sain nebst seinen Anhängern (gegen 400) ging dar- auf ein und zog sich zu dem Berg Sewadkuh zurück; sie lagerten sich am Talar-Fluss, etwa 30 Werst von Barfurusch und 10 W. von Schaich Tabersy. Als aber der Gouverneur von Masanderan, Chanlar Mirsa lje öls, abberufen wurde, kehrten die Baby in die Stadt zurück. Nun bat der Vorstand der Geist- lichkeit, Said el- Ulema, in Laridschan um Hülfe und etwa 300 Mann wurden von da geschickt. Nichts- destoweaiger verschanzten sich die Baby in einer Ka- rawanserai auf dem Sebse-Maidän und schlossen ei- nen friedlichen Vertrag mit den Einwohnern. S. 67. H. Darauf kam der Serdar von Laridschan, Ab- bas-Kuli Chan mit seinen Truppen und Mulla Hu- sain war froh sich mit seiner Bewilligung nach Aly- Abad entfernen zu können. Da damals die ersten Würdenträger sich nach Teheran begeben hatten, um dem neuen Schah ihre Aufwartung zu machen, so fand | Mulla Husain Gelegenheit sich in Schäich' Ta- bersy °) festzusetzen. S. 68. (Da kam auch Mulla Jusuf aus Aserbaidschan zu ihm). Obgleich Hadschi Muhammed Aly als das | geistliche Oberhaupt galt, so hatte doch Mulla Hu- sain die Leitung des Ganzen in die Hand genommen. 8. 69. Die Anzahl der Baby soll damals gegen 2000 betragen haben. S. 72. HI. Nun wurde Mehdy-Kuli Mies mh Masan- EEE ER Pest 3) 8 nach Anderen, 4 Farsach (dl. d: عم ورد‎ BR zur, 4 leichte oder 3 schwere Farsach) von Barfurusch. Ich konnte den | Ort wegen des damals in Folge des Regens verdorbenen Weges | leider nicht besuchen. Statt استانه‎ findet man auch مزاب‎ und .مضچع شیع طبریی -I ten suchen mussten.» deran gesandt, um den Aufstand zu unterdrücken (Dee, 1848). Er sollte die hesardscheribischen Truppen unter Mustapha Chan und die laridschanischen unter Abbas-Kuli Chan an sich ziehen. Aber er lag unthätig in dem Dorfe Waseks auf dem rechten Ufer des Flüsschens Sewadkuh. S. 74. IV. Da führten im Anfange des Jahres 1849 die Baby einen nächtlichen Überfall aus. Mehdy - Kuli Mirsa selbst rettete sich nur mit Mühe vor Tod oder Gefangenschaft; das Dorf Waseks wurde niederge- brannt; er selbst zog sich nach Sari zurück. S. 76 — 77, V. Bald darauf kam Abbas-Kuli Chan mit den laridschanischen Truppen an, welchen sich die afgha- nischen unter Muhsin Chan, die aschrefischen Schützen unter Muhammed Kerim Chan und die sewadkuhische Miliz unter Chelil-Chan anschlos- sen. Aber auch diese Truppen wurden in einem nächt- lichen Überfall geschlagen. Nur erlitten die Baby ei- nen unersetzlichen Verlust durch den Tod Mulla Hu- sain's, welcher schwer verwundet, starb (4. re 1849). S. 79 — 82. VI. Hadschi Muhammed Aly musste nun sich | wieder seiner Angelegenheiten selbst annehmen. Die Baby machten wieder einen glücklichen Ausfall und zerstörten einen grossen von den Persern errichteten Thurm, trotzdem, dass sich Mehdy-Kuli Mirsa und Äbbas-Kali Chan vereinigt und gegen sie in pene gung gesetzt hatten. S. 883 —86. - Ce VII. Nun wurde Sulaiman Chan N aus Teheran geschickt, als Rathgeber und Gehülfe für den Prinzen. Er griff die Sache mit Eifer und Kenntniss an. Indessen gelang es doch nicht die Baby mit Ge- walt zu bezwingen. Man beschloss daher sie durch Hunger zur Übergabe zu zwingen. In der That gin- gen bald viele derselben ins schahische Lager. über und baten um Verzeihung und Schutz, so dass nur etwa noch 300 in Schaich Tabersy zurückblieben, welche ihr Leben auf jegliche Weise zu fristen such- ten“). Ein erneuerter Ausfall blieb ohne Fe H ١ ۲ "X 4) cite (der i in dei بج‎ ER von Schaich Tabersy ets bliebenen Baby) Anzahl betrug jetzt nicht mehr als 300 M „Sie hatten durchaus keine Lebensmittel mehr und lebten von Gras | und | dem Fleisch ihrer gefallenen Pferde. Augenzeugen erzählten, dass die Babiden oft sich se in den pred der Mäuse und Rat bi ge cb de des Sciences de Saint- Pétersbourg. VIII. Hadschi Muhammed Aly, welcher wohl sah, dass er sich nicht länger würde halten können, suchte sich dadurch zu retten, dass er dem Prinzen vorschlug, ihn frei abziehen zu lassen, wofür er ver- sprach sich in Zukunft ruhig zu verhalten. Der Prinz |< ging darauf ein und die Baby begaben sich ins per- sische Lager. Kaum aber hatten sie da nach einem überaus freundlichen Empfang die Waffen abgelegt, als fast alle zu Tode gemartert wurden. Nur wenige ent- kamen. Man beschmierte 300 Mann mit Naphta und ver- brannte sie lebendig oder, nach einer andern Angabe (Supehr's), schnitt man ihnen den Bauch auf. Nur Ha- dschi Muhammed Aly nebst sechs anderen wurden zu öffentlicher Bestrafung aufbewahrt, welche in Bar- furusch an ihnen vollzogen wurde. (Juli und August a, St. 1849.) S. 95 — 97. (U^‏ کلام ش E p‏ مازندرای rom در‎ BE تسم‎ AS بابىرا‎ cu 2 ونه وجه اسم ره‎ ail SRE u safe qui‏ ول وتام z‏ (ولایات) گردش Je «il GE?‏ سال EX‏ روز y‏ شه پر د ی ریت e ZE ار جا 022 Gm‏ | بوردنه و Al‏ خوش del‏ بن که del së‏ مردم .رخ خوش e‏ مردم el‏ شينه ون eh‏ بيه که .مرجم tt‏ ف بلي 7 RA Medien‏ ES ix ET? Ge TAE‏ درغ كن | يمن هری اگ راسه که انها el rc‏ و گوس رهب Os‏ تخرین ES gät E inéné, been sie (ICA 1 9 dérnën ši. e, där&ng, sind. ve? .8 néchärin, städtisch: néchürin. bunc E Due‏ 9 لبان le,‏ نکشین dl Al‏ که .ونه جا,دویت Sr Ange DS) og‏ 0 er iria. qu EE ١ 4‏ ون( امن بابيّه سير ییاز نخردنه وقلیان نکشینه عرجى و گنه u‏ 2 ۱ ` t “ro, tr cy > e wi 87%‏ Dee 3. (439) بدی‎ exit بلا‎ E «s ان(‎ re باو X‏ 5 3 n?‏ & دز 5 Ké EE MN‏ بباردنه ais,‏ ون پیش وش ده تلف ر او بکنبه مدمه و Al‏ چه Y ul eub‏ نخس ی که وش تشر او cao‏ الل acto‏ باق دبکر انان TS ass‏ قبن cul‏ بای de‏ اکن اتو و de Al‏ این عبر بکوش ملاً قاسم بيش غاز p‏ ملآ قاسم sa‏ 3 ملعون نچس ai‏ كافر E e AE NEE‏ ee‏ .ابن كله(" دو E‏ کازهای * po» ru‏ از زاه 55 £55 بعکم ملآ قاشم ور در re‏ ها sf‏ 2 بوردة asp‏ ونه جا دوست an‏ ونه صراه بورده جنل وقت (" کی ی این EN‏ PES. zd‏ ها کردته و بوزده آت P ^ funus‏ or‏ داه d Sch‏ تأنه و در J^ is) bs‏ sf‏ ا ریت تا acol‏ تفز دیکر و وب T Éag os‏ piv Be‏ وشور di aiiis ur‏ بوزدنه که er DS‏ تبه آت as M‏ انمد dé Ok Sc = A‏ فروش ره شب kalian, masanl. Huss, |‏ )9 ی zwei‏ دو سه = deseh‏ )10 11( daue, AË po in wird. 12) bekschieh Ze bekeschieh. Bulletin de l'Académie Impériale ` خون: obs gor‏ بال فروش ul‏ حری بشنوسته PRO‏ üi راه د اشته که‎ as ege ات‎ Ge ple cl «d + - D a P 24 or ن‎ Za Or بیند وشون بکوشند مردم أت شو ات روز راه داشته بدينه‎ BH - „Ir 20,1 w we» e خبر بياردنه که بابی بیمونه‎ anao. do Jaco] ee = #0 م‎ - ec D. ش خر پالون‎ aia Slo در سبز میدآن در کالم سرا منزل‎ á #0 ٩ ct 4 a zr0r as? | 435) درنه مردم 4,9 ډو‎ e? ر ها کردنه ان‎ Lag dach ا سیب Get ei n" كالم‎ ol d, ib ed, جی‎ 4) 5 us 42 ای ی‎ Kj = Se Lei 0 م‎ Urbs بن‎ p وشون خر‎ du Gi خر با of Lo‏ به جفته OR‏ وشون جل fiet Gg‏ ae ied oli‏ ان as, ER‏ ها كرده 7 دشن da‏ lo ۳‏ کرده SE‏ رد ره RR cix ggl a‏ 3" y TONS‏ انور مردم بریثه و خوب säi‏ همه فرار ها گردنه عرچی.بیه قف هش نفر ) بلوشته ديكر یی نونه père‏ dig‏ كه و ديكز نکوشته مرد dm‏ هتفرن Ux d‏ بابىها بريته كه وشون خوب دلير 5 "WM‏ كه اسا وشون SE‏ مزه دارته اين مردم رک de‏ دې کی ت رزو اک موی ری پل کیا كه خوب جم ai‏ بوتنه LJ‏ بکوشتن من vii dl Lila‏ ee boa t‏ هاگره [نه] BES‏ تون euren a‏ عاگردن. هبه در بوردته خلق بارفروش به Zl deeg d‏ استشهاد. درتن Lo‏ گردته همه ملأیان با بارفر وش مبر عا کردنه de‏ "طرون b Ai?‏ بشتنه ا أل اقل بیته اشرت egen‏ E biönd, sie kämen; gewöhnlich jıڊ‎ biön, und vv beká- | | sc Wis ole, ee 1 a NT‏ سردار لارجون مس أى ال تا مه كاغل ت بل بريه » ونه كه نسل بابي ره بیری Fo‏ ز بالغروش Da‏ عاکنی آت كاغل ous (Lage aps‏ cl BIER‏ که ای dch‏ ۳ مه EK‏ بتو y auy‏ ونه oh‏ فمه A jas TEN EPT‏ "ارو وشن بیرون 8 کن EW Te E E OT R UNS‏ موه TX‏ بای سرد ار چا قرار ص | که دوا WË‏ He‏ رون 9 نوكن dl‏ u o 2 ت فته رون علوت عاگرده از بالغروش dën eu‏ Gab gt‏ منزل ها كَردنه سرد ار بره که Opis‏ بوردنه & طرش و هم شه E» lj‏ وشون مز ern‏ بورده در بیس elek‏ ریم هنزل ها aif‏ سردا A‏ وك بپزون منزل ها گردنه ET‏ نوم (نجه Ja ais‏ ef‏ كه gA oie‏ وون pl 9 ai ET‏ برسبه See‏ SÉ:‏ اکر شا خائنى اینجه Mc ud‏ y اا Aen e‏ مین a Ai‏ عا ph‏ CES‏ کون ار وتا ونه Man "uis uo Ji “x FUN]‏ u‏ بابی ها شه بوردنه تا ا : آذمون ue st‏ gi ver‏ شو زور به m ECH à‏ بریثه ot‏ "uie ue‏ وشون شه Rob‏ ره کشتنه سردار pl‏ Be‏ مپدی قلى مير زاى et?‏ شازده جان E‏ بزو که ما ان ابی “ما را بكوم ` 15) Der Serdar rioth Ihnen) nach dem Nasich 1 beatis | ihre Angelegenheit erst ausserhalb Masanderan’s in Ordnung ZU bringen und dann wieder zurückzukommen, Vergl. ob ben Ne um 16) Man sollte hier noch شه‎ erwärten. gef in dit der wë ^ d ا‎ e 2 LER henden Zeile befindliche دوا‎ ist = d, Ae, dede te) a Cena tbe chat ii des Sciences de Saint- Petersbourg. 2 وشون. wë‏ خو L‏ بیدان qui Lai‏ بوتنه دکننه باب دریم كه اکر ETS mm 2 DT ve‏ dès x. A Ab sl ors‏ از UE‏ قوت. ند انه شازده هرجه نوكر داشه همه ره جم ها كردة do‏ بورده eo‏ آت خل طبربی سرد ار بورده Cl Ges?‏ خل ذوكر e‏ عاکرده ای دو نوكر جم ها کرد ba‏ در شيخ verk‏ چند. روز eh doc sel‏ مشورت. عا كردنه كه چه كار ونه ul‏ بابی d‏ نوکر 5l‏ A JE‏ بکوشتنه شازده OL‏ آب 18 پل شازده JS së‏ بان طبر فا کن Us‏ صابر ون" ر دوست دارنه e ol éd‏ اکن که وشون خزا کی NN Gin op pas‏ نوت geil lag‏ بو اشازده de‏ بد, نوی صبر کمی وون go‏ شش ماه yes‏ ها گردنه U‏ ونون خراکی نام په دیکی ی aile‏ برد A‏ ونون Ui,‏ عا ارده بيه که ونون well‏ دار کلام uo‏ ر بغردنه An‏ كه دار كلام se‏ نوم به بنا ها رده CH oi Ja‏ دسه روز Jf‏ بخردنه برینه H af cai P Jf af‏ دسه تا خار خار اسب داشتنه اين آسبونر بلوشننه. لت اجن :روز - PE وشون ی کیت‎ LEE cay wel els ui ديكر‎ eu اسب پوس عم مام‎ orten A ترسیه‎ le كه رن عرجه فکر ها كردننه فکر شان‎ OS ره کہ ات شو ون شب عون زمں شون از‎ gel veel ve ذه‎ Ci ag sell هرجه‎ a فزار‎ | یه‎ urs EU a هثل‎ er بوردته وشو‎ bl ,پاباش‎ dé vas L Je ثه‎ de ل خشال‎ d Ze és بريه كه وشون بحت‎ mei دی ببنه که‎ Jus ونه عاكنيم شه کین در اين‎ Ke رنه اسا‎ Tome IX. که فرار انين Lil‏ وشوثر بمتشه حبين فا کردنه و خشیال wie‏ که ما آلان بابی 3 a‏ ی (ue)‏ خبر gel‏ پیموادر شغ طبریی بريه كه شازدههم: Je Sl‏ PETE OR on دربم‎ ol p Je ritus RO UNIT ^ Zeg Si > Jus ol a ونون همه از‎ EE noter شور نا نوات‎ Al E A Zu بزونه بس پس بزونه أن فردا حاجی مم‎ ES مین‎ al em بال فروش‎ yao AC A باون مر يدون همه‎ de Aal هنيک وميه روز‎ LA وشونوه‎ dl nca ده‎ SES, تماشا‎ Aa as که مردم. وزنان‎ azzilo بال فروش,‎ A ES je de ایاردنه‎ Zeil E dag نويت به حامی مم‎ da dE ده وشونر‎ fie 22 که ور بلوشین که این همه اناس‎ da برسیه أت‎ o jt 4 بوبه‎ = ais, lo. خون ناحق‎ oi REN" ادم ور بوه شازده بوي‎ De تلوشین که و بوون شن عسه‎ که من بونه ود زنده بورم طرون شاه پلی شاه بوینه که و‎ دی‎ OÙ, geg V بور‎ geg S sep #5) چلنری‎ EL ون نوم فاهلا جفر فلى نعیبه خون گنه و‎ Je ak چان با وه‎ D EE بوردنه‎ اکر‎ qid زنه هه‎ 2X aL اکر و دوه آما‎ ri? دوء يأ اما‎ 17) d. i. دسه‎ mr gg ۱ 14 se — 1 210 Bulletin de "T. MIS: 5 p 212 ee 7 -‏ ,شباره مرخص ee ملاها‎ oi LES بورین رز بابرین بورین‎ efle? dele Ei IE ar ee sh 5 UE Jal هتن که‎ sl ati lo نون‎ lis) nm ۳ dns‏ که ای Je 5 G RN‏ 9» برسه حاجی 10- UE ی‎ el سین‎ dose vi بوردته ته‎ *J alea. تیه ور‎ di :وین‎ use Pie o e e Da ع‎ -07 arg RSR بوردنه‎ La CE Ha el is m بارنروش‎ gli FE el —-— FEUX اد‎ ali بوردنه‎ bu. ون‎ sëch » JL درل‎ ais, En a E عبرت یه ونه نفن‎ M یه که و بعن از سه روز زنه بونه‎ lo, ob a icd تام ب‎ Cake نين همه دروم بيه ان‎ . Niemand wundere sich über die Ungleichheit und Nachlässigkeit in der Orthographie und fast allzu grosse Schmucklosigkeit des Styles. Der Aufsatz ist ein echt masanderanischer. Mag auch ein Wort in wenigen Zeilen mehrere Male verschieden geschrieben sein, das kümmert den Verfasser oder den Abschreiber wenig; er spricht e$ doch imnier so aus wie es ausgesprochen Men müss, 2. B... p بدی‎ = den, بی‌تسی.‎ er 107 Cen Le ون ,سعیل العلما‎ = ds, C U= ,ونه‎ des U. ,چن‎ 4» U. 423; vil 8. ČJ u. s.w. Bericht des Schaich- ul-Adschem — Ich will die Geschichte von den Baby 2) nieder- schreiben. Es war ein Mann in Tscheharsehembeh- 18) nádiné, giebt nicht. 19) desekke- tschàl — 7 er "ta 20) von táptünién oder däftünien, werfen ° 91) Nach der Analogie von Janseristen, مشاه‎ Papisten, wäre die Benennung «Babisten» wohl wicht zu verwerfen, Ich finde als Plur. lwh, el, A, und ob. Le , | nicht b ronds hervortritt; KM oin lien. den ich durch ù Dh: seinen Namen nannte man Ssalih. Er hatte einen Sohn, dessen Namen man Kele- Mendal; nannte, Dieser verliess in seiner Jugend sein La und reiste überall umher. Nach Verlauf viéler Jähre kam er eines Tages zurück und liess sich in. sein Vaters Haus nieder. Die Leute kamen sehr viel zu ihm und-gingen wieder weg: (d..i..man besuchte. ihn. sehr viel”). Er befand sich damals in so guten Um- ständen, dass dieselben den Leuten sehr wohl gefie. len; sie kamen ununterbrochen zu ihm. Da er sah, dass die Leute gern und viel zu ihm kamen, so be- rückte er sie nach und nach (indem er sagte): «ich bin der Mann Gottes, ich bin der Vertreter des Herrn der Zeit, und was ich sage, da hóret meine Rede. Diese Mullas; die da sind — was sie sagen, "lügen sie alles; aber was ich sage, sage ich recht»; ‚Da sprachen sie: «was du sagst, sagst du recht». Er sprach: «Knob- lauch ist verboten, esset ihn.nicht; Zwiebeln sind ver- boten, esset sie nicht; die Wasserpfeife ist verboten, rauchet sie nicht», Alle die seine Freunde waren, assen weder Knoblauch noch Zwiebeln und rauchten die Was- serpfeife nicht. Was er auch sprach — sie hörten anf seine Rede. Eine Nacht lud man ihn zu Jemand ein. ‚In jener Nacht war Tschelä-Plau *) zum Essen. Eras einen bis drei Bissen Plä, Da er merkte, dass in dem Plà Rosinen ”) waren, so ass er nicht mehr. Horan Ei ۲ 29) Später a, AM Memdaly d. i. We 4s | Es ist also hier nicht von Aly Muhammed d, i. Bab die Rede, wie man angenommen hat; s. 'Kasembek, $8, 2, Anm; 1( : nach Supehr ein - und nicht selbst Mudschtehid; val Kasembek 8. 62, Anm. 1. 15 vm 1 ۱ Lg Fer 28) Pers. piegi dien? dass es ohne. Butter und ohne Früchte ist, während يلاو‎ plôc gadek‏ كرك جلو plà, mit Früchten u. s. w. zugerichtet wird.‏ رل tschel ò vird.das Gericht genannt; wenn es zum andern Tag n‏ bleibt. CLS, كئنة ثلاى بارعون وکشمش‎ ue اش با‎ p5 bi raün:tschéló gónnénéj pelaé we SEIT gs we guscht ja kerk plô gónnéné: Plá ol Butter nennt man t$cheló; plà mit Butter, Rosinen, Fleisch oder Hühner nenüt man pló. Die Aussprache gónnéné habe ieh ۴ Muhammed Ssadik (s. erg Mou S. 441); andere hy H mehr günnéné, aber so, terschied zwischen 9 لا‎ VES nen ai 25) mamidsch; ند مه هه‎ le Sud bewohner gebrauchen dafür häufig mewis. Übrigens wird in zum Vorwurf ge “eh مردم پیش‎ = BETEN Nr ل‎ Ae ge: dust der Masanderaner. Es ist von sa plau darin unterschieden, بلا بی رعون un Nasich el- gangish M fra ES eine Ze, Moipnees. de Sainte Pétersbourg. 214 brachte u man Handwasser, and. setate es vor-ihn. hin. Er wusch nun mut der Hand auch die Lippe. Da spra- chen die Leute: «was hat er so gethan? war dieser Plá unrein, dass er mit der Hand die Lippe gewaschen hat?» Wiederum fiel das an einigen anderen Orten vor, und er that dasselbe. Einige, welche seine Freunde nicht. waren, sagten: «er ist gewiss ein Baby; wenn er es nicht. wäre, wie sollte er so handeln?» Diese Rede gelangte zu dem Obr des Pischnamas M ulla Kasim. Dieser sprach: ver, der Verfluchte, ist unrein, er ist ein Ungläubiger; ein Mensch, welcher Musulman. ist, thut so, etwas nicht; man muss ihn aus diesem Stadt- viertel vertreiben; wenn er in ‚diesem Viertel bleibt, so. richtet er noch viel Unheil an und leitet die Leute vom rechten Weg ab». Auf den Ausspruch des Mulla Kasim hin verjagte man. ihn aus Tscheharschembeh- Pisch. Er ging weg und jeder, der sein Freund war, ging mit ihm. Es verging eine Zeitlang, da kam er wieder znrück. Er wear einen Monat da, als man ihn zum zweiten Male vertrieb und er wegging.: Als ei- nige Monate verflossen waren und er wiederkam, ge- stattete man ihn da den Aufenthalt nicht. Er nahm daher seinen Wohnsitz in Pia-Kulah?). Mulla Hu- sain nebst einigen anderen war in seiner Umgebung. Sie waren da eine längere Zeit. Man vertrieb sie aber auch von da. Sie gingen daher fort, so. dass von ih- rem. Aufenthalte: keine Kunde. da war. Eines Tages brachte man die Nachricht, dass 500. Baby aufgetre- ten seien und die Absicht hätten, gegen Balfurusch””) einen nächtlichen Überfall auszuführen. Als die Ein- wohner von Balfurusen das hörten, nahmen. sie je Stöcke, Prügel und Flinten und besetzten jeden Weg, damit wenn. sie kämen, sde sie tödteten. Die Leute hatten eine Nacht und einen Tag geweglagert, als sie sahen, dass sie nicht kamen. Einen andern Tag brachte. man, die Nachricht,- dass die Baby auf den Sebse- Men gekommen seien, sich in einer Karawan- serai ^). festgesetzt, ihrer Esel. هیجوت‎ gunmen: 5 '96) So, Uu Pia - Kela, las mein 1 ECH 97) Unser Erzähler schreibt bald د بو‎ bald انب‎ rusch., Sé Masanderan selbst, findet man beide Aussprachen, je 25." gin, man „den? Namen | yon ,بار‎ Last," Waare, oder وبال‎ , Arm, (Car? 7798) Der grosse Platz in ون‎ auch ali: $ Y ge- | er RE am —— von en سوب‎ AM alter | if Di 3 29( b» Im RARES a. tet ee زوم‎ ; und: daraus eine Befestigung errichtet hätten, inner- halb welcher sie seien. Die Leute gingen nun dahin und sahen, dass da Baby und zwar innerhalb der Ka- rawanserai so zahlreich waren”), Nun las ein Knabe eine Handvoll -Brennesseln und legte sie unter den Schwanz. eines ihrer Esel. Der Esel begann auszu- schlagen.. Darüber waren sie (die Baby) sehr aufge- bracht. Mulla Husain setzte sich auf ein gutes Pferd, entblösste ein Schwert, nahm es in seine Hand und begann auf die Barfuruscher einzuhauen. Er hieb hier meder, ritt dann weiter und hieb dort nieder, und kam wieder hierher (d. i. er hieb überall um sich). Als die Leute sahen, dass er gut dreiu hieb, flüchteten sie alle. Wer da war, sieben oder acht Mann, tödtete er, Weiter sagte er nichts. Als die Leute sahen, dass er nicht weiter tódtete, fassten sie Muth und kamen nach und nach wieder zu ihnen. Die Baby salen, dass sie wieder Muth gefasst hatten und sprachen:. «jetzt ist es eine Freude sie zu tódten». Diese Leute, deren Kopf keinen. Verstand hatte, kamen nun eines Tages in grosser Anzahl zu ihnen. Als sie sahen, dass eine gute Anzahl da war, sprachen sie: «jetzt ist es eine Lust dreinzubauen; riefen: o Gott! zogen die Schwer- ter, warfen sich unter sie und begannen niederzuhauen. Da sie (die Barfuruscher) sahen, dass jene tüchtig drein- schlugen, wandten sie sich zur Flucht und alle liefen davon. Die Bewohner pon Bar furusch geriethen in die Enge. Sie setzten eine B 1 hrift?') auf, alle Mullas von Barfurusch drückten ihr Siegel darauf, mach- ten sich auf und unterlegten es in Terün (d. i. Teheran) dem Schah. Der Schalı nahm das Schreiben und las es. Er.schrieb. nun ein Papier an den laridschünischen Serdar: «o Serdar! wenn mein Schreiben zu dir kommt, musst du die Babysche Sippschaft festnehmen und sie aus Balfurusch treiben». Ein anderes Papier schrieb er für den Prinzen Mehdy - Kuli Mirsa: sg Prinz! wenn mein Schreiben zu dir, kommt, musst du alle Baby tödten; vertreibe sie alle aus a à | À ger: ۴ -3 30) Die Construction ist etwas enen? y : (dass) ۰ sie in- nerhalb jener Karawanserai so وح عنته)‎ : ^) voi seien (Pers. à ای ار و‎ hb 4. ex maschteh ER MES LR سرای‎ Be SE ist = وير‎ vo ; 31) 5 died ‘alle Umstände aus- 9 "EE d. 1 Lx AER, e BACH, | einandergesetzt und pee ler waren, d. i. durch die Siegel der Mullas. ` 14 215 Bulletin de l'Académie Impériale Kuli Chan Serdar nahm 800 Mann (Nuker) aus La- ridschün, welche nun nach Barfurusch kamen. Die Baby trafen mit dem Serdar eine Übereinkunft, nach welcher sie ihre Streitsache fortführen konnten"). Aber als die Baby sahen, dass jener (der Laridschaner) Kriegsleute viel seien, ihrer eigenen Kriegsleute aber nur wenige, zogen sie sich zurück, gingen aus Balfu- rusch und setzten sich in Schaich Tabersy fest. Als der Serdar sah, dass sie nach Schaich Tabersy gegan- gen waren, nahm er auch seine Leute und zog ih- nen dorthin nach. Die Baby hatten sich innerhalb des Schreines festgesetzt. Der Serdar nahm mit seinen Leuten seinen Standort ausserhalb. Sie blieben da eine Zeitlang. Da der Serdar sah, dass er auf diese Weise sie nicht vernichten konnte, schickte er Je- mand zu ihnen, welcher sprach: «wenn ihr hier blei- ben werdet, so werde ich euch tódten». Sie baten um Verzug. Als es Nacht ward, machten die Baby um Mitternacht einen Ausfall auf den unglücklichen Ser- dar und tódteten viele seiner Leute. Der Serdar floh und die Baby selbst gingen (ihres Weges). Die Leute des Serdars tódteten sich selbst unter einander. Als nun jene Nacht sich zum Tag umwandelte, sahen die Leute des Serdars, dass sie diese Nacht bis zum Mor- gen sich unter einander selbst getödtet hatten. Der Serdar schiekte nun einen Menschen nach Sari zu Mehdy Kuli-Mirsa: «o verehrter Prinz! nimm was du an Truppen hast, und komme, damit wir diese Baby vertilgen. Denn wenn wir sie nicht bewältigen, Der Prinz | zog alle Truppen, die er hatte, zusammen, nahm sie so werden sie alle Masanderaner tödten». und kam nach Schaich Tabersy. Der Serdar aber machte sich auf, brachte in Laridschün viele Truppen. zusammen”) und kam zum zweiten Mal nach Schaich Tabersy. Er sah, dass auch der Prinz viele Truppen gesammelt hatte und da angekommen war. Sie blie- ben mehrere Tage we und beriethen sich unter Nach der oben genannten Beschreibung von ER PE Laridschan 802 Mann reguläre und 164 Mann berittene Trup- ‚pen: E Sech اتفاق افتادم‎ LI T» or. رجان سەت‎ y P رجا ن عباستلیخان ب‎ Aere vij Arden BEER uoh, نظام‎ aus WH وفشتضل ودو‎ is Der District von Laridschan soll 85 Dör- 3s ghi X زوا‎ E fer enthalten. Das frühere Lahidschan ist ein Versehen X HM Spia nicht Schlecht», antworten, einander; was man thun müsse (indem sie sagten): «die Baby haben von unsern Truppen viele getódtety, (Da sprach Abbas Kuli:) «o verehrter Prinz! lass et. nen Angriff zu». Der Prinz sprach: «o lieber Serdar! gedulde dich; Gott liebt die Geduldigen ; gedulde dich nur so lange, dass ihre Lebensmittel ganz ausgehen; sie kommen dann zu ihrer eigenen Erhaltung von selbst; dann werden wir sie alle ergreifen und tódten». Der Serdar erwiederte: «o verehrter Prinz! du hast nicht schlecht gesprochen بز‎ wollen wir uns gedul den». Sie geduldeten sich fünf bis sechs Monate, bis ihre (der Baby) Lebensmittel ausgegangen waren. Sie hatten nichts mehr zu essen. Da überkam sie so eine Hungersnoth, dass sie alle dortigen Baumblätter assen. Als sie sahen, dass alle Baumblätter zu Ende waren, begannen sie Erde zu essen. Sie assen solche einige Tage hindurch. Als sie sahen, dass die Erde ihnen schädlich war, und sie ein paar gute Pferde hatten, so tödteten sie dieselben und assen einige Tage hin- durch Pferdefleisch. Als das ausgegangen war, ass man die Haut. Als auch die Häute alle waren, hatten sie nichts mehr zu essen. Was sie auch erdenken moch- ten, ihr Nachdenken führte zu keinem erfolgreichen. Ergebniss. Zuletzt sprachen sie: «wollen wir eine Nacht einen nächtlichen Überfall gegen sie unterneh- men. Sie werden aus Furcht vor uns fliehen; was da sein mag, das werden wir für uns selbst nehmen, weg- . bringen und essen». Als es Nacht ward, und schon ein grosser Theil der Nacht vorbei war, kamen sie, welche wach geblieben waren, alle aus ihrem Stand- ort heraus und schlichen sich ganz leise in pes Perser) Mitte. Da sie sahen, dass sie nicht wac waren, waren sie des sehr froh und sprachen: jet wollen ‚wir alles, was zu thun ist, selbst ausführen». ` Sie waren in diesem Wahu, als jene alle aus dem Sehlafe wach wurden, o Gott! ofen sich mitten unter die Baby warfen und viele von ilen tödteten. Diese hat- ten vor Hunger keine Kraft zu entfliehen; jene er griffen | sie (daher) und setzten sie fest. Sie waren darüber | sehr-froh: «wir haben jetzt die. Baby gefangen genom- ~» | men». Sie wussten nicht, dass noch sehr viele dort | drinnen- (in Schaich Tabersy) waren. Sie waren einige Tage ruhig. Jene (die Baby) nahmen in Folge. der 93) d:i. gut. Sagt man einem Perser; ‚so und so sei guit, so wird er häufig nicht, ja, eg Weier بل‎ ES be 133 5.485. 217 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 218 liningerslioth Hadsehi Memedaly (mit sich), kamen heraus und gingen aus freien Stücken zu ihnen (den Persern). Die Leute. des Prinzen nahmen sie fest und tödteten sie alle. Einige aber liessen sie übrig, um sie naéh Balfurusch zu bringen, damit sich die Bewohner an ihnen erlustigen kónnten. Als sie sie alle festge- nommen hatten, waren sie sehr froh. Sie bethaten sich. dazu die Trommel zu schlagen. Sie schliefen jene Nacht bis zum Morgen nicht, indem sie immer: die Trommel:schlugen und die Trompeten bliesen. Am Morgen nahm man Hadschi Memedaly mit seinen Anhüngern allen; und zog nach Balfurusch. Die Be- wohner von Balfurusch kamen truppweise und be- schauten sie. Man hielt sie einige Tage lang daselbst, damit die Männer und Frauen alle kämen und sie schauen kónnten. Als alle sie recht beschaut hatten, nahm man sie und zog in den verschiedenen Stadt- vierteln herum. Einige, welche Freunde hatten, wur- den von ihnen losgekauft und weggebracht. Als die Reihe an Hadschi Memedaly kam, sagte Einer: «tödtet ihn, denn dieser war-der Urheber des ganzen Aufstandes, dass man so viel unschuldig Blut vergos- sen hat». Ein Anderer sprach: «tödtet ihn nicht; er ist ein guter Jüngling; es wäre schade, wenn Jemand | ihn tödtete». Der Prinz sprach: «ich muss ihn leben- dig nach Terün (Teheran) zum Schah bringen, damit der Schah sehe, was er für ein Mensch ist». Da sprach ein Anderer: «nimm ihn». Wieder sagte Einer: «nimm ihn nicht». Da war ein Mulla, den man Mulla Dscha- far-Kuli Taabieh Chün®) nannte. Dieser ging mit einigen Mullas zu dem Seyidu:Lemä°). Sie sprachen: «hochwürdiger Herr! entweder muss Hadschi Me- medaly sein oder wir müssen sein; wenn er sein muss, werden wir uns selbst lebendig tódten; wenn wir sein | müssen, müssen wir ihn tödten»! Der M sagte: «ich entlasse euch; gehet, nehmt ihn, bringt ihn weg und tödtet ihn». Da sprachen jene Mullas: «der Prinz giebt ihn ühs nicht, damit wir ihn tódten». Da schrieb der Seyidu-Lemá eiu Papier: «oPrinz! sobald mein Schrei- ben dir zukommt, musst du den Hadséhi Memed- aly geben, damit ihn die hochwürdigen Geistlichen gr Sobald der Prinz das Schreiben des Aka sah,‏ بت E ۱ AT 8 pel doe der ` Fa) 2 M i lah kä uhr‏ e Ra (C9) تعبیه"خون‎ (); Pen gielt امه‎ | e لک را‎ D af cupo: er gab er ihn ab. Sie führten ihn hinweg um ihn zu tód- ten. Sie brachten ihn zu dem Seyidu-Lemä, Dieser sagte: «ihr habt ihn (wieder) zu mir gebracht, was thut ihr? nehmt ihn, tödtet ihn». Alle Bewohner von Bar- furusch kamen zusammen, und führten ihn auf den Sebse-Maidan zum Tode. Da war eine solche Menge, dass sié ihn nicht tódten konnten. Sie tödteten ihn also stehend. Seinen Kopf nahmen sie und tragen ihn gerade durch den Basar herum. Alle Leute nahmen ein Beispiel daran. Seinen Leichnam verbrannten sie, nahmen (die Überreste) und warfen sie in den Teich. Die Baby sagten: «er wird nach drei Tagen wieder lebendig werden». Aber ihre Rede war eitel Trug. Diese Geschichte ist zu Ende: Ausser dieser Erzühlung liegen mir noch zwei an- dere kleine persische Gedichte vor, welehe von den Baby handeln. Aber sie sind so mangelhaft und schlecht geschrieben, dass deren Mittheilung nicht gerechtfer- tigt sein würde. In dem einen wird Muhammed Aly (due) دلی‎ E inpet geschrieben und دون‎ Le genannt: میم دلی‎ eb سك دون‎ eb .اقاى‎ Dasselbe beginnt so: Gren A in n Saal NU x ob u "اباب آنن 2 بلن‎ uch in der pers. Beschreibung Asterabad’s, Ma- sanderan’ و‎ u.:8.W..(s. Reisebericht S. 469, b) u. 499, 12) findet sich eine kurze Nachricht über das Auftre- ten und die Vernichtung der Baby in festen 7 N° 1 der Zandsshrißen. Der et der Ve Wir finden in Kasembek’s Buch und im Ne: sich el- Tewarich folgende Bemerkungen hin- sichtlich dieses Werkes: . N HHS? In einer Zusammenkunft Bab's mit den Ulemas zu Schiras in Gegenwart des Gouverneurs (1844) ant- wortete.er auf die Aufforderung des letzteren, die Ule- más überzeugend zu belehren, ‘worin seine Lehre die | des Koran’s übertreffe: «nehmt. meinen Koran, ver- gleicht ihn mit dem Koran eures Frog ropheten, dann wer- det ihr finden, dass mein Koran beredter und besser ist als euer Koran und mein Glaube | die Religion eueres Propheten aufhebt. S. 14. Xp m die pri laus d... Nasiehel-Tew. äi" ۲ g د‎ Le m3 " MX PLE DU S | Bulletin de t In einér andern Zusammenkunft in Tebris (1848) soll Bab auf die Frage Hadschi Mulla Mahmud's, wodurch er beweisen kónne, dass seine Lehre die wahre sei, «durch. meinen Koran» geantwortet und auf den Wunsch der »Gegenwärtigen . einige Stellen! aus ihm vorgelesen. haben. Diese gereimten Bruchstücke, nach dem Muster des wirklichen Koran’s ‚verfasst, sollen sehr; viele grammatische Fehler enthalten haben, S. 25; vergl. S. 29 u. Nas. el - T. 4) u. 5). , Unter dem Volke ging das Gerücht, dass Bab den Koran so schnell verfasste und schrieb (z. B. in einer Stunde tausend Zeilen oder. Verse [vergl. S. 5 und Nasich el -Tewarich 1) uud 5)]), dass der mensch- liche Verstand es nicht begreifen konnte. Seine Jünger | + (und er selbst) gaben das für ein Wunder aus. Dieses falsche Gerücht ging, wie K. meint glauben zu müs- sen, daraus hervor, dass die Jünger des Bab aus Schmeichelei oder Politik den Worten Bab's vielsei- tige Bedeutungen beilegten, indem sie behaupteten, jedes seiner Worte enthalte tausend Gedanken, und so galt jede von ihm geschriebene Zeile für tausend Zeilen. Seyid Husain selbst war ein seltener Schnell- schreiber; in einem Tage sclirieb er ganze Hefte voll sinnloser Phiten: welche mehr Wiederholungen von einem und demselben Gegenstände‘ als irgend etwas Zweckdienliches enthielten. Dieses wurde dem gemei- nen Volke als eine geheimnissvolle Schöpfung des «Wunderthäters » Bab mitgétheilt. «Das Exemplar des Koran’ 8, welches sich bei mir befindet, muss auch | zu diesen حون‎ M pied 8. 169, ws 1) u. Nas: el- T. 5). In dem dem Bab zugeschriebenen Koran fand án sembek sehr wenig über seine Ideen und seine Lehre, «Wenn wir von dem «Koran des Ba b» sprechen; kommt | uns blos der eine Gedanke bei, dass Bab, auch während seiner Einkerkerung, hin und wieder den Phndebung| seiner nahen Jünger, des Seyid Hasan und des Seyid Husain nachkommend, es unternahm neue Satzungen | seiner Lehre aufzustellen und vielleicht auch etwas | niederschrieb». Aber die Hauptarbeit in der ersten Re- daction des sogenannten « Korau's des Bab» gehórt nach | K's Meinung namentlich diesen beiden Anhängern des Bab; weshalb'man nach diesem Koran das eigentliche Wesen. der Lehre des Bab selbst: nent وی‎ köme. 8: 1 69 — 170. «Wir haben aus ihm (dem Korän) nichts EEE können, àls die den Babiden versprochene Herrschaft über die ganze: Erde, die ihnen eingeprägte Lehre von der Vergótterung des Bab und aller «Buchstabenu-dér Wahrheit» (d. i. der Heiligen, Verkünder und aller opfermuthigen Befórderer der Lehre des Bab) und des- gleichen». S. 184. | Ferner fand Kasembek in seinem Ener ei- nige Stellen, welche auf.die.Lebre von der haie wanderung hindeuten. S. 187 — 188. Ich habe aus dem Exemplare der Kaiser]. fanit, Bibliothek den Anfang mitgetheilt und zwar genau sn wie er in der angeführten Umschreibung steht, ‚also auch mit den Fehlern. und: Unebenheiten . zi D S. und a ge 3 u. s. w. Und hierzu vergleiche mân‏ فى ءر die Auszüge aus dem Nasich el-Tewarich, aus wel- chen hervorgeht, wie Bab selbst nichts iuf solche, nach seiner Meinung geringfügige Sachen gab. Nach jenem Anfange kommen unter anderen "+ folgende Abtheilungen vor: so sibl canal: Si Au und "Es سم المسكن وله ارم مراذب‎ CPI A فى الأول > الله‎ Jl باق فی خلق میدتکم‎ zul J odan وبقدر أن‎ al لك‎ ون بامره‎ Vie di Pu dj) Js تفر ون.‎ | 1 = | etos e jb "fang يعي ل كم ف‎ cll » ut A | | الغ‎ CMM M À Pr ae Wl ف بر‎ = vg GE بسم الله‎ JUI في‎ Jd. من الشهر‎ NS اثالث‎ EYE o ات الاول‎ el ^in اسم‎ Ser AS من‎ alf ui 3 ره لا ال‎ NI Jm dl الاول بسم‎ à مراتب الأول‎ d Lol AE kA d m hr ER rn " ai » >: فوق‎ ne [FE DAE pc? | رف معرفة‎ SR مر من‎ cl 221 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 222 — A‏ تتنعتون ولا" تقصرن .نيأ بكم لتخرجن عن حب الذين Le,‏ الارض Le A‏ تسمون انفسکم من المتقين ولا al‏ | نون حتی بقع Je‏ الأرض ونكره انفسكم او نفبن قل علمكم 4j]‏ خب كل CE‏ ان انتم ابا قد Ais‏ اللّه تعملون قل ان ّه قل oil‏ فى کل الوان ope eil‏ ان" تلبسون قل :نما البیضاء للمسبون والصغراء لاعامدون hell,‏ للموعدون de ee CU TAN,‏ ائوار Ag‏ هن انواز عزه asl.‏ نزل فا v phot‏ یا اوإلى التقوی يتقوى: الله OS‏ Al بسم الله الالبس الالبس الغ فلك‎ QUI à gu coms À ns gt وناك‎ وما مننت به على‎ Suse et ei Sech ثم خلم‎ Bis d هب‎ Cali, bla قمصك‎ Bilan خلقك‎ alle E‏ فى الرضوان من حرش الابتش الى قن خلفته من ee‏ قن als‏ من Jp‏ d Sec‏ من oi ail le‏ خلت من نور ei j| dues‏ من vil Aus‏ الذی a. ail‏ نور 3,5 és, «uon CH Nr P‏ نت صب ual d‏ خلم dal.‏ امن الیم کل فيص Se‏ . d رداء عکومتك وعظيتك‎ KA والبسنى‎ RT ra spe الالب‎ AN بستم.‎ ll A CJUI rd ach Gi ets Fine a Go CR EN "Jo AN P E J ۳1 Ke el EI er” At وجرذية‎ Ze جوفرة‎ bel قل‎ | جليلة‎ Sc, بليعة‎ Bi de JS pe رفيعة‎ ei منيعة‎ übe ab Las | 87 Vergl. Bull. und nu asiat, an den betreffenden Stellen. ` dall Su Lai ME Ss JI all‏ الرابع Al,‏ من" الشهر الرابغ والقشز من aul‏ قل U) el el Bee‏ کان de Gu CU‏ Kat eue s teg eet ومكتونا. فوق‎ H ta قوق کل شی وكبنونا هن کل شی‎ وشتاد‎ dell Jess delt Js Jd کل شی‎ وظهاز الظهراء وماع‎ Lull Joss JA D الشزداة‎ ROF EI تاشن البطشا: وغلاب الغلبا وملك‎ du الکبراه ودرا الف ازا‎ LES, LE Le, النصراء‎ Et ele الغنياء وجواد الجوداء وزقاب‎ de, Ed dän القدماء‎ dos, "d EMI وملال‎ Jos) SEI A SE ومسان‎ dë AN Au, dekell Aar UD, AL الکرما:‎ ls LU) JE, السناء لك الاسماء المسنى بجوعريها‎ لا ایک کت لها‎ Y, -ما انغزت لنفسك صاحبة‎ - وخلقان کل‎ AE d ni وربان‎ Jus والهان کل شی‎ dés >‏ ورزقان J‏ شش w EPUM‏ وبرعان $ i‏ وحفظانی وحفظان K‏ ب شى ) ورفعانی ورفعان A : Je‏ M‏ البيان ومن هعه gik‏ فن الث به علما il Wi‏ ید من uie‏ الله d‏ سور ders‏ سم ay‏ € ll‏ فل Al al y‏ الله Ab ll‏ وام Al‏ ولم يکن له كفوا NON‏ على “le‏ السیلام ثم تلك ]43 abl)‏ موب فبها ams all gl Ale‏ ان | All‏ لله رب العالين ثم d‏ الك لاعسن ثم اية النور لاعسين فاذا DE‏ فى > تلل الاسیاء الخيسة فانه تسعة Gagie‏ وان a all‏ قن ختدرا نی ذلك الباب فى الهاء ثم خلقهم الله فی ENTE sl‏ Bulletin de l’Académie Impériale الرابع فى الرابع بسم الله الاختم. d ll‏ فاشور ob‏ aba‏ البیان نی ذلك ,الظہورا قد “sl aile ab‏ وفوا اسم البابية بعن ما ان del K‏ المستى له وقن اعطاه الله بعند CI‏ 2 ستون وخسة كل واحدة منها ae ze‏ لمن يتعقلها الأول الأيات ثم الناجات ثم الخطب ثم العلم ill,‏ ثم جواعر اشارات الاعجمية us Dol‏ الوجود من ذلك الباب مناك LUI US)‏ واما عبن ما اردنا ان ze‏ الفرقان قن صبرنا y‏ الها Been‏ كلل قول Sel‏ وعلى وفالية gl d‏ ec,‏ وانتخبنا من, الغرقان خيس el.‏ عند.ضبه الاولن di ue‏ الذى لم يتخت D‏ ولم ین له غريك فى al‏ ولم يكن له Ja‏ ¿ له ولی من JI‏ وکبره تکبیرا الغ الباب الأول من الواحن الخامس والعشر الع فى معرفة اسم الاکر والامكر قل الله امکر فوق کل ذى امار انيه (Xs ماکرا‎ ES اکان‎ Die übrigen Abtheilungen ds ersten Kapitels sind: | I. Kap. الول‎ re cw glo gai — X. Kap. — ب الدرم انس‎ t ا‎ XI. » الواضع..‎ — gol ved — ZE الاو ای‎ XII. » yall —‏ — ب اطع + à‏ 31111 all — abili‏ بالمببيض — انض — .» XIV.‏ الوزر ١ا‏ — الباق ge‏ ب البوم » XY.‏ کی حب Jul.‏ یبدا رده 32d]‏ اجنیا .» + EL‏ alle‏ — الرس ج اليو villt,‏ خر ا ٠‏ 1/713 ct E | deai‏ A TE AA e‏ ا 114 چ all — ell‏ ار ب الموج للب العرض — الملين = XIX,‏ dall] — d] A e Eine Nachricht über den in Rede eee kai finde ich schon bei Wright, Bäb und seine Secte in Persien *), und in Binning, A Journal of two years! travel in Persia, Ceylon, etc. London 1857. Vol.L - $. 404. The Bã; according to this account, gave out [that he had obtained possession of the ten lost sec- tions of the Koran, which (as I have previously ex- plained) the Sheeahs suppose to have been suppressed, and that these new found chapters leaded to abrogate änd alter much of the sacred books, in its now uni- | versally acknowledged condition. Unfortunately for their pretensions, the sections in question, having been | examined by competent judges; are pronounced to. be ‘a manifest forgery, consisting only i in a miserable imi- tation-of the style of the Koran, composed in indiffe- rent Arabic. The followers of the. Báb are however perfectly satisfied as to their genuiness and authenti- city, and hold the Koran, as it is, to be incomplete | for salvation. 38) Zeitschr. d. D. m. Gesellsch. Bd. v, S. 884: Er dictirte "i nem Schreiber etwas, das er seinen Korán nannte, und die arabi- DES AU ع‎ EE ee | IV. » —3,73] — SD. — 314) حت‎ m AT an V.» gs quum yii VE و‎ ee eui) ic JA Ala "VE. » Jh الوبق سف الور‎ pc Laus leid 9x‏ لی t5 و ا88‎ all LCH ii schen Sentenzen flossen so schnell von seiner Zunge, dass viele der Personen, veli "Zeugen davon waren, ١ a in n rirt hielten. des Sciences de Saint- Pétersbourg. Aus dem Nasich el-Tewarich lasse ich endlich die oben angeführten Stellen hinsichtlich des Koran’s des Bab folgen. 1) (Bab sagte ferner:) در اذان واقامه‎ بقبة الله بکوئین‎ lose ان‎ oil نام مرا داخل كرده‎ e, 2‏ بافم Gab‏ ميكرد ومیکنت ابن از خدای :بن فرود شله وقرآن Uns cl ¿ u”‏ آن كلمات | از Jeli‏ عربيت بيرون بود sr m‏ فراوان داشت بعضی از مردم ele?‏ بيرون میشدند وان غلط را باز مینمودند در . جواب. ميكفت Lys‏ در حضرت PLL Ge‏ ,بود وتاکنون بران کناه ماخوذ وحبوس بود اينك بشفاعت من Km‏ شل بس اکر مرفوعی را روز با مفتودى را مکسور بخوای tros P ds TE‏ نایستاد كفت اکنون دين كمال يافت وظهور حق نام sell pesi ok‏ شنم ر :مين de,‏ على SS? ec? HN posés‏ دوکس بودنل m ol En‏ منم ازين روی نام من على بل است oss, H‏ اورا ur?‏ Cole خرق‎ dir ot ec e o له بیغیبران‎ AN | Ca, Ca, d ck نمودثل - دز‎ Liste, کردند‎ كفت برعان LS‏ من مقالات من است ازين اقزون Ali vers pof‏ بوذ که سن ba‏ هار یت edis‏ سفن ete ef‏ ری Bu * "jy Ke dem Verhör zu Schiras wird unter Ande- rem angegeben: حمل باب باول نوی‎ re, lp نس‎ ډارابی‎ Ae وسیل.یعین پسن سين‎ del در‎ Le بجلس‎ ii از لان میرن‎ GL: ملق‎ Ee کردنل بی درس وبیی باب‎ ue وجون آغاز‎ من بيكسوى عمى شويل ومة بعت‎ Cell] از‎ Li وکفت جکونه‎ als ol مرا فرض نمی شتاريل ازان پیفبر که شربعث,‎ en من‎ SE éL ذل ارد‎ VM در ميان شما جز ز قرآن‎ e آن است ودين من‎ Ae ee ly cat, سین نان سر بردانت‎ — del figo o? ii dod eb: که‎ voll نبكو کفتی ونیکوتر ازين:‎ | hls s olor of تا ركس‎ M a t urit sh M. EE A o Zi Tome IX وغلطات 9 را él‏ بك باز نودند ابن uu n‏ خان روی بدو کرد Caf,‏ با ایتکه هنوز لغظی چند را نتوای تلفیق کرد:این.جه باوه دزائن GE‏ بن خاتم اانا فضبلت نبی ودره رعات خودرا ہر TORS EUX‏ باری تفضيل دعى باب در جواب Aus dem Verhör zu Isfahan: Laf‏ )3 اكز .خوامی كشف 0000 واكرنه SKL‏ los‏ بر asio‏ رقم Dos m‏ حشن كفت امر توراست ها en‏ وی جل Py Surat‏ میت ر وبنکارش TR Silay‏ هنكام که uu‏ وخوردنی .لنش ميثهادنل سطری جنل بنگاشت jia‏ حسن برداشت ونظاره كرد ach blo caf,‏ عنوان کرده وحدی ودرودى. اورده وکلمانی es Jis‏ رقم زده واز انعه ما خواسته یم ey,‏ را LE‏ نکرده سفن در led‏ مال À‏ جون Oe ER‏ طراز Aus dem Verhör zu Tebris:‏ )4 شل نخستن نظام LA‏ سفن کرد وروی باباب کرد وا (*این کتابها که بقائون قران جين Li m "t lee,‏ less Alb‏ ایزاق Ls‏ کته الم ایا از LA Gg‏ ات با شمارا افتری ef‏ اند باب دز جواب Cas‏ این كلمات از خراست نظام العلما Cas‏ سخن بلغز Lee‏ کزدن دربن #لس وانچمن m‏ تخواعل بود الع نظام LA‏ vi‏ م ا بی pi‏ فران وحدبت ol,»‏ لا وهم قزآن بی de‏ نجو وصری ومنطق ومعانی ules‏ وغير ذلك نشود — de 5 ^ Lë‏ صری بیان SCSI‏ del‏ طرف در ayo‏ تلمل كرده ام SL,‏ در دزد من حاضر نيست Jd‏ (باب) كفت هم أكنون من كرامتى از خویش كويم كه )5 بدين هرا ecd‏ نیکوکاری Ri Jib‏ آن کل ام js (1848) in Persien « für den 39) Aus dieser Stelle geht hervor, dass Bücher oder Schriften verbreitet waren, w Bab ausgegeben wurden. Es ist schade, d etersb. Exemplaren keine anderen nach sein scheinen. In Persien selbst e | | verborgen sein, aber die Furcht f halten zu werde: wird ihre B وعد أب ع‎ es zu sagen. Auf jeden Fall würde der Besitz noch ein EE he gs ht t | ; Exemplare, vg DE hinsichtlich der en den Koran des beid Bratzel ا‎ vel. Polak, p Th. 1.8.3 Bulletin de l’Académie Impériale ps anf : ^ Kë cn Je من دودی‎ 25 aM این خن ابصرق باش انكارنركان ابسيارس که ازين افزون‎ af : من درل qaa‏ سكو ر Aal ۲ I‏ d هنور‎ ur ad, کرد این نكام عنکام‎ cs دولت فرمود‎ dall, خد ای‎ Asl. بود‎ 443 p) Bah SP EPR „ia B 029942 n وروی پاباب کرد وفرمود اين‎ * Le à كنى‎ Léi As ومزدم عامه را تا‎ Diese Angaben werden dem Mirsa zu Gute kommen, von dessen Umschreibung ich in demV erzeichnisse eine Probe mitgetheilt habe; hat ja Bab selbst gesagt: «wenn man also einen Nominativ als Genitiv, oder ein mit Fatha (a) versehenes Wort mit Kesre (i) liest, so ist das kein grosser Schaden», und hat er doch auch in dem Spruch (vgl.Sur. XIII السموات(2,‎ ai ر فع‎ SET Al اگم‎ "- SA; السیوات رو‎ und - 23], gelesen. Er giebt selbst | zu, dass ihm die Grammatik völlig fremd sei. N’ 2. Ibn Hadschar. Vergl. Hadschi Ch. T. VII, | S. 609 N° 5. el-Baghewy. Vgl. Codd. Hafn. S. 48, N' LV und Ródiger, Zeitschr. d. D. m. G. Bd. XIII, S. 226. N* 6, b) 1. 45,2». Mahmud ibn Abdul-Kerim. Ich habe | in dem Aufsatze die Nominativform beibehalten: Sohn des Abdul-Kerim u. s. w. Gewöhnlich und auch zur Vermeidung von Missverstündniss bes- | : ser: Abd el Kerim, so auch N° 32: Muh. ben | Abd el- Ce 48, c): Abd-Allah, 127: Ibn Abi'l- Kasim لقاسم‎ SEN al u. S. w.; Mead N° 160, i; 161, p u. vw). N° 9. s. Catalogue, S. 86, 5) u. S. 215, Tu N' 14. Beha-eddin Amely; cf. de Jong. Catal. $8. 257, N’ 184. Mehren, Codd, Hafn. N° VI. Ca- TEA S. 238 — 240. Das Ce ist in Persien gedruckt. N*.31, ei, s. Catalogue, N’ CLII; 1). N° 32. s. Catalogue, N° CCXXIII, S. 202. Gedrücht e zët Persien, N° 52. Es sind sieh türkische Gedichte darunter; Ich theile den Anfang einiger Gedichte mit. ı50 » Mittel = 112° 1 12” NI (über 0). N 9= 131° 8'15" gut. s:u (anliegende). N°? 1 = 157° 38' 15" ziemlich. And. Kt. — 157 38 50, sehr gut. Mittel — 157° 38' 33” ER (Complement). N° 1 - 4 "30" ‚ziemlich. And. Kt. — 22 21 0 sehr gut. And. Kt. = 22 22 0 gut. E 22° 22 30” m: ie (ego) E1‏ مب فد "a c (über o. N° 8— 90°0'0” sehr gut. €: € (über s). N° 1 = 90° 0 0” sehr gut. And. Kt. = 90 1 10 » And. Kt. — 90 0 0 » Mittel — 90° 0' 23" Diese Messungen stimmen in überraschender Weise mit einander überein und beweisen, in welchem Grade bisweilen die Natur den Forderungen ihrer Gesetze entspricht. Wenn wir die Verticalaxe mit a und die Horizontal- axen mit b und b bezeichnen, und wenn wir die Nei- gung z:c— 123? 1 50" als Data für unsere Berech- nungen annehmen, so werden wir für die Grundform folgendes Axenverhältniss erhalten: a:b:b — 1,08758:1:1 und ferner: Nach Rechnung. Nach Messuug. CC. @ D m 0 , " oa 2 و‎ Pott |= IUT NT ER ای‎ 107? 15' 45 (a 113 56 20 edge 3 eie ele \= DE لل‎ ia. 66 3 45 v:e | = 123 و‎ 0. 123 1 40 anliegende Lim Le 146 5810.. paida 146 58 30 anliegende T:9 | 38: RRE, wk 33 0 30 über c £i = 126 21 27 E 14i RR... LM send | SE | 55 114 p 44. sus oda 5 7 ec >A ele ona 49 MAS. ; 0: = 166 18/367 000923 155 1750- anliegende N CR Les 106 34 ET 155 34 30 anliegende Ko lz 181 "RTS ET 131 815 ber o ps s:b Ce TEE 1۳ } — 114 25 55 ih, Bi dE 119 91 9.428 aena 2130 lege 1 2 bk. 2 aS u pe = 44 42 mE eg E 33 38 11.167" ...51 38 157 = | وم 85 : E ‚29 20 wur: 22 22 30 übere ` à Æ emt os ‘de 6 eg Y. 29. 5 " 236 Bulletin ' mp Bezeichnen wir in jeder: ditetragonalen Pyramide: die normale Polkante mit x, die diagonale Polkante mit y und die Mittelkante mit.z, so erhalten wir fer- ner durch Rechnung: EP; i 1x = 3 98.994 à m 107176 iz —56 58 10.: ,,z — 113,56 20 _ 0 <<: . Ly = BO? 1277... 7 ه‎ 2 4 ۱, هط‎ ==65.18 86 iz 1ج‎ 30 2 EG رد‎ E ee LE RER ay = 72 59 39 Ke 149 99 18 12-67 38 01 " 222130 17 42 band Et iG e 6 ۶ د‎ 1260 5212 iy — [1.33 54 y—143 748 Aus allem oben Angeführten ist es nicht schwer zu ersehen, dass die berechneten Winkel fast vollkommen mit denen, welche durch unmittelbare Messungen erhalten wurden, zusammenfallen. Es scheint mir da- her, dass das von uns berechnete Axenverhältniss für die Grundform dasjenige exsetzen.1 muss, welches bis | jetzt im Gebrauch war. 2 Carl, Es wurden yon mir vier schöne Chrysolith - Kry- stalle (N° 1, N°2 u. s. w.) aus unbekanntem Fundorte, wahrscheinlich aber aus Brasilien, gemessen. Diese Messungen stimmen auch sehr gut unter einander überein und bestätigen vollkommen die früheren, von W. y. Haidinger ausgeführten’). Fig. 2. 2) F. Mohs, Leichtfassliche Anfangsgründe der Naturgschichte des Mineralreiches, Wien, 1839, Zweiter Theil, S. 3 Um meine Messungen zu veranschaulichen, ist hier Fig. 2 (horizontale: Projection) gegeben, welche die Combination eines der gemessenen Krystalle darstellt, Vermittelst Mitscherlich’s Reflexionsgoniometer, welches mit einem Fernrohr versehen war, wurde er- C e:n (anliegende). N'1—144?14^30" gut. N'4—144 15 40 ziemlich. Mittel = 144? 15 5” A DHA e:n (über c). "N' 4 = 35? 45' 0" gut. e:e (über c). . N° 2 — 71? 81' 80" gut. And. Kt. — 71 29 30 .» N'4—71 30 0” ziemlich. Mittel = 71? 30' 20" e:e (über d). N° 2= 139°54" 0" sehr gut. And. Kt. == 139 54 30 » Mittel dz 139°54 15 ~ 6:0 (anliegende). ` N°2 — 159° 5750” sehr gut. And. Kt. = 159 56 30 » UN' 4221595720 — 75 Mittel 15995577313" ۰. = e:d (nicht anliegende). N’ 2 = 77° 48 30" gut. And. Kt. — 77 46 0 sehr gut. N'4—77 43 20 ziemlich. Mittel — 77 - ne 4 (über 7). N'2—85?19' 0" sehr gut. 598 And. Kt. — 85 18 40 e LB Mittel = 85° 18/50" ` © ech (anliegende). N2=137 > 20 0" ziemlich. A Ee KE nin (über 57 : SCT N° 3 = 49° 550” ziemlich. © nis (anliegende). | N° 1—161°59 40” ziemlich. d:d (über c). N’ 4 — 76? 53/40" ziemlich. 237 7 3 87 4 ۶۰8 ^ des Sei | de Saint = Pét zm. He - Wenn man für die-Grundform (rhombische Pyra- wide € — P) folgendes. Axenverhältniss annimmt: هد‎ 0,586658: 1:0,466031 (wo die Verticalaxe mit a, die Makrodiagonalaxe mit b und die Brachydiagonalaxe mit ¢ bezeichnet ist), so er- hält man c=oP, n sc, s= &P2, a= Ps, E epo, LE? Px, mm on d= Pe, e= P, {= 2P2, und ferner: Nach Rechnung. ` ` Nach Messung. er E 144? 14' 40"... 1144? 15' 5" anliegende 6: | — 38 45.90€... 90 45 0 über c f e:e PSP ag gAs] en 30 40 ..... 71 30 20 Ce Xs ۱ i t | = 139 54 0۰ 139 54 5 e:e Ss i =: | = 85 1796 .١ . .. 85 18 50 e:d | = 159 BALL = 159/57 13 anliegende à 8 dl o7 pieni EDS nr ETT 2 SÉ sl n e éi e:b E 137 21 17 <. CIST 8 anliegende nn age Hi Ce 49-58996—.... 49 55 0 vds ohm: 1620008 e 161.59 0 ea en 38 .11.... 40 بت‎ | = 0 5538. 76 53 0 ی‎ vein. stisli mi دام‎ Es wurden von mir zwei sehr. schöne Nephelin- Kryställe vom Vesuv gemessen, welche ich von mei- nen a E Freunden Sartorius von Wal- sd tershausen und = EE ET ee TB Rauch erhalten ` Umdiese Messungenzu ` verauschaulichen, wird نت . mittelstdesMitscher- ١ lich’schen Reflexions- „goniometers 1 mit einem Fernrohr wurde Fol- "gendes erhalten: „ hierFig.3 gegeben. Ver- ©: m (über y u. 2). N’ 1 = 134*57 0 sehr gut. And. Kt. = 134 520 gut: N°2 = 134 5 0! » And. Kt. = 134.5. 30. ziemlich. And, Kt, 134 5 D gut. Mittel = 134? 5/10" x:x (über c). N’ 2 — 91? 48' 20" ziemlich. x:x (Polkante). | N’ 1 = 139? 17' 0" sehr gut. 17: (anliegende). 0 N° 2 = 161?23' 0" sehr gut. y:m (über 2). N° 2 — 152° 42 10” sehr gnt. And. Kt. — 152 41 0 ziemlich. And. Kt. = 152 42 10 gut. And. Kt. = 152 40 50 ۰ Mittel = 152° 41’ 33" y:y (über c). | N° 2 — 54° 35° 20" sehr gut. 1 y : 2 (anliegende). N’ 2 = 167? 10' 0" sehr gut. y: (über x). N° و‎ — 150? 10' 10" gut. w:m (über x, y und 2). FÉ. r N°2 — 122°,49 20 ziemlich. : 4 And. Kt.— 122 50 50 bd ët jecit "Mittel = 122? 50' 10" kc u:2 (über und y) | Bo T s N'2—1372010 gu. | Ms z:m(anliegende). , "Se N’ 2 IERT 30 0" biles E And. Kt. تحت‎ ۰ E; pia And. Kt. = 165 28 20 ۰ ۳ ۰ - Mittel = 165?29'3 un“ wo 2:2 (über CR =} N° 2 — 29900" zje ih r:m (über u, z, y und 2). 0-8 ۳ 116002 E oies 239 Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Siaint - Pétersbourg. ——— And. Kt. — 115 47 50 ziemlich. And. Kt. — 115 53 40 » And. Kt. — 115 54 0 » Mittel = 115?52' 0” r:r (über c). N° 2 = 128? 18' 30" m :m (anliegende). N° 2 — 120? 0' 0" sehr gut. And. Kt. — 120 0 0 » Mittel = 120? 0 0" m : b (anliegende). N° 2 = 150? 0 0" sehr gut. Wenn man für die Grundform (eine hexagonale Py- ramide) annimmt: a:b:b:b= 0,838926:1:1:1, so erhält man, c = oP, m = œP, b = «P2, r = 4P, u=4P,2=P, y=2P, z=4P,t=2P2, und ferner: ziemlich. Nach Rechnung. Nach Messung. ats | = 134° 5'22”.....134° 5'10” Cr aa e... 91 48 20 ا‎ 1690400 1.189 17.0 undae |= 161 23 24 .....161 28 0 yim | 152 4158 .....152 41 33 Kä Je 6436 ۰ 54 35 20 Ain | = 167 1018 .....167 10 0 y:* SIN e 150 10 10 ir, ۵۱۱۰ 192 50 10 al, A, | = 187 1982 ۰....187 21 0 mig e J= 165 3145 .....165 29 37 Au. = 28 66 29 0 0 ger Sne 1155097 115 52 0 ۳۰۲ O} 128 18 0 AS |]— im 0 0.18 0 100.0 بو‎ 0-8 4. Dioptas. In den Dioptas-Krystallen von Altyn-Tulee, in der | Kirgisen-Steppe, habe ich die Neigung der Flächen in | den Polkanten des Grundrhomboëders (Spaltungsrhom- | boöder) R = +R gemessen. Für die Messungen wur- den acht Spaltungsstücke angewandt (N° 1, N° 2 u. s. w.) Die Messungen selbst wurden vermittelst des Mitscherlich'schen Reflexionsgoniometers ausge- führt; die erhaltenen Resultate sind folgende: R:R (Polkante). N’ 1 = 125° 53’ 20" ziemlich. N’2 = 125 59:30 » N°5=125 56 0 gut. N 4= 125 55 0% e N°5—125 55 0 ziemlich. N' 6= 125 55 0 » N’'7 = 125 52:30 » And. Kt.— 125 49 0 » N 82-125 55 30 » Mittel = 125° 5419" Demnach habe ich fast denselben Winkel wie Breit- haupt erhalten. Dieser Gelehrte hat nämlich gefun- den = 125° 55'0" 3). —————— Qo — .— — BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. - L'Académie a reçu = ses dernières sail les ouvrages dont voici les titres: Verhandlungen zwischen Senat und Bürgerschaft im Jahre 1863. Hamburg 1864. 4. Hof- und Staats-Handbuch für das Königreich Hannover auf das Jahr 1861 — 64. Hannover. 8. Rupp, Theophil. Aus der Vorzeit Reutlingens und seiner Umgegend. Reutlingen 1864. 8. Jahrbücher für die Landeskunde der Herzogthümer Schles- wig, Holstein und Lauenburg, herausgegeben von der S. H. L. Gesellschaft für يله‎ he ب موسيم‎ Geschichte. Band VII. Heft 1. Kiel 1864. 8. Preussische Statistik, herausgegeben vom k. statistischen Bureau in Berlin. VI. Die ei; 4 des nördlichen Deutschlands im Zeitraum von ape — 1863. Berlin 1864. 4. 8) Schweigger — Seidel's Journal, 1831, Heft 6, S. 221. : — dr Paru le 15 oetobre 1865. T. IX, N°3. : AT. ki ` { موا جا‎ wx AN ir ا‎ ۳9 AR PTE Te vas à Sr RS EEN es EA o i BULLETIN DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. TOME IX. {Feuilles 16 — 27.) CONTENT, F, J. Wiedemann, Rapport sur un voyage exécuté en 1865 dans l'Esthonie et la Livonie, pour l'étude de la langue ehste......................................... 241 — 243 A. Morawitz, Quelques observations sur les Hymenoptères appartenant au groupe des Ürnbronmidem nen ia nenn nee مع‎ ren ذه‎ a Kd e UR ER 243 — 273 . Ed. Brandt, Sur une carotide particulière de Pelias berus. (Avec une Planche.)....... 273 — 279 J. F. Brandt, Quelques mots sur l'extermination de la Rhytina .................... 279 — 282 Henri Struve, Analyse de plusieurs bronzes antiques et d'objets en fer, trouvés en Si- bone coc و ا‎ apis deus [۱ nhe nne 282 — 289 Dr. I. Knoch, Sur l'embryologie du Bothriocephalus proboscideus. (Avec une Planche.) 290 — 314 ` Dr. € Schmidt, Etudes hydrologiques. Les eaux salines sulfureuses de Stolypin...... 315 — 331 A. Nauck, Remarques critiques. IV. .......................................... 332 — 406 J. Fritzsche, Sur les hydrocarbures solides tirés du goudron de Boule. douces sd 406 — 419 R. Lenz, Observations magnétiques dans quelques points des côtes de la Finland et ` ee eue همه ماه همه مه موم هم هه ماه و‎ hers e ad 419 — 6 Etat du personnel de l'Académie des sciences au 1 janvier 1866.................. 426 — 432 Dillatin BIDOU e اع مم‎ rie rennes لع ع ممه‎ AERE 432 —aH2> ——— — On s'abonne: chez MM. Eggers & Cie, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l'Académie (Kowurers Ipaszenizs Hwneparopcexoi Axanemiu Haerz) et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. 3 Russie, abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour 8 Le prix d’ 3 thalers de Prusse pour l’étranger. Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. d (V ass.-Ostr., 9° ligne, N° 12.) K F, j 5 BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOLRG. Bericht über eine im Jahre 1865 zu linguistischen Zwecken nach Ehst- und Livland ausgeführte Reise, von F. J. Wiedemann. SS le 7 septembre 1865.) Da meine diessjährige Reise nur den schon früher angegebenen Zweck hatte, nicht sowohl neues Mate- rial zu meiner Arbeit zu sammeln als für das schon früher gesammelte theilweise Bestätigung oder Berich- tigung zu suchen, so kam es mir dabei weniger dar- auf an neue Gegenden zu besuchen als vielmehr nür einzelne Personen, von denen ich hoffen konnte, dass se mir zu meinem Zwecke behülflich sein würden. Der einzige früher noch nicht besuchte Ort war das Pastorat Rauge in Livland, an der Südgränze des Werro-ehstnischen Dialekts, das ich von Werro aus besuchte. Von Werro, wo ich mit dem Dr. Kreutz- ` wald mich besprach, ging ich nach Dorpat; wo ich am längsten, gegen vier Wochen, verweilte, theils um eine Anzahl ehstnischer Bücher durchzugehen, welche unserer Bibliothek fehlen, in der der gelehrten ehst- nischen Gesellschaft sich aber vorfanden, theils um mit Hrn. Jannsen zu conferiren, dem Herausgeber einer ehstnischen Zeitung und einiger kleineren Schrif- ten, denen ich für mein Lexikon viele Beitrüge ver- danke, Von dort ging ich weiter nach Pernau, wo ein früher schon gewonnener Freund, der Buchbinder Jürgens, eine Sammlung interessanter und mir zum Theil noch ganz neuer ehstnischer Ausdrücke für mich bereit hatte, die sich besonders auf Fischerei und den in Pernau florirenden Flachshandel bezogen. Ausser- dem konnte er mir noch einige ehstnische Schriften mittheilen, die ich weder hier noch in Dorpat gefun- den hatte. Dieser merkwürdige Mann geht nämlich mit anerkennenswerthem Eifer darauf aus, bei seinen geringen Mitteln sich eine vollständige öhstitieche Bi- bliothek anzulegen, und obgleich ihm dazu natürlich noch Vieles fehlt, so hat er dagegen wieder Anderes sich zu verschaffen gewusst, das man anderswo kaum mehr finden möchte. — Die Weiterreise aus Pernau nach Hapsal machte ich mit einem kleinen Umwege Tome IX über das Pastorat Goldenbeck. Eine Anzahl Wörter nämlich, welche bisher in den Wörterbüchern figurir- ten, hatte keine andere Autorität für sich als die vor etwas mehr als zweihundert Jahren erschienene Gram- matik nebst Wörtersammlung des alten Göseken, und da dieser damals eben Pastor in Goldenbeck gewesen war, so hoffte ich manche dieser alten Wörter, für welche ich bisher nirgends bei dem lebenden Ge- schlecht Anerkennung hatte erlangen können, hier doch vielleicht noch lebend zu finden. Bei einigen war diess allerdings der Fall, so dass ich meinen Ab- stecher nicht ganz vergeblich gemacht hatte, den grös- seren Theil aber muss ich nun wohl für veraltet und gänzlich aus dem alltäglichen Gebrauch geschwunden betrachten. Von Hapsal aus besuchte ich noch ein- mal auf einige Tage die Insel Dagó. Von den hier durch den Pastor Sengbusch mit ausserordentlichem Fleisse für mich gesammelten und nach Petersburg gesandten Wörtern und Redensarten bedurfte Man- ches noch einer mündlichen Erläuterung, und daneben gelang es mir noch unmittelbar von den Bauern selbst ` Eins und das Andere zu erfragen. Von Reval aus, wohin ich aus Dagö und Hapsal mich begab, machte ich später nur noch eine kürzere Fahrt nach Baltisch- port, wo ein bei der neu gegründeten Ehstenschule als Lehrer angestellter —n junger ie mir behülflich war. Über einen ansehnlichen Theil der bisher mir noch dunkel oder unsicher gewesenen Wörter habe ich mir so Aufklärung verschaffen können, und wegen des Restes habe ich mich noch schriftlich nach verschie- denen Gegenden hin gewendet. Trotz dem wird immer noch einiges aus Schriften oder Wörtersammlungen unbekannter oder schon verstorbener Personen Her- stammende dunkel oder unsicher bleiben, aber ich glaube nicht, dass es nôthig sein wird den Abschluss meiner Arbeit deshalb noch länger aufzuschieben. Was auf keine Weise hat aufgeklärt und gesichert werden können, gedenke ich deshalb nicht eben auszuschlies- sen, sondern nur als unsicher oder wahrscheinlich ver- 16 213 Bulletin de l'Académie Imperiale 244 altet zu bezeichnen. Ich habe mich daher auch schon daran gemacht, mein gesammeltes Material zum Drucke fertig zu machen, und sobald ich die Hälfte als fertig der Classe vorlegen kann, würde, glaube ich, auch der Druck begonnen werden können, da ich während des Druckes der ersten Hälfte die zweite in's Reine bringen könnte. Einige Bemerkungen über die Crabro -artigen Hymenopteren, von August Morawitz. (Lu le 21 septembre 1865.) Schon seit längerer Zeit bilden die Hymenopteren, namentlich die sogenannten Grabwespen, den Gegen- stand meiner entomologischen Beschäftigungen. : Lei- der stiess ich aber bei meinen Untersuchungen auf grössere Schwierigkeiten, als ich anfänglich.erwartet, und musste ich die Bearbeitung so mancher Gruppe unterbrechen, weil die mir zugänglichen Materialien ein nur ungenügendes Resultat erwarten liessen, Jetzt freilich, wo ich durch die besondere Zuvor- kommenheit des Hrn. Obersten Radoszkofsky die in seinen Besitz übergegangenen Crabronen der Evers- mann’schen Sammlung. zur Durchsicht erhielt und mir auch von auswärtigen Entomologen, namentlich von dem Hrn, Professor F. W. Mäklin in Helsingfors, grössere Beiträge in Aussicht gestellt wurden, kann ich allerdings meine Untersuchungen, wenigstens in Bezug auf die russische Fauna, auf eine grössere An- zahl Arten ausdehnen, als sie sonst Jemand zu Gebote: gestanden. Nichtsdestoweniger kann ich aber doch nicht behaupten, dass die bisher mir zugegangenen Ma- terialien zu einem definitiven Abschluss irgend eines Theils der von mir unternommenen Arbeiten Berech- tigung geben, und wird wohl noch.so mancher freund- liche Beitrag abzuwarten sein, ehe ich dazu werde schreiten kónnen. e Zum Theil aus dem ال‎ Grunde, zum Theil aber auch deshalb, weil ich auch aus anderen Ursa- chen die von mir RER Bearbeitung der Grab- wespen, wenigstens für einige Zeit, bei Seite legen muss, sehe ich mich veranlasst, schon jetzt Einiges von.den Resultaten Der مطح‎ welche ich bei der Durchsicht einzelner Gruppen Sex Fürs Erste be- schrünke ich diese Mittheilungen auf die Crabronen, da diese. unter den mir bisher zugegangenen Materia- lien یت‎ ae noch am besten vertreten sind a e und ich über dieselben schon früher in dem Verzeich- niss der um St. Petersburg aufgefundenen Crabroninen eine gedrängte Übersicht der Synonymie eines gros- sen Theils der Arten mitgetheilt habe, zugleich mit eini- gen Angaben über den Umfang der Gattungen, welche unter den Crabronen anzunehmen sind. Hier gebe ich eine vollständige Übersicht der in der europäischen Fauna vertretenen Gruppen, ferner die Diagnosen von solchen Crabronen; welche noch gar nicht, oder doch nur ganz unkenntlich beschrieben sind, ausserdem ein- zelne Angaben über die Synonymie und die Variations- fähigkeit einiger Arten, und endlich eih systematisches . Verzeichniss der in der Eversmanu'schen Sammlung vorhandenen russischen Crabronen, welches V erzeich- niss mir deshalb von Wichtigkeit scheint, weil Evers- mann viele Arten verkannt und durchaus falsch be- stimmt. hatte. Was zunächst die Gruppirung der Crabronen "cus trifft, so bietet dieselbe noch immer erhebliche Schwie- rigkeiten, trotzdem dass dieser Gruppe der Grabwespen schon seit làngerer Zeit ein ganz besonderes Interesse zu Theil geworden ist. Namentlich haben Latreille, Jurine, St.-Fargeau und Brullé, Herrich-Schäf- fer, Dahlbom und Wesmaél sich um die Erkennt- niss der wesentlichen Merkmale der Crabronen ganz besonders verdient gemacht. Dagegen bieten gerade die neuesten Arbeiten nichts Selbstständiges und Brauchbares, und sind selbst die Beschreibungen der | von Smith bekannt gemachten neuen Arten meisten- theils. so mangelhaft, dass über die Einreihung der letz- teren in die allgemein angenommenen Gruppen kaum eine Vermuthung geäussert werden kann, was nament- lich deshalb zu bedauern ist, weil Smith die werth- vollen exotischen Materialien des British Museum zu- günglich waren, deren gewissenhafte Bearbeitung für die Gruppirung der Crabronen ohne Zweifel manchen sichern Anhaltspunkt gegeben hätte. Bei der, von mir unternemmenen Bearbeitung der Grabwespen habe ich vornehmlich: denjenigen Merk- malen, welche für eine Gruppirung der Arten von Werth sein könnten, meine ganz besondere Aufmerk- samkeit zugewandt, und ich bedaure nur, dass mir von vielen natürlichen Artencomplexen, und so auch von den Crabronen, nicht einmal von allen bisher an- genommenen Gruppen Repräsentanten zur Untersu- chung vorlagen, während mir von andern gd? des Sciences de Saint- Pétersbourg. systematisch wichtigen Arten leider nur das eine Ge- schlecht bekannt geworden ist. Ein solcher Übelstand giebt indessen noch keinen Grund, eine naturgemässe Gruppirung überhaupt nieht zu versuchen, und wenn es auch selbstverstündlich ist, dass diejenigen Ein- theilungen, welche auf ein nur geringes Material ba- sirt sind, mit der Zeit nothwendigerweise einige Mo- dificationen werden zu erleiden haben, indem ja be- kanntlich von vorn herein nicht gesagt werden kann, welchem Merkmal eine grössere und welchem eine geringere Bedeutung zukommt; so halte ich den Ver- such einer Gruppirung doch für den einzigen richti- gen Weg, über den Werth ins Klare zu kommen, wel- cher einzelnen. Merkmalen innerhalb einer grösseren Abtheilung beizulegen ist. Bequem und weniger zeit- raubend ist es allerdings, neue Arten ohne Rücksicht auf die andern zu beschreiben und sich in seinen An- gaben darauf zu beschränken, dass Kopf und Thorax in dieser, Hinterleib und Beine in jener Weise ge- zeichnet sind: die Veröffentlichung solcher Beschrei-* bungen kann man aber wohl mit Recht als eine be- dauerliche Verirrung bezeichnen, indem dadurch nur der Ballast vermehrt wird, der in der Entomologie ohnehin grösser ist als in irgend einem andern Zweige der descriptiven Naturwissenschaften. Aus einem Versuch einer natürlichen Gruppirung, verbunden mit einer genauen Prüfung der zur Grup- pirung verwandten Merkmale, ergiebt sich auch von selbst, ob einer Anzahl Arten das Gattungsrecht zu- kommt, oder nur das Gruppenrecht innerhalb einer grösseren Gattung. Stellt man, um nur ein Beispiel anzuführen, unter den Crabronen die als Entomogna- thus, Tracheliodes, Corynopus, Crossocerus und Thyreus bezeichneten Formen zusammen. und vergleicht man nur diese mit einander, so erweisen sich die Diffe- renzen als so auffällig, dass wohl schwerlich Jemand daran zweifeln würde, dass diesen Gruppen das Gat- tungsrecht zukommt, so wesentlich verschieden er- ‚scheinen die eben angeführten Arten. Bei Hinzuzie- hung der andern Crabronen verliert indessen ein Merk- mal nach dem andern seine Bedeutung, und selbst zwischen den dreigliedrigen Lippentastern der Cory- "opus und den viergliedrigen der übrigen Crabronen | finden sich gewissermaassen Zwischenstufen, indem 2. B. bei dem Cr. capitosus , der von den Blepharipus- Arten den Corynopus jedenfalls zunächst steht, das vierte Lippentasterglied nieht dem vorhergehenden an Grüsse gleichkommt, sondern nur wie ein kleiner An- hang desselben erscheint. Die Gruppirung der Crabronen, welche ich für die natürlichste halte, stimmt im Wesentlichen mit derje- nigen überein, welche ich bereits in dem Verzeichniss der um St. Petersburg vorkommenden Crabroninen mit- getheilt habe, nur dass dort so manche Gruppe hat wegbleiben müssen, weil sie in der St. Petersburger Fauna keinen Vertreter hat. Dort nahm ich unter den eigentlichen Crabronen zwei Gattungen an, von welchen die weniger umfangreiche Lindenius durch die unter den Augen eingelenkten, an der Spitze einfachen Man- dibeln von Crabro wesentlich verschieden zu sein schien, bei welcher letzteren Gattung die Einlenkungs- stelle der an der Spitze abgestutzten und gespaltenen Mandibeln fast senkrecht auf den unteren Rand der Augen gerichtet erscheint, so dass es aussieht, als wären die Mandibeln hinter den Augen eingelenkt. Die Lindenius-Arten, von denen mir damals nur Z. (Entomognathus) brevis und L. (Chalcolamprus) albila- bris bekannt waren, weisen indessen hinsichtlich der Einlenkung der Mandibeln wesentliche Verschieden- heiten auf, indem bei Z. (Entomognathus) brevis der Einlenkungsrand beinahe parallel dem untern Rande der Augen ist, während bei L. {Chalcolamprus) albi- labris, bei welehem die Mandibeln überhaupt etwas mehr nach hinten gerückt sind, der Einlenkungsrand desselben unter einem spitzen Winkel auf den Unter- rand der Augen gerichtet erscheint. Bei den mir jetzt bekannt gewordenen Lindenius Panzeri und armatus sind die Mandibeln aber noch weiter nach hinten ge- rückt und die Einlenkungsstelle derselben ist, ähnlich wie bei Crabro, fast senkrecht auf den untern Rand der Augen gerichtet, und ist der Lindenius armatus auch noch dadurch bemerkenswerth, dass die Mandi- beln an der Spitze schräg abgeschnittét erscheinen, so dass diese Art also, abgesehen von andern Eigen- thümlichkeiten, ein natürli den Lindenius- Arten und den eigentlichen Crabronen abzugeben scheint. Auch bei den letzteren erleiden die an der Spitze abgestutzt gespaltenen Mandibeln insofern eine Einschränkung, als sie beiden Ceratocolus- Weibchen bisweilen nur abgestutzt erscheinen, was in- dessen nur bei alten Indi ukommen scheïnt, bei denen durch "——: ab Zähne an der queren 16* 217 Bulletin de l’Académie Impériale Abstutzung sich abgeschliffen haben. Jedenfalls scheint es aber, dass auch der Bau der Mandibein zwischen Lindenius und Crabro nur einen relativen Unterschied abgiebt, so dass es am natürlichsten erscheint, sämmt- liche Crabronen als Glieder einer einzigen Gattung aufzufassen, wie es früher schon mehrfach geschehen ist und wie es auch Wesmaël, trotzdem dass er diese Ansicht nicht selbst durchführt, für geboten erach- tet. Im Grunde genommen ist es auch gleichgültig, ob man einem Artencomplex nur das Recht einer Gruppe, oder dasjenige einer Gattung zuerkennt: das, worauf es am meisten ankommt, ist jedenfalls, die Differenzen anzugeben, welche dieser oder jener Ar- tencomplex andern gegenüber aufweist, das verwandt- schaftliche Verhältniss darzulegen, in welchem die ein- zelnen Arten zu einander stehen, und das Band auf- zufinden, welches die scheinbar verschiedenen Formen mit einander verbindet. Was die Lebensweise der Crabronen anbetrifft, so ist es bekannt, dass einige Arten in der Erde nisten, andere dagegen ihre Zellen im Holze anlegen. Bei den Weibchen sämmtlicher in der Erde nistender Cra- bronen ist auf dem letzten Rückensegment des Hin- terleibs ein nahezu dreieckiges abgeflachtes Mittel- feld abgesetzt, während bei den Holzbewohnern dieses Mittelfeld schmäler und wenigstens an der Spitze deut- verschiedenen Formen getrennt von einander aufzu- führen. Ja, es stieg mir sogar der Gedanke auf, ob nicht vielleicht nach der Lebensweise eine naturge- mässe Gruppirung der Crabronen ausgeführt werden könnte, und ob nicht vielleicht zwei einander parallele Reihen anzunehmen wären, in welchen sich einander habituell ähnliche Formen wiederholen, wie es in an- dern natürlichen Gruppen so häufig vorkommt. Die folgende, ohne Rücksicht auf die Lebensweise unter- nommene Eintheilung hat aber doch mehr das Ge- präge einer natürlichen, und es haben sich überhaupt alle mir nach und nach bekannt gewordenen Arten stets mit Leichtigkeit den einzelnen nachstehend cha- rakterisirten Gruppen zuweisen lassen, weshalb ich denn auch glaube, dass die hier vorgeschlagene Rei- henfolge auf Natürlichkeit einigen Ansprach ‚erheben kann. Die mir ‚bekannt gewordenen Crabronen zerfallen in zwei Ho und siebzehn Untergruppen: I. Lindenius St.-Farg. | Mandibeln an der Spitze einfach. Die Nebenaugen stehen in einem stumpfen Dreieck; Die Fühler sind beim Weibchen 12-, beim Männchen 13-gliedrig, das zweite Glied ist mindestens eben so lang als das dritte. Die Appendicularzelle ist offen, die Radialader gerade oder nur am Ende schwach ge- krümmt. Die Valvula supraanalis bei beiden Geschlech- tern mit abgesetztem ;: flachem Mittelfelde , welches beim Männchen kürzer und an der Spitze stumpfer ist als beim Weibchen. | A. Mandibeln mit allmählich verjüngter, gerundeter Spitze, Der vordere abschüssige Theil des Pronotum von rechts nach links etwas gewölbt und von den Seitentheilen gar nicht oder doch nur durch eine feine Kiellinie abgegrünzt. 1) Die Fühlergrübchen von einander weiter als von den behaarten Augen entfernt. Der Quereindruck des Schildchens einfach, jederseits grübchenartig erweitert. Das erste Hinterleibsegment an der Basis schwach ver- tieft und mit einer mittleren scharf eingedrückten on linie bezeichnet. I, Entomognathus ۰ Die Mandibeln sind deutlich unter den Augen ein- gefügt, ihr Einlenkungsrand ist fast parallel dem untern Rande der Augen; die Aussenseite ist in der lich gerinnt ist. Es schien mir daher gerathen, diese ۱ Mitte mit einem tiefen Ausschnitt versehen, der T 194 nenrand in der Mitte mit zwei zahnartigen Hocker. .2) Die Füblergrübchen. von einander. höchstens, eben: 80 | weit als von den Augen entfernt. Der Quereindruck des Schildchens ist gekerbt, gleichmässig breit. Das erste Hinterleibsegment an der Basis mit einem mittle- ren, nach hinten allmählich schmäler ees ` drei- eckigen Eindruck bezeichnet. D . M. Chaleolamprus Wesm. Die Mandibeln etwas weiter Bad hinten gerüdit, ihre Einlenkungsstelle unter einem spitzen ! Yinkel auf den untern Augenrand gerichtet, der Aussenrand ist ganz, der Innenrand vor der Mitte mit einem brei- ten Zahn versehen, der beim Weibchen gewöhnlich nur in Form eines stumpfwinkligen Vorsprungs vor- handen ist. WE Ill. Lindenius Wesm, Die Mandibeln. sind noch weiter nach Ve wt rückt, scheinbar hinter den Augen eingefügt, der ee" lentes fast senkrecht auf den unteren | si, 15326 et DAE E P. 249 des Sciences de Saint- Pétershourg. 250 der Augen ege am Innenrande befindet sich vor | der Mitte ein scharfer Zahn '). B. Mandibeln innen an der Spitze schräg abgeschnitten. Das Pronotum ist vorn abschüssig, eben, welcher senkrecht abschüssige Theil von den Seitentheilen durch eine scharfe Kante abgegränzt wird, die unmittelbar in die scharfen Yorderecken übergeht. IV. Trachelosimus. Diese Gruppe, welche auf den Cr. armatus v. d. L. gegründet ist, stimmt im Übrigen mit den Lindenius- Arten zunächst überein und nähert sich durch die Conformation des Prothorax der Tracheliodes-Gruppe. AE. Crabro Fabr. Mandibeln an der Spitze quer. abgestutzt und in zwei, meist sehr deutliche, neben einander stehende Zähne gespalten; ihre Einlenkungsstelle ist fast senk- recht auf den unteren Rand der Augen gerichtet, die Mandibeln gleichsam hinter den Augen eingelenkt. À. Augen gegen das Kopfschild kaum convergirend, die Stirn unten breit, breiter als der Querdurchmesser jedes ein- zelnen Auges; die Fühlergrübehen von einander weniger = als vom Innenrande der Augen entfernt. Die Lippen- und Kiefertaster differiren um drei Glieder. i ۱ Die Lippentaster sind dreigliedrig, die Kiefertaster sechsgliedrig. Der hintere obere Theil des Pronotum ist sehr scharf abgesetzt, mit geradem Vorderrande und geraden parallelen Seiten; die Vorderecken sind scharf und von ihnen verläuft eine scharf ausgeprägte Kante senkrecht nach unten. Das Metanotum ist glän- zend, fein sculpirt. Die Radialader ist gebogen, die Appendicularzelle breit offen, der Nervus recurrens auf dié Mitte der Cubitalzelle stossend. Die Vorder- trachanter verhältnissmässig gestreckt. DieOcellen ste- hen in einem stumpfen Dreieck. Beim Männchen sind die Fühler 13-gliedrig und die Valvula supraanalis mit einem mittleren Längseindruck bezeichnet. Bemerkenswerth ist, dass an dem Kopfe gelbe Zeich- Ri Wesmaél E de Belg. p. 124) hat die a der Lindenius-Grüppe, zum Theil ich stützend auf die «colora- tion des deux sexes distribuée en sens inverse», durch die innen ungez ähnten Mandibeln geschieden, welche Angabe indessen falsch -wohl nur dêm Umstande ihre Entstehung verdankt, dass Wesmaël zufälligerweise solche Weibchen des Or. albilabris beim | Vergleich vor sich hatte, an denen der Zahn nur sehr wenig ent- wickelt, vielleicht sogar durch Abnutzung ganz undeutlich war. | nungen vorhanden sind, was bei den andern Gruppen nicht vorkommt. In Jurine’s Abbildung des Weib- chens von Cr. quinquenotatus (Nouv. méth. etc. pl. 11. Gen. 27) erscheinen die Mittelschienen innen in der Mitte mit einem Zahn bewaffnet, eine Dildung,. wel- che sonst nur noch Herrich-Schaeffer bei dem von ihm beschriebenen, wahrscheinlich gleichfalls zur Tra- cheliodes - ماو‎ gehörigen Ceratocolus trochantericus (Crab. pag. 5 et 46, Tab. 181. 14) beobachtet hat. welcher tibl das Weibchen zu dem mir gleichfalls unbekannten Crossocerus luteicollis St.-Farg. (Crab. 769. 4) zu sein scheint. Endlich dürfte sich der Tra- cheliodes- Gruppe auch der von Herrich- Schaeffer (l. c. 179. 19) abgebildete Crossocerus curvitarsus an- reihen, wegen des gelb gefleckten Kopfes nnd des ab- gesetzten Prothorax, und ist nur zu bedauern, dass über die letztere Art, welche wegen der in einem gleichseitigen Dreieck stehenden Ocellen vielleicht als der Repräsentant einer eigenen Gruppe anzusehen ist, so gut wie gar keine Angaben vorliegen, Das Me- tanotum erscheint in der Abbildung lüngsgestreift, was mich zu der Vermuthung veranlasst, dass der Cros- socerus curvitarsus H.- Sch. möglicherweise mit dem von Dahlbom erwähnten, aber nicht näher beschrie- benen Brachymerus Megerlei identisch sei. .. B. Augen gegen das Kopfschild stark convergirend, die Stirn am Kopfschilde mindestens doppelt so schmal als oben, der Querdurchmesser der Augen unten deutlich grösser als oben. Die Lippen- und Kiefertaster diftériten nur um zwei Glieder (— Crabro Latr.). 1) Die Kiefertaster sind fünfgliedrig, die Lippentaster drei- ` gliedrig. An den Fühlern ist der Pedicellus länger als das dritte Fühlerglied. Die Radialader an der Ap- pendieularzelle gerade, verwischt, dieselbe Richtung wie der übrige Theil der Radialader einhaltend und auf den Vorderrand unter einem spitzen Winkel auslaufend. Bei den hierher gehörigen Arten ist das erste Ab- dominalsegment sehr gestreckt, hinten mee und von dem zweiten Segment durch eine E utliche Abschnürung abgesetzt. Der Thorax ist g Metanotum ohne Spatium Ne Der currens etwa auf die Mitte der‘ — stossend. i iseitigen Dreieck. Die Fühler der Männchen ind nicht gliedrig. a ie Steffens (Syst, per P. Hr 366. 122) hat zwar bereits i im Jahre hierher gehürigen — Arten als - A ی‎ rhe die .Merlaiiale : n, weshalb ich denn 251 Bulletin de l'Académie Impériale auch den von Sta. Farge ai, kurze Zeit darauf einge- führten Namen: den Vorzug gebe, zumal da St. - Far- geau’s Vorschlag, die Ahkopalum-Arten in zwei beson- dere Gruppen DN keineswegs ganz ungerecht- fertigt erscheint. VI, Physoscelis St.-Farg. Die Fühlergrübchen von einander eben so weit als vom Innenrande der Augen entfernt, die Stirn unten kaum etwas schmäler als der Querdurchmesser eines Auges. Das zweite und dritte Geisselglied fast von gleicher Grüsse. Der Mitteltheil der Valvula supra- analis des Weibchens. nur an der Spitze deutlich ab- gesetzt, flach, etwas dreieckig und gegen die Spitze etwas vertieft. VII. Corynopus St.-Farg. Die Fühlergrübchen stehen dicht am Innenrande der Augen, die Stirn ist unten wohl doppelt so schmal als der Querdurchmesser eines Auges. Das zweite, von St.-Fargeau und Dahlbom übersehene, Geisselglied ist viel kürzer als der Pedicellus und mehr als doppelt so kurz wie das dritte Geisselglied. Das Mittelfeld der Valvula supraanalis des Weibchens ist schmal, flach gefurcht, die Seitentheile sind mit feinen zerstreuten Härchen besetzt. 2) Die Kiefertaster sind sechsgliedrig, die Lippentaster viergliedrig. An den Fühlern ist das dritte Fühlerglied mindestens so lang als das. zweite, Die Appendieular- zelle ist offen, die Radialader au derselben gekrümmt, ‚mehr oder weniger parallel dem ‚Vorderrande. a) Der Thorax ist glänzend, das Metanotum schwach skulpirt, meist mit deutlich abgesetzter Area cor- . diformis. Der Nervus recurrens in oder nur we- . nig hinter der Mitte der Cubitalzelle auf letztere |: stossend. Die Nébenaugen in einem gleichseitigen Dreieck. Bei den hierher gehörigen Cast ist das erste Abdominalsegment nach hinten. ganz allmäh- lich erweitert und hinten etwa so breit als das zweite. Bei den Männchen sind die Fühler drei- zehngliedrig und es ist die Geissel unten mit fei- nen Härchen gefranst. a) Das erste Abdominalsegment ohne Auszeich- nung, an der Basis mit einem mittleren, dreieckigen, nach hinten verjüngten Ein- druck (— Crossocerus Wesm.). 1 | , Blepharipus St.-Farg. ie Val vula, supraanalis bei dem Männchen nicht $ die vorhergehenden Segmente punktirt, oft mit einem deutlichen mittleren Eindruck; beim Weib- chen ist das Mittelfeld derselben schmal und wenig- stens an der Spitze deutlich gefurcht. IX. Crossocerus St.-Farg. Die Valvula supraanalis ist bei den Münnchen deut- lich gróber als die vorhergehenden Segmente punk- tirt und es ist an derselben bei einzelnen Arten ein Mittelfeld von den Seitentheilen abgesetzt; beim Weib- chen ist das Mittelfeld ziemlich breit, dreieckig und höchstens längs dem Seitenrande undeutlich niederge- drückt. | B) Das erste Abdominalsegment gestreckt, deut- lich: länger als hinten breit, gegen die Basis allmählich verdünnt und jederseits mit ei- nem scharf ausgeprägten, etwas geschwun- genen Längskiel versehen. Der Hinterleib ist viel länger als der Thorax. X. Cuphopterus (Blepharipus Wesm.) Die Einführung eines neuen Namens für diese, von Wesmaël zuerst präcise umgränzte Gruppe bedarf einiger Erläuterungen. St.-Fargeau, der den Namen Blepharipus für eine der von ihm unter den Crabro- nen aufgestellten Gattungen zuerst gebraucht, giebt von den Männchen dieser angeblichen Gattung an:- «cuisses antérieures munies d’une dent à leur partie inférieure vers le milieu», welche Angabe nur auf das Männchen des (Cr. [Blepharipus] vagabundus) zutrifit. Gegen die Verwendung des Namens Blepharipus für die Cuphopterus- Gruppe spricht aber ganz strict die von St.-Fargean gemachte Angabe: «abdomen à-peu- pres de la longueur du corselet dans. les deux sexes; son premier segment de forme ordinaire, court», wes- halb ich denn auch den von St.- -Fargeau gebrauch- ten Namen Blepharipus für diejenige Gruppe anwen- den zu müssen glaube, welcher der erwähnte Or. va- gabundus zuzuzählen ist. St.- Fargeau hat übrigens kein einziges seiner angeblichen Gattungsmerkmale consequent berücksichtigt und in fast alle der von ihm angenommenen Gattungen Arten eingereiht, auf wel- che die Gattungscharacteristik keineswegs zutrifit, worüber ich später einmal noch ausführlich, handel werde. b) Das Metanotum ist rauh E runzlig d hóchstens mit einer nur sehr undeutlich abge 3 ten Area cordiformis. Der Nervus recurrens ist ‘weit. hinter der Mitte. der Cubitalzelle, oft. nahe des Sciences de Saint- Pétersbourg. 251 an ihrem Ende eingefügt. Die Nebenaugen, mit ‚ Ausnahme einzelner. Arten, in einem deutlic stumpfen Dreieck. Bei den hierher gehörigen Ar- ten ist das erste Abdominalsegment von gewöhn- licher Bildung, ziemlich breit und nach hinten ganz allmählich erweitert. «) Hinterleib gestreckt, länger als der Vorder- körper, fein punktirt, glänzend, das erste Segment mit zwei deutlichen, von einander weit abstehenden, parallelen Kielen. Kinn- ausschnitt kürzer als breit, hinten flach ge- rundet. Die Fühler sind beim Männchen 13 - gliedrig, die Valvula supraanalis ohne Längseindruck, die letztere beim Weibchen | mit flachem, deutlich abgesetztem, gegen die Spitze allmählich. verjüngtem, .dreieckigem Mittelfelde. .*) Skulptur des Me an den Sei- ten wenigstens theilweise verwischt. | Vorderschienen des Weibchens an der Aussenseite mit einigen krüftigen Dor- nen besetzt. XL Anothyreus ۰ Beim Männchen sind die Beine und Fühler einfach; die Geissel der letzteren nicht gefranst. A. Thyreopus St.-Farg. Beim Münnchen sind die Vorderbeine abnorm, dip Vorderschienen schildartig verbreitet; an der Fühler- | geissel sind die mittleren Glieder breit, die Fühler er- sahen also gegen das Ende zugespitzt. S3 SEI Metanotum an den Seiten schräg ge- | streift. Hierher "gehört der mir unbekannte Or.: Loewi Dahlb., den Dahlbom zur Ceratocolus-Gruppe stellt, der aber wegen der beim Männchen 13-gliedrigen Füh- ler nicht dahin gehören kann. Durch die dreieckig er- weiterten, gezähnten Vorderschenkel, durch die feine Punktirung des Hinterleibs und durch die Confor- mation des Kopfes scheint der Cr. Loewi von den Ceratocolus sich sehr zu entfernen und in dieser Hin- sicht mit den Thyreopus- Arten übereinzustimmen. Dar- über, ob bei dem Cr. Loewi das erste Abdominalseg- ment mit zwei parallelen Kielen versehen ist, liegt zwar keine directe Angabe vor; Schenck (Grabw. | Nass. p. 124. 10) macht von dem Cr. Loewi indessen die Angabe: «der Hinterleib fast unpunktirt, fast wie bei Thyreopus gebaut», welehe Angabe vielleicht so zu. verstehen ist, dass bei dem Cr. Loewi gleichfalls zwei parallele Kiele vorhanden sind, da Schenck diese letz- teren in der von Wesmaël entlehnten Characteristik der Thyreopus-Gruppe (1. c. p.71) gleichfalls erwähnt. a) Hinterleib gewöhnlich, kurz, das erste Seg- ment mit zwei sehr stumpfen, nach hinten convergirenden Längskielen, die oft ganz undeutlich und verwischt erscheinen, Der Kinnausschnitt ist schmal, tiefer als breit, hinten gerade abgeschnitten und geht hier unter einem Bogen in die fast parallelen Seiten über. Die Fühler sind bei beiden Ge- schlechtern 12-gliedrig. *) Die Valvula supraanalis beim Männ- Chen ohne Lüngsrinne, beim Weibchen mit abgesetztem, dreiéckigem, flachem und ziemlich. breitem,. an den Seiten ausgeschweiftem Mittelfelde, XI, Ceratocolus St.-Farg. — H.-Sch. Grob punktirt, ziemlieh matt; die Seiten des Me- tanotum regelmässig und sehr grob gestreift. ` ` **) Die Valvula supraanalis beim Mànn- then gewöhnlich mit einem deutlichen Längseindruck; beim Weibchen ist das Mittelfeld schmal, gerinnt, und die Seitentheile mit einigen am Mittel- theile hinziehenden, mehr oder weni- ger gedrängten, steifen — : — besetzt. XIV. Thyreus St.-Farg. — IL-Sch.- Diese Gruppe ist ausgezeichnet durch die auffällige Difformität der Geschlechter, das Männchen nament- lich durch den schmalen nach hinten verengten Kopf, e die in Folge dessen in einem gleichseitigen Dreieck stehenden Ocellen u. s. w. Die Skulptur ist ähnlich wie bei Ceratocolus, die Metapleuren indessen separ und unregelmässiger gestreift. XV. Crabro ۰ Von den hierher gehürigen Arten ist der Cr. gran- dis (fossorius auct.) dadurch vor den übrigen bemer- kenswerth, dass bei demselben gleichfalls das Männ- chen durch die Gestalt des Kopfes u, s. w. von dem Weibchen sehr ‚auffällig abweicht, wodurch die nahe Verwandtschaft mit der Thyreus-Gruppe angedeutet erscheint. Von der folgenden Gruppe differiren die Crabro- Arten durch: die regelmässigen Stricheln des Dorsulum, welche binten der Länge nach, vorn der Quere nach verlaufen. Es scheint indessen, dass der 255 Bulletin de l'Académie Impériale 256 mir unbekannte Cr. Kollari Dahlb. einen Übergang zu der folgenden Gruppe vermittelt, indem nach D ahl- bom’s Angaben bei dieser Art die Strichelung des Dorsulum weit spürlicher ist als. bei den andern Ar- ten und vorn in der Mitte durch Punkte ersetzt er- scheint; Überdies scheint der Cr. Kollari, welcher wahrscheinlich mit dem Ceratocolus fasciatus St.-Farg. (cf. Wesmaël, Fouiss. de Belg. p. 156) identisch ist, der nachstehend als Cr. (Solenius) intermedius be- schriebenen Art überaus nahe verwandt zu sein. XVI. Solenius St.-Farg, (= Ectemnius Dahlb.). Bei den hierher gehórigen Arten ist die Punktirung verschieden, bei einzelnen so grob wie bei Thyreus, bei den meisten so fein wie bei Crabro und Clytochry- sus, welcher Unterschied indessen durch andere Ar- ten ausgeglichen wird. Das Dorsulum ist höchstens | nur unregelmässig gestrichelt, bei den gróber punk- tirten Arten sind indessen: auch an den Seiten des Thorax keine Stricheln vorhanden, hóchstens an den Metapleuren, doch auch diese Stricheln sind biswei- len undeutlich. Die So/enius-Arten sind übrigens von Thyreus und Olytochrysus leicht an den Mandibeln zu unterscheiden, die bei allen So/enius-Arten innen mit einem, beim Männchen namentlich stark entwickelten, Zahn versehen sind. Dagegen dürfte sich die Identi- tät mit der Crabro-Gruppe wohl baldigst herausstellen. An den Fühlern ist das dritte Glied je nach den einzelnen Arten hinsichtlich der Länge verschieden, indessen nie so ed is wie bei der Cl, git Vous. Gruppe. AND, Tech (= Crabro St.- -Farg. et. Solenius Dahlb., Wesm.). Mandibeln innen ungezähnt; das dritte Fühlerglied sehr lang, beim Weibchen etwa dreimal so. lang als das zweite und wohl doppelt so lang als das vierte, beim Männchen im Verhältniss zu den andern Glie- dern noch gestreckter ünd dadurch ausgezeichnet, dass zwei zahnartige Erhóhungen an demselben ausgebil- det sind. Kopfschild meist goldhaarig; in letzterer Hin- | an Yariren indessen die Ne ium 3 LT ein eingehender Vergleich argit] poe die ste ählten Gruppen einander kei- CH Sëch werthig: Denn während einzelne Grup- pen sich durch sehr scharfe Merkmale von einander scheiden lassen, erscheinen andere, z. B. die zuletzt erwähnten, nur durch Merkmale von untergeordneter Bedeutung von einander getrennt. Für den Augenblick ist es indessen noch nicht möglich mit Bestimmtheit anzugeben, welche Gruppen die. unberechtigten sind. Nach meinem Dafürhalten müssten die erwähnten sieb- zehn Gruppen etwa auf neun redueirt werden, und zwar auf Entomognathus, Lindenius (inel. Chalcolam- prus), Trachelosimus , Tracheliodes , Corynopus (incl. Physoscelis), Crossocerus (incl. Blepharipus), Cuphopte- | rus, Thyreopus (incl. Anothyreus) und Crabro (incl. Ce- ada, Thyreus, Solenius et Olytochrysus). Die Grup- pen der Crabronen hätte ich auch in dem eben ange- gebenen Umfange aufgeführt, wenn nicht bereits von Andern die Zersplitterung weiter geführt worden wäre. Ohne Zweifel. werden grössere Materialien, nament- lich die exotischen Arten, das Verhältniss der einzel- nen Gruppen zu einander noch klarer darlegen. Von den bisher bekannten exotischen: Arten, welche zur Creirung von Gattungen Veranlassung gaben, ‚hat in- dessen Dasyproctus St.-Farg. (Crab. p. 801. — Hyn. DI p. 203, = Megapodium Dahlb. Hym. bor. I. p. 510. — Tab. Synopt. 11. 61) keinen Einffuss auf die Gruppirung, insofern sich derselbe nämlich, abgese- hen von dem gestreckten Hinterleibe, an gew däs erste Segment namentlich sehr lang und schmal ist, an die zuletzt erwähnten Gruppen anzuschliéssen scheint, vielleicht auch hinsichtlich der Zahl der Füh- lerglieder der Männchen, worüber indessen keine An- gaben vorliegen. Dasselbe lässt sich von der von Spi- nola aufgestellten, wie es scheint, an Dasyproctus sich | anschliessenden Gattung: Dante sagen, über wel- che angeblich berechtigte Gattung ich indessen nichts ‚Näheres anzugeben vermag, da ich Gay’s Historia fisica y' politia de Chile nicht habe zur Benutzung erlangen kónnen. Über die Gattung Podagritus habe ich überhaupt nur die von Smith (Cat. of Hymenopt. | Ins. of the Brit. Mus. IV. pl. IX. fig. 5) mitgetheilte Abbildung vergleichen können, aus welcher indessen nur das zu ersehen ist, dass Ech Hinterleib sehr lang und schmal ist, und gegen die Spitze ganz allmählich an Breite zunimmt. Mit den Fhopaluni-Artén, mit wel- chen Smith die Podagritus (1. e. p. 391) zusammen- stellt, ‚habe die letzteren indessen perit nichts ge- mein, 3 des Sciences de Saint- Petersbourg. So viel über die Gruppirung der Crabronen nach den mir vorliegenden Materialien. Von den mir be- kannt gewordenen Arten, glaube ich, folgende beson- ders hervorheben zu müssen: 1. Cr. (Entomognathus) Sahlbergi: Fortius punctatus aeneo- niger nitidus, abdominis segmentorum marginibus brun- nescentibus , tegulis anoque rufo-testaceis, tuberculis hu- meralibus, antennarum scapo pedibusque flavo-nigroque variegatis. Tibiis posticis externe submuticis , scutello medio longitudinaliter impresso metanotique spatio cor- diformi polito, medio tenuissime canaliculato et crena- tura tenui circumscripto. 9 5 Mm. Diese ostsibirische, von Sahlberg bei Ochotsk ge- sammelte Art, von welcher mir Hr. Prof. Mäklin ein Weibchen zur Ansicht mitgetheilt hat, ist dem eu- ropäischen Cr. (Entomognathus) brevis zwar täuschend ühnlich, indessen ohne Zweifel verschieden, und zwar unterscheidet sie sich von der europäischen Art durch die durchgängig gróbere Punktirung, den in der Mitte geglätteten, aber nicht mit einer Längsrinne versehenen Scheitel, das in der Mitte der Länge nach niedergedrückte, sehr fein gerinnte Schildchen, das von einer viel feineren Kerblinie umgebene Spatium cordiforme und endlich durch die aussen fast unbe- wehrten, bei der europäischen Art dagegen deutlich gesügten Hinterschienen. Bei dem mir allein bekann- ten Weibchen ist überdies das Mittelfeld der Valvula supraanalis breiter und die Vorderhüften sind unbe- wehrt, während diese bei dem Weibchen der europäi- schen Art vor den Trochanteren mit einem ziemlich langen stäbchenartigen Aufsatz versehen sind. 2. Cr, (Chaleolamprus) luteiventris: Obsoletius puncta- tus, clypeo medio rotundato et utrinque obtuse biden- lato, metanoto sublevi, spatio cordiformi amplo, fortius longitadinalitór mne; ; miger, mandibulis ad apicem rufis, pronoti striga utrinque, tuberculis humeralibus alarumque basi flavis, abdomine, geniculis, tibiis tarsis- que flavo -rufescentibus , abdominis segmentis dorsalibus quarto et quinto basi nigricantibus ventralique secundo medio infuscato el Dee puncto nigro signato. Q Th Mm. - Abgesehen von der unter den Crabronen sehr aus- gezeichneten Färbung, ist diese Art unter den eigent- lichen Zindenius auch noch dadurch bemerkenswerth, dass die Fühler von den Augen doppelt so weit als Tome IX. / von einander entfernt sind. Im Übrigen stimmt diese Art mit dem Cr. albilabris sehr überein. Sie ist in- dessen etwas gedrungener, der Kopf verhältnissmässig breiter, die Punktirung feiner u. s. w. Leider ist bei dem einen mir vorliegenden Weibchen der Fundort nicht angegeben, doch dürfte diese Art schwerlich aussereuropäisch sein, da in der akademischen Samm- lung sonst gar keine exotischen Crabronen vorhanden sind. 3. Cr. (Blepharipus) hirtipes: Æongatus, niger, capite thoraceque antico supra dense subtiliter punctatis, me- tanoto opaco, spatio cordiformi sublevi, parvo, crenatura distincta circumscripto medioque late sulcato. d. Clypeo ad centrum marginis apicalis valde pro- ducto. Femoribus tibiisque anticis fusco-lineatis et intus longe pilosis, illis brevibus subdilatatis, his ampliatis intus late sulcatis. Tibis posticis sub- muticis, tarsis anterioribus albidis, anticis paulo dilatatis, mediis elongatis, articulo primo sequen- tibus simul sumptis longiore. Valvula supraanalis ut. segmenta praecedentia subtiliter punctata, apice fulva. 7°/, Mm. Crabro capito* Eversm. Bull. de Mose, 1849. II. 419. 7. ۰. Ich habe von dieser Art nur ein einziges und noch dazu schlecht erhaltenes Männchen untersucht, wel- ches von Eversmann im Juni bei Spask gefangen worden ist. Dieses stimmt von den mir سجن‎ CR Arten mit dem Männchen des Or. nigrita sehr überein, unterscheidet sich aber von demselben, abgesehen von der dichteren Punktirung und dem klei- nen deutlich abgesetzten Spatium cordiforme, unter Anderm dadurch, dass an den Vorderbeinen die Schen- kel, Schienen und Füsse deutlich breiter sind. Die Vorderschienen erscheinen (von vorn betrachtet) keu- lenförmig und an den weisslichen Vorderfüssen ist nur das Klauenglied bräunlich. Die Mittelfüsse sind sehr gestreckt, das erste Glied ist etwas länger als die vier folgenden zusammen. An der ' Verschie- denheit des Cr. hirtipes von Cr. nigrita ist demnach nicht zu zweifeln. In dem Verzeichniss der um St. ا‎ PP ده‎ Crabroninen habe ich die er ۳ zo Dahlbom Europ. I. 521.2. 4) kurz erv 0- heman Br PEE, ©. darbipes vielleicht das Männchen des Cr. diversipes H.- ch. (affinis Wesm.) sein könnte, indem die von Dahlbom gemachten — so ziem- Bulletin de l'Académie Imperiale: 260 lich mit dem übereinstimmen, was Herrich-Schaeffer über das Männchen seines. Cr. diversipes mittheilt. Da Dahlbom indessen nichts über die Färbung seines Cr. barbipes an- giebt, so wäre es nicht unmöglich, dass der letztere auf die vorliegende Art zu beziehen sei, auf welche die von Dahl- bom gemachten: Angaben gleichfalls so ziemlich zutreffen und zwar insofern noch besser, als Dahlbom die Vorderschienen gleichfalls als erweitert angiebt, während Herrich-Schaeffer dieselben bei dem Männchen seines Cr. diversipes «einfach» nennt. Wie dem übrigens auch sei, der Name barbipes hat keine grössere Berechtigung als irgend ein Catalogsname, in- dem aus den bisher gemachten Angaben. nicht zu ersehen ist, welche Art von Dahlbom gemeint ist. Auch scheint die dem Männchen des Cr. 4-maculatus (var. levipes v. d. L.). gegen- über gemachte Angabe «Corpus magnum» für eine Verschie- denheit des Cr. barbipes zu sprechen; es würe indessen nicht unmöglich, dass Dahlbom auch in späterer Zeit den Cr. levi- pes nicht gekannt hat. 4, €r, (Crossocerus) pullulus: Niger, capite thoraceque antico distincte punctatis, fronte medio canaliculata, ad oculorum. marginem interiorem. linea impressa: tenui postice ad. ocellum posteriorem. curvata, pronoti angulis | humerali-anticis obtusis, rotundatis, metanoti spatio cor- | diformi levi, medio sulcato crenaturaque distincta cir- | | marginato, lateribus valde obliquis. angulisque anticis cumscripto, carinis lateralibus posticis tenuiter crenatis. 3+ Flagello: subtus et ad apicem. testaceo, scapo ex- terne, clypei macula laterali, mandibulis , macula genarum. post. earum basim, ‚pronoti linea trans- | versa medio interrupta tuberculisque humeralibus nec non pedibus maxima, parte. flavis ;. femoribus anticis subtus, intermediis medio ferrugineis, Val- vula supraanali fortiter punctata, rotundata, ad apicem fulvum subangustata. D Mm. In der Fárbung ühnelt das vorstehend + | sirte, von Sahlberg bei Ochotsk gefangene Männchen in hohem Grade der mir unbekannten, allgemein als Cr. bimaculatus bezeichneten Varietät des Cr. (Orossoce- rus) 4-maculatus. Der Or. pullulus gehört aber zu den kleinen Arten und weicht überdies durch die gelben, an der Spitze pechrothen Mandibeln, die unbewehr- ten, vorn mit einem gelben Flecken versehenen Wan- gen u. s. w. von Cr. 4-maculatus ab. Im Habitus stimmt er mit Cr. varius wohl zunächst überein, doch unter- scheidet er sich von diesem, abgesehen von der ab- weichenden Fürbung, unter Anderm durch die gewólbte Valvula supraanalis, an welcher kein Mittelfeld abge- setzt ist, und durch den geglütteten, spiegelblanken لا‎ an welchem die. Kerblinien sehr regel- mässig und scharf ausgepr ägt sind, Purot die Skulptur des Metathorax nähert sich der Or, pullulus auch dem C. Wesmaëli, indem, wie bei diesem, die Lateralkiele des abschüssigen Theils des Metanotum jederseits-mit einer Punktreihe versehen sind, welche indessen viel regelmássiger und feiner sind, etwa doppelt so fein als die Pleurallinien. Hinsichtlich der Färbung der Beine ist noch anzugeben, dass die Vorderschenkel vorn gelb und unten róthlich sind, desgleichen sind die Mittelschenkel vorn schmutzig gelb und hinten in der Mitte róthlich; im Übrigen sind die vorderen Beine gelb, die Schienen, namentlich die mittleren, sind in- nen geschwärzt, die Füsse gegen die Spitze dunkler. Die Hinterbeine sind schwarz, die Basalhälfte der chienen, ein vorderer er an denselben und das erste Glied der bräunlichen Füsse fast bis zur Spitze gelb. 5. Cr, (Crossocerus) ditinen Elongatus, niger, e pis piceis, capite thoraceque dense punctatis, fronte me- dio profunde canaliculata, ad partem. superiorem. ocw- lorum marginis interioris levigata, pronoto antice. obtuse rotundatis, metanoti spatio. cordiformi completo. d. Antennarum scapo externe flavo, tarsis, saltem am- | terioribus, subtus, femoribus tibiisque anticis intus ` ferrugineis et praeterea. his antice flavis et illis "ie: aste supra linea longitudinali citrina Val- nAi AË du VI ee fen vUT 1: nm " Mm. Von dieser Art fing mein Bruder vera drei Männchen bei Creuznach und Interlaken, Sie steht dem Cr. elongatulus, und zwar den mir unbekannten, mit pechschwarzen Tastern versehenen Varietäten, zu- nächst und ist mit diesen vielleicht auch verwechselt worden. Das Männchen des Cr. distinguendus. ist in- dessen von dem Or. elongatulus schon durch den an.der Oberseite der Vorderschenkel befindlichen citronen- gelben Längswisch zu unterscheiden. Ausserdem ist der Kopf etwas feiner punktirt, die Ocellen stehen in einem etwas spitzeren Dreieck und es ist an-der am Innenrande der Augen geglätteten Stirn höchstens die Spur eines schrägen Eindrucks wahrzunehmen. Über- dies ist däs Pronotum gerundeter, namentlich ap det Vorderecken, welche sehr stumpf und vollständig ab- ds Ke . des Sciences de Saint - Pétersbourg. gerundet sind. Die Valvula supraanalis, welche bei dem Männchen des Or. elongatulus am Hinterrande abgestutzt erscheint, ist bei Cr. distinguendus regel- mässig gerundet. Endlich sind bei dem letzteren die Mittelschenkel und Mittelschienen einfach, während bei dem Männchen des Cr. elongatulus die Mittelschen- kel unten an der Basis über die Trochanteren mit winklig gerundetem Vorsprunge vortreten und die Mit- telschienen innen gleich unter der Basis aufgetrieben erscheinen. Ich bemerke ausdrücklich, dass ich Exem- gare des Cr. elongatulus mit pechschwarzen Tastern nicht habe vergleichen kónnen, doch ist an der Iden- tität dieser letzteren mit den gelbtastrigen nach den von so. vielen Seiten gemachten übereinstimmenden Angaben nicht wohl zu zweifeln. 6. Cr. (Anothyreus) Máklini: Capite thoraceque nitidis, parce punctatis, metanoto tenuiter ruguloso, rugulis an- ticis obliquis et regularibus; — niger, scapo ad apicem, pronoti angulis hwmeralà- anticis, linea transversa post- scutelli vel etiam punctum scutelli, abdominisque seg- mentis 2 — 6 albido-fasciatis, fasciis tribus anteriori- bus late interruptis; tegulis, geniculis, tibiis tarsisque rufo-testaceis, tibiis posticis ad basim, anterioribus in- tus nigricantibus, externe subflavis. d 8, Mm. - Von dieser Art liegen mir zwei von Hrn. Prof. Mäklin eingesandte, von Sahlberg bei Ochotsk ge- sammelte Männchen vor, welche von allen mir bekann- . ten Crabronen dem Cr. (Anothyreus) lapponicus ohne Zweifel zunächst stehen. Auch die Skulptur ist eine ähnliche, nur sind auf Kopf und Thorax die Zwischen- räume nicht rugulös und matt, sondern geglättet und glänzend, und desgleichen ist die Runzelung des Me- tanotum feiner und: regelmássiger. Die Färbung ist ganz abweichend, wie aus der Diagnose ersichtlich. An der Valvula supraanalis ist ein ziemlich gleich- breites, an der Spitze gerundetes, ziemlich grob punk- tirtes und. fein. behaartes Mittelfeld abgesetzt, ähnlich wie bei einigen. Crossocerus- Männchen z B. bei Cr. varius, ovalis u. S. W, 58 Cr, (Thyreopus) sibirieus: coii bains niger, scu- ) abdomineque sulphureo-pictis , geniculis, tibiis tar- regen vertice ante stemmata parum depresso dorsuloque opacis, نموت‎ — metamotó sub- tiliter coriaceo. ii ‘Q. alis hyalinis. 14 Mm. d. alis ad marginem infuscatis , pedum anticorum scuto tibiali maculis oblongis brunneis subpelluci- dis ornato et ad marginem superiorem punctis den- sis elongatis et albo-hyalinis notato. 13 Mm. Von dieser aus Kiachta stammenden Art steht ein Pärchen in der Eversmann’schen Sammlung unter dem beibehaltenen Namen. Diese Art ist dem (y. cribrarius sehr nahe verwandt, und das Weibehen weicht auch nur, abgesehen von der Färbung und den glashellen Flügeln, durch den etwas weniger vertief- ten Scheitel und das feiner skulpirte Metanotum ab. Das Männchen weist dem Männchen des Cr. cribra- rius gegenüber indessen grössere Unterschiede auf. Die Fühler sind zwar ähnlich gebildet, es treten aber nur drei Glieder (das: achte, neunte und zehnte) an ihrem hinteren Endwinkel vor und es ist an diesen Gliedern der hintere Rand bräuulich gelb, eben so wie der Vorderrand des vierten bis dreizehnten Glie- des, wo diese lichtere Färbung nur in grösserer Breite auftritt. Ferner ist die Unterseite der Fühlergeissel nackt, ohne Spur von Wimperhaaren. Endlich ist an en Beinen, welche mit denen des Männchens von Cr. cribrarius sehr übereinstimmend gebildet sind, die Fär- bung sehr abweichend. An den Vorderbeinen ist näm- lich der Fuss röthlich gelb und der Tibialschild nur am oberen Rande mit hyalinen (siebartigen) Flecken versehen, welche indessen sehr gestreckt sind und nach innen zu einen breiten Raum einnehmen, wäh- rend der übrige Theil des Tibialschildes mit grossen, ovalen, durchscheinenden Flecken von bräunlicher Farbe bezeichnet ist, welche Flecken in ihrem Cen trum ein braunes Pünktchen führen, 8, Cr. (Ceratocolus) ochoticus, Crabronis subterranei r mera varietas: Niger, scapo citrino, pedibus, flagelli abdomi- : nisque basi rufo-testaceis, tuberculis umeralibus post- scutelloque et apud feall etiam pronoto utrinque ed scutello flavo-signatis, abdominis segmento primo apud marem, utrinque puncto flavo notato, reliquis praeter analem in utroque sexu fasciatis, fasciis asciis dibus anterio- ribus medio interruptis. | ‘Der Or. ochoticus ist insbesondere deshal interes- sant, weil er eine der bereits von Eversmann (Bull. de Mose. 1849. T. p. 423. 19) unte 'erwühnten Va- rietät des Cr. alatus analoge Form ist; welche Smith "| (Cat. of Hymenopt. of the Brit. Mus. IV. 415. 117) als selbstständige Art unter dem Namen Or. basalis be- 17* Bulletin de l’Académie Impériale schreibt. Von Or. subterraneus variiren indessen beide Geschlechter hinsichtlich der Färbung in nahezu über- einstimmender Weise, während von Or. alatus, wenig- stens nach den bisherigen Beobachtungen, nur bei den Weibchen solche Farbenverschiedenheiten vorzukom- men scheinen. Die Ceratocolus - Arten erinnern also hinsichtlich der Veränderlichkeit der Färbung an die kleineren Nysson, wo der Hinterleib bei den einzel- nen Arten in ähnlicher Weise variabel ist. Es weisen indessen auch die erwähnten Nysson-Arten einige Dif- ferenzen hinsichtlich des Auftretens der rothen Fär- bung am Hinterleibe auf. So sind z. B. Männchen des Nysson maculatus mit Hiuterleibe und Weib- chen, an denen das Basalsegment roth ist, recht häu- fig, während die mit schwarzem Hinterleibe versehenen Weibchen,an denen immer auch dasSchildchen schwarz ist und welche Wesmaël daher mit übereinstimmend gefärbten Männchen als N. interruptus von N. macula- tus sondert, recht selten zu sein scheinen, und noch un- gleich seltener sind die Männchen, bei denen das erste Hinterleibssegment roth ist; wenigstens habe ich bis- her nur ein einziges derartiges Exemplar zu Gesicht bekommen. Von N. trimaculatus Rossi beobachtete Shuckard (Foss. Hymenopt. p. 252) Exemplare, an welchen die Basis des ersten Hinterleibssegments roth ist und ist vermuthlich gleichfalls auf ähnliche Va- rietäten des N. trimaculatus, bei welchen nur das ganze erste Hinterleibssegment roth ist, der N. 10-maculatus ` Spinola zu beziehen und desgleichen die von St.- Fargeau als N. maculatus beschriebenen Exemplare, an deren Identität mit dem echten N. maculatus auct. bereits Wesmaél zweifelt. Von der dritten, hierher gehörigen Art, vom Nysson dimidiatus, sind bisher nur solche Exemplare beobachtet worden, deren Hinter- | leib an der Basis roth ist. Aus der hiesigen Gegend | habe ich indessen zwei Männchen, deren Hinterleib einfarbig schwarz ist, so dass demnach auch bei dem letztgenannten Nysson analoge Farbenvarietäten vor- kommen wie bei den beiden andern, zunächst verwandt- ten Arten. In Berücksichtigung der Farbenverschiedenheiten, welche die vorstehend erwähnten Grabwespen aufwei- sen, durfte ich auf die abweichende Färbung. der Ochotsker ‚Exemplare kein zu grosses Gewicht legen, weshalb. ich denn auch den Cr. ochoticus als Varietät des Cr. subterraneus aufgeführt habe, da er diesem letz- teren gegenüber sonst gar keine festzuhaltenden Ver- schiedenheiten aufweist. Die Punktirung des Hinter- leibs ist bei den Ochotsker Exemplaren allerdings fei- ner und gedrängter als bei den mir vorliegenden eu- ropäischen Individuen des Or. subterraneus. Die letz- teren sind indessen hinsichtlich der Stärke und Dich- tigkeit der Punktirung des Hinterleibes nicht. ganz constant, weshalb mir denn auch die Identität der Ochotsker Exemplare mit Cr. subterraneus nicht zwei- felhaft scheint. 9. €r. (Solenius) intermedius: Niger, flavo-pictus, abdo- minis segmentis 2 — 5 et apud marem etiam sexto utrin- que aequaliter maculatis vel fasciatis, ocellis fere in li- neam curvam dispositis, antennarum articulo tertio pe- dicello duplo longiore, pronoto utrinque inermi, metanoto apud marem distinctius rugoso, rugulis his apud. femi- nam subtilissimis carinaque laterali areae pies bre- vissima, abbreviata. Crabro lapidarius var. * Eversmann Bull. de Mosc. 1849. II. 428. 26. 4 9. Q. Clypeo medio obsolete angulatim exciso, utrinque subdentato, capite dorsuloque distinctius punctatis, hoc ad latera et postice stris nonnullis subtilissi- mis signato. 1'/, 8 Mm. . Clypeo antice distinctius producto, subtruncato et utrinque subdentato. Antennarum articulis mon emarginatis, tertio sequentibusque subtus linea ele- vata notatis, ultimo subconico, vix compresso. Tar- sis simpleit, femoribus anticis basi subtus ro- tundato- productis , tibiis intermediis antice conca- viusculis. Caput et thorax rugosiora,dorsulum postice longitudinaliter , antice utrinque subtransversaliter UNO. (heu سم‎ ctn 7 supra- UV Ww PITT Ou notata. 7 Mm. Diese, in Spask im Juli vorkommende Art, von RUM cher in der Eversmann’schen Sammlung zwei Weib- chen und drei Männchen einigen andern Crabronen beigesteckt sind, ist in der Gestalt und auch in der Färbung dem Or. (Olytochrysus) chrysostomus sehr ähn- lich und nähert sich der Clytochrysus - Gruppe auch noch durch das verlängerte dritte Fühlerglied. Die- ses letztere ist indessen doch etwas kürzer als das. vierte und fünfte Füblerglied zusammen, und da aus- serdem die Mandibeln am Innenrande beim Männchen des Sciences de Saint - Petersbourg. 266 mit einem deutlichen Zahne versehen sind, welcher beim Weibchen, ähnlich wie bei andern Crabronen, durch einen zwar sehr stumpfen, indessen deutlichen Vor- sprung ersetzt erscheint, so unterliegt die Aufnahme dieser Art in die Solenius- oder Dahlbom’s Ectem- nius-Gruppe keinem Zweifel. Von Or. (Crabro) Kollari Dahlb., mit welchem das Männchen des Cr. intermedius durch die Bildung der Fühler und Mittelfüsse übereinzustimmen scheint, weicht die bier beschriebene Art durch die Skulptur des Dorsulum ab, welches letztere, namentlich bei dem Männchen, zwar deutliche Runzeln aufweist, welche indessen zu unregelmässig sind, als dass sie mit der Strichelung, wie sie bei der Crabro-Gruppe angetrof- fen. wird, parallelisirt werden könnte. Ausserdem sol- len. bei dem Cr. Kollari, nach Dahlbom’s Angaben, die Ocellen in einem fast gleichseitigen Dreieck stehen, am Pronotum soll die «emarginatura ampla et pro- funda» sein, während beim Or. intermedius die von Dahl- bom als emarginatura bezeichnete Mittelfurcheim We- sentlichen so wie bei Cr. 4-cinctus (interruptus Dahlb.) gebildet ist. 10, Cr, (Solenius) spinipes: Niger, mandibulis apice pe- dumque articulationibus, tibiis tarsisque ex parte piceis, antennarum scapo antice, pronoto fere semper utrinque et abdominis segmentis 2 — 5 vel apud marem etiam sexto utrinque macula transversa flava signatis, maculis segmenti secundi sequentibus plus quam duplo majori- bus. Metanoti area postica lateraliter non limitata ti- büsque posticis externe spinulis brevissimis sparsis ob- Crabro cephalotes var.* Eversm. Bull. de Mosc. 1849. I. 498. 27. 2 9. 3 Clypeo medio Gent exciso et utrinque uni- dentato. Dorsulo postice tenuissime longitudinaliter striato, strüs antice utrinque extrorsum curvatis. ENZ Mm. : Clypeo ut aud imita sed. medio minus pro- ` ducto et obsoletius exciso. Antennarum articulis ultimo subconico, 4° 5° 6° et 7° subtus tuberculatis, -tuberculo articuli septimi minore: Pedum antico- — fum trochanteribus femoribusque subtus spina va- -~ lida armatis, spina femorali ante medium sita. — Tarsis indio simplicibus, articulo primo tarsorum E intermediorum antice apice m. et spinis bre- 4 vibus nonnullis obsito. Valvula supraanali postice rotundata, medio tenuiter canaliculata. 11 Mm. Diese Art, von welcher in Hrn. Radoszkofsky’s Sammlung ein angeblich vom Amur stammendes Männ- chen vorhanden ist, fing Eversmann im Juni und Juli bei Spask und Kasan und verwechselte diese, durch die Färbung schon sehr ausgezeichnete Art mit Cr. cephalotes und sexcinctus, mit welchem letzteren diese Art allerdings im Habitus und auch hinsichtlich der Skulptur des Metanotum sehr übereinstimmt. Bemer- kenswerth ist, wie gesagt, die Färbung, namentlich die der Beine, an welchen nur ab und zu an der Aussenseite der Vorderschienen ein kleines gelbes Fleckchen vorhanden ist. Ich hebe dies deshalb her- vor, weil Fabricius von seinem, ohne Zweifel nach Weibchen beschriebenen Or.cephalotes (Syst. Piez. 308. 5) die Angabe macht: «Statura et summa affinitas fos- sorû, cujus forte mera varietas», seinen Or. fossorius aber «pedibus nigris» beschreibt, weshalb man denn versucht sein könnte, den Cr. fossorius Fabr. (non Linné) auf den Cr. spinipes zu beziehen. Dass aber der Or. fossorius Fabr. wirklich nach Weibchen beschrie- ben wurde, giebt bereits auch Illiger(Ed.Faun. Etruse. II. 148. 878) an, und kann man daher diese, den Cr. fossorius Fabr., nur dann auf Or. grandis, welche Art jetzt allgemein, indessen ohne Grund als Or. fossorius aufgezählt wird, beziehen, wenn in der Fabricius'- schen Beschreibung etwas ausgefallen ist und statt «pedibus nigris» «pedibus flavis, femoribus nigris» hätte stehen sollen, welche Vermuthung ich für die wahr- scheinlichste halte und womit auch die Angabe in Ein- klang stehen würde, welehe Dahlbom (Hym. Europ. I. p. XXIV) über die Fabricius'schen feiere 7 plare macht. Die vorstehend aufgeführten zehn Arten sind die- jenigen, welche unter den mir gegenwärtig vorliegen- den einer besonderen Erwähnung bedürftig schienen. Hinsichtlich der andern, zum grössten Theil bereits hin- reichend bekannten Crabronen glaube ich darauf auf- merksam machen zu müssen, dass die von Kiesen- wetter (Stett. entom. Zeit. 1849. p. 91) als ۵ nigrinum beschriebene, mir Jeider unbekannte Art vielleicht ein Mittelglied zwise n Physoscelis und Co- . rynopus abgiebt, insofern diese Art nämlich, den von Kiesenwetter erunt Angaben nach, mit Cory- 267 Bulletin de l'Académie Impériale | € nopus tibialis übereinzustimmen scheint, durch die For- mation des Kopfschildes aber den Physoscelis sich nä- hert. Wesmaél scheint als Rhopalum gracile (1851. Fouiss. de Belg. p. 126) das Weibchen derselben: Art beschrieben zu haben; welches er auch wegen des in der Mitte nieht vorgezogenen Kopfschildes zu Physo- scelis St.-Farg. stellt. Da unter den Crabronen der Name «gracilis» schon vor Wesmaél von Eversmann und «nigrinus» schon viel früher von Herrich-Schaef- fer zur Bezeichnung andrer Arten gebraucht worden ist, so schlage ich für die von Kiesenwetter ent- deckte Art den Namen « Kiesenwetteri» vor. Erwähnenswerth ist ferner, dass die Arten der Ble- pharipus-Gruppe hinsichtlich. der Skulptur des Meta- notum sehr veründerlich zu sein scheinen, eben so wie einige Arten der Crossocerus und einzelner anderer Gruppen, wo aber die Veränderlichkeit keinen so ho- hen Grad zu erreichen scheint. Denn abgesehen von der schon mehrfach gemachten Beobachtung, dass bei den Blepharipus-Arten nämlich, wie z. B. bei Or. ca- pitosus, podagrieus und diversipes der Basaltheil resp. das Spatium cordiforme des Metanotum bald deutlich gestrichelt; bald Mer Auch vollständig glatt erscheint, unterliegt auch die tium cordiforme abgränzende Kerblinie hinsichtlich ihrer Ausbildung und Tiefe be- deutenden Schwankungen. Ich selbst kabe zwar in letz- terer Hinsicht nur geringe Abweichungen zu beobach- ten Gelegenheit gehabt, allein aus den übereinstim- menden Angaben, welche von Dahlbom, Taschen- berg und Schenck über den Cr. congener gemacht werden, geht es unzweifelhait hervor, dass der letz- tere nur eine Varietät des Weibchens von Or. poda- gricus ist, bei welcher Abänderung die das Spatium cordiforme umgränzende Kerblinie undeutlich gewor- den oder auch vollständig geschwunden ist, und wer- den sich ohne Zweifel noch manche andere, nach ein- zelnen Exemplaren aufgestellte, angeblich berechtigte Arten als bre Mer] ied: candor erweisen. Ein zweites, von "Vielen ganz Sigg berücksich- tigtes Merkmal ist von der An- oder Abwesenheit ei- nes Zühnchens an den Mesopleuren entnommen, wel | : ches Merkmal seit Shuckard; der dasselbe zuerst acht ete, ganz allgemein sogar zur Gruppirüng der’ reen. Crossocerus verwandt wird. Dahl- bom ms aber von dem Männchen des Cr. ovalis St.- Farg. (= exiguus Dahlb. Hym. Europ. I. 326. 214) selbst bereits an: «Mesopleurae spinula perobsoleta parum conspicua», und kann ich die letztere Angabe über die Veränderlichkeit des Zähnchens in dieser Art vollständig bestätigen, indem mir ausser Männchen auch ein Weibchen des Cr. ovalis vorliegt, an dessen Mesopleuren auch nicht die Spur eines Zähnchens vor- handen ist. Auch Taschenberg (Zeitschr. f. d. Ge: sammt. Naturw. 1858. XII. p. 107. 11) hat es bereits hervorgehoben, dass er zwei Weibchen des Cr. ambi- x (u$ besitze, «deren Seiten der Mittelbrust zwar auf: getrieben sind, aber keine Spur von Dórnchen zei- gen». Die auffallendste Erscheinung hinsichtlich der Veründerlichkeit des Mesopleuralzähnchens bietet je- denfalls der Cr. nigrita (pubescens) , indem die Männ- chen dieser Art stets ungezühnte Mesopleuren haben, wührend bei den Weibchen das Zühnchen durchgüngig ausgebildet zu sein Scheint, was auch vielleicht die Ursache war, weshalb das Weibchen des Cr. nigrita so lange verkannt und mit dem Weibchen von Or. leu- costoma verwechselt worden ist. Eine Gruppirung der erwühnten Crabronen nach der An- oder Abwesenheit eines Zähnchens an den Mesopleuren ist also durch- aus unstatthaft. Dies ist das Wesentlichste, was ich über die bereits bekannten Arten schon jetzt anführen zu müssen für nóthig hielt. Zum Schluss theile ich noch eine Über- sicht der in der Eversmann'schen Sammlung vorhan- denen, aus der Wolga-Ural-Gegend stammenden Cra- bronen mit, welche Übersicht insofern auf einiges In- teresse Anspruch zu machen berechtigt ist, als die nachstehend erwähnten Crabronen die Typen sind zu der von Eversmann im Bulletin de Moscou (1849. II. p. 359 sq.) veröffentlichten Fauna Volgo-Uralensis, deren genauere Prüfung, meiner Ansicht nach, nicht rasch genug vorgenommen werden kann. Der leichte- | ren Übersicht wegen gebe ich ein systematisches Ver- zeichniss der Arten mit Angabe des Fundorts und der- jenigen Namen, unter welchen die nachstehend ver- zeichneten Bräbrönen in der Eversmann’schen Samm- lung vorkommen. Ich hielt es auch für zweckmässig, diejenigen Exemplare, welche mit einer von Evers- mann selbst geschriebenen Etiquette versehen waren, besonders zu bezeichnen, was ich dadurch am über- des Sciences de Saint- Petersbourg. 270 sichtlichsten erreichen zu können glaubte, dass ich | gesammelt hat, ist bei dem Fundort durch eine ró- den Namen der so bezettelten, von Eversmann be- | mische Zahl angegeben, stimmten Exemplare ein * vorsetzte. Der Monat end- lich, in welchem Eversmann die einzeln | en Exemplare | ۱ führt den a ën in der Fauna. € Aus der Wolga-Ural-Gegend sind in der Evers- mann'schen Sammlung folgende Crabronen vorhanden: T aiu ne 1. Cr. (Entomognathus) brevis v. d. L..........'] 4 € Orenburg, و‎ Kasan VIL.. | Or. * exiguus Ev. Faun, V. pÀ Schon von Eversm. selbst (i seiner Sammlung) berichtigt. 2. Cr. (Chalcolamprus) albilabris Panz... , pps VI, Lit. sa Lind. * albilahris. 8. Or. (Lindenius) Panzeri v. d. L.,,,,,.,..4:. 1 2: à: Lind. * Panzeri. a VI, VHI, Simbirsk VITT. 4. Cr. (Trachelosimus) nc E ER llla TZ ARMES tp» ink Lind. * Dons b. Cr. VA ac clavipes Linn.....,.....,.. DEENEN OUN SS 6. Cr. (Corynopus) coarctatus EN IZ. aa eng YL VII. VI WINE EN OR Rhopalum tibiale. biais Fabr. auct. 7. Cr. (Blepharipus) von KESE cad "TT FEES ... | Or. * capito. à borbipes Dahlb. 8. » nigrita St.-Farg. 9 Spask VII........ pP PK Cr. capito. pubescens "at g deed VEL ERS او‎ Cr. * pubescens. 9 “pask VI, VII, Irkutsk, Serg. | Cr. * leucostoma, 9. » leucostoma Linn.. ie... | 9 Orenb., 4 9 Spask VII, 4 9 ۱ Simbirsk VII, $ Kasan VIM |} DE" ercostoma 10. » carbonarius Dahl. Ex. Cr... .. | 3 Spask VII... .. | Cr. * luctuosus Ev. (i. 1.) bei po dec D ahl. H. i ni obliquus. 11. » ambiguus D ¢ Spask... dree 9 capito Dahlb. ۱ 12. » POE Li: ER REN Or.* vicinus Dahlb. ......... ‚ 2 Orenburg s. | Or. mn (non Dahlb.) varus Dahlb. Synops 9.cong Dahl i As ۱ . " 18. » VTL t a Da i i nest ar. Kar d enburg, M ۱ Cr. * subpunetatus. 14. Gr. زد‎ ss din Fabr.. 9 90: VIL Das. عد مج‎ ۱ +A 1 7 Spask VII, VIIL .........- Gre وت‎ 1 T 4 Kasan VII. زا‎ Or. subpunctatus. ` 15. » dongatulus TRE C. | FIPE TE ber Or.* parvulus Ev i | v. minus Shuck. etc. brevis Faun. V.-U. ESO INGE MER * laevipes Vand.? : | 5 Orenburg, E Kasan viii, iX, at * obliquus. T | 9 Kasan VIIL....... "Yes . | Cr. capito. "b. oso 9 Kasan VII, VIII . PATUS. — Ri i . d Orenburg..... nr hes Ratio Cr. seutatus. 16. » ovalis St. -Farg... JU E ve De sar. scs l'O M ROM. | SOME 3i exiguus Dahlb. VE. 1 er s ۱ anxius Wesmaël After > JM dus 17. » palmipes Linn. ........... e 3 Spask SEE UE HORST Cr.* rus. s Joan A8 » almarius Schreb... ...... 1 4 Orenburg, Kasan VII, VIII. | Or. scutatus 8 ER scutatus quU lupa s Orenbure, Sp ai Eas ges €r. * gracilis En. ve EH 110 19: Or. (Ouphopterus) subulatus Dahlb. . ........ ۱ يم‎ à ask. RIA ar. pop spina e s 8 $ 9 Pas وم هو و و‎ es . * b 1 EX i ie vit. Cr. rarius. ^ p 20. Cr. (m hi reopus) سم ی‎ Linn. a. EE 49 ین‎ de eribrar ih $4 las. «d wc Mp Sd وروی نم‎ | d Orenburg.............. | Or. *peltatus, | Gate Bum: ee A wd Scheven ene I Kasan VII, — vir O Or. * pterosus Ne, , pterotus Panz, ` Gëf ۱ petrosus Fain vn. ON Cr. (Ceratocahu) alatus EO RY 3 Orenburg, —" s. den viu nn او‎ a Kasan VE , Spas VIT PRE ۳ deln Faun. V. "SC 24. Or. 8 a “Eve TERN: RR wm g Spask VL, VIL.......,..:, camelus DP NE (Thyreus) clypeatus Schreb, ` ee, 3 Orenburg., Serg., Sarepta, | | برج‎ we tee LIN ER Hd werllatus 1 f ‚vu, 9 pask VI ` prion et E 36. Cr. (Crabro) n St. Fur. rl 4 1 Orenburg, Spask VI, Va d Cr. *fossorius.. | Tos. auct. - | u... hätte er gesehen, dass der لسع‎ mit Or. eribrarius Linn. identisch und von pe bom ns w. nur mit Un- recht auf den Cr. patellatus Panz. gen wird. Das Männchen des Cr. peltatus characterisirt ب ی ی‎ Fabrieius (Ent. syst. IL. 297. 13) «femoribus nigris intern "paris incrassatis», was von den hier genannten Arten nur auf. Ye Miinchen doe Cr. — Wë zutrifft, und hatte bereits Panzer en Rev. II. p. 181) den Cr. peltatus Fabr. mit der Sphex. eribraria aria Linn. eric Ges ls Cr. eribratus Linn. auf, indessen-ohne hinreichenden + ei Ill Cr. scut atus (pterotus GO isti in seiner rhe als a Vi ورب‎ Härte Evers- Bulletin de l'Académie Impériale 27. Cr. (Crabro) 4-cinctus Fabr............ RT & 9 Spask VE.............:. | Or." interruptus. striatus St.-Farg.. interrup Ib - 28. Or. (Solenius) serie ins Aal KSE ve (isl 9 Spask CH a ropaje- Cr. lapidarius. 2 Spank L 9 ۷۵۰۰ Or. rubicola. g Spask ۰۰۶ Géi ROA Cr. vagus. 29. » DONE NU RS d Spa کلم‎ IE eco Cr. rubicola iie nus H.-Schaeft. 9 Sieg Yr. NÉE و‎ ola ADAL Visa ه ه ۵ ه‎ Hrn » 86 » T. 30. » spimicollis H.-Schaeff.......... wes -— e S Gë E dives! NA 31. » dives St.-Farg. rare d 9 تسم‎ Spask VII. Or. 32. » crassicornis Spinol. #) .......... d Spask lo Pr REC Cr. hibridus Ev. 33. » microstictus H.-Schaeff....... . | d Spask ER Le oun Cr. rubicola. d Spask VL........ ما‎ m " e 34. » vagus Linn d'Spask NL lile ser nen. ybridus. e 4 Kasan VI, Spask VI....... Cr. rubicola. ` d EN ig Se, — Cr. vagus. 35. "TTT RE TET TET TER SOTIL ETA d و‎ Spask VII (in a Or. cephalotes à o 9 Kaas VII, 4 Spa ۱ Cr. * cephalotes? metanotum & Spask VII ...... . | f concavum (Ne vagus). 36. Cr. (Clytochrysus) sexcinctus Fabr........... ۶ Spask VII..... TEE Cr. * cephalotes 4 . cephalotes var. Dahlb 37. » و‎ fasciatus Retz... | 4 Spi VIE. eorr Cr. cephalotes. cephalotes Fabr. auct. kK VIG als) 38. » chrysostomus St.-Farg..... Spas in copula), ! 7 gore Spask VI, Vir, f Cr lapidarius. & Bpask VERS. ceres e Cr. rubicola. Wie man aus dieser Übersicht ersieht, sind in der Eversmann'schen Sammlung viele ganz auffällige Irr- thümer hinsichtlich der Bestimmung vorhanden. Es fragt sich nur, ob Eversmann durchgängig die Schuld dieser Irrthümer beizumessen ist, indem ja die Samm- lung nicht so geblieben ist, wie sie Eversmann hin- terliess. Vielleicht haben die Erben, als sie an den LA 3) In dem Verzeichniss = um St. Peas aufgefundenen Crabroninen habe ich den haeff. (Crab. p. 30. Tab. 181. 5) als fragliche Varietlt des Cr. atistik aufgeführt. Un- seits gelb gefleckt sind, während die Färbung der Beine genau so ist, wie in der Abbildung des Cr. pictipes H.-Schaeff. Überdies ist in der Eversmann’schen Sammlung auch ein Weibchen vorban- den, bei dem der Thorax, mit Ausnahme der gelben Tuberkéln, schwarz ist, wie in der Abbildung des Cr. pictipes. Der letztere ist also ohne Zweifel au eine Varietät des Or. dives, was übrigens. auch aus den von Herrich-Schaeffer über die Behaarung des Clypeus und die Dé des Prothorax — Angaben mit Be- stimmtheit hervorzugehen scheint. dieser Art ist bis jetzt nur das Männchen Liest ge- orden. Eversmann beschrieb dasselbe (1. c. p. 425. 22) als Cr. (Ceratocolus) hybridus, wobei er die Angabe m wed ی‎ e de et Ceratocolos: habet illorum antennas et horum uram thoracis». Es gehórt indessen diese Art nach dem Bau zg iae und den sonstigen Merkmalen ohne Zweifel in die Solenius-Gruppe, wo grob punktirte Art zu sein scheint. An den Fühlern des Männchens, welche allerdings etwas an gen der Thyreopus - Männchen erinnern, hat Eversmann das dritte, mit dem vierten engverbun- = Glied ganz übersehen, während Spinola (Ins. Lig. IL. p. 262. | von seinem Cr. crassicornis richtig die vier auf das zweite mecs Glieder . als erweitert angiebt. machte: «Medium tenet der Cr. punctatus St.- Farg. gleichfalls dine Verkauf der Sammlung schritten, die Ordnung, in welcher die einzelnen Exemplare zusammengesteckt waren, nicht genügend berücksichtigt und bei dem zur Versendung nothwendigen Umstecken manches Verse- hen begangen, wofür unter Anderm jedenfalls der Um- stand spricht, dass unter Cr. vagus ein Männchen des Cr. spinipes vorhanden ist mit der von Eversmann selbst geschriebenen Etiquette «cephalotes metanotum concavum». Auch befindet sich unter den als Cr. di- midiatus bestimmten Exemplaren ein Mellinus arven- sis, welches Versehen doch unmöglich von Eversmann herrühren kann. Andrerseits wäre es aber nicht un- wahrscheinlich, dass Eversmann in späterer Zeit ei- nige Exemplare den früher determinirten beistecke, mit der Absicht, dieselben späterhin noch genauer zu vergleichen. Dafür scheinen wenigstens die Exemplare zu sprechen, die als Cr. rubicola zusammengesteckt waren, mit welchem Namen Eversmann anfänglich offenbar den Cr. microstictus, welcher dem mir unbe- kannten Or. rubicola jedenfalls sehr nahe verwandt ist, bezeichnet hat. Auch wäre es nicht unmöglich, dass Eversmann einzelne Arten andern Entomologen unter Nummern zur Bestimmung gesandt und bei sich unter gleichen Nummern andere, von ihm für identisch gehal- tene Exemplare zurückbehalten hätte. Denn mehrfach findet sich die Angabe: « Crabro nov. spec. Mus. Berol.» bei Exemplaren, die zu den gewöhnlichsten Arten ge hören, wie z. B. bei Cr. grandis Qd, dives Qd u. s. Ms 273 des Sciences de Saint .-Petersbourg. 274 welche Angaben übrigens aus einer sehr frühen Zeit zu datiren scheinen, Für viele Irrthümer ist indessen Eversmann ohne Zweifel selbst verantwortlich, wie es aus einem Vergleich der von ihm in der Fauna Volgo- Uralensis gemachten Angaben mit der vorste- hend gegebenen Übersicht evident ersichtlich ist. a Schliesslich sage ich nochmals Allen, die mich durch Mittheilung von Materialien bei meiner Bearbeitung der Crabronen unterstützten und auch fernerhin zu un- terstützen gedenken, meinen aufrichtigsten Dank, na- mentlich aber meinen Bruder Ferdinand, dem Hrn. Professor F. W. Mäklin in Helsingfors, dem Hrn. Obersten Radoszkofsky und insbesondere Hrn. S. M. y. Solsky, welcher letztere die von ihm gesammelten Hymenopteren, stets mit grösster Liberalität mir zur Verfügung stellte. Über einen eigenthümlichen, später meist ob- literirenden ductus caroticus der gemeinen Kreuzotter (Pelias berus), v. Eduard Brandt, (Lu le 21 septembre 1865.) Als ich am 20. Juli dieses Jahres ein Präparat über das Gefässsystem der gemeinen Kreuzotter (Pelias be- rus Merr.) anfertigte, bemerkte ich sehr deutlich ein Gefäss, welches zwischen der Carotis communis und dem arcus Aortae sinister sich erstreckte. Dieses Ge- fäss (Fig. 1 d. c.) ging unter einem spitzen Winkel von der Carotis communis (Fig. 1 a.c.) ah und zeigte eine schiefe Richtung von innen und vorne nach hinten und aussen und endigte sich an der oberen, d. h. der Wirbelsäule zugekehrten Fläche des queren Theiles des linken Aortenbogens (Fig. 1 a. s"). Ungeführ in der Mitte seiner Lünge wird es von der vena jugularis si- nistra. (resp. vena cava superior sinistra auct. Fig. 1 ?.])'und dem nervus vagus sinister (Fig. 1n.v.), wel- che schief von: vorne und aussen nach hinten und. in- nen zum atrium sinistrum gehen, gekreuzt. Die Länge dieses Gefässes betrug vier Millimeter. Es war ringsum von reichlichem Bindegewebe um- geben, so dass es kaum durch dasselbe durchschim- merte. Als ich das Bindegewebe abpräparirte, er- hielt ich zwei dreieckige Räume, nämlich einen vor- deren, kleineren und einen hinteren grósseren. An Tini IX. | nislra. zusammensetzen. der Bildung beider sind betheiligt: das beschriebene Gefüss, die vena. jugularis sinisira, der transversale Theil des arcus Aortae sinister und: die Carotis:com- munis. Das hintere Dreieck, welches ich trigonum ca- roticum posterius nennen ‚möchte, wird. auf folgende Weise zusammengesetzt: die Basis desselben ist nach hinten gekehrt und wird vom transversalen Theile der linken Aortenwurzel gebildet; die rechte oder innere Seite bildet der ansteigende Theil der carotis commu- nis, und die linke oder äussere Seite das oben genann- te Gefáss, welches die Carotis communis mit dem ar- cus Aortae sinister verbindet; die Spitze dieses Drei- ecks fällt auf die Abgangsstelle dieses Gefisses von der Carotis communis. Das vordere Dreieck, welches bedeutend enger und kürzer ist, wird folgendermaassen gebildet: das genannte Verbindungsgefäss ist die Ba- sis desselben, die Carotis communis die rechte oder innere, die vena. jugularis sinistra, die üussere oder linke Seite, und die Spitze. wird durch die einan- der sehr genäherten vena. jugularis: sinistra. und Ca- rotis. communis gebildet. Dieses Dreieck kann: man also trigonum caroticum anterius nennen. Ausserdem bemerkt man noch ein drittes, bedeutend kleineres Dreieck als die beiden eben beschriebenen, welches in dem ersten (trigonum: caroticum: posterius) einge- schlossen, an der äusseren Seite desselben liegt. Das- selbe wird so gebildet, dass die Basis: desselben der transversale Theil des arcus Aortae sinister, die rechte oder innere Seite die vena jugularis sinistra, die linke oder äussere Seite das genannte Verbindungsgefäss zwischen der Carotis communis und dem arcus. Aor- tae sinister, und die Spitze die Durchkreuzungsstelle dieses Verbindungsgefässes mit der vena jugularis si- ü DAFT ENT Da ich mich überzeugen eg ob SN Gefäss weg- sam, oder obliterirt war, so machte ich eine Injection mit Gelatine und Karmin, vom gemeinschaftlichen Stamm der Aorta aus, unweit der Entstehung desselben durch die Vereinigung der beiden Bögen. Ebenso wie der gemeinschaftliche Stamm der Aorta, die bei- .|den arcus Aortae, die arteria vertebralis, die Carotis communis und die. arteria thyreoidea auct., so fand ich auch das beschriebene Verbindungsgefäss zwischen der Carotis communis und dem arcus Aortae simi- ster schön roth injieirt. Aus Lage, Richtung, Ur- sprung und Endigung des genannten Gefässes ist es 18 295 Bulletin de l'Académie Impériale ?76 klar, dass dasselbe dem absteigenden, d. h. demjeni- gen Theile des Carotidenbogens der Embryonen, der die Verbindung zwischen der Carotis und dem arcus Aortae der gleichnamigen Seite zusammensetzt, entspricht. Da ich dieses Gefäss früher nie bemerkte und auch iu der ganzen mir bekannten angiologischen Literatur keine Erwähnung über einen persistirenden Caroti- denbogen bei Schlangen fand, so hatte ich in diesem Falle entweder eine hóchst interessante, aus dem Keimleben sehr genügend zu erklürende Anomalie vor mir, oder es war etwas Normales, was von anderen Forschern dieses Gebietes übersehen worden war. Dreissig Kreuzottern (Pelias berus) sind von mir in dieser Beziehung untersucht worden, und zwar so- wohl erwachsene Männchen und Weibchen (20 Stück), als Halberwachsene (2 Stück), eben lebendig: Gebo- rene (2 Stück) und todt geworfene Junge (6 Stück), welche letztere sowohl der Länge als dem ganzen Baue nach den lebendig geborenen entsprachen. In allen diesen Fällen, deren Präparate ich meinem hochge- schätzten Lehrer dem Akademiker J. F. Brandt vor- zeigte, und die ich in Weingeist aufbewahre, habe ich das Vorkommen des oben beschriebenen Gefässes, welches als der zurückgebliebene absteigende Schen- kel des embryonalen Carotidenbogens zu deuten ist, constatirt. Von den erwachsenen Kreuzottern zeigten ausser dem ersten, oben beschriebenen Falle nur zwei dieses Gefäss wirklich offen, während es bei den siebzehn übrigen obliterirt war. Bei beiden jun- gen, halberwachsenen Schlangen, ebenso wie bei bei- den lebendig geworfenen war dasselbe zwar sehr deutlich, jedoch obliterirt. Von den sechs todt ge- worfenen Exemplaren erwies es sich bei fünf als obli- terirt und vert enm als wegsam. Rathke sprach in Entwi hichte der Natters') die Ver- muthung aus, dass der linke ductus Botalli eine Zeitlang bis zur Enthüllung der Frucht zurückbliebe. An den sechs todt geworfenen, aber ganz reifen, ebenso wie an den beiden lebendig geborenen Jungen habe ich den linken ductus arteriosus Botalli sehr gross erhal- ten gesehen; die Injection zeigte, dass er wegsam war. Die 8te Figur meiner Abbildungen zu diesem Auf- satze zeigt die Lage und das Grössenverhältniss des ZH zen ls -—— 5321111 1) H. Rathke, Entwickelungsgeschichte der Natter (Coluber | in natriz). Mit 7 pter Königsberg 1839. $ 64 pag. 168, s. Abbild. Tab. IV f. 16. duci. Botalli zum arcus Aortae sin. und zum absteigen- den Schenkel des Carotidenbogens, und man ersieht dar- aus, dass ersterer viel grösser ist und sowohl der Form, als der Lage nach einen mehr embryonalen Charakter zeigt als letzterer. Es ist ganz dasselbe Verháltniss ge- blieben, wie es Rathke 1. c. Tab. IV fig. 16 abbildet, also wie dieses Gefäss am Ende der dritten Periode des foetalen Lebens entwickelt war. In allen dreissig von mir untersuchten Exemplaren von Kreuzottern fand ich, dass das besprochene Verbindungsgefäss, zwi- schen der Carotis communis und dem arcus Aortae si- mister, unter einem spitzen Winkel von der Carotis communis abstieg. Bei den verschiedenen Exemplaren variirte dieser Winkel zwischen 30° — 70°. Die Länge des Gefässes variirte zwischen 1—7 Millim., und zwar bei den erwachsenen RANE zwischen 2'/, — 7 Millim. ; gewöhnlich war es 2, 3 oder 4 Millim. lang. Bei i» jungen Exemplaren schwankte die Länge desselben zwischen 1 — 3 Millim. und war bei den meisten etwas über einen Millim. (Fig. 1—7 /. c. d. c). Ein stabiles Verhältniss zwischen der Breite und Länge dieses Gefässes so wie zwischen seiner Länge und der Totallänge der Schlange konnte ich nicht auffin- den. Was das Verhältniss dieses Gefässes zum ar- cus Aortae sinister, der Carotis communis und zur vena jugularis sinistra anbetrifft, so war es an allen un- tersuchten Exemplaren dasselbe wie es oben an der von mir zuerst untersuchten Kreuzotter beschrie- ben wurde. An der rechten Seite liess sich keine Spur von demselben auffinden, was auch schon a priori zu erwarten war, da man seit den Untersu- ehungen von Rathke?) weiss, dass die Kreuzotter keine rechte Carotis besitzt. Indess sagt Rathke’), dass die artèria thyreoidea der Autoren (Schlemm, Meckel u. A.) wohl physiologisch, aber nicht anato- misch als eine solche gelten mag, indem sie vielmehr als der noch übrig gebliebene Theil einer früher vor- handen gewesenen Carotis dextra zu deuten wäre, denn ihre Dicke und Lage (zwischen der rechten und mitt- leren von den drei vor dem Herzbeutel liegenden Blutdrüsen) entspricht der Carotis dextra derjenigen Sell agon; welehe zwei e" n ی‎ SA H re 2) H. Rathke, ge über die Carotiden der ER in: Deukschrift. d. Wiener Akademie. Wien, 11ter Bd. CH 1۱ 5 1 pag ۱ ۳ 3) H, Rathkel, € EN 5. oli: 10798 277 des Sciences de Saint- Petersbourg. Deshalb erscheint sie auch, nach Rathke, nicht nothwendig als ein Ast der nur noch alleinvorhan- denen linken Carotis communis , sondern geht bis- weilen, obwohl nur selten, neben dieser, von der rech- ten Aortenwurzel ab. Fálle der Art als Ausnahmen von der Regel, sagt er weiter, sind von mir bei Gony- osoma viride und Homalosoma lutrix, und von Duver- noy bei Dispholidus Lalandii (Bucephalis typus Smith) beobachtet. worden. Bei der Kreuzotter (Pelias berus), die er auch in dieser Beziehung untersuchte, ohne die Anzahl der von ihm anatomirten Exemplare anzuge- ben, entsprang also diese Arterie aus der Carotis com- munis, da er sie nicht zu seinen drei Ausnahmen rechnet. Dieser Angabe muss ich widersprechen, da bei 21 Exemplaren dieselbe aus dem arcus Aortae deater, bei 3 aus der Mitte der Einbuchtung, welche sich zwischen dem Ursprunge der. Carotis communis von dem arcus Aortae dexter befindet,und bei den 5 übri- gen aus der Carotis commuuis entsprang (Fig. 1 — 7 4. 1.). Und. doch habe ich, troz der angestrengtesten Bemühungen, keine Spur von einem rechten Caroti- denbogen gefunden, weder bei todt geworfenen, noch eben lebendig geborenen und erwachsenen Exempla- ren. Aus dem Gesagten lassen sich folgende Schlüsse gehen: ` iie | 1) Ich habe bei der Kreuzotter (Pelias berus) das. Vorkommen eines Gefüsses, welches die: 8 communis mit dem. transversalen Theile des linken. Aortenbogens verbindet, nachgewiesen, und zwar an dreissig bisher untersuchten Exemplaren, namentlich $0wohl.an Erwachsenen als Jungen und noch nicht geborenen, todt geworfenen, beinahe vollständig ent- wickelten Früchten. Also ist.das Vorkommen dessel- ben keine Anomalie, sondern eine. von anderen For- schern: übersehene normale Erscheinung, . 2) Das: fragliche Gefäss ist meistentheils oblite- rirt und kann dann als ligamentum caroticum: bezeich- net. werden, dagegen in einigen wenigen Fällen (sowohl bei Jungen als Erwachsenen) wegsam, und kann alsdann | ductus caroticus heissen. Wir sehen also (bei der Kreuz- |. otter) hier ein ähnliches Verhältniss zwischen der arte- ria Carotis communis und dem linken Aortenbogen wie Zwischen der arteria pulmonalis und der Aorta der Säugethiere und des Menschen: ductus arteriosus Bo- 7 talli und: ductus caroticus, ligamentum aorticum (ob- literirter ductus arteriosus Botallii) und ligamentum caroticum (obliterirter ductus carotieus). Bei den Säu- gethieren und dem Menschen bleibt also bloss: der zweite linke embryonale Aortenbogen, den die nach links gehende Aorta dieser Thiere zeigt, nach, wüh- rend bei der Kreuzotter (Pelias berus) das zweite Paar embryonaler Gefässbogen (die beiden arcus Aor- (ac) und der dritte linke embryonale Aortenbogen (der Anfang der Carotis communis mit dem ductus ca- roticus oder ligamentwm caroticum) nachbleiben. Auf diese Weise kommt das Gefüsssystem der Kreuzotter auf eine tiefere Stufe zu stehen, als man es gewühn- lich zu betrachten gewohnt war. 3) Das Vorkommen eines ductus carolicus oder ei- nes ligamentum caroticum zeugt von einem nahe ver- wandten Verhältnisse der Hauptgefässe des arteriel- len Systems der Viper mit dem der Eidechsen, wel- ches durch die ausgezeichneten und sehr ausführli- chen Untersuchungen Rathke’s zur Klarheit gebracht wurde. Rathke^ hat nämlich für alle von ihm untersuch- ten Schuppenechsen (Sauri squamati) mit Ausnahme der Varaniden und Chamaeleonten (deren er vier un- tersuchte und nur an einem Carotidenbögen sah) per- sistirende Carotidenbögen nachgewiesen. ` Durch meine Untersuchungen habe ich also einen neuen Beweis für die nahe Verwandtschaft der Sauria squamata mit den Schlangen in Beziehung auf das ar terielle — gegeben. Ausser den Vipern wurden noch drei erwachsene Exemplare von der Ringelnatter (Tropidonotus natrix) secirt; bei zwei Exemplaren fand sich ein ligamentum caroticum und bei einem ein sehr grosser wegsamer ductus caroticus, der beinahe die halbe Breite der Carotis communis und eine Länge von 2"; Millim. be: sass, (Fig 9 d. c.). Das Verhàltniss dieses Gefässes zur vena jugularis sinistra, ebenso wie zum, transver- salen Theile des linken Aortenbogens und zur ‚Carotis communis war dasselbe wie es. schon. oben bei der Kreuzotter beschrieben. wurde, _ ‚Ich behalte es mir vor 0 eine : mehr in’s 4) H. Rathke, ed Meis gege und die von ihnen ausgehenden Arterien der Saurier, in: Denkschriften der | Wiener Akademie. 13ter Bd. 1857. Zweite Abtheil, pag. 77 u. 78. 279 Bulletin de l'Académie Impériale 20 Detail gehende Schilderung über dieses Gefäss zu ge- ben, indem ich jetzt weitere Untersuchungen anstelle, um das Vorkommen desselben bei andern Ophidiern zu prüfen. . Erklärung der Abbildungen. Die Buchstaben sind auf allen Figuren dieselben für die gleichnamigen Theile. Alle Figuren sind ver- grössert, einige drei-, andere fünfmal. Fig. 1—7 von erwachsenen Kreuzottern (Pelias berus Merr.). Fig. 8. von einer todt geworfenen Kreuzotter, welche 15 Centim. lang war. Fig. 9. von einer erwachsenen Ringelnatter (Tropido- notus natris). V. C. = Ventriculus cordis. A. d. = Atrium dextrum. Atrium sinistrum. arcus Aortae sinister. B E (ys ooo TERRAS... ' — aufsteigender Theil derselben. ” — transversaler » » ° = absteigender » » arcus Aortae dexter. arteria thyreoidea auct. arteria carotis communis. — ductus caroticus nob. ligamentum caroticum nob. nervus vagus sinister. vena jugularis sinistra. ductus arteriosus Botalli. eine Borste, die durch die Carotis communis in das Lumen des ductus caroticus eingeführt ist und aus demselben wieder hervortritt. | ۱ ۱ ۱۰۱ | ۱ ¬ BARS air‏ و ع — —— سس سم مس — ——— | Noch einige Worte über die Vertilgung der Rhy- tina, von J. F. Brandt. (Lu le 5 octobre 1865.) ` Mein hochgeehrter Hr. College v. Baer, welcher wie bekannt (Mém. d l Acad. Imp. d. St. Pétersb. VI Ser. Sc. nat. T. III. p. 58) die Vertilgung der Steller’schen Seekuh zuerst umfassend nachwies, sah sich (Bullet. se. "RE (1861) p. 369 — Mélang. biol. IIT. p 515) ver- anlasst, gegen die widersprechende Auffassung Owen’s (Palaeinit. "Lond, 1860 p. 400), dass dieselbe nicht untergegangen sei, Einsprache zu erheben. Da ich in Bezug auf die Vertilgung des fraglichen Thieres nicht nur die Ansicht meines ausgezeichneten Collegen thei- le, sondern dieselbe in meinen Symbolae Sirenologi- cae (Mém. d. l'Acad. d. St. Pétersb. VI Ser. Scient: nat. T. V. p. 112) sogar durch einige neue Gründe zu stützen bemüht war, und Owen's Einsprache auch auf mich sich bezog, so veröffentlichte ich meinerseits ebenfalls (Bull. sc. T. V. 1862 p. 558 = Mél. biol. T. IV p. 259) eine Widerlegung. In keinem der ge- nannten Reclamen wurde indessen die Mittheilung ei- nes hiesigen bekannten Paläontologen über Rhytina berücksichtigt, obgleich doch gerade sie vielleicht die, freilich nicht eitirte, Quelle sein könnte, welche den grossen englischen Natürforscher zu seiner Ansicht be- stimmte. | Hr. Eichwald, der weder Hr. v. Baer’s ausge- zeichnete monographische Arbeit über die Vertilgung der Rhytina, noch meine, alles über dieses merkwür- dige Thier bis dahin Bekannte zusammenfassende, und durch die Beschreibung und Abbildung eines Schä- delfragments, so wie die Erörterung des Baues der | Gaumenplatte ergänzende, Abhandlung zu Rathe zog, ja die genannten Arbeiten nicht einmal citirte, hat nämlich die Rhytina in seiner Lethaea (Bd. III S. 342) auf folgende Weise geschildert. - Esp. 4 Rhytina (Manatus) borealis Pall. La tete de la Vache de mer est presque ronde, la nageoire cau- dale est semilunaire et le corps de deux cótés couvert de sillons transversaux, la longueur du corps est de 24 pieds: Hab. au promontoire des Vaches de mer de l'ile de Béring, prés de l'ile de Cuivre et de celle d'Attou, qui appartiennent au groupe des iles Aléoutiennes (sie?!); il se trouve prés du bord de ces îles des o isolés de pieds, des cranes, des cótes, des vertébres dans le sable mouvant du littoral, rejetés du fond de la mer par les ondes. On rencontrait auparavant trés- souvent des Vaches de mer au sud vers le bord de l'Amérique boréale, mais avec le temps, exposées aux poursuites continuelles des Aléoutes, elle se retirent (sie!) davantage vers le nord, d'abord à l'ile d'Attou, à celle de Cuivre et de Béring, où Mr. Steller les a vues encore vers la fin du siècle passé en telle quan- tité qu'elles auraient pu offrir une nourriture suffi- sante à tous les habitants du Kamtschatca, aux bords duquel elles vivaient dans les bas- fonds sablonneux, prés de l'embouchure des fleuves; mais enfin elles 5¢ Bulletin de T Acad. Imp. des sc.; T. IX. Fig. 1. Zu pag. 273 — 279. Fig. 3. 281 des Sciences de Saint- Petersbourg. “أل##ب#ل س retirèrent à cause de ces poursuites encore davantage | nus‏ vers le nord et se trouvent peut-être à présent plus près du continent de l'Amérique, dans l'océan Glacial où elles peuvent se cacher et rester à l’abri des poursuites des Aléoutes *). — Von woher Hr. Eichwald die vorstehenden Mit- theilungen entlehnte sagt er nicht; obgleich es den aus zahlreichen Quellen geschöpften, überzeugen- den Beweisen v. Baer’s, welche den Untergang der Rhytina constatiren , ebenso so wie meinen ergän- zenden, gleichfalls auf Thatsachen gestützten, mit de- nen meines ausgezeichneten Collegen völlig im Ein- klange stehenden Mittheilungen gegenüber durchaus nöthig gewesen wäre die gegen unsere Ansicht etwa zu erhebenden Zweifel gründlich zu erörtern. Jeder Naturforscher, der noch vor dem Jahre 1853, dem der Veröffentlichung des dritten Bandes der Lethaea rossica, Hr. v. Baer’s classische Arbeit über die Ver- tilgung der Steller'schen Seekuh (Mémoires d. ۰ Imp. d. sc. d. St. Pétersb. VI. Ser. Sc. nat. T. III. pag. 68, Bull. sc. d. l'Acad. T. III p. 355) gelesen und Capitel VII meiner Symbolae Sirenologicae (Mém. d. l'Acad. Imp. d. Sc. VI Ser. Scienc. nat. T. V. (1846) p. 112) ebenfalls einzusehen nicht verschmäht hätte, würde indessen ausser Stande gewesen sein, einen ganz irrige Ansichten verbreitenden Artikel, wie der aus der Lethaea mitgetheilte ist, zu verfassen und namentlich die Vertilgung der Rhytina ohne jede Angabe von Gründen in Zweifel zu ziehen. Überflüssig wäre es den auch sonst ungenauen, einer reellen Grundlage ent- . behrenden Artikel ausführlicher zu beleuchten, da dies bereits neuerdings, wenn auch nur indirect, vom Hrn. v. Baer (1861) und mir (1862) in den oben ci- tirten Aufsätzen des Bulletin unserer Akademie ge- schah, wo den frühern; die Vertilgung nachweisenden Gründen sogar noch einige neue hinzugefügt wurden. Die auf die Rhytina wiederholentlich gehaltenen Lei- thenreden waren demnach keine verfrühten. Sie ist viel- mehr ohne alle Frage bereits vor fast hundert Jahren (1768) dem Schicksale der Riesenhirsche, der Ma- monte, 2 E oben رای‎ des Rhinoceros tichorhi- anc seiner Charakteristik des Genre IV Rhytina, die ich hier nicht weitlànfig aufführe, sagt er übrigens zum Schluss: Il vivait en- Jr au en de ce siècle dans Pocéan Oriental entre l'Asie et Amérique, mais depuis ce temps il n'a plus été observé " ره‎ parmi les genres éteints, peut-être (sie!) à tort. , der Dronte, wie dem so vieler anderer Thiere verfallen. Analyse verschiedener antiker Bronzen und Ei- sen aus der Abakan- und Jenissei-Steppe in Sibirien, von Heinrich Struve. (Lu le 2 novem- bre 1865.) Im vergangenen Jahre zeigte mir Hr. Radloff aus Barnaul seine reichhaltigen und interessanten antiken Funde, die er aus Sibirien mitgebracht hatte, und for- derte mich dabei auf, verschiedene Proben dersel- ben der chemischen Analyse zu unterwerfen, um hierdurch diese Sachen auch vom metallurgisch-che- mischen Standpuncte ins richtige Licht stellen zu können. Ich übernahm die Arbeiten, zumal da mich die- selben wieder zu Untersuchungen und Betrachtungen zurückführen sollten, die ich seit Jahren verfolgt, doch in den letzten Zeiten bei Seite geschoben hatte; aus- serdem noch konnte ich mir das Material selbst aus- suchen, das mit grösster Bereitwilligkeit von Hrn. Rad- loff dargereicht wurde. Diese Untersuchungen sind jetzt abgeschlossen, und da dieselben nicht ohne Interesse sind, so erlaube ich mir, dieselben der Kaiserlichen Akademie der Wissen- schaften vorzulegen. Der chemischen Analyse wurden folgende Sachen unterworfen, die ich zuerst nach den Aufgaben des Hr. Radloff zusammenstelle, wobei sich die vorge- setzten Zahlen auf einen Kaap des Hrn. Radloff beziehen. 1, Aeltere Kupferperiode. N° 34. Bruchstück eines Messers von gelblichrother Farbe und Bruch, hart. Gewicht 9,5 Gramme. N’ 39. Gebogenes Messer, Farbe und Bruch mehr gelblich, Oberfläche dunkel angelaufen, Länge 16 Centm., Breite auf der einen Seite 16, auf dem anderen Ende 11 Milm. Gewicht 42 Grm. N° 70. Messer mit rother Bruchfläche, Oberfläche dunkel angelaufen. An einem Ende ein rundes Loch; 13 Centm. lang und 11 Mllm. breit. Gewicht 23 Grm. N° 98. Messer aus Eisen, Oberfläche sehr stark ange- fressen, 14 Centm. lang; Gewicht 45,5 Grm. N° 142 Messer aus rothem Kupfer, 13 Centm. lang, an dem einen Ende ein Loch, bei 20 MlIm. Breite, am anderen Ende nur 14 Mllm. Gewicht 40 Grm. Bulletin de l'Académie Impériale 1], Jüngere Periode, Pfeilspitzen aus Eisen mit 3 Flügeln, die eine 12,5 Grm. schwer, sehr stark zerfressen, die andere 30 Grm. schwer, sehr gut erhalten. N° 6. 2 Messer aus Eisen, stark zerfressen, 4 und 14 Grm. schwer. N° 139. Schmucksache aus Bronze von einer eigen- thümlich dunklen Farbe, sehr hart und brüchig. Bruch feinkörnig von grauer Farbe, ähnlich den von grauem Gusseisen. 18,5 Grm. schwer. Sp. Gew. — 7,224. Gehe ich nach dieser Zusammenstellung zunächst zur Untersuchung der Gegenstände aus Eisen über, so kann ich dieselbe mit wenigen Worten abmachen. Es erga sich nämlich aus der qualitativen Untersuchung dersel- ben, dass sie alle aus reinem Eisen ohne Beimen- gungen von fremden Metallen bestehen; natürlich enthalten sie alle kleine Quantitäten Kohle und Kie- sel. Um die Reinheit dieser Eisensorten noch durch einen quantitativen Versuch zu belegen, so wurde N° 98 einer Analyse unterworfen, und es ergab sich, dass in 100 Theilen 99,43 Theile Eisen enthalten sind, somit ein ausgezeichnetes Stabeisen, das sich auch gut ausschmieden liess. Die 5 antiken Bronzen wurden jede einzeln unter- sucht, und die gewonnenen Resultate sind in der fol- genden Tabelle zusammengestellt, wobei die Bronzen nach ihren Nummern aufgeführt worden sind. Nummer.....| 34. | 39. 70. 142. 139. Kupfer ..... 90,20 | 88,67 | 93,00 | 99,00 | 0 Zion... 9,64 | 10,10 | 6,35 | 0,32 | 0,63 Eisen........ 0,05 | 0,28| 0,18| 0,34) 9,10 Summe | 99,89 | 99,05 | 99,53 | 99,66 | 99,43 Betrachten wir diese Resultate näher, so fällt uns zuerst in die Augen, dass N’ 142 als aus reinem Kup- fer bestehend angesehen werden muss, da die kleinen Quantitäten von anderen Beimengungen nur als zufäl- lige Einmischungen zu betrachten und. von keinem Einfluss auf die Eigenschaften des Kupfers sind. In gegen treffen wir wirkliche Bronzen an, nur durch Spu- Eisen verunreinigt. Diese Zusammensetzungen nsetzungen der NN’ 34, 39 und 70 da- | stimmen freilich nicht mit den analytischen Resultaten antiker Bronzen aus dem Altai überein, die uns von Fr. Goebel!) mitgetheilt worden sind. Jene Bronzen enthielten mehr Zinn, nämlich 20 bis 27%, oder wenn der Zinngehalt sich den obigen Angaben näherte, so sehen wir als Begleiter desselben immer Blei auftreten, welches Metall in den von mir mitgetheilten — sen durchaus fehlt. Ich glaube, es wird hier an der Stelle sein, die von Fr. Goebel ausgeführten Analysen mitzutheilen, um dadurch eine Vollständigkeit der bis jetzt sortie nen Analysen von antiken Bronzen aus dem Altai-Ge- biet zu erhalten. Fr. Goebel theilte uns in jener eben eitirten Schrift nämlich folgende 4 Analysen mit: 1) Ein Fragment von ei- Kupfer — Zinn nem Sarge aus einem alten Tschuden-Grabe am Altai.... 2) desgl 3) Ein schön geformter Arm einer kleinen 7 Zoll ho- hen Figur 4) desgl — Blei 80,27 — 19,66 73,0 — 26,74 87,97 — 9,88 — 2,5 91 50 — 6,79 — 1,15. Andere Analysen von antiken Bronzen aus jener Gegend sind mir nicht bekannt. Mit diesen Analysen können wir die obigen 5. Re- sultate nicht vergleichen, deswegen. fehlt es. uns aber nicht an anderen Anhaltspuncten ; nur müssen wir uns, um dieselben zu erhalten, nach antiken Bron- zen aus einer anderen Gegend umsehen, und zwar aus dem reichen Schatze der Analysen von L. R. von Fellenberg?) in Bern auswählen. Fellenberg hat uns in einer Reihe von interessanten Abhandlungen nicht weniger als 180 Analysen der verschiedensten antiken Bronzen mitgetheilt, und da er bei dieser Ar- beit von den verschiedensten Seiten her aufs Bereit- willigste unterstützt worden ist, so hat er nach und nach in den analytischen Resultaten ein Material zu interessanten Schlussfolgerungen aufgesammelt. Diese Arbeit ist aber noch nicht abgeschlossen, und deswe- gen enthält sich Hr. Fellenberg aller weiteren Schlüs- se. Da ich aber jene Analysen mit den mitgetheil ilten 1) Fr. Goebel. Über den Einfluss die Chemie auf die Beni lung der Völker der Vorzeit. Erlangen 1842. 2) Mittheilungen der naturforschenden Gesellschaft in Bern. so 1861, 1862, 1863, 1864. Sr m o des Sciences de Saint- Pötersbourg. vergleichen móchte, so glaube ich aus deu 180 Ana- iysen Fellenberg's den Schluss ziehen zu können, dass man zu den Bronzen, die aus der ältesten Kup- ferperiode herstammen, und die man bei den Pfahl- bauten als Waffen, Messer und andere Gerüthschaften, die sich durch Hárte auszeichnen sollten, gefunden hat, in der Regel eine Legirung von Kupfer mit 10% Zinn verarbeitet hat. Galt es dagegen die Darstellung irgend einer Schmucksache, so wurde Blei oder auch nur mehr Zinn hinzugesetzt, um hierdurch eine Le- girung; die leichter schmelzbar und zu verarbeiten ist, zu erhalten. Hiermit stimmen auch die Bron- zen aus keltischen Kegelgrübern Mecklenburgs überein, wie wir dieses aus den Analysen von Fellenberg (N* 124 bis N* 132) sehen kónnen. Mit diesen Schlussfolgerungen stimmen sowohl die von Fr. Goebel, als auch die von mir mitgetheilten Analysen überein. Gehen wir nun zur letzten Analyse über, so unter- scheidet sich dieselbe von den anderen und überhaupt von allen mir bekannten Analysen antiker Bronzen. N' 139, aus der jüngeren Periode, besteht nämlich aus einer Legirung von Kupfer mit Eisen, in welcher nur Spuren von Zinn als zufällige Beimischungen an- getroffen werden. Hätte ich mir diese Bronze nicht mit eigenen Händen aus den verschiedenen Proben aus- gesucht, und zwar veranlasst durch die eigenthümli- che Farbe derselben, so würde ich sie der chemischen Zusammensetzung nach gar nicht für antik erklären, doch woher und wohin mit derselben, bleibt dabei immer ein Räthsel, denn Legirungen von Kupfer mit Eisen im oben aufgeführten, oder in einem anderen Verhültnisse sind nicht bekannt. Hierdurch erregt diese antike Bronze eine beson- dere Aufmerksamkeit und muss genauer verfolgt wer- den. Doch dazu holen wir uns erst aus der neuesten 5 Litteratur über solche Legirungen Rath. In dem Werke von C. Bischoff?) finden wir mit- getheilt, dass Eisen sich fast in allen Kupfersorten des Händen findet, doch soll das Kupfer dadurch im hohen Grade hart und rothbrüchig werden. Es feh- ln aber noch durchaus genauere Untersuchungen über den Einfluss von Eiseneinmengungen auf die Fes- tigkeit des Kupfers. Karsten giebt freilich an, dass ru I ui & Steinen ye Das Kupfer und seine Legirungen. Berlin 1865. schon geringe Mengen von Eisen die Dehnbarkeit des Kupfers sehr verringern. Nicht viel besser sind uusere Kenntnisse über den Einfluss des Eisens als Beimischung in verschiedenen Bronzen. Man soll Legirungen von Kupfer, Zinn und Eisen darstellen, in welchen das Eisen gleichsam die Stelle des Zinks vertreten soll. Solche Legirungen zeichnen sich durch besondere Härte und Festigkeit aus und können mit Vortheilzur Construction von Ma- schinentheilen benutzt werden. Es darf aber der Ei- sengehalt nicht über 1°. gehen. Sie sind immer schwerer schmelzbar als eisenfreie. _ Ferner sollen Legirungen vou Kupfer mit Zink und Eisen dargestellt werden, auf welche sich ein gewis- ser Stirling ein Patent genommen hat, und zwar sol- len Legirungen von der Zusammensetzung von Kupfer............ 66,22, oder 66,66, Zink 39,11 » 26,66 Eisen 0,66 » 6,66 99,99 99,98 vor den Kupferzinklegirungen den Vorzug haben, dass sie sich leichter drehen, feilen, lackiren und vergolden lassen, eine schónere Politur annehmen und steifen Draht geben. Analysen aber über wirkliche derartige Legirungen, die verarbeitet worden sind, kennt man noch nicht. In der Praxis kommen einige eisenhaltige Legirun- gen vor und zwar zu Gegenstünden, die eine grosse Härte besitzen müssen, wie zu Zapfenlagern; doch dann finden wir die verschiedensten Verhältnisse und das Eisen in denselben höchstens bis zu 0,9%, wäh- rend von den anderen Metallen bald Zink und Zinn, bald Zinn und Blei, bald Zink, Zinn und Blei als Zu- sütze des Kupfers auftreten. Gmelin^) theilt nur mit, dass Legirungen von ap: er mit Eisen schwer darstelle sind, doch kann man 100 Theile Kupfer mit 1 bis 100 und mehr Theilen Stabeisen zusammenschmelzen. Dabei nimmt die Intensität der Kupferfarbe zu, bis die Mengen gleich sind; je mehr aber die Menge des Eisens die des Kupfers übertrifft, desto blasser wird das Gemisch auf dem: Bruch. Eine Legirung von 2 Kupfer mit 1 Eisen hat grosse Festigkeit, bei mehr Eisen nimmt 4) Gmelin. Handbuch der Chemie. 5te Auflage 1853. III. 458. Bulletin de l’Académie Impériale die Härte zu, aber die Festigkeit ab und der Bruch wird dann blättrig. Ferner führt Gmelin auf, dass nach früheren An- gaben das Kupfereisen grau, wenig dehnbar, streng- flüssiger als Kupfer und bei einem Gehalt von nur مب‎ Eisen magnetisch ist. Hier muss ich gleich erwähnen, dass die oben an- geführte Kupfereisenbronze durchaus nicht magnetisch ist. Gehen wir nun noch, um wieder zu antiken Ge- genständen zurückzukommen, die 180 Analysen von Fellenberg durch, so finden wir in den meisten Spu- ren von Eisen aufgeführt, als zufällige Einmischung. In 3 Fällen treffen wir grössere Quantitüten Eisen an, die man nicht dem Zufall zuschreiben kann, doch dann treten in diesen Bronzen zugleich noch Zinn und Blei auf. Bei einer Bronze N’ 3, ein Messer, im Grunde des Genfersees bei Pierre à Niton bei Genf gefunden, finden wir ausser Kupfer nur noch Zinn und Eisen und zwar in folgendem Verhältniss: M upfer... مد‎ 87,97) دی کات‎ R 8,66 Eisen SU. Wir sehen hieraus, so viel ich habe nachweisen können, wobei ich befürchte , etwas weitläufig ge- worden zu sein, dass weder in der neueren Litteratur noch unter den bekannten Analysen antiker Bronzen eine derartige Legirung: von Kupfer mit Eisen vor- kommt. Unsere Kenntnisse über die Legirungen des Kupfers mit dem Eisen sind noch durchaus unvoll- ständig, oder aufrichtiger gesagt, wir wissen nichts dar- über. Desto mehr muss uns eine derartige Legirung aus vorhistorischer Zeit nicht nur in Erstaunen: setzen, sondern uns mit Bewunderung und Achtung für jene Völker erfüllen. Die Darstellung einer solchen Legi- rung und ihre Verarbeitung kann gewiss keinem Zu- fall zugeschrieben werden, gewiss muss eine tiefere Ab- sicht und somit eine genaue Kenntniss des Einflusses einer bestimmten Quantität Eisen aufs Kupfer damals unter jenem Volke verbreitet gewesen sein. Dieses ist ein Factum, das sich auf diese Analyse stützt, und | suchten antiken Bronzen aus der vorhistorischen Zeit. nicht schon häufiger solche Zusammensetzungen anges troffen worden sind. Oder gehörte die Kentniss der Darstellung und Verarbeitung solcher Legirungen nur einem bestimmten Volke an und ist sie mit dem Un- tergange desselben auch verschwunden? Hiergeger spricht ein Factum, das ich anführen muss, näm- lich eine Mittheilung von Plinius °) und zwar folgende: «Aristonidas®) artifex cum exprimere vellet Athaman- tis furorem -Learcho filio praecipitato residentem paenitentia, aes ferrumque miscuit ut robigine ejus per nitorem aeris relucente exprimeretur verecundiae rubor; hoc signum exstat hodie Rhodi. Est in eadem urbe et ferreus Hercules quem fecit Alcon ien dei patientia inductus.» Diese vereinzelt dastehende Thatsache von einem Kunstguss aus einer Mischung von Kupfer mit Eisen würde unglaubbar erscheinen, und dieses fühlte auch Plinius selbst, als er schrieb, und fügte deswegen, gleichsam als Bekräftigung der obigen Mittheilung, die folgende Thatsache der Figur des Herkules aus Eisen hinzu. Hóchst wahrscheinlich auch ein Guss, denn sonst wäre es schwer zu erklären, wie eine geg säule aus Eisen dargestellt sein sollte. Dass aber zu Plinius Zeiten noch Gegenstände aus Eisen, ausser Waffen und Werkzeugen, die geschmiedet werden konnten, zu einer Seltenheit gehörten, erse- hen wir am tetin aus den folgenden Worten von Plinius: «Videmus et Romae scyphos e ferro dicatos in templo Martis Ultoris». Diese hier genannten Be- cher müssen gewiss etwas ganz Besonderes یی‎ sein, sonst hätte es uns Plinius nicht mitgetheilt. - " : Wir haben hiernach zwei Vólker, die weit von. ein- ander getrennt auftraten, kennen gelernt, „die in der Kenntniss und Benutzung der Legirungen des Kup- fers mit dem Eisen auf einer gleichen Stufe der ji wickelung gewesen sein kónnen und hierin selbst. Gegenwart übertrafen. Es findet aber noch ein. mdr rer Zusammenhang zwischen unserem vorhistorisc jen Volke aus der Jenisei-Steppe und den Griechen statt, nämlich in der Zusammensetzung der Bronze, die zu b reri n t HOT 22d 154 Ht he 5) Hist. nat. 34. 14. 40:1 sob inda 6) Plinius schrieb um's Die 60 p Christo. "Es aen jnter- essant, wenn nachgewiesen würde, wann der Künstler Aristonidas gelebt ‘hat. Mir fehlen augenblicklich die dazu nöthigen Quellen. 289 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Gegenständen, welche sich durch eine grössere Härte und Festigkeit auszeichnen sollten, verarbeitet wurde. Bei beiden Völkern bestand sie dan aus Kupfer mit Zion, und zwar, wie es scheint, in dem Verhältniss ‘von 90 Kupfer wt 10 Zinn. „Ich glaube, diese Thatsachen mussten hervorgeho- ben werden, doch dieselben durch Schlüsse weiter zu verfolgen, liegt ausserhalb meiner Gränzen, die muss ich dem Historiker von Fach überlassen. Ich kann nur den Wunsch und die Hoffnung aussprechen, durch fernere Analysen noch mehr Facta über solche Kup- fereisenlegirungen an den Tag zu fördern, doch hierzu muss ich von anderen Seiten her die erforderliche Un- terstützung finden. .. Hiernach wüusche ich, dass diese erste Mittheilung über antike. Bronzen aus dem russischen: Reiche, als der Anfang fortlaufender Untersuchungen, aufgenom- men werden möchte, die sich an die interessanten Ar- beiten. von F ellenberg anschliessen sollen, um so den Osten mit dem Westen auf diesem Gebiet von Unter- suchungen zu. verbinden. Zugleich aber halte ich es für nothwendig, hervorzuheben, dass; diese Untersu- chungen: sich nicht ausschliesslich mit den sogenann- ten.antiken Bronzen beschäftigen sollen, sondern auch mit allen anderen Metallen, die mit diesen zugleich gefunden werden, so namentlich mit den Gegenstän- den; ans Gold und Silber, zumal da solche Untersu- chungen durch die grosse Vervollkomnung. der Pro- birmethoden mit kleinen Quantitüten ausgeführt wer- den kënnen. Damit aber dieser Wunsch erreicht. wer- den kann, muss ein nur schwer zu. bewiltigendes Vorurtheil : beseitigt. werden, ‚nämlich, dasjenige, das wir.beim eifrigen Sammler antiker Sachen finden und das darin besteht, dass er sich nur schwer entschliesst, aus der Sammlung etwas zur chemischen Analyse zu opfern, indem ihm der grösste Werth in dem Aufbe- wahren des Gegenstandes liegt; ‚während der Chemi- ker, ‚wo er nur kann, auch durch die Analyse eine noch tiefere Kenntniss des Gegenstandes sich zu ver- schaffen bestrebt ist und sich mit dem äusseren Bilde und Glanze nicht begnügt. Ob aber dieser hierdurch zu einer tieferen Einsicht und zu weiteren Schlüssen kömmt, muss die Zukunft entscheiden, denn derartige | Untersuchungen werden: erst jetzt in der Ausdehnung | . Wiernommen, wie sie es verdienen. ` | Tome IX. Die Entwickelungsgeschichte des Bothriocepha- lus proboscideus (B. salmonis Köllik er’s), als Beitrag zur Embryologie des Bothriocephalus latus, von Dr. L Knoch. (Lu le 5 octobre 1865). Die nüchste Veranlassung zu diesen Untersuchun- gen gaben die von Kölliker- bereits 1843 angestellten, jedoch nicht zu Eude geführten Studien am Embryo und den Eiern des von ihm so genannten Bothrioce- phalus salmonis (Siehe J. Mü ller's Archiv). Es musste mich besonders deshalb interessiren, diese Studien Kólliker's von neuem aufzunehmen und zu ergünzen, da ich bei meinen Beobachtungen betreffend die Ent- wickelung des ; Embryos vom. Dibothrium latum. un- geachtet mancher Übereinstimmung in der embryo- nalen Entwickelung doch wesentliche V erschiedenhei- ten gefunden habe. Zunächst. musste der Umstand auffallen, dass, während die vom Bothriocephalus latus abgeschiedenen Eier nie den Embryo zeigen, der sich iu ihnen erst nach Monaten entwickelt, die des Both- riocephalus proboscideus. schon in dem Fruchthälter deutlich ausgebildete und bewaffnete Embryonen ent- halten. Ferner musste die Angabe Kólliker's, als wenn die Dotterzellen «in eine peripherische und cen- trale Schicht zerfallen», von denen letztere allein den sechshakigen Embryo bilden soll, meine besondere Aufmerksamkeit auf sich lenken, da ich an dem Em- bryo des Dibothriwm latum keineswegs diese strenge Scheidung in eine centrale (embryonale) und peripheri- sche Schicht entdecken konnte, Dieses musste mir um so mehr auffallen, als Kólliker selbst zugiebt, dass er das fernere Schicksal der peripheren Schicht nicht weiter verfolgen konnte, wobei er jedoch meint, dass sie mit der Zeit resorbirt werde, während Leuckart dagegen, gestützt auf Schubart's und meine Beobach- tungen am. Embryo des Dibothrium latum, die er und ertolus ‚es für wehrscheihliäh hält, dass jene periphere; Schicht sich mit Flimmerbaa- ren bedeckt und eine Hülle darstellt, mit deren Hülfe der Embryo nach dem Ausschlüpfen eine Zeit lang frei im Wasser umherschwimmt. Folgende Mitthei- lungen. mögen den Beweis liefern, ob und in wie weit die Annahmen jener verdienstvollen Forscher durch meine directen Beobachtungen ihre ‚Bestätigung fin- den. — Bei diesem Berichte der gewonnenen Ergeb- +242 | nisse werde ich zugleich die günstige Gelegenheit be- 19 Bulletin de l’Académie Impériale nutzen, die von der Pariser Akademie der Wissenschaf- ten gestellte Frage"): «si l'embryon (Dibothrii lati) se change directement en Bothriocéphale adulte, ou si, pour arriver à ce dernier état, il ne subit pas d'autres métamorphoses» durch neue Untersuchungen zugleich auch an andern Bothriocephalen zu beantworten, wo- bei auch die Annahme van Beneden's: dass manche Bandwürmer schon in der Scolexform ?) die Eier ver- liessen, gelegentlich Berücksichtigung finden soll. Indem ich hier zunächst mit der Beschreibung der Eier im Dotterzustande, und mit den Embryonen, beginne, wie man sie in den weiblichen Geschlechts- organen des Dibothrium proboscidewm antrifft, will ich von vorn herein bemerken, dass ich nur in eini- gen, jedoch nicht in allen Beziehungen den von Kól- liker gewonnenen Ergebnissen beistimmen kann, zu denen ich neue Thatsachen hinzuzufügen im Stande bin. Besonders weichen meine Untersuchungen von denen Kölliker’s in Betreff der Entwickelungsweise des Embryos und der Form seiner 6 Häkchen inso- fern wesentlich ab, als er den Embryo nur aus dem centralen Theil des Dotters entstehen lässt, der gleich- sam in einer beträchtlichen, ihn allseitig umhüllenden peripherischen Dotterschicht ruhen soll. In dem Darminhalte der in unsern Gewässern vor- kommenden Salmonen, deren constanter Schmarotzer der Bothriocephalus proboscideus ist, sind die Eier die- ses Parasiten nicht nachzuweisen, wiewohlman gerade da am ehesten ihre Gegenwart voraussetzen sollte, da gerade das geschlechtsreife hintere Ende dieser Cestoden in das Lumen des Darms hineinragt, wäh- rend sie mit ihrem übrigen Körper die processus py- lorici vollständig ausfüllen und sich mit ihren Saug- näpfen am blinden Ende derselben angesogen haben. In dem Darme selbst trifft man diese Parasiten in den verschiedensten Graden ihrer Entwickelung an; die kleinsten Exemplare derselben, die ich auffinden konn- te, näherten sich in ihrer Form am meisten den Di- bothrien-Scolices ; sie hatten nur die Grösse eines Punk- tes bis zu der von etwa 2 Linien und liessen hinter dem sogenannten Kopfe entweder gar keine Segmente | gu. ii nur einige, bis 16 Segmente erkennen ) PE po cM ^ ‘80. Januar Jahre 1865. ` 3) Ausser jenem i in Fig. 13 تایه نی‎ Befunde, der, wie wir - 1865. | Fig.14 noch ein ferneres 2 Siehe pag. 19 188 i in s: dne Parasiten - Werke i ës vom Der sogenannte Hals geht ihnen bekanntlich ganz ab. Von diesen Entwickelungsstadien an konnte ich die jungen Bothriocephali von sehr verschiedener Länge bis zur vollständigen Geschlechtsreife auffinden; die letzteren waren von etwa 2—4 Zoll Länge und mehr, jedoch nie, wie Diesing irrthümlich angiebt, von der bedeutenden Länge von 2 und sogar noch mehr Fuss *. In Betreff der Lebensdauer dieser Parasiten nach dem Tode ihres Wohnthieres kann ich hier noch hinzufügen, -dass sie einen bis 2 Tage während der heissen Júli- tage, nachdem die Wohnthiere abgestorben waren, noch lebhafte Contractionen des Kórpers zeigten, sobald ich sie in's Wasser setzte. Bald darauf büssten sie in Folge der Wasser-Imbibition anschwellend ihr Leben ein. — Was den Namen dieses Parasiten anbetrifft, so werde ich mich im Folgenden der Bezeichnung Bothrio- cephalus proboscideus bedienen, da die andern Syno- nyma, wiez. B. Taenia salmonis Mülleri, oder Bothrio- cephalus salmonis Köllikeri dem heutigen Standpunkte der Wissenschaft kaum entsprechen dürften. Im Einklange mit den Beobachtungen Kólliker's fand ich, dass die schmäleren, d.i. noch mit dem fein- kórnigen Dotter erfüllten Eier eine homogene helle gp. gefärbte Eierschale mit doppelten Contouren besitzen, ganz wie ich es früher von den Eischalen des Dibo- thrium latum dargethan habe. Einen Deckelapparat, wie ich ihn an den Eiern des letzteren constatiren konnte, habe ich ungeachtet vielen Forschens eben so wenig, als Kölliker auffinden können; dagegen besitzen auch sie, gleich wie die Eier des Dibothrium latum an einem Pole einen knopffórmigeu Aufsátz (s. Fig. 1 und 6), der Köllikern ganz entgangen ist, und sich zuweilen, wie es die Figur 2 und 4 Fig. 3 zeigen, zum Theil, oder auch ganz abhebt. Dass die- ser Aufsatz bei dei Eiern des Bothriocephalus probos- cideus die Function des Deckelapparates übernittrüt, d.i. wie bei den Eiern des Dibothrium latum etwa zum Durchtritt des bewaffneten Embryos dient, ist, ganz abgesehen von der Kleinheit dieses Aufsatzes, schon deshalb unwahrscheinlich, als er bei den Eiern des letzteren Parasiten gleichzeitig ausser dem Deckel- später sehen werden! ¥ von besonderer Wichtigkeit ist, stelle eh in um dar, das etwas ser ist und nur 3—4 Segmente erkennen lässt. 4) Es heisst in 2 شود‎ Systema Helminthum wörtlich: Lon- gitudo 1—2 et ultr des Sciences de Saint-Petersbourg. 294 apparat am entgegengesetzten Eipole existirt. Dass auch die grössten Eier, d. i. die mit dem bereits entwickelten. Embryo, zugleich doppelt contourirte Eikapseln. besitzen, wie es Kölliker loco citato. in in der Fig. 54 darstellt, davon konnte ich mich keines- wegs überzeugen. Im Gegentheil schien es mir, als wenn in diesem Entwickelungsstadium die Eischalen weit. dünner, nur einfach contourirt wären, was, wie wir später sehen werden, gleich wie das leichte Abfal- len des Knopfaufsatzes, das Freiwerden des unbewim- perten Embryos wesentlich erleichtern dürfte — ein Umstand, der desto mehr an Bedeutung gewinnen dürfte, als diese Eier, wie wir bereits gesehen haben, keinen Deckelapparat besitzen. Die Form der Eier ist je nach dem Entwickelungs- grade eine verschiedene. Die am wenigsten entwickel- ten Eier, die mit dem feinkórnigen dunklen Dotter erfüllt sind, nähern sich am meisten der Form eines Cylinders oder einer Walze (s. Fig. 1 und 2), zu- weilen an einer Seitenflüche eine seichte Einsenkung zeigend^) (s.b Fig. 4). Je mehr die Zellenbildung des Dotters vor sich geht, desto mehr nehmen die Eier die ovale oder Eiform an. Am meisten nehmen die Eier mit der Entwickelung der Embryonen an Breite zu, wie es deutlich aus folgenden Messungen erhellt: ns Länge des Eies mit dem Embryo. 0,19 Millim. cse desselben Eies . . . . .. 0,15 a "Länge des Embryos... . . . . 017°» = ‚Breite denselben‘; je... 291575 0,12. 03 ` Vergleichen wir diese Maasse des reifen Embryo- eies mit den Eiern, die nur den feinkörnigen Dotter oder die Dotterzellen zeigen, deren Länge nur 0,15 Mu. und. deren Breite 0,10 Mm. beträgt, so über- ne wir uns, dass die Fe in den verschiedenen Eni twickelungsphasen des Dotters und Embryos von erschiedener Grösse sind, was zugleich aus den von Kar gelieferten Zeichnungen hervorgeht. Wie en d iern des Dibothrium latum, habe ich mich 11 bei dem Bothriocephalus proboscideus von eini- zn Anomalien in der Form seiner Eier überzeugen « Namentlich trifft man Formen an, wie ich sie na u.c der Figur 3 und a Fig. 4 versinnlicht habe, nr diu j doner dem Dotter in einer Ausstülpung bei a grao ien und von den sich entwickelnden Eiern stiess ich auf Figur 5, deren Eischale besonders an den Polen sehr dick war. Nach diesen die Form und die Grösse der Eier des Dibothrium proboscideum betreffenden Betrachtungen gehe ich zu dem Dotter derselben, seinen Eutwicke- lungsprocessen und dem Endprodukt derselben— dem Embryoüber. Bereits Kölliker hat diese Veränderun- gen des Dotters berücksichtigt und in seinen Zeichnun- gen versinnlicht. Ich kann ihm jedoch nur in Betreff der ersten Entwickelungsstadien des Embryos bei- pflichten. Man sieht nämlich die unausgebildeten Eier gleichmässig mit einem grobkórnigen dunklen Dotter erfült, dessen Molekeln das Keimblüschen anfangs nicht so deutlich. hervortreten lassen, als es Kölliker in der Figur 45 darstellt. Erst nach dem Zerfallen des Keimbläschens in mehrere Zellen sieht man dieselben als scharfbegrenzte, elliptische, dünnwandige Bläschen mit einem stark das Licht brechenden Kerne auftre- ten, entweder im Innern des helleren Dottertheils, oder am Rande desselben, zwischen ihm und der Ei- schale, wie Fig. 7 zeigt. Den Dotter habe ich zuwei- len, aber selten zu unregelmüssigen Körnerhaufen gruppirt angetroffen, so dass man etwa das Bild ge- winnt, wie es die Fig. 2 darstellt. Beginnt. die Ent- wickelung der Dotterzellen °), und,zwar auf Kosten des dunkleren Dotters, so wird der Inhalt des Eies immer lichter uud heller ^), indem man de zarten Dotterzellen anfangs, wenn sie noch spàrlich sind, deutlich. (Fig. 7), spüter aber, wenn sie zahlreicher und durch stete Theilung kleiner werden, als solche kaum noch erkennen kann, und man sieht dann nur noch an der Peripherie des Kies den. feinkürnigen Dotter angehäuft, während der centrale Theil (sieh Fig. 8) einen helleren Raum unterscheiden lüsst, er- füllt mit den schwach begrenzten Dotterzellen. Geht die Entwickelung der letzteren noch weiter, so. ist entweder der grösste Theil des Eiraums bis auf den einen dunkel granulirten Poltheil mit jener helleren, unbestimmt gezeichneten hellgelben. Masse erfüllt (Fig. 8), während an dem. andern Pole noch ein ver- schieden grosser Dotterrest wahrgenommen wird; 6) Schön ausgebildet. fand ich eine solche Zelle frei im Wasser liegen, wohl in ds eines geborstenen Eies 7) Zu welcher bergangsstufe wohl anch jenes Entwickelungs- | stadium zu zählen ist, das ich in Fig. 6 versinnlicht habe. Bulletin de l'Académie Impériale 296 oder ‚letzterer ist gänzlich geschwunden, und man sieht das ganze Ei von einer kugeligen lichtgelben Masse gleichmässig ausgefüllt, in welchem Entwicke- lungsstadium des Dotters zugleich das ganze Ei an Umfang zugenommen hat. Dieses Stadium ist das Übergangsstadium des Dotters zum Embryo‘), in dem man bei oberflächlicher Einstellung des Objects an der Peripherie, gleich unter der Eischale, mehr gleich- müssig zerstreute, das Licht stürker brechende kugel- fórmige Molekeln wahrnimmt (Fig. 10). So lange die 6 Häkchen noch nicht ausgebildet sind, ist es schwer zu entscheiden, ob man es bereits schon mit dem Em- bryo oder mit jenem so eben beschriebenen letzten Entwickelungsstadium des Dotters zu thun hat, da die Embryobegrenzung nicht leicht von der periphe- ren Dotterschicht zu unterscheiden ist, und ich nicht, wie es Kölliker gesehen haben will, eine peri- pherische Schicht des Embryos beobachten konnte, wie ich sie als Umhüllungslage bei den Embryonen des Dibothrium latum dargethan habe. Und wenn man in der That ausserhalb des vollständig ausgebildeten Embryos zwischen dessen Oberfläche und der Eischale den Dotter findet (Fig. 9), so sind es nur einzelne Dotterreste, die an einem der Pole sich zu einem Dot- terhaüfen gruppirt haben. Meist sah ich den Embryo das Ei grossentheils ganz ausfüllen (sieh Fig. 9), was namentlich dann der Fall war, wenn ich den Embryo in der Eischale-unter dem Deckglase in Gly- cerin aufbewahrte, wobei nur ein schmaler Raum leer zwischen dem Embryo und der Eischale zurückblieb. Zuweilen legte sich die Oberfläche des Embryos viel- fach in Falten, wie man es in der Fig. 10 deutlich sieht, die noch nicht die Embryo - Häkchen erken- nen liess. Der ausgebildete Embryo des Bothrioce- phalus proboscideus besitzt nicht, wie es Leuckart unrichtig voraussetzt, und es bei dem des Dibo- thrium latum der Fall ist, eine Umhüllungslage, um- kleidet von einer Wimpernhaut; ja selbst die peri- pherische Schicht, von der Kölliker irrthümlich spricht, und die er in der Fig. 54 darstellt, geht die- sem Embryo entschieden ab. Das Einzige, was ich anstatt derselben constatiren konnte, war eine An- sammlung der Dotterreste an einem der Eipole zwi- — und dem rundlichen Embryo (sieh 186 verhltaisse ieh Jw früher angegeben Fig. 12). Es kann hier also weder von einer Resorp- tion jener peripherischen Schicht die Rede sein; wie es Kölliker annahm, noch viel weniger von m Bil- dung einer mit Cilienhaaren bedeckten Haut, die Leu- ckart zufolge meiner und den von ihm am Embryo des Dibothrium latum bestätigten Beobachtungen als wahr- scheinlich voraussetzt. — Was den Bau des Embryos Bothriocephali proboscidei betrifft, so verweise ich auf das, was ich früher von dem des Dibothrium latum gesagt habe. Kölliker hat ihn in seiner Fig. 54 fein punktirt dargestellt, während es mir schien, als ob man eine zarte zellige Structur wahrnehmen könne, Die Begren- zung dieses Embryos besteht aus einer zarten Membran, wie es auch bei dem Embryo des Dibothrium latum der Fall ist, dessen äussere Haut, d. i. dessen Wimpern- kleid allein aus einer festen Haut besteht. In Betreff der Häkchenform des Embryos Bothriocephali probos- cidei weichen meine Beobachtungen von denen Külli- ker's ab. Letzterer stellt sie ganz sichelförmig dar, wobei der Stiel nur ebenso lang ist, als die sogenannte Kralle (sieh seine Fig. 54). Einen Dornfortsatz haben die Häkchen zufolge dieser Zeichnung fast gar nicht. Im Einklange mit dem, was ich von den Häkchen der Embryonen des DADO latum früher geschil- dert, fand ich auch bei den Embryonen Bothriocephali ee dass ihre Häkchen paarweise zu 3 Grup- pen gelagert sind, und zwar auch hier mit den stum- pfen Enden (Stielen) convergirend und gleichsam nach einem Centrum hin gerichtet, während die entgegen- gesetzten, zugespitzten Enden (Krallen) divergirend auseinander treten. Die Länge dieser beiden Theile zusammen, d. i. die der Häkchen überhaupt beträgt 0,0180 Mm., von denen der Stiel nicht ebenso lang, als die Kralle (0,0036 Mm.) ist, wie Kölliker unrich- tig das Verhältniss darstellt, sondern wenigstens 3 Mal so lang, als letztere, nämlich 0,0144 Mm. Der Stiel verläuft ganz volle: ان‎ die Fortsetzung desselben, die Kralle, eine Sichel, ganz wie bei den Häkchen vom Enibryo des Dibothrium latum. dar- stellt’). Von der ley ome beider Theile sieht — $ `" vio aon a39 d OILIX A 01 Der Rücken derselben ist nur ikea RER mit dem Dorn fast einen rechten Winkel. In der we 56. hat Sr liker eins der Häkchen bis auf den zu starken Dorn, und | gen-Verhältniss zwischen Stiel und der Kralle richtig dargestellt. Leider stand mir bei Abfassung meiner Arbeit der Aufsatz Kölli- ker’s nicht zu Gebote, weshalb ich mich genöthigt sah, mich auf des Sciences de Saint- Pétersbourg. man deutlich einen Querfortsatz ausgehen, der bei den Embryonen des Bothriocephalus proboscideus noch stärker entwickelt und länger ist, als bei denen des Dibothrium latum und an der freien Spitze sich nach . der Kralle hin etwas umbiegt (sieh Fig. 11). Die paarweise gruppirten Häkchen liegen stets parallel neben einander. Die Zahl derselben beläuft sich auch hier, wie bei dem Dibothrium latum und den Taenien- Embryonen überhaupt auf 6; nur einmal fand ich aus- nahmsweise einen Embryo mit 7 Häkchen, von denen in einer seitlichen Gruppe anstatt zwei drei gruppirt waren. Eine Bewegung dieser Häkchenpaare zu ein- ander, so dass die Krallen sich etwa näherten, wie es bei den Embryonen des Dibothrium latum im Ei der Fall ist, konnte ich nicht wahrnehmen, eben so wenig als irgend eine active Bewegung der Embryonen, wie- wohl das Vorhandensein der Hükchen doch unzwei- felhaft für die Reife derselben sprach. — In Betreff der Form des Embryos Bothriocephali proboscidei ist zu bemerken, dass Kólliker ihn eiförmig, ja conisch dargestellt hat ®) (sieh dessen Fig. 54). Ich dagegen fand, dass der Embryo entsprechend dem des Dibo- thrium latum entweder von mehr runder Form gleich dem Dotterzellenhaufen ist TT). sobald das Ei nicht ganz von ihm erfüllt ist, oder meist elliptisch gestal- tet erscheint, wenn die Eikapsel fast ganz von dem Embryo, oder von den hellen Dotterzellen ausgefüllt wurde (sieh die Figuren 12 und 9). äi Am Schlusse unserer Betrachtungen der Eier des alus proboscideus sei es mir noch gestattet, Pent zu beantworten: wie wird der Embryo frei, d.i.auf welche Weise tritt er aus der Eikapsel, und viegelangt er behufs seiner weiteren Entwickelung zum Scolex in sein zukünftiges Wohnthier? Ich habe be- reits früher erwähnt, dass man bei diesen Embryonen weder ein Wimpernkleid; noch Bewegungen derselben mit ihren Häkchen constatiren könne, so dass sie in den Eikapseln ohne alle Zeichen des Lebens erschei- Mair — — wir, dass je grósser, und somit je "epe seiner Abbildungen zu berufen, wie sie Leuckart bis auf die Figur 56 in seinem Parasiten- uis pag. 188 liefert. . 10) Und zwar sollen nach ihm die و‎ Häkchenpaare gruppen- dem breiteren Theile des Embryos gelagert sein M) Welche Form ich in einer auffallend grossen Eikapiel an- iuf; deren: Länge 0,27 Mm. und deren Breite 0,21 Mm. betrug; in leeren Raume zwischen der Eikapsel und der Dotterzellenku- gel lagen nur zerstreut einzelne Dottermolekeln. reifer das Ei wird, d. i. je mehr sich der Embryo in demselben ausbildet, seine Eihaut desto dünner und zarter wird, und nicht mehr, wie die Eier im Dotter- zustande doppelte Contouren derselben zeigt. Endlich habe ich nachgewiesen, dass die Eier auch dieses bothriocephalen Cestoden mit einem knopfförmigen Auf- satz versehen sind, der mit der Reife der Eier deut- licher hervortritt, und alsdann nicht selten mehr oder weniger abgehoben erscheint. Zugleich überzeugten mich die Beobachtungen an den Eiern des Bothrioce- phalus proboscideus , die ich im Wasser entweder frei, oder noch in den Proglottiden aufbewahrte, dass sie sich in diesem Vehikel keineswegs so gut wie die des Dibothrium latum erhielten, noch viel weniger sich wei- ter entwickelten, so dass ich mich trotz der günstigen Resultate, die ich vermittelst dieser Aufbewahrungs- Methode bei letzterem Cestoden erzielte, genüthigt sah, in Betreff des Dibothrium proboscideum von die- sem Verfahren abzustehen. — Alle diese Beobachtun- gen und Erfahrungen sprechen entschieden dafür, dass die Embryonen dieses Cestoden bestimmt sind unter anderen Verhältnissen und in anderen Medien als im Wasser sich zu entwickeln, ferner dass sie auf andern Wegen und auf mehr passive Weise, als der bewim- perte Embryo des Dibothrium latum zum neuen Wohn- thier gelangen. Da ferner am Embryo des Bothrioce- phalus proboscideus im Eizustande keine activen Be- wegungen weder von mir, noch von Kólliker wahr- genommen wurden, ja selbst nicht einmal in Betreff der Hükchen, und die Eier dieses Cestoden den Deckel- apparat entbehren, dürfte wohl der Schluss gerechtfer- tigt erscheinen, dass die Embryonen dieses Parasiten noch im Eizustande in den Darm des zukünfti- gen Wohnthieres gelangen und dort durch die verdauende Kraft des Magen- und Darmsaftes yon ihren Eihüllen frei werden. Diese Annahme ist um so wahrscheinlicher, als die Eihäute, die den rn nn weit zartwandiger, als die des um latum, ja nur einfach contourirt sind, a sich dup knopffórmige Aufsatz mit der Reife dés Embryos mehr lockert und leicht abfällt, demnach der Austritt des Embryos aus der Eikapsel wesentlich erleichtert. vird de Und. wenn Leg im Darmschleime 12) Alle diese Momente verdienen um so mehr Berücksichtigung, als ich durch künstliche Verdauungsversuche, betreffend die Eis cha- len des Dibothrium latum, mich überzeugte, dass sie als eine Chi- Bulletin de l'Académie Impériale und in den Pylorus-Fortsätzen des Lachses ausser dem Echinorhynchus nur die Scolices und nicht die Em- bryonen. und Eier des Bothriocephalus proboscideus nachweisen konnte, so. ist die Ursache des Nichtfin- dens derselben wohl einzig und allein in der allzu grossen Schwierigkeit zu suchen, und zwar um so mehr, als ich erst nach langem und vergeblichem Su- chen so glücklich war, endlich die kleinsten Scolices dieses Parasiten zu finden ").. Die kleinsten dieser Exemplare, die ich als nur aus dem Kopf bestehend (sieh Fig. 13) '‘) nachzuweisen im Stande war, wa- ren als weisse Puncte dem blossen Auge noch. so eben erkennbar. Leichterist es die weiteren Entwicke- lungsstadien der jungen Bothriocephali proboscidei: zu ermitteln, wie z. B. die mit bereits beginnender Seg- mentation und den ersten Anlagen der Proglottiden. So. fand ich bereits mehrere Exemplare mit 3—5 Segmenten oder sich entwickelnden Gliedern (Fig. 14), während die mit 10—15 und mehr Proglottiden nicht mehr zu den seltenen Vorkommnissen gehören. Dass man ausser den zahllosen geschlechtsreifen Exem- plaren besonders bei älteren oder grösseren Lachsen noch die unausgebildeten Parasiten nicht weniger häu- fig bei den jüngeren Salmonen nachweisen kann, be- darf wohl kaum noch der Erwähnung. Wir fanden einerseits den reifen Embryo in den Eiern der Fruchthálter, andererseits die wenig ausgebil- deten Scolices in dem Darmschleim, nie jedoch in den Eiern selbst, wie van Beneden irrthümlich angiebt. Ganz zu denselben Resultaten war ich in Betreff der Embryonen und Scolices Dibothrii lati gelangt. Auf die- selben gestützt, fühle ich mich veranlasst, wenigstens in. Betreff der bothriocephalen Cestoden, die Angabe van Beneden's: «dass, manche Bandwürmer schon in der Scolexform die Eier verliessen» ") entschieden zurückzuweisen. Nicht so leicht, als die Widerlegung der parium — van Beneden's dürfte die in dem Magen- und Darmsaft nicht aufgelöst werden, was‏ منت wegen der Existenz des Deckelapparates von keinem Belang ist.‏ us 2 besonders hervorheben muss, dass das Finden der‏ )13 r Eier ja lediglich von einem glücklichen Zufalle‏ abhängt und zvar nur dann gelingen dürfte; wı‏ acher ide ac‏ wenn der zu. unter- 0 hs vor kurzem die Proglottiden des Bothriocephalus scideus gefressen hat, da die Scolices dieses Parasiten sich niehtansiden Entozoeneiern desselben Wohnthieres entwickeln. off “erade diese met haben für uns, wie wir später sehen e 'euekart's Parasiten-Werk pag. 188. Erledigung der von der Pariser Akademie gestellten Frage sein: ob nämlich der Embryo des JDibothrium latum sich direct zum. reifen. Individuum ‚ausbildet, oder ob er, bevor er zum geschlechtsreifen Bothrio- cephalus wind erst noch besondere Metamorphosen eingeht? — Wiewohl die Resultate meiner bisherigen Experimente, die ich mit den Embryonen des Dibo- thrium latum am Hund anstellte, zur Beantwortung die- ser Frage ausreichen dürften, liess ich es mir den. noch angelegen sein, ausser diesen und. den .Bofhrio- cephalus proboscideus. betreflenden Ergebnissen noch mit dessen Eiern und Proglottiden Fütterungsversuche anzustellen, und zwar diesmal nicht zugleich bei Säu- gethieren (dem Hunde ®), wie früher in Betreff des Di: bothrium latum, sondern an Fischen, da ja bei ihnen — denSalmonen — schon die geschlechtsreifen Individuen des Bothriocephalus proboscideus vorkommen. Es fragt sich bei diesen Experimenten nur, welche Fische zu diesem Zwecke wohl die geeignetsten sein-dürften, da meine, und besonders Leuckart's Fütterungsver- suche mit Mosler zur Genüge dargethan: haben, dass die glückliche Auswahl des Versuchsthieres von we- sentlichem Belang zum ‚Gelingen des. Experiments sind. Ich liess mich in der Wahl des Versuchsthieres durch folgende Erfahrungen bestimmen: 1) durch den Umstand, dass der Bothriocephalus proboscideus sowohl im Scolex, als auch im geschlechtsreifen Zustande gewühnlich bei carnivoren Fischen angetroffen wird, und 2) durch die frühere Beobachtung eines sehr jun- gen Exemplars dieses Parasiten im Darm des Stich- lings (Gasterosteus. aculeatus). — Ich. benutzte des- halb diese Species und den Gasterosteus pungitius zu diesen Versuchen, indem ich diese Fische in einem Aquarium hielt, in das ich kleine Stücke von den ge schlechtsreifen Gliedern des Bothriocephalus probosci- deus fallen liess, den ich entweder so eben aus dem Darm des Lachses genommen, oder einige Zeit in Ei- weiss aufbewahrt hatte. Die Fütterungen dieser ge frässigen Carnivoren setzte ich mehrere Tage auf die so eben angegebene Art fort. Wenn auch viele besonders der grossen und älteren Gasterostei, bald 16) An welchem Thiere ieh auch späfer und noch vor kurzem diese Experimente cape habe, von denen ich. essan Set en der Sectionen bereits in meinem Referate. über die neu- esten Forts auf dem Gebiete der Helminthologie niedergelegt habe, واه‎ ich auf das Militär-medicinische Journal (Juni- denm und September-Heft) von diesem Jahre verweise. |. . o —— des Sciences de Saint- Pétersbourg. zu Grunde gingen, so gelang es mir dennoch die an- dern 3— 4 Tage mit den Proglottiden dieses Parasiten zu füttern. Die leider bald nach der ersten Fütterung krepirten Exemplare zeigten ausser dem Echinorhyn- chus angustatus im Darm, und dem Bothriocephalus soli- dus in der Bauchhóhle, so wie den Dibothrien-Solices in Kapseln der Leber — keine Spur von dem Bofhrioce- -phalus proboscideus. Dasselbe gilt auch von den Ver- suchsthieren, die 3 Tage während der Fütterung am Leben blieben, bei denen ich auch nur die bereits erwähnten Parasiten auffinden konnte. Bei einem etwa 5 Tage nach der ersten Fütterung am Leben geblie- benen Gasterosteus aculeatus konnte ich im Darmcanal nur die Gegenwart von Ascaris gasterostei ") Diesing sowohl des Männchens, als auch des an Grösse be- trächtlicheren Weibchens ermitteln, von dem die diekschaaligen Eier mit deren Dotterkugeln zahlreich abgingen. Das letzte Versuchsthier blieb zu meiner Freude sogar 23 Tage nach der ersten Fütterung am Leben, die ich in den folgenden Tagen mehrmals wie- derholte. Bei der Untersuchung dieses Gasterosteus aculeatus, die ich genau anstellte, fand ich in der Bauchhöhle in der Nähe der Leber einen Dibothrien- Scolex, etwa 4 Linien lang, der nur geringe Zeichen des Lebens darbot. Im Darm jedoch, den ich Stelle für Stelle vom Magen bis zum After unter dem Mi- kroskope durchmusterte, war ich nirgends im Stande in der Weise, wie früher den Scolex ") als junges Exemplar des Bothriocephalus proboscideus nachzuwei- sen. Gegen die Annahme, dass jener Dibothrien-Seo- | m lex aus der Bauchhöhle des Stichlings, den ich Zoco citato in den Figuren 24 und 25 dargestellt habe, möglicherweise der Scolex des Bothriocephalus probos- cidéus sei — sprechen entschieden meine bisherigen Erfahrungen, vor allem aber die Verschiedenheit im Bat des Kopfes, was 7060 citato besonders aus einem Vergleiche der Figuren 24 und 37 der Tafel I und II erliellt. Da diese Seolices bisher noch nicht näher beschrieben sind-und keinen besonderen Namen füh- ; will ich sie ihres Vorkommens wegen bei den Stichtingen name er ti Gasterostei nennen. "t m Weiche: idt nicht RUN bezeichnete Species ich mit Ascaris agili$ bezeichen möchte. 18) Sieh Fig. 34. b Tafel II in meiner Aisi «Die Ku geschichte des. leg: in den Mémoires de l'Acadé- mie Impériale des sciences, VIIme Série. 9 Sind die Ergebnisse unserer Fütterungsversuche bei den Stichlingen in Betreff der Dibothrien eher ne- gativer als positiver Natur, so muss ich hiebei zu- gleich besonders hervorheben, dass es mir diesmal bei den Stichlingen trotz ihrer sonst so grossen Ge- früssigkeit und der oft wiederholten Fütterung mit den Proglottiden des Bothriocephalus proboscideus, die ich zerstückelt im Aquarium langsam zu Boden fallen liess, nie gelungen ist, zu beobachten, dass diese Versuchs- thiere die Stücke während ihres Sinkens aufgefangen oder hinuntergeschluckt hätten’). Dem entsprechend konnte ich bei den bald nach der ersten Fütterung abgestorbenen Stichlingen weder die Eier, noch die Embryonen mit den Proglottiden des Bothriocephalus proboscideus in deren Darm constatiren, wie es mir früher bei ähnlichen Fütterungen mit den Eiern und Embryonen des Dibothrium latum bei denselben Ver- suchsthieren möglich war. Ich gehe jetzt zur Beantwortung der von der Pari- ser Akademie der Wissenschaften gestellten Frage über. Sie besteht darin, zu erfahren: si l'embryon se change directement en Bothriocéphale adulte, ou si, pour arriver à ce dernier état, il ne subit pas d’autres métamorphoses? — Mit Recht hebt jene gelehrte Ge- sellschaft diese Frage besonders hervor und stellt sie als Cardinalfrage in den Vordergrund. Dass auch ich in meiner Abhandlung, die die Pariser Akademie ei- ner «mention honorable» gewürdigt, die Wichtigkeit dieser Hauptfrage erkannt und eingehend durch die männigfaltigsten Experimente zu beantworten be- strebt gewesen bin, wird aus Mh amet zur Genüge erhellen. iar dads Zufolge der hei die wir in Betreff der Entwickelung der meisten Taenienarten — ihrer Cy- sticercenbildung in den verschiedensten Küórperorga- nen gewonnen haben, sind wir per analogiam zu- nüchst zu der 57 موه مان‎ berechtigt, dass auch bei den Bothriocephalen-Cestoden ein selbstständiges den Cysticercen ähnliches Entwickelungsstadium. in den verschiedenen Organen des Wohnthieres statt habe. In der That finden. wir dem entsprechend auch bei vielen Fischen, insbesondere aber em meisten -19) Auch selbst dann konnte. ich mich vom Verschlucken der zerstückelten Proglottiden nieht überzeugen, als un - Körperbewegungen die gefallenen Wurnettke wi vieler indie Höhe fiebelten und in Wasser umhersehwimmen liessen 303 Bulletin de l’Académie Impériale Salmonen ب‎ Salmo fario und S. hucho; ferner beim Coregonus albula, Osmerus eperlanus und endlich bei den Gasterosteis und den Barschen encystirte oder freie Bothriocephalen-Scolices in den Geweben der Körperorgane eingebettet, wie z. D. die Scolices des Triaenophorus nodulosus, eingekapselt in der Leber?) des Barsches, und die Dibothrien - Scolices in den Cysten an der Leber des Lachses u. s; ۰ Gestützt auf diese Beobachtungen unternahm ich sehr zahlreiche Experimente an den verschiedensten Thieren, die alle zu dem Zweck angestellt wurden, den bis dahin noch ganz unbekannten Scolex des Bo- thriocephalus latus aus seinem bewimperten sechshaki- gen Embryo zu ziehen. Nicht allein, dass ich durch diese grosse Reihe von Fütterungsversuchen ’”') zum Scolex zu gelangen strebte, sondern ich suchte zu- gleich durch directe Verfolgung der Embryonalent- wickelung dieses Parasiten in verschiedenen geeig- neten Medien unter dem Mikroskope die Art des Embryo-Überganges zum jungen Bandwurm zu erfor- schen. Sowohl die auf diesem Wege; als namentlich die durch Fütterungsversuche gewonnenen positiven Resultate sprechen deutlich und in unzweifelhafter Weise für die directe Entwickelung des jungen Bothriocephalus latus aus seinem bewimperten Em- bryo, ohne dabei besonderen Metamorphosen zuun- terliegen, d. i. ohne noch einen selbstständigen Sco- lexzustand durchzumachen, der etwa mit dem Cys- ticercenzustande der Taenien in den verschiedenen Körperorganen des Wohnthieres zu vergleichen wäre. Ich beginne zur Bekräftigung des eben Gesagten zu- nächst mit den ersten Veränderungen, die der Em- bryo bei seinem Übergange zum jungen Dibothrium latum. eingeht, um später die ferneren von mir beob- achteten Eutwickelungsstadien, die dem Scolex ent- sprechen, folgen zu lassen. - Ich. schloss lebende, aus dem Ei geschlüpfte Em- ER Die ich zugleich im Darm des Hechts, und zwar nur die be- Köpfe, ganz ohne den bandförmigen Anhang an- E Zu dodi Versuchen ist noch jene lange Reihe von Experi- an Hunden en, der Katze und den Fróschen zu die à darin bestanden, dass ich die Embryonen des Bothrioce- Ooperativem Wege in die verschiedensten Körper- thiere führ te— Experimente, deren Resultate, negativer Natur waren, für eine «directe» Ent- geschlechtsreifen Dibothrium mee aus سم‎ Të bryonen in einem mit klarem Eialbumen ‚erfüllten Raume zwischen. Gläsern hermetisch von. der Luft ab ”)., Ich glaubte gerade diesem Medium den Vor- zug vor allen andern einräumen zu müssen, weil es unter dem Mikroskope die fernere Beobachtung der Embryonen gestattet, und ich durch früheres Aufbe- wahren der Entozoen überhaupt, und der Scolices der Bothriocephalen in's besondere mich überzeugt hatte, dass sie gerade im Albumen, nächst dem rasch sich zersetzenden Speichel, am besten und làngsten,.ja fast allein noch ausserhalb ihres Mutterbodens am Leben. erhalten werden kónnen. Die erste mikroskopische Untersuchung ergab, desi nach Einführung der bewimperten Embryonen: in’s Albumen das Cilienspiel derselben noch lebhaft: forts besteht, die Fortbewegung des Embryos jedoch ver. mittelst seiner Cilien wegen der visciden Beschaffen- heit des Albumens nicht erfolgen kann. Diese Cilien- bewegung konnte ich auch noch am zweiten Tage er- kennen, nicht jedoch die activen Kórperbewegungen des Embryos selbst oder seiner Häkchen; so dass an demselben sich keine Regung des Lebens entdecken liess. Dafür fesselte meine Aufmerksamkeit besonders folgende Veränderung am Embryo.: An einem Theile seines Körpers sah man ein; regelmüssiges, kegelfór- mig zulaufendes Ende (sieh loco citato a der Fig. 23 auf Tafel I) von fein granulirter, consistenter Beschaf- fenheit und hellgelber Farbe. Dieser hervorragende Theil erinnert an den Keimhügel der befruchteten Fischeier vor dessen Furchung, wenn die Eier bereits einige. Zeit im Wasser gelegen haben; nur ist die Form der Fischeier eine mehr sphärische., Auf der halben Hóhe dieses Kegels (von der Seite betrachtet) trat an dessen Umfange ein bogenförmiger Schatten- saum (sieh b.derselben Figur 23) als optischer Aus- druck einer wallartigen Erhebung des unteren breite: ren. Theils dieses spitzeren Embryopoles hervor: Der übrige Theil war ganz mit den Fettkugeln ähnlichen Bläschen erfüllt, die besonders in der Gegend des im Ganzen mehr organisirten; spitzeren (vorderen) Endes dichter z Am ei gesetzten (hinteren) Ende des Embryos hatte ‘sich deutlich eine Haut abgehoben, und es LR oU ob der Embryo zum Theil aus ihr. hervorgetreten wäre, 22) Indem ich ich die Bänder dies Gläser : mit einer Ate hermetisch verklebte. 305 des Sciences de St. - Petersbourg. 306 zwischen sich und der Haut eine Lücke lassend (sieh ¢ derselben Figur). -Unwillkührlich wird man bei Betrachtung des vor- dersten Embryotheiles (a der Fig. 23) an die An- lage des sogenannten Kopfes vom jungen Dibothrium labium erinnert, wobei der hintere grössere Theil der- selben Figur b der Anlage des bandförmigen hinteren Endes des Scolex entsprechen würde, wie wir dasselbe bei den Scolices vom breiten Bandwurm aus dem Darm des Hundes genauer kennen gelernt haben (sieh loco eitato Fig. 37 der Tafel II). Ein Encystiren dieses Embryos findet nicht statt, was van Beneden und P.Gervais von den Bothriocephalen überhaupt gel- ten lassen wollen. Eine sogenannte Knospenbildung, wie sie van Beneden und G. Wagener bei dem Tetrarhynchus nachgewiesen haben, und sie bei den Taenien überhaupt vorkommt, konnte ich am Embryo des Dibothrium latum nicht beobachten, weshalb wir auch nicht berechtigt sind, den hinteren Theil des Embryos (b der Fig 23) mit dem sogenannten recepta- culum scolicis zu vergleichen, wie es van Beneden und G. Wagener beim Tetrarhynchus darstellen. Eine weitere Entwickelung dieses Embryos konnte ich in dem hermetisch verschlossenen Albumen selbst- verstáudlich nicht verfolgen. — Diese Beobachtung spricht also für die directe Entwickelung des jungen Bothriocephalus aus seinem Embryo. —Zur Entscheiduug der Frage, ob die bewimperten sechshakigen Embryonen des Dibothrium latwm directe oder active Wanderungen in verschiedene Kórperor- gane der Wasserthiere unternehmen, um dort etwa in den Cysticercenzustand überzugehen -— setzte ich Thiere, deren Kórperoberflüche weich und somit für die bewaffneten Embryonen leicht permeabel sind, ins Wasser, das zahlreich von den Dibothrien-Embryonen bewohnt war. Behufs dieses Experimentes wählte ich Phryganeen-Larven, junge Frósche und auch Fische, da ihre Kiemen den nach allen Richtungen hin schwim- menden Embryonen leicht zugänglich sind. Eine spä- ter angestellte genaue Untersuchung dieser Versuchs- thiere führte zum negativen Resultat, das also dafür Spricht, dass die Embryonen dieses Parasiten nicht auf activem Wege von aussen in ihr späteres Wohn- thier einwandern, oder sich nicht behufs eines selbst- trs igen Cysticercen-Zustandes encystireu. — Behufs Weiterer Bestätigung dieses Satzes führte ich auf ope- X Tome IX, rativem Wege die Embryonen des Dibothrium latum in die verschiedenen Körperorgane, in denen sich be- kanntlich die Cysticercen der menschlichen Taenien u.s. w: entwickeln, wie in das Gehirn, in’s Auge, un- ter die Haut, in die Muskeln und in das Gefässsystem. Als Versuchsthiere wählte ich Thiere aus den ver- schiedensten Klassen, namentlich Hunde, Kaninchen, Katzen und Frösche. Indem ich hier nicht näher auf diese vielfachen und zahlreichen Versuche, die com- plieirt und schwer auszuführen waren, eingehe, er- laube ich mir, hier nur zu verweisen auf die betreffen- den Versuchsreihen, die ich loco citato p. 79—91 mit ihren Ergebnissen genauer geschildert habe. Ich will hier nurals wichtiges Resultat den pag. 90 loco eitato aufgestellten Satz hervorheben: alle diese Experimente dienen gleich den vorigen als directer Beweis dafür, dass die Embryonen des Dibothrium latum sich nicht, wie diejenigen der übrigen Cestoden überhaupt, und insbesodere der Taenien, in den oben erwähnten Organen des Körpers zum Sco- lexzustande weiter entwickeln können. Um noch weitere Thatsachen dafür zu liefern, dass die Embryonen des Dibothrium latum keine activen Wanderungen in die verschiedenen Körperorgane des Wohnthieres unternehmen, schritt ich zu einer neuen Reihe-von Experimenten—zu den Fütterungs- versuchen, die ich gleichfalls sehr zahlreich an den verschiedensten Thieren anstellte — beginnend mit den Fischen, und so allmählich durch alle Thierklassen hinaufsteigend bis zu den Säugethieren. ar Führten schon meine bei verschiedenen Fischen (Cyprinus- und Gasterostei-Arten etc.) angestellten Fütterungen zu einem mehr negativen Resultate, so wurden sie vollends durch die von Leuckart später an den Cyprinoiden wiederholten Experimente bestä- tigt. Diese von mir und namentlich von Leuckart bei den Fischen gewonnenen Ergebnisse sprechen dem- nach entschieden dafür : «dass der Scolex oder der junge Bothriocephalus latus sich nicht in den Fischen ausbil- det, noch viel weniger in einem Cystenzustande vor- kommt», etwa wie z. B. die Cysticercen der Taenien bei anderen Thieren. Zugleich berechtigen sie zu dem Schlusse, dass die bei den Lachsen und den Stichlin- gen sowohl frei in deren Bauchhühle, als auch encystirt vorkommenden Bothriocephalen-Scolices nicht iden- tisch mit denen des Dibothrium latum sind, wofür zu- 20 Bulletin de l'Académie Impériale gleich schon die Verschiedenheit in der Form und im Bau sprach. Noch mehr jedoch als jene Fütterungs- versuche an den Fischen beweist namentlich das von mir an einem Hunde angestellte Experiment mit den Dibothrien-Scolices der Fische, dass sie keines- wegs als die Scolices des Bothriocephalus latus anzu- sehen sind, sondern als selbstständige Entwickelungs- stadien anderer Dibothrien-Arten der Fische, die wir, wenigstens die encystirten, mit den Cysticercen der Taenien zu vergleichen berechtigt sind. Das Experi- ment bestand nämlich darin, dass ich einem grossen Hunde vermittelst einer Magenfistel wenigstens gegen 52 lebende Dibothrien-Scolices, entlehnt aus der Bauchhöhle der Quappe (Gadus lota) und des Stich- s (Gasterosteus aculeatus), in den Magen führte. Ich wiederholte die Fütterung drei Mal. Das Resul- tat fiel ungeachtet dessen negativ aus, wiewohl ich das Versuchsthier 8 Monate nach der ersten Fütterung untersuchte (sieh loco citato pag. 122 ect.). Dieses und die früher bereits erwähnten negativen Resultate setzten mich in den Stand, den wichtigen Beweis zu führen, dass die Übertragung des Bothrio- cephalus latus auf den Menschen durchaus nicht, wie man bisher fast allgemein annahm, durch den Genuss der Fische zu Stande kommt, sondern, wie es bereits aus meinen frühern, die bewimperten im Wasser fortschwimmenden Embryonen dieses Para- siten ‚betreffenden Beobachtungen erhellt, durch deu Genuss des Trinkwassers, in dem diese Em- bryonen leben. Zu denselben negativen Resultaten führten die Füt- terungsversuche der Frösche und Salamander, so wie der Vögel (zahmen Gänse und Enten), als ich sie mit den Eiern des Dibothrium latum fütterte. Erst die bei den Sáugethieren, namentlich dem Hunde angestellten Fütterungsversuche mit den Eiern, und besonders mit den Embryonen des Dibothrium latum lieferten den schlagenden Beweis davon, dass letztere, um ihre Entwickelung zum Scolex zu durchlaufen, in dem ` Darm ihres Wohnthieres keine activen Wande- gen in die verschiedenen Kórperorgane un- 8 icercen encystiren, sondern dass sie im Darm und desselben Wohnthieres sich direct breiten Bandwurm, erst zum Sco- en und dann zum geschlechtsreifen nehmen und sich also nicht, wie die der Taenien Individuum dieses Parasiten ausbilden, Diese Fütterungsversuche und die durch sie beim Hunde wiederholt erzielten positiven Resultate erhoben die Thatsache, dass wir beim Bothriocephalus latus kei- nen selbstständigen Cystenzustand, etwa in der Weise, wie die Cysticerei der Taenien, anzunehmen berechtigt sind, über allen Zweifel! Als Beleg des so- eben Gesagten und als Widerlegung der von Leu- ckart in seinem Parasiten- Werke pag. 764 ausge- sprochenen Bedenken ?) sei es mir erlaubt, hier nüher auf die wichtigen positiven Resultate unserer Fütte- rungsversuche beim Hunde einzugehen, die zugleich durch dieselben Versuche des Dr. E. Pelikan wei- tere Bestätigung gefunden haben, und mit denen zu- gleich die Befunde Creplin's, Natterer's und Die- sing’s von Bothriocephalen - Scolices *) im Darm mehrerer brasilianischer Felis-Arten ausser den ge- schlechtsreifen Individuen im vollsten Einklange ste- hen. | Ich fütterte zuerst eine ganz junge Hündin mit den Proglottiden des Bothriocephalus latus, die ich mit der Milch dem Versuchsthiere Ende Februar 1859 zu wiederholten Malen einführte. (Sieh loco eitato pag. 105). Ich hebe hier, wie schon damals, zur Beseitigung ähnlicher Vorwürfe, wie z. B. Leu- ckart’s, nochmals besonders hervor, dass das Ver- suchsthier, das bisher von der Mutterbrust genährt worden war, bis zur Section stets in Gefangenschaft gehalten wurde, und dass in Bezug auf seine Nahrung strenge Controle geführt wurde. Als ich das Thier Ende Juni durch Strychnin von einer Halswunde aus tödtete, fand ich zu meiner Freude in dem mittleren Theile des Dünndarms 7 Exemplare des Bothrioce- phalus latus in den verschiedensten Entwickelungs- phasen, entsprechend den verschiedenen Zeiträumen, in denen die Fütterung wöchentlich vorgenommen ` wurde. Nicht allein, dass ich auf diese Weise Gele- genheit hatte, lebendige geschlechtsreife Individuen dieses Parasiten zu ی‎ sondern ich hatte 23) So wie der von Küchenmeister in seinem Werke über menschliche Parasiten aufgestellten irrige Behauptung: dass alle mit Häkchen versehenen Embryonen der Cestoden — somit auch die des Dibothrium — — eine cicius "dureh verschiedene Thier! körper im Darm- kanal eines und dessel En "hier man demzufolge im = gees" (?) der ‚ganzen Ent- wickelungsreihe einer men e pi würde! A kennen | des Sciences de Saint - — — zugleich das Glück, unter den kleinsten Exemplaren derselben drei von 1 Zoll und mehr im Darm zu beob- achten, deren Entwickelungsstadium vollkommen dem der Cestoden-Scolices, d. i. dem Cysticercenzustande der Taenien entsprach. In dem bandfórmigen An- hange dieser jungen Bothriocephali fehlte jegliche einer Genitalanlage (s. 1. c. Fig. 37). Die tiefen longitudinalen: Bothrien, sowie die Anwesenheit ge- sehlechtsreifer Individuen dieses Parasiten und die vorhergegangenen Fütterungen des Versuchsthieres gerade mit den Proglottiden dieses Dandwurms erhe- ben die Annahme über allen Zweifel, dass wir es hier entschieden mit den sogenannten Scolices des Bothrio- s latus zu thun haben. —Zufolge dieser wichtigen Resultate fühlte ich mich schon damals zu folgenden höchst en Folge: rungen berechtigt: 1) Liefern sie vor Allem den unzweifelhaften Beweis, dass die Embryonen aus den direct in den Darm der Säugethiere eingeführten Eiern des breiten ` Bandwurms keineswegs vermittelst ihrer 6 Häk- " chen in der Weise, wie die Taenia-Embryonen eine active Windérang aus dem Darmkanal in die ver- schiedenen Körperorgane unternehmen, sondern ss sie daselbst alle Entwickelungsphasen zu- "e zum jungen Bothriocephalus latus (zum Sco- I dex) und alsdann zur Geschlechtsreife ununterbro- is chen durchmachen.. St tehen sie im vollsten Einklange mit dem früher auf operativem Wege durch vielfache Experimente . gewonnenen Resultate, dass nämlich die Embryo- en des breiten Bandwurms nicht in den verschie- lenen Organen des Wohnthieres, wie die Taenia- umbryonen, sondern nur im Darmkanal sich wei- ter entwickeln. Demnach widerlegen die Ergeb- nisse dieses Fütterungsversuches abermals: 3) Die Vermuthung Küchenmeister’s und anderer Gelehrter, als wenn der Scolex des Bothriocephalus ` lius in einem niedern Wasser- oder Sumpfthiere ~ (z. B. in Schnecken und Fischen) lebe, oder als Scolex mit verschiedenen Früchten oder Gemüse- en vom Menschen verzehrt werde, — Vermu- c: die schon a priori wenigstens zum Theil ‚sehr unwahrscheinlich erscheinen und bereits durch sers meine ‚Experimente an den wirbellosen und andern Wasserthieren grösstentheils ihre Erledigung ge- funden haben. Als weitere Bestätigung dieser wichtigen Ergeb- nisse führe ich gegen die unbegründeten Einwendun- dungen Leuckart’s, als wenn ich nur diesen Fall zur obigen Beweisführung aufzuweisen hätte, noch fol- gende nicht weniger wichtige Befunde DCH her von mir und später vom Dr. E. Pelikan angestellten Experimente an: Ich erwähne hier zunächst den Fütterungsversuch E. Pelikan's am Hunde, da er, wie der vorige zugleich mit den Proglottiden, d. i. mit den Eiern, und nicht, wie in meinem sogleich noch zu erwähnenden Falle, mit den Embryonen des Bothriocephalus latus ausge- führt worden ist. Entsprechend der Zeit, die seit der Fütterung bis zur Section des Versuchshundes ver- flossen, gewann E. Pelikan ein grösseres Exemplar des breiten Bandwurms, als die von mir durch künst- liche Fütterung erzielten Parasiten, wie ich mich durch Untersuchung des von Pelikan mir freund- lichst zur Verfügung gestellten Objectes überzeugen konnte. Im Übrigen stimmte dieses Exemplar genau mit den zahlreicher von uns gewonnenen Exemplaren des Bothriocephalus latus überein. — Fast eben so reichhaltig, als das Ergebniss meines bereits beschrie- benen Falles, ist folgender, der insofern, als ich anstatt mit den Proglottiden, direct mit den reifen, im Was- ser schwimmenden Embryonen des breiten Bandwurms experimentirte, von weit grösserem Interesse ist, als selbst die so eben besprochenen Fälle. Er liefert: da- durch nämlich zugleich den factischen Nachweis, dass die Embryonen dieses Parasiten während ihrer Wande- rungen mit dem Wasser, in dem sie schwimmen, als Getränk auf passivem Wege auf den Menschen über- tragen werden. Diese Fütterungsversuche, “die ich zugleich an drei jungen Hunden, die noch die Mutter- brust nahmen, anstellte, bestanden in Folgendem: Im Besitz einer grossen Anzahl hu s nime ter Embryonen des Bothri diesen drei ون‎ gleichzeitig das mit die- E UIV sen Embryonen geschwängerte Flusswasser als Ge- tränk, das sie besonders dann gern tranken, wenn ich zu demselben ein wenig frische Milch hinzuthat. Diese Fütterungen wurden längere Zeit fortgesetzt, indem ich sowohl jetzt, als auch spüter bis zum Tode der Thiere die Nahrung mit a Aus- Bulletin de l'Académie Impériale wahl reichte und dieselben streng bewachte. Bei der Strangulation eines dieser Versuchsthiere 1'/, Mo- nate nach der letzten Fütterung, war ich auch dieses Mal so glücklich, im Dünndarm desselben mehrere, und zwar vier Exemplare des breiten Bandwurms in verschiedenen Entwickelungsperioden sowohl im Sco- lexzustande, als auch in dem der Geschlechtsreife anzutreffen. Und zwar war der Scolex noch kleiner und jünger, als die bisher von mir beobachteten, näm- lich nur gegen einen Zoll lang, und kaum eine halbe Linie breit (sieh denselben bei etwa lOfacher Ver- grösserung loco citato in der Fig. 37), so dass ich ‚selbst bei Anwendung des Glycerins, das den band- fórmigen Anhang desselben durchsichtiger werden liess, auch nicht die geringste Anlage von Genitalien, — selbst nicht einmal den Primitivstreifen derselben — wahrnehmen konnte. Gleich wie bei der Section des ersten mit den Proglottiden gefütterten Hundes, fand ich auch dieses Mal im Darm des Versuchsthieres ausser dem jungen Scolex mehr oder weniger geschlechts- reife Exemplare "71 des Bothriocephalus latus bis zur Länge von 18 Zoll und von der Breite etwa 1'/,— 2 Linien. Zu welchen Conclusionen gelangen wir nothge- drungen beivorurtheilsfreier und genauerPrü- fung aller bisherigen, zugleich von andern F or- schern bestätigten und unter den erforderlichen Cautelen gewonnenen positiven Thatsachen, die mit den auf verschiedenen Wegen gleichzeitig erziel- ten negativen Resultaten im vollsten Einklange stehen? Es resultirt aus ihnen, gleichwie aus der ferner festgestellten Thatsache, dab unter den jungen Bo- im Darm der Lachse zugleich solche Entwickelurigsstadien vorkommen, die nur den sogenannten Kopf und nicht den band- b. ode Anhang haben — direct die Antwort auf AE d wenn Leuskart, es auffallend findet, = ich ausser den — 11}, Zoll langen Scolex zugleich Exemplare von 18 Zoll , 80 geben wir ihm zu bedenken, dass wir die Fütterun er V iere eine längere Zeit fortsetzten, und dass das Was- das ia) or Getränk denselben gereicht kr Dën allein mit 1 mn zugleich auch mit den es Dibothrium war., Überei nstimmend x یی‎ Befunde Le Natterer | bei verschiedenen Arten der bra- etroffen hat, wie ich mich durch Diesin g selbst erwünschte Gelegenheit hatte. (Sieh dessen Ab- ^, 1857). die von der Pariser Academie der Wissenschaften gestellte Frage in Betreff der. Art der Entwicke- lung des Bothriocephalen-Embryos zum reifen Band- wurm — und zwar: ob sie direct, oder mittelst be- sonderer Metamorphosen erfolge? — Die Antwort, die ich auf jene wichtigen sowohl positiven, als auch zugleich negativen”), mit letzteren dem Wesen nach übereinstimmenden Resultate stütze, lautet, wie folgt: Die Embryonen des Bothriocephalus latus ge- hen im Darm der Säugethiere (des Hundes und des Menschen) direct in den reifen breiten Bandwurm über, d. i.sie gehen keine weiteren Metamorphosen ein und brauchen nicht erst einen selbstständigen Scolexzustand-in den übrigen Kórperorganen ihres Wohnthieres durchzu- machen! — Was ich hier vom Dibothrium latum aŭs- gesprochen, gilt in demselben Grade vom Bothrioce- phalus proboscideus. Hiermit erachte ich auch jeden Zweifel?) ht ckart’s beseitigt, dem ich zugleich noch folgende Fra- gen zu bedenken und zur Beantwortung vorlegen móchte: Wie kommt es, dass nicht allein ich, sondern auch Pelikan stets nur nach Fütterungen junger Hunde mit den Keimen des Bothriocephalus latus so- wohl den Scolex, als auch die geschlechtsreifen Indi- viduen desselben, und zwar stets nur im Darm- canal des Versuchsthieres auffinden konnten? — Bei keinem andern der vielen Hunde, die wir hier in St. Pe- tersburg speziell auf ihre Entozoen untersucht haben, istes bisher uns gelungen, das Dibothrium latum nach- zuweisen. — Warum ist ferner der Scolex des breiten Bandwurms bis jetzt nur im Darmcanal und nie, wie z. B. die Cysticercen der Taenien, in andern Körper- organen des Organismus beobachtet worden? — Nie hat man bisher den Scolex des Bothriocephalus latus etwa in der Weise, wie die Taenien-Cysticercen we- der im Auge, noch im Gehirn, noch in der Muscula- tur^) des Menschen nachweisen können. Ja selbst von 26) Die auch von Leuckart weite | zum Theil bestätigt worden sin 27) Den er ungeachtet Ge positiven Resultate vdd seines eigenen Geständnisses: «Ich kö am Ende doch das Richtige ge- troffen haben» glaubt ancien. zu müssen. (Riab apin Parasiten- Werk pag. 764. ) Es sei mir bei dieser Gelegenheit gestattet, als vorläufige Mittheilung hier anzuführen, dass ich im Sommer dieses Jahres 0 glücklich war, im Fleisch einer Kuh zahlreiche Cysticerei | miae mediocanellatae ‚nachzuweisen. (Sieh hierüber zugleich mein iD E EE des Sciences de Saint-Pétersbourg. gene einigen Taenien- Arten, wie z. B. von der Taenia cu- cumerina, ist es noch sehr fraglich, ob ihr Scolex ei- nen selbstständigen Cysticercenzustand durchmacht, was um so fraglicher ist, als der gleichfalls baidi perte, und im Wasser schwimmende Embryo des Te- tracampos ciliotheca Wedl zufolge seiner Ähnlichkeit mit.dem des Bothriocephalus latus, sich wohl direct zu dem geschlechtsreifen Tetracampos; d. 1. ohne wei- tere Metamorphosen ausbildet. ‚Alle diese so eben erwähnten Fragen lassen sich ein- zig und allein und zwar ganz einfach durch die Annahme der directen Entwickelung des jungen Bothrioce- latus aus dem Embryo lösen, wie es die posi- tiven von mir und Pelikan gewonnenen Resultate im Einklange zugleich mit den negativen — unzweifelhaft lehren. Jede andere Anschauungsweise, wie etwa die Annahme einer Entwickelung durch besondere Meta- morphosen, anstatt einer directen — lässt jene Räth- sel ungelóst — eine Annahme, die zugleich als eine ganz hypothetische, durch nichts begründete angese- hen werden muss. Im Besitze der positiven Resul- tate, die zugleich mit den negativen vollkommen über- einstimmen, können wir keineswegs wie Leuckart | noch da Hypothesen gelten lassen, oder gar aufstellen wollen, wo unleugbare Thatsachen sprechen. Um so weniger vermögen wir dieses, als wir, von jeher den ebenso wahren, als schönen Worten des grössten deut- schen Dichters und zugleich Naturforschers: «Grau, Freund, ist alle Theorie, doch grün des Lebens gold- ner Baum» — huldigten und demnach dem Reich der ne entsagt haben. >o Erklärung der Abbildungen. Figur 1. Das Ei des Bothriocephalus proboscideus, er- -füllt mit dem feinkörnigen Dotter; bei a der knopf- متا‎ Aufsatz. Vergrösserung 200 mal. CH? Ein. solches Ei mit beginnender Dotterfur- chung und dem zum Theil abgehobenen Knopfe. ieselbe Vergrösserung. "Bi ‚und 4. Eier, ausgezeichnet durch verschiedene Forma sie wie sie bei a,b und c der Fig. 3 Refer über die nune Fortschritte auf dem Gebiete der Helmin- | in dem Militär - Medicinischeu Journal vom Bp und bei a und b der Fig. 4 dargestellt sind. Bei a Fig. 3 ist der Knopf ganz abgehoben.‘ 300fache Vergrósserung. Fig. 5. Ein in der Entwickelung begriffenes Ei, 200 mal vergróssert. Fig. 6. Ein weiter entwickeltes Ei, das noch nicht die Dotterzellen erkennen lüsst. Dieselbe Vergrös- serung. Fig. 7. Ein weiteres Entwickelungsstadium des Eies, in dem die Dotterzellen am deutlichsten und scharf begrenzt hervortreten. 200malige Vergrös- serung. Fig. 8. Ein ferneres Entwickelungsstadium der Dot- terzellen, in dem dieselben nahe zusammenge- drängt, kleiner sind und keine sehr scharfe Begren- zung mehr erkennen lassen. 200 mal vergróssert. Fig. 9. Ein ausgebildeter, mit 6 Hükchen bewaffneter Embryo im Ei des Bothriocephalus proboscideus von länglicher Form. An dem obern Eipole sind die Dotterreste noch spärlicher, als in den bei- den vorigen Figuren angehäuft. Dieselbe Ver- grósserung. Fig. 10. Ein Ei mit dem noch nicht vollständig aus- gebildeten Embryo ohne die 3 Hükchenpaare. 200 mal vergrössert. Fig. 11. Ein Häkchen 600 mal vergrössert, a die Kralle, b der Dorn und c der Stiel desselben. Fig. 12. Ein solcher Embryo im Ei bereits ausgebil- det und von runder Form. Dieselbe Pen rung, wie bei Fig. 10. Fig. 13. Ein junger Bothriocephalus yrolóstédins P" alle Gliederung, d. i. aus dem Entwickelungssta- dium, das dem Scolex- oder Cysticercenzustande entspricht, nur dass er dem Darmcanal des Lach- ses entnommen ist und nicht, wie. jene, aus den übrigen Körperorganen stammt. err Ver- grösserung. Fig. 14. Ein weiteres Entwickelungsstadium des jun- gen Bothriocephalus proboscideus, an dem bereits die ersten Glieder auftreten. Dieselbe Vergrösse- rung. Š, p. 20). A den Quellen vorhanden. —————— Bulletin de l'Académie Impériale Hydrologische Untersuchungen, von Prof Dr. C. Schmidt in Dorpat. (Lu le 16 novembre 1865.) Das salinische Sehwefelwasser zu Stolypin unter 51° 34’ nórdl. Br. und 45° 35° get, L, v. Paris, Das Stolypinsche Mineralbad, seit einigen Jahren in starkem Aufschwunge, im letzten Sommer von über 200 Kranken mit Erfolg benutzt, liegt an dem Bache Kuschum, einem Nebenflusse des grossen Irgis, welcher sich in die Wolga ergiesst. Beide Flüsse ent- halten salziges Wasser. Das Bad liegt 50 Werst SO. von der Wolga, wo sich der Landungsplatz der Badegäste in dem Dorfe Balakowo unter 52° ۰ Br. und 45° 19 östl. L. v. Paris, befindet. An dem rechten Ufer des Kuschum liegt das Dorf Kamennaja Sarma; diesem gegenüber am linken Ufer die Bade- anstalt, 210 Werst SW. von Samara. Der Bach Kuschum verläuft in einer etwa 25 Fuss tiefen Bo- densenkung, deren rechtes Ufer steil aufsteigt, wäh- rend das linke sich sanft abflacht. Im Grunde dieser Schlucht, am linken Ufer, unmittelbar neben und in dem Flussbette entspringen die Quellen in einem Umkreise von 90 Fuss. Die ergiebigeren derselben sind zu 4 grössern Bassins vereinigt, aus welchen das Wasser zur Speisung der Badeanstalt mittelst einer Dampfpumpe gefördert wird, während eine 60 Fuss von dieser entfernte Quelle ausschliesslich als Trink- quelle benutzt wird. Das specifische Gewicht aller Quellen, mit dem Aräometer gemessen, ist gleich (= 1,0142). Ebenso lassen Geruch und Geschmack keinen Unterschied erkennen. Das Wasser kommt krystallhell zum Vorschein, in Pausen von 5 —6 Se- cunden Haufen von Gasblasen aufstossend. Schon in den Bassins bildet es einen weissen flockigen Nieder- schlag (Schwefel). Das Flussbett, in welches die Quel- len sich ergiessen, ist in einer ziemlich weiten Strecke mit diesem weissen und einem darunter liegenden schwarzgrauen Schlammabsatze bedeckt. In der Um- gegend sind keine nach Schwefelwasserstoff riechen- Der umliegende Boden ist x kalkhaltig und trägt sonst den Charakter der eit umher nicht vorhanden. Semmer, dasiger Badearzt, dessen Be- 1 obige Angaben entnommen sind, schöpfte r Analyse am 1. (13.) August 1865, ara. 'schen Steppe; Bodenerhöhungen sind weit | 5' Uhr Morgens, bei klarem Wetter, schwachem Westwinde, 18°C. Lufttemperatur und 754,8 Mm. Barometerst. (0°). Die constante Temperatur der Quel- len ist 10,8? C. Es wurden 10 starke weisse Glas- flaschen, à 2, Litres Inhalt jede, durch Untertauchen im Bassin der Trinkquelle, gefüllt, verkorkt, in sie- denden Siegellack getaucht, sofort mit Leinwandlappen überbunden und darauf noch in schmelzendes Wachs getaucht. Ferner wurde eine Champagnerflasche mit dem aus dem Boden der Quelle geschópften schwarz- grauen Schlammabsatze gefüllt, verkorkt und in glei- cher Weise mit schmelzendem Siegellack, Leinwand und Wachs umgossen. Ebenso der Rückstand von 123 Litres Wasser, die, in einer blanken Kupfercasserolle auf 4°, Litres eingedampft, zur Bestimmung von Rubi- dium, Lithium, Eisen, Mangan, Phosphorsäure, Thon- erde und Kieselsäure dienten. Die ganze Sendung kam Mitte August wohl erhalten in Dorpat an und wurde sofort der Analyse unterworfen, deren Gang sich aus folgender Mittheilung der unmittelbaren Ver- suchsdata ergiebt. A. Wasser. Der Inhalt aller 10 Flaschen ist klar, farblos; beim Öffnen starker Schwefelwasserstoffgeruch; nach weni- gen Stunden Trübung und Absatz von Schwefelflocken. Dichtigkeit bei 14,6? C., auf "pes gleicher Temperatur als Einheit bezogen — - ۰ (1 Litre wiegt bei der Quellentemperatur (10,8° e) 1012,789 Grm.) a) Summe fester Bestandtheile. 207,899 Grm. Wasser siedend mit titrirter Soda- lósung versetzt, bis kein Niederschlag mehr entsteht, dann Hinzufügung eines kleinen Ueberschusses letz- terer, erfordern 1,0051 Grammen reines kohlensaures Natron. Der bei 150? getrocknete Gesammtrückstand سے — er Ge wiegt 4,7691 Grammen. Die kohlensauren Erden, heiss | ausgewaschen, bei 150° getrocknet — 0,8371 Grm., über Deville's Lampe weissgeglüht — 0,4491 Grm., mit Schwefelsäureüberschuss eingedampft und geglüht — 1,1792 Grm. Schwefels. Kalk und Magnesia aeq. 0,8506 Grm. CaO CO, + MgO 00,'). Die fehlenden )C=6; 0—8 ete. Zum Vergleiche älterer Analysen mach Berzelius’s Formulirung. nen. entwicheu. Mithin (4,7691 Grm. Rückstand = 22,9400 p. M. | 1,0051 “5 NaO CO, .—— 4,8346...» …#0,0135 » CO, Verlust = + 0,0653 » = 3,7775 G. Wasserfr.Salze — 18,1707 p. M. b) Chlor, Brom, Jod?) d 119, 346 Grm. Wasser zur Austreibung von Schwe- . felwasserstoff gekocht und wieder erkaltet, geben 4,8604 Grm. AgCl + Ag Br + Ag J = 40,7510 p. M. 8 1013,44 Grm. Wasser auf 90 Cc eingedampft, mit Chlorwasser versetzt, durch Farbenvergleich mit ' titrirter Normalbromlósung 0,0220 Grm. Brom ` 0,0217 p.M. Brom aequiv. 0,0510 p. M. Ag Br. 0 10,1344 Kilogr. Wasser, eingedampft, mit Chlor- palladium 0,0011 Pd J aeg. 0,000141 p. M. Ag J — 0,0000765 p. M. Jod, demnach Rest — 40,6739 p. M. AgCI — 10, 0577 p. M. Chlor. c) Schwefelsäure. 720,826 Grm. Wasser mit Ba Cl und HCl gefällt, Em 2,2823 Grm. BaO SO, = 1,0871 p. M. SO. d) Kalk und Magnesia. ah 4018, 79 Grm. Wasser mit oxalsaurem Ammon gefällt, der Kalkoxalatniederschlag weissgeglüht 1,4567 CaO — 1,4299 p. M. CaO; das Filtrat mit Ammoniakphosphat gefällt 2,1282 Grm. 2 Mg O, PO, 0,598 p. M. MgO. RJ e Rubidium, Kalium, Natrium. 2 p. M. Tr 7 Gë 0 ‚6358 Grm. Glühverlust = CI, | 12 29,74" des Platindoppelsalzes 8) 0,8496 Grin, Platin Rückstand Has ER 747, des Platindoppelsalzes ( auf dem 0,6523. Grm. Rb. Cl. +- KCl Platin- . nachen; Une 30,52 : 30,52°/ des Platindoppelsalzes sind Summen von je 3 übereinstimmenden Ver-‏ ان des Sciences de Saint- Petersbourg. 135 Grm. CO, sind beim Eindampfen und Trock- | aus letzterm (y) durch Silbersalpeter, 1 ‚2288 Dan Ag Cl — 46 ,98/, CI des Rb 01 4- K Cl; demnach in 100 Th. Rb Cl 5 ‚27%, Rb 0 2 sol / 4,737 KCI oder in 1000 Grammen W 0 00323 RbO ۳ asser و‎ 0,04738 KO: durch Reindarstellung des Bubidivinphitinchioisdi aus einer gróssern Menge des Platindoppelsalzes spectral- analytisch controlirt. 207,899 Grm. Wasser mit 1 ‚0052 Grm. NaO CO, heiss gefällt, das Filtrat mit Schwefelsäureüberschuss eingedampft und geglüht 4 ‚6758 Grm. daraus durch Ba CI 7,6651 Grm. Ba 0 SO, — 12,6591 5 M. SC, Rest = 9,8319 p. M. RDO + KO + NaO davon 0,0506 » RbO-+ KO bleiben 9,7813 p. M. NaO es waren zugesetzt 2.8296 » » aus 1000 Gr. Was- 6,9517 p. M. NaO f) Schwefelwasserstoff und Kohlensäure. 1014,05 Grm. Wasser, unmittelbar nach dem Oeff- nen der Flasche, entfärben 41,4 Ce titrirter J odlösung — 0,207 Grm. Jod aeq. 0,0277 Grm. HS — 0,0273 p. M. Schwefelwasserstoff | = 18,56 Cc HS bei 10,8? C. und 754,8 Mm. Bar. 1200,77 Grm. Wasser einer frisch geóffneten Fla- sche mit Barytwasser gefällt, geben 6,098 Grm. Nie- derschlag, worin 0,2291 Grm. CO, — 0,1908 p. M. CO, = 132,47 Ce CO, bei 10,8? C. und 754,8 Mm. Bar. (0°). - g) Lithion, Eisenoxydul, Manganoxydul, Thonerde, Kieselsäure und Phosphorsäure. ser demnach Der concentrirte Rückstand von 35,74 Kilogr. Wasser mit phosphorsaurem Natron erwärmt, nach vierwöchentlichem Stehen der Bodensatz mit reinem Kalkhydrat gekocht, das Filtrat mit etwas Phosphor- säure eingedampft, mit Wasser ausgezogen, der Rück- stand mit Barytwasser gekocht, das Filtrat einge- dampft, mit Alcohol erschöpft und die Alcohollósung [des Lithions mit Schwefelsäure eingetrocknet, gem 319 Bulletin de de l’Académie Impériale glüht 0,0059 Li O, 8O;, spectralanalytisch geprüft, | 0,000045 p. M. Li O. Durch Aufschliessen der Rückstünde mit Soda etc. 0,1108 Grm. Si O, — 0,00310 p. M. Si O, und 0,0041 Al, O, = 0,00011 p. M. Al; O; Der Pfannenstein von 58,78 Kilogr. eingedampften Wassers, dessen Mutterlauge zur Darstellung des Platindoppelsalzes von Kalium und Rubidium gedient hat, ergab zur Phosphorsäurebestimmung 0,0137 Grm. pyrophosphorsaurer Magnesia — 0,000149 p. M. P 0, 0,0071 Grm. Fe, O; = 0,000109 p.M. 0 0,0013 Grm. Mn;0, = 0,000020 p. M. MnO Nach dem Principe der Zuordnung der stürksten Säuren an die stärksten Basen, ohne Berücksichti- gung der beim Eindampfen stattfindenden Umsetzun- gen und deren Resultate, der Reihenfolge successive herauskrystallisirender Salze und Doppelsalze”), er- hält man folgende — Zusammensetzung des Stolypinwassers in 1000 Grammen. . Schwefelsaures Rubidion Rb O SO, ˆ Schwefelsaures Kali KO SO, Schwefelsaures Natron Na O SC, ........ Chlornatrium Na Cl Chlorlithium Li CI Chlorcalcium Ca Cl Chlormagnesium Mg Cl Brommagnesium Mg Br Jodmagnesium Mg J Phosphorsaure Magnesia MgOPO,....... Kohlensaure Magnesia Mg O CO, Kohlensaures Eisenoxydul EO CO, . . . . Kohlensaures Manganoxydul Mn O CO, Thonerde Al, O; Kieselsäure Si O, bis Finale e Ww» c£ v4.9 9 Wo. eg 4 B RÀ AAA... 9? 4 eg e [XA WO Me V WE VES A ; 0,0046 4 (0,000127 Li CI). (0,000084 Mg J) ۱ 0,0002 (0,000191 MgO PO.) 770,075 0,000175 Fe O CO, 1 Gasen Mn 0 CO, 0,0001 (0,00011 Als0;) 0,0031 Wasserfreie Salze. ........ bs . ^ 18,1401 (incl. 0,0564 CO, = 38,10 | Cc CO, bei 10,8? C.u. 754,8. ^ ) ace | Mm.B —+ Zur T» 1. ۲ ۵ | D A A2 2 ; ROM qe. ud برو‎ d. +0,0564 CO, — 38,10 Cc CO, Wahre Summe wasserfreier Salze. . . . 18,1965 dazu freie Kohlensäure .......... 0,0780 CO, = 53,39 Cc CO, » np Schwefelwasserstoff ..... 0,0273 HS = 18,56 Cc HS Summe wasserfreier Bestandtheile (incl. 1۳0 CO, und HS) اد ما مق هی‎ 18,3018 Wasser . 981,6982 & OOO (Rs. iin OLS €. » 5» 6 B) Schlammabsatz. er Inhalt einer frisch geóffneten, wohl verharzt elangten Champagnerflasche dieses Schlammes schüttelt einen homogen schwarzgrauen «uft Schwefelwasserstoff und Kohlensäure ‚In dünnen Schichten der Luft ausge- —1000,0000 Grammen. setzt, oder über Sauerstoff abgesperrt, absorbirt er ZEN? rasch. Beide Eisensulfurete FeS und Fes: verwandeln sich dabei in schwefelsaures Eisenoxyd neben freier Schwefelsäure, die im Bildungsmomente sich mit den vorhandenen Erdearbonaten zu Eisen- 3) Die Mittheilung der analytischen Data gestattet jede ander- weitige Gruppirung mit Leichtigkeit. des Sciences de Saint- Pétersbourg. oxydhydrat, Gyps und Bittersalz umsetzen. Das vor- handene Schwefelcaleium oxydirt sich gleichzeitig di- rekt zu Gyps. Der schwarzgraue Brei verwandelt sich demzufolge an der Luft in ein rostfarbenes Gemenge von Eisenoxydhydrat, Gyps und Bittersalz mit den übrigen vorhandenen Salzen, Quarz und Silicaten, unter stetig fortschreitender Kohlensäureentwickinng. In Flaschen verschlossen reducirt die organische Substanz wieder sämmtliche Sulfate zu Sulfureten, der rothe Brei wird schwarzgrau wie zuvor, die ge- bildete Kohlensäure zersetzt einen Theil der Sulfurete im Entstehungsmomente, freie Kohlensäure und Schwefelsauerstoff sammeln sich allmählich in hin- reichender Menge, um beim Öffnen einer solchen Flasche wit Schlammbrei nach längerm Stehen den Inhalt, durch plötzliche Expansion beider comprimirt gewesenen Gase, gewaltsam herauszuschleudern. Die Constitution dieses Schlammes ergiebt sich aus nachstehenden analytischen Daten: a) Wasserlösung: Chlor, Brom, Jod. 39,801 Grm. Schlamm, mit Wasser ausgekocht, Lösung und Waschwasser eingedampft, durch einige Tropfen Quecksilberoxydnitratlösung vom Rest lös- licher Sulfurete befreit, dann mit Silbersalpeter ge- fällt, gaben 0,796 Grm. Ag CI Ae Br + AgJ = 20,000 p. M. Unter Voraussetzung des gleichen Ver- hältnisses der 3 Haloide, wie im Wasser selbst ent- sprechend: 4,9360 p. M. Chlor. 0,001065 » Brom aeq. 0,001225 Mg Br 0,000037 » Jod » 0,000041 Mel b) penas, Rubidium, Kalium, Natrium, Calcium, Magnesium. RW ‚752 Grm. Schlamm, mit Wasser ausgekocht, die ösung mit Ammoniakoxalat gefällt, der Niederschlag veissgeglüht , geben 0,0246 Grm. — 0,526 p. M. Dat, Das Filtrat mit Quecksilberoxyd eingetrocknet, geglüht 0,0118 Grm. Mg 0 = 0,253 p. M. MgO und 4 34 Grm. RbOSO, + KO 80, + KCI + Na CI e ‚1313 p. M. Alkalisalze, woraus durch Ba CI Ge T Grm.schwefelsaurer Baryt — 0,2321 p. M. BC, durch Pt Cl, 0,0936 Grm. Rb Pt Cl, + K Pt Cl; | %002 p. M. Platindoppelsalze. Unter Voraussetzung des gleichen Verhältnisses von Rubidium zu Kalium, wie im en demnach EE سے‎ 0,0249 p. M. RbO 0,3657 » .KO 64553 » NaCl c) Wasserlósung: Schwefelsäure. 40 Grm. Schlamm, direkt mit Chlorwasserstoffsüure haltigem Wasser erschöpft, zur Schwefelsäurebestim- mung 0,0296 Grm. Ba 0 SO, = 0,2541 p. M. SO,. d) Gesammtschlamm: Schwefel und Kohlensäure. &) 40,315 Grm. Schlamm direkt mit Chlorwasser- stoffsäure im Geissler’scher Kohlensäure - Apparate zersetzt, gaben 0,5590 Grm. CO, + HS (aus CaS und FeS) = 13,8660 p. M. CO,-- HS . 8) 36,201 Grm. Schlamm mit Quecksilberchlorid und Chlorwasserstoffsáure in demselben Apparate zer- setzt gaben 0,2120 Grm. reine CO? = 5,8562 p. M. CO, Diff. « —8) = 8,0098 p. M. HS — 1,5386 p. M. S (von Fe S und Ca S). e) Gesammtschlamm: Wasser, organische Substanz, Glührückstand. 7,1090 Grm. Schlamm bei 100? — 3,7050 Grm. — 521 Tp. M s 7,1090 Grm. Schlamm bei 200° = 3 6721 Grm. — 516,54 p. M. | 7,1090 Grm. geglüht hellgelb 25 3,4893. Grm. = 490,84 p. M. f) Gesammtschlamm, Chlorwasserstofflósung: Rubidium, Kalium, Natrium, Calcium, Magnesium, Eisen, Thonerde, Kieselsäure, Phosphorsäure a) 20 Grm. Schlamm, direkt mit, verdünnter sie- dender Chlorwasserstoffsäure erschöpft, gaben aus der HCl Lösung 0,1118 Grm. Fe, 0, = 3,913 p. M. Fe 0,1914 » . A50, — 9,570 » Al O 0,0428 » SiO, = 2,140 ». SiO, 0,285...» Ca — 14,250 sw Cat 0,0564 » MgO = 23,820 ». MgO 0,2053 » RbCl ب‎ K Cl + NaCl, woraus 0,1977 » RbPtCl,+ K Pt Cl; = 9,885 p. M. Platindoppelsalz. 8) 100 Grm. Schlamm, H Cl Lösung‘) zur Phos- ` 4) Für die Bestimmungen aa, fa und fg wurden volumetrisch getheilte Mengen derselben HCl Lósung eines grósseren frischen Schlammquantums verwendet. 21 Bulletin de l’Académie Impériale phorsäurebestimmung 0,0016 Grm. 2 MgO PO; — 0,0102 p. M. POs. g) Gesammtschlamm, Schwefelkies Fe Sz. 10 Grm. Schlamm direkt mit Salpetersalzsäure oxydirt, aus der Lösung 0,0891 Grm. Fe, 0O; = 6,237 p. M. Fe die HCI Lösung enthielt als FeS(fa) — 3,913 » .« 2,324 p. M. Fe der unlösliche Silicat- + Quarz- Rückstand geglüht — 4,0307 Grm. Demnach enthalten demnach als Fe S, — 1000 Grm. Stolypinschlamm Schwefelsaures Rubidion Rb O SO, — 0,036 Schwefelsaures Kali KOSO,.... = 0,476 Chlorkalium KCl. .......... Wr Ne Chlornatrium NaCl ......... — 6455 8,552 Grm. Soolwassersalze, worin : Chlorlithium Li Cl .......... == Spur.) Chlorcalcium Ca CI. ......... == EL, AG Chlormagnesium MgCl....... = 0,371 Brommagnesium MgBr....... = 0.001) Jodmagnesium MgJ ......... — Spur’) 35,322 Grm. in Salpetersalzsäure lös- f Schwefelealeium CaS ........ -— 44,981 | lichen Antheil durch HS | Eisenmonosulfür Fe$ ..,..... — 6,149 umgewandelten Dolomites } Eisenbisulfid FeS, .......... ze S 9BU und reducirten Fe, O, Ge- } Kohlensauren Kalk Ca O, CO... = 6,646 haltes der Untergrundsili- | Kohlensaure Magnesia Mg 0, CO,— 5,594 cate (Thon). Phosphorsauren Kalk 3 Ca 0, PO; — 0,022 Thonerde Al, Oys. 152112245 :79 570 14,366 Grm. in Salpetersalzsäure lös- | Kieselsäure $105 ........... 220,140 lichen Antheil der Unter- ? Kali KO ....... IRIS 2-001522 grundsilicate (excl. Eisen). | Natron NaO.............. — 0,424 Kalk. Ca. v. nurse Sr s. E 10,710 403,07 Grm. in Salpetersalzsäure unlóslichen Antheil der Untergrundsilicate und Quarz. 55,23 Grm. organische Substanzen (Algendetritus etc.). 483,46 Grm. Wasser mit wechselnden Mengen freier Kohlensäure und Schwefelwasserstoff. 1000,00 Grm. Das Stolypiner Wasser gleicht seiner Constitution nach einigen schwachen Soolquellen, z. B. der von Staraja Russa und ihren Schlammabsätzen, ist je- doch total verschiedeu von dem vielbesuchten Schwefelwasser zu Sergiefsk bei Samara. Letz- teres ist nach der Analyse von Claus”) reines durch's 5) Li 01 — 0,00006 p. M. 6) is rdum » of ` "Me 0,00004 » gë, Verneuil and Keyserling, The geolo Bitumen der durchsickerten Mergelschichten zu Ca S reducirtes und durch die gleichzeitig gebildete Koh- lensäure in Sehwefelwasserstoff und kohlensauren Kalk gespaltenes Gypswasser mit höchst unbedeu- tender Beimengung anderweitiger Salze, ersteres da- gegen reich an Chlornatrium, Chlorcaleium und Chlor- magnesium. Zu letzterer Kategorie (Sergiefsk) echt: to judge of the quantity of relied hydrogen by the M we should say, that we never met with such strong evidences at any other sulphureous baths, for even at the distance of a mile and when the place was concealed from our view by a hill, our noses announ- ced to us the proximity of this great healing source, to ^ pee => patients were attracted during the summer of our visit.» des Sciences de Saint- Pétersbourg. ren die Schwefelwasser von Kemmern?), Nenn- | und Staraja-Russa'er") Soolquellen das Mittel dorf") und Schöneck, während die Stolypiner | zwischen Nord- und Ost-See- Wasser halten. 1000 Grammen Wasser enthalten: Stiller und Staraja- ; Atlantischer| Russa. Stolypin. | Ostsee 31). | Nenndorf. | Kemmern. Sergiefsk. |Schóneck!4), Mittel. |. „Soolauelle. |O, Schmidt] Wohler. | Kersti 1 i BEN | cigehmidt | G. Satis | 1 er. ersting. Claus. Kersting. Wire 2,196 1,17 1,087 0,282 1,194 1,097 0,928 0,074 CAUSES 19,023 11,016 10,079 2,320 0,159 ‚004 0,069 0,001 Bi, 0,315 0,023 0,022 0,023 it fi zx di Rb und K 0,689 0,067 0,042 0,050 0,017 0,006 0,017 0,007 EV. 10,679 5,372 5,161 1,313 0,221 0,024 0,006 0,009 Du. 0,507 1,414 1,021 0,064 0,498 0,599 0,479 0,129 Nee SL 1,098 ` 0,452 0,452 0,136 0,127 0,058 0,08 0,021 Dieu Summe, freie| 0,282 0,191 — 0,630 0,486 0,421 0,305 + +-gebundene | TES = ? 0,027 ges 0,068 0,035 0,152 0,006 serfreier Salze 35,053 19,857 18,140 4,245 2,798 2,341 1,968 0,492 Diehtigkeit. 1.0266 1,01547 1,01419 1,00325 | 1,0088 1,0095 ? 1,00013 empera ۱ der Du a + = +- 13°C.. | +10,8°C. — + 11,2°C. | +6,1°C 94°C 4- 6,5° C. Auch die Soole von Staraja Russa riecht, frisch aufquellend, nach Mittheilung des damaligen Bade- arztes Dr. Rieder, nach Schwefelwasserstoff. Der Geruch ist stärker oder schwächer, wie es scheint unabhängig von der Jahreszeit. Doch fehlen darüber genauere Maassbestimmungen. Das mir im Anfange Januar 1853 zur Analyse übersandte Soolwasser war geruchlos; der Schwefelwasserstoffgehalt muss dem- nach im Winter gering sein, da sich in den 2 grossen Flaschen à 20 Litres unmittelbar aus dem Bohrloche aufgefangenen Soolwassers kein Schwefelabsatz ge- bildet hatte. E Dr. €. Girgensohn. die Schwefelwasserquellen zu Kem- nern in ivland. Riga 1847. pe Rene se von Dr. Kersting mit nd Wähler A Annalen XVII, p. 286 ff. (183 . M) Von mir 1853 analysirt. Archiv. E die e Liv-, Ehst- und K . Serie I, Band I, p. 3 $^ von Bibra's Analysen N. 3 bis X inel. Liebig und A her Annalen LXX VII, p. 98 (1851). Di Finnischer Meerbusen, Chudleigh, unter 59° 27' nördl. Br. Ps 3 östl. L. v. Paris, von mir 1852 geschöpft und analysirt. Archiv für die Naturkunde Liv-, Ehst- und Kurlands. Serie I, Band I, Fr Vergl. auch die Analysen des Ostseewassers auf der Höhe “ands-Inseln, dem Rigischen "Ripe der Bucht von Hap- fam W. Struve und Ad, Göbel in K.von Baer's Abhand- | «Ueber ein neues Project, Austern-Bäuke an der Russischen 2, Ste anzulegen und über den Salzgehalt der Ostsee in ver- demie le desSeiences z سح‎ IV, .م‎ 119 (lu le 19 avril 1861). E D tie, Liebig und Wöhler’s Annalen XC, p. 158 (1854). Der Gypsgehalt aller drei ist ursprünglich gleich gewesen. Beim Durchsetzen des bituminósen Ser- giefsker Bodens wurde die grósste Menge desselben reducirt, die grösste Quantität Kohlensäure gebildet und dem entsprechend durch Einwirkung letzterer auf's Schwefelcalcium das Maximum von Schwefel- wasserstoff entwickelt. Der Stolypiner Boden ist min- der reich an organischer Substanz, derselbe Reduc- tionsprocess des Gypses daher weniger vorgeschritten, mehr Schwefelsäure unzersetzt geblieben, proportio- nal weniger Schwefelwasserstoff entwickelt. Die devo- nischen eisenoxydreichen Sandsteine und Mergel des Staraja-Russaer Bohrlochs sind bei 710' Tiefe arm an Reductionsmaterial; dem entsprechend beginnt derselbe Process erst in den Soolbassins durch die sommerliche Algenvegetation vermittelt, deren De- tritus analog den Algen, Conglomeraten der Buchten von Ösel und Hapsal («Wieken») auf den Untergrund einwirkend, denselben in schwarzen schwefeleisen- reichen Badeschlamm analoger chemischer Constitu- tion und Bildungsweise umwandelt. Bei gleicher Berechnungsweise tritt die Ähnlichkeit des Stolypiner mit dem Staraja-Russaer Soolwasser, ihr Gegensatz zum Sergiefsker, Kemmern’schen, Schön- eck'schen und Nenndorfer Schwefelwasser, als reinen partiell reducirten Gypslösungen, nicht minder cha- rakteristisch entgegen: 21* 327 Bulletin de l’Académie Impériale 328 1000 Grammen Wasser enthalten: Stiller und Staraja- TSR N EIK S téfsk Atlantischer| Russa. tolypin. tation. enndorf. | Kemmern.| Sergiefsk. SERGE? Mittel. Soolquelle. | Schwefelwasser. میا‎ ud: sq. 1,535 0,149 0,092 0,112 0,037 0,013 0,037 | 0,015 Na O و80‎ ..... 2,826 1,969 1,857 0,410 0,680 0,073 0,018 | 0,028 Ca080, ..... L_ _ — 1,349 1,828 1,494 0,085 MgOS0,..... = — — — — — Ei 24782 | 12015 | 11570 | 2,978 xx = 42 = "win BEE 1,404 8,920 2,832 0,179 0,249 0,007 0109 | 0,002 Meth ius 4,144 1,647 1,652 0,538 A 2 e rs RS E 0,362 0,026 0,025 0,028 a ei BE OMh... = EN = = 0,029 0,129 Les 0,260 Mg 0€0,..... _ 0,114 0,107 = 0,447 0,203 0,277 | 0,074 in GA en 0,0052 | 0,0002 M 0,0054 — . | 0,008 Si, u. AL .و0‎ . = 0,0011 | 0,0032 SS 0,007 0,016 0,018 | 0,020 Summe der Salze 35,053 19,857 18,140 4,245 2,798 2,341 1,986 | 0,492 Zur Bicarbonat- ldung erfor- Vi von 2tes ود‎ 0,044 0,056 a 0,247 0,164 0,145 | 0,149 (0,156 er- forderlich) freie 60,..... — 0,195 0,078 _ 0,136 0,158 0,131 -— He = ? 0,027 = 0,068 0,035 0,152 | 0,006 Wasserfreie Be- standtheile ... 35,053 | 20,096 18,301 4,245 3,249 2,698 2414 | 0,647 Das Staraja- Russaer Soolwasser ist etwas reicher Söolhadenchlamin. | Sasha E an Chlornatrium und schwefelsaurem Natron, bedeu- tend reicher an Chlorcalcium, schwefelsaurem Kali Stolypin. zn re Hapsal. und kohlensaurem Eisenoxydul; dagegen ist der Ge- halt an Chlormagnesium, Brommagnesium und kohlen- | Hôsliche Soolsalze. ..... en op MAS poser ua saurer Magnesia nahezu identisch. Der Gehalt an|FeS,................. 4,98 ۱ 9589 e E EE Eisenoxydulearbonat steht in charakteristischem Ge- | C oco t0 ۱ ten quio ver gensatze zum Schwefelwasserstoffgehalte der Quellen: | Mg O CO, EE ا‎ 5,59 Ha 2,12 0,25 je grösser letzterer, um so geringer ersterer, da es, pus nd edad d I ا‎ ng in unlösliches Schwefeleisen verwandelt, bereits vor UArZSANd. ss... 417,43 | 364,27 |531,34 | 627,25 . dem Aufsprudeln der Quelle subterran abgesetzt wird. و ی‎ UM دعم‎ Ge See, Die cosses » 8 و‎ Der auf dem Grunde der Quellen und Soolwasser- | Schwefelammonium...... = — 0,18 = Wasser mit wechselnden bassins gebildete schwarzgraue nen ee in enthält in 1000 Grammen: ee und Fa säur . 483,46 | 515,93 | 396,20 | 317,09 Soolbadeschlamm. | Seebadeschlamm. Arens- 1000,00 [1000,00 [1000,00 |1000,00 Stolypin. SN burg 6). Hapsal 15). : : 5 0,512 1,695 2,191 0,560 Vergleicht man die beiden Soolquellen, als Aus- و ید‎ TA = 11,981 Li. — 0,535 |laugungsprodukte des osteuropäischen Sedimentär- ER 0,171 e 2,027 — |beckens der devonischen und Permischen Periode, Ser I 1470 | 1190 |mit dem gegenwürtigen Meerwasser, so erscheint letz- 1,042 11978 4940 | 0,774 |teres bedeutend ärmer an Kalk, dagegen rei- 0,371 : 0,00 0.020 zg - cher an Magnesia und Kali, etwas ärmer an Spur — + | k us 3 untersucht, «Archiv für die Naturkunde Liv-, Ge de ausführlichen und sorgfältigen Un Pr von Ad. he Serie I, Band I, p. 311 — 315. Góbel: «Der heilsame Meeresschlamm an den Küsten ten der Insel ) abre E von mir analysirt, ebendaselbst p. 104. Vergl. | Oesel» l: c. p. 113—238 (1853). des Sciences de Saint- Pétersbourg. 330 #۳ Chlor, dagegen bedeutend reicher an Brom. Als Vergleichseinheit dient am sichersten das Na- trium, als indifferentestes, beim Durchsickern der Bo- denschichten unabsorbirt passirendes Element. Man erhält so folgendes Resultat: Aequivalent: 3930,7 Gr. 1000 Grm. e^ ‚70 Gr. | 485,28 Gr. [Meerwasser Stolypin- rau Meerwas- | (Ostsee, asser ser (Ocean).|Finn. Meer- Soole ( ) bei. 80, E vos ا‎ 1,087 1,130 1,061 1,108 ai. 10,097 10,583 9,193 9,119 - 0,022 0,022 0,152 0,090 Bundk.....-. 0,042 0,064 0,833 0,197 Na 5,161 5,161 5,161 5,161 EE 1,021 1,358 0,245 0,252 .للا"‎ A 0,452 0,434 0,531 0,535 Summe der Salze.. 18,140 | 19,077 | 16,941 | 16,686 Bei gleichartiger Gruppirung der Elemente, ge- staltet sich das Verhältniss in nachstehender Weise: RbO 80,4- KO SO, 0,092 0,143 0,742 0,440 Na ? 80, 0 1,857 1,89 1,366 1,611 NaC 11,570 11,543 11,977 11,706 “u TEEN 2,832 3,766 0,679 0,704 BUR ues 1,652 1,582 2,003 2,115 Bee. 0,025 0,025 0,175 0,110 Bet, as 0,107 0,110 — — Je jünger die Bildungsperiode, um so mehr schwin- det die Magnesia aus den Sedimentärschichten, um | So reicher werden dieselben an Kalk. Die jüngsten ` Dolomitablagerungen gehören dem Jura an; die ihn überlagernden ältesten Glieder der Kreide (älterer Grünsand) enthalten noch kleine Magnesiamengen, die jüngern (Kreide), namentlich aber die ausgedehnten Tertürschichten, sind fast magnesiafreie Ablagerungen von kohlensaurem Kalk. Die Proben des devonischen und Permischen Urmeerwassers, von ihren bezüglichen Sedimenten mechanisch umschlossen, die die atmosphä- rischen Niederschläge, jene Straten durchsickernd und auslaugend, in der Staraja - Russaer und Stolypiner Soolquelle zu Tage fördern, geben, mit dem jetzigen Meerwasser verglichen, die Erklärung dieser That- sache. Die heutigen Oceane enthalten nur etwas über /, des Kalkgehalts des Devonmeeres, etwas weniger als '/ des Permischen. Von 1000 Grm. Calcium des Devonmeeres wurden bis zur Ablagerungsperiode der von den Stolypinquellen durchsetzten Schichten 248 Grm. als Kalkstein abgelagert; seitdem bis auf die Gegenwart weitere 572 Grm., der Rest von 180 Grm. des gegenwürtigen Meeres schwindet durch den stetig gleicherweise fortschreitenden morphologischen Ent- kalkungsprocess, als Molluskengehäuse und Korallen- bänke schichtweise niedergeschlagen. Der hóhere Bromgehalt des jetzigen Oceanwassers findet in der Zerfliesslichkeit des Brommagnesiums und seiner Nichtabsorption durch den Boden seine Erklärung, während der bedeutende Kaligehalt des gegenwürtigen Meerwassers der Massenvegetation der Steinkohlenperiode seinen Ursprung verdankt. Das durch letztere in der Pflanzendecke fixirte Kali lóste sich nach Ablagerung des Holzkórpers wührend des langsamen unterirdischen Verkohlungsprocesses auf nassem Wege im darüber stagnirenden Wasser in ähnlicher Weise wieder auf, wie es beim Flachsrösten und ähnlichen technischen Weichprocessen noch ge- BERNA HE nach dem Aufhören des Vegetationspro- cesses in’s umgebende Wasser übertritt und sich ste- tig in letzterem anhäuft. 1000 Grm. Flachsstengel enthalten bei 100° C. getrocknet: - 1000 | Kilogr wasserfreier Flachsstengel würden, 1 Steinkohl e unterworfen, 480 so, | CI | PO; | Si و0‎ | Fe, 0 KO | Nao | CaO | MgO | d | 06 | 279 | 2,93 | 206 | 7,97 | 317 | 7,84 | 1,55 EA. s Vor dem, Weichen. unsern en Pan ttn à 4 0 à 1,95 | 2, j : un. 1 Dieselben nach | oret erp Maceration — € € 0,10 | 0,02 | 1,11 | 1,19 | 0,35 | 0,46 | 0,07 2,85 | 0,2 Ts qu Weichwaser gingen her, 1.16) 204| 1,68 | 1,74 | 1,71 | 7,51 | 3,10 | 499 | 4 uS Stoffe 80. me ali a 2, Ee been gau, 1 pA 920 |990 |602 |594 188,0 |949 |97,8 |63, ۵ process, in die Steinkohlenformationsperiode zurück- verlegt und über dieselbe vertheilt, liefert dem wei- og. Wasserfreier oder direz 500 Kilogr. frisch ge- | chenden Meerwasser von jeder Tonne (à 1000 Kilogr.) mM Steinkohle liefern; derselbe Macerations- | Steinkohlen: 331 Bulletin de l'Académie Impériale 232 15 S Kali- Zuwachs Kritische Bemerkungen, von A. Nauck. (Lu le 6,2 Natron- » 9 novembre 1865. 10,0 » Kalk- » IV. 2,7 » Magnesia- » 2,3 » Schwefelsäure- » Von der glanzäugigen Athene wird Il. B, 280 —82 4,1 » Chlor- » gesagt, dass sie 3,4 » Phosphorsäure- » ig e وی‎ OR IHRER 35 » Kieselsäure- à et än Zum KNOUXL Gto» Amo AVOYEL, In ähnlicher Weise häuft sich bei Maceration der meisten abgestorbenen Pflanzen das Kali am stärk- sten im Weichwasser an und dient als stetig umge- setztes Bildungsmaterial nachfolgenden reichen Pflan- zen-Generationen (Riesentang, «Sargasso», submarine Tropenwälder), neben Phosphorsäure, als morpholo- gisches Betriebskapital. Der Ocean wird kalireicher, weil Flüsse und Quellen dies Kali-Kapital stetig ver- grössern, ohne dass Fällung in Form unlöslicher neu- gebildeter Kalidoppelsilicate von gleichem Betrage stattfände. Die Menge durch Flüsse und Quellen in’s Meer geführter Kieselsäure und Thonerde ist zur Bindung des gleichzeitig mitgeführten oder im Meer- wasser bereits vorhandenen Kali, in Form von Zeo- lithen, unzureichend. In therapeutischer Hinsicht verbindet das Stoly- piner Wasser die Wirkungen eines kräftigen Seebades (Helsingör ") mit denen reicher Schwefelwasser (Ser- giefsk, Kemmern, Nenndorf). Ein Gemisch gleicher . Volume Meerwassers (des Mittelmeeres oder Atlanti- schen Oceans) einerseits und Sergiefsker Schwefel- wassers andrerseits würde annähernd gleicher chemi- scher Constitution entsprechende physiologische Ef- fekte hervorbringen. Es steht in dieser Hinsicht dem in Nenndorf benutzten Gemenge von Roden- berger Salinenwasser und Mutterlauge mit Nenndorfer Schwefel wasser zunächst und würde in der balneologischen Systematik letzterem beizuord- nen sein. Der Badeschlamm ist dem von Staraja Russa, sowie dem Seeschlamme der Wieken von Ösel und Hapsal chemisch und physiologisch gleichwerthig. Die Anwendungsweise beider ist am geeignetsten, auf 35° C. erwärmt, bei Rheumatismen, Gicht, chroni- schen Hautaffectionen u. drgl. Die hohe Sommertem- peratur und das gleichmässige trockene Steppenklima tragen das Ihrige zu den günstigen Erfolgen bei. BA COT O ES 17) G. Forchhammer. Om sövandets bestanddele og deres för- deling i havet. Kiobenhavn 1859. Og dpa X où roro! te xal Vararoı vies Ayatóy WÜSov dxovasıav xal enippaccalato Bou. Die beiden te im mittleren Verse stehen zu einander in keiner Beziehung; vielmehr entspricht sich einer- seits 2۵004 te xal orator, andrerseits dpa TE سس‎ dxoucsıav xal ériooucsatato Boudy. Ein solcher Pa- rallelismus lässt sich zwar aus dem geschriebenen Texte mühsam herausgrübeln, nicht aber wird er in leben- diger Rede dem Hörer verständlich. Grund genug um zu behaupten, dass der jetzige Text fehlerhaft ist. Mit der Erkenntniss des Fehlers ist für unsere Stelle aber auch die Heilung gegeben; ohne Zweifel ist das erste te von einem ungeschickten Grammatiker ein- geschaltet, der einen vermeintlichen Hiatus entfernen wollte. Es muss heissen Oz pa ci root Te xal Votato ules ااه برا‎ p3Sev dxoucstoy, und oi ist als Dativus FOI zu fassen. Mit der Structur ` vgl. Od. à, 767: Sea dé ci éxhuev oeëe, Il. II, 531: Gent où GX LE peras E evEnpevoro. II, 515: EI vaca. 8b ei Tavroo ŒXOUELV 00601 genug, Die hier beseitigte Partikel mahnt mich an eine Stelle in Soph. Ant., wo ein unrichtig gestelltes 6 von einem der Können Herausgeber mit einem. Eifer vertheidigt wird, der einer besseren Sache würdig wäre. Ant. 120 ff, schreibt die Mehrzahl der Ausga- ben so: Ba, rou ToS همع‎ alp.drov yévuoty TANSIT- va TE xa CTEDAVOLE TU YWY neuxdevS "Hoatocov 6۰ In der vierten Auflage der Schneidewinschen Bear- beitung (1860) habe ich bereits erinnert, dass das Te, welches in den Handschriften fehlt und erst von Tri- clinius hinzugefügt ist, hier unzulässig sei. Da Mei- nekes Ausgabe der Antigone (1861) die von mir ge- tilgte Partikel wieder brachte, so sprach ich im An- ‚hang der fünften Auflage (1864) meine Verwunderung 334 darüber aus, dass das te noch in den neusten Texten paradirte. In diesem Jahre hat sich nun M. Seyffert für das ze verwendet mit folgenden Worten: «te omis- sum in libris addidit Tricl.; Boeckhius malebat èy- ۳۸۵9۵۷۳۵۸۵۰ Particula tam loco posita est quam, ut hoc adferam, Thuc. I, 49 extr. tasty èv cov ci KogtyStot xai d Spay ol 00۵۵ Te xai ot Kepxupañot erexod- touv. Non igitur iactare se perget, ut ait inridens Nau- ckius, sed se defendet a reprehensionibus iniustis.» Bei dem letzten Satze geht es mir wie bei nicht wenigen der Änderungen, die Seyffert mit einer mehr freige- bigen als geschickten Hand im Texte seiner Antigone ausgestreut hat ^. Die Worte Non igitur — Nauckius verstehe ich nicht. Der Aufforderung aber mich gegen ungerechten Tadel zu vertheidigen werde ich im vor- liegenden Falle gern nachkommen, weil mir dadurch die Gelegenheit geboten wird, den Text des Thucydi- des von einem groben Fehler zu befreien. Ich räume ein dass in den obigen Thucydideischen Worten das te eben so passend ist als Ant. 122, behaupte aber gleichwohl, dass Seyffert eine sehr unglückliche Wahl traf, wenn er zur Vertheidigung der Conjectur des Trielinius in Ant. 122 sich auf Thuc. 1, 49 berief. Denn wer Griechisch versteht, wird bei einigem Nach- denken leicht einsehen, dass das ts in der Thucydidei- schen Stelle keinen Sinn hat. Man kann wohl sagen اشر او‎ 15۵۵6۷5 nocüvro, of 8} Kepxvpaior étexparous, nicht aber nogôvré ze d Kai xal ci Kepxupaior erexpatouv, und noch viel weniger oi KopívStot qoody- Tê, Te xak d Kepxupaler Ersxparouy. Es unterliegt kei- nem Zweifel, dass die Silbe to im Thucydideischen Texte zu verdoppeln ist, dass mit anderen Worten statt 99۵۷۳۵ re geschrieben werden muss “ocôvro trs. Beispiele derartiger Fehler gehören nicht zu den Seltenheiten; einige habe ich in den Mélanges Gréco- Rom. II p. 219 zusammengestellt. Die Worte ut hoc adferam, mit denen Seyffert das Citat aus Thu- cydides einführt, lehren dass er noch andere Stellen im Sinne hatte, mit denen er die Stellung des von 188. ۳ des Sciences de Saint- Pétersbourg. e ۳ هس‎ E Triclinius eingefügten +e belegen zu können glaubt: ich sehe mit einiger Spannung weiteren Mittheilungen entgegen, bin aber vorläufig doch überzeugt dass es Seyffert so wenig als irgend einem andern gelingen werde das unmögliche möglich zu machen. Nachdem Odysseus die Achäer ermahnt hat auszu- halten bis es gelinge Ilios zu erobern, erhebt sich Nestor, in dessen Rede es Il. B, 339 ff. heisst: TÅ 2 ovvSeota te xoi Govt. Graecos ل‎ Ev اهنا‎ Bé BouAa te yevoiato prised T ARG) 9720۷8۵6 T axpnra xal Serat, de erém pey, AUTOS ydp 5۳200 Eordutvonev, 084 e xos evpépevat Buugdn see, rov ۵۵۷۵۷ dë dure, Nestor verwünscht die Berathungen der Männer, weil sie erfolglos sind, weil die Kriegsarbeit nicht zu dem ersehnten Ziele führt; mit welchem Rechte aber und in welchem Sinne er die orovSaul axpnror xol SeËrat mit den fovdal xal pyõca 00806 zusammenwirft, ist nicht abzusehen. Die arovdal xoro: xol Sekuat ha- ben mit den Boudal xoi pòsa avöpov nichts zu schaf- fen, sie gehören vielmehr zu den früher erwähnten ouvSeotar xol öpxıa. Ohne Frage müssen V. 340 und 341 die Stelle tauschen: TÅ 2 auvisotar te xal مق‎ Brisstar îy 97۳0۷۵۵/6 T ënger xol ره‎ d drogen: £v اورم‎ òn Bouhal re yevolaro ةلذم‎ T dunn are.‘ Sollte nicht ausserdem yp» V.339 in piv zu ändern sein? Nestor meint: ihr habt euch eidlich verpflich- tet zum Kampfe gegen Troja; wir haben eurem Hand- schlage Glauben geschenkt; haltet also was ihr ver- sprochen habt. M 11. E, 85 ff. Man konnte nicht unterscheiden, ob Diomedes unter den Achäern oder unter den Troja- nern sich tummelte : "ue ydp dy. nedlov roTap. Cd enn does yeıpdppo, e T dxa bov éxédasoe yepupas. Sollte an dem Ausdrucke éxédaccs ysqupas, er zer- streute die Brücken, noch niemand Anstoss genommen haben? Angemessener ist sicherlich «er zertrüm- merte die Brücken» d. h. &xdaooes, wie Od. 8,382: drei où via Sony doyirt xepauvd Zeus م۵0‎ ( 56 péso Evi olvanı ۰ . Diomedes tödtet nach Il. E, 159 ff. zwei auf einem 2) Oder wohl besser done : vgl. Buttmann Lexil. II p. 143. Bulletin de l’Académie Impériale 336 Wagen befindliche Söhne des Priamus, den Echem- mon und den Chromius : de 8È Mov dv Bouot Sopav e£ auyeva dén motto; "à ,ج806‎ Been xata Booxopevdoy, de cols dpootépous dÉ (rcov Tudéos vioc Bios xaxóc dérovras, čneita 35 Tels ecra. In den Worten réortrog i Boos erscheint die disjunc- tive Partikel als unstatthaft. Das tertium comparatio- nis ist, wie der Ausdruck de tous dppotégovg deutlich zeigt, Cé? darin zu suchen, dass zwei zugleich der Uebermacht eines einzigen erliegen. Es ist also zu schreiben بمجووع‎ nd: Boos, wozu nun auch der nach- folgende Pluralis 8coxcpevaov besser passt. Hektor verwünscht seinen Bruder Paris und sagt Il. Z, 284 f.: ei xeivov ye Lomme xateASovT Atos eloo, painy xev poév 0 ومع‎ tou مایا‎ éxAchAIÉG Sat. Eine Form atsprog ist unerhört, und gegen die Tren- nung Artep zov, die in den Scholien erwähnt wird, sträubt sich der Sinn. Tadellos ist die Zenodoteische Lesart painy xev pov Trop 6: ExAeAaSécSau, die Bekker neuerdings in den Text aufgenommen hat. Freilich bleibt dabei ein Bedenken: wie verfiel man auf poéy dcéorcu, wenn eu {rop in den Handschrif- ten stand? Falls die ehemals gangbare Lesart nicht von einem Grammatiker erfunden ist, sondern auf di- plomatischer Autorität ruht, so entsteht die Frage, was dem atéorou zu Grunde liege. Diese Frage weiss ich nicht mit Sicherheit zu beantworten; móglich aber wäre, wie mir scheint, folgender Ausdruck: qan» xev Qoéy apap Tou Ges 3# 3 Sa. Wenn du zu mir reden könntest, sagt der geblen- dete Cyklop Od. +, 456 ff. zu seinem Widder, dann würde ich den abscheulichen Or: zerschmettern : TO xé oi dyxépahos ye 8:0. 0۳40 ۵۸۵۵8 GA ۱۳ 30/616 ج7200‎ 05861, 0.8 84 x poy xio 2۵۵9۵16 vox, Ta pot ۵۵۰۵0۵ 76029 Otte. Nach'Ameis’soll $ateoSa: hier den Sinn haben «zer- schmettert "spritzen». Damit ist richtig erkannt was der Zusammenhang fordert, aber eine Bedeutung für Rater Vorausgesetzt, zu der uns der anderweitig hin- 'eichend bekannte Gebrauch des Wortes nicht berech- tigt. Es muss ein Buchstabe hinzugesetzt werden : "E: Setycg.éycu ۵06۷۵۸۳۵ 700+ و0086‎ wie aus folgenden Stellen hervorgeht. Soph. Trach. 781: Aeux6» puehov 80۵06۷6۲ Eur. Cycl. 402: têy 8 ou, Tevovros Apridcas dxoou هله ,ج1080‎ Tog ZE otovuya ایهم‎ Mocu, èyxéparov ÉÉépoave. fr. 388: xdoæ te ydo cou cw[yío xópats ob, Bové te 0 EYREDAXAOV. Od. o, 509. Odysseus meint, sein Sohn Telemach werde jetzt verstehen im Kampfe sich seiner Väter würdig zu zeigen, 2. 67 TÒ 0/004 0 aixi T nvopén te xexdopeda ۳00۵ dr atay. So lange die Redeweise ۱6۵0/05 mca» dr atav, welche bedeuten soll «über die ganze Erde hin sich auszeichnen», nicht durch Belege oder analoge Aus- drücke sicher gestellt ist, möchte ich vermuthen räsav er i$», unter Verweisung auf Il. Z, 79: ouvex dotoxot mca» èT (SU dote payeodal TE qoovécty te. Od. 3, 434: étaioous +061 aov, otot ۳0۸0۲ 0 7000۷ En (Suy. Der Streit des Aias und Odysseus um die Waffen des Achilleus wurde vom Verfasser der kleinen Ilias in hóchst eigenthümlicher Weise behandelt. Zu dem Aristophanischen Verse Eq. 1056: xal xc ug 04001 doe, ETEL xev avro vatey bemerken nämlich die Scholien: drepepovro rept 0 apıoreiov 8 te Alas xal ó OBucctUc, de pnoiv ó ۵ xoay "Dada xerotnxóc. Tov Néotopa òè oupBoured- cat tols "ing repa: twas dE aurav Uno Ta rer rûv "Tode, ۵00۵00۳00۷۳0۵ mept tijg avôpelas ۷ TROELONLÉVOY 0۵0۷۰ Tolg 9۵ 72۳۵590 0۵6۵004 Tap- Sévoy dLapepopévov Tpos 033264, Ov mv piv Aren ع0‎ ó Alas Tory xpeitrov doti To Odvoodag, 6۵۰ vy oto: ° ا‎ Alas pêv yoo gege xal ۵۱6۵6۵46 5 دور‎ Indstönv, 008° hoere 870+ ۰ gn ۶ étépav 0۷2۳6 م۸۵04‎ TQOVOCG’ rüc ۵7600۷00۵: TOG OÙ XATA ۳۵0۳۵۷ 6 peidos; Wie bei Homer der Dativ gea richtiger figo ge- schrieben wird (vgl. Mélanges Gréco- Rom. II p. 424 f.), so dürfte hier im zweiten Verse 0 Indelön die richtige Lesart sein. In Betreff der Verkürzung der mittleren Silbe in “eoa kommen zu den früher ange- des Sciences de Saint-Pétersbourg. führten Stellen noch zwei inschriftliche Zeugnisse. Epigr. C. I. 2907, 4 vol. 2 p. 578: beer 8 £v toto- caig toux +608 céfetv. Epigr. bei Newton A history of discoveries at Halicarn. Cnidus and Branchidae vol. II part 2 p. 747: ۷۵۵06 Avctyóveu, Modo dé cot el o véueuoiv. Nachher hat man mit hoher Wahrschein- lichkeit vermuthet, dass der Verfasser der kleinen Ilias den bei Aristophanes überlieferten Vers unmit- telbar auf die Worte rêş où xata xoomov Serres habe folgen lassen : KÖÇ 260010601 FOG cU XATA ۱6۵۵۵۵۱ ÉELTES; xai xe UV géet jy Soc, Tel xev avro avaSetn. Vielleicht ist auch der bei Aristophanes nachfolgende Gegensatz, à). ox dv naydonıro, aus der kleinen Ilias entlehnt. Vgl. Welcker im Epischen Cyclus II p. 532. Unrichtig ist aber das bei Aristophanes überlieferte ayanein, welches Plut. Mor. p. 337 E getreulich nach- schreibt. Cobet V. L. p. 324 verlangte dafür den Con- junctiv, «vaSein oder vielmehr nach Bekker Hom. Bl. p.227 avaSnn. Aber der Gedanke «auch das Weib vermag eine Last zu tragen, nachdem der Mann ihr dieselbe auferlegt» bekommt eine Pointe erst dann, wenn man an die bestimmte Last denkt, die jedes Weib zu tragen hat und zu tragen vermag, an die Last, welche der Mann in der ehelichen Gemeinschaft dem Weibe auferlegt. Diese Beziehung ist durch die jetzige Lesart so wenig nahe gelegt, dass ich kein Bedenken trage avaseivar hier für unzulässig zu hal- ten. Sowohl Aristophanes als der Verfasser der klei- nen Ilias werden geschrieben haben: xai xe yuvi pépot diy Soc, Erst xev avro ۰ Ueber die hier vorliegende Anwendung des Verbum Gebeier vgl. Aristoph. Com. 2 p. 1082: 7 ED vovatxa, BouAcp.at. . Aesch. Sept. 187: nt. da xaxoior wir € eueotot oO Euvornog siny TO uvauxsto YEvel, Ueber die letzten Worte c6 yuvaxeto yévet, wo statt TÖ yévet ein gleichbedeutendes Femininum stehen sollte, handelt Heimsoeth Wiederherst. der Dramen des . p. 45. Zwischen eJecco? und qq ist im Co- T ex Mediceus etwas ausradirt, nach O. Ribbeck zwei d Buchstaben. Vermutblich waren diese Buch- at, wonach ich vermuthen möchte 50 ev Ste Tome IX. coía pq. Das ziemlich seltene Wort seg kennen wir aus Soph. Oed. Col. 390. fr. 119. Eur. Hipp. 263 (wo Tf T eUcom ماقم‎ rokeueîv zu schreiben ist); vgl. meine Eur. Stud. II p. 191. Schneidewin im An- hang zu Soph. Phil. 1322. Meineke Oed. Col. p. 153 f. Ist die geäusserte Vermuthung richtig, so werden wir auch an den beiden übrigen Aeschyleischen Stellen wo veto gelesen wird, Anstoss nehmen müssen. Agam. 647: وج‎ ya/ooucay eUeotot nów. Agam. 929: A. Pioa Sè xov Bi reheutnoavr v süsotoi pq. An beiden Stellen ist soot möglich und svertw als ein Ionisches Wort bedenklich. Aesch. Pers. 114: 0 pou pehayyéto gor» dyxocscat gogo. Von gpeves auoméhatvat ist bekanntlich schon in der Ilias die Rede; xpaðíny péhavav findet sich bei Theo- gnis, peiatvng opevos bei Solon, peiavoypos ۵ bei Aesch., xe\arvdray Supoy bei Soph. und ähnliches sonst, wie Blomfields Sammlungen zu unserer Stelle zeigen. Damit ist indess eine oov» pehæyyitov noch keineswegs gerechtfertigt; nicht der erste, sondern der zweite Theil des Compositum, die Erwähnung des Xırov, erscheint als auffallend. Vermuthlich schrieb der Dichter: TAÛTE ou 0270] oG Qo» 0۷0060 ۰ Die handschriftliche Lesart dankt ihren Ursprung viel- leicht der fehlerhaften Schreibweise peXayyeınos, über die ich in den Eur. Stud. II p. 61 gesprochen habe... Aesch. Suppl. 951: ein 85 véen xal xpaty tol; ۰ Die Endung in xoatn scheint durch das voraufgehende vx» veranlasst zu sein. Jedenfalls werden wir nach dem herrschenden Sprachgebrauche den Singularis xo&tog erwarten müssen. Vgl. Soph. El. 85: ۵ yap pepeı ging T de ui xal xoacoc, und die da- selbst angeführten Parallelstellen. Aesch. Eum. 658 f.: ; ein égct wj two T, xexinpévy TÉKVOU ele, 200004 $è ۱306 Die Mutter ist, wie Euripides sagt, die &poupa, welche den empfangenen Samen aufgehen lässt, oder wie es hier heisst, die Nährerin des zeugenden Keimes. Die- sen Sinn haben die Uebersetzer in den letzten Wor- 22 Bulletin de l'Académie Impériale 340 ten gefunden, ohne zu bedenken dass dafür vecoropos «frisch gesäet» ein unpassender Ausdruck ist. Statt xúpatoş veooncoou, wo der Begriff veos als müssig und nichtssagend erscheint, muss es wohl heissen xupartos œutouoropou. Vgl. Soph. Trach. 359: aXX gie oux mede ۵ puroonogov nv ralda doövar. Arg. Soph. Oed. R.: 2۵۷ éxutóv xai yévous ۵۱۲۵0۳۵00۷, Christod. Ecphr. 106 : ka£ouc pv aopryoovras édeixvvey (Eppz- pecèrroc) ole Te xopan’ cya 8È mot) čpawe puto- ©0061 apoevos ۵۸۵۵ Orph. fr. 41, 5 bei Tzetz. Hes. Op. 763: máct» êrty Sovtotot: purooncpou aitin Adels. In dem Carmen de figuris vel schematibus bei Halm Rhet. Lat. p. 64. wird für die ¢ravapopa oder repetitio folgender Beleg gegeben: ipse epulans , ipse exponens laeta omnia nuptae, ipse patrem. prolemque canens, idem ipse peremit. Das Griechische Original findet sich, was Halm über- sehen hat, bei Aesch. fr. 340, 7: ò Faro رلا لسرن‎ autos Ev Solvn og, AUTÒS td stan, AUTÓS darıy Ó XTAVOY TOV nalde TOY ۰ Statt Zaeta omnia ist, wie die Situation fordert, laeta omina zu schreiben; aber auch exponens scheint mir bedenklich; vielleicht ipse expromens laeta omina nu- ptae. — An einer früheren Stelle desselben Carmen V. 8 f. heisst es: “nam qui eadem vult ac non vult’, colon facit unum; huic adiunge sequens ‘is demum est firmus amicus’. Zu Grunde liegt Sall. Cat. c. 20, 4: nam idem velle atque idem nolle, ea demum firma amicitia est. Soph. Ai. 50: xal TOS réie yela LAMÔGAY pOVOU; Die Bedeutung des Verbum paiu&v, stürmen, toben, leidenschaftlich erregt sein, wird zur Genüge erkannt aus folgenden Stellen. Il. E, 661: algun 8È Sécouro ,رموه من‎ ٩0۳4 .نور‎ E, 670: patumae A oi piov Trop. N, 75: parpooc: à EvepSe Modes xal yei- بوم‎ ۳5025۷. N, 78: Ysloss 60701 و دلاو تس اهن‎ xat pot pevos 00006, vépSe òè Tocalv Eooup.ar AppoTepatat. O, 542: omg ۶ atip- voto Scauro papoda, roócco ieuévn. O, 742: Ñ, | xal papio» à Even èyyet ات‎ Y, 490: ge 9 ava- Bauer (richtiger wohl dvd padet) Bad ayxea Seo- 2۳000 .ونع‎ Aesch. Suppl. 895: papd 54004 6 e - A , : oTO gg xal pol rept 800007: | Ze, Orakel bei Herodot 8, 77: ða Aen 0 xoa. toov Kópov, " Ygotoc vtov, dervov wamoovta. Theocr. 25, 253: de én pot Alc aivos 0750100561 doo: 0 ام من‎ yocóg doa. Lycophr. 529: parpõvra cta romviov GAdocoon. 1171: papy ۱6۵۵۵00۵۸ yeipa àt- böcav pévou. Apoll. Rhod. 2, 269: 6006100۷۳0 Airy] payowoat موه‎ Mnasaleas Anth. Pal. 6, 268, 4: etre xaT eivortouAlov Opoc rool nörvia Batvers, Betyóv namdoatz éyxovéouoa xuoty. Orph. Lith. 133: pat voe 9 òpeoxwou pévos alvev papyacsar. Orph. Argon. 419: 98° óc HoaxXit xuravtia pamoovtes Ev ۸ örproav. 885: ardpva TE ODA xoe. YAPLEV Te xoóconow. Oppian Hal. 5, 375: vous dé tt; aona- Mes ۵000۳69۵ Ivc autos — Sling 2010666 rep! vaoreoı Romero, Philo Iud. de agricult. 8 8 vol. 1 p. 305: os xal dv al ris yaorpos anonimpwSärt ğe- Eausval, orapyaoay čte xal poampäeng Cu del xev رت‎ repißiensoiar xal TEpLporTäv, pý Te Tou rapopaStv Astıbavov aperov. Fehlerhaft ist Dionys. Perieg. 1156: OT Ahdocovro piv Goal Anvaov ۷۵۵0۲36 és 0680.4, ès dE 0081001 Supro j.a.t 00 vco, xal de omelpnp.n 9paxóvtoy ۵0۵66 9 fg Te nohuyvaprTns ۰ Mit dem seltsamen Ausdrucke ç d& otönpev Svega pamwovro wird im Thes. Gr. L. vol. 5 p. 505 B das bekannte eis xéoas SumoÿoSa verglichen; dies ist ge- nau eben so rüthselhaft als die bei Bernhardy und C. Müller gegebene Uebersetzung, «cum thyrsi in en- sem irascerentur». Offenbar wollte der Perieget sa- gen, dass die Thyrsusstäbe sich in eiserne Waffen ver- wandelten. Diesen Sinn sucht Fr. Palm in der fünften Auflage von Passows Handwörterbuch auf dem Wege der Erklärung zu gewinnen; er meint, de 660000۳ pat- poovro bedeute «sie strebten zum Eisen hin, sie ver- wandelten sich schnell in Eisen». Gegen diese äusserst gezwungene und mit dem anderweitigen Gebrauche des Verbum partway schwer zu vereinigende Erklärung werden wir um so misstrauischer sein müssen, da eine mediale Form wie maoovto nirgends sonst er Es muss offenbar heissen: is és 0b olömpov ` ` Supaoı ماو كا یم دا‎ d: (nämlich nhAdoaovre), . was dem Homerischen «iyan pupooca Il. E, 661 xd 0, 542 nachgebildet ist. — Wer die angeführten Stel- ` 341 des Sciences de Saint- Petersbourg. 342 len überblickt, wird leicht sehen dass p.op.&» in der voralexandrinischen Zeit durchgängig absolut ge- braucht wird, d. h. ohne irgend eine nähere Bestim- mung?) Erst spätere Dichter haben einen Infinitivus davon abhüngig gemacht (Theocr. 25, 253. Lycophr. 529. 1171. Orph. Lith. 133); für poaräv uge fehlt es, abgesehen von den oben citirten Worten aus Soph. Ai., an allen Belegen; denn wenn Apoll. Rhod. 2, 269 von den Harpyien sagt: ai ò Apap HUT dehat adevxées N areponal de 07:06 00501 ۱۵۵۵۵۷ ۳06۷04 ۵ parpoocat Eöytuog'‏ ل von scevovto abhän-‏ ماوق so hat er vermuthlich‏ gig gemacht nach dem Muster des Homerischen doo.‏ pevos mokéuou, écoupevos ödoio, und sollte auch bei‏ Edntuos möglich sein, so wäre‏ مومسم Apollonius‏ doch pamöcav «ovou für Sophokles damit noch‏ nicht gerechtfertigt. In den Scholien der Sopho-‏ kleischen Stelle wird die Variante xeipa ۱/۵0 pó-‏ vou angemerkt. Obgleich dafür einige andere Beispiele‏ geltend gemacht werden können (Trag. adesp. fr. 69:‏ loyeuw xeAeUo yelpa Suböcav povov. Lycophr. 1171:‏ xopéooat xelpa dubôcav põvov), so ist es doch‏ برام kaum denkbar dass ein ursprüngliches duböoav pévou‏ مریم in d das auffallende oder eigentlich unerhörte‏ vou verändert worden sein sollte. Darum dürfte es‏ nichts weiter zu‏ نمؤي gerathener sein in yeipa dubocav‏ sehen als den Verbesserungsversuch eines alten Gram-‏ matikers, und wenn es nicht zufällig ist dass sonst‏ die ältere Poesie pæy.ä weder mit einem Genctiv noch‏ nit einem Infinitiv verbindet, so werden wir bei So-‏ ine zu schreiben haben:‏ "i xal rêç dndoys xeipm papyöcav pévou; A Verba parmäv und papyav sind in der Bedeutung nahe verwandt: gerade darin liegt der charakteristi- sche Unterschied von beiden, dass papy&v die Ergän- zungen zulässt , welche bei pæ als ungebräuchlich m Würden. So sagt Eur. Phoen. 1247 : or- Oeo ypsud T ojx Hakaty papyavı ern 3) In vollem Einklange damit stehen die Derivata von paid», vie par Matpaxrnc, ein Beiwort des grollenden (eigentlich des stürmen- ) Zeus, der stürmische Monat Moar, ferner paipaxos : ; Ded. Col. 1568 nach Meineke, vielleicht auch Tracb. 1098) , Und oam dree, AAA ievar 8600. Herc. F. 1005: xat 22061 atepvov eis HoaxAéoug, ع‎ ww yoy kapyavr érégye (ehemals unrichtig papyôvros Zone) xetz dean xa fe. Soph. El. 54: eiT aboppoy Zonen Tcov TUTOE XAAKÉTAEVEO epuer xsoctv. Unter Tropa yaxórAeugov ist die Urne zu verstehen, welche, wie der Pádagog später der Klytümnestra er- zühlt, die Asche des angeblich gestorbenen Orestes enthält. Die Bezeichnung yaAxómAevgov statt yahxoðv (wie ۵۷۵۵ £v oictovo» Oed. R. 846 statt olov, oder Stccapyas 806007 Ai. 390 statt dvocous, und dergl.) hat man passend erläutert durch Aesch. Choeph. 686: vüv yap 207۲۵6 yaÀxécu TAcupapata 0۵۵۵ xéxeu- Sev avöpcs. Was aber soll Tropa hier bedeuten? Der Zusammenhang fordert den Sinn «Gefäss»: dass ty- ropa in diesem Sinne jemals habe gebraucht werden können, halte ich für schlechterdings unmöglich. Dar- um habe ich bereits im Anhange der vierten Auflage von Schneidewins Ausgabe die gangbare Lesart als unrichtig bezeichnet; jetzt werde ich meinen Zweifel zu begründen suchen, um dann den von Sophokles gewählten Ausdruck anzugeben. Was ممعت‎ über- haupt bedeuten könne, lässt sich nicht sowohl nach dem Gebrauche dieses nur: selten vorkommenden Wortes, als vielmehr nach dem überaus häufigen zuros bestimmen. Das Wort tunog bezeichnet eigent- lich den Schlag, sodann (und so wird es fast durch- weg angewendet) den durch einen Schlag bewirkten sichtbaren Eindruck, d. h. Spur, Gepräge, Umriss, Gestalt, Darstellung. Die verschiedenen, alle aus der- selben Grundbedeutung leicht sich ergebenden An- wendungen welche die Tragödie von diesem Worte macht, wird man aus folgender Stellensammlung ent- nehmen können. Aesch. Sept. 488: ‘Inropédovtos cxi xal péyaç TUTO. Suppl. 282: 6 yaga- xto T êv uvauxslolg TUTUG EKOS TÉTAYXTO meer: voy عومج‎ docévov. Eum. 49: Topycvas Méyo, 008° að- ze 10016/00۷ eixaco tunog. Soph. fr. 235, 5: etc ممق‎ ode pécoov éupaxos tumev. Eur. Bacch. 1331: 8dpao Te on éxSnarmSeto 5060+ daget Titov. Heracl. 858: véov Bpayıdvav £3et&ev vier» runov. Hipp. 862: | xal yov tuno ye 0069۵6۷16 AECH — Tpocoatvou- oi pe. Rhes. 305: nem 9 Er oo» ypucoxoXAmvot; rünots Zone, Tro. 1074: youcéov Te 5000۵۷ 62 29* Bulletin de l'Académie Impériale Tro. 1196: ó; 190g Ev 7060150 cóg xerat ugoe, Phoen. 1130 : cudnocvotors à 06864 runors riy yé mae, fr. 764, 2: ypanroug ۵۷ detoiot gecofiedou zuroug‘). Näher auf die einzelnen hier verzeichneten Stellen einzugehen, oder den sonstigen Gebrauch des Wortes weiter zu verfolgen, scheint überflüssig, da es uns hier lediglich auf die eine Thatsache ankommt, dass tutos niemals bei irgend einem Schriftsteller ir- gend welcher Zeit oder Redegattung das Geschirr, Gefäss oder etwas der Art bezeichnet hat. Ist diese unsere Behauptung richtig, so müssen wir das turo- wa in der obigen Sophokleischen Stelle für unmöglich halten: denn rUropa ist nichts weiter als das gewähl- tere und pomphaftere Wort statt re, So findet sich bei Eur. Phoen. 162 pepofjs Tropa im Sinne von ۳۵۵9۵7 uge, wie Meleager Anth. Pal 12, 57 sagt, und ganz entsprechend bei Lycophr. 1299: êv tav- popóppo zpaprıdos .م معدم‎ Sophokles konnte also wohl sagen 2۵0۵6 yoXxórAsugov Tropa, wie er sagt موق‎ turcv und wie wir aus Euripides سم‎ tunov; turot cpevddns, Bega rund, 0016804 4 anführten°’); nimmermehr aber genügt der Ausdruck xadhmomdeupos Türos Oder yaAxomAeugov مهن‎ zur Bezeichnung eines ehernen Gefüsses. Statt yahxorheu- poy runop.a ist hier der Begriff yahxomheupoy 6 mit Nothwendigkeit geboten, und es kann meiner Ansicht nach nicht dem geringsten Zweifel unterlie- gen dass der Dichter schrieb xücoy.& yaAxórAeugov. Denn xUtog, eigentlich Wölbung oder Hóhlung (daher Ausdrücke wie yaotpös, xoa, veus, 748104, Toro dos xuros), wird gern von hohlen Gefässen, nament- lich von Bechern oder Urnen gebraucht. Es genügt 4) So sind diese Worte zu schreiben 5) Die Uebereinstimmung dieser Stellen weist darauf hin, dass es auch Rhes. 305 statt nöAtn — ypuooxolintors tumors vielmehr heissen muss: (9 bx enn Ypucoxölinrtog 6 Haure: Topyav Ò us ar aiyidos 4 yax perwrorg 7006 6 rohdoïot 60۷ audwaıy ÉXTUTEL ۰ Sollte diese Vermuthung als gewagt erscheinen, so wird jedes Be- denken schwinden, wenn man beachtet dass die meisten ai besten riften statt der Vulgate xékrn ð den Genetivus zéie bie- Mit Recht hat Kirchhoff dieses وت(‎ in den Text gesetzt; enn er dagegen im folgenden Verse die Partikel 86 ausscheidet und Bach: Zeie eine Lücke ansetzt, deren Ausfüllung dem Leser bleibt, so kann ich nicht beistimmen, und ohne Zweifel iber, nachdem die richtige Lesart gefunden ist, die ehe- ig aufgeben. an Soph. El. 1142 zu erinnern, wo von derselben Urne die Rede ist, um die es sich hier handelt: 6۳/۵۵ TOOGNKEL 61۳6۵2 EV oxp ۰ Dass man xutoua in ruropa veränderte, kann nicht befremden: eben so haben alte Erklärer bei Soph. Trach. 12 f. die durch eine Stelle des Strabo zufällig bezeugte ursprüngliche Lesart 0۷۵06 6۵ xucet Bourpwpoc in das handschriftliche avögsio TuTo Bouxpavos ver- wandelt; bekanntlich aber pflegen die interpretirenden Grammatiker denselben Fehler an verschiedenen Stel- len zu wiederholen). Dass für xurop« statt من‎ ein weiterer Beleg nicht vorliegt, kann gegen die Richtig- keit unserer Verbesserung keinen stichhaltigen Grund abgeben. Durch die Analogie ist das Wort vollständig gesichert, und wir werden es dem Sophokles um so eher zutrauen dürfen, da die Tragódie derartige Bildungen liebt: vgl. aan, dung, Tue, Tepa, م7۳۱0‎ yopa u.ä. Uebrigens kommt in der That xucopa noch einmal vor, freilich bei einem Schriftsteller, dessen Au- torität in diesem Falle gleich Null ist, und zufällig ist auch hier das Wort verwischt. Im Thesaurus Gr. L. vol. 4 p. 2164 A wird ein vermeintliches Wort xv- ray, belegt mit Pseudo - Chrysost. Serm. 6 vol. 7 p.252, 17: ۳6۷۵6 uioc 6 Enns xoa xutõva axıproßa- rêv; Wäre xuroy ein Wort, so könnte es nur ein ze- prsxtixoy sein, d. h. einen Ort bezeichnen, wo sich wien finden: etwas derartiges ist wie überhaupt so in den angeführten Worten völlig undenkbar; wir wer- den in xvrôva lediglich eine Verschreibung zu sehen haben statt xucopa. Soph. El. 20. Der greise Püdagog sagt zu Ore- stes und Pylades, man müsse schnell berathen was zu thun sei; denn der Glanz der Sonne wecke bereits die morgendlichen Stimmen der Vögel, und die schwar- ze Nacht sei vorüber: mov oda «ty Avdpav éÉcdouropeiv areyng, Euvantetov Aöyoraıv, Oc raf? pêv lv cüxév Oxvelv xapóç, GAN Épyov Gan, 6) Es ist, um nur ein Beispiel pa hinlänglich Re wie häufig die Byzantiner ein ursprüngliches Bé in pros umge- wandelt haben. Einen neuen Beleg liefert Trag. a 80006 papi Euvorxog, d plor, pape. 7 1 Statt à Qt muss es heissen K vot, und A Wire E? d hokl einem Komiker); vgl. den Anonymus (vermuthlich Philodemus) E مد ده ی‎ » Hercul. Vol. Collect. alt. T. IV fol. 1 345 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 346 E سي‎ Der Grund weshalb man die Berathung sofort begin- nen müsse, wird in den Worten de — axyr angege- ben. Freilich weist hier die Form épév auf eine Cor- ruptel hin, die man mit verschiedenen Vorschlägen zu heben versucht hat, ohne zu einem sicheren Re- sultat zu gelangen; aber über den Gedanken wenig- stens kann kein Zweifel obwalten: wir befinden uns in einer Lage, welche kein Zaudern duldet, sondern zum Handeln drängt. Diese Begründung des Évvarte- tov Aöyoraıv ist verständlich und angemessen. Wenn dagegen vorher gesagt wird, «bevor irgend jemand aus dem Hause komme, solle man beginnen», so móchte ich behaupten dass hier ein sehr unpassender Gedanke erscheint. Warum sollen wohl die hier auf- getretenen Personen ihre Berathung beginnen, bevor jemand aus dem Palaste tritt? Fürchten sie etwa dureh die Dazwischenkunft eines Bewohners des Pa- lastes bei dem Entwerfen ihres Planes gestört zu werden? Nun dann mussten die närrischen Leute sich vom Palaste so weit entfernen, dass kein aus demselben tretender sie bemerken konnte. Bleiben sie dagegen in der Nähe des Palastes, so ist mit dem raschen Beginnen der Berathung ganz und gar nichts gewonnen, darum weil in jedem Augenblicke ein Be- wohner des Palastes heraustreten und durch sein Er- scheinen das Fortsetzen der Berathung verhindern kann. Man? sieht, es ist höchst unpassend, wenn die Möglichkeit dass "Séniihd aus dem Palaste komme als iv für das schleunige Beginnen der Berathung an- geführt wird. Aber selbst als Motiv für das rasche Beenden der Berathung konnte ein Dichter wie So- phokles diese Möglichkeit nimmermehr anwenden: denn wie früh oder wie spät das Erscheinen eines Bewohners des Pelopidenpalastes die zur Rache des mordeten Agamemnon verbundene Trias stören sollte, das war einzig und allein dem Ermessen des Diehters anheim gegeben; es wäre ein Zeichen von Völligem Mangel an künstlerischem Takt, wenn Sopho- kles den Gedanken an eine störende رم اه نو من‎ er vermeiden konnte und factisch vermieden hat, als Motiv für die handelnden Personen hätte wirken lassen, Endlich lehrt auch die Ausdrucksweise, dass viris dem Verse = pP ` sg o oy ed «۵و۵ه‎ SÉodornopeiv atés nicht Sophokleische Worte vor uns haben, sondern das stümperhafte Fabrikat eines Byzantiners. Das al- berne e&odorropsiv, «herauswandern» statt «heraus- gehen», verräth den ungeschickten Grammatiker, der selbst auf dem engen Raume von sechs wohlfeilen Iamben nicht abkommen konnte ohne eine Taktlosig- keit. Ein etwas geschickterer Interpolator würde vielleicht geschrieben haben oy tty‏ امع oder rely edy ctv‏ Kë , Yy ~ avòpa dopatov && 0 Ebo Tove dopatoy repay. Nach dem was wir über den Inhalt des Verses ge- sagt haben, können wir weder die angeführten noch irgend welche ähnliche Verbesserungen gelten lassen; der ganze Vers ist una litura sanandus, und dann ein kleines Versehen des nächsten Verses zu beseitigen, das eben den Anlass zur Interpolation gegeben hat. Statt uväntetoy Aoototy wird es heissen müssen Euv- antet oùv Aoyoroıv, um den gestörten Zusammenhang wiederherzustellen. — Nachdem ich Vorstehendes geschrieben, sehe ich nicht ohne Erstaunen wie M. Haupt im Berliner Index lectionum für das Sommer- semester 1865 p. 5 sich also vernehmen lässt. «Cum olim studiosi homines discerent tantummodo tragicorum Graecorum sermonem, nunc nostri saeculi sapientia eo pervenit ut doceat quo dicendi genere illis utendum fue- rit, et siquid minus placet aut a nostro sensu abhorret, mutatur illud aut prorsus removetur. veluti non longe ab initio Electrae hic legitur versiculus, moly av. tw avòpðy EEodornopsiv areyns, neque quisquam olim in eo haesit: videbatur enim Sophocles more et sibi et ceteris tragicis consueto orationem verbo luculentiore atque am- pliore ornavisse: hodie autem subtilioris iudicii homo negat Sophoclem dicere potuisse EZodoıropeiv, quippe quod ineptum sit aut certe nimis quaesitum. quid multa? delen- dum censet istum versiculum et quod sequitur Ẹuvártetov Anerer, ut oratio cohaereat, mutandum in Euvanrer cU» Adycıcıw. tam pusillo negotio, siquis sapere audet, praeclara efficiuntur. erunt fortasse qui versum illum plane necessarium esse dicant putentque hoc ipsum po- stulari ut dicatur, consultandum esse priusquam aliquis arbiter conloquio accedat, quales postquam inluait e re- gia domo prodituros esse credibile sit, meque 0 | poetam, Graecum scilicet et scaenicum, praecipuam sen- tentiam omittere. nos vero tam tristes monitores valere iubebimus.» Auf alle Einzelheiten dieser Auseinander- setzung näher einzugehen dürfte eine unfruchtbare 347 Bulletin de l'Académie Impériale Mühe sein; ich beschränke mich auf das wesentlichste. Der Unterschied zwischen Sonst und Jetzt, von dem der Verfasser erzählt, existirt nur in seiner Phanta- sie. Die studiosi homines haben sich niemals dabei be- ruhigt discere tantummodo tragicorum Graecorum ser- monem : auch in früheren Jahrhunderten hat man am überliefertem Texte mancherlei Aenderungen vorge- schlagen oder vorgenommen, bald richtige, bald fal- sche, ganz wie es jetzt geschieht. Wer die Griechi- schen Tragiker studirt hat, weiss dass in den gang- baren Texten dieser Dichter trotz der Arbeit mehre- rer Jahrhunderte noch immer sich zahllose Stellen finden, die in der jetzigen Gestalt nicht von den Dich- tern herrühren können, und durch eindringlichere Studien der tragischen Redeweise pflegt die Zahl der Stellen, deren Richtigkeit man in Zweifel zieht, nicht gemindert sondern gemehrt zu werden. Darum ist in unserem Jahrhundert sehr vieles von allen Urtheils- fähigen als fehlerhaft bezeichnet worden was man früher ganz allgemein für richtig hielt und als herr- lich und göttlich bewunderte. Dass an dem versiculus mov cU» vw dvBoGv EEodormopeiv otéyns niemand vor mir Anstoss genommen hat, ist richtig und mir keines- wegs unerwünscht, beweist aber durchaus nichts für die Authentie desselben: auch an zahlreichen ande- ren Versen unserer Texte der Tragiker habe ich zu- erst Anstoss genommen, und unter denselben waren einzelne noch absurder als der in Rede stehende’). Was Haupt als Grund für den nicht genommenen Anstoss geltend macht, videbatur enim Sophocles more et sibi et ceteris tragicis consueto orationem verbo luculentiore atque ampliore ornavisse, das ist, wie es scheint, sein eigener Traum; wenigstens sehe ich keinen Grund anzunehmen, dass irgend ein Bearbeiter der Elektra etwas derartiges jemals gedacht haben sollte. Viele Kritiker des Sophokles werden eben zu rasch über die Stelle hinweggeeilt sein; andere haben viel- 7) So finden sich z. B. in der Euripideischen Andr. 655 f. zwei sehr niedliche versiculi : UE våp, Ze 00V rat êreçv A Äis, "Exropos 4832066 Zu, danap ۵ Wë " Exropoc. Diese versieuli stehen in allen Handschriften; neque quisquam olim in üs haesit: videbatur enim Euripides more et sibi et ceteris tragicis m doch hier muss ich abbrechen und die Fortsetzung an- deren | . Vielleicht entschliesst sich Haupt in einem seiner niversitätsprogramme für diese beiden von mir getilgten versiculi ils Anwalt aufzutreten : auf die Zustimmung eines R. Klotz und geistesverwandter Kritiker darf er getrost rechnen. leicht im Stillen an dem Ausdruck é£o3ormopeiv An- stoss genommen, aber ihre Bedenken für sich behal- ten, entweder weil sie kein Heilmittel zu geben wuss- ten, oder weil sie dem Stillschweigen ihrer Vorgän- ger ein grösseres Gewicht beilegten als dem eigenen Urtheil; endlich mögen viele das eEodormopeiv einfach deshalb für richtig gehalten haben und noch jetzt für richtig halten, weil es in allen Handschriften steht. Nach mir hat Fr. W. Schmidt, ein Kenner des So- phokles, <&odormopeiv als unpassend bezeichnet, und mit der Zeit wird ohne Zweifel noch mancher ein gleiches thun, während nicht wenige den stümper- haften Vers als ein Eigenthum des Sophokles so lange vertheidigen und pflichtschuldigst bewundern werden, bis etwa durch einen kaum zu erwartenden Zufall ein urkundliches Zeugniss gegen seine Echtheit zum Vor- schein kommen sollte. Aus dem Programm erfahren wir, dassSophokles und die übrigen Tragiker es lieben orationem verbis luculentioribus atque amplioribus or- nare. So allgemeine Wahrheiten mögen freilich vie- len äusserst willkommen sein, um alles mögliche und unmögliche zu beweisen; in dem gegenwärtigen Falle jedoch sind wir durchaus nicht in der Lage uns auf Gemeinplätze beschränken zu müssen. Vom Gehen in den Palast und vom Kommen aus demselben ist in den uns erhaltenen Tragödien oft genug die Rede: nirgends aber wird ein Ausdruck gebraucht, der dem in El. 20 auch nur entfernt ähnlich wäre. Warum also nimmt Haupt seine Zuflucht zu der hohlen Re- densart von dem verbum luculentius atque amplius, wo der tragische Sprachgebrauch sich an bestimmten Beispielen erkennen liess? Ein Verbum 60 kommt meines Wissens anderweitig nicht vor: ó3otro- ostv dagegen findet sich bei Sophokles und auch sonst öfters; wir hätten den Nachweis irgend einer Stelle gewünscht, die mit der vorliegenden verglichen wer- den könnte, Gesetzt aber ödormopeiv wäre von irgend einem Dichter oder Prosaiker als verbum luculentius aique amplius statt repay, oder éxmegàv gebraucht worden, lag denn hier auch nur der geringste Anlass vor zu einem hochtrabenden oder pomphaften Worte? Es fragt sich, wen man unter dem «v3góv cc, von dem der Interpolator redet, verstehen soll. Offenbar liegt nichts näher als an einen Diener oder Sclaven zu denken, der etwa Wasser zu holen oder eine ähn- liche Verrichtung zu besorgen hat; denn dass der des Sciences de Saint- Pétersbourg. 3500 Herrscher Aegisthus in so früher Morgenstunde aus dem Palaste heraustreten würde, war im höchsten Grade unwahrscheinlich : also von einem Diener oder Sdaven sollte Sophokles, der sonst, wo Könige er- scheinen, einen ganz schlichten Ausdruck wählt, ein verbum luculentius atque amplius eodorropeiv «heraus- wandern» gebraucht haben? So etwas behaupten heisst zu Gunsten eines interpolirten Verses über alle posi- tiven und unbestreitbaren Thatsachen sich hinweg- setzen. Was weiter erzählt wird von dem versus plane necessarius, von der praecipua sententia u. dgl., glaube ich bereits oben vollständig erledigt zu haben. Ein Ar- gument zum Schutz des von mir angefochtenen Verses ist bisher nicht vorgebracht worden; es ist das einzige, ` das mit einigem Scheine sich geltend machen lässt, und darum möchte ich es keinem, dem danach gelü- stet, vorenthalten: der Pädagog ist ein alter Mann, und Sophokles will, indem er ihn urtheilslos und un- passend reden lässt, die Schwächen des Alters zeich- nen, voy ppoddov, Zei تاره‎ ppovrlöug xevaç. So- bald eingeräumt wird, dass nur auf diese Weise der obige Vers der Elektra sich entschuldigen lässt, werde ich über die Zulässigkeit dieser Entschuldigung mich aussprechen: für jetzt darf ich den fraglichen Vers dem Urtheil der Kenner des Sophokles getrost an- ^m uen St (9 Da ich einmal auf das Hauptsche Programm zu sprechen ge- Mire: bin, so berühre ich hier noch eine zweite Stelle desselben, welehe direet gegen mich gerichtet ist. Pag. 7 lesen wir: «quo | Nauckius addit (servamus ipsa eius verba nequid elegantiae E als Gen. Plur. ecu verdirbt ay&wv die Tendenz des Chors, dd non nauci habemus, quamquam fortiter dictum est». Das Haupt- sche Programm scheint licht sowohl auf Belehrung als auf Unter- و‎ Leser berechnet zu sein; es freut mich dass auch mein e dem Verfasser zu einer höchst e Wendung verhol- . Freilich war diese Wendung hier nicht ganz passend ange- 3 r von Schneidewin, dessen RD; zu EI. 159 H ich Ce ndert beibehielt, weil ich über die noch von niemand aufge- klärte Stelle etwas besseres zu sagen nieht vermochte. Haupt besass Mittel sich ohne Mühe darüber zu unterrichten, was Schneide- us i gesagt hatte: hätte er dies gethan, so würde die amens unterblieben sein. Was die Worte xurt Ex tem bedenten oder wie dafür zu lesen sei, das h niemand ergründet. G. Hermann wollte verstehen in iuventa felix», fand jedoch selbst, es sei dies audacior. Haupt billigt Greg Erklärung und meint non magna ea audaci tur esse». Meiner An- cd dst es eine unerlaubte Kühnkeit zu — dass xov- = » ech ی‎ könne «frei von Leiden», darum weil diese = Kaye. SR am ia ier ی‎ der een Schriftsteller 5 ngste Stütze findet, Die eben besprochene Stelle der Elektra forderte ein Heilverfahren, dessen Berechtigung bei der Kri- tik der Griechischen Tragiker noch nicht hinreichend erkannt worden ist; es dürfte daher nicht überflüssig sein auf einige andere Stellen hinzuweisen, wo eben- falls eine leichte Corruptel den Anlass geboten hat zu einer thörichten Interpolation. Dass viele Verse in den Texten der Tragiker spätere Zuthaten sind. wird von keinem Kritiker gegenwärtig bezweifelt; ist dies zugestanden, so wird es auch nicht weiter be- fremden können, wenn sich solche interpolirte Verse finden, die darauf berechnet waren, den durch ir- gend einen Schreibfehler gestörten Zusammenhang herzustellen; finden sich aber solche Verse, so müs- sen wir, um die Hand des Dichters wiederzugewinnen, zuerst die interpolirten Worte ausscheiden und dann den ursprünglichen Fehler heben, d. h. gleichzeitig tilgen und ändern, wie ich es El. 20 f. und an einer Reihe von anderen Stellen für nothwendig erachte. In der Kritik der Griechischen Prosaiker ist man auf die Nothwendigkeit einer solchen gegen doppelte Feh- ler anzuwendenden doppelten Cur làngst geführt wor- den; freilich bedurfte es dort meistens nur der Aus- scheidung von wenigen Worten, während bei den Dich- tern in der Regel ein Vers aufgegeben werden muss, zu dessen Tilgung man sich weniger leicht entschlies- sen mochte. Die tügliche Erfahrung lehrt dass selbst moderne Kritiker nicht selten durch fehlerhafte Les- arten zu irrthümlichen Voraussetzungen eines lücken- haften Textes und zu falschen Ausfüllungsversuchen sich haben verleiten lassen: begreiflicher Weise muss- ten die Alexandrinischen Pseudo-Kritiker bei weitem häufiger derartigen Irrthümern unterliegen und mit dem Unterschieben von Versen bei weitem freigebiger sein. Die modernen Supplemente kónnen nicht leicht jemand irre leiten, und doch ist es vorgekommen dass in Eur. Bacch. 1257 eine von Musurus auf Anlass einer ganz leichten Corruptel vorgenommene, im hóch- sten Grade absurde Erweiterung des Originals sich 350 Jahre lang unangefochten in allen Texten behaup- tet hat, trotzdem dass Kritiker wie Elmsley, G. Her- mann, L. und W. Dindorf die Mittel in den Händen hatten, um die Interpolation als solche zu erkennen. Durch die Corruptel - vouSsrntéos, matsp, got € 8070۷. Tis ۱ Fr av Oey eic dumv Kardosısv; Bulletin de l'Académie Impériale wo et d dcc, wie Kirchhoff gesehen hat, in 00069 zu ändern war, wurde Musurus veranlasst zu der In- terpolation VOUISTNTEOS, TATEp, got T dott xapol ng copois ا 906۰۷ یز‎ ro erg: Tig adc» Beie Av dt els Eu X0.)6G6l6V; und die oopa xaxa blieben in allen Texten vom J. 1503 bis zum J. 1854. Gleiche Missgriffe der Alexandriner entziehen sich unserer directen Controle; sie kónnen fast durchgüngig nur auf dem Wege der Divination ermittelt werden: kein Wunder, wenn sie sich an nicht wenigen Stellen noch bis auf den heutigen Tag vererbt haben, und wenn jeder Versuch sie rückgängig zu machen verschrieen und verlästert wird als eine Gewaltthat sonder gleichen. Auch die Byzantiner ha- ben zuweilen in Folge des gleichen Anlasses gleiche Fälschungen sich gestattet, und hier kann es vorkom- | men dass unsere besseren Handschriften den urkund- lichen Beweis liefern. So z. B. Soph. Oed. Col. 1256: cipot, Té Sodom; 0 ات تا‎ XAXA 70603567 daxpucw, aides, N TA 1003 0 [narpös yepovros; Ov Béuge Ent ySovoc] Euy 0 iiion هکره‎ ErBeßinpevov da Stt GUY ۲۵/606 ۰ Der eingeklammerte Vers 700۵ — ySovos ist im Laur. A, wie Dindorf sagt, Meineke dagegen unbe- merkt lässt, serius in margine additus. Das bedeutet ganz dasselbe, als wenn er in dieser Handschrift durch- aus fehlte. Nach der Autorität des Laur., der zwar nicht als die einzige, wohl aber als die wichtigste Quelle des Sophokleischen Textes zu betrachten ist, müssen wir den in der That überflüssigen Vers für untergeschoben halten; er wurde eben nur hinzu- gefügt, um die Verbindung zwischen 1255 und 57 herzustellen, die auf weit einfachere Art hergestellt werden konnte. Es war zu schreiben: N Ta 2۵08 600v; اوجن برغ‎ Zu ماه‎ Eviad Exßeßinevov 405 GUY 04686 ۰ In den meisten Fällen aber fehlt es uns, wir wir eben sagten, an positiven Zeugnissen über spätere Ein- schaltungen, und nur die höchst dankenswerthe Plump- heit ‚alter. Interpolatoren gewährt uns vielfach den nothwendigen Anhalt, um zu einer Gewissheit über den ursprünglichen Text zu gelangen. Mit welcher Dreistigkeit alte Verbesserer in die tragischen Texte ganze Verse hineintrugen, lässt sich am deutlichsten wahrnehmen bei Soph. Phil. 877— 892. Die Stelle lautete, wie A. Zippmann Afheteseon Sophoclearum spe- cimen (Bonn 1864) p. 36 ff. erwiesen hat, ursprüng- lich so: à xal vOv nerdy Toüds TOD xaxoğ 7 877 An ttg civar xdyd auia In, TÉXVOV, 878 oop ` de vay und Entaywp.ev TÒ Teiv. 881 AN Sopa pév o etoudoy rap’ 0 dvwduvoy BAETOVTa XALTVÉONT ۰ cüxéc Ovtog yao ta 0۵۵۵۵۵4 cou‏ ين Tag 70001060: Euppopas paleto.‏ +200 vOv A alge cautóv: el dé cot Gov. gen,‏ oícoucí o’ 0186٠ To rovov yọ ox fue,‏ Te 8009: 888‏ امه 6۵ Eneirep oÙto ot T‏ cU. &ÜTOS pov, CU [LE KATAOTNTOY, TÉXVOV * 879‏ roûtous A Eacov, ph BapuvSGotv xax 890‏ too Tol Séovrog’ curl vri yao‏ 00۳ Ae Tovoç ۳۵۱۲۵00 auvvaleıy epot. NEOIIT. 885 IA. Der Vers ou œ atic Apov, GU [LE XATACTNOOY, TÉKVOY, gerieth durch einen nicht weiter zu ermittelnden Zu- fall, vielleicht weil er ursprünglich vom Schreiber ausgelassen und nachträglich am oberen Rande hin- zugefügt worden war, an eine falsche Stelle (zwischen 878 und 881 nach der jetzigen Zählung), und was geschah nun? Ein alter Kritiker suchte den an zwei Stellen gestörten Zusammenhang dadurch herzustellen, dass er dem Sophokles zwei Verse unterschob, 880 889 ly gur av xônos p 07003627 6 und aly tað’, d tai, sain éxatg و‎ 6076۵ 6۰ Die doppelte, durch die falsche Stellung eines Verses hervorgerufene Interpolation liegt in diesem Falle so handgreiflich vor, dass auch nicht der leiseste Zweifel obwalten kann. Natürlich beansprucht die Kühnheit der Interpolation ein entsprechend kühnes Heilmittel. Gewiss ist es überaus kühn, wenn wir mit A. Zipp- mann V.879 zwischen 888 und 890 setzen und oben- ein zwei in allen Handschriften stehende Verse, in quibus nemo olim haesit, verwerfen. Aber es hiesse das unmögliche fordern, wenn jemand verlangen woll- te, dass mit einer leichteren Aenderung die Hand des Dichters hergestellt würde: jedes leichtere Heilmittel könnte eben nur zu einer Uebertünchung der Schä- —— des Sciences de سس یب يي‎ 354 den führen, d. h. zu einer Verschlimmerung des Ue- bels. Hier war die falsche Stelle, die ein Vers ein- nahm, für die Alexandrinischen Kritiker. oder besser für die unkritischen Alexandriner ein Anlass zwei Verse zu fabriciren: kein Wunder, wenn anderwärts eine leichte Verderbniss sie zur Einschaltung einzel- ner. Verse bewog. Dahin gehören zwei Stellen der Euripideischen Phoenissen, V. 446 f.: Li رم‎ Tapeke” Tnv سم‎ 88 gol Sol geg, Te JON 998v; doyéco ۵6 ctc Aren, und V. 1388 f.: Telov ۵۵ tois 6660 starac topos 3j ۳۵20 80601 Are ۵62۵۷ 60 Wenn an ersterer Stelle Eteokles doyétw Ai «tg Adyou sagt, so sollte man meinen, er werde nun warten, bis ein anderer zu sprechen anhebt; statt dessen führt er fort zu reden, bis seine Mutter mit einem 04 ' 9.452 ihn unterbricht. Auch die Frage ti yon Spav; - ist sinnlos, da Eteokles sofort zeigt, dass er von den Absichten- der Iokaste hinlänglich unterrichtet ist. Darum halte ich V. 447 für eine Fälschung, nach deren Ausscheidung vorher zu schreiben ist: pAjtep, ‚Raps Tyvde col مایا‎ regen, Nachdem —guëe col ðt- doùs, مهيز‎ zunächst in Tvs (oder ry dé) yapıv coi d- sous übergegangen war), suchte man mit der Correctur ci» mot» 8È col Sous dem Metrum aufzuhelfen und fand sich nun in die Nothwendigkeit versetzt zu dem Participium هه‎ das Verbum «50 und diesem YA- Ke zu Gefallen einen vollständigen Trimeter zu er- en. Auf diesen Sachverhalt habe ich in den Eurip. Studien I p. 74 hingewiesen. Etwas später musste ich von M. Séyffert im Rhein. Mus. N. F. XVII p. 32 mich belehren lassen, an welchen Schönheiten des Buripideischen Genius ich mich vergriffen hatte; in- zwischen kann ich auf seine oratio pro stulto librario mur mit H. Hirzel de Euripidis in componendis diver- arte p. 83 entgegnen, dass sie meum quantulum- cunque captum excedit. — Die andere Stelle der Phoe- nissen ah, wie ich Eur. Stud. I p. 92 darzuthun gesucht habe, einst so aus: song ` mem 8È «oig 0 ون‎ ioo. Statt tt TTAEIN schrieb man مجم‎ und sah sich nun- für diese Art von Fehlern dodi ich mE "m Beispiele Besprechung von Soph. El. 433 f, anführen. Tome IX. gt dem Euripides einenganz ab hmacl ten Vers unterzuschieben, dessen erste Hälfte 1 1 $póct durch den Gompatatiy Asia bedingt war, während die Worte &a qthuy öppuötav nur zur Ver- vollständigung des Trimeters dienten. Der Dichter schrieb: mehrg 660 Bi rois 60660 ÉcTahaco pie: Aehnliche Vorgänge, wie in den beiden Phoenissen- versen haben öfters bei Sophokles Statt gefunden, wie folgende Stellen zeigen werden. . I. Oed. Col. 1010 f.: dyS' dn yO vüv 0686 Tag Seda pol xay ixvcOj.at xal xatacknnto MTais 205680 02۵۵۵ Éumaayous, (V و مد‎ otov Um 0۵6۷ Zär qooupsitat ۰ Die Unhaltbarkeit der Ueberlieferung ergibt sich zu- nächst daraus dass das Wort époi eine falsche Stelle einnimmt; man kann jetzt nicht umhin 70686 tas Seas épot x00» Ixvoöpaı zu verbinden, während pot offen- bar zu 000100 &uppxyouc gehört. Sodann ist tas ج550‎ xatacxnrto Ava; eine nach der Bedeutung des Verbum xatacxnrto schlechterdings undenkbare Ausdrucksweise. Endlich befremdet bei apoyous Eup- wayxous das Fehlen der Copula. Dem letzen Uebel- stande hat der Schreiber eines werthlosen Codex Pa- risinus durch Einfügung eines S nach Zuppaxoug ab- zuhelfen gesucht; ihm sind Dindorf und Meineke ge- folgt, wie ich glaube, mit Unrecht, da durch diese Aenderung nur der geringste Anstoss der Stelle be- seitigt wird. Um das Original wiederherzustellen, ist es zunächst nothwendig V. 1011 auszuscheideu, wo- durch die sinngemässe Verbindung pot éASetv Eup- wöyoug gewonnen wird; sodann wird zu &yo ein Ver- bum finitum vermisst, das in den ohnehin bedenkli- chen Worten 0۵5 ad jobs zu suchen ist. Es ist mit anderen Worten zu schreiben: وه‎ ov eyo võv zg vas eds pol هک(‎ apõpat Evppayouc, (v. اه‎ cio» Um ۵۵۵۵۷ Gë ppoupeîtar ۰ Gegen diesen in der 4. Auflage des Oed. Col. von mir gemachten Vorschlag erklärt sich Meineke, indem er sagt: 620000361760 Arcais sane singulariter dictum est pro fatigare vel obtundere precibus, sed tamen ut nihi mutandum. credam, minime omnium. tam audaci coniec- Bulletin de l'Académie Impériale tura , qualis Nauckio placuit, totum versum eliminanti et sequente. versu scribenti ety dopat Eopquayouz». Mit einer Entsehuldigung wie sie hier gegeben wird, ist auch nicht. einmal der Versuch gemacht die Vul- gate zu rechtfertigen: ich sehe mich daher vorläufig durch nichts bewogen von meiner Ansicht abzugehen, dass xatacxnnto Mraig eine Unmöglichkeit sei. Was den Vorwurf zu grosser Kühnheit betrifft, so werde ich jede leichtere und wahrscheinlichere Emendation mit Freuden annehmen. Wenn übrigens V. 1011 in unseren Handschriften fehlte, so würde meine Aende- rung ¿Ade dpõpat Zuundeu: statt ASe ۵۵۵0۵4 ونام رم سد‎ wohl nicht zu kühn genannt werden: da durch die von mir vorausgesetzte Corruptel die Hinzu- fügung von V. 1011 sich sofort erklärt, so glaube ich die Tilgung eines Verses und die Aenderung eines Wortes so lange aufrecht erhalten zu müssen, bis an- dere die Schwierigkeit besser lósen. H. Oed. Col. 75 ff.: ctos, à Sev, de viv an) ج0007‎ "S gt. Yevvaloz, ae ۱86۷۳۰, TAY Too da.lp.ovos, ato pév corso xapdung xc. Im Anhange zu dieser Stelle habe ich auf die mannich- fachen Bedenken hingewiesen, denen der zweite Vers unterliegt; noch jetzt halte ich diesen Vers für inter- polirt und vermuthe eran, ۵ Eër. „os ررر‎ vn pas; enel Tapet, aire piv OUTE XAQAN XTÉ., obgleich Meineke die überlieferte Lesart. vertheidigt: «Nolim his interpolationis suspicionem movere, Gene- rosum, inquit, te virum ostendis; sed laboras a fortuna, nequaquam se generosum in te praebuit». Mit die- quae ser Erklärung ist eigentlich wohl nichts neues gesagt, sondern nur das Unangemessene des im Texte ste- henden Ausdrucks schärfer hervorgehoben. Oder wäre es möglich zu sagen Aptorstdöng و۵۵0۵‎ Eydvero TAY Têv voty, um zu bezeichnen dass Aristides gerecht war, seine Mitbürger dagegen ungerecht? Andere von mir hervorgehobene Mängel in V. 76 hat Mei- neke unerörtert gelassen. Weder lehrt die äussere | Erscheinung des Oedipus (nur darauf kann od tòóvt werden), dass er yewaios ist, noch erfährt man, woher 'sonst der Wanderer eine age von der Yewarstne des Oedipus hatte: der Interpolator “entléhnte das Wort aus V.-8. Ausserdem kommt hier nicht sowohl die عو م مسوم"‎ des Oedipus in Betracht als vielmehr sein hohes Alter und seine kórperliche Sehwüche: er soll, so wird vom Wanderer ihm vorge- schlagen, einstweilen hier bleiben, bis die Bewohner des Gaués Kolonus über die sehwebende Frage defi- nitiv entscheiden. IIT. Trach. 320 f. Nachdem Da über eine Kriegsgefangene, die ihre besondere Theilnahme er- regte, von Lichas die gewünschte Auskunft nicht be- kommen hat, wendet sie sich an die Gefangene selbst: ein, d thaw, aM nv Ex oguräe, excl. xal Evpoopa tor un eldevar oé Y ity et, Ueber den zweiten Vers sagt Meineke Oed. Col. p. 293: «male collocatam esse particulam. xot non fugit Dindor- fium, sed non recte excusat poetam. propter metri neces- sitatem. Scribendum potius: £up.popa, tò py elöcvar, wel Euppopdi oun, Die erstere Vermuthung erscheint schon um des Rhythmus willen als bedenklich; einen Vers wie diesen xai Euppopm. | ro ng etdevaı | o£ Y Soe et dürfte ein tragischer Dichter schwerlich sich gestattet haben"). Aber auch den anderen, übrigens bereits von Dindorf gemachten Vorschlag können wir nicht billi-- gen, darum weil der ganze Vers, wie ich in der 3. Aufl. von Schneidewins Ausg. nachgewiesen habe, eine Absurditát ist. Mit iiid dieses Verses ist zu schreiben eir, d réa, a مب‎ èx atriis, I e Statt TICEI oder TICI las man TIEI, änderte thö- richter Weise êrel und vermisste nun einen von die- ser Conjunetion abhängigen Satz, den man mit ded Willen und wenig Verstand supplirte. _ | IV. Trach. 1155 f. Herakles bittet, Hyllus möge seine Geschwister und die greise Alkmene herbeiru- fen, denen er (Herakles) gewisse Orakelsprüche (ter Amen Klek 2۳09۳ mitzutheilen habe. Er wird 10) Val. meine Pass; crit. es tun Gr. nd p. 154. Dass Soph. Trach. 554 geschrieben haben könne Aurnprov Aurnudtuy, piv paso ` ist eine irrige Annahme von Bergk; eben so irrt Hey wenn er m Aeschylus den Trimeter بع‎ او‎ tà» gn ad? Suédropoy xideAgeÓ» > 3 ne SA? i beilegt (Wiederherst. der Dramen des Aesch. p. 408) und für Eur. 1284 den Vorschlag macht (Krit. Studien I p. 343) Duiäëee pév ouy dxToatoy Sduapt” ET 1311 El. 37 ۶ des Sciences de Saint- Petersbourg. belehrt, Alkmene sei in Tirynth, die Geschwister des: Hyllus theils bei Alkmene, theils in Theben; darauf sagt. Hyllus 1155 f.: mn compte S Zoo tageopev, el ct yoh, rérep, | mëtteg, xAvovres éEurnpernoomen. Hier kann 60» nicht richtig sein, da von den Perso- nen welche Herakles vor seinem Ende um sich ver- sammeln móchte, ausser dem einen Hyllus niemand anwesend ist. Unpassend ist auch e&unnpernoonev, da nur die Mittheilung von Orakelsprüchen in Aussicht gestellt war. Statt durch die kleine Besserung rodo- ce» dem tragischen Dialekte gerecht zu werden, hätte man die Worte deren xAuovres éÉvrnpernooues aus- scheiden sollen. Sie sind die Erfindung eines Gram- matikers, der mit dem fehlerhaften oc: nicht fertig m werden wusste. Die Verbesserung war einfach genug: 8é cot Tapeapev, el ct yon, rate‏ بعس و oder wohl richtiger ei rt xpfic, marco. Ueber‏ vgl. meine Eurip. Stud. II p. 12 £. Zur Bestätigung. dient die an den einen Hyllus gerichtete Antwort des Herakles, eu ò o)» dxcue zeigen (wo vielleicht toù- toç den Vorzug verdient). Pe Ant. 388 ff. erklärt der Wächter bei seinem zweiten Auftreten, er habe niemals wieder vor Kreon erscheinen wollen und sei nun doch gekommen, ob- leich er es verschworen : a LOAN dude éxrèc xal rap (7/0 yapa Lun fotoen MAT) مس‎ oly Sov, 1 xo, Ai 60607 Kalten OY و۵۵۵۵‎ — Xégny dov TVŠ, à ra Son xci. 39 Im ersten dieser Verse hat M. Seyffert mit Recht die Verbindung عمجت‎ xal rap م۵262‎ yapa beanstandet; zu Zerée aus dem Folgenden den Gen. Artdwv zu er- gänzen verbieten die Gesetze der Grammatik; 4 عمج‎ Jogo. aber, wie Neue wollte, würe sinnlos. Ohne Zwei- fel ist; woran schon Blaydes dachte, in éxrèç ein Ad- jectivum zu suchen, und schwerlich ein anderes als das von Seyffert gesetzte drorog.: Vgl. Eur. Iph. T. 842: dronov | Sova Aafen, à piat. | Aristot. Eth. Nic. 7, 6.p. 1149 a 15: ۳۵ dppodıciov droen Neo- ex m». Weit wunderlicher sind die sich anschliessenden | — Worte. Man erklärt: «denn die unerwartete Freude ‘eicht durchaus nicht an Grösse einer andern Lust». Will man auch die auffallende Anwendung des Wor- tes mixe mit der. afféctirten. Redeweise. oder der volksthümlichen. Derbheit des Wächters entschuldi- gen, so erscheint es doch als hart ünd unnatürlich, wenn die Worte pñxos 0332 getrennt werden sollen "n wir möchten fragen, warum Sophokles sich gescheut habe ganz einfach cux Las و۳۵‎ zu schreiben, Ferner macht es einen wesentlichen Unterschied, ob man sagt n rag Ana yapa čoxey o08ep4G. dän Sov oder aber t rag مه‎ 005 oudepte dq ndovn £cxev.. Nur letzteres wäre hier zulässig, da der Wächter offenbar seine Freude als eine überaus grosse darstellen will. Ist es nun aber vernünftig oder men- schenmöglich zu sagen, die unerwartete Freude über- steige jede andere Lust? Und gesetzt dieser wahnwitzio. sind. Die Verse 392 — 94 müssen, wie ich glaube, so lauten: 5 AAN d ydp domos xal rag dras Xapd TETELXEY, XD, 60.729 OY ATØROTOÇ, und es liegt zu Tage, dass nachdem rereıxev in EIKEN verstümmelt und diese Verstümmelung fülschlich für £otxey genommen war (wie man aus TTAEIN bei Eur. Phoen. 1388. x3e(ov machte), zu dem Zosen ein Sup- plement erfunden wurde, das man selbstverständlich zu dem Umfange eines . Trimeters ausdehnte. So scheint auch | ۱ VI. Oed. R. 1447 die Unleserlichkeit einiger Buch- staben zunächst eine falsche Schreibung und dann ei- ‚nen absurden Zusatz hervorgerufen zu haben. Oedi- pus übertrügt dem Kreon die B estattung von Iokastes HI! ١ - ie LU Seyffert will in der That pnxos oVö&v, verbinden und erklä- ren «nulla mensura conferri potest cum alia voluptate». Das müsste och wohl durch den Dativus ausgedrückt sein, und mensura ist, so viel mir bekannt, nicht uñxos, sondern مج‎ 99* PA Bulletin de l'Académie Impériale ris uiv xav olxoug arog 6۷ Schets Tapov So‘ xal ydp ۵056 206۷ ye cÓv tekeiç (eg: pod AN هل‎ 0۵۵ 6 7۳90001 Aotu COvcoc xNTOÙ tuyet». 1450 Die Worte xal yap 50562 tÓv ye gët eist: Urso, denn du wirst es (vermuthlich ec! in der rechten Weise für die Deinigen vollenden, bieten eine inhalt- lose Phrase, wie sie einem Sophokles nirgends zuge- traut werden kann. Verbessern lüsst sich an dem Verse nichts; er ist einfach auszuscheiden, und erst wenn diese Nothwendigkeit erkannt ist, wird es móg- lich sein den vorhergehenden Vers zu emendiren. Hier ist Zu Sékers unverständlich. Sollte damit gemeint sein, was alle Erklärer verstehen, «verfüge über die Bestattung deiner Schwester nach deinem Belieben», so müsste doch wohl Gvteva SéXetz Tapov gesagt sein. Aber auch ein derartiger Ausdruck wäre befremdlich, da es sich eben nur um das Bestatten der Leiche handelt, nicht um eine besondere Art der Bestattung. Aller Wahrscheinlichkeit nach ist ONOEAEIC eine falsche Ergänzung der lückenhaft überlieferten Buch- staben ON... EIC, d.h. ONKWCEIC. Es dürfte zu schreiben sein: cj; pêv xav olxouç AUTOS ٩0 00 epog òè let 0۵570 2 raroGov Aotu 0۵۲۲۵5 ۵06۳۵ ۰ Ueber die Verbindung ۷۷ Tapoyv vgl. Meineke Anal. Alex. p. 225 und A. Hecker Philol. 4 p. 483. Wes- halb ich nachher woxéc dBuzgen statt unnor dgw- Syro geschrieben habe, wird jeder sich selbst sagen können. VII. Ai. 3 ff.: xal vöy ent oxıyais ge vaucuxaic 6 | Zoe caet» écyærnv EXEL, Tahar XUVMYETOÏVTA HA PLETROULLEVOY yon Ta xetvou veoydonys , Oras 6 ir Evdov جع‎ ox Evdov. Hier erscheint perpoupevov Drog als höchst unpassend, sofern Odysseus durch das Messen der Spuren des Aias zwar erfahren kann, wie gross der Fuss und wie gross die Schritte seines Gegners sind, nicht aber ob Aias sich in dem Zelte oder draussen “beliet: Dar- en ich .… Taha XUVIYETOUVTA, او‎ EE EEN elt Zydov ef: oux Evdov, mit Tilgung von V. 6, der meiner Ansicht nach erst hinzugefügt wurde, nachdem exp. apoup.svov in xai pe- ooupsvov übergegangen war. Das Futurum Texapoö- war kennen wir aus Xen. Cyri inst. 4, 3, 21 und aus Soph. Oed. R. 795, obgleich an der letzteren Stelle das ursprüngliche sxpapoup.svos erst mit Hilfe der Scholien von mir hergestellt ist statt des handschrift- lichen expsrpoupsvos. Was Meineke Oed. Col. p. 275 zur Vertheidigung der Vulgate im Aias sagt, metiendi et aestimandi notiones sunt coniunctissimae, ut. petos- معو‎ vir differat a texpatpsoSar, ist mir nicht recht verständlich. Vermuthlich meint er, pecoougeyoy. Drog sei so viel als (Grieg texwaupépevov. Dass dies sich so verhalte, dürfte schwer zu erweisen sein, und wenn, es der Fall wäre, so hätten wir in Zoos {dns einen ganz müssigen Zusatz. Es wird sich kaum in. Abrede stellen lassen dass der von mir geforderte Ausdruck bei weitem angemessener ist als das was unser Text bietet; darin allein liegt schon ein hinlänglicher Beweis, wenn auch nicht für die Richtigkeit meiner Vermu- thung, so doch für die Unrichtigkeit der gangbaren Lesart. Uebrigens scheinen auch die vorhergehenden Worte an einem bisher nicht wahrgenommenen Feh- ler zu leiden. Die Worte čv5a gë Zeg Ost sind so unbestimmt wie nur möglich, und ۸ finde ich hier nicht recht passend. ` ` VIII. Phil. 292 ff. Der Held des Stückes schildert die Mühen, die er auf der Insel Lemnus Jahre lang zu bestehen hatte, um sein Leben zu fristen. Die Nahrung verschaffte mir, sagt er, mein Bogen, und was ich erlegt, danach kroëh uf selbst , iem ich meinen kranken Fuss schleppte : ei 7’ Eder ct xal TOTOY 9 XAL TOV TAYOU نار‎ ota, ,از‎ Ga SPECK Keele, rett av prov TONS. و‎ .هنهرب‎ cita rip, Av oU 7۳00 TE. PB Dass Philoktet mit dem Fällen des Holzes wartensol bis zur Winterzeit, erscheint als eine sehr wunderliche Fiction, die ich eher einem unverständigen Gramma- tiker als dem Sophokles zutrauen möchte. Vielleicht ist der auch im Ausdruck auffallende Vers xat roi nayov yuSévtog oim yelnarı eine spätere Erfindung: dann würde nach Ausscheidung desselden die Aende- rung úňov «e statt des ebenfalls pe ar se — T den Zusammenhang herstellen. des Sciences de Saint-Pétersbourg. eg viel | für jetzt von den durch leichte Schäden veranlassten Interpolationen. Auf Vollständigkeit bin ich in der gegebenen Zusammenstellung nicht ausge- gangen, da es mir nur darauf ankam die Berechtigung eines bisher fast allgemein verkannten kritischen Prineips darzuthun. Mögen denn andere mit Gründen die aufgestellten Vermuthungen bestreiten, nicht aber ‚meinen dass die wirkliche oder scheinbare- Kühn- heit einer Aenderung schon an sich unter allen Um- ständen einen Grund abgebe gegen ihre Richtigkeit. "Soph. Oed. Col. 186. Der Chor richtet an den Bene Oedipus die Worte: To“ selves ent يد‎ ۵ Thapoy, و‎ tt XAL 6 2800081 Geen ATOGTUyELv xal ro geg 60 hihi! 39 ۱ Statt xoks habe ich in der dritten Auflage von Schnei- dewins Bearbeitung dier gesetzt. Der entscheidende Grund war der von mir angegebene, dass tétocox von *e£oo in der älteren Zeit intransitiven Sinn habe; wie 0d. p, 237: Torin 95 rept {got vétpopev GÄR, woge- gen die transitive Bedeutung dieser Form erst aus ‚späterer Zeit sich nachweisen lasse. Nebenbei schien ‚noch ein anderer Umstand für meine Aenderung zu ‚sprechen: zu dem folgenden pov muss der Dativus “néé: gedacht werden; schreiben wir also séier zergo- ev, so wird der Ausdruck concinner. Indess kann “dieser zweite Grund nur als bestätigendes Moment in Betracht kommen. nicht an sich die Abweichung von den Handschriften rechtfertigen. Gegen die von mir | gemachte g ung hat Meineke Oed. Col. p. 144 Widerspruch erhoben: «tétoogey intran- - Silivo sensu ex uno tantum, quoad scio, Homeri exemplo cognitum, in quo 56 significat ab Atticorum usu Scriptorum alienum est, quos non dubium est pro eo usur- passe Terpapsar. cf. Hesychius TeIpantar‘ TENNYE» Hier ist سس تا‎ ein Schreib- oder Druckfehler statt * "Was über tétgopa gesagt wird, scheint ir durchaus nicht geeignet den gegen 7601470800089 | k Yon Mir‘ "vorgebrachten Grund zu erschüttern. Für | n transitiven Gebrauch des in Rede stehenden | in "sind mir nur drei Stellen bekannt. Nic. A zeg "589: اوتام زليه‎ Devos dei ikea vie — نوج‎ ší ege (Únotérpage cod. G) Mpvt ۱۵ Epigr. Deeg Aiuto! Miruinvaten Anth. Pal. 7,536: 088 Savov d ق2040‎ ÉG éxttétooge cupo Bérouv ar سروه ره‎ Sns npepov, d Barov: Iosephus Ant. Iud. XIX; 2, 2 vol. 4 p. 217, 19 ed. Teubn.: xat وت‎ Tv Tupay- vida. 00827 ۷۵۵6۲۵۵۵۷۰ H TE doyin xal To 2004 0088 Toy 8۷6/۷ Jehopévov avthoyia ypoysvov'?). Keine die- ser Stellen gehört der voralexandrinischen Zeit an; denn dass Anth. Pal. 7, 536 unrichtiger Weise dem Alcäus aus Mitylene beigelegt wird, lehrt schon der Dialekt: aller Wahrscheinlichkeit nach ist Adxatou Mec- onvicu zu lesen mit Meineke Del. Anthol. Gr. p. 75. Keine dieser Stellen reicht also aus um das transitive Tétgoos bei Sophokles zu schützen. Dass aber térocoa nicht, wie Meineke glaubte, aus dem einzigen von mir eitirten Verse der Odyssee als Intransitivum be- kannt ist, lehren folgende Stellen. Hippocr. p. 307, 23 (vol. 6 p. 380 ed. Littr.}: 6 òè drê rardtou Comp: Tan Xo guvtétopev. Simmias bei Tzetz. Chil. 7, 705: "Haixuvov T événoa "yevos 6۵000۱ avðpðv, TÖv el, leicht vois) ۵۳۵۷ épunepSey évorpepéov xuveov xpaç Terpaps ٩] 007/7 [01 reptxpatéeoots Épupvév, wo Tétpape (Variante bei Nic. Alex. 589 und Ther. 542) vermuth- lich in retgoge zu ändern ist. Nic. Ther. 299: vuyparı 9 aoyopévo uiv erırpgyer dypoov 0 xudveov* ۱/۵060 (xpaöinv die Handschriften) ۵۵ xaxov repıretpopsv dA- yogi Ther; 542: ri xai axavSoßoiog piv gel repıre- Gäre ung er ot p cod. G) yain. Oppian. Hal. 2,434: rol xal Baio (cuMGt tétpopev aty av ordng He- sychius: Entrerpogev Enınennyev, und jrotécoo- pev ünévoooe» (Urerpapn M. Schmidt). Wenn ich nicht irre, gehört hierher auch Apoll. Rhod. 2, 738: موز‎ dot Aldao on xal nerpnow و(‎ EvSev duty mme — apyıydeocay ael HÉpITÉTOODE TAN. Wer das handschriftliche zou: Terpogev Oed. Col. 186 schützen will, wird nachzuweisen haben dass 0 von toéoo schon vor Alexander dem M jin transiti- vem Sinne gebraucht worden ist. Soph. Oed. Col. 444: àx roue 1 ydo» ` ار‎ cor» Zou ROJO NORD et. Dai im n Laur. A Top steht und der erste Vocal die- ses Wortes aus et gemacht ist, so hat Meineke QA6- rt 12) Zweifelhaft ist die nachher ünzuführende Stelle des Apollo- nius Rhodius (2, 738), wo repırörpoge für 6 zu stehen scheint. Nicht kommt in Betracht Anth. append. 111: avöpas aya- xAettoug "rege Kexporin, wo tétpo®s nur eine falsche Ergänzung ist statt yeivaro, vgl. Corpus Inscr. vol. 1 p. 439. Bulletin de l’Académie Impériale wn» get In den Text gesetzt. Zur Unterstützung die- ser Conjectur verweist er auf Trach. 652: o dé of pixa Spo rayxhautos altv Shure. Dabei ist indess ' ein nicht unwesentlicher Punkt unerörtert geblieben مرن واه‎ ist regelrecht, asi یفده‎ erscheint von Seiten der Grammatik als bedenklich, da a£ sich mit dem Aoristus nicht wohl verträgt. Trach. 1074 bie- ten allerdings unsere Handschriften: a) datévaxtos aii» éco Oe» xaxotz. Aber Elmsley hat dies als soloecwm bezeichnet und aus. einem Citat in den Schol. Ai. 317 ait» eiropny hergestellt, vgl. Meineke Oed. Col. p. 306. So móchte ich auch nicht glauben dass Eur. Andr. 27 enis p dst 000173256 geschrieben habe, wie F. W. Schmidt N. Jahrb. f. Philol. Bd. 89 p. 319 vermuthet hat. Ueber Il. و‎ 263: Oz adel Ayia xtyrioaxo xõpa ooro, wün- sche ich von andern belehrt zu werden: jedenfalls ist die Stelle für Sophokles ohne Beweiskraft. -+-Soph. Oed. Col. 721: vv 00V ta AUTO tata Sn palvet ern. Der Zusammenhang fordert mit gebieterischer Noth- wendigkeit den Gedanken: «es ist jetzt an dir diese glänzenden Worte zur That werden zu lassen, sie durch Handlungen zu bewähren». In payey Ern kann die- ser Sinn, so viel ich sehe, nicht liegen; droe repav- rat, œavèv Toros bezeichnet verbum dictum, nichts weiter. Es wird also statt qaívetv der Begriff xupoðv gesetzt werden müssen, d. h. es war zu schreiben xpatvery ern. Vgl. Od. v, 115: ۵۷۷ vOv xal pol de droe Sr xe etro. Dagegen erinnert Meineke: «sed minus recte idem pro qaíssty posuit Spe buerg, quo nunquam Sophocles perficiendi sensu usus est; nam vs. 914. scribendum videlur x&vsu véuou xptvoucav ovðév.» Warum Oed. Col. 914 das überlieferte xoaívcucav un- richtig sei, vermag ich nicht einzusehen; Meineke selbst scheint seiner Sache nicht völlig sicher gewe- sen zu sein, da er xpalvoucav im Texte geduldet hat. Gesetzt aber, aus Sophokles liesse sich xoaívet» im Sinne von perficere nicht weiter nachweisen, so ist die Möglichkeit dieser Bedeutung auch für ihn unbedingt E. ی‎ wenn man bedenkt dass Aeschylus und Eu ; wiederholt das Wort in diesem Sinne an- wenden. > Ausserdem lesen wir bei Soph. Phil. 1468: 7005 عتم >8 ,میم ومعمبره‎ éréxpavev, und danach liegt es nahe El. 175 zu vorige Zac; oe 068 nayta xanrıxgalye: statt vavta xal xoacuyet. Ferner erinnere ich an Trach. 743, wo die Vulgate lautet: zò ydp pav3èv rés ay uvat av dyévarov orelv; Dem «ungeschehen machen» kann nur der Begriff «das ge- schehene» entgegengestellt werden, d. h. der Dichter schrieb tò yap xeavèév Eben so scheint noch Trach, 239 euxraia paívov dem angemesseneren euxraia xoaí- voy (d. h. reXöv) weichen zu müssen. Soph. Oed. Col. 870 schreibt Meineke ynpavar zoré mit der Bemerkung: «Sie Dindorfius edidit. pro meñ- val vote, quod quibus argumentis ductus Nauckius. re- vocandum censuerit, non indicavit. Interim acquievi in iis quae G. Dindorfius ad Stephani Thes. v. ynpaoxo dispu- tavit». Dindorf beruft sich für die von ihm befolgte Ac- centuation auf die Autorität einiger Grammatiker, die darum ynpavar schrieben, weil sie in dieser Form den Inf. Praes. von einem vermeintlichen Verbum yone sahen, das sie selbst erfunden hatten. Zu dem Aor: éyr- oa», dessen Partic. ynpas lautet, gehört der Inf. yn- gava. mit langer Paenultima: made werde ich dann für möglich halten; wenn die Kürze der vorletzten Silbe durch REN aus der älteren Poesie dargethan wird, oder wenn Formen wie Séva, Sévat, Boot, oTo- vat, مهو‎ statt Selvar, Sova, Bivar, arüvar, Savar nachgewiesen werden. Einstweilen glaube ich dass Meineke im Oed. Col. ynpävar und bei Ath. V p. 190 E xatayne&vat hätte schreiben sollen. Uebrigens habe ich die gegen ynpavar sprechenden Gründe geraume Zeit vor dem Erscheinen von Meinekes Ausgabe des Oed. Col. dargelegt (Bulletin T. III p. 333 oder Mé- langes Gr.-Rom. 11 p. 361), und viel früher hat Butt- mann Ausführl. Gr. Sprachl. IL p. 138 dasselbe ge- than. | per Soph. Oed. Col. 1098: vds xépus yap 6 tacs degen 0:35 6 ROOGROACUBÉVAS. | Dem sinnlosen letzten Worte hat man mit verschiede- nen Vermuthungen beizukommen versucht. Meineke ‚sagt: «Optime sensui :conveniret Tpooropsupdvas i. €. Tpooropeuquévas, ut dese pro aeucpevog dicit. Ar- chilochus. Dubito tamen». Wenn Archilochus fr. 127 éÉakeupeves sagt, so steht dies nicht für Zëoiendneuge: sondern für e£arscpeyos; wie dhsŭpar bei Theognis 575 für éent, Entsprechend sind: bei Archilochus. die des Sciences de Saint- Pétersbourg. Formen roveup.evn fr. 31. zeen sue: 43. Tohcupévo 45. cahevuévn (für cakeopévn) 100. aAé&cu 68. yapiteu 77. epuer 72 und ähnliche. Auch in der Tragödie fin- den sich zuweilen derartige Contractionen; dass dage- gen irgend ein Dichter ropsupevoz statt mopeucpevog eh habe, móchten wir vor der Hand in Zweifel Me SCH Oed. Col. 1192 ff.: AN atoy” clol yarepcıs Yoval xaxai xal Supóg OË: gg ۵۵۵۸ gung 67۵۵6 Ebenadovrar ۰ In dem fehlerhaften &% avtov ist, wie man längst er- kannt hat, ein Imperativ zu suchen; etwa aA gagov. oder aAA Hp», Meineke hat neuerdiogs gh Ger vorgeschlagen. Dagegen erheben sich mehrere Beden- ken. Das Simplex «to findet sich im Trimeter nur ein- mal, Oed. Col. 304: zou Exsivog atov, in einem Verse, dessen Unechtheit H. Hirzel erkannt und Meineke SCH p. X eingeräumt hat: mit inen we das nen wir den Aor. 2760 zwar aus Herodai De VD Apoll. Rhod. 1, 1023. 2, 195 und Hesychius v. DP cat, nicht aber aus einem Attiker. Vom Simplex ao ist fast ausschliesslich das Praesens und Imperfectum im Gebrauch; eine Aoristform dicavres (erklärt durch aio Soso), erwähnt Hesychius, leider ohne Angabe der Quelle. Hiernach erscheint es als höchst gewagt, wenn Meineke den Imperativ Groovy für zwei Stellen es Oed. Col. empfiehlt, 1192 im Trimeter, 1499 in Wë Chorpartie. و‎ Oed. Col. 1292 ۰: age èx mapas Een gudde, | 4 tole Gog mavaoyolc QUvcx کی‎ 0622 Ipovars Novi mequxas nÉlouy YepattéoQ. ` Ueber meine Vermuthung im letzten Verse sagt Mei- Reke: «Frustra yspaitepos tentabat Nauckius». Dagegen heisst es bei Dindorf in der vierten Leipziger Ausgabe EH 1863 p. XLVI: a Recte Nauckius yepaitepes cor- il». Es wird mich nicht befremden, wenn die einen es mit Dindorf, die andern mit Meineke halten wer- den: der Sache aber wird nur gedient durch Gründe, | 5 nicht durch Machisprüche. Wenn ich زو‎ mequxog CAE zen KE An ZA ما وچ پیب ) Sonit ue Meineke, wenn er Eur, fr. 565 6 Are nakat bi Dieu. verlange, ‚so stëtze ich mich auf Redewei- | sen wie 6266005 ۵۷۵ Il. B, 707. mosogucatoz Ys- wei Z, 24. ۷296 3b vsotaxo; H, 153. ràótatog veijotv 1,58. veveÿ Tgoyevéotepoç 1, 161. yeveñot vew- و و00‎ 112. meet moótepoç O, 166. Yavajpı venre- pos P, 439. 1۵۷۵6 érhoréporowv Pind. Pyth. 6, 41. yocvo Beton yeyos Soph. Oed. Col. 374. مهم‎ evé Oppian Hal. 4, 23 u. dgl. Mógen denn andere durch ‘| Belegstellen zeigen dass *(ovij repuxdg yepartéoæ eben- | falls zulässig ist. An dem mir unverständlichen mav- apxors Oed. C. 1293 ist Meineke stillschweigend vor- übergegangen. Soph. Oed. Col. 1480. Meineke will coz schreiben prima syllaba correpta, ut in Daegcat apud Homerum 1l. 2, 550, et mensura iambica ut apud Eur, Hel. 1008». Für مع رمم‎ konnten noch manche entsprechende Ver- kürzungen aus dem Epos angeführt werden, wie 6 xé» puy Dacodpevor zerfzoben IL A, 100. موه‎ naiv éxacpyov ihdocear A, 147, um späterer Dichter nicht zu gedenken. Aber diese Verkürzungen beschränken sich auf das Epos, und es fragt sich ob wir, was für Maoxonar und Dacos gilt, auf das Adj. (oz zu über- tragen berechtigt sind. Zulässig ist im Orakel bei Phlegon p. 204, 13 und Zosimus 2, 6 p. 71, 2: daroat Wet fotaty Maopara, xal ape guy ojpaviore, wahrscheinlich aber schrieb. der تج‎ om Als höchst zweifelhaft erscheint die Form tapos, die man in den Hymni Hom. 21, 5 geduldet hat, ^ xal où pi» oto gatos, avag: Dana dé o ۰ Es muss wohl heissen Altona: dé © aosi, wie Hymn. Hom. 16, 5.19, 48. Vgl. Ar. Thesm. 313: 3eycp.eSa xal S60 YÉVOS roue Sa Talos èr euyals 00002964 ETA ,ودام‎ 1040: pora 6 MRT: Meleager Anth. Pal. 5, 165: £v ode, rouugcetpg Seov, Altopal oe, 90 Nit, vol A kal Demod. Anth. Pal. I1, 238: en, At- rengt, 0 Agathias Anth. Pal. 7, 568: AAAA Geet, Atopar. 7, 569: vai Arena, ragobra. Epig gr. Corp. Inscr. 5872, 14 vol. 3 p. 761: Arropaı 8 &t ۳۵۷ ouv- cpaupov. Dieselbe Form findet sich Orac. Sibyll. 2, 347. 3, 2 und oft in den Orphischen Hymnen, "ait Oed. Col. 1530 f.: dX autos gel oëie, ara» eis (0 100 ën dos, هر‎ péve ONLA , © 3 del TOTLOVTL Beier, Bulletin de l'Académie Impériale. «Nauckio ovo pro péve scribendum suspicanti adeo non assentior, ut si omnes libri- haberent eva, ego id: vo scribendum esse dicerem. Natu maximo, non etiam aliis filiorum haec arcana aperienda esse dicit. Neque ex eo, quod. scholiasta «à rpsoßurepo við posuit, colligi potest; hunc in suo: libro: habuisse y&vo.». So Meineke. Trotz der Entschiedenheit, mit welcher die Ueberlieferung hier vertheidigt wird, muss ich au der ehemals ausge- sprochenen Ansicht eben so entschieden festhalten. Was | die Scholien gelesen, ist freilich ungewiss: scheint auch die Erklärung t rosoßurepo (oder vielmehr 19 Toes- Buceo) við dafür zu sprechen dass der Urheber der- selben gévo nicht kannte, so ist es doch auch denk- bar dass er den Begriff vió um des Sinnes willen hin- zufügte, wie alle Bearbeiter des Stückes diesen Be- griff aus dem überlieferten Texte herauslesen zu kón- nen meinten. In der That kommt auf die Lesung der Scholien wenig an; es handelt sich bei weitem mehr darum, was die Gesetze der Sprache fordern. Gegen uovo würde an sich nichts einzuwenden sein; aber «o rpopeprato kann unmöglich bedeuten «dem ältesten Sohne». Damit Theseus wisse, wem er das Staats- geheimniss anzuvertrauen habe, muss der Begriff «Sohn» ausdrücklich bezeichnet werden. Dagegen ist péve selbstverständlich, sobald die einzelne Person genannt wird, der Theseus am Ende seines Lebens die Mittheilung machen soll, zumal da autos dei 8 voraufgeht; wie ja auch nachher einfach TÖTLOVTL ge- sagt wird im Sinne von pów «6 dré, Ist somit uóvo entbehrlich, der Begriff «Sohn» dagegen schlech- terdings nothwendig, so werden wir unbedenklich péve in das nahe liegende yovo ändern müssen. Uebri- gens ist 6 opepraito nicht mit rpeoßuraro schlechthin gleichbedeutend: ó xgogéocacos yovos ist der am mei- sten bevorzugte Sohn, im Allgemeinen freilich der älteste, möglicher Weise aber auch ein jüngerer. Der Ausdruck ist sehr passend gewählt, um den die Herr- schaft erbenden Sohn zu bezeichnen; er bedeutet eben nichts anderes als das nachher gebrauchte ERW. * ` Soph. Oed. Col. 1638 f.: ME OtSéroué qaas diag ate 12۹ Qv n.a. ov Met Er d raide, ج2660‎ XP zò evvarto» geo. ams ugeht Térov ex ۵۷8۵ | und à ya Sées ` Aedeeerg Brea ren und? Dovouvruy Mier | 27775 de TUT ORT: vo V. 1640 steht im Laur. und anderen ‚Handschriften o£ostv statt ppevi, wonach Meineke TÒ 866200۷: pépety vermuthet. Wenn ich diese Aenderung richtig. ver- stehe, so sollen die Tóchter des Oedipus, bevor sie von dieser Stütte hinweggehen, «das unglücklich. zu tragende über sich gewinnen»: jedenfalls ein sehr wun- derlicher Befehl. Ueber die Vulgate bemerkt Mei- neke: «editum. Hermannus interpretatur quod genero- sum est animo subeuntes», ohne dass wir erfahren, ob diese Erklärung zu billigen sei.oder nicht. Mir scheinen die Griechischen Worte gerade eben so unver- ständlich als Hermanns Lateinische Uebersetzung. End- lich sagt Meineke: «Qui totum versum eiecit Nauckius, non facile habebit assentientem». Von der Nothwétidig- keit den fraglichen Vers dem Sophokles abzusprechen wird man sich erst dann überzeugen, wenn man ein- gesehen hat, dass er weder erklärt noch ansprechend verbessert werden kann, und wenn man überhaupt das Verfahren der alten Kritiker richtiger zu beurtheilen gelernt haben wird. Im vorliegenden Falle war der Aulass zur Interpolation dadurch gegeben, dass man zu yoostv ein regierendes Verbum wie xe" vermisste: um dieses einen Wortes willen schaltete man den Vers ein. Hätte der Verfasser desselben zufällig geschrieben yon In Qepovons Sewa pr cow xócas ` oder dp: qegoUcag xor Terpopenv "Um ` so würde er das Auffinden der Interpolation uns er- heblich schwerer gemacht und den blinden Verehrern unserer von Alexandriniseher und Byzantinischer Weisheit überfl H hriften ein unerstürm- bares Bollwerk verliehen haben, während wir jetzt nur die*Augen zu Öffnen brauchen um ex ungue leo- nem oder vielmehr an dem Ohre das graue Thier zu erkennen. Scheiden wir die ungeschickte Zuthat wie- der aus, so haben wir einen Uebergang von der. obli- quen zur directen Rede, wie er nicht selten vorkommt. Vel. Longinus de subl. c. 27, wo zuerst Il. O, 346— 849 angeführt wird, sodann ein Bruchstück des He- kataeus (fr. 353 Mill): Kiv 8& rara dewa TOLEURE- yog فنع 4م زان‎ toug ‘Heaxhe(as un d er péerve: ed yag انا باسنا‎ Ka deiten, ae. dr pd نيه‎ roi re dréknoSe xdgh TOOTS, Ze dien Tiva Sr dxc(yscSe (gewöhnlich arotyeoSaı). Andere Beispiele verzeichnet Matthiae Griech. Gramm. 9549.5. od Um des Sciences de Saint- Pétersbourg. 370 -. Soph. Oed. Col. 1645 ff. : Ar ig 4 206030. POYNOAVTOS ELONKOUTALLEV Euuravres' daraxti 9b oùv tais 0 7 € ^ GTEVOVTES GAEREN, Das Adverbium dotaxté findet sich noch einmal im Oed. C. 1251 und zwar mit kurzer Endsilbe. An der verschiedenen Messung haben die Kritiker Anstoss genommen, wie denn Meineke sagt: «conicere possis sit doraxti GUV Tals magsévote, nisi polius alter locus vitiosus est, in quo 006 cava. coniecit Bothius». Die Ver- muthung cir dotaxti machte bereits Blaydes. Dass jedoch in äotaxté das Iota der Analogie nach sowohl lang als kurz gebraucht werden kann, zeigt Blomfield Gloss. Aesch: Prom. 216. Um des Sinnes willen aber müssen wir die Verbindung astaxti c)» rat: کم‎ vog orevovres opaproöpev für unmöglich halten. Wie doraxri gebraucht wird, lehren folgende Stellen. Soph. Oed. Col. 1251: à Opp.acog aotaxti relay 80360100: Plat. Phaed. p. 117 C: &ccaxci éyoper ta Oaxpue. Philostr. Her. p. 311, 28: &ccaxci axper Aelian. N. A. 10, 17: xddovtes Gotaxti xal aétpots Tols daxpucıs. Theodorus Stud. p. 7 D : tò ans TÖv ۵050 põv xaxtóv 8dxouoy zue dacxaxci béov. Anonymus bei Suidàs v. &o tax ct: TOY vexpóv عم موم‎ AG- taxti. Etwas verschieden, aber der Bedeutung des Wor- tes «nicht tröpfelnd, stromweise» durchaus entspre- chend sagt Philostr. V. Apoll. 3, 17 p. 50, 23: óc مه‎ {e tò Gp. xal rev pra yapelv da caxt. Sollte Oed. Col. 1646 امعم‎ möglich sein, so müsste statt ccé- ۷۵۲۳۵۶ der Begriff 3axguovcec stehen. In diesem Sinne (etwa xAaícvceg dpuaupropev) zu ändern verbietet schon die Situation. Das Ende des Oedipus erscheint in der Sophokleischen Darstellung als der versóhnende Ab- schluss eines von den schwersten Schlägen getroffenen Lebens, als eine Erlösung von mannichfacher Noth, ab Gengthuung für unverschuldete Leiden, als Seg- für das gastliche Attische Land. In solcher Lage heftig zu weinen mag den Töchtern gestattet sein, denen die Trennung von ihrem Vater bevorsteht; titimermehr aber wäre es psychologisch motivirt, wenn die Dienerschaft des Theseus in überschwengli- cher Sentimentalität nicht nur Thränen, sondern Strö- me von Thränen vergösse. Die Diener des Theseus y durch das Ende des Oedipus nur zu frommer Andacht gestimmt: werden; sie müssen dankbar das Tome IX. gnädige Walten der Götter anerkennen, die dem hart geprüften Dulder endlich Erlösung gewähren und den ehemals gedemüthigten um so sichtbarer erheben. Selbst orevovres dürfte sich hier kaum rechtfertigen lassen, wenn man bedenkt, was nachher erzählt wird, dass Oedipus où otevaxtes 084 ouv ۱۵004 dere dge- 7۳۳۵۲ ر‎ aM el tie Booröv Saupaccóc. Mit Benutzung des von Blaydes nach Eupravrss hinzugefügten era wird die Stelle so geschrieben werden müssen: Eupravrss' et axacxa oùy xai; mapSevors o te(yovcec Op.aocoüpev. Statt c0» cai; rapSévas würde ich ausserdem, wie schon früher bemerkt, taisı rapSévas vorziehen. Ver- muthlich wurde cuv hinzugefügt, nachdem «aio: in ras übergegangen war. Das seltene Adverbium axa- coxo habe ich in den Eurip. Studien II p. 42 bespro- chen; über die von Pind. Pyth. 4, 156 gebrauchte Form dxacxà vgl. Schneidewin Eust. Prooem. p. 11. Soph. Oed. R. 31 ff. + Sector EV vuv cux (ocupevov € eyo raides 00605 60۳۵‏ 0185 اه ۵۵0۵۷ ۵۵ 7200620۲ Ey Te cuuocpais Biou 606۷۵۷۲66 Ev Te 80/0۵۵۷۵۷00 Im zweiten Verse beanstandet Meineke Oed. Col. p. 220 das Wort raidss: «Quid? pueri tantum, ci oldero pa- xpav wécSat o Sévovrec? non eliam, quos prae pueris commemorari decebat, senes Dep iuvenes, quos ad- fuisse ipse indicarat gege Mirum sane ad haec nullum, quod. sciam, attendisse interpretum». Dass 142 Oedipus und 147 der Priester die Anwesenden zai- 9e; anredet, wird von Meineke entschuldigt: id suo illi iure. faciunt, quippe paterna auctoritate utentes me- ritoque eos quos alloquuntur filiorum nomine compellan- tes. Hier dagegen hält er es für unzweifelhaft dass der Dichter geschrieben habe: où däs mavres éto- neg épécctot. Vielmehr ist 6186 raides vollkommen richtig. Zwischen raides und f3éwv )مود‎ lässt sich keine so haarscharfe Gränze ziehen, dass der greise Priester nöthig hätte neben den raides die lect? iuve- nes noch besonders zu erwähnen. Was aber von den senes gesagt wird, beruht auf einem Irrthum, den ver- muthlich eine unrichtige Auffassung der Worte ci òè c)» geg, Bapeis V. 17 und die falsche Lesart 5 V.18 hervorgerufen hat. Nicht mehrere Greise, nicht mehrere Priester haben sich vor dem Palaste des 24 371 Bulletin de l'Académie Impériale Oedipus eingefunden, sondern eine Schaar von Knaben und Jünglingen geführt von einem einzigen g ereisen Prie- ster. Dies hat zuerst Bentley gesehen, der demgemáss V.18 isoeus forderte (ispeus in den Pluralis Leger: zu än- dern war durch das voraufgehende gaps; überaus nahe gelegt), dies hat nachher Bothe erkannt, dasselbe hat später Nüke Val. Cat. p. 106 ausgesprochen (vetus | quaedam mea opinio est, quam ne nune quidem abieci, unum tantum ibi sacerdotem senem adesse cum grege pue- rorum), und endlich ist eben dies neuerdings in aus- führlicher Erórterung dargethan worden von R. Enger Zeitschr. f. d. Gymnasialw. XIII p. 135 f., so dass Meineke keinen Grund hatte sich über ullgembine Unaufmerksamkeit zu wundern. Wäre die von dem Priester des Zeus geführte Versammlung aus Kindern, Jünglingen und Greisen zusammengesetzt, so würde al- lerdings die Bezeichnung raides befremdlich sein, nicht nur 32, sondern auch 58. 142 und 147. Of ài Fa yiga Bagets aber ist V. 17 nichts anderes als £o òè cà» yroa Bapus (vgl. die in der 4. Aufl. von mir gege- benen Belege für diesen generellen Pluralis). Uebri- gens ist V. 18 mit Bentleys Emendation iepeus noch nicht geheilt; in dem überlieferten Texte, ispeis eyo nv Znvèc olde T FEY 266۳06 ist auch das yo piv unrichtig; ich habe in der 4. Auf- lage tepe Eyoys 2۳۵ hergestellt. | Soph. Oed. R. 117: oS æyyshés ttg 0088 gupnpaxtap 0 xareidey, امه‎ ttg dea zer همم‎ Av; So lautet der zweite dieser Verse im Laur. A. Da sich verschiedene Möglichkeiten zur Hebung des Feh- lers boten, so habe ich es für das rathsamste erach- tet der besten Handschrift möglichst eng mich anzu- schliessen; ich habe örov in 6 er geändert. Meineke Oed. Col. p. 222 bestreitet die Zulässigkeit dieser Aenderung: «at durissime his infertur éyencaro, ad quod supplendum foret ato; id vero misi addatur, grae- ca oratio non minus manca est ac si latine dicas quod quis resciscens utatur». Hielt Meineke die Redeweise و‎ o rx éxpasov éxoncat av für unerlaubt oder be- denklich, so wundern wir uns dass er Oed. Col. 640 ohne Bedenken drucken liess: tò à 789 tovtov, OC ge, dopé got xp vate eoar, wo zu yorjoso in cher Weise ar ergänzt werden muss. Dass in- einel kes Bedenken ungegründet war, lehrt 11۰ E, 900: «à à êri Mamay &duvipara ooopaxe mdccoy doen: où piv yde ct xataSvytós y ÉTÉTUXTO. Soph. Oed. Col. 41: tévoy 6 ceo» vo. du ety و۵6۵۷(‎ Plat. Lach. 0. 187 A: dere rage, TOY Get, AnSévres de pavhoy ۷۳0۵ TE 60/۲0/20 ات‎ Vgl. Krüger Griech. Sprachl. 8 60, 5 Anm. 2. Soph. Oed. R. 182 ff.: Ev Š dee RoMa T Ent paTepes dxxày Tapa Bopen 0۸۵0۵۵ ۵ AuYoOv zuel ixecijpec Etotevayouaıy. Statt èv ۶ doo! habe ich gë ie vermuthet und dtd» مومع‎ Boyov geändert in dyav Tapaßoptov. Beide Vermuthungen verwirft Meineke, indem er sagt, über £v 26 habe Dindorf ganz richtig gesprochen, und dxc» finde sich gemello modo bei Aeschylus. Ge: gen êv 8È würde nichts einzuwenden sein, wenn etwa vorher von Leiden die ausserhalb der Stadt herrsch- ten, die Rede gewesen wäre und nun von dem Inne- ren der Stadt gehandelt würde. Dagegen kann ich dem Zeugnisse eines Lexikographen wie Hesychius nicht blindlings glauben, dass du 3& so viel sei als ¿m? toutou, «ausserdem, obenein». Was Dindorf für diese angebliche Bedeutung geltend macht, ist entweder anders zu erklären oder ebenfalls verschrieben : HAE ist nämlich öfters in ENAE übergegangen, darum weil H und N sich vielfach nicht unterscheiden las- sen. Indess habe ich 98° dee nur als Vermuthung hingestellt; mit Entschiedenheit glaube ich dagegen dyrav rapa رهق‎ als fehlerhaft bezeichnen zu müs- sen. Mag man unter der Boos axta « Altargestade» oder «Altarhügel» verstehen, in jedem Falle wird ein- geräumt werden müssen, dass ein entsprechender oder auch nur äbnlicher Ausdruck nirgends vorkommt, Wenn Aesch. Choeph. 722 (diese Stelle scheint Mei- neke im Sinn gehabt zu haben) &xtn yoparos vom «Grabhügel» sagt, so folgt daraus noch nicht dass man von einem «Altarhügel» reden kónne. Somit habe ich nicht ohne Grund axtav rap Bopıov angetastet. Dass dyav raga8éysov (nach M. Schmidt Philol. XVII p. 410 eine sichere Besserung) hier zulässig ist, leh- ren Ausdrücke wie dree ous Ai. 579. ong: Bowtous Arca; Eur. Phoen. 1749. Urdpopev Body Eur. EI. 1166. Auf dem richtigen Wege war bereits Mus- grave, dessen von Brunck gebilligte —À du- rd» rapaßoy.ov freilich dem Metrum widerstrebt. ` des Sciences de Saint- Petersbourg. 374 Soph. Oed. R. 205 f.: Berza Sedoy av م0۵‎ Pvbateto Sos AQOYA 7006 co. Sévea.. Gegen Dindorfs Vermuthung dpoya Tpootaysevra macht Meineke nicht ohne Grund geltend, dass es bedenklich sei einen durch die strophische Responsion geschützten Iambus in einen Spondeus zu verwandeln; er will daher, falls eine Correctur nothwendig sei, eliam. faciliore mutatione rpooraygvra schreiben. An diese Form hat gewiss auch Dindorf gedacht, aber mit gutem Grunde einen derartigen Gedanken nicht aufkommen lassen, weil der Aor. Eraynv in der vor- alexandrinischen Zeit fast unerhórt ist. In Eur. fr. 979 gehören dem Dichter nur die Worte ó wis uge rats xkñeos, das nachfolgende Ext touto tayets rührt von Plutarch her. Bei Phryniehus Com. 2 p. 603 liest man : | v ydo 7026۳6 grade, Og eu od yo, gut drotayels Baskey, deeg Nextag. Aber hier lehrt der Sinn dass ürorayels unrichtig ist; was dafür zu setzen sei, werden andere ermitteln: sinngemäss wäre úroðens. ` Soph: Oed. R. 269: : xaxov Xaxóc wy duopov éxxoliynt Bio. . Meineke glaubt nicht ungerügt lassen zu dürfen, dass ich Blaydesii quandam ariolationem , Sbonopov Teta: Bio, im Anhange der Erwähnung werth gefunden habe: «quis enim nescit aliud esse olds Blov, aliud سوق وعية‎ ?» Nach diesen Worten müssen wir anneh- men, dass dert ery Bioy eine durch den Sprachgebrauch hinlänglich gesicherte Redeweise ist, die sich von dem bekannten re gezy Bien durch den Sinn unterscheidet. Leider hat ‚es Meineke unterlassen die Verbindung refen Bian durch Beispiele zu erläutern; da mir kein, zweites Beispiel dieser Verbindung gegenwärtig war, so hielt ich es für angemessen die sogenannte ariolatio mit einer Zeile zu erwähnen. . Soph. Oed. R. 832: | ida: q^ Ex ۷ _ 80:19 ا‎ 22060520 A toravd 0 nO RAD Laur, ouppepås PYLE, : Meineke bemerkt Oed. C. p. 240, dass man statt bei» ‘den Optativ erwarten sollte, weshalb Firnhaber iot» 8 habe, «quam. optativi formam. nume fere iusto cupidius tragicis restitui video». Indess brauche man wohl nichts zu ändern: «nam quum gate» nihil aliud sit quam yévoaró por Bivar, recte inferri potuit infi- nitivus». Hätte Sophokles geschrieben yévorrs por 06 652۷ èx Bootov dpavto Bive, so würde ein nachfol- gendes n torað (ëefy xnhiôa frei von Anstoss sein; da jedoch Bains im Texte steht, so muss man statt ’ | tdeiv den Optativus erwarten. Oder wäre es erlaubt statt وکام‎ põňkov 7) odey zu sagen paveinv põh- Aen d over, darum weil paveimv so viel ist als yé- votó or pavivar? — a Nisi dicas», schliesst Meineke, «zoó03ev vj esse idem quod noh». Freilich ist roso%ey 7 gleichbedeutend mit ركوج‎ aber daraus folgt noch nicht, dass die Tragiker den nach xo» üblichen Infi- nitivus auch nach rpooSev 9 sich gestattet haben. Nach dem tragischen Sprachgebrauche muss man, wie ich längst im Anhange zu der Stelle erinnert habe, erwarten entweder mit Firnhaber : Ban» apavros deeg n toLavd Loy oder allenfalls Bainy apavros 06056 mpl» Touivd ۰ Die erstere Vermuthung halte ich für die wahrschein- lichere, weil sie sich fast durch niehts von der Ueber- lieferung unterscheidet. Wenn Meineke findet, Opta- tivíormen wie (Goy würden jetzt iusto cupidius bei den Tragikern hergestellt, so soll dies hoffentlich nur eine beiläufige Notiz sein; als Argument gegen Firn- habers Sory können wir dieses Urtheil nicht ansehen; denn eine an sich zulüssige Form kann hier nicht des- halb als unzulässig bezeichnet werden, weil man an anderen Stellen unrichtiger Weise eben diese Form hat setzen wollen. Soph. Oed. R. 1429: AR ۵ tdytot de otxov daxopikere. Die im J. 1856 von mir geforderte, nachher im Philol. XII p. 634— 37 genauer begründete Umstellung von | Oed. R. 1416-23 und 1424-31 hat Meinekes Bei- | stimmung zum Theil gefunden; nach seiner Ansicht (Oed. Col. p. 243 f.) sollen zwar 1424—28 dem Oe- | dipus zugewiesen und vor 1416 eingeschaltet werden, -|1429— 31 dagegen unter allen Umständen dem Kreon verbleiben. Kreon soll also sagen, dass nur die näch- sten Angehörigen des Oedipus dessen Nähe noch er- tragen können. Eine so unmenschliche Härte würde 24* 375 Bulletin de l’Académie Impériale mit dem Charakter des Kreon, wie er im Oed. R. ge- schildert wird, in schroffstem Widerspruche stehen. Wenn Meineke sagt «Oedipo hoc unum in votis erat, non ut in amore suorum acquiesceret, sed ut quam ce- lerrime fieri posset patriam. relinqueret», so glaube ich diesen Punkt schon früher erledigt zu haben: Oedi- pus wünscht schleunigst in das Haus gebracht zu werden, nicht etwa um darin zu bleiben, sondern um bei seinen nüchsten Verwandten die Erhórung zu fin- den, die der Chor ihm schweigend versagt hat, die Erhórung seiner Bitte um Tod oder Verbannung. Dass der oben citirte Vers ai) os tayıoT de oixov oxo- uerg, unmöglich von Kreon gesprochen werden kann, ist leicht zu sehen. Wenn Kreon sagt &oxonitets, so fragt es sich, wer die &oxopffovres sein sollen. Nac dem Zusammenhange würde man an den Chor, nach den Gesetzen der Vernunft an Kreons Dienerschaft denken. Indess wird der Befehl von beiden ignorirt. ohne ein Wort der Entschuldigung: ist der Befehl somit an sich müssig, so wird er durch das strenge öç tayıora. geradezu lächerlich. Diese von mir im Philologus dargelegten Gründe haben, wie es scheint, Meineke bewogen zu dem Vorschlage AAA Og ۵0۲ dg ۵00۷ éowcyuté os. Die von ihm selbst angeführte | Parallelstelle (Ant. 444: ou pi» Spe: av geavtòv ol 54324 konnte ee, ` dass statt Eaxönıle oe zu sagen war 6060۳6 0606۱ Auch über os viaa. lesen wir eine eigenthümliche Bemerkung: «ne quis óc Tayıcra iusto imperiosius di- ctum existimet, comparandus Aeschylus Prom. 346. Sé- Aom dv Og Thelotouor roude Tuyeiv, ubi de 0 nihil differt ab aMors». Also og rAetocot bedeutet bei Aeschylus nicht «móglichst viele», sondern «andere», und os tayıota bedeutet bei Sophokles nicht «möglichst schnell», sondern — ich weiss nicht was, vermuthlich «s’il vous plaît» oder etwas Ähnliches. Von diesen Fein- heiten der tragischen Diction hatten wir bisher keine Ahnung. So war es uns auch überraschend, was Meineke Oed. Col. p. 248 f. bei der Besprechung von El. 28 aus- einandersetzt, dass £xeoSa« unter Umständen kaum ver- schieden sei von .اودوع‎ Die betreffenden Worte lau- 14) In ähnlicher Weise wird p. 271 für El. 1359 xol © 0۷4 eine mögliche, aber nicht nothwendige Aenderung bezeichnet. Andere werden meinen, dass sc c Éparves zu sagen unerlaubt sei, bag v Grammatik xû 6500۳0۷ Éparves verlange, der acm و‎ ch dagegen. xox épaivou empfehle. ten: «In huiuscemodi (?) locis £reo Sat vix quidquam differt a roveiv, meque. infrequens. eius usus iam apud Homerum. est, eodemque refero hoc in Trach. 1074. EN dorévaxros aii» cinopny xaxois. Cf. Hesychius "Ezio: éxtzeMéoo». Welche Stellen der Homerischen Poesie hier vorschwebten, vermag ich nicht zu sagen; sollte wirklich bei Homer EreoSa: für rovstv gebraucht werden, was ich bezweifle, so wäre damit für die Tra- güdie ein gleicher Gebrauch noch nicht erwiesen. Schon deshalb ist die Glosse des Hesychius, die sicher- lich nicht aus einem Attiker stammt, hier unbrauch- bar; ausserdem ist ro etwas anderes als Erconar, und éxiteAéco etwas anderes als roven. El. 28 Geht Ore- stes zu seinem greisen Führer: Tug T OTOUVEL 000304 Ev 7000016 ETEL. Wer die letzten Worte für richtig hält, wird verste- hen «du folgst unter den ersten»; wer an diesem Aus- drucke Anstoss nimmt, wird Exec für unrichtig halten müssen. Was endlich Trach. 1074 betrifit, so würde nie- mand verstehen, wie hier sien für étœovouy genommen werden konnte, wenn nicht p. 307 uns Auskunft gäbe, | wo es heisst: «£x:0%a hic positum ut in Elect. 28, et xaxois cum aocévaxcoc coniungendum». Bisher war es keinem Erklärer in den Sinn gekommen ۵ xaxois zu verbinden; jedenfalls liegt die Verbindung میاه‎ xaxoig viel näher, und Sophokles redete also nicht eben geschickt, wenn er sein Publikum zu ei- nem kaum vermeidlichen Missverständniss führte. Ausserdem ist dotévaxtos xaxoîg in hohem Grade dunkel; und wenn gesagt wird, aiv einöpny scheine für altv êrévouy zu stehen, so können wir einen Grund zu dieser Voraussetzung nicht entdecken. Sollte ére- مكو‎ xaxots eine unrichtige Redeweise sein, so wür- den wir lieber Meinekes Vermuthung stëm xaxois annehmen, als uns zu einer Interpretation entschlies- sen, die mit dem Sprachgebrauch unvereinbar ist und dem Dichter eine unnatürliche Ausdrucksweise zu- muthet. Soph. El. 286: oÿôë yàp xAadcat Topa ۳۵0698 500۷ por 5۱۵۳۵ Hovy 9۹0. Gegen meinen Vorschlag ۵۵۷ yet wendet Meineke ein: «videtur servari posse librorum scriptura, si viv péoetv interpreteris per TsoSot, ut و‎ pépet» est xspdmivery». Mit dem Belieben «زدووة رد‎ gége nach 377 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 375 Analogie irgend eines anderen Ausdrucks zu erklüren ist nichts erwiesen; vielmehr war zu zeigen dass auch sonst ndovnv همه‎ für Ndoper gebraucht wird. Nach- träglich sagt Meineke: «Sed ne quid dissimulem, non mediocriter favet Nauckü correctioni | in Fragm. Com. graec. vol. II p. 326. 606 te yap Sien goi te Aën Supos ndovnv Eye. Quem locum mihi Hauptius indicavit». Dieselben Worte des Pherekrates hatte ich in der dritten wie in der vierten Auflage von Schneidewins Bearbeitung der Elektra zu V. 286 unter dem Texte angeführt, nur mit Weglassung des hier entbehrlichen Anfangs oo te yao ۰ “Soph: El. 433 f.: oS’ Gotov ydos yuvarxòç Iotavaı ۱6۳60606 01188 AUTO 76006040619 TUTO. Den metrischen Fehler des ersten Verses hat ein al- ter Interpolator durch ein zwischen pêş und yv- vuxoc höchst unpassend eingeflicktes aro zu heben gesucht, ohne zu bedenken dass es bei dieser Lesart am nächsten liegen würde aro *Yuvatxoc iotavat zu verbinden, was nicht verbunden werden darf. Meineke vermuthet éyStotny yuvauxôs oder Zë: x ۵ Dagegen habe ich im J. 1858 geschrieben: | اه‎ oaov dzee ilotavar xteplopata , quvauxóg 0085 Aouroa 700006060۷ ۰ Diese meine Verbesserung hat O. Jahn in den Text auf- genommen, während andere Herausgeber des Stückes dem Interpolator gefolgt sind. Meineke räumt wenig- stens die Möglichkeit ein, dass die von mir geforderte Umstellung richtig sei, fügt jedoch hinzu: «quamquam rari sunt in Sophoclis libris errores verborum transpo- sitione nati.» Was hier von den Handschriften des So- phokles gesagt wird, gilt in gleicher Weise für die Handschriften anderer Autoren: gewiss hat die Con- jecturalkritik zu Umstellungen in den alten Texten nur selten ihre Zuflucht zu nehmen. Gleichwohl halte ich die Aenderung 2ySo&c 160010 xtepiopota yuvaixòs für unzweifelhaft, und es wird nicht überflüssig sein die palüographische Berechtigung derselben durch Bei- Spiele zu erlàutern. Die für die Sophokleische Kritik ausschliesslich oder vorzugsweise in Betracht kom- menden Handsehriften (ob alle oder die besten, ist lier gleichgiltig) bieten Ant. 998: qoc TÉLYNS Tis dps omnet. xov, statt ۵ onpeia tis epe. Ant. 1115: Kadpetac vop.oac Ayadıa, statt K. Ayah- pa vuppas. Oed. R. 976: xat tóc Tò (20۵ Adyos ox Gxveiv pe Set, statt xal 564 +0 putes ox Oxvely pe Set Aeyog. Phil. 222: 060, 50004 av paç v] yé- vous moti To dy elroy, statt rolas dv MiG "art dos n yévous. Wer diese Beispiele mit einander ver- gleicht, wird finden dass überall die falsche Stellung der Worte auf demselben Princip beruht: die Absehrei- ber pflegen, selbst gegen das Metrum, die dem Sinne nach zusammengehörigen Worte zusammenzustellen, während der Dichter das eng zusammengehörige oft trennt, um durch die Trennung gewisse Begriffe schär- fer hervorzuheben. Eine Bestätigung dessen, was über die Neigung der Abschreiber gesagt wurde, lässt sich natürlich auch bei andern Autoren erwarten und fin- den; so steht bei Aesch. Pers. 313: ۷۵:۵5 £x pts ré- cov, statt vaos &reoov êx quic, bei Babrius 19, 2: tous òè ايوم‎ lin xepdo | 2063566: rAnpets, statt monem TAr- pets ۱۵۵0۵ xep. So schwanken Eur. Rhes. 635 die Handschriften zwischen ccüvev 8š 2۵۵ gie Xétpoç ov و۹5‎ Saveiv und 2۵00۷ 88 2066 ons où Jéus Xeto Sayci» (vgl. Eur. Stud. II p. 171 Anm.). Hiernach kann es nicht im mindesten befremden, wenn man bei Soph. El. 433 f. &ySpäs yuvatxos ioxdyat wreplopat aus Zeg: Toravar xtepiopata yuvareoz machte. Uebri- gens liegt es in der Natur der Sache, dass die Schrei- ber unserer Codices nicht durchgängig mit derartigen Umstellungen der Worte prosodische Fehler hervor- riefen; wer mit der dichterischen Redeweise vertraut ist, wird die gleichen Irrthümer der Abschreiber auch da wahrzunehmen vermögen, wo keine offene Wunde des Textes Heilung verlangt. Um nur ein Beispiel an- zuführen, ich halte es nicht für wahrscheinlich dass Phryn. Com.2 p. 592 schrieb, was ihm beigelegt wird, uaxap Zopcxhénc, © Ge ToAUY yeóvov Bros ' dréSavey dënn avio xol dektog, glaube vielmehr mit der Umstellung ôç T6039» Bue xecvoy die Hand des Dichters zu treffen: vgl. 2۵۷۵۵ pèy wédes Aoyov Eur. Hec. 888. dgy égo Aoyov Hipp. 1157. Etpupnaev doce pý Toi Teupäy xpovov Men. Com. 4 p. 74 u.ä Soph. El. 466 f.: Spaco’ To yao Sixatov ovx Éyet ۷ Soy اه‎ MAN Ertameudery To 806. Nachdem Meineke Oed. Col. p. 258 den von M. Schmidt Bulletin de lAcadémie Imperiale gemachten Vorschlag &nıoreoyeiv statt érioneuderv em- pfohlen hat, fügt er hinzu: «Sensum verborum optime indicavit scholiastes, quo magis miror utrumque versum in voSelas suspicionem adductum esse, quae prorsus te- meraria est nulloque fundamento nixa opinatio». Wir möchten fragen, wer die Echtheit dieser beiden Verse in Zweifel gezogen hat. O. Jahn bemerkt: «466 et 467 del. Nauckius». Darauf muss ich entgegnen, dass es mir niemals in den Sinn gekommen ist diese Verse dem Sophokles abzusprechen. Wenn ich in der drit- ten Auflage sagte, die geschraubte und unklare Fas- sung der Sentenz könne ich nicht dem Sophokles, son- dern nur dem Vorwitz einer späteren Hand beimessen, so meinte ich, die ursprünglichen Worte seien von späterer Hand verunstaltet, nicht aber wollte ich beide Verse einfach tilgen. Eben so wenig hat meines Wis- sens sonst jemand die Echtheit der beiden Verse an- gefochten, und ich muss hiernach glauben dass Mei- nekes Polemik sich gegen ein Hirngespinnst richtet. War der in der dritten Auflage von mir gewählte Aus- druck undeutlich, so dass er einem Missverständniss Raum gab, so konnte doch Meineke aus der im J. 1862 erschienenen vierten Auflage der Schneidewin- schen Bearbeitung meine Ansicht über die in Rede stehenden Verse erfahren. Hier steht unter dem Texte folgende Anmerkung. «Die Scholien erklären: cux čye! Aoyov To piAoverxeiv rept Toi dtxalou, oTe Tepl gäre? Bue övras Zeiten: del do cO» Erepov TO étépo melds- osa. Aehnlich Neuere: quod iustum est, non habet ra- tionem cur duo inter se contendant, à. e. de iusto non est cur quis dissentiat. Wollte der Dichter diesen übri- gens seltsamen Gedanken ausdrücken, so musste er statt tò 8(xaroy vielmehr تمع امعم‎ Srxatu setzen und تامدخ‎ nothwendiger Weise fortlassen. Es ist klar dass die jetzige Unklarheit durch einen Fehler des Textes veranlasst ist». Im Anhange habe ich statt 3uctv dote» vorgeschlagen xAucvr’ عیام‎ wonach der Sinn sich ergeben würde: oda čyer Aóyow doge» tò معا‎ x\uovra, man soll nicht streiten, wenn man das Rechte hórt. Von diesem Vorschlage kann ich auch jetzt nicht abgehen. — Soph. EL 1220 ff. finden wir ein von Elektra und Orestes in Halbversen geführtes Zwiegesprüch, wel- hes an einer Stelle V. 1222 f. in der Weise gestórt wird, dass auf den halben Trimeter der Elektra eine des Orestes in anderthalb Trimetern folgt. Diese Stórung habe ich zu beseitigen gesucht, indem ich so zu schreiben vorschlug: ~ 5 ~ ~ 3 5 d HA. Töz sinas, à t&v»; OP. Weüdog ةزه‎ du Yo. 1220 HA. 5 Va yag 6۷۵ OP. 0 "ki: Y dag. HA. 1j yap ou XERO; OP. ExpaI et cag ۰ HA. copayièa ratgòs OP. ۳۱۵۵ roooB)édac deet HA. ۵ oftarov paç. OP. piàtatov, Euppaprund. HA. ۵ péy, dpixou; OP. pnxéT 670.6 راع‎ "En 1225 HA. £yo oe م‎ OP. de ta ۸۵/7۲ Éyolc ۰ Die Handschriften bieten statt dessen an der bezeich- neten Stelle: d HA. X yap où xeivos; OP. +nvèe xoocQAétpacd. pou oppayida matos Zena? el capi syo. Wer dies vertheidigt, wird annehmen müssen dass der Dichter lediglich deshalb von dem Gesetze der so ge- nannten dvrAa§at sich entbunden habe, weil die con- sequente Durchführung dieses Gesetzes ihm unmög- lich war. Durch meinen Vorschlag glaube ich darge- than zu haben, dass diese an sich hôchst missliche Annahme hier unstatthaft ist. Ueber die muthmass- liche Entstehung des Fehlers habe ich mich schon früher ausgesprochen. «Wie häufig auf einander 101 gende Versausgünge mit einander vertauscht worden sind, ist bekannt (vgl. Trach. 815 f. 1046 f. und meine Observ. crit. de trag. Gr. fragm. p. 36 f.). War dies hier geschehen, so ergab sich von selbst eine weitere Aenderung, um einen der beiden nicht verbundenen Imperative los zu werden.» Wenn ich roongAétac diSoet statt rpooßXdbaca pou vorschlage, so räume ich die Unsicherheit dieses Vorschlages gern ein (übri- gens werden p und So öfters mit einander vertauscht, vgl. Melanges Gréco- Rom. II p. 428); darüber jedoch kann meiner Ansicht nach kein Zweifel bestehen, dass auch V. 1222 f. dem vorher und nachher beobachte- ten Gesetze ursprünglich entsprochen haben. Anderer Ansicht ist Meineke: «Orestis verba -vehementer doleo Nauckium ita in frustula dissecuisse, ut indecora prope dixerim dialogi forma evadat. non adeo se poetae tra- gici certae cuidam dialogi conformandi legi quasi in Ser- vitutem addixerunt, ut nunquam ab ea recederent åd quod. sine FRSA fieri potuit, ubi, ut hoc loco et in Aiac. 984. factum videmus, aliquid novi affertur.» Sich an Gesetze binden mag freilich sclaviseh sein; aber dass die Hellenischen Dichter mit diesem selavischen Zuge einer beispiellosen formalen Strenge im Grossen des Sciences de Saint- Pétersbourg. wie im Kleinen behaftet waren, ist nun einmal eine unbestreitbare Thatsache: gerade auf diesem sclavi- schen Zuge beruht die künstlerische Vollendung und der unvergängliche Werth der Hellenischen Poesie, eben darauf auch vorzugsweise die Móglichkeit einer strengen und methodischen Kritik. Inwiefern das Ge- setz der avrıraßaf da sine offensione aufgegeben wird, ubi aliquid novi affertur, ist nicht reeht klar; minde- stens leidet der hier gewählte Ausdruck an Undeut- lichkeit. Die Verweisung auf Ai. 984 wäre besser un- terdrückt worden, da jene Stelle mit der vorliegenden nicht verglichen werden kann. Was endlich die prope indecora dialogi forma betrifft, so habe ich mich ver- geblich bemüht ausfindig zu machen, worin das inde- eorum bestehe. Vermuthlich hält es Meineke für un- ziemend, dass Orestes der Elektra ins Wort fällt und den von ihr begonnenen Satz zu Ende führt. In die- sem Falle wird es genügen an Oed. Col. 652 ff. zu erinnern, eine Stelle die Meineke nicht beanstandet Too 060 ۵۳۷۵6 G et: 0220, Toiod ۰ 6004 péAov. 0H. ug ا‎ à yon 0 OH. باق نامع‎ oux عم‎ dng, OH. ci? £9 ge pn Tiva ré, Endlich möchte ich noch auf einige bisher nicht be- rührte Gründe hinweisen, die gegen die Richtigkeit der gangbaren Lesart in El. 1222 f. sprechen. Wenn Orestes iu . 7۵ ou rormosıs; OH. e LA Ti&oucty ۷ Zen pe ۷ 014: ا‎ Guten OIA. cux olo > ۳982 rpooßXdbaca, pou RR TUTO EXPAT el cap Avo, 80 erregt der Imperativ Gen az Anstoss. Nachdem ihr der Siegelring des Vaters gezeigt worden ist, weiss Elektra dass sie ihren Bruder vor sich sieht; wie der nachfolgende Ausruf à gétatoy ge lehrt, sind wei- tere Nachforschungen. nicht anzustellen. Orestes würde also besser sagen: pd Hielen tie appayida و7006‎ xai eloer ótt cap Ayo. Erst durch die von mir ge- forderte. Versetzung der Versausgänge werden die Worte éxpaS ei cag ^éyo so gestellt, dass sie in den Zusammenhang passcu. Ausserdem gab es offenbar vielerlei verschiedene Mittel, durch die sich Elektra rzeugen konnte, ob der Fremdling wirklich ihr Bruder "war; somit ist es weit angemessener, wenn Orestes die Wahl des anzuwendenden Mittels ihr über- würde lässt, als wenn er aus eigenem Antriebe die copayts des Vaters vorzeigt, die in diesem Falle keine hin- reichende Legitimation abgab, sofern der Fremdling unrechtmässiger Weise zu ihrem Besitz gelangt sein konnte. Auch in dieser Hinsicht ist meine Um- stellung dem überlieferten Texte vorzuziehen. End- lich kann ich die Verbindung der beiden Genetive rpoofhébaca pou oppayida zacooc hier nicht für glücklich halten, zumal da es nahe liegt ۵۳0۵ èx- pase zu verbinden. Somit verdient meine Umstellung in mehr'als einer Hinsicht den Vorzug vor der Les- art der Handschriften, und eben hierin liegt der sicherste Beweis für die Unrichtigkeit unseres Textes; denn nimmermehr werde ich glauben den Sophokles meistern zu kónnen. So viel für jetzt von Meinekes Ausgabe des Oedi- pus Coloneus, die zwar, wie dies nicht anders erwar- tet werden kann, manche vortreffliche Besserung und Beobachtung enthält, daneben aber auch unverkenn- bare Spuren der Eile an sich trügt. Die wohlbegrün- dete Autorität eines so hervorragenden Kritikers hat zur Folge, dass seine Uebereilungen nachtheiliger zu wirken pflegen als dies bei den gleichen Irrthümern anderer der Fall sein würde); eben darum habe ich ` ^15) Bei Soph. Trach. 79 ist überliefert: ين‎ d tekeurnv roð Bien uéJAet 6 Meineke vermuthete in den Beitr. zur philol. Kritik der Antigone (1861) p. 30 toU Biou mékket Auer, ohne die Kürze des Ypsilon in Averv mit einem Wörtchen zu berühren: Erst zwei Jahre weg er Oed. Col. p. 289 unternahm er die Vertheidigung: verbi Ave syl- laba etsi alias producitur (nothwendiger Weise war hinzuzufügen ab eng non dubito tamen quin etiam corripi potuerit; similiter va- ra verborum xula, quo, aliorum. Dieser ergeet Von eine prosodische Licenz zu rechtfertigen scheint zu bewei- sen dass Meineke der Attischen Messung des Praesens Avw sich nicht zur rechten Zeit erinnerte; wäre diese Messung beim Druck der Beiträge zur philol. Kritik der Ant. ihm gegenwärtig gewesen, 0 er die Vermuthung AJstv vielleicht niemals publicirt haben. Gleichwohl ist Fr. Heimsoeth in dem übrigens vorzüglichen Werke, Krit. Stud. zu den Griech. Trag. I p. 135 f. durch ei Autorität verleitet worden, ein iambisch zu messendes Adem für weniger als drei Euripideische Stellen in Vorschlag zu Warden Uebrigens wünschten wir, Meineke hätte sich über die schwankende Messung des Ypsilon in xoAvw, Quo und anderen Verba bestimmter geäus- sert, Für xov ist aus der Tragódie mir kein Beispiel der verkürz- ten Paenultima gegenwärtig. Was هنم‎ betrifft, so kommt das lange Ypsilon keineswegs, wie Dindorf zu Soph. Trach: 1031 sagt, erst bei ander und anderen neueren Dichtern vor, sondern bei den At- ikern ist diese Messung entschieden vorherrschend oder vielmehr allein beglaubigt; denn auf die beiden tragischen Stellen wo وناب‎ mit kurzem Ypsilon steht (Aesch. Sept. 535 und Soph. fr. 824, 2), ist kein Verlass. An ersterer Stelle fordert der Sinn pas Sérieux auch sonst werden ọuew und Bpuerv verwechselt); i in dem Sophoklei- schen Fragment vermuthe ich $xou tò teprv» xat To nmpalvov qu- Eu E Bulletin de l'Académie Impériale es für nothwendig erachtet Meinekes Behauptungen gegenüber einige Zweifel geltend zu machen, zumal da ich im Anhange zum Schneidewinschen Sophokles auf eine Begründung meiner Ansichten fast durchgän- gig verzichte. Soph. Oed. R. 187: Tady Bé Aapımer 07066666. te yüpus ÉWauhoc. Unter یمس‎ versteht man nach dem Vorgange der Scholien Zu zoue, ópóqovoz, so dass 076605060. yipus ôwavhos die zusammenflötende, d. h. zusammenstim- mende oder einstimmige ARTE Klage bezeichnen soll. Diese etwas gezwungene Erklärung scheint mir um so bedenklicher, da &pavXog sonst nur als Compo- situm von avan sich findet. Vielleicht ist zu lesen 00965000 Ts yious avauXos, d. h. die der Flöten er- mangelnde Klage. Dieser Ausdruck würde jedenfalls der tragischen Redeweise besser entsprechen als die handschriftliche Lesart. So sagt Soph. fr. 632: نكم‎ 8cóv avavha. Eur. Phoen. 791: xõpov avaudstarov reoxopevet. Herc. F. 879: Roudag Augonıs yopsuScvr avavhots. Vgl. Soph. Oed. Col. 1221: Ardos poto avu- pévaros: aàupos ayopos. Aesch. Suppl. 681: &ycoov det Sapıy Saxpuoyovov Apn. Eur. Hel. 184: EvSev cixcoóv Gpaäeg éxkvoy Adupov Zeen, Iph. T. 146: SvoSpnvn- tote de Sprjvotc Eyxeımat, TA ox EULOUGOU LOVAG _ ras, ahvpous éhéyous. Zugleich liegt in ۵ Yi- ous avaulos eine Hindeutung auf die Sucíat dyopot xal Sage, von denen Plut. Mor. p. 16 C redet. Soph. Oed. R. 438. Auf die Frage des Oedipus, Tiş 86 p Expusı Bpotõv; antwortet der Seher Tiresias: nd ۳406 poet oe xal ۵ In Betreff des räthselhaften quce: beruhigen sich die Herausgeber bei der von den Scholien gegebenen Er- klärung, 3e(fet oe zev éyewmns. Freilich ist dieser Gedanke durch den Zusammenhang geboten; aber wie in query der Begriff Secevuvar Zeg ctc éyewnSn liegen soll, bleibt dennoch unbegreiflich. Mag immerhin Ti- resias sich auf Andeutungen beschränken, deren Sinn dem Oedipus verborgen bleibt (Og avv ayay alvınra xacapÿ Aeysız, sagt dieser V. 439), so müssen doch für den Zuschauer diese Andeutungen verstándlich -. Dem Ausdrucke $9 04ج هکم‎ ce lässt sich iental] is das Praesens quc sonst bei sr Attiker in pas- sivem Sinne nachweisbar (vgl. Meineke Theocr. 7, 75 p. 255) und schon darum que: hóchst bedenklich. aber mit erlaubten Mitteln kein Sinn abgewinnen, und darum kann ich den jetzigen Text nicht für richtig halten. Mir scheint eine einzige Hilfe móglich : HÒ qepa pavet ce xai dapdepet. Dieser Tag wird dich offenbaren (d. h. zeigen wer du bist, aus welcher Stadt und von welchen Eltern) und zu Grunde richten. Soph. Oed. R. 1084 f.: ۳0/6686 à Expüs oux Av diem der TOT 00364, Date pd expadeiy Toludv Yévos. Im ersten dieser Verse hat Blaydes 706686 An QU; vermuthet (tosað exque Qc cùx av steht im Laur. À im zweiten dote kj où paset ۲۵۱۵۵۷ yévos. Beide Vorschläge sind überaus leicht und in hohem Grade wahrscheinlich. Die Hauptschwierigkeit aber liegt im Anfange des zweiten Verses, wo 8220 sich dem Ver- ständniss entzieht. Döderlein verlangte dafür عم‎ (d.h. @AAoce), Kayser عفمته‎ Auch diese beiden Aen- derungen sind so leicht wie nur móglich, dennoch aber durchaus verfehlt und einer Widerlegung kaum werth. Dass eux av éÉéou Zo mot Move hier sinnwidrig sein würde, lehrt Eur. Iph. T. 781: éÉé8nv yap ۵008 ich schweifte ab mit meinen Gedanken. An dAaóc aber durfte, vom Sinn ganz abgesehen, schon deshalb nicht gedacht werden, weil dies Wort dem Trimeter fremd ist. Ausserdem hat Elmsley mit Recht das moré zu Anfang des Verses als fehlerhaft bezeichnet). Diesen Anstoss sucht Dindorf zu beseitigen durch den Vorschlag ` ox av امت ةف‎ mox | dAhoîos, wo ۵۵ mir eben so wenig sinngemäss zu sein scheint als die Vulgate gies. Vermuthlich ist zu schreiben: Toloo de n gue ovx ay Sop Ett و6۳۳‎ doce un o) ۳۵066۷ ۰۲۵0۵ yévoç. Oedipus hofft über seine Herkunft nun nicht länger in der peinlichen Ungewissheit zu schweben, um de- rentwillen er früher sich vergebens an das Orakel des Apollon gewendet hatte (vgl. oben 789: sain © Poi- Boc à» iv ixoumv à A oy وراه‎ Das handschrift- liche rot 6 ist vielleicht durch einen undeutli- - 16) Ebenfalls unrichtig ist die einzige ähnliche Stelle Ai, ver, enr avtov Sne òcõpo, wo Elmsley zu einer Umstellung t Zeie ۳۵۷ leg 070, nd ich a&eı tic دل نه‎ ۵600 v vorziehen möchte unter Vereins auf Oed. R. 1069: aber ne SEH 8e0 ty Borg pot j des Sciences de Saint- Pétersbourg. chen Text . T. AAOC, vielleicht auch lediglich durch den Lesefehler ATIAAOC statt ATIMOC veranlasst. Soph. Oed. R. 1409. Nachdem Oedipus die unse- lige Ehe beklagt hat, aus der entsprungen ist óxóca aloyıor Ev امام م ودر‎ ylyverar, wendet er sich von der weiteren Besprechung dieser Gräuel ab, um den Chor zu beschwóren, dass man ihn den Blicken der Menschen für immer entziehe: AAN où yap «984» Zo ۵ pnòè Spay xahóv, oros Tayıora Tos 560۷ čko pe yis Éxplbare ۰ Seltsam dass an dem ersten Verse noch niemand An- stoss genommen hat. Das Thun ist ein stärkerer Be- griff als das Reden; darum kann man wohl sagen: oS 0086090 od 4 un هوق‎ xaróv, nimmermehr aber das Verhältniss umkehren, wie es hier geschehen ist, ox «08d» de? & unse Sod» 0269. Zu einem passen- | den Gedanken verhilft die leichte Aenderung A où yap addy که‎ a und 508 xaXov, es ist nicht erlaubt zu besprechen was sogar für das Auge anstössig ist. Dass 9páv und öp&v beständig mit einander vertauscht werden, ist hinreichend bekannt. Es genügt an Oed. Col. 654 und Ai.379 zu erinnern. Soph. Oed. R. 1518: ~ ١ © 5 ae yis H oros nembers amorxov. Wären diese Worte in solcher Gestalt auf dem Atti- schen Theater gesprochen worden, so würde jeder Zuschauer geglaubt haben, der geblendete Oedipus wünsche als Anführer einer Dolomie entsendet zu wer- den. Wenn ich nicht irre, muss es heissen : vis w rog menbers رام ومع‎ wie Ai. 1019: zéie 9 dro- atòs Ys amoppıpSnoop.ar. Soph. Oed. R. 1523 richtet Kreon an Oedipus die Worte: nasta ph BouAcu ۷ xal Yao xod qoas où cot T Bio ۰ Der Sinn der letzten Worte kann keinem Zweifel un- terliegen: was du erlangtest, meint Kreon, blieb dir nicht treu während deines Lebens. Dieser ange- messene Gedanke wird durch den verkehrten Aus- druck où cot <5 Bio Euvgorero entstellt bis zur Absur- dität. Wenn das was Oedipus erlangte, nicht seinem folgte, wem folgte es denn? Darauf mögen die- jenigen antworten, welche für die Richtigkeit des ge- Tome IX. genwärtigen Textes einzutreten gesonnen sein sollten. Mir scheint es unzweifelhaft dass der Dichter schrieb: où cot Sta. Bioy Évvéonereo. Soph. Oed. Col. 420. Ismene hat dem greisen Oe- dipus mitgetheilt, man werde von Theben aus sich um ihn bemühen, weil nach einem Orakel an den Be- sitz seiner Person das jetzige und künftige Wohl der Stadt Theben sich knüpfe. Oedipus fragt, ob seine Söhne, von denen oben gesagt wurde dass sie des Thrones wegen verfeindet seien, Kunde von diesem Orakel bekommen haben. Es ist beiden, so lautet Is- menes Antwort, wohl bekannt. Und dennoch, fragt Oedipus weiter, zogen die Elenden dem Verlangen nach mir die Herrschaft vor? Ismene muss dies be- jahen: gr xAucuca Tat ya, pépa 9 Soc. Was soll hier xAvouoa? Offenbar ist Ismene in der vor- liegenden Situation nicht die hörende, sondern die mittheilende. Somit könnte x\vovca nur darauf bezo- gen werden dass sie früher durch andere gehört hat was sie jetzt dem Vater meldet. Dann aber sollte es heissen nicht 026, sondern gem xAdcuca. Indess erscheint eine Berufung auf fremde Mittheilungen hier überhaupt als unpassend. War Ismene genau und durch Autopsie von den Thebanischen Verhältnissen unter- richtet (und dass sie dies war, lehren ihre früheren Aeusserungen), so berichtet sie nicht nach Hören- sagen, sondern als Augenzeugin. Mit dem xAJouca würde sie gegen die offenbare Absicht des Dichters die Zuverlässigkeit ihres der Wahrheit durchaus ge- treuen Berichtes in Frage stellen. Wollte sie aber, um den Vater zu schonen oder aus Liebe zu ihren Brüdern einem Zweifel an der Sicherheit der gemel- deten Thatsachen Raum geben, so musste dies einer- seits viel bestimmter und andrerseits an einer frühe- ren Stelle ausgesprochen werden. An dieser Stelle ist xAiucuca unmöglich; es muss heissen, woran schon Blaydes dachte, &X6 Xéyouoa. Aber auch der zweite Theil des Verses enthält einen Fehler. In qéoo à poç liegt eine Resignation, die auf Ismene den Schein der Lieblosigkeit wirft. Weit passender ist es, wenn ein- fach das unleugbare Factum constatirt wird, bevor Oedipus in tiefster Entrüstung den nachfolgenden Fluch über seine Sóhne ausspricht. Der Vers wird ursprünglich gelautet haben: 25 Bulletin de l’Académie Impériale 388 ~ * , 9 2 gg Aéqouca Tait eyo, XEYO 9 ۵۰ «Schmerzlich ist es dies sagen zu müssen, und doch kann ich es nicht in Abrede stellen». Mit dem Ge- danken vgl. Trach. 373: & A un 26۵ gg, ovy; 90 pou, TÒ à 9050+ EEelony opos. Statt Ayo 9 Opus wer- den andere vielleicht ppa&o 3 Cuos vorziehen, weil dies dem überlieferten oéoo näher komme. Mir scheint pépo aus éoó gemacht zu sein, womit Ada nicht sel- ten erklärt wird (vgl. Cobet N. L. p. 57 f. 73). Unter den Sophokleischen Bruchstücken habe ich Trag. Graec. fragm. p. 284 folgende Stelle aus den Anecd. Bekk. p. 376, 32 geduldet: dk: dvr} تمع‎ Grau, Zopoxhñs. Dass 02326 weder für tav stehen noch durch oca» erklärt werden kann, liegt auf der Hand: schwieriger war es, wie noch die neusten Ver- muthungen von Dindorf Soph. ed. tert. Oxon. vol. VIII p. 180 und von G. Wolff im Anhange zu Soph. El. 337 p. 127 beweisen, eine sichere Emendation der fehler- haften Stelle zu finden. Wie ich glaube, ist zu schrei- ben, was bereits Brunck gesehen hat, dd: duc) To xay. Für diese Aenderung spricht das in den Jahren 1859— 62 von Th. Bergk bekannt gemachte Etym. Vind. A, 163: 0226 ovvdsonos Aapßaverar xal dyri toU xdv. Zopox\is (El. 1013): aŭt 85 voy yès 0 TÖ xpovo roré. Somit verdiente fr. 1018 selbst unter den zweifelhaften Bruchstücken des Sophokles keinen Platz. ‘ Eine nicht unwichtige Ergänzung der Sophoklei- schen Fragmente lässt sich dagegen, wenn meine Ver- muthung nicht trügt, aus Hesychius v. 66۵۷06 ge- winnen: eat eat ` vtoooxovigat xol xJxAo Teptevey- ve, xai 5166 عه‎ dungen Ried Xéyouotv, Stav TECON XATAYPLTIEVTEG TLVÈS UNO uge doSdvyooty. ۸۱0۵۵ xal Koartvos Kooca. xtocoxov(a yàp | viv ric- ca, ¥ xoícuat za raptoSpuc tv reoßetav. Hier wie oft bei Hesychius bemerken wir die Eilfertigkeit des epitomirenden Grammatikers, der die ihm zu Gebote stehenden vollständigeren Notizen verkürzt und ent- stellt hat. Da die Kpüjooa: als Tragödie des Aeschy- lus, nicht aber als Titel irgend einer Komödie uns be- kannt sind, so hat Alberti eine Umstellung vorge- schlagen, Aëcyyhoc Korocatz xai Koarîvos. Die Rich- keit dieser Vermuthung lässt sich darum nicht þe- ۱ weil Photius Lex. p. 430; 24 die auch bei i$ an einer späteren Stelle erhaltenen Worte nn. > | Miccoxovite rup aus den Koëooer des Aeschylus | (fr. 113) anführt. Wenn an unserer Stelle von Tugi | nichts zu lesen ist, so haben wir dies lediglich der | Flüchtigkeit des Epitomators zu danken, der sich mit ` der Nennung des Aeschylus begnügte, die aus ihm anzuführende Belegstelle dagegen fortliess. Nicht an- | ders verfuhr er bei Kratinus, der nach Herodian in Schol. Il. 2, 52 1rtocoxovias dpnv(avnip?) gesagt liat: dies oder etwas ähnliches; denn eine auch nur annähernde Sicherheit ist bei den aus dem Zusammenhange ge- rissenen Worten nicht zu erreichen; vgl. Meineke Com. 2 p. 227 f. und Lehrs Herodiani scripta tria emendat. p. 310. Es fragt sich nun, auf welche Quelle die Worte دومج رحلا عامج ماع‎ pépov zurückzuführen sind, H. Stephanus im Thes. Gr. L. nimmt diese Worte für Aeschylus und Kratinus in Anspruch, Kreussler in der fünften Auflage des Passowschen Handwôrterbuchs 11 p. 928 legt sie dem Kratinus bei, Meineke Vind. Strab. p. 49 dem Aeschylus. Diese Verschiedenheit der Ansichten erklärt sich ziemlich einfach: der erste der genannten Gelehrten konnte nicht wissen, was die beiden andern übersahen, dass aus Aeschylus vielmehr 2۳10600۷۵۵ TUG, aus Kratinus dagegen vtccoxov(ae env anderweitig eitirt wird. Befremdlicher ist es, wenn wir bei G. Hermann zu Aesch. fr. 124 lesen: «genuinum est miocoxovito rupi, sed idem Aeschylus in eadem fabula idem epitheton ad woo» apponere po- tuit», Dass ausser mtccoxovito rug in den Aeschy- leischen Kpüsoa: auch rıoooxovnrov pógov gestanden habe, ist freilich nicht absolut unmöglich, wohl aber in hohem Grade unwahrscheinlich und wie überhaupt nir- gends bezeugt, so durch die Glosse des Hesychius auch nicht von fern angedeutet. Während ein glück- liches Ungeführ die von Hesychius gemeinten Worte des Aeschylus und Kratinus uns anderweitig gerettet hat, sind wir hinsichtlich des Dichters welcher mooo- xóvitov popov gesagt, lediglich auf Vermuthungen an- gewiesen. Nach der Farbe des Ausdruckes werden wir geneigt sein müssen die Worte einem Tragiker beizule- gen; der Sinn führt, wie mir scheint, mit unabweisbarer Nothwendigkeit auf die Kapéxo des Sophokles. Aus diesem Drama sind nur drei kleine Bruchstücke (fr. 301—303) bezeugt, unter denen jedoch eins zur Er- mittelung des dem Sophokles eigenthümlichen Mythus | uns verhilft. Die Kayfxıoı behandelten; wie schon | Brunck gesehen hat, das durch die Töchter des Ko- des Sciences de Saint- Pétersbourg. kalus herbeigeführte Ende des Minos. Nun citirt Athe- naeus als Beleg für otoafBnhos, eine Gattung von Mu- scheln, aus den Kapixıor folgende Worte: alas arpaßndcu THOSE, céxvov, el tiva duvaipeS eupeiv. Diesen Worten einen Sinn abzugewinnen ist unmög- lich; aus Zenobius 4, 92 kennen wir aber eine Fas- sung der Sage vom Tode des Minos, wo Minos eine Muschel als Mittel benutzt, um den Aufenthalt des Daedalus ausfindig zu machen, der sich bei Kokalus versteckt hält; und die bei Athenaeus überlieferten Sophokleischen Worte erschliessen sich dem Verständ- niss, wenn wir nach Anleitung des Zenobius ergänzen: alas 070081300 7085, TÉxvov, el 0 ` duvalneS’ epey ôç 808406187 Alvov. Vermuthlich waren dies, wie ich früher erinnert habe, Worte des Kokalus, die er an eine seiner Töchter richtete. Ist diese Combination richtig, so dürfen wir weiter schliessen dass die Worte riocoxovntoy pópov aus demselben Sophokleischen Stücke entlehnt sind; denn nach Zenobius fand Minos dadurch seinen Tod, dass er von den Tóchtern des Kokalus mit siedendem Pech übergossen wurde. Zenobius erzählt: © Mévos oU» éB(oxs Anldudov xal xas éxdotyy yupav £Qsuvóv dene séien xal To\lv Umioyvelto Sova pacSóv TO Šta Tol xoxhéou Alvov Heart, (so Valckenaer statt deikavtı), SLA ToUTOU "brong eüproet» Aatdahov. E- E òt eis Koxadıv, rap © Anldadog Expuntero, Šel- اوري‎ Toy xoyMav. o òè agav Ermyyerdsro dreier (t£o- Zem vor Valck.) xal Audaho ۵6۵۵60۰ o ۵۵ هباج‎ pup- pnxos Ao» xal Tonoas zën xoyA(m» elage A gien dıeiSeiv. 20807 28 Moog có» Alvov (l. tò Mvov oder vielleicht có» xoyAlav) Stetpgévov (dterpyaop.evov vor Valck.), jozeto etvat rap éxelvo Têv Auldadov xal cv- eos 06. KoxaAog 9b Unooxöpevos dwase, EGevicev auto. © SE Aouodpevos Und tO» Koxahou Suyatépov ugedon Léoucav ricoay émtysapévo» avt. Ein Tod durch siedendes Pech ist etwas so ungewöhnliches, dass ich nicht fürchte, meine Vermuthung werde als unwahrscheinlich oder willkürlich erscheinen. Eur. Hec. 1271 ff.: ‚HOAYM. ` o ER. poppis ,افقوم‎ d vi, vis rfe Zeck: -TIOAYM. xuvdg KH gipa, var TEXMA. Mit Recht bemerkt Hermann dass à té nicht in 9 «^ ac 9 cvua 4 EX XNGETUL | geändert werden durfte. Das Hyperbaton ist vollstän- dig gesichert durch Eur. Cycl. 121: 076600000 à, n 16 ۵0», Amuntoos arayuv; Hel. 1579: 22, à E£v, eig tò Tóc Sev, d Sais yet, tAeucopev; Dagegen erscheint die Nachstellung des 7, als völlig unstatthaft. Was soll aber popoe مومع‎ bedeuten? Schäfer meint: Erodov dictum. loco prosaici ètwvupov. nomen, quod a forma canina ductum aderar: ne de probroso nomine cogites, quod nuper facium memini. An dieser schon in den Scholien gegebenen Erklärung hat man sich genügen lassen, ohne zu fragen wie sich dieselbe wit dem son- stigen Gebrauche des Wortes exodos verträgt. Da nicht eine einzige Stelle vorhanden ist durch welche popoñs 250869 im Sinne von noppüs éTuvumev unter- stützt werden könnte, da 2۳08۵5 "uge (Aesch. Agam. 1418. Plat. Phaed. p. 78 A) vielmehr averruncans ali- quid bedeutet, so müssen wir ér:o3cv als eine Unmög- lichkeit bezeichnen. Euripides schrieb vermuthlich poppis éxovupóv te ng dune deefe Eur. Phoen. 1551: oner 50۵۷ radcov: Tapa yap ote- vaye tað, aureiv. Statt épo» dürfte die in den Scho- lien angemerkte Variante yo den Vorzug verdienen. Nachher kann ich dem Wörtchen 086 keinen Sinn abgewinnen. Erträglich wäre ropa yap orevayeıv xal aureiv, aber diese Aenderung entbehrt aller Wahr- scheinlickeit. Auf dem richtigen Wege war Canter, wenn er Taga ۶ aureiv, freilich gegen das Metrum verlangte; er hätte statt duceiv einen Spondeus setzen sollen, 5000. yag 06۵6۷, rapa 9 agew. Vgl. Anecd. Bekk. p. 348, 17: 0150۷۰ zo arevery. 2000016 (fr. 890). Eur. Suppl. 1082. Der greise Iphis beklagt dass es den Menschen nicht vergönnt sei zweimal jung zu sein und zweimal alt: LAA Ev opos uiv T» ct un) xoc EXM, yopa UoTéparoty op Soe و‎ alava ð ox: 20209. el 8 ne géet یا‎ xal yepovreg, el re éEnuaptave, 305300 Biou Auyavres éGopScupss av. Meines Wissens ist êy Spots noch von niemand bean- standet worden, und doch erscheint es in diesem Zu- sammenhange als sinnlos. Wäre es richtig was hier gesagt wird, dass wir in unseren Häusern das nicht löbliche nach erlangter Einsicht zu bessern vermögen, so würde dadurch eben widerlegt werden was Iphis beklagt, dass der Einzelne die Fehltritte seines Lebens 25* Bulletin de l’Académie Impériale nicht im Stande sei wieder gut zu machen. Offenbar | ist herzustellen: AR Ev vënere pêv nv Te un 0266 EXN, qvop.aucty votépatarv op SOULE Sa. Ein Gesetz wird durch das andere berichtigt (Séovra: ol voor vépou To Sroptwaovros, sagt Androkles bei Aristot. Rhet. 2, 23 p. 1400 a 10), und in Athen na- mentlich war ein Umändern und Modeln der überkom- menen Gesetze an der Tagesordnung"). So wird bei der Gesetzgebung die bessere Einsicht der späteren Geschlechter verwerthet, während der einzelne Mensch die Irrgänge seiner Jugend umsonst beklagt, ohne aus der später gewonnenen Einsicht wesentliche Vortheile zu ziehen für die Praxis. Aus ENNOMOIC wurde zu- nächst ENOMOIC, und nachher schaltete man fälsch- lich ein Delta ein. Eur. fr. 478 bei Stob. Ecl. 1, 4, 6 p. 156: To tijg avayxns où Aren 600۷ Cuvov. Obgleich wir den Zusammenhang nicht kennen, in dem diese Worte ursprünglich gestanden haben, so dürfen wir doch zuversichtlich behaupten dass die Worte cu Met» cov fehlerhaft sind. Weder ist es möglich où héyeuy Zoe statt Apatov Gcoy zu sagen, noch gibt ۲ hier einen passenden Sinn. Bei Doxopater in den Rhet. Gr. vol. 2 p. 291 scheint, wie ich schon früher be- merkt habe, derselbe Vers wiedergegeben zu werden, wenn es heisst: t6 tij; avayaıns layupsv Cuóv. Damit ist freilich nicht viel gewonnen; denn lässt sich auch durch Einfügung eines &oriv vor مره‎ Sinn und Metrum in Ordnung bringen, so fragt es sich doch, ob Doxopater genau den Euripideischen Ausdruck | wiedergegeben hat. Wenn ich nicht irre, benutzt den | nämlichen Vers Iulian Orat. VIII p. 246 B: àxagaícq- Toy &o Gert, TO 22/960, kuyov tig avayens, wo schon der Ausdruck «6 As yöpevov auf einen bekannten Spruch hinweist. Nach dieser Stelle möchte ich emendiren: TÒ tfjg avayans duonapaltnrov Luydv. Ganz ähnlich sagt Aesch. Prom. 105: tò ۳3 dvæyxng dar aönpırov oSévos. Das où Xéyeuv Goov in Stob. Ecl. halte ich für eine freie Erfindung, wie dergleichen bei A7 Auf diese Neuerungssucht bezog sich Plat. Com. 2 pag. 692, er sagte, wenn jemand auf drei Monat verreise, so kenne er Athen in Folge der umgewandelten Gesetze nicht mehr wieder. diesem Autor öfters vorkommen. Eine ähnliche, wenn | auch vielleicht nicht so starke Entstellung "ime | sprünglichen Ausdrucks finden wir Ecl. 1, 6, 8 p. 196, | wo Philemon (Com. 4 p. 62) gesagt haben soll: | ج6336‎ xac dm darovikstar ۰ | Nach Meineke bedeutet darovileoSa: hier a diis regi, Da diese vermeintliche Bedeutung an sich kaum denk- bar ist und da sie obenein mit der sonstigen Anwen- dung des Wortes sich in keiner Weise verträgt, so ist mir منم(‎ seit Jahren als verdächtig erschie- nen..In dieser Ansicht bestärkt mich eine bis jetzt unbeachtet gebliebene Stelle des Libanius Decl. vol. 4 p. 660, 8: rés yàp avSponces vooou xgelttav V) cuppo- pûç; 2236+ xaT AAV yap و‎ tuymv' To- Aurpora ydp ta rratouara. Dass Libanius das Origi- nal uns wiedergebe, móchte ich bezweifeln: so viel aber ist klar, an Sauovtéera: darf nicht weiter gedacht werden. Passend wäre ج6330‎ xaT AA» yap TUX xet- pageta 7): aber mit gleichem Rechte lassen sich an- dere Vermuthungen aufstellen. Aristoph. Eq. 1236. Auf die Frage, bei wem er in. die Schule gegangen sei, entgegnet der Wursthändler: Ev ۲۵00۷ euo tat; ۱6۵۷۵۵۸۵ eren, Wenn man meint, xovàUAct; nopottopyy bezeichne «ich wurde durch Faustschlüge gestimmt, d. h. erzogen», so wird man schwerlich im Stande sein diese Anwen- dung des Verbum dọpértew zu rechtfertigen. Offen- bar ist neuottouny darum gewählt, weil es sich um die musische Bildung handelt, die der Wursthändler als Knabe genossen hat. Wie an einer früheren Stelle. des Stückes V. 996 von Kleon gesagt wird, er habe keine andere Harmonie lernen wollen als die Sopoôo- xati ®), so scheint hier der komische Witz eine xov- Gurt geschaffen zu haben: ey ralaıy euo tonc ۳۵9۵۵0۵ Topo rco my. 18) Hierokles und Philagrius ۵۸6۲۰ p. 318 ed. Boiss,: veav(oxos bs zen Nyaron Gerd yuvarzav duo, dLootapou xat 0 cxpwrou, xd nosv gue, Té 800/6۵: ۵۷61 xaxote uepitouær. Das letzte Wort habe ich schon früher (Trag. Graec. fragm. D = verdächtig bezeichnet; sollte nicht der Dichter yerpafopat ge- ieben haben ? Si و‎ Unbegreiflich dass der thörichte Schreibfehler اق‎ noch immer in einigen Texten fortgepflanzt wird. Wie 9 0۵۵6 die Harmonie der Dorer, so bezeichnet 7, dwpodoxıori die Harmonie der dwpodcko:. Eine Form dwpodoxnori ist eben so wenig ی‎ als dwpnori oder Audmdri oder ,وب‎ 5 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 394 Aehnlich Vesp. 1503: dro yap 000701 êppeheia xov- | 9uAcu. Mit der Verbindung xov8uMoi NpROTTERM vgl. Plat. Lach. p. 188 D: xoi soën pot oxe? ۳۵۵0۵۵5 © ö rolotog eivat, appovéay xariiotyy کم‎ où Aupav oùdè + Ney Ar. Eq. 989: pact yap 0009 ci 01864 ol Euvspaltay tiv dopati póvny dy ۸ Sapa THY Auger, Ar. Nub. 101. Die im Bulletin T. VI p. 52 f. oder Mélanges Gréco-Rom. II p. 461 f. von mir als unrich- tig bezeichnete Lesart peprpvoppovreotatl sucht Mei- neke Vind. Aristoph. p. 71 zu vertheidigen, indem er sagt: «SUNİ pepınvoppovrioralnon ol TEPL p.epr.vov ppov- igouot, sed pepyta xal ppovriotai, ut e. c. ۵00۷۲ ctxépauvos luppiter est tonitrua et fulgura mittens». Sollte aus جرا ومع‎ und ppovriorns ein Compositum gebildet werden, so würde es vermuthlich lauten nicht pepyvoppovteotai, sondern peptuvntoppovriorat. Aber derartige Bildungen, wie etwa PEY statt ۶ xal رمو كس‎ Soo mtpto statt 860: xal Aide u. dgl., schei- nen der classischen Gräcität überhaupt fast ganz fremd geblieben zu sein. Das Adjectivum Boovrnotxépæuvos, das sich nirgends als Beiwort des Zeus, wohl aber . als Beiwort der Wolken findet (Ar. Nub. 265), ist sei- ner Bildung nach nicht wesentlich verschieden von Aynoiaos, Setorduipoy, éAxscírerAog und ähnlichen Wörtern bei Lobeck Phryn. p. 769 f. Gesetzt aber ۳6۵۲۳۷۵۵۵0۷۲۱0۲۵ wäre so viel als pepmavntai xal ppov- total, so würde diese allgemeine Bezeichnung doch offenbar auf jeden beliebigen Philosophen anwendbar sein; hier ist eine schärfere Bestimmung absolut noth- wendig, da Pheidippides sofort weiss, dass sein Vater vonjenen aàaķóveç redet, den derre xal avunodnrer, EL ô xaxodalpov Xaepav xal Zoxpatnç. Darum glaube ich meinen Vorschlag petesmpoppoytt- oral”) aufrecht erhalten zu müssen, und dies um so mehr, da ich jetzt im Stande bin eine urkundliche Be- stätigung desselben beizubringen. Eine solche finde ich bei Plat. Apol. p. 18 B: ۵2 Zoe ne Zoxparns, go- pos. QUE TA TE 6۵ PpovrLoTng xai Ta ۵ Yis &xavca. aveiyrneas, und bei Xenoph. Symp. 6,6: & pr ye ddoxeig zën لاومو عه‎ ۳۳ Diesen Stellen zu Folge kann nur darüber noch ein sich erheben, ob wir bei Aristophanes pe- ee nn 20) So habe ich geschrieben, nicht uerewposoprorat, was gegen das Metrum streiten würde. tewpoppovrioratl oder petéopa opovctocat zu lesen ha- ben; ich möchte letzteres für wahrscheinlicher halten nach der Platonischen Stelle, welcher Libanius Decl. vol. 3 p. 351, 13 sich anschliesst: Tata piv aucoi; gem: TOG Ta ۳66۵۵0 00014607. Ar. Vesp. 420 ff.: ZANO. 'Hodxàetz, xat xévro’ Eyouaıv. ou 5064, ۵ 84- 600: BAEA. otc y dxoAsony OO mov y وم‎ Tov ۰, XOP. xalcé* 0506 ۵0200۵6۰ gd ۳84 8 KT. Das Wórtchen «3:9 im letzten Verse ist hier nicht ganz angemessen; es muss wohl heissen entweder cy- Jus oder œutix éfchoïpev. Für letztere Aenderung spricht der Umstand, dass die Handschriften nicht aù- Su bieten, sondern auct; oder arg (so nämlich steht in dem vorzüglichen cod. Ven.); denn AYTHC und AYTIK ist kaum zu unterscheiden, wie IC und K un- endlich oft verwechselt werden. Bei Holdens Conjec- tur œutois é&oAcopev fällt auf ein völlig entbehrliches Wort ein ungebührlicher Nachdruck. Richters xaí gë toig aurols òħoŭpev entfernt sich ohne unti Grund zu weit von der Ueberlieferung. Ar. Vesp. 1490. Ueber diese Stelle habe ich Bulle- tin T. VI p. 54 oder Mélanges Gréco-Rom. II p. 463 ff. gehandelt und behauptet dass Bentleys Conjectur noce: Pouviyos nach den Gesetzen der Grammatik unstatthaft sei, weil eine Form rnooe bei keinem voralexandrinischen Schriftsteller sich finde. Darauf entgegnet Meineke Vind. Ar. p. 36: «Activi (rAñocety) frequens apud. Homerum usus est, neque quidquam im- pedimento est, quominus Aristophanem concessa ana- paesticis numeris libertate usum epicam formam 6 statuamus». Dass Activformen des Simplex 0۵ sich bei Homer finden ist richtig, aber für die vorlie- gende Frage gleichgiltig; auch bei Aristophanes und Xenophon finden sich active Formen eben dieses Sim- plex (ôç dy nenAnyn x0» ratépa Ar. Av. 1350. ۷ rerinyevar tov ۵900 Xen. Anab. VI, 1, 5). Aber die Praesentia همم(‎ (riyTro) und rAnocopm: (RAnTro- wat) nebst den entsprechenden Imperfecta sind in der Zeit vor Alexander dem Gr. nirgends nachweisbar, weder in Trimetern noch in Anapüsten, weder im Epos noch auf der Bühne, weder bei Dichtern noch in der Prosa. Denn Batrachom. 273 ist fehlerhaft überlie- Bulletin de l'Académie Impériale fert, und wenn Rhianus Od. |, 491 ara TANOGOVTES | statt din ronocovres schrieb oder schreiben wollte, so bewies er damit nur dass er ein Alexandriner war; wie denn auch Schweighäuser und Meineke sich irr- ten, wenn sie bei Aristophon Com. 3 p. 357 die Form miete für zulässig hielten. Die Behauptung. also dass bei Aristophanes rAnoosı Pouwyos ein Ding der Unmöglichkeit sei, wird durch Meinekes Berufung auf Homer und auf die Freiheit der anapästischen Rhyth- men nicht im mindesten gefährdet. Eben so sicher steht es dass der موزجم‎ Pouwyos bei Aristophanes kein anderer ist als der tragische Dichter, auf dessen Vers nte diéxvoQ Boo» Oz ۸۵6 TTEROY der Aristophanische Ausdruck sich bezieht. Zur Zeit der Aufführung der Vespae war der Tragiker Phry- nichus längst todt; aber seine Poesie lebte fort in dem Andenken der Athenér und konnte daher vom Komi- ker hier wie sonst (vgl. Phryn. trag. fr. 10. 17. 18) parodirt werden. Ar. Lys. 24, Durch das was Meineke Vind. Ar. p. 117 über diesen Vers sagt, sehe ich mich veranlasst zu bemerken dass ich Philol. 4 p. 195 f. die Gründe auseinandergesetzt habe, weshalb die Worte ۸۷2 xai vn Aa xay). KAA. xara ng out roue: verworfen werden müssen. Diese Auseinandersetzung scheint Meineke bei der Ausarbeitung seiner Vindi- ciae nicht nachgelesen zu haben; wenigstens ist er auf den Inhalt derselben mit keiner Silbe eingegangen. Uebrigens hätte ich in Betreff des obscönen péya xal rayo noch eine Aristophanische Stelle anführen sol- len, Eccl. 1048: ger avti toutov +67 ayasov elc éc- TEDAN PEYAANY arodwosı xal Trayelav cot yaotv. Ar. Lys. 742: 6۵ rerw Eieldur, érloyes tod Toxou. Aus der Dehnung der ersten Silbe in rorya schliesst Meineke Vind. Ar. p. 129 mit Recht, dass hier eine tragische Parodie vorliege. Auch ich habe Philol. 6 p. 401 darauf hingewiesen, indem ich zugleich die beiden anderen Stellen der Komödie anführte, wo mót- wa auf dieselbe Weise gemessen wird, Ar. Eccl. 369: [E sët EfhctSua, wr pe 720/81 Stappaysvre, und Philem. Com. 4 p. 21: Aprepı, pA 840750000, ۷ ot 96۵, à Tom, ۵6۲۵ Die Aristophanischen tellen lehren dass die Worte ۵ جوع‎ EùelSwa ei- nem Tragiker gehören, und ich halte es für höchst wahrscheinlich, wenn Meineke sie der Euripideischen Auge zutheilt. Die Vermuthung dagegen dass der ganze Vers | à nótw Eefzur, émioyes Tol Toxou aus Euripides entlehnt sei, ist unhaltbar; denn wie der Versschluss erioyss to toxou gegen den canon Por- sonianus verstösst, so verstösst Meinekes Verbesse- rungsvorschlag érioys (es sollte heissen Zoos) ۵ xóxou gegen die Gesetze der Grammatik, da Formen wie rapaoys, xatacye u. dgl. der Tragödie und über- haupt den Attikern fremd sind (vgl. Porson Eur. Or. 1330). Die Versenden Ertoyes Tol tóxov und py pe reoudngs werden wir als freie Erfindungen des Aristo- phanes anzusehen haben. Ar. Ran. 1028: dëng oov ur, TjXovca, rep! Aapelou 251664. ` Die arg zerrütteten Worte glaubt Meineke Vind. d p. 174 remedio certissimo herstellen zu können; er will schreiben eyapny yoy yix idy souge amo Aupelou veSveditoc, «in quo dro per tmesin admodum usitatam d ۵ separatum est.» Es wäre durchaus nicht überflüssig gewesen für die Form arotsSvsôtos passende Beleg- stellen beizubringen: ào$vroxo, a oSavoüg.au, UTE SG voy sind ganz gewöhnlich ; im Perfectum und Plusquam- perfectum wird dagegen fast nur das Simplex ge- braucht. Allerdings lesen wir bei Homer aroreSvno- toç (oder vielmehr; nach’ Bekker " Hom. BI.” p. 228 aroreSveröros) Il. X, 432 und dreréSvacav Od. p, 393; auch findet sich arotésvnxa hie und da bei späteren Schriftstellern, wie Marcus Anton. IV, 48. VIT, 56. Aber was ist damit bewiesen für Aristophanes? Teleclides Com. 2 p. 366 in Schol. Ar. Thesm. 168: dX n مریم‎ Prloxida B dev adv, ei 8Š Eariv AloyuAcu Paöynp EXO». ۱ , u So Meineke mit der Bemerkung: «In cod. pro pa ho prope evanidis literis scriptum esse XeXdSmy.as SEY an- notat Dindorf», Danach vermuthete Dübner im ersten Verse Proxida Bderurteran. Richtig Cobet: «f8eXUt- topar latere veri simillimum arbitror, ut ipsa Poesis vel Musa dixerit, o) n tahawa ۵۸ BSsAuTTOopaL». Noch wartet der zweite Vers der Erledigung, wo Düb- ner wiederum etwas zu frei verfuhr, wenn er schrei- ben wollte: Set ae باجم‎ Aicyuhou emp Kg Nach Dindorfs Lesung ist herzustellen: $ vL‏ سرت des Sciences de Saint-Pétersbourg. oSouvex égtiv AloyuAcv poyne drun, Anaxandrides Com. 3 p. 162 bei Ath. XIV p. 642 B: de 9 Eorepavosnv, d TATEK steier reent 0090, BouuaS Oca pa TOUS 6 xal Tac Seac oS 2۷۵0۷ ovt ۱۵6۷ ۰ In den Eurip. Studien II p. 186 habe ich bei Bespre- chung der unattischen Form dev über den letzten Vers bemerkt: «Der Hirschigschen Vermuthung oS’ ei yeyovov سوق‎ yo, für welche Cobet N. L. p. 107 Parallelstellen beibringt, muss das Lob des Schart- sinns zugestanden werden; ob die Hand des Dichters damit hergestellt sei, möchte ich des Yjdsıv wegen in Zweifel ziehen». Jetzt glaube ich dass in ONT nichts anderes als óvtog enthalten ist, und schreibe: o98' et yeyov &vcoc old eyo. — Com. 3 p. 404 bei Ath. VI p. 241 B: aXX atoyuvcuat TOY Kopien, et 9060 cuvaoto tdv TLOLY OÙ TO rooye (poc eux arapvoüpaı 9. 4۰ . 01088 yap éxsivoc, dv xaX TLG. Ueber den letzten Vers sagt Meineke: «ante Din- dorfium. éav. Non puto tamen. locum. persanatum esse. Ac nescio an tale quid poeta scripserit, xà» tu axxov un xaX». Der Gedanke des Dichters ist hier richtig erkannt; ein Parasit wie Korydos erscheint nicht nur da wo er geladen ist, er kommt vielmehr auch als un- gebetener Gast. Indess war es nicht nothwendig an den oben angeführten Worten zu rütteln; es genügt die Ergänzung, ` oS ydp dxsivog dv xai Ttg AY TE i t Wie mir scheint, ist diese Ergänzung durch den Zu- sammenhang ie durch den Sprachgebrauch mit einer fast math t] die) t geboten. Vgl. die Versausgänge 5 iv TE Bosy Y E TE pr Ar. Eccl. 981. day re BouAy y ۷ te pri Ecel. 1097. ۷ Té Bella? Ty Tem Ar. Plut. 638. nv te كوه‎ y nv te pj Phryn. Com. 2 p. 581. dy TE AM av te un Alexis Com. 3 p. 423. j , Diphilus. Com. 4 p. 385 ue Ath. VI p. 254 E: ap (4 xa) or 1 EEE Yi xal vvd £i GE xal TÛ (66 denten, yo GW puxooy huvas ۰ Im zweiten Verse befremdet der Artikel vor ۰ $ passender wäre xai oO» yoXag zéiete, aber etwas sicheres zu geben vermag ich nicht. Uebedenklich wer- den wir dagegen nachher 2۵۲۵ xaxovpyo ändern müs- sen in 2۵۵ ۰ Men. mon. 227: d reva dyvopovds ye ۳۵ 033004 Totei. Statt der unwahrscheinlichen Vermuthung nevia à ayvonovas ye hat Meineke mit Recht die wenngleich fehlerhafte handschriftliche Lesart geduldet. Offenbar ist 9 reva eine Erklärung oder Verunstaltung des ursprünglichen 9 oravtg, Men. mon. 246: Jugla peylorn TO SEQ 7۵ «Nisi aliud. latet», sagt Meineke, «certe tó y 6 legendum». Es war vielmehr zu schreiben tò Seoss- Beiv. Demselben Fehler begegnen wir bei Diphilus Com. 4 p. 422: Eumurov ax xoüxéc tip eugefge, wo Jacobs 5۵0607 hergestellt hat. — Auch bei Phe- recr. Com. 2 p. 289: Oc tte Y 0۵۵6 rapédoxa téyyny peyaany EEomodonncas, möchte ich gegen das von Porson eingefügte ye pro- testiren, nicht als ob diese Partikel hier unmóg- lich wäre, sondern weil es ein weit einfacheres Mittel gab zur Herstellung des Metrum, Ae tol; dotois napddaxa céyvn» peo)» ÉÉcrxodopnouc. Denn autos und &ccóz lassen sich in den meisten Handschriften kaum unterscheiden und werden daher bestündig verwechselt. In der überaus reichen und fortwührend noch an- wachsenden Literatur der Griechischen Epigramme dürfte es kaum eins geben das berühmter geworden wäre oder häufiger im Alterthum citirt würde als die dem Choerilus aus Iasus beigelegte Grabschrift des Sardanapal, welche abgesehen von unwesentlichen Va- rianten in der Ueberlieferung so lautet: E elos Zo 5۷0۳۵6 que, oov Supóv deke "۳۵7206۷۵5 Dauer 50۷9۷۲۰ TOL 0۵۳ ۰ xal vào 6۲۵ 0۳08۵ sip, Nivou peyahnç Baothevous. "1۵۲ êxo Zoe čpayov xal doußpıoa xal peT 6۵0 ۲470۲ ÉraSov: za Bb rod xal daba xeiva Adcınrar. Der ursprüngliche Bestand dieses Epigrammes ist in den beiden letzten der obigen Verse enthalten; die drei voraufgehenden Hexameter von weit geringerem \ Bulletin de l'Académie Impériale Werthe hat etwas später eine nacharbeitende Hand | hinzugefügt, um eine Beziehung auf Sardanapal an- zubringen, und weiterhin kam am Schluss ein ganz klägliches Supplement von einem oder zwei Versen hinzu, nämlich "Hs soon 816016 70000661 avSpwnooiv, oder “He copn Bierg mapatveoıg, oùdé ToT aris Anoopar: Zecdozu 9 ó Séien Tov Amelpova youaóv. Welchen Antheil der wenig bekannte Iasier Choerilus an diesem Epigramm habe, wird sich kaum ermitteln lassen. Uns liegt die Erörterung dieser Frage fern; eben so wenig ist es unsere Absicht über die verschie- | ۰ denen angeblichen Grabschriften des Sardanapal zu handeln oder andere Zweifel zu berühren, die A. F. Näke durch seine überaus sorgfältige Behandlung des obigen Epigramms (de Choerilo p. 196—256) ange- regt hat. Wir halten uns an den ältesten Kern des Epigramms in V. 4 und 5, um hier einen Fehler zu beseitigen, der eine nicht geringe Zahl von Griechi- schen Autoren wie alle neueren Kritiker getäuscht hat. Die beiden Verse rat £yo 600 čpayoy xal Epußpıoa xal peT 06 répry čradov: vd Bb 0230. xad ABa xiva, ۸ werden angeführt an folgenden Stellen: Diod. Sic. 2, 23. Strab. XIV p. 672. Dio Chrysost. 4, 135. Ath. VIII p. 336 A. Steph. Byz. v. Aytan p. 24, 7. Anth. Pal. 7,325. Schol. Ar. Av. 1021. Tzetz. Chil. 3, 456. Georgii Hamartoli Chron. p. 9, 25. Eudocia p. 372; desgleichen der Anfang a: dro bis ée éraSov bei Polyb. 8, 12 und Plut. Mor. p. 546 A, endlich die ersten Worte tat dro Zoe Zpayoy xai epuBproa noch bei Plut. Mor. p. 330 F und Nicetas Chon. de Andronico Comn. II, 2 p. 417, 11 ed. Bonn. Wenn hie und da «coc êx» oder xeiv êxo statt vac Zyo sich findet oder xai per épotoy und xai c9» هم‎ | statt xal peT &oococ, ferner RAN edanv statt Kee ëraSov, endlich am Schlusse ravra ۸۵۸6۳۲۵۸ oder Ta- qoç (sollte vermuthlich heissen un Bee) éuapdev, so sind dies völlig gleichgiltige Varianten. Seltsamer Weise stimmen fast alle Zeugnisse zusammen in den Worten &payov xal égUBotca, wofür bei Strabo die besseren Handschriften &payov xoi apußpısa bieten, während: in der Anthologie ein unmetrisches &payov qe xal čmov sich eingeschlichen hat, das Eustathius Il. p. 766 und p. 1224, 36 in seiner ungenauen Pa- raphrase wiedergibt. Auch Cicero scheint éougotca gelesen zu haben, obgleich seine ziemlich freie Ueber- setzung (Tusc. V, 35, 101), Haec habeo quae edi quaeque exsaturata libido hausit : at illa iacent multa et praeclara relicta, kein sicheres Urtheil verstattet. Was soll nun &pußpıoa, hier bedeuten? Näke sagt p. 236: «Eoußptferv quum nihil aliud sit quam per oot agere, id est petulanter agere ` hic quaenam sit illa petulantia, declarat praece- dens &payov. Nempe est petulantia in convivio ex vino orta». Die Beziehung auf Wein und Triukgelage ist in dem Worte éouBotteuw an sich nicht enthalten und kann auch durch das voraufgehende épæyov nicht hin- eingebracht werden, zumal da épayoy keineswegs ge- bietet ausschliesslich oder auch nur vorzugsweise an Schmausereien zu denken. Gesetzt aber Epußpifemw bedeutete wie rapotveiv «in trunkenem Muthe etwas thun», so wäre mit dieser Bedeutung dem Zusammen- hange unserer Stelle nicht im mindesten gedient. Sar- danapal sagt, alle Herrlichkeiten der Welt habe er oben zurücklassen müssen, geblieben sei ihm nur was er gegessen, getrunken und in Liebesfreuden genos- sen. Hier kann dem deen nichts anderes gegenüber- treten als der Begriff £xtov, den wir in der Anthologie und bei Eustathius lesen. Wer darüber Zweifel hegen sollte, mag Stellen betrachten wie Alexis Com. 3 p. 518: +04 Hovas del 0۵۸2۵ tov odopeug ` toes à elalv al ye tiv BUvoquy xextmpévot ` ` mv Og dée cuvteAcücay tÓ Bio, TÒ parysiv, TO Tet, TO 6 Appodérne TUYAAVEN, ` oder Phoenix bei Meineke, Choliamb. poes. p. 141: AAR ÑY Geess dote TE xal mivety wën, TA 8 aia TAYTA XATA ۵ DIE, - oder was als Grabschrift des Sardanapal êv XoXSaiwois Yeapyaoı bei Ath. XII p. 529 F angeführt wird, E ۵0۷ TÒ Mou و6‎ Erıov 270/09 [9609/06 و‎ wie bei Strab. XIV p. 672 (vgl. Arrian Anab. 2, 5, 4); dose Tive malte, Og TAG tovtov oux agta. Kann nun Zei. Botoa auf keine Weise im Sinne von ¿rov genommen werden, so wird die Zahl der für ۵ sprechen- den ما یومع‎ nichts weiter beweisen als dass der uns überlieferte Text an einem ziemlich alten Fehler lei- * des Sciences de Saint- Pétersbourg. 402 det; in der That lässt sich mit einer nicht eben gewalt- samen Aenderung der geforderte Sinn herstellen, wenn wir schreiben: Tat هیر‎ Zeg čpayov xal EBpdyIroa xal pet يوجووة‎ 24070۷ ۳۵۵50۷ TA 8b x. xal م8(‎ xetva 746 Aus EBPOX8IEA wurde zunächst EBP... IZA, und dafür setzte man das sinnlose 20080100, Die richtige Lesart scheint Krates bei Bergk Lyr. p. 525 noch vor sich gehabt zu haben, wenn er parodirt : Tait ra Ge? Euadev xal dppövrica xal werd Movoðv ۳407۳۷ ۵9۵ xd ۵۵ Tod xal (8 موق‎ paper. Wie épaSov in der Form dem oaov nahe kommt, so scheint Eppövrıoa auf égoéySto hinzudeuten. Nicht ganz unnütz ist vielleicht die Strabonische Lesart xai . doUgowa, in der eine Spur der Krasis xdouBotca. ent- halten sein dürfte und somit eine Hinweisung auf 0 &payov 0:80 6 3t0 a. Callim. Epigr. 3 in Anth. Pal. 7, 318: "m Mé Xa RELY 67716 be, xaxóv xéao, AAAA ۰ (cov pot yalpeiv doc tò ph es eM. Dass das letzte Wort reXäv lauten müsse, haben Gräfe und Jacobs richtig erkannt. Indess leidet der Penta- meter noch an einem zweiten Fehler, welchen M. Haupt mit der Aenderung ۱ | (oov pol yalpeıv xott tò pi oe zeit zu heben versuchte. Meineke in der Ausgabe des Kal- limachus und Dübner im ersten Bande der Anthologie haben diese Vermuthung aufgenommen; mir scheint es unzweifelhaft dass Haupt den Fehler an falscher Stelle gesucht und in Folge dessen das Uebel nicht gehoben, sondern verdeckt hat. Offenbar ist, worauf der Artikel hinweist, tò pn oe re\av als Subject, pol عم‎ doc dagegen als Prädicat zu fassen: d.h. der Fehler liegt in (cov, wofür ein mit همه‎ zu verbin- d ndes Wort gesetzt werden muss. Man könnte den- ken an dla TapeASe ررقم‎ wie es Anth. Pal. 7, 320 in dem ähnlichen Epigramme des Hegesippus heisst: pov WtodySpuros dvox£o * d'A 50060252 open el- TAS Tod, müosASe pövov. Kallimachus aber schrieb E ses ae S 1 2 Mi وميم‎ 57:06 pe, xaxòv xéao, ۵ RapehSE (c4 7 Sdoccov: épol reien dot tò un oe 52069 Tome IX. e Dass der Comparativ Säccev zur Schärfung des Befeh- les gern mit Imperativen verbunden wird, ist hinrei- chend bekannt; vgl. Soph. Oed. Col. 824 : xoper, Éév, &&o Sğacov, und die daselbst angeführten Stellen. _ Der Grammatiker Herodian citirt in den Schol. Il. P, 141 ohne Nennung des Verfassers den halben Hexameter péopa 20۸06۲۲۵۷۵ roranoo. Meineke Callim. p. 121 hält die Worte ۳60۵0: 200/۲۲۵۷۵ für Kallimacheisch, roranoo dagegen für einen Zusatz des Herodian. Dass die eine wie die andere Vermu- thung irrig war, beweist Apollonius Rhod. 4, 337: piapa. Zahayyôves Torapou xal (۵2:0 alng, eine Stelle an die bereits Lehrs in der Bearbeitung von Herodian rep "Dıaxfs roocodtas p. 319 erinnert hat. — Nicht minder auffallend ist es, wenn der iambische Vers Däer dorks ازج‎ pepékwov xépny | nach Näkes Vorgang (Opusc. II p. 48) noch von W. Dindorf im Thes. Gr. L. vol. VIII p. 45 B, von M. Schmidt Hesych. vol. IV, 1 p. 193 und von C. Dil- they Anal. Callim. p. 7 dem Kallimachus zugeschrie- ben wird. Dieser Vers gehört vielmehr, wie Gaisford im Etym. M. p. 2172 E anmerkt, dem Johannes Da- mascenus, über dessen Hymnen ich in der Zeitschr. für d. Alterthumswiss. 1855 p. 19 — 22 gesprochen habe, und wir haben auch nicht den leisesten Grund anzunehmen dass Johannes die Worte eines älteren Dichters reproducire. — Die bei Suidas v. apadakov- teg anonym stehenden Trimeter Se xairep opadadkov Evdosev ro dois Aoyorz, 020و‎ t ۵۵۵6 ۵46۳۸0 YAsurouc Céov, habe ich Trag. Graec. fragm. p. XIII. vermuthungs- weise als Byzantinisch bezeichnet; sie gehören dem Gregorius Naz. vol. 2 p. 14 A. Demselben Gregorius vol. 2 p. 27 A gehórt der von Meineke Com. 5 p. XXXIII (edit. min. p. 22) angeführte Vers: cuogm- ۷6۵۷ Tt ۷۵۸۷۵۷ Eoyaaınpıov, und der Anfang lautet viel- mehr tupßn véov ti. | Lysias 1, 31. Der Redner zeigt, dass wer bei sei- ner Frau einen pouóz ertappt, ihn zu tödten befugt ist; ja sogar bei den ra\\axa hat das Gesetz dieselbe Rache gestattet. Offenbar, so heisst es weiter, würde der Gesetzgeber bei den yapctal eine grössere Strafe bestimmt haben, wenn es möglich gewesen wäre: vv 8 ouy oldg d ۵« rau loyuporepay èT Exeivars (näm- lich tais yapsrais) éEsupeiv, civ aT xal del cai; 26 103 Bulletin de l'Académié Impériale” na)Aaxatz "S 9۵۵۵0. Die letzten Worte führen den Gedankengang nicht folgerichtig weiter. Jetzt wird gesagt: «der Gesetzgeber bestimmte bei den raaxat die nämliche Strafe wie bei den "onserer, weil er bei den yapecot eine strengere Strafe nicht festsetzen konnte»; statt dessen muss es heissen: «bei den Yagecat bestimmte der Gesetzgeber in Ermange- lung einer strengeren Strafe die nämliche welche er bei den ۲6 festgesetzt hatte». Es ist somit zu verbessern: my atiy nv xat eni rats € nelwos ۰ Lysias 13, 18: ou à 0 96و‎ oTO avdmroi Toa» xai Be Gote Tepl FNAXOUTUV Av diy ru rodrrovres Ayopatov Oc FOTO Xa ec, Beien xod ex $e» ra 7۳0620600۷۰ Sollte an dem Ausdruck dyonto xal goe och niemand Anstoss genommen haben? Wenn Leute die sich zum Sturz der Verfas- sung vereinigt haben, einen Menschen von niedrigstem gends weiter vorzukommen scheint, spricht der com: stante Sprachgebrauch, den man aus folgenden Bei. spielen ersehen kann. Teles bei Stob. ۵ vol.3 p. 235, 10: 6ف‎ éprhoy اعدف‎ xol 33m cixogty 2۳00, Lueianus ۰ trag. e, 26 vol. 2 p.671: Tena- Aat pèv dE 20780۷ yeyovos, Eyyeypapıdvos 85 dz TO tav Sodere ره(‎ Pollux 2,9: êm Bok, « zen 28 Zeg. Bav“ tootoy DE xal perv QU ol epuer Gerben, Hesychius: 86100071816 ` 6 85 Eonßov, und me pucevoy PAP ON tov dÉ épripov: Plut. Mor. p.844C: 6 py daten eis Beem, ۵ 9 Eyayoveı Ki Zeien, Be liod:.3,,14.p;:91,:32 : 290 yap VTO Too TATE, Gre dE i ifs eig rie lspopévous Evexplvero. Synesius Calvit. encom. e. 17: werdo da oto too» dÉ des. Bov ۲۵۳۵۵۵9۵۲۰ Synesius Epist. 130: dert dt dE Zeen ebe mag div cr)» tO» otgateupd to» مه‎ Nach diesen Stellen halte ich tét bei Censorinus für irrthümlich; vermuthlieh hat der Autor geschrieben‘ Stande in ihre Plähe einweihen, 86 lässt sich ein sol- ches Thun nur aus dem Mangel an Verstand; nicht aber aus dem Mangel an Freunden erklären. Statt dotor muss offenbar ein dem avontor verwandter Be: griff erwartet werden, «verblendet» oder etwas ähn- liches, d. h. es ist Heriuttälldn® où yap Sirol 0 ota VOTO Tay xal aktor. Aehnliéh Demosth. 19, 173: ei ydp Eo cücoz Av USAC 603 Zeen. "Heraklitus in den Allegoriae Homerieae lehrt dass Thales, indem er das Wasser als den Ursprung aller Dinge bezeichnete, lediglich aus Homer schópfte. Spä- ter, so heisst es darauf, verband Anaxagoras mit dem Wasser als zweites Element die Erde (c. 22 p. 46 ed. Mehl): x casco» 5b x érépacé م0‎ "Opmpes eyeopynoev, Avakaydon oto pata tis ertvolas Xd Rees, Das sinnlose &ycopyncev ist eine Verschreibung |. statt éyoonynosv. Demselben Fehler begegnen wir in der von Lobeck Aglaoph p. 684 behandelten Stelle des Proklus und bei Pseudo-Calisth. p. 116 a ed. Didot.: duet: dE 82۵5 où yosíav foley nohets ertt- “لاق‎ 6۷006 yap tov oz xai Mn ot Loo 1% (vielmehr yopnyös). "Censorinus de die natali c. 14, ek 36, 12 ed. Talin: s tertia autem aetate adulescentulorum tres gradus esse füctos in Graecia priusquam ad viros perveniatur, quod t annorum XIIII 228, peNégnBos autem XV, dein se cim ١ ÉprBov, tunc septendecim dE oov: Gegen das Vorhandensein eines Wortes Ziele, das f tunc septendecim ZE &onßov. — In- gleicher "Weise | nennen die Griechen denjenigen welcher von: — abstammt, êx 8oUAov oder darò 3cUAov. Vgl. Lysia | 18: Seëien xai de SoUAov dvre. 13, 64: det yàg Sh elevar ött 80053064 xal dx ۵۵ DEL "Entsprechend éx Zeien Suidas v. Agpav, dagegen «mo 8cUX9v der. selbe vv. Avctod voc, 'Idj.gXuyec; Gedëogez, KatxéMes wie axo oixecóv' v. Ayxxpdv. "Wenn es daher bei Suidas v. Fotz Bnourtios vol. I, 2 p. 630۱10 ۵951: ۵000 20 ۵۷ 0 ‚dürfte de nothwendig sein, und eben so wird Suidas v y. ‚Apıstopdivng vol. I, 1 p. 733 f. Tos | 8b aê xal and Bei (nicht 420و‎ toto- "c- enxact geschrieben haben, ‚obgleich für dé | 1 Fresne du Cange. einige Belege aus mittelalterlich en Texten beigebracht werden. ` Marcus Anton. Y, 33: Ta » درو کول‎ PET cal هجو زا‎ Der Autor. will sagen dass unsere‘ inne der Täuschung unterworfen sind. Statt do werden wir herstellen müssen roden, Wort ist. nicht ‚weiter nachweisbar, aber Fr Analogie von ATTOTOS, dires, Ur Ae | tántotos und dergleichen Bildungen Vollständig ges chert. Antoninus 548 ‚gebraucht à EE Aë drporratoç VII, 5 i Mareus Anton. Vil TRE 5 kov Diet quc = d T QUE ooo óc eet vv py ۷ A dat - | acà SE ۵08 2 SEV DUT نزن ون‎ zë ZA a 160, “elta ets or te ۹۹ f — Aus- Y id Wi drück: Ste 6060 qual»: widerstrebt.dem. Zu usammen- habge; welcher den einfachen Begriff .3évàgov. fordert. Statt sic óévàpcu quaw ist zu lesen, eis -deydpupuov, pa- rallel dem voraufgehenden irr&gprov. und: dem nachfol- genden awSparapıov.; Eben dieses-3ey3oug:ov finden wir IV; 20; und VHI 7, und überhaupt zeigt der stoische Kaiser eine ganz absonderliche! Vorliebe für. Verklei: nerungswórter. Bezeichnend sind. in dieser Hinsicht Verbindungen wie VI, 13: Paképvos yuAaotóv doct oxa- guten Mal M Mepımöppupus rie, mpofaréon امه‎ 3636 pP oder VIL, 3: xuwötlors: موه‎ 00۳۳ dap deg eic cac Tõviiy vov defapevas, دامع ابد ودس‎ tahat- miopia xaki dyzopopiat, Pablo dreem zue ZAraäoen ot, Unrichtig-steht IN. 3: MURER tt tic: ER n elgi tototo dp Sp Sov éavtoð. Nach Anleitung des Sinnes hat Co- | rais ayptötov verbessert; zur Bestätigung dient das Citat. bei Cramer Anecd... Paris. vol. 1. p. 177,80: wonach. مقو كمه‎ aus. dem Thies. Gr. La zu tilgen ist. Als scltsam erscheint IV ,.15 3«8avozcü. Porapıa, viel- | Jeicht:verschrieben . ‚statt Bavaro, ove. ب‎ -4s Marcus Anton. XII,.8. Jeder Mensch liebt sich | selbst am meisten, und doch legt er auf sein eigenes | Urtheil über sich einen geringeren. Werth als auf das |; iwa andere von. ihm. denken :..éàv yoy twa Reds. 73 60 e Sp poov . ی‎ ۳ we? ÉauToy | Dupes Saw; al. Sugeest dor. © Or a. مره‎ 6۵۷۵۵۵ |. نولتت‎ mie bin Ange, roro; Uropeyel. | Statt |d des sinnlosen, dpa ye melen muss es-heissen ápa "Yeyovíoxov...In:ganz ähnlicher Weise ist. das Verbum areyovioxeo entstellt, bei Eur: Suppl. 204 und Babrius |. — 22, n des, letzten. Sek? wird durch. die C ado: AU 1317 FE Wie Sr 7 teilte ni e; "kein, befriedigender. Sinn ‚gewonnen ES hilo. 4 p.197 £.), aber ua scheint, mir s nothwendig. dail r Glosse ist, wie M, Schmidt, richtig an- Com. 2: Pa, 555, ‚Sollte a aber. dytin- ieas. dichterische, ۱020 von, ci- SE Erklärung verwen en sein, und sollte SAM 2 überhaupt «das poa Sne haben? Beides halte ich für unwahrschein- . Näch Eust. Od: p. 1406,97 werden "manche H gri f. Md brin. 1 500000 ei avvia: 20. | IRE geneigt.s sein ara, Séna: zu verbessern; aber. es age- nügt, die,einfachere, Aenderung xac. و‎ Hesychius xean مومس چیه و0‎ W. Dindorf und M, Schmidt ändern evga, in هبعج‎ Aber épéSuco. gehört zu dem Praesens evox und bedeu- tet inebriavi, kann. also auf keine Weise zur Er klärung von. xgatraó: gebraucht werden. ‚Vielleicht ist peSu- cugas, A0. schreiben, vielleicht auch peSuoas (vom Ad- jectivum, péSusos). ‚beizubehalten : zu einer, sicheren Entscheidung können wir erst dann gelangen, wenn de Quelle: der ‚Glosse ermittelt. sein wird. (In. einer für, die Studien der späteren Byzantiner ont eichen ‚Stelle gibt Ioseph Rhakend, bei Walz Rhet. Gr, vol. 3 p:521 eine Uebersicht derjenigen Autoren, elgg in. ‚den, einzelnen Gattungen der Darstelln iene Für halb rhetorische ‚halb | philosophische, Vut ii werden empfohlen Grego- rius; Aas, Basilius, Gregorius. NYSS; Psellus, ‚Syne- sius, Fhemistius, Plutarch ; für die pévos Top Aoyo- Neaga Chrysostomus, 3; neraoppastns (vermuthlich Simeon), Libanius, Aphthonius, Procopius Gaz., Chori- | cius, Himerius, Lucian, Demosthenes, Lysias, Isokra- bie: endlich, Ev tats s EPA STE vei By: Li 15223 d unter allen pre befremdlich : sein. ei- nen.fast verschollenen Scribenten hier erwähnt, zu fin- den. „Ohne Zweifel beruhen die Briefe des Lykophron nur auf, ‚einem leichten: Schreibfehler, nach ‚dessen B seitigung, ‚eine, allbekannte: Briefsammlung zu Tage tritt, ai exta vola. 5 يوي‎ : die festen Kohlenwásserstoffb des Stein- kohlentheers; von H Fritzsche. ng le 2^no- sti ef 1865.) en Seit einer. Reihe v yon n Jahren schon. habe ich mich eon den. Produkten der. „Destillation. der Steinkohle beschäftigt und es mir. hauptsächlich zur Aufgabe ge- 191 macht, die „festen dabei auftretenden Kohlenwasser- A ^ Bulletin de l’Académie Impériale stoffe genauer zu charakterisiren, als dies bisher ge- schehen war. Gleich beim Beginne meiner Unter- suchungen über diese Körper konnte ich nämlich nicht in’s Klare kommen, für welche der in den Hand- büchern aufgeführten Substanzen ich die von mir dargestellten zu halten hätte, denn die Beschreibun- gen passten nicht recht zu ihnen, und die Angaben über sie erschienen mir überhaupt sehr mangelhaft. Ich erkannte bald, dass meine Vorgänger keine reinen Substanzen vor sich gehabt haben konnten, denn die Trennung dieser Körper von einander und ihre Dar- stellung in reinem Zustande erwies sich als eine sehr schwierige Aufgabe, welche auch mir bis jetzt nur theilweise gelungen ist. Durch die Entdeckung der Verbindungen von Kohlenwasserstoffen mit Pikrin- säure hoffte ich ein Mittel zur Trennung dieser Kör- per von einander gefunden zu haben; allein diese Hoffnung hat sich nur theilweise bestätigt. Die Pikrin- säure leistet nämlich zwar einen sehr wesentlichen Dienst dadurch, dass sie die Kohlenwasserstoffe (sowohl feste als flüssige) in zwei Gruppen scheidet, in solche, welche mit ihr Verbindungen eingehen, und in solche, denen dieses Vermögen abgeht, allein zur Trennung der verschiedenen Glieder der ersten Gruppe von einander ist sie deshalb nicht ausreichend, weil ihre Verbindungen gerade mit den sich nahestehenden Kohlenwasserstoffen auf ganz gleiche Weise in Nadeln von gleicher Farbe und gleichem äusseren Ansehen krystallisiren. Ich musste daher, nachdem ich zuerst die Kohlenwasserstoffe der ersten Gruppe als krystal- lisirte Verbindungen mit Pikrinsäure von denen der zweiten Gruppe, welche hauptsächlich aus den mit dem Namen Paraffin bezeichneten Körpern besteht, getrennt hatte, behufs ihrer weiteren Trennung von einander andere Wege einschlagen, und konnte erst dann, als mir die Darstellung vollkommen reiner Kör- per gelungen war, wieder zur Pikrinsäure greifen, welche nun ein vortreffliches Mittel giebt zur Aus- mittelung der in ihrem Molecül enthaltenen Anzahl von Atomen von Kohlenstoff und Wasserstoff. . Die mit Pikrinsäure verbindbare Gruppe der festen Kohlenwasserstoffe ist es nun zwar, welche vorzugs- ‚weise. den Gegenstand dieser Abhandlung bilden soll, ich muss ihr die Beschreibung eines nicht "d diese Gruppe gehörigen neuen Körpers vorausschicken, weil dieser hier am geeignetsten seine Stelle findet. Es ist dies ein orangefarbener Körper, dessen ich be. reits in einer am 28. April 1862 in der Pariser Aka: demie der Wissenschaften gelesenen Notiz über Koh- lenwasserstoffe ‘) erwähnt habe, und welcher die be: merkenswerthe Eigenschaft besitzt, grossen Mengen von farblosen Kohlenwasserstoffen eine schön gelbe Farbe zu ertheilen, Meine Untersuchungen über die- sen Körper sind zwar noch nicht geschlossen, weil es mir bis jetzt nicht hat gelingen wollen, ihn in hin- reichender Menge zu erhalten, allein da dies vielleicht noch nicht so bald zu erreichen sein möchte, so werde ich hier alle meine bisherigen Beobachtungen darüber mittheilen und ihn vorläufig wenigstens, bis sich ein besserer geben lässt, mit dem seiner oben angeführten Eigenschaft entlehnten Namen RE bezeichnen. Chrysogen. Das Chrysogen ist in der festen N ent- halten, welche sich aus dem sogenannten schweren Steinkohlenöle (heavy où oder dead oil der Engländer) absondert, und welche aus einem Gemenge verschie- dener Kohlenwasserstoffe besteht, zu deren Darstel- lung sie das Material bildet. Die erste Menge dieses Materials hatte ich, wie ich bereits anderwärts ange- führt habe), als schmierige Masse, aus einem solchen Öle erhalten, welches aus der ‘grossartigen ‘Fabrik ür Stei dukte von Kurtz, Cropper u. Comp. in Liverpool herstammte. Bei der Bearbeitung dieser Masse, zuerst durch Pressen zwischen Fliesspapier und dann durch Behandeln mit Lösungsmitteln, erhielt ich unter andern auch einen citronengelben krystallinischen Körper, und beim Umkrystallisiren desselben aus Alcohol bildeten sich zuweilen eigenthümliche Krystallisationen, welche aus zwei dünnen, gelben, sechsseitigen Tafeln bestanden, symmetrisch verwachsen durch zwischen ihnen be- findliche, fast farblose Krystalle von viel kleinerem Durchmesser, aber ziemlich gleichmässiger Ausdeh- ۱ nung nach den verschiedenen Richtungen. Schon da- mals befremdete mich diese verschiedene Färbung, so wie auch der Umstand, dass ich gewöhnlich Produkte von zwar gleichförmiger Beschaffenheit, ‚aber von mehr oder weniger intensiver gelber Färbu Ze e +: 3۳: - 1) Compt. rend. T. 54, p. 910. riots 6 E pee. phys. mathém. T. XVI, p. 153. Mélanges phys. et chim. des Sciences de Saint - Pétersbourg. 410 die Entdeckung der Pikrinsäureverbindungen zog mich aber damals von der Verfolgung dieser Resul- tateab, und als ich bald nach der Publikation meiner Abhandlung über jene Verbindungen durch einen Un- glücksfall den Rest meines Materials verlor, musste ich die ganze Arbeit unterbrechen. Erst im Herbste 1858, als ich Professor Ander- son in Glaseow besuchte, welcher damals schon mit seiner Arbeit über das Anthracen?) beschäftigt war, verschaffte mir dieser mit zuvorkommender Bereit- willigkeit aus der dortigen Steinkohlentheer-Destilla- tionsfabrik von Georg Miller u. Comp. eine bedeu- tende Menge neuen Materials. Dieses war ein pulver- förmiger Körper von eitronengelber Farbe, in harte Kuchen zusammengepresst ‘und den Namen Para- naphtalin führend; über seine Bereitung ist mir zwar nichts bekannt, allein ich vermuthe, dass er durch Umkrystallisiren eines dem oben erwähnten ähnli- chen Rohproduktes erhalten worden war. Unmittelbar nach meiner Rückkehr nach St. Petersburg nahm ich dieses ausgezeichnete Material in Arbeit und ver- folgte dabei vor allen Dingen die dasselbe gelbfär- bende Substanz. Durch Behandeln mit Steinkohlenöl erhielt ich grosse gelbe Blätter, welche durch wieder- holtes Umkrystallisiren aus diesem Lösungsmittel im- mer dunkler gelb wurden und eine grünschillernde Farbe annahmen, während in der Lósung ein weniger gefürbtes Produkt zurückblieb. Dabei kam es darauf am, nicht nur den richtigen Concentrationsgrad der Lösung, sondern auch den richtigen Moment beim Abkühlen für die Filtration zu treffen, denn das am meisten gefürbte Produkt scheidet sich zuerst aus, und je früher man nach beginnendem Ausscheiden filtrirt, desto dunkler gefärbte Blätter erhält man ge- wöhnlich, aber desto kleiner ist auch ihre Menge. Diese Blätter zeigten lange Zeit kein besonderes Ver- halten gegen andere Lösungsmittel, nachdem ich sie oitmals dieser so zu nennenden Concentrations- arbeit. unterworfen hatte, erhielt ich endlich eine ulia d dne usur di c dem € Rede, als der gelben Farbe des R vnd der aus ihm er- ١ fs t ST? halten. In Dumas Abhandlung wir 1 EPUM Ant, 9 Ce tad DIOS Di - ` k zwar gesagt et de Ph. T. L, p. 190), dass das Para- vaphtalin immer von Spuren einer orangefarbenen Substanz beglei- let sei, dass aber mit dieser nicht das Chysogen gemeint sein kann, geht aus dem p. 188 über sie angeführten hervor. der Schwierigkeit erwähnt wird, 23 8 ef? d | kleine Menge dunkel grüngelber Blätter, welche beim | Behandeln mit Äther ein eigenthümliches Verhalten zeigten. Sie wurden nämlich, wie ich zuerst durch das Mikroskop erkannte, vom Äther gleichsam angefres- sen, und es blieb Anfangs ein orangefarbenes zusam- menhängendes Gerippe zurück; bei weiterer Behand- lung mit Äther zerfiel auch dieses allmählich zu einem orangefarbenen Pulver, welches auf dem Filter, auf welchem ich die Blätter durch einen dünnen Strahl von Âtler aus einer durch die Wärme der Hand in Thätigkeit gesetzen Spritzflasche ausgewaschen hatte, zurückblieb. Dieses Pulver nun ist das Chrysogen;da es aber in Äther nur schwer lóslich, aber keinesweges unlöslich ist, so darf es nicht zu lange damit ausge- waschen werden; löst man es nun in Steinkohlenól auf, in welchem es in der Wärme sehr viel löslicher ist als bei der gewöhnlichen Temperatur; en erhält man es beim Abkühlen in prachtvoll orangefarbenen, goldglünzenden, hóchst dünnen Blättern, welche beim Sammeln auf einem Filter sich an und auf einander legen, so dass man sie als eine zusammenhängende blattartige Masse erhält. Davon hatte ich im Februar 1859 mit unsäglicher Mühe einige Decigramme er- halten, als bei weiterer Darstellung ein grosser Kol- ben mit Steinkohlenöllösung sprang, sein Inhalt sich entzündete und das Laboratorium mit dem: grössten Theile meines kostbaren Materials nebst vielen ande- ren werthvollen Früchten langjähriger Arbeiten ein Raub der Flammen wurde. Aus den geretteten Resten wollte mir, als ich wieder zu arbeiten beginnen konnte, nun auch die Darstellung des Chrysogens nicht so wie früher gelingen; ich erhielt zwar grüngelbe Blät- ter von scheinbar ganz gleichem Aussehen wie die oben erwähnten, allein ich konnte ihr Zerfallen durch Äther nicht mehr bewirken. Obgleich ich nun seit- dem zahllose Versuche behufs seiner Darstellung an- gestellt habe, so ist sie mir doch nur zuweilen, mehr zufällig und nur in so geringer Menge gelungen, dass keine hinreichende Masse zu einer vollständigen Un- tersuchung gewonnen werden konnte. Von dem oben beschriebenen Materiale war in Glascow nichts mehr zu haben, und ich erhielt zwar im:Jahre 1862 von dorther aus der genannten Fabrik, abermals durch die gütige Vermittelung des Professors Anderson, eine grosse Menge eines mit dem Namen «grease» bezeich- neten festen Destillationsproduktes aus Steinkohlen- ۳ ۲ + WE Ae b Loes pa. m E ee ! 8 fe B 412 ELEI etin de e p ‘Nachdem die rohe Masse im’ Blechgefässe schon viele Male von Neuem mit- Alcohol. übergossen Wor- den war, wobei sie ihr Ansehen nur. wenig. verändert hatte, und noch eine sehr beträchtliche Menge unge- löst geblieben war, wurde endlich: heim ersten Abde- stilliren der abgelaufenen- Flüssigkeit ; Welche. nur noch eine schwach bräunlichgelbe. Farbe: besass ein gelbes, pulverfórmiges , aus ‚mikroskopischen, an und über einander gelegten Blättern. bestehendes Produkt erhalten. Von diesem wurden allmählich gegen. 600 grmm. gesammelt und nun auf folgende Weise mut Alcohol behandelt. Je 20. grmm.»wurden mit 5 Liter starken Alcohols, einer zu ihrer Auflósung- bei weitem Las LETS theer, allein dies war ein weicher; geiblicher Körper; ganz zu der Beschreibung: passend, welche Prof. An. derson in seiner Abhandlung über das’ Anthraeen von dem crude anthracene giebt, und von weit gerin- gerem: (Gehalte an gelber Substanz. Es war mir dabei gesagt worden, dass man diesem Kórper einen Zusatz von Talg gemacht habe, um ihn zum Schmieren taug- lich zu machen, und dies musste auch in der That der Fall gewesen sein, denn bei der Destillation wear das Auftreten von Akrolein nicht zu verkennen. Auf diese Umstände musste: daher bei der Bearbeitung dieses Körpers Rücksicht genommen werden, und deshalb begann ich damit, die ganze Masse in den heissen Pressen einer Stearinfabrik zweimal abzupressen. Dabei erhielt ich ein flüssiges,‘ nach dem Erkalten talgartig erstarrendes Produkt; welches neben Talg und Paraftin: viel mit Pikriüsüure verbindbare Kohlen- wasserstoffe enthielt, und als Rückstand harte Kuchen, welche kein homogenes Ansehen hatten sondern aus einem Gemenge von weisslicher und mehr oder we- niger gelber Substanz bestanden. Diese Kuchen wurden gróblich gepulvert und-27 Pfund davon in einem un- gefähr 300 Pfund: fassenden Blechgefässe , welches mit: einem: doppelten, durchlócherten uñd mit. Lein- wand ‚bezogenen Boden ‚so wie unterhalb desselben mit einem Hahne zum Ablassen der Flüssigkeit: ver- sehen war. ini Ermangelung von Steinkohlenól mit Alcohol. von 90%; übergossen. Von der-ablaufenden Flüssigkeit, welche Anfangs eine braune Farbe besass, ۱ allmählich aber, bei fortgesetztem Aufgiessen neuen Alcohols, immer: heller von Farbe: wurde, destillirte ich zuerst ungefähr zwei Dritttheile des Aleohols ab, und nach dem Abfiltriren dea ag der rückständigen Flüssigkeit beim Erkalten Ausgeschiedenen auch von dieser noch so viel als möglieh-vom' Reste des Alco- hols. Bei unzähligen derartig n Destillationen wurden nun eine Menge Produkte erhalten, von denen die der zweiten Destillationen keine Spur einer gelben عرق[‎ bung zeigten, wührend die der ersten Destillationen nach einiger Zeit eine sehr schwach gelbliche Farbe an. nahmen, deren Intensität nur sehr allmählich zunahm: sehr, viel heller von Farbe war, Jene. 2,5 grmm | auf diese Produkte werde ich später, béi der Beschrei- | den mmm. von: Neuem zuerst mit eroe [e nicht hinreich Menge, in einem Plati einige Minuten Jang stark gekocht, dann ungefähr zehn Mi nuten-lang stehen! gelassen und mun durch ein feines Battisttuch.geseiht; auf diesem blieb: in. ‚gelber Kör- per zurück, aus der farblosen Lósung:aber:hatten sich beim vülligen Erkalten ungefähr. 20 gînim: eines voll- kommen farblosen Körpers abgesetzt. Der gelbe Kör- per wurde abermals mit einer «gleichen Menge Aleo- hol gekocht, jetzt aber länger erkalten gelassen, bis sich alles Gelbe ausgeschieden hatte und-eine Probe nur noch farbloses Produkt. absetzte, worauf die Flüs- sigkeit ebenfalls durchgeseiht und der gelbe Rück- stand immer: wieder auf gleiche Weise mit: neuen, aber immer geringeren Mengen von. Alcohol: behan: delt wurde. In der Auflösung blieb. anfang immer viel farbloses Produkt zurück, nnd der gelbe Körper nahm eine intensivere Farbe an, allein bald blieb auch von ihm etas in der Lösung zurück; und so warier endlich; nachdem ich die Rückstände’ der-einzelnen Portionen schliesslich gemeinschaftliel ‚weiter belian- - delt hatte, bis auf 9 gramm. einer tief gelben Substanz zusammengeschmolzen. : Diese wurden in 400 grim. Benzol ‚gelöst und: filtrirt ‚und als diese Lösung vor dem vólligén Erkalten durch Nesseltuie} geseiht wurde, blieben darauf 2,5 grmm. eines in grossen. Blättern krystallisirten tiefgelbem Prod tes zurück , während das beim völligen Erkalten sich noch ausscheidende - 7۳۳۲ a Ad, bung der Kohlenwasserstofie ‚aus welchen:sie beste, coliols gekocht, dant mit kleineren, wobei ze agi "hen, wieder zurückkommen, ‘hier will Ach ‘nur die ein tiefer gelberes Produkt.erzielt wurde niung einer kleinen Menge von Chrysogen auch | vie] geheft den Losungen blieb, und at 'endlieh $ aus; diesem Materiale beschreiben. oU noist gota: | mit unsäglicher Mühe ein tief. goldgelber Körper. er- p ات‎ . ۰ ~ ES"? me Las 5 B nda Shed. EBA.E t urg 414 halten worden war; Iess dieser beim Behandeln mit Ather auf die obenangebene Weise auf dem Filter eine kleine Menge Chrysogen zurück, welches durch Umkrystallisiremaus Benzol in schönen orangefarbenen Blüttern'erhalten-würde, aber nur 0,08 grmm.' wog: "eh habe nun zwar die Darstellung des Chryso- gens noch aüf mannigfach abgeündertem Wege ver- sucht, allein stets so unbedeutende und mit dem grossen Aufwande von Zeit und Kosten so wenig im Verhält- niss stehende Ausbeute erhalten; dass ich die weitere unmittelbare Verfolgung dieses Zweckes wenigstens vorläufig aufgegeben habe. Vielleicht gelingt es mir oder anderen Chemikern mit der Zeit, eine bessere Methode 'ausfindig zu machen ; besser aber würé e, wenn ein intelligenter Besitzer einer Steinkohlentheer- Destillationsfabrik der Wissenschaft.ein Opfer durch Ausführüng von Versuchen dazu: in grossem: Maass- stabe brächte, denn dass diese zum Ziele führen wür- den, dafür spricht schon das obenerwähnte,, aus der Fahrikv von Georg Miller u. Comp. in quaque Wer: vorgegangene tiefgelbe Produkt. 1i5) Die ganze Menge von een ^ue iih zu verschiedenen Zeiten dargestellt habe, mag ungefähr 0,7 $ grmni. betragen-hàben. Alle Portionen desselben hatten . ein gleiches Ansehen, und erlitten beim In mit verschi i Lösungsmitteln: keine weitere Veränderung, allein eine weitere Garantie für Da e wie! ich sehon::oben- angeführt - habe Pil Verbindung eingeht, so wit: man zur Ausnáittelung seiner» Formel auf die ‚Substitütionsprodukte: ange- ent sein, deren Studium aber vor allen Dingen aberfordert. Ween Theil: des meinigen verwendet, weiche! aber n nt 1 b E ۴3 * 421.3 o ^ — ۱۳۶ ٩ 8 en des: W Resultate gegeben haben; däes selbst. die procentische noch nicht als festgestellt betrach- tet werden kann. «Die erste Analyse führte ich im Márz:1862. aus, und da ihrer in der in den Comptes Vutt rendus abgedruckten Notiz ee isty Wwilkiich sud ihre Details geben. ` geg, واموازموا و‎ g boidx JUD herein Mobiles none gaben 10,199 grim. Kohlenstoff und 0,012. grm. 92,13 p. €. Kohlenstoff und 5,55 p. C. Wasserstoff, so dass ein Verlust von 2,32 p..C. erhalten worden war, Allein ‚es war auf addi d. i LEG Wm x mir ünerklärliche Weise ein unverbrennlicher, unor- ganischer Rückstand geblieben, welcher durch das Auf- blähen der Substanz während der Analyse zum Theile aus dem Plätinschiffehen in das Glasrohr gefallen war, und dessen Menge deshalb nicht bestimmt werden konnte. Nimmt man nun diesen Rückstand zu 2,82 p:C. oder 0,005 grmm. an, so wäre zur Analyse nur 0,211 grmm. verwendet Leg und dann wären 94,31 p. C. Kohlenstoff und 5,69 p. C. Wasserstoff erhalten: wor- den: Zahlen welche, wie ich in jener Notiz erwähnte, nahezu. die Zusammensetzung des N eege aus- drücken. - “Die zweite Analyse wurde im Mai 1864 ausgeführt und gab folgende Resultate. 0,201: grmm. eines mit aller möglichen Sorgfalt ‚bereiteten Präparates gaben beim ‚Verbrennen im Platinschiffchen - (ohne unver: brennlichen Rückstand ‘und bei vollkommen tadel freiem Gange der Analyse) 0,700 grmm. Kohlensäure — 0,1909 grmm. oder 94,97 p. C. Kohlenstoff}; und 0,085 grmm. Wasser = 0,00944 grmm. oder 4,7 p. C. Wasserstoff. Hier waren also nur 0,33 p. C. Verlust erhalten worden, und man kann daher mit Sicherheit annehmen, dass das Chrysogen nur allein aus Koh- lenstoff und Wasserstoff besteht. Seinem geringen Was- serstoffgehalte zufolge steht es den mit Pikrinsäure verbindbaren Kohlenwasserstoffen: viel näher, als den gegen 14 p. C. Wasserstoff enthaltenden: paraffinar- tigen Kórpern, und: vielleicht finden sich mit der Zeit noch andere Anl kte an erstere, ` ıasits Das Chrysogen ist ein sehr schwer: löslicher Kör- per; Benzol und seine Homologen sind: noch» seine besten Lösungsmittel, auch sie aber lösen: bei der ge- wöhnlichen Temperatur nur sehr geringe Mengen davon auf. Bei einem zur Ausmittelung dieses Ver- haltens angestellten. Versuche wurden 10 Th. Chry- sogen in 5000 Th.'Benzol gelöst, was einiges Kochen erforderte, und. aus dieser: Lösung hatten. sich. beim Erkalten: 8 Theile wieder. نالع فاه‎ a? bedarf ein Th. € Chry s 500 Th. kochen des Benzol zu seiner Auflósung, ' von bei der gewöhnlichen Temperatur... Von re der, krystall dart 4 (4 n sogen gegen 2000 Wetter sondern sich auch aus:-dieser g 80p demnach: bedarf,11Th€ rys lichen Genee ior: zu seiner ^B rx + ovv und مضع‎ 'Thoila. rla 415 Bulletin de l’Académie Impériale Auflösung, also viermal mehr als von Benzol. In Äther und Alcohol ist das Chrysogen noch weniger löslich als in Essigsäure. An den Blättern, in welchen sich das Chrysogen aus heissgesättigten Lösungen in Benzol und Essig- säure absetzt, konnte ich keine regelmässige Form erkennen, und sie bestanden, wie ihre verschieden- artig ausgezackten Ränder bewiesen, aus verwachse- nen Tafeln. Aus der kochendgesättigten alcoholischen Lösung aber scheidet sich das Chrysogen zwar in viel kleineren Blättern aus, allein diese erkannte ich entweder als gut ausgebildete rhombische Tafeln, oder als blattartig ausgebreitete Aggregate von ihnen, welche zugespitzte Kreuze mit verschieden grossen Axen bilden, ähnlich den Bildungen wie man sie beim Salmiak beobachtet. Wenn die Tafeln sehr dünn sind, haben sie eine fast rosenrothe Farbe, und diese be- merkte ich auch gewöhnlich bei der Ausscheidung des Chrysogens aus den gelbgrünen Blättern beim Behandeln mit Äther. Unter den aus Alcohol erhal- tenen Tafeln beobachtete ich auch einzelne, ihrer dunkleren Farbe zufolge dickere Krystalle, an wel- chen zwei gegenüberliegende Flächen eine dreimal grössere Ausdehnung hatten, als die beiden übrigen, wodurch sie das Ansehen von flachen, auf der Seite liegenden Prismen mit schiefaufgesetzten Endflächen erhielten, oder als in einer Richtung sehr verkürzte rhombische Tafeln erschienen. Im reflectirten Lichte zeigen die in der Flüssigkeit schwimmenden Krystalle eine goldgrüne Farbe. Eine ausgezeichnete Eigenschaft des Chrysogens ist das Vormógen, grossen Quantitäten von anderen, an und für sich farblosen festen Kohleüwasserstoffen eine schón gelbe Farbe zu ertheilen. Es bedarf dazu nur ausserordentlich kleiner Mengen, und wenn man z. B. 1 Th. Chrys gen و‎ — Th. des in grossen Blättern krystallisi toffes C^ H^ in 5000 Th. Steinkohlenöl kochend löst, so erhält man eine intensiv-gelb gefärbte Lösung, welche beim Er- kalten durch Ausscheidung grünlich gelber Blütter gänzlich erstarrt; ebenso erhält man einen schón grüngelben Körper dürch Zusammenschmelzen der bei- den Körper in dem angegebenen Verhältnisse. Die so erhaltenen gelben Substanzen verhalten sich vollkom- men so wie die gelben Körper, welche man aus den festen Destillationsprodukten des Steinkohlentheers erhält, und diese verdanken daher ihre gelbe Farbe einer grösseren oder kleineren Beimengung von Chry- sogen. Ich glaubte anfangs, es mit Laurent’s Chry- sen zu thun zu haben, überzeugte mich aber bald dass dies nicht der Fall sei. Laurent bezeichnet die Farbe des Chrysens in reinem Zustande als schön gelb, ohne allen Stich ins orangefarbene oder grünliche‘), und ein solcher, von den durch Chrysogen gefärbten Kohlenwasserstoffen gänzlich verschiedener und Lau- rent’s Chrysen wenigstens ähnlicher Körper findet sich auch in der That in den allerletzten Produkten der Destillation des Steinkohlentheers. Ausser dem obenangeführten Kohlenwasserstoffe er- theilt das Chrysogen auch noch mehreren anderen, später zu beschreibenden eine schön gelbe Farbe; das- selbe findet beim Reten und Naphtalin statt, und da ich auf diese Körper später nicht mehr zurückkomme, so will ich die Resultate meiner Versuche mit ihnen gleich hier anführen. Durch Zusammenschmelzen von 1 Th. Chrysogen mit 1000 Th. Reten erhält man eine hellgelbe Masse, aus welcher durch Auflösen in Alcohol hellgelbe, dem Reten übrigens ganz ähnliche Blätter erhalten wer- gen. Die gelbe Färbung ist hier sehr bedeutend ge- ringer als beim Anthracen. . Lóst man 1 Th. Chrysogen in 1000 Th. geschmol- zenen Naphtalins auf, so erhält man eine tiefgelbe Flüssigkeit, welche sich beim Erstarren verschieden verhült, je nachdem dieses schneller oder langsamer stattfindet. Beim schnelleren Erstarren durch Aus- giessen auf eine Glasplatte, erhielt ich eine auch unter dem Mikroskope gleichförmige, gelbe Masse, während bei langsamem Erstarren ein orangefarbenes Produkt entstand, welches, wie ich durch das Mi- kroskop اساي‎ seine Färbung ausgeschiedenem Chrysogen verdankte. Beim Auflösen dieser Masse in Benzol konnte ich kein krystallisirtes gelbes Pro- dukt erhalten, sondern es schieden sich zuerst farb- lose Blätter von Naphtalin aus, und dann zwischen ihnen einzelne Chrysogenblättchen. Aus der heissen alcoholischen Lösung schied sich zwar Naphtalin von gelber Farbe aus, allein es traten dann auch Blätt- chen von Chrysogen auf und erst als ich einer solchen Lösung noch zweimal mehr — zü- pnt 4) Ann. de Chim. et de Phys. T. LXVI, p. 188. ! 417 des Sciences de Saint- Pétersbourg. setzte, als sie schon enthielt, entstand eine gleich- müssig gelbgefürbte, grünschillernde Krystallisation, in welcher kein Chrysogen mechanisch eingemengt war. Ein Theil Chrysogen ist also hinreichend um 3000 Th. Naphtalin lebhaft gelb zu färben. Was nun dieses Entstehen einer theils reingelben, theils grünlichgelben Färbung durch einen orange- farbenen Körper betrifft, so kann dies, nach dem Ausspruche meines verehrten Freundes Chevreul, dem ich im Jahre 1862 meine Präparate zeigte, nicht bloss in einer mechanischen Verdünnung seinen Grund haben, sondern muss die Folge einer chemischen Ver- bindung sein, welche das Chrysogen mit anderen Kohlenwasserstoffen eingeht, und welche in dem Über- schusse der letzteren aufgelóst ist. Durch synthetische Versuche würde man wohl über diese Ansicht ins Klare kommen, zu diesen aber fehlt es mir jetzt an Material und so muss ich mich mit der Anführung der Meinung des berühmten Kenners der Farben be- gnügen. Das Verhalten des Chrysogens zum Naph- talin scheint übrigens mit dieser Ansicht nicht im Einklange zu stehen. — Den Schmelzpunkt des Chrysogens habe ich mit Sicherheit noch nicht ausmitteln kónnen, einer an- nähernden Bestimmung zufolge scheint er aber zwi- schen 280 und 290? C. zu liegen. Bei dieser Tempe- ratur schwärzt es sich bereits, während ein Theil davon sich verflüchtigt, und wenn man es noch weiter erhitzt, zersetzt es sich theilweise und lässt einen kohligen Rückstand. Ein Theil des sich dabei ver- flüchtigenden hat eine gelbgrüne Farbe und besitzt nicht mehr alle Eigenschaften des Chrysogens, son- dern vielmehr die eines durch dasselbe gefärbten anderen Kohlenwasserstoffes. Erhitzt man das Chry- sogen in einem Glasrohre vorsichtig in einem Luft- bade, während man einen Luftstrom darüberleitet, so kann man es wenigstens grossentheils unveründert sublimiren, und so erhalten bildet es ein lockeres Haufwerk höchst feiner, unregelmässiger Blättchen. In concentrirter Schwefelsäure löst sich das Chry- sogen scheinbar ohne Veränderung mit grasgrüner Farbe auf, und beim langsamen Anziehen von Wasser scheiden sich aus dieser Lösung sehr feine Flocken aus, welche unter dem Mikroskope eine rothe Farbe zeigen; sammelt man diese auf einem Filter und löst sie nach dem Auswaschen mit Wasser und Trocknen Tome IX. LN in kochendem Benzol, so scheidet sich aus der filtrir- ten Lósung beim Erkalten unveründertes Chrysogen wieder aus, wührend auf dem Filter ein schwarzer, unlóslicher Rückstand bleibt, über dessen Natur ich nichts weiteres anzugeben vermag. Von hóchst concentrirter Salpetersüure wird das Chrysogen energisch angegriffen. Auf einer Glas- platte damit zusammengebracht, verwandelt es sich sehr schnell in eine ólartige Flüssigkeit, diese aber erstarrt bald zu einer krystallinischen Masse, und auch in der sie umgebenden Säure bilden sich nadel- fórmige Krystalle. Wenn man Chrysogen mit etwas krystallisirender Essigsüure übergiesst, und nun einen Tropfen höchst concentrirter Salpetersäure zusetzt, so löst sich alles zu einer gelblichen Flüssigkeit auf, welche beim Verdampfen einen krystallinischen Rück- stand lässt. Die Anwendung der Essigsäure hat mir beim Nitriren der Kohlenwasserstoffe sehr wesentliche Dienste geleistet, auf welche ich in der Folge aus- führlicher zurückkommen werde. Es bleibt mir nun noch eine merkwürdige Eigen- schaft des Chrysogens zu erwähnen übrig, welche darin besteht, dass seine Lösungen durch das direkte Sonnenlicht rasch gebleicht werden. Am auflallend- sten kann man dies beobachten, wenn man durch Chrysogen gelbgefärbte Präparate von der Bear- beitung des rohen Paranaphtalins in Steinkohlenöl heiss auflöst, und diese heisse Lösung an die Sonne stellt. Je nach der Intensität des ‘Lichtes und der Menge der Flüssigkeit verschwindet dann die gelbe Farbe der letzteren mehr oder weniger schnell, aber so vollkommen, dass dadurch ein vortreffliches Mittel gegeben ist, dem Körper C"H" die ihm sonst hartnäckig anhängende gelbe Farbe vollständig zu benehmen. Setzt man eine Lósung von reinem Ohrysogen in Steinkohlenól dem direkten Sonnenlichte aus, so ent- fürbt sie sich ebenfalls und lóst man in dieser ent- färbten Lösung mehrmals von neuem Chrysogen auf, so setzt sich allmählich ein in sehr kleinen, zusammengruppirten Nadeln krystallisirtes farbloses Umwandlungsprodukt des Chrysogens daraus ab. Beim Schmelzen nimmt dieses wieder eine orange- gelbe Farbe an, ich habe aber bei den kleinen Men- gen, welche mir nur zu Gebote standen, noch nicht ausmitteln können, ob. diese Farbe von regenerirtem ‚Chrysogen herrührt. Bei dem Körper C"H" und einem 27 419 Bulletin de l’Académie Impériale | 420 anderen ihm nahestehenden Kohlenwasserstoffe werde . ich ebenfalls einer Einwirkung des direkten Sonnen- lichtes zu erwähnen haben, wodurch neue Körper sich bilden, welche beim Schmelzen wieder in die Substanzen zurückgeführt werden, aus denen sie ent- standen sind. Der Umstand nun, dass ein durch die Einwirkung des Sonnenlichtes aus durch Chryso- gen gelbgefärbtem CH" erhaltener Körper mir beim Schmelzen wieder ein gelbes Produkt gab, lässt ver- muthen, dass auch das Chrysogen ein Umsetzungs- produkt liefert, welches sich beim — zu Chry- sogen regenerirt. (Fortsetzung folgt.) Nachschrift. Als das Obige bereits gedruckt wur- de, war ich so glücklich, unter den Produkten der Einwirkung der Salpetersäure auf den Körper CH” einen neutralen Körper zu entdecken, welcher mit dem Chrysogen eine charakteristische Verbindung eingeht, und durch welchen es hoffentlich gelingen wird, die Formel dieses interessanten Kohlenwasser- stoffs auszumitteln. Die Verbindung dieses Körpers mit dem Chrysogen krystallisirt in feinen, oliven- farbigen, etwas goldglänzenden Nadeln und bildet sich schon bei der gewöhnlichen Temperatur, wenn man Chrysogen in eine Lösung des neuen Körpers in Benzol einträgt. Aber nicht nur mit dem Chrysogen sondern auch mit anderen festen Kohlenwasserstoffen giebt dieser Körper Verbindungen, welche sämmtlich gefärbt sind, und von denen ich vorläufig nur einer prachtvoll violetten mit dem Körper CH" und einer orangefarbenen mit Reten erwähnen will. Magnetische Beobachtungen an einigen Punkten der finnländischen und esthländischen Kü- sten, von R. Lenz. (Lu le 30 novembre 1865.) In gegenwärtiger Notiz theile ich die Resultate der magnetischen Beobachtungen mit, welche ich im Som- mer 1865 an der Küste des bothnischen und finni- schen Meerbusens gemacht habe. Die Beobachtungen sind an denselben Punkten angestellt, an denen der Herr Akademiker Sawitsch und ich die Schwin- gungszeiten eines unveränderlichen Pendels beob- achtet haben: in Torneo (Breite 65 51 ', Länge 24° 4 v: GF), Nicolaistadt (Breite 63?5', Länge 21°34) und Reval (Breite 59° 26’, Länge 94°47') Über die von mir zur Messung der magnetischen Coordinaten benutzten Instrumente ist Folgendes mit- zutheilen. Die Declinationen sind mit einem Passageinstru- ment bestimmt, das dem physikalischen Cabinet der Akademie der Wissenschaften gehört und eigens zum Zwecke magnetischer Beobachtungen von Herrn Me- chaniker Ertel in München ausgeführt ist. Die Ver- ticalaxe des Instrumentes ist aus Bronze gefertigt, so dass nach Abhebung des oberen Theiles des Instru- mentes der untere frei von Eisen ist. Die Verticalaxe endigt oben mit einer abgeschliffenen Messingfläche, auf welche für magnetische Messungen ein Gehäuse aufgesetzt und mit 3 Schrauben befestigt wird, in welchem die Magnetnadel und der Spiegel an einem ungefähr 200"" langen Coconfaden hängen. In die Lager der Horizontalaxe wird für magnetische Be- stimmungen ein Ring mit Fernrohr aufgelegt, so dass das Instrument in dieser Form die Einrichtung von Lamont's magnetischem Theodoliten hat. Der Durch- messer des Horizontalkreises beträgt 200۳: mit Hülfe der Verniere kónnen 10 Secunden abgelesen werden. Die Öffnung des Fernrohres ist 30"", die Vergrösse- rung desselben ungeführ eine 4,5fache. Im Brenn- punkt seines Oculars befindet sich ein feiner Silber- drath und zu beiden Seiten desselben zu einem Spin- nefaden, die mittelst eines Prisma beleuchtet werden. Das Spiegelbild der Spinnefäden war sehr deutlich zu sehen, und da das Fernrohr immer nur auf diese feinen Fäden eingestellt wurde, so war die Einstel- lung ungemein scharf. Die Declinationsnadel ist von parallelepipedischer Gestalt, 50"" lang, 6,5"" breit und 1,8"" dick; sie hängt senkrecht zur Fläche des Spiegels und wird mit demselben zugleich umgelegt. Die Torsion, welche bei einer vollen Umdrehung des Torsionskreises die Nadel um 29',5 aus dem Meri- diane ablenkte, wurde bei den Versuchen aufs Sorg- fältigste aufgehoben durch tagelanges Lostordiren des Fadens mittelst einer Messingnadel von derselben Länge und demselben Gewicht wie die Magnetnadel. Die Azimuthe wurden an verschiedenen Orten ver- ‚schieden bestimmt: in Torneo durch Anvisiren der beiden Sonnenränder, in Nicolaistadt durch Anvisiren einer Marke, die für die Beobachtungen der Stern- durchgänge aufgestellt worden war, in Reval endlich . | durch gegenseitiges Anvisiren des Declinatoriums und —————— des Siciences de Saint-Pétersbourg. 422 eines Passageinstrumentes, welches zu den Zeitbe- stimmungen gedient hatte. Die Inclinationsbestimmungen sind mit einem In- clinatorium gemacht, welches ich der Güte des ver- storbenen Herrn Akademikers Kupffer verdanke und das aus der Werkstätte des Hrn. Mechanikers Krause hervorgegangen ist. Das Instrument gehórt dem phy- sikalischen Centralobservatorio und ist daselbst unter N’ 8 einregistrirt.. Der Durchmesser des Kreises be- trägt 250۳۳, die Theilung desselben geht bis 10", mittelst Lupen konnten noch 2 Minuten geschützt werden. Die Inclinationen sind im magnetischen Meridian gemes- sen, bei jeder Stellung des Kreises und iu jeder Lage der Nadel, anfangs, in Torneo, bei 4 Aufhebungen, später, als sich die Einstellungen sehr genau erwiesen, nur bei 2 Aufhebungen. Alle Beobachtungen sind mit 2 Nadeln ausgeführt worden, welche ich 8° und 8? nenne, wie sie in der Wirklichkeit bezeichnet waren. Die Nadeln gaben verschiedene Inclinationen und zwar Nadel 8" immer grössere als 8°; dabei war die Diffe- renz nicht constant, sondern variirte mit dem Nei- gungswinkel; in Torneo war sie 14', in St. Petersburg nur 5'. Da ich keiner der Nadeln einen Vorzug vor der andern geben kann, so habe ich für die wahre Inclination das Mittel aus beiden Beobachtungen ge- nommen, und in der That kann das Mittel, wie ich weiter sehr wahrscheinlich mache, von der Wahrheit nur wenig abweichen. Zur Berechnung wurde die Cotangentenformel angewandt, weil sich der Schwer- punkt beider Nadeln fast genau auf der zur magneti- schen Axe der Nadeln senkrechten Linie befand. Die Formel ist قت‎ ent! tot 92 wo i, und i, die bei 2 Lagen der Nadel gefundenen Inclinationen bezeichnen, einmal wenn der Schwer- punkt höher, das andere Mal wenn er tiefer als die Drehungsaxe; liegt. Die Horizontalintensitäten sind, ausser in Torneo, überall absolut gemessen. Die Sele م‎ uugszaitan be- obachtete ich in einem kleinen Hansteen’schen Schwin- gungsapparate bei Ablenkuugen von 15 bis 10 Gra- den; die Reduetionen auf unendlich kleine Bögen würden in der Voraussetzung einer Abnahme der Bögen in geometrischer Progression gemacht. Die Durchgänge beobachtete ich an einem Chronomefer von Brokbanks, der 0,4 Secunden schlug und dessen Schlag noch auf die Hälfte geschützt wurde. Eine Correction wegen des Uhrganges konnte vernachläs- sigt werden, da der tügliche Gang des Chronometers nicht mehr als 250 vom mittleren Tage abwich. Bei den Messungen der Schwingungszeiten wurde der je dritte Durchgaug der Nadel notirt und so die 30 er- sten Schwingungen beobachtet, dann eine Pause von der 30sten bis 100sten Schwingung gemacht und darauf wie früher der je 3te Durchgang notirt; auf diese Weise erhielt ich 11 Beobachtungen von denen jede die Dauer von 100 Schwingungen enthielt. Die Schwingungsnadel war 70"" lang, 7"" breit und 2"" dick. Die Torsion des Fadens ist vernachlässigt, weil 4 Umdrehungen des Torsionskreises noch nicht eine Ablenkung von 1° hervorbrachten. Das Trügheitsmo- ment der Nadel wurde mittelst eines Ringes mehrfach bestimmt, dessen Radien auf 0° reducirt = 20,4987"" und 14,0256"" gefunden wurden; das Gewicht des Ringes betrug 10,3752 Gr. Hieraus ergiebt sich das Trägheitsmoment des Ringes in den angeführten Ein- heiten 32,003.10°. Mittelst dieser Constanten wurde dann das Träg- heitsmoment der Nadel durch Schwingungen dersel- ben mit und ohne Ring bestimmt, hierbei ergaben 5 Versuchsreihen: 34,391.10° 404.10° 401.10° 407.10° 385.10° Im Mittel also 34,390.10° bei 15;.C. und. das Trägheitsmoment auf 0° reducirt 34,3825.10°. Für die Ablenkungsversuche wurde auf das Gehäuse des Declinatoriums eine Schiene unverrückbar aufge- schraubt, auf welche der Schwingungsmagnet in be- Knien Entfernungen von der Declinationsnadel aufgelegt wurde. Der Schwingungsmagnet hatte zu dem Zwecke in der Mitte eine Durchbohrung, die Schiene auf jeder Seite zu 3 Löchern, in welche durch den Magnet ein Schraubenstift gesteckt wurde. Die Abstände der Löcher von der Mitte der Schiene betrugen 249,43,299,43 und 348,58"". Bei so grossen gegenseitigen Abständen der 2 Nadeln konnten die Ablenkungen nur gering sein und in der That waren dieselben von 425 ب‎ 13^; was hierdurch an Genauig- keit der Messung eingebüsst wird, wird Jedoch durch 7* 423 Bulletin de l'Académie Impériale 424 die grosse Präcision der Einstellung gewonnen. Um die während einer vollen Ablenkungsbeobachtung, welche über eine Stunde dauert, etwa stattfindenden Variationen in der Horizontalintensität des Erdmagne- tismus zu eliminiren, wurden die Schwingungsbeob- achtungen stets unmittelbar vor und gleich nach den ' Ablenkungsversuchen gemacht und aus den so gefun- denen Schwingungsdauern das Mittel genommen. Den Wärmecoëfficienten der Schwingungsnadel hatte ich vor meiner Abreise für 1? C. — 0,000296 gefunden, doch ist derselbe zur Berechnung nur in Torneo be- nutzt worden, da bei den Schwingungs- und Ablen- itifigsnirsühen die Temperaturen so wenig variirten, dass man sie unberücksichtigt lassen kann. Das ma- gnetische Moment der Nadel fand ich in St. Peters- burg vor meiner Abreise — 25,120.10*, in Nicolai- stadt 25,168.10°; es hat sich also in diesem Zeit- raume nur sehr wenig geündert; daher habe ich in Torneo, wo keine Messung desselben vorliegt, das Mittel 25, 144.10* für die Berechnung angenommen. Später, zwischen den Beobachtungen in Nicolaistadt und Reval ist eine bedeutende Schwächung des Ma- gnetismus der Nadel eingetreten, da in Reval das Moment 24,172.10° war. Nach meiner Rückkunft in St. Petersburg fand ich das Moment 24,098.10°, was als Bestätigung der Richtigkeit der Reval’schen Be- stimmungen dienen kann. Diese Änderung des Mo- mentes zwischen den Beobachtungen von Nicolaistadt und Reval ist wohl dem Umstande zuzuschreiben, dass der Schwingungsapparat innerhalb dieser Zeit 5 Tage im Raume eines Dampfschiffes gelegen hatte, dicht neben der Maschine desselben. Die Resultate der Beobachtungen sind nun folgende: Torneo: Die Inclinationen wurden am 11. Mitternacht gemacht, dabei fand ich: mit Nadel 8° i — 74° 23/3 8 1— 74 38,3 Mittel — 74° 30,8 Eine Wiederholung am 18. (30.) Juni um 9° Nach- mittags: Nadel 8° i — 8 » 8?i—74 40,8 Mittel = 74°34,3 ا‎ 11. (23.) Juli beobachtete die Inclination in Torneo gleichzeitig mit mir der Capitän Järnefeldt (23.) Juni um » » mit einem andern Instrument des physikalischen Cen- tralobservatoriums und fand mit der einen Nadel à — 74?27/2 mit der andern Nadeli — 74 19,1 im Mittel? — 74°23/2 Nun giebt nach einer Aussage des Herrn Aka- demikers Kupffer die erste Nadel dieses Instru- mentes die Inclination richtiger, als das Mittel aus beiden Nadeln. Demzufolge würe dann anzunehmen, dass die Inclination am 11. (23.) Juni um 1% nicht weniger als 74^25' betrug, wührend ich 74^ 30/8 gefunden habe, die Abweichung meiner Bestimmung also hóchstens 5 Minuten betrügt. Auch Herr Müller, welcher in St. Petersburg die Inclination mit meh- reren verschiedenen Instrumenten, darunter auch mit dem von mir benutzten, vielfach gemessen hat, hat gefunden, dass das Mittel aus beiden Bestimmungen mit Nadel 8* und 8^ der wahren Inclination sehr nahe kommt. Die Declination in Torneo fand ich: 8? 33/3 die Horizontalintensität: 1 35,7 Nicolaistadt: Die Inclination ist 3 mal bestimmt worden, das letzte mal mit beschwerten Nadeln: die Resultate sind: 6. (18.) Juli 10* Nadel 8° 73° Ae. 8 79 4 8.(20. » 8,5"Nadel 8° 72 59,7 kenia hn 3,8 h a 8. (20.) » 9,8* Nadel 8 57, oC 2.5 Mittel 73°4/6 Die Declination ist 4 mal gemessen worden: 10. (22.) Juli 23° 7°54/3 W. 11.(23) » 8*7 599 5» — » 7 20.5 37 0 20 7 55,4 د‎ Mittel 7°53/4 » .2 Bestimmungen der Horizontalintensität ergaben: 11. (23.) Juli 22^ 1,464 12.(24.) » 8 Mittel 1,466 des Sciences de Saint -Pétersbourg. Reval: 2 Bestimmungen der Inclinationen ergaben: 2. (14.) August 6^ Nadel 8* 4 71?3/7 8^ 71 5,0 : 3. (15.) August 0^ Nadel 8° 71 3,5 8 71 8,3f/1 ^9 Mittel 8 Aus 2 Bestimmungen der Declination fand ich: 1. (13.) August 7" 6°56,9 W. 8.05). on 21^6 59,2 » Mittel 6° 58/0 » Horizontalintensität: 3. (15.) August 19^ 1,592 8: (15) ^» 92911594 Mittel 1,593 Stelle ich die Resultate zusammen, so habe ich: Declinat.. Inclin, Horztint. Totalint. Torneo ....... 8٩39338 W. 74°32/6 1,357 5,092 Nicolaistadt 7 53,4 » 73 4,6 1,466 6 Reval ......... 6 58,0 » 71 4,8 1,593 4,913 Schliesslich habe ich auch in St. Petersburg einige magnetische Beobachtungen gemacht, von denen je- doch nur die Inclinationsbeobachtungen einigen Werth haben. Die Intensitütsbestimmungen wurden im phy- sikalischen Laboratorium des technologischen Insti- tuts gemacht, einem Locale, das durchaus nicht frei von Eisen ist; sie kónnen nur zu Messungen des ma- gnetischen Momentes der Schwingungsnadel dienen, nicht aber zur Bestimmung der Intensität des Erd- magnetismus. Anders verhält es sich mit den Inclina- tionsbestimmungen, welche in einem eisenfreien Lo- cale angestellt sind ; sie sind auf der Apothekerinsel gemacht, in dem zum Landhause des Ministeriums des Innern gehórigen Parke, dicht neben dem bota- schen Garten. Ich wählte diesen Ort zu meinen Beob- achtungen, weil er für die Inclinationsbestimmungen in St. Petersburg einige Renommée erlangt hat. Im botanischen Garten beobachteten nümlich Hansteen und Due 1828, Humboldt 1829, Hansteen und Kupffer 1830. Ich fand an diesem Orte den 12. (24.) Sept. 22" Nadel 8* 0 8^ 70 51,6 h a den 13. (25.) Sept. 0,5" Nadel 8 hs 194 V go 51,8 Mittel 70? 50;6 | s ۱ 70° 49/3 Nun ist, nach Hansteen's 2ter Formel *), berech- net die Inclination für das Jahr 1865 — 70° 55/6, was mit dem gefundenen Resultate sehr gut stimmt, doch ist auf diese Übereinstimmung nicht zu viel Gewicht zu legen, da in der Hansteen’schen Formel der wahrscheinliche Fehler für das Jahr des Mini- mums (4-16 Jahre), so wie auch für die übrigen Con- stanten der Formel sehr gross ist. — QE سے‎ ÉTAT DU PERSONNEL DE L'ACADÉMIE IMPÉPIALE DES SCIENCES AU 1° JANVIER 1866. —— A. Conference académique. M. l'aide-de-camp-général, amiral Lütke, Président. 1864. M. Bouniakofski, Vice-Président, 1863 M. Vessélofski, Secrétaire Perpétuel. 1857. I. CLASSE PHYSICO-MATÉMATIQUE. MM.Bouniakofski 1828. MM.Ofsiannikof 1862. (Vice-Président.) Schrenck 1862. Brandt 1830. Zinine 1855. Murchison 1845. Kämtz 1865. Jacoby 1839. Pérévostchikof 1852. Helmersen 1844. Kokcharof 1855. Fritzsche 1838. Savitch 1862. Ruprecht 1848. Maximowicz 1865. Tchébychef 1853. Membre surnuméraire M. J é- 0. Struve 1852. leznof 1861. Somof 1562. Il. CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITTÉRATURE RUSSES. Mgr.Philaréte à Moscou M. Sreznefski 1849. 1841. Mgr. Macaire 1854. MM. = I Viazemski MM. Nikitenko 1855. Grot 1855. "ee à Moscou Bouslaief 1860. 1841. Rosberg à Dorpat 1841. Stroief à Moscou 1841. — BiliarskiàOdessal860. Norof 1851 Pékarski 1863. II. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE. ` MM.Oustrialof 1837. MM. Böhtlingk 1842. Brosset 1836. ie Stephani 1850. Perpétuel) 1852 Dorn 1839. Wiedemann 1857. ud Balletin de la Classe physico-mathématique de l'Académie de étersbourg, 1854, t. XII, pag. 261. Bulletin de l'Académie Impériale MM. Nauck 1858. Son Altes Kunik 1844. Schiefner 1852. MM. Véliaminof-Zer nof 185 Bézobrazof 1864. B. Membres honoraires. A. REGNICOLES. Sa- Majesté l'Empereur Alexandre II 1826. Son Altesse Impériale Monseigneur le Césarévitch Grand- Duc Héritier Alexandre 1865. stantin 1844. Pere 1855. 1855 d'Oldenbourg 1834. Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand- Duc Con- Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc Nicolas se Impériale Monseigneur le Grand-Due Michel Son Altesse Impériale Monseigneur le Prince Pierre Son Altesse Impériale Monseigneur le Prince Romanov- ski Duc Nicolas de Leuchtenberg 1865. Son Altesse Grand-Ducale Monseigneur le Duc Georges de Mecklenbourg-Strélitz 1856. — MM. le comte S 1827. le prince Menchikof 1831. le prince Dondoukof- Korsakof 1837. le conseiller d'état ac- tuel Démidof 1841. le comte Berg 1844. le prince Davydof1852. le baron M. Korff 1852. le comte Kissélef 1855. le général-aide-de- camp Lütke (Président)1855. le général-aide-de-camp Tchefkine 1855. le baron F. Wrangell 1855. le comte Poutiatine 1855. le comte Panine 1855. Todtleben 1855. .Strogonof MM. le conseiller privé actuel Eugraphe Kovalefski 1856. le général-aide-de-camp Ignatief 1856. le conseiller privé actuel Levschine 1856. Mgr.le métropolitain Isidor 57 Joseph, métropolitain de la Lithuanie et de Vilna 1857. Philaréte, archévéque de Tchernigof et de Né- jine 1857. Innocent, archévéque de Kamtchatka, des îles Kouriles et Aléoutes 1857. Cyrille, évéque de Mé- litopol 1857. le général-aide-de-camp MM.le comte Mouravief 57 Mgr. Bajanof 1856. .MM.le comte Adlerberg I. 1856 le prince A. Gortcha- kof 1856. le conseiller privé actuel Brock 1856. le général-aide-de-camp baron de Lieven 1857. le conseiller privé Hube 1857. le lieutenant-général K o- valefski 1857. le comte Ouvarof 1857. MM.le comte Mouravief- MM.le prince d'Italie comte MM. M. Amourski 1858. le général d'infantérie Hasford 1858. le conseiller privé actuel baron Brunnow 1858. le général Kerbedz 1858. le lieutenant - général Melnikof 1858. le comte Tyszkiewicz 1858. le prince Bariatinski le conseiller privé actuel Kniajevitch 1859. le conseiller privé Dé- lianof 1859. Souvorof de Rymnik 1861. le conseiller privé Go- lovnine 1861. le conseiller- privé Baer 1862. le conseiller privé Reu- tern 1863. le conseiller privé Bout- kof 1863. le maitre de la cour (en fonctions) Etienne Gue- déonof 1863. le conseiller d'état actuel Dahl 1863. le conseiller d'état actuel Middendorff 1865. B. ÉTRANGERS. le marquis Pietro-Catella, à Naples, 1846. Zarco del Valle,président de l'Académie des sciences à Madrid, 1851. le comte W. Rosse, à Londres, 1852. le maréchal Vaillant, à Paris, 1856. le duc de Luynes, à Paris, 1856. Son Altesse le Rádja Cri Rädhäcänta Bähädura, à Calcutta, 1856. Son Altesse Je prince Louis Lucien Bonaparte 1858. C. Associés honoraires étrangers. 1. CLASSE PHYSICO-MATÉMATIQUE. Sabine, à Londres,1 826, Brewster, à Edinbourg, 1830. Hansteen, à Christia- nia, 1830. MM.Herschel, à Londres, MM. Faraday, à Londres, 1826. 30. 18 South, à Londres, 1862. le prince de Neuwied, à Neuwied, 1835. Ehrenberg, à Berlin, 1840. II. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE. Dupin, à Paris, 1826. M. Barante, à Paris, 1836. D. Membres honoraires de la Classe russe. MM. Choulgine. edorof. Loubianofski. MM.Mouravief. Serbinovitch. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 430 E. Membres correspondants. I. CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE. 1. Section mathématique. MM. baron W. Wrangell, à MM. Le Verrier,à Paris, 1848. Réval, 1898. Knorre, à Nikolaief, 1828. Braschmann, à Mos- ‚cou, 1855. Ülausen, à Dorpat, 1856. Kowalski, à Kazan, 1862. Mindin g,à Dorpat,1864. Winnecke 1864. Argelander, à Bonn, 1826. Lamé, à Paris, 1829. Babbage, à Londres, 1832. Hansen, à Gotha, 1833. Steinheil, à Munich, 1835. Liou ville, à Paris, 1840. Airy,à Grennwich,1840 Peters, à Altona, 1849. Yvon Villarceau, à Pa- ris, 1855. Maury, à Washington, 1855. Hermite, à Paris, 1857. GIE e à Paris, 1857. Baeyer, à Berlin, 1858. Bertrand, à Paris, 1859. Duhamel, à Paris, 1859. Chasles, à Paris, 1861. 'Bache, à Washington, 1861. Kummer, àBerlin,1862. Weierstrass, à Berlin, 1864 Adams, à Cambridge, 1864. Warren De-la-Rue, à Londres, 1864. 2. Section physique. singfors, 1819. Hermann, à Moscou, 1831. le comte DOPET RA Dorpat, 18 Volborth 14b. Voskressenski 1864. + Rose, à Berlin, 1829. Liebig, à Munich, 1831. Neumann, berg, 1838. à Königs- , Dove, à ET 1842. Dumas, à Paris, 1845. Regnault, à Paris, 1848. Chevreul, à Paris, 1853. ..Wéhler, à Göttingue, 1853. Magnus, à Berlin, 1864. Weisbach, à Freyberg, i 1855. Riess, à Berlin, 1856. MM. Dre Ce, à Hel- MM. Pelouse, à Paris, 1856. Haidinger, à Vienne, 1856. Frémy, à Paris, 1856. Verneuil, à Paris, 1856. Naumann, à Leipzig, 1857. Hofmann, à Londres, 857. Elie de Beaumont, à Paris, 1857. Dana, à New-Haven, 1858. Léon Foucault, à Paris, 1860. Daubrée, à Paris, 1861. Kirchhoff,àHeidelberg, 1862. Bunsen, à Heidelberg, 1862. Miller, à Cambridge, 1864. 3. Section biologique. MM. Trautvetter 1837. MM.Gretsch 1827. Pirogof 1846. Weisse, 1857. Bidder, à Dorpat, 1857. Mercklin 1864. Brogniart,äParis,1829. Carus, ä Drösde, 1833. Martius,à Munich, 1834. Purkinje, à Prague, 1836. Harlan, à New-York, 1838 Gaimard, à Paris, 1839. Owen, à Londres, 1839. Milne- te à Pa- ris, 184 Th. DM Bischoff, à Munich, 1846. Fries, à Upsala, 1850. Reichert,àBerlin,1850. Schleiden, 1850. Seb. Fischer, à Munich, 1850. Góppert,àBreslau,1853. Mohl, à Tubingue, 1854, MM. Siebold,à Munich, 1855. Burmeister, 1855. Flourens, à Paris, 1856. Kölliker, à Wurzbourg, 1858. Alph.Decandoll neve, 1858. Montagne,àParis,1858. Jos. Dal Hooker, à Lon- dres, 1859. Hyrtl, à Vienne, 1859. Claude Bernard, à Pa- ris, 1860. pn à Stockholm, 186 Kass: à Giessen, 1861. Steenstrup, äCopenha- gue, 1861. Asa Gray,à Boston, 1862, Henle,àGóttingue,1863. Huxley,à Londres,1864. Ratzeburg, à Neustadt- * Eberswalde, 1864. Nägeli, à Munich, 1865. à Halle, àGe- ‚a 4. Médecins. 1826. M. Granville, à Londres, M. Clot-Bey, à Marseille, 1842. ll. CLASSE RUSSE. Grigorovitch, à Odes- sa, 1851. Maikof 1853. Snéguiref, à Moscou, 1854 Bodianski, 1854. Weltmann, à Moscou, 1854. Bénédiktof 1855. Bytchkof, 1855. Soukhomlinof 1855. A or à Var- sovie, à Moscou, LE Nuet ä Kharkof, 1856. 4 Hilferding 1856. Tuttchef 1857. MM. Gorski, à Moscou, 1857. Tourguénef 1860. Gontcharof 1860. Polénof 1861.. Névostrouef, à Moscou, 1861. xd Doubrofski 1862. Tikhonravof, à Mos- cou, 1863. … Ostrofski, à: pem, 1863. s tad et Sakcin- “ski, à Agram, 1855. Miklosich, à Vienne, -l Érbén, À Prague, 1856. Hattala, à Prague, 1862. Danisic,à Belgrad, 1863. Aanıhrtr m. ULAJ 251 1. Sectiön historieo-politique. MM. Éichwald 1826. M. Nordmann, à Helsing- Bunge, à Dorpat, 1833. fors, 1834. M. le prince polis MM. Kutorga, 1848. Moscou, 1846 - Miliutine 1853. Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint - Pétersbourg. MM. MM. Hagemeister 1855. Zablotski 1856 Skalkofski, à Odessa, 1856. Kalatchof, à Moscou, 1858 Bunge, à Kief, 1859. Eug. Lamanski, 1859. Solovief,àMoscou,1864. Schirren, à Dorpat, 1864. Schnitzler, bourg, 1839. Schubert,äKönigsberg, 1846. à Strass- MM. Quetelet, à Bruxelles, 1848. Zachariae de Lingen- thal, près Mersebourg, 1856. Hildebrandt, à Stock- holm, 1859. Renan, à Paris, 1860. Ranke, ä Berlin, 1860. Chevalier,àParis,1861. Grote, à Londres, 1861. Palacki, à Prague, 1863. Finlay, à Athenes, 1865. Bielowski, à Lemberg, 1865. 2. Section de Philologie classique et d' Archéologie. MM.Léontief, à Moscou, MM. Cobet, à Leyde, 1857. 1865. Bóckh, à Berlin, 1844. Neue, à Stuttgart, 1848. O. Jahn, à Bonn, 1856. Meineke, à Berlin,1856. Wieseler, à Góttingue, 1856. Ritschl, à Leipsic, 1858. Roulez, à Gand, 1858. Haupt, à Berlin, 1859. Henzen, à Rome, 1860. Lehrs, à Königsberg, 1860. Brunn, à Rome, 1861. Halm, à Munich, 1865. 8. Section des Lettres orientales. Kazembek 1835. J. Kowalewski, à Var- sovie, 1837. Khanykof 1852. Grigorief 1853. Bartholomaei, à Tiflis, 1856. Chwolson 1858. Charmoy, Aouste, Dé- part. dela Dröme, 1829. Möller, à Gotha, 1830. E wald,àGóttingue,1834. Reinaud, à Paris, 1842. MM.Stan. Julien, à Paris, 1845. Fleischer, à Leipsic, 1849 Lassen, à Bonn, 1855. Roth, à Tubingue, 1855. Garein de Tassy, à Pa- ris, 1856. Flügel, à Drésde, 1857. Weber, à Berlin, 1860. Defrémery, à Paris, 1860. Olshausen, à Berlin, 1864. 4. Section de Linguistique. MM. Bopp, à Berlin, 1853. MM. Schleicher, à Jena, Pott, à Halle, 1855. Diez, à Bonn, 1855. 1857. Kuhn, à Berlin, 1863. F. Appartenances scientifiques. 1) Bibliothèque. 1° Section. Livres en langue russe et autres aies ` slaves en général. Bibliothécaire: M. Kunik. 2% Section. Livres en langue étrangères. Biblio- thécaire: M. Schiefner. 2) Cabinet de physique. Directeur: M. Jacobi. 3) Laboratoire chimique. Directeur: M. Fritzsche, 4) Musée minéralogique. Directeur: M. Helmersen. 5) Musée botanique. Directeur: M. Ruprecht. 6) Musée zoologique et zootomique. Directeur: M. Brandt. 7) Musée anatomique. Directeur: M. Baer. 8) Musée asiatiqne. Directeur: M. Dor 9) et 10) Musée eem que et Musée égyptien. Di- recteur: M. Stephan 11) Musée Rue. Directeur: M. Schiefner. 12) Observatoire astronomique de Vilna. Directeur:...... BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L’Academie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Mulsant, E. Souvenirs d'un voyage en Allemagne. Paris 1862. 8. 4 Karten über Theile von Holland. N* 12: Bargerveen, N* 15: Veluwe, N* 16: Twenthe, N* 18: Biesbosch. Fol. Steyern, Nils von. Bidrag till Svenska Riksdagens histo- ria 1600 — 1650. Uppsala 1863. 8. Archiv für wissenschaftliche Kunde von Russland. 23ster Band. 2tes und 3tes Heft. Berlin 1864. 8. ug ues X. Bandes 3tes — 5tes Heft. Riga ۱ بر‎ De 3 Die ältesten Gerichtsordnungen Russlands nach allen bisher entdeckten und herausgegebenen Handschriften Ben, verdeutscht und erläutert. I. Dorpat 1846. 4. Körber, Bernh. Sc der im Dörptschen Kreise ge- legenen Kirchspiele Ringen, Randen, Nüggen und Kawelecht in den Jahren 1834 — 59. Dorp. 1864. 4. Mission de Phénicie, dirigée par M. Ernest Renan. 1'° livr. du texte et des planches, Paris 1864. Fol. Pélerinage en terre sainte de l’igoumène russe امسا‎ | au commencement du XII siècle, trad. pour la premiere fois, accompagné de notes critiques etc. par Abraham de Noroff. St.-Pétersbourg 1864. 4. Leibnitii de expeditione Aegyptiaca Ludovico XIV Fran- ciae regi proponenda scripta quae supersunt omnia adjecta praefatione historico-critica ed. Onno Klopp. Hanoverae 1864. 8. Quetelet, A. Statistique et Astronomie. 8. — Programme du congrés international de statistique de Berlin. 8. Paru le 20 janvier 1866. T , IX, N° 4 et dernier. p ی‎ hene RR | ee, ۲ ۸ ۷۶ ES Jas m e 5 4: APT 3 E Wi DE L’ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME IX. (Feuilles 28 — 36.) CONTENU: | — - Page El. Mecznikow, Sur Geodesmus bilineatus, une Planaire terrestre de l'Europe. (Avec EET soo ec pum DEE E T TE 433 — 447 M. Brosset, Traité géorgien du comput ecclésiastique, composé et écrit en l’année mon- daine: 6741, ère grecque (5508) ete. Manuscrit de Mtzkhétha................ 448 — 469 J. Somof, Sur les accélérations de divers ordres dans le mouvement relatif.......... 469 — 477 ` ^, ki Saviteh, Sur la détermination de la résistance de l'air au mouvement du pendule.. 477 — 482 L “مي‎ — F.J. Ruprecht, Nouvelles recherches geo-botaniques sur le tchernosem.............. 482 — 569 0. Struve, Découverte de quelques nébuleuses. ................................. 569 — 573 ی وت‎ ee, 573 — 576 nt mdrr hi À Ci-joint les titres et les tables des matières du Tome IX. On gebonne: chez MM. Eggers & Cie, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; fski; au Comité Administratif de l'Académie (Kowurers IHpaszenis Hwneparopckoii Axaxexiu Dasz) et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. | Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 8 rbl. arg. pour la Russie, thalers de Prusse pour l'étranger. Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, N° 12.) - sgeschichte proboscideus. othriocephalus 8. P \ j D" J. Knoch. Die Entwi Ee A y =) oE e n0 E عسي بيك T. IX a RSS $ tin de l'Acad. Imp. d. sc. J. Knoch ad nat BULLETIN DE L’ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOTRG,. Über Geodesmus bilineatus Nob. (Fasciola ter- restris O. Fr. Müller?) eine europäische Land- planarie, von El. Mecznikow. (Lu le 21 sep- tembre 1865.) (Mit 1 Tafel.) Unter diesem Namen will ich eine in Giessen vor- kommende Landplanarie beschreiben. Ich habe eine Anzahl von Exemplaren dieses Thieres im Treibhause des hiesigen botanischen Gartens auf Blumentöpfen und auf der in diesen enthaltenen Erde gefunden. ' Bekanntlich hat Otto Fr. Müller die erste und einzige europäische Landplanarie beschrieben '), die er mit dem Namen Fasciola terrestris bezeichnete. Er fand dieses Thier in Dänemark, in drei, 6 — 8" langen Exemplaren im Moose und Se ihm folgende Diagnose: a Fasciola linearis, supra convexa, cinerea, subtus ve Im Jahre 1828 fand Dugès die Müller’sche Land- planarie unter Steinen im Languedoc wieder und be- merkte bei diesem Wurme «ein weisses Loch unten in der Mitte, den Brei der Planarien, den Rüssel, die Ruthe, Samengefässe und einen verzweigten Darm mit kurzen einfachen und dreispaltigen Zweigen °)». Du- gès lieferte auch eine, freilich sehr mangelhafte Ab- bildung der Landplanarie. Seitdem hat noch Fritz Müller?) die Fasciola oder, wie sie von Gmelin genannt wurde, Planaria terre- stris in der Gegend von Grimmeln bei Greifswalde ge- funden, aber nicht näher untersucht. Zum letzten Mal wurde die europäische Landpla- narie von Noll‘) in St. Goar gesehen, aber ebenfalls keiner genauen Untersuchung unterworfen. Die von diesem Naturforscher gelieferten Abbildungen sind da- her auch noch sehr unzureichend. Er beschreibt eine Selbsttheilung bei dem von ihm gesehenen eg dk 1) 7 1) Vermium terrestrium et fluviatilium historia, 1773, II, 68, 2) Isis, 1833, S. 622, Taf. XVII, Fig. 18. Auszug aus den Auhäles des Sciences naturelles, 1830. 3) Mitgetheilt in der Abhandlung von Schultze, Über die Land- planarien, Halle 1857. 4) Der Zoologische Garten, 1862, S. 254. Tome 1X. welche aber zweifelsohne eine pathologische Erschei- nung repräsentirt. Wenn wir aber die bisherige Kenntniss der euro- püischen Landplanarien noch als sehr dürftig anse- hen müssen, so kónnen wir dies nicht in demselben Grade von den exotischen Formen behaupten. Man hat eine Reihe von Arten aus Amerika (Dar- win, Stimpson, Blanchard, Leidy, F. Müller, Schmarda), Australien (Darwin) und Ceylon (Hum- bert) kennen gelernt, die in folgende Gattungen ein- getheilt werden: Polycladus Blanch., Rhynchodesmus Leidy, Geoplana Stimps. und Müller, Prostoceraeus Schm. und Bipalium Stimps. (Sphyrocephalus Schm.). — Was die anatomische Kentniss der exotischen Land- planarien betrifft, so besitzen wir bloss einige nach Spiritusexemplaren angestellte Untersuchungen von Max Schultze) und Claparède’). Aus den Beobach- tungen dieser Forscher geht hervor, dass der Bau der Landplanarien mit den im Wasser lebenden Formen im Wesentlichen übereinstimmt, dennoch aber auch einige Abweichungen zeigt. Der Darm aller unter- suchten tropischen Landplanarien besteht aus drei Hauptstimmen, die ebenso wie bei den übrigen For- men stark verüstelt sind. Der Pharynx ist, nach den Beobachtungen von Claparéde, stark gefaltet und wie bei der marinen Gattung Centrostomum gebaut. Diese Eigenschaft hält der genannte Forscher für cha- rakteristisch für alle Laniplensriens «la conformation de la trompe», sagt er’), «suffit pour distinguer nette- ment les Turbellariés terrestres de ceux qui habitent les eaux douces». - Die Haut der exotischen Landplanarien ist mit Flimmerhaaren bedeckt, enthàlt aber keine stübchen- fórmigen Organe. Das Nervensystem, ebenso wie die Wassergefässe sind den oben Pu at Forschern un- bekannt geblieben. 5) loc. cit. Ce E ; à 6) Det de quelques espèces nouvelles SA Planaires ter- restres de Ceylan par Humbert, suivie d’ observations anatomiques sur le genre Bipalium par Claparède, mn 1862. 7) loc. cit. p. 16. ^. 435 Bulletin de l’Académie Impériale 436 Die untersuchten Formen sind/als monogenophor erwiesen. Ihre Geschlechtsdrüsen sind unbekannt ge- blieben; der stark entwickelte Penis aber ist von Claparède genau beschrieben worden. Aus dem Gesagten ersieht man leicht, dass die bisherige Kenntniss des Baues der Landplanarien noch so lückenhaft und unvollständig ist, dass jeder neue Beitrag, der die Organisation dieser eigenthümlichen Thiere einigermaassen erklürt, von Nutzen sein kann. Aus diesen Gründen gehe ich zur Beschreibung der von mir gefundenen Landpl len über. Aeussere Form und Lebensweise. Die in Giessen. vorkommende 'Landplanarie lebt, wie ich schon oben hervorgehoben habe, vorzugsweise auf der die Blumentöpfe ausfüllenden Erde. Wenn diese nicht feucht genug ist, dann kriechen alle Planarien in die Tiefe; sobald aber die Erde von Neuem begos- sen wird, kommen sie wieder an die Oberfläche, mit ihrem Vorderkórper nach der Umgebung tastend. Ich fand. diese Landplanarien im Mai und Juni dieses Jahres. Leider aber waren alle von mir untersuchten Exemplare noch geschlechtlich unreif, so dass ich in meiner Darstellung nur einen Theil der Sexualorgane berücksichtigen kaun. Die grössten Exemplare von Geodesmus sind ۳ lang und 1,05"" breit; neben solchen Individuen fand ich aber nicht selten auch kleinere, bloss 3۳۳ lange Thiere. Die Gestalt des Körpers ist beinahe cylindrisch; sie verjüngt sich allmählich nach vorn und hinten. Der vordere Körpertheil ist abgeplattet und vollzieht sehr mannichfaltige Bewegungen, indem er, seine Form verschiedenartig verändernd, sich nach oben hebt und nach beiden Seiten hin bewegt. Der auffallendste Unterschied zwischen dem Bauche und dem Rücken besteht in der verschiedenen Fär- bung dieser Theile. Der Rücken ist schmutzig gelb pig- mentirt und enthält noch eine marmorirte, rothbraune Färbung. Ausserdem sieht man am Rücken zwei neben einander liegende, durch den ganzen Körper verlau fende, ebenfalls rothbraun gefärbte Linien und einen in des Mitte des Körpers liegenden, dunklen Fleck; dieser letztere entspricht der Lage des Pharynx. Das Kopf- ende ist überhaupt viel intensiver pigmentirt als der übrige Körper, wesshalb es auch keine von den bei- den erwähnten Pigmentlinien an sich unterscheiden lässt (Fig. 1). Am Bauche ist der vordere Theil bei- nahe ebenso stark pigmentirt wie am Rücken; der übrige Theil entbehrt aber jeder besonderen Färbung und erscheint schmutzig grau. Bei näherer Betrach- tung (selbst bei sehr schwachen Loupenvergrüsserun- gen) findet man an beiden Seiten der Bauchfläche, dn der Mitte des Kórpers sechs Paar brauner Pigment- ringe (Fig. 4, an. p); diese mehr in die Breite. aus- gedehnten Gebilde messen in dieser Richtung 0,16" in der. Länge aber 0,09"" und. senden noch dëng unregelmässig verlaufende Pigmentausläufer ab. Dee oben beschriebenen mittleren. Pigmentfleck. gegen- über befindet sich in der Mitte des Kórpers, auf der Bauchfläche eine ausdehnbare, im ruhigen Zustande 0,04"" messende Querspalte — die Mundóffnung. An- derthalb Millimeter (bei grösseren Individuen) von die- ser entfernt, also am hinteren Kórpertheile, liegt die einzige, ebenfalls in die Breite ausgezogene Genitalôff: nung. Aeussere Bedeckungen und Nesselorgane, d Der ganze Körper unserer Planarie ist mit Flim- merhaaren bedeckt. Diese sind sehr klein, indem ihre Länge bloss. 0,0025"" beträgt. Sie gehören. einer Schicht von neben einander stehenden Epithelzellen an, welche am deutlichsten durch Behandlung mit er dargestellt werden können. Die einzelnen, durch dieses Reagens isolirten Epithelzellen haben die Gestalt von mehrkantigen Prismen. Wenn man sie von oben betrachtet, so erscheinen sie in Form von verschiedentlich ی‎ regelmässigen und umm gelmässigen Figuren (Fig. 6). Im Innern einer jeder solchen Zelle findet man einen 0,005"" im Durchmesser haltenden Kern. Die Höhle einer jeden Epithelzelle beträgt 0,012"". ihré Länge (resp. Breite) 0,008 bis 0,017"", Am hinte- ren Kórperende wird die Hóhe dieser Zellen etwas kleiner, Die Epithelzellen stehen, wie ich schon ber- vorgehoben habe, dicht neben einander, so dass. man um sie lari an, besonderer Reagentien bedarf. Ich muss noch bemerken, dass dieser, Zusammenhang von Epithelzellen in allen Körpertheilen keineswegs gleich stark ist; am vollkommensten ist er am vorderen Kör- perende, weil man hier eine eontinuirliche Schicht noch dann beobachtet, wenn die Epithelzellen : an allen. | übrigen Körpertheilen (durch Einwirkung von Essig 437 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 438 säure) schon vollständig von einander losgetrennt sind. Nur nach einer langen Behandlung mit Essigsäure gelingt es, die einzelnen Epithelzellen des vorderen Körperendes zu isoliren. Der grósste Theil der von mir mit dem erwähnten Isolationsmittel behandelten Epithelzellen zeigt eine Anzahl cylindrischer Vacuolen (Fig. 5 u. 6, v), welche die ganze Länge der Zellen durchlaufen. In dienen Ve cuolen. liegen die zusammengerollten Nesselfäden, welche in diesem Zustande als 0,0085"" lange, 0, 003"7 breite, ovale, stark lichtbrechende Kórper erscheinen (Fig. 7, a). In Folge einer Reizung des Thieres, strecken sich die Nesselfäden und fallen aus der Vacuole heraus. Im ausgestreckten Zustande besitzt das 0,085" lange Nesselorgan eine spindelfórmige, nach beiden Enden stark verjüngte Gestalt (Fig. 7, c). Im Innern des Fa- dens habe ich mitunter ein helles Bläschen, vielleicht den Zellenkern, beobachtet. Indem ich die oben beschriebenen Gebilde als Nes- selfüden bezeichne, glaube ich einer von vielen For- schern angenommenen Meinung zu widersprechen. Die- selben Organe, die von anderen Autoren unter dem Namen von stübchenfórmigen Kórpern bei vielen Tur- bellarien bekannt gemacht worden sind, hat man für besondere Sinnesorgane angesehen (Max Schultze); einige Naturforscher (Müller, Frey und Leuckart) haben sie zwar für. Nesselorgane gehalten, ohne aber für diese Deutung (mit Ausnahme einer Beobachtung von Müller an Thysanozoon) hinreichende Gründe zu haben. Dafür, dass bei Geodesmus die beschriebenen Organe Nesselfiden repräsentiren, kann ich directe Beobachtungen anführen. Ich habe mehrmals versucht, unsere Thiere mit verschiedenen Infusorien (Glaucoma scintillans, Cyclidium glaucoma, Stylonichia pustulata) zusammen zu bringen und dabei stets gesehen, dass diejenigen, welche die Haut unserer Planarien berühr- ten, in sehr kurzer Zeit unter den Erscheinungen, die man gewöhnlich bei der Einwirkung von Essig- säure bemerkt, zu Grunde gingen. Man sieht nämlich, dass der Infusorienkörper dabei kórnig und scharf conturirt wird. |... Reizung mit dem Deckgläschen ruft bei unserer Planarie gewöhnlich auch eine Heraustreibung einer Menge von Nesselfäden hervo Mit der angedeuteten RR der Nesselorgane steht ferner der Umstand in Übereinstimmung, dass sie bei Geodesmus am Kopfende (wo die Sinnesorgane am meisten congentrirt sind), so wie an der hinter- sten Körperspitze gänzlich fehlen. Dass unsere Nesselfäden übrigens mit den stäb- chenförmigen Körpern anderer Turbellarien, trotz ei- niger Abweichungen in der Gestalt, vollkommen iden- tisch sind, darf wohl kaum bezweifelt werden, um so mehr als ihr Verhalten zu, den chemischen Reagen- tien genau dasselbe ist. Die Nesselfüden von Geodes- mus lösen sich sehr leicht in Essigsäure, sind aber in Kalilauge, so wie in Chromsäure unlöslich und zeigen also dieselben Eigenschaften, welche M. Schultze”) für die Stäbchenorgane verschiedener Rhabdocoelen nachgewiesen hat. Noch muss ich bemerken, dass die Nesselorgane bei Geodesmus nicht an der Stelle entstehen, wo man sie im entwickelten Zustande findet (d. h. im Innern von Epithelzellen), sondern, wie bei anderen Turbella- rien, in besonderen, dem Kórperparenehym zugehö- renden Zellen sich entwickeln, zu deren Betrachtung ich spüter zurückkommen will. Muskelsystem und Körperpigment, Unmittelbar unter der Haut liegt die erste Muskel- schicht (Fig. 2, m). Diese besteht aus longitudinalen, die ganze Linea des Körpers durchlaufenden, 0,0 14°" breiten Fasern. Am Kopfende sind die Muskelfasern näher an einander gerückt als am übrigen ; Körper, weshalb das erstere eine stärkere, zu den oben bespro- chenen Tastbewegungen des Kopfes dienende Muskula- tur besitzt, Die isolirten Muskelfasern erscheinen. als lange, homogene, stark lichtbrechende Bänder; in nen man nur selten einen Kern zu beobachten. Sek: genheit findet. Dicht: neben und unter. der ‚eben beschriebenen Muskelschicht ist das Körperpigment eingelagert.. Die- ses ist in Form von ichfal tig gestalteten, mit mehreren Auslüufern versehenen Zellen vorhanden. In diesen Zellen (Fig. 15) unter- . scheidet man. gewöhnlich . noch ein. helles Bläschen, den Zellenkern. Ausser diesen Zellen findet man in der Pigmentschicht noch lose en die theilweise ganz, qv | aber in Form von d : P diet? poe 8) edid: zur. ege ue Turbellarien, 1851, S. 14. 439 Bulletin de l'Académie Impériale mg langen Strängen liegen. Die letzteren sind ebenso wie die erwähnten Zellenausläufer in der Längsrichtung des Thierkörpers in den Zwischenräumen der dane- ben liegenden Muskelfasern eingelagert. Diese typische Lagerung der Pigmenttheile wird auch an den dunkler gefärbten Stellen, wie z. B. am Kopfende und an dem in der Mitte des Körpers lie- genden Flecke, beibehalten. Unter dem Pigment und der Längsmuskelschicht ist eine viel weniger entwickelte Ringfaserschicht vorhanden; die Elemente der letzteren sind mit de- nen der Longitudinalmuskellage vollkommen identisch. Um die transversale Muskelschicht deutlich wahrzu- nehmen, habe ich das untersuchte Thier mit Essig- säure behandelt. Verdünnte Chromsäure leistet hier ebenfalls gute Dienste, indem sie alle Muskelelemente viel stärker lichtbrechend macht. . Nervensystem und Sinnesorgane, Das Nervensystem ist bei unserem Thiere ziemlich schwer zu beobachten. Es besteht aus einem im Vor- dertheil des Körpers liegenden Hirne, an welchem man die Zusammensetzung aus zwei seitlichen Gan- glien deutlich wahrzunehmen im Stande ist (Fig. 2, n). Von den Seitentheilen des Hirnes entspringen vier ungleich dicke Nervenstámme, von denen zwei dün- nere, die Nervi optici reprüsentirend, zu den Augen gehen, wührend die beiden dickeren in Form von seit- lichen Hauptnervenstämmen des Körpers nach unten laufen. Diese konnte ich nur eine verhältnissmässig kurze Strecke lang verfolgen, da die zarten und blassen Nervenstämme sich in einer Menge von Pigment und Muskeln spurlos verlieren. Von einer Structur konnte ich an den beschriebenen Theilen des Nervensystems absolut nichts wahrnehmen. Obgleich Geodesmus eine entschiedene Tastempfin- dung zu besitzen scheint (ich erinnere nur an die oben beschriebenen, offenbar zum Tasten dienenden Bewegungen des vorderen Körpertheiles), so konnte ich bei ihm doch weder besondere Tasthaare, wie sie bei so vielen Turbellarien massenhaft vorhanden sind, hoch irgend welche sonstige Tastorgane finden. ١ Überhaupt besitzt unser Thier an Sinneswerkzeu- gen nur ziemlich ansehnliche und schon mit blossem Auge sichtbare Sehorgane. Diese am vorderen Kör- perende liegenden Organe sind schon von früheren Beobachtern (Otto Fr. Müller, Dugès und Noll) ge- , sehen, aber keiner genaueren Analyse unterworfen worden. ; l Die Form der Augenkapsel bei Geodesmus (Figg. 2 u. 13) erinnert auffallend an die Gestalt desselben Gebildes bei den Vögeln. Die Kapselmembran wird von einer aus deutlichen Zellen bestehenden Pigmenthaut gebildet. Die diese zusammensetzenden Zellen haben eine sechseckige Gestalt, sind ansehnlich in die Breite ausgedehnt und besitzen, ausser dem aus Pigment- molecülen bestehenden Zelleninhalt, noch helle Zel- lenkerne (Fig. 14). Diese Pigmenthaut bildet einen Sack, in dessen Innerem ein theilweise auch ausserhalb desselben liegender, rosenroth gefärbter Krystallkör- per sich befindet (Fig. 13, c. c.). Dieses bei anderen Planarien von vielen Forschern für eine Linse gehal- tene Organ besteht in unserem Falle aus sehr deut- lichen, in vier- oder mehrfacher Zahl vorhandenen Krystallkegeln. Obgleich die von mir gegebene, auf Analogien gestützte Deutung dieser Gebilde kaum zwei- felhaft zu sein scheint, so konnte ich doch nicht den Zu- sammenhang der Krystallkegel mit dem Nerven wahr- nehmen; dies wird aber sehr begreiflich, wenn man bedenkt, dass die untersuchten Planarienaugen we- gen mech absoluten Kleinheit und Zartheit weien Präparation unterworfen werden konnten. ; An der Stelle des Eintritts des schon oben bespro- chenen optischen Nerven in das Auge findet man keine ganglinóse Anschwellung, wie man es vielleicht ? ér- warten könnte. Zu den beschriebenen Theilen am Auge unserer Planarie gesellen sich noch lichtbrechende Medien; welche eigenthümlicherweise von der Epithel- und Muskelschicht gebildet werden. Die den beiden Augen gegenüberliegenden Theile dieser Schichten zeichnen sich schon bei oberflüchlicher mikroskopischer Be- trachtung durch ihr starkes Lichtbrechungsvermö- gen aus. Bei Behandlung dieser Theile mit den ihre Elemente isolirenden Reagentien (Essigsäure für das Epithel, Chromsäure für die Muskeln) bemerkt man, dass sie längere Zeit hindurch vollkommen unverän- dert bleiben und erst bei einer lange dauernden Ma- ceration in einzelne Epithel-, resp. Muskelzellen sich verwandeln. Dieser Umstand weist darauf hin, dass die Elemente an den die lichtbrechenden Körper bilden- den Theilen viel compacter und inniger mit einander des Sciences de Saint- Pétersbourg. 442 verwachsen sind, als am ganzen übrigen Körper. Auf- fallend ist-es, dass die die Cornea bei unserem Thiere bildenden Epithelzellen ihre fimmernden Wimperhaare beibehalten. ^us: dem Beschriebenen kann man ersehen, wie complicirt die Structur des Auges bei Geodesmus im Vergleich mit der Organisation desselben Gebildes bei allen übrigen Turbellarien ist. Diese hauptsächlich durch die Anwesenheit besonderer Lichtbrechungs- appärate sich auszeichnende Structur scheint mir in directem Zusammenhange mit der Lebensweise unse- res Thieres zu stehen, welches, im Gegensatz zu den übrigen, im Süss- und Salzwasser lebenden Turbella- rien, auf dem Lande lebt und von den in der Luft sich bewegenden Lichtstrahlen afficirt wird. : Kürperparenchym. Das Parenchym ist bei Geodesmus, gleich wie bei anderen Turbellarien, nicht aus einer structur- losen contractilen Substanz, wie es M. Schultze °) und Leuckart'^ angeben, sondern aus deutlichen Zellen zusammengesetzt. Von diesen unterscheide ich mehrere Arten. Zunächst sind die kleinen, vorzugs- weise am oberen Körperende sich befindenden Zellen zu erwähnen. Ausserdem sehen wir noch folgende Zel- lenarten: 1) Mutterzellen der Nesselfäden (Fig. 8,0), welche 0, 92m; im Dhrchrliesser haben und in ihrem Innern verscl twicl tünde der Nesselorgane einschliessen. Von einem ‚Kerne konnte ich an diesen membranlosen, mit blassem Protoplasma versehenen Zellen nichts wahrnehmen. 2) Runde Zel- len mit einem feinkörnigen, stark lichtbrechenden ‚Inhalt (Fig. 8, a). Diese Zellen messen 0,025"". Sie besitzen einen hellen, runden, 0,007"" im Durchmes- ser haltenden Kern, entbehren aber vollständig einer Membran... Ihr Inhalt besteht aus feinen, sehr dicht an einander gedrängten, fettartig aussehenden Körper- chen, die mir noch niemals eine Molecularbewegung zeigten. 3) Die am tiefsten liegende und am reichsten vertretene, letzte Zellenart wird vou runden, ovalen oder eckigen Zellen gebildet, deren Grössenverhält- nisse (sie haben 0,013 bis 0,03"" im Durchmesser) mannichfaltig, gleich wie ihre Form, erscheinen (Fig. TUI ۲۳۳۲۲۳۹۵: dat ter 9) Beiträge e zur امو وش از‎ der Turbellerien; 5 19. 10) Über Mesostomam. A im Archiv f. Natutgešchichté, 1852, S. 239. 8, b). Diese Zellen bestehen, ausser dem hellen Kerne, noch aus einem Protoplasma, welches eine Menge grö- berer, in Molecularbewegung sich befindender, fettarti- ger Körnchen enthält. Sie unterscheiden sich noch da- durch von allen übrigen, das Parenchym bildenden Elementen, dass sie alle dicht neben einander liegen und somit eine continuirliche Lage bilden; diese grenzt unmittelbar an den Verdauungsapparat, dessen Form sie insofern wiederholt, als sie die zwischen den Sei- tenästen des Darmes sich befindenden Räume vollstän- dig ausfüllt. Verdauungsorgane, Der Mund unseres Thieres liegt, wie bereits er- wäbnt, in Form einer Querspalte in der Mitte des Kör- pers, auf der Bauchfläche desselben. Die Ränder die- ser mit Flimmerhaaren umgebenen Mundspalte sind nicht unbedeutend contractil, wodurch die Grösse der Öffnung beständig verändert werden kann. Hinter dem Munde ist, wie bei allen Dendrocoelen, ein muskulöser Pharynx vorhanden, Dieses Organ (Fig. 10) ist aber bei unserem Thiere nicht ausstülpbar und unterscheidet sich von demselben Gebilde bei den übri- gen Planarien noch durch eine viel kürzere, rundlichere und plumpere Form. Die äussere Oberfläche des Pha- rynx ist mit feinen Flimmerhaaren bedeckt. Dieses von den übrigen Forschern übersehene interessante Ver- halten kehrt auch bei den von mir untersuchten Süss- wasserplanarien (Dendrocoelum lacteum, Planaria tor- va, Polycelis nigra) wieder. Ich muss hier überhaupt bemerken, dass die gesammte Structur des Pharynx bei Geodesmus mit derjenigen, die dieses Organ bei allen Süsswasserplanarien hat, so vollkommen über- einstimmt, dass ich für zweckmässig halte, die folgen- den Bemerkungen über die Organisation des Schlund- kopfes auf alle diese Thierformen gleichzeitig zu be- ziehen"). Die erwähnten Flimmerhaare sind auf einer Schicht eingepflanzt, in welcher man selbst mit Hülfe von Rea- gentien keine Zusammensetzung aus einzelnen Epithel- 11) Gelegentlich sei hier bemerkt, dass ich zwischen den Mus- kelschichten des P nx von lactea stets junge, ge- schlechtsiose Nematoden gefunden habe, die mir, nach der Be- schaffenheit ihrer stark d Bohrapparate zu urtheilen, Ju- gendzustände von M; scheinen. Für diese Vermuthung ee auch der Umstand, Fa die in derselben Localität lebenden Tritonen in den Muskeln eine neue, von mir aufgefundene Myorictes- Art beherbergen. 443 Bulletin de l’Académie Impériale 244 zellen nachweisen. kann. ‚Vielleicht rührt dies aber nur von einer vollkommeneren Zusammenschmelzung der letzteren her. Unter dieser äusseren Hautschicht im Pharynx un- serer Planarien liegen drei auf einander folgende Muskellagen, von denen die erste und die dritte aus Làngs-, die mittlere aber aus Ringfasern bestehen. Zwischen diesen mächtig entwickelten Muskelschich- ten befinden. sich kleine Zellen, welehe aus einem kórnigen Inhalt und einem hellen Kerne zusammen- gesetzt sind, Zellen, die man wohl als einzellige Drü- sen in Anspruch nehmen. darf (Fig. 10, gl.). — Die innerste Schicht des Pharynx ist vollkommen homo- gen, trägt aber keine Flimmerhaare. Um die Darstellung der (auffallend an den Bau des Wurmkörpers selbst erinnernden) Structur des Plana- rienpharynx zu completiren, muss ich noch das Vor- handensein feiner Wassergefässstämme in seinen Wan- dungen hervorheben, welche ich am deutlichsten bei jungen Exemplaren von Polycelis nigra beobachtet ha Auf den Pharynx folgt der eigentliche Darm, des- sen Form von derjenigen bei allen übrigen Wasser- und Landdendrocoelen auffallend abweicht. Der Tra- ctus intestinalis ist bei Geodesmus weder dreischen- kelig, noch mannigfaltig verästelt, sondern erscheint in. Form eines in der Längsrichtung des Thieres ver- laufenden, nach beiden Seiten einfache Auswüchse ab- gebenden Körpers (Figs. 2, 3 u.4). Dadurch gewinnt er, der ] form entsprechend, eine grössere Ähnlichkeit mit dem Darme der Nemer- tinen und verdient keineswegs den Namen Dendro- coele. Ausser den paarigen, eben besprochenen, der Zahl nach ungefähr in 35 Paaren vorhandenen, seitli- chen Auswüchsen am Darme unseres Thieres, besitzt dasselbe im oberen Körpertheil noch einen längeren unpaarigen, in der Mitte des Körpers verlaufenden, vorn blind endigenden Auswuchs (Fig. 2, p. m.), den man wohl als eine verjüngte Verlüngerung des Dar- mes selbst betrachten kann. Die Seitenauswüchse sind übrigens nicht alle voll- kommen gleich unter einander, indem diejenigen des ien Körpertheiles viel kürzer als die übrigen d und dichter neben einander stehen (Fig. 3). e Stru ur des Darmes bei Geodesmus unter- | nicht, wie die äussere Form desselben Organes, von der Organisation der Verdauungsorgane anderer Dendrocoelen, zeigt aber trotzdem sehr eigen- thümliche, von allen anderen Forschern übersehene Verhältnisse. Max Schultze”) und einige andere Autoren haben schon bemerkt, dass der Darm bei verschiedenen Rhab- docoelen einer faserigen oder structurlosen Haut ent- behrt; sie haben ihm aber eine äussere zellige Wand zugeschrieben. Leuckart ^) glaubt dagegen bei Meso- stomum Ehrenbergi eine äussere structurlose Membran am Darme gefunden zu haben. Meine Beobachtungen haben mich von der Unrichtigkeit dieser Angaben voll- kommen überzeugt, indem sie mir zeigten, dass am Darme sowohl der Dendrocoelen, wie auch vieler Rhab- docoelen jede differente äussere Membran gänzlich fehlt (۰ Die von Schmidt"), Schultze und Anderen als Darmwandzellen beschriebenen Gebilde sind keine Zellen und bilden keine Wand. Es sind helle Vacuolen, welche in ihrem Innern je ein oder mehrere runde oder unregelmässige braune Körner, die sich in Molecular- bewegung befinden, einschliessen. Diese verschieden grossen Vacuolen liegen in einer den Darm voll- ständig erfüllenden homogenen Eiweisssubstanz, welche öfters in verschiedene, grössere oder kleinere Partikel zertheilt ist (die letzteren umhüllen einzelne Vacuolen und sehen dann auffallend zellenartig aus — Fig. 9, a), zuweilen aber auch als ein vollkommen continuirlicher gallertartiger Körper erscheint. Diese Eiweisssubstanz enthält in ihrem Innern, ausser einer Menge der eben beschriebenen Vacuolen, noch die ge- nossenen Nahrungsstoffe in verschiedenen Stadien der Verdauung, resp. Zertheilung. Neben diesen findet man im Eiweisskórper viele Fetttropfen und Eiweiss- körnchen, welche theilweise isolirt, grösstentheils aber in besonderen Haufen (Fig. 9, b) sich befinden. ` ` Es ergiebt sich also, dass der Verdauungsapparat bei Geodesmus so wie bei allen anderen von mir un- tersuchten Dendrocoelen und vielen Rhabdocoelen, den Namen Darmkanal keineswegs verdienend, aus einem membranlosen, des innern Hohlraumes vollstän- dig entbehrenden Eiweisskörper besteht, in Bug 12) Pune etc. S, 28. 13) 1. 2. 14) Ich muss hier bemerken, dass ich nächstens die Resultate meiner ausgedehnteren Unterteckungen über die Verdauungsorgane der Turbellarien der Öffentlichkeit zu übergeben و روج‎ H 15) Die rhabdocoelen sa 1848, 8. 0. MAR Ueber Geodesmus E. Meeznikow, Z. IX Bulletin de l'Acad. d. ۰ bilineatus Nob. FT ET NP ON DT PURES ua LOUE : Gs عاسو عه‎ e Ak Nazar jik ud Lith. u. gedr. in d. Exped. z. Anf. d. Staatspapiere. Meeznikow del. 445 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 416 die. Nah toffe,-eingehüllt-und verdaut und die gebildeten Exeretionsstoffe(?) ®) in besondere Vacuo- len abgelagert werden. - Diese interessanten Verhältnisse, die ich mehrmals sorgfältig geprüft habe, erinnern auffallend an die bei den Infusorien schon längst bekannte Erscheinung, dass die genossene Nahrüng ebenfalls durch einen ei- weissartigen Körper (inneres Parenchym) bearbeitet . und verdaut wird. : Wir sehen hier also noch ein neues Moment, wel- ches uns von der Richtigkeit der längst bemerkten Verwandtschaft zwischen den Turbellarien und den höheren Infusorien überzeugen kann. Von diesem Ge- sichtspunkt können wir auch sehr einfach die von Cla- paréde") hervorgehobene Abwesenheit eines abge- $onderten Darmes bei jungen Rhabdocoelen und bei der vollkommen erwachsenen Convoluta minuta durch die extreme Entwickelung der eben dargestellten Bil- dung des Verdauungsapparates erklären. - Was die Beschaffenheit der Nahrung unserer Land- planarie betrifft, so kann ich nur bemerken, dass ich im Darme dieses Thieres niemals thierische Substan- zen (wie es Schultze für die von ihm untersuchte Geoplana Burmeisteri behauptet), wohl aber einige mit Erdkórnchen vermischte Pflanzenzellen gefunden habe. Wassergefässe, «Die. sogenannten Wassergefässe sind bei unserem Thiere verhältnissmässig so dünn und liegen so sehr im. Körperparenchym versteckt, dass man sie öfters vollständig vermisst. Ich habe sie übrigens nur kurze Strecken lang beobachtet. Sie liegen auf beiden Sei- ten. des Körpers, die Hauptstämme repräsentirend. In ihrem Innern befinden sich die breiten, stark ent- wickelten Wimperlappen (Fig. 12, 7. v.). Von feineren Verüstelungen der Gefässe und. ihrer Ausmündung nach aussen konnte ich bei den erwähnten ungünsti- gen ru nichts auffinden. | ۱ Geschlechtsorgane, clt alle meine Exemplare von Geodesmus, wie schon . 16) Clap ee der Sg braunen, in Vacuolen eingeschlosse- nen Körnchen bloss, in den Deripherischen Seitenästen des Darmes von Salzwasserplanarien beobachtete, hàlt sie für Gallenconcre- mente. 17) Beobachtungen über Anatomie und Entwicklung virbelloser Seethiere, 1868, S, 15 und 18. bemerkt, noch nicht geschlechtsreif waren, so kann ich in Folgendem bloss den bei ihnen vorhandenen Pe- nis, mit der Penisscheide und dem Samenleiter be- schreiben. (Die Geschlechtsöffnung ist oben schon be- schrieben worden.) Der Penis ist ein langgezogener konischer Zapfen (Fig. 11, p), dessen unteres Ende im ruhigen Zustande nach der Geschlechtsöffnung gerichtet ist. Seine mus- kulösen, jeder Chitinbewaffnung entbehrenden Wände gehen an diesem Ende in die Penisscheide über. Die letztere ist oval und besteht aus dicken, einander durchkreuzenden Muskeln (Fig. 11, v. #.). An ihrem oberen Ende verbindet sie sich mit dem unpaarigen Samenleiter (Fig. 11, v. d.). An dieser Stelle befindet sich eine Menge von Kórnehen, welche denselben, von O. Schmidt bei anderen Planarien beschriebenen Gebilden vollkommen entsprechen, wiewohl ich keine besonderen Kórnchendrüsen habe auffinden kónnen. Es scheint gerechtfertigt, dass der Penis im activen Zustande. durch die Wirkung starker Muskeln der Penisscheide wie ein Handschuhfinger nach aussen ausgestülpt wird, während er sonst mit seinem freien Ende nach innen gekehrt ist. Systematische Bemerkungen. Zunüchst ist hier die Frage zu beantworten, ob unser Thier mit der Müller'schen Landplanarie iden- tisch sei, oder aber eine neue Art reprüsentire? Ob- gleich ich wegen der Unzulänglichkeit der Diagnosen von Planaria terrestris diese Frage nicht bestimmt ent- scheiden kann, so halte ich es doch für wahrscheinlich, dass beide verschiedene Arten sind. Dafür spricht schon die bedeutende Grössenverschie (unser Thier ist bloss halb so gross als das. Müller’ sche), hauptsächlich aber der Umstand, dass bei 4 1 terrestris die so auflallenden Pigmentstreifen, so wie der mittlere Pigmentfleck villis EBEN nen. Wie dem aber auch sei, jedenfalls muss unser Thier als Repräsentant einer besonderen Gattung betrachtet werden, da es von den Was sserplan: . Nie von allen bekannten exotischen rop si mannichfal- tig sich unterscheidet. Da ich 'selbst des Griechischen nicht mächtig bin, so bezeichne ich die in Giessen vorkommende Form mit dem von Prof. Leuckart gewählten ueuen ی‎ Geodesmus; ihren Ar- 447 Bulletin de l’Académie Impériale 448 tennamen kann man nach der oben besprochenen Ei- genthümlichkeit mit bilineatus bezeichnen. Schliesslich muss ich noch bemerken, dass die mit- getheilten Beobachtungen von mir im Laboratorium des Hrn. Prof. Leuckart in Giessen angestellt wor- ` den sind. Erklárung der Abbildungen. Fig. 1. Geodesmus bilineatus von der Rückenseite, drei mal vergrössert. . Der Kopftheil desselben mit dem vorderen Theile des Darmes. Centrales Nervensystem, m. Lüngsmuskel- schicht, bei 50 maliger Vergrósserung. . Hinteres Kórperende von Geodesmus bei der. selben Vergrósserung. . Mittlerer Körpertheil von der Bauchfläche. an. . Pigmentringe mit Ausläufern. . Profilansicht der äusseren Epithelschicht. v. Vacuolen. . Flächenansicht von äusseren Epithelzellen. v. Vacuolen. . a. Zusammengewundene, c. ausgezogene Nes- selfäden. b. Ein Nesselorgan, das im Begriff steht sich auszustrecken. . a. Parenchymzellen mit feinkörnigem Inhalt. b. Zellen mit grobkórnigem Inhalt. c. Mut- terzellen der Nesselfäden. ..@. Theilchen des verdauenden Eiweisskörpers mit Vacuolen, in deren Innerem sich die brau- nen Harnconcremente befinden. b. Haufen von Eiweisskörnchen. Die Figg. 5 — 9 sind bei 30maliger Ver- grösserung entworfen. Pharynx von Geodesmus, gl. Einzellige Drü- sen, bei 50maliger Vergrösserung. . p. Penis, v. p. Penisscheide, v. d. Ausführungs- gang, bei 50maliger Vergrösserung. Ein Stück vom Wassergefäss. l. v. Wimper- lappen. » 13 ch. Pigmenthaut des Auges, c. c. Krystallkór- per, a. Epithel, b. Muskelschicht, bei 90ma- liger Vergrósserung. » 14. Zellen der Pigmenthaut des Auges. » 15. Verästelte Zellen der Pigmenthaut des Körpers. .. Giessen, im Juni 1865. ۱ x Qt «1 Q0 Ha 12. » Traité géorgien du comput ecclésiastique, com: posé et écrit en l’année mondaine: 6741, ère grecque (5508); 6837, ère géorgienne (5604); 453 du 13° cycle pascal géorgien; 1233 de Pin- carnation. (Manuscrit de Mtzkhétha), traduit par M. Brosset. (Lu le 23 novembre 1865.) AUIS PRÉLIMINAIRE. Le traité «du Cycle syrien,» ou de comput ecclé- siastique, que l’on va lire, a été rédigé en 1233 de J.-C. par un auteur qui ne se nomme pas lui-même, et qui paraît n’avoir fait que mettre en prose les idées exprimées en vers iambiques par un poète géor- gien, Ioané ou Jean Chawthel. Ce dernier, natif du canton de Chawcheth, au pays d'Akhal-Tzikhé, d’où son surnom de Chawthel, pour Chawchéthel, fut, dit- on, l’un des ministres de la reine Thamar, dont il a écrit un éloge en vers, publié en 1838 à Tiflis, par M. Pl. Iosélian. Plus tard il se fit moine et laissa son nom d’Abdoul-Messia pour prendre celui de Ioane. Deux auteurs géorgiens ont parlé de lui avec éloge: l'un, son compatriote et émule en poésie, Chottha Rousthwel, dans le dernier quatrain de «L'homme à la peau de tigre;» l'autre, le catholicos Antoni 1°, dans son «Discours par ordre,» qui est un vrai cata- logue des hommes illustres géorgiens, s'exprime avec beaucoup de vénération, strophe 770, 771, au sujet «du S. pére Jean Chawthel.» Malheureusement le Traité en vers iambiques sur le calendrier ne nous est pas parvenu. Comme notre auteur parait avoir puisé ses con- naissances aux sources syriennes, il serait sans doute intéressant de consulter les ouvrages de comput, en langage syriaque, mentionnés dans la Bibl. orientale d'Assemani (t. I, p. 583, 630, 631; II, 488, 502, 503), oü l'on voit d'üilleisé que nitebre d'écrivains syriens ont mis en vers, sermone metrico, toutes sortes de matières théologiques et autres, qui comportent naturellement peu de poésie. Quoique le rédacteur du présent ouvrage ne se soit pas nommé dans son texte, nous avons un moyen sûr de déterminer sa patrie, son nom et sa profession. | Le Traité du cycle fait partie d’un manuscrit en par- chemin, appartenant aujourd’hui à l’église patriarcale [de Mtzkhétha, en Géorgie, d’où j'en ai obtenu com- munication, déjà en 1843, et pour la seconde fois en 1865: je l'ai donc copié et collationné avec soin. Ce 449 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 450 manuscrit est un dog»oli-3o6o ou desch - Sege, i. e. un recueil de prieres qui se récitent et se chantent dans l'église; il forme un gros volume in-12 et est tout écrit en caractères ecclésiastiques. Vers le troisième tiers, on y trouve le Traité du cycle, en 41 pages, au milieu duquel est intercalée une série des 532 ans d'un cycle pascal, avec toutes leurs caractéristiques ecclésiastiques, et sur les marges l'indication d'un certain nombre de faits de l'histoire civile. Je me contenterai iei de ce peu de notices, parce que j'en ai donné de plus complétes dans le Bulletin histor.- philolog. t. I, N° 15. A la suite du cycle se lit une histoire des miracles de S. George Protomartyr, opé- rés tant au couvent d’Opiza, dans le canton de Clar- djeth, province d'Akhal-Tzikhé, qu'à Alawerd, dans le Cakheth, dont notre auteur dit avoir estendu le récit de la bouche de témoins oculaires, et dont les derniers sont du temps de l'invasion «du Khorazmien» i. e. de Djélal-ed-Din, conséquemment 1224—1230 de J.-C. Puis il donne son Testament ou mémento, dans lequel sont mentionnés toutes les personnes de sa famille, et lui-méme: nn 0 Nisimé soeur du grand - père d'Abouser, grand-pere de l'écrivain. Grigol, Khouacha. Balian, Ae Auge (35303? Sanano, célibataire. Abouser. grand'mére?) de l'écrivain. | Twané ri marié à Kha- — Sagdoukht. Photine. Grigol, oncle de l'écrivain, thoutha,en religion Ecatériné, Filles. Bad», religieuse ir la mortde son i, tué par les Turks. | » E Rene min EE Wardan. Abouséridzé Theli Wanéni, fille, Sagdoukht, Tzatza, Abouser, < Thamar, + 5 - j l'écrivain du da E d l'église de soeurs des maîtres de 16۰ puis Wakhakh, + e : 1er lit | quel lit? Inn, S.-Jean l’Evangeliste, cri Grigol. Nathéla. O © jumeaux. ` Khathouna, Wanéni, File. + Filles. Les ?/ d'une page lavés et illisibles; au bas -Pachta «mère de mes fils*),» a Look à dépensé‏ ی pour l’église de S.-Geo‏ Rousoudan. Zakaria. Onophré. Aghsarthan. Ainsi notre écrivain, Abouséridzé, était de Tbeth, principauté ancienne et ville épiscopale du canton de Chawcheth; probablement il appartenait au clergé, ce que laisse pressentir le respect avec lequel il parle des choses religieuses dans son traité. En tout cas il parait avoir été marié, ainsi qu'il résulte de ces pa- roles «Bagoul-Pachta, mére de mes flls,» et comme compatriote de Jean Chawthel, il avait dü étre des premiers à connaître son poème du calendrier. L'His- toire de Géorgie, p. 320, 321, mentionne au milieu du XI? s. un Abouser, éristhaw d'Artanoudj, lieu peu éloigné de Tbeth, à la postérité duquel ارو موه‎ probablement. notre auteur. Quoique j'aie copié deux fois et traduit avec la plus pede. attention le Traité du iun et tque Iwané. ag le Tbéli avait-il été marié? Tome IX. —— M o — nn Ho Tzouari, Agouta, ` parents indéterminés. on lit: est R titre donné aux dames de sa famille par l'écrivain, ` gx j'aie vérifié une partie des calculs qu'il renferme, je ne me flatte point d’avoir réussi à le comprendre parfaitement ni d’être en état de le bien juger. Je me suis donc adressé à mes deux honorables collègues Pérévostchikof et Savitch, qui ont lu l'ouvrage et. m'ont encouragé à le publier; ils le regardent non comme un travail de haute valeur intrinsöque, oü nos computistes mathématiciens puissent acquérir de grandes et précieuses connaissances, mais comme méritant d'étre conservé, soit pour les quel ues faits nouveaux qui y sont exposés, soit comme monument de l'état des sciences en Géorgie, au XI و‎ et des méthodes empiriques, au moyen desquelles 7€ crer géorgien arrivait à résoudre des problèmes sants méme pour les maitres. C'est à ce titre que je soumets mon » travail au pu- blic savant, priant les s de me communiquer 29 451 Bulletin de l'Académie Impériale 452 leurs observations et critiques; aidé de leurs avis, je donnerai plus tard une édition complète du texte, à laquelle je me propose de joindre un traité inédit, sur le même sujet, écrit en 1755 par le laborieux tsarévitch géorgien Wakhoucht. Par-là on verra quels changements s'étaient opérés, dans l'espace de cinq siècles, dans les vues des computistes géorgiens, et les progrés que le cours du temps leur avait fait faire dans les matiéres de comput ecclésiastique. 1. Si vous voulez le savoir, ceci est l'ouverture des divans — caleuls, Compte des mois, des semaines, des jours, des heures, des cinquièmes d'heures. Quel est le nombre des mois de l’année? Il y a 52 semaines, 365 1. /, D'abord, du jour. Le jour a 12 TEM la nuit 12 heures: en tout 24. Toutes les heures des jours de l’année sont au nombre de 4380; ensemble, celles des jours et des nuits donnent 8760. Les cin- quièmes d'heures diurnes°) sont au nombre de 20,908 (lis. 21,900); ceux de la nuit, en nombre égal: en tout, les cinquièmes d’heures donnent 43,800. Ce traité, qui enseigne le cycle syrien, composé en vers iambiques par notre bienheureux S. père Ioané awthel, je l'ai écrit ici, d'abord parce que j'en ai fait mention dans une dissertation précédente; puis j'y ai joint le grand kroniconi?) des années courantes, pourle cas oii quelqu'un voudrait le transcrire; comme ces deux piéces s'appuient l'une l'autre, je n'ai pas transcrit le kroniconi précédent, auquel je me suis fié. Quant aux chiffres, ils doivent être mis en rap- port avec les vers iambiques de Chawthel: lisez donc d’abord le premier, comme équivalent, puis celui-ci. Il m'est venu, en travaillant, d'autres idées, qui m'ont empéché de le transcrire. Écrivez d'abord cette inscription en téte du pré- sent kroniconi complet, sans omettre les signes, croix ou autres, que j'y ai placós: le texte fait connaitre quel est le premier de ces signes. S'il y a quelque 1) Non compris le !/, de jour, qui ajouterait 6 h. 2) 806 مصيدون‎ «grain.» Le sens technique de ce mot est démontré par le dernier nombre total du $, qui se divise exactement par 5, mais je ne sache pas qu'aucun autre peuple divise aiusi les heures: ainsi le d» دون‎ «grain,» est de 12^. Quant au nombre 20,908, il est fautif, car la moitié de 43,800 est de 21,900. Du grec grec eeneg? ce mot, chez les Céergiens, signifie et le cycle de 532 ans, et chaque année de ce cycle. chose d'éerit sur les marges, des iota, des oeils-de- moineau (0), en téte ou daus le milieu, au nom de Dieu, que l'écrivain n'en omette aucun, pas plus que ce titre et ce qui va suivre?). IL Ici il sera traité du méme sujet, Les saintes écritures disent qu'il y aura 7000 ans”), 3 depuis le commencement jusqu’à la fin du monde. Pour le kroniconi, il est composé de 532 ans, et quand il est achevé, un autre recommence, dans les mêmes conditions. Il a fait précédemment 12 révolu- tions, et nous sommes actuellement dans la 13°, dont il s’est écoulé 453 ans. Toutes les années écoulées 4 depuis le commencement du monde sont au nombre de 6837°); quand le kroniconi sera achevé, avec ce qui en reste, il y aura 6916 ans; et il manquera aux 7000 années 84 ans du 14° cycle. Si Dieu le permet, il recommencera de la manière que j'ai dit, et finira au lieu où j'ai mis une croix; mais qui sait s'il ne viendra pas maintenant à l'heure où nous n'y penserons pas, suivant la parole du S. Évangile; car le moment de sortir du monde ar- rive, pour chaque homme, à l'heure dont il ne se doute pas, et les saintes écritures ne témoignent pas de la révolution de ces 84 ans. Toutefois j'ai parlé de ce nombre, qui manque pour parfaire les 7000 années, et j'ai cru devoir en avertir les lecteurs. Pré- sentement les Grecs comptent 6741 depuis la créa- tion, et comme nous, Géorgiens, sommes en avant de 96 années, sur le comput des Grecs, dans la date que j'ai nen au commencement de ce chapitre, il est difficile de faire comprendre pourquoi le car&me des Grecs et le nôtre marchent pourtant à l’unisson. U - Aussi dit-on que l'Étre unique le sait; mais pour qu'on l'apprenne bien, j'exposerai ce qui est resté accessible à mon incapacité, en faveur de ceux qui ont une intelligence saine, et qui voudront s'instruire. 4) Ici l'auteur donne la série des 532 années d'un kroniconi | complet, "eh voici les premiére et dernière, avec leurs caractères ecclésiastique ycle el Caseiprir. Päque juive. Per chrét. Epacte. `1". s, A (dim.) Févr. 26. Avr. 15, Vendredi . 15. 30 (i. e. o. 532. %, Z (sam.) 7. Mars 25, samedi. Mas 26. 19. 5) L’attente du Ze millénaire était fort répandue en Asie; elle régnait également en Russie, lors du a de l'année 1492, et se fondait sur les chapitres XX et XXI de 1 سیم‎ ; les O8 de 1811 et 1862 ont sac en Europe une le inquietu 9 Moi. 'ére mondaine géorgienne; v. GE p. 25, 27 du ma- nuse 453 des Sciences de Saint - Petersbourg. 454 Il faut d'abord dire pourquoi il y a l’épacte, le | C'est pourquoi les malheureux Persans'") sont dans cycle de 13°), les quintettes et les sixains, et l’indica- | l’erreur, outre leurs autres fables, en ce que chaque s teur des jours. année ils n'ajoutent pas 11 j. au déficit ou à l'excédant Ill, Des épactes. de la trentaine, afin d'en faire une 13* lunaison, qui ; ab ٠ | complete l'année; ce qui fait retarder annuellement ۷ ne qa ` d eu, Zu Sp KA, W leur Ramadan ou jeûne d’une lunaison, tombant tantôt is 1 ga ele ni Wen en septembre, tantöt au milieu de l'été, tantót, aprés 1 SEH. à quelques années, au printemps; puis quand se termine 7 sur ceux de la lune et, à la fin de l’année, la 13* lune l'année ap fasse pouf la 33*;-il;revient ep méme ino Me VAT Bes jour aet 1A ues com s temps que précédemment, et, par le caleul des mois, nombre de 365, mais ceux de la lune ne montent qu'à c'est la 32° année — solaire, — avec excédant de mins qu s Neu parce que chaque lop est de deux jours *'). Ne sachant pas non plus le nom des mois, 29 j. /, En effet, chaque jour et chaque nuit etant ils leur donnent ceux des mois arriérés, dans leur de 12 heures, de ces 24 heures il manque ou un jour | e... loi et théologie. ou une nuit, ou bien une moitié, c'est-à-dire 6 heures, | Sachez encore ceci: quand le bissexte s'ajoute à manque au jour, et l'autre à la nuit. Ainsi, après | fevrier. il s'ajoute aussi un jour aux lunaisons, sans l’achèvement de 2 mois ou lunaisons, il manque un que toutefois il leur manque plus de 11 j. par rap- jour et une nuit, en d’autres termes, en 60 j. deux | port à ceux des mois. Toutefois les Juifs, appelant moitiés, ainsi que je viens de le dire. Quand les 12 | عو[‎ mis lunaisons, d’après l'ancienne loi de Moïse, mois sont finis, par trentaines de jours, si l'on en | „ommaient le premier nisan et le dernier adar; mais ajoute deux à février, pour compléter la trentaine, il quand. ils formaient la 13° lunaison, par l'addition de se trouve 6 j. de plus parmi ceux des mois, à la fin 11 j., pour parfaire l'année, il n'y avait pas de dimi- de l'année: c’est là le sixain. Mais comme quelques | „ution dans les mois ni dans les fêtes, parce qu'il n'y mois sont de 31 j., il y a jusqu'à la fin de l'année avait pas d'arriéré chez eux, comme chez les Per- cinq autres jours d'excédant: c'est là le quintette. sans, par la soustraction de 11 j.,'et qu'ils n'étaient Les deux excédants réunis en forment un de 11 jours, pas induits en erreur par le défaut de conversion en 6 qui est l'épacte. Tantôt la lune enjambe sur deux an- | 1 ge lune, d'aprés le calcul exposé plüs haut. nées, tantôt elle est en arrière sur une seule, tantót, | west d'aprés cela que se célébrait la grande Päque jusqu’à la fin de l'année, il faut ajouter un 3° onzain, | مق‎ Ja sortie d'Égypte, symbole de celle de là nouvelle dont on fait une 13* lune; de là on retranche 30, et religion, où s'est accomplie la Passion vivifiante. Ainsi, les jours excédants sont l'épacte de l’année. Si l'on quand ils faisaient la conversion de la 13* lune, ils . me faisait pas une 13° lunaison de ces 11 jours addi- disaient, des deux dernieres lunes de cette année: tionnnés annuellement, aussitót qu'il s'en trouve 30, c'est PR et si l'on ne convertissait pas cet excédant en épacte, DE dès le commencement de janvier, il y aurait un ar- | IV, Notice du grand terminal; comment se fixe la mia? riéré de 209 j.) Une fois en 19 ans le déficit s'éléve à Päque et la Résurrection vivifiante, 8 12, ce qui fait que l’on ajoute un jour aux 209. Ce cas échéant, quand l’excédant de l’épacte est de 7, au- dessus de 30°), l'addition du 12° jour la change en 8, et par-là il n'y a ni surplus ni déficit en la 19° année. Comme par le calcul il devient difficile de emp. naitre le grand terminal ou la Passion de N.S.J.-C., afin que vous sachiez «pour quelle raison il en est ainsi,» on a également inscrit le cycle de 13, afin de faire connaitre quel jour du mois tombe le grand ter- 7) Je dois me hâter de dire que le cycle «de 18» (39o€o, | minal de la Páque ©): on voit =. les chiffres suivants est en réalité un cycle de 19 ans, dont les deux premiers termes sont 13, 2, et qui donne les échéances de la Päque juive: aussi notre manuscrit orte-t-il souvent مکی وقدم‎ «13 — 2.» 10) i. e. les musulmans, en aui . 8) Au bout de 19 ans * l'année eeciósiastóque وت‎ com- 11) A chaque 38° a. le ence — recule d'un an sur mengait j ars au Let janvier, comme l’année ^e enn celui des chrétiens. qui a lieu en la 17° année du cycle 1 ie | 12) Ce grand terminal, c'est la Pique juive, دنهم‎ laquelle, si 455 Bulletin de l’Académie Impériale 456 dans le grand kroniconi, 13, 2, 22, 10, 30... Cela est écrit exactement, d’après le calcul des lettres. Si l'on veut apprendre cela parfaitement, il y a dans le grand kroniconi dix rangées; au commence- ment, j'ai mis une croix en tete de la 5°, suivez-la et apprenez par coeur, cela ira jusqu'à la 19* année ou à la 19° ligne, Sachez alors que tout ce qui n'est pas 20 tombe en avril, tout ce qui est 20 en mars, parce que le grand terminal de la Päque ne dépasse pas le 18 avril ") et ne pénètre pas au-delà du 21 mars, quel- que peu nombreux que soient les jours du Carnica- pium ^). Quand vous le saurez bien, remontez en haut des rangées, au commencement de la 4°, et suivez-la où est écrit mars ou avril. Pour votre agrément j'ai mis trois oeils-de-moineau en téte du cycle de 13, à la 4° rangée: ainsi le quintette, le sixain, l'épacte, le cycle de 13, se suivent durant 19 ans, pour indiquer 9 le terme de ces années; tout terme tombant en mars ou en avril retombe aux mémes mois et quantiéme en chaque 19* année. S'il vous peine d'apprendre par.coeur le cycle de 13, quand le terme tombe en avril, ajoutez 20 j., et de la somme de ces deux nombres, quelle qu'elle soit, ce qui dépasse 31 est le terme en avril, au quantième indiqué par l'excédant; si la somme ne va pas à 31, elle indique le terme et un quantiéme en mars. Si le terme tombe à un jour quelconque de mars, par le résultat de ce calcul, ajoutez 19 j., et sous- trayez 31. S'il se rencontre au 17 d'avril, par suite de ce calcul, ajoutez également 19 j., comme pour mars. En outre, ajoutez encore 20 au terme d'avril et 19 à celui de mars, et retranchez tout ce qui dé- passe 31; l'excédant indique le terme et le quantième en avril; le déficit est un pareil quantiéme de mars, aiusi que je l'ai dit plus haut. —? Quand vous saurez bien cela et aurez trouvé le terme de la lune, prenez le quantième du mois obtenu par ce procédé, ajoutez-y l'indicateur du jour de ce mois, et la lettre de l'année, qui est l'Annonciation; tóutefois elle ne tombe ni un jeudi, ni ün Verb ni un samedi, la Páque chrétienne se célèbre le dimanche suiv 13) La nouvelle lune pascale tombe en effet entre le 8 mars et le 5 avril inclus, et la pleine lune entre les 22 mars et 18 avril aussi inclus: delà les 35 dates de la Päque. Ici et plus bas, ممودككام8‎ est le grand terminal ou la Páque juive; ۸ est le terme ou déclin de la lune. 14) Päque le 25 avril donne 66 — 67 j. de Carnicapium, 111160716116 ; le 22 mars, 32— 33 j. id. pour le dimanche 1 j., pour le lundi 2 j., et ainsi de suite jusqu'au samedi; de la somme de ces trois chiffres retirez 7 par 7 : l'excédant est le jour cherché), 1 de surplus est le dimanche, 2 le lundi; s'il n'y a pas plus ni moins de 7, c'est le samedi que tombe le terme. Quel que soit celui des jours oü l'on arrive, des Rameaux au Samedi-Saint, sur quelque jour, dans cet intervalle, que tombe le terme de la grande Páque, il ne va pas au-delà. Puis tout ce qui reste de jours, y compris le dimanche de la semaine en question, jusqu'à la pleine lune, additionnez-le avec le jour terminal, avec le quantiéme du mois oü tombe le terme: la Résurrection vivifiante tombe au quantième du mois égal à la somme. ۱ Il peut aussi arriver, le terme étant en mars, que pour atteindre le dimanche il s’y joigne des jours d’avril, et que, la semaine de la Passion étant finie, la Päque tombe à pareil jour en avril. Si le terme est en mars, ajoutez-y 3, qui est l’indicateur du jour, 6 pour avril, et la lettre hebdomadaire de l’année, et soustrayez suivant la regle. Si le reste de ces trois nombres est trop faible pour atteindre 7, c'est un jour quelconque; s'il va à 7, c'est samedi. 14, 21, 28, 35, 42, sont également des samedis. Tous les nombres ان‎ édiaiied n2 , jusqu 'à 7, en plus ou en moins, c'est le chiffre àü jour لاط لان‎ Comme il ne se rencontre point dans l’année de jour sans fête, n'y eût-il ni fête dominicale ni mémoire de quelque saint, tombant sur un certain jour du mois, additionnez et l'indicateur du jour de tel mois, et l'hebdomadaire de l'année, et divisez par 7, comme je l'ai dit à l'égard du grand terminal, l'excédant et 14 le déficit est le jour cherché. Ayant appris à trouver le grand terminal, vous pouvez, au moyen de ces trois nombres, savoir des 7 jours quel est celui de telle 15) Voici deux exemples de l'exactitude de ces indications: 65, terme ou Päque juive E ER? 08 JOUR 5 Lettre de l'Annonciation. . ... 5 1347 6 vendredi. En 1864 Kë terme... . 13 av. Indicateur du jour. ...... 6 Lettre de عور‎ ۷ 23.1 7 En effet en 1864, l'Annonc. 4 (lettre 4, merer.); Pâque juive, 13 A. lundi; Päque chrét. 19 A.; en EH dE nnonc. 5 arc 5, jeudi | Páque j juive, 2 A. vendredi ; chrét. e 457 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 458 fete dorhinitake ou de tel saint voulu. Janvier et oc- | vous ajoutez à janvier, si la somme dépasse 31 tobre n ayant pas d'indicateur du jour, ajoutez au | soustrayez-la, et l'exeédant, quel qu'il soit, vous quantiéme de la féte l'hebdomadaire annuelle, répon- | donnera en février l'ouverture du jeüne. Prenez-vous dant à l’ Annonciation: dans ces deux mois ces deux | en février, n'importe à quel i i l'additi chiffres suffisent pour faire la soustraction de 7. Je|de 11, 12 en tide) pe de sido vous dirai plus bas pour quelle raison les deux mois | 28, 29 en bissextile, l'excédant donne en mars l’ou- susdits n'ont pas d'indicateur du jour. verture du jeüne. S'il ne reste rien au-dessus de 28 ou de 29, l'ouverture du jeüne a lieu à cette date, en février, quelle qu'elle soit. Et encore il y a ceci; quand Páque tombe en mars, 13 ce n'est jamais au-delà du 22, et dans ce cas le jeüne commence le 2 février, le 3 en bissextile. Or quand Páque tombe le 20 et quelques de mars, ou moins de 20, le jeüne commence à pareil jour eu février. En bissextile ajoutez encore un jour, et ce faisant, vous n'aurez pas à chercher en janvier, la pleine lune étant en mars. Est-ce le jeüne des apótres qui vous intéresse, la pleine lune tombant au 1*' avril, il est de 32 j.; la pleine lune vient-elle plus tard, autant de jours vous - aurez jeüné en avril, autant de jours diminués sur les 32, et ce qui reste est le jeüne des apótres. La Páque tombant en mars, autant de jours, y compris la pleine lune, vous avez mangé de la viande, autant faut-il en ajouter aux 32 j., pour avoir la durée du jeüne des apótres de l'année en question. V. Du grand terminal. Toute lune, à son déclin, ajoute à son 15° j. quel- ques heures du jour et de la nuit, et ce grand ter- minal de la passion vivifiante s'arréte au 17° j., par un effet incompréhensible de la volonté divine. Voici comme on cherche le jour du déclin: l'Annonciation, le 1,le 8 et le 15 avril tombent le méme jour. Le jour cherché est celui de ces jours oü aboutit le terme. Si le terme tombe entre l'Annonciation et le 1 avril, ou entre le 8 et le 15, jusqu'au 18, cela méme que j'ai dit vous aide à le retrouver. Si le terme précéde l'Annonciation, cherchez-le antérieurement : comme les jours ne sont pas nombreux, cela n'est pas difficile. Parle méme moyen on peut trouver tous les jours du mois; car le 1, le 8, le 15, le 22, le 29, sont des jours identiques, ce qui vous guide à trouver les jours intermédiaires, et au-delà. Pour cette fois donc, 6 homme intelligent, comprenez bien ce que j'ai dit, et vous trouverez la fête de tel saint que vous voudrez. | VII. Notice sur les indicateurs des jours, d'où ils proviennent. VI. Détermination des jeünes, . Quoique le 1" septembre soit regardé comme le commencement de l'année, cependant en ce qui con- cerne les calculs, récheréhes et tous objets dont je traite, c'est janvier qui forme l’initiale de l'année. Janvier a 31 j.; février 28, sans plus, durant 3 ans, ı2 Selon le quantième d'avril où tombe la Päque, pre- nez exactement le méme quantième de février et ajoutez 3 j., 4 j. en bissextile: telle que sera la somme j février, un dimanche, cesse le d 3 cm och " 23 e eil éd ipd. ad kam chaque 4° année il prend un 29° j., qui fait le bis- enn ër des ts lud a Fe durs 4 sexte; mars 31 j.; avril 30 j.; mai 31 j., juin 30 j., 14 tème es de, phi ne p quang" juillet et aoüt 31, septembre 30, octobre 31, no- Si c'est l'ouverture du jeûne que vous cherchez, |... vre 30, décembré 31. Delä dësen l'alongement vous devez prendre de même en janvier et en février: des jours en hiver et en été, ainsi que la mémoire: de ajoutez 11, 12 en bissextile, et ce sera —M Ka les saints et les files dis excepté ce qui du jeûne, au quantième trouvé de ce mois"). Quand Est en connexion: avec la grande ples NEN ur 1 Ces rögles empiriques sont justes: en 1864 Biss. Pique 194:| Voilà ce qu'on appelle indicateur des jours, po fin du Carnicapium, dim. 23 février; fin du Tyrophage, dimanche | tous les mois. Soustrayons 7 de janvier, qui n'a pas 1 mars, et ouverture du jedne, A-Z, En | iuo Pague 4 ^» dindieateur des jours, l'excédant de 7 est l'indica- fi i dim. 7 févr., du Tyrophage 14 9 Ta Sc ete, de Noël à la Sexagésime; la Sexa- | teur des jours de février. Soustrayons 7 de février, gésime, 56 j. avant Päques, ouvre le art zx Weu od avec son indicateur des jours, cet E en waeomgert,: à la Quinquagésime, 49° j. avant £ aques, ngueurs, ayan ouve par ce Bongert, le carême dure 49 j. pleins, ou 7 semaines. | mars. Sans plus de lo ~ 459 Bulletin de l’Académie Impériale 460 moyen l'indicateur des jours d'un mois, et, l'indica- teur des jours compris, soustrayant de là 7, le reste devient l'indicateur à donner à un autre mois. La soustraction de 7 opérée réguliérement sur le mois écoulé, le reste devient l'indicateur du mois suivant. De septembre, indicateur compris, soustrayant 7, il y à 7 d'excédant; octobre n'a donc pas d'indicateur du jour, puisque le reste méme 7 doit étre soustrait, avec ceux de tous les mois, depuis le 1° janvier. D’octobre, sans indicateur du jour, soustrayez 7; si méme vous le voulez, joignez-y l'indicateur provenant de septembre, et attribuez à novembre, comme indi- cateur du jour, l'excédant d'octobre aprés la sous- traction; puis de novembre soustrayez 7 et reportez l'excédant sur décembre: ainsi se forment les indica- teurs des jours des mois ”). S'il vous répugne d'apprendre la chose par coeur, suivez ce procédé, ou, l'avez-vous oublié, par ce el. cul vous trouverez l'indicateur des jours, pour tel mois que vous voudrez. Si mieux vous l'aimez, agissez encore de cette sorte: telle féte de saint ou dominicale que vous cherchiez, dans tel mois et à tel jour qu'elle tombe, supputez ensemble tous les jours des mois écoulés, depuis le commencement de janvier jusqu'au quan- tiéme dont il s'agit, et divisez le tout par 7, en guise d'indicateur du jour, en y ajoutant 'Arnonciation de Tannée en question: l’excédant marque le quantième et le jour du mois. Voici de quoi faciliter ce caleul: de chaque mois écoulés de 31 j., ótez-en 3; 2 de ceux de 30 ; وال‎ puis soustrayez 7 de la somme de ces reliquats, du quan- tième mensuel et de l'Annonciation de cette année, l'excédant sera la fête du saint cherchée; mais ne faites pas entrer le bissexte de février, quand il a lieu, dans le compte des jours à diviser par 7. L'An- nonciation et toutes les fötes changent d'un jour du- rant 3 années; quand le bissexte de février recule l'Annonciation de deux jours, il suffit d'ajouter l'An- nonciation de cette année, comme bissexte. D’ail- leurs, là oü commence janvier, l'Annonciation sert de 15 17) Voici les indicateurs perpétuels des jours, suivant notre au- teur Jaw. "e gi er — Juil. ire are: kä "n EA 6 : ^ ; P $ 6 5 ^ : $ } TIUS M p. 98. lettre hebdomadaire annuelle *). En cas de bissextile, lorsque, pour trouver le jour de janvier et de février, vous aurez additionné l'indicateur du jour, prenez la veille de l'Annonciation pour lettre hebdomadaire, parce que les fétes de ces deux mois ne changent que d'un jour jusqu'au commencement de mars, tandis que le bissexte faisant varier l’Annoneiation de 2 j., le changement porte sur les deux mois, et la veille de l’Annonciation remplace l'Annonciation de l'année non bissextile: employez-la donc comme lettre heb- domadaire durant ces deux mois. VIII, Pour quelles raisons on emploie les épactes. Quoique le grand terminal de la Passion soit le ré- sultat de ces épactes, cependant, gráce au cycle de 13 et autres calculs, qui en font trouver le terme, personne n'en fait plus usage, à cause de la difficulté de les calculer, ainsi que je l'ai dit plus haut. Pour les autres jours, auxquels on cherche «de quel áge est la lune,» prenez la fête que vous voudrez et joignez à ce quantiéme l'épacte de l'année. Alors, de خر 2 chaque mois écoulé depuis janvier retranchez un jour, . faites de méme pour le mois oü vous cherchez, et réunissez ce jour avec les autres. Faites la somme de ces trois nombres, jusqu'à 30: s'il y a du moins, c’est le nombre voulu; s'il y a excédant de 30 ou de 60, ce qui reste indique l’âge de la lune. S'il y a 30 ou 60, saus plus ni moins, dans ces deux cas la lune est âgée de 30 j. En janvier et en février l'opération ne réussit pas, si l'on n'est attentif et intelligent. C'est par cette méthode que l'on calcule les mois et épactes des années précédentes. Pour tel jour que vous vou- drez, de janvier ou de février, ajoutez au quantième ces de nombres de l’année pe i soustrayez aussi 30. Toutefois ce n’est pas sans peine que l’on ras- semble mentalement les éléments d’une date, et c’est pour cela que l'on ne se fie plus au calcul, par épactes, du grand terminal. Quoique l'épacte soit toujours la cause qui fait tomber la Páque tantöt en mars, tantöt en avril, cependant la lune se montre parfois ágée de 2 ou 3 jours. On a tenu compte du quintette et du sixain, parce qu'en 19 ans il reste constamment quel- ques jours d'excédant sur ceux des mois de la lune: 18) En 1864 biss., 1°" janv. mercr., 25 mars merer. l'Annoncialion. En 1865, M له‎ -jeudi ige 1 حمر Le]‏ 461 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 462 il en est de méme des autres calculs. De peur de fa-| Est-ce l’Annonciation d'une année qui vous inté- tiguer, j'ai jugé inutile de prolonger ce discours. resse, divisez par 28 toutes les années depuis la créa- Quant à la pratique, n'ayant en vue que la science, | tion; s'il reste 1, c'est dimanche, jour de l'Annoncia- je ne me suis pas attaché à ces recherches, et n'y ai|tion; 2, un lundi; 3, un mardi: ainsi de suite, 4 et pas mêlé l'indiction ni les cinquièmes d'heures, ni les | plus, jusqu'à 28. De chaque 4 ótez un jour et ajou- reliquats: choses tout-à-fait sans usage pour l'église | tez-le à l'excédant de 28, quel qu'il soit, le bissexte et pour la détermination des jeünes, ce que j'ai dit | compris, puis divisez-le par 7. Tout ce qui excède 7, suffisant pour la science et pour les hommes intelli- | est le jour de l'Annonciation. Vous le diviserez aussi gents. par 7, ainsi que je l'ai dit au commencement ™). On fait aussi de cette manière la division par 28: X. Notice sur les années depuis la création, dans le cas où | je 30 on prend 2, de 60 4 ans, de chaque centaine 2ı les calculs ci-dessus échapperaient, et d'abord du grand ter- e 16, de chaque 1000 20; dès qu'il se forme 100, on minal et de l’epacte, : 4 ? o prend 16, comme excédant de 28. Prenez les années, autant qu'il s'en est écoulé de-| Par ce procédé non seulement vous trouvez l'année puis la création jusqu’à celle où vous vous trouvez, | en question, quelle que soit celle que vous voulez, du et divisez par 19; pour lé surplus, inscrivez en-des- | commencement à la fin, qu’elle soit passée ou actuelle, sous tout autant d'années du cycle de 13: à celle où | quoique le nombre des années créées ne dépasse pas vous vous arrêterez, vous rencontrerez le terme, tom- | 7000; mais encore vous sommez et rendez palpables bant en mars ou en avril. S'il n'y a pas de nombre | par ce moyen des myriades de myriades d’années, excédant 19, c’est un cycle complet: comptez en- par-delà la fin du monde, Voici ce qui démontre et semble les 19 ans dudit cycle de 13. rend indubitable l’exaètitude du calcul. Cherchez en Si c’est l'épacte que vous cherchez ou bien les re- | une année, aussi élevée que vous voudrez «comment liquats, les quintettes, les sixains, vous obtiendrez les choses se sont passées ;» comme 10 fois 1000 également l’excédant de la division par 19, ou un s'appelle une myriade, cherchez en telle myriade que cycle entier de 19. vous voudrez, depuis la création «comment les choses Prenez de chaque année les jours 11 par 11, la arriveront.» De chaque myriade prélevez 6 et divisez division par moitié vous donnera les quintettes et les | par 19; prenez aussi sur une myriade 4 ans par 4 sixains: le total forme 209 jours ^), représentant Pex- | aus, à diviser par 28, et divisez par 28. Pour les 22 cédant des jours mensuels sur les mois de la lune, épactes, les quintettes et les sixains, décomptez en- durant 19 ans. Si le cycle a pour reste 17, 18, 19, | dessous chaque année depuis le commencement du ajoutez un jour au total de ceux réunis par 11, par monde, et divisez par 19. ` Me la raison que j'ai dite plus haut. Pour obtenirl'épacte,| En voici la raison: le Seigneur a créé trois Jours divisez le tout par 30: l'excédant, le déficit ou le | Sans luminaires, les heures RR seulement pe y nombre 30 de reste, est l'épacte de l'année. Par ainsi | en jour et en nuit; mais le 4* jour ou le 4 du mm vous trouverez tout ce qui vous intéresse dans l'an- | a créé les astres qui divisent les jours et les nuits, ! née en question. heures et les années. Au commencement رس نی‎ Pour la division par 19 procédez de la sorte: pre- | née il manquait 11 J. aux lunaisons, ون‎ a nez 1 de chaque vingtaine, 5 de chaque centaine, 50 aut 12 hr qui fait og We re 4 de chaque mille, qui sont les excédants des groupes toten en la 2 vetere hg c'est ی‎ z de Ve Ee de 19. De ces 50 prélevez 2, auxquels vous ajouterez tranché lan. Mais s il vous incommode "p nem 10, qui se divisent aussi par 19; de ces 1000 il se | toutes les années depuis la créons r er erg | écoulé kroniconi actuel رز‎ jusqu'à l'année formera 12, excédant de 19: de chaque 1000 ôtez | celles écoulées du | 12 par 12 et divisez aussi par 19 la somme qui en résultera. 20) Cette méthode empirique est exacte, avec Père mondaine ienne 5604. ` 13 RAP MEO à 3 KAS, eu MR 21) Les kronikoni géorgiens en i e 2 en 249, le XIII* 19) Ou plutôt 210, ainsi qu'il à été dit ci-dessus, n. 8. en 701 le XIV* en 1313; le XV* en 1845 de J. ptc ee > AG ا‎ 3 Bulletin de l’Académie Impériale 464 dont il s'agit, ou celles qui s'écouleront; car j'ai in- scrit dans la précédente notice le signe des années de la création, et dans le grand kronikoni celui de l'année du kroniconi, ainsi que le nombre de chaque année. Chaque année écoulée sera mise en compte, puis divisée par 28 et par 19 dans le kroniconi dont 23 il s'agit, par la raison que 28 est multiple de 7, comme 19 l'est du grand terminal, avec ses épactes, quintettes et sixains. Mais comme 3 années sont sans bissexte, et la 4° bissextile, l'Annonciation tombe un dimanche, au commencement du kroniconi, en année non bissextile, en la 28* année, bissextile, elle a lieu un samedi. Or dans les pages précédentes on voit, au commencement du kroniconi, 3 — 1, sans bissexte, pour l'Annonciation, et à la 28° ligne l'Annonciation avec 8— 7 et bissexte. A chaque 28° année, l'année supérieure, sans bissexte, répond à une autre année supérieure, non bissextile également; la 2*, sans bis- sexte, à une autre seconde pareille; la 3°, sans bis- sexte, à une 3^ identique, et la 4^, bissextile, à une 4° semblable. En mettant donc le doigt aux deux places du commencement et de la fin, et comptant 28 lignes pour l'Annonciation, à la 29* vous trou- verez du doigt que ces 28 ans reviennent 19 fois; en 24 outre, les cinquiémes pages du grand terminal con- “tiennent jusqu'à 19 lignes et, en les touchant du doigt, indiquent le terme aux mémes mois et quan- tiéme, et montrent que le cycle de 19 revient 28 fois, et celui de 28 19 fois: ce qui fait en tout 532 ans. Au commencement les cycles de 28 et de 19 vont ensemble; à la 4* ligne ils se séparent, puis les mémes caractéres se retrouvent à la fin du' kroniconi. Il faut donc, jusqu'au point cherché, diviser les années de- puis la création par 28 et par 19, ou simplement celles depuis le commencement du kroniconi, ce qui exige la lumiére de la philosophie spirituelle. Quant au S. Chawthel, dans ses iambiques poétiques il l'a fait voir d'une manière divinement agréable. Si vous le préférez, au lieu du doigt indicateur, jai placé des oeils- de-moineau — o — à toutes les divisions des cycles de 28 et de 19, signes qui ne se rencontrent jamais ensemble, excepté au commence- ment et à la fin du kroniconi. ; X Recherche et collation des computs grec et géorgien. 35 Si vous voulez chercher pourquoi les Géorgiens comptent plus d'années depuis le commencement du monde, pourquoi ils précédent de 96 ans le comput que les Grecs nomment «depuis la création,» um tel arrangement a paru nécessaire aux saints de Dieu; pour éclairer notre sottise, ils l'ont attribué à la con- ` naissance du Dieu unique, aimant les hommes, mais non à leur propre science. Il ne doit pas paraitre étonnant que j'ose porter la main sur les restes lais- sés par eux; car des débris de la table on fait part aux chiens mémes, et le soleil, que Dieu épanche, éclaire également les lieux hauts et les bas. Prenez les années — grecques — depuis le com- mencement jusqu'à la présente année 6741, infé- rieures au comput géorgien, et divisez-les aussi par 19; de tout ce qui restera au-dessous de 19, ou de ce chiffre méme de 19, enlevez 11 j. de chaque an- née, ainsi qu'il a été dit plus haut; puis divisez par 28 la somme de tous ces reliquats de 11 jours; le surplus sera l'épacte de l'année oü vous vous arréte- rez. Pour les 17°, 18° et 19° années, ajoutez un jour en sus à ces 11 j., à diviser par 28, par la raison que, dans chaque cycle de 19 il manque une fois 12 jours aux lunaisons, dans le compte des jours annuels. En effet la lunaison ne s'accomplit pas en 29 j. et '/, exactement. Bien que j'aie dit précédemment qu'il en est ainsi, pour vous faciliter l'intelligence de la chose; il manque des cinquiémes d'heure et des secondes, formant quelques heures du jour et de la nuit, et qui, en 19 ans, forment un jour et une nuit. Quand l'épaete arriveà 26, ajoutez donc 12 jours, puis divisez par 28, en sorte qu'il ne reste pas 7, mais 8, qui sera l'épacte de l'année. Excepté cela, c'est réguliérement 11 j. qui manquent aux mois de la lune, par rapport au nombre des jours des mois; d’où il se forme; en la 19* année, 210 j. La division par 30 ne laisse ni excédant ni déficit, ce qui aurait lieu en partageant le tout par quintettes et sixains, si l'on n'ajoutait pas un jour aux 209. N Veut-on maintenant faire la comparaison du com- put géorgien, et savoir nettement d’où et comment il se forme: prenez les années depuis le commencement avec addition de 96, ce qui donne 6837, et divisez par 19. En la présente année le reste de la division donne aux Grecs, en excédant, 15 du cycle, aux Géor- giens 16. Soustrayez 1, de facon qu'il reste 95 d'ex- cédant, au lieu de 96: 95 se divise par 19, sans qu'il 21 t2 م‎ E > 30 465 des Sciences de Saint- Pétersbourg. reste ni excédant ni déficit. Par-là le grand terminal est mis d'accord dans les deux computs, grec et géor- gien, depuis le commencement, "7 Les Grecs obtiennent le grand terminal de cette maniére: ayant trouvé l'épacte, ils y ajoutent 6 jours. S'il manque quelque chose à 20, ajoutez mars, ou 31 j. Quelle que soit la somme de ces trois nombres, s'il manque 20 et quelques, pour arriver à 50, le terme tombe sur un pareil quantiéme de mars; s'il manque moins de 20, jusqu'à 50, le grand terminal de la Passion vivifiante tombe à pareil quantième en avril. Si l'épacte d'une année arrive à 20 ou plus, jus- qu'à 30, aprés l'addition des 6 j., n'ajoutez pas mars; si ce nombre dépasse 30, ótez ces 30, et à l'excédant ajoutez derechef mars; s'il manque encore quelque chose jusqu'à 50, plus de 20 se termine en mars, moins de 20 se termine en avril. Pour que vous le sachiez par le menu, l'épacte avec 6, restant au-des- sous de 20, veut l'addition de mars; avec 20 ou plus, jusqu'à 30, n'adjoignez pas‘ mars; avec plus de 30, soustrayez ces 30 et ajoutez mars à l'excédant: ce qui, excédant 20, manque à 50, indique le terme en mars; moins de 20, le terme en avril ^). Voulez-vous vérifier de la méme maniere le com- put géorgien; retranchez 1 à l'excédant de 19 depuis le commencement du monde, réunissez le reste et les reliquats des 11, divisez aussi la somme par 30, et vous aurez l’épacte. Ajoutez-y 6 et mars: 6 avec l'épacte donne aussi 20, sans mars. Si l'excédant dé- passe 30, ajoutez-y pourtant mars, ainsi que je l'ai dit plus haut. Si vous n'avez pas fait concorder le grec et le géorgien, l'excédant de 19 suivant les Grecs, à partir du commencement du monde, étant dépassé de 1 dans le comput géorgien, ne retranchez donnent 6288, qui, divisés par 532, laissent seulement 436 pour le cycle initial. On a parfait ce cycle par l'addition de 96, et l'ére mon- aine de la naissance du Christ s'est trouvée 5604 au lieu de 5508: on ne connait qu'une dixaine d'exemples de l'usage antique de ce calcul. 23) En effet, en 1865, 21° a. du cycle de 532, la Päque juive ou le terme des chrétiens fut le 2 avril, mais non par suite du calcul ici exposé. _En 6837, 16 du cycle lunaire, 453 du cycle de 532, on trouve 15 d'épactes, Pâque juive 29 mars, chrétienne 3 mars, et les mêmes résultats pour 6841, aprés le retranchement d'une année. Tome IX. pas ce 1, mais décomptez cet excédant sous autant d'années du cycle de 13; si vous vous arrétez à un nombre au-dessus de 20, le terme est à pareil quan- tieme en mars; moins de 20, en avril, ainsi que je l'ai dit plus haut. La raison de la différence entre les computs grec et géorgien est que la division par 28 des années depuis le commencement fait trouver l’An- nonciation, ainsi que je l'ai déjà dit, en ajoutant les bissextes et divisant par 7. Les Grecs divisent aussi par 28 et ajoutent les bissextes au surplus, qu'ils di- visent par 7, ce qui leur donne la veille de l'Annon- ciation, qu'ils tiennent comme l'hebdomadaire de l'année; mais si l'on ne retranche pas les 96 ans, la division par 28 ne fait pas trouver le jour oü tombe la veille de l'Annonciation. Si vous voulez chercher à la maniére géorgienne, depuis le commencement du monde, divisez par 19 les 96 années depuis la création, ou celles du présent 31 kroniconi, pour obtenir le grand terminal; de cette maniére il s'en-va 95 ans, divisés par 19, et la con- naissance du cycle de 13 vous donne pour terme le 13 avril. En divisant 97 par 19 et décomptant le cycle de 13, vous avez le terme de la lune au 2 avril; 32 puis la division par 28 fait retrouver l'Annonciation au lundi, dont la veille est dimanche: le terme de la lune est au 2 avril et l'épacte 11. Ici les Grecs, à partir de la création, ajoutent 6 à l’épacte 11 et y joignent encore mars, mais il leur manque 2 jusqu'à 50, ce qui fait que le terme de la lune est au 2 avril. Plus tard, quand ils divisent par 19, il y a pour les Grecs 20 ans achevés; pour les Géorgiens, 116 et plus, jusqu'à l'année présente. En divisant par 19, comme les Géorgiens, et décomptant les excédants sur le cycle de 13; en divisant, comme les Grecs, par 19, et se rapprochant des Géorgiens par le retranchement d'une année, de facon à compter les excédants par 95 ans, avec les Géorgiens, et par 16 (96?) avec les Grecs, les cycles de 19 ne sont plus dérangés, et par cette méthode grecque on trouve le grand terminal, par la comparaison avec la méthode géorgienne. Tel que sera le terme, en avril, ou bien ajoutez à mars la veille de l'Annonciation, trouvée par ce moyen, ou bien ajoutez les mois écoulés depuis le commencement d'octobre, divisez par 7, avec le quantième du mois où tombe le terme de la lune, et le surplus de 7 sera le jour du terme. D Maya SERDEN co 467 Bulletin de l'Académie Impériale par 7: des mois qui ont 31 j., retranchez-en 3; de ceux de 30, 2; divisez par 7 la somme de ces reli- quats et ajoutez le surplus au grand terminal, ainsi que la veille de l'Aunonciation, sur quelque jour qu’elle tombe: Si vous voulez vous instruire par le procédé géor- gien, cherchez le grand terminal au moyen de l'An- nonciation, trouvée de la sorte exactement. L’avez- vous oubliée, tenez-en main les années depuis le com- mencement, afin de les diviser par 19 et par 28; car j'ai écrit sur la marge du grand kroniconi que les Grees eomptent maintenant 6741 ans, et les Géor- giens 6837: ajoutez-y donc les années qui s'écoule- ront plus tard. Si vous voulez vous instruire, n'ou- bliez ni le comput des Grees, ni celui des Géorgiens, et cherchez en la 97° année du kroniconi le com- mencement du comput des Grecs. Si l'on ne connait les alphabets, on est inhabile à la lecture; de méme, sans l'étude et l'intelligence complète des détails, on ne comprend pas l’accord existant entre notre pleine 34 lune et celle des Grecs, ni comment, quand nous en- = 5 de notre exil. trons dans notre 96° année, la 97° commence pour les Grecs, après quoi nous marchons ensemble, bien que certaines personnes aient la sottise de dire que nous allons en avant. Mais comme la fixation des jeünes n’en souffrait pas et s’arrangeait sans difficulté, on n'a fait que s'étonner, sans écrire d'explication de notre comput”). Nous sommes maintenant dans le 13° kroniconi, 453° année. Quelque longs que soient les jours de Carnicapium, la Páque ne dépasse point le 25 avril, et quelque précoce que soit la Résurrection vivifiante, elle ne va pas plus avant que le 22 mars. Si elle dé- pendait du mois, comme les autres f&tes dominicales, et celles des saints, la Passion vivifiante ne tomberait pas annuellement le vendredi; car il convenait que notre rödemption eüt lieu un jour identique à celui C’est pour cela que la Providence a fixé le terme de l'ancienue et de la nouvelle Páque, l'exode, qui est l'ombre et la véritable Passion.‘ Le terme de la lune source de gráce et de salut n'est pas toujours un vendredi; comme il a passé au dimanche, pour la Passion, et aussi pour notre salut, ainsi que l'a dit une bouche divine, notre Päque légale se célé- 24) Je laisse à de plus habiles le soin de vérifier l'exactitude de ces supputations. brait sans contestation depuis les Rameaux jusqu'au Samedi-Saint, et elle se prolonge sur ces 7 jours, jus- qu'au vendredi, parce que c'est le jour identique à celui de la Passion vivifiante, et qu'il convenait que la Résurrection vivifiante tombát au commencement des jours. Quiconque copiera ceei, faites honneur à la Résur- rection vivifiante et écrivez les nombres en toutes lettres; excepté dans la table du grand kroniconi, il ne faut pas employer les lettres numérales, qui cau- seraient du désagrément au lecteur. Quant à ce kro- niconi, copiez en entier les 532 années, sans quoi vous ne comprendriez et n'apprendriez pas un mot de ce que j'ai dit. Ne retranchez rien, ne mettez pas d'autre signe, ni «en telle année ceci est arrivé, ceci s’est passé de telle sorte,» sans quoi il y aurait confu- | sion avec les signes que j'ai placés moi-même, et qui sont en rapport avec mon texte: ce serait mal. De- mandez aussi pardon pour moi, pécheur. Quoique j'aie copié une seconde fois ce traité, sachez pourtant bien clairement que j'ai dit, au sujet de la raison qui fait ajouter un 12* j., à l'épacte «La lune n'arrive pas exactement à 29 j. /,;» toutefois, comme le bissexte s'ajoute aux jours de la lune, en sorte qu'il manque aux lunaisons 11 j. en com- paraison avec ceux de l'année, il faut bien qu'en sus des 29, j. il y ait quelques heures qui complètent, dans la 4° année, un jour et une nuit. Lorsque lan- 37 née passe de 365 j. à 366 j., par le bissexte, les 12 lunaisons, de 354 j. passent à 355: le déficit est donc de 11 j. sur ceux des 12 mois, excepté cette seule année, oü il est de 12 j. Si done, pour par- faire le bissexte, on n'ajoutait pas aux 29 j. % quelques heures de ce 12° j., afin d’augmenter les 19 épaetes...... Comme les 29, j. ont du surplus pour les Ben et qu’ensuite les années, bissextiles ou sans bissexte, donnent en compensation le déficit parfaisant un jour et une nuit, en 19 ans, tellement qu'il manquerait - alors un 12° j., relativement à ceux des mois; sans cela le déficit serait régulièrement de 11 j., que l'on additionne ensemble, et dont on se défait en divisant par 30: le surplus est l'épacte de l'année. Si j'ai déjà répété plusieurs fois la méme eina, d'abord j'ai eu en vue de combler, en les rendant plus 38 intelligibles, les parties faibles de mon travail; quant des Sciences de Saint- Pétersbourg. 470 à ce qui était bien traité, afin de mieux vous instruire et de vous montrer les choses en détail, je l'ai écrit une 2°, une 3° fois, en vue de certaines nécessités. Que le Dieu de paix soit avec tous les gens ortho- doxes et religieux; que la bénédiction, par le moyen de la croix vivifiante, soit avec mon áme pécheresse, pour la sauver! Amen. Notre auteur termine par un Tableau des épactes, des nombres d'or, des 19 Páques juives et des dates de mars et d'avril pour la Páque chrétienne, qui y répondent dans l'ordre des 7 lettres manuelles; vient ensuite une courte instruction, de trois pages, sur la composition et la manière de faire usage de ce «Cycle syrien,» ainsi que sur les indicateurs des jours. Cette partie, trés obscure, ne pourrait trouver place ici sans le Tableau, qui n'a rien de particulier, si ce n'est qu'il commence par la 2° année du cycle de 13 nombre d'or 1, épacte 11, Pâque juive 2 avril. 11 me semble que ce retranchement d'une année a lieu pré- cisément pour rétablir l'équilibre entre les computs grec et géorgien. Sur les accélérations de divers ordres dans le mouvement relatif. Par J. Somof. (Lu le 30 novembre 1865.) 1. Soit (A) un systéme invariable que l'on peut con- sidérer comme fixe, (B) un second systeme invariable, mobile par rapport à (.4), et dont le mouvement est connu; enfin m un point mobile par rapport à cha- cun de ces deux systémes. Le mouvement du point m par rapport à (A) peut étre considéré comme ab- solu et le mouvement par rapport à (B) comme relatif. Le premier de ces mouvements étant connu, on se pro- | pose de déterminer la vitesse et les accélérations de divers ordres du second. On verra dans cette note qu'on y parvient facilement au moyen des principes que j'ai donnés dans le mémoire sur les accélérations de divers ordres"), pour déterminer les projections des dérivées géométriques et les différentielles des pro- duits géométriques. Soit O un point fixe, See? un point du système (4), C un point du système (B), Cx un axe lié inva- riablement à (B), M la position du point mobile m à ۱ RI Mémoires de l'Académie des sciences de St.-Pétersbourg, VII* série, Tome VIII, N° 3 l'instant £, M’ sa position à l'instant £ + dt, m, le point du er (B) qui est en M à l'instint! t, eti: fin M, la position que prendra m, après dt. Les points C et m,, ainsi que l'axe Cz, étant liés invariablement à (B), resteront en repos relatif pendant dt. Posant CM =r, OM = u, OC = ¢ et désignant par و‎ v,, v,,...9, la vitesse et les accélérations rela- 43.793? tives, on aura v COS (vx) = Sire ien et en général d" [r cos (rz ,ے0‎ COS (0, ,2) = ei 1, Appliquant à cette expression la formule que nous avons donnée pour la dérivée analytique d’un produit géomé- trique (voir le mémoire sur les accélérations de di- vers ordres, la formule (2)), on trouve V cos (ox) = r, cos (rz) + rz, cos (rz,) v, 608 (v,z) = r, cos (r,x) + 2r,z, cos (r,x,) سه‎ TT, COS (rx,) t, COS (v,x) = T, cos (r,%) + 392, cos (r,%,) + 37,2, COS (r,2.) + rz, cos (rz) $ (4) 0, ,C0S(v, 2) —r, cos(r a) m, 2, cos(r, el n(n—l). HT, يي‎ (7, vr) e TE COS (rX,)‏ سه p asee etp désignent les dérivées rique du rayon vertont r et 2,, 2,,... z, Celles d'une lon- gueur égale à l'unité, portio à sur l'axe Cx à partir du point C. La droite « étant à dedii instant la résultante de o et r, sa dérivée géométrique d'ordre quelconque sera la résultante des dérivées géométriques du méme ordre des composantes o et 7 (voir le mémoire cité où 7,, 4“ | page 8); par conséquent ` r, cos(r, D) = u, de, D, 471 Bulletin de l’Académie Impériale 472 l désignant la direction d'un axe quelconque. En vertu de cette formule les équations (1) peuvent étre trans- formées en celles-ci: t 608 (02) = w,cos (%7) — o,cos(o,2) rx cos (rz) v, COS(v i) = Ua COS (02%) — وم‎ COS (pat) + 2 [w cos (4424) — 0,c08 (424) ]|z 47 C08 (725) v, COS(V L) = Uz COS (U3X) — وج‎ COS (osx) + 3 [t COS (U) — وم‎ COS (ov,)] v; + 2 [U cos (u473) — o, cos (91%) [ 9-17 725608 (25) Les dérivées géométriques w,, uz, Uz, ... de u ne sont autre chose que la vitesse et les accélérations du mou- vement absolu du point m, et 01, روم‎ 0:,.... sont la vitesse et les accélérations du mouvement du point C. Si l’on applique ces formules au point m, qui reste en repos relatif, on aura v= 0, و ,0 عتين ,0 = رن‎ par conséquent, en désignant par 2, ?, 0s, . . . la vi- tesse et les accélérations du mouvement absolu de m4, les formules (2) donneront: 0 = w, cos (w2) — o, cos (9,2) + ra, cos (rx) 0 = w, cos (ws) — وم‎ cos (sd) + 2 [w, cos (w2) — وم‎ cos [(تةرج)‎ £, + rx, COS (rx) 0 = wa €08 (403) — وم‎ cos (95%) ۱ + 3 [ws cos (w£) — وم‎ cos (p,2)] x, + 3 [W, COS (w,25) — o, cos (Q4 22) L2 -t- 733 COS (ru) au moyen de ces relations on peut éliminer des for- mules (2) les dérivées géométriques o,, روم‎ 03,..., 6 qui donne V COS (VL) = U, COS (UT) — 0, cos (w2) V COS(V 2) = 10608 (نتو/ة)‎ — wseos (WR) + 202609 (v) ولاح (نقو) 605و‎ COS (4547) — Wg COS (10,2) [us cos (u,%,) — 0, cos (w,x,] v,‏ 3 سه -i- 3025 COS )و0(‎ La direction de x, étant arbitraire, on tire de la première de ces frites cette ون‎ que la vitesse relative v doit être la résultante de la vitesse ab- solue u, et d'une vitesse égale et opposée à la vitesse d'en- trainement w,. Pour trouver les grandeurs dont se compose chaque accélération 0, , V2, موه‎ . .., il faut éliminer des formules (3) les dérivées géométriques 2, z;.... Imaginons des longueurs o, o; 9;.... égales, pa- rallèles et opposées respectivement à v, 04, v,,.. menées à partir du point C, et liées invarisblenret $ ah systeme (B). Les projections de ces longueurs sur l'axe Cr seront invariables, ce que l'on peut exprimer par les conditions: d” [y cos (px)] ` 0 d” [o'eos(o'a)) ` 0 den ET ee gët 58 — 1, jon. û On aura en premier lieu 605 (px) + ox, cos(x) = 0 Ou. | . Pp COS (DT) — 92, COS (024) = U$ nun x. Di COS (DT) — va, cos (væ) = 0; ce qui réduit la seconde des équations (3) à v,608(9%) = us COS (usx) — 10605 (402) 4- 99,608 (9,2)... (5) Cette équation ayant lieu pour toute direction de z, on tire cette conséquence que l'accélération relative du premier ordre est la résultante de l'accélération absolue t», de l'accélération égale et opposée à l'accélération d'en- trainement w, et d'une accélération fictive Ze, qui est le double de la dérivée géométrique d'une longueur égale, parallèle et opposée à la vitesse relative v, et qui reste en repos relatif. Cela étant démontré, on aura 5609 )۵ T1) = Ua COS (U) — t0; cos (10,2,) + 2 و(رتشرج) 09 عرب‎ par suite de quoi la troisième des formules (3) se trans- forme en celle-ci ^ e و1‎ 605 (020) = U; 605 (us) — ws cos (004) حف‎ 8 (e) — Dë COS (Q124) +- 3 vx, cos (x). | Or, les conditions d? [e Ss (92)] c0. nf dis cos (@a)] _ Que ee ) donnent Pa COS (P27) +- 2 9,2, COS (P121) — VE COS (022) = 0 , Ch cos (9,2) سب‎ 9434 COS (ox) en 0 ۲ ces relations permettent d’&liminer les termes qui contiennent z, et x, et de réduire ainsi la formule précédente à Va COS (V28) — Ug COS (UgL) — ww; COS (02%) + 39, cos (P1 2) + 3 9, cos (sx). 473 des Sciences de Saint- Pötersbourg. 474 Il est facile de démontrer qu'on aura en général COS )۳ 1 2) = u, cos (u,a) A0, cos (w,&) +‏ و — ما Mei * C Tg 7 cos (o f? "el.‏ “ارب) noy" Pos‏ 5909, _ COS (D, 2). Ainsi, accélération relativev, |, de l'ordre n — 1 est la résultante de l'accélération absolue du méme ordre t, de l'accélération égale et opposée à l'accélération d'entrainement w, également de l'ordre n — 1, et en- fin de » — 1 accélérations fictives: n9, m Do ۰۰ 90 _ı qui sont les dérivées géométriques d’ordres: 1, ۰ n— 1 des longueurs Ch 9 respectivement multipliées par (n —2) (n — 3) 3 9 € ۰ n— 2) (n — 3) š ERA n(n—1) argo» rt. Ce théoréme comprend, comme cas particuliers, la règle de Coriolis pour déterminer l'accélération re- lative du premier ordre et Ja régle de M. Résal pour déterminer la suraccélération relative. L'accélération fictive 29, n'est autre chose que la force, nommée par Coriolis force centrifuge composée. En effet si l’on désigne par o la vitesse instantanée angulaire de la rotation du systeme (B) autour de (C), portée sur l'axe instantané, on trouve, eu égard à ce que ©, est la vitesse de l'extrémité de o, que N, LJ 9». 9, = وه‎ sin (09) = vo sin (vo); ainsi l'accélération dont il s'agit est 29, — 2vo sin (vo), ce qui est l'expression de la force centrifuge composée. L'aecélération du second ordre v, est nommée par M. Résal swraccélération. Elle est composée: 1? de la suraccélération absolue uz, 2? d'une suraccélération égale et opposée à la suraccélération d'entrainement Wz, 3° de la suraccélération 39, et enfin 4° de la sur- accélération Ze. On trouve, comme précédemment, que 9 = 9 osin (eo) = 0,0 sin (0,0) et par conséquent 30, = 30,0 sin (0,0). Ainsi l'aecélération fictive 30, est égale au triple pro- duit de la vitesse angulaire par la projection de l'accé- lération relative v, sur le plan perpendiculaire à Taxe instantané; la direction 3o, s'obtient en supposant que celte projection tourne de 270° dans le sens de la rota- tion du systeme (B). La suraccélération 39, est replacée dans la règle de M. Résal par deux autres que l’on peut trouver de la manière suivante. Soit CF la dérivée géomé- trique o, de o. Elle est perpendiculaire au plan (o0) et est dirigée dans le sens de la rotation de o. Soit encore CF” la position que prendrait CF aprés dt, si l'axe instantané et la vitesse angulaire o restaient in- variables; CF" ce que devient réellement CF, si ۵ de- vient o; et o, la dérivée géométrique de o. La lon- gueur infiniment petite FF” est la différentielle géo- métrique de CF — ررب‎ c.-à-d. o,d/; elle est la résul- tante de FF’ et de FF". Or FF' = o,0dt — vo? sin (vo) dt et FF est la différentielle géométrique de CF} pro- duite par le déplacement de l'axe instantané. Si CZ’ est la position que prend CE en tournant autour de l'axe o, CF” représentera la vitesse de rotation du point E autour du nouvel axe o' avec la vitesse an- gulaire o. Par le principe de la composition des ro- tations, o' étant la résultante de o et o,dt, la vitesse de fotation de E' autour de o sera composée d'une vitesse de rotation autour de o et d'une vitesse de rotation autour de o,; la premiere de ces composantes est CF'— oo sin (po) = o, et la seconde | 90, sin (,هج)‎ dé = vo, sin (eo) dt. La vitesse CF" est donc la résultante de CF" et de vo, sin (ro) dt; par conséquent cette dernière est égale à F'F'. Ainsi FF est la résultante de FF = vo sin (vo) d et de FF" = vo, sin (vo,) dt; 475 Bulletin de PAcademie Imperiale 476 la dérivée géométrique o, de 9, = CF est donc la ré- sultante de vo’ sin (vo) et de vo, sin (voy). Cela étant démontré, on doit conclure que /a surac- célération fictive 39, est la résultante de deux autres, savoir: 1? d'une suraccélération représentée par la pro- jection v sin (vo) de la vitesse relative sur un plan per- pendiculaire à l'axe instantané que l'on aurait multipliée par le triple carré de la vitesse angulaire et 2° d'une suraccélération égale au triple produit de l'accélération angulaire o, par la projection vsin (vo,) sur um plan perpendiculaire à l'axe o, de la vitesse relative. Le sens et la direction de cette composante s’obtiennent en sup- posant que celte projection tourne de 270°. Tout ce que nous venons de démontrer par rapport à la suraccé- lération v, forme la règle que M. Résal donne dans son traité de cinématique pure à la page 287. 2. L/équation (4), trouvée plus haut رب‎ COS (pit) = و‎ COS (V21), mène facilement aux expressions connues des projec- tions de la force centrifuge composée sur des axes de coordonnées rectilignes et rectangulaires Cx, Cy, Cz liés invariablement au système (D). Désignant par x, y, 2 les coordonnées du point mobile m rapporté à ces axes à l'instant £, par a, 8, y les projections sur ces axes de la vitesse angulaire o et par a, b, c les cosinus des angles que-forme avec ces mémes axes un axe quel- conque با‎ invariablement lié au système (D), nous au- rons par la formule (4) 9, 605 (oil) = vl, cos (ul) = 1 d P1 cos (hæ) + = l cos (Ly) + Gu cos (2) où /, désigne la vitesse de rotation autour de o d'un point pris sur l'axe Let distant du point C d'une lon- gueur égale à l'unité, c.-à-d. la vitesse d'un point dont les coordonnées sont a, b, c. Or, pas les formules d'Eu- ler, on a 1, cos (lix) = eg — by 7, cos (Ly) = ay — ca l cos (l2) = ba ب‎ aß; par conséquent la projection de la force centrifuge composée sur l'axe / est ^ai cos (il) = 2 ۳ (c8 — by) Te (ay — C0) + = (ba — ag) | = v z dy dz t t? d ER d [a(t 7j نب‎ —1%) + c(8 Sall En prenant pour / les directions des axes Cr, Cy, Cz, on trouve d d 29, cos (oit) = 2 (15 —8;) d 29,608 (919) = 2 (a a% — ri) d 2%, C08 )9,8( = 2 (857 qp a) Par conséquent, en vertu de la formule (5), les équa- tions du mouvement relatif prendront la forme, que leur a donné Coriolis Me: : dy dz dB Ua COS (UT) — w, COS (wx) + 2 Wäi — ái) d*y dz dë — ri) d?z dg — Un COS (%8) — W, cos (w,2) + 2 (67 سب رن‎ ag). = U, COS (uy) — w, cos (wy) + 2 Es 3. M. Bour °) a donné aux équations générales du mouvement relatif la forme canonique Hamilto- nienne, en introduisant dans ces équations des va- riables auxiliaires £, n, &. Or, ces variables ne sont autre chose que les projections sur les axes des coor- données Cz, Cy, Cz de la dérivée géométrique r, du rayon vecteur r mené de l'origine C au point m. En effet, si l'on pose | Er cos (r£), 7 = r, cos (ry), &— r, cos (r12), on trouve au moyen de la formule d en = f4 COS (rz) + 2, COS (rz) m di حت‎ E + 49, cos (xz) + Ya, cos (ya) -+ 20 COS WT ; or a formules d’Euler donnent 2,008 (xt) = 0, 2,608 (Y2) — Y, 8 (e) > سب مت‎ 8; par conséquent rid da... ارو‎ d 75 Ty— Be, 2) Mémoire sur les mouvements relatifs, par M. E. Bour. Jour- nal hs Mathématiques etc., publié par J. Liourille, T. VIII (2° 477 des Sciences de Saint- Petersbourg. 478 dy — م2‎ ~ ba 242—120, d. 4 E+ Pr — ay, d’où l’on tire dx E= qt 62 — W, dy dz E = u + 0-۰ Ce sont précisement les expressions des variables in- troduites par M. Bour dans les équations du mouve- vement relatif. La dérivée de E =r, cos(r,x) donne d — f COS (rav) + Ty COS (r2), et l'on a T; COS (134) = u, COS (132) — وم‎ cos (o2) Y 424€08 (r qz) = Ericos (xx) + nr, cos (ym) 2-52 608(22,) — YN ro BE H par conséquent d e D — us cos (ust) — pa eos (pa) رح 1 -ف-‎ | 7 == uz COS (uy) — وم‎ COS (0:4) + «5 — YE, T = ولا‎ COS (U32) — وم‎ COS (022) + PE— an. Ces équations ne diffèrent que par les notations de celles que M. Bour trouve par la transformation des coordonnées *), et au moyen desquelles il est parvenu à mettre les équations du mouvement relatif sous la forme canonique. Sur la détermination de la résistance de l'air au mouvement du pendule. Par A. Sawitch. | (Lu le 30 novembre 1865.) Le calcul des observations que nous avons faites, conjointement avec M. R. Lenz à Tornéa, Nicolaï- stadt, Réval et St.-Pétersbourg, étant terminé, il ne reste, pour obtenir des résultats définitifs, que de dé- terminer les corrections nécessaires pour la réduc- tion des oscillations de notre pendule au vide, c.-à-d. de déterminer l'influence de la résistance de l'air. On 8) Mémoire sur les mouvements relatifs, page (8) form. (12). sait que Bessel, dans son ouvrage «Untersuchungen über die Lünge des Secunden- Pendels», a donné les regles les plus süres pour effectuer cette réduction. Il y démontre que la perte de poids que le pendule éprouve dans l'air est plus grande pendant son mouvement oscil- latoire que lorsqu'il est en repos; qu'une couche d'air constante et inconnue est en méme temps mise en mouvement, et que par conséquent le moment d'inertie du pendule se trouve augmenté. Il résulte du calcul théorique de Bessel que la longueur du pendule simple, correspondant au pendule composé, s'accroît à-peu-prés d'une partie égale au produit de cette longueur méme, du rapport de la densité de l'air à celle du mobile et d'un certain coefficient nu- mérique qui reste à déterminer pour chaque cas par- ticulier, et qui ne dépend que de la forme et des dimensions du pendule oscillant dans l'air qui s'étend indéfiniment en tous sens autour du pendule. Bessel a obtenu la valeur numérique de ce coefficient pour son instrument, en observant les oscillations de deux boules d'égal volume, l'une de cuivre, l'autre Ti- voire, suspendues successivement à l'extrémité d'un fil également long et mince. Plus tard, Poisson, en reprenant la théorie épi- neuse de la résistance des milieux, a publié ses re- cherches, dont on ne peut trop admirer la profondeur et l'élégance. Dans son mémoire sur les mouvements simultanés d'un pendule et de l'air environnant, il s'accorde en termes généraux avec les considérations auxquelles était parvenu Bessel, et il donne pour le pendule de Borda la valeur du coefficient dont nous avons parlé, par la seule théorie, sans recourir à l'expérience. eg Pour éclairer la matière et trouver les réductions au vide des oscillations des pendules de différentes constructions, les célèbres savants anglais MM. Sa- bine et Bailly ont fait un grand nombre d'expé- riences trés exactes sur le mouvement des pendules | dans l'air, sous une pression atmosphérique totale et [sous une pression très petite, dans un appareil oü l'on pouvait raröfier l'air à l'aide d'une pompe pneu- matique. ور‎ LT HE Des savants distingués, comme MM. Green, Challis, Stockes, se sont depuis occupés à résoudre théoriquement cette question; c'est surtout à M. Stoc- kés que nous devons une théorie générale et élégante 479 Bulletin de l'Académie Impériale 480 de l'influence que l'air produit sur les oscillations du pendule. . Ce qui nous importe le plus pour le moment, c'est de faire d'une maniére satisfaisante les réductions de nos observations. Notre pendule à réversion a une forme et des dimensions différentes de celles qui ap- partiennent aux instruments pour lesquels la réduc- tion au vide a été obtenue par des expériences di- rectes. Heureusement notre pendule, étant construit d'aprés les principes proposés pour cet objet par Bessel, présente ce grand avantage que, si l'instru- ment est bien vérifió et les expériences convena- blement arrangées, la réduction au vide est presque nulle, et toujours trés petite. Elle sera notamment nulle, si la densité de l'air n'a pas changé durant les expériences qui servent à déterminer la durée des oscillations autour d'un axe horizontal et d'un autre. Toutes ces expériences n'exigent pas plus d'une heure et demie de temps; dans un intervalle si court la température de l'air et la pression barométrique changent si peu, qu'on trouve toujours la différence des densités de l'air presque insignifiante. Il suffira done d'obtenir d'une manière approximative la valeur du coefficient dont dépend la réduction. Il se pré- sente ici deux moyens de trouver ce coefficient. 1) On peut observer successivement les oscillations de notre pendule dans l'air sous la pression baromé- trique totale et sous une pression trés petite. C'est le procédé qu'avait suivi Baily. 2) On peut parvenir au méme but en faisant con- struire un pendule à réversion en bois, ayant la méme forme et les mémes dimensions que notre pendule en cuivre. La résistance de l'air pour les mémes ampli- tudes du mouvement sera égale pour les deux instru- ments, mais les poids de ces derniers étant très iné- gaux, on pourra former deux équations pour calculer la valeur du coeffieient inconnu, l'une relative au pendule en cuivre et l'autre au pendule en bois; dans la dernière de ces équations le coefficient inconnu entre avec un multiplicateur à-peu-prés dix fois plus grand que dans la premiére. On a donc les conditions favorables pour calculer Ja valeur numérique du coef- ficient à déterminer. C'est comme si l'on observait suc- cessivement les oscillations de notre pendule en cuivre dans l'air, sous une pression barométrique de 30 pouces et dans l'air tellement raréfié que sa pression correspondrait seulement à 3 pouces. Cette derniére méthode nous parait plus avanta- geuse que la premiére. Pour motiver notre opinion, il ne sera pas inutile de faire quelques remarques. On sait que le bois, surtout s'il n'est pas sec, se déjette à cause de l'état variable de l'humidité. Sans doute il serait tout-à-fait mal à-propos d'employer un pendule en bois pour les observations principales destinées à déterminer les relations entre les inten- sites de Ja pesanteur terrestre dans les diverses con- trées. Mais nous proposons un instrument en bois pour un but secondaire. La correction à trouver est tellement petite qu'on pourrait la négliger sans com- mettre une erreur considérable; une approximation médiocre sera suffisante. Les expériences qu'il faut faire pour cet objet s’ex&cutent facilement dans deux ou trois heures; il est peu probable que le pendule en bois sec, enduit de couleur à l'huile, soit sujet à des variations durant un intervalle de temps si court. De plus nous pouvons toujours examiner, si ces varia- tions ont eu lieu ou non; nous avons un comparateur trés exact, au moyen duquel se déterminent les lon- gueurs des pendules. On peut ainsi, avant et bientót aprés les expériences, mesurer la différence entre les longueurs des pendules en cuivre et en bois; on aura alors toutes les données nécessaires pour calculer la valeur du coeffieient cherché. En opérant de cette maniére, à plusieurs reprises, on obtiendra autant de | résultats indépendants les uns des autres que l'on voudra. Un appareil de ce genre est beaucoup moins coü- teux que celui qui sert à raréfier l'air. On a plusieurs fois essayé de faire les horloges astronomiques avec un pendule en bois; quoique la marche diurne de ces horloges ne puisse pas étre aussi constante que celle d'une bonne horloge à com- pensation métallique, elle n'a cependant pas été trés . variable. Le célébre savant anglais W ollaston a eu une semblable horloge, et ayant examiné sa marche durant une année entière, il a trouvé que les varia- tions journalières n'ont jamais excédé 2 secondes de temps. Le cabinet de physique à l'université de Hei- delberg, placé sous la direction d'un des savants les plus éminents de l'Allemagne, M. Kirchhof, possède un pendule à réversion en bois qui fonctionne trés des Sciences de Saint 2 bien. Ces exemples et plusieurs autres nous autorisent à croire que nous ne courons aucun risque en em- ployant un instrument en bois pour une recherche qui n'exige que peu de temps. Je pense méme qu'en faisant usage de cet instru- ment, nous pouvons atteindre notre but plus süre- ment qu'en suivant une autre méthode. Les expé- riences sur le mouvement du pendule dans l'air, sous une pression barométrique totale et sous une pression trés petite, se font dans une cage fermée de toutes parts. Or Poisson a déjà remarqué que les ondes aériennes produites par ce mouvement, sont réfléchies par la surface de la cage et viennent retomber sur lé pendule; les condensations de l'air dont elles sont accompagnées, produisent sur les différents points de ce corps des accroissements de pression qui peuvent troubler son mouvement. Cette cause affecte les oscil- lations d'une maniére différente, selon la forme et les dimensions de la cage relativement à celle du pendule. La résistance de l'air est un phénoméne compliqué et la réduction au vide dépend non-seulement de la figure du pendule, de son poids spécifique et de celui de l'air environnant, mais encore des mouvements de lair, produits par son déplacement lors des oscilla- tions du pendule, par l'adhésion d'une couche d'air à la surface de cet appareil et par les frottements des particules de l'air les unes contre les autres. Ces frotte- ments ont été l'objet de recherches trés ingénieuses, faites par MM. Stockes et Meyer et sont impor- tantes pour la question qui nous occupe. On sait que les expériences nombreuses de Baily ont donné un coefficient de la réduction au vide plus petit que la valeur trouvée par Bessel, par un pro- cédé analogue à celui que nous proposons. Les nou- velles recherches de M. Meyer, prouvent la justesse du résultat obtenu par Bessel. Voici ce que dit à ce sujet M. Meyer: «Meine Messungen haben zum Resultate geführt, «dass ein pendelnder Apparat in einem möglichst luft- «leer gepumpten Raume von der zurückgebliebenen «dünnen Luft nicht nur merkliche, sondern sogar recht «bedeutende Verzógerung seiner Bewegung erfährt, «falls nur die Wandungen des luftverdünnten Rau- «mes dem Apparate nahe genug sind, um auf die Be- ' «wegung der dünneren Luft einen hemmenden Ein- «fuss auszuüben. Nach dieser Erfahrung kann es Tome IX. «nicht mehr zweifelhaft sein, dass die von Baily «ausgeführten Bestimmungen der aérodynamischen «Reduction des Pendels auf den luftleeren Raum, «trotz der Genauigkeit und Feinheit der Messungen, «fehlerhaft sind *).» Tout cela sert on ne peut mieux à confirmer l'opi- nion que nous avons émise. Si la Classe approuve notre proposition, nous avons l'honneur de demander l'autorisation de faire exécuter une copie en bois aussi parfaite que possible de notre pendule en cuivre, construit par les célébres artistes de Hambourg, MM. Repsold. Je crois que le corps du pendule en bois peut étre fait ici, à St.-Pétersbourg; quant aux prismes ou couteaux, il vaudra mieux les faire venir de Hambourg par l'entremise de MM. Repsold. En terminant ce rapport, je crois de mon devoir de mentionner que, malgré toutes les précautions et tous les soins que nous avons pris, un des prismes de notre appareil a été attaqué par la rouille. A St.-Pétersbourg, à Tornéa et Nicolaistadt les deux prismes étaient également purs; hors du temps des expériences, ils étaient toujours recouverts d'une couche de graisse purifiée. A Réval nous avons remar- qué une tache assez loin du couteau; aprés cela elle s’est agrandie de plus en plus, ici à St.-Pétersbourg, par le progrès de l'oxidation. Il est donc nécessaire d'envoyer ce prisme à Hambourg et de prier M. Rep- sold de le repolir, afin d'en óter la rouille. Neuere geo-botanische Untersuchungen über den Tschornosjom, von F.J. Ruprecht. (Lu le 30 novembre 1865.) Zur Revision der Nordgränze des Tschornosjom und Gewinnung neuer Thatsachen verwendete ich im verflossenen Jahre 2 Sommermonate. In dieser Zeit durchreiste ich über 6200 Werst, konnte indessen nur theilweise der vorgesteckten Aufgabe genügen, namentlich von Menselinsk bis Tschernigow. Zu ei- ner genaueren Bestimmung der vielfach geschlängel- ten und unterbrochenen Nordlinie gehört viel mehr die. RE eS E Poggendorf's Annalen der Physik End Chemie, 1905 Band ۲۰ pag. 184. ü Bulletin de l'Académie Impériale 184 Zeit. Die Lücken, welche auf einer so grossen Strecke nothwendig entstehen mussten, suchte ich wo mög- liehst durch Erkundigungen und durch die Literatur über diesen Gegenstand auszufüllen. Die Untersuchung wurde noch complicirter durch einen Umstand, der sich sehr bald herausstellte. Die Nordgränze des vielfältig zerrissenen Tschornosjom- Gebietes: ist nicht überall so scharf abgeschnitten, als man bisher sich vorstellte. Es liegen nördlich von dieser Linie eine Menge kleiner Tschornosjom-Inseln, namentlich im südlichen Theile des Gouv. Wjätka und im angränzenden Kasan'schen, im G. Wladimir, dann südlich von der Moskwa und im nördlichen Theile des Gouv. Tschernigow. Viel wichtiger war ein anderer Theil der Aufgabe, nämlich nachzusehen, obirgendwo Erscheinungen auf- treten, welche mit dem von mir aufgestellten Ursprung, Alter, der Vegetation und Bedeutung des Tschornosjom im Widerspruche stehen. Wie man aus dem nachfol- genden speziellen und objektiven Theile des Berichtes ersehen kann, ist nichts Wesentliches von dem be- reits Gesagten zurückzunehmen. Ich war auf verwor- rene, nicht leicht zu erklärende Erscheinungen gefasst und glaube noch jetzt, dass solehe hie und da vor- kommen mögen, ich fand sie indessen nirgends, einen Fall vielleicht ausgenommen. Man muss daher an den bisherigen Erfahrungen und Resultaten, die jetzt eine noch bestimmtere Gestalt erhalten haben, festhalten: 1) Der ächte primitive Tschornosjom ist immer das Produkt einer älteren Vegetation, die sich im Allgemeinen noch bis jetzt an Ort und Stelle gleich geblieben ist. 2) Nur die Land-Vegetation ist das Kriterium für das Alter eines gegebenen Bodens. Die Alterberech- nung beginnt mit der Zeit des Trockenwerdens, gleichsam der Geburt. Das Alter des Bodens hat mit dem Alter der Formation nichts zu thun, je- nes ist botanisch, dieses geognostisch. 3) Für die Alterbestimmung eines Landes (Bodens) ist noch wichtig die Diluvialschicht, insbesondere ;. ihre zwei Etagen, dann der primitive Tschorno- sjom. Je mächtiger unter gleichen Umständen der letztere ist, um so älter ist das Land; die ‚Abwesenheit zeigt auf ein junges Alter, wenn auch das Land hoch ist. Die hohen Ufer der unteren Oka und der Wolga von N. Nowgorod bis zur Kama- mündung sind jünger, als das linke Ufer der Kama von ihrer Mündung bis zur Bjelaja hinauf und landeinwürts. Die Alterbestimmungen durch den Tschornosjom sind relativ, kónnen aber in Zukunft auch absolut werden. 4) Nirgends sind erratische Blócke, oder kleinere Ge- schiebe auf den Tschornosjom abgelagert worden. Das Gegentheil wäre allerdings ein Beweis, dass der Tschornosjom älter sei, als der Transport der Blöcke. Obgleich ein solcher Beweis aus Mangel an Thatsachen nicht zu führen ist, so ist dennoch der Schlusssatz richtig. Die erratischen Blöcke konn- ten desshalb nicht auf den Tschornosjom abgelagert werden, weil das Ufer schon zu hoch, die Wasser- bedeckung schon zu seicht war, die Strandung der Blockschiffe musste schon auf dem seichten vorliegenden Ufer erfolgen, wofür auch alle vor- handenen Beobachtungen sehr bezeichnend sind. 5) Auf neugebildetem Lande fand sich früher oder später eine krautartige Vegetation aus der Nach- . barschaft ein. So wurde im Laufe einiger 1000 Jahre der Tschornosjom durch fortwährende Hu- mus-Infiltration in der obersten Schicht des Di- luviums gebildet, später auch ohne Infiltration. Damit stimmt die regelmässige Zunahme des Hu- mus nach der Oberfläche hin und die Abwesenheit aller grösserer Mineralpartikel. Auf Flugsand hat sich eine zusammenhängende Benarbung nur schwer und spät gebildet, daher auch — es? mus und Tschornosjom. 6) Wenngleich die primitive Bildung des rade sjom überall nur auf trockenem Wege statt fand, durch Verwesung der üppigen Steppen-Vegetation, so sind damit noch nicht secundäre Anhäufungen dieser Bodenart durch Anschwemmungen ausge- schlossen; solche sind vielmehr an mehreren Or- ten haché اوه‎ . Neue Beweise für die aufgestellte Bildung. ‘des Tschornosjom, die als Hypothese schon yon Gülden- städt ausgesprochen wurde, sind: a) Der rothe Diluvial-Lehm e P وج‎ hat dort, wo er vom Tschornosjom überdeckt ist, 485 des Sciences de Saint-Pétersbourg. zahllose Spuren von Pflanzenwurzeln, die aus dem- selben eingedrungen sind; sie sind bloss in den obersten Lehmschichten und nicht dick, sind also schwerlich von Bäumen. b) Wald erzeugt nur Walderde, nie Tschornosjom; aber wohl ‚stehen jetzt zuweilen Wälder auf früheren Grassteppen mit Tschornosjom - Boden (Pitschkassi, Sjewsk). c) Tschornosjom geht leicht in Tschernogrjäs über, aber nicht so leicht, oder kaum in Torf, wenn auch beide zusammentreffen. d) Tschornosjom wird mit zunehmender Höhe des Terrains mächtiger (Borowski Kurgan, N. Sewersk, Dessna und viele Regenschluchten). Sehr oft ist dieses normale Verhältniss zerstört worden. e) In niedrigen Gegenden fehlt der Tschornosjom, obgleich die Bildung desselben noch jetzt fort- dauert. Er beginnt erst in 60—80 Faden über der Meeresfläche im europäischen Russland und West-Sibirien. . Der Tschornosjom ist an der Nordgränze nicht di- cker als 3—4 Fuss, nur einmal fand ich 7 Fuss; mäch- tigere Schichten können leicht secundäre Ablagerun- gen sein, denn es ist noch zweifelhaft, ob Schichten von 15—20 Fuss sich durch Infiltration des Humus so tief und gleichmässig färben konnten, oder dass ein grosser Theil aus reiner Pflanzenerde bestehe. . An manchen Orten fehlt der Tschornosjom dort, wo man ihn erwarten sollte; diess hat immer seinen besonderen Grund: 1) er ist weggeschwemmt an Ab- hängen, oder 2)er fehlt auf einer (immer der tieferen) Seite der Regenschlucht, während die gegenüberste- hende Wand bis 2 Fuss dicken Tschornosjom hat; 3) er fehlt überhaupt in Folge der geringen Höhe des Bodens, der sich erst spät benarbte, besonders an vielen Flüssen, die in der, Vorzeit ein breiteres Bett hatten; 4) er fehlt auf allem neuen und jungen Bodenterrain, wenn dasselbe auch hoch ist; 5) er fehlt oft auf reinem Sande und nacktem Gestein; 6) auf feuchtem oder sumpfigem Boden entsteht kein Tschornosjom, eben so wenig wie im Walde. Es giebt viele Stellen im Tschornosjom-Gebiete, welche jünger sind als manche Gegenden im nördlichen Russ- * Für die Bildungsgeschichte des Tschornosjom sind einige wichtige neue Thatsachen aufgefunden, welche jetzt zu einer Eintheilung desselben in 2 Kategorien geführt haben. Gewöhnlich entsteht Humuserde auf der Diluvialschicht durch Infiltration. Allein ich fand jetzt auf der Ringmauer der Festung von Alt-Ladoga eine 11 Zoll dieke dunkelbraune Pflanzenerde vor, die sich in 750 oder weniger Jahren gebildet hatte und zwar unmittelbar aus der theilweisen Zerstórung silurischer Kalkplatten durch den Wurzelfilz und durch Verwe- sung des letzteren. Auf eine ühnliche Weise bildete sich der Tschornosjom auf den hóchsten Stellen bei Simbirsk und wahrscheinlich allenthalben, wo in den untersten Lagen des Tschornosjom Trümmer des unter- liegenden Gesteins eingestreut sind, oder wo er in dün- nen Schichten auf unversehrten Kalkschichten liegt. Hieher gehórt auch der Tschornosjom auf dem Con- ferven-Mergel von Malmysch; hier liegen auf dem Di- luvium zwei Formationen vegetabilischen Ursprungs, und die mikroskopische Alge im Mergel ist ein Be- weis einer ehemaligen Süsswasserbedeckung. Endlich gibt es Bildung von Tschornosjom ohne Diluvium auf dem verwitterten Granitboden des SW. Russlands, «wo der Tschornosjom in Granit übergeht». Was jetzt noch viel Aufschluss geben wird, sind geodätische Messungen für das Niveau des Tschorno- sjom in verschiedenen Gegenden. Die barometrischen Höhen sind dazu nicht hinreichend. Bald werden wir | ein vortreffiliches Material als Anhaltspunkt: dafür besitzen. Der im Jahre 1863 herausgegebene Katalog der topographischen Abtheilung des Generalstabes enthält eine Menge geodätisch bestimmter Punkte für einige Gouvernements, die ich für meinen Zweck be- nutzte. Das geodätische Nivellement der Wolga-Tri- angulation vom G. Simbirsk bis Jaroslaw ist beendigt und in der Ausrechnung. T Dann mag der Tschornosjom für die Bestimmung des relativen Alters der geologischen Hebungen sei- nen Werth zeigen. Ich erkenne schon jetzt deutlich, dass die vegetabilische Decke des Waldai jünger ist, als der Tschornosjom, ja selbst jünger, als die Beklei- dung der oberen Terrasse bei St. Petersburg. Die Humusschichte ist auch für die beiläufige Alter- bestimmung räthselhafter Denkmäler brauchbar, wie die Tschudengräber am Altai, die Sopki im nördlichen | Russland, Die Sopki an der Msta haben eine Humus- 31* Bulletin de l'Académie Impériale Ass Infiltration von 2- -4 Zoll; die Kurgane von Sednjeff im Tschernigow’schen 5—9 Zoll; im Altai fand man sie 1 Fuss tief und schwarz, mit Pferde- und Men- schengerippen nebst Gegenstünden von Gold, Silber, Kupfer und Eisen. DasFolgende kann als spezieller Beleg zu dem Gesag- ten, zugleich auch als Reisebericht gelten, in welchem ich die Reihenfolge von O. nach W. einhielt und von da, nach N. umbiegend, in entgegengesetzter Richtung. Ich befürchte nur, dass die Spezialitäten ermüden werden, obgleich Vieles weggelassen ist. Dagegen habe ich mein Material mit werthvollen fremden Beob- achtungen vermehrt, weil sie in der Literatur über den Tschornosjom unbekannt geblieben sind. Vieles mag noch zerstreut und begraben liegen. Als Anhang folgen chemische Analysen, Literatur-Nachträge und eine Zusammenstellung der vorhandenen Angaben über die Verbreitung des Tschornosjom in Sibirien, welche die europäischen Verhältnisse dieses Bodens nur noch weiter bestätigen und verallgemeinern. ‚Ich wünschte, den Gegenstand vollständig und von allen Seiten zu beleuchten, damit keine wesentlichen Zweifel übrig blieben und übergebe ihn anderen Ge- lehrten mit der Überzeugung, dass es der Wissenschaft gelingen wird, auch das absolute Alter jedes Punktes der Erd-Oberfläche in Russland zu bestimmen. Die. absolute Höhe der Wolga bei Kasan beträgt nach Humboldt (Asie centr. I, 70) 9 Toisen = 57", Fuss Russ. — Engl., nach Murchison (Geolog. Karte) 130 Fuss Russ. für die Wolga-Ebene unter der Stadt. Nach Humboldt ist die Cuvette des Barometers der Universität 30 Tois. — 192 Fuss höher, als das bal- tische Meer und 21 Tois. — 134 Fuss hóher, als die Wolga. Murchison giebt für Kasan 280 Fuss Mee- reshóhe an. NO von Kasan, nach der ersten Station gegen Arsk zu, beginnt eine kahle bebaute Gegend; die Damm- erde wird hie und da braun, auf einer Stelle, 40 Werst von Kasan, sogar vollkommen schwarz und 2 Fuss dick. Von Tschornosjom-Pflanzen bemerkte ich Centaurea Biebersteinii, Tragopogon orientale und Stachys annua. — Hart an der Gränze des G. Wjätka, 36 Werst SW. von Malmysch und bis zu dieser Stadt, wird die Damm- erde meistens sehr dunkel und von der Beschaffenheit des Tschornosjom. Auf den Anhóhen liegt dieselbe " Fuss dick auf dem gewóhnlichen rothen Lehm, der beim Austrocknen steinhart wird und in seinen ober- sten Lagen verrottete Wurzeln aus dem Tschornosjom einschliesst, die róhrenfórmige Gänge mit schwarzen Wandungen hinterlassen haben, ein neuer Beweis für die Bildung des Tschornosjom an Ort und Stelle. Diese Erscheinung wiederholt sich an meh- reren Orten. Zur schwarzen Färbung einiger Äcker mögen auch verbranntes Holz und starke Düngung das Ihrige beige- tragen haben; es giebt indessen bestimmt unberührte Stellen mit dunkelbrauner Erde, die 2 Fuss mächtig auf dem wurzelhaltigen rothen Lehm ۰ In niedrigen Gegenden kommen Übergänge des Tschornosjom in Tschornogrjäs vor. Mit diesem Na- men bezeichnet man an vielen Orten einen schwarzen Schlamm- oder Moorboden, der lange unter Wasser steht, aber sich vom Torf durch Unfähigkeit als Brenn- materialin Folge überwiegender Beimischung unorga- nischer Bestandtheile unterscheidet. Er bildete sich hier unter sumpfigen Carex-Wiesen; die ausgeschnit- tenen Stücke behalten ihre Form zähe bei, wie Torf, und unter dem Mikroskop sieht man Fetzen Weg bräunten Pflanzengeweben. Der rothe Lehm liegt 1) entweder rein auf der Ober: fläche, oder ist 2) bedeckt in Niederungen und an Flassüferi init Moorerde oder Schlamm; oder der Lehm geht 3) nach oben in eine Schicht Dammerde oder Tschornosjom von verschiedener Dicke (bis 2 Fuss) und Färbung über; oder der Lehm ist auf verschie- denen Hügeln und Bergen um Malmysch bis 20 Werst westlich davon bedeckt: 4) mit dünnen horizontalen Lagen eines weichen weissen gewöhnlich zertrümmer- ten Mergels. Solche Mergelschichten findet man nur auf den Rücken der Anhóhen; ich sah auch unver- sehrte bis 10 Fuss breite parquetartige Entblóssun- gen, die gewiss nur an Ort und Stelle gebildet waren, da die Schichtung zu dünn und die Platten zu ge- brechlich sind, um einen Transport ohne Schaden zu vertragen. Dieser Mergel ist 6— 9 Zoll hoch mit braunem Tschornosjom bedeckt, an anderen Orten fehlt diese leicht abspülbare Bedeckung. Diese Mer- gelschichten bestehen aus einer mikroskopischen ver- kalkten Süsswasseralge: Lithobryon (Bullet. Acad. 1865. IX, 35), sind jünger als der rothe Diluvial-Lehm und älter als der Tschornosjom. Wir hätten hier also des Sciences de Saint - Pétershourg. 490 2 geognostische Schichten vegetabilischer Na- tur. Ich kann mir die Entstehung dieses Mergels, der an vielen Hügeln des Kreises Malmysch vor- kommt und wahrscheinlich in gleichem Niveau, nicht anders denken, als durch eine Algen-Vegetation auf dem rothen Diluvial-Lehm bei seichtem Wasserstande und Abscheidung von kohlensaurem Kalk mit Thon- erde auf diesen confervenartigen Filz. Durch die fortwährende Zerstörung der Diluvialschicht sind jetzt nur noch Reste einer früheren grossen zusammen- hängenden Masse auf einzelnen Höhen übrig geblie- ben. Land-Vegetation bildete sich auf diesem Con- ferven- Mergel unmittelbar nach Verschwinden des Wassers, ohne Zuthun des Diluviums. Diese Mergelschichten sind durch eigenthümliche Pflanzen ausgezeichnet, die nicht in der Nachbar- schaft vorkommen, es mag nun Tschornosjom auf den- selben liegen oder nicht. Ich bemerkte: Sanguisorba, Medica falcata; 12 Werst N. von Arsk: Phlomis tube- rosa, Campanula bononiensis, Delphinium elatum; 8 Werst N. von Malmysch: Potentilla recta, Oxytropis pilosa, Conyza salicina, Epipactis atrorubens, Andro- sace filiformis. Die durchreiste Gegend hatte meistens ein kahles steppenartiges Aussehen. ' Sonst hat die Flora von Malmysch manche sibirische Anklänge: in Wäldern fand ich die Pichta, Rosa gla- brifolia; die Tanne war nicht mehr die typische euro- päische, sondern eine annähernde Form zur sibiri- schen; die letztere fand ich nüher zu Kasan als üchte Picea obovata. Meyer (Fl. Wjätka 1848) sah von Malmysch: Alnobetula fruticosa, Acer tataricum, Cy- Pripedium guttatum, Dracocephalum thymiflorum, Pimpinella magna, Thalietrum majus. Die Niederungen am Flusse Wjätka auf halbem Wege nach Jelábuga haben eine üppige Vegetation und mehrere Tschornosjom-Pflanzen , obgleich dieser Boden von da bis Jelábuga nicht mehr auftritt: Ga- latella punctata, Adenophora, Senecio aureus, Serra- tula coronata, Sanguisorba, Cenolophium, Galium ru- bioides, Artemisia procera, Allium angulosum u. a. Die Verbreitung der Tschornosjom-Pflanzen auf diese entlegenen Inseln muss ihre Schwierigkeit gehabt haben, da die Flüsse nur hinderlich waren. Nirgend sah ich zwischen Kasan, Malmysch und Jeláguba erratische Blócke oder Geschiebe. Von Jeläbuga fährt man 20 Werst auf einer Über- schwemmungswiese der Kama bis nach Tschelny, wel- che Station auf dem linken Ufer der Kama im G. Oren- burg (jetzt Ufa) liegt. Der Boden dieser Wiese ent- hált viel angeschwemmten Tschornosjom aus der Bje- laja und dem näheren Ik; am hohen Ufer gegenüber Tschelny ist diese Schicht ziemlich schwarz und müchtig. Ausser Sanguisorba, Tragopogon, Euphor- bia procera, Cenolophium, Vincetoxicum, Serratula coronata, Dianthus Seguieri, Artemisia procera, Tha- lictrum minus, Eryngium planum u. a. auch an sol- chen Stellen der Oka im G. Moskau gemeinen Pflan- zen, bemerkte ich hier noch: Galatella punctata, Ade- nophora, Populus nigra (auch an der Wjätka zwischen Malmysch und Jelábuga) und eine grosse Menge Gen- tiana Pneumonanthe. In dem Kieferwalde bei Jelá- buga sah ich Aristolochia, Jurinea und Centaurea Biebersteinii den Abhang hinauf. Das Ufer der Kama bei Tschelny ist bis 10 Sashen hoch; die Basis bilden Kalkplatten, zuweilen voll von wohlerhaltenen Austerschalen (Ostrea matercula des oberen Perm'schen), dann Sandsteine mit Pisolithen, Kieselgeschiebe u. s. w. Unbegreiflich fest eingeklemmt war daselbst eine Schicht Lagerholz, vielleicht durch späteren Einsturz eines 4 Faden mächtigen überliegen- den Sandsteines; ebenso liegt unter allen festen Schich- ten in dem hóchsten Niveau der Kama eine verkohlte 1 Zoll dicke Holzschicht. Oben liegt der mächtige rothe Lehm ohne Spur von Tschornosjom an der Oberflüche. Nur am Ufer war Geranium sibiricum. Dieser Mangel jeder älteren Vegetation und Schwarzerde macht sich noch 1-2 Werst landeinwürts bemerklich; erst dann tritt, statt Sand und Gruss, der Tschornosjom, nur stellenweise durch Wälder unterbrochen, in compakten Flächen auf, die sich bis nach Ufa, zur Bjelaja und über ihre flachen Ufer hinaus ziehen sol- len. Man versicherte mich, dass am rechten Ufer der Kama hinauf nirgends Tschornosjom auftrete; bei Pjannij Bor ist dasselbe hoch und sandig. ^ Zwischen Tschelny und Menselinsk wird der Tschorr -Boden nur auf einer Stelle durch einen Wald aus Espen und Haselstrüuchern nebst anderem Gebüsch (auch aus Eichen, aber keinen Coniferen) in der Ausdehnung von etwa 10 Werst unterbrochen; in dieser suchte ich vergebens nach Tschornosjom. Dieser war anderswo nur wenige Werschok dick, aber 491 Bulletin de l'Académie Impériale in einer Regenschlucht war er als 2 Fuss mächtige |eben so wenig thun dieses sumpfige Niederun- schwarze Schicht auf dem rothen Lehm zu sehen. Die Felder sind schwarz, fruchtbar und werden nicht gedüngt. Die Gegend hat das Aussehen einer bebau- ten Steppe, wie jene im Kreise Malmysch; aber die Vegetation ist entschieden anders durch zahlreiche charakteristische Arten. Ausser den Unkräutern: Amaranthus retroflexus, Cynoglossum, eine Legion von Absinthium, Cichorium, Stachys annua u. a. zei- gen sich: Centaurea Biebersteinii, Serratula coronata, Phlomis tuberosa, Tragopogon orientale, Verbascum Lychnitis, Salvia verticillata, Pyrethrum corymbosum, Astragalus Cicer, Veronica spuria, Medica falcata, Genista tinctoria, Closirospermum (Pieris) etwas ab- weichend von der nórdlichen Form. Von Menselinsk (? 397 F. barom.) aus besuchte ich den hohen bewaldeten Bergrücken. Am Fusse des Abhanges ist der Boden quellig, mit vielen Hóckern: schwarzer erdiger Torf, mehr als 1 Arschin mächtig, zühe, so dass er die geschnittene Form beibehält. Mit dem Lóthrohr behandelt glimmt er schwach und giebt viel Asche. Das Mikroskop zeigt zwar viele or- ganische Substanzen, zuweilen einzelne gebräunte Gewebe, aber auch Phytolitharien. Es ist ein Ge- misch von herabgeschwemmtem Tschornosjom und Torf; für guten Torf sind zu viel mineralische Bestandtheile beigemengt. Eine Strecke hóher tritt schon üchter tiefer Tschor- nosjom auf, von welchem eine quantitative Analyse gemacht wurde. Noch hóher am Waldrande ist der- selbe noch 1 Fuss mächtig. Getrocknete Proben von beiden Orten wurden heller, grauschwarz, während die Tschornosjom-Probe aus der Nähe von Tschelny und noch mehr der eben erwühnte erdige Torf ihre tiefe schwarze Farbe auch getrocknet behielten. Auf dem Übergangspunkte des Waldberges an lichten Stellen, die ehemals ohne Zweifel bewaldet waren, ist bloss braune Dammerde 6 Zoll dick den rothen harten Lehm bedeckend. In derselben Höhe, im dichten Laubwalde ist bloss eine kaum 1 Zoll dieke braune Lauberde auf dem Lehm; das Mikroskop zeigt viele und grosse Phytolitharien, grosse braune zusammen- hängende Humusflocken und wenige Quarzkörnchen. Alles ganz richtig. Die Beschaffenheit der vegeta- bilischen Bodenschicht hängt von der Art der Bekleidung ab. Wald bildet nie Tschornosjom, gen. Ausser einigen schon erwähnten Tschornosjom- Pflanzen fand ich hier noch Adonis vernalis, und Ve- ronica spicata (in freier Lage); Senecio erucaefolius, Cirsium canum, Aster Amellus, Eryngium planum, Euphorbia procera, Nepeta nuda, Inula Helenium wild in Menge, Sanguisorba, Geranium sanguineum, Lych- nis chalcedonica, Conyza hirta und salicina var. subhirta C. A. Mey. (letztere bei Jelábuga entdeckt), Centaurea conglomerata C. A. Mey. (im Gouv. Wjätka um Orlow : entdeckt), Galium rubioides, Lathyrus pisiformis, Siler trilobum, Asperula Aparine, Dianthus Seguierii, — Veratrum, Delphinium elatum und Aconitum sep- temtrionale, Ligularia sibirica (glabrifolia), Senecio nemorensis, Mulgedium cacaliaefolium, Cacalia ha- stata, Pleurospermum uralense, Bupleurum aureum, Galatella punctata, Hieracium (Crepis) sibiricum, Ade- nophora u. a. Der Wald bestand aus Tilia, Quercus peduneulata, Acer platanoides, Ulmus campestris sca- bra, Corylus, Evonymus verrucosus. Keine Conifere. Der nüchste Punkt der Kama war 20 Werst entfernt. Die Umgebung von Kasan ist seit Anfang dieses Jahrhunderts von Fuchs, Eversmann, Wirzén, Kor. nuch-Trotzky und Claus ziemlich genau erforscht worden und besass bis zum J. 1851 an 792 Arten Phanerogamen, von welchen, nach Claus, 690 auch in den Ostseeprovinzen wachsen. Kasan hat daher eine nordeuropäische Flora, jener von St. Petersburg und Moskau am meisten ühnlich. Nach meiner Zühlung, nach Zugabe der neueren Funde, meistens von Prof. Kornuch-Trotzky, kommen nur 90—100 Arten um St. Petersburg nicht vor: Aconitum excelsum, Thalic- trum commutatum, Viola campestris Bess. von V. hirta durch längere und schmälere Blätter unterschieden; dann 2 Arten aus der Gruppe der V.lacteae, Nastur- tium austriacum und brachycarpum, Camelina micro- carpa, Armoracia, Myagrum, Alyssum minimum, Erysimum Marschallianum , Lepidium latifolium, Si- symbrium strictissimum, Dianthus campestris und Carthusianorum, Gypsophila paniculata, Althaea offi- cinalis, Silene Otites, Geranium sanguineum, Coronilla varia, Vicia (non Lathyrus) pisiformis, Astragalus Cicer und faleatus, einige interessante Rosen, Sangui- sorba, Crataegus sanguinea, Lythrum virgatum, Trapa, des Sciences de Saint- Petersbourg. Siler trilobum, Pleurospermum mit einem besonderen Heracleum (Swjätoi Kljutsch und Troitzk jenseits der Kama?), Bupleurum aureum, Seseli coloratum, Oste- ricum palustre, Asperula cynanchica, Scabiosa ochro- leuca, Sherardia arvensis, Crepis rigida, Artemisia Dracunculus und procera, Senecio sarracenicus, Ser- ratula tinctoria und coronata, Pulicaria vulgaris und dysenterica, Conyza germanica und ensifolia, Pyre- thrum corymbosum, Centaurea Marschalliana und sibirica (um Zarewo - Kokschaisk), Hieracium sibiri- . cum, Lactuca viminea, Jurinea cyanoides, Sonchus pa- lustris, Verbascum Lychnitis, Melampyrum arvense, Omphalodes scorpioides, Cuscuta monogyna, Pulmo- naria mollis, Thesium ebracteatum, Atriplex nitens (N. Nowgorod und Serpuchow) und hortensis, Cori- spermum Marschallii, Abies Pichta und Picea obovata, (gegen Zarewo-Kokschaisk), Allium angulosum, Aspa- ragus, Triglochin maritimum, Alisma (Plantago var?) pauciflora, Carex (pilosa 8.) Beckeri, Festuca sylva- tica (Layscheff), Crypsis alopecuroides, Eragrostis pi- losa, Melica ciliata. Bloss in «Semiosernaja Pustyn» wachsen auf Kalk: Campanula sibirica, Echinosper- mum deflexum, Cladium Mariscus, Cypripedium gut- tatum und macranthum (nebst Cephalanthera rubra). Aus der Vergleichung mit der später folgenden Flora an der Oka wird man leicht für viele Arten die Móg- lichkeit eines vormaligen Transportes durch die Wolga begreifen; einige kónnen auch aus der Sura abstam- men. Mit sehr wenigen Ausnahmen fehlen diese Ar- ten um Moskau, z. B. Arenaria graminifolia. . Mit Moskau gemeinschaftlich hat Kasan: Delphi- nium elatum, Thalictrum minus, Ranunculus poly- phyllus, Dianthus Seguieri, Saponaria, Silene procum- bens, Melampyrum cristatum, Geranium sibiricum, Alsinastrum, Xanthium. spinosum, Campanula bono- niensis, Chaerophyllum bulbosum, Androsace filiformis (Kokschaisk), Gymnadenia cucullata. Auch diese feh- len im Gouv. St. Petersburg, aber nur wenige an der Oka. ` Die Kasaner Flora unterscheidet sich mithin von der St. Petersburger durch eine starke Beimischung von Arten aus dem Tschornosjom-Gebiete. Die natürliche Lage Kasans und die Beschaffenheit der Mehrzahl dieser Pflanzen lässt leichter eine Abstammung durch 1 Anschwemmungen aus N. zu, als von den nächsten Tschornosjom-Gegenden. - Zur Flora von Kasan sind mit Unrecht eine Menge Pflanzen gerechnet worden, die bloss am der Kama oder gar landeinwürts vom linken Ufer der Kama wachsen. Hier tritt eine Tschornosjom-Steppe mit ihren eigenthümlichen Pflanzen auf. Schon Claus hat auf diesen Umstand aufmerksam gemacht, bei Gele- genheit der Flora von Sergieffsk (Beitr. Pfl. VIII. 1851). Später sind auch mehrere Nachträge für diese Gegend, so weit sie in das Gouv. Kasan fallen, von Prof. Kornuch - Trotzky aufgefunden und in der Sammlung der Universität deponirt worden, Es kom- men daher an der Kama und jenseits, von der Mün- dung derselben bis zu jener der Wjütka, folgende Arten zu der Flora von Kasan: Sisymbrium junceum, Lychnis chalcedonica, Silene chlorantha (auch Kok- schaisk) und supina, Linum flavum, Caragana frute- scens, Cytisus biflorus, Trifolium fragiferum, Oxytropis pilosa, Astragalus hypoglottis, Lathyrus tuberosus, Onobrychis sativa, Amygdalus nana (bei Layschew nach Bode), Galatella punctata, Chamaecerasus mit Spiraea erenata und Q. oblongifolia, Falcaria, Asperula tinctoria, Scabiosa ochroleuca, Cephalaria tatarica, Xylosteum tataricum, Artemisia austriaca, Senecio campestris, Conyza hirta und media, Aster Amellus, Linosyris villosa (Kreis Tschistopol um Staro-Tschel- ninskaja), Scorzonera purpurea, Echinops, Centaurea Biebersteinii, Carduus nutans, Cirsium (arvense) in- canum, Taraxacum palustre, 2 Spec. Saussurea auf Salzboden, Mulgedium cacaliaefolium (an der Kama- Mündung), Hieracium virosum, Adenophora liliifolia, Verbascum phoeniceum, Veronica spuria, Salvia pra- tensis, sylvestris und verticillata, Nepeta nuda, Leonurus Marrubiastrum (auch an der. Mjoscha), Phlomis tuberosa, Ajuga genevensis, Populus lauri- folia und alba (canescens?), Lilium Martagon, Allium strictum, Stipa, pennata: und. capillata, Zu diesen kommen noch nach Veesenmeyer (Beitr. Pf. IX, 1854): Anemone sylvestris, Adonis vernalis, Poly- gala hybrida, Dianthus: atrorubens, Elisanthe vis- cosa, Hypericum elegans, Trifolium alpestre, Vicia pisiformis, Prunus insititia, ‚Cenolophium und Lyco- pus exaltatus (wohl auch um Kasan), Peucedanum alsaticum, Sambucus rubra, Cacalia hastata, Senecio erucaefolius, Lactuca Scariola, Vincetoxicum, Gra- tiola, Orobanche in Angelica, Stachys recta, Cera- tocarpus, Aristolochia , Euphorbia procera, Lemna 495 Bulletin de l'Académie Impériale gibba, Iris furcata, Allium globosum, Veratrum Lobelianum, Scirpus maritimus, Carex stenophylla und supina, Alopecurus nigricans, Melica altissima, Scolochloa borealis, Brachypodium sylvaticum und pinnatum. Von Tschelny bis Tschistopol ist das rechte Ufer immer hoch und zuletzt tritt an einer Stelle Tannen- wald bis zur Kama auf. Das linke Ufer, welches bis da- hin gewöhnlich niedrig ist, beginnt als ein mit Laub- wald bedeckter Hóhenzug oder Terrasse, die bald da- rauf westlich von Tschistopol sich vom Ufer landein- würts entfernt. Schwarzerde sah ich 2 Faden über der Kama, am linken Ufer, Rybnaja Sloboda schräge gegenüber; es ist dieses Ufer nur ein niedriges im Frühjahre überschwemmtes Vorland. Am rechten Ufer der Kama bei Layschew 4—5 Sashen über dem mittleren Stande des Stromes liegt sinite hid pri agent und noch jetzt perio- disch ü 1 jom, bedeckt mit Po- lygonum aviculare. Mitis Artemisia procera, Serra- tula coronata, Lactuca Scariola, Stachys annua, Eryn- gium u. a. fand ich hier noch Leonurus Marrubiastrum und Pulicaria vulgaris. Der Wald besteht aus Eichen mit eingemischten Linden und Spitz-Ahorn; Centau- rea conglomerata und Cacalia hastata fallen am mei- sten auf. Die Überfahrt ist bei der Station Jepántschino, wel- che am rechten Ufer der Kama, 24 Werst von Lay- schew, liegt, und nicht weit vor der Mündung der Kama. Man sieht das 6—10 Werst entfernte, gerade hier sehr hohe rechte Ufer der Wolga (550 F. bar.), wel- che dem Andrange der Kama, vor dem Durchbruche der Wolga, einen bedeutenden Widerstand leisten musste, bis sie bei Bogorodsk in einem fast rechten Winkel nach Süd abgelenkt wurde. Beide Ufer der Kama sind weit vor der Mündung angeschwemmtes Land mit neuer Pflanzen-Colonisation. Die Wiesenseite oder das linke südliche Ufer der Kama vor ihrer Mündung hat nur auf den Hóhen- streifen des Bodens stellenweisen Tschornosjom mit Genista tinctoria, Galatella punctata und Serratula coronata; letztere auch auf den niedrigeren Stellen mit Althaea officinalis, Asparagus, Eryngium planum, Cenolophium, Xanthium, Cirsium (arvense) incanum, Petasites spurius u. a. Von Bäumen bloss Populns nigra und viele scharfblättrige Ulmen. Vier Werst vor Pitschkassi am Achtai steigt das Land höher auf, und es zeigen sich schwarze Acker- felder. Zwei Werst vor Pitschkassi bei dem Dorfe Esmer endigt sich plötzlich der bewaldete Höhenzug am Achtai, der sich in östlicher Richtung bis nach Tschistopol hinzieht und vormals das Bett der Kama bestimmte. Der Durchbruch der Kama und Wol- ga erfolgte in der Linie von Esmer bis bogo- rodsk, wohl an 15—20 Werst Breite. Der Wald am Ende des Achtaischen Höhenzuges bei Esmer («Asmar» bei Veesenmeyer) besteht aus - Eichen, Linden, Ulmen mit weichhaarigen Blättern, Spitzahorn; darunter wilde Apfelbäume, Evonymus verrucosus u. à. Von selteneren Kräutern: Hieracium si- biricum, Centaurea conglomerata, Bupleurum aureum, Lathyrus pisiformis, Hypericum hirsutum, Cacalia ha- stata, Lilium Martagon, Geranium sanguineum, Gala- tella punctata. Allein dieser Wald scheint mir nicht sehr alt zu sein, denn er steht auf Tschor- nosjom-Boden, von derselben áusseren Beschaffen- heit, wie jener bei Menselinsk am Abhange. Eine von beiden Seiten aufsteigende Höhe, mit gewöhnlicher Dammerde und Walderde bedeckte Schneide ist zwi- schen Pitschkassi und Esmer nicht vorhanden, es ist eher eine Terrasse, die nach N. abfällt. Es hat sich im Walde allerdings auch etwas Lauberde an der Ober- fläche gebildet; sie ist durch grosse Phytolitharien tiefer im Tschornosjom merkbar; letzterer ist indes- sen tiefer als '/ Fuss und stimmt vollkommen mit dem braunschwarzen Tschornosjom, der auf einer eben sol- chen Hóhe bei dem Dorfe Pitschkassi bis 2 Fuss und dicker auf rothem Lehm gelagert ist, auf einer Stelle, die eine qualificirte Steppe ist durch: Ceratocarpus, Artemisia austriaca, Salvia sylvestris, Mulgedium ta- taricum, Scabiosa ochroleuca, Dianthus Carthusiano- rum, Centaurea Biebersteinii, Verbascum Lychnitis. Dass der Wald von Esmer-Pitschkassi erst spáter sich auf einer Grassteppe etablirte, dafür spricht auch das Vorkommen einiger Pflanzen im jetzigen Walde, z. B. Cerasus Chamaecerasus, Euphorbia procera, Nepeta nuda, Eryngium planum, Serratula coronata, trum minus, Lavatera thuringiaca, Echinops sphaero- cephalus. Das ehemalige Bassin von Bolgar erstreckte sich bis nahe zur Kreisstadt Spassk und 3 Werst weiter landeinwürts bis zu einem Hóhenabhang. Noch jetzt des Sciences de Saint- Pétersbourg. gehen die Frübjahrs-Überschwemmungen der 12 Werst entfernten Wolga bis auf die Entfernung von 2 Werst von Spassk, nur die höheren Hügel bleiben trocken. Die Äcker auf denselben werden gedüngt. Die Som- merstrasse geht 20 Werst durch dieses Bassin bis Bolgar. Gefärbte Erdschichten sieht man sehr selten an höheren Stellen und sie sind eher für braune Dammerde, als für Tschornosjom zu nehmen; rother Lehm ist vorherrschend; in einigen Niederungen trifft man Sumpfbildung mit Carices-Hümpeln, Birken und .Strauch-Weiden. Sehr selten sind Centaurea Bieber- steinii auf höheren Orten und Eryngium planum auf niederen, gleichsam verirrte Exemplare. Die Ruinen der alten Stadt Bolgar, jetzt Station Bolgarskaja, liegen auf dem ehemaligen hohen Ufer von rothem Lehm; von hier aus schliesst sich das Bas- sin mit einer 10-15 Faden tief abstürzenden Terrasse. Der Weg nach der Wolga, gegenüber Tjetuschi, geht anfangs durch ein höheres Terrain mit gemischtem Wald aus Kiefer und Birke, in welchem Genista tinc- toria und Cytisus Ratisbonensis, Silene tatarica, Ve- ronica spicata und auch Eryngium planum vorkom- men, — hierauf auf die Wiesenseite der Wolga, wo Adenophora, Galatella, Serratula, Senecio (paludosus) aureus, Lythrum virgatum, Dianthus Seguieri, Aspa- ragus und Artemisia procera. Nur auf den höheren Stellen liegt eine schwärzliche Erde. Ächten Tschornosjom traf ich an der Wolga nicht nördlicher als Simbirsk. Der steile Absturz des ho- hen Wolga-Ufers nördlich von der Stadt, auf den Smolenskischen Bergen, entblösst oben eine mächtige dunkle Lehmschicht; auf ihr liegt eine 2 Fuss dicke weisse bröcklige abfärbende Mergelschicht ohne mi- kroskopische Formen, mit Säuren nur wenig aufbrau- send; hierauf folgt ,—1 Fuss Tschornosjom mit sel- tenen Phytolitharien-Stäbchen. Nicht weit von dieser Stelle, höher als die Umge- bung, befinden sich die Steinbrüche. Eine Menge von Artemisia austriaca, Ceratocarpus und anderen cha- rakteristischen Pflanzen bezeichnen den unterliegenden Tschornosjom. Dieser ist in seinen obersten Lagen ausgezeichnet durch das Überwiegen von Phytolitha- rien und sehr kleinen Atomen mit Molecularbewegung. In den Kalkstein-Brüchen kann man die Mächtigkeit und Auflagerung des Tschornosjom bequem betrach- Tome IX. ten. Er liegt unmittelbar auf der Kreide-Formation (Humboldt, Reise II, 245; Murchison, Geol. 273) bis 3/, Fuss dick, ist eben so schwarz wie an der Ober- fläche, allein nicht so feinstaubig, sondern meist in klei- nen oder grösseren Klümpchen zusammengebacken. Unter dem Mikroskope erkennt man ebenfalls Phyto- litharien, aber überwiegend sind unorganische Parti- kelchen mit brauner anhaftender Färbung durch Hu- mus. Die Kreideschichten werden erst in etwa 10 Fuss Tiefe fester, dicker, weissgrau und enthalten Feuer- steinknollen; nach oben gehen sie in eine schmutzig- weisse abfärbende Belemnitella-Kreide über, von wel- cher silificirte Trümmer in die unterste Tschornosjom- Schicht eintreten. In einer solchen anscheinend rei- nen Probe fand Hr. Borszczow (siehe Analysen im Anhang) 18°/, kohlensauren Kalk, also 4—5 Mal mehr, als in irgend einem bisher analysirten Tschornosjom; er braust daher heftig mit Säuren, während die ober- flächlichen Schichten bei dieser Behandlung. keine Kohlensäure entwickeln. Merkwürdig ist es, dass 10%, Humus hinreichten, um 90%, der unorganischen Par- tikelchen in feiner Vertheilung und ursprünglich weisser oder farbloser Beschaffenheit so zu imprä- gniren, dass die Probe schwarz erscheint; nur mit der Loupe erkennt man eingestreute weisse Kalkkörnchen. Ausser diesen sind aber auch grössere Kalksplitter, sogar plattenförmige Stücke in den untersten La- gen des Tschornosjom, bis auf Spannlänge, wie ab- gehoben von der obersten Platte, und liegen mitten in der schwarzen Erde. Wie ist diess zu erklä- ren? Widerspricht diess nicht der angegebenen Ent- stehungsweise des Tschornosjom ? ie Erst vor kurzem ist mir diese eigenthümliche Er- scheinung klar geworden — auf der alten Ringmauer der im J. 1116 (6624 der Nowgorodschen Chronik) aus Stein erbauten Festung von Alt-Ladoga am. Wol- chow. Zum Bau derselben wurden erratische Blöcke und Platten silurischen Kalks verwendet. Auf der Ringmauer der Landseite liegt unter. dem Rasen eine braunschwarze Erde: 2 Zoll dick auf Kalkplatten, 3 Zoll dick auf grossen erratischen Geschieben; auf anderen Stellen ist die schwürzliche Erdschicht bis 6 Zoll dick, enthält aber dann noch mehr dünne und dickere brausende Kalkplättehen, nebst dergleichen zertrümmerten Partikelchen eingeschlossen. Diese Edi entstand hier aus der Verwitterung der Wurzel- | 82 Bulletin de l’Académie Impériale fasern, welche nebst anderen Ursachen zerstörend ` sjom unmittelbar aus der Pflanze abstammen und erst auf das Gestein einwirkten, die feinsten Spalten eindrangen, dieselben erweiterten, sprengten und sogar hoben. Zum Beweise lege ich hier eine mitgebrachte Probe vor, die voll und voll ist mit den Resten dieses Wurzelfilzes und eingestreuten Fragmenten von kohlensaurem Kalk, genommen von der 2 Zoll dicken Schicht. gendwo anders in der Nachbarschaft. Durch das Be- treten wurde ihre Oberflüche in früheren Zeiten wohl zerstórt, die seitdem erzeugte Rasenbedeckung liegt unmittelbar auf ihr. Indessen fand ich bei weiterem Nachsuchen auch Stellen, wo auf der 6 Zoll dicken sehwürzlichen Erdschicht noch eine ziemlich scharf abgegrünzte brüunliche Dammerde von 4— 5 Zoll Dicke auflag und nach oben in den Rasen überging. Diese hellere Schicht kann sich erst nach einer ge- wissen Zeitpause auf der dunkleren unteren Schicht abgelagert haben, widrigenfalls ein allmähliger Über- gang in der Farbe vorhanden sein müsste. Ich habe noch hinzuzufügen, dass bei der Bildung dieser Erde in Rechnung zu bringen ist die Trockenheit, die Re- verberation der Sonnenstrahlen und der Contrast des weissen Kalksteines, in Folge dessen die Farbe an Ort und Stelle in Masse schwárzlich schien, wührend die mitgebrachte Probe nur braun ist. Eine so dun- kelgefürbte Erde, gebildet auf die beschriebene Weise, ist auch lehrreich für einige Arten von "Tuehortosjom (Simbirsk, Malmysch), um so mehr als hier eine abso- lute Altersbestimmung vorliegt. Von ächten Tschor- nosjom unterscheidet sich die dunkelbraune Mauer- erde durch die Farbe, lockere Substanz und den Wur- zelfilz. Sie hat sich nicht durch Infiltration des Hu- mus gebildet, wie die Färbung unter dem Rasen oder auf den Sopki des nördlichen Russlands, welche nach der Tiefe zu nicht scharf begränzt ist. Wir hätten daher als typische Gegensätze: 1) Tschornosjom, der durch Infiltration des sandigen oder auch sandig-lehmigen Diluviums entstanden ist, und 2) Tschornosjom, der ohne Diluvialschicht und ohne Infiltration unmittelbar auf festem oder verwit- tertem Gestein sich bildete, wie auf der Granitsteppe in durch Wucherung in. | Eine solche Erde findet | sich weder an anderen Stellen der Festung, noch ir- | sjom. Dieser würde sich auf den Höhen des entblössten mittelbar aus dem mineralischen oder später vegeta- bilisch-mineralischen Unterboden. In einem Hofe der Ruinen von Palenque in Yukatan hat sich eine 9 Fuss mächtige Pflanzenerde über dem Pflaster — (Prescott Erob. Mexico II, 460). Das hohe rechte Ufer der Wolga von Tjetuschi bis N. Nowgorod (500 Fuss bar.) hat keinen Tschorno- Ufers bemerkbar machen, um so mehr, als in den ober- sten Lehmschichten oft weisse Mergel-Streifen abgela- gert sind. Auf dem Ufer von Tjetuschi fand ich den rothen Diluviallehm an der Oberfläche nur mit einer bräunlichen Dammerde bedeckt, obgleich einige Pflan- zen, wie z. B. Salvia sylvestris, Astragalus Cicer und Chamaecerasus auf die Nähe von Tschornosjom hin- deuteten. Da ich in den Sammlungen der Kasaner Universität, ausser Linum flavum, keine Belege für diese Ansicht vorfand, so verweilte ich leider nicht lange auf Tjetuschi. Spáter sah ich, dass Lepechin hier unter anderen Pedicularis comosa, Tulipa syl- vestris, Falcaria, Gypsophila paniculata und zum er- sten Male Amygdalus nana, (bei Pogreb) fand; ebenso auf dem Wege nach Simbirsk: Stipa pennata, Iris fur- cata, Adonis vernalis, Pulsatillen u. a. Ich schliesse hieraus, dass der Tschornosjom bald hinter Tjetuschi beginne. Apocynum venetum, von Prof. Kornuch- Trotzky bei Tjetuschi هن‎ ist der nördlichste Fundort dieser der Caspischen Niederung so eigen- thümlichen Pflanze. Eine andere: het euis br zia geht bis Kasan (Claus). Südlich von Tjetuschi erreicht das olga DAF seine grösste Höhe und wird dann bis vor Simbirsk niedriger. Einige Werst nördlich von Tjetuschi tritt das hohe Ufer zurück und wird erst vor Bogorodsk wieder hoch. Südlich von letzterer Stelle mündet die Kama mit einer scharfen trüben Linie in die Wolga. Das rechte Ufer der Wolga ist gegenüber der Kama- Strömung niedrig und in eine weite Bucht ausgewa- schen. Nórdlich von Bogorodsk bleibt das Ufer lange hoch, und Kalkschichten erheben sich höher als an- dew über den Spiegel der Wolga (bis 20 Faden?), SW. Russland, auf Kalkschichten (Simbirsk) auf Mer- so dass das Ufer nicht so leicht unterwaschen und gel (Malmysch). Die letztere Klasse deutet darauf hin, zerstört werden konnte. Bis zu einer solchen Höhe dass die Cohen Bestandtheile des Tschorno- erhebt sich auch der höchste Wasserstand gegenwär- des Sciences de Saint- Pétersbourg. dung der Sura bei Wassili Sursk (490 F. bar.), wo die Überschwemmung bis 5 Faden hoch geht, werden die niedrigeren Gegenden landeinwürts auf mehrere Monate unter Wasser gesetzt, und es bildet sich dort ein schwärzlicher Schlamm (Tschornogrjäs), welcher ausgetrocknet durch ófteres Befahren dem Tschorno- sjom ähnlich, wird, aber in die Dammerde der über- schwemmten Wiesen übergeht. Die benachbarten höheren, für den Ackerbau in Beschlag genommenen Gegenden haben kaum eine merklich gefärbte Acker- krume, noch viel weniger Tschornosjom, und als sol- cher scheint in früheren offiziellen Berichter ein fruchtbarerer Boden gemeint zu sein, für den hier eine etwas höhere Abgabe gezahlt wird. ‚Ich. vermuthe, dass auch zu dieser Kategorie der bei Murchison erwähnte Tschornosjom am linken Ufer der Wolga «westlich» von Tscheboksari, zu rech- nen sei. Aus dem Kreise Tscheboksari sah ich wohl: Gypsophila paniculata, Asparagus, Aristolochia, Di- anthus Seguieri, Artemisia procera, Veronica spicata, allein der genaue Fundort war unbekannt. So sieht man auch an manchen Stellen des linken niedrigen Ufers der Wolga und Oka, z. B. unterhalb N. Now- gorod und von da bis Murom hinauf, Ablagerungen einer schwarze Erde im Überschwemmungs-Niveau, die aus dahin geführtem Tschornosjom, schwarzem Schlamm, Torf, vermoderten Baumstümmen u. dgl. be- stehen Von N. Nowgorod bis Twer hinauf bemerkte ich nirgends Spuren von Tschornosjom an der Wolga. — Die früheren Angaben einer mächtigen Ausbrei- tung des Tschornosjom längs der Wolga von Wassili Sursk bis nach Tjetuschi werden aber noch zweifel- hafter durch den Umstand, dass auch landeinwärts bis auf 25 Werst gerader Entfernung von der Wolga in Gegenden, durch welche die Kasan’sche Poststrasse zieht, immer nur der rothe Lehm, aber nie mit Tschor- nosjom oder ihm eigenthümlichen Pflanzen bedeckt, ja nicht einmal eine dunkel gefärbte Dammerde mir zu Gesicht kam und weitere Erkundigungen vergeb- lich waren. Auch die alte Strasse von Ardatow nach Kasan schneidet, nach Hrn. Plagge, nirgends durch Tsehornogjom.. . = E s Es scheint mir daher, dass diese Beobachtungen, vereinigt mit andern sogleich zu erwühnenden der tig nicht mehr; das Maximum soll bei engen Stellen | der Wolga nicht über 7 Faden betragen. An der Mün- | auf Weiteres die Nordgränze des HH. Plagge und Möller dafür sprechen, dass bis Tschornosjom auf die Linie von Tjetuschi bis Potschinka, Krasnoslobodsk? und von da bis Spassk (Gouv. Tambow), Saposchsk und Rjäshsk, also stark gegen die bisherige Annahme, nach Süden zu- rückgesetzt werden sollte, wodurch eine gróssere Übereinstimmung mit der Ausdehnung der Kreide- Formation in diesem Gebiete in Aussicht gestellt wird. Über die südliche Hälfte des Gouv. Nowgorod, welche ich selbst nicht besuchen konnte, erhielt ich Mittheilungen von Hrn, Plagge, Obergürtner des bo- tanischen Gartens der Kasaner Universitüt. Ein viel- jähriger Aufenthalt und Reisen in diesem Gouverne- ment gaben ihm oft Gelegenheit, bei der Anlage von Gärten verschiedener Besitzer die Bodenverhältnisse zu prüfen. Wenigstens 1 Faden tiefer ächter Tschorno- sjom kommt bloss vor im südlichsten Theile an der Gränze des Gouv. Pensa, etwa 30 Werst süd- lich von der Stadt Potschinka. Allein in anderen Ge- genden, nördlicher von diesem Orte und dem Fl. Ala- tyr, besonders zwischen Ardatow, Arsamas (465 Fuss) und Lukianow, auch westlich von Arsamas (Murchi- son 165, Wangenheim 1853) trifft man oft in kah- len höher gelegenen Gegenden eine schwarze Erde von viel geringerer Dicke, bloss 2-3 Zoll mächtig, wel- che allmählig in einen ebenso dicken tauben (unfrucht- baren) grauen Unterboden übergeht, unter. welchem grösstentheils mehrere Faden des schwersten Lehmes liegen und noch tiefer zuweilen der schönste gelbe Grant für Gartenwege. Alte Mordwinen bezeugen, dass auf solcher schwarzer Erde früher Eichenwälder stan- den, die von ihren Grossältern ausgehauen wurden. Diese schwarze Erde kann also Lauberde sein. Eswurde constatirt, dass in der Nachbarschaft noch jetzt viele und zuweilen recht grosse Eichen übrig sind, und dass man in Eichenwäldern eine gute schwarze Lauberde finde, die nach unten in die oben erwähnte graue taube Erde und noch tiefer in den Lehm übergeht, also die- selben Bodenschichten. PT ١ 1 Über die Fruchtbarkeit dieser 3 verschiedenen Schichten erhielt Hr. Plagge folgende Resultate: 1).Die. oberste schwarze Erdschicht sagt vorzüglich 503 Bulletin de l'Académie Impériale 504 zu: Klee, Wicken, Senf, Isatis, Madia, Papaver. 2) Entfernt man die schwarze Erde gänzlich und bear- beitet man den grauen tauben Unterboden, sei es mit Spaten oder Pflug, so gedeiht auf demselben im er- sten Jahre wenig oder gar nichts. Wenn aber die groben Schollen den Winter über durchfrieren, so erhält man schon einen Ertrag, der sich steigert, wenn Dünger, schwarze Erde oder Lehm zugemischt und das Ganze gut durchgearbeitet wird. Durch fort- gesetzte Cultur und Düngung nimmt diese Erde eine dunklere Färbung an, was man in der Nähe von Dör- fern bemerken kann. 3) Auf rigolten Feldern, wo also der reine helle Lehm nach ohen kommt und die schwarze Erde tief nach unten, erzielt man schon im ersten Jahre ausgezeichnete Gartenfrüchte; Bäume und Sträucher gedeihen darauf ohne allen weiteren Zusatz von Sand oder Dünger. Der Boden dieser Gegenden ist im Allgemeinen fruchtbarer, als man vermuthen sollte. Nicht nur Som- mer-und Wintergetreide, sondern auch oeconomische und technische Pflanzen gedeihen, selbst bei einem trockenen Sommer, üppig und reichlich, wenn nur der Boden sorgfältig bearbeitet wird, die Aussaat zeitig genug erfolgt und häuptsächlich so dicht gesäet und gepflanzt wird, dass der Boden im Sommer nicht so leicht ausdorrt. Hr. Plagge liess auf mehrere Dessjä- tinen einer ehemaligen Eichenwaldung zwischen Win- terkorn im Herbste Eicheln stecken, aus welchen in 5—8 Jahren ziemlich starke Eichen von 9 Fuss und höher hervorwuchsen. Pinus, Abies und Juniperus wuchsen üppig in Gruben, die in den schweren Lehm gegraben wurden. Haideerde kommt in den Nadelwaldungen nur in schwachen, höchstens bis ' Zoll dicken Schichten vor; sie ist ausgezeichnet zur Topfeultur. Moorerde findet sich stellenweise bis 44, Fuss tief in Nadelwäldern. Sie sagte zu: Rhododendron, Camel- lia, Azalea, verschiedenen Neuhollündischen Pflanzen, besonders den Hortensien; im December und Januar von letzterer gemachte Stecklinge erreichten in 1 Jahre eine Hóhe von 4 Fuss und entwickelten die schónsten blauen Blumen, in Folge des Eisengehaltes der Torferde. 7 ^'Nadelwülder kommen häufig und in grosser Aus- dehnung vor; ausserhalb diesen ist der sandige Bo- den wie abgeschnitten. Ob damit reine Kieferbestände gemeint sind, oder ob auch die Tanne daran Antheil nimmt, war aus den Mittheilungen des Hrn. Plagge nicht deutlich zu entnehmen; indessen versichert mich Hr. v. Möller, dass in der Nähe von Krassnoslobodsk beide Coniferen gemischt auf Sandboden wachsen, was ich selbst zwischen Moskau, Kolomna und Rjäsan bemerkte. Von Ardatow bis zur Gränze des Gouv. Tambow bei Sarow ist stellenweise der kräftigste Nadelwald, ebenso zwischen Ardatow und Arsamas. Zwischen Arsamas und Lukianow sind Tannen. Von Arsamas nach N. Nowgorod ist der Boden bald san- dig, bald lehmig; den ersteren lieben die Coniferen, den letzteren die Eichen. Die Flora dieser Gegenden ist eine triviale. Auch die älteren Reisenden sprechen wenig von ihr. Le- pechin erwähnt für Arsamas: Veratrum, Asparagus und Aristolochia. Das Pfri gras (Stipa pennata) ist ` nirgends zu sehen, und das ist leicht zu erklären. Aber diese für den Tschornosjom sonst so charakteristische Pflanze ist am ganzen Nordrande des Schwarzbodens so selten geworden, dass ich sie nur auf den Bauernhäu- sern als Trophaee sah. Veesenmeyer sagt sehr tref- fend (Beitr. Pfl. IX, 55): «Auffallend ist es, wie schnell die charakteristischen Gewächse der Grassteppe durch die Cultur verschwinden. Wenn eine Flur, auf wel: cher die seidenähnlichen langen Grannenbüschel ‘des Pfriemengrases wie ein bewegtes Meer im Winde wogen, nur ein oder ein paar Mal überackert ist, 0 finden sich kaum noch einige verlorene Steppenpflan- zen an Wegen und Rainen». Diese Stipa gab Borg- mann 1842 für das Gouv. Moskau als neu an, wahr- scheinlich sah er sie an der Oka; sie muss aber dort eine Rarität sein, denn man fand sie nicht mehr. In England und Schweden ist sie seit Dillenius und Linné ganz oder fast verschwunden. id Regenschluchten sind häufig, oft 3—5 Faden tief und 15— 20 breit; im Frühjahre sind sie die Betten reissender Ströme; die grösseren Schluchten haben oft eine Richtung von O. nach W. oder SW. — Erratische Blöcke sind nirgends zu bemerken. ` Über die Verbreitung der erratischen Blócke und Geschiebe im Diluvium findet man werthvolle Nach- richten in den geognostischen Untersuchungen von Helmersen und Pacht im mittleren Russland (Baer und Helmersen Beitr. XXI, 1858). 5 ۰ des Sciences de Saint- Pétersbourg. Das Diluvialprofil in Mohilew ist 120 Fuss mäch- tig; das obere Drittel besteht aus rothem Diluvial- lehm mit sparsam eingeschlossenen Granitblöcken bis 3 Fuss im Durchmesser. Unter diesem Lehm liegt unmittelbar und scharf begränzt Sand, der nur kleine Granitgerölle und zwar nur in den obersten Lagen einschliesst, was so constant ist, dass die Arbeiter, die nach Granitblöcken zum Chaussée-Bau graben, nicht weiter in die Tiefe gehen. In einer Tiefe von 60 Fuss von der Oberfläche fand man in dieser Sandschicht Holz in Brauneisenstein verwandelt. (S. 22). Der devonische Dom ist eine continuirliche Höhe, die im Smolensk'ischen bis 900 Fuss, im Orel’schen 945 erreicht und von NW nach SO zum Don sich zieht. Das Diluvium bei Orel ist nicht nur von sehr geringer Mächtigkeit, sondern es fehlen ihm auch die nordischen und die am Orte selbst entstandenen devonischen Geschiebe. Hier ist keine Spur mehr von jenem gewaltigen Lager rothen Lehms, das im NW. Theile der devonischen Zone viele 100 Werst weit sich erstreckt und das oft so ausseror- dentlich reich an Geschieben ist. (S. 32, 38). Man könnte hieraus folgern, dass das devonische Land von Orel nur beim Beginn des Diluviums unter Wasser stand, aber schon beim Beginn des Transportes nor- discher Geschiebe trockenes Land war. + Im südlichen Theile des Gouv. Tula, von Mzensk bis Tschern’ und Jefremow, liegt unter dem Tschorno- sjom ein röthlich gelber Diluvialthon ohne erratische Blöcke. Bei Jeletz (Gouv. Orel) an der Sossna findet man bis 2 Zoll grosse Gerölle von Granit mit fleisch- rothem Feldspath und grauem Quarz: grosse Granit- blöcke wurden von dem Diluvialmeere nicht mehr bis in diese Breiten getragen, nur kleine Splitter der Finnländischen und Olonetzkischen Berge erreichten hier die südliche Grünze unserer Erratica (S. 42, 48). ` -Auf dem Wege von Sadonsk nach Woronesh, zwi- schen den Stationen Chlewnoje und Jaroslawetz, tre- ten Hügel aus festem Sande auf, in welchem bei einer Tiefe von 14 Fuss verschiedenartige vóllig abgerun- dete erratische bis 4 Zoll grosse Gerólle von rothem und weissem Granit, grauem Quarzfels und Bruch- Stücke von Kieselschiefer liegen; 15 Werst westlich von Woronesh liegen Gerólle von weisslichem Granit luvium, überlagert von Tschornosjom; unter dem Di- luvium ist Kreide (S. 50, 53). Auf der geognostischen Karte von Pacht wird die Verbreitung erratischer Geschiebe von Woronesh 517^ (rechtes Ufer des Don bei Podkletnoje) weiter nach NO. angegeben: bei Ussman 52? (an mehreren Punkten), bei Tambow 52*/? und 53° an der Tschel- nowaja und am gr. Lomowiss (Zuflüssen der Tsna), bei Kirssanow 52'/?— 53? (an vielen Stellen) am rechten Ufer der Worona; und in denselben Parallelen bei den Städten Serdobsk und Tschembar, also nahe zum obern Choper. Hiermit ist aber noch keineswegs die südlichste Gränze der erratischen Geschiebe bezeich- net; Pacht glaubte vielmehr, dass solche noch südli- cher gehen; nur erfordert das Aufsuchen derselben grosse Aufmerksamkeit, da sie nicht nur selten und meist sehr klein sind, sondern auch weniger auf der Oberfläche liegen, als vielmehr im Sande verborgen sind (S. 184). Das Diluvium in den oben erwühnten Orten ist zuweilen mit Tschornosjom bis 2 Fuss Dicke bedeckt; die kleinen Geschiebe bestehen aus Granit, Gneiss, Grünstein, Sandstein, Bergkalk und Feuer- steinknollen aus demselben. Nordische Geschiebe treten daher wohl in die Re- gion des Tschornosjom tief nach Süden ein, vermi- schen sich indessen nicht mit demselben, sondern wer- den überall von Tschornosjom überlagert. Ausserdem müssen wir zwischen kleinen Geschieben und grossen erratischen Blócken unterscheiden. Der Transport der letzteren fällt in eine spätere Zeit des Di- luviums. Wosinsky erklärte (Bullet. Mosc. 1850), dass das erratische Diluvium in 2 Etagen von Lehm- flötzen sich unterscheiden lasse: die untere hat zwi- schen St. Petersburg und Moskau nur kleine Roll- steine, Land- und Süsswasserschalthiere, Reste von Mammuth, Rhinoceros und Bos Urus; die obere Etage hat grosse erratische Blócke und keine fossilen orga- nischen Reste. Blócke von mittlerer Grüsse und grosse Geschiebe sah ich bis Podolsk für die Chaussée auf- gehüuft, aber nicht südlicher von Podolsk und eben so wenig an der Oka im Antheile des Gouv. Moskau. Zum Schotter für die Chaussée von Serpuchow bis Podolsk und noch nördlicher dienen Kalkgeschiebe aus der Oka und anderen kleinen Flussbetten. Von noch grösserer Bedeutung für unseren Gegen- in einem 7 Fuss mächtigen gelben sandigthonigen Di- | stand ist das Zusammentreffen erratischer Blöcke mit 507 Bulletin de l’Académie Impériale Tschornosjom, welches bis jetzt nur an der Nordgränze des letzteren beobachtet worden ist. Nach den mir von Hrn. v.Möller gefälligst mitge- theilten Beobachtungen erhebt sich das linke Ufer der Mokscha, bei dem Kirchdorfe Djewitschi, unweit der Kreisstadt K lobodsk(54°/°), in einer Regen- schlucht bis auf 77 Fuss über den Fluss. Aus dem genau angegebenen Schichten-Profile will ieh bloss entnehmen, dass auf einem tertiären harten Quarz- sandsteine Sandschichten von meist weisser Farbe in einer Mächtigkeit von 53 Fuss, widerholt getrennt durch dünne Lagen eines eisenhaltigen Lehms, auf- gelagert sind; nur die oberste dieser Sandschichten (14 Fuss mächtig) enthält erratische Geschiebe. Auf dieser liegt ein gelblich-rother Lehm, 17 Fuss mäch- tig, mit zahlreichen erratischen Blócken bis 2'/, Fuss im Durchmesser: Rappakiwi, klein kristallinischer Gra- nit, rother Quarzsandstein von Schokscha am Onega, gelblicher Quarzsandstein und Diorit. Hierauf folgt die oberste Schicht von 3 Fuss Tschornosjom mit Fragmenten von Belemniten. Dieser Punkt ist jedenfalls früher als die Umgebung. trocken gelegt worden. Noch jetzt ist NO. von Krassnoslobodsk ein grosser Sumpf übrig, zwischen dem obersten Lauf des Urkat und der Warma; die Gegend ist überhaupt nur wenig oder gar nicht bewohnt. Die Mokscha hat von Tjemnikow bis zur Mündung in die Oka einen dieser entgegengesetzten Lauf; zwischen beiden Flüssen ist viel unbewohntes Land. Eine ähnliche Auflagerung von Tsehernosiom in der Nähe einer Diluvialschicht mit nordischen Blöcken beobachtete ich bei Sednjew, worüber später. Dort wird auch die Collision der erratischen Geschiebe mit Tschornosjom bei Putiwl berührt werden. Ich erlaube mir indessen, hier eine Bemerkung über den Tschornosjom von Krassnoslobodsk einzu- schalten, um so mehr als er anscheinend gegen ein relativ wi Alter dieser Bodenart spricht. Dass wir es hier nicht mit einer uralten angehäuften reinen Pflanzenerde zu thun haben, beweisen die Belemniten- Fragmente, die nicht aus Pangea abstammen können, sondern der Diluvialschicht angehören, welche sich schwerlich durch Walderde so tief schwarz färben konnte; aber auch Färbung durch Infiltration mit Wie- sen-Humus bis zu dieser Tiefe entsteht nicht so bald ; am schnellsten kónnte eine solche Schicht durch An- schwemmung von der Landseite her gebildet sein, etwa durch die Mokscha, als diese noch einen so hohen Wasserstand hatte. Die Vegetation kónnte vielleicht ein Kriterium geben. Auch müssten Proben von die- ser Erde noch genauer untersucht werden, mikrosko- pisch und. chemisch. Allein der Snow kommt nicht aus höheren Tschornosjom-Gegenden, und doch liegt der staubartige ächte Tschornosjom bis 3 Fuss tief um Sedujew auf dem Diluvium, in welchem nicht weit da- von grosse erratische Blöcke abgelagert sind. i cos Kann man aus diesen zwei Füllen den Schluss zie- hen, dass sich der Tschornosjom an diesen Orten aus der ursprünglichen Pflanzendecke gebildet hat, erst nach Beendigung des Transportes der erratischen Blöcke, mit welchem nach den bisherigen Erfahrun- gen die Diluvialperiode sich abschloss? Ich glaube kei- neswegs. Eine solche Annahme widerspricht allen übrigen Erscheinungen auf den Höhenzügen im nórd- lichen Russland, der Vertheilung des Tschornosjom; der Verbreitung erratischer Blöcke, der Pom schiedenheit u. s. w. Der Tschornosjom wurde auf der Diluvialschicht des Europäischen Russlands bereits vor der Periode des Transportes nordischer Blöcke gebildet; ihre Ver- breitung ist der beste Beweis. An der nórdlichenGránze des Tschornosjom erfolgte seine Bildung erst nach dem Beginn der Diluvialzeit auf dem bereits trocken gelegten Diluvialboden, in welchem man nur kleine nordische Geschiebe antrifit. Die Kuppe von Orel und Tula ist noch jetzt der höchste Punkt in der nórdlichen Zone des Tschornosjom und war schon in der frühesten Zeit des Diluviums über der allgemei- nen Wasserbedeckung; die Diluvialschicht ist um Orel nur gering und gänzlich ohne Geschiebe. Nach W. und O. von dieser Kuppe wird das Land allmählig niedriger, und es finden sich nach ©. immer mehr nor- dische Geschiebe unter dem Tschornosjom, bis end- lich bei Krassnoslobodsk auf den Geschieben eine mäch- tige Schicht mit grossen Blöcken liegt und mit Tschor- nosjom bedeckt ist. Etwas Ähnliches ist auch im Tschernigow'schen bei Sednjew. Allein diese zwei Fälle sind vereinzelt und desshalb noch sehr zweifelhafte Beweise für ein, wenn auch nur locales, relativ jun- ges Alter des primitiven Tschornosjom. Ich:erinnere mich recht gut, wie im Beginne und späteren Gange meiner Studien über den Tschornosjom einzelne Er- ` dés Sciences de Saint- Pétersbourg. scheinungen und Angaben sich durchaus widersprachen und lange Steine des Anstosses blieben, wie z. B. der Waldai, der erratische Block von Woronesh, die Tan- nen von Tjemnikow und Krassnoslobodsk u. dgl. Und so hoffe ich, dass neuere Untersuchungen weiteres Licht bringen werden über diese anscheinende Auf- lagerung des Tschornosjom auf den beiden vorsprin- genden Ecken des zerrissenen Tschornosjom-Konti- nentes, Punkte, die nach allem, was man von ihnen weiss, ehemalige Ufer des grossen Binnenmeeres waren und lange dem Anprall transportirter Blöcke aus dem Norden und Anspülungen von Geschieben, | Sand u. dgl. ausgesetzt waren. Das Diluvium ist eine noch nicht erledigte Aufgabe für die Geognosie Russ- lands. Mir ist es nur möglich, aus dem bisher noch so wenig beachteten geo-botanischen Standpunkte auf die Lösung solcher Fragen für einen anderen Zweck hin zu arbeiten. Die Resultate in beiden Richtungen wer- den hoffentlich, nach einigen Controversen, zuletzt übereinstimmen. Nach dieser Ausschreitung gehe ich wieder zur Reihenfolge des Berichtes zurück. ""Brratische Blöcke in der Oka oder südlich von ihr | sind selten und vielleicht nur in ihrem untersten Laufe innerhalb oder an der Gränze des Gouv. Wladimir, in welchem sie so häufig sind. Ausser den von Murchi- son erwähnten Blöcken bei Gorbatowa und Jelatma sollen stellenweise solche der Dampfschifffahrt, die bis Jelatma geht, gefáhrlich sein. Auf der ganzen Strecke von Jelatma bis Kolomna und noch weiter die Oka hinauf traf ich nirgends erratische Blócke. Das rechte hohe Ufer der Oka (von N. Nowgorod bis über Pawlowo hinauf) hat keinen Tschornosjom und diesen bezeichnende Pflanzen, ausgenommen etwa Campanula bononiensis oder Medica falcata. Genti- ana cruciata, Closirospermum (Picris) hieracioides, Veronica latifolia, Orchis militaris, Aconitum septem- trionale u..dgl. stimmen mit den höheren Gegenden der St. Petersburger Flora. Auch landeinwärts von der ist, ausser etwa Laserpitium prutenieum, nichts Besonderes. Das rechte Ufer besteht meistens aus einer mächtigen róthlichen Lehmschicht und bleibt sich. auch bis zur. Mündung der Oka und die Wolga herab im Allgemeinen gleich. Dagegen hat das linke flache Ufer der Oka mehrere Eigenthümlichkeiten, | die auch aus der Kljäsma stammen könnten (sieh weiter unten) und die ich, so wie den Tsehornosjom, auf der ganzen Strecke der Oka bis ins Gouv. Moskau hinauf vermisste, nur Silene procumbens war am Ufer in Murom. In einem alten Manuscript von Gerber (1739) fand ich Gratiola bei Murom und N. Nowgo- rod angegeben; Lepechin fand gegenüber Murom: Aristolochia, Eryngium, Artemisia procera, Datura u. a. Pallas gibt für Murom an: Sanguisorba, Ly- thrum virgatum, Corispermum u. a. Von der Mitte Wegs zwischen Pawlowo und Mu- rom bis Kolomna fliesst die Oka in weiten und zahl- reichen Biegungen in einem sehr niedrigen Land- striche. Von Kolomna bis in die Parallele von Rjäsan und etwa Spassk ist das rechte Ufer noch stark be- wohnt und trocken, das linke fast unbewohnt und mit vielen Sümpfen weit landeinwärts bedeckt. Die Städte Murom (282 Fuss bar.), Jelatma, Kassimow und Spassk sind auf den spärlichen höheren Ufern der Oka ge- baut. Das niedrige Land wird im Frühjahre weit hinaus überschwemmt und soll dann das Bild eines Meeres darstellen. ‘Auf Schubert’s grosser Special- karte Russlands sieht man, wie viele und grosse Stre- cken in diesem Landstriche an der Oka unbewohnt oder nur sehr dünn bevölkert sind. Man weiss hier aus Erinnerung und Überlieferung, dass die Oka ihr Bett stellenweise mit der Zeit verändert hat; zwischen den Stationen Ishewskaja und Jerachtur ist ein ab- geschnittener Seitenarm der Oka, und solcher blinder Aussackungen, Kanäle, Tümpel, die langen Seen oder Flüssen gleichen, gibt es eine Menge. Die Ufergé- genden der Oka sind sandig oder hart-lehmig, weit und breit äusserst spärlich mit kurzem Grase oder Po- lygonum aviculare bewachsen, und von der eigenthüm- lichen Vegetation der Überschwemmungs-Wiesen im Gouv. Moskau ist hier fast keine Spur; ja es hat sich nicht einmal Dammerde gebildet. Die neuere Invasion von Conyzella canadensis nimmt hier, so wie im gan- zen mittleren Russland colossale Proportionen an. Die einige Werst von Jelatma und der Oka entlegenen Höhen besitzen Hieracium (Crepis) sibiricum, Asperula Aparine und eine dichte triviale Bewachsung, aber keinen Tschornosjom; eben so wenig andere Höhen von 10 Sashen vor Jerachtur mit Genista und Cyti- sus. Pallas sah bei Kassimow: Eryngium planum und Aristolochia: Bei der Station Kistra unweit der Oka D su Bulletin de l’Académie Impériale sind Sandhügel mit Artemisia scoparia, campestris und inodora, Digitaria glabra und Salix acutifolia. Erst im Kreise Schatsk, südlich von Jelatma, deu- ten die aus Roshestweno durch Meyer (Beitr. IX, 1854) bekannt gewordenen Pflanzen auf die nächste Tschornosjom-Gegend hin, durch: Stipa pennata, The- sium ebracteatum, Verbascum orientale, Salvia dume- torum, Prunella grandiflora, Serratula heterophylla, Potentilla alba, Thalictrum collinum. In Gouv. Rjäsan fehlt der Tschornosjom auf der ganzen Strecke von Kolomna bis Rjäsan, was ich der niedrigen Lage zuschreiben möchte. Selbst der Park bei der Gouvernements-Stadt, der ein unebenes Ter- rain hat, steht auf gewöhnlicher Dammerde und be- sitzt keine einzige der bei Kolomna so eigenthümlichen Pflanzen der Schwarzerde. Erst eine Stunde Wegs weiter, bei dem Schlosse des Fürsten Krapotkin, auf einer Anhöhe von etwa 15 Sashen, ist eine 2 Fuss dicke graue Erdschicht, die sich indessen nur wenig von Rasenerde unterscheidet. Ächter Tschornosjom beginnt erst bei Rjäshk, 1—2 Fuss dick, auf einer 4—6 Fuss mächtigen Diluvial- schicht mit kleinen Geschieben (Pacht in Baer und Helmersen Beitr. XXI, 182). Das Land im Gouv. Rjäsan erhebt sich erst beim Kirchdorfe Bogojawlensk (daselbst häufig Hieracium sibiricum), welches 55 Werst von Skopin und 20 Werst von Jepifan am Don ent- fernt ist; gegen den Don geht das Land sehr hoch an (Pallas Reise III, 689). Der Don beim Iwan - See hat eine absol. Höhe von 587 Fuss geod. Der fette Tschornosjom des südlichen Theiles des Gouv. Rjäsan wird, gegen den Fl. Prona zu, immer lehmiger, schwe- rer und zäher; jenseits der Prona herrscht Lehm vor; die Schicht Schwarzerde wird immer dünner je näher zur Oka: an dieser ist der Boden sandig und an vielen Orten ist Flugsand (Baranowiez Marep. 164—168). Hr. P. Semjonow (Ipnıonckan aopa 1851, S. 33) giebt am genauesten und mit dem bisher Gesagten über- einstimmend die Nordgränze des Tschornosjom dieser ihm wohlbekannten Gegend an: «Vom südlichen Theile des Kreises Bjelewsk (Bjelew 700 Fuss geod.), über Krapiwna, Tula (757 Fuss Russ. barom.) vorbei, erhebt sich die Grünzlinie nach Nord bis zur südlichen Grünze des Kreises Saraisk, geht dann nach Süd bis Pronsk, dann nach Ost, Ssaposchka vorbei, erhebt sich wieder nach Nord bis zur südlichen Grünze des Kreises Jela- tomsk zum Fl. Zna und hinüber, sinkt von dort nach Süd und geht dann nach Ost bis zur Stadt Spassk (Gouv. Tambow). Südlich von dieser Gränze fehlt der Tschor- nosjom indessen: 1) auf einer kleinen Strecke in SW. des Gouv. Tula, die mit dem Laufe des Fl. Krassi- waja Metscha beinahe zusammenfällt; 2) auf einem dünnen Strich an den Ufern des Don und der Ssossna; 3) im SO Theile des Kreises Ranenburg, westlichen Theile des Kreises Koslowsk, óstlichen Theile des Kreises Lebedjansk und mittleren des Kreises Lipetsk, welche zusammen eine ziemlich breite Zone längs dem Fl. Woronesh einnehmen; diese Zone ist meist sandig mit Kieferwaldungen und abwechselnd mit Sphagnum-Sümpfen und Ericaceen. An den Gränz- linien ist der Tschornosjom sehr dünn, wird von Hügeln im Frühjahre häufig herabgespült und auf Äckern durch das Einpflügen undeutlich. In den süd- licheren Theilen erreicht er eine Dicke von 1',—2 Arschin, z. B. im Kreise Semljänsk, im südlichen Theile des Kreises Jeletsk und Liwensk; eine grös- sere Tiefe ist Anschwemmungen zuzuschreiben. Endlich giebt schon Güldenstädt bemerkenswer- the Beobachtungen über diese Gegend und den Tschor- nosjom, die mir, so wie Andern, bisher entgangen sind. Er schreibt (Reise I, 33): «Jenseits Saraisk (648 Fuss geod.) verändert sich das Land völlig; es zeigt sich eine unübersehbare Steppe oder Ebene, die mit einer ganz schwarzen fetten Dammerde, gemeiniglich 2—4 Fuss mächtig, bedeckt ist, und diese Ebene dauert weit über Woronesh hinaus fort. Es ist gewiss schwer, den Ursprung dieses, der schónsten künstlichen Gartenerde gleichen Mulms zu bestimmen '). Nicht ganz unwahrscheinlich kónnte man ihn daher ableiten, dass in diesen vielleicht von jeher wenig bewohnten Gegenden die von Thieren nicht verzehrten und un- gestórt wuchernden Pflanzen jührlich ganz ha- ben verfaulen und dadurch den Mulm so be- tráchtlich anhäufen können. Es enthält diese Mulmerde auch etwas salzige Bestandtheile». Nachdem hierauf auch Güldenstädt diese Erde mit dem Torf verwechselte, der ebenfalls hier, besonders um Jepi- fan vorkommt, sagt er weiter: «Eine Tanne oder 1) Hierzu macht Pallas, also im Jahre 1787, die Bemerkung, dass oft auf der Steppe sich Spuren von Baumwurzeln finden, was auf eine Bewaldung vor undenklicher Zeit hinweise, dass diese Wäl- der vermuthlich durch Krieger oder Hirten niedergebrannt seien und diesen Mulm, so wie Torferde nachgelassen hätten. e des Sciences de Saint- Pétersbourg. 514 Fichte ist gewiss eine grosse Seltenheit in dieser ganzen Gegend auf 300 Werst und dar- über»; bloss in Dankoff hat Güldenstädt ein Paar gepflanzte angetroffen. Die Steppe zwischen Woro- nesh-und Tambow ist, nach ihm, bedeckt von einer Sehicht von 3—5 Fuss schwarzer Erde, darunter liegt. gelber Lehm 1 Faden mächtig, unter diesem Sand von unbekannter Tiefe. Der Slepetz (Spalax Ty- phlus) ist erst 1768 von Güldenstädt in der Steppe von Tambow entdeckt worden. Die Ufer der Oka von Kolomna bis Tarussa (Gouv. Kaluga) sind in geringer Entfernung von den Über- schwemmungs- Wiesen, wo solche auftreten, auf bei- den Seiten meistens hoch. Obgleich die Veründerung der Vegetation, verbunden mit der Bodenbeschaffen- heit, erst recht deutlich auf dem rechten Ufer wahr- nehmbar ist, so treten doch schon auf den hóheren Punkten des linken Ufers einige Pflanzen der Tschor- nosjom-Region auf, wie z. B. 3 Werst von Kaschira auf sandigen Anhóhen: Phlomis.tuberosa und Cen- taurea Biebersteinii; hier hat sich etwas Schwarzerde beigemischt erhalten. Ein ähnlicher Boden ist auf den Hóhen von Serpuchow (362 Fuss barom.) bis auf eine Entfernung von 3 Werst vom linken Ufer der Oka; die Zahl der Tschornosjom-Pflanzen ist hier bedeu- tender: Trifolium alpestre, Alyssum montanum, Sca- biosa ochroleuca, Verbascum Lychnitis, Clematis erecta, Centaurea Biebersteinii, Aristolochia, Serra- tula coronata, Salvia verticillata, Veronica incana und spuria, Vincetoxicum, Coronilia varia, Aconitum palli- dum (Kauffmann). Vor Tarussa 7 Werst, aber in gera- der Linie viel náher zur Oka, wachsen Scabiosa ochro- leuea und Eryngium planum auf abschüssigem Lehm- boden, wo sich Tschornosjom nicht halten konnte. Die Überschwemmungs-Wiesen an der Oka sind reich an Pflanzen des Tschornosjom-Bodens; beide sind von den hóheren linken Zuflüssen der Oka herab- gebracht, und der Tschornosjom bildet an manchen Or- ten, wie z. B. bei Kolomna am linken Ufer, bedeutende schwarze Ablagerungen. Die gemeinsten Pflanzenarten auf solchen Wiesen sind: Sanguisorba, Chaerophyllum bulbosum, Cenolophium, Tragopogon orientalis, Tha- lietrum minus, Eryngium, Phlomis tuberosa, Dianthus Seguieri, Artemisia procera und scoparia, Ononis hir- cina, Scabiosa ochroleuca, Verbascum Lychnitis, Astra- Tome IX. galus Cicer, Nasturtia: austriacum und anceps nebst Mittelformen u. a. Am sandigen Ufer der Oka bei Ser- puchow wuchs eine Abart von Alopecurus nigricans, der anderswo für eine Littoralpflanze gilt. Am rechten Ufer der Oka bei Kolomna tritt so- gleich ziemlich dunkler sandiger Tschornosjom in Kalkbrüchen auf; in geringen Dosen besehen ist er allerdings nur aschgrau, allein als 1'/ Fuss dicke Schicht erscheint er dunkler, vielleicht in Folge des Contrastes mit den unterliegenden weissen Kalk- schichten. Die Oka reicht nie bis zu dieser Stelle. Die gewöhnlichen charakteristischen Pflanzen des Tschornosjom finden sich in dieser Nähe; Chryso- coma Linosyris sah ich als Seltenheit bloss hier. In einem benachbarten sandigen Kiefernwalde hat sich noch keine Spur einer Dammerde gebildet, obgleich die Lage eher höher, als niedriger ist. Auf der ganzen linken Seite der Oka von Kolomna bis 3 Werst vor Kaschira ist nirgends Tschornosjom; sandige Kiefernwaldungen kommen oft vor. Das rechte Ufer von Kaschira abwärts hat an vielen Stellen ziem- lich deutlichen, aber nie ganz schwarzen Tschornosjom bis 2 Fuss Dicke. Auf ihm liegt im dichten Laub- walde eine Schicht schwarzer Lauberde mit Aconi- tum pallidum, Veratrum, Pedicularis comosa, Campa- nula bononiensis, Coronilla varia. Die Abhänge haben am Fusse herabgeschwemmten grauen Tschornosjom, darüber eine helle Sandschicht und auf dieser wieder eine dünne graue Schicht unter dem Rasen; diess ist besonders gut in Regenschluchten zu beobachten. An, solchen freien Stellen wachsen Dianthus Carthusiano- rum und Astragalus Cicer. Fritillaria, ruthenica soll 4 Werst landeinwärts anzutreffen sein (Kauffmann). Jenseits der Oka bei Serpuchow: erhebt sich das Ufer beträchtlich. Die Abhänge sind stark bebaut, und stellenweise soll Tschornosjom bis 4 Fuss Tiefe auftreten. Der Schotter für die Chaussee besteht aus Kalkgeschieben aus der Oka. Der Boden des Gouv. Tula, welchen die Chaussee durchschneidet, ist | ein grauer Tschornosjom, der nur. stellenweise. eine schwürzliche Farbe zeigt und daher. ‚gewöhnlich über- sehen werden kann. Indessen bemerkt man schon bei der Auffahrt jenseits der Brücke in den Regenschluch- ten 20—30 Faden über der Oka, dass die oberste Erdschicht bis auf 3 Fuss Dicke eine graue Färbung hat und weiter unten (bei € einer. Ziegelhitt DE 515 Bunetin’de PAcadémie Impériale eine Schicht schwarzer, wahrscheinlich herabge- schwemmter Erde. Die Acker an der Gränze der Gouv. Moskau und Kaluga geben nur halb so reichliche Ernten als jene auf der gegenüberliegenden Tula’schen Seite. Zwi- schen Serpuchow und Tarussa ist keine Spur von Tschornosjom °). Gegenüber Tarussa, jenseits der Oka, ist der sandige Boden grau und schwärzt die Hände. Conyza hirta, Cirsium eriophorum, Potentilla alba, Galium sylvaticum (auch bei Kaschira), Salvia praten- sis, Carex pilosa und Ajuga genevensis sah ich bloss hier und nicht weiter abwärts. Sie wachsen sparsam auf buschigen und bewaldeten Anhöhen des rechten Ufers. Im dichten Walde nimmt schwarze Lauberde die Stelle des Tschornosjom ein. Auf einer einzigen Stelle bei einem Kalksteinbruche erregte ein Rasen von Phlomis tuberosa, Euphorbia procera und Nepeta nuda meine Aufmerksamkeit; bei dem Ausgraben er- wies sich, dass derselbe in einer dicken isolirten schwarzen Erdschicht wuchs. -"An der Oka oder auf ihren Ufern bei Serpuchow und Kolomna fand Prof. Kauffmann: Aster Amellus, Asperula tinctoria, Geranium sanguineum, Potentilla einerea, Thymus Marschallianus und Seseli coloratum. - Viele Tschornosjom-Pflanzen der Oka-Ufer können von Orel abstammen. Die Quellen der Oka südlich von Kromy sind auf 773 Fuss bar. bestimmt. Nach den Untersuchungen des H. v. H elmersen (Beitr. XXI. 1858) fällt die devonische Nordgrünze im mittleren Russland nicht mit der Nordgrünze des Tschornosjom zusammen, denn der Tschornosjom über- steigt die ganze devonische Hóhe von Orel bis Tula, wo noch dünne Schichten dieser Erde vorkommen. (S. 60). Die Kugel des Glockenthurmes der Kirche zu Mariä Geb. in Orel hat eine abs. Hóhe von 776 F. geod. Der alte Weg von Tula nach Orel war in reinem Tschor- nosjom angelegt, jetzt ist die Chaussée aus devoni- schem Kalkstein gebaut; die Regenschluchten entste- hen nur im Diluvium, in weichen lockeren Schichten und im Tschornosjom (S. 39). Von Mzensk bis Tschern" 3) Áchter Tschoruosjom fehlt im ganzen Gouv. Kaluga; das, was man dort gewöhnlich so benennt, sind Bodenarten, die einen Über- gang dazu bilden, oder sonst fruchtbarer sind. Solche Erdkrusten von 9 — 11 Zoll Dicke findet man in den Bezirken Meschtschowsk, Peremyschl, Koselsk und (sehr selten) Malo-Jaroslawetz (A. La- mauski IHawsrg. kg. Crar. Kou. 1863). ; — € und Jefremow bildet der Tschornosjom überall die oberste Decke, an letzterem Orte ist er 2 Fuss mäch- tig; diese Gegenden sind steppenartig, fast aller Bo- den ist indessen zum unübersehbaren Acker umge- wandelt (8. 42). Zwischen Jeletz (820 Fuss geod.) und Sadonsk bedeeken überall Getreidefelder den Tschornosjom-Boden; zwischen Sadonsk und Woro- nesh (524 F. geod.) am linken Ufer des Don tritt der Tschornosjom nur in kleinen Partien auf (S. 48, 49). Die Gegend um Karatschew (zwischen Brjansk und Orel) ist hoch und besitzt grosse zusammenliegende Tschornosjom-Partien und fruchtbare Getreidefelder; grosse Strecken sind hier waldlos, steppenartig (S. 31). Der Tschornosjom beginnt nicht erst südlich von Tula,sondern er geht mit Unterbrechungen bis zur Oka, ist jedoch seiner hellen Farbe und geringen Mächtig- keit wegen, so wie in Folge der Seltenheit der Regen- sehluchten nicht auffallend. Auf den vorhergehenden Seiten ist der Tschornosjom (freilich nicht überall ty- pischer) näher nachgewiesen, nicht bloss in dem Über- schwemmungsgebiet der Oka, sondern auch an höheren Stellen des rechten Ufers und selbst am linken bis auf eine gerade Entfernung von etwa 3 Werst vom Flusse. Die Änderung der Vegetation mit diesem Boden ist durch spezielle Beispiele erhärtet; es ist wahr, dass auf dem ganzen Wege von Serpuchow bis Tula, Orel und weiter fast alle erwähnten charakteristischen Pflanzen fehlen *), weil sie durch die Cultur des Bo- dens schon lange gänzlich ausgerottet sind; dieser Umstand darf nieht befremden. Im J. 1863 sah ich noch sehr bestimmt 35 Werst nördlich von Tula auf der Ostseite der Chausée, bei dem Dorfe Shelesnaja, durch eine Regenschlucht entblösst zwei Schichten eines schwarzen Tschornosjom getrennt durch eine helle Diluvial- oder vielmehr Alluvial-Schicht; ein Fall, der mir anderwürts später nicht mehr vorgekom- men ist und vielleicht bald durch weiteren Einsturz sich verändern kann; die obere Tschornosjom-Schicht reichte bis zur Erdoberflüche. 30 Werst. südlich von Tula sieht man oft 2 Fuss dicke Schichten eines braun? schwarzen Tschornosjom, scharf begrünzt von der san- dig-lehmigen Unterlage; 27 Werst weiter bei der Sta- tion Sergiewsk ist der Tschornosjom heller, nur asch- 3) Ich sah zwischen Serpuchow und Tula bloss Senecio eruei- folins (tenuifolius) und Cirsium eriophorum; zwischen Mzensk und | Orel: Artemisia scoparia, Verbascum Lychnitis und Lactuca Scariola. 517 des Sciences de Saint- Pétersbourg. grau. Zwischen Tula und Tschern’ erscheinen die unbe- | Schwarzerde. Datura, Carduus putas und acanthoi- stellten Felder im Frühjahre von auffallend schwarzer | des, Salvia verticillata, Artemisia scoparia, Lactuea Farbe. Bei Djedilowo, zwischen Tula und Bogorodizk, . wird der Schwarzboden schon deutlich (Kóppen Stat. Reise S. 7). Auf Meyendorff's Karte‘) ist die Nord- gränze des Tschornosjom etwa 20 Werst südlicher, durch Bogorodizk(906 F.geod.) gezogen. Von Tschern’ bis Orel und Kromy (700 Fuss geod.) sind hin und wieder schwarze Felder, aber meist nur grauer Tschor- nosjom bis 2 Fuss Tiefe, zuweilen vom Aussehen brau- ner Dammerde, und mehrmals schien es schwierig, selbst diese zu constatiren, indessen mitgenommene Proben erwiesen sich bei späterer Vergleichung doch als eine hellaschgraue Erde mit allen übrigen Eigen- schaften des Tschornosjom. - Im Gouv. Tula schwanken die bisher geodätisch be- stimmten Hóhen zwischen 600—900 Fuss und darüber bis 1017 Fuss; im Orlow'schen von 589—942 Fuss; in Karatschew 792 und 835 Fuss. Gewöhnlich sind die geodätischen Messungen auf die Spitze der Glocken- thürme bezogen, daher für unseren Zweck um diese Hóhe herabzusetzen. ‚Der schwarze Schlamm am Flusse Kroma bei Kromy hat getrocknet das Aussehen eines in Klümpchen zu- sammengebackenen Tschornosjom (eine Form die in manchen Gegenden als «Pripad'» unterschieden wird) und ist nicht auf nassem Wege entstanden; das Mi- kroskop zeigt keine Reste von Pflanzengeweben, bloss einige grosse Phytolitharien und áusserst viele schon mit blossem Auge sichtbare Quarzkórner. Von Kromy (700 Fuss geod.) SWW.bis Dmitrowsk(850 Fuss geod.) ist fast überall deutlicher ziemlich schwarzer Tschor- nosjom, sowohl unter dem Rasen, als in kahlen Re- genschluchten; an letzteren Orten ist die Farbe und Mächtigkeit sehr veränderlich, Anfangs meistens grau- schwarz und bis 1 Fuss dick; später etwas dunkler, fein vertheilt und stark abfärbend, bis 2 Fuss tief, stellenweise sogar bis 7 Fuss (auf der 27 Werst W. von Kromy). Nirgends anderswo fand ich.eine solche mächtige Schicht, höchstens waren es 3—4'/, Fuss. Es können diese 7 Fuss secundäre Ablagerungen gewesen sein; so wie der 15—20 Fuss mächtige Tschornosjom, welchen Murchison erwähnt. Eine Hälfte der Station vor Dmitrowsk begann wieder : 4) Kapra nposuusemmocrw Esponeñexoñ Pocein. Scariola, Xanthium Strumarium und Conyzella cana- densis waren auf diesem Wege die hervorragendste Unkräuter. i Zwischen Dmitrowsk und Sjewsk sah ich keine Re- genschluchten. Die Farbe und sonstige Beschaffenheit des Bodens ist dieselbe wie früher und bleibt sich auch gleich bis 18 Werst westlich von Gluchow; der Boden ist 2— 3 Fuss tief gefärbt. Die Strasse von Kromy an hat das Aussehen eines schwarzen Streifens und ist ganze Stationen lang eben: der aufgewirbelte Staub schwärzt bald Gesicht und Hände. Stellenweise ist die Erde vollkommen schwarz, anderswo bildet die Ober- fläche nur eine dünne helle Schicht Dammerde. Östlich und 12 Werst vor Sjewsk ist ein Eichenwäldchen mit Potentilla alba, Genista und Cytisus auf Tschornosjom, der nach oben zu immer reicher an Phytolitharien, braunen Wurzelfasern und vegetabilischen Skeletten wird und in eine Wald- oder Loherde übergeht, in welcher sich die Reste der Eichenblätter immer deut- licher erkennen lassen. Unter den Unkräutern am Wege machen sich bald neue bemerklich: Xanthium spinosum, Elsholzia, Leonurus Marrubiastrum und Amaranthus retroflexus. Um Gluchow (5 Werst west- lich davon) wachsen: Artemisia scoparia, Verbascum Lychnitis, Scabiosa ochroleuca, Cytisus austriacus u. a. In Gluchow (726 Fuss geod.) sah ich, seit dem Kreml von Moskau, zum ersten Mal wieder Pyramiden-Pap- peln, ohne Schutz 3 — 5 Sashen hoch; in Sossnitza und noch mehr in Sednjew und Tschernigow errei- chen sie ihren vollen Wuchs; in Homel, Dowsk, Mo: hilew und Orscha ist es noch ein Allée-Baum; in Go- rodok nördlich von Witepsk (wo grosse. gelbe Pflau- men und gute Birnen gedeihen) scheint die Pyrami- den-Pappel nicht mehr gut fortzukommen. | = =- NW. von Gluchow verschwindet der Tschornosjom und seine Pflanzen auf eine gerade Strecke von 50 Werst bis zum rechten Ufer der Dessna. Ein 15 Werst langer gemischter Wald von Eichen, Kiefern und wil- den Birnbüumen wechselt mit sumpfigen Niederun- gen und sandigen Strecken ab. A Das rechte Ufer der Dessna, 10. Werst südlich von Nowgorod-Sewersk, bei der Überfahrt, ist betrücht- lich hoch und auf dieser Stelle sehr lehrreich. Der Tschornosjom hat auf dem penes Rurkte Bulletin de l'Académie Impériale Ai, Fuss Mächtigkeit, welche allmählig nach abwärts geringer wird, bis 1 Fuss; noch niedriger ist er gar nicht vorhanden oder nur herabgeschwemmt. Dieselbe Erscheinung wiederholt sich in der Stadt N.Ssewersk (die Spitze der Kathedrale ist 700 Fuss geod.), die auf Tschornosjom-Boden gebaut und mit vielen und tiefen Regenschluchten durchrissen ist. Man kann da mit der grössten Deutlichkeit betrachten Profile von 4 Fuss dicken Tschornosjom auf den höchsten Punkten, die allmählig um 2 Fuss und mehr abnehmen, je nachdem der Abhang niedriger wird und noch in einer beträchtlichen Höhe über dem Niveau der Dessna (die genaue Messung wäre wün- schenswerth) verschwindet der Tschornosjom. Die Schluchten 5 Werst südlicher von der Stadt zei- gen ebenfalls an 4'/ Fuss Schwarzerde, die bis zur Überfahrt auf dem Plateau überall aufliegt. Die Umgebung von N. Ssewersk ist reich an Tschor- nosjom-Pflanzen. H. Mertens sammelte vor 40 Jah- ren daselbst und westlich bis Pogorelzy ein Herba- rium.von etwa 600 Arten, in welchem sich u. a. be- finden: Clematis recta, Alliaria, Corydalis cava, Po- tentilla cinerea und 8 trifoliata, Seseli coloratum, Falcaria, Pimpinella magna, Centaurea Biebersteinii, Artemisia scoparia, Adenophora, Salvia pratensis, Lamium maculatum, Scutellaria hastifolia, Pulmonaria angustifolia, Lilium Martagon, Veratrum Lobelianum und nigrum, Cyperus flavescens, Carex praecox und montana. Ich fand in-der Stadt Atriplex rosea. Einige andere Arten stehen in Prof. Rogowitsch' Verzeich- nisse: Trifolium elegans, Sium lancifolium, Cornus sanguinea, Senecio aquaticus, Cineraria palustris, Pi- cris japonica mit Verbena officinalis (auch bei Staro- dub), Verbascum phlomoides, Heleocharis ovata. Dass hier die Tschornosjom- Pflanzen mit nordischen’ hart zusammentreffen sieht man aus Salix Lapponum, Ma- laxis monophyllos, Peristylus viridis, Epipactis palu- stris u. à., die auch um Starodub und Mglin sich wie- derholen; um Starodub kommen noch. Herminium Monorchis und Epipogon Gmelini dazu. Die Tanne wächst schon in den Kreisen Starodub, e und Surash. Das ganze rechte Ufer der Dessna von N. EE bis Tschernigow ist auf eine Strecke landeinwärts mit Tsehornosjom bedeckt. den man auf der nördlichen Poststrasse mehrmals durchschneidet, namentlich bis zum Anfange des gemischten Waldes, 20 Werst SW, von N. Ssewersk (Stachorschtschina); ferner um Aw- djejewka und von da SO. bis zur Dessna auf höheren Stellen, wo kein Wald ist oder war; dann 17 Werst westlich von Awdjejewka mit dem Aufhören des ge- mischten Kiefernwaldes; endlich zwischen Ssossnitza und Beresna (542' geod.) stellenweise, aber schwach entwickelt. Alle übrigen Gegenden, durch welche = Strasse führt, sind sandig. Was die Beschaffenheit des Tschornosjom auf geg Strecke betrifft, so ist dieser an den Höhen der Dessna bei der Überfahrt ebenso dunkelfarbig und staub- artig, als bei Gluchow; westlicher von N. Ssewersk wird er heller, aschgrau. Südöstlich von Awdjejewka 10 Werst, bei Ponornizy wird er vollkommen schwarz, über 3 Fuss dick und nimmt zum Theil eine ee Form an (Pripad"). Um das Kirchd der Tschornosjom wieder نیت‎ und ist sehr hell, oder er wird durch Dammerde oder Walderde ersetzt. Eigenthümlich ist das Vorkommen von Torf in der Nähe des Tschornosjom bei Ponornizy in einer Re- genschlucht. Dieser Torf glimmt schlecht, obgleich er fast durchweg aus gebräunten Pflanzenresten mit und ohne deutlicher Struktur besteht; er enthält nur sehr wenig Quarzkörner nebst Phytolitharien, die von ange- schwemmtem Tschornosjom herrühren. Die Torfmasse ist local, unbedeutend , in der Sohle: der Schlucht, durch Bodenquellwasser gespeist, geht aber kei- neswegs (wie der Tschornogrjäs bei Menselinsk) in die Tschornosjom-Schicht desselben Abhanges über, sondern ist durch ein Paar Faden der ورین‎ Schicht von ihm geschieden. 7 à: jag del Auf dieser ganzen Strecke sieht man einige pen Unkráuter und Ruderalpflanzen: Verbena officinalis (schon im Städtchen Voronesh, 648' geod., NW. von Gluchow), Pulicaria vulgaris, Atriplex rosea, Marru- bium vulgare; ausserdem . din Marrabiastrütly ١ Isholzia, Mi دی‎ 10 À ۲۴ 11 u Lactuca Scariola! u.a. Um Tschernigow سي‎ dazu: Anagallis miniata; Ballota und Onopordon, um Ssednjew: Sambucus Ebulus. Um Budischtsche: Ajuga ` | genevensis, Falcaria, Coronilla, Conyza hirta, Thesium; ` Aristolochia, Lythrum virgatum , Acer campestre; Iris furcata auf hohen Waldwiesen u.a. Aufbewalde- — | tem und nacktem Sandboden erscheinen: Kochia are — naria (nur 9—17 Werst westlich. von Awdjejewka) ` des Sciences de Saint- Pötersbourg. Veronica incana, Aster Amellus, Jurinea, Silene Oti- tes, Clematis recta, Centaurea Biebersteinii, Scabiosa ochroleuca, Tragopogon orientalis, Dianthus Carthu- sianorum, Genista mit Cytisus biflorus; Salvia praten- sis, Campanula sibirica und Cytisus austriacus auf Kurganen bei Beresna. In Tschernigow ist die Kuppel der Kathedrale 518’, des Glockenthurmes im Troizki - Kloster 0 geod. Im Kronsgarten sah ich wieder (in N. Ssewersk steht eine gepflanzte Tanne) zwei ungeheure Tannen, welche wenigstens 2 Fuss im Durchmesser hatten und deren Zapfen mit den westeuropäischen übereinstimm- ten. Bei dem Dorfe Jazai, 7 Werst von Tschernigow, beginnt eine Anhöhe, auf welcher aschgrauer staubi- ger Tschornosjom in geringer Mächtigkeit liegt; mit ihm erscheinen auch eine Menge diesem Boden ent- sprechende Pflanzen. Ein gleicher Boden wiederholt sich 10 Werst weiter (8 Werst von Ssednjew); die Zwi- schenstrecken sind sandig. Ssednjew liegt auf einer An- höhe, von welcher aus man Tschernigow sehen kann; die Spitze der Nicolaikirche hat 581’ geod. Hier ist der Tschornosjom 2—4 Fuss tief, sehr charakteri- stisch und bildet eine Insel, hart an der nördlichen Gränze dieses Bodens, von Tschernigow geschieden durch den Samchlai, nach den übrigen Seiten durch eine Niederung, in welcher der Fluss Ssnow zurück- geblieben ist. Dieser hat noch jetzt an 7, Thelen sei- nes Laufes Sümpfe und fliesst überdies durch 2 Seen. - Die ganze Strecke an der rechten Seite der Dessna von N. Ssewersk bis Tschernigow bildet eine lange Tschornosjom-Insel; denn das linke Ufer der Dessna ist niedrig und bildete ehemals mit dem Sem’ eine grosse Wasserfläche. Rings um Korop, 6—12 Werst, soll der Boden sandig sein, ebenso ı um Gorodischtsche; hiernach ist die Verbreitung in den bisherigen Darstellungen zu modificiren. Patiwl liegt (7 11’ geod.) am Sem’. Östlich davon und N. vom Sem’ sind ausgedehnte Sümpfe, die früher einen See gebildet hatten. Diese Sumpfniederung steht noch jetzt mit der Dessnain Verbindung, denn der Sem’ fällt in die-Dessna und hat östlich von Baturin (558' geod.) grosse Sümpfe zur Begleitung. Ebenso ist die Gegend w’schen Postwege, der von | Borsna (509531 ' geod.) bis 3 Stationen nach West سم مر‎ e ` our و‎ hin. |ni So wie erratische Blöcke indieD 11 hi D TRAPARAR ten, ebenso konnten sie auch in den Sem' kommen, als dieser noch kein Fluss, sondern ein Theil eines Sees war. Und so wäre ein Weg gezeigt, die von Murchison erwähnte südliche Gränze der erratischen Geschiebe und ihre Collision mit der angeblichen Nordgrünze des Tschornosjom bei Putiwl zu erklä- ren. Ob diese Geschiebe von beträchtlicher Grösse sind, wird nicht erwähnt, eben so wenig eine Über- lagerung des Tschornosjom durch dieselben. An der Dessna sowohl, als am Ssnow giebt es grosse Geschiebe und Blócke von Granit; sie werden zum Gebrauch für die Badstuben gesammelt. Ich sah ١ Fuss grosse, die jedenfalls aus der Nähe der Dessna, man sagte mir von Redytschew, zwischen N. Ssewersk und Korop abstammten Die Dessna kommt weit von Norden und konnte Geschiebe und Blócke von dort her auf Eisschollen herbeigeführt und am Ufer abge- setzt haben. Es ist jedoch gewiss, dass grosse erra- tische Blócke bei Tschernigow und Ssednjew in ihrer ursprünglichen Lage im Diluvium eingebettet sind. Bei dem Dorfe Jazai stürzte vor einigen Jahren aus der Diluvial- Anhöhe ein Block herab, der über 4", Fuss lang und etwa 3 Fuss breit war. Ssednjew liegt am rechten bis 150 Fuss hohen Ufer des Ssnow, nicht sehr weit von der Mündung in die Dessna; im unte- ren Theile des Städtchens liegt ein grosser Granit- block mit goldgelben Glimmer; er ist über 3 Fuss lang und 2 Fuss breit; auch in dem benachbarten Parke des H. v. Lissagub am Snow (Fusse der An- höhe) sind eine Menge erratischer Blöcke, von wel- chen einige dieselbe Grösse haben. Nicht weit davon, im mächtigen vorherrschend lehmigen Diluvium un- terhalb des Begrübnissplatzes, sah ich in der frisch entblóssten Wand der Regenschlucht, 3 Fuss und noch tiefer unter der Oberfläche, noch eingeschlossen, mássig grosse Geschiebe von Granit, Quarz und schwar- zem Thonschiefer. In allen diesen Fällen‘ (auch € Jazai) ist der Tschornosjom in der Nähe fehlt aber gegen den Absturz hin Wegen mehr. Dass unmittelbar unter der dicken Tschorno- sjom-Schieht solche Blöcke ist mir nicht bekannt, auch ke Lé Ka dq 523 Bulletin de l'Académie Impériale 524 glai), das bei höheren Wasserstande seinen Abfluss | Nördlich vom Samglai bei Tschernigow bis nach in die Dessna hat, nicht weit westlich von der Mün- dung des Ssnow. Die Einwohner dieser Gegend wissen aus Überlieferung, dass der Samchlai früber ein gros- ser Fluss war, schiffbar für Flussboote, sogenannte Berlinki?), von 10,000 Pud Last, deren Reste noch gefunden werden ; damals mündete der Samchlai in den Dnjepr; erst zur Zeit Peter d. Gr. «versandete» diese Mündung und der Fluss «ging rückwärts». Ge- genwärtig geht der Samchlai NW. bei Swenitschew in einen Sumpf und führt beim Austritt den Namen Sswin’. Etwa 5 Werst weit im Norden entfernt von dem Ursprung dieses Sswin’ ist der grosse Sumpf Samglai, der sich von Buronka nach W. bis zur Mühle Samglai zieht; diese Mühle liegt am Fl. Wir, welcher bei der Mündung des Ssosh in den Dnjepr bei Lojew fällt. Wir haben hier die Reste des (durch Hebung des Bodens?) versumpften und zum Theil ausgetrock- neten alten Flusses Samchlai, welcher früher eine ge- wisse Bedeutung hatte; denn man konnte durch ihn aus dem Ssnow und der Dessna geradeswegs in den Dnjepr bei fast 52° Br. kommen, während man jetzt aus dem Ssnow nur in die Dessna gelangt, die weit nach Süd fliesst und erst bei Kiew in den Dnjepr (288' geod.) mündet, den man also fast 200 Werst aufwürts fahren muss, um zur ehemaligen Mündung des Samchlai zu gelangen. Über den Sumpf Samglai führt jetzt die neue Chaussée von Mohilew nach Tschernigow. Südlich von diesem Sumpfe und 40 W, von Tschernigow beginnt eine 4 Werst anhaltende Steigung des Bodens, und man gelangt aus dem nörd- lichen Russland in ein ganz anderes Land mit einer anderen Bevölkerung, in ein verschiedenes Pflanzen- gebiet, in die eigentliche Ackerbau-Region und in das Gebiet des Tschornosjom. Der Übergang ist aus- serordentlich schroff und machte schon auf der früheren östlichen Strasse bei der Stadt Gorodnja (36 Werst von Tschernigow) einen tiefen Eindruck auf Hrn. Prof. Blasius (Reise 1844, II, 198). 5) Nach Hrn. Coll,-Rath Pabo kommen noch jetzt Preussische Schiffer mit ihren grossen Kähnen aus der Spree durch das Weich- sel- und Dnjepr-System bis nach Kiew; über ihre gemischten Ehen soll eine ältere gesetzliche Bestimmung bestehen. Über die Etymo- Namens «Berlin» s. Magazin f. Litt. Ausl, 1862, N? 44, Bei dieser Gelegenheit will ich bemerken, dass die Are ihren Tschornosjóm — Tschernósom und ihre Kurgáne — Kürgany nennen. | Mohilew, Witepsk und Ostrow liegen nur ungefürbte oder blasse Erdschichten unter dem Rasen. Indessen soll zwischen Witepsk und Newel schwarze Damm- erde auftreten, dem Tschornosjom nicht unähnlich (Baer und Helmersen, Beitr., XXI, 15). Erst 48— 60 Werst südlich von Mohilew, also in der Nähe des Dnjepr bei Bychow erscheinen auf sandigen Hóhen- zügen einige bemerkenswerthe Pflanzen: Genista, Ju- rinea, Prunella grandiflora, Stachys annua, Geranium Robertianum ; Pseudo-Oenothera virginiana und Cony- zella canadensis beide in Menge, Ovilla (Jasione), Heli- chrysum germanicum, Vulneraria; die 4 letzteren sind nach Norden bis Luga vorgedrungen. Im Gouv. Mohi- lew haben die HH. Pabo und Tscholowski viele Jahre lang botanisirt und nur jene Klasse von Tschor- nosjom-Pflanzen gefunden, die von der Dessna und Tschernigow nach NW. ausbiegen und den Tschor- nosjom-Boden verlassen. Darunter waren: Clematis recta, Thalictrum minus (R), Dianthus Carthusiano- rum, nn Hypericum hirsutum, Geranium san- e Ononis hircina (Homel), Trifolium alpestre, Coronilla varia, Sanguisorba (R), Potentilla recía, alba (R), Eryngium planum, Falcaria Rivini, Laser- pitium latifolium (R), Chaerophyllum. bulbosum (Bui- nitsch), Asperula tinctoria, Galium sylvaticum, Scabiosa ochroleuca, Conyza hirta, Pulicaria vulgaris, Echinops sphaerocephalus (R), Onopordon (B), Lactuca Scari- ola, Campanula bononiensis, Vincetoxicum, Datura, Verbascum Lychnitis, Gratiola (R), Digitalis grandi- flora, Verbena officinalis, Salvia pratensis, Scutellaria hastifolia, Marrubium vulgare, Leonurus Marrubia- strum, Lamium maculatum, Ballota (R), Ajuga gene- vensis (R), Thesium ebraoteatum. Aristolochia, Aspa- ragus (R), Lilium Martagon, Allium angulosum. Die meisten wachsen um Mohilew und anderswo, andere nur um (B) Bychow, (R) Rogatschew oder Homel. Ve Buinitsch. Witepsk (458 Fuss ber. ) hat nach C. A. Meyer die Flora von Livland. Die Berge zwischen Orscha und Witepsk, welche die Wasserscheide zwischen dem Dnjeper und der Düna bilden, enthalten im Diluyium viele und grosse erratische Blöcke. An besonderen Pflanzen zeigen sich: Digitalis grandiflora und Orobus niger (um Orscha), Aconitum pallidum Rchb. (bei Wi- tepsk) u. d. Dieser devonische Hühenzug geht nach des Sciences de Saint -Petersbourg. Osten bis Poretschje (703 Fuss), Smolensk (833 Fuss) und weiter. Bei Smolensk kommt wieder Digitalis vor (Rinder bei Falk $. 731), auch Viola umbrosa (Ra- ezinski). ` Der Waldai-Rücken besitzt keine einzige der vom Gouv. Mohilew soeben namhaft gemachten Pflanzen, ja er hat keine einzige Art, die nicht auch um Petersburg vorkäme, etwa Ovilla (Jasione) ausgenommen, die sich schon um Luga zeigt. Auf den höchsten Punkten um die Stadt Waldai fand ich Malaxis monophyllos und Ra- nunculus polyanthemos; letzterer wächst nur an hóhe- ren Punkten um Petersburg. Vergeblich waren die Be- mühungen, ein besseres Resultat zu erzielen um Bolo- göje: der Wasserscheide N. von Wyschnij Wolotschok (639 Fuss bar.), und das Dreieck von Waldaika, der Stadt Waldai und Jédrowa. Auch die ülteren Aka- demiker fanden nichts Bemerkenswerthes. Die hóchsten Punkte sind auf der Oberflüche mit einer erstaunlichen Menge grosser Geschiebe und Blöcke besäet. Die geodätischen Messungen geben Folgendes: In Waldai ist die Basis der Kathedrale 658; der Signal- berg bei Jedrowo 833’. Nahe bei Waldai geht ein Hó- henzug, nach Schubert’s Karte 10 Werst nach N., und weit nach SSW. bis Polnowo am nórdlichen Ende des Seliger und von da bis zur westlichsten Aus- buchtung dieses Sees, bei Ssopki sich endigend. In der Nähe dieses Zuges liegen von N. nach S.: Ssere- doja 910°, Falewo 971’, Ryshocha 1021 (weit ent- fernt, in der Nähe des Sees Welje), Wyssokuscha 901 (auf einem östlichen Ausläufer, SW. von Jedrowa, Orjechowna 1001' bei Polnowo; im Gouv. Twer lie- gen: Ramenje 969', Jelzy 826' am Seliger, östlich vom Ende des Bergzuges, von welchem nach W. der Berg Kamestik 1054' bei Palizy an der Gränze etwa 30 Werst entfernt ist. Ostasehkow am Seliger liegt 752', Kossarowo südlich davon 985'. Andere Punkte im der Nähe des Sees Wsselug haben 955’ und 1015’. Auch weiter östlich sind mehrere Punkte im Gouv. Twer von 951—-1044' bestimmt. Das Terrain am Waldai ist mehr eine wellige Hochebene mit Hügeln, als ein ausgesprochener Bergzug: eech Le rin der Wolga liegen 750' barom. — Man kann nicht behaupten, dass Wälder eine Bil- | dung von Tschornosjom nicht zuliessen, denn auf dem häufig kahlen Boden findet man weder Lauberde, noch eine so deutlich gefärbte Schicht Dammerde, wie auf den Duderowo-Bergen bei Petersburg, in 550' Höhe und niedriger, die ebenfalls grosse Blöcke auf ihren Gipfeln tragen, aber eine viel ältere und inte- ressantere Vegetation noch bis jetzt bewahrt haben, die sie aus verschiedenen Richtungen, zum Theil sehr weit her erwarben. Der Waldai war noch unter Wasser, als die Berge von Duderowo schon als Inseln hervorgetreten waren. Der Waldai ist lange nach der Bildung des Tschornosjom an der Nordlinie, gehoben worden, wie die grossen Blöcke auf seinen höchsten Punkten bezeugen. Diese konnten nur auf Eisfeldern dahin kommen, was ohne Annahme einer späteren Hebung, eine Wasserhöhe von wenigstens1000 Fuss voraussetzten würde. Eine solche hätte aber das ganze Europäische Russland und West- Sibirien überschwemmt. Damit sind die bisher beobach- teten Eigenthümlichkeiten in der Verbreitung der er- ratischen Blöcke unvereinbar, unerklärlich die Bildung des Tschornosjom, im Widerspruche die Vegetation. Die Reihenfolge der Land-Floren nach dem Alter stelle ich mir folgenderweise vor: A. Urflora. Schöpfungsgebiet. Asiatische Hochge- birge. a. ältere: alpine. b. mittlere: Bergwälder, c. jüngere: Tschornosjom. d. jüngste: Salzsteppe. B. Primär eingewanderte Land-Vegetation: I. Alpine Flora auf den höchsten Punkten {In- seln) des Uralgebirges, — A. a. II. Wälder auf den O. u. W. Abhängen des Ural- gebirges. — A b. Gehoben sind durch das Gebirge Perm’sche Schichten, tertiäre blieben horizontal, ` III. Steppen mit Tschornosjom in West-Sibirien und Russland. = A. c. a. ältere, mit mächtigem یی‎ deg, südlich von der N. Gränze des Tschornosjom. 8. jüngere, mit schwachem grauem Humus; ein Theil der N. Grünze des noun und 016 = = y. jüngste: südlicher Theil des Gour. Moskau, fast ohne Tschornosjom: Übergang in die Flora der NW. Gouvernements. qn Bulletin de l'Académie Imperiale 528 BB. Secundär eingewanderte Vegetation: 1. Felsengebáude Finnlands (höchster geod. gemes- sener Punkt 1094’). Scandinavische Flora. Er- ratische Periode. Mit Blöcken transportirte Pflanzen — bis nach 3: Pulsatilla vernalis; bis nach 4: Hieracium vulgatum, Polypodium vul- gare, Umbilicaria polyphylla, Parmeliae u. Le- cideae; Moose: Bartramia pomiformis, Schisti- dium ciliatum, Racomitrium microcarpum, Di- cranum polycarpum, Grimmia apocarpa u. ovata, Hypnum petrophilum u. a. Nach 3 und 4 trans- portirte Wasserpflanzen: Dortmanna, Isoëtes, Myriophyllum alterniflorum. 2. Die Berge und höheren Terrassen südlich von der Newa. «. Spitzen bei Duderowo bis 568 Fuss mit grossen erratischen Blöcken bedeckt. Hie- racium prenanthoides, bienne und Aconitum aus 1. (Nordufer des Ladoga); — Orobanche Libanotidis, Ophrys Myodes, Cephalanthera rubra, Gentiana livonica, Lathyrus pisifor- mis; alle 5 aus III y (nicht in Scandinavien). . Untere Etagen des silurischen Gebietes: Orchis militaris und ustulata, Closirosper- mum (Picris), Polygala comosa, Ranunculus polyanthemos. — Potentilla Goldbachi; Gen- tiana cruciata und Veronica latifolia stammen aus 111 y. (fehlen in Scandinavien). Aspidium Filix mas (Pulkowa 247’ und Duder.) aus 1 (mit Aconitum und Closirospermum). 3. Karelischer Isthmus (mit Ausschluss der Wald- niederungen): Pulsatilla Breynii, Gypsophila fastigiata am Suwando, Dianthus arenarius. Über das Alter bin ich noch etwas im Zweifel, jedenfalls ist er jünger als die hohen Sandge- genden bei Luga, im Gdowschen und Livland, aus welchen er diese Pflanzen erhalten konnte. Bei Luga kommen ausser den genannten noch vor: Pulsatilla latifolia, Silene chlorantha, Sem- pervivum globiferum, Helichrysum germani- cum, Hieracium albo- cinereum, Scleranthus perennis, Vulneraria, Ovilla (Jasione). Feh- "To len in Scandinavien, mit Ausnahme der 3 letz- | ten Arten. SEN .4. Waldai-Rücken bis 1000' bedeckt mit errati- schen Blöcken. Die Niederungen um Peters- burg. Tannen-Region des N. Europäischen Tief- landes, allmählig übergehend in die West-Sibi- rische Flora. Letztere ist charakteristisch durch die Pichta (bis zum See Kubinskoje bei Wo- logda und zum Wolchow im Gouvernement Pe- tersburg vorgeschoben), Cembra, Larix (bis Kar- gopol), Picea obovata (bis Kasan, eine Mittelform noch westlicher bis Helsingfors, im Finnischen Lappland fast Übergänge in die Europäische Tanne), Alnobetula, Cornus sibirica, Spiraea chamaedrifolia, Atragene, Paeonia anomala, Cortusa. Calypso; Rubus arcticus, Rosa aci- cularis, Möhringia lateriflora, Viola umbrosa, Galium trifidum, Cinna, Carex pediformis, or- thostachys und rhynchophysa, Botrychium vir- ginianum u. a. haben Petersburg schon über- schritten. . Ufer tiefer Binnenseen: Ladoga (59° geod. " Waldai (über 600), Tscheremenez, mit Ranun- culus reptans, Eleocharis uniglumis und acicu- laris, Lathyrus viciaeformis (palustris), einer verarmten Flora des Litorales von Petersburg, wo noch: Cornus suecica, Allium Schoenopra-. sum, Lotus, Scirpus Tabernaemontani, Equi-. setum litorale, Senecio paludosus, Alopecurus. nigricans. Festuca glauca wüchst im Ladoga und. am Peipus; ihre Stelle vertritt am Litorale Fe- stuca rubra villosa. Elymus ist hoch am Ufer. bei Schlüsselburg auf dem Isthmus Kareliens. und weit im Süden von Pskow zurückgeblieben. Salix acutifolia bei Kexholm, der Mündung der. Narova; am Peipus und so weit von Pskow wie. . Elymus, i 7. Eine eigene Abtheilung bilden die maritimen Land- ot pflanzen: Lathyrus maritimus, Kakile, Glaux, Scirpus: maritimus, Plantago maritima, Spergularia salina, Am= madenia peploides, Salsola Kali, Atriplex litoralis,. Juncus balticus, Triglochin maritimum, Carex norve- gica und glareosa, die bis in die Petersburger Flora treten und mit den litoralen sich mischen. TE 6. Sichtbare Einwanderung in neuester Zeit: — a. durch natürliche Verbreitung; durch neue Landbildung aus Moossümpfen. .,, ıl 8. durch Verschleppung. Unkräuter. , Absin- thium auf allen alten Ruinen und historischen ‚Orten. Ballast in Kronstadt und an der Ne- Bulletin de l’Académie Impériale wamündung: Erucastrum Pollichii, Potentilla supina, Carduus acanthoides und nutans, Se- necio viscosus, letztere in zunehmender Aus- breitung. Zweifelhaften Ursprunges: Aster praecox, Mimulus, Chamaemelum discoideum und Geum macrophyllum an der Newa und nördlich von ihr. — Überzeugt von dem innigen Zusammenhange des Tschornosjom-Bodens mit einer eigenthümlichen Ve- getation habe ich in einem der Akademie am 20 Mai 1864 eingereichten Programme die Vermuthung aus- gesprochen, dass nach den von Hr. Prof. Rogo- witsch angegebenen Pflanzen um Starodub (725 Fuss geod.) und Novo-Sybkow (646 Fuss geod.) Tschornosjom vorkomme, also ausserhalb der ange- nommenen Nordgränze dieser Bodenart. Meine ge- messene Zeit reichte nicht mehr aus, diese Gegenden selbst zu besuchen. Ich erfuhr später durch Hr. E. Borszezow, welcher viel daselbst botanisirte, dass im nórdlichen Theile des Gouv. Tschernigow Tschor- nosjom (nicht sehr dunkler) ihm von 3 Punkten be- kannt sei a) um Starodub bis etwa 6 Werst nördlicher und südlicher stellenweise bis 25 Werst; b) östlich von Surash bis fast nach Mglin (757 Fuss geod.) und c) östlich von Potschep (680 Fuss geod.). Alle diese Gegenden schienen ihm merklich hóher zu liegen, als die Nachbarschaft. Demnach hätte man dieselben als 3—4 Inseln anzusehen, was auch der Umstand unter- stützt, dass auf der ganzen durch sie von N. geschütz- ten Strecke von N. Ssewersk bis Ssossniza erratische Blöcke fehlen und solche sich nur, obgleich selten, zwischen Rosslawl und Mglin, also N. von Ssurash und Starodub vorfinden sollen. Hiermit stimmt auch die Flora, welche mehrere Tschornosjom - Pflan- zen darbietet. Hr. Borszezo w fand um Ssurash: Ga- lium rubioides und Senecio aureus (am Iput), Li- lium Martagon, Artemisia scoparia, Saponaria, Vero- nica incana; um Mglin: Ballota, Pulicaria, Lycopus exaltatus, Senecio sarracenicus, Chaerophyllum bul- bosum, Pyréthrum corymbosum, Vincetoxicum, Po- tentilla alba, Pedicularis comosa, Anthericum ramo- sum, Veratrum nigrum, Digitalis grandiflora, Cor- nus sanguinea (auch Ssurash), u. a. Am Krassnoi Rog, 20 Werst óstlich von Potschep, an der Grünze des Tome IX. Orlowschen Gouv.: Campanula bononiensis, Asperula tinctoria, Cirsium canum, Euphorbia procera, Salvia pratensis, Vincetoxicum, Sanguisorba (auch bei Mglin), Conyza ensifolia, Cypripedium macranthum (in einem Eichenwalde). Krassnoi Rog liegt gleich weit entfernt von Trubtschewsk und Karatschew (Gouv. Orel). Im Kreise Trubtschewsk müsste man auch . eine bisher nicht angegebene Tschornosjom- Insel voraus- setzen, wahrscheinlich auf der rechten Seite der Dessna, denn das linke Ufer ist an mehreren Stellen weit und breit unbewohnt und mit zahlreichen Sümpfen bedeckt, namentlich zwischen Trubtschewsk (701 Fuss geod.) und N. Ssewersk. Diese Prognose gründet sich auf ein Herbarium aus dem Kreise Trubtschewsk, in welchem ich vorfand: Althaea officinalis, Pyrethrum corymbosum, Salvia verticillata, Asparagus, Laserpi- tium latifolium, Eremogone graminifolia, Sanguisorba, Peucedanum Cervaria, Geranium sanguineum, Vero- nica incana, Coronilla, Lycopus exaltatus, Genista, Lilium Martagon, Jurinea cyanoides, Prunella grandi- flora, Vincetoxicum, Tragopogon orientalis. Mit Aus- nahme der letzteren Pflanze sind alle übrigen durch Höfft in dem nicht sehr weit entfernten Bezirke Dmi- trjewsk an der Sswapa ebenfalls beobachtet, und es scheint daher der mir unbekannte Sammler, ein Forst- officier, seiner Behórde gewissenhaft Bericht erstattet zu haben. Dmitrjewsk (nieht zu verwechseln mit dem nahen Dmitrowsk) liegt óstlich von Ssjewsk und ganz nahe davon. Nach Hófft (Catal. 1826) ist die «vegetabi- ` lische Erde» in diesem Kreise schwarz, etwa 2 Fuss mächtig, sehr fruchtbar (für Hanf und Weizen) und wird nicht gedüngt. Der Tschornosjom von Iwanow- skoje, Kreis Lgow, hat ein spz. Gewicht von 1,918 und besteht aus Grant 4, feinem Sand 20, Thon 32, Salzen 18, Humus 16, Wasser 5, Verlust 5. Bemerkenswerthe Pflanzen sind: Veronica austriaca und dentata, Sal- via pratensis und nemorosa, Circaea lutetiana, Iris biflora (furcata), Stipa pennata, Asperula tinetoria, Echium rubrum, Verbascum phoeniceum, Adenophora, Campanula sibirica, Thesium, Falearia Rivini, Osteri- cum pratense, Linum flavum, Hyacinthus pallens, Veratrum nigrum, Acer tataricum, Potentilla cinerea, Aconitum: Anthora, Adonis vernalis, Stachys recta, Dentaria bulbifera und digitata (pentaphyllos), Chry- socoma Linosyris. - e Bulletin de l'Académie Impériale Die Flora von Orel hat viele ausgezeichnete Tschor- nosjom-Pflanzen. Ich gebe hier ein Verzeichniss der- selben nach den Centurien von Taratschkow und Po- ganka, mit Weglassung der meisten Arten, die auch im südlichen Theile des Gouv. Moskau wachsen und aus dem Oka-Antheile erwáhnt wurden. Adonis ver- nalis, Ceratocephalus orthoceras, Ranunculus poly- phyllus, Aconitum Anthora, Cochlearia Armoracia, Drapa repens (auch im benachbarten Gouv. Voronesh im Kreise Semljünsk, sonst nirgends in Ebenen Russ- lands), Elisanthe viscosa, Silene chlorantha (auch im Gouv. St. Petersburg bei Luga), Gypsophila altissi- ma, Arenaria graminifolia, Acer campestre, Linum flavum, Evonymus europaeus, Oxytropis pilosa, As- tragalus Onobrychis und hypoglottis, Ononis hircina, Onobrychis sativa, Lathyrus tuberosus (Orobus albus sah ich aus dem benachbarten Kreise N owosselje), Pru- nus spinosa, Chamaecerasus, Potentilla cinerea mit 3 und 5 Blättchen variirend, opaca, Alsinastrum verti- cillatum (aus dem Kreise Brjansk und Trubtschewsk), Cornus sanguinea, Sambucus nigra bloss an der Gränze des Gouv. Tschernigow, woher sie auch von Starodub, Novosybkow und Tschernigow angegeben ist, Falcaria Rivini, Peucedanum alsaticum, Laserpitium latifolium, Trinia Henningii, Seseli coloratum, Galium vernum, Cirsium rivulare, canum und eriophorum, Serratula heterophylla, Centaurea ruthenica, Cineraria campe- stris, Seneeio sarracenicus, Aster Amellus, Chrysocoma Linosyris, Pulicaria vulgaris, Conyza hirta, Pyrethrum corymbosum, Artemisia scoparia, Hieracium virosum, Scorzonera purpurea, Adenophora liliifolia, Campa- nula sibirica, Scrofularia aquatiea (bei Karatschew), Digitalis grandiflora, Ballota nigra und Elsholzia, Thymus Marschallianus, Salvia nutans, pratensis und verticillata , Stachys reeta, Prunella grandiflora, Scu- tellaria hastifolia an der Dessna häufiger, Echium rubrum, Thesium ebracteatum, Polygonum alpinum, Iris furcata, Allium rotundum, Anthericum ramosum, Fritillaria ruthenica, Lilium Martagon, Veratrum ni- grum, Cyperus flavescens, Scirpus triqueter, Bromus tectorum, Agropyrum glaucum?, Stipa pennata selten. Von nordischen Arten sind nur Hieracium sibiricum und sehr selten Saxifraga Hirculus vorhanden. Aber im Kreise Karatschew, wo der Tschornosjom theil- weise fehlt, zeigen sich: Betula humilis mit Ligularia sibirica, Galium trifidum 8. und Móhringia lateriflora (letztere ist auch im Kreise Novosselje bei Mochowaja nach Annenkow’s Herbarium). — Im Gouv. Moskau tritt, wie bereits oben gezeigt wurde, sandiger Tschornosjom auf dem linken Ufer der Oka auf, mit einer Anzahl von etwa 40 charakte- ristischen Pflanzen, von welchen indessen ein Theil durch die Oka hereingebracht ist. Ein anderer Theil geht noch weiter bis zur Moskwa und oberen Kljasma. Bei Podolsk sah ich Cornus sanguinea (auch von Orel), Sambucus rubra (auch von Sserpuchow, Mglin, Staro- dub u. a.) und Lycopus exaltatus. An der Moskwa, oder in der südlichen Hälfte des Gouvernements sind Tha- lietrum minus, Tragopogon orientalis und Delphinium elatum gar nicht selten; auch trifft man hier Galium rubioides, Vincetoxicum offieinale, Pedicularis co- mosa, Lamium maculatum, seltener Astragalus are- narius, Androsace filiformis, Melampyrum cristatum, Geranium sibiricum und Euphorbia virgata var. lati- folia. Diese 12 Arten kennt man jetzt auch aus Jaros- slaw, aber nicht aus nördlicheren Gouvernements, ausgenommen Delphinium, das aus dem Gouv. Archan- gel bis(Archangelskaja) nach Kargopol zu vorgedrun- gen ist; eine ühnliche Verbreitung hat die erwühnte Euphorbia. Hieracium sibiricum und Veratrum sind bloss N. von Sserpuchow. Bis zur Moskwa, oder nicht viel nórdlicher wachsen: Asparagus, Aristolochia, Si- lene procumbens mit Cenolophium (zweifelhaft, ich sah letztere bereits aus dem Gouv. Twer), Myosotis al- pestris, Ranunculus polyphyllus und (Elatine) Alsina- strum verticillatum, Salvia glutinosa und verticillata, Cytisus biflorus; Sanguisorba officinalis, Nonnea pulla, Corydalis tuberosa, Nasturtium anċeps, Viola (hirta) inodora (F1. Germ.) und stagnina, Anemone sylvestris, Dianthus Seguierii, Hypericum hirsutum, Orobus ni- ger, Chamaecerasus fruticosa mit Senecio erucifo- lius (tenuifolius) und Cypripedium guttatum; Poten- tilla recta, Ocimastrum verrucàrium (Circaea lutetiana), Chaerophyllum bulbosum, Laserpitium prutenicum, Sanicula europaea, Cervaria, Asperula Aparine, Ga- lium sylvaticum, Senecio sylvaticus, Lactuca Scariola, Onopordon, Carduus nutans, Xanthium Strumarium und sogar schon X. spinosum, Inula Helenium, Cam- panula bononiensis, Linaria minor (bloss am Kreml), Veronica dentata, Prunella grandiflora, Pulmonaria 533 des Sciences de St.- Pétersbourg. 534 azurea, Centunculus, Androsace elongata, Chenopo- dium vulvaria, Platanthera chlorantha, Sturmia Loe- selii, Gymnadenia cucullata, Allium rotundum und angulosum, Heleocharis ovata, Carex Drymeja und pilosa, Holcus lanatus, Alopecurus agrestis, Setaria glauca u. a. Eryngium planum soll bei Twer(und Mohilew) vorge- kommen sein, leicht möglich ; -die Wurzel ist schwach, bloss zweijährig, das abgerissene todte Kraut bietet alle Bedingungen, um von Stürmen auf grosse Entfer- nungen geworfen zu werden. Aconitum Lycoctonum mit weissen, vorne grünlich gelben Blüthen, ist eine eigene Art: A. pallidum (Rchb. 1819 Monogr. Acon. t. 50); sie unterscheidet sich sowohl von dem Lyco- ctonum luteum der Alpen, als auch von A. septemtrio- nale durch die kurzen angedrückten Haare auf dem oberen Theile des Stengels und durch die Form der Blütter, deren Lappen breiter und kürzere Schlitze haben. Ich sah Exemplare aus den Wüldern von Me- reffa (M. Bieb.), Elisabethgrad, Orel, Sserpuchow und Kaschira an der Oka, und aus den Wäldern bei Wi- tebsk. Sie wird angezeigt bei Charkow (Czern.), Staro- dub (Rogow.); Reichenbach's Original stammt von Kurbatowa Gouv. Rjasan, ein anderes für A. lasiosto- mum (nicht bei Besser) beschriebenes und auf tab. 49 abgebildetes ist aus Medyn Gouv. Kaluga, westlich von Sserpuchow. Diese Art ist jetzt um Moskau sehr sel- ten geworden (Ssokolniki 815 Fuss geod.). -Eine andere Pflanze Pseudo-Oenothera virginiana ist häufig an der Moskwa, zieht sich über Ore] und den Kreis Karatschew nach Mglin, Ssurash zum Iput, Mohilew und weiter westlich. Beinahe ausgerottet sind um Moskau: Digitalis grandiflora, Sambucus Ebulus, Mentha sylvestris, Si (nach Sser- puchow gewandert), Pyrethrum corymbosum, Linum flavum u. a. Es fehlt um Moskau Hieracium murorum, Hepatica erscheint erst an der Gränze des Gouy. T wer. Ein noch frappanteres Beispiel ist Anemone nemo- rosa, von der geschrieben steht «a Petropoli ad Cau- casum usque»; sie fehlt bereits um Moskau und Ka- san, ist für Jarosslaw und Charkow noch zweifelhaft, fehlt in dem Gouv. Poltawa und in der Donschen Flora (bei Ssemjonow) und wahrscheinlich in der ganzen Tsehornosjom-Gegend. Im Kiew'schen und Tscher- nigow'schen Gouv. wird sie bloss an einem: einzigen Orte angegeben. . Bei Vergleichung der Oka-Flora von Tarussa bis Kolomna wird man finden, dass 25 Arten von der Oka nicht weit sich entfernen und bisher um Moskau nicht bemerkt wurden An der Oka fehlen wohl so manche der namhaft gemachten Moskauer Pflanzen, weil die Gegenden wenig untersucht sind. Das hier über das Gouv. Moskau Gesagte gründet sich auf die Centurien von Annenkow, auf Materia- lien, die ich in der Sammlung der NatiHotsibr-Ge- sellschaft in Moskau vorfand, auf etwas Autopsie, hauptsüchlich aber auf wohlwollende Mittheilungen Prof. Kauffmann's, von welchem wir bald eine lang ersehnte neue Flora” Moskau’s zu erwarten haben. Mit dieser wird das Gesagte zu vergleichen, zu ver- mehren und vorkommenden Falls zu verbessern sein. Im Moskauer Gouv. war bisher, mit Ausnahme einiger schmaler Streifen an der Oka, kein Tschor- nosjom bekannt. Prof. Petzholdt’s Reisebeschrei- bung, welcher eine Karte mit der Verbreitung dieser Bodenart beigegeben ist, erschien erst 1864; auf die- ser Karte wird Tschornosjom angezeigt an der Verei- nigung der Moskwa und Oka, und ausserdem noch 3 kleine Inseln südlich von Moskau. Es war mir da- her sehr unerwartet, auf einer Excursion zum Borow- ski Kurgan °) auf Tschornosjom zu treffen. Dieser Ort kann als das nächste Beispiel empfohlen werden und ist von Moskau leicht in 2—3 Stunden zu erreichen. Mau sieht ihn 8—10 Werst weit von der 3ten Station Bykowo, auf der 31. Werst der Kolomna-Eisenbahn. Der Kurgan liegt am rechten Ufer der Moskwa, ge- genüber Mjatschkowa. Bloss auf seiner Nordseite ist Eichen- und Haselgebüsch, untermischt mit niedri- gen Eschen und Linden. Dazu kommen Rhamnus ca- thartica, Aconitum septemtrionale, Campanula bono- niensis, Eryngium planum, Myosotis alpestris, La- vatera, Saponaria u. a. Sein Gipfel ist scharf abge- gränzt,etwa 10 Ssashen hoch, kahl und mit Ausnahme des Kernes, von anderer Beschaffenheit. Der ganze Hügel ab gelblichem Diluvialsand, welchem deutlich Glimmerblättchen beigemischt sind. Die F är- bung des Sandes durch die pete 6) Mit dem Namen «Kurgan» bezeichnet türliche, besonders kegelfórmige Kistra an der Oka. Der Borowski Wegen Hagel, Der Weg, den Dmitrij, Donskoi bezeichnet man zuweilen = B. die وی‎ bei E gege ein na- gegen Moskau Fährte (Bpoxckili nepesoar 1 Fa مس‎ noch jetzt unterhalb dem den Kur و‎ 535 Bulletin de l'Académie Impériale 536 Decke ist um so beträchtlicher und intensiver, je höher man den Kurgan hinaufsteigt. Wäh- rend am Fusse, tiefer als die Quelle, der Boden gar keine merkliche Färbung hat und etwas weiter hinauf die oberflächliche Sandschicht nur schwach grau wird, ist der sanfte Abhang des Kurgan unter dem künst- lichen. Gipfel ein schwärzlicher Sand, der erst in der Tiefe von 21 Zoll allmählig seine Färbung verliert. Auf dem Plateau des Gipfels ist der Boden noch schwärzer. Diese Färbung ist nur zum Theil, näm- lich von der Oberfläche bis 1 Fuss Tiefe, an anderen Stellen mehr oder weniger, das Ergebniss natürlicher Einwirkungen der Vegetationsschicht auf den san- digen Boden; denn schon in 1 Fuss Tiefe sieht man den schwarzen Sand gemischt mit hellem Sande, zum deutlichen Beweis, dass hier einst Menschenhände gegraben haben, vor einer Zeit, seit der sich die ober- ste Schicht durch zerstörte vermoderte Pflanzen gleich- mässig schwärzen konnte. Auf keiner Stelle tritt der helle Sand bis an die Oberfläche; an anderen Stellen des Plateau war der schwarze Sand bis 3 Fuss tief. Das Plateau scheint durch Abtragen eines schmäle- ren höheren Gipfels entstanden zu sein. Dafür spricht noch der Umstand, dass die Abhänge des Gipfels mit einer tiefen Schicht schwarzer Erde bedeckt sind, welche, aus 2 Fuss Tiefe genommen, das Aus- sehen eines ächten Tschornosjom und nicht eines san- digen hat, wie am Fusse des Gipfels und weiter herab. Hr. Borszczow hat diesen Tschornosjom analysirt (sieh Anhang) und etwas über 13°/, lösliche Bestand- theile gefunden. Dieser Überschuss, gegen andere Tschornosjom-Proben gehalten, kann von der Holz- asche herrühren, mit welcher die Erde gemischt ist. Ein Theil der noch sichtbaren Kohle ist thierischen Ursprungs (Knochenkohle); beim Glühen verglimmt sie sehr langsam und verbreitet einen Geruch nach gebranntem Horn. Auch waren grössere Knochen- fragmente im Abhange des Gipfels leicht zu finden, gemischt mit Geschieben. Letztere waren abgerun- dete und eckige, bis 3 Zoll grosse, Stücke: Hos einem weissen glinmerreichen dünn g j von rothbraunen und schwärzlichen eisenhaltigen Ju- rassischen grosskörnigen Sandsteinen und weissen Kalk- steinen (vergl. Murchison Geol. 235). ` Etwa '/, Werst vom Kurgan entfernt sind die «Wach- holderberge», auf welchen sich gleichfalls schwárz- licher Humus, meistens aus Calluna, gebildet hat; die Fürbung war nieht so dunkel, wie am Kurgan, und ging nur bis 4 oder bis 9 Zoll tief; der Unterboden war róthlicher (und nicht meet Sand. Wie ich an Ort und Stelle hörte, so geht man desiit um, nächstens auf diesen Plätzen zu pflügen. Nach dem Nivellement von Gerstner, mitgetheilt durch Hamel 1837 im Bullet. de l’ Acad. II, 301, ist die Moskwa am Kreml 364 Fuss R. — 56,9 Toisen über dem Spiegel der Newa an der Admiralität in Peters- burg, die Oka bei Kolomna 310 Fuss = 48,5 Toisen, und hat daher die Moskwa vom Kreml bis zu ihrer Mündung in die Oka einen Fall von 54 Fuss — و8‎ Toisen. Nimmt man 55 Toisen für die Moskwa unter- halb Borowski Kurgan an, und giebt noch weitere 15 Toisen (?) zu, so trifft man in die Nähe der beginnen- den Färbung des Bodens. Es wird leicht sein, eine ge- nauere Bestimmung zu machen, ebenso von Kolomna bis Tarussa. Kaschira hat 771 Fuss geod. (Glocken- thurm der Kirche zu Mariä Opfer); Kaluga 830 Fuss geod. (Glockenthurm der Kathedralkirche). Verschie- dene südlichere Punkte im Gouv. Moskau sind geo- dätisch mit 815; 742; 716; 695/.635 und 597 Fuss bestimmt. Im Gouv. Wladimir treten von Wladimir bis Ssus- dal Erdschichten auf, die man nicht immer leicht von Tschornosjom zu unterscheiden vermag. ai In den niedrigeren Gegenden sind erratische Blöcke und Geschiebe sehr häufig, z. B. an der Eisenbahn zwischen Moskau und Wladimir, 90 Werst von Mos- kau, an einem Zuflusse der Kljasma liegen eine Menge Blöcke; 10 Werst weiter bei Pokrow ist der Eisen- bahnschotter ebenfalls aus diesem Material, welches bis zur 106. Werst in Haufen aufgestapelt ist. Bei der 115. Werst (Station Petuschki) unterscheidet man deutlich das rosenrothe kryst Q be (das anstehend bloss in Schokscha am westlichen Ufer des Onega vorkommen soll), sich wiederholend zwi- schen der 130.— 133. Werst, dann bei Wladimir und NO. von Ssusdal, zuweilen als grosse Blócke. Andere Haufen تح تیوه‎ Geschiebe ziehen sich bis vor Wladimir (176 Werst von Moskau). ner. i Einige Werst vor Wladimir, beginnt im. N. ein Höhenzug, auf welchem. diese Stadt erbaut ist (in 55J Fuss bar. Höhe). Gleich auf der 6'/. Werst-von Wla- des Sciences de Saint- Pétersbourg. 538 dimir, hinter dem Dorfe Dobroje, tritt eine schwärz- liche Erde auf den höheren Äckern auf, und da, wo die Strasse nach Ssusdal in einer Breite von 20 Ssa- shen an den schwach geneigten Abhängen des Höhen- zuges sich hinzieht, kann man sogar einen Unterschied in der Färbung zu beiden Seiten des Weges erkennen: die höhere Seite ist dunkler gefärbt. Ein solcher Boden ist fruchtbar und tritt nur streckenweise an den höheren Stellen auf, bis 3 Werst vor Ssusdal; erratische Blöcke oder Geschiebe sind suf diesem Hóhenzuge vóllig verschwunden. An Abstürzen liegt zuweilen ?/, Fuss dicke braune Damm- erde unter dem Rasen, 15 Werst südlich von Ssusdal bis 2 Fuss Tiefe. Auf dem dominirenden Hóhenzuge, hart bei der Stadt Ssusdal, westlich vom Dorfe Sselze, trifft man eine fussdicke schwärzliche Ackererde, welche alle Eigenschaften des Tschornosjom besitzt, und auf die mich zuerst College Shelesnow und Prof. Kali- nowski aufmerksam machten. Auch im benachbarten Kreise Pereslawl soll ein solcher Boden stellenweise vorkommen; die Kreisstadt liegt 426 Fuss hoch. Der Tschornosjom ist also im Gouv. Wladimir nur unbedeutend entwickelt und bei trockener Witterung seiner meist nur lichten Fárbung wegen sogar leicht zu übersehen. Dass er durch Düngen seit Alters her entstanden sei, dagegen sprechen: 1) die niedrigeren Gegenden bis 12 Werst NO. von Ssusdal, wo die Acker- und Rasenerde durchaus keine merkliche Fürbung hat und von Geschieben und ungeheueren errati- schen Blöcken der verschiedensten Art (bei Glasowa und unweit Ssusdal) bedeckt ist; 2) die Übergünge der schwürzlichen Ackererde in die brüunliche, welche bis 2 Fuss Dicke hat, d. h. mindestens eine doppelte Pflugtiefe, und welche auch an Stellen vorkommt, die uie unter Cultur waren; 3) das ausschliessliche Vor- kommen der gefärbten Schichten auf Höhen, die nie von Blöcken oder Geschieben bedeckt sind. Die Vegetation zeigt, Stachys annua etwa ausge- nommen, nichts Bemerkenswerthes. Wenn sich auch Tschornosjom-Pflanzen, der weiten Entfernung un- geachtet, angesiedelt haben sollten, so sind solche längst durch die dichte: Cultur des Bodens ausge- rottet. In Ssusdal bemerkt man unter den Ruderal- Bec gege und Amaranthus retroflexus. gend um Kowrowo, 60 Werst ONO. von Wladimir hat einige hohe Stellen. Die Kljasma führt grosse erratische Blöcke hierher, ebenso Kalkgeschiebe, die auf den hohen Äckern umhergestreut sind. Die Ackererde ist hier überall hell gefärbt und mit jener zwischen Wladimir und Ssusdal nicht zu vergleichen. Durch Humus gefärbte Stellen findet man bloss 29 — 3 Faden über dem Flusse, 6 Zoll dick unter dem Rasen mit Sand gemischt, wahrscheinlich herabgeschwemmt. Auch der Kiefernwald hat an hohen Stellen grauen Sand, der aber wenig Ähnlichkeit mit dem sandigen Met an der Oka hat, und seine Färbung trivialen Pflanzen, wie Absinthium, Artemisia campe- stris, Pteris u. dgl. verdankt. Mit der Kljasma’), die wahrscheinlich einst mit der’ Moskwa in Verbindung war , sind indessen mehrere Tschornosjom-Pflanzen hierber gebracht worden: Eryn- gium planum, Vincetoxicum, Aristolochia, Artemisia procera, Galium rubioides, Asparagus, Genista, Me- dica falcata, Amaranthus retroflexus, Xanthium Stru- marium u. dgl. Nur hier, am sandigen Ufer, sah ich Corispermum Marschallii, die von Pallas auch aus Murom angegeben wird, und diese Orte sind viel- leicht die Ausgangspunkte für die übrigen Stationen: Kasan, Ssimbirsk und Ssaratow. Die Kljasma mündet gegenüber Gorbatowa in die Oka. Gleich unterhalb dieser Mündung fand ich wieder die erwähnte Artemisia, Eryngium, Aristo- lochia — ausserdem Cenolophium, Lycopus exaltatus, Salix acutifolia in grosser Menge, Populus nigra u. dgl. Die meisten gehen bis N. Nowgorod, mit der Oka, die hier auch Silene procumbens und Saponaria ud gesetzt hat. Zwischen N. Nowgorod und Wladimir trifft man häufig Sanguisorba und Cytisus biflorus, letzteren auch gegen Moskau zu; er hat eine eigenthümliche Verbreitung, die im Osten nicht vom Tschornosjom- Boden abhängt, und geht über Ssmolensk und Mohilew nach Westen. Eine Besonderheit des Gouv. Wladimir ist Hippophaë, bei Pokrow an der Gränze des Gouv. Moskau,im Sumpfe am Fl. Dubna, von Pallas gefunden. Aus Jarosslaw sah ich die ersten 4 Centurien einer von den HH. Petrowsky und Ssabanejew begonne- nen Pflanzensammlung. Die Flora unterscheidet sich wenig von der Ingrischen: In letzterer fehlen bloss BCE y. 1200 w war noch ein eel Ma Nowgorod nach i TTE Ámmark. 539 Bulletin de l'Académie Impériale 540 die bereits (bei Moskau) erwähnten 12 Arten, nebst Artemisia procera, welche meistens Vorposten des Tschornosjom sind, und es wird eine locale Aufgabe sein, ihren Ursprung nachzuweisen, ebenso wie von: Onosma echioides, Galatella punetata und Astragalus hypoglottis, die aus dem Gouvernement Moskau noch nicht bekannt sind. Beschaffenheit der Humusschicht auf alten Gräbern. Unter alten Gräbern sind gemeint die Tumuli (alte Mogily), welche zuerst von Köppen (Bullet. sc. Acad. L 1836. N° 18) in 3 Hauptklassen vertheilt wurden: I) Ssopki im nördlichen Europäischen Russland bis nach Sibirien; II) Kurgany im südlichen Russland. Beide Benennuugen sind durch die Volkssprache so fixirt, dass man nicht verstanden würde, wenn man die Namen verwechseln sollte. IIT) Scythen-Grüber im SO Theile des Taurischen Gouvernements. Die Ssopki werden definirt als Aufschüttungen über der Erde, mit keinem Graben in der Erde verbunden. Diese Definition kann auch auf manche Kurgane pas- sen, z. B. jene von Ssednjew, denn man hat ihre Con- struction noch nie erforscht; über ihren Inhalt ist nichts bekannt. Dagegen sind die Scythen-Gräber an der Molotschnaja Aufschüttungen über der Muttererde, in welcher senkrecht in die Tiefe und dann zuweilen knieförmig eingebogen der Platz für die Leiche gegra- ben wurde (Köppen: Bull. hist.-phil. II, 1845, N°13). Die Ssopki finden sich längs des Laufes der Flüsse Wolchow, Ssjas’, Msta, Polä, Lowat’, Schelon’, Plüssa, Luga, Twerza, Medwjediza, Mologa; am Ilmen - See, selbst auf der Waldai-Höhe: z. B. gleich bei Jédrowo am See sind 5 Ssopki zwischen Äckern; im Dorfe Wlitschki, ein paar Werst von der Msta entfernt, in einer hohen Gegend sind 2 Ssopki mit Kiefern bewach- sen, aus Sand, an der Oberfläche stark beschädigt, kaum '/ Zoll mit Humus gefärbt. Dass die Ssopki mit Rasen belegt wurden, davon habe ich mich nirgends überzeugen kónnen; aber wohl sind sie jetzt oft be- rast durch die Dauer der Zeit. Kóppen hielt diese Ssopki für Gräber heidnischer Russen, die im X Jahr- hundert auf Raub und Handel auszogen. Allein man fand auch unverbrannte Leichen verschiedener Stimme in den Ssopki des Gouvernements Twer (N. Uschakow in C. [erep6. Béxom. 1845 ¥ 64, und Oreyeers. 3a- mucka 1843 X 8); in einer Gegend hatten sie kohl- schwarze Haare, meist Messer in der Hand und Thon- gefüsse zu Füssen; die Skelette lagen mit dem Kopie ` immer nach N.; in einer anderen Gegend lag der Kopf nach W. und dabei Gegenstände aus Silber, Kupfer und Eisen. An einem dritten Orte hatten die Skelette eine sitzende Stellung, mit dem Gesicht nach O. ge- wandt, dabei Samaniden (aus Samarkand) vom J. 973 (nach Frähn). Auf diese Ausgrabungen beziehen sich wahrscheinlich mehrere Schädel im Craniologischen Museum der Akademie (v. Baer, Mélang. biol. III, 1858.8. 44, 49), unter welchen sehr lang gezogene, die also von Slavischen, Türkischen und Finnischen (d. h. jetzt in Finnland lebenden) Stämmen sehr verschieden sind; auch scheinen dolichocephale Schädel bis nach Tobolsk vorzukommen. Die Wogulen sind entschieden dolichocephal (v. Baer, Bull. 1868, VI, 354). Nach Gatzuk bildet die Moskwa eine scharfe Gränze in der Vertheilung der alten Gräber; nach S. und landeinwärts sind sie ungleich zahlreicher, von anderer Form und anderem Inhalte (Tpyası Mock. Ans. Oöm. T. I, 1865; C.Iler. Bx. 13 boxa 1865). Sie werden einer vorhistori- schen Zeit zugeschrieben. Ich möchte eine andere Frage - stellen: giebt es einen Beweis dafür, dass das Tiefland des nördlichen Russtands zur Zeit Herodot’s bereits trockenes Land war? Als Zeugniss dafür kónnen wir weder gelten lassen den vergrabenen silbernen Krug von Ust-Irgina im Kreise Krassno-Ufimsk, welcher baktrische Münzen aus dem 1. und 2. Jahrh. vor Chr. G. enthielt, noch die Reste der Steinperiode. Erstere lagen beisammen mit Sassa- niden und byzantinischen Münzen aus der Mitte des VII. Jahrh. (W. Grigorjew, Lerch). Letztere bewei- sen eigentlich nur einen niedrigen Culturzustand, Man- gel an Handelsverkehr und Industrie; ausserdem be- schränken sie sich bis jetzt nur auf Finnland (Holm- berg, Bidrag IX. 1863), das benachbarte Gouv. Olo- netz (Schiefner 1863, Bullet. V.) und die Ostseepro- vinzen (Grewingk, Schrift. estn. Ges. 1865). Überall werden jetzt die Todten aus ihrer Ruhe gestórt und um ihr Alter befragt. Dringend wäre es, die archáo- logischen Ausgrabungen zu veranlassen, dabei auch die Erde auf, unter und neben den alten Grabhügeln zu befragen, denn diess gibt den Schlüssel für das absolute Zeitmaass viel älterer Perioden. Es ist ein bemerkenswerther Umstand, dass seit dem Verschwinden der mächtigen Wasserbedeckung im sn des Sciences de Saint- Pétersbourg. 512 nórdlichen Russland der untere Rand des deutlichen Tschornosjom noch immer nicht hinreichend tief und weiter nach N. vorgeschritten ist; der hóchste Was- serstand der Flüsse steht vertikal noch beträchtlich ab von der unteren Tschornosjom-Marke ihrer Ufer. Diese Erscheinung deutet darauf hin, dass die Erde schneller trocken wurde, als die Bildung des Tschornosjom vorwärts ging. Die Ssopki am Wolchow liegen alle in. der Nähe oder unterhalb der Stromschnellen. Bei dem Kirch- dorfe Archangelskoje trifft man eine grosse Ssopka, von etwa 5 Ssashen Höhe, oben mit einer viereckigen Fläche von späterer Arbeit, denn die Färbung durch Humus, obgleich mehr als 3 Par. Zoll. tief, ist merk- lich heller, als in derselben Tiefe weiter unten am Abhange 2 Faden vom Gipfel. Weiter aufwärts ist eine zweite, viel kleinere Ssopka. Gegenüber von Archangelskoje am rechten Ufer des Wolchow liegt das Dorf Dubowik. Die Siluri- schen Kalkschichten erheben sich bis 10 Ssashen über deu Fluss; auf ihnen liegt ein bis 3 Faden und noch mächtigeres sandig-lehmiges Diluvium mit erratischen Geschieben; die Oberflüche ist stellenweise 2 Zoll tief mit Humus: sehr schwach gahränk, Die Flora ist h lich (Mélang. biol.IL. 1853) und nähert sich i im Alter der von Duderowo. Auf der Höhe des Ufers zählt man 11 Ssopki; die 1. und 2. stehen. im Dorfe, die 3. und 4. schon ausserhalb flussabwärts, letztere ist etwa 6 Faden hoch, am Gipfel mit einer Vertiefung; die 5. Ssopka mit 3 sehr alten Linden von krüppelhaftem, Wuchse, die Stämme fast von der Basis an getheilt; einer dieser Stämme hatte im Umfange 8 Fuss; der stärkste wohl doppelt so viel; die 10. heisst «Gustaja Ssopka» und ist mit Linden dicht bewachsen, unter welchen Veronica lati- folia und Euphorbia virgata; die 11. ist klein. Aus- serdem sind noch 2 Ssopki vom Dorfe landeinwärts. Hierauf folgt am Ufer ein mit einem Wall umgebener Platz «Gorodok», vielleicht ein ehemals befestigter ebener Ort, welcher früher beackert wurde, auch wohl durch Thierabfälle gedüngt sein konnte, so dass jetzt die Erde 1 Fuss tief dunkel gefärbt ist. Eine genaue Bestimmung der Humusschichte auf den Ssopki ist schwierig: die Bebuschung, Zerstörung der im lockeren Boden tief eintretenden Baumwurzelu, das öftere Betreten, vielleicht auch ehemalige Aufgra- bungen und die helle Färbung der Humusschichte sind hinderlich. In der Vertiefung der 4. Ssopka, wo sich Wasser ansammelt, ist die Erde über %, Fuss tief braun gefärbt, oben stellenweise schwärzlich und in einen Wurzelfilz von 1 Zoll Dicke übergehend; eine ähnliche Einwirkung des stehenden Wassers be- merkte ich auch an anderen Orten vielfach und kön- nen diese Fälle nicht benutzt werden für die von mir gebrauchte Normal-Bestimmung der Humusinfiltration auf den nicht vertieften Spitzen der Ssopki. Gegenüber Staraja Ladoga, am rechten Ufer des Wolchow, sind einige unbedeutende Ssopki, von wel- chen etwa 5 oder 6 mit Gesträuch bewachsen sind. Die grossen Ssopki befinden sich am linken Ufer nörd- lich von der Stadt, sind meist kahl oder mit einzelnen Tannen und Wachholdern besetzt. Die ersten 2 Ssopki sind bei der Kirche Johannes des Täufers; die 1. ist sehr breit, etwa 5 Faden hoch, an der Flussseite zur Hälfte eingestürzt, durch Arbeiten in den unterlie- genden Sandsteinbrüchen; 2. schmal, doch 3—4 Faden hoch, sehr. beschädigt. Die 3. bis 7, Ssopka sind ganz nahe beisammen, etwa 1 Werst von der Stadt; die Aufschüttung ist Sand, an der Umgebung der Basis in eine lichte Dammerde übergehend, nur die 7, ist dunkler gefärbt; 3. ist 2'/ Faden hoch, 4. nur 14, Faden, verflacht, an der Spitze mit Spuren nicht alter Nachgrabungen; die 5. ist sehr voluminös, 4-5 Faden hoch, in der Mitte kraterartig ausge- graben mit einer Seitenöffnung zum Fluss-Abhang zu; der Kraterrand ist mit Festuca ovina bewachsen, die einbis 1 Zoll dickes Rasengeflecht bildet, dessen Wür- zelchen noch 2 Zoll tiefer eindringen, der Boden ist aber gar nicht mit Humus gefärbt, ebenso jung wie der Trichter. Die 6. Ssopka ist klein, kaum 2 Faden hoch, die Vertiefung an der Spitze ist benarbt, mit einem flachgedrückten */, Zoll dicken abgestorbenen Rasen, unter welchem alte Kohlenreste bis 6 Zoll und tiefer eingestreut sind, während schwache Spuren von Humus nur bis 3 Zoll tief gehen. Die 7. ist 2", Fa- den hoch, im Getreidefelde, die Vertiefung an der Spitze hat ziemlich dunkle braune Dammerde, erst bei 10 Zoll Tiefe (anch schon früher ein wenig) mit hellen Sand gemischt und durch stehendes Wasser entstanden, denn der Wall hat fast gar keine Fär- bung. Eine ähnliche Erde hat sich unter diesen Be- 543 Bulletin de l’Académie Impériale dingungen auf der 1. Ssopka gebildet, während das durch Einsturz entblôsste Profil nahe zur Spitze kaum با‎ Zoll Färbung unter dem Rasen hat. Von der 7. Ssopka etwa 60 Faden entfernt sind noch 2 bebuschte Ssopki: 8. nur 2 Faden hoch; 9. und letzte, gross, etwa 4 Faden, Humusinfiltration an der Spitze schwach nur bis و1‎ Zoll deutlich, obgleich in 6 Zoll Tiefe der Sand heller wird. Im Allgemeinen kann man über die Ssopki von Alt- Ladoga Folgendes sagen. Eine Vertiefung an der Spitze ist nicht immer vorhanden (8. 9); oder sie ist frisch aufgewühlt und nicht benarbt (2. 3. 4) oder nur schwach (5.), oder die Benarbung ist durch ste- hendes Wasser begünstigt (7.), so dass nur die 6. Ssopka sich den geforderten Bedingungen am meisten nähert. Auch die Abhänge aller Ssopki sind benarbt, aber durch das häufige Betreten und Abgrasen ist der Pflanzenwuchs gestört worden und viele kahle Stellen entstanden. Die Färbung durch den Humus ist, bei fast gleicher Beschaffenheit, viel blasser und undeutlicher, besonders in die Tiefe nicht so scharf abgegränzt, wie bei den Kurganen von Ssednjew, die viel deutlichere Zeichen eines höheren Alters haben. Allein die Ssopki am Wolchow und besonders von La- doga sind der Schauplatz und Tummelplatz von Kriegs- ereignissen und Schatzgräbereien gewesen und ihre ursprüngliche Oberfläche hat nachweislich so stark gelitten, dass sie kaum oder nur wenig für unseren Zweck geeignet sind. | Die Msta war in älteren Zeiten ein bequemer Weg für Völkerwanderungen. Aus ihr konnte man einerseits leicht auf der Twerza oder Mologa in die Wolga, an- dererseits in den Ilmensee und den Wolchow kommen. In der Gegend, wo die Moskauer Eisenbahn hoch über das Flussthal der Msta führt, liegen an den Ufern derselben, in einer Längen-Ausdehnung von 1 Werst, eine Menge Ssopki, die sich von jenen am Wolchow durch ihre meistens geringe Hóhe (nicht viel über 2 Faden) unterscheiden und an der Spitze niemals vertieft sind. Das Dorf Bor liegt 1 Werst von der Eisenbahn; von da 2 Werst flussaufwärts bei Staraja Derewnja sind 5 Ssopki von 1 — 2 Faden Hóhe aus fast reinem Sande, mit einer Humusschicht von 2—3 Zoll am Gipfel, 3 — 6 Zoll unten: sie liegen zwischen Äckern. Noch 2 Werst weiter sollen 2 Ssopki sein, ebenso 10 ` Werst von Bor aufwärts, am rechten Ufer der Msta bei Sacharowa, 2 beackerte Ssopki von 4 Faden Höhe; von da 3 Werst weiter beim Kirchdorfe Kolomna soll die letzte, jetzt zerstörte, Ssopka flussaufwärts sich finden. Flussabwärts wusste man von 7 Ssopki an der Msta, 35 Werst von Bor, nahe bei Ustwolje. SW. vom Dorfe Ssuriki, unweit der Eisenbahn, am rechten Ufer der Msta befinden sich 3 bewachsene Ssopki. Die entfernteste (N° 1) liegt über einem kleinen Bache, der Sharkowa, auf einem Hügel, dessen Mut- terboden unter dem Aufwurfe eine stellenweise bis 3 Zoll dicke schwärzliche Erdschicht hat, deren Fär- bung hauptsächlich bewirkt wird durch eine Menge frischer vollsaftiger Knöllchen von Equisetum arvense, die auf ihren abgestorbenen Rhizomen sassen oder auch lose eingebettet waren und nicht tiefer in den Mutterboden eintraten. Ausserdem giebt es in dieser Schicht noch braune, ganz vermoderte leichte Holz- stücke und braune locker zusammengebackene schwere Sandsteinklumpen, bestehend: aus Sandkörnern, brau- nen strukturlosen Humus-Partikelchen und sehr we- nigen Phytolitharien, weshalb der Ursprung der Fär- bung aus einem Rasen sehr zweifelhaft ist; mit Âtz- kali gerieben kein ammoniakalischer Geruch. Unter der gefärbten Schicht liegt eine andere 4 Zoll dicke aus kleinen Steinen und unter dieser Sand von der- selben Beschaffenheit, wie das Material des Aufwurfes. Die Ssopka ist bewachsen mit üppigem Grase und Bir- ken. Am Gipfel liegt 2 Zoll tief schwarze Erde, unter welcher die Humus-Färbung noch 1— 3 Zoll tiefer geht. Diese, so wie die übrigen Ssopki dieser Gegend, liegt zwischen Áckern. Die Ackererde beim Dorfe ist durch langes Düngen schwärzlich (ausgetrocknet grau) geworden und bildet eine Krume von 4", Zoll auf gelblichem Alluvial-Sande. Die 2.Ssopka liegt näher zum Flusse hin, hat oben 4 Zoll tief schwache Humus-Fürbung auf róthlichem Sande. Auf ihr wachsen Kiefern und alte Tannen, so wie auf der 3. Ssopka, die oben bloss 1 Zoll tief Hu- musspuren zeigt. Die 2. Ssopka ist an der Flussseite mit grossen Steinen eingefasst, wahrscheinlich Resten eines Steinringes; der Mutterboden unter dem Auf- wurfe ist gefärbt durch braune völlig vermoderte Holzfragmente. Im Dorfe Ssuriki sind 3 zerstörte un- brauchbare Ssopki. 545 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 546 Gegenüber Ssuriki am linken Ufer der Msta liegt das Dorf Gorodischtsche mit 16 Ssopki. Die 2. Sopka (von unten) stand auf einem durch abfärbende Holz- kohlen schwärzlichen Mutterboden (Brandstätte) in einer ungleich dicken Schicht, die nicht 4 Zoll über- traf. Die Oberfläche der Ssopka war stark beschädigt, die Humusrinde undeutlich. Ich liess hier einen alten Schädel ausgraben, der gegenwärtig in der craniolo- gischen Sammlung der Akademie mit näheren Erläu- terungen aufbewahrt ist. Der Schädel nähert sich dem dolichocephalen Typus und ist durch die Entwickelung des Hinterhauptbeines bemerkbar: die Entfernung vom hinteren Rande des Foramen magnum bis zur Pfeilnath der Scheitelbeine beträgt 55 Par. Linien, während bei viel grösseren Schädeln dieses Maass ge- ringer ist. Die 3. Ssopka ist an der Spitze und Basis 3 Zoll tief mit Humus gefärbt; unten mit einem Ringe von grossen Steinen eingefasst. Die 4. «Tschornaja Ssopka» hat an der Basis der Abhänge bis 4 Zoll tief eine schwärzere Färbung, als die übrigen, was durch die Corylus-Bedeckung erklärlich ist; auf dem Gipfel ist eine Grube von 3 Fuss Tiefe, gegraben in ei- ner Zeit, seit welcher wieder die Oberfläche des Kraterrandes auf 1 Zoll tief sich mit Humus getränkt hatte; in der Vertiefung lag 2 Fuss tief braune Erde, entstanden durch Fäulniss des zusammengehäuften Laubes. Die übrigen Ssopki sind hart an den Bauern- häusern; die letzte, der Eisenbahn zunächst, ist gross, ganz sandig und mit Kiefern bewachsen. Es sprang sogleich in die Augen, dass sämmtliche Ssopki so angelegt sind, dass sie auch bei der gröss- ten Wasserhöhe nicht überschwemmt werden, ja dass sie noch merklich über dieser Linie liegen. Ein bei- läufiges Nivellement mit Libelle und Stangen gab 19 Fuss für den Unterschied des niedrigsten und höch- sten Wasserstandes, des letzteren seit Menschenge- denken im J. 1848; für den verticalen Abstand von der Basis der Sharkowa Sopka bis zu jener Wasser- höhe im J. 1848, beinahe 16 Fuss; desgleichen von der Basis der 2. Ssopka am rechten Ufer fast 12 Fuss. Ziemlich entfernt von dieser 2. Ssopka, indessen noch 10 Fuss über dem höchsten Wasserstande, fand ich mitten im reinen Sande tief eingescharrt dieselben braunen vermoderten strukturlosen sehr leichten ab- färbenden Holzstücke, wie in der Basis der Ssopka, was für eine fortwährende Versandung der Ufer in Tome IX. der Vorzeit spricht und durch andere Stücke bekräf- tigt wird, die noch ihre Struktur erhalten haben und näher zum Flusse hin tief im Sande begraben waren, an einer Stelle, die im J. 1848 an 4 Fuss hoch über- schwemmt war. Es ist also weder hier, noch in den zwei anderen Fällen, wo eine Färbung des Mutter- bodens deutlich war, erwiesen, dass diese Stellen, auf welchen die Ssopki aufgeworfen wurden, ehemals mit einer Rasenschicht bewachsen waren. Dasselbe Mate- rial, auf welchem sich seit der Zeit des Aufwurfes eine Humusschicht von 2 Zoll bildete, hatte seit sei- ner ersten Trockenlegung in der Vorzeit bis zum Aufbau der Ssopka nicht den vierten Theil einer sol- chen Schicht erzeugt, da man den mathematisch be- rechenbaren Druck berücksichtigen muss, der auf die oberflächliche lockere Humusschicht, nicht aber auf die tiefere Humusinfiltration Einfluss haben konnte. Die Ssopki sind daher auf einen Boden aufgeworfen, der jünger ist, als die Ssopki selbst und wahrschein- lich in einer Zeit, als das mittlere Niveau der Msta merklich höher war, als jetzt. Über die Kurgane von Ssednjew besitzen wir be- merkenswerthe Nachrichten von Hrn. Prof. Blasius (Reise 1844 II, 200), von mir bereits erwähnt im Bullet. Acad. VII (1864), S. 424. Die Wichtigkeit des Gegenstandes veranlasste mich, dieselben näher zu prüfen. Ich bin sehr erfreut, zu sehen, dass meine Bestimmungen der Humusschichte auf und neben den Kurganen, von diesen Angaben, im Ganzen so wenig und nur insofern abweichen, als die Gränzen meiner Messungen sich wahrscheinlich auf mehrere Beispiele gründen, von welchem indessen alle nur einigermaas- sen zweifelhafte auszuscheiden sind. Die Zahl der Kurgane in der nächsten Umgebung beträgt gegen- wärtig nur 120, höchstens 150, unter ihnen ist eine bedeutende Zahl kleiner, unansehnlicher, und bald kann diese Zahl durch Beackerung noch weit gerin- ger werden. Alle Kurgane sind aus hellem feinen Sande aufgebaut, haben an der Spitze niemals muldenför- mige Vertiefungen, an der Basis keine steinernen Ein- fassungen; Steinfiguren sind im ganzen Lande unbe- kannt. ee 4 Südlich von Ssednjew, wenn man von Tschernigow ankommt, auf der linken (etwa westlichen) Seite der Strasse und hart an derselben, sind 6 m übrig: 5 347 Bulletin de l’Académie Impériale der Reihenfolge von S. nach N. a. 1 Faden hoch; auf der Spitze 12 Zoll grauer Tschornosjom (zum Theil aufgeworfen?), lichter als auf dem nahen und eben so hohen Kurgan b., dessen Humusschicht 7'/, Zoll (Pa- riser, wie alle früheren und folgenden Maasse in Zoll); c. 14 Faden von b., fast 1'/, Faden hoch, Spitze 4 Zoll tief, dunkel gefärbt durch Humus; d. 230 Faden von c. und von derselben Höhe; Humus 3 Zoll dunkler -- 9 Zoll heller + 3 Zoll? undeutlicher Färbung. e. nahe bei d. und etwas hóher; gegenüber dem 5. Kurgan: Humus an der Spitze 23 Zoll und scharf be- | grünzt (Aufschüttung), auf anderen Stellen nur 6 Zoll; f. fast 1'/, Faden hoch; Humus 6 Zoll grau + 2" un- deutlich. - In derselben Parallele, auf der rechten (östlichen) Seite der Strasse und ganz nahe bei ihr, sind 7 Kur- gane: 1. Höhe 2 Faden, auf der Spitze 15 Zoll tief (aufgeschütteter) dunkelfarbiger Tschornosjom, weiter unten 6 وب‎ undeutlich. 2. Kurgan 2'/ Faden hoch, Humus 4 Zoll, tiefer undeutlich. 3. Kurgan 1 Faden hoch, 14 Zoll grauer Tschornosjom (aufgeschüttet). 4. Kurgan 1 Faden hoch, Humus 6 Zoll sehr dunkel -- 3^ heller; neben der Spitze eine Vertiefung, dar- unter der Humus ebenfalls 6”+- 3" aber noch dunkler, nieht verschieden von grauschwarzem Tschornosjom. 5. Kurgan 1 Faden hoch, Spitze 6 Zoll tief, schwach gefärbt. 6. Kurgan 1 Faden hoch, Humus auf der Mitte des Abhanges 3" ب‎ 2" streifenweise; weiter unten ist Tschornosjom nesterweise mit Sand gemischt. 7. un- brauchbar durch ein neueres Grab. Die Kurgane 1 bis 4 liegen nahe beisammen, ebenso 5 — 7; N? 2 tritt mehr zur Strasse vor, er ist von N° 5 etwa 120 Faden entfernt; N* 5 an 300 Faden von der knieförmigen Gelee der Strasse im Städtchen, welchem 3 7 am nächsten ist. Nicht so bestimmt lassen di die Kurgane bezeich- nen, welche östlich und entfernter von der Strasse کم‎ am Äckern liegen: 8. Kurgan, nicht sehr weit vom 7., fast 1'/ Faden hoch, oben 13 Zoll grauschwar- zer سم‎ (Aufschüttung), ähnlich dem Acker- boden der Umgebung. 9, a. b. südlich von 8, zwei Kurgane beisammen, 1 Faden hoch, zu Kellern um- gewandelt; 70. östlich und nahe vom 9. beschädigt und unbrauchbar, wie 77. Der 12. Kurgan hat eine Humusschicht von 6 Zoll + 3" undeutlich. 14 bis 24. NO. vom 73., eine Gruppe bildend; der höchste (N° 14) hatte fast 1'/ Faden Höhe, auf der Spitze auch 6 Zoll Humus und stellenweise noch 3 Zoll darunter undeutliche Färbung. Von dieser Gruppe nach SO., etwa '/, Werst entfernt, befindet sich ein 17۸ Faden hoher, breiter Kurgan (X), auf der Spitze mit 3 Zoll aschgrauem Humus, darunter noch 9" heller gefärbt. Zwischen diesem Kurgan und der frü- her erwühnten Gruppe liegen wohl 25 — 35 kleine Kurgane von 2 — 4 Fuss Höhe, zum Theil zerstört oder beschädigt. Die andere Hälfte der Kurgane befindet sich NW. von Ssednjew. Das Profil einer nahen Regenschlucht zeigt 12 — 15, auch 18 Zoll hellen Tschornosjom. In einer Gruppe von wohl mehr als 40 Kurganen fand ich regelmüssig 5 — 6 Zoll Humus an der Spitze; der hóchste unter ihnen ist über 1 Faden hoch, hat 6 Zoll Humus, in die Tiefe ziemlich scharf begränzt ; der näch- ste Rand der Regenschlucht, 3 Faden tiefer, hatte 6 Zoll hellen Tschornosjom; das Übrige mag duxdh Ab- spülen verloren gegangen sein. Links von der Strasse liegen einige Kurgane zwi- schen Feldern; einer hatte 1 Faden Hóhe, auf der Spitze 3 Zoll hr helle Humus-Färbung, während 12 Faden von ihm entfernt die Erde schwärzlich war " 24 Zoll dick auf hellem Sande lag. . Bei dem 7. Werstpfahle sind an 24 kleinere Grab- hügel mit einer Humus-Fürbung von 3' عد‎ 2" undent- lich. Diesen gegenüber auf der rechten Seite des We- ges bei der Kapelle des jetzigen christlichen Begrüb- nissplatzes befindet sich ein von allen bisherigen ganz verschiedener, über 1'/, Faden hoher und sehr breiter Kurgan, umgeben von 12 kleineren. Dieser grosse Kurgan scheint ganz von Tschornosjom aufgeworfen zu sein, wenigstens fand ich an den Abhängen und auf der ipiis wo ich bis 2 Fuss tief graben liess, keine Ánderung in der schwarzen Farbe und keine Spuren von Beimischung einer anderen Erde. Allein auf der Oberfläche des Kurgans hatte sich, seit der Zeit des Aufwurfes, unter dem Rasen eine bis 1 Zoll dicke Schicht Rasenerde, vom Aussehen eines grauen Tschornosjom, ohne Infiltration Së: bildet, und diese zolldicke Rinde liess sich sehr gut durch ihre Farbe von dem schwärzeren Material: des Kurgans unterscheiden. Sie hatte 3 /, Humus; das letz- tere 47 (sieh Analysen. im Anhange).. 4 Faden von diesem Kurgan entfernt war der Meridien nicht L4 549 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 550 Tschornosjom, sondern eine gewöhnliche graue Damm- erde von nur 6 Zoll Dicke, die sich erst seit der Zeit des Aufwurfes gebildet hatte, da wahrscheinlich aller Tschornosjom der nüchsten Umgebung zum Aufbau des Kurgans abgenommen wurde. Die Fürbung der zolldicken Erdrinde ist nicht verschieden von jener einiger anderen schon früher erwähnten Kurgane. Be- rücksichtigt man dazu die 6 Zoll dicke Humus-Lage der Umgebung, so ist kein Grund da, ein bedeutend verschiedenes Alter dieses Kurgans vorauszusetzen. Die Beschaffenheit der natürlichen Erdoberfläche ist überall in der Nähe der Kurgane wenig verschie- den; es ist ein lockerer feiner Sand, welchem nur eim wenig Lehm beigemischt ist, weshalb auch der Tschornosjom mehr oder weniger staubartig oder leicht zerreiblich ist. Nur auf einer Stelle, schrüg gegen- über dem 8. Kurgan, an der Westseite der Strasse, hart beim Städtchen, wird der Boden lehmig. In ei- ner Grube sieht man eine klebrige, ausgetrocknet feste Schwarzerde, an 6 Fuss mächtig; die oberste Schicht ist نی‎ in Klümpchen zerfallend, 50 Zoll dick; sie liegt auf einer anderen helleren 19 Zoll dicken und sehr zähen, und diese auf dem Unterboden, einem festen hellen Lehm. Auf diesem Boden sind keine Kurgane. ^im Schlosspark befindet eich ein als «Kurgan» be- zeichneter, wohl natürlicher Hügel, der auf der Spitze eine Schicht von :16'/, Zoll schwärzlichen Tschorno- sjom auf weissem Sande hat. Unter dem Rasen lagen bis 6 Zoll tief Holzkohlen. Dieses Beispiel ist zwei- felhaft, da bei der Örtlichkeit frühere Abspülungen nicht unmöglich waren. Dagegen halte ich für gültig den Boden auf der Anhöhe, nicht weit von der Schloss- pforte: schwarzer staubartiger Tschornosjom, von der- selben Beschaffenheit, wie das Material des erwähn- ten specifischen Kurgans, liegt 3'/, Fuss (genauer 38 Zoll) máchtig auf dem Unterboden, in û der Nähe eines trockenen Grabens. Auf den Feldern ist die schwarze Erdschicht 6—10 Zoll dick, tiefer wird sie gemischt und hell, erst in 3 Fuss Tiefe fehlt die Färbung durch Humus gänz- lich. 6 Faden vom Kurgan 9° fand ich 24 Zoll Tschor- nosjom unten scharf abgeschnitten, von derselben Be- schaffenheit, wie auf dem Kurgan, dagegen an einer anderen Stelle 1 Faden weit von demselben Kurgan (9*) 43 Zoll, vielleicht durch zeitweilig stehendes Was- ser begünstigt. Ich untersuchte deshalb den regel- mässigen seichten Graben an der Basis des 2." Kür- gans und fand ebenfalls 48 Zoll braunen Tschorno- sjom, bloss die 7 untersten Zoll waren heller gefürbt ; der Rasen im Graben war üppiger. Noch eine Bestü- tigung: 3 Faden vom 5. Kurgan in dem Strassengra- ben ist die Humus-Schicht 23 Zoll tief und darüber noch 22 Zoll hellgraue Erde bis zur Oberfläche des Ackers, also im Ganzen 45 Zoll; die Humus-Färbung ist kaum dunkler, als auf dem Karten) Dagegen ist der Boden in einer anderen Richtung, 3 Faden ent- fernt von demselben 5. Kurgan, 20 Zoll tief mit scharf abgegränzter Färbung; in Folge dieser Nähe könnte man einwenden, dass etwas Erde von der ehemaligen Oberfläche zum Aufwurf des Kurgans verbraucht wurde. Ich grub daher 12 Faden seitwürts von den Kurganen 1 — 4 auf dem Felde und fand 25 Zoll Tschornosjom, oben ziemlich dunkel, in 14 Zoll Tiefe aschgrau. Zuvor ist ein Beispiel von 24 Zoll beim Kurgan 9° erwähnt, und weiter oben ein anderes von gleichfalls 24 Zoll NW.vom Städtchen. Für den Mutter- boden erhalten wir daher aus den gemachten Beob- achtungen einerseits 38 — 45 Zoll, andererseits 20 bis 25 Zoll (Prof. Blasius fand 24 — 60 Zoll). Der Unterschied, 1 —2 Fuss, könnte wohl auch eine Folge der Unebenheit des Terrains sein, die ich zwar über- all vermied, die aber doch leicht dem blossen Auge ent- gehen — wahrscheinlicher ist er indessen von der Pnébtiykéit abzuleiten, welche die Vegetation begünstigt und die m Theile den — nicht so leicht verwehen lässt. Loaded Blasius fand für die Humus-Schicht der ma bis 9 Zoll. Wenn man alle zweifelhaften Fälle in mei- nen Beobachtungen nicht berücksichtigt, so kann man für die Mehrzahl derselben ebenfalls 6 Zoll oder mit der undeutlichen oder schwächeren Färbung 9 Zoll Humus-Färbung aufstellen. ۷۰ TAR ۸ Vergleicht man die Homus-Schiehf. auf den Kur- ganen mit jener neben ihnen, so ergibt sich, dass er- stere 3 — 7 mal geringer ist, als letztere. Hierbei ist noch eine genauere Unterscheidung möglich, nämlich 3 — 37, mal für trockneren Boden und 7 — 7", mal für feuchteren. Aus den Zahlenangaben von Blasius findet man 4 — 6 mal, vielleicht ees 10: mal, da die einzelnen Beob sind. Hieraus folgt noch nicht, ‚dass die Kurgane 3 oder 7 Bulletin de l'Académie Impériale mal jünger sind als ihr Mutterboden, denn die Kurgan- Rinde hat weniger Humus als eine gleich grosse Schicht des Mutterbodens. Es muss daher zuvörderst das quantitative Verhältniss der organischen und unor- ganischen Bestandtheile beiderseits durch die che- misch - analytische Methode auf ihren wahren Werth reducirt werden, um für das relative Zeitmaass der Humus-Bildung brauchbarer zu werden. Liebhabern für eine solche Aufgabe stehen Proben zu Gebote. Die Messungen der Humus-Schicht unter den Kur- ganen, welche nicht unbedeutende Erdarbeiten erfor- dert hätten, um richtige Resultate zu geben, auch den hoffentlich baldigen archäologischen A ufgrabungen nur schüdlich gewesen wáren, bleiben diesen überlassen. Das Schichten-Profil des ganzen Durchmessers und der verlängerten Linie kann bei dieser Gelegenheit ohne viele weitere Mühe sicher bestimmt werden. Hierbei wird zu berücksichtigen sein, dass die schwarze Kruste des Mutterbodens mächtiger sein kann, als sie wirk- lich war, durch den ersten Aufwurf aus der Tschor- nosjom - Schicht der nächsten Umgebung. Die Lage der Knochen, Holzkohlen, gemischte Erde u. dgl. kann dabei entscheiden. -Dass der Boden von Ssednjew alt ist, bezeugen noch mehrere dort wachsende Pflanzen des Tschornosjom- Gebietes, wie: Veronica incana, Dianthus Carthusia- norum, Scabiosa ochroleuca, Eryngium planum u. a., die durch die Cultur so verdrüngt sind, dass sie sich stellenweise nur auf den Kurganen erhalten haben. DieGrasbildung der Kurgane ist vorherrschend Festuca ovina. Von einem begünstigten Klima und Boden zeu- gen die im Schlossgarten üppig im Freien wachsenden Exemplare von Catalpa, Tamarix, Platanus, Gledi- tschia, Robinia Pseudoacacia, Syringa persica, Cytisus Laburnum u. à. Drei Stationen von Ssednjew und 3 Werst von der Stadt Beresna an der Strasse nach Ssossniza, sind ei- nige unansehnliche Kurgane, auf welchen ausser der obigen Veronica, Dianthus und Scabiosa, auch Cam- panula sibirica, Salvia pratensis und Cytisus austria- cus wachsen, obgleich dort kein Tschornosjom zu be- merken ist. Hier so wie allerorts ist es gegenwürtig für die Pflanzen- Geographie nicht mehr hinreichend, das Vorkommen gewisser Pflanzen zu constatiren, son- dern es ist wünschenswerth zu zeigen, warum sie hier vorkommen und dort fehlen? Dies ist die zeitgemässe Aufgabe langjähriger localer Untersuchungen. Über den Inhalt der Kurgane von Ssednjew wusste man an Ort und Stelle nichts weiter anzugeben, als einen Münzfund in einem 2 Werst entfernten Kurgan. Aus dem Archiv der K. Ermitage ergab sich, dass man im J. 1851 (N° 220) in dieser Gegend 296 Silber- münzen fand, darunter Polnische, Brandenburgische und Dänische aus den J. 1618 — 1624; also ein in viel spüterer Zeit in dem alten Kurgan verborgener Schatz. Man nahm früher an und Prof. Blasius wiederholte, dass diese Kurgane aus den Zeiten Baty’s abstammen. Ich hörte gegenwärtig an Ort und Stelle die Ansicht, dass die Kurgane von Ssednjew (in alten Zeiten Rai Gorodok, auch Ssnoweisk genannt) von den Überfällen der Polowzer herrühren sollen, auf Grundlage eines im Kloster Jelezk in Tschernigow aufbewahrten Doku- mentes über die Auffindung des wunderthätigen Mut- tergottesbildes auf einer Tanne. , In einer mir erst jetzt bekannt gewordenen Abhan lung von Markow (Hrenie Her. u apes. 1847) wird die Auffindung dieses Bildes auf das J. 1060 oder etwas früher verlegt. Tschernigow kommt als Stadt bereits im J. 907 vor und lag im Gebiete des slawischen Stammes der Ssewerier. Seit der Mitte des VIII. Jahr- : hunderts erscheinen die Chosaren als ihre Nachbarn im S. Im J. 1078 wurde Tschernigow das erste Mal zerstört durch die Polowzer; im J. 1152 kamen die Polowzer von der Gluchow’schen Strasse: vom Fluss «Sswin’, der jetzt Samglai heisst», 11 Werst von Tschernigow und belagerten diese Stadt; im J. 1235 wurde sie theilweise verbrannt, und 1240 von den Tataren zerstört. Hr. Markow nimmt an, dass die zahlreichen Kurgane westlich von Tschernigow vom J. 1240 herrühren; die Tataren kamen damals von West. In der Stadt Tschernigow befinden sich 2 Kurgane: 1. der schwarze (sepuas worm) im Gar- ten des Klosters Jelezk, in welchem der Fürst Tschermnoi (Jepmnoä) im J. 1215 begraben sein soll; indessen widerspricht dem der Umstand, dass christ- liche Fürsten damals nicht mehr so bestattet wurden, sondern in den Kirchen oder auf ihren Besitzungen in der Erde und nicht über ihr. 2. Unbenannter Kur- gan, 125 Faden und NO. vom vorigen, auf dem Hofe der Handwerker-Schule. Beide Gräber sprechen eher — 553 des Sciences de Saint-Pétersboure. für einen bedeutenden Mann aus dem Ende des X. Jahrh. oder für einen heidnischen Fürsten aus dem Ssewerischen Geschlechte. Im J. 1701 fand man, beim Graben des Fundamentes für den Kathedral-Glocken- thurm, ein so grosses silbernes Götzenbild, dass dar- aus, unter dem Hetman Mazepa, die Thüren des Al- lerheiligsten (napckia ABepu) angefertigt wurden. Die Kurgane von Ssednjew kónnen vielleicht von den Normannen stammen, die in der Mitte des X. Jahrh. in Tschernigow einen Hauptsitz hatten. Kufisehe Mün- zen würden diese Vermuthung unterstützen. Oleg un- terwarf sich Smolensk, Tschernigow und von Kiew aus bekriegte er die benachbarten Slawen an der Dessna und dem Pripet; er erbaute zu Ende des IX. Jahrh. Burgen. Nach Hrn. Bytschkow starb Oleg bei Staraja-Ladoga und wurde dort begraben. Die Kurgane von Ssednjew blieben Kóppen unbe- kannt und gehóren gar nicht in seine als «Kurgane» bezeichnete Abtheilung, deren charakteristisches Merk- mal Steinfiguren sind. Kóppen's Kurgane (tatarisch Kyr-Chane=Grab-Haus) gehen bis ins Gouv. Kursk,12 Werst nórdlich von Obojan. Das nórdlichste Steinbild fand sich zwischen Bjelgorod und dem Kirchdorf Bo- rissowka. So weit reichte auch das Herodotische Scy- thien. Köppen hält die Kurgane grösstentheils für vor-Scythische Denkmäler, wenigstens für vor-Hero- dotische, also auch für vor-historische; nicht bloss für Gräber, sondern auch für Denkmäler eines alten Cultus. Rubriquis, ein reisender Minorit in der Mitte des XIII. Jahrh., sagt, dass die Komanen (Polowzy der Russ. Chron.) über den Gräbern Hügel mit Steinfigu- ren errichten. In einer Abschrift der Nowgorod'schen Chronik wird beim J. 1224 eines Kurgans der Po- lowzy (IlozoBenkiü xyprams) erwähnt. Pallas und Klaproth glauben, dass Rubriquis verschiedene Völ- kerstämme verwechselt. Es konnten aber auch andere heidnische Stämme im Kriege mit den Polowzern ihre Todten verbrannt oder in Kurganen begraben haben, ungeachtet des angeblichen Befehls der Grossfürstin Olga (im X. Jahrh.), dass man auf die Gräber keine hohen Kurgane aufwerfen solle, wie das bis dahin bei Heiden der Gebrauch war. Man wusste durch Herodot, dass die skythischen Königsgräber an den Dnjeperfällen zu suchen seien. rt waren auch eine Menge Grabhügel mit unförm- lichen Steinfiguren, die eine Schale in Händen hal- tend, vom Jenissei, dem Ursitz der Tschuden, bis über den Dnjeper hinaus zu finden sind und als Beweis für die Einheit der Skythen mit den Tschuden gelten, weil den einen und anderen ein solches Gefäss als Haupt- Attribut zugeschrieben ward. Man fand in diesen Grab- hügeln nur Nachahmungen griechischer Schmucksa- chen, Waffen und Geräthe, zum Theil von Gold, Elek- trum und Silber, doch ohne künstlerischen Werth (Mu- ralt in St. Petersb, Zeit. 1864). Zwischen dem Dnjeper und Asow'schen Meere, im Melitopol'schen Kreise, an der Molotsehna, sind von J. Corniess Messungen der Tschornosjom-Schicht un- ter und neben geóffneten Grabhügeln gemacht und von Kóppen (1845 Bull. hist.-phil. IT, N° 13) mitgetheilt worden. Die damals unerklürliche Erscheinung, dass die Humus-Schicht unter dem Grabhügel zuweilen 1%, bis 2 Fuss niedriger ist, als die Oberfläche der sie umgebenden Steppe, ist ganz natürlich die Folge des Erstickens der Vegetations-Schicht durch das Auf- schütten des Kurgans. Der als N° 12 bezeichnete Tu- mulus hatte ein Alter von 2 — 4 Zoll Humus-Bildung, denn die Humus-Schicht unter dem Hügel war 10 Zoll dick; während sie 20 — 30 Fuss entfernt 12 — 14 Zoll mächtig auf dem unorganischen Unterboden lag. Das Alter des Grabes N* 13 war gleich 1 Fuss Neu- bildung von Humus, da dieser unter dem Hügel 1 Fuss, 5 Faden davon aber 2 Fuss dick war. Die Hügel N° 2 und 3 waren noch älter, nämlich 2 — 2'/, Fuss Hu- mus-Neubildung seit dem Aufwurfe. Der Mangel ei- ner Humus-Schicht unter dem Kurgan deutet auf einen natürlichen Hügel. Für einen solchen halte ich jenen als Nr 1 bezeichneten Tumulus erster Grösse, von 15 Fuss Hóhe und 162 Fuss Durehmesser, 8 Werst von Melitopol; rund um den Hügel war 4 — 5 Fuss tief schwärzliche Dammerde, von der weder in noch tin- ter dem Hügel eine Spur vorhanden war; die Men- schenleiche war oberflächlich eingescharrt, in neuerer Zeit. Ein Tumulus blieb mir unerklürlich; man müsste die Original-Beobachtungen von Corniess in extenso vergleichen, die sich vielleicht unter den nachgelasse- nen Papieren Kóppen's vorfinden. Dort'konnten auch Angaben über die Humus-Rinde der Oberfläche dieser Kurgane verzeichnet stehen und würden eine Ver- gleichung mit den Kurganen = Perth gestatten. jua «cial ESC 71 Er 5 دا‎ + AES GES à ` شرا‎ 8 ١ 555 Bulletin de l’Académie Impériale 556 In Pallas’ Neuen nordischen Beytrügen VII (1796), S. 340 findet man eine Mittheilung Sievers’ vom J. 1793, aus den Vorbergen desAltai, vom Fl. Kurtschum, in der Nähe des Sees Ballak-Tschilek. In dieser Ge- gend sind eine grosse Menge alter sogenannter Tschu- den-Gräber, die auf eine starke Bevölkerung in frü- heren Jahrhunderten hindeuten und von den Kirgisen einer fremden ganz verloschenen Nation zugeschrie- ben werden. Sievers liess durch 8 Arbeiter ein an- sehnliches Grab öffnen, was 2 Tage Arbeit kostete. Wir lassen Sievers Worte folgen: «Erstlich hatten wir eine grosse Menge Steine aus- einander zu werfen; dann folgte eine fusshohe Lage schwarzer Dammerde, unter dieser war bis auf den Boden des Grabes nichts wie klarer Granit und Quarz- gries, mit vieler mica foliacea, wovon die hiesige Ge- gend voll ist. Das Gewölbe des Grabes war aus gros- sen unbehauenen Granitplatten zusammengesetzt, aber zusammengefallen.» Nach dem Wegräumen der Plat- tenund des Sandes fand Sievers ein morsches Gerippe eines 6jährigen Pferdes und einen menschlichen Schä- del mit Resten von Röhrenknochen. Die «Physiogno- mie» des Schädels schien Sievers einem Kalmücken ziemlich ähnlich gewesen zu sein; auffallend war das sehr flach zurückfallende Stirnbein und die beinahe viereckige Gestalt der orbitae, das Hinterhaupt fehlte ganz; man schloss auf ein Alter von etwa 50 Jahren. Um alle überflüssige Beschreibung zu vermeiden, ver- weist Sievers auf die sehr genau gerathene, dem Prof. Blumenbach mitgetheilte Zeichnung in natürli- cher Grösse. Wohin mag der Schädel gekommen sein? Hierüber gibt Blumenbach (Decas IV, 1800) folgende Auskunft. Er bestätigt den Empfang der Abbildung und des Steigbügels für das Göttinger Museum und erwähnt, dass der Schädel selbst zu morsch war, um einen Transport zu vertragen. Ein anderer Schädel aus diesen Tschuden-Gräbern von Kolywan, welchen Blumenbach abbildet, wird von ihm als Mittelform der Caucasischen und Mongolischen Race charakterisirt. Zwischen dem Menschen- und Pferdegerippe sah Sievers die Figur eines etwa 1/, Ellen langen zwei- sehneidigen zollbreiten geraden Schwertes; das Eisen konnte man mit den Fingern zerreiben. Neben dem- selben lagen 10 eiserne Pfeilspitzen gleichsam anein- ander festgesintert, die Endspitzen waren dreiblättrig. In der Brustgegend fand man viele Goldblättchen, so wie sie natürlich und häufig in den Kolywanischen Erzen vorkommen. Dann entdeckte man 2 geschmie- dete goldene Ringe, jeder etwa 2 Quentehen schwer; | Spangen und Beschláge vom Pferdegeschirr aus Kupfer, dünn versilbert, eine ebenso verarbeitete 2 Zoll grosse Platte, alles sehr verrostet, etwas Leder, Holzspuren, «Baumwolle», Zeug und einen kupfernen schlecht bearbeiteten Steigbügel. Weiter schreibtSievers:«Das Grab war 1'/, Faden tief. Ohngefähr in der Mitte der Vertiefung setzte eine 3 Zoll mächtige graue Erdlage durch, die das Ansehen von Asche hatte; hin und wie- der bemerkte ich auch Nester einer schwarzen Erde, die mir wie gebrannte vorkamen.» La Sieversschliesst aus diesem Funde auf ziemlicher- fahrene Metall-Arbeiter und aus den Spuren des alten Bergbaues in den Kolywan'schen Gruben auf nicht ungeschickte Bergleute. Das Erdreich dieser Tschu- den-Grüber ist trockener Sand auf Granitfelsen, daher die theilweise Conservirung des Schädels. Le us Es ist dies die einzige mir bekannte Nachricht aus Sibirien mit einer Messung der-Humus - Schicht auf alten Gräbern, deren Inhalt so belehrend ist, wie in diesem Falle. Sie genügt zwar einer strengen Kritik nicht, die genauere Angabe der Lage der Steine, wel- che weggeräumt werden mussten, um weiter zu gra- ben, lässt etwas zu wünschen übrig. Ritter (Asien I, | 196 — 199) sagt, dass die Oberfläche der Dammerde 7 von einer grossen Menge Granitblöcke bedeckt war, - allein diese Worte weichen vom Originaltexte ab. Bit ter vermuthet ganz richtig, dass die fussdicke schwarze Dammerde erst durch die Vegetation erzeugt wurde, ist aber dabei im Zweifel, ob sie nicht auch durch — Kohlenbrand entstanden sei. Sievers hältsieohne weis ` teres für «Dammerde» und unterscheidet davon ganz genau die im Grabgewölbe befindliche 3 Zoll dicke = graue Erdlage von Asche und die stellenweisen Nester ` von gebrannter schwarzer Erde. Eine mit Kohlen Fragmenten gemischte und dadurch schwarz gefärbte ` Erde ist zu leicht von schwarzer Humus-Erde zu ui terscheiden. Vielleicht sind die Steine viel später W aufgehüuft worden oder lagen in der obersten Schicht der Dammerde. did Chemische Analysen des Tschornosjom. _ P Hr. E. Borszezow hat auf meine Bitte einig mir mitgebrachte Tschornosjom- Proben quant des Sciences de Saint- Pétersbourg. bestimmt und mir die Resultate auf beifolgender Ta- belle mitgetheilt. Es sind diese Proben: 1) Von Ssusdal, 1 Werst westlich von der Stadt beim Dorfe Selzo, vom Acker aus 1 Fuss Tiefe, bei- nahe über dem Unterboden. In Klümpchen-Form. 2) Vom Borowski-Kurgan an derMoskwa, aus 2 Fuss Tiefe von dem Abhange des künstlich veränderten ` Gipfels. Staubartig. 3) Von der höchsten Stelle des Dessna- Ufers, 10 Werst südlich von N. Ssewersk, unberührter dun- ١ kler, meist staubartiger Tschornosjom. 4) Wolgahöhen bei Ssimbirsk, N. von der Stadt, in den Steinbrüchen aus 3'/, Fuss Tiefe. In Klümp- chen zusammengebacken, wie 1, 5, 6. 5) Bei Menselinsk, schóner tiefer Tschornosjom von einem rohe thani, unter Absinthium und peren- ` nirenden Gräsern genommen. DI 36 Werst westlich von Malmysch, jungfräulicher schwarzer Boden, '/ Fuss tief unter dem Rasen. ` In Klümpchen-Form wie 5. ^7) Vom rechten Oka-Ufer bei Kolomna. Aschgrauer sandiger Tschornosjom in den Steinbrüchen, von der Oberflüche genommen. 8) Von dem hóchsten Punkte des rechten Oka-Ufers bei Sserpuchow. Hellgrauer staubartiger — nosjom, unter dem Rasen genommen. 9) 27 Werst westlich von Kromy, unberührter grau- schwarzer staubartiger Tschornosjom, bis 9 Fuss tief. 10) Ssednjew bei der Kirchhof- Kapelle. Schwarzer staubartiger Tschornosjom, mit welchem der grosse Kurgan aufgeschüttet ist; die Probe 1 Fuss tief unter der Oberflüche (dem Rasen) gesammelt. 11) Von demselben Kurgan wie 10. Grauschwarze Dammerde von der Spitze des Kurgans, 1 Zoll dick den alten schwarzen Tschornosjom überzie- hend, seit der Zeit des Kurgan-Baues entstanden. Ich bin sehr gern bereit, auch andere zahlreiche Proben für Analysen mitzutheilen. 100 Theile der bei 100° C. getrockneten Erdpro- ben enthalten : ۱ EI 1 0 ۰ d E 1 > : E " 9 eTR ا ها 9اه | و‎ ۳ De b» o A È . = i 887189 ۱۳۵ | 22 | ۶2 | 8 ۶۱۵ 8١| وى‎ d |" €^ 2 ~= e e Ki هد‎ ei w o e E ER ü ` A Soco Stoffe: RSA اراد‎ Dani um : In Salzsäure unlösliche ... 79.09 | 90.42| 61.79 | 83.10 | 79.95 | 96.62 | 89.12, 87.69 | 92.30 | 94,82 "T eg xr eege jo 13.51 | 4.71| 28.224) 10.65 | 10.83| 151| 7.52 766} 3.61) 2.07 dem Sontag p Stoffe ........... 8,84 | 740| 486| 999 | 625, 9.1) 186, 3.35! 464| 405 3.11 KE CS ER i ; Bat gu 100.00 1100.00! 99.99 100.00 100.00, 99.99 | 99.99 99.99 | 99.99 | 99.99 |10.000 3 : C. ET Wasser in | 000 ESE Jufttrockne — | inan AUTE berechne] 867 | 2.99 | 225| 639 | 486| 594 081 250) 484| 207 095 * We die Probe N° 11 von Ssednjew bemerkt Hr. Borszezow, dass die qualitative Vorprüfung gröss- tentheils nur "Quarzsand, gemengt mit sehr wenig Sal- zen und organischer Materie zeigte. Am meisten ent- hält die Erdprobe Eisenoxyd mit etwas Eisenoxydul, dann aber kohlensauren Kalk und Thonerde. Die übri- gen Bestandtheile: Kali, Natron, Magnesia — sind nur a vorhanden, ebenso die Säuren (Schwefel- 8) darunter 18.02 kohlensaure Kalkerde, d. h. „3.85% der Ge- sammtmenge aller in Salzsäure lósl. Stoffe. 9) nämlich 2.19 0.27 Humus- Kohle und 3.38 süure, Phosphorsáure) und das Chlor, von en nur web geringe Spuren nachgewiesen werden konnten. Hr. Borszczo w macht aufmerksam auf die Abhän- gigkeit des Gehaltes an hygroskopischem Wasser von der Menge der in Salzsäure löslichen Stoffe und der organischen Bestandtheile. Je grösser der Gehalt der Erde an diesen beiden ist — desto mehr hygroskopisches Wasser enthält dieselbe (sieh Ssimbirsk, Malmysch, li Kolomna, Ssednjew 11.). Dieses Verhältniss wird aber au fgehobesé sobald deti in Salzsäure unlósliche Theil der Erde aus reiner besteht. So enthält die Erde von یو‎ bis 13.51 in Salzsäure Humus - en; Pin E cu TOT X m Ammoniak-Salze, chemisch gebun- 559 Bulletin de Académie Impériale 560 lösliche Stoffe und bis 7.40 organische Materie — und dennoch ist der Gehalt an hygroskopischem Was- ser ein verhältnissmässig geringer — 2.99. Dagegen ist bei der Probe von Kromy, wo der in Salzsäure unlösliche Theil aus Thonerde-Silicaten besteht, der Gehalt an hygroskopischem Wasser beinahe dem Ge- halte an organischer Substanz gleich (4.84 : 4.64). Die Erdproben von Kolomna und Ssednjew 11.enthalten die grösste Menge reiner Kieselerde, weshalb der Gehalt an hygroskopischem Wasser bis auf ein Minimum re- ducirt ist (0.51; 0.95). Dieses Verhältniss scheint von grosser Wichtigkeit zu sein bei der Beurtheilung der relativen Fruchtbarkeit des Bodens und seiner Fä- higkeit, im Wasser aufgelöste Stoffe zurückzuhalten. Früher war nur der an den Humus gebundene Was- sergehalt, der den Boden vor gänzlichem Austrocknen schützt, bei Erklärung der Fruchtbarkeit in Betracht gezogen worden. ۱ |. Hr. Prof. Petzholdt gab1861 (im Archiv f. Naturk. Ostseepr. III, 103) eine genaue Analyse einer Schwarz- erde aus dem Gouv. Poltawa. Es waren 2 Proben ei- ner Ackerkrume bis 10 Zoll Tiefe, nur wenige Ar- schin von einander entfernt, die eine war fruchtbar, die ` andere unfruchtbarer «Salzboden». Beide zeigten in 100 Theilen ungeglühtem, bei 115^ getrocknetem Zu- stande fast denselben Humus-Gehalt (7.9 : 6.76). Fer- ner waren in 100 Theilen schwach geglühter Proben (nach Abzug der Kohlensäure 0.12 : 0.76) die meisten Bestandtheile (unlósliche 87.7 : 87.6, lósliche Kiesel- säure 5.5 : 4.97, Thonerde 2.56, Eisenoxyd 1.8 : 1.7, Schwefelsäure 0.07, Natron 0.07 : 0.06, Kali 0.3 : 0,24 und Spuren von Chlor) fast in derselben Menge vor- handen; nur Kalkerde (0.89 : 1.09), Phosphorsáure (0.61 : 0.19) und Magnesia (0.4 : 1.46) zeigten grös- sere Differenzen. Es wurde schon lange in allen Hand- büchern angegeben, vielleicht zuerst von Tennant, und durch diese Analyse bestütigt, dass die Unfrucht- barkeit des Bodens von dem grossen Gehalt an kohlen- saurer Magnesia herrührt. Indem diese leichter lós- lich ist, als der kohlensaure Kalk, stórt diese con- centrirte Lösung im Boden die Pflanzenernäh- rung. Der sogenannte «salzhaltige» Tschornosjom im Taurischen und Jekaterinoslawschen Gouvernement lässt Bäume nicht aufkommen in Folge der concentrir- ten Gyps-Auflösung (Petzholdt Reise 1864, S. 176); in anderen Fällen wegen Chlornatrium und kohlen- sauren Eisenoxydul. Dieser Salzboden (coaommpi) ist häufig im Gouv. Poltawa und soll auch ins Gouy. Tschernigow gehen, so weit als der Tschornosjom (das Brunnenwasser zwischen Tschernigow und Ssed- njew ist salzig). Physikalisch ist kein Unterschied zwi- schen fruchtbarem und unfruchtbarem Boden; der Bo- den ist tief schwarz bis auf 1 Arschin. Diese Unter- suchungen sind von Einfluss auf die Erklürung des Mangels oder der geringen Entwicklung des Tschor- nosjom in Gegenden, wo man das Vorhandensein des letzteren voraussetzen müsste. Ebendaselbst lieferte Prof. Petzholdt Analysen von auf nassem Wege gebildeten Bodenarten. 1) Aus dem Torflager von Avandus in Estland, welches in der Mitte 22 Fuss mächtig ist. Lufttrok- kene Proben aus der obersten Schicht gaben 1.56% Asche, aus der mittleren 7.23, aus der unteren 9.4‘). Der Aschengehalt nimmt also nach der Tiefe zu. Die mineralischen Bestandtheile haben die Moorpflanzen dem Wasser entzogen. Die procentische Zusammen- setzung der Asche in verschiedenen Lagen des Torfs ist verschieden: die Asche der untersten Schicht (9.4%) gab nach Abzug des Unlöslichen (etwa 4°/,) und der Kohlensäure —: Kalkerde 42.7, Schwefelsäure 29.3, Eisenoxyd 21.5, Thonerde 4.0; der Rest 2.47 kommt auf Phosphorsäure, Kali, Natron, Magnesia, Chlorna- trium und lösliche Kieselerde. Die Asche der Pflan- zendecke und die Asche von Sphagnum enthält viel mehr lösliche Kieselsäure 11 — 12°/,, viel mehr Kali 19 — 24%, und Natron 2 — 11%,, mehr Magnesia 6 bis 11%, und Phosphorsäure 7 — 9% — dagegen we- niger Schwefelsäure, Eisenoxyd und Kalkerde. Eine Zusammenstellung von 11 Analysen verschiedener Torfaschen findet man in Liebig's Chemie 1 862.1, 436. 2) Wiesen- oder Grünland- Moor (bei Dorpat), hauptsüchlich aus Carices und Grüsern bestehend, ohne Sphagnum, zeigt keine regelmässige Zunahme an — Aschen-Procenten. Der Aschengehalt varürt in ver- — schiedenen Tiefen von 7 — 20*/. Die Asche ist aus- serordentlich reich an Schwefelsäure und Eisenoxÿd Die von mir vorgeschlagene biologische Ein ` theilung der verschiedenen Humuserden scheint 0 mit jener Classifikation der Bodenarten nzustim - des Sciences de Saint- Pétersbourg. men, welche Gasparin lieferte, so weit sich dies aus Froriep's Notiz, 1839 (XI, 321) beurtheilen lüsst. Gasparin unterscheidet 1. Bodenarten mit organi- scher Basis, solche, welche 50%, ihres Gewichtes ver- lieren, wenn sie so lange erhitzt werden, bis sich keine «Dämpfe» mehr entwickeln; diese sind entweder süsse oder sauere Pflanzenerden, je nachdem das Wasser, in welchem die Erde digerirt oder gekocht wurde, Lakmuspapier róthet oder nicht; 2. Bodenarten mit mineralischer Basis, welche beim Erhitzen weniger als 25%, verlieren. Davon, dass die ersteren auf nas- sem Wege, die letzteren auf trockenem Wege entstan- den sind, wird nichts erwähnt. . Verbreitung des Tschornosjom ausserhalb Russland. Die schwarze Ackererde im Banat ist ausser- ordentlich fruchtbar, besonders für Cerealien und Öl- pflanzen (Reps). Sie ist chemisch untersucht worden durch Hauer 1852 (Jahrb. geolog. Reich. III). Je nach der Menge des Humus ist sie hell- oder dunkelgrau, braun, zuweilen befeuchtet fast ganz schwarz (Toba, Zombor und Theresiopol). Diese dunkle Farbe besitzt oft noch der Untergrund bei 5—6 Fuss Tiefe. Grössere Steine fehlen durchaus und Sandkörner sind selbst mit der Loupe nicht wahrzunehmen ; auch andere mechanische Eigenschaften sind so, wie bei einigen Tschornosjom-Proben des südlichen Russlands. Die Analysen von je 3 Proben aus 5 Orten waren aus eultivirtem ungedüngten Boden. Der Gehalt an trok- kenem Humus nahm überall mit der Tiefe regelmässig ab: in der Ackerkrume bis 6 Zoll Tiefe betrug er 9.5—-7.4°/,, im Untergrunde bis 2 Fuss Tiefe 6— 2%, in der Tiefe bis 5 oder 6 Fuss 3.7”—1.8°/,; hygroskopi- sches Wasser: oben von 5.2 — 3.2, tiefer weniger, in de: grössten Tiefe 3.8—1.8"/. Dennoch glaubte Hr. Y. Hauer einen chemischen Unterschied des Banater Sehwarzbodens vom Russischen Tschornosjom darin zu finden, dass ersterer in den durch Sáuren aufge- lösten Bestandtheilen weniger Phosphorsäure hat (oft nur Spuren, aber doch bis 0,23) und weniger Kali mit Natron (aber doch in Toba bis 0,63 und tiefer bis 1,05). Hauer standen damals nur die Analysen von Petzholdt zu Gebote. Indessen erklärte Letzterer Später (Archiv III, 82), dass die vor dem J. 1861 ein- geschlagene Methode, den Gehalt an Alkalien zu be- Tome IX. stimmen, unzuverlässig gewesen sei. Und so wird, wohl auch in chemischer Beziehung, zwischen der Banater Schwarzerde und dem Tschornosjom kein wesentlicher Unterschied anzunehmen sein, wenn nicht etwa die hypsometrischen Verhültnisse und die Vegetation der Gegend widersprechen. In Transkaukasien sah ich nur ein einziges Mal eine Gegend, die auf Tschornosjom nüher zu prüfen wäre: nämlich zwischen Abbas Tuman und Achalziche — hochgelegene und ausgedehnte Äcker, von Weitem durch ihre schwarze Färbung bemerkbar. Die brei- ten Thäler des unteren Rion, der Quirila und des Alasan sind oder waren dicht bewaldet. Es existirt keine Karte, welche die Verbreitung des Tschornosjom in Sibirien so anschaulich macht, wie für das Europäische Russland. Ja selbst die mir bisher bekannte Literatur über diesen Gegen- stand enthielt nur äusserst spärliche Notizen. Durch weitere Lektüre bin ich auf einige Angaben von Gme- lin (in dessen Vorrede zum I. Bd. der Flora Sibirica 1747) gestossen; Gmelin gebraucht im lateinischen Text den Ausdruck: schwarzer Humus oder schwarzer fetter Boden. Die reichlichste Ausbeute machte ich indessen in Hagemeister's St Übersicht Si- biriens. Da dieses Werk bloss in Russischer Sprache (1854) erschienen ist und wenig im Auslande bekannt zu sein scheint, so gebe ich hier die an verschiedenen Stellen des Buchs zerstreuten Angaben, oft geschöpft aus unveröffentlichten officiellen Berichten, mit Ein- schaltungen aus Murchison, Ledebour, Pallas u.a. Im Uralgebirge selbst fehlt keineswegs der Tschor- nosjom. Nach Murchison ist er hie und da in den niederen Schluchten (gorges) und an beiden Abhängen des südlichen Urals im Baschkiren-Lande auf Plateaux von mehr als 1000 Fuss abs. Höhe. Hr. v. Helmer- sen fand daselbst schon früher Tschornosjom-Schich- ten von 10 Fuss Mächtigkeit. Im Allgemeinen zeigt sich der Tschornosjom auf der Ostseite des Uralge- birges von derselben Ausdehnung von N. nach S. wie auf der Europäischen Seite, namentlich vom 54 bis 57° (Fl. Tobol bis zum Fl. Nitza). Südlich vom Iset (56°) reiste Murchison durch grosse Strecken Tschornosjom-Bodens, z. B. bei Kamensk, dann zwi- schen Mjäsk und Troizk. Nach Hagemeister ist im 36 P SST 1. Bulletin de l'Académie Impériale Gouv. Tobolsk bis 56° an der Grünze der Baraba, der Tschornosjom desto reichlicher, je höher der Ort liegt, während die Niederungen, die nicht vor langer Zeit noch ausgetrocknet sind und früher vom Wasser bedeckt waren, keinen Tschornosjom haben, sondern Schlamm, Sand und stellenweise Salzboden. Die Tschornosjom-Zone schei- det sich streng ab von der sandig-lehmigen und salzi- gen Kirgisen-Steppe, der Ischim-Steppe im 53 — 545 wo lockerer Tschornosjom bloss in den Niederungen und an Flussufern sich findet (ob angeschwemmter Tschornosjom oder etwa schwarzer Schlamm?), wäh- rend die höheren Punkte sandig und schotterig sind, indem dort, nach Hagemeister, in Folge der übermäs- sigen Trockenheit der Luft kein vegetabilischer Tschor- nosjom sich bilden konnte. Tschornosjom liegt hinge- gen am Fusse mancher Berge, welche westlich vom oberen Ischim die Steppe durchschneiden. Zwischen den Städten Omsk und Petropawlowsk ist die ganze Gegend mit Tschornosjom bedeckt, welcher zunimmt von dem Fusse der Berge nach N., anderswo aber in der nördlichen Ebene der Kirgisen-Steppe hat sich der Tschornosjom, nach Hagemeister, bloss gebildet an den Ufern der Flüsse durch Fäulniss (nepermoenie) der Kräuterdecke. NW. von diesen Gegenden, näher zum Uralgebirge zu, im Kreise Tura, ist die Erde meistens schwarz; an der Tura im Kreise Tjumen ist der Boden sandiger Tschornosjom, und ebenso im Kreise Kurgan, östlich vom Tobol. Bis zum Irtysch, d. h. im östlichen Theile des Kreises Kurgan, im Kreise Ischim und Omsk ist der Lehmboden mit Tschornosjom bedeckt. Im Kreise Jalutorowsk ist Tschornosjom am Iset und an der Gränze des Kreises Ischim erreicht er zuweilen eine Dicke von '/, Arschin. Im stidlichei Winkel West-Sibiriens und zwar nórd- lich von dem See Alakul, also gegen den Tarbagatai zu, ist die Erde fruchtbar, mit Tschornosjom. Die Ufer des Irtysch von Ustkamenogorsk (790 Fuss) bis Semipalatinsk (708 Par. Fuss) haben an ei- nigen Stellen Tschornosjom; bei letzterer Stadt ist er 2 Fuss dick (IIlanos», Pycer. 01080 1864, Cenr. cr. 97). Nach Gmelin ist schwarzer fetter Humus-Boden am Irtysch von Semipalatinsk bis 100 Werst vor Ja- mischewskaja ; noch weiter abwärts wird Tschornosjom am Posten Tschernorezk angegeben. Das rechte Ufer des Fl. Ulba, der rechts unter Ustkamenogorsk in den Irtysch fállt, ist flach, mit kuppelförmigen Hügeln, deren Abhänge mit fettem Tschornosjom bedeckt sind. Auf den Höhen der Baraba, zwischen den Seen und Sümpfen, liegt eine dieke Schicht Tschornosjom, der ziemlich fruchtbar ist, aber in dieser Beziehung nicht verglichen werden kann mit den Gegenden am Fusse des Altai’schen Gebirges. Für diese finden sich ein Paar Angaben von Schwarzerde bei Pallas (III, 263, 577). Nach Ledebour trifft man von Barnaul (366 Fuss) nach 12 Werst auf die sandige Steppe und vor Schadrinsk eine Strecke weit auf fette schwarze Damm- erde mit kräftiger Vegetation, ebenso bei Kalmyzkoi Mys; Pallas fand am unteren Lauf des Tscharysch in der Steppe bei Charlowa und Tschagirsk schwar- zen Boden auf Kalkstein, was für den Getreidebau als günstig gilt; Hagemeister fügt noch Tschornosjom zwischen den Bächen Inei und Tulata hinzu und er- wähnt, dass der Tscharysch aufwärts fruchtbare und mit einer dicken Schicht Tschornosjom bosch genden durchschneidet. Nach Gmelin hat die ganze obere Regions zwischen dem Ob und Jenisei schwarzen fetten Boden; beson- ders die Berge am Fl. Tom ; einen so ergiebigen Acker- bau, wie bei Kusnez, sah Gmelin nirgends anderswo in Sibirien; in den engen Thälern soll indessen das Getreide nicht reifen. Auch am Fl. Ina ist nach Hel- mersen Tschornosjom. Südlich von der Strasse aus Tomsk nach Krasnojarsk, an den Vorbergen des Ala- tau, ist der Boden sehr fruchtbar und bedeckt mit dickem Tschornosjom ; ebenso beschaffen ist der Boden am linken Ufer des Tom und auch auf der westlichen Seite des Ob bis zum Einflusse des Tom und bis zum Fl. Schegarki, aber, weiter nach N. verschwindet der Tschornosjom und der Ackerbau wird küm- merlich. An den Fl. Tschulym und Kija und von da längs der Strasse im Kreise Atschinsk bis Tomsk (324 Fuss) nimmt der Tschornosjom; nach Tschigatschow, mit der Annäherung zum Alatau-Gebirge zu: ~ Zwischen dem Altai und dem linken Ufer des Je- nisei ist Tschornosjom, um so dicker, je näher zu den Bergen; je weiter von denselben, um So unfruchtbarer und salziger ist die Steppe. Der Jenisei scheidet West- von Ost-Sibirien; das rechte Ufer ist hoch und nach Ost hin wird die Gegend im- mer bergiger. Der Kreis Krasnojarsk hat mehr oder des Sciences de Saint- Pdtersbourg. weniger Tchornosjom, um Krasnojarsk ist Sand. Von Krasnojarsk (525 Fuss) bis Jeniseisk fällt der Fluss um 229 Fuss. Am oberen Jenisei, in der Nähe des Sajan’schen Postens, ist etwas Tschornosjom im Thale. Gmelin sah am Jenisei fetten schwarzen Boden von ` Sajansk bis zum Fl. Dubtsches. Im Kreise Minussinsk sind die fruchtbaren Tschornosjom- Felder 10 Werst vom Jenisei entfernt. Auf der rechten Seite des Je- nisei, im Kreise Minussinsk, zwischen den Fl. Tuba und Abakan, ist der Ackerbau am vortheilhaftesten auf den Hóhen, wo dicke Schichten Tschornosjom lie- gen; dort schadet der Saat weniger die Trockenheit der Luft, wodurch sich Ost-Sibirien auszeichnet, als vielmehr die Frühfróste im August; in den Thälern und Abhängen brennt im Sommer alles aus und wird im Herbst durch den Reif verdorben. Zwischen dem Jenisei und Baikal trifft man Tschor- nosjom im Kreise Kansk, von Krasnojarsk bis zum ۰ Tassejewka oder Uda und am Fl. Kana. Zwischen Kras- nojarsk und Kansk ist längs der Strasse der frucht- barste Tschornosjom. Östlich von Kansk (663 Fuss) beginnen dichte Coniferen-Wälder, der Boden ist san- dig und bloss in Niederungen trifft man Tschorno- sjom (?). Im Nishne-Udinskischen Kreise schneidet die grosse Poststrasse Lehmboden, stellenweise gemischt mit Tschornosjom, der nach SO. immer mächtiger wird, so dass zwischen den Fl. Ija und Oka schon reiner Tschornosjom auftritt, der auch die Ebene um die Stadt Nishne- Udinsk (1138 Fuss) bedeckt. Von der Station Ukowska ist Birkenwald auf Tschornosjom- Boden, der jenseits der Uda mit Lehm sich mischt. Von der Grünze des Kreises Nishne-Udinsk bis zur Bjelaja ist der Boden theilweise Tschornosjom, eben- $0 von der Bjelaja bis Irkuzk (1355 Fuss). Am FI. Irkut, gegen Tunkinsk zu, fángt der Getreidebau 170 Werst von Irkuzk an; ungeachtet der hohen Lage leidet er in den Thälern seltener von Frost, der Bo- den ist eine dicke Schicht Tschornosjom. Die Man- surische Hochsteppe an den Quellen der Lena (2842 Russ. Fuss), die sich bis auf 44 Werst Irkuzk nähert, hat unerschópflichen schwarzen Getreideboden. Die Berge zwischen der Lena und Angara sind bedeckt mit einem rothen Lehm (Tschornosjom wird nicht er- Wähnt), der ohne Düngung 10 Jahre lang als Getrei- deland dient. An der Strasse gegen das linke Ufer der Angara ist so mächtiger Tschornosjom, dass man ihn alljährlich ohne Unterbrechung besäet, bis er sich nach 80 Jahren erschöpft. Am Kitoi, linken Zufluss der Angara, ist auch Tschornosjom; dieser wird 1 Ar- schin mächtig auf Sand im Thale des Ilim, einem Zu- flusse der Angara von Ost. Nach Gmelin sind auch die Steppen an der Tunguska mit schwarzem Humus bedeckt, aber die Stellen sind so klein, dass kein Ackerbau getrieben werden kann, dafür sind die In- seln fruchtbar; Gmelin fand fetten Humus an den Fl. Kan, Ud, Tassejewa, Tschona und Ussol, an der Birussa und Keschma; an der Lena geht er bis Spo- loschna, aber nicht in einer für den Getreidebedarf nöthigen Ausdehnung. Die Lena bei Kirensk hat 720 Fuss abs. H. Der Baikal hätte nach diesen Angaben bei Hage- meister 1449 Par. Fuss ^) abs. H., denn die Angara hat bei ihrem Austritt aus dem Baikal bis Irkuzk 94 Fuss Gefälle. Die Mündung der Kjachta in die Selenga ist 370 Fuss höher als der Baikal-See, aber 360 Fuss niederiger als Kjachta auf der beginnenden Erhebung der Gobi-Steppe, auf welcher Urga um 500 Fuss höher als Kjachta liegt. Tschornosjom ist an den Ufern der Selenga bis zur Mündung des Baches Itaniza, dann bei dem Dorfe Iswolinskaja am linken Ufer der Se- lenga; am rechten Ufer, nördlich von der Stadt Selen- ginsk, ist auch etwas Tschornosjom. Das Thal der Uda ist unfruchtbar; das Thal der Chilka ist enger und hat häufig auf den Bergabhängen Tschornosjom und ist daher fruchtbar; noch reichlicher die Ufer des ۰ Tschilkoi, Das enge Thal des Fl. Dshida, westlich von der Selenga, hat nur an wenigen Stellen Tschor- nosjom. Im Allgemeinen ist die ganze Gegend zwi- schen dem Baikal und Stanowoi Chrebet auf den sanf- teren Nord- Abhängen häufig mit Tschornosjom be- deckt, auf dem Süd-Abhange findet er sich seltener. Bassin des Amur, Nach Gmelin haben die Ge- genden am mittleren und unteren Argun, am Urum- kan und Gasimur äusserst fetten und schwarzen Hu- mus, der nicht nur schöne Wiesen trägt, sondern auch dem Ackerbau günstig ist. Der Boden des Gebietes von Nertschinsk ist, nach Hagemeister, zum Theil Tschornosjom, wenn der Unterboden nicht so leicht 10) 1360 Fuss, da Irkuzk nur 1270 Fuss abs. H. hat nach Radde 1861 (in Baer u, Helm. Beitr. XXIII, 157). Die barom, Bestimmun- gen im J. 1852 gaben für den Baikal 1308’ und für die Basis des von Irkuzk 1237 Fuss Russ. 36* 367 Bulletin de l’Académie Impériale 568 zerstörbar ist, aus Kalk, Syenit u. dgl. besteht. Die obere Ingoda hat stellenweise sandigen Tschornosjom. Am Unda (Zufluss des Onon) sind die ergiebigsten Tschornosjom-Äcker des Nertschinsk-Gebietes; eben- so fruchtbar ist das Land am Urula (Zufluss der Schil- ka). Nertschinsk liegt etwa 2000 Fuss hoch. Das Bassin der Lena ist ganz mit Urwäldern be- deckt. Auf den Gebirgen ist steiniger Boden. Nir- gends wird Tschornosjom erwähnt. Nach Gmelin sind die Humus-Schichten bei Jakuzk 10 — 11 Zoll dick; sie sollen indessen Lauberde ausgerotter Wälder sein. Die Lena bei Jakuzk hat 280 Fuss abs. H. Das Vorkommen von Tschornosjom in Ost-Sibirien in Hóhen über 1000 Fuss ist nichts Befremdendes, wenn man damit eine ähnliche Erscheinung im Ural- gebirge vergleicht und noch mehr in den Vorbergen des Kaukasus, südlich von Stawropol, woselbst Herr College Abich beträchtliche Ablagerungen des Tschor- nosjom in einer abs. H. von 1680 — 2430 Fuss vor- fand. Nur die Steilheit des Gebirges und die fortwährende Zerstörung der Oberfläche des- selben ist die Ursache, warum ich nirgends im gros- sen Kaukasus diese Bodenart sah; es waren höchstens an begünstigten Stellen Bildungen von brauner Ra- senerde. Viel eher befremdend wäre das Vorkommen von Tschornosjom in grossen Ebenen, die nur unbedeu- tend über dem Niveau des Meeres liegen. Wir sehen aber, dass die Beobachtungen in Europa und West- Sibirien gerade das Gegentheil zeigen. Der Ob bei Beresow liegt kaum 50 Fuss über dem Meere, Kä- inyschlow an der Pyschma 211 Fuss + 35 Corr., der Irtysch bei Tobolsk 108 Par. Fuss, die Stadt Tara 192 Fuss, überall fehlt noch Tschornosjom. Er ist auch nicht angegeben bei Kainsk in der Baraba (288 Fuss) und bei Jeniseisk, wo der Jenisei 310 Fuss abs. H. hat, wohl aber in der Nähe von Tomsk, welche Stadt 324 Fuss hoch liegt. Die Gränze der Sibirischen Niederung nach Ost wird indessen, nach Hagemei- ster, nicht durch den Jenisei bestimmt, sondern durch die Wasserscheide zwischen dem Jenisei und Ob. Diese Niederung wird im Süden begränzt durch eine Linie, die von Tschulym nach Tomsk und von da den Ob flussaufwärts bis zu den Vorbergen des Altai und Alatau sich erstreckt. Sibirien wird nach N. zwischen dem Ob und Tas immer niedriger. Das Land zwi- schen dem Ural und Ob ist das niedrigste im mittleren Theile West-Sibiriens und noch jetzt über- deckt mit einer Menge von kleinen und grösseren Seen. Zu berücksichtigen ist hier die Angabe Gmelins, nach welcher süsse Seen in der Steppe zu Men- schen-Gedenken in salzige verwandelt wurden, z. B. die Seen Worowoje und Treustan im östlichen Kreise von Mjäsk (Näheres darüber in Fl. Sibir. $.17). Gmelin erwähnt auch einer Tradition unter den Tata- ren, dass vor 300 Jahren weder am Irtysch, noch an der Ischma und um Tjumen jemals Bäume gestanden hätten, sondern erst dann zum Erstaunen der Bewoh- ner allmählig aus der Erde herausgewachsen seien. Durch diese Sibirische Niederung konnte nach Ha- gemeister und Humboldt (Asie centrale, 1843, II) eine Verbindung des Eismeeres mit der Aralo-Kaspi- schen Niederung bestanden haben. Hr. v. Helmer- sen spricht sich bereits 1837 (im Bullet. sc. Acad. II, 107) darüber folgender Weise aus: «Was auf dem Wege vom Ural zum Altai vorzüglich auffällt, sind die kaum verkennbaren Spuren eines ehemals vorhanden gewesenen Meeres zwischen Europa und Asien. Denken wir uns nämlich die Wasserfläche des Aral- und Kaspischen Meeres nur um ein Gerin- ges höher, als ihren gegenwärtigen Stand, so würde sie eine breite Furche ausfüllen, welche sich in NO: Richtung von diesen Meeren, am Ostfusse des Urals hinzieht und durch eine Reihe von Senkungen des Bodens bezeichnet ist, die durch zahlreiche Gruppen von Salzseen an einen trocken gelegten Meeresboden erinnern. Wie in NW. das Uralgebirge, so bilden die Vorberge des Altai in SO. die Ränder dieser merk- würdigen Furche, deren Lokalitäten zu erforschen eine sehr interessante Aufgabe wäre.» Diese An- schauung wird noch mehr durch die Verbrei- tung des Tschornosjom unterstützt. Eine Was- serhöhe von beiläufig 60 Toisen war hinreichend, nicht nur diese Furche, sondern auch das ganze west- liche Sibirien, bis an diá früheren (Tsch m-) Ufer des Ural- und Altai-Gebirges, in ein. Meer zu verwan- deln, das einerseits mit dem Eismeere in Verbindung stand, andererseits mit dem alten Aralo-Kaspischem Meere, Der Sibirische Tschornosjom - Boden ist be- reits da gewesen, als zu dieser Zeit der Rückzug (die Verminderung) dieser ungeheueren 0 deckung begann. | des Sciences de Saint-Pétersbourg. Es würde mich zu weit führen, ausführlich zu zei- gen, dass auch hier eine mit den Verhältnissen im Europäischen Russland übereinstimmende Verschiedenheit der Floren ausgeprägt ist. Es freut mich zu sehen, dass auch Hr. Prof. Hoff- mann nach einer mühsamen Arbeit (Bot. Zeitg. 1865) zu dem Schlusse kommt, dass das gegenwärtige Areal mehrerer Pflanzen im westlichen Deutsch- land nur durch ein Zurückgehen auf die Con- figuration des Landes in der Vorzeit zu ver- stehen ist. Entdeckung einiger schwacher Nebelflecke, von O. Struve. (Lu le 11 janvier 1866.) Sir John Herschel hat in den Phil. Transactions für 1864 einen kritisch bearbeiteten vollständigen Catalog aller Nebelflecke veröffentlicht, von deren Existenz er bis zum Erscheinen jenes Werks Kennt- niss erhalten hatte. Dieser Catalog hat mir bei den in den letzten Monaten angestellten Nachsuchungen nach dem Biela’schen Cometen als Führer gedient, so dass ich nicht in die Versuchung kam, die gelegentlich im Felde des Refractors erscheinenden Nebelflecken für den Cometen zu halten. Es war mir dabei inter- essant und selbst von Bedeutung, dass ich an keinem Abende innerhalb des Raumes, über welchen sich je- des Mal mein Suchen ausdehnte, auch nur einen ein- gom Fall nachweisen konnte, dass ich einen von Her- nicht leicht erkannt hätte Hierdurch ist wenigstens dargethan, dass, trotz dem im Allgemeinen sehr ungünstigen Zustande der Atmo- sphäre während der letzten Beobachtungsperiode, die Durchsichtigkeit der Luft doch hinlänglich gross gewesen wäre, um den Cometen in unserm Refractor leicht zu erkennen, wenn er den schwächsten Nebel- Becken ‘jenes Verzeichnisses an Helligkeit gleichge- kommen wäre; ja wir dürfen in dieser Beziehung we- nigstens für einige Abende die Grenzen noch weiter Stecken, an denen es uns gelang, noch schwächere P "SES AE La ts zt Nebelflecke, die nicht in dem Verzeichnisse vorkom- men, ganz deutlich zu erkennen. Sobald ein solches nicht registrirtes Object im Gesichtsfelde erschien, wurde natürlich jedesmal die Hoffnung angeregt, dass wir nun endlich dem lang ersehnten Wanderer auf die Spur gekommen seien. Leider hat sich diese Hoffnung bis jetzt nicht bewührt und steht auch deren Erfül- lung für die diesmalige Erscheinung an unserm Re- fractor nicht mehr zu erwarten, sowohl wegen der südlichen Declination der Gegend, in welcher in näch- ster Zeit der Comet gesucht werden muss, wie auch weil jene Gegend in unserer Breite von jetzt an nicht mehr aus dem Bereiche der Dàmmerung tritt. Indem ich somit das fernere Nachsuchen aufgegeben habe, glaube ich, dass es nicht ganz ohne Interesse sein dürfte, das Verzeichniss der bei den bisherigen vergeblichen Be- mühungen entdeckten Nebelflecke zu veröffentlichen, theils weil sie überhaupt zur Completirung des Ver- zeichnisses dieser Himmelskórper beitragen kónnen, dann aber auch weil sie interessante Vergleichungs- punkte für die optische Kraft verschiedener grosser Re- fractoren bieten dürften. Da nämlich allerseits mit den stárksten Fernróhren nach dem Cometen ausgeschaut worden ist, so werden gewiss von andern Astronomen einige von diesen Nebelflecken gleichfalls erkannt sein und vermuthlich auch noch manche andere in Gegen- den, über welche sich wegen trüben Himmels, an an- dern Tagen, unsere Nachforschungen nicht ausgedehnt haben; aus diesem Grunde erschien es mir geeignet, dem nachfolgenden Verzeichnisse auch den Tag der Entdeckung beizusetzen. Ich bemerke hierbei, dass mein Suchen nach dem Cometen sich in der Regel über einen Raum ausdehnte, dessen Grenzen sich folgendermaassen bezeichnen las- sen: In Decl. zwischen 30' nördlich vom nördlichen bis 30' südlich vom südlichen Kopfe des Cometen, in Æ 4” vorangehend dem vorangehenden bis 4” nach- folgend dem nachfolgenden Kopfe, unter zu-Grunde- legung der Clausen’schen Ephemeride für die beiden Köpfe. An einzelnen Tagen sind aber diese Grenzen namentlich in AR erheblich überschritten. de l’Académie Impériale ; 571 Bulletin Tag der Entdeckung. A Decl. 1) 1865 Sept. 27 0* 1"46* +23° 2 2) 1865 Sept. 29 0 1 36 28. 9 3) 1865 Oct. 12 23 24 20 20 38 4) 1865 Nov.22 22 50 23 7 45 5) 1865 Nov. 22 22 53 51 742 6) 1865 Dec.6 22 49 24 3 13 7) 1865 Dec. 7 225651 + 2 20 8) 1866 Jan. 14 01858 — 9 1 Indem jetzt, wie gesagt, in unserer Breite das Su- chen nach dem Cometen für die gegenwärtig erwar- tete Erscheinung aufgegeben werden muss, bleibt vor der Hand die Hoffnung bestehen, dass derselbe noch in südlicheren Gegenden speciell auf den Sternwarten der südlichen Hemisphäre, für welche das Suchen erst jetzt beginnen kann, aufgefunden werden wird. Für die Erfüllung dieser Hoffnung dürfte auch der Um- stand sprechen, dass gerade jetzt (Jan. 26. [14.]) der Comet das Perihel passirt und bekanntlich bei man- chen Cometen eine erhebliche Lichtzunahme nach dem- selben beobachtet worden ist. Professor d'Arrest, der sich mit dem vortreffli- chen Refractor der Copenhagener Sternwarte in glei- cher Weise vielfach vergeblich bemüht hat, den Biela’- schen Cometen aufzufinden, deutet die Ansicht an (Astr. Nachr. N* 1567), dass derselbe, wührend sei- ner letzten zwei Umlüufe, seine Materie dem Welt- raume zurückgegeben habe. Während ich dem ersten Theile des von ihm aufgestellten Satzes, dass nämlich die Cometen von kurzer Umlaufszeit nur relativ junge Bürger unseres Sonnensystems seien, gerne beistimme, Beschreibung. Matter runder Nebel von ganz gleichfórmigem Lich- te. Auf den Nabel dolet in 26° und 48” südlich ein Stern (9. 10.) Grö Lm. Si G war, der Himmel ewölkte. Schwacher unbestimmter Nebel. Ein Stern (11. 12.) geht südlich voran in der Distanz von 80" und un- ter dem و رگ‎ lg 201°. Auf ویب‎ M" folgt 4' südlich ein Stern (9.) G des- tc Positio na— ان ید‎ and a-- 1303 34 rl pa wird. Matter Nebel von 20'— 30” Durchmesser. Ein Stern (9.) Grösse — Lan in 4’ Abstand unter dem Positionswinkel 1 Ein wenig heller wie der vorhergehende und ausge- dehnter. Ein Stern am 11.) in 2' Abstand unter dem Positionswinkel 230 Nebel von 30" Durchmesser mit wenig concentrirtem Lichte. HM der Helligkeit stärker wie der von h.4 Mattes Sternchen mit nebliger Umgebung. nes unbestimmter Nebel von 20’— 30' De ser. Ein Stern (7.) Grösse (W. O. findet sich i in 5' Abstand unter dem Positionswiakel 147°, so scheint mir doch der erwähnte Nachsatz noels man- chem Einwande ausgesetzt zu sein. So hat ja z. B. der Encke’sche Comet bei seinen wiederholten Er- scheinungen bisher, so weit sich das aus dem Anblicke allein beurtheilen lässt, noch nichts von seiner Mate- rie verloren, ja er ist sogar in mehreren späteren Er- scheinungen, nach gehöriger Reduction für Stellung zur Sonne und Erde, entschieden heller gewesen, als in früheren, und ein noch auffallenderes Beispiel bot bekanntlich der Biela’sche Comet selbst in seiner Erscheinung von 1846 dar, wo derselbe inet dem blossen Auge bequem sichtbar wurde. —. ^ ^ Es scheint mir vielmehr, dass die Matiria der Co- meten an sich eigenthümlichen Licht - Fluetuationen unterworfen ist, und dass diese Körper sich hierin als analoger Sue mit den Nebelflecken erweisen, au deren raschen Lichtwechseln jetzt, besonders seit Professor d’Arrest’s eigenen Beobachtungen am Hind’schen Nebel nicht wohl mehr gezweifelt werden darf. Bekanntlich deuten auch Donati’s Spectral-Un- tersuchungen auf identische Natur der Cometen und Nebel-Materie hin. we des Sciences de Saint - Pétersbourg. 374 Es +. Es. soll aber damit nicht gesagt sein, dass solche Lichtwechsel der bestimmte und einzige Grund für das bisher erfolglose Suchen nach dem Biela’schen Cometen seien; es lassen sich noch manche andere, ۰ mehr oder weniger plausible Hypothesen darüber auf- stellen. Welche dieser verschiedenen Erklürungen die richtige ist, dürfte sich erst nach wirklichem Auffin- den des Cometen mit einiger Wahrscheinlichkeit dar- thun, und gerade aus diesem Grunde ist es besonders zu wünschen, dass die Beobachter an den südlichen Sternwarten in ihren Bemühungen, denselben aufzu- finden, glücklicher seien, als wir Nordländer. -—————9 00€ 9—- —— BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Quetelet, A. Sur le cinquième congrès de statistique tenu à Berlin. 8. Denkschrift über den Abschluss eines Handels- und Zoll- Vertrages zwischen dem Zollvereine und Russland. St. Petersburg 1864. 4. Notizblatt des. a Vereins zu Riga. 1864. N° 17 E und 18. 8. 1 N) 1 y. CS 6 Mittheilungen, SC gegeben von der Kurländischen Landwirthschaftlichen ` Gesellschaft. 1864. N° 5. 6. Mitau. 8. wc der k. freien مینست‎ Gesellschaft zu ` St. Petersburg. 1864. Heft 5. 6 Bulletino archeologico Sardo. Anno Xi de: 9. 8. Villa, Ant. e Gio. Batt.: deni antiche trovate nella torba - di Bosisio. Fol. unic. Ermitage Impérial. Vases vs St.-Pétersb. 1864. 12. Antiquités du Ge pes Cimmérien. St.-Pétersbourg‏ جات x H1 Fotografia get del Principe Pietro Wiasemski. Ve- mezia 1 Fratris eme de.correctione ecclesiae: epistola et ano- nymi de Innocentio IV P. M. Antichristo libellus ed. . Ed. Winkelmann. Berolini 1865. 8. ackmann, Herm. Tieteelliselle kannalle perustettu pien- ten lasten elanto ja hoito. Helsingissä 1864. 8. Maciejowski, W. A. Essai historique sur l'église. chré- tienne primitive des deux rites chez les Slaves. Trad. par L. Fr. de Sauvé. Leipsic 1840. 1 vol. 8. Enin, J. | B. Recherches sur le paganisme arménien. Ou- . wrage traduit du russe par M. A. de Stadler. Paris 1864. 8. Bolin, Wilh. Leibnitz ett fórebud till Kant. Helsingfors 1864. 8. Duhamel, J. M. C. Des méthodes dans les sciences de raisonnement. Paris 1865. 8. Irroxparne 1120680 Som TÖV larpınöv rot Has, Teiyog e — €. ” AS jvatz 1864. 8. Gazette médicale d'Orient publiée par la Société Impériale de Médecine de Constantinople. VII* année. Ne? 12, VII année. N° 1 —8, Constantinople 1864. 4. Fogelholm, K. G. Studier i allmän sundhetsvárd. Hel- singfors 1864. 8. Procopé, Ak. Fr. Om bly och dess föreningar i sanitärt hänseende. Helsingfors 1864. 8. Debenedetti, Gerol. Memoria intorno alla preparazione, all’ uso ed all’ efficacia di un sciroppo astringente. Voghera 1861. 8. Krogerus, Alex. Om förträngning af nedre mag-munnen (Pylorus stenos). Helsingfors 1864. 8 Lindberg, S. O. Om de europeiska Trichostomeae. Hel- singfors 1864. 8. Söderling, Fr. Wilh. Om behandlingen af ی‎ Brigh- tii i dess första början. Helsingfors 1864. Debenedetti, G. Sulla libertä di esercizio petite ragionamenti. Voghera 1864. 8. Catalogue of the American Philosophical Society Library. Part I. Philadelphia. 8. Nachrichten über Leben und Schriften des Hrn. Geheim- rathes Dr. Karl Ernst von Baer, mitgetheilt von ihm selbst. Veröffentlicht bei Gelegenheit seines fünfzig- jührigen Doctor-Jubiliums am 29. August 1864 von der Ritterschaft Ehstlands. St. Petersburg 1865. 8. Honori et memoriae Dantis Aligherii anno a nativitate ejus sexcentesimo specimen PAM Fr. Muset- tinii. Massae Carrariae 1865. Wurzbach, Constant. von, v Rate: und Wilhelm Haidinger. Wien 1864. Ritterstands - Diplom für eme Ritter von Haidinger. Wien 1865. 8. Bericht über die Haidinger-Feier am 5. Februar 1865. Wien 1865. 8. SERA ۹ l'école polytechnique. T. XXIV, cahier 41. Pa- vilibus der Vorlesungen, welche am Hamburgischen Akademischen und Real-Gymnasium von Ostern 1865 bis Ostern 1866 gehalten werden sollen. Darin: Aegidi, L. K. Aus der Vorzeit des Zollvereins und Rüm- ker, G., Über die Parallaxe und. Aberration der Ge- stirne. Hamburg 1865. 4. ` Schriften der Universitüt zu Kiel aus .den Jahren 1859 bis 1864. Kiel 1860 — 65. 6 Bde. 4 Nachrichten von der k. Gesellschaft der Wissenschaften und der Georg - Augusts- Universität aus dem Jahre 1864. Góttingen 1865. 8. 575 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétershourg. — 596 376 19 scripta academica universitatis Albertinae Regiomon- tanae annis 1864 et 1865 edita. 8. et 4. 195 scripta academica universitatis Berolinensis annis 1864 et 1865 edita. 7 scripta academica universitatis Jenensis annis 1864 et 1865 edita. 25 scripta academica vitivendlatis Tubingensis anno 1864 edita. Annuaire de l’université catholique de Louvain. Année 1864. Louvain 12. Annales academici. 1861—62. Lugduni Batavorum 1864. 4. Resumen de las actas de la real Academia de ciencias exactas, fisicas y naturales de Madrid en el ano acad. de 1861 à 1862 y 1862 à 1863. Madrid 1863— 64. 8. Memorias de la real Academia de ciencias exactas, fisi- cas y naturales de Madrid. Tomo II. Primera serie. Ciencias exactas. T. I. p. 2. Tomo III. 2° serie. Ciencias fisicas. T. I p. 3. Tomo VI. 2° serie. Cien- cias fisicas. T. II p. 1. 2. Madrid 1863— 64. 4. Bulletin de la Société philomathique de Paris. Tome II. Mars, Avril, Mai 1865. Paris. 8. — des séances de l'Académie Impériale des sciences, bel- les-lettres et arts de Lyon. Lyon 1865. 8. Mémoires de l'Académie Impériale des sciences, belles- lettres et arts de Lyon. Classe des sciences. Tome XIIL Classe des lettres. T. XI. Lyon 1863. 8 Memorie dell’ Accademia delle scienze dell’ Istituto di Bo- logna. Serie II. Tomo III. fasc. 4., Tomo IV, fasc. 1, Bologna 1864 — 1865. 4 Indici generali della collezione pubblicata dell’ Accade- mia delle scienze dell' Istituto di Bologna col titolo di Memorie in XII tomi dal 1850 al 1861. Bologna 1864. 4. Memorie del r. Istituto Lombardo di scienze e lettere. Classe di scienze matematiche e NAT Vol. X. fasc. 1. Milano 1865. 4. — سب‎ — — Classe di lettere e scienze morali e politiche Vol. X. fasc. 1. Milano 1865. 4. Reale Istituto Lombardo di scienze e lettere. Rendiconti. Classe di scienze matematiche e naturali. Vol. I fasc. 9. 10, Vol. II fasc. 1. 2. — — — — Classe di lettere e scienze morali e politiche. Vol. I. fasc. 8—10, Vol. II fasc. 1. 2. Milano 1864— 65. 8. Atti dell’ I. R. Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Tomo X, dispensa 1 — 8. Venezia 1864 — 65. 8. Memorie dell I. R. Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Vol. XII. Venezia 1864. 4. Rendiconto dell Accademia delle scienze fisiche e mate- matiche. Anno III fasc. 3—12, IV — 1 — 4. Napoli 1864 — 65. 4. Abhandlungen der philosophisch-philologisehen Classe der k. bayerischen Akademie der Wissenschaften, 10ten Bandes 2te Abthl. München 1865. 4. Sitzungsberichte der k. bayer. Akademie der Wissenschaf- ten in München. 1864. II Heft 3. 4. 1865. I Heft 1. 2. München 1864—65. 49ster Jahres - Bericht der Schlesischen Gesellschaft für vaterländische Cultur. Breslau 1865. 8 Abhandlungen der Schlesischen Gesellschaft für vaterlän- dische Cultur. Philos. histor. Abthl. 1864, Heft II. Abthl für Naturwissenschaften und Medicin. 1864. Breslau 1864. 8. Verhandelingen der k. Academie van Wetenschappen. Tiende deel. Amsterdam 1864. 4. — — — — Afdeeling Letterkunde. Derde deel. Amster- dam 1865. 4. Verslagen en mededeelingen der k. Akademie van Weten- schappen. Afdeeling Natuurkunde, 17de deel. Afdee- ling Letterkunde, 8ste deel. Amsterdam 1865. 8. Jaarboek van de k. Akademie van Wetenschappen ge- vestigd te Amsterdam voor 1863,.1864. Amsterd. 8. Proceedings of the royal Society of London. N* 58 — 60. 68 — 73. London. 8. Philosophical transactions of the r. Society of London for the year 1864 T. I. II. London 1864. 4. Proceedings of the r. Institution of Great Britain. Vol IV. p. III. IV. N° 39. 40. London 1864. Memoirs of the Library and a ng Society of Man- chester. Vol. III. Warrington 17 Transactions of the r. Society of ordin Vol. XXIII IH. 4 p. — of the r. Society of RAM Session 1863 — of tl "e et Zi Academy of arts and sciences. Vol. VI f. 23 — 38. 8. — اده‎ = American Philosophical Society. Vol. IX N° 71. List x the members of the American Philosophical Soci- ety held at Philadelphia. 8. Annual report of the board of regents of the Smithsoniau Institution for the year 1863. Washington 1864. 8. Smithsonian contributions to knowledge. Vol. XIV. City of Washington 1865. 4 The American Journal of science and arts. Vol. XXXVIII N° 112 — 114, Vol. XXXIX N° 115 — 117. New Ha- ven 1864 — 65. 8. Transactions of the American Philosophical Society held at Philadelphia. Vol. XIII p. 1. Philadelphia 1865. 4. Hippocratis et aliorum medicorum veterum reliquiae ed. = Zach. Ermerius. Vol. III. Trajecti ad Rhenum 864. 4. Grote, George. Plato and the other companions of Sokra- tes. In three vol. London 1865. 8. Paru le 28 février 1866. BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE S'-PETERSBOURG. TOME DIXIÈME. (Avec 8 Planches.) Mo. Bot „Garden, 1897. St.-PETERSBOURG, 1866. ‘Commissionnaires de l’Académie Impériale des sciences: x à St -Pétersbourg. , à Riga. à Leipzig. MM. Eggers & Comp, et hmidt M. Léopold Voss. H. Schmitzdorff, M. Samuel Schmidt, p Prix du volume: 2 Roub. 70 Kop. d’arg. pour la Russie, 3-Thl. de Prusse pour l'étranger. ER AE BER TABLES DES MATIERES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES. MATHÉMATIQUES. Somof, J. Note sur la transformation des coordonnées nulle rectangulaires en coordonnées elliptiques. 42 — 48. Okatof, M. Des surfaces coniques décrites par Une EE du joint universel. (Avec une planche.) 353 — 361. A MIE, Struve, O. Observations et orbite de l'étoile double 2.1728 = 42 Comae Ber E — Sur le satellite de Sirius, 218 — 220. Saviteh, A. De l'opposition de Neptune en 1865. 389 — 390. Gyldén, H. Remarques concernant le calcul des constantes équato- riales, et leur application à la comète I, Ve: — 4. — Surla NONE de l'équation d'Euler. 59 — — Recherches des corrections des réfractions de ی‎ depen- dantes » "indicati tions du thermométre extérieur. 462 — 484. Fritzsche, H. Recherches sur l'étoile double 2.3121. 72 — 92. PHYSIQUE DU GLOBE. Kämtz, L. F. Températures moyennes des jours de l'année, calcu- lées d'aprés 51 années d'observations. 220 — 229. Müller, F. Sur les rapports qui existent entre l'inclinaison magné- tique et l'intensité horizontale. (Avec une planche.) 405 — 449. Sass,le baron A. de —. Observations sur les variations du poids spécifique de l'eau de la Baltique. 507 — 513. sin A. Quelques observations sur la météorologie de SCH sur la hauteur de Tiflis au dessus de la mer. 562 — CHIMIE. Linin, N. PA au le benzoin. 153 — Menchoutkine n des alcools sur le Toss ES de phos- phore, 118 — Sokolof, N. Sur jé protochlorures de benzole mononitres et les produits de leur r&duction. 380 — 389. TECHNOLOGIE. "We, H. La dorure au feu au moyen! du mercure, et la dorure 7 49 — GÉOLOGIE. “via en Finlande. 1 Helmersen, H. Rapport + la سید‎ nommée par l'Académie pour examiner la question s'il y a lieu de couper par le milieu - ]a masse "o" connue sous le nom de météorolithe de Pallas. 298 5. Goebel, A. Sur la masse météorique de Pallas. 305 — 324. BOTANIQUE. Maximowiez, C. J. Courtes diagnoses des و‎ eti prove- nant du Japon et de la Mandchourie Famintzin, A. Action de la lumière Pus: ape ep la Spipogyra ortospira Naeg. (Avec une D — Action de la lumière veme ar du Chlamidomonas pulvisculus, de l'Euglena viridis. et de l’Oscillatoria insignis. 534 — 548. — Action de Ia lumiére sur la coloration des feuilles de plantes. 548 — Regel, E. Le genre | Pleuroplitis et Andropogon productus. (Avec une planche.) 3 379. Trautvetter, E. R. Tun nouvelles recueillies au Caucase par M. Radde. 398 — 398. ZOOLOGIE, ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE. Baer, K. E. de —. La découverte de mammouth dans le terrain gelé de Sibérie près de la baie du Taz. (Avec une planche.) 230—296, — Nouvelles ultérieures sur ود ویو‎ envoyée par l’Académie ur la recherche d’un 8 Brandt, J. F. Sur l'extérieur et "di p distinctifs du mam- mouth. (Avec une planche.) 93 — 118. — rar mots ER au mémoire sur l'histoire naturelle du mammouth. 361 — 364. — Etudes zoographiques et palaeontologiques. (Extrait.) 502—507. — 5 Brandt, A. Sur le coeur des insectes et des mollusques. 552 — 561. Strauch, A. Les ces du genre Cyclodus Wagl. 449 — 462 : hez les tuni cées. — 502. Walther, e Kindes thermo-physiologiques. 127 — 150. PHILOLOGIE ET HISTOIRE. Dorn, B. Le Musée asiatique de l'Académie en 1865. 161 — 168. — Catalogue des ouvrages arabes, persans et turcs, publiés à Con- stantinople, en Egypte et en ge qui se trouvent au Musée asiatique de l'Académie. 168 — osset, M. Activité littéraire des E et des Arméniens en 1865. 390 2 Bulletin bibliographique. 156—160, 347—352, 490—496, 571—576. B. TABLE ALPHABÉTIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) Abich, H. Géologie du Caucase. Observations faites pendant des voyages — dans le courant de l'année 1865. 21. . La découverte d'un E. dans le terrain gelé de Sibérie prés de la baie du Taz — Nouvelles ultérieures sur یط‎ er ve re par l’Académie pour la Serre d'un mam . 513. Brandt, A. Sur le coeur des معدو‎ et des mollusques. 552. Brandt, J. F. Sur اس ویر‎ et les caractères distinctifs du mam- mouth. 93. — Quelques mots additionels au mémoire sur l’histoire naturelle de mammouth. 361. — Etudes zoographiques et palaeontologiques. (Extrait.) 502. Brosset, M. Activité littéraire des Georgiens et des Arméniens en 1 Dors, B. Le Musée asiatique de l'Académie en 1865. 161. — Catalogue een ouvrages arabes, persans et turcs publies & Con- stantinople, ici et en Perse, qui se trouvent au Musée asiatique de Dein 168. Famintzin, A. Acti as di umière d’une lampe sur la Spirogyra orthospira Nae weg — Action de la Jumière sur ‚les mouvements du Chlamidomonas pulvisculus, t de l’Oscillatoria insignis. 534. — Action de la pestes sur la coloration des feuilles de plantes. Fritsche, m سب‎ eg sur l'étoile double s sech 70. Goebel, A météorique de Pallas. 305. de ENT le calcul Cé constantes équato- . riales, et leur application à la comète I, 1866. 1. — Sur la résolution de l'équation d'Euler. 59. — Recherches des corrections ge? réfractions de pay a dé- nn des indications du thermomötre extörieur vH: Rapport de la Commission nommée par DE see examiner la question s'il y a lieu de couper par le milieu la masse météorique, connue sous le nom de météorolithe de Pallas. 293 روت Kämtz, L. F. Températures moyennes des jours de l'année, calcu- lées d'aprés 51 années d'observation. 2 ER z, C. J. Courtes diagnoses des nouvelles plantes prove- nt du XX n et de la Mandchourie. 485. Menchoutkine, N . Action des alcools sur le protochlorure de phos- phore. Moritz, A. Quelques observations sur la météorologie de Tobolsk et sur la توح‎ el ek au dessus de la mer. 562. Müller, F. Sur lesr s qui existent entre inclinaison magné- tique et l'intensité اب‎ Okatof, M. Des surfaces coniques décrites par l’axe instantané du joint universel. 353. engen Bi n canadense dans les calcaires de Hopunwara n Finlan e Regel, E. Le ze deep oe et Andropodon productus. 364. Sass, le baron A. de —. Observations sur les variations du poids spécifique de l'eau de la mer Baltique. 507. Saviteh, A. L'opposition de Neptune en 1865. 389. ` ‚Sur les pro otochlorures de benzole mononitrés et les 380. Somof, J. Note sur la transformation des seme ag rectilignes rectangulaires en coordonnées elliptiques. Strauch, A. Les espèces du genre Cyclodus Wash "449. Struve, H. La dose au feu au moyen du mercure et la dorure galvanique. 49. Struve, O. Observations et orbite de l’étoile double 3.1728 = 42 Comae Ber. 14. — Sur le satellite de Sirius. 213. Trautvetter, E. R. Plantes nouvelles recueillies au Caucase par M Wagner , N. Sur la circulation du sang chez les tunigaires — Se tions sur l’organisation et le développement is An cées Walther, À i T thermo-physiologiques. 127. Zinine, N. Observations sur le benzoin. 153. BULLETIN DES SÉANCES. ASSEMBLEE GENERALE. 5 CLASSE PHYSICO-MATHEMATIQUE. CLASSE HISTORICO- PHILOLOGIQUE, -5 age Page Séance du 8 (20) janvier 1865......... 324 | Séance du 12 (24) janvier 1865........ 325 | Séance 19 (31) j one 1968 25 T » na 5 (17) février esso: 887 » ` » 26 janvier (7 février) 326 9 (21) février... .......... 329 م‎ » 5(17) mars es 991 kcor En fever RR ااه‎ 329 » » 23 février (7 pot o 330 « »16 (28) avril..... rn 938 » » 2(14) mars.............. 330 nn INS co es ee 136 008 » . ».7.(19) mai «xa 841 Mar 16 (B) mars. re 832 | |.» جوم‎ 28 mars (4 avril).........: 994 » » 4 (16) juin. «» ana evene 944 » . » 80 mars (11 avril)......... 835 » » 18 (25) AVE: Ae es ove 09 » — »25 juin (7 juillet) pour la dis- » S» 90 avril (2 mai). .......... 338 sn .97 avril (9 mai)... .. .-. ... 899 tribution des prix Démidof 345 Bee) Mai BEA ous: O ».id = ( مسر‎ ip gai OG : » ». 18 (80) mai .... see 342 » LED (20) TUNG 7-092133 22045 . 34 » 3» POS) jui ve s.d ii, 848 » » e juin 7 SEIN CA et BECH 345 BAER JE PTT . 944 CLASSES PHY ne ET HISTORICO- HILOLOGIQUE REUN Séance BN du 9 (21) février = بو o‏ وه Page 328 Tee — E: WERE. ET tac RER Ti lii E IN S eg MR, a Weg NERO e On s’abonne: chez MM. Eggers & SÉ NI WIR SÉ CtsERLACHAFT ` T. X. ۳ ۰ a. ۳ , ea, Lis LOW d BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. TOME X. (Feuilles 1 — 10.) CONTENU: Page H. Gyldén, Remarques concernant le calcul des constantes équatoriales, et leur appli- cation à 18 comète L Fa, e E E dee una 1— 4 A. Famintzin, Action de la lumière d'une lampe sur la Spirogyra orthospira Naeg. (Avec une Planche.)...:::..:....,.. ۱0 و‎ Leda adde ict ko ملعك‎ x d e Y 10 c 4— 14 0. Struve, Observations et orbite de l'étoile double 2 . 17128 — 42 ۵ Deg. 43244 14 — 21 H. Abich, Géologie du Caucase. Observations faites pendant des voyages entrepris dans le conrant de l'année IB. ده یه هزم ام هو‎ aa tm فک ره‎ in 21— 42 J. Somof, Note sur la transformation des coordonnées rectilignes rectangulaires en co- ordonnées elliptiques ..........:....................................... 42 — 48 H. Struve, La dorure au feu au moyen du mercure, et la dorure galvanique.........- 49 — 59 H. Gyldén, Sur la résolution de l'équation d'Euler.............................. 59— 70 H. Fritsche, Recherches sur l'étoile double 3.3121............:...........-..... 70— 92 J. F. Brandt, Sur l'extérieur et les caractères distinctifs du Mammouth. (Avec une De M A Rind لع ع‎ EE 93 — 118 `N. Menchoutkine, Action des alcools sur le protochlorure de phosphore.............. 118 — 127 A. Walther, Etudes thermo-physiologiques. (Avec une 7 ال‎ E 127 — 150 Prof. Pusyrewski, Eozoon canadense dans les calcaires de Hopunwara en Finlande.... 151 — 153 N. Zinin, Observations sur ir RER E eres 153 — 156 Bulletin bibliographique ...-.:........./-...:..:...............r..r.: 156 — 160 paropcroü Aranemiu Hayk#) et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. , par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 3 thalers de Prusse pour l’étranger. l'Académie (Kowurer® Ilpapseris Hune Le prix d'abonnement Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, N° 12.) Beem Cie, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de DE L’ACADEMIE IMPERIALE DES BULLETIN SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Es Bemerkung zu der Berechnung der Äquatorcon- stanten, nebst Anwendung auf Comet I, 1866. Von H. Gyldön. (Lu le 11 janvier 1866.) $ Beabsichtigt man bei der ersten vorläufigen Bahn- bestimmung eines Cometen mehr den scheinbaren Lauf desselben beurtheilen zu können, als zur eigentlichen Kenntniss der Bahnelemente zu gelangen, so lässt sich dieser Zweck vielleicht folgendermaassen etwas kür- zer erreichen, als wenn man erst die wahre Bahn be- stimmt, um auf die scheinbare zurückschliessen zu können. Wenn man die Rechnung bis zur definitiven Ermit- telung der Bahnelemente geführt hat, so ist zunächst, um die Bewegung des Cometen kennen zu lernen, die Berechnung der sogenannten Äquatorconstanten aus- zuführen. Diese können aber schon berechnet werden, sobald die Abstände des Cometen von der Erde, welche den Zeiten der ersten und dritten Beobachtung ent- sprechen, bekannt sind, ohne dass man nöthig hat, die Elemente, welche die Lage der Bahn bestimmen, abzuleiten. Eine solche directe Berechnung der Äqua- torconstanten ist so einfach, dass aus derselben, wie so hat man bekanntlich æ = م‎ COS 0 COS ò — X y = ọ sin a cos 8 — Y z=psind—Z 2’ = کم‎ cosa”’cosd’— X" y'— "م‎ sin a” cos 9" — F” So p"sin à — Z”. Nun sollen aber die heliocentrischen Coordinaten ره‎ y, 2 allgemein durch die Gleichungen x = ra sin (À + f) y = rbsin (B + f) 2 = resin (C +f) dargestellt werden, folglich müssen die zwei Constan- ten, welche in jedem dieser Ausdrücke vorkommen, so bestimmt werden können, dass sie den oben gege- benen Werthen für x, x} y, y; z und 2" genügen. Die Bestimmung dieser Constanten, auf welche unsere Aufgabe hinausläuft, geschieht durch die folgenden Formeln: es mir scheint, eine Abkürzung bei den jetzt so häufig vorkommenden Berechnungen der Cometen-Epheme- riden hervorgeht. Bezeichnet man mit o und a” die geocentr. Rectascensionen,) & £ . Des vs » Declinationen, | 5م‎ » @ » ”م‎ » Abstände von der Erde, FE EE: ^ f » f" » wahren Anomalien, E Ee 1 » T » کر‎ » Radii vectores, 832° mit 7, x, y, y! 2, 2” die heliocentrischen rechtwinkli- = gen, auf die Ebene des Äquators bezogenen Coordinaten des Cometen, den genannten Zeiten ٠ entsprechend, mit X, X? Y, Y” Z, Z” die für dieselben Zeiten gülti- ` gen Âquatorialcoordinaten der Sonne, PRE, Sei I 3 CAREER T. m " 3 سنن‎ de, eent pn 7 2 9 B 5: | Va, so ist asin[1 (f سه‎ f) + 4 = 7و‎ | acos[1 (f + f) + 4] — za i | und ganz ebenso finden sich die übrigen Gróssen. Für die Berechnung der Ephemeride hat man aus- ser den Äquatoreonstanten a, À, Û u. ٩ ۳ noch die {enntniss der Perihelzeit des Cometen; sowie des | kleinsten Abstandes von der Sonne nöthig. Um diese zu finden, kann man den Unterschied der wahren | Anomalien durch die Formel | [c —tr— rl [e+ (n — 7] ng‏ ا ہ23 = )رو ها Fer — 6e) (r+ r +0) | berechnen, wo 3 Bulletin den l'Académie Impériale 4 x—f-—f: und c die Corde, die den äussersten Beobachtungen entspricht, bedeuten. Die genannten Elemente finden sich nun nach bekannten Formeln. Die Elemente, welche die Lage der Bahn in Bezug auf den Äquator bestimmen, finden sich leicht aus den Äquatorconstanten. Bezeichnet man nämlich ` mit J die Neigung der Bahn des Cometen gegen die Ebene des Äquators, mit o den Abstand des Perihels vom Knoten und mit Q den heliocentrischen Bogen zwischen dem aufsteigenden Knoten und der Richtung der po- sitiven X- Axe, so ist o—= C sin J= 6 a sin (À — o) = cos Q a cos (A — o) = — sin Q cos J b sin (B — o) = sin Q : becos (B — o) = cos QcosJ, ` woraus die drei Elemente ohne Mühe bestimmt wer- den können. U. Eine Veranlassung, die oben erwähnte Berech- nungsweise zu benutzen, gab mir der jetzt sichtbare Comet (1866, I). Ich legte dabei die ا‎ drei Beobachtungen zu Grunde: 1865 Dec. 22 73620 mittl. Z. Wien RL 22° 5" 55592 Decl. Z =- 61° 379 1866 Jan. 2 5'54" 49* mittl. Z. Altona RL 23'29"42:01 Decl. --:9? 42' 38/8 1866 Jan. 9 6“ 48" 42 mittl. Z. Altona RL 23^36"17:86 Decl. Z + Tr 25,4 und erhielt hiermit i dog o= 9,31052; log r — 0,01329 log تم‎ 9,89808; log 7"— 9,99194 T — 1866 Jan. 9,5600 log q — 9,99193 und für die Äquatorialcoordinaten die folgenden Aus- drücke, wo die zwischen Klammern gesetzten Zahlen Logarithmen sind 4 = r [9,98823]sin (29° 11,5 E f) y = r [9,92077] sin (110? 959 + f) | »=r[9,77735]sin (137° 37,8 + f). Hiermit wird die mittlere Beobachtung, wie folgt, dar- estellt: " B—R Aa = — 0/8; 4$ — —3/1 Da bei der Wiener Beobachtung besonders un- günstige Umstünde notirt waren, so hielt ich es für zwecklos, diese Rechnung genauer auszuführen. Die grosse Abweichung von der mittleren Beobachtung mag ausserdem ihren Grund in der Anfangs so schnel- len geocentrischen Bewegung haben. Nach den angeführten Zahlen gestaltet sich der Lauf des Cometen, von der Erde aus gesehen, folgen- dermaassen: Berliner Mitternacht 1865 Dec. 20 a= 284° 58,0 8= 4-82? 0/3 » 922 332 50,6 + 60 20,4 » 24 349 18,5 + 80 40,1 1866 Jan. 20 355 13,9 — 3 10,0 » 94 355 29,3 — 4 17,9 » 98 355 42,8 — 5132 Febr. 1 355 55,0 — 5 59,4 PUS- 280 7 — 6 38,7 » 9 356 18,3 — Lët 3,0, Die Wirkung des Kerasin - Lampenlichtes auf Spirogyra orthospira Naeg., von A. Famin- tzin, Docenten an der Universität zu St. Pe- tersburg. (Lu le 14 décembre 1865.) na cur (Mit 1 Tafel.) efl. Unter den vielen Arbeiten, welche jetzt über die Algen vorliegen, ist mir keine einzige bekannt, in der die vegetativen Verhältnisse der Algen ausführlich be handelt wären. Sie wurden bis jetzt ausschliesslich in morphologischer Hinsicht studirt, haupt h in Be- zug äuf geschlechtliche Fortpflanzung, Zoosporenbil- dung und Zelltheilung. - Alle Ernährungsversüche, so wie die Wirkung des Lichtes sind nur an den Phanerogamen vorgenom- ` men worden. Einige Bemerkungen über die Wirkung des Lichtes auf die Zoosporenbildung und Bewegung | ausgenommen, welche in verschiedenen ‚Abhandlun- 5 des Sciences de Saint-Pétersbourg. gen zerstreut sind, ist in dieser Hinsicht von den Al- gen so gut wie gar nichts bekannt. Ich vermuthete indessen, in den Algen ein sehr gün- stiges Objekt für derartige Untersuchungen zu finden und dieser Vermuthung zu Folge kam ich auf das Stu- dium der Wirkung des Lichtes auf Spirogyra. "Als Lichtquelle gebrauchte ich das Kerasin - Lam- penlicht. Nachdem es mir gelungen war, in der kei- menden Kresse ') mittelst des Kerasin - Lampenlich- tes alle die Erscheinungen zu erzeugen, welche unter dem Einflusse des Tageslichtes beobachtet worden sind, so hoffte ich auch, in Spirogyra-Zellen durch das künstliche Licht analoge Veränderungen hervor- zurufen. ۱ ` Jede der grossen, durchsichtigen Zellen dieser Fa- denalge kann ein von den Nachbarzellen unabhängi- ges Leben führen und deshalb als Individuum be- trachtet werden. Ich hatte also in jedem Stücke der Spirogyra eine ganze Colonie von Individuen dersel- ben Art vor mir, die indessen, unter einander unver- _rüékbar verbunden, jedes für sich während der gan- zen Versuchsdauer beobachtet werden konnten. "Für meine Versuche gebrauchte ich die Spirogyra orthospira; welche, im Sommier gesammelt, sich in mei- nem Aquarium lebenskrüftig erhalten hatte. ` "Die Struktur der Spirogyra-Zellen ist so vielfach und vollständig behandelt worden, dass ich diesen Ge- genstand ganz übergehen will und mich nur mit der Hinweisung auf die Werke von A. Braun’), Prings- heim?) und De Baren begnüge. Die Zellen, wie ich sie in dem Aquarium vorfand, habe ich in der Fig. 1 wiedergegeben. Die Chlorophyll-Bänder waren fast vollkommen stärkefrei; nur ganz kleine Körner konnte ich in ihnen nachweisen. Ich zerschnitt die Fäden in kleine Stücke und ver- setzte sie in einer Üntertasse mit Wasser in das volle am ipenlieht, in den Focus des Reflectors 3). Alle Wär- mestrahlen der Flamme waren, wie bei allen Versu- then mit Kresse, durch das Dazwischenstellen eines ۹ . Braun, ۰ 0 o | Pflänzenzelle von Pringsheim. 1864. p. 31 und 32. ۰ 5) Die Beschreibung des Apparats s, in der oben, citirten Ab- lung §. 13. a er: tir bart ez ۱ A us parallelwandigen Gefässes mit Wasser fast vollstän- dig abgehalten. Die Wirkung des Lampenlichtes auf die Spiro- gyra-Zelle äusserte sich sehr rasch. Schon nach 24 Stunden fand ich alle Chlorophyll-Bänder mit Stärke vollgefüllt. ` | Um oun zu erfahren, in wie viel Zeit die erste Spur der Stärkebildung bemerkbar wird, stellte ich folgen- den Versuch an. Ich versetzte mehrere Spirogyra-Fä- den aus dem Aquarium ins Dunkele und hoffte, nach der Analogie der an den Phanerogamen gemachten Beobachtungen, dadurch ein vollständiges Verschwin- den der Stärkekörner zu bewerkstelligen. Dies gelang mir auch. vollkommen; nach 48 Stunden konnte ich in keiner Zelleauch nur eine Spur von Stärke nachweisen. Ich wählte unter diesen einen langen Spirogyra-Faden aus und zerschnitt ihn in Stücke; eines untersuchte ich mit Jod, um mich nochmals von dem günzlichen Man- gel an Stärke zu überzeugen. Die anderen setzte ich der Wirkung des vollen Lampenlichtes aus. Nach 15 Minuten behandelte ich eines der Stücke mit Jod, konnte aber noch keine Stärkebildung nachweisen. Nach 30 Minuten dagegen trat die Reaction des Jo- des auf Stärke unzweifelhaft hervor. Nach einer Stande hatten sich schon Gruppen kleiner Stärkekörner ge- bildet. Ich wiederholte diesen Versuch mehrere Male und immer mit demselben Erfolg. ! Ich beleuchtete Stücke der Spirogyra Tag und Nacht während 2 Wochen, indem ich täglich das Wasser in dem Gefässe wechselte. Die Fäden liessen sich ohne Verletzung mit einem kleinen Pinsel herausheben und auf diese Weise in frisches Wasser versetzen. Bei dieser Behandlung traten in den Zellen folgende Veründerungen hervor. Die Masse der Stärkekörner wuchs täglich heran, die Chlorophyll-Bánder schwol- len beträchtlich auf und, indem sie ihre. Form verän- derten, ballten sie sich theilweise in grosse Kugeln Fig. 2.). Diese Kugeln schienen mir inwendig hohl von aussen aber mit einer Schicht Stärke- zu sein, phyll bedeckt. Während körner, so wie auch mit Chlorophy bet dieser Veründerungen blieben die Zellen vollkommen lebenskrüftig; in vielen war at ch eine lebhafte Zell- theilung zu beobachten (Fig. 3). Nach 6 Tagen bis zwei Wochen starben jedoch die meisten Zellen immer ab. Die Färbung der Chlorophyll - Bänder wurde im- mer lichter: zuletzt waren sie in den meisten Zellen 1* ~ ۱ Bulletin de l'Académie Impériale 5 gelb, in den abgestorbenen vollkommen farblos und mit Stärkeeinschlüssen überfüllt. Diese Vorgänge näher zu prüfen stellte ich mir zur Aufgabe. Es handelte sich darum: 1) Spirogyra- Fäden sowohl ins volle Lampenlicht, als auch ins Dunkel zu versetzen, um die durchs Licht bedingte Bildung der Stärke, als auch ihr Verschwinden im Dunkeln näher zu beobachten. 2) Die Zelltheilung in Beziehung auf Lichtwirkung zu studiren. 3) Zu prüfen, ob die dem Lampenlichte ausgesetzten Spirogyra-Zellen in die Länge wachsen, und wie sie sich in dieser Hinsicht im Dunkeln verhalten. 4) Die Veränderungen der Spirogyra-Zellen im far- bigen Lampenlichte, im gelben (mittelst sauren chromsauren Kali erhaltenen) und im blauen (durch die Lösung des Kupferoxydammoniak durchge- gangenen) so wohl in Bezug auf Stärkebildung, als Theilung und Wachsen zu erforschen. Zur Lösung dieser Fragen schritt ich auf folgende Weise. Ich liess Spirogyra-Füden im Dunkeln wäh- rend 24 Stunden verweilen, und, da die Stärkekörner vollständig verschwunden waren, schnitt ich von die- sen Fäden 12 Stück von verschiedener Länge ab: vier ungefähr 10 Millim. lang, vier zu 7 Millim., und die vier übrigen zu 4 Millim. Ich vertheilte sie darauf in 4 Un- tertassen mit Wasser; in jedes Gefäss legte ich 5 Fä- den von verschiedener Länge, die also leicht zu un- terscheiden waren. Ich zählte die Zellen in jedem der 12 Fragmente und notirte noch ausserdem bei 100- maliger Vergrösserung die Zahl der die Länge einer jeden Zelle bedeckenden Theilungen des Ocularmikro- meters. Ich suchte noch zufällige Unterschiede in den beiden Enden eines jeden Fadens auf, indem ich so- wohl auf die Zahl der beim Schneiden verletzten Zel- len, als auch auf die Grösse der abgerissenen Mem- branstücke Acht gab, und konnte also jede beliebige Zelle bequem auffinden. Die eine dieser Untertassen versetzte ich ins volle Lampenlicht, die zweite in blaues Licht, die dritte in gelbes, die vierte ins Dun- kele. In jeder Portion enthielten die 3 Füden zusam- men ungefähr 50 Zellen. Ich durchmusterte die Zellen jeden andern Tag, maass jedes Mal alle Zellen und war also im Stande, wüh- rend der ganzen Versuchsdauer die Veründerungen in einer jeden der 200 Zellen mit Bestimmtheit anzu- eben. Ich gelangte zu folgenden Resultaten: 1) Die Stürkebildung fand ebenso rasch wie bei den früheren Versuchen, sowohl im vollen, als im gel- ben Lampenlichte statt. Im blauen Lichte und im Dunkeln war keine Spur von Stürke zu be- merken. 2) Mit derStürkebildung trat auch die Zellentheilung ein, im weissen und im gelben Lichte. Im Dun- keln blieb die Zellentheilung ganz aus; im blauen Lichte hatten sich nur 2 Zellen, jede ein Mal getheilt. Bemerkenswerth ist es noch, dass, indem die Stärkebildung gleichzeitig und in gleichem Maasse in allen gesunden Zellen auftrat, die Zellen- theilung dagegen auf bestimmte, wenn auch zahl- reiche Zellen beschrünkt blieb, welche, wenig- stens dem Ansehen nach, von den sich nicht thei- lenden Zellen dureh nichts zu unterscheiden wa- ren. Wenn man in der beigegebenen kleinen Ta- belle die Zahl der in jedem Fragmente getheil- ten Zellen berücksichtigt, so sieht man, dass sie nicht der Zellenzahl proportionell vertheilt auf- treten. Es würde daher das Ausbleiben der Zel- lentheilung im blauen Lichte und im Dunkeln nicht nur als Folge des Mangels gelber Strahlen, sondern als individuelle Verschiedenheit der Fä- den aufgefasst werden kónnen. Um diesen Ein- wurf zu entkräften, versetzte ich die Fäden, wel- che im blauen Lichte 9 Tage zugebracht und obwohl ohne Spur von Stürke, doch vollkommen lebendig sich erhalten hatten, ins volle Lampen- licht. Die Stärkebildurg trat in ihnen sogleich auf und mit ihr auch die Zellentheilung. Wie leb- haft sich die Zellen theilten, ist aus der beigege- benen Tabelle zu ersehen. — Für die im Dunkeln eultivirten Fäden gelang es mir nicht, diesen Be- . weis zu liefern, da sie, wie ich später zeigen werde, obwohl noch lebendig, doch schon sehr alterirt waren. Unter das volle Lampenlicht versetzt bildeten sie zwar alle in sich Stürke, aber nur in schwachem Grade, keine von ihnen gelangte zur Theilung, und am 4ten Tage waren sie alle abge- storben. Dass das Ausbleiben der Theilung der im Dunkeln gelassenen Zellen auf Lichtman beruht, werde ich weiter unten zeigen. des Sciences de Saint- Pétersbourg. NB. Die Zellenlänge ist in dieser und allen nachfolgenden Tabellen in Theilungen des Ocu- lar-Mikrometers angegeben. Tabelle der Zellentheilungen im gelben im blauen Lichte. i im vollen Lam- _penlichte. im Dunkeln. (9, 16, 21) | (8, 14, 28) | (10, 16, 17) | (12, 17, 28) 46 45 43 57 (18, 16, 21) | (8, 15, 27) ; 50 50 43 (12, 16, 17) 45 57 | 19, 29) | (14, 24, 43) 61 81 57 61 ‘(Die meisten (14, 25, 45) 84 45 57 (16, 31, 46) .| Alle Zellen 93 45 57 abgestorben. NH Am 6. December wurden die Zelen in mue pen- ersetzt. ERED (15, 17, ai 8. Dec. — هم وج Fein © 8 1 10. Dec. 9 و‎ » $7 sp o (17, 34, 56) 107 (Die meisten (17, 99, 30) 76 Alle Zellen | abgestorben. 3 ER Zellen abge- 1 EG storben.) 12. Dee. )31 ,29 ,17( سب :77 „Anmerkung 1. Die kleinen zu drei in einer Reihe stehenden. Ziffern bezeichnen die Zahl der Zellen in den 3 Fragmenten; die unter ihnen angebrachte grössere EJ die Summe der Zellen in allen 3 Fragmenten. Anmerkung 2. In mehreren derartigen verglei- chenden Versuchen starben die Zellen der Spyrogyra im vollen Lampenlichte rascher ab als im gelben; wo- durch dieses bedingt wird, weiss ich nicht anzugeben. 3) Die meisten Zellen erstreckten sich auf 15 bis 35 — Ocular-Mikrometer-Theilungen und waren 0,3 bis 0,6 Millim. lang; kürzere, nur auf 5 bis 6 Theilun- ^ gen sich erstreckende Zellen habe ich ausschliess- ` lich nur unter den Zellen beobachtet, die sich im ~ gelben und vollen Lampenlichte getheilt hatten. ` Die meisten Zellen so wohl im Licht als im Dun- - keln zeigten einen nur geringen Zuwachs von 1 bis des Ocular-Mikrometers. Ein stärkeres Wachsen konnte ich nur an 5 Zellen im gelben Lichte be- obachten, welche aber von allen übrigen sich da- durch unterschieden, dass sie sich mehrfach theil- ten, während alle anderen entweder gar keine, oder nur eine Theilung eingingen. Die Zahl und Zeit der Theilung dieser Zellen, so wie auch ihren Zu- . wachs habe ich in einer Tabelle zusammengestellt. ۱ 29. Novbr. 27. Novbr. 1. Decbr. | 8. Deche. | 6. Decbr | | ii fil | ne d m 22 | | == 44 lu Lab A4 EN ot حم‎ | un uu = l 418 | vu di 25 95 | | | | a = 33 12 | 14 | 8 | | | 9 ig uM d 94 ée ۱ xi t | LET M rate D D 30 ۱ 1 | M. de 27 28 | | 9 195 Ha T 18 9 13 E 25 25 | e 49 12 12 e à 4) Die Spirogyra-Fäden im blauen Lichte und im Dunkeln, in dem Ausbleiben der 206 und Zellentheilung übereinstimmend, seite sich dagegen in dem Verhalten ihrer Chlorophyll-Bàn- der verschieden: im blauen Lichte hatten die Chlo- rophyll-Bänder ihre wellenförmigen U Form und Länge erhalten, vim ps im Aquarium lebenden ganz 7 دب‎ sie lagen der Wand der Zelle De letztere an Länge ü age denartig gekrümmt und gebogen. Im cci ren die Chlorophyll-Bünder schmäler geworden hatten ihre gekerbten Umrisse verloren, statt. dessen aber einen glatten Rand 2 Theilungen, wenige bis auf 3 oder 4 Theilungen و aid perlschinrartie Einschnürungen bekommen Bulletin de l’Académie Impériale 12 (Fig. 4). Sie reichten in keiner Zelle mehr bis an ihre: beiden Enden, obgleich sie in vielen Zellen gerade gestreckt waren. Dieses bedeutende Zu- rückweichen der Chlorophyll-Bänder von den En- den der Zelle könnte sowohl durch das Wachsen der Zelle, als auch durch das Zusammenziehen der Chlorophyll-Bänder erklärt, werden. Die von mir vollführte Reihe der Lüngenmessungen der Zel- len gab mir ein sicheres Mittel an die Hand, dar- über ins Klare zu kommen. Es stellte sich nun heraus, dass das Zurückweichen der Chlorophyll- Bänder in allen Zellen viel bedeutender war, als - der Längenzuwachs der Zelle und sogar in den Zellen beobachtet wurde, die gar keinen Zuwachs zeigten und also nicht durch Dehnung der Zelle, sondern durch Contraction der Chlorophyll-Bän- der verursacht wurde. Folgende Messungen führe ich als Beispiel an: Zel- Lange û. Zel-| Abstände der Chlorophyll-Bänder von‏ ر ‚len am En de den Zellenenden o und b.‏ Gei e = Ver-| des Y Versuch‏ suchs am 27.am 6. De- Chlorophyll- | Chlorophyll- | Chlorophyll-‏ November. | cember. Band N° 1. | Band N° 2. | Band N°3.‏ Th. d. Oe AL Th. d. Oc.-M. |Ende æ. Ende A Ende a. Ende b. Ende a. Ende A‏ Limit +) ee‏ :1۵ 17 hg. 94.8 Ek as‏ .38 16 ët See‏ 2 و Br R6‏ E ee REECH‏ 29 DT ga —‏ 6 22 »3 18 1 1 Br‏ | 51.3 4* 261.8 18 Aus dieser Tabelle sieht man, dass in den 21 und 22 Theilungen langen Zellen, sihi gar nicht ge- wachsen waren, starke Contractionen der Chlorophyll- Bänder stattfanden: in der ersten bis auf 8 Theilun- gen also über '/, der ganzen Zellenlünge, in der zwei- ten auf 12 Theilungen also über '/ der ganzen Zel- lenlänge. In solchem contrahirten Zustande befanden sich die Chlorophyll-Bänder, als ich sie ins volle Lampenlicht versetzte. Diese Zellen erzeugten dennoch, wie ich es schon früher angegeben habe, Stärkemehlkörner in ihren Chlorophyll-Bándern, obwohl in geringer Menge. In wenigen Zellen. dehnten sich unter dem Einflusse des Lichtes die Chlorophyll-Bünder wieder bedeutend aus, sowohl in die Länge, als in dik Bite und beka- men wieder stark gekerbte Umrisse. In den meisten Zellen dagegen hatte sich im Lichte um jedes Chlo- rophyll-Band eine membranartige Umhüllung_gebil- det (Fig. 5.), in weleher die grüngefürbte Masse wie zusammengedrückt und theilweise auch gewunden er- schien, öfters auch in mehrere Partien sich sonderte. Alle aus dem Dunkeln ins Licht versetzte Zellen star- ben bald ab, da sie wahrscheinlich in diesem Zu- stande den plötzlichen Übergang ins helle Licht nicht zu ertragen vermochten. Obgleich aus dem beschriebenen Versuche zu erse- hen ist, dass in erster Instanz die Stärkebildung, dann aber auch die Zellentheilung nur unter Mitwirkung gel- ber Strahlen eingeleitet wurden, so blieb es doch un- entschieden, ob die Zellentheilung unmittelbar durch gelbe Strahlen, oder mittelbar dureh vorläufige Stür- kebildung hervorgebracht wurde. Die letzte Ansicht schien mir wahrscheinlicher, weil sie sowohl mit den Angaben von A. Braun‘), welcher die ersten Anfänge der Theilung der Spyrogyra sogar nur in den frühe- sten Morgenstunden, oder an den vor Sonnenaufgang in Weingeist gelegten Exemplaren beobachten konnte, als auch mit allen über Zellentheilung bei Phaneroga- men gemachten Beobachtungen im Einklang steht. Dieser Ansicht nach würde das Ausbleiben der Zellen- theilung der Fäden im blauen Lichte und im Dunkeln im vorigen Versuche sich einfach durch Mangel an Material zur Zellenstoffbildung erklären. Um diese Ansicht zu prüfen, setzte ich mehrere Stücke Spirogyra dem vollen Lampenlichte wührend 48 Stunden aus, bis die Chlorophyll- Bänder sich mit Stürke gefüllt hatten; dann suchte ich 6 Stücke aus, maass alle ihre Zellen und brachte 3 Fäden ins Dunkele; die anderen 3 wieder ins volle Lampenlicht. Nach 48 Stunden zühlte ieh die Zellen in allen 6 Stücken und erkannte, dass eine lebhafte Theilung so- wohl vom Lampenliehte beleuchteter als ins Dunkele versetzter Zellen stattfand, und folglich die Zellenthei- lung bei vorhandenem Material zur Bildung der Quer- wände auch im Dunkeln zu Stande kommt. Im Lichte schien jedoch die Zellentheilung energischer aufzutre- ten, als im Dunkeln. Folgende Tabelle poems die be- obachteten Zahlen der — ۱ 6) A. Braun, PARTS p. 241. Bulletin de l'Aead. Imp. des se. T. X. A. Famintzin. Die Wirkung des Kerosin-Lampenlichtes auf Spirogyra orthospira Naeg. p Lith. A. Munster, St. Petbg. W. O. 2 Lin. N 7. 3 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 14 Zahl der Zellen ` | Zahl der Zellen im Dunkeln. | im Lichte (12, 28,28) | «~ (17, 20, 30) 4 December 68 67 | (14, 30, 36) (19, 30, 41) 6 » 80 ۱ 90 (17, 34, 54) | (19, 40, 61) 9 » 105 | 120 ; (17, 35, 54) | e 2 71) 12 » 106 | An diesen ins Dunkele versetzten Zellen sowohl, als auch an anderen, die ebenso behandelt wurden, beob- achtete ich. die Resorption der am Lichte gebildeten Stärke. Nach 24 Stunden war noch keine Verminde- rung der Stärke bemerkbar; erst nach 3 bis 4 Tagen konnte ich eine bedeutende Resorption der Stärke nach- weisen; nach 8 Tagen fand ich noch in den Zellen reichlich Stärke. Die Stärkebildung erfolgte also viel rascher als ihre Auflösung. Ich will nun diese Mittheilung mit der Bemerkung schliessen, dass ich die hier beschriebenen Verände- rungen in den Spirogyra-Zellen nicht als einen nor- malen Entwickelungsgang ansehe, sondern sie den Waehsthums- und Frnährungserscheinungeh gleich- setze, welche bei den Phanerogamen während der Cul- tur im durchglüheten Boden-oder in destillirtem Was- ser beobachtet wurden. Aus dem regelmässigen Un- tergehen aller den Versuchen unterzogenen Zellen so- wohl, als auch aus der Art ihres Absterbens glaube ich mich berechtigt, die beobachteten anormalen Erschei- nungen dem Mangel an Ernährungs-Material zuzu- schreiben. Ich bin jetzt damit beschäftigt, durch Zu- Satz von verschiedenen Mineralsalzen zum Wasser eine normale Entwickelung zn -erzwingen. In dieser Mittheilung hatte ich mir zunächst nur die Aufgabe gestellt, die in den beschriebenen Ver- hältnissen stattfindenden Veränderungen zu bestimmen. Die erhaltenen Resultate lassen sich kurz folgen- dermaassen zusammenfassen: jc Die Stärkebildung in den Spirogyra-Zellen wird "^ durch das Kerasin- Lampenlicht rasch bewirkt. Re einer halben Stunde kann man mittelst Jod Stärkekörnerbildung wahrnehmen. Nach Verlauf von 24 Stunden sind alle Ghlorophyll-Bänder da- a» mit erfüllt. Nach einigen Tagen steigt die Qnan- titàt der gebildeten Stürke bis zu dem Grade, dass die Chlorophyll-Bünder merklich anschwel- len, sich öfters zu Kugeln ballen, oder in unförm- liche Massen sich verwandeln. Sie verlieren all- mählich ihre grüne Farbe und werden endlich hell- gelb. In abgestorbenen Zellen werden sie farblos und sind mit Stärke gefüllt. 2) Die Stärkebildung wird nur durch gelbes Licht (durch saures chromsaures Kali durchgelassen) erzeugt. Im blauen Lichte (durch Kupferoxyd- Ammoniak durchgegangen), wie auch im Dun- keln bleibt die Stärkebildung vollkommen aus; die vorhandene Stärke löst sich allmählich auf. 3) Die Zellentheilung wird nur mittelbar durch gelbe Strahlen, eigentlich aber durch vorläufige Stärke- bildung hervorgerufen. Beim Vorhandensein des Bildungs - Materials für Querwände tritt sie im blauen Lichte ebenso wie auch im Dunkeln ener- gisch auf. 4) Im blauen Lichte bleiben auch nach neuntägigem Verweilen die Chlorophyll-Bänder vollkommen er- halten, obwohl sie keine Spur von Stärke führen. Im Dunkeln contrahiren sich die Chlorophyll-Bän- der bis auf Y,, sogar '/ der Länge der ganzen Zelle. Sie werden dabei düuner, erhalten einen glatten, wellenfórmigen Rand und werden perl- schnurartig eingeschnürt. 5) Die Auflösung der Stärke sowohl im blauen Lichte, als im Dunkeln kommt viel langsamer zu tapé, als ihre Bildung. Observations et orbite de l'étoile double > „1728 — 42 Comae Ber. par O. Struve. e le 25 janvier 1866.) Cette étoile double, découverte parmmon pre à l'aide de la grande lunette de Dorpat; commençait à attirer son attention particuliere depuis. l'année 1833 E ^ elle se présentait pour la premiere fois comme #4 simple parfaitement ronde. Depuis ce temps I a é poursuivie aussi régulièrement que possible à m par mon père et par moi, à Poulkova par moi S Le nombre des observations obtenues chaque année ne s'élève que rarement au-dessus de trois, car ce : "est que dans des conditions atmosphériques trés favo- 15 Bulletin de l'Académie Impériale rables qu’à cause de la petite distance apparente des deux étoiles on peut les instituer avec quelques chances de succès. En donnant ici la liste de nos observations réunies pour chaque année en une valeur moyenne, je remarque que les directions observées à Poulkova sont déjà corrigées de l’effet des erreurs systématiques dé- duites des observations des étoiles doubles artificielles. Les distances mises en parenthèses sont obtenues par différentes méthodes d'estimation, dans des cas où la proximité des deux étoiles n’admettait pas de mesures micrométriques proprement dites. Observations de Dorpat. Nombre Époque Distance Direction des jours Observateur d’obs. 1827,28 0,570 Ai Le Eet W A 29,40 0,640 PED 3 SUR US 33,36 Et. simple » » 34,43 Soupçon de fig. obl. 228,3 1 » » 35,39 Et. oblongue 11,9 47544 36,42 (0,303) 10,2 3 W.etO.Str. 37,40 (0,395) 10,8: 38,40 (0,358) 11,5 6 W.etO.Str. Observations de Poulkova, 1840,45 (05417) Id, 7^" 9^ Mir, 41,41 (0,375) 145 9 "ye 42,40 (0,250) 14,5 5 » » 45,47 Ét. simple » » 46,40 Soupçon de fig. obl. 246,7 3 » » 47,42 Ét. oblongue 1948 3 ^» » 48,42 (0,243) INT d » » 49,42 0,340 &6 3 » » 50,39 0,390 159 $2 5 51,42 0,410 60 Ww 3 52,43 0,480 19,9 3:5 Lee 53,40 0,480 106,8 59850» 54,38 0,510 AA Ed » o» 55,44 0,540 (ER Set Domela 57,49 0,380 Tio a. وك‎ 58,44 (0,290) 4,9: dim ob 59,38 Soupcon de fig. obl. 399,8 4 » » 61,42 0,355 5,6 52 »» 62,40 0,460 19,0:- 25 رت‎ 63,44 0,470 7,6: 4 nn 64,42 0,423 10,6: Fh iib Il résulte de ces observations que, dans le courant de 37 ans, l'une des deux étoiles qui composent ce système a été éclipsée trois fois par l'autre. C'est là un exemple unique jusqu'à présent dans les systémes stellaires et qui nous permet de déduiré avec certaine facilité une valeur approximative au moins pour un des éléments de son orbite, nommément pour la durée de la révolu- tion. Cependant une autre particularité qui se prononce également dans le tableau précédent, rend les conclu- sions à ce sujet en apparence moins süres. Les deux composantes de ce systéme sont à tel degré d'égale grandeur (6,0 selon les Mensurae micrometricae) qu'il n'y a pas moyen de discerner par le seul aspect entre les deux directions opposées. En appelant l'une des | deux étoiles A, l'autre B, il est impossible de dire à chaque moment, si B est au nord d'A ou vice versa. Au commencement de mes observations de Poulkova j'ai tâché encore de noter à chaque occasion, laquelle des deux étoiles m'a paru la plus grande, mais aprés avoir gagné la conviction que le jugement dans ce cas est tout-à-fait incertain, j'ai maintenu plus tard la régle de faire la lecture de la direction toujours du cóté nord, afin de ne pas troubler le jugement de ceux qui voudront s'occuper de ce systeme, par des indica- tions qui, en effet, ne méritent aucun poids. Si le plan de l'orbite était tellement incliné envers. le rayon visuel, qu'on püt se laisser guider par la succes- sion des directions observées, l'égalité de l'éclat ne for- merait aucun grave obstacle à la déduction des éléments. Mais dans notre cas aussi ce moyen n'est pas appli- ‚cable. Les directions observées prouvent qu'ici le rayon visuel coincide à tel point avec le plan de l'or- bite, dans tous les cas oü les deux étoiles ont été vues distinctement séparées, que l'angle de position n'a jamais varié de quantités qui surpassent les limites ad- missibles des erreurs d'observation. Cette derniére circonstance nous donne directement des valeurs ap- proximatives pour les deux éléments qui déterminent la situation du plan de l'orbite, mais elle nous prive en méme temps du moyen d'employer les directions observées à la déduction des autres éléments. Nous sommes donc obligés de nous tenir dans ce cas unique ment aux distances mesurées qui, on le sait, cèdent de beaucoup en exactitude aux directions, surtout dans les systèmes très-resserrés. Mon père, en basant ses conclusions sur Videntit 1 des Seiences de Saint- Pétersbourg. des des directions observées avant et après l'oecultation de 1833, avait énoncé, en 1837, l'hypothése (Mensu- rae micrometricae, pag. 5) que l'étoile B, aprés avoir été cachée par A pour une courte période, était ressortie du méme côté nord des rayons de cette dernière, en attribuant ainsi à l'orbite une excentricité qui ap- prochait de l'unité. Dans cette hypothése les trois oceultations successivement observées auraient com- pris deux révolutions entières, et comme les deux ex- trémes different entre elles de 26 ans, il aurait fallu conclure à une période de 13 ans seulement. Mais en examivant attentivement la succession des distances mesurées, on voit facilement qu'une pareille période ne leur satisfait pas. En 1845, par exemple, l'étoile était parfaitement ronde, tandis qu'en 1858 les deux étoiles ont été vues encore distinctement séparées. De 1840. à 1842 la distance a diminué considérable- ment, et en 1855 elle avait à peine atteint son maxi- mum. Nous voyons en outre que le maximum de la distance, observé à Dorpat entre 1827 et 1829, s'ac- corde tolérablement en grandeur avec celui de la pé- | riode de visibilité entre les occultations de 1845 et 1859, en différant déjà au-delà des limites admis- sibles des erreurs d'observation de celui que j'ai mesuré entre 1833 et 1845 ou aprés 1859. Toutes ces considérations réunies nous ont conduit à suppo- ser à l'orbite une révolution d'environ 26 ans et une excentricité assez considérable pour expliquer les dif- férences dans les intervalles entre les époques des oc- cultations observées et des maxima de distances. - Aprés quelques tátonnements préalables, nous nous ooa arrétés aux éléments suivants: | Temps du périhélie T = 1839,60 ~n- Demi-grand axe .. a = 0550 Excentricité e — 0,075 ` Durée d'une révolution 25,5. ans ou moyen mou- vement annuel ES = 14,12 . en y admettant que le rayon visuel coincide parfaite- ment avec le plan de Porbite et qu'il soit en outre perpendiculaire au grand axe de l'orbite réelle. En bent termes nous y avons supposé: "s KH compris entre le pris et le noeud Ascendant Te ; Tome X. Ac 9 » M u AA, P—Q— 0°, l'inclinaison de l'orbite i= 90°, la longitude du noeud ascendant Q — 1055. La derniére valeur résulte de la moyenne des di- rections observées, si nous excluons toutes les obser- vations dans lesquelles les deux étoiles n'ont pas été vues distinctement séparées. Avec ces éléments, M. Vietor Fuss, astronome surnuméraire de l'Observatoire central, a comparé les mesures isolées des distances. Il.s'entend facilement ` que pour les directions on a la valeur constante — 1075, valeur qui ne differe sensiblement des directions observées, que dans les cas oü les deux étoiles en- semble offraient à peine le soupçon d'une figure oblongue. Voici maintenant le résultat de ces calculs par rapport aux distances: Époque Dist. calc. Obs.-Calc. 1827,28 07535 + 02035 29,40 0,454 +- 0,186 33,36 0,057 — 0,057 34,43 0,080 35,39 0,188 36,42 0,297 + 0,006 37,40 0,380 + 0,015 38,40 0,438 Se 0,080 40,45 0,450 — 0,033 41,41 0,405 — 0,048 42,40 0,331 — 0,081 45,47 0,012 — 0,012 46,40 0,126 - 47,42 0,243 48,42 0,345 — 0,102 49,42 0,428 — 0,088 50,39 0,487 — 0,097 51,42 0,526 — 0,116 52,43 0,537 — 0,057 53,40 0,523 — 0,043 54,38 0,484 + 0,026 55,44 0,415 + 0,125 57,49 0,220 + 0,160 58,44 0,109 + 0,181 59,38 0,007 61,42 0,247 + 0,108 ` 62,40 0,340 + 0,120 63,44 0,415 + 0,055 64,42 . ^ 0,455 — 0,032 ` 2 Bulletin de l'Académie Impériale ` Cette comparaison nous apprend qu'il y existe en- core une certaine régularité dans les différences entre le calcul et l'observation, qui, probablement, pourraient être diminuées considérablement par l'introduction de valeurs plus approchées des éléments, pour les- quels nous sommes partis de suppositions trés-vagues comme par exemple pour la longitude du périhélie. Mais pour le moment il parait que nous devons nous contenter de ces éléments grossiérement approchés. Avant de procéder plus loin dans ces recherches, il fau- dra examiner encore à quel point les mesures des deux observateurs sont sujettes aux mémes erreurs con- stantes pendant toute la période de leurs observations et s’il n'y a pas de différences constantes entre les mée- sures et les estimations. Cet examen, en demandant des études plus étendues, doit être réservé à une autre occasion. Autant que je puis juger maintenant, les différences entre l'observation et le calcul seront, dans ce cas, trés-fortement diminuées par l'introduction des corrections experimentelles à déduire du complet de mes observations comparées avec celles de Dorpat. Quelque grossierement ébauchés que soient les élé- ments précédents, ils suffisent à représenter presque toutes les observations à tel degré qu'il n'y reste plus de contradiction manifeste. Au moins tous les phéno- ménes caractéristiques de l'orbite résultent d'une ma- nière trés-satisfaisante. Cela se manifeste surtout dans les faits suiyants: E L'étoile a été vue parfaitement ronde aux époques 1833, 36 et 1845, 47, et pour ces époques le cal- cul donne les عا‎ des centres respective- ment 0,057 et 07012; 2° A l'expression «Soupcon de figure oblongue», em- ployée en 1834, 1846 et 1859, correspondent les distances calculées 05080, 07 126 et 07007. 3° L'étoile a été dite oblongue en 1835,39 et 1847 ‚42 et le calcul donne pour ces époqués les distances 0,188 et 0,243. C’est effectivement à la distance d'environ 0,20 qu'en général les images de deux | étoiles de l’éclat des composantes de 42 Comae commencent à se confondre dans notre grande lunette par un état favorable du ciel. 4 Le calcul indique pour les maxima absolus de la distance les époques 1827,0 et 1852,5. Les ma- xima mesurés sont notés 1829,4 et 1855,4. Sans doute il est bien digne de tonte notre attention que, dans les deux cas, l'observation est en retard de deux à trois ans sur le calcul, mais la valeur absolue des deux différences n'est pas considéra- blement affectée par cette circonstance; parce que, vers les époques des maxima, les changements des distances sont insignifiants dans le courant de plusieurs années. edo 5° Le temps du périhélie qui, dans notre cas, doit correspondre au seul maximum relatif وده‎ a été fixé par le calcul à 1839,6 et l'observatiou d. recte lui assigne avec un accord assez: — M l'époque 1840,5. Dans toute la liste de nos عله زان‎ il eg a, pour le moment, qu'une seule donnée qui se trouve encore en contradiction manifeste avec la théorie. C'est le résultat fourni par les observations de 1858. Ladite année j'ai obtenu deux observations dé 49 Comae par des images trés-favorables et dans ces deux occasions j'ai estimé la distance des centres respecti- vement de 0,30 et de 0728, en y ajoutant expressé- ment la remarque que, par moments, j'ai vu les deux étoiles distinctement séparées, ce qui ne pourrait avoir eu lieu si la distance n'avait été que de 07109; comme le veut notre théorie. Pour une pareille distance j'aurai dû employer l'expression «Soupcon'de figure oblongue», ou tout au plus «étoile oblongue». Ainsi le probléme d'obtenir un accord plus satisfaisant avec les observations de ladite année, devrait former un des points principaux à l'appui des hypothèses ulté- rieures sur les éléments de l'orbite. L'accord ré: tabli dans ce cas entraînerait en méme temps une cor- rection de la différence plus considérable trouvée pour le résultat de l'année précédente 1857. En outre, nous avons comme indices, pour nous guider dans les hypo- thèses futures sur les éléments, le retard remarqué entre les maxima de la distance observés et calculés, et enfin les différences des diréctions notées en 1834, 1846 et 1859 à des époques ‘où les deux étoiles étaier tellement resserrées qu’elles offraient . seulement de soupçon d'une figure oblongue, Mais, à cause des P sons indiquées plus haut, il parait pour le moment inu- tile d'entrer dans des discussions plus détaillées à € sujet. Évidemment I’ application de formules differen- tielles pour la correction des éléments serait, dans ce cas, peine perdue, tant qu'on ne serait pas parvenu par d'autres procédés à des valeurs plus approchées des Sciences de Saint- Pétersbourg. Dans: les différents recueils d'observations nous ren- controns bien quelques observations isolées, faites sur cette étoile par d’autres astronomes. Cependant leurs mesures ne peuvent pas pour le moment contribuer à une déduction plus exacte des éléments, soit parce que les différences constantes dans les mesures des distances, qui, dans ce cas, jouent un rôle préponde- rant, ne sont pas encore suífisamment évaluées pour emm observateurs, soit parce que leurs ob- servations sont trop nien et ne forment pas de sé- rie eontinue comme les nótres. Quant aux résultats principaux de notre Forse; و‎ la durée de la révolution, la valeur du demi-grand axe et l’excentricité, je ne مت‎ qu’ils puissent subir des changements tres-considerables par suite des observations futures. Ils recevront leur con- firmation ou réfutation définitives en trés-peu d'années. Si notre théorie est juste, le systeme devra nous fournir de nouveau l'aspect d'une étoile simple déjà en 1870, tandis que l'hypothése d’une excentricité tres-forte, combinée avec une période deux fois plus rapide, re- culerait de deux à trois as l'époque où l'étoile devra desnouveau paraître simple. En tout cas notre discus- sion suffira, j'espère, à diriger l'attention des astro- nomes sur ces. € — : id hov ali sch. stadio Zur Geologie deg südöstlichen Kaukasus. Bemer- à -“kungen von 1 meinen Reisen im Jahre 1865. Von بط ,بر‎ Abich. (Lu le 11 janvier 1866) _ + Mein diesjähriges Reise-Programm hatte folgenden Inhalt Die südöstliche kaukasische Hauptkette sollte mit Rücksicht auf die geognostische Sonderung der an der Zusammensetzung derselben Theil nehmenden Formationen untersucht und damit die Erforschung der geologischen Beziehungen des Schagdag -Systems Zu diesem Theile der kaukasischen Kamm - Region, seiner Struktur-Verhältnisse und der systematischen Stellung. der seinen Bau vermittelnden Formations- Glieder verbunden werden. Ferner sollten. die im westlichen Kaukasus bereits erkannten und unter- schiedenen. ‚geognostischen Horizonte innerhalb der Regiônen: beider Abhänge des südöstlichen Gebirgs- theils festgestellt Hin ihrer relativen: Verbreitung am caspischen Meere Verfolet werden. Der Lösung. dieser Aufgaben: hatte da om ue! sich noch eine erschöpfende physikalische Untersu- chung, wo möglich sämmtlicher Thermalquellen dieses östlichen Kaukasus-Antheiles anzuschliessen. Ein sehr wesentlicher Punkt bestand noch in der Übertragung der geognostischen Untersuchung auf das obere Ta- basseran und das eng mit diesem Gebirgslande ver- bundene Kaitach, wodurch die Resultate früherer Un- tersuchungen in Daghestan, insbesondere von 1860 zu ergänzen waren. Aus Daghestan wollte ich durch das Gebirge über Wladikavkas nach Tiflis zurück- ehren. : ۲ Am 19. Juni verliess ich diesen Ort und ging von Telaf durch Kachetien, um meine Untersuchungen von der Höhe des Kaukasus-Kammes am Passe nach Dido zu beginnen. Vom Festungsthurme Kodoro'), dem Fusse des Gebirges zurückgewendet, folgte ich der kachetischen Cordon-Linie nnd recognoscirte auf diesem Wege die unteren und mittleren Stufen ver- schiedener Querthäler. Nachdem ich dem Besuche des Hochthales von Elissu?) und seinen interessanten heissen Quellen. von 40? C, in 5,300 F. abs. Höhe eine grössere Excursion gewidmet hatte, überstieg ich von Nucha aus das Gebirge am Schieferpasse von Salawati?). In das hochgelegene, fast durchgängig im Schiefergebirge eingesenkte Fluss-System des Sa- mur bei Borsch ^) gelangt, verweilte ich in Know”), um die benachbarten Thermalquellen im Dalytschai- Thale zu besuchen). Dem letzteren aufwärts folgend, drang ich noch einmal in die Region des Hauptkamines vor, der hier zum ersten Male, in seiner Erstreckung vom Borbalo an, von der breiten Zone einer zahl- reich geschichteten, mitunter schiefrigen Kalkbildung übergreifend bedeckt wird. In geringer östlicher Ent- fernung vom Salawati bedingt diese Formation die Schneelinie übersteigende Gebirgsgipfel, über welche vom Dalytschai-Thale der Nordseite aus, ein kurzer, aber schwieriger Pfad steil abwürts gegen Süden grade nach Nucha führt. Östlich von Nucha endet diese Kalkbildung bald wieder, und auf das Neue entwickelt sich der Gebirgskamm mit hohen schneebedeckten Schiefer - Pyramiden, , Dem, für die petrographische Kenntniss der ältesten kaukasischen Schiefer- Forma- tion sehr instruktiven Thale von Know abwärts folgend, richtete ich erneuerte Untersuchungen auf die vielbe- suchten Thermalquellen von Akti 7) und begann von dort aus eine geognostische Parents des um- Bulletin de l’Académie Impériale fangreichen Schagdag - Systems, die sich mit der Be- steigung seiner isolirten westlichen Hauptglieder, des Gerdamyseh?) auf der linken und des Tschalbuz- dag?) auf der rechten Seite des Samur verband. In dem breiten Hochthale zwischen dem Tschal- buzdag und dem Schiefer-Hauptkamme bezeichnet das grosse und durch seine ausgedehnten wunderschónen Alpenweiden reiche Dorf Kurusch'^ den höchsten bewohnten Ort des kubinischen Kreises. Von hier aus gelang es mir die flache Gipfelkuppe des Schagdag ") auf siebenstündigem Wege, bei hier selten andauerndem gutem Wetter zu erreichen. Nur auf dem einzigen, an der steilen Südseite im engen Felsenthale emporführen- den Pfade ist ein tieferer Einblick in die Struktur- Verhältnisse dieser Bergseite mit ihren Beziehungen zu dem Eintreten und der eigenthümlichen Entwickelung einer daselbst vorhandenen Schneegletscher-Region") zu gewinnen. Aus dem tiefen Querthale von Kara- tschulan, welches denSchagdag vomTschalbuzdag trennt, stieg ich vom Dorfe Kaladjuk ") zum Schiefer- passe von Kadjali") auf der Nordseite des Kalkge- birges bis an den Fuss der hohen Dolomit-Wände, womit die Parallel-Faltungen des Gipfelrückens in mehrfa- chen Stufenreihen senkrecht abstürzen. Meine Absicht, durch die hier auslaufende Hauptschlucht des Systems in die muldenförmige Concavität des Gletschergebietes einzudringen, musste der wiedereintretenden schlech- ten Witterung wegen vorerst aufgegeben werden, was meine Ankunft in Kuba '^) beschleunigte. Von hier aus noch einmal mich nach dem Schagdag zurückwendend richtete ich meine Aufmerksamkeit vorzüglich auf die Osthälfte des Systems und auf den Übergang des- selben in das niedrigere Bergland des Distrikts Scha- ^i bran, der den östlichen Theil des kubinischen Kreises ` begreift. Die Schichten des Schagdag, deren syste- matische Stellung durch die aufgefundenen Verstei- nerungen erkennbar ist, verschwinden gegen Osten all- mählich unter jüngeren Formationen, ebenso wie die ju- rassische Schiefer-Formation der kaukasischen Haupt- kette, östlich vom Meridian des Schagdag, sich unter der Auflagerung einer versteinerungsleeren, nur Fu- coiden - Abdrücke enthaltenden Kalkbildung verliert, welche, von Babadagh ^) an, nicht nur die Gipfelhöhen der östlichen Hauptkette bis zum Dy brar ") und Gadi bildet, sondern sich auch weit über die Abhänge bei- . der Gebirgsseiten ausbreitet. Insofern nun die Einrei- hung dieser kalkigen Schichten, so wie aller mit ihnen verbundenen ebenfalls. versteinerungsleeren Schiefer- sandsteine und thonig- mergelichen Bildungen unter bereits erkannte geognostische Horizonte, einzig und allein aus den Lagerungsverhältnissen zu ermitteln war, erschien. es nóthig, mehrmalige Übersteigungen desHauptkammes mit Profil-Aufnahmen des Gebirges in seiner ganzen Breitenausdehnung zu verbinden, und weiter ausgreifende Wanderungen auf beiden Abhän- gen in der Richtung des caspischen Meeres anzu- stellen. Zu diesem Ende hatte ich von den kubinischen tertiären Vorhügeln aus den Weg nach Kinalugh") auf der Ostseite des Schagdag genommen; war von dort über Kries") nach Buduch") gegangen und wendete mich nun südlich zum Überschreiten des 11,907 Fuss hohen Babadag, an den mit üusserster . Steilheit nach Norden einsinkenden Schichtenwölbun- gen aus schiefrigen sonor klingenden Fucoiden-Kal- ken emporklimmend. Auf der nicht minder steilen Süd- seite der einseitig gesunkenen Gewölbkette hinab- steigend, gelangte ich durch früher: nicht besuchte Querthäler des vielverzweigten Goktschai-Fluss-Sy- stems zum F usse des Gebirges. Von dem Vereinigung: punkte") der drei Hauptarme dieses Flusses ging ich am Saume des letzteren über Wandan”), War- taschin”) und Kutkaschin, bis zum Thale von Bum, und besuchte auf mittlerer Stufenhóhe desselben die im Grunde des tiefen Thalspaltes emportretenden, we- nig gekannten, obschon viel benutzten Thermalquellen , | desselben Namens von 39,2 Cels. *). Von Bum führte 1. „D:shtnno mich eine g 1 nach der plateauartigen, von mächtigen Diluvialbil- dungen bedeckten Molassen-Zone, die gewissermaassen als eine östliche Verlängerung der Steppe von Upadar, dem Hauptgebirge parallel, vorliegt. Dem letztere! US 2 o wendet diese Zone einen mässig hohen Nordrand zu”), dagegen überragt sie mit steil und terrassenfürmig abstürzendem sehr hohem Südrande die Kura-Thal- ebene. Die Absicht, eine Eruptivzone von grünen Augit-Porphyren weiter zu verfolgen; die ich innerhalb der Richtung einer grossen Verwerfungsspalte des Schiefer-Terrains längs des Gebirgssaumes vom Gok- tschai bis Wartaschin erkannt hatte, und welchem birgswälle des Lagitsch-Systems überzugehen ene | führte mich dem Hauptgebirgsfusse wieder ZU des Sciences de Saint- Pétersbourg. bestimmte mich, durch dieEngschlucht desGerdiman- | deutung der in Rede gestandenen Eruptivzone wirkt tschai noch einmal*) in die circusartigen Hochthäler | aber noch in der Gegenwart fort, denn gewiss ist es dieses orographisch sehr eigenthümlich entwickelten Gebirges vorzugehen. Diegrosse Dedeutung der vorer- میم‎ Zone, anf welcher zeitlich und räumlich von tr Durchbrüche vulkanischer Gesteine verschiedener Gattung mit dem ganzen Gefolge ihrer klastischen Modalitäten vor sich gegangen sind, tritt in ihrer engeren Beziehung zur Geologie der südöst- lichen Kaukasus- Seite auf dem ganzen Raume zwi- schen der Enge”) des Gerdimantschai unterhalb Lagitsch und Schemacha in der lehrreichsten Weise hervor. Zuerst sind es die kolossalen gangfórmigen Em- pordrüngungen feinkórniger glimmerhaltiger Trachyt- porphyre durch die stratigraphisch durchaus zerrüt- teten: Schichten der Kreide- und. Eocän-Periode im Nialdag und Fitdag”), und dann die dunklen augit- reichen , basaltischen und amygdaloidischen Massen des Kungut-Gebirgszuges, zwischen dem Thale von Sulut und dem des Aksai, Felsarten, deren Aus- läufer bis in die Nähe des Malakanen-Dorfes Tschir- | jourt*) ohnweit Schemacha dringen. Als klastische Glieder dieser eruptiven Bildungen sieht man auf dem angedeuteten Raume mitunter die steil aufgerichteten Schichten grob- und feinkörniger Psammite, aus den krystallinischen Elementen der Trachytporphyre zu- Sammengesetzt, die Natur und den Habitus von Molas- sen mit sandig henlagern annehmen, 11 1 ta عدو‎ art tM 153 as Ablagerun- gen zeigen, i in ‚deren Schosse sich am caspischen Meere ulkane ausgebildet haben. Will man ren mit mir, nur als local eingetretene Endglieder in der grossen eocänen Bildungsreihe hell- gelblicher. ‘und lichtgrauer : Fucoiden-Kalke und Flysch- en, die vielleicht der Über- gangs-Periode aus der eocänen: Zeit in die miocäne ange- ss würde sich die Erklärung ( dm von mir nachge- Vulkan- La ava REN à bes Kumani, mit vorherrschender Trachytporphyr- | „neben kohlensauren Erden, einfacher und des- لها‎ wohl richtiger formuliren lassen, als ich es im i نیمود‎ versucht habe **). Die geologische Be- ar ce dati im Jahre ۱ íu - ie Geer ues ersten 'Be Abhandlung über das ` ir We VER sich bei ‘dieser, Erklärung auf das سس نیا‎ | dass das Schlamm - Vulkan + Gebilde, nach nicht zufällig, dass die Achse des elliptischen Erschüt- terungsgebietes von Baskal und Schemacha dieselbe Richtung zeigt, und dass zahlreiche bald schwache, bald stärkere Ausströmungen von brennbaren, mit Kohlensäure schwach gemengten Gasen als trockene Mofetten seitliche Nebenerscheinungen in ihrer gan- zen Ausdehnung, von den Lagitsch-Thälern bis zum Aksai-Thale bilden. Interessant. war es mir, in dieser Beziehung in dem höheren geschlossenen Circus-Thale des Lagitsch-Systems in einiger Entfernung von der bereits bekannten Örtlichkeit permanenter Kohlenwas- serstoff- Emanationen ohnweit Boscha, die dauernd fortbrennen, noch eine zweite in Erfahrung zu bringen und zu untersuchen, welche die Bewohner Ott-janir”) (hier brennt es) nennen. Nach dieser Abschweifung wieder zu meiner Marsch- route zurückkehrend, bemerke ich, dass dieselbe von Schemacha in der Richtung zum Hauptkamme und zwar durch das Tertiärgebiet der Pyrsagat- und Kos- ditschai-Thüler einlenkte. Ich überstieg das Gebirge am 11. Aug. am 7352' hohen Dybrar, wie der Baba- dag der Culminations-Punkt des stehen gebliebenen Nordrandes eines ausgedehnten gegen Süden abgesun- kenen Lüngengewülbes Fucoiden führender Platten- kalke; widmete den geognostischen Verhültnissen des ausgezeichnet orographisch marquirten Längenthales von Chaltan °°) mit seinen schönen Thermalquellen von 49° C. einige Zeit und kehrte nach mehrfachen Wanderungen im Bezirke. von Schabran über das Klitt-Gebirge nach Kuba zurück. - Noch einmal war ich am Schagdag, und erst jetat gelang es mir, vom Sudur-Thale aus in die Gletscher- Region der Nordseite einzudringen. Die Verhältnisse des Hauptgletschers رز‎ der bei grosser absoluter Höhe von 10,487 Fuss dennoch eine sehr ansehnliche Breite besitzt, sind durchaus eigenthümlich ‚und nur in eini- gen Beziehungen móchten sie mit denen am. Gletscher des grossen Ararat am Fade; der Jakobs-Schlucht zu vergleichen sein ^). Am Ararat entquillt der Eisen ور‎ dem Abhange der sphürischen Silberkuppel und senkt sich bezeichneten nu A nn pag. 498, Th. I, keinesweges als ein و‎ sondern als € ein echt deuterogenes Erzeu gniss betrachtet werden muss. Bulletin de l'Académie. Impériale zwischen rostbraunen Klippen verschlackter Trachyté, die buntgebünderte Tuf- und Trümmerschichten pfei- lerfórmig stützen, mit unglaublicher Steilheit von Stufe zu Stufe in die Jakobs-Schlucht hinab. In gleicher 11 ^ 0 Weise aber in noch mehr sphär ischer Krüm- mung neigt sich die Eisdecke am Schagdag über dun- kelrothe Massen theilweis geborstener und abgesunke- ner Marmor- und Dolomit-Schichten abwärts. Anstau- end gegen senkrecht emporstarrende, schaalenförmig gebogene und gleichsam nach Norden vorgedrängte Neocom-Klippen, theilt sich der Eisstrom in zwei Arme und fliesst so von dieser Einsattlung nach entgegenge- setzten Ost- und Westrichtungen in die eigenthümlichen Comben - Vertiefungen des Schagdag- Ghielaaiens ab. Der flach gewölbte westliche H ber besteht aus festem, klarem und porenreichem Eise, die Trümmer seiner Schuttwälle zeigen zuckerförmige Kalke von fei- nem: und gröberem Korne mit den Abdrücken grosser Nerineen und rothen Breccien Marmor, gleichfalls mit Nerineen-Resten. Das dem Gletscherende zunächst anstehende Gestein ist regelmässig geschichteter wei- cher plünerartiger Kalk mit Belemnites mucronatus. Vom Samur-Thalerichteteich meine Untersuchung jetzt nach dem Kurinischen Chanat und ging von Kasim-Kent?), das Güllartschai-Thal aufwärts, in . die Kreise Tabasseran und Kaitach über, deren Be- such mir auf früheren Reisen der kriegerischen Ver- hültnisse wegen stets versagt geblieben war. In dem Wort Deg Sgeran ( Hochebene, Hochland) sind die allg phy ge des mittel- j ischen Sandstein-Terrains, welches den grösseren Theil dieser Kreise zusammensetzt, naturwahr aus- gedrückt. Es erstrecken sich dieselben aber auch auf die Ablagerungen aus der Kreide- und besonders der Tertiärperiode. Den Verfolg der Begränzungslinie der Plateau-Flächen, welche im östlichen Tabasseran von den stetigen Ablagerungen poröser Muschelkalke aus der Periode obermiocäner Steppenkalke eingenommen werden, führte zur Wahrnehmung interessanter topo- graphischer Beziehungen, die zwischen dem nórdlichen Steilabsturze jener Plateau-Hóhen und der Anlage wie dem Verlaufe der zum Theil noch wohl erkennbaren sogenannten derbentischen Mauer, von den Kreide- hóhen ohnweit Madjalis an, bis zur letzten noch ganz erhaltenen Bastion jener Mauer auf der Gipfeleinsatt- jung des Djelendag oberhalb Derbent bestehen. 1 Von Xrssi?5), der Residenz des Kreis-Chefs, Dëse ich über Madjalis, dem mehrfach verzweigten Fluss: gebiete des Bulantschai aufwärts folgend, das. ei- gentliche hohe Kaitach; untersuchte die kaum beson- derer Hoffnungen würdigen Verhältnisse daselbst vor- handener Steinkohlen, desselben Alters wie im mittle- ren und nördlichen Daghestan, und gewann den wenig günstigen Witterungsverhältnissen, von Köbetschi”) aus,noch einige werthvolleE in der Richtung desDjufutdag ab. Von diesen hüchstenStufen desKai- tach’schen Plateau -Landes überstieg:ich die Zone grossartiger. Kalkgebirgswälle 7), durch welche die physikalische Gränze des mittleren Daghestan gegen Südost scharf gezogen und ein Haupttheil jener merk- würdigen Wasserscheide vermittelt ist, die. das Fluss- System des Sulak mit seinen Koissu-Verzweigungen von den caspischen Zuflüssen aus dem nördlichen und südlichen Daghestan.seheidet. Nach dem so gewon- nenen Anschlüsse einer bisher von mir noch nicht be- sucht gewesenen Region jurassischer. Sandsteine. und Schieferbildungen an ein früheres Untersuchungsfeld, widmete ich: den reichen palüontologischen Fundgru- ben in den Thälern der Gewólbzüge des darginischen Kreises ein kurzes einsammelndes Studium. Das für die Jahreszeit ungewühnliche immer schlechter werdende Wetter, in V g mit anderen gel hen Um- stünden, setzten weiteren Bewegungen im Daghestan frühe Grünzen. An die Stelle einer beabsichtigten Reise von Schura durch das Gebirge nach Wladikavkas musste der kürzeste Weg lüngs des Gebirgsfusses über Grosnaja genommen werden. Er gab mir Gelegenheit, SI 21:2 1 die früher nicht zu meiner Kenntniss gekommenen Theio- thermen zu untersuchen, welche auf. der Mitte de Weges von Kumterkalé nach Tschirjourt, "i i" ren derselben eocünen Sandst welchen 15 Werst weiter nord bei Metli hervordringen. Jene interessanten. heissen Schwefelwasser von sehr bedentendem Wasserfülle, die narh dar تل‎ rton Station Dim OVI UU mirgoi zu benennen sein dürften, scheinen. — scher Beziehung vollständig mit den tarkinischen Schwefelwassern übereinzustimmen, besitzen. aber die bedeutend höhere Temperatur von 45°C. Noch einmal besuchte ich. nacheinander sämmtliche Thermen ‚des Sunja-Terek - System's und. hatte die Befriedigung; früher daselbst gemachte pl bachtungel Sg "e Zar, 1 RR wiv a des Sciences de Sahit: Pétersbourg. noch bedeutend vermehren zu können. Dahin gehören Beobachtungen über die Möglichkeit der Entwicklung organischen Lebens bei einer Temperatur von 90° Cels. in den Thermen von Bragun, worüber ich nähere Mittheilungen beabsichtige. Auch war es mir interes- sant, in dem Chemismus der Sunja-Terek-Quellen die Lösung eines geologischen Problems erkannt zu haben, welches die Bildungsweise eines weissen Quarz- sandes betrifft, der durch sein sporadisches Erschei- nen als regellose und nesterförmige Einlagerungen in dem thon- und eisenbaltigen Sandsteingebirge längs der kaspischen Küstenregion mich öfter überraschte. Die geringe Menge von freiem Schwefelwasserstoff, welche aus der Mehrzahl jener alkalischen Quellen entweicht, ist hinreichend, um durch seine Oxydation an der Luft die freie Säure zu erzeugen, welche in der nahen Umgebung des Quellenaustritts den Sandsteinen die Eisen- und (Thonbestangtweie nach und nach ent- zieht und eine t zerreiblichen, san n weissen Quarzsandstein veranlasst. Es bedarf somit nur der Annahme einer in früherer. Zeit um Vieles stärker und häufiger aufge- _tretenen thermalen Quellenthätigkeit längs der Sand- steinzüge am Fusse des Gebirges, um die angegebene geógnostische Erscheinung ` ‚befriedigend zu dienten. Diese Auffassung von dem W Wasser” stoff-Funktion moditieirt auch die Ansicht, die: 9 in meiner Schrift«über dj in Betreff des Vorkommens ' ‘von Pyriten: in der Nähe hailow’schen Therme ausgedrückt habe. Die Bil Bildung d UlCSCH U talls; welches mir im Gesteine en vorhanden zu sein schien; kann hier wohl nur als eine secundäre ängenommen md durch. Einwirkung: der. mit dem nn pur TM 11 HEI DCIUCEL ۶ einen o viov 1 LT tuf vitriolische Salze gedacht werden, deren ` noth- e ay wendige, wenn auch so: ge weit der bain aus dem Vorhergegangenen erhellt. Nicht minder: gewiss erscheint أرقن‎ dass die kleinen Lou ter einer. einer durch. saure. alaunhaltige — getränkten; vizen ht neben der Quel- lenöffnung | "vorkommen, aus deg condensirten- Quel ` wie in den : ‚Solfalaren, petet — موس‎ rt PRE Um: stande, dass scharf ausgebildete Schwefelkieskrystalle in zierlichen Gruppen, wie sie in dem zersetzten sol- fatarenartigen Terrain der Thermen von Starajourt in einem bläulich- sandigen gypshaltigen Thone häufig, dagegen dem umgebenden normalen Sandstein-Terrain ganz fremd sind, denselben habilus zeigen, wie dieje- nigen Schwefelkiese, die in den Schlamm-Lava- Mas- sen dercaspischen Region und zwar besonders häufig auf den Krater-Plateau-Flächen der bedeutenderen Schlamm-Vulkan-Berge daselbst vorkommen. ^ Zu bemerken habe ich noch, dass mit der bald erfolg- ten Ankunft in Wladikavkas, wo Schneefall die Tage des 23. und 24. Sept. bezeichnete, meine diesjährigen Beobachtungen auf der nördlichen Kaukasus - Seite abschlossen, von der ich ohne Aufenthalt nach Tiflis zurückkehrte. ^Umunter den Ergebnissen meiner diesjährigen Wan- derungen Einiges von dem hervorzuheben, was mich mit Rücksicht auf verfolgte Hauptzwecke besonders befriedigt hat, schliesse ich dem bereits Gesagten noch das Folgende an. Voneinigen früheren, Beto aufallgemeine geo- logische Recognoscirung gerichteten Reisen nach den (0 ور‎ BS zc immer Zweifel über ۱ à h ver- Am Sot es breiteten Formation von dunkelgrauen thonigen Schie- fern, gleichgefärbten, mitunter sehr festen, aber miei- stens dünn gesel ten'Sandsteinen und lichtgrauen Kalkéteinen) die geben sparsam vertheilten Fucoiden keine anderen organi Reste ei 0 , | logischen Systeme zukommt. Durch das jest in idom wendung gebrachte Verfahren vergleichender Unter- suchung: der allgemeinen Lagerungsverhältnisse hat sich das Gewicht der Gründe bedeutend verstärkt, wel- che in Bestätigung eines bereits früher von mir abge- gebenen Urtheils für eine Aequivalentstellung der an- .|geführten Bildungen mit dem eocänen Flysch der Schweizer und dem Wien - — Mw ita- — Geologen sprechen. Die Nummuliten führenden Schichten; m sich auf ` dem Südabhange des westlichen Kaukasus als gleich- werthige Glieder der Flysehbildung, und zwar vom Meridiane des Borbalo an bis zu dem des Qomli in Letschkum; we Bestimmtheit, wenn auch nicht als ununter e haben nachweisen lassen, suchte ich auf beiden Abhängen des südóstlichen Kaukasus Bulletin de l’Académie Impériale vergebens. Durch eigene Untersuchungen von dem Feh- len dieser eocänen facies auf der Nordseite des Gebir- ges vom caspischen Meere bis zur Laba belehrt, muss ich die Abwesenheit derselben, aus erheblichen Gründen, auch bis an das nordwestliche Gebirgsende für gewiss erachten. Die scharfe geologische Gränze, welche hiemit durch den Kaukasus über den Isthmus zwischen beiden Meeren für die Fauna der Nummuliten- Periode gezogen ist, erscheint um so denkwürdiger, da ihr in Westen das reich entwickelte und nahe Num- muliten-Terrain auf der Krim und in Osten die gleich- falls Nummuliten führenden Schichten am Ufer des Aral-Sees zur Seite stehen. Die genauere Ermittelung der geotektonischen Ver- hältnisse und. der paläontologischen Merkmale der Formations-Glieder des Schagdag-Systems hat. die grosse Bedeutung dieses Gebirges für die geologische Entwicklungsgeschichte des Kaukasus jetzt deutlich herausgestellt. Die orographische Anordnung und die geognostische Vertheilung der Kalk-Formationen der Jura- und Kreide-Periode sind auf der Nordseite des Kaukasus keinesweges nach ein und demselben Plane zur Entwickelung und allmählichen Ausbildung gelangt. Von der grossen, weit nach Norden hervortretenden Centralregion des Elburuz an, bilden jene Kalk-For- mationen eine breite Zone einseitiger scharfkantiger Parallel-Züge, die sich in nahe gleicher Entfernung vom krystallinischen wie vom Schiefer-Hauptgebirge, den Krümmungen desselben folgend, abwechselnd süd- östlich und ostwestlich forterstrecken. Auf sie allein findet die bildliche Vorstellung. des Contreforts mit | fi glacis-artigem Abfalle gegen Norden eine Anwendung. Jenseits desArgun,östlich vonderandischen Wasser- scheide, im eigentlichen Daghestan, entwickelt; sich das vereinigte, in regelmässiger Lagerung auf einander folgende Jura- und Kreide-Terrain in den mannigfalti- gen Formen unter sich paralleler Gewólbketten mit zwischenliegenden, schwach concaven Plateau-Ebenen | mit von bedeutender absoluter Hóhe, neben tief einschnei- denden Thälern, eine Zone von grosser Breite bedin- gend. Im südlichen Daghestan mit Inbegriff des Sa- mur-Flussgebietes, wie des hohen Kaitach und Ta- basseran, werden die Kalk-Formationen dureh aus- serordentliche Massenentwicklungen der mitteljuras- sischen Schiefer- und Sandsteinbildungen beinahe vól- lig und. zwar nach Norden verdrängt.‘ Nach einem somit sehr bedeutenden Zwischenraume treten die Jura- und Kreidebildungen im Schagdag- Systeme in der orographischen Form des Contreforts noch einmal, aber mit etwas vom Hauptgebirge nach Osten divergirender Streichungsrichtung zusammen. Die Anlage zu einem System von Gewölbketten, wie im Daghestan, ist auch hier in ihrer Verkümmerung zu erkennen. Sie áussert sich in parallelen, aber un- gleichmüssigen Terrain-Wölbungen der Oberfläche des hohen Kreide-Plateau-Gebietes auf der rechten Samur- Seite, östlich von Akti und dem Tschalbuz. Mit der südlichen Annäherung an das centrale Schiefergebirge des Kaukasus-Kammes drüngen sich diese Wólbun- gen, an Höhe zunehmend, enger zusammen und werden in Form von schmalen Faltungen, die in der Länge geborsten sind, dergestalt über die Linie des perenni- renden Schnees emporgedrängt, dass die antiklinalen senkrecht neben einander emporgeschobenen Ränder scharfe Grate bilden, unter welchen die zu niedrigeren Niveaus abgesunkenen Gewölbtheile stufenartig zur mittleren Plateau-Höhe des Gebirges absetzen. Dieses Kalkgebirge der rechten Samur- Seite mit seinen durch breite Querthäler getrennten Hauptglie- dern, dem Tschalbuz, Schagdag und Kissilkaja, als geologisches Ganzes aufgefasst ist seinerseits dem gesunkenen nördlichen Flügel eines breiten Längen- gewölbes des jurassischen Schiefer-Terrains aufgesetzt, dessen südlicher Flügel sich als schneebedeckte Gipfel- region des südöstlich gerichteten kaukasischen Haupt- ——— هلاه‎ Die seltenen Petrefakten in diesem birge des Schagdag spre- chen deutlich für Unteroolith. Über demselben, aber von ihm Manik sisenoxyfreiche klastische Schichten mit Thon und Alabasterlag: ieden, welche nach oben in sandsteinartigen Dolomit in wohlgeschichteten Bänken übergehen, steigt die Hauptmasse des Kalk- gebirges mit senkrechten asian von körnigem Dolo- nam M ge‏ سد por, überlagert von den Schichten des oberen Neoco- mien und den darauf folgenden Kreide-Etagen. Die zahlreichen und grössen, aber sehr schwer aus dem harten Gestein zu lósenden Versteinerungen, welche besonders den marmorartigen Gliedern der unteren | und mittleren. Abtheilungen dieses mächtigen Kalk- er يميت‎ haben gezeigt, dass der Unteroolith mit : Murchisonae hier sogleich von einer 33 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 34 Abtheilung des oberen Jura bedeckt wird, die die Port- land- und Kimmeridge-Etagen zu begreifen scheint. Sicher ist es, dass diese oberen Jura-Bildungen mit nur wenig veränderten petrographischen Merkmalen nach oben allmählich in gleichfalls marmorartigen rothen Rudisten-Kalk übergehen, der das Äquivalent des obe- ren.Neocomien ist. Der Marmorkalk, welcher am 8 c h a g- dag dem oberen Jura entspricht, wird durch zahl- reiche Corallen-Species, die auf Riffbildung deuten, viele Reste gestielter Crinoiden, vorzüglich aber durch Nerineen von besonderer Grösse gekennzeichnet. Un- ter diesen würde das Vorhandensein von Arten, wie N S IS D SD GS SN IS 8 ES N à nn AN 7 > Z an CZ M 77 8 Up ae 77 o Ka 7 — هوه N Nt | ` 7 7 9 Tome X. Nerinea Gosae und N. grandis, auf welche gefundene Bruchstücke deuten, noch problematisch sein, wenn der Zufall mir nicht jene merkwürdige becherförmige Ne- rinea in gigantischen Dimensionen und im günstigsten Lüngendurchschnitte auf der natürlichen Bruchfläche eines grossen Blocks vorgeführt hätte, welche d’Or- bigny, in der Paléontologie française, als N. subpyra- midalis Münst. aus der Portland-Etage abbildet und beschreibt. Vor dem missglückten Versuche, mehr als Bruchstücke dieses seltenen Fossils dem harten Ge- steine abzugewinnen, habe ich dasselbe in natürlicher Grösse abgebildet, wovon ich eine Copie beilege. Aus 5 N 7 Ain Y 7 — 35 Bulletin de l’Académie Impériale Blöcken derselben Felsart gelang es mir ferner, zwei übereinstimmende Exemplare einer 1, bis 2 Zoll gros- sen Zerebratel zu erhalten, die ich bis zum näheren Vergleich keinen Anstand nehme, für T. insignis des oberen Jura zu halten. Zu gleichem Schluss auf oberen Jura berechtigen grosse runde Crinoiden-Stielglieder, die auf Apiocrinites mespiliformis zurückzuführen sind. Mit derselben Bestimmtheit fand ich die untere Rudi- sten-Zone mitunter in riesenmüssigen gewundenen und länglichen Formen ausgeprägt, durch welche Capro- tinen, Sphaeruliten, entschiedene Hippuriten, Acteonel- len etc. angedeutet sind. Ostrea Couloni und O. Lemeyrü sammelte ich nebst Echinodermen und vielen Korallen in der Gipfelregion desSchagdag und erkannte die bereits erwähnten, dem norddeutschen Pläner ähnlichen Kalke mit Belemnitella mucronata in der Gletschernähe als die jüngsten in jener Region vorkommenden Bildun- gen. Die geognostische Reihenfolge, in welcher die Jura- und Kreideschichten am isolirten Schagdag auftre- ten, ist eine für den Kaukasus eigenthümliche. Weder im mittleren, noch im nördlichen Daghestan, sowie auch nicht weiter nordwestlich bis an den Kuban ist sie mir vorgekommen. Dort im Nordwesten des Gebir- ges entwickelt sich der Jura mit der vollständigen Reihe seiner Etagen, inden Hauptzonen paläontologisch wohl charakterisirt; auch-wird er in anscheinend concor- danter Lagerung von den in ungestörter Reihenfolge abgesetzten Kreide-Etagen bedeckt. Die im Inneren von Daghestan paläontologisch reich entwickelten Kelloway- und Oxford-Gruppen fehlen am Schagdag, und auch die Glieder der Kreide-Formation zeigen hier eine sehr abweichende facies. Die Rudisten-Kalke des Schagdag-Systems bieten einen wichtigen Horizont dar, der die geognostische Beobachtung in östlichen Entfernungen trefflich unterstützt und auch da noch Werth behält, wo diese Kalkbildung ihren stetigen Zusammenhang völlig verliert und nur noch kolossale Trümmer derselben, fast nach Art erratischer Blöcke, in seltsamer Weise sich über jüngeren Formationen in einem grossen Theile des Distriktes von Schabran zerstreut finden. Dieser, in dem Vorhergeg n all- gemeinen geologischen Bedeutung des (Ree für den Kaukasus stellt sich die besondere zur Seite, welche sich auf die so deutlich erkennbare gleichzei- tige Miteinwirkung der Schagdag-Erhebung auf die ^ A Grundanlage und die successive Ausbildung der plas- tisch-geologischen Verhältnisse der ganzen Kaukasus- Seite bezieht, die den Kubinischen Kreis begreift. In dem Maasse nämlich, als die Etagen der Krei- de-Formation aus der Gipfelregion des Schagdag-Sy- stems zu tieferen. Niveau-Stufen gegen Osten absinken, treten auch die Faltungen und die mit ihnen verbun- denen Bruchspalten divergirend auseinander, und es entsteht eineTerrain-Configuration, in welcher schmale Plateau-Züge mit steil nach Norden und Süden einfal- lenden Rändern allmählich die Natur breiter schwach eingesenkter Mulden annehmen, welche von parallelen Reihen der Länge nach geöffneter Gewölbketten von mässiger Höhe, aber mit schroff emporragenden Fels- kämmen seitlich begleitet werden. Die Profil- Aufnahmen von einer Gebirgsseite zur an- deren, hauptsächlich aufErmittelung der inneren Struk- tur-Verhältnisse gerichtet, wie sie sich im Verlaufe der orographischen Formenausbildung modificirt haben, führten zur Beobachtung und schärferen kritischen Würdigung mitunter wohl zu rasch übergangener Er- scheinungen, die kaum einen Zweifel darüber lassen können, dass das wahre und tiefere Wesen von Er- hebungsvorgängen, wie das eines Schagdag mit sei- nem wunderbaren Bau in einer sehr lange anhal- tenden Wechselwirkung zwischen rein mechanischen Hergängen und dynamischen aus tellurischer Tiefe emporwirkenden Processen bestanden hat, unter wel- chen thermale hydrochemische Actionen eine Haupt- stelle einnahmen. Als Folgeerscheinungen solcher hy- drochemischer Actionen, im Sinne der Haidinger- schen Interpretation, betrachte ich z. B. die, wie ich glaube, durchweg dolomitischen Umwandlungen eines Haupttheiles der Jura- und Kreidekalke des Schag- dag in krystallinisch zukerförmige Gesteinsarten, die mit ihren mancherlei ungewöhnlichen Nebenerschei- nungen zu den wichtigsten Beobachtungsgegenständen am Schagdag gehören. ` Dasselbe gilt von dem auf beiden Gebirgsseiten ver- breiteten auffallenden Phänomene sehr ausgedehnter und meistens schmaler Zonen von rothbrauner und dunkel-violetter Färbung, die auf orographisch gestal- tenden Bruchlinien antiklinaler Schichtenstellungen, der Hauptachsenrichtung des Gebirges parallel auftre- ten. Aus dem mineralogischen Bestande der bunt gr" färbten grösstentheils thonigen Massen geht hervor. ۳۹ 5 des Sciences de Saint- Pétersbourg. dass innerhalb dieser Zonen eisen- und manganoxyd- reiche Lösungen lange Zeit aufgestiegen sein und an der Terrain-Oberfläche sich ausgebreitet haben müssen. Mit besonderer Intensität tritt diese Erscheinung in den thon- und mergelreichen Tertiärgebieten der Thaler desGilgintschai und Tschabrantschai aufder Ku- binischen und des Pürsagat und Kosditschai auf der Schemachaschen Seite desGebirges auf. Der Ver- folg von dergleichen durch hochrothe Färbung ausge- zeichneten Zonen im Terrain der meisten Inoceramen- Kreide östlich von Schagdag ohnweit Kries in ei- ner Region der unglaublichsten Schichtenzerrüttungen, führte zu verschiedenen Malen an die auf das schärfste physiognomisch marquirten Durchbruchsstellen eines "mit rauhen Formen empordrängenden Eruptivgesteins; aber statt des erwarteten krystallinischen Silicat-Gebil- des fand sich ein eigenthümliches silieiöses, äusserst festes, mehr oder minder concretionirtes, kleine kry- stallinische Drusenräume enthaltendes Kalkgestein, in vollkommener morphologischer Übereinstimmung etwa mit in Spalten ausbrechenden basaltischen Mandel- steinen, K .. Wenn auch die Bedingungen zur Entfesselung ge- birgserhebender Kraftäusserungen in uusrer gegen- = wärtigen Periode sich in das planetarische Innere zu- | Hs ii) i Du 1 BE} rückgezogen haben, so wirken doch einzelne Factoren |. dieser einst so mächtig gewesenen Processe gewiss noch immer leise fort. Viele Gründe vereinigen sich grade im südöstlichen Kaukasus dafür, die Phäno- mene der Thermalquellen und der intermittirenden schlammigen Eruptionen, die vulkanähnliche Berge und Hügel emporbauen, in die Kategorie dieser Fac- toren zu stellen. Ungesucht assocürt sich dieser Vor- stellung hier die noch einmalige Erinnerung an die Thermalquellen in dem engen, Kreide und eocäne Schichten aufschlissenden Comben-Thale von Chaltan. Die nahe ostwestliche Schichtenstellung wird daselbst durch dasselbe System von Bruchlinien bestimmt, die in dem 67 Werst entfernten Schagdag- Gipfel con- Vergiren. Mit diesem Systeme habe ich, aus Gründen die von der Geotektonik der Uferregion des caspischen Meeres ausgehen, schon einmal Veranlassung genom- men, die unverkennbar gesetzmüssige Vertheilung der Schlammvulkanberge und Inseln, sowie das, an be- stimmte Richtungslinien geknüpfte Auftreten von Koh- lenwasserstoff in flüssiger und gasförmiger Gestalt in Verbindung zu bringen, welches auf beiden Seiten der Hauptkette bis zu bedeutenden Höhen am Schagdag und Lagitsch-Gebirge stattfindet. Auf einem Gebiete, welches die geologische Forschung eben so sehr durch den intensiven Werth seiner Beobachtungsgegenstän- de, wie durch die seltene Klarheit befriedigt, womit daselbst theoretisch sich gegenseitig bedingende Um- stände als Thatsachen in den Erscheinungen ausge- prägt sind, dürfen die topischen Beziehungen nicht unberührt bleiben, in welchen sich das Schagdag- Gebirge ferner noch zu der Gesammtzahl von fünf heissen Quellen stellt, die sich ausschlisslich in dem Schiefergebirge der südöstlichen Kaukasus-Kette auf eine bisher unbeachtet gebliebene Weise tri x Diese Beziehungen werden sogleich klar, wenn man die Quellenpunkte der Thermen von Elissu, Bum, Akti und Chaltan unter sich durch gerade Linien verbindet. Es entsteht dann ein längliches Trapez, des- -sen Quer-Diagonale von 40 Werst die Quellen von Bum und Akti verbindet nnd dessen Längen-Diagonale von 140 Werst folgende Eigenschaften in sich vereinigt. Die drei Thermen von Know, Elissu und Chaltan werden von dieser Linie getroffen; die Gipfelregion des Schagdag liegt auf ihrer Mitte und auch die Emanations-Stelle der perpetuirlichen Feuer von K hi- nalug am Südabhange des Kissilkaja (12,041 Fuss) fällt in ihre Richtung. Für die geographischen Posi- tionen zweier Thermalquellen dér genannten Reihe Bulletin de l’Académie Impériale geben die Arbeiten der kaukasischen Triangulation folgende Werthe. Die Thermen von Know im Daly- tschai- Thale 41° 21’ lat. und 65° 1’30" long. und die von Chaltan 41? 0°30” lat. und 66?24'30" long. Die Berechnung der nach diesen Werthen bestimm- baren geodätischen Richtung, nach der Formel an- gestellt, die ich in meiner Abhandlung über die Geo- logie der Halbinseln Taman und Kertsch p. 33 an- gegeben habe, zeigt, dass diese mit der Erhebungs- achse des Schagdag-Systems zusammentreffende ther- male Diagonale in O. 18?33' S. streicht. Mit der Richtung der kaukasischen Hauptgebirgsachse, die sich vom Meridian des Schagdag ab aus den geo- graphischen Positionen des 14,720 Fuss hohen Ba- zardysa *) und anderer südóstlicher Kammgebirgs- gipfel zu O. 26? 20' S. berechnet, differirt die Rich- tung, in welcher die Erhebung des Schagdag vor sich ging, um 7°47’. Die Dislocations- und Strei- chungslinien, welche die inneren Structur-Verhältnisse sämmtlicher Schichten beherrschen, die dem kalki- gen Gebirgsantheile des Schagdag-Systems angehó- ren, nähern sich im Mittel sehr der angegebenen Hauptrichtung von O. 18°33’ S., während das juras- sische fundamentale Sandstein- und Schiefergebirge des Schagdag ein durchgängig südöstliches Streichen seiner Schichten zeigt, welches über O. 30°S kaum näher gegen Osten rückt, wohl aber in der Neigung gegen SO., mitunter selbst O. 35? S. übersteigt. Eine jede der vier Thermen von Elissu, Know, Bum und Akti liegt genau innerhalb der antiklinalen Achsen- linie lokaler Zerrüttungszonen des Schiefergebirges, die sich dem angegebenen Streichen des letzteren im *) Die Gletscher niederer Ordnung führende Schiefer-Pyramide des Bazardysa liegt in 0° 2 55" südlicher Breite und in 0° 8/51 westlicher Länge vom Schagdag- Gipfel entfernt, Allgemeinen zwar unterordnen, jedenfalls aber auf mehrfache Bewegungsrichtungen deuten, die das ganze Gebirge gleichzeitig affieirt haben. Die hier nachgewie- sene thermale Diagonale im südöstlichen Kaukasus, die sich dem auf p. 47 ff. meiner Schrift über die Thermalquellen der kaukasischen Länder Gesagten bestütigend anschliesst, spricht sehr dafür, dass der stórende Einfluss, den das Erhebungsereigniss des Schagdag-Systems auf das Schiefergebirge ausgeübt hat, auch den fünf Thermen den Weg eróffnete, der dieselben an die Oberfläche führt. Hypsometrische Bestimmungen. In der Voraussetzung, dass eine nähere Angabe der absoluen Höhen verschiedener in dem Vorstehen- den angeführten Örtlichkeiten hier an ihrem Platze ist, schliesse ich dieselben in der folgenden Liste und zwar in der numerischen Reihenfolge an, welche auf die im Texte beigefügten Zahlen Bezug nimmt. Die Elemente für den Erhalt der hier mitgetheilten Höhenwerthe haben die Angaben dreier Barometer von der Parrot’schen Einrichtung geliefert. Das eine urde von mir während der Reise, das andere auf dem meteorologischen Observatorium in Tiflis und das dritte in Baku durch den Wirkl. Staatsrath Hrn. Spasky beobachtet. In einer besondern Rubrik sind die Angaben. enthalten, auf welche von den beiden Correspondenz-Orten die jedesmalige, nach der Gaus- sischen Formel angestellte Berechnung gegründet wor- den ist. Die constante negative Abweichung, welche die zum Vergleich beigestellten Höhenwerthe, aus Beobachtungen im Jahre 1847, von denselben bereits früher mitgetheilten zeigen, hat ihren Grund darin, dass die absoluten Höhenangaben bei den letzteren auf denSpiegel des caspischenMeeres bezogen waren. N Ort der Beobach ; Absol. Höhe, | Correspondenz- Tovgee Beobäehtungezeit. engl. Fuss. Ort. 1 | Festungsthurm von Codore (Basis Pane pter e 23. Juni 6^15m : 61i 2 Dort und Festung Elissu, im Hause des Naib..... |30. » es, ieri MAPE 4 Dorf BIS bob Schuisen Er De » » A » 7,195 Baku. 5.| Dorf Know; ébénsó.. 1.03. 5 V4 A. UU LAU; ux 5.» : 8h a.m. 5.710 " 6 | Thermalquellen im paris MINA ss PLE ss 2325 4A y 1437 * 7 | Thermalquellen bei Akti...........,............ 7. » ^ 1hogm و‎ 3.730 1 8 | Auf dem Gipfel des Gaidam Bh : 9.335 % ۲ 9 | Schneegränze am Tschalbuzdag (Beobachtung vom des igiene de es» sls ced wi Sv e ee Va qas qi 4. Sept. 9h 5 11.978 rbent. .. 10 | Dorf Kurusch. Aus zwei Beobachtungen.......... 10. u, و‎ Juli 8,089 Fe 4 des Sciences de Saint -Petersbourg. 42 N Ort der Beobachtung. Beobachtungszeit. Shool, n Correspondenz- eng Ort. Gipfel des Schagda i 5F 15™ u EE Beobachtung i 100۳ EE وه و‎ 1 Son a" ۳ 15590 D e 12 (Da s Erscheinen der Schneogleischer le Gers » » » 2,589 gon Darf. hier die Schnee eichne .. ۱10, Juli 3% » 12,429 B 1 13 | Dorf Kaladjuk im Thale Rafa tails «AM 12. » 19% » 571 paris 14 | Am Passe von Kadjali nach Less » ص‎ p » 9,480 : Kuba, Ebene des Marktpiaize 19. » 9 a.m. 1.914 ; 15 KDie — e n im J. i84 ittel a aus zahlreichen Beob- : achtungen DET. ما ود اه‎ FFE L CTT elles. 1. 16 Auf dem Passe - 2 Ne AA E, 25. » 0300 p.m. ds Bu Messung im J. 1860 auf pm Gipfel des a Û i AAA diio E 11,907 » 17 Giptel-Platiorm. des Cales 11. Aug. 12% » 7,859 » A eie nalugh... LRU DE: lët, Jul 7565 melt 208 á Get A cd ët "EE CO E E 8. Aug. 6^ » 7,046 Derbent = fno gt Kos, ل‎ t. 20. » p 6,609 akn Menace i im FE et. 8. Sept. 7%30M a. m 6,581 Derbent 20 | Dorf Buduch, aus zwei Beobachtungen.......... 24. Juli 5,666 aku 21 an der Zuflüsse des Goktschad (-Flus 7. ». 9h40" « 2,664 » 22 | Dorf Wa » » 1n 3,449 » 23 | Zwischen KE und Kutkaschin, am klei- nen See........ » » 4h » 2,119 | » 24 ام ای وت‎ von Bum B3» » 4854 | » 25 | Nordrand der Hochsteppe D Koschkaschin)... 30. » Be 1,912 | » 26 | In der Enge Sw Gerdima 1 Aug. 12440 د‎ 8,441 | » 27 | Auf dem Titdag,.. „uns موی‎ 25 4. » ۸15 » 6,015 | » 28 Malakanen-Dorf Tschirj ourt Lun. te » 3,636 | » 29 | Ewige Feuer von De 9. » 12546" مد‎ 5,744 » 80 | Thermalquellen von Chalta j1 » 5h39 pum] Aug | » 31 (inde des Hauptglotschers auf dem Schagdag..... 33. » 2 » 10,487 » Zweiter, d. h. ö r Gletsche » » 4h15 » | 10,574 » 32 Gletscherende iu dit e akobs- Schlucht am gros ‚sen Ararat Going | Ni d. HN. et 3 و‎ 9 » 9,172 Erivan. 38 | Dorf Kasym - Kent..... 24. » » 1,224 34 | Dorf Yrssi....... 27. » 95 am 1,839 ` 85 | Dorf Kobetschi. 1 Sept. 7^ » 5,508 » 36 | Auf der Plateau Höhe des 5 zwischen Usu- - atia bd € did 8, » Sam e 7,982 » Note sur la transformation des coordonnées rec- tilignes rec en coordonnées ellip- tiques, par J. Somof. (Lue le 25 janvier 1866.) La transformation des coordonnées rectilignes rec- tangulaires en coordonnées elliptiques exige la réso- ution d’un système d'équations linéaires par rapport aux carrés des coordonnées primitives. On y parvient où au moyen du procédé bien connu de M. Binet, fondé sur la décomposition des fractions rationnelles, ou au moyen d'un procédé indiqué par M. Liou- ville'), fondé sur la relation entre les coordonnées elliptiques et les coefficients de l'équation algébrique qui détermine ces coordonnées comme racines. Tout élégants et simples que soient ces deux procédés, ils ne dérivent pas de la règle générale pour la résolu- tion des équations linéaires, fondée sur les propriétés B lI "i D Journal de Liouville, T. XI. TES des déterminants. Cependant l'application de cette rögle au systeme d'équations dont il s'agit ne présente pas de difficulté, qui oblige de préférer à cette règle un moyen indirect. Dans la note que j'ai l'honneur de présenter à l'Académie je fais voir que cette application réussit facilement, si l'on prend en considération une pro- priété trés-simple du déterminant du systeme à ré- soudre, savoir que ce déterminant a pour facteur la somme de ses dérivées partielles du premier ordre prises par rapport aux éléments d'un méme rang. Pour plus de généralité, nous nous proposerons de résoudre le système d'équations à un nombre quel- conque d'inconnues, qui se présente dans une transfor - mation particuliére خی‎ multiples donnée par M. Catalan”), et nie dans le cas de trois incon- 2) Mémoires "— jakt AMOR de Bruxelles, 1841. 43 Bulletin de l'Académie Impériale : nues, est celui de la transformation des coordonnés rectilignes rectangulaires en coordonnées elliptiques. Ce systéme d'équation peut étre présenté sous la forme ki G L-Tal44..-—-—1 a b, €i 8; 6 MuR Tecum i .وه‎ :: © RATES تن و‎ (1) a 8 Y 6 ده مهب نش‎ A حجن بت يا‎ [ an On ` Ge 8 a,ß,...o étant les inconnues en nombre n, et les coef- ficients devant satisfaire aux conditions : ———— —— 0,1, a —6C,——0,— 0, ....—— 0, — 0 1 1 2 2 n n (2) d,— 5, = عت .... — ,8 ليه‎ 0, — 8 ou à celles - ci: a, س‎ a, حت‎ b, —b, = ۰۰۰۰ وق‎ — 8, asss e (3) pour tous les indices p et g de 1 à n. Désignant par A le déterminant du système (1) c.-à-d. 1g 1 a,’ b? &* * 4 4 WW aw: 8 A 2d Go ? ون‎ ? Ge? و ۰ و‎ + e ge e aa (4) Ce 1 dat ba fe) ê et par A, „la dérivée de ce déterminant par rapport à l'élément qui appartient au rang horizontal p et au leur du déterminant, qui prendra après cette trans- formation la forme 1 Ki 324 b, fu — C1 0 + Sı x i Soi, on? dew, ATUM : pu fe V ie e و‎ — 82 3, ? sg gg $ 0 C 8 2 2 2 1 An — Da An — Cn + An $n 2 d 7 T Sn laquelle, en vertu des conditions (3), se réduit à hi 1 A — (a, —b}) (a, — €). . - (04 — 81) ? b,? Ca yo... D Ailg: » 1 T 1 d. b,? La! s...’ p T : 1 : 1 3 be pU ya... Sn c.-à-d. (a, — 5) (a, = 6). - (1 — 8) 3 SEN O02. « [Au og dit Le: An (6) L'équation (5) donnera done Le? ا‎ [UAE 3 Un `: (a, EA bi) (a, چ‎ C1): e «(m Weier 84) ? par la méme raison on à SENE bib, . - -by eh CT een mer, (7) g = 8182- -Sn (8 — a) (S1 — 5)... C’est ainsi que seront résolues les équations propo- sées (1). ` i pi: Soient maintenant 7, y, 2 des coordonnées rectilignes et rectangulaires d'un point et A, pœ, v les coordonnées rang vertical g, nous aurons A elliptiques du méme point, c.-à-d. les demi-diamétres n, 1 Mettant le déterminant (1) sous la forme Qi lg. . e Dn et faisant ensuite la soustraction des premier rang vertical des &l&ments correspondants des autres rangs verticaux, on ne changera pas la va- 1 RUE ruby! E 1 8g. ? b, Co? 9 ه و‎ 82 1 56:58 An * bn? eu? sp ge = el&ments du principaux de trois surfaces du second degré, homo- focales, dont le centre commun est à l'origine des coordonnées z, y, z, et dont les axes communs ont pour directions les axes de ces coordonnées. Désignant par b l'excentricité qui se trouve sur l'axe y et par © celle qui se trouve sur l'axe 2, on aura à résoudre les équations - pie zt ui as, t ox m c gue zt y* SÉ ۰ rent) SCH a? y? g2 A À E ره‎ en des Sciences de Saint ۰ 46 pour transformer v, y, 2 en Ap. v. Or ces équations ont évidemment la forme (1) par rapport aux incon- nues z^, y^, 2° et à leurs dénominateurs. Les formules (1) donneront donc My?y? "= ez See (2 — 2) (p? — 02) (b? — v2) E ( ) و‎ (A2 — e) ) - y)(-») r= : En général, si l'on se propose d'exprimer n va- riables z,, &,,... ©, en fonction de n autres: y, Lä .. . Yp, ces variables étant liées par les équations a BL. uis A. Ln? — Yı 7%, Y1— *» 'yi— tn Co a kt 5m 22-1 ya — 9» Yan CE. fe 4 شؤرثة‎ 1 Yn— 4 ولا‎ Inn on trouvera 2° = Ha) و‎ Eél “(Un — 9) 1 (&— a4) (a3 — 2). + «(am — 21) PY hs (وه‎ (Y2 — (وه‎ ۰. (Un — 92) 3 (a, — gel (13 — 4)... (@n — 29) : p? Man) a=). One E n (an =a) (an — Ag) - (an — Un — Jy C’est au moyen de ces formules que M. Catalan est parvenu à étendre à une intégrale multiple d'ordre queleonque la transformation connue d'une intégrale triple, dans laquelle il faudrait substituer des coor- données elliptiques aux coordonnées rectilignes. Prenant dans le systöme (1) les équations des rangs m et r, faisant la soustraction et divisant le résultat par le facteur commun qui s'y trouvera en vertu des conditions (3), on aura l'équation de laquelle on tire les conditions de l'orthogonalité des coordonnées elliptiques + Exe 0... (10), 0 g? ae Ae) a? e y? Ma NED) 0) | EE 2 le 2 RER oo tome tea E y? Let, wt et قمع‎ A La propriété (6) du déterminant A facilite le cal- cul d’autres grandeurs qui se rapportent aux coor- données elliptiques, telles que les perpendiculaires abaissées du centre sur les plans tangents aux sur- faces homofocales en un point donné et les paramètres différentiels du premier ordre. Pour obtenir ces grandeurs on a besoin d'avoir l'expression de ai, È 5 PUT Tn — ast Considérons en premier lieu AE A 2 Dı = وج + وج‎ ege (11). Posant dans (10) m = 1 et r = 2, 3,...n, on déduit les équations: I B 09 a, و0‎ bib, + 81 Ba a 8 o = — + لے‎ 0 و00‎ bi ba 8183 a H 3 e» aan din re 818 Multipliant ces équations respectivement par A, 1 et ajoutant les produits par A, ,, on trouve a A. Bue ۵ An 24 A ۱ n, 1 à l'équation (11) multipliée et de la même manière — SÉ Jh $ A 0 A, nn = ^ A, d'oü l'on tire MA 4 SYLLA. (A, 75,75) 9,— e 4...۵ A; par conséquent 5 ci * DE D Ai tue + i.e (12). Or appliquant la formule (6) au déterminant A pré- senté sous la forme E i ui 4 a a, Conan ûn x 1 Bo Bp in 4:08 1 DS m s.r.’ Sn 47 Bulletin de l'Académie Impériale d^ on trouve qui se réduit en vertu des conditions (3) à (a4 — 23) (ay — aş) ۰ (a, — Ay) A A si Xp GES ۵ — Aybjcı--» 8, (A, t Lan à 1,5) (a, — ag) («y — 23) » » + (a — An) MA 82 QUE E — ua ke 9 77 ce qui réduit la formule (12) à . p -4— (a, — a) . . (a, — än) ur: $n asp. Le déterminant qui se trouve dans cette expression et, en général, on aura Da (am) Cmte) On tm 1) (am Am +1) (em in) (1 3). Désignant par à, d,, à, les perpendiculaires abais- sées du centre des trois surfaces (à) (p) (v) sur les plans tangents à ces surfaces au point (X, y, 2), on aura au moyen de la formule (13) Mon x? E y? is 2? ER (12 — u?) (1? id »?) Si M m" MR ^ »Qe-w-—e) l. ast y? g? a (p?) (u? — »?) MUT عابت كدري‎ u? (u?— b?) (@— p?) 1 V y 42 — v?) (u? — v?) و3‎ WT wcw twee i-a 2 )02 v» 2م)‎ — wy Pour le système d'équations (9) la formule (13) donne $ _ n —y3 (1 —Y3) -- Qi — 9n) 1 ELT (yy — 24) (JY gel, . - (Yı — An) $ Em? SA (Jo — 3A) (Vo — Ya) ۰۰ ۰ (Vo — Yn) 1 (yo — Am)” (Jo — 9) (Vo — Lo -- (Yo — An) S am _ nn) Un Yd- - aa) وروت ولا‎ (Yn— %1) (Un 3). - (Yn — tn) Il est facile de trouver à l'aide de la formule (6) l'expression définitive du déterminant A en fonction des coefficients des équations (1). Le facteur de A 1 IT 1 ۸ الهم يد‎ 4. A htet co E 4,1 2, 1 It^ PE 11 I + 3 b,? Co? 4 و‎ + «€ 84 > Iii 1 T. bn? en? s.. P peut étre mis sous la forme 1 1 1 1 UL G? Ee ES D 0 bi — b, 6 — Co 3 = و‎ ES fb ۳ no $185 0 b, bn €1— رو ; بو‎ Sn ۱ و وا‎ 7 Cm’ ër fa comme facteur étant A, ,, ce résultat, combiné avec la formule (6), donne A cn (ai —5,) (a —€))- - - (a — 81) (44 — زوه‎ (@1— a3) . +- (a) —an) A 1,1 640۰۰۰ An DÉI, S1 Le déterminant A, , ayant la même forme que A, on aura A __ (و6-و)‎ (5 — da). ۰ .(b2— 82) (Do — ba) (ba - b4). ۰ ۰ (b — bn) N ARET bb. by CT E où A’, , désigne la dérivée de A, , par rapport à son premier élément +, laquelle est un déterminant de l’ordre » — 2 de la méme forme que A. En vertu des conditions (3) et (4) on peut remplacer l'expres- sion précédente par À, , (6-6) (b- d). انب‎ Wee Cat. -ج0).‎ an) N , b, 0, . . . On Cody v On trouvera ensuite A, i pes (e — d). ۰ (Cr — 584) (a4 — an). ۰ 4 . Cn 09۰۰۰ (da — ln) A" (az VA à où A", est la ASTE de A, , par rapport à son pre- mier élément =; ainsi de suite. Au moyen A ces expressions intermédiaires on parviendra enfin & l’expression 2 PQ ا‎ AT E RE E Gë = (a — b,) (a, — cs) (a — di) - (ar — 81) X (b, — Gul (b, — di) . (b, — 8) X (Ca — di)... (Cr — 81) X $ 4 7 WE Xe PUS E E e E est une fonction alternée des quantités @,, b, . . ۰ Q= (a,— a,) (a, — a9) -..(&,—*,) X - (a, — gel, (a, — a,) X 1 DC. d عا‎ une fonction alternée des quantités a,, 0... Ay: Cette expression de A est bien connue. 49 des Sei D d din Reien. Dát BL. di d = 30 Die Vergoldung im Feuer mit Hülfe des Queck- „"silbers und die galvanische Vergoldung; von «i Heinrich Struve. (Lu le 8 février 1866.) | (Auszug aus einem Schreiben an den beständigen Secrétär der Kaiserl. Akademie der Wissenschaften.) no Im Vertrauen auf die Theilnahme, die die Kaiserliche Akademie der Wissenschaften bisher meinen Bestre- bungen auf dem Gebiete der Wissenschaft geschenkt hat, erlaube ich mir, durch dieses Schreiben Sie zu er- suchen, eine neue Arbeit der Akademie anzukündigen und deren Aufnahme in den Memoiren derselben zu be- antragen. Da ich. die Arbeit einiger Lücken wegen nicht abschliessen kann; so theile ich hier aus derselben in. gedrängter ‘(Kürze em Exposé mit, um hierdurch ' Freunde und Gönner wissenschaftlicher Forschungen zu ersüchen und zu veranlassen, mich zur. Vervoll- stindigung: meiner Arbeit durch hierher gehörige - theilungen zu unterstützen. Meine Abhandlung: «Die MES Hate © mit Hülfe des Quecksilbers und die galvanische Vergoldung. Ein: Beitrag zur Geschichte‘ des Goldes,mit besonderer Berü lands», enthält alle Erfährungen, die ich während der Jahre 1854 — 1862. als Leiter der - Vergoldungen. auf der St rape La ahrik zu sam- meln. ‚Gelegenheit hatte. T ^» Diese Fabrik, gegründet 1845 vom à one à Herzog Maximilian v. Leuchtenberg mit dem Zweck, die in Russland gemachte Erfindung der Galvanopla- stik mit allen. seit ihrer ‚Geburt gemachten: Fortschrit- ten inihrem de zuerst im Grossen anzuwenden und auf die höchste Stufe der artistisch - industriellen Vollendung zu bringen, entwickelte sich rasch unter der anermüdlichen Thätigkeit des. erhabenen Gründers und füh des Bestehens Arbeiten aus, die die. Wichtigkeit dion Erfindung immer dentlicher darlegten. Zumal: entwickelte sich die galvanische. Vë sad: sie wurde nach und ührt, der Eaman |: (+ SET en übertraf. ^. Nach dem Tode des mulos von à Leuchtenbérg Arbeitete die Fabrik auf der vorgezeichneten: ‚Bahn | termüdlich weiter, هسم‎ als im Jahre 1854 zu, einer neuen Arbeit in einem noch viel grösseren Maassstabe Seschritten werden sollte, da wurde ich aufgefordert | der Arbeit zu übernehmen. ‚Hierdurch trat Tome a. Mo. Bot. Garden, 1897. ich mit der galvanischen Vergoldung in nächste Be- rührung und habe dieselbe: seitdem 9 Jahre hindurch ١ | ohne Unterbrechung geleitet; Um mir aber selbst ein Urtheil herauszubilden über die Dauerhaftigkeit der neuen Vergoldungsart im’ Vergleich mit der alten Feuervergoldung, lag esin meinem Interesse, mich auch mit dieser zu beschäftigen und theils auf dem Gebiete der Literatur, theils durch eigene Versuche sichere Facta zu sammeln. So häuften sich nach und nach bei mir verschiedene Notizen für beide Arten von Ver- goldungen: an, und lange schon lag es in meinem Wun- sche, dieselben: auszuarbeiten und der Óffentlichkeit zu übergeben. Leider fand ich bisher nicht die nóthige Ruhe dazu, doch jetzt in diesem Jahre, wo ich mich durch ein Leiden so durchaus von aller Gesellschaft zurückziehen musste, holte ich die vergessenen Auf- zeichnungen hervor und in der Ausarbeitung derselben fand ich: in: diesen Zeiten des Stummseins eine grosse Zerstreuung und Erheiterung. Mein Memoire zerfällt, wie schon der Titel andeu- tet, in 2 Theile, und zwar wird im ersten die Feuer- vergoldung, im zweiten dagegen die galvanische Ver- goldung behandelt. Die Feuervergoldung, die seit 2000 Jahren TREE wird, istnur ein einziges Mal der Gegenstand einermehr wissenschaftlichen Untersuchung gewesen, nämlich im Jahre 1818 von D’Arcet'), damals Probirer an der Sch zu Eais Somit. den man sagen, dass nach den 1 ilungen, die wir über Vergol- hs mit Hülfe des Quecksilbers im Vitruv und im Plinius eg e kaum noch irgend: welche beach- |(nnsf bis znm Ende 4 7 ead 1 1: Lu über ul de vorigen J ahrhunderts gewonnen haben. Beim Näch- schlagen im klassischen Werk von J. Beckmann (Bei- tráge zur Geschichte der Erfindungen Bd. I. 55 u. Bd. IV. 559), oder in der ökonomischen Encyclopädie von J.G. Krünitz (Berlin 1780 Bd. XIX. 9 kann 1 man sich am besten davon überzeugen. ^ |: ‘Die Kunst der Feuervergoldung mit eg? des i | Quecksilbers hat sich von Geschlecht auf Geschlecht nur durch die praktische Ausübung fortgepflànzt, nie aber ist dieselbe eines tiefer eingehenden wissenschaft- lichen Blickes gewürdigt worden. Ja selbst hierin darf man das. rar wën von ER ge et, ‘das bis asus zu d nip D'Arcèt/Mémoire sur l'art de dorer le — Paris 1818. 8. 51 Bulletin de l'Académie Impériale zur Stunde das Orakel aller Vergolder ist, nicht aus- nehmen. Die Thatsache, dass bis zum Augenblick die Feuervergoldung durchaus falsch aufgefasst worden ist, spricht am schlagendsten dafür. Man glaubt nämlich allgemein, dass € durch das Auftragen des Goldamalgams auf die he und durch das nach- herige Erhitzen des Gegenstandes zum Abrauchen des Quecksilbers, die Oberfläche mit einer dünnen Gold- schicht überdeckt wird. Diese Annahme ist falsch. Nach dem sogenannten Abrauchen des Quecksilbers bleibt auf der Oberfläche das Gold nur scheinbar als reinesGold zu- rück; es enthält jedoch immer bestimmte Antheile von Quecksilber und vom vergoldeten Metall. Als Beleg hierfür theile ich gleich folgende analytische Resultate über die Zusammensetzung zweier RER mit, nämlich: Gold von rothem Kupfer von Silber Gold (uio METTI 72,68 ۱1۱۱: ebe — 10,32 Kupfer soh û odors 3,34 M. Quecksilber .... 13,32 16,96 100,00 99,96 Von der Wahrheit dieser Thatsache, die ich schon 1858 entdeckte, kann man sich sehr leicht überzeugen. Behandelt man irgend einen im Feuer mit Hülfe des Quecksilbers vergoldeten Gegenstand mit verdünnter Salpetersäure in der Wärme, bis keine Einwirkung mehr stattfindet, so erhält man zuletzt ein feines dünnes Gold- blättchen, das man auswaschen und trocknen: kann. Erhitzt man dieses darauf in einer Glasróhre, so er- hält man bald einen kleinen Anflug von metallischem Quecksilber. Diese Erscheinung giebt ein einfaches und das si- cherste Mittel zur Bestimmung, in welcher Weise eine Vergoldung ausgeführt worden ist, einerlei aus wel- cher Zeit sie herstammen mag. So hatte ich Gelegen- heit, eine alte Feuervergoldung, die vor 90 Jahren un- gefähr ausgeführt und immer der Einwirkung der freien Luft ausgesetzt gewesen war, prüfen zu kónnen und erhielt Resultate, die fast genau mit den oben Alan: führten übereinstimmten. Durch diesen Rückhalt an anderen Metallen im Golde: wird vorzüglich die eigenthümliche Farbe der gewöhnlichen Feuer g bedingt, die nns ans (1 wohnheit so sehr gefällt, und die man der Farbe einer galvanischen Vergoldung noch vorzieht. Diese letztere giebt die reine Farbe des Goldes, die man im gewöhn- lichen Leben zu sehen nicht gewohnt ist, und an welche sich der Geschmack des Publikums erst nach und nach gewöhnen muss. r7 N 1١1114 1 Die gsolcher , die von verschiedenen im Feuer vergoldeten Metallen abgelöst wurden, sind durch wiederholte Versuche festgestellt - und gaben Anhaltspunkte zu manchen Erklärungen auf dem Gebiete der Vergoldung, worüber im Memoire ausführlich gehandelt wird. Diese neue Anschauungsweise der Feuervergoldung veranlasste mich aber jetzt, bei der Wiederaufnahme dieser Arbeit, zu einem tieferen Eingehen auf histori- sche Forschungen über die Entwickelungsgeschichte dieser Kunst und dieses führte mich in fremde Gebiete hinein, die ich nur mit einer gewissen Scheu betreten kann. Vitruv und Plinius sind die ersten Schriftsteller, die bei Erwähnung der Vergoldung von Metallen das Quecksilber als erforderlich dazu nennen und zwar ohne im Geringsten dabei anzudeuten, dass die Kunst erst seit Kurzem im Gebrauch sei. Sie stellen dieselbe vielmehr als ein bekanntes Factum hin. Hiernach sollte man vermuthen, dass die Anwendung des Quecksilbers zum Vergolden schon aus einer viel früheren Zeit her- stammt und lässt die Frage auftauchen, ob man die- sem nicht weiter nachfolgen kann. uta gübe es zwei Wege. Der erste und vielleicht der sicherste bestünde darin, dass man antil tände zur che- mischen Untersuchung erhalten müsste und an diesen im Golde einen Gehalt an Quecksilber nachzuweisen suchte. Ist nämlich eine Vergoldung mit Hülfe des Quecksilbers ausgeführt, so muss auch noch jetzt die Gegenwart des Quecksilbers im Golde dargelegt wer- den können. Dieser Weg des Experimentes wäre ge- wiss am schlagendsten, doch ob sich das Material dazu finden liesse, vermag ich nicht zu entscheiden. Der andere Weg, dir schwerere und unsicherere vielleicht, - ist der mit Hülfe der Aufzeichnungen in den alten Sehriftstellern. Wir begegnen nämlich bei den Grie- chen und Lateinern verschiedenen Bezeichnungen fürs Vergolden, und aus dem Zusammenhalten dieser und der Art ihrer Anwendung liessen sich vielleicht be- stimmte Schlussfolgerungen ziehen. So sollen wir im Polybius die Bezeichnung xpuoworz de 6 finden, des Sciences de Saint- Petersbourg. 54 die wir, so viel mir bekannt, erst später im Athe- naeus antreffen. Sollte sich diese Bezeichnung nicht vielleicht speciell auf eine Benutzung des Quecksilbers beziehen lassen? In anderen Bezeichnungen des Ver- goldens und zwar in den verschiedenen Zusammen- setzungen des Verbums yovcco mit den Präpositionen xatû, det, Suk, scheinen sich kaum bestimmte Unter- schiede herausfinden zu lassen, hóchstens beim Wort dtaypucco lässt sich erwähnen, dass es, wie es scheint, | ١ nur bei Vergoldungen von Metallen gebraucht wird. Um noch ein Beispiel aufzuführen, muss ich hier die Septuaginta erwähnen, die aus dem IIT. Jahrh. v. Ch. herstammt, indem in ihr an verschiedenen Stellen über Vergoldungen mitgetheilt wird, doch dannist es immer nur das Vergolden von Holz und von Elfenbein. Wir treffen hier vorzüglich zwei Bezeichnungen an, nümlich xoxayoucóo youcío und msgtéyo ygucío. Nirgends fin- den wir in der Bibel, wo so häufig die Aufzählung von Geräthschaften aus Silber und Gold vorkommt, die ‚Erwähnung eines vergoldeten Metalls. Sollte danach in jenen Zeiten diese Kunst gar nicht bekannt gewesen sein? Dieses wäre kaum anzunehmen, da ja die Juden höchst wahrscheinlich alle verschiedenen Künste und ebenso auch die Metallbearbeitung aus Ägypten her- übergebracht hatten, wo auch aus den ältesten Zeiten das Vergolden der Metalle bekannt gewesen sein soll, Diese Angabe, die von verschiedenen Schrift- stellern mitgetheilt wird, müsste durch eine Zusam- menstellung der dahin gehörigen Facta und eine Kritik derselben bestimmter hervorgehoben werden. 5 Mit derartigen Untersuchungen begebe man sich dann zu immer ültern Vólkern, und diese würden uns zu den Indern und Chinesen hinführen, über deren Kenntniss der Vergoldungskunst ich hier kein Wort aufzuführen weiss. Natürlich stände hiermit immer im innigsten Zusammenhange eine Untersuchung über ‚die Kenntniss jener Völker in Bezug des Quecksilbers, ‚denn sehr wahrscheinlich ist es, dass jene Völker auch ‚dieses Metall schon seit Alters her kannten. Hierfür ‚spricht die interessante Thatsache, die Edrisi (1154) A mittheilt und die von A. von Humboldt zuerst her- Gewinnung des Goldes ans pr tt es i | d és „Doch kehren wir nach diesen Abschweifungen zum ÉCART «ub ux , 13 classischen Boden der Römer zurück, so treffen wir inihren Schriftstellern der Vergoldung häufig erwähnt, doch erst, wie schon gesagt, Vitruv und Plinius nen- nen hierzu das Quecksilber. In den anderen sonst ge- brauchten Bezeichnungen wie auratus, inauratus , de- auratus, subauratus, tegere auro, operire auro, vestire auro, circumdare laminis aureis kann ich nichts Be- stimmtes finden. Selbst in der Vulgata finden wir die hiedensten Bezcic! für die Holzvergoldung unter einander gemischt und durchaus nicht die Gleich- mässigkeit des Ausdruckes wie in der Septuaginta. Mit dem Untergange des westrümischen Reiches verschwinden auch alle ferneren Mittheilungen über diese Kunst, und erst mit dem langsamen Wiederer- wachen eines geistigen Treibens, zurückgezogen aber hinter dem Schutze der Klostermauern, finden wir spärliche Anzeichen über die Benutzung des Queck- silbers zum Vergolden, nämlich im VII. Jarhundert durch Isidor, Bischof von Sevilla. Genauer und vollständiger als diese Nachrichten sollen die des Mónches Theophilus aus dem XIT. Jahr- hundert sein und zwar in seiner Schrift «Schedula di- versarum artium», die ich aber aus eigener Ansicht noch nieht kenne, sondern nur aus der Aufzeichnung derselben von Landrin (Traité de l'or. Paris 1863. 8. pag. 14). "Mit dem Aufleben der Künste in Italien finden wir die Kunst der Verarbeitung von Erz und Metallen überhaupt sich wieder beleben und sich in der Nach- bildung und Bewunderung der Antiken herausbilden, bis sie ihre hóchste Hóhe um die Mitte des XVI. Jahrhunderts erreichte. Eine Schrift von Benvenuto Cellini «Trattazo alle principali arti dall orificeria» würe hier von besonderem Interesse, leider aber kenne ich sie noch nicht. Wir sind aber hier schon zu weit gegangen und müssen deswegen wieder zurückkehren, um den Faden unserer Frage nach einer anderen Seite hin aufzuneh- men, die gerade für uns hier von besonderer Bedeut ist. i Mit dem Untergange des weströmichen Reiches wurde Byzanz der Mittelpunkt der Wissenschaft und Kunst, wobei es die Eigenthümlichkeiten des Westens -mit denen des Ostens vereinigte. Der Westen brachte Lo d den feinenSinn für dasSchóne und Erhabene, dem durch den verweichlichenden Einfluss des Ostens ein durchaus 4* 55 “Bulletin de l'Académie Impériale — "1 eigenthümlicher Charakter ا‎ wurde: In Al- lem trat das: Grelle hervor und in dem Streben: sich vomFrüheren loszumachen,konnte man dieses Ziel doch nicht erreichen, da hierzu ‚Kraft, Ausdauer und Ruhe fehlte» Was hierin nicht erstrebt werden konnte; ‚das suchte man gleichsam mit Aufbietung einer ung, üusserlichen Prachtliebe zu überdecken, und dieses fin- den wir ‚vorzüglich in: den, Verschönerungen der Kir- chen: und in. den kirchlichen Geräthschaften ausge- prägt. Hier sehen wir Gemälde, überdeckt mit Gold und Edelsteinen, dort die glünzendsten Gerüthschaf- ten und in Allem herrscht Gold und Silber vor. Sollten nun diese immer aus getriebenem Golde oder Silber sein, oder sollte da nicht auch manche Zierde nur aus vergoldetem Silber oder Kupfer bestanden ha- ben? .Hierüber müsste in den Schriftstellern nachge- schlagen werden, welche die Geschichte des byzanti- nischen Kaiserreiches beschrieben haben. :: Die Folgen dieser Zeit waren von der grössten geschichtlichen Bedeutung. Rom erholte sich nach und nach wieder, freilich nicht als eine weltliché Macht, sondern als ‚ein kirchlicher Staat ‚und verlangte, dass sein früheres Recht auch jetzt wieder in Byzanz an- erkannt werden sollte. Byzanz strebte dagegen, und so entstand zwischen dem Papst und der Kirche des ost- römischen Reiches eine Kluft, die sich immer mehr öffnete, bis eieh hh IH dem Patriarchen Pho- tius die griechische Kirche für immer von -— rüniibchión trennte: | Für meine RE REE ist diene; "e von Bedeutung, weil sich von jetzt an immer mehr die eigenthümliche Prachtliebe im Innern der Kirche ent- faltete, weil zu derselben Zeit die ersten Anknüpfungen eines heidnischen Volkes mit dem christlichen Glauben zusammenfielen und gerade hierin ein tiefer Beweg- grund gesehen werden muss, warum: sich die Kirche von Byzanz von Ron scheiden musste. Es trafen näm- lich. zu dieser Zeit die ersten Gesandten der Warüger aus Kiew ein, die sich durch die; Taufe in: den Schooss der christlichen Kirche aufnehmen liessen. Von jetzt ad fasste die christliche Religion festen Fuss in Russ- and, wurde aber erst durch die Taufe Wladimirs zur Staatsreligion erhoben. Mit der. Annahme die- ser: Religion wurden natürlich auch alle Gebräuche . derselben aufgenommen, und zu ihrer Einführung muss- ten aus Byzanz verschiedene Künstler nach Russland, zuerst nach Kiew, hingezogen تب‎ Ein: neues Trebit entfaltete sich jetzt, die alten Götzen fielen und an ihrer Stelle wurden Kirchen aufgebaut, denen von allen Seiten, aus allen Klassen der Bevólkerung, reich- liche Spenden dargebracht wurden, um sie so prüchtig und so glänzend als möglich‘ zur Verherrlichung Got- tes zu schmücken. So entwickelte sich in Russland mit dem kirchlichen Kultus ein Geschmack zur Prachtliebe für die Gotteshäuser, den wir von den ältesten Zeiten bis zur Gegenwart. bewundern; und in deren Glanze wir gerade denjenigen des Goldes so vielfältig und so reich hervortreten. sehen. Dieser Glanz, bis dahin den Russen fremd, ist auch wohl ein Vermächtniss von Byzanz. Wir müssen folgern, dass die 8 des Vergoldens wohl auch zu derselben. Epoche. nach Russland eingebracht, hier seit jener Zeit gepflegt wurde, um nach und nach in einem Maassstabe aus- geführt zu werden, wie in keinem anderen Lande. : Interessant wäre es nun, die Entwickelung dieser Kunst in Russland historisch zu verfolgen und auch hier festzustellen, wann die Vergoldung mit Hülfe des Queeksilbers zuerst ausgeführt worden’ ist. Höchst wahrscheinlich lassen sich darüber bestimmte Nach: richten auffinden, da sich die alten: Historiographen mit besonderer Vorliebe bei’ der Beschreibung der Kirchen und ihrer inneren Einrichtungen aufgehalten haben. Aus dem mir bekannten ‘Material kann ich nur die interessante Abhandlung: H. E. 326 kana”), e METAIIHTECKOMB mpoua3soACTBE Bb Poccim 10 Komma XVII ska» aufführen und auf die dort niedergelegten "Thatsachen hinweisen. Der Verfasser giebt uns Nach- richten über den Kirchenbau zur Zeit des Grossfürsten "Andrei B goliubow (1169-1174), woran verschiedenen Stellen des Goldes und des Vergoldens erwähnt: wird; "doch aus diesen lässt sich nicht nüher-bestimmen; in "welcher Weise die Kunst ausgeübt wurde: Weiterhin theilt Hr. Sabelin uns aus einer viel neueren Zeit ein noch interessanteres Beispiel mit; nämlich aus der "Regierung des Zaren Feodor Alexejewitsch (1676 — 1682): dass dieser den Befehl ertlieilte' zur Anferti- gung eines Kreuzes aus Eisen mit Kupfer überdecht, und'wo dieses letzte Metall vergoldet sein sollte (n0- ‘BOMOTHTE napenmbiMP 30J0TOM). Dieses’ Kreuz, das noch gegenwärtig mm wird, ist Win 2 vie a t "m E Hi. "Apx. 06. 1855. Toms V. erp. 1.‏ لو ۶ ۳ 2 La ei 3 ERR Ta. iu RK AT MB, im LE. 22 Saves 58 Hülfe des Quecksilbers vergoldet worden, denn eine andere Deutung lässt die Bezeichnung «mapeunoe 30- 1070» nicht zu. HEW «Mit diesem Factum nähern wir uns einer immer jüngeren Zeit, aus der für die aufgeworfene Unter- suchung immer mehr Thatsachen entgegentreten und für die Ausübung der Kunst sprechen. Um sich hiervon zu überzeugen, haben wir nur auf verschiedene Kir- chen im grossen Reiche hinzublicken. Am nächsten nq uns aber die vielen vergoldeten Kirch-Kuppeln und -Spitzen von St. Petersburg, die wir täglich vor Augen haben, und doch wissen wir só wenig von der Geschichte ihrer Erbauung, und. Vergoldung, , Diese defi gérade am mächtigsten auf, die Data zusam- menzutragen, die man noch über die Ausführung dieser Arbeiten sammeln kann, damit sie der Geschichte der Vergoldung überliefert werden. In meinem Memoire habe ich hierauf besondere Rücksicht genommen und dus dem wir zuginglichen Material und nach mündli- chen Mittheilungen einige Notizen über die frühere Spitze der Festungskirche, die eine alte Feuerver- goldung war und im Jalire 1858 abgetragen wurde, und über die Kuppeln der Isaakskirche zusammenge- stellt; doch mancher Wunsch bleibt dabei noch uner- illt. بیدا‎ 8 #27 ` Betor ich diese Mittheilungen, über die Feuerver- goldungen mit Hülfe des Quecksilbers schliesse, muss ich noch auf eine Aügabe aufmerksam machen, die wir in dem schon oben genannten Werke von D'Arcet |; weiter ein, verweise aber auf das Memoire und füge FE (pag. XXII) aufgeführt finden. D’Arcet schreibt näm- ich: «Depuis cinquante ans, la dorure au moyen de Patalgàme à presque généralement remplacé l'art de dorer, en appliquant des feuilles d’or sur le bronze blanchi au moyen du mercure.» Dieser Ausspruch verdient eine ganz besondere Aufmerksamkeit, indem hiernach die Feuervergoldung mit Hülfe des Gold- amalgams als eine junge Erfindung angesehen werden muss. Leider aber führt D’Arcet durchaus keine ge- Naueren Thatsachen oder Citate auf, sondern stellt es als ein Factum hin, das aber näher erörtert werden müsste. Suclien wir hierüber in der Literatur nach, t ist es i sonderbar , dass ‚hierüber Winkelmann, Krünitz und Beckmann durchaus schweigen und Mur von der Feuervergoldung mit Goldamalgam reden. "Auf dieser ‚Gegenstand wird im Memoire näher ein- | gegangen werden. mm foba rei Ich schliessé hiermit den ersten Theil meines Me- moires und gehe jetzt zur zweiten Hälfte über: zur galvanischen Vergoldung. Diese junge Kunst, auf deren Entdeckung und Entwickelung Russland mit Stolz hinsieht, habe ich in der Weise behandelt, wie dieselbe seit ihrer Einführung auf der St. Petersbur- ger galvanoplastischen Fabrik ausgeführt worden ist. Nach einer historischen Entwickelung, der Fabrik seit ihrer Gründung bis 1862, in welcher Zeit, von 1854 an gerechnet, 69801 Quadratfuss vergoldet und wozü über 30 Pud Gold oder per Quadratfuss gerechnet durchschnittlich 6,8 Grm. oder 1 Solot. 57 Doli Gold verbraucht worden sind, gehe ich zu den einzelnen Abschnitten über, die ich hier nur der Reihe nach hervorzuheben habe: 1) Einrichtung des Laboratoriums der grossen Ver- goldung. 2), Vorbereitung der zu vergoldenden Oberflächen. .9) Bereitung der Goldlösung. A1 Vergoldung. ` D) Karbe und Politur. | | ` pi Bestimmung des Goldgehalts der Lösungen. T). Bestimmung des niedergeschlagenen Goldes. . :8) Abrechnung des Laboratoriums der Fabrik gegen- «sb über; 1 9) Aufarbeitung alter Goldlösungen. 10) Schlunsss arm (E) 2980519 Auf die einzelnen Abtheilungen gehe ich hier nicht nur hinzu, dass in demselben verschiedene Notizen 1 dh: 1 über die galvanische Vergoldung der fünf Kuppeln der Erlöser-Kirche in Moskau niedergelegt sind und vor- züglich ein genauer Rechenschaftsbericht über die Ver- goldungsarbeiten der Kupferplatten zur Deckung der Spitze der Peter-Pauls-Kirche in der Festung. "Durch diese Arbeiten wurden die Vorzüge der gal- vanischen Vergoldung vor der alten Feuervergoldung aufs deutlichste dargelegt, und jetzt müssen wir die Zeit walten und schalten Jassen, um zum Schluss über die Dauerhaftigkeit dieser Vergoldung ein Endresultat füllen zu kónnen. Dieses dürfen wir noch nicht thun, denn ein Zeitraum von 25 Jahren seit der Entdeckung der Galvanoplastik ist nieht hinreichend dazu; wir müssen es einer spüteren Generation überlassen. Beim Publicum hat sie sich aber schon ein solches 59 Bulletin de l’Académie Impériale Zutrauen erworben, dass gegenwärtig fast alle grös- | entwickeln. Bevor ich indessen diese Entwickelung aus- seren Vergoldungen für Kirchen auf diesem Wege | führe, müssen einige andere Reihenentwickelungen ausgeführt werden. So verdrängt die jugendliche Gal- vorausgeschickt werden, von denen einige. bekannt vanoplastik eine alte tausendjührige Kunst, und nicht viele Decennien werden vergehen, so gehört diese günzlich der Geschichte an. Über die Auflösung der Euler’schen Gleichung, von Hugo Gyldén. (Lu le 25 janvrier 1866.) Die Auflósung des folgenden Systems von Glei- chungen E] 6k5 = (r "وه‎ +9 _(r+r"— o)? r — R'— 92 Rg + e r? — R” — 2R’g mp + me = F -+ Go + He wo 9, r, 7” und c Unbekannte sind, wird gewöhnlich in der Art und Weise ausgeführt, dass man durch Ver- suche sich den Werthen der Unbekannten allmählich nähert. Es bietet sich dieses Verfahren als das zweck- mässigste dar, so lange keine Grösse ausfindig gemacht ist, welche vermittelst einer Reihenentwickelung be- quem gefunden werden kann, und welche in einer ein- fachen Relation zu einer der Unbekannten steht, denn die numerische Berechnung einer der gesuchten Grös- sen aus der den Gleichungen (1) entsprechenden End- gleichung ist voraussichtlich weit mühsamer. Sind aber Näherungswerthe der Unbekannten — die man sich jedenfalls leicht verschaffen kann — vor- handen, so sind die Verbesserungen dieser Näherungs- werthe, damit sie den Gleichungen (1) genügen, Grös- sen, welche sich mit grosser Bequemlichkeit vermit- telst Reihen berechnen lassen. Ich glaube, dass eine .. (1) solche Reihenentwickelung die Auflösung der vorste- b e ,und habe sie in Folge dessen ausgeführt, - Sind die genäherten Werthe der Grössen o, r und r” der Reihe nach روم‎ ro und rọ, so erhalten wir im Allgemeinen zwei verschiedene Werthe für die Grósse c, je nachdem jene in der ersten oder letzten der Glei- chungen (1) substituirt werden. Diese beiden Werthe werde ich c, und c, nennen, und die Verbesserung von o, oder Ag nach den steigenden Potenzen der Grósse Co — 6 vest | = sind, andere aber, so viel ich weiss, von mir herrühren. Setzt man e — 215 مرح و‎ +r so lässt sich die erste der Gleichungen (1) leicht unter die folgende Form bringen: 8 = وش‎ À, (a Tu i ER ( 1 م‎ 2 (1 n ay woraus sofort hervorgeht اواج‎ ma) mm nte 8) 2 1 -— 8 Bezeichnen wir ferner die Function 72 3 1 0 = — 30 ب‎ (s ه‎ c) — (s — c) mit f, so gelten die folgenden Differentialgleichungen: Ee Ze EO SI Send. SIE LEE +12 aeg! TI شم مب‎ E né" | u. S. W Hieraus setzen sich die Differentialcoefficienten von c nach s folgendermaassen zusammen: (s-i- o)! — (s— ol wi ds 7 (s +e) (+c)? 2 ein e a gn 0 3 1 29 $0 njera —(s—c) | [era rge) Eee e T uius 3 (sc) — (s-e)? ره ا‎ (s—c TERES I je «9l SS u. s. ۰ ^ Diese Ausdrücke lassen bedeutend: بح ریز‎ zu, und in der That findet man, nachdem die Reduc- des Sciences de Saint» Pétersbourg. tionen gehörig ausgeführt worden sind, die folgenden einfacheren Gleichungen: ا‎ TR =V OP dr ve (1 1 (2) ) s? Inu t d d?c 1 1 Sie, o ; e" (3) u. S. W. j Es ist ferner d (e) _ gde ds? = 23 ١ FE) REN TTE Ww — 2(z) +207 (4) u. S. ۰ ' Aus den Gleichungen (3) und (4) gehen nun die nachstehenden Werthe der Differentialcoefficienten von € nach s 49 ——2s(1— Rc E - 7 — ‘Durch Einführung eines Hülfswinkels erhält man diese Formeln noch etwas einfacher. Setzt man nämlich : = sin Qo, . 80 ergiebt sich ; | d (c?) c? 4sin}w? | de " 8' sino? VICO ( c? Asinio? Ze ^0 0.25 (6) d3 e و‎ sin} w?+sinu? TO = 2. E و‎ sine?coso? 11. S. W. "Aus den Gleichungen (5) leitet man ausserdem die en Reihen ab, welche ebenfalls angewandt wer- den können, die Werthe der Differentialcoefficienten numerisch zu berechnen - D-41646) a S (Jet) Mt: NU لكات‎ Bent "rs xa SS) ete Die Grösse © sowie ihre Differentialcoefficienten nach s lassen sich vermittelst ® ausdrücken; indessen sind die hierbei auftretenden Ausdrücke nur dann be- | quem, wenn man sie in der Form von unendlichen | Reihen anwendet. Durch Anwendung des Theoremes von Lagrange erhält man aus der Gleichung (2) die bekannte Reihe das Si KE E ag + + ete.}, wo | e SS gesetzt worden ist, und aus dieser Reihe gehen nun die folgenden unmitelbar hervor EE 015311 TaN ee el SES d EE E Ca ete. |} (8) d? 4.5.6 7.8.9 == 12 20 a SE - gu 36 — Kies n° 4-ete. 1 u. S. W. Die oben ermittelten Werthe der Differentialcoeffi- cienten von €? nach s kommen zur Anwendung bei der Entwickelung von © nach den steigenden Potenzen der Grösse Ap. Setzt man nämlich e — e A Ap + A,Ap’+ توليك‎ + ete., so ist offenbar A — Lët?) ds pus à ds ‘de KE Zei 4-260, =) 4 (a) + سين‎ 1 (d*(e?) 89 c 8 دصر‎ 8 A = pibe ( )+3 E II dr ^d) u. 8. W. Aus der letzten der Gleichungen (1) ergiebt sich ausserdem = cd + (G 2 Ho) Ap + Hâg’; man erhält demnach, wenn € eliminirt wird, q—6—6-— a Ap + “ويه‎ + as Ag" + etc. (10), wo u " AMT Cu 7 B Hu tin de l’Aca u ln ep Im Die Reihe (10), vorausgesetzt, dass sie convergent | ist, enthält offenbar die Lösung der Euler'schen Glei- chung, denn hat man den Werth von ^g gefunden, welche der Gleichung (10) genügt, so müssen offenbar die Werthe رم = ۾‎ + Ap aus der Gleichung (10) durch successive Annäherungen finden; man kann aber auch diese Reihe umkehren und erhält dann Ag. B, Y سه‎ Y^ سه وق سه‎ GË, < (2 a wenn 1 8, CA B os TS Pr P RN (13) 8, > Era, u. 8. W gesetzt werden. Es bleibt noch übrig die Werthe der ۳ | u. ۰ w. zu ermitteln. Dieses wird aber durch | ds d? do? deii die Entwickelung von d کت‎ dg ۰ RER weil | ds dr 3 . dp^ dg *. ‚ dp u. S. W. Die hierher gehörigen Ausdrücke können zwar gefun- den werden durch successive Differentiation der zwei- ten und dritten der Gleichungen (1), aber der folgende Weg scheint mir zweckmässiger zu sein, da man auf demselben die Resultate übersichtlicher und que erhält. Vermittelst des Taylor’schen. Theoremes hat man Fer + A ps dp Ae" + ete... (14); aus der zweiten der Gleichungen (1) ist aber ran Via Em wenn man setzt — Bg fe E S 3 Dieser Ausdruck kann aber auch unter der Form kb )+ 1| = م : 82-0, )ود‎ + (z)t und die entsprechenden von o, o^ und c den vier Glei- chungen (1) Genüge leisten. Die Grösse Ag lässt sich | i Grosse gesetzt werden, und es ist hierbei klar, dass der von Ag unabhängige Theil der Constante 7, sein muss. Berück- sichtigen wir daher den übrigen Theil der Constante nach der Integration so, da dass der Ausdruck für r, wenn : wird, so können wir setzen ac Werden ferner hs: Eiaickelniigstoefficienten der Ap nach, den Potenzen von‏ لب —PAD LATE (‏ y! e z mit U,, U,, u. s. w. bezeichnet, so: u. sich 1 ۸ 3 1 =r es fd — gr? dB — etc. (5), und durch Vergleichung der Reihen T und’ 115) SCH man r=Nn— dr وی‎ E E EF La..nd® ۰ | جم‎ 0 n Es ist nun Y pe (5) fb 1 d"—i(g— die E S U, = ۳ D dg"— , ,, | folglich hat man i diti d^ —2(g2—1)1—1 y U, 0 pg Rcs Réi ال‎ (10) Aus diesem E Ausdruck Adobe um de folgenden speciellen: < ” ERIT : | d'r 82 — Ste tig 08 | ۷:88 zB e fii +o (it Beie 08-5 (B — 1)8; da 3 (8? ET un Dre d SUM = u. 8. w. Setzen wir i in der Gleichung "p die eben entwickelten Werthe von, dê, etc. ge تا‎ erhalten wir E SE Ar = ^Y vei Aus diesem Grunde ist es nicht nóthig ‚die Con: ; stante weiter abzuändern ‚In ganz ähnlicher Weise ETE die او‎ 8 i 0 und führen mr: r5 ‚setzt pat such did 94 Oe Te g'— Lys A : T d ۱ : Sue mie gë + 5 des Sciences de Saint, Peters bourg. so wird ern — mB"Ag — wo also se — (19) 1 1 ih JU, 4d 1.3...(n—1) 98 —1 dgn—z "Hiermit sind nun die Entwickelungen geschlossen, denn es ergiebt sich wie vorher E A ace» D 1 RE doi m 1.3...n dp” i à Der leichteren Übersicht wegen, stelle ich aber die zur numerischen Berechnung nóthigen Formeln zu- sammen, und führe dabei einige zur Abkürzung die- nende Bezeichnungen ein. Zunächst sei 9 m? vam — Ps} ننس و اك كه‎ E —]) SE (20) B=- benn =} u. S. ۰ ferner poer __ Asin)? | 6 = sine 606 Wa se (21 8 sin 4 02 + sin 2 thin ce TS dde tps! i-re y a. sw. + cedi Ze? Er C, es 4-487 C, 3 K: C, u 8. V. * so hat man nach den Gleichungen (9) 4=— BC (Sea cl EI Sus 657 Bi Q6. o? BBO; B.C] 3 11, 8۰ ۰ o + 1 Ke n = JU" — ete. (18), | Argumente w giebt, hinzugefügt; in den wenigen Fäl- Zur bequemeren Anwendung vorstehender Formeln ist eine Tafel, die die Werthe von lg C, und Ig C, mit dem len, wo das dritte Glied in der Gleichung (10) merk- lich wird, ist C, aus den Formeln (21) direct zu be- rechnen. Zur Auffindung der Grössen r, r,; 8 und B” sind die Formeln 0 ب 008 1 = و۵‎ cos 3 n n RER cos y E cos 3" B ——cos$ 8 = — cos "و‎ geeignet, so lange g und g” die Einheit nicht überstei- gen. Hierbei wurde gesetzt coso =g cos "= g" تب‎ Rsino tg3 = Po — R cos 9 Ren ell ع‎ — R cosg" Die Berechnung eines Beispieles wird die Anwend- barkeit der eben auseinandergesetzten Methode am besten zeigen. Ich wähle zu diesem Zwecke das folgende System von Gleichungen, wo die innerhalb der Klam- mern [] stehenden Zahlen Brigg’sche Logarithmen sind: : í [0,733828] (r + + e س‎ ) +7" — e’ r? = م)‎ + 0,023877) + 1,013314 | 7^ — (0,9602709 — 0,016464)’ + 0,984224 d = 0,762015-[0,468383]p+[0,467221]p”. Als einen Näherungswerth für e nehme ich an رم‎ = 1,105000 und finde hiermit 7 r, = 1,512507 r = 1,440656 "= 1,116554 €, = 1,093559, also i y = — 0,022995, ferner log B = 9,87295,; log "= 9,86040,. 5 67 Bulletin de lAcadémie Impériale Da hier va Width ien In der genäherten Gleichung DHW op ist, so geben die Formeln (20) (Pr Hg) (VR 2Rg + a s و‎ = 1,4427 ni | Al 5۹ 1 B,= + 0,5963 kann man für den angedeuteten Zweek folgende) Ab- Mit dem Werthe ا“‎ 0,3578 ergaben sich aus der.beifolgenden Tafel log C, — 0,01462 log C, — 0,0443. Mit diesen Werthen wird nun nach den Formeln (22) und (11) erhalten A, — — 0,5642 4, — + 0,1784 a, = — 4,1045 a, = — 2,754. Die zwei in den 6 ersten Decimalstellen merklichen | |^. ! eet von Ae sind also die folgenden: -— + 0 ‚005602 = ISSUE لكي‎ ie | e 0 0055814-:40 nov. also ` ` “p= 1,110581. Vermittelst Differentialcoefficienten, die in. de. vor- hergehenden Rechnung. schon, gea $ sind, fanden sich ausserdem r =1,516677 °° 21444574 ^ چ‎ dE 1055185081 nod womit man zur Controlle der Rechnung erhält log [(r + r” + نم‎ e — oj — 0,733824. Um einen ersten Näherungswerth für o zu finden, giebt Olbers und später, Encke die Regel, die Summe “ريام‎ gleich 2 zu setzen, und hiermit einen vorläu- figen Werth für c zu suchen, woraus sich dann der erste Werth von p ergiebt. Man kann aber, mit Bei- behaltung der Olber’schen Rechnungsvorschriften, so- gleich einen etwas mehr genäherten Werth dieser Grösse MI grhaltgn. : 5062 € — 8 vol kürzungen sich erlauben, 1) Æ und R ‚gleich der Einheit zu setzen und 2) die Wurzelgrössen nach den Stei- genden Potenzen von i — 2gp تم‎ und —2g'm + mp" | zu entwickeln. Da oun diese Grössen in der Regel klein sind, so kann man die von den Quadraten und höheren Potenzen derselben abhängige Ze Weg- lassen, Man: erhält dann LUS u o OP en, F + Go + H? = Setzt man daher sët + 3 (g+ mg") — eme QL ل ركو علا‎ 0 ۰, H ~ = (1+ 0) —H' ( ÀH' LU so ist — ۱ DN 2 = tang} gym. © ; Dieser Werth x vielen Fällen schon so genähert, dass die vorher entwickelte Methode mit Vortheil zur Verbesserung derselben angewandt werden kaum; wäre dies nicht der Fall, so hätte man diese Methode zweimal anzuwenden, ind dabei das erste Mal die Rechnung nur ganz roh auszuführen. _ Ga; er Tafel zur Auflösung i Tulersehen Gleichung. 491191 = 100, ar A 0,00 ۱ ۱ 157 70,0000 "1: dnl 02 1 e yà l "o Là 3 2 4 6 PR rege A 13 10 ؟‎ 8 "e x 4 oP 4 f 4 t 02 18 | 193 ويا‎ SIE) en 0 d s a2 Ji "eH zoe — H bi he EE ege 0,07 | 0,00053 | +16 00,0016 | +5 i .X emot ES „íl | see 5 Biwi e l - 0213: a R A -mH Bisin | Tog €, i 192 log €, KE 7 BE HA 0,016 زر‎ cp | 4510;5400)0,08582 میور‎ 0,1106 | e 9 sibi: anio f A S 9467 | otis Baig 18786 11,359. 5| 4, 1155 51 as A gé lech éi SÉ Stin | Hedi) ais 3894 A. 148242 koj 1206 52 ME edi Ka وتنا اه‎ EK | asad ele: 140611 1e, 108 1258 53 Jilat: LE 15719 ege agi n 1357 y n us 14222 ya 1311 54 : او امج‎ 2 8 WE om LL 178 1367 59 : ARBAA sibus sin 5 9. | "0,60 | 4579 | 19 1426 60 ۳ سوم‎ 10 mggedomo 195 | rotto pati Y ۱ 2 u 4756 190 | 1486 62 Aie rung odor Al ni BAR idt : | éd یمن‎ iA ^ ne du DÉEN dii rae o gn ۱۳۵0۵۵ o 1612 66 ee: tj b ATI 5844 | aer ۵ e | u; D دان‎ 19 32 215 1746 71 ge ee D 133 | ۶ (Tuus 45988. |. , 229 1892 | o doen J 486: |: 49 147 | " 14 E B 6217 237 1970 80 2 535 52 161 16 f qid GAA 24 2050 | +82 3 587 53 177 16 0,70 |0,06698 0,2132 Ap, 640 55 0493 | ft 17 eg | s $00.0 695, 0.0 20l0 210 EA LO UM misu e 0000 ech 10,0 Zero in ١ ay Untersuchungen über den Doppelstern 2.3121, 81 )0.0 878 oz 10 Se È w „von H. Fritsche, (Lu le 8 février 1866.) , 9 i ga PT p ai E “ مو‎ |#°Unter den physischen Doppelsternen sind diejeni- 0,30 E TOLO 4 E? 1 نی‎ 5 SÉ gen, deren Componenten eine für diese Gattung von 1 dë „1080 eng E : 327 . 23 |Himmielskórpern verhältnissmässig schnelle relative و‎ 10.1154 |^ 350 24 | Bewegung zeigen, von besonderem Interesse. ` 01 abon 61442824 iS0 |i jor ۵۱ rT | 1 Sólche Bewegungen fand Hr. 0. Struve an dem bb do Fe idi án iiia 2A T Siti von W. Struve entdeckten Doppelsterne 2.3121 erg 148 a = waat) canis und regte mich durch Mittheilung seiner Beobachtun- in. 1568 losa 5 476 i gen any irern EE über die Batin T we EN |. 16001. | 0 ja en "EH: LC ie, 96 z 533 30 "In der "n ‘zu Gebote stehenden Literatur SS ` 0 1852 |. 10 T 568 وو‎ | Doppelsterne ist es mir nicht gelungen, mikrometrische 1 1952 "Elan: i 595 ` 82 Messungen dieses ‚Sterns, welchen: W. Struve pag. 2 9056 |" r ‘| 627 33 XXXVI der Introduction zu seinem Werke «Mensurae 3 2164 |^ WW 660 35 micrometricae» im zweiten Supplemente zum Dorpater E 9974 ۱۵8۵ T 695 36 | Catalog von 1827 hinzufügt, welche von andern Astro- 5 2387 ۱۵51۲ H 781 36 | nomen herrührten als den beiden Herren Struve, 6 ۲۵۵8۵۵04 feran 7 38 ` |aufzufinden, wiewohl die Pulkowaer Bibliothek in die- + | |. 2625 H5 وا‎ “ADS ec ve ser Abtheilung als durchaus vollständig zu bezeichnen 2M 8 2750 ne | 9H ° ` |sein dürfte. Entweder sind. also überhaupt keine Be- oi H E Die 681399 0 + i du | is | obachtungen über 3.3121 von andern Beobachtern deu Tpi WoW ap aha Ke = N. N der spl ausgeführt, — wozu die nicht geringe Schwierigkeit او تاودا‎ |sh نون امجهوق‎ tas W por 1013. 480.» dês in Rede stehenden Objectes, vielleicht auch ein ! ri 8499») موز‎ ' TE ago Übersehen des erwähnten Supplementes zum Dor- HOSA -0,035820 104 0 0,1106 Fi #49 77 pater Cataloge von Seiten mancher m— bei- bé Bulletin de l’Académie Impériale getragen haben mag — oder sie sind noch nicht pu- blicirt. Wir haben es demnach nur mit Beobachtungen der beiden Herren Struve zu thun: auf der einen Seite d. h. hinsichtlich der Anzahl der Data ein Nachtheil, auf der andern aber ein Vortheil, weil diese beiden Astronomen allein, durch Messungen an sogenannten künstlichen Doppelsternen, vollständig die Mittel und Wege angegeben haben, die Fehler ihrer Beobachtun- gen genau zu erkennen, und weil sie mit so vorzüg- lichen Instrumenten, wie der Dorpater und Pulkowaer Refractor, ausgerüstet waren. Dieser Umstand, sowie eine nicht eben gleichför- mige: Vertheilung der Beobachtungen über den Um- fang der scheinbaren Bahn, veranlassten mich, Alles, was bis jetzt in Bezug auf die Fehler der von den Herren Struve an Doppelsternen beobachteten Po- larcoordinaten bekannt war, ihren betreffenden Schrif- ten zu entnehmen und das noch Fehlende durch eigene Untersuchungen zu ergänzen, um sowohl genaue Bahn- elemente von 2.3121 zu bekommen, als auch wo möglieh über die Zuverlässigkeit der angewandten Correctionen ein Urtheil zu gewinnen, namentlich über die der systematischen der Positionswinkel, da diese in unserm Falle glücklicher Weise ungewöhnlich stark unter sich differiren. Damit nun der Gang der Rechnungen über 3.3121 nicht durch eingeschaltete Erórterungen über die Be- | obachtungsfehler unterbrochen werde, sei hier eine gedrängte Übersicht der dieselben 9 den Re- sultate vorausgesandt. Die Untersuchungen und Ma- terialien, die sich auf diesen Gegenstand beziehen, finden ach d in folgenden Schriften: I. Stellarum compositarum mensurae micrometricae auctore W. Struve. 1837. II. 16. (18.) Décembre 1854: Résultats d'observations faites sur des étoiles doubles artificielles par Otto Struve. III. 18. (30.) Décembre 1857: Résultats des observations faites sur des étoiles | doubles artificielles par Otto Struve, zu welchen hinzukommen AV. Die noch nicht publicirten Beobachtungen des . . Herrn O. Struve am Pulkowaer Refractor. Wir hesisnon mit den Fehlern der Distanzen und lassen die der Positionswinkel darauf folgen. Ich be- merke hierbei, dass die hier gegebenen Resultate, in Betreff der Mééséngen des Herrn O. Struve, nur als vorläufige anzusehen sind, indem eine ausführliche und strenge Untersuchung des Gegenstandes in dem nächstens erscheinenden grösseren Werke über die Pulkowaer Mikrometermessungen zu erwarten steht. A. Die Fehler der Distanzen. a) Zufällige Fehler der gemessenen Distanzen (cf. pag. XXVIII in I), welche den sogenannten stellis lucidis angehören (cf. pag. LVI in I). 1) Messungen von W. Struve. Wenn d. eine von W. Struve gemessene Distanz, l, der wahrscheinliche Fehler von d,, so ist nach pag. LVIII in I: dw Le lp I, 1 0,70 05074 07074 07000 2 1,48 0,086 0,086 0,000 3 3,08 0,099 0,099 0,000 4 5,62 0,116 0,112 — 0,004 5 9,79 0,127 0,125 — 0,002 6 13,94 0,127 0,134 = 0,007 7 19,88 0,145 0,143 — 0,002 8 28,19 0,156 0,154 — 0,002. Darch Division von یا‎ durch die entsprechende Po- tenz à erhält man die fast vollkommen unter sich gleichen Grössen 1 0,079 2 0,079 3 0,079 4 0,082 5 0,080 6 0,075 7 0,080 8 0,080 Mittel 0 0,0792 + > ae 0005, also das einfache Gesetz 1, — 0,0792 A7 e d Ale E (1). Die nach dieser Formel berechneten Werthe 4, wei- chen von وی‎ den von W. Struve aus den Beobach- tungen àbgeleitsios wahrscheinlichen Fehlern von dw nur um die kleine Quantität == 0/0021 im Mittel ab, Sine De wl FF 2 Ban: mr, rye welche den wahrscheinlichen Fehler einer der Zahlen lp sicher nicht übersteigt. - derno (1 | 2) Messungen von O. Struye. # ` Unter Benutzung yon IV, berechnete ich den wahr- scheinlichen Fehler را‎ einer von Herrn O. Struye ge- messenen Distanz d, 7 T 70099 1, = 010609 4,5 — en (2. worin d, als in Secunden lrückt.zu betracht ; KE D Constante Fehler der gemessenen Distanzen. 3, sei die von ihrem constanten Fehler (3, —d, A be- ME Distanz in Bezug auf W. Struve; es gilt dann die Gleichung : 8,—d,, = — 0,007 (cf. p. CXLVHI in I) . (3). Für die Fehler von O. Strüve's Distanzmessungen habe ich die von ihm in III (vorletzte Seite) gegebene Tafel benutzt und die constanten Correctionen (8, —d,) der gemessenen Distanzen d, erhalten: d d, + 0012) + 0,034 20,055 —+ 0,075 + 0,094 109110]. خر‎ ein E 0,120 + 0,120 1ه‎ + 0,093 | 1 —- 0,048 + 0,027 + 0,009: 9 Die Fehler der taxirten Distanzen. Den wahrscheinlichen Fehlerr,, einer vonO. Struve e ce Ve Zeg geschätzten Distanz A fand ichaus 60 natürlichen Ster- | nen, welche gemessen u und geringe Zeit vorher oder nachher taxirt waren, in Verbindung mit Nhu ! r,— + 01065. . ED Wo "T zu licher Zeit die totae Correction H a o) 9n i, | de! ei wg, — 1.020800, 291 Per NO 45 PE EF es unter den Beobachtungen: o cl über 2,3121 keine was den, so werden wir auf die Fehler nant re^ wes [e mom | B. Die Fehler der Positionswinkel. ` : a) Zufällige , Fehler der. ‚Rositiongwinkel, | : it, ^: Hr. 0: Struve fand: (cf. III), dass zwischen dem wahrscheinlichen Fehler f; eines 3 Mal hintereinander von ihm an künstlichen Doppelsternen gemessenen Po- sitionswinkels p und der zu p gehörigen Distanz d, das Gesetz 2 MITT uii NI OR IS 4 €.5 im WM SE d,‏ 0/0224 تا im NOS statthabe.‏ Ferner lässt sich, nach Winnecke's Diésertiílion über den ات روا‎ Coronae borealis, die Reihe der Werthe von f, (ef.‘pag. LVIII tabula A in I) d. h. die der wahrscheinlichen Fehler eines ein Mal an einem der sogenannten stellae lucidae von W. Struve ge- messenen Positionswinkels für die Distanz d, durch eine Gleichung von derselben Korm, wie (7) f. — 953104, EQ us im Winkel : | ۲ 0, 104084, P im Bogen, "pone. H SS CH 1 b) Aystemätische Fehler. 1) 0, Struve. , Wenn e die gemessene Distanz, ma het, mit ei- nem, Quotienten, dessen Zähler die angewandte Ver- grösserung, dessen Nenner gleich 708 (Vergrösserung Ÿ des Pulkowaer Refractors), bedeutet, und o den Winkel zwischen. der scheinbaren Verbindungslinie der beiden Sterne und dem zugehórigen Verticalkreise, so ist (cf. III pag. 590) an die von O. Struve beobach- teten Positionswinkel die Correction ` 50 44sin29— 25°59) ` SS DEEN e; js" dit gt: 17-030 (80 —: e +020 m anzubringen. aE 9) W. iere Da, nach pag. CLVII der «Mensurae», die Diffekenz 0 sii den von à den beiden Herren Struve gleich näch einander keln bei kleinen Distanzen (d. h. < 1790) e eine verschwindende ist, so haben wir in Ermangelung einer ausgedehnteren, "e Bulletin de l’Académie Impériale ısceheidenden Untersuchung vorläufig als das Wahr- scheinlichste anzunehmen, dass man ganz dieselbe Formel (9) auch für W. Struve anwenden müsse (cf. pag. 110 und 111 in IT), sobald die Sternzeiten der einzelnen Beobachtungen vorhanden sind. Wenn diese aber fehlen, was leider meistens der Fall ist, so kann man nur um das erste Glied 50,0 ne verbessern. Wenden wir uns jetzt zur Lösung der Hauptauf- gabe dieses Aufsatzes, der Ableitung der Bahn von 4,2121 Die «Mensurae» enthalten auf Seite 10 Folgendes: 76 3.3121 h فا نت‎ Mittlerer Ort 1826,0 a = 9^ 7۳6۵ 900و دا‎ Der Hauptstern 7,5, der Begleiter 7,8; beide weiss- rn a 1831 ‚36 : 600 0 "90 2028: E 3. 8. 1832,30 600 0,81 17,0 7,58 ı 1833,27 ۰800 0,85 22,3 7,5.7,5 major, wot die Epoche der Beobachtung, a die Vergrösse- rung, d die Distanz, p, der Positionswinkel und a die ` Grósse bedeutet, Die bis jetzt noch nicht یو و‎ A ری‎ apes des Herrn O. Struve über 3.3121 am Pulkowaer Refractor sind, unter Beibehaltung obiger Bezeich- nungen: | t a Sternzeit d Pb 1840,28: 858 :10 15" simplex, oblonga fortasse in directione 94671 1840,32 : 858. 10 6 oblonga, interdum disjunctae in dir. | 238,8 1840,35. 1169 10 45 0,30 taxata; oblonga in directione 232,8 tuned iste] 1844,20 (858 -9 5 certe oblonga in directione 190,2 he qu 1844,30 .. 888. 9 28 0,25: taxata, optime disjunctae 5,0 rubrae ١ 1846,29 . 858 9 25 0,48 18,8 8 1847,34 858 11 45 0,45 210,7 proxime M 1848,25 : 858 11 38 044 102956. 1849,82 . 858 10 29 0,41 WER 1850,30 858 9 40 089 s< Hrs? 5 1851,26 858 9 40 0,25 taxata, oblonga in directione 152,0 fortasse interdum disjunctae 1861,29 858 9 36 certe duplex . 1861,30 858 9 40 0,58 f CS8 1864,30: : 858 9 48 0,62 j 8, 9 Obschon die beiden Sterne so nahe einander gleich sind, dass der Positionswinkel um 180 Grad unsicher | wird und in den eben beigebrachten Daten im Ver- hältniss zu der Schnelligkeit der Bahnbewegung nicht unerhebliche Lücken sich finden, so lässt sich doch leicht beweisen, dass nur eine eg Hypothese über die Umlaufszeit als den Beobachtungen entspre- chend angesehen werden darf, dass man mithin nicht in eine Unentschiedenheit verfällt, wie Villarceau , seiner Zeit bei der Bahnbestimmung von E Coronae borealis. . Man könnte nämlich 3 Hypothesen i in Hinsicht der U it aufstellen: .. 1) Der Umlauf ist, von 1831 anfangend, 1864 nahe ‚vollendet, so dass 1831 p, ungefähr 20" und beträgt; . 1864 9° 2) er ist in der halben. Zeit iin Hypothese 1), also etwa von 1831 bis 1847 geschehen; 3) der ganze Zeitraum, welchen die Beobachtungen einschliessen, ist um ein so Bedeutendes kleiner als die Umlaufszeit, dass ` 435 lot أو‎ © (1 1891 عط ريل‎ ionem: Do 1864 p, = 189." Moni. Gegen Hypothese. 2) Spr rechen die Dina, indem das Mittel der drei ersten 05 5 beiläufig gleich 0745 an an- genommen werden müsste, wenn sie richtig wäre, was aber unstatthaft ist. Wenn ferner 3)'stattfindé Sö müssten alle zwischen 1831 und 1864 liegenden 26+ sitionswinkel grösser dls 21° und kleiner als 189" sein und zwar in der Weise; dass p, mit wachsendem £ be- ständig wüchse. Da aber der Winkel p, 1840,32 mt: des Sei de Saint. Tal, zu £a LE | LESS alls gleich 5971 gesetzt werden müsste, folglich 1844 p, dem für 1864 angenommenen 189? salir nahe kimé;1s0würden alle zwischen: 1844 und 1851 lie- genden p, grösser als 189°, was ungereimt ist. Demnach bleibt nur die CT Sie 1) übrig, welche keinen Widerspruch in sich enthält und zugleich der Bähnbestimmung am günstigsten ist. Wir’ behalten den Positionswinkel 20°,8 für 1831,36 bei, ändern die um 180° zweifelhaften Werthe so ab, dass sie sich unserer Annahme über die Umlaufszeit anpassen, brin- gen die systematischen Correctionen für O. Struve mach Formel (9) an p, einzeln an und ziehen die Be- obachtungen desselben — in Mittelwerthe zu- sammen. m t d Pb Pe De — 20988 1831,36 0390 2098 2058 050 h a 1832,80, 0,81 17,0 ..17,0 356,2 1833,97 0,85 330 2359 58 1840,32 0,30 1x. :59,1— 67,0 46,2 1844,28 0,25 tax. 187,6 193,5 172,7 1846,29 0,48 198,8 207,6 186,8 1847,34 0,45 210,7 214,2 193,4 1848,25. .0,44 209,6 213,0 192,2 1849,32 0,41 214,4 223,3 202,5 15.01850,30 0,39 - 217,6 228,67 207,8 ce 1851,26 0,25-tax 232,0 239,7: 218,9 1861,30 0,58 5,8 7,6 346,8 21864, 20 0,62. 8,9 11,1: 350,3 Er Gang nachstehénder Rechnungen ist folgender: ‚Win, werden uns,, ohne. ‚andere Correctionen zu be- rücksichtigen. als die systematischen der Positions- winkel, zunächst ‚Elemente verschaffen, welche die Reihe der d und p, d. h..der nur nach OL verbesser- ten p, näherungsweise darstellen. , nach corrigirt sein mem und wegen der ۳ men rii nütüt hinzugefügt ist, wird eine neue i sd Ken eer? — die 7 c ( HA E nàch UN 6 pec und E 1 ue Por leiten wir darauf, ohne er dën ak die andere die ‚ob das immung der halben grossen Axe el یه‎ yon denen die eine die نو‎ st genau darstellt: Die den p, oder H. entsprechende System der Wahrheit am nächsten komme, wird der jeder Hypothese zukom- mende wahrscheinliche Fehler der Positionswinkel lie- fern, was der Zweck der weitläuftigeren Rechnung ist. Schliesslich sind noch die halben grossen Axen bei- der Bahnen gemäss den nach (3) (4) (6) berichtigten Distanzen genauer zu berechnen. Zur Lósung der ersten Aufgabe, der Ableitung ge- nüherter Elemente, wandten wir Formeln an, welche sich in den beiden Aufsätzen: 1) J. F. W. Herschel, on the determination of the most probable orbit of a binary star. Mem. R. A. S. Vol. XVIII, pag. 47— 69; 2) Encke, Berliner Jahrbuch für 1832, pag. 253 — 304 ۱ finden und zwar 1) bei der Bestimmung der schein- baren Ellipse, 2) bei der der wahren. Wie man aus den p, ersieht, liegen allé Beobach- tungen im ersten und dritten Quadranten so vertheilt, dass die 4 Radienvectoren, welche den Grenzen der beiden Bögen der scheinbaren Bahn, von welchen der eine im ersten Quadranten sich von 756 bis 6720, der andere im dritten von 19355 bis 23957 er- streckt, entsprechen, nahezu Scheitelwinkel bilden. ١ | Dies gestattet uns, den rechtwinkligen Coordinaten z und y der scheinbaren Bahn dadurch eine mehr gleich- förmige Gestalt zu geben, dass wir die Anfangsrich- | tung der Zählung der Positionswinkel um 2058 ver- schieben und unsern Rechnungen die Werthe p, — 2078 zu Grunde legen. Die z-Axe wird dann mit der gróss- ten Ausdehnung der Bahn nahe zusammen fallen, y stets klein bleiben und wenig variiren. Wir haben demnach 13 sise von der Form s= dcos (p, — 2058) - 2 eben so viele von der Form. y= dsin (p, — 2098). =- Da die uns vorliegenden Beobachtungen alle voll- | ständig sind, so haben wir keinen Grund, uns die Di- stanzen d, wie Herschel es vorschlägt, unter Àn- nahme einer willkürlichen Einheit durch Interpolation aus den كو لي ود‎ und die Formel Ve ‚Bulletin de l’Académie Impériale zu verschaffen, sondern berechnen ohne Weiteres æ und a nach den beobachteten Daten: t + o 900 1831,36: 10/000 1832,30 0,808. — 0,054 1833,27. e 0,850. 2 0,022 1840,32 0,208 0,216 | (1844,28... —.0,248...-+.0,032 1846,29: — 0,477... — 0,057 1847,24 — 0,438 .— 0,104 1848,25 — 0,430 — 0,093 k 1849,32.) — 0,379 40,157 1850,30. — 0345 — 0,182 1851,26. —0,195 — 0,157 ; . 1861,30, -4-0,565. — 0,132 1864,30 - 0,611 — 0,105 Sind nun æ, Ê, y, 3, e die constanten Unbekannten der Gleichung der PIER Ellipse 1 سب نمه به‎ By + va + day + ey — 0, so Miren e 13 oda وب رو و بو‎ welche un- sere: ihe liefert, vermöge der Methode der kleinsten Quadrate, auf die 5 Endgleichungen ` #88861à +0 13948 +1,8965y — 0, 18918 —0 ,0067€ + 1,4309 = 0 0,1394ع‎ + 0,18488 0,18917 =0,0067 8 — 0,0093 € 0, 1100 =0 +1,8965 a : —0,18918. +2,0095y —0,02145 -0,02686 + 3,8861 —0 —0,1891a —0,00678 —0,0214y 4-0,02688 —+0,0052e +0,1394 =0 y +0,00528 ME tv ciem‏ 0,0268« 0,00038— وس woraus die Unbekannten | ‚log a. Rf ری‎ eg re x; ;*h P EU KUER zii 5 59 nr ea Ary 0,4600, 2 à. 0,8848 ا‎ sich ergeben, welche die Soani die die N atur atng Arno E? N der Ellipse fordert, dass nämlich 8 — 4ey > 0 und | (88 — Zoe — (P 4ey) (8? — 4c) ue 0, » erfüllen, da hier Ai — 4ey = — 271, 64 und T (88— äech — 9 — 4«y) 8 و سس‎ 9132. Die, Seite 51 und 52 des AU m erwühnten Auf- satzes yon] Herschel, entwicl elten Formeln, ‚geben die geometrisc n Elemente der scheinbaren Bahn als Fr ctionen y "p. hb Y: 9, €, Darnach hat man die ES zu pen H= a 2y GER ا‎ K = ae + py — 085 t— 1/87 و“( ع) سه‎ i Gleichungen: das Zeichen von $ so verstanden, dass% (&— cl 0 wird; ferner, den Winkel o zwischen der 4 Axe und der Apsidenlinie, aus: 8 ` 102 = — "p | die rechtwinkligen Coordinaten des Mittelpunktes der Ellipse, p’ und o : ’ G , H : dum ; u À also die Entfernung R des Anfangspunktes der Coor- dinaten, d..h. des als ruhend angenommenen Sterns vom Mittelpunkte der scheinbaren Ellipse R— Vp tg Sid" und den Winkel zwischen À SS der z Axe P durch (gP = H endlich die halbe kleine Axe B und die halbe dë A = y 3X-N. 2(K — N) AN (e سه‎ Y — €) (c و‎ Y — "o À = ¥ Darnach erhalten wir in unserm Falle: @=+72,479 H=+4, 974 N=+9271 64 t نت‎ 26, 87 =— 48,21 p' =- 072671 q = + 0/0183 . 0/712. log 4 = 9,8522 . 0,201 log B = 9,3028 2(K— N), N (e+ ¥ Fb) Die, halbe grosse Axe À . Die halbe kleine Axe B . | Die Entfernung des Haupt. ‘Sterns vom Mittelpunkte R 0, 268 log R= : و9‎ A974 Den Winkel zwischen Rund Qu PEN Pr SC ر‎ oA vr Den Winkel zwischen Aud ° jj der ANE EE 8°17,5 . Wir kommen nun zur Anwendung der Encke'schen à | Formeln, um die geometrischen Elemente der wahren Hal un berechnen. aa ee ل‎ „Die Knotenlänge 0 und das Quadrat des Productes aus der halben kleinen Axe û der wahren Bahn un und dem Sinus der Neigung i, die Ebene der scheinbaren Bahn als Fundamentalebene betrachtet, folgen aus den خرن‎ l'sin?.sin20— Lë — B)sin2 g' RE EAT Ai DN sin ® „c0s2 Q= (4^— B") cos29— 3009.27 E ۱ für die Länge des Knotens Qi: 9 - 4,5 für die Neigung i. 72 24 für den Excentricitütswinkel ۵: 22 51 für den Log. der halben grossen Axe a 9,8548. des Sciences de Saint a Pétersbourg. bund û aus: b? — D cos. — D sin? p + bcos. = 4 + po og Wenn / der Halbmesser der scheinbaren Ellipse, welcher durch den ruhenden Stern geht, II die Länge und des Perihels, a die halbe grosse Axe und 9 der Ex- | ee für die oR Bahn, so ist go "tx sin (P— 9) + — 4; cos (P— “اب‎ a sin (II — Q) — dca (P — Q) sec. i a cos(II — Q) = — l cos(P — Q) sin ۵ — 3 QU cosp — Ri Substituiren wir in diese Gleichungen obige Quan- titäten von 4, B, R, P und a, so gelangen wir zu den Werthen: für die Lünge des Perihels II 172? 28,5 Es fehlen jetzt noch die dynamischen Elemente der wahren Bahn, nämlich die Zeit des Perihels T und die Umlaufszeit U. Wir nehmen, um uns dieselben zu verschaffen, die beiden Näherungswerthe Ü = — 37 Jahren T. 1846,29 m, von welchen den ersten die Beobachtungen ohne Weiteres darbieten, den zweiten die Reihe der mitt- leren Anomalien M, die sich mit Hülfe der pee be- rechneten Elemente und der Formeln: . ido! fut tg (v مه‎ II — Q) — 0 tg(p — 9) sec.i 0174 E ig À v tg(45° m adt mii. Ass pesin E, | ER v die wahre, E die excentrische Anomalie, p der V und e — sin 9 ist, ergeben. anntlich ist nun, wenn ۳ die mittlere jährliche Bove ung bezeichnet, E velie. Zeit des Pere sei T= T, + AT, | í M | ferner sei 860 Die e Bestimmungsgleichungen für AT, und AU, 2 | ben alsdann die Form AT, +u. AU, + (T, سه‎ nU, — t) = 0. Wir erhielten mit Hülfe dieser Formel die verbes- serten Werthe: für die Zeit des Perihels T — 1846 „17 für die mittlere jährliche bewegung w= 97674, y= مسد‎ Nimmt man jetzt in Bezug auf Q die allgemein ge- bräuchliche Anfangsrichtung, nämlich die des durch den Hauptstern gehenden Declinationskreises wieder an, indem man 20° 48' zu dem früheren Werthe von | addirt, setzt auch statt der Länge des Perihels II (=Q + o) den Winkel o zwischen Knoten- und Ap- sidenlinie, so. gewinnen die gesuchten, genüherten Elemente folgende. Gestalt : Q 29° 52,5 #72 24 o 163 24 © M Diaso 12915 anobsabod oid (A) wo 6 M 0 0 10۲ 7 = 1846,77 loga 9,8548 Die Controllen aller bisherigen Rechnungen, so weit sie sich auf die Erlangung der Elemente À be: ziehen, sind stets nur sehr roh ausgeführt, da es eben nur darauf ankam, genäherte Elemente zu bekommen, um alsdann mit Hülfe der Differentialquotienten von p nach Q, i, o, o, p und M diese Näherung' sowohl in Bezug auf p, als p, zu ihrem Maximum zu führen. Die Data; nach welchen î, o, Q, 9; p, M und abe- stimmt werden sollen, sind, unter Berücksichtigung alles dessen, was vorstehend in Bezug auf die con- stanten und systematischen Fehler der im Tableau 1 befindlichen Columnen gesagt ist, folgende: `. 2: n t dp Correct. dj d Db -1 1831,36 0790 — 0007 0893 : 20?8 9 1832,30 0,81 — 0,007 0,803 ^ 17,0 i} 3 1833,27. 0,85 — 0,007. 0,843. : 22,3 A 1840,32 0,30 tax: =+ 0,139 : 0,439 59,1 5 1844,98 Gäns, +0,153 0,403 187,6 6 1846,29 0,48 + 0,024 0,504 198,8 6 s3 Bulletin dé l’Académie Impériale 54 t d Correct. dy de Db t Ap'c Ad, 1 9ه .4949 - 8259" نب 1831,36 7 07473 07023 + 0'45 1847,34 ۳ 8 1848,25 / 0,44 . 0۵232 0,4۵3 209,6 1832,30 +13,79 + 9,63 +0,154 9 1849,32 0,41 -+0,023: .0.433 214,4 1833,37 + 9.08 6,26 320,089 0,014 — .13,22 —. 5,36: جد 1840,32 217,6 0,413 0,023 جه 0,39 1850,30 10 11 1851,26 Dän, 4-0,153 0,403 232,0 1844,98. —19,13.. — 25,01 .— 0,189 12, 1861,30 . 0,58 . 4-0,026 ..0,606. <: 8 1846,99. + 1,92 .— 6,86- 0,104 13 1864,30 0,62 ه‎ 0,026 0,0646. ..8,9 1847,34 — e — d. SM 0 عد اللو وها 4571 184825 i i huh" > à, 7 1849,82 0 + 19,18 + 0,28 10,027 0,070 —| 5,00 + 16,00 ه 1850,30 24596 07893 0208 —. 4°24 + 1831,36 1 9 .1832,30 ex 4,24... — 0,08 0,03 21,16 1851,36 <+16,31 + 8,61 u 3 1839327 : + 3,79 —0,07 0,843 2 1861,30 -+11,72 + 9,87 e 4 1840,32 + 7,90 ل‎ 0,04 0,439 66,96 1864,30 + 14,15 et 89 +0, D 1844,28 - 5,90 — 0,02. 0,403 193,48 Ap,, Ap, und Ad, sind im Sinne: Ephemeride — 6 1846,29 + 8,80 — 0,02 0,504 207,98]... ی و‎ d. zu verstehen. (uS uU, Deal et Hi i f b f :hnete ich die Differentialquotienten 8 1848,25 + 3,40 —— 0,01 0,463 212,99 ver qe or s 9 1849,32. + 8,90 0,00 0,433 293,30 nach. der Formel 10 1850,30 -+11,00 0,00 0,413 228,60| 0 کب‎ sinä sin (v + o)cos(p-—9). Ai 239,70 .0,403 0,00 7,70 2ه 1851,26 11 12 1861,30 + 1,80 ه‎ 0,05 0,606 7,65 (g7) cosi. Aom- AQ 13 1864,30 = 2,20 -+0,06 0,646 6 Die Bedeutung dieser Quantitäten ist: n gibt die Nummer der هس اه‎ zur besseren Orientirung; t die Beobachtungszeit; d, die beobachtete Distanz ohne alle Correction; Geier, d, ist die constante Correction von d, und b zwar CH 1 bis 3 nach (3), N° 4, 5 und 11 nach (6), N* 6, 7, 8, 9, 10, EN 13 nach (4) re d, —d,4- Cons p, der heobacltite ی‎ Correct. p, die systematische Comebtion von p, : N' 1, 2, 3 nach (10), N°4 bis 13 nach (9); P ds der Präcession wegen an p, سنا‎ Ver- besserung, wobei hier von 1850,00 ausgegangen uud die Formel P = + 0,3343 sin a sec. S benutzt ist; = p, + Correct. p, + P. "Die Elemente (A) differiren in ihren Ephemeriden von 2 und 3 in nachstehender Weise: ) Auf den Rath des Hrn. O. Struve berechnete ich die Correc- tionen pp für die Beobachtungen seines Vaters streng nach der For- mel (9), indem ich dabei annahm, dass die Beobachtungen beiläufig um 10 Uhr Abends an den Augegebenen 3 Tagen angestellt seien. Es zeigte sich dabei, dass die vom 2ten und 3ten Gliede abhängigen Correctionen Sich unter jener Annahme gegenseitig sehr bedeutend aufheben, so dass ihre Berücksichtigung die oben gegebenen Pb kaum um einen Grad geändert hätte "TO —ecos E— e). sin E . cosi. e. wv + + + $ aje aje adh هد سبي" cosi. coso. AM, 2 SE ا‎ i COS. de sem jagen) | worüber man in ریخ‎ nes Werken Angaben fin- det (z. B. bei Mädler, in Winnecke’s Dissertation). Die Bedeutung der Grössen in derselben ist nach dem Vorhergehenden ohne Weiteres klar; es bleibt bloss noch zu bemerken, dass M, zu T, gehört ae: dass T, gleich 1847,34 gesetzt würde. Diese 01 نادف‎ dividirte ich durch die nach (7) und (8) jeder Beobachtung von p correspondirenden wahrscheinlichen Fehler f und leitete aus ihnen, in Ver- bindung mit den oben erwähnten Ap, und Ap',, nach der Methode der kleinsten Quadrate 6 Endgleichun- gen in Bezug auf Ap, und eben so viele in Bezug auf Ap, ab, welche sich nur durch die von Ap abhängi- gen Glieder unterschieden, da beiden dieselben ge- näherten Elemente A zu Grunde lagen. ` Die bedeutenden Abweichungen Ap, und Ap, er- forderten in jedem der beiden Fälle ein viermaliges Wiederholen der Rechnung, bis endlich die aus, der Substitution der letzten Correctionen in die Gleichun- gen abgeleiteten Fehlerquadrate mit den aus 9 der di- des Sciences de Saint-Pétersbourg. recten/ Berechnung nach den verbesserten Elementen | merischen Werthe für die letzten Bedingungsgleichun- hervorgehenden in Übereinstimmung kamen. Die nu- | gen sind in folgenden zwei Tabellen zusammengestellt. 1 _ Ai i ia log rss » i Coeff AQ d 07 3? 9,025, 9,085, 9,1895, 9,984, 8,746, 9,241 » Coeff AM, "cu » App ? f Coeff Ai log + : S Coeff Aw f ` Coeff AO f S Coeff Ay » ef AM, LT UE ار Be‏ f 1) In Bezug auf p,. 1831,26 1892,30 1823,97 1840,32 1844,98 1846,29 8,738 9,202. 8,297, 9,718, 9,555 8,842 9,051 9,041 9,595 9,591 — 108,852 8,862 8,878 . 9,808 9,616 9,418 Coeff L0Ay. 9,595, 0,239 | 9,542. 9,116, 9,745, 9,697 0,486, 9,520 9,583 9,508 9,599 9,697 9,033 9,665 9,323 9,158 9,056, 9,039, 9,026, 9,654, 9,102, 8,439, 18074 1818,85 8,906, 9,913 9,169 9,711 9,408 9,392 — co 9,221 9,707 9,521 9,400 8,959 2) In Bezug auf y. 1831,36 1832,30 1833,37 8,996 (8,986 8,980 | 9,692 9,118 8,892 9,172 9,970 9,597 9,589 9,575 + 9,403 9,621 1840,32 1844,98 8,394 7,988, 8,666, 9,088, 9,821 9,479 9,677 1846,29,.11847,34 1848,25 1849,22 1850,90 1851,26 1861,20 8,166, 9,377, 9,558,°9,681, 9,757, 9,794, 9,825 9,659 9,046, 9,090, 9,182, 0,019, 8,902 9,179 9,509 9,616 9,740, 0,157 9,097 8,704, 0,169 9 0,019, 0,190 08,782 ' 8,802 9,033 9,998 9,506 9,186 -+ 9,394 9,428 „OA, 8,979, 8,976, 9,784,; 8,992, 8,207, — co 8,387 1849,32 1850,30 1851,26 1861,80 m 9,597, 9,059, 9,737, 9,772 9,319 9,481 9,563 9,687 9,655 9,613 9,644 9,756 9,871 9,40 9,502 6 8,737 8,973 9,179 n 8,532, aam 9,552 ` 9,706 = 9,558 9.695. 9,583 + 9,533 9,749 9,739 9,857 9,978 9,143 9494 9,578 9,078 ۰ 0 8,791 9,534, 9,640 8,311, 0,069 9,547 9,753 9,096 9,304 9,449 0,075 0,253, 0,154, 1864,30 9,725 9,815 + OÙ 9,118 9,395 9,049 71 9,347 n 9,788 Hieraus, folgen nach der Methode der kleinsten Quadrate die 12 Endgleichungen: +1,612Ai —0.273A —0,100Ai —0,357 Ai —0,507 Ai | +9 1464i —0,576 Ai —0,252 Ai —0,877 M —0,996 Ai +0,344 0 B —0,2734o0 —0,10040 4-0, "809 o +1,339AQ AT ,33940o و‎ ,856AQ 30 17240 +0,740AQ eg 91740 +1 487 AQ —0,015A0 +0,1324Q —0,3579 1) In Bezug auf ۰ —0,507A M, +0 179۵ +0,917AM. + 10 +- 0,0 + 069 49 - 1 +0,129AM. +1,181AM, —0,170A M, - 2) In Bezug auf p. 0 576۵۵ —0,2524Q —0,8774p —0,9964M, 1,00840 +1 27240 æ0,52549 +1, ‚143AM, 1979 ۵0 +2,3954Q 0991 Ae - MM, #0,52540 +0,9214Q +#3,1834p +0,231AM, #1,14340:+1,3394Q 20,2814 +1,5404M, 40,03640 :#+0,117AQ +0,995Ap —0,348AM, +0,306A10p +0,472=0 —0,015A10g —0,861=0 +0,132A10p —1,095=0 +0,699A10p. —1,772=0 —0,170A10p. —1,274—0 +0 EU —0, 344-0 4-0 ‚344A10p eg 532=0 =b 7036410. 0,194 = 0 0,117 ۵10۳ +0, 998 = =0 + 0,995 A10p. #0, 27720 ee (0,560 = 0 —0,302 — 0 40,5704 9,440 87 Bulletin de l’Académie Impériale EI welche folgende zwei Elementensysteme ergaben: 1) Das sieh den p, möglichst nahe anschliessende System Epoche 1850,00 Q 19? 4 n 99188 i 75: 50,9. M -52° 23,0 o143 17,2 log a 9,8548. p 20 18,8 2) Das sich den 7, möglichst nahe anschliessende System Epoche 1850,00 Eu. Q 23" 32,4 87862 à 75..15,6 M 54° 12,7 o 141 34,1 log a 9,8548. o9 22: 18,3 Die sogleich folgende Z tellung der Werthe von Ap,, An. und Ad,, in welche die früher angeführ- ten durch Variation der 6 Winkelelemente übergehen, zeigt, dass nicht bloss eine starke Verminderung der Fehler der Positionswinkel stattgefunden hat, sondern dass dies auch bei den Distanzen in hohem Maasse der Fall ist, wie es auch nicht anders zu erwarten war, da bekanntlich Ad die Form Ad= A . 1ل‎ - B.o + C.Ap+DAM + EAu + F. Aa hat, und da die Genauigkeit der Positionswinkel, wenn man sie in Bogen ausdrückt, im Vergleich zu der der Distanzen eine bedeutende ist. Dies Verhältniss der Sicherheit beider Polarcoordinaten gestaltet sich für unsere beiden Beobachter folgendermaassen. Formel (1) und (8) geben das relative Gewicht P, eines Posi- tionswinkels zu dem einer Distanz eines und desselben Doppelsterns für W. Struve gleich 3,864 ", also in unserm Fall, wo d, im Mittel gleich 0,85, P, — 4,03. Was O. Struve betrifft, so hat man, d, gleich 0,50 gesetzt, P, gleich 5,22. Die neuen Werthe von Ap,, Ap, und Ad, finden wir in dem Tableau: Elemente 1. t Ephemeride pı — py = Ephemeride d, — d, — 1 b Ap dı de Ade 1831,36 1914 .20?72 —1?58 0,385 0,893 —-0/008 1832,30 20,46 16,92 <+3,54 0,862 0,803 — 0,059 1833,27 21,91 22,23 — 0,32 0,828 0,843 —0,015 1840,32 58,16 59,06 —.0,90 0,211 0,439 — 0,228 1844,28 189,54 187,58 +1,96 0,379 0,403 — 0,024 1846,29 200,42 198,78 هبه‎ 1,64 0,495 0,504 — 0,009 1847,34 204,92 210,69 — 5,78 0,499 0,473 = 0,026 1848,25 208,99 209,59 —0,60 0,476 0,463 + 0,013 1849,32 214,61 214,40 +0,21 0,427 0,433 — 0,006 1850,30 221,26 217,60 +3,66 0,368 0,413 5 1851,26 230,67 232,00 — 1,33 0,303 0,403 — 0,100 1861,30 4,27 5,85 —1,58 0,647 0,606 2-0,041 1864,30 10,37 8,96. +1,41 . 0,8038 0,646 -+ 0,157 Elemente 2. t Ephemeride Pz — P'e = Ephemeride d, — de = P2 ۰ Ap, d, Ade 1831,36 22796 24796 — 27200 07883 0,893 —- 07002 1832,30 24,99 21,16 +3,13 0,855 0,803 -+-0,060 1833,27 25,77 26,02 —0,25 0,817 0,843 —-0,018 1840,32 66,79 66,96 —0,17 0,191 0,439 — 0,248 1844,28 195,19 198,48. +1,71 0,390 0,403 — 0,013 1846,29 206,01 207,58 — 1,58 0,482 0,504 — 0,022 1847,34 210,84 214,19 — 3,35 0,476 0,73۰ 0,003 1848,25 215,38 212,99 +2,39 | 0,448 0,463. — 0,015 .1849,32 221,79. 223,30 —1,51. 0,396 : 0,433 — 0,037 1850,30 229,54 228,60 --0,94. 0,840 0,413 — 0,073 1851,26 240,26 239,70 : +0,56 0,283 0,403 — 0,120 1861,30 6,09 7,65 —1,56 | 0,642 0,606 + 0,036 1864,30 12,31 11,16 +1,15 0,794 0,646 —+0,148 —À—— — des Sciences de Saint- Pétersbourg. Die Differentialgleichungón geben für Ap, und An. Quantitüten, welche bis auf ein Paar Hundertstel mit den vorstehenden übereinstimmen. Dividirt man nun jedes Ap, und Ay’, durch den zugehörigen wahrschein- lichen Fehler, quadrirt die Quotienten und addirt die Quadrate, so hat man die Summe der Fehlerquadrate für 1) 17,30 für 2) 8,47. . Da die Anzahl der Gleichungen 13, die der Unbe- kannten 6. ist, so wird der wahrscheinliche, Fehler einer Gleichung von dem Gewichte 1 1) 17060 2) 0,742 also der wahrscheinliche Fehler einer Beobachtung von p bei der Distanz 1; wenn man die Constanten der Formeln (7) und (8) anwendet, für O. Struve für W, Struve 1) 1°36 9945 2) 0,95 1,71 nach Formel (7) 1,282; nach Formel (8) 2,310. Die beiden Werthe 17282 und 25310, welche die Einleitung darbietet, liegen zwischen den aus den Bahnen gefolgerten, indem man natürlich nur die Zah- len vergleicht, welche demselben Beobachter angehó- ren. Elemente 1 geben grössere Quantitäten als die Einleitung, Elemente 2 dagegen kleinere. Dieser Um- stand spricht entschieden zu Gunsten des 2ten Sy- F stems, besonders weil wir 6 Unbekannte aus den vor- handenen 13 Positionswinkeln bestimmt haben und diese letzteren sich auf nur 6 wesentlich verschiedene reduciren lassen, wenn man die nahe innerhalb der Grenzen ‚der wahrscheinlichen Fehler bei einander liegenden Positionswinkel in Mittel zusammenzieht. Der erste Winkel dieser Art würde etwa das Mittel der Beobachtungen N’ 1, 2, 3; der zweite N° 4; N° 5 bis N° 11 incl. könnte man als die drei folgenden p ansehen, endlich das Mittel von N 12 und N 13 als das 6te p. Demnach erscheint das vorliegende Pro- blem, die Bestimmung der 6 Winkelelemente der Bahn von 3. 3121 aus den Positionswinkeln p, von diesem Standpunkte betrachtet, nicht als überbestimmt, so dass. man eher einen zu kleinen, als einen zu grossen | Werth für die Überreste. der Gleichungen erwarten musste. : Schliesslich muss noch die Verbesserung der hal- ben grossen Axe vorgenommen werden. Wenn man annimmt, dass û, o, M,, o und ۳ richtig sind, dass also Ai, Ao... gleich 0, so darf man schreiben Ad — I, Sé a oder 0 = — Ad به‎ s Aa und hat hierin die allgemeine Form der Gleichungen, welche die Correction von a bedingen. Dividirt man die beiden zuletzt angeführten Reihen von Ad. welche Elemente 1und 2 ergeben, durch die entsprechenden wahrscheinlichen Fehler [Einlei- tung (1), (2) und (5)], quadrirt die Quotienten, und summirt sie, so erhült man die Summen der Fehler- quadrate Elemente 1 28,66 — N 2 34,00 — N, indem log a gleich 9,8548 angenommen wurde. Dividiren wir ferner die 13 Gleichungen von der Form 0 —— Ad +- 3 Aa durch dieselben wahrschein- lichen Fehler und berechnen die Unbekannten Aa nach der Methode der kleinsten Quadrate, so folgen die neuen Werthe von log a ^ » Elemente 1 9 N 08541. » N bleibt ungeändert, N wird nur um 1,17 kleiner, also gleich 27,49, weshalb die wahrscheinlichen ehler nach den Elem. li für gemessene Distanzen von O. Struve 0056 ; für taxirte Distanzen von O. Struve 0,069 für gemessene Distanzen von W. Struve 0,084 nach den Elem. 2; ' für gemessene Distanzen von ۰ Struve 07063. für taxirte Distanzen von 0. Struve ^ 0,077 für gemessene Distanzen von W. Strive 0,094 während sich nach den Formeln (1), @ und (5) die entsprechenden Werthe finden - 07053 für del ۰0,065 » d<1 0,079» d = 1 Die geringen Änderun von a bewirkten natür- lich auch nur geringe ‘in d und den obigen beiden Rei- Bulletin de l’Académie Impériale hen Ad, des letzten Fehlertableau's, wie man aus fol- gender Zusammenstellung sieht: | Elem. 1.. Elem. 2. t d, d, 0 d, — de d, — de 1831,36 0,861 0,881 0,893 — 0,032 — 07012 1832,80 0,839 0,854 0,803 -+0,036 + 0,051 1833,27 0,805 0,816 0,843 —0,038 — 0,027 1840,32 0,206 0,191. 0,439 — 0,233 — 0,248 1844,28 0,369 0,390 0,403 — 0,034 — 0,013 1846,29 0,481 0,482 0,504 — 0,023. — 0,022 1847,34 0,485 0,475 0,473 <+0,012 -+ 0,002 1848,25 0,463 0,447 0,463 0,000 — 0,016 1849,32 0,415 0,395 0,433 — 0,018 — 0,038 1850,30 0,358 0,339 0,413 — 0,055 — 0,074 1851,36 0,295 0,282 0,403 — 0,108 — 0,121 1861,30 0,630 0,641 0,606 + 0,024 + 0,035 1864,30 0,781 0,793 0,646 = 0,135 + 0,147 Die grossen negativen Abweichungen zwischen den Ephemeriden und den nach der von mir für die O. Struve'schen Beobachtungen abgeleiteten Formel (6) corrigirten, taxirten Distanzen der Jahre 1840, 1844, 1851, deren Mittel für Elemente 1, — 0,125, für Elemente 2, — 07127 sind, deuten, nach einer Be- merkung ds Hrn. ©. Struve, "Mur hin, dass jene Formel für unsern speciellen Fall nicht streng an- wendbar ist. Nehmen wir also die taxirten Distanzen als keiner constanten Correction bedürftig an, so ‚sinken die Fehlerquadrate ` für Elemente 1 auf 17,4 | 2 auf 24,3, und es verschwindet jeder irgend bedenkliche Wi- derspruch zwischen den Beobachtungen und unseren Elementen. Die Resultate aller vorstehenden Rechnungen las- sen sich nun kurz in folgende Zahlen zusammenfas- sen, wenn man noch. die halben grossen und kleinen Axen der scheinbaren Bahn, wie sie aus den definiti- ven Elementen folgen, hoza. Elementensystem 1 ohne Anwendung der systema- tischen Fehler: » » Epoche 1850,00 Q 19? 56,4 KC 97188 5 75 56,9 M ۰52 23,0 ۵ 143 17,2 log a 9,8429. zë 20 18,8 , Umlaufszeit : 39,18 Jahre. Halbe grosse Axe der scheinbaren Bahn A= : 01681. Halbe kleine Axe der scheinbaren Bahn 2 0,161. Elementensystem 2 mit Anwendung der systema- tischen Fehler: Epoche 1850,00 H Q 23° 32/4 87862 i 75 15,6 AM 549 7 o 141 34,1 ‘log o 9,8541. o 22 18,3 Umlaufszeit: 40,62 Jahre. Halbe grosse Axe der scheinbaren Bahn A = 05694. Halbe kleine Axe der scheinbaren Bahn 2 — 07173. Von diesen beiden Systemen müssen wir das letzte als das wahrscheinlichere annehmen, 1) weil die Summe der Fehlerquadrate der Posi- tionswinkel durch Anbringung der systematischen .. Oorrectionen auf die Hälfte herabsinkt, 2) weil die Nothwendigkeit der systematischen Cor- rectionen für künstliche Doppelsterne in der Nähe des Horizontes bewiesen iib. Andererseits dürfen wir g Beitrag zum Beweise des Satzes, «dass die aus künst- lichen Doppelsternen gezogenen Resultate in Bezug auf die Fehler der Beobachtungen auch für MNA gelten», betrachten. Die weitere Verfolgung dieses merkwürdigen: Dop: pelsterns durch Beobachtungen wird in den nächsten Jahren keine Entsċheidung unserer Alternative her- beiführen können, weil die Bewegung jetzt und in der nächstfolgenden Zeit, nach beiden Bahnen, sehr lang- sam ist. Erst dann, wenn die schnelle Winkelbewe- gung, welche 1840 — 1851 stattfand, wieder ein- tritt, wird diese Entscheidung möglich sein, was etwa als einen LALAIT EL ETT ‚gegen 1880 zu erwarten ist. Das eben Behauptete erhellt, aus folgenden: Ephe- meriden: Elemente 1, ; Ei r 3: d d 1864,30 ..10?4 1 1233. 04792 L 1866,30 13,4 0,846 15,4. 0,862 id , 1868,30. .16,1..0,875 ` 18,1..0,901., ‚1870,30... 18,8 5 20,7 0,906 زع‎ 1872,30 21,7 0,811 234 .0,873 id 1874,30 25,2 0,708. 264 0,79 . 1876,30 30,3 0,551 30,4 0,670 ` 1878,30 ^ 40,8 0,343 36,8 0,490 ` 1880,30 88,8 0,134 ^ ^ 53,0 0,262. 1882,30. 177,0 0,251 139,9 0,136" VEA UN: ee e ‚bes des Sciences de Saint- Pétersbourg. 94 Mittheilungen. über die Gestalt und Unterschei- dungsmerkmale des Mammuth oder Mamont +: (Blephas primigenius), von J. F. Brunet (Lu le 25 janvier 1866.) (Mit einer lithographirten Tafel.) Seit einer Reihe von Jahren bin ich damit beschäf- tigt Materialien für eine Naturgeschichte des Mam- muth zu sammeln. Dieselbe soll meiner Absicht zu Folge sich nicht bloss auf den Ban desselben im Vergleich zu den andern Elephanten, so wie auf seine geographische Verbreitung, beziehen, sondern gleichzeitig auch genauere Blicke auf die Beschaffen- heit seiner Überreste, das geologische Vorkommen derselben und auf die Existenzbedingungen des Thie- res werfen, um auch eine Einsicht in seine biologischen Verhältnisse und die Dauer seiner Lebensperiode zu gewinnen. Mehrere für die fragliche Naturgeschichte bestimmte Abschnitte sind sogar bereits ganz ausge- arbeitet, für die andern liegen in besonderen Convo- luten die Materialien beisammen. Die Publikation der- selben wurde aufgeschoben, weil unserem Museum nicht bloss das Skelet, sondern sogar ein Schädel des afrikanischen Elephanten fehlt, zwei für meine Mono- graphie wichtige Gegenstünde, die ich zeither trotz vielfacher Bemühungen zu acquiriren nicht das Glück hatte. — | Der in Aussicht stehende Fund einer Mammuth- Leiche am Busen des Tas veranlasst mich aus dreifa- chem Grunde, die Akademie von meinen Studien in Kenntniss zu setzen. Erstens dürften dieselben für die Untersuchung der fraglichen Leiche manche An- haltspunkte und Erleichterungen gewähren, gleich- zeitig aber auch zweitens nach bester Möglichkeit, wenigstens vorläufig, zum grossen Theile einem Be- dürfnisse abhelfen, welches Hr. v. Vibraye hinsicht- lich der geringen Kenntnisse, welche bisher über die äussere Gestalt des Mammuth verbreitet sind, in der Pariser Akademie ausgesprochen hat. (Compt. rend. 1865. T. LXI. p. 403.) Drittens endlich wird es je- der billig finden, dass jahrelang fortgesetzte Studien, die einen namhaften Zeitaufwand kosteten, nicht ver- loren gehen. Ich hoffe im Laufe des nächsten Som- mers meine Materialien zusammenstellen zu können. Früher damit zu beginnen ist nicht möglich, da ich zunächst an die Beendigung der Veröffentlichung ei- niger anderer Arbeiten denken muss. Als Resultatemeiner, die Morphologie des Mammuth betreffenden, bisherigen Untersuchungen erlaube ich mir nachstehende vorläufige Mittheilungen zu machen, die vielleicht bei dem Interesse, welches die Ankün- digung der Entdeckung einer neuen Mammuthleiche erweckte, gerade jetzt wohl nicht ganz unwillkommen sein dürften. Ich begleite dieselben des bessern Ver- ständnisses wegen mit einer Figur des Thieres, wie ich sie in Bezug auf die Gesammtgestalt nach Maass- gabe der Proportionen des Skelets und der ihm noch theilweis anhängenden Weichtheile, sowie drei geson- derter Schädel, hinsichtlich der Behaarung aber mit Hülfe der noch im Museum vorhandenen behaarten Hautreste unter Zuziehung der Angaben von Boltu- noff, Adams und Tilesius unter meiner bestündigen Aufsicht von Hrn. Pape entwerfen liess. Dass das Mammuth (Elephas mamonteus seu primi- genius) nach Maassgabe seiner ganzen Organisation, namentlich der Beschaffenheit seines äussern, wie sei- nes Skeletbaues, zu der Gattung der Elephanten (Zle- phas) gehórt und in Betracht seiner, mit geradrandigen Schmelzfalten versehenen Backenzühne, sowie selbst hinsichtlich seiner Schüdelform, dem asiatischen Ele- phanten (Elephas asiaticus) näher stand, als dem afrika- nischen (Elephas africanus), sich übrigens aber nicht bloss vom afrikanischen, sondern auch vom asiati- schen Elephanten durch wesentliche Merkmale unter- schied, ist allerdings eine jetzt von allen Palüontologen, wie Zoologen anerkannte Thatsache. Stellt man indes- sen auf Grundlage eines reichen Materials, wie dasselbe unser akademisches Museum bietet, Untersuchungen über die morphologischen Verhältnisse des Mammuth an, so ergiebt sich einestheils, dass manche Kennzei- chen, welche ihm diesen Platz einrüumen, noch nicht عازن‎ festgestellt, oder mit gehóriger Schärfe aufge- fasst wurden, anderntheils dass noch viele, nicht un- wesentliche Diterséhea niet Merkmale he vorhah- denen sich hinzufügen hissen: Werfen wir nun zunäch punkt unserer Kenntnisse in Bezug auf die Morphologie des Mammuth (Zlephas mamonteus seu primigenius), so findet sich, dass man bei der bisherigen Erörterung der- selben einen allerdings von einem Laien herrührenden und schlecht stylisirten Bericht übersehen hat, der freilich einerseits in einer nicht jedem zugänglichen Sprache abgefasst war, andererseits noch dazu in einer PrE VA CARA KN هک‎ NS Bulletin de l'Académie Impériale für seine Veröffentlichung nicht geeigneten Zeitschrift erschien. Ich meine hiermit die vom Jakutsker Kauf- mann Boltunoff über die äussere Gestalt des Mam- muth gelieferte Schilderung, welche der Akademiker Severgin in dem damals von der hiesigen Akademie in russischer: Sprache herausgegebenen Technologi- schen Journal (Texnoanunueeriü Zypnaas , Tom. ILE, uacm» 4, cp. 162) im Jahre 1806 veröffentlichte. Als nämlich der erwähnte Kaufmann im Jahre 1803 die vom Tungusen, welcher das Mammuth an der Lena entdeckte, erhandelten Stosszähne abhauen liess, ent- warf er von der fraglichen Thierleiche eine Zeich- nung und Beschreibung. Die letztere enthält meh- rere Angaben, die um so mehr Beachtung verdienen, da der Verfasser das Mammuth noch in einem دوم‎ Zustande der Conservation sah als Adams, der erst drei Jahre nachher die Reste desselben barg. Boltu- noff’s, natürlich mit Umsicht zu benutzende, Schilde- rung der äussern Theile des Mammuth, dürfte demnach die ihr gebührende Rücksicht E Boltunoff war es, der noch den von Adams nicht mehr gefun- denen Rüssel des Mammuth bemerkte, welchen er als | langes, dem Rüssel der Schweine ähnliches, von den Nasenlöchern ausgehendes Organ beschreibt‘). Er war es ferner, der sowohl noch beide Ohren des Thie- res beobachtete und bereits die Länge jedes einzel- nen auf sechs Werschok bestimmte, als auch einen sechs Werschok langen Theil des von Adams nicht mehr bemerkten, behaarten Schwanzes sah. Auch ge- lang es ihm noch einige beachtenswerthe Bemerkun- gen über die Behaarung des Mammuth zu machen. Die von ihm entworfene Zeichnung habe ich mir leider nicht verschaffen können; sie wird indessen von Ti- lesius als roh und mehr einem Schweine, als einem Elephanten ähnlich geschildert. Specielle Bemerkungen über die Morphologie des Mammuth, Unter Zuziehung der Mittheilungen von Boltunoff a.2.0., Adams (Relation d'un Voyage u. Mém. del Acad. Imp. de sc. de St.- Péterb. 5° ser. T. V. p. 431 ff.) — Tilesius (ebendas. p. 406 ff.)— Cuvier (Rech. s. 1. foss. 4 ed. 8. T, II; Erdumwälzungen übers. von Nögge- rath II, 236), Blainville (Ostéogr. Eleph.), Pander ; 1) Der Rüssel der am Tas vor mehreren Jahren gefundenen Mammnthleiche, deren Reste sich im Moskauer Museum len, wurde Hrn. y. 3 otochulski von den Samojeden als schwarze Zuuge von per Länge eines einmonatlichen Renthierkalbes geschildert. 2) 1 : skelets gesprochen wird, hat darin seinen Grund, dass dasse und D’Alton (Skel. d. Pachydermen) undMiddendorff (Reise Ba. IV. Th.1.p.271, Brnomnuns, Ecmecme. Hayxs Hom. Mock.-O6uj. gen, npupodu, Mocnsa 1860. N° 26, 27. p. 843) lassen sich auf Grondlage der reichen Ma- terialien unseres Museums (die aus dem von Adams geborgenen Skelet, drei einzelnen Schädeln, mehreren Unterkiefern, mehreren Knochen von Extremitäten, einer Menge von Hauern, Backenzähnen und ande- ren Skelettheilen, ferner aus theils am Skelet vor- handenen, theils isolirten Hauttheilen, wovon einzelne noch mehr oder weniger Haare tragen, sowie aus ein- zelnen Haarbüscheln bestehen) bis jetzt folgende, die früheren Angaben vervollständigende, ergänzende oder berichtigende allgemeine Daten über die Morphologie des Mammuth im Vergleich mit dem asiatischen, Eler phanten feststellen. Im Ganzen muss das Ansehen des Mammuth ki aus ein ganz elephantenartiges gewesen sein. Das Mammuth übertraf indessen durch seine ansehnlichere Grösse, den stärker verlängerten Vorderkopf und den in allen Theilen des Skelets ausgesprochenen kräfti- gern plumpern an den dickern, breitern, jedoch nicht gerade kürzern, Extremitäten ebenfalls erkennbaren Bau die beiden (oder drei) noch lebenden Elephanten, und gewann durch die auf alle äusseren Theile, mit Ausnahme der Zähne und Hufe, ausgedehnte, dichte, mehr oder weniger lange Haarbedeckung, sowie ‘die kleinen Ohren ein ganz eigenthümliches, abweichen- des Ansehen. Dass das Mammuth eine ansehnlichere Grösse als die lebenden Elephanten erreichte, wird durch folgende Thatsachen bewiesen: Das einem In- dividuum von mittlerer Grösse angehörige Mammuth- skelet des St. Petersburger Museums übertrifft zwar nur wenig an Grösse das einem grossen Individuum ange- hörige, nebst der ausgestopften Haut desselben daneben stehende, Skelet eines asiatischen Elephanten. In dem- selben Museum finden sich indessen erstens zwei Schä- del, von denen der eine zwar nur etwas, der andere aber namhaft grösser als der des Mammuthskelets ist. Zweitens sind darin mehrere Stosszähne aufbewahrt, welche nicht bloss wegen ihrer Grösse, sondern be- sonders wegen des grössern Umfanges ihres Basal- theils im Vergleich mit dem der Basaltheile der Hauer des Mammuthskelets ?) auf grössere Individuen hinwei- Talis Warum tier nur von Basaltheilen der ‚Hauer des M: imu des Sciences de Saint- Pétersbourg. u © sen, wie unter andern auch Middendorff zeigte. End- lich besitzt das Museum einzelne Oberarmknochen, die etwa um '/ länger und in einem ähnlichen Ver- hältniss breiter und dicker sind, als die ihnen ent- sprechenden Theile des Skelets des Lena-Mammuth, welches übrigens schon Boltunoff nur für ein Indivi- duum mittlerer Grösse, Tilesius (p. 483) aber gar für das eines jüngeren Individuums erklärte, worin ich dem Letztern jedoch nicht beistimmen möchte. Nach Maassgabe des Schädels besass der breitere, und hinten gleichzeitig etwas niedrigere Kopf des Mam- muth einen weit mehr verlängerten, an seinen Seiten in der Mitte stärker eingedrückten Oberkiefertheil, so dass er eine grössere Länge als bei den lebenden Ele- phanten darbot. Die Stirn erschien zwischen den Au- gen breiter, in ihrem hintern Theile aber, nebst der Scheitelgegend, vielleicht etwas mehr eingedrückt, als beim asiatischen Elephanten. Die Augen, wovon der rechte vertrocknete Augapfel noch vorhanden. ist, derselbe, woran sogar Adams (p. 441) noch die Regen- bogenhaut sah, scheinen hinsichtlich ihrer geringen Grösse denen der lebenden Elephanten ähnlich ge- wesen zu sein, waren aber etwas weiter von einan- der entfernt. — Die Augenlieder mit den Augenspal- ten ühnelten denen der Elephanten im Allgemeinen und besassen auch die erforderlichen Haare. — Die ‚Ohren, wovon am Mammuthskelet das rechte noch er- halten ist, Pe d^ zwar im Ganzen die Gestalt der Ohren des asiati Elephanten, waren aber viel klei- ner, kürzer und schmäler und zeichneten sich dadurch aus, dasssie ganz behaart waren, am obern Rande aber, in Folge längerer, mehr vortretender Haare eine Art kurzen Haarbüschels besassen (worauf schon Adams p. 441 hinweist) und gleichzeitig auch den Augen et- was näher standen, als beim asiatischen Elephanten. — Der Rüssel, welchen, wie wir oben bemerkten, nur Boltunoff am Lena-Mammuth und die Samojeden an dem am Tas gefundenen sahen, besass wohl eine mit nicht seine eigenen Hauer trägt. Dieselben wurden nämlich schon ei Jahre vor der Ankunft von Adams beim Mammuth demselben von ai nie abgehauen, des leichteren Transporte s wegen in e geschnitten und nach Moskau verkauft, wie der- م تاع‎ im I citirten Aufsatz berichtet. Dass die von Adams un- serem Mammuthskelet angesetzten, in Jakutsk gekauften, nicht die Spur einer künstlichen Zertheilung bietenden, Fangzáhne nicht die ihm zugehörigen sein können, geht auch aus ihrer geringern Breite im Vergleich zu En im Schädel des Mammuthskelets zurückgeblie- benen dorm seiner wahren Hauzähne hervor. - ome der vordersten Körperhöhe im Verhältniss stehende Länge, war aber auch kaum weniger kräftig, obgleich sein Basaltheil wegen der viel schmälern, freilich län- gern, unten dreieckigen, zwischen den Alveolen der Stosszühne befindlichen, für den Ansatz von Rüssel- bewegenden Muskeln bestimmten Grube, auf der Un- terseite seiner obern Hälfte durch seine geringere Breite und dreieckige Form von dem des asiatischen Elephan- ten abgewichen zu sein scheint. — Die Hauer über- trafen an Grüsse bei weitem die der lebenden Ele- phanten. Wie die Richtung und Lage ihrer weiten Alveolen zeigt, waren die Hauer mit ihren Basalthei- len einander so genühert, dass sie mittelst derselben einen spitzen Winkel bildeten, bei ihrem Austritte sehr stark divergirten, sich dann zuerst nach aussen, vorn und oben wendeten, mit ihrem Endtheil, oder ihrer Spitze aber nach aussen und hinten etwas gegen die Schulter hin sich bogen. Die Hauer der einzelnen Individuen erschienen übrigens, wie dies die zahlreichen Exemplare unserer Sammlung zeigen, weniger oder mehr spiral; ein Umstand, der natürlich auch auf die Krümmungen influirte, welche sie am Kopfe verschie- dener Individuen zeigten. Die Hauer der Mammuthe un- terscheiden sich daher nicht bloss durch ihre Grósse, sondern auch durch ihre Gestalt und Richtung von denen der lebenden Elephanten. — Die Backenzühne weichen besonders durch die gróssere Zahl ihrer, wie mir scheint, etwas schmälern Platten und die schmä- lern Schmelzsäume derselben von denen des asiati- schen Elephanten ab. — Unterschiede hinsichtlich des Verhaltens des Halses und Rumpfes sind zwar nicht angegeben; der Nacken und Widerrist dürften in- dessen wohl wegen des zum Tragen des schweren, mit enormen Hauern versehenen Kopfes bestimmten, | wohl ganz ausserordentlich entwiekelten Nackenban- des, ebenso wie der zu gleichen Zwecken, aber gleich- zeitig zur Bewegung des Kopfes vorhandenen Muskeln, deren Ansütze am sehr breiten Hinterhaupt theilweis durch breite Gruben angedeutet sind, einen ausser- ordentlich krüftigen Bau besessen haben, der den des asiatischen Elephanten übertraf. Nach Maassgabe der eine geringere Lünge als beim asiatischen Elephanten bietenden obern Dornenfortsütze der hintern Rücken- wirbel móchte aber der Hinterrücken etwas niedriger als beim Elephanten gewesen sein. Der Bauch hing, wie Adams bei Tilesius (a. a. O. p. " bemerkt, gn Es Bulletin de l'Académie Impériale 100 nach Aussage des Tungusen, der das Mammuth ent- deckte, bis zum Knie herab, ein Umstand, der im Ver- ein mit dem, wie wir sahen, wahrscheinlich ungemein entwickelten vordern Rückentheil, auf eine die des asiatischen Elephanten noch übertreffende Plumpheit des Mammuthkörpers hin weist. — Der von Boltunoff gesehene, nach seiner Angabe nur sechs Werschok lange Schwanz war sicher nicht vollständig. Bereits Tilesius (der indessen, ebenso wie Adams, Boltu- noff nirgends anführt) bemerkte (a. a. O. p. 450) ge- gen die Angabe von Adams, der (a. a. O.) vom gänz- lichen Fehlen des Schwanzes spricht, dass am Mam- muthskelet allerdings nur die acht vordersten Schwanz- wirbel vorhanden seien, andere (er meint offenbar beim asiatischen Elephanten wahrnehmbare) 20 — 22 da- gegen fehlten. Vergleicht man, wie ich gethan, die acht nur vorhandenen vordersten Boh navir be! ‚des Mammuthskelets mit denen des asiati so findet sich, dass dieselben nach Maassgabe der Grösse beider Skelete beim Mammuth zwar etwas grös- ser, jedoch im Ganzen denen des asiatischen Elephan- ten proportional gebildet erscheinen. Das Mammuth hatte also nicht nur ohne Frage einen Schwanz, sondern dieser war wohl kaum kürzer als der des asiatischen Elephanten, falls nicht etwa die endständigen Schwanz- wirbel des Mammuth eine geringere Zahl und Lünge als beim asiatischen Elephanten darboten, in welchem Falle dann natürlich der Schwanz eine geringere Länge besessen hätte. Jedenfalls darf aber angenommen wer- den, dass die Endhälfte des Schwanzes schon zur Zeit als B oltunoffdasMammuth beschrieb, entweder durch die Tungusen, die ihre Hunde mit seinem Fleische füt- terten, oder die wilden Thiere, verloren gegangen war. Es ist dies um so mehr zu bedauern, da wir einerseits deshalb keine genauere Kunde von der Lànge des Schwanzes, andererseits von der Art der Behaarung seines Endtheiles besitzen, die wohl eine quastenartige war, wie wir sie bei Elephanten und Schweinen fin- den. Mit der langen Behaarung der andern Kórper- theile würde übrigens eine solche Bildung des End- theiles des Schwanzes sehr wohl harmoniren. — Die Vorder- und Hinterfüsse hatten, so viel sich aus ih- rem Knochengerüste und den ihrem untersten Theile noch anhüngenden Hautresten schliessen lässt, wohl im Ganzen eine der der lebenden Elephanten ähnli- che, nur massivere Gestalt. Die Vorderfüsse erschei- 4 nen breiter als die Hinterfüsse und besitzen, wie es das Ansehn hat, etwas breitere, dickere Zehen. Die Vorderfüsse, wie die Hinterfüsse, bieten übrigens je fünf Zehen und breitere, nagelartige Hufe, als beim asia- tischen Elephanten. Die Zehen sind so dicht vereint, dass die Endglieder derselben gar nicht vorragen, die Füsse also einem ungeübten Beobachter als pferde- ähnlich erscheinen konnten und auch in dieser. Ge- stalt auf der Boltunoff'schen Figur wirklich darge- stellt. gewesen sein sollen. Da über die Art der Haarbekleidung des Mammuth, obgleich gerade sie zu den wesentlichern, äussern Cha- rakteren desselben gehört, nach tep der; zu kurzen, theilweis sogar scheinbar sich widerstreitenden, bisherigen Mittheilungen einige Zweifel sich erheben lassen, so dürfte es nicht überflüssig sein, etwas nüher in diesen Gegenstand einzugehen. — Den: Angaben Boltunoff's zu Folge, der, wie oben bemerkt wurde, die Mammuthleiche ein Paar Jahre früher als Adams; also in einem viel besser erhaltenen Zustande, sali, war dieselbe, die Ohren und den (übrig gebliebenen) Theil des Schwanzes nicht ausgenommen, noch ganz mit Haaren bedeckt, auf dem Kopfe jedoch. weniger lang behaart. Adams und Tilesius (a. a. O. p. 444) nehmen (ohne Boltunoff's Angaben zu erwähnen) die ganze Aussenfläche der Körperhaut des Mammuth ebenfalls als behaart an. Die im Museum der Akade- mie auf dem Kopfe und den Füssen aufsitzenden, eben- so wie die von Adams vom Körper des Thieres ab- getrennten, theilweis noch vorhandenen Hautreste constatiren, meinen Untersuchungen zu Folge, nach- stehende Thatsachen. Das noch ganz vorhandene rechte, äussere Ohr zeigt noch eine solche Menge dermaassen auf seiner hintern oder äussern, besonders aber vordern (innern) Fläche inselartig. vertheilter Haarreste, dass man annehmen ROSS; es s ge gan von kurzem, ER dicht steh Woll- haar bedeckt gewesen, zwischen dem eine grosse Menge zerstreuter, borstenartiger, am äussern und obern Rande ganz Zn zahlreicher und langer Borsten- haare dergestalt wahrgenommen wurden, dass sie eine Art von Haarbüschel bildeten. Da nun im Thierreich wohl sehr häufig nackte, oder sehr schwach behaarte : Ohren mit einem dicht behaarten Kopfe vorkommen, je- doch kein Beispiel eines umgekehrten Falles aus demsel- ben bekannt ist, so darf wohl. auch übereinstimmend des Sciences de Saint ۰ mit We mew Béltáa off's angenommen werden, der ganze Kopf sei behaart gewesen, habe indessen kür- zere Haare als der Körper besessen. Für diese Annahme spricht auch der Umstand, dass die den Schädel meist noch bedeckende Haut des Mammuth hie und da noch Spuren von Woll- und Steifhaaren bietet, die auf eine kürzere Behaarung hindeuten. Auf der rechten Wange findet sich übrigens sogar noch eine Stelle, wo kürzere, braune Woll- und schwarze, längere Steifhaare in Erde gehüllt der Haut aufsitzen. Dass der Rumpf, in Über- einstimmung mit Boltunoff, Adams und Tilesius, dicht und länger behaart war, wird durch das von Adams mitgebrachte, im Museum der Akademie be- findliche Stück der Kórperhaut bewiesen, woran ich noch an zwei Stellen, deren jede einige Zoll im Durch- messer hat, eine ununterbrochene, ganz intacte, fest- sitzende Haarbedeckung auffand, obgleich Adams und ein längst verstorbener, gewissenloser Conservator, vor meiner Ankunft in St. Petersburg, mit behaart geblie- benen, abgeschnittenen Theilen des genannten Haut- stückes Handel getrieben hatten, dem die in verschie- denen Museen vorhandenen, behaarten Hautstücke ih- ren Ursprung verdanken. Auch dicht über den Zehen des rechten Vorder- und Hinterfusses. so weit sie noch mit Haut bedeckt sind, bemerke ich stellenweis deutliche Spuren einer zwar sehr kurzen, und etwas steifen, aber dichten Behaarung. Man kann daher, im Betracht der vorstehenden Angaben, die Mittheilung Boltunoff 's durchaus nicht bezweifeln, dass der Kopf, ‚dann der Rücken von den Ohren an bis zum inz nebst diesem, ebenso wie der Dauch, als er dii Manimuth sah, noch ganz mit Haaren bedeckt wa- ren, deren Länge D Arschin, 0,355 M., meist aber weniger betrug; ja man darf die Behaarung auch auf die Seiten des Kórpers, den Hals und die Füsse ausdeh- nen, also Adams darin beistimmen, wenn er (a. a. O. p. 451) sagt: «Le mamouth est couvert d'un poil trés épais sur tout le corps», wogegen im Grunde auch Ti- lesius(a. a. O. p.420 u. 482) nichts einzuwenden hatte. Der Letztere sagt zwar zur eben mitgetheilten Angabe von Adams in einer Anmerkung: «Quod probandum fuisset cum in relicto sceleti nostri corio ne vestigium quidem supersit». Diese Anmerkung wird indessen durch die oben gemachten Bemerkungen über die im Museum der Akademie noch jetzt vorhandenen, mehr oder weniger behaarten Hautreste des Mammuth wider- legt und widerspricht den oben citirten andern Stel- len, die sich in seiner Beschreibung des Mammuth fin- den, worin er positiv behauptet, es sei ganz behaart gewesen. Tilesius veranlasste offenbar zu jener An- merkung der Umstand, dass er die ansehnlichen, oben erwühnten, dicht behaarten Stellen übersah, welche ich erst auf dem zusammengerollten, allerdings sonst kahlen, von ihm als relictum sceleti nostri corium be- zeichneten und nach ihm (p. 445) weder dicht noch lang behaarten Überreste der von Adams mitgebrach- ten Körperhaut entdeckte, als ich denselben nicht ohne grosse Mühe auseinanderbiegen liess, was Tilesius offenbar nicht gethan hatte. — Auf dem Rücken schei- nen übrigens, wie bei so vielen andern Thieren, die Haare eine namhaftere Länge erreicht zu haben und, wie die freilich rohe Boltunoff’sche Zeichnung an- gab, die borstenähnlichen Haare besonders hervorge- treten zu sein. Was die nähere Beschaffenheit des Haarpelzes an- langt, so haben sowohl Boltunoff als Adams, ja selbst Tilesius, darüber keine genauern Angaben ge- macht, wiewohl sie von längern, steifen und kürzern Haaren sprechen. Da die Haarbedeckung der Thiere, wenn sie auch an einzelnen Körpertheilen an Länge variirt, im Allgemeinen doch einen bestimmten, ge- meinsamen Charakter auf dem ganzen Körper beibe- hält, so dürfte es nicht überflüssig sein, einige Be- merkungen über die Beschaffenheit der Haarbildung hinzuzufügen, so weit sie sich an unsern Mammuth- resten wahrnehmen lässt. TEE Die auf den beiden oben erwähnten Stellen der im Museum der Akademie noch vorhandenen Reste der Haut des Rumpfes, in völlig intactem Zustande, auf je einem etwa handgrossen Flächenraume, wahr, nehmbaren Haare des Mammuth, zwischen denen sich noch theilweis namhafte Reste der Erde. ‚befinden, worin das Thier ursprünglich lag?), bestehen aus ei- 8) Es muss hierbei a à werden, dass in Sibirien مامت ون‎ der grossen Pachydermen, worauf zuerst Hr. v. Baer hinwies, und worin Hr. v. Middendorff (Reise Bd. Am. Th. L p- ra so wie ich selbst, ihm zustimmten, keineswegs in re wie dies sehr viele Naturforscher noch jetzt an ‚sondern in ی‎ rc Bo- den sich fanden, worin sie nach meiner Ansicht zur Herbstzeit ver- sunken waren, als derselbe noch | i etzt den ا‎ Elephanten zuweilen begegnen. soll (sieh Bericht üb. die Verhandl. der Köni Akademie der Wissensc h. zu Berlin, 1846, 8. 221). an der e سر‎ Mammuth so einem 5 Sashen hohen Hügel herab; der aus Suse ا‎ Bulletin de l’Académie Impériale nem sehr dichten, im Mittel 20 — 35 Millimeter lan- gen, an manchen Körperstellen aber wohl noch län- gern 5), auf den vorliegenden Hautresten eine 20 — 25 Millimeter hohe Schicht bildenden, gekräuselten, et- was verfilzten Wollhaar von brauner ins Schmutzig- gelbliche spielender Farbe, das sich etwas straff, wie sehr grobe Wolle, anfühlt. Zwischen diesem Wollhaar ragen, etwa ähnlich wie auf dem Rumpfe bei Hyrax, nur in weit reichlicherer Menge, zerstreute, zahlreiche dunkelschwarze 50 — 100 Millimeter lange, borsten- ähnliche, im trocknen Zustande leicht abbrechende Haare hervor. Die, allerdings kürzern Haare, welche das Ohr bedecken, wovon jedoch die obern, randstän- digen, länger sind als die andern, zeigen ein ähnliches Verhalten. Die auf dem untersten Theile der Haut des rechten Vorder- mg Hinierfusses über nen Zehen, auf sehr kl i scheinen hanh viel kürzer. Bemerkenswerth bleibt noch; dass die Haare auf der M ils bü ig,theils zerstreut stehen. Schliesslich möchte ich jedoch kei- neswegs behaupten, dass die Haarbekleidung des Mam- muth nicht noch reichlicher gewesen sein könne, als ieh sie nach Maassgabe der oben beschriebenen Reste der Körperhaut schilderte. Was die Mähne anlangt, welche dem Mammuth von Adams (a. a. O. p. 451) zugeschrieben und auch von Tilesius (ebd. p. 421, 444 und 482) vindizirt wird, worüber übrigens, sonderbar genug, Boltunoff in sei- ner Beschreibung schweigt, so beruht ihre Annahme theils auf Angaben von Adams (a. a. O. p. 351), theils (nach dem Geognosten Slobin, der den Ort, wo es sich befand, mit einem Begleiter von Adams aufsuchte) jüngern Thon mit etwas leiche, deren — in . aufgestellt sind, lag in zusammenge- stürzter Erde. Die den Resten des Wilui = [ashorüs anhängende Erde ähnelt der de موی‎ Schliesslich muss noch bemerkt wer- , dass mein hochgeehrter College v. Baer mir schriftlich un mündlich quomm die Güte hatte: Er habe Middendorff vor seiner nn t: er möge nach der Lage des Adams'schen Mammuth sich باب این سب‎ Ihm (Hrn. v. Baer) sei unbegreiflich, wie ee im Eise gelegen habe und wenn es, wie Adams sagt, der Fall war, so müsse es Flusseis gewesen sein. Middendorff (a. a. 0. S. 294) e nun daraus Meereis, das gegen den Fluss nicht dahin gekommen sein kónne. 4) Wenn auch auf manchen Körpertheilen die Länge des Woll- grósser, vielleicht selbst bedeutend grósser, sein mochte als die oben angegebene, so erreichte dieselbe niemals 1'/ Fuss, wie bei Middendorff (Reise Bd. IV, Th. I, S. 277) steht. Eine solche boten nach Adams (sich unten) nur die Mähnenhaare, deren Länge Tilesius, mehr in Übereinstimmung mit den im Mu- seum der Akademie vorhandenen, noch geringer angiebt. auf Haaren, die viel länger als die gewöhnlichen, borstenartigen Körperhaare waren, so dass ihre Länge nach Adams bis zu der einer Arschin (— 0,71 Meter), nach Tilesius 1 Fuss 2 Zoll engl. betrug, mit welchem letztern Maasse die im akademischen Museum vorhandenen langen Haare besser überein- stimmen. Die Angaben von Adams sind in folgen- den Worten enthalten: «Le mamouth a sur le. col une longue crinière. Quand méme je metterois en doute les rapports de mes compagnons de voyage, il est cependant évident, que les crins de la lon- gueur d'une archine, qui se trouverent encore à la téte, aux oreilles et au col de l'animal, ont du ne- cessairement appartenir à la criniere’)». Das Mammuth besass allerdings, wie man nach Maassgabe der von Adams mitgebrachten und von ihm, wenn auch nicht auf den Ohren, wogegen die Behaarung des noch vor- handenen Ohres spricht, jedenfalls jedoch wohl auf dem Hinterkopfe und dem Halse gesehenen, bereits er- wühnten, sehr langen Haare, deren màn auch bei den in Moskau aufgestellten Resten einer Mammuthleiche fand, annehmen darf, auf den letztgenannten Theilen sehr lange und, im Verhältniss zu ihrer Länge, dickere und steifere Haare. Die im Museum der Akademie auf- bewahrten. zu dieser Kategorie gehörigen längsten Bor- stenhaare besitzen eine Länge von 1'4'/" engl. (— 0,42 Meter) und bieten auffallend genug eine rothbraune; keine schwarze Farbe wie die steifen Kórperhaare. Wenn wir aber den eben gemachten Mittheilungen zu Folge allerdings eine den Hinterkopf, Nacken und Hals einnehmende, mähnenartige Bekleidung dem Mam- muth zuzuschreiben hätten, so fragt es sich doch, ob die Mähne eine auffallend dichte, streng abgesetzte, etwa wie beim Löwen war. Das Schweigen Boltu- noffs über die Gegenwart einer Erscheinung, die in die Augen fallen musste, ebenso wie ein anderer Um- stand gestatten Zweifel in Betreff der Gegenwart einer sehr dichten, stark abgesetzten Mähne. Am Hinter- kopfe und Nacken dürfte sie namentlich nicht allzu dicht gewesen sein; ich möchte dies wenigstens aus folgenden Umständen schliessen: Am Schädel unseres Mammuthskelets, dessen obere Fläche wie die Seiten noch mit der natürlichen, jetzt zwar ganz kahl — 5) In der Nàhe des Halses des Mammuth, dessen. Beste Jet im Moskauer Museum sich befinden, wurden 7 englische . Zoll (on rothbraune Haare gefunden (Middend. Reise Bd. IV, Th. I, es Sciences de Saint- Pétersbourg. nenden, bei genauer Betrachtung jedoch hier und da | noch deutliche Spuren der Behaarung bietenden Haut | bedeckt ist, woran noch die Augenlieder nebst einem vertrockneten Auge wahrgenommen werden, befinden sich als Fortsetzung des hintern Theiles der Kopfhaut zwei freie, nach hinten ragende Hautlappen, die offen- bar den Hinterkopf und die Mitte des vordern Theils des Nackens zum Theil deckten. Eine nähere von mir angestellte Untersuchung derselben wies auf ihrer äussern Oberfläche porenühnliche, einen Durchmesser von einem Millimeter bietende, ziemlich im Quincunx stehende, 5 — 10 Millimeter von einander entfernte Einsenkungen der noch intacten, aufgetrockneten, fein- ` runzligen, kaum hie und da warzigen, also von der des asiatischen Elephanten verschiedenen Epidermis nach. In einzelnen dieser Einsenkungen bemerkt man deut- lieh die wie Reste abgebrochener Theile erscheinen- den Grundtheile mehrerer (ich zählte bis sieben), also etwa wie bei Rhinoceros tichorhinus, büschelständi- ger, steifer, braunschwarzer Haare von verschiedenem Durchmesser. Bei einzelnen dieser Haarreste, nament- lich. den dicksten, welche Theile der Mähne gewesen sein mógen, betrug der Durchmesser einen Millimeter, die meisten andern boten einen viel geringern. Stellen- weis sind. allerdings die dickern Haarreste nur 2—3 Millimeter. von einander entfernt, ja es werden auf dem Hautstück selbst zahlreiche, nicht aus den ge- nannten ‚Vertiefungen‘ hervorragende Haarreste be- merkt. Weun also auch ohne Frage die Beschaffen- heit der Haarreste des genannten Hautstückes auf die frühere Gegenwart sehr zahlreicher, langer, dicker Nackenhaare hinweist, so wird dadurch allerdings wohl das. Vorhandensein, aber noch nicht eine sehr grosse Dichtigkeit einer. Nackenmähne wahrscheinlich ge- macht. Darf man die hinten am Kopfe, dann am Halse, sowie auf dem Nacken, über den. Vorderbeinen und den Bauchseiten auf der von Lartet im Perigord in der Erde gefundenen Darstellung eines Mammuth (Compt. rend, d. l'Acad..d. Paris 1865. T. LXI, Ann. d. Sc. nat. Zool. 1865. Pl. XVI) angebrachten Striche als lange Haare deuten, so wäre nicht bloss eine Hals- und Nackenmähne vorhanden gewesen, sondern die- selbe hátte sich, etwa wie beim Bison, auch über die Vorderfüsse und Bauchseiten verbreitet, welche Mei- nung jedoch noch der Bestätigung bedarf. Dass übri- gens selbst an den Füssen sehr lange Haare vorkamen, sah Hr. Magister Friédrich Schmidt an einem Mam- muthfusse, den man aus dem Tschuktschenlande nach Irkutsk geschickt hatte, — In Betreff der Farbe des Mammuth stehen die Angaben mit einander im Wider- spruche und lassen daher Zweifel obwalten. Boltu- noff spricht von róthlichen Haaren, namentlich auf der Stirn und dem Bauche, ebenso auf den Augen- brauen. Adams (p. 442) berichtet, die Haut sei dunkel- grau und besitze röthliche Haare nebst schwarzen Steifhaaren. Tilesius (ebd. nota) bemerkt: Pilos lon- gos atros equinis fere crassiores, superficie rufos et alios breviores, crispos, fere tenuiores, paulo lucidio- res cum lanula intermixtos vidi. Die sorgfältige Untersuchung der im Museum der Akademie noch vorhandenen Hautreste ergab folgende Resultate: Die oben beschriebenen Wollhaare sind auf dem Kopfe und auf den Beinen, an welchen Thei- len sie seit 60 Jahren dem Lichte ausgesetzt waren, von hellbrüunlicher, ins Gelbliche ziehender Farbe, dürften aber wohl von den Wollhaaren des Kórpers hinsichtlich der Fürbung sich ursprünglich nicht un- terschieden haben. Auf den Resten der Körperhaut bieten die Wollhaare eine braune, mehr oder weni- ger ins Graue und besonders Schmutzig-gelbliche zie- hende Farbe. Da die Reste der Körperhaut demLichte viel weniger ausgesetzt waren, weil sie auf einem zusammengerollten Hautstücke sassen, so dürfte ihre braune, dunklere Färbung der natürlichen nahe kom- men, besonders da die Steifhaare noch ihre ursprüng- liche Farbe zeigen, die gegenwärtige Farbe der viel hellern Note und Beinhaare aber schon stark verbli- chen sein). Früher, so namentlich auf dem lebenden Thiere und den ganz frisch aus der Erde getretenen Leichen mögen allerdings die Wollhaare der Körper- haut eine noch intensivere, dunklere, vermuthlich mehr schwärzlich-braune. Färbung gehabt haben, so viel man aus der Art und Weise der durch die nur sehr allmähliche Einwirkung des Lichtes verursachte Art der Verfärbung der braunen — 8 schliessen 6) Für diese Annahme spricht auch, “dus mt ds 12 cun (0,53 M.) langen, 6 Werschok (0,26 M.) bre im Comptoire Dudinka, einige hundert Werst unterhalb Siet beñndlichen Stücke der Kopfhaut, welches der Juriak von dem von ihm ang lich an der Bucht des Tas 1864 باس بش انیب‎ nebst zeen ۳ etersburger emm dé Lage emische Zeitung Tib 4 Stosszahne, ESCH و2‎ Werschok (0,11 M.) lange, braun stehen sollen. (St. Pi vo vom 5. Februar 1865, € 36) Iti 107 Bulletin de l’Académie Impériale darf. Röthliche Wollhaare, von denen Adams spricht, | habe ich nicht auffinden können. Was die kürzern oder längern Steifhaare anlangt, so sind die noch auf dem Ohre, dann auf einer Stelle der rechten Wange, sowie auf der Körperhaut befindlichen ohne Ausnahme dunkelschwarz, nur gegen die Spitzen hin schimmern manche ein Lsap م1۳‎ Die auf der Kopfhaut und Nacl t ltheile der dicken (theilweis der Mähne?) angehörigen Steifhaare finde ich ebenfalls dunkelschwarz. An der Endhälfte können sie freilich rothbraun gewesen sein, wie Tilesius an- giebt. Leider besitzen wir nur von sehr langen Haa- ren, die dem Halse oder dem Nacken angehórt zu ha- ben scheinen, zwei Bünde] von rostbrauner Farbe, die ein solches Ansehen haben, dass dieselben zur Kate- gorie derjenigen Haare gehórt haben kónnen, die schon einige Jahre von der Leiche getrennt waren und theil- weis vom Boden aufgelesen wurden oder an den schon einige Jahre dem Lichte ausgesetzten Stellen dersel- ben verblichen waren. Indessen kónnen freilich auch die langen Haare stellenweis braun bis rostbraun, ja selbst rostroth, statt dunkelschwarz, gewesen sein. Die Zukunft, vielleicht schon das angeblich neu entdeckte Mammuth, wird diesen Zweifel lösen. Für jetzt können wir demnach die durch das überwiegende Wollhaar be- wirkte Grundfarbe des Mammuth als eine schwärzlich- braune, aber durch die Steifhaare als dunkelschwarz (theilweis vielleicht selbst auch rostbraun oder gar rostroth (?) nach Maassgabe der wohl nicht ganz aus der Luft gegriffenen Boltunoffschen Zeichnung und unserer längst teannehmen und die Haare des obern und seitlichen Ohrrandes als vor- waltend dunkelschwarz bezeichnen. Die namhaftesten anatomischen Kennzeichen zur Unterscheidung des Mammuth liefert der Bau des Schä- dels. Mehrere dieser Kennzeichen, wie der die leben- den Elephanten an Länge übertreffende Schädel, na- mentlich die grössere Länge seines Zwischenkiefer- theils, die schmale Grube zwischen den sehr weiten, viel längern Alveolen zum Ansatz der Rüsselmuskeln, der viel gewölbtere mit abgestumpfter Spitze verse- hene Unterkiefer, die mehr oder weniger spiralen, enormen Hauer, die durch zahlreichere Lamellen und ihre Stellung abweichenden Backenzühne sind bereits allgemein als solche anerkannt. Es lassen sich indes- genauer feststellen, theils durch viele neue Kennzei- chen vermehren. Ich erlaube mir daher nachstehend sowohl die bereits bekannten, als auch von mir neu aufgefundenen, zwischen ihm und den lebenden, na- mentlich dem asiatischen Elephanten bemerkbaren Un- terschiede zusammenzustellen. Der Schädel des Mammuth erscheint weit massi- ger und länger als der der lebenden Elephanten: Sein Oberkiefertheil (namentlich der von den Zwi- schenkiefern gebildete) ist im Vergleich zum eigent- lichen Schädel, nach Maassgabe der enormen Hauer, länger als der Längendurchmesser des übrigen Schä- dels, viel länger, aber in der Mitte schmäler als bei den lebenden Elephanten. Der eigentliche Hirntheil des Schädels neigt sich übrigens noch weiter nach hinten als beim asiatischen Elephanten und tritt hin- ten stärker über den Condylen vor. Der breitere Hin- terkopf bildet oben an den Seiten eine geringere Wöl- bung und ist daher oben weniger tief ausgeschweift. Das breitere Hinterhaupt bietet hinten jederseits eine sehr breite, ziemlich flache Grube zur Insertion der überaus kräftigen, breiten Nackenmuskeln. Die brei- tern Schläfengruben neigen sich stärker nach hinten, ‘sind aber überdies auch auf der Oberseite des Sehid dels einander etwas mehr genähert. Die hintere Stirn und Scheitelgegend erscheinen etwas stärker vertieft. Die Stirn bietet zwischen dem von massigern, an bei: den Enden stark höckerartigen Augenbrauenbögen be: grenzten Augenhöhlen eine grössere Breite. Der vordere Augenbrauenhöcker (Thränenbeinhöcker) ist am Ende gewöhnlich zweilappig. Auch die halbmondfórmige Na- senöffnung dehnt sich mehr in die Breite aus. Die we: niger horizontalen Jochbögen steigen etwas schief von unten nach oben. Die langen, mit enormen Alveolen für die Hauer versehenen Zwischenkiefer sind in der Mitte ihrer äussern Fläche stark ausgeschweift und daher dort schmäler, treten aber mit ihren erweiter- ten vordern Enden stark nach aussen etwas winklig vor. Die sehr weiten, anfangs stark mit der Convexi- tät nach innen gebogenen, aussen concaven, dann mit: ihrem vordern Theile nach aussen gekrümmten , un-: gemein stark gewólbten, sehr weiten Hauer-Alveolen derselben liegen einander mit den obern Innenflächen so nahe, dass sie sogar mittelst derselben unten: spitz winklig convergiren und auf der Oberseite des Schä- sen die bereits bekannten Unterschiede theils noch dels eine längliche, aber sehr langgezogene, unten des Sciences de Saint- Pétersbourg. dreieckige, schmale, gleich tiefe, uur vorn etwas erwei- terte Grube für die Insertion der obern Rüsselmuskeln zwischen sich lassen. Die mehr oder weniger, nicht selten ziemlich stark spiralen, massigen Hauer sind anfangs, wie die Alveolen nach innen gebogen, innen convex, aussen concav; sie divergiren, nachdem sie bei ihrem Austritt noch einen spitzen Winkel gebil- det, stark nach aussen, krümmen sich dann, nachdem sie sich noch stärker nach aussen gewendet, gleichzei- tig nach oben, während sie sich mit ihrem Endtheil, oder wenigstens mit ihrer Spitze, nach hinten richten. — Die meist in der Mitte breitern, an der Aussen- und Innenfläche meist stärker gekrümmten, und daher sehr convexen, wie schon oben bemerkt, besonders bei den ausgewachsenen Individuen, aus einer grössern Zahl von schmälern Platten, als bei den noch lebenden Ele- phantenarten, gebildeten Backenzähne, stehen meist senkrechter und besonders vorn paralleler. Der vor- derste Theil derselben liegt übrigens dem hintersten (basalen) Drittel der Hauer-Alveolen gegenüber. — Die sehr gewölbten Äste des dickern, stärker bogen- förmigen Unterkiefers bieten an ihrer sehr convexen Symphyse einen breiten, ovalen, stark bogenförmigen, mit niedrigen, stumpfen Seitenründern versehenen, centralen, fast hufeisenfórmigen Ausschnitt, unter dem ein mehr oder weniger dicker, an den Seiten bogig eingedrückter, am Ende angeschwollener, wm haken- förmiger Fortsatz hervorragt. In Bezug auf die Knochen, welche das Skelet des Halses, Rumpfes und der Glieder bilden, geht schon aus den. Beinerkungen "ti Dieter adt dass die tan KÄ ammnth kräftiger, dicker und theilweis breiter erscheinen. Den Halstheil der Wirbelsäule, dessen vorderstes Ende etwas unter dem nach hinten geneigten Hinter- haupte liegt, finde ich dem des asiatischen Elephan- ten zwar im Ganzen ähnlich, jedoch bietet er auch einige Unterschiede. Der Atlas erscheint grösser, be- sitzt namentlich einen kräftigern Körper. Der Epi- stropheus ist zwar ebenfalls grösser, sein Körper er- scheint jedoch kürzer. Die übrigen Halswirbel bée- sitzen, sonderbär genug, kürzere Körper und weniger entwickelte dm e als beim ی‎ e Elephanten. : بو‎ Die kráftigern میتی‎ bieten meist stärker gerundete Körper, so dass nur die vordern mässig, die | hintern dagegen gerundet und nur unmerklich zusam- mengedrückt erscheinen. Die Dornfortsätze der vor- dersten Rückenwirbel sind kräftiger, namentlich dicker, was auf ein kräftigeres Nackenband und stark ent- wickelte vordere Rückenmuskeln schliessen lässt. Die Dornfortsätze der Lendenwirbel bieten dagegen eine geringere Länge, so dass man wohl annehmen darf, der Widerrist sei beim Mammuth höher als beim asia- tischen Elephanten und vom niedrigern Hinterrücken stärker abgesetzt gewesen. — Aus der Zahl der Schwanzwirbel sind nur die acht vordersten vorhan- den, wie bereits oben bemerkt wurde. Sie ähneln de- nen des Elephanten, erscheinen aber etwas dicker. — Die Schulterblätter zeigen zwar den Typus der bei den lebenden Elephanten vorhandenen; nur finde ich sie etwas länger, am hintern obern Winkel kürzer, und am obern Rande weniger ausgeschweift. Die spina scapula nebst dem kurzen processus coracoideus sind dicker. Die fossa suprascapulata erscheint breiter, die infrascapulata zwar läuger, aber hinten und unten et- was schmäler. Der hintere Fortsatz der Schultergräte ist ansehnlicher. — An den breitern nnd in allen Thei- len dickern Oberarmen sind die vordern, über den Con- dylen befindlichen Gruben flacher und breiter und alle Leisten stumpfer und dicker, alle Höcker aber stär- ker angeschwollen. — Die Ulna, wie der Radius, er- scheinen gleichfalls nebst allen ihren Theilen breiter, massiger und dicker und mit breitern, aber weniger tiefen Gruben versehen. Die vordere Grube der Una zeigt übrigens längliche Muskeleindrücke. Ihr oben etwas schmälerer, besonders oben und innen dickerer, massiverer Ellenbogenhöcker besitzt eine mehr ge eckige Gestalt. — Das genaue Verhalten der andern Kno- chen desVorderfusses, da sie meist noch mitHaut bedeckt sind, habe ich nicht ermitteln können. Die Mittelhand und Zehenknochen sind, so viel ich bemerken konnte, auffallend breiter und dicker als beim asiatischen Ele- phanten. — Das Becken erscheint im Verhältnis fla- cher und, besonders vorn in der Schaambeingegend, breiter. Die Darmbeine stehen etwas weiter ausein- ander. Die Sitzbeine sind hinten und oben tiefer aus- gebuchtet, die Ausbuchtung selbst aber bietet in der Mitte einen Hocker. An den Seitenflächen der Sitz- ' | beine bemerkt man eine hintere und vordere Grube. Die vor dem innern, 'stärkern Ausschnitt der Gelenk- pfanne befindliche Grube ist tiefer. Die Schaambein- 111 Bulletin de l'Académie Impériale fuge tritt weniger vor. Die äussern Ecken der Schaam- beine zeigen eine gróssere Dicke. — Die kráftigen Oberschenkel erscheinen dicker und breiter, besonders | in der Mitte, während sie vorn ziemlich abgeplattet sind. Der Schenkelhals ist breiter und oben weniger ausgeschnitten, der Trochanter dicker, die hintere Grube über den Condylen flacher und breiter. — Die Unterschenkel bieten gleichfalls eine grössere Dicke und Breite. Die hintere Grube des Schienbeins ist fla- cher und breiter. — Das dickere Wadenbein (fibula) liegt dem Schienbein näher. — Die Mittelfuss- wie die Zehenknochen der Hinterfüsse sind, wie die homo- logen Theile der Vorderfüsse, breiter und dicker. Den vorstehenden Mittheilungen zu Folge würde demnach hinsichtlich des äussern Baues das Mammuth vorzugsweis durch seine plumpere Gestalt, seine (je- doch nicht sehr viel) bedeutendere Grösse, seinen län- gern Kopf, seine breitere Stirn, sehr kleine (0,265 M. lange), dicht behaarte, Ohren, spiralige, grössere Hauer, noch inniger als bei den lebenden Elephanten verbundene Zehen, so wie den dicht mit braunem Wollhaar und zerstreuten, aber reichlichen, am Halse längern, wie es scheint, eine Art Mähne bildenden, borstenähnlichen, dunkel schwarzen Haaren bedeck- ten Körper von den lebenden Te sich unter- schieden haben. Zur Lebensgeschichte des Mammuth, von J. F Brandt. (Lu le 8 mars 1866.) Im vorstehenden Aufsatze wurde das Mammuth (russisch Mamont ”) nach seinen äussern Kennzeichen und dem Baue seines Skelets im Vergleich mit den lebenden Elephanten, namentlich dem asiatischen ge- schildert. Es ergab sich dabei, dass dasselbe, wie auch schon frühere Naturforscher allgemein. annah- men, im Wesentlichen ein Elephant gewesen sei, der sich aber von den andern Elephanten durch gewisse, im vorstehenden Aufsatze genauer angegebene, so auf- fallende Kennzeichen unterschied, dass er, wenigstens nach dem jetzigen Maassstabe unserer Kenntnisse, für eineb dere Art (Elephas primigenius Blumenbach) anzusehen ist. -1) Das Wort Mammuth ist aus dem russischen Mamont entstan- den, welches wohl einer der Sprachen des finnischen Stammes sej- nen Ursprung verdankt, wie ich später in meiner Monographie näher. werde. erörtern Wir werden demnach nicht fehlgreifen, wenn wir dem Mammuth im Wesentlichen die Lebensweise der Elephanten vindieiren. Für seine auch den andern Elephanten zukommende Geselligkeit spricht das häu- fige Vorkommen seiner Reste an ein und ‚denselben Orten. Dass es die Nähe der Gewässer, wie die Ele- phanten, geliebt habe, dürfen wir daraus schliessen; dass seine Reste, darunter iin Hochnorden Asiens selbst ganze Leichen, häufig an Ufern von Flüssen oder von andern Gewässern gefunden und von ihnen losge: spült wurden. Die Ufer der Gewässer wählte es, wie die Elephanten, aus leicht erklärlichen Gründen zum Auf- enthalt. Dieselben lieferten ihm nämlich nicht nur die gehörige Menge Wasser zum Trinken und Baden, son- dern boten gleichzeitig eine üppigere Vegetation. Die Letztere bestand indessen, nach Maassgabe der clima- tischen Verhültnisse seiner Wohnorte, keineswegs, wie die der in tropischen, oder wenigstens subtropischen Gegenden gegenwärtig lebenden Elephanten, aus tro- pischen oder subtropischen Vegetabilien, sondern-aus Pflanzen des Nordens oder der gemässigten Himmels- striche. Wie die diluvialen und alluvialen F undorte sei- ner Reste in nórdlichen und mittlern Breiten, so wie seine dichte, zur Ertragung kälterer Temperaturen geeignete Haardecke und die mit ihm gleichzeitig in denselben Ländern vorhanden gewesenen, noch jetzt lebenden Thiere, wie die Edelhirsche, Renthiere; Wild- schweine u. s. w. zeigen, war nämlich das Mammuth '|kein tropisches Thier. Man darf übrigens wohl der Ansicht sein, da, wie man behauptet, der Magenin- halt einer in Nordamerika gefundenen Leiche eines den Elephanten nahe verwandten, ebenfalls bereits ausge- storbenen Thieres (eines Mastodon); aus Resten einer dort noch vorhand Tannenart besta nd, da ferner der Verfasser dieses Aufsatzes in den Höhlen der Backen- zähne des steten Begleiters des Mammuth in ver. schiedenen Ländern, des büschelhaarigen Nashorns (Rhinoceros tichorhinus), Reste von Zapfenbäumen be- merkte, da endlich, wie mein College, Prof. Mercklin, am hiesigen Orte sah, ein asiatischer Elephant die ihm vom Publicum gebotenen Tannenzweige mit Ap- petit verzehrte, dass die Mammuthe gleichfalls, wenig- stens zum Theil, vielleicht selbst grösstentheils, von Zapfenbäumen sich genährt haben möchten. Es ist je- "A — eine ich eme noch durch di- g und die Pflanzen spe- des Sciences de Saint- Pétersbourg. ciell auszumitteln, wovon sich das Mammuth ernährte, dà aus solchen Beobachtungen auch Folgerungen in Be- zug auf die frühern climatischen und vegetativen Ver- hältnisse der Gegenden zu ziehen sind, in welchen, wenn auch nur als Wanderer, wie die Rennthiere, die Mammuthe leben konnten oder wirklich lebten. Von der frühern Meinung, dass nach Maassgabe der Elephanten der Jetztwelt, die Mammuthe nicht im Nor- den, sondern im Süden gelebt hätten, so dass ihre Reste von dorther durch die Flüsse nach Norden gebracht worden seien, ist man gegenwärtig zwar meist zurück- gekommen, indessen erscheint es doch wünschens- werth, selbst für die Ansicht, dass die Mammuthe zu den Thieren der mittlern und nórdlichen Breiten ge- hórten, noch mehr Stützpunkte zu finden. Nament- lich wáre es erforderlich, nüher auszumitteln, wie weit sie sich unter frühern, vermuthlich andern climati- schen Verhältnissen im Norden Asiens polwärts ver- breiten konnten oder verbreiteten, da man ihre Reste gerade dort, namentlich im ganzen Norden Sibiriens, selbst auf den dem Nordsaume desselben benachbar- ten Inseln, in grosser Menge angetroffen hat, wo sie jetzt keine gehörige Nahrung fänden. Eine beson- dere Wichtigkeit werden daher die im Norden Sibi- riens aufzufindenden Leichen von Mammuthen bieten, die im dortigen stets gefrorenen Boden (nicht im rei- nen Eise) stecken und durch Gewässer oder Erdfälle an Orten zu Tage treten, wo gegenwärtig Mammuthe nicht mehr leben könnten, wie an den untern Stromge- bieten des Ob, des Jenisei, der Lena und anderer gros- ser Flüsse Sibiriens. Sie werden aber, wenn man das Glück hat, sie wohl erhalten anzutreffen, nicht bloss hinsichtlich des Inhalts ihres Magens und Darmes für die oben berührte Ansicht belangreich sein, sondern auch einerseits zur Kenntniss des innern anatomischen Baues, namentlich der gänzlich unbekannten Weich- | ® theile des Mammuth, beitragen, andererseits durch die aufrechte oder liegende Stellung, welche seine Leichen im gefrornen Boden einnehmen, den sichern Beweis liefern können, ob das Thier nach Maassgabe der erst- genannten Stellung sich lebend am Fundorte seiner Leiche befand; oder ob die Leiche, wenn ihre Lage eine liegende ist, entweder durch Wasser oder ein anderes Ereigniss (einen Erdsturz) an ihren Fundort gebracht sein konnte. Fälle von in aufrechter Stellung gefun- denen Mammuthleichen sind mehrere bekannt und von Tome X mir bereits in einem an Hrn. v. Humboldt gerichte- ten Sendschreiben (Bericht à. d. 2. Bekanntmachung geeigneten Abhandl. der Königl. Preuss. Akad. d. Wis- sensch. a. d. Jahre 1846, S. 224 ff.) aufgeführt. Sie waren es, die in Verbindung mit der Ansicht, dass wohlerhaltene, mit unverletzter Haut und festsitzen- den Haaren versehene Leichen nicht geschwemmt sein könnten, mich bereits a. a. O. veranlassten die An- sicht auszusprechen, die wohl erhaltenen Mammuth- leichen seien an ihrem Fundorte selbst (den Fluss- ufern) im Schlamme versunken?), dann aber noch mehr von den Flüssen mit Schlamm bedeckt worden, worauf sie sehr bald darnach einfroren, was natürlich nur im Herbst, und in Folge eines bald eingetretenen anhal- tenden Frostes geschehen konnte. Ein harter darauf folgender Winter that das Übrige, während der kalte Schlamm, womit sie im nächsten Frühling und im weitern Verlaufe der Zeit bedeckt wurden, sie gegen das Aufthauen schützte?). Später auf meine Veranlas- sung von Seiten der Akademie aus Ostsibirien einge- zogene Nachrichten enthalten unter andern den Satz: dass die Leichen der Mammuthe stets in aufrechter Stellung in gefrornem Boden gefunden worden seien. Sie sprechen also für meine Theorie der Entstehung der im gefrornen Boden steckenden, noch wohl erhal- tenen, nicht geschwemmten (liegenden) Mammuthlei- chen, woraus zu folgern ist, dass die Mammuthe, de- ren Leiéhén nicht transportirt wurden, sondern intact seit dem Tode der Thiere, denen sie angehörten, noch 2) Merkwürdig gerne soll in Sibirien eine Sage herrschen, die Mammuthe lebten chlamme, worin sie versänken und stürben (Isbrand Ides Gesandischaftsreioe ee China, Cap. À u. 30). eine Sage, die auf meine Theorie hindeuten Osw. Heer in seiner ريطب ويب‎ Urwelt der Schweis meint (S. 545): «Die in Sibirien mit Haut und Haar bis auf unsere Tage erhaltenen, in Eis eingefnprenen Mammuthe seien vielleicht auf dem Eis verunglückt, in Gletscherspalten gefallen und in sem uralten Eiskeller durch alle Jahrtausende aufbewahrt worden», Nach Maassgabe der geologischen Verhältnisse der Schweiz er- scheint eine solche Ansicht plausibel, auch fand sie vielleicht vor Jahrtausenden dort Anwendung, ‚obgleich die speciellen J Nachweise fehlen und man sich schwer vorzustellen vermag, dass die Mam- muthe die Gletscher betraten. Für Sibi indessen die Theo- rie des berühmten Züricher Naturforschers keineswegs gelten. Dort wurden die wohl erhaltenen Mammuthe nicht in reinem Eise, son- Noch niemal‏ ببس Fels- oder Eisspalten. مومسم‎ an ihren cries Fund- orten weder früher , auch, gegenwärtig vorhandene Gletscher bis jetzt nachgewiesen. : 115 Bulletin de l'Académie Impériale in ihrer normalen Lage (d. h. in aufrechter Stellung) sich befinden, an ihrem Fundorte lebten. Da nun aber gerade die intacten Leichen in so nórdlichen, gegen- wärtig so vegetationsarmen, öden Gegenden vorkom- men, wo so grosse Thiere, wie die Mammuthe, heut zu Tage weder die gehörige Menge, noch die für sie geeignete Nahrung finden künnten, so darf man wohl daran denken, dass. das Klima des hohen Nordens von Sibirien früher ein anderes, namentlich ein solches gewesen sein dürfte, welches eine reichlichere Vege- tation, namentlich eine weit grössere Ausdehnung der Wälder nach Norden, gestattete. Das frühere Vorhan- densein einer selbst nur der der südlichern gemässig- ten Zone entsprechenden Temperatur zur Zeit des Ein- frierens der von lebenden Individuen herrührenden Mammuthleichen darf indessen deshalb nicht angenom- men werden, da die Mammuthe sonst nicht hätten ein- frieren und gefroren bleiben können. — Was die liegend gefundenen Leichen anlangt, so werden sie als solche zu betrachten sein, welche entweder aus ihrem natür- lichen Fundorte durch Erdstürze (wie namentlich selbst das von Adams beobachtete) oder Unterwaschungen losgerissen oder durch Fluthen eine sehr kurze Strecke iransportirt wurden. Skelete oder Knochen von Mam- muthen oder stark beschädigte, in liegender Stellung gesehene Leichen oder Reste derselben, wie das von Middendorff (Reise) gefundene, von erdigen Resten der Weichtheile (Mulm) umgebene Skelet, können al- lerdings mehr oder weniger weit geschwemmt sein. Die Mammuthe scheinen früher ursprünglich in Nordasien zu Hause gewesen zu sein, wo auch, wie bemerkt, ihre meisten und am besten conservirten Reste vorkommen, ja in solcher Menge sich finden, dass die Stosszähne des Mammuth seit weit mehr als hundert Jahren einen bedeptenden Theil des im Han- del vorkommenden Elfenbeins ausmachen. Aus Asien scheinen die Mammuthe zur Zeit, als der Norden die- ses Welttheiles kälter wurde und in Europa (wohl in Folge der eingetretenen Eisperiode seines Nordens) die für südliche Breiten passenden Anoplotherien, Palaeo- therien, Affen u. s. w. ausgestorben waren, nach We- sten allmählich vorgedrungen zu sein und sich über Russland, Polen und Deutschland bis England, Frank- reich und die Schweiz, ja selbst bis Oberitalien, nach Maassgabe ihrer Reste, verbreitet zu haben, so dass es eine lange Zeit gab, während der die Verbreitung der Mammuthe von Nordasien bis in die genannten Länder sich erstreckte. Dass man Reste der Mam- muthe in alluvialen und diluvialen Schichten Europas und Sibiriens antrifft, ist zwar bekannt, dessenunge- achtet werden neue Funde von Mammuthleichen man- che wünschenswerthe Ergánzungen in Bezug auf die sie umgebenden Erdarten bieten. Auch die in der Nähe ihres Fundortes oder in denselben Erdschichten mit den Mammuthleichen vorhandenen, vegetabilischen Reste versprechen noch manche Aufklärungen nicht nur für die nähere Bestimmung der Nahrungsstoffe des Mammuth, sondern auch für die Flora der Vorzeit. Wann die Mammuthe ausstarben, lässt sich histo- risch nicht nachweisen. Selbst die sibirischen Sagen, so weit wir sie kennen, berichten gewöhnlich nur von einem unter der Erde lebenden Mammuth und grün- den sich wohl auf Funde von Mammuthleichen. Eine von Bell (Travels T. II. p. 145) mitgetheilte Sage spricht freilich von zwar lebenden, aber nur in der Morgendämmerung sichtbaren Mammuthen, Noch eine, die Erman (Reise Abth. I. Bd. I. S. 711) nach Aus- sage der Jukagiren anführt, deutet darauf hin, dass die Vorfahren dieses Volkes mit grossen Thieren (wor- unter wohl Mammuthe und Nashórner zu verstehen sind), die aber irrthümlich als riesige Vógel von ihnen bezeichnet wurden ‘), um den Besitz des Landes ge- stritten hätten. In den bekannten ältesten chinesi- schen Schriftstellern sind Sagen von unter, nicht aber über der Erde lebenden Mammuthen vorhanden. Die ganze griechische und römische Literatur kennt durch: aus keine europüische oder nordasiatische behaarte Elephanten. Dass der Odontotyrannus der alten Grie- chen kein. Mammuth gewesen sei, habe ich umstünd- lich nachgewiesen (Bullet. sc. 3"* ser. T. III. p. 335). In Frankreich (im Perigord) hat indessen Hr. von Vibraye auf einem fossilen Geweihstücke eines Renn- thiers die Darstellung eines Kopfes, und Hr. Lartet auf einer fossilen Elfenbeinplatte die nicht ganz voll- ständige Figur eines Elephanten gefunden, die beide auf das Mammuth sich beziehen und auf das dortige frühere Vorhandensein eines alten, mit steinernen Waf- fen und Gerüthen versehenen V olkes hinzuweisen schei- nen, welches die Mammuthe nicht nur kannte, sondern 4) Die Oberschädel der fossilen Nashörner (Rhinoceros tichorhi- nus) deuten sie nämlich als Köpfe, die Hörner derselben aber als Krallen des fraglichen Riesenvogels. Bullet. de l'Acad. Imp. d. sc. T.X. Brandt. Mammuth. ELEPHAS primigenius Blumenb. CRIT a ۷ + LE 127 des Sciences de Saint-Pétersbourg. sogar darstellte und vermuthlich jagte. Was dies für ein Volk gewesen sei, ist jedoch gänzlich unbekannt. Mög- licherweise gehörte es zum iberischen oder ligurischen Stamme, die beide noch vor den Celten in Frankreich lebten. Überhaupt waren die Mammuthe mit den büschel- haarigen Nashórnern (Rhinoceros tichorhimus) diejeni- gen Glieder der grossen europäisch-asiatischen Thier- welt, welche zuerst, noch vor dem Riesenhirsch (Cer- vus megaceros) und dem Stammvater unseres gezühm- ten Rindes (Bos primigenius) verschwanden, ja zum Theil wenigstens vom Menschen vertilgt wurden, dem sie eine reichliche Quelle von Nahrung verschafften. Ob die Mammuthe früher in Europa oder Asien unter- gingen, lüsst sich wenigstens zur Zeit nicht einmal andeuten. Dass die Vertilgung der Mammuthe, wie die der Dronte, der Steller'schen Seekuh, des grossen Alk u. 8. W., durch Menschen bewirkt worden sei, scheint auf den ersten Blick nicht recht glaublich, namentlich wenn sie mittelst Feuersteinwaffen hätte geschehen sollen, da die Mammuthe in Frankreich zu einer Zeit untergegangen zu sein scheinen, als die dortigen alten Bewohner noch keine Metallwaffen kannten. Bedenken wir indessen, dass man nicht bloss in der Gegenwart in Ostindien und auf Ceylon, sondern auch in Afrika, im Lande der Hottentotten, Elephanten in Gruben fängt, dass man ferner im alten Päonien, wie auch im alten Germanien, die wilden Ochsen in Gruben fing, so könnten auch sehr wohl die alten Bewohner Galliens u. s. w. sich möglicherweise dieser Methode zum Fang der Mammuthe bedient haben. Anhang Nachdem bereits die Correctur der beiden vorste- henden Aufsütze vollendet und die von mir componirte Tafel, welche das Mammuth darstellt, schon. fertig abgedruckt war, erhielt ich durch eine Abhandlung, welche Hr, Schtschukin für das von Hrn. Michai- _ low herausgegebene Journal Naturalist (Harypaauers) eingereicht hat, eine Nachricht über dasjenige Mam- muth, dem der Fuss angehörte, welchen, wie oben bemerkt wurde, Hr. Magister Schmidt in Irkutsk sah. Zu Folge einer mündlichen Mittheilung, welche der damals in Irkutsk lebende, jetzige Erzbischof von Jaroslaw (Nil) Hrn. Schtschukin machte, wurde das- selbe von einem Geistlichen gefunden, der dem ge- nannten hohen geistlichen Würdenträger darüber be- richtete und ihm gleichzeitig einen Fuss des Thiers nach Irkutsk einsandte. Die Mammuthleiche lag un- ter einer dicken Erdschicht an einem Flusse und war vom Ufer desselben durch Wasser losgespült worden, so dass ein Theil des Ufers nebst dem Mammuth her- unterstürzte. Die fragliche Mammuthleiche zeigte vom Halse bis zum Schwanze eine rothbraune Mähne, deren Haare sehr dick und barsch waren und bis zu den Knieen derselben herabhingen. Die den Kopf be- deckenden Haare hatten eine braune Farbe, eine Länge von zwei Werschock (— 98 Millim.) und fühlten sich weich an. Der Gegenwart eines Rüssels geschah kei- ner Erwühnung. Die zwischen den Zühnen gefundenen Futterreste sollen aus Baumtheilen bestanden haben. — Auch in Jakutsk hörte Schtschukin, dass das Mam- muth eine lange Mähne besitze. — Betrachte ich unter Zuziehung der eben gemachten Mittheilungen die von mir gelieferte Figur des Mammuth, so wäre an der- selben die Mähne, besonders auf dem Halse und Rük- ken, als länger zu denken und müsste nach unten bis zu den Knieen reichen. Ebenso würde ihr keine schwarze, sondern eine rothbraune Farbe zukommen. Einwirkung der Alkohole auf Dreifachchlorphos- phor, von Nikolaus Menschutkin. (Lu le 8 mars 1866.) Die phosphorige Säure ist bis jetzt die einzige an- organische Säure, bei welcher man die Atomigkeit von der Basicität unterscheiden muss. In dieser Be- ziehung ist sie der Milchsäure ähnlich, wodurch die Vermuthung rege wird, dass beide gleichwerthige Wasserstoffatome enthalte möchten. Indessen liessen schon die bekannten Thatsachen eine solche Bezie- hung bezweifeln. Um mir hierüber Gewissheit zu ver- schaffen, habe ich, in Anschluss an meine früheren Arbeiten, im Liese des Hrn. Prof. Kolbe zu Marburg, folgende Versuche ausgeführt. . Die unterphosphorige Säure steht zu der phospho- rigen in dem nämlichen arithmetischen Verhältnis, wie die Propionsäure zur Milchsáure. Wäre nun in der phosphorigen Süure der alkoholische Wasserstoff- atom vorbanden, so sollte man durch. " nämlichen Bulletin de l'Académie Impériale LS Reactionen, welche den Übergang von der Milchsäure zur Propionsäure gestatten, von der phosphorigen Säure zur unterphosphorigen, oder vielleicht einer ihr isomeren zweibasischen Säure, gelangen. Die nachste- henden Versuche sind in dieser Richtung ausgeführt. Aethylphosphorigsáurechlorür. Wird in einer Retorte mit aufrecht gestelltem Küh- ler Dreifachchlorphosphor mit einem Äquivalenten wasserfreien Alkohols vermischt, so erfolgt eine áus- serst heftige Reaction, und Ströme von Chlorwasser- stoff entweichen. Es ist rathsam, die Retorte abzu- kühlen und den wasserfreien Alkohol tropfenweise, unter häufigem Schütteln, hinzuzufügen. Zuletzt er- würmt man die Retorte im Wasserbade, um die Salz- säure. zu verjagen, und unterwirft hierauf die Flüssig- keit der Destillation, wobei die Gesammtmenge der- selben zwischen 90 — 125? übergeht. Gegen Ende der Destillation scheidet sich unter starkem Aufblähen der Masse ziemlich viel Phosphor ab. Durch Fractio- niren bekommt man einen flüssigen Kórper, der ziem- lich constant bei 117 — 118^ siedet; bei jeder De- stillation wird indessen ein unbedeutender Theil zer- setzt, indem sich Phosphor abscheidet und Salzsüure entweicht. Das so erhaltene Product ist Äthylphos- phorigsáurechlorür. Es gab bei der Analyse folgende Zahlen: I. 0,427. gaben beim Verbrennen 0,251 Kohlen- süure und 0,136 Wasser — 16,03 Kohlenstoff und 3,53 Wasserstoff. . II. 0,2585 gr. (von der zweiten Darstellung) gaben 0,156 Kohlensäure und 0,081 Wasser — 16,45 Kohlenstoff und 3,48 Wasserstoff. III. 0,4065 gr. gaben mit ‚Salpetersäure im zuge- schmolzenen Rohr zersetzt 0,799 Chlorsilber nnd 0,003 metallisches Silber — 48,86 Chlor. IV. 0,485 gr. gaben im zugeschmolzenen Rohr mit Salpetersáure oxydirt 0,380 pyrophosphorsaure Magnesia — 21,87. Berechnet. DC M» II. E 0.24......16,39 7-1 116/08: 116,450 08. 30s Hen Ba 3,40 8:5 2-1 SJA ah اه‎ CL.....:71..:..48,29 rotin ABOUT dos malus. 21.09 + MAO 0........16......10,91 eS a ER الل‎ 147....100,00 Die Formel PC,H,OCI, findet auch in der Dampi- dichte Bestätigung. Gewicht des Ballons mit Luft . .... — 47,855 gr. » » » ». Dampf...1 48,817 gr. Temperatur beim Wiegen. ....... ==" 16" 58 » » . Zuschmelzen .... — 171? Capacität des Ballons .......... —321 Ce; Zurückgebliebene باب ..... ...انا‎ Ae? Barometerstand.; 4 ah «25 Hans. bre = 753 Mm. Aus diesen Zahlen berechnet sich die Dampfdichte zu 5,339, während die Theorie 5,093 verlangt. Die Darmpfdichte wurde durch einen unbedeutenden Phos: phorrückstand zu hoch gefunden. Das Äthylphosphorigsäurechlorür ist eine wasser: helle, ziemlich stark lichtbreehende Flüssigkeit, die unter unbedeutender Zersetzung constant bei 117 bis 118? siedet. Sie ist schwerer als Wasser. Sein spe- cifisches Gewicht wurde bei 0° — 1,316 gefunden. Von Wasser wird es leicht zersetzt und raucht des- halb an der Luft. Sein Geruch ist dem des Dreifach- chlorphosphors وین‎ ähnlich. Y 1 DI Die Bildung des Äthylphosphoı durch folgende Gleichung ausgedrückt: PCI, + C,H,0 — PC,H, OCL + HCl. In der Wirklichkeit ist indessen die Reaction: lange nicht so einfach. Ausser Salzsäure bildet sich auch Chloräthyl und gegen Ende der ersten Destillation - wird unter Aufblähen der Masse beträchtlich ‘viel Phosphor abgeschieden. Immerhin bekam ich bei al- len Operationen zwischen 40 und 50 p.C. der theo- retischen Menge an Äthylphosphorigsänrechlorür. Ich habe zunächst die Einwirkung von Wasser auf diesen Körper untersucht. Beide wirken sehr lebhaft auf einander ein. Wird das Product auf dem Wasser- bade vom überschüssigen Wasser und von der Salzsäure befreit und zuletzt unter den Exsiceator über Schwefel- säure gebracht, so erhält man eine schneeweisse kry- stallinische Masse, welche reine phosphorige Säure ist. Auch durch sofortiges Neutralisiren der wässri- gen Lösung mit Baryt und nachheriges Eindampfen klarir AA ۸4 4خ‎ auf dem Wasserbade gelang es nicht, das Äthyl in der Verbindung zu behalten. 13 Salpetersäure wirkt sehr heftig oxydirend. Schon bei gewöhnlicher Temperatur sieht man die rothen Dämpfe sich. bilden; im tapete رد‎ ist p Oxydation vollständig. Ae B des Sciences de Saint- Pétersbourg. ET "SE Einwirkung von Brom. Brom wirkt äusserst leb- haft auf das Athylphosphorigsáurechlorür, weshalb man das Brom tropfenweise zusetzen und für gute Ab- kühlung sorgen muss. Jeder Tropfen Brom bringt ein Zischen hervor, und die rothe Farbe verschwindet au- genblicklich. Dabei bildet sich keine Spur von Bromwas- serstoffsäure. Nachdem man genau zwei Äquivalente Brom zugetröpfelt hat, so verschwindet bei weiterem Zusatz von Brom die Farbe desselben nicht mehr. Ein Überschuss an Brom lässt sich durch vorsichti- ges Zugiessen einiger Tropfen des Äthylphosphorig- säurechlorürs leicht ausgleichen. Durch Fractioniren kann man die Flüssigkeit sehr leicht in zwei Portio- nen, eine bei 40 — 50° und eine zweite bei 130 bis 140° siedende, trennen. Die erste Portion wurde mit Wasser vermischt. Es war kaum eine Reaction zu bemerken, die Flüs- sigkeit sank einfach zu Boden. Sie wurde abgehoben, getrocknet und destillirt. Der Siedepunkt blieb con- stant bei 40°. Dieser Siedepunkt, so wie der charak- teristische Geruch und die grün gesäumte Flamme beim Verbrennen liessen den Körper sogleich als Brom- äthyl erkennen und machten eine Analyse desselben | vollkommen überflüssig. Durch fraetionirte Destillation der zweiten Portion erhielt ich eine constant bei 135 — 137° siedende Verbindung. Die Analyse derselben hat Zahlen gege- ben, welche zur Formel POCI,Br führen. Der Körper ist also Phosphoroxychlorbromür. d? 1,3485 gr. gaben mit Wasser in einem zuge- ` schmolzenen Rohr zersetzt 0,761 pyrophosphor- saure Magnesia zl b qb 0, 809 gr. gaben mit Wasser in einem zuge- schmolzenen Rohr zersetzt 1,940 Chlor- und - „Bromsilber — 76,22 Chlor + Brom. 0,929 gr. ; von diesen haben bei der Behandlung mit, Chlor . „in einer Kugelröhre 0,0865 gr. an Gewicht ver- .. loren. 1,94 würden de 0,18063 gr. verlieren, 5 ‚entsprechend 0,7623 Bone — 40,09 Brom .. und 36,13 Chlor. pim Berschner. Gefunden, e P.......31.....15,66 1576 ی‎ CL... 71.385,85 36, Br.....80.....40 mu ds 40 Gen Oxia 168,09 198 100,00 Die Dampfdichte ergab folgendes Resultat: des Ballons mit Luft .. — 41,0825 gr.‏ و Damp 2 49 3255 gt.‏ » beim Wiegen... 6°‏ جیوه Gusseisen, 22,221* » » » » Capacitüt des Bellona «o ete Ex 303 Cc. Zurückgebliebene Luft . ...... — 0 Ce. Barometerstand.....:...... = 751 Mm, Die gefundene Dampfdichte ist — 7,52, während die theoretische 6,86 beträgt. Diese Differenz findet theils dadurch eine Erklärung, dass ein fester Rück- stand im Ballon blieb, theils auch dadurch, dass die Bestimmung der Capacität des Ballons ungenau wird, weil das Quecksilber auf die Verbindung einwirkt und als Chlor- und Bromquecksilber im Ballon zurück- bleibt; ferner, und am meisten dadurch, dass zu die- ser Bestimmung, wegen Mangels an reinem Material, die sämmtlich bis 145? siedenden Portionen genom- men werden müssten. Eine zweite Dampfdichtebe- stimmung mit der Portion 135 — 140? ausgeführt gab die Zahl 7,33, wobei, da die Flüssigkeitsmenge zur Ausführung des Versuchs nicht völlig reichte, 8 Ce. Luft im Ballon zurückblieben. . Gewicht des Ballons mit Luft..= 45,5345 gr. » » a » Dampf = 46,8065 gr. Temperatur beim Wiegen..... ET » » Zuschmelzen.. — 191°. Capacität d. Ballons. ....:...— 310 Oc.- Zurückgebliebene Luft ....... = "10.06 Barometerstand.......... = 748. Mil: Das Phosphoroxychlorbromür ist eine wasserhelle, sehr bald gelb werdende Flüssigkeit, die bei 135° bis 137° siedet und viel schwerer als Wasser. ist. Das specifische Gewicht beträgt bei 0° 2 ‚059. "Von Was- ser wird es sofort, wenn auch nicht sehr lebhaft, unter Bildung von Phosphorsänre zersetzt. . — Die Einwirkung von Brom auf das Aethyiphospho- rigsäurechlorür geht nach folgender Gleichung ¥ yor sich: PC,H,OCI, + Br, 0 „HBr POCLBr. Diese Zersetzung ist vollkommen. glatt, so dass von beiden Producten fast theoretische : Mengen erhalten werden. Ich vermuthe, dass auch bei einigen mehrbasi- ‚schen organischen Säuren diese Reaction, die als eine Oxydation zu betrachten ist, sich “bewerkstelligen | lässt, und behalte mir vor, sie experimentel zu prüfen. Bulletin de Académie ۰ 124 Jod scheint auf das Áthylphosphorigsüurechlorür in gleicher Weise einzuwirken. Es wird Jodäthyl ge- bildet, aber es ist mir nieht gelungen, die entspre- GH Phosph chlorjodverbindung zu gewinnen. i Sie! Diese Verbindung wurde gelegentlich einer Dar- stellung von Butylchlorür (aus zwei Äquivalenten Dreifachchlorphosphors und drei Äquivalenten Bu- tylalkohol) erhalten. Aus der Portion des Rohpro- ducts, welche über 130° siedete, wurde die Verbin- dung von 154 — 156° Siedetemperatur abgeschieden. Da indess der angewandte Butylalkohol sehr viel Amylalkohol enthielt, so wurde auch die Amylverbin- dung gebildet und dadurch das Fractioniren erschwert. Die Analyse zeigt, dass der Butylphosphorigsäurechlo- rür noch etwas der Amylverbindung beigemengt ent- hielt. Die kleine Menge des Materials liess weiteres Fractioniren nicht zu. I. 0,301 gr. gaben bei der Verbrennung 0,309 Slo و‎ und 0,152 Wasser — 27,99 Koh- lenstoff und 5,62 Wasserstoff. II. 0, 319 gr. gaben mit Kalk geglüht 0,5185 Chlor- silber und 0, 004 metallisches Silber — 40,62 - Chlor. Berechnet Gefunden I. II 6... 41.527,49 MOS s Lei 97. 5,14 5,62 — C,.....71.....40,57 — 1.140,62 P41.:812.17,71 — دم‎ IE PALA a — — 175 100,00 Das Butylphosphorigsäurechlorür ist eine wasser- klare Flüssigkeit, die bei 154 — 156° siedet. Das specifische Gewicht wurde bei 0° = 1,191 gefunden. Sein Geruch ist dem des Dreifachchlorphosphors und Chlorbutyls ähnlich. Vom Wasser wird der Körper augenblicklich zer- setzt in phosphorige Säure und Butylalkohol, den man sofort oben aufschwimmen sieht. .. Amylphosphorigsáurechlorür, Wie die vorhergehende Verbindung ist auch diese bei der Darstellung des Chloramyls aus Dreifachchlor- phosphor und Amylalkohol gewonnen. 400 gr. Amyl- alkohol gaben etwa 180 gr. Chloramyl und 40 gr. Amylphosphorigsáurechlorür. Aus der über 150? sie- denden Portion des Rohproducts wurde letzteres nach einiger Destillation als eine constant bei 173? sie- dende Flüssigkeit abgeschieden. I. 0,256 gr. gaben bei der Verbrennung gailen Kohlensäure und 0,1425 Wasser — 31,16 Koh- lenstoff und 6,18 Wasserstoff. II. 0,2385 gaben mit Kalk geglüht 0,3555 Chlor- silber und 0,0065 metallisches Silber — 37,76 Chlor. Berechnet i Gefunden GEET 81416: ۱۰ iade Meet POS 5.82- 6,18 eh او یط‎ 0 ech - Cl,.....71...:87,56 nie e (auda. Hizar 8,48 — س‎ 189 100,00 Das Amylphosphorigsäurechlorür ist eine wasser- helle Flüssigkeit, die bei 173° siedet und fast ohne Rückstand destillirt. Sie ist viel schwerer als Wasser, hat bei 0° ein specifisches Gewicht von 1,109. Ihr Geruch erinnert an den des CEET und des Chloramyls. : Auf Wasser wirkt das Amylphosphorigsäurechlorür ziemlich lebhaft ein, unter Bildung von Amylalkohol. Bei nachherigem Erhitzen im Wasserbad erfolgt voll- ständige Spaltung in Amylalkohol und phosphorige Säure. Mit Brom ist die Reaction äusserst stark. Die Producte sind wie bei dem Äthylphosphorigsäure- chlorür: Bromamyl und Phosphoroxychlorbromür, nur ist es schwer, beide zu trennen, da ihre Siedepunkte einander ZX nahe liegen. Es gelang mir nicht, zwei Atome Chlor im Dreifach- chlorphosphor durch Alkoholreste zu substituiren. Wenn man zwei Äquivalente Äthylalkohol mit einem Äquivalent Dreifachchlorphosphor zusammenbringt, so bekommt man fast ausschliesslich Phosphorigsäure- äther, der bei der Destillation grössten Theils zersetzt wird. ۱ Die Folgerungen, die man sowohl aus diesen Ver- suchen, als auch aus den früher bekannten Thatsa- chen machen kann, lassen sehr gut den chemischen des Sciences de Saint- Pétersbourg. Charakter des durch die Metalle nicht vertretbaren Wasserstoffatoms der phosphorigen Säure erkennen. «Die Salze der phosphorigen Säure sind denen der mehratomigen Säuren vollkommen analog. Es existi- ren nur Salze mit einem und zwei Atomen Metall. Das dritte Wasserstoffatom der phosphorigen Säure lässt sich auf gewöhnliche Weise nicht durch Metalle vertreten. Die physikalischen Eigenschaften der phos- phorigsauren Alkalien lassen die Behandlung mit Ka- lium oder Natrium nicht zu, wodurch man aus dem milchsauren Natron das Dinatriumlactat bekömmt, Die Gegenwart des alkoholischen Wasserstoffs in der Milchsäure macht die Existenz von zweierlei For- men neutraler Äther und die Isomerie der Äthylo- milchsäure mit dem monoäthylirten Äther möglich. Bei der phosphorigen Säure haben wir ebenfalls zwei- erlei neutrale Äther, die mit drei und die mit zwei Atomen Alkoholradicals. Die ersteren sind die von Railton ') entdeckten, P(C, HA O; Äthyläther und P(C,H,),0, Amyläther, welche die Fähigkeit des durch Metalle nicht vertretbaren Wasserstoffatoms, durch Alkoholradical ersetzt zu werden, auf’s Klarste zeigen. Von der zweiten Form kennt man zur Zeit nur die von Würtz °) dargestellte Verbindung P (C, H,,) HO, welche mit der diamylphosphorigen Säure isomer sein wird. Obgleich letztere noch nicht bekannt ist, so ha- ben wir doch eine ihr ganz analoge Verbindung, die einbasische diüthylphosphorige Säure Railton's. So sehr nun die Derivate der phosphorigen Säure in desen Punkten denen der Milchsäure ähneln, so stellen sich doch bei genauer Betrachtung des chemi- schen Verhaltens dieser Körper beträchtliche Diffe- renzen heraus. Während z. B. im Diäthyläther der Milchsäure die beiden Atome Äthyl ganz verschie- dene Functionen haben, da das eine von ihnen so leicht ausgeschieden Mini und die resultirende Äthy- lomilehsäure kaum den Charakter der Äthersäuren an sich trägt, weil sie sich so ungemein schwer in Alko- hol und Säure spalten lässt, scheint im Gegentheil durchaus keine Differenz zwischen den einzelnen Äthylatomen des Phosphorigsäureäthers statt zu fin- den. Ganz regelmässige Reactionen führen uns durch | die diäthylphosphorige und vermuthlich auch mono- äthylphosphorige Säure zur phosphorigen Säure. Fer- ^j Ann. d. سا‎ u. Pharm., T 92, p. 848. 2) Ibid. T, 48, p. 49, ner sind die letzteren Äthersäuren leicht in Alkohol und phosphorige Süure spaltbar und gleichen somit in dieser Beziehung den Äthersäuren der mehrbasi- schen Säuren. Das Chlorür der phosphorigen Sáure ist dem der Milchsäure auch nur der Formel und nicht dem che- mischen Verhalten nach ähnlich. Während die beiden Chloratome im Chlorlactyl (Chlorpropionsäurechlorid) sehr scharf unterschieden werden können, verhalten sich die drei Chloratome im Dreifachchlorphosphor den Reagentien gegenüber vollkommen gleich. Bei der Behandlung mit Wasser werden fie sümmtlich durch Wasserreste substituirt, was beim Chlorlaetyl nicht der Fall ist. Dieselbe Verschiedenheit herrscht auch zwischen dem Chlorpropionsäureäther und dem Äthyl- phosphorigsáurechlorür, in welchem letzteren die Chloratome ebenfalls durch Wasserreste substituirt werden können. Es sind also diesen Reactionen zu- folge das Dreifachchlorphosphor und das Áthylphos- phorigsüurechlorür den Chloriden der mehrbasischen Säuren zur Seite zu stellen. Der alkoholische Wasserstoff der Milchsäure kann bekanntlich durch Sáureradicalen substituirt werden; dass dieses auch bei der phosphorigen Säure der Fall ist, beweist die Existenz der kürzlich von mir be- schriebenen?) acetopyrophosphorigen Säure P, (0,H, 0) HO. > Diese Säure liefert ferner einen Beweis für die Nicht- gleichwerthigkeit der Wasserstoffatome in der phos- phorigen Säure. Das neutrale acetopyrophosphorsaure Kali P,(C,H,0)HK,0, vermag an Stelle des Wasser: stoffs kein Metall mehr aufzunehmen und zeigt, dass die acetopyrophosphorische Säure zweibasisch ist. Wä- ren nun die drei Wasserstoffatome in der phosphori- schen Säure gleichwerthig, so müsste die acetopyro- phosphorige Säure dreibasisch sein. Diese’ ng muss also von der zweibasischen pyrophosphorigen Säure P,H,0, abgeleitet werden und zeigt hiemit, dass das Acetyl das dureh die Metalle nieht. wertretbare Wasserstoffatom der phosphorigen Säure ersetzt. - Ich habe mich mehrmals bemüht, die acetophos- phorige Sáure darzustellen, allein ohne Erfolg. Nur bei der Einwirkung von خر‎ gant auf den Phos- 3) Comptes me uif ws: 2 Bulletin de l'Académie Impériale phorigsäureäther konnte man die Bildung der ent- sprechenden acetylirten Verbindung vermuthen, da sich hierbei sehr. viel Chloräthyl bildet und das Pro- duct, mit Schwefelsäure gekocht, sogleich den charak- teristischen Geruch nach Essigäther zeigt. Es ist mir jedoch nicht gelungen, den Körper rein zu bekommen. Die für die Existenz des alkoholischen Wasserstoffs in der Milchsäure so wichtige Reaction mit der Brom- wasserstoffsure, wobei Brompropionsäure entsteht, giebt bei Anwendung auf phosphorige Säure kein Re- sultat. Die Bromwasserstoffsäure wirkt ganz: und gar nicht darauf ein. ` Fassen wir die Analogien und Verschiedenheiten der beiden: Säuren nochmals kurz zusammen. In bei- den sind nicht alle basischen Wasserstoffatome gleich- werthig: das ungleichwerthige Wasserstoffatom kann in beiden Säuren. durch Alkoholradicale, durch Säure- radicale und. vermuthlich auch durch Alkalimetalle vertreten werden. Sobald aber diese Wasserstoffatome durch Elemente oder zusammengesetzte Gruppen er- setzt sind, sehen wir bei den Derivaten der Milch- süure und der phosphorigen Sáure entschiedene Ver- schiedenheiten. Die Phosphorigsäurederivate sind, wie wir gesehen haben, denen der mehrbasischen und nicht denen der mehratomigen ähnlich, woraus auf die mehr basische (metallische) Natur des durch Metalle nicht vertretbaren Wasserstoffatoms der phosphorigen Säu- re, verglichen mit dem Alkoholwasserstoff der Milch- süure, geschlossen werden kann. In der phosphorigen Säure haben wir somit nicht den eigentlichen Alko- holwasserstoff, sondern einen Wasserstoff, der, im Ver- gleich mit diesem, viel näher dem eigentlichen Metall- wasserstoff steht. Studien’im Gebiete der Thermophysiologie, von Prof. Dr. A. Walther in Kiew. (Lu le 14 dé- cembre 1865.) +; : (Mit 1 Tafel.) Die hier mitgetheilten Untersuchungen sind eine Fortsetzung der in Dubois und Reichert’s Archiv 1865, Heft 1 gedruckten. Wie jene auf Beobachtungen fussen, welche im Winter 1863 — 1864 gemacht wur-. den, so gründen sich diese auf die Arbeit des Winters 1864 — 1865. Sie sind ebenfalls in der Absicht unter- nommen, das Problem der Erhaltung der Eigenwärme des Thieres mittelst Würmeinanition zu studiren. Die von mir früher schon (Virchow's Archiv 1862, Co: gpemernan Mexmmma 1862, Reichert und Dubois's Archiv 1. c.) mitgetheilten Erfahrungen lassen es wün- schenswerth erscheinen, die damit gewonnenen neuen Thatsachen für die Erforschung dieses Abschnitts der Physiologie der thierischen Wärme zu verwerthen, welcher gegenwärtig, seit der allgemeinen Anerken- nung der Lehre Lavoisier’s von dem Ursprunge der thierischen Wärme, der wichtigste zu sein scheint. Durch welche Mittel bewirkt die Natur diese Regu- lirung der Wärmebilanz, und in welchen Grenzen ist | diese Regulirung thátig? Diese Frage scheint leichter löslich, wenn man den Wármeverlust in seiner Hand hat. Damit diese Wärmeentziehung einigermaassen messbar werde, muss man nicht verschiedene Thiere zur Beobachtung wählen, sondern wo möglich ein und dasselbe Thier. Ich wenigstens. kann nur damit zu- frieden sein, diesem Princip gefolgt zu sein: und nicht das Verfahren des Hrn. Jacoby (gegenwärtig Prof. in Kasan) angenommen zu haben, welcher seine Unter- suchungen an verschiedenen Thieren zu gleicher Zeit machte. Freilich hat Hr. Jacoby nur die Phänome- nologie der Abkühlung (er nennt das uneigentlich das Erfrieren, 3amepaanie) studirt, ohne, wie ich, die Ab- sicht gehabt zu haben, aus ihr den Mechanismus der Würmeregulirung zu erkennen (Mea. Bbcruuxs 1864). Ehe man aber zu quantitativen Untersuchungen der Wärmestatik übergehen kann, ist die bisher so uner- forschte Phänomenologie der Abkühlung noch genauer zu studiren. Dieses ist in gegenwärtiger Abhandlung geschehen. Sie umfasst: 1) Untersuchungen über den Einfluss der Schwankungen der Wärme des Thieres auf - das Herz, 2) Untersuchungen über die normale Abküh- lungscurve der Kaninchen. Meine Beobachtungen sind auch dieses Mal ausschliesslich an Kaninchen gemacht. Zu ersterer Untersuchung hat mich der schon in Reichert und Dubois’s Archiv 1865 ausgesprochene Satz bewogen, welcher seinerseits auf positiven Beob- achtungen fusst, dass je mehr das Thier einem todten ühnlich ist, desto langsamer es erkaltet. Diese Er- scheinung kann man zweierlei Gründen zuschreiben: 1) einer Veränderung der Wärmeemission, 2) der Ver- . langsamung der Saftbewegung. Es wurde darauf hin- gewiesen, dass ein Conglomerat von mehr oder we- niger abgeschlossenen, mit Flüssigkeiten gefüllten Ráu- men, als welches ein todtes Thier zu betrachten ist, des Sciences de Saint- Pétersbourg. die Wärme nur sehr langsam abgeben kann, was na- türlich sich sogleich ändert, sobald diese eingeschlos- senen Flüssigkeiten durch das Herz in Bewegung ge- setzt werden. Was die Emission der Wärme betrifft, so ist schon längst von den Physiologen darauf hinge- wiesen, dass die Kälte die Haut und die Capillaren zusammenzieht und dadurch den Unterschied zwischen dem abkühlenden Medium und der Wärme des Thie- res, also die Schnelligkeit der Abkühlung und ausser- dem die Verdunstungsflüche der in der Haut circuli- renden Flüssigkeit vermindert. "Die Emissionsfühigkeit der Haut zu untersuchen, fehlten mir bisher die Apparate, und deshalb habe ich diese Seite der Frage nicht berücksichtigt, was aber hoffentlich bald geschehen wird. Dagegen war mir die genauere Erforschung des Einflusses der Wärme aufs Herz zugänglich. Es han- delte sich zuerst darum, den Einfluss der Wärme- entziehung auf das ausgeschnittene Herz zu untersu- chen. Das konnte natürlich nur am Amphibien-Her- zen geschehen. Ich habe Frosch- und Schildkröten- herzen untersucht. Die genannten Amphibien -Herzen wurden in ein Glas gesetzt, welches mit Kork geschlossen war, so dass ein Thermometer mit seinem Gefäss sich im Glase befand und die Wärme der Luft im Glase zu messen gestattete. Der Rand des Korkes war eingeschnitten, so dass die Luft im Glase nicht abgesperrt war; das Glas wurde in Schnee oder in Kältemischung gesetzt und der Herzschlag mit gleichzeitiger Thermometer- beobachtung gezählt. Ich setze eine von diesen Beob- achtungen hierher. - 14. (26.) October. - De Herz N°1 hat in der Minute 32 Schläge. hirt d im En + 17? C. 16 Ate p » 15 » bidd A y » » » 13 » AN gisti T و و‎ O eie | » » 5.311310; ob aeo » » » 9 »‏ موی E ودب‎ Mis » » » 8» Zë: Ss d MP FEN _ » 7» ۰ m » » 8 6 » T 8. «bia p, 3 x ex 8 5» wéider Zeg tini ng ront Ach E ee sei au der Käteischung genommen. 13 » » » 7» | Tome X. / 14 Schläge. Wärme im Glase + 8°C. 1 6 » » » » 9 » 18 » » » » 10 » 20 » » nn 11 » 22 » » » » 12 » 24 » » » » 13 » 25 » » » » 14 » 28 » » P" | 15 » In derselben Zeit schlug das Herz N° 2, welches der Zimmertemperatur + 18? C. ausgesetzt war, 24 mal in der Minute. Die anfängliche Zahl der Herzschlüge variirte in anderen Versuchen; sonst blieben sich die Verhilt- nisse und Resultate gleich. Das Resultat aus diesen Versuchen ist also fol- gendes: 1) Bei allmählicher Wärmeentziehung nimmt die Zahl der Herzschläge ab bis zu etwa 8 Schlägen. Die Abnahme der Frequenz bildet eine anfangs steile, dann weniger schnell herabgehende Curve. Bei 8° wird die Curve eine gerade, der Abscisse parallele, und steigt dann noch viel steiler als früher in die Höhe. 2) Bei der Wiedererwärmung entspricht eine gegebene Wärme des Medii einer grössern Anzahl von Herzschlägen als bei der Erkältung. 3) Die Verlang- samung des Herzschlages geschieht auf Kosten der Herzpause, indem die Dauer der Contractionen wächst; Bei 8 Schlägen in der Minute gleicht die Contrac- tion des Herzens den Bewegungen eines Mollusks, wobei die Pause kaum wahrnehmbar ist. Es findet also, was ich in Berücksichtigung des Folgenden be- sonders zu urgiren für nöthig finde, zu keiner Zeit eine Zunahme der Herzfrequenz bei allmählicher Ab- nahme der Wärme im Glase statt. Die nun folgenden Wahrnehmungen am Herzen be- 'ziehen sich auf nicht ausgeschnittene Herzen. Ehe ich aber an die Beschreibung der Versuche gehe, muss ich einige Worte über ihre Methode und ihren Zweck sagen. Diese Versuche hatten zum Zweck, einen mög- lichst stricten Beweis für den Einfluss des Herzens auf die Würmeregulirung zu liefern. Dazu dienten vergleichende FRU AN À am Honn des Susliks und des Kaninchens. ` In einer frühern "Abhandlung. pu und Du- Bulletin de l'Académie Impériale | bois’s Archiv 1 e.) habe ich gesagt, dass die Wärme- emissionsthütigkeit des Susliks viel grósser ist, als die des Kaninchens, dass ersteres viel schneller er- kaltet, als ein Kaninchen unter gleichen Verhältnis- sen. Da es nicht wahrscheinlich ist, dass ein so leb- haftes, bewegliches, bissiges Thier, wie der Suslik, eine geringere Wärmeproduction hat, als das Kanin- chen, so war diese Geneigtheit zur Wärmeverschwen- dung viel eher einer grösseren Emissionsfähigkeit zu- zuschreiben, und diese letztere konnte durch. Eigen- thümlichkeit der Haut und sonstige Bedeckung des Thiers, oder dadurch bedingt sein, dass die Kälte die Nerven- und Muskelthätigkeit des Winterschlüfers we- niger herabsetzte, als die des Kaninchens *). Eine solche grössere Widerstandsfähigkeit der Herz- muskeln und Nerven musste für den Winterschläfer zur Folge haben, dass durch die Würmeentziehung beim Winterschlaf das Herz weniger leidet, als beim Kanin- chen. In der That sind nun in meiner citirten Ab- handlung Beweise beigebracht, dass bei einer Eigen- würme, bei welcher das Kaninchen beinahe regungs- los daliegt, der Suslik umhergeht und beisst. Das be- weist doch wohl, dass beim letztern die Energie des Nerven- und Muskelsystems von einer gegebenen Wärme weniger abhängig ist, als beim Kaninchen. — Wenn es sich also ergab, dass die Thätigkeit des Herzens bei diesem mehr Wärme abgebenden Thiere, bei gleicher Würme des umgebenden Medii, grósser war als beim Kaninchen, so ist es im hóchsten Grade wahrscheinlich, dass das Herz als ein Hauptregulator des Wärmeverlustes anzusehen sei: Es ist klar, dass es sich primitiv nicht um die Fre- quenz des Herzens handelt, sondern um die Schnel- ligkeit des Blutstroms. Die Frequenz des Herzschla- ges ist, nach Vierordt’s vielfältigen Beobachtungen, als der Geschwindigkeit des Blutstroms proportional angenommen worden. Es wäre allerdings zweckmässig gewesen, neben der Frequenz des Herzschlags auch den Blutdruck zu messen. Aber einerseits dauert ein sol- cher Abkühlungsversuch zu lange, als dass man ein Hä- modynamometer appliciren kónnte, ohne bald durch *) Vor Kurzem unterwarf ich die Nerven cines frisch getódteten Susliks einer Prüfung mittelst des M ultiplicators. Das Resultat war, dass der Strom des ruhenden Nerven um ein Bedeutendes energi: scher rst als der des Kaninchens unter gleichen Umständen. Ich te mir 59 weiteres Eingehen auf diesen Gegenstand vor. Gerinnung des Blutes gestört zu werden, andererseits könnte man dabei die gleichmässige Erkaltung aller Thiere, resp. das Einwickeln eines gleichen aliquoten Theiles der Thieroberfläche in die kaltmachende Sub- stanz nicht garantiren; auch ist der Suslik für solche Versuche ein zu kleines Thier und endlich. ist alles das nicht unumgänglich nothwendig. Der Herzschlag wurde gezählt mittelst in das Herzfleisch eingesenkter Nadeln. Zuerst wurde der Brustrand, dem Herzen entsprechend, vorsichtig durchbohrt, dann wurde das stumpfe, dicke Ende der Nadel, d. h. eines etwa 6 Centim. langen, an einem Ende zugespitzten Eisen- drahts in das Pericardium so eingeführt, dass das Herz Hebelbewegungen mit der Nadel ausführte. Es wird also das Herzfleisch hierbei nicht angestochen, wie mich später Injectionen belehrten. Die Thiere wur- den mit Hinter- und Vorderfüssen stramm an einen kleinen Holzrahmen angebunden und mit demselben in Schnee oder gestossenes Eis gesetzt. Die Befesti- gung war aber doch nicht hinreichend, um die Bewe- gungen der Thiere so zu verhindern, dass dieselben nicht die Bewegungen der Nadel störten.: Um also die Thiere noch ruhiger zu machen, wurde ihnen eine Auflösung von gr.j Morphium aceticum, in 2—3 Cubik- centim. Wasser und einigen Tropfen Essigsäure ge- löst, unter die Haut gespritzt. Die Kaninchen werden dadurch ganz narkotisirt,so dass man an ihnen die Beobachtungen des ilice mit der Nadel ganz be- quem vornehmen konnte. Auf einen Suslik machte aber ein ganzes Gran Morphium aceticum keinen deut- lichen Eindruck. Diese Thiere werden allerdings durch Morphium auch etwas betüubt, aber lange sicht ida | dem Maasse wie die Kirschen Um nun aber beurtheilen zu können, welche Mo- dificationen in den Erscheinungen des Kreislaufs er- kalteter Thiere durch die Anwendung der Narkose eingeführt werden, habe ich zuerst den Herzschlag an blos narkotisirten Thieren, ohne Abkühlung der- selben, beobachtet. Beim Suslik sowohl als beim Ka- ninchen bemerkte man dabei ein Sinken der Frequenz des Herzschlages, wobei allerdings die forcirten Be- wegungen des Susliks die Zühlungen manchmal sehr schwierig machten. Beim Kaninchen dagegen konnte man mit der gróssten Evidenz Folgendes wahrnehmen, zu dessen AMAR? ich eine solche — hierher setze, x E mb di des Sciences de Saint- Pétersbourg. in der Mi Beobachtung alle 10 Min. — a c. iSi 38,3 im Ohr 160 | 152 HEP CINE و ومع‎ ue € 35,5 im anus adi amor sob oss. 351 i mune 9489591. INS UID. 94,4 ^» ME undeet, 1805221, 9388۳ « ۱48۱: توس نوی‎ deer, وی‎ Ar 33,5. 0» ü EN cus: ا‎ CEA TEE وا م‎ 398 ; » TS E aun si iA 32,6: ..» 00 ees oni egg 325 ,» i ze 393 » Wärme des Zimmers = 16? C. Gegen Ende des Ver- suchs wurde das Thier zusehends munterer. Der Versuch, wie viele andere gleichbedeutende, beweist: 1) dass die Zahl der Herzschläge durch Mor- phium anfänglich verringert wird. Die Wichtigkeit die- ser Beobachtung wird später einleuchten; 2) dass die Zahl der Herzschläge fortwährend abnimmt, bis zu einem gewissen Punkte, dann aber wiederum wächst (dabei kommt das Thier nicht nothwendig zu sich); 3) dass die Wärme des Thiers, bei gewöhnlicher Zim- mertemperatur, durch Morphium allein um 6° sinken kann. Um mit dem Morphium hierbei zu enden, will ich bemerken, dass bei narkotisirten und zugleich ab- gekühlten Thieren die Herzfrequenz auch sinkt, dass aber dabei die Erscheinungen sich nicht gegenseitig summiren, sondern auf eine gewisse Weise sich gegen- seitig aufheben. Ich will sagen, dass ein narkotisir- | tes, abgekühltes Thier, bei einer gegebenen Eigen- würme, z. B. von cirea 20* C. im anus, mehr Herz- schläge in der Minute darbietet, als ein bloss abge- kühltes. Es müssen also die Verháltnisse complicirter sein, als sie beim ersten Anblick scheinen. Im einer frühern Abhandlung (Dubois und Reichert. c.) habe ich gezeigt, dass narkotisirte und abgekühlte Thiere schneller erkalten, als, ceteris paribus, nicht narkoti- sirte, ‚einfach abgekühlte. Auf diese Weise spricht auch diese Thatsache dafür, dass die Verminderung der Puls- frequenz gleichbedeutend ist der Verminderung des Wärmeverlustes. Es ist natürlich damit nicht gesagt, dass die erkältende Eigenschaft des Morphiums bei abgekühlten Thieren bloss eher ng LI beschleunigenden Wirkung zu setzen sei. ^ ^" Am einfachsten ist die Sache etwa so aufzufassen: wenn man ein Kaninchen anbindet, ohne es weder zu narkotisiren, noch besonders abzukühlen, sondern es der gewöhnlichen Zimmertemperatur preis giebt, so sinkt seine Temperatur schon um 2—3 Grad, bleibt aber dann stationär. Bei Intoxication durch Morphium findet nun eine Pulsbeschleunigung statt, durch deren Mitwirkung die blosse Zimmertemperatur schon mehr abkühlend einwirkt. Ich glaube, dass dieses Factum nicht ohne Werth für die medicinische Beurtheilung der Wirkung des Morphiums und vielleicht noch man- ches andern pulsbeschleunigenden Mittels ist. Es wirkt also, so paradox es auch klingt, das Morphium da- durch antiphlogistisch, Würme vermindernd, dass es die Frequenz des Herzschlags steigert. Ich verkenne nieht, dass dieser Theorie bis jetzt der Umstand ent- gegensteht, dass die Pulsfrequenz gegen Ende des Versuchs anfänglich stationär wird und dann sogar zunimmt, die Wärme aber wohl sinkt, aber nicht pro- portional mit der zunehmenden Pulsfrequenz, was nach meiner Theorie doch der Fall sein müsste. Es ist aber nicht zu verkennen, dass die Steilheit der Curve der Abkühlungslinie von 23 Factoren abhängt: 1) von der Pulsfrequenz, resp. der Schnelligkeit des Blutlaufs, 2) von der Differenz zwischen der Eigen- wárme des Thieres und der des umgebenden Medii. Diese beiden Factoren sind einander aber entgegen- gesetzt, also kann die Abkühlungscurve am Ende des Versuchs nicht so steil abfallen, als es die MP ase Pulsfrequenz zu verlangen scheint. E Nach allem diesem ist es klar, dass Fe Naifkcobh des Thieres kein Hinderniss darbot, die Abnahme der Herzfrequenz durch die Külte zu beobachten, nament- lich um zu entscheiden, ob diese Abnahme stetig vor sich gehe, oder anfänglich eine Steigerung De was, wie sich zeigen wird, wirklich stattfindet- In Beziehung auf die folgenden Versuche e « es wichtig sein zu eruiren, wie gross die Pulsfrequenz beim Kaninchen und beim Suslik ohne alle ‚Beeinflussung der Kälte und der Narkose, durch blosse Einführung der Nadel in die Höhle des Pericardiums sich herausstellt. Beim Zählen mittelst der in oben beschriebener Weise ins Herz eingeführten Nadel ergab sich für das nicht narkotisirte, straff an den Rahmen angebundene Kaninchen oder Suslik, für ersteres 168—172Schläge, für letzteren 172—220 Schläge. Die —— Ab A d Lo 135 Bulletin de l’Académie Impériale 136 steigerte die Frequenz beim Kaninchen auf 196 — 240 Schláge, beim Baslik blieb sie 192. Das sind also die hlen Die Initialf dich Herzschlags steht nicht i immer im Verháltniss zur Ini- tialwárme des Kaninchens, doch ist in meinen Protocol- len das Maximum von 240 Schlägen mit 40° C. notirt. Beim Abkühlen so zubereiteter Thiere, d. h. mit Anbinden und Einführen der Nadel stellte sich nun im Ganzen ein stetes Sinken der Frequenz des Herz- schlages heraus. In einigen Fällen aber erwies sich im Anfange, nach geringem Sinken, eine geringe Stei- gerung der Frequenz des Herzschlags, welche nicht auf die Schuld der Narkotisation geschoben werden kann, da diese eine solche Steigerung nicht her- vorruft. Diese Steigerung ist aber vielleicht für die Wärmeregulirung von Wichtigkeit. Ich gestehe nun gern, dass mich auf diese Steigerung am meisten eine Beobachtung des Hrn. Professors Jacoby in Kasan aufmerksam gemacht hat (Mea. BECTHHKB 1864), wel- cher schreibt, dass er, allerdings nur einen Versuch anstellend, gefunden habe, dass der Blutdruck in den Arterien durch die Kälte im Anfange etwas erhöht werde und erst später, wie ich schon vor ihm gefunden, bedeutend falle (s. meine Abhandlung in Virchow's Archiv 1862). ` In meinen Béslechssidsdr و و‎ nun findet sich vom Suslik nur eine Beobachtung verzeichnet, wo die Pulsfrequenz, von 5 zu 5 Minuten beobachtet, al- so folgt: 220, 188, 192, 160, 148, 120 u. s. f. In allen übrigen 15 Fällen bot die Pulsfrequenz bei der Abkühlung ein fortwührendes Sinken, ohne alle Stei- gerung, dar. Anders gestaltete sich die Sache beim Kaninchen. Unter 6 Versuchen sind 3 mit aufänglicher Steigerung der Pulsfrequenz, 3, wo die Pulsfrequenz von Anfang an sank. Ich setze 3 Versuche her. vd gaer Versuch ®9, — M 0 1 arkotisirt. narkotisirt. narkotisirt Initial. 196 Wärme im 990 Wärme 40 Vu 220 sec, 140 40 192 38,1°C. 192 172 200 176 152 208 172 132 220 148 100 196 120 160 152 124 In dem einen Versuch am Suslik, wo eine Steige- rung eintrat, ging der Versuch folgenden Gang: ` No. 47. Wärme im anus 37,5. Keine Narkose. Herzschlag: 220, 188, 192. Es ergiebt sich also beim Kaninchen in der Hälfte der Fälle eine Steigerung der Herzfrequenz im An- fange des Versuchs, und zwar ist diese Steigerung bedeutender und anhaltender als beim Suslik. Ich komme nun auf den wichtigsten Theil meiner auf das Verhältniss von Abkühlung zum Herzschlag sich beziehenden Beobachtungen, ich meine zur Ent- scheidung der Frage, ob die Frequenz des Herzschlags beim Kaninchen und Suslik bei gleicher Abkühlung auch, wenigstens ungefähr, gleich ist oder wenigstens auf einen gleichen Bruchtheil der normalen Frequenz herabgesetzt wird. Unter diesen Umständen nämlich müsste zugegeben werden, dass bei beiden Thierarten die Mittel zum Kampfe mit der Abkühlung, in; Bezie- hung auf den Blutlauf, etwa gleich seien. Aus meinen Untersuchungen geht ae eine Antwort auf diese Fragen hervor. Es stellt sich für das Kaninchen eine mittlere nor- i male Pulszahl von 173, für den Suslik eine von 196 (mit der Nadel gezählt) heraus. Hierbei sind nur die nicht narkotisirten Thiere in Betracht gezogen worden. Wenn man die narkotisirten Thiere mitzählt, so würde die normale Pulszahl des Kaninchens auf 237 steigen. ` Dei einer Abkühlung bis auf etwa 20° C. des Thieres . sinkt die Pulszahl des Kaninchens auf 50—52 Schläge, - beim Suslik auf 140, 144, auf 88, 100, also im Mit- ` tel auf 115, was also deutlich zeigt, dass gleiche Ab- kühlung auf die Nerven und Muskeln des Kaninchens ` und des Suslik ganz verschieden wirkt. Die Frequenz des Herzschlages ist beim Suslik, caeteris paribus, grósser als beim Kaninchen, also muss die Würmeent- ziehung bei ersterem schneller vor sich gehen, der ` Suslik muss viel schneller erkalten als das Kaninchen, ` er muss weniger kültebestündig sein als das Kanin- ١ | chen, seine Eigenwürme muss grössern Schwankungen ` unterworfen sein, als die Eigenwärme des Kaninchens. ` Alles dieses bestätigt- die Erfahrung, wobei aller- ` dings unerwiesen bleibt, ob diese grüsseren Schwan- kungen der Wärme nur davon abhängen, dass das Herz dem Einflusse der Kälte weniger nachgiebt, oder ob ` [noch andere Ursachen dieser Erscheinung da sind. Ich will nur vorläufig bemerken, dass das abgekühlte ` des Sciences de Saint ۰ Kaninchen nicht einschläft, sondern die Augen weit offen hält, manchmal schreit, sich bewegt, zuckt, wäh- ‚rend der Winterschläfer sich wie ein Hund zusammen- kauert und z. B. auch im Sommer einschläft, sobald seine. Eigenwürme durch künstliche Abkühlung be- trüchtlich vermindert wird. Um aber zu beweisen, dass das Herz allein diese Erscheinungen veranlasst, müssten Thatsachen bekannt sein, welche nicht da sind, und Rechnungen möglich sein, welche ebenfalls jetzt unausführbar sind. S. übrigens unten die Be- trachtungen der Abkühlungscurven. Obgleich ich schon früher mehr systematische. Ab- kühlungen von Kaninchen angestellt habe, als meine Vorgänger im. Gebiete der. Thermophysiologie, und dieselben in Virchow’s (1862)und Dubois und Rei- chert's Archiv (1865) bekannt gemacht habe, so lässt sich nicht leugnen, und ich habe es nicht verheim- licht, dass diese Versuche an allerlei Unvollkommen- heit litten. Die grósste. davon war, dass ich meine Kaninchen in Blechkasten setzte, welche die Thiere mehr oder. weniger. vollständig ausfüllten (je nach der Grósse der Thiere, so dass dieselben bald unmittelbar von Blech, bald unmittelbar von einer Luftschicht um- | geben waren); daher konnte die. Zeit, welche ‚nöthig war, die Kaninchen von ihrer Initialwärme bis auf eine gewisse Temperatur (+ 20? C.) abzukühlen, zu kei- nen Schlüssen über die Abhüngigkeit dieser Zeit von gewissen Componenten benutzt werden. ‚Die Messung. der Wärme meiner beobachteten Thiere hatte bei meiner früheren Methode ebenfalls ihre misslichen Seiten. Ich. musste das Thermometer tief in die vordere Abtheilung des Ohres einsenken, um die Temperatur der inneren Theile des Thieres zu سمت‎ -musste in der. Zwischenzeit zwischen zwei das I t wieder hervorziehen, weil. sonst. das. Thier: unruhig wird ‚und das Thermo- meter. zerbricht. ‚Dadurch wurde es unmöglich, den Moment; der Beobachtung genau zu. bestimmen und eine genaue Abkühlungscurve zu entwerfen. <: , Diesen Übelständen kann man zum Theil entgehen, wenn man die Thiere in schmelzenden Schnee. setzt. Dann kann man die Thiere, wie schon oben gesagt, immer, bis auf eine bestimmte Linie am Halse in die Kälte setzen. Der Schnee hindert die Athembewegun- gen nicht. Das Thier kann man an einen Holzrahmen binden und endlich die Würme im anus messen. In Beziehung auf letztere Messungsart muss ich bemerken, dass beim Kaninchen und Suslik auch hier einige Vorsichtsmaassregeln zu beobachten sind. Je tiefer man das Thermometer in den Mastdarm hinein- schiebt, desto hóher steigt das Quecksilber. Schon bei einigen Linien ist der Unterschied sehr bemerkbar. Ferner ist die Höhe des Quecksilbers höher im An- fange, wenn der Sphincter ani das Gefäss des Ther- mometers gehörig. umschliesst, als später, wenn der Sphincter erschlafft. Letztere Umstände erfordern ein genaues Zusammenfallen der Achse des Thermome- ters mit der Achse des Darms, und die Immission des Thermometers bis auf einen gewissen, für alle Fälle bestimmten Punkt. Die Wärme des Laboratoriums war in der Regel zwischen 9 und 12° R., bei den Ver- suchen :N’ 31 — 36 war dieselbe constant zwischen + 10? und + 11? C. Das fernere Verfahren bei meinen Versuchen zum Zwecke die Abkühlungszeit bis auf + 20° C. Eigen- wärme der Kaninchen für gewisse Componenten und die normale Abkühlungscurve für diese Bedingungen festzustellen, war nun folgendes, Zuerst wurden die Thiere wenigstens 24 Stunden lang in einem Zimmer von etwa -+ 16° C., bei freier Bewegung, gehalten, und.in dieser Zeit ihnen so viel Hafer und Wasser gegeben, als sie begehrten. Dann wurde das Thier gewogen und die Wärme im vanus bestimmt. Dann wurde das Thier mit Vorder- und Hinterfissen an den Holzrahmen gebunden und nun wieder die i Wärme gemessen, Dieses geschah, weil mich die Er- fahrung belehrt hat, dass die Wärme.des Thieres schon durch das blosse Anbinden um ein Weniges, im Maxi- mum um 2 Grad, sinkt. Mein Assistent bei diesen Ar- beiten, Stud. med. Hr. Chorvat, hat diesen Gegenstand weiter verfolgt und wird über seine Arbeit in der von mir herausgegebenen russischen medieinischen Zeit- schrift Coppemeunan Mexunasa berichten. Nach dieser zweiten Temperaturbestimmung wurde das Thier auf’s schnellste in den Schnee gesetzt und bis auf + 20°C. erkältet, wobei die Wärme von 5 zu 5 Minuten be- obachtet wurde. So konnte man eine Curve erhalten, in welcher die Wärme des. Thieres als Ordinate, die Zeit der Abkühlung. als Abscisse figurirten. Solcher Bulletin de l’Académie Impériale Beobachtungen sind von uns 15 gemacht worden. Die Endresultate derselben sind in Tab. 1 und die Curven aus 8 Versuchen in Tab. 2 übersichtlich und graphisch dargestellt. .Ich will nun diese Tafeln zu erläutern suchen und dann einige Abkühlungsversuche in extenso hersetzen. Eine Abkühlungscurve findet sich auch in der. Arbeit des Hrn. Jacoby (Meg. Bbcruuke 1864). Sonst sind mir keine andern in der Literatur bekannt. Die Bestimmung solcher Abkühlungscurven hatte für mich viel Verlockendes: einmal musste ich hoffen, über das Factische der Abkühlung Aufschlüsse zu er- halten, wie ich sie mir anders nicht verschaffen konnte; andererseits war es interessant zu untersuchen, wie weit und unter welchen Bedingungen die Abkühlungs- zeit im voraus zu berechnen möglich war, wenn Grösse (d.h. Gewicht und Volumen), Initialwürme des Thieres, Differenz der Wärme des umgebenden Medii und die Wärme des Thieres gegeben waren. Die erste Tabelle kann also zur Entscheidung der Frage dienen, ob aus Gewicht, Initialwärme des Thie- res, Differenz ns Medii und def Eigenwàrme des Thiers, die Länge der Abscisse der Curve berechnet wer- den kónnen. Die zweite dagegen kann benutzt wer- den, um zu wissen, ob aus der Initialwärme und der Abkühlungsdauer bis zur Eigenwärme. von -+ 20? C. ` der Gang der Curve bestimmt werden kann. Die wenn auch nur annähernde Lösung beider Fra- gen versprach fruchtbar zu werden für die Erkennt- niss anderweitiger Bedingungen der Wärmequantität und Wärmeconstanz im thierischen Körper. Wenn ein- mal bestimmt werden konnte, wie lange ein Thier von bestimmter Grösse, Volumen etc. Zeit bedarf, um bis auf + 20^ C. abgekühlt zu werden, so konnte man in demselben gewisse Functionen willkürlich ’verän- dern und nun die Grösse der Abkühlungszeit'beob- achten, wodurch die die Erwärmung fördernden oder hemmenden Functionen erkannt werden konnten ; das- selbe wird von der Abkühlungscurve gelten. Leider muss ich gestehen, dass meine Resultate mehr negativer als positiver Natur sind. Es lässt sich aller- dings zeigen, dass die Abkühlungszeit in einer gewis- sen Beziehung zu Gewicht und Volumen des Thieres stehen, jedoch ist an eine strenge Proportion nicht zu denken. Die Abkühlungszeit ist bis jetzt nur zu beobachten móglich, nicht zu berechnen. | Unter jetzigen Umständen fehlt zu einer — durch welche man die Abkühlungszeit der Thiere aus Gewicht, Volumen, Differenz der Temperatur " Mer. .| dii und des Thieres berechnen könnte: 1)Die Kenntniss der Grósse der Oberfläche dei | Thieres. Sie ist unbestimmbar, da selbst eine Messung der abgezogenen Haut nicht zum Ziele führen würde, insofern die Haare und ihre Oberfläche — مين‎ kannt bleiben. 2) Die Kenntniss der Grösse der Wärmeproduction während der Abkühlung. Man weiss nur, dass die Winterschläfer wenige CO? im Schlafe bilden; und Lie- bermeister macht es wahrscheinlich, dass die Wär- meproduktion während der Abkühlung steigt (was aber meiner Meinung nach noch nicht ganz bewiesen ist). Über den Einfluss der —— auf die er: kühlungszeit s. u. 3) Die Menge der Wärmeeinheiten des TRE ten Thieres. Ich habe in meinem Aufsatze in Dubois und Reichert's Archiv 1865 es wenigstens für móg- lich erklärt, dass ein Thier eine unbeständige Menge Wärmeeinheiten enthalten könne, obgleich es im Ohr und Mastdarm die gewöhnliche mittlere Wärme zeigt! Ich habe nun allerdings mich bemüht, diesen mögli- chen Fehler bei den folgenden Beobitchtiitigen dadurch zu eliminiren, dass ich die Thiere 24 Stunden lang in derselben Zimmerwürme und bei reichlicher Nahrung liess, aber dennoch waren solche —— - der Wármeqüantitàt der Thiere móglich. 0# Es könnte فاه‎ noch der Einwand geit werden, dass die Nicht i g der beobach- teten und berechneten Abkühlungszeit von der ver- schiedenen Initialwärme der abgekühlten Thiere her- rühre; es ist aber leicht zu — diis popas nicht get Fall sein kann. P mun Wenn man die Verhältnisse der’ Gewichte p suut zelnen Versuchsthiere zu den Abkühlungszeiten be: rechnet und dann untersucht, wie weit die berechne- | ten Grössen mit den nm übereinstimmen, 0 kommt man auf verschiedene Resultate. "Manchmal: erweist sich eine auffallende Übereinstimmung. "Sö Z. B. ist zwischen Versuch N° 16 und N° 20 das be- rechnete Verhältniss der Abkühlungszeit — 46: 51; die gefundene Abkühlungszeit — 46 : 47, Unterschied 4 Minuten. Die Initialwärme bei N? 16 = 39° 01 bei .| 20 = 38°C., wodurch derUnterschied der beobach- MEO t E VeRO REN RENTEN TER NET CRT eon ER des Sciences de Saint ۰ Pétersbourg. 142 teten ‚und berechneten Abkühlungszeit noch kleiner würde, wenn. man voraussetzte, dass die Initial- temperaturen beider Versuche und also auch die Dif- ferenz zwischen Eigenwärme und Wärme des umge- benden Medii gleich seien. ım den meisten von mir beobachteten Fällen ist nun aber der Unterschied zwischen der beobachteten und berechneten Abkühlungszeit viel bedeutender. So in Versuch N* 33 und N* 34 berechnet — 45:118, be- obachtet — 43:85. Hierbei stellt sich noch der auf- fallende Umstand heraus, dass das Thier in der That schneller abgekühlt wurde, als es geschehen müsste nach dem Verhältnisse der Gewichte und bei der Vor- aussetzung, dass überhaupt grosse Thiere unter glei- chen Verhültnissen langsamer abgekühlt werden müss- ten als kleine, weil die Oberfläche bekanntlich nicht im Verhältnisse der Grüsse des "entia sondern lang- samer zunimmt. . Ein ähnliches Verhältniss finden wir in N° 33 und N 36; Gewicht = 534 und 895. Verhältniss der be- rechneten Abkühlungszeiten = 43 : 71, der beobach- biens te 451 45. In allen diesen Zeiten ist also die Ab- hältı ässig abgekürzt. In den meisten Fällen findet allerdings das Umge- kehrte statt. Die Thiere brauchten in der That mehr Zeit zur Abkühlung, als sie nach der oben entwickel- ten: Rechnung brauchen sollten, d. h: in ihrer Orga- nisation liegen Momente, welche die Wärmeinanition (so nenne ich diese Zustände, s. Dubois und Rei- سيت‎ 1865... H 1) aufhalten. Demnach sind diese i im Stande, die Würmeerschópfung zu verzügern. Unter Umstünden sind sie machtlos, und dann wird: die Wärmeinanition beschleunigt. Diese Er- scheinungen kann man am besten dann begreifen, wenn man annimmt, dass die die Würmequantitüt (Zahl der Calories) und den Wärmegrad (Maximum an gewissen Stellen). der Vérsuchsthiere bestimmenden Einflüsse von einander. in gewissem Grade unabhüngig sind, denn: dem. Ansehen nach waren: alle Versuchsthiere Thiere im atus: hei 1 meinen Versuchen in jeder Zeit- einheit abhüngt, muss man betrachten: 1) das Ge- wicht, 2) die Oberfläche, 3) die Wärmeproduction durch Verbrennung; 4) die Wärmeproductien durch Muskelarbeit, 5) die Quantitüt der Calories, 6) die Wärniegrad:d der:‏ بو موی Emission der Wärme durch Haut und Lüngen, ab: hängig von dem Bau der Haut, der Behaarung, der Schnelligkeit und der Quantität de Bluts in der Haut und der Lunge des Thieres, der Differenz zwischen Medium und Thier. 1, 2, 6 sind als constante Grössen anzusehen, denn während des Versuches ändert sich schwerlich der Zustand der Haut, und wenn er sich ändert, so ändert er sich zum Vortheil der Verlang- samung der Abkühlung. Die Wärme des Medii bleibt sich ebenfalls gleich, also auch die Differenz, von welcher die Abkühlungsgeschwindigkeit abhängig ist, Wenn wirnun annehmen, was meiner Meinung nach noch gar nicht bewiesen ist, dass durch die Abküh- lung die Verbrennung von C und H im Körper in- fluenzirt wird, sp jet doch nicht denkbar, dass diese Beeinflussung ganz unregelmässig vor sich geht, so dass die Abkühlung die Verbrennung bald in statu quo lässt, bald vermehrt, bald vermindert. Alles das aber müsste man annehmen, um die relative Constanz, Verzögerung oder Beschleunigung der Abkühlung, wie sie die Erfahrung zeigt, zu erklären. Es bleiben also nur 3 Componenten übrig: 1) Die Muskelarbeit, 2) ' | die verschiedene Quantität der Calories in den Thie- ren, relativ zur Quantität ihrer Gewichtseinheiten. (In meinem Artikel in Dubois und Reichert’s Archiv habe ich wahrscheinlich zu machen gesucht, dass eine solche Verschiedenheit in der That stattfindet. und stattfinden kann.) 3) Der Herzschlag. Um den Einfluss der Muskelarbeit zu erkennen; bitte ich meine Curventabelle zu betrachten, auf wel- cher 8 Abkühlungscurven angebundener und in Schnee gelegter weisser Kaninchen von ihrer Initialtempera- tur vor dem Versuche bis zu -+ 20? C. in ano ver- zeichnet sind. Die Wärme in '/? C. sind als Ordinaten, die Zeiten als Einheiten von 5 zu 5 pape als ۳ seissen aufgetragen. l 1 Das, was die Curven aussagen, wird Vil DCH ständigt durch die weiter unten mitzutheilenden ve len aus einigen der einschlügigen Beobachtungen. Wenn wir diese Curven betrachten, so finden wir: 1) dass sie sich von geraden Linien, ‚welche die An- fangspunkte der grössten: (Anfangs-) Ordinate und der Abscisse verbinden, nur wenig unterscheiden. So z. B. ist die Curve N° 16 (die Nummern sind gleichna- mig mit den Nummern des Versuchs) beinahe eine gerade Linie, d: h.'die Abkühlung erfolgte vollkom- Bulletin de l’Académie Impériale 144 men gleichmässig. Jedoch auch die andern Curven zeigen eine solche fast gleichmässige Abkühlung. 2) Die Abweichungen von einer geraden Linie sind verhältnissmässig zur Länge der Linien sehr unbe- deutend und bilden mit Ausnahme des untersten Theils der Linie lange Wellen oder zickzackförmige Zeich- nungen, wobei alle Wellen oder Zickzacke mit einer positiven Schwankung (= Verzögerung der Abküh- lung) anfangen. Auf jede positive Schwankung folgt früher oder später eine negative (= Beschleunigung der Abkühlung), meist von gleicher Grösse, so dass durch diese wellenförmige Bewegung der Curve keine namhafte Abweichung von einer geraden Durchschnitts- linie, also eine namhafte Beschleunigung oder Verzö- gerung der Abkühlung gar nicht erreicht wird. 3) Alle 8 Linien sind in ihrem letzten Theile we- niger steil abfallend als in ihrem Anfange. Dadurch wird dieser Theil der Linie gegen Ende des Versuchs eine zur Abscisse leicht convexe. Ähnlich ist die von Jacoby (Ako6iü, Mei 818111115 1864) verzeichnete. Die Bedeutung dieser Convexität ist also die, dass die Schnelligkeit der Abkühlung gegen Ende des Ver- suchs etwas abnimmt. Die Abkühlung ist nicht unter + 20°C. Thierwärme gebracht, weil dann schon von einer Messung der Totalwärme des Thieres nicht mehr | die Rede ist, sondern nur noch Partialwärme des anus, des Ohrs etc. gemessen werden können. Aus meinen Protocollen ist ersichtlich, dass diese wellenförmigen Linien mit den sehr energischen Be- wegungen des Thiers zusammenfallen; die Verlangsa- mung der Abkühlung gegen Ende der Versuche tritt ein, bald nachdem die Bewegungen des Thieres auf- gehört haben. Es sind, um auf den Curven diesen Moment sichtbar zu machen, bei jeder Linie kleine Kreuze gezeichnet, welche also den Augenblick an- deuten, wo im Protocoll steht, dass die Bewegungen aufgehört haben. Man wird finden, dass 4 mal dieser Augenblick eintrat nach dem Ende der achten Be- obachtung, einmal von Anfang an (N? 16); diese Linie ist auch beinahe ganz gerade. Diese Abkühlungscurven lassen also glauben, dass die Muskelbewegungen des abgekühlten und angebun- denen Thieres, so gewiss sie auch Wärme entwickeln, dennoch dieses in so geringem Grade thun, oder von einer solchen Abkühlung des Muskels (durch seine Ermüdung, durch die Steigerung der Herzfrequenz — Vermehrung der Wärmeemission?) gefolgt werden, dass im Verhältniss zur Abkühlung durch schmelzen- den Schnee, diese Erwärmung fast ohne Einfluss auf die Abkühlungszeit ist. Aufdie Verzögerung der Abkühlung gegen das Ende des Versuchs haben wahrscheinlich Einfluss die ab- nehmende Frequenz des Herzschlages und die all- mählich abnehmende Differenz zwischen dem abkühlen- den Medium und der Eigenwärme des Thieres. Letz- tere allein kann eine gleichmässige Verzögerung der Abkühlung hervorbringen. Die Verlangsamung des Herzschlags im lebenden Thier jedoch ist sehr un: gleichmässig. Von ihr allein kann also eine gleich- mässige Verzögerung der Abkühlung nicht herrühren. Die Verlangsamung des Herzschlages ist nämlich in Beziehung auf den Wärmeverlust, wie ichin Dubois und Reichert’s Archiv bewiesen, gleich der Einhül- lung des Thieres in einen schlechten Leiter. Es ist also aus allem diesem ersichtlich, dass weder Herzschlag, noch Differenz zwischen Thier und Medium allein die grossen Verschiedenheiten der Abkühlungszeiten er- klären können, denn die Abkühlung kann nicht den Herzschlag bald beschleunigen, bald verzögern, bald unverändert lassen. Oben ist die Frage aufgeworfen worden, 1) ob mán; wenn der Anfang und das Ende einer Abkühlungs- curve gegeben sind, den Gang der Curve bestimmen könne; 2)ob, wenn Gewicht, Volumen, Initialtemperatur und Differenz zwischen abkühlendem Medium und Thier gegeben sind, man die Abkühl it besti könne Die erste Frage kann man, ‚wie meine Curven be- weisen, relativ bejahend beantworten, die letztere muss man durchaus verneinend entscheiden. Die Ab- kühlungszeit hängt ausser den gegebenen Grössen noch von anderen für jetzt unbestimmbaren ab. Eines kann aber, wie ich glaube, mit Sicherheit ausgesagt werden, dass das Endresultat dieser unbekannten Com- ponenten von der im anus oder im Ohr gemessenen Wärme des Thieres nicht abhängig ist, keine Function dieser Grösse darstellt, denn in diesem Falle könnte die Abkühlungszeit nicht so aller Gesetze baar dastehen. Unter den gegebenen Umstünden muss man zuge- ben, dass es sehr wohl möglich sei, dass diese schein- baren Ungesetzlichkeiten erklürbar seien, wenn die Quantität der Calories in einem jeden Thiere eine sehr wechselnde Grösse darstellten. das leu | 145 des Sciences de Saint ۰ 146 Ich habe mich allerdings bemüht, diese Frage durch positive Versuche zu lösen und seit Jahren darüber eine Menge Versuche angestellt. Diese sind aber kost- spielig und zur Vervollkommnung der Apparate müsste man eine Reise ins Ausland unternehmen, was mir bis jetzt nicht gelang. Meine Untersuchungen über diesen Gegenstand sind also noch nicht spruchreif. ` Ich will nun schliesslich noch einige Beobachtungs- protocolle über die Abkühlung von Kaninchen in Schnee von 0° mittheilen und einige Worte zur Be- urtheilung dieser Protocolle sagen. Die Protocolle enthalten die Versuche N° 31—36, weil in ihnen die Luft des Laboratoriums constant zwischen =+ 10° und —+ 11° C. erhalten wurde. Ne N° 31. Gewicht des Kaninch. = D. con st eva des کی‎ ach dem Anbinden. Differenzen zwischen den ein- zelnen Beobachtungen. 39,5 0,6 Alle5 Min. 38,9 1,2 beobachtet. 37,7 1,2 36,5 1,0 35,5 1,2 34,3 0,8 33,5 0,9 32,6 1,3 31,3 Bis hierher Be- 1,6 d 29,7 wegungen. 1,4 28,3 1,6 26,7 1,4 25,3 1,3 24,0 1,2 22,8 LI 21,7 1,0 4Min. 20,7 0,7 20 : Versuch N’ 36. ‚Gewicht de 996: Differenzen etc. 39,8 3,1 36,7 2,2 34,5 2,0 32,5 2,1 -30,4 2,7 27,7 Bis hierher Be- 2,4 25,3 1,7 23,6 1,8 21,8 1,5 20,3 0,3 20,0 Tome X. Gewicht = Wärme 27,3 25.4 23.9 22,5 21,3 20,0 Gewicht = 1480,2. Wärme e 29,7 28,5 Y, Min. 20,0 38,7 36,6 33,7 Versuch N° 35. 1024. ete. Die Bewegungen hören auf. Versuch N° 34. Bis hierher Be- wegungen Versuch N° 33. Gewicht — 539,2. Wärme etc. Differenzen etc. 1,9 be bei ke en SC 4» zl 4 © En CD sl E - kel end ` bech Fe Fei Fei Fei bent Fi KI? to >‏ دخ Differenzen etc. 0,4 vesia NE 4 rin Lh 1,2 ross d Wi hatte; übri 1,3 waren die Be- egungen des Thieres hierbei Differenzen etc. Bulletin de l’Académie Impériale 148 Gewicht = 539,2. 1 Wärme etc. Differenzen etc. 28,9 2,2 26,7 2,0 24,7 2,0 29,7 1,7 21,0 1,0 3Min. 20,0 Man sieht aus der Folge der Differenzen, welche natürlich den Curven entsprechen, die Eigenthümlich- keiten der Curven noch deutlicher. Es ergiebt sich 1) dass sie eine gewisse Zu- und Abnahme, so lange noch Bewegungen der Skeletmuskeln Statt finden, darstel- len, dass dagegen in den meisten Fällen 2) vom Auf- hören der Bewegungen an die Differenzen eine stetige Abnahme darbieten, 3) dass somit fast alle Beobach- tungen zu Ende kleinere Differenzen darbieten, als am Anfange. Die Muskelbewegung hat also nicht, wie man doch erwarten könnte, einen verzögernden, son- dern eher einen beschleunigenden Einfluss auf die Schnelligkeit der Abkühlung. Die Beobachtungen von Helmholz, Meyerstein und Thiry, Heidenham etc. widersprechen diesem Resultate nicht. Denn obgleich sie beweisen, dass die Contraction des Muskels ihn erwärmt, so haben alle diese Forscher am ausgeschnit- tenen Muskel operirt und nicht angegeben, auch nicht angeben können, was im Muskel geschieht, wenn er ermüdet sich nicht mehr contrahiren kann. Es ist also wohl möglich, dass er beim nothwendigen Ausruhen sich abkühlt. Es ist aber auch möglich, dass die schnel- lere Erkaltung der Thiere nach der Muskelcontraction davon herrührt, dass gleichzeitig mit der Muskelcon- traction auch der Herzschlag beschleunigt und dann die grössere Abkühlung durch die schnellere Circula- tion die Erwärmung durch die Muskelarbeit wieder ausgleicht oder sogar übertrifft. Ebenso wenig werden meine Beobachtungen ver- dächtigt durch die erwärmende Kraft des natürlichen oder künstlichen Tetanus. Denn dieser ist eine per- manente oder beinahe permanente Contraction aller Skeletmuskeln, und der Zustand des Herzens ist da- bei unbekannt. Es kommt also schliesslich darauf hinaus, dass die die Abkühlung verzögernde Erwärmung durch die Mus- kelcontraction nicht zu leugnen ist, dass dieses aber nur für die Zeit der Contraction und kurz nachher gilt, dass aber, sobald es sich um längere Zeiträume handelt, die auf Kosten der C. Verbrennung bewerkstelligte Muskelarbeit schliesslich doch keine Verzögerung der bis auf einen gewissen Punkt getriebenen Abkühlung bewirkt. Der Mensch freilich, wenn er abgekühlt wird, kämpft dagegen durch künstliche, gewaltsame Bewegungen; | das Thier aber kauert sich zusammen, verkriecht sich, wobei die, Wärme emittirende Oberfläche sich verklei- nert. Damit scheint das Resultat meiner Abkühlungs- versuche vollkommen im Einklange zu sein. Es ist aber freilich zu berücksichtigen, dass die Bewegungen eines Thieres in der Freiheit und die eines angebun- denen Kaninchens von einander quantitativ wohl ver- schieden sind. Meine Versuche geben auf die Hauptfrage, um welche es sich hier handelt, allerdings keine Antwort: nämlich ob es irgend einen besondern, vom Willen des Thieres unabhängigen regulatorischen Apparat für die Wärmebildung des Thieres giebt, aber so viel ist gewiss, dass, wenn ein solcher besteht, er nicht im Stande ist, schnell diejenigen Ungleichheiten aus- zugleichen, welche durch die Muskelarbeit in die Ab- kühlungscurve eingeführt werden. Dagegen scheint der ungleichmässig sich verlangsamende Herzschlag keine unregelmässigen Biegungen in der Curve hervor- zubringen. | Anhang. Obgleich die Tabelle N’ 1 schon an einigen Stellen dieser Abhandlung erläutert worden ist, so will ich doch der Vollständigkeit wegen diese Erläuterung schliesslich wiederholen. Die ersteColumne enthält dieNummer des Versuchs, die zweite das Gewicht des Kaninchens in Grammen, unmittelbar vor der Abkühlung, die dritte das Volu- men in Theilen eines Litre, die Ate die Wärme des zur Bestimmung des Volumens dienenden Wassers vor und nach dem Eintauchen des Thieres, kurz vor dem Ablesen der Theilung. Die 5te bedarf keines Com- mentars, ebenso die 6., 7. Die Ste enthält die Maxima und Minima der Differenzen von je 2 Wärmeablesun- gen. Die 9te Columne giebt die Schlusswärme und 78 E etwaige Correctur an. ۳ Ballatın d Hcad np d.se TX Walther Studien im Gebiete dale d Tho elg DAC AN X 2 N ی[‎ © NN ae NN JEN EMO S N S c ou VER FETTE x A SS 65 45 30 Lith A Mansin Pan dnt 2 ligue N°7 jt ply 149 des Sciences de Saint- Pétersbonrg. Tabelle über die Erkaltungszeit des Kaninchens bis zu - 20° C, 2 : Wärme des | © x : " 3 Í ۳ 4| Wärme des | Thieres beim E 9 Differenz |, e 4| 295 52 8 Anfange des | 2 2 der Wärme | 8 5 55 | 2 ع‎ ss] Wassers. ersuchs = ZS in 5 Min |S=N SS 85 SE - - 2 : : SES Bemerkungen. 2-3 8395 as 2۶و | ۶و اوع او‎ | B | B SES 4 EE CE 2 | 8 | ۶ | و‎ | £ * Së SE sE DE. = EI 33 =" KC £ CCE S RS 8 | شر | رك‎ | 5 | 4 | 8 i e a a 2 2 * 22 ۱118079 11 ۰ 15,6 C.139,4 0.89,4 0. 68 2,6 | 0,9 | 20۴ 0, Das Thier war 24 Stunden in ei- Deci- ner Temperatur von + 1 litres | und war reichlich gefüttert. 23 | 9952 | 9,7 114,5 |unbe- 139,5 Das | 7014| 1,8 | 0,8 | 20 | Idem. anni. 31 (1309,5 | 16,5 114,6 115,8 |......139,5 84 1,6 0,6 | 20 Idem. Die Wärme des Labora- torii bei dem Versuche zwi- | schen + 10 und + 11° C. er- halten 38 | 5892 | 45 142 ۱182 |......887 | 43 | 29 | 17 | 20 e 34 1480,2 | 18,75 15,3. 17 e io s [40,5 85 19 | 0,6 | 20 Idem. Lebhaftes Weibchen. 35 |1024 10 HOD HGS l|... . 8 65 1,9 1,2 | 20 Idem. Sehr lebhaftes Weibchen. 36 | 895 7,5 15,9 117,6 «x 9421098 45 8,1 1,5 | 20 Idem. 15 | 799 | nicht 89,3 188, 58 2,1 0,9 | 20,5 | Aus dem vormaligen Zustande be- Corr. von + 16" C, und nach reich- stimmt licher „Fütterung während 24 16 | 741,8 | 7,5 | nicht gemes- (39,8 |39 46 2,5 | 1,3 | 20,1 | Wärme St Fütterung wie oben. sen. kein Corr. 17 | 7898 | 7,5 1145 |......| unbekannt | 50 2,8 1,7 | 20 Idem. 18 | 7898| 85 115,7 |......89,8 139,5 61 L8 | 1,8 |.20 Idem. 19 | 6682 | 7 [nicht bekannt38,8 (36,7 52 2,7 | 0,6 | 20 Idem. Schwarzes Kaninchen. 20 | 8256 | 85 112,9 18,8 8 88 47 4(??)| 0,2 | 20 Idem. Schwarz-weisses. 21 [12442 | 128. |14 152 138,5 | 385 | 90 | 15 | 04 |20 [Idem ee ee ar wies nichts Besonderes nach, Anmer blieben darin etwa 1 Stunde untergetaucht, bis die Luft aus den asser. Die Erw erkung. Die Bestimmungen des Volumens sind durch Eintauchen ins Wasser gemacht. Die Thiere Haaren etc. entwichen war. Dabei erwärmte sich ärmung ist etwaiger Correctionen wegen angegeben. sous der Volumen-Bestimmungen führte zu einem brauchbaren Resultate. 10* 151 Bulletin de l’Académie Impériale 152 Eozoon Canadense im Kalkstein von Hopunwara in Finnland, von Prof. Pusyrewski. ) le 16 novembre 1865.) Die krystallinisch geschichteten Gesteine des Wi- borger Gouvernements bilden einige vollkommen selbst- ständige Gruppen oder Formationen, die in ihrer Ver- breitung unabhängig von einander auftreten. ` Kommen dieselben zusammen vor, SO folgen sie auf einander in concordanter Lagerung, die wahrschein- lich durch ein gemeinsames Erhebungssystem bedingt wird. Das untere Schichtensystem ist im Gouvernement Wiborg am bedeutendsten entwickelt. Es besteht aus | mächtigen Lagern röthlichen Orthoklas-Gneuses, dem weniger mächtige Bel gr auen Giorgio, Gneuses t geordnet sind. Die letzteren Gesteine bilden i in diesem System ziemlich beständige Horizonte. In der Umgegend und auf den Inseln des Ladoga- Sees kommt oberhalb dieser Gruppe ein petrographisch verschiedenes Schichtensystem vor. Es wird charak- terisirt durch das fast gänzliche Zurücktreten von Orthoklas, der meistens von einem klinoklastischen Feldspath ersetzt wird, durch eineverwickeltereSchich- tenfolge und durch eine deutlichere Schieferung der Gesteine der oberen Etage dieses Systems. Die untere Etage des oberen Schichtensystems be- steht aus wenig mächtigen, aber petrographisch man- nigfaltigen Schichten, denen verschiedene Mineralien beigemengt sind. Kupferkies, Zinnstein, Molybdän- glanz, Magneteisenstein, Vesuvian, Skapolith u.dgl.m. kommen meistens in den Schichten dieser Etage vor. Wahrscheinlich ist das Erzlager von Pitkäranda, mög- licher Weise auch die anderen Erzlager Finnlands, diesen Schichten untergeordnet. Die obere Etage des oberen Schichtensystems, obgleich mächtiger ent- wickelt, bildet eine weniger complicirte Schichten- folge. Sie besteht hauptsächlich aus dunkelm schief- rigen Gneus, der in Graphit-Gneus übergeht, sobald der Glimmer durch Graphit ersetzt wird; der erstere wird öfters durch Hornblende verdrängt. An Feld- spath (klinoklastischem) ist dieser Gneus arm, dagegen führt er Quarz in Üebermaass, der häufig parallele Zwischenlager bildet. In den unteren Schichten bei- der Etagen kommen Lager krystallinischer Kalksteine vor; die der oberen Etage sind ziemlich mächtig ent- wickelt und dem dunkeln Gneus untergeordnet; sie werden von Nordenskiöldit in parallelen Streifen durch- setzt. Sie sind besonders schön in Russkjala, auf der Insel bei Jovensu und auf der Insel Pusunssari bei Pitkäranda zu sehen. Die Kalksteine der unteren Etage kommen auf Pu- sunssari und in Hopunwara bei Pitkäranda vor, bilden aber keine mächtigen Lager und enthalten unter vie- len anderen Mineralien Serpentin von wachsgelber Farbe, der bald in dünnen Schichten, bald in kleinen rundlichen oft parallel gelagerten Massen eingesprengt ist. Bei einer mikroskopischen Untersuchung dünner Platten des von Serpentin durchzogenen Kalksteins fand ich eine überraschende Ähnlichkeit mit dem Bau des Eozoon Canadense, einer gigantesken Rhizo- podenart, die, aus den Kalksteinen des Laurentian- systems in Canada, von Logan, Dawson und Car- penter beschrieben worden ist. Man sieht unter dem Mikroskop im Kalkstein von Hopunwara eine Menge Höhlungen, die von Serpentin erfüllt sind, an dem eine concentrisch schalige Struk- tur zu beobachten ist. Die grossen Höhlungen, die den Kammern des Thieres entsprechen, stehen unter einander durch Kanäle in Verbindung, welche eben- falls an verschiedenen Stellen Serpentin enthalten. An M vielen dieser Höhlungen sind noch die eigenen Wände — erhalten, von röhrenförmigem, ihnen eigenthümlichem 1 Bau. Endlich konnte ich in einem Schliff des zwischen- — liegenden Kalkskelets dieser Versteinerung ein deut- M liches System sich verzweigender röhrenförmiger Ka- | nüle beobachten. Dieses überzeugte mich vollkommen von der Identität der organischen Überreste aus dem w Kalkstein von Hopunwara mit dem Eozoon Canadense : Dawson. Die Entdeckung dieser Versteinerung in den kry- | stallinischen Gesteinen Finnlands wirft ein neues Licht 3 auf ihre geologische Stellung und beweist, dass die- — selben zum grössten Theil dem Laurentiansystem ot Canada entsprechen. Noch fällt es aber schwer, eine?” vollständige Parallele der Gesteine dieser zwei von ` einander so fern liegenden Bassins zu ermitteln. Wir glauben also, dass beide beschriebenen Gruppen der Wiborgschen Gesteine dem Laurentiansystem äqui- — valent sind, und obgleich: w wir dieselben als zwei von einander unal betrachten, so legen wir auf diese locale Verschiedenheit noch kein zu gOS — \ 153 des Sciences de Saint- Petersbourg. 154 ses Gewicht und können daher einstweilen die Pa- rallelität unserer beiden Systeme mit den oberen und | unteren Gruppen des Laurentiansystems in Canada nicht behaupten. Beobachtungen über Benzoin, von N. Zinin. (Lu le 8 mars 1866.) ۲ Bekanntlich geben Benzil und Benzoin beim Kochen mit einer aleoholischen Kalilösung das Kaliumsalz der Benzilsäure; bei dieser Reaction ist keine Bildung von Nebenprodukten bemerkbar, mit Ausnahme einer klei- nen Menge eines harzartigen Körpers. Für das Benzil kann der Process durch die Gleichung C, Ho و0‎ + KHO = 44 و‎ KO, ausgedrückt werdeh, die Gleichung für das Benzoin zeigt aber einen Überschuss von Wasserstoff: Cu H,O, ا‎ KHO — Ca Hu KO; + H. Dieser Wasserstoff wird während der Bildung des Kali- umsalzes beim Zutritte der Luft von dabei absorbirtem Sauerstoffe in Wasser übergeführt; es blieb aber die Frage zu beantworten, was bei der Einwirkung einer _alcoholischen Kalilösung auf das Benzoin in einem verschlossenen Gefässe bei Ausschluss der Luft ge- schehen wird. Zur Lösung dieser Frage brachte ich in ein an einem Ende zugeschmolzenes und an dem andern Ende in einen ungeführ 2 Millimeter weiten Kanal ausgezoge- nes Glasrohr 30 Grm. Benzoin, übergoss dieses mit soviel 93%, Alcohol, dass es ganz damit benetzt wurde, und noch eine Schicht von 2 Centimeter darüber stand, und trug nun durch einen Trichter, dessen langes Rohr bis in den Alcohol reichte, eine Auflósung von 10 Grm. Âtzkali in 30— 35 Grm. desselben Alcohols ein, worauf noch so viel Alcohol obenauf gegossen wurde, dass die ganze Menge desselben 60-65 Grm. betrug, und in dem Rohre, das verengerte Ende un- gerechnet, noch ein leerer Raum von 10 Centimeter blieb. Nun wurde das verengerte Ende in eine feine Spitze ausgezogen, dann die oberste Schicht des Alco- hols gekocht, um die Luft auszutreiben, und wührend des Kochens die Spitze zugeschmolzen. Als nun nach dem Erkalten der Inhalt des Rohres bis zur gleich- mässigen Mischung durchgeschüttelt wurde, nahm das Gemenge eine ziemlich dunkle, grünlichgelbbraune E ‚Farbe an, das Benzoin löste sich bei gelindem Er- wärmen grösstentheils auf, besonders wenn es in fein zerriebenem Zustande angewendet worden war; bald nachher aber änderte sich die Farbe der Flüssigkeit in eine mehr rothbraune um, und endlich gestand letztere gänzlich zu einer fast gallertartigen Masse. Wenn man nun ein solches Rohr 24 Stunden stehen lässt und dann öffnet, so findet man darin fast nur unverändertes Benzoin; erhitzt man es aber 15 Stunden lang bis + 120—130° C., oder 5 Stunden lang bis + 160 — 170°, so findet man in dem heissen Rohre eine röth- lichgelbe Flüssigkeit, welche beim Erkalten zu einer mit einem schuppigen Körper erfüllten Masse gesteht. Bricht man das dünne Ende des Rohres unter Wasser ab, so steigt das Wasser in das Rohr hinein und er- füllt es beinahe gänzlich; schmelzt man das Rohr wieder zu und schüttelt die Masse durch, so löst sich die ganze feste Masse in dem Wasser zu einer gelben Flüssig- keit auf. Öffnet man nun das Rohr wieder, giesst den Inhalt desselben von dem, aus einer kleinen Menge Kieselsäure bestehenden Ungelösten ab und ver- mischt ihn nun mit ungefähr seinem sechsfachen Vo- lumen Wasser, so trübt sich das Gemenge und setzt einen ölartigen, gelblichen oder orangefarbenen Körper ab, welcher sich bald in eine feste krystallinische Masse verwandelt, während die über ihm stehende Flüssig- keit sich mit fast vollkommen farblosen blättrigen und nadelförmigen Krystallen erfüllt. Durch Filtriren der Flüssigkeit und Trocknen der ganzen festen Ausschei- dung zwischen Fliesspapier erhielt ich ungeführ 13 Grm. krystallinische Substanz, welche grósstentheils aus Hydrobenzoin bestand, aber auch nadelfórmige Krystalle enthielt, welche in allen ihren Eigenschaften den von Claus*) bei der Einwirkung von Natrium- amalgam auf eine ätherische Lösung von Bittermandelól erhaltenen ähnlich waren. Das Papier, zwischen dem die krystallinische Masse gepresst worden war, hatte etwas harzartige und ólige Substanz eingesogen, von denen letztere den Geruch des Benzylalcohols zeigte. Beim Destilliren der von den Krystallen abfiltrirten Flüssigkeit erhielt ich, wenn ich den zuerst über- gehenden Alcohol besonders auffing und die Vorlage wechselte, wenn das Destillat sich zu trüben anfing, in letzterem ein wenig der oben erwähnten nadelför- ..*) Ann. der Chem. X CXXXVII p. 92. - 155 Bulletin de PAcademie Impériale 156 migen Krystalle, und die im Destillirapparate zurück- bleibende Flüssigkeit enthielt zuweilen schuppige, in Wasser unlösliche und in Alcohol sehr schwer lösliche Krystalle (bis 0,7 Grm.). Die Bildung dieser Schuppen beobachtete ich nur dann, wenn das Rohr schnell zu einer sehr hohen Temperatur erhitzt worden war. Aus der wässrigen alkalischen Flüssigkeit fällte Salz- säure neben etwas Kieselsäure ungefähr 13 Grm. eines in Alcohol löslichen Körpers; ein Theil davon löste sich in wässrigem Ammoniak, und aus dieser Lösung fällten Säuren ungefähr 8 Grm. eines alle Eigen- schaften der Benzilsäure besitzenden Körpers, dem jederzeit eine kleine Menge Benzoesäure beigemengt war, wenn der Versuch, wie eben beschrieben, aus- geführt worden war, ohne dass die Erhitzung zu schnell und zu stark gewesen war. Das in Ammoniak Unlös- liche erwies sich als ein nadelförmiger Körper, ge- mengt mit einer kleinen Menge eines den Geruch des Benzylalcohols besitzenden Öles. Die Trennung des Hydrobenzoins von den Nadeln und dem ólartigen Kórper ist in Folge seiner leichten Krystallisationsfähigkeit aus Äther und Alcohol nicht schwer. Vollkommen reine rhombische Tafeln dieses Kórpers wurden der Einwirkung von schwacher Sal- petersäure unterworfen und verwandelten sich dadurch in Benzoin. Der bei + 136? C. liegende Schmelz- punkt derselben sowohl, als auch ihre Analyse bestä- tigten die Identität des so gewonnenen Hydrobenzoins mit dem aus einer alcoholischen Lösung von Bitter- mandelöl durch die Einwirkung von Zink und Salz- säure dargestellten. 0,409 Grm. gaben 1,181 Grm. Kohlensäure 78,75 p. C. Kohlenstoff, und 0,244 Grm. Wasser 6,62 p. C. Wasserstoff. Die Formel C,H,,0, ver- langt ۹ 50 p. C. Kohlenstoff und 6,54 p. C. Wasser- stoff. Die Hauptprodukte der Einwirkung einer alcoho- lischen Kalilósung auf das Benzoin beim Ausschlusse der Luft in einem geschlossenen Raume und erhóhter Temperatur sind also: Benzilsäure, Hydrobenzoin — — — —— und die nadelförmigen, von Claus beschriebenen Kry- | stalle. Die übrigen Produkte bilden sich nur in unbe- deutender Menge und nicht jedesmal. Da mir eine grosse Menge Bittermandelól zur Dis- position steht, so glaube ich, dass es nicht ohne In- teresse sein dürfte, das Benzoin und seine Derivate genauer zu studiren, um einige bei meinen früheren Arbeiten mit diesem Kórper noch unentschieden ge- bliebene Fragen zu lösen und seine Natur näher zu erörtern. Jetzt will ich nur eine interessante That- sache anführen: das Zerfallen des Benzoins durch die Einwirkung von Salzsäure im zugeschmolzenen Rohre : in Benzil und einen farblosen Körper, welcher in Äther und Alcohol sehr schwer löslich ist, aus letzterem aber gut krystallisirt erhalten werden kann. Ich be- . schäftige mich gegenwärtig mit der Untersuchung dieses Kórpers, sowie auch mit den Produkten der Nitrirung des Benzils, und hoffe bald die Resultate dieser Arbeit vorlegen zu kónnen. — E deeg BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a recu dans ses derniéres séances les ouvrages dont voici les titres: Homonyma inter nomina relativa auctore Abu") Fadhl Mo- hammed ibn Táhir al-Makdisi vulgo dicto Ibno'l-Kaí- saräni, ed. Dr. P. de Jong. Lugd. Bat. 1865. 8. Historia Khalifatus Omari IT Jazédi IT et Hischámi, ed. M. J. de Goeje. Lugd. Bat. 1865. 8. Journal asiatique ou recueil de mémoires publ. par la So- Ou asiatique. VI serie, tome III. IV. Paris 1864 5.8. EN, o T mn Society of Bengal. 1864 N° 5. Cal- cutta 1864, 8. Bibliotheca pri a collection of oriental works, publi- shed under the superintendence of the Asiatic Society of Bengal. N’ 203. 204 and New Series N* 44 —61 Calcutta 1863 — 64. 8. Chinesische Texte zu Dr. Joh. Heinr. Plath's Abh. II. Der Cultus der alten Chinesen. München 1864. 4. Code Annamite. Lois et réglements du royaume d'Annam. trad. du texte chinois par G. Aubaret. Paris 1865. 2 vol. 8 ER a IX année N° 52, Juillet. Alger 1865. 8. Martius (Carl Fr.-Phil. ei Glossaria linguarum Brasilien- sium. Erlangen 1863. 8. Sidler, Georg, Ueber die Wurflinie im leeren Raume. Bern 1 1865. 4. Libros del saber de Astronomia del Rey D. Alfonso X de Castilla, copilados, anotados y comentados por Don iu Rico y Sinobas. T. L—III. Madrid 1863—64. Wilcocks, Alex., Thoughts on the influence of ether in the solar system. Philadelphia 1864. 4. 157 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 158 Astronomical observations made at the r. Observatory, Greenwich in the year 1862. London 1864. 4. Imperiali Speculae Astronomicae Pulcoviensi a. d. VII id. Aug. a. MDCCCLXIV quintum lustrum exactum ce- lebranti gratulatur Universitas Literarum Caesarea Dorpatensis. Dorpati Livonorum 1864. 4. (Inest F. Mindingii disquisitio de formae, in quam geometra britannicus Hamilton integralia mechanices analyticae redegit, origine genuina). Braun; Carl, Das Passagen-Mikrometer. Leipzig 1865. 8. The American Ephemeris and Nautical Almanac for the year 1866. Washington 1864. 8. Asteroids for the year 1865. A supplement to the Amer- ican Ephemeris for 1866. Bulletin de la Société Linnéenne de Normandie. VII. et IX. vol. Caen 1864. 8. Mémoires de la Société Linnéenne de Normandie. XIII et XIV vol. Caen et Paris 1864 — 65. 4. Annales des sciences physiques et naturelles, d'agriculture et d'industrie, publiées par la Société Imp. d'Agri- culture ete. de Lyon. 3° série. T. VIL 1863. Lyon. 8. — de la Société Linnéenne de Lyon. Année 1863. Tome X. Paris 1863. 8. Verhandlungen des naturhistorischen Vereins der preussi- schen Rheinlande und Westphalens: 21ster Jahrgang. Bonn 1864. 8. Jahreshefte des Vereins für vaterländische Naturkunde in Württemberg. 20ster Jahrg. Heft 2. 3. Stuttgart 864. 8. Correspondenz - Blatt des zoologisch-mineralogischen Ve- reines in Regensburg. 18ter Jahrgang. Regensburg 1864. 8. Verhandlungen der Schweizerischen Naturforschenden Ge- sellschaft zu Zürich. 48te Versamml. Zürich 1864. 8. Mittheilungen der Naturforschenden Gesellschaft in Bern us dem Jahre 1864. Bern 1864. Mémoires de la Société de physique et d'histoire naturelle - de Genève. Tome XVII. 2° partie. Genève 1864. 4. Natuurkundige Verhandelingen van de Hollandsche Maat- ` schappij der Wetenschappen te Harlem. Tweede Ver- zameling. Deel 19, 21 Stuk 1. Harlem 1864. 4. Proceedings of the natural history Society of Dublin for the session 1863—64. Vol. IV. p. II. Dublin 1865. 8. Correspondenzblatt des Vereins für Naturkunde zu Pres- burg. IL Jahrg. 1863. Presburg. 8. Bulletin de la Société Impériale des Naturalistes de Mos- cou. Année 1865 N° II. Moscou 1865. 8. Natuurkundig Tijdschrift voor Nederlandsch Indié. Vijfde Serie Deel IV, aflev. 5. 6, V, afl. 1 — 6. Zesde Serie 1 I afl. 1. 2. Batavia 1862 — 63. 8. Proceedings of the Academy of natural sciences of Philad- elphia. 1864 N* 1 — 5. Philadelphia 1864. 8. Annals of the Lyceum of natural history of New York. Vol VEN SES | ; Charter, constitution and bylaws of the Lyceum of Nat- ural History in the City of New York. 1864. 8. Proceedings of the Boston Society of Natural History. Vol. IX f. 21 — 25. 8. Journal of the Portland Society of Natural History. Vol. I N° 1. Portland 1864. 8. Proceedings of the Portland Society of Natural History. Vol. I p. L Portland 1862. 8. Hough (G. W.), Description of an automatic registering and printing barometer. Albany 1865. 8. Nuovi elementi della scienza acustico-musicale applicabili alla scienza delle arti. Indagini e studi per Cesare de Horatiis. Napoli 1865 8. ugueny, F. Recherches expérimentales sur la dureté des corps et spécialement sur celle des métaux. Pa- ris 1865. 8. Lamy, A., Le thallium et ses principaux composés. Paris 1865. 8 Neimandt, A., Über die Verbindungsweise der in den or- ganischen Kórpern enthaltenen Mineralbestandtheile. Reval 1864. 4. The Journal of the chemical Society. Vol. IT, N* 10 — 12 III N* 1— 3. London 1864 — 65. 8. Hugueny, F., Recherches sur la composition chimique et les propriétés qu'on doit exiger des eaux potables. Paris 1865. 8 Correspondenza scientifica. Bulletino delle osservazioni ozonometriche-meteorologiche fatte in Roma da Ca- terina Scarpellini. Anno 1865, Luglio. i Observations made at the magnetical and meteorological Observatory at Trinity College, Dublin under the di- rection of the rev. Humphrey Lloyd. Vol. I. Dublin 1865. Annales de l'Observatoire physique central de Russie, pu- bliées par A. T. Kupfer. Année 1862. N° 1. 2. St.-Pé- tersbourg 1865. 4. Results of meteorological observations made under the di- rection of the United States patent office and the Smithsonian Institution from the year 1854 to 1859. Vol. II p. I. Washington 1864. 4. | Abstracts of meteorological observations made at the ma- gnetical observatory, Toronto, Canada West, during the years 1854 to 1859. Toronto 1864. 4. ` Abstracts of magnetical observations made at, the magnet- ical observatory, Toronto, Canada West, during the years 1856 to 1862 and during parts of the years 1853, 1854 and 1855. Toronto 1868. 5 Results of meteorological observations made at the ma- gnetical observatory, Toronto, Canada West, during the years 1860, 1861 and 1862. Toronto 1864. 4. Zeitschrift der deutschen geologischen Gesellschaft. XVII Bd. Heft 1. Berlin 1865. 8. d Seacchi (Arcangelo), Dei tartrati di stronziana e di barite. Napoli 1868. 4&5 GS nm ۱ عبر 150 Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint - Pétersbourg. 7 | * Delesse, hee? ^ géologie pour les années 1862 et 1863. 8 Kokscharow, Nik. e Materialien zur Mineralogie Russ- lands. Schluss von Band IV. St.-Petersburg 1864. 8. Abich, H., Beiträge zur geologischen Kenntniss der Ther- malquellen in den Kankasischen Ländern. 1te Lief. Tiflis 1865. 4. Scheerer, Th. Beiträge zur Erklärung der Dolomit - Bil- dung. Dresden 1865. 4. Meek, F. 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München 1864. 4 Mecklenburgisches Urkundenbuch. II. Band. (1251—1280). ` Schwerin 1864. Verhandlungen pare Senat und مس‎ (in Ham. ` burg) im Jahre 1864. Hamburg 1865 99 J. v., König Maximilian II 2 die Wissen. ` Rede. München 1864. 8. Archiv für wissenschaftliche Kunde von Russland. Band ` XXIV. Heft 1. 2. Berlin 1865. 8. ns | Baltische Monatsschrift. Band XL Heft 5. 6, XIL Heft Li Riga 1865. 8. Archiv für die Geschichte Liv-, Est- und Curlands, A ` gegeben D E Schirren. Neue Folge. Band III. IV. Reval 186 Report of the aile. of the e Survey - the year 1862. Washington 1864. Achtzehnter Jahresbericht der Staats - We Behörde | von Ohio, Columbus, Ohio 1864. 8. Transactions of the New York State Agricultural S Vol. XXIII — 1863. Albany 1864. 8 Riehl, W. H., Über den Begriff der BE. 3e schaft. München 1864. 4. Re- | Statistics of the foreign and domestic commerce of t United States. Washington 1864. 8. Exposition universelle d’horticulture au mois d'avril à E Amsterdam. Programme du congrès international de botanique et paire convoqué à Amsterdam le 7 du mois d’Avril 1 1 Randall, H. = The * practical ST 20th edition. R chester 1 Röpe, G. R. Ter die dramatische Behandlung der belungensage in Hebbel’s Nibelungen und Geibels Brunhild. Hamburg 1865. 4. و‎ ag Joh. van, Senis vota pro patria. Carmen e Amstelodami 1864. 8 Robiano, Fr. Ceslaus Maria de, De jure ecclesiae in Di versitates studiorum. Lovanii 1864. 8. E. Peter Petersen's zufallende Gedanken auf dem NW Jenaer Jubelfeier und zum Ham im Sommer 1858. Altona 1859. 8. Van der رم‎ Ad. Bern., Diss, theol. de processio sancti ex patre filioque. Lovanii 1864. 1 s Paru le 4 mai 1866. BULLETIN DE L’ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. TOME X. (Feuilles 11 — 22.) CONTENT: Page B. Dorn, Le Musée asiatique ER EEE O EET TE 161 — 168 Catalogue des ouvrages arabes, persans et turcs, publica à Constantinople, : en Egypte et en Perse, qui se trouvent au Musée asiatique de l'Académie...... 168— 213 BE WWE, Sur 16 Satele UU M ومح م مهم منم دم هو ما‎ rasen 213 — 220 L. F. Kámtz, e moyennes des jours de l'année, calculées d’après 51 années 1 ODER VIER ee همه هه موی‎ EE rra ER 220 — 229 K. E. de Baer, Ls Mens te d'un mamouth complet, dans le terrain ger de Siberie, près de 18 baie du Taz. (Avec une Planche.) ..............:..:........., 230 — 296 Rapport de la Commission nommée par l'Académie pour examiner la question sil y a ‘lieu de couper par le milieu la masse météorique connue sous le nom de météo- PIDE RAR E rv DESEE LU وج‎ Vai Vel ... 296 — 324 ZERO 800110891 een ae قا‎ RR Las ERI E Ce rd Y ROREM 324 — 347 ZEUGEN MONO TAPRE E EE EEN ler c hr n ERE 347 — 352 ` E di — — —— On s'abonne: chez MM. Eggers & Cie, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de PAcadémie (Koxnrert IIpaszenis Hxneparopcxoii Axaxexiu Hire et chez M. Léopold Voss libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 3 thalers de Prusse eed l'étranger Imprimerie de l'Académie 1 mpéristé des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, N° 12.) ee Een و .ن‎ BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Das asiatische Museum im Jahre 1865, von B. Dorn. (Lu le 1 mars 1866.) Vor Allem ist aus dem Jahre 1865 hervorzuheben ein Allerhöchster Besuch, dessen sich am 23. Januar die verschiedenen Museen der Akademie und unter ih- nen auch das asiatische von Seiten Sr. Majestät des jetzt regierenden Kaisers zu erfreuen hatten. Das asiatische Museum hat seit seiner Gründung im J. 1818 hinsichtlich der Erwerbungen verschiedene Phasen gehabt. Bald brachte ein Jahr überwiegend Handschriften, ein anderes Münzen und andere Alter- thümer, bald hielten dergleichen Bereicherungen ein- ander das Gleichgewicht. In der letzten Zeit sind solche jáhrliche Erwerbungen, namentlich an Münzen kärglicher gewesen. Der Grund davon liegt nicht nur darin, dass Vieles, was dem Museum zur Erwerbung angeboten wird, sich schon vorfindet und also nicht genommen wird, sondern auch, weil es in St. Peters- burg jetzt mehrere Anstalten giebt, in welchen solche wissenschaftliche Gegenstände, Handschriften, Mün- zen u. s. w. eine willkommene Aufnahme finden. Das ohnedies schon so reichlich ausgestattete asiatische Museum kann sich über den letzteren Umstand trö- sten. Wenn dergleichen Schätze sich nur an einem Orte befinden, wo sie den Gelehrten, namentlich Russ- lands, zugänglich sind, so ist es am Ende gleich, wo sie geborgen sind. Indessen sind dem Museum doch auch in den letz- ten Jahren Bereicherungen zugekommen, auf welche ‚es ein Recht hat stolz zu sein. Ich nenne hier nur aus dem J. 1864 die jüdischen Grabsteine aus der Krim‘) und die grosse Sammlung von chinesischen u. a. Werken, welche letztere dem Museum von dem asiatischen Departement des Ministeriums der aus- 1) Vergl. meinen Bericht vom J. 1864. Die da angekündigte Be- schreibung der Grabsteine von Hrn. Prof. Dr wolson ist vor Kurzem erschienen: Achtzehn hebrüische Grabschriften aus der Krim. St. Petersb. 1865. Tome X. wärtigen Angelegenheiten als Geschenk übergeben worden ist?). Auch das Jahr 1865 hat dem Museum schóne Er- werbungen gebracht, wie aus dem folgenden ersicht- lich sein wird. I. Die Bibliothek der Druckschriften hat sich um 484 Nummern vermehrt. Ich nenne unter den er- worbenen Büchern die Walton'sche Polyglotte und die Werke des Ephraem Syrus?). Ganz besonders aber hebe ich die Erwerbung der in Persien und Constantinopel gedruckten oder lithogra- phirten Schriften hervor. Es ist keinem Zweifel un- terworfen, dass eine Anstalt, wie das Museum, alle solehe im Oriente von Orientalen selbst herausgege- bene Schriften besitzen sollte. Aber solches ist bis ^|vor Kurzem mit Schwierigkeiten verknüpft gewesen. Trotz der Bemühungen Fraehn's und seines Nach- folgers war die Anzahl der in dem Museum befind- lichen Bücher der Art immer noch sehr beschrünkt geblieben. Endlich brachte das J. 1864, 111 in Ägyp- ten gedruckte Bücher ^. Die Akademie hatte sich ferner an die russische Gesandtschaft in Teheran gewandt, um die Bibliothek des asiatischen Museums hinsichtlich der in Persien herausgegebenen Schriften zu vervollständigen. In dem vergangenen Jahre ist ihrem Wunsche bis zu einem hohen Grade genügt worden. Dank der zuvorkommen- den Gefülligkeit des diesseitigen Gesandten in Tehe- ran, S. E. des G. R. Hrn. v. Giers, erhielt das Mu- seum 64 in Persien gedruckte Werke). Ein gleiches Gesuch war an die russische Mission in Constantinopel hinsichtlich der da erschienenen Bücher ergangen‘). Sie kam demselben mit nicht weniger Zuvorkommenheit entgegen. Das dasige Ge- 2) Vergl. ebenda. 3) ed. Rom. 1732 — 1746. 6 voll. fol. 4) Vergl. Bericht von 1864. 5) Vergl. ën bros 1864 und Protocoll 1863 55 174, 189 und 198, und 1865 $$ 43 6) Ibid. 1863 $8 We pe 198. e Bulletin de l’Académie Impériale 1 men gleichmässig. Jedoch auch die andern Curven zeigen eine solche fast gleichmässige Abkühlung. 2) Die Abweichungen von einer geraden Linie sind verhältnissmässig zur Länge der Linien sehr unbe- deutend und bilden mit Ausnahme des untersten Theils der Linie lange Wellen oder zickzackförmige Zeich- nungen, wobei alle Wellen oder Zickzacke mit einer positiven Schwankung (= Verzögerung der Abküh- lung) anfangen. Auf jede positive Schwankung folgt früher oder später eine negative (— Beschleunigung der Abkühlung), meist von gleicher Grösse, so dass durch diese wellenförmige Bewegung der Curve keine namhafte Abweichung von einer geraden Durchschnitts- linie, also eine namhafte Beschleunigung oder Verzö- gerung der Abkühlung gar nicht erreicht wird. 3) Alle 8 Linien sind in ihrem letzten Theile we- niger steil abfallend als in ihrem Anfange. Dadurch wird dieser Theil der Linie gegen Ende des Versuchs eine zur Abscisse leicht convexe. Ähnlich ist die von Jacoby (Ako6iü, Mea: Bbcranxs 1864) verzeichnete. Die Bedeutung dieser Convexität ist also die, dass die Schnelligkeit der Abkühlung gegen Ende des Ver- suchs etwas abnimmt. Die Abkühlung ist nicht unter + 20°C. Thierwärme gebracht, weil dann schon von einer Messung der Totalwärme des Thieres nicht mehr die Rede ist, sondern nur noch Partialwärme des anus, des Ohrs etc. gemessen werden können. Aus meinen Protocollen ist ersichtlich, dass diese wellenförmigen Linien mit den sehr energischen Be- wegungen des Thiers zusammenfallen; die Verlangsa- mung der Abkühlung gegen Ende der Versuche tritt ein, bald nachdem die Bewegungen des Thieres auf- gehört haben. Es sind, um auf den Curven diesen Moment sichtbar zu machen, bei jeder Linie kleine Kreuze gezeichnet, welche also den Augenblick an- deuten, wo im Protocoll steht, dass die Bewegungen aufgehört haben. Man wird finden; dass 4 mal dieser Augenblick eintrat nach dem Ende der achten Be- obachtung, einmal von Anfang an (N? 16); diese Linie ist auch beinahe ganz gerade. Diese Abkühlungscurven lassen also glauben, dass die Muskelbewegungen des abgekühlten und angebun- denen Thieres, so gewiss sie auch Wärme entwickeln, dennoch dieses in so geringem Grade thun, oder von einer solchen Abkühlung des Muskels (durch seine Ermüdung, durch die Steigerung der Herzfrequenz — Vermehrung der Wärmeemission?) gefolgt werden, dass im Verhältniss zur Abkühlung durch schmelzen- den Schnee, diese Erwärmung fast ohne Einfluss auf die Abkühlungszeit ist. Aufdie Verzögerung der Abkühlung gegen das Ende des Versuchs haben wahrscheinlich Einfluss die ab- nehmende Frequenz des Herzschlages und die all mählich abnehmende Differenz zwischen dem abkühlen- den Medium und der Eigenwärme des Thieres. Letz- tere allein kann eine gleichmässige Verzögerung der Abkühlung hervorbringen. Die Verlangsamung des Herzschlags im lebenden Thier jedoch ist sehr uns gleichmässig. Von ihr allein kann also eine gleich- mässige Verzögerung der Abkühlung nicht herrühren: Die Verlangsamung des Herzschlages ist nämlich in Beziehung auf den Wärmeverlust, wie ichin Dubois und Reichert’s Archiv bewiesen, gleich der Einhül- lung des Thieres in einen schlechten Leiter. Es ist also aus allem diesem ersichtlich, dass weder Herzschlag, noch Differenz zwischen Thier und Medium allein dié grossen Verschiedenheiten der Abkühlungszeiten er- klären können, denn die Abkühlung kann nicht: den Herzschlag bald beschleunigen, bald veio unverändert lassen. Oben ist die Frage aufgeworfen worden, 1) ob man, wenn der Anfang und das Ende einer Abkühlungs- curve gegeben sind, den Gang der Curve bestimmen könne; 2)ob, wenn Gewicht, Volumen, Initialtemperatur und Differenz zwischen abkühlendem Medium und Thier gegeben sind, man die Abkühl it besti könne; Die erste Frage kann man, ‚wie meine Curven be- weisen, relativ bejahend e , die letztere muss man durchaus verneinend entscheiden. Die Ab- kühlungszeit hängt ausser den gegebenen Grössen noch von anderen für jetzt unbestimmbaren ab. Eines kann aber, wie ich glaube, mit Sicherheit ausgesagt werden, dass das Endresultat dieser unbekannten Com- ponenten von der im anus oder im Ohr gemessenen Wärme des Thieres nicht abhängig ist, keine Function dieser Grösse darstellt, uen in diésem Falle kónnte die Abkü t Gesetze baar dastehen. Unter den gegebenen Umständen muss man zuge- ben, dass es sehr wohl möglich sei, dass diese schein- baren Ungesetzlichkeiten erklärbar seien, wenn die Quantität der Calories in einem jeden Thiere eine sehr wechselnde Grösse darstellten. )موز‎ 145 Ich habe mich allerdings bemüht, diese Frage durch positive Versuche zu lösen und seit Jahren darüber eine Menge Versuche angestellt. Diese sind aber kost- spielig und zur Vervollkommnung der Apparate müsste man eine Reise ins Ausland unternehmen, was mir bis jetzt nicht gelang. Meine Untersuchungen über diesen Gegenstand sind also noch nicht spruchreif. Ich will nun schliesslich noch einige Beobachtungs- protocolle über die Abkühlung von Kaninchen in Schnee von 0° mittheilen und einige Worte zur Be- urtheilung dieser Protocolle sagen. Die Protocolle enthalten die Versuche N’ 31-36, weil in ihnen die Luft des Laboratoriums constant zwischen = 10° und —+ 11? C. erhalten wurde. Versuch N* 31. Gewicht des Kaninch. = 1309,5. Differenzen zwischen den ein- Initialwärme des Kaninchens, dre i zelnen Beobachtungen.‏ وان 0,6 39,5 Alle5 Min. 38,9 1,2‏ beobachtet. 37,7 1,2‏ 1,0 36,5 1,2 35,5 0,8 34,3 0,9 33,5 Kë‏ 32,6 Bis hierher Be- 1,6‏ 31,3 wegungen. 1,4‏ 29,7 7 1,6 28,3 1,4 26,7 1,3 25,3 1,2 24,0 1,1 22,8 1,0 21,7 4Min. 20,7 0,7‏ 20 Versuch N’ 36. ‚Gewicht — 895. 1 Wärme etc. Differenzen etc. 39,8 3,1 36,7 2,2 34,5 2,0 32,5 2,1 ‚30,4 2,7 27,7 Bis hierher Be- 2,4 pua. sangen. 1,4 23,6 1,8 21,8 1,5 20;3 0,3 20,0 Tome X. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 146 Versuch N° 35, DUE INN. Differenzen etc. 40,3 1,9 38,4 1,7 36,7 1,8 34,9 1,5 33,4 1,6 31,8 1,4 30,4 1,7 28,7 1,4 27 a Die Bewegungen 1,9 9 ‚4 hör ren auf. 1,5 23,9 1,4 22,5 1,2 21,3 1,3 20,0 Versuch N’ 34. mes vs pus Differenzen etc, 40,5 1,9 38,6 1,2 37,4 1,7 35,7 1,8 33,9 0,8 33,1 1,6 31,5 0,4 Urinabgan Wë | € 31,1 1,4 auf das Ther- 29,7 Bis hierher Be- 1,2 mometer Einfl. ni o Nue ; 2و‎ wegungen 26,0 18 ی‎ ogienak 24,7 1,0 23,7 0,8 22,9 0,8 22,1 1,0 211 1,0 20,1 0,1 LG Min. 20,0 Versuch N’ 33. Gewicht — 539,2. M E ^y we Menos i 38,7 2,1 36,6 2,9 33,7 m4 “1,8! 2,4 Bulletin de l’Académie Impériale 148 147 Gewicht = 539,2. Differenzen etc. rme etc. 28,9 2,2 26,7 2,0 24,7 2,0 22,7 1,7 21,0 1,0 3 Min. 20,0 Man sieht aus der Folge der Differenzen, welche natürlich den Curven entsprechen, die Eigenthümlich- keiten der Curven noch deutlicher. Es ergiebt sich 1) dass sie eine gewisse Zu- und Abnahme, so lange noch Bewegungen der Skeletmuskeln Statt finden, darstel- len, dass dagegen in den meisten Fällen 2) vom Auf- hören der Bewegungen an die Differenzen eine stetige Abnahme darbieten, 3) dass somit fast alle Beobach- tungen zu Ende kleinere Differenzen darbieten, als am Anfange. Die Muskelbewegung hat also nicht, wie man doch erwarten könnte, einen verzögernden, son- dern eher einen beschleunigenden Einfluss auf die Schnelligkeit der Abkühlung. Die Beobachtungen von Helmholz, Meyerstein und Thiry, Heidenham etc. widersprechen diesem Resultate nicht. Denn obgleich sie beweisen, dass die Contraction des Muskels ihn erwärmt, so haben alle diese Forscher am ausgeschnit- tenen Muskel operirt und nicht angegeben, auch nicht angeben kónnen, was im Muskel geschieht, wenn er ermüdet sich nicht mehr contrahiren kann. Es ist also wohl móglich, dass er beim nothwendigen Ausruhen sich abkühlt. Es ist aber auch möglich, dass die schnel- lere Erkaltung der Thiere nach der Muskelcontraction davon herrührt, dass gleichzeitig mit der Muskelcon- traction auch der Herzschlag beschleunigt und dann die grössere Abkühlung durch die schnellere Circula- tion die Erwärmung durch die Muskelarbeit wieder ausgleicht oder sogar übertrifit. Ebenso wenig werden meine Beobachtungen ver- dächtigt durch die erwärmende Kraft des natürlichen oder künstlichen Tetanus. Denn dieser ist eine per- manente oder beinahe permanente Contraction aller Skeletmuskeln, und der Zustand des Herzens ist da- bei unbekannt. Es kommt also schliesslich darauf hinaus, dass die die Abkühlung verzögernde Erwärmung durch die Mus- kelcontraction nicht zu leugnen ist, dass dieses aber nur für die Zeit der Contraction und kurz nachher gilt, dass aber, sobald es sich um längere Zeiträume handelt, die auf Kosten der C. Verbrennung bewerkstelligte Muskelarbeit schliesslich doch keine Verzögerung der bis auf einen gewissen Punkt getriebenen Abkühlung bewirkt. Der Mensch freilich, wenn er abgekühlt wird, kämpft dagegen durch künstliche, gewaltsame Bewegungen; | das Thier aber kauert sich zusammen, verkriecht sich, wobei die, Wärme emittirende Oberfläche sich verklei- nert. Damit scheint das Resultat meiner Abkühlungs- versuche vollkommen im Einklange zu sein. Es ist aber freilich zu berücksichtigen, dass die Bewegungen eines Thieres in der Freiheit und die eines angebun- denen Kaninchens von einander quantitativ wohl ver- schieden sind. Meine Versuche geben auf die Hauptfrage, um welche es sich hier handelt, allerdings keine Antwort: nämlich ob es irgend einen besondern, vom Willen des Thieres unabhängigen regulatorischen Apparat für die Wärmebildung des Thieres giebt, aber so viel ist gewiss, dass, wenn ein solcher besteht, er nicht im Stande ist, schnell diejenigen Ungleichheiten aus- zugleichen, welche durch die Muskelarbeit in die Ab- kühlungscurve eingeführt werden. Dagegen scheint der ungleichmässig sich verlangsamende Herzschlag keine unregelmässigen Biegungen in der Curve hervor- zubringen. Anhang Obgleich die Tabelle N° 1 schon an einigen Stellen dieser Abhandlung erläutert worden ist, so will ich doch der Vollständigkeit wegen diese Erläuterung schliesslich wiederholen. Die ersteColumne enthält die Nummer des Versuchs, die zweite das Gewicht des Kaninchens in Grammen, unmittelbar vor der Abkühlung, die dritte das Volu- men in Theilen eines Litre, die 4te die Wärme des zur Bestimmung des Volumens dienenden Wassers vor und nach dem Eintauchen des Thieres, kurz vor dem Ablesen der Theilung. Die 5te bedarf keines Com- mentars, ebenso die 6., 7. Die Ste enthält die Maxima und Minima der Differenzen von je 2 Wärmeablesun- gen. Die 9te Columne giebt die Schlusswärme und etwaige Correctur an. TR ERLERNEN Magie Ze A WE EE EU ES me s puer "ode TRUE MERO REV ا‎ TIG EV PU NIE اهار وي‎ E Ballen d Acad d sc. X D'AMalther Studien im Gebicte dThermopthgsiologee —— STIS da NES ۳ E = KC E SE [a C N RS xa tt qr 95 Nor X36 — NEE X Me NEN d5 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Tabelle über die Erkaltungszeit des Kaninchens bis zu + 20° C. E? D wW eo ` 2 . 4'3 „| Wärme des |Thi im | 5 Differenz | وی‎ ; . ld بو‎ ieres beim | & . LE „= -ENER 2| Wassers. | Anfange des | 28 Va dE E ic FE Versuchs. | $$ | M5 2 SN SS $8 SEL : " 42 5 1888 Bemerkungen. Sp | 2 lias agiert EE me | 4% | 9 و او‎ ٩ | 5 | 5 ٩ | OKC 8 = Lë ۵ o 5-65 |۳۵ 2 عم = ده‎ E | ۶ 5 4.8 mn امه‎ 8 253 ]ات ۶۰ | وه‎ 6 ٩ | 33 s3|33|% zi a nz -E d ایا‎ AS INS ERIS 29 ۱118079 11 |14,4°0.115,6°0.139,4°0.39,4°0.| 68 | 26 | 0,9 | 20°C. Das Thier war 24 Stunden in ei- Deci- ner Temperatur von -+ 16° litres und war reichlich gefüttert. 33 | 9952| 9,7 14,5 | unbe- 139,5 139,5 | oo 1,8 | 08 | 20 | Idem. kannt. 81 1309,5 | 16,5 114,6 ۱18, |......|89,5 84 1,6 | 0,6 | 20 Idem. Die Wärme des Labora- torii bei dem Versuche zwi- schen +10 und A 11° 0. er- 33 | 5892] 45 142 1152 |......887 | 43 | 29 | Lë |20 | Idem. 34 ۱14802 | 13,75 115,38 117 .: ۰۰۰۰40, 85 1,9 0,6 | 20 Idem. Lebhaftes Weibchen. 35 11024 |10 1153 1168 |..... ‚140,8 65 1,9 | 1,2 | 20 Idem. Sehr lebhaftes Weibchen. 36 | 895 | 7,5 |159 176 |......139,8 | 45 | 31 | 15 |20 | Idem. 15 | 799 | nicht 893 188,7 58 21 | 09 | 20 Aus dem vormaligen Zustande be- Corr von + 16° C. und nach reich- stimmt licher Fütterung wührend 24 Stunden. 16 | 741,8 | 7,5 | nicht gemes-|39,8 |39 46 2,5 | 1,5 | 20,1 | Wärme und Fütterung wie oben. sen. kein Corr 17 | 759,3 | 7,5 1145 |......| unbekannt | 0 2,3 | 1,7 | 20 Idem. 18 | 789,8 | 85 157 |...... 898 |395 | 61 | L8 | 13 |20 | Idem. 19 | 6682 | 7 |nicht bekannt38,8 86,7 52 2,7 | 0,6 | 20 Idem. Schwarzes Kaninchen. 20 | 8956 | 85 |129 (138 op |38 47 | 4(?) 02 |20 | Idem. Schwarz-weisses. 21 11244,2 | 12,8 ۱14 |152 1885 8 90 | 15 | 04 | 20 | Idem. Weisses, früher zu andern 3 2 H A U Versuchen benutzt. Die Section bin nichts Besonderes T den Wirkungen d.Kälte merkung, Die Bestimmungen des Volumens sind ie? nn ins Wasser gemacht. Die Thiere blieben A rond etwa 1 Stunde untergetaucht, bis die Luft aus den Haaren das یا‎ Die Erwärmung ist is سس‎ Correctionen vin و‎ ig Keines der Volumen- Bestimmungen baren Resultate führte zu twichen war. Dabei erwärmte sich 10* 151 Bulletin de lAcadémie Impériale 152 Eozoon Canadense im Kalkstein von Hopunwara in Finnland, von Prof. Pusyrewski. (Lu le 16 novembre 1865.) Die krystallinisch geschichteten Gesteine des Wi- borger Gouvernements bilden einige vollkommen selbst- ständige Gruppen oder Formationen, die in ihrer Ver- breitung unabhängig von einander auftreten. Kommen dieselben zusammen vor, so folgen sie auf einander in concordanter Lagerung, die wahrschein- lich durch ein gemeinsames Erhebungssystem bedingt wird. Das untere Schichtensystem ist im Gouvernement Wiborg am bedeutendsten entwickelt. Es besteht aus | mächtigen Lagern röthlichen Orthoklas-Gneuses, dem weniger mächtige CRU grauen Weier Motet Gneuses j t geordnet sind. Die letzteren Gesteine bilden i in diesem System ziemlich beständige Horizonte. In der Umgegend und auf den Inseln des Ladoga- Sees kommt oberhalb dieser Gruppe ein petrographisch verschiedenes Schichtensystem vor. Es wird charak- terisirt durch das fast gänzliche Zurücktreten von Orthoklas, der meistens von einem klinoklastischen Feldspath ersetzt wird, durch eineverwickeltereSchich- tenfolge und durch eine deutlichere Schieferung der Gesteine der oberen Etage dieses Systems. Die untere Etage des oberen Schichtensystems be- steht aus wenig mächtigen, aber petrographisch man- nigfaltigen Schichten, denen verschiedene Mineralien beigemengt sind. Kupferkies, Zinnstein, Molybdän- glanz, Magneteisenstein, Vesuvian, Skapolith u.dgl.m. kommen meistens in den Schichten dieser Etage vor. Wahrscheinlich ist das Erzlager von Pitkäranda, mög- licher Weise auch die anderen Erzlager Finnlands, diesen Schichten untergeordnet. Die obere Etage des oberen Schichtensystems, obgleich mächtiger ent- wickelt, bildet eine weniger complieirte Schichten- folge. Sie besteht hauptsächlich aus dunkelm schief- rigen Gneus, der in Graphit-Gneus übergeht, sobald der Glimmer durch Graphit ersetzt wird; der erstere wird öfters durch Hornblende verdrängt. An Feld- spath (klinoklastischem) ist dieser Gneus arm, dagegen führt er Quarz in Üebermaass, der häufig parallele Zwischenlager bildet. In den unteren Schichten bei- der Etagen kommen Lager krystallinischer Kalksteine vor; die der oberen Etage sind ziemlich mächtig ent- wickelt und dem dunkeln Gneus untergeordnet; sie werden von Nordenskiöldit in parallelen Streifen durch- setzt. Sie sind besonders schón in Russkjala, auf der Insel bei Jovensu und auf der Insel Pusunssari bei Pitkäranda zu sehen. Die Kalksteine der unteren Etage kommen auf Pu- sunssari und in Hopunwara bei Pitkäranda vor, bilden aber keine mächtigen Lager und enthalten unter vie- len anderen Mineralien Serpentin von wachsgelber Farbe, der bald in dünnen Schichten, bald in kleinen rundlichen oft parallel gelagerten Massen eingesprengt ist. Bei einer mikroskopischen Untersuchung dünner Platten des von Serpentin durchzogenen Kalksteins fand ich eine überraschende Ähnlichkeit mit dem Bau des Eozoon Canadense, einer gigantesken Rhizo- podenart, die, aus den Kalksteinen des Laurentian- systems in Canada, von Logan, Dawson und Car- penter beschrieben worden ist. Man sieht unter dem Mikroskop im Kalkstein von Hopunwara eine Menge Höhlungen, die von Serpentin erfüllt sind, an dem eine concentrisch schalige Struk- tur zu beobachten ist. Die grossen Höhlungen, die den Kammern des Thieres entsprechen, stehen unter einander durch Kanäle in Verbindung, welche eben- falls an verschiedenen Stellen Serpentin enthalten. An vielen dieser Höhlungen sind noch die eigenen Wände erhalten, von röhrenförmigem, ihnen eigenthümlichem - 1 Bau. Endlich konnte ich in einem Schliff des zwischen- — liegenden Kalkskelets dieser Versteinerung ein deut- liehes System sich verzweigender róhrenfórmiger Ka- näle beobachten. Dieses überzeugte mich vollkommen M von der Identität der organischen Überreste aus dem M Kalkstein von Hopunwara mit dem Eozoon Canadense — Dawson. 1 Die Entdeckung dieser Versteinerung in den kry- — stallinischen Gesteinen Finnlands wirft ein ۵ Licht : auf ihre geologische Stellung und beweist, dass die- : 3 selben zum grössten Theil dem Laurentiansystem von Canada entsprechen. Noch fällt es aber schwer, eine 1 vollständige Parallele der Gesteine dieser zwei von i einander so fern liegenden Bassins zu ermitteln. i Wir glauben also, dass beide beschriebenen Gruppen — der Wiborgschen Gesteine dem Laurentiansystem üqui- — valent. sind, und obgleich wir dieselben als zwei von einander ä ti betrachten, so legen 3 wir auf diese locale ‚Verschiedenheit noch kein zu gres d ۱ TO uge AE N E E nr LL EAN RA 153 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 154 ses Gewicht und können daher einstweilen die Pa- rallelität unserer beiden Systeme mit den oberen und | unteren Gruppen des Laurentiansystems in Canada nicht behaupten. Beobachtungen über Benzoin, von N. Zinin. (Lu le 8 mars 1866.) \ Bekanntlich geben Benzil und Benzoin beim Kochen mit einer aleoholischen Kalilösung das Kaliumsalz der Benzilsäure; bei dieser Reaction ist keine Bildung von Nebenprodukten bemerkbar, mit Ausnahme einer klei- nen Menge eines harzartigen Körpers. Für das Benzil kann der Process durch die Gleichung C, Ho Og + KHO = vB. KO, ausgedrückt werden, die Gleichung für das Benzoin zeigt aber einen Überschuss von Wasserstoff: Uu H40, + KHO = Cu H KO, + Hi Dieser Wasserstoff wird während der Bildung des Kali- umsalzes beim Zutritte der Luft von dabei absorbirtem Sauerstoffe in Wasser übergeführt; es blieb aber die Frage zu beantworten, was bei der Einwirkung einer aleoholischen Kalilósung auf das Benzoin in einem verschlossenen Gefässe bei Ausschluss der Luft ge- schehen wird. Zur Lósung dieser Frage brachte ich in ein an einem Ende zugeschmolzenes und an dem andern Ende in einen ungefähr 2 Millimeter weiten Kanal ausgezoge- nes Glasrohr 30 Grm. Benzoin, übergoss dieses mit soviel 93°/ Alcohol, dass es ganz damit benetzt wurde, und noch eine Schicht von 2 Centimeter darüber stand, und trug nun durch einen Trichter, dessen langes Rohr bis in den Alcohol reichte, eine Auflösung von 10 Grm. Ätzkali in 30— 35 Grm. desselben Alcohols ein, worauf noch so viel Aleohol obenauf gegossen wurde, dass die ganze Menge desselben 60—65 Grm. betrug, und in dem Rohre, das verengerte Ende un- gerechnet, noch ein leerer Raum von 10 Centimeter blieb. Nun wurde das verengerte Ende in eine feine Spitze ausgezogen, dann die oberste Schicht des Alco- hols gekocht, um die Luft auszutreiben, und während des Kochens die Spitze zugeschmolzen. Als nun nach dem Erkalten der Inhalt des Rohres bis zur gleich- mässigen Mischung durchgeschüttelt wurde, nahm das Gemenge eine ziemlich dunkle, grünlichgelbbraune H Farbe an, das Benzoin löste sich bei gelindem Er- wärmen grösstentheils auf, besonders wenn es in fein zerriebenem Zustande angewendet worden war; bald nachher aber änderte sich die Farbe der Flüssigkeit in eine mehr rothbraune um, und endlich gestand letztere gänzlich zu einer fast gallertartigen Masse. Wenn man nun ein solches Rohr 24 Stunden stehen lässt und dann öffnet, so findet man darin fast nur unverändertes Benzoin; erhitzt man es aber 15 Stunden lang bis + 120—130° C., oder 5 Stunden lang bis + 160 ب‎ 170°, so findet man in dem heissen Rohre eine röth- lichgelbe Flüssigkeit, welche beim Erkalten zu einer mit einem schuppigen Körper erfüllten Masse gesteht, Bricht man das dünne Ende des Rohres unter Wasser ab, so steigt das Wasser in das Rohr hinein und er- füllt es beinahe gänzlich; schmelzt man das Rohr wieder zu und schüttelt die Masse durch, so löst sich die ganze feste Masse in dem Wasser zu einer gelben Flüssig- keit auf. Öffnet man nun das Rohr wieder, giesst den Inhalt desselben von dem, aus einer kleinen Menge Kieselsäure bestehenden Ungelösten ab und ver- mischt ihn nun mit ungefähr seinem sechsfachen Vo- lumen Wasser, so trübt sich das Gemenge und setzt einen ölartigen, gelblichen oder orangefarbenen Körper ab, welcher sich bald in eine feste krystallinische Masse verwandelt, während die über ihm stehende Flüssig- keit sich mit fast vollkommen farblosen blättrigen und nadelförmigen Krystallen erfüllt. Durch Filtriren der Flüssigkeit und Trocknen der ganzen festen Ausschei- dung zwischen Fliesspapier erhielt ich ungefähr 13 ` Grm. krystallinische Substanz, welche grösstentheils aus Hydrobenzoin bestand, aber auch nadelförmige Krystalle enthielt, welche in allen ihren Eigenschaften den von Claus*) bei der Einwirkung von Natrium- amalgam auf eine ätherische Lösung von Bittermandelól erhaltenen ähnlich waren. Das Papier, zwischen dem die krystallinische Masse gepresst worden war, hatte etwas harzartige und lige Substanz eingesogen, von denen letztere den Geruch des Benzylalcohols "me Beim Destilliren der von den Krystallen abfiltrirten Flüssigkeit erhielt ich, wenn ieh den zuerst über- gehenden Alcohol besonders auffing und die Vorlage wechselte, wenn das Destillat sich zu trüben anfing, in letzterem ein wenig der oben erwühnten nadelför- .*) Ann. der Chem, ¥ CXXXVII p. 92. - 155 Bulletin de l'Académie Impériale 156 migen Krystalle, und die im Destillirapparate zurück- bleibende Flüssigkeit enthielt zuweilen schuppige, in Wasser unlösliche und in Alcohol sehr schwer lösliche Krystalle (bis 0,7 Grm.). Die Bildung dieser Schuppen beobachtete ich nur dann, wenn das Rohr schnell zu einer sehr hohen Temperatur erhitzt worden war. Aus der wässrigen alkalischen Flüssigkeit fällte Salz- säure neben etwas Kieselsäure ungefähr 13 Grm. eines in Alcohol löslichen Körpers; ein Theil davon löste sich in wässrigem Ammoniak, und aus dieser Lösung fällten Säuren ungefähr 8 Grm. eines alle Eigen- schaften der Benzilsäure besitzenden Körpers, dem jederzeit eine kleine Menge Benzoesäure beigemengt war, wenn der Versuch, wie eben beschrieben, aus- geführt worden war, ohne dass die Erhitzung zu schnell und zu stark gewesen war. Das in Ammoniak Unlös- liche erwies sich als ein nadelförmiger Körper, ge- mengt mit einer kleinen Menge eines den Geruch des Benzylalcohols besitzenden Öles. Die Trennung des Hydrobenzoins von den Nadeln und dem ölartigen Körper ist in Folge seiner leichten Krystallisationsfähigkeit aus Äther und Alcohol nicht schwer. Vollkommen reine rhombische Tafeln dieses Körpers wurden der Einwirkung von schwacher Sal- petersäure unterworfen und verwandelten sich dadurch in Benzoin. Der bei + 136° C. liegende Schmelz- punkt derselben sowohl, als auch ihre Analyse bestä- tigten die Identität des so gewonnenen Hydrobenzoins mit dem aus einer alcoholischen Lösung von Bitter- mandelöl durch die Einwirkung von Zink und Salz- säure dargestellten. 0,409 Grm. gaben 1,181 Grm. Kohlensäure — 78,75 p. C. Kohlenstoff, und 0,244 Grm. Wasser — 6,62 p. C. Wasserstoff. Die Formel C,,H,,0, ver- langt 78,50 p. C. Kohlenstoff und 6,54 p. C. Wasser- stoff. Die Hauptprodukte der Einwirkung einer alcoho- lischen Kalilósung auf das Benzoin beim Ausschlusse der Luft in einem geschlossenen Raume und erhóhter Temperatur sind also: Benzilsäure, Hydrobenzoin und die nadelförmigen, von Claus beschriebenen Kry- stalle. Die übrigen Produkte bilden sich nur in unbe- deutender Menge und nicht jedesmal. Da mir eine grosse Menge Bittermandelöl zur Dis- position steht, so glaube ich, dass es nicht ohne In- teresse sein dürfte, das Benzoin und seine Derivate genauer zu studiren, um einige bei meinen früheren Arbeiten mit diesem Kórper noch unentschieden ge- bliebene Fragen zu lösen und seine Natur näher zu erürtern. Jetzt will ich nur eine interessante That- sache anführen: das Zerfallen des Benzoins durch die Einwirkung von Salzsäure im zugeschmolzenen Rohre in Benzil und einen farblosen Körper, welcher in Äther und Alcohol sehr schwer löslich ist, aus letzterem aber gut krystallisirt erhalten werden kann. Ich be- . schäftige mich gegenwärtig mit der Untersuchung dieses Körpers, sowie auch mit den Produkten der Nitrirung des Benzils, und hoffe bald die Resultate dieser Arbeit vorlegen zu können. 2 t PS m BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a recu dans ses derniéres séances les ouvrages dont voici les titres: Homonyma inter nomina relativa auctore Abu’] Fadhl Mo- hammed ibn Táhir al-Makdisi vulgo dicto Ibno'l-Kaí- sarání, ed. Dr. P. de Jong. Lugd. Bat. 1865. 8. Historia Khalifatus Omari 1۳ Jazédi IL et Hischämi, ed. M. J. de Goeje. Lugd. Bat. 1865. 8. Journal asiatique ou recueil de mémoires publ. par la So- ciété AA VI serie, tome III. IV. Paris 1864 Journal of de -— Society of Bengal. 1864 N* 5. Cal- cutta 1 Bibliotheca reni a collection of oriental works, publi- shed under the superintendence of the Asiatic Society of Bengal. N° 203. 204 and New Series N° 44 — 61 Calcutta 1863 — 64. 8. Chinesische Texte zu Dr. Joh. Heinr. Plath's Abh. II. Der Cultus der alten Chinesen. München 1864. 4. Code Annamite. Lois et réglements du royaume d'Annam. von E texte chinois par G. Aubaret. Paris 1865. 2 ER ne IX année N° 52, Juillet. Alger 1865. 8. Martius(Carl Fr.-Phil. v.), Glossaria linguarum Brasilien- sium. Erlangen 1863. 8. Sidler, Georg, Ueber die Wurflinie im leeren Raume. Bern 1865. 4. Libros del saber de Astronomia del Rey D. Alfonso X de Castilla, copilados, anotados y comentados por Don Manuel Rico y Sinobas. T. I—III. Madrid 1863—64. Fol. erek ed Thoughts on the influence of ether in lar system. Philadelphia 1864. 4 rim) ا‎ DM des Sciences de Saint- Petersbourg. 158 Astronomical observations made at the r. pi Greenwich in the year 1862. London 1864. 4. Imperiali Speculae Astronomicae Pulcoviensi a. d. VII id. Aug. a. MDCCCLXIV quintum lustrum exactum ce- lebranti gratulatur Universitas Literarum Caesarea Dorpatensis. Dorpati Livonorum 1864. 4. (Inest F. Mindingii disquisitio de formae, in quam geometra britannieus Hamilton integralia mechanices analyticae redegit, origine genuina). Braun, Carl, Das Passagen-Mikrometer. Leipzig 1865. 8. The American Ephemeris and Nautical Almanae for the year 1866. Washington 1864. 8. Asteroids for the year 1865. 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Statistics of the foreign and domestic commerce of the United States. Washington 1864. 8 Exposition universelle d'horticulture au mois d'avril à msterdam. Programme du congrés international de botanique et ee convoqué à Amsterdam le 7 du mois d'Avril 186 Randall, H. S., The SZ shepherd. 20th edition. Ro- Chester 1864, 8 Röpe, G. R. Über die dramatische Behandlung der Ni- belungensage in Hebbel’s Nibelungen und Geibel’s Brunhild. Hamburg 1865. 4. cum. Amstelodami 1864. 8 versitates studiorum. Lovanii 1864. Peter Petersen's zufallende Gedanken auf dem Wege zur Jenaer Jubelfeier und zum Hamburger Kirchentage im Sommer 1858. Altona 1859. 8. | Van der Moeren, Ad. Bern., Diss, theol. de processione ` Spiritus sancti ex patre filioque. Lovanii 1864. 8. Paru le 4 mai 1866. Leeuwen, Joh. van, Senis vota pro patria. Carmen elegia- i Allen, H., Monograph of the bats of North America. P. Robiano, Fr. Ceslaus Maria de, De jure ecclesiae in Uni- ; 1 c E e, EE e à tn te LES Mer tee E T. X, N° 2. BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. TOME X. (Feuilles 11 — 22.) (CONTENU: Page a 20 08 15909: 2 مریم‎ EEN ae مهم‎ muet E RII 161 — 168 سس‎ (Catalogue des ouvrages arabes, persans et turcs, publiés à Constantinople, en Egypte ‚et en Perse, qui se trouvent au Musée asiatique de l'Académie...... 168— 213 VE NEUE, Sur le satele UE BIDUNL doo (looo oe sense ما مه‎ e APTE 213 — 220 L. F. Kämtz, Températures moyennes des jours de l'année, calculées wf ait 51 années i ODER و‎ CU VUELVE wieecees cierto cesa sio Iii i 20 — 229 , K. E, de Baer, La découverte d'un mamouth complet, dans le terrain Jes de Sibérie, prés de 1a baie du Taz. (Avec une Planche) .................. مه هه‎ 230 — 296 Rapport de la Commission nommée par l'Académie pour examiner la question sil y a ‘lieu de couper par le milieu la masse météorique connue sous le nom de météo- rne d واه میج وب یه‎ sd Ei EE AME LEA IET eie : ed 4. 296 — 324 EE UES 509111008 Lei vue tue neue rer 3I ESL که‎ exo ark vua اه‎ Ee 324 — 347 BRUCE DIDHORTEPIHUNE ی‎ EN a POPE AEN NE 347 — 352 ` ee‏ س On s’abonne : chez MM. Eggers & Ce, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l'Académie (Koxurers Ilpaszenis Hwneparopexoi Axaxeuiu Te et chez M. Léopold Voss libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 8 thalers de Prusse vom l'étranger. Imprimerie de l’Académie Inpériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9* ligne, N° 12.) BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOTRG. Das asiatische Museum im Jahre 1865, von B. Dorn. (Lu le 1 mars 1866.) Vor Allem ist aus dem Jahre 1865 hervorzuheben ein Allerhöchster Besuch, dessen sich am 23. Januar die verschiedenen Museen der Akademie und unter ih- nen auch das asiatische von Seiten Sr. Majestät des jetzt regierenden Kaisers zu erfreuen hatten. Das asiatische Museum hat seit seiner Gründung im J. 1818 hinsichtlich der Erwerbungen verschiedene Phasen gehabt. Bald brachte ein Jahr überwiegend Handschriften, ein anderes Münzen und andere Alter- thümer, bald hielten dergleichen Bereicherungen ein- ander das Gleichgewicht. In der letzten Zeit sind solche jáhrliche Erwerbungen, namentlich an Münzen, kärglicher gewesen. Der Grund davon liegt nicht nur darin, dass Vieles, was dem Museum zur Erwerbung angeboten wird, sich schon vorfindet und also nicht genommen wird, sondern auch, weil es in St. Peters- burg jetzt mehrere Anstalten giebt, in welchen solche wissenschaftliche Gegenstände, Handschriften, Mün- zen u. s. w. eine willkommene Aufnahme finden. Das ohnedies schon so reichlich ausgestattete asiatische Museum kann sich über den letzteren Umstand trö- sten. Wenn dergleichen Schätze sich nur an einem Orte befinden, wo sie den Gelehrten, namentlich Russ- lands, zugänglich sind, so ist es am Ende gleich, wo sie geborgen sind. Indessen sind dem Museum doch auch in den letz- ten Jahren Bereicherungen zugekommen, auf welche ‚es ein Recht hat stolz zu sein. Ich nenne hier nur aus dem J. 1864 die jüdischen Grabsteine aus der Krim ^) und die grosse Sammlung von chinesischen u. 2. Werken, welche letztere dem Museum von dem asiatischen Departement des Ministeriums der aus- 1) Vergl. meinen Bericht vom J. 1864. Die da angekündigte Be- schreibung der Grabsteine von Hrn, Prof. Dr. Chwolson ist vor Kurzem erschienen: Achtzehn hebräische Grabschriften aus der Krim. i: e sb. 1865. e X. wärtigen Angelegenheiten als Geschenk übergeben worden ist”). Auch das Jahr 1865 hat dem Museum schöne Er- werbungen gebracht, wie aus dem folgenden ersicht- lich sein wird. I. Die Bibliothek der Druckschriften hat sich um 484 Nummern vermehrt. Ich nenne unter den er- worbenen Büchern die Walton’sche Polyglotte und die Werke des Ephraem Syrus?). Ganz besonders aber hebe ich die Erwerbung der in Persien und Constantinopel gedruckten oder lithogra- phirten Schriften hervor. Es ist keinem Zweifel un- terworfen, dass eine Anstalt, wie das Museum, alle solche im Oriente von Orientalen selbst herausgege- bene Schriften besitzen sollte. Aber solches ist bis vor Kurzem mit Schwierigkeiten verknüpft gewesen. Trotz der Bemühungen Fraehn's und seines Nach- folgers war die Anzahl der in dem Museum befind- lichen Bücher der Art immer noch sehr beschrünkt geblieben. Endlich brachte das J. 1864, 111 in Ägyp- ten gedruckte Bücher ^. Die Akademie hatte sich ferner an die russische Gesandtschaft in Teheran gewandt, um die Bibliothek des asiatischen Museums hinsichtlich der in Persien herausgegebenen Schriften zu vervollständigen. In dem vergangenen Jahre ist ihrem Wunsche bis zu einem hohen Grade genügt worden. Dank der zuvorkommen- den Gefälligkeit des diesseitigen Gesandten in Tehe- ran, S. E. des G. R. Hrn. v. Giers, erhielt das Mu- eum 64 in Persien gedruckte Werke’). Ein gleiches Gesuch war an die russische Mission in Constantinopel hinsichtlich der da erschienenen Bücher ergangen‘). Sie kam demselben mit nicht weniger Zuvorkommenheit entgegen. Das dasige Ge- una 2) Verg]. ebenda. 8) ed. Rom. 1732 — 1746. 6 voll. fol. 4) Vergl. Bericht von 1864. 5) Vergl. Mis er 1864 und Protocoll 1863 55 174, 189 und 198, und 1865 88 43 : 6) Ibid. 1863 $8 Le ‘und 198. 11 Bulletin de l'Académie Impériale neralconsulat”) erwarb unter Mitwirkung des Can- didaten der St. Petersburger Universität Maximov 77 in Constantinopel gedruckte oder lithographirte Werke, welche nunmehr dem Museum zugekommen sind. Es war ausserdem eine Tebriser und eine Bu- laker Druckschrift, so wie der Mutawwel des Tef- tasany handschriftlich in der Sendung. Auf diese Weise beläuft sich mit Hinzurechnung des alten Fonds die Anzahl der Druckwerke aus Per- sien, Constantinopel und Ägypten auf mehr als 400 Bände. Das unmittelbar nach diesem Bericht abge- druckte Verzeichniss dieser Bücher wird nicht nur dazu dienen, auch Auswärtigen, welche die Kataloge im Museum selbst nicht einsehen können, davon Kunde zu geben, was sich in dieser Hinsicht im Museum vor- findet, sondern auch die Anschaffung der noch fehlen- den Schriften bedeutend erleichtern. II. Auch die chinesische Sammlung hat aus dem | asiatischen Departement noch eine Nachlese zu der erwähnten grossen Sammlung erhalten ^). Und ich will hier noch einmal wiederholen, was ich schon in mei- nem Berichte vom J. 1864 angeführt habe, dass Hr. Skatschkov im Auftrage der Akademie eifrig damit beschäftigt ist, einen systematischen zum Druck ge- eigneten Katalog der gesammten chinesischen Samm- lung des Museums in russischer Sprache zu verferti- gen, welcher nach Ermessen auch in französischer Sprache erscheinen soll. Hr. Akademiker Brosset, der Verfasser des jetzigen Kataloges der chinesischen Sammlung, hat sich zur Übersetzung erboten’). III. A. Die muhammedanischen Handschriften haben sich um 18 vermehrt. Die eine ist eine Abschrift des sehr werthvollen und in Europa seltenen persischen Geschichtswerkes Tarichi Raschidy رثيدى‎ 2 b, von Muhammed Haidar Gurekan کورکان‎ (um 948 — 953 = 1541, 2 — 1546, 7)'”. Eine zweite, der Mutawwel des Teftasany, ist schon oben erwähnt worden. Die übrigen 16, 1 arabische, 9 persische und 6 türkische und tatarische hat Hr. Weljaminov- L4 7) Prot. 1865 55 36. 62. id. $ 5. 9) Ibid. $$ 15 und 33. 10) Verg]. Weljaminov-Serno v, Geschichte der Kasimov'schen Chane (Hacıbıosanie o Kacuwosckux llapsxs u Ilapesuuax®), Sernov dem Museum abgetreten '). Es sind die fol- genden: Arabische. 1) الرولة العثيانية‎ Le الشقائق التعمانية فى‎ , die Bio- graphien der in der Türkei lebenden Gelehrten bis 965 = 1557, 8, von Taschköprisadeh (f 968 — 1560). Die Handschrift ist nach dem Ori- 164 ginal des Verfassers im J. 982 — 1575 abgeschrie- ` : ben. Persische. | 2) all تیمور‎ , eine Geschichte Timur’s, verfasst im J. 1124 — 1712 unter der Regierung des indi- schen Baberiden Muiss - eddin b. Schah Alem b. Aurengseb. Abschrift vom J. 1235 — 1820. Anfang: بناى كار‎ Js! EN JE LV و‎ Jus pl.‏ کنل 3) a) ,عجايب: الیلد ان‎ ein kosmographisches Werk, verfasst im zehnten Jahrhundert der Hidschra. Anf. اول در ذکر آفرينش دنبا وعجایبات زمين‎ ve" KLL b) Zeg ,اخلاق‎ das bekannte Werk des Husain | b. Aly el-Kaschify. Abgeschr. 989 = 1581. 4) العانى‎ use, Aussprüche u. s. w. des berühmten Schaiches Scheref-eddin Ahmed Jahja Mu- niry, gesammelt von einem seiner Schüler Sain : ,Bedr Ghasny بدر غزنى‎ (p). Abschr. vom J. - 1112 — 1700. CM Je. ۱‏ وسیاس مر حضرت صیدبت | Anf.‏ 5) ردیوان نوعی افندی‎ die Gedichtsammlung Nauy ` Efendi's. Abgeschr. in Ispahan im J. 1061 = — 1651. 6) RE áJ E. Erórterungen zwischen einem Schii- 3 ten und Sunniten; aus dem Arabischen übersetzt 958 — 1551 von Muhammed Ibrahim Astra- bady. Abschr. vom J. 1238 — 1823. .اما بعل جنين كويل که در زمان Anf.‏ Das Werk ist in Isphahan im J. 1244 — 1829 und ` in Teheran i. J. 1248 = 1832 lithographirt erschie- " nen, mit etwas verschiedenem Anfang. Es ist wohl zu | unterscheiden von der in Constantinopel 1276 = 1859 — w e herausgegebenen dus ally, welche über die Dis- Th. II, S. 130, 11) Prot. 1865 $ 146, 165 des Sciences de Saint ۰ ۰ putirkunst ادب الناظرة‎ ‚3 handelt. Vergl. Journ. Asiat. 1843, S. 253, X 173. 7) حکایت کتابی‎ , Erzählungsbuch. So nach der Überschrift, welche wahrscheinlich vom Abschrei- ber herrührt. Es enthält geschichtliche Erzählun- gen. Das Exemplar ist deshalb merkwürdig, weil es dem Chan der inneren Kirgisen-Horde, Dschi- hangir ibn Bukai- Chan angehört hat, wie das auf einigen Blüttern am Rande befindliche bir- nenförmige Petschaft bezeugt. Wir lesen darin: ۱ با‎ el Anf. حق سبعانه وتعالى خواست‎ H pl ee a5 deli 8) ,عجائب الطبقات‎ die Wunder der Abtheilun- gen (od. Classen) ein kosmographisches Werk, von Muhammed Tahir b. Abi'l-Kasim ابن‎ slk تمل‎ nf ابدی ونبایت كرامت سرمدی حل الغ‎ Colas Col. 9) Eine Handschrift, enthaltend a) einen persischen Kalender; b) eine astronomische Abhandlung, mit dem Anfang: بعل آیرء کتاب مشئمل است بر‎ Ju اما‎ ail, allie ز مفدمه ودو‎ c) eine Abhandlung über den pw des Astrolabiums, d. i. das bekannte ربيست باب‎ die zwanzig Capitel genannte Werk Nassir-eddin Tusy's. Auf. ختصر است در معرفت‎ ol الغ اما بعل‎ Ad 10) ha مسام من کلام ملا‎ Au صورت تعزيه شهادت‎ al; A über den Märty- ' rertod der Kinder Muslim’s, von Mulla Re- dschebaly Teherany. Die handelnden Personen sind Muhammed, Ibrahim, Scherih E ,شر‎ ein Sohn des Scherih, Haris حارث‎ u. s. w. Vergl. Gr. Go- bineau, le théatre en Perse, in seinem Werke: Les و نی نزن‎ et les philosophies dans l’Asie cen- trale, S. 359. Anf. ai 2j een D nus Sé بود‎ v» ايفاك مسلم‎ رحی تكردى اسان‎ Le. Türkische und tatarische. men, e is, die Auswahl der Chro- niken und Geschichten, von Muhammed b. Muhammed Efendi von Adrianopel. Sehr schö- nes Exemplar, aus der Bibliothek des schon er- wühnten Dschihangir Chan. 5. Catalogue, S. 467, X DXXI. 12) نامه‎ y, das Alexander-Buch, verfasst im J. 792 = 1390 von Maula Ahmed von Siwas. Am Anfang def. Vergl. Catalogue, 5.512 , ۰ 13) ,غرب نامه‎ das Seltsamkeitsbuch, von Aly b. el- Muchliss b. TO Ilias gen. Aschik Pascha س الشپیر‎ | gel بن‎ EL ,بعاشق‎ in E e بن‎ pe علی بن‎ su LL وعو العروى بشیخ‎ En, TE Die Abschrift ist im J. 1255 = 1839 von Ssadr-ed- din ibn Muhammed Amin el-Karghaly, Je iJ] für Dschi- hangir Chan nach einer Abschrift vom J. 854 = 1450 gemacht worden. Vergl. Hammer, Geschichte der Osm. Dichtkunst, Bd. I, S. 54, wo das Werk, dessen Titel nicht angegeben ist, ein seltenes und kostba- res genannt wird. Denn dass es dasselbe ist mit dem vorliegenden, lehrt die Vergleichung der gegebenen Auszüge mit unserem Text. In Hadschi Chalfa (T. V, 8. 609, € 12,304) wird ein Gedicht von dem- selben Verfasser unter dem Titel نامه‎ ; „las, geschrie- ben im J. 730 = 1329, angeführt. Vielleicht ist es das vorherige, welches in unserer Abschrift zu ver- schiedenen Malen und von den Orientalen غربب نامه‎ genannt wird. S. Flügel, die arab., pers. und türk. Handschriften der k. k. Hofbibl. zu Wien, Bd. I, 8: 615, X 650. 14) وزلخا‎ SG», Jusuf und Sulaicha, von Handy b. Schaich Schems-eddin, verfasst im J. 897 1491, 2. Abschr. vom J. 962 — 1554, 5. 15) تدبس یرن الأنسان‎ à الببان‎ als, die vollkom- menste Erläuterung über die Behandlung des menschlichen Körpers, von Ssalih b. Nassr d. i. الله‎ pa بن‎ JL, Ssalih b. Nassr allah el-Haleby, gen. A Sallüm pgs Catalogue, S. 498, ¥ ۰ Graf Ifa, T. IV, S. 298, ¥ 8,510. Abschr. v. J. 1268 = 1852. 16) Tataris sche Erzählungen in Versen und Prosa, z.B. زرقو‎ 405 U. S. ۰ Die Sammlung enthält also 19 D نو‎ Sdirit ten. 11* Bulletin de l’Académie Impériale 168 B. Indische Handschriften sind vier erworben worden. IV. Das Münzcabinet ist zwar nur um zwei Mün- zen bereichert worden, welche ihm der Gen. Lieut. v. Bartkolomäi in Tiflis verehrt hat, aber beide sind seltene Stücke, welche dem Museum noch abgingen. Die eine ist eine Münze des Chulaguiden Baidu „sl; (1294)"); die zweite ist eine Pehlewy-Münze von dem arabischen Statthalter Muhalleb i. J. 79 (ourau pus) geprägt”). Der Rand der Vorderseite hat: بسم الله‎ (mo [na = deus]? ro ©: auf der Kehrseite lesen wir unten oder rechts von dem Altarwüchter: An, was kaum بسا‎ sein kann. Überdies hat Hr. Duloup in Paris dem Mu- seum zwei Probemünzen, eine kleinere und doppelt grós- sere, aus Kupfer geschenkt '‘), deren Stempel im Auf- trage der persischen Regierung in Paris verfertigt wor- den sind. Beide tragen auf der einen Seite den Namen des jetzigen Schahs: السلطان ناصر الدین شاه قاجار‎ : auf der andern unter den persischen Pelea Wappen (dem Sonnenlöwen), je die Inschrift: بلهزار دینار‎ u. دو هزار‎ Aas eintausend Dinar, zweitausend Dinar. Es sind also, wenn in Silber geprügt, ein oder zwei Sa- hib-Keran, sofern die Imaginär-Münze «Dinar» — 5; eines Kerans ist. Wir wissen, dass es persische Mün- zen giebt, deren Stempel ohne Zweifel entweder in England oder unter englischem Einfluss verfertigt worden sind"). Das Museum besitzt ein paar mit ihnen geprägte Münzen von Feth- Aly Schah. .. V. Der Oberstlieutenant vom Bergingenieur-Corps, Hr. Tatarinov, hat dem Museum eine Platte aus Kalkstein — nach Hrn. Akad. Schiefner's Erklärung — mit der buddhistischen Inschrift in tibetischen Cha- rakteren: om mani padme hûm dargebracht '). Das Museum ist auch im Jahre 1865 sehr fleissig von den Jüngern der Wissenschaft besucht und be- nutzt worden. Es verging selten ein Tag, wo sich deren nicht mehrere entweder selbst einfanden, oder sich aus ihm mit gedruckten oder handschriftlichen Hülfsmitteln für ihre Studien versahen. Eben so hat ^w Vergl. Fraehn: De Il-Chanorum seu Chulaguidarum numis, S. 2 i5 d 1865 § 63. 14) Ibi 15) Vergi Savélieff Mém. de la Soc. d'Arch. et de Numismat. Vol. II. 1849, — 404, 16) Prot. da $ 41. das Museum auch ausländischen Gelehrten von sei- nen Schátzen mitgetheilt. So z. B. hatte Hr. Dr. Behr- nauer in Dresden die arabische Handschrift Tarich el-Ssalihy ") zum Gebrauch zugeschickt erhalten, und das grammatische Werk des Sibawaihi کتاب‎ سيبويه‎ befindet sich noch in diesem Augenblicke bei Hrn. Prof. Dr. Fleischer in Leipzig ). Hr. Prof. Mehren in Kopenhagen hat die einst ` von Fraehn begonnene, aber durch besondere Um- stände unterbrochene Herausgabe der Kosmographie des Dimeschky in einer neuen Ausgabe beendigt ”). Darbringungen an Büchern verdankt das Museum: dem Orientalischen Institut in Wien”), den Herren Justi in Marburg, Mehren in Kopenhagen, Sta- nislas Julien in Paris, Roth in Tübingen und dem Parsen und Richter (J ndge)i in Bombay, Manockjee Cursetjee. Catalogue des ouvrages arabes, persans et turcs, publies & Constantinople, en Egypte et en Perse, qui se trouvent au Musée asiatique de l'Académie. Par M. Dorn. (Lu le 1 mars 1866) I. Ouvrages publiés à Constantinople, Voyez: Toderini, Letteratura Turchesca. Venezia 1787. T. HI. Meninski, texit, praef. p. 87. Hammer, Geschichte der Cages Literatur. p. 1271. — Geschichte es Osmanischen Reiches. Th. VII — — trad. fra I — Wiener J ب‎ OE der Literatur. Th. 96. — Journal Asiatique. 1843 T. I, et 1844 T. III. — Geschichte der Osmanischen Dichtkunst Th. IV, p. 60. — Sitzungsberichte der k. k. A mie der Wissenschaften zu Wien. Phil.-hist. Classe. 1849 (p. 126) et 1 Y. Schlechta-Wssehrd, ibid. depuis l’an 1851, ch Zeitschr. d. mgl. Gesellschaft. B4. VI. VII. VIII. IX. Bianchi, Bibliographie ottomane. ne Asiat. 1859 et 1860. Allg. Zeit., Beilage zu N° 298. 1859. p. 4866. Zenker, Bibliotheca Orientalis; etc. 17) Ibid. $ 10. 18) Ibid. $ 145. — Die Handschrift ist seitdem Hrn. Reina in Paris überschickt worden 19) Cosmographie de hens. eddin Abou Abdallah Moh. ed. — Dimichqui. St.-Pétersb. 1 15. (27.) März. So. do etc ich den von Wüstenfeld unter à anderen auch aus den Handschriften unseres Museums herausgege- benen ersten Band des Textes von Jakut’s geographischem Wör- 3 terbuch. So ist denn die Gewissheit vorhanden, dass auch dieses Werk, dessen is i NEN Fraehn immer als eine der wichtigsten — Unternehmun m Fache der musulmanischen Literatur betrach- e und die + mp auszuführen nur durch den Mangel an guten andre abgehalten wurde, bald ganz in den Händen der St ehrten sein wird. 20) Pot. 1865, $ 97. ENG A abat; r, Que Le Mer EET en نه‎ e Ge Mat > à 1 "PIA 3 3 à E Tan Jia ed arte nei dr öde ZE liiis re m rails 7 PEN VERRE ی اج دنم کل‎ TN FTU C WV ET > ur ag C (lege, Deg D SC a a, PO ie ird C TT NM TD aia ee أل‎ c ems adem Du. des Sciences de Saint- Petersbourg. I. Theologie. NB. Tous les ouvrages marqués de * sont lithographiés. — L'or- thographe des titres est strictement telle qu'elle se trouve dans les éditions respectives. شرع الاصول العشرة A‏ التصونى e Jl‏ ابی Ll‏ )1 جم الدین الکبری والشرم dad‏ ا حقى ترکن do‏ اولشدر فى ذى القعرة سنة ۱۳۰۷ ص ^o‏ Journ. Asiat. 1843, p. 252, N: 170.‏ شرم الكبائر اسمعيل حقى تركى الفه سنة ug‏ طبع فى )2 قسطئطيشية 3 el)‏ شعبان لسنة ۷ ص ۱۳۰ Ibid. p. 261, X 182.‏ Al‏ حقى فى JUI de‏ ترك تاليف Lee)‏ الحقى الفه )3 p? ۱۱۳۳ als‏ طبعه فى اواسط شور ربع الاخر لسنة (Fe‏ ص ٩۱‏ کتاب الطاب pe à UAI Le A‏ الخال تركى الفه (4 سنة ۱۱۳۰ وگان طبعه فى قسطنطينية سنة اهما ص Hov‏ Ibid. p. 258, N 174. اثبومزراقلی عام حال تعبير اولنان مفتام الجنة نامكتابك )5+ ius N L, 2 LS‏ مرخ lies acil,‏ واسئوانی درج اولندرق ۱۳۷۴ سنه‌س جادى الأولى اوائلنده طبع وتیل قلنمشدر ص ۱۳۳ دلائل الخيرات فى ذكر الصلوات على النبى صلى الله (6* عليه وسلم ie‏ ابی عبد الله عمد بن سلیمان بن ابى بكر الجزولى التوق سنة ۸۷۰ تم طبعه فى اوائل شهر رجب الفرد سئة ۱۳۷۳ ص ۲۰۰ حليث اربعین شرحی عصفوری ترکی كل اعنوان الکتاب )7 ana‏ حمل بن ابی بكر وف -واشيه کتاب الکوکب البین لشرم الاربعین Long‏ مطبوع dal)‏ فى قسطنطينية) ص ٩٩‏ حلية الناجى حاشية شرم الحلبى على منية Jal]‏ | للسید )8 مصطفى بن تمل بن مصطفى کوزصاری ail‏ سنة ۱۳:۱ وتم طبعه فى قسطنطينية فى „ball RER‏ سنة ۱۳۹۹ Schlechta-Wssehrd, S.-Ber. 1854, Bd. XIV, p. 76, N 298. II. Jurisprudence. ملنقى nr]‏ فى فقه All‏ تاليف ابراعيم الحلبى ثم )9 طبعه فى قسطنطينية فى اخر pyd)‏ سنة Iron‏ ص ۲۷۳ 10( شرح ملتقى الابعر تاليف عبن الرجن ابن‎ US بشيغ زاده ق نم طبع النصف‎ geall کید بن سليمان‎ & الأول فى البلدة التسطنطينية فى اليوم التاسع من شهر‎ QUI الاول لسنة ۰ص ۳۵۲ وتم طبع النصف‎ e فى أواخر شهر شعبان لسنة ۱۲۲۰ فتاوى جامع الاجارتین تركى Aë as,‏ عاری افندی )11 حفيل مشرب vil‏ سنة ۱۲۳۸ وان ختام طبعه فى اسلامبول اواخر ذی القعرة لسنة ۱۳۵۲ ص KV‏ Hammer, Gesch. der Osm, Dichtk. p. 601, 129). فتاوای Ae‏ الرحبم افندى تركى جز؛ان الأول ص 6۷۸ )12 والثای ص one‏ طبع فى البلدة الطببة القسطنظينية U^ ro T À‏ ربیع (ERR als pa‏ III. Philosophie. Logique. Dialectique. Morale etc. رس و‎ 9 CE‏ النفوس مع حاشيته تركى zl‏ مزکی النفوس(18* made)‏ لان ت ن ایی اران zi‏ ابن الاشری الرومى الأزنبقى قدس سره NI‏ حضرتارينك اثار فيض مدارلرندر nil,‏ ثواقب مولانا دی ail‏ اوله‌راق د ركنار اولشدر طبع ق اوائل e‏ الأولى سنة ۱۳۸۱ ص ووس Schlechta-Wssehrd, S.-Ber. Bd. IV, p. 81.‏ أيسأغوجى فى النطق مع شرم الفنارى عليه وحاشية قول )14 ael‏ قل كمل طبعه فى al‏ الربيع الأول لسنة mg‏ hp‏ مفنی الطلآب افضل LC‏ التاخرین 3,08 علماء الراسخين )15 الشيغ اثير الدين ie ell,‏ فن منطقره تأليف ٠‏ ونشکیل uid‏ اولدفلری ss‏ ناميله مشتهر اولان لت شروعلرندن مغنى الطلاب den‏ مسي شرع مشهور ومرغوببلر قل كمل طبعه بار الطباعة العامرة فى اواخر ربیع الأول سنة 1۲۸۷ ue‏ وعم تعفة الزشرى على ایساغوبی لرشدى انتشی التره اغاجی (16 | من dde‏ عصر مود خان JE‏ العشانی نم طبعه فى اواسط ربیع All‏ لسنة ۱۳۷۹ فى قسطنطينية ص ۲۳١‏ 171 Bulletin de l'Académie Impériale 172 شمسيه (الرسالة الشمسية فى النطق) لاجم الدین عبر بن )17 على القزوینی العروی بالكاتبى التوفی سنة ۷۱۳ تم طبعها فى اواخر ذى ag)‏ لسنة :۱۳۷ 5 حاشية السيد على التصورات شرح الشمسية فى النطق )18 وعو السيل الشريف على بن عمد الجرجانى المثوفى سنة ۸۱٩‏ ص ۱۳۷ (طبعت سنة (IP44‏ | تعربر Je) ill‏ المنطقية فن e‏ الرسالة | bil A‏ (19* Aë pull‏ بن مد الرازی Go‏ سنة WY‏ ص et:‏ برعان sb Gun‏ مع ail‏ الولف عليه لاسمعيل )20 انندی ill‏ بكلنبوى من علماء دولة السلطان عبل Jai‏ والسلطان p‏ الثالك تم طبعه فى اواخر ذى القعدة لسنة ۱۳۷۲ ص (ep‏ ile‏ العصام على التصیقات يعنى على Sl‏ الثانی )21 من كتاب الشمسية فى النطق وعلى شرم قطب الدين حل بن e‏ الرازى عليه والعصام Le‏ عو عصام الدين ابراعيم بن ose‏ الاسفراینی ٩۳۳ Ain ael!‏ ص MP‏ سيلكوتى على التصورات فى النطق وهو حاشية عبل الحكيم )22 بن شمس الدین السیلکوتی على مباحث التصورات من 00( فر acad tb, SN‏ الشریق طبع فى AN‏ جادى الاغرة لسنة ۱۲۹۸ ص ۲۸۴ سیلکوتی على التصريقات وعو حاشية Ae‏ الحكيم بن )23 شس الدين cel‏ على شرع الشسية فى dl‏ على Cole‏ التصريقات كمل طبعه فى اواسط ربيع الاخر لسئة ۱۳۹۹ ص ۱۷۹ $ رشتة جواعر ترکی فى شرح نثر اللالى للامام امير الوّمنین )24 على ابن ابی طالب لبوسف نسیب all‏ سنة ۱۱۲۳ oa)‏ ختام اولشرر فى غرة ذى اة IPoV di‏ ص PPI‏ Journ. Asiat. 1844, p. 211, X 191.‏ عبن الوعاب على الولريه وعو شرم السين عين الوعاب )25 بن حسين بن ولى all‏ الأمدى على الرسالة الولدية فف الاد اب لساجقلى زاده فق اخره al JI‏ الولزية طفت Lal bite‏ نم طبعه فى اواخ رشوال لسنة ۱۳۷ ص 100 حسن پاشازاده على رسالة الاد اب لکلثبوی او à‏ الوعاب )26 bas رسالة الاداب والتن للمولی اسبعیل برن‎ t d باشازاده‎ Ne ul Je? Joi الکلنبوی والشرم‎ وفى اخره المتن وحده ایضا طبع فى فسطنطينية فى اوائل‎ ۱۰۹ دی القعرة لسئة ۱۲۷۲ ص‎ 27) عربى‎ o Us البرعان فى اطاعة السلطان رسالة‎ Ak PI وتركى طبع فى اواخر شعبان لسئة ۱۳۳۷ ص‎ 28) الحاشية الجديدة على على قوثى (فوشجی) على الرسالة‎ | للسيل حافظ ۲ شرم الرسالة الوضعية ۳ رسالة الوضعية‎ ۱۲۷۹ Ar) طبعت فى قسطنطينية فى اوائل ا حرم ا حرام‎ IE *99( مع شرجها ص ۲۱ وف‎ Sall رسالة فى ادب‎ dus ص ۱۲۷۱ سخدسى شهر‎ V ثم ال من ودله‎ Slada; E c?‏ الأخرينك اواسطنده طبع اولنيشرر Ibid. 1843, p. 253, X 173. IV. Histoire. 30) لکانب جلبی طبع فى قسطنطينية فى غرة‎ el Schlechta- W ssehrd, S.-Ber. 1854, p. 9, Ae 291. ' طبرى كبير ترجه‌سی تاريخ الطبرى من ابتداء العالم )32 3 ال خلافة التتدر wh‏ تاليف ابى جعفر محمد بن جرير M‏ الطبرى وعو ترجة تركية من ترجته الفارسبة تم طبعه فى قسطنطينية فى اواخر pt‏ سنة ۱۳۷۰ خس ملدات فى جن واحل Voy. Rosen, Zeitschr. d. D. morgenl. Ges. 246۲ Bd., p. 158.‏ ترجه روضة الصفا تركى مع تصرفات Sud‏ )33 افندی الفه فى اواخر all‏ العاشرة وطبعت فى قسلنطينية EE‏ ريبع الاخر سنة IPOA‏ ص نوس كناب كلش خلفا لنظمى زاده افندى تركن طبع فى قسطنطينية )34 فى فرة صفر سنة ۱۱۳۳ ص ۱۳۰ شهر مرم لسنة |١۲١۹‏ ص ۳۲۷ ٠‏ M‏ روضة الآحباب فى سيرة النبى والال والاصعاب لولانا )31 1 عطاء الله دن Jas‏ الله dë p Aud]‏ بالتركية 2442 M‏ الغنيساوى الشهور ببكلىزاده طبع فى قسطنطينية فى all‏ جادی الآخرة سئة ۳۹۸ فى ثلثة اجزاء فى جلد وادد از الأول ein‏ ص والٹانی ۳۱۶ والثالث ۲۲ ص A S d MAN I CRUS CAN ESSET, CENSET TS AP NEN altes ve 27. Wr te nnd If 1 و‎ | ET ااا‎ OAV dl A Li or "T... P a nt Sa NOE T ۳ k PRE EIS ELA VET AR % Pr LE ETS CFE AVC EEN vs Ae اه‎ بت ونیا‎ EL. 173 des Sciences de Saint ۰ Détersbonrg, 174 35) من‎ - d ba تبیور کورکان لنتامی‌زاده انندی‎ se عر بشأه سنة ۱۱۱۱ طبع فى ة 4 فى غرة‎ ol تاريخ‎ ذى القعلة | ۲ ص ۱۳۹ ورقات‎ E کناب كلشن معارف تركى بشتمل اولا Dee‏ احوال )36 القرون الاضة P‏ مفصلا احوال الرولة العثمانية من Le, ak Jo]‏ قن حلود سئة ۱۱۸۸ تاليف | 7 pue)‏ سعبل فرائّضى زاده کمل طبع ا ملد coole E sp‏ الأو per au‏ والجلن الثان فى اواسط شیر رمضان لسنة*۱۳۵۲ ulale‏ ۱۷۹۳ ص Hammer, Gesch. d. 0. D. p. 601, X 125.‏ نارغ سامی وشاكر وی ترکی e‏ فى قسطنطينية )37 s‏ سنة ۱۱۹۸ * PPA‏ تاربخ عزى درلى رکی وعو EE‏ دولة آل عثمان من سئة ۱۱۷ )38 AX. Al‏ ۱۱۹۵ تاليف gus‏ عزی انندی c‏ 3 | قسطنطينية فى سنة 1199 PAA‏ ورقات تاریخ SJ‏ واصف افندى المسمى re JEY Let‏ (39 m‏ واصف افندی isli A bf à säll‏ جلدان فى جز؟ Als‏ کمل طبعه فى شعبان سنة ۱۳۱۹ All‏ الأول ص ۳۲۷ والثانی ص ۳۱۵ تاریغ نعيما تركى پشتمل وقائع الرولة العثمانية من à.‏ )40 الف الى سئة ۱۰۷۰ تاليف مصطفى ei‏ اف ستاء روضة الحسين فى اخبار الخافقين مجلدان فى جز واحل ol)‏ الأول ص ۷۰۱ تم فى قسطنطينية فى اواسط ue‏ رم لسنة ۱۱:۲۷ AU,‏ ص vie‏ طبع فى قسطنطينية فى اواسط جادى الأولى سنة ۱۱۳۷ تاريخ Lis, Sa,‏ ا J‏ )41 عثمان من سنة ۱۰۷۱ الى سنة ۱۱۳۰ تاليف ابی الكار مین المعو براشن جلدان :فى dall Al Ge‏ ۳۷۷ ورقات والثانی kl‏ ورقات e‏ طبعة «à‏ قسطنطينية , فى غرة شهر ذى ad]‏ لسنة (et‏ 5 تارخ D‏ دولة العثمانية AR‏ خير الله انندی وعو )42 HAE‏ عثرة باق لاتم Mr‏ — Wssehrd, S. br 1 1851, Bd. 1 77, € 299. Hàm- er 1854, Bd. XIV 533. | إلى سنة ۹۷ من adl‏ الأول الى A‏ الرايع A ab‏ قسلنطينية فى اواسط ضفر pd)‏ سنة ۱۲۷۱ Bianchi, Kä p.230, X 133. Hammer, S.- Ber. 1855, Bd. XVIII, p 44) Gen BP P as f aril زرفات‎ vo 65 1061 oda END احوال غژوات در دبار بوسنه من سنة ۱۱۳۴۹ الى سنة ۱۱۵۴ )45 طبع فى غرة شهر #رم ارام لسئة ۱۱۵ ٩۲‏ ورقات اس الظفر ۱۲۳۱ ترکی ESP‏ ابادة RP!‏ (46 السلطان مميود الثانی العثمانی aid]‏ السید من اسعن انندی asch P»‏ فى اواخر شوال A‏ ۱۳۳۳ ص Foi‏ US JI a‏ نرکی فى نراجم Lis‏ الکتاب [اعنی(47* رئيس افندى او خارجبه ناظری] فى الدولة العثمانية جادى الاخرة سنة ۱۳۹۹ ص 190 Schlechta-Wssehrd, S.-Ber. 1854, Bd. XIV, p. 82. حںائق الشقائق ترجه شقائق ailes‏ تركى Aë st‏ )48 افندى الادرنوی طبع فى قسطنطينية فى اواسط الحرم | OPA ص‎ ۱۳۷۹ du Ibid. 1854, p. 74, X 295. + (83 ذيل شقايق لعطائى الستی silos‏ الحقائق فى AG‏ )49 الشقائق Avril "e‏ عطاء. الله بن عبن SE‏ oo D ez‏ ۱۳۹۸ سنس دی FT‏ الشريفدسنك غ رأسئله erh‏ 110 تار وفضائل T‏ بشريف.تركى اناليف حفظن افندی, )1 ad‏ فى go‏ سئة ۱۰۵۴ من Gell,‏ وتم طبعه ف اواسط ES ái. شير زجب‎ + Hammer, S.-Ber. 1851, p. $n X287. . puer = eh: > E. "T j ورقات.‎ w De Prep dän صقر‎ ی 175 Bulletin de l’Académie Impériale 176 | ترجه کناب رشعات عبن الات ف مناقب säll‏ الصفية )53 حمل معروى بن ممل شر يف العباس طبع فى قسطنطينية فى اواخر جادی الأولى سنة ۱۲۳۹ ص dore‏ اور و پا رساله‌س ترکی تاليف سيل مصطفی سامى افترى (54* پاش cales‏ الان الما tds DAZ‏ تاریخ sie)‏ الغربی السی بعدیت نو تركى وعو پشتمل Däi‏ احوال Jo zl‏ طبع فى قسطنطينية فى اواسط شهر رمضان لسنة ۱۱۴۳۲ وعو ٩۱‏ ورقات V. Cosmographie. Geographie. کناب Je Cote‏ الحاي خليفه الشهير بكاتب جلبی )56 طبع فى قسطنطينية فى البوم العاشر من شهر رم Gel‏ ۰ ص 414 ——M VI. Mathématiques. Astronomie. 57) امتعان الیندسین فى مسائل البندسة تركى تاليف‎ حسين رفقی طمانی معلم مپنرسخانه سلطانى فى عصر‎ العنمانى سنة ۷ تم طبع الرسالة‎ JU) السلطان سلیم‎ 110 سئة ۱۳۴۷ ص‎ *58) مجموعة الهندسين تركى سین رفقى افندى الفه فى عصر‎ [فى سان‎ e طبع اولنمشدر جا‎ ghid الثالث‎ pe par جادى الأولى) سنة ۱۲۷۳ ص‎ *59( الحساب لبهاء الدين حمس بن‎ de خلاصة الاباك فى‎ op العاملى ص‎ gm 03 PTE السات‎ gl رسالة ماردن فى‎ ۲ JUI العمل بالر بع القطوع وعاى رسالة فى العمل بالربع‎ القطوع اختصرعا من الرسالة السیاة باظهار اسرار الودوع‎ e الساعة فى طری الجيب من‎ em ijt T رسال ماردنی )#5 بدر الدین کین بن بن العروی‎ ۳ . رسالة نائق‎ Led بسبط الاردینی) فى العمل بالربم‎ نا‎ al العریف بالتتطر نالف‎ sch Ad ابن مصلفی ابن خلبل الاقعصاری الکیو‌وی ۵ جز فى‎ vest E |‏ ` للیتنطرات ترکی ۲ ترج كروسى لامچیب )61* وسالة e Xll‏ لاعمیدی al;‏ تحمس بن e‏ على )62* X jd Po سنه ۱۳۷۳ ص‎ Journ. Asiat. 1859, p. 551, X 62. Dorn, Drei arabische astron, Instrumente, p. 64. طبع PST‏ فى رمضان e Sr‏ فو سليمان هراد بن عمر دن Jal‏ دن GE LEI طنطينية‎ ^ w5 3 ۱۳۹/۸ du الفه‎ eure سعلی‎ Schlechta - Wssehrd, S.-Ber. 1854, Bd. XIII, p. 34. Dorn, Le p. 65. ail M‏ ,39 رسالة ذات الكربى ۲ تعليم الكره تركى Jul "‏ عثمان صائب انندی مغلم الرياضيات فى mese |‏ وساله اسطرلات ase sh‏ الالباب فى LEN de _‏ تشریم الأفلاك فى اصول del al]‏ ail ;‏ مين العاملی o‏ رسالة فى معرفة الرائر بين الظهر | | | pes), =‏ للماردنی ٩ 1‏ ذوائر فى العمل بدايرة الیل تركى واما ما فى حاشية . الحامن اهن بن J£ el‏ الامری P‏ شرع ub.‏ M‏ الاردینی فى طرف اجیب m.‏ سای زجب jo اولشرر ص‎ ES الفردی فره‌سنله ختام‎ i Dorn, l. c. p. 65. d 63) تركى تاليق الحكيم الانكليزى ('بونيقاسل‎ sl ST ترجه إلى التركى حسين رفقى طمانی الخليفة الثانى فى‎ الهشرسغانة التی انشاها السلطان سلیم الثالث مم‎ سلیم افندی الأنكليزى الذى اسلم فى اسلامبول‎ رفاقة * ص Ex.) PvP‏ 2( VII. Médecine. *64) ا ان نضرت آفندی السی. «جموعة كبير ترکی‎ ۱۳۹۸ سنة‎ ad] ذی‎ ÉIS فى‎ asch ی بكر نصرت تم‎ | Schlechta-Wssehrd, S.-Ber. 1854, Bd. XIV, p. 81. | E un Sé VIII. Zoologie. a: 65) الرين‎ JU الکثاب‎ Jal ترجه حيأة الحيوان تركى‎ ' HU Bonnycastl e. 177 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 178 [أبى عبد o [il‏ بن موسى Ql‏ عيسى] sell‏ الدميرى والترجة لعبد الرجن افندى بن e‏ ابراعيم مقتی. واس ole‏ ال ۱۳۳ ص طبع وتثبلی ۱۲۷۲ سندسى رجب الفردی اواسطنده plis‏ پذبر اولدی Ibid. 1858, Bd. XX VI, p. 339, X 315.‏ IX. Rhétorique. 66) شرم ابيات التاغيص والغتصر نرکی لعصام الرين‎ ۲۷۳ ص‎ IPVA ds حائية السين على الطول والطول هو شرم الفتام فى )67 العانى والبیان e»‏ للعلامة سعد الدین التفتازای aiu] ue,‏ للسین الشريف على “بن ose‏ الجرجان المتوفى سنة ۸۱٩‏ قل وقع ghill‏ من الطبع فى اوائل صفر لسنة ۱۳۷۱ ص ۲۳۵ Je nib‏ المطول لسن چلبی والطول قد مر ذکره )68 شاه نوق سنة ۸۸٩‏ ووقع تارغ ختامه فى اواخر شهر e‏ iJ SH)‏ ۰ ص 09۳ Ibid. 1855, Bd. XVII, p. 164, X 302. X. Épistolographie. 69) sl عزن بك منشتانن نرکی ۱۳۹۳ سنه‌سی صفر‎ rer A يلير‎ pls اواخرنده‎ 70) ۲۰۰ عاكف افندى ترکی تت ۱۳۹۲ ص‎ LUI منشأت‎ | _ سنە‌سی‎ ۱۲٩۲ عاکف افندی ترك ۲۰ ص‎ ell اشعار‎ v *71( اوزره مرك تاليف عرضعا ی‎ sell نو‎ ie PERE V4 ص‎ (IPoA ?( فوزی‎ el el Journ. Asiat. 1844, p. 223, X 3. 5 j XI. Poésie. Belles lettres. #72) ob من العروی‎ Al عروض الاندلس لابن عبن‎ | الجيش الانصاری الانرلسى ص ۱۴ ۲ عروص ا جامع‎ ro Le قاری‎ Tome X. ترجه شرم العبون فى شرح dl‏ ابن زيدون ترجه )73 حمل سعيل أبن قره خليل الى التركية gme ng‏ ختام axe wl Ae zéi Lal‏ ۲۵۷ ۷ N 177. 74) ۱۰۵۷ سنة‎ aill تالبغات مد دن رجب‎ ^d za العشاق‎ nta حل‎ ee) سنه‌سی شعبان شر يغذك اواخرنده‎ ۱۳٩۱ ذركى‎ jo ue ls] ختام‎ ديوان نسيمى نرکی اواغر شور ربيع الاخرده (سنه (inte‏ )75 رسبله ‚us Jo‏ اولشدر ص ۱۳۳ Ex.)‏ 2( e Journ. Asiat, 1843, p. 257, Hammer, S.-Ber. 1849, p. 135, X 252. دیون بلاغت عنوان P Ge úps‏ من شعراء مود )76 خان الثانی العثمانی اتام بافت در اواسط شهر رجب ارب سال Iron‏ ص ۳۷ ديوان نفعی ترکی النعت منه ۲۰۷ ص والغزل ۳۷ ص (77 طبع وتمشيل اولشدر سنة ۱۳۹۹ Schlechta- Wssehrd, S.-Ber. 1854, Bd. XIV, p. 84.‏ دیوان ذانى تركى وعومن خلفاء اسمعيل حقی الفه سنة ۱۱6۱ )78 وله مثنوی d‏ سوانع النوادر فى معرفة العناصر فى نا ا جلل Lal‏ اواسط ei‏ ربيع الاخرده قرين خنام اولشدر ۷ ص M‏ Journ. Asiat. 1843, p. 259, M 179. j 79) o2] مصطفى انندی اواخر صفر‎ am) ديوان ذکابی نرکی‎ M ص‎ 119A خنام اولشرر سنة‎ M Ibid. 1844, p. 213, X 194. دیوان بلاغت عنوان بروسوی السين Jet‏ امین عفت )80 نرکی رسبدء ختام اولشدر فى 10 L‏ ۱۲۰۷ ص ۱۰۳ Ibid. 1843, p. 260, X 181.‏ دبوان حليمكراى سلطان تركى وعو من ال خوانين قريم )81 بتغلص فبه بعلیی جعه al‏ شهباز کرای قرين ختام اولشدر اواسط صفر ابر سئة IPOV‏ ص 09 Ibid. p. 256, € 176. منظومة فضولى ترکی داستان ys H‏ ۱۳۹ سنه‌سی )82 شوال wer‏ اواخرنده خنام nd‏ اولدی ص ۱۳۱ ses‏ نونبه فى All‏ الاسلامية ضر بك مع ترجتها )83 بالترکی Lol‏ منظومة De Ju)‏ ختام اولشدر ۱۲۰۸ ص ۲۳ القصيلة الاب للامام el‏ هه ,تیان re‏ شرم )84 179 Bulletin de l’Académie Impériale renl e UL All‏ خلیل اد el,‏ السعدی ی ابن a Spa]‏ الله بن السين على امسن codi Me‏ ell‏ رفانية بر en) dA‏ التعمانية والشرع AE Pt‏ طبعه فى اواسط e»‏ الأول لسنة ۱۲٩۱‏ ص ۲۰۷ Schlechta-Wssehrd, S.-Ber. 1854, p. 23. 85) مراد‎ JS el] ST ينرنامة عطار‎ nu طبعه‎ ds التقشبندی وقل تصادنی‎ "Hl Jac g بن‎ ۳۹۷ we ۱۳۹۷۳۶ aud sa دقن‎ al, | à Journ. Asiat. 1843, p. 265, X 189. شرم بهارستان جامى السمى بهرية العرفان در شرم )86 LL,‏ ترك SE UE ah adl EN‏ ان اتقام طبعه فى دار الطباعة المعامرة اوائل زجب الفرد سنة e‏ ص ۲۰۷ منظومة ال بمعنتکشان لکیجه‌جی زاده Je‏ عزت طبع (87* po ve IPHI 4X RISE de^, Schlechta- Wssehrd, S.-Ber. 1854, Bd. XIV, p. 80. رت‎ ۰ T ۰ ke - *88( هزليات ترکی فيه. ۱ در وصف خوبان نامه ۲ در‎ CUS * c o 1100 بك سنه‎ Joli وصف زنان نامه فاضل ۳ رقاص نامه‎ Hammer, ۷۷۰ Jahrb. p. 104, N 144. ۱۳۰ ص‎ V. X 70, A XII. Contes, historiettes etc. *89) ۱۳۸ ص‎ dai جموعة لطائف‎ 90) الأول‎ AU ab val Sec sch لله‎ Al ترجة‎ | ٩۸۲ والثای ص‎ ۱ XIII. Philologie. 91) ترکی نی اللغة‎ sell فرمنكگ شعورى الشين بلسان‎ الفارسية طبع فى قسظيطينية نة شئة 1100 جلن ان ا حل الأول‎ (2 ex.) Pe العامرس‎ de 5 Be الات ل‎ عاصم‎ Jed العربية ترجه من العزبية الى التركية السید‎ ٠ بين‎ Les فى قسطنطينية‎ ab, ۱۳۲۵ افندى العینتایی سنة‎ geb ze dall cole EL wer وسئة‎ ۱۳۳۰ aL. ٩۷۳ ص‎ JU, ٩۳۹ والثانى ص‎ 99) cl الاسلام مین انس‎ i اللغات ترکی تاليف‎ sl Sec 5,9 Mol gu, ورقات‎ Por | امه P ۱۱۳۴۵ Ax,‏ طبعة à‏ قسطنطينية ch‏ اليوم التاسم والعشرین من E‏ گرم dun‏ 4 ص AO!‏ تبیان ib‏ نافع T p‏ ترجه à‏ برمان 4a A usd "m S pbl‏ (94 من الفارسية Jal Ad‏ عاصم العينتابى > Là arah‏ aka län Be‏ البو SIEH‏ والعفرین ۰ من شهر رجيع AP we ۱۳۱۳۴ ized sti‏ Tan ۲۲ بعنی الشافية 3 التصریف ص‎ ail 96) معربی یعنی الفوائن الشافية على اعراب الكافية‎ sét ٠ فى العو JU? ge e‏ امن الشبير بزينى زاده "m‏ ١141 Ae‏ وجعله áis‏ للسلطان sal‏ خان بن مر ۱۳۷٩ فى اواخر شعبان لسنة‎ asch ps aul ol ق‎ ۳۱۲ ص‎ j 97) ۲ cold] ee ule | انار 3 العامل Jal,‏ والعنول ۳ العام us ne‏ 4 دم amb‏ فى اواغر رمضان سنة ۱۲۷۹ " ابن السید ابو بكر All‏ بجو ركجى زاده مضمون ما فى AH Ci‏ ذکرما نی الصرف "Tak a) E‏ ege —‏ اظبار من e Ss‏ ای ص ai‏ ۲ عوامل we‏ m Vë Al or eM‏ دقر بر اعراب SS‏ ص م4 EA‏ [nom ft E 4v 1‏ عزی من ص 4۸ TN. o A4 A‏ مفهوم ٠ 1‏ عزى من ص yi AJ US "T M‏ الکتاب اعنی IER ur a‏ (طبم سئة عروسم| أو (IP o4‏ تا 99) ی‎ ash e بن مسعود‎ Je #حد بن‎ ehs 180 — dc? MV ص‎ Iren شهر صفر ابر سنة‎ a AR $‏ فيه رسائل ف التص‌یف | sad EIN‏ بن Je‏ )100 1 لل مسعود P‏ ۲ كتاب العرى بتصریف الزنجانی ssl E |‏ ابراهيم بن عبن الوعاب الزتجانى التق P yoo die me 1‏ ات o 0 ei + e‏ کنات ۱۳۳ vs v £^ ER 1 E. IA لد فيه کنابان ١‏ امعان الانظار ر شرم القصود فن الضرى )101* | اليف کمن بن دسر il ‚ge‏ فرغ من تسويله des Sciences de Saint- Petersbourg. فى سنة ۹۵۲ ۲ روم الشروم على متن القصود طبع فى قسطنطينية فى اواسط رجب سنة ۱۲۷۳ ue ۳ grt‏ شرم البناء بل اللفوی تركى وعو شرم رسالة البناه فى )102 anb pul‏ باواخر صفر ابر لسنة IPVO‏ ص VI‏ مولی جامى شرم على الكافية السمى بالفوائد الضيائية )103 فى النعو وگو شوم ا مول ap‏ الدین عيل الرحن دن ا فو تا الكافبة لابن U U‏ PA ص‎ ۱۳۸۰ add اراس شعبان‎ sch dë فن‎ حاشبة احرم de‏ شرم الیامی على الكافبة فى الحو )104 هلر ان الاول ۳۲٩ص JUI,‏ ص deg‏ نم طبع الحاشية فى اواخرذی Séi‏ لسنة ۱۳۷۷ 105) على الجامى لعبل الغفور يعني على شرم الجامى‎ ail قل نم طبعها فى اواخر شهر الربیع‎ sell على الكافية فى‎ PPP الأول لسئة ۱۳۷۹ ص‎ شرع ايبات الكافية والجامى لعل بن عثمان الاقشپری )106 طبع ق اواخر رجب لسئة ۸ ص ۲۶٩‏ Hamm er, S.-Ber. 1849, p. 176, \ 260.‏ تعفه ثرجی مناغب لبيب ترکی وعو شرم لبيب افندى )107 + منظومة سنبلی‌زاده vs‏ انندی all‏ ۱۳۰ ۳ سنه‌سی ذى القعدة الشریفه‌سی او اسطنده ختام Hel يلير اولشدر ص‎ Ibid. p. 178, N 262.. : قواعل عثمانيه Tf‏ تاليف مين فواد Jal,‏ جودت )108* ص ۱۳۱ Zenker, II, € 255 et 256.‏ تعفة وعبى تركى نی لغة الفرس منظومة لسنبلی‌زاده )109 per à‏ افندى Lab‏ الرسالة سنة ۱۲۱ص do‏ ۱ für‏ وعبی ابضا فل CLS‏ طباعتها اواخر ذی القعية )110 سنه ۱۳۵۰ ص e VI‏ نظم ا جواعر تركى منظوم لعبنی افتدى العينتابى كمل )111 طبعه فی اواسط شهر ربع di Al‏ ۱۲۰۰ ص ۱۱۳ س Il. Ouvrages publiés en Égypte. Voyez: Reinaud, Notice des ouvrages arabes, persans et tures imprimés en Égypte. Journ. Asiat. 1831. T. VIII, p. 333. Bianchi, Catalogue général des livres arabes, persans et turcs, imprimés à Boulac, etc. Ibid. 1843, T. II, p. 24. Hammer, Gesch. des Osm. Reiches. Bd. VIII, p. 518 et IX, Catalogue de livres arabes, tures et persans pour la plupart im- primés à Boulac etc., provenant de la bibliothèque de M. Jomard. Paris 1864. 8°, Zenker, Le I. Théologie. کتاب علم الخال ترکی ف الاعنقادات ed,‏ طبع )1 ببولاق فى فرة شهر جادی الاخبر سنة ۱۲۳۹ e‏ ۱۴ ex.)‏ 2( کناب السواد الاعظم d‏ اعتقادات Je)‏ السنة والجماعة )2 قن تم zech‏ ببولاق لثلات عشرة بقبت من رجب الفرد الاصب سنة ۱۲۰۳ ص 04 Journ. Asiat. 1843, p. 49, Ne ۰ 3) تركى فى مسائل الابان والعبادات الخمسة طبع‎ D uo oV الأول سنة ۱۳۵۳ ص‎ to بقبن من شهر‎ usd ببولاق‎ Ibid. 1831, p. 337; 1843, p. 46, V 119. Hammer, p. 522, X 33. 4) بهي احديه فى شرم الوصية انحمدیه تركى تاليف‎ Sen بن ممل امین وعو شرح على‎ del قاض زاده اسلامبولی‎ amb الشيغ من بن يبر على البركوى قل تم‎ klin, PP لسنة ۱۲۳ ص‎ adl فى بولاق مصر فى اواخر ذى‎ Ibid. 1831, p. 336; 1843, p. 32, X 12.‏ بركوى شرحى نرکی السمی الجوعرة egli‏ الاحدية فى شرم )5 الوضية احمرية طبع ببولاق Irol du‏ ص HEN‏ فرع زوم شرع SIA‏ تركى لاسعیل الق طبع Au‏ )6 مصر فى KM‏ گرم سنه ۱۲۵۲ وعو هلر ان فى جز J-l,‏ dall‏ ص واف QU,‏ ص ۲۱ ab‏ التاجی على شرم ابراعیم الحلبى على منية Joll‏ )7 فى Fluo‏ الصلوة تاليف السيل مصطفى بن محمد بن le übel‏ كيل طبعه ببولاق فی fe‏ رجب سنه ۱۳۵۱ ص Ibid. 1843, p. 46, X 17. or‏ شرم فصوص الحكم حبى الدين ال مسبى بتجليات عرائس )8 النصوص فى صفات حکم الفصوص ترکی pl) eh‏ ai‏ على ما اظن طبع ببولاق تس بقين من دى القعن: + 0٩٩ ص‎ ۱۳۰۲ ax. Ibid, p. 48, X 137. 12* Bulletin de l’Académie Impériale II. Jurisprudence. 9) مشارع الاشواق ای مصارع العشاق ومثير الغرام الى دار‎ asch على ا پاد تم‎ yy à ob السلام وهو‎ ren ببولاق فى سا جادى الأول سنة ۱۲۲ ص‎ Ibid 1831, p. 337, X 21; 1843, p. 34, V 26. Hammer, p. 521, Ra III. Philosophie. Logique. Morale, Dialectique. 10) ونق طبعت فى‎ A السلم‎ Lok, ارجوزة فى النطق سماها‎ Hammer, p. 520, \ 17 et Journ. Asiat. 1842, Xe 25 (351); y. Hadschi Chalfa s. v. .السام | ونق‎ تنوير الشرق بعلم النطق عربه من الفرنساوية الى (11 العربية خليفة بن #مود والاصل تاليف u?)‏ (2 ex.) Journ. Asiat. 1843, p. 50, Ne 153.‏ اخلاق علائى تركى تاليف على بن امر الله العروی )12 بابن 3l] SU)‏ سنة 4 طبع ببولاق فى شوال سنة ۱۳۲۶۸ | وهو cof ab‏ جلن وال الاولص: ۲۳۷ QUI,‏ ll, ۷ v‏ ص X 68. or‏ ,40 .م Ibid.‏ IV. Histoire. 13) الاسلامية‎ dild, الأنبياء‎ EE روضة الابرار ترکی فى‎ قره‎ nl Ae aU oL] والسلاطين‎ dl, جلی‌زاده طبع فى بولاق فى اواخر شهر مرم الحرام‎ > "۳۷ ص‎ ۸ TER Ibid. p. 39, € 67. 14) الرحن‎ Jat تالنت‎ SEN الامم‎ «UL a اكم‎ a Ms من طبعه فى بولاق مصر‎ ghill اشرفى الفه سنة ۱۱۵۱ وكان‎ ۸۱۳ golror لثلاث عشرة لبلة بقين من جادی الاخرة سنة‎ 15) کاب عديقة السعداء ترکی تاليف فضولی مد بن سلییان‎ dall cole خلون من‎ HS البغدادى طبع ببولاق‎ Hog ص‎ ۳ din 16) lald) e»5Ó رسالة فى نسب مد صلى الله عليه وسلم‎ $ : . 2) Dumarsais. | | وفیمن ملك مصر فى الاسلام Cab‏ ...31 ذم" PORT OR‏ خلت من شهر ربیع الآخر سنة ۱۳۳۹ وعى ٠١‏ ورقات ترجه سير الحلبى فى سيرة النبى وعو ابراعيم حلبى (17 وس oi ale‏ امختار الشهور برای tele El‏ ترجه من العربية الى التركية السمد pole Ae‏ افندى eo ۱۲۸ص‎ Ai åg) فى اواسط شهر دی‎ ex نم طبعها‎ i (2 ex.) Ibid. p. 40, X 69. 18) سيره النبى نرکی طبع ببولاق فى اواخر‎ Y MOS سبر‎ lire سنة ۱۳۳۵ ص‎ åg) ذی‎ ai Ibid. p. 38, X 55. vd VW dë 1 ذيل سير النبى تركى لنابى افندى وقد تم طبعه ببولاق )19 ٠‏ مص فی سا جادى الاخر سنة ۱۳۸ص PYA‏ (2 ex.) Ibid. p. 40, X 70. 20) Ae وضايق الاخباز‎ LM Je السی‎ ael, p فى الدولة العثمانية هلان فى جز‎ ell واصف افندی‎ Jld) sl, 1 [‏ الاول ص :۲۱ والثانی ص ۱۹۰ طبع D‏ RK 1‏ اواخر شور جادی | dis‏ ۱۳۳۷ Ibid. 1831, p. 335, € 15; 1843, p. 39, X 63. Hammer, p. 5223, — 6 31. (2 ex.) 1 | 1 ان نامه ترکن لقره جلبّی‌زاده Ae‏ العزیز انين )21 d‏ 1 وقو ذيل e» e‏ تخواجه سعد الدین افندی يشتمل e : 1‏ السلطان سلییان الأول العثمانی طبع ببولاق فى Gë 1 |‏ جادی الأول سنة ۱۲۳۸ ص ۲۳۰ | ناب Salle‏ ویس تركى ف التعريض على سو تدیبر )22 ٠١‏ الدولة وخراب. AH‏ العثمانية all‏ فى عصر السلطان MN‏ اد طبع ببولاق فى غرة ذى القعلة سنة ۱۲۰۲ ص ۳۷ Journ. Asiat. 1843, p. 37, X 132. n 1 |‏ فلاسفة اليونان ترجه من الفرنساوية الى العربية )23 ٠١‏ عبل الله بن حسين طبع ببولاق لاربم عشرة ليلة À |‏ "هن شوال A‏ ۱۳۰۲ ص ۱۸٩‏ Ibid. p. 47, X 124. | 1 کتاب انعای Shad! pois UNI I‏ فى بلاد اوروپا )24 | 3 تالیف (* روبرسون الانکلیزی وعومقلمة e»‏ الأإمبراطور | ارل كان ابرزه من اللغة الغرنساوبة ونظيه فى سلك M‏ التوارش العربية خليفة بن مود رئيس فرقة ترجة الکنب 3) Robertson. 185 ١ des Sciences de Saint ۰ ۰ 186 الادبية التى تبرز من je‏ الفرنساوية الى العربية ص PM‏ وقل نم طبعه ببولاق مصر لثلاث خلت من صفر انر سنة ۱۳9۸ ثم ياتى فهريست الکلمات العجمية ۸ ورقات ex.)‏ 2( Ibid. p. 58, M 223.‏ O07 es Lair a ue EE EE‏ مطالع شموس السیر فى وقائع كراوس AU‏ مشر وعوتاریخ )25 ( کرلوس التاق عشر ملف el‏ ترجه من الفرنساوية ميل مصطفى بأشجاويش i du AE‏ بمصر دم طبعه فى بولاق مصر à‏ غرة شهر رجب PVA we ۷ den‏ Ibid. X 222.‏ (E M ie o v (Urn o s iue Hu Me‏ نظم اللالى فى السلوك فيمن حکم فرانسا ومن قابلهم )26 على مصر من الملوك ترجه من الفرنساوية الى Au ll‏ طبعه ببولاق مصر فى اواسط ربیع الاخر سنة ۱۳۵۷ ص Hol‏ Ibid. N 221.‏ e‏ نایلیون دونابارنه »» AMI‏ الاول JUI ao‏ )27 اجار ات تاليف 3 4355 ER‏ )929 ترجه من الفرنساوية الى التركية حسن افندى وحرره عزيز افندى طبع فى السرای الاسکندریه فى ۲ خلت من po‏ سنة ۱۳۶۹ ص ۳۳۱ .82 Ibid. p. 41, X‏ a Ai‏ جزابرندن سانته ell‏ نام dng se‏ واصل اولوب )28 اولطرفده جز دره Ju‏ اولان بونایارطه‌نل Se‏ TER‏ فرانسوی e Ul‏ بن al, aha.‏ لامک ترجه‌سیدر که بوناپارطه‌ناگ کندوس طرفندن Las‏ اولنوب بو تقر de‏ نوارد ایتمشرر تم annb‏ ببولاق doe‏ اواسط شهر جادی الاخر سنة ۱۲۳۷ ص o»‏ Extrait du Mémorial de St.-Hélène. Ibid. p. 39, X 65.‏ as‏ تاريخ ايطاليا تركى الشتمل الاختلالات الواقعة )29 من سنة ۱۳۰۴ الى سنة ۱۳۳۹ واحوال بوناپارته نايليون سنة ۱۳۶۹ طبع فى يوم سبعة عشر من شمر جادی الأول فى السرای à jd]‏ وگو olle‏ فى ael, Se‏ الاول" نم طبعه فى يوم yY‏ من شهر صفر الخير ص I‏ 4) Charles XII. 5) Duc de Rovigo. ۱۳۲۹ نم طبعه فی يوم ۷ من شهر جادی الأول سنة‎ gu, Le premier volume de l'Histoire d'Italie par Botta, traduit en turc par Hassan effendi. Ibid. p. 41, Je 80. مسقو دیارنده مقيم بولنان )* قسترا نام فرانسه اباچیسبتک )30 مسقو دولتی هه خم ایتدیکی تاریخل ترجدسيدر الع طبع مواق عسر CE‏ لوا جور Clos‏ سنه ۱۳۳ I4* Journ. Asiat. 1831, p. 336; 1843, p. 37, Je 49. wi V. Geographie. Ethnographie. Voyages. 31) بنكر الخطط‎ „well, تارخ القريزى وعو کناب الواعظ‎ ود کر‎ Bel بختص ذلك باخبار اقليم مسن‎ „UV, الغ‎ säll لقاعرة وما يتعلق بها وباقليما تاليف سبدنا‎ العروی‎ us دجن على بن عبل القادر بن‎ Jal الرين‎ Wi الأول ص ۹ء والثای‎ ul بالقريزى ومو جلدان‎ Sie عشر‎ fill طبعه ببولاق بوم الاثنين‎ P 0۲۱ ص‎ ۱۳۷۰۶ سئة‎ jio شهر‎ 33) رعو تاليف الثم‎ Dall التعريبات الشافية لري‎ رفاعة الطبطاوى ترجه من الكتب الفرنساوية قل تم‎ ۲۰۰ ص‎ ۰ te EU C فل غره‎ um Aan طبعه‎ 33) رسالة الجغرافية العمومية تاليف ملطبرون الافرنجی عزبه‎ رفاعة الطپطاوی ناظر مدرسة الالسن بصر وعو‎ e ۳۰۵ ص‎ (Fon ا جغرافية طبع‎ ab الأول من‎ 54) 34) رفاعة‎ ill تخليص الأبريز فى تاغيص باريز تاليف‎ | DA رافغ الطبطاوى وقو رحلة الى ديار فرانسا طبع‎ | ۲۱۰ مصر على يل موّلفها سنة ۱۲۵۰ ص‎ Ibid. 1843, p. 42, X 90. 35) الفاخر فى غریب عوائد الاوائل تاليف‎ Zb دبوان‎ £I ترجه من الرنساوية‎ uoi EP الما‎ وق اوله قاموس صغير بعنی‎ dl رفاعة الطپطاوی‎ ان‎ ue ail, Los ol بری الولف‎ Zeg كلمات‎ 6) Castera. > 7) Maltebrun; v. i dE Asiat. 1843, p. 51, X 162. 8) Depping. Bulletin de l’Académie Imperiale 18s PETATE T .من‎ de تصبر.‎ (3 ex.) ۱۱۲ سنه ۹ ص‎ SN فى غرة‎ res arab Ibid. p. 41, Ne 77. V1. Mathématiques. 36) سخانه‎ siyo ی‎ ie iell جموعة‎ الال العثیای دم طبعه‎ (^ L السلظان‎ Jus] T FAP ص‎ Irre» TET cole ببولاق مصر فى غاية شهر‎ Ibid. p. 32, X 13. رسالة فى علم الحساب تاليف شهاب الدین احد بن Aë‏ )37 بن عاد cal dU LL Li‏ ماي dud‏ شهر (lat‏ ننة اصن CM‏ جدول فى علم الشاب ترکی ص ٠١9‏ )38 کناب الهندسة الوصفبة ترجه من اللغة الفرنساوية من )39 البيومى ص Ibid. p. 46, N 122. ۷٩‏ JU)‏ البهية فى اليندسة الوصفية ترجه من الفرنساوية )40 ابرا 2 افندی رمضان وهزب عباراته وبذل فيه Ux‏ یبرد coll‏ الدسوق عبر الغفار 24 II‏ تم طبعه ببولاق مصر M‏ عقبی جادى الأولى سنة ۱۳۷۱ ص ٣لا‏ ` کتاب اصول الیندسه تركى ترجه من pe La) is All‏ )41 ادمم افندی بامر أبراعيم d Lil,‏ با Rs‏ مصر قل تم طبعه ببولاق فى يوم الخمبس التاسع من شهر ربیع الأول سئة ۱۳۵۲ ص ex.) P^IP‏ 2( CE‏ مبادی اليندسة تعریب رفاعة بدوی الطیطاوی )42 el‏ ناظر ملرسة الالسن وقلم الترجة طبع ببولاق فصر > لعشر مضت من uis‏ سنة Iron‏ ص IPO‏ 43) لغار پتمه) نم طبعه ببولاق مصر فى اواخر شهر‎ SES Logarithmes; ibid. p. 42, & 91. —‏ روزنامه ‏ كلها من حساب بعبی الشهير باحكيم طبع )44 ببولاق )? (IFO diw‏ VII. Art militaire.‏ تاغبص تاغنص الاشکال v‏ الفه حسین رفقى rt Zack SZ‏ )45 ی دصر السلطان يليم افا M ببولاق فى اواخر رمضان سنة ۱۲۳۹ ص‎ eb ۱۳۰۹ ái. Ibid. 1831, p. 341, X 49; 1843, X 5. Hammer (p. 341, X 5), جادی الثانية سنة ۱۳۰۰ ص ۲۷۱ — 7 — بها ` القانون الثانن ق درن" العسکری e‏ بامر مين )46 d‏ باشا وال me‏ ببولاق فى سان رجب سنه ۱۳۳۹ : صن Ibid. 1831, p. 340, N 42. Ie‏ پو dij‏ بره جدولنك طريق .حسابی واستعیالی )47 EC gë‏ فى شور ربيع الاخر سنة ۱۲۳۹ ص ۲۷۳ Ibid. 1831, p. 341, X 50; 1843, p. 31, X 5.‏ ` تعليمنامة پیادکاندن قانون "ur PERN‏ کی طبع Sr‏ ۴ )48 اواسط شور cole‏ الاول سنه ۱۳۲۰ ص ۲۳۰ نم باق 1 دعله الأى تعليمنه 5s‏ گر أشكالك EU‏ وتفسيرى ص ۳۰ | قبع فى ناسع شهر غرم سنة ۱۳۴۱ Hammer, p. 520, N 12. 49) ip ۶ص‎ di B طبع فى شهر‎ MO jede | de Js E Service du SRE Journ. Asiat. 1831, p. 346, N 45. d ۱۳۳۲ غرة جا سنة‎ à na wo "ws Ren Service du sergent. Ibid. A 46. 51) Je Jal تاليف‎ SES Au 5 gs پیادکان‎ EL قانون‎ 119 ص‎ ۱۲۳۵ du شهر :وال‎ ule نم طبعه فى‎ T , | Select . *‏ طوتجبان do» les‏ بربه ترکی Ule‏ كبين قل JS‏ )52 be 1‏ ببولاق فى سا ذى القعرة سنة ۱۳۳4 53) — ترکی_لعله طبع‎ JE تعلیینامەسنك‎ usd | (2 ex.) I 9 3 94) ببولاق مصر‎ ab نامه مسا کر پیادکان جهاديه ترکی‎ "m Pev ص‎ ۱۳۳۸ Ai ر بیع الاخر‎ bel, L " | ES 1‏ قانون نامدسن ترکی الفه Je od adi.‏ باشا )55 D‏ وی مصر C‏ فی اواخر شهر جادى الأولى A‏ ۱۳۳۸ VIT TTC nl nn اد اوا‎ de ف ار(‎ Zr 191 ue ۰ ey‏ رس ( ف وتفسير ts or ||‏ ترکی قانون ddl‏ فد e‏ بمولاق à‏ او اخر Je‏ شوال P ۷ ve ۱۳۵۱ di‏ فانون ثالث طبع ax)‏ ۱۲۵۱ ص P PVA‏ قانون رابع 57) 4; des Sciences de Saint- Pétersbourg. وغامس قل تم WEIS‏ بقین من مرم سنة ۱۳۵۲ e‏ سواری تعلیمی P‏ وگو اشكال وتصاوير اربع جلر ات ثم بليه بیان الاشكال ص سرس Ibid. 1843, p, 45, Ñ 112. 58) ۳۲۳ طبع سنة ۱۲۵۷ ص‎ VIII. Navigation et marine militaire. (V. Journ. Asiat. 1831, p. 341, N: 51—55.) اصول العار ف فى وجه تصفيف سفاين Lis‏ وفن تدبیر )59 حرکانها [مع الرسوم والاشکال] تركى طبع ببولاق مصر فى اواسط شور c»‏ الأول سئة ۱۳۲ ص ot‏ (2 ex., 1 sans planches.) Ibid. N 54; 1843, p, 35, M 81. Hammer, p. 521, X 21. رسالة فى قوانين الملاحة Pr‏ 3 تاليف U^? PIT‏ )60 شهر صفر ابر سنة ۱۲۲ ص de‏ D’après le traité français de l'amiral Truguet. Journ. Asiat. 1831, p. 341, X 51 et 1843, p. 35, X 30. 61( Gl وه‎ 5 ae C الکتات‎ ab بع الكتاب ببوا‎ ق فى اواخر شهر حادی الأول سنة ۱۳۸ ius‏ ۱ قواعل Se‏ عساکر ريه نرکی ترجه من الفرنساوية )62 شمان نور الدین رئيس JL,‏ الجهاديه pes‏ بامر ین على ul‏ وال مصر طبع de‏ أواخر شهر رجب الفرد سئة ۱۳۲۳ ص لاوم 63) خليل‎ Jal تعربه تاليف‎ el طویجبان‎ fide eus sch ترجه من الفرنساوی ای الترکی‎ ul E Sa. Iprer ar دق‎ NE مصر طبع‎ n LL eh Me حل انتها اولشدر ص‎ Bien) شعبان غره سنده‎ (2 ex.) 64) الدین عثمان‎ all بعریه ثرکی‎ Sole عباستنامة‎ الجهادية بامر مد على باشار وال موز دم‎ JU, رئيس‎ ۱۰۷ ص‎ ۱۳۳۳ ä طبعه ببولاق مصر ف اواخر شوال‎ (2 ex.) Ibid. p. 36, X 38. * IX. Mécanique. Statique. 65) كتاب جر الاثقال تركى او اصول فن الوازنة تاليف‎ نور الدبن‎ Aë الترکبة‎ Jan بوسوت الفرنساوی‎ H عصر مود‎ à JUL Sl بن يحبى ناجی كاتب‎ ۱۳۳۹ الثانی كان طبعه ببولاق فى فرة ذی القعدة سنة‎ Ibid. p. 41, 78. ص ۲۰۳ علم Le‏ السنوائل تاليف الهندس (" بیلانچه مدرس ple‏ )66 الیخانیل والایدر وليك ای de‏ تعرك السوائل جدرسة العلوم والعمليات باریس ترجه الفقير اجن فاید مررس عام الميخانيك e,‏ ترك السواّل بررسة ail, Gell‏ الخدیویه الكائنة بمولاق مصر الحمية وطبع بها iwed‏ عشر خلت من صفر ابر سنة ۱۳۹۴ ص PPI‏ X. Médecine. Anatomie etc. فانون Zell‏ المسمى بالاعة فى سياسة الصحة تالیی )67 وبا Jos")‏ اس الاطباء فى عضر kb Ae‏ باشا سر aa,‏ من الفرنساوی rau) Ji‏ جوربی Is‏ الحلبى وحزره Aë‏ الهراوی وکان طبعه ببولاق فن Al‏ شهر رمضان سئة ۱۲۳٩‏ ص pap‏ Ibid. p. 40, X 74.‏ دستور الاعمال الأقراباذينية LG‏ الريار الصرية وقن )68 ترجم الکتاب بدرسة الطب بابی زعبل الخواجا يعقوب قل تم طعا ببولاق مصر فى ۲۷ من دی ax. a2]‏ ۱۳۵۲۳ الدر grill‏ 3 فن الاقرباذین وگو قن التزاوى من )69 فن الاقرباذین والفردات الطبية بررسة الطب البشرى بالریار الصربة طبع بمولاق مصر لعشر بقين من جادی الاخرة سنة Iron‏ ص «pP‏ کتاب فی فواعد الاصول الطبية احررة عن التجارب Aal‏ )70 كيفبة علاج الأمراض الخاطة oos‏ الانسان تاليف ell‏ 9) Bossut. 10) Belanger. 11) Bernard. 12) Georges Vidal. 191 Bulletin de l’Académie Impériale (" فرأنسيسقو فاقا استاذ A All‏ الجامعة ez‏ العلوم d‏ مرينة بیز ومو Jl olJle‏ الاول ۰ ص والثانی ۷ ص طبع ببولاق مصر فى اخر ربیع الثانى سنة per‏ Ibid. 1831, p. 339, X 35; 1843, p. 33, X 21.‏ رسالة من كلوت da‏ کشای عموم Ji sel Ae ll‏ )71 ضباط isal)‏ ولد العرب بالاردوی النصور ببر الشام فى خصوص „dl‏ التقطعة طبعت ببولاق 10 رجب سنة ۱۳۲۹ ص Hr‏ نبزة تحتوى على مباحث تعليمية وتنبيهات فى تطعيم )72 ذی adl‏ ا حرام plis‏ سنة ۱۲۰۲ ص | äs®‏ الر وسا فی علام امراض النسا تاليف gal‏ حسن )73 الرشيدى Zl‏ من رجال مضر فى عصر e Ub js‏ ببولاق مصر فى خس عشرة خلت من ثهر جادى BLI‏ din‏ ۰ ص !49 کتاب الدرر الغوال فى امراض الاطنال تاليف كلوت )74 بيك ریس الاطباء بضر فى عصر uns‏ على باشا ترجه من اللغة الفرنساوية الى العربية Aë‏ شافعی افندى طبع ببولاق فى ربیع ZU‏ سنة ۱۳۷۰ ص IPP‏ العجالة الطبیه Los‏ لا بل مثه لحكماء الجهادية ختصر فى )75 الطب ale‏ على قراعی الطب od‏ تاليف كلوت UN‏ باش me‏ الجهاديه ورئیس الدرسة الطبية بابی زعبل من الديار الصر بة نم طبعه Zeckt‏ الدرسة الطبية بابی a Le‏ 7 الثالث والعشرین من صقر Fu‏ عام ۸ ص Hol‏ کناب منتهی الاغراض فى pe‏ شفاء الامراض وعو ترجة )76 „us‏ العلمین (" بروسبه وسانسون TIT Lo dë p‏ واستملاه بالعربی ین الهراوی دم طبعه ببولاق فى البوم العاثر من شهر ربیع الأول عام ۱۳۵۰ وعو جلدان ‏ ۲٩۳ والثانی ص‎ eee الأول ص‎ ART el, Ge فى‎ (3 ex.) E 18) Francesco Vacca, prof. de Pise. 14) Broussais et Sanson. 77) کشای عموم‎ Je فيما #خص الطاعون عمل كلوت‎ aus واقره ارباب الشورة الطبية‎ eb; بالدیار الصرية‎ isch] ESGR طبع بصر فى‎ ۱۳۰۰ ài. القعدة‎ T اوائل‎ à ٠١ عام ص‎ ۱۳۰ ig] دی‎ 78( مأمورلرینه دائر قانون نامه ترکی وضع‎ ase Li M‏ بامرمحيل على باشا والى مصر وطبع بها فى اواخر شوال E‏ بسن ۱۳۰ ص de‏ 79) الاربطة الجراحية مترجم من الفرنساوية الى العربية‎ CES E‏ ببولاق فى اليوم ro‏ من ذى agl‏ الحرام الذى هو pal :‏ ۲ ص ۱۷٩‏ Ibid. 1843, p. 51, X 165. الشانى زاده فى JLo‏ الجراحية Les‏ يتعلق بزلك طبع 3 ببولاق مصر فى DE‏ شهر ر بيع اول سنة ۱۳۳۲ ص ۱۳۳ مبلغ البرام فى فن الجرام وعو ترجة تاليف الحكيم بمچین(3) )81 e |‏ زيادات كلوت بيك رئيس الدارس الطبية بص 3 ومعلم Al dl ple‏ وغيرها ترجها Los‏ عنعوری ودررما | کین الهراوی تم طبعه ببولاق يوم المي سهخامس شهر pE ghai E‏ امن شهور العام ۱۳۵۱ ص oop‏ 82) وعو ترجة کناب العام‎ ga Je ف‎ e» القول‎ E] زيادات كلوت بيك الفرنساوى‎ ae بايل الفرنساوى‎ 1 0 ايضا ترجه Les‏ عتحوری art,‏ 2.2 الهراوی والشيغ TU Jal 4‏ ونم طبعه å ror‏ غرة ربيخ WR‏ عام (PA MN‏ ص 01م " كتاب a All‏ العام تاليف DEN) ell‏ ترجه من )83 " الفرنساوية الى العربية عيسوى افندى العراوی طبع 3 بولاق مصرفى یوم Jad)‏ لست خلون من شعبان سنة ۱۲۷۱ ص pret‏ يأنى توضيع الاسماء الأعجمية ص ۳۱ Ibid. p. 40, X 73, Ibid. p. 48, X 140. ijo ۰‏ فى اصول الفلسفة الطبيعية ص ۱۱ P‏ اصول فى )84 oil 1‏ — 04 — ۷۹۵ تاليف كلوت بيك الفرنساوی رئس — M 15) Baillie. j 16) Béclard. TEEN des Sciences de Saint- Petersbourg. 194 الأطباء بمصر ترجه لاعريية ابراعيم افندى النبراو ى وتم amb‏ ۷ رجب سنة ۱۳۵۳ ex.)‏ 8( a‏ الرياض فى كليات الامراض تاليف الطبيب برنس )85 ترجه من الفرنساوية يوسف فرعون ودرره مصطفى حسن كساب طبع ببولاق فى غرة رجب سنة ۱۲9۵ ص ۱۳۹ التعفة الفاخرة فى As‏ الاعضاء الظامرة فى عام البيطرة (86 تاليف ا حكيم ('' امون عربه بوسف فرعون .^ ass‏ مصطفی حسن كساب ab‏ ببولاق مصر فى غرة ربيع OUI‏ سئة ۱۳۵۱ ص ۱۳۷ منتهى البرام فى de‏ ارام وعو امن LS‏ طبع من (87 الطب البيطرى بصر نرجه من الفرنساوية الى العربية يوسف فرعون وعزبه مصطفى حسن كساب e‏ طبعه ببولاق فى رجب diw‏ ۱۳۵۷ ص Fis‏ کتاب التشریع البیطری السمی بالتوضيع gl BU‏ )88 الزى الفه "Pn dell‏ من اللغة الفرنساوية بوسف فرعون ودرره ajos‏ مصطنی حسن کساب »» جلران فى جز واحد Ad)‏ الأول ص AU, rie‏ ص نروم تم طبعه ببولاق مصر فى غرة شهر صفر pll‏ سنة ۱۳۳۹ (2 ex.) 89) عة الجمان فى ادوية الحيوان فى الطب البیطری ترجه‎ من الفرنساوية الى العربية بوسف فرعون طبع ببولاق فى‎ AP سنة ۱۳۰۰ ص‎ dall اراسط شهر جادى‎ (2 ex.) 90) منافع الاعضا فى الفيسولوجيا‎ de اسعاى الرفی من‎ al sue من الفرنساوية على افندى الترجم الحكيم‎ IVP زعبل طبع فى ۱۲ من رم سنة ۱۲9۲ ص‎ (2 ex.) Ibid. p. 47, X 126. XI. Géologie. | الاقوال الرضية فى علم بنية الكرة الأرضية ترجة كتاب )91 (" بویبه ,ترجه من الفرنشاوى sal‏ افندی فائد معلم 17) Ammon. 18) Girard; Journ. Asiat. p. 41, X 81. 19) Boubée. Tome X. الطبيعة LG,‏ والعادن بدرسة الهنرسغانه وف آخره نبذة فى الکلیات الاصطلاحية فى vil Lis‏ طبع ببولاق فى SLI‏ شهر c»‏ الاخر سنة ۱۳۰۷ ص :۱۷ XII. Botanique. 92) فيه من الخواص والنافم فى‎ Le, اللامع فى الثبات‎ jall رؤساء الشورة‎ Al تاليف انطون. نیجری‎ Al de ۲۹۸ فى غرة حرم سنة ۱۲۵۷ ص‎ amb الدعية بصر وان ام‎ XIII, Agriculture. 93) النجام‎ Joi زراعة الفلام وتدبیر أدكام السياسة‎ As A تتضمن علوم اصول الزراعات طبعت فى ساغ رجب‎ (2 ex.) ص إ۷‎ ۱۳۲۵ a. Hammer, p. 522, X 32. XIV. Teinturerie. 94) كتاب فى صناعة الصبغة تاليف ماكير من علماء الدرسة‎ ووافق فراغه يوم الاثنين‎ Fel العامة ومترجه القس‎ ۱۱۸ من شهر ذى القعده سئة ۱۲۳۸ ص‎ PA Journ. Asiat. 1831, p. 340, 539: «Art de teindre la soie», d'a- près le traité français de Macquer. XV. Mineralogie. 95) تعریب کتاب العام )?5,15 فى العادن النافعة لتدبیر‎ معايش الخلايق استخرجه من اللغة الفرنساوية الى العربية‎ et ص‎ IPEA شوال سنة‎ Ibid. 1843, p. 40, X 72. XVI. Épistolographie. 96) بدیع الانشا والصفات 3 الکاتبات والراسلات تاليف‎ القرسى الحنبلى وتم طبعه ببولاق مصرفی غاية ذی القعدة‎ (3 ex.) Ze ص‎ IPEP ax. Hammer, p. 522, 28). Journ. Asiat. 1843, p. 33, X 28, 20) Brard. 13 195 Bulletin de l'Académie Impériale 4 ریاض الكتباً ودياض Lol‏ تركى فى الانشاء وهو جموعة )97 us Slam‏ افندی طبع » لق مصر سنة ۳ص ar‏ Journ. Asiat. 1831, p. 338, JV 28; 1843, p. 34, |: 27. Hammer, p. 520, Xe 18. منشات ze‏ ترکی جعه والفه عزیز افنذی من کتاب )98 الدیوان JU)‏ بصر فى عصر مد على Ub‏ ص ۱۰۶ كتاب فى فن SUI‏ والانشاء جعله قسمين القسم الاول (99 فى الخاطبات PEE EAr Us‏ کداية L, ll‏ وما فى معتاها dëch dë UE,‏ سئة ۱۳۰۹ ص IOV‏ 100( الطبع‎ e usd E SU اغرى مر الکتاب‎ e XVII. Poésie. القصيدة الوطنية الصرية وعى قصيرة لترثم النفرات )101 اوائل e‏ الثانی سنة ۱۳۷۲ ص ۲۲۳ کتاب Hal‏ الازعار فى حاسن الاشعار طبع ببولاق à‏ )102 سا هادی الاخر du‏ ۱۲۲ص ap‏ Réimpression de l'ouvrage « Anthologie arabe» publié par M. J. Humbert. Journ. asiat. 1833 p. 337, N° 22; 1843, p. 35, 38. Hammer, p.521, 26. * فاتع الآبيات ای شرم امثنوى المعنوى الولوی Jl‏ )103 الدين الرومى ترکی ست cole‏ ثلثة اجزاء الجلل الاول ص Fei‏ والثاق ص ۲ والثالث ص I4‏ والرابع ص os‏ والخامس ص won‏ للمولی آنقره وى Hammer, S.-Ber. 1851, Bd. VIT, p. 626. فى بوم السبت U‏ الرابع والعشربن BEP‏ | الثانى- بالاسکندرية سنة ۱۳۵۰ ومو ثلث ule‏ ات الاول ص ۱۱ والثانى ص eoo‏ والثالث ص ب“ اکلستان سعدی ab‏ ببولاق 3 اواسط رجب Ai‏ ۱۲۳ )105 oras zu‏ ص ۹۳| کتاب کلستان شغ سعدی طبع ببولاق مصر فى غرة je‏ )106 ans dl)‏ ۱۳۳۹ ص Vo‏ کتاب کلستان شغ سعدی تم طبعه ببولاق pao‏ لعشر(107 خلون من شهر رجب سنة ۱۳۰۷ ص INA‏ 108) عطار فارسى نم طبعه ببولاق فى اواخز شعبان‎ y ص سرعم‎ ۱۳۲۳ die DI 109) عطار ايضا تم طبعه ببولاق مصر فى اواسط ثهر‎ GE ذى الفعرة IFO AL.‏ ص ۳ه ; دیوان ندیم ub‏ منه ۱۰۷ JS Les ue‏ » 09 ص غزليات )110 ex.)‏ 8( ديوان نفعى تركى القصائں ص et‏ والغزلیات ص ۳۹ )111 طبع ببولاق as‏ سان رجب الفرد dis‏ ۱۳۵۲ 112) ۲٩ قطنت تركى القصائد ص ۳۱ والغزلیات ض‎ Ok VI شهر ګرم سنة ۱۲۵۲ ص‎ doal فى‎ 114) منشائه منثورا وقصائده‎ as ترکی‎ EL راغب‎ olus عشرخ‎ Ld asab نم‎ ue ۱۸۳ قدر‎ KI, وغزلياته‎ (2 ex) Irop de من حادى لاغز‎ ch AR) Hä 35 2 غالب دده‎ Jill Sg غالب‎ es lag | غزليات ص 1۷ والثالث‎ ZU, ire فى الدائع ص‎ حسن عشق غالب دده ص j"‏ طبع ببولاق مص فى اواسط شهر غعبان ax.‏ ۱۳۰۲ _ دیوان نشات افندى. ترکی قصائده ٩۰‏ ص غزلباته )116 ۱۳۵۲ à. طبع ببولاق مص 3 اواسط شهر شوال‎ ven «بوان نائلى تركى طبع ,بولاق مصر فى اواخر رمضان )117 i . IFO سئة ۱۳۵۳ ص‎ ` IPP ص‎ ۳۲۵ du ْ والثانى فى الغزليات ص ۷ طبع ببولاق ف cl‏ e‏ الاخر سنة سروس طبع بمولاق مصر فى اواسط صفر الخير )118 XVIII. Contes. 120( pdl كناب طوطى نامه ترکی طبم ببولاق مصر لغرة‎ Peo سنه ۱۳۵۳ ص‎ > 121) نون نامه ترکن وهو ترجة کتاب انوا رست الفارس‎ قرا سسب‎ الأول‎ ball فى عون السلطان سليمان‎ all اعد‎ ` des Sciences de Saint-Pétersbourg. کان مام sech‏ ببولاق مهن لشان p‏ din =‏ ۱۳۵۲ ص 0۱۳ بقين Aë)‏ من صفر N: 102,‏ ,44 .م ,1843 Journ. Asiat.‏ کتاب Ak‏ ودمنه das‏ عبل الله ابن c^ ell‏ من )122 iil‏ الى طبعت بباريس ف بولاق وکان تام طبعه يوم الاربعا ۳ شور جادى الثانية سنة IP‏ ص 4 e‏ (2 ex.) Ib d. p. 45, X 114. الى al‏ وليلة فى جلدين الجان الاول ص QUI, vie‏ )123 ص “Pe‏ طبع ببولاق فى غرة ڈور رجب due‏ ۱۲۵۱ XIX. Philologie. 124) الأوقيانوس البسيط فى ترجة القاموس احبط فى اللفة‎ افندى العينتابى من العربية‎ pole ترجه السين اعد‎ وهو ثلث‎ ۱۳۵۰ dim par cb IPPO Ai الى التركية فى‎ جلر ات الأول ص ٩۳۳‏ والثانى ص ٩۳۹‏ والثالث ص ۹۷۳ Ibid, p. 42, X 86.‏ الرام فى الصرى لاحل بن على بن مسعود طبع فى (125 ١‏ Ibip. p. 86, 39. شهر صفر dän‏ ۱۳۳۲ ص KV‏ مجموعة صرفية فبهأ | مرام الاروام فى الصرى لاحد بن )126 على Na‏ مسعود p‏ القصود H‏ دصر C$‏ عزی ‏ ابواب التصريف © شرح الامثله طبع ببولاق خسة عشر خلت tot‏ شهر صفر سئة Ibid Er‏ IPTE‏ ر این Ue‏ irol i. اول‎ y cem og 128) قطر الندى وبل الصذی مع شرحه تالبق جال الدين‎ ١ بن عشام‎ ale op بن یوسف‎ Al اہی مین عبد‎ UST مض لازي‎ She eh ll الکو‎ الاخر سنة ۱۳۵۳ ص ۱۵۸ 129) al Ae Ae آلصری لابی‎ Jos عتاب قطن النرى‎ ١ Am gm الله بن عشام الانصارى مغ‎ A بن بوسف بن‎ (2 ex.) LJ hell الاعرات. عن قواعن‎ m ab , ارضا‎ a) وكان كمأل طبعه ببولاق مصر لثلات خلون من شعبان „A‏ سنة ۱۳۷ ص ۱۵۸ شزور الزعب فى معرفة كلام العرب مع شرجه للعلامة )130 جال الدين ابی عبن الله حمل بن plio‏ الانصاری مع Ju‏ لطيف ner‏ مسائل Wé U^ "a‏ موقل الاذمان وموفظ الوسنان نز Lal als Sch‏ نم طبعه فى بولاق مصر یس بقين من هادی die Ll‏ ۱۳۵۳ ص Ir‏ شرح العلامة الش: ge‏ الازعری على متن الاجرومية )131 فی علم eto nl‏ وكان plil.‏ طبعه فى يوم اس do‏ شهر ربیع ار dien‏ بر Ph‏ ص KA‏ شرع e)‏ خالد على الاجرومية ایضا قل طبع بمولاق )132 مصر dl‏ ۱۳۱ ص اعم شرم الکفراوی على متن الاجرومية تم طبعه ببولاق فى )133 a‏ جادی الأول سنة ۱۳۳۲ ص IM‏ e‏ الکفرادی على متن الاجرومية ایضا تم طبعه ën‏ (134 فى اوائل رمضان سنة IM Ue IP‏ شرم الکفرادی على من الاجرومية ايضأ تم amb‏ ف )135 بولاق مخز سان جادی الأول سنة ۱۳۰۲ ص 144 تصریف عزى لعز الدين الزنجای نم طبعه فى شهر )136 سكو yo ۱۳ Aë il‏ 10 کتاب المقصود طبع فى بولاق‌فی غرة c»‏ الأول سنة ۱۳۲ )137 ص ۱۰۱ کتاب البنا نم طبعه فى ساغ شهر شوال سنة ren‏ ص Je Il‏ شرم أبن عقيل على الفية ابن مالك فى النعو طبع )139 den‏ مصر مس بقين من ذى القعرة الح رأم سنة ۱۳۵۲ ص FM‏ Ge |‏ زیبا فى اللقات الثلات اعنی التركية à Sch‏ )140 والفارسية ترکی منظومة حيرت افندى الفه لعباس سبط عمل على EL‏ والى مصر وطبعت "us JU JI‏ e»‏ الاخر سنة ۳ ص ۷ وق al.‏ الکتاب P‏ ۲ مغاتيع الدرية فى اثبات القوانين الرر ية - الررية تاليف مصطغى we o dp السیواسی‎ gl بن‎ 13* 199 Bulletin de l’Académie Impériale )141 M '‏ قراس مرب Cat‏ يلق a‏ سر dus‏ ۱ ص HP‏ م أكتاب ترجان BEE‏ وعربی طبع فى بولاق مس خلون )142 من شهر ربيع dall‏ سنة ۱۲۵۳ ص ۷۱ تبأ ن نافع در ترجه برعان ele‏ فى لغة الفرس ترجه )143 من الفارسية السين sal‏ عاصم العینتابی تم طبعه ar‏ فى غرة ربيع APR D‏ ۱۳۹۱ ص 4*1 جموعة القدمات فى العو | EU assi‏ لابن | SH‏ Ibid. p. 44, X 101.‏ Ce et,‏ تركى منظومة فى اللغة تم طبعها ببولاق مصر(144 = | أوأخر شهر ربيع الأول سنة M‏ ص 0۳ "X‏ منظومة es‏ اللغة نطیها فى عصر السلطان )145 A‏ الثالث العثمانى وطبعت ببولاق سنة ۱۲۳ص ۱۳۳ Ibid. p. 39, M 62.‏ V. N 147.‏ XX. Encyclopédie. 146) ۱۱۷۰ سنة‎ aal] i تاليف أبراعيم‎ Re Bu bte or ue Sei dän ونم طبعه ببولاق مصر‎ 147) AI الكفوى‎ me! Ji ابو‎ P ابی البقاء‎ OX | وعو فى أصطلاحات الفنون والعلوم طبع فى بولاق مصر e‏ خلون من الشهر الفضل الذی عو شهر ربیع الأول (2 ex.) ۳۳۰ ص‎ IPoP ax. Ibid. p. 49, X 147. III. Ouvrages publiés en Perse, Voyez: Zeitschr. d. D. m. Gesellsch., Bd. VI, p. 405. (Les ouvrages marqués de * sont imprimés.) I. Théologie. | دبستان الاب فى الملل Jedi,‏ والزاعب تاليف شيع )1 حسن Gb‏ مطبو EE‏ ای وی ۱۳۹۰ obl‏ القران الجبن 3 (lb) AE‏ در سای ماه شعبان „Bell‏ سئة ۱۳۳۷ ۲۲۹ ورقات القران Xt ola‏ مطبوع ف تبریز سنة ۱۲۶۹ القران dl‏ صورت p‏ بزيرفت در غرة i‏ )3 شين شعبان )4 „ball‏ سنة ۱۳۲9۸ ۰ ورقات Avec la traduction interlinéaire en persan. EE ` Uf 1‏ فى تفسير كلام الله الوافى من تاليفات )5 ميل بن مرتضی الرعو «حسن واللقب بالفيض al‏ ' كناب احسن القصص من تاليفات ملا معين جوینی )0 JUAN‏ وعو تفسير سورة بوسف al‏ فى شعبان سنة ۱۰۷6 " وان طبعه بامر شاهزاده De de‏ فى شوال سنة ۱۳۷۸ m‏ 7 میم البیان لعلوم القران ن لابی جعفر حمل بن de‏ بن )7 Gàfy الثانی کتاب‎ wë >d] Fi دق‎ ۱۳۷۳ dus والثان‎ cA d |‏ ند pu‏ تالبف Aë‏ بن مهدی السینی الشرم الجديد على Ai‏ العقاير (للتصیر الطوسى) )8 ٠‏ للعلامة على بن عمل الشهير بقوثعی المتوق سنة ۸۷٩‏ | للكرم كن عشره الاول من An,‏ ۱۳۷۲ 9) در بیان مسائل الطهارة والصلوة وزكوة وخس وصوم‎ ed على مزعب الشيعة تالنف ين أب el‏ الاصنهانی بن میں خسن الفراسانی مطبوع شل در دار السلطنة اصفیان eh‏ شهر شعبان فى ۱۲۳۷ ٩‏ ورفات 10) من الفتن‎ e LA الثامن منه‎ Jl تحار الانوار‎ ES, as ن والجور والبغى على ائمة الدين من تاليفات‎ | Al, ۱۲۷۰ سنة‎ iam ۱۰۹۱ سنة‎ ac Ca ro ` وسيرنیم وشهادتهم قل نم یوم ۲۲ من شهر رجب ۱۳۷۹ ur‏ ب اللهوى على قتلى الطفوی لابن طاووس اكتاب sai Jue‏ نف لوط بن SE‏ الازدی وان b A |‏ EN‏ الیل الرابع 12) LG Zu عشر‎ 5 i pe $ ن‎ son OR ol PR ee re EEE ٠۴۷۲ الأول طبع فى طهران سنة‎ Oe KIK H N d‏ قل وفع e»‏ من AM‏ بره d‏ الاننین من شير شوال Ee ۱ ll الزمرا» ومناقب‎ All ul Gë | | ۱۳۷۳ ax. ab ۱۳۳۳ سنه‎ i انمه‎ Jul, 2 201 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 202 زاد العاد فارس فى مسائل الصلوة والعباد ات والادعية )13+ الأثورة تاليف مد باقر بن مر Ai‏ انتخبه من کتابه السی Le‏ الانوار pl‏ شل در Dei)‏ طهران) در ماه co‏ الأول سنه ۱۲۲ ۱۷۹ ورقات کتاب حق اليقين من تاليفات ost‏ باقر بن عمد تفی فى )14 اعتقادات الشيعة والسائل الضرورية الدبنية الغ مطبوع شل در شهر ربيع الأول سال ۱۳۳۱ در طوران ۲۷۳ورقات كتاب حق gad‏ ايضا تاليف ممل باقر بن ممل تقى )15 صورت نام پذیرفت (در طهران) سنة ۱۲۷۸ call ale 1)‏ فارسى فى مکارم الاغلاق والاداب تالیف(16* Aë‏ باقر بن هید نق all‏ نة ۸۱ Meus ad de‏ جادی الاخری در سال ۱۳۳۸ Zell, anal) بن آمل‎ Sell رسالة حسنیه فل‎ v) ترجه من العربی الى الفارسس ابراعيم استرابادی فى‎ ۱۳۴۸ مطبوع شل کناب فى غرءً ثهر رجپ‌سنة‎ don سنة‎ عبن الحيوة فارس وعو ترجة وصبة حضرة شين الرسلين الى (17+ ابی ذر الغفارى تاليف ost‏ باقر بن ید À‏ مطبوع شل (در طوران) در شهر ربيع الأول سال ۱۲۳۰ وعو ۸ ورقات : كشف لثام dell‏ فى شرم AE oes‏ للفاضل بها* )18 الرين 2o?‏ بن الحسن الاصبهانی الشهير بالفاضل اليندى #لران كبيران انطبع فى دار oll anl‏ فى شور حرم الحرام سنة ۱۳۷ کتاب عقايل الشيعة فارسى من تاليفات شخ على iol‏ )19 إن على اکبر f RER‏ كتاب ابواب الجنان Lol A‏ وعو AH‏ الأول من )20 املدات الثمانية تاليف ممل رفيع le‏ العروی بالواعظ تم طبعه فى طهران فى يوم التاسع من شهر ذى القعدة dall‏ من سنة ivre‏ زبدة العاری فارسى فى العقائد الشبعية تاليف على اكبر )21 الاصنهانی all‏ سنة ۱۳۲۳ )3 طمران) onus‏ غرة شهر ٠‏ ۱۳۹۷ dés رجب‎ جبوعة bla‏ 1 النافم يوم الحشر فى شرم باب الحادى )22 عشر للفاضل المقراد م رسالة الاعتقادات للشيغم الصدوق JL, ۳‏ الاعتقادات والسلوك ell sie‏ ۴ سوالات الامون عن الرضا واجويته للمجلسى ابضا o‏ معراجه.صلى au) DE انضا 4 عدي‎ ule alas عليه وسار‎ «yl Lë ۸ الکبری‎ Zell فى‎ Je ۷ بالشية ونبانیا‎ Al نبلة‎ ٠١ فى اداب التعلمبن‎ JU, ٩ ملك الوت‎ aio ف‎ من آلامادیت الشرينة فى فضيلة العلم وشرافته کتاب النهاية فى غريب الحربث والاثر للامام ابن الاثیر )23 الإزرى انطبع )3 طمران) فى شمر شعبان سنة ٠۳۹‏ lait‏ ىرد Galt‏ 3905 الخ فة قا زي رود تاليف سليمان ميرزا قابار طبع فى شمر الله جادی الثانبة من سنة ۱۳۷۹ وفى عذا الملل فى آخره کتاب کنوز الرموز فى Ecl Jl‏ 25) النبوة فارس من تصنیفات حاجی ملا رضأ بن عمل‎ pe شاه قاجار ردا على‎ Jess باشارة‎ all امین میرانی‎ amb تاليف انكليس (*عنری مارنن سنة ۱۳۳۷ وان‎ فى طمران سنة ۱۳۳۰ ليس بتام جالس المثقين فارسی از تالیفات aee‏ تقى بن محمد البرقانی )26 c‏ شهید ثالث صورت انطباغ پذیرفت بتارخ شهر je‏ IPVO an‏ II. Jurisprudence. کتآب pole‏ عباسی Blad‏ الذین li‏ من تصانیف )27 ۱۳۷۷ AL. العاملى‎ J? الرين‎ "lo Au commencement défect. ai كاب لمق شرم ترا السلا تاليف میں سن‎ طبع في طهران‎ ass ست جلدات‎ geil بن الشغ باقر‎ ۱۳۷۸ بين سنة ۱۳۷۲ و سنة‎ Las 30) کتاب جواعر الكلام شرح شرابع الاسلام فى الفقه وعو کتاب‎ بر‎ gall عن بن‎ Dé الملوة مه ثاليف‎ 21) Henry Martyn. Bulletin de l'Académie Impériale 31) تالینات‎ À dati) اللمعة‎ € KR البهية‎ Bas WM P ابن عبن الله الشوين عمل بن مکی‎ AU الشامی العاملى خاقه‎ Ael الدین بن علی بن‎ EP جادی‎ ai السبت ومن الفادية والعشرون من‎ à.‏ ۹۵۷ قل انطبع فى دار السلطنة تبریز فى شور ربيع الثانى سنة ۱۲۷۱ ue Fo‏ مستند الشيعة فى احکام الشريعة تاليف Jal‏ بن Je‏ )32 بن میدی بن ابی ذز الثراق فی aul]‏ جلد ان كبيران ۱۳۷۰ aissas ع پذیرفت‎ Lil در طهران‎ Th) AMI | والثانی قد & d‏ راغ véi KÉ‏ ونعر یره فى ضخوة fr‏ SET‏ ۸ شهر رجب سنه ۱۳۷۳ +33) الأصول فى ادول الفقه عا عام شن (در طهران) درغره‎ 3 ll | ورقات قال فى‎ pal pro JL شور ذى القعرة‎ à اقول من الاشارات‎ 94] il | Jo u آذره‎ ى التعلقة بالادلة من البادی اللفوية الغ ویتلوه‎ BAR الجزء QUI‏ * الأدلة الشرعبة والتعاروش er)‏ adl, EV. 34) القوانين احكمة فى الاصول تاليف مير زا ابى القاسم بن‎ صورت انطباع‎ [Peo ASAN acl Seil امسن ابلا‎ ۱۳۷۵ di. ديرفت‎ 35( e تاليف‎ all سوال وجواب فارس فى مسائل‎ ls ۱۲۴۷ السين ین باقر تعریر فى غره شهر شعبان سنه‎ ua ۲‏ قات صراط sled]‏ ا دعل on‏ )36 ey‏ سه شنبه ۲۸ شهر اام Cind‏ در سنه ۱۲۷ رجب الرجب III. Compositions relatives à la mort de Houssein et d’autres martyrs 4, د‎ je 37) „Me نارس تاليف‎ e ef IA ja اب بت‎ Cock omi s ne ren ۴۹4 بافت ص‎ maei ۱۳۷۵ ا حرام سنة‎ 22) V. Chodzko, dans la Revue de l'Orient, 1845, T. VI, p. 119 et 239, et l'ouvrage très intéressant du C'* e Gobineau: Les reli- gions et les philosophies de l'Asie centrale, p. 359. D 38) LY,- من تالیفات‎ Jill d مصست‎ Er KJ فزن‎ | شهر‎ ll dek lee ee Ji‏ الکرم SES IPoY di.‏ اقل ۳۳ Je‏ حسین ۱۳۷۳ a, _ | | 3 | | نالا فى الاتم فارسى تاليف Ae‏ ابراعيم التخلص )39 | ٠‏ بجوهری أبن oue‏ باقر الروی ] عبان البكا فارسى فى التعزية تاليف ils‏ أبن عمل )40 c‏ ملقب ومتغلص بكامياب پازواری مازندرانی در طهران صورت اتام بافت A‏ ۱۲۷۹ J'ai recu cet ouvrage de l'auteur méme, à Barfourouch, en Ma- zaudéran. Mirza Kamyab est regardé comme un des premiers savants du Mazandéran. مانم کله در تعزبة امام حسين وسأير شهر| تاليف Ob‏ )41 لير ترم ارام aL.‏ ۱۳۷۷ a a‏ عن زه : Ei QUI الثامن والعشر ون من شهر حادى‎ Yo m l سئة ۱۳۷۷ 204 — 3 : | EX.‏ 1 ان ب کان النادشى CI‏ 2" التغلص ds aa] Jos į‏ ۱۳۲۸ مطبوع Sep‏ وزان ud‏ بوم بأعشنيه کناب 2 مرق القلوب در نعزيت داری فارتی تاليف میدی ابن )43 1 ید نراق مطبوع شر (در تبربز) در ماه ذی حجه E)‏ ارام (Er A AI.‏ ۱۷۷ ورقات V. Poésie M 97. ° _ IV. Philosophie. Logique etc. 44 äs Dell الله على تهزيب النطق‎ Ae ملا‎ KE T D A * على vol Lj‏ قل انطبع الكتاب ف دار al‏ (طمران) فى سنة ۱۲۸۰ sad `‏ فى ماعية العقل وكيفيته واحواله فارسى عفر بن )45 ی اسعق من علماء فتععلی شاه قاجار الفه سنة ۱۳۳۳ Jail) عشر من شهرذى‎ uU 4551] بوم‎ ph. 46) الشمسية‎ JLI تعریر القراعن النطقبة فى شرم‎ SR للعلامة قطب الرين oyt‏ بن e‏ الرازى انطبع فى PE `‏ ذيقعلم سنة ۱۳۷۹ لل ln‏ ل سه e‏ الألهام فى شرم Ai‏ الكلام (وللشن للعلامة (47 ER T Sas des Sciences de Saint- Pétersbourg. نصير الدین الطوسى) لعبن الرزاق بن على بن الحسين اللامعی فى الامور العامة انطبع فى سنة ۱۳۸۰ V. L'art d’interpröter les songes. , Vr stile , 5 49( مود البلغی‎ CH dg خاوند‎ AJ p. MES lial) روضة‎ وتصری‎ lale الشهير عير خواند سبع مجلرات ذیله بثلات‎ رضاقلی التخلص بمد ایت‎ e فى بعض مواضع اصل‎ | ناظم دار الفنون فى طهران وطبع فى ما بين سنة ۱۲۷۰ وسنة ۱۲۷۳ فی طهران فى use‏ ضغمين تارم حبيب السير من تالیفات غياث الدين بن عیام )50 الزين الدعو بخواند امير eh‏ يوم pu PAP‏ شهر ربیع الولود فی سنة ۱۲۷۱ در دار اكلافة اهران حسب Gel Al‏ حاجی نصر All‏ صعانی hab‏ ضورت di‏ يزيرفت کتان E‏ فى اثار E dÄ‏ فارسن تاليف فضل الله )51 الوذه لنصرة الدین Jel‏ شاه بن معين الدین بوسف EL.‏ ۱۳۹۹ (2 ex. dont un sur papier jaune.) ۳۰۸ ص‎ قصص الأنبباء سير ul SA‏ تالیف e‏ کین )52 جوبری ad‏ سنة ۳۰۲ وتم geck‏ ی تبر یز سنة ۱۳۷۹ جلاء العبون فى سيرة النبی وائّمة الشيعة ومصائبهم والتعزية )53 فارسى تاليف use‏ باقر بن محمل نقی all‏ لسليمان شاه الصفوی مام شل در طهران در ماه رجب در Fis (re JL‏ ورقات تژکرة الائمة فارس تاليف os‏ باقر بن aeg‏ تق فى )54 EB dta jy iu بافر ين‎ oet اليف‎ coll a ٠ من كتاب بعار الانوار يشتيل توار الأنبياء واحوال.‎ ۰ ۱۰۸۷ فى عصر سلیمان شان الصفوی سنة‎ al الائية الاطهار‎ ۱۳۶۰ الأول طبع فى تبريز سنة‎ Al وهو لان ضخمان‎ ۳۳۱ ورقات AUJI ANIL,‏ طبع سنه ۱۳۴۱ ۲۷ ورقات " افشاك ل inl Al‏ طبع سنه ۱۳۷۷ ص PIJ‏ | منتهی الفال ف احوال الرجال تالبق حمد جن Jee)‏ )56 الدعوبای على تم طبعه فى يوم الاحد سادس az‏ جادی الاولی من c» ۷ u]‏ القال فى pe‏ الرجال لعل الكتى انه بعن سنة ıryr‏ — وكان الفراغ مر Ju‏ سنه ۱۳۹۲ کتاب جالس ziell‏ فارس فى احوال AA‏ الشبعة من )57 Al, ul, BW‏ والعلماء والصوفية ‚Kl,‏ والشعراء تاليف ثور الله بن شريف الحسينى الرعشى الشوشترى طبع فى طوران سنة ۱۲۹۸ کتاب زبنة Lll‏ فل EI‏ فارسی تالیی عل الدین )58 مین السینی التغلص (cose‏ الفه سنة ۱۰۰ در دار asl‏ طوران pub‏ رسید فى سنة ۱۲۷۰ 59) حمل نصیر‎ cpl میدی‎ Aë فارس تالیف‎ "munt ۲۱۳ ص‎ IPAP استرابادی صورت اختتام بذیرفت سنة‎ 60) صورت اعام بذیرفت فى شهر جادی‎ Lol نادری‎ ey IMP الآخر سنة ۱۳۷۷ ص‎ *61( قارع آل فاجار ووقائع‎ dei سللانیه فارنى‎ Pb. d Lei الرزاق آبن‎ Je شاه تاليف‎ est? عصر‎ بزيرفت فى تبريز بتارخ اواغر شهر رجب الرجب‎ سنة ۱۳۱ مستوفی جلران ضفیان دم طبع All‏ الأول (در طهران) فى اوم الثانى عشر من شمر ذی SÉ‏ سنة ۱۳۷۳ 63) فى حدود سنة ۱۲۷۳ ومشاجرة‎ olo مشئملة باحوال‎ dL, ۱۳۷۳ فارسى طبعت سنة‎ Zeil دولة ابران مع دولة‎ 64) و ائم وسوافع افغاستان واحوال هرات فارس تاليف‎ pb La) ch شاهزاده علیقلی مير زا قاجار الفه سنة سروس‎ pire فى هذه السنة بطهران ص‎ 65) دولت‎ ulel فى تراجم‎ olus شایکان در ستايش‎ ai واحوالهم واثعارهم تاليف‎ elo شأه قاجار‎ null ناصر‎ ee ee طهران (سنة (IPVP‏ ص 0۸۳ | | 207 Bulletin de l’Académie Impériale 208 i 66) ll ترجة من‎ lub abs شارل دوازدهم ترجة من تاليف‎ "( e Ar (*والتر‎ El JS ترجة اجر‎ vil Zr Lal والتر‎ طبع فى طیران فى au‏ ۱۳۵۹۳ V. X 10 et 11. VII. Cosmographie. Géographie. 67) کناب عجايب الغلوقات وغرايب الوجودات فارس تاليف‎ ختم شل در‎ PIX NUT زکریا بن حمل بن‎ ۱۳۹: روز سه شنبه چهارم شور صفر الظفر سنه‎ 68( SEN, Da كناب مشتمل بر مسائل العلم الرياضى‎ (عباس میرزا) قاجار فارس‎ Je, Jt تاليف فرعاد میرز|‎ الغه سنة ۱۳۷۲ طبع فى طهران فى سنة ۱۲۷۲ ص "an‏ ex.)‏ 2( VIII. Mathématiques. | شرم بيست باب ملا مظفر prie‏ جنابدى وعو ترجة )69 | 1 خواص oll‏ فارسن درجه حيوة oll‏ فارسى تاليف )77 | _ تمل ثقى بن خواجه Aë‏ التبريزى من pac dk‏ شاه " عباس GUN‏ الصفوی سمت تعربر پذبرفت بتار شور IPVO ذګچه سنه‎ M كتاب عبن (all‏ بن Aë‏ البرجندى اقام بذیرفت فى | IPV سنة‎ بحر الجواعر در علم سباق دفتری لعبد الوعاب بن مد )70 امین الشاعشانی الحسينى الاصفیانی مطبوع سنة ۱۲۷۲ Ivo we IX. Médecine, Anatomie etc. كتاب طب اکبری من تاليف یی اكبر الشهبر بشاه )71 ار زاین ابن میر حاجی مد مقیم ad]‏ لاسلطان Je Ae‏ اکہر پادشاه قل نم طبع الكتاب فى يوم السبت Lë‏ ثهر awy‏ الأولى سنه ۱۳۷۰ ص ۱٩۱‏ تقویمالأبدان فى الطب فارسی اصل اللاب تاليف بعبی )72 بن عيسى بن على الجرار من pas cle‏ الخليفة المقترر ترجه بالفارسية ose‏ اثری بن شس الدين ید طبيب فى pac‏ شاه سلیمان الصفوى قد تم طبعه فى طوران فى شهر رجب AL‏ ۱۳۷۰ وهو 14 ورفات 23) Voltaire. 24) Charles XII. 25) James Campbell. 26) « This Book is translated from the English language in the Persian by his R. Highn. Prince Farhad Meerza styled Nayeb ul Ayalah from Will. Pinnock’s modern Geography and History.» 27) Schlimmer. _ زاد السافرين در طب فارس تاليف df‏ میدی بن على )73 vë "‏ منطبع در شمر جادی dall‏ سنه ۱۲۷۹ ص PM‏ 1 یم eh‏ او #زن الادوبه وقرابادین فى الطب فارس )74 E |‏ من مصنفات مير حمل حسين بن السين as‏ فادی العقيل ' العلوى الفه سنة 1140 وعو جز؟ان فى اں ضخم Jus‏ انط " فى طهران فى اليوم الثامن من العشر الثانى من الشمر M‏ السادس سنة ۱۲۷۷ ر à; f‏ الابدان فارس من تالینات الحكيم )7 Jedi‏ )75 ' لینکی در دار الخلافة طهران صورت Cp déi‏ Peo ص‎ ۱۳۷۷ du ` _ بيان الكلمات الاصطلاحية الطبيه ترجة من الفرنجية الى )76 الفارسية طبع فى طهران فى السنة ۱۸4۲ البلادبة ص ۱۰ Schlimmer (Joh. L.), Terminologie médico - pharmaceutique - frangaise-persane. Teheran 1862. ۰ X. Zoologie. ا فرش نامه در ۲۶ DE‏ ربيخ irit JU‏ )78 XI. Proverbes. أ JT ch‏ فارسی تاليف Jn, de Ae‏ )19 (tes‏ از علماى عبن الله خان طبع mie‏ XII. Rhötorique. | کناب Le‏ البلاغة من كلام على رضى الله عنه طبع )80 فى تبريز v pr‏ الت du ERR au) je‏ ۱۳۹۷ geb الشرع الطول على .تاغيص الفتام فى العانی والبيان )81 e».‏ للعلامة Jaw‏ الدین عمر بن مسعود التفتازای ۱۳۷۲ چهارم شهر شعبان سنه‎ à انطبع‎ She ۱۳۸ سنة‎ ail) E TTA eh té des Sciences de Saint-Petersbourg. XIII. Épistolographie. عبل الوعاب متخاص بنشاط eg‏ در طمران سنه ۱۳۹۹ جموعة ترسل تاليف عباس عطارد متخلص شطری — به )83 اعتمام كمترين بنركان جبار ابن حاجی غفار تبر يزى eg‏ شل حرره بنده فقبر عباس ابن مخلص al‏ ابن مرجوم مپریغان ابن حل خان سواد کومی از . طايفه دادونيه مازندران als“‏ بعطارد متوطان در تبريز هت bus AE‏ فى روز دهم e‏ الأول سنة سرس 84) کتابان ۱ متشات ملك الشعرا مود خان طبع‎ as nol سنه ۱۲۸۰ ص‎ Su و‎ Cheb فی‎ ۲ بعضى از قصایں وقطعات مير زا ابی UG]‏ قايم متام viel‏ بثناثی مطبوع فى طبران فى شهر شعبان سنة ۱۳۸۰ ص Ipo‏ — XIV. Poesie. شاهنامه لاعكيم فردوسی- er N‏ )85 كرديل Ai‏ ۱۳۹۷ | کلبات سعدی y»‏ دیوان من تصانیی e]‏ مصاع الرين )86 ۸ ورقأت کلستان شيغ سعرى ایضا طبع فى مطبعة تبريز Fe]‏ الغ فى دار السلطنة التبریز فى یوم امیس الخامس من العشر الأول من الشور الأول من السنة ۱۳۲۶۷ ديوان خواجه حافظ شبرازى طبع فى تبريز ساغ شهر ربيع (89* الثانی ur‏ حول ۱۳۹۹ G‏ ديوان حافظ شیرازی ايضا طبع فى تبریز Ale‏ شور )90 صفر AX.‏ ۱۳۹۷ مثنوى جلال الرين رومى عمل c» asi‏ در دار )91 السلطنة تبريز e‏ ۴ شهر رجب الرجب فى سنة ۱۳۹ صورت اتام Cinde‏ 87) "Tome X. كتاب يوسف le‏ جامى تام شل فى سنه ۷۹ )92 | X‏ كتاب viet!‏ جناب غفران ماب Ave‏ الوله مير زا )#82 | رباعيات >„ خيام n‏ رباعبات LL‏ طاعر عربان )93 تبريزى بامام رسيس (در طهران) سنة ۱۳۷ ديوان n e‏ مشهور بشمس مغربى e‏ روز (94 چعه ۲۷ شهر صفر سنه ۱۳۸۰ صورت اتام پذیرفت دیوان حكيم ناصر خسرو علوی وعو ناصر بن خسرو )95 بن حارث العلوى الرضوى وفى اوله ترجة الولف طبع فى تبریز فى شهر ذیقتعدخ ds‏ ۱۳۸۰ ص PVV‏ ديوان e‏ سنائی منه قصائن eo»‏ الى ۱۳ ص )96 SU),‏ غزليات plie,‏ طبع سنة ۱۳۷۲ اسرار الشهادة من کلام اسماعیل خان بر وجردى التخلص )97 پسرباز وعو ديوان سرباز فى التعزية نارس e»‏ ۱۳۸۰ شهر ريبع الاول مطبوع شل فى سنة‎ |o ذيوان Jles‏ شيرازى من شعراء عصر فاععلى شاه وفى )98 ljo‏ اجلر خسرو وشرین وجواب غزليات شيخ سعدی ایضا له ليس فيه SJ‏ الطبع ولا موضعه +99) شبرازی وعو ابو الفضايل حبيب الله‎ RELE ch olp") سنة ۱۳۷۰ در طهران در ۱۷ شهر ربيع‎ GA الفارسی‎ Cine سال ۱۳۷۷ صورت اختتام‎ ds )? دیوان فروغی فارس وفو میرزا عباس بن اقا موس الیسلامی التوفی سنة ۱۳۷۴ صورت انطباع بزيرفت فى ۱۳۷۷ di 100) منظوم فى الحكايات تاليف الاخوند‎ WS peru ۱۲۸۰ طبع فى سنة‎ Jal ملا‎ 101) Ub فارس‎ Al کرمانی رجه‎ bie ملا‎ de کتاب‎ ۱۳۷۷ ALS Sam) کتاب اخبار نامه فارسى تاليف صادق طبع فى تبريز )102 سنة ۱۳۹۷ | ليل oy?‏ ترکی من اثعار ید بن سلیمان التغلص )103 بفضولى البغدادی تم فی تبريز فيشهر جادى الاغری du‏ ۱۳۷۲ 14 2 Bulletin de l'Académie Imperiale Gë N- E "E E 1 ۱۳۹۸ an يه آل دز دل‎ H XV. Nouvelles et Contes. شعبان سنة ۱۲۹۸ ص ۳۰ : ر نامه ni. EXT pi‏ وقو فن اء ول ges‏ " سنة ۱۹۸۱ 107) ۱۳۷ di = دم‎ ai ss حاب سیم فارنى‎ ous ELITS din c3 EE e ص قل‎ 5 Jar, "mm cols نوش آفرین T‏ در gl Mi‏ دل‌برفت )109 (Fr di‏ ۱ دكايت طوطيان vob‏ انطبع فى سنة ۱۳۹۸ )110 کناب شير وبه فارسى وعو de‏ (111 112( شهر رجب‎ IA در روز‎ deu دزد وقاضى بغل اد‎ er Per حن‎ ۱۳۹۲ Ai دار اقلافة‎ ui e dl 113) asa سا روز‎ d Lk. فارنی‎ Jl کناب فهرمان‎ ٩۳ شور رجب در تبريز فى سنه ۵ ص‎ NUS 114) اتمام‎ eee واعد‎ ET à جلر ات‎ ur رموز‎ "m يافت در طهران ق بوم السابع عشر شهر ر بیع‎ aL. |‏ ۱۳۷۷ — جه كاب الى aLJ‏ وليلة که باشارت بهمن مير زا فرزند )115 لمحي e‏ السلطنة (عباس میرزا) عب اللطيف NI i‏ بزی الات تاز بقارش اوردودر شاه ذى a4]‏ ا حرام QU Als £a A Pog a‏ صورت اختنام يافت e Al Kin ER "s‏ سأل ۱۳۹۱ در دار الطباع دار السلطنة اتبرير ست sl I"‏ XVI. Philologie. 116( اللغة من الجوعرى للامام ابی نصر اسمعيل بن‎ gi | ا جوهرى وقد وافق الفرام بوم السبت غرة ذى اة‎ sla له ۱۳۷۰ ` لین zu sell AL,‏ فى اللغة العربية وفى )117 » احاديث الشيعة تاليف فغر الدين بن Jess‏ ۱۳۷۵ Ai وطبع‎ ۱۰۷ Ain ac] الاجفی لري الاج‎ ed 118) کر اللغات من العربى الى الفارس ذالیف مد بن‎ A زاق بن معروی‎ E cou 7 pa, SST à القرّمات‎ ex کاب با‎ leie EST تصريف‎ ra درف‎ ۲ 4 gril 4 A شرم عوامل ملا مس‎ © o ال النعو لاجرجانی‎ حال الدين ګمل بن عبل الفنی‎ e RÉI: 1 1 حدائّق فى الاعو ۸. ۸ شرع تصریف الزنجای‎ ۷ sei ab ac ET GON الرين‎ oM ۱۳۸۰ AL. طهزان‎ i$ اد ات التعلمین طبع‎ m Vin y ۲ 1 120) فى الصری ۳ العوامل‎ Seel ۲ eu f mI فى الاعو قن تمت النسغة فى بوم رابع شهر جادی‎ ۱۳۷۰ ALL, E! 3 121) عادى‎ Je? تاليف‎ T الصری فا‎ Ji على الشافية‎ ES à مطبوع فى يوم السبت من‎ sl) JL بن مل‎ ١ ۱۳۹۸ ذبقعلى سنه‎ EA! 122) بر شافیه شرم الشافية فى الصرى لغغ رالدين‎ E €] فل بن الحسن الجاربردى والتن جال الدين ابى‎ ۱۳۷۱ A بن الحاجب‎ We zi d Eet ierg ارعان جامع در لعن فارس فا رس‎ re تبربزى طبع فى تبريز فى سابع‎ Jb ooo E 1 ۱۲۹۰ والعشرين من شهر شوال سئة‎ " ات الصبيان لغة المرب فارسی منظوم لاین نصر(134‎ — Mo رافی طبع در داز السلطثة تبریز سنة ۱۲۷۸ ص‎ ١ 125) صاب الصیان ایضا تام شن بتار بوم ۸ شهر جادی‎ ۱۳۹۸ سنه‎ _ ١ VOR T E ed ng À) طبع‎ Lal باب الصبيآن‎ 127) pls, لغات تركيه بعنى جغفتائية تاليف‎ Se. P الفه بام ر نامر الدین شاه قاجار‎ loe ues ری رن‎ des Sciences de St.-Pétersbourg. 21 ۶ XVII. Varia. كتاب الانوار التعمانية فى بیان معرفة التشاة الانسانية )128 ee ۱۳۸۰ din der ذى‎ D E تلن فيه | لباب‎ طبع فى تبريز فى ۲۶ شهر ربيع الثانی سنة ۱۲۷۰ قل وقع ghill‏ فى غرة شهر P. 165, € 10: Scherih 1. Schuraih. Über den Siriussatelliten, von O. Struve. (Lu le . 12 avril 1866.) Vor zwei Jahren hatte ich die Ehre, der Akademie einen kurzen Bericht über meine damals nur den Zeit- "raum eines Jahres umfassenden Beobachtungen des im Winter 1861 auf 1862 von Alvan Clark in Ame- rika in nächster Nachbarschaft des Sirius entdeckten kleinen Sternchens abzustatten. Jene einjährigen Be- obachtungen deuteten zwar mit grosser Entschieden- heit darauf hin, dass dieses Sternchen nicht die starke Eigenbewegung des Sirius theile, und mussten daher die Vermuthung anregen, dass jene beiden Himmels- körper in keinem physischen Verbande mit einander ständen; aber ich gab schon damals gleich die Gründe an, welche mich an der Sicherheit der aus den ein- jährigen Beobachtungen zu ziehenden Folgerungen zweifeln liessen und suspendirte deshalb einen be- stimmten Ausspruch bis mindestens auf das nächst- folgende Jahr, besonders da in diesem Fall, wegen sicher constatirter constanter Differenzen, es nicht ge- eignet erschien, Messungen verschiedener Astronomen mit einander zu verbinden. Im vergangenen Frühjahre, wo mir Pater Secchi freundlichst Gelegenheit zu verschiedenen Beobach- tungen am vortrefflichen 9zülligen Refractor der Stern- warte des Collegio Romano bot, lieferten bereits die am Sirins angestellten Messungen Resultate, welche, verbunden mit meinen früheren, ebenso sehr für den physischen Verband der beiden Himmelskörper spra- ‘chen, wie die in den beiden Jahren 1863 und 1864 erhal- tenen, für sich allein, gegen denselben zu sprechen ge- schienen hatten. Indessen glaubte ich den aus den Ró- mischen Beobachtungen zu ziehenden Resultaten noch nicht volles Gewicht einräumen zu dürfen, weil diesel- ben unter ganz ungewöhnlichen Bedingungen erhalten waren uud daher Zweifel entstehen mussten, ob sie auch streng mit den hiesigen vergleichbar seien. Im laufenden Jahre habe ich nun noch an drei Abenden befriedigende Messungen erhalten und erlaube mir Jetzt dieselben, so wie die aus ihnen in Verbindung mit den Beobachtungen der drei vorhergehenden Jahre zu ziehenden Folgerungen, vorzulegen. Nach Ausschluss derjenigen Messungen, welche im Beobachtungs-Journale selbst als unsicher bezeichnet sind, und bei denen überdiess die Distanzmessungen, wegen Unruhe der Bilder oder Schwäche des Beglei- ters, nicht geglückt waren, habe ich bis jetzt die fol- genden erhalten: Datum Uhrzeit Verger, Distanz b Fabr wo 1863,21 7" 50” - III 10530 7998 | 8270 63,21 7 11 11 9,99 81,2 0 64,18 6 37 Hi LLUS ^ 14A A 0494. T1. 1l 112.106 50 .. 1556 - V4 64,94 7 33 IV. 10,78. 1495 NA 65,17 5 45 (III) 10,39 76,0 77,3 65,24 8 20 (II) 10,80 73,8 77,0 66,19 5 55 HEG 145901 78,9 BGH 66,20 6 56 DI 10,90 744 76,1 66,23 ا‎ BE, ro 3064 Die mit «corr.» bezeichneten Positionswinkel unter- scheiden sich von den beobachteten um die Quanti- täten, welche die Correctionsformel ergiebt, die ich aus den an künstlichen Doppelsternen angestellten Beobachtungen für meine Messungen abgeleitet habe. Dass diese Correctionen in aller Strenge auch für klei- nere Zenithdistanzen und allgemein für natürliche Doppelsterne anwendbar sind, unterliegt nach den neue- ren Erfahrungen keinem Zweifel. Für die beiden inRom im vergangenen Jahre angestellten Messungen fehlt lei- der die Angabe der angewandten Vergrösserung. Ich habe bei der Berechnung vorausgesetzt, dass sie unserer III gleich gewesen sei, indem ich mir des Eindrucks der Gleichartigkeit der Erscheinung wohl bewusst bin. Ein kleiner Unterschied im Betrage der angewandten Vergrösserung würde überdiess bei der Distanz von 10”6 nur einen unbedeutenden Einfluss ausüben. Vereinigen wir die vorstehenden Messungen in Mittelwerthe für die einzelnen Jahre, so erhalten wir: 14* Bulletin de l’Académie Impériale 215 1863,21 e= 10,15 P—82;50 2 Beob. 64,22 10,92 76,50 3 » 65,20 10,60 pos. ds Ke 66,21 10,93 75,15 3 » und hieraus die rechtwinkligen Coordinaten des Be- gleiters in Bezug auf den Hauptstern: 1 2 5 1,32+ 1006ب 1863,21 2,55+ 10,62+ 64,92 2,36 — 10,33+- 65,20 2,80 — 10,56 = 66,21 Indem wir diesen vier Bestimmungen ein gleiches Gewicht beilegen, was insbesondere durch die Mög- lichkeit constanter Schätzungsfehler in den einzelnen Jahren gerechtfertigt ist, führt die Voraussetzung ei- ner gleichförmigen geradlinigen Bewegung während des verhältnissmässig kurzen Zwischenraums, nach der Methode der kleinšten Quadrate, zu den folgenden Formeln: p — --(1051862-07193)2-(071212-05046) (£L—1863,0) q = +) 1,5242:0,193)--(0,4292:0,046) (L—1863,0) aus denen wir, für die einzelnen vorstehenden Epochen, die nachfolgenden Polarcoordinaten e’ und D und deren Differenzen von den beobachteten ableiten: e e—e' b'U Pl Pp. Th (PP) 1863,21 10,34 — 0,19 81505 34-1245 + 0726 64,22 10,53 +0,39 78,81 — 2,31 — 0,43 65,20 10,74 — 0,14 76,72 +0,43 + 0,08 66,21 10,97 — 0,04 74,67 +0,48 +0,09 Auf diese Weise verbunden, müssen wir die Überein- stimmung der vier Jahresmittel unter einander als eine durchaus uide ansehn, wenn man de gg . Schwierigkeit der Beobacht dem hellglänzenden peter die durch den Um- stand, dass Sirius hier in einer Höhe von nur 13°— 14° culminirt, noch erheblich gesteigert wird. Zugleich spricht sich in den grösseren Werthen von e—e’ und P—P', welche sich mit entgegengesetzten Zeichen für die Jahre 1863 und 1864 gefunden haben, deut- lich die Veranlassung zu den Folgerungen aus, zu denen mich die Beobachtungen jener beiden Jahre, für sich allein genommen und ohne Berücksichtigung verschiedener constanter Schätzungsfehler, führen — mussten. In der That, die Übereinstimmung der ein- zelnen in jenen beiden Jahren erhaltenen Beobach- tungen unter einander, liefert für die beiden Mittel: werthe wahrscheinliche Fehler, welche erheblich unter den oben angeführten Abweichungen bleiben. Wirhaben ` somit hierin ein deutliches Anzeichen, dass meine früher ausgesprochene Vermuthung, die Messungen in jenen ` Jahren seien durch ein verschiedenartiges Urtheil über ` | diejenige Stelle des Spectrums des Hauptsterns, welche ` als dessen Centrum aufgefasst wurde, beeinflusst, eine richtige Erklärung abgeben dürfte. Da diese Schützun- - gen durch den Eindruck der verschiedenen Farben auf unsere Netzhaut bedingt sind, so liegt es nicht fern, die grösseren Abweichungen im Frühjahre 1864" sonders mit dem Umstande in Verbindung zu bringen, ٠ dass damals, in Folge eines lange andauernden krank" haften Zustandes, meine Nerven, sowohl des Gesichts wie des Gehörs, nen di weitem mehr normalen Zustand Air waren. 4 Vergleichen wir jetzt mit den vorstehenden be meln, die als das directe Ergebniss der vierjährig از‎ dnEen anzusehn sind, die drei in Betreff ( kleinen Begleiters aufzustellenden Hypothesen, dis nämlich derselbe " ۱111 1) ein durch die Eigenbewegung des Sirius d selben zufállig nahe gerücktes Sternchen sei u nd daher mit jenem nur einen optischen D Doppel- | stern bilde, 4 2) mit demselben einen physischen ی‎ bilde, ohne jedoch dem Bessel’schen dunkle Körper zu entsprechen, 3) identisch sei mit dem Körper, der nach Bes die Abweichungen der Eigenbewegung des Sirius von der geraden Linie erzeugt hat, so müssen wir zunächst die erste Hypothese als dt die Beobachtungen widerlegt aufgeben. Setzen nämlich die jährliche Eigenbewegung des Sirius! ÆR = — 050364, in Decl. = — 17210, und neh wir, unserer Fotiiel entsprechend, für 1863,21 gz 10,34, P' — 81205 an, so würde, bei ruhendem Ë gleiter, die relative Bewegung des Sirius in den Jahren, 1863,21 bis 1866,21, eine Zunahme der stanz um 2,56 und eine Abnahme des Positionswinkels 3 * PES 5 n Le S E Bäi in sehr auffallender Weise afficirt. waren, während dieselben 1865 bereits wieder in ei- des Sciences de Saint- Pétersbourg. um 15202 erheischen, wührend unsere Formel die dreijihrige Veründerung der relativen Stellung nur zu + 0,63 in Distanz und — 6238 im Positionswinkel ergiebt. Bringen wir noch an die angeführte mittlere Eigenbewegung den Einfluss der erkannten Ungleich- förmigkeit derselben an, so würde die relative Stellungs- änderung sich sogar auf + 2581 in Distanz und —16717 in der Richtung belaufen. Wir haben somit wegen der nahen Gleichheit der starken Eigenbewegungen*) die beiden Himmelskörper als in physischem Verbande mit einander stehend an- zusehen, und es bleibt nur noch übrig, zwischen der 2ten und 3ten Hypothese zu entscheiden. Für die Beurtheilung der 2te2 Hypothese haben wir jedoch keinen andern Anhalt, als den, der sich aus der Annahme oder Verwerfung der 3ten ergiebt, und wir wenden uns daher sogleich dieser zu, indem wir die aus unseren Beobachtungen folgenden Bewegungen mit denjenigen vergleichen, welche Dr. A u wers's vor- trefiliche Untersuchungen (Astr. Nachr. Nr. 1506) über die aus den Ortsbestimmungen des Sirius folgen- den Abweichungen seiner Eigenbewegung von der geraden Linie, für den Ort des diese Bewegungsstö- rungen erzeugenden Kórpers fordern. Hier zeigt sich nun in allen Beziehungen eine ganz überraschende Übereinstimmung. Nach A u wers sollte nämlich die Distanz des dunklen Körpers von 1863,21 bis 1866,21 von 10723 bis auf 10,78, also um 0,55, gewachsen sein, und unsere Formel giebt, wie gesagt, die relative Veränderung derselben zu + 0563 an. Offenbar kommt es hierbei vorzugsweise nur auf die Veründerung der Distanz, weniger auf die Distanz selbst an, da aus den Ortsbestimmungen des Sirius nur seine Entfernung vom Schwerpunkte des Systems und die Richtung des letztern, nicht aber die Di- stanz des störenden Körpers abgeleitet werden kann, so lange dessen relative Masse nicht bekannt ist. Um auch Werthe für die scheinbare Distanz des letz- teren zu geben, musste also Dr. Auwers eine An- nahme über die Lage des Schwerpunkts zwischen den ap Bei Pes angenommenen mittleren Werthen für Sirius würde, unter Hinzuzieh serer Messungen, die e WA jáhrliche Eigen- n Begleiter i in À = n Decl. = — 0/781‏ سپ A‏ وی erheben sich respective M < ‚0309 und ۲ n gre ach Auwers, die Stellungsänderung des Sirius gegen den Sherk des Systems für die Zwischenzeit der Beobachtungen in Rechnung trägt. - beiden Körpern, mit andern Worten über die relative Masse derselben machen. Indem er d = 3,05 A setzte, wo A die Entfernung des Sirius vom Schwerpunkte bezeichnet, hat er, wie es scheint, seine Annahme den ihm aus den ersten Jahren vorliegenden Messungen des Alvan-Clarkschen Begleiters angepasst. Diese Annahme stimmt auch mit meinen Beobachtungen im Allgemeinen vortrefflich überein. Vergleichen wir nämlich die Resultate der einzelnen Jahre mit den Auwers’schen Angaben, so finden wir 1863,21 Str.-Auw. = — 0/08 64,22 +0,47 65,20 — 0,03 66,21 + 0,15 Im Mittel haben wir also an die Auwers’schen Di- stanzen eine Correction von nur + 0,128 anzubringen, um sie mit den unsrigen in vollkommene Überein- stimmung zu bringen, und dieser Correction entspre- chend wäre d = 3,087 A zu setzen. Offenbar kann diese kleine Änderung des Verhältnisses auf die abge- leiteten Veränderungen der Distanz, innerhalb des kurzen Zeitraums unserer Beobachtungen, nur einen ganz verschwindend kleinen Einfluss ausüben. Wenden wir uns jetzt zu den Positionswinkeln, so sehen wir zunächst, dass auch hier, in Betreff der Ver- änderungen, eine ganz vortreffliche Übereinstimmung zwischen Theorie und Messung besteht. Nach Auwers sollte nämlich von 1863,21 bis 1866,21 der Posi- tionswinkel um 5°31 abgenommen haben, und die Beobachtungen geben im Mittel diese Veränderung für jenen Zeitraum zu — 6938 an. Die Überein- stimmung der Veränderung genügt aber für sich allein noch nicht, es muss auch der gemessene Positions- winkel selbst, wenigstens bis auf kleine Quantitäten, mit der aus den Ortsbestimmungen abgeleiteten Rich- tung des Schwerpunktes vom Sirius aus, für dieselben Epochen zusammenstimmen, Dass diess auch hier der Fall ist, zeigt die folgende Vergleichung der von Auwers berechneten Riehtungen des Schwerpunktes mit den Jahresmitteln meiner Messungen: 1863,21 Str.-Auw. = — 0:96 64,22 pill 65,20 — 9,73 66,21 — 2,98 Bulletin de l’Académie Impériale Im Mittel wäre also hienach die Correction der Auwers’schen Richtung für 1864,71 zu — 2°94 an- zunehmen, welche, bei der mittleren Distanz 10/65, einem linearen Werthe von — 0455 entspricht. Diese Abweichung ist entschieden zu gross, um bloss zu- fälligen Beobachtungsfehlern zugeschrieben zu werden. Wohl aber kónnte die Vermuthung aufgestellt werden, dass hier noch ein constanter Schätzungsfehler in Be- treff des Mittelpunktes des prismatischen Bildes des Hauptsterns mit im Spiele sei. Es wird jedoch diese Vermuthung durch den Umstand sehr viel weniger wahrscheinlich gemacht, dass auch die in Rom erhal- tenen Beobachtungen, bei denen Sirius 15? — 20° hóher stand wie hier und kein prismatisches Bild zeigte, dieselbe Abweichung wie die hiesigen bieten. Es scheint daher, dass wir in dieser Abweichung eine Andeutung haben, dass die Au wers'sche Theorie in Betreff der Richtung des störenden Körpers für die gegenwärtige Epoche noch einer kleinen Verbesserung fähig sei. . Dass eine solche kleine Correction für die aus der Ungleichförmigkeit der Eigenbewegung abgeleitete Richtung noch nachweisbar ist, wird gewiss nicht ver- wundern; im Gegentheil, wir können nicht umhin es mit Bewunderung anzuerkennen, dass es der kritischen Bearbeitung des zwar sehr zahlreichen, in einzelnen Fällen jedoch wohl noch manchen Bedenken offen stehenden Materials geglückt ist, eine so nahe Über- einstimmung auch in dieser Beziehung zu erzielen. Nach der vorstehenden Auseinandersetzung sehen wir es also als durch die Beobachtung entschieden an, dass der Alvan-Clark’sche Begleiter mit demjenigen . Körper identisch ist, der in der Hauptsache die Ab- weichungen von der gleichfürmigen geradlinigen Eigen- bewegung des Sirius erzeugt hat. Mindestens haben wir ein Recht zu sagen, dass die mikrometrischen Messungen desselben, so weit sie bis jetzt vorliegen, sich in sehr vollkommener Weise mit jener Annahme vereinigen. Hienach müssen wir denn auch die zweite vorstehend aufgeführte Hypothese als durch die Beob- achtungen widerlegt betrachten. Das unsern Beobachtungen entsprechende Verhält- niss d — 3,087 A lehrt, dass die Masse des Begleiters nur um ein Weniges geringer ist, als die Hälfte der Masse des Hauptsterns. Hiemit bietet der enorme Helligkeitsunterschied der beiden Gestirne einen auf- fallenden Contrast. Hätten nämlich beide Körper die- Theile vor längerer Zeit berechnet. Für den täglichen der nur um 1,26 Mal kleiner wäre wie der des Haupt- im Frühjahr 1864, nur 8'*r Grösse geschätzt, und ` gehörigen Himmelskörper schliessen. Dass der Be- ` die Beobachtungen von 1864 angedeutet schien, hat sich durch die neueren Beobachtungen nicht bestätigt, Wenigstens ist eine successive Zunahme seines Lichtes von 1863 bis 1866 nicht bemerkbar gewesen, Dass | er jetzt ein wenig leichter zu erkennen ist wie vor drei selbe physikalische Beschaffenheit, so würde, bei Kugel. - form, der halben Masse ein Durchmesser entsprechen, 3 sterns. Es würde uns dann der Begleiter beiläufe - 0,630 Mal so viel Licht zusenden wie Sirius selbst, und müsste daher, da letzterer gewiss mehr wie noch | ein Mal so hell wie ein mittlerer Stern erster Grösse - ist, auch noch zu den helleren Sternen erster Grösse [ gehóren. Im Maximo ist aber der Begleiter von mir, i wir müssen daher auf eine wesentlich verschiedene $ physikalische Beschaffenheit der beiden zusammen- $ gleiter ein veränderliches Licht habe, wie es mir durch _ Jahren, würde sich wohl hinlänglich dadurch erklären, _ dass er jetzt ein wenig mehr aus den Strahlen des . d der er hier 1864 gesehen wurde, bin ich daher geneigt, Bilder zuzuschreiben. Ob er vielleicht kürzeren Lie schwankungen unterworfen ist, wird sich in unserer. hohen Breite, wo der Zustand der Bilder bei der ge- ringen Höhe des Gestirns von überwiegendem Ei flusse ist, schwerlich je mit einiger Sicherheit nache weisen lassen. d vonL.F.Kämtz. (Lu le 22 mars 1866.) qi Bei der Herausgabe der «Annales de l'Observatoire physique» werde ich in Zukunft die Abweichung der mittleren Temperatur eines jeden Tages von dem vieljáhrigen Mittel geben, auf eine ühnliche Weise, gegenwürtig in den telegraphischen Witterungsnach- richten geschieht, welche Jelinek täglich in d Wiener Zeitungen publicirt. Für St. Petersburg habe ich die Mittel von 51jährigen Beobachtungen zum Gang der Wärme habe ich die Grössen benutzt, welche Hauptsterns herausgerückt ist. Die Leichtigkeit, mit | vorzugsweise einem besonders günstigen Zustande der — Temperatur der einzelnen Tage zu St. Petersburg, د‎ als dieses Buys- Ballot für die niederländischen Beò- * 1 bachtungen schon längst gethan hat und wie es auch — des Sciences de Saint- Petersbourg. Wesselowski in seiner Schrift über das Klima Russ- lands giebt; seine spätere Arbeit im Repertorium für Meteorologie erschien erst, als ein grosser Theil der Rechnungen vollendet war; die beuutzten Beobach- tungen sind folgende: 1783 bis 1792 von Albrecht Euler in den Mannheimer Ephemeriden. Zeiten 6^, 2^ 10^. Meistens diente ein Thermometer nach Réau- mur, mehrere Jahre indessen wurde eius nach der Theilung von de l'Isle gebraucht; ich habe diese An- gaben in die von R. verwandelt, indem ich für den Thaupunkt 150? nahm, womit die meisten Angaben übereinkommen. Von 1822 bis Julius 1835 dienten die von Kupffer publicirten Beobachtungen von Wis- niewsky; sie wurden um 7^,2^,9^ gemacht. nóthige Correction des arithmetischen Mittels wurde aus der Tafel Wesselowski's genommen. Von dieser Zeit bis zum Schlusse des Jahres 1863 habe ich die Beobachtungen des magnetisch-meteorologischen Ob- servatoriums benutzt. Bis zum Jahre 1841 wurde von 8 Uhr Morgens bis 10 Uhr Abends jede zweite Stunde beobachtet, zu dem arithmetischen Mittel aller Grössen wurde die nóthige Correction hinzugefügt. Später wurden die Aufzeichnungen jede Stunde Tag und Nacht nach Góttinger Zeit und in den letzten Jahren nach mittlerer St. Petersburger Zeit gemacht und aus diesen das Mittel genommen. In den Jahren, wo nach Göttinger Zeit beobachtet wurde, ist die Temperatur jedes Tages etwas verschoben, denn wir sind es gewohnt, die Temperatur von Mitternacht bis Mitternacht zu nehmen, während hier der Tag vom Mittage an gerechnet wird. Neben diesen stündlichen März April Mai Januar Februar 6 — 7,06 —6,86 —4,95 —0,43 4,89 10,54 13,08 13,09 4 — 7,66 —6,95 —5,31 —0,46 5,24 11,19 13,34 13,58 8 —7,89 — 6,73 —4,59 —0,66 4,74 11,67 13,20 13,43 9 —7,68 —6,08 —4,80 —0,22 5,05 11,78 13,62 13,42 0,38 5,21 11,29 13,69 13,44 10 —7,13 —85,91 —5,27 11 —7,34 —5,69 —5,25 19 —7,46 —6,17 —4,29 13 —7,93 —7,16 —4,03 Die, Juni 1 —6,73 — 7,83 —6,00 —1,32 4,24 9,35 12,99 14,26 11,37 6,57 2 —6,47 —7,54 —5,38 —1,12 4,55 9,76 13,08 13,76 11,38 6,23 3 —7,21 —6,97 —5,29 —0,89 5,03 10,19 13,15 13,37 10,66 5,90 4 —6,79 —6,79 —5,24 —1,20 4,95 10,25 13,03 13,65 10,18 5,31 5 —6,73 —7,04 —5,39 —0,62 5,16 10,55 13,08 13,43 10,09 5,25 0,91 5,40 11,55 13,73 13,42 1,55 6,06 11,59 14,01 13,28 1,61 6,17 11,98 13,95 13,18 Beobachtungen sind auch die Extreme angegeben; doch zeigen sich solche Abweichungen zwischen den Angaben des dazu dienenden Instrumentes und des gewöhnlichen Thermometers, dass man annehmen muss, die Abweichung ist nicht bemerkt, oder es ist nicht der Mühe für werth gehalten, die Ursache davon aufzusuchen. So stand das Thermometer 1838: am 26. November um 10^ Abends — 1330, am folgenden Morgeu wird als Minimum angegeben — 1127; am 27. Novbr. um 4* Abs. — 13,1, am folgenden Mor- gen Minimum — 1253 und ähnlich in vielen anderen Fällen. In der wärmeren Jahreszeit sind mir solche Fälle nicht vorgekommen; dann aber waren in den ersten Jahren die erste Morgen- und die letzte Abend- beobachtung weiter vom Minimum entfernt, aber wahr- scheinlich würden stündliche Beobachtungen etwas Ähnliches gezeigt haben. Es folgt daraus indessen, dass die Aufzeichnungen in St. Petersburg unbrauch- bar sind, um aus stündlichen Temperaturen die Con- stanten abzuleiten, welche dazu dienen, aus den Ex- tremen das wahre Mittel zu berechnen. Ich habe die Rechnung mit dem Jahre 1863 ge- schlossen, die späteren Beobachtungen habe ich hier gefunden; dadurch werden die früheren Gróssen wenig geändert, mehrere andere weitläuftige Rechnungen wollte ich deshalb nicht wiederholen; die für die ein- zelnen Jahre gefundenen Grössen werde ich in den «Annales de l'Observatoire physique central» mitthei- len. Hier gebe ich die Mittel von 51 Jahren. Mit dem Zeichen — versehen sind nur Temperaturen unter 0. Die Scala ist Réaumur. 7 - Ro, — Detbr, ولوك ا زان وی‎ 120-3532 3,48- 0,86 0 0,66 9ب 0,75 2,91— 0,90 Juli August Sept. Oct. 0,33 —3,32 9,53 5,44 0,12 —3,65 9,65 5,60 0,41 —3,68 9,34 5,54 —0,08 —3,79 9,06 5,21 —0,26 —4,20 9,93 5,14 9,41 4,91 —0,65 —4,33 9,16 4,47 —0,85 —4,04 8,90 3,92 —1,07 —4,33 Bulletin de l’Académie Impériale April Mai Juni 1,42 6,23 11,71 1,39 6,87 11,90 1,59 7,02 11,76 1,72 7,35 11,74 2,07 8,06 12,21 2,13 8,22 12,04 2,60 8,32 12,48 2,79 7,89 12,47 3,25 7,91 12,16 3,36 8,25 12.49 3,36 8,77 12,77 3,66 8,94 12,76 3,44 9,17 12,48 3,48 9,23 12,59 3,56 9,46 12,39 3,48 9,50 13,17 4,03 8,98 13,31 8,97 Januar Februar März 14 —8,20 —6,72 —4,20 15 —7,88 —6,56 —4,44 16 —8,07 —7,21 —3,84 17,—8,08 —7,22 —4,11 18 —7,67 —7,22 —4,03 19 —7,39 —6,90 —3,37 20 —8,12 —5,86 —2,85 21 —8,03 —6,22 —2,85 22 —6,95 —6,15 —2,75 23 —6,77 —6,27 —2,51 94 7,08 —6,32 —9,82 25 —7,33 —6,10 —3,05 26 —7,13 —5,89 —2,93 97 —7,01 —5,66 —2,36 28 —7,46 —5,49 —1,79 29 —7,54(—7,69)—1,54 30 —7,92 —1,54 31 763 — 3,65 Juli August 13,79 13,09 14,03 12,88 14,20 12,87 14,21 13,02 14,13 12,98 13,75 12,83 13,73 12,66 14,06 12,71 14,07 12,26 14,10 12,31 14,10 12,03 13,94 11,68 13,97 11,38 14,28 11,26 13,97 11,48 14,10 11,28 13,98 10,99 13,89 10,88 Sept., Oct. Nor. Decbr. 8,78 3,52 —1,64 —4,59 8,59 3,53 —2,01 —4,79 8,17 3,48 —2,98 —5,13 7,85 3,55 —2,44 —5,25 7,91 3,34 — 2,38 — 5,86 7,74 3,31 —1,89 —5,70 7,41 2,71 —1,59 —5,81 7,62 2,43 —2,25 —5,80 7,25 2,42 —2,93 — 5,79 7,13 2,70 —2,43 — 5,64 7,16 2,85 —3,41 —5,52 7,16 2,72 —3,87 —5,20 7,17 2,24 —3,43 —5,48 6,69 1,79 —3,41 —6,12 6,10 1,62 —3,31 —6,10 6,07 1,42 —2,93 — 5,89 5,87 1,19 —2,90 —6,49 1,45 — 6,69 —7,43 —6,55 —3,85 Ich habe es versucht, diese Grössen durch eine periodische Function در‎ nsi Jedem Tage ent- spricht der Winkel von „55 1; die Berechnung der Constanten wäre in Hood Falle weitläuftig geworden. Ich habe deshalb das Jahr in 360 Theile getheilt, in- dem ich den 1. Januar als 0° nahm und an den pas- senden 5 Stellen das Mittel zweier auf einander fol- genden Tage benutzte. Nachdem ich die Constan- ten gefunden hatte, leitete ich die Temperatur der einzelnen Tage dadurch ab, dass ich für jeden Tag den Bogen ° — 59/137 nahm. Die Constanten sind: Mittel — 279542 Januar Februar März April Mai Juni 1 —6,63 —7,36 —5,64 —1,40 4,31 9,81 13,17 13,79 10,93 6,09 2 —6,69 —7,34 —5,54 —1 ‚22 4,51 9,95 13,24 13,75 10,79 5,92 3 —6,76 —7,31 —5,43 —1 ‚04 4,70 10,09 13,30 13,71 10,64 5,75 4 —6,83 —7,28 — 5,32 —0,86 4,89 10,23 13,37 13,67 10,49 5,58 9 — 6,89 — 7,24 —5,21 — 0,68 5,09 10,38 13,43 13,62 10,34 5,42 6 —6,94 — 7,21 —5,10 —0,50 5,29 10,51 13,49 13,56 10,20 5,25 7 —1,00 —7,17 —5,00 —0,32 5,44 10,65 13,54 13,50 10.05 5,09 8 — 7,05 —7,14 —4,87 —0,14 5,65 10,78 13,59 13,44 9,89 4,92 0,05 5,86 10,90 13,64 13,38 9,75 4,75 —0,16 —4,31 0,24 6,05 11,02 13,69 13,32 9,60 4,58 —0 31 14,44 ۳۹ 9 —7,10 —7,09 —4,75 10 —7,14 —7,04 —4,63 1,50 6,96 11,73 13,75 12,71 log u, log u, log u; log uw, = Juli August 8,44 3,73 —1,39 —4,80 1,02569 v, = 249° 51’ 9,607463 ره‎ — 97. 56 9,04235 v, = 176. 48 8,9447 v, = 276. 21, wo die verschiedenen u die Coefficienten und diev ` die Hülfswinkel für den einfachen bis vierfachen Tages- winkel in der bekannten Formel sind. Ein Ueberblick " über die übrigbleibenden Fehler zeigte, dass, wenn | die Zahl der Glieder nicht sehr gross werden soll, o E] sich kaum der Mühe lohnt, mehr als den vierfachen " Winkel zu nehmen, um deg Unterschied zwischen — beobachteten und berechneten Werthen zu verklei- nern. Folgende Tafel enthält die berechneten Werthe: — Sept. Oct. Nov. Decbr. 1,07 —83,30 0,92 —3,42 0,76 —3,56 0,61 —3,69 0,46 —3,82 0,32 —3,95 . 0,17 —4,07 0,01 —4, 18 dû ری kt‏ زان ۱ 1 u ‘4 225 des Sciences de Saint-Pétersbourg 226 Januar Februar März April Mai Juni Juli August Sept. Oct. Nov. Decbr. 11.—7,18 —6,97 —4,52. 0,43 6,24 11,17 13,74 13,24 9,43 4,42 —0,46 —4,56 12 —7,22 —6,92 —4,40 0,61 6,43 11,30 13,78 13,16 9,26 4,26 —0,60 —4,69 13 —7,26 —6,88 —4,28 0,80 6,62 11,42 13,81 13,08 9,09 4,09 —0,76 —4,81 14 —7,29 —6,82 —4,14 0,98 6,81 11,54 13,84 13,00 8,94 3,92 —0,90 —4,91 15 —7,32 —6,76 —4,00 1,18 6,98 11,66 13,86 12,91 8,77 3,75 —1,03 —5,03 16 —7,35 —6,70 —3,87 1,37 7,16 11,78 13,89 12,82 8,61 3,59 —1,17 —5,14 17 —7,37 —6,63 —3,73.. 1,57 7,34 11,90 13,91 12,73 8,44 3,48 —1,81 —5,25 185-789 — 6,59 —3,59.« 1,77. 7,58 12 oi 13,93 12,63 8,28 3,28 —1,47 —5,36 19 —7,41 — 6,49 —3,44. 1 7,71 12,12 13,94 12,53 8,13 3,11 —1,62 —5,47 20 —7,42 —6,42 —3,29 2,16 7,87 12,22 13,96 12,43 7,96 2,95 — 1,76 —5,57 91 —7,43 —6,35 —3,15 2,35 8,03 12,31 13,96 12,32 7,79 2,79 —1,90 —5,66 22 —7,44 —6,27 —3,01 2,54 8,20 12,41 13,97 12,20 7,62 2,64 —2,05 —5,76 93 —7,45 —6,19 —2,86 2,73 8,37 12,50 13,97 12,09 7,45 2,49 —2,19 —5,87 24 —7,45 —6,10 —2,71.. 2,93 8,53 12,59 13,96 11,97. 7,28 2,33 —2,31 — 5,96 25 —7,45 —6,02 —2,56 .. 3,18 8,69 12,68 13,95 11,84 7,11.2,16 —2,43 — 6,05 26 —7,44 —5,93 —2,39 3,33 8,85 12,77 13,94 11,72 6,94 2,00 — 2,60 —6,13 27 —7,44 —5,83 —2,22 3,53 9,02 12,86 13,93 11,59 6,77 1,85 —2,75 —6,22 ` 28 —7,43 —5,74 —2,05 3,74 9,18 12,94 13,91 11,46 6,60 1,70 —2,89 —6,31 29 —7,42 —1,89 3,94 9,32 13,08 13,89 11,34 6,42 1,54 —3,03 — 6,39 30 —7,40 —1,73: 4,13 9,48 13,11 13,86 11,20 6,26 1,38 —3,17 —6,47 31 —7,88 —1,57 9,64 13,82 11,07 1,23 —6,55 | Die Unterschiede STI CIE zi €T 635. zwischen beobachteten und be- rechneten Werthen übersteigen zum Theile 1^; diese bedeutende Grósse hat ihren Grund weniger darin, dass ich nicht noch mehr Glieder der Formel ent- 1783—1793 Januar — 8,92 Februar — 5,31 März — 6,57 April 1,23 Mai 7,03 Juni 11,48 Juli 14,29 August 13,49 September 8,57 October 2,79 November — 1,94 . December — 6,64 wickelt habe, als ues dass die Beobachtungen nicht 1822—1831 —10,49 ١ Die Mittel von je 10 Jahren zeigen also im Winter noch Unterschiede von 5°, während im Juli wenig- stens die ganzen Grade nahe übereinstimmen. Dieses zeigen auch die Unterschiede zwischen beobachteten und berechneten Werthen. Tome X. Nehme ich einfach die eine längere Reihe von Jahren umfassen. Wie unsicher die benutzten Gróssen zum Theile noch sind, zeigt sich dann, wenn man die Mittel desselben Tages für je 10 Jahre aufsucht. Ich gebe als Beispiel die Tem- peratur des 15. jeden Monates: 1832—1844 1842—1851 ۰ 1859-18061 *) «574 مد‎ 0,99 "6,9% — 6,99 — 5,97 ‘ = 7,45 cé 4,11 Hta 4,950 25,13 1,93 1,50 0,31 6,38 7,23 7,66 10,89 10,85 14,39 14,05 13,78 14,21 12,44 13,56 13,10 9,43 9,04 7,85 4,62 3,59 4,04 — 2,82 — 1,59 — 297 — 5,50 — 3,66 — 5,25 algebraische Summe der letzteren und dividire diese durch die Zahl benutzter Tage, so ist die mittlere *) Da ich Gruppen von je 9 oder 10 Jahren bei der Rechnung RG ch und die Jahre 1862 und 1863 erst später hinzufügte, o fi 15 Bulletin de lAcadémie Impériale 227 Differenz im Januar 0238, im Juli 0718. Im Winter, Beob. Ber. wo die Sonne nur eine geringe Wirkung hat, wird der | März 17—21 . — 3,44 — 5,44 Einfluss störender Ursachen, wie Winde, Bewölkung 226 : —2,81 | 1 u. s. w., weit mächtiger als im Sommer, zumal in 27 — 31 — 1,98 Á— 1,89 jener Jahreszeit die Abnahme der Temperatur vom | April — 1— 5 سب‎ 1,03 —1,04 Aequator nach den Polen weit schneller erfolgt, und 6—10 —028 — 0,13 Luftmassen, die in beiden Jahreszeiten aus gleicher Ent- 1115 1,38 0,80 fernung herbeistrómen, eine gróssere Verschiedenheit 16 — 20 2,02 1,77 ihrer Wärme zeigen. 21 — 26 3,28 2,74 Construirt man Curven, welche die durch Beobach- 26 — 30 3,60 3,74 tung und Rechnung gefundenen Grössen darstellen, | Mai 1— 5 4,78 4,70 so ist natürlich die erstere sehr gezackt und letztere 6 — 10 5,03 5,66 geht im Allgemeinen durch jene Zacken hindurch. Es 11— 15 6,15 6,62 kommen aber Fälle vor, wo die Berechnung mehrere 16 — 20 7,79 7,52 Tage hinter einander gróssere oder kleinere Werthe 21 — 25 8,35 8,36 giebt, als die Beobachtungen; in diesem Falle zeigt 26 — 30 9,27 9,16 sich aber, so weit ich es bis jetzt verglichen habe, der 31 — Jnni 4 9,74 9,95 Wind und die Bewölkung als wichtigste Ursache der | Juni ` 5— 9 11,15 10,64 Verschiedenheit im Laufe beider Curven. .10 — 14 11,61 11,29 Nach der Rechnung ist 15 — 19 11,93 11,89 der kälteste Tag, Januar 24, — 7752 R., 20 — 24 12,47 12,41 der wärmste, Juli 22 und 23, 13,97. i Ag " n Ma 1468 — Juli si 13,24 | Unterschied 21,49. Tüli n 719 13,26 13,54. Das Mittel findet statt am 24. April und 20. October, b eg 19,14 die Temperatur ist also 179 Tage über und 186 Tage a LE Du à 13,91 unter dem Mittel. d 20 — 24 14,01 13,96 Ich füge noch die beobachteten und berechneten 2949 1409 13,92 Werthe der einzelnen Pentaden hinzu: : 90—Aug.3 . 13,85 13,79 ug. 4— 8 13,44 13,56 م۳‎ ‚Ber. Untsch. | 9—13 13,35 13,24 Jan. 1— 5 —6,79 —6,76 — 0,08 14 — 18 12,97 12,82 6 — 10 — 7,48 — 7,005 — 0,43 19 — 23 12,55 12,31 11—15 — 7,96%. — 7,26 95 20,71 14 — 28 11,57 11,72 16—20 —789 —7,399 —— 0,50 29 — Sept. 2 11,18 11,07 21—25 © — 7,28 746 نب‎ 099 | 56۵03 7 10,08 ۰ 10,34 26—30 = —7,1 .—743 +0,09 8—12 9,32 9,58 31— Febr.4'/— 7,95; 552799 11310 ob 13 —17 946 8,77 Febr 5— 9 , —6,73 — 7,17 + 0,44 18 — 22 7.59 7.96 10—14-- — 0,19 5, EEE 23 — 97 7,06 | 1 15—19 —6,02 — 6,63: - 0,61 28 — Oct. 2 6,17 6,26 20—24. — 6,16. — 6,27: MO) ck. af et 5,41 زرد ور‎ ed 24— Máürz1 —5,83 — 5,83 0 8—12 5.15 4R Mrz 2— 6 595 — | | : j Bw | ; 5,32 +0,07 13— 17 3,60 3,76 . | Sall — 5,04: 4,75 | 210,99 18— 22 9. : P 51459146 : 2416 ^ 2 4,147 21099 er we | , , , 23 — 27 2,46 2,16 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 229 Beob. Ber. Untsch. Oct. 28—Nor.1 1,38 1,38 0 Novi... 2 8 0,70 0,61 , + 0,09 | Till 0109. — 0,15 ar 0,06 19916. : —1,57.: .—0,89%...—:0,66 Af a H = 2,09 ...— 1,61... — 0,48 ١ RT 1 0,24 id AT Deeil: - ب‎ 3,18 : ,— 3,03. : — 0,15 Dee. 1216: —3,4 ب‎ 83,69 ;::+- 0,54 2 lk 3,93. .:—4,31.1:.# 0,38 O E16 .—4,58. .—4,92. + 4 17:21. —5,08.. —5,46,...—- 0,22 295-96... — 0,51. BAR, 0,44 BT melt) ee 0,28 "Wäre die Anzahl der Jahre wenigstens die doppelte, so würden die Unterschiede zwischen beobachteten und berechneten Werthen kleiner sein; es bleibt aber die Frage, ob aueh dann nicht manche Verhältnisse bleiben würden, welche die obige Vergleichung zeigt. Wenn im Frühlinge die Temperatur steigt, so tritt eine langsamere Zunahme im Mai ein, und wäh- rend die berechneten Werthe im April zu klein sind, werden sie im Mai zu gross, was noch auffallender wird, wenn wir die gróssten Differenzen in diesen beiden Monaten vergleichen (4-0,58 und — 0,63); aber in den meisten Jahren treten im Mai scharfe nordóstliche Winde auf, die in der Nacht schwücher werden oder wohl aufhóren, wobei am Tage die Erwürmung klein, in der Nacht die Erkaltang gross wird. Eine jede Formel, welche den Gang der Wärme durch eine kleine Zahl Poi Gliedern darstellen soll, wird nothwendig im April zu kleine und im Mai zu grosse Werthe geben. Etwas Aehnliches zeigen November, December und Januar. Im November tritt häufig (wenigstens in der Mehrzahl der Jahre, wo ich in Dorpat lebte) Kälte bei hohem Biröiketerstätide ein. Gegen Ende des Monates treten gewöhnlich heftige Kämpfe nördlicher und südlicher Winde ein, bei welchen letztere nicht selten siegen, die Kälte hört auf, Regen bei trübem Himmel folgen, und die berechnete Temperatur wird im November zu gross, im December zu klein, worauf gui i im Januar mehr klare Tage folgen, bei denen Tem nperatur tiefer sinkt als in dem vorhergehenden trüberen Monate. Daher die berechnete Wärme zu gross. | Ge ` e ei مر‎ Ül wA Ai ۲ ۳ ۵ AA. Neue Auffindung eines mit der Haut und den Weichtheilen, im Eis- boden Sibiriens, in der Nähe der Bucht des Tas (TasoBcEas ry6a), von K. E. von Baer. (Lu le 8 février 1866.) (Mit einer Tafel.) Eine Anzeige, welche ich aus Barnaul durch die Ge- fülligkeit des Hrn. Guläjew, Beamten des Bergwesens daselbst, erhalten habe, dass im Sibirischen Eisboden, und zwar in der Nähe der Tasow’schen Bucht, von einem Jurack-Samojeden wieder ein vollständigesMam- muth mit der Haut und also auch wohl mit Erhaltung der inneren Weichtheile aufgefunden ist, hat die Aka- demie veranlasst, eine besondere Expedition dahin abzusenden, um die Lagerungs-Verhältnisse dieses vorweltlichen Thieres genau zu untersuchen und Vor- kehrungen für die möglichste Conservirung der wich- tigsten Weichtheile und den Transport des Skelettes zu treffen. Den Brief erhielt ich gerade am Weih- nachts- Abend des vorigen Jahres; so dass ich ihn erst m Weihnacht kinder lesen konnte. Möge er zu einem Weihnachtsgeschenke für die Wis- senschaft werden! denn gar manche und wichtige Fra- gen knüpfen sich an diese mit der Haut und den in- nern Organen im Eisboden Sibiriens erhaltenen Rie- senthiere der Vorzeit, das Mammuth und das vorwelt- liche Nasehorn (Rhinoceros tichorhinus). Es hat daher schon Hr. von Middendorff im 4ten Bande seiner Reisebeschreibung ausführlich auf die Wichtigkeit einer genauen Untersuchung solcher Vorkommnisse hingewiesen und die Akademie aufgefordert, Vorkeh- rungen zu treffen, dass, wenn eine Anzeige von einem Funde dieser Art an sie gelangt, sogleich ein Natur- forscher ausgerüstet werde, um die passenden Unter- ` suchungen ohne Zeitverlust anzustellen, damit nicht wieder, wie bei dem Adams'schen Mammuth, einige Jahre bis zur Besichtigung vergehen und dann nur ein Theil des Skelettes geborgen wird. In Folge sei- ner Aufforderung hat auch die Akademie eine Publi- cation erlassen, dass sie für die rechtzeitige Anzeige solcher. Funde. den Findern Prümien zahlen werde, und zwar für ein vollständiges Skelet (ohne Weich- theile) 100 bis 150 Rubel Silb., und für Thiere mit der Haut und den Weichtheilen 300 Rubel Silb. Nur solle der Finder, اتود‎ ob Seegen Nomade oder Handel n die grosse = 15* Bulletin de l’Académie Impériale 1 232 Flüsse hinabfahren), sobald als möglich und mit ge- nauer Angabe des Fundortes die Anzeige von dem Funde seiner nächsten Behörde machen, die darüber weiter berichten würde. Die Behörden waren officiell von dieser Publication benachrichtigt und aufgefor- dert, die erhaltene Anzeige hierher zu berichten, da- mit die Akademie sogleich die nöthigen Schritte ein- leiten könne. Ob die Behörden im höheren Norden diese Publication gehörig verbreitet haben, wissen wir nicht. Leider aber lehrt der vorliegende Fall, dass die Akademie von diesem durch die Behörden keine Anzeige erhalten hat, und ohne die sehr dankenswerthe Mittheilung des Hrn. Guläjew hätte leicht auch die- ser unbenutzt bleiben können. Hr. Guläjew hat wahr- scheinlich von dem Wunsche der Akademie und von den angesetzten Preisen gehört, wie man aus dem so- gleich folgenden Briefe ersehen wird. Ich halte es für passend, dass dieser Brief in vollständiger Ueber- setzung abgedruckt werde, damit die wissenschaftliche Welt erfahre, dass die Akademie von ihrer Seite Al- les gethan hat, um das angezeigte Auffinden eines im gefrornen Boden conservirten Mammuths zu benutzen. Die vollständige Mittheilung ist aber auch für den Fall nothwendig, dass entweder das Mammuth gar nicht auf- gefunden wird, oder irgend ein Missverstündniss sich eingeschlichen haben sollte. Für einen solchen Fall, der immerhin móglich ist, muss es der Akademie dar- an liegen, durch vollständige Mittheilungen des um- ständlichen Briefes nachzuweisen, dass in ihm Data genug enthalten sind, um nicht nur an den geschehe- nen Fund, sondern an die Möglichkeit zu glauben, mit Hülfe des im Berichte erwähnten Juracken das Thier aufzufinden und wissenschaftlich zu benutzen. Der Brief ist in Russischer Sprache abgefasst und lautet in Deutscher Übersetzung, wie folgt. «Barnaul, den 30. Nov. 1865.» «Karl Maksimo witsch.» «Der verabschiedete Urädnik des Bergwesens (rop- «Hbri ypsiHHKb), Iwan Wassiljewitsch Maksimow, «der jetzt als Maschinist auf dem Dampfschifte KS «nissei» der Handels- und Bugsir-Dampfschifffahrts- «Compagnie von Kytmakow und Balandin dient, «theilte mir, als er in diesen Tagen über Barnaul nach «dem Suksunskischen Sawod fuhr, Nachrichten von ei- «nem in der Nähe der Tasow’schen Bucht im Jahre «1864 gefundenen Mammuth mit.» «scher Ulmann, der sich bleibend in Dudinsk aufhält «für das eines dort allgemein bel sf Thieres hielt; «Hr. Maksimow sagt, dass das Dampfschiff «Je- «nissei» im Sommer dieses Jahres zwei Reisen naeh «den Bróchow'sehen Inseln’) gemacht hat, und auf «der ersten Reise am 23. Mai im Kirchdorfe Dudinsk, «das am rechten Ufer des Jenissei, 1000 Werst unter: «halb Turuchansk liegt?), in Geschäften anhielt. Dort «traf er, im Amtslocale des Dudinskischen Bezirks-Auf- - | «sehers, des Kosaken-Urädniks Sotnikow, den Feld « «und die dortigen Bewohner ärztlich behandelt. U. * «mann zeigte, indem er mit Hrn. Maksimow durch - «den Corridor des Comptoirs ging, diesem letz — «tern, in Gegenwart des Schreibers Nikita Iwanow «Wesselkin, ein Stück Haut, 1'/, Finger oder mehr " «dick, etwa 12 Werschok lang und. 6 Werschok breit, . 4 «bedeckt mit braunen verworrenen Haaren von, 2% 3 «Werschok Länge. Hr. Maksimow, der mit 665098 « «ten der Compagnie oceupirt war, und das Stück; Fell à «achtete damals wenig darauf und erkundigte sich «nicht einmal, von welchem Thiere es komme. اب‎ «Aber auf der Rückkehr von der zweiten, Reise «nach den Bröchow’schen Inseln, die schon in den … «Herbst fiel, nahm das Dampfschiff von diesen Inseln — «den oben erwähnten Feldscher Ulmann und den ` & «Aufseher (cmorparezs) am Tolstoi, Myss (500 Wert ® «unterhalb Dudinsk), den Kosaken Loginow auf, Als _ «sie einst an einem Anlegeplatze zu drei um den Sas — «mowar sassen und von ihren Geschäften sprachen, — «erzählte Loginow, dass er von Sotnikow den Auf. — «trag erhalten habe, durch die Tundren nach der Ta _ «sow’schen Bai sich zu verfügen, um ein dort aufge — «fundenes Mammuth zu inspiciren. Auf die Frage « «Maksimow's: ob das wahr sei? antworteten Ulmann — «und Logino w bejahend, und erzählten die Geschichte | — «dieses interessanten Fundes, wobei Ulmann: den - «Maksimow erinnerte, dass er ihm im Comptoir de — «Aufsehers Sotnikow auch ein Stück vom Fell des d arr 5 ^" 3 1) Der Name Bröchowsche Inseln war mir bisher unbekannt. scheint, dass damit eine Anzahl Inseln gemeint sind, die auf a Specialkarten im untersten Theile des Jenissei zahlreich en sind. 1 2) Diese Angabe ist ohne Zweifel zu gross, و‎ m pflegt al Dr stanz zwischen Turuchansk und Dudinsk auf 750 Werst: oder : weniger zu berechnen. Stuckenberg giebt in وی‎ des Russischen Reiches diese Entfernung sogar nur zu 500 Wi 3 an; allein diese Angabe ist für den Wasserweg wohl zu EL 3 die Middendorff’sche Karte nachweist. E UNES CENTER‏ حم موش ی des Sciences de Saint- Pétersbourg. «Mammuths gezeigt habe. Nach den Berichten von «Ulmann und Loginow ist das Mammuth auf fol- «gende Weise gefünden. Ein Jurack, der in der Tundra ein der Nähe der Tasow'schen Bai seine verlaufenen «Rennthiere suchte, bemerkte ein aus dem Boden «hervorragendes Horn; Hörner (pora) nennt der ge- «meine Sibiriak die Stosszühne des Mammuths. Da «er dieses Horn sich zu verschaffen suchte, scharrte «er, so viel er konnte, von der Erdmasse weg und er- «blickte den Kopf eines grossen Thieres. Der Jurack «brach oder sägte den Stosszahn ab und schnitt, als «Wahrzeichen, von der Wange des Thieres ein Stück «Haut ab, welches er dem Dorfältesten von Dudinsk, «Athanasii Koschkarow, übergab, Koschkarow «áber dem Aufseher Sotnikow einhändigte — näm- «lich das oben erwühnte. Den Juracken, welcher das «Mammuth gefunden hat, kennt ein anderer Jurack, «der Arbeiter bei Koschkarow, der als Handlungs- «diener (param) bei der Compagnie Kytmanew «dient, und an der Ochotski'schen Anfahrt, wo die «Bróchowschen Inseln anfangen, wohnt?). Der Schrei- «ber Wesselkin ist jetzt in Jenisseisk und der Auf- «seher Sotnikow ist entweder versetzt oder wird ver- «setzt in einen andern Dienst. «Da ich volles Vertrauen zu Hrn. Maksimo w habe, «so eile ich, Sie mit aller Umstündlichkeit von seinen «Náchrichten in Kenntniss zu setzen. Wird die Kai- «serl. Akademie der Wissenschaften es nicht mög- «lich finden, sogleich Mittel zu ergreifen, um für das «Akademische Museum eine so grosse Merkwürdig- «keit zu gewinnen? Eine genaue Untersuchung an «der Lagerstätte des Mammuths kann sicher die Mög- «lichkeit gewühren, viele Fragen über das Vorkom- «men dieser Thiere im hohen Norden zu entscheiden . «und lehren, von welchen Pflanzen oder Früchten es |: «sieh nährte. Aber, ich erlaube mir zu bemerken, dass, «wenn es nothwendig scheinen sollte, zur vollständi- «gen Beglaubigung des Berichtes des Juracken und «derjenigen Personen, welche Hrn. Maksimow Mit- ergo eren —— einzuziehen, so vases f ; 18) Der Name: و‎ Ochotskoje, offenbar identisch mit der Ochotski'- schen Anfahrt (0 upucrass); findet sich auf der linken Seite des an dy Jenissei zwischen dem 70. und 71. Grade der Breite. Wenn dië richtig ist, oma hier die Bröchow’schen Inseln e würde: daraus folgen, d ass nur der unterste Abschnitt des Archipels i im Jenissei - با‎ Namen der Bröchow’ schen Inseln belegt wird. i^o «glaube ich, dass, um schnell genügende Auskunft zu «erhalten und um nicht das niedere Volk mit Anfra- «gen einzuschüchtern, es gerathen sein wird, diese «Nachrichten nicht mit solchen Formalitüten zu sam- «meln, welche bei amtlichen Nachforschungen üblich «sind. Nicht überflüssig wird es sein, wie ich glaube, «den Juracken, der das Mammuth gefunden hat, im «Falle sich alles als richtig erweist, zu belohnen, und «auch die andern Personen,. welche als Wegweiser «zu Merkwürdigkeiten der dortigen Gegend dienen «kónnen. «Da auf dem Jenissei jetzt zwei Dampfschiffe ge- «hen, der «Jenissei» von 60 Pferdekraft, der Comp. «Kytmanow, und ein anderes von 20 Pferdekraft, «dem Kaufmann Jefimow gehórig, und da das erst- «genannte wahrscheinlich im nächsten Jahre, wie in «dem jetzigen 2 Reisen machen wird, ‚so ist die Ab- «fertigung einer kleinen Expedition für den bespro- «chenen Zweck sehr leicht ausführbar. «Hr. Maksimow hat einige Exemplare von den «Turuchanskischen geräucherten Häringen mitge- «bracht, welche ich Ew. ... nüchstens zustellen «werde, in der Überzeugung, dass die sogenannten «Häringe eine besondere Art bilden und bisher in der «Wissenschaft unbekannt waren‘). Nach der Versi- «cherung des Hrn. Maksimow giebt es von diesen «Häringen in der Nähe der Bróchowschen Inseln aus- «serordentlich viele; auf das Dampfschiff wurden grosse «Quantitäten von ihnen verladen und sie wurden in «sehr kurzer Zeit zu 6 Rubel für das Pud verkauft. «Bei der Rückkehr von hier nach Jenisseisk versprach «Hr. Maksimo w alles Merkwürdige zu sammeln, das «auf den Reisen mit dem rs ihm aufstossen «mag. AP ۷ Mit u. s. w. A Stepan Guläjew Co Mitglied der K. Geographischen Gesellschaft.» Nicht genug ist die Umständlichkeit zu loben, mit welcher die erhaltenen Nachriehten von dem Brief- steller wiedergegeben und die Namen derjenigen Per- sonen genannt werden, von denen man weitere Nach- richten erhalten könnte, um den Juracken, der das Mammuth getroffen hat, wieder aufzufinden. Eine ver- kürzte — ری‎ Inhalts hat Hr. ۵ 4) Diese sogenannten ER sind noch nicht angekommen. 235 Bulletin de l'Académie Impériale ai zwei Wochen später an die hiesige Geographische Gesellschaft gelangen lassen. Die Tasowsche Bucht oder die Bucht desTas wird der Leser auf jeder Karte von Sibirien oder Asien von Osten her in die Obische Bucht einmündend finden. Der Ob ergiesst sich bekanntlich, nach Osten sich wendend, in einen langen, zuerst ein wenig östlich gewendeten, dann aber nach geringer Krümmung fast gerade nach Norden gerichteten langen Meerbusen. Ungefähr in der Mitte vom östlichen Ufer dieses Meerbusens er- giesst sich in ihn ein anderer Busen, der zuerst von Sü- den nach Norden verläuft, dann aber, mit scharfer knieförmiger Umbiegung, sich nach Westen wendet und in den Obischen mündet. Er ist schmaler als die- ser, aber auch sehr lang, indem er nach der neuesten Karte, die Hr. Siderow durch eine eigene Expedition hat aufnehmen,lassen, über 300 Werst lang sein muss. In die südlichste Spitze dieses Busens ergiesst sich der Tas-F luss, daher sein Name. Es ist ein schlim- mer Umstand, dass die brieflichen Nachrichten nur sagen, in der Nähe der Tasowschen Bucht sei das Mammuth gefunden, ohne nähere Angabe der Localität, ob in der Nähe der Mündung des Tas, oder der knie- fórmigen Umbiegung oder am nórdlichen Abschnitte, und wie nahe überhaupt vom Ufer des Busens. Nach diesen Verhältnissen müssen aber die Maassregeln für die Abholung dieser Reste modificirt werden, wie wir bald nüher sehen werden. Man muss also be- dauern, dass die oben erwähnte Publication der Akademie noch nicht bewirkt hat, dass die Behór- den ihr sofortige Anzeige von dem Funde mit ge- nauerer Angabe der Localität gemacht haben. Noch übler ist der Umstand, dass der Leichnam des Mam- muths bereits im Jahr 1864 von dem Juracken aufge- funden ist, und ohne Zweifel im Sommer, denn nur im Sommer entfernen sich diese Nomaden weit von ihren winterlichen Sammelplätzen und zerstreuen sie sich in die Tundra; dass man aber gar nicht weiss, was im Jahr 1865 damit vorgegangen ist; ob es von Menschen weiter aufgedeckt ist, um auch den anderen Stosszahn zu erhalten, oder ob es vielleicht schon von seiner ursprünglichen Lagerstätte herabgeglitten ist, wie es mit dem Adams’schen später auch geschah. Ist es noch ganz in seiner ursprünglichen Lage, so lässt sich erwarten, dass auch die innern Theile noch vollkom- men,gefroren sind; ist es aber herabgeglitten, so: dass es auf einen Boden kam, der immer ein Paar Fiss laufthaut, so ist es sehr möglich, dass Sonne und Re- gen in der Breite des nördlichen Polarkreises, oder wenig nördlich von ihm das ganze Thier aufgethant haben und die Verwesung wenigstens begonnen hat, Es werden nämlich solche verschüttete Thiere, die noch alle Weichtheile enthalten, wie es nach den bis. herigen Nachrichten scheint, nur dann sichtbar, wenn ` fliessendes oder durch Sturm bewegtes Wasser einen Theil seines Ufers abreisst. Erhalten konnten sie sich Jahrtausende hindurch in gutem Zustande, wenn der Boden, in dem sie liegen, anhaltend gefroren blieb. Aller: dings tritt nun, sobald sie zum Theil entblösst sind, die äussere Luft an sie, und der Abhang wird von der Som- mer-Temperatur etwas aufgethaut, am Tas vielleicht auf ein Paar Fuss. Allein so lange sie in der ursprüng- lichen Lage bleiben, sind sie wie in einem Eiskeller, denn unter ihnen bleibt der Boden ohne Zweifel ge- froren, und wo sie Jahrtausende erhalten wurden, wer- den sie im Innern auch noch einige Jahre sich ert, ten, obgleich sie mit einer Seite der Luft ausgesetzt sind. Ganz anders wenn sie hinabgleiten, und statt unmittelbaren Eisboden vorzufinden, auf aufgethaute - Oberfläche zu liegen kommen, und im Sommer der Luft und dem Regen هون‎ sind. HERI Am meisten musste aber bei den zu ergreifenden Maassregeln der Umstand ins Auge gefasst werden, dass nur ein einziger Jurack den Fundort des Mam- muths kennt, denn der Kosak Loginow hatte, ui achtet des erhaltenen Auftrages, im Herbst des ori gen Jahres die Inspection offenbar noch gar nicht v genommen, und schwerlich wird er es im Winter ge than haben. Da die Tasow'sche Bucht über 300 Werst lang ist, man auch nicht erfahren hat, in welcher Gegend. dieser Bucht und wie nahe oder wie weit vom Ufer derselben das Thier gesehen ist, wird es sehr schwer sein, ohne Hülfe dieses Juracken oder von andern Nomaden, welche die Gegend seiner Sommer-Weide- plätze ies; dasselbe wieder aufzufinden. ` Es ist zwar nicht pabrschealiéh; dass es in ganz Boden liegt, sondern am Rande irgend eines Wasser- laufs, wenn auch nur für den Abfluss des F wassers. Die speciellsten Karten geben ausser der Em mündung des ansehnlichen Tasflusses und deg 4 nern Flüsschens Pur in die Südspitze der Tasows’chen Bucht, weiter hinab noch einige Wasserläufe an, des Sciences de Saint- Pétersbourg. denen man aber nicht weiss, ob sie das ganze Jahr bestehen, oder, was bei dem gefrornen Boden wahr- scheinlicher ist, nur im Sommer oder etwa im Früh- linge. Noch weniger lässt sich angeben, wie weit man solche Wasserläufe zu verfolgen hat, um das corpus delicti zu finden. Es schien hiernach nothwendig, dass eine Expedition, welche das Lagerungsverhültniss die- ses Mammuths zu untersuchen hätte, darnach streben müsste, jenen Juracken oder ein Mitglied seines Haus- wesens als Führer zu gewinnen. Dazu war erforder- lich, dass die Expedition den Jenissei hinab nicht bloss bis Turuchansk, sondern weiter bis Dudinsk zu gehen habe, weil nur in dieser vorgeschobenen Ortschaft, über die gewöhnlichen Postverbindungen hinaus, die Kosaken-Urädniks sich aufhalten, welche den Einge- bornen den Jassak abnehmen und eine Art polizeili- cher Aufsicht über sie zu führen haben. Es kam fer- ner darauf an, dass der Reisende so schnell als mög- lich nach Turuchansk und bis Dudinsk reise, um, wo möglich, früher dort anzukommen als die nordischen Nomaden nach ihren Sommer-Weideplätzen sich ver- fügen. Die Ungewischeit über die specielle Lagerstätte so wie die völlige Unkenntniss der Vorgänge im Jahre 1865 fielen bei Berathung der zu ergreifenden Maass- regeln noch auf andere Weise schwer ins Gewicht. Man wollte von diesem Zeugen der Vorzeit möglichst viel zu erhalten suchen, nicht nur das vollständige Skelet, sondern auch von den Weichtheilen so viel als möglich. Wenn die Haut noch gut erhalten und das Haar fest darin sitzen‘ sollte, so würde der Versuch, wenn auch ein topfen wohl nicht e möglich ist, die Form dieses vorweltlichen Thieres durch ein Hautrelief von Gyps, bekleidet mit der wirk- lichen Haut der einen Seite, anschaulich zu machen, wohl verlohnend sein. Haben wir doch noch keine bestimmte Nachricht, an welchen Stellen die langen Haare sitzen, die man bei dem Adams’schen Mam- muth ausgefallen fand. — Aber wie schafft man so bedeutende Massen fort, wenn man einen weiten Weg durch die Tundra zu machen hat? Ein gewöhnlicher Indischer Elephant hat nach Corse ein Gewicht von 12000 Pfund, ein ausgewachsenes Mammuth muss bedeutend schwerer sein, da nicht nur die Stosszähne viel schwerer, sondern auch das ganze Knochenge- rüste, besonders der Extremitäten, viel stärker ist. Das Zugvieh der nordischen Nomaden hat nur geringe Kräfte, und bei der Unsicherheit über die Lagerstätte des Mammuths, ob man es an einem mehr nördlichen oder mehr südlichen Punkte der Tasow’schen Bai zu suchen habe, konnte man nicht einmal bestimmen, ob die Abführung gerade nach Turuchansk bewirkt wer- den könnte, was viel leichter und weniger kostspielig sein würde, als wenn man den Weg über Dudinsk neh- men müsste. Vor allen Dingen aber leuchtet ein, dass das Abholen sehr erleichtert würde, wenn das Maie muth etwa nahe an der Tasow' schen Bucht liegt, was gar nicht unwahrscheinlich ist, da das fliessende Was- ser kurz vor dem Übergange in eine tiefere Fläche am stärksten auf die Ufer zu wirken pflegt. Aus der Tasow’schen Bucht könnte der Transport durch den Obischen Busen in den Ob leicht bewirkt werden, da man Dampfschiffe auf dem Ob hat, und eins dersel- ben, dem Kaufmanne Siderow gehörig, schon vom Ob aus die ganze Tasow’sche Bucht bis in den Tas- Fluss befahren hat und glücklich in den Ob zurück- gekehrt ist. Auf eine ganz kurze Strecke lässt sich die grösste Last auf ebenem Boden fortbewegen, durch untergelegte Balken oder auf andere Weise. Diese Methoden kennt das Russische Landvolk sehr gut. Ich habe selbst eine Landenge an der Nordküste von Lapp- land gesehen, über welche einige Jahre vorher eine grosse Lodja aus derselben Warsina-Bucht, in wel- cher Willoughby’s Mannschaft im 16ten Jahrhun- dert erfror oder verhungerte, in eine benachbarte ge- zogen worden war, weil auch ihr ein anhaltender Nord- . wind das Auslaufen auf geradem Wege nicht erlaubte, wie es dem Englischen Schiffe im Winter 1553 gegan- gen sein wird, bis das Eis den Busen verschloss. Liegt: das ‘Thier nahe am Ufer der Tas-Bucht, so könnte man die ganze Untersuchung seines Innern, so wie das Abtrennen der Haut auf dem Schiffe selbst, oder dicht am Ufer in der Nähe des Schiffes vornehmen, was keine geringe Erleichterung gegen eine Untersuchung in of- fener Tundra sein würde. Selbst wenn man ein eige- nes Schiff zu diesem Zwecke auf dem Ob erbauen müsste, da man für jetzt wenigstens von eim zustande des Siderow'sch ere Kunde hat, würde ein solches Opfer für den damit zu errei- chenden Vortheil nicht zu gross sein. Alle diese Betrachtungen musste die Génie: welche die Akademie am 11. Januar ernannte, als ich in "Ta > Bulletin de l'Académie Impériale der ersten Sitzung des laufenden Jahres den Brief von Hrn. Guläjew zur öffentlichen Kenntniss brachte, ins Auge fassen. Die Commission bestand aus den Herren Brandt, Helmersen, Schrenk und mir. Diese Com- ‘mission fand die Anzeige des Hrn. Guläjew genü- gend, um nicht daran zu zweifeln, dass in der nördli- chen Tundra Sibiriens wieder ein Mammuth mit der Haut und den innern Organen gefunden sei, und dass es unverzeihlich würe, wenn man diese Gelegenheit nicht benutzte, um, so viel möglich, Auskunft über die Naturgeschichte dieses untergegangenen Thieres zu erhalten, wozu sich eine Gelegenheit vielleicht in Jahr- hunderten nicht finden wird. Sie konnte aber auch den ungünstigen Umstand nicht übersehen, dass diese Ent- deckung schon im Jahre 1864 gemacht war, gar keine Nachricht aber darüber eingegangen war, was im Ver- laufe des Jahres 1865 geschehen sei; ob der Jurack nicht gesucht hatte auch den andern Zahn zu erhal- ten und bei dieser Gelegenheit den Zutritt der Raub- thiere und Atmosphüre sehr vermehrt habe. Sie nahm also das Prineip an, für die Schäden, die im Jahr 1865 vorgekommen sein mögen, seien nur die Behörden am Jenissei verantwortlich, da sie, ungeachtet der Publi- cation der Akademie, es unterlassen haben, ihr schon im Winter 1864—1865 die Anzeige von dem Funde zu machen, allein die Akademie sei gegen das wissen- schaftliche Publicum dafür verantwortlich, dass we- nigstens im laufenden Jahre 1866 keine weitere Ver- derbniss vorkomme. Desshalb müsse das Mammuth an seiner Lagerungsstütte so bald als möglich aufge- sucht werden. Dieses könne aber nur vom Jenissei mit Hülfe des Juraeken aufgesucht werden. Um das Mammuth, wenn irgend móglich, gleich nach dem Abgange des Schnees zu erreichen, konnte der Wink des Hrn. Guläjew, das Dampfschiff auf dem Jenissei zu benutzen, nicht berücksichtigt werden, dagegen be- folgte die Commission um so mehr seinen andern Rath, nicht durch lange Anfragen Zeit und günstige Gele- genheit zu verlieren. Die Expedition musste schon zur Auffindung des Juracken bis nach Dudinsk aus- gedehnt werden; dort erst konuten die speciellen Vor- kehrungen zu der Fahrt in die Tundra getroffen wer- den, da der Reisende, ausser einem von hier mitge- nommenen Präparanten, nothwendig noch mehrere Sa- mojeden zur Begleitung haben musste, worüber man von hier unmöglich Specielles vorschreiben konnte. Die Fahrt in die Tundra sollte, ود‎ = neuern richten, welche man vielleicht in Dudinsk erhält, dificirt werden. Auch konnte man von hier garni bestimmen, über welche Mittel des Transportes. dort gebieten könne, wenn dieser nach Dudinsk و‎ Turuchansk bewirkt werden müsste. Aufgesucht sq aber das Thier jedenfalls werden, nicht nur um. ursprünglichen Lagerungsverhältnisse und seinen jetzi- ' gen Zustand genau zu untersuchen, sondern. auch um die Entfernung von der Tas- Bucht zu. bestimmen, Wenn das Thier sich noch wohl erhalten zeigte, sch es zweckmässig, diese Fahrt zu ihm nur, als Ins tions-Reise zu betrachten, das Thier äusserlich zu tersuchen und zu zeichnen, dann aber möglichst, wieder zu bedecken, und mit Berücksichtigung, ١ speciellen Localität den Plan für eine zweite, Expedi- tion zu einer umständlichen Untersuchung zu | werfen und die beste Art und die Mittel des Trans portes des Skelettes und der Weichtheile. zu. be __ stimmen. Es wurde dabei vorausgesetzt, dass: das Thier noch in seiner ursprünglichen Lagerstätte ye blieben sei, in welchem Falle man annehmen kon dass es im Innern noch gefroren ist. Im Fall ae schon Verwesung eingetreten wäre, sollte e. inneren Theilen gerettet werden, was noch z ten ist, vor allen: Dingen aber der Inhalt is 1 gens untersucht werden. Der Transport des Skeletie blieb jedenfalls einer zweiten Expedition vorbeh: da ohne Zweifel die Herbeischaffung der Tram mittel, wenn man sie schon auf dieser Fahrt ۲ dinsk aus beschaffen wollte, so viele Zeit e würde, dass man mahsscheinlich erst spät ims zu dem Mammuthe gelangen könnte. Es schie lich der Commission besonders wünschenswer die Expedition spätestens in der Mitte des Fel nach altem Styl abgehen und ohne Aufenthalt m Dudinsk eilen möge, unterwegs sich nur so * haltend als die nöthigen Nachfragen erforderten, al dass sie gut thun würde, noch vor dem völlige Schwinden des Winters, der in diesen Gegenden? tief in den Mai anhalten dürfte, die Fahrt du e hd Tundra zu machen. EE: ` Da der Magister Friedrich Schmidt, dern r ner Ausdauer auf der Reise an den Amur mi chalin die besten Proben abgelegt hatte, sich Zu ser aufopfernden Reise bereit erklärte, und." des Sciences de Saint- Pétersbourg. zu hoffen war, dass er nicht nur die unausgesetzte Reise bis Dudinsk aushalten, sondern auch Erfahrung und Gewandheit genug besitzen würde, um dort die Anordnungen für die Reise in die Tundra, deren Mo- dalität man hier unmöglich vorschreiben konnte, nach den sich darbietenden Mitteln einzurichten, so wurde seine Bereitwilligkeit freudig angenommen und seine Person im Berichte der Commission für die Ausfüh- rung dieses Planes vorgeschlagen. - Die Reisekosten konnten bei der grossen Entfer- nung und dem Zuge durch die Tundra in Begleitung von mehreren Menschen nicht gering angeschlagen werden, und die Commission musste wohl vorausse- hen, dass die Akademie, da es ihr an eigenem Capi- tale ganz gebricht, ohne besondere Bewilligung der Regierung diese Expedition nicht würde ausführen kónnen. Allein sie glaubte von ihrer Seite den Antrag nicht unterlassen zu dürfen und schloss mit der Be- merkung: «Die Unterlassung einer Expedition zur «nüheren Untersuchung und wissenschaftlichen Be- «nutzung dieses Mammuths würde uns, wie die Com- «mission glaubt, zur bleibenden Schmach gereichen.» Sie ist in ihrer Hoffnung auch nicht getäuscht wor- den. Noch ehe der Akademie der Bericht der Com- mission in der Sitzung vom 25. Januar vorgelegt war, hatte ihr Präsident, Admiral Lütke, vorläufige Rück- sprache mit dem Minister Golownin und dieser mit dem Finanz - Minister v. Reutern genommen und der Präsident konnte schon in derselben Sitzung, nach Annahme des Commissions-Berichtes durch die Aka- . demie, dieser Hoffnung auf den Erfolg der officiellen Schritte machen, die jetzt erst vorzunehmen waren. Es erfolgte auch die Allerhóchste Bestütigung so rasch, dass Hr. Magister F. Schmidt nach den nothwendig- sten Vorbereitungen schon am 12. Februar abreisen konnte. Die nachfolgende ausführliche Instruction wurde dam Reisendem mitgegeben. beten für. den Hrn, Mag. Fr. Schmidt zur Reise an e, Tas- Busen, Behufs Aufsuchung und Bergung eines Mammuths. f ween Zweck der Reise ist das Aufsuchen des in der Nähe des Tas-Busens zum Vorschein gekommenen Mammuths, das Bergen der etwa vorhandenen Reste desselben und das Erkunden der Mittel und Wege, Tome X. wie dieselben nöthigenfalls am billigsten und leichte- sten hierher transportirt werden könnten. Auf diese dreifache Aufgabe hat die Instruction die Aufmerk- samkeit des Reisenden zu richten. 1. Aufsuchung des Mammuths, Da das Mammuth bereits im Sommer des féie 1864 gefunden sein soll, so dürfte vor Allem keine Zeit zur Ausführung desselben zu verlieren sein. Die grössere Leichtigkeit und Schnelligkeit der Commu- nication durch Sibirien auf Winterwegen lässt es da- her wünschenswerth erscheinen, dass die Reise mög- lichst beschleunigt werde, damit der Reisende Dudins- koje noch mit Schlittenbahn und vor Abzug der Sa- mojeden erreiche. Keinerlei Aufenthalt zu irgend wel- chen, mit der Aufgabe der Expedition nicht in diree- tem Zusammenhange stehenden Zwecken, dürfte somit während dieses Theiles der Reise gestattet sein, noch weniger ein Abweichen von dem directen, d. h. die kürzeste Zeit in Anspruch nehmenden Wege. Dieser Weg führt làngs der grossen Sibirischen Landstrasse über Krassnojarsk nach Jenisseisk und alsdann längs dem Jenissei bis nach Dudinskoje. Unterwegs sind al- lenthalben, wo irgend Indicationen vorhanden sein sollten, Erkundigungen nach den Personen anzustel- len, welche laut den Angaben im Briefe des Hrn. Gu- lijew um das Mammuth wissen. So dürfte bereits in Jenisseisk der Schreiber Wesselkin zu ermitteln sein, der zur Zeit, als das Mammuth gefunden wurde, in Dudinskoje im Dienste des dortigen Comptoir-Auf- sehers Sotnikof stand. Auch letzterer soll seitdem aus Dudinskoje nach einem andern Orte versetzt wor- den sein. Sehr wahrscheinlich weiss man auch Man- ches um diese und andere Personen, die zur Ermitte- lung des Mammuths von Nutzen sein kónnten, ja viel- leicht auch um das Mammuth selbst in den Expedi- tionsbureau's der beiden Dampfbóte, welche angeb- lich allsommerlich zweimal den Jenissei bis über Du- dinskoje hinaus befahren. Ähnliche Anfragen müssen auch an anderen Orten am Jenissei und besonders wie- derum in Turuchansk angestellt werden, da dieses die letzte Stadt auf dieser Route ist. Hauptsächlich aber muss der Reisende, in Dudinskoje angelangt, den Ju- racken, der das Mammuth gefunden haben soll, zu er- mitteln und durch Versprechen eines reichlichen Loh- nes und in Aussichtstellen der Prämie, die an ihn 16 + Bulletin de l’Académie Impériale auszuzahlen sein wird, zum Führer für die Reise durch die Tundra zu gewinnen suchen. Es lässt sich übri- gens annehmen, dass sich die Kunde vom Mammuth seitdem unter Juracken und Russen weiter verbreitet hat, und dass es daher unter ihnen noch manche ge- ben wird, die den Ort, wo es zum Vorschein gekom- men, wenn auch nur nach Beschreibungen, sicher wieder aufzufinden wissen werden. Sollte: daher der ersterwähnte Jurack uicht mehr aufzutreiben sein, so müsste die Reise durch die Tundra auch mit ander- weitigen, in der Gegend bewanderten Führern unter- nommen werden. Ja sie darf, unseres Erachtens, selbst dann nicht unterbleiben, wenn sich Niemand in der Gegend das Mammuth wieder aufzufinden getrauen sollte, obwohl der Erfolg der Reise in diesem Falle sehr problematisch wird. Der Reisende hätte alsdann, mit Führern versehen, die Tundra in der Nähe des Tas-Busens nach verschiedenen Richtungen zu durch- kreuzen und besonders auf die hohen, abschüssigen Ufer der Flüsse, der Seen und des Meeres zu achten, da es wahrscheinlich ist, dass auch dieses Mammuth, gleich den früheren, durch einen Erdabsturz am Ufer eines Gewässers zum Vorschein gekommen ist. Auch sind, die Lage desselben in dem Erdboden, die gen, — gnostische Beschaffenheit der es umschliessenden Erd — schichten u. s. w. sich beschränken, und müsste Hauptsorge dahin gehen, alle Maassregeln zu tr n, damit der Leichnam, gegen den Einfluss der Atmo- sphärilien und die Angriffe der Raubthiere geschützt, :80 wie vor etwaigen Nachgrabungen von Seiten t deren Seite thun lässt, wird hauptsächlich davon à hängen, in welchem Zustande sie das Mammuth an treffen wird. Bert? Findet man den Leichnam noch gut erhalten seine inneren Höhlen noch nicht durch Raubthier 3 geöffnet, so dass die Weichtheile aller Wahrschejg. ` lichkeit nach noch in gefrorenem Zustande sin TS | wäre ein Entblóssen und Oeffnen desselben, ohne: : Mittel zur Conservirung und zum sofortigen Transe _ port aller für das Museum erforderlichen Theile zu haben, als ein Verlust für die Wissenschaft zu bezeich- nen. Bei solchem Zustande des Leichnams dürfte vie mehr die Untersuchung bloss auf das Aeussere Thieres, die Gestaltung und Behaarung seiner ei nen Theile, so weit diese bereits blossgelegt oasırhort n wäre in diesem Falle besonders dafür zu sorgen, dass die Reise móglichst leicht, nur mit den unumgänglich- sten Begleitern und Effecten und mit Vermeidung eines jeglichen , den Hauptzweck nicht direct fórdernden Aufenthalts statt fände. Wie die Reise durch die Tundra am leichtesten g ürfte, darüber wird sich der Reisende am besten in Dudinskoje, ja vielleicht schon vorläufig in Turuchansk, unterrichten können und dem- gemäss die Vorbereitungen zu derselben treffen und den geeigneten Zeitpunkt zur Abreise wählen. Jeden- falls aber müsste ihm von Seiten der Akademie noch hierbei zur Pflicht gemacht werden, diesen Zeitpunkt nicht in Folge anderweitiger wissenschaftlicher Be- schäftigungen oder Unternehmungen verstreichen zu lassen. oacrhoahan A Z d 2. Bergung des Mammuths, Da es der Akademie sowohl an einer möglichst vollständigen wissenschaftlichen Untersuchung des Mammuths an Ort und Stelle, als auch an der Ret- tung der wichtigsten Theile desselben für das Museum gelegen ist, so hat die Expedition, nach Auffindung des Mammuths, diesem doppelten Interesse gemäss zu handeln. Wie viel sich nach der einen und der an- d ti T wissender oder g g g , ein Jahr lang unversehrt in gefrornem ۵ halten bliebe, bis eine mit allen erforderlichen U suchungs-, Conservirungs- und Transportmitteln ve sehene Expedition eintreffen kann. Diese Maass dürften in Folgendem bestehen: Theile, nachdem sie in der oben angegebenen W | untersucht worden, wiederum mit gefrorner Erde mö lichst fest und sorgfältig bedeckt werden, wobei, sp 1 Erde aus derselben, das Mammuth umschliessend Erdschicht genommen und vom Reisenden genau | Schicht überhaupt nur dünn sein, so müsste dies gefrornem Zustande sein muss, Steine und ander! liegen sollte, oder Strauchwerk u. dgl.) erhöht den, was neben dem grösseren Schutze vor Raubtl ren noch den Vortheil gewähren würde, dass der 01 a) Vor Allem müssten die bereits bloss ie ger ätere wissenschaftliche Missgriffe zu vermeiden, eichnet werden muss, welche Theile eine solche: eckung erfahren haben. esse b) Sollte die das Mammuth von oben deck ۰ m urch Aufwerfen von Erde, die jedoch ebenfall gen, in der Nähe zu habenden Materialien (z. reibholz, wenn der Ort in der Nä | he der Meeres! des Sciences de Saint- Petersbourg. dadurch bei einem abermaligen Aufsuchen leicht kennt- lich sein würde. Dass dabei wiederum die Grenze zwischen den ursprünglichen und den aufgetragenen Schichten in irgend welcher Weise bezeichnet werden müsste, versteht sich von selbst. €) Einen ferneren Schutz gegen die Angriffe der Raubthiere dürfte das Ausstreuen von Strychnin-Pil- len und andern für die Eisfüchse, Wölfe u. s. w. tödt- licheu Stoffen über der das Mammuth deckenden Erde gewühren. Die Strychnyn- Pillen müssten in Renn- thierfleich gesteckt werden. d Nach Erfahrungen, die im polaren Norden Ame- rika's gemaeht worden sind, gewührt auch das Über- decken mit Segeltuch einen Schutz gegen die Raub- thiere. Besonders rathsam würe es getheertes Segel- -tuch zu nehmen. Das Segeltuch müsste aber jedenfalls von oben mit Erde überdeckt werden, damit es nicht offen zu Tage liegt und entwendet werden kann. e) Um das Mammuth vor den Nachgrabungen der Eingebornen sicher zu stellen, müsste man den dem Fundorte desselben zunüchst wohnenden Samojeden die Beaufsichtigung und Bewachung desselben über- tragen, indem man ihnen einen hohen Lohn dafür ver- spricht und auch dem ersten Finder des Thieres die Prámie nicht eher vollstándig als bei der Wiederkunft der Expedition auszahlt °). < Sollte sich hingegen das Mammuth in einem bereits sehr mitgenommenen Zustande finden — ganz ent- blósst, die innern Theile stark in Verwesung überge- gangen oder von Raubthieren zerfleischt und zum Theil verzehrt — so müsste, ausser den bereits oben besprochenen zoo-geologischen Untersuchungen auch Alles geschehen, um das noch Vorhandene, so weit móglich, anatomisch zu untersuchen und zu retten. Vor Allem würe alsdann der Inhalt des Magens und Darms zu untersuchen, der sich vielleicht auch dann noch finden liesse, wenn diese Theile bereits von Raub- thieren hufyeiissen und aufgewühlt worden sind, da . diese Thiere die jedenfalls aus pflanzlichen Stoffen bestehenden Contente des Mammuthmagens nicht ge- P COT werden. Wie viel sich sonst bei solchem Pes ٩ en Findet | sich das ا یب‎ in gutem Zustande, so müsste eine BA Më wee Ae, per Telegraph hierher en stände es gestatten, vielleicht noch i in demselben Jahre eine Expedi- tion zur Hierherschaffung desselben absende. Zustande des Leichnams anatomisch machen lassen dürfte, ist natürlich zum voraus nieht zu bestimmen und muss der Einsicht des Reisenden überlassen blei- ben. Jedenfalls aber müsste der Mageninhalt, an der Luft getrocknet, und von den der Verwesung etwa noch nicht anheimgefallenen Organe einzelne Stücke und Theile in Spiritus, oder wenn dieser nicht zu be- schaffen, in Salz mitgebracht, das Skelet aber und die Hautstücke (die letztern nach Behandlung mit Alaun und Salz) nach Móglichkeit gereinigt, und wenn sich keine Mittel zum sofortigen Mitnehmen oder Fort- schicken derselben finden sollten, in die Erde vergra- ben, in der oben angegebenen Weise gegen weitere Angriffe geschützt und die Stelle für ein späteres Auf- finden kenntlich gemacht werden. Letzteres müsste natürlich auch in dem Falle geschehen, wenn sich vom Mammuth überhaupt nur das Skelet und einige Haut- theile vorfinden sollten. Auch in diesem Falle, wenn der Leichnam in mitgenommenem Zustande ist, wäre eine möglichst rasche Benachrichtigung darüber wün- schenswerth. 3. Erkunden der Mittel und Wege, wie die Mammuthreste nach St. Petersburg zu transportiren wäreu. | Da die gegenwärtige Expedition nicht die Mittel hat, die Mammuthreste, selbst wenn dieselben nur auf das Skelet und einige Hauttheile sich beschrän- ken sollten, gleich mitzunehmen und das Hierher- schaffen derselben später wird geschehen müssen, 0 ist das Erkunden der Mittel und Wege, wie solches am-leichtesten und billigsten zu bewerkstelligen wäre, eine unerlässliche Aufgabe der Expedition. Zunächst entsteht hier die Frage, welcher Weg des Transpor- tes vorzuziehen wäre: ob zu Lande nach dem Jenissei, oder zu Wasser den Tas-Busen abwürts nach dem Obj? Die Entscheidung dieser Frage hüngt davon ab, wie weit das Mammuth vom Jenissei oder vom Tas- Busen sich befindet und welche Transportmittel man auf diesen beiden Linien hat oder nöthigenfalls haben kann? Liegt das Mammuth gleich weit vom Jenissei und vom Tas-Busen, so wäre vielleicht der erstere Weg vorzuziehen. Doch bliebe alsdann zu ermitteln, wie der Transport durch die Tundra geschehen kónne: ob in Böten längs den kleinen, zum Jenissei münden- - | den Flüssen, oder auf Rennthieren? ob sich eine ge- nügende Anzahl der letzteren bei den dortigen Samo- 16* Bulletin de l’Académie Impériale jeden auftreiben liesse? ob es nicht möglich wäre im Frühherbst bei gefrorner Tundra mit Pferden hinzu- kommen? u. dgl. m. Sollte sich eines von diesen oder andern Transportmitteln als möglich erweisen; so müsste natürlich auch ermittelt werden, wie gross die Kosten eines solchen Transports ungefähr sein wür- den, und ob und welche vorläufige, vielleicht sehr frühzeitige Vorkehrungen, Bestellungen u. dgl. getrof- fen werden müssten. Liegt hingegen das Mammuth in der Nähe des Tas-Busens, oder auch nicht weit von demselben, aber an einem zum Tas-Busen mün- denden Flusse, so scheint auf den ersten Blick der Wasserweg zur Obj-Mündung der kürzere und leich- tere zu sein. Es fragt sich aber, ob und wie der Tas- und Obj-Busen bis zur Obj-Mündung befahren wer- den? Wie früh im Jahr sie eisfrei werden und wie lange sie die Schifffahrt gestatten? ob Bóte von der erforderlichen Grósse in Obdorsk oder Beresow zu ha- ben sind? oder ob ein solches zu dem Zwecke erst ge- baut werden müsste? u. s. w. Erwünscht würen natür- lich auch ausführlirhe Nachrichten über die Dampf- schifffahrt auf dem Obj und Jenissei: wie viel Dampf- bóte auf diesen Flüssen gehen? welche Strecken sie ‚befahren? wann sie ihre Fahrten NUN und be- — u. S. wW. ٠ Um die Erreichung des oben BERN eked deri Expedition ihrerseits nicht zu gefährden, stellt die Akademie derselben keinerlei andere Aufgaben. Ja sie macht es dem Reisenden zur Pflicht, sich aller Nebenforschungen, die einen Aufenthalt, einen Verlust an Zeit, eine Ablenkung vom Ziele herbeifüh- ren könnten, so lange zu enthalten, bis der Zweck der Expedition — das Auffinden und Bergen des Mam- muths — vollständig erreicht ist. Erst wenn dieses geschehen, mag der Reisende die erübrigte Zeit auch zu anderweitigen wissenschaftlichen Untersuchungen — so weit sich ihm Gelegenheit dazu darbietet — anwenden. Zu erinnern wäre dabei aber, dass, im Falle das Mammuth in sehr wohlerhaltenem Zustande ge- funden und daher eine zweite Expedition zur wissen- schaftlichen Untersuchung und Hierherschaffung des- selben nöthig sein sollte, die Rückkehr nicht zu spät stattfinden dürfe, um die nothwendigen Schritte zur Ausrüstung einer zweiten, endgültigen Expedition und liche, noch so ausführlich gehaltene Berichte e 1 senden kónnen in solchem Falle seine Anwes 3 hier am Ort keineswegs entbehrlich machen. Ee ter solchen Einschränkungen halten wir ander 1 wissenschaftliche Untersuchungen von Seiten de Ra senden für zulässig, ja wünschenswerth. Ausführlich über den Gegenstand derselben sich zu verbrei " wäre aber unter solchen Umständen überflüssig d so mehr als Hr. Mag. Schmidt in den Gebieten de | Geologie und Botanik bereits eine Reihe selbststündi. ger Forschungen in den Ostseeprovinzen und im: Am, ` sten der bekanntesten unter ihnen, vom Jenissei t hatte. Sollte der Reisende die Eismeerküste, Kn, | die unumgänglichen Vorkehrüngen und Vorbereitun- gen zu derselben rechtzeitig thun zu kónnen. Schrift- Lande ausgeführt hat. Nur in dem ihm ferner liegen: - den Gebiete der Zoologie dürften ihm einige Wi vielleicht nicht ungelegen kommen. ` Da ihm ein Präparant des zoologischen € zur Begleitung gegeben ist, so wäre für Sammlum und Aufbewahrung aller zoologinehen Gege die sich unterwegs darbieten, Sorge zu tragen, E nehmlich dürfte die Rückreise lüngs dem Jenissei Ge- 1 legenheit zu Untersuchungen über die rs des — selben bieten. Höchst schätzenswerth wären | Erkundigungen und Erfahrungen über die Ver tungsgränzen der Säugethiere und Vögel, zum we in der Tundra. Nicht minder ist von Interesse Al was die Tundra von niederen Thieren, Insecten, € staceen, Mollusken darbieten dürfte. Von letzte fand Middendorff in der Taimyr-Tundra unter 73 n. Br. nur Physa hypnorum in einer — Grund am 27. Juni noch mit Eis belegt war ren Wasser daher nur eine Temperatur von 0, auch nur an dem süss- oder höchstens brakwass tigen Tas-Busen erreichen, so wäre Alles, was e Fischen, Crustaceen und Mollusken daselbst f liesse, von Interesse. Bei allen Gegenstünden sir naue, sogleich niedergeschriebene Angaben, wann Wo sie gesammelt worden, unerlüsslich, und darf m sich in dieser Hinsicht auf das Gedüchtniss, und w es das beste, durchaus nicht verlassen. | K v, Baer, F. Brandt. G. v. Helmersen, St. Petersburg, den 4. Februar 1866, Leop. Y. Sehreni Rapp — des Sciences de Saint- Pétersbourg. Man wird aus dieser Instruction ersehen, dass der Expedition Eile zur besondern Pflicht gemacht ist. Dennoch werden wir wohl einige Monate warten müs- sen, bis nur eine vorläufige Nachricht über das Er- gebniss der ‚Untersuchung durch die Post und den Telegraphen-Draht eingeht, und einem umständlichen und persónlichen Berichte darf man kaum vor dem Eintritte des nächsten Winters entgegensehen. Es wäre möglich, dass die Reisenden, auch wenn sie kleine Missgeschicke haben, die auf einer grössern Winter-Reise nie fehlen, dabei aber gesund bleiben, und auch unterweges den nothwendigen Erkundigun- gen einige Zeit widmen, in 40 Tagen in Turuchansk ankommen, aber wohl nur, wenn der Winter unge- wöhnlich wenig Schnee gebracht hat. Viel grösser wird der Zeitverlust bei tiefem Schnee. Man fährt schon lange vor Turuchansk auf schmal eingefahrner Bahn, mit ganz lockerem Schnee zu beiden Seiten. Unter diesen Umständen können die kleinsten Ereig- nisse, z. B. das Ausbiegen zur Seite, wenn Fuhrwerke einander begegnen, grossen Aufenthalt verursachen. Die Pferde werden, wenn wegen Schwere des Schlit- tens mehre nothwendig sind, nicht neben, sondern hin- ter einander gespannt, wobei das Ausbiegen zur Seite nicht nur sehr umständlich, sondern auch dem An- spanngeräthe sehr gefährlich wird. Habe ich doch ein- mal bei dem heftigsten Buràn (Schneegestóber) auf dem grossen Wege von Astrachan nach Moskau eine Nacht in offener Steppe zubringen müssen, weil bei mehrmaligem Ausbiegen das Geschirr so vollständig zerrissen war, dass es nicht mehr auch nur nothdürf- tig zusammengeknüpft werden konnte. Hinter Turu- chansk hórt die regelmüssige Postverbindung auf. Von. dort bis Dudinsk führt man gewöhnlich mit Hunden, die man, so viel ich weiss, vorher bestellen muss. Was vollends die Zeit für die Fahrt von Du- dinsk bis zum Fundort des Mammuths anlangt, so lässt sich diese gar nicht berechnen, weil Alles darauf ankommt,.ob und wie bald man den Juracken oder einen andern kundigen Führer haben kann. Schon desshalb schien es unthunlich, diese Expedition auch für Bergung sämmtlicher Theile des Mammuths ein- zurichten, weil mit den Zurüstungen und dem Zu- sammensuchen vieler Menschen und Schlitten in Du- dinsk wohl ein grosser Theil des dortigen Sommers hingegangen wäre, und man vielleicht beim Be- ginne eines neuen Winters am Mammuth Se würde. Die Wichtigkeit einer genauen wissenschaftlichen Untersuchung dieses Mammuths braucht wohl nicht erst erörtert zu werden. Dass das Mammuth zu den Elephanten gehörte, wird freilich kein Zoologe des laufenden Jahrhunderts irgend bezweifeln. Aber die specielle Bestimmung der Form des Rüssels, der Ohren, der Zahl der Hufe, die bei den beiden lebenden Ele- | phanten verschieden sind, der ganzen Form des Kör- pers und seiner Behaarung, wird den Zoologen sehr interessant sein, womit auch die Controlle der ganz alten rohen Zeichnung, welche ich der Akademie vor- zulegen und weiter untén nüher zu besprechen habe, möglich wird. Was die Behaarung anlangt, so ist frei- lich seit Adams allgemein bekannt, dass sie eine drei- fache war, dass ein verfilztes Wollhaar, ein gróberes Contour-Haar und ein ganz langes Mähnen-Haar sich gefunden hat. Aber wie diese drei Artem vertheilt waren und wo namentlich das lange Haar sass, konnte Adams nicht mehr bestimmen, da er es vollstündig ausgefallen vorfand. Die genaue Bestimmung des Unterschiedes zwischen dem ausgestorbenen Elephanten oder Mammuth und dem lebenden Asiatischen Elephanten ist überdies be- sonders zu einer Zeit von Wichtigkeit, in der so viele Stimmen mit Darwin sich für allmáhliche Umbildung der lebenden Formen von organischen Kórpern im Verlaufe der Zeit aus einer Form in die andere erhe- ben. Dennoch wird die nähere Bestimmung der Form- verhültnisse nicht als das dringendste Bedürfniss er- scheinen. Wichtiger und tiefer in das Gebüude unserer Kennt- nisse eingreifend sind wohl solche Fragen, die man in Bezug auf die Lebensart der Mammuthe und die Art, wie ihre Leiber in Sibirien bis in den unfruchtbarsten Norden verbreitet sind, aufwerfen kann. Die Bestimmung der Nahrungsreste, die man im Magen und im Darm finden wird, überwiegt an Wich- tigkeit sicher alle Untersuchungen über die specifische ` Form des Thieres. Unser geehrter College Brandt hat bekanntlich in den Gruben der Zühne des fossilen Nasehorn Reste von Nadeln und kleine Holzreste von Nadelhólzern entdeckt (Brandt, Brief an Humboldt im Berichte über die Verhandlungen der Akad. zu Ber- lin 1846. S. 223 und Mém. de l'Acad. de St. Petersb., re1 d Bulletin de l’Académie Impériale yr série. Scienc. naturelles Vol. V.) und damit den Be- weis geliefert, dass dieses Thier Nadelhölzer fressen konnte, vielleicht ganz davon lebte. Aber sollte ein Elephant dazu organisirt sein, mit seinem empfindli- chen Rüssel sich Aeste von Nadelhólzern abzubrechen, wie der Afrikanische Elephant Aeste von Laubhólzern sich abbricht, sie zwischen seinen mächtigen Zähnen zermalmt, und mit seinem Kothe nach Brehm (lilustr. Thierleben, II, S. 695) zuweilen Aststücke von 4 bis 5 Zoll Länge und 1'4 bis 2 Zoll Dicke abgehen lässt? Vielleicht! zumal die Nadeln der Lärche, die in Sibi- rien so häufig ist, weniger stechend sind als in den ` meisten andern Arten, ja im Frühlinge längere Zeit hindurch sehr weich und zart bleiben. An den untern Theilen des Tas-Flusses, wo Hr. Siderow selbst eine Inspectionsreise angestellt hat, kommt, obgleich nur schwaches, doch noch geradstämmiges Holz und zwar Laubholz wechselnd mit Nadelholz vor. Nach seiner Angabe wäre Krummholz noch an der ganzen Tas- Bucht, oder wenigstens bis zum Winkel derselben zu finden, was aber weniger sicher scheint, da er nicht selbst die Tas-Bucht bereist hat, enim nur durch sein Dampfboot diese Bucht hat وفيا‎ lassen. Un- ser Mammuth könnte also allenfalls aus der Nähe sich genährt haben. Es sind dazu nicht hohe Bäume nöthig, sondern es können auch niedrige Holzpflanzen genü- gen. Nach Brehm bricht der Afrikanische Elephant die erreichbaren Äste höherer Bäume mit dem Rüs- sel ab, aber das Unterholz fasst er geradezu mit dem Maule. Die Elephanten fressen aber auch saftige Pflan- zen und Getraide-Früchte. Wenigstens sind die Asia- tischen Elephanten darin gefürchtet, dass zuweilen eine Heerde in Getraidefelder eindringt. Da sie aber nicht unmittelbar mit dem Maule niedrige. Pflanzen fassen kónnen, sondern sie mit dem Rüssel abreissen müssen, und sehr bedeutende Quantitäten zu ihrer Nahrung brauchen, so sind schwach und niedrig be- wachsene Flächen selbst in heissen Ländern, die kei- nen Winter kennen, für ihren Aufenthalt nicht geeig- net, um wie viel weniger also die baumlosen Flächen der hochnordischen Gegenden Sibiriens. Dazu kommt, dass die gewaltigen und stark vorragenden Stosszähne es dem Mammuth völlig unmöglich machen mussten, mit dem Maule zu fassen, wenn auch der Hals länger wäre. Da die Elephanten nicht mit dem Maule M am dicc können, wie Pferde und Wie- derkäuer, sondern die Pflanzen mit dem Rüssel reissen, so sind die arktischen Gegenden 8 " ganz ungeeignet, diese Kolosse zu ernähren. ` de d Dennoch finden sich gerade in den në Gegenden Sibiriens, wie es scheint, die eh Reste. von dem vorweltlichen Elephanten oder Mam e Für jetzt wenigstens, muss man hinzusetzen, denn dą das südliche Sibirien schon seit sehr langer Z wohnt gewesen sein mag, würe es auch möglich id 1 hier die Stosszähne schon seit eben so langer Zeit gu sammelt sind, indem das gegrabene ev up fossile) ein idem Handelsartikel war. Schon ` phrast, ein Zeitgenosse Alexanders des Grosse wähnt des gegrabenen Elfenbeins in seinem: Buche von den Steinen. Die eigentlichen Knochen kömte zu allerlei Zwecken benutzt oder durch die Zei gelóst sein. Selten sind aber auch jetzt die Ele ten-Reste, Knochen, Stoss- und Backenzähne im sí lichen Sibirien nicht. Nach Pallas sind sie beso háufig am Irtysch. Aber ein besonderes Gewerb det das Suchen des fossilen Elfenbeins im südlichen _ Sibirien nicht und alle Personen, welche sich anha tend mit der Naturgeschichte Sibiriens beschäftigt ha ben, wie Strahlenberg, Pallas, Hedenstri n, Wrangell, Middendorff, sprechen mit Verwunde rung von der Menge von Mammuthresten in den nörd- lichsten Gegenden Sibiriens, besonders auf den In: des Eismeeres. Der südliche Abhang der 4ten Bär Insel (nórdlich von der Kolyma) besteht, nach. dem Au druck Wrangell's, aus Hügeln, die mit Mammut e | chen angefüllt sind (Ilyremecrsie no cksep. 6epersm - Cn6npa, Y. II, erp. 47)°). Am berühmtesten sind ii dieser Hinsicht wohl die Ljächowschen Inseln, n ri- lich von Swätoi Noss, zwischen den Mündungenk Jana und Indigirka, unter eirca 74° n. Br. gelege die ihren Namen von einem Sibirischen Kaufman - 1 Ljüchow haben, welcher um das Jahr 1770: hie de ` fossile Elenbein zu sammeln begann, und sich dadurch bereicherte, dass er sich ein Privilegium qe das aus — schliessliche Recht zum Sammeln von Mammathzäl- nen auf denselben erwirkte, welches er wer: 1 Nach dem Ausdrucke von Sannikow, der nehr 6) In der Deutschen Übersetzung pe: 3 9 880) heisst e RM Hügel ganz mit Mammuthknochen t sind, was dei fasser offenbar nicht hat م‎ werd sondern diese, | stecken in den Hügeln dri des Sciences de Saint- Pétersbourg. hier war, scheint der Boden der ersten Ljächowschen Insel fast aus fossilen Knochen zu bestehen, und von ihr geht eine Sandbank aus, die nach jedem Sturme neue Reste zeigt, woraus er schliesst, dass auch der Meeresboden in dieser Gegend voll Mammuthzähne sein muss. Auf einer dieser Inseln ist ein Landsee mit hohen Ufern, die stellenweise während des Sommers einstürzen, wenn ihr Boden-Eis von der Sonne aufge- thaut ist. Dadurch sollen ganze Haufen gut erhalte- nen Elfenbeins mit Knochen von Mammuthen, Nase- hörnern und mächtigen Büffeln (vielleicht Moschus- Ochsen) sichtbar werden. Das Elfenbein, sagt Pallas, ist zum Theil so frisch und weiss, als ob es aus Afrika gebracht wäre. Aber auch auf den übrigen Theilen der Insel sah man Knochen und Stosszähne hervorragen. Ljächow setzte seine Expeditionen nach diesen In- seln viele Jahre fort und baute Hütten und ein Ma- gazin für die Leute, die er während des Sommers da liess. Pallas, der zuerst die Nachrichten über diese Inseln der Oeffentlichkeit übergab, schliesst mit Er- staunen und Verwunderung über den Vorrath von Resten grosser Thiere in so hohem Norden — nordische Beitrüge Bd. III, 1796). Pallas kannte noch nicht die Gruppe grosser In- seln, ‚welche nördlich von den Ljächowschen im Eis- meere liegen, und die jetzt unter dem Namen von Neu- Sibirien bekannt sind"). Sie sind zum Theil schon von Ljächows Leuten entdeckt, der aber diese Entdek- kung geheim hielt, Ein anderer Speculant hatte sich später auf diese viel grössern Inseln ein Privilegium geben lassen. Auch von ihm würden wir nichts weiter erfahren haben, wenn nicht der Graf Rumänzow Hrn. Hedenstróin mit mehreren Begleitern, bei denen auch Sannikow war, dahin gesendet hátte, und wenn nicht die-Begietuig später dinis is durch den Lieu- h lassen. Durch Hedenström und besonders seinen Begleiter Sanni- ۴۹ KA -A ۳ Jetzt — man die drei grossen Inseln Kotelnoi, Fadejewskoi ۲ , die urs lich allein Neu-Sibirien hiess, zu e Gruppe von Neu-Sibirien zu nennen. Allein die west- ben, Kotelnoi oder die Kessel-Insel, wurde von Ljä- peas anhaltend ausgebeutet und zu der nach ihm benannten rechnet. Dadurch sind die Berichte etwas verwirrt gewor- and jener Elfenbein liefernde See liegt in dieser Insel. Nur die Neu-Sibirien im engern Sinne. He- dens wie. versichert, dass er auf. dieser letztern im Beete einer Werst wohl 10 Mammuthszähne aus dem PORN hat vorragen gese- (OTPHIBKH o Cu6upn M. Texenmpona, cr. kow erfuhr man, dass diese Inseln sehr reich an Re- sten vorweltlicher Thiere, auch bituminösen und ande- ren, zum Theil sehr alten Baumstämmen sind, die in Massen aufgehäuft liegen, welche die Russen Holz- Berge nennen. Ausser Mammuths-Resten will man hier, besonders auf Kotelnoi, Köpfe von Schaafen, Rin- dern und Pferden in ganzen llaufen gesehen haben, so als ob hier, wie der Berichterstatter Sannikow meint, grosse Heerden von diesen Hausthieren gelebt hätten. Leider ist diese Inselgruppe nie von einem Na- turforscher besucht worden, und man kann daher nicht wissen, was diese Herren dort gesehen haben, ob die Rinder dem Moschus-Ochsen oder vielleicht einer un- tergegangenen Art, die Schaafsköpfe dem Sibirischen Bergschaaf (ovis nivicola) angehört haben, und die Pferdeköpfe etwa die von Nasehörnern oder von einer Pferdeart sind. Nur so viel scheint sicher, dass hier grosse Massen von Resten untergegangener Thiere und Bäume zusammenliegen. Im Jahr 1821 soll ein Elfenbein-Sucher aus Irkutsk 20,000 Pfund Elfenbein in der Neu-Sibirischen Inselgruppe gesammelt haben, obgleich schon Sannikow im Jahr 1809 daselbst 250 Pud oder 10,000 Pfund zusammengebracht hatte und in der Zwischenzeit das Einsammeln fortgegangen war (Ilyremecrs. uo Cnënpn n Iexos. Mopio Bpaurean II, er. 77)°). Wie wünschenswerth, dass ein junger unter- nehmender Naturforscher sich entschlösse, die kühne Reise nach dieser Inselgruppe zu unternehmen. Un- sere Promyschleniks träumen eben sowohl von einem Eldorado, einem Lande des Glückes und Reichthums, wie einst die Spanier, nur dass ihre Phantasie weni- ger auf Gold und Silber als auf fossiles Elfenbein und ein glücklicheres Klima gerichtet ist. Je schwerer eine Inselgruppe zu erreichen ist, um so mehr hat sie An- sprüche dieses glückliche Land zu sein oder wenig: stens früher gewesen zu sein. Nur durch einen Natur- forscher würde man erfahren, von welchen Thieren fossile Reste hier vorkommen’). e gti e 8) Diese Nachricht stammt سر‎ e = “ha, 2 Reise an die Flüsse Anjui erhalten zu haben scheint, Ich kann mich nicht enthalten, bei dieser Gelegenheit zu bemerken, dass die An- gaben, welche man von den unmittelbar Interessirten erhält, gewöhn- lich zu gering sind, besonders wenn sie, amtlich ge emacht dass sie dagegen im — des Volkes, besonders wenn sie ¢ durch mehrere Individuen 9) Hedenstróm hatte ke keine naturhistorischen nisse. Ich sah ihn im Jahre 1830 mit seinen aus Sibirien ee hr! digkeiten in St. Petersburg und erklärte ihm sogleich, Bulletin de l’Académie Impériale 256 Aber auch abgesehen von diesen Inseln ist der Nordrand von Sibirien dafür berühmt, dass die Flüsse häufig Mammuthreste aus ihren Ufern auswaschen, wie auch das Meer aus den seinigen. Die Mündung der Chatanga, die nórdlichste von allen, ist, der Sage nach, am freigebigsten, aber auch der nordóstlichste Winkel von Sibirien, von dem man es am wenigsten erwarten sollte, wenn man die Mammuthe von Süden hergeschwemmt glaubt, bringt jährlich eine Quantität Mammuthszäbne in den Handel, die beiden Anjui, Zu- flüsse der Kolyma, sollen nach Matjuschkin reich an fossilen Knochen in ihren Ufern sein. Es ist nicht nur die Meinung der oben genannten Kenner Sibiriens, dass je weiter nach Norden um so mehr die Zahl der ‚gefundenen Stosszähne vom Mammuth zunimmt, son- dern es ist bekannt, dass hier allein das Suchen der- selben ein Gewerbe ist. Die übrigen Knochen achtet man wenig, doch werden sie nicht selten zur Feuerung benutzt, wenn sie noch Fett in sich enthalten, oder zu allerlei Hausbedarf. Jene Ansicht von der Zunahme nach Norden, welche Pallas aufgestellt hat, und wel- cher seine Nachfolger ein Jahrhundert hindurch bei- stimmen, erhält besonders dadurch Gewicht, dass die Quantität des in den Handel gebrachten fossilen El- fenbeins nicht abnimmt, wenn es nicht in der neue- sten Zeit geshehen sein sollte. Jährlich kommen nach Middendorff’s Schätzung über 40,000 Pfd. fossiles Elfenbein aus Nord-Sibirien in den Handel"). Da im Norden die Stosszähne kleiner zu werden pflegen, in Neu-Sibirien ein Zahn nicht über 3 Pud d. h. 120 Pfund wiegen soll, so kann man nicht zweifeln, dass die angegebene Quantität wenigstens von 150 Indivi- duen herstammt. Bedenkt man aber, dass sehr viele Vogelklauen abgeriebene Rhinoceroshörner seien, die Schädel, die er für Schädel grosser Vögel zu halten geneigt war, demselben Thiere angehörten, erfuhr aber auch, dass dieselben Widersprüche ihm schon gemacht waren. Er zog es jedoch vor, bei seiner frühe- ren Meinung, die er schon im Reiseberichte ausgesprochen hatte auch in den später geschriebenen Skizzen (Orpsiekn) zu bleiben. ‘ Von den angeblichen Schafs-, Pferde- und Rinder-Schädeln hatte er nichts mitgebracht. Auch hatte er die Insel Kotelnoi, wo sie vorkom- men sollen, gar nicht besucht. Diese Deutung rührt also nur von Sannikow, der ein gewöhnlicher Elfenbein-Sammler war. 0 . v. Middendorff’s Schätzung scheint absichtlich auf das möglichst geringste Maass beschränkt, da er selbst anführt, dass in den speciellen Angaben über die jährliche Zufuhr nach Jakutsk von 1825—1831 kein Jahr unter 1!/, Tausend Pud fossiles Elfenbein notirt sind, und 2 Jahrgänge fast2000 aufweisen, ausserdem aber jähr- lich in Turuchansk 80—100 und in Obdorsk 75—100 Pud sich sam- meln. Midd. Reise, IV, S. 270. Zähne entweder in einzelnen Theilen oder im Ganzen gar nicht mehr brauchbar sind, wenn sie zu lange den | üussern Einflüssen blossgelegt lagen, und deswegen entweder gar nicht oder nur mit einzelnen Stücken in den Handel kommen, und fügt man noch hinzu, dass ٠ unter den gefundenen Zühnen nicht selten auch Solche ` von ganz jungen Individuen vorkommen, von denen ein Zahn weniger als 1 Pud (40 Pfd.) wiegt, so bam - | man die Zahl der Individuen, deren Zähne jährlich in den Handel kommen, wohl auf 200 schätzen. Hr.v, ; Middendorff rechnet nur 100 Individuen, aber gie - mir scheint, nur in dem Bestreben, nicht zu hoch | greifen. Die Zahl der an der Basis unbrauchbaren ` Zähne unter den Gefundenen ist doch gewiss nicht ge- ring. Bedenkt man nun, dass dieses eifrige Suchen wahrscheinlich seitdem die Russen sich über ganz $i- birien verbreitet haben, besteht, dass aber schon lange ` vorher gegrabenes Elfenbein ein werthvoller Gegen- . stand für Asiatische Künstler verschiedener Art War, ` in Verbindung. In Europa war es lange unbekannt. 2 ٍ "3 nach fossilem Elfenbein schon zwei Jahrhunderte, bk d so muss man erstaunen, dass der Vorrath nicht längst erschöpft ist. Früher schon wurde der alte Naturfor- | scher Theophrast erwähnt. Er nennt das fossile EE fenbein, ohne zu sagen von wo es damals kam, Der die es freilich als ein in der Erde noch lebendes Thie behandeln. Da in spätern Schriften desselben Voll bestimmt gesagt wird, dass dieses Thier im hohen Noi beitet werden, so kann man nicht zweifeln, dass das Sibirische gegrabene Elfenbein schon in alter Zeit nach China ausgeführt wurde (Klaproth bei Tilesius in Mém. de l'Acad. de St.- Petersb. 5"* série, Tome V, ` noch ausführlicher v. Olfers Abh. der Akademie zu Berlin 1839). Überhaupt stand Sibirien vor der Ero- berung durch die Russen mit Mittelasien und China ^ Y LA Herodot hatte mehr davon erfahren als alle Europäischen Schriftsteller bis Witsen. Noch mehr Erstaunen als der unerschöpfliche Vo rath von Mammuths-Zühnen und Knochen in Sibirien hat der Umstand erregt, dass man zuweilen vollstän- dige Leiber mit der behaarten Haut und allen innere * + des Sciences de Saint- Pétestbumiig. Weichtheilen im Norden Sibiriens gefunden hat, ob- gleich diese Thiere ohne Zweifel seit einigen Jahrtau- senden aufgehórt hatten zu leben. Dass schon vor lan- er Zeit dann und wann solche Thiere vorgekommen sind, geht schon aus der ursprünglich in Sibirien ein- heimischen und von Chinesischen Schriftstellern wie- derholten Sage hervor, dass das Mammuth ein iu der Erde wühlendes Thier sei, welches sogleich sterben müsse, wenn es ans Tageslicht kommt. Das Volk hielt also damals wenigstens solche Thiere für eben abge- storben. Auch jetzt kommen solche Funde vor, und wahrscheinlich häufiger als man davon erfährt. So hätten wir ja auch von dem jetzt angemeldeten wohl nichts erfahren, wenn wir die Nachricht nicht dem Interesse des Hrn. Guläjew verdankten. Obgleich man schon öfter die bisher mit der Haut aufgefundenen Mammuth-Leiber und vollständigen Ske- lette aufgezählt hat, und dieses noch kürzlich in v. Middendorff’s Reise, Bd. IV, sehr vollständig ge- schehen ist, scheint eine solche Uebersicht hier nicht fehlen zu dürfen. Wir können aber nicht umhin, be- merklich zu machen, dass diese Uebersicht nur auf die neuern Zeiten sich bezieht, weil Nachrichten über solche Funde vor der Russischen Eroberung Sibiriens gar nicht nach Europa kommen konnten, und wenn sie dahin gekommen wären, wohl keinen Glauben ge- funden hätten. Offenbar aber sind solche Erfahrungen schon sehr alt, denn die Ansicht der Eingebornen, dass das Miete unter der Erde lebe und wie ein Maulwurf darin sich Gänge wühle, hätte, wie wir be- merkt haben, sich doch wohl nicht entwickeln können, wenn man nicht zuweilen vollständige Leiber gefun- den hätte. Dass diese falsche Meinung nicht durch die Russen aufgebracht ist, sondern durch die frühe- ren Bewohner, sagt nicht nur Ysbrandt Ides sehr be- stimmt, wie wir gleich hóren werden, sondern es geht “ auch aus den Schriften der Chinesen hervor. Von welchem Volke aber ging sie aus? Entweder wohl von Finnischen oder Samojedischen Stämmen, denn die östlichen Völker scheinen die Sage nicht zu kennen, und finden in dem Sichtbarwerden eines vollen Mam- muths ein portentwm , ein Unglück bringendes Zei- chen. Vielleicht kann der Name des Thiers das Volk, weun auch nicht anzeigen, doch ahnen lassen. Jetzt wird es von den Russen allgemein Mamont genannt. Auffallend aber ist, ‚dass Witsen, der vor 2 Jahrhun- Tome X. derten (1666) in Moskau war und alle Menschen nach den Merkwürdigkeiten des Landes befragte, in beiden Ausgaben seiner berühmten Schrift Noord en Oost Ta- tarye ,, Mammout‘ schreibt. Von’ ihm kommt ohne Zweifel die im westlichen Europa gangbare Benen- nung Mammuth. Möglich, dass er nicht genau die Be- nennung auffasste, möglich aber auch, dass er von ei- nem Sibirier die richtige Aussprache der Eingebornen hörte. Ma heisst nämlich die Erde in vielen Finni- schen Sprachen, mut mit einem schwach eingemisch- ten i (d. h. mowillirt), doch gewöhnlich nur mut geschrie- ben, heisst der Maulwurf im Ehstnischen noch jetzt. Nun sind zwar die Ehsten schon seit undenklichen Zeiten in Europa einheimisch, und ich finde bei Pal- las für den Maulwurf ganz andere Benennungen in andern Finnischen Sprachen, Dennoch ist das Wort mut wohl ein Wort des Finnischen Stammes und Ma- mut hiesse dann wörtlich Erd-Mull, earth-mole, wenn das Wort mut auch in Ost-Finnischen Sprachen vor- kommt oder vorkam, das von den Russen in Mamont verwandelt wäre. H. W. Ludolf schreibt in seiner Grammatica Russica 1696, p. 92, noch Mammotovoi kost, fast wie Witsen. Wie das » hineingekommen und ob die Erinnerung an die Ehstnische Sprache als gültig betrachtet werden kann, muss ich den Sprach- forschern zu entscheiden überlassen "). Nicht zu be- zweifeln aber scheint es mir, dass Pallas eine Ver- wechselung begeht, wenn er in den Novis Commenta- riis, XIII, p. 437,sagt, dass Mama im Tatarischen Erde bedeute. Er selbst hat spáter in dem vergleichenden Lexicon, das er auf Befehl der Kaiserin Katharina : anfertigen musste, ganz andere Laute für «Erde» in den verschiedenen Tatarisehen Spraehen aufgeführt. Dagegen heisst die Erde in mehren Finnischen Spra- chen Ma und in andern sind Modificationen von Ma sehr kenntlich. Das Verzeichniss der in Sibirien aufgefundenen Lei- 11) Hr. Schiefner macht mich darauf قا د‎ dini die Russen vielleicht an den Heiligen Mamas, Russisch Mamant, erin- nert sein können, als sie ein ähnliches Wort hörten. Die gemeinen Russen zählen die Tage nicht nach der Reihe der Monate, sondern nach den Heiligen. ‚Die Namen der letzteren sind ihnen also sehr geläufig. So ist der 2. Sept. zept. Mamanta., Auch finde ich in der That, dass in einer der ältesten Nachrichten, in der Schrift des "AT e Capitains Joh. tie Moller (1716) die Einwohnêr, d. h. die Russen, das Thier Mamant nannten. Weber: Das ver- änderte Russland, I, S. 179 Wahrscheinlich ist aber, dass die Rus- sen an diesen Heiligen durch einen zn Laut der Eingebornen erinnert wurden. 17 259 Bulletin de l’Académie Impériale ber grosser Pachydermen versehe ich mit Nummern, um mich nach diesen auf die einzelnen Fälle berufen zu können. Ich rechne aber auch die in Russland vor- gefundenen Skelette dazu, welche nachweisen, dass an einem bestimmten Orte die Leiber von Thieren dieser Art verwest sind. 1) Der Bürgermeister Witsen zu Amsterdam, der schon im 17ten Jahrhundert mit Eifer Nachrichten ‚aus Sibirien sammelte, führt viele Fundorte von Mam- muth-Zähnen in Sibirien an, erzählt schon von grossen Zügen, die im Norden zum Auffinden derselben un- ternommen wurden, erfuhr aber auch schon, dass zu- weilen ganze Mammuthe sichtbar werden, die dunkel- braun sind und grossen Gestank verbreiten, d. h. in Fäulniss übergehen (Noord en Oost Tartarye, Ed. 1694, p. 413. Ed. 1707 et 1785, p. 742—747). 2) Mit Recht schliesst Hr. v. Middendorff hier- aus, dass man also schon im 17ten Jahrhunderte wusste, dass zuweilen ganze Leiber aufgefunden werden. Wit- sen scheint die ihm in Moskau gemachte Mittheilung nicht vóllig verstanden zu haben. Man erhielt aber schon im 17. Jahrhundert eine andere bestimmte Nach- richt, die publicirt wurde. Ysbrandt Ides, der von 1692—1695 als Gesandter Peters I. von St. Peters- burg nach Peking und zurück reiste, hatte auf der Reise durch Sibirien einen Menschen bei sich, der jährlich fossiles Elfenbein gesammelt hatte. Dieser er- zählte ihm, dass er einmal den Kopf eines Mammuths aus dem gefrornen Boden vorragen gesehen hatte, den er mit Hülfe einiger Leute abschnitt. Das Innere die- ses Kopfes fanden sie meistens verfault, doch brachen sie die Stosszähne aus. Auch brachten sie einen Fuss hervor, fast von der Dieke eines Mannes. Dieser Fuss scheint noch ziemlich frisch gewesen zu sein, da sie . einen Theil davon nach Turuchansk mitnahmen. Sehr richtig bemerkt schon Y sbr. Ides, dass die Mammuthe und deren Zähne in den Flussufern nach starkem Eisgange gefunden werden. Er berichtet dann über die Ansichten der Eingebornen, dass das Thier wie ein Maulwurf unter der Erde lebe und wie diese Thiere die Erde aufwühle. Die Russen dagegen hielten die Mammuthe für Elephanten mit stärker zurückgeboge- nen Zähnen, welche durch die Sündfluth hierher ge- schwemmt seien, für welche Ansicht auch der Rei- sende sich erklárt (Ysbrandt Ides Biss Reise, Ausgabe von 1707, S. 56). 3) Messerschmidt fand am Flusse Tom, südli liek von Tomsk, ein nach seinem Urtheile vollständiges Skelet. Strahlenberg, S. 395. 5 ` 4) Chariton Laptew, der unter der Kaiser Anna (1739—43) die nördlichste Küste m reiste und aufnahm, berichtet: Aus den Ufern ei Flüsse der Tundra werden ganze Mammuths- Thi mit beiden Stoss-Zähnen (Hörner genannt) CH ben, mit dickem Fell, das Haar und der Leib ab ind verwest, und die Knochen, mit Ausnahme. dr Hórner, ew: morsch. Es folgt ein Zusatz, dass. Kopf einem Pferde ähnlich ist, die Zähne abe flach, dick und nicht höher als 3 Zoll sind. Hr. v. Wor. dorff findet in diesem Zusatze ein Nasehorn ange tet, dessen Kopf häufig mit einem Pferdekopfe vek get wurde. Dann hätte Laptew von beiden Thie- ren gehórt und die Nachrichten zusammengeworfen, ` Vielleicht hat er sie aber auch unterschieden. Die Be- richte dieser alten Seefahrer der Nordküste, die ic gesehen habe, sind sehr schwer lesbar, wesshalb ۱ Auszüge, die man von Zeit zu Zeit gegeben hat, » ziem- lich abweichen. Die angeführte Stelle findet man den 3annern luxporpas. /lenapr. T. IX. erp. 45, 4 vollständiger als frühere Auszüge sind. Es sind sonst Missverständnisse in dieser Mittheilung. Die Knochen sind allerdings viel weniger hart als die. Zühne, aber sie kónnen nicht morsch bere 3 wenn dia Haut noch besteht. | . 5) Der nächste bekannt gewordene Fall von e mit seinen Weichtheilen im Eisboden Sibiriens au fundenen Leib eines vorweltlichen Thieres betraf lerdings nicht das Mammuth, sondern das fossile N horn (Rhinoceros tichorinus). Es gehört aber ohne Z fel hierher, da dieselben Verhältnisse auf die Con virung beider massiven Pachydermen gewirkt ! müssen. Ich meine das berühmte Nasehorn, von wel chem man den Kopf und einen Fuss zu Pallas brach der im März 1772 nach Irkutsk gekommen war. hatte das ganze Thier im vorhergehenden Dece am Wiljui, etwa 40 Werst oberhalb der unteren Wil- juischen Simowie in eingetretener ۵ e den; jedoch einige Theile zeigten sich noch ziem gut erhalten, so dass man den Kopf und 3 Füsse schnitt, Dën man nach Irkutsk schickte mit 4 nahme des dritten Fusses, der in Jakutsk abgeg war. Einer von diesen Füssen ging verloren, als. 261 des Sciences de Saint- Pétersbourg. las sich bemühte, ihn rasch zu trocknen. Die übrigen Stücke, von Pallas beschrieben und abgebildet (Nov. Comment. XVII), werden bekanntlich noch als Zier- den unseres zoologischen Cabinetes aufbewahrt und sind von unserm Collegen Brandt sehr sorgsam und mit vielen Vergleichungen vor einer Reihe von Jah- ren neu untersucht worden (Mémoires de l'Academie de St. Petersb. 6* série, Sciences Naturelles, T. V. 1849). Den Fundort hat Pallas nicht selbst untersucht. Nach ' dem Berichte des Absenders-war das Thier auf dem Sande des Ufers, halb in denselben eingegraben, etwa eine Klafter vom Wasser und vier Klafter von einem hóhern steilen Ufer gefunden worden. Das ganze Thier war noch von der dicken Lederhaut bedeckt, die je- doch nur noch einzelne Haarbüschel trug. Was man . von der Verwesung des Kórpers sagt, ist wohl vor- züglich auf starke iakalische Ausdünst die begonnene Zersetzung der innern Theile zu ver- stehen. Da das Thier unmóglich sehr lange so gele- gen haben konnte, ohne völlig zu verwesen, so ist nicht zu zweifeln, dass es aus der hohen Uferstufe hinab- gerutscht sein musste, nachdem diese durch hohen Wassergang des Flusses — wohl im Frühling 1770 oder 1769 — angegriffen und der Einwirkung der . Sommerluft tiefer hinein zugänglich geworden war. Dass dieses Thier halb im Sande vergraben gefunden wurde, lässt schon erkennen, dass ein Theil der jetzt entferntern Uferhóhe mit ihm herabstürzte. Die hoch- gelegenen sandigeu Stellen sollen in dieser Gegend, nach Erkundigungen, die Pallas einzog, im Sommer bis 2 Ellen tief, in den Thálern der Boden aber nur eine halbe Elle tief aufthauen (P allas Reisen III, S. 99). 6) Eine andere Erfahrung dieser Art machte man ` im Jahre 1787, und sie ist von dem Lieutenant Sa- rytschew, der Mitglied der Billings'schen Expedi- tion nach Nordost-Sibirien war, in seinem Reisebe- richte (Ilyremeersie Caprraesa I, er. 105, deutsche Uebersetzung Bd. I, S. 106) erzählt. Sarytschew war in dem genanntem Jahre von Sredne-Kolymsk nach Jakutsk in Begleitung des Doctors Merk und einiger andern Personen abgefertigt worden. In Ala- seisk, einer Niederlassung am Flusse Alaseja, die nur aus 2 Hütten und einem Bethause bestand, erzählte man ihm, dass etwa 100 Werst den genannten Fluss abwärts, aus seinem sandigen Ufer der Leichnam eines Thieres von der Grösse eines Elephanten zur Hälfte A h 5 MUC ausgewaschen sei; er sei noch ganz unversehrt und mit seiner ganzen Haut bedeckt, an der sich stellen- weise noch lauge Haare befänden. Dr. Merk, der dadurch bekannt ist, dass Pallas ihm viele wichtige Nachrichten über hochnordische Seethiere verdankte, wünschte sehr diese Merkwürdigkeit näher in Augen- schein zu nehmen. Allein Sarytschew glaubte lei- der diesem Wunsche nicht willfahren zu können, da der Abstecher vom Hauptwege zu gross schien und damals gerade viel Schnee gefallen war. Man muss das um so mehr bedauern, da behauptet wurde, das Thier liege in aufrechter Stellung da, und der Na- turforscher wird wenig Ersatz finden in der Erórte- rung, welche Sarytschew über die Möglichkeit des Vorkommens solcher nicht verweseter Leiber im ho- hen Norden in seiner Reisebeschreibung erhebt. Er verwirft die Ansicht, dass diese Thiere hier nicht ein- heimisch, sondern in alter Zeit durch Kriegszüge her- gebracht seien, auch die Meinung, dass sie aus heissen Ländern, wo solche Thiere leben, wohl 5000 Werst weit durch Überschwemmungen hierher gespült sein könnten. Ist wohl möglich, fragt er, dass todte Kör- per, sei's auch durch die Sündfluth, so weit geschwemmt sein könnten, ohne zersetzt zn werden? Ihm scheint, man thue besser, die Erscheinung einer grossen Ver- ünderung der Erdkugel zuzuschreiben und anzuneh- men, dass diese Gegenden einst ein würmeres, der Natur dieser Thiere mehr entsprechendes Klima hat- ten. Allein eine so rasche Abkühlung, dass die Lei- ber grosser Thiere nicht völlig verwesen könnten, lässt sich auch oline Wunder nicht denken, müssen wir einwenden. Sarytschew schliesst: Übrigens mó- gen Naturforscher über diese Zweifel entscheiden. Aber Naturforscher brauchen Beobachtungen und die bisherigen nach Hórensagen gesammelten Nachrich- ten genügen durchaus nicht. 7) Um dieselbe Zeit, oder wohl schon früher muss in der Gegend der Lena-Mündung ein Mammuth mit voller Behaarung gefunden sein, denn als das berühmte Adams'sche von dem Tungusen-Häuptlinge, der es zu- erst nur sehr wenig entblösst gesehen hatte, ohne zu wissen, wofür es zu halten sei, es im dritten Jahre für ein sehr grosses Thier mit Stosszühnen erkannte und davon erzählte, erklärten die alten Leute seines Stam- mes diesen Fund für eine schlimme Vorbedeutung, denn sie hätten von ihren Vätern gehört, dass zu ih- 0 17* Bulletin de l’Académie Impériale 1 rer Zeit ein Tunguse auch ein solches Thier gefunden habe, der aber bald darauf mit seiner ganzen Familie gestorben sei. Diese Ansicht von der schlimmen Vor- bedeutung beunruhigte den neuen Finder so sehr, dass er gefährlich dadurch erkrankte. Uns zeigt sie aber, dass gar mancher Fund dieser Art auch in neuerer Zeit vorgekommen sein mag, von dem keine Nach- richt nach Europa gekommen ist. 8) Dieselbe Lehre giebt uns ein anderer Fall. Ti- lesius berichtet, dass im Jahre 1805, als er mit der Krusenstern’schen Expedition zum dritten mal nach Kamtschatka kam, Patapow, Capitain eines Russi- schen Schiffes, das Lebensmittel aus Ochotsk gebracht hatte, ihm erzählt habe, dass er selbst vor kurzem (nu- PRE an der Küste des Eismeeres ein Mammuth mit behaartem Fell gesehen habe, und um diese Er- zählung zu bekräftigen, dem Tilesius einen Büschel dunkelbrauner Haare von 3—4 Zoll Länge und etwas dicker als Pferdehaare, die er (Patapow) selbst von dem Felle des Thieres abgeschnitten habe, schenkte. Desecaverit heisst es im Texte; sollten die Haare nicht ausgerissen sein? Tilesius schickte diesen Büschel Haare an Blumenbach. , Es ist zwar nicht unmöglich, dass dieses dasselbe Thier war, von dem wir sogleich sprechen werden, nämlich das Adams'sche, allein dann hätte Patapow doch wahrscheinlich gesagt, dass er es nahe vom Aus- flusse der Lena gefunden hatte. Auch behandelt Ti- lesius diesen Fall als einen besondern und hebt mit Nachdruck hervor, dass von diesem Funde in Europa nichts bekannt geworden wäre, wenn er nicht den Haarbüschel an Blumenbach geschickt hätte (Tile- sius Mém. de 7 Acad. des sc. de St. Pét. 5° série, T. V). Sollten die Haarbüschel von dem Adams’schen Mam- muth kommen, so ist jedenfalls doch ein anderes Vör- kommen separirt, dessen Adams ganz kurz mit fol- genden Worten erwähnt: On a trouvé des restes pa- reils, il y a deux ans, sur les bords de la Lena a une grande distance de la mer, et ils étaient tombés dans le lit de fleuve (1. c.). 9) Endlich kommen wir zu dem berühmten Adams’- schen Mammuth, durch welches eigentlich die Über- zeugung, dass zuweilen Mammuthe mit Haut und Haa- ren im Eisboden Sibiriens sich finden, in Europa all- gemein sich verbreitete. Leider aber verbreitete sich zugleich die Meinung, dass dieses hier in reiner. mi masse gefunden sei, wie wir sogleich hören werden. Adams, der als Botaniker die nach China bestimmte Gesandtschaft von Golowkin, die aber gar nicht über die Grünze gelassen wurde, begleitete, war im Jahre - 1806 in Jakutsk, als er SZ dass auf einer Halb- insel nahe von der Mündung der Lena ein Mammuth mit Haut, Haaren und innern Weichtheilen gefunden . Um dieses merkwürdige Object näher zu unter- Wen fuhr er nach der Mündung ab. Der Tungusen- Häuptling Ossip Schumachow, der sich als der Be- sitzer dieser Gegend ansah TT, hatte bereits im Jahre | 1799 auf einer Excursion im hohen Ufer der Halbinsel Tamut, zwischen Eisschollen, wie es in dem Berichte von Adams heisst, einen Gegenstand bemerkt, den e aber nicht erkennen konnte, obgleich er auf einen Felsen geklettert war, um ihn näher zu betrachten. Im folgen- den Jahre sah er diesen Gegenstand mehr vorragen, al- lein er will ihn noch nicht erkannt haben. Am Schlusse des Sommers vom dritten Jahre (also 1801) sah er die - eine Seite des Thieres ganz entblósst und einen Stoss- zahn vorragen. Er theilte jetzt diese Entdeckung seiner in der Nähe wohnenden Familie mit, die aber wegen der schrecklichen Vorbedeutung in Klagen und Sor versank, und auch den Schumachow so ängsti dass er schwer krank wurde, wie, wir oben schon merkt haben. Der Sommer des darauf folgenden. res war sehr kalt, so dass die Entblóssung fast. nicht fortschritt und das Mammuth, wie Adams s ausdrückt, restait enfoncé dans les glaces. Der Tung liess aber seinen Schatz eifrig bewachen. Im dat folgenden Jahre 1803 schmolz (angeblich) das zwischen dem Lande und dem Thiere, und dieses g hinab auf eine Sandbank des Ufers. Im März 180: kam Schumachow wieder zu seinem Mammuth sägte ihm die Stosszähne ab, die er gegen Waaren 50 Rubel vertauschte. Man machte bei dieser ۵ genheit eine Zeichnung, die Adams sehr ۲ nennt. Diese Zeichnung, welche spitze Ohren, : kleine Augen, Pferdehufe und eine Bote der Länge des Rückens zeigte, soll die Mitte zw 4 12) Kein einzelner Mensch in Sibirien ist ausschliesslicher Nach dem im Texte angeführten Berichte des Kauf dem die Zähne verkauft wurden, war der Handel im Frühlinge abgeschlossen. Es sind wahrscheinlich in den Mittheilungen, Adams erhielt, die Jahre nicht richtig unterschieden. des Seiences de Saint- Pötersbourg. einem Schweine und einem Elephanten gehalten ha- ben. War der Rüssel etwa im gefrornen Boden stek- ken geblieben oder schon von Raubthieren zum Theil verzehrt? Der Kaufmann Boltunow, welcher schon im März 1803 dieses Mammuth sah, und ihm die Zähne aushauen liess, hat die erwähnte Zeichnung an- gefertigt oder anfertigen lassen. Er sagt in einem noch erhaltenen Berichte an einen Geistlichen: unter den Zähnen haben die Nasenlöcher (d. h. die Nase) in eine lange Schnauze (um), wie beim Schweine, sich ver- ` längert. Schon damals verbreitete das Thier einen sehr üblen Geruch, den man eine Werst weit spüren konnte. Auch an der Seite war das Mammuth schon angefres- sen. Es wird also doch wohl schon im Jahr 1803 herabgestürzt sein. Boltunow sah auch noch einen Schwanz von 1 Fuss Länge (Texmoaormseckiit 3Kyp- Haas, Tow» III. 4, 4. erp. 163—265). Adams, der um einige Jahre später (1806) im 7ten Jahre nach der Entdeckung, zu dem Thiere kam, sagt über den Rüssel und äussere Gestalt des Thieres nichts Entscheidendes. Erberichtet nur, dass die benachbarten Jakuten in der Zwischenzeit ihre Hunde mit dem Flei- sche gefüttert und auch die Raubthiere davon gezehrt hatten. Er fand überhaupt nicht viel mehr als dasSkelet, dem jedoch die eine vordere Extremitüt schon fehlte. Di Knochen waren noch durch Gelenkkapseln and Bänder verbunden. Die Haut des Kopfes war eingetrocknet und an einem Ohr sass noch ein Haarbüschel. Auch das Hirn schien ihm eingetrocknet. Am linken Auge glaubte er noch die Pupille zu unterscheiden. Der Rüssel und der Schwanz fehlten, wie Adams ausdrück- lich bemerkt, doch will er die ossa coccygis vollstän- dig, oder, wie er sagt, das os coccygis gefunden und auf- bewahrt haben. Ja er schliesst sogar daraus, dass das Mammuth keinen Schwanz gehabt haben könne. Was er os coccygis nennt, mag entweder das Kreuzbein ge- wesen sein, da Hr. Adams nur im Singular davon spricht, oder einer der vordern Schwanzwirbel, da auch jetzt die meisten Schwanzwirbel fehlen. Dieser Umstand allein beweist, wie fremd die Anatomie die- sem Botaniker war. So versichert er auch, dass die Haut auf der Seite, auf der das Thier lag, noch voll- ständig mit Rê und dichtem Haar versehen war. Er nahm von dieser Haut ein grosses Stück, das so schwer war, dass 10 Menschen nur mit Mühe es auf das Ufer schleppen konnten. Er scheint aber nicht c bemerkt zu haben, wie schon Tilesius erinnert, dass die Haut von Feuchtigkeit durchzogen gewesen sein muss, weswegen auch das Haar grósstentheils verlo- ren gegangen ist. Adams scheint nicht einmal be- müht gewesen zu sein, dieses Stück Haut so schnell als móglich zu trocknen, wodurch ein lose geworde- nes Haar wieder befestigt wird. Dagegen scheint er zu glauben, da er nur dünnes Haar im conservirten Hautstücke fand (wohl nach Ankunft desselben?), dass die Haare durch die Feuchtigkeit dünner gewor- den seien!! ) Das Stück, welches noch im Zoologi- schen Museum aufbewahrt wird, hat fast nur noch Wollhaar, und nach Brandt’s genauer Musterung nur noch an beschränkten Stellen Contourhaar, Adams sammelte noch über ein Pud Haare, die in den Schnee getreten waren, solche von mehr als einer Arschin (2'/, Fuss Engl.) Länge, die, nach ihm, ohne Zweifel auf eine Mähne deuten. Aber der Verfasser, der überall unverständlich bleiben zu müssen scheint, sagt: Quand même je mettrois en doute les rapports de mes compagnons de voyage (der Tungusen nämlich), il est cependant évident que les crins de la longueur d'une archine, qui se trouvèrent encore à la tête, aux oreilles et au col de l'animal, ont dû nécessairement appartenir à la crinière. Soll das heissen, dass am Ohre Haare von der Länge einer Arschin sassen? Aber solche Haar- büschel am Ohr pflegt man doch nicht zar Mähne zu rechnen. Oder lagen nur ausgefallene Haare am äus- sern Ohr? Liess sich nicht bestimmen, ob das lange Haar nur die Mittellinie des Leibes und Halses ein- nahm, oder um den ganzen Hals lief? Ein langes aber dottigés Haar umgiebt auch den Hals einiger Rinder, wie des Bison; oder war das lange Haar so weit ver- breitet wie im Moschus-Ochsen? Man erhält darüber keine bestimmte Auskunft, obgleich auf der einen Seite des Leibes das Haar noch vollständig Tasten gefunden sein soll. Noch schwieriger ist es, von der Localität, nach der Beschreibung des Verfassers, sich eine bestimmte Vorstellung zu machen. Ich spreche nicht von den ursprünglichen Lagerungs-Verhältnissen, denn diese el. compris de poils pra d de rint noirs T humidité pr sol où l’animal a été couché ché pendant a fait perdre aux crins . Soll dns bles, dass der Pelz dünner une partie de leur eworden ist? Es klingt aber so als ob die einzelnen Haare dünner geworden seien. Bulletin de l’Académie Impériale 208 fand Adams nicht mehr vor, sondern von der geo- graphischen Bezeichnung des Ortes, wo er das Thier vorfand, und von der Beschaffenheit des Abhanges, in welchem es ursprünglich steckte. Zwar sagt er, dass es 60 Schritt vom Ufer und 100 Schritt vom Abhange lag, den es herabgeglitten war, dass dieser Abhang 35—40 Toisen (Faden) hoch war und das Thier nach Aussage der Tungusen, als es ihnen zuerst erschien, 7 Toisen unter der Oberfläche des Eises lag. Dieser unglückliche Ausdruck von glace und glaçons kommt sehr häufig vor und ist tausendfältig in andern Schrif- ten wiederholt worden. Ja es heisst, nachdem die Höhe des Abhangs an einer andern Stelle zu 30—40 Faden abgeschätzt ist: Sa substance (nämlich la sub- stance de la roche) est une glace claire, pure et d'un goût piquant; elle S'incline vers la mer, sa cime est cou- verte d'une couche de mousse et de terre friable d'une demie archine d'épaisseur. Pendant les chaleurs du mois de Juillet une partie de cette croute se fond, mais l'autre- reste gelée. So wird die oberste Schicht von mehr als einem Fuss Dicke genau unterschieden von der mächtigen Unterlage, und diese wird von Adams immer als Eis, sogar als wne glace claire et pure be- handelt. Wie soll ein ausgedehnter Eisfelsen sich bil- den, und wie soll man sich denken, dass ein grosses Thier, wie ein Mammuth, mitten in das Eis hineinge- rüth? Es müsste auf ihm oder unter ihm liegen; selbst eine Maus, welche ich einfrieren lasse, könnte sich in der Mitte des Eises nur erhalten, wenn ich ihren Leib durch Fäden an bestimmter Stelle befestige. Oder soll man glauben, dass hier Eisschollen zusammen geschoben und später durch theilweises Thauen und Gefrieren zu einer festen Masse geworden sind? Dahin könnte der öfter gebrauchte Ausdruck glacons führen. Schon früh hatte ich an dieser ganzen Beschrei- bung Anstoss genommen, und mehr noch als bald dar- auf Kotzebue aus der Eschscholtz-Bai in Nordame- rika unter 66'/,° n. Br. einen auf der Küste befindli- chen Berg von reinem Eise beschrieb, in welchem Mammuthzähne steckten. Der steile Eisabhang war nach Kotzebue 100, nach Chamisso 80 Fuss hoch. Darüber lag nur eine dünne Lage von bläulichem Lehm, 2— 3 Zoll stark, und darüber die torfige Damm- erde einen Fuss dick (Kotzeb. Reise I, S. 146). Nach meiner Versetzung nach St. Petersburg erkundigte ieh mich bei Personen, welche Adams gekannt und das Aufstellen des Mammuthskelettes gesehen hatten, - Sie hatten aber nichts Specielleres erfahren und m i ten nur, Adams habe seinen Bericht verschönert, da ihm der Transport des Skelettes bis nach St. Pete burg viele Auslagen gemacht und in den damalig schweren Kriegszuständen ein Ankauf desselben kaum zu hoffen gewesen sei. Bekanntlich hat der Kai: Alexander dieses Skelet, an dem noch einige. trocknete Hauttheile anhaften, später dennoch für 8000 Rubel angekauft ^). Nicht befriedigt durch diese Erklärungen bat ich Hrn. v. Middendorff, als r sich zu seiner Reise vorbereitete, in Sibirien gelegent- liche Erkundigungen einzuziehen, ob man nicht bes- sere Angaben über das ursprüngliche Lagerungs-V hältniss dieses merkwürdigen Praeadamiten erhalt könne. Hr.v. Middendorfffand auch in Barnaulein Beamten des Bergwesens, Hrn. Slobin, der den B kowskii Myss, den Fundort des Adams’schen Mam- - muths, in Begleitung des Kaufmanns Belkow, der auch _ mit Adams hier gewesen war, besucht hatte. Nach die- sem Beamten kónne von Eis gar nicht die Rede sei Adams habe sein Mammuth aus dem gefrornen B den erhalten, was mir auch Hr. v. Middendorff s gleich mitzutheilen die Gefälligkeit hatte. Ich stai an, etwas darüber zu publiciren, wie es ursprüngli meine Absicht war, um die häufige Wiederholung d Ausdruckes, das Mammuth habe im Eise gelegen, í sistiren. Ich trug aber Bedenken, Adams einer en schiedenen Lüge anzuklagen, der von einer glace à pure et d'un goüt piquant gesprochen hatte. Jetzt g ich, nachdem ich wieder einige Berichte über den À rand Sibiriens gelesen habe, Adams Ehrenhaftig retten zu können, obgleich sein geognostischer ` und sein Scharfsinn nicht sehr gut dabei wegkom Um die geographische Lage des Fundortes di Mammuths verständlicher zu machen, gebe ich zwei kleine Kärtchen der Lenamündungen. Das chen 1. ist nach der Karte zu Wrangell’s Reise pirt, mit Hinzufügung der Ansiedelung Kumak Wrangell war nicht selbst an der Mündung de na, wohl aber der Lieutenant Anjou, der, ohne on des Sciences de Saint- Pétersbourg. ganz specielle Aufnahme vorzunehmen, nach den von ‚uns auch verzeichneten Linien im Winter über das Delta fuhr, und so zur Ansicht des Cap Bykowskoi kam. Der Entwurf dieser Karte fällt hiernach vor das Jahr 1824, das letzte dieser Expedition. Das Kürtchen II. ist nach einer Karte von Ost-Sibirien copirt, die der Kaiserl. Generalstab im Jahre 1855, also mehr als 30 Jahre spüter, herausgegeben hat. 1 dis villt | I. Lena-Mündung nach Anjou und Wrangell. 1823. 1 * IL Lena-Mündung nach dem K. Generalstabe. 1858. Vergleicht man beide Kürtchen mit einander, so erkennt man: 1) dass einige Arme des Stromes, wel- che im ersten Kürtchen noch gross und bedeutend er- scheinen, im zweiten nur schwach angelegt sind; 2) dass die óstlichsten Inseln des Delta's, die auf dem ersten Kürtehen nur punktirt angedeutet sind, als ob sie, wenn nicht vom Wasser bedeckt, doch nur ganz flache Sandbünke seien, auf dem zweiten als ganz eben- bürtig mit den andern Theilen des Delta's dargestellt werden. Die Hauptmündung des Flusses erscheint da- durch als ganz zurück gekrümmt nach SO. In dieser Richtung sieht man auf dem ersten Kártchen eine Halb- insel von der auffallenden Form eines Lateinischen T. Ein schmaler Isthmus verbindet nümlich einen im rech- ten Winkel daran stossenden langgezogenen, aber schmalen Wall mit dem Festlande. Nach dem zweiten Kärtchen ist dieses Verbindungsglied jetzt durchge- rissen und aus der Halbinsel wàre demnach eine Insel geworden. Unsere Karten von Sibirien beruhen in diesen arktischen Gegenden allerdings noch nicht auf genauen Aufnahmen, sondern auf Inspectionen mit astronomischer Bestimmung einzelner weit entfernter Puncte. Aber es lässt sich doch erwarten, dass eine solche Veränderung in der Karte, wie die Umwand- lung einer Halbinsel in eine Insel, nicht vorgenommen wäre, wenn man nicht bestimmte Nachrichteur darüber hätte. Auch muss ich bemerken, dass der Isthmus auf der Karte zur Russischen Ausgabe von Wrangell’s Reise au einer Stelle noch viel schmaler gezeichnet ist, als auf der Karte zur Deutschen Ausgabe. Dies ist wahrscheinlich die Stelle, von der Adams sagt, dass man zu beiden Seiten das Meer sehen konnte, und die später durchbrochen sein wird. — . Diese jetzige Insel und damalige Halbinsel ist näm- lich die Örtlichkeit, in der Adams das Mammuth fand. Die nordöstliche Spitze derselben heisst Myss Bykow- skoi und die südwestliche Myss Mostach (bei Adams Manstai). Die ganze Halbinsel nennt Adams Tamut, Dass damals die Verbindung mit dem Festlande noch bestand, geht schon daraus hervor, dass Adams auf Rennthieren, die er bei Kumak Surka über den Fluss hatte setzen lassen, bis zum Mammuth ritt. Die Ent- fernung der einen Spitze des Bykowskoi Myss von der entgegengesetzten ‚giebt Adams freilich einmal zu 80 Werst und bald darauf wieder zu 45 Werst an. Beide isst di dao | Angaben sind nach den Karten viel zu gross. Aber das Bulletin de l'Académie Impériale ist wohl nur Folge seiner unvollkommenen Auffassung oder von Druckfehlern, an denen dieser Bericht reich ist. Die Stelle, an welcher das Mammuth sich gezeigt hatte und von der es herabgerutscht war, liegt, wie Adams ausdrücklich sagt, in der Mitte zwischen bei- den oben genannten Vorgebirgen. Hier ist ein drei Werst langer Abhang, der auf 30 (oder 35) bis 40 Faden (toises) Höhe geschätzt wurde, und gegen das Meer geneigt war. Über die geographische Lage kann man wenig in Zweifel sein, wenn man den allerdings unklaren Be-- richt mit den Karten vergleicht. Sehr schwierig, um nicht zu sagen unmöglich, ist es dagegen, über die physische Beschaffenheit der Localität und die ur- sprüngliche Lagerung des Mammuths eine bestimmte Vorstellung zu gewinnen. Dass diese Küste vom Meere benagt wird, ist nicht zu bezweifeln, wie es das ge- meinschaftliche Schicksal aller Steilküsten ist, die nicht aus hartem Fels bestehen. Hier ist aber auch eine Ein- wirkung des Flusses unverkennbar. Seine Strömung ist gegen diese Halbinsel gerichtet, und nur dieser Ein- wirkung können wir das Durchreissen des verbinden- den Isthmus zuschreiben. Es ist also auch sehr mög- lich, dass Eisschollen, und zwar aufeinander gethürmte Eisschollen, entweder aus dem Meere oder aus dem Flusse stammend, gegen den Abhang der Nordseite angetrieben werden, zumal dieser mittlere Abhang auch nach der Karte einen Vorsprung zu bilden scheint. Es ist also gar nicht unmöglich, dass Adams hier auf den Strand geworfene Eisschollen fand, die noch nicht geschmolzen sein konnten, da er am Schlusse des Juni hierher gekommen sein mag. Er giebt das Datum sei- ner Ankunft am Meere zwar nicht an, allein da er am 16. Juni (alten Styls) in Shigansk war, konnte er am Schluss dieses Monats oder in den: ersten Tagen des Juli, im Beginne des hiesigen Sommers, bei seinem Mammuth ankommen. Ich kann nämlich die Erklä- rung, welche Hr. v. Middendorff von dem Obristen Slobin in Pathani erhielt: «von Eis könne gar nicht die Rede sein»), nicht als die richtige annehmen, weil es doch kaum glaublich ist, dass Adams das Da- sein von Eis, das er. rein und durchsichtig nennt und geschmeckt zu haben behauptet, geradezu erlogen habe. Hr. Slobin war mehrere Jahre nach Adams ۳ 16) Middendorffs Reise IV, S. 294. an der Mammuths-Stelle gewesen. Ich glaube nicht, und habe nie geglaubt, dass Eisschollen das Mammuth herbeigebracht und so hoch gehoben h kónnen, als es nach Adams Angaben lag, selbst. seine Schätzung der Höhe des Abhangs um das. i pelte. zu stark sein sollte. Sicher lag das Mam eingebettet im gefrornen Boden und wurde durch, Absturz desselben erst sichtbar. Hätte es auf ei noch so grossen Lager von Schwimm-Eis gelegen, hätte ja der Tunguse es bei der ersten Entdeckung schon erreichen und näher betrachten können, AI er konnte es. nur aus der Ferne sehen, obgleich eine Hóhe bestieg. Adams sagt te dass Tunguse auf einen Felsen (roche) stieg, aber Ad hat den gefrornen Boden hier immer als Fels. trachtet, da er ihn hart fand. Er wird wohl die a 3 stürzte und am Fusse des Abhanges angehäufte Masse bestiegen haben, ohne doch das Mammuth deutlich. sehen zu können, das also in einem obern steilern u nicht erreichbaren Theile des Abhanges sichtbar — Ich bin nicht in Zweifel, dass das Ufer hier im A meinen dieselbe Beschaffenheit hatte und wohl hat, wie die hohen Ufer der Wolga an solchen Stelle wo sich fortgehend Abstürze bilden, z. B. bei dé Städtchen Tschernoi Jar. Der Abhang ist in se obersten Theile sehr steil, zuweilen fast senki und wenn auch etwas geneigt, doch viel zu jäh bestiegen werden zu können; am Fusse aber li Absturzmassen, die man leicht ersteigt, nur grö Blöcke, wie hier das Mammuth, werden durch die € langte Geschwindigkeit über die Absturzmassen getrieben. Von diesen führt der Fluss zur Zei Hochwassers immer einen Theil weg, wesha obere senkrechte Wand nie zu einer hinreiche schützenden Bóschung gelangt. Die Steilheit des obe Theiles vom Abhange wird, ungeachtet des von Zi zu Zeit sich wiederholenden Einsturzes,. erh weil, beim Ausdörren des lehmigen Steppenbodet sich Risse bilden, die dem Uferrande paralell ۲ und senkrecht hinabsteigen "). | Es wird wohl an den Küsten des Eismeeres, ders wo die Ufer hoch und steil, aber nicht fels sich eben so verhalten, mit dem Unterschiede dass hier in den Spalten das hineinfliesagndß, 1 17( Über den Mechanismus dieser Abstürze habe i ich t omsti gesprochen in den Kaspischen Studien, N.V | des Seiences de Saint- Pétersbourg. im Winter gefrieren und die Risse erweitern muss. Sehr schnell werden diese diejenige Tiefe erreichen, in’ welcher der Frost bleibend ist und also das Eis gar nicht mehr aufthaut. Da aber im obern Ausgange der Risse das Eis doch jährlich aufthaut und nieder- sinkt, so wird wohl auch die tiefere Eislage verdickt, besonders dann, wenn der Riss dem Ufer so nahe ist, dass die sich ablósende Schicht nicht dick ist, den Einfluss derSommerwürme erfährt und aufthaut, im Winter aber in Folge der contrahirenden Kälte sich noch tiefer ab- spaltet. Ist sie in Folge des Aufthauens hinabgestürzt, so wird die Eisschicht sichtbar, die, wenn sie sehr tief sich verlängert hat, das Ansehen einer Eis-Wand haben muss, hüufiger aber, wenn nicht so weit vorgedrungen, der Durchschnitt einer Eissc! in scheinen wird. Sollten nicht die abwechselnden Schichten von Erde und: Eis, die man an hohen Ufern in der nórdlichsten Tundra zu sehen glaubt (Hedenstróm's Fragmente, 8.127, auch Wrangell, Reise I, 8. 347. Anmerk.), meistens auf solchen blossgelegten Eisgängen beruhen? In seltenen Füllen kann es aber vorkommen, dass die Eisdecke eines Sees oder Flusses so hoch mit ange- schwemmten Erdmassen überdeckt wird, dass sie von der Sommerwürme nicht mehr erreicht wird. Einen Fall dieser Art, in kleinem Maassstabe, glaube ich in Nowaja Semlja gesehen zu haben. Im steilen Ufer eines kleinen Flüsschens sah ich eine solide Eismasse von I Fuss Mächtigkeit. Sie war über 2 Fuss hoch über- deckt von einer Tonschicht, die noch unbewachsen war, und bis zum Fusse eines benachbarten Berges von Thonschiefer reichte. Es schien daher, dass ein heftiger Regenguss von dem Detritus des Berges so viel herabgespült haben müsse, um das Eis dieses Flüsschens in einem Frühlinge der letzten Jahre an dieser Stelle ein Paar Fuss hoch zu überdecken und damit für immer zu conserviren. Jedenfalls aber wer- den die senkrechten Eisgänge, besonders in der Nähe der Küste, häufiger sein als die horizontalen. Wran- gell berichtet (a. a. O.), dass im Kolyma-Gebiete zu- weilen aus flachen Seen plótzlich das Wasser ver- schwindet und zwar mitten im Winter, weil der ge- frorne Boden durch Wirkung der Kälte weite Spalten bekommt, in welche das Wasser sich verläuft und bald gefriert.' Solche entleerte Mulden heissen dann Al- buty. Wenn das im Festlaude zuweilen sich ereignet, so müssen an einem hohen Meeres-Ufer, wo die Kälte Tome X. viel rascher vordringt, die Zerklüftungen viel häofiger sein, und wohl nicht immer der Randlinie parallel, wie am Wolga-Ufer. Im thonigen Schwemmland Nowaja Semlja's, wo es, entfernter vom unmittelbaren Ufer, mächtiger wird, sah ich Spalten von 1 — 2 Zoll Breite nach allen Richtungen der Windrose verbreitet und mit einander Polygone bildend. In diesen Spalten sitzen die verzweigten Stämme der Zwergweiden, nur ganz kurze Blätter-Triebe hervortreibend. Reisst man die Weiden auf, so findet man in der Tiefe der Spalten immer noch etwas Eis, wenigstens bis in den August. Es kann also wohl auf mehrfache Weise Eis an der Halbinsel Tamut sichtbar geworden sein, das noch nicht geschmolzen war, als Adams am Schlusse des Juni oder in den ersten Tagen des Juli .dahin kam, entweder ausgeworfenes Treibeis, oder eine durch Ab- sturz entblösste Eiswand, oder auch ein gegen das Ufer gerichteter Eisgang, ohne dass das Mammuth ursprünglich in einem Eisfelsen eingeschlossen gewe- sen ist, wie man einige Zeit zu glauben sich gezwun- gen hat, weil die unpassende Darstellung von Adams das anzudeuten schien. Am meisten stimmt mit Adams Darstellung die Annahme einer Eiswand oder eines blossgelegten Eisganges, denn er sagt, das Mammuth habe er gefunden 100 Schritt de lescarpement de la glace d'ou il avait glisse. Slobins Angabe, dass das Mammuth in der Wand einer Seitenschlucht, die durch ein Büchlein eingerissen war, sich zuerst gezeigt habe, ist auch nicht gut glaublich. Wie sollte der Tunguse, dem doch viel daran gelegen sein musste, den frem- den Gegenstand zu erkennen, nicht in diese! aus der allgemeinen Oberfläche auslaufende Schlucht hinabge- stiegen sein, um seinen Fund zu erkennen und zu be- tasten! Das M ammuth war wohl wahrscheinlich uner- reichbar in einer steilen Wand, und der Wasserlauf, den Slobin sah, mag sich später da gebildet haben, wo früher das Mammuth lag. Dass diese Wand zu Zeiten Abstürze hatte, erkannte Adams auch sehr richtig. Fügen wir noch hinzu, dass er in der Halb- insel viele Stücke fossilen Holzes von grosser Mäch- tigkeit von sehr verschiedenen sibirischen Bäumen und vereinzelte Mammuthzähne fand, so glauben wir von der physischen Beschaffenheit das Verständliche gesammelt zu haben. Wie leicht die mit Eis bekleideten Wände täuschen und für solide Eisfelsen gehalten werden können, hat 8 Bulletin de l'Académie Impériale das Beispiel der Eschscholtz-Bai gezeigt. Die Expe- dition des Capt. v. Kotzebue kam am 8. Aug. 1816) in diese Bucht, und alle Mitglieder der Expedition, nicht nur der Capt. Kotzebue, sondern auch die Na- turforscher Chamisso und Eschscholtz glaubten einen Eisberg im Abhange des Ufers zu sehen. Im Jahre 1826, also zehn Jahre später, kam ‚die Expe- dition des Capt. Beechey am 28. Juli an denselben Abhang, von dem unterdessen viel abgestürzt war. Man fand nur einzelne grosse Flecken von Eis, welche durchschnitten wurden und nur als Überzüge sich er- wiesen. Am 6. Sept. desselben Jahres kam dieselbe Expedition wieder dahin; sie fand die Eisüberzüge gänzlich geschwunden, und es hatte sich an einer Stelle eine Schicht von 4 Fuss Mächtigkeit, an einer andern eine von 1'/ Fuss losgerissen, als Beweis von den ` fortgehenden Abspaltungen ®). Dieses unverständliche Paradoxon schien vollständig gelöst, zumal als Cha- misso erklürte, dass man die Reste vom Mammuth und andern vorweltlichen Thieren nicht eigentlich im Eise gefunden, wie früher angenommen war, sondern vom Boden aufgelesen habe"). Zu der ursprünglichen Ansicht hatte ohne Zweifel die falsche Darstellung von Adams die Mitglieder der Kotzebueschen Ex- pedition veranlasst. Allein die neue Belehrung sollte nach mehr als 20 Jahren nochmals in Zweifel gezo- gen werden durch die Expedition des Capt. Kellett auf dem Schiffe Herald”). Capt. Kellett war mit sei- nen Officieren und Naturforschern im Jahre 1848 und zwar im September, dann nochmals im Jahre 1849 im Juli in der Eschscholtz-Bai. Sie fanden Eisklippen in der Dicke von 20—50 Fuss, die aber jährlich ab- nehmen sollen. Sie erklärten sich zum Theil für Kotzebue's Ansicht, da eine müchtige Schicht Schwemmboden darüber liegt, der zwar im allgemei- nen gefroren bleibt, aber abbróckelt und dann die in ihm enthaltenen fossilen Reste zu Tage fórdert, und darüber ein bewachsener Torfboden von 2 — 5 Fuss 18) Leider finde ich nicht angegeben, nach welchem Kalender man rechnete, allein da auch Chamisso in seiner spätern dër selbst- ngiebt, so muss ich glauben, dass auch Kotzebue in der seinigen rat, ischen Kalender folgte. 19) Beechey: Narrative of a voyage to the pacific e Beering . 1831. Part. I. p. 237—259; p. 3 .. 20) Adalbert v. Chamisso’s Werke ۳ S. 155 (1836). : 3 B. Seemann: Reise um die Welt in der Fregatte Herald, II, 8. 35-51. Strait Dicke, der jährlich ein paar Fuss tief MUS. keine fossilen Reste enthält. Man war daher - gemeinen der Ansicht, dass hier 6۱۱ einem Gletscher ähnlich, von Schwemmland hoch über: deckt sei, und Sir John Richardson, der die zoolo: gischen Beobachtungen der Expedition in. Benign 1 die Säugethiere bearbeitet hat, lässt diese Ans ten, jedoch mit erkennbarem Widerstreben.n me Ich zweifle, dass sie richtig ist, und vermuthe ig den vermeintlichen Eisfelsen nichts anderes als Reste von Schneelehnen, die vom Wasser durchdrungen; uid | dann gefroren, grosse Festigkeit erlangen können, und sich, wenn sie der Sonne nicht zugänglich sind, la ahann müssen. Solche Schneelehnen sind ap buch- tigen Ufern sehr gemein. Kellett’s Begleiter erkl ren sich gegen die Ansicht, dass von der Torfdee der Oberfläche herabfliessendes Wasser die Schnee lehnen durchdrungen und in Eis verwandelt haben könne. Man sieht nicht ein warum. Die Eschscholtz- Bai ist verhältnissmässig eng, so dass der Fus diser nach Norden gerichteten Wand vielleicht nie: telbar von der Sonne beschienen wird. In diesem kann eine Quantität von Wasser durchdi Schnees, der einen grossen Theil des bet: e froren ist, sich mehrere Jahre hindurch erhalte ; che Schneelehnen, die vom Wasser durchzogen sich ` in festes Eis verwandeln, hat Beechey auf der Nord- seite der Eschscholtz-Bai gefunden und als solche er kannt (Beechey, narrative of a voyage I, p. 329, ۳۴ ten); auch Richardson führt dergleichen an. ld. habe an der Küste von Nowaja Semlja keine Scl 1 e lehnen gesehen, weil an allen Punkten, wo i ei dete, fester Fels mit schwacher vegetabilischer Decke ausläuft. Felsland wird nicht nur besser erw die Sonne, sondern leitet auch die Wärme besse Schwemmland, besonders wenn es thonig ist. Schnee wird also schon von der Küste aus zum Scht zen gebracht und wird sich überhaupt nur in Massen sammeln, da es hier an einem breiten V zur Basis der Schneelebnen fehlt. Dagegen habe! mehr im Innern des Landes Bildungen gesehe mich nicht zweifeln lassen, dass Schneelehven 8H viele Jahre erhalten kónnen und sich in feste Mas verwandeln. Ich will nichtvon d hntenSc massen sprechen, die zwischen den Bergen i lenweit hinziehen und nur die Kümme d des Sciences de Saint-Pétersbourg. lassen. Sie laufen in einen freien Eisrand aus, unter welchem im Sommer kleine Flüsschen hervortreten. Es sind diese Bildungen eigentlich unentwickelte Glet- scher, der obern Abtheilung oder dem Firn der alpi- nischen Gletscher entsprechend. Ich habe viel kleinere isolirt stehende Bildungen von der Form abgestutzter Kegel im Sinne, die man eben so gut Eis- als Schnee- Pics hätte nennen können. Die Masse war nicht durch- sichtig wie wahres Eis, sondern undurchsichtig-weiss, aber so hart wie Eis, und es floss gar kein Wasser aus ihrem Fusse hervor, und dieser war auch nirgends feucht. Wie diese Pics entstanden sein konnten, schien die Umgebung anzudeuten. Drei von ihnen, nur etwa 7 Fuss hoch, sah ich in tiefen Ausbuchtungen des Flüsschens Nechwatowa, etwas entfernt von der Küste, wo die senkrechten felsigen Ufer des Flusses wohl 12 Fuss Höhe hatten. Es schien mir unzweifelhaft, dass alle drei Reste von Schneelehnen waren, dass durch die Erwürmung des felsigen Ufers der Theil der Lehnen, der unmittelbar anstiess, geschmolzen war, auch wohl der übrige Theil der Lehne, so weit er von der Sonne erreicht wurde. Der Rest aber, so viel davon vom felsigen Ufer abstand und auf dem ge- frornen Boden ruhend von keiner Seite von den Son- nenstrahlen erreicht werden konnte, war zwar von Feuchtigkeit durchdrungen, jetzt aber fest gefroren. Da in diesem schmalen Felsenriss eine eisige Külte herrscht, und das Flüsschen zu keiner Zeit die ganze Kluft auszufüllen scheint, wie eben die Anwesenheit dieses Eisfelsens andeutet, so glaube ich, dass sie nur bei anhaltendem Regen an Masse verlieren und Jahre bindurch sich erhalten kónnen. Viel auffallender war ein müchtiger Schnee- oder Eisfelsen dieser Art, wohl 20 Fuss hoch und mehrere Faden an seiner Basis lang, der auf der Flüche, aber in der Einbucht eines Berges von Thonschiefer stand. Auch dieser stand vom Berge ab, so dass man bequem zwischen beiden durch- gehen konnte. Doch folgte er in seiner Form der Ein- bucht des Berges, und ich zweifle nicht, dass auch hier der ursprünglich anstossende Theil der Lehne durch Einfluss des Schiefers zum Schmelzen gekom- men war. Der Schnee- oder Eisfels war aber in sei- nem .untern Theile ganz hart. Den Gipfel konnte ich nicht erreichen und weiss daher nicht, ob er hier in Schmelzung begriffen war, da der Gipfel zu Zeiten von der Sonne getroffen werden musste. Der Einfluss des schwarzen, dünngeschichteten und desbalb leicht er- würmten Schiefers auf das Schmelzen des Schnees trat überhaupt überall deutlich hervor. In der Eschscholtz- Bai, wo eine hohe Lehmschicht die Ufer bildet, fehlt dieser Einfluss des Felsbodens; das im Sommer von oben aus der Torfschicht herabfliessende Wasser wird erkaltet sein, bevor es den Fuss des Abhanges erreicht. Schneelehnen werden hier also wohl vom Abhange sich nicht ablósen, aber um so mehr vom Wasser durch- drungen werden. Auch ist die Bucht bei hohen Ufern so eng, und namentlich ist die Stelle, die durch die Mammuth-Reste so berühmt geworden ist, so zurück- gezogen, dass sie wohl nur wenig von dem Sonnen- schein unmittelbar getroffen wird. Ob das Eis, das Kellett's Expedition vorfand, durchsichtig war oder undurchsichtig, finde ich nicht angegeben. Dass hier ein alter Gletscher überdeckt sei, ist mir nicht wahr- scheinlich, da jetzt wenigstens ein nicht ganz kleiner Fluss, der Buckland River, tief eingeschnitten hat. Oder muss man auch hier in dieser Eis-Region eine frühere Eiszeit annehmen? Den Bericht über dieses Mammuth will ich damit schliessen, dass Adams Nachrichten darüber sich in der wenig verbreiteten Zeitschrift Journal du Nord, Jahrg. 1807, befinden, als Supplément zu M XXXII, nicht X XXX, wie nach Cuvier oft wiederholt wird. Tilesius hat in seiner Abhandlung De sceleto mam- monteo Sibirico in den Mém. de l'Acad. des sciences de St. Pétersbourg, 5° série, Tome V. pour 1812, den Adams'schen Bericht, so weit er das Mammuth be- trifft, vollständig wiederholt, in seiner ursprünglichen Sprache, der Franzósischen, und in Lateinischer eine Beschreibung des aufgestellten Skelettes mit einleiten- den Bemerkungen hinzugefügt. Dieses Skelet ist we- niger vollständig als man gewöhnlich glaubt. Der Be- richt von Adams findet sich auch ohne Verkürzun- gen in die Deutsche Sprache übertragen in Bertuch's Geogr. Ephemeriden, Bd. 25. S. 257 et 8600 ۰ 10) u. 11) Über zwei vorweltliche Thiergerippe auf der grossen Halbinsel, welche zwischen dem Kari- schen Meere und dem Obischen Busen sich weit nach Norden erstreckt, die ehemals unter dem Namen Jal- mal bekannt war, jetzt aber nach Hrn. Al. Schrenck Karachaiskaja Semlja heissen soll, erhielt der eben genannte Naturforscher auf seinen Reisen durch das Land der Samojeden im Jahre 1837 Nachricht durch 18* 279 Bulletin de ra den Mesener m— Okladuikow. Auf meine Auf- forderung theilte Hr. Schrenck die erhaltenen Nach- richten der hiesigen Akademie der Wissenschaften mit. Seine Anzeige ist abgedruckt im Bulletin scienti- fique de V Acad. IV. (1838), p. 1-4. Die Halbinsel Karachaiskaja wird ungefähr in der Mitte ihrer Länge von zwei Flüssen der Quere nach durchschnitten, die nach entgegengesetzten Seiten, der eine in das Ka- rische Meer, der andere in den Obischen Busen sich ergiessen. Mit ihren Quellen kommen sie einander so nahe, dass man in alten Zeiten zuweilen die Böte aus dem einen Flusse in den andern zog, da es äusserst schwierig ist und selten gelingt, die Nordspitze zu umschiffen. Es war also hier ein alter Handelsweg, über den Müller und Lehrberg ausführlich spre- chen”). Mehr südlich fliesst ein anderer kleiner Fluss, Jerumbei, wie Schrenck ihn nennt, oder Jerubei wie der Name nach der Karte zu lesen ist, in's Karische Meer. Am linken Ufer dieses Flüsschens war aus ei- nem kleinen See (vielleicht einer seeähnlichen Erwei- terung) 4 oder 5 Jahre vor Schrenck’s Reise (1837) ein Skelet ausgewaschen worden, grösser als ein Wall- ross, aber ohne Stosszähne. Schrenck vermuthet deshalb ein Nasehorn in diesem Skelette. Indessen, da Okladnikow es nicht selbst gesehen hatte, ist es auch möglich, dass die Stosszähne ausgebrochen waren. Das Skelet hatte wahrscheinlich schon lange offen gelegen, und da es von brauner Farbe gewesen sein soll, so ist zunächst zu vermuthen, dass die Weich- theile auf ihm verfault waren. Ein anderes Skelet, das aber nicht vollständig befunden wurde, war 10 Jahre früher in derselben Halbinsel aufgefunden. Die Lo- kalität von diesem wurde nicht näher angegeben, doch sollte sie allen Samojeden Minos seine — pe schien mir sehr wünschenswerth, d tt und wo móglich. nach st. Petersburg gebracht wür- den, da sie verhältnissmässig nahe lagen. Auf meine mündliche Mittheilung bewilligte auch der Graf Can- krin, der bereitwillig wissenschaftliche Aufgaben un- terstützte, 1500 Rubel S. der Akademie zu diesem Zwecke. Wie ich dazu kam, gerade diese Summe zu erbitten, weiss ich nicht mehr anzugeben, jedoch ge- schah es wohl nicht ohne Rücksprache mit Hrn. A. Schrenck. Als ich später nach Archangelsk pct 22) Lebrbérg: GEN zur Erklärung der alten Ge- ite Russlands, S. 36 fand sich auch Okladnikow dort ein. Ich: Pë für das Abholen engagiren, aber da es sich dass er beide Skelette nicht selbst gesehen: hatte und jedenfalls das ausgesetzte Geld vollständig aus | verlangte, auch wenn er nichts mehr fände, und zwar ۱ vor der Abreise, so konnte ich auf diese Unsicherheit nicht eingehen. Ich wollte die ganze Summe nur: willigen, wenn dafür eins der Skelette abgeholt und in Archangelsk abgegeben würde. Besonders auffa | ht | Unterhandlungen. Es gelang aber nicht, einen Nat lend war mir, dass Okladnikow 100 Rennthierein d Mesen aufkaufen und mit diesen die Fahrt-unterneh- - men wollte, da man die Rennthiere öfter wechseln müsse. Mir wollias es natürlicher, mit wenig Rennthie- ren abzufahren und erst in Obdorsk am Ob oder hóch-- stens in Pustosersk an der Petschora ene zukaufen. Als ich darüber in Archangelsk mit einigen Bekannten sprach, riethen diese mir vorsichtig 1 Okladnikow habe mehrere Jahre die Tundra bereist, ` um den Samojeden Branntwein zu verkaufen. Das v er wohl auch jetzt, denn wenn man Lasten führe | also einige Fässer Branntwein), so lasse man. ganze Heerde Renuthiere mit treiben, um oft wech: sein zu können: Untersdiesen:Umstånden dehik mir auch möglich, dass Okladnikow gar nicht eg den Skeletten käme, da er sich bisher immer eig ZS dem Abholen erboten hatte, ohne die Skelette geg hen zu haben, jetzt aber sëch für den Fall, dass nichts fände, die ganze Summe verlangte, die i überhaupt sehr gering schien. Ich brach also die! terhandlungen ganz ab. Auch schien es wünscl werther, einen jungen Naturforscher zu gewinnen; wenigstens für die Vollständigkeit des Skelettes s gen könnte. Nach St. Petersburg zurückgekehrt richtete ich der Akademie über diese abgebroche forscher zu finden, der die besagte Halbinsel zu reisen bereit gewesen wäre. Hr. A. Se hrenck 8 hatte sich schon zu der Reise durch das südlich d birien engagirt. Die bewilligte Summe wurde (18 anders verwendet. uc ctio io: 12) Wir kommen jetzt zu einem Miei dessen Fundort die Nachrichten so widersf sind, dass man vielleicht zwei sehr verschiedene P örter und also zwei Mammuthe — 2 gleich das Thier, von dem wir hier zunächst a dasselbe ist, dessen Skelet nach Maka gol d Mi ET | u An Gin, mis a €— und dort aufgestellt ist, so kann man doch über die Localität, in der es sich gefunden hat, sehr wenig si- chere Angaben machen. Hr. v. Middendorff hat sich bemüht, nicht nur die gedruckten Nachrichten über diesen Fund, die leider unbegreiflich dürftig sind, zu samnieln, sondern auch von den Originalverhandlun- gen der Moskauer Gesellschaft der Naturforscher Abschriften zu erhalten und daraus die Geschichte dieses Mammuths zusammenzustellen (Reise, Bd. IV. 8. 272 m. 273). Indessen finden sich immer noch Schwierigkeiten oder Widersprüche, die wie es mir scheint, sich nur dadurch lösen lassen, dass man ent- weder einen sehr grossen Irrthum in der ersten An- zeige annimmt, oder zugiebt, dass das nach Moskau gekommene Mammuth gar nicht das ursprünglich an- gemeldete, sondern ein ganz anderes ist. Es befand sich nämlich der eifrige Entomolog Motschulsky im J:4840 in Tobolsk, wo ihm Samojeden, die dahin ge- kommen waren, erzühlten, im Frühjahre 1839 sei sehr viel Wasser im arktischen Sibirien gewesen. An einem in den Jenissei fallenden Flusse Tas sei ein Abhang vom Wasser unterwaschen und hinabgestürzt, wodurch ein eingefrornes Mammuth sichtbar geworden. Die Samojeden, welche die Entdeckung gemacht, hatten den Kopf und einen Stosszahn vorragen gesehen, den letzteren abgehauen und als Elfenbein auf dem Jahr- markt zu Obdorsk verkauft. Dabei erzählten die Ver- küufer, dass aus dem Rachen des Thieres eine schwarze Zunge, so lang wie ein einjähriges Rennthierkalb, her- vorgeragt habe, womit ohne Zweifel der Rüssel ge- meint war. Hr. v. Motschulski bemühte sich nun, diesen Fund für'die Moskauer Gesellschaft der Natur- forscher zu sichern, deren Mitglied er war. ^ Tech kann nicht umhin, in dieser ersten Notiz ein starkes Missverständniss zu vermuthen. Einen Fluss Tas, der in den Jenissei fállt, kennt niemand. In Stuk- kenberg's Beschreibung der Flüsse des Russischen Reiches kommt ein solcher Zufluss des Jenissei nicht vor. Allerdings ist der untere Jenissei nur sehr dürf- = behandelt, aber auch in Stepanow' s Enuceückaa ais, a. 1, wo sehr viele Zuflüsse zum Jenissei “werden, und.in Middendorffs Karte des untern Jenissei, die doch wohl mit Benutzung aller beitet ist, fehlt der Name Tas, obgleich auch Wer. eine Menge Zuflüsse gezeichnet und meistens benannt sind. Dagegen ist der rene Fluss Tas, dessen wir ‘bei ‚der: Nachricht des in سوت‎ wenig, doch in Sibirien sehr wohl bekannt, als fast an der Grenze des Tobolskischen Gouverne- ments fliessend. Ich denke mir, dass in dem Bericht der ` Samojeden dieser gemeint war. Natürlich werden alle gel Aber wenn Hr. Motschulsky etwa sich näher nach seiner Lage erkundigte und erfuhr, dass er vom Ob nach Osten oder mehr nach dem Janien hin fliesse, mag er zu dem Glauben veranlasst sein, dass er sich in den Je: nissei ergiesse. Sollte dieser zuletzt genannte Strom oder seine Erweiterung, der Jenissei-Busen, wirklich einen: Zufluss Tas haben, so könnte er doch nur sehr klein sein, und es scheint keineswegs wahrscheinlich, dass die Samojeden des Tobolsker Gouverments so weit gehen, oder wenn Samojeden des Jenissei den Zahn erhielten, dass sie ihn nach Obdorsk am untern Ob brachten. Auch wird es, wenn wir annehmen, dass dieser bekannte Tas gemeint war, sehr verstündlich, warum Hr. v. Middendorff, der im Jahr 1843 am untern Jenissei war, von diesem Mammuthe nichts erfuhr, obgleich im Jahre vorher dessen Skelet schon abgeholt war, womit nothwendig viele Menschen sich beschäftigt hatten. Der Rede-Stoff der nordischen No- maden ist nicht so gross, dass die Samojeden, mit de- nen Middendorff fahr oder sonst zusammentraf, je- nes Abholens nicht sollten erwähnt haben, wenn es. in ihrer Nachbarschaft sich ereignet hätte. — Die Ge- sellschaft der Naturforscher zog, nach erhaltener Nach- - richt, nähere Erkundigungen bei dem Gouverneur von Tobolsk, nicht bei dem von Jenisseisk, ein, der ihr mit- theilte, dass aus seinen bei den Samojeden eingezo- - genen Erkundigungen sich ergeben habe, dass das ganze Gerede von einem aufgefundenen Mammuth un- begründet sei”). Unterdessen hatte Hr. v..Motschul- sky den Beresowschen Kaufmann Trofimow, der am untern Ob Geschäfte machte, ‚veranlasst, das Aufsu- chen und Herbeischaffen des Knochengerüstes vom Mammuth zu übernehmen, und zwar, wie Motschul- sky ihn verstanden hatte, auf eigene Kosten. Er liess im Jahr 1842 wirklich ein solchen Skelet nach Ob- wann aneh Tab caina l 23) Diese und ähnliche Erfahrungen bestimmten die Akademie, in dem neu angemeldeten Falle keine Erkundigungen einzuziehen. Aber ` auch ohne ANDERER. erhielten wir. die Warnung, die erbal- tene N n. Nun, wir werden sehen! Bulletin de l’Académie Impériale dorsk bringen, berichtete aber, dass er seine Leute bereits am 12. Februar wohl 2000 Werst jenseit Ob- dorsk abgefertigt habe. Er forderte einen Kosten-Er- satz von 4690 Rbl. 5. Auf eine solche Forderung war die Gesellschaft durchaus nicht vorbereitet, weshalb sie die Anzeige unberücksichtigt liess. Die Nachrich- ten über die Localität des Fundes lauteten jetzt aber ganz anders. Nicht weit vom Jenissei, nur 70 Werst vom Meere, und zwar an einem See, in welchen ein hohes Ufer von 10 Faden 70 Fuss vorspringt, war das Mammuth, am Fusse dieser Höhe, aus welcher es seit mehreren Jahren ausgewaschen schien, gefun- den. Von einem Flusse Tas scheint nach den Mid- dendorff’schen Auszügen in Trofimow’s Berichte gar nicht mehr die Rede. Die Fleischtheile waren ganz ' verwest, Haare von verschiedener Länge fand mán unter dem Skelette. Die Vorderfüsse lagen, getrennt vom Leibe, im Wasser, die hintern Extremitäten sind gar nicht aufgefunden, werden also auch wohl im Was- ser gewesen sein, wenn sie nicht etwä noch im Ab- hange stecken. Wie soll man sich nun diese Wider- sprüche in der Angabe der Localitäten deuten? Ich kann nur bei zwei Vermuthungen stehen bleiben. Ent- weder hat Trofimow wirklich das vom Tas angekün- digte Mammuth aufsuchen und das Skelet mit einem sehr kleinen Theile der Weichtheile nach Obdorsk bringen lassen, und jenen hochnordischen Fundort nur vorgegeben, um eine recht hohe Rechnung anfer- tigen zu können, wobei es denn sehr natürlich war, dass Hr. v. Middendorff am Jenissei von diesem Abholen nichts erfuhr, oder er hat seine Leute sehr weit in der Tundra fortziehen lassen, um Branntwein, | 6 den beliebtesten und gewinnreichsten Handelsartikel, zu verkaufen, und diese haben, mit oder ohne seinen Auftrag, ein ganz anderes, früher sichtbar geworde- nes Mammuthskelet abgeholt. War das Erscheinen dieses Mammuths schon eine alte Sache, so ist es be- greiflich, dass man nicht mehr davon sprach und auch wenig beachtete, dass Trofimow’s Expedition, die für die Samojeden nur eine wandernde Branntwein- Schenke war, die Grille hatte, das nicht mehr beach- tete Mammuthskelet aufzuladen "). Vielleicht war ) Ich ëng mich jetzt, dass ich auf Okladnikow’s Propositio- nen hE eingegangen war, da er wahrscheinlich wenig oder nichts zurückgebracht hätte. Auch war ich durch eigene Erfahrung ge- warnt. Ich hatte im Jahre 1836 einen Kaufmann von der Küste des den Leuten nur aufgegeben, wenn sie Geste? solches Skelet fänden, es mitzunehmen”), ب‎ à Um die Geschichte dieses Mammuths zu b füge ich nur noch hinzu, dass Trofimow sich. entschloss, auch noch den Transport nach Moskau siue Geld-Entschädigung, aber gegen die Hoffnung auf ein Medaille zu übernehmen. Die Medaille wurde ausgewirkt, kam aber erst nach dem Tode von T; fimow an. Das Skelet ist jetzt in Moskau beid mit fehlenden hintern Extremitäten. An den ıı schickten Weichtheilen hat Hr. Professor. Mes noch einige histiologische Untersuchungen anstel kónnen. 13) Um in der chronologischen Reihefolge.at er ben, müssen wir jetzt die Reste eines Mammuths. führen, welche Hr. v. Middendorff im Sommer 1 im hohen Norden unter 75^ n. Br. in der. wer Flusses Taimyr, nur 50 Werst vom Eismeere a Von diesem Thiere, das kaum mehr als halbwie von Middendorff genannt wird, waren die We i nent Weissen Meeres aufgefordert, wo móglich ein voll l nach St. Petersburg zu schaffen. Im Jahre darauf reiste teich nach Nowaja Semlja über Archangel. Hier erfuhr ic Kaufmann mit einem Schiffer einen Contract wegen Lief Wallrosses geschlossen hatte. Um nur wenig z peces abgemacht, dass die Fettlage unter der Haut deren sollte. So behandelt war es aber nicht möglich, das Inner Thieres zu conserviren. Ich erklärte also, dass ich ein 80. tetes Wallross gar nicht brauchen könne, und der Kaufman sein müsse, wenn der Contract nicht erfüllt würde. Dagegen enge girte ich denselben Schiffer, mich nach Nowaja Semlja zu ühren Nach der Rückkehr erhob jener Kaufmann Los einen Proces nicht gegen mich, — gegen diesen Schiffer, angeblich ۲ (der Kaufmann) ein halbes Jahr am Ufer des pe das Wallross KE habe, Er hatte keine Ahnung, dass Gegenbeweis in Händen trug. Er hatte mir wá Kr schlossenen Contracte, der Sicherheit wegen, . grösserer Sicherheit aber den Brief nicht mit der zei angabe versehen, nicht ahnend, dass der Poststempel, der Ko pes ihn verrathen könne: Er war in der Zwischenzeit in No gewesen. 25) Noch ehe ich die Correctur dieses Bogens (am 20. A -= chmidt a eder der Jenissei ei E 1 gi di Ro fr rdv ID cher sich Hier ist sowohl auf der rechten Je le ken Seite eine weit in's Land gehende Bucht gezei der Bucht des linken Ufers ist die telle Leger am gezeichnet. Ob dieser r Busen vielleicht von den 8 j ten, als meine Vermuthungen n, d ie Vielleicht habe ich am EK "che richtigen des Sciences de Saint- Pétersbourg. theile zwar schon ganz verwest, die Knochen von der Feuchtigkeit des Lehmes, in dem sie lagen, ganz durehweicht, aber in ihrer Form noch wohl erhalten. Dass die Weichtheile hier am Orte verwest waren, zeigte ein zwei Finger dicker schwarzbrauner Mulm an, der die Knochen umgab, bei der chemischen Un- tersuchung einen sehr starken ammoniakalischen Ge- rüch verbreitete und überhaupt thierische Substanzen verrieth. — Nur von diesem Sibirischen Mammuth wird das specielle Lagerungsverhältniss näher ange- geben. Das Ufer wurde hier durch einen 6 Faden ho- hen steilen Abhang gebildet, der aus grobem Sande mit Geröllen sehr verschiedener Art, von der Grösse einer Nuss bis zu der eines Kopfes, bestand. In den mitgebrachten Proben erkannte Graf Keyserling Gra- nit, weissen Feldspath, Gneis mit Granaten, schwar- zen Glimmerschiefer und eine eigenthümliche Breccie aus Anthracitkörnern, die durch weissen kohlensauren Kalk verbunden waren. Auf der halben Höhe des Ab- hanges bemerkte man in dem übrigens nicht geschich- teten Sande eine zolldicke Schicht fein geriebener Braunkohle mit Grus gemengt. Noch weiter hinauf, etwa 5 oder 7 Fuss unter der Oberfläche lagen die Mammuthsreste in einer aus Sand und Thon gemisch- ten Schicht. So hoch hinauf reichte also, wie es scheint, das Gerölle nicht. In der Nähe fanden sich sogenannte Noahhölzer, d. h. angeschwemmte Baumstämme von Schenkel- und Beindicke. Das Thier hat nach Mid- dendorff auf seiner linken Seite gelegen (Middend. Reise, I, S. 208 und IV, S. 275, 285). 14) Wir dürfen ein Skelet nicht übergehen, wel- ches im Jahr 1846 (wie es scheint) *) in der Nähe von Moskau ausgegraben ist, da dessen Lagerungsverhält- niss bestimmt angegeben wird. Natürlich war von wei- chen Theilen nichts mehr erhalten, es fehlte daher auch jeder Zusammenhang der einzelnen Knochen, allein da man schon vorher die geologische Beschaf- fenheit der Localitüt untersucht hatte, in welcher spá- ter die Mammuthsknochen sichtbar wurden, so liess der damalige Secretär der Gesellschaft der Naturfor- scher in Moskau, Rouillier, diese sorgfältig mit Be- rn Mie isis der am Schlusse n Schrif- vird, am 3. were — das کسوس‎ P von Mammutht knóehen: زوا وش ور‎ aber in welchem Jahre. Diese Schrift, in wt zuerst von diesen وید دون‎ gesprochen wird, ist im Jahre 846 gedruckt. Die Ausgrabung wird in diesem oder im vorherge- beier, Jahre gemacht sein. rücksichtigung der Schichten durch einen angehenden Mediciner oder Naturforscher ausgraben, nach dessen Bericht das Skelet in aufrechter Stellung gefunden sein soll, mit der speciellen Angabe, dass die Vorder- füsse tiefer eingesunken waren als die hintern. Das Skelet fand sich bei Troizkoe, ein wenig vor Choro- schowo und zwar an einer Stelle, die man für das Bette eines sehr alten Zuflusses der Moskwa erklärte und in einer Schicht, in der man schon früher zahl- reiche Reste von Pflanzen, Infusorien, Schuppen und Knochen von Fischen mit eisenschüssigem Thon und Sand gefunden hatte. Rouillier, der diese Schicht voll organischer Reste schon früher beschrieben hatte, will sie nicht zu den Bilduugen neuerer Zeit rechnen, weil Diluvial-Sand darüber liege (Bull. des nat. de Moscou 1846. Tome II, p. 395). Allein da alle er- kannten Infusorien-Schaalen unserer Zeit angehören und die Fischschuppen von Ctenoiden und Cycloiden kommen, so ist es eben nur der vermeintliche Dilu- vialsand, der ihn in der darunter liegenden von orga- nischen Resten gefüllten Schicht eine wahre Tertiär- bildung vermuthen liess, Die darüber liegende Schicht ist doch wohl nur wegen der Reste von ausgestorbe- nen Säugethieren als diluvial genommen, Jeder Fluss kann aber zu Zeiten Sand absetzen und die Reste aus- gestorbener Thiere einmischen, wenn auch wirklich die Diluvialthiere von den später noch vorkommenden sich sondern liessen. In dem vorliegenden Falle soll nun das Mammuth, der Diluvialzeit angehörig, in die frühere noch nicht erhärtete Tertiärschicht eingesun- ken sein. Die Sohlen der Füsse sollen bis gegen eine unterliegende Juraschicht gedrungen sein. Rouillier: Etudes paléontologiques de Moscou p.15 in dem Werke Jubilaeum semisaeculare S. Fischeri de Waldheim, Moscou 1847. Allein es ist nicht mehr zu bezweifeln, dass das Mammuth einige Zeit mit dem Menschenge- schlechte gelebt hat und die ganze Diluvialzeit ist sehr problematisch geworden, oder ^ in viele — zelne Diluvien aufgelóst. 15) Ein Mammuth soll in den vierziger SC des laufenden Jahrhunderts im Jakutsker Kreise sichtbar geworden sein. Doch habe ich darüber keine anderen Nachrichten, als dass Hr. Schtschukin, der längere Zeit in Jakutsk gelebt und später mit dieser Gegend in Correspondenz gestanden hat, dessen gelegentlich in einem Aufsatze erwähnt. — Es soll mit einem im Bulletin de PAcadémie Impériale Lande der Tschuktschen gefundenen Mammuth iden- tisch sein, von dem ein Fuss nach Irkutsk geschickt ist, den Hr. Leop. v. Sehrenck daselbst gesehen hat. Es muss also dieses Mammuth beim Auffinden noch in ziemlich gutem Zustande gewesen sein. Es soll vom Halse bis zum Schwanze eine sehr lange Mähne ge- habt haben, worüber Zeugnisse von Augenzeugen je- doch hier nicht vorliegen. Es lag, wie die meisten andern, in einem Flussufer und ist durch Wirkung des Wassers herabgestürzt. Brandt, Mittheilungen über die Naturgeschichte des Mammuth, S. 40; Bul- letin de Acad. Tome X, p. 118. ° 16) Im Jahr 1855 hat, wie mir Hr. Gulájew schreibt, in der Nähe der Stadt Atschinsk (Gouv. Je- nisseisk) in einer Stauung des Flüsschens Teptärka das Hochwasser einen Ufer- Absturz bewirkt, in wel- chem viele sehr grosse Knochen sich zeigten. Man hat unter andern zwei nicht grosse Kópfe hervorge- zogen, welche Knochenzapfen (Bepcremka) unten von einem Werschok, oben von 7, Werschok Dicke. Wa- ren das Antilopen? Dann werden aber die Knochen doch nicht sehr kolossal gewesen sein. Die Nachricht kommt von dem Finder, einem Mühlenbesitzer. Hr. Schmidt hat von diesem Funde Nachricht erhalten und wird vielleicht auf der Rückreise die noch con- servirten Objecte aufsuchen kónnen. 17) Über ein anderes Thier der Vorw elt von neue- rer Auffindung sind die Nachrichten auch nicht viel vollständiger. Beide führe ich nur an, um anschaulich zu machen, dass die Funde dieser Art wohl häufiger sein mögen als man gewöhnlich glaubt. Der Arzt Alex. Jefim. Golubew, der längere Zeit in Jakutsk die Me- dicin ausgeübt hat, jetzt aber in St. Petersburg sich ` aufhält, theilt mit, dass der Jakutskische Kaufmann Jwan Pinto ch Kolessow ihm vor drei Jahren erzählt hat, die Jakuten, mit denen er handelt, hätten ihm mitgetheilt, dass am Ufer des Wiljui, nicht. weit von seiner Einmündung in die Lena, aus dem ausge- waschenen Ufer ein grosses mit Haut bedecktes Thier sich gezeigt habe. Nachsuchungen sind nicht ange- stellt. Dieser Fund mag 1862 oder frühestens 1860 gemacht sein, kann also mit den unter frühern Num- mern erwähnten wohl nicht zusammenfallen. - 18) Das letzte Beispiel endlich ist das im Jahr 1864 zuerst gesehene aus der Nähe des Tas-Busens, das — uns angemeldet ist, und das diese en veranlasst hat. sit fill Dieses Verzeichniss ist, wenn wir von Witsen's Aufenthalt in Moskau im Jahr 1666 ausgehen, grade zwei Jahrhunderte alt. Dem ersten Jahrhunderte ge. hören nur vier: der aufgeführten Nummern ! an, dem zweiten 13 bis 14. Der Grund davon liegt micht lein darin, dass Sibirien immer mehr von wissenscl lichen Personen besucht wird, sondern besonders. darin, dass die Nachrichten über Funde dieser Ant sich mehr verbreiten, weil das mehr oder weniger ge- bildete Publicum auch in Sibirien das wissenschaft liche Interesse dieses Gegenstandes fasst. Die Nach richten, welche Pallas von dem Nasehorn publi dessen Kopf und Füsse ihm präsentirt wurden, ten schon in den wissenschaftlichen Kreisen sich breiten, aber das von Adams mitgebrachte Skelet; das im Zuslößlächen Museum aufgestellt ist und auch Volke gesehen werden kann, zeigt ihm, welches’ teresse die gebildete Welt darin setzt. Es hat s dings noch nicht bewirkt, dass die Nachricht von dem neu aufgefundenen Skelette, die der Jurack recht abgegeben hat, auch rasch an die Akademie n ist, obgleich diese alle Behórden dazu aufg haie) aber doch eine Mittheilung an sie von einer desean Seite veranlasst. Es bleibt noch immer wi schenswerth, dass ein Naturforscher so schuet: móglich zur Ubtersüülbusy eines سينيد‎ de ange. Es sind von mir ausser solide b Leibéfnl einige Skelette aufgezählt, weil auch diese X ganze Thiere dort begraben wurden. Alle Skelett eren erwühnt wird, konnten aber nicht in diei ۱ zeichniss aufgenommen werden, weil man von gg Haufen Knochen noch nicht sagen kann, dass sie einem Skelet gehören, wenn nicht ein Naturf dieses Urtheil fällt, oder die Knochen noch untereinali- der verbunden sind. So spricht Strahlenberg(S.? ziemlich ausführlich von einem am Tzana-See g denen Skelette, aber nur nach Angabe eines M und die Diniensionen sind so gewaltig ror ۱ man eine grosse Cetacee vermuthen muss, wenn de der ganze Bericht nicht eine blosse Aufschneiderei ist. muthen als die ganzen Skelette und وی‎ 5 259 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 290 in den arktischen Gegenden Sibiriens gefunden. Nur | renknochen, die so behandelt waren, wie die alten in der Tiefe des immer gefrornen Bodens können die | Völker sie zu brechen pflegten, um zu dem Marke zu Leiber von Mammuthen und Nasehörnern sich erhalten | gelangen. Man erkannte daraus, wie auch an anderen haben, und wie viele da noch stecken, kann niemand | Orten, dass manche Thiere, von denen Cuvier ge- sagen. Ohne Zweifel sind der isolirten Knochen und | glaubt hatte, dass sie schon ausgestorben waren, als der ganzen Leiber zusammen mehr, als eine einzelne ١ die Menschen erschienen, doch mit Menschen zugleich Generation gegeben haben kann. Schon deshalb ist nicht daran zu denken, dass eine einzelne grosse Fluth diese Kolosse der Vorwelt vernichtet habe. — Bekaunt- lich sind die Mammuthsreste auch in Europa weit ver- breitet, meistens in vereinzelten Knochen, seltener in Skeletten vorkommend. Im Europäischen Russland hat man sie vom Petschora-Lande bis zum Kaspischen Meere gefunden. In Asien ist der südlichste Punct, den Pallas aufführt, die Gegend des Syr Darja (Ja- zartes), von wo die Kaufleute zuweilen Mammuths- zähne nach Sibirien bringen (Nov. comm. XVII, p. 584). Ob aber diese von derselben Species kommen, wie die Sibirischen, ist zweifelhaft geworden, seitdem Falco- ner mehrere Arten von fossilen Elephanten in Indien aufgefunden hat. Im westlichen Europa sind die Mam- muthsreste auch weit verbreitet, vom südlichen Schwe- den und Island bis nach Italien. Doch auch hier ist die Identitàt der Species zweifelhaft geworden, da man in neuester Zeit drei Arten unterscheiden will, Elephas primigenius, antiquus und meridionalis. Die Italischen scheinen besonders dieser letztern anzugehören, auch wohl ein Theil der südfranzósischen. ` Schon aus diesem Grunde ist es sehr wichtig, eine Figur, die in ganz vorhistorischer Zeit, in der 5086- stellt fand und diese Figur publicirt hat. Hr. Lartet nannten Steinperiode, in eine Elfenbein-Tafel einge- kratzt ist, auch in Russland zu verbreiten, und ich freue mich, eine Copie der Abbildung dieser aller- dings sehr rohen, aber durch ihr Alter nicht nur, son- dern weil sie den Beweis liefert, dass in Frankreich | Mai 1864 wieder in Begleitung des Englischen Pa- ‚laeontologen Falconer die Höhle la Madelaine, wel- Menschen mit dem Mammuth zugleich gelebt haben, sehr merkwürdigen Figur hier vorzulegen. Eine Gegend Frankreichs, le Périgord genannt, und zu dem Dép. de la Dordogne gehörig, ist von tiefen Schluchten durchzogen, in deren Wänden man häufige Aushöhlungen sieht. Diese Höhlen sind seit einigen Jahren dadurch berühmt geworden, dass man in ihnen mannigfache Spuren von sehr frühen Bewohnern ge- funden hat, namentlich Werkzeuge von Stein, Kno- chen und Geweihen. Ausser den zu Werkzeugen be- arbeiteten Knochen fand man aber auch grosse Röh- Tome X. gelebt und von diesen für ihre Nahrung erlegt worden sind. Es wurde immer wahrscheinlicher, dass auch die Mammuthe zur Zeit der frühesten Menschen in Frank- reich gewesen seien. Allein ein bestimmter Beweis wollte sich lange nicht finden, und ein Geolog Ro- bert erhob mehrmals Widerspruch gegen die Deu- tung, welche man seichten Einschnitten gegeben hatte, die man hier und da an Mammuthsknochen bemerkt hatte, und den schlechten Schneidewerkzeugen zu- schrieb, mit denen das Fleisch abgeschnitten sei, Ro- bert berief sich immer darauf, dass man weder Werk- zeuge aus Elfenbein, noch andere Bearbeitungen die- ses Materials unter den Resten der Steinperiode ge- funden habe, sondern nur bearbeitete Steine, Knochen und Geweihe. Indessen hat Hr. Vibraye in der letz- ten Zeit früh bearbeitetes Elfenbein nachgewiesen. Derselbe hat auch im vorigen Jahre die Figur eines Mammuthskopfes gefunden, die auf ein Geweih einge- graben war. Diese Figur mag characteristisch sein, allein sie ist nicht allgemein bekannt geworden, man kann also über sie nicht urtheilen. — Viel wichtiger für Alle, welche diese Figur nicht selbst sehen konn- ten, ist ein Fund des ausgezeichneten Geologen Lar- tet geworden, weil er ein ganzes Mammuth darge- hatte in den Höhlen des Périgord schon früher Figu- ren von Thieren, natürlich in ziemlich rohen Umris- sen, aber doch erkennbar, auf Geweihen und Knochen eingegraben gefunden und publieirt. Er besuchte im che. besonders die eingekratzten Bilder geliefert hatte, da in ihr ein frühzeitiges künstlerisches Talent gelebt haben muss. Schon bevor die Naturforscher ankamen, hatten die bestellten Arbeiter fünf Bruchstücke einer dicken Platte von Elfenbein aufgehoben. Nachdem diese Bruchstücke aneinander gefügt waren, sah man zahlreiche eingegrabene Linien, welche ein Thier und zwar unverkennbar einen Elephanten darstellen. Der herabhängende Rüssel, die nach vorn gerichteten und 19 Bulletin de l’Académie Impériale zurückgekrümmten Stosszähne sind unverkennbar. Es ist aber auch unleugbar ein Mammuth, das dargestellt wird, den» der Scheitel des Kopfes ist so hoch er- hoben, wie beim Mammuth, und an verschiedenen Stellen sind durch zahlreiche Striche lange Haare an- gedeutet. Ein langer Haarbüschel sitzt unten am Ohr, ein anderer scheint am Schwanze zu sitzen. Noch län- gere sind unter dem Halse kenntlich. Nach der Ab- bildung würden die Haare nicht von der Rückenseite herabsteigen. Eine Anmerkung aber sagt, dass im Ori- ginal durch einen Bruch, der mit einem Kitt ausgefüllt ist, eine Unterbrechung der von oben kommenden Li- "nien sich findet. Es ist nämlich die Abbildung nach einem Abguss des Originals gemacht, an welchen vor- her die Lücken, welche die Brüche veranlasst hatten, durch Mastix ausgefüllt waren. Dennoch sieht es nach dieser Figur aus, als ob die Mähne langer Haare nur unter dem Halse sässe. Kürzere Haarbüschel scheinen | an der Wurzel der Extremitäten zu sein, etwa wie beim zweibuckeligen Kameel, das auch an der Kehle und am Unterhalse längeres Haar hat als am übrigen Leibe. Mir scheint es unzweifelhaft, dass diese eingekratzte Figur ein Mammuth darstellt, und dass sie aus der |; sogenannten Steinperiode Se? Wollte man an eine Fälschung denken, so könnte man sie nur einem Na- turforscher zuschreiben, da einem gewöhnlichen Ar- beiter wohl nicht die Kennzeichen eines Mammuths bekannt sein konnten, und ein Naturforscher, der et- wa den schlechten Einfall gehabt hätte, andere Natur- forscher zu täuschen, wenn ein ARD überhaupt denkbar ist, würde pe wohl die Form des Rumpfes besser getroffen haben. Offenbar hat unser Graveur aus der Steinperiode sich darin mehrfach verbessert. Zuvörderst hat er den Rumpf so dünn wie den eines Pferdes gezeichnet; dann hat er ihm durch einen Str ich, der noch vóllig erhalten ist, eine stürkere Wölbung gegeben, und endlich scheint er durch einen Strich, von dem nur der Anfang erhalten, die Fortsetzung aber abgebrochen ist, die Dës" Form versucht zu haben. Ich habe geglaubt, dass für Russland die Wieder- holung dieser noch wenig verbreiteten Figur") wün- 27) Die Abhandlung findet sich in den Comptes rendus de l Aca- demie des Sciences de sine séance du 25 août 1865. Die Abbildung ist aber d den Separ at-Abdrücken beigegeben, Ich ver- 'schenswerth ist, um sie mit den behaarten M: | then, die sich von Zeit zu Zeit finden, vergleich können. Wichtig ist noch aus den Beobachtungen des Lartet, dass er die Knochen von dem Moschus sen (Ovibus moschatus) oder einer andern sehr chen Art, die auch bei uns in Sibirien vorkommt so zerschlagen gefunden hat, wie die von andern. ren, von denen die Höhlenbewohner aus der Steine. riode sich nährten. Es ist also sehr wahrschei dass auch dieses Thier, | von Amerika leben, mit den Menschen damaliger | in Frankreich gleichzeitig vorkam. Diese Knoch ben sich im Périgord in Gemeinschaft mit Kn | von Rennthieren, Höhlen-Bären, Höhlen-Löwen (F spelaea), Auerochsen, Pferden u. s. w. gefunden. — Nachtrag. 9 30. April (121 Es sind von Hrn. Magister Schmidt, der 1 | Ze | gegangen, zuletzt von Jenisseisk, wo er am 12. : alten Styls angekommen ist. Auch hat er dem Museum von dem angemeldeten Mammuth ein Stück chen Haut eingeschickt, das von den ersten 3 opimis abgeschnitten war, die der Jurack als \ zeichen von seinem Mammuth genommen hatte. Die Nachrichten, welche Hr. Mag. Schm Krasnojarsk und Jenisseisk erhalten hat, lassen kek nen Zweifel über die Auffindung eines Mammulls durch den Juracken, aber über den Ort, wo es sich befindet, geben sie noch keine Auskunft. Ja sie ms wahrscheinlich, dass es gar nicht in der Nähe‘ Tas-Busens liegt, wie die uns zugekommene Am besagte, und wie ich ohne Bedenken oben im Ber: angenommen habe, sondern näher vom Jenissei Jenissei-Busen. Es scheint sich also hier die Gesch danke eine Zusendung eines solchen entweder Hrn. Mil wards, der den Abdruck besorgt hat, oder Hrn. Lartet; it des Abdruckes abwesend war. Da jede Zuschrift d greife ich diese Gelegenheit, für die mir sehr werthe Zusend danken. — (Späterer Zusatz.) Jetzt ist auch das Heft der / des sciences (1865) hier angekommen, in — go a z Aufsatz nit der Abbildung sich findet. j des Sciences de Saint- Pétersbourg. des Moskauer Mammuths wiederholen zu wollen, wo zuerst vom Tas die Rede war, und das Thier aus der Nähe des Jenissei abgeholt wurde. Die Erklärung die- ses Umstandes ist vielleicht in einer Mittheilung von Hrn. Schmidt zu finden. Er sagt nämlich, dass die Samojeden, welche im Sommer zwischen der Tas- und Jenissei-Bucht nomadisiren, in Obdorsk, also im To- bolskisehen Gouvernement, angeschrieben sind und auch dorthin ihren Jassak abliefern. Diese sonderbare Einrichtung, die wohl darauf beruhen wird, dass die- selben Samojeden-Familien früher mehr im Westen die Weideplätze für ihre Rennthiere suchten, mag al- so veranlasst haben, dass man den Tas oder den Tas- Busen in die Nachrichten einmischt, die diese Samo- jeden-Stämme betreffen. Von einem Flusse oder Flüss- chen Tas, der sich in den Jenissei ergösse, scheint Hr. Schmidt bis jetzt auch noch nichts gehört zu haben. Dagegen hat er bei einem Goldwäscher Lopatin die rohe Skizze einer Karte gesehen, welche auf einer ober- flächlichen Inspection von einem Dampfschiff aus beru- hen soll und bis an das Meer fortgeführt ist. Nach dieser Skizze, welche Hr. Schmidt copirt hat, wäre der un- terste Theil des Jenissei ganz anders gestaltet, als ihn unsere besten Karten angeben. Jenseits des Tolstoi Myss (unter 69°/° n. B.) soll vom rechten Ufer ein tiefer Busen ins Land hineingehen, gegenüber den in neuester Zeit viel genannten Bröchow’schen Inseln. Vergleiche ich diese Skizze mit der Middendorff’- Karte, so ist der Unterschied doch nicht sehr bedeu- tend, denn auch hier hat das rechte Ufer eine Aus- buchtung, in welcher viele kleine Inseln liegen. Ob dieser östliche Busen so lang ist, als die Skizze ihn zeichnet, muss man als zweifelhaft ansehen, da man von einem Dampfschiffe aus, das ins Meer fuhr, dar- über nicht urtheilen konnte. Dagegen zeigt diese Skizze weiter unten, den letztern gróssern Inseln gegenüber, also fast unter 71? Breite, einen tiefen Busen, der vom linken Ufer nach Westen sich erstreckt, und auf unsern Karten völlig fehlt. Von diesem Busen sagt die Kar- ten-Skizze ausdrücklich, dass er 300 Werst lang sei. Man sollte glauben, dass Lopatin darüber doch ir- gend eine Angabe haben müsse, indessen bezweifelt Maksimow, der Maschinist des Balandinschen Dampf- schiffes, von dem die uns überschickte Mittheilung an Guläjew kam, und von dessen Karte Lopatin’s Skizze bis zu dem Ende der Inseln copirt ist, die Rich- tigkeit des nórdlichern Abschnittes dieser Lopatin'- schen Skizze ganz. Ein viel kleinerer Busen ist bei Middendorff unter 71%, n. Br. gezeichnet. Das Mammuth soll nun jenseits dieser Bucht und zwar nicht weit von der Küste des Eismeers und von dem Jenissei-Busen liegen. Obgleich die Stelle des Mam- muths auf der Karten-Skizze angegeben ist, scheint man darauf doch wenig Gewicht legen zu dürfen, da Lopatin nicht selbst da gewesen ist, und leicht eine Verwechselung mit dem Trofimow - Moskauschen Mammuth sich eingeschlichen haben kann. Bestimmte Nachrichten glaubt Hr. Schmidt, der auf die Lopa- tin'sche Skizze einiges Vertrauen zu setzen schien, spüter aber sehr zweifelnd sich üussert, erst bei dem Kosaken Kaschkarow, der 200 Werst jenseit des Tolstoi Myss oder 1000 Werst hinter Turuchansk wohnt, und die Küste des Eismeeres besucht hat, er- halten zu kónnen. Den Juracken meint unser Reisen- der nicht vor dem Ende Mai erreichen zu können, weil um diese Zeit die Juraken an den Jenissei kom- men, um zu fischen. Die Karten-Skizze hier zu copiren scheint nicht passend, da sie nicht genau sein kann und eine Auf- nahme des untersten Jenissei noch im Verlaufe die- ses Jahres bevorsteht. Der Gouverneur von Jenisseisk, General Samätnin, hat nämlich dem General-Gou- verneur von Ost-Sibirien, General-Lieut. Korssakow, eine Anzeige von dem aufgefundenen Mammuth ge- macht, dabei vielleicht auch auf die ungenügende Kh des untersten Jenissei hingewiesen, worauf der General-Gouverneur vermittelst freiwilliger Bei- träge in Irkutsk eine Expedition ausgerüstet hat, um im Sommer mit Hülfe des Dampfschiffes von Balan- din und Kytmanow diesen Fluss bis an das Ende der Inseln und von da auf Böten und mit Rennthieren bis ans Meer zu gehen und unterwegs auch das Mam- muth zu besuchen. Topographen und Ethnographen werden die Expedition begleiten, deren Leitung dem Berg-Ingenieur Lopatin jun. anvertraut ist. Ich will daher hier aus der von Hrn. Schmidt übersendeten Karten-Skizze nur noch bemerken, dass am rechten Ufer des Jenissei unterhalb der östlichen Bucht felsi- ges Ufer sein soll und Schneeberge in der Ferne sicht- bar sind. Hierin liegt also wohl der Grund, dass der Jenissei gegen die Regel der Sibirischen Flüsse sich zuletzt nach Westen wendet. Noch weiter abwärts 450 19* Bulletin de l’Académie Impériale Werst von der Nordküste Sibiriens fängt das Wasser | aufzusuchen, um sich zu überzeugen, ob er noch. an salzig zu werden. Von hier an ist also der Jenissei- | seinen Wurzeln steht, oder nur in den Boden ei Busen zu rechnen. Wo dieser Busen beginnt, ist ein trieben ist, in welchem Falle er aus weiter Ferne Delphinen-Fang eingerichtet, den die letzten Russi- schen Ansiedler betreiben. Weiterhin bis zum Meere | streifen nur Samojeden. Interessant scheint nachfol- gende Notiz. «An den Eismeer-Küsten, bis wohin Kaschkarow gedrungen ist, sollen zuweilen gewal- tige Eisberge angetrieben werden, mit Erde und Pflan- zen bedeckt, die von zahllosen Eisfüchsen bewohnt werden.» Ob darunter wirkliche Eisberge zu verste- ١ Eismeer gegangen. hen sind oder auf Eisfelder hinabgestürzte Theile des Ufers, wird wohl Hr. Schmidt später erläutern. Die Schmidt — «ist für die Ufer des untern Jenissei ۲ | trefflich; ich finde alle Ortsnamen und Flüsse, die ı Eisfüchse, wenn man auch ihre Zahl sehr mindert, was bei Sen Nachrichten meistens räthlich ist, ` könnten doch nur durch Lemminge, die noch in No- waja Semlja und Neu-Sibirien häufig sind, oder durch Vögel, die an manchen Ufern sehr zahlreich brüten, dahin gelockt sein. Hr. Schmidt spricht sehr dankbar von dem Gou- | verneur von Jenisseisk, der seinem Weiterkommen und zur Erreichung seines Reisezweckes sich sehr be- hülflich zeigt. Merkwürdig scheint es, dass Hr. Schmidt ausser dem Besitzer eines kleinen Dampfschiffes, Jer- Iykow, von dem auch das Stückchen Mammuthshaut kommt, einen guten Gewährsmann für die Kenntniss des untern Jenissei in einem gebornen Helgoländer, | Namens Bolting, gefunden hat, der seit 20 Jahren in Jenisseisk ansässig ist, sich selbst ein Schiff gebaut hat, mit dem er jährlich den Jenissei bis zu den In- seln hinabfährt und sich auch erboten hat, eine Gra- phit-Ladung aus den Graphit-Gruben Bitérów um durch die Jenissei- Mündung nach Nowaja Semlja zu bringen, von wo sie dann nach Archangel abge- holt werden könnte. Erwähnenswerth ist eine Nach- richt, welche Bolting gab, da man vielfach ein frü- her günstigeres Klima von Nord-Sibirien vermuthet. Oberhalb Dudino hat Bolting an der Gränze des Waldwuchses, in einem kümmerlichen Lärchenwalde, den untern Theil eines 3 Fuss dicken Baumstammes noch in der Erde stecken gesehen. Hr. Sehmidt wird sich wohl bemühen, wo móglich diesen Baumstamm 28) Hr. Sidorow besitzt grosse Graphit-Lager an der pes Tunguska, hat sie aber bis jetzt wegen des bei o und wei séi sportes fast gar nicht benutzen können | nisse besitzt und in diesem hohen Norden hilft, wo | Jerlykow die Leute aus Beresow gefunden, die | Trofimow'sche Mammuth aus dem gefrornen Bot herausgehoben haben.» Auf Middendorff's K Abhandlung, die den Titel führt: ی‎ tii Einth könnte, wenn er einem Flusse nahe ist. Eine and merkwürdige Persönlichkeit ist der in Guläje Briefe erwähnte Ulmann, ein Deutscher, der z nicht Feldscher sein soll, aber modicis K kann. «Die Eingebornen sollen ihn seiner Kuren we- gen vergöttern.» Er ist mit Kaschkarow b «Middendorff's Karte» — schreibt Hr. Magis genannt werden, dort wieder. An der Piljätka hat ‚findet sich ein kleines Flüsschen Peljätka, das aus ei- nem nicht grossen See unter 69° n. Br. entspringt, ‚Aus dem Ufer dieses Sees mag also das Moskauische | Mammuth (siehe oben unter | 12) stammen. «Di mojeden sollen von einem See erzählen» — schre Hr. Schmidt — «aus dessen Ufern zahlreiche Ma muthsgerippe zum Vorschein gekommen sind.» I nicht etwa derselbe? Hr. Schmidt hofft die Irkutskische Fixpedition, die erst mit eröffneter Schifffahrt den Jenisseisk hin geht, später begleiten zu können, vorher abe Winterwegen noch bis zum Kosaken Kaschkart in Ochotskoje, etwa 70'/? n. Br., zu gelangen 1 dann nach dem Abgange des Schnees das Mammut aufzusuchen. Bericht an die physil 1 über die بو با‎ ie der 5 Eisenmasse. (Auszug.) (Lu le 8 mars 8 In der Sitzung der physiko-mathematischen K der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften November 1864 überreichte Hr. Akademiker Fr sche derselben im Namen des korrespondire) Mitgliedes Gustav Rose eine von diesem verf. heilung der Meteoriten, auf Grund der Sam Baer, Auffindung eines Mammuths. Bulletin de l'Académie Impériale des sciences. Tome X. UE 134 1 Typ. 6 Lith. A. Münster. St. Petbg. W. O. 2 Lin. MT. des Sciences de Saint- Pétersbourg. im mineralogischen Museum zu Berlin (Berlin 1864)». verschiedenen eine verschiedene Lage haben, was Diese höchst werthvolle Arbeit war von folgendem | durch die feinen in dem Olivin eingeschlossenen Röh- Briefe ihres Verfassers begleitet: «Der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften nehme ich mir die Freiheit eine Abhandlung zu über- senden, in welcher ich versucht habe, die Meteoriten nach wissenschaftlichen Principien einzutheilen und bitte für sie um geneigte Aufnahme. Ich benutze diese Gelegenheit, um bei der Kaiserlichen Akademie einen Vorschlag zu machen, der einen Gegenstand betrifft, der | in der Abhandlung viel besprochen ist und sich auf die grosse Pallas'sche Eisenmasse, die in der Mine- | raliensammlung der Akademie aufbewahrt wird, be- zieht. Diese Eisenmasse, die nach den Nachrichten, die Hr. Blöde mitgetheilt hat, noch in demselben Zu- stande sich befindet, wie in dem Jahre 1829, wo ich sie sah, stellt einen grossen rundlichen Block von mehr als 2 Fuss Lànge dar, dessen ursprüngliche Gestalt durch das Abmeisseln und Abhümmern von Stücken fast ganz verloren gegangen, und dessen eigentliche Beschaffenheit hierdurch ganz unkenntlich geworden ist. Um nun die Struktur der merkwürdigen Masse zu erkennen, wäre es nothwendig, dass dieselbe durch- geschnitten würde, entweder in der Mitte oder mehr zur Seite, so aber dass zwei grosse Flüchen erhalten würden. Beide müssten glatt geschliffen, polirt und eine derselben geätzt werden. Es würden sich gewiss nun Stellen finden, an welchen die eingemengten Oli- vinkrystalle mehr von einander entfernt sind, als an andern, und an welchen nun, geützt, die Widman- stütten'schen Figuren hervortreten. Es würde sich dann deutlich zeigen, dass diese an den verschiedenen Stellen in verschiedenen Richtungen liegen, wodurch vollkommen bewiesen würde, was die kleinen zer- schnittenen Stücke der Berliner Sammlung nur un- vollkommen zeigen (vergl. meine Abhandlung $. 78), dass das Pallas-Eisen, wie das Eisen von Brahin und Atacama aus mehreren Eisen-Individuen besteht, zum Unterschied von dem Eisen von Steinbach, Ritters- grün und Bodenbach, in welchen die Widmanstät- ten'schen Figuren überall eine gleiche Richtung ha- ben, zum Beweise, dass diese Pallasite nur aus einem Eisen-Individuum bestehen. Man würde weiter die Ver- theilung der Olivinkrystalle in dem Eisen sehen kön- nen, und es würde sich ausmachen lassen, ob sie in denselben Individuen des Eisens eine gleiche, in den |] | | | | | | | į t Í ren (S. 75) auszumachen ist. Endlich würde man se- hen, ob noch andere Gemengstücke ausser Olivin und Troilit in dem Eisen eingeschlossen sind. Das Berli- ner Stück des Brahiner Eisens enthält einen deutli- chen Krystall von Chromeisenerz, in den Berliner Stücken des Pallas-Eisens habe ich dieses nicht be- merkt, doch muss dasselbe darin enthalten sein, weil die Analyse des Pallas - Eisens von Laugier etwas Chrom angiebt (S. 80), das doch nur von eingemeng- tem Chromeisenerz herrühren kann. Auf jeden Fall würde man doch durch diese Schnitte etwas von der merkwürdigen Struktur dieses Eisens sehen können, man würde ein prachtvolles, lehrreiches, der Sammlung der Kaiserlichen Akademie würdiges und das Anden- ken von Pallas ehrendes Schaustück erhalten, statt dass man jetzt garnichts sieht. Es giebt wenig meteo- rische Eisenmassen, die die Grösse haben die das Pallas-Eisen noch hat, und bei diesen gewähren grosse Schnitte viel weniger Interesse, weil sie einfach aus Meteoreisen bestehen und man bei ihnen an einer kleinen Schlifffläche ziemlich dasselbe sehen kann wie an einer grossen. Einen Pallasit von der Beschaffenheit des Pallas-Eisens giebt es in dieser Grösse nicht, von dem Brahin- und Atacama-Eisen sind nur kleinere Stücke vorhanden, und das Oregon-Eisen, auch ein Pallasit, ist wohl in einem grossen Blocke gesehen, aber das davon getrennte Stück ist nur klein, und der Entdecker ist gestorben, ohne den Fundort so be- zeichnet zu haben, dass man ihn bis jetzt wiederge- funden hat. Allerdings würden die Schwierigkeiten, eine so grosse, mit Olivin gemengte Eisenmasse zu durch- schneiden, nicht klein und die Kosten, die das Zer- schneiden verursacht, nicht unerheblich sein, aber die ersten würden in den grossen Schleifereien St. Pe- tersburg’s mehr als an jedem andern Orte zu über- winden und die letztern nie so gross sein, dass sie von der Kaiserlichen Akademie, die für wissenschaft- liche Zwecke schon so grosse Opfer gebracht hat, zu berücksichtigen wären. Es würde sich dann auch zei- gen, ob es nicht zweckmässig wäre, nicht bloss diesen einen Schnitt zu machen, und nicht vielmehr gleich zwei, durch welche man eine dünne Platte gewönne, die man entweder ganz oder getheilt einem andern Bulletin de l'Académie Impériale grossen Museum oder mehreren als Geschenk, oder im Tausch überlassen könnte. Gustav Rose, der Kaiser]. Akad. der Wissensch. zu St. Petersburg correspondirendes Mitglied. Da Hrn. Rose's Vorschlag von verschiedenen Sei- ten, von der rein wissenschaftlichen sowohl, als auch von der technischen und pecuniären reiflich erwogen werden musste, ernannte die Classe eine aus den Un- terzeichneten bestehende Commission und beschloss überdies, eine Copie von Hrn. Rose’s Brief dem in Tiflis verweilenden Akademiker Abich mit der Auffor- derung mitzutheilen, der Akademie seine Ansicht über den angeregten Gegenstand zukommen zu lassen. Es war aber der Commission auch bekannt, dass der Conservator des akademischen Mineralien - Cabi- nets, Magister Goebel, sich in den letztverflossenen Jahren eindringlich und gründlich mit der Untersu- chung der in jenem Cabinet befindlichen Meteoriten und insbesondere mit dem Pallaseisen beschäftigt hatte, und sie theilte demselben den Inhalt des Rose'schen Antrags, so wie den Beschluss der Akademie mit, diesen Antrag von einer Commission nüher prüfen zu lassen. Hr. Goebel hat in Folge dessen der Commission einen interessanten Aufsatz über die Pallasmasse mit- getheilt, welcher diesem Berichte im Originale beige- legt ist. Er enthält zunächst das Geschichtliche über die Auffindung und die ferneren Schicksale des merk- würdigen Meteoriten, sodann eine vollständige Über- sicht aller wissenschaftlichen, von verschiedenen Ge- lehrten ausgeführten Arbeiten über denselben, unter denen wir diejenigen hervorheben wollen, welche man Stromeyer, Walmstedt und Berzelius verdankt. Von den früheren Arbeiten!) sei nur erwähnt, dass Howard und Klaproth zuerst das Nickel als charak- teristischen Bestandtheil des Meteoreisens nachgewie- sen haben, und dass Laugier das von Vauquelin entdeckte Chrom zum ersten Male in der Pallasmasse als Meteoritenbestandtheil, so wie auch 5,2 pC. Schwe- fel auffand, der als Schwefeleisen vorhanden ist. Hr. Goebel unterwarf sowohl die Resultate aller dieser Arbeiten, als auch die damals üblichen analytischen Methoden der Chemie einer Kritik, um zu zeigen, wie "1 Howard, Klaproth, John und Laugier. nothwendig es sei, das Pallaseisen und dessen mir ralogische Beimengungen unter der Anwendung « gegenwürtig gebotenen Mittel und jetzt üblichen erlangen will. einige Resultate der von ihm an dem Pallasmet ten vorgenommenen Untersuchungen mit, die i Anderem zur Auffindung von 7, sich durch äussere Kennzeichen von einander unterscheidende Mineralien geführt haben, unter denen der allgemein bekann Olivin nicht mitgerechnet ist. Am Schlusse geht | Verfasser zu dem durch den zweiten und dritten The des Aufsatzes motivirten Vorschlag über, den M riten zu durchschneiden, um sein unbekanntes Ir dadurch zu erschliessen, nachdem man ihn vorher neuem gewogen und in Gyps oder Papiermasse nach- gebildet hat. Nach der Durchschneidung verlangt Hr. Goebel eine Wügung der beiden Hälften und eine Bestimmung des specifischen Gewichts. In Bezug das Detail dieser Vorschlüge verweisen wir auf interessanten Aufsatz selbst, in welchem ein, den” demischen Akten für die erste Hälfte des Jahres 17 entlehnter Passus vorkommt, den wir wiederhole müssen glauben, da er für den Gegenstand um grösseres Gewicht hat, als er, wie man annimmt, Pallas selbst herrührt. Er lautet so: «47 serait à de sirer, qu'on fit couper toute la masse par le milieu, en reconnaitre tout le tissu intérieur, qui SEN rait offrir quelque substance ow quelque disposit parties, intéressante pour la Minéralogie, et jetter qi lumiere sur la production de ce morceau ni marquable». ES Diese vor 85 Jahren ausgesprochenen Worte man noch nicht die geringste Kenntniss vom Wesel und einer richtigen Deutung der Aérolithen be: haben, wie Goebel richtig bemerkt, noch heutzu und zwar in unendlich hóherem Grade als en volle Berechtigung. Aus einer brieflichen, vom 28. Mai 1865 de und an Einen von uns wetiehitéten سي‎ hervor, dass der Magister Goebel unserem Hrn. legen Abich, bei dessen letzter Anwesenheit i Petersburg, zu Anfang 1863, einen Theil seiner, it | erwähnten Arbeit niedergelegten Ansichten an der lasmasse demonstrirt und ihn um seine Verwen des Sciences de Saint -Pétersbourg. wegen ihrer Durchschneidung und der Herausschnei- | luten und relativen Vertheilung und Anordnung der dung einer Scheibe aus derselben gebeten hat. Hr. | oryktognostischen Bestandtheile der Meteoriten für Akademiker Abich war mit diesem, von Goebel ge- üusserten Wunsche schon damals einverstanden und spricht sich in seinem, der Akademie eingesandten | | Kaiserl. Akademie ausspricht, entspricht so ganz dem und hier beigelegten Gutachten folgendermaassen aus: «Gestützt auf combinirte mikroskopische und kry- tallographische Unt ۱ n, wie auf scharfsinnige Combinationen der Resultate, die auf diesem dem Le, schwierigen Gegenstande allein sichere Erfolge ver- heissenden Wege gewonnen worden, hat Hr. G. Rose den gelungenen Versuch gemacht, die wissenschaft- lichen Eintheilungsprincipien systematischer Petro- graphie auch auf die Meteoriten in Anwendung zu bringen. Der praktische Werth dieses rationellen Ver- fahrens hat sich sogleich dadurch gezeigt, dass die wahren, bisher nur unvollkommen erkannten und mit- unter irrig aufgefassten Charaktere kosmischer Fremd- lingsschaft der Meteoriten kritisch ermittelt und fest- ` gestellt worden sind, wodurch bewiesen worden, dass selbst die bereits bekannten Mineralien der Meteori- ten nur zum Theil mit den tellurischen Mineralien übereinstimmen, dass die Meteoriten, als kosmische Gebirgsarten betrachtet und mit den tellurischen ver- glichen, von diesen gänzlich verschieden sind, und endlich, dass im Besonderen die Steinmeteoriten, d.h. die Repräsentanten der zweiten grossen Hauptklasse dieser kosmischen Mineralkórper, mit den neueren vulkanischen Gebirgsarten wirklich Ähnlichkeit be- sitzen. 4 Die Arbeit des Hrn. G. Rose gewinnt meines Er- achtens noch besonders dadurch an klassischem Werth, dass sie mehr als alle bisherigen Classificationsver- suche dazu beiträgt, das Hauptziel der Forschung, die Frage nach der Entstehung der Meteoriten, aus dem verführerischen Gebiete geistreicher Spekulation und verfrüheter Nutzanwendung noch nicht genügend be- wiesener Beobachtungsresultate, auf den sicheren Bo- den strenger mineralogischer Forschung zurückzu- führen. ` Wenn auch dasjenige, was die chemische Analyse von hylologischer Seite in dieser Richtung zu leisten vermag, noch nicht als erschöpft zu betrachten ist, so sind nach dem jetzigen Standpunkte der Disciplin doch ungleich reichere Erfolge von dem tieferen Stu- dium der inneren Strukturverhältnisse wie der abso- die Wissenschaft überhaupt zu erwarten. Der Vorschlag, welchen Hr. G. Rose in Betreff des Pallas-Meteoreisens in seinem Schreiben an die Bedürfnisse, welches der so eben hervorgehobene For- schungsgang anregt und vorschreibt, dass ich, von der geehrten Klasse um meine Ansicht in dieser An- gelegenheit befragt, nicht anstehen kann, dieselbe hiemit wie folgt abzugeben. Von dem Augenblicke an, wo mir ein Meteoriten-Fall in Grusien beinahe pflichtmässige Veranlassung gab, mich etwas näher mit diesem mir bisher fern gelege- nen Zweige der Petrographie, und zwar allerdings unter leitendem Einflusse der vortrefflichen und an- regenden Arbeiten Reichenbach’s zu beschäftigen, erkannte ich den grossen Nutzen, den ein möglichst vollständiger Einblick in das Innere des Meteoriten zu gewähren vermag. Eben deshalb konnte ich auch dem mehrfach verfochtenen Grundsatze von der Un- verletzlichkeit dieser zu uns herabgestiegenen Wan- 1; h derer der hi 101 einen jeden Meteoriten von nur einigermaassen be- trächtlichen Dimensionen und hinreichender Festig- keit halte ich es für wünschenswerth, dass er nach vorhergeganger Wägung, specifischer Gewichtsbestim- mung «als Ganzes», und Abnahme eines genauen Mo- dells in zwei Hälften zersägt und eine der Schnittflä- chen wo möglich polirt werde. | Bei dem Wiedersehen unseres Pallasits im Winter 1863 war der Wunsch, es möge derselbe in zwei Hälften zertheilt und eine der Schnittflächen polirt werden, mein erster Gedanke, dem ich auch im Ge- spräch mit dem Conservator des Cabinets, Hrn. Adolph Goebel, einen bestimmten Ausdruck gab. Nach dem Vorgetragenen wird es verständlich sein, dass die in der Abhandlung von Hrn. G. Rose ent- haltenen Belehrungen nur dazu beitragen mussten, die wissenschaftliche Grundlage meiner selbstständigen Ansicht noch zu verstärken. ۱ Ich nehme deshalb keinen Anstand, dem Vorschlage unseres geehrten Hrn. Collegen in Berlin meinen längst gehegten, ganz gleichlautenden Wunsch anzuschlies- sen und meine Meinung dahin auszusprechen, dass durch die Erfüllung jener. Motion der Qualität des Regionen Lej 303 Bulletin de l'Académie Impériale Pallasits als kostbarer Schatz, unfehlbar noch die ren Bericht gemacht, theilte derselbe?) Sr. Hohe hóhere einer wahren wissenschaftlichen Zierde des cellenz dem Prásidenten der Kaiserl. Akademi Kaiser), Mineralien- Cabinets beigelegt werden würde. Wissenschaften auf geschehene Anfrage mit, es k Tiflis, im Januar 1865. die Durchschneidung in der genannten Schleifere | H. Abich. ` entgeltlich, d. h. ohne die Geldmittel der Akade Nachdem die Commission von der Abhandlung des ZU beanspruchen, ممع‎ und werde beiläufig Professors Rose und von der des Magisters Goebel, halbes Jahr oder mehı un a so wie von dem Gutachten des Hrn. AkademikersAbich das Innere des Meteoriten = x " ^ Besche und vor allem von dem gegenwärtigen Zustande des Peit ist, wie seine jetzige it ën Das He Pallasits Kenntniss genommen, und nachdem die Mit- | schneiden RUNE دی‎ cip x s des Pal ! glieder derselben zu wiederholten Malen ihre selbst- prosa e ie eg? ue ne Fs eer: e 2 stándigen Ansichten über den beregten Gegenstand p des adt gius رین‎ poi has Se hA ^ es. gegen einander ausgesprochen hatten, traten sie im | ^ à < ای و‎ CH - Allgemeinen der Ansicht bei, dass es im Interesse der * F86. Deantwortet, uno Wir gehen zu cer dritten: Wissenschaft wünschenswerth sei, die Pallasmasse zu In Bezug auf diese F rage erfolgte der einmü durehschneiden, zumal da Hr. Kokscharow die durch- Beschluss der Commission, vorläufig nur auf einet schnittene Pallasmasse zu untersuchen beabsichtigt. | Durchschneidung der Pallasmasse anzutragen, zug Um aber der Akademie ihre definitive Meinung vor- | aber ihre Meinung dahin auszusprechen, dass hinkt legen zu können, war es durchaus erforderlich, vor- | Keine Stücke mehr vom Pallasit getrennt würden, ı her folgende Fragen zu beantworten: ‚sie etwa zu vertauschen oder zu verschenken, dat | | j id | St. Petersburger Akademie bis zum Jahre 1835 | 1) Wo und durch wen könnte die schwierige und | Tires 3 füh d à | reits mehr als 8 Pud Pallasmasse in Stücken vers kostbare S de besten EM e an 2 UD | denster Grösse, die einen Werth von etwa 8000 d ۳ ellen sen ne ada ei SE E berrubeln repräsentiren, verschenkt hat, ohne 9) ee ل ع ري‎ ee erforderlich? | sprechende Äquivalente für sie zu erhalten. ugi ie viel Zeit wäre z en erforderlich? Se : e , | Nach gründlicher Erwägung des Rose'schen: und reichen die Mittel der Akademie dazu hin, x s NE | |t ler d i lasst d an die jedenfalls sehr bedeutenden Kosten zu decken? | مدوب‎ and. allor-dugebihe ویس‎ | e j . Commissi 1 t d Mittheilur 3) Ist es rathsam, die Pallasmasse nicht nur in zwei | ger eh viia | a i 1 ‚und nach sorgfältiger Prüfung aller zur Ausfül Hälften zu zerschneiden, sondern, wie es die Her- | jenes Antrages erforderlichen Mittel und mit de : | up str E den ben verknüpften Umständen, beehrt sich die Com SZUSCODEl- | sion der physico - mathematischen Classe folg i a ps AES Ee NS Gi Vorschläge zur Beurtheilung und eventuellen Gi egen und diese an Fachmänner versenden zu . M können? | migung vorzulegen: TUM | Die Pallasmasse in der Kaiserl. Steinschleiferei 2 In Bezug auf die erste dieser Fragen kam die Com- | Peterhof in zwei Hälften zerschneiden, beide Sch mission darin überein, dass die Durchschneiduug des | flächen daselbst poliren und eine derselben & Meteoreisens am besten nnd sichersten in der Kaiserl. ützenzu lassen, um die Widmanstütten'schenFig Steinschleiferei zu Peterhof und unter der Leitung zur Anschauung zu bringen. Das Ätzen müsste je und Verantwortlichkeit des Vorstandes derselben aus- nicht in Peterhof, sondern nach dem Rücktrans zuführen wäre. der beiden Hälften in St. Petersburg durch eit Nachdem der Director derselben und dessen Ge- diesen Dingen erfahrene Person geschehen. Da hülfe den Pallasit in Augenschein genommen hatten, Akademie keine eigenen Mittel besitzt, um die be erklürten sie seine Durchschneidung in der Peterhofer | tenden Kosten der Arbeit zu bestreiten, so setzt dl EEN Schleiferei für ausführbar und nachdem sie darüber | = dem Präsidenten des Departements der Apanagen ih- | tré EN رد‎ 2) Graf Stenbock, 28. Nov. 1864, € 916. ^ 305 des Sciences de Saint -Petersbourg. Commission voraus, dass diese Kosten von der Peter- hofer Anstalt getragen werden, wie der Graf Sten- bock das in bestimmte Aussicht gestellt hat. Die Com- mission hält es auch für nothwendig, dass bei der Durchschneidung des Pallasits durchaus kein Öl an- gewendet werde, weil dieses sich in etwa vorhandene Poren einziehen würde und nicht mehr aus ihnen ent- fernt werden könnte. Die Schnittflächen aber könnten dadurch zu einer genauen Untersuchung ganz unge- eignet werden. Was die Richtung des Schnittes anbelangt, so be- hält sich die Commission vor, der Classe darüber den definitiven Vorschlag zu machen. Ehe die Durchschneidung vorgenommen wird, wäre es nothwendig, ein genaues Modell der Pallasmasse anfertigen zu lassen und das specifische Gewicht der- selben mit möglichster Genauigkeit zu bestimmen. Genehmigt die Classe die oben gemachten Vor- schläge der Commission, so würde diese noch über die zu allen diesen Operationen erforderlichen Geld- und anderen Mittel, namentlich über die zum Wägen, zur Bestimmung des specifischen Gewichts und zur Anfertigung eines oder mehrerer Modelle nöthigen Vorrichtungen und Geldmittel zu berichten haben, die von der Akademie zu beschaffen wären, da die Peterhofer Anstalt selbstverständlich nur die Kosten des Durchschneidens tragen wird. 3. März 1866. Helmersen, Berichterstatter. M. Jacobi. J. Fritzsche. N. ۰ Dieser Bericht wurde in allen seinen Theilen von der Classe genehmigt. Über die Pallasmasse; von Ad. Goebel, Dieser sonderbare Fremdling aus fernen Himmels- räumen wurde im Jahre 1749 vom Obersteiger Met- tich auf dem Rücken eines mit Tannen bewachsenen hohen Berges in Sibirien entdeckt. Der genannte Berg befindet sich zwischen dem Ubei und Sisim (welche beide von der rechten Seite zwischen Abakansk und Belskoi oder westlich von Karaulnoi-Ostrog in den Jenissei fal- len) vier Werst von ersterem und sechs von letzterem Tome X. | (nördlicherem), vom Jenissei aber 20 Werst entfernt. Ein Kosak, Jakob Medwedew, hatte Mettich einen an jener Örtlichkeit sich findenden Eisenerzgang ange- zeigt, bei dessen Besichtigung in einer Entfernung von 150 Lachter südwestlich von dem Anbruch des Erzes jene freiliegende Meteormasse sich vorfand. Sie wurde darauf von Medwedew mit vieler Arbeit nach seiner, 30 Werst entfernten Wohnung in dem Dorfe Ubeiskaja geschafft. Die besondere Geschmeidigkeit und Weisse des Eisens in der Masse und deren klin- gender Ton liessen ihn muthmassen, dass es wohl etwas edleres als Eisen sein könnte; auch wurde er in dieser Meinung durch die Tataren bestärkt, welche diese Eisenwacke als ein vom Himmel gefallenes Hei- ligthum betrachteten. Pallas') erhielt während seiner Reise in Sibirien von dieser Eisenmasse die erste Nachricht im Novem- ber 1771 durch einen in seinem Dienste befindlichen tatarischen Soldaten, der zufällig bei Medwedew ein- gekehrt war und bei der Gelegenheit einige Stück- chen zur Probe für seinen Herrn abmeisselte. Ohne Verzug liess Pallas die ganze Masse, welche damals 42 Pud (= 688 Kilogramme) wog, von dem Dorfe Medwedewa (einer Abtheilung des Dorfes Ubeiskaja) nach der 220 Werst entfernten Stadt Krasnojarsk bringen, wo er sich gerade aufhielt. Da man Meteoriten nach dem Ort, wo sie gefallen sind, zu benennen pflegt, so wird unser Meteorit ganz mit Unrecht unter dem Hauptnamen « Krasnojarsk» in den neueren Schriften und Meteoriten-Verzeichnissen aufgeführt, da dieser Ort 250 Werst vom Fallort ent- | fernt liegt. Ich werde ihn daher, zur ursprünglichen | Bezeichnung zurückkehrend und zur Ehre des Anden- ' kens von Pallas, im Folgenden stets «Pallasmasse» nennen?) Ich kann es mir nicht versagen, aus der von Pal- ‚las gegebenen vortrefflichen und einfachen Beschrei- | bung über das damalige Aussehen der Masse, so wie über die mit derselben angestellten Versuche, Fol- gendes so viel als möglich mit den eigenen Worten des Autors herauszuheben: 1) Pallas: Reise durch versch. Prov. des russ. Reiches. St. Pe- tersb 1776. Th. III. S. 412. "2 | Der Ausdruck « Pallasit» ist von G. Rose als Gattungsbegriff aufgestellt und für sich unzureichend , unsere Masse von andern zu derselben Gruppe gehórigen Arten in der Bezeichnung zu unter- scheiden 20 Bulletin de l’Académie Impériale Die ganze Wacke scheint eine rohe eisensteinartige Schwarte gehabt zu haben, die auf einem grossen Theil der Oberfläche durch die Hammerschläge, womit man Stücke davon abzusondern versucht hat, verloren ge- gangen ist. Ausser dieser ziemlich dünnen Rinde ist das ganze innere Wesen derselben ein geschmeidiges, weissbrüchiges, wie ein grober Seeschwamm löcherig ausgewebtes Eisen, dessen Zwischenräume mit run- den und länglichen Tropfen eines sehr spröden, aber harten bernsteingelben, vollkommen hellen und reinen Glases (Olivin) genau ausgefüllt sind. Diese Tropfen, welche oft mit andern zusammenfliessen und zuweilen eine bis drei glatte Seiten (Krystallflàchen) zeigen, ha- ben die Grósse eines Hanfkorns bis zu der einer gros- sen Erbse und darüber. Sie zeigen sich durch die ganze Masse einfórmig und ohne alle Spur von Schla- cken; sie sind durchsichtig, fett von Ansehen, schnei- den Glas und verknistern im Feuer. + Das Eisen ist so zähe, dass drei bis vier Schmiede oft ganze Vormittage gearbeitet haben, um mit stüh- lernen Keilen und Schmiedehämmern eine oder die andere Ecke von der Masse abzustufen, die doch ge- meiniglich nur zu einigen Pfunden gewonnen werden konnten, eine einzige Stufe ausgenommen, welche ein volles Pud wog und an die Kaiserl. Akademie dor Wissenschaften ist überschickt worden’). Der beim Abhauen durch Zerquetschung der sprö- den Olivinkörner resultirende, gestossenem Glase ähn- liche Staub sowohl, wie die reinen ganzen Körner haben nach ssim des Oberbergmeisters Hahn in Barnaul noch ein Korn von drittehalb Pfund Eisen im Pude gegeben‘); die überschickten gediegenen Stufen aber haben 4 Pfund vom Pud verloren, und das Eisen ist spróder, vermuthlich von dem dabei gebrauchten Salzfluss, ausgefallen. Aus kleinen, rein ausgeklopf- ten Eer habe ich in godes: Schmiedefeuer Pfriemen, Nägel uud kleine Stangen schmieden lassen können. Aber in stärkerem Essenfeuer und noch mehr, wenn eine Anzahl Stufen durch einen kleinen Hand- ofen gesetzt worden, hat es sich so spröde und körnig gezeigt, dass die Schmiede nichts daraus haben schmie- den, ja nicht einmal die krümlichten Brocken zusam- 3) Von diesem 1 Pud schweren Stücke ist nichts mehr im Mu- seum der Akademie vorhanden 4) d. h. also 6,25 pC. Eisen. Der Olivin 2 ua. enthàlt nach Berzelius 11,72 pC. FeO = 9,11 Eise «par le milieu, pour en reconnoitre tout le tissu ih menschweissen können. Kalt lässt es sich ohne unter dem Hammer plätten und zusammensch ja die dünnen Zinken kann man wie Draht mit Hand biegen, und sie brechen beim Hin- und H gen mit einer beträchtlichen Zähigkeit. Von der geringsten Feuchtigkeit rostet das da, wo es von Hammerschlägen oder im Bruc blösst ist. In der Masse aber ist das ganze 6 desselben mit einem braunen, glasigt anzusehe Lack oder mit feinem Ocher (Eisenoxyd) übe und wider den Rost verwahrt. Pallas bemühte sich ferner, umstündlich zu weisen, dass diese Eisenmasse ein Naturprodukt kein Kthistpréduit sei, welche Ansicht von eimi Seiten geltend gemacht worden war. ; Die nach den erwähnten Verlusten noch über j Pud °) i Petersburg transportirt, um in die Akademie de senschaften gebracht zu werden, woselbst sie im 1777 ankam. 1 Der kurze Bericht®) über diese Eisen cher in der Geschichte der Akademie für das Halbjahr 1777 mitgetheilt wird, sagt gleichfalls unter einer Rinde von Eisenerz (mine de fer), das Gewebe des gediegenen Eisens weitmas wird (devient plus clair), und die von der gl: Masse (Olivin) ausgefüllten Hohlräume die Grös nes Taubeneies erreichen. Dieser Umstand gab € schon zu dem offenbar von Pallas herrührenden sche Veranlassung, die ganze Masse in zwei zu schneiden. Es wird gesagt”): k «Il seroit à désirer qu'on fit couper toute la «rieur, qui Set, être pourroit offrir quelque st «ou m disposition de parties, iuto pott «Mineralogie ct jetter quelque lumière sur la prodi «de ce morceau unique ét remarquable.» | Diese vor 85 Jahren, wo man noch nicht ۵ ringste Kenntniss vom Wesen und einer chien 5) Pallas l. c. p. 416 in der Anmerkun 6) Acta Academ. Scientiar, Imperialis Petropoltait 1777, pars prior. Histoire de l'Académie pag. 8 Hd des Sciences de Saint ۰ tung der Aërolithen besass, ausgesprochenen Worte haben noch heutzutage, und zwar in unendlich höhe- rem Grade als früher, ihre volle Berechtigung. Noch in demselben Jahre 1777 wurde, nebst an- dern Geschenken, welche die Akademie dem damali- gen Kronprinzeu von Schweden, nachherigem Könige Gustav II., bei Gelegenheit seines Besuches in der Akademie darbrachte, ein vier Pfund schweres Stück der Pallasmasse überreicht). Solches sind aber auch die einzigen Notizen, wel- che sich in den Schriften der Akademie vorfinden, nach- dem sie in den Besitz dieses Aérolithen gelangt war. Aus einem im Archiv des mineralogischen Museums befindlichen, vom damaligen Conservator, Hrn. Po- stels (jetzigem Geheimen-Rathe) geschriebenen kurzen Rechenschaftsbericht für das Jahr 1830 erfahren wir, dass in demselben Jahre die Pallasmasse aus der Kunst- kammer in das neue, dem mineralogischen Museum angewiesene Lokal transportirt und gewogen worden sei. Das Gewicht der Masse betrug nur noch 31 Pu 30 Pfund — 520 Kilogramm. e ' Bloede erwähnt ihrer später noch in seiner Ab- handlung über die in den öffentlichen Museen St. Pe- tersburgs befindlichen Aérolithen °). Jezt ruht die Masse auf einem Postament am Eck- fenster des zweiten Saales im mineralogischen Museum der Akademie. Als am Schlusse des vorigen Jahrhunderts durch Chladni’s Arbeiten, wie durch den am 23. April 1803 stattgefundenen Meteoritenschauer von Laigle, wel- cher durch die in der Pariser Akademie darüber ge- führten Verhandlungen so berühmt wurde, das Inter- esse für die Aërolithen lebhaft erwachte, wurde die hier befindliche Pallasmasse stark in Anspruch genom- men, um mit und ohne Bewilligung der Akademie viel- fältigen Ansprüchen und Wünschen von Sammlern und Gelehrten zu genügen. So kam es, dass Stücke der Pallasmasse bald die allergewöhnlichsten und verbrei- tetsten in den europäischen Mineraliensammlungen wurden und es bis jetzt noch sind. Sie fehlten fast 8)'Es heisst in der Beschreibung der dabei stattgefundenen, für die damalige Zeit äusserst charakteristischen Ehrenbezeigungen O. pag. 8: On présenta aussi au Prince un gros morceau de 4 livres de fer natif (de Sibérie), dans une boéte de vermeil, ornée des armes de Gothland, artistement ciselées et entourées de guir- landes en or de différentes couleurs. 9) Bull. de la cl. phys.-math. T. VI. 1848, p. 10. keiner Meteoritensammlung. Berzelius sagt von ihr im Jahre 1834: «Gegenwürtig móchte sie wohl ganz «und gar unter die óffentlichen und privaten Minera- «liencabinette vertheilt sein» "). Ein 5'4 Pfund schweres Stück der Pallasmasse legte den ersten Grund zu der Wiener Meteo- ritensammlung des Kaiserl. Kónigl. Hofmineralien- cabinets "). Diese ist seitdem durch die Umsicht ih- rer Vorsteher, durch die Theilnahme des Publicums und die Unterstützung der Österreichischen Regierung zur ersten und reichsten in der Welt geworden. Die St. Petersburger Akademie hat aber bis zum Jahre 1835 für mindestens mehr als drei Centner (über 8 Pud) nach auswärts (an das Ausland) gespendeter Pallas- masse, die einen Werth von mindestens 8000 R. S.") reprüsentiren, kein entsprechendes Äquivalent erhal- ten — denn der bis zu jenem Jahre durch Tausch in den Besitz der Akademie gekommenen ausländischen Aërolithen sind äusserst wenige, und ihr Gewicht be- trägt kaum ein paar Pfunde —, wenn wir nicht in dem geistigen Gewinn, den die menschliche Erkenntniss erhielt, den fehlenden Ersatz suchen wollten und fin- den müssten. Denn Stücke der Pallasmasse waren es, welche Chladni in Veranlassung eines merkwür- digen Gespräches mit Lichtenberg zu einer gründ- 10) Berzelius in Poggendorff's Ann. d. Physik Bd. 33, p. 123. Diese Bemerkung von Berzelius war die Veranlassung, dass der Aerolith 1835 wiederum gewogen wurde. Der Akademiker Hess schrieb in jenem Jahre Folgendes an Prof. Poggendorff: An ei- nem Orte Ihrer Annalen habe ich die Vermuthung aufgestellt ge- funden, dass die Pallas'sche Eisenmasse wohl gan sei. Ich trug daher auf eine Wägung derselben an. Sie beträgt noch gegenwärtig 31 Pud 30 Pfund — 1270 Pfund russisches Ge- hat also im Ganzen einen nur unbedeutenden Abgang erha Akademie se Grund hat, da man aus ihren Protocollen ersieht, dass m Gelehrten Stücke davon geschenkt worden sind. (Pogg. Ann. rem gegenwärtigen, seit 1835 intact gebliebenen Zustande gesehen, wird jetzt der Ansicht sein, dass der grösstentheils durch die Libe- ralität der Akademie veranlasste Abgang von mindestens acht Pud ein unbedeutender zu nennen sei. 11) Chladni. Über Feuer-Meteore. Wien 1819. Anhang von Dr. Schreibers. p. 432. 12) Nach den Preisen des Hrn. Krantz in Bonn berechnet, w sondern 20,000 Thaler reprä- reinem Silber angenommen. ann erhalten wir, ber zu 25 Rubel gerechnet, für 8 Pud = 320 Pfund; die Summe von beln. Bekannt- lich werden aber Meteoriten weit höher taxirt Preis steigt von Jahr zu Jahr, in dem Verhältniss, als mit der wach- senden Zahl der Forscher das Interesse für diese räthselvollen kos- mischen Gebilde immer allgemeiner wird. ip Bulletin de l'Académie Impériale lichen Untersuchung bewogen, in Folge deren die kos- mische, ausserirdische Herkunft von Körpern dieser Art zum ersten Male wissenschaftlich ausser allem Zweifel gestellt und den zahlreichen vagen und ne- belhaften Hypothesen über ihre Herkunft ein Ende gemacht wurde 18), — eine wichtige Überzeugung, die sieh auf Grund der Chladni’schen Untersuchungen allmählich Bahn brach, und zu der man freilich auch ohne die Existenz der Pallasmasse, obwohl viel spä- ter, einmal hätte kommen müssen. Gehen wir nun zu einer kritischen Übersicht dessen über, was in wissenschaftlicher Beziehung bis zum Jahr 1863 für die Pallasmasse geschehen ist. Sie hat das erste und älteste Material für chemische Meteoritenuntersuchungen mitgeliefert, und zwar wur- den, wie die Beschaffenheit der Masse es erforderte, das Eisen und der Olivin gesondert untersucht. Der Ar- beiten sind nicht wenige, doch gehören sie meist ei- ner Periode an, wo die analytische Chemie die ersten Anfänge ihrer wissenschaftlichen Entwickelung kaum überschritten hatte. Wir können daher die ersten we- nig unter einander übereinstimmenden und für jetzige Ansprüche sehr mangelhaften Untersuchungen von Howard"), Klaproth ^), John’) und Laugier") ganz übergehen. Es sei von ihnen nur erwähnt, dass Howard und Klaproth zuerst das Nickel als cha- rakteristischen Bestandtheil des Meteoreisens nachwie- sen, und Laugier fand das von Vauquelin ent- deckte Chrom zum ersten Mal als Meteoritenbestand- theil (0,6 p. C.) in der Pallasmasse, gleich wie auch 5,2 p. C. Schwefel. Der letztere war als Schwefel- eisen vorhanden gewesen. Von Schreibers löste spä- ter aus Bruchstücken des Pallaseisens Stückchen von Schwefeleisen heraus, die Chladni sah ^). Von dem Pallaseisen sind sonst nur noch die Analysen von Ber- zelius vorhanden. Das Resultat derselben war, in 100 Theilen: 13) Chladni. ES den Ursprung der von Pallas entdeckten Eisenmasse, Riga 17 14) Philosophical nei 1802. ` 15) Beiträge zur chemischen Kenntniss der Mineralkórper. Bd. 6. S. 301. 16) Gilbert's Annalen. Bd. 57. S. 1 17) Annales de Chimie. T. IV und eni Ann. Bd. 58. S. 182. 18) Chladni. Über Feuer- Meteore. p. 323. Bibeln. cvv وال‎ 0,46 Kupfer und Zinn. ...... 0,07 Magen. eco eis dr 0,13 Magnesium . .... Jasia 0,05 2 ROARK c0 orc Spur Kohle. . | p. €. besteht, ausser der Kohle, aus einer We: unter dem Mikroskope deutlich krystallisirten me glänzenden Substanz. Er war zusammengesetzt a Eisen ....., 48,67 Nickel...... 18,33 Magnesium... 9,66 Phosphor ...18,47 Verlust. . . .. 4,87 schwarzes Skelet, von der Form des Eisens, unge welches nach Berzelius ®") bestand aus: REE Snes د‎ C 57,18 cor RE 34,00 Magnesium. ...... 4,52 Kupfer und Zinn ... 3,75 i E R ER ,55 ENERO. os sd Spur 100,00 Ein Blick auf die vorstehenden Zahlenreihen 2 nügt, um eine Wiederaufnahme der Untersuchung Pallaseisens als sehr wünschenswerth erscheinen lassen. Es sind verschiedene Mineralgemenge ü sucht worden, deren chemisch-mechanische Sonde und Charakterisirung die nächste Aufgabe ist. für sprechen auch die Differenzen in den A specifischen Gewichtes für das Pallaseisen. Howard fand dafür 6,487 Von Schreibers. . 7,540 — 7,57 Bunlör. و‎ ee 7,160 — 7, ge 0 ^ 19) Berzelius in Pogg. Ann. Bd. 33. p. 123. des Sciences de Saint- Petersbourg. Der Olivin der Pallasmasse ist, wenn wir hier wiederum die ültesten Untersuchungen von Howard und Klaproth ausser Acht lassen, noch von Stro- meer, Walmstedt”') und Berzelius untersucht worden. Sie fanden: Stromeyer Walmstedt Berzelius 1824. 1824. 1834. Kieselsäure. . . .. 38,48 40,83 40,86 Magnesia ...... 48,42 47,74 47,35 Eisenoxydul 11,19 11,53 11,72 Manganoxydul 0,34 0,29 0,43 Thonerde. . .... 0,18 Spur Zinnsäure 0,17 Kalkerde . . — Spur "nd Natron. TUN 98,61 100,39 100,53 Diese drei Analysen stimmen in der Hauptsache | ` hinreichend unter einander überein und führen zu der Formel: 2 FeO, Si 0, + 7 (2 MgO, Si 0) Dieselbe Formel hat auch der von Stromeyer un- tersuchte Olivin des Meteoreisens von Otumba in der Provinz Chaco Gualamba (Süd- Amerika), mit welchem, wie mit dem Meteoreisen von Atacama in Peru, die Pallasmasse grosse Ähnlichkeit besitzen soll”). Der Olivin vom Atacama dagegen ist eisenreicher und führt zur Formel 5 2 FeO, SiO, + 5 (2 Mg O, Si 0,). , Die Differenzen in den Angaben der in geringen Quantitäten vorkommenden Körper jener veralteten Analysen lassen die Anwesenheit noch anderer Mine- ralverbindungen vermuthen. Dafür sprechen gleich- falls die Differenzen in den Angaben des specifischen Gewichtes für den Olivin der Pallasmasse. Dasselbe ist nach: Howard 3,263 — 3,30 Stromeyer 3,3404 Rumler 3,430. Die schönen Untersuchungen von Berzelius über 20) Stromeyer in den Göttinger gelehrten Anz. 1824. S. 208, 7 Hir as Ann. Bd. 4, S. 201, aus Kongl. Vetenskap. Akad. handl. är 1824. 22) nk Andern soll Stromeyer nicht den Olivin von Otumba, sondern ein zweites Mal den Pallasolivin unter Hànden gehabt ha- ben, da der Aérolith Otumba oder Tucuman mit der Pallasmasse keine Ähnlichkeit besitzt. S. O. Buchner, die Meteoriten, p. 138. 23) Rammelsberg. Handb, der Mineralchemie. S. 438 u. 950. die Meteorsteine, unter sehe er die. Pallasmasse besonders berü bildeten den A und das Musterbild für derartige Arbeiten bis auf un- sere Tage. In Bezug auf die Pallasmasse ist es aber auch bei diesen Untersuchungen geblieben”), Die ver- änderte und vervollkommnete Gestalt, welche die Me- thoden und Hülfsmittel der quantitativen Analyse un- terdess gewonnen haben, machen eine Wiederholung und Wiederaufnahme weiterer Forschungen sehr wün- schenswerth. Noch mehr aber erscheint eine solche geboten durch die neuen Gesichtspunete, welche das Meteori- tenstudium unterdessen gewonnen hat. Schon lange war man darauf bedacht gewesen, die Mineralien zu erkennen wid zu bestimmen, aus denen die gemengten t sind. Nur in sehr sel- tenen Fällen gelang es, einzelne Mineralien als solche zu sondern und mineralogisch und chemisch einiger- massen zu bestimmen, wie solches mit Erfolg von Gu- stav Rose und Rammelsberg geschehen ist. Man ver- glich die Steinmeteoriten mit Felsarten krystallini- scher Silicatgesteine und suchte nach dem Vorgange von Rammelsberg die mineralogische Constitution nach Wahrscheinlichkeitsgründen aus den Resultaten der chemischen Analyse durch Berechnung festzustel- len. Ein solcher Weg, so schätzenswerth er ist, um uns ein einfaches Bild der Constitution des Ganzen zu liefern, entbehrt doch oft des sicheren Grundes in- nerer positiver Wahrheit, gewährt keine rechte Befrie- digung und führt bisweilen zu Schlüssen, die sehr ge- wagt und positiven Thatsachen widersprechend erschei- nen. So z. B. gelangt Abich ”) bei seiner mit Sorg- falt angestellten Untersuchung des Aérolithen «Sta- wropol» zu dem Endschluss, dass derselbe (abgesehen von beigemengtem Nickeleisen) aus Labrador und zwei Olivinvarietäten, Hyalosiderit und Chrysolith bestehe, die sämmtlich in Chlorwasserstoffsäure löslich sind, während die Steinsubstanz des Stawropol de facto: nur zum kleineren Theile von concentrirter sie- dender Chlorwasserstoffsäure zersetzt wird. Ähnliche Beispiele liessen sich noch mehrere aufführen, Ausge- 24) Schätzenswerthe Aufklärungen über die feinere Structur des Olivins in der Masse v wir Hrn. G. Rose in einer so eben erschienenen Schrift: سیب جر‎ und Eintheilung der Meteoriten. Berlin 1864. = Bulletin de l'Acad. des sciences de St.-Pétersb. 1860. T. II, p. 4 Bulletin de l’Académie Impériale zeichnete und vorurtheilsfreie Forscher, wie z. B. Prof. Wóhler in Góttingen, begnügen sich daher in schwierigen Fällen einfach das Ergebniss der chemi- schen Analyse ohne Formelzwang mitzutheilen. Hat man über grössere Mengen Materials zu ver- fügen, so liessen sich bei feinkörnigen Meteoriten, aus denen einzelne Krystalle nicht ablösbar sind, durch successive Anwendung von Lösungsmitteln se dite ner Stärke, wie auf mechanischem Wege, durch Schlämmen, die Mineralaggregate leichter von einan- der sondern, namentlich auch diejenigen, welche in nur geringer Menge in der Masse vertheilt sind, — ein Weg, der bei der Kostbarkeit der Aörolithen fast gar nicht eingeschlagen worden ist. Die neueren Unter- suchungen des Freih. von Reichenbach haben in- dess auch gezeigt, dass die sphärischen Concretionen und Krystallaggregate, welche die meisten Steinme- teoriten zusammensetzen, selbst wieder ein Gemenge verschiedenartiger Mineralien bis ins unendlich Klein- ste darstellen, gewissermassen Meteoriten en minia- ture, die bei starker Vergrösserung betrachtet, sich wie- derum in andere dritten und vierten Grades auflösen. Eine Complication anderer Art wies er für die Eisen- massen nach, die in mechanisch und chemisch nur schwierig trennbare siderische Mineralspecies zerfal- len und obendrein meist Steinsubstanz fein einge- sprengt enthalten. Die Lösung solcher Complicatio- nen ist nur allmählich zu erwarten. Es thut sich hier ein weites Feld auch noch in anderen Richtungen auf, und die Aërolithen gewinnen für den Mineralogen und geologischen Chemiker eine Bedeutung, wie etwa das . Ei oder der Frosch für den Physiologen. Man darf behaupten, dass von sämmtlichen bekann- ten Aérolithen nicht zwei einander vollkommen gleich in Mischung, Eigenschaften und Bestandtheilen sind. Ein jeder hat seine Besonderheiten für sich, die ihn von andern, ähnlichen, unterscheiden. Einzelne zeich- . men sich dadurch aus, dass sie scheinbar einfacher zusammengesetzt sind, oder dass irgend ein Gemeng- theil vorwiegend, oder in krystallisirter Form auftritt (wie z. B. der Juvenas, Shalka, Bischopville u. s. w.). Solche sind, wenn sie dabei in genügender Quantität vorhanden, für die Forschung die allerdankbarsten; durch sie TA wir mit der Natur und den Eid. thümlichkeiten der die Meteoriten constituirenden siderischen Mineralien bekannt. Zu solchen einfacher zusammengesetzten Aérolithen rechnet man auch di Pallasmasse. Sie wird charakterisirt als Nickeleige dem etwas Schreibersit und Schwefeleisen beigem und welches in seinen maschenartigen Zwischenrän. men mit Olivin ausgefüllt sei. Sie ist in der T aber nicht so einfach, wie es scheint, und ich erla mir in dieser Hinsicht einige meiner vor merkungen über dieselbe mitzutheilen. Betrachtet man die Masse in ihrer gegenwärtigen Lage, so zeigt sich, dass, obwohl sie durch Abmei§se- lungen sehr entstellt ist, und sie scheinbar das An- ` sehen eines unför lichen Klotzes hat, doch noch ein ` grosser Theil ihrer ursprünglichen Flächen, fast über d die Hälfte, erhalten worden ist. Die —— Stellen -— leicht zu erkennen; ihre Oberflüche ein zerrissenes lócheriges Ansehen, indem beim ل‎ schneiden die spróden Silicate aus den Höhlungen herausgefallen siud. Die natürliche Oberflüche zeigt sich zum Theil deutlich als Bruch- oder Sprengfläc einer ursprünglich grósseren Masse. Die Masc zwischen dem netzartigen Eisen sind hier aber w ständig mit Silicaten ausgefüllt. Die Brandrinde de Nickeleisens ist grösstentheils in eine Rostrinde üb gegangen; ebenso sind auch die Silieate äuss mit einer dünnen Rostrinde überzogen. Die untere, schwach konisch zulaufende Fläche, die fas eine Ebene darstellende grosse verticale Fläche det Westseite, die geneigten, stark gehöckerten un wellten Flächen der obern Nord- und Südseite den kurzen Flächen auf der Nord-, und Südseite, wie die obere kleine Scheitelfläche 7 schen Nord und Süd sind aber sämmtlich durch schneiden verunstaltet und zerrissen. Combinirt man in Gedanken die abgeschnit Stücke derSeiten, welche offenbar konische oderst pelkegel mit breiter Basis, von dem durch einer rallel der Kegelaxe geführten Schnitt ein gr Theil (wohl beim Niederfallen?) abgetrennt i verticaler Durchschnitt des Ganzen parallel Je? Schnittfläche, die ich, nach der gegenwärtigen La 317 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 7 d des Aörolithen, als Westseite bezeichne, er dann folgende Gestalt: NB. Die durchbrochenen Linien deuten die abgemeisselten Theile an Ein Schnitt durch -die Axe senknecht auf jene Schnittfläche giebt uns ungefähr folgendes Profil: Der Umfang der Masse ist nach den zwei parallel der Kegelaxe sich rechtwinklig durchkreuzenden Di- mensionen, dem Perimeter erwähnter Durchschnitte entsprechend: von West über Ost 180 Centimeter, von Nord über Süd 202 » In der dritten Dimension senkrecht auf die a längs der gemeinsamen Basis des Doppelkegels be- trägt der Umfang 218 Centimeter. Auf der Nordostseite zeigt sich der Aërolith von unregelmässig verlaufenden offenen Spalten und Ris- sen durchzogen, die, nach ihrer Breite am Ausgehen- den zu urtheilen (bis 1,5 Millim.), ziemlich tief ins In- nere dringen dürften. Da auch die künstlich hervor- gebrachten Schnittflächen im Laufe der Zeit sich grösstentheils mit Rost bedeckt haben, so ist von der Structur der Masse äusserst wenig zu sehen. Die Textur des Ganzen ist im Allgemeinen, so viel sich erkennen lässt, ziemlich gleichförmig; stellen- weise, wie an der Nordwestseite, tritt das Eisen dich- ter zusammen, die mandelartigen Hohlräume zwischen demselben werden kleiner; dafür aber findet sich in der nächsten Nachbarschaft die Steinmasse in weit grösseren Höhlungen über das Eisen prävalirend. Da ohne Bewilligung der Akademie an der Masse nichts Wesentliches geändert werden darf, so be- gnügte ich mich, eine mehrere Zoll im Quadrat hal- tende ebene Fläche auf dem Scheitel des Aérolithen anfeilen zu lassen, um einige Einsicht in die Structur zu erhalten. Neue grosse englische Feilen wurden bei dieser Arbeit in kurzer Zeit abgenutzt, und es zeigte sich in solcher Weise nicht thunlich, eine glatte Flüche herzustellen, da die spróde Steinmasse durch die Be- rühruug der Feile aus den Höhlungen grösstentheils in Splittern heraussprang. Es zeigte sich aber dabei, dass die vom Eisennetz gebildeten Zwischenräume nicht, wie man bisher annahm, lediglich von Olivin er- füllt sind. Sie zeigten ganz im Gegentheil eine grosse Mannigfaltigkeit in ihrer Mengung und mineralogi- schen Beschaffenheit. Die Steinmaterie war bisweilen so spröde und brócklich, dass sie sich leicht mit dem Fin- gernagel, oder der Federmesserspitze entfernen liess; dann zeigte sich die blossgelegte Hohlwandung der Eisenmasse stets mit einer dünnen Schicht schwarzen glänzenden Eisenoxyduloxydes überzogen, nie aber metallisch. Folgende Abänderungen der Ausfüllungsmasse der Hóhlungen will ich als besonders charakteristisch her- vorheben: 1) Ein blendend weisses krystallinisches, sehr wei- ches und bróckliches Mineral, undurchsichtig und matt im Bruch, welches sich leicht mit dem Mes- ser in Gestalt eines weissen Pulvers herausprüpa- riren lässt; es geht durch Oxydation von Eisen- oxydul oft in eine gelbe Modification über und scheint oft mit Magnetkies vergesellschaftet zu sein. | 2) Ein krystallinisches Mineral von graulicher Farbe, welches Blätterdurchgänge und ی‎ gen zeigt. 3) und 4) Ein desgleichen von gelber und eins von hellgrüner Farbe; sie sind vielleicht nur Abän- derungen des vorigen und gehen ins ی‎ und Bimsteinartige über. 5) Glasiger durchsichtiger Olivin in ganzen Krystal- len; er ist bisweilen farblos, wasserklar, biswei- len durchs Gelbe ins Schwärzliche übergehend; mit Krystalllächen von lebhaftem Glasglanz, de- ren Abdrücke sich im umgebenden Eisen finden. Er war also bereits erstarrt, als das Eisen sich noch im flüssigen oder mindestens plastischen Zustande befand. 6) Ein schwarzes hartes Mineral in rundlichen, meh- . rere Millim. im سب‎ tt haltenden Coneré- ۳ fa} 1.12 tionen, feine 5 g auf der g Durch- - Bulletin de l’Académie Impériale schnittsfläche zeigend, die auf Blätterdurchgang schliessen lässt. Ist oft mit feinen Eisentheilen H Copie einer Stelle nach den Umrissen in zweifacher Vergrösserung. gemengt und meist von einer glasartig glänzen- den dünnen Rinde umgeben, welche es von dem - einschliessenden Eisen trennt. Findet sich oft vergesellschaftet, aber scharf davon abgeschnit- ten, mit: 7) Schwefeleisen, ein krystallinisches tombakfarbi- ges (graugelbes) Mineral, das mit Chlorwasser- stoffsáure Schwefelwasserstoff entwickelt. Diesem schliesst sich an: 8) Ein blättriges, messinggelbes Mineral von lebhaf- tem Metallglanz, das keinen Schwefelwasserstoff entwickelt. : Die in den Höhlungen befindlichen Silicate zeigen dabei den merkwürdigen Umstand, dass für jede Höh- lung die Beschaffenheit der Masse einen gleicharti- gen, bestimmten Charakter trägt, während zwei oder mehrere einander benachbarte Höhlungen oft eine Verschiedenheit in dem sie füllenden Steingemische darbieten. Verfolgt man diese verschiedenen Abände- rungen, so lassen sich leicht Repräsentanten einiger der von Reichenbach aufgestellten Sippen und, wie es scheint, auch der von Hrn. Rose classifieirten Me- teoritenarten ^) ausfindig machen. Zum mindesten scheint das Auftreten von Howardit und Chladnit in der Pallasmasse wahrscheinlich, so weit ein Vergleich der Einschlüsse mit dem Bialystok und Bishopville sol- ches ermöglichte. In Bezug auf die räumliche Vertheilung dieser Ar- ten in der Pallasmasse muss ich bemerken, dass so- weit einige der nicht mit Rost bedeckten Stellen Beobachtungen zulassen, solche nicht gleichförmig durch die Masse stattfindet. Es zeigen sich ganze Re- gionen und Provinzen, die ausschliesslich von einer Art Silicate in unter einander anastomosirenden 26) Monatsberichte der Berliner Akad. 1862 vom 7. August. lungen eingenommen werden, während eine ; trifft es sich, dass verschiedene Mineralspecies neben einander in Hóhlungen liegen, die unter « der zusammenhängen (s. die Skizze auf voriger dann nehmen sie auch nur einen kleinen Raum Die im Vorhergehenden mitgetheilten Andent gen und Thatsachen dürften genügen, um zu bew dass wir von der Pallasmasse Aufschlüsse zu erw haben, die weit über den Kreis dessen hinausg was wir bereits von ihr wissen. Gehen wir schliesslich zu folgenden Vorsch über, welche durch das Vorhergehende ihre Be dung finden. i 1) Die ganze Masse muss von neuem gewogen x den. 2) Es wàre eine Nachbildung derselben in ihre zigen Gestalt von Gyps oder Papier maché fertigen zu lassen. Hierbei braucht aber nu treue Wiedergabe der natürlichen noch g ten Flächen (die obern und untern Kege flächen, wie die Westseite) berücksichtigt werden. Die Schnittflächen in Gyps abzufo wäre unthunlich und für spätere Untersuchu höchst störend, da sich die Höhlungen s wieder reinigen lassen und das nöthige Ei - haben würde. Sie müssen von der Gypsbede verschont bleiben. : 3) Es wäre, wenn thunlich, eine Wägung der Masse in Wasser vorzunehmen. SE 4) Die Masse müsste, parallel der Kegelaxe, odi aber senkrecht auf dieselbe, in zwei Hälften deM schnitten werden. In letzterem Falle würden grösstentheils noch natürlichen Kegelflächen g schont bleiben. E 5) Jede dieser beiden Hälften ist alsdann zu und ihr specifisches Gewicht zu bestimmer 6) Es müsste von der einen dieser Hälften, Schnittfläche parallel, eine mindestens zolldick Scheibe abgetrennt werden. Sie braucht nicht de ganzen Perimeter zu umfassen. Vielleicht li sich technisch bequemer bei dem Zersch der Hauptmasse in zwei Hälften gewinnen. Lé des Sciences de Saint- Pétersbourg. Scheibe hat das Material zur wissenschaftlichen Untersuchung und zum Tausch gegen andere Me- teoriten herzugeben. 7) Die Schnittfläche der einen Hälfte, wie auch beide ` Sclnittflächen eines Theiles der Scheibe sind an- -zuschleifen und zu poliren. 8) Auf einem Theile der so polirten Eisenfiüchen sind die Widmanstätten’schen Figuren hervor- zubringen. Es giebt bekanntlich zwei Verfahrungs- ‚weisen, um dieselben hervortreten zu lassen: 1) Durch Anätzen mit Salpetersäure, 2) durch An- wendung von Hitze. Das Erstere darf an dem Stücke der Hauptmasse, wie an der Scheibe nur von einem Chemiker mit der nöthigen Vorsicht geschehen. Das Zweite würde, da hierzu bestimmte Wärmegrade eingehalten werden müssen, an dem ‚grossen Halbirungsstück nicht gut ausführbar sein, kann aber mit Leichtigkeit und Sicherheit an einem Theile der Scheibe geschehen. 9) Um volle Einsicht in die Structur der ganzen Masse zu erhalten, wäre es wünschenswerth, eine der beiden Hälften wiederum senkrecht auf de- ren Schnittfläche zu halbiren, so dass also bloss gelegte Durchschnittsflächen in folgender Weise . erhalten würden: Entweder gu ae oder ۵‏ نا Ee A‏ WE / Pu ! 3 N "ssw. Wenn aber die Halbirung der Hauptmasse senk- . recht auf die Kegelaxe geschieht, so könnte man sich damit begnügen, eine der früher hervorge- ‚brachten äusseren Schnittflächen, a oder b, an- schleifen und poliren zu lassen. 10) Die solchergestalt vorbereiteten Stücke sind un- ter verschliessbaren Glasgehäusen gegen Feuch- tigkeit, Rost und unberufene Angriffe zu verwah- .. ren. Ich erwähne solches ausdrücklich, da der bis jetzt am Fenster frei stehende Aérolith äusserlich — im Lauf der Jahre nicht nur durch Staub verun- s —staltet wird, sondern auch an seiner dem Fenster h . zugekehrten Seite sichtlich durch fortschreiten- des Rosten sehr leidet, indem sich daselbst, na- an der untern Westseite Rostmassen‏ سق mit eingeschlossenen Olivin von selbst abschilfern.‏ Tome X.‏ 11) Beim Durchschneiden der Hauptmasse und An- feilen der Durchschnittsflächen behufs nachheri- ger Politur giebt es reichliche Abfälle, Späne und Feilicht. Diese haben für jetzt und für die Zu- kunft als Material zu chemischen Bauschanalysen, wie zur Anstellung experimentaler und synthe- tischer Versuche, deren Nothwendigkeit sich im Laufe der Untersuchung ergeben wird, zu die- nen. Es gehören ohne allen Zweifel Meteoritenun- tersuchungen zu den schwierigsten Aufgaben im Gebiete der Analyse unorganischer Körper. Der Mangel an Material ist es, welcher der. Ausführ- lichkeit und Gründlichkeit vieler Aörolithenun- tersuchungen eine enge Grenze setzte. Die Me- thode der Rückstände wird hier in Verbindung mit der Spectralanalyse und dem Microscop in Bezug auf die nur in geringer Quantität vorhan- denen Elemente und Verbindungen sicher zu neuen Resultaten führen. Diese vom rein chemi- schen Gesichtspunkte zu gewinnenden Thatsachen genügen indess nicht für sich, um uns ein für heutige Bedürfnisse klares Bild von der Zusam- mensetzung und Deutung der Masse zu liefern. Dazu führt nur die mechanische Sonderung der einzelnen Mineralien und Mineralaggregate aus den Höhlungen der Scheibe, und deren geson- derte mikroskopische und gege د‎ Untersuchung. 12) Was endlich das oft wiederholte Ansuchen betrift, von der durchschnittenen Pallasmasse Theile der- selben an ausländische Sammlungen und Gelehrte mitzutheilen, so kann ich nicht umhin, i in Anbe. tracht der ام‎ mit der man in frühe- ren Decennien verfuhr, mich entschieden dafür auszusprechen, dass solches nur mit der grössten, auf wohlbegründeten Motiven beruhenden Re- serve, und nur an Gelehrte ersten Ranges (wie etwa G. Rose, oder Wöhler u. A.) die deren für ihre Forschungen bedürfen, geschehen könne. Zur Begründung dieser Ansicht muss ich auf das früher bereits Gesagte verweisen und dann noch zunächst hervorheben, dass bei der allgemeinen Verbreitung der Pallasmasse im Auslande es bis jetzt leichter ist, sich Echantillons derselben dort zu هگ‎ als hier in Russland. Die für die 21 Bulletin de l'Académie Impériale wissenschaftliche Untersuchung der Pallasmasse sehr ähnlichen anderen Meteorite (die sogenann- ten Pallasite, wie z. B. Rittersgrün und Ata- cama) sind nur im Auslande zu haben. Ich habe oben bereits erwähnt, dass gegen 3 Centner un- serer Masse sich in anderen Sammlungen vertheilt befinden. Der Mineralienhändler Krantz in Bonn verkauft die Unze Pallaseisen zu 6 Thlr., die Unze Atacama zu 5 Thlr. Vor ein paar Jahren wurden bei Gelegenheit der Vereinigung der Sammlungen Königs Christian VIII. von Dänemark mit denen der Universität und des naturhistorischen Museums zu Copenhagen viele überflüssige Meteoritendou- bletten von Professor Forchhammer zum Tausch ausgeboten”). Darunter befanden sich neun Stücke Pallasmasse, im Gesammtgewichte über 3'% Kilo- gramm (3540 gr.), und vier Stücke des Atacama von 1865 gr. Gesammtgewicht. Die grössten der im Auslande befindlichen Stücke der Pallasmasse, welche über ein Kilogramm wiegen, sind laut mir vorliegenden Meteoritenverzeichnissen und nach den Angaben von O. Buchner”): Wien (K. K. Hof-Mineraliencabinet) 3457 Grm. Copenhagen sn 3513 » London (British Museum). . . . . . 3226 » Boites He Fl dV. V 2884 » EN لبوا وجا‎ REDSER 1717 » ue EE E EE > In dem jetzt in Moskau befindlichen Rumjan- zow’schen Museum sah ich ein bedeutendes Stück Pallasmasse, (dessen Gewicht 5195 Grammen be- trägt ”). In gleicher Weise ist der Atacama in bedeutenden Stücken verbreitet. Unsere Pallasmasse ist freilich unter der noch äus- serst geringen Anzahl bekannter Pallasite an Grösse und Beschaffenheit ganz einzig in ihrer Art. Dies sind schon für sich Motive, ihr eine besondere Auf- merksamkeit zuzuwenden. Noch mehr aber wird die- selbe gesteigert, wenn wir die Bedeutung ins Auge fassen, welche sich geschichtlich und wissenschaftlich an diese Masse knüpft. Mit ihr erst hat durch Chladni 27) Angebot- und Nachfrageblatt zu Dr. Erlenmeyer's Zei 1 n s$ Zeit- schrift für Chemie, 1862, \ 9, p. 34. t 3 | 28) Die Meteoriten in Sammlungen. Leipzig 1863, p. 121. [aus derselben Quelle stammendes Mate | vor 71 Jahren die neue Einsicht in das wahre Ww der Meteoriten begonnen, — durch sie hat Jahren mit Berzelius die Aera eines wissen lichen Meteoritenstudiums ihren Anfang gen Sie selbst befindet sich im Schoosse einer schaft, deren Aufgabe es ist, die Grenzen der} niss erweitern zu helfen. Man darf sagen, es sei | Masse eine wissenschaftliche Mission zugefal an ihr fortzusetzen und mit der Zeit zu vol wenn sie je vollendet werden kann. Ihre Aufga darin bestehen, von Zeit zu Zeit wiederum das wie der unterdess geänderte und fortgeschrit sichtspunkt der Wissenschaft solches erforde bedarf heute zu einer gründlichen Untersuchur Material ein Vielfaches von dem, womit sich B lius begnügte, und wir können jetzt nicht vora hen, welche Anforderungen man nach aber benutzen, welches die Vorgünger gehabt habe jeder, der sich mit ähnlichen Arbeiten beschäftig Aus allen diesen Gründen ist eine möglichste$ auch nur zur Erlangung einer Wahrheit statt dasselbe Stück ohne besonders dringende zur Befriedigung auswärtiger Sammlerlust. schwenden. ER BULLETIN DES SEANGI ASSEMBLÉE GENERALE DE L'ACADÉMIE; 7 SÉANCE DU 8 (20) JANVIER 1865. Le Secrétaire Perpétuel donne lecture de la ouvrages, envoyés à l’Académie pour le concours Ouvarof; ces ouvrages sont au nombre de 5, destinés au concours historique, et 3 au concours tique. — Deux commissions sont nommées, scrutin, pour les examiner. b dian Le Secrétaire Perpétuel met sous les yeux de blée le texte des discours prononcés dans la 8 publique annuelle de l'Académie le 29 décem ng ü 29) Nach einer brieflichen Mittheilung von Dr. EN in et propose de les publier sous forme de Recu 325 ` des Sciences de Saint- Pétersbourg. dela dite séance, en un volume séparé. Cette proposition est approuvée. On joindra de plus à ce volume les por- traits des membres décédés dans le courant de Pannée. Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la Conférence que l'impression de la Bibliographie historique russe pour l'année 1857, est terminée. — Considérant toute l'utilité d'un répertoire de ce genre, la Conférence arréte que l'on continuera à le publier sur le méme plan pour les années suivantes. M. Pekarski se charge de diriger cette publication. M. Serbinovitch, membre honoraire de la Classe de la langue et de la littérature russe, fait hommage à l'Aca- démie d'un tableau synchronique, publié par lui, des an- eiennes principautés de la Russie de l'ouest Galateri, de Turin, annonce le proehain envoi de plusieurs de ses ouvrages qu'il a remis aux soins obli- geants de la Légation russe à Turin, pour être expédiés à | l'Académie. M. le Président rappelle aux membres de la Conférence. que le 4 avril prochain sera le jour du centième anniver- saire de la mort de Lomonossof, et propose de nommer une commission chargée de discuter la question de savoir dans quelles formes l'Académie rendra hommage à la mó- moire de l'illustre académicien. Cette proposition est ap- prouvée; la Commission sera composée de MM. Srez- nefski, Nikitenko, Grot, Kunik, Perevostchikof, Zinine, Biliarski, Pekarski et le Secrétaire Perpétuel. CLASSE PHYSICO- MATHÉMATIQUE, Séance DU 12 (24) JANVIER 1865. M. Tchébychef présente et recommande pour le Bul- letin une notice de M. le général Maiefski: Sur le mou- vement des projectiles oblongs tirés des bouches à feu rayées. M. Brandt présente un travail de M. le Dr. A. Strauch concernant la distribution géographique des testudinées | sur le globe terrestre (Die Vertheilung der Schildkröten über den J; on limprimera dans le recueil des Mémoires de l'Académie. M. Fritzsche présente une notice de M. Werigo ayant pour objet l'action de l'amalgame du sodium sur les hy- drocarbures mononitrés de la formule C, Ha, e, (Über die Einwirkung von Natriumamalgam etc.). — Cette notice sera insérée dans le Bulletin. M. Ruprecht présente et lit un exposé historique des travaux de l'Académie dans le domaine de la botanique, depuis sa fondation jusqu'à nos jours (Beiträge zur Ge- schichte der Akademie der Wissenschaften. — Botanik). Cet article sera annexé au Bulletin sous forme de Supplément. La Société des naturalistes de Brünn prie de la com- prendre dans le nombre de celles avec lesquelles l'Aca- démie est en échange de publications. — On enverra à la dite Société le Bulletin de giereg à partir du 1” vo- lume de la série courante. MM. Winnecke et Mercklin, élus membres correspon- dants, accusent reception de leurs diplómes et expriment leurs remerciments à l'Académie. CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE. SÉANCE DU 19 (31) JANVIER 1865. Le Secrétaire Perpétuel présente, au nom de M. Kou- torga, membre correspondant de l'Académie, un mémoire en langue russe, sur le jour et la fête du nouvel an chez les Athéniens avant la guerre du Péloponèse; recherche historique basée sur une inscription d'Orop (O dm u uxw 7106010 1004 y Aouxam mpedr Ilcaonouwwckon 00100010 , Ha OcHosaniu odnoü Oponckoŭ nadnucu). Le mé- moire est renvoyé à l'examen de MM. Stephani et Nauck. M. Brosset présente au nom de M. Stadler la tra- duction française publiée par lui d'un ouvrage de M. Emine sur le paganisme arménien. M. Dorn lit un rapport sur l'état du Musée asiatique pendant l’année 1864. Ce rapport sera inséré dans le Bulletin. M. Schiefner présente au nom de M. Justi un exem- plaire de l'ouvrage qu'il a publié sur la langne zende, sous le titre: Handbuch der Zendsprache. Altbactrisches Wörterbuch, Grammatik, Chrestomathie. Leipzig. 1864. Le Département asiatique, par un office du 22 décembre, adresse à l'Académie pour son Musée asiatique, deux publi- cations et plusieurs cartes chinoises, servant à compléter la bibliothèque chinoise dont le Ministère des Affaires étrangeres a fait don à l'Académie. M. Kunik, ayant examiné une. collection d'anciennes monnaies trouvées dans le gouvernement de Mohilev, lit |un rapport dans lequel il discute en détail la valeur de cette trouvaille. Une copie de ce rapport sera placé sous les yeux de M. le Ministre. M. Solovief, professeur à Moscou, par une lettre du 9 janvier, remercie l'Académie du diplôme de per correspondant, qu’il a reçu. : SR Se E: CLASSE PHYSICO- MATHÉMATIQUE. ` ` SÉANCE DU 26 JANVIER (7 FÉVRIER) 1865. M. Jacobi présente et lit une notice sur les alcoo- métres du systeme anglais; cette notice sera insérée dans le Bulletin. M. Ruprecht présente un mémoire de M. le professeur Bunge, membre correspondant de PAcadémie, sur les espèces du genre Cousinia (Übersichtliche Zusammenstel- lung der Arten Cousinia). On publiera ce travail dans le recueil des Mémoires de l'Académie. M. Kokcharof présente et lit une description de plu- sieurs cristaux de topaze, appartenant au Musée du Corps des mines (Beschreibung einiger Topas-Krystalle ete.). Cette 21* Bulletin de l'Académie Impériale notice servant à compléter des articles sur le mème ob- jet, parus dans les Mémoires de l'Académie, sera impri- mée dans le méme recueil. M. Baer porte à la connaissance de la Classe une lettre qu'il a recue de M. Morlot, de Lausanne, et dans laquelle on lui mande que M. le professeur Fellenberg, de Berne, occupé depuis longtemps de recherches sur les métaux, dont sont faits différents objets appartenant aux antiquités des temps anté-historiques, a découvert dans les objets d'or, trouvés dans le Mecklenbourg, des traces de platine. Il a fondé sur cette découverte l'hypothèse que cet or pourrait avoir été tiré de l'Oural. Quant aux objets en bronze, trouvés dans le Mecklenbourg, M. Feilenberg a constaté que le cuivre en est très- pur; il penche à lui attribuer la même provenance et pense que ces objets pouvaient y être fabriqués du ma- lachite ou d'un autre minérai de cuivre. M. Baer estime qu'il aurait été très-intéressant d'avoir des preuves cer- taines de l'existence de rapports constants entre la Sibé- rie et l'Europe occidentale dans les temps anté - histo- riques ou du moins dans une époque antérieure à l'ère chrétienne. Comme le Musée ethnographique de l'Acadé- mie possede plusieurs objets en bronze, trouvés en Sibé- rie, M. Baer propose de les communiquer pour quelque temps à M. Fellenberg, afin. qu'il puisse les comparer aux antiquités qui se sont conservées dans le sol du Meck- lenbourg. — Cette proposition est approuvée. | Le directeur de l'Observatoire astronomique de Vilna adresse un compte rendu des travaux de cet établissement pour l'année 1864. — Le compte-rendu est renvoyé à l'exa- men de MM. Kupffer et Savitch. M. Baer présente au nom de M. Morlot un ouvrage publié par M. Ruchonnet, sous le titre: Exposition géo- métrique des propriétés générales des courbes. Paris 1864. M. Mercklin fait hommage à l'Académie de deux ou- vrages, à la rédaction desquels il a pris part: ce sont 1° des recherches sur le Secale cornutum (Macaxbjtona- mii o CHOphIHbÉ, o cmocoóaxb OTKPEITIA es Bb Cn6. 1864 r.) et 2° «Recherches mieroscopiques dans des questions de médecine légale, ordonnées par le Départe- ment médical du Ministère de l'Intérieur» (O eyze6no-mn- KPOCKOUMYECKUXB i3CrbIOBAHisXb, HPORSBEACHHLEIXB ۲ Mexnunmacrkome enapranentb Min. Bayrp. Mban, ct 1856 no 1861 r.). M. Minding, professeur à Dorpat, par une lettre du 11 janvier, accuse réception du diplóme de membre cor- respondant de l'Académie, et exprime ses remereiments. ASSEMBLÉE GENERALE DE L'ACADÉMIE. _ SÉANCE Du 5 (17) FÉVRIER 1865. . M. le Ministre de l'instruction publique, par un office du 26 janvier, fait connaitre à l'Académie que, par un ordre Impérial du 21 janvier, M. Bezobrazof, conseiller | mais elle a produit surtout une douleur gene d'état actuel et membre du Conseil du Ministère des nances, est confirmé en qualité d'Adjoint de l'Aeadé our l'Economie politique et la Statistique. — Le nouve membre est introduit dans la salle des Conférences vient prendre place parmi ses collègues. me La Commission, nommée dans la séance du 8 jany présente un rapport, dans lequel elle propose de célél la mémoire de Lomonossof par une séance. publi solennelle. MM. Grot et Nikitenko se chargent parer des discours pour cette séance. — Cette pn est approuvée. M. le Président annonce qu'il a c pos dé communiquer à M. le Ministre les consid qui peuvent servir de motifs à la fondation d'un tant le nom de Lomonossof et destiné à étre aux auteurs des meilleurs ouvrages sur différen tions de sciences physiques et de philologie slave. Le Directeur de la 2" Section de la Bibliothöque l'Académie annonce que par les soins obligeants de Khanykof, la Bibliothèque a reçu de l'Institut Impé de France les ouvrages suivants servant à ‘complete différentes séries des publications de l'Institut quep sede la Bibliotheque: 1° Mémoires de P Acad: des sei tom. 25, 26, 27 y. 2, 28, 30, 31, 32, 33. et 34, 4 de Chevreuil, appartenant au tom. 33; 2° Mémoires; sentés à T Acad. des Inscriptions et belles lettres, tol p. 1, 53 p. 2, 24 p. 1; 3* Mémoires présentés à T Acad, Inscriptions et belles lettres, 1° série, tom. 5 p. 2,6 et 2, II° série, tom. 4 p. 1 et 2; 4° Mémoires de Û de sciences morales et politiques, tom. 10 et 11; 0 Ba des discours, rapports et pièces diverses, lus dans les 0 iques et particulières de l'Académie française, 18 1859, 2 vol.; 6° Notices et extraits. des manuserits Bibliothèque Impériale, tom. XV, XVI p. 1, XVI LU p. 1, XIX p. 1 et 2, XX p. 1 et 2. A cet envoise jointe la belle édition de /a Correspondance de Napoli publiée par ordre de l'Empereur Napoléon III. Paris — 1864. 16 vols.— La réception de ces ouvrages 6 cusée avec remerciments. BM S 3 "i 9 CLASSE PINSICO -MATHÉMATIQUE et MISTORICO- PHILOLOGR IES. reuse nouvelle de la perte que vient de faire ۷ dans la personne de M. Lenz, emporté subitement un coup d'apoplexie fondroyante, à Rome, le 1 Cette nouvelle a ému tous ceux qui ont connu Je ؟‎ démie, dont il a été le doyen et à laquelle il-était @ plus d'un titre. — Le Secrétaire Perpétuel dont d'une lettre, datée de Rome, du 30 janvier, d& M. Otto Struve donne des détails sur le triste Après cette lecture, M. le Vice-Président Bou des Sciences de Saint - Pétersbourg. se faisant l'interprête des sentiments de ses collègues, prononce un discours consacré à la mémoire de M. Le — Sur l'invitation de l'Académie, M. Jacobi se charge de préparer un éloge du défunt qui devra étre lu dans une des séances publiques de l'Académie. — E:fin le Se- crétaire Perpétuel est chargé d'exprimer au nom de . l'Académie à la veuve du défunt les sentiments de condo- léance dans la douleur qui l'a frappée. CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE. SÉANCE DU 9 (21) FÉVRIER 1865. : M. Dorn présente et recommande pour les Mémoires de l'Académie un travail de M. Chwolson, membre cor- respondant, sur quelques inscriptions hébraiques des pierres tumuiaires trouvées dans la Crimée (Achtzehn hebrüisehe Grabschriften aus der Krim. Ein Beitrag zur biblischen Chronologie, semitischen Paläographie und alten Ethnogra- phie). MM. Stephani et Nauck, après avoir examiné le mé- moire de M. Kutorga (v. la séance du 19 (31) janvier) présentent chacun leurs rapports. — Audition faite de ces rapports la Classe prononce, à la pluralité des voix, l'ad- mission de ee mémoire dans le recueil russe de l'Acadé- mie (3anncku). M. Dorn lit une proposition ayant pour but d'engager l'Académie à charger M. Skatchkof de mettre en ordre la Bibliothèque chinoise du Musée asiatique de l'Acadé- mie et d'en rédiger un catalogue complet et domua ant Cette proposition est approuvée. M. Séhirren, professeur à Dorpat, élu à unc des places vacantes de membre correspondant, remercie l'Académie de cette nomination et accuse réception de son diplóme. CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE, Séance DU 16 (28) FÉVRIER 1865. M Tchébychef présente et lit un mémoire sur Tinte- gration des différentielles, contenant la racine cubique. Le mémoire sera publié dans le recueil russe de l'Académie. M. Kokcharof présente et lit une monographie du pyroxene russe; ce travail entrera dans la composition des Mémoires de l'Académie, et un extrait en sera inséré dans le Bulletin. M. Brandt présente et recommande pour le Bulletin une notice de M. Nojine, intitulée: Über einen Genera- tionswechsel bei sns icm proboscidalis und die Larve von . Rhizostoma Aldrova M. Ganine, de l'Université de Kharkof, adresse à l'Académie un mémoire contenant des observations nou- velles sur la propagation des larves des insectes dipteres (Hocus naGmodenia nado ۵ ٩۳0 deyxpu- anxo Mode Mrs Ce mémoire est posi est à l'examen de MM. Baer et Ofsiannikof. M. Tehébychef lit son rapport sur un mémoire de nz. | M. Zaroubine, intitulé: Analyse de la théorie de l'appa- reil inventé par M. Schubersky ei nommé par lui «ma- khovoze». MM. Kupffer et Savitch, ayant examiné, sur l'invi- tation de l'Académie, le compte-rendu du Directeur de l'Observatoire astronomique de Vilna pour 1864, présen- tent leur rapport. MM. Weyerstrass, de Berlin, Warr en de la Rue, de Londres, Miller, de Cambridge , et Ratzeburg, de Neustadt - Eberswalde , élus membres correspondants de l'Académie, npe leurs remerciments des diplómes qu'il ont recus CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE, SÉANCE DU 23 FÉVRIER (7 MARS) 1865. M. Dorn présente une note, intitulée: Observations sur lextérieur et la langue des habitants des provinces du lit- toral méridional de la mer Caspienne, et demande à ötre autorisé à la publier dans les «Nouvelles annales des Voyages». Approuvé. M. Olshausen, par une lettre datée de Berlin du 27 février n. st., accuse réception du diplóme de membre correspondant et exprime ses remerciments. M. le Comte Ouvarof, par une lettre du 8 février, re- mercie l'Académie, au nom de la Société archéologique de Moscou, dont il est le président, des différentes publi- cations de l'Académie envoyées à cette Société. CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE, SÉANCE DU 2 (14) mars 1865. M. Helmersen présente et recommande pour le Bul- letin une notice de M. Schmidt, intitulée: Untersuchun- gen über die Erscheinungen der Glacialformation in Est- land und auf Ösel. M. Ofsiannikof lit son rapport sur un mémoire de: M. Ganine contenant des observations nouvelles sur la multiplication des larves des insectes diptères. Les obser- vations de M. Ganine confirment la découverte, faite par M. Wagner, professeur à Kazan, d’un mode nouveau de génération des larves d’une espèce des insectes diptères du genre des cécydomiens. L'importance de cette décou- verte a été appréciée par l'Académie avant que personne | ait osé hazarder une opinion sur le phenomene aussi im- portant qu'inattendu. Maintenant que la réalité de la découverte a été confirmée par MM. Meinert, Paggen- stecher et Siebold, que l'insecte dont il sagit a déjà reçu un nom dans le système, Miastor metraloas, les ob- servations de M. Ganine acquierent un intérét nouveau. Sur la proposition de M. Ofsiannikof, le mémoire de M. Ganine sera publié dans le recueil russe de l'Académie. Bulletin de l'Académie Empériale M. Struve adresse de Rome, sous la date du 19 février, une lettre :dans laquelle il rend compte de quelques ob- | servations qu'il a faites à l'Observatoire du Collége Ro- main, avec M. Secchi, sur certaines propriétés des nébu- leuses. Il donne en méme temps communication d'une lettre de M. Steinheil, de Munic, du 17 février n. st., concernant une découverte faite par lui, M. Steinheil, et son fils Adolph, ets qui permet de donner plus de per- fection à la confection des verres convexes à grande ou- verture. . = M. Jacobi, ayant examiné, sur l'invitation de la Classe, un mémoire de M. Zaroubine, intitulé: Eramen de la théorie d'une machine inventée par M. Schubersky et ap- pelée par lui makhovoze, lit un rapport, dont les conclu- sions sont approuvées par l'Académie. On en fera commu- nication à l'auteur. : M. Abich adresse, de Tiflis, une lettre pour offrir ä l'Académie, pour son Cabinet minéralogique, cinq fragments de météorites, trouvés aux Indes, au Cap de Bonne Espé- rance, en Turquie, aux Iles Sandwichs et au Bengal. Le donateur en sera remercié au nom de l'Académie. M. Adams, de Cambridge, et M. Huxley, de Londres, accusent reception des diplómes de membres-correspon- dants, qui leurs ont été offerts, et adressent leurs remer- ciments à l'Académie. ١ L’Académie des sciences naturelles de Catane exprime le désir d’être portée sur la liste des institutions aux- quelles l'Académie des sciences de St.-Pétersbourg adresse ses publications à titre d'échange. — On fera parvenir à ladite Académie le Bulletin et les Mémoires de l'Acadé- mie, à partir du premier volume des séries qui sont en voie de publication. ASSEMBLÉE GENERALE DE L'ACADÉMIE, SÉANCE DU 5 (17) mars 1865. - M. le Ministre de l'Instrüction publique, par un office du 13 février, fait connaitre l'ordre Impérial autorisant l'Académie à célébrer par une séance publique solennelle le centième anniversaire de la mort de Lomonossof. M. Ivachintzof, chef de l'expédition chargée de la levée et du sondage de la mer Caspienne, adresse une série de 24 cartes et plans, dressés par les membres de l'expédition qu'il dirige. M. De la Roquette, président de la Société géogra- phique de Paris, fait hommage à l'Académie du premier volume publié par lui de la Correspondance scientifique «et littéraire du Baron Alexandre de Humboldt. | L'Académie des sciences de Bologne et la Société orien- tale américaine de New-Havn prient l'Académie de vou- loir bien combler des laeunes dans la collection des publi- cations de l'Académie qu'elles possèdent. |du 9 février, a été invité à se charger de la ec passé en revue les catalogues des objets formant le Mus CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE, SÉANCE DU 9 (21) MARS 1865, 2 M. Wiedemann ayant examiné, sur Pinvit l'Académie, un travail manuscrit de M. Rogof, Dictionnaire Permiak-russe et. Russe-permiak, lit port, dans lequel il atteste que l'auteur y a mis les observations faites par l'Académie concernant | vail, et que dans son état actuel le dictionnaire de] Rogof est digne d'être publié sous les auspices de démie. M. Wiedemann de son côté se déclare pré vail, sous forme de volume séparé. Ni M. Stephani fait hommage, au nom de M1 Stroganof, president de la Commission Impériale logique, du Compte-Rendu de cette Commission: D née 1863. On trouve dans ce volume un rappo Commission pour ladite année, et des explicatio ns, due à la plume de M. Stephani, des objets, trou 1862, prés de Kertch, ainsi qu'une description de « vases peints de l'Ermitage Impérial Le Compte 1 est accompagné d'un magnifique atlas de planches gr wir Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de Classe que depuis sa dernière séance l'ouvrage suivant été mis en vente et en distribution: Matériaux 0 à l'histoire du Khanat de Crimée. — C’est une documents en langue tatare, extraits des archive nistère des Affaires étrangères, à Moscou, et publ la direction de M. Véliaminof- Zernof. 3 M. Skatchkof, qui, en vertu d’une décision de d'un catalogue complet et systématique de la Bibli chinoise de l'Académie, soumet ses propositions concern le plan qu'il juge utile de suivre dans ce travail. La Jl approuve pleinement les idées, émises par M. Skatchl à ce sujet, et le charge de l'exécution. ^ ^ 1 M. Schiefner, ayant, sur l'invitation de PAC ethnographique, présente une liste des doubles, dont l'A démie pourrait disposer en faveur du Musée pub} Moscou. — Cette liste étant approuvée, le Secré pétuel est chargé de faire parvenir les objets qui spécifiés, au Musée de Moscou. di CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE. A SÉANCE DU 16 (28) mans 1865. . M. le Ministre de l'instruction publique fait‘ x à l'Académie que Sa Majesté l'Empereur a daig firmer, le 8 mars, M. Maximovicz en quante Wicien-Adjoint pour la botanique, avec ancienne des Sciences de Saint-Pétersbourg. tir du 8 janvier. — Le nouveau membre est à la suite de cela introduit dans la salle des Conférences et prend place parmi ses collègues. Lecture est faite d’un office du 12 mars, par lequel M. le Ministre de l'Instruction publique donne communi- cation de l'ordre Impérial, du 8 mars, portant l'admission de M. l'académicien Middendorff, sur sa demande, en retraite, avec pension de 1429 roub. 60 kop. sur la Caisse d'Etat. M. le Président communique en extrait une lettre, qu'il a reçue de Sir Roderik Murchison, et dans laquelle l'honorable président de la Société géographique de Lon- dres fait part des projets discutés au sein de cette Société concernant des expéditions au póle du nord. L'Académie, | rischen Thone zu St. Petersburg (Mém. de l'Acad. t. VIII, sur l'invitation de son Président, a jugé à propos de ren- voyer cette lettre à une commission composée de MM. Baer, Kupffer, Helmersen et Savitch. M. Helmersen présente et lit un mémoire sur le bas- sin houillier de Donez et sur son avenir industriel (Das Donezer Steinkohlengebirge und dessen industrielle Zukunft). Ce travail sera inséré dans le Bulletin. M. Fritzsche présente et recommande pour le Bulle- tin une notice de M. Iavorsky sur quelques combinai- sons du toluol (Über einige Toluolverbindungen). M. Ofsiannikof présente une notice de M. le WH Sétchénof concernant l'action excitante du sang sur les centres cérébro-spinaux de la grenouille (Über die erre- gende Wirkung des Blutes auf die cerebro - spinalen Ner- vencentra des Frosches); elle paraîtra dans le Bulletin. M. Baer présente une notice de M. le Baron Dr. Sass faisant suite aux recherches communiquées antérieurement par l'auteur à l'Académie, sur les variations du niveau de la mer Baltique (Untersuchungen über die Niveauverschie- denheit des Wasserspiegels der Ostsee, III. Artikel); sur la proposition de M. Baer, cette notice sera imprimée dans le Bulletin. M. Kupffer présente une notice de M. le Daron Dr. Sass sur la congélation de la mer prés des cótes d'Oesel et de Moon (Über die Eisbedeckung des Meeres am den Küsten der Inseln Oesel und Moon). Sur la proposition de M. Kupffer, ce travail sera admis dans le Bulletin. Le Secrétaire Perpétuel communique une lettre qu'il a recue de M. Moritz, et dans laquelle le savant direc- teur de l'Observatoire magnétique et météorologique de Tiflis donne une liste de tous les cas de tremblements de terre ressentis au Caucase de 1852 jusqu'à 1864. — Un ` extrait en sera inséré au Bulletin. M. Ramstedt, lieutenant-colonel, adresse de Helsing- fors, sous la date de 15 mars, une lettre par laquelle il sollicite un jugement de l'Académie sur un seismometre qu’il a imaginé. Un dessin lithographié, joint à Ja lettre, représente les détails de la construction de cet appareil, destiné à accuser dans l'absence de l'observateur, les tremblements de terre et à enregistrer graphiquement les mouvements du sol qu'ils produisent. — Renvoi à l'examen d'une commission, composée de MM. Kupffer, Jacobi et Helmersen M. Savitch dit un rapport dans lequel il expose les résultats des recherches faites par lui, en collaboration de M. Robert Lenz, sur le pendule, construit par M. Rep- sold, à Hambourg, et destiné à servir aux observations que l'Académie a ordonné d'exécüter sur différents points de larc du méridien, mesuré en Russie. Un extrait de ce rapport sera publié dans le Bulletin. Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la Classe que depuis la dernière séance les publications sui- vantes ont été imprimées et mises en vente et en distribu- tion: 1° H. Struve, Die artesischen Wasser und untersilu- X 11), et 2° Mélanges biologiques tom. IV, livr. 5 et 6. M. le comte Marensi, par une lettre du 6 mars, de Triest, fait hommage à l'Académie. de trois opuscules géologiques suivants qu'il a publiés: 1° Zwölf Fragmente über Geologie. Triest 1864; 2° Das Alter der Erde, Triest 1865, et 3° Der Karst. Ein geologisches Fragment im Gei- ste im Einsturztheorie. Triest 1865. CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIOUE, SÉANCE DU 23 MARS (4 AVRIL) 1865. Le Secrétaire Perpétuel annonce à la Classe la dou- ‘loureuse nouvelle de la mort de M. Smitt, membre cor- respondant de l’Académie dans 7 section historique, dé- cédé à St-Pétersbourg le 11 ma M. Bézobrazof fait iig á l’Académie d'un mé- moire qu "il a publié sur la question débattue au sein d'une commission gouvernementale, concernant le péage, pergu sur les chaussées. Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la Classe que depuis sa dernière séance une livraison com- tenant. les feuilles 61 — 70 du tome IV du Dictionnaire sanscrit de MM. Bóhtlingk et Roth a été — et mise et vente et en distribution. M. Kunik lit un article destiné à casques les rap. ports qui ont existé entre Lomonossof et Trediakof- ski à l'occasion de Pode célèbre du premier sur la prise de Khotine. Cet article sera placé, en guise de préface, en téte du volume, publié par M. Kunik et contenant une série de documents pouvant servir à une biographie de Lomonossof. M. Dorn annonce qu'un choix d'ouvrages, imprimés en Perse, a été, par les soins de l'Ambassade russe à Té- héran, achété pour le Musée asiatique de l'Académie. L'en- voi de ces ouvrages se fera au fur et à mesure. — Sur la proposition de M. Dorn, la Classe vote des remerciments ۸ Son Excellence M. de Girs qui a bien voulu, par ses soins obligeants, faciliter à l'Académie l'acquisition d’ou vrages qui manquaient à sa Bibliothèque asiatique. Bulletin de Académie l’Empériale M. Stephani annonce que désirant compléter les sé- ries d'empreintes de pierres gravées du Cabinet numisma- tique de l'Académie, il s'était mis en rapport avec M. Müller, conservateur du Musée Thorwaldsen, pour obtenir par son entremise une collection d'empreintes des pierres gravées du célèbre musée de Copenhague; et par suite de cela il a requ maintenant de M. Müller une lettre fai- sant savoir qu'une collection de 570 empreintes des plus remarquables pièces de ce Musée coûtera environ 60 thl. de Prusse. — M. Stephani est autorisé à en faire l'acqui- sition. CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE, Séance DU 30 mars (11 AVRIL) 1865. M. Baer lit au nom d'une commission, nommée dans la séance du 16 (28) mars, et composée de lui et de MM. Kupffer, Helmersen et Savitch, un rapport relatif aux projets discutés au sein de la Société royale géogra- phique de Londres, concernant des expéditions au póle du nord. — Les conclusions dé ce rapport étant approuvées par la Classe, le Président est engagé à informer Sir Ro- derik Murchison, en réponse à sa lettre, que l'Acadé- mie des sciences de St.-Pétersbourg applaudit aux efforts déployés par la Société géographique de Londres pour pro- voquer des nouvelles expéditions arctiques, — expéditions qui ont été aussi glorieuses pour le pavillon britannique que profitables aux sciences. à La question principale à résoudre est de savoir s'il se trouve autour du'póle une vaste mer ouverte, ou bien des masses de terre d'une étendue considérable. Il appartient à la marine britannique de résoudre ce probleme à la solution duquel elle a déjà apporté tant de persévérance et de sacrifices en argent et en hommes. On aura toujours a citer comme témoignage des sentiments généreux qui animent les coeurs britan- | ta niques, l'exploration de canaux remplis de glaces, de l'ar- chipel arctique américain, poursuivie pendant tant d'an- nées dans le but de sauver, s'il est possible, le magna- nime Franklin ou une partie de son équipage. Mais la poursuite même de ce but a détourné la marine anglaise de la voie qui selon toute probabilité peut mener plus facilement à la solution du probléme principal. Il ne se- rait donc pas certainement juste que cette circonstance | fit renoncer tout à fait cette marine à poursuivre la so- lution du problöme et qu'elle cedát à une autre nation la gloire d'atteindre les régions avoisinant le pole nord — probleme que lon peut plus facilement résoudre en. se dirigeant droit vers le póle, au lieu de chercher à y arriver au bassin polaire par le Smith-Sound. On voit déjà par ce qui précède que la Commission in- cline vers l'opinion des promychlenniks russes, soutenue scientifiquement pas l'amiral Wrangell, savoir que la mer sous le pôle n'est par couverte d'une manière permanente | d'une masse non-interrompue de glaces. Il s'ensuit que trionale. Le sort tragique de Sir John Frankl incontestable pour la météorologie et pour Pi meilleure préparation à une étude plus détaillée la Commission donne son adhésion au conseil de termann, et que dans le cas où l'Amirauté bri ni ne veuille pas équiper deux expéditions, dont P dirigerait à travers l'archipel américain septentrie l'autre droit au nord en partant de Spitzberg, la 0 sion donnerait la préférance à cette derniére, qu offrir beaucoup plus de garantie de succes que ie a Saus admettre comme entièrement fondés tous les des explications de M. Petermann; sans sou tenir m i mément qu'au-délà de la côte septentrionale de Sr bor on n'avait plus à craindre de rencontrer les pla glaces; sans corseiller enfin d'une manière positi tourner le Spitzberg par l'est, puisque, d’après le téme des promychlenniks russes, l'est de Spitzberg à époques visité par eux;est libre de glaces, tandis 6 époques il est couvert de grandes plaines de glaces; mission n'hésite pas à se ranger aux idées soutenues Petermann, quant aux points essentiels, et elle pens voyage entrepris par deux bateaux à vapeur q de Spitzberg vers le póle et au-delà du pöle, moins de danger pour les hommes et moins de diffici comme on peut en juger par le voyage de Sir James] au pôle sud. Même dans le cas le plus malheureux, s si les bateaux à vapeur venaient à être enfermés pa plaines de glaces, ce qui n'est presque pas à crai les steamers, il auraient encore selon toute prob chance d'ére entrainés par ces glaces mémes ve au printemps suivant. Une pareille chance n'exist pas dans les détroits de l’archipel de l'Amérique. 1 assez. Un voyage droit au pöle rendrait peut- géologie et à la zoologie moins de services, qu’u à l'ouest de Groenland, quoiqu'on puisse d'un bassin polaire, et ce probléme est d'une im magnétisme terrestre. Enfin, et ce n'est pas là tage insignifiant, la solution de ce probléme me terme à beaucoup d'hypothéses hazardées, telles exemple l’idée de M. Froriep d'un climat trés autour du pôle, ainsi que l'hypothese diamétralem posée d'une calotte permanente de glaces. L'expédition britannique dans le bassin polaire de grands services à la science méme dans le cas. rencontrerait sous le póle une grande ile bordée de puisqu'il ne s'agit pas du pôle lui-mème, qui impor c’est un point comme tous les autres. ` L'exploration du bassin polaire du nord Wes p gions qui entourent le póle sud. M. Baer met sous les yeux de la Classe d i coins en pierre, trouvés par M. Koani - des Sciences de Saint- Pétersbourg. mines, dans les salines du gouvernement d'Erivan, par conséquent dans l'ancienne Arménie. M. Baer propose de remercier M. Koskul pour l'envoi de ces objets intéres- sants, et de faire dessiner ces coins, ainsi que quelques autres outils en pierre, et d'en publier des lithographies, aecompagnées d'un texte explicatif, afin de diriger l'atten- tion générale sur ces sortes d'objets et d'en provoquer des envois ultérieurs. Approuvé. -= M. Weisse, auquel l'Académie avait communiqué des collections de substances retirées du fond du lac de La- doga (v. la séance du 15 décembre 1864), adresse une note contenant le résultat de l'examen auquel il a soumis ces substances. Cette note ayant pour titre: Fernere Un- tersuchungen von Grundproben aus dem Ladoga = See auf Diatomaceen, sera publiée dans le Bulletin. Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la Classe que depuis sa dernière séance le mémoire de M. Kokcharof, Beschreibung einiger Topas-Krystalle (Mém. de l'Acad. tom. VIII, X 12), a été imprimé et mis en vente et en distribution. M. Pritchard, secrétaire honoraire de la Société royale astronomique de Londres, fait hommage à l'Académie de l'Eloge qu'il a lu dans une des séances de cette Société, de M. Struve, et inséré dans les Monthly Notices de la Société. M. Perrey, dans une lettre adressée au Secrétaire Perpétuel, transmet les remerciments de l'Académie de Dijon pour l'envoi qu'elle a reçu des Mémoires et du Bul- letin de l'Académie, et annonce qu'il a remis à M. le Con- sul-général russe à Paris, pour étre expédiés à l'Académie de St.-Pétersbourg, quelques-uns de ses nouveaux ou- vrages, ainsi que le dernier volume des Mémoires de l'Aeadémie de Dijon. Il exprime en méme temps le désir de pouvoir compléter sa bibliotheque séismique par le mémoire de M. Abich sur une ile qui a surgi récemment du fond de la mer Caspienne (Mém. de l'Acad. tom. VI, X 5). Le Secrétaire Perpétuel est chargé de faire parve- nir ce mémoire à M. Perrey. CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE. SÉANCE DU 13 (25) AVRIL 1865. M. Brosset présente et lit la derniere partie de l'on- vrage, dont il a commencée la lecture dans la séance du 22 décembre 1864 (3 janvier 1865), ct auquel il a donné le titre: Etudes sur Thistorien arménien Mkhithar @ Airi- vank; du XIII" s. Ce travail sera inséré dans le Bulletin. M. Zachariae v. Lingenthal, membre correspondant, adresse un mémoire, intitulé: Eine Verordnung Justinian's über den ۸ aus den Jahren 540 — 547. Renvoi à l'examen de M. Kunik. Le Departement des Relations Intérieures transmet un paquet. DN remis à l'Ambassade russe à Drèsde par Tom M. le Dr. Behrnauer, Secrétaire de la Bibliothèque royale de cette ville. Ce paquet contient une lettre dans laquelle M. Behrnauer prie l'Académie de vouloir bien prendre sous ses auspices la publication du texte arabe du «Risala» du poéte espagnol Ibn-Zaidun. MM. Dorn et Véliami- nof-Zernof examineront la question. Le Secrétaire Perpétuel porte à la connaissance de la Classe que le 1° volume dû Recueil de documents servant à l'Histoire de T Académie des sciences, publié par M. Ku- nik (C6opuukw warepia10pP Aan Meropin Araie win Hayk®), a été imprimé et mis en vente et en distribution. M. Thomsen, directeur du Musée de Copenhague, élu membre correspondant de l'Académie, accuse reception du diplóme, et adresse ses remerciments. Il y joint quelques observations pour faire voir l'importance de l'exploration de la Russie au point de vue de l'étude des antiquités antéhistoriques. — La lettre de M. Thomsen sera commu- niquée à M. Bae M. le Ministre de l'Instruction publique transmet une certaine quantité d'anciennes monnaies (au nombre de 140 pièces), trouvées dans le district de Vilno, et demande si l'Académie juge à propos d'en faire l'acquisition pour son Cabinet numismatique. Renvoi à l'examen de M. Kunik. ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DE L'ACADÉMIE. SÉANCE LU 16 (28) AVRIL 1865. M. le Ministre de l'Instruction publiqhe, par un office du 12 mars, fait savoir à l'Académie que sur son rapport Sa Majesté Impériale a daigné approuver la création d'un prix annuel de 1000 roub., qui portera le nom de prix Lomonossof, et sera décerné par l'Académie, à partir de l'année 1866, pour des ouvrages marquants. L'Acadé- mie est en méme temps chargée de préparer et de sou- mettre à M. le Ministre un Réglement concernant la distribution de ce prix. — Audition faite de cet office, on nomme une commission, composée de MM. Jacobi, Tché- bychef, Zinine, Kokcharof, SrosnefakE EE et chargée de préparer un projet de règlement. — ` CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE. SÉANCE DU 20 AVRIL (2 MAI) 1865. M. Ofsiannikof présente et recommande pour le Bul- letin, une notice de M. A. Brandt, étudiant de l'Acadé- mie de Médecine de St.-Pétersburg, concernant les obser- vations physiologiques qu'il a faites sur le coeur de l'écre- visse ( Physiologische Ding am Herzen des Fluss- krebses). M. le Ministre. de: Visstruction gublique transmet une lettre de M. Struve, datée de Rome, le 11 mars, et ac- | compagnant l'envoi d'un rapport sur son voyage à l'étran- 22 BET Bulletin de l'Académie Impériale ger. — Audition faite de ce rapport l'insertion en est jugée utile dans le recueil russe (Jauucku.) M. Struve adresse de Rome un exposé des titres de M. G yldén, astronome-adjoint à Poulkovo, qu'il propose de nommer à une place vacante d'Astronome-supérieur au dit observatoire. Depuis son entrée à l'Observatoire en qualité d'astronome-adjoint, M. Gyldén a été chargé de faire des observations au moyen du grand cercle vertical d’Ertel, et a travaillé en méme temps à la réduction des Observations faites antérieurement avec cet instrument par M. Peters. Il s'est acquité de cette double tâche avec autant d'habileté que de zèle. M. Struve rappelle qu'il a eu occasion l'an dernier d'attirer l'attention du Comité de l'Observatoire sur la grande perfection que l'on doit attribuer aux observations de M. Gyldén, — observa- tions, qui non seulement égalent celles de son prédé- cesseur sous le rapport de l'exactitude, mais les surpas- sent encore par suite de l'étude spéciale de l'instrument, par laquelle M. Gyldén a rehaussé la valeur de ses ob- servations. Maintenant M. Struve communique à l'Acadé- mie, que gráce au zele infatigable de M. Gyldén, la ré- duction des anciennes observations de M. Peters a avancé à tel point, que l'observatoire possède déjà une table dé- finitive des réfractions de Poulkovo. Ce travail, d'aprés le témoiguage de M. Dóllen, mérite l'attention comme étant basé sur des caleuls rigoureux, et se distingue par la nouveauté et l'importance des recherches théoriques. — L'exposé de M. Struve est accompagné d'une liste d'ouvrages publiés par M. Gyldön, et d'un mémoire ma- nuscrit, sur la constitution de l'atmosphère et sur la ré- fraction de la lumière (Untersuchung über die Constitution der Atmosphäre und die Strahlenbrechung in derselben). La Classe considérant l'importance des travaux qui ont acquis à M. Gyldén une place honorable dans la Science, et ayant en vue le $ 19 des Règlements de l'Observatoire Central Nicolas, confirmés par Sa Majesté Impériale le 14 aoüt 1862, le nomme, par la voie du scrutin, Astro- nome supérieur de l'Observatoire. Cette nomination sera soumise à l'approbation Impériale, M. le Président informe la Classe qu'il a fixé au 19 mai la réunion à Poulkovo du Comité de l'Obser vatoire, et in- vite l'Académie à vouloir bien désigner quatre de ses membres qui, aux termes des Règlements, doivent faire partie de ce Comité. — La Classe nomme en conséquence MM. eet, Jacobi, Somof et Savitch. CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE. SÉANCE DU 27 AVRIL (9 MAI) 1865. MM. Dorn et Véliaminof-Zernof, chargés, dans la séance du 13 avril, d'examiner une proposition de M. le Dr. Behrnauer, concernant la publication du Risala d'Ibn Zaidun, donnent un exposé de leurs conclusions, Ils con- sidérent l'entreprise projetée par M. Behrnauer trés utile, mais ils pensent en méme temps que cation d'un ouvrage du genre de celui dont il est ne rentre pas dans le cercle des objets auxquels PA, mie consacre toute son attention dans le domai études orientales; et les sommes qui auraient du être pensées pour les frais d'impression dudit poëte être plus utilement employées à la publication: qui intéressent plus directement la Russie, MM. Veliaminof-Zernof concluent done qu'il ny pour l'Académie à se charger de la publication sies d'Ibn- Zaidun. Dans le cas oü une édition faite à l'étranger, l'Académie pourait prendre un: ment pour un exemplaire, ou tout au plus. ee La Classe ayant approuvé ces conclusions, M. B en recevra avis. M. Dorn porte à la connaissance de la Classe reçu au Musée asiatique une série d'ouvrages en! arabe, persane et turque, achetés à Constantin moyen de fonds, alloués à cet effet par l'Académie. série se compose de 80 volumes, et contient: un scrit arabe, 1 livre imprimé à Tébrize, 1 imprimé lak, et 77 vol. imprimés à Constantinople. M. Dorn met sous les yeux de la Classe deux m d'argent, offertes en don au Musée asiatique pa général Bartholomaei: l'une d'elle est une pi rare du goulagouide Baidou (1295), avec une arabe et mongole; l'autre a été frappée sous J (76 — 695), et porte une légende arabe et. pehl La Classe vóte des remerciments à M. Bartholo CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE. SÉANCE DU 4 (16) mar 1865. - M. Brandt présente et lit un mémoire conten remarques sur la classification des vertébrés à Es servant de réponse à cette question: qu'est-ce qu son? (Bemerkungen über die Classification der kal Rückenmarkthiere zur Beantwortung der Frage: Wi ein Fisch?). Ce travail sera inséré au recueil des Mé de l'Académie, et un extrait en sera publié dans le Bu M. Ruprecht présente et lit une notice sur une d'eau douce, trouvée dans la marne au gouverne Viatka (Über eine mikroskopische Süsswasser-Alge, standtheil gewisser Mergel des Gouvernements ` Cette notice paraîtra dans le Bulletin. M. Tchébychef présente et lit un mémoire sur gration différentielle, contenant une racine cub > sera publié dans le recueil russe p e | HA 1 M. Jacobi présente au nom de M. Théreminu in intitulée: Essai sur la détermination de l'épaiss 0 couche atmosphérique du globe terrestre. — Renvor des Sciences de Saint- Pétersbourg. men d'une commission, composée de MM. Jacobi et Somof. M. Ivachintzof, chef de l'expédition hydrographique de la mer Caspienne, informe l'Académie que les officiers de la marine faisant partie de cette expédition ont re- cueilli pendant l'année 1864 des collections: 1° d'échan- tillons d'eau, pris dans différentes parties et aux différentes profondeurs de la mer; 2° de substances retirées du fond de la mer; 3? de plantes et d'objets divers du règne ani- mal. M. Ivachintzof envoie tous ces objets à l'Acadé- mie, ainsi qu'un reservoir rempli de gaz de naphta sor- tant du fond de la mer, et prie l'Académie de vouloir bien les examiner, pour lui faire connaitre ensuite les ré- sultats que cet examen aurait fourni. — MM. Baer et Schrenck se chargent d'examiner les plantes et les ob- jets du régne animal; M. Zinine fera l'analyse du gaz de naphta et des échantillons d'eau de la mer, et M. Weisse sera invité à vouloir bien examiner les substances retirées du fond de la mer. ASSEMBLÉE GENERALE DE L'ACADÉMIE. Séance DU 7 (19) mar 1865. M. Bouniakofski, vice - président, lit une notice: Sur les tables de mortalité et de population de la Russie. 11 ۲ donne un apergu général des résultats auxquels il a été conduit dans ses recherches sur cette matiere; un exposé détaillé de ces recherches fera l'objet d'un mémoire étendu qu'il se réserve de présenter plus tard à la Conférence. M. Hamel, par une lettre du 30 avril, met à la dispo- sition de l'Académie un mémoire manuscrit trouvé dans les papiers de son oncle, feu l'Académicien Hamel, et qui a pour objet les anciennes couronnes russes. Ce manuscrit sera déposé à la Bibliotheque et le Secrétaire Perpétuel exprimera à M. Hamel les remerciments de l'Académie. M. Kunik donne un exposé des motifs qui le portent à proposer une nouvelle édition du catalogue des publica- tions russes de l'Académie, et présente en même temps le manuscrit prêt à être mis sous presse, d'un tel catalogue. — La Conférence, approuvant cette proposition, arrête l'impression du catalogue, et en fixe le tirage à 1200 exemplaires. M. Kalatchof, directeur des Archives du Ministère de la Justice à Moscou, porte à la connaissance de l'Acadé- mie qu'il a jugé utile de fonder aux Archives confiés à sa direction, une bibliothèque qui se composera d'ouvrages indispensables aux personnes vouées aux recherches histo- riques; et il prie l'Académie de lui venir en aide dans cette entreprise, en faisant don à cette bibliotheque de ceux des ouvragés publiés par l'Académie, qui répondent à la destination spéciale. de cette collection et dont la liste est jointe à la lettre de M. Kalatchof. — La Con- férence charge le Secrétaire Perpétuel de faire parvenir à M. Kalatchof les ouvrages démandés. La Société Linéenne de Normandie prie de combler quelques lacunes qu'elle signale dans la collection qu'elle possede des Mémoires et du Bulletin de l'Académie. M. Galateri, de Turin, fait hommage à l'Académie d'une série d'ouvrages qu'il a publiés sur l'art militaire et l'armée italienne. CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE. SÉANCE DU 11 (23) Mar 1865. M. Dorn porte à la connaissance de la Classe qu'il a reçu au Musée asiatique 41 volumes d'ouvrages publiés en Perse et achetés pour le compte de l'Académie par l'Ambassade russe à Téhéran. M. Schiefner met sous les yeux de l'Académie une liste d'antiquités, trouvées dans différentes parties de la Sibérie orientale et offertes en vente par M"* Titof. La Classe jugeant ces objets dignes d'étre placés au Musée ethnographique, en arréte l'acquisition. CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE, SÉANCE DU 18 (30) mar 1865. M. Ofsiannikof présente et lit une notice concernant ses recherches histologiques sur les corpuscules du sang (Zur Histologie der Blutkörperchen); elle sera publiee dans le Bulletin. M. Brandt présente et lit une note destinée au Bulle- tin, sous le titre: «Matériaux pour servir à la connaissance des différents états de développement des espèces de pois- sons ganoïdes» (Bericht über den ersten Theil meiner Bei- träge zur Kenntniss der Entwickelungsstufen der ganoiden Fischformen). "AP M. Savitch communique, dans une notice qu'il lit, les résultats de ses observations du Neptune et de Vesta. Cette notice paraitra dans le Bulletin. gr M. Helmersen fait hommage du texte explicatif qu'il vient de publier, de sa carte géologique de la Russie. Le méme académicien présente et recommande pour le Bulletin un mémoire de M. Ad. Goebel sur le carnallit de Maman, en Perse, et sur les causes de la couleur rouge de quelques sels naturels ( Untersuchung des Car- nallits von Maman in Persien und über die wahre Ursache der rothen Fürbung mancher natürlichen Salze). M. Hauy marquis de Forville, inspecteur de remonte au Chemin de fer Nicolas, par une lettre datée de Moscou, le 6 mai, adresse un mémoire intitulé: Proposition d'un Indicateur électrique nouveau ayant pour objet de trans- mettre aux machines fixes d'alimentation, le moment des ni- veaux supérieur et inférieur, de l'eau contenue dans les ré- servoirs placés aux stations. — Renvoi à l'examen de M. Jacobi. 99* Bulletin de l’Académie Impériale M. Brandt annonce la création, à Tiflis, d'un Musée des produits naturels du Caucase, et propose de mettre à la disposition de ce Musée quelques doubles du Musée oe de l'Académie. Approuvé. CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE. SÉANCE DU 1 (13) JUIN 1865. M. Brandt présente et lit un rapport sur la seconde partie de son travail concernant les degrés de développe- ment des Ganoides. Ce rapport sera publié dans le Bul- letin. M. Zinine présente et recommande pour le Bulletin, une notice de M. Sokolof, étudiant en médecine, sur les chlorures du phenyle. M. Fritzsche présente au nom de M. Famintzin, do- cent à l’Université de St.-Pétersbourg, un mémoire dans lequel l'auteur rend compte des observations qu'il a faites concernant laction de la lumiére sur la croissance du cresson. M. Maximovicz est chargé d'examiner le mé- moire. Le Secrétaire Perpétuel présente au nom de M. Müller un mémoire intitulé: Über die Relation zwischen magneti- scher Inclination und Horizontalintensität. — M. Jacobi est chargé d’examiner ce mémoire. M. Roudanofski, par une lettre datée de Nijné- Ta- guilsk, gouvernement de Perm, soumet au jugement de l'Académie un mémoire sur une nouvelle méthode de lé- tude des nerfs. — M. Ofsiannikof est invité à prendre connaissance de ce travail et d'en faire l'objet d'un e M. Savitch présente au nom de M. Smyslof, astro- nome à Poulkovo, un ouvrage intitulé: Onwmw daa cpas- HUMENDHOU o PAZAUUHMED 611060000 0 nepedauu spemenu npu onpednaeuiu. pasnocmu 00/110115 Iyn- 10661011 u Mockosckoii O6cepsamopitt. (Recherches sur les différents moyens de transmission télégraphique du temps, faites à l’occasion de la détermination de la différence de longitude des Observatoires de Poulkovo et de Moscou.) M. Savitch accompagne la présentation de ce volume d'un exposé de son contenu et attire l'attention de l'Aca- démie sur les principaux résultats des recherches de l'auteur. Le Secrétaire Perpétuel donne communication d'une lettre dans laquelle M. de Cormenin, membre de l'In- stitut Impérial de France et Conseiller d'Etat, propose quelques questions concernant la culture de I Asc Cornuti. — M. Ruprecht se déclare prét à recueillir des renseignements et à coucher par écrit des réponses à ces questions. ASSEMBLÉE GENERALE DE L'ACADÉMIE, — SÉANCE DU 4 (16) JUIN 1865. A l'ouverture de la séance le Secrétaire Perpé nonce la douloureuse nouvelle de la perte que faire l'Académie dans la personne de son membre effet M. Kupffer décédé le 23 mai, et prononce p TE consacrés à la mémoire du defunt. M. le Secrétaire d'Etat comte Panine transme volume, publié par ordre du gouvernement, des ments diplomatiques concernant les relations de l'an Russie avec les puissances étrangères. i L'Université de St.-Pétersbourg, le Jardin Impéri tanique, la Société d'histoire et d'antiquités des pro baltiques et la Société des naturalistes de Berlin r cient des envois qu'ils ont reçus des différentes publ tions de l'Académie. 55 dp CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE. SÉANCE DU 8 (20) JUIN 1865. M. Brosset présente et lit une note sur l'activité. téraire des Georgiens et des Arméniens. N 3. us para dans le Bulletin. pe, Le Secrétaire Perpétuel annonce que la met tome IV des Mélanges russes et les livraisons 2, tome V des Mélanges asiatiques ont été i impr mises en vente et en distribution. Le Directeur de la Bibliothèque Impériale e mercie l'Académie des 300 exemplaires reçus serliche öffentliche Bibliothek im Jahre 1864 von ] nykof erworben hat. CLASSE PHYSICO - MATHÉMATIQUE. SÉANCE DU 15 (27) zuin 1865. M. Bouniakofski présente et recommande. Bulletin une notice de M. Minding, intitulée: € | remarques analytiques à l'occasion d'un GEN de prince S. S. Ouroussof. M. Baer présente et lit un mémoire sur la: d T M. Wagner, ‚de larves qui se sopa la Paedogénésie en general (Über Prof. N. Wagners deckung von Pt ` die sich fortpflanzen, und ül Paedogenesis überhaupt). Ce travail sera ge d Bulletin. M. Helmersen présente et recommande eg letin deux notices de M. Adolph Goebel; l'une de une revue des aérolithes qui se trouvent au Cal néralogique de l'Académie, et l'autre a pour objet talogues de ce cabinet publiés par Lomonossof ` des Sciences de Saint ۰ 316 M. Maximovicz fait un rapport verbal sur le mémoire de M. Famintzin, intitulé: Wirkung des Lichts auf das Wachsen der kei Kresse. Conformément aux con- clusions du rapporteur, ce travail est admis dans le re- cueil des Mémoires de l’Académie. MM. Jacobi et Somof présentent un rapport sur le mémoire de M. Théremin, intitulé: Essai sur la détermina- tion de l'épaisseur de la couche atmosphérique du globe terrestre. Les conclusions du rapport étant approuvées, on en fera communication à l'auteur. Le Seerétaire Perpétuel porte à la connaissance de la Classe que depuis la dernière séance la livraison 2 du tome VI des Mélanges physiques et chimiques a été impri- mée et mise en vente et en distribution. M. le Ministre des Finances, par un office du 31 mai, invite l'Académie à vouloir bien lui proposer un candidat à la place vacante de directeur de l'Observatoire physique central. : CLASSE HISTORICO - PHILOLOGIQUE. SÉANCE DU 22 JUIN (4 JUILLET) 1865. M. Kunik présente le texte explicatif de la carte eth- nographique du gouvernement de St.-Pétersbourg de feu M. Köppen, — texte mis en ordre d’après les matériaux du defunt académicien dabord par M. Zimse, et ensuite aprés la mort de celui-ci, par M. Kóppen fils. M. Schiefner porte à la connaissance de la Classe que M. Goebel, conservateur du Musée minéralogique de l'Académie, a fait don au Musée ethnographique de trois ustensils antiques en pierres, trouvés dans la presqu'ile de Manguichlak, sur la cóte orientale de la mer Caspienne. .— Des remerciments sont votés au donateur. SÉANCE PUBLIQUE DE L'ÁCADÉMIE DU 25 JUIN (7 JUILLET) 1865. Distribution des prix Démidof. Ce jour-là l'Académie a tenu une séance publique con- sacrée à la lecture du Rapport sur la XXXIV et derniere distribution des prix Démidof. On se rappelle que le fon- dateur de ces prix s'était engagé à verser annuellement, le 17 avril, à partir de l'année 1831, sa vie durant et pendant 25 années aprés sa mort, une somme de 5714 r. arg., destinée à former des prix pour des meilleurs ou- vrages sur les différentes branches de sciences. Le fonda- teur des prix étant mort le 24 mars 1840, le dernier ver- sement de la somme a eu lieu le 17 avril 1864, et cette somme a été destinée à former des prix, décernés par lAcadémie aux ouvrages qui lui ont été envoyés jusqu'au 1 novembre 1864. Le nombre total d'ouvrages présentés au concours, était de 33. La Commission, nommée par l’Académie pour leur examen, se composait du Secrétaire Perpétuel, qui en vertu des Règlements préside la Commission, et de MM. Jacobi, Fritzsche, Sreznefski, Ruprecht, Grot, Tchéby- chef, Wiedemann, Kunik, Schiefner, Kokcharof, Véliaminof-Zernof, Savitch, Schrenck, Pekarski, Besobrazof et Maximovicz. Des grands prix (de 1428 r. chacun) ont été décernés aux auteurs des ouvrages suivants: 1° M. Smitt, Histoire de la révolte de Pologne et de la guerre de 1830 et 1831 (Hemopia 1101501010 71 u soünm 1830 u 1831 1006». Con, 1863 — 1864. 3 sacra). 9? Schwartz, Rapport sur les résultats des recherches de géographie mathématique, exécutées par l'expédition de Sibérie de la Société géographique de Russie )110- it Omuem» 0 pesyavmamaao 130115000601111 Mamewamu- weckaw) Omonaa Ouduperoü Ircneduniu Ilmnepamoperan Pycexaro Teowpapuuecxano Obwecmsa. Cup, 1864) et Carte du fleuve de l'Amour et d'une partie du Léna, du Jénissei et de Vile Sakhaline (Kapma pmumma» o6nacmei Amypa; HA 7 AUCTAXH). Des prix de 714 r. chacun ont été décernés aux ou- vrages suivants: 1° M. Tehistovitch, Théophane Prokopovitch et son siècle (Oeofan» Ipoxonosuus u ew spema). Manuscrit. 9° M. Nossovitch, Dictionnaire de l'idiome de la Rus- sie blanche (Caosaps Dnaopycckawo wapnwia). Manuscrit. 3° M. R. Lenz, Exploration de la Perse orientale et du Hérat au point de vae de la géographie mathématique et physique (Hscandosanie Bocmounoü IIepeiu u از‎ 00 adnnia OMHOCUMeABHO Mamemamunueckoü u Pusunueckoü wo- pain). Manuscrit. 4° M. Afanassief, Contes populaires russes (Hapoonma RB Pyceria cxasku. M. 1860 — 1863). Des mentions honorables ont été votées: 1° à M. Fr. Schmidt, pour son ouvrage manuserit: Reisen im Amur-Lande. Botanischer Theil. 2° à M. Zabel, pour son ouvrage sur la histologie vé- gétale (Paemumeasnan wuwcmoaowa. CuG. 1864). 3° à M. Blagovestchenski, pour son étude sur Ho- race et son siècle (Topauiü u ew spema. ۰ 1864). 45 à M. Andreefski, pour son ouvrage intitulé: O na- nocmuuxaxo, soesodaxo u wõepuamopazo. Ciro. 1864. 5° à M. Polévoï, pour son Essai comparé des anciens monuments de la poësie populaire slave et allemande (Onnmo cpasnumerbnao ia dp NAMAMHUKOG? Hapodnoü NOISİU WPMAHCKOÑ U ۸ Cn6. 1864). 6° à M. Engelhardt, pour son mémoire manuscrit Sur une nouvelle méthode de préparation des os comme engrais (O Onücmein nûruzs 60611 kocm wi CNOCOĞ npwiomocaeuia kocmanaıo yOo6penia). 7° à M. Tarnofski, pour son ouvrage sur la sémiotique des maladies vénériennes chez les femmes et les enfants, à l'usage des sages-femmes (Pacnosnasanie senepuueckurd GoAm3Heti y HCEHUMHS ۷ deg. Cu6. 1863). 347 Bulletin de l'Académie Impériale et 8° à M. Pokhilevitch, pour l'ouvrage qu'il a publié | sur les lieux habités du gouvernement de Kief (Cxasanie naceaeHHwis Mncmaxe 1002614011 gen, Kies 1864). Des médailles, destinées à étre distribuées aux savants qui ont partagé avec les membres de l'Académie le tra- vail de l'analyse des pieces de concours, ont été décer- nées: a) de 1° classe à M. Kalatchof et M. Weisse, membres correspondants de l'Académie, à M. Dóllen, astro- à l'Observatoire de Poulkovo, et à M. Tchébychef- | Dmitrief, professeur à l'Université de St. - Pétersbourg; et b) de 2% classe, à M. Junge, professeur à l'Académie de Médecine à St.-Pétersbourg, et à M. Oreste Miller. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a recu dans ses derniéres séances les ouvrages dont voici les titres: Haine, At. Jos. Jac. Fr., De hyperdulia eco funda- mento diss. hist. theol. Lovanii 1864. Liebig, Justus von, Induction und nn München 1865. 8. Mémoires des concours et des savants étrangers, publiés par l'Académie royale de Médecine de Belgique. T. V, fasc. 5. Bruxelles 1864. 4. Bulletin de l'Académie royale de médecine de Belgique. Année 1864. T. VII N* 3 — 11. Année 1865. T. VIII N* 1 — 4. Bruxelles 1864 — 65. 8 Hörschelmann, Ed., Beiträge zur Lehre vom Strabismus convergens. Reval 1865. 4. Notices et extraits des manuscrits de la bibliothèque Im- périale et autres bibliothèques, publiés par l'Institut Impérial de France. T. XX, partie 1°, XXI, partie 2°. Paris 1865. 4. Knjizevnik. Godina IL Svezak 2—4. U Zagrebu 1865. 8. Schrauf, Albr. Katalog der Bibliothek des k. k. Hofmi- neralien-Kabinets in Wien. 2te Aufl. Wien 1864. 8. Systematisch-alphabetischer Hauptkatalog der k. Univer- sitätsbibliothek zu Tübingen. M. Handschriften. a. Foui 1. Indische Handschriften. Tübingen 1865. Die u Handschriften der herzogl. Bibliothek zu Gotha. Verzeichnet von Wilh. Pertsch. Wien 1859 — 1865. 2 Theile. 8. Tabulae codicum manu scriptorum praeter graecos et orien- tales in bibliotheca Palatina Vindobonensi asservato- rum. Ed. Academia Caesarea Vindobonensis. Vol. I. Vindobonae 1864. 8. 5 scripta ab Academia Modenensi annis 1861 et 1862 praemio ornata. 8. Statuten des Vereins für wendische VA (Wen- disch und deutsch.) Bautzen. 4. | Origin and progress of the Alexandra native dns e à | 16 scripta academica ab Universitate Upsaliensi amis 16 scripta academica ab Universitate ter ke 1864 et 1865 edita. he 16 scripta academica ab Universitate litterarum J anno 1865 edita 41 scripta e ab Universitate ۱۳ 1864 et 1865 edita 43 scripta academica Universitatis literarum e annis 1863 — 1865 Gissae edita. p 31 scripta academica Universitatis Marburg 1864 et 1865 edita. ia 14 scripta academica ab Universitate litora gensi annis 1863 — 1865 edita Institution. London 1865. 8. T Det kongelige Norske Frederiks Universitetg: 4 1 ning for Aaret 1862. 8 ° et 1865 edita. : Upsala Universitets Ärsskrift. 1864. Upsala-Stockholms 1 5 scripta academica ab Universitate litterarum, qua Christianiae est, anno 1864 edita. Norske Universitets- og Skole- Annaler. Udgivne 7 versitetets Secretair. Tredie Række. I. Hefte 1 H 3 7 1 VI. Hefte 1. 2, Christiania 1859 — 1865. 8. UN Det Kongelige Norske Frederiks Universitets A ning for Aaret 1863. Christiania 1865. 8. — Gaver til det kgl. Norske Universitet i Christiania. 0 stiania. S. (1862 — 1864.) 7 ndex scholarum in Universitate regia Frederici tesimo quarto et quinto ejus semestr.anno MD( habendarum. Christiania 1865. 4. 19 scripta academica Universitatis litterarum. D sis annis 1864 et 1865 edita. ۱ Wykaz szkoly glöwnej Warszawskiej. X 5. Warszaw Atti dell I. R. Istituto Veneto di scienze, lettere ed a Tomo X, dispensa 9. Venezia 1865. 8. — del R. Istituto Lombardo di scienze, lettere e Vol. II, fasc. 19, 20. Milano 1864. 4. Memorie della regia Accademia di scienze, lettere e in Modena. T. IV, V. Modena 1863 — 1864. D Mémoires de l'Académie Impériale des sciences, inseri et belles lettres de Toulouse. V° série, tome We 1 louse 1865. 8. f 1 À tiquités de la France. T. V, partie 1. Paris 18 Comptes rendus hebdomadaires des séances de ۸ des sciences. T. 58, 59. Paris 1864. 4. dicht XVIII, sess. 1 — 3, 6 — 8. Roma 1864 — 6 55 Sitzungsberichte der k. ‘bayer. Akademie der Wiss ten zu München. 1865. Bd. I, Heft 3, 4. Dd. 1, 2. München. 8. BE 349 des Sciences de Saint ۰ 350 Abhandlungen der historischen Classe der k. bayer. Aka- demie der Wissenschaften. Bd. IX, 2te Abthl. Bd. X, 1ste Abthl. München 1865. 4. Sitzungsberichte der k. k. Akademie der Wissenschaften. Philosophisch-historische Classe. Bd. XLIV, Heft 2, 3. XLV, Heft 1 — 3. XLVI, Heft 1 — 3. XLVII, Heft L, Heft 1 — 3. Wien 1863—65. Abthl. II. Bd. XLVIII, Heft 5. XLIX, Heft 1 — 5. L, Heft 1 — 4. Denkschriften der k. k. Akademie der Wissenschaften. Ma- thematisch-naturwissenschaftliche Classe. 23ster Bd., und philosophisch-historische Classe. 13ter Bd. Wien 1864. 4. Almanach der k. k. Akademie der Wissenschaften. 14ter Jahrg. Wien 1864. 8. Bulletin de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. 2° série, tome XVIII, XIX. Bruxelles 1864 — 1865. 8. Mémoires couronnés et autres mémoires publiés par l'Aca- démie royale des sciences, des lettres et des beaux- arts de Belgique. Collection in-8°. T. XVII. Bruxelles 1865. 8. — couronnés et mémoires des savants étrangers, publiés par l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. Tome XXXII. Bruxelles 1865. 4. Annuaire de l'Académie royale des sciences, des lettres et des beaux-arts de Belgique. 31* année. Brux. 1865. 16. Proceedings of the r. Society. Vol. XIIT, X 61 and 70. Vol. XIV, € 71— 77. 8. Philosophical transactions of the r. Society of London for . the year 1864. Vol. 154, p. III. London 1865. 4. The Journal of the r. Dublin Society. X 32 et 33. Dublin 1865. 8. Oversigt over det k. danske Videnskabernes Selskabs for- handlinger i Aaret 1864. Kjöbenhavn. 8. Öfversigt af k. Vetenskaps-Akademiens fórhandlingar. Tju- ~ gondeförsta årgången. 1864. Stockholm 1865. 8. Kongliga Svenska Vetenskaps - Akademiens Handlingar. Ny Följd. Femte Bandet. Första Häftet. 1863. 4. Nova acta regiae societatis scientiarum Upsaliensis. Ser. III, Vol. V, fasc. II. Upsaliae 1865. 4. Forhandlinger i Videnskabs -Selskabet i Christiania. Aar 1863. Christiania 1864. 8. Det kongelige Norske Videnskabers-Selskabs Skrifter i | det 19de Aarhundrede. 5te Binds 1ste Hefte. Trond- hjem 1865. 8. Sitzungsberichte der gelehrten estnischen Gesellschaft in Dorpat. 1865. 8. Proceedings of the American Philosophical Society. Vol. X, N 73. January 1865. 8. Discours prononcé aux funérailles de M. Jean Kickx. 8. Obituary notices of the late Cursetjee Manackjee. Bom- bay. 8 y. 8. Journal de Constantinople. 1866. X 4895 — 4896. Fol. De Musaei grammatici codice Palatino scripsit, variarum lectionum lancem saturam adjecit Arm. Koechly. Hei- delbergae 1865. 4. Sophokles. Erklärt von F.-W. Schneidewin. 1stes Bdchn. öte Aufl, besorgt von Aug. Nauck. Berlin 1865. 8. Daaemnkb AapynurrBa cpóeke caomecuoerm. Opeska XV. . 60۲087. 1862. 8. Wumenkar aby HdzeZ ma wlóhu tam rosze. ۵ sa lud, po njemskim wobdzjedane wot Dra Pfula. W Budyschini 1851. 12. Dobroty, DZiwy ha Ssudy Bože na israelskimi Dijeczimi. — Se Stawisnow hromadusestajane wot K. A. Jencza. W Budyschini 1849. 12. Wosobné Dar za Kaesczijanow, möliczkich ha wotrosc£e- néch, wudaté wot A.M. M. Buka. W Budéschine. 1856. 12. Krótke stawizny naboZnistwa w starym a nowym zakonju. Z katechisma wot Józefa Deharbe'a pschelozi M. H. W Budysinje 1861. 12. Jakub abo 6 sslowo dyrbi w cZloweku Ziwenje döstacz. Liwenski wobras we wobraskach wot Kulmana. W Budyschini 1859. 8. Genovefa. Rjane powjedancäko ze staroho ezasa wot Khry- stofa Schmida za serbske maczerje a dtcii prelozil Michal Hornik: W Budysinje 1861. 8. Ribowezenjo aby polityske Powedanezko s njetzischich Ciassow wot Jana Bohuwjera Muczinka. W Budy- schini 1849. 12. Boža krassnoss w stwórbi. Wot Jana Bohuwjera Muczinka. Dzjel 1 — 2. W Budyschini 1851 — 54. 12. Časopis towarstwa Macicy Serbskjeje 1848—1859, I— XII létnik. W Budysinje. 8. Khrystof Kolumbuss aby Namakanje Ameriki, sserbskemu ludej powedane wot Dr.Somera. W Budyschini 1853. 12. Wotroha krala Jana habó zawozeno czérkwitzki na Lubo- bórku. Powedantzko za kózdu starobu, wosebe pak za starschich ha dżècżi. Z tiéskoho péewosi M**. W Budéschine 1851. 12. Ssadowa knižka. Wudata wot klukschanskeho rataiskeho towarstwa psches jeho ssadowu déjelbu. W Budy- schini 1851. 12. Nadpad pola Bukez. W Budyschini 1852. 12. Sserbske bassnje, sswojemu wulzy lubemu ludej podate k wuzitkej a k sabawenju wot H. S. W Budyschini 1855. 12. T ; Jesuss we domi pobożnych. Schtyri Prjedowanja se sa- wostajenstwa neboh knesa Handrija Lubenskeho — wudate wot Ernsta Bohuwjera Jakuba. Druhi wudawk. W Budyschini 1858. 8. Spjewy sa sserbske schulje. Shromadzene wot K. E. Pe- karja. Prjeni seschiwk, druhi seschiwk. W Budyschini 1856 — 1860. 12. 351 Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint - Petersbourg. Bielenstein, A. Die lettische Sprache nach ihren Lau- ten und Formen. 2ter Theil. Berlin 1864. 8. Sitzungsberichte der gelehrten estnischen Gesellschaft zu Dorpat. 1864. Dorpat. 8. Schriften der gelehrten estnischen Gesellschaft. N 4. Das Steinalter 2s Ostseeprovinzen von C. Grewingk. Dor- pat 1865. The Journal of ee r. Asiatic Society of Great IM and Ireland. Vol. XVII, p. II. London 1860. — — — — Vol. I, p. 2. London 1865 — of the Bombay Branch of the r. Asiatic Society. X XXII. Bombay 1865. 8. Zeitschrift der deutschen morgenländischen as و‎ Bd. XIX, Heft 3, 4. Bd. XX, Heft 1. Leipzig 1865. € für die Kunde des RUN 10ter n — 3. Leipzig 1865 — 1866. Die vitis des Siddhi - Kür. een Text mit deutscher Übersetzung und einem kalmükisch - deut- schen Wörterbuch. Herausgegeben von B. Jülg. Leip- zig 1866. 8. Ibn - el - Athiri chronicon quod perfectissimum ee Vol. VII, ed. C. J. Tornberg. Lugd. Bat. 1 Lassen, Christian. Indische Alterthumskunde. ur Ban- des erste Hälfte. 2te Aufl. Leipzig 1866. 8. Garcin de Tassy. Cours d'Hindoustani. Discours d’ou- verture. 8. Bibliotheca indica. M 205 — 207 and New Series X 62 — 66, 67. Calcutta 1864. 8. Journal of the Asiatic Society of Bengal. Part J, X IL III. P. II, X 11, III. Calcutta 1865. 8. Eichthal, Gust. d’. Etudes sur les origines Bouddhiques de la civilisation Américaine. 1" partie. Paris 1865. 8, Revue africaine. X 53, 54, 55. Alger 1865 — 1866. 8. Pimentel, Franc. Cuadro descriptivo y comparativo de + E indigenas de México. México 1862—1865. vol. Gemeen zéi Histoire des sciences mathématiques et physiques. Bruxelles 1864. 8. Archiv der Mathematik und Physik, herausgegeben von J. A. Grunert. 43ster Theil, Heft III, IV. Greifswald 1865. 8. Jelinek, P. C. Die Auflösung der höheren numerischen Gleichungen. Leipzig 1865. 4 Hansen, T. A. Relationen einestheils zwischen Summen und Differenzen und anderntheils pes Integralen und Differentialen. Leipzig 1864. Ryan, Matthew. The celebrated es of paralleles. Washington 1866. 8. Krueger, A. Der Sternhaufen 7 Persei. Helsingf. 1865. 4. Almanac Catalogue of zodiacal stars. Washingt. 1864. 8. Winlock, Jos. Tables of Mercury. Washington 1864. 4. Hansen, T. A. Darlegung der theoretischen Derechnung der in den Mondtafeln angewandten Stórungen. Zweite Abhandlung. Leipzig 1864. Würzburger Medicinische Zeitschrift. 6ter Bd, Annuaire de l'Observatoire royal de Bruxelles, par4M telet. 32° année. 1865. Bruxelles 1864. 16 Astronomical observations made at the Obse Cambridge. Vol. XX. Cambridge 1864, 4 ~ — and meteorological observations made at the Rade DASS 2m in the year 1862, » 1 Oxford 186 3: Struve, Otto. ciem der Thätigkeit der Nicola aj- sternwarte während der ersten 25 Jahre stehens. St. Petersburg 1865. 4. Jahresbericht am 19. Mai 1865, dem Comité = Hauptsternwarte abgestattet von W. Düllen. tersburg 1865. 8. E: Hansen, T. A. Geodátische Untersuchungen. Leipz.18 per cura del consiglio di perfezionamento a r. Istituto tenico di Palermo. Vol. I, fasc. 1 Moritz, A. Über die Anwendung des Pistor's flections-Kreises zum Messen von Angular-Dis Mopckoit Auxbwamax Ha 1866. 056. 12 Jenaische Zeitschrift für Medicin und Naturwis 2ter Bd., 2tes Heft. Leipzig 1865. 8. Elfter Bericht der Oberhessischen Gesellschaft fi und Heilkunde. Giessen 1865. ; Fünfter Bericht des Offenbacher Vereins für Ne über seine Thätigkeit vom 17. Mai 1863 bi Mai 1864. Offenbach a. M. 1864. 8 Sechster Bericht des Offenbacher Vereins für N: über seine Thätigkeit vom 8. Mai 4 Mai 1865. Offenbach 1865. 8. Jahresbericht des physikalischen Vereins zu ` a. M. für das Rechnungsjahr 1863 — 1864. Correspondenzblatt des zoologisch - mineralogisc eines in Regensburg. 19ter Jahrg. X 12. Würzburg 1865. 8. — naturwissenschaftliche Zeitschrift. Bd. VI, Heft burg 1865. 8. ۱ Verhandlungen des naturhistorisch- ae zu Heidelberg. Band IV, X 1. i Correspondenzblatt des Vereins für ENT burg. 1ster Jahrg. 1862. Presburg. 8. Mémoires de la Société de physique et d' relle de Genève. Tome XVIII, parti = Bulletin de là Société des sciences naturelles de tel. Tome VII, cahier 1. Neuchatel 1863. * Paru le 8 juin 1866. T. X, N° 3. يد A‏ > | | , | DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.‏ | | | TOME X.‏ (Feuilles 25 — 31.)‏ | CONTENU: | Page. | M. Okatof, Des surfaces coniques décrites par l'axe instantané du joint universel. (Avec ule PIER LOI a ER 353 — 361 | J. F. Brandt, Quelques mots additionnels au mémoire sur l'histoire naturelle du mamouth 361 — 364 | E. Regel, Le genre Pleuroplitis e& Andropogon productus. (Avec une Planche.).. ies 364 — 379 | N. Sokolof, Sur les protochlorures de benzole mononitrés et les produits de leur ré- | TN RE BE N RENTE NE ET 80 — 389 ۱ A. Saviteh, L’opposition de Neptune en 1865..................................:. 389 — 390 i M. Brosset, Activité littéraire des Géorgiens et des Arméniens en 1865............. 390 — 392 | E. R. Trautvetter, Plantes nouvelles recueillies au Caucase par M. Radde ........... 393 — 398 | N. Wagner, Sur la circulation du sang chez les IO OI و مق هم ا‎ 399 — 405 | F. Müller, Sur les rapports qui existent entre l'inclinaison magnétique et l'intensité horizontale. (Avec une Planche.)........................................ 405 — 449 | A. Strauch, Les espèces du genre Cyclodus Wagl.............................-.. 449 — 462 | H. Gyldén, Recherches des corrections des réfractions de Poulkova, dépendantes des | indications du thermomètre extérieur .................................... 462 — 484 | €. J. Maximowiez, Courtes diagnoses des nouvelles plantes provenant du Japon et de | la Mendchourie... 2.2.22 AR sS 485 — 490 Bulletin bibliogrsphiqué ۰ 1 6 > 0000er nenne ne e HEN ME 490 — 496 | On s’abonne: chez MM. Eggers & Ce, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comit& Administratif de l'Académie (Komurers IIpanzenis Hwneparopcxoi Akaxexin Hays) et chez M. Léop old Voss, libraire à Leipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 3 thalers de Prusse pour l'étranger. Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, N° 12.) BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Über die Kegel augenblicklicher Drehaxen am Universalgelenke; von Michail Okatow, Pri- vat-Docent der angewandten Mechanik an der Kaiserlichen Universitát St.-Petersburg. (Lu le 8 mars 1866.) ‘(Mit einer Tafel.) |. Der unter dem Namen des Universalgelenks (joint universel) bekannte Bestandtheil der Maschi- nen*) dient als eines von den Mitteln zur Verbindung zweier Wellen im Falle, wo die geometrische Axe Y der einen Welle sich mit der Axe X der anderen in einer und derselben Ebene befindet und mit der Ver- làngerung der Axe X einen gegebenen scharfen Win- kel « bildet. : Wir wollen mit o, und o, die Winkelgeschwindig- keiten der Wellen X und Y bezeichnen und die eine von den Winkelgeschwindigkeiten, etwa o,, als eine gegebene constante Grösse betrachten. Bei der rein geometrischen Untersuchung der Bewegung des Uni- versalgelenks kann man sich dieses Organ als nur aus zwei auf einander senkrechten Geraden Oz nnd Oy bestehend denken, die sich so bewegen, dass der Punkt z, das Ende der einen von ihnen, sich um die Axe X mit der Geschwindigkeit o, und der Endpunkt y des Schenkels Oy um die Axe Y mit der Geschwin- digkeit o, dreht; die Bahnkreise der Geraden Ox und Oy sind unter dem Flächen-Winkel o zu einander ge- neigt und schneiden sich in der Linie MON, die zu der Ebene der beiden Wellen senkrecht steht. Die Projectionsebene der nebenstehendenFigur geht durch diese Kante MON des Flächen-Winkels « durch, hal- birt diesen Winkel und schneidet die Oberfläche der aus dem Mittelpunkte 0 des Universalgelenks mit Halbmesser ] beschriebenen Kugel in der Peripherie des gróssten Kreises MKNL. Die Ellipse à ax a” x" yy y y^ ist die gemeinschaftliche Projection der beiden Kreis- ao... *) Edm. Bour, Cours de Mécanique et machines, professé à l'Ecole polytechnique. Premier fascicule. Cinématique. Paris, 1865. Pag. 275. Atlas, fig. 219. Tome X. umfänge, welche auf der Kugeloberflüche von den Endpunkten z und y des Quadranten zOy beschrieben werden; der punktirte Bogen araz” befindet sich unter der Ebene der Projection, und der gezogene Bogen au aa"! über dieser Ebene. Die Pole t und t” (welche in der Figur ausserdem mit den Buchstaben 2”, resp. 2 bezeichnet sind) der Kreisumfünge xxx” und yy'y ändern wäh- rend der Bewegung des Universalgelenks ihre Lage im Raume nicht; sie sind vom ebenfalls festen Pole 0’ der Peripherie des halbirenden Kreises MKNL in den Abständen Of = Ot” = 1 a entfernt und alle drei ge- hören der Peripherie des grössten Kreises Kt0'!"L an. Dieser ebengenannte auf der Kante MON senk- recht stehende Kreis KtOt"L enthält die geometri- schen Axen der beiden durch das Gelenk verbunde- nen Wellen in seiner Ebene: wenn wir nämlich den Halbmesser Of als in die Richtung der Axe X fallend voraussetzen, so fällt der Halbmesser Ot” in die Rich- tung der Verlängerung der anderen Axe Y. Wir wer- den im Folgenden irgend eine Lage z'Oy' des Qua- seess UUU QUO sree.. | dranten dadurch bestimmen, dass wir uns auf der ram Peripherie des Kreises azz ...., von der Wellen- ebene KtO't” L ausgehend, den Bogenabstand 2" — أن‎ derselben vom Endpuncte x’ des Quadranten geben. Sobald dieser Neigungswinkel el. des Schenkels Or zur Wellenebene gegeben ist, lässt sich der Neigungs- winkel 9°, des anderen Schenkels Oy' zu derselben Ebene aus der Formel: tg p's tg 9 ر‎ = cos a bestimmen (auf deren Ableitung wir bald kommen werden), und hiemit ergiebt sich der Ort des anderen Endpunktes y des Quadranten auf der Peripherie des Bahnkreises yyy" Denken wir uns nun, dass eine Gerade Oz = 1 mit dem Quadranten z Oy fest verbunden ist, welche auf seiner Ebene senkrecht steht und als geometrische Axe des Universalgelenks betrachtet werden kann; der Endpunkt z dieses Perpendikels, der om des Qua- 2 355 Bulletin de l’Académie Impériale dranten, zeichnet bei der Bewegung des Quadranten auf der oben erwähnten Kugeloberfläche eine Curve £82 ...., welche wir Centralinie nennen wollen, weil dieser bewegliche Punkt z zu gleicher Zeit als Mittelpunkt einer für die kinematische Betrachtnug des Universalgelenks sehr wesentlichen Curve, der Polhodie, dient, wovon im $ 2 die Rede sein soll. Legt man für eine beliebige Lage «’Oy’ des Quadran- ten einerseits durch x’ und durch den Pol €” der von y beschriebenen Kreisperipherie, und andererseits durch a und durch den Pol t der von x beschriebe- nen Kreisperipherie die Bogen zt” und at? der grössten Kreise, so befindet sich der gegenwärtige Ort 2 des Pols des Quadranten im Durchschnittspunkte dieser Bogen. Da der sphärische Winkel y zz durch den Bogen xy = + des Quadranten gemessen wird, so ist das sphärische Dreieck (GT ein rechtwinkeli- ges, seine zur Hypothenuse tt” anliegenden sphärischen Winkel sind: | zt t= 90° — yey = 90 — 9, und Zu = 90? — ("if — 90° — dt" — und aus diesem Dreiecke ergiebt sich unmittelbar die unter (1) gt Relation zwischen den Win- keln Cé und e, Die Projection der Centralinie 2222"... . z auf die halbirende Ebene MKNL ist eine Ellipse, deren Haupt- axen die Geraden "z= 2snla und 2۳2 = 92191a.....(9) sind und deren Mittelpunkt mit dem Mittelpunkte O der gedachten Kugel zusammenfällt. Die Bewegung des Universalgelenks und seiner mit ihm fest verbundenen geometrischen Axe Oz, wie die- jenige jedes festen Körpers, dessen Einer Punkt (0) seinen Ort im Raume nicht ändert, kann man für je- den Augenblick als Rotation um eine durch den festen Punkt 0 hindurchgehende temporäre Axe betrachten, welche Axe nach der von Euler gegebenen Regel gefunden werden kann. Für irgend eine Lage 40y’ des Quadranten ist nämlich seine blickliche Dreh- axe die Durchschnittslinie O der zwei gróssten Kreise «tt und ytt”, von denen der erste durch 2' und das Perpendikel 0t zum Bahnkreise xxx”... gelegt ist, und der andere durch y und die zum Bahnkreige ورس ?90 yy y"... Senkrechte Of” hindurchgeht, Die ander folgenden temporären Drehungsaxen bil sammen die Oberfläche eines Kegels, dessen sich in dem Mittelpunkte O der Kugel befindet; ser sogenannte feste Kegel temporärer Dreh; schneidet die Kugeloberfläche in der Curve Géi welche wir der Kürze halber im Folgenden He hodie nennen werden wegen ihrer Analogie mit و‎ Curve desselben Namens in der Poinsot’schen rie nouvelle de la rotation des corps. . Wenn wir uns für die anfängliche Lage 20y à Universalgelenks eine Gerade, welche mit der dam gen temporären Drehaxe Of zusammenfällt und Länge Eins hat, mit dem Quadranten xOy fest bunden denken, und wenn wir auf dieselbe Weise u endlich viele andere Geraden auf den Quadrant b festigen, welche sämmtlich die Länge — 1 haben u für die entsprechenden Zeitmomente mit den d: gen temporären Drehaxen (den Erzeugungslinien des _ festen Kegels) zusammenfallen; so erhalten wir durch einen anderen mit dem Quadranten fest bundenen Kegel OTT'T"T" T’T,.... T, dessen Gip ebenfalls in O liegt. Dieser beweglichié Kegel hath kanntlich die Eigenschaft, dass die Bewegung des Rede stehenden Körpers, des Universalgelenks, m telst des Rollens der Mantelfläche OTT'T".... T. derjenigen des festen Kegels 1 genau n ducirt werden kann. Da wir von der Conil TFT in welcher der rollende Kegel die Oberfläche de gel schneidet, weiter unten öfters sprechen mi so wollen wir der Kürze wegen diese Curve die hodie nennen. Die auf der Tafel gezeichnete Pr tion der Polhodie auf die halbirende Ebene be sich auf diejenige Lage z"Oy" des Universalgel bei welcher die Eckpunkte x” und y" des Quadr sich von der Wellenebene in gleichen Bogenabständ zz = yy" = arc {tg = Y cos a} befinden. Fassen wir nun wenigstens für ein Viertel der 8 zen Umdrehung der Wellen X und Y die Beweg! gen der verschiedenen im Vorigen eingeführten metrischen Orte zusammen, so bekommen wir fo des Bild dieser sämmtlichen Bewegungen. " der folgenden Lagen zu x langt, wobei die Wellen X und Y ein Viertel ganzen Umdrehung machen, geht der Pol z des 357 des Sciences de Saint- Pétersbourg. dranten von z an durch zj "م‎ nach z" über und be- schreibt dadurch die eine Hälfte der Centralinie. Im Laufe derselben Zeit kommt der Endpunkt der tem- porären Drehaxe von ¢ aus durch f und #” nach ۳ und beschreibt hiemit die eine Hälfte tf“ der Her- polhodie. Indessen rollt die Polhodie auf der Herpol- hodie, wobei die Punkte 7 und t, 7 und € T" und 4 1 uid t" dieser Curven successive in's Zusammen- fallen kommen. Auf ühnliche Weise kann man leicht die Bewegungen auch im zweiten und in den übrigen Vierteln der einen Umdrehung der Wellen verfolgen. 9. Nachdem wir die Bewegung des Universalge- lenks in allgemeinen Zügen dargestellt haben, wollen wir jetzt die Gleichungen der Herpolhodie ind Polho- die anführen und auf einige Eigenschaften dieser Cur- ven näher eingehen. Im sphärischen Dreiecke ttt, dessen Gipfel € für eine Lage z'Oy' des Quadranten den Ort der augen- blicklichen Drehaxe Ot’ bestimmt, bleibt die Seite t" — a ihrer Länge und Grösse nach bei der Bewe- gung des Universalgelenks unveründert, die sphári- schen Winkel CW = éi, und H T — رب‎ dagegen än- dern sich, und der Durchschnittspunkt 1 ihrer Seiten zeichnet auf der Oberfläche der Kugel die Herpolho- die. Die unter (1) angeführte Relation tgo, tgo, = COS &............ (3) oder im Allgemeinen ; tgo تام‎ = COS © kann als die Gleichung der Herpolhodie betrachtet werden, und mit Hülfe dieser Gleichung ist leicht zu ersehen, dass die Curve eine geschlossene ist und Kee geordnet in Bezug auf die zu einander senkrechten Bogen: HOTT —a und ` | 4 ۳0 — 9 arc. [tg = sin 3 a. V cos a] Der durch den Bogen CO des grössten Kreises ge- messene Abstand irgend eines Punkts ¢ dieser Curve vom Mittelpunkte O' derselben nimmt in ihrem er- sten und dritten Viertel von } bis pesi: (tg sz SI La, Y cos a) ab und im zweiten und vierten Vierteln in der nämli- chen Weise zu. Die Figur der Herpolhodie veranschaulicht am be- sten das Gesetz, nach welchem sich die Winkelge- schwindigkeit o, der Welle Y ändert; es findet näm- lich für irgend eine beliebige Lage 2 0y des Quadran- ten die Formel CL MESES tan statt, welche zeigt, dass o, > o, ist, so lange t't” > t't ist. Sobald aber der Quadrant aus der Lage ۷ ausgebend in diejenige Lage 20" kommt, bei wel- cher seine Eckpuncte x” und y" von der Wellenebene gleich entfernt sind, verwandelt sich die Ungleichheit tt" — tt in die Gleichheit, weil dann die temporäre Axe durch den Endpunkt /" der kleinen Axe der Her- polhodie hindurchgeht; demnach wird dann auch = ©. Bei fortgesetzter Bewegung des Universal- b e gelenks ist der Endpunkt i* der temporären Drehaxe von £" weniger weit als von £ entfernt, und demnach Oy >ü; bei der Lage zx Oy” des Universalgelenks NE Oy seinen grössten Werth. Während des zwei- ten Viertels einer ganzen Umdrehung der Wellen nimmt die Winkelgeschwindigkeit o, nach einander dieselben Werthe an, welche sie im ersten Viertel hatte, nur in entgegengesetzter Reihenfolge. Die Ver- ünderungen von o, in der zweiten Hälfte der Um- drehung sind mit denen der ersten identisch. Der Minimalwerth von o, ist; - = و0 0608 يه‎ er entspricht, wie es sich aus dem eben Gesagten er- giebt, den zwei Lagen des Quadranten, bei welchen der Schenkel Oy in die Wellenebene kommt. Der Maximalwerth von o, ist und entspricht den beiden Lagen des Quadranten, bei welchen der Schenkel Oy senkrecht zur Wellenebene ` | steht. Da der Mittelwerth von o, gleich o, ist, so ergiebt uns die Formel a LOMA tg a Se den Werth des Ungleichförmigkeitsgrades à der Bewegung der Welle Y an; wenn 2. B. die Welle X mit der Welle Y einen Winkel von 150° bildet, und also a — 30° ist, so erlangt der Ungleichförmigkeits- grad schon eine nicht unbedeutende — 0 2887. 359 Bulletin de l’Académie Impériale Ist der Neigungswinkel o. zwischen dem Schenkel Ox und der Wellenebene für irgend eine Lage ۷ des Universalgelenks gegeben, und man will aus der Formel (5) den zu diesem Zeitpunkt stattfindenden Werth von o, finden, so bestimmt man zunächst aus der Gleichung (1) den Neigungswinkel o , des Schen- kels Oy zur Wellenebene, worauf sich die Bogen H und t7” mit Hülfe der bekannten Formeln der sphä- rischen Trigonometrie ق w — ۷ sin © zt‏ tg —;— —18$45.—— uo, sin Fur de und : . 1 He vt" dmm eo Ty va berechnen lassen. Wir wenden uns endlich zur Polhodie TT ۰ welche auf der Kugeloberfläche die Contur der En des rollenden Kegels bildet. Da diese Curve mit dem Quadranten yO und seinem Pole z' fest verbunden und bei allen seinen Bewegungen betheiligt ist, so kann man, um den Ort eines Punktes T' auf der Pol- hodie zu bestimmen, zwei folgende sphärische Polar- coordinaten einführen: die Grösse o des vom Puncte T’ nach dem Pole z' gezogenen Bogens Pé des grös- sten Kreises und den Neigungswinkel 0° zwischen dem Strahle کم‎ und einem anderen beliebig gewählten Anfangsstrahle; zu diesem Anfangsstrahle wollen wir im Folgenden den Strahl zT der Polhodie wählen, welcher auf der Peripherie des beweglichen Kreises 120 liegt und bei der anfänglichen Lage xOy des Quadranten mit dem Bogen tt” = a zusammenfiel. Es liegen uns nun zwei Aufgaben vor: erstens, bei irgend einer Lage +'y'#'0 des Universalgelenks den Winkel d für denjenigen Punkt T° der Polhodie zu finden, welcher zu dieser Zeit der Berührungspunkt der Pol- hodie und der Herpolhodie ist, und zweitens, die Gleichung der Polhodie in den Coordinaten "م‎ und 6' auszudrücken, um die Figur dieser Curve nüher zu untersuchen. Die beiden Fragen lassen sich auflósen, wenn man folgende Umstünde berücksichtigt: a) dass für jede beliebige Lage ۶/20 des bewegli- chen Systems der Anfangsstrahl der Polhodie auf je- den Fall durch den im Raume festen Pol 7 des Bahn- kreises zzz .... hindurchgeht, während der Pol ۳ des Bahnkreises yy'y'.... immer auf dem Strahle de Polhodie bleibt, welcher zum Anfangsstrahle s ist und also einen Theil der Peripherie des | chen Kreises 4 02 macht, und ; b) dass im sphárischen Vierecke 2 ttt", desse tige Berührungsp der Polh der Herpolhodie ist, man nicht nur bei 2; sond bei £ und ? rechte sphärische Winkel: ۸ und hat. Man bekommt nun aus den Dreta zit und DR nu si E Fi O 0" N | 810121 = يود‎ und sintzt= = und durch Division CAE oder auch: io اور‎ Ge sin 9^y vu. MAN und im Allgemeinen tg 0 = ۷ ۱ sin pin KWR SES Dies ist ben die Formel, welche den Punkt ۰ Polhodie bestimmt, wo diese Curve für eine L (ei ون‎ y y) des it GOEN die Herpolhodie be Wenn z. "B. die Schenkel des Quadranten zur ebene gleich geneigt sind, auf welchen Fall si in der Tafel gezeichnete Projection der Polho zieht, so ist tg 0” = 1 und hiemit befindet si gegenwärtige Berührungspunkt der Polhodie n Herpolhodie im Punkte 77 dessen Strahl T2" mit Anfangsstrahle einen sphärischen Winkel Trz bildet. Aus den sphürischen Dreiecken # und ut sich weiter die Formel: [4 sin (2270) . tg‘ (tz) + tg (2) — tg'& ableiten, welche man auch so schreiben kann: (4 sin 20) . gie + tg'o = tga, ++... und dies ist die gesuchte Gleichung der Polh hodi sphärischen Polarcoordinaten e und 0. Diese VI wie es sich nun aus der Gleichung (8) SC? Bezug auf die vier Bogen TT,, TT", symmetrisch geordnet, welche die Oberflich gel um den Punct z” herum in acht einander 8% sphärische Winkel zu je 45° theilen; die T, und 7”, T,”, welche den Peripherien der | Bulletin de I Acad. Imp. d se. T.X. Okatow. Ueber die Kegel augenblicklicher Drehaxen am Universalgelenke. Lih AMunster SPtbg Was 0.2“ Lin N° 7 361 des Sciences de Saint ۰ lichen Kreise y"0z" und z'Oz" angehören, sind von dem Quadrantenpole #” die entferntesten, die Punkte T; T; T", T” sind ihm die nächsten; die Längen der gróssten und der kleinsten Strahlen sind: zT =, Lent FT BA EI —a und arc. [te = (9).‏ ال T] a T‏ "?= "و ح< و 2 sinja Y cos a Da der Pol des Quadranten als Mittelpunkt der Pol- hodie betrachtet werden kann, so wird die Benennung «Centralinie» gerechtfertigt, welche im $ 1 der Curve . gegeben würde. Aus jar Formel (7) folgt, wie es auch direct leicht zu sehen ist, dass jede Erzeugungslinie des rollenden Kegels im Laufe einer ganzen Umdrehung der Wellen ein und nur ein Mal als temporäre Drehaxe für das Universalgelenk dient; da aber jede Erzeugungslinie des festen Kegels zwei Male im Laufe der Umdrehung zur temporären Axe wird, so muss die Länge der Pol- hodie doppelt so gross sein, als die der Herpolhodie. Wenn die Wellen zu einander senkrecht stehen, so wird der Ungleichförmigkeitsgrad à unendlich gross, der feste Kegel verwandelt sich in ein Viertel des grüssten Kreises und füllt in die Wellenebene, der rollende Kegel wird dagegen in Einen ganzen grós- sten Kreis ausgebreitet und enthält in seiner Ebene den Quadranten selbst; dadurch hört die Möglichkeit des Rollens des einen Kegels auf dem anderen auf, obschon die practische Unmöglichkeit die Bewegung mit Hülfe des Universalgelenkes zu übertragen bei ei- nem weit kleineren Winkel « als 90^ eintritt. Einige Worte zur Ergänzung meiner Mittheilun- gen über die Naturgeschichte des Mammuth, von J. F. Brandt. (Lu le 26 avril 1866.) Meinen auf die Naturgeschichte des Mammuth be- züglichen Mittheilungen wurde ein Anhang hinzuge- fügt, der über die Mammuthleiche, welcher der in Irkutzk aufbewahrte, von mir erwühnte Fuss ange- hórte, eine etwas nühere Auskunft ertheilt. Die An- gaben, welche der fragliche Anhang enthält, stütz- ten sich auf mündliche Mittheilungen, die Hr. N. S. Schtschukin vom gegenwärtigen Hrn. Erzbischof zu Jaroslaw, Nil, erhalten hatte, der früher der Epar- chie Irkutsk vorstand: In der Meinung, dass Hr. Schtschukin vielleicht etwas mehr wisse, als er in dem für den Naturalist bestimmten Aufsatze sagt, suchte ieh denselben auf, wurde aber von ihm an den genannten hohen geistlichen Würdenträger, als seine Quelle, verwiesen. In Folge dieses Rathes schrieb ich nach Jaroslaw und erhielt zu meiner Freude ein Schei- ben, welches ich der Classe vorzulegen mir erlaube, die es vielleicht nicht unpassend finden wird, dasselbe zu veröffentlichen. Die gefälligst aus der Erinnerung mitgetheilten Nachrichten über das fragliche Mammuth fasst der Hr. Erzbischof in folgenden Punkten zusammen: «1) Die von einem Missionär (Chitrow) gesehene Leiche befand sich in einem vom Uferabhange der Kolyma herabgestürzten Erdtrümmerhaufen. Das Mam- muth war also nicht mehr in der Lage, in welcher es Jahrhunderte lang aufbewahrt worden war. 2) Die Kälte verhinderte, dass die Leiche verweste, daher war auch.der mir zugestellte Fuss derselben ganz vollstándig. 3) Ich sah die nagelühnlichen Enden des mit róthlichem, kurzem Haar bedeckten Fusses, eben- so wie die Sehnen und das Fleisch desselben und em- pfand dabei den Gestank, welchen der frühere Bewoh- ner Sibiriens verbreitete. 4) Der Fuss konnte daher in keinem der Wohnzimmer bleiben, sondern wurde zwei Jahre lang der freien Luft ausgesetzt. 5) Gleichzeitig mit dem Fusse wurden mir schwarze, steife Haare geschickt, welche die Wirbelsäule (den Oberrücken) des Thiers gleich einem Mantel bedeckt hatten. Wer Bisons gesehen hat, wird sich leicht einen Begriff von dieser Art von Verzierung machen können. 6) An. den Ufern der Kolyma, wohl auch möglicherweise an denen anderer Flüsse, bemerkt man Hügel, die (wie ich nicht einmal gehört habe) zur heissen Sommers- zeit einen Leichengeruch verbreiten. Es befinden sich darin ohne Zweifel Leichen im gefrornen Boden, wel- che für die Naturgeschichte Werth haben. Aber wer denkt daran? 7) Der Fuss des Mammuth wurde bei meiner Abreise aus Irkutzk im Jahre 1854 meiner Verfügung zu Folge dem Museum Ostsibiriens über- geben. Gleichzeitig erhielt dasselbe darauf bezügliche Bemerkungen, die ich selbst nicht mehr besitze.» In Bezug auf die Art der Behaarung des Fusses, und die Mähnenbildung des Mammuths, so wie die Farbe desselben, stimmen die Mittheilungen des Hrn. Erzbischofs im Wesentlichen mit meinen frühern über- 363 Bulletin de l’Académie Impériale ein. Auch ich fand die den untersten Theil des Fus- ses bedeckenden Haare kurz, freilich nicht röthlich, sondern von etwas hellerem Braun. Man könnte, um diesen geringen Widerspruch zu lösen, möglicher- weise an eine Variation der Farbe der Fusshaare der einzelnen Individuen des Mammuth denken. Mein geehrter College, Leop. v. Schrenck, der auf seiner Rückkehr aus dem Amurlande in Irkutzk den fraglichen (in meinen Mittheilungen über das Mammuth nach Mag. Schmidt’s Aussage erwähnten) Fuss nicht nur sah, sondern in natürlicher Grösse zeichnen liess, fand denselben bereits ganz von Haa- ren entblösst, wie die hier beigefügte, verkleinerte Copie desselben zeigt, die ich durch die Güte meines Collegen einer seiner Originalzeichnungen entlehnen konnte. Die Figur gewährt dadurch noch ein beson- deres Interesse, dass sie deutlicher, als es an meiner kleinen Mammuthfigur der Fall ist, eines der äussern Kennzeichen des Mammuth, die noch stärker als beim asiatischen Elephanten verbundenen, fast unmerkli- chen Zehenenden mit drei ihrer nagelähnlichen Hufe wahrnehmen lässt. Interessant ist, was der hohe Geistliche von der Bisonähnlichkeit der Mammuthmähne sagt, da diese Angabe mit einer in meinen Mittheilungen bereits ab- gedruckten Vermuthung völlig übereinstimmt. Eben- so verdient Beachtung, dass er die Farbe der steifen Mähnenhaare als schwarz bezeichnet, so dass also die in meinem Anhange erwähnte Angabe Schtschukin’ 8, die Mãhne sei rothbraun gewesen, ein Gedächtniss- fehler sein dürfte und meine Mammuthfigur auch in ‚mowicz in der Umgegend von Hakodate ges? dieser Beziehung richtig wäre, falls nicht die der Mähnenhaare des Mammäth bei manche duen variirte, also eine schwarze oder rothbranr Was die bisonartige Mähnengestalt betrifft, so die im Perigord gefundene Lartet’sche Md figur auf eine solche offenbar hin. Der von den Römern mit dem Beiworte jubatus bezeichnete. war übrigens früher in Nordasien und Nordar spüter in Europa, ein bestündiger Begleiter des muth, wie wir aus den in verschiedenen Lind gend Schichten entdeckten Resten zu seh berechtigt sind. Was die Reste des Bison anla kennt man sie bereits in Sibirien bis zum A anrh ainan Kei Bereits vor zwei Monaten habe ich den d muthleiche, das Anadyr-Mammuth, noch ei here Nachrichten zu erhalten, namentlich v merkungen mitgetheilt werden. Die Gattung Pleuroplitis und Andropogon ductus, erläutert von Dr. E. Regel. (Lu mars 1866.) (Mit 1 Tafel.) L Einleitung. Im Jahre 1864 keimte aus Samen, den Hr. € hatte, in dem Kaiserlichen botanischen Garten 5 kleines Gras aus der Gruppe der Andropoginei Eine einlässliche, vom Unterzeichneten ۳ Untersuchung zeigte, dass solches zu der von nius (Trin. fund. pag. 174, tab. 16) aufgestellten tung Pleuroplitis gehörte. Dagegen passten ' 365 des Sciences de St. - Petersbourg. 366 raktere weder vollkommen zu P. La fi Trin., noch zu P. centrasiatica Griseb. (Ledb. fl. ross. IV.477). Von ersterer unterschied sich unsere Pflanze durch das Vorhandensein eines kurzen stielfórmigen Rudi- mentes des fehlgeschlagenen gestielten Ährchens, von der andern aber durch den stärker verästelten nieder- liegenden Stengel und durch die Blätter, die nicht ringsum, sondern nur bis zur Mitte am Rande gewim- pert und auf der obern Seite kahl. Der Referent hielt deshalb damals dieses aus Japan importirte Gras für eine Form von Pl. centrasiatica Griseb. Im botanischen Museum der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften fand sich nicht blos das Original- Exemplar, nach dem Trinius die Gattung Pleuroplitis aufgestellt hatte, sondern auch noch viele andere inter- essante zu dieser Gattung gehörige Formen. Später theilte Hr. v. Ruprecht dem Referenten auch noch eine von ihm im Kaukasus entdeckte Pleuroplitis mit. In den reichen Sammlungen des botanischen Gartens fanden sich die aus Abyssinien stammenden hierher gehörigen Arten, und im Herbarium Ledebour’s fand sich auch das Exemplar, nach dem Grisebach die Pleuroplitis producia (Ledb. fl. ross. IV.478) aufgestellt hatte. ` Inzwischen war auch Hr. C. Maximowicz mit reichen Sammlungen aus Japan zurückgekehrt und überliess dem Referenten die grosse Zahl der von ihm auf verschiedenen Localitäten in Japan gesammelten Exemplare von Pleuroplitis zur Untersuchung. Auf diese Weise hat der Unterzeichnete ein genügend rei- ches Material erhalten, um die zu Pleuroplitis gerech- neten Arten einer genauern kritischen Prüfung unter- werfen und sich zugleich auch über die Gattung selbst ein Urtheil bilden zu können. Pleuroplitis wurde 1820 von Trinius (Fund. 1. c.) aufgestellt, 1833 aber (Mém. de l’Acad. Imp. de St. Pétersb. ser. VI, tome II, pag. 274) wieder eingezo- gen und mit Andropogon vereinigt, indem der berühmte Monograph der Gramineen jetzt seine Pleuroplitis Langsdorffii als Andropogon amplexifolius beschrieb. Im Jahre 1833 stellte Kunth (Enum. I, pag. 472) nach dem gleichen Typus seine Gattung Lucaea auf. Er vermuthete aber schon, dass seine Gattung Lu- ` caea mit Pleuroplitis Trin. identisch sei und stellte deshalb P. Langsdorffii frageweise als Synonym zu Lucaea gracilis. Endlicher (Endl. gen. pl. pag. 106) brachte Trinius' Gattung Pleuroplitis wieder zur Geltung und Grisebach (Ledb. flor. ross. IV, 478) rechnete 4 Arten zu dieser Gattung, nümlich 2 Arten, die ein deutliches stielfórmiges Rudiment des fehlgeschlagenen Ährchens besitzen, P. centrasiatica Griseb. und P. producta Griseb., und 2 Arten, denen dieses Rudiment fehlen soll, P. Langsdorffü Trin. und P. ciliata Schmidt. Ausserdem machte er am angeführ- ten Orte darauf aufmerksam, dass wahrscheinlich Aleo- toridia Rich. und Psilopogon Rich. ebenfalls zu Pleu- roplitis gehören dürften. Nach den vom Referenten gemachten Untersuchun- gen ist nun: 1) Pleuroplitis eine gute Gattung, die sich durch die grundständige Arista des untern Blumenblättchens der fruchtbaren Blume sehr constant von Andropogon unterscheidet. 2) Gehört von den 4 von Grisebach zu Pleuropli- tis gerechneten Arten eine, nämlich P. producta Griseb. zu Andropogon. Dieselbe ist nach den im Herbarium der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften befind- lichen Exemplaren identisch mit Pollinia tenuis Trin. Wir rechnen solche zu Andropogon und lassen ihr den von Grisebach gegebenen Namen, da als Andro- pogon tenuis von R. Brown schon eine anderweitige Art beschrieben ist. — Die 3te Art ist P. major, bei der das sterile Ährchen auf ein ziemlich langes zottig behaartes stielfórmiges Rudiment reducirt ist. 3) Fallen P. Langsdorffii und P. centrasiatica zu- sammen, da auch beim Original- Exemplar von Tri- nius das kleine stielfórmige Rudiment des fehlge- schlagenen Ährchens vorhanden ist und die Länge die- ses Rudiments bei den verschiedenen Formen bedeu- tend wechselt. Immer bleibt es aber bei den vielen Formen von Pl. Langsdorffii vielmal kürzer als die Gluma, und wenn auch zuweilen sehr klein, doch stets sichtbar. 4) Fällt Alectoridia nicht blos mit zu Pleuroplitis, sondern P. ciliata und Alectoridia Quartiniana (Rich. in Lefebvre Voyage en Abyss. Tome V, pag. 447) sind sogar ein und dieselbe Pflanze. Der von Richard ge- gebene Species- Name hat von beiden das Recht der Priorität. 5) Bildet Psilopogon Hochst. (Hochst. in pl. Schimp. Abyss.) eine Unterabtheilung von Pleuroplitis. Bevor der Referent auf die Arten der Gattung Pleu- 367 Bulletin de l'Académie Impériale roplitis näher eintritt, sei es ihm erlaubt, noch zu be- merken, dass Steudel in seiner kaum brauchbaren Synopsis der Gramineen für Pleuroplitis wieder den von Kunth gegebenen Namen Lucaea angenommen hat. Derselbe führt 8 Arten auf. Von diesen sah der Referent zwei sehr zweifelhafte Arten, L. Junghuhni Nees und Lucaea violacea Nees nicht. L. gracilis, Langs- dorffiana und plumbea gehören zu Pleuroplitis Langs- dorffü. L. Schimperi und major sind zwei gute halt- bare Arten und L. ciliata gehört zu P. Quartiniana. In der folgenden Zusammenstellung der zu Pleuro- plitis Trin. fallenden und der von andern Autoren zu dieser Gattung gerechneten Arten, ist zuerst die Gat- tung Pleuroplitis und dann eine von Grisebach zu Pleuroplitis gerechnete Art, Andropogon productus be- rücksichtigt. Von der Gattung Pleuroplitis sind 3 Untergattun- gen gebildet, nämlich: 1) Psilopogon Hochst. Von den paarweise stehenden Ährchen ist das eine gestielt und steril oder nur ` als stielformiges zottig behaartes Rudiment vor- handen. 2) Lucaea Knth. Am Grunde des fruchtbaren Ähr- chens steht das stielförmige kurze, aber doch deut- liche, selten sehr kleine Rudiment des zweiten Ähr- chens. 3) Alectoridia Rich. Vom sterilen Ährchen ist gar kein Rudiment vorhanden und die Spindel des Blüthen- standes ist zottig behaart. Zur ‘Abtheilung Psilopogon gehören 3 Arten, näm- lich: Pl. Schimperi, wo das sterile Ährchen gestielt und zweispelzig und der Blüthenstand aus mehreren Ähren besteht; ferner P. microphylla (Andropogon mi- crophyllus Trin.), welche ein steriles einspelziges Ähr- chen und einzeln oder zu 2 beisammenstehende Blü- thenähren besitzt. Wir haben von dieser Pflanze Ori- ginalexemplare von Trinius aus dem Herbarium der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften verglichen und uns überzeugen können, dass die lange Arista grundständig und meist noch einmal so lang als die Gluma ist. Da der so exakte berühmte Monograph ' der Gramineen sein A. microphyllus mit einer Arista beschreibt, die in der Auskerbung der Spitze der Pa- lea entspringt, müssen wir irgend ein uns unerklär- liches Versehen voraussetzen, um so mehr, als alle andern Charaktere übereinstimmen. Zur Abtheilung Lwcaea gehört nur eine P. Langsdorffü Trin. Diese Art ist von Japan Kaukasus durch das ganze mittlere Asien und kommt in zahlreichen Formen vor. Nur. liche Umstand, dass dem Referenten ein s reiches vollständiges Material über diese Art ist der Grund, dass es demselben möglich die zahlreichen Formen, als nur eine natür! bildend, zu erkennen. Behaarung der Blatts und des Blattrandes, sowie Länge der Granne, die Charaktere für die Unterschiede der Forn 2 Arten, Pl. lanceolata, deren obere Spelze Borste ausgeht, und P. Quartiniana, wo di in keine Borste ausgehen. Die erstere Art w Trinius als Andropogon lancifolius beschrieb: letztere Art hat eine weite Verbreitung und in mehreren Formen vor. Il. Beschreibung der zur Gattung Pleuroplitis vom R gestellten und einer von Grisebach zu Pleuropiitis neten Art, Pleuroplitis Trin. Trin. fund. pag. 174, fig. XVI. — Endl. X 937. — Griseb. in Ledb. fl. ross. IV, pag. : Lucaea Knth. enum. I, pag. 472 et rev. gram. 159. — Andropogon cfr. A. amplexifolius Mém. de l'Acad. Imp. de St. Pétersb., ser. VI, to II (1833) p. 274. — Psilopogon Hochst. in pl. Schi Abyss. sect. 1, V 96 et Rich. in Lefebvre, Voya Abyss. tom. V, p. 447. — Alectoridia Wës 447, atl. tab. 99. Spiculae geminae v. altera abortiva solit: cula fertilis sessilis, subbiflora; spicula altera "i pedicellata flore neutro terminata, nunc ad Tl mentum pedicelliforme reducta, nunc omnino trata. Glumae herbaceae, concavae, flores inch Flos inferior unipaleaceus neuter. Flos super maphroditus, sessilis, subbipaleaceus; paleà ! supra basin aristata, arista saepissime genicula inferiore torta; palea superiore exigua v. ۳ strata. Stamina 2. Styli 2 terminales; stig mosa. Spiculae alternae, spicatae, rhachi artic à cae binae v. ternae v. iterato bipartitae 5 subdigitatae. Folia plana, basi "mem 1 lanceolata vel ovato-lanceolata. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 369 Sect.I. Psilopogon Hochst. Spiculae geminae altera pedicellata neutra v. ad rudi- mentum pedicelliforme villosum reducta. (Psilopogon Hochst. 1. c.). | 1) P. Schimperi; spicis fasciculato-subdigitatis ; spicula tabescenti biglumi ` rhacheos spicularum internodiis villosis; glumis lineari-lanceolatis ; interiore in setam attenuata, arista spicula fertili duplo v. triplo lon- giore. — Psilopogon Schimperi Hochst. 1. c. — Rich. l.c. — Andropogon multicaulis Steud. Gram. pag. 383. — Batratherum molle Q tenue Nees ab Esenb. in herb. Trin. — Hab. in Abyssinia in locis umbro- sis ad declivia riparum prope Adoam (Schimper), in montibus Indiae orientalis (Royle). — Radix fibrosa, annua. Culmi caespitosi, ramosi, 2 — 6 pollicares, adscendentes v. erecti, glabri. Folio- rum vaginae ad basin fissae, inferiores subhirsutae, superiores basi ad nodos barbatae, apicem versus margine ciliatae, caeterum glabraé; ligula brevis, truncata, ciliata; lamina e basi cordata ovato-lan- ceolata, acuminata, internodium superans, utrin- que pilosa, margine a basi ad medium v. basi tan- tum longe ciliata apicem versus nuda. Spicae fas- ciculato-subdigitatae, terminales. Spicula sterilis, pedicellata, biglumis; pedicello villoso; glumis in- aequalibus, ovatis, acuminatis, dorso sub lente vix hispidulis. Spicula fertilis sessilis, biglumis; gluma inferiore lineari-lanceolata, circiter 5-nervia, con- vexa, apice breviter bifida, dorso sub lente vix hispidula; gluma superior circiter aequilonga, apice in setam brevem attenuata, uninervia. Flos inferior neuter ad paleam lineari-lanceolatam membrana- ceam parvam reductus. Flos superior unipaleaceus; palea membranacea, ovato-lanceolata gluma circi- ter triplo breviore, basi aristata. Arista gluma duplo usque triplo longior, geniculata. Rhacheos inter- nodia spicula fertili plus duplo breviora, sericeo- villosa. Spicula fertilis terminalis saepe inter spi- culas 2 steriles alaris. Specimen ex montanis In- diae orientalis examinatum foliis basi tantum cilia- tis gaudet. Tab.X fig. 1. Spicula fertilis sterilisque, auctae. a. Rha- cheos internodium. 5. Spicula pedicellata sterilis. c. Spicula sessilis fertilis. » 2.Spicula sterilis, aucta. Tome X. Tab. X fig. 3. Spicula fertilis, aucta. a. Gluma inferior. b. Gluma superior. c. Flosculus inferior unipaleaceus neuter. d. Flosculus superior fertilis. » 4. Flosculi, aucti. a. Flosculus inferior uni- paleaceus. b. Flosculus fertilis palea basi aristata. c. Ovarium antheraeque. 2) P. microphylla; spicis solitariis v. binis; spicula ta- bescenti uniglumi; rhacheos spicularum internodiis villosis; glumis muticis inferiore lineari - lanceolata, superiore ovato-lanceolata breviter bicuspidata, arista spicula fertili 2 — 3plo longiore. — Andropogon microphyllus Trin. in Mém. de l'Acad. des sciences de St.-Pétersbourg, sér. VI, tom. II, pag. 275. — Steud. syn. pag. 382. — Hab. in Nepaulia (Wallich). — Radix fibrosa, annua. Plantulae caespitosae, 2 — 4 pollicares, caulibus tenuibus glabris. Folio- rum vaginae ad basin fissae, patenter hirsutae, la- minam 2 — 3 linearem circiter aequantes; ligula brevissima, ciliata; lamina lanceolata, utrinque at- tenuata, supra infraque hirsuta. Pedunculus bre- viter exsertus. Spicae 3 — 4 lineares, solitariae v. binae, pauciflorae. Spicula sterilis pedicellata, uni- glumis, lineari-lanceolata, carinato-compressa, mar- gine ciliolata; pedicellus villosus, pilis terminalibus longioribus. Spicula fertilis sessilis, biglumis; gluma inferior lineari-lanceolata, obsolete 7-nervis, acu- minata, in carina apicem versus hispidula; gluma inferior ovato-lanceolata, breviter bicuspidata, ner- vis 7 validioribus percursa, dorso apicem versus ad nervos validiores duos excurrentes hispidula. Flos inférior neuter, ad paleam lineari-lanceolatam, membranaceam , gluma dimidio minorem reductus. Flos superior unipaleaceus, palea membranacea, gluma circiter duplo breviore, lanceolata, apice emarginata. Arista geniculata, gluma 2 — 3plo lon- giore. Rhacheos internodia hirsuta, pilis termina- libus longioribus, spicula fertili paullo longiora. 3) P. major; spicula tabescenti ad rudimentum pedicel- liforme villosum reducta; glumis muticis; arista spi- cula fertili duplo - triplo longiore. — Lucaea major Hochst. in herb. un. it. abyss. ex parte. — Steud. Gram. p. 414. — Batratherum micans Nees in herb. Trin. et in Jard. Ann. VII, 220. — Andropogon micans Steud. syn. Gram. pag. 382. — In montibus Cujetanis provinciae Schire in Abyssinia leg. Schim- 24 371 Bulletin de l'Académie Imperiale per, in insula Mauritius (Cymbopogon glandulo- sus herb. Nees), in Bhotan (lerb. Lindl.), in Ne- paulia (teste Steud.) — Radix fibrosa, annua. Culmi caespitosi, elongati, adscendentes, ramosi, peda- les et ultra, ad nodos barbulati, caeterum gla- bri. Foliorum vaginae ad basin fissae, apicem versus plus minus hirsutae v. margine tantum | ciliatae; ligula brevis, ciliata; lamina a basi cor- data amplexicauli lanceolata, utrinque pilosula, margine a basi usque supra medium plus minus ciliata, internodio longior. Spicae binae v. ter- nae, terminales, longe exsertae. Rudimentum spi- culae tubescentis pedicelliforme, villosum, spi- culam dimidiam fertilem subaequans. Glumae ad nervos latere exteriore hispidulae; inferior oblongo- lanceolata, acuta, 7 — 9 nervia, viridis; superior lanceolata, acuminata, inferiorem paullo superans, nervo dorsali nervisque lateralibus obsoletioribus percursa. Flos inferior neuter ad paleam lineari-lan- ceolatam membranaceam parvam reductus. Flos superior bipaleaceus; palea inferior lineari-lan- ceolata, membranacea, supra basin aristata, apice bifida, gluma plus duplo brevior; palea superior minima, lanceolato subulata. Arista geniculata, spi- cula 2 — 3plo longior. Rhacheos internodia spicula fertili duplo breviora, villosa, apice barbata. Tab. X fig. 13. Spicula, aucta. a. Rhacheos internodium spiculae superioris. b. Rudimentum pe- dicelliforme spiculae tabescentis. c. Glu- ma inferior. d. Gluma superior. e. Arista. » » 14.Flosculi, aucti. a. Palea flosculi neutrius. b. Palea inferior flosculi fertilis cum ari- sta basilari. c. Palea superior. d. Ova- rium. Sect. II. Lucaea. Spicula fertilis sessilis basi rudimento spiculae tabescentis pedicelliformi satis conspicuo v. minimo instructa. 4) P. Langsdorffü Trin. ; rhacheos spicularum interno- diis v. omnibus glabris v. apice pilosis v. paucis barbu- latis v. supremis plus minus pilosulis; glumis muticis ^ arista inclusa v. spiculam usque duplo superante, — P. Langsdorffii Trin. fundamenta Agrostogr. pag. 174, fig. XVI. — P. centrasiatica Griseb. in Ledb. fl. ross.pag.477.— Andropogon amplexifolius Trin. in Mém. de l'Ac. Imp. des se. nat. de St. Pétersb., sér. VI, tome II, pag. 274. — Lucaea gracilis Agrost. syn. pag. 472. — Ejusd. enum. I, pag. 382. — Ejusd. distr. des gr. tab. 159, caea gracilis et Langsdorffiana Steud. syn. pag. 413. — Deyeuxia japonica Sprgl. syst, 254. — Habitat in Japonia, in China, in d soongoricis et in provinciis caucasieis. ~ Species valde polymorpha. Radix fibrosa, Caules caespitosi, prostrati, apice adscenden f mosi, glabri, spithamaei usque sesquipedales, Va ginae ad basin fissae, striàto - sulcatae, v. om patenter hirsutae, v. sparse pilosae, v. pra apicem versus margine ciliatae, caeterum v. totidem glabrae, supremae magis elongatae mina minima terminatae. Ligula brevis, trune glabra v. plus minus ciliata. Folia e basi c amplexicauli oblongo - lanceolata v. ovato -lanc lata, utrinque glabra v. plus minus pilosula, gine basi tantum v. à basi ad medium v. ad apice pilis elongatis ciliata, culmi internodio plerum longiora v. rarius breviora. — Spicae solitariae ı binae v. ternae v. saepius iterato bifidae sub tato-aggregatae, in apice ramorum elong nudorum terminales v. rarius ex vagina su vix exsertae. Spiculae 3 — 10 in quavis alternae, solitariae, adpressae, rhacheos inte paullo usque sesqui longiores, basi rudimen dicelliformi spiculae tabescentis minimo v. spiculam dimidiam aequante instructae. ` bris; gluma superior inferiorem subaequans, ۵ ceolata, carinata, scariosa, scabra utrinque n mutica. Palea flosculi inferioris lanceolato oblong! mutica, hyalina, enervia, glabra, gluma triplo citer brevior. Flosculus superior fertilis, Mile hyalina, enervia, dorso supra basin aristata. 7 vel inclusa palea breviore v. saepius exserta 8 culata glumam sesqui usque duplo superans, insigniter torta. Squamulae duae, laterales. Sta- des Sciences de Saint ۰ 374 mina ‘duo: Ovarium sessile, oblongum, stylis duo- bus apice plumosis. Varietates subsequentes distinguimus. a) submutica; vaginis foliorum insigniter patente-hir- sutis; foliis e basi cordata ovato-lanceolatis; rudi- mento pedicelliformi minimo; arista inclusa. — In Japonia prope Hakodate et Jukohuma leg. C. Maximowiez.— Caules procumbentes ramosissimi, 1— 2 pedes longi. Vaginae eximie patenterque hir- sutae, supremae tantum glabrae v. margine cilia- tae. Folia acuminata, undulata 1/,—2 poll. longa, utrinque glabra v. pilis raris adspersa, basi tan- tum v. a basi ad medium piloso-ciliata. Rudimen- tum pedicelliforme spiculae tabescentis minimum. Arista palea inferiore paullo, gluma plus duplo brevior. Rhacheos internodia glabra, superiora v. apice barbulata v. serie pilorum vestita. — Occur- runt specimina spiculis singulis arista paullo ex- serta, caeteris arista inclusa. Tab. X fig. 5. Flosculi, aucti. a. Flosculus inferior uni- paleaceus neuter. b. Palea inferior flos- culi superioris fertilis cum arista basilari; palea interior. 8) caucasica Rupr. ; vaginis foliorum insigniter patente- hirsutis; foliis e basi cordata ovato--v. oblongo-lan- ceolatis, utrinque pilosis; rudimento: pedicelliformi parvo gluma 8 — 12plo breviore; arista spiculam duplo excedente. — P. caucasica Rupr. mss. — Cl. Ruprecht legit in provinciis caucasieis inter Qua- reli et Sazchenis in graminosis. — Caules foliaque praecedentis, vaginae supremae autem magis pilo- sae, folia utrinque pilosa. Rhacheos internodia in- feriora glabra, superiora v. apice pilis singulis barbulata v. serie pilorum vestita. y) japonica; vaginis foliorum margine ciliatis; foliis e basi cordata ovato- v. oblongo-lanceolatis, 6 glabris; rudimento pedicelliformi parvo gluma 8 — 12plo breviore; arista spiculam duplo. superante. Prope Hakodate leg. cl. Maximowiez. Differt ab antecedente solummodo vaginis margine tantum ciliatis dorso glabris v. apicem versus pilis singu- ‘lis vestitis, foliis utrinque glabris margine tantum à basi ad medium pilis longis ciliatis. 8) typica; vaginis foliorum inferiorum hirsutis. Cae- tera ut praecedentis. Pleuroplitis Langsdorffii Trin. | — fund. et herb. — Lucaea Langsdorffiana Steud. Gram. pag. 413. — Prope Hakodate leg. cl. Maxi- mowicz, prope Nagosaki. — Vaginae foliorum in- feriorum patenter hirsutae, superiorum glabrae v. margine ciliatae. Caulis nodi superiores barbulati. &) breviseta; vaginis foliorum inferiorum hirsuto - pu- bescentibus , superioribus margine tantum ciliatis, foliis e basi cordata ovato-lanceolatis , utrinque gla- bris, margine a basi ad medium ciliatis; rudimento pedicelliformi parvo v. minimo; arista spi ses- qui superante. — Prope Hakodate leg. cl. Maxi- mowiez, cultaque in horto bot. Petropolitano. — Aristis brevioribus a var. y et 5 diversa. Vagi- nae inferiores hispido- pubescentes, superiores dorso glabrae et margine tantum ciliatae. Spicu- lae tabescentis rudimentum pedicelliforme speci- minum eultorum satis conspicuum, spicula 5 — 10plo brevius, speciminis prope Hakodate lecti parvum v. minimum. Tab. X fig. 6. Spicula singula, aucta. a. Rudimentum pedicelliforme spiculae tabescentis. b. Rhachis. » » T.Spicula singula magis aucta. a. Rudimen- tum pedicelliforme. c. Gluma inferior. b. Gluma superior. f. Palea inferior cum arista basilari floris fertilis. e. Palea flo- ris neutri. » » 8.Gluma inferior a dorso, aucta. » » 9.Gluma superior, aucta. - » »10.Flos sterilis fertilisque, aucti. c. Palea floris sterilis. a. Floris fertilis palea in- ferior cum arista. b. Palea superior ejus- dem. g. Ovarium stylis terminatum. d. Arista. » »95. Caulis floriferus, magnitudine naturali. ¢) centrasiatica Griseb.; foliorum vaginis margine ci- liatis, caeterum glabris; foliis e basi cordata lanceo- lato-oblongis, utrinque pilosulis, pilis brevibus mar- gine circum ciliatis; rudimento pedicelliformi spicula و‎ — 10plo breviore; arista spiculam. duplo supe- rante. — P. centrasiatica Griseb. in Ledb. fl. ross. IV, pag. 477. — Habitat in deserto soongorico ad lacum Alakul (Schrenck). — Rami elongati, graci- les. Folia internodiis breviora. Rhacheos inter- nodia glabra v. apice pilis singulis barbulata. 24* 375 Bulletin de l’Académie Impériale n) gracilis; foliis margine glabris v. basi tantum pilis raris ciliatis. — Caetera ut praecedentis. — L. gra- cilis Knth..1. c. — Steudel 1. c. — Patria? $) chinensis; foliorum vaginis hirsuto - pubescentibus, superioribus glabriusculis ad nodos barbulatis; foliis € basi cordata anguste-lanceolatis, a basi ad medium pilis longis ciliatis, supra pilis raris adspersis, sub- tus pilis brevissimis scabriusculis; rudimento spi- culae tabescentis minimo; arista spiculam duplo su- perante. — Prope Whampoa leg. cl. Hance. — Foliis angustioribus varietatibus antecedentibus dignoscitur. Caulium ramo elongato, foliis inter- nodio longioribus v. brevioribus. Rhacheos inter- nodia glabra v. superiora apice pilis singulis bar- bulata. Ill. Alectoridia. Spica fertilis sessilis; rudimentum spiculae tabescentis nullum. Rhachis villosa. 5) P. lancifolia; gluma inferiore apice bicuspidata, su- periore in setam acuminata. Andropogon lancifolius Trin. in Mém. de l'Acad. Imp. de St. Pétersb. VI° sér. II (1833) 271. — Steud. syn. gram. p. 382. — Batratherum molle N. ab E. in herb. Trin. — Ha- bitat in montibus Indiae orientalis (Royle), in Ne- ` paulia (Wallich), in Abyssinia (Pl. exsicc. Schimp. N 1362). — Radix annua, fibrosa. Caulis gracilis, tenuis, erectus v. adscendens , ramosus, pedalis et ultra, glaber, ad nodos barbulatus. Vaginae ad ba- sin fissae, striatae, glabrae v. basi et apice parce pilosae. Ligula brevissima, truncata, pilis paucis ci- liata. Folia tenuia, e basi cordata amplexicauli ob- longo-lanceolata, acuminata, internodiis breviora, supra glabra, subtus plus minus pilosula, margine ad basin tantum v. a basi ad medium setoso-ciliata. Spi- cae terminales, digitato-aggregatae, e vagina supre- ma egredientes: Rhacheos internodia infima glabra, superiora longe villosa. Glumae glabriusculae; in- ferior anguste oblongo-lanceolata, plurinervia, apice bifida; superior lineari-lanceolata, vix nervosa, apice in setam attenuata. Flos inferior neuter, ad paleam parvam acutam hyalinam gluma quadruplo brevio- rem reductus. Flos superior fertilis, unipaleaceus; palea hyalina, enervis, lineari-lanceolata gluma supe- riore circiter triplo brevior, apice breviter bifida, basi aristata. Arista geniculata, setacea, spiculam 3 — 4plo superans. Tab. X fig. 11. Spicula, aucta. a. Gluma Wës - 6) P. Quartiniana; glumis acuminatis muticis, = Gluma superior. c. Palea floris ne . d. Palea floris fertilis cum arista d » » 12.Flosculi, aucti. c. Palea floris ne d. Palea floris fertilis eum arista i ctoridia Quartiniana Rich. fl. abyss. II (in Voy. en Abyss.), p. 448, atl. tab. 99. — Pleur ciliata Schmidt Flora d. Cap. Verd. Inseln. — seb. in Ledb. fl. ross. IV, p. 478. — Psilopo major Hochst. herb. un. it. abyss. ex parte, — p] ropl. plumbea Nees in herb. Acad. Imp. Petrop. Pl. tenella Desv. in herb. Mus. Par. — T plumbea Nees in Steud. Grm. pag. 414 —L, | cea Nees in Steud. l. c. — L. ciliata Steud. 1. Habitat in insulis promontorii viridis (Schmidt), in Abyssinia (Schimper, Quartin), — in prov borealibus Indiae orientalis (Schmidt, Whigh Radix annua, fibrosa. Caules ramosi, adscenden v. erectiusculi, /, — 1", pedes alti, glabri, ad dos plus minus barbulati. Vaginae sulcato-st ad basin fissae, pilosulae v. pubescentes v, gl scentes v. margine tantum ciliatae, supremae : elongatae lamina minima terminatae. Ligula b ciliata. Folia e basi cordato - amplexicauli ۵ lanceolata v. oblongo-lanceolata v. lanceolata, minata, supra initio pilis adspersa tandem gl: scentia, subtus pilosa, margine basi tantum: medium v. à basi ad apicem ciliata, internodio giora v. breviora. Spicae saepissime digitato gestae, rarius singulae v. 1 — 4, terminales, gina suprema vix v. longe exsertae. Rhacheos ternodia articulata, v. omnia serie pilorum vi v. rarius infima glabra, spicula sesqui brev Glumae praesertim apicem: versus hispidulae, viculares, dorso convexae, virides v. rufescente inferior lanceolata, 7 — 9-nervis, acuminata, mi tica; superior paullo longior, lanceolata, magis : minata, nervo dorsali nervisque lateralibus 0 letioribus instructa. Flos inferior neuter, ad leam unicam lineari-lanceolatam membranac enervem gluma plus duplo breviorem red Flos superior fertilis, bipaleaceus; palea i lineari - lanceolata, membranacea, enervis, plus duplo brevior, apice bicuspis, basi ar arista geniculata, vix torta, spiculam 2 — 3. 377 des Sciences de Saint- Pétersbourg. ۱ 378 perans v. rarius paullo tantum exserta; palea su- perior minima. Ovarium oblongum. Tab. X fig. 15. Spicula, aucta. a. Gluma inferior. b. Glu- ma superior. c. Arista. » » 16.Flosculi, aucti. a. Palea floris neutrius. b. Palea inferior floris fertilis cum arista basilari. c. Palea superior ejusdem. d. Ovarium. dium ciliatis ; aristis spicula 2 ب‎ 3plo longioribus, — Alectoridia Quartiniana Rich. l. c. — Pleuroplitis ciliata Schmidt. l. c. — Griseb. in Ledeb. fl. ross. IV, p. 478. — Lucaea ciliata Steud. gram. pag. 414. — Pleuroplitis Richardi Desv. in herb. Mus. Par. — Habitat in Abyssinia (Quartin- Dillon et Petit, in lapidosis ins. St. Antonii promontorii vi- ridis (Schmidt). — Caules 1 — 1'/ pedales. Folia pilis longioribus v. brevioribus ciliata. Spicae aggre- gato-digitatae, virescentes v. parce violascentes. 8) caespitosa; vaginis pilosulis, foliis oblongo -lanceo- latis. Caetera. ut praecedentis. — Psilopogon ma- jor Hochst. ex parte. — Habitat in montibus Co- jetanis provinciae Schire in Abyssinia (Schimper), in Nilgherries Indiae orientalis (Schmidt in herb. Acad. Petrop.). — Caules caespitosi, adscendentes, spithamaei. y) plumbea; vaginis apice pilosulis, margine dense ci- iatis, caeterum glabris; foliis ovato-lanceolatis , basi tantum v. a basi ad medium laxe ciliatis; aristis viz exsertis. — Pleuroplitis plumbea Nees ab Esenb. in herb. Acad. Petrop. — Steud. gram. pag. 414. — Habitat in India orientali. — Caules spithamaei. Spicae violascentes, 3 — 4 fasciculatae. 8) tenella; vaginis glabrescentibus ; foliis lanceolatis, circum ciliatis; aristis spicula 2 — 3plo longioribus. — Pleuropl. tenella Desv. in herb. Mus. Par. — Schimp. pl. exs. abyss. V 202 et 1532. — Habi- tat in Abyssinia. Caules caespitosi, tenelli, spitha- maei. Spicae solitariae v. 2 — 5 fasciculatae, vio- lascentes. Species dubiae. HA Tamahana Alope(T neaea T } } i St q - X gram. pag. 414). Pleuroplitis violacea Nees (Lucaea violacea Steud. LS Ki 4plo superante; caulibus ginis ad ora pilosis; foliis linari-lanceolalis wirin- que i attenuatis. Dimeria ornithopoda Ledeb. herb. — Pleuropli- tis producta Griseb, in Ledeb. fl. ross. IV, pag. 478. — Pollinia tenuis Trin. in Mém. de l'Acad. des sc. de St. Pétersb. (1833), sér. VI, tom. II, pag. 409. — Steud. syn. Gram. pag. 409. — Hab. in ins. Manilla (Chamisso), in insula Luzon (Eschsch.). Caules circiter spithamaei. Vaginae ad basin fis- sae caulem involventes, apice ad marginem paullo ciliatae, caeterum glabrae. Ligula brevis, truncata, ciliata. Folia internodium superantia, lineari- lan- ceolata, utrinque attenuata, pilosula, margine gla- bra. Spiculae geminae, altera pedicellata tabescens uniglumis v. biglumis, mutica v. aristata. Spicula fertilis sessilis, biglumis, subbiflora; gluma inferior lineari-lanceolata, bicarinata, apice bidentata, hir- tula; gluma superior ovato-lanceolata, apice in se- tam glumam subaequantem attenuata. Flosculus in- ferior unipaleaceus, neuter; palea lineari - lanceo- lata, membranacea, enervia, gluma inferiore bre- vior. Flosculus superior fertilis, bipaleaceus; palea inferior minima, apice emarginato-biloba, ex emar- ginatura aristata; palea superior lineari-lanceolata, palea floris neutrius paullo brevior. Arista genicu- lata, basi insigniter torta. Antherae ovato-oblon- gae. Ovarium oblongum, stylis plumosis glumam superantibus terminatum; lodiculae squamae apice truncatae. vod À Tab. X fig. 16. Spicula fertilis sterilisque, auctae. a. Pe- dicellus spiculae tabescentis rudimento coronatus. b. Rhacheos internodium. c. Spicula fertilis. » » 17.Gluma flosculi fertilis, aucta. a. Gluma inferior. b. Gluma superior. » » 18.Gluma inferior a latere interiore visa, aucta. » » 19—20. Pedicellus spiculae tabescentis ru- dimento coronatus, auctus. » » 9]. Flosculi spiculae fertilis, aucti. a. Flos- culus inferior sterilis unipaleaceus. b. Bulletin de l'Académie Impériale Palea inferior flosculi fertilis cum arista. c. Palea superior flosculi fertilis. Tab.X fig. 22. Flosculus superior fertilis, auctus. » » 23.Palea inferior floseuli fertilis cum ari- stae basi, magis aucta. » » 94.0varium, auctum, cum squamis lodicu- lae. Explicatio tabulae X. Fig. 1—4. Pleuroplitis ۰ Fig. 1. Spicula fertilis sterilisque, auctae. » 9. » sterilis; aucta. » 3. » fertilis, aucta. » 4. Flosculi, aucti. : Fig. 5. Pleuroplitis Langsir Trin. a. weng flos- euli aucti. Fig. 6—10. Pleuroplitis Langsdorffi Trin. e breviseta. ^a 6. Spicula, aucta. 7. `» ` magis aucta. » 8. Gluma inferior, aucta. 9. » superior, aucta. » "di. Flos sterilis fertilisque, aucta. Fig. 11 — 12. Pleuroplitis lanceolata. Fig. 11. Spicula, aucta. > » 12. Flosculi, aucti. Fig. 18 — 14. Pleuroplitis major. Fig. 13. Spicula, aucta. » 14. Flosculi, aucti. | Fig. 15 — 16. Pleuroplitis aE Fig. 15. Spicula, aucta, » 16. Flosculi, aucti. Fig. 16 — 24. Andropogon productus. Fig. 16. Spicula fertilis sterilisque, auctae. » 17. Gluma floseuli fertilis, aucta. » 18. » inferior, aucta. » 19 u. 20. Pedicellus rudimento spiculae tabe- scentis coronatus, auctus, 21. Flosculi spiculae fertilis, aucti. 22. Flosculus superior fertilis, auctus. 23. Palea inferior flosculi fertilis, magis aucta. 24. Ovarium cum squamis lodiculae, auctum. Fig. 25. Caulis floriferus P. Longsdorf? e. brevisetae, magnitudine naturali. Vv uU wv y 1) = schlage vor, der Kürze halber das P nol a Über die Mononitrochlorbenzole und ihm duktionsprodukte, von Stud. mna i loff. (Lu le 24 mai 1866.) In der Abhandlung über die Phenytatil | ich die Ehre hatte der Akademie der Wis vorzulegen (Bull. T. VII, pag. 539 — 54 schon erwähnt, dass man bei der Einwirk petersäure auf die Chlorbenzole zwei Nitrop hält, ein festes und ein flüssiges"). Die fes produkte sind, wie schon erwähnt, ident beide krystallisiren in einer Form, geben ein selbe Reduktionsprodukt, schmelzen bei gle peratur und sieden unter 758,5. Baromi 238°C. Starke Salpetersäure von 1,49 s wirkt, selbst bei fortgesetztem Kochen, ni Verbindung ein, uud durch Zusätz von Was dieser Lósung scheidet sich Nitrochlorber ündert aus. Beim Erwürmen mit einem Ge sch cher Theile starker Salpetersäure und rauclig Schwefelsäure aber sich dieser Nitrokö ver E ölige Verbindung um, wahrscheinlich in trokórper, wie man aus der Quantität de tenen Substanz schliessen kann. Eine starke all i sche Kalilösung wirkt sehr schwach auf Nitro benzol ein. Bei anhaltendem Kochen bräunt $ Flüssigkeit, aber beim Erkalten scheidet si grösste Theil des Nitrokörpers unverändert aus. Bei der Einwirkung reducirender 8 و‎ wie Schwefelammonium oder Zinn und Si giebt dieser Nitrokörpet ein krystal anilin. ii Inisches 3 a und 8 Mononitrochlorbenzol. CH, (NOU ” Um diese Nitrokörper darzustellen kochte i ich schon früher angeführt habe, die beiden Cl zole mit Salpetersäure von 1,49 spec. Gew. m ۱ die Lösungen in kaltes Wasser, wo aus 8 Chlorbenzol zu einer krystallinischen M e starrte, das Produkt aus به‎ Chlorbenzol aber blieb. Um dieses Nitroprodukt von dem festen chlorbenzol zu reinigen, verfuhr ich aut Weise: Das erstarrte Produkt der Ei Salpetersäure auf 8 Chlorbenzol brachte Chlorbenzol, x der Karze halber das hela | Bulletin de l'Acad. Imp. d. sc. T.X E.Regel. Gattung Pleuroplitis u. Andropogon productus. SS Zn. A7. 0 ED r A Da چگ کل‎ Was c 3291 ` des Sciences de Saint-Pétersbourg. 392 mit grob zerstossenem Glas versehenen Trichter; das flüssige Nitroprodukt fliesst dabei ab, und wenn man das zurückbleibende feste Produkt mehrmals mit kal- tem Wasser wüscht, so nimmt dieses alles zwischen den Krystallen zurückgebliebene flüssige Nitroprodukt mit sich. Das so dargestellte flüssige Produkt ist nicht rein, sondern enthält noch viel krystallinisches Produkt gelóst, welches durch fractionirte Destilla- tion nicht getrennt werden kann, weil ihre Siede- punkte einander nahe liegen; deshalb benutzte ich die Eigenschaft des flüssigen Nitroproductes beim. Ab- kühlen bis 0? C., beinahe die ganze Quantität des auf- gelösten krystallinischen Nitrokórpers abzuscheiden. Bringt man die so abgekühlte Masse schnell auf einen Trichter, so fliesst bei dieser Operation alles Ölartige ab. Ebenso reinigt man auch das Produkt aus o Chlor- benzol, welches auch eine kleine Quantität des festen Nitrokörpers aufgelöst enthält. Endlich wurde das Öl fraktionirt; das Produkt aus 8 Chlorbenzol geht beinahe alles zwischen 225 — 235^ C. über, das aus a Chlorbenzol zwischen 240 — 250^ ©. Zur Unter- suchung wurden mittlere, mehrmals fraktionirte Por- tionen genommen, und nur die mittleren aus den letzten, welche vom ßChlorbenzol zwischen 230 — 232?C. und vom o Chlorbenzol zwischen 243—245" C. übergingen, zur Analyse genommen. 0,326 grm. flüssiges Nitroprodukt aus a Chlorben- zol gaben: CO ,— 0,546 grm. entsprechend C = 0,149 grm. H,0 — 0,087 grm. » H= 0,0096 ۰ Dieses Resultat entspricht der Formel C,H, (NO,) CI. Berechnet. Gefunden. C= 45,7215 | C= 45,70% ۳ A H— 2,965 0,314 grm. flüssiges Nitroprodukt aus B Chlorben- - zol gaben: CO, = 0,524 grm. entsprechend C = 0,1429 grm. , H,O — 0,082 grm. » H — 0,0091 grm. Dieses Resultat entspricht also ebenfalls der obi- gen Formel. | Berechnet. Gefunden. i 0, = 45,71 << H, 2,547 H— 0 0,466 grm. Nitroprodukt aus « Chlorbenzol gaben 31,5 C. C. Stickstoff bei 0? C. und 760"" Barometer- druck, entsprechend 0,03958 grm. oder 8,49"/ Stick- stoff. Die Formel C,H, (NO,) CI verlangt = 8,89"/. 0,512 grm. Nitroprodukt aus Q Chlorbenzol gaben 35 C. C. Stickstoff bei 0? C. und 760"" Barometerdr., entsprechend 0,04398 oder 8,58%, Stickstoff. 0,387 grm. Nitroprodukt aus o Chlorbenzol gaben bei der Verbrennung mit Ätzkalk 0,346 grm. Chlor- silber, entsprechend 0,0855 grm. oder 22,09%, Chlor. Die Formel verlangt 22,54. 0,368 grm. Nitroprodukt aus 8 Chlorbenzol gaben 0,330 grm. Chlorsilber, entsprechend 0,0816 grm. oder 22,17°/, Chlor. Es ist klar, dass diese Kórper auch Mononitropro- dukte sind. Sie haben beide eine und dieselbe empi- rische Formel C,H, (NO,) Cl. Das eine, welches man aus «Chlorbenzol erhält, nenne ich «Mononitrochlor- benzol, das andere, aus 9 Chlorbenzol 8Mononitrochlor- benzol. Was die Quantitäten der auf die beschriebene Weise erhaltenen Nitrokórper betrifft, so verhält sich die Menge des flüssigen aus a Chlorbenzol gegen die des festen wie 5:1, die aus 8 Chlorbenzol wie 2: 1. Auf die Quantität des auf diese Art erhaltenen flüssi- gen Nitroproduktes hat nur die Stürke der Salpeter- säure Einfluss, nicht aber das mehr oder minder an- haltende Kochen, wie R. Fittig in seiner Anmer- kung zu meiner Arbeit «Über die Phenylchlorüre» an- nimmt (Zeitschr. f. Chem. VIII, p. 601). Nimmt man schwächere Salpetersäure als 1,49 spec. Gew., so wird die Menge des festen Nitrokörpers über die des flüssigen praevaliren, aber von welcher Stärke: die Salpetersäure: auch sein mag, immer bekommt man als Produkt zwei Nitrokörper, einen festen und einen flüssigen, und zwar bei der Einwirkung auf a Chlor- benzol mehr vom flüssigen, bei der Einwirkung auf 8 Chlorbenzol mehr vom festen. Ein gleiches Resul- tat erhält man bei der Einwirkung von Salpetersäure auf die Chlorbenzole bei der gewöhnlichen Tempe- ratur. Diese beiden Nitrokörper sind schwere, ölige Flüs- sigkeiten von schwach gelber Farbe und schwachem, an Nitrobenzid erinnerndem Geruche. Das sp. Gew. des «Mononitrochlorbenzols fand ich bei0° C. — 1,377, das des p Mononitrochlorbenzols bei 0? C. — 1,358. 383 Bulletin de l’Académie Impériale ` Der Siedepunkt des a Mononitrochlorbenzols liegt bei 245° C., der des ß Mononitrochlorbenzols bei 232°C., beide bei 758,5" Barometerdr. bestimmt. Starke Salpetersäure von 1,49 spec. Gew. wirkt auf sie nicht ein; ein Gemisch von gleichen Volumen star- ker Salpetersäure und rauchender Schwefelsäure ver- wandelt sie in ein schweres, nicht riechendes, gelbes Öl, welches wahrscheinlich identisch mit demjenigen ist, welches man unter denselben Umständen aus dem festen Nitroprodukte erhält. Dieses Öl ist wahr- scheinlich Dinitrochlorbenzol, was man aus der Quan- tität der erhaltenen Substanz schliessen kann. Alko- holische Kalilösung wirkt energisch auf diese Nitro- körper ein; vielleicht verwandeln sie sich dabei in entsprechende Azoprodukte. a Mononitrochlorbenzol erstarrt bei — 15° C. in Form langer, dünner Nadeln; 8 Mononitrochlorbenzol erstarrt schon bei — 5°C. in Form kleiner, sternför- mig gruppirter Nadeln. Bei der Einwirkung reduci- render Substanzen geben die beiden Nitrokörper zwei verschiedene Chloraniline. Nimmt man die Verschiedenheit der Koch- und Erstarrungspunkte, die Verschiedenheit der spec. Ge- wichte und endlich die Verschiedenheit der unter ähnlichen Umständen aus beiden Mononitrokörpern halt dukte in Betracht, so müs- sen wir diese Körper als Isomere betrachten. Reductionsprodukt aus dem festen Nitrochlorbenzol. Chloranilin C, H, CIN. Um dieses darzustellen wurde. festes Nitrochlor- benzol sowohl mit Schwefelammonium, als auch mit Zinn und Salzsäure behandelt. Das erstere Reduktions- mittel giebt keine befriedigenden Resultate, denn das auf solche Weise erhaltene Produkt ist gewöhnlich sehr unrein und enthält Schwefelverbindungen, von denen man das Chloranilin nicht trennen kann. Daher habe ich die Reduktion durch Zinn und Salzsäure vorgezogen. Diese Reaktion wurde auf folgende Weise ausgeführt: Man bringt den Nitrokörper in einen ge- räumigen Kolben, fügt darauf zuerst so viel Spiritus hinzu, als hinreichend ist, um die halbe Quantität desselben zu lösen, dann concentrirte Salzsäure und endlich das halbe Gewicht des angewandten Nitro- kórpers an granulirtem Zinn. Die Reaktion geht An- fangs ruhig vor sich, wird aber, sobald die Masse sich erwärmt, stürmisch, sie erholt sich Zeit und die Reduktion geht am Ende Die erhaltene Lösung wird mit Schwefe behandelt, um das Zinn niederzuschlagen; die des salzsauren Chloranilins wird mit wässe moniak versetzt, und der gebildete feste, derschlag, um ihn zu reinigen, mit Wass Aber auch diese Darstellungsweise giebt stigen Resultate, denn die Menge des auf. erhaltenen Chloranilins weicht sehr von der tischen Menge ab. Der grösste Theil: des lins geht dabei in eine färbende Substanz i bescháftige mich gegenwürtig mit Aufsucl besseren Darstellungsweise des Chloranilins u die Resultate dieser Untersuchung bald mit: Das so erhaltene Alkali lóst sich ziemli kochendem Alkohol und scheidet sieh nach kalten in gut ausgebildeten, farblosen, regu taédern ab, die an der Luft unveründert bl destillirt leicht mit Wasser über, wird abe Destillation für sich theilweise zersetzt. Es li leicht in Äther, nur sehr wenig in Wasser uni schwach nach Anilin. Seine Lösung färbt 5 thes noch gelbes Papier. Die Krystalle des anilins schmelzen bei 64° C. Mit einigen Tropi Schwefelsäure und chromsaurem Kali giebt e schöne rosenrothe Färbung, und ebenso ۵ sich auch die Salze desselben. Mit Chlork giebt es eine schmutzig orangerothe Fär einem Stich in’s Violette. Mit schwacher Chromsäurelösung verharzt es sich; mit I lösung verwandelt es sich beim Erwärmen me lettes, in Alkohol lösliches Pulver. Die setzung der Salze dieses Alkalis entspricht de mel C,H, CIN. Chloranilinsalze erhält man sehr sie sind alle gut krystallisirbar. Das schwe Salz erhält man sehr leicht durch Zusatz von í felsäure zu einer alkoholischen Chloranilinlö: Flüssigkeit erstarrt zu einem krystallinisch der in kochendem Wasser ziemlich löslich. Erkalten dieser Lösung scheidet sich das Salz weisser, verworrener Blätter aus. -0,444 grm. des schwefelsauren Salzes gt grm. S BaO,, entsprechend 0,123 grm. oder 2 SH,0,. Die Formel (C, H, CIN), SH, p e 27 ‚76%, SH, O4. d 385 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Das salzsaure Salz C, H, CIN HCI erhält man, bei langsamem Verdunsten der wässerigen Lösung über Schwefelsäure, in Form grosser, weisser, gut ausge- bildeter monoklinoödrischer Prismen, welche leicht in Alkohol und Wasser löslich sind. Bei vorsichtigem Erhitzen sublimiren sich diese Krystalle. 0,392 grm. des Salzes gaben 0,344 grm. Ag Cl, entsprechend 0,0872 grm. oder 22,239 CIH. Die Formel verlangt 22,25%. Das Platindoppelsalz 2 (C,H, CIN HCl) Pt CI, er- hält man durch Zusatz von Platinchlorid zur wässe- rigen Lösung des salzsauren Salzes in Form grosser, gelber Blätter. 0,368 grm. des Salzes gaben 0,108 grm. Pt, ent- sprechend 29,34%, Pt. Die Formel verlangt 29,58, Pt. Das beschriebene Alkali ist mit dem von Hoff- mann aus Chlorisatin erhaltenen vollständig identisch. (Ann. 33. 12.) Reductionsproducte der flüssigen Nitrochlorbenzole. a Monochloranilin C,H, CIN. Um dieses Alkali darzustellen, kann man « Mono- nitrochlorbenzol mit Schwefelammonium oder mit Zinn und Salzsäure reduciren. Die Reaktion wurde in einer Retorte mit Kühler vorgenommen, denn die Flüssig- keit erwärmt sich sehr im Verlauf der stürmischen Reaktion, wobei der grösste Theil des Nitrokörpers mit den Alkoholdämpfen sich verflüchtigen und ver- loren gehen kann. Nach Erkaltung der Flüssigkeit scheidet sich aus der Lösung durch Zusatz von Was- ser eine schwarze, ülharzige Masse aus, die mit Was- ser destillirt wird. In der Vorlage erhält man eine schwere, ölartige, blassgelbe Flüssigkeit von starkem, an Chloronaphtalas und Anilin erinnerndem Geruche. Das über dem Alkali stehende Wasser färbt sich prachtvoll blau. Das vom Wasser getrennte a Mono- chloranilin erstarrt endlich in Form kleiner gelber Blättchen; Gegenwart von Wasser verhindert seine völlige Erstarrung. Bei 0°C. erstarrt es völlig und bei gewöhnlicher Temperatur fängt es an theilweise zu schmelzen. ` a Monochloranilin ist eine sehr schwache Base, verbindet sich nur mit starken Mineralsäuren und giebt nur mit diesen bestimmte Salze. Aus einer Ló- sung desselben in organischen Sáuren, sogar in con- centrirter Essigsäure wird durch Zusatz von Wasser Tome X. die unveränderte Base ausgeschieden. Es löst sich leicht in Äther und Alkohol, etwas in Wasser. Mit einigen Tropfen Schwefelsäure und chromsaurem Kali geben die Base und ihre Salze eine schöne dunkelpur- purrothe Färbung. Mit Chlorkalklösung erhält man eine schmutzig-rothe Färbung, und die Base verharzt sich. Von verdünnter wässeriger Chromsäurelösung wird sie ebenfalls verharzt. a Monochloranilin ist von so schwachem basischen Charakter, dass es sogar von verdünnten Mineralsäu- ren nicht gelöst wird. Die nähere Untersuchung der physikalischen Ei- genschaften dieses Alkalis sowohl, als auch des 8 Chlor- anilins kann ich jetzt noch nicht mittheilen, denn die Quantität der auf die beschriebene Weise dargestell- ten Körper war nicht gross genug, um ein näheres Studium unternehmen zu können. Das schwefelsaure Salz (C, H, CI N),SH,O, bekommt man leicht durch Zusatz von concentrirter Schwefel- säure zum Alkali. Die Flüssigkeit erstarrt zu einer festen krystallinischen Masse, die in kochendem Was- ser ziemlich leicht löslich ist, und nach dem Erkalten der Lösung in Form grosser, glänzender, farbloser rhombischer Tafeln krystallisirt, welche dem subli- mirten Naphtalin sehr ähnlich sind. Dieses Salz ist das dauerhafteste von allen Salzen dieses Alkalis, denn kochendes Wasser zersetzt es nicht; es löst sich auch ziemlich gut in Alkohol. 0,462 grm. dieses Salzes gaben 0,302 grm. SBaO,, entsprechend 0,127 grm. oder 27,48”, SH,O,. Die Formel verlangt 27,76°/,. Das salzsaure Salz C, H, CIN H CI wird durch Auf- lösung des æ Monochloranilins in starker dargestellt. Es löst sich leicht in Alkohol und Was- ser. Nach dem Erkalten der heissen wässerigen Ló- sung erstarrt es zu einer Krystallmasse, die aus lan- gen, weissen Nadeln von zusammengewachsenen klei- nen, platten Blüttchen besteht. Wasser, selbst kaltes, zersetzt dieses Salz, darum muss, um es zu lösen, angesäuertes Wasser genommen werden. 0,371 grm. dieses Salzes gaben 0,320 grm. AgCI, entsprechend 0,0813 grm. oder 21,91%, CIH. Die Formel verlangt 22,25%. Das Platindoppelsalz erhält man nicht beim Ver- mischen von v3$seriger Platinlösung mit wässeriger Lösung von Salzsaurem Chloranilin; dabei schlägt 25 387 Bulletin de Académie l’Impériale sich ein Öl nieder. Setzt man aber Platinchlorid zu einer starken alkoholischen Lösung des Chloranilin- salzes, so bekommt man einen krystallinischen, gelben, in Alkohol gut löslichen Niederschlag des Platindop- pelsalzes. Der Niederschlag bräunt sich sehr bald an der Luft, und darum konnte ich die Formel dieses Salzes nicht bestimmen. Durch Zusatz von Wasser zur alkoholischen Lösung dieses Salzes wird es bald zersetzt, und es scheidet sich dabei ein Öl aus. 8 Monochloranilin C, H, Cl N. Um dasselbe darzustellen habe ich 8 Mononitro- chlorbenzol mit Zinn und Salzsäure reducirt. Die Reaktion geht sehr glatt, und es entsteht eine klare Lósung eines Doppelsalzes. Um das Alkali aus dieser Lósung zu bekommen, ist es am besten, letztere di- rekt mit wässeriger Ammoniaklósung in einer Retorte zu destilliren, denn das 8 Chloranilin destillirt leicht ‚mit den Wasserdümpfen über. 8 Chloranilin ist eine farblose, leicht am Lichte sich brüunende, ólige Flüssigkeit, die unter 0° C. abge- kühlt nicht krystallisirt. Das über ihm stehende Was- ser färbt sich bald violet-braun. Es löst sich leicht in Alkohol und Äther, aber nur wenig in Wasser; sein ` Geruch ist schwach aromatisch, sehr dem Anilin ähn- lich. Dieses Alkali hat nur schwache basische Eigen- schaften und giebt nur mit starken Mineralsäuren beständige Salze. Chlorkalklösung giebt eine schmutzig violete Färbung, die bald braun wird. Schwefelsäure und chromsaures Kali bewirken eine prachtvolle, dun- kel-purpurrothe Färbung, welche bald violet und end- lich grün-blau wird. Mit schwacher, wässeriger Chrom- säurelösung verharzt sich das Alkali. Das schwefelsaure Salz (C, H, CI N), SH, 0, entsteht durch Zusatz von Schwefelsäure zu einer alkoholischen Lösung der Base; die Flüssigkeit erstarrt zu einer weissen, helin Masse, die leicht in Alkohol und Wasser löslich ist. Aus heisser wässeriger Lö- , sung krystallisirt das Salz in Form farbloser, glän- zender Blättchen, die aus zusammengewachsenen, plat- ten Nadeln kenteken: 0,428 grm. dieses Salzes gaben 0,276 grm. SBaO,, entsprechend 0,116 grm. oder 27,09"/ SH,O,. Die Formel verlangt 27,76". Das salzsaure Salz C, H, CIN H CI erhält man durch Zusatz von concentrirter Salzsäure zum Alkali; die Flüssigkeit erstarrt zu einer krystallinischen, : 7 kohol und Wasser leicht lóslichen Masse, Aus hei wässeriger Lösung krystallisirt das Salz beim ten in Form kleiner, weisser Blättchen. ‘In ve ter Salzsäure löst sich das Alkali nur sehr und setzt man Wasser zu dieser Lösung, so s sich unverändertes 9 Monochloranilin aus. We Salz durch Einwirkung von starker Salzsiüm schon gebildet hat, so zersetzt es sich durch ' nicht; es verhält sich demnach anders als das saure a Chloranilinsalz. 0,456 grm. dieses Salzes gaben 0,405 grm. entsprechend 0,103 grm. oder 22 „58%, CIH. Die mel verlangt 22,25. Das Platindoppelsalz 2(C, H, Cl N HCH Pt hält man durch Zusatz von Platinchloridlösung einer ziemlich concentrirten wässerigen Lösu salzsauren Salzes in Form grosser, platter, Nadeln. An der Luft verändert sich dieses Salz wird braun. 0,389 grm. dieses Salzes gaben 0, 113 grm. entsprechend 29,04% Pt. Die Formel verlangt 29,5 Die Salze der organischen Säuren dieser Base: sehr unbeständig; selbst die Lösung derselben i centrirter Essigsäure zersetzt sich leicht durch satz von Wasser. Ich glaube, die Resultate, die ich bei Untersu der Chlorbenzole und deren Nitroprodukte e habe, hier noch kurz zusammenstellen zu müss benzole gaben je zwei isomere bee denen zwei identisch sind; was aber die zwei a betrifft, so muss man sie wegen der Verschied ihrer Dichtigkeit, ihrer Kochpunkte und ihrer duktionsprodukte als isomere betrachten. | Die Ursache der Isomerien, die sich beim und wahrscheinlich in der ganzen Reihe der aro tischen Kohlenwasserstoffe vorfinden, liegt nach ner Meinung nicht in der Selbstständigkeit 1 der schiedenen Gruppen, die sich in den Gruppen Körper befinden, wie dies F. Beilstein Üb ۱ Nichtidentität des Chlortoluols mit dem Chlor? Zeitschr. f. Ch. IX, I, 17) ausgesprochen hat, $ des Sciences de Saint- Pötersbourg. dern die Isomerie lässt sich nur durch die Verschie- denheit der Wasserstoffe erklären, auf deren Rech- nung die Metalepsie entstehen kann. Auf Grund der angeführten Thatsachen müssen wir wenigstens 2 verschiedene Wasserstoffe in der Ben- zolgruppe annehmen, auf deren Rechnung die Isome- rie stattfindet. Ich habe schon bewiesen, dass die Gruppe (NO,) in die Gruppe der isomeren Chlorben- zole eingeführt, letztere identisch macht. Gegenwür- tig müssen wir auf Grund der sichtbaren Identität (ich sage sichtbaren Identität, denn die vollkommene Untersuchung dieser Körper ist noch nicht beendigt) der öligen Dinitrokörper, die man sowohl aus beiden Chlorbenzolen, als auch aus ihren Nitroprodukten, bei der Einwirkung eines Gemisches von concentrir- ter Salpetersäure und rauchender Schwefelsäure er- hält, zu der Schlussfolgerung kommen, dass, wenn man in zwei isomeren Metalepsieprodukten des Ben- zols (auf Rechnung von 2H) an Stelle eines dritten H die Gruppe (NO,) stellt, die Isomerie verschwindet, und man als Produkt nur identische Körper erhält. Wahrscheinlich wird unter solchen Umständen nicht allein die Gruppe (NO,) eine solche Rolle spielen, und vielleicht werden sich alle anderen Gruppen ähnlich verhalten, aber für (NO,) ist es fast festgestellte That- sache. Ich bin jetzt mit der näheren Untersuchung dieser Reaktion beschäftigt und werde die Resultate dersel- ben bald vorlegen können, L’opposition de la planète Neptune en 1865, par A.Savitch. (Lu le 26 avril 1866.) Les observations ont été faites, comme dans les années antérieures, au moyen du cercle méridien de l'Observatoire académique à St.-Pétersbourg. Les ascensions droites et les déclinaisons des étoiles de com- paraison sont empruntées au Nautical Almanac pour l'an 1865; ces étoiles sont: x, o, & des Poissons, et 12 de la Baleine. On a observé en outre les passages des étoiles Cireumpolaires y du Cephée et « de la Petite Ourse pour déterminer le plan de l'instrument pàr rapport au pole du monde. - Sous la rubrique: Obs. ب‎ Naut. Alm. se trouvent les différences entre les positions observées, corrigées de la réfraction et du parallaxe et les positions appa- rentes de la planéte, données dans le Nautical Almanac pour les mémes dates. Ces positions se rapportent aux moments des passages par le méridien de St.- Pétersbourg. Dates 1805. Asc. droites, |Obs.—N. Alm. Declinaisons m Sept. 20 0837۳20190۱ —2:07 2*18'36/3|—15,2 » 21 14,211 —2,11 | 17 58,2/— 14,0 » 23 1,91! —2,37 | 16 42,91 10,3 » 27| 36 3801| —2,00 | 14 2,0. —13,0 » 59 25,68| —2,10 | 12 45,3| —10,6 Oct. ....1 13,45| —2,09 | 11 244|—12,6 » 9 7,11) —2,31 | 10 46,0/— 10,6 » 80 35 3040| —2,35 2 642,6 —18,1 Milien...... - — 9:175 —12,8 Activité littéraire des Géorgiens et des Armé- niens, en 1865; cf. Bulletin, t. VIII, p. 549, par M. Brosset. (Lu le 28 juin 1866.) N° 4. Livres géorgiens. 1. Abécédaire anonyme, 2° éd. 1865; Typogr. de Stéph. Mélikis-Chwili. 2. Autre, par I. G., avec une bonne méthode pour apprendre à lire et un fort bon choix de lectures, aussi utiles qu’agr&ables. 1865. 3. Gribouille, conte pour les enfants, par G. Sand; trad. en géorgien vulgaire par Dav. Qiphiani. 1865. Les caractéres géorgiens employés dans ces trois ouvrages me paraissent peu élégants, et surtout les capitales sont absolument. contraires au vrai sentiment de l'écriture géorgienne. 4. Éléments de la doctrine chrétienne et histoire sainte, Typ. de la Lieutenance du Caucase, 1865, 8^, russe-géorgien, anonyme. Grand Catéchisme de l'église orthodoxe; éd. de la Soc. pour la restauration du christianisme dans le Caucase; 8^, 1865; anonyme, ibid. 6. Le Courrier ecclésiastique, janvier — mars 1865; Réd. G. Khélidzé; Typogr. Enfiadjiants. Dans le N° de janvier 1865, article historique intéressant sur Gaïoz, évêque géorgien de Mozdok et auteur de la premiere grammaire géorgienne, imprimée à Krémentchouk en 1789. 95* P Bulletin de l’Académie Impériale Ce journal renferme de bons articles géorgiens et russes sur la doctrine, sur la morale DRE 7. L’Aurore, écrit périodique, octobre 1864; janvier — Mars 1865 8. La Charrue, journal de quinzaine, se continue; 3° a. 9. Le Temps, nouveau journal géorgien, politique et littéraire, paraissant chaque semaine, depuis le 16 mars 1866. Les rédacteurs, hommes fort zélés, n’omettent aucun effort pour rendre intéressante la lecture de leur feuille. Livres arméniens. 1. Almanach pour l’année arménienne 1315—1866, Tiflis, Typ. Enfiadjiants. 2. Autre, St-Pétersbourg, Typ. R. Patcanian. Cet almanach renferme, en langue vulgaire ar- ménienne, de nombreuses et intéressantes addi- tions, où sont expliqués plusieurs mots et usages relatifs au calendrier: E E Navacatink, Baclakhoran, Dzagh les almanachs sont les vrais propagateurs de ces no- tions vulgaires, mais indispensables. 3. Syllabaire, 1865, NORMA Typ. FANS 4. Autre, » » 5. Autre, » » » » 6. Nouveau Syllabaire, » » 7. Autre par G. T. A. et M. K.. 8. Petites lecons sur la foi chrétienne et sur l'his- toire sainte, Tiflis 1865, Typ. Enfiadjiants. 9. Éléments de Géographie, d’après la méthode amé- ricaine de Cornélius, par Ter Mikaéliants; 1۳ ca- hier, 1865, ibid. 10. Les Récits de l'Américain Parley, trad. par Cam- sar Otznétsi, 1865, ibid. Cet ouvrage, en langue vulgaire, contient b courtes notices sur tous les pays du monde, don- nées par un personnage fictif — je le suppose — Parley, de Boston. 11. Le Jeu du sort, St.-Pétersbourg, Typogr. de R. Patcanian. 1865. Il y a une table de 100 N°, auxquels répondent autant de figures, accompagnées chacune d’un qua- train où se trouvent des allusions aux circonstan- ces de la vie: c’est un jeu d’enfants. 12. Livre d’heures de l’église arménienne, composé | 20. Le Vicaire dé Wakefield, trad. de l'anglais par les SS. péres Sahac et Mesrob; Tifis, 5 Typ. Enfiadjiants. Appel à la pénitence, par le père Barsegh Pe de Nor-Nakhitchévan; Théodosia, Typ. del Khalip. 1865. Histoire du N.-Testament, par Amb. Khalp 1863. Abrégé de l'histoire sainte, par le P. Jos, 3* éd., Tiflis 1865, Typ. Enfiadjiants, en. littérale, 8°. . Histoire de l'Arménie au moyen-âge; Nicol, persion des Arméniens en Pologne, par V Kimanak (Pseud.), en langue vulg. Pét. Typ. Patcanian. C'est une fiction, mais renfermant de c détails. . Histoire de la Crimée, avec notices géographi et recherches scientifiques, par ۵۲ Khalipiants, sur la Crimée ancienne ef mode portrait d'Harouthioun Khalipiants; 8°, 1 204 p. Belle impression. P. 173, n. 59, liste des livres imprimés à la Typogr. des: Khai puis 1859. Cet ouvrage est en langue vulgaire; lat dit pas d’oü il a puisé ses renseignements. une Table alphabétique, assez considérabl un grand nombre de sources. L'auteur four certaine quantité d'inscriptions d'églises, le XVI’ s. jusqu'à notre époque. 18. Nouveau Chansonnier, ou chansons populaili 8 cueillies par Abgar Goulamiriants; Moscou, ! de l'Université, 1865, avec musique. ` 19. Histoire de la littérature arménienne, ni Palasavrian, 1” Livr. 13. 14. 15. re c vier Goldsmidt, par M. Doe e 1865, Typ. de l’institut Lazaref. La bonne dissertation de M. le professeur £ nian: Onbrrh neropin CaccaHHAOB’b, no CRL ga C INAeNbIMB apmauckumn تنم‎ , Pétersb. 180 obtenu l’honneur d’une traduction française, Ev. Prudhomme, dans le Journal asiatique de février — mars 1866. Nous reviendrons sur ce. des Sciences de ۵۱۸۸۰ Déicrsbonrg, Plantarum novarum in Caucaso a Dr.G. Radde lectarum decadem proposuit E. R. a Traut- vetter. (Lu le 7 juin 1866.) 1) Ranunculus subtilis Trautv. perennis, radice fibrosa; caule tenuissimo, erecto, supra medium 2-fo- liato, adpresse setuloso, folia radicalia longe super- ante ; foliis radicalibus latitudine longitudinem super- antibus, magis minusve transverse ellipticis, integris, basi subcordato-rotundatis integerrimisque, apice ro- tundatis vel subtruncatis et mucronato-crenatis, de- mum utrinque glabris, parce et adpresse ciliatis, pe- tiolo filiformi, parce setoso sufultis; foliis caulinis parvis, approximatis, inferiore sessili, tripartito, seg- mentis folioque caulino superiore linearibus, acutis, integris integerrimisque; pedunculo elongato, parce setuloso, apice tenuissime striato; perianthio....; pe- talis....; receptaculo setuloso; carpellis in capitu- lum minutum collectis, oblique orbiculato-ovatis, com- pressis, laevibus, glabris, stylo brevi, uncinato coro- natis. In monte Nachar, altit. 6 — 7000 ped. Speciminis nostri caulis basi adscendens, 20 centim. longus, vix ”, millim. crassus, simplicissimus , uniflo- rus, setulis rarissimis, brevissimis, adpressis consper- sus. Foliorum radicalium lamina ad UL, centim. longa, 2'/, centim. lata, magis minusve deorsum flexa; cre- nae terminales majores, semiorbiculares, mucronatae, deorsum decrescentes; petioli 6 — 8 centim. longi, lamina quadruplo longiores, ima basi angustissime vaginati; vaginae extus parce setosae. Folium cauli- num inferius 1%, centim. longum, — superius 1% centim. longum. Carpella cum rostro circiter 2 mil- lim. longa. 2) Papaver monanthum Trautv. (Scapiflora Rei- chenb. in Walp. Repert. bot. I. p. 110) perenne, caespitosum, acaule, foliis omnibus radicalibus, ob- longis, acuminatis, in petiolum angustatis, modo inte- gris et dense acuteque inciso-serratis, modo profunde pinnatifidis, utrinque petioloque hispidissimis, laci- niis lanceolatis, acuminatis, decurrentibus, integerri- mis vel serratis, setis longissimis, in apice dentium et laciniarum paullo validioribus et rigidioribus; scapis erectis, simplicissimis, unifloris, nudis, folia bis su- perantibus, strigosis, setis brevioribus, adpressis; se- palis hispidissimis; staminibus filiformis; capsulis (im- maturis) obverse ovoideis, glabris; stigmatibus 7 — 9. In montibus Schambobell. Folia cum petiolo 12—20 centim. longa, 1',—3 centim. lata. Petiolus laminam aequans vel ea brevior. Scapus 1 — 1, pedalis. Flores ampli. Petala ad 3”, centim. longa. — Species a P. alpini L. varietatibus omnibus foliorum forma et inudmento longe recedit. 3) Hypericum nummularioides Trautv. herbaceum, perenne, basi repens, laeve, glaberrimum, caulibus adscendentibus, teretibus, tenuissimis, simplicibus; foliis ellipticis, utrinque rotundatis vel apice retusis, integerrimis, minute pellucido-punctatis, utrinque sub- concoloribus, glaucis, brevissime petiolatis, patentis- simis; cyma terminali, pauciflora; bracteis minutis, glanduloso-serratis, glandulis nigris, breviter stipita- tis; sepalis liberis, aequalibus, ellipticis, obtusiuscu- lis vel acutiusculis, glanduloso-serratis, glandulis ni- gris, breviter -stipitatis; petalis sepala quater super- antibus, impunctatis, apice parce glanduloso -ciliatis ; stylis 3. In monte Nachar, altit. 6000 ped. Caules debiles, vix 20 centim. longi; folia parva, ad 9 millim. longa, ad 6 millim. lata; sepala dorso punctis nigris destituta. — Species haec proxime ac- cedit ad H. nummularium L., quod foliis orbiculatis, aeque latis ac longis, basi saepius leviter cordatis, crassioribus, discoloribus, supra viridibus, subtus (in sicco) albidis differt. 4) Centaurea bella Trautv. (Phalolepis Cass.) herba perennis caulibus adscendentibus, arachnoideo-pilosis, a medio aphyllis, simplicibus, monocephalis; foliorum lyrato-pinnatisectorum, supra viridium et glanduloso- punctatorum, subtus dense albo-tomentosorum segmen- tis ellipticis, integris integerrimisque, deorsum deere- scentibus; periclinii subglobosi, glaberrimi appendici- bus non deenrrentibus, suborbiculatis, margine late scariosis, albis, integris integerrimisque vel parce la- ceris, dorso dilute fuscis, ad basin nigro-fuscis, apice muticis; flosculis radii disco multo majoribus; pappo duplici, exteriore elongato, setis scabris, multiseriatis, exterioribus sensim brevioribus, — interiore brevis- simo, paleis paucis, oblongo-linearibus, apice parce ciliatis. Prope Borshom. Vix pedalis. Foliorum radicalium et caulinorum infimorum segmenta 5 — 7, elliptica, basi angustata, subsessilia, supra parce arachnoideo-pilosa; foliorum 395 Bulletin de l’Académie Impériale superiorum segmenta 3— 5, lineari-oblonga. Pedun- eulus (caulis pars superior) elongatus, bracteis per- paucis, distantibus, minutis, linearibus, integris, ad- pressis, apice albo-hyalinis fultus. Periclinium dia- metro 1%, centim. attingens, ebracteatum; squamae adpressae; appendices patulae, extus convexae. Co- rollae purpureae. Achaenia immatura compressa, lae- via, parce puberula, alba. 5) Campanula Raddeana Trautv. (Medium $ 2 stigmatibus 3. Dec. Prodr. VII. p. 460) herba peren- nis, glaberrima; caulibus erectis, ramosis; foliis ova- tis, inaequaliter duplicato-inciso-serratis, acutis, ra- dicalibus profunde cordatis et longe petiolatis, supre- mis basi rotundatis et sessilibus, rameis et floralibus minutis, lanceolatis, acuminatis, subintegerrimis, se- toso-ciliatis; racemis paucifloris, in caule ramisque terminalibus, in paniculam laxam collectis; floribus cernuis, subseeundis; perianthii glabri laciniis lanceo- latis, acuminatis, longe setoso-ciliatis, appendicibus oblongo -lanceolatis, obtusiusculis, setoso-ciliatis, la- ciniis paullo brevioribus. Prope Borshom. ` Herba multicaulis, '/, —pedalis. Caules tenues, le- viter angulati. Folia radicalia ad 2, centim. longa, 1%, centim. lata, petiolo tenui, ad 5 centim. longo in- sidentia, superiora brevius petiolata, suprema sessi- lia, omnia utrinque viridia. Petioli ima basi dilatati, setoso-ciliati. Corolla campanulata, perianthio duplo longior, ad "4 quinqueloba, coerulea, extus glaberrima; lobi ad marginem pilis longiusculis, mollibus, raris tecti vel glabri. Stylus exsertus. 6) Primula grandis Trautv. (Verbasculum Rupr.) non farinosa, foliis membranaceis, rugulosis, ovatis, basi cordatis, irregulariter duplicato-crenatis, utrin- que viridibus, subtus tenuissime pulveraceo-puberulis, petiolo longissimo, anguste alato suffultis; umbella terminali, amplissima; involucri foliolis lanceolatis, acuminatis, basi non appendiculatis; pedicellis invo: lucrum floresque multoties superantibus; perianthii ampli, glabri, ad '/, quinquelobi lobis ovatis, acutis; corollae tubo ejus limbum et perianthium aequante; limbi corollini laciniis oblongis, obtusis, minute emar- ginatis, sinubus inter lacinias latissimis, capsulis pe- 'rianthium parum superantibus. In montium jugo Dadiasch. dis Coss., solummodo caulis summitates praesto Solummodo scapus fructifer et folia 9 à 1 avulsa nobis suppetunt. Foliorum lamina ad 1 longa, 8 centim. lata, basi leviter cordata et in nem lam decurrens, apice obtusiuseula, supra glabra, ۱ 2 tus ad nervos magis minusve pulveraceo-puber, penninervia; nervi subtus prominentes. Petioli ; centim. longi, 6 — 8 millim. lati, tenuissime- ceo-puberuli. Scapus absque umbella 25 cent gus, 4 millim. crassus, glaber. Umbella maxima, citer 40-flora, diametro 10 centim. attingens, giata. Pedicelli apice incrassati, inaequales, e patuli, ad 7'/, centim. longi, هام‎ Involueri f minuta, circiter 4 millim. longa, sub lente m: نی‎ puberula. Perianthium frutiferum millim. longum et latum, glabrum, ultra y^ qui lobum, juventute quina Eis (2), 5-ner nervis نو امه‎ prominulis; lobi sub lente gine pulveraceo-puberuli. Stamina 5, uniseriata, ( rollae tubo paullum infra medium inserta; f antheris multoties breviora. Stylus longissime e tus, corollae tubo duplo vel fere triplo longior. 7) Scrophularia lateriflora Trautv. (Venilia G. glaberrima, eglandulosa, glauca, caule tereti, cili, apice subvolubili; foliis caulinis lanceolatis, acuminatis, basi insnifeste cordatis, basin usque pliciter arguteque serratis, brevissime petiolatis mis omnibus axillaribus, foliorum terminalium ; tivis, multifloris, laxis, folio subduplo brevioribus dicellis elongatis, flore multiplo longioribus pedi lisque subcapillaribus; bracteis minutis, lineari-sub latis, pedicello multiplo brevioribus; perianthii la niis orbiculato-ovatis, obtusis, angustissime mar, tis; corollae laciniis truncatis, subaequilongis; 8 nibus breviter exsertis; capsula globoso- 09 d rianthium bis Superante. Prope Muri Speciei hujus distinctissimae, habitu Ser. fen Planta probabiliter perennis, tota glauca et 6 rima. Caulis tenuis, verisimiliter pluripedalis, ad à cem usque foliatus, fortassis scandens. Folia ci ad 12 centim. longa, ad 3%, centim, lata, penn via, subfalcata, subtus cinereo-glauca, verant s apicem dessen: Petiolus ad 3 millim. 101 Cymae plerumque a basi ramosissimae ideoque # siles. Flores parri, cum staminibus exsertis €i des Sciences de Saint ۰ 5 millim. longi. Perianthium 1'/, vel demum 2 millim. longum. 8) Digitalis ciliata Trautv. (Grandiflorae Benth.) herbacea, perennis, caulibus simplicibus, pubescenti- bus; foliis penninerviis, oblongo-lanceolatis, apice longe acuminatis, basin versus angustatis argute et glandu- lose duplicato-serratis, sessilibus, supra viridibus et glabris, subtus pallidioribus et puberulis; racemo multifloro; pedicellis perianthium aequantibus vel su- perantibus; perianthii extus glaberrimi laciniis lato- ellipticis, apice rotundatis, longiuscule ciliatis; corol- lae extus tenuissime puberulae, margine longiuscule ciliatae tubo campanulato, limbi laciniam infimam multoties superante. Prope pag. Mushali. Caulis circiter 1'/,-pedalis, erectus, leviter angula- tus. Folia radicalia ignota; caulina sparsa, conferta, ad 8 centim. longa, 1'/, centim. lata, tenuiter sed ar- gute duplicato-serrata, nervo medio subtus promi- nente, nervis secundariis tenuissimis. Bracteae folia- ceae, integerrimae, longe acuminatae; inferiores lan- ceolatae, pedicellum longe superantes; supremi li- neari-lanceolatae, pedicellum subaequantes. Flores in racemum terminalem, solitarium, simplicem, laxiuscu- lum, bracteatum dispositi, remotiusculi, ad 2 centim. longi, inferiores longius, superiores brevius pedicel- lati. Perianthii laciniae ad 6 millim. longae, ad 3, millim. latae, herbaceae, margine angusto, pallido, dia- phano cinctae, 5 — 7-nerviae. Corollae (in sicco och- raceae) limbus obliquus; lobus superior lato-ovatus, ad ',— '/ bifidus; lobi 3 inferiores ovato-elliptici, apice rotundati, infimus lateralibus paullo longior. Stamina corollae tubo inclusa, filamentis antherisque glabris. Ovarium glabrum. Stylus corollae tubo inclu- sus, glaber. 9) Veronica orbicularis Fisch. herb. (Chamaedrys $ 5 Petraeae Benth.) perennis, caulibus elongatis, repentibus, radicantibus, puberulis; foliis minutis, el- liptieis, orbiculatis vel ovatis, obtusiusculis, basi ro- tundatis vel cuneatis, parce crenato -serratis, glabris, petiolatis; racemis axillaribus, multifloris, longe pe- duneulatis, densiusculis; pedunculis folia multoties superantibus, puberulis, adscendentibus; pedicellis bracteas lineares perianthiumque ter quaterve superan- tibus, erecto-patulis, puberulis; perianthii glabri, 4- partiti laciniis subaequalibus, ovato ellipticis, acutis; capsulis suborbiculatis, glabris, perianthium bis su- perantibus, leviter emarginatis, sinu valde aperto. Prope Borshom. Folia ad 8 millim. longa, ad 7 millim. lata, cras- siuscula. Petioli ad 3 millim. longi, puberuli. Pedun- culi fructiferi ad 3 centim. longi, racemos fructiferos subaequantes. Pedicelli fructiferi ad 8 millim. longi. Bracteae integerrimae. Capsulae ad 4 millim. longae, ad 5'/, millim. latae, perianthium bis superantes, a latere valde compressae; loculi 3-spermi. Stylus elon- gatus, e capsulae emarginatura longe exsertus, cap- sula paullo brevior. Semina plano-compressa , subor- biculata, laeviuscula, diametro 1 — 1, millim. attin- gentia. 10) Veronica monticola Trautv. (Veronicastrum § 3 Alpinae Benth.) herba perennis, multicaulis, caulibus e basi radicante adscendentibus, tenuissime puberulis, parce ramosis; foliis ellipticis oblongisve, acutis, basi cuneatis, remote dentato-serratis, glabris, inferioribus brevissime petiolatis, superioribus sessilibus, subito in bracteas oblongas, integerrimas abeuntibus; racemis elongatis, laxis, in apice caulis ramorumque termina- libus, sessilibus; pedicellis perianthium ter quaterve superantibus, erecto-patulis, puberulis; perianthii 5- partiti, puberuli lacinis 4 subaequalibus, elliptico-ob- longis, obtusis, quinta duplo majoribus; capsulis pe- rianthio plus duplo longioribus, ellipsoideis, obtusis, tenuissime puberulis. In monte Nachar, altit. 6 — 7000 ped. ` Caulis teres, cum spica circiter 1-pedalis, ad me- dium vel 7 longitudinis foliatus, subito in racemum sessilem abiens. Folia.ad 4 centim. longa, ad 17, _ centim. lata, omnia opposita vel 2 suprema alterna. Racemi 1 — 6, in caule ramisque terminales, ramei supremi tamen basi aphylli ideoque quasi axillares. Pedicelli erecti, circiter 1 centim. longi, inferiores bracteam aequantes, superiores illa duplo triplove longiores. Corolla perianthio duplo longior. Capsu- lae erectae, circiter 6 millim. longae, 3 — 4 millim. latae, obtusae vel ad styli insertionem subemarginatae. Stylus persistens, capsulam maturam aequans. Bulletin de l’Académie Impériale Recherches sur la circulation du sang chez les tuniçaires. Par M. le professeur N. Wagner. (Lu le 7 juin 1866.) Une étrange particularité de pulsation du coeur chez les tuniçaires se montre comme une sorte de fonction unique et mystérieuse parmi tous les autres types de circulation du sang chez les animaux infé- rieurs. Mais en même temps, les autres particulari- tés de l’organisation de ces mollusques, nous présen- tent aussi quelque chose de surprenant; comme par exemple, un fort développement des téguments ou de la cavité respiratoire aux depens des viscères. C’est en rapprochant seulement toutes ces particularités, avec la pulsation du coeur en deux sens opposé, qu’on peut trouver l’explication de ce phénomène problématique. — En effet, qu’est ce que c’est qu’un tuniçaire? — Un mollusque avec un fort développement des tégu- ments ou du manteau. C’est dans ces téguments que le système nerveux vient se placer; en dedans de ces parois pachydermique, se distribuent en abon- dance les réseaux vasculaires, et c’est dans ces réseaux capillaires que s’opère l’oxydation du sang à travers les parois du corps. Enfin ces parois du corps, ou pour mieux dire, ce sac tégumentaire, riche en ban- des et en faisceaux musculaires, représente un fort organe de locomotion. Chez les ascidies, là où les mouvements progressifs n'existent pas, à côté de cet organe respiratoire nous voyons un autre, fortement développé, nous voyons — un sac bronchial. Mais chez . les tuniçaires libres, là où l’oxidation du sang s'opére plus énergiquement dans le manteau, les bronches perdent leur importance et chez le Doliolum elles se réduisent jusqu'au minimum du développement. Néan- moins chez tous les tunicaires nous voyons toujours l'existence de deux organes respiratoirs; les bron- ches et le manteau. En considérant maintenant les rapports des viscè- res à ces deux organes de respiration et puis les rap- ports des réseaux capillaires à l'ensemble du systéme vasculaire, nous aurons inévitablemet la conviction de la nécessité de cette double pulsation du coeur, qui nous étonne tellement au premier abord. Pour démontrer notre thése nous examinerons d'abord la circulation du sang chez les salpes, oü elle se présente plus limitée et plus simple dans l'arrange- ment de ces parties. Les injections faites sur les salpes m'ont dé que le systéme circulatoire consiste ici de trois. ties ou systémes particuliers, qui communiquent er eux par les réseaux capillaires richement 6 1) La partie supérieure ou dorsale commence coeur (4) par une aorte (a), qui se bifurque et d Schema de la circulation dans une salpe, 1 I I U i 1 1 M lle système dorsal, "d le systéme bronchial ou ventral, — viscéral. À 1 r, a aorte, b, b deux vaisseaux i € c leurs trajets in le pub AUR B bronchies. d vaisseau partie ventrale. C nucleus. e e les canaux du canal alimentaire. manteau. 2) La partie bronchiale ou ventrale (II), wie mence au bout opposé du coeur et porte le san la partie inférieure du manteau (d). Enfin. — 3) la partie viscérale, moins développée sert circulation du sang dans le nucleus. | Le coeur est placé entre le 1۳ et le 2° syst des Sciences de Saint-Pétersbourg. c’est-à-dire presque dans la moitié du cercle entier de la circulation. Représentons-nous maintenant que la pulsation du coeur s'exécute dans la direction du premier système, c’est-à-dire qu’il pousse le sang par les deux grands vaisseaux (b, b) dans la partie dorsale et antérieure du manteau. En opérant ainsi il doit auparavant tirer le sang du nucleus, puis de la partie inférieure du manteau et pousser enfin toute la quantité de ce sang par les réseaux capillaires du premier systeme dans les vaisseaux du second. Ce travail du coeur sera bien facile au commence- ment, parce que le sang coulera dans des canaux de grande dimension; mais quand ces canaux du pre- mier systeme seront remplis, et que le sang passera dans les réseaux capillaires, alors la difficulté du tra- vail augmentera de plus en plus avec chaque pulsa- tion. En observant les battements du coeur chez les salpes, on voit toute l'énergie de ces battements; mais ils s'affaiblissent de plus en plus à mesure que les eapillaires se remplissent dans un sens. 'On com- prend bien que cette difficulté disparait à l'instant oü le coeur change la direction de ces pulsations, dés qu'il commence à remplir les grands vaisseaux du second système. Mais cette difficulté apparaîtra de nouveau, quand les vaisseaux et leurs capillaires seront injectés de sang. Outre cette cause, la double pulsation du coeur est déterminée encore par le rapport du 1’ et du 2° système au 3™°, c'est-à-dire à la circulation dans les viscères. Ce système se compose de trois vaisseaux (e, e, €), qui sortent du commencement des grands vaisseaux, se ramifient dans les bronches, et distribuent le sang dans le canal alimentaire. Il est évident que pen- dant que le coeur envoie le sang dans le second système, une partie de ce sang entre dans les vais- seaux du nucleus, et de cette manière le canal alimen- taire reçoit le sang respiré dans le manteau. Quand les pulsations du coeur changent de direction, i] tire le sang du canal alimentaire, et à sa place le sang des bronches entre dans les canaux du nucleus. Ainsi le canal alimentaire regoit constamment le sang arté- riel, c'est-à-dire respiré tantót dans le manteau, tan- tót dans les bronches. En méme temps les vaisseaux Tome X des intestins au moment de la diastole du coeur ab- sorbent probablement les matières alimentaires (orga- nites du sang?) pour les envoyer dans le manteau ou dans les bronches, selon la direction des pulsations du coeur. En passant maintenant aux ascidies, il faut dire d'abord que toutes les formes des ascidies simles, dont j'ai étudié la circulation, possèdent aussi bien que les salpes un systéme vasculaire complet, riche en réseaux capillaires. Comme type de ce système je prends le système Schema de la circulation du sang dans l'ascidia intestinalis n peces M € سے سے‎ m mn, 3 a I Système circulatoire du mantau, ZI systeme circulatoire du sac bronchial, III système circulatoire des viscères. A coeur, B sac bronchial, C estomac, D intestins, E rectum. a sinus thorachique ou vene-artère bronchial b. b. b. les vaisseaux du sac bronchial, c vais- seau du canal intestinal, d du manteau e vaisseau de l'esto- mac, f sinus dorsal ou vene-artére du manteau, 9, 9, 9 ses conduits vers le systeme circulatoire du manteau. a ouverture boucale du manteau Q ouverture anale ou postérieure. circulatoire de lascidia intestinalis Bohadsch, chez la- 26 403 Bulletin de l’Académie Impériale quelle les parties sont plus nettement accussées, que chez les autres formes. ۱ Ainsi comme dans les salpes, nous voyons ici la double respiration: dans le manteau et dans le sac bronchial; comme dans les salpes, nous pouvons divi- ser toute la voie du sang en trois systèmes, savoir: a) la circulation dans le manteau (J), b) la circulation dans le sac bronchial (I7), et c) la circulation dans i | | ment dans le sac bronchial par les conduits b.b les viscères. — La principale différence se montre par rapport à la position du coeur; il est placé chez les ascidies entre le second et le troisiéme systéme c'est- à-dire entre la circulation dans le sac bronchial et la circulation dans le canal alimentaire. Dans les salpes les vaisseaux dorsaux distribuent, comme nous avons vu, le sang dans la partie supé- rieure du manteau. Dans l'ascidia intestinalis un vais- seau du sinus thoracique (comme le nomme Milne Edwards dans les Clavellines) *) (a) envoie le sang par une multitude de cannaux paralléles dans le sac. bronchial. Outre cette vene-artere bronchiale le bout supérieur du coeur donne naissance aux vaisseaux qui se ramifient: 1) dans les intestins (c), 2) dans le manteau (d), 3) dans la membrane particuliére (mé- sentérium) étendue sur une anse du canal alimentaire (e) et 4) dans une cloison (f) qui sépare la partie in- férieure de la cavité du corps dans laquelle sont pla- cés les viscéres de la partie supérieure renfermant le sac bronchial. Le bout opposé ou inférieur du coeur envoie les vaisseaux principalement et immédiatement vers l'es- tomac (C e). Les capillaires de ces vaisseaux se réu- nissent prés de l'oesophage dans un large canal (f) (sinus dorsal, d'aprés Milne Edwards), qui en par- courant toute la longueur du sac bronchial donne nais- sance aux deux systémes de canaux paralléles. Les uns de ces canaux (g, g), plus extérieurs et plus larges, envoient le sang dans le manteau, où il se distri- bue par un systéme particulier. Les autres vaisseaux (b, b, b, b), plus intérieurs et plus étroits, présentent le prolongement des canaux provenant du canal tho- racique. | Supposons maintenant que le coeur fait des pulsa- *) M. Edwards, Observations sur les ascidies composés. Mém. de l'Acad. des sciences. Paris. 1842. T. XVIII p. 224. Îles vaisseaux de l'estomac (e). De ces vaiss tions du haut en bas, c'est-à-dire dans la directs l'ouverture boucale du manteau (m) vers Pest Durant cette opération il tirera le sang du sach et de tous les vaisseaux sortant du bout « du coeur, pour remplir immédiatement de ce sang coulera par le canal ventral et le système q ges conduits (g, 9, 9) dans le manteau et pa Si la direction des pulsations du coeur cl le sang respiré dans le manteau sera transporté par ` les larges conduits du canal ventral (f) dans les vai seaux de l'estomac. De là il coulera dans les ca naux des intestins, le mésentérium, la cloison ete enfin il parviendra jusqu’au système du sac bronchia dans lequel il remplira toutes les capillaires, Par cett voie le sang coulera constamment et principal dans le manteau jusqu'à ce que tous les résea pillaires de ce tégument respiratoire soient inj les pulsations du coeur deviendront alors trés les, et leur direction changera. * Ainsi chez /'ascidia intestinalis aussi bien dans les salpes, nous voyons la double respirati comme dans les salpes, les viscères sont plac sur le trajet du sang respiré. Seulment il n'y € pas de distinction bien prononcée entre le sang res piré dans le manteau et le sang bronchial. Les seaux de l'estomac, par exemple, reçoivent a sang respiré dans le manteau, aussi le sang qui circulé dans le sac bronchiàl. Les vaissaux du jeté immédiatement dans ce dernier, et vice vi Chez les autres genres des ascidies simples on contre encore une plus grande confusion entre 6 diverses parties du système vasculaire, et cette constance est déterminée principalement par les diffé- rents modes de position des organes. Daus un me moire particulier je tàcherai de présenter en détails tous ces types de système circulatoire chez les tuni- ' gaires, tandis qu'à présent je me borne à ind seulement en géneral les causes de la double puls du coeur dans ces animaux. D'aprés les faits expo je pense qu'on peut-conclure que ces causes se Ch S chent dans: 405 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 1) La respiration double qui s’opère dans le man- teau et les bronches. 2) Les rapports du canal alimentaire aux organes de respiration et ° 3) Le développement démesuré des résaux capil- laires dans tous les organes et principalement dans lé manteau. Über die Relation zwischen magnetischer Incli- nation und Horizontalintensität, von Ferdi- nand Müller. (Lu le 1 juin 1865.) (Mit 1 Karte.) Der erste Versuch, eine Relation zwischen der magnetischen Inclination und Intensität nachzuweisen, ist nach Sabine (s. Poggendorff's Annalen, Band VI. pag. 109.) von Young im Jahre 1820 gemacht. Es ist unnöthig, hier näher auf diesen Versuch ein- zugehen, da Sabine schon am angeführten Orte ge- zeigt hat, dass die Young’sche Formel nicht mit seinen über einen grossen Theil der Erdoberfläche ausgedehnten Beobachtungen übereinstimmt. Sabine glaubte damals überhaupt, «dass die Grösse der hori- zontalen Kraft nicht bloss als Function der Neigung allein ausgedrückt werden könne» (l. c. pag. 112) und stellte darum eine Formel auf, in welcher anstatt der Inclination der Abstand von einem der magnetischen Pole vorkommt. In neuester Zeit hat Hr. Prof. La- mont die Frage wieder aufgenommen. Derselbe hat bereits in mehreren seiner Schriften bemerkt, dass zwischen den Veränderungen der Inclination und Ho- rizontalintensität von einem Orte zum andern ein con- stantes Verhältniss stattfinde, und dass diesem Factum ein einfaches Naturgesetz zu Grunde liegen müsse. In seinen «magnetischen Untersuchungen in Nord- Deutschland, Belgien, Holland und Dänemark. Mün- chen 1859» spricht sich Hr. Prof. Lamont darüber folgendermassen aus: «Ich habe erkannt, dass das Verhältniss der Hori- zontalintensitüts- Aenderung dX zu der Inclinations- Aenderung di um so grösser ist, je grösser der Cosi- nus der Inclination und je kleiner die Totalintensität J, so dass man di = -- 0۳7" 5 setzen kann, wo a eine Constante bedeutet. Wird dann mittelst der Gleichung X — J'cosí die Totalintensität eliminirt und die Integration vor- genommen, so erhält man tgi=alog T wo X, die durch die Integration eingeführte Constante ist und die Horizontalintensität am magnetischen Äqua- tor bedeutet. Wenn man a — 7.15 und log X, — 0.59200 setzt, so stellt diese Gleichung die Inclination aller bisher genau bestimmten europäischen Orte (in- sofern nicht eine besondere Abnormitüt vorkommt) innerhalb + 15' dar.» Im Herbst 1864 stellte ich magnetische Beobach- tungen an einigen Puncten der Ostseeprovinzen an. Bei denselben bestätigt sich das eben angeführte Ge- setz nicht; indem ich die Inclination aus der Horizon- talintensität berechnete, fand ich erstere überall zu klein, in den Bördlichsten Puncten beinahe um einen Grad, in den südlicheren um 20 — 30. Um meine Beobachtungen darzustellen, musste der in der Formel mit a bezeichnete Factor ziemlich beträchtlich geän- dert werden. Ich habe später gesehen, dass dieser Umstand auch Hrn. Prof. Lamont nicht entgangen ist, denn in dem «Jahresbericht der Münchener Sternwarte für 1858, München 1859» führt er das erwähnte Gesetz mit der Bemerkung an, dass es sich «mit einer von Norden nach Süden regelmässig fortschreitenden Modifica- tion» an allen von ihm untersuchten Theilen des Con- tinents offenbare. Es liegt, wenn man nur Beobach- tungen aus einem grossen und gerade dem in magne- tischer Beziehung am genauesten untersuchten Theile Europas betrachtet, die Vermuthung nahe, dass der Factor a der Inclination oder der Horizontalintensität proportional sei, oder mit andern Worten, dass die Linien, wo a gleich ist, den Isoclinen oder den Iso- dynamen der horizontalen Componente parallel lau- fen; allein schon Beobachtungen aus dem europäi- schen Russland und der Türkei widersprechen dieser Annahme; noch augenfälliger tritt die Abweichung ın Sibirien hervor. In vorliegender Schrift gebe ich eine Karte des 407 Bulletin de l’Académie Impériale Factors a für Europa und das nördliche Asien, so wie die derselben zu Grunde liegenden Rechnungen. Es dürfte gegen diese Arbeit vielleicht eingewandt werden, dass noch viele derartige Formeln, wie die hier erwähnte, die zugestandenermassen eine mehr oder weniger willkührliche ist, aufgestellt werden können, und dass einer solchen willkührlichen Formel nur we- nig Werth zukommt, ehe bewiesen werden kann, dass sie gerade von allen möglichen Combinationen die beste ist. Hiergegen muss ich Folgendes bemerken. Unter den Formeln, welche eine Relation zwischen den verschiedenen Functionen der erdmagnetischen Kraft ausdrücken, ist vom theoretischen Standpuncte aus offenbar diejenige die beste, welche sich gleich- zeitig aus der von Gauss gegebenen allgemeinen Theorie des Erdmagnetismus herleiten lässt, und die- ser Bedingung genügen die von Gauss selbst gege- benen Gleichungen (Gauss, Allgemeine Theorie des Erdmagnetismus in den Resultaten aus den Beobb. des magn. Vereins im Jahre 1838, pag. 23.): i ee E VITE du du du dius وی‎ aP , ar ap" 7 sinw\di RÉF THE: A را ور خرن‎ ere in welchen X und Y die horizontalen, Z die verticale Componente der erdmagnetischen Kraft und die P Functionen der Breite u und Länge À und gewisser aus Beobachtungen abzuleitender Zahlencoefficienten sind. Die in diesen Formeln deutlich ausgesprochene und von Gauss mehrfach als höchst merkwürdig her- vorgehobene Relation zwischen den 3 Componenten ist jedoch practisch schwerlich zu verwerthen, da die Rechnung eine höchst weitläufige ist. Gauss hat zwar selbst die Gleichungen transformirt und durch die seiner Theorie des Erdmagnetismus beigegebenen 5 Hilfstafeln die Rechnung darnach erleichtert. Nichts- destoweniger ist dieselbe umständlich genug und wird noch umständlicher, wenn man nicht gerade eine Re- lation zwischen den Grössen X, Y, Z, sondern zwi- schen den unmittelbar der Beobachtung unterliegen- den Werthen der Inclination und Horizontalintensität sucht. In diesem Falle ist darum wohl die Anwen- dung unserer Formel vorzuziehen, die eine nur ganz 'nation und Horizontalintensität besonderes In kurze Rechnung und die Anwendung einer p (für den Factor a) erheischt, und mögen au viele ähnliche Formeln möglich sein, eine يو‎ Vereinfachung der Rechnung dürfte durch d wohl schwerlich erreicht werden. ') | Ein Nachweis, wie der Factor a mit den Gau Elementen der gneti ist theoretisch gewiss von Interesse und dürfte, we vorliegende Arbeit über die ganze Erdoberfläche dehnt ist, vielleicht auch ermöglicht werden, pra ist er von gar keiner Bedeutung, da jene Ele eben so wie unser a ganz und gar von der ۲ sigkeit der Beobachtungen abhängen, die ihnen x Grunde liegen. Des Ich habe mich entschlossen, den hier vo + raft znsamma 523242 إن‎ gewonnen hat, seitdem von Prof. Lamont” ur Inclination und Horizontalintensität, sowohl den riodischen als nicht periodischen, nachgewiesen: den ist. a Die vorliegende Karte dürfte in manchen | len mit Nutzen angewendet werden. Ist wie z. B der Hansteen'schen Reise au manchen Orten n Horizontalintensität bestimmt worden, so wird wenn die Orte, an denen beide Constanten be sind, eine genügende Übereinstimmung mit der zeigen, unbedenklich die fehlende Inclination ve des Factors o bestimmen können und zwar, we in den Ländern, wo die Karte sich auf eine gen Anzahl von Beobachtungen stützt, mit fast e 1) Ich hoffe, dass meine Arbeiten mich auch auf eine ähn! pirische Formel für die Relation zwischen der Declination Inclination oder verticalen Intensität führen werden. D solche vorhanden, geht ebenfalls aus den Gauss’schen hervor, und Gauss bemerkt ausdrücklich (l. c. pag. 25): «Ë ist klar, dass die vollständige Theorie auch aus der niss des Werthes von Z auf der ganzen Erdfläche ab 2) Über das Verhältniss der magnetischen Tatensitäts- rn are Sitzungsber. der k. bayer. Akad. d.Wi » Heft II. 3) Astr. Nachr. LV. 241—246. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 410 grosser Genauigkeit als durch directe Beobachtung, jedenfalls mit einer viel geringeren Unsicherheit als +15, wie Lamont für sein constantes a angiebt. Ferner wird, wenn man an einem Orte beide Con- stanten beobachtet hat, die Vergleichung des daraus berechneten Factors a mit dem in der Karte gegebe- nen eine gute Controle dafür bieten, dass die beob- achteten Werthe weder durch grobe Beobachtungs- fehler, noch durch magnetische Störungen oder locale Einflüsse entstellt sind. Freilich muss man, um die Karte zu diesem Zwecke zu benutzen, zuerst genau wissen, ob und in welcher Weise das a veränderlich ist. A priori leuchtet ein, dass die Veränderlichkeit desselben, wenn sie wirklich existirt, eine langsamere sein muss als die der einzelnen Constanten, da im All- gemeinen die Aenderungen der Inclination und Hori- zontalintensität in entgegengesetztem Sinne erfolgen, somit der Zähler und Nenner in dem Ausdrucke für a sich in gleichem Sinne ändern. Aus den in Tafel III. zusammengestellten Daten lassen sich, obgleich die Beobachtungen in den meisten Fällen 30—40, ja in Berlin sogar 56 Jahre auseinanderliegen, durchaus keine sichern Schlüsse über die Veränderlichkeit von a ziehen. Zwar scheint in Berlin, wenn man nur die Erman’schen Beobachtungen in Betracht zieht, eine sehr deutlich ausgesprochene Abnahme stattzufinden, allein dem widersprechen die Beobachtungen von La- mont im Jahre 1858 verglichen mit denen von Han- steen 1822. Beide Beobachtungen stimmen übrigens recht gut mit den Beobachtungen Humboldt’s von 1806, denn der Unterschied von 0.08 liegt noch in- nerhalb der Beobachtungsfehler, da er allein durch einen Fehler in der Inclination von etwa 12’ oder in der Horizontalintensität von 0.015 erklärt wird, von denen insbesondere letzterer sehr wohl möglich ist, da Humboldt die Intensität noch nicht nach absolu- tem Masse bestimmte. Auch in Christiania scheint beim ersten Anblick der Factor a entschieden abzunehmen; gewahrt man jedoch die grossen Differenzen, die besonders bei den ältesten der vorhandenen Beobachtungen innerhalb sehr kurzer Zeiträume vorkommen, z. B. im Jahre 1825 eine Differenz in a von 0.141 in 8 Monaten, und vergleicht man dann die erste Bestimmung im Jahre 1822 mit der letzten im Juli 1862, wobei sich nur eine Differenz von 0.079 herausstellt, oder — wenn man erstere Bestimmung als nicht von Hansteen selbst in absolutem Masse gegeben nicht gelten las- sen will, die Beobachtungen von 1832 und 1862, de- ren Differenz 0,082 beträgt — so erscheint diese Abnahme sehr zweifelhaft, und man wird versucht zu glauben, dass wenigstens ein grosser Theil dieser Differenzen auf Rechnung der in jenen Zeiten noch sehr mangelhaften Instrumente zu setzen sei. Über- dies sind alle dieser Tafel für Christiania zu Grunde gelegten Beobachtungen der Horizontalintensität nicht ursprünglich absolute, und ihre Reduction gründet sich nur auf einige absolute Bestimmungen, deren erste 1834 angestellt ist, so dass jedenfalls die Reductionen | vor dieser Zeit ziemlich unsicher sind, worüber spä- ter noch Weiteres gesagt werden wird. Aber auch für die Zeit nach 1834 ist die Reduction trotz mehr- facher absoluter Bestimmungen doch noch mehr oder weniger unsicher, wie ja auch Hansteen selbst ) c. pag. 21) zugiebt; eine etwas gróssere Abnahme des magnetischen Moments der Nadel als die von ihm sup- ponirte, würde den in den Werthen von a sich zeigen- den Gang vollstündig erklüren. Da auch die übrigen Zusammenstellungen der Ta- fel III. dafür zu sprechen scheinen, dass der Factor a wenn überhaupt so doch sehr langsam veränderlich ist, so habe ich bei Anfertigung der Karte keine Rück- sicht auf die Gleichzeitigkeit der Beobachtungen ge- nommen, was überhaupt auch gar nicht ausführbar gewesen würe, da die Veründerungen der magneti- schen Constanten noch viel zu wenig bekannt sind, um eine so scharfe Reduction aller Beobachtungen auf eine bestimmte Epoche, wie sie zu dem vorliegen- den Zwecke erforderlich gewesen wäre, möglich zu machen. Wenn auch nicht anzunehmen ist, dass a für je- den Erdort eine vollkommene Constante ist, da der magnetische Äquator, mit dem die Linie a =o zusam- menfällt, seine Lage ündert, so ist es doch móglich und nach dem Angeführten höchst wahrscheinlich, dass, wenigstens in höheren Breiten, dieser Factor län- gere Zeit fast ganz constant bleibt (ja es ist, da nach den schon oben erwühnten Untersuchungen von La- mont und Carl auch zwischen den täglichen perio- dischen und nichtperiodischen Variationen der Incli- nation und Horizontalintensität ein constantes Ver- hältniss existirt, immerhin möglich, dass a selbst täg- 4m Bulletin de l’Académie Impériale lichen Schwankungen nicht unterworfen ist); es bietet demnach dieser Factor den grossen Vortheil dar, dass man durch ihn Beobachtungen vergleichen kann, die zu verschiedenen Zeiten an ein und demselben Orte gemacht sind. Allerdings könnte dieses auch mit Hilfe der Totalintensität bewerkstelligt werden, vorausge- setzt, dass genauer untersucht wird, ob diese, wie La- mont für wahrscheinlich hält‘), keiner säcularen Ab- und Zunahme, sondern nur vorübergehenden Schwan- kungen unterliegt. Jedenfalls ist, auch wenn die To- talintensität sich ebenfalls als ein brauchbares Mittel zur Vergleichung nicht gleichzeitiger Beobachtungen herausstellt, eine zweite ganz unabhängige Methode sehr erwünscht’). Um ein Beispiel einer solchen Vergleichung zu geben, führe ich an, dass nach meinen Beobachtun- gen vom Jahre 1864 a für St. Petersburg 7.508 be- trägt, nach den zuerst von Hansteen und Erman gegebenen Werthen (Mémoires de l’Académie Impé- riale des Sciences de St.-Pétersbourg, VI? Serie. Sc. math., T. I. Bulletin scient.) im Jahre 1828: 7.511, also genau übereinstimmend. Nach den 1863 von Hansteen herausgegebenen Resultaten seiner Reise findet man allerdings a vor der Reise 7.608, nach der Reise 7.489, aus den von Erman in seinem Reise- werke gegebenen Endresultaten a = 7.543. Im un- günstigsten Falle also ein Unterschied von nur 0.1, was allein auf die Inclination übertragen einer Diffe- renz von etwa 15’, auf die Horizontalintensität von 0.019 entspricht. Da es aber am wahrscheinlichsten ist, dass sich diese Difterenz auf beide Constanten ver- theilt, so kann man wohl behaupten, dass selbst im ungünstigsten Falle die Hansteen- Erman’schen Be- obachtungen, mit den meinig tellt grösseren Differenzen zeigen, als solche auch bei Be- obachtungen mit einem und demselben Instrumente vorkommen, also direet mit ihnen verglichen werden können. Da 2 Beobachter mit verschiedenen Instru- menten beobachtet haben, so ist es auch sehr unwahr- scheinlich, dass beide Constanten derartig fehlerhaft sind, dass sie den Factor a doch richtig geben. ‚keine 4) Lamont, — Karten von Deutschland und Bayern. München 1854. 5) In Tafel n. SE ich für Christiania die von Hansteen ge- gebenen Werthe der Totalintensität unter der Bezeichnung T ne- ben den eur a gesetzt, damit man den Gang beider Grössen ver- gleichen kann. Eine solche Prüfung der verschiedenen Za angehörenden Beobachtungen ist durchaus ni wenn man die säcularen Veränderungen der magne- tischen Constanten bestimmen will. Hansteen’) giebt die Epoche des Minimums der Inclination für Berlin 1867.2 + 103.2, für Göttingen gar 1949.0 2- 1305. — und wenn auch bei einer späteren Umrechnung” *) die | Angaben in 1896.9 + 12.3 und 1955. .3 + 40.8 ver. wandelt sind, so ist doch auch hier der wahrschein- liche Fehler noch so gross, dass das Resultat kaum der zur Erlangung desselben aufgewendeten Mühe werth ist. Die Tafel III. zeigt deutlich, warum in Berlin, wenn man die Beobachtungen Humboldt's und Er- man's mit einander vergleicht, kein sicherer Schh 'auf die säculare Veränderung der Inclination gezogen werden kann, denn vorausgesetzt, dass 0 gar ni oder doch nur sehr wenig variabel ist, was vi d gezeigt sehr wahrscheinlich ist, ergielió die letzte Be- obachtung Erman's mit der von Humboldt vergli- chen einen constanten Fehler, der auf die Inclination allein übertragen etwa 40' ausmachen würde. Diese Beobachtungen dürfen also gar nicht mit ein verglichen werden, wenn nicht nachgewiesen. wird, dass die ganze Differenz auf die Horizontalinter 1 zu übertragen ist, was übrigens, wenn man die E achtungen Erman's auch noch mit denen von La- mont vergleicht, sehr unwahrscheinlich erscheint. — Horizontalintensität in Schweden und Norwegen wie in dem ganzen russischen Reiche nicht ursp lich absolute sind, sondern nur durch eine mehr weniger immer zweifelhafte Rechnung auf absolut Maass reducirt sind. Was zunüchst die Hansteen'schen Beobachtungen | betrifft, so sind in der Schrift von Hansteen und Due: «Resultate magn. astr. und meteor. Beobacr tungen auf einer Reise nach dem ost), Sibirien 2 Jahren 1828—1830. Christiania 1863» die Hori talintensitäten sämmtlich in absolutem Maasse à drückt. Als Anhang finden sich in der citirten »! noch eine grosse Menge magnetischer Beobachit theils von Hansteen, theils von seinen Lar 6) TN phys. et chem. de l'Acad. Imp. Weg bourg T. II. 7) "PES S S jum magnetiske Inclinations Forandring nordlige tempererte Zone. Kjóbenhavn 1855. pag. 28 f. 413 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 414 auf verschiedenen Reisen in Europa angestellt, eben- falls auf absolutes Mass reducirt. Ich habe von die- sen Beobachtungen nur einige aus Schweden, Nor- wegen und Finnland benutzt, die in den Jahren 1825 und 1827 gemacht sind und die ich, noch ehe ich das oben genannte Werk von Hansteen zur Hand nahm, aus dem 14. Bande der Poggendorff’schen Annalen entlehnt hatte. Dort ist die totale Intensität nach der Humboldt’schen willkührlichen Scale gege- ben, aus der ich zunächst die Horizontalintensität nach eben dieser Scale und darauf durch Multiplication mit dem von Gauss?) gegebenen Factor, dessen log = 0.54333 die absolute Horizontalintensität berechnete; mit dieser bestimmte ich nun den Factor a, dessen Werthe sich den benachbarten recht gut anschlossen. Zu meinem Erstaunen fand ich jedoch später, dass die von mir berechneten Werthe der Horizontalin- tensität durchaus nicht mit denen stimmen, die Hansteen in seiner oben citirten Schrift giebt, wäh- rend doch die Inclinationen dieselben sind, die mit- getheilten Werthe sich also jedenfalls genau auf die- selbe Epoche beziehen. Ich habe in der nachstehen- den Tafel I. neben den von mir berechneten Horizon- talintensitäten die Correctionen angegeben, die man ihnen hinzufügen muss, um die Werthe, welche Han- steen neuerdings angiebt zu erhalten, den Factor a aber so beibehalten, wie er aus meiner ursprünglichen Rechnung folgte, da mit Benutzung der Hansteen- schen Horizontalintensitäten derselbe sich bedeutend zu gross ergeben würde. ; An den Factor a, der aus den Beobachtungen von Keilhau folgt, habe ich, wenn letztere dem neuesten Werke Hansteen’s entnommen sind, um eine Übereinstimmung mit den anderen Beobachtun- gen herbeizuführen, eine Correction von — 0.040 an- gebracht, die einer Verringerung der Horizontalinten- sität von 0.0070 entspricht; diese Grösse liegt jeden- falls noch innerhalb der Fehlergrenze in Folge der schon oben besprochenen Ungewissheit der Reduction auf absolutes Mass für die Beobachtungen vor 1834. Auch die Beobachtungen Hansteen’s auf seiner grossen Reise in Russland zeigen grosse Unterschiede, je nachdem man die von Hansteen noch während der Reise brieflich der Akademie der Wissenschaften 8) Einleitung zum magn. Atlas von Gauss und Weber pag. 4. in St. Petersburg mitgetheilten Werthe (Mém. de l'Acad. Imp. des Sc. de St. Pétersbourg VI. Ser. Se. math. T. 1. Bull. scient.), oder die von ihm neuerdings gegebenen, auf absolutes Mass bezogenen, zu Grunde legt. Allein in diesem Falle muss unbedingt letzteren der Vorzug gegeben werden, da die ersteren Werthe von dem Beobachter selbst als vorlüufige bezeichnet werden, die noch mehrfacher Correctionen bedürfen. Reducirt man die von Erman in seiner «Reise um die Erde durch Nord-Asien und die beiden Océane etc. Zweite Abth. Zweiter Band. Berlin 1841» nach relativem Masse gegebenen, bereits mit allen nóthigen Correctionen versehenen Endresultate seiner Beobach- tungen vermittelst des Gauss'schen Factors, der auch mit dem von Erman gefundenen gut übereinstimmt (l. e. pag. 454), auf absolutes Mass, so zeigen sich grosse Differenzen mit den von Hansteen nach abso- lutem Masse gegebenen Werthen derselben Deobach- tungen, wie dieses aus Tafel I. zu ersehen, wo neben den von Hansteen gegebenen Werthen der Constan- ten und den aus ihnen folgenden a, in Klammern die Correctionen beigefügt sind, welche an erstere ange- bracht werden müssen, um die von Erman gegebenen Werthe zu erhalten, so wie die aus den Erman’schen Angaben folgenden a. Doch muss auch hier den Han- steen'schen Angaben mehr Gewicht beigelegt wer- den, da, wie oben gezeigt, wenigstens in Berlin die Beobachtungen Erman's entschieden fehlerhaft sind und auch die aus seinen Beobachtungen wührend der Seereise folgenden a mit den aus den Beobachtungen Anderer berechneten Werthen für naheliegende Orte sehr geringe Uebereinstimmung zeigen. Ich habe zwar in Tafel II. neben den Mittelwerthen für a nach Han- steen die aus.den Erman’schen Angaben folgenden Correctionen angegeben, sie aber bei Entwerfung der Karte nicht benutzt, um so weniger, da sie, wenn- gleich ein Wachsen nach Osten hin nicht zu verken- nen ist, wenig Regelmässigkeit zeigen und ausserdem eine Bestimmung der Correction in den Gegenden, wo Hansteen allein beobachtet hat, ganz problematisch wäre. ' Aus der Gestalt der auf der Karte verzeichneten Linien kónnte man schliessen, dass der Factor a im europüischen Russland und Westsibirien etwas ver- kleinert werden müsse, da sich dann auch hier die nach der Gegend des Kreuzungspunktes gerichteten 415 Bulletin de l’Académie Impériale Scheitel der Curven eben so deutlich zeigen würden, wie es im westlichen Europa und im ôstlichen Sibi- rien der Fall ist. Einigermassen bestätigt wird diese Vermuthung dadurch, dass die Werthe von a, die aus den Beobachtungen Hansteen's auf der Rückreise folgen und jedenfalls kleiner sind, als die entsprechen- den auf der Hinreise, an dem einzigen Orte, der eine Vergleichung erlaubt, in St. Petersburg, mit meinen Beobachtungen gut stimmen, denn, wie schon früher gesagt, geben die Beobachtungen Hansteen's vor der Reise 7.608, nach der Reise 7.489, die meinigen 7.508. Die Beobachtungen von Fuss habe ich aus dem Originalwerke (Mém. de l’Acad. Imp. des Sc. de St. Pétersbourg VI. Ser. T. III.) genommen und mit Hilfe des Gauss’schen Factors reducirt, da Hansteen selbst seine Reduction der Fuss’schen Beobachtun- gen für sehr problematisch hält, und habe nur die Correctionen beigefügt, die nach ی‎ an die hier g ht wer- den müssen. Vielleicht wird es mir später einmal mög- lich sein, die Beobachtungen von Fuss genauer als es jetzt geschehen kann auf absolutes Mass zu redu- eiren, da mir das handschriftliche Journal dessel- ben, falls es, wie sehr wahrscheinlich ist, noch exi- stirt, zugesagt ist. Nimmt man die Werthe von a für Sibirien so an, wie sie aus den Originalbeobachtungen Ermans folgen, so stimmen damit die Werthe von Fuss durchaus nicht überein, wie aus Tafel II. unter VI. a’ zu ersehen ist; dagegen schliessen sich letztere den Werthen Hansteen’s sehr gut an, was jedenfalls darin seinen Grund hat, dass Fuss seine Bestimmun- gen an die von Hansteen in Irkutsk gemachte Beob- achtung der Horizontalintensität anknüpfte. Ich will übrigens ausdrücklich bemerken, dass, wenngleich nach dem bisher Gesagten die numeri- schen Werthe des Factors a in ganz Sibirien im Maxi- mum bis auf etwa 0.2 zweifelhaft sind, doch die Lage der Curven im Allgemeinen und namentlich ihr Kreu- zungspunct fast genau im Meridian des Gauss’schen Punctes der grössten Intensität ganz ausser Zweifel ist. Mögen die Werthe von a, die aus den wenigen von. Middendorff im hohen Norden angestellten Be- obachtungen folgen, immerhin um 0.2 oder gar 0.3 falsch, sein was nicht unmóglich ist, da das zur Be- stimmung der Horizontalintensität benutzte Instrument ۱ 1 ۶ keine sehr genauen Resultate erwarten men sie doch deutlich eine Zunahme nach Nesid constatirt ist die Zunahme nach Süden und die ; nahme nach Westen und Osten, letztere eben so wenn man die corrigirten, als wenn man die uncorri. girten Erman'schen Beobachtungen zu Grunde Eine vollständige Lösung aller in Bezug auf magnetischen Constanten in Russland noch Vorliegen. sehr grosse Strecken, wie das ganze südwestlic Russland, sind übrigens noch nie in magnetischer ziehung Pë Ste bewirkt werden. Dann erst wird — man genau angeben können, welche Reduction der Hansteen angestellten Beobachtungen die rich ist; die neueste von ihm für die Beobachtungen bis - 1830 gegebene stützt sich im Wesentlichen doch mu ` darauf, dass die Dauer von 300 Schwingungen seines Cylinders in Christiania von 1828.16 bis 1834.98, wo die ersten absoluten Bestimmungen gemacht wır- den, um 4:45 abgenommen hat, allein ob diese Ab- nahme wirklich der reellen Zunahme der Horizontal- intensität entspricht, die ja möglicherweise viel gri gewesen sein kann, ob also der Cylinder in jener Zeit wirklich, wie Hansteen annimmt, ein fast ganz e stantes magnetisches Moment gehabt hat, ist durchaus nicht erwiesen. (Vergl. Hansteen l. c. pag. 19 Die Beobachtungen von Prof. Kämtz in Fin schliessen sich den Beobachtungen von Hans wie aus Tafel I. zu ersehen, sehr gut an, doch dann, wenn die Horizontalintensitäten des le aus den ursprünglichen im 14. Bande der Poggen- dorff’schen Annalen gegebenen Werthen mit den Gauss’schen Factor berechnet werden; dagegen £ ben die von Hansteen 1863 publicirten Werthe, 1 schon bemerkt, den Factor a viel zu gross. — Prof. Lamont bemerkt in der Einleitung zu sei- nen magnetischen Karten pag. l., dass Kümt Inclination in St. Petersburg um 18 zu Keis 11 den habe, und dieses muss ich in der That bestä Die Inclination in St. Petersburg beträgt gegenwärtk (1864) im Mittel aus zahlreichen Bestimmungen m sehr vielen Instrumenten, die unter einander gen gend stimmen 70°48'°); in den 2 Jahren (1863— 9) Das Detail meiner zahlreichen Inelinationsbeobach . 417 des Sciences de Saint- Pétersbourg. wührend deren ich mich mit diesen Beobachtungen be- schäftigt habe, ist keine säculare Änderung merklich geworden und ich glaube daraus schliessen zu dürfen, dass die Inclination gegenwärtig mit dem genannten Werthe ihr Minimum erreicht habe; dann kann sie aber nicht, wie Prof. Kämtz angiebt, im Jahre 1849 nur 70° 33/2 betragen haben, sondern muss wenig- stens um 18/ wahrscheinlich um noch mehr grösser gewesen sein. Prof. Lenz hat im Juli 1861 die In- clination ganz in der Nähe meines gegenwärtigen Be- obachtungsortes 71° 3’ gefunden "), was jedenfalls für das Mittel des Jahres zu gross ist, allein auch aus meinen Beobachtungen scheint sich zu ergeben, dass die Inclination im Sommer und Herbst grösser ist und auch viel grösseren Schwankungen unterliegt als im Winter und Frühling. Ich bin übrigens, da der Factor a aus den Beobachtungen von Kämtz in Finnland ab- geleitet, sich an den aus meinen Petersburger Beobach- tungen folgenden Werth sehr gut anschliesst, geneigt zu glauben, dass das Instrument von Kämtz keinen, wenigstens keinen so grossen constanten Fehler ge- habt, sondern dass nur in St. Petersburg ein Local- einfluss das Resultat entstellt habe"). Leider war bei meiner Anwesenheit in Dorpat im September 1864 Hr. Prof. Kämtz durch Unwohlsein verhindert, sein Instrument mit dem meinigen zu ver- gleichen, doch wurde der Platz, an welchem ich be- obachtete, genau bezeichnet, so dass eine Vergleichung später vorgenommen werden kann. In Reval fand Kämtz 1847 die Inclination 70°54:4, ich 1864: 70° D L nt é 4 gnet in St. P g ist zum grössten Theil schon bearbeitet und wird sobald als möglich im Druck erscheinen. 10) R. Lenz. Untersuchung einer unregelmässigen Vertheilung des Erdmagnetismus im nördl. Theile des finnischen Meerbusens. (Mém. de l'Acad. Imp. des Sc. de St.-Pétersbourg. VIL Ser. T. V. Nr. 3) pag. 22. f 11) Herr Prof. Kämtz, gegenwärtig Director des physicalischen Centralobservatoriums in St. Petersburg, theilt mir mit, dass er die in Rede stehenden Beobachtungen in dem damaligen magnetischen Observatorium im Garten des Bergcorps, nur einige hundert Schritt von dem gegenwärtigen entfernt, angestellt und schon damals be- merkt habe, dass dieselben, weder die Inclination noch die Horizon- talintensität, mit den von Kupffer an demselben Orte beobachte- ten übereinstimmten, da eine gleichzeitige Beobachtung Kupffer’s diesem eine solche Differenz gab, dass er glaubte, er habe sich ver- sehen. Eben so gab eine am folgenden Tage gemachte Bestimmung der Horizontalintensität durch Kämtz und Moritz letzterem eine bedeutende Abweichung von den gewöhnlich gefundenen Grössen. Wahrscheinlich sei dieses ei Gegenständ h iben, di sich durch ein Versehen während dieser Beobachtungen in den Räu- men des Observatoriums befunden haben mögen. Tome X. 58.1; hier stimmen also, wenn man annimmt, dass die säculare Inclinationsveränderung in Reval ungefähr dieselbe ist wie in St. Petersburg, die Beobachtungen viel besser überein. Eine directe Vergleichung des Schwingungsappa- rates von Kämtz mit meinem Theodoliten wird wohl nicht mehr möglich sein, da, wenn ich nicht irre, Hr. Prof. Kämtz mir mittheilte, dass die damals von ihm benutzte Schwingungsnadel durch einen sehr star- ken Temperaturwechsel ihren Magnetismus vollständig geändert habe, doch muss ich beiläufig bemerken, dass die Behauptung Lamonts””), die von Kümtz gefun- dene Zunahme der Horizontalintensität seit den 22 Jahr früher angestellten Beobachtungen Hansteen's stütze sich auf die Voraussetzung, dass der von Han- steen benutzte Magnet während dieser Zeit keine weitere Aenderung seines magnetischen Moments er- litten habe, etwas zu berichtigen ist. Kümtz hat vor und nach seiner Reise absolute Bestimmungen der Horizontalintensität in Dorpat angestellt, seine Reise- beobachtungen sind also keineswegs von den Han- steen'schen Messungen abhüngig, sondern als abso- lute zu betrachten (s. die ursprüngliche Abhandlung von Kümtz in den Mém. des Savants étrangers T. VI.). In dem Phil. Mag. Juli 1851 sind die Reisebeobach- tungen auf die im Gauss- und Weber'schen Atlas gebrauchte Scale bezogen. Um seine Beobachtungen mit den Hansteen'schen vergleichen zu können, musste Kümtz letztere ebenfalls auf absolutes Mass übertragen, was doch nicht wohl anders möglich war als mit Hilfe des von Hansteen selbst gegebenen Reductionsfactors (lg c — 6.00809) nach der Formel c= HT”. Anstatt diese absoluten Werthe zu verglei- chen, hat es jedoch Kämtz vorgezogen die Schwin- gungszahlen zu vergleichen, was auf dasselbe hinaus- kommt. Ich will noch bemerken, dass, wenn man annimmt, die Horizontalintensitüt sei seit den Beob- achtungen Hansteens bis jetzt gleichfórmig gewach- sen, aus den Kämtz’schen Beobachtungen in Reval, mit der von ihm gefundenen jührlichen Zunahme, für 1864 fast genau der von mir gefundene Werth (s. wei- ter unten) folgt. Die Beobachtungen Saweljeff's bedürfen wahr- scheinlich einer kleinen negativen Correction. In Wy- 12) Lamont. Magn. Karten. Einleitung, pag. 1. 27 419 Bulletin de l'Académie Impériale tegra, wo sowohl Kämtz als Saweljeff beobachtet haben, fand ersterer 7.721, letzterer 7.992, doch ist die hieraus folgende Correction 0.271 jedenfalls zu gross und beträgt wohl nur einige Hundertel. Im Vorhergehenden ist bereits mehrfach von einer kleinen Reise zu magnetischen Zwecken die Rede ge- wesen, die ich im Sept. und Oct. 1864 im Auftrage der Akademie in Begleitung eines Seeofficiers Hrn. Staritzky unternahm, der im Sommer 1865 nach dem Amur abgehen und neben seinen andern Arbei- ten auch magnetische Beobachtungen anstellen sollte. Ich gebe hier in der Kürze die Resultate dieser Reise, da sie zu gering sind, um sie zum Gegenstand einer eigenen Publication zu machen. Für mich war neben der Einübung des Hrn. Staritzky ein Hauptzweck der, zu sehen, wie sich meine Instrumente bei dem Transport und den Unbilden der Witterung ausge- | Pskow setzt bewähren würden, um, falls sich Mängel heraus- stellen sollten, solchen noch vor Unternehmung einer grösseren Reise abhelfen zu können. Es stellte sich heraus, dass die magnetischen Theodoliten dem aller- dings im höchsten Grade ungünstigen Wetter nicht genügend widerstanden, wesshalb ich unsere Declina- tionsbeobachtungen ganz unterdrücke. Ein wenig bes- ser sind die Bestimmungen der Horizontalintensität, wie die Vergleichung der von Hrn. Staritzky und mir ausgeführten Bestimmungen zeigt. Das Inclina- torium hielt sich im Allgemeinen gut, nur wuchs der Unterschied in den Angaben der beiden dazu ge- hörigen Nadeln, der vor und nach der Reise in St. Petersburg nur 4— 5’ betrug, mit abnehmender Incli- nation allmälig, doch sehr regelmässig, bis etwa 15} so dass, da ich immer das Mittel aus den Angaben der beiden Nadeln nahm (das in St. Petersburg den rich- | * tigen Werth giebt) ein Fehler von einigen Minuten möglich ist. Ich theile die Resultate der von Hrn. Sta- ritzky und mir gemachten Beobachtungen und die aus dem Mittel derselben folgenden Werthe von a hier mit. Nur für Mitau und Dünaburg habe ich das ge- fundene a in der Karte verzeichnet, die anderen Orte zeigen zu grosse Abweichungen, die aber jedenfalls zum kleinsten Theile durch Beobachtungsfehler, son- dern vielmehr durch reelle magnetische Anomalieen hervorgebracht sind, welche im finnischen Meerbusen und in der Umgebung von Dorpat schon längst nach- gewiesen sind, aber, wie sich aus meinen Beobachtun- gen sehr deutlich herausstellt, auch bei Riga und nur etwa 2 deutsche Meilen davon entfernten Bol (neben der Festung Dünamünde) sehr stark hervo ten. Südlich von Riga giebt das ebenfalls nur we Meilen. entfernte Mitau einen durchaus no beobachtet worden, die Intensität von jedem Bech ter an seinem eigenen Theodoliten. Einige der mi theilten Werthe sind bereits Mittelwerthe aus me ren Messungen. Inclination Hor. Intensität | - Sta- d Sta- Müller ritzky Mittel Müller ritzky Mittel T Reval....|70 58.2| 70 58 |70 58.1 [1.6098 11.6107 11.610817. DorpatI...|70 19.83) — — 6855 EU Ii. .|70286|70 312|70 299 | — | 6628| = I III. .| 70 51 _ — — | e| شب‎ | 7 ...|69 24.3 | 69 24.2 69 24.25| 7518| 7300) 7409| Dünaburg . |68 44.8|68 44.8 168 44.8 | 7485| 7315| 7400| 3 Riga..... 69 26.5 | 69 31.269 28.8 | 7274 7381 7328| Bolderaa. .| 70 24.5| — — 6558 -. Mitau....]69 212] — 6862| — | مت"‎ Die Beobachtungen in England und Schottland dem im Jahre 1861 von General Sabine gegel Report entlehnt, geben a offenbar um wenigsten zu klein an, was aus der Vergleichung mit den ut liegenden Ländern sofort ersichtlich wird. Der Grm scheint mir in einem constanten Fehler zu D den das zur Bestimmung der Intensität angewant Reiseinstrument gehabt hat. Dasselbe stimmte NATO vollständig mit dem Stationsinstrumente in Kew : ein, allein dieses durchaus nicht mit dem in 6 wich zu derselben Zeit benutzten. In den «G wich Magnetical and Meteorological Observations - 1861» pag. CXXIV findet man eine im Jahre 1861. angestellte Vergleichung eines dem in Kew aug stellten in jeder Hinsicht ähnlichen Instruments mit dem bisher in Greenwich gebrauchten. Das alte In strument von Greenwich giebt im Mittel aus 14 Be- obachtungen die Horizontalintensität 1.7726, das nene im Mittel aus 13 Beobachtungen 1.7574. d also das neue Instrument mit dem in Kew nicht alle m in der Construction, sondern auch in den Resu e (was leider nicht gesagt ist) überein, so gab ) das Ke sche Instrument und folglich auch das Reiseinsim- 1 ment die Horizontalintensität den Greenwicher P achtungen gegenüber bedeutend zu klein 3), Es bl 13) In England ist man geneigt, die Angaben des H | 421 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 422 freilich immer noch zweifelhaft, ob die Bestimmungen der Horizontalintensität in Greenwich wirklich als richtig zu betrachten sind und wäre sehr zu wün- schen, dass eine genaue Vergleichung der englischen und der in München benutzten Instrumente, auf welche die Messungen in einem grossen Theile Europas be- zogen sind, zu Stande käme. Eine solche Vergleichung erscheint um so wichtiger, da man in England aufs Neue an eine Nordpolfahrt denkt, bei deren wissen- schaftlicher Ausrüstung es jedenfalls an magnetischen, genau justirten Instrumenten nicht fehlen darf. Auch die Inclinationen zeigen, wenigstens in Green- wich, ziemlich bedeutende constante Differenzen der verschiedenen angewandten Instrumente, und es wäre darum durchaus wünschenswerth, dass dieselben mit den an einigen Orten in Deutschland in Gebrauch be- findlichen Inductionsinclinatorien verglichen würden. 1861 gaben 3 Nadeln, die zu einem Inclinatorium von Robinson gehörten, im Mittel 68° 25.1 (die ein- zelnen Nadeln 17:41, 31.06, 26.97), dagegen 5 Na- deln (von verschiedener Länge) eines von Airy ange- gebenen Inclinatoriums 68° 16.1, wobei die Extreme nur um 4.1 differiren. Da demnach sowohl die Inclination als die Hori- zontalintensität nur mangelhaft bekannt ist, kann auch der Factor a nur sehr angenühert bestimmt werden. Vereinigt man eine jede der beiden eben an- geführten Inclinationsangaben mit einer jeden der frü- her gegebenen Horizontalintensitüten, so hat man: 68 25.1 1.7726 7.362 68 25.1 7574 283 68 16.1 7726 306 68 16.1 7574 227 Das Mittel ist 7.295, was mit der dritten Zusam- ' menstellung, die ich für die wahrscheinlichste halte, recht gut stimmt. Da dieser Werth um etwa 1 grüsser ist als der aus den Beobachtungen ursprüng- lich folgende Werth 7.209 (s. Tafel I.), der für einen London sehr nahe liegenden Punct gilt, so habe ich diese Correction an alle a in England und Schottland angebracht, wodurch die Regelmässigkeit der Linien vollständig hergestellt wird. Kew vorzuziehen. In den Greenwich Observ. 1862 pag. XXXIX heisst es: «but as the Kew Unifilar may be assumed to be gene- rally similar in pattern to others of the same class extensively di- stributed, I have thought it desirable to adopt it» etc. Ich kann, nach dem hier Gesagten, dieser Ansicht durchaus nicht beistimmen. Für Irland habe ich, da mir die Resultate der neuer- dings angestellten Beobachtungen nicht bekannt ge- worden sind, die Daten benutzt, welche Sabine in seinem Report von 1839 gegeben hat. Dort findet man die ganze Intensität, auf London als Einheit be- zogen, aus der ich zunächst die Horizontalintensität nach demselben Masse berechnet habe, Nach der Humboldt'schen Scale ist die ganze Intensität in London 1.372 [log — 0.13735]; ferner ist der log. des Reductionsfactors der Humboldt’schen auf die abso- lute Scale 0.54333, somit der log. des Factors, durch welchen jene Horizontalintensitäten auf absolutes Mass reducirt werden, 0.68068 Die gefundenen Werthe für a schliessen sich den Lamont’schen, sowie den corrigirten Werthen in England und Schott- land gut an. Ich will noch bemerken, dass man aus diesen Beobachtungen den Werth von a für Kew 7.292, für Aberdeen 7.538, für Lerwick 7.658 findet, welche Werthe, mit den in Tafel I. gegebenen verglichen, die Berechtigung der oben motivirten Correction bestä- tigen. Die Kreil’schen Beobachtungen im österreichischen Kaiserstaate, so wie in Italien und der Türkei schliessen sich denen Lamont’s recht gut an. Letzterer äussert freilich das Gegentheil ^) und bemerkt: «es lassen sich auch die Zeitpuncte, wo die Ánderungen der Instru- mente eingetreten sind, sehr gut bestimmen»; allein ich glaube, dass Hr. Prof. Lamont damals noch, ge- mäss seinen eigenen Beobachtungen, muthmasste, dass der Factor a nach Süden zu immer stetig abnehme, was, wie die vorliegende Karte zeigt, in der That nicht der Fall ist. Übrigens will ich darum die Möglichkeit einer Veründerung der Instrumente und eines daraus entspringenden geringen Fehlers, besonders bei der Reise an den Küsten des schwarzen Meeres, durchaus nicht leugnen und muss noch überdies bemerken, dass die Inclinationsbeobachtungen Kreil's zum gróssten Theile erst neu reducirt werden müssen, ehe ihre Re- sultate als ganz gesichert erscheinen kónnen. Kreil wandte nämlich grösstentheils Nadeln an, deren Schwerpunct ziemlich entfernt vom Drehungsmittel- puncte lag, und bei denen demnach die Ablesungen bei verschiedenen Lagen der Nadel sehr differirten (in dem mir gerade vorliegenden Jahrgang 1848 um 14) Magnetische Karten von Deutschland und Bayern, pag. 6. 27* 423 Bulletin de l’Académie Impériale mehr als 40°). Ist es auch schon misslich, bei so grossen Abweichungen der einzelnen Nadelpositionen von der wahren Inclination zu beobachten, da nicht die volle Kraft des Erdmagnetismus auf die Einstel- lung der Nadel einwirkt, so darf man sich doch nur | i dann einigermassen brauchbare Resultate versprechen, wenn die Beobachtungen nach der bekannten Formel von Mayer berechnet werden. Das einfache Mittel der Ablesungen kann mit einem sehr bedeutenden Fehler behaftet sein. So gaben z. B. in Santa Maria") 4 Incli- nationsbestimmungen die Werthe:64°4:25, 5.14, 10.65 und 63°58!27 ‚also im Mittel 64۳4/58. Nach der May er- schen Formel geben diese Beobachtungen: 64°19.7, 17:9, 19/3, 11:8, im Mittel 64°17 2; der Fehler wegen Nichtberücksichtigung der Lage des Schwerpuncts und der Veränderung des Magnetismus beträgt also 12:62. Die k. k. Centralanstalt für Meteorologie und Erdmag- netismus in Wien wird, auf diesen Mangel aufmerk- sam gemacht, gewiss Sorge tragen, ihn zu beseitigen. Die Beobachtungen Schaub’s sind mir nicht im Original, sondern nur aus Kreil’s Zusammenstel- lung bekannt; der einzige Punct, den beide Beobach- ter besucht haben, ist Corfu; da sie nicht gleichzeitig beobachtet haben und die Kreil’schen Bestimmungen der säcularen Veränderung der Inclination nach dem Vorhergehenden sehr unsicher sind, so ist eine ge- naue Vergleichung nicht möglich. Der Factor a folgt aus den Beobachtungen Kreil’s 7.093, aus denen Schaub’s 7.171. Ist diese Differenz wirklich eine in der Beschaffenheit der Instrumente begründete, so müssten die Beobachtungen Schaub’s, die Rich- tigkeit der Kreil’schen Beobachtungen vorausge- setzt, corrigirt werden, und die Linien für den Factor a würden in dem Raume zwischen Corfu und Alexan- dria etwas weiter auseinanderrücken; doch habe ich diese Correction, als nicht hinlänglich gesichert, nicht angebracht. Die Beobachtungen aus Persien verdanke ich der Güte des Hrn. Prof. R. Lenz. Sie sind seiner dem- nächst im Druck erscheinenden Schrift über die Er- gebnisse seiner Reise in Persien in den Jahren 1858 und 1859 entlehnt. Die von Hrn. Prof. Lenz gegebenen Inclinationsbestimmungen sind sehr unsicher, da die beiden Nadeln des von ihm benutzten Inclinatoriums 15) Kreil und Fritsch. Magnetische und geographische Orts- der sàmmtlich richtig, oder sàmmtlich um eine: eine constante Differenz von etwa 1° "m e her das Mittel aus beiden mit einem bedeuten ler behaftet sein kann. Scheinbar schliess Beobachtungen von Lenz den übrigen gut tungspuncten Hansteen’s und Schaub's: um entscheiden zu können, ob die Lenz’se gänzlich, da die bereits seit einigen Jahren Ufern des caspischen Meeres von mehreren ] dern der caspischen Expedition ausgeführten tischen Beobachtungen noch nicht veröffentli und ich die Beobachtungen, welche Kupffer Lenz im Jahre 1830 auf einer Reise nach dem angestellt haben, trotz aller Bemühungen nicht a den konnte. i Unter sich stimmen die Beobachtungen von L sehr gut überein, wie aus der Karte zu ersehen, habe ich nur 2 Beobachtungsorte weggelassen lich Astrabad (1 — 49°53; H = 2.8158, a =8. und Kirman (Z= 40°32; H = 3.3860, a= die sich mit den anderen durchaus nicht ve lassen, doch scheint bei beiden, wie bei A bad Vergleichung mit dem ganz nahen Siared, bei: die. Vergleichung mit Hubbis zeigt, der Fel in der Horizontalintensität zu liegen, während clinationen, da die Differenz der beiden Nadeln der ganzen Reise sehr constant geblieben ist, en selbe Grösse zu corrigiren sind.- Folgendes Verzeichniss enthält die vollstä Titel der Werke, aus denen ich das Material zu Tafeln geschöpft habe: sowie die kürzere Bezeic unter welcher dieselben in den Tafeln citirt sind. Hansteen, Magnetiske Jagttagelser paa Isla Spitsbergen. (Oversigt over det Kgl. densk. Selsk. Forhandl. Dec. 1861). | Hansteen Sabine, Report on the Magnetic Isoclinal and namic Lines in the British Islands. London bestimmungen im österreichischen Kaiserstaate. Jahrg. 1846, p. 121. (8. Report of the British Assoe.).. Sabine 19: des Sciences de Saint ۰ 425 1. fiber ag up ۲ Lamont,U t g g undStürke Europa Mün- chen 1858. Pee .Lamont 1858. Balfour انز‎ On some Results of the Magnetic Survey of Scotland in the years 1857 and 1858, undertaken by John Welsh. (Report of the British Assoc: 1859)...... een nnn Stewart 1859. Sabine, Report on the Repetition of the Magnetic Survey of England. (Report of the British Assoc. 1861)... «eer rrr Sabine 1861. Hansteen, Berichtigungen und Zusätze zu den in Poggendorff’s Annalen Bd. 3. St. 3. u. 4. enthal- tenen Beobachtungen über die Intensitüt des Erd- magnetismus. (Poggendorff's Annalen Bd. 6 (82). 1826. pag. 309 ff.).........Pogg. Ann. Bd. 6. Lamont, Untersuchungen über die Richtung und Stärke des Erdmagnetismus in Nord Deutschland, Belgien, Holland, Dänemark. München 1859. Lamont 1859. Lamont, Magnetische Karten von Deutschland und Bayern. München 1854......Lamont Karten. Hansteen und Due, Resultate magnetischer, astro- nomischer und meteorologischer Beobachtungen auf einer Reise nach dem óstlichen Sibirien in den Jah- ren 1828 — 1830. Christiania 1863. Hansteen 1863. Tafel über die Inclination und ganze Intensität der Hiep ceti Kraft, nach den neuesten Beobach- ODO O90 ۰ ۰ و‎ tungen. (Poggendorff’s Annalen, Band 14 (90), 1828, pag. 376 fi.)........Pogg. Ann. Bd. 14. Kreil, Magnetische und geographische Ortsbestim- mungen im südöstlichen Europa und einigen Küsten- puncten Asiens. Wien 1862..... ..Kreil 1862. Extract of a letter from Prof, Kümtz to Lieut. Colonel Sabine. (Philosophical Magazine S. 4. Vol. 2. Nr. 8. July 1851).. .Phil. Mag. 1851. Saweljeff, Magnetische Beobachtungen und geogra- phische Ortsbestimmungen im Jahre 1841 wührend einer Reise an den Küsten des weissen und Eis- meeres. (Mémoires des savants étrangers, Tome VI. St.-Pétersbourg 1851.).......... ..Saweljeff. ۲, Middendorff, Sibirische Reise, Band I. Theil I. Magnetische Beobachtungen, bearbeitet von Lenz. v. Middendorff, Fuss, Geographische, magnetische und hypsometri- sche Bestimmungen in den Jahren 1830 — 1832. (Mém. de l'Acad. Imp. des Sciences de St.-Péters- bourg. VI. Sér. Sc. math. T. III. St.-Péterb. 1835.) Fuss. A. Erman, Reise um die Erde, ausgeführt in den Jahren 1828, 1829 und 1830. Zweite Abth. Zwei- ter Band. Berlin 1841......... Ermans Reise, A. Erman, Über die Elemente des Erdmagnetismus ` und deren säculare Veränderung für Berlin. (Astr. Nachrichten Nr. 1466 — 1467.) Astr. Nachr. Nr. 1466. TEXfel 3. Zusammenstellung der Beobachtungsdaten und der aus ihnen abgeleiteten a. (Die Zahlen und Buchstaben in der ersten Spalte beziehen sich auf die von den Längen- und Breitengraden gebildeten Vierecke auf der Karte.) L. x Ort 9. | Pins I H a Epoche . | Beobachter Thingvellir......»+.+»-- 64°15 |— 8?80'| ۰.۶۵ 1.2979 8.018 IV. a. 4 | Reykiavik.. دوي‎ ee» 64 8|—416| 77 08 2138 533 1836.5 'Lottin [Hansteen1861 N A ET ET I TETE 63 54 — 2 8| 76 40.7 2856 745 Vapnafiord...... «ees 6544| 253| 77 8 1.1842 8.499 ul d eo cone fg AC 65 101 4 1| 76 7 1629 074 1833 Blosseville |Ebenda Belmullet....0.,.0. enee 54 13 743 72 13.4 7.532 ۱ 0808 a pit c 5412| 914| 72 63 5157 528 Aug. 1835 - Sabine 1839 و90‎ ONE WIS 54 7 | 8 38 9 5100 518 VI. € "TT boni SE E 5252! 857| 712138 1.5758 7.518 Dec) ` E 1 ASS Eé 52 51 | 842| 71182 5823 489 Aug.» 1835 - Ebenda Yaléndla وی‎ A مدع‎ e 1 723| 71 54 5975 513 Nov.) 1 * EDS | Coruñ " | 43 29 | 918| 64 9. 2.0217 7.210 ۳111. Lot tn ET RE 49 52 | 911| 63 57.7 0341 216 1 Jan. 1858| Lamont Lamont 1858 E TE 421 8 55| 63 35. 0573 223 427 Bulletin de l’Académie Impériale Ort 3 el I H a Epoche | Beobachter | N IX. c. | Lissabon...............| 880491 8°31) Gaga 2.2102 7.184 |1 Jan. 1858 | Lamont ` 1 Kirkwall : 58 59 | 14 42 | 72 40.9 1.4716 7.560 | Thurso 58 35 | 14 8| 72 32.7 4762 521 Aug. 1858 Durness | 58 34 | 12 56 | 72 50 548 ez TE. Inverness...............| 67 28 | 18 29 72 7.9 5093 506 ept. 1857 Fort Augustus..........| 87 9|13 0| 72 2.6 1.5134 7.488 Sep Edinburgh 55 58 | 14 29 | 71 11.3 5665 393 ang 1857 så Gretna 55 1|1487| 7046 5956 367 Sept. Dublin 53 21 | 11 24 71 4.8 1.5873 7.455 Sept., Noe A. Waterford 52 16 | 10 32 | 70 50.5 5987 414 Sept. En A Broadway 52 18 | 11 16 70 35.9 6200 424 Sept. kie See &xexdaseesus] DO OLIS MD 70 2 1.6465 7.331 Oct. 1858 VI. d. 4| Llandovery......... sl 52 111355 | 69 9.7 6977 255 Juli 1860 d: ی‎ i T Court 51 38 45 | 68 58.2 7212 803 ` Ange, 1860 Lew Trenchard.........| 50 39 | 13 29 | 68 17.4 1.7580 7.9399 ` Juli " Teignmouth.............| 50 33 | 14 10 68 4.7 7100 223 Juni 2 s enjerrick. use. usuel 00 8 68 8.2 7692 240 Juni, Juli) ^ f Santander. . 43 28 | 13 52 | 63 34.3 2 UM d Bilbao ..| 48 16 | 14 44 | 68 22.1 061 1 A TEL AT Gusdalaxara.. se... | 40 87 | 14 86 | 61 1073 1674 095 |) 1 Jan. 1858 Lamont : ۱ Madrid 40 24 | 13 59 | 61 5.9 1718 i وا‎ soe EE .| 39 42 | 14 we 60 ی‎ 2.2045 We Sevilla 87 23 | 11 89 | 58 58. 2849 10 IX. d À Malaga... 36 43 | 13 15 | 57 49.4 3350 105 | ! Jan. 1858 Lamont Ten Cadiz 86 28 | 11 27 | 88 8.7 3300 141 1V. e. | Lerwick 60 9|1632| 7311.9 | 1.4312 7.591 Aug. 1858 - | n Nds | 57 31 | 15 54 | 7154.7 1.5150 7.438 (Sept. uj Y. e. 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Bàren-Eiland........... 75 8 | 33 40 78 53.6 1 8.687 |Aug. 1827 |Keilhau Ebenda Sandtorvholm...........| 68 36 9 | 76 16.8 4 8.108 Lövöe 67 48 | 32 28 | 75 53.6 | 2462 8.016 Bodöe 67 17 |32 8| 7554 2419 7.996 111, h. ۸۱ Gilleskaal oor M 31 49 | 76 9.3 | 2386 8.130 Apr. 1827 |Keilhau Hansteen ۱1 06 13 20 75 8 3030 7.851 1863 Belsvaag... 65 55 | 30 5 74 53.6 2844 7.665 Taraak ا.‎ 65 6 75 42.8 | 8042 8.934 Óstersund. ...... so... 68 10 | 82 = 73 ir rn 7.714 | reimnáss.... sees... | 62 2 4 6. 3648 (4-291) 689 | IV. h. با سم‎ o BE | 69 29 |33 40 | 73 42.6 | 3935(+331 میم‎ (1995 Hansteen v. krer كيه‎ Ers ا.........‎ 62 22 | 34 56 | 73 87.9 | 3955 (+331) 602 Carlstad...... ..........| 5923 | 3116 | 72 83.4 |1.4430(+345) 7.355 |1825 Pogg.A.Bd.1 14 - J| Helsingburg........... .| 56 30 70 52 5784 20 ١ Hansteen V.b. Kopenhagen. "| 55 41 | 80 15 | 70 6 58 a54) A EH "E Ystad. . SIME 31 28 | 7013 6252 295 11824 chsen Gd ee ار‎ IB E 67 31.1 ۷ 7.197 | ۳ اس‎ eria EST 52 25 | 34 67 4. 8237 170 | VL b. 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Kreil Kreil 1862 | 1858.8 Kreil Ebenda 28 435 Bulletin de l’Académie Impériale TM Ort ` "e عب‎ 1 | H a Epoche | Beobachter | Nam. u Adalig ss.. ss RE REN eu 48° 25’ |51°31°.7 2.6366 7.861 1۳ Bol genee Sa و‎ 00.5 6631 369 j 1857.7 Schaub Eus X.l | Alexándria............. 91 11 |47 34 48 19.4 3.9810 7.546 1857.8 ` Schanb [Ebenda a E Je 1154 8 71 34.2 1.5971 T4591 o IV. m. 1 Wie, WEE FERR ..160 55 52 15 |71 84.4 5745 601 } m Hisi la Rachna 58 7 ۱50 21 |70 38.7 1.6981 ۰ ۰5 Apr.1880 | . "ih p Waldai 57 59 |50 55 70 11.6(—18.8)) 6898 ۳ 87). 625 (580) |Juli 1828 |Hansteen وروی‎ V.m. 7| Wyschni-Wolotschok ....|57 35 52 20 70 O.5(- 89) 6971(«288) 534 (600) V Apr, 1890 | (Erman) ! Torschok 7 2152 37 |69 24.8 7 5 ` Twer 56 52 e 35 |68 31.5 7708(-245) 898 (523) Juli 1828 VII.m. | Cap Takli 45 6 ۱54 7 59 1 2.8165 7.579 1858.8 Kreil Cap Chersones..........l44 84 51 1 59 25.2 2.2928 7.305 : VIILmÀ| Cap Indje 42 8 |52 30 57 26.1 4001 394 ) 1856.8 Kreil Sinope..........«......42 2 152 49 57 19.8 4140 452 1858.7 IX. m. | Latakia 35 31 |53 30 |48 42.9 2.7756 7.662 1857.8 Schaub Limassol......... dite 34 40 |50 46 |47 59.2 2.7899 7.582 ror X.m. 4| Beirui ...|9a 52 |53 13 |46 42 8499 736 1857.7 [Schaub Jaffa 32 3 52 28 44 14.9 9181 676 ۱ III. n. | Kitai Insel..............|68 28 |56 10 |75 50.6 1.2516 8.017 1849 Kämtz Archangel..............64 30 |58 13 |73 58.8 1.4165 7.901 Bobrowsk.. ۰ ۰ ۰ لا ناا + ۰ ه‎ ۰ ۰ 1 64 28 58 40 74 1.5 4134 907 1849 Kämtz Kaduish......... RS 62 55 |59 10 |73 19.6 4682 852 u E Plesskaja........ ee [62 35 58 86 |72 46.7 5018 766 . 0 | Krassnowskaja..........| 62 10 57 50 |72 33. 1.5122 7.718 Ustwelskoi...... he 61 55 |56 52 |72 15.8 544 751 1849 Kümtz f Kargopol......... “2.0.61 43 56 37 |72. 8.2 5528 740 2 Badoshkaja............. 60 48 55 10 71 25.8 60. 690 f ern pe : = à. + 45 E hv 5.6)1. er N e oe (CD DES e owa 32 4(—19.1) 7907 (0 459) | نله‎ : V.n. | Moscau. ......55 47 55 19 68 59.6(- 1.3)| 7747(— 76) 595 596 (645 -— Murom.................]55 35 59 44 |67 57.6 8597 Aug, | (ras, Kanin Noss....... . 68 40 |61 12 |75 53.7 1.3141 8.407 | ورس نم‎ (Mün- : | 67 49 64 2 |75 41.6 8150 289 1841 Cap Kagowsky ...66. 12 |61 25 75 5 | 8852 Mes ۰۱65 50 |61 56 |74 7.2 4567 201 Nishni Novgorod.. ..... a بت‎ S dr ‚gl 0 U .646 (781 : (+23.8) 585 GC sec E . 56 6 |63 20 |68. 39.2(— 0.8 6 Aug. 1828 |Hansteen ۱ bone ge PENES 55 |60 6 8 204 i d a) e SEN (Erman) RENTE) 5 27 60 29 |67 58.8 ud 628 1830 "M SE Mel hr 61 53 67 1.8. [1.9162 7.621 ee 62 42 66 2.4 52 9 Techunakowakaj OR ER 62 55 |65 22.7 2.0305 672 März 1830 |Hansteen RARES ER 8 44 64 89.7 0759 685 m V EF ده‎ VE 4 163 45.9 07 642 SA 62 8 |62 14.2 16 7.621 Tn Bi : 63 18 |61 55.6 | : ) ieo Ja 54 61 54.9 ۰ 2284 x 1830/Hansteen Kopanowskaja........... 64 38 |61 13 2677 699 . } Febr. Wasskina (Mündung)..... 48 |66 45 |76 19.8 1.8097 er { Indega (Mündung)....... 66 55 |75 32.8 ES |. ) 1841 Koschil.... 69 5 69 21.8(-8.6)11.8357(4- 46)8,090 (091) SR د‎ Lu 68 18 |68 48,2(—6.6) پر‎ 10/7: 991 ß Gei E eins 7 34 68 52.9(—7.3) 8339(+174) 879 (928) |( Aug. 1828 [Hansteen Nh REE 66 46 |68 26.5(—5.1) 8457 (+118)| 768 (798) | | dr des Sciences de arm tr anni 438 Ort M | Ferro | I H a Beobachter | Nachweis Mergen... «49° O 160° d 63°10'9 2.1897 7.862 Kisil ubi ss... 49 86 68 1 u — ur nr 771 Gli Vorposten).....|48 57 |67 : 839 VIL» em Chen, ..|48 46 65 15 162 28.4 2283 804 1880 Hansteen Hansteen 1863 roglasinskaja.........46 59 85 9 |60 42.6 8013 750 Astrachan. . . . . .. . ......)46 21 65 45 160 3.5 3468 887 Finn ..133 57 8 45 59 8.0110 9.185 X.» { Isphahan.. .............|92 89 |69 26 |44 5 0890 594 Lenz L ens : 74 6 |70 8.5(- 6.9)11.7891(—109) 8.161 (047) I 57 47 |72 49 |70 18.4- 7856 V.q Dubrowa.......... .....57 42 72 10 |69 56 (— 8.6) 7983(— 96) 120 (088) |) Aug. 1828 |Hansteen {Hansteen 1868 Krylasowakej. “+ RE 57 89 |74 17 |70 m 1.7) 8058(+189) 210 (810) (Erman) |(Ermans Reise) NE ses se 57 33 |70 44 |70 86.1(—15.7) 7283(+ 74) 14 (7.940) Ufa...... 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Tome .|57 10 |88 12 |70 15.5 (-80.7)| 8459(—801) 8 5 Han Ebenda Sugatskaja .. 56 50 ۱81 24 69 54.1(—18.8) 8620(-332) (Erman) P kaja..........|54 90 |83 55 |67 48,1 2,0072 8.468 . {| Koiche mois. GE |82 24 |67 8 0091 429 pmo cpm 1909 Kewaschinsk ..l61 87 185 25 173 26.2 li e 163), 8.610 (512) IV. t. ا‎ 45 186 22 |73 6.8 —171) 616 (513) ۳ 1828 |Erman Hansteen 1863 و‎ 4e pe0 60 13 |87 14 |72 45.2 usa | 570 (468) (Ermans Reise) 28* 439 , Bulletin de l’Académie Impériale oN 4 o Tes] I H | a Epoche | Beobachter Tobolsk : e 12’ | 85°46/|70°58/.4(+ 28 5 pem Ke JN o Chutarbitka...........«.57 50 | 85 46170 88.7(—23.9) 8274(—1 ۲۷۰۶ ÛÎ tfätekain, nn EI 24 | 86 40/70 24 8310 528 \ Dec. 1828 jn Gotoputowa.............156 51 87 31/70 11.7 8731 693 Lebiásjà.......... e... 154 58 | 88 49/68 46.9 1.9778 8.707 VI. t St. zm .....|54 53 | 86 44/68 26.2 9880 619 Oct. 1829 |Hansteen Novorybinskoi . . »- » »«««- [D4 89 | 85 33168 8.4 2.0156 667 Mogilnaja..............156 4 | 92 12169 46.1 Yee er Blech E 46 | 93 15/69 40.7 6 Vu ی ا‎ 94 669 42.8 9371 874 Dec. 1828 |Hansteen Baschenowa..... sco. 55 40 | 92 6169 28.4 9489 838 54 59 | 91 468 53.9 1.9819 8.787 VI. u. De GE EE ......|54 29 | 92 0168 29.7 2.0335 944 Oct. 1829 |Hansteen Schelesinskaja..........|58 32 | 92 56167 47.4 0693 868 Narym 58 54 | 98 23172 51 1.6902 8.901 Jan. 1829 Antoschkino............|55 40 | 95 34169 32.8 9491 873 Ne Osinowi Kolki..........155 29 | 96 36/69 36.6 9669 9.021 Dec. 1828 Hansteen Kainsk 55 27 | 95 58169 35.5 9645 8.996 1 Dbinskaja...... ei ev hee 55 18 | 97 32/69 40.3 9609 9.011 Jamyschewskaja.. .. ..... 51 50 | 95 6/66 31 : 2.1998 9 177 Semijarskoi............. 0 53 | 96 1/65 47. VI. v. ۰۱۱ Semipala tinek........... 50 24 | 95 1105 17.8 2905 367 Oct. 1829 Hansteen " | Schulbinskoi mue ZE ...|50 28 | 98 54/65 13.8 2908 | Tugurskaja.............158 31 1101 0/72 23.8 1.7432 8.988 Jan. 1829 qach Tomi... مناد ماع‎ 56 29 |102 0 45. 1te187) 8645(—268) 910 (852) H n ۲ Bolotna................56 0 |101 36/70 2 9146 9.045 Dec. 1828 (Erman) EDU reel 55 26 |100 46170 2. 1(+ 4.2)| 9338(-184) 008 (8.954) | Legostajewa ان‎ .....|54 29 101 54169 5 1.9901 9.144 Seb. 53 20 |101 37/68 15.4 | 0 258 ۱ p VIL vw Sicht ...|52 30 |101 0/67 20.9 1510 239 1829 (Hansteen Kalmytskaja. ........... 51 45 |100 26/66 46.2 1809 196 Oct. f ir neo SE e sel 9 ۱100 0/66 2.3 2475 s T we een 5 55 |105 18177 46.2 1.2483 9.307 | 12 ^ 086618 eds. ۵ 105 55/77 45.7 1 300 : II. x. ۱ Kostin 65 3105 37/77 33.6 | 2770 391 Juli 1829 ` |Hansteen ne ie. 65 0 ۱105 34/77 20.3 2957 f |‏ میت e eg E 7 106 Mé 42.4 ES 9.104 Juli |‏ | omsino ..... oeil 107 22/75 19,1 78 099 M‏ Iv. x | Dubtscheskoje..........|01 2 ۱107 17/74 39 5559 107 Junig 1829 |Hansteen‏ Serebrenikoma.... ......:/60 2 |108 1474 19.1 5843 083 |‏ I ren ` iP Deeg? .|59 Juli‏ | fes exer ss... ۰ + ۰ ۰ » 1 1 i ý‏ V.X- || Atschinsk....... Ke 71 6 8860 oe juni $1829 [Hansteen‏ Ui Malo-Kamtschogsliaja.. \ Jan‏ Nowaja. iseten ita ot?‏ By { Filivovakaie Kai ze | April } 1843 v. Mid i Potaskoiskoje..... CES S Y Kazatschinskoje.. pem Y C IMPER VE ug- 1829 |Hansteen | Krasnojarsk........ ....[56 \ Jan. | (Erman) 11. s. Chatangskij Pogost......|72 2 1 x À April 1843 v. Mi Keschemskaja...........158 58 1 Tschadobez. . "attt + + n 58 3 tS OG v. 2. Padunskoi.. soc: P Juni 1829 Hansteen ê ratskoi I Kamyschetskaja.........55 9 . 9334 ebr. Nijno-Udinsk «+++ +-+ 116 1.9531 9.421 ۱ Hansteen bis ...۰..:....:.]54 81 [117 43/70 9.6 9787 (— E E Kuitunskaja............./54 15 ۱119 1/70 98.4 9768. 2 et (176) | Febr. 1820 | Salarinskaja....... [53 32 |119 54/69 18 (—3.8)/2.0497(—110) 441 (336) } Hansteen 441 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 442 Ort KSC t H a Epoche | Beobachter | Nachweis PNE... iod -e 120° 9| 73°45'.1 1.0976 9.082 | Porog......57 14 120 7| 7238.6 | 7681 201 | Juni 1} Hansteen Suchowskaja............ 57 2 4 1 854 1829 ^ Ye رس‎ pacc —— 56 28 |123 50| 71 48.9 | 8529 Mar || Due Ebenda Bojarsk ..... :......56 16 |123 87| 71 4 SL 448 (25 xi Botowsk.............../55 1 71 14.3 9550(—302) 785 (670) } : RL TNAM 52 D - R A B ei 9.657 Febr.-Mai) Kadil ai ee ST 52 12 |1 s 752 e vios diss Vi 52 8 |124 83| 68 22.4 1462 ۹ & Hansteen ` Hansteen 1565 "e meter E Seid 50 58 124 9| 66 49.2 | 2480 728 ebr. zko-Sawsk.......... 50 21 1124 8| 66 21 8152 10.041 207^ ١١1 د‎ RET ..|52 16 |122 0| 68 6.6 |2.1462(-292)| 9.560 (347 Tarakanowa............ 52 3 ۱124 88 68 22.4 1459(—200) 687 (537 1 Kadilnaja...... Ve én ES 51 59 |122 89| 67 83.9 1899(—241)| 627 Mn Febr. 1829 |Erman Hansteen 8 Monachonowo......... ..,50 58 |124 66 57 2494 (—197 Ape ve (Ermans Reise) izko-Sawsk...... ....|50 21 1124 8| 66 14 8055 (—298 118 Ponomarewskaja....... ..|54 59 |123 2| 70 28 3 .549 Mars Chogotskaja .......... ..153 38 |123 D 68 48,5 9 525 1829 | Due Hausteen 1568 Must... ا ابن‎ sl 52 17 |121 56| 68 13 1561 687 Aug. uz ..152 17 ۱121 56| 68 15.2 17 9.522 tepnoi 52 10 1124 0| 68 10.5 (+ 698 Aug. 1830 olessowaja ..........,. 52 7 ۱124 12| 68 9.6 1653 (+150)) 729 >ossolsk 52 1 ۱128 57| 68 1,6 12(-260)| 632 April vy F Listwinischnoi..........|51 54 |122 10| 67 58,1 1500(+149) 521 Aug. 1 T i 51 6 ۱124 33| 67 53.8 1 751 April | ووم‎ | Jharazaiska 50 22 23| 66 56.5 2490(—271) 788 Juli Troizkosawsk...........| 50 21 |194 24 66 23.7 6 918 Oct. 1891 Baingol................]48 52 1128 8| 65 14.2 9. cR a 115 Ch tva رد‎ 13 124 64 29.4 118 Sept. VIL ar Zi 6 47 56 |124 21| 64 2.8 4199 $166, ‘ 18 Fuss Nalaicha...............|47 47 |124 57| 63 88.9 6 (4-169),10. 107 Oct. Chapschatu..,..... ۰ 9» + K 47 124 45 63 20.9 071 Aug. 1831 و‎ e so ..59 7 ۱129 11| 78 53.8 GR 9.593 - Itschora...... nado. ..58 30 1127 15| 73 16.9 7392(— 468 (278 : Veb. M Kirensk................57 47 |125 44 78 8.2 | agent 305 (108) März 1829 |Erman یمس‎ Reise) Potapowsk..............157 28 1125 18| 72 20.1 8133(—279) 414 (228) 9 و‎ ae sales ve 52 30 1128 43| 68 7.8 12.1345 (-257) 9.484 VI. y. 7| Kurbinsk. AM Me die = 5 |128 43| 67 58.6 1818 (—26 761 April 1832 Fuss Werchne udinsk . 2.251 50 |125 25| 68 6.5 652 Altanskoi . ...... ..... .149 28 |129 65 20.5 |2.8607(—9289) 9.949 Juli 1882 Mendshinskoi...........|49 26 |126 34| 65 81.1 99(—287)10.023 Giltegenta 46 54 ۱126 258۱ 63 12.5 5109 (4-173) 305 ` Schibetu 46 29 ۱127 17| 62 4 5898)+176( 778 Oct. 1830 Zéídgéta.... 1 ...|46 16 |127 49| 62 38.2 CN 092 Chapch er 46 2 |126 14| 62 23.5 4900(4-172)| 9.766 Aug. 1831 VIL 9, 4 d Fuss Chologur... .......|46 0 ۱128 13| 61 54.1 |2.6003(+178) 10.583 Oct. 1830 "E M 45 50 |126 32) 61 49.1 5501 (4-176) 065 Aug. 1831 Durbanderetu......... ..|45 48 ۱128 53| 61 46.5 6178(4180) 703 Oct. 1830 WR. eech .l45 34 |126 55| 61 44.4 5595(4-175) 053 Aug. 1881 id. s Beo s als ....]45 82 9 61 22.4 6099(4-179) 446 Oct. 1830 Ku derissu. léif 8 |127 21| 61 11.8 5954(+178) 229 A 1831 Charatuin Sudshi ........ 44 50 |129 45| 61 3 2.6702 (4-183) 10.926 Oct. 1830 Sendshi 44 45 ۱128 5| 60 42.5 6169 )+180( 927 . VIILb'4| Gaschun... ....... .....1|44 28 |128 58| 60 16.9 | 6257(*181) 141 Aug. 1831 Fuss utull .48 58 1128 17| 60 13 6377(+182) 231 d (| Zsamein Chuduck ... bil 43 37 ۱128 30 59 22.5 P i i 1 74 16.9 |1.6248(-273)) 9. 144) März 1829 - |Erman Hansteen 1863 IV. ei, | Dscherbinsk........ ...|00 28 1133 55 (-273)| 9.321 ) 9 | (Ermans Reise) K ki مه‎ 59 54 |131 45| 74 31.8 6270(-273)| 9.493 (318) März Erman V. c'. 7| Krestowskaja...........|59 45 130 50| 74 17.8 392 425 Juli 1829 } Due Ebenda i Wi i O EE 6 E + ۰ * 59 27 130 0 74 9 XX. ۰ 443 Bulletin de l’Académie Impériale Ge = e Ban I H | a Epoche | Beobachter Tschitanskoi... .. لع‎ 52° 1{131° 6 5 ele 9.862 ١ April , J Stadt Nertsehinsk .. .[51 56 1134 10 67 11.5 | 2148(-268)) 640 a pem D Vic hindan ...]50 84 |1383 11|: 66 32.4 2954 ۱ Juli MM ne .......50 15 |131 4| 66 39.6 | 8152-14 (| Batellay. "A Ze see .|44 21 |130 34| 60 18.2 12.6886 (+185) 10.792 Oct. 1830 Kulchuduck 3 29 |131 31 59 14.1 7497 (+189 11.000 Nov. 1830 Scharabudurguna ۰ ..148 14 |131 406۱ 59 2.8 7635(+190) ° 075 Mingan ... 3 10 58 48.7 10.579 Aug. 1831 I: Zaekildack 142 48 ۱131 56| 58 25 7687 fein 864 Nov. 1880 || 24 TÉL GA) Sudshi . ۲ 298 |131 301 58 4.7 | 7619(+190) 45 Aug. 1831 Zsamein-ussu ۱ 46 ۱132 17| 57 28.7 8346+194) 11.205 Nov. 1830 Tulehá.. 41 33 |132 23| 57 3.7 : ! i 183 Zagan Balgasu.........|41 18 |132 zl 66 40.6 Get (4196) 826 bl gto Chalgan 40 49 1132 37| 56 17.4 | 8300(+194) 690 Nov. 1830 IX. c. | Pekin ۳ ...139 54 1134 5| 54 52.9 |2.9225(+234) 11.257 Jan. 1831 Fu , fl Wilüfik 63 45 |139 42| 76 45.5 1.4181 9.652 Mai R Due IV. d { Olekma 60 22 |187 18| 74 8.7 | 6406(245) 3400181) laprif 182 (Erman huranach ...........:.1b9 59 1137 20 78 49.6 11.6735 9.860 Juli , J| Nochtuiskaja............|59 56 [135 23| 78 59.8 312 Aprill 1659 } Due v.d Beresowoi Ostrog. ......89 44 1185 51| 74 5 6950(—253) 665 (494) (Marz Erman Daban....«. s.ro. as33159. 16 1136 35| 73 40,7 | 7193 575 Juli Due Uststretensk............|53 20 1139 301 68 11.2 |2.1500(—259) 9.626 Së Schegdatschinskoi... ...|93 15 1139 0| 68 10.8 1536(—260) 650 Gorbizkoi.......... ....|58 6 |136 48| 68 21.6 1387 (—258) 626 uni , J| Uriupina 2 47 137 43| 67 52.6 | 1940(—265) 809 Mai (1859 VI. d. || Stretensk 215 19519, 67 38.5 | 1916(-265)) 677 Juni Argunskoi......... e. 38 1137 36| 66 54.1 | 92693(-974) 930 Bergwerk Nertschinsk.... 1 19 137 16 66 33.5 2474(—272) 597 Mai 7 0 23 |186 42|, 66 12.6 | 2912(-277) 0 Bogadiach.......... ..../63 51 |140 53|. 76 87.5 [1.4237 9.589 Tschemetschaiskoi.......63 50 142 9| 76 15.5 | 4396 382 April 1829 Negodiach............../69 41 1148 22| 76 0.5 4552 353 IV. €: | Titariskaja.............61 40 [144 28| 74 9.6 11.6455 9.881 churinskaja............00 57 |143 47| 74 4.9 | 6597 878 Sanajaktatsk............]60 53 |141 24 73 40.6 | 6921(-229) 892(241) Marchinskaja...........]60 36 |l4dl 9| 73 57,9 | 6445 273 | Katin ngari ke ue ue vu 4108 48 146 38 75 5,5 .5450 9.819 IV. £ Jakuzk 62 1 ۱147 25| 74 18 6295(—288) 03 (176 | Porotowsk... ..........162 1 [149 29| 73 59.6 | 6690 -282) 433 (24 Tojon Arun... 61 40 |145 26| 73 54.1 | 6485(-274) 242 (066 Lebegin. eene BD 11 [151 29 78 8 1.6526 (-208 9.290 (098 Nochinsk.. 61 57 |152 36| 73 36.8 959 (-315)| 378 (i7 IV. g'. 4| Bjelski Perewos,........|01 53 |153 14| 73 20.7 6982 —801 Tschernolies, ..........61 31 (154 3| 73 7282(—143) 807 (213 Quam ui: ..../61 80 154 40 73 11.8 | 7191(—130) ۰ 284 )200( Wäit 91 9 1155 50 72 85 1.7498 (-259) 9.184 موم‎ | IV. b'. [3 Judomskaja.............]60 54 158 15| 72 9.6 | 8170 و او‎ aha Mai 1829 |Erman |Ebenda | Arki.. 60 6 160 0 7118.8 | 8429(-213) 062 (8.919) | KK را‎ - [59 21 [160 52| 70 88.6 |1.8850(--359) 8.988 (758) Juni 1829 |Erman, Ebenda Magaseinski Padi....... ۰/۵8 1 |175 54| 68 28.1 |2.0244(-217) 8.871 (728 Jelowka... .156 52 ۱178 85| 67 51.8 0575 Gol ‘818 (528 ) } Ang. 9 V. m’. 4| Chartschinsk............|56 31 |178 28| 68 11.1 | 0888 66) Bao TD 1829 |Erman Ebenda - | Kosyrewsk .............]55 52 |177 14| 66 52.6 1248 414) 848 (5 Sept | | Maschura .55 4 ۱176 35| 66 9.4 2002 (-576) 9. 067 (8.66 667) k Natschika , utem 7 175 55| 64 5.4 2.8071(—506) 8.992 (629) (sept. Ebenda ` T d Petropavlovsk ..... .|B3 0 ۱176 20| 63 49.4 2002-177) 77 (632) Oct. Im — E des Sciences de Saint- Pétersbourg. 415 446 Tafel I. Mittelwerthe von a. 9 L. von Ferro. a Correction. 9 L. von Ferro. a Correction. IV. ٩ 64 6 سب‎ 8 18 8.432 II. k, 7 44 49 23 8.271 III. b 65 97 8 97 8.287 IIL k, 0 55 | o5 7.990 VI. c + u 95 en 65 88 42 1 777 7111.2 | 42 49 9 8 7.216 m. k NIE: AU |o | IX. e 38 42 8 81 7.184 60 16 42 M 425 v.d 58 4 13 49 1.594 +0.10 | V.k 58 44 42 bb .886 56 8 M 2 416 + 0.100 58 17 41 56 817 VI. d. 52 37 11 4 7.481 VI. k. 60 11 4 5 | 7.20 27 "7 oH rn VIL. k. 47 22 4۱۰ 47 7.158 vid. | 41 56 M 18 7.141 VILE | 4 80 | 41 8 7.174 IX. d 97 84 | و 7.10 | 87 هد‎ ww IV.e os | 1623 | zm | 919 | fi? n Procli: Ben Brei, diiit V. e. 56 45 | 15 8 | 7.05. | +010 | T! enge SI Dritter dot VI. e 68.96. | 17 16 | 7.946 | + 9.009 | H) ar Zi Loir Perg 51 42 18 4 209 0.1 IV. 1. 61 38 45 52 7.488 VII. e. 47 49 18 9 7.192 v.L 59 14 48 98 7.510 eme | 43 19 16 41 | 7.186 VII. 1. 45 90 46 48 7.416? 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IX. h 87 2 82 42 7.182 V. p. 56 28 67 56 7.982 + 0.019 III. i. 68 20 37 52 7.936 VII. p. 48 26 66 49 7.810 IV. i. 62 7 38 22 7.559 X.p 83 18 | 69 11 9.385 V. i. 59 20 35 44 7.419 V. q. 57 44 72 49 8.136 — 0.042 VL i. 53 0 36 59 7.214 VI. q 52 88 | 72 95 8.092 e VIL i 47 54 36 13 7.107 IX. q. 86 35 | 72 22 9.070 VII. i. 42 17 37 27 7.181 X.q. s2 45 | 78 90 9.792 IR © 38 43 38 5 7.150 V. r. 57 11 77 8 8.833 — 0.046 Bulletin de l’Académie Impériale 447 9 L. von Ferro. a Correction. 9 L. von Ferro.| VI. r 54 4 78 58 8.857 VI. a RP 8 80 | 9.772 715 X.r 34 19 77 40 10.489 51 83 123 27 695 SO EHE M VILa. | 48 2 | 124 14 | 10.055 IL. s 66 2 83 23 8.663 — 0.075 V. br. 58 12 126 52 9.445 IV. s 65: 12 83 13 8.625 — 0.089 VI. b’ 52 8 127 87 9.632? y. 8. 57- 11 83 9 8.540 — 0.270 VII. b. 47 127 15 10.105 VI.s 54 96 88 10 8.448 45 39 197 50 346 IV.t 60 52 86 20 8.599 — 0.101 | VIIL. b 44 19 128 43 10.378 V.t 57 34 86 26 8.599 — 0.180 | IV. c’ 60 28 133 55 9.821? VI. t 54 50 87 92 8.664 V. e. 59 42 | 180 52 | و‎ V.u 55 49 92 55 8.844 VI c. 51 12 132 23 9.911 VI. u 54 20 92 0 8.866 VIII. c' 49 29 181 48 10.814. Ve 56 10 96 48 8.960 IX. ei 89 54 134 5 11.257 VI. e 50 53 | 97 0 9.290 IV. d. 62 8 188 97 9.496 V.w 56 36. | 101 33 8.988 — 0.056 | V. ۰ 59 44 136 12 9.478 VL w 52 39 101 0 9.240 VI. d 52 15 187 29 9.712 DL x. 65 96 105 36 9.305 IV. e, 63 47 142 6 9.441 IV. x 61.95. | 107 14 9.098 61 2 142 42 355 Ya 87-86 109. 10 9.218 IV. f 62 8 147 15 9.339 IL. y., om a | 112 50 10.168 IV. g' 61 48 153 11 9.292 V.y 87 5 | 112 31 9.261 | — 0.223 | ۰ 60 48 158 2 | 9.176 IL. z 72 2 117 8 10.364 i pem 59 21 160 52 8.988 V. z. 57 2 | H8 10 9.978 nb X 66,98. | 177. 90 |i ۰ Kë 54 18 | 118 20 9.499 | — 0.153 | YF 53 8 176 8 8.875 VE? 56 47 122 32 9.878 — 0.206 Anm. Nur die mit fetten Lettern gedruckten Correct s in der Karte benutzt worden. HE Ta fel IL ar Beurtheilung der säculären Veränderung von «. Ort Epoche. H xc a T Beobachter. | Nach Christiania....... 1822?.. nl 1.4860 72° 34 à 9600 Pogg. / 1825 Februar.....| 5293 22,8 ir 5.0290 » October.....| 5288 36.2 830 "1136 1907 ei 5234 18 657 Hansteen 1828 März...... $e 5169 16.6 612 4 1891 Febr, Marz] Pi E © | ge ebr. e 8.8 1832 April, Juli...| 5347 0.6 = | me | 1838 Mai, Juni....| 5450 71 57.6 617 9885 Boeck E 1839 Mai, Juni....| 5499 57.05 639 0025 | Hansteen » Octo فان‎ 5440 53.5 581 4.9679 BE E 7 75 51.6 586 9705 | z 1842 hee سس‎ 5478 47.8 553 9598 Aug. Sept. ,.| 5519 47.9 9694 CERES 1843 Febr.— Juni.| 5492 44.9 + 9518 |f 844 » 5549 89.1 532 9378 x 1845 Mai ~ 5542 36.7 511 1846 Januar S 5560 87.2 524 9173 Ueber die Relation zwischen magnetischer Inclination u. Horizontalintensität. = > KS TAFEL für den Factor a in der For tg. i= alg Ae. lg.Xo = 259200. Bulletin de l'Acad. Imp d.se. ۳ " 7 ۳ £v o $t o / ap ۴ 0 705 1 i Lith.v A Münster ST Prbg. WO 2* Linie Ne? 7. 9.79% 77,1 419 d : des Sciences de Saint-Pétersbourg. 450 Ort. Epoche. H | I | a T Beobachter. Nachweis. Christiania ....... 1848 Mai....... wel. 1.5674 71۳34 1 7.561 4.9574 1851 5615 33.7 527 9372 1853 Juni ....... 5603 30.3 496 91 1854 dem .م‎ is 5653 27.6 503 9218 1855 April 5642 1.98 500 9211 » August...... 5676 5.81 9214 » September 5636 1.22 491 ‘9159 » October...... 5648 .8 495 9179 November 5655 E! 496 9165 1856 £ eptember 5670 4.6 9153 1857 Juni 5715 22.8 501 9218 1858 April 5662 24.06 9108 » Juni e 5732 22.53 508 9263 + Hansteen........ » Hansteen 1863 » August...... 5746 21.28 506 9250 ^ TODD JUI sn en en 5712 gc 485 9125 0+ AUGUST sS 5652 25.7 489 9117 18560. Mais e e 5716 ).66 9132 August. ..... 5719 ).78 488 9145 » November 5680 .42 473 9 1861 Juli 5749 ).97 498 9205 » November 5699 20.18 474 9056 1862 Apri 57 20.28 510 9255 » RES rares 5752 19.2 494 9183 »- Juni... 5765 18.3 495 9184 » Juli 5761 19.69 503 9230 Stockholm... .... .| 1825 1.4919 | 72 8.3 7.419 Pogg. Ann. Bd. 14 1828 Juni. ......*] 5882 71 43.1 474 1842 taxe 5563 22.8 418 VR sepe V Hansteen 1858 Juli.........| 5658 14 - 408 | Hansteen 1863 1859 August... . ..| 5723 5.9 385 Berlin 1806 1.6452 69 53 7.265 Humboldt S 1828 8 رت‎ ech dre 7559 68 er: 334 IDD aoa À 7751 67 43.2 121 7 1849 7734 35.48 091 > P e teg 1856 7900 20.5 063 RSR an E 10980 BS OPI VAL PR 7879 20.3 052 1862 à 7900 7.63 6.989 e 1822? 7074 7.181 ^ Hansteen. .......|Pogg. Ann. Bd. 6. 1 8041 67 81.1 197 Ae enen aan) Lamônt.........|Lamont 1859 Kopenhagen......| 1820.............| 1.5868 | 70 86 7.254 Pogg. Ann. Bd. 6 1834 August 6369 308 1839 im 6519 69 59.9 345 Së 1840 Juli, August 6541 52.1 305 aR SED steen 1 6554 47.7 283 Hansteen 1863 1847 / ugust 6618 45.8 303 ۱ 1854 Juli 6652 88 2 239 1858 6758 28.5 263 Lamont..........|Lamont 1859 London...... امد‎ 193087 ois vais ا 7.269 57 69 را‎ ECH nci Pogg. Ann. Bd. 6 E 3. 5. 6883 22.7 290 و و للك‎ Sabine 1839 1850 7367 68 318 PU ses Lamont, Karten (Greenwich). .....| 1861... 7126? 16.1? OOG? Dee da Anne (Greenwich Obs.1861. Über die Arten der Eidechsengattung Cyclodus Wagl. von Dr. A. Strauch. (Lu le 7 juin 1866.) Die Gattung Cyclodus, die Wagler (Descriptiones et Icones Amphibiorum fasc. Itab. VI) aufeine von ihm zuerst beschriebene Eidechse, den Cyclodus flavigu- laris, begründet hat, gehört bekanntlich in die Tri- bus Saurophthalmia der Familie Scincoidea und unter- Tome X. scheidet sich von allen übrigen Gattungen dieser Tri- bus durch die Gestalt der Zähne, welche nicht konisch und zugespitzt, sondern stumpf-keulenförmig oder, wie die im Kiefer weiter nach hinten stehenden, fast kugelförmig erscheinen. Ausserdem besitzen die Ar- ten dieser Gattung auch im Allgemeinhabitus manches Eigenthümliche, wie namentlich einen nach hinten 29 451 Bulletin de l'Académie Impériale zu stark verdickten Kopf, der von dem leicht ein- geschnürten Halse sehr deutlich abgesetzt erscheint, einen verhältnissmässig kurzen, fast kegelförmigen Schwanz, einen spindelförmigen, dicken, leicht flach- gedrückten Rumpf, der mit dicken knöchernen Schup- pen bekleidet ist, kurze, weit von einander stehende, fünfzehige Extremitäten mit kurzen unter einander an Länge wenig verschiedenen Zehen und endlich eine halbkreisförmige Reihe von Suborbitalschildern. Von dieser Gattung sind in der Erpétologie géné- rale drei Arten beschrieben, nämlich der Cyclodus gigas Bodd., dessen Benennung Duméril und Bibron ganz überflüssiger Weise in Cyclodus Boddaertii ab- geändert haben, ferner Cyclodus nigroluteus Quoy et Gaim. und endlich Cyclodus Casuarinae Bell, der durch den ungezähnelten vorderen Ohrrand und durch die Abwesenheit der den Hinterrand des Naselochs umgebenden halbkreisförmigen Furche von den bei- den anderen abweicht und desshalb von Gray (Catal. of Lizards p. 87) zum Typus einer besonderen Gattung Omolepida erhoben worden ist. Zu diesen drei Arten sind in den letzten. fünf Jahren noch fünf neue hinzu- gefügt worden, nämlich Cyclodus fasciatus Lütken, Cyclodus carinatus Günther, Cyclodus occipitalis P e- ters, Cyclodus adelaidensis Peters und Cyclodus luc- tuosus Peters, so dass sich die Zahl der in die ge- nannte Gattung gehörenden Arten gegenwürtig auf acht beläuft. Ich bin nun im Stande, die Zahl der Cyclodus- Arten noch um zwei zu vermehren, da ich beim Be- stimmen der im zoologischen Museum der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften hieselbst vorhandenen herpetologischen Sammlung zwei Eidechsen gefunden habe, die sowohl der Bildung ihrer Zähne, als auch ihrem Allgemeinhabitus nach in die Gattung Cyclodus gerechnet werden müssen, die sich aber auf keine der acht bisher bekannten Arten derselben deuten ‘lassen.- Die eine dieser beiden: Eidechsen ist dem Cyclodus gigas Bodd. zunächst verwandt, lässt sich aber durch mehrere sehr prägnante Charaktere leicht von demselben unterscheiden; die andere weicht durch die Anwesenheit von Supranasalschildern, durch die ausserordentliche Grösse ihrer Praeanalschilder, deren überhaupt nur zwei vorhanden sind, so wie endlich durch die von zwei grossen dreieckigen Schuppen vollständig verdeckte Ohröffnung so sehr von allen | — Zu bisher bekannten Cyclodonten ab, dass sie wohl mit viel mehr Recht zum Typus einer besonderen Gattung erhoben werden könnte, als der Cyclodus Casuaringe Bell, auf welchen, wie schon bemerkt, Gray die Gat- tung Omolepida begründet hat. Mir scheinen jedoch die eben aufgezühlten Eigenthümlichkeiten keineswegs den Werth von generischen Charakteren zu besitzen, und ich halte es für viel natürlicher, wenn man sümmt- liche Scincoiden, die sich durch kugel- und keulen- E förmige Zähne auszeichnen und zugleich auch im Allgemeinhabitus eine so auffallende Übereinstim- mung darbieten, unter der sehr bezeichnenden Wag- ler’schen Benennung Cyclodus in eine einzige Gat- tung vereinigt und die Arten dieser Gattung in drei Gruppen oder Untergattungen vertheilt. ` Die erste dieser drei Gruppen oder Untergattun- gen umfasst den Cyclodus gigas Bodd. und die ihm zunüchst verwandten Arten, d. h. diejenigen, deren frei zu Tage liegende Ohróffnung am Vorderrande ein oder:mehrere Läppchen zeigt und die auf dem. | Nasalschilde hinter dem Naseloch eine halbkreisför- mige Furche besitzen; diese Gruppe entspricht ge- nau der Gattung Cyclodus Gray. Die zweite Gruppe ist durch eine gleichfalls frei zu Tage liegende Ohröffnung mit ganzem oder mit gezähneltem Vorderrande und durch die Abwesenheit der halbkreisförmigen Postnasal-Furche ausgezeich- net; sie entspricht der Gattung Omolepida Gray. Die dritte Gruppe endlich, die nur eine einzige Species umfasst, ist durch die Anwesenheit von einem ` — Paar Supranasalschilder, so wie durch die von zwei grossen dreieckigen Schuppen vollkommen verdeckte Ohróffnung charakterisirt; für diese Gruppe würde , ich die Benennung Ofolepis vorschlagen. Was nun die zehn in die Gattung Cyclodus gehó- — rigen Arten anbetrifft, so unterscheiden sie sich von ` einander, wie folgt: Die Ohróffnung A. vollkommen sichtbar und am Vorderrande gezühnelt oder ganz. Das Nasalschild I. zeigt hinter dem Naseloch eine halbkreis- ` fórmige Furche (Cyclodus). Die Tempo- ralschilder der vordersten Querreihe a) wenigstens doppelt so lang, wie die der ` 7 s des Sciences de Saint Hina. übrigen Querreihen. Die Occipitalschil- der 1 1) stehen in einer einzigen Querreihe und sind dabei mehr oder weniger verlängert. Die Schuppen auf dem Rücken und auf der Oberseite des Schwanzes a) glatt, ohne eine Spur von Kielen 1 gigas. 8) sehr stark gekielt. Die Kiele bil- den auf dem Schwanze Längsrip- pen. .............. 2 carinatus. 2) stehen in zwei Querreihen und sind Behr Droit, dd RN 3 Petersü. b) kleiner oder hóchstens eben so gross, wie die der übrigen Querreihen. Die Occipitalschilder stehen a) in 4 auf einander folgenden Quer- reihen. Supraorbitalschilder in der Zahl 1) zwei vorhanden ....... 4 fasciatus 2) drei vorhanden. . ..... 5 occipitalis 8) in einer einzigen Querreihe. Supra- orbitalschilder 1) vier vorhanden. Am Ohrrand 2 bis 3 Lüppchen 6 ni 2) drei vorhanden. Am Ohrrand nur . 7 adelaidensis. II. einfach, zeigt keine Spur der halbkreis- fórmigen Postnasalfurche. (Omolepida). Der vordere Ohrrand ice Se. "ow a) ganz, ohne Läppchen. ..... 8 Casuarinae. b) mit 2 — 3 spitzen Läppchen verse- Hans csok do و ی‎ UMR hi 97 B. durch zwei grosse dreieckige Schuppen ver- deckt (Otolepis); ein Paar Supranasalschil- dem لابند یب‎ er Hs 10 ۰ I. Subgenus Cyclodus Gray. Nares postice sulco semicirculari cinctae; aures conspicuae, margine anteriori lobulato. 1. Cyelodus gigas Boddaert. Scincus gigas Boddaert. Nova Acta Acad. Leop. Carol. Nat. Cur. VII p. 15 °. | 1) Boddaert hat diese Art zwar nicht beschrieben, doch stimmen Cyclodus. Boddaertü D. et B. Erpétol. génér. V p. 752. Cyclodus flavigularis Wagler. Descript. et Icon. Am- phib. tab. VI. C. scutellis temporalibus anticis valde elongatis, posticis brevibus subquadratis; scutellis oceipitalibus elongatis uniseriatis, supraorbitalibus utrinque qua- tuor; margine auris anteriori bi-vel trilobulato; squa- mis laevibus cirea medium corpus in 38 vel 46 series longitudinales dispositis. Habitat in Nova Hollandia et in insulis Java et Amboina. 2, Cyclodus carinatus Günther. Cyclodus carinatus Günth. Ann. and Mag. Nat. Hist. 3 ser. XII p. 398. C. scutellis temporalibus anticis valde elongatis, posticis brevibus subquadratis; scutellis occipitalibus elongatis uniseriatis, supraorbitalibus utrinque qua- tuor; margine anteriori auris bi-vel trilobulato; squa- mis circa medium corpus in 42 series longitudinales “| dispositis, dorsalibus et caudalibus valde carinatis, caeteris laevibus. Habitat in insula Ceram. 3. Cyelodus Petersii n. sp. C. scutellis temporalibus anticis valde elongatis, | posticis brevibus subquadratis; scutellis occipitalibus valde dilatatis, biseriatis, supraorbitalibus utrinque quatuor; margine auris anteriori trilobulato; squamis laevibus, cirea medium corpus tantum in 33 longitudinales dispositis. Habitat in — ? "ME E Diese Art unterscheidet sich von dem ihr so nahe verwandten Cyclodus gigas sowohl durch die geringere ` | Zahl von Schuppen-Längsreihen, als auch namentlich durch die völlig anders gestellten und gestalteten Occi- pitalschilder. Bei gigas stehen bekanntlich die Occipitalschilder, die eine ziemlich langgestreckte Form besitzen und deren Zahl gewóhnlich sechs be- trägt, in einer einzigen Querreihe, bei Cyclodus Pe- tersii dagegen finden sich hinter den drei Scheitel- schildern (dem Interparietale und den beiden Parieta- len) zwei Querreihen von Occipitalschildern und zwar sämmtliche Autoren darin überein, dass unter dem Scincus gigas Amboinensis Boddaert's nur die gegenwärtig als Cyclodus gigas bekannte Eidechse verstanden werden kann, 29% 455 Bulletin de l’Académie Impériale 456 besteht jede dieser beiden Querreihen aus je 4 Schil- dern, von denen die beiden innern gross und breit, die beiden äussern ziemlich klein und etwa viereckig sind. Die beiden innern grossen Schilder jeder Quer- reihe, besonders aber die der zweiten, erscheinen sehr stark in die Breite gezogen und stehen den Parietalschildern an Grösse nicht nach, die kleinen äusseren Occipitalia gleichen in jeder Hinsicht den an sie grenzenden hinteren Temporalschildern. Die -Temporalia der vordersten Querreihe sind im Ver- hältniss zu ihrer Länge ziemlich breit und erschei- nen daher nicht so lang gestreckt, wie bei Cyclodus gigas, übertreffen aber nichtsdestoweniger die ihnen folgenden hinteren Temporalschilder mindestens um das Doppelte an Grósse; das Interparietalschild ist ziemlich klein, lang und schmal, gleicht also mehr dem von Cyclodus fasciatus Lütken, als dem von Cy- clodus gigas. Hinsichtlich der übrigen Kopfschilder bietet die in Rede stehende Art eine fast vollstándige Übereinstimmung mit Cyclodus gigas dar und eben so herrscht auch im Allgemeinhabitus zwischen bei- den eine grosse Ähnlichkeit, nur ist der Schwanz des Cyclodus Petersi nicht drehrund, sondern ziem- lich stark comprimirt und der Kórper besitzt keine so auffallend langgestreckte Gestalt, wesshalb denn auch die Gliedmaassen weniger kurz und einander nüher gerückt erscheinen. Die Vorderbeine, die übri- gens so ziemlich dieselbe Länge haben wie die Hin- terbeine, erreichen nach vorn gestreckt und an den Körper angedrückt, den Vorderrand des dritten obe- ren Lippenschildes. Über die Fürbung und Zeichnung dieser Art lässt sich zur Zeit so gut wie nichts ange- ben, da. das einzige mir vorliegende Exemplar in Folge der jahrelangen Einwirkung des Lichtes fast völlig farblos geworden ist; das Thier erscheint an den Stellen, an welchen sich der Hornüberzug der Schilder und Schuppen noch erhalten hat, sehr hell bräunlich gelb, an den von Epidermis entblössten Stellen dagegen ganz weiss, und nur auf dem Schwanze sieht man noch Spuren von etwas dunkler gefárbten Querbinden. Die Totallänge des Thieres betrügt 25,6 Ctm., der Kopf ist 3,4 Ctm. lang und an der Basis 2,5 Ctm. breit. Die Gliedmaassen besitzen eine Länge von 4,5 Ctm., und der Schwanz ist 10,5 Ctm. lang. ۱ Das Exemplar, auf welches ich diese zu Ehren meines hochverehrten Freundes Prof. Dr. Peters in Berlin benannte Art begründet habe, fand sich unter den zahlreichen aus der alten Sammlung, der soge- nannten Kunstkammer, stammenden Reptilien und Amphibien vor. 4, Cyclodus fasciatus Lütken. Oyclodus fasciatus Lütken. Videnskabel. Meddelelser, 1862 p. 295 tab. I f. 1. C. scutellis temporalibus omnibus subaequalibus, anterioribus haud elongatis; scutellis occipitalibus sub- quadratis in 4 series transversas dispositis; scutellis supraorbitalibus tantum duobus, magnitudine subae- qualibus; margine auris anteriori bi- vel trilobulato, squamis laevibus cirea medium corpus 40 vel 42 se- ries longitudinales formantibus. | Habitat in Nova Hollandia. 9. Cyclodus oceipitalis Peters. Cyclodus occipitalis Peters. Berliner Monatsberichte ^ . 1868 p. 231. C. scutellis temporalibus subaequalibus, anteriori- bus haud elongatis; scutellis occipitalibus subquadra- tis in 4 series transversas dispositis; scutellis supra- orbitalibus tribus, quorum anterius maximum; mar- gine auris anteriori bi- vel trilobulato; squamis lae- vibus cirea medium corpus 40 series longitudinales formantibus. f Habitat in Nova Hollandia. Diese Art, von welcher Richard Schomburgk ein: Exemplar aus Buchsfelde bei Adelaide in Süd-Austra- lien an das Berliner Museum eingesandt hat, unter- scheidet sich von dem ihr so nahe verwandten Cyclo- dus fasciatus Lütken nicht allein durch die Zahl der Supraorbitalschilder, die jederseits drei und nicht wie bei jenem zwei beträgt, sondern auch durch die Färbung und Zeichnung; denn während der Cyclodus fasciatus auf hellbräunlich gelbem Grunde eine breite dunkelbraune Längsbinde an jeder Schläfe und neun oder zehn breite dunkelbraune Querbinden über Rumpf und Schwanz besitzt, ist Cyclodus occipitalis «oben braun mit helleren Querbinden, welche letztere so vertheilt sind, das der Nacken von einer, der Körper von drei breiten braunen Querbinden bedeckt wird, zwischen denen drei schmale braune Querbinden lie- gen; eine vierte schmale Querbinde liegt auf dem Kreuz; darauf folgen auf dem Schwanz abwechselnd - 457 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 415% een vier breite und drei schmale braune Binden; die Un- terseite ist bräunlich weiss», 6. Cyelodus nigroluteus Quoy et Gaim. Scincus nigroluteus Quoy et Gaim. Freycinet. Voyage autour du Monde. Zool. p. 176 pl. XLI. Cyclodus nigroluteus D. et B. Erpétol. génér. V p. 750. C. scutellis temporalibus subaequalibus, anteriori- bus haud elongatis; scutellis occipitalibus plus minus- ve elongatis, uniseriatis; scutellis supraorbitalibus utrinque quatuor, quorum secundum maximum; mar- gine auris anteriori bi- vel trilobulato; squamis laevi- bus cirea medium corpus in 30 vel 36 series longitu- dinales dispositis. | Habitat in Nova Hollandia et in Tasmania. Von dieser zur Genüge bekannten Art liegen mir zwei Exemplare vor, von denen jedes rund um die Kórpermitte nur 30 Längsreihen von Schuppen be- sitzt, und die beide ausserdem noch dadurch merk- würdig sind, dass ihre Scheitelbeschilderung nicht wie gewöhnlich aus 5, sondern aus 7 Schildern zu- sammengesetzt ist. Ausser den gewóhnlichen fünf Scheitelschildern, dem Interparietale, den beiden Fron- toparietalen ünd den beiden Parietalen, finden sich nämlich noch zwei Schilder vor, die ihrer Lage nach am besten als hintere Frontoparietalia aufgefasst wer- den können. Diese supplementüren Schilder, die auch Gray (Catal. of Lizards p. 104) an einem Exem- plare von Cyclodus nigroluteus im British Museum zu beobachten Gelegenheit gehabt hat, zeigen eine rhombische Gestalt, variiren aber in der Grösse sehr auffallend, da sie bei dem einen der beiden mir vor- liegenden Exemplare (V 119 a) um ein Drittel klei- ner, bei dem andern (X 119 b) dagegen doppelt so gross sind wie die eigentlichen Frontoparietalia; je- des dieser beiden Schilder grenzt nach vorn und aus- sen an die letzten Supraorbitalia, nach vorn und in- nen an das Frontoparietale derselben Seite, nach hin- ten und innen an das Interparietale und nach hinten und aussen an das Parietale. Ob die Anwesenheit dieser supplementüren Schilder einfach als Anomalie aufzufassen ist, wie Gray behauptet, oder ob dieselbe eine sexuelle Differenz anzeigt, muss ich für den Au- | genblick unentschieden lassen, da die beiden mir vor- liegenden Exemplare ausgestopft sind und es daher unmöglich ist, anzugeben, ob sie ein und demselben Geschlechte angehören. 7. Cyelodus adelaidensis Peters. Cyclodus adelaidensis Peters. Berliner Monatsberichte 1863 p. 232. C. scutellis temporalibus subaequalibus, anticis haud elongatis; scutellis occipitalibus uniseriatis; scu- tellis supraorbitalibus utrinque tribus, quorum me- dium maximum; margine auris anteriori unilobulato; squamis laevibus circa medium corpus in 38 vel 40 series longitudinales dispositis. Habitat in Nova Hollandia. Die beiden freilich noch jungen Exemplare dieser Art, die das Berliner Museum durch Hrn. Richard Schomburgk aus Buchsfelde bei Adelaide in Süd- Australien zugesandt erhalten hat, besitzen den All- gemeinhabitus, die kurzen, an Länge gleichen Extre- mitäten und die so überaus charakteristischen Sub- orbitalschilder der Cyclodonten, weichen von densel- ben aber in sofern sehr auffallend ab, als ihre Zühne, wie Prof. Peters angiebt, nicht abgerundet sind; es bleibt daher immer noch zweifelhaft, ob diese Art auch wirklich in die Gattung Cyclodus gehört. IL. Subgenus Omolepida Gray. Nares simplices, sulco semicirculari postnasali nullo; aures apertae, margine anteriori integro vel lobulato. 8, Cyclodus Casuarinae Dum. et Bibr. Cyclodus Casuarinae D. et B. Erpétol. génér. V p. 240. Cyclodus Casuarinae Bell. Zool. of the Voyage of the Beagle. Rept. p. 30. pl. XV f. 3. | C. seutellis temporalibus subaequalibus; seutellis supraorbitalibus utrinque tribus; margine auris ante- riori integro, non lobulato; squamis laevibus, magnis, eirca medium corpus in 24 series Jongitudinales dis- positis. Te | Habitat in Tasmania et in Nova Hollandia. 9, Cyelodus luctuosus Peters. ; Cyclodus (Omolepida) luctuosus Peters. Berliner Mo- natsberichte 1866. p. 90. C. scutellis temporalibus subaequalibus; scutellis supraorbitalibus utrinque tribus; margine auris ante- riori bi- vel trilobulato; squamis laevibus magnis, circa medium corpus in 24 series longitudinalibus dispositis. Habitat in Nova Hollandia. i Bulletin de l'Académie Impériale 460 111, Subgenus Otolepis mihi. Nares simplices, sulco semicirculari postnasali nullo; aures duabus squamis magnis triangularibus che: scutella supranasalia. 10, Cyclodus Brandtii n. sp. C. scutellis temporalibus subaequalibus; scutellis supraorbitalibus utrinque quinque; scutellis suprana- salibus duobus; scutis praeanalibus duobus permagnis, subquadrangularibus; squamis laevibus circa medium corpus in 24 series longitudinales dispositis. Habitat in —? Der Kopf ist kurz und hinten bedeutend ange- schwollen, die Schnauze stark zugespitzt; der Körper besitzt eine mässige Länge und ist kaum merklich abgeflacht; der kurze Schwanz ist an der Basis sehr dick und etwas flachgedrückt, verschmälert sich aber bereits am Anfange des zweiten Drittels seiner Länge und erscheint von da ab leicht comprimirt. Die hinte- ren Extremitäten sind etwas länger als die vordern; an beiden erseheinen die drei mittleren Zehen ziem- lich gleich lang und etwa um die Hälfte länger als die äussere und die innere, welche beide ebenfalls etwa gleiche Länge besitzen. Das Rostralschild ist klein, fünfeckig mit abgerundeten Ecken und sehr breiter Basis; die Nasalia, von mässiger Grösse und etwa viereckiger Gestalt, sind ganz auf die Seite ge- rückt, die Supranasalia erscheinen klein, schmal, länglich-viereckig und berühren einander mit. ihrem vorderen Ende; zwischen sie hineingeschoben liegt das kleine Internasale, das zwar fünfeckig ist, aber doch die Gestalt eines gleichschenkeligen, mit der Spitze nach vorn gerichteten Dreiecks nachahmt. An seine äussere Seite grenzt das erste Frenalschild, das sehr hoch und viereckig ist; hinter diesem liegt das zweite Frenale, das länger als boch erscheint und an seinem hinteren oberen Winkel schief abgestutzt ist. Die Frontonasalia sind gross, unregelmässig fünf- eckig und grenzen mit ihrer ganzen Innenseite an einander; das grosse sechseckige Frontalschild ist nach hinten etwas verschmälert, doppelt so lang als voru breit und besitzt einen stumpfwinkelig geboge- nen Vorder- und Hinterrand. Die Frontoparietalia sind etwas kleiner als die Frontonasalia, haben aber dieselbe Gestalt und berühren einander gleichfalls mit "` "Seegen schild ist ziemlich lang und vorn, wo es einen nach vorn gerichteten stumpfen Winkel bildet, bedeutend breiter, als hinten, wo es gerade abgestutzt erscheint. Die Parietalia besitzen eine bedeutende Grösse und eine sehr unregelmässige fünf- oder sechseckige Ge- stalt, mit abgerundetem Hinterrande. Von den fünf Supraorbitalschildern ist das zweite das grösste, und die Suborbitalschilder, die im Halbkreise den Unter- rand der Orbita begrenzen, sind klein und niedrig, Der obere Lippenrand zeigt jederseits 9 Schilder, von denen das fünfte und sechste unter dem Auge liegen, der untere besitzt deren jederseits 10. Das Mental- schild ist klein und stellt ein schmales querliegendes Parallelogramm dar; unmittelbaar hinter demselben : findet sich an der Kehle ein ganz ühnlich gestaltetes der ganzen Lànge ihrer Innenseite. Das Interparietal- unpaares Schild, dann folgen 2 hinter einander lie- gende Paare von Schildern, von denen das 2te Paar grösser ist, hinter diesen stehen in einer Querreihe 3 Schilder, von denen das mittlere auffallend kleiner ist, als jedes der beiden seitlichen, und dann erst begin- nen die Körperschuppen. Die Temporalschilder, die in.4 deutlichen Querreihen stehen, sind von mássiger, nahezu gleicher Grósse und nehmen nach hinten zu die Gestalt der Kórperschuppen ‘an; gleich hinter ihnen befinden sieh die. beiden grossen, dreieckigen Schuppen, welche die Ohróffnung vollständig verdek- ken; sie stehen über einander und zwar grenzt die un- tere derselben in der Weise an den Mundwinkel, dass sie das letzte Schild sowohl der Ober-, als auch der Unterlippe berührt. Hinsichtlich der Oecipitalschil- der muss ich bemerken, dass es schwer hält, anzuge- ben, in wie viele تست‎ sie angeordnet sind, da sie duschen; die Gestalt der Körperschuppen haben und von denselben nur durch die grössere Breite abweichen; diese Breite, die namentlich an den 4 Schildern der zwei vordersten Reihen sehr auffallend ist, nimmt ganz allmählich ab, je weiter sich die Schil- der von den Parietalen entfernen, und da sie, wie oben bemerkt, in der Form durchaus den Körper- schuppen gleichen, so lässt sich nicht entscheiden, wo die Schilder aufhören und die Körperschuppen anfangen. Was diese letztern anbetrifft, so sind sie auf dem Rücken mehr als doppelt so gross, wie auf dem Bauche, und an einer Stelle des ersteren- ver schmelzen sogar die Schuppen zweier neben einander liegenden Längsreihen in eine einzige, die alsdann- 461 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 462 —— mindestens dreimal so breit als lang erscheint. Vor der Cloake finden sich zwei neben einander liegende Schilder von sehr beträchtlicher Grüsse, die in ihrer Anordnung eine auffallende Ähnlichkeit mit der ge- theilten Analplatte einer Schlange darbieten. Auf der | Unterseite des Schwanzes finden sich im ersten Drittel zwei Längsreihen von Schuppen, denen auf den zwei folgenden Dritteln nur eine einzige Reihe anfänglich 3 doppelt so grosser, allmählich aber an Grösse ab- nehmender Schuppen entspricht. — Das einzige mir zu Gebote stehende Exemplar ist leider fast durchweg von Epidermis entblósst, und pur an der Seite des Halses finden sich noch einige Schuppen, deren Hornüberzug sich erhalten hat. Diese sind sehr hell chocolatebraun (café-au-lait) ge- fürbt und zeigen eben so wie die Schuppen der übri- gen Cyclodonten zwei oder drei der Lànge nach ver- laufende Eindrücke, die auch an den von Epidermis . entblóssten Schuppen wahrgenommen werden können. Diese letztern, so wie auch die Kopfschilder, denen allen der Hornüberzug gleichfalls fehlt, erscheinen sehr fein: granulirt und haben eine schwarzbraune Farbe, die nur auf einzelnen Schuppen des Rückens und der Oberseite des Schwanzes in ein helleres Grau- braun übergeht. i Das Thier hat eine Totallànge von 23,8 Ctm., da- von kommen auf den Kopf 3,5 Ctm., auf den Schwanz 8,2 Ctm. Der Kopf ist an der Basis 2,5 Ctm. breit: die Vorderextremitüten besitzen eine Länge von 4,1 Ctm., die hinteren von 4,5 Ctm. `. Das eben besprochene Exemplar, ein Unicum, ist dem akademischen Museum vom Naturalienhändler Parreyss unter dem Namen Scincus pavimentatus Wiegmann eingesandt worden; da jedoch Wieg- mann's Scincus (Eumeces) pavimentatus mit dem be- kannten: im circummediterranen Faunengebiet ein- heimischen Plestiodon Aldrovandü D. et B. identisch ist und folglich die Bestimmung unrichtig war, 0 hielt ich es für nöthig, den Namen abzuändern und habe mir die Freiheit genommen, diese neue und sehr merkwürdige Art zu Ehren Sr. Excellenz des Herrn Akademikers Dr. Brandt, Directors des zoologischen Museums der Kaiserlichen Akademie hieselbst, zu be- nennen. | Ich schliesse die vorliegende Notiz mit einer Auf- zählung der im akademischen Museum vorhandenen Repraesentanten der Gattung Cyclodus W agl., die ich unter denselben Nummern aufführen werde, unter: welchen sie in dem neu eingerichteten Generalkatalog der herpetologischen Sammlung eingetragen sind. 116. Cyelodus gigas Boddaert. . in Weingeist. Neu Holland, Parreyss 1859. ausgestopft. Melbourne. Niehoff 1862. c. in Weingeist. Melbourne. Niehoff 1862. 117, Cyelodus Petersii. n. sp. a. in Weingeist, ohne Fundort aus der alten Sammlung. 118; Cyelodus fasciatus Lütken. ausgestopft. Neu Holland. Preiss 1842. 119, Cyclodus nigroluteus Quoy et Gaim, a. ausgestopft. Neu Holland. Preiss. 1842. b. ausgestopft. New South Wales. Brandt 1855. 120. Cyclodus Brandtii n. sp. in Weingeist, ohne Fundort. Parreyss 1839. هو S 5 Ermittelung der Verbesserungen der Pulkowaer Refractionen, welche von den Angaben des äusseren Thermometers abhängig sind, von H. Gylden. (Lu le 7 juin 1866.) Vorbemerkung. Man weiss, dass die in freier Luft aufgehängten Thermometer selten die wahre Temperatur derselben angeben, sondern dass ihre Angaben vielmehr, mit Fehlern behaftet sind, die auf verschiedene Art und Weise entstehen. So z. B. bewirkt ein rasches Fallen der Lufttemperatur, dass dieselbe etwas zu hoch an- gegeben wird, und zwar hängt der so erzeugte Fehler einerseits von der Empfindlichkeit des Thermometers und andererseits von der Geschwindigkeit der Tempe- raturabnahme ab. Bei steigender Temperatur hingegen verhält sich die Sache umgekehrt. Ferner werden die Thermometerangaben von der Ausstrahlung des Bo- dens und der benachbarten Gegenstände, wie Gebäude und dgl. afficirt, und diese Einwirkung ist wieder ab- hängig von der Grösse, Form und Lage der ausstrah- lenden Flächen in Bezug auf die Thermometer, von der Absorbtionsfühigkeit der Thermometer für die darauffallenden Wärmestrahlen und endlich von der Intensität der ‚Ausstrahlung. 463 Bulletin de l’Académie Impériale 464 Man überzeugt sich leicht, dass diese beispielsweise angeführten Fehlerquellen, ebenso wie andere ähn- licher Natur, einen höchst nachtheiligen Einfluss aut die Refractionen, folglich auch auf die anderweitigen aus den Beobachtungen der Zenithdistanzen zu fol- gernden Resultate haben können. Ein Theil der ange- deuteten Fehler ist nämlich periodisch und bewirkt demnach in den Zenithdistanzen ebenfalls periodische Fehler, welche die resultirenden Parallaxen, Declina- tionen u. s. w. nicht unbedeutend entstellen können. Es erscheint demnach an der Zeit, derartige Einflüsse |: in Erwägung zu ziehen und die entsprechenden Cor- rectionen, falls sie sich dabei als merklich herausstel- len sollten, an die beobachteten Zenithdistanzen an- zubringen. | Vor allen Dingen wird der sogenannte Thermome- tercoefficient der Refraction, welche bei der Reduc- tion der Declinationsbeobachtungen eine so wichtige Rolle spielt, wenn er unter genannten Umständen aus astronomischen Beobachtungen abgeleitet wird, affi- cirt. Es ist überdies leicht emzusehen, dass dieser , Coefficient überhaupt nur so lange als eine Constante betrachtet werden darf, als man zu der Annahme be- rechtigt ist, dass die Fehler der Thermometerangaben der Temperatur selbst proportional sind. Ist dieses aber nicht der Fall, so sind wir doch — indem der Ther- mometercoefficient als veränderlich angesehen wird — im Stande, wenigstens einen Theil dieser Fehler zu berücksichtigen. Die Veränderungen des Thermome- tercoefficienten können ebenfalls aus den astronomi- schen Beobachtungen bestimmt werden, nur muss man über den Gang derselben eine Hypothese aufstellen, wofür eine periodische Function, deren man sich be- dient, uni die meteorologischen Erscheinungen darzu- stellen, die zweckmässigste ist. Selbstverständlich kann man die Rechnung auch so anlegen, dass man den Thermometerfehler als eine Function der Zeit ermit- telt und dabei den Thermometercoefficienten constant lässt. Ist aber die Aufstellung des Thermometers eine der- artige, dass man Grund hat, ihre Angaben als discon- tinuirlich fehlerhaft zu vermuthen — wie es z. B. der Fall ist, wenn wáhrend einiger Zeit Sonnenstrahlen, seien es directe oder reflectirte, auf das Thermometer fallen — so kann die Bestimmung der Thermometer- | verbesserung der Refraction nicht ohne Weiteres auf ———, die angedeutete Art ausgeführt werden. Um diese Be- stimmung in einem derartigen Falle überhaupt ausfüh- ren zu können, muss man nämlich entweder die dis- continuirlichen Fehler durch Rechnung anzubringen suchen, oder die während der Einwirkung dieser Stö- rungen angestellten Beobachtungen unberücksichtigt lassen. Im letzten Falle wird es aber nothwendig zu ermitteln, wie lange die discontinuirlichen Fehler über- haupt merklich sind, damit nicht zu viele Beobach- tungen verloren gehen. j Der vorliegende Aufsatz zerfällt nun in zwei Theile. In dem ersten Abschnitte wird das Ergebniss der Un- tersuchung einiger auf der Pulkowaer Sternwarte bei den astronomischen Beobachtungen benutzten Ther- mometer in Bezug auf ihre Empfindlichkeit gegeben. Auch wird man Mittheilungen darin finden, in wie fern discontinuirliche Fehler der obengenannten Art bei den Thermometerablesungen zu befürchten sind, welche benutzt werden, um die Refractionen für den Pulkowaer Verticalkreis zu berechnen. Im. zweiten Abschnitte erfolgt die Berechnung des Thermometer- coefficienten, sowie die Ableitung der periodischen Fehler der Thermometerangaben, in so weit es aus den von Dr. Peters am Pulkowaer Verticalkreise an- / gestellten Beobachtungen möglich ist. : | E Betrachten wir die wahre Lufttemperatur als eine Function der Zeit ¿ und setzen Massi nie ES (1) | bezeichnen wir ferner die Temperatur des Thermome- ters mit v und setzen 32 1 =v — t, so gilt die Differentialgleichung "t f 30 نوی سب‎ EI 0 4 voe wi. وه‎ (2) unter der Voraussetzung, dass z gewisse Gränzen nicht LA überschreitet, oder dass der thermoscopische Körper sehr geringe Dimensionen hat. Der Coeffieient k, wel- cher für jedes Thermometer eigenthümlich ist, wächst mit der Empfindlichkeit des Thermometers und kann deshalb der Empfindlichkeitscoefficient desselben ge- nannt werden. Um denselben zu finden, setze man zunächst f ()— à wodurch z= conste" À, TOM ای‎ PRE PA 465 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 466 Ij — Die Constante bestimmt man aus dem Anfangswerthe | gi i à giebt, wenn für y die Wéi ituirt wi für æ, welcher ¢ = 0 entspricht. Nennen wir diesen , n s ag wird, : i — 2 = geg — qiq—1i) a A, so ist offenbar ons ù ۸ | p+ )1 p){1 g + — ete.}, ES schreibt man hier und - 2 de", d=2 Lech atb Bezeichnet man mit v die zur Zeit ¢ gehörige, mit CT v, die zur Zeit 0 gehörige Temperatur, und mit V die Temperatur, welche das Thermometer anzunehmen strebt, so nimmt obige Gleichung folgende Gestalt an (p — V zx (v, — A Diese Gleichung enthält drei Unbekannte, nämlich v, V und k; um diese zu bestimmen sind drei beob- achtete Werthe von w nebst den zugehörigen Zeiten nöthig; da es aber frei steht, die Zeitrechnung mit der ersten Beobachtung zu beginnen, so bestimmt sich v, sogleich, und man hat nunmehr nur zwei Gleichungen mit zwei Unbekannten aufzulósen. Bezeichnen wir die zu den Zeiten 7, und f, gehöri- gen Werthe von v mit v, und v,, so sind diese Glei- chungen, da ۵ — v, — V, u, ——A(1—e6- I) Ss — kt سس لا‎ y= ۵)1 2), woraus سپ‎ quet (a) ی‎ Ba euros Die Formeln, welche zur Auflösung dieser Gleichung in Bezug auf k gebraucht werden, sind in meiner Ab- handlung über die astronomische Strahlenbrechung angeführt; es giebt aber eine Gränze, von welcher an die dort gegebene Auflösung nicht mehr anwendbar ist. Hat nämlich die Grösse i einen der Einheit nahe kommenden Werth, und ist dabei S nicht eine kleine Zahl, so ist die Berechnung derjenigen Wurzel der Gleichung 0 (م - 1) نه روت و‎ 7, (8) welche kleiner als + 1 ist, vermittelst der a. g. 0. angeführten Reihe nicht vortheilhaft. In solchen Fäl- len scheint mir das folgende Verfahren die nöthige Bequemlichkeit darzubieten. Die Gleichung (8), welche aus der Gleichung («) hervorgeht, wenn man setzt | "Tome X. und-unterdrückt den gemeinsamen Factor z, welcher die Wurzel y — 1 der Gleichung (8) entspricht, so erhält man میت ۹ 92 — ! au 3) 2 — ete.‏ 009 + و تلا و د و Diese Gleichung kann entweder durch successive Annäherungen gelöst werden, oder auch indem man das Theorem von Lagrange in Anwendung bringt, wodurch Wes, —2 —2 wg - T 2—4 ++ [2 (55^) JR. 2 q^ -- etc. Ist auf diese Weise 2 und folglich auch y bekannt, so findet man 1 x A TETIT t Moi 108 DC -ipaa Q Wäre V anderwärtig bekannt, so hätte man nicht nóthig, z oder y zu bezeichnen, sondern kónnte ohne Weiteres die Gleichung (y) zur Ermittelung von k be- nutzen. Experimentale Untersuchungen über die Natur der Grösse k sind namentlich von Dulong und Petit, so- wie später von Provostaye und Desains angestellt worden. Die Arbeiten der genannten Gelehrten be- zweckten jedoch zum gróssten Theile mehr das all- gemeine Gesetz der Abkühlung der Thermometer fest- zustellen, als die numerischen Werthe von k bei ver- schiedenen gewóhnlichen Thermometern zu ermitteln. In der That stellte es sich aus den erwähnten Unter- suchungen heraus, dass k nur bei mässigen Tempera- turdifferenzen constant bleibt. Dieses Ergebniss darf uns jedoch schon aus dem Grunde nicht befremden, weil die Kugeln der Thermometer keine homogene Massen bilden, sondern aus Quecksilber und Glas- hülle zusammengesetzt sind. Ferner bleibt das von der Gleichung (3) ausgesprochene Gesetz — bei der ge- wöhnlichen Constructionsart der Thermometer — nur so lange richtig, als die Dimensionen des Quecksilber- behälters gering sind. Trifft dieses nicht zu, so wird der Ausdruck für z weit verwickelter und richtet sich dann nach der Form des Kórpers, welcher Tempera- turveründerungen ausgesetzt ist. 30 Bulletin de l’Académie Impériale Die Schwankungen der Lufttemperatur sind jedoch innerhalb solcher Gränzen eingeschlossen, dass die Annahme eines constanten Werthes für k bei den ge- wöhnlichen Thermometern völlig genügend erscheint; nur muss diese Constante für jedes Thermometer be- sonders ermittelt werden. Zwar kann man sich, durch Bestimmung der Dimensionen des Quecksilberbehäl- ters eine genäherte Vorstellung über den Betrag der- selben verschaffen, allein ein solcher Schluss ist in der Regel ziemlich unsicher. Es schien mir deshalb genügender Grund vorhanden zu sein, die Thermome- ter, welche auf der Pulkowaer Sternwarte bei den astronomischen Beobachtungen benutzt werden, in Bezug auf die Grösse k zu untersuchen, und ich unter- nahm diese Arbeit gemeinschaftlich mit den Herren Abbe und Gromadsky im Februar dieses Jahres. Da es nicht in unserer Absicht lag, eine sehr grosse ' Genauigkeit zu erzielen, so unterliessen wir diejeni- gen Vorsichtsmaassregeln, welche man nicht unter- lassen darf, wenn die grósstmóglichste Sicherheit her- beigeführt werden soll. Wir begnügten uns also mit dem folgenden einfachen Verfahren. Die Thermome- ter werden erst abgekühlt bis etwa — 5? oder — 10°R. und hierauf in ein Zimmer gebracht, wo die Tempe- ratur auf etwa -- 20? R. gehalten wurde. Indem nun der Quecksilberfaden des Thermometers nach und nach die verschiedenen Gradstriche erreichte, wurden die zugehörigen Zeiten vermittelst eines Chronometers notirt. Hierauf wurde das Verfahren umgekehrt, in- dem die Thermometer aus einem erwärmten Zimmer in die Kälte gebracht wurden. Von den Thermometern, welche in Bezug auf die -Grösse k von uns uutersacht wurden, führe ich die folgenden, nebst den für dieselben gefundenen Wer- the dieser Constante an. Die beiden Werthe k und. k, beziehen sich, der erste auf eine steigende, und der zweite auf eine fallende Temperatur. Die Empfindlich- keit der Thermometer ist nämlich im Allgemeinen beim Fallen nicht dieselbe, sondern das Steigen erfolgt in der Regel langsamer. X 1 Normalthermometer von Girgensohn ¥ 345 k==0:221 k == 0:255; X 2 Thermometer von ne X 333!) k — 0.114 = 0.249, R 1) Dieses Thermometer ist von Dr. Peters bei seinen Beobach- tungen am Verticalkreise hauptsächlich benutzt worden. X 3 Thermometer von Brauer X 235 k=0.4117 ^k, 0.135. X 4 Ein Thermometer ohne Namen mit sehr kleiner Quecksilberkugel (in Fahrenheitschen Graden ein- getheilt) k—0.720 — k,— 0.923. X 5 Thermometer von Girgensohn X 406 k — 0.210 k, — 0.242. Diese Zahlen können. nun zunächst benutzt werden, den Fehler, welcher im Mittel aus der mangelhaften Empfindlichkeit entsteht, zu beurtheilen, indem man für den Gang der Temperatur ihren mitileren Werth annimmt. Es genügt uns hierbei nur den täglichen Gang der Temperatur zu berücksichtigen. Dieser wird dargestellt durch die Formel f (0) = a, +- a, sin (A, + nt) + a, sin (A, + 2nt) + ete., WO ريه‎ @,, A,, U. s. w. Constanten und ۶ die vom Mit- tage gezählte Zeit bedeutet. Der Factor n hängt von der Einheit ab, welche man für ¢ gewählt hat; ist z. B. die Zeitminute diese Einheit, so hat man n= = 0.0043632.. 12,60 = Setzen wir nun f (= na, cos (A, ف‎ nf) + etc. in die Gleichung (2) und integriren, so ergiebt sich V {const — /[na, cos (A, + nt) + etc. ] edt]. Es ist nun allgemein i Jeos(A-vt)e"dt= - eos + 3S Lei mithin Le: sin (4 0 | Ge 2na, E (4,+ 2ni) + وج‎ sin (Ay+ 2m) | — etc. æ=conste ` M ng Ligas (A, +nt)+ Betrachten wir in diesem Ausdrucke nur die bei- den ersten Glieder und setzen pig meos M n F Hip Tm sin M, also des Sciences de Saint- Pétersbourg. E سس‎ 470 n tg M= t Voraussetzung ausgeführt, dass der eben betrachtete ^ rä Einfluss unmerklich ist. | VE Wenn aber auch die Fehler wegen des Zurückblei- وين‎ bens der Thermometer im Allgemeinen noch vernach- u = conste F — nma, Cos (A, — + nt). Ist nun A der zur Zeit t = 0 gehörige Werth von x, so bestimmt sich die Constante wie folgt: const = À + nma, cos (A, — M) und hiermit erhält man endlich a—|A-- nma, cos(A,— M)}e”"—nma,cos(4,—M-nt , — Nach einiger Zeit wird das in e^" multiplicirte Glied unmerklich, und der Ausdruck für die Abwei- chung des Thermometers von der Temperatur der . Luft — insofern sie von der eben betrachteten Ur- sache abhängig ist — wird dann einfach | x = — nma, cos ) — M ف‎ ni). Die Maxima dieser Fehler sind demnach (absolut genommen) و0‎ und wenn wir die früher gefunde- nen Werthe für k und k, hineinsetzen, 0 erhalten wir die Maxima des Fehlerbetrages für die verschiedenen Thermometer, je nachdem sie steigen oder fallen. beim Steigen beim Fallen Ki 000a 0°017a » 2 0.038 0.018 » 3 0.037 0.032 » 4 0.006 0.005 »5 0.021 0.018 Nehmen wir nun für heitere Tage beispielsweise a,= + 5° R. an, so ergeben sich die Fehler ° beim Steigen beim Fallen M1 0:10 0° » 9 0.19 0.09 » 3 0.19 0.16 » 4 0.03 0.03 »5 0.11 0.09 Erwägt man noch, dass, sobald das Thermometer dem Winde ausgesetzt ist, diese Fehler sich bedeutend verkleinern, so wird man sich berechtigt halten, bei dem jetzigen Stande der Beobachtungskunst, im All- gemeinen von denselben abzusehen. Die Berechnung der Peters’schen Beobachtungen, welche im folgen- den Abschnitte mitgetheilt wird, ist deshalb unter dern lässigt werden können, so erscheint es doch wün- schenswerth dieselben in einzelnen Fällen, wo ihr Betrag sehr anwachsen kann, zu ermitteln. Begnügt man sich hierbei mit einer beiläufigen Kenntniss die- ser Fehler, so bieten sich die zwei folgenden einfachen Methoden zu ihrer Ermittelung dar. Die erste besteht darin, dass man aus mehreren beobachteten Angaben desselben Thermometers die Function v= ٩ )( interpolirt. Man hat dann ohne Weiteres f() —9() +۶۷ À und z—9(0—f()-—; 0 Beobachtet man aber mehrere Thermometer, bei denen der Coefficient k sehr verschiedene Werthe hat, so ergiebt sich, vermöge der folgenden Betrachtungen, ein zweites Verfahren zur Bestimmung von 2. Die Gleichung (2) giebt überhaupt x — e^ (const — /f" (f) edt), und wenn das Integral rechter Hand nach dem Prin- cip der theilweisen Integration behandelt wird, so er- giebt sich | 35 conste" — 4f (0) + — kt + (—1) i-i ff" (oda. Lässt man nun n wachsen und ist die so entstehende unendliche Reihe rechter Hand convergent für den Wertht=T,— welcher hinlänglich gross vorausge- setzt werden kann, um die Vernachlässigung des Glie- des const e — # statthaft zu machen, — s0 haben wir ei Y e(D — fü) LO gf (7 e Die Ablesung eines jeden Thermometers giebt nun eine Gleichung vorstehender Form, und man kónnte folglich eben so viele der Gróssen f(D, f (D, u. s. ۰ bestimmen, als man Thermometer abgelesen hat, wenn nicht practische Schwierigkeiten hindernd in den Weg treten würden. Der Theorie nach kónnte man nicht ur den Fehler z zur Zeit T ermitteln, sondern wäre 80* 471 Bulletin de l’Académie Impériale 472 auch im Stande, einen Schluss auf die Temperatur in der Zukunft zu ziehen. Convergirt nämlich die Reihe f (T) + i f (Dt + zs f" DP ete., so giebt sie die Temperatur zur Zeit T-+t. Um eine genauere Ermittelung der Functionen f (T), f (T) u.s.w. bewerkstelligen zu kónnen, würe es vor allen Dingen nothwendig sich Thotioirétat mit gleichem Absorb- tionsvermögen zu verschaffen, bei denen die Werthe von k und k der einzelnen Thermometer gleich oder wenigstens sehr nahe gleich sind, dann aber den Zu- tritt der Winde zu verhindern. Die Erfüllung der ersten Bedingung ist unerlüsslich; sind aber die übri- gen nicht vollkommen erfüllt, so erhült man in der Regel doch bei einem raschen und nahezu gleichför- migen Fallen oder Steigen der Temperatur, wo also die erste Ableitung f (T) die übrigen beträchtlich überragt, die Grósse z, abgesehen von anderweitigen Stórungen, mit einer Genauigkeit, welche für prakti- sche Bedürfnisse fast immer ausreicht. Bei den Be- obachtungen am Verticalkreise werden aus diesem Grunde seit November 1864 fast immer von den hier angeführten Thermometern X 2, 3 und 4 abgelesen. Hierdurch ist man, da die Empfindlichkeit des Ther- mometers 4 bedeutend grósser als die der beiden übri- gen, wenigstens sichergestellt gegen bedeutende, von |. einem raschen Temperaturwechsel herrührende Feh- ler der Thermometerangaben. Die Thermometer, welche bei den Beobachtungen am Verticalkreise für gewühnlich abgelesen werden, sind an der Nordseite des westlichen Saales und zwar an dem östlichsten Fenster aufgehängt ^. Hieraus geht hervor, dass diese Thermometer, sobald die Sonne durch den westlichen Theil des ersten Verticales ge- gangen ist, nicht mehr im Schatten stehen. Es wer- den dann die Ablesungen an einem Thermometer, wel- ches am Ostfenster des Vorhauses aufgehängt ist, ge- macht. Gegen dieses Thermometer werden aber die Sonnenstrahlen von der westlichen Wand des nord- östlichen Flügels zurückgeworfen. Ebenso erhalten die am Westsaale aufgehängten Thermometer von der Ost- wand des nordwestlichen Flügels des Morgens reflec- tirtes Sonnenlicht. Es frügt sich nun, ob diese re- | Hectirten Strahlen im Stande sind diù Angaben des "a Man sehe hierüber € Plan der Pulkowaer Sternwarte i der Descript. par W. Stru Thermometers merklich zu verändern. In Folge der Beschaffenheit dieser Wände lässt sich voraussehen, dass die Sonnenstrahlen keineswegs regelmässig von denselben zurückgeworfen werden, sondern dass die- selben vielmehr zum Theil unregelmässig reflectirt werden, und auch, dass die Wände einen Theil der auffallenden Strahlen absorbiren. Trifft das Letztere zu, so entsteht von den Wänden eine Ausstrahlung, gleichsam als wenn sie selbst Wärme ausstrahlten. Nimmt man nun an, dass die zerstreuten Wärmestrah- len nach demselben Gesetze verbreitet werden, wie die ausgestrahlten, so lässt sich leicht ein Ausdruck für die Einwirkung einer von den Sonnenstrahlen er- hitzten Wand auf ein im Schatten aufgehängtes Ther- mometer finden, vorausgesetzt, dass die Oberfläche der Wand keine oder auch nur eine sehr geringe re- gelmässige Reflection erlaubt. Es sei nun r die Entfernung eines Punktes (Ther- mometers) von einem Flächenelemente dx dy, und با‎ der Winkel, welchen die Entfernung mit der Normale der ausstrahlenden Oberfläche im dxdy bildet. Be- zeichnet man dann mit S die Ausstrahlung und mit y eine Constante, so ist dS — Y ات‎ y int dis ol FAR (a): Nehmen wir ferner an, dass das Element dx dy ei- ner Ebene, welche wir zur XY Ebene nehmen, gehört, und nennen wir die Coordinaten des Punktes, welcher von dx dy bestrahlt wird, œ, § und k, so haben wir für einen beliebigen Punkt x, y in der XY Ebene rel 2 (y — B) h iai dem Y h* سه‎ (x — a سه‎ (y — Bj? Soll die Ausstrahlung einer rechtwinklichen Fläche, deren Seiten resp. & und n sind, berechnet werden, so ist der Ausdruck (a), nachdem darin die Werthe für r” und cos substituirt sind, zwischen den Gränzen 0 und E. sowie zwischen 0 und y zu integriren. Es ist demnach (&@— a) 3 "mo hdx dy ss dp P (e — aj BÉI 7 Durch die Substitution von z— a =t und y—-—* gewinnt man hieraus den folgenden Ausdruck: = Ea n= hdtdu 3 WW L HEEN 473 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 474 Zerlegen wir die strahlende rectanguläre Fläche in | vier partielle Rechtecke, deren Spitzen in dem Fuss- punkte von h zusammenlaufen ; oder, mit anderen Wor- ten, zerlegen wir das vorstehende Integral in vier an- dere, bei welchen die unteren Gränzen Null sind, so ergiebt sich a B hdt du am _ ۷ cen Leg ge du 5 $—1f o Ue Cu? 2 tf, É (hetu?) و‎ &£—« 8 hdtdw 3 a m—B hdt du Rai E ` haau | tf. J ee, Í Wat? (b) Da sich diese Integrale nur in ihren Gränzen, wel- che constant sind, unterscheiden, so genügt die Ent- wiekelung eines derselben, um die Gesammtausstrah- lung berechnen zu können. Wenden wir uns daher an das Erste und berücksichtigen, dass ۱ f GE se 2 re} ` groe so erhalten wir X er hdt du 3 =f Më - 1 ول ول‎ Hu}? Jo 11۳ +2۱ Vh 82-2 Um die zweite Integration auszuführen, setze man و t— ۷ AB ay rni (€),‏ wodurch ;‏ سیم EC ADU omisit ERT en‏ et, Y Rcge th? 82) ۳ 2+)‏ Da nun der Coeffieient “=‏ BR immer kleiner als die Einheit bleibt 3), so ergiebt sich das Integral nach der Formel = i arc tang ZC la-mz--23? ^ yl1— m? DESCH — Im vorliegenden Falle hat man ` عر 8 ۱ m mithin. E? 1-7 NUT i-w 208 1 Man findet daher X,——arc tang ali — 8 +2 +8). Aus der Gleichung (¢) erhalten wir ee vu Bu redu rg Vie سه‎ 3) Für à — 0 verschwindet obiger Ausdruck. mithin sind die Grünzen, welche für z substituirt wer- den müssen, 2 مج 2--1 und 1. Es wird also 2 gap o BK d 1 PE mr een س‎ farc tang jg +a a Y o - باق‎ l^) —arc tang . | Y'a? Bh? ta Rha Y o? a- 82 a- A? — are tang T oder wenn man setzt 9, — Ya! a- 8^ zb, so hat man X, — arc tang e Setzt man ferner in derselben Weise وم‎ = VE— 0) --(—8)!- 4h | وم‎ =V Ea +8 zk o, — V a^ سه‎ ) — 8 + und, berechnet man hiermit ep (£—23(—9 X, — arc tang "mium Er ((—2)8 X, — arc tang 73 X, = arc tang- I, so ergiebt sich die Ausstrahlung der fraglichen Fläche Sus T با‎ + X, + X4 + Xl. Ist die ausstrahlende Fläche unendlich gross im Verhältniss zu dem Abstande des Punktes a, B, A, so reducirt sich obiger Ausdruck auf eine Constante, nämlich gue pup Dieses Resultat kann man auch dadurch gewinnen, dass man in der Formel, welche die Ausstrahlung ei- ner Kugelfläche gegen einen Punkt ausserhalb dersel- ben angiebt, den Radius der Kugel unendlich gross setzt. ' Der Quotient = dient uns als Maass für die Wärme, welche der gegebene Punkt empfängt; für einen Punkt in unmittelbarer Nähe der strahlenden Oberfläche wird dieses Verhältniss 1. Für die beiden Aufhängungspunkte der Thermome- ter, welche bei den Beobachtungen am Verticalkreise 475 Bulletin de l'Académie Impériale 476 abgelesen werden, fanden sich in Bezug auf die hier in Betracht kommenden Wände: a) Für die Thermometer am Westsaale E — 0.0190. b) Für die Thermometer am Vorhause S g = 0.0178. Die Kleinheit dieser Coefficienten erlaubt uns, den Einfluss der Ausstrahlung dieser Wünde zu vernach- lässigen; denn würde auch ein Thermometer in der nächsten Nähe derselben 10? höher zeigen, als ein Thermometer im Schatten, so würden die Thermome- ter, für welche die oben gegebenen Werthe S gültig sind, noch nicht um zwei Zehntel-Grad falsch zeigen, vorausgesetzt, dass keine weiteren störenden Umstände zu befürchten sind. Bei der Berechnung der Thermo- meterverbesserung def Refraction wurden demnach alle Morgenbeobachtungen, bei welchen das Thermometer im Westsaale abgelesen worden ist, aufgenommen; dagegen sind alle Beobachtungen, welche vermittelst Ablesungen des Thermometers am Vorhause reducirt | werden müssen, ausgeschlossen. Hierfür sprachen meh- rere Gründe. Zunächst ist der Umstand zu berücksich- | tigen, dass, wenn die Thermometerverbesserungen der | Refractionen aus den astronomischen Beobachtungen | abgeleitet werden sollen, man dieselben als nur für ein einziges Thermometer gültig betrachten darf. Es wäre denn, dass man zwei vollkommen gleiche Ther- mometer abläse, die vollkommen gleich aufgestellt sind. Wenn dies aber nicht der Fall ist, so geben die | Ablesungen eines jeden Thermometers andere Werthe für die Verbesserungen der Refractionen, da diese wesentlich von der Aufstellung, sowie von dem Ab- sorbtionsvermögen der Thermometer abhängig sind. Ferner scheint bei der Bestimmung des Nullpunktes des Thermometers, welches früher am Vorhause auf- gehängt war, eine Unsicherheit obzuwalten. Es bleibt noch ein Umstand zu erwähnen, ehe ich diesen Abschnitt als geschlossen betrachten darf. So- bald die Sonne untergegangen ist, könnten die Able- | sungen an dem Thermometer am Westsaale wieder beginnen, wenn nicht zu fürchten wäre, dass die er- hitzte westliche Wand des Vorhauses eine Zeitlang so viel Wärme ausstrahle, dass die Angaben dieses Ther- mometers davon merklich afficirt würden. Um die Zweifel hierüber zu heben, stellte ich gemeinschaftlich mit Hrn. Abbe am 18. Juli vergangenen: Sommers den folgenden Versuch an. In der Ecke, welche von der Nordwand des West- saales, der Nordwestwand des runden Saales und der Westwand des Vorhauses gebildet wird, wurden meh- rere Thermometer dermaassen aufgestellt, dass sie nur von den Strahlen, welche von der Westwand des Vorhauses ausgingen, getroffen wurden. Sobald diese Wand vollständig von der Sonne beschienen war, lasen wir jede halbe Stunde und öfter, bis zum Untergang der Sonne, die Thermometerstände ab und richteten dabei unsere Beobachtungen so ein, dass jedes Ther- mometer zweimal abgelesen wurde, indem wir beide gleichzeitig, aber in umgekehrter Anordnung, die Ab- lesungen ausführten. In den drei Punkten A, B und C, deren senkrechte Abstände von der erhitzten Wand resp. 460, 267 und 80 engl. Zoll betrugen, wurden die folgenden Temperaturen abgelesen: Mittl. Z. A B : C 6 99" 498.94 R. 4- 24.93 R. + 23:99 R. 6 47 27.54 24.09 23.62 7 33 24.67 22.04 21.91 7 57 22.31 20.98 20.88 - 8 17 21.76 20.43 19.92 8 37 20.62 19.38 19.92 - 8 57 20.03 19.01 19.80 9 17 19.77 18.86 19.47 Diese Zahlen lassen aus einem zweifachen Grunde allerdings keine strenge Vergleichung mit einander zu. Erstens kann nämlich das Absorbtionsvermögen der verschiedenen Th t hieden sein, zwei- tens ist ihre Aufstellung ohne Zweifel nicht ohne Ein- fluss auf ihre Angaben gewesen. Der Standpunkt A war am höchsten über der Erdoberfläche, die beiden andern dagegen gleich viel über dieselbe erhoben. Jedoch war der Standpunkt B auf dem Rasen, der Standpunkt C dagegen auf einem Sandwege. Dem ohngeachtet zeigt sich jedoch, dass die Wärmeaus- strahlung der Wand gegen Sonnenuntergang selbst für ` den Standpunkt A sehr klein wird. Um so mehr kann man annehmen, dass bei dem für die Beobachtungen am Verticalkreise benutzten Thermometer diese Ein- wirkung verschwindet. Der Coefficient. 5 dieses Ther- 477 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 478 0 ی mometers in Bezug auf die Westwand des Vorhauses‏ ist übrigens nur 0.109.‏ Der Nachweis, dass die eben betrachteten Fehler- ursachen keinen merklichen Einfluss auf die Angaben der hier in Betracht kommenden Thermometer aus- üben, ist für die folgende Untersuchung in so fern von Wichtigkeit, weil die Perioden dieser Fehler so- wohl unter sich verschieden sind, als auch nicht mit der Periode, welche im folgenden Abschnitte betrach- tet werden soll, zusammenfallen. Wären also die erste- ren zum Theil merklich, so hätte man nóthig gehabt, in der Folge eine weit zusammengesetztere Formel anzuwenden, als diejenige, welche nun in Betracht kam. j SCH Bezeichnet man den Ausdehnungscoefficienten der trockenen atmosphärischen Luft mit m, den von der Temperatur unabhängigen Theil der Refraction mit r und die wahre Refraction mit r, mit ۶ die Temperatur . und mit À eine von der Temperatur unabhängige Grösse, so ist r =r (1 m)’. Es sei ferner t, die Angabe des Thermometers und EL IM dt, 80 ist auch ۶ 1 جرا‎ AM)". ‚Ist nun » eine Constante, und : a A = ni; so hat man | r—rii-m(lant E woraus ersichtlich ist, dass, wenn die Fehler der Ther- mometerangaben diesen Angaben proportional sind, dieselben dadurch berücksichtigt werden können, dass man m auf eine passende Weise abändert. Bestimmt man die Grösse m oder m (1 + n) aus den astronomischen Beobachtungen, so gewinnt man ausserdem den Vortheil, dass andere Fehler, welche die Zenithdistanzen in ähnlicher Weise, wie nt,, be- einträchtigen, ebenfalls berücksichtigt werden. — "Aus dem von Peters gesammelten Beobachtungs- materiale wurden nun eine Anzahl Beobachtungen aus- ` gewählt, für welche der Coefficient von # in den Be- dingungsgleichungen gross genug war, und es ergab sich somit m (1 + n) = 0.0045926 + 0.0000128, welcher Werth innerhalb der wahrscheinlichen Fehler mit demjenigen übereinstimmt, welchen Dr. Peters aus den Polarsternbeobachtungen abgeleitet hat *). Indem aber die Werthe für m (1 +n), welche aus den Beobachtungen der verschiedenen Sterne abgelei- tet waren, verglichen wurden, stellte es sich heraus, dass dieselben mit den Rectascensionen einen merk- lichen Gang zeigten. Es fanden sich nümlich: a) aus den Sternen zwischen 0" und XII m (1 + n) = 0.0045370 + 0.0000155, b) aus den Sternen zwischen XII’ und XXIV" m (1 =n) = 0.0047108 = 0,0000229. Der Unterschied dieser beiden Zahlen ist 0.0001738 + 0.0000277, ` also über 6 mal ihreu wahrscheinlichen Fehler über- treffend. Die Ursache dieses Unterschiedes musste num er- mittelt werden, oder es musste wenigstens vermittelst einer empirischen Formel diese erhebliche Verschie- denheit ausgedrückt werden. Um zunächst die theo- retisch berechneten Refraetionen möglichst der phy- sischen Beschaffenheit der Atmosphäre entsprechend zu erhalten, wurde die Theorie der astronomischen Strahlenbrechung untersucht. Dabei stellte sich aller- dings die Möglichkeit einer kleinen Veränderung in den Refraetionen heraus, welche aus der Veränderung in der Temperaturabnahme entsteht, aber dieselbe war bei Weitem nicht erheblich genug, um die oben ange- führte Diserepenz der beiden Werthe für m (1 4- 0) zu erklären. Mein nächster Gedanke fiel auf einen Einfluss der Feuchtigkeit. Es ist bekannt, dass Bes- sel in der 7ten Abtheilung der Königsberger Beobach- tungen, indem er sich auf die numerischen Angaben im 4ten Theile der Méc. celest. stützt, eine kleine derartige Einwirkung für möglich hält. Die Laplace" sche Annahme über die strahlende Kraft der Wasser- dämpfe ist indessen durch die Arbeiten von Arago, Biot u. A. dermaassen modifieirt, dass wir keinen 4) C. A. F. Peters, Recherches sur la parallaxe des étoiles fixes. pag. 121. 479 Bulletin de l’Académie Impériale 480 merklichen Einfluss auf die astronomischen Strahlen- brechungen aus dem Vorhandensein von Feuchtigkeit in der Atmosphäre zu befürchten brauchen. Hierbei darf ein Umstand jedoch nicht unerwähnt gelassen ° werden, welcher möglicherweise merkliche Verände- rungen in den Refractionen verursachen kann. Es ist bekannt, dass der Gehalt der atmosphärischen Luft an Ozon veränderlich ist. Ob aber die strahlenbrechende Kraft der ozonisirten Luft von derjenigen, welche für unozonisirte gefunden wurde, verschieden ist, hat man, meines Wissens, nicht untersucht. Wenn hier eine merkliche Verschiedenheit wirklich stattfindet, so wird sie in den Refractionen Veränderungen hervorbringen, die zum Theil periodisch sein werden. Es wäre des- halb in hohem Grade wünschenswerth, wenn die Her- ren Physiker, denen genügende Apparate zu Gebote stehen, sich dieser Sache annehmen wollten. Vor der Hand muss ich diese Sache ganz und gar auf sich be- ruhen lassen und werde versuchen, eine Fehlerquelle nachzuweisen, welche nothwendig auf die Refractio- nen Einfluss ausüben muss. Es besteht diese Quelle darin, dass die Angaben der in der freien Luft aufge- hängten Thermometer, seien auch alle im vorigen Ab- schnitte betrachteten Störungen beseitigt, mit Fehlern behaftet sind, welche periodisch veränderlich sind. In dem ausgezeichneten Werke «Théorie mathé- matique de la Chaleur» lehrt Poisson, dass die Ab- weichungen der Thermometerangaben von der wahren Temperatur der umgebenden Luftschichten im Allge- meinen von dreierlei Ursachen abhängen: 1) von der ungleichen Ausstrahlung aus den ver- schiedenen Himmelsgegenden (Sternenwärme), 2) von der Ausstrahlung der Atmosphäre, 3) von der Ausstrahlung der Erdoberfläche (Boden- strahlung). Sollte die Sternenwärme nach verschiedenen Rich- tungen hin wirklich verschieden sein, so lässt sich doch vermuthen, dass ihre Einwirkung auf ein in der Nähe des Erdbodens befindliches Thermometer, im Vergleich zu der von der Bodenstrahlung herrühren- den, sehr klein ist. Die Periode der aus dem Einfluss der Sternenwärme entstehenden Thermometerfehler würde übrigens ein Sterntag sein. Die auf ein in der Nähe der Erdoberfläche aufge- hängtes Thermometer einwirkende Wärmeausstrah- lung der Atmosphäre, insofern sie veränderlich ist, hängt wesentlich von den Temperaturveränderungen der dem Thermometer zunächstliegenden Luftschich- ten ab. In der Hauptsache kann man also annehmen, dass die Thermometerfehler, welche hieraus herrüh- ren, den Veränderungen der Temperatur, welche der geographischen Lage des Thermometers entspricht, proportional sind. Ebenso muss die Wärmeausstrah- lung der Erdoberfläche analoge Erscheinungen in den Angaben des Thermometers hervorzubringen suchen. Es ist wahrscheinlich, dass von diesen drei Ursachen die Wärmeausstrahlung der Erdoberfläche bei Weitem den grössten Einfluss auf die Thermometerangaben ausübt. Abgesehen von den aus der Verschiedenheit der Sternenwärme herrührenden, lassen sich die eben be- trachteten Thermometerfehler nahezu darstellen, wenn man sie der Abweichung der jedesmal stattfindenden Temperatur vom Tagesmittel proportional setzt. Voll- ständig richtig ist diese Annahme allerdings nicht, doch jedenfalls eine Annäherung an die Wahrheit, mit der wir uns für den Augenblick begnügen müssen. Die täg- liche Periode der Wärmestrahlung der Erdoberfläche ist nämlich in der Regel von der Periode des tägli- chen Ganges der Lufttemperatur etwas verschieden. Ausserdem ist es wohl möglich, dass die jährliche Periode, welche sich in den Unterschieden der Tem- peratur vom Tagesmittel herausstellt, nicht vollkom- men mit der: jährlichen, welche die Bodenstrahlung befolgt, zusammenfällt. Nichtsdestoweniger erscheint mir die Annahme, dass die Angaben der in der freien Luft aufgehängten Thermometer mit Fehlern behaftet sind, die den Abweichungen der zur Zeit stattfindenden Temperatur. vom Tagesmittel proportional sind, annehmbar ge- nug, und ich habe deshalb den Versuch gemacht, die Unterschiede, welche sich in den Werthen für m(1-+n) zeigten, durch dieselbe zu erklären. Es soll deshalb angenommen werden, dass At = p (t, — T) جه‎ ni,, wo p und n Constanten, f, die Angabe des Thermo- meters und 7 die mittlere Temperatur des Tages be- deuten. Das letzte Glied soll auch hier beibehalten werden, und zwar aus folgenden Gründen: 1) Sind die Perioden von At merklich von den Perioden von t,—T 481 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 482 men: verschieden, so wird man, durch Beibehaltung des Gliedes »/,, einen Theil dieser Verschiedenheit be- rücksichtigen. 2) Existirt ein Unterschied in der Ein- stellung eines Sternes bei Nacht und bei Tag, so wird allerdings die Constante p aus diesem Grunde geän- dert; die Darstellung der Beobachtungen muss aber eine vollkommnere werden, wenn das Glied nt, be- rücksichtigt wird. Die Refractionen sind nun gewöhnlich auf die Tem- peratur + 7.44... R. reducirt; wir haben in diesem Falle (12-7.44m trai | 1+۵9 f ` 14+7.44m(l+n) — H ۱1-0 )] HEEN سب از er Entwickeln wir diesen Ausdruck in eine unendliche, nach den steigenden Potenzen von n und p fortschrei- tende Reihe, und berücksichtigen wir dabei nur die ersten Potenzen dieser Grössen, so haben wir P Eig — + 7 5 ur ESCH 1+7.44m) m 174-1, 1-+7.44m)X m(t, — T) ni IERCH ) 1+7.44m 1m n—rà | ESCH | Lemi P Die Form der Bedingungsgleichungen, aus welchen die Unbekannten » und p sich ergeben, wird die oben- stehende; die numerische Rechnung wird aber etwas vereinfacht, wenn man für diese Unbekannten die fol- genden einführt: i b wodurch | 100 m o dur DST FA k — 100 mp, À Du. fix On (ai Ada? Mecht, تا‎ bh T ب‎ leere (EZ 0 wi (ESA | lemy Leider sind auf der Pulkowaer Sternwarte keine fort- laufenden meteorologischen Beobachtungen angestellt worden, aus welchen man die Werthe von t, — T ent- nehmen konnte. Ich habe mich deshalb der mittleren Werthe dieser Grösse bedient, welche für St. Peters- ` burg gelten, und zwar bin ich hierbei den numerischen Angaben in Schmied’s Meteorologie gefolgt. Aller- dings wird hierdurch wieder eine Unsicherheit her- beigeführt; insofern sie aber den Gang von f, —T trifft, kann sie nicht sehr bedeutend sein. Eine Un- sicherheit in dem für einen gegebenen Augenblick gültigen numerischen Werthe von t, — T, ist unge- Tome X. führlich, weil sie nur den Werth von p trifft, und wenn man nur bei der Reduction der Beobachtungen con- sequent verfährt, so verschwindet diese Unsicherheit im Resultate. Es folgen nun die Endgleichungen zur Bestimmung der Unbekannten E und k; wie sie aus den Beobach- tungen der verschiedenen Sterne erhalten wurden. Zu bemerken ist hierbei nur, dass sämmtliche Grössen schon mit den ihnen zukommenden Gewichten multi- plicirt sind, so dass man durch Auflösung desjenigen Systems von Gleichuugen, welche hervorgehen, wenn die Summe der einzelnen Systeme gebildet wird, die Unbekannten nebst ihren Gewichten ohne Weiteres findet. Die Gewichtseinheit bezieht sich auf den wahr- scheinlichen Fehler von 1”. Ausserdem muss erwähnt werden, dass der zu Grunde gelegte Werth von m nicht 0.004581, sondern 0.0046117 ist. [om] | fw] | taa) | [ab | Dä Ursae maj. s.p. . .| + 239.0| — 42.73, 59470 +2765.0| 1‏ و a Ceti + 76.6 — 5. = 60.8 5.7‏ &Orion...........| — 30.3 4-11.52 29850 — 35.5 8‏ a Orion — 12.4 1.62 | 14. 4.0‏ y Drac. S.p........ 254.7) — 16.11 18482 | 451.5| 199.5‏ 114.7 ,484.9 — 27910 |15.56 — 4492.8 ب Can. maj.‏ a Lyrae s.p + 818.7| — 91.43| 108280 |— 880.6, 0‏ nis. i.i. + 852.9| — 17.51| 85190 |—1574.4| 252.1‏ Procyon e 55 — 101,5 + 2.7 718 9.8, 4.2‏ 27.8 ,292.7 — 15690 :.6 — 387.5 + ۵ 6108018 a Cygni $.p....- .. |+ 70.01 — 18.1 — 3290.0 182.7‏ a PETER — 31.6 + 10.8 2757 + 125.4 98.7‏ Cephei s.p.......|+ 51.9 — 4 1277 |— 64. 5.9‏ ß Virginis.. .. + 180.4| — 12.4 4211 |] 167.7| 10.2‏ RR — 18 - 7.4 4710 + 72.6 20.1‏ a Cassiop. $.p......|— 19.0|4- 0.8 585 -- 7.4 0.2 Librae......... 51.5| — 5.1 16050 |— 9.9 31.7 a Persei s.p. ......| — 491,8) — 11. 33944 + 278.4 18.2 a Serpentis 12.4 + 4 298 39.4 3,5 a Scorpii ...| = 625.3! = 14.08| 35340 |+- 680.1 10.2 a Aurigae s.p......|— 12.3) — 40.57 47360 411.5 B Aurigae $.p......|— 388.1 — 14.67 33700 |— 271.8| 159.9 r Sagittarii — 131.5, — 18.1 9576 |+1194 160.8 Aquilae .|— 10.4, — 1.1 336 + o 27.8 8 Aquilae..... + 81.1 + 10. XC 1856 + 326.8| 9 a? Capricorni...... — 12.9/+ 5.08] 1216 + 70 58.7 a Aquarii......... — 458.1, — 29.84 8211 |+- 483. 33.0 ( Ursae maj. s.p. ..| + 100.0 + 6 + 291. 21.9 a Ursae maj. s.p. «| — 6.9) — 13 81| 1712 |+- 323.0 68.5 y Ursae maj. 8.2... -| + 52.61 — 8.09 + 982 29.5 Werden diese Grössen zusammengezogen, so erge- ben sich 0 = + 1205.6 + 6510295 — 742.61 0 — — 342.49 — 742.6k + 2812.6k, woraus folgen k— — 0.00173 mit d. wahrsch. Fehl. + 0.00124, k=+0.119 >» » » م‎ 0.0189, 31 484 453 Bulletin de l’Académie Impériale BEE oder scheinlich, weshalb ich das erste Resultat für richti- mn = — 0.0000179 mit d. wahrsch. Fehl.0.0000128, | ger halte, als dasjenige, welches in der Gleichung (O) p=- 0.261 B. Ri فرج د‎ » 0.0412. enthalten ist. Wenn es sich auch in der Zukunft herausstellen würde, dass die jetzt gewühlte Form der Thermome- terfehler geändert werden müsse, oder dass die Re- fractionen aus andern Gründen merklich affieirt wer- den, so scheint mir die eben mitgetheilte Auflösung den Verlauf der Thatsachen wenigstens annähernd wiederzugeben. Bei dem mir zu Gebote stehenden Beobachtungsmateriale würde schwerlich etwas mehr erreicht worden sein, hätte man statt, dem der Abwei- chung der Temperatur vom Tagesmittel proportiona- len Gliede ein allgemeineres in den Bedingungsglei- chungen eingeführt, deren Form die folgende wäre: x sin (Länge der Sonne) + y cos (L. d. S.) -- ...., + u sin (Stundenwinkel d. S.) + v cos (St. d. S.) +... Man hätte hierbei wenigstens vier unbekannte Grös- sen zu bestimmen gehabt, wozu noch die Verbesserung des der Temperatur proportionalen Gliedes als die fünfte hinzugekommen wäre. Zu einer solchen Be- stimmung würde das von Dr. Peters gesammelte Ma- terial, trotz der grossen Vorzüglichkeit desselben, kaum genügt haben, hauptsächlich weil der Haupt- theil der Temperaturänderung die Form Ẹsin (L. d. S.) + ncos (L. d. S.) hat. Dieser Umstand bewirkt, dass die Trennung der Unbekannten z und y von dem Coefficienten der Tem- peratur äusserst schwierig wird. ` Ich bemerke hierbei, dass, wenn man nur eine Dar- stellung der Werthe von m (1 +»), welche die hie- | sigen Beobachtungen ergeben, erstrebt, sich eine sol- che auf mehreren Wegen herbeiführen lässt. Eine Darstellung liefert z. B. schon die folgende einfache Formel: m(1+n)=0.0046253-0.0001012sin(AR-6°31))..(0), wo der Coefficient des veränderlichen Gliedes mebr als das Fünffache ihres wahrscheinlichen Fehlers aus- macht. Es bedeutet hier Æ die Rectascension des beobachteten Gestirnes. Diese Formel hat wohl schwerlich eine reelle Be- deutung; dagegen ist das Vorhandensein von Fehlern in den Thermometerangaben, welche wenigstens theil- weise die oben erwähnte Periode befolgen, sehr wahr- Obgleich ich das Ergebniss dieser Untersuchung vor der Hand nicht als ein definitives ansehen kann, so glaube ich doch — in der Hoffnung, dass die Ver. öffentlichung meiner bisherigen Rechnungen auf ande- ren Sternwarten zu ähnlichen Untersuchungen Veran- lassung geben wird — dasselbe nicht länger aufschie- ben zu dürfen. Ausserdem wird es mir schwerlich möglich, in der nächsten Zukunft hierüber etwas Sichereres zu liefern, da zu diesem Zwecke der Ab- schluss einiger grösseren Beobachtungsreihen abge- wartet werden muss °). Zusatz Es wird nicht ohne Interesse sein, den Einfluss, welchen die im Vorigen ermittelten و زوین‎ der Thermometerangaben auf die von Peters bestimmten Parallaxen der Fixsterne ausüben, zu ermitteln. Ich habe mich jedoch begnügt, dieselben nur für den Stern 0۵1 Cygni zu berechnen. Das Resultat dieser Rech- nung giebt, als Verbesserungen der jährlichen Paral- laxe und Constante der Aberration, wie sie Peters aus seinen Beobachtungen von 61’ Cygni abgeleitet hat, die folgenden kleinen Zahlen -+ 0:023 und — 0.032. Sind die in diesem Aufsatze ermittelten Thermometerfehler richtig, so ist also das Resultat der Peters’schen Beobachtungen GU Cygni. Jährliche Parallaxe 07372 + 0.081, Constante der Aberration 207521 + 0.046. - 5) Von den Thermometern, die ich immer bei den Beobachtun- gen am Verticalkreise ablese, scheinen die beiden Girg. X 333 und Brauer X235 ziemlich verschiedenes Absorbtionsvermögen zu ha _ ben, denn zu Zeiten, wo die Temperaturünderung sehr gering ist, sind ihre Angaben manchmal sehr verschieden. Eine gewisse Perio- dicitàt ist mir auch hierbei mit Entschiedenheit aufgefallen. Des Mittags sind die Angaben des Thermometers Girg. . 333 durch- schnittlich grösser (beiläufig 3/? R.), als die des Thermometers Brauer V 235. Des Nachts scheinen die Angaben dieser Thermo- meter gewöhnlich sehr nahe übereinzustimmen. Vielleicht wird man hieraus eine Andeutung über den Gang der Fehler des Thermome- ters Girg. M 333 gewinnen; nur müssen die Vergleichungen der beiden Eege noch einige Jahre fortgesetzt werden, um ei- nigermaassen sichere Mittelwerthe zu erhalten, welche nöthig wären für die Reduction der älteren Beobachtungen. Vielleicht wird es aber gelingen, eine Vorrichtung zu treffen, die eine directe Bestim- mung ähnlicher Fehler nr macht. 485 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 186 Diagnoses breves plantarum novarum Japoniae et Mandshuriae. Scripsit C. J. Maximowicz. (Lu le 24 mai 1866.) DECAS PRIMA. —— Ldesia n. gen. Flacourtiaceae, Eu-Flacourtieae. Flores dioici. Sepala 5 (3 — 6) tomentosa imbri- cata, in fructu decidua. Petala nulla. &: stamina oo disco parvo inserta. Antherae breves longitudinaliter dehiscentes, filamenta villosa. Ovarii rudimentum mi- nutum. Q: stamina co abbreviata castrata. Ovarium globosum; placentae 5 (3—6) parietales prominentes, ovulis co undique obsessae; styli 5 (8 — 6) patentes stigmatibus incrassatis. Bacca intus pulposa polysper- ma, seminibus in pulpa nidulantibus. Semina testa crustacea, cotyledonibus orbiculatis. Dictum in honorem peregrinatoris Batavi Eber- hard Ysbrants Ides, qui initio saeculi praeteriti ab imperatore Petro primo missus Chinam adiit, opus- que optimum de peregrinationibus suis promulgavit sub titulo: Dreijährige Reise nach China, Amsterd., 1704, etiam in gallicam et anglicam linguam translatum. Genus Aberiae Hochst. et Trimeriae Harv. e cha- racteribus affine, sed praeter notas expositas etiam habitu, qui fere potius Prockiae, diversum. J. polycarpa. Arbor vasta. Folia subcordata 5-nervia serrata. Racemi terminales et ex axillis summis orti, | longissimi, compositi. Flores in familia majusculi, lu- tescentes, & quam Q majores. Baccae aurantiacae nu- inerosissimae, pisi maximi diametro. Sponte crescit in insula Kiusiu, v. gr. ad pedem montis Hikosan. Plantata in Nippon, v. gr. in hortis Yedo, in pago Fudsi-ssawá non procul à Fudsi-yama. | Disanthus n. gen. Hamamelidaceae. Flores hermaphroditi, in capitulo bifloro sessiles, oppositi, basi bracteis brevissimis obvallati. Calyx im- brieatus 5-partitus, laciniis ovatis obtusis hyalinis, la- titudine inaequalibus, in flore revolutis. Petala 5, aesti- vatione involuta, e latiore basi longe angusteque flabel- lata, stellatim patentia. Stamina 5, leviter perigyna, e fauce vix exserta, antherarum loculis apice confluenti- bus, virgineis introrsis, demum terminalibus sursum spectantibus, valvis binis persistentibus longitudinali- bus, filamento dorso prope apicem inserto. Ovarium subsuperum compressum, in stylos duos erectos atte- nuatum stigmatibus punctiformibus, biloculare, loculis subquinqueovulatis, ovulis e placenta prope apicem dissepimenti locata pendulis. Capsula bilocularis locu- licida, endocarpio cartilagineo ab exocarpio soluto. Semina in loculo sub 4 vel 5 inaequalia angulata lu- cida, paucissimis evolutis (omnia visa inania). Genus ob flores binatos Disanthus dictum, floribus Hamamelidem referens, in serie generum polyspermo- rum familiae formam simplicissimam constituit. D. cercidifolia, Arbor? vel frutex, totus glaber. Sti- pulae scariosae lineares caducae. Folia longe petio- lata suborbicularia vel rarius orbiculariovata basi cor- data vel rarissime truncata, apice leviter acuminata, ipso apice rotundato obtusa cum mucronulo, integer- rima, palmatim 5-nervia. Flores axillares coaetanei. Capitula breviter pedunculata, ad pedunculi basin pe- rulata, perulis sero caducis, biflora. Bracteae sub quo- vis flore sub 3, truncatae, cum illis floris alterius basi confluentes. Petala fuscoviolacea expansa florem pol- licarem constituentia. Capsulae per binas pedunculi apiei insidentes, 18 mill. usque longae et latae, levi- ter bilobae, secundo anno maturae, et usque ad flores anni sequentis persistentes. Semina atra. Hab. in insulae Nippon interioribus, in montibus altissimis. d Liquidambar acerifolia. Foliis trinerviis in axillis bar- batis rotundatis glandulososerrulatis basi truncatis le- viter subcordatisve apice trilobis, lobis e deltoidea basi cuspidato-acuminatis; capitulis fructiferis tomen- tosis, seminibus angulatis. | Colitur in hortis urbis Yedo. Arbor magna dicitur. Ambigit inter Liquidambar, a quo abhorret semini- bus angulatis exalatis, et Altingiam, a quo genere sty- lis persistentibus diversum, jungit igitur utrumque. L. tricuspis Miq. a nostra certo diversa ob foliorum marginem integerrimum, stipulas persistentes cet. Abies nephrolepis, (Picea) foliis linearibus approxi- matis planis subtus carinatis, inter marginem incras- satum carinamque argenteis, apice emarginatis vel ra- mulorum fructiferorum interdum acutis; phyllulis or- bicularibus, pulvinis parum prominulis; conis latera- libus erectis minutis cylindricis ovato - cylindricisve obtusis, squamis subhorizontaliter arcte imbricatis gi* Bulletin de l’Académie Impériale Ann lunatis, bractearum lamina rotundata vix dilatata cum mucrone squama semper breviore. Syn. Ab. si- birica var. nephrolepis Trautv. in Maxim. Prim. fl. Amur. p. 260. Hab. in Mandshuriae Rossicae jugo litorali frequens. Proxime affinis Ab. Veitchi Lindl., quae differt fo- liis longioribus semper emarginatis, conis majoribus semper eylindricis, squamis horizontalibus numero- sissimis, margine ipsissimo tantum exsertis, eximie lunatis nempe etiam basi lunatim excisis, majoribus, bracteisque squamam aequantibus lamina transverse dilatata latiore quam longa. Approximat nostra paul. lulum Ab. sibiricae Ledeb., sed differt haec valde: foliis ramulorum sterilium dimidio longioribus, ferti- lium semper acutis lateraliter curvis, crassioribus, conis majoribus latioribus saepe ovatis vel ovato-cy- lindricis, squamis imbricatis minus numerosis margine late exserto, triplo majoribus, cuneatis trapezoideis, margine magis rotundatis serrulatis, seminum ala elon- gata fere aequilatera neque acinaciformi. Abies holophylla. (Picea) Foliis firmis approximatis late linearibus rotundato-obtusis planis subtus cari- natis, inter marginem carinamque albidis, ramulorum fructiferorum lateraliter curvis breviterque mucronato- acutis; phyllulis orbicularibus, pulvinis prominulis, ramulis junioribus pubescentibus; conis lateralibus erectis cylindricis vel oblongo-cylindricis obtusis; brac- ` teis dimidiam squamam vix aequantibus e basi ubique aequilata vix dilatatis rotundatis erosis membranaceis, costa excurrente mucronatis; squamis subhorizonta- libus lunatis e basi breviter stipitata abrupte late cor- dato-cuneatis rotundatis lateribus auriculato deflexis, coriaceis, margine integerrimo vel vix obsolete den- ticulato attenuatis. Hab. in Mandshuriae austro-orientalis sinu Victo- riae, in montibus altioribus. Habitu Ab. pectinatae DC. vel Ab. firmae S. Z. Haec ultima a nostra diversa foliis ramorum sterilium bifi- dis fertilium emarginatis, licet emarginatura saepe clausa angustissima sit, nunquam mucronato-acutis, neque lateraliter curvis, squamis ad latera haud au- riculatodeflexis, sed rotundatis, bracteisque squamam aequantibus longius mucronatis mucrone squamam ex- cedente. Ab. brachyphylla Maxim. foliis semper emar- ginatis subtus argenteis duplo saltem brevioribus sed haud angustioribus, rectis, conis angustioribus squa- misque duplo minoribus et fere duplo numerosioribus, margine planiusculo in auriculas laterales angustiores subito abeunte, seminibus duplo minoribus nigreseen- tibus neque testaceis, praesertim vero habitu omnino alieno diversa. Abies brachyphylla. (Picea.) Foliis approximatis, a basi duplo fere angustiore ad apicem sensim dilatatis, late linearibus, rotundato-obtusis, semper emarginatis, sub- tus carinatis, planiusculis, inter carinam marginemque argenteis; phyllulis longitudinaliter orbiculari-ellipti- cis, pulvinis prominulis, ramulis junioribus glabris; conis lateralibus erectis cylindricis obtusis, bracteis dimidiam squamam aequantibus, e basi ubique aequi- lata vix dilatatis rotundatis erosis emarginatis costa excurrente breviter mucronatis firme membranaceis, inter partem basalem et laminam transverse carinatis; squamis lunatis e basi breviter stipitata late cordato- cuneatis margine integerrimo planiusculo utrinque de- flexo-auriculato, horizontalibus, coriaceis margine vix attenuatis, seminibus alisque nigrescentibus. Crescit in insulae Nippon montibus altissimis, ubi ad limitem arborum usque ascendit, v. gr. in monte ignivomo Fudsi. Signis diagnosticis praecedenti proxima, habitu Ab. Veitchi, sed haec primo aspectu distincta foliis elon- gatis, conis multo minoribus obscuris, corticeque pro- fundius griseo (quum in nostra cortex et coni pallide cinerei), squamis duplo saltem minoribus multo an- gustius lunatis, bractearum forma et longitudine. Abies bicolor. (Abies.) Foliis undique versis rigidis li- nearibus abrupte mucronato-acutis vel-acuminatis com- presso-tetragonis, utrinque carinatis, superne glaueis subtus viridibus; phyllulis rhombeis pulvino sursum incrassato decurrente apice protracto angustioribus; conis deflexis cylindrico-oblongis vel oblongis; bracteis ante fructum fugacibus membranaceis ovatis acumi- natis erosis emucronatis subecarinatisque, dimidiam squamam floriferam aequantibus; squamis planis coria- ceis orbiculatis basi vix attenuatis apice minute ghe ceterum integerrimis, seminis ala obovata. TT Hab. in insulae Nippon alpibus, ubi ad arborum 5 mitem progreditur, v. gr. in declivio continentali mon- tis ignivomi Fudsi. E speciebus japonicis tantum affinis est Ab. "m 8. Z., quae primo obtutu foliis duplo firmioribus et coni squamis lignosis brunneis unicoloribus differt, praeter des Seiences de Saint - Pétersbourg. EL signa diagnostica. Sed affinior est nostra species Ab, obovatae Loud. (Piceae obovatae Ledeb.), quae tamen diversa fronde atroviridi, foliis quadrangulis subtus neque superne albidis, fasciis stomatum in quavis facie minus numerosis (3 — 4, in nostra 5 — 6), apice bre- vius mucronatis, conis minoribus pendulis brunneis concoloribus, in nostra bicoloribus, nempe squamis sordide purpureis margine ci eis,squamis multo firmioribus integerrimis cuneato-obovatis magis con- vexis, bracteis persistentibus 7 squamae aequantibus ceterum nostrae subsimilibus, seminis ala anguste obo- vata. Ab. Smithiana Pin. Woburn. (Pinus Khutrow Royle!) denique folia habet 4angula duplo longiora sensim acuminata longe mucronata, squamas lignosas late obovatas integerrimas concolores, stomatum fa- scias in quavis facie folii 2 — 3. (hamaecyparis breviramea, (Euchamaecyparis.) Arbor elata coma ob ramos abbreviatos inaequales angustis- sima interrupta, ramulis plantae juvenilis omnibus, adultae novellis saltem nonnullis acute quadrangulis faciebus concavis, foliis omnibus conformibus squa- maeformibus ovatis carinatis obtusiusculis, ramis plantae adultae compressis utrinque convexis viridi- busque, foliis quadriseriatis squamaeformibus, margi- nalibus equitanticarinatis falcatis facialibus rhombeis brevioribus, omnibus obtusiusculis, strobili sphaerici pisiformis squamis lignosis, seminum ala grano an- gustiore. ` Vidi saepius cultam e hortis urbis Yedo ortam, spontaneam, ob habitum peculiarem e longinquo re- cognoscendam, in littore boreali insulae Kiusiu, mare Japoniae mediterraneum spectans, inter Ch. obtusam. ` Oh. obtusa S. Z. differt coma dense frondente latis- sima, ramis elongatis laxius ramulosis, ramulis subtus planis glaucisque omnibus a juventute jam compres- sis, strobilisque subduplo majoribus. ' Chamaecyparis pendula. (Euchamaecyparis.) Arbor ra- mis longissimis laxissime pendulis, ramulis quadran- gulis elongatis, foliis conformibus vel subconformibus squamaeformibus quadriseriatis rhombeis vel elongato- rhombeis subfalcatis obtusiusculis viridibus, strobili sphaerici squamis lignosis, ala grano angustiore. . Vidi cultam in urbe Yedo. .. Praecedenti affinis, sed ramis laxissime pendulis, ` faciebus semper, imo juventute, planis neque concavis, foliis omnibus subconformibus, strobilisque majoribus, magnitudine illorum Ch. obtusae, optime distinguenda. Planta speciosa, habitu Biotae pendulae, sed laxior. Thuja japonica, Ramis omnibus compressis erectis, foliis quadrifariam imbricatis , ramorum crassiorum elongato-rhombeis obtuse acuminatis, tenuiorum ova- tis obtusis, marginalibus navicularibus, facialibus con- vexis, glandula dorsali obsoleta; strobili reflexi squa- mis obovatis, Vidi cultam in urbe Yedo, A valde simili Th. Menziesii Dong), differt strobili squamis obovatis nec ellipticis, foliis omnibus obtusis nec acutis vel mucronato-acuminatis. Th. gigantea N utt. magis diversa glandula dorsali foliorum manifesta, stro- bilisque erectis duplo majoribus. o nz‏ که BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Annali del r. Museo di fisica e storia naturale di Firenze per il 1865. Nuova serie. Vol. I. Firenze 1866. 4. Bericht über die Thätigkeit der St. Gallischen naturwis- senschaftlichen Gesellschaft während des Vereinsjah- res 1863 — 1864. St. Gallen 1864. 8. Bulletin de la Société Vaudoise des sciences naturelles. Tome VIII. Bulletin X 51, 52. Lausanne 1864—65. 8. Société des sciences naturelles du Grand-Duché de Luxem- bourg. Tome VIIL Année 1865. Luxembourg. & — List of the Linnean Society of London. 1864. 8, — Journal of the proceedings of the Linnean Society. Zoology. Vol. VII. X 30. London 1865. The Journal of the Linnean Society. Botany. Vol. VIII, X 31 — 34. London 1864 — 1865. 8. The transactions of the Linnean Society of London. Vol. XXIV p. III, Vol. XXV p. I. London 1864—1865. 4. Nyt Magazin for Naturvidenskaberne. Udgives af den phy- siographiske Forening i Christiania ved M. Sars og Th. Kjerulf. Tolvte Binds 4de Hefte. Trettende Dinds 1 — 4 Hefte, Fjortende Binds 1. Hefte. Christiania 1864 — 1865. 8. Arbeiten des Naturforschenden Vereins zu Riga. Neue Folge 1stes Heft. Riga 1865. 8. Correspondenzblatt des Naturforschenden Vereins zu Riga. XV. Jahrg. X 6 — 8. Bulletin de la Société des Naturalistes de Moscou. Tome XXXVIIL Année 1865, X 3. 4. Moscou. 8. 491 Bulletin de l’Académie Impériale 492 Natuurkundig Tijdschrift voor Nederlandsch Indie, Deel XXVI Aflevering 3 — 6, XXVII, XXVIII Afl. 1 — 3. Batavia 1864 — 1865. 8 Colnet- D'Huart, Mémoire sur la théorie analytique de la chaleur. 8 Moritz, A. Rectification d'une erreur découverte dans la table de M. Regnault relative à la force expansive de la vapeur d'eau. (Tiflis 1866.) 8. Zeitschrift für Chemie. 8ter Jahrg: Neue Folge. Bd. I, Heft 1-18. Göttingen 1865. 8. Fellenberg, L. R. v. Analysen von antiken Bronzen. 8. Proceedings of the British Meteorological Society. 1865, p. 329 — 342. Observations météorologiques faites à Nijné-Taguilsk. An- née 1864. Paris 1865. 8: 8 Lösche, Gust. Ed. Meteorologische Abhandlungen. I. Über periodische Veränderungen des Windes an der Erd- oberfläche nach Beobachtungen zu Dresden von 1853 bis 1858. Dresden 1865. 8. Plantamour, E. Recherches sur la distribution de la température à la surface de la Suisse pendant Halver 1863/1864. Zürich 1864. 8. Goebel, Adolph. Untersuchung eines am 29. April (11. Mai) 1855 auf Oesel niedergefallenen Meteorsteins. Dorpat 1856. 8. Baer, K. E. v. Über Schleim- oder Gallertmassen, die man für Meteorfälle angesehen hat. Moskau 1865. 8 Quetelet, Ad. Magnétisme terrestre. Étoiles filantes. Sur les derniers orages. 8. Newton, H. A. Sur les étoiles filantes et spécialement sur la nécessité de les observer dans l’hémispère . australe. 8. Magnetische und meteorologische Beobachtungen zu Prag. Auf óffentliche Kosten herausgegeben von Jos. G. Bóhm und Mor. Allé. 25ster Jahrg. Prag 1865. 4. Résumé météorologique de l'année 1864 pour Genéve et le Grand St. Bernard par E. Plantamour. Genéve ۹ Meteorologiska Jakttagelser 1 Sverige utgifna af k. Sven- ska Vetenskaps- Akademien, anstälda och bearbetade under inseende af Er. Edlund. Femte Bandet. 1863. Stockholm 1865. Fol. obl. Hanstein, Chr. Observations de l'inclinaison magnétique, faites pendant les années 1855 à 1864 à l'Observa- toire de Christiania. 8. Sur les époques comparées de la feuillaison et de la flo- raison à Bruxelles, à Stettin et à Vienne; par MM. Quetelet, Linser de Pulkova et Fritsch de Venise. 8. Delesse et Laugel. Revue de Géologie pour les années 1862 et 1863. III. Paris 1865, 8. Zeitschrift der Deutschen geologischen Gesellschaft. XVII Band, 2tes Heft. Berlin 1865. 8. Jahrbuch der k. k. Geologischen Reichsanstalt. Bd. XIV X 4, XV € 1. 2, XVI X 1. Wien 1864 — 66. 8. The quarterly Journal of the Geological Society. Vol. XX] p. 4, € 84. London 1865. 8. Kokscharow, Nik. v. Vorlesungen über Mineralogie. St, Petersburg 1865. 4. Lavizzari, Louis. Nouveaux phénoménes des corps cri- stallisés, avec quatorze planches. Lugano 1865. Fol Gutzeit, Teod. fon. Das gesez der zwillingsbildungen am stein. Riga 1865. 8. Zeitschrift der deutschen geologischen Gesellschaft, XVIL Bd. 3tes Heft. Berlin 1865. 8. The ap Journal of the د‎ Society. Vol. XXII 85. London 1866 List 7 i ی نب‎ Society of London. Decemb. 1865, 8. Journal of the r. nn Society of Ireland. Vol. I part 1. Edinburgh. 1865 Delesse. Recherches sur un des roches. Paris 1865. 8. Matériaux pour la carte géologique de la Suisse, publiés par la Commission géologique de la Société Helvé- tique des sciences naturelles. 1۳ livraison. Neuchatel 1863. 4° et Fol. Dittmar, Dr. Alphons v. Die Contorta- Zone (Zone der Avicula contorta), ihre Verbreitung und ihre organi- schen Einschlüsse. München 1864. 8 Sveriges geologisca undersókning pà offentlig bekostnad utfórd under ledning af A. Erdmann. 1— 13. Stock- holm 1862 — 1864. 8. Atlas Häftet 3 — 5. Fol. Kjerulf, Theod. Veiviser ved geologiske excursioner i . Christiania omegn. Christiania 1865. 4 — Geologisk Kart over Christiania omegn. 1864. Owen. Monograph of the fossil reptilia of the cretaceous formations; including supplement M II Cretaceous Sauropterygia, supplement X III Iguanodon. London 1864. 4. — Monograph of the fossil reptilia of the cretaceous and Purbeck strata; including supplement X III Creta- ceous Pterosauria and Sauropterygia. Supplement X II Iguanodon and Purbeck Lacertilia. London 1860. 4. Britzger, Dr. F. X. Introductio ad artem botanicam. Ulmae 1850. 8. Sars, Mich. Om de i Norge forekommende fossile dyre- levninger fra Quartaerperioden. Christiania 1865. 4. Facile processo per imbalsamare un corpo organico ani- male del Dottor Giovanni Finco. 8. |Quetelet, A. Observations des phénoménes périodiques des plantes et des animaux pendant les années 1861 et 1862. 4. Verhandlungen der k. k. zoologisch - botanischen. Gesell- . Schaft in Wien. Jahrgang 1865. XV. Band. Wien. 8. Bary, A. de, u. M. Woronin. Beiträge zur Morphologie und Physiologie der Pilze. 2te Reihe. Frankfurt a. M. 1866. 4. | 493 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 194 Bary, A. de, u. M. Woronin. Supplément à l'histoire des Chytridinées. 8. Mueller, Ferd. Fragmenta و و ی‎ Australiae. Vol. IV. Melbourne 1863 — 1864 The plants indigenous to the is of Mietoria: described by Ferd. Mueller. Lithograms. Melb. 1864—1865. 4. Index seminum quae hortus botanicus Imperialis Petro- politanus pro mutua commutatione offert. 1865. 8. Flora Batava of afbeelding en beschrijving van Nederland- sche Gewassen door wijlen Jan Kops, voortgezet door F. A. Hartsen. XII Deel, Aflevering 192, 193. Am- sterdam 1865. 4. , | Ratzeburg, J. T. C. Die Waldverderbniss oder dauern- der Schade, welcher durch Insektenfrass, Schälen, Schlagen und Verbeissen an lebenden Waldbäumen entsteht. Ister Bd. Berlin 1866. 4. Proceedings of the Zoological Society of London. Part XXIV. 1856. London. 8. — of the scientific meetings of the Zoological Society of London for the year 1864. Part I — III. London. 8. Norges ferskvandskrebsdyr. Første afsnit: Branchiopoda. I. Cladocera Ctenopoda af G. O. Sars. Christiania 865. 4. Lovén, S. Om Östersjön. Föredrag. 8. Owen, Rich. Memoir on the Gorilla (Troglodytes Gorilla). London 1865. 4. — On the marsupial pouches, mammary glands, and mam- mary foetus of the Echidna Hystrix. 1865. 8. — On zoological names of characteristic parts and homo- logical interpretations of their modifications and be- ginnings. 1865. 8. The anthropological Review X 11. October 1865. London. 8. Fournié, Eduard. Physiologie de la voix et de la parole. Paris 1866. 8. Revista trimensal do Instituto historico, geographico e ` ethnographico do Brasil. Tome XXVII, IV trimestre. Rio de Janeiro 1865. 8. Wiener numismatische Monatshefte, redigirt und heraus- gegeben von Dr. G. A. Egger. Bd. I, Heft 1, 2. Wien. 8. Mittheilungen der k. k. geographischen Gesellschaft. VIIL Jahrgang 1864. Heft 1. Redig. von Franz Foetterle. Wien 1864. 8. Reise der österreichischen Fregatte Novara um die Erde in den Jahren 1857 — 1859. Nautisch-physicalischer Theil. 3ter Abtheilung. Wien 1865. 4. Erster und zweiter Jahresbericht des Vereins für Erd- kunde zu Dresden. Dresden 1865. 8. L'Investigateur. Journal de l'Institut menea Tome V, livr. 369, 370. Paris 1865. 8. Bulletin de la Société de Géographie. 5° série, tome X° - Paris 1865. 8. er of the Royal Geographical Society. Vol. VII X II, IV — VI, Vol. IX X I — VL Lond. 1864— 65. 8. The Journal of the Royal Geographical "Pp Volume XXXIII, XXXIV. London 1863 — 1864. Julien, Stanisl. 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Lan- deskunde in Brünn. 1864. Brünn B E Norvegicum. Sjette ins Christiania. 186 Dee: ی‎ vedkommende Undervisningsvæsenets Tilstand i Norge i Aaret 1853. Christiania 1857—58. Fol. transv. 495 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint - Petersbourg. 496 Betænkning og Indstilling fra den ved k. Resolution af 5" August 1853 nedsatte Commission angaaende det offentlige Fattigvæsen paa Landet. Christian. 1856. 4. Sundt, Eilert. Fortsatte bidrag angaaende Sædeligheds- Tilstanden i Norge. Christiania 1864. 4. Beretning om Bodsfængslets Virksomhed i Aaret 1863. 1864. Christiania 1864. 1865. 8. Hansen, G. Beretning om Christiania Almueskolevæsen for 1862 og 1863. Christiania 1864. 8. Sundt, Eilert. Fjerde Aars-Beretning om Fantefolket. Christiania 1865. 8. Thuesen, J. Beretning om Fiskeri - Udstillingen i Aale- sund 1864. Christiania 1864. 8. : Loberg, O. N. Norges Fiskerier. Kristiania 1864. 8. Archiv für wissenschaftliche Kunde von Russland. 24ster Band, Heft 3. 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The manners and customs of the Parsees, by Dadabhai Naoroji London 1864. 8. The Parsee religion, by Dadabhai Naoroji. Lond. 1864. 8. A few passing ideas for the benefit of India and Indians. Fourth series. By Manockjee Cursetjee. Lond. 1862. 24. Rougé, Jacq. de. Textes géographiques du temple d'Ed- fou pag. 37 — 72. 8. Pimentel, Don Franciesco. Memoria sobre las causas que han originado la situacion actual de la raza indigena .. de México y medios de remediarla. México 1864. 8, Choralmelodien zum wendischen Gesangbuche... Durchge- sehen von Carl Eduard Hering. Bautzen 1858. 12. Quetelet et Heuschling. Statistique internationale. Bruxelles 1865. 4. Dublin international exhibition, 1865. Kingdom of Ita, Official Catalogue. Turin 1865. 8. ۳ International exhibition, 1862. The mineral resources of Central Italy, by W. T. Jervis. London 1862. 8, Kupffer, Ad. Theod. v. Handbuch der Alkoholometrie. Berlin 1865. 8. Notice sur les travaux scientifiques de M. Anatole de Ca- igny. 4. Caligny, A. de. Notice historique et critique sur les ma- chines à compression d'air du Mont-Cenis. Turin 1860, 4. — Résumé succinct de diverses notes sur les machines soufflantes ou à compression d'air. Paris et Liège, 8, — Expériences sur une machine hydraulique à tube oscillant et sur des effets de succession à contre- courant. 4. : — Expériences en grand sur un nouveau systeme d'écluses de navigation, principes de manoeuvres nouvelles, 4. Congrés archéologique international. Anvers. Ouverture le 12 Aout 1866. Cloture le 21 suivant. Anvers 1866, 4. Garraud, Léop. Etudes sur les bois de construction avec figures dans le texte. Paris. 8. Dorpater Zeitschrift für Theologie und Kirche. 6ter Bd. Heft 4 und 7ter Band Heft 1— 3. Dorpat 1864—65. 8. Orlandini, Caes. Claud. Antropologia e Cosmologia. De- clamazione filosofica. Bologna 1865. 8. Nachahmungen der Psalmen Davids von Iwan Andreje- witsch Krülow. Aus dem Russischen metrisch ins Deutsche übersetzt von Dr. Franz X. Britzger. Berlin ' 1860. 8. Atti del Comitato promotore della esposizione Dantesca. . Parte prima. Firenze 1864. 8. : Esposizione Dantesca in Firenze. Maggio 1865. Cataloghi.8. Mémoires de l'Académie Impériale de médecine. Tome VI, p. 1, 2. Paris 1863 — 1864. 4. Errougdrne, Teploduxdy iron pa xà» larpırav emen». Topos Y, ceUxoc ره‎ B, €. "Ev موه‎ 1865. 4. Gazette médicale d'Orient. IX* année, M 7 — 9. Constan- tinople 1865. 4. Melsens. Mémoire sur l'emploi de l'iodure de potassium. Bruxelles 1865. 8. 1 Steinbacher. Schnellste und sicherste Selbsthülfe bi bei Cholera-Anfällen. Augsburg 1865. 8. Frommhold, Carl. Electrotherapie mit besonderer Rück- sicht auf Nerven-Krankheiten. Pesth 1865. 8. - Atlas der Hautkrankheiten. Text von Prof. Dr. Ferd. He- bra, Bilder von Dr. Ant. Elfinger und Dr. Carl Heitz mann. Wien 1864. Fol. max. Paru le 8 septembre 1866. | | : | "ud اند‎ PUT et Äre ا ل‎ "Each T. X, N° 4 et dernier. BULLETIN DE L'ACADÉNIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSROURE. TOME X. (Feuilles 32 — 36.) CONTENU: | Page. Prof. N. Wagner, Observations sur l'organisation et le développement des Ancées.... 497 — 502 J. F. Brandt, Etudes zoographiques et palaeontologiques. (Extrait.)................ 502 — 507 A. baron de Sass, Observations sur les variations du poids specifique de l'eau de la Baltie. 01 IS. ا‎ RER LEE 507 — 513 K. E, de Baer, Nouvelles ultérieures sur l'expédition envoyée par l'Académie pour la recherche d'un mammouth. (Avec une Planche.).................. .....+.. 513 — 534 A. Famintzin, Action de la lumiere sur les mouvements du Chlamidomonas و‎ de l'Euglena viridis et de 0 scillatoria insignis.......... cd . 594 — 548 Action de la lumière sur la coloration des feuilles de plantes. :....... u... 048 — 552 A. Brandt, Sur le coeur des insectes et des mollusques ...... وم و‎ m mH 552 — 561 A, Moritz, Quelques observations sur la météorologie de Tobolsk et sur la en de iis au dessus de là mer... لم عام‎ Rm لع اا‎ vues 562 — 571 Bulletin bibliographique ......:....:-:-::-.-:-: exa وید جر‎ a v vau D 571 —576 سد ميت ی وه ور رت Ci-joint les titres et les tables des matieres du Tome X.‏ On s’abonne: chez MM. Eggers & CS, libraires à St.- ۳ Perspective de Nefski; a u Comité Administratif de l'Aca démie (KomuTeTE EN Huneparoperoï Araneniu ES ¢ chez M. Leopold Voss, libraire & Leipzig. p n volume composé de 36 feuilles, est de Srbi. arg. pour la Russie, 3 thalers de Prusse pour l'étranger. Le prix 0 Imprimerie de l’Academie Impériale des-sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12) VW dé ةلاه‎ Les رين يعارت‎ 4 ref) CET ST ` BULLETIN DE L'ACADENIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. سے Observations sur Porganisation et le dévelop- pement des Ancees, par Mr. Nicolas Wag- ner, professeur à l'université de Kazan, (Lu le 21 juin 1866.) Mes observations ont été faites pendant l'hiver 1865 — 1866 à Naples sur deux espéces d'Ancées: A. manticora et une autre plus petite, que je n'ai pas pu déterminer. J'ai trouvé aussi sur les morues une abondance de grandes larves (pranizes) qui appartien- nent, comme je suppose, à une espèce distincte, mais les métamorphoses de ces larves me sont restées in- connues. | Le présent travail ne contient qu'une courte expo- sition des faits nouveaux que j'ai obtenus par mes recherches, et à ce point de vue il peut étre consi- déré comme un supplément au mémoire de M. Hesse (Mémoire sur les pranizes et les Ancées. Paris 1864. Mém. de l'Acad. des sciences T. XVIII). La bouche des pranizes se compose: 1) d'une levre supérieure trapézoidale qui recouvre toutes les autres appendices, 2) d'une paire de mandibules pointues et dentelées sur le bord antérieur et qui forment un instrument perforant avec 3) une paire de máchoires aussi pointues et dentelées, 4) de trois paires de pattes- mächoires, dont la première mince et lamelleuse est moins développée que les autres; la 2™° paire porte des appendices styloides, elle est dentelée sur le bord extérieur. La 3"* paire qui ne prend aucune part à la construction du sucoire, est armée de deux forts crochets et présente un organe de préhension. Aprés les métamorphoses il ne reste de toutes ces ll appendices que 3 paires chez les máles et une paire chez les femelles. Quant aux appendices, repré- sentees par M. Hesse sur la pl. II, fig. 11 et 12, je ne les ai pas trouvées. Dans le canal alimentaire des pranizes on. peut distinguer les parties suivantes: 1) Un oesophage très-court et qui ne forme qu'un prolongement de la cavité de la bouche. Tome X. 2) Un estomac broyeur, placé dans la téte lothorax). 3) Les appendices ou coecums hépatiques s'ou- vrent au nombre d'une paire dans l'estomac broyeur. Ces appendices présentent trois divisions bien distinc- tes: a) la premiere, plus développée, montre dans les parois un fort développement des bandes musculaires; b) la seconde présente à l'intérieur une couche de grandes cellules glandulaires; c) la troisième contient un long canal éfferent, contourné en milliers de plis. 4) Un estomac postérieur ou provisoire, fortement développé, trés-extensible et rempli chez les pranizes adultes d'une matière graisseuse, dure, diversement coloriée. Cette matière fourni l'étofie pour la forma- tion du contenu des organes génitaux chez les An- cées. 5) Des glandes particulières (sous-stomacales), qui s'ouvrent dans la partie supérieure de l'intestin. 7) L'intestin ou rectum, qui parcourt en ligne droite toute la longueur de la portion caudale, | Chez les Ancées toutes ces parties subissent les métamorphoses suivantes: l’estomac broyeur reçoit une armure, qui se compose de trois plaques cornées, doubles symétriques, les coecums hépatiques per- dent leurs subdivisions et paraissent comme des sacs simples. L'estomac provisoire disparaît presque © plétement. | 4d $17 . Le coeur des pranizes est placé dans la portion caudale. Il a quatre ouvertures munies de valves; la derniere de ces ouvertures est dirigée en haut, tandis que les autres occupent une position latérale et al- ternante. Du bout antérieur du coeur sort une aorte et trois paires de vaisseaux, dont les plus extérieurs se courbent obliquement en arriere et se dirigent vers la 5"° paire de pattes. Les deux suivantes prennent une direction oblique vers la d" paire de pattes; enfin une paire des plus internes parcourt toute la lon- gueur du Ar" et 5"' segment thoracique pour don- ner des branches vers les 1, 2 et 3۳ paires de pattes. L'aorte se dirige directement vers la ^ où elle (cepha- 499 Bulletin de l'Académie Impériale 500 donne une paire de vaisseaux aux yeux et se termine près de la base de la lèvre supérieure par une bifur- cation. Chez les femelles des Ancées ce système ne subit pas de métamorphoses. Je ne puis en dire autant des mâles, parce que toutes mes recherches sur cet objet ont échouées. Le ganglion sous-oesophagien ou cérébral des pra- nizes, assez bien développé, présente une subdivision marquée en deux parties ou lobes qui se prolongent latéralement dans les boulbes des nerfs optiques. La partie supérieure de ce ganglion donne naissance aux nerfs des antennes. Le ganglion sous-oesophagien est d'une forme ova- laire et bilobé dans la partie antérieure; il donne les nerfs aux parties de la bouche. La chaîne ganglionnaire du thorax se compose de 6 ganglions, dont les commissures correspondent en longueur aux segments. Chaque ganglion donne nais- sance à une paire de nerfs, qui se dirigent vers les pieds. Les commissures envoient aussi des paires de nerfs vers les muscles, les vaisseaux et les téguments. Les plus développés de ces nerfs sont ceux qui sortent des commissures entre le 3, 4 et 5™ ganglions. Ces nerfs en suivant la direction des vaisseaux forment sur eux une sorte de réseaux ganglionnaires. Une partie de ces réseaux se distribuet sur le coeur. Le der- nier ganglion de la chaine thoracique envoie aussi une paire de nerfs vers les muscles adjacents et le coeur. | La chaîne ganglionnaire de la portion caudale con- siste en 5 ganglions, dont le premier est plus déve- loppé. Une paire de nerfs, que donne chacun de ces ganglions, vient se ramifier dans les musclés et les bronches. Chez les Ancées je n’ai pu étudier complètement que le système nerveux des femelles, puis que chez les mâles la dureté et la non-transparence des tégu- ments des premiers segments empêchent de voir net- tement la forme et même la position des ganglions céphaliques. Dans les femelles le système nerveux ` Tê se distingue que très-peu de celui des pranizes. On remarque chez elles une différence plus prononcée dans la forme des ganglions et le nombre des paires ` Quant an système gastrique, j'ai vu chez les pra- nizes, aussi bien que chez les Ancées, la partie posté. rieure, qui se compose de nerfs trés-fins, se ramifiant sur l'intestin et l'estomac provisoire. Une fois seule- ment la préparation ayant réussie, j'ai vu chez une femelle la partie céphalique de ce système, qui con- siste en deux petits ganglions suspendus aux ganglions cervicals et donnant des nerfs vers l'estomac broyeur. La formation des ovaires commence déjà chez les pranizes, mais jamais je n'ai remarqué cette forma. tion précoce des organes génitaux dans les mâles. Les ovaires dans les larves des Ancées se montrent en forme de deux tubes, situées dans le. thorax, à cóté de l'aorte. Ces tubes, tout simples et n'ayant aucune ouverture, contiennent des ovules avec le nucleus et les nucleoles. Chez les femelles des Ancées les ovaires se pré- sentent en forme de deux grands sacs qui remplissent presque complètement la cavité du 4™° et 5"* geg- ments thoraciques. Chacun de ces sacs s'ouvre en dehors près de la base de la 5™° paire de pattes par une fente longitudinale. | Les organes intérieurs des máles se composent de deux testicules bien développées et ayant la forme de sacs simples. Ces sacs s'ouvrent par deux conduits éfévrents dans une vésicule séminale de forme glo- bulaire et située vers la base du penis. Au dedans de ces organes j'ai trouvé constamment deux éléments: les files longues et flexibles (spermatophores) et les corpuscules mouvants trés-petits, ovalaires, un peu |effilés sur un des bouts (spermatozoïdes). Chez l’Anceus manticora le vitellus est coloré en rouge; chez une autre espéce sa couleur passe tantót en jaune, tantót en vert. Le développement de l'em- bryon ne présente rien de remarquable, et s'opère comme chez les autres isopodes. L'embryon se forme de la couche blastodermique, après la division totale ` du vitellus. Au commencement la partie céphalique embrasse presque la moitié de la masse du vitellus. On remarque bientót sur cette portion, comme aussi sur la portion thoracique, l'apparition des appendi- ces, en forme de petits mammelons, qui se multiplient par la division. Cette apparition commence dans la partie antérieure des antennes, et s'étend successive- ment vers la partie postérieure de la tête. En méme temps apparait la 3"* paire de pattes-mächoires, Qu se forme indépendamment des appendices céphaliqués 501 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 202 gt, au commencement présente la premiere paire des appendices thoraciques ou des pattes. La division des cellules du vitellus plastique con- tinue pendant tout le développement de l'embryon. Ce n'est qu'aprés l'apparition de toutes les appendices que se montre le premier dépót de la masse du vitel- lus nutritif. Pendant le développement des appendi- ces la masse de ce vitellus s'accroit peu à peu et rend la forme de deux lobes ou sacs, réunis en avant et remplis de gouttelettes de graisse. Il me semble que les lobes se transforment immédiatement en sacs hépatiques. Dans les jeunes pranizes préts à éclore on peut remarquer les restes du vitellus plastique, qui couvre les lobes du vitellus nutritif. Dans cet état les pranizes possèdent déjà toutes les appendices, qui se trouvent aussi chez les individus préts à se métamorphoser en Ancées. Durant toutes mes, observations sur le développe- ment des pranizes je n'ai remarqué rien de sem- blable à l'état représenté par M. Hesse sur la pl. I fig. 6 et 7, et qui nous montre trés-probablement un état embryonnaire de quelque Copepode. -D’après les faits exposés et les recherches de M. Hesse sur les Ancées, on peut faire quelques remar- ques générales sur l'organisation et la physiologie de ces étranges crustacées. Leur organisation est on ne peut mieux aproppriée à la production des petits. La partie du corps la plus développée chez les fe- mier segment ou cephalothorax. melles est le 4* et 5* segments thoraciques — ceux qui renferment les organes génitaux et l'espace cu- veuse. Dans les pranizes là cavité de ces segments est occupée presque exclusivement par le ventricule provisoire, c'est-à-dire par le réservoir qui contient la matiére pour le développement futur des oeufs. C'est pour procurer cette matiére que les pranizes (comme les autres isopodes parasites) se sont adonné à la vie parasite. Quand cette matière est consom- mée, la cavité thoracique des femelles se remplit d'o- vaires, et ces organes gênent évidemment tous les ` autres. Ils serrent l'aorte et les vaisseaux, ils gênent la cireulation et augmentent le travail du coeur. Le sang respiré ne peut passer librement dans la tête, et par cette raison la respiration exige chez les fe- melles un organe accessoire dans la partie antérieure du corps. Cet organe apparaît sous la forme de | Ancées et auquel tous les autres pattes-máchoires de la premiére paire. Les coecums hépatiques, fort développés chez les jeunes Ancées, sont poussés dans les femelles en dehors, dans le 3"* segment par l'augmentation des oeufs. Le ventricule provisoire est serré de tous les cótés par les ovaires, de sorte que les aliments ne peuvent que difficilement pénétrer dans l'intestin. Enfin les ganglions nerveux sont aussi génés par la masse des oeufs, dont le nom- bre surpasse assez souvent celui de 60. Pour augmenter la capacité de la cavité thoracique du 4"* et 5"" segments, le coeur des Ancées est trans- porté dans la portion caudale. Cette position du coeur donne un caractère particulier à tout le système cir- culatoire, caractére qui se montre principalement dans la longueur de l'aorte et dans le fort développement | des artéres, qui portent le sang directement aux pattes, c'est-à-dire aux organes qui plus que les autres ont besoin de l’affluence du sang respiré. Chez les Ancées mäles dont l'organisation est ap- propriée à la fécondation des femelles — cet acco- modement est beaucoup plus accusé que chez les autres isopodes et méme que chez toutes les crusta- cées. Pour tenir les femelles pendant l'accouplement, les Ancées mâles possèdent des organes dont nous ne trouvons de semblables que chez les insectes les plus développés. Ces organes — grands forceps-man- dibules — exigent pour leurs mouvements un grand développement de muscles, et ces muscles, à leur tour, déterminent l'énorme développement du pre- Ainsi, — disons le encore une fois, la production des petits est le principal motif de l'organisation des sont subordonnés ou méme sacrifiés. BE EL RR 16 (28) Juin 1866. سب نت Bericht über eine Arbeit unter dem Titel: Zoo- graphische und paläontologische Beiträge, von J. F. Brandt. (Lu le 16 août 1866.) Gegen Ende des verflossenen Jahres erlaubte ich mir der Classe eine Abhandlung über die Verbreitung des Renthiers vorzulegen, die ich mit Ihrer Bewil- ligung in den Schriften der Kaiserlichen Mineralogi- schen. Gesellschaft zu St. Petersburg zu. veröffentlichen beabsichtigte und die sich jetzt für den ^ Band Bulletin de l’Académie Impériale >04 der Zweiten Serie der Schriften derselben unter der Presse befindet. Die fragliche Abhandlung soll nicht blos die gegenwärtige Verbreitung des fraglichen Thie- res ausführlicher feststellen, sondern wurde vorzüglich deshalb unternommen, um das frühere Vorkommen der Renthiere in solchen Ländern noch eingehender als bisher nachzuweisen, in denen sie gegenwärtig nicht mehr vorhanden sind, nach Maassgabe fossiler Reste oder alter historischer Nachrichten aber offenbar frü- her sich fanden. Nur genaue Untersuchungen über das vormalige Vorhandensein des fraglichen Thieres im Vergleich mit seinen gegenwärtigen Wohnorten, und dadurch ermöglichten, seiner physischen Constitution ange- messenen Existenzbedingungen , vermögen sichere Anhaltspunkte für eine bestimmtere, chronologische Deutung der gleichzeitig in denselben Schichten mit den Renthierresten gefundenen menschlichen oder thierischen Überresten zu verschaffen und Schlüsse hinsichtlich der klimatischen Verhältnisse zu gestat- ten, unter denen die Menschen und Thiere lebten. Nur bei einer solchen Bearbeitung lassen sich auch die verschiedenen Phasen genauer ermitteln, welche die nordasiatisch-europäische Säugethier-Fauna nach und nach durch physikalische oder terrestrische Ver- änderungen, oder den Einfluss des Menschen in ver- schiedenen Ländern erlitt. Derartige umfassende zoo- logisch - geographische und paläontologische Unter- suchungen dürften übrigens üm so zeitgemässer er- scheinen, da man (wie Lartet u. A.) das frühere Vor- kommen oder Verschwinden des Renthiers in den mittlern und südlichen Breiten Europa’s dazu benutzte, um für paläontologisch-archäologische Zwecke einen eigenen Zeitabschnitt (die Renthierperiode oder das Renthieralter) aufzustellen oder, wie Garrigou, dar- auf eine eigene Fauna zu begründen. Meine Renthier- Untersuchungen beginnen deshalb auch mit der aus den Funden fossiler Reste desselben näher festzustel- lenden frühern Verbreitung in verschiedenen Ländern Europa’s (Frankreich, Grossbritannien, Deutschland, die Schweiz, Dänemark, Schweden, Polen und Russ- land). Hinsichtlich der aus geschichtlichen Aufzeich- nungen entlehnten Nachweise griff ich bis auf die Zeugnisse der alten Griechen und Römer zurück, deren Angaben ich um so mehr von Neuem einer sorgfälti- gen Kritik unterwerfen zu müssen glaubte, da über ENEE die Deutung vieler derselben verschiedene Ansichten vorgetragen wurden. Ein kurzer Abschnitt bespricht das Vorkommen der Renthiere während der ältern historischen Zeiten in Ländern, wo sie jetzt vermisst werden. Hierauf folgt die Erörterung der Verbreitung des wilden Renthiers in der Gegenwart, der als Schluss noch zwei besondere Capitel sich anreihen, von denen das eine Bemerkungen über die paläontologische Be- deutung der Verbreitung des fraglichen Thiers ent: hält, während im anderen Betrachtungan über die muthmaassliche Lebensdauer der Renthierspecies an- gestellt werden. Da ausser dem Renthier (abgesehen vom Höhlen- bären und dem Mammuth) noch zwei grosse Rinder- arten, die früher mit ihm Nordasien bewohnten und später auch im mittlern, westlichen und südlichen Eu- ropa mit ihm, so wie mit dem Menschen, nach Maass- gabe fossiler Reste und alter geschichtlicher Überlie- ferungen zusammenlebten, der Ur (Bos primigenius Bojan., der Urus des Plinius) und der Bison des Plinius (Bos bison seu bonasus, der sogenannte Auer- ochse der Neuern, der Zubr der Russen) eine ühnliche paläontologische und archäologische Bedeutung wie dem Renthier beigelegt wurde, so hielt ich es für zweckmässig, auch ihnen in zwei besondern Abhand- lungen eine ähnliche Bearbeitung, wie dem Renthier, zu Theil werden zu lassen. Mit dem Höhlenbär geschah ein Gleiches deshalb nicht, weil die fossilen Bären- arten nach meiner Ansicht einer Revision und nähern neuen Vergleichung mit Ursus Arctos bedürfen. Die Verbreitung des Mammuth soll dagegen in meiner Naturgeschichte des Mammuth ausführlicher erörtert werden. ۱ Die Untersuchungen Cuvier’s (Rech. s. l. oss. foss.) und besonders die specielle Arbeit des Collegen v. Baer (Bullet. sc. de l'Acad. Imp. des sc. de St.-Pé- tersb., 1 sér., T. IV. p. 113), welche die noch in die historischen Zeiten fallende Existenz der genannten Rinderarten bereits ziemlich ausführlich nachgewiesen haben, móchten eine neue Bearbeitung des Gegen- standes keineswegs überflüssig machen. Es dürfte dies um so weniger der Fall sein, da dieselbe die nach dem Erscheinen der genannten Arbeiten gethanen, überaus zahlreichen Knochenfunde in Betracht zieht, die auf den Nachweis der Existenz der beiden frag- lichen Rinderarten in der historischen Zeit bezüglichen 505 des Sciences de Saint -Pétersbourg. Angaben vielfach vermehrt, die auf die Verbreitung bezüglichen Angaben nach den Lündern geographisch pirt, die Grenzen des Verbreitungsgebietes nach Möglichkeit festzustellen sucht und endlich die von Pusch in seinen gegen die von Cuvier und v. Baer gerichteten Arbeiten niedergelegten Annahmen um- stindlich widerlegt. Der auf den Bison bezüglichen Abhandlung sind ei- nige einleitende Bemerkungen vorausgeschickt, worin die bisherigen Mittheilungen über seine Verbreitung, so wie die des Ur, in gedrüngter Kürze angedeutet werden, denen sich meine mit der von Rütimeyer übereinstimmende Ansicht über die Begrenzung der Art anschliessen, so dass namentlich Bos priscus, la- tifrons, antiquus, Bison europaeus und americanus nur als Phasen ein und derselben Art gelten können. Es folgen hierauf im Capitel I Angaben über die in verschiedenen Ländern (Italien, die Schweiz, Frank- reich, Grossbritannien, Holland, Belgien, Deutschland, Dänemark, Schweden, Polen, Ungarn, das europäische und asiatische Russland, so wie Nordamerika) gefun- denen Reste des Bison. — Das zweite Capitel bilden Erörterungen über seine Verbreitung in den histori- schen Zeiten, worin unter andern sein Vorkommen im Kaukasus, wo er nicht blos vor 30 Jahren im wilden Zustande lebte, sondern, wie mir Radde kürzlich mel- dete, noch jetzt in Rudeln vorhanden ist, ausführlich besprochen wird. . Ein drittes Capitel hat die Verbreitung des Bison in Nordamerika während der historischen Zeit zum Gegenstande. Ein Anhang widerlegt die Annahme, dass das Ver- ‚breitungsgebiet des Bison sich auch auf Südasien aus- dehnen lasse. Die Abhandlung über den Ur beginnt mit einer Einleitung, worin die morphologische Stellung und Begrenzung desselben erörtert wird. — Das erste Ca- pitel handelt über seine in verschiedenen Ländern entdeckten fossilen Reste als Grundlage zur Bestim- Mung seiner früher von Italien, Frankreich, der Schweiz, Grossbritannien, Holland, Belgien, Deutsch- land , Dänemark, dem südlichen Schweden, Polen, dem europäischen Russland bis Südsibirien ausgedehnten Verbreitung. — Im zweiten Capitel wird sein Vorkom- men während der historischen Zeit besprochen und sein allmähliches Verschwinden in mehrern Ländern Europas nachgewiesen, Ein darauf folgender Anhang enthält ausführliche Untersuchungen über den Ursprung und die Bedeu- tung der Worte Tur, Ur, Bison, Wisent, Zubr und Bubalus, weil Pusch: alle diese Bageg nur dem Bos bison seu bonasus, der fälschlich von den Neuern als Auerochse bezeichneten Rinderart, nicht theilweis auch dem Ur, so namentlich die Worte 7; ur, Ur und Buba- lus beilegen will und hauptsächlich auf diese irrige Ansicht seine Cuvier und v. Baer widersprechende, unzulässige Annahme stützt, dass der Ur in histori- schen Zeiten, namentlich in Polen, wo ihn Herber- stein, Schneebörger und Bonarus ganz entschie- den noch im sechszehnten Jahrhundert sahen, nicht mehr unter den lebenden wilden Thieren existirt habe. In einem zweiten Anhange werden Erörterungen über die Zeitdauer der Torfbildung in verschiedenen Ländern mitgetheilt, um daraus Anhaltspunkte für die Bestimmung des Alters der in gewissen Schichten der Torfmoore abgelagerten menschlichen oder thierischen Überreste, namentlich des Ures, oder menschlicher Kunsterzeugnisse zu gewinnen. Den drei ihrem Inhalte nach besprochenen Abhand- lungen schliesst sich eine vierte an unter dem Titel: «Bemerkungen über Lartet’s chronologische Thier- alter (das des Höhlenbären, des Mammuth, des Ren- thiers und des Auerochsen) und Garrigou’s auf die quaternären Alluvionen Frankreichs bezügliche Fau- nen, nebst einer kurzen Angabe meiner Ansichten über die periodischen Phasen der Beran ۷ schen Säugethierfauna». Lartet’s Alter des Höhlenbären wird als ein un- zulässiges betrachtet, sein Mammuth- und Renthier- alter als für einzelne Localitäten passend erklärt, sein Auerochsenalter endlich gleichfalls für ungeeig- net und nicht gehörig motivirt gehalten, mit der Be- merkung, dass man eher von einem Uralter, d. h. dem des Urstiers (Bos primigenius) sprechen könne. ١ Garrigou's Fannen erscheinen mir nicht begrün- det, da es, genau genommen, nur durch das Verschwin- den einzelner oder einiger Arten herbeigeführte Zu- stände ein und derselben Fauna (Phasen derselben) sind. Ich erlaubte mir daher schliesslich in einem be- sondern Abschnitte meine eigenen Ansichten über die Phasen zu entwickeln, in welche die anfangs nord- Bulletin de l’Académie Impériale 2058 asiatische, dann asiatisch-europäische Säugethierfauna während einiger geologischer Zeiträume in Folge des allmählich fortgesetzten Verschwindens einzelner Ar- ten bis zur Gegenwart getreten ist. Da die drei letztgenannten Abhandlungen eine ähn- liche Tendenz wie die über das Renthier verfasste verfolgen, so glaubte ich sie nicht von einander tren- nen zu können und vereinte sie daher unter dem obi- gen gemeinsamen Titel. Beobachtungen über die Variationen im specifi- schen Gewicht des Ostseewassers, von Dr. Arthur Ferdinand Baron von Sass. (Lu le 2 août 1866.) Als Hauptresultat meiner Untersuchungen über die Niveauverschiedenheit des Wasserspiegels der Ostsee!) ergab sich, «dass als die Hauptursachen der Niveau- schwankungen des Wasserspiegels der Ostsee die Windstärke und die Windrichtung anzusehen sind»?). Da durch zahlreiche chemische Analysen des Ostsee- wassers von Forchhammer?), H. Struve‘), Pfaff’), Macet’), Link’), Lichtenberg), Goebel sen. °), Goebel jun. ^, Seetzen ''), Schmidt”) und mir") nachgewiesen worden ist, dass der Salzgehalt hier ein in den verschiedenen Gegenden sehr verschiedener ist, so dass der Hr. Akademiker K. E. von Baer) das Becken der Ostsee in Bezug auf den Salzgehalt in drei Regionen theilt, welche Eintheilung später — 1) Bull. de l'Acad. Imp. des sc. de St.-Pétersbourg, T. VI, pag. 257 — 296; T. VIII, pag. 65 — 81 und pag. 433 — 465. 2) Mélanges phys. et chim., T. VI, pag. 156. 3) Oversigt over det de Vidensk. Selsk. Forhandl., 1858, pag. 62. 4) Über ein neues Project, Austern - Bänke an der russischen Ostsee - Küste anzulegen und über den Salz - Gehalt der Ostsee in verschiedenen Gegenden, von K. E. v. Baer im Bull. de l'Acad. Imp. des sc. de St.- Pétersbourg, T. XV und Mélanges biologiques, T. III, pag. 653 — 655, 647 und 648. — Über den Salzgehalt der Ostsee, von Heinrich Struve in den Mémoires de l'Acad. Imp. des se. de St.-Pétersbourg, VIIe Série, T. VIII, N 6, pag. 7. 5) Goebel: Das Seebad bei Pernau an der Ostsee, S. 56. 6) Ebendas. e 10) Bull. de l'Acad. Imp. des se. de St.-Pétersbourg, T: IV und Mélanges biologiques, T. III, pag. 650. . M) Goebel: Das Seebad bei Pernau an der Ostsee, S. 56. _ 12) Archiv. f. die Naturkunde Liv-, Ehst- und Kurlands, I. Ser., Bd. I, S. 107 .. 13) Die Analyse wird demnächst veröffentlicht werden. — * M) Mélanges biologiques, T. IIT, pag. 633 — 645. durch Hrn. H. Struve *) insofern eine Ergänzung ge- fundet hat, als er nachträglich dureh die Analyse von Wasserproben aus dem Bottnischen Meerbusen die Eintheilung des Hrn. von Baer ein wenig modifieirt hat. Da endlich Hr. Professor Forchhammer ‘ nachgewiesen hat, dass der Salzgehalt in der westli- chen Extremität der Ostsee zwischen den dänischen Inseln, westlich von Schleswig, südlich von Holstein und Mecklenburg ein sehr wechselnder ist, so lag es nahe, auch anzunehmen, dass der Salzgehalt ebenso in anderen Theilen der Ostsee ein wechselnder sei. Um so mehr scheint mir dieses überall der Fall zu sein, da ich ”) früher erwiesen habe, dass der Wind das Wasser nicht nur in eine wellenförmige Bewegung versetzt, sondern in demselben auch gewisse Strömun- gen verursacht, die je nach der Richtung, aus welcher er weht, mehr oder minder salziges Wasser an den Beobachtungsort führen. Nehmen wir die von Hrn. v. Baer veröffentlichte Karte über den Salzgehalt des Ostseewassers zur Hand, nachdem wir die nachträg- lich von Hrn. v. Struve ®) veröffentlichten Analysen und eine von mir °) ausgeführte eingetragen haben, $0 finden wir, dass im Grossen und Ganzen der Salz- gehalt nach Norden und ins Innere des Bottnischen, Riga'schen und Finnischen Meerbusens abnimmt. Um nun zu untersuchen, wie sich das specifi- sche Gewicht des Meerwassers zu verschiedenen me- teorologischen Erscheinungen verhált, wurde eine zu- verlissige Person damit beauftragt, im Arensburg- schen Hafen unter 22?29'2" óstl. L. von Greenwich und 58714 40" nördl. B. täglich um 2 Uhr Nachmit- tags eine Flasche mit Meerwasser zu füllen, welche unmittelbar nach der Füllung verkorkt und versiegelt wurde; dabei wurde ein meteorologisches Journal ge- führt. Diese Flaschen wurden später im Laboratorium | geöffnet und das specifische Gewicht des Wassers in einem Piknometer auf der Wage bestimmt. Es wur- den alle die Flaschen, deren Inhalt beim Öffnen nach Schwefelwasserstoff roch, beseitigt. Darauf wurden | alle Bestimmungen nach der Formel Se, Vt. "t 15) A. a. ۰ A. a. O. 17) A. a. 0. 18) A .2.0. 19) S. Anmerkung X 13 auf S. 507. PERS nie JR ۳۹ 509 des Sciences de Saint- Pétersbourg. auf die-Temperatur 0° C. reducirt?), Es bedeuten in dieser Formel: S. das für die Temperatur ¿° gefundene specifische Ge- : wicht des Meerwassers; 7 das Volum des Meerwassers bei t°; das Volum des destillirten Wassers bei f".‏ بن Hierzu wurden die von Kopp”) für das destillirte Wasser und von Muncke ”) für das Meerwasser be- rechneten Volumtabellen benutzt. In der hier folgenden Tabelle wurden die Beobach- tungen über die Windrichtung von derselben Person, welehe die Wasserproben sammelte, im Hafen zu Arensburg ausgeführt. Die Beobachtungen über die Windstärke, Bewölkung und die atmosphärischen Nie- derschläge wurden circa 2 Werst von dem Beobach- tungsorte entfernt von dem Conventsdeputirten Hein- rich Baron Nolcken auf seinem Gute Kudjapäh ange- stellt. Es dürfte vielleicht als eine ungenaue Bestim- mung angesehen werden, dass die Beobachtungen über die Windstärke, Bewölkung und die atmosphärischen | ‚Niederschläge 2 Werst von dem Orte entfernt angestellt wurden, woselbst die Beobachtungen über die Wind- richtung vorgenommen wurden. Allein da der Zwi- schenraum zwischen diesen beiden Punkten eine voll- ständige Ebene ist, die weder von einem Hügel noch von Wald unterbrochen ist, so dürfte diese unbedeu- tende Entfernung hier wohl keine Differenzen in den meteorologischen Erscheinungen darbieten. Bei Be- stimmung der Bewölkung wurden drei verschiedene Grade angenommen, die folgenden Begritien ent- . Sprechen: 1 = etwa der dritte Theil des Himmels ist mit Wolken bedeckt, oder auch noch weniger. + 2 = etwa die Hälfte des Himmels ist mit Wol- ken bedeckt, oder etwas mehr. ` 8 = der ganze Himmel bedeckt. - Bei Bestimmung der Windstärke wurden die ge- wöhnlich angenommenen 4 Grade unterschieden. Obgleich eine unserer hervorragendsten naturwis- senschaftlichen Autoritäten, Professor Dr. Gustav Bi- وین‎ EEE. 20) Lehrbuch der emer? und theoretischen Chemie, von H. Buff, H. Kopp F. Zamminer, S. ` 2) Ebendas. EN 204, 2) Mém. prés. à l'Acad. de St.-Pétersbourg, 1834, pag. 62. — Neuer Gehler: Pkysikslisches ideen, Bd. X, Abth. I, S. 919. Auflage, Ba. 1, S. 7 24) Z schof™), sowie Commander Davi?) sich noch neuer- dings gegen diese Methode der Bestimmung des Salz- gehaltes des Meerwassers ausgesprochen haben, so habe ich mich derselben dennoch bedient, da sie eine ungleich schnellere, als eine durch genaue quantita- tive Analyse gewonnene Summe der Salze liefert, und ferner eine für die vorliegenden Zwecke vollkomanioh genügende ist. Aus diesen auf die so eben angegebene Weise aus- geführten Beobachtungen ergab sich folgende Tabelle: Wind- | Wind- Bewöl Nieder- Gaam richtung. — oer | kung. schläge. 1 April 0. 1 1,004801 1 3» S0. 1 1,005982 ` 1 4 » 0. 1 1,005040 1 5» S0. 1 1,005031 1 6 » S. 1 1,003286 1 7^» SW. 1 1,002355 1 Dor gw qu mr o M [vdd » ۰ E) Mo s SW. 3 1,003441 9 11 » SW. 8 1,002743 3 Regen 12 5» NW. 8 1,004260 8 18.» SW. 2 1,003876 3 | Schnee 14 » NW. 2 1,005374 8 17075 NO. 1 ag: : Regen 19 » N. d 1,005 90 » SW. 2 1,002636 2 21 ^» W. 8 1,003895 2 22 W. 2 43 98 » SW. 2 1,002518 1 24» SW. 4 1,0053 BS و‎ SW. 9 1,008097 1 ay E SW. 1 5420 1 29: د‎ SW. 2 1,005036 ` SE 2 Mai W. 1 egen 3 » SW. 8 1,005265 ` Regen 4 SW. 3 1,0051 5» W. 2 1.005168 3 + “À 6 » 0. 1 1,005070 2 | Regen 7 » NW. 1 1,005807 2 | Regen 8 FM 2 d d 9» NW. - iz 7 10 » S. ` 0 "elo ^ 11 » NO. 1,004051 8 12 » 0. 1,005994 8 13 » NO. 2 1,005382 : 14 » SW. 1,006474 A 15 » W. ] 1,004963 16 » NW. 1,004828 ; 17 » NW. 1,006139 18 » NW. 1,006307 : 19. 5 N. 1 1,006692 T A | NO. 1,006740 1 29 » NO. ۱ 1,0067 : 2. NW. 1,003974 e E d o5 جا‎ A ui ; 1 3 3 Regen 28 » pus 9 1 1 » 0 3 23) Lehrbuch der chemischen und ده‎ Geologie, 6 eitschrift für allgemeine Erdkunde. N. F. Bd. XIX, S. 156. Bulletin de l’Académie Impériale ۱ 512 p bed bal iud had ben bed be se à اكد‎ Ka? " پیا‎ "sg D" se Led اذا ليا‎ OU E GO kW Rx Q9 b Wind- |5P:Gew. des | Bewöl- | Rieder, Wind- | Wind- , |SP- 2 stärke. ee kung. | schläge. Datum. richtung. | stärke. ee | kung. RN 1 1,003812 1 17 August S$: 1 1,005624 8::—1 1 1,006341 1 18^ „u 0. 1 1,006768 1 3 1,006790 3 19 SW. 2 1,00581 1 3 1,006643 1 ` Ze: NO. 1 1,005624 1 1 1,006814 3 Regen ۰121 » SO. 2 1,005815 3 1 1,006790 3 22 o | NW 1 1,005915 2 Rüben 1 1.006691 3 ms ; SO. 1 1,006016 3 Besen 1 1.006691 1 5 :x- LN 1 1,006768 9 Ti iw 2 1,006692 1 96. 3 [| BW 3 1,006353 3 Rege 1 1,006889 1 96 "P SW 2 1.005674 s an 1 1,006790 1 Ti 9: اه‎ 9 1,006016 9 ve 1 1,006984 1 28 » SW. 1 1,005915 3 Rege 1 1,006485 1 Mis 0. 1 1.005163 3 Rues Vë 1,006645 1 [S S0. 1 1,006060 2 Mes 1 1,00649 2 Regen ا و‎ 3 1.006255 2 Re ^ er à Regen 1 Septbr W. 2 1,006255 3 Reid ‚00635 W. 3 1,006109 1 1,006537 2 Regen | 3 د‎ NO. 1 1,006109 3 nin 5 2 1,006535 1 E a SW. 2 1,006109 9 Bom 3 1 1,006195 2 Regen | 5 » SW. 2 1,006016 3 Pas » 2 1,006244 2 Regen | 6 » N. 2 1,006060 E 3 2 1,006244 2 Regen | 8 » SW. 2 1,004696 3 e x 2 1,006292 3 ps SW. 9 1,003345 9 R " 2 ,00634 dc Iris SO. 1 1.005673 2 يني‎ 3 1 1,006535 E | + Ss 0. 2 1,005673 1 5 1 1,006343 1 EZ SW. 2 1,006016 3 Reid 2 1,00644 1 1d» SW. 9 1,005818 3 e 2 1,006632 1 us wW 1 1,005818 2 Re 1 1,006486 1502 à SW 1 1,004605 9 Sage 2 1,006632 2 18 + à SO. 1 1,005818 1 ar 2 1,006389 3 Regen |17 » SW 9 1,005673 2 Regen 3 1,00566 3 Regen |18- » SW 1 1,005769 8 9 1,006060 8 D A SO. 1 1,006016 E : 2 1,006438 3 Regen |21 » SW 1. | 1,005506 2 Regen 6 2 1,006144 8 Regen | 22.1» SW 2 1,005263 2 r 2 1,006583 3 Regen |23 ^» 1 1.005029 3 3 1,006682 2 Regen |925 » so 1 1,005592 3 1,006680 > Regen |26 » 0. 1 1,006031 ( 3 ,0066 8 29 0: 1 1,006235 3 1,006583 2 Regen | 20ctobr| S. 2 | 1.004633 0 1 1,006544 1 Regn | 3 sw. 1 1,004633 4 1,006680 1 êb & sw. 1 1,005592 3 i 1 1.006534 3 ES W. 1 1,006089 9 2 1,006728 1 g y NW. 1 1,005219 3 1 1,006743 | ۰ 1 9. : |. NW. 2 1,005898 8 2* | 1.006728 3 10 + |" NW. 1 | 1006283 3 1 1,006535 2 - ١ عوج‎ ۱ eme phu 2006283 3 2 1,006006 2 Regen |12 » | NW. 2 1.006283 1 1 1,006006 3 13 » NO. 1 1,006331 1 » 1 ,006006 1 16 : » S. 1 1.005555 3 2 1,006106 Ze S. 2 1.006477 2 1 1,005613 3 Regen 138.5 S. 3 1.006331 9 R 1 1,005574 3 Regen |19 » SW. 4 1,006089 2 Hagen 2 1,005968 3 20. » |* SW. E 1.006934 2 Rendi - 1,005968 Regen |22 » SO. 1 1,005895 2 Regen 2 1,006156 3 Regen |23 » SW 2 1,005995 9 6 8 ‚0062 2 Regen |24 » W. row 1.00559 2 Rezen 3 1,006303 3 os. a | NW 0 los A mer » 2 1,006642 3 Regen |27 » N 1 "00669 3 $ 2 1,006642 3 29. »- | SW 1 j ESOS Rége » 1 1,006594 2 51 os W en s zeng boy 1 1,005818 2 r Oa ی و‎ Min Kg 2 1,005673 2 | | ; EE art E 3 1 1,005673 Wenn ich ursprünglich beabsichtigt hatte, den Zu- 10 » ! deri d sammenhang dieser Variationen im specifischen Ge- (e? 1 = . H ۱ ue 1 ier 3 wichte des Ostseewassers mit den in der vorliegenden ۱ - u 1 1005721 3 Regen | Tabelle aufgezeichneten meteorologischen Vorgängen bt 1 9 3 f 4 0 ۰ N 1 Aa ` Gë 1 ur ` en " Regen |zu untersuchen, so musste ich hiervon vorläufig noch 2 6 1 absehen, da die Anzahl der Beobachtungen eine zu N k PR TOR RE TER 513 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 514 geringe ist, um zu sicheren wissenschaftlichen Resul- taten zu gelangen. Es ergiebt sich aus diesen direc- ten Beobachtungen zunächst eine auf Zahlenwerthe zurückgeführte Bestätigung der schon von dem Hrn. Akademiker v. Baer?) gemachten Beobachtung, dass der Salzgehalt des Wassers im Riga’schen Meer- busen ein ausserordentlich wechselnder ist, je nachdem äusserliche Einflüsse auf dasselbe einwirken. Spätere Untersuchungen, welche ich anzustellen beab- sichtige, sollen über die Ursachen dieser Schwankun- gen des specifischen Gewichtes, das durch einen wech- selnden Salzgehalt des Wassers, wie allgemein bekannt, bedingt wird, uns genaueren Aufschluss geben. ‚Endlich sei noch erwähnt, dass das von mir beob- ` achtete specifische Gewicht nach den vorliegenden 181 Beobachtungen stets niedriger war, als das neu- lich veröffentlichte mittlere specifische Gewicht des Ostseewassers, das zu 1,0086 angegeben wird”). Fortsetzung der Berichte über die Expedition zur Aufsuchung des angekündigten Mam- muths, von K. E. v. Baer. (Lu le 6 septembre 1866.) Die Hoffnung, ein vollstindiges Mammuth aufzufin- den, ist durch die letzten Briefe des Magister Schmidt zerstört. Je weiter er vorgedrungen ist, um desto mehr hat auch Hr. Schmidt seine Wünsche und Hoffnun- gen, werthvolle Beiträge zu unsrer Kenntniss vom Mammuth zu sammeln, herabstimmen müssen. Aller- dings sind über die schlieseliche Untersuchung des Fundortes selbst noch keine Nachrichten hier ange- kommen, allein die Aussagen von Personen, welche im Jahr 1865 diese Localität besucht haben, um über den Zustand des Mammuths sich zu belehren, sind vollständig entmuthigend, da schon im genannten J ahre Kaschkarew beim Besuche dieser Stelle nur noch einzelne Knochen und ein Stück in Zersetzung begrif- fener Haut gefunden haben soll. Es ist nach den er- haltenen Nachrichten schwer zu entscheiden, ob die Zerstörung nach dem ersten Besuche der J Hein er- folgt ist, oder vielleicht schon früher. Es ist nämlich nicht unmöglich, dass das Mammuth so in dem Steil- Wfer eines Sees gelegen hat, dass von Zeit zu Zeit rege 25) Mélanges biologiques, T. III, pag. 645 129 Meteorological Papers X 12, herausgegeben v vom Board of ade. — Petermann: Geogr. Mitth., 1866, S. 2 Tome X erfolgende Abstürze dieses Ufers den Leib des Thiers allmählich entblösst haben, der dann der Verwesung Preis gegeben war, bis der Kopf, den der Jurack fand, allein zurückgeblieben war. Die letzten Angaben von Kaschkarew scheinen sich zu widersprechen und sind jedenfalls etwas unklar. Hr. Mag. Schmidt hat bei seiner vorläufigen Untersuchung den Absturz, aus welchem der Jurack den Stosszahn ausgearbeitet hatte, noch vollständig verschneit gefunden. Es ist daher nicht möglich, über die Verhältnisse, in denen das Mammuth im Jahr 1864 sich befand, eine Ansicht sich zu bilden. Hat schon der erste Finder unter der Stelle, wo er den Kopf mit dem Stosszahn fand, einen Haufen Knochen gesehen, wie in dem Schreiben vom 19. April gesagt ist, so wird vielleicht die angedeutete Lage, dass der Kopf des Thiers vom See abgekehrt war, dadurch wahrscheinlich. Freilich müsste man wissen, nach welcher Richtung das Hinterhauptloch mit seinen Gelenkhöckern sah und ob nicht weiterhin im Ufer noch der übrige Leib des Thieres steckt und die umherliegenden Knochen vielleicht einem andern Individuum angehört haben. Ohne Zweifel wird die Akademie dem musterhaften Eifer und der Ausdauer des Hrn. Schmidt ihre volle Anerkennung nicht versagen. Noch in dem letzten Briefe erklürt er die Absicht eines schliesslichen Be- suches. — Vielleicht lassen sich durch das Auge und den Eifer des Naturforschers noch Reste vom Magen- inhalt auffinden. — Aber wenn auch für unsere Kennt- niss vom Mammuth durch diese Expedition nichts ge- wonnen werden sollte, wird ein so eifriger und erfah- rener Reisender, wie Hr. Schmidt, für die Kenntniss unseres Hochnordens wichtige Beiträge mitbringen und einige derselben sind schon Hrn. v. Helmersen mit- getheilt. Ich glaube, dass es den Lesern des Bulletins will- kommen sein wird, wenn ihnen der Inhalt der spätern Briefe des Hrn. Schmidt theils in Abschriften, theils in Auszügen vorgelegt wird. Diese Briefe bezeugen so sehr den Eifer und die Ausdauer des Reisenden, dass auch aus Rücksicht für ihn der Abdruck passend scheint. T An ۰ Excell. des Admiral Lütke. ` Dudino, den 3. (15.) April 1866. So würe ich bis hierher gekommen, von wo die eigentliche Aufsuchung des Mammuths m sollte. 515 Bulletin de l'Académie Impériale 516 Ich bin abgestiegen bei dem reichen Urädnik Sotni- kow, der zugleich die wichtigste Person am untern Jenissei ist, da er den ganzen Pelzhandel mit den Eingebornen fast allein in seinen Händen hat, und auch die russischen Ansiedler durch vielfache Vor- schüsse, die er ihnen gemacht hat, von ihm abhängig sind. Er steht mit der Jenisseisker Dampfschiff-Com- pagnie in Streit, die ihn um sein Monopol bringen will und einstweilen auch seine Absetzung als cmo- ıpnreıs (Aufseher) der Dudinsker Gegend durchge- setzt hat. Nichts destoweniger bleibt er hier die ein- flussreichste Person, und er kennt das Land besser als irgend ein Anderer. Hier habe ich auch Ulmann und Loginow') gesehen, die mir beide nichts Neues mittheilen konnten. In den nächsten Tagen fahre ich mit Sotnikow zu Kaschkarew, der unterhalb Tol- stoi Noss in den Inseln lebt (ma oxorckoit nporokk), etwa 400 Werst von hier, und der die Hauptquelle für die Nachrichten vom Mammuth ist, da seine Juracken, mit denen er in fortwährenden Handelsbeziehungen steht, dasselbe aufgefunden haben. Kaschkarew ist im vo- rigen Herbste in Begleitung der Juracken?) selbst am Orte gewesen, etwa 6 Tagereisen westwürts von sei- ner Wohnung). Er hat aber nur einige Knochen ge- funden, die noch bei ihm liegen sollen. Das Mammuth hat in einem aps (steilen Ufer- Abhang) eines kleinen Sees gesteckt und ist wahrscheinlich in den See, we- nigstens zum grössten Theile, gestürzt, da, wie ge- sagt, ausser einigen Knochen nichts gefunden werden konnte. Aus diesen Angaben folgt auch, dass der Er- haltungszustand kein vorzüglicher gewesen ist. Das Hautstück, das Maksimow bei Sotnikow gesehen hat, ist noch hier. Von diesem ist das Stückchen ab- geschnitten, das ich der Akademie übersendet habe. Haare sind nicht vorhanden. Die Haut selbst ist aber so zerfasert, dass man glauben kann, Haare vor sich zu haben‘). Das erwähnte Stück ist etwa 5 Quadrat- 1) Siehe den ersten Bericht von Guläjew. B 2) Dass der Finder aus dem Stamme der Juracken dabei war, wird im folgenden Briefe ausdrücklich gesagt. B. . 9) Also doch nicht ganz nahe am Jenissei, sondern zwischen diesem und dem Tasowschen Busen. B. 4) Das hierhergesendete Stück ist völlig haarlos. Der Schnitt ist aber zum Theil horizontal durch das Hautgewebe geführt und da haben sich die durchschnittenen , weitauseinanderstehenden Ge- webselemente beim Trocknen herausgekrümmt und einige Ähnlich- | keit mit ganz kurzen Borsten érlangt. Nach dem Aufweichen zei. od E E als sehr massive, weitlàufig verfilzte Bindegewebs- ee. o Fuss gross und wird auch der Akademie übersendet werden. Die Belohnungen, welche die Akademie aus- gesetzt hat, sind hier nur zu gut bekannt, und diesem Umstande ist es zuzuschreiben, dass Kaschkarew, der die Prämie für sich allein hat erwerben wollen’), den Loginow nicht mitgenommen hat, welchen Sotnikow mit der Untersuchung und Beschreibung beauftragt hatte, no 6earpaworHoerm^) des Kaschkarew, Lo: ginow ist ein junger, ziemlich gebildeter Mann, der etwas in den Goldwäschen gearbeitet hat und in der Ausgrabung selbst behülflich sein kann. Diese Arbeit kann nur mitKeilhauen, deren Benutzung von den Gold- wäschen her hier bekannt ist, vorgenommen werden, da dieses Mammuth in vollkommen waldloser Tundra liegt. Ein anderes Mammuth-Skelet mit geborstenem Schädel soll in der Awamskischen Tundra liegen, aber oberflächlich, so dass die Knochen sehr mürbe oder im Zerfallen begriffen sind. Es lohnt sich kaum dort- hin zu reisen, auch ist die Verbindung dorthin nicht mehr möglich, da die dortigen Asiaten, wie man sich hier collectivisch ausdrückt, schon aufgebrochen sind. Mein Plan ist jetzt folgender. In einigen Tagen, sobald meine Begleiter, der Präparant und ein Kosack aus Turuchansk, hier eingetroffen sind — ich selbst bin durch Tag und Nacht in kleinen Narten hierher gefahren, um noch zu dieser Post Nachrichten nach Turuchansk gehen zu lassen — fahre ich ganz leicht mit Sotnikow zu Kaschkarew, um dort alles ge- nauer zu erfahren und Juracken zu bestellen, die uns im Mai an den Mammuth-Platz bringen sollen. Dann kehre ich hierher zurück, besorge die Instrumente für Erdarbeiten und fahre zu Anfang des Mai wieder zu Kaschkarew und von dort direct zum Mammuth. Findet sich, dass dort wenig zu machen ist, so habe ich noch Zeit genug, mich im Juni an die Lopatin’- sche Expedition anzuschliessen, welche die Erfor- schung der Mündungs-Gegend des Jenissei zum Ziele hat, und nicht vor dem 20. Juni bei den Inseln ein- treffen wird, da früher schwimmendes Eis die Schiff- fahrt hindert. Die vorstehenden Nachrichten werden 5) Es ist höchst traurig, zu erfahren, dass Gewinnsucht die so fortige Anzeige von dem gethanen Funde verhindert zu en scheint. B. 4 . 6) Dieser Ausdruck bedeutet sowohl die völlige Unkenntniss des Lesens und Schreibens, als auch die Unfähigkeit, einen klaren und verständlichen Bericht aufzusetzen. Er umfasst also mehrfache Stufen des Mangels an Ausbildung. B. 517 des Sciences de Saint- Pétersbourg. | EE ee . Zeugniss ablegen von meinem guten Willen und ich hoffe der Akademie, wenn nicht das Mammuth, so | doch andere interessante Data mitzubringen. Mit Prä- aration einer vollständigen Sammlung der Fische des Jenissei wird mein Präparant schon jetzt beginnen, während ich allein zu Kaschkarew fahre, Die nächsten Nachrichten werde ich wohl vor dem allendlichen Aufbruch zum Mammuth im Anfange des Mai geben können. Schmidt. In einem andern Briefe auch aus Dudino am 6. (18.) April, an Hrn. v. Schrenck geschrieben, werden diese Nachrichten grösstentheils wiederholt. Ausdrücklich wird aber gesagt, dass Kaschkarew mit demselben Juracken, der das Mammuth gefunden hatte, an dem Fundorte gewesen ist. Unter andern Nachrichten ist interessant, dass Sotnikow einen schönen Zahn vom Narwal, 7 Fuss lang, besitzt, den hiesige Samojeden einem an dem Seestrande ausgeworfenen Thiere die- ser Art ausgeschnitten haben sollen. Es giebt, so viel ich weiss, keine andern Nachrichten, dass in diesen Ge- genden Narwalle leben, indessen könnte das Schwimm- Eis das Thier auch aus ansehnlicher Entfernung her- gebracht haben’). Köpfe von Ovis nivicola werden über- sendet.... Ulmann, von dem öfter die Rede gewesen, ist aus Sachsen gebürtig, durch mancherlei Schicksale nach Russland in diese entlegene Gegend Sibiriens gerathen, wo er sich aus Liebhaberei auf die prakti- sche Mediein geworfen hat und deshalb von den Asia- ten vergöttert wird. Der in diesen beiden Briefen entworfene Opera- tionsplan ist nach dem Besuche von Kaschkarew etwas modifieirt worden, indem Hr. Magister Schmidt nach der Ankunft bei demselben beschlossen hat, von ihm aus unmittelbar zur Recognoscirung des Fund- ortes vom Mammuth und zwar in Begleitung des Ent- deckers abzufahren. Das erfuhren wir durch zwei mit Bleistift geschriebene und jetzt schwer leserliche Briefe an Hrn. v. Schrenck, die von dem Aufenthalte Kasch- karews am 18. (30.) und 19. April (1. Mai) datirt sind, und die hier fast vollständig mitgetheilt werden. haben gar keinen Werth, da Zweifel eine Fiction ist. Die schienen 7) Die Angaben von Martinière ganze, einst gefeierte Buch ohne Besucher von Nowaja Semlja, die ich befragen konnte, ses Thier nicht zu kennen. B. Den 18. (30.) April. Ich schreibe aus dem Lukinskoje Simowie, etwa unter 70^ n. Br., ungeführ von der Stelle, wo auf Middendorff’s Karte Ochotskaja steht, das 7 Werst von hier ebenfalls auf einer Insel liegt. Lukinskaja ist auf der Karte irrig auf dem Festlande angegeben. Ich bin meinen Reisegeführten wieder allein voraus- gefahren. Sie kommen aus Dudino, das ich am 12. (24.) April verliess, allmühlich nach. Seitdem habe ich 600 Werst gemacht und werde abermals, ohne mein Gepäck und meine Begleiter abzuwarten, mit meinem Hauswirth, Afanassii Kaschkarew, und mit Mysso (Mbıcö), dem Juracken, der das Mammuth ent- deckte“) und den man in einigen Tagen erwartet, eine längere Fahrt zur Recognoscirung der Lagerstätte un- ternehmen. Am 23. d. M. gedenken wir abzufahren und zu Anfang des Mai, spütestens am 9., wieder hier zu sein, bis zu welcher Zeit Vorrüthe und In- strumente wohl am Tolstoi Noss angelangt sein wer- den, dem letzten Ort von drei Häusern (weiter giebt es nur einzeln stehende Häuser), wo wir wohl längere Zeit zu warten haben werden. Ich dachte ursprünglich gleich mit allen Vorräthen zum Mammuth aufzubre- chen, was Anfangs Mai hätte geschehen können, al- lein nach allem, was ich neuerdings gehört und gese- hen, halte ich es für rathsamer, zunächst eine leichte Recognoscirungstour vorzunehmen, mit einigen Brech- instrumenten ausgerüstet, und in Begleitung der bei- den Leute?), die bis jetzt allein am Fundort des Mam- muths gewesen sind. Zeigen sich die Aussichten, die ich jetzt erhalten werde, noch einigermaassen günstig, so mache ich im Sommer mit grösseren Hülfsmitteln einen allendlichen Versuch. Doch ist nach den neue- sten Nachrichten dazu wenig Hoffnung. — Den 12. April verliess ich Dudino in Begleitung von Sotni- kow, dem ich für vielfache Unterstützung und guten Rath vorzüglich verpflichtet bin. Am 14. kamen wir in Tolstoi Noss an und erfuhren, dass Kaschkarew, den wir suchten, zu der letzten Ansiedelung am un- tern Jenissei abgefahren sei. Sotnikow trieb mir in dem Bauern Rosläkow einen erfahrnen Führer auf, und kehrte selbst zurück, um die Herbeförderung mei- 8) Später erfahren wir, dass auch dieser nicht der erste Ent- . B. 5 1 en FES DRM Leute wurden nicht erreicht, da sie noch gar nicht in dieser Gegend erschienen waren. B. وده‎ 519 Bulletin de l'Académie Impériale 320 ner Gefährten und Vorräthe zu betreiben. Am Abend des 14. war ich in Kaschkarew’s Wohnung, wo ich eine Rippe, einen Wirbel und ein sehr verdorbenes Stück Haut sah, die er im vergangenen Herbst vom Mammuth mitgebracht hatte. Meine Begierde, ihn selbst zu sprechen, wuchs. Am 15. Morgens besuchte ich seinen Vater in Ochotskoje Simowie und fuhr von dort mit guten Hunden durch die helle Nacht nach Kosepowskoje Simowie (auf halbem Wege zu Korgaw- skoje und Swerewo auf Middendorffs Karte) zu dem Bauern Nikita Iwenski, dem einzigen Russen dieser Gegend, der das Eismeer auf grössere Strecken (300 Werst nach Osten) von der Jenissei-Mündung kennt. Von hier ging es noch an demselben Tage nach Swe- rewo, das Middendorffs Karte richtig an der Stelle der Biegung des linken Ufers angiebt; doch ist hier ` und nicht vorher oben die schmalste Stelle des Jenis- sei; von Swerewo bis zu dem Bache Soltik gegenüber rechnet man 8 Werst. Hier traf ich endlich den ge- suchten Kaschkarew, einen ganz aufgeweckten und erfahrnen Mann, der durch Handelsverhältnisse gros- sen Einfluss auf die Juracken des linken Ufers hat. Er hat mir seine Fahrt und was er gefunden, ausführ- lieh erzählt und will mich, sobald der nóthige Jurack eintrifft, selbst an den Platz bringen, um mir nach- zuweisen, dass jetzt, ausser einzelnen Knochen des Kopfes und Beckens, die an der ursprünglichen Fund- stätte auf einer Anhöhe aufgehäuft liegen, nichts mehr zu holen ist. Es folgt nun dem Berichte des Reisenden ein An- hang und ein zweiter (am 19. April geschrieben), wel- che zusammen über das, was hier die Juracken vorge- nommen haben, nach Kaschkarew’s Erzählung Nach- richten geben. Diese Nachrichten sind leider von der Art, dass sie sehr wenig Hoffnung übrig lassen, dass etwas Bedeutendes noch gefunden werden kann. An ein vollständiges Thier ist nicht zu denken und selbst ein gutes Skelet wohl nicht mehr zusammenzubrin- gen. Ja es hat nach dieser Erzählung der Entdecker das Thier schon verwest gefunden, so dass, wenn alle Nachrichten gegründet sind, auch wohl kaum zu er- warten steht, dass man vom fie des ET etwas wird auffinden können. Erzählung des Herganges beim Auffinden. Mysso oder Wysso "), ein reicher Jurack, auch Häuptling seiner Orda, der über 2000 Rennthiere besitzt, ist in Beresow angeschrieben, bringt aber den Sommer gewöhnlich an der Gyda oder am Eismeere zwischen dem Ob und dem Jenissei zu. Im Sommer 1864 fand einer seiner Leute an einem der drei Quell- seen der Gyda, wo er sein Sommerzelt hatte, an ei- nem Absturze einige Knochen umherliegen. Dadurch aufmerksam gemacht, sah er sich nach dem Kopfe um, in der Absicht, sich die sogenannten Hörner oder Stosszähne zu verschaffen. Er wurde nun auch im Abhange selbst den vorragenden Theil eines Kopfes und eines Zahns gewahr, dem er nachgrub. Da das nicht fördern wollte, erwärmte er Wasser und begoss damit den Abhang, bis er den Kopf hervorbrachte. Es war aber nur eine Hälfte (!) mit dem Zahn nach unten, den er nun ausgrub. Er verkaufte diesen Zahn an Wysso, dem er zugleich das Hautstück überbrachte, das durch Kaschkarew an Sotnikow kam, und über welches nach St. Petersburg berichtet ist. Nach der Er- zählung Kaschkarew’s hatte der Jurack dieses Haut- stück nicht abgeschnitten, sondern unter dem Kopfe im Erdboden gefunden. Im Sommer 1865 stand Wysso selbst an den Seen den ganzen Sommer hindurch, und bemühte sich, den andern Zahn zu erhalten, überzeugte sich aber, dass nur ein Zahn vorhanden gewesen sei mit dem halben Kopfe. Der obere rechte Stosszahn war also wohl schon weg... (Das Geschriebene sieht aus wie «weggeschwemmt» — wird aber wohl wegge- brochen oder eine andere gewaltsame Entfernung an- deuten sollen, da der andere Theil des Kopfes doch nur mit Gewalt abgetrennt sein konnte.) Aus der Lage des Kopfes und der übrigen Knochen muss ich schlies- sen — eben so thun es die Bewohner — dass das Ske- let unter ihm gelegen hat. Die Knochen, die Wysso ausgrub, liegen noch aufgehäuft (auf dem Gipfel des Absturzes, wie der folgende Brief andeutet). Unter- dessen hatte Sotnikow dem Kaschkarew einge- prägt, er möge das Mammuth aufsuchen, damit sie die Anzeige machen könnten, und wollte ni Logi- now mitgeben. Kaschkarew fuhr aber im Septem- ber allein zu Wysso und mit diesem an die Mam- muthstätte. Dort gruben sie 1 oder 2 Tage, konnten 10) Er heisst später immer Wyss à. 521 des Sciences de Saint- Petersbourg. aber im Abhange weiter nichts finden. Am Fusse fan- den sie in der abgestürzten Erde die drei obenerwähn- ten, bei ihm gesehenen Stücke. Ich werde nun noch selbst die Juracken ausfragen und ihnen die Wichtig- keit der ganzen Mammuthe einzuprägen suchen, denn nur den Russen scheint die Bekanntmachung der Aka- demie geläufig (?) zu sein. Ausser Wysso will ich auch dem ursprünglichen Finder, der aufzusuchen ist, eine Aufmunterung zukommen lassen und auch Kaschka- rew, der im Interesse des Fundes eine mehrtägige Fahrt in die Tundra gemacht hat. Mein Schreibzeug ist aus Dudino noch nicht gekom- meh, daher musste der Bleistift dienen. Ich schicke den Brief an Sotnikow, der ihn nach agang be- fördern wird. Mit diesen Nachrichten sind auch meine Zweifel über den Fundort des Moskauer Mammuths (X 12 meiner Aufzählung) gehoben. Die Juracken, obgleich in Beresow angeschrieben, ziehen am Eismeere bis an die Mündung des Jenissei. Hr. Schmidt schreibt ausdrücklich: «das Moskauer Mammuth ist in der Nähe der Jenissei-Mündung auf der linken Seite des Flus- ses gefunden. Man hat 40 Narten angespannt, von . denen drei das Fell trugen, das aber unterwegs ver- darb». | Der nachfolgende Brief, der über die Fahrt nach der Stätte des Mammuths berichtet, ist hier sehr spät angekommen, weil er ohne Zweifel an irgend einem Orte lange liegen geblieben war. Es ist dadurch die Zusammenstellung dieser Berichte sehr verzögert. Tolstoi Noss, den 4. (16.) Mai 1866. Mein lieber Schrenck. Vor einigen Tagen bin ich von meinem Ausfluge zum Mammuthplatze zurückgekehrt, den ich am 26. April (8. Mai) besuchte. Es ist wenig Hoffnung, noch etwas Ordentliches zu retten, dennoch habe ich schon Rennthiere bestellt, um im Juli wieder hinzuziehen und namentlich die Lagerungs-Verhältnisse genau zu untersuchen. — Jetzt war der Absturz selbst, der in einer Schlucht unweit des Jambu, eines (mellésos der Gyda, liegt, so verschneit oder vielmehr von mächti- gen Schneemassen so bedeckt, dass an ein Nachgraben . nicht zu denken war, obgleich wir die nóthigen In- strumente mitgenommen hatten. Nur auf dem Hügel | b über dem Absturze fanden wir einige zerbrochene Knochen (namentlich ein Stück vom Oberkiefer mit einem Backenzahn und der halben Alveole des Stoss- zahnes, einige Rippen und einen Beinknochen), die, wie Kaschkarew mir schon früher gesagt hatte, im vorigen Sommer vom Juracken-Ältesten Wysso dort hingelegt waren, der sie beim vergeblichen Suchen nach dem zweiten Stosszahne aus dem Absturze her- vorgeholt hatte. Wir hofften schon jetzt Wysso und seinen Untergebenen, Nalutai (?), den ersten eigent- lichen Finder des Mammuths, zu treffen; sie waren aber noch nicht auf ihren hiesigen Sommerplätzen angelangt. — Die Jarussnaja orda, deren Ältester Wysso ist, steht im Winter bei Obdorsk, wo sie ihren Jassack zahlt, und auch den grössten Theil des im Sommer gesammelten fossilen Elfenbeins verkauft. Im April pflegen die zu ihr gehörigen Juracken die Halb- insel zwischen dem Ob und dem Jenissei zu beziehen und während des ganzen Sommers zu bewohnen, da- her diese Halbinsel auch das Jurackenland xar مج‎ yny heissen kann. Das linke Jenissei-Ufer wird eben so oft Jurazkaja als nawolotschnaja Storonà genannt. Wir trafen zwei Sommerzeltplätze Wysso’s mit zu- rückgelassenen Vorräthen an. Auf einem derselben wurde von Kaschkarew ein Pfahl errichtet, an den ein Kringel und unter diesem ein Brief von mir, in Renn- thierfell eingenäht, gehängt wurde, in dem ich Wysso, der an 7000 (sic!) Remnthiere besitzt, auffordere, mit Nalutai mir zum Prokopius - Tage (8. (20.) Juli) an das Cap Maksimow zu schicken — gegen gute Be- zahlung. Kommt Wysso nicht, so gehe ich mit Kasch- karew’s Rennthieren, die er mir abermals zu Gebote gestellt hat, ebenso wie mit einem seiner Leute, einem _ getauften Juracken; Nikolai, dessen schon in Gulä- jew’s Briefen Erwähnung geschieht. Nikolai beglei- tete uns auch jetzt, und er war es, der die Stelle, wo die Mammuthsknochen lagen, auffand, nachdem wir 9 Stunden lang von unserem letzten Nachtlager aus in der Tundra mit schnellen Rennthieren ohne Gepäck umhergefahren waren. Er hatte auch im vorigen Herbst Kaschkarew begleitet, der zwar im Inselgewirr des Jenissei vortrefflich. zu Hause ist, in der Tundra aber sich auf seine Leute verlassen muss, die alle Juracken un E nd. Am 22. April (3. ze vum die von Kaschkarew nem Simowie an, und schon 523 Bulletin de l’Académie Impériale 524 am Abend desselben Tages fuhren wir ab, Anfangs etwa 40 Werst über Flussläufe und Inseln und dann noch 15 Werst über flaches Land an der Mündung des Talam bis zur Tundra, auf der sein Tschum (Sa- mojeden-Zelt) steht, immer: in ziemlich genau west- licher Richtung. Von hier gingen wir mit seinem gan- zen Tschum (an 200 Rennthiere) zu einem reichen Juracken, Jotsida, der in der Nähe von Maksimow Myss steht. Dieser versorgte uns mit frischen Renn- thieren und begleitete uns (serkump 4yMom&) mit 30 Rennthieren, die übrige Heerde zurücklassend. Am dritten Tage lagerten wir nahe an der Quelle der Poita. Zwischen dieser und der Sidijaha überschritten wir am 4ten Tage die Wasserscheide zwischen dem Jenissei und der Gyda und erreichten am Dien den ` Mammuthsplatz, dessen ich schon im Anfange meines Briefes erwähnt habe; von dort kehrten wir in drei Stunden zu unserem Lagerplatze zurück. Das Mam- muth liegt etwas über 100 Werst nach NW. von Mak- simow Myss. Von hier ging es in ähnlicher Weise zu- rück zu Jotsida, der gut bewirthet und belohnt wurde, und dann zu Kaschkarew's Simowie, wo wir am 30. April (12. Mai) Morgens eintrafen. Von hier schickte ich einen Hundeschlitten nach Pilätka, wo ich erwar- ‚tete, dass unterdessen mein Präparant und der Kosack angekommen sein würden, die, nach dem ursprüng- lichen Plane, direct zum Mammuth zu gehen und dort zu arbeiten, längs dem linken Ufer mit drei Narten und allen nóthigen Vorräthen gezogen waren. Ich theilte meinen Reisegeführten mit, dass für jetzt nichts beim Mammuth zu thun sei, und forderte sie auf, di- rect nach dem gegenüberliegenden Tolstoi Noss zu ge- hen, wo ich sie erwarten würde. Ich hatte richtig ge- rechnet. Am Nachmittage des 1. (13.) Mai führte mich mein Wirth, A. Kaschkarew, in 3 Stunden zu dem 40 Werst entfernten Tolstoi Noss und wenige Stunden darauf trafen auch meine Reisegeführten ein; deren ermatteten Rennthieren freilich ein Gespann Hunde zu Hülfe geschickt werden musste. Gegenwártig be- absichtige ich in einigen Tagen wieder allein nach Dudino zurückzukehren, um von dort, bis zur Ankunft des Dampfbootes, das am 10. (22.) Juni erwartet wird, eine Reise zu den Sotnikow'schen Graphit- und Koh- lengruben der Norilskischen Berge zu unternehmen, die hoffentlich schon einigermaassen von Schnee frei sein werden. Sotnikow hält mir schon Rennthiere bereit. Mit dem Dampfschiff kommt die Sibirische Ex- pedition der Gebrüder Lopatin, mit denen ich die Fahrt zum Eismeere gemeinschaftlich berathen will, die den dort günstigsten Monat, den August, ausfüllen wird, wenn sich nicht während dessen dennoch etwas Brauchbares am Mammuth gefunden haben sollte, Ich lege eine Skizze des untersten Jenissei bei, Ich habe zahlreiche Erkundigungen eingezogen und auch gepeilt.... Wie aus der Skizze zu ersehen ist, finden sich jetzt nur noch 5 Wohnungen unterhalb Tolstoi Noss, früher hat man deren an 50 gezählt bis zum Eismeere und dann an der Küste desselben bis zur Piässina-Mündung. Krestowskaja, an der eigent- lichen Mündung des Jenissei, ist erst vor 8 Jahren verlassen. Der bisherige Bewohner, Schadrin, ist wegen schwieriger Verproviantirung und schlechten Fischfanges fortgezogen. Das Land, das ich auf dem Wege zum Mammuth durchreiste, ist nur in der Nähe des Jenissei eben, nach der Wasserscheide zu wird es hügelig und viel- fach von,tief einschneidenden Schluchten durchrissen. Das Gyda- Gebiet ist voll kleiner Seen, die durch Flüsse mit einander in Verbindung stehen. Die Gyda selbst, aus drei auf der Karte angedeuteten gróssern Seen entspringend, ist nicht über 200 Werst lang, aber sehr breit. Die Fluth soll sich bis zu den Seen hin- auf bemerkbar machen. Der Boden des ganzen Ge- bietes besteht aus Lehm mit kleinen Geróllen, ganz ähnlich wie Middendorff die Taimyr- Tundra schil- dert. Ich habe sorgfáltig auf die verschiedenen Ge- schiebe aufgepasst und gefunden, dass von Dudino bis Swerewo und ebenso im Gyda - Gebiet die nämlichen Gesteinarten verbreitet sind, sowohl krystallinische, als versteinerungführende. Ich bin geneigt, den Ur- sprung dieser Gesteine weiter oberhalb im Jenissei- Gebiet zu suchen.... Die Tundra, die ich gesehen habe, ist ganz deg Weiden - und Ellern - Gebüsch, . wie ant den Inseln des Jenissei, sollen sich auch in der Niederung an der Gyda und an den Seen finden. Sie werden zur Feuerung benutzt. Wir führten Treib- holz vom Jenissei als Vorrath mit uns. Das von mir bereisteJurackenland scheint eine wahre Fundgrube für Mammuthsknochen zu sein. Auch das Moskauer Mammuth ist hier, gegenüber dem Simo- wie Krestowskoje (hoch im Norden, der Küste des Eis- meeres nahe) ausgegraben worden. Die vielen Seen, - 525 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 526 (00 pU Flüsse und Schluchten, die in schroffen Abstürzen den gefrornen Erdboden bloslegen, bieten in jedem Som- mer frische Entblössungen, die dann von den Einge- pornen abgesucht werden. Ich bemühe mich, ihnen das Mammuth recht ans Herz zu legen. Die Russi- schen Ansiedler halten sich nur am Jenissei auf und kommen selten in die Tundra. ` {ch befinde mich vortrefflich und glaube im Som- mer eine ganze Reihe brauchbarer Untersuchungen machen zu können. Der Frühling naht; seit dem 2. (14.) Mai haben wir Thauwetter, doch soll noch Kälte kommen. Ga 7 d Lange vor dem Berichte über die Recognoscirung des Mammuth-Lagers waren einige kurze Briefe an- gekommen. | Diese spätern Briefe enthalten interessante geolo- gische Nachrichten von aufgefundenen Graphit- und Kohlenlagern, welche wir, als nicht zu unserem Zweck ‚gehörig, übergehen. Nur einige Äusserungen, welche das späte Erscheinen des Frühlings und Sommers, das für eine Expedition wie diese von so entscheidendem Einfluss ist, anschaulich machen, mögen hier noch aufgeführt werden. Am 26. Mai (7. Juni) schreibt Hr. Schmidt aus Dudino: «Gegenwärtig befinde ich mich in Unthätig- keit, da bis zum Sommer sich in Sachen des Mam- muths nichts thun lässt und auch andere Excursionen durch das jetzt endlich eingetretene und anhaltende Thauwetter verhindert werden. Noch steht die Eis- decke des Jenissei, aber das Eis hat sich von den Ufern gelöst.» — Indessen der Eisgang liess noch län- gere Zeit auf sich warten. Ein Nachtrag vom 2. (14.) Juni beginnt so: «Noch immer steht das Eis. Am 29. Mai (10. Juni) verschob sich das Eis etwas uud auch gestern, aber jetzt steht alles wieder ganz fest. Vor- gestern war nochmals tüchtiger Schneesturm aus Nor- den. Der neugefallene Schnee hat die Flächen wieder verschneit: Wir kehren wieder zur Winterwohnung, zu Rennthierfleisch und Fisch zurück. Wann wird das enden?» — Indessen es ging bald vorwärts. Ein Zu- satz vom 7. (19.) Juni sagt, dass am 3. (15.) Juni das Eis in grossen Feldern abgegangen ist, die zuweilen . Amhielten und an dem ganzen Ufer ein Haufwerk von | 4 bis 5 Fuss dicken Eisschollen zurückliessen. Am 4. (16.) Juni ging ununterbrochen den ganzen Tag das Eis, viele Baumstämme in liegender oder stehender Stellung aus dem Süden mitbringend; am 5. (17.), 6. (18.) und 7. (19.) Juni war nur eine schmale Zone von Eisschollen sichtbar, die sich nach dem rechten Ufer drängte. Der Saum von Eisblöcken, der an dem Ufer sich fortzog, scheint bedeutend gewesen zu sein, denn Hr. Schmidt sagt: «Das Landen ist noch schwer wegen der breiten Zone von Schollen am Ufer. Den Sommer rechnet man hier und auf den Inseln vom 29. Juni (10. Juli) bis zum 20. Juli (1. August). Nach dieser Zeit kommen wieder anhaltende Nordwinde und Nachtfröste.» Der letzte Brief ist vom 16. (28.) Juni aus Dudino: «Jetzt sind die lang erwarteten Dampfschiffe end- lich hier angelangt und in einigen Tagen geht es wei- ter abwärts. Ich habe mit den Gliedern der Lopatin- schen Expedition Bel gemacht. Um Johanni sind wir in den Inseln, von wo ich zunächst meinem Mammuth einen Besuch abstatte, um dann vielleicht mit ans Meer zu gehen, da wahrscheinlich mit dem Mammuth wenig zu machen ist. Noch liegt alles voll von Schnee, nur hier und da sieht man braune Flecken, doch kommen die ersten jungen Grastriebe hervor. Man hält dieses Frühjahr für besonders ungünstig.» 4 1 DA Überblickt man diese Nachrichten, so wird man sich überzeugen, dass, ungeachtet der rastlosen Bemühun- gen des Magister Schmidt, wohl keine Hofinung ist, durch das angemeldete Mammuth in den Fragen über die Art, wie diese Thiere in hohen nordischen Brei- ten gelebt haben und wie sie in den Eisboden gekom- men sind, einen bedeutenden Schritt vorwärts zu ma- chen. Aber wir dürfen hoffen, dass das Bemühen auch bei den arktischen Nomaden das grosse Interesse, das die wissenschaftliche Welt an ganzen Mammuths-Lei- bern nimmt, und die Aussicht auf Geldprämien, zu verbreiten, künftig seine Früchte tragen wird, und dass die übrigen Ergebnisse des Hrn. Schmidt im Felde der Geologie und Botanik, auch in zoologischer Ausbeute ersetzen wird, was das Mammuth nicht ge- währt hat. — In der ursprünglichen Mittheilung des Hrn. Guläjew scheint nur eine völlig falsche Angabe gewesen zu sein, nämlich dass das Hautstück, welches Maksimow gesehen hatte, verworrene Haare von Kë Werschok Länge gehabt habe. Diese Angabe liess eine Bulletin de l'Académie Impériale 528 sehr gute Conservation erwarten. Unbekannt war es Maksimow geblieben, dass man nur einen Kopf, oder vielmehr, wie es jetzt heisst, nur einen halben Kopf ge- funden und nach dem Übrigen vergeblich gesucht hatte. Das jetzt Mitgetheilte finde ich, wie ich schon oben sagte, nur durch die Annahme, dass durch fortgehende Abstürze der Leib des Mammuths am Hintertheile zu- erst entblösst wurde, und so der Rumpf nach .fortge- henden Abstürzen allmählich verfaulte, vom Kopfe sich endlich trennte und diesen, der durch die Zähne ge- halten sein mochte, zurückliess. Sehr zu bedauern ist, dass Hr. Schmidt den ersten Finder nicht selbst sprechen konnte, um sich die Lage des halben Kopfes genauer beschreiben zu lassen, der doch an seiner untern Fläche mit unverwester Haut bedeckt war. Wenn nichts mehr sich finden liess, muss freilich die andere Hälfte früher: weggebrochen sein, aber auffal- lend bleibt immer, dass dieser frühere Finder nicht so lange arbeitete — wenn nicht im ersten, doch in den folgenden Jahren, bis er auch in den Besitz des zwei- ten Stosszahnes kam. Vielleicht. wurde er durch den Tod verhindert. Es müssen mehrere Jahre hingegan- gen sein, bis der zuerst entblösste Leib so weit ver- west war, dass der jetzige Finder durch einen Haufen von Knochen auf den noch im Abhange steckenden Kopftheil aufmerksam wurde. — Indessen hat ja Hr. Schmidt noch nicht selbst nachgegraben, und bis da- hin bleiben auch alle Vermuthungen völlig unsicher. Man darf überhaupt nicht hoffen, dass man bei künf- tigen vollständigeren Anmeldungen grade ein so gut erhaltenes Thier treffen werde, als das Adams’sche ursprünglich war. Auch dieses hat niemand ganz frisch gesehen, wie wir bald hören werden. Indessen wird sich doch wohl einmal die Gelegenheit finden, die Vertheilung des Haars zu bestimmen und die Form des Rüssels mit der des lebenden Elephanten zu ver- gleichen. Viel öfter muss sich die Möglichkeit zeigen, im Magen-Inhalt die Ernährungsweise dieses Kolosses zu erkennen. Geht man die Berichte über die bisher aufgefun- denen Mammuth -Leiber durch, so scheint es, dass man keinen derselben völlig frisch gefunden hat. Schon die erste Erwähnung von Witsen (unsere V 1 im ersten Berichte) spricht von dem grossen Gestanke, den diese Leiber verbreiten. Der Kopf, den der Be- gleitervon Ysbrandt Ides vorragen sah und abschnitt En A (M 2), war im Innern «meistens verfault». Char. Lap- tew dën von Mammuthen mit dickem Fell, aber vér- westem Leibe und ausgefallenem Haar (N 4). Bei dem von Pallas untersuchten Nashorn (M 5) war auch der Leib in Zersetzung begriffen. Kopf und Füsse, die Pallas trocknete, hatten doch schon das meiste Haar verloren. Das Mammuth am Flusse Alaseja, von dem Sarytschew Anzeige erhielt (V 6), hatte nur noch stellenweise langes Haar, obgleich es noch an seiner ursprünglichen Lagerstätte sich befunden zu haben scheint. Über V 7 unserer Liste haben wir nur Sa- gen, aber gar keine weiteren Nachrichten. Von einem Mammuth, das am Ufer des Eismeeres gefunden war (N 8), hatte man Tilesius einen Büschel Haare ge- schenkt, die abgeschnitten sein sollten. Ich zweifelte daran, weil es mir wahrscheinlicher war, dass lose ge- wordene Haare nur ausgezogen seien. Da diese Haare an Blumenbach nach Göttingen geschickt waren, so bat ich Hrn. Prof. Keferstein um Auskunft, im Falle dieser Büschel noch conservirt sei, und erhielt die gefällige Mittheilung: dass sich Mammuthshaare aus dem Nachlasse von Blumenbach, jedoch ohne Angabe des Fundortes, in der Sammlung vorfänden, dass sie in der That abgeschnitten zu sein schienen, da die Wurzelbildung fehle. — Auch das von Adams beschriebene Mammuth (V 9) muss doch bei seinem Sturze von der Steilwand stark in Verwesung gewesen sein, da der Kaufmann Boltunow, der schon im März 1803 zu dem Thiere gerufen wurde (ohne Zwei- fel sehr bald nach dem Sturze desselben, um die Stoss- zähne ausbrechen zu lassen), versichert, dass man den Gestank über eine Werst weit gespürt habe. Unter al- len übrigen von uns aufgeführten Fällen spricht nur der nach Irkutsk geschickte und dort conservirte Fuss ( 15) für eine ziemliche Conservirung. Aber auch diesen Fuss fand Schrenck unbehaart. Dass man beim Auffinden noch eine sehr lange Máhne vom Halse bis zum Schwanze gesehen habe, wird nicht durch Augenzeugen verbürgt und scheint mir sehr zweifel- haft, da Boltunow, der das Adams'sche Mammuth so frühzeitig sah, von einer solchen Mähne weder spricht, noch sie gezeichnet hat, und Adams viel- mehr eine Mähne um den Hals, etwa wie beim Lö- wen oder Bison, angenommen zu haben scheint"). 11) Ganz neuerlich hat mein geehrter College Brandt über des Sciences de Saint- Pétersbourg. Auch die Lartet’sche Figur aus der Steinperiode lässt eie Mähne den Rücken entlang durchaus nicht er. kennen, obgleich eine lange Behaarung am Ohr, am Halse, an der Schwanzspitze und an der Bauchseite ‚stark angedeutet ist. Es sind also die Füsse, welche sich besonders er- halten haben (¥ 2, 5, 15), nächst diesen der Kopf ) 2, 5), der aber im Innern doch in Zersetzung be- griffen gefunden wurde. Der Leib scheint selbst da, wo das Haar noch nicht ganz ausgefallen war, doch immer in beginnender Fäulniss gefunden zu sein. Selbst das Adams’sche, das doch die Vorstellung von vollkommener Conservation verbreitet hat, fand man mit so aufgetriebenem Bauche, dass der Leib bis über die Kniee, nach Aussage der Eingebornen, herabreichte. (Tilesius l. c. p. 442.) Mit diesem Ausdrucke werden vielleicht die Fussgelenke gemeint sein, die von ein- fachen Leuten meistens Kniee genannt werden. Jeden- falls kann ich in dieser Angabe nicht mit Adams den Ausdruck einer besonders guten Ernährung finden, sondern einen durch Gase stark aufgetriebenen Leib. Boltunow fand den Bauch schon aufgerissen, — von Thieren, wie er meint. “Da die Conservation im gefrornen Boden nur eine vollstàndige gewesen sein kann, so ist es wahrschein- lich, dass die Leichname der Mammuthe schon mit )eginnender oder weiter fortgeschrittener Fäulniss in liesen ausgedehnten Eiskeller kamen, wo die Zer- setzung nicht weiter fortschreiten konnte. Dass die ' Auflösung bei grösseren Thieren, so lange die Haut unversehrt ist, mit Auftreibung des Unterleibes durch Gase beginnt, wobei die enthaltenen Organe in der äussern Form und der innern Textur nur wenig ver- ändert sich zeigen, aber beim Zutritt der Luft sich rasch zersetzen, dass die Extremiten und der Kopf wegen grösserer Trockenheit viel länger ihr früheres Ansehen behalten, dass an diesen Theilen auch die Haare länger sitzen bleiben, und diese, wenn ein an- EE een | das Mammuth X 15 unseres Verzeichnisses durch den Erzbischof von Jaroslaw, der früher in Irkutsk Besitzer des aufbewahrten “usses war, neue Nachrichten erhalten. Das Mammuth war an der olyma gefunden, also nicht im Lande der Tschuktschen, wie in kirrig gesagt worden ist. Es soll den Rücken entlang eine € oder wenigstens steife Haare gehabt haben, wie die Bisons. - Brandt: Bullet. de TAcad. X, p. 362. An Bisons sehe ich auf ei- nem grossen Sehender Haare. Solche scheint allerdings die Figur von Boltu- en. Tome X. Theile des Rückens einen Kamm kurzer, fast aufrecht | haltender Windzug über sie streicht, von der eintrock- nenden Haut lange gehalten werden, auch wenn der organische Zusammenhang schon aufgelöst war, ist allgemein bekannt. Diese Bemerkungen sollen nur dem Einwande ge- genübertreten, dass die Mammuthe nicht durch die Flüsse hinabgeschwemmt sein könnten, weil sie unter- wegs ganz verwest sein müssten. Vor allen Dingen ist noch kein Mammuth in ganz frischem Zustande gefunden. Selbst das Adams’sche hatte einen aufge- triebenen Lb und verbreitete grossen Gestank, als Boltunow es im März 1803 sah. Doch war es wohl nur ganz äusserlich aufgethaut, denn aus Boltunow's Bericht geht hervor, dass er es für gefroren unter der Hautdecke ansah, wie um diese Jahreszeit kaum an- ders zu erwarten war. An ein Herabschwemmen aus sehr weiter Ferne denkt auch Niemand mehr. Es kommt nur darauf an, sich verstündlich zu machen, wie diese Leibef in die nackte Tundra gekommen sind. Ferner ist zu berücksichtigen, dass die grössern Flüsse Sibiriens sämmtlich nach. Norden abfliessen, dass sie, wie auch andere Flüsse, zur Zeit des Eis- ganges stärker strömen, als gewöhnlich, also auf ih- ren mächtigen Eisschollen von mehreren Fuss Dicke grosse Körper in kurzer Zeit in kältere Regionen tra- gen können. So lange man keine positiven Beweise finden kann, dass Sibirien früher ein bedeutend wär- meres Klima hatte, scheint ein mässiges Herabschwem- men aus der nördlichen Waldregion wohl am an- nehmbarsten. Die sehr viel grössere Zahl zerstreu- ter Knochen und Zähne im hohen Norden kann das Wasser von zerstreut umherliegenden Resten aus sehr verschiedenen Zeiten und Generationen dahin ge- bracht haben. Allein eine mehr verbreitete Wirk- samkeit des fliessenden Wassers müss man fast noth- wendig annehmen. Vielleicht giebt die Erhébung des Nordrandes von Sibirien dafür. den Nachweis. Wenn man das Vorkommen von Seemuscheln im Lande als Beweis für eine spütere Erhebung eines ehemaligen Meeresbodens annehmen kann, so folgt daraus, wie es mir scheint, dass die von Süden herabströmenden Flüsse in diesem neuen Lande sich lange Zeit hin- durch weit ausgebreitet haben müssen, bis sie sich ein tiefes Bette ausgegraben hatten. 0 Dass die Mammuthe im weichem Boden versunken d seien, will zu der Vorsicht nicht stimmen, mit welcher 531 Bulletin de l’Académie Impériale 532 die lebenden Elephanten die Festigkeit des Bodens untersuchen, den sie betreten wollen. Man findet al- lerdings in West-Europa nicht selten Skelete von Hirscharten in Sümpfen. Allein diese Thiere sind seit Jahrtausenden von den Menschen gejagt worden und mochten in Sümpfe und Seen geflüchtet sein. Aber sollten im Nordrande Asiens schon Menschen zur Zeit der Mammuthe gelebt haben? Am einfachsten würden sich alle Räthsel in Betreff der Mammuthe lösen, wenn positive Beweise sich fin- den liessen, dass Sibirien in seinem Nótdrande ehe- mals bedeutend wärmer gewesen ist, als jetzt. Möchte Hr. Schmidt solche Beweise auffinden. Zum Schluss will ich noch die Copie einer Figur vom Mammuth hier beifügen, die aus Blumenbach’s Nachlasse sich jetzt im zoologischen Museum zu Göt- tingen befindet, und von der ich nicht zweifle, dass sie die schon von Adams erwähnte Boltunow’sche Abbildung im Original oder eine unmittelbare Copie derselben ist, und dass sie von Adams an Blumen- bach eingeschickt wurde. Ich schliesse noch einige Bemerkungen Boltunow’s an. Nachdem die erste Hälfte meiner Berichte nach Göttingen gekommen war, hatte Hr. Prof. Keferstein die Güte, mir in einem Briefe die Copie der im dor- tigen Museum befindlichen Abbildung eines Mammuths zu übersenden. Eine auf dieser Abbildung befindliche Inschrift, von Blumenbach's Hand geschrieben "5, lässt nicht zweifeln, dass sie das Adams’sche Mam- muth darstellt, und da diese Abbildung dieselben Feh- ler hat, welche Adams an der Boltunow’schen rügt, so ist nicht zu zweifeln, dass es dieselbe Abbildung ist — im Original oder in Copie. — Dass diese Figur sehr bedeutende Fehler habe, springt sogleich in die Augen. Sie sind zum Theil der Ungeschicklichkeit des Zeichners zuzuschreiben, zum Theil lassen sie sogar vermuthen, dass die Zeichnung nicht in loco, sondern zu Hause gemacht ist, vielleicht nach einer ganz ro- hen — am Mammuth selbst entworfenen Skizze ^), So - 12) Diese Inschrift lautet: « Elephus primigenius, das in Rnss- land so genannte Mammut, mit Haut und Haar 1806 im Junius am Ausflusse der Lena ins Eismeer ausgegraben. Roh verzeichnet so wie es verstümmelt und vertroc gefunden worden». i . 13) Als Boltunow das Mammuth besah, war heftiges Schnee- gestöber, nach seiner eigenen Angabe. Bei Schneegestöber an der Küste des Eismeers — im März — zeichnet man wohl nicht. MT Mie. hat der Zeichner das Auseinanderweichen der Stoss- zühne nach ihren Spitzen hin nicht anders darzustellen verstanden, als indem er den einen Zahn zurückge- krümmt zeichnet und sogar mit der Spitze nach unten gerichtet. Er hat, nachdem der Leib des Thiers von der Seite dargestellt war, wahrscheinlich seinen Stand- punkt ganz verändert, um das Auseinanderweichen der Zahnenden besser zu sehen. Die aufrecht stehenden Ohren und gar das von den Stosszähnen völlig abge- trennte Maul mögen ganz aus der Phantasie gezeich- net sein. Doch.ist der letzte Umstand völlig in Über- einstimmung mit Boltunow's Beobachtungen, denn er sagt mit dürren Worten, dass die Hörner (d. i. die Stosszühne) aus der Nase vorgeragt und ebenso auf Knoch pfen gesessen hätten, wie beim Rindvieh. Die letztere Ansicht ist, wie Hr. Schmidt schreibt, auch am Jenissei feste Überzeugung, die nur darauf beru- hen kann, dass man die sogenannten Hórner ausbre- chen muss. Der Rüssel muss durch Thiere oder auf andere Weise abgerissen gewesen sein. Dennoch ist diese Figur belehrend, namentlich in. solchen Verhältnissen, welche auch ein ungeübter Zeichner leicht darstellt. Der Schwanz ist für einen Elephanten sehr kurz. Darin stimmt diese Figur mit der alten aus der Steinperiode und mit den schrift- lichen Bemerkungen Boltunow's, die wir sogleich hóren werden. Ferner ist das Haar an der Bauchseite länger als in der sogenannten Mähne auf dem Kamme des Rückens. Dieser Unterschied ist in der Lartet'- schen Figur noch viel grösser. Er mag in dieser über- trieben sein, doch ist es möglich, dass der Zeichner der Steinzeit ein sehr altes Thier — vielleicht auch in der Wintertracht, darstellen wollte. Jedenfalls aber hat der Apelles der Steinperiode die gesammte Form und insbesondere die des Kopfes besser getroffen, als unser Künstler von der Eismeerküste. Doch liefert der letztere Beweise, dass jene alte Figur wirklich ein Mammuth repräsentirt, wenn man noch daran zweifeln wollte. Boltunow, Kaufmann aus Jakutsk, war in der Nähe des Eismeeres, als das Mammuth herabstürzte. Ihm verkaufte der Tunguse die Stosszühne des Thiers, die Boltunow ausbrechen liess. Seine Aufzeichnungen finden sich in einem Berichte, den er an den Vorsteher (l'oxosa) der Kaufmannschaft in Jakutsk, Namens Po- pow, abgestattet hat und der in dem früher citirten | PRIMIGENIUS, ` | ar 1606 im Junius am Ausfluß der Lena ins Éismeer ausgegraben! | und vertrocknet ‚gefunden worden: — d Nansen Y 1 in Anth. Noe x, Broese in FHS 333 des Sciences de Saint ۰ Pétersbourg. Texuo1ornyeckiä JAypHaıs, im 4ten Hefte des IlIten Bandes abgedruckt ist. Dieses Journal wurde von der Akademie der Wissenschaften herausgegeben, und da das genannte Heft das Druckjahr 1806 trägt, so ist kaum zu zweifeln, dass Adams diesen Bericht aus Jakutsk nach St. Petersburg gesendet hat ^). Adams war eben durch den Popow, an welchen der Bericht gesendet war, auf das Mammuth aufmerksam gemacht worden. Um so mehr muss man sich wundern, dass Adams diesen Bericht in seinem eigenen so wenig berücksichtigt hat. Zuvörderst trägt der Bericht die Zeit des Besuches, den März 1808, an der Stirn, wogegen es nach Adams scheint, als ob das Mammuth erst im Jahr 1804 her- abgestürzt wäre. Den Abhang, aus welchem das Mam- muth stürzte, taxirt Boltunow nur zu 5 russ. Sashen, d. h. zu 35 Fuss engl. M. Hóhe, Adams zu 30 oder 35 bis 40 Toisen! — Die Lagerstätte des Mammuths war nach Boltunow nur 5 Werst vom JBykowskii * Myss. Diese kleinen Maasse haben mehr Wahrschein- lichkeiten für sich, als die sehr grossen von Adams. Der Schwanz des Thiers hatte nach Boltunow 6 Werschok, d. h. 10'/, Zoll engl. Ungefähr 6 Werschok wird auch die Länge des äussern Ohrs angegeben. Überdies wird in der Beschreibung auch gesagt, die Ohren hätten an der Aussenfläche des Kopfes (ua no- BepXHOCTH LOJOBbl) gesessen, womit Boltunow doch wohl sagen wollte, dass er sie nicht wie bei gewöhn- lichen Säugethieren nach oben vorragen, sondern an der Seite des Kopfes sah. Die Länge des Haars am Bauch wird auf '/, Arschin, d. h. auf 7 Zoll geschätzt. Es ist mir aber bei der etwas ungeschickten Satzbil- dung nicht klar, ob diese Länge sich nicht auf alles übrige Haar beziehen soll. Die Beschreibung der Füsse übergehe ich, weil sie zu ungeschickt ist. - Der Schluss scheint mir von einiger Wichtigkeit zu sein, da Boltuno w mitfossilem Elfenbein handelte und zu diesem Zwecke die Lena hinabzufahren pflegte. «Das beschriebene Thier ist von mittelmässiger Grösse, denn es giebt solche, bei denen ein Horn (Zahn) 10 Pud und auch mehr wiegt.» Von dem beschriebenen hatte er früher angegeben, dass jeder Zahn ein Gewicht von 6 Pud hatte. «Bei den Weibchen sind die Hörner — on 14) Im Abdrucke tritt freilich Boltunow in der dritten Per- son auf. (Zähne) zwar auch lang, aber sehr dünn und sie wie- gen nicht mehr als 2 Pud und etwas drüber.» Ob die Stosszähne nicht auch bei den Männchen mit den Spitzen mehr auseinanderlaufen, als bei den Weibchen? Die Wallrosse lassen das Geschlecht sehr bestimmt an den Zähnen erkennen, denn bei den Männ- chen sind die vorragenden Zähne viel stärker und die Spitzen wenden sich nach aussen; bei den Weibchen sind die Zähne dünner und sie bleiben in der ganzen Länge parallel oder neigen sich gegen einander. Der- selbe Unterschied möchte ziemlich allgemein, obgleich in Variationen, in den Pachydermen sich zeigen, zu denen ich das Wallross als Pachyderm mit Schwimm- füssen rechne. Die Wirkung des Lichtes auf die Bewegung der Chlamidomonas pulvisculus Ehr., Euglena vi- ridis Ehr. und Oscillatoria insignis Tw., von A. Famintzin, Docenten an der Universität zu St. Petersburg. (Lu le 20 septembre 1866.) Den jetzt herrschenden Ansichten zufolge sollen diese Organismen sich zum Licht ganz verschieden verhalten: die zwei erstgenannten zum Lichte streben, und desto energischer, je intensiver das Licht, Oscil: latoria dagegen ganz indifferent gegen das Licht sein. Diese Verhältnisse näher zu prüfen, stellte ich mir zur Aufgabe. Chlamidomonas pulviseulus und Euglena viridis. Diese beiden Organismen zeigten zum Licht in allen Fällen eine so grosse Übereinstimmung, dass ich sie zusammen abhandeln werde. Um die Erscheinungen dabei vollständig aufklären zu können, ist es, meiner Überzeugung nach, nöthig den Gokenständ nach zwei Richtungen genau zu unter- suchen: erstens, die dieser Erscheinung am meisten günstigen Bedingungen herauszufinden, und sodann zweitens unter diesen günstigen Bedingungen das Ver- halten der Organismen zum Licht während des ganzen Lebenscyclus zu studiren. In der vorliegenden Arbeit habe ich nur die erste Frage zu lósen versucht und mein Augenmerk vor- zugsweise darauf gerichtet, zu bestimmen: 1) in welcher Weise die Bewegung des Chlamido- monas pulvisculus und der Euglena viridis durch das Licht verschiedener Intensität, 34* 535 Bulletin de l’Académie Impériale 536 2) durch die Beschaffenheit der Flüssigkeit, in wel- cher ich mit ihnen experimentirte, beeinflusst werde. Chlamidomonas und Euglena fand ich beisammen in Menge in einer grossen Pfütze auf Wassili-Ostrow, am grossen Prospekt auf dem Smolenskischen Felde. Sie waren darin so massenhaft enthalten, dass es ge- nügte ein wenig Wasser mit dem darauf schwimmen- den schaumartigen Schmutze zu schöpfen, um sie in zahlloser Menge zu bekommen. Ins Zimmer gebracht, zogen sie sich nach der dem Fenster nächsten Seite des Gefässes hin und zeigten somit gegen das Licht ein mit den schon vorhandenen Angaben anderer Forscher übereinstimmendes Verhalten. Ich stellte meine Untersuchungen gegen Ende Mai an und experementirte nur Morgens zwischen 10 und 1 Uhr nach Mittag. Zu allen Versuchen brauchte ich Untertassen mit so flach geneigten Wänden, dass die innere Fläche der dem Fenster nächsten Wand der Untertasse direkt von den Sonnenstrahlen getroffen und somit das Wasser nicht im mindesten beschattet wurde. Die Untertassen überdeckte ich von der dem Fenster entgegengesetzten Seite bis über drei Viertel mit Bretchen. Auf diese Weise enthielt die Unter- tasse, von der Sonne beleuchtetes Wasser nur in dem dem Fenster nächsten Theile; alles Übrige wurde durch das Bretchen beschattet, und desto mehr, je weiter vom Fenster. In der Befürchtung, dass die im Zimmer aufbe- wahrten Organismen, wenn auch nur theilweise, ihre Lebensfähigkeit einbüssen könnten, holte ich aus Vor- sicht täglich eine neue Portion derselben, welche ich ebenfalls sogleich den Versuchen unterwarf. Ich unter- suchte sie sowohl in Newa-Wasser, als auch in der aus.der Pfütze selbst geschöpften Flüssigkeit, welche aber immer vorläufig filtrirt wurde. : Diese letztere war immer gelb gefärbt, alkalisch, und enthielt eine grosse Menge Salze in Lösung, manchmal bis zu dem Grade, dass die Flüssigkeit, in Untertassen gebracht, sich in kurzer Zeit mit einer dicken Kruste kleiner Krystalle bedeckte. Indessen waren die in ihr enthal- tenen Chlamidomonas und Euglena vollkommen lebens- kräftig. Der beschriebenen Methode der Untersuchung, und zwar mit blossem Auge in Massen zu untersuchen, bin ich in allen meinen Versuchen streng gefolgt. , Die Beobachtung dieser Organismen dagegen in -| aufsuchen. einem Tropfen Wasser auf dem Object-Trüger des Mikroskops habe ich ganz fallen lassen, indem ich mich überzeugte, dass auf diese Weise kein zuyer. lässiges Resultat zu erlangen ist. Abgesehen davon, dass die Vertheilung des Lichts im Tropfen Sege durch dessen Form und Grösse bedingt ist, wird sie noch ausserdem sowohl durch die Höhe de Sonne, als auch durch die Entfernung des Tropfens yom Fenster beeinflusst. Endlich wird die Beobachtung am Mikroskop noch durch ein am Chlamidomonas und Euglena von mir entdecktes Verhalten, welches ich weiter unten beschreiben werde, so ansserordenflich complicirt, dass ich mich jetzt wenigstens genöthigt sehe diese Methode gänzlich zu verwerfen. Ich führe hier sogleich zwei Hauptresultate meiner Untersuchungen an und gehe zu deren Beweise über: 1) Der Grad der Lichtintensität übt auf die Ver- theilung und Bewegung der grünen Masse einen ausser- ordentlichen Einfluss aus. Die Wirkung ist aber ganz anderer Art, als man sich bis jetzt vorstellte: es hat: sich gezeigt, dass nicht direktes Sonnenlicht, sondern das Licht mittlerer Intensität am stärksten die Bewe- gung des Chlamidomonas und der Euglena hervorruft. 2) Das Verhalten dieser grünen Organismen zum Licht ist auch von der Flüssigkeit abhängig, in der man mit ihnen experimentirt. Im Gefässe, welches; mit Filtrat gefüllt, im Schatten steht, sammeln sich ‘alle Individuen an der Oberfläche des Wassers längs dem dem Fenster nächsten Rande in einen grünen Streifen. In Newa-Wasser dagegen verbleiben sie grösstentheils, dem Anscheine nach, gegen das Licht ganz indifferent, indem sie den Boden und die Wände der Untertasse überall gleichmässig als grüne Schicht bedecken. Wenige nur gerathen in Bewegung, steigen gegen die Oberfläche des Wassers und gruppiren sich in zwei gegenüberliegenden grünen Streifen, deren einer längs der dem Fenster nächsten, der andere längs der entgegengesetzten Wand der Untertasse sich an- setzt. Der erste Streifen wird von Organismen ge- bildet, welche, wie ich zeigen werde, zum Lichte stre- ben; der zweite aus solchen, welche die Dunkelheit Die beiden Seitenränder der. Untertasse sind dagegen immer vom grünen Saume frei, so dass die grünen Streifen weit von einander gesondert auf- ‚| treten. Zahlreicher und genauer Untersuchungen unge- ` 5837 des Sciences de Saint- Petersbourg. achtet ist es mir niemals gelungen, durch das Mi- kroskop irgend ein Kennzeichen herauszufinden, durch welches das verschiedene Verhalten der Organismen gegen das Licht charakterisirt wäre. Alle Individuen, sowohl zum Lichte strebende, als auch indifferente oder das Licht fliehende, waren unter dem Mikroskop völlig einander gleich. Das verschiedene Verhalten des Chlamidomonas und der Euglena zum starken Lichte und dem Lichte mitt- lerer Intensität giebt sich dadurch zu erkennen, dass die Gruppirung der grünen Masse verschieden aus- fällt, je nach dem das Gefäss im Schatten, oder im di- rekten Sonnenlichte zu stehen kommt. ۱ Mittelst folgender Experimente habe ich diese Ver- hältnisse genauer untersucht: 1) In zwei ganz gleiche, mit der filtrirten Flüssig- keit gefüllte Untertassen brachte ich gleiche Quanti- täten des durch Chlamidomonas und Euglena grün ge- färbten Wassers hinein, welches ich durch sorgfältiges Mischen gleichförmig in den Untertassen verbreitete, Eins von ihnen stellte ich in den Schatten, das andere setzte ich dem direkten Sonnenlichte aus; jedes wurde noch, von der dem Fenster entfernteren Seite, bis über drei Viertel mit einem Bretchen bedeckt. Die grüne Masse gruppirte sich in beiden Gefässen sehr rasch, und schon nach wenigen Minuten war die Difterenz sichtbar. In der in den Schatten gestellten Untertasse war die ganze grüne Masse schon nach dem beleuch- teten Theile der Untertasse herübergewandert und bildete einen einzigen, aber breiten grünen Streifen längs der dem Fenster nächsten Wand des Gefässes. In der ins direkte Sonnenlicht gesetzten Untertasse zeigte sich ein solcher Streifen gar nicht, oder war wenig angedeutet, indem gar keine, oder nur verhält- nissmässig ganz wenige Individuen gegen den Rand des beleuchteten Theiles der Untertasse strebten. Da- gegen aber kam immer ein anderer Streifen zum Vorschein, welcher sich auf der Oberfläche des Was- sers, quer über die ganze Untertasse, dem Rande des durch das Bretchen gebildeten Schattens entlang zog. Dieser: Streifen war von der Seite, mit welcher er ans direkte Sonnenlicht grenzte, ganz gerade und scharf markirt; von der anderen aber, die unter dem Schatten des Bretchens zu liegen kam, wellenförmig contourirt nnd undeutlich begrenzt. Die Form des Streifens deutete schon gewissermassen auf seine Bildungsweise hin. Er wird, grösstentheils wenigstens, durch die grüne Masse, welche sich aus dem beschatteten Theile der Untertasse zum Lichte hinzieht, welche aber an der Grenze durch das direkte Sonnenlicht in der Be- wegung aufgehalten wird, gebildet. Andere später hin- zukommende grüne Massen sind nicht im Stande, die vorderen Reihen durch ihren Andrang zu verschieben und legen sich in wolkigen Haufen daneben an. Die Richtigkeit dieser Ansicht wird dadurch bekräftigt, dass zu dieser Zeit in dem ganzen durch das Bretchen beschatteten Theile der Untertasse nirgends anderswo etwas von der grünen Masse zu finden ist. Indessen ist es mir noch nicht gelungen, sicher zu bestimmen, ob dieser Streifen ausschliesslich aus Ohla- midomonas und Euglena, welche sich in dem beschat- teten Theile der Untertasse befanden, gebildet wurde, oder ob auch noch die grüne Masse des beleuchteten Theils der Untertasse zu seiner Bildung etwas bei- trug. Was mit letzterer vorgeht, ob sie, vom direkten Sonnenlichte getroffen, bloss ihre Bewegungsfähigkeit einbüsst und an der Stelle bleibt, wo sie von der Sonne getroffen wurde, oder ob sie das direkte Sonnenlicht flieht und gegen den beschatteten Theil der Unter- tasse zieht, ist mir bis jetzt, und nach der hier be- folgten Methode untersucht, noch ganz unbekannt ge- blieben. Jedenfalls ist die Bildung des eben bespro- chenen Streifens dadurch — ees dass die sich bewegenden idomonas und Euglena durch das starke Licht an der Grenze des Schattens aufgehalten wurden. Durch folgendes einfache Experiment kann man sich davon überzeugen. Es genügt, die Inten- sität des Lichts durch das Beschatten der Untertasse mittelst eines Blattes Papier zu vermindern, um den eben besprochenen Streifen sogleich verschwinden und statt dessen alle Chlamidomonas und Euglena längs der dem Fenster nächsten Wand in einen einzigen Streifen sich gruppiren zu sehen, ganz wie in einem in den Schatten gestellten Gefässe. 2) Das Resultat des Versuchs bleibt das nämliche, wenn man, anstatt die eine Untertasse ins direkte Sonnenlicht, die andere in den Schatten zu bringen, beide Gefüsse dem direkten Sonnenlichte aussetzt, das eine aber mittelst Papier beschattet. 3) Eine Untertasse mit Filtrat gefüllt und wie die vorigen mit einem Bretchen bedeckt, ins Sonnenlicht gebracht zeigt die oben beschriebene Vertheilung der 539 Bulletin de l'Académie Imperiale 540 grünen Masse, so lange es nicht in den Schatten zu stehen kommt; sobald aber der vom Fensterrahmen geworfene Schatten auch über die Untertasse sich aus- zudehnen anfängt, ändert sich sogleich die Gruppirung der grünen Masse in dem durch den Rahmen beschat- teten Theile: der über die Untertasse quer laufende Streifen verschwindet sogleich, während der andere, an der dem Fenster nächsten Wand des Gefässes sich befindende, sogleich mächtig anschwillt. Zu dieser Zeit sind in der Untertasse zwei Gruppirungen der grünen Masse sichtbar, welche aber scharf längs der Grenzlinie des schon durch den Fensterrahmen be- schatteten und des noch von der Sonne beschienenen Theiles der Untertasse gesondert sind. Mittelst dieser Experimente ist es mir also gelungen, die Verschiedenheit in der Wirkung des direkten Sonnenlichts und des Lichtes von mittlerer Intensität nachzuweisen. Eine genauere Prüfung der Wirkung des direkten Sonnenlichts auf die in dem beleuchteten Theile der Untertasse sich befindenden Ohlamidomonas und Zuglena habe ich die Absicht nächstens vorzu- nehmen. Das Verhalten der Chlamidomonas und Euglena zum Licht wird ein ganz anderes, wenn man diese Organismen statt im Filtrat in Newa- Wasser hält, obgleich sie auch in diesem lange Zeit dem Anscheine nach ganz gesund bleiben. Durch Newa-Wasser wird das Streben zum Licht bei den meisten ausseror- dentlich vermindert; in einigen, wenn auch wenigen Individuen sogar ein entgegengesetztes Streben, näm- lich das Licht zu fliehen, hervorgerufen; letztere ver- sammeln sich deshalb in den am meisten Ee Stellen der Untertasse. =` Die durch Newa-Wasser erzeugte Differenz lässt sich durch vergleichende Versuche am deutlichsten zeigen. Mehrere ganz gleiche Untertassen stellte ich nebeneinander in den Schatten; die einen waren mit Filtrat, die anderen mit Newa- Wasser gefüllt, und alle mitileichen Mengen der grünen Masse versetzt, welche mit der Flüssigkeit sorgfältig vermischt wurde. Jede Untertasse war, wie in den vorigen Versuchen, mit einem Brotchèà überdeckt. Nach einigen Minuten schon stellte sich die Differenz heraus. Im Filtrat sammelte sich die ganze Masse an der dem Fenster nächsten Wand der Untertasse in einen einzigen breiten grünen Streifen. Im Newa-Wasser erwies sich die grüne Masse grösstentheils gegen dasLicht vollkommen indifferent, indem sie auf dem Boden und den Wänden der Untertasse überall, sowohl in dem hellen Theile, als auch unter dem Schatten des Bretchens, einen gleichförmigen Überzug bildete. Nur wenige Indivi- duen wurden durch den Lichteinfluss in Bewegung versetzt; sie stiegen zur Oberfläche des Wassers em- por und theilten sich hier in zwei Gruppen, indem die eine einen Streifen längs der dem Fenster nächsten, die andere einen zweiten Streifen an der gegenüber- liegenden Wand des Gefässes bildete. Die ersten strebten dabei, wie ich gleich beweisen werde, dem Lichte zu, die letzten aber suchten die Dunkelheit auf; Die beiden Streifen waren vollkommen von einander gesondert, denn auf den beiderseitigen Wänden der Untertasse war nie ein grüner Saum zu sehen. Ich überzeugte mich durch Experimente davon, dass im vorliegenden Falle die beiden Streifen durch das Licht hervorgerufen waren. Durch die Veränderung der Licht-Intensität nämlich konnte jeder von ihnen so: gleich zum Verschwinden gebracht werden. Der dem Fenster näherliegende Streifen durch das Beschatten, der andere durch das Beleuchten. Theilweises Bez schatten brachte ich durch ein Stück dieker Pappe . hervor; theilweises Beleuchten, indem ich das Bretchen mit Pappe bedeckte, welche ich von einer Seite her tief eingeschnitten hatte. An der Stelle, wo der Ein- schnitt der Pappe über den grünen Streifen zu liegen kam, wurde letzterer sogleich zum Verschwinden ge- bracht; an allen anderen Stellen aber blieb er ganz unveründert erhalten. Es genügte nun, die Pappe zu verrücken und die vorige Stelle wieder zu beschatten, um die Bildung des Streifens sogleich wieder zu er- zeugen. Es gelang mir auf diese Weise zu 116061 holten Malen, die beiden Streifen in kurzer Zeit her- | vorzurufen, oder verschwinden zu machen. Eine eben so deutliche Verminderung des ikaba zum Lichte äusserte sich auch bei Chlamidomonas und Euglena im Gefäss, welches, mit Newa-Wasser gefüllt, ins direkte Sonnenlicht gebracht wurde. Bei allen in dieser Hinsicht angestellten Experimenten hatte sich nur ein Mal ein Streifen an der dem Fenster nächsten Wand der Untertasse gebildet; sonst formirte sich immer nur ein Streifen an der dem Fenster entgegen- gesetzten, durch das Bretchen beschatteten Seite. Es ist mir öfters gelungen, Gruppirungen dieser 541 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Organismen zu bedeutenden Massen zu beobachten, welche den von Nägeli') bei Zetraspora lubrica und Tachygonium beschriebenen Erscheinungen ganz gleich kamen und nur in der Hinsicht differirten, dass ich immer nur baumartige Anhäufungen zu sehen bekam, und zwar immer nur solche, deren Centrum der Ver- zweigung immer um die Mitte des Wassers herum lag, nicht aber, wie es Nägeli gesehen, als Abzweigung des grünen Streifens. Mit dem Mikroskop überzeugte ich mich davon, dass diese Anhäufungen aus beweg- lichen Chlamidomonas und Euglena bestanden. Was die Ausscheidung des Sauerstoffs durch diese Organismen betrifft, so kann ich nur das von anderen Beobachtern Geäusserte bestätigen. Nicht nur im Dunkeln, sondern auch im Schatten ist es mir niemals gelungen, die Ausscheidung der Gasbläschen zu beob- achten, während im direktenS lichte schon wenige Minuten genügten, um diesen Process hervorzurufen; und war die Quantität der grünen Masse bedeutend, so bedeckte sich bald die ganze Oberfläche der Flüssig- keit mit einem Schaume von Gasblasen. In allen im Zimmer gehaltenen Gefässen erzeugte sich auf der Oberfläche des Wassers gegen Abend eine Membrane, welche aus einer einfachen Schicht von unbeweglichen Chlamidomonas und Euglena bestand. In den zum Theil beschatteten Gefässen erschien diese Membrane nur in dem beleuchteten Theile der Unter- tasse. Dessen ungeachtet hat es sich herausgestellt, dass die Bildung der Membrane sowohl, als auch der Übergang der Organismen in den unbeweglichen Zu- stand nicht durch das Licht, sondern durch eine an- dere mir noch unbekannte Ursache hervorgerufen wird, denn in den ins völlige Dunkel gestellten Gefässen bil- dete sich diese Membrane in derselben Weise, brei- tete sich aber über die ganze Oberfläche der Flüssig- keit aus. `` Aller Wahrscheinlichkeit nach wurde die Bildung der Membrane in den zum Theile beschatteten Ge- ` fässen nur dadurch im beleuchteten Theile hervorge- rufen, dass die in den unbeweglichen Zustand über- gehenden Organismen sich gegen Abend an die Ober- fläche des beleuchteten Wassers hinziehen und dort zur Ruhe gelangen. ۱ 1) Nägeli. Beiträge zur wissenschaftlichen Botanik. 1860, Heft Ii, p. 106 und 107. H | | Um möglichen Missverständnissen vorzubeugen, will ich hier hinzufügen, dass ich das von mir beschrie- bene Verhalten der Chiamidomonas und Euglena zum Licht als vollkommen erwiesen nur für den von mir beobachteten Entwickelungszustand derselben halte; dagegen bleibt mir bis jetzt ganz unbekannt, ob und wie grosse Abweichungen in diesem Verhalten zum Licht in anderen Entwickelungszustünden derselben vorkommen mógen. Deswegen ist es mir auch schwer, über die widersprechenden Angaben Cohn’s?) ein Ur- theil zu fällen; nach Cohn soll Euglena viridis desto mehr dem Lichte zustreben, je grösser die Intensität des letzteren. Ich erlaube mir die Resultate Cohn’s nur deshalb anzuzweifeln, weil er nicht angiebt, ober die Euglena viridis bei direktem Sonnenlicht, oder im Schatten beobachtete. Hat er aber dies unberücksich- tigt gelassen, so konnten ihm auch die von mir ge- schilderten Verhältnisse entgehen. ida Obgleich ich dieResultate C ohu's in Zweifel ziehe,so bin ich doch geneigt zu vermuthen, dass das Verhalten des Chlamidomonas und der Euglena zum Licht in ver- schiedenen Entwickelungszuständen variiren könne. Folgende wenige Daten scheinen diese Ansicht wahrscheinlich zu machen: «Die jungen Volvoz glo- bator», schreibt Prof. Cienko wski °), «sammeln sich in dem dunkleren Theile des Gefüsses; wenn sie aber in den unbeweglichen Zustand übergehen, so streben sie dem Lichte zu.» ; Nach Cohn‘) «ist das Licht den Lebensthätigkeiten der schwürmenden Zellen des Protoccocus pluvialis zu- träglich, und sie suchen dasselbe. Daher begeben sie sich stets an die Oberflüche des Wassers und an die Ränder des Gefässes.» «Bei den Fortpflanzungsaeten dagegen, und wenn sie in den ruhenden Zustand über- zugehen im Begriffe sind, scheinen die beweglichen Protoccocus-Zellen das Licht zu fliehen; wenigstens suchen sie alsdann gewöhnlich den Boden des Gefässes.» Beide Citate zeigen deutlich, dass bei diesen Or- ganismen in dem Verhalten zum Licht Veränderungen auftreten, welche aber bei beiden ganz verschieden ausfallen. Volvox flieht das Licht in der ersten Pe- - 2) Cohn. Jahresbericht der Schlesisch. Gesellsch. f. vater]. Cul- tur. 1868. p. 103. ; - 8) Henxkosceniü. O mmuenmux BOXOPOCAAXE 4 mBOoysopisxs, 1856, p. 40 4) Cohn. Nov. Act. Acad. C. L. C. T. XXII, p. 719, und ibidem, 343 Bulletin de l'Académie Impériale 544 riode seiner Entwickelung, indem er zu demselben nur bei dem Übergange in den unbeweglichen Zustand hinstrebt. Protoccocus pluvialis bewegt sich dagegen zum Licht nur in den ersten Stadien der Entwickelung, flieht aber dasselbe vor dem Übergange in den unbe- weglichen Zustand. Diesen beiden einzigen und ent- gegengesetzten Angaben zufolge ist es gegenwärtig nicht einmal der Analogie nach möglich, irgend eine Vermuthung über die bei Chlamidomonas und Euglena während ihrer verschiedenen Stadien möglichen Ver- änderungen im Verhalten zum Lichte zu äussern. Nur wenige, von den beschriebenen abweichende, wenn auch äusserst selten beobachtete Erscheinungen weisen auf solche hin. So z. B. die einmalige Bildung eines ziemlich breiten Streifens auch im direkten Sonnen- lichte, oder eines einzigen an der Lichtseite in der Untertasse, welche, mit Newa-Wasser gefüllt, im Schatten stand. Diese Abtheilung will ich nun mit einigen Bemer- kungen schliessen, welche ich in Bezug auf Beobach- tung der Zoosporen-Bewegung, meinen Untersuchun- gen zufolge, zu machen mich berechtigt fühle. Die auffallende Analogie zwischen Chlamidomonas, Eu- glena und Zoosporen lässt auch bei den letzteren ähn- liche Verhältnisse zum Lichte vermuthen. Die bisher gemachten Erfahrungen erfordern daher eine gänzliche Umarbeitung. Um über die Bewegung der Zoosporen | ein sicheres Resultat zu bekommen, ist es unumgäng- lich, folgende Umstände genau zu berücksichtigen: 1) die Intensität des Lichts; 2) die Flüssigkeit, in welcher die Experimente angestellt. werden; 3) die Neigung der Gefäss-Wände; 4) müssen die Experi- mente nur an.vollkommen klaren. Tagen angestellt werden, denn es genügt eine nur augenblickliche Be- Schattung, z. B. durch eine vorübereilende Wolke, um die Gruppirung der grünen Masse zu ündern; 5) die Beobachtungen müssen nur in Gefüssen, nicht in Tropfen gemacht werden. Da es nun, der Analogie nach, ziemlich wahrscheinlich wird, dass auch bei den Zoosporen das. grösste Streben gegen das Licht im Lichte mittlerer Intensitüt stattfindet, so kann dabei die hellste Stelle des Tropfens nicht mit der Stelle des den beobachteten Zoosporen am meisten entspre- chenden Lichte zusammenfallen; und da es geradezu | unmöglich ist, die Lage des letzteren im Tropfen zu | bestimmen, so fällt damit auch die Berechtigung, aus der Lage der grünen Masse in Tropfen auf ihr Ver- halten gegen das Licht zu schliessen, weg. Oscillatoria insignis Thw. Die grünbraunen Fäden dieser Alge sammelte ich in einem Graben bei Peterhof. Sie bedeckten theils als dunkle braune sammetartige Schicht die im Wasser befindlichen Gegenstände, theils schwammen sie als schaumige Masse auf der Oberfläche des Wassers. Es war mir interessant, auch diese Alge auf ihr Verhalten zum Lichte zu prüfen, um zu sehen, in wie weit eine ۰ Analogie mit den eben beschriebenen. Organismen stattfinde. | Von keinem Forscher noch war eine Abhängigkeit der Bewegung der Oscillatorien vom Licht bemerkt, von Cohn?) sogar neulich ganz in Abrede gestellt worden. Desto überraschender war mir daher das von mir er- haltene Resultat, dass nicht nur die Bewegung der Oscillatoria insignis. durch das Licht bedingt wird, sondern dass die Analogie mit Chlamidomonas und Euglena noch weiter geht; es hat sich nämlich gezeigt, dass die Fäden der Oscillatoria insignis nur gegen das Licht mittlerer Intensität streben, dagegen das direkte Sonnenlicht ebenso vermeiden, wie die Dunkelheit‘). Es hat sich nur darin ein Unterschied herausgestellt, dass die Bewegung der Oscillatoria viel langsamer vor sich geht, und dass sie deshalb auch mehr Zeit braucht, um bemerkt werden zu können. Während Chlamido- monas und Euglena im Licht schon nach wenigen Mi- nuten sich zu grünen Streifen gruppiren, brauchen die Oscillatoria-Fäden mehrere Tage, um alle herüberzu- wandern. Um diese Verhältnisse zu beobachten, genügt es, in zwei gleiche, mit dem aus dem Graben geschópften Wasser gefüllte Untertassen je einen Klumpen Oscil- latoria-Fäden in die Mitte des Gefässes hineinzu- bringen, die beiden Gefässe, wie in den vorigen Ver- suchen, mit Bretchen zu bedecken und das eine dann ins direkte Sonnenlicht, das andere in den Schatten zu ` stellen. Die durch das Bretchen beschatteten Oscil- latoria-Fäden änderten ihre Gruppirung Anfangs in den beiden Untertassen auf ganz gleiche Weise: der im Wasser suspendirte Klumpen entsendete nach allen. 5) "ds Jahresbericht der Schles. Gesellsch. f. vaterl. Cultur. e H ‚Versuche wurden im Laufe des Juni-Monats Engels 545 des Sciences de Saint- Petersbourg. 346 Seiten Büschel von Fäden aus, welche sich strahlen- artig theils dem Boden des Gefässes entlang, theils auf der Wasseroberfläche ausbreiteten. Unabhängig von der verchiedenen Breite der Strahlen ging ihr Längen- wachsthum bei allen in gleichem Maasse vor sich, so dass ihr Gesammtumriss, von oben gesehen, immer nahezu kreisförmig erschien. Diese Gleichmässigkeit im Hervorwachsen der Strahlen bestand aber in beiden Fällen nur so lange, bis sie an den Rand des vom Bretchen geworfenen Schattens gelangten. Von dieser Zeit an begannen in dem in den Schatten gestellten Gefässe die dem Lichte zugewendeten Strahlen stärker . zu wachsen; bei den übrigen hörte dagegen nicht nur das weitere Wachsthum auf, sondern sie wurden all- mählich eingezogen und verschwanden endlich ganz. Schon nach einigen Tagen waren im Schatten des Bretchens keine Oscillatoria-Fäden mehr aufzufinden, da sie alle nach dem beleuchteten Theile der Unter- tasse hinübergewandert waren und hier eine braune Membrane gebildet hatten, welche sowohl die ganze Oberfläche des Wassers, als auch die Wände und den Boden, aber nur bis zum Rand desSchattens, bedeckte, wo sie plôtzlich abbrach. In der dem direkten Sonnenlichte ausgesetzten Untertasse gingen ebenso Veränderungen in der Lage der Oscillatoria - Fäden vor, aber nur in entgegenge- setzter Weise: die dem Lichte zugekehrten Strahlen wuchsen nur bis an den Rand des Schattens; hier hörte ihr Längenwachsthum auf. Die nach anderen Seiten gewendeten Strahlen verlängerten sich noch weiter, bis sie die ganze Oberfläche des Wassers, die Wände und den Boden des Gefässes in seinem be- schatteten Theile als ununterbrochene Schicht über- . deckten. Am Rande des Schattens brach auch hier die Membrane plötzlich ab. Am anschaulichsten lässt sich die in beiden Unter- tassen sich zeigende Differenz in der Lage der Oscil- latoria-Fäden beobachten, wenn man gleichzeitig von den beiden Untertassen die Bretchen abhebt und dann die Gruppirung in beiden Gefässen vergleicht; sogleich fällt es auf, dass die in der ersten Untertasse durch die braune Oseillatorien-Membrane bedeckten Stellen den unbedeckt gebliebenen in der zweiten entsprechen, also die Gruppirung der Oscillatoria-Fäden in der einen Untertasse der in der anderen entgegengesetzt ist. Durch die Umkehrung der Untertasse ist es mög- Tome X. lich, die Oseillatoria-Fäden zu zwingen, noch ein Mal über die Untertasse zu wandern. Oscillatoria ist in- dessen für derartige Versuche bei weitem nicht so günstig wie Chlamidomonas und Euglena; die letzteren durchstreichen die Untertasse in wenigen Minuten, so dass man im Stande ist, mit ihnen während einer Stunde mehrere Experimente zu machen, wobei das zu untersuchende Material noch ganz frisch bleibt. Ein derartiges Experiment mit Oscillatoria dagegen fordert mehrere Tage, wührend welcher Zeit die Os- cillatoria-Fäden in der Untertasse sich in nicht beson- ders günstigen Verhültnissen befinden, denn sie zeigen niemals eine Weiterentwickelung, bleiben dem An- sehen nach eine Zeit lang unveründert, gehen dann aber allmáhlich zu Grunde. Umständlicher als in den vorigen Versuchen wurde das Verhalten der Oscillatoria zum Licht auf folgende Weise geprüft. In drei, gleich den vorigen bereitete Untertassen brachte ich gegen 9 Uhr Morgens je einen Klumpen Öseillatoria-Fäden hinein; die eine setzte ich dem direkten Sonnenlichte aus, die andere stellte ich in den Schatten, die dritte in einen dunkeln Schrank. Es ergab sich Folgendes: Untertasse im direkten Sonnenlichte, 6 Uhr Abends. Die Fäden hatten sich strahlenartig gruppirt, die Strahlen waren schon ziemlich in die Länge ge- wachsen, der Hauptmasse nach erhoben sich die Fäden gegen die Oberfläche des Wassers, und hier waren die Strahlen am zahlreichsten. Von diesen Strahlen zweigten sich nach unten eine Menge Oscillatoria- ‚Bündel ab, welche, den Boden der Untertasse nicht erreichend, lose herabhingen. Die auf dem Wasser schwimmende Hauptmasse war mit dem unten geblie- ` benen Theile der Fäden durch einen dicken Strang aus eben solchen Fäden vereinigt, welcher sich in seiner unteren Hälfte in mehrere dünnere Stränge theilte, die als Anker zum Befestigen der oberen Fäden-Masse dienten. Vor 6 Uhr Abends blieben alle Oscillatoria-Fäden noch im Schatten. Um 7 Uhr dagegen waren einige Fäden nach dem beleuchteten Theile der Untertasse übergegangen. (Die Sonne ver- liess das Fenster gegen 4 Uhr Abends; gegen diese Zeit wurde auch das Wetter trübe.) Als ich nun die Oscillatoria am vierten Tage be- obachtete, fand ich, dass ihre Fäden wie in den vorigen Versuchen als fortlaufénde braune Membrane 547 Bulletin de l'Académie Impériale 545 den ganzen beschatteten Theil der Untertasse beklei- deten. Nur sehr wenige Fäden fand ich in dem beleuch- teten Theile der Untertasse vor. Die Bewegung der Oscillatoria in der Nacht muss äusserst langsam sein, denn niemals ist es mir in der Nacht gelungen, zu beobachten, dass ihre Fäden den ganzen, am Tage von der Sonne beschienenen Theil der Untertasse eingenommen hätten; nur um ein We- niges fand ich sie immer über die Grenzlinie des Schattens vorgerückt. Die Untertasse im Schatten, 6 Uhr Abends. Die Lage der Fäden war auch strahlig, die Strahlen aber um die Hälfte kürzer, und daher der kleinere Durchmesser des Gesammtumrisses ganz augenfällig. Die obere Masse der Fäden war auch hier mittelst eines dicken Stranges mit den unten gebliebenen Fä- den vereinigt. Von den auf der Oberfläche des Wassers sich ausbreitenden Strahlen zweigten sich auch hier kleine Stränge von Fäden nach unten ab, aber sie waren um Vieles kürzer und dabei viel weniger zahl- reich. Am vierten Tage waren schon alle Fäden, wie in den vorigen Versuchen, in den beleuchteten Theil der Untertasse hinübergewandert. «Die Untertasseim Dunkeln, 6 Uhr Abends. Die | strahlige Anordnung war sehr wenig ausgebildet. Aus der Hauptmasse waren nur sechs kurze und dicke Stränge hervorgewachsen, welche sich am freien Ende pinselartig ausbreiteten. Sie blieben alle auf dem Bo- den der Untertasse liegen; auf der Oberfläche des Wassers waren gar keine Oscillatoria-Fäden zu sehen. Am vierten Tage fand ich einige wenige Fäden über den Boden der Untertasse ausgebreitet, die meisten dagegen ganz unverrückt. Auf der Oberfläche des Wassers waren auch jetzt noch keine Oscillatoria- Fäden zu sehen. . NB. Am Anfang des Noraida bemerkte ich, قنك‎ im dunkeln Schrank alle Strãnge sich nach einer Seite richteten. Eine genauere Untersuchung liess mich in dieser Richtung im Schranke einen engen Spalt er- kennen. Als ich aber den Spalt zudeckte, verschwand auch die einseitige Richtung der Strahlen, und sie er- schienen nach allen Seiten hin gleich. Als Resultate dieser "T e sich folgende Sätze aufstellen: = . - 1) Die Bewegung der Deesibioria یس‎ Tu. wird hauptsichlich durch das Licht bewirkt. ` 2) Im Dunkeln findet auch eine Bewegung der Fä- den statt, aber nur eine ganz langsame. 3) Die Oscillatoria- Fäden streben nur gegen das Licht mittlerer Intensität zu. Das direkte Sonnenlicht aber vermeiden sie ebenso, wie die Dunkelheit. Die Wirkung des Lichts auf das Ergrünen der Pflanzen, von A. Famintzin, Docenten an der Universität zu St. Petersburg. (Lu le 20 - tembre 1866.) Nachdem es mir gelungen war nachzuweisen, dass die Bewegung einiger Algen durch das Licht mittle- rer Intensität am stärksten hervorgebracht werde, kam ich auf die Idee, dass auch bei den Phanerogamen analoge Erscheinungen sich finden lassen möchten, Indem ich mich nun in der vorhandenen Literatur umsah, fand ich auch bald wirklich einige That- sachen, welche darauf zu deuten schienen, denen aber jetzt eine ganz andere Erklärung gegeben wird. Un- ter den vielen interessanten Entdeckungen, mit denen Prof. Sachs die Pflanzen-Physiologie bereichert hat, findet sich auch Folgendes*): «Legt man ein sehr dünnes Bleiband um ein etiolirtes Blatt und setzt es dem Lichte aus, so fürbt sich der beleuchtete Theil grün, nur die beschattete Stelle nicht; dies geschieht aber nur dann, wenn das Bleiband sehr dicht anliegt; dringt dagegen noch hinreichend Licht unter dasselbe, und scheint die Sonne auf das Blatt, so wird die be- schattete Stelle eher grün als die anderen.» Ausführlicher behandelt er diese Erscheinungen in der Flora, 1862. S. 214: «Ich liess Maiskórner im Finstern keimen, und als sie die beiden ersten Blät- ter völlig gelb entfaltet hatten, stellte ich die Töpfe mit den Pflanzen in eine Reihe neben einander an das sonnige Fenster. Die Pflanzen des einen Topfes blieben unbedeckt der direkten Sonne ausgesetzt. Die Pflanzen des zweiten Topfes wurden mit einer Glocke bedeckt, welche aus einem einfachen Bogen weissen Papiers gebildet war, die des dritten Topfes mit einer Glocke, welche aus dreifach liegendem Papier gemacht | war. Als nach 2— 3 Stunden die unbedeckten Pflan- zen noch keine Spur von grüner Färbung zeigten, be- gannen die mit der einfachen Glocke schon zu FE /.*) Sachs, Physiol. S. 11. 549 des Sciences de Saint- Pétersbourg. nen, die unter der dreifachen Papierglocke aber wa- ren schon sehr merklich grün, obgleich sie offenbar am wenigsten Licht erhalten hatten. Dieser Versuch wurde ófters wiederholt und dasselbe Verhalten auch bei Phaseolus vulgaris beobachtet. Noch viel über- raschender ist folgende Beobachtung. Ich bedeckte einzelne Stellen der vergeilten Blütter von Maiskei- men mit Stanniolbändern, die ziemlich locker auflagen. Die Pflanzen wurden damit an die Sonne gestellt. Nach 1 — 2 Stunden waren alle freien Stellen noch gelb, ohne eine Spur von Grün. Die Stellen aber, welche von den Stanniolbändern bedeckt waren, zeig- ten sich dunkelgrün und stellten Schattenbilder der Stanniolblüttchen dar. Dass auch in diesem Falle das Ergrünen durch die Verdunkelung, aber nicht durch völligen. Lichtmangel erzeugt wird, geht daraus her- vor, dass das grüne Schattenbild sich nicht bildet, wenn man ein dünnes Bleiband (welches sich besser anlegt) recht sorgfältig auf dem vergeilten Blatte be- festigt, so dass seitlich kein Licht zwischen Band und Blatt eindringen kann.» Diese Thatsachen aber lassen, wie es leicht einzu- sehen ist, eine zweifache Erklürung zu. Die beschat- teten Pflànzchen, sowohl die mit Papiertuten über- deckten, als auch die mit Bleiband oder Stanniol um- wickelten, waren immer einer höheren Temperatur ausgesetzt, als die von der Sonne beleuchteten: unter der Papiertute durch die Erwärmung der Luft unter der Tute, unter den Metallbinden durch die gróssere Erwärmung derselben. Das raschere Ergrünen der beschatteten Pflänz- che konnte in diesen Versuchen mit eben solchem Rechte der Erwärmung als dem gemässigten Lichte zugeschrieben werden. Diese beiden Erklärungsweisen wurden auch von Prof. Sachs den eben geschilderten Erscheinungen zu verschiedenen Zeiten gegeben. In der Flora, 1862, schreibt er das raschere Er- grünen der beschatteten Pflänzchen der Verminde- rung der Lichtintensitàt zu, wie man in folgendem Satze liest: «Dass übrigens das zerstreute Tageslicht das Ergrünen rascher bewirkt als direktes Sonnen- licht, ist längst bekannt.» -In seinem Lehrbuch der Physiologie, 1866, S. 11, giebt er eine andere Erklärung. Das raschere Ergrü- nen der durch lose angelegtes Bleiband beschatteten Stelle des Blattes wird nach ihm deshalb hervorge- bracht, «weil das Bleiband sich erwärmt und die hö- here Temperatur selbst bei geringerem Lichte ein rascheres Ergrünen bewirken kann; so fand ich es bei Zea Mays; auf gleiche Art dürfte sich die That- sache erklären, dass etiolirte Maispflanzen mit einer Papierrolle bedeckt dem Sonnenlicht ausgesetzt eher ergrünen, als ohne diese beschattende Umhüllung, welche erwärmend auf die darin enthaltene نيد‎ wirkt.» Es war mir daran gelegen, diese Versuche zu wie- derholen, sie aber in der Weise einzurichten, dass sie nur eine dieser Erklärungen zuliessen. Ich stellte mir also zur Aufgabe, zu erforschen, ob ein rascheres Er- grünen der beschatteten Pflänzchen nur mit Beihülfe der Erwärmung, oder auch ohne dieselbe bloss durch Verminderung der Lichtintensität hervorgerufen wer- den könne. ` Ich wiederholte die Versuche von Prof. Sachs an Lepidium sativum, Brassica Napus und Zea Mays. Ich beschattete diese Pflänzchen aber nicht mittelst Papiertuten, oder Umwickeln mit Stanniol- und Blei- band, sondern mittelst eines vertical aufgehängten Blattes Papier, oder indem ich sie in den Schatten stellte. — In dieser Weise wurden diese Pflänzchen einem gemässigten Lichte ausgesetzt, indem sie nicht, wie in den Versuchen von Prof. Sachs, erwärmt wur- den, sondern sogar an einen kühleren Ort zu stehen kamen, als die direkt von der Sonne beschienenen. Nichts desto weniger kam auch in diesem Falle ein rascheres Ergrünen der beschatteten Pflänzchen zu Stande. Am 1. August, um 10 Uhr 21 Beschte ich die in drei Töpfen im Dunkeln gekeimten Pflänzchen von Lepidium sativum ans Licht: den einen Topf stellte ich ins direkte Sonnenlicht, den zweiten dane- ben, beschattete ihn aber durch ein vertical gestelltes Blatt Papier, den dritten brachte ich in den Schatten. Um 11 Uhr 40 Min. waren die Cotyledonen der meisten Pflänzchen im ersten Topfe noch ganz gelb; ein theilweises Ergrünen war nur an denjenigen Sa- menlappen zu bemerken, welche vom Lichte noch ab- gekehrt, oder durch benachbarte Pflänzchen beschat- tet, oder endlich in der Samenschale noch verhüllt waren. o | | In den beiden anderen Töpfen waren alle Samen- 35* 551 Bulletin de l’Académie Impériale 552 lappen, ihrer ganzen Ausdehnung nach, gleichmässig | niolstreifen los; diese Stelle war, ebenso wie die durch grün geworden. Am 13. August, 10 Uhr Morgens, brachte ich ans Licht vier Tópfe der im Dunkeln gekeimten Pflünz- chen von Lepidium sativum und Brassica Napus. Ich stellte sie alle ins direkte Sonnenlicht, indem ich aber zwei von ihnen durch ein Blatt Papier beschattete. Um 11 Uhr 30 Min. waren die beschatteten Pflänz- chen schon etwas grün geworden, die im direkten Sonnenlichte aber noch ganz gelb. Gegen 2 Uhr Nachmittags hatten die ersteren eine sattgrüne Fürbung bekommen; die letzteren begannen erst stellenweise zu ergrünen. Mehrere andere in dieser Art angestellten Versuche gaben ganz übereinstimmende Resultate. Ebenso ist es mir gelungen, ein Ergrünen der ver- geilten Keimlinge von Zea Mays durch Beschatten hervorzurufen. | Die Mais - Pflänzchen waren eben so alt, wie die von Prof. Sachs beobachteten; sie hatten erst das zweite Blatt vollkommen entfaltet. Ich stellte das zweite Blatt ganz vertical, verband es an einer Stelle ringsum mit einem Stanniolblättchen, welches ich lose an- legte; in einiger Entfernung beschattete ich einen eben so grossen Raum desselben Blattes mittelst eines Stan- niolblättchens, welches aber nicht an das Blatt be- festigt, sondern an ein Stück dicker Pappe mit Siegel- lack angekittet war; die Pappe wurde in ein hölzer- nes Gestell eingeklemmt und konnte also nach Belie- ben dem Blatte genähert werden. Um aber jede Spur einer Erwärmung ganz unmöglich zu machen, klebte ich auf der entgegengesetzten Seite der Pappe zwei kleine und schmale Holzstäbchen an, auf die ich mit- telst Siegellacks noch ein Stück Pappe befestigte. ` Durch diese beiden Stücke Pappe und die zwi- schen ihnen sich befindende Luftschicht war auch die leiseste Erwärmung der beschatteten Stelle des Blattes unmöglich geworden. Um 11 Uhr Morgens wurde der Versuch begonnen. . Um 12 Uhr 30 Min. war schon ein Ergrünen der mit Pappe beschatteten Stelle des Blattes ganz deut- lich zu sehen. Die freie Oberfläche des Blattes war dagegen noch ganz gelb. Gegen 2 Uhr Nachmit- tags war das Ergrünen der beschatteten Stelle noch intensiver geworden, die freie Oberfläche des Blattes aber noch ganz gelb. Um 2 Uhr band ich den Stan- Pappe beschattete, grün geworden. Ich wiederholte auch diesen Versuch mit demsel- ben Erfolge. Durch diese Versuche fand ich also die von Prof. Sachs angegebenen Thatsachen vollkommen bestätigt. Nur seiner Art der Erklärung dieser Erscheinungen sehe ich mich genöthigt auf das Bestimmteste zu wi- dersprechen. : Indem nämlich das raschere Ergrünen der beschat- teten Pflänzchen dem gemässigten Lichte zugeschrie- ben werden muss, so ist auch damit bei den Phane- rogamen eine Lebensfunktion nachgewiesen, welche am stärksten durch das Licht mittlerer Intensität her- vorgerufen wird. Mittheilungen über das Herz der Insecten und Muscheln. Physiologische Vorstudien von Alexander Brandt. (Lu le 20 septembre 1866.) I. Ueber das Herz der Insecten, Als Untersuchungsobjecte wurden von mir bisher folgende Insecten benutzt: die Afterraupe von Cimbex betulae (besonders häufig), die Raupen von Pontia brassicae, Bombyx rubi, Sphinx tiliae, ausgewachsene Exemplare von Locusta verrucivora u. a. m. Was die Hülfsmittel der Untersuchung betrifft, so bediente ich mich bei den Untersuchungen stets eines Praeparirmikroskopes, sogen. Simplex. Automatie des Herzens. Bekanntlich herrschen unter den Naturforschern bis jetzt noch sehr unbestimmte Vorstellungen über den Herzschlag bei den Arthro- poden im Allgemeinen. So stellt z. B. der um die ver- gleichende Physiologie so hochverdiente, berühmte Zoolog Milne Edwards den Satz auf, dass die Auto- matie des Herzens bei den Decapoden eine nur ein- seitige, sich auf die Systole allein beschränkende sei, indem die Diastole auf Contraction der von aussen ans Herz herantretenden Muskeln beruhe '). Ob Milne Edwardsaus vergleichend-anatomischen Gründen die- . senSatz auch auf dasInsectenherz zu übertragen dachte, oder nicht, wage ich nicht zu entscheiden. Wie dem auch sei, für die Decapoden, oder doch wenigstens für den Flusskrebs, kann diese Auffassung nicht an- 1) Leçons s. la Physiol. et l'Anat. comp. T. 111 (1858) p. 183- 553 des Sciences de Saint- Pétersbourg. genommen werden, und zwar auf Grund folgender zwei Thatsachen, wovon die eine eine physiologische, die andere eine anatomische ist. Die erste dieser Thatsachen besteht darin, dass das Krebsherz, wenn man seine äussern Muskeln durchschneidet, oder es ganz herausnimmt, zu pulsiren fortführt^). Die zweite Thatsache ist die, dass ganz ähnliche Muskeln auch zwischen den übrigen Eingeweiden des Krebses aus- gespannt sind, und diesen kann allem Anscheine nach nur eine untergeordnete Rolle, am wenigsten aber Automatie, zukommen. Uebrigens liesse sich die Ver- muthung aufstellen, dass diese äussern Muskeln des Herzens (oder «Zwischeneingeweidemuskeln» des Herzens, wie man sie nennen kónnte) durch die Deh- nung, welcher sie bei jeder Systole ausgesetzt sein müssen, zu einer Contraction veranlasst werden. Diese Contraction würde alsdann die auf die Systole folgende Diastole des Herzens unterstützen. Es dürfte diese Hypothese mit den bisherigen physiologischen Erfahrungen nicht im Wiederspruche stehen, da be- kanntlieh durch blosses Dehnen Muskeln zu einer Contraction veranlasst werden. Wie dem auch sei, jedenfalls sind die äussern Herzmuskeln beim Krebse höchstens als diastolische Hülfsmechanismen zu be- trachten. Dieses für das Herz des Flusskrebses gewonnene Resultat forderte mich zu einer Prüfung des Insecten- herzens in derselben Richtung auf. Das Experiment erwies Folgendes. Es gelingt mittelst eines scharfen Scalpells, die Sei- tenmuskeln vorsichtig auf mehr oder weniger grossen selbst ganz leichte Zerrungen, wie sie bei der Prä- paration unvermeidlich sind, schlecht vertragen ۰ unten).— Die Automatie des Insectenherzens ist also gleich der des Krebsherzens keine einseitig -systo- lische, sondern eine vollkommene, systolisch- diastolische. . Die oben für die äussern Muskeln des Krebsher- zens hypothetisch zugelassene diastolische Hülfsfunc- tion dürfte mit demselben Rechte auch den äussern Muskeln desInsectenl gesproch len kón- nen. Doch wenn man bedenkt, wie zartwandig das In- sectenherz ist und wie es dem Drucke der übrigen Ein- geweide, besonders dem des überfüllten Darmkanals bei den Raupen ausgesetzt ist, und dabei in Betracht zieht, dass ich nach Durchschneidung der Seitenmuskeln die entsprechende Herzpartie sich verengern sah, so glaubt man sich berechtigt gleichfalls anzunehmen, dass die Seitenmuskeln auch die Form und Lage des Herzens sichern und sein Lumen offen erhalten. Die Seiten- muskeln dienen übrigens schon insofern als Ligamente, als sie das Herz mit Tracheen versorgen *). Einfluss mechanischer Reizung aufs Herz. Unsanft be- handelte Stellen des Herzens werden leicht für einige Zeit, oder auch für immer, bewegungslos. Wollte man daher das Herz vom Rücken des Thieres aus prüpa- riren, so würde man wohl nur sehr selten den Herz- schlag beobachten können; denn bei dieser Präpa- ration ist Dehnung und Zerrung des Herzens unver- meidlich. Eine von der Bauchseite aus vorgenommene Präparation des Herzens setzt es hingegen fast keinen mechanischen Insulten aus. Nachdem man die Bauch- Strecken zu durchschneiden, ohne Stillstand der ent- sprechenden Herzpartie zu veranlassen (nur verengert sie sich ein wenig). Ja man kann darauf diese Partie ganz ausschneiden und sie fortschlagen sehen °). Zu diesem Versuche sind kräftig pulsirende Herzen grös- serer Insecten, namentlich von Raupen zu wählen, da sie an andern, noch zarteren, dünnwandigeren Herzen ` selten gelingen, indem überhaupt die Insectenherzen 2) Carus, C. G. Von den äussern Lebensbedingungen d. weiss- ` und kaltblütigen Thiere. Leipzig. 1824. 4. Beilage N. 2. (Über Herz- ‚schlag u. Blut d. Weinbergschnecke u. des Flusskrebses). Brandt, ` A. Physiol. Beob. am Herzen d. Flusskrebses. Bull. de Acad. des Se. de St. Pét. T. VIII, p. 416 oder Mélanges biol. T. V, 1. p. 115. — 3) Beilàufig sei hier erwähnt, dass man das Herz in eine belie- bige Anzahl von Stücken zerschneiden kann, welche zu pulsiren fortfahren. Die Automatie ist also gleichmässig über das ganze Herz verbreitet. seite der Länge nach aufgeschlitzt und das Präparat gehörig ausgespannt hat, braucht man ja bekanntlich nur die Eingeweide (bei Raupen meist nur den Darm- kanal) mit einer Pincette zu fassen und in einem Zuge zu entfernen, um das ganze Herz vor sich zu haben. Streichen mit einer Nadelspitze hatte localen Still- 4) Oben wurde darauf hingewiesen, dass beim Krebse das Herz nicht das einzige Organ sei, welches mit äussern Muskeln versehen ist; dass vielmehr ähnliche Muskeln auch zwischen zia Einge- eiden gesp t sind. Di dürfte sich h den ingewei en, namentlich dem Darme, der Insecten sagen lassen. Bei den Insecten (und andern Gliederthieren) wurden sogar am Nervensystem Mus- keln gefunden. Über die Muskeln des Nervensystems ist besonders zu Rathe zu ziehen: Leydig. Vom Bau des thierischen Kör- pers. Tübingen, 1864. 8, Ba. I. 1, p. 209 und die hierzu gehörigen Tafeln zur Vergl. Anat. = 356 555 Bulletin de l’Académie Impériale stand des Herzens mit Zusammenschnürung verbun- | rend das zweite Viertel und die hintere Hälfte im den zur Folge. — Wurden auf dem Herzen zwei | ungleichen Tempo fortschlugen. Als nun auch das sehr feine Drähte fixirt, welche mir auch als Elec- trode dienten, deren gegenseitiger Abstand ein ge- ringer war, so wurden die Pulsationen an der von den Drähten eing Stelle bedeutend häufigerund ‚schwächer. Die Reibung der pulsirenden Stelle an den Drähten möchte wohl diese Erscheinung veranlassen. Auf leise Berührung, so mit einer. Nadelspitze, reagirt das Herz der Insecten, ähnlich dem der Wirbelthiere, durch eine Pulsation; doch ist diese Pulsation wesentlich von den durch denselben Reiz an Krebs- und Wirbelthierherzen erzeugbaren da- durch verschieden, dass sie eine nur locale ist. ‚Statt der localen Pulsation kann auch eine ausge- sprochene und anhaltende , gleichfalls locale, Ein- schnürung entstehen, welche sich erst allmählich löst und den früheren Pulsationen weicht. Diese localen Reactionen auf Berührung, besonders die anhaltende Einschnürung, nähert in physiologischer Beziehung das Insectenherz dem Darmkanale der Wirbel- und wirbellosen Thiere. Die Form des Insectenherzens, der peristaltische Charakter seiner Pulsationen, so wie sein Verhalten gegen intermittirende electrische Ströme (s. unten) vervollständigen diese Analogie. Einfluss intermittirender electrischer Ströme. Ein hierher gehöriger Versuch findet sich verzeichnet in E. H. Weber’s Artikel: Über Ed. Weber’s Entdeckun- gen in der Lehre von der Muskelcontraction (Müll. Arch. 1846 p. 504). Die betreffende Stelle lau- tet: «Anders verhielt sich das Herz (Rückengefäss) der Weidenraupe. Dasselbe war in einer sich rhyth- misch wiederholenden, wellenfórmigen Bewegung be- ‚griffen und gebrauchte nach der Oeffnung des Leibes zu 10 Schlägen 46 Sekunden. Wurde es einen Mo- ment lang mit den Dráühten bei vorliegendem Anker berührt, so stand der vordere Theil des Herzens von der berührten Stelle an still, während der hintere Theil seine wellenfórmigen Bewegungen bis zu der berührten Stelle hin (wiewohl etwas langsamer, näm- lich 10 Mal in 54 Sekunden) fortsetzte. Ungefähr ‚nach einer Minute fing auch der vordere Theil an zu ‚schlagen, aber viel langsamer, so dass seine Schläge mit dem je vierten des hinteren Theiles zusammen- fielen. Berührte man nun wieder die vordere Hälfte inihrer Mitte, so stand das erste Viertel still, wäh- vorderste Viertel wieder zu schlagen begann, zerfiel das ganze Herz in drei Theile, von denen jeder in einem andern Tempo schlug.» Leider standen mir keine Weidenraupen zu Gebote, so dass ich den eben citirten Versuch nicht genau habe wiederholen kónnen. Die von mir an andern, den obengenannten Insecten gemachten Beobachtun- gen sind in Kürze Folgende. Einzelne Inductionsschläge gaben bei genäherten Electroden eine, oder auch (wenn die betreffende Herzpartie schon zu schlagen aufgehórt hatte) eine Anzahl órtlicher Pulsationen. Schwächere Inductionsströme sah ich die Pulsa- tionszahl steigern, wobei die Pulsationen kleiner zu werden pflegten; auch konnten mittelst schwacher Ströme die Pulsationen an stehen gebliebenen Stellen wieder geweckt werden. Bedient man sich einander sehr genüherter ite troden (z. B. bis auf 1—2 mm.), so lässt sich jede beliebige Stelle des Herzens tetanisiren, Der Te- tanus erscheint als eine deutliche, örtliche Einschnü- rung, welche entweder genau dem Abstande beider Electroden entspricht, oder sich beiderseits um ein Geringes über ihn hinaus erstreckt. Werden hierbei die Electroden nicht eine hinter der andern aufs Herz applieirt, sondern zu beiden Seiten des Herzens, so dass sie dasselbe umfassen, so pflegt die Einschnü- rung eine mehr lineare zu sein. — Was die Dauer des Tetanus anlangt, so hält er entweder genau nur so lange an, als der Strom währt, so dass im selben Moment, wo der Strom sistirt wird, die tetanisirte Stelle sich ausdehnt und sogleich zu pulsiren beginnt, oder er überdauert die Reizung mehr oder weniger lange (z. B. 1—2 Min.) und löst sich erst später all- mählich. In letzteren Fällen konnte ich durch succes- - sive Reizung an mehreren Stellen das ganze Herz in temporären Tetanus versetzen. In noch andern Fäl- len war der Tetanus ein bleibender. Endlich ist zu bemerken, dass bei nicht momentaner, sondern per- manenter Reizung die tetanisirte Stelle endlich den Strom gleichsam überwinden und wieder zu pulsiren anfangen kann (Überreizung’). Die genannten Ab- LE i D ^ 5) Ahnliches sah ich kürzlich auch am Herzen des Flusskrebses- 357 des Sciences de Saint- Pétershourg. weichungen im Verhalten des Herzens zum Inductions- strome werden bedingt zum Theil durch Verschieden- heiten der Stromstärke und des Electrodenabstandes, zum Theil vielleicht aber auch durch specifische Un- terschiede der angewandten Thiere. Jedenfalls aber sind diese Abweichungen wohl nur quantitativ unter einander verschieden. Das Nähere soll später mitge- theilt werden. Während eines örtlichen Tetanus verhielten sich die an die tetanisirte Stelle angrenzenden Herzpartien verschieden. Entweder blieb die Zahl der Pulsationen sowohl vor, als E hinter der tetanisirten Stelle die nämliche, wobei die Schläge isch erschei- nen konnten, oder es zeigten ‘sich mehr oder weniger erhebliche Zahlendifferenzen. An ein und demselben Herzen, ja bei einer und derselben Reizungsstelle können übrigens diese Varianten nach einander auf- treten. | | Waren die Zuleitungsdrähte einander sehr genä- hert, so konnte, wie gesagt, jede beliebige Stelle des Herzens in Tetanus versetzt werden. Bog ich die- selben Zuleitungsdrähte weiter (bis auf 4—7 mm.) auseinander und applicirte sie nun (gleichviel ob di- rect ans Herz, also eine hinter der andern, oder zu beiden Seiten des Herzens), so entstand bei derselben Stromstärke statt des Tetanus gerade das Gegentheil, Stillstand in der Diastole. Sobald das Hämmerchen ar- retirt wurde, Del die Stelle zusammen und begann zu pulsiren. Übrigéns ist zu bemerken, dass dieses Phaenomen sich nicht als constant zeigte. Obgleich ich nicht geringe Zeit darauf verwandt habe, den Causalnexus zwischen dem grósseren Electrodenab- Stande und dem diastolischen Stillstande aufzuhellen, so bin ich bis jetzt doch nur zu blossen Muthmas- sungen gekommen. Ich will mich daher vor der Hand damit begnügen, auf die fragliche Erscheinung hin- ine‏ ما gewiesen zu haben. Versuchen wir nun das von Weber beiläufig an- gestellte Experiment mit den eben erwähnten Be- obachtungen in Einklang zu bringen. — Örtlichen Tetanus konnte ich an allen bisher untersuchten Her- zen hervorrufen; es lässt sich desshalb vermuthen, dass er auch beim Weber’schen Versuche wird vor- handen gewesen sein, besonders da die mit den Dräh- darf, indifierenten "—Ü für die vor - hinter ihr disharmonisch schlagenden Herzpartien abgab. Falls Weber beim angeführten Experimente keines Vergrósserungsapparates sich bediente, so würe zu- nächst an ein Übersehen des Tetanus zu denken. Schwerer zu erklüren würe der Umstand, dass Weber bei der Reizung, welche, wenn ich recht verstehe, beide Male an der Grenze zwischen dem ersten und zweiten Viertel des Herzens vorgenommen wurde, am ganzen vorderen Viertel Stillstand beobachtete, Sollte unwillkührliche Zerrung den Stillstand des vor- deren Viertels bedingt haben? Ähnliches ist wenigstens auch mir bisweilen vorgekommen. — Was die Pulsa- tionsverlangsamung der hinter der gereizten Stelle gelegenen Herzpartie im Weber’schen Versuche be- trifft, so erscheint sie als unerheblich; denn vor der Reizung zählte man 10 Schläge in 46 Sekunden und nach derselben 10 Schläge in 54 Sekunden oder 13 und 11 in einer Minute. Diese Differenz ist so gering, dass man sie nicht dem Einflusse des Stromes zuzuschrei- ben braucht; sie dürfte vielmehr eine ganz autochthone sein. Der Einfluss der Sonne äusserte sich durch Kräftigung, Vermehrung und Wiedererweckung der Pulsationen. Deshalb war es häufig von Nutzen im directen Son- nenlichte zu experimentiren, wenn ein Herz nicht mehr die gehörige Energie besass. — Übrigens ist der Einfluss der Wärme auf den Herzschlag schon längst bekannt. Einfluss der Luftreizung. Derselbe zeigte sich am Pir zen in Fällen, welche dem folgenden ähnlich waren. Das gut pulsitendo Herz einer Raupe wurde, um es zu conserviren, mit dem Darmkanal zugedeckt. Nach einer halben Stunde wurde die Bedeckung entfernt ; das Herz war stehen geblieben. Bald darauf fing es» aber allmählich wieder zu pulsiren an. Die Schläge er- reichten die frühere Intensitüt, so dass die Versuchs- reihe, zu welcher das Herz vorher benutzt worden war, wieder aufgenommen werden konnte. Es ist diese Beobachtung natürlich nichts weiter, als ein Analo- gon des alten bekannten Phaenomens, welches darin besteht, das bei getódteten Wirbelthieren das stehen- gebliebene Herz wieder zu pulsiren anfángt, wenn man durch Oeffnen der Brust dem Sauerstoffe der Luft Zutritt 1 ten berührte Stelle spüter einen, wenn man so sagen | verschafit. ss Bulletin de l’Académie Impériale 560 Il. Ueber das Herz der Muscheln °). Die nachstehenden Beobachtungen beziehen sich fasst ausschliesslich auf die Herzkammer von Ano- donta anatina L. und: Unio tumidus Retz. Automatie kommt auch den Herzen von Anodonta und Unio zu, da sie, wenn man sie ausschneidet, zu pulsiren fortfahren. Mechanische Reizung. Das Herz von Unio und Ano- donta hört leicht für einige Zeit (z. B. eine Min.) zu pulsiren auf, wenn es gezerrt wird. Es ist fraglich, ob die Erscheinung, dass das Herz nach dem Öffnen der Muschel eine Zeit lang still zu stehen pflegt, gleichfalls hierher gehört, oder ob sie von reflectori- schem Charakter sei. Auch beim Krebse und neuer- dings bisweilen bei Insecten habe ich zeitweiligen diastolischen Stillstand des Herzens unmittelbar nach seiner Blosslegung beobachtet. Berührt man den pulsirenden Ventrikel mit einer Nadelspitze, so erfolgt sogleich eine Pulsation. An ste- hen gebliebenen Herzen erfolgt auf denselben Reiz wohl auch eine Reihe von Pulsationen. An einem nicht pulsi- renden Ventrikel von Unio sah ich das blosse Fixi- ren der Electrode (ohne Strom) die Pulsationen wie- der wecken und unterhalten. (Einffuss der Reibung?) Wurde der Ventrikel ausgeschnitten, so schrumpf- te er beträchtlich zusammen, obgleich er zu schlagen fortfahr. — Wenn der Ventrikel von Anodonta mit einer Scheere zerschnitten wurde, so schrumpften beide Hälften sehr stark zusammen und blieben re- gungslos; doch reagirten sie später, nachdem sie sich wieder etwas ausgedehnt hatten, auf Berührung; selbstständige Pulsationen hingegen sah ich an ihnen nie mehr auftreten. — Der Ventrikel einer Anodonta blieb stehen und zog sich tetanisch zusammen, wenn mit einem Flausch Baumwolle nur einmal über ihn "weggestrichen wurde. Der Stillstand hielt jedes Mal zwischen / und 1 Min. lang an, worauf der Ventri- kel, wie zuvor, zu schlagen begann. & Intermittirende electr, Ströme, Beachtenswerth ist es, dass einzelne Inductionsschläge am Ventrikel von Ano- eine tische Pulsation hervor- riefen; und dass ich bei Unio nur einige Male diese Re- - 6) Ähnliche Experimente am Herzen der Mollusken sind, so viel mir bekannt, bisher nur von Carus in Gemeinschaft mit Sperber worden, und zwar an Helix pomatia. C. G. Carus, L c. action und zwar sehr deutlich (ganz wie am Krebsherzen) gesehen habe. Dieses Verhalten gegen einzelne In- ductionsschläge ist desto bemerkenswerther, da die Herzen so gut auf mechanischen Reiz (Berührung) reagirten, und da Inductionsschläge nach den bishe- rigen Erfahrungen weit bessere Muskelreize sind, als blosse Berührung. Doch ist zu erwähnen, dass der Ventrikel nach jedem Inductionsschlage stets et- was zusammenzuschrumpfen, an Volum abzunehmen pflegte (so dass mehrere einzelne Inductionsschläge einen zusammengeschrumpften Zustand hervorbrach- ten, der vom Tetanus nicht zu unterscheiden war). Da die charakteristische Contraction und die langsa- mer erfolgende Zusammenschrumpfung nicht bloss bei ein und derselben Species (Unio), sondern nachein- ander wohl auch an ein und demselben Ventrikel auf- treten, so dürften ihnen ähnliche physiologische Pro- cesse zu Grunde liegen. Als Übergangsform sah ich bei einer Paludina vwipara auf jeden Inductions- schlag keine vollständige Pulsation, sondern nur eine gut ausgesprochene Systole erfolgen, nach welcher der Ventrikel noch einige Zeit merklich zusammen- gezogen blieb. Schwache Inductionsströme schienen ohne Wir- kung, namentlich bemerkte ich keine Pole schleunigung. Stürkere Strüme zogen den ganzen Ventrikel, wenn die Zuleitungsdrähte an seinen beiden Enden appli- cirt waren, zusammen (Tetanus). Dieser Tetanus pflegte nicht etwa plötzlich, wie es am Muskel und am Krebsherzen geschieht, sondern mehr allmählich, wie am Darme, zu erfolgen; auch verblieb der Ven- trikel nach Entfernung des Stromes noch einige Zeit (ungef. 1, 1°, Min. lang) im zusammengezogenen Zu- stande, oder dehnte sich auch gar nicht mehr aus. Umfassen die Zuleitungsdrähte den Ventrikel der Quere nach, so kann man mittelst stärkerer Ströme bloss örtlichen Tetanus erzeugen, der gleich dem allgemeinen nachhaltig ist und sich als Einschnürung darstellt. Während -man local tetanisirt, fährt das übrige Herz fort zu pulsiren. Auf diese Weise kann man nach Belieben entweder bloss in der Mitte, oder an einem der Enden örtlichen Tetanus hervor- bringen; auch kann man durch mehrere aufeinander- folgende Reizungen den ganzen Ventrikel tetanisiren. Der Einfluss constanter electrischer Ströme auf den 561 des Sciences de Saint - Pétersbourg. «gewöhnlichen» Muskel gehört: bekanntlich zu den sein, wenn man es statt des gewöhnlichen Muskels mit einem automatisch wirkenden Muskelsysteme zu thun hat. — Eine nähere Prüfung dieser Fragen am Herzen von Anodonta und Unio liegt ausser dem Be- reiche meiner vergleichend-physiologischen Studien, auch habe ich bei meinem gegenwärtigen Aufenthalte, ausser einem kleinen Bunsen’schen Paare, keinen von den hierzu nöthigen Apparaten zur Verfügung. Ich muss mich daher (wie ich es früher auch für das Krebsherz gethan habe) auf den blossen Hinweis be- schränken, dass am Ventrikel beider Muscheln beim Schliessen und Oeffnen der constanten Kette Erschei- nungen zu Tage treten, welche den am Wirbelthier- muskel vielfach untersuchten analog scheinen. Wärme. In warmem Wasser schlägt der Ventrikel rascher und kräftiger; auch kann man an stehenge- bliebenen Ventrikeln wieder Pulsationen wecken, wenn man sie in warmes Wasser legt. In der Sonne sind die Schläge häufiger (bis noch ein Mal so häufig). Sonnenstrahlen mittelst einer Linse auf’s stehengeblie- bene Herz geleitet rufen normale Pulsationen hervor, die noch einige Zeit fortdauern , nachdem das Herz dem Einflusse der Sonne bereits entzogen ist. — Das Verhalten der Herzen unsrer Mollusken gegen die Wärme bietet also nichts Abweichendes von den frü- her untersuchten Herzen anderer Thiere dar. III. Schlussfolgerungen. „4. Das Herz der Insecten und das von Unio und Anadonta sind durch mechanische, thermische und electrische Reize erregbar, was übrigens nach den bisherigen Erfahrungen über contractile Gebilde schon a priori zu erwarten war. — II. Das Herz der Insecten und beider Mollusken ist mit Automatie begabt. . HII. Die Seitenmuskeln des Insectenherzens spielen beim Herzschlag nur eine Nebenrolle; wenigstens sind sie nicht die alleinigen diastolischen Mechanismen. IV. Das Herz der Insecten und der Herzventrikel von Anodonta und Unio stehen in physiologischer Beziehung gewissermaassen zwischen dem Herzen und dem Darme der Wirbelthiere. Landgut Wendelä bei Wiborg, d. 2. Sept. n. St. Tome X. \ Bemerkungen über das Clima von Tobolsk und die Meereshôhe von Tiflis, von A. Moritz. (Lu le 22 mars 1866.) (Aus einem Schreiben an den beständigen Sekretair der Akademie.) Auf den Wunsch eines verstorbenen Freundes be- reite ich zum Druck Witterungsbeobachtungen vor, die in den Jahren 1810 bis 20 in Tobolsk aufgezeich- net worden sind. Das Journal ist zwar nicht, wie ge- wöhnlich, eine Tabelle der Thermometer- und Baro- meter-Stände, sondern nur eine tägliche Angabe des Witterungscharakters in allgemeinen Ausdrücken ; den- noch aber glaubte ich, dass es nicht ohne Interesse für diejenigen sein werde, welche sich mit verglei- chender Climatologie beschäftigen, weil es einem ent- legenen Orte und einem Zeitraume angehórt, der um ein halbes Jahrhundert hinter der Jetztzeit zurück- liegt. Aus Ihrem Werke über das Clima von Russland (Beil. I, p. 42) ersehe ich aber, dass ein Dr. Albert an demselben Orte von 1806 bis 1821 Beobachtun- gen angestellt hat, die von Erman und Humboldt zur Ableitung der mittleren Jahrestemperatur be- nutzt, folglich in hergebrachter Weise mit genauen Instrumentalangaben verzeichnet worden sind. Wo finden sich aber die Beobachtungen des Dr. Albert? sind sie jemals publicirt worden?') und sind sie in einer solchen Art und mit solcher Vollstündigkeit ge- macht, dass man ihnen volles Vertrauen schenken und durch sie einen klaren Einblick in den Gang der Witterung erhalten kann? Das sind Fragen, die sich mir nicht nur beiläufig aufdrängen, sondern von de- ren Beantwortung es auch wesentlich abhüngt, ob nicht die Publication des mir vorliegenden Journals eine ganz überflüssige Mühe und Ausgabe ist. Trotz alles Nachsuchens habe ich mir hier in Tiflis keine Antworten auf diese Fragen verschaffen kónnen, und so sehe ich mich denn genöthigt, Sie mit der gehor- samsten Bitte zu belästigen, mich davon in Kenntniss setzen zu wollen, was Ihnen über Dr. Albert's Beob- achtungen bekannt geworden ist und was Sie von ihnen halten. 1) So weit mir bekannt, hatte Dr. Erman das Tagebuch hand- schriftlich mit nach Berlin genommen und hat dort die Resultate berechnet, welche im Anhange zum zweiten Bande meines Lehrbu- ches der Meteorologie mitgetheilt sind. Im Central- Observatorium befindet sich Nichts. Stets wird die Arbeit des Hrn. Coll.-R. Mo- ritz von grossem Nutzen sein. Kümtz. 36 563 Bulletin de l’Académie Impériale 564 Durch die zuvorkommende Gefälligkeit des Herrn Oberstlieutenant Stebnitzky ist es mir endlich ge- lungen, die definitiven Resultate der transkaukasi- schen Triangulation für die Seehöhe zweier Punkte in unseren Observatorien zu erhalten, die, durch meine eigenen Nivellements mit anderen Punkten ver- bunden, zur Beantwortung einiger Fragen beitragen, welche Herr Akademiker Ruprecht in seinen «Ba- rometrischen Höhenbestimmungen» aufgeworfen hat. Vorläufig beziehen sich meine Punkte alle nur auf das jetzige, neueste, Observatorium in Tiflis (im Stadt- theile Kuki belegen), und auf das vorletzte, im Jahre 1850 von mir im Stadttheile Awlabar gegründete; im bevorstehenden Sommer hoffen wir jedoch das jetzige Observatorium mit demjenigen geodätisch zu verbinden, in welchem Hr. Philadelphin u. a. die meteorologischen Beobachtungen von 1843 bis 1852 mehr oder minder vollständig leiteten. Das Nivelle- ment bis zum ersten Observatorio, auf dem Festungs- berge, fortzuführen, scheint mir nicht gerade noth- wendig, weil die auf demselben von Hrn. Schesta- kow v talteten Beobachtungen wahrscheinlich ver- loren gegangen sind. Dagegen wäre es gewiss sehr wünschenswerth, Parrot’s «alte Brücke» mit aufzu- nehmen; leider ist aber aus seinem Reisewerke durch- aus nicht zu ersehen, ob er mit diesem Ausdrucke die Reste der Czaren-Brücke oder die ältere von den beiden Brücken am Metech gemeint hat. Sollte sein Sohn, der, wenn ich nicht irre, in St. Petersburg beim Tele- graphenbüreau angestellt ist, nicht noch die hierauf bezüglichen Manuscripte des verstorbenen Vaters be- sitzen, und aus diesen uns über die so- oft schon be- sprochene, aber immer noch unbeantwortet gebliebene Frage belehren können? Ohne Berücksichtigung der obsoleten Messungen von Hosiusch, und gestützt nur auf die definitiven Resultate der unter der Leitung des Hrn. General- lieutenant Chodzko ausgeführten transkaukasichen Triangulation — welche wohl auf lüngere Zeit sich | als die genauesten beliaupten werden — ergiebt sich die Hóhe verschiedener Punkte der beiden Observa- torien über dem mittleren Niveau des Schwarzen Be res wie folgt: AE. Kuki-Observatorium, erbaut in den Jahren 1860 wd 1861; die meteorologischen Beobachtungen be- gannen — am 1. Mai 1861 mit einem Ba- EE o واس و‎ rometer von Parrot's Construction, welches in dem Wohngebäude (in der Canzellei) aufgehängt war, und wurden zu je 5 mal tüglich, um 7, 10, 1, 4 und 9 Uhr, gemacht bis zum 1. Mai 1862 (stets nach neuem Styl). Von 0 Uhr astron. Zeitrechnung am 1. Mai 1862 wurden die permanenten stündlichen Beob- achtungen nach einem Normalbarometer von Kupffer- Girgensohn’scher Construction (der älteren, nicht der neueren) begonnen im Hauptgebäude des Obser- vatoriums, wo sie in stets gleicher Weise annoch fortgesetzt werden. Die Höhe des Quecksilbers im kurzen Schenkel, bei mittlerem Luftdrucke, ist für die temporären Beobachtungen in der Canzellei mit %, für die noch jetzt fortgehenden stündlichen Beobachtun- gen mit K bezeichnet, die absolute Höhe in Russischen (Englischen) Fussen ausgedrückt. Obere Fläche des Grundsteins im Cen- tro des Kellergeschosses Höchste Stelle auf der oberen Seite des Kellergewölbes, zwischen den Pfei- lern der Magnet-Fernröhre Oberer Rand der äusseren Sockel-Ver- kleidung Fussboden im Nord-, Süd- und Central- 5 E ee om E «1340,19 Obere Fläche des Perron’s 1340,29 Fussboden des West Saale. ... 1340,41 K. Quecksilberhöhe i im kurzen Schenkel des Vor ters beimittlerem Luft- drucke (im Nord-Saale). . . ...... Oberfläche des Pfeilers im kleinen Dreh- thurme (Dreieckspunkt der Triangu- lation und Ausgangspunkt der Local- Nivellements) Oberfläche der Fernrohrpfeiler für die magnetischen Variationsinstrumente im Central-Saale à k. Quecksilberhöhe im Reservoir des tem- porären Barometers bei mittlerem Luftdrucke (im unteren Stocke des Wohngebáudes, in Her Canzellei). . C c 1328,36 1338,92 1340,15 9 ۰ ES ^ 8 $9 * * 1343,09 1343,10 € 6$ $9.9 9 هن‎ Nee er © Hia ae + 1343,16 . 1350,54 II. Awlabar - Croire, erbaut in pro Jahren 1850 und 1851. Die stündlichen Beobachtungen be- 365 des Sciences de Saint- Pétersbourg. gannen am 1. December n. St. 1851 im Gebäude des magnetisch - meteorologischen Observatoriums und wurden dort fortgesetzt bis zum 13. April n. St. um 5 Uhr (Nachmittags), wonach die Instrumente in das dazu eingerichtete Gebäude des «temporären astrono- mischen Observatoriums der transkaukasischen Trian- gulation» (erbaut 1848) hinübergetragen und daselbst vom 13. April 1860 um 6 Uhr (Nachmittags) bis zum 30. April 1862 um 23 Uhr (1. Mai 11 Uhr Vormit- tags) stündlich beobachtet wurden. Das Barometer war stets das obengenannte Kupfer-Girgensohn’sche Normalbarometer, und die Quecksilberhöhe im kur- zen Schenkel bei mittlerem Luftdrucke ist für den ersten Standpunkt mit A, für den zweiten mit a be- zeichnet. Als mittlerer Luftdruck ist für den Awlabar 571, für Kuki 574 Russ. halbe Linien (Zwanzigstel Zoll Engl. angenommen. Die absoluten Hóhen sind folgende: 1) Im temporáren astronomischen Observatorio: Oberfläche der Grundmauer des Beob- achtungspfeilers im Süd-Saale (Drei- R. F. -eckspunkt der Triangulation) . . . . . 1488,39 J Fussboden im Mittelbau. ......... 1491,58 Oberflüche des im Jahre 1860 erniedrig- ten Beobachtungspfeilers. . ...... 1492,98 P Quecksilberstand im kurzen Schenkel des Barometers 1860 — 1862 (im Grund habe, die Genauigkeit bis auf Yo; Sashen oder nahezu مر‎ Fuss in Zweifel zu ziehen, und weil meine eigenen Lokal-Nivellements in der That die zweite Decimale des Fusses noch sicher gegeben ha- ben. Dieses mag zwar a priori übertrieben scheinen; da ich aber jedes Nivellement, ausser den üblichen Wiederholungen der Einstellungen und Ablesungen, zweimal gemacht habe, einmal mittelst Latten und Setzniveaus, das andere Mal optisch mittelst genauer Mittelbsne) . سد بعد‎ ig 1494,83 Oberfläche des ursprünglichen Beobach- را اش‎ Seien CN cs ann rei ie 1496,93 2) Im magnetisch-meteorologischen Ob- servatorio: Oberfläche des äusseren Magnetometer- PRIM ل‎ dre 1.1. 1504,80 Fussboden des Observatoriums. . . . . . 1505,72 Oberfläche des inneren Magnetometer- Pfeilers (im Anbaue mit Meridian- N هم‎ EV 1508,78 A. Quecksilberstand im kurzen Schenkel des Barometers 1851 bis 1860 ... 1508,97 Nivellirinstrumente aus den Werkstütten von Brauer in Pulkowa und vom K. K. polytechnischen Institute in Wien, und da ich nie Unterschiede gefunden habe, die auch nur /,, Zoll erreichten, so scheint mir diese Behauptung doch wohl gerechtfertigt zu sein. Nach dem vom hiesigen Generalstabe publicirten Plane der Stadt Tiflis (im Maassstabe '/,,,) finden sich für die horizontalen Projectionen der Verbindungs- linien zwischen den 4 Standpunkten der Barometer (durch directe Messung auf dem Plane) folgende Rich- tungen und Distanzen: Ak = N. 44°23/8 W. — 11270 Fuss; AK = N. 46°42,5 W. = 11445 Fuss; ak — N.43735,3 W. — 11322 Fuss; aK — N.45^52/3 W. = 11480 Fuss; im Mittel: 3Y, Werst oder weni- ger als ^j geogr. Meile in nordwestlicher Richtung von den Awlabar-Barometern befinden sich die Kuki- Barometer. Hr. Chodzko hat für die astronomi- schen Observatorien folgende geographische Ortsbe- stimmungen veröffentlicht: Awlabar: o —41?41'46/707; à= 62°29'3/88 Ferro. Kuki: 9 — 41743 7788; X = 62°27 13,38 (siehe: سعسدة‎ o Kaskaacroit Tpiaury- amin). Ferner findet sich Kk = N. 771/4 0. — 459 Fuss, und aA — N. 47°50' 0. — 242 Fuss. Nach den obigen Höhentabellen finden sich fol- gende Hóhendifferenzen zwischen den 4 Standpunk- ten der Barometer: A—K= 165,88 Fuss, a—k = 144,29 Fuss, 4 — a = 14,14 Fuss und K — k = — 7,45 Fuss. Die erste dieser Zahlen kommt zur Sprache, wenn man unsere jetzigen Beobachtungen mit der Hauptmasse der Awlabar-Beobachtungen ver- gleicht. Die zweite gilt für das Jahr correspondiren- der Beobachtungen, die auf beiden Observatorien Ich gebe hier die Höhen bis auf die zweite Deci- | 1861/62 angestellt wurden, um die meteorologische malstelle des Fusses, weil mir die zu Grunde geleg- | Differenz zwischen beiden Localitüten zu bestimmen, ten trigonometrischen Hóhenpunkte in Sashen mit 3 | und die, unter Anderem, auch zu dem Resultate ge- Decimalstellen mitgetheilt wurden, ohne Angabe der | führt haben, dass die Temperatur auf dem um 144 wahrscheinlichen Fehler, so dass ich keinen triftigen | Fuss höher gelegenen Awlabar-Observatorio fast 96* 567 Bulletin de l'Académie Impériale 568 durchgängig eine höhere ist als auf dem Kuki-Obser- vatorio. Die dritte giebt die Reduction der im astro- nomischen Awlabar-Observatorio temporär stünd- lich gemachten Becbachtungen auf die vorhergehen- den Reihen, welche im magnetisch-meteorologi- schen Observatorio daselbst von 1851 bis 1860 auf- gezeichnet wurden, und stimmt. recht gut mit der unmittelbar beim Hinübertragen der Instrumente ab- gelesenen Barometerdifferenz von 0,28 Russ. halb. Linien. Diese und die vierte Zahl bestimmen die Cor- b. b’. t. 7^ a. m. 574,88 571,54 + 6,72 10° a. m. 574,89 571,59 + 9,91 1^ p. m. 574,01 570,84 +12,63 4^ p. m. 573,62 570,41 +13,04 9^ p. m. 574,56 571,18 + 8,88 Mittel 2® 574,51 571,19 + 9,28 Corrig. Mittel 574,47 571,15 + 9,39 Hier bedeutet 5 den Barometerstand in zwanzigstel Zoll Engl., reducirt auf 13 ی‎ Réaum. des Quecksil- bers und der Scala, ۶ die Lufttemperatur im Schatten und + die Angabe des befeuchteten Psychrometer- Thermometers, beide in Réaumurschen Graden, d den Dampfdruck in zehntel Zoll Engl. (Quecksilber- druck) und 2” die relative Feuchtigkeit, — sämmtlich für das Kuki-Observatorium. Dieselben Buchstaben, aber mit angehüngtem Index, bedeuten dieselben Gróssen für das Awlabar-Observatorium. Die Mittel- werthe sind aus den nach der Formel (74-14-2 x 9):4 berechneten Tagesmitteln für beide Beobachtungs- Å rectionsgrössen, welche an die Corespondenzbeobach- tungen von 1861/62 anzubringen sind, um unsere jetzigen Beobachtungen mit den 10jährigen vom Aw- labar comparabel zu machen. Augenblicklich hat für uns die Zahl a E = 144,29 Fuss das meiste Interesse. Die gleichzeitig vom 1. Mai 1861 bis zum 1. Mai 1862 fünfmal täg- lich auf dem Awlabar und in Kuki mit sorgfältig ver- glichenen Instrumenten gemachten Beobachtungen ha- ben als Mittelwerthe für das Jahr ergeben: E * T v NEL. SZ. (2). + 7,05 +5,17 +5,29 2,80 2,77 0,78 0,75 + 9,93 +7,06 +6,95 2,95 2,93 0,65 0,64 +12,70 +8,33 +8,37 2,93 2,95 0,53 0,53 13,07 +8,47 +8,40 2,90 2,88 0,52 0,50 + 9,19 +6,33 +6,48 2,82 2,82 0,68 0,65 + 9,53 +6,54 +6,66 2,84 2,84 0,66 0,64 + 9,58 2,83 2,83 0,66 0,64 mit den aus stündlichen Beobachtungen abgeleiteten Tagesmitteln für Awlabar gab die Correction auch für Kuki, um aus den dreistündigen Beobachtungen wahre Mittel zu finden, für die ja auch bei uns die arithme- tischen Mittel aus stündlichen Beobachtungen gel- ten dürfen, wie ich bereits vor mehreren Jahren ge- zeigt habe (s. Kupffer, Corresp. météor. pour 1856.) : Berechnet man aus diesen Daten den Höhenunter- schied der beiden Standpunkte, so findet man ihn nach den Gauss’schen Tafeln und nach der Nähe- rungsformel. H = a + aß, wo a = 60344,8 log (7) punkte abgeleitet; die Vergleichung dieser Mittel | und 8 = Gë ist in Russischen Fussen wie folgt: Nach Gauss’ Tafeln. Nach der Näherungsformel. di Ahweich Abw. vom Li en. Höhe. som Mitel 2. Mitel ap Miel af dät Höhen- 7 a. m. 157,90 +1,35 152,67 —0,60 5,26 +1,95 157,93 —13,64 10 a. m. 158,32 +0,93 150,86 +1,21 7,49 —0,28 158,34 —14,05 1 p.m. 154,62 +4,63 145,43 +6,64 9,21 —2,00 154,64 —10,35 4 p.m. 156,19 +3,06 146,64 +5,43 9,57 —2,36 156,21 —11,92 9 p. m. 162,06 —2,81 155,09 —3,07 7,01 +0,20 162,10 — 17,81 Mittel (7 + 1 4-2.9):4 Corrig. Mittel 159,25 159,19 +0,06 152,07 2-0,00 7,15 -+0,06 152,07 159,22 —14,93 7,21 159,28 —14,99 Die Tafeln von Bauernfeind, welche auch die Feuch- | man aus den uncorrigirten Mitteln nach Bauernfeind tigkeit berücksichtigen, geben Höhenunterschiede, die | 159,37, also nur 0,15 mehr als nach der Näherungs- nicht merklich von obigen abweichen; so z. B. erhält | formel oder 0,18 mehr als nach der Gauss'schen Ta- 569 des Sciences de Saint- Pétersbourg. fel. Die Abweichung vom geodätisch bestimmten Hö- henunterschiede der Standpunkte a — k — 144,99, welche im Mittel fast 15 Fuss beträgt, ist zwar be- deutend genug, erklärt sich jedoch noch ganz gut durch dasjenige, was von Kreil, Koristka u. A. über die Genauigkeit barometrischer Höhenbestimmungen aus längeren Beobachtungsreihen bekannt gemacht worden ist. Unerklärlich aus den bisher gemachten Erfahrungen ist mir aber der in den einzelnen Stun- den sich aussprechende tägliche Gang der Höhendiffe- renz, wonach nicht das Maximum, sondern im Ge- gentheile das Minimum auf die ersten Nachmittags- stunden fällt”). Diese Abnormität scheint denn doch sehr dringend zu einer speciellen Untersuchung da- rüber aufzufordern, in wie weit ein Centralpunkt in Gebirgsländern, — also z. B. das Observatorium in Tiflis, — geeignet ist, als Beweis für barometrische Höhenmessungen zu dienen, und durch stündliche Beobachtungen die Reductions-Elemente für benach- barte Orte zu liefern, wenn diese in nur geringer Entfernung vom Centro belegen sind. Ich unterschätze zwar keinesweges die Schwierigkeiten, die mit der Lösung einer solchen Aufgabe verbunden sind, na- mentlich hier, dessen ungeachtet habe ich mich dennoch an diese Untersuchung gemacht und hoffe sie in einigen Jahren zum erwünschten Ziele zu füh- ren, wenn nicht wieder ungünstige Verhältnisse un- sere wissenschaftliche Thätigkeit am Observatorio paralysiren. Zwar fehlen Kräfte und Mittel, um den Gegenstand in gewohnter Weise, durch ausgedehnte geodätische Aufnahmen und durch anhaltende Beob- 2) Die erste Reihe anhaltender Beobachtungen dieser Art wurde auf Horner’s Veranlassung von igi während des Sommers und Winters gemacht; es zeigte sich dabei, dass der berechnete Höhenunterschied zwischen diesem Standpunkte und Zürich am Nachmittage ein Maximum erreichte. Später habe ich dieselben in den Jahren 1832 und 1833 auf dem Rigi und Faulhorn verfolgt und das Resultat bestätigt. Die genaueste, auf vieljährige Beobachtungen beruhende Arbeit ist die von Plantamour (Mé- sures hypsométriques dans les Alpes exécutées à laide du baro- mètre, Mém. de la Soc. de phys. de Génève T. XV). Indem er die 2stündigen meteorol. Beobachtungen zu Genf und auf dem St. Bern- hard nahm, erhielt er z. B. für den Juli um Mittag 26,6 Meter zu gross, um 6 Uhr Morgens 5,5 Meter zu klein. Es würde vom gröss- ten Interesse sein den Gegenstand in Tiflis zu verfolgen, nament- lich zu untersuchen, ob sich ein ähnlicher Gegensatz gegen die Verhältnisse in den Alpen auch bei grösseren Höhen zeigte. Ich achtungen der meteorologischen Elemente auf sehr vielen nahe bei einander gelegenen Punkten anzu- greifen. Dagegen glaube ich aber mir günstige Er- folge von einer Methode versprechen zu dürfen, deren Prineipien ich mündlichen Mittheilungen meines un- vergesslichen Lehrers und vüterlichen Freundes, wei- land F. G. W. Struve, verdanke, und die im We- sentlichen darin besteht, jetzt auch einmal die ter- restrische Refraction ebenso in den Dienst der Me- teorologie zu ziehen, wie bisher die Meteorologie im Dienste der Astronomie und Geodäsie gestanden hat, um eben diese Refraction, für gewisse normale Zu- stände der Atmosphäre oder für die sogenannten ru- higen Bilder der Signale, zu bestimmen. Seit Kurzem im Besitze eines Repsold'schen Meridiankreises habe ich bereits begonnen, am Anfange jeder Tagesstunde, d. h. gleichzeitig mit unseren gewöhnlichen meteoro- logischen Beobachtungen, die Zenithdistanzen von mehreren im Meridiane des Instruments sowohl nórd- lich als auch südlich von ihm belegenen terrestrischen Objecten zu bestimmen, und zugleich die Oscillations- Amplituden der Bilder mit dem Fadenmikrometer so- wohl in verticaler als auch in horizontaler Richtung zu messen. Da die Objecte so gewählt werden. konn- ten, dass die Gesichtslinien stets in mässiger Entfer- nung von der Erdoberfläche blieben, so bewegen sich auch meine Refractionsbeobachtungen in derselben Luftschicht, in welcher man die meteorologischen und barometrischen Höhenmessungen anzustellen pflegt. Die Schwierigkeit, Messungen zu erhalten, welche für den vorliegenden Zweck hinreichend genau sind, ist nicht so gross als man a priori vermuthen könnte, mindestens nieht in jetziger Jahreszeit und bei Be- nutzung eines festen Instrumentes von den Dimensio- nen unseres Meridiankreises. Gleichzeitig mit diesen Messungen habe ich auch die regelmässigen 24stün- digen Ablesungen eines Sonnenthermometers im luft- leeren Raume, wie ich solche vor 1'/, Jahren in Greenwich kennen lernte, beginnen lassen, und be- daure nur, dass ich jetzt noch nicht die Refractions- beobachtungen auch schon in der Nacht fortsetzen kann; bis zum Herbste wird jedoch wohl auch hier- für Rath geschafft sein. Diese Untersuchungen gehen freilich weit über den bin fast geneigt anzunehmen, dass diese Verschiedenheit mit der | Kreis meiner berufsmüssigen Thätigkeit hinaus, sie vorher erwähnten Temperaturdifferenz zwischen beiden Observato- rien in Verbindung steht. Kämtz. werden aber auch nur dann geführt, wenn dadurch Bulletin de l'Académie Impériale 372 letzteren kein Abbruch geschieht. Wenn ich hoffen dürfte, dass dieselben von Ihnen gebilligt werden, so würde es mir sehr erwünscht sein, Ihnen von den Resultaten derselben Mittheilung machen zu dürfen ?). ——— — — BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Catalogues des manuscrits hébreux et samaritains de la Bibliothèque Impériale (à Paris). 4. Laforet, N. J. Discours après le service funèbre pour le repos de l’ame de M. G. A. A. Arendt. Louvain. 8. — — — — de M. Louis Hallard. Louvain 1865. 8. Van der Hoeven, J. Levensberigt van Willem Vrolik. Amsterdam 1864. 8. 25 scripta academica in Universitate Tubingensi annis 1865 — 66 edita. 39 scripta academica in Universitate Wirceburgensi anno 1865 edita 10 scripta academica in Universitate Erlangensi anno 1865 edita. 10 scripta academica in Universitate Jenensi anno 1865 ; edita. 52 ci academica in Universitate Halensi anno 1865 193 Bun academica in Universitate litterarum Beroli- nensi annis 1865 — 66 edita. 38 scripta — ira tien Regimontanae anno 1865 edita. Annuaire de l'Université catholique de Louvain. 29° an- née. Louvain 1865: 16.. 42 scripta academica in Universitate Lundensi anno 1864 — 65 edita. Acta Universitatis Lundensis. Lunds Universitets ärs-skrift för är 1864. Lund 1864 — 65. 2 vol. 4. Bulletin de la Société philomathiqué-de Paris. Tome IT. Octobre — Novembre — Décembre 1865. Paris 1865. 8. T. III. 1866 Janvier et Février L'investigateur 33° année, livr. 376 et 377. Par. 1866. 8. a Es ist in chien Grade zu wünschen, dass Hr. Moritz diese | essungen fortsetzen möge. Ich bin stets der Ansicht gewesen, dass die Strahlenbrechung (astronomisch und terrestrisch) eins der wich- tigsten meteorologischen Phänomene sei, indem hierin das einzige gegeben ist, etwas über die Temperatur der höheren Luft- zu erfahren. vor mehr als 30 Jahren habe ich mich zu wiederholten Malen darüber ausgesprochen; ich selbst habe weder EE Local, noch Instrumente zu dieser Arbeit Memorie dell’ Imp. Reg. Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Vol. XII, part. II. Venezia 1865. 4. Atti dell’ Imp. Rep. Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Tomo X, dispensa 10 e tomo XI, dispensa 1—4. Venezia 1865 — 66. 8. Memorie della r. Accademia delle scienze di Torino. Serie seconda. Tomo XXI. Torino 1865. 4 Atti della r. Accademia delle scienze di Torino. Vol. I, disp. 1 et 2. Torino 1866. 8. Nachrichten von der k. Gesellschaft der Wissenschaften und der Georg- Augusts - Universität aus dem Jahre 1865. Góttingen 1865. 8 Abhandlungen der k. 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