BULLETIN GE IMPERIALE DES SCIENCES S'-PETERSBOURG. e - | | TOME ONZIEME. (Avec 5 Planches.) یتو Mo. Bot. Garden 1 a — — — LESCH? Sr.-PÉTERSBOURG, 1867. /£ c f Commissionnaires de l'Académie Impériale des sciences: à St-Pétersbourg, à Riga. à Leipzig. MM. Eggers Ki بخ رز‎ rs M. Samuel Schmid t, M. Léopold Voss. Prix du volume: 2 Roub. 70 Kop. d'arg. pour la Russie, 3 Thl. de Prusse pour l'étranger. TABLES DES MATIÈRES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. - (Les chiffres indiquent les pages du volume.) ۱ Ad, gg or critique des ملف‎ be gs minéralogique e. (Avec une Planche.) 22 E u der poesi qui se aps ig "na r SA musées et collections à St.-Pétersbourg. 282 — 292. H. gem Sur les hydrocarbures qui se trouvent dans les gaz des aux thermales, au Caucase. 397 — 412. Ad. Goebel, Revue chronologique des cas ا‎ tombés en Russie dans les siécles précédents. 527 — 6. opti Recherches relatives à la د‎ ‘de la diminution A m profondeur de la mer d'Azof. (Avec une Planche.) BOTANIQUE. A. Famintzin, Action de la lumiére sur Dé سوب‎ de la chloro- phylle dans les feuilles du Mnium. 136. F. J. Ruprecht, Revue des Campanulées du قافن‎ 203 — M. Maximowiez, Courtes diagnoses des nouvelles plantes de دو‎ et de la Mandjourie. Déc. II. 429 — 432. — Courtes diagnoses des nouvelles plantes du Japon et de la jul, Déc. III. 433 — 439.‏ ی ZOOLOGIE, ANATOMIE ET ی نوم‎ - mas , Etudes thermophysiologiques. Ae 3. 1 — 16 la Der co. chaleur mortelle dus le corps des . Lettre à M. Ofsiannikof. 1 کب‎ Ke la umm zn ie Lettre de M. Schm . Schrenck. 80 — Dr. Ed. gengt, Sur le ductus dicus des lezards vivipares (La- certa crocea s. Zootoca vivipara). (Avec une Planche.) 439—444. J. F. Brandt, Quelques observations servant à éclaircir la question e la propagation et de l'extermination de la Rhytina Stelleri. 445 — 451. — Nouvelles recherches E la classification et les affinités de Didus ineptus. 457 — PHILOLOGIE ET HISTOIRE. A. Schleicher, Quelques observations relatives à son édition de Do- naleitis. 293 — 299. , Dorn, Catalogue chronologique des ouvrages imprimés en lan- gues arabe, turcque, tatare et persane, à Kazan de 1801 à 1866. — 385. 30 Bulletin bibliographique. 90 — 96, 302 — 304, 432. SCIENCES MATHEMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES. MATHÉMATIQUES. V. — s considérations sur la bipartition répétée 8 gr randeurs. — 130. ASTRONOMIE. V. Fuss, Recherches sur l'orbite de l'étoile double ۰ vg 137—151. A. Saviteh, Opposition de Neptune en 1866, 444 H. Fritsche, Résultats des observations de Ts Am à "dd étoiles lu- naires, faites à Poulkova au moyen de l'instrument des passages d’Ertel. 506 — 527 PHYSIQUE DU GLOBE. Dr. ` G. Ehrenberg, Sur la poussière apportée par les vents alizés, t sur les pluies de sang. Lettre adressée à l'Académie Impé- risle des sciences de St.-Pétersbourg. 196 — 202 Schneider, Sondage des profondeurs de la mer au moyen de l'électricité. (Avec une Planche.) 471 — 506. CHIMIE. N. Zinine, De quelques dérivées de la benzoine. 151 — 158. 6. Gustavson, Action du brome et de l’iode sur les acides phospho- 1101168, 299 — 301 F. Beilstein, Action du brome sur le toluol. 801 — 302. M. Fritzsche, Rapport sur les recherches concernant les hydrocar- bures solides tirés du goudron de houille. 385 — 397. MM. Beilstein et "n Sur l'acide para-nitrotoluique et ses déri- vés. 412 — E. MINÉRALOGIE. N. Kokcharof, Notices minéralogiques. 75 — 80. — Sur l'orthoklas de Russie. 451 — 457. GÉOLOGIE. 6 n. Le terrain houiller de l'Oural et son importance in- | res Rapport ren à M. le Ministre des ۰ — Tb. E me de forage, faits dans la presqu’ile de Samara pour la recherche de la houille; les sources de naphta et les volcans de boue, à Kertch et à Taman. (Avec une Planche.) 158 — 195. B. TABLE ALPHABÉTIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) Goebel, A. Revue des aérolithes qui se trouvent dans divers mu- sées et collections à St.-Pétersbourg. 282. ' — Revue chronologique des cas d'aérolithes, tombés en Russie dans les siécles précédents. 527. Gustavson, G. Action du brome et de l'iode sur les acides phospho- riques. Helmersen, G. Le terrain houiller de l'Oural et son importance in- dustrielle. Rapport adressé à M. le Ministre des Finances. 23. — Les essais de forage, faits dans la presqu'ile ls Samara pour la recherche de la houille; les sources de naphta et les vol- cans de boue, à Kertch et ۷ Daman, (Avec une Planche.) 222. — Menu relatives à la question de la diminution présumée e profondeur de la mer d'Azof. (Avec une Planche.) 555. : > N. Notices geegent e 75. — Sur l’orthoklas de Russie ix hice, C. J. Courtes nos des hs plantes du Japon et de la Man us Déc. II. 4 Ruprecht, F. J e des Cam د و‎ du دور‎ 208. Saviteh, A. 0 Mes de Neptune en 1866. 444. — A. E observations relatives à son édition de Do- nalei Sehmidt, ^» gcc à M. Schrenck sur son expédition pour la décou verte d'un mammouth. 80. r, E. Sondage des profondeurs de la mer au moyen de l'électricité. (Avec une Planche.) 471. ۱ Walther, A. Etudes thermophysiologiques X 3 | — peni la en d’une chaleur mortelle E le corps des à M. Ofsiannikof. 1 nin, N. De aM dérivées de la Re 151. Abich, H. Sur les hydrocarbures qui se trouvent dans les gaz des ux thermales, au Caucase. 397. Beilstein, ۰ > du brome sur le toluol. 301. — et Kr . Sur Pacide para-nitrotoluique et ses dérivés. 412. ود‎ Y. Quelques considérations sur la bipartition répétée des grandeurs. 97. Brandt, J. F. Quelques observations servant à éclaircir la question de la propagation et de l'extermination de la Rhytina Stelleri. — Nouvelles recherches sur la classification et les affinités de Didus ineptus. Brandt, Ed. Sur le ductus caroticus des lezards vivipares (Lacerta erocea s. Zootoca vivipara). (Avec une Planche.) 439. Dorn, B. Catalogue chronologique des ouvrages imprimés en lan- gues arabe, turcque, tatare et persane, à Kasan de 1801 à 1866. 305. ; — Dr. C. G. Sur la poussière apportée par les vents alizés sur les pluies de sang. Lettre adressée à l'Académie Impé- Se des Sciences de St.-Pétersbourg. 196. 1۳9 سین‎ A. Action de la lumiére sur la répartition de la chloro- phylle dans les feuilles du Mnium. 130. Fritsehe, H. Résultats des observations de la lune et des étoiles lu- naires, faites à Poulkova au moyen de l'instrument des passages d'Ertel. 506. Fritzsche, 3. Rapport sur ses recherches concernant les hydrocar- bures solides, tirés du goudron de houille. 385. Fuss, V. Recherches sur l'orbite de l'étoile double 3.3062. Goebel, A. Revue critique des aérolithes du Musée وی‎ de l'Académie. (Avec une Planche.) 222, T. XE, N°1. BULLETIN DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. TOME AL à (Feuilles 1 — 6.) CONTENU. j i Page. A. Walther, Etudes icio ۱۹ ۷ دد قر‎ ds ی الاب وڅ‎ À Smile روه‎ "ah UB REN 1 — 16 ur la production d'une chaleur mortelle dans le corps des animaux. Lettre à M. Ofsiannikof. |... راو ۸ لد 7 لد‎ ed مه‎ querere er 17 — 22 . G. Helmersen, Le terrain houiller de POural et son importance industrielle. map adressé à M. le Ministre des Finances. .................................... 23—75 N. Kokeharof, Notices minéralogiques. th دب وم نه‎ ttn 8n 75 — 80 Expédition pour la découverte d'un mamouth. Lettres de M. Schmidt à M. Schrenck. 80 90 Bulletin bibliographique. Secon t e HM etr 90 — 96 On s'abonne: chez MM. Eggers & Ce, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de | l'Académie (Koxurers Ilpanzenis EES pcxoii Aranemin Hayss) et chez M. Léopold Voss, | : libraire à Leipzig. | he prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie, 3 thalers de Prusse pose l'étranger. Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.) EE gg BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. organe eintrat. Der Tod erfolgte unter Krämpfen, ganz wie in den berühmten Untersuchungen von Kusmaul und Tenner (Über die Fallsucht ähnlichen Krämpfe etc.), wo sämmtliche das Gehirn mit Blut speisende Ar- terien plötzlich unterbunden wurden. Da nun der Au- gengrund ebenfalls durch die Gehirnarterien ernährt wird, so schien es unter solchen Umständen möglich, dass auch beim Menschen die Untersuchung des Au- gengrundes darüber Aufschluss geben könnte, ob in gegebenen Fällen die Erwärmung abgekühlter Indi- viduen Erfolge verspräche. Es schien also möglich, solche Fragen durch den Augenspiegel zu entscheiden. ‚Ich selbst hatte zu jener Zeit noch keine Unter- suchungen mit dem Augenspiegel an erkälteten Ka- ninchenaugen angestellt, und deshalb schlug ich einem meiner Schüler, Hrn. Dr. Popoff aus Nikolajew, vor, dieses Thema zum Gegenstande seiner Doctor-Disser- tation zu wählen. Die Dissertation des Hrn. Popoff aber befriedigte mich und andre so wenig, dass ich seitdem mich selbst über den Gegenstand hermachte. Hr. Dr. Popoff fand ebenfalls Anaemie der Retina bei stark erkälteten Thieren, welcher aber eine kurze Hyperaemie vorausging. Seine Beschreibung dieser Erscheinungen ist mangelhaft, weil er sich nicht vor- her mit den anatomischen Eigenthümlichkeiten der Augen weisser Kaninchen vertraut gemacht hatte. Die Untersuchung des Auges abgekühlter Kanin- chen ist besonders leicht, 1) weil die Thiere, sobald ihre Wärme unter 30° C. sinkt, sehr ruhig werden; 2) weil die Pupille dabei sehr erweitert wird, was zu- erst Hr. Jacoby (Meanunnckiü 17867: ,م۶‎ 1864) hin- reichend gewürdigt hat. Bekanntlich weicht die Beschaffenheit des Augen- grundes weisser Kaninchen von dem des Menschen in mancher Beziehung ab. Durch den Mangel an Pigment in der Chorioidea sieht man deutlich die Gefässe die- ser Haut, die Arterien als engere, parallele, die Au- genwinkel von hinten nach vorn umgreifende Gefässe und daneben die dickern Venen, welche man, wenn die Pupille weit ist, leicht bis zu den vasis vorticosis 1 Thermophysiologische Studien, No. 3, von Dr. A. Walther, Professor in Kiew. (Lu le 20 sep- tembre 1866.) In den vorliegenden Studien wünsche ich durch, aus meinen frühern Mittheilungen bekannte, Metho- den der Abkühlung von Kaninchen die Fragen zu er- örtern und ihrer Lösung zu nähern: 1) Was für Ver- ` änderungen bringt im Augengrunde der Kaninchen eine bedeutende Abkühlung hervor? 2) Kann die Kennt- niss dieser Veründerungen einen Einfluss haben auf die Wahrscheinlichkeit, ein durch Kälte scheintodtes Thier zu beleben? 3) Welche Methode der Belebung von durch Kälte scheintodten Thieren führt am besten zum Ziele? Die Untersuchung des Augengrundes abgekühlter Thiere scheint interessant, weil bei hóhern Graden der Abkühlung, bei einer Wärme des Thiers von + 15 bis + 20° C., der rothe Augengrund weisser Kaninchen schieferfarben wird und bei schwarzen auch seine Farbe verändert. Zu gleicher Zeit treten Krämpfe, Tetanus etc. ein und von diesem Moment an ist die künstliche Erwärmung des Thiers nicht mehr im Stan- de, dasselbe ins Leben zurückzurufen, selbst wenn man unmittelbar nach diesem Moment aufs energischste dem Thiere Wärme zuführt. Obgleich die Organisation des im Laufe z. B. einer Stunde oder noch weniger abge- kühlten Thiers vollkommen intact bleibt, und ihm nichts weiter fehlt, als eine gewisse Menge Wärme, so ist alles das doch nur scheinbar: die Zuführung von Würme belebt das Thier nicht mehr, sein Organismus ist un- heilbar zerstórt. Das war das Resultat früherer und zahlreicher Untersuchungen (s. Reichert und Du- bois's Archiv 1865). Alle Erscheinungen führten noch zu dem Resultat, dass, ebenso wie der Augengrund blutleer wurde, so auch die Centralorgane anaemisch wurden und der Tod dadurch herbeigeführt sei. Ich glaubte behaupten zu kónnen, dass durch Abkühlung der Thiere die Herzthätigkeit immer mehr abnehme, so dass endlich Anaemie (d. h. Stockung des Kreis- laufs mit relativer Leere der Capillaren) der Central- Tome XI 1 bietet. Solche Augen haben mehr Ähnlichkeit mit den ebenfalls pigmentreichen Augen des Menschen. Bei schwarzen Kaninchen sieht man die dreieckige Fläche, den querovalen Querschnitt des Sehnerven (die Papilla), die faserigen Ausstrahlungen um das Dreieck herum und an seiner Grundlinie, die Arterien und Venen der Retina und sonst eine gleichmüssig rothe Flüche. Meine Kaninchen wurden auf ganz gewöhnliche Weise erkültet. Man setzte sie, um sie schneller ab- zukühlen, in ein Gemisch von Schnee und gestossenem Eis mit Kochsalz, wobei eine Wärme des einzelnen Medii von — 17 oder — 14^ R. erzielt wurde. Die Pupille wurde nur selten mit Atropin erweitert, um gleich von Anfang an die Papille gut sehen zu Konten‘ später wurde die Erweiterung der Pupille der Kälte überlassen, da die interessanten Veränderungen in der Retina, Chorioidea und Papilla als Sehnerven erst dann eintreten, wenn die Pupille schon im höchsten Grade erweitert ist. Die ophthalmoscopische Untersuchung des Tim grundes wird von den Physiologen bis jetzt wenig ausgenutzt, obgleich man fortwährend den Kreislauf in der Froschschwimmhaut untersucht und demon- strirt. Zwar kann man im Thierauge mit den gewöhn- lichen Augenspiegeln die Capillaren eigentlich nicht sehen, sondern nur die kleinsten Arterien- und Venen- wurzeln; ebenso sieht man bekanntlich die Blutkör- perchen dabei nicht, aber das, was man sieht, nament- lich an weissen Kaninchen, kónnte zu vielen interes- santen Thatsachen führen, wenn man es verfolgen und studiren wollte, was bis jetzt, so viel ich weiss, nur in Russland von Hrn. Dr. Memorsky (Diss. über den Einfluss der Durchschneidung des Sympathicus auf den Blutlauf im Auge, St. Petersb. 1865), Hrn. Korschun in Kiew (Einfluss des Opiums auf den Blut- lauf im Auge, Cosp. Memm., 1866), Dr. Popoff (a. a. O.) und jetzt von mir geschehen ist. Ich muss hierbei für in der Ophthalmoscopie wenig bewanderte Leser bemerken, dass fürs erste von Mes- sung solcher Gefässe in strictem Sinne keine Rede sein kann, nicht einmal von relativen. Der Grund ist leicht. einzusehen: wir besitzen bis jetzt keine hinreichend zahlreichen und genauen Bestimmungen der optischen Constanten des Kaninchenauges und kónnen natürlich den Berechnungen derselben beim Menschen den mit- Bulletin de l'Académie Imperiale verfolgen kann. Die Zwischenräume zwischen diesen parallelen Streifen, den langen und schmalen Netzen der Arterien und Venen sind beim weissen Kaninchen gleichmässig roth. Diese Róthe wird durch die spar- samen Capillargefásse der Retina und die reichen der membrana choriocapillaris hervorgebracht. Man sieht also dicke Chorioideal-Gefässe auf یت‎ rothem Felde. Eine zweite Eigenthümlichkeit bietet die sogenannte Papilla, d. h. der Eintritt des Sehnerven und der Ar- teria und vena centralis rectinae dar. Man sieht eine weissliche dreieckige Fläche, deren grössere Basis horizontal steht. In der Mitte dieses Dreiecks sieht man den liegend ovalen Querschnitt des Sehnerven und aus dessen Mitte herausgehend die Centralgefässe der Retina, welche parallel mit der Basis des Drei- ecks nach rechts und links ziemlich gerade verlaufen, so dass sie die Chorioideal- Gefässe rechtwinklich schneiden. Die Winkel an der Grundlinie des Drei- ecks laufen in eine Faserung aus. Die morphologische Deutung dieser Beschaffenheit der Papilla im Augen- grunde des Kaninchens ist nach den uns zu Gebote stehenden vergleichend - anatomischen Hülfsmitteln nicht mit Vollständigkeit zu geben. Man findet in den Lehrbüchern der vergl. Anatomie nur die Angabe, dass der Sehnerv in die Retina in zwei Bündeln nach rechts und.links eintritt. Diese Bündel könnten der Grund der faserigen Strahlung an der Grundlinie sein, dabei bliebe aber die Bedeutung der dreieckigen Fläche un- erklärt. Um die dreieckige Fläche herum, gleichsam aus seinen Seiten ausstrahlend, sieht man auch ein weiss- lich faseriges Gewebe, aber weniger deutlich als an den Enden der Grundlinie des Dreiecks. Die Bedeutung dieser Fasern verlangt ebenfalls eine neue anatomi- sche Untersuchung des Kaninchenauges, welche wohl deshalb noch nicht vorgenommen ist, weil die Herren Anatomen, wie leicht erklärlich, sich mit Ophthal- moscopie der Kaninchenaugen nicht beschäftigten. Daher kommt es, dass man nur wenige Thatsachen über das Kaninchenauge in den Schriften über Ophthal- moscopie findet, z. B. bei Zander, über den Augen- Spiegel. Von besonderem Interesse für die ophthalmoscopi- sche Untersuchung abgekühlter Kaninchen ist der An- blick, den der Augengrund schwarzer Kaninchen dar- weder Arterien, noch Venen. So ungefähr muss auch das Auge abgekühlter Menschen aussehen. Ich be- merke dieses ausdrücklich, weil die Sache, wie sich spüter herausstellen wird, vielleicht ihre رش‎ Wichtigkeit hat. Die zweite Classe der Erscheinungen betrifft die grössern Gefässe, also kleinste Arterien (a. a. chorioi- dea) und Venen (vasa vorticosa). Schon im Anfänge des Versuchs findet man in ihnen Lücken, d. h. das Blut füllt nicht immer alle Gefässe aus, es giebt In- jectionsfehler, wie das auch bei Beobachtung durch- sichtiger thierischer Theile vorkómmt. Es ist also wohl dem spätern Erscheinen von vielleicht etwas häu- figern Lücken eine übermüssige Wichtigkeit als Er- scheinung der Abkühlung nicht zuzuschreiben. Die Gefässe (Venen) sollen nach Popoff anfangs breiter werden, was ich nicht sehen konnte, was aber, wenn es vorkommt, vielleicht mit der von Jacoby gemes- senen Steigerung des Blutdrucks im Anfange der Ab- kühlung und der von mir beobachteten Beschleuni- gung des Herzschlags (s. Thermoph. Studien, À 2, im Bullet. de l'Acad. d. sc., 1866) zusammenhängen kann. Spüter werden Arterien und Venen, namentlich umi den Opticus herum, enger, doch schwindet das Blut aus ihnen, selbst kurz vor dem Tode und im Tode, nicht, was man sieht, wenn man das Auge noch nach dem Tode b RtBaltoscopirén kann. "In Beziehung auf diesen Punkt muss ich bemerken, dass die bei den Ophthalmoscopisten und Gerichts- ärzten gültige Ansicht, dass der Augenspiegel den Tod constatire, durch die Unmöglichkeit, den Augengrund beobachten zu kónnen, weil die durchsichtigen Medien sich trüben und der intraoculare Druck so weit sinkt, dass die Häute des Auges sich falten, nicht ganz stich- haltig ist. Es sind alle diese Erscheinungeu nicht con- stant, und im Gegentheil habe ich Thiere gesehen, deren Augengrund noch ganz deutlich sichtbar und deren Tod dennoch unzweifelhaft war. Die Frage, ob man den Tod durch das Ophthalmoscop diagnosticiren kann, werde ich später erörtern. Zu meinen Untersuchungen benutzte ich entweder einen Augenspiegel von Burow oder (meistens) einen kleinen Liebreich’schen, bloss mit einer biconvexen Linse von 7 BORA site, Ich setze jetzt einige meiner Beobachtungen her. Versuch M 7, den 12. Febr. 1866. Weisses Ka- , 1* des Sciences de Saint- Pétersbourg. | 5 telst des ون‎ dé ausgeführten Messungen nicht zu Grunde legen. Dabei kónnten vielleicht aber relative Messungen möglich sein, d. h. es könnte bestimmt wer- den, dass die sichtbaren Gefásse um einen bestimm- ten Bruchtheil dicker oder schmäler werden. Leider ist jedoch auch dieses nicht möglich, weil entschieden die Krümmungshalbmesser der durchsichtigen Medien des Auges sich ändern. Schon Setschenow und Ja- coby haben durch ophthalmometrische Messungen bei erkälteten Thieren eine Änderung des Radius der Cornea (Abflachung) nachgewiesen und bei meinen Un- tersuchungen hat sich eine solche Verminderung des interocularen Drucks (gegen Ende des Versuchs) er- geben, dass zu Zeiten die ophthalmoscopische Unter- suchung unmöglich wird, weil die Krümmung der Cor- nea aufhört eine regelmässige zu sein. Man muss also zugeben, dass wahrscheinlich der Krümmungshalb- messer zuerst grösser, dann kleiner wird, und endlich die Verhältnisse der einzelnen Radien gestört werden. — Endlich ist noch sehr wahrscheinlich, dass die Con- sistenz der Linse und Glasfeuchtigkeit durch die Ab- kühlung verändert wird, was also auf den ی‎ s exponenten influiren würde. Der Einfluss der Abkühlung zeigt sich nicht auf al- len Punkten der Retina und Chorioidea gleichmässig. Am deutlichsten und frühesten tritt er um das Drei- eck herum auf, wahrscheinlich weil in Beziehung auf die zuführenden Arterien der Eintritt des Sehnerven eine peripherische Lage hat. Die Erscheinungen, wel- che man beobachtet, sind zweierlei Art: am wesent- lichsten ist eine allmähliche Erblassung der gleich- mässig rothen Fläche, welche zwischen den grossen Gefüssen liegt, also eine allmáhlich zunehmende ca- pilare Anaemie. Sie beginnt indess, am meisten aus- gebildet, in der Umgebung des oben erwähnten Drei- ecks. Diese Erblassung ist die Ursache der schiefri- gen Farbe des Augengrundes und nicht das Schwin- den der grössern Gefässe. Wenn man es mit schwar- zen oder grauen Kaninchen zu thun hat, so erscheint der Augengrund unter dem Ophthalmoscop dann nicht mehr weisslich, d. h. die Zwischenräume zwischen den grössern Arterien und Venen werden nicht blass, son- dern die ganze Fläche wird anfangs grauröthlich, dann schwärzlichgrau. Dieses geschieht aber nicht vollkom- men gleichmässig, sondern auf der grauen Fläche sind röthliche Flecke. Auf dem grauen Fond sieht man Um 12^ die Gefässe auffallend gefüllt; keine leeren Stellen; im Ohr + 27° C. Um 12" 20’ Wärme im Ohr م‎ 22 bis -+ 23° SÉ idem. Um 12^50' Wärme im Ohr = 20 bis + 21? C. les in statu quo ante. Um 1^10' Wärme im Ohr + 18,5? C. : Um 1^40' Wärme im Ohr + 17,5? C.; in der Um- gebung der Papille Anaemie; in der Chorioidea ve- nóse Gefässe sichtbar, aber auf ganz weissem Grunde, zwischen den venósen Gefässen wenig Anastomosen sichtbar. Die Respiration hat aufgehört, ungefähr um dieselbe Zeit, Le die Anaemie anfing sich deutlich zu zeigen. Versuch X 10, den 29. Febr. 1866. Kaninchen klein. Um 11' in den Apparat, welcher mit Schnee und Salz gefüllt war; Pupille wenig erweitert; der Opti- cus nicht sichtbar; Gefässe der Chorioidea dick; Ar- terien und Venen deutlich sichtbar; die Zwischen- räume zwischen den einzelnen Gefässen róthlich; im Ohr + 33; 5° C. Um 11” 55/4 im Ohr ې‎ 26 bis + 27° C.; die Ar- terien und Venen gefüllt wie früher; der Grani des Auges etwas blasser (d. h. der Zwischenraum zwischen den Gefüssen); die Sehnervenpapille nicht sichtbar, weil die Pupille noch nicht ganz erweitert ist. Um 12^ 20' Pupille weit; Papille sichtbar; Venen und Arterien enger; Grund noch blasser; im Ohre + 22 bis + 23" C. Um 1^ alle Gefässe sichtbar; al- der Zwischenraum | nicht sehr hell; Durchmesser normal. Um 1^15': um die Papille herum Anaemie; der Zwischenraum zwischen den Gefässen der Chorioi- dea blass; kein Athem; im Ohr + 18? C.; beim Öffnen der Brust schlägt das Herz kaum; als es etwas wär- mer wurde, wurden seine Bewegungen stärker. Bei allen diesen Versuchen war die Pupille bei der Untersuchung mit blossen Augen schieferfarbig er- schienen. Es waren dabei die Respirationsbewegun- gen erloschen, kurz alle Erscheinungen der Anaemie der Centralorgane des Nervensystems waren da, und dennoch schlug in den beiden mitgetheilten und in einem weitern Versuche, bei Eröffnung des Brust- kastens, das Herz deutlich, aber langsam. Ich muss endlich noch ein für allemal bemerken, dass die Cen- Bulletin de l'Académie Imperiale 7 ninchen mittlerer Grösse in Schnee und Salz gesetzt um 12^ 30'. (Die normale Wärme des Kaninchens ist etwa + 39? C.) Um 12^ 45’. Im Ohre des Kaninchens + 33 und + 34? C. Im Augengrunde theilweise Leere der ve- nösen Gefässe; rothe Punkte neben 0608 ۰ Um 1'/^. Ohrwürme + 23°C. Die Gefässe an der Peripherie des Auges gefüllt; in der Mitte mehrere leere Stellen; die Zwischenräume blasser. Um 1” 55. Im Ohre + 17,5? C.; Gefässe wie oben. Um او‎ 10. Der Augengrund ganz blass; die Ge- fässe meist leer; der Athem stockt. Ende des Versuchs 2-15. Die Brusthöhle schnell geöffnet; das Herz schlägt noch, aber schwach und langsam. Man sieht, dass die tödtliche Anaemie schnell ein- trat, aber erst nachdem die Wärme der innern Theile unter + 20? C. sank. Bis dahin also war das ohne Zweifel völlig geschwächte Herz im Stande, noch die Gefässe fast vollständig zu füllen, denn der Augen- grund erblasste erst später und zwar plötzlich. Eben- so sieht man aus dem Versuche, dass die Anaemie des Auges eintrat, als das Herz noch nicht zu schla- gen aufgehört hatte. Versuch X 8, den 17. Febr. 1866. Kleines weisses Kaninchen in Salz und Schnee; Atropinlósung ins Auge getrüufelt. Temp. des Ohres - 25^ C. Um LU Chorioideal- gefäss stellenweise leer; Zwischenräume fangen an blasser zu werden; die Gefässe der Retina (Art. und Ven.) normal.. Um 117 4 wie oben; Wärme i im Ohr + 22? C. . Um 12^ wie oben; Wärme -- 19,5? C. Um 12^15' wie oben; Wärme + 17? C. Um 12^ 25’ Augengrund blass in der Umgebung der Papille; in der Gegend der vortices alles gefüllt. Im Laufe von 10 Minuten werden auch diese Gefüsse blass und unsichtbar. Es scheint sich auf der Retina eine Querfalte gebildet zu haben. Wärme im Ohr + 16,5? C. Das Thier scheint todt und in der That erholte es sich im Wärmekasten (mit Wasser von + 40? R. gefüllt) nicht mehr. ‚Versuch 16 9, den 23. Febr. 1866. Gewicht des Kaninchens 832,2 grm.; Farbe weiss; in den Appa- Tat um 11^ 30^; im Auge Atropin; Schnee und Salz; Wärme der Mischung — 13° C. Ich habe auch bei den hier mitgetheilten Unter- suchungen es nicht unterlassen, von neuem die Er- wärmung als Belebungsmittel anzuwenden, nachdem das Auge schieferfarben wurde, das Thier an Krüm- pfen verschied, alle Respiration aufhórte und an kei- nem Körpertheil, namentlich an der Conjunctiva oculi et palpebrarum, Reflexerscheinungen mehr hervorzu- rufen waren. Der Erfolg war nun durchaus negativ. Ich behaupte also, dass wenn ein Thier (oder Mensch?) bis zu diesem Grade abgekühlt worden ist, es durch blosse Würmezufuhr nicht wieder belebt werden kann. Dass die künstliche Respiration eine gróssere oder ‚kleinere Erwärmung von abgekühlten Thieren, welche in einem Medium liegen, das kälter ist als die Thiere selbst, hervorbringen kann, habe ich schon früher mit- getheilt (Dubois und Reichert’s Archiv, 1865). Aber die Thiere, welche zu meinen frühern Ver- suchen mit Erwärmung durch künstliche Respiration dienten, waren nicht bis zum Schiefrigwerden der Pu- pille und bis zum Eintritt des Tetanus abgekühlt. Um also auch für diesen Fall die erwärmende Kraft der künstlichen Respiration zu prüfen, habe ich die künst- liche Respiration jetzt auch bei solchen Kaninchen angewendet, welche hier bis zur vollen Anaemie der Centralorgane, bis zur schiefrigen Pupille und bis zum Aufhören der Respiration und des Reflexes abgekühlt waren (der Tetanus konnte nicht recht beobachtet wer- den, weil die Thiere bis zum Halse in Schnee und Salz sassen). Unter diesen Umständen aber leistete die künstliche Respiration nichts. Die Thiere blieben todt. Durch Kälte scheinbar getödtete Kaninchen bieten ausser den mehrmals von mir beschriebenen Erschei- nungen noch eine dar, welche mir erst später recht auffallend geworden ist. Ich meine die cyanotische blaufarbige von Maul, Nase, Ohren etc. Offenbar wird durch die bedeutende Störung der Respiration und Cireulation das Blut zu Ende des Lebens durch Kälte venös. Dieses führte mich auf die Idee, zur Belebung von durch Kälte scheinbar getödteten Kaninchen die gleichzeitige Einwirkung der Wärme (im Wärmekasten mit Wasser von + 40 bis + 45° C.) und der künst- lichen Respiration zu versuchen. Der Erfolg übertraf meine Erwartung. Es ist mir gelungen, Kanin- chen, deren Wärme im Ohr unter + 18°C. war, bei denen jede erkennbare Spur von Respira- des Sciences de Saint-Pétersbourg. tralgefässe der Retina selbst, welche aus der Papille des Opticus nach rechts und links ausstrahlen, zu je- der Zeit, selbst nach dem Tode, sichtbar sind. Weiter unten werde ich noch einige hierher gehö- rige Beobachtungen mittheilen, welche aber auch noch in anderer Beziehung von Bedeutung sind. Für jetzt will ich aber auf die zweite Frage zu antworten su- chen, welche ich im Anfange dieser Abhandlung auf- gestellt habe: Kann die Kenntniss der mitgetheilten Xeränderun- gen, welche an Kaninchenaugen durch Abkühlung her- vorgebracht werden, einen Einfluss auf den Versuch haben, solche Kaninchen wieder zu beleben? Nach den bis jetzt in der Wissenschaft geltend ge- machten Thatsachen und Erfahrungen schien es aller- dings gerathen, in Fällen von Scheintod durch Kälte durch den Augenspiegel den Zustand des Augengrun- des zu constatiren, und wenn derselbe anstatt in nor- malem, in anaemischem Zustande erfunden wurde, alle Belebungsversuche durch Erwärmung für vollkommen unnütz zu erklären. Ich habe schon erwähnt, dass ich zu wiederholten Malen Kaninchen augenblicklich nach dem Eintritt der schiefrigen Farbe des Auges und des Tetanus energisch erwärmt und diese Erwärmung Stun- den lang fortgesetzt habe, aber vergebens. Kussmaul und Tenner (l. c.) geben an, dass nach Unterbindung aller dem Gehirne Blut zuführenden Arterien die Thiere unter Krämpfen zu Grunde gehen und durch Lösung der Ligatur an den Gefässen nicht wieder zu beleben sind, sobald die vollkommene Anaemie des Gehirns über 2 Minuten gedauert hatte. Es schien also vollkommen richtig, dass eine durch Kälte hervorgebrachte Anaemie des Gehirns und Rük- kenmarks, welche sich auch durch Krämpfe manifestirt und an einem durch Gehirnarterien gespeisten Organe, wie die Retina und Chorioidea, beobachtet werden kann, und welche viel über 2 Minuten dauert, eben- falls eine unheilbare Zerstörung hervorrufen müsse. Dennoch kann ich neue Thatsachen mittheilen, wel- che diese Grundsätze erschüttern. Ich meine also fürs erste, dass selbst eine vollkommene Anaemie der Re- tina und Chorioidea, welche allerdings auch einem we- nig geübten Ophthalmoscopisten erkennbar sein dürfte, nicht abhalten soll, neue Belebungsversuche zu ma- chen, Für diese Belebungsversuche aber Mone ich neue Methoden vor. dergleichen Erscheinungen nach der Erwärmung ab- gekühlter Thiere keine Seltenheit sind: die bedeutende Abkühlung wirkt hóchst nachtheilig auf den Orga- nismus. Versuch X 12, den 18. März 1866. Weiss- schwarzes Kaninchen, um 12^ Mittags in Schnee und Salz gesetzt. Um 1927 30’ im Ohr + 25° C. Um 1^ im Ohr zwischen + 20 und + 21°C. Die Zwischen- räume zwischen den sichtbaren Gefässen schon blass; keine Bewegungen; der Athem sichtbar. Um 1^30*: das Thier ohne Lebenszeichen; im Ohr zwischen + 16 und -+ 17? C.; im Laboratorium zwischen + 10 und + 11? C. Das Thier aus dem Apparat ge- nommen, in ein Zimmer von + 18^ C. gebracht, ab- getrocknet, 35 Minuten gewartet. Darauf wird das Thier in einen Würmekasten von + 42? R. gelegt, zur Hälfte mit warmer Asche bedeckt, die Tracheotomie gemacht und die künstliche Respiration eingeleitet. Obgleich aber diese künstliche Respiration über 2 Stunden fortgesetzt wurde und die Temperatur des Wärmekastens auf derselben Höhe erhalten wurde, blieb dennoch das Thier todt. Versuch X 13, den 24. März 1866. Weisses Ka- ninchen in gestossenes Eis und Salz gesetzt um ۳ 30’; Wärme des Laboratoriums + 10? C. Um 12” im Ohr + 30? C. Um 12^ 30 zwischen + 23 u. + 24? C. im Ohr. Um 1^20: das Thier ist schon seit 20 Minuten ohne Athem; jetzt haben auch die Bewegungen der Schnauzhaare aufgehört; Auge schieferfarben; die Con- junctiva unempfindlich; keine Spur von Bewegung; im Ohr zwischen + 15 und + 16? C.; das Thier abge- trocknet; Tracheotomie. Das Thier in den Wärme- kasten gesetzt, in welchem das Wasser auf + 46? R. erwärmt war. ` Die ophthalmoskopische Untersuchung des Augen- grundes, als das Thier scheinbar todt war, war unmög- lich, weil die Medien getrübt oder die Hàute collabirt waren. Es wurde nun die künstliche Respiration eingelei- tet. Etwa um 1^ 35' fängt das Thier an gühnende Be- wegungen zu machen, aber bald hórt dies wieder auf, und die Schnauzhaare bewegen sich nicht mehr. À 7 : D è Um 1 50 : die gähnenden Bewegungen erscheinen wieder, aber in Zwischenriumen von mehreren Minu- Bulletin de l'Académie Impériale LU tion, Circulation und Reflex, jede Bewegung und Empfindung erloschen war, deren Retina und Chorioidea ganz anaemisch (capillar), d. h. biszum Maximum der Blässe gebracht war, und welche in diesem Zustande bis zu UL — gelegen hatten, durch die combinirte Wirkung der künstlichen Respiration und der zugeführ- ten Wärme vollständig zu beleben. Die Anae- mie der Retina und Chorioidea ist also keine Contraindication zu Belebungsversuchen. Wei- tere Details werden sich am besten aus der Mitthei- lung einiger Versuche ergeben. Versuch X 11, den 14. März 1866. Kältemischung — 14? R. Um 12 30' im Ohr -- 20° C. Um ۳ hat das Thier im Ohr etwas über + 15? C. Die Conjunctiva ist ganz unempfindlich; jede Spur von Respiration ist erloschen; der Herzschlag nicht zu per- €ipiren; das Auge ist schieferfarben. Zuletzt traten krankhafte Zuckungen um das Maul herum ein und | darauf schien es vollkommen todt. Es wurde darauf aus der Kültemischung genommen, abgetrocknet, los- gebunden, die Tracheotomie gemacht, das Thier in den Wärmekasten gesetzt und die künstliche Respira- tion eingeleitet. Nach Verlauf einer Stunde (die künst- liche Respiration vollführte in meiner Abwesenheit mein Assistent, Hr. Kosakewitsch) athmete das Thier deutlich, die Conjunctiva war empfindlich für Reflex, im Ohr zeigte das Thermometer + 24° C. Nach dar Angabe des Hrn. Kosakewitsch war 20 Minuten hin- durch kein Erfolg der künstlichen Respiration zu be- merken gewesen, dann fingen die Schnauzhaare an sich zu bewegen und endlich erfolgte die Respiration von Seiten des Thiers. Zwischen dem Aufhören der Respiration des Thiers, seinem scheinbaren Tode, bis zum Einlegen in den Wärmekasten und Einleiten der künstlichen Respiration verflossen etwa 15 bis 20 Mi- nuten. Ebenso lange dauerte es, bis die Schnauzhaare wieder anfingen sich zu bewegen. Also war das Thier scheintodt 40 Minuten. Um 9 Uhr Abends hatte das- selbe im Ohr + 37° C., war munter, athmete und lebte "noch bis 2 Uhr des andern Tages. Sektion: Gasauf- treibung im Unterleibe; Leber dunkelgefärbt; die Lun- gen mit dunkeln Flecken besetzt. Das Thier war nach der Erwürmung schwach auf den Beinen, frass nicht, ` SASS auf einem Flecke. Aus meinen frühern Mitthei- lungen (Virchow's Archiv, 1864) ist bekannt, dass 11 nende, ziehende Bewegungen bemerkt. Um 1^25': das Auge ist sehr prominirend; die Schleimhaut des Mau- les ist weniger blau; die Conjunctiva ist noch unem- pfindlich; Bewegungen der Kiefern und der Zunge. Um 1"30’: dieRespirationsbewegungen der Schnauze beginnen; im Ohr etwa + 20° C.; an der conjunctiva oculi kein Reflex. Um 17 35’: schwache Reflexe auf der Cornea. Um 17 45 : lebhafter Reflex auf der Cornea; Respi- rationsbewegungen lebhafter; im Ohr ې‎ 22° C. Um 2”. Das Thier hat + 25? C. im Ohr, athmet deutlich, bewegt sich fortwährend, zittert. Es wurde jetzt im Wärmekasten von + 45°R. sich selbst über- lassen. Zwischen 5 und 6^ Abends im Ohr + 37? C. Das Thier war am 2. April noch munter und gesund. Versuch M 15, den 2. April 1866. Kaninchen schwarz, mit weissen Streifen am Halse; in gestosse- nes Eis und Salz gesetzt um 11^55'; Kältemischung von — 15° R.; Atropin mis Auge. Um 12^ 30°: im Ohr + 27° C.; der Augengrund gleichmässig roth; nur in der Nähe des Dreiecks sieht man grössere Chorioidealgefässe und daneben grau- rothe Flecke (beginnende capillare Anaemie). Um 1^: im Ohr 4- 23? C.; um den dreieckigen Raum herum die capillare Anaemie (graurothe Farbe) zu- nehmend; auch in den peripherischen Theilen des Au- gengrundes die grossen Gefässe deutlicher; dazwischen graurothe Flecke; Pupille weit; Auge prominirend. Um 1” 30’: im Ohr zwischen + 17 und + 18? C.; nur wenige Bewegungen der Schnauzhaare. Ungefähr um 1^ 45’ hören alle Bewegungen der Schnauzhaare auf; Maul und Nase sind bläulich. Nach- dem die methodische rhythmische Compression der Brust keine hinlängliche Luft aus dem Maule zu treiben schien, wurde die Luft durch Tracheotomie und Kau- tschuksack eingeblasen (künstliche Respiration). Die Schnauzhaare fangen an sich zu bewegen, aber das Maul bleibt blau. Eine in das Herz gestossene Explo- rativnadel zeigt weder beim Herausnehmen des Thiers aus der Kälte, noch während des Lufteinblasens, wo- bei das Thier noch nicht im Würmekasten lag, irgend eine Bewegung. Es hat also der Herzschlag ganz auf- gehórt. Darauf wird, genau um 2 Uhr, das Thier in den Wärmekasten gesetzt und durch die tracheotomi- sche Wunde Luft eingeblasen. Vor dem Einlegen des Thiers in den Würmekasten wird die Temperatur des des Scienees de Saint-Pétersbourg. 13 ten; die blau gewordene Schnauze und Nase fängt an zu erblassen; Wärme im Ohr zwischen +22 u. 4- 23?C. Um 1” 55 : die Schnauzhaare fangen an sich zu be- wegen. Um 2^ 5’: die Respirationsbewegungen an Maul und | , Nase stellen sich ein. Um 2/10’: Wärme im Ohr zwischen + 23 u u. موب‎ C.: die Respirationsbewegungen der Schnauze zeigen sich wieder; der Augengrund wird wieder roth, die Conjunctiva empfindlich. Um 2*30’: die Respiration wird immer besser; im Ohr zwischen + 24 und + 25? C. Um 3^35' wird die künstliche Respiration unter- brochen und das Thier der eigenen Respirationsthà- tigkeit überlassen; die Respiration schwach, der Au- gengrund roth, die Pupille etwas enger als früher, die Conjunctiva schwach empfindlich, das Thier selbst ebenfalls schwach; im Ohr zwischen + 25 u. + 26? C. Das Kaninchen wird erwärmt bis auf + 37° C. Ohr- temperatur; dann wurde es, in Tücher eingehüllt, in die Nähe des Ofens gelegt; es verendete in der Nacht. Versuch X 14, den 30. März 1866. Schwarzes Kaninchen mit هه‎ Streifen; in den Apparat ge- setzt (Eis und Salz) um 11^ 35; Würme im Labora- torium + 15,5? C.; im Eise — 13? R. Um 12^ 15’: im Ohre zwischen + 28 u. + 29? C.; der Augengrund, durch den Augenspiegel betrachtet, ist gleichmässig roth; durch die Róthe schimmern ei- nige grosse Gefässe direh: die arteria und vena cen- tralis retinae gut zu sehen; dagegen die vasa vorticosa, selbst nach Einträufeln von Atropin, nicht zu sehen. Um 127 40 hört die Respiration und die Bewegun- gen an den Schnauzhaaren vollständig auf; kein Re- flex auf der Conjunctiva. Um 1” das Thier aus dem Eise genémiten; im Ohr + 19? C.; es ist ganz leblos. Um 1^15' die künstliche Rei ion durch die Tra- cheotomie eingeleitet. Das Thier in den Wärmekasten mit = 50° R. In den letzten Minuten der Abkühlung erschien der Augengrund, durch den Spiegel nur we- niger roth, rauchfarben, aber die vasa vorticosa wer- den auch so nicht deutlich sichtbar. Die Centralgefässe der Retina bleiben in statu quo ante. Die grauröth- liche Färbung des Augengrundes ist am deutlichsten um die faserige Stelle (des Dreiecks) herum. Nach 5 Minuten, von Anfang der künstlichen Respiration und Erwärmung gerechnet, werden wiederum gäh- t 16 würmung um 2 bis 3°C. In andern Fällen bleibt künst- liche Respiration und bedeutende Erwärmung ohne Erfolg auf die Farbe der Schnauze. Das alles ist nur zu erklären, wenn wir annehmen, dass das Herz in einem Falle durch Wärme zur rhythmischen Thätig- keit zu bringen ist, im andern nicht. Ich glaube also, dass, so lange nicht die auf Abküh- lung schnell eintretende allgemeine Todesstarre der Muskeln deutlich ist, die Wiederbelebung abgekühlter Menschen durch ein schnell angewandtes heisses Bad, Luftröhrenschnitt und künstliche Respiration (wie sie lege artis mit der nöthigen Vorsicht, das Lungengewebe nicht zu zerreissen, ausgeführt wird) immer noch zu versuchen ist. Die Erfahrung muss lehren, ob die künstliche Respiration durch methodische rhythmi- sche Compression der Brust, Aufheben der Arme ete. etwas hilft. Ich glaube es nicht. Hier ist periculum in mora! Meinen Kaninchen blies ich Luft durch eine Kautschukblase ein. Die in die Trachea gehende Kau- tschukröhre hatte einen Zweig, welcher unter Queck- silber tauchte und so eine Art Sicherheitsventil gegen Lungenzerreissungen darbot. Etwas Ähnliches muss auch beim Menschen angewendet werden. Am besten wäre ein Blasebalg, welcher nicht luftdicht in die Tra- chea zu setzen wäre, oder ein besonders zu erfinden- der Apparat. nis Schliesslich will ich noch auf den Widerspruch auf- merksam machen, der in meinen Untersuchungen ge- sen die Resultate Kussmaul’s und Tenner's (l. c.) zu'liegen seheint. Meine Kaninchen mit unter Um- ständen unzweifelhafter Anaemie der Centralorgane konnten in's Leben zurückgeführt werden, obgleich sie '/, bis 1'/ Stunden und mehr in diesem anaemi- schen Zustande dalagen. Kussmaul's und Tenner's Kaninchen verloren die Lebensfähigkeit schon nach 2 Minuten. Vor der Hand ist dieser Widerspruch nur dadurch auszugleichen, dass man annimmt, ein abge- kühltes anaemisches Gehirn bleibe viel länger lebens- fähig, als ein auf + 39? C. erwärmtes. Es bliebe übrig, die Kussmaul- Tenner'sche Operation (Unterbin- dung aller Carotiden und Vertebralis) an auf +18 oder + 20° C. abgekühlten Kaninchen zu machen. Kiew, den 7. August 1866. Bulletin de l’Académie Impériale 15 Ohres in der Trachea, den Lungen (durch die Wunde der Trachea) und im Mastdarm gemessen. Im Mastdarm zwischen + 8 und + 9? C., im Ohr und in den Lun- gen zwischen + 15 und + 16?C. Die künstliche Respi- ration wurde etwa ‘, Stunde fortgesetzt, blieb aber ohne Erfolg. Nachdem die Brust geöffnet war, erwies sich, dass das Blut in den grossen Gefässen nicht ge- ronnen war, das erwärmte Herz aber fing nicht an zu schlagen. Nur die Vorkammern geriethen danach in rhythmische Bewegungen, welche sich aber nicht auf die Kammern fortsetzten. | Der negative Erfolg dieses Versuchs ist wahrschein- lich dem Umstande zuzuschreiben, dass die Bewegun- gen der Schnauzhaare beim Abkühlen lange dauerten, weshalb das Thier lange im Apparat sass. Dann wurde die Wirkung der künstlichen Respiration ohne Erwär- mung versucht, durch alles das Zeit verloren und so wahrscheinlich der vollständige Tod des Herzens her- beigeführt; trotz aller künstlichen Respiration blieb die Schnauze blau. | Ich glaube durch die vorliegenden Untersuchungen erwiesen zu haben, 1) dass der Tod durch Abkühlung ausser der Anaemie der Centralorgane auch durch eine venöse Beschaffenheit des Blutes hervorgebracht wird; 2) dass der Augenspiegel Aufschluss giebt über die Anaemie der Chorioidea und Retina, welche durch die Abkühlung hervorgebracht wird; 3) dass es höchst "wahrscheinlich ist, dass gleichzeitig mit der Anaemie des Auges eine Anaemie des Gehirns und Rücken- marks eintritt, da zugleich mit der Schieferfarbe des Auges Krümpfe und Stillstand des Herzens eintreten; 4) dass in diesem Zustande und wahrscheinlich noch vor dem vollständigen Aufhóren des Herzschlages durch die, wenn gleich energische, künstliche Wärme- zufuhr das Leben nicht herzustellen ist, dass dieses aber noch gelingen kann, wenn gleichzeitig die Er- wärmung und die künstliche Respiration angewandt werden. Aller Wahrscheinlichkeit nach hängt die Möglich- keit der Wiederbelebung auf diesem Wege davon ab, ob durch die Erwärmung die Thätigkeit des Herzens wieder angefacht werden kann, oder nicht. In einigen Fällen wird das blau gewordene Maul wieder roth, ehe noch eine Athembewegung des Thiers eintritt, ehe noch der Cornea-Reflex erscheint, und bei einer Er- 15 Greiner'sche Thermometer mit '/,? Theilung). Bei die- ser Temperatur verendet das Thier. Die Erscheinun- gen, unter welchen das Thier dem Tode zugeht, sind hauptsächlich folgende: 1) Steigerung der Frequenz der Respiration bis auf 200, 250 Athemzüge in der Minute; dabei wird der Athem flach, kurz die Kanin- chen athmen wie Hunde in der Hitze. 2) Die Frequenz des Herzschlags wird enorm vermehrt, doch ist die- selbe selbst mit dem Stethoscop nicht zu zählen. Kurz vor dem Tode hórt aller Herzschlag auf percipirbar zu sein. 3) Aus dem Munde fliesst Flüssigkeit. 4) Die Conjunetiva und Cornea bedecken sich mit Schleim. 5) Die Muskeln werden zuerst am Oberschenkel, dann am ganzen Körper starr, wie gekocht. 6) Maul, Nase, Hoden, Haut werden blau, cyanotisch. 7) Die Pu- pille verengt sich, bisweilen in hohem Grade. 8) Es treten krampfhafte und tetanische Zuckungen ein und Unempfindlichkeit der Conjunetiva. Alles deutet da- | ránt hin, dass durch das bekannte Festwerden (Ge- rinnung) eines Theiles der Muskel - Eiweisskörper Respiration und Circulation und darnach auch die Thätigkeit der Centralorgane aufgehoben werden. Nach dem Aufhören der Bewegung und Empfin- dung, Respiration und Circulation, dauert die Steige- rung der Innenwärme des Thieres fort, aber mit ab- nehmender Schnelligkeit. Die Wärme im Anus steigt nach dem Tode noch bis beinahe -+ 50° C. Die Section so getödteter Thiere zeigt Blässe und Anaemie des Gehirns, der Leber und Nieren, gleich- mässige Röthe der Lungen (Hyperaemie). Das Herz ist starr, wie gekocht, ebenso die Skelettmuskeln, welche weiss sind, wie gekocht, die grossen Venen in der Bauchhöhle und im Unterhautzellgewebe gefüllt. 8 Muskelgewebe kleine, zerstreute Extravasate. 7 Ich füge nun ein paar Beobachtungen in 0 bei. : Versuch X 3, am 8. Juli. Temperatur der Luft im Schatten 30,20. In der Sonne, frei im Winde 34,67 C. Kaninchen weiss, kurzhaarige, kleine Rage; Wärme im Anus 39,2°; um 1 Uhr 5 Minuten das Thier an den Rahmen gebunden. Um 1 Uhr 25 Minuten im Anus 40,2° C.; um 728’ unter der rechten Achsel 40,8? C. (dazu die rechte Vorderpfote losgebunden). 1° 32: in der Mitte des Bauches unter der Haut die 6 43? 0. (Es wurde سم des Sciences de Saint- Pétersbourg. 17 Über tódtliche Wärmeproduction im thierischen Körper, von Professor Dr. A. Walther in Kiew. Offener Brief an Herrn Akademiker Owsjan- nikow in St. Petersburg. (Lu le 20 septembre 1866.) Die folgenden Untersuchungen und Beobachtungen habe ich im Laufe dieses Sommers gemacht, als mich der ósterreichisch-preussische Krieg zwang, meine Reise in's Ausland aufzugeben. Ich beschloss, den Kiewschen heissen Sommer zu benutzen, um den Ein- fluss der äussern Wärme auf die Temperaturtopogra- phie des thierischen Körpers zu studieren. Zu diesem Zwecke wählte ich Tage, an welchen die Luftwärme in der Sonne im Freien bis auf 30 ja bis 37° C. stieg. ` Ich bestimmte zuerst die Wärme im Anus, im Zimmer bei etwa + 20? C. Lufttemperatur, band die Thiere dann an einen Holzrahmen und transportirte sie dann in's Freie an die Sonne. ` Dabei erwiesen sich allerdings auch interessante Thatsachen in Beziehung auf die Wärmetopographie, doch will ich vor der Hand von deren vollständiger Veröffentlichung ab- stehen, da dieselben noch nicht abgeschlossen sind. Bei dieser Gelegenheit aber machte ich Beobachtun- gen, welche sich im allgemeinen stets auf dieselbe Weise wiederholen liessen und eben deshalb als sicher gelten können. Ich bitte dieselben, wenn Sie es für wichtig genug halten, der Akademie der Wissenschaften mitzutheilen und deren Druck zu veranlassen, weil der Sommer vergeht und ich nicht sobald den Gegenstand wieder aufnehmen kann, andrerseits aber die wissen- schaftliche Verwerthung dieser Thatsachen so schwie- rig ist dass sie die Kräfte mehrerer Forscher in An- spruch zu nehmen im Stande ist. Alles dieses macht mir eine baldige Veróffentlichung wünschenswerth. Wenn man Kaninchen, deren normale Temperatur meistens ein paar Zehntheil Grade über + 31° ©. beträgt, einer Sonnenwürme von + 30 bis + 34°C. aussetzt, wobei die Thiere, wie gesagt, auf ein schwar- zes Brett (Rahmen) gebunden werden und nur wenig auswärts Bewegungen machen können, so findet man bald, dass die Wärme des Thieres, im Rectum gemes- sen, zu steigen beginnt. Obgleich also die umgebende ürme niedriger als die des Thieres ist, so nimmt doch die Eigenwürme des Thieres zu. Diese Zunahme ist eine stetige und geht bis zu etwa 46^ C. meines Thermometers (zu allen meinen Wärmemessungen der Kaninchen benutzte ich seit Jahren ein und dasselbe Tome XI i : Versuch X 6. Weisses Kaninchen mittlerer ۰ Im Anus Würme 39,4 um 10 Uhr 55 Minuten. Wärme der Luft unmittelbar in der Nähe (auf 1 Zoll vom Bauche entfernt) des Thieres 32—32,5° C. An vor dem Winde geschützten Stellen 37,9^ C. im Schatten 23,1° C. | Um 117 10 Wärme im Anus 39,8? C. + CDI 220 » x: um ز رشن‎ » kopa » p: 441 »‏ و Athem 268, dann 288, dann 256, dann 200 mal in der Minute. 117 55'. Im Rectum 46,5? C. Das Thier verendet unter Erscheinungen des Opi- sthotonus. Alle sichtbaren Hautpartien, Maul, Nase sind blau, Pupille eng, die Muskeln werden starr, zu- erst an den Oberschenkeln. Um 12^10'. Im Rectum 47,3? C. »477 » و 20 12 » » 48,2 » »0055 .5-145 X440. 9 » 48,5 »‏ زر » Muskeln am ganzen Kórper starr. Um 12^50. Im Rectum 48,8? C. » 1 » » 49 » » لن‎ d) «۰. 49,1 ». Luft 34,7 C. Der Versuch wurde abgebrochen, weil die Wärme- - steigerung immer langsamer vor sich ging, und weil das Thermometer nicht hóher graduirt war. Ein Suslik (Spermophilus guttatus) wurde zu glei- cher Zeit mit dem Kaninchen uud an demselben Ort an ein weisses Brettchen gebunden. Wärme im Anus um 12^ 30' 40,6° C. Um 12" 40 der اي‎ todt. Im Anus 48,3? C. In der Luft 34,7. Die Wärme des Susliks steigt über 50* C., bg welcher Temperatur die Wärme durch das Thermometer unmessbar ist. Luftwärme 34,7° C. Ich will mir aber bei dieser Thatsache die folgende Epikrise erlauben: 1) der Tod des Thieres durch Wär- mesteigerung erfolgte schon, sobald die äussere Tem- peratur etwa 32°C. betrug. Diese Wärme ist jedenfalls, in allen meinen Versuchen, unter der Eigenwürme des Thieres, das heisst unter der Würme der innern Theile desselben. Es hat diese hohe Würme der um- gebenden Luft nur den Erfolg die Hautwärme im Verhältnisse zur innern Wärme zu steigern. Der | Wärmeverlust des Thieres vermindert sich. Dabei Bulletin de l'Académie Impériale ein Hautschnitt gemacht, gerade so gross, dass das Gefüss des Thermometers in das Zellgewebe gescho- ben werden konnte, bis es nicht mehr zu sehen war.) 1^37' Hautschnitt von oben, in der rechten Sei- tenlinie des Rumpfes, au niveau mit der letzten Rippe; Wärme 42,1°C. 1'42" au niveau mit dem Kniegelenk der rechten Seite am Hinterbein, einen Fingerbreit nach hinten ein gleicher Hautschnitt. Wärme 42, T Gi 147'. Hautschnitt au niveau mit dem Tarsalgelenke vorn 42* C. 1^45'. In der Mitte des Bauches unter der Haut 45°C. - 2^ an Im Anus 45,7° C. 2^30' Im Anus 46,1. Das Thier athmet immer langsamer, dann treten tetanische Zuckungen ein; das Thier athmet mit weit geüffnetem Munde, endlich hören Athem, Herzschlag und Bewegung des Skeletts auf. Pupillen ganz eng; das Auge anaemisch; das Maul blass und cyanotisch. Muskeln hart anzufühlen. Die Beobachtung abgebrochen. Versuch X 5 Ziemlich grosses, weises männliches Kaninchen, die Hoden im Hodensack deutlich fühlbar (Paarung?). Wärme im Freien, an der Sonne im Winde + 30^ C. Bei heftigen Windstössen sinkt das Thermometer um einen Grad und steigt, sobald der Wind ۲۰ Um 11^15'. Im Anus 40,4? C. » 11:20 ein 42 » o 11 35. Im Rectum 44,7 C. Im Maule Flüssigkeit, Pupille eng, Respiration et- wa 240 mal in der Minute. 11*50'. Im Rectum 46°C. Das Thier ist todt. Kurz vor dem Tode der Herz- schlag durch das Stethoscop nicht mehr zu hören. Die Schenkelmuskeln werden schon vor dem Eintritt des Todes starr. Die Hoden, Maul, Nase blau. Pupille eng. Sonst der Tod wie oben. Sogleich naeh dem Tode des Thieres in das Thermometer im Rectum noch um 0,5* Um 12^ im Rectum 46,6? C. yr'q5 9" EEE ۷2 0 » ET. Alle Muskeln des Kórpers vollkommen starr, das Auge prominirend und anaemisch. — Um 12^10' 47,2? C. Der Versuch pop. Section wie oben. tale Steigerung der Wärme (z. B. nach heftigem Te- tanus) statt finden kann, jedoch findet dieses nie in dem von mir beobachteten Maasse statt. Die Wärme- zunahme bei Lebzeiten des Thieres ist beinahe 2 mal so schnell, als nach dem Tode. S. Versuch X 6 Man muss sich also nach andern Erklärungsgrün- den für diese postmortale Steigerung der Wärme um- sehen. Denn wenn man etwa glauben wollte, dass die Wärmeproduction des Thieres das Aufhören von Nerven- und Muskelleben überdauert, so bliebe zu erklären, warum denn nicht immer eine postmortale Wärmesteigerung eintritt, da mit dem Aufhören des Herzschlags und der Blutbewegung auch der Wärme- verlust sehr herabgesetzt wird. Für den Augenblick scheint das Plausibelste, anzunehmen, dass der Uebergang der flüssigen oder halbflüssigen Muskel- substanz in den festen Zustand, d. h. die Gerinnung des Muskeleiweisskörpers durch Wärme, seinerseits Wärme frei macht, welche bei der Verminderung des Wärmeverlustes nach dem Tode hinreicht, das Thier bis beinahe 50°C. zu erwärmen, so dass bei der Sec- tion schon die blosse Hand unangenehm von derHitze der Eingeweide affizirt wird. Wenn das aber zuge- geben wird, so fragt sich, ob nicht die äussere Luft- würme schon früher in den Muskeln einen. chemi- schen Prozess einleitet, welcher mit Erwürmung des Thieres einhergeht und vielleicht die eigenthümliche Erschlaffung der Muskeln bedingt, welche durch grosse Hitze erzeugt wird. Ich mache schliesslich noch darauf aufmerksam, dass die Würme den Herz- schlag beschleunigt, den Herzmuskel anregt, aber an- dere Muskeln erschlafft, und dass die Beschleunigung des Herzschlags keine Regulirung der Wärme, son- ` dern nur eine schnellere Erwärmung des Thieres be- dingt, wenn man annimmt, dass in dem Thiere selbst eine neue Würmequelle (Zersetzung der Muskelsub- stanz) entsteht, aber einer Abkühlung gleich zu achten ist, wenn dieses nicht der Fall ist, Die Erwürmung des Thieres schreitet von aussen nach innen fort. Die Wär- metopographie des thierischen Körpers, die Verthei- lung der Klimate in ihm wird ganz verändert, nicht aber absolut überall gesteigert, sondern. auch 6 Verhältnisse werden gestört. Kiew, den 80. August 1866. des Sciences de Saint - Pétersbourg. steigt die Wärme der innern und äussern Theile. Das Thier wird also durch innere Prozesse erwürmt, nicht aber durch von aussen zugeführte Wärme. 2) Der Tod durch excessive Wämesteigerung hat in einer Beziehung Aehnlichkeit mit dem Tode durch Wärmeentziehung, unterscheidet sich aber in andern Punkten davon vollständig. Von Kälte sowohl, als von Wärme entsteht zunächst Stillstand des Herzens; durch Wärme wahrscheinlich wegen Gerinnung im Muskel. Das Herz ist wie gekocht. Auffallend ist, dass die Gerinnung zuerst an den Muskeln der Schen- kel eintritt, obgleich doch die Wärme der innern Theile am höchsten bleibt. Der Herzschlag wird un- hörbar, noch ehe Athem und Bewegungen aufhören. Sowohl durch Kälte, als durch Wärme tritt Anae- mie des Gehirns ein. Durch Wärme auch Anaemie der Leber und Nieren. Nie habe ich diese Anaemie in Nieren und Leber durch Kälte (in Hunderten von Beobachtungen) eintreten sehen, und so könnte dieser Befund zu diagnostischen Zwecken benutzt werden. Die Muskelstarre tritt auch nach dem Tode durch ' Kälte sogleich ein. Beim Tode durch Wärme ist auch der Tod eher da, als allgemeine Muskelstarre eintritt. Der Tod ist da, sobald die Schenkelmuskeln starr werden, was also ein böses Omen ist. — Die Asphyxie oruko sowohl durch Kälte als durch Wärme; zum Beweise dient das Erlahmen der Respiration und die Cyanose. Die Lungen sind sowohl dürch Kälte wie durch Wärme hyperaemisch; durch Wärme in ihrer Totali- tät, durch Kälte fleckweise. Die Pupille wird durch die Kälte bedeutend er- weitert, durch die Würme verengt; in beiden Füllen wird das Auge anaemisch und hervorgetrieben. ,9) Nach dem gegenwärtigen Zustande der Physio- logie der thierischen Wärme sind diese Erscheinun- gen sehr schwer zu erklüren. Man müsste annehmen, dass die Würmeproduction des Thieres, obwohl nicht ad infinitum für alle Fälle der Wärmeentziehung hin- reichend, doch eigentlich immer im Übermaasse statt- findet, so dass, sobald der Wärmeverlust ein gewisses Minimum erreicht, das Thier an übermässiger Ver- brennung zu Grunde geht. Ferner müsste man um die Fortdauer der Wärmesteigerung nach dem Tode zu erklären, zu Hypothesen seine Zuflucht nehmen. Es -ist bekannt, dass auch beim Menschen eine postmor- 24 Bulletin de l'Académie Impériale 23 Die Steinkohlenformation des Urals und deren | des Umstandes zu erwähnen, dass in den Wäldern des Urals, namentlich am Westabhange, Hunderte von grossen Barken gebaut werden, die im Frühling mit den Hüttenproducten beladen davongehen und nimmer wiederkehren. Ihr Bau wiederholt sich daher in je- dem Jahre auf's Neue. Es ist, als wäre ein Gericht über die Walder des Urals, zu deren Vertilgung, ein- gebrochen. Und was gewissenhafte Forstbeamte und ` besonnene Bergoffiziere auch gegen diese Verwüstung vorschlagen mögen, es erweist sich als ungenügend um den unaufhaltsamen Gang der Zerstörung aufzu- halten, weil die Waldterrains zu gross sind, um wirk- sam überwacht werden zu können. Man würde eine ganze Armee von Buschwächtern dazu nöthig haben. Freilich machen einige Reviere hiervon eine erfreu- liche Ausnahme, wie z. B. Nishn-iTagil, der berühmte Besitz der Demidow’s, der immer human und ratio- nell verwaltet worden ist, und ein und das andere Bergrevier der Krone. Es ist jedoch in dieser Bezie- hung mit dem Ural, wie es mit dem ganzen europäi- schen Russland ist: der Wald ist noch in grósster Menge vorhanden, kann aber wegen seiner grossen Entfer- nung von den Orten des Consums nicht benutzt wer- den. Was hilft unseren holzlosen Steppen des Südens der prachtvolle Urwald an der Petschora, und was nützen den Hütten von Kuschwa, Jekaterinenburg, Slatoust etc. die Hunderttausende von Dessätinen des schónsten Hochwaldes, der im nórdlichen Ural drei bis vier und sechshundert Werst weit von ihnen steht? Es ist als wäre er gar nicht da. Dem Walde mit den Schmelzöfen nachzugehen, wie man das bei kleinem | Betriebe wohl thun mag, ist bei grösseren Werken, wie am Ural, ohne grossen Verlust an Geld nicht aus- zuführen. : : So ist denn am Ural das Bedürfniss nach Steinkoh- len bereits da, man verlangt sie an vielen Orten schon laut und dringend, und wo sieleicht zu erhalten waren, wie in Alexandrowskoi, der Wsewoloshky's, und Ki- selowsk, der Herren Lasarew, hat man die Kohlenla- ger bereits in Angriff genommen und braucht sie in Alexandrowsk zum Puddeln, in Alexandrowsk und Kiselowsk zum Heizen der Dampfkessel. Aber auch ausserhalb des Gebirges ist die Nach- frage nach Uralscher Steinkohle laut uud dringend geworden. Um die Wälder am Uralmöglichstzu schonen, hat der praktische Bedeutung, von G. v. Helmersen. (Lu le 20 septembre 1866.) (Bericht an den Finanzminister Hrn. v. Reutern.) Als ich den Ural im Jahre 1833 bereiste, war es ein einziger Hüttenbezirk, N eviansk, der über Holzmangel klagte und seinen Betrieb wegen desselben einschrün- ken musste. Auch Artinsk, das jedoch nicht im Gebirge selber liegt, war um seine Zukunft schon damals in beginnender Sorge. Im Übrigen aber galt der Wald- vorrath des Urals für unerschópflich, und wenn man viele Hunderte von Werst ununterbrochen durch seine hohen, dunklen Wälder reiste, so tröstete man sich nur zu leicht mit diesem Glauben und betrachtete die damals bereits bekannten Steinkohlenlager im Norden von Perm, bei den Eisenhütten der Wsewoloshsky's und Lasarew's, als einen unnóthigen Ueberfluss von Brennmaterial, der niemals in Anwendung kommen werde. 5 Aber verständige Forstleute, wie der verstorbene Schultz in Jekaterinenburg, äusserten schon damals ihre Bedenken über die Unerschöpflichkeit des Waldes und tadelten dessen wüste Behandlung laut und öffent- lich. Es waren drei Dinge, welche sie besonders her- vorhoben : mangelhafte Aufnahme und Abschätzung der Bestände; ungenügende Anzahl von Waldwäch- tern und das Verfahren mancher Berghauptleute und Hüttenverwalter, denen die Forstbeamten am Ural untergeben sind. Die Forderungen und Dispositionen der Bergbeamten stimmten bisweilen nicht mit den Anordnungen der Förster überein, statt dass sie die- ses immer sollten. Man hieb den Wald, in der Nähe der Hütten anfangend, schonungslos nieder, wo er eben am bequemsten zu erreichen war und kümmerte sich nicht um den Nachwuchs. Die Kreise wurden immer grösser, bis die Hütten gar bald in deren Centren standen und ihre Kohlen jetzt 60, 70, ja bis 90 ۰ weit auf elenden Wegen für theures Geld heranführen mussten. Dazu kamen und kommen auch jetzt noch zwei an- dere den Wald zerstórende Elemente: die jährlich sich wiederholenden, theils durch Unvorsichtigkeit, theils mit Absicht veranlassten, kolossale Verwüstun- gen anrichtenden Waldbrände und der Walddiebstahl, der sich seit der Aufhebung der Leibeigenschaft und Hörigkeit vermehrt hat. Endlich haben wir noch| 26 gen Jahrhunderts. Am bekanntesten waren die am westlichen Fusse des nórdlichen Urals bei den Eisen- hütten Alexandrowskoi und Kiselowskoi, an der Lunja und am Kisel, und diean der Jaiwa und Koswa zu Tage streichenden Kohlenflótze. Man wusste auch bereits in den dreissiger Jahren unseres Jahrhunderts, dass am Westfusse des südlichen Urals die Frühlingswasser der Sakmara Steinkohlenstüeke hinabschwemmen und die von Hofmann und von mir 1829 in jener Gegend gesammelten Versteinerungen beweisen dort die Ge- genwart des Kohlenkalks oder Bergkalks, aber die ursprüngliche Lagerstütte jener Kohlenfragmente ist bis jetzt unbekannt geblieben. Schon aus diesen wenigen Thatsachen konnte man vermuthen, dass Gesteine der Kohlenperiode am West- abhange des Urals in betrüchtlicher Verbreitung auf- treten, aber die Gewissheit darüber erlangte man doch erst nach den Bemühungen Murchison's und seiner beiden Gefährten: Verneuil's und des Grafen Keiser- ling. Diese Geologen sprachen auch die Meinung aus, dass gewisse Sandsteine in dem Bassin von Artinsk, in welchen verschiedene Species von Goniatiten und Reste von Landpflanzen vorkommen, auch der Koh- lenperiode angehóren; und da dieselben dem oberen Bergkalke aufgelagert sind, so schienen sie ihnen die Steinkohlenformation Englands im engeren Sinne oder auch den Milstone great zu repräsentiren. Auf diese Bestimmung fussend, hatte man in der Gegend von Artinsk mehrere Bohrlöcher zur Entdeckung von Steinkohlenflótzen angelegt, aber erfolglos. Und es war noch mehr geschehen. In England hatten schon vor langer Zeit mehrere Personen, obgleich sie des- halb sogar in den öffentlichen Blättern verspottet wur- den, in Schichten des Perm’schen Systems Bohrlöcher angelegt, um mittelst derselben die nach unten fol- gende Steinkohlenformation und deren Kohlenflötze aufzuschliessen. Die Versuche gelangen und gaben zu einem grossen Kohlenbergbau in den mittleren Grafschaften Englands Veranlassung. Dieses Beispiel hatte man am Ural nachgeahmt. Man legte bei Moto- wilicha, in der Nähe von Perm, in Schichten des Perm’schen Systems Bohrlöcher an, um die Gesteine der Kohlenperiode zu erreichen. Aber an beiden Or- ten hatte man die Arbeiten leider unternommen, ohne vorher auch nur approximativ die Tiefe zu bestim- men, bis zu welcher man werde gehen müssen. Dazu des Sciences de Saint- Pétersbourg. 25 Director des Bergdepartements, General Rachette, den wohlbegründeten Vorschlag gemacht, am Ural nur die Erzeugung von Gusseisen mittelst Holzkohle bei- zubehalten und die weitere Verarbeitung desselben an der Kama mit Uralscher Steinkohle zu bewerkstelli- gen. Die Ausführung dieses Gedankens hat durch die Anlage zweier grosser Werke bei Perm an der Kama begonnen, welche Uralsches Gusseisen und Stahl zu Kanonen verarbeiten. Allein auch hier bleiben wir nicht stehen, denn die 300 Dampfschiffe der Wolga schauen auch bereits nach der Uralschen Steinkohle aus, obgleich sie in diesem Augenblicke noch keinen Mangel an Holz haben, und es nicht sehr theuer be- zahlen. Man frage aber alle verständigen Menschen an der Wolga, ob die niedrigen Holzpreise sich erhal- ten können, und man wird überall die übereinstim- mendste Verneinung hören. Wie sollte es auch anders sein? - Bei dem Mangel an Geld, der sich bei uns fühlbar 'macht, und bei den vermehrten Ausgaben, welche die Grundbesitzer sowohl, als die Bauern seit der Emancipation der Leibeigenen haben, macht jeder Geld wie und womit er nur kann. Des Holzes bedarf man überall und zu allen Zeiten; ein Baum aber ist bald gefällt und verkauft, und so geschieht es denn jetzt, dass in ganz Russland nicht nur die Waldungen, son- dern an vielen Orten die Bäume der Parks und Alleen niedergehauen werden, um das aus ihrem Verkauf gelóste Geld zur Befriedigung der dringendsten Be- dürfnisse zu verwenden. — | Die Holzpreise an der Wolga und an der unteren Kama werden schon in den nächsten Jahren eine dro- hende Hóhe erreichen und nicht wieder sinken, son- dern steigen, weil das Zerstórüngswerk mit der gröss- - ten Energie betrieben und weil aller nahe Wald und daher alles wohlfeile Holz bald verschwunden sein - wird. Vergessen wir auch nicht, dass jeder der 0 Dampfer auf der Wolga jährlich cirea 1000 Kubik- Sashen Holz verbraucht, was für alle ein Quantum von 300,000 Kubik-Sashen giebt. 85 Pud Steinkohle von Alexandrowsk sind erfor- derlich, um ein Cub. Sashen Holz zu ersetzen. Es würde also die Wolga jährlich 25 Millionen Dud Stein- kohle nóthig haben. ۱ ۱ Dass am Ural brauchbare Steinkohlen vorkommen, wusste man schon seit dem Anfange des gegenwürti- = 2s 2) Wolle man diesem Betriebe einen grósseren Auf- schwung geben, so müsse die Steinkohle zu Hülfe genommen werden und an die Stelle der Holzkohle treten. 3) Man solle in der Gegend von Kamenskoi selbst nach Kohlen suchen, da die Arbeiten bei Suchoi- log aus verschiedenen Gründen einzustellen wären. Man solle die Bohrungen bei Motowilicha (in der Nähe von Perm) fortsetzen; auch die Steinkohlen- formation an der Lunja und besonders deren Fort- setzung nach Norden in den Kronsländereien des Tscherdynschen Kreises untersuchen. Die Gegend von Artinskoi aber solle man nochmals darauf prü- fen, ob ihre Gesteine auch wirklich der Steinkoh- lenformation angehóren und wenn die Antwort bejahend ausfällt, daselbst Kohlen zu entdecken suchen. | 4) Man solle auch das Kronsland untersuchen, wel- ches im Kreise Tscherdyn, nórdlich von dem Ale- xandrowschen Kohlenlager liegt, weil die Forma- tion, in welcher letztere vorkommen, nicht nur nach Süden von Alexandrowskoi, sondern auch nach Norden fortsetzt und weil südlich von Ale- xandrowskoi in ihr bereits Kohlenflótze aufgefun- den waren. | 5) Zur Ausführung dieser Untersuchungen erbat sich General Vólkner vom Finanzminister A. M. Knä- shewitsch 50,000 R. 8. n Dieser Vorschlag wurde mir am 15. Decbr. 1860 zur Begutachtung mitgetheilt: i ۱ Ich sprach mich dahin aus: 1)Dass man im Bergrevier Kamenskoi, wo der un- tere Kohlenkalk nicht nur bei Suchoilog, wo Flótze in ihm bereits abgebaut waren, sondern auch an anderen Orten vorkommt, allerdings nach Steinkohlen suchen solle, da alle Hoffnung vorhan- den sei, welche zu finden. 2) Man solle bei Motowilicha, das auf Schichten des Perm’schen Systems liegt, die Gesammtmächtig- keit derselben zu bestimmen suchen, ehe man die Bohrarbeit fortsetze. Zu solcher Bestimmung em- _pfahl ich die an den Flussufern entblössten Fels- profile. , 3) Das Alter der Artinskischen Gesteine nochmals zu untersuchen, wie Völkner es vorschlug, hielt ich Bulletin de l'Académie Impériale ?7 wäre nur nóthig gewesen, an den Schichtenprofilen der Kama und den óstlichen Zuflüssen derselben die Mächtigkeit der einzelnen Gesteinsgruppen zu be- stimmen; es fehlte jedoch am Ural an Geologen, die das hätten thun können. Es gehörten dazu auch spe- zielle Kenntnisse in der angewandten Palaeontologie. Auf der Ostseite des Gebirges hatte ein Zufall zur Entdeckung von Steinkohlen bei Kamenskoi Sawod geführt. Zwar kannte man auch im Kamensker Berg- revier das Vorkommen von Kohle seit dem لول‎ Sie ward lange Zeit, so berichtet Grammatschik ow sh für wirkliche Steinkohle gehalten, bis eine nähere Un- tersuchung in den Jahren 1830 und 1 zeigte, dass diese Kohle sowohl in geologischer Hinsicht, als auch in Beziehung auf ihre Beschaffenheit der Braun- kohle angehöre. Die Schürfungen auf dieselbe währten bis 1842, namentlich in der Nähe des Dorfes Kol- tschedansk, wo sie, nach Grammatschikow, in Thon- schichten zusammen mit Bernstein und Schwefelkies vorkommen und wo dieser Thon auf einem tertiären, zu Mühlsteinen tauglichen Sandsteine aufliegen soll. Im Jahre 1842 fiel in Folge anhaltender Dürre das Niveau des Kamensker Hüttenteiches ungewöhn- lich tief, und man bemerkte in den dadurch blossge- legten Sandsteinschichten verwitterte Kohlenlager. Diese wurden im Jahre 1843 mittelst eines Schach- tes und mehrerer Stollen in einer Tiefe von 4 bis 9 Arschin aufgefahren und zeigten eine Müchtigkeit bis 5 Fuss. Auch 60 Werst yon Kamenskoi, bei Su- choilog wurden später Kohlenflótze aufgeschlossen. Ueber den Erfolg der Versuchsbaue an beiden Orten werde ich weiter unten berichten und kehre nun wie- der an den Westabhang des Gebirges zurück. Obgleich es am Ural und in St. Petersburg manche Personen gab, welche die Nothwendigkeit einsahen, sich der Steinkohle zuzuwenden, so war es doch erst der Oberberghauptmann Völkner, der die Sache ernst- lich angriff. Die nächste Veranlassung dazu war, dass man den Hüttenbetrieb am Ural zuvermehren wünschte. Im Sommer des Jahres 1860 machte er der Oberberg- verwaltung in St. Petersburg eine Mittheilung folgen- den Inhalts: 1) Der Hüttenbetrieb am Ural könne sich, wegen Er- schöpfung der Wälder, nicht weiter entwickeln . umd vermehren. x 1) Gornoi Journal, 1845, Bd. I, pag. 314. wilicha in Perm schen Schichten angelegten Bohrlö- cher die Steinkohle nur in 1855 F. Tiefe aufschlies- sen würden, und das auch nur in dem günstigen Falle, wenn die Gesteinslager eine horizontaleStellung haben. In Folge dieser Bestimmung wurden die Bohrarbei- ten bei Motowilichà ebenfalls aufgegeben. Noch wichtiger war ein drittes Resultat der Pan- der'schen Untersuchungen. Er erkannte, was vor ihm die Herren v. Grünewaldt und Ludwig an einigen Punkten bereits gesehen hatten, dass am ganzen West- abhange des Urals die Steinkohle in zwei verschiedenen Horizonten vorkommt. Der obere nàmlich liegt in quar- zigen Sandsteinen, welche ihre Stelle zwischen dem oberenund unseren Bergkalke einnehmen der untere ist ganz derselbe wie im Tula-Kalugaer Bassin, nämlich zwischen dem unteren Bergkalke und dem Devoni- schen Systeme. Zu diesem letzteren Horizonte gehört die Steinkohle von Archangelo-Paschiisk am Westab- . hange und die Kohle von Kamenskoi am Ostabhange des Gebirges. Nun wusste man, wo die Kohle zu suchen sei und brauchte vorlüufig nur an palaeantologischen Kenn- zeichen das Alter der Bergkalketagen zu bestimmen. Auch machte Pander beispielsweise einige Punkte namhaft, an welchen man hoffen kónne, die Kohlenla- ger des oberen Horizontes aufzufinden: der Palüdow- Berg, 70 Werst óstlich von Tscherdyn, die Gegend von Kirgischansk, Grobowa, beide an der grossen Strasse von Perm nach Jekaterinenburg. Am Ostabhange des Urals, wo der obere Kohlen- horizont bis jetzt nicht aufgefunden ist, gehórt alle Steinkohle dem unteren an, aber hier sind die Berg- kalkschichten von eruptiven Gesteinen dermaassen ge- stórt, dass alle bisher bekannten Kohlenflótze, bei Su- choilog und bei Kamenskoi, in Folge dessen schwierig abzubauen sind. Pander rieth daher diese Baue auf- zugeben und neue nur an solchen Stellen anzulegen, wo die Schichten ruhiger sind und wo man also er- warten kónne, grosse kontinuirliche Kohlenfelder statt der sich vielfach auskeilenden und gewundenen Flótze aufzufinden. : | Es war nun für die ferneren Nachsuchungen nach Steinkohle eine feste Grundlage gewonnen und bei verständiger Voruntersuchung jeder Irrthum in Be- zug auf die Wahl des richtigen Punktes zur Anlage von Bohrlóchern und Schürfen unmöglich gemacht. des Sciences de Saint - Petersbourg. für unnöthig, da es durch die Verfasser der Geo- | logy of Russia bereits geschehen war; aber auch hier empfahl ich, bevor man die Bohrungen fort- setze, die Gesammtmächtigkeit des sichtbaren Theils der Formation zu bestimmen. Geschähen diese Bestimmungen nicht, fügte ich am Schlusse meines Gutachtens hinzu, so könne der Fall ein- treten, dass man die Bohrlöcher an Orten anlege, wo die Kohle in einer einen vortheilhaften Abbau nicht mehr gestattenden Tiefe liegt. 4) Endlich empfahl ich auch die Gegend geologisch zu untersuchen, welche nördlich von der bei Ka- menskoi. entblössten Steinkohlenformation liegt. Da diese Arbeit spezielle Kenntnisse in der Palä- ontologie erforderte, wurde der Staatsrath Pander ersucht, die Reise an den Ural zu übernehmen. Als Begleiter nahm er die Herren Möller und Köppen mit. Pander’s Untersuchungen, man kann sagen Entde- ckungen, waren von grösster Wichtigkeit. Was Völk- ner in Bezug auf die Artinsker Gesteine schon rich- tig vermuthet hatte, weil sie Kupfererze und Gyps enthalten, das bestätigte Pander durch die Beobach- tung der Lagerungsverhältnisse und durch die Ver- steinerungen, dass nämlich diese horizontal ge- schichteten Gesteine nicht der Kohlenperiode, son- dern dem Perm’schen System, und sogar nicht der unteren, sondern wahrscheinlich einer mittleren Etage desselben angehören. Möller gab später im «Gornoi Journal» 1852, Heft 3, pag. 455, noch nähere Aus- kunft über den geologischen Horizont der Artinsker Gesteine und unterstützte die neue Altersbestimmung durch zahlreiche palaeontologische Thatsachen. Aus diesen Gesteinen tauchen stellenweise und inselartig steil fallende Kalksteinschichten des oberen Bergkalks auf. Die vorhin erwähnten Bohrlöcher und Schachte waren aber nicht im Bergkalk, sondern-in den Perm’- schen Schichten angelegt und wurden in Folge von Pander’s Entdeckung aufgegeben, weil sie bis zu der unter dem oberen Bergkalk liegenden Steinkohle, so tief hätten eingesenkt werden müssen, dass ein vor- theilhafter Bau auf Kohle nicht mehr möglich gewe- sen wäre. Nachdem Pander auch im Norden von Perm die Mächtigkeit der einzelnen Formationsglie- der an Flussprofilen und Bohrprofilen bestimmt hatte, konnte er mit Sicherheit sagen, dass die bei Moto- 32 | ostfusse, von dem an der Wyschera gelegenen Dorfe Bachari, fünf Werst durch einen hohen Urwald in nordwestlicher Richtung, auf einer máchtigen Schicht weissen Konglomerates aufsteigt, gelangt man auf dem kahlen Gipfel an eine mehrere hundert Fuss hohe, fast senkrechte, nach NW. gerichtete Felswand, an deren Fusse die Bóschung plótzlich sanfter wird und hier liegt ein wild aufgethürmtes Steinmeer von her- abgestürzten Blöcken. Der Abhang wird dann im- mer sanfter, die Blöcke verschwinden und der Nord- westfuss des Berges scheint ein wenig höher zu lie- gen als Bachari. — Unter dem Conglomerate liegen Schichten quarzigen Sandsteins und Schieferthones, beide aber liegen, nach SSO. sich neigend zwischen dem oberen Bergkalk, der in der Nähe von Bachari, und dem unteren, der nach Polkow’s Angaben am Nordwestfusse des Berges vorkommt und dort Pro- ductus Gigas enthält, und gehören also unbezweifelt dem oberen Kohlenhorizonte an, in welchem die Koh- ' Bulletin de l'Académie Impériale Diese Voruntersuchungen kann aber begreiflicher- weise nicht jeder Bergoffizier ohne Weiteres machen, sondern er muss dazu geologische und palaeontolo- gische Specialkenntnisse mitbringen. General Völk- ner beauftragte nun den Obristlieutenant Timofe- jew, welcher sich in Westeuropa mit dem Studium der Kohlengewinnung beschüftigt hatte, am Ural, und zwar auf den Lündereien der Krone, die Punkte zu wüh- len, an denen man hoffen kónne Kohlen zn entdecken. Am Westufer des Gebirges wählte er 1862 den von Pander bereits empfohlenen Palüdow-Kamen. Die- ser 1720 Fuss über dem Meeresspiegel erhabene Berg liegt im geraden Durchschnitt 40 bis 45 Werst óst- lich von der Stadt Tscherdyn; man sieht ihn von hier aus über eine sumpfig waldige Niederung hinweg, um die herum man einen grossen Umweg nach Norden machen muss, um ihn zu erreichen. Seine Lagerungsverhältnisse stimmen vollkommen mit der äusseren Gestalt überein; er hat eine Rich- tung von NW. nach SO. Wenn man von seinem Süd- lenflótze bei Alexandrowsk und Kiselowsk liegen. N ef روج‎ E 1 ARZT وم‎ d پا‎ + 9 O zaza = 29. سوب : و‎ Q S po RULES 0 A CUI و‎ RE IE C 9 o 9 0900 0 E qe 5 2 200080 SE RS en À ۳ E e Dee oe Ei. IN ٤) کح؟‎ 2 5% D%0 Ges 9 5-£-59. "o N Falüdow Berg 4 ir i zs Sand. NAN) Oberer Bergkalk. NUN Unterer Bergkalk. | ZES Con glomerat. UN) Sandstein im Bonglaménife, | C | Wechsel von Sandstein und Schieferthon. 23,910 Rbl. S. Sein Projekt ward mir zum Begut- achten gegeben, und die Herren Móller?), der den Berg besucht hatte, und Oberst Romanowsky, als im Bohrwesen erfahren — zur Beurtheilung hinzuge- zogen. Am 9. März 1863 gaben wir unsere Meinung dahin ab: Man solle, statt der langwierigen und kostspieligen Bohrarbeit, die Schichten des Palüdow lieber am NW.-. Abhange, wo, sie mit Schürfen zu erreichen sind, un- 3) Siehe Möller’s Gutachten 1. c. pag. 96. Sie bilden einen flachen, konzentrischen, nach NW. geöffneten, elliptischen Dom, auf dessen Längenaxe die Schichten mit 30° bis 35° nach SSO. geneigt sind, an dem NO. und NW. Abhange aber in der entspre- chenden Richtung. Herr Timofejew *) schlug nun vor, am Südostfusse des Palüdow, 2 Werst NW. von Bachari, ein Bohr- loch durch das ganze Schichtensystem zu stossen und verlangte dazu 4 Jahre Zeit und die Anweisung von 2) Gorn. Journ. 1863, Heft 4, pag. 84. 34 vom Gipfel aus die Schürfe sehen, die übrigens schon alle von hereingeschwemmtem Detritus angefüllt wa- ren. Da aber keine Proben von den erschürften Sandsteinen und Schieferthonen vorhanden waren, konnte ich mich nicht durch den Augenschein über- zeugen, dass man überall wirklich bis auf den an- stehenden Fels gekommen, und verweise in dieser Be- ziehung auf Polkow's officiellen Bericht. Dabei darf aber der Umstand nicht verschwiegen werden, dass Polkow selbst meint, die auf der durchschürften Strecke etwa vorkommenden Steinkohlenflótze kónn- ten an ihrem Ausgehenden durch die Atmosphärilien so alterirt sein, dass sie der Beobachtung, namentlich in den kleinen, an einigen Stellen angelegten Bohr- löchern, leicht entgehen. Bei gründlicher Arbeit würde das wohl unmöglich sein; wir wollen aber für's Erste annehmen, es sei jede der betreffenden Schichten durch die Schürfe wirklich erreicht worden. Es ward kein einziges Flötz entdeckt, und wenn solche im Pa- lüdowkamen wirklich vorhanden sind, was übrigens nicht nothwendig ist, so muss man sie auf der Strecke gh, also unter dem Steinmeere suchen. Die geographische Lage des Palüdow ist dem Koh- lenbetriebe insofern günstig, als die 5 Werst von sei- nem Gipfel vorüberfliessende Wyschera keine Strom- schnellen, sondern einen ruhigen Lauf und keine der Schiffahrt hinderlichen Steine auf ihrem Boden hat, und ihre Ufer lassen fast auf der ganzen gegen 100 Werst betragenden Strecke, von dem Einfluss in die Kama bis Bachari, die Anlage eines Leinpfades zu, der sogar im Sommer grösseren Böten gestatten wür- de, flussaufwärts zu gehen‘). Im Falle man am Pa- lüdow Kohlen entdeckte und sie abbauen wollte, wäre nach Timofejew’s Meinung sowohl deren Transport zur Kama flussabwärts, als auch der Transport alles zum Abbau nóthigen Materials von der Kama her flussaufwärts gesichert. Aber der Palüdowkamen liegt hoch im Norden. Die Wasserstrasse von seinem Fusse bis Perm beträgt mindestens 600 Werst. Dennoch berechnet Timofe- jew, dass ein Pud Palüdower Kohle, die Förderungs- und Transportkosten und den Bau der Böte mit ein- 4) Siehe Timofejew, im Gorn. Journ. 1863, Heft 4, pag. 89, wo der Verfasser den grossen Vorzug der Wyschera vor der stei- nigen, seichten, reissenden Jaiwa zeigt, von der wir weiter unten hören werden. ý des Sciences de Saint- Pétersbourg. ] tersuchen. Hierzu würde ein Sommer und c. 5000 R. genügen. Da am steilen Abhange e in dem Konglo- merate und Sandsteine keine Kohle zu Tage geht, so bleibt also nur das Schichtensystem c zu untersuchen übrig. Diese Arbeit wurde im Sommer 1863 unter Timo- fejew's Leitung von dem Lieutenant Polkow ausge- führt und kostete 3262 Rbl. 56'/, Kop. S. Leider war sie nicht vollständig und daher nicht entschei- dend, denn Polkow hatte nur die Strecke fg am Fusse durchschürfen kónnen; von d bis ۸ hatte das Steinmeer d es verhindert, und nach Polkow's An- gabe, die aber auf keiner genauen Messung beruht, würde die Mächtigkeit der Schichten auf dieser Strecke etwa 350 Fuss betragen. Nach Maller würde die ` Gesammtmüchtigkeit der Palüdower Sandsteine 490 oder 500 Fuss nicht überschreiten. Schlägt man die Felswand mit 200 Fuss, die durchschürften Schich- ten auch mit 200 Fuss an, so bliebe für die noch zu untersuchende Lücke nur noch etwa 100 oder 180 Fuss und nicht 320 nach, wie Polkow an- nimmt. An der steilen Wand of waren die Schürfe unnóthig, weil die Schichten hier zu Tage gehen und keine Kohlenfiötze umschliessen. Timofejew machte in Folge dessen den Vorschlag, die Untersuchung des Palüdowkamen, entweder mit Schürfen am Nord- westabhange, oder mittelst eines Bohrloches am Süd- ostfusse zum Schlusse zn bringen. Der Vora auf diese Bohrarbeit betrug eine noch gróssere Sum- me, als die zuerst genannte , nämlich 34,050 Rbl. S. Das gelehrte Bergkomité zu St. Petersburg fand es aber rathsam, bevor man diese Summe bewilligte, die Örtlichkeit nochmals von einem Geologen besuchen zu lassen, und im Juni 1865 schritt ich zur Ausfüh- rung dieses Beschlusses. Nachdem ich von Perm aus zuerst die Steinkoh- lenflótze bei Alexandrowsk, bei Kiselowsk und an der Koswa bei Gubachinskaia besucht hatte, reiste ich, von Polkow begleitet, über Tscherdyn nach Bachari. Wir hatten die Absicht die Arbeiten am Palüdowka- men, von dem Dorfe Aralowo aus zu erreichen, konn- ten aber dies Vorhaben nicht ausführen, weil die un- gewöhnlich starke Frühlingsfluth alle Brücken auf dem Wege zu den Schürfen und zum Theil den Weg selbst zerstórt hatte. Wir erstiegen daher den Berg von Bachari aus am 23. Juni 1865. Ich konnte Tome XI. östlich von der Eisenhütte an dem von Osten her in die Litwa fallenden Lunjaflüsschen, die Litwa aber ergiesst sich in die Wilwa, diese in die Jaiwa, welche unweit der Poststation Weretja in die Kama fällt. Wenn man von Alexandrowskoi nach der Kohlen- grube geht, kann man unterhalb der Wostotschnaia und Ssewernaia Lunja den Fusulinenkalk anstehen sehen. Dann folgt unter ihm, ebenfalls mit westlichem Einschiessen, ein quarziger Sandstein. Der Weg er- hebt sich auf einen Bergrücken und führt zu der Wos- totschnaia Lunja, an deren Ufern der quarzige Sand- stein mit 17° bis 25° östlich fällt), eine ansehnliche Höhe bildend, an deren Fusse, nahe beim Flüsschen, mitten im Sandsteine und sehr scharf an ihm abset- zend, ein Steinkohlenlager von 10 bis 21 Fuss Mäch- tigkeit aufsetzt, das mit 17° bis 25° nach Osten ein- schiesst". Als Herr Ludwig diesen Ort vor etwa 6 Jahren besuchte, war das Flótz 600 Sashen — 4100 Fuss im Streichen und 420 bis 560 Fuss tief durch Bergbau aufgeschlossen. Man baute es für das Pud- delwerk und die Dampfmaschinen der Alexandrow’- schen Hütte ab, in einer Quantität von ca. 300,000 Pud jührlich. Die Kohle ist, nach Ludwig, in ihren oberen Lagertheilen fest, mit einer Anlage zur Schie- ferung; nach unten folgt eine schóne Glanzkohle, an der ich viele schalige Absonderungen bemerkte. Da- Bulletin de l'Académie Empériale her ist sie leider brüchig und zerfällt in kleine und kleinste Stücke. Nur ausnahmsweise sah man in den Haufen Stücke von 1 bis 2 Fuss Länge. Diese Eigen- schaft ist dem Transport ungünstig, aber man kann hoffen, dass die Kohle in grósserer Tiefe fester sein werde. Ludwig giebt an, dass sie 56 und mehr Pro- cent schönen Coak und 7 bis 10%, lockerer, weisser Asche giebt. Nach der im Laboratorium des Bergde- partements ausgeführten Analyse enthält diese Kohle: Flüchtiger Theile...... 34,43 Kohle... Se 48,40 Asche: 0 2 ESERE Der aus ihr bereitete Coak enthält: Flüchtiger Theile side 2,18 er دورد د فده‎ 85,29. ٢ ماد ما‎ vu 12,52. 6) R. Ludwig am angeführten Orte. 7) Ludwig giebt die Máchtigkeit mit 10 bis 21 Fuss, Timofe- jew mit 7 bis 10 Fuss, v. Grünewaldt mit 17 Fuss und Möller mit 12 bis 24 Fuss an. 35 gerechnet, in Ussolje (auf halbem Wege zwischen Tscherdyn und Perm) nicht mehr als 6 Kop. zu ste- hen kommen und also dort denselben Preis haben werde wie die Kohle von Alexandrowsk. Bevor ich mich über diese Örtlichkeit definitiv aus- spreche, will ich zum Vergleich mit derselben auch die beiden anderen Gegenden, die ich am Westfusse des Gebirges besuchte, kurz beschreiben. Ehe ich an den Palüdowkamen gelangte, besuchte ich von der Station Romanowa aus die Eisenhütte der Wsewoloshsky’s, Alexandrowskoi und Kiselow- skoi der Herren Lasarew und berührte bei dieser Gelegenheit auch die Kosswa bei der Gubachinskaia- Pristan. Bis zu dem Dorfe Jaiwa am Flusse gleiches Na- mens blieben wir in den horizontalen Schichten der Perm'schen Formation, als wir aber von hier nach Alexandrowskoi fuhren, nahm die Gegend einen an- deren orographischen Charakter an. Wir sahen nach Osten lange, hohe, von Norden nach Süden verlau- fende Bergrücken. Diese gehören aber nicht mehr dem Perm'schen Systeme, sondern dem Kohlengebirge und noch weiter nach Osten, dem Devonischen Sy- stem an. Ihre wellenförmig gefalteten Schichten bil- den viele parallele, synklinische und antiklinische Rü- cken. Alexandrowskoi liegt, wenn man über Jaiwinsk fährt, 53 Werst östlich von Romanowa. Die Eisenhütte Alexandrowskoi stand, als ich sie sah, aus Mangel an Betriebskapital still und befand sich auch technisch in einem bedauerlichen Zustande. Sie ist veraltet und baufällig, und entspricht nicht den Forderungen, die man an eine Hütte zu machen be- . rechtigt ist, welche in ihrer nächsten Nähe ergiebige Steinkohlen- und Eisenerzlager hat. Da die Reviere von Alexandrowsk und Kiselowsk geologisch und berg- männisch ausführlich beschrieben worden sind, so wäre es überflüssig, es nochmals zu thun"). Ich werde mich darauf beschränken, die Lagerstätte der Kohle kurz zu charakterisiren. ` Die Alexandrow’sche Steinkohlengrube liegt 9 ۰ 5) Moritz von Grünewaldt: Beiträge zur Kenntniss der sedi- mentären Gebirgsformation des Urals in den سواه و‎ der Kaiser- lichen Akademie der Wissenschaften, 7. Serie, 2. R. Ludwig: Die Lagerungsverhältnisse der کین‎ Stein- kohlenformation im Gouvernement Perm (Bullet. de la Soc. de nat. | dé Moscou) 1860, N. III und Description des usines et des mines de M. Wsewoloshky. Timofejew, Gorn. Journal, 1563, Heft 4, pag. 84. Die Entfernung von der Grube bis zur Hütte be- des Sciences de Saint - Petersbourg. 37 Die Heizkraft beträgt 6738 Einheiten. In dem Flötz setzt ein Zwischenmittel von Schie- | trägt 9, bis zum Flusshafen an der Jaiwa 25 bis 43 Werst. Diese Unterschiede werden durch die ver- schiedenen Wege bedingt, die man einschlagen kann, und durch die Orte, wo man die Kohle auf der Jaiwa oder Kama einschiffen will. Es leuchtet ein, dass man bei der jetzt bestehen- den Einrichtung von drei Umständen abhängig ist, welche den Preis der Kohle vertheuern: a) Mangelhafter Landtransport; (1865 konnten nur 200,000 Pud statt der verlangten 1,200,000 nach Ssimbirsk gestellt werden, weil eine Pferde- seuche in der Gegend von Alexandrowsk die An- zahl der Zugthiere sehr vermindert hatte.) b) Abhängigkeit von der Frühlingsfluth der Jaiwa, nach deren Ablauf kein Wassertransport auf der Jaiwa bis Romanowa stattfinden kann. c) Mangel an eisernen, flachen Barken, welche den Rückweg von der Wolga bis zum Stapelplatze an der Kama oder an der unteren Jaiwa ungehindert während des ganzen Frühlings und Sommers ma- chen könnten. Allen diesen Übelständen würde eine 83 bis 100 Werst lange Eisenbahn von der Kohlengrube bis zur Kama und die Anschaffung von eisernen Transport- bóten gründlich begegnen. Auf eine Frage aber muss noch geantwortet wer- den: Ist die Lunja im Stande, eine grosse, den Be- dürfnissen der oben genannten Hütten und der Wol- gadampfschifffahrt entsprechende Quantität von Koh- len zu liefern und könnte diese nöthigenfalls noch be- deutend vermehrt werden? Das Lunjaflótz ist auf einer Strecke von 9 Werst mittelst Schürfe verfolgt und aufgedeckt worden, und zwar an folgenden Orten: a) Drei Werst südlich von der Lunja bei der Wla- dimir’schen Grube, wo zwei Flötze angefahren wurden; das erste zwei Fuss mächtig in einer Tiefe von 63 Fuss; das zweite 1 Fuss 2 Zoll dick in 168 Fuss Tiefe. Hier findet Fórderung statt. b) Fünf Werst südlich von der Wladimirgrube, wo 4 Flótze aufgeschlossen sind, mit einer Gesammt- müchtigkeit von 7 Fuss 3 Zoll. Eins dieser Flótze, das vierte, hat 3 Fuss Mächtigkeit: Dieser An- bruch heist der Iwanow'sche. ferthon auf, das bis 6 Zoll Mächtigkeit hatund Schwe- felkiesknollen enthält. Vor etwa drei Jahren nahm eine belgisch -franzö- sische Gesellschaft die Alexandrow’sche Eisenhütte und Kohlengrube in Arrende. Sie legte neben der al- ten Grube auf dem Ausgehenden des Flötzes eine neue an, welche ich mit dem hier anwesenden Contre- maitre Meurée befuhr. Es waren 8 bis 10 Fuss hohe Stollen in das Flötz getrieben und diese durch Strek- ken verbunden worden. Wir standen an 13 Stellen vor Ort, und jede derselben bot eine 64 bis 100 Quadratfuss grosse Wand reiner Kohledar. Man kann annehmen, dass hier ohne besondere Anstrengung im Jahre 3 bis 4 Millionen Dud gefördert werden könn- ten. Die Grube war ganz trocken, nur im Frühling soll sie eine Zeitlang nass sein. Die Wetter waren gut; die Kohle wird auf kleinen Schienenwegen unter ein in der Nähe angelegtes Dach geschafft, von wo man sie im Winter auf Schlitten in die Hütte, oder in jüngster Zeit auch an die Jaiwa gebracht hat, um sie von hier an die Wolga zu transportiren, wo sie auf den Dampfbóten der Gesellschaft «Samolet» ver- suchsweise in Anwendung kommt. | Im Jahre 1864 zeigte mir Herr v. Glasenapp, Direktor des «Samolet», nach Ssimbirsk. gebrachte | Lunjakohle. Er hatte von den Belgiern 1,500,000 Pud zu dem Preise von 13 K. das Pud verlangt, konnte aber wegen Mangels an Transportmitteln nur 350,000 Pud erhalten, und obgleich ein Pud an der Grube nur ی‎ bis ؟‎ Kop. S. kostet, kam sie Herrn v. Gla- senapp in Ssimbirsk bis 17 Kop. S. wegen des wei- ten Transports zu stehen, und weil die Barken, von denen jede mit ihrer ganzen Ausrüstung gegen 1500 Rbl. S. kostet, an der Wolga mit grossem Verluste verkauft werden müssen, da sie den Rückweg zur Jaiwa flussaufwürts nicht machen konnen, Und selbst bei diesem hohen Preise ist es für die Kompagnie vortheilhafter, Steinkohle statt Holz zu brauchen, weil sie die Ladeplätze für das Brennma- terial und folglich auch das bei ihnen angestellte Per- sonal um die Hälfte reduciren kann und überdiess so- viel Zeit für die Fahrten selbst gewinnt, dass sie den Gang der Dampfer etwas langsamer machen und da- bei wieder an Brennmaterial ersparen kann. 40 schiefriger Quarzsandstein und Schieferthon liegen zwi- schen den Flötzen und das Liegende des untersten bildet Sandstein. Die Kohle ist schiefrig, brauchbar, aber nicht be- sonders guter Qualität. Der Schacht ist 37 Fuss tief. Der Petrowsker Schacht, 140 Sashen — 980 F. von ersterem entfernt, ist 21 Fuss tief und hat drei Flötze aufgeschlossen. Das obere ist 10 Fuss, das zweite 5 Fuss, das dritte 4 Fuss mächtig. Sie liegen nahe bei einander in einem mit Schieferthon wech- selnden Sandstein und haben eine sehr gute Beschaf- fenheit. : 180 Sashen — 1260 Fuss weiter bergauf befindet sich der Nadeschinschacht. Hier hat man im Hangen- den des 10 F. dicken Flótzes des Petrowsker Schach- tes noch drei dünne aufgeschlossen und unter dem dik- ken Flótze das zweite Flótz des Petrowsker Schachtes. Wenn man nun bedenkt, dass diese Schürfe zwei Werst nördlich von Kiselowsk, also um so viel näher zu Alexandrowsk liegen, dass die Entfernung von der Lunjagrube nur 16 Werst beträgt, und dass von die- ser aus in der Richtung nach Süden in 9'/, Werst Entfernung Kohlenflótze aufgeschürft worden sind, so bleibt hier nur noch eine Strecke von etwa 5 ۰ Länge zu untersuchen, um mit voller Gewissheit sa- gen zu kónnen, dass die hiesigen Kohlenlager 16 W. weit ununterbrochen streichen. Wir bleiben aber auch bei dieser Zahl nicht stehen, sondern wenden uns zu den an der Kosswa, 25 Werst südlich von Kiselowsk ausstreichenden Kohlen- und Eísenerzlagern. Wir fuhren in der Gesellschaft des Herrn Tscher- now an den an der Kosswa liegenden Ladeplatz Gu- | bachinskaia Pristan, in dessen Nähe die Flótze am rechten Ufer zu Tage ausgehen. ' Seitdem Hofmann und v. Grünewaldt 1856 und Ludwig 1860 diesen Ort, über den sie öffentlich be- richtet haben, besuchten, ist hier der begonnene Ab- bau der Kohle und das Suchen nach neuen Kohlen- und Erzlagern weiter vorgeschritten. Wir schifften uns in Gubacha auf kleinen Böten ein und besuchten zuerst einen eine Viertel- Werst unterhalb dieses Orts befindlichen Versuchsbau auf Kohle und Eisen- erz, den Hr. Petrow auf dem Grundstücke der Her- ren Wsewoloshky's angelegt hat’). 8) Die Familie der Wsewoloshsky ist in zwei Branchen ge- theilt. Die eine besitzt Alexandrowsk und hatte diese Hütte und die Bulletin de l'Académie Impériale c) 1'4 Werst südlich vom vorhergehenden Orte hat man in 56 Fuss Tiefe ein Kohlenflótz aufgefun- den, das unter einem Winkel von 4 Grad nach W. fällt. Dass man auf allen Zwischenpunkten dieser Linie, an beliebiger Stelle, die Flótze würde aufschürfen und abbauen kónnen, kann wohl keinem Zweifel unterlie- gen, und wenn wir hinzufügen, dass sich diesen Flóz- zen parallel Eisenerzlager ziehen, die man an meh- reren Stellen bereits aufgefunden hat, so wird man diese Localität als eine vielversprechende, die vollste Aufmerksamkeit verdienende anerkennen müssen. Aber die nächste Nachbarschaft verspricht nicht nur weniger, sondern weist einen noch bedeutenderen Reichthum von Steinkohlen und Eisenerzen auf. Ich meine das südlich von Alexandrowsk befindliche Berg- revier von Kiselowsk. Kiselowsk liegt 16 Werst südlich von Alexandrowsk; ich besuchte es am 19. Juni 1865. Am Kiselowsker Hüttenteiche erhebt sich am rech- ten Ufer des Kiselflusses ein hoher bewaldeter Berg, an dessen Fusse ein dunkelgrauer, dichter, stinkender Kalkstein mit Produetus Gigas in dicken Schichten zu Tage geht, welche mit 34? nach OSO. fallen und hora 1 SSW-NNO. streichen. Im Hangenden dieser Schichten erscheint sodann auf jener Hóhe ein Wech- sel von feinkörnigen, quarzigen Sandsteinen, Schie- ferthonen und Steinkohlen. - "Herr Tschernow, der wohlunterrichtete Verwal- ter des Lasarew'schen Besitzes, hat auf dem Gipfel der Höhe drei Schachte und mehrere Stollen angelegt, aus denen man jährlich cirea 150,000 Pud Kohle ge- winnt, um sie bei eintretendem Mangel an Aufschla- gewasser zum Heizen der zu Hülfe genommenen Dampf- maschinen und zum Heizen einiger Kamine zu ver- wenden. Zum Erzschmelzen und Puddeln wird sie zur Zeit noch nicht gebraucht, allein Herr Tschernow gedenkt auch diess zu thun, da eine Sorte der hiesi- gen Kohle sich zu gutem Coak verbacken lässt. Es “sind im Ganzen fünf bauwürdige Flótze aufgeschlos- sen worden. Sie und die begleitenden Gesteine haben dasselbe Streichen und Fallen wie der am Hütten- teiche anstehende Productus-Gigas-Kalkstein. Im Korschun-Schachte sind drei Flötze durch- -sunken worden, jedes von 4 bis 5 Fuss Mächtigkeit und 28 bis 30 Fuss eins vom andern entfernt. Dünn- im Hangenden ein Wechsel von Sandstein und Schie- ferthon, 30 Fuss mächtig; sodann das zweite, 15 Fuss | dicke Flötz, das durch ein Sandsteinmittel von 1 Fuss 9 Zoll Dicke in zwei Theile getheilt ist, deren oberer 7 Fuss, der untere 8 Fuss dick ist. Das obere Flötz hat nur die geringe Dicke von 3, bis 7 Zoll, und zwischen ihm und dem zweiten liegt nur eine 50 Fuss mächtige Schicht dünnschiefrigen Sandsteins und eine 14 Fuss dicke Schieferthonschicht. Hr. Tschernow hat das dicke Flótz V 2 in einer Entfernung von 2450 Fuss — 350 Sashen oben auf der Höhe des steilen, 560 Fuss über der Kosswa er- habenen Berges mittelst eines Schachtes aufgeschlos- sen, aus welchem man dann mit einer Strecke von 1540 Fuss Länge ins Liegende gegangen ist, ohne jedoch Steinkohlenlager anzutreffen. Der Stollen ging durch Sandstein und Schieferthon. Das erste der drei erwähnten, 5 Fuss 8 Zoll dicke Flötz hat man auch am linken Kosswaufer aufgefun- den. Die Kohle der drei Flötze ist schiefrig und soll der von Petrow entdeckten zwar an Güte nachstehen, aber doch eine brauchbare, gute sein. Im Hangenden der ganzen Schichtenfolge von Sand- stein, Schieferthon und Kohle liegt, in schönen Fels- profilen aufgedeckt, der Fusulinenkalkstein, im Lie- genden aber, oberhalb der Gubachinskaja Pristan, Pro- ductusgigaskalkstein, ebenfalls malerische, hohe Fel- sen bildend. In der oben erwähnten Schrift (Bullet. de la soc. de nat. de Moscou, 1860, Heft N: III) erwähnt Hr. Ludwig bereits des Vorkommens der Steinkohle an der Usswa, bei dem den Wsewolo shsky's gehó- renden Orte Nishnije Porogi. Hier setzt in Sandstein und Schieferthon ein 14 Fuss mächtiges Flötz einer in Würfeln brechenden; festen Steinkohle auf. Da dieser Ort 30 Werst südlich von den Versuchs- bauen an der Kosswa liegt, und da es wohl nicht dem . geringsten Zweifel unterliegen kann, dass die Usswa- schichten die unmittelbare Fortsetzung der Kosswa- "| schichten nach Süden bilden, so erhalten wir für die Gesammtlünge dieser reichen Kohlenzone: Von der Lunja bis Kiselowsk....... Von Kiselowsk an die Kosswa ۳ - Yon der Kosswa bis zur 1199179... 30 70 Auf dieser Strecke von 70 Werst sind in der Rich- tung des Streichens der Schichten an fünf verschie- des Sciences de Saint- Pétersbourg. 41 Hier ist dicht beim Ufer ein Stollen angelegt, aus welchem man eine der Lunjakohle ganz ähnliche auf- geschlossen hat. Eine in dem Laboratorium in Jekate- rinenburg gemachte Analyse dieser Kohle zeigte eine vollkommene Üebereinstimmung mit ۰ Da neben diesem Flótz auch gutes Eisenerz, Braun- eisenstein und Thoneisenstein und Kalkstein vorkom- men, so dass man hier alle drei Materialien zur Ei- senerzeugung aus einer und derselben Grube gewin- nen könnte, so halte ich den Ort für sehr wichtig um so mehr als er an einer, wenigstens im Frühling benutzbaren Wasserstrasse liegt und weil es am lin- ` ken Kosswaufer, der Grube genenüber, gute Plätze zu einer Hüttenanlage giebt. Diese und die Kohle, von der sogleich die Rede sein soll, werden vor der Lun- jakohle immer den Vorzug haben, dass sie unmit- telbar an einer zur Kama führenden Wasserstrasse liegen. | ‘Hr. Petrow theilte mir nämlich mit, dass die von ihm erschürften Kohlen und Erze auch an das linke Flussufer hinübersetzen und hier also in beliebiger Nähe der Kosswa aufgeschlossen werden könnten. Da eine Eisenhütte jedenfalls nur am flachen linken Ufer zu erbauen wäre, so würde sie ihren Bedarf an Roh- produkten in der nächsten Nähe haben können. Um über diese Dinge ganz in’s Klare zu kommen, ist es unerlässlich die Gegend geologisch zur Anfertigung | einer genauen Karte grossen Ma (68 5 aufzunehmen. Etwa zwei Werst unterhalb dieses Ver- suchsbanes liegen die von Tschernow ebenfalls am hohen, steilen rechten Kosswaufer angelegten Stollen und Schachte. Sie gehören den Lasarew's. Hier sind mittelst eines dicht an der Kosswa angelegten Stollens drei Flótze aufgeschlossen, die, wie der sie begren- zende Sandstein, mit 48 bis 52° nach W. fallen. Das liegende Flótz ist 5 Fuss 8 Zoll máchtig. Dann folgt Es besteht hier die lästige und schädliche Einrichtung der soge- -nannten Delànki: sind die Lagerstätten der Steinkohl ganz schmale, parallel und alternierend neben einander verlau- fende Parzellen getheilt (Delänki), deren Besitzer unter der Gefahr des Prozesses nicht über ihre Marke hinausschreiten dürfen. Diese Einrichtung ist sowohl den Untersuchungsarbeiten als dem ratio- nellen Abbau sehr hinderlich und sollte abgeschafft werden. 31 Aus der Kiselow'schen 20 Mill. 880,000 Pud Aus der Artenjew'schen 18 » 541,000 » Aus den übrigen Gruben........ 40 » — » Im Ganzen... 79 Mill. 421,000 Pud Hr. Ludwig hat die Kiselowsker Erzlagerstätten beschrieben. Mir schien es, als bildeten sie kein regel- müssiges Lager, sondern Stócke, die mitunter gross- artige Dimensionen annehmen. Die grósste dieser Mas- sen, welche noch jetzt für Kiselowsk in der Grube gleiches Namens abgebaut wird, erreicht eine Mäch- tigkeit von 91 bis 105 Fuss — 13 bis 15 Sashen und fällt mit 70? nach Osten ein. Die Mächtigkeit ist aber : an verschiedenen Stellen eine verschiedene. Im Han- genden liegt Thon und Diluviallehm, im Liegenden Sandstein. Es sollen Sandsteinbruchstücke in der Erz- masse vorkommen; Versteinerungen hat man in ihr nicht gefunden. Dieser Stock geht als ein Erzhügel zu Tage, und seine Entdeckung hat die Anlage von Alexandrowsk und Kiselowsk veranlasst. Trotz der fleissigen Arbeit in 71 Jahren ist an dieser einen Stelle noch ein ebenso grosser Erzvorrath vorhanden, als der bereits verbrauchte, und bedenkt man, dass neben den Kohlenlagern überall neue Anbrüche auf Erze vorhanden sind, und dass sowohl bei der Kise- low'schen Grube in der 2ten und 3ten Delänka, als auch an der Kosswa Eisenerz und Kohle aus einer und derselben Grube gefórdert werden kónnen, so wird man mir beistimmen, wenn ich sage, dass diese Gegend dazu geschaffen ist, eine vermehrte Eisen- und Kohlenindustrie in's Leben zu rufen, eine Indu- strie, die, rationell und vorsichtig geleitet, von grossem Einflusse auf Russlands Reichthum werden kann, weil sie die; el gnen Mittel zur Versorgu ng der Dampfschiffe, Ei briken und Hüttenwerke der östlichen Gouvernements mit Kohlen und Eisen wird liefern können. Darum erlaube ich mir auch noch die Ansicht auszusprechen, dass ich die Verwerthung der grossen Schätze der besprochenen Zone für eine An- gelegenheit des Staates und nicht der Privatindustrie allein halte. Damit meine ich aber keineswegs, dass der Staat die Lagerstätten auf seine Rechnung und von seinen Beamten exploitiren und die Produkte aus dem Rohmaterial darstellen lasse, — sondern dass der Staat mit allen ihm zu Gebote stehenden Mitteln die Privatindustrie unterstütze. Bulletin de l'Académie Impériale 43 denen Orten Kohlenflötze aufgeschlossen worden, und möchte ich keinen Augenblick bezweifeln, dass man auch auf den Zwischenstücken überall Kohlen erschür- fen kann. Da überdies die Mächtigkeit einiger Flötze sehr bedeutend ist, und deren Abbau, namentlich an der Kosswa, wo man die Grubenwasser in den tiefen Thaleinschnitt ableiten kann, sehr bequem und wohl- feil sein würde, so ist man cieli auch diese Lo- calität als eine sehr wichtige zu betrachten. Um aber die industrielle Bedeutung der ganzen Gegend von Alexandrowsk und der Lunja bis zur Kosswa und Usswa beurtheilen zu kónnen, müssen wir noch einen Blick auf die Eisenerze derselben werfen. Die in der Praxis so wichtige geologische Erfahrung, dass in.der ganzen Welt noch nie eine Steinkohlenformation ge- sehen worden ist, welche nicht auch reichlich mit Eisenerzen versehen wäre, bestätigt sich auch hier vollkommen. Man hat hier überall in der nächsten Nachbarschaft der Steinkohlen und dem Streichen der- selben parallele, zum Theil sehr ergiebige Lager gu- ter Eisenerze gefunden. So z. B. bei dem Urssinskoi Priisk an dem Usswaflüsschen, das von Osten in den Alexandrow’schen Hüttenteich fällt, und südlich von hier auf der rechten Seite der Ssewernaja Lunja; fer- ner, nach Ludwig, im Schachte der Wladimirgrube, wo ein Eisenerzlager von 16 Fuss zusammen mit Stein- kohle und Kalkstein (Prod. gigas) aufsetzt, und dann an beiden Ufern der Kosswa, auch an der Usswa bei Nishnije Porogi. Die Zone der begleitenden Eisen- erze hat offenbar dieselbe Länge wie die erwähnte Kohlenzone. Aber der Glanzpunkt der Erzzone ist bei Kiselowsk. Etwa UL Werst südlich von der Hütte, am linken Ufer des kleinen Kiselbaches, beginnt eine 6 Werst lange, sich flussaufwärts ziehende Reihe von Eisenerzgruben. Auch sie gehören in Folge des Sy- stems der Delänki drei verschiedenen Herren, den Lasarew’s und den beiden Branchen der Familie . Wsewoloshsky. Für die Kiselowsker Hütte allein werden hier jähr- lich 800,000 Dud Erz und für die beiden Wsewo- loshsky’s gegen 300,000, im Ganzen also 1 Million und 100,000 Pud gewonnen. Die erwühnten 300,000 Pud werden in der Hütte Wsewolodowilwinskoi ver- schmolzen. Von 1786 bis 1857 sind aus diesen Gruben ge- fördert: A6 1857..... 47,963,716 Tonnen 1862.... 60,994,470 » Braunkohlen 8255. 1,942,449 » 1837..... 2,612,630 » 1847..... 7:939,195 .. ۸ 1857..... 18,244,423 » 1862... 24,545,975 ia Die Gesammtproduktion an Stein- und Braunkohlen betrug 1862: 89,940,445 Tonnen oder 337,900,000 Centner. Freilich haben die Eisenbahnen sehr viel zu dieser Entwickelung beigetragen. Wann werden wir so weit kommen? . Ehe ich in meinem Berichte weiter gehe, sei es mir erlaubt, einer zwar in andern Gegenden bekann- ten, aber am Ural seltenen geologischen Erscheinung zu erwühnen, nümlich einer sogenannten Perte, d. h. des Verschwindens eines Flusses in die Erde und seines Wiedererscheinens nach unterirdischem Laufe. Auch diese Beobachtung verdanke ich Hrn. Tscher- now. Als wir in seiner belehrenden Gesellschaft von Kiselowsk an die Kosswa fuhren, passirten wir un- geführ auf halbem Wege ein kleines Dorf an der in die Kosswa fallenden Gubacha, die jenem Ladeplatze den Namen giebt. In der Nähe dieses Orts sieht man den Bergkalk in einer hohen Felswand anstehen und auf Sandstein aufliegen. Etwa zwei Werst südlich von | hier erreicht das Niveau des Flüsschens diese Stein- scheide und fliesst in grosse Lócher und Hóhlen so vollständig ab, dass alles Wasser von der Erdober- fläche verschwindet. Der Eingang zu den zahlreichen Hóhlen war zum Theil von Schlamm und Schutt ver- legt, aber dennoch strömte das Wasser mit grosser Gewalt in sie hinein. Die Anzahl der Lócher muss sehr gross sein, denn wir sahen sowohl in der Nähe der Perte, als auch weiterhin im trocknen Thale der Gubácha trichterförmige Einstürze im Boden, von denen einige 10 Fuss tief waren. Offenbar hatten sie die Frühlingswasser verschlungen, denn nur diese konnten ihnen eine Menge geschundener Baumstámme und Äste zugeführt haben, die in und neben ihnen in den verschiedenen Stellungen lagen. Einige Werst unterhalb dieser Perte sieht man das Flüsschen mit lebhaftem Laufe aus dem unteren, von Hóhlen durch- setzten Theile einer steilen Kalksteinwand hervor- quellen. Dass dies dasselbe Wasser ist, das sich an des Sciences de Saint- Pétersbourz. e Re ES 45 Was der Verwerthung dieser Schätze Noth thut, sind folgende Dinge: : 1) Bedeutende und sichere Betriebskapitale, beson- ders für den vernachlässigten Bergbezirk Alexan- drowskoi. Vermehrung der Eisenproduktion da- selbst mit Anwendung von Steinkohlen. 2) Vermehrte Steinkohlenfórderung an der Lunja und an der Kosswa. Da der Bau einer eisernen Trans- ` portbahn noch nicht bald zu erwarten ist, so sollte man den Versuch machen, die Winterbahn von den Gruben an die Kama mittelst Schneepflüge und langer Schlitten, wie in Finnland, in guten Stand zu setzen. ۱ i "3) Müsste eine detaillirte Flötzkarte der produkti- ven Steinkohlenzone von der Lunja bis zur Usswa angefertigt werden, weil man sich ohne solche Karte nicht gehörig in dem Verlaufe der vielfach gefältelten und gewundenen Schichten orientiren und daher die Punkte nicht bestimmen kann, an denen man die Kohlen mit Sicherheit aufzuschür- fen im Stande wäre. Weder in Alexandrowsk, ` noch in Kiselowsk und Wsewolodowilwinsk und Poshewskoi giebt es einen Geologen, der diese Arbeit machen könnte. Eine gute Vorarbeit hat "hier Hr. Ludwig bereits geliefert in den De- scriptions des mines et des usines des M" Wse- |. woloshsky. | aa . Es kommt jetzt alles darauf an, die Eiseni am Ural zu vermehren, da Russland Mangel an Ei- sen hat, und den Gebrauch der Steinkohle einzufüh- Kabes n ren. Wem dies gelingt, der wird sich ein grosses Ver- dienst um Russland erwerben. Die preussische Regie- rung hat in der letzten Zeit durch Beseitigung veral- teter Einrichtungen dem Bergbau einen bedeutenden Aufschwung gegeben °). Das wichtigste Produkt bil- den Steinkohlen, deren Gewinnung fast ور‎ der preus- sischen Bergleute beschäftigt und gegen 70°, des Wer- thes der Gesammtproduktion von nutzbaren Minera- lien ausmacht. Es betrug die Förderung: 71827... 6,815,704 Tonnen 1897. 10,395,478 >» 1847... 19,145,461 د‎ -.9) A. Huyssen. Die allgemeinen Verhältnisse des preussischen ' Bergwesens, mit Rücksicht auf ihre Entwickelung. Essen 1864. (Siehe Leonhard und Geinitz. Neues Jahrb. 1865.) + 48 am Schlusse des Jahres 1865 waren schon 270 vor- treffliche Stahlkanonen hergestellt, die ein Gesammt- gewicht von 10,500 Pud hatten, und an denen jedes Pud 18 Rubel zu stehen gekommen war, ein geringer Preis, wenn man bedenkt, dass die ganze Sache noch eine neue ist. Im Jahre 1866 sollen 300 Geschütze zu einem Gesammtgewicht von 27,600 Pud geliefert werden, also^würde das Pud nur 17 Rub. 50 Kop. kosten; später wird dieser Preis noch geringer werden. Hr. v. Rachette hat hiermit ein glänzendes Bei- spiel davon gegeben, was man mit den eignen Mitteln Russlands leisten kann, wenn man ernsten Willen und Verständniss zur Sache mitbringt. In Jekaterinenburg traf ich mit dem General Ra- chette zusammen, der unterdessen das Slatouster Bergrevier inspieirt hatte. Nachdem wir zusammen die Beresow’schen Goldgruben besucht und über deren Zukunft einen Beschluss gefasst hatten, über welchen Hr. v. Rachette selbst berichten wird, reisten wir zusammen über Newiansk nach Nishne-Tagilsk. Es ist wohl nur eine Stimme darüber, dass. das Verwaschen der Goldseifen nirgends so vollkommen geschieht, als am Ural und in Sibirien. Die Nachbar- schaft von Newiansk bot uns die Gelegenheit, eine der grössten Goldwäschen des Urals, Jagodno? genannt, zu besuchen. Sie liegt 9 Werst westlich von Newiansk in einer fast ganz ebenen, waldigen Gegend, in wel- cher man nicht ahnt, im Gebirge zu sein. Als wir vom Hause des Verwalters ein Paar hundert Schritte gegangen waren, standen wir plötzlich am Rande ei- ner kolossalen, mindestens 70 Fuss tiefen Pinge, deren Abhänge sehr regelmässig terrassirt waren. Hunderte von Menschen arbeiteten in verschiedenen Höhen, die einen mit der Keilhaue, andere mit der Schaufel, noch andere lenkten die Pferde an geschäftig hin- und her- fahrenden Karren. Das Ganze gewährte ein schönes, grossartiges Bild. Der Bergmann und Geolog aber hatte überdies noch die Freude, die technische Ein- richtung im besten Zustande zu finden und sehr in- teressante geologische Phänomene zu beobachten. Zum Waschen des Goldsandes bedient man sich einer durch Dampfkraft bewegten Kamarnizki’schen Maschine. . Die Wände der Pinge haben eine braungelbe Farbe und bestehen aus einem fetten Diluviallehm mit einer unzähligen Menge in ihn gebetteter eckiger, bis 3 Fuss Bulletin de l'Académie Imperiale 47 jener Stelle in den Boden verliert, bewies seine trübe, ochergelbe Farbe, eine Folge dessen, dass es bei der Kiselow’schen Eisengrube zum Waschen der Eisen- erze verwendet wird. Ich kehrte nach dieser Excursion nach Perm zu- rück, wo ich die neu angelegte Stahlkanonengiesserei besuchte und dann nach Jekaterinenburg abreiste. Obgleich ein Laie in der Technik, sei es mir erlaubt, an dieser Stelle ein Wort über diese Anstalt zu sagen. Die rapiden Fortschritte, welche die Artilleriekunst in Westeuropa gemacht hat, nóthigten auch Russland, auf diesem Gebiete vorwärts zu gehen. Die preussische Artillerie bediente sich schon im dänischen Kriege der Stahlkanonen. Es war wünschenswerth auch un- sere Armee und Flotte mit dergleichen Geschützen zu versehen, und man gründete zu diesem Zwecke in Slatoust am Ural eine grosse Stahlgiesserei unter des Obersten Obuchow Leitung. Da man aber in kürze- ster Zeit eine bedeutende Menge von Stahlgeschützen verlangte und die Slatouster Hütte allein diese nicht so schnell hätte liefern können, machte das Kaiser- liche Kriegsministerium eine mehrere Millionen Ru- bel betragende Bestellung an Stahlkanonen bei dem be- kannten Krupp in Westfalen. Jedes Pud (40 Pfund) Stahl in den Krupp'schen Kanonen kostet 28 R. S. Der Direktor des Bergwesens, Generalmajor Ra- chette, war schon damals Mitglied des Artillerie- Comités und legte als solches seine Verwahrung ge- gen diese Bestellung ein, weil er überzeugt war, man könne Stahlkanonen der besten Qualität mit viel ge- ringeren Kosten am Ural anfertigen. Da die Sache in Slatoust nicht recht gehen wollte, und da eine einzige Kanonengiesserei dem grossen Bedarfe unserer Ar- mee und Flotte nicht genügt haben würde, ward die frühere Alexandrow’sche Gusseisen - und Maschinen- fabrik unter Obuchow’s Leitung, der Slatoust ver- lassen hatte, in eine Stahlkanonengiesserei umgewan- delt nnd eine dritte Anstalt dieser Art, nach dem Plane des Hrn. v. Rachette, 2 Werst oberhalb der Stadt Perm, am linken Ufer der Kama, angelegt. Der Bau dieses sowohl in technischer als architektonischer | Beziehung musterhaften Werkes begann am 26. Au- gust1863, ward im Herbst 1865 vollendet und hat 1,150,000 Rubel gekostet. Vierzehn Monate nach dem Beginne und noch vor der völligen Beendigung des- selben begann bereits die Arbeit am 26. October 1864; 50 schew, Vater und Sohn. Sie haben das Grundstück von dessen Besitzer, dem Grafen Steenbock -Fer- mor, auf 20 Jahre in Arrende genommen und sollen demselben 1000 Rubel von jedem Pud erwaschenen Goldes zahlen. Nachdem wir in Nishni- Tagil, über welches ich spüter Einiges sagen werde, zwei Tage verweilt hat- ten, begaben wir uns an die Tschussowaja nach dem Dorfe Ilimskaja- Pristan, einem der Krone gehórigen Flusshafen und Stapelplatz. Der Weg geht über die Demidow’chen Hüttenwerke Wissimo-Utkinskoi, Wis- simoschaitanskoi und die Dórfer Romanowo und Su- lem, die beide am rechten Ufer der Tschussowaja liegen. Die.bei Sulem anstehenden schwarzen Kalksteine sollen devonischen Alters sein. Sie fallen hora 3 SW. Als wir von hier nach Ilimka (so wird der Ort vom Volke genannt) fuhren, bemerkten wir auf der Höhe die Ausgehenden eines gelben, quarzigen Sandsteins, welcher wohl ohne Zweifel unter dem bei Ilimka selbst anstehenden unteren Produktusgigaskalkstein, also zwischen ihm und dem devonischen liegt. Der untere Produktuskalk geht bei Ilimka am lin- ken Ufer des Flusses in malerischen Felswänden zu Tage. Es ist ein dichter, dunkelgrauer Kalkstein mit splittrigem Bruche, der unter Winkeln von 20 bis 40* hora 3 SW. fällt (also wie der devonische Kalkstein bei Sulem) und hora 9 NW. nach SO. streicht. Da wir nun von Sulem nach Ilimka in der Richtung von ۰ nach S. gefahren waren, so waren wir dabei aus dem Liegenden ins Hangende gekommen, und damit stellt sich. der geologische*Horizont jenes Sandsteins fest, in welchem Nachsuchungen nach Steinkohle berech- tigt wären, um so mehr, als in Sandsteinen dessel- ben Horizontes bei Archangelopaschiisk bereits Koh- lenlager aufgefunden worden sind. Dieses Hüttenwerk liegt 60 Werst nórdlich von Ilimka. * Als unsere Oberbergverwaltung den Entschluss ge- fasst hatte, die Eisenproduktion am Ural zu vermeh- ren, um unter anderen Dingen auch Rails für Eisen- bahnen zu machen, schlug der Bergofficier Möller, welcher diese Gegend bereits als Pander’s Begleiter und später allein besucht hatte, vor, in der Nachbar- schaft von Ilimka auf Kohlen zu schürfen, aber nicht in jenen unteren Sandsteinen, sonder in denen, wel- che er westlich von Ilimka, im Hangenden jenes Pro- 4 des Sciences de Saint- Pétersbourg. A9 langer Gesteinsblócke, deren Kanten nur ein wenig abgerieben sind. Die meisten und gróssten gehóren einem weissen Quarzfels, ausserdem aber noch dem Kieselschiefer, Diorit, Talkschiefer und Brauneisen- stein an. Die Kieselschieferstücke pflegen die klein- sten zu sein. Dieses Diluvium erreicht an einigen Stellen die Mächtigkeit von 10 bis 58 Fuss, an an- deren ist es nur 20 bis 24 Fuss dick und liegt un- mittelbar auf der Goldseife auf, die sich von dem sie bedeckenden Diluvium durch nichts unterscheidet, als durch dunklere Farbe und durch Goldgehalt. Diese Seife setzt sehr scharf an ihrem Sohlengestein, einem blendend weissen, fetten, milden Thone ab, der wei- ter nichts ist, als ein verwitterter, ganz reiner Talk- schiefer, an welchem in den tieferen Theilen der Pinge die schiefrige Struktur noch deutlich zu erkennen, aber keine fremde Beimengung irgend eines Minerals zu bemerken war. ` Ehe das Seifenlager und das nach oben folgende Diluvium diesen Schiefer bedeckten, muss dessen Ober- fläche der Wirkung starker Erosion ausgesetzt gewe- sen sein, denn sie ist ausserordentlich uneben, so dass sogar bis 20 Fuss hohe zuckerhutförmige Kegel in das Diluvium hinaufstarren. Eben dieser Umstand und die von ihm abhängige, sehr ungleiche Mächtigkeit des Diluviuurs und des Sei- fenlagers veranlasste den Grubeninspektor, die Seife nicht unterirdisch, sondern in einem offenen Tagebaue abzubauen und eine so dicke taube Schicht mit vielen Kosten abzutragen, um zu dem tiefliegenden Golde zu gelangen. An keinem einzigen der mir zu Gesichte gekommenen Geschiebe konnte ich polirte Flächen oder Schrammen bemerken, und ich möchte daher be- haupten, dass hier kein Gletschereis die Blócke trans- portirte. Der Einwirkung etwaiger Urgletscher wider- spricht auch die wellige Oberfläche des ungemein wei- chen, milden Talkschiefers. Ein Gletscher hátte diese weichen Unebenheiten bei seinem Vorrücken, wie ein Messer abgeschnitten und ein ebenes, weisses Feld erzeugt. - Im Blocklehm unseres Nordens sind die erratischen Blócke immer abgerollt; nur ausnahmsweise sieht man sie mit scharfen Kanten, namentlich die grósseren der- selben. | Diese grossartige und vortrefflich eingerichtete und unterhaltene Goldwäsche gehört den Herren Asta- Tome XI. Mo. Bot. Garden, 1897. 52 Schichten des bei Ilimka entblössten untern Bergkalks ein südwestliches Fallen haben, so wird es klar, dass die auf dem Wyssokaja-Berge entblössten Sandsteine und Schieferthone eine Mulde anfüllen, deren Boden aus unterm Bergkalke besteht. Daher bin ich der Mei- nung, dass man, um sich das beschwerliche und kost- bare Schürfen an vielen Punkten zu ersparen, besser daran thäte, zwischen dem Berge und Ilimka passende Orte zur Anlage eines oder mehrerer Bohrlöcher zu wählen, die dann bis in die erforderliche Tiefe nie- derzustossen wären. Kommen hier überhaupt Stein- kohlenflótze in den Sandsteinen vor, wie bei Kynow- skoi, so müssen die Bohrlócher sie erreichen. Die zu Ende des vorigen Jahres eingesandten Berichte Cho- lostow's machten es klar, dass weiter in SW., nach der Taliza hin, der obere Bergkalk mit Fusulina cy- lindrica und endlich auch Perm'sche Schichten auf- treten. Somit bleibt es richtig, dass man sich bei dem Schürfen auf die zwischen der Wyssokaja Gora und Ilimka belegene Zone beschränke, Nach allem hier Angeführten darf man auch anneh- men, dass diese Mulde wahrscheinlich die Fortsetzung derjenigen ist, welche auf Móller's Karte des Kynow- sker Reviers am weitesten nach Osten, der Tschusso- waja am nächsten liegt. Wenn man hier Steinkohlen entdeckt, wird es jedenfalls Hrn. Móller's und keines Anderen Verdienst sein. Cholostow hat neuerdings ein vollstindiges Profil der ganzen Schurflinie einge- sandt, das die Verhältnisse vollkommen anschaulich macht. - Werfen wir nun einen Rückblick auf die drei be- sprochenen Gegenden: Palüdow-Berg, Alexandrowsk mit Kiselowsk, und Ilimka, um uns die praktische Bedeutung jeder derselben klar zn machen. a) Der Palüdow- Berg, obgleich günstig an ei- nem auch im Sommer schiffbaren Zuflusse der . Kama, liegt hoch im Norden, in einer dünn be- - völkerten, wenig zugänglichen Gegend. Bei grösse- rer Kohlenfórderung könnte möglicherweise Man- gel an Arbeitern eintreten und deren Proviant so wie alles Material theuer werden, da es einen langen Weg, die Kama und Wyschera aufwärts, zu machen hat. Die hier geförderte Kohle würde nicht so wohlfeil geliefert werden können, als die von der Kosswa, oder aus Kynowskoi. Aber der Palüdow-Berg liegt auf einem der Krone gehöri- Bulletin de l'Académie Impériale 51 duktuskalksteins beobachtet hatte. Er ging dabei sehr richtig von der Voraussetzung aus, dass diese Sand- steine die südliche Fortsetzung derjenigen bilden, in welchen er bei der 40 Werst nórdlich von Ilimka lie- genden Kynowsker Hütte (des Grafen Stroganow) Steinkohlen und Eisenerze aufgefunden hatte. Mól- ler hat eine Karte des Ky nowsker Revieres angefer- tigt, auf welcher deutlich zu sehen ist, dass der un- tere Bergkalk daselbst mehrere, von NNW. nach SSO: gerichtete Falten bildet. Die Mulden sind von Quarz- sandstein und Schieferthon in gleichförmiger Lage- rung mit dem Kalkstein angefüllt; folglich sind diese Sandsteine gleichen Alters und Horizontes mit denen von Alexandrowsk, Gubacha, Palüdow-Berg. Wir besahen eine Reihe von Schürfen, welche der Lieutenant Cholostow in der von Möller angege- ` benen Gegend 4 Werst SW. von Ilimka, vorläufig um das Fallen und Streichen der Schichten zu bestimmen, angelegt hatte, nachdem ihm die geologischen Ver- hältnisse bei Kynowskoi dureh Möller anschaulich gemacht worden waren. Die Schurflinie beginnt etwa 3'/, Werst SW. von Ilimka auf einer, Wyssokaja Gora genannten Hóhe und geht in derselben Richtung bis an die Taliza und über diese hinaus an deren rechte Seite bis an das Flüsschen Lenówka. Da die Gesteinsschich- ten hier von NW. nach SO. hora 3 streichen, so durch- schneidet die Schurflinie das Streichen in die Quere. Obgleich das Schürfen hier wegen mächtiger Diluvial- massen und starken "Wasserandranges schwer ist, 0 war man dennoch in vielen derselben bis auf das an- i inged DieAnzahl derSchürfe betrug gegen 60, und es hatte Sich gezeigt, dass die Schichten nach NO. und SW. fallen. » ` In einem 1۳ Werst SW. vom Schachte X 1 befind- lichen Schurfe hatte man im dunkelgrauen Kalkstein gut erhaltene Exemplare von Spirifer Mosquensis und Produetus sinuatus de Konninck gefunden. Da die letz- tere Art im unteren Bergkalk in Derbyshire und in Belgien bei Visé vorkommt, wo man sie, nach Pan- der's Ansicht, als Leptaena sinuata beschrieben hat, und da am Westabhange des Urals Spirifer Mosquensis nicht nur im obern Bergkalk, wie im Moskauer Becken, sondern auch, wiewohl weniger häufig, in den hóch- sten Schichten des Unteren vorkommt, so wird man nieht irren, diésen Kalkstein ebenfalls dem unteren Bergkalk beizuzühlen. Erinnern wir uns num, dass die k PAP CIK e wrbPn w‏ 8 مس ییا ور bi 54 nach der Frühlingsfluth, mitten im Sommer, von der Kama flussaufwürts bis Demidowskaja Utka mit beladenen Fahrzeugen beschiffen kann, und da llimka im Winter leicht zu erreichen ist und in der Nachbarschaft grosser Hüttenwerke und Flusshüfen liegt, so kónnen Proviant und Mate- rialien dorthin bequemer und wohlfeiler geschafft werden, als nach dem Palüdow-Berge. Der Was- serweg bis Perm beträgt von Ilimka circa 400, vom Palüdow- Berg über 600 Werst und von Alexandrowsk ungefähr 500 Werst. Aufalle vorstehenden Angaben mich stützend, glaube ich in Bezug auf die drei Orte Folgendes vorschlagen zu dürfen: 1) Alle Mittel aufzubieten, um die grossen Reichthü- mer der Alexandrow-Kiselowsker Zone zu ver- werthen. 2) Die Schürfung bei Ilimka eifrigst fortzusetzen. 3) Die Schürfungen am Palüdow-Berge nur in dem Falle zu beendigen, wenn man bei Ilimka keine ergiebigen und brauchbaren Kohlenflótze auí- schlósse. . Zum Schlusse mag noch hervorgehoben werden, von welcher grossen praktischen Wichtigkeit das konse- quente nord-südliche, von der Richtung des Urals ab- hängige Streichen aller Sedimentärschichten des West- abhanges ist. Es bedingt die Möglichkeit, am ganzen Westabhange vom hohen Norden bis an den Uralstrom Steinkohlen und die sie begleitenden Eisenerze auf- zufinden. Und am Ostabhange liegen alle bis jetzt be- kannten Lagerstütten von Magneteisenstein und Kupfer- erzen ebenfalls auf langen nord-südlichen Linien, auf denen mit der Zeit zwischen den bereits bekannten Punkten gewiss noch neue Vorkommnisse dieser Erze werden entdeckt werden. Wer möchte wohl z. B. be- zweifeln, dass man zwischen den Frolow'schen Kupfer- gruben bei Bogoslowsk und denen von Nishni Tagilsk auf einer, beide Punkte verbindenden geraden Linie neue Anbrüche auf Kupfer werde entdecken kónnen? An beiden Orten kommen die Erze auf dem Kontakt zwischen Dioriten und Silurischen Schichten vor. Man verfolge diese Kontaktlinie von Bogoslowsk nach Sü- den oder von Nishni Tagilsk nach Norden, wozu frei- lich eine genaue geologische Karte erforderlich ist, und man wird ohne Zweifel die Erze finden. —— 4* 4 m | Bann _ Dit des Seiences de Saint-# 33 gen Landstücke, und die Bergverwaltung wäre hier in ihrer Exploitation von dem Willen der Privatbesitzer ganz unabhängig. b) Die Alexandrowsk - Kiselowsker Steinkoh- lenzone, die bei nord-südlicher Richtung eine nachweisbare Länge von 70 Werst, mächtige Flötze vorzüglicher Kohle und in deren Nähe -> grosse Vorrüthe guter Eisenerze aufzuweisen hat, wird in ost-westlicher Richtung von Zuflüssen der Kama durchschnitten und ist also geographisch günstiger gelegen, als der Palüdow, an welchem überdies bis jetzt weder Kohlen noch Eisenerze ge- -funden worden sind. Diese Zone ist durch Bergbau bereits aufgeschlossen und unterhält einen bedeu- tenden Hüttenbetrieb. Sie kónnte, wenn man sie mittelst einer 80 bis 90 Werst langen Eisenbahn mit der Kama verbünde, dem ganzen von den Hütten und Dampfschiffen der Kama und Wolga reklamirten Bedarf an Steinkohle mit Leichtig- keit genügen. Dieses glückliche Land gehört Pri- vatbesitzern. Seine Bedeutung für Russland ist aber so gross, dass ich seine Benutzung als eine Staatsangelegenheit betrachte. Damit will ich nicht sagen, der Staat solle hier die bergmänni- sche Exploitation übernehmen; im Gegentheil, ich meine und wünsche, es solle letztere in Privat- hünden bleiben, aber ich glaube auch, dass die Regierung auf die Benutzung dieses Mineralreich- .thums zu dringen und dieselbe mit allen ihr zu Gebote stehenden Mitteln zu unterstützen hätte. - Man baue zu Alexandrowsk eine neue Eisen- hütte, man führe auf derselben den Gebrauch der Steinkohle ein, man mache sich allmáhlich einen Vorrath von Rails, baue dann einen Weg an die Kama und versorge diese und die Wolga mit Stein- kohlen. | Ilimka. Nach den letzten Berichten von Cho- lostow vom October 1865 hat man in einem Schurfe bereits Schieferthon mit kleinen Kohlen- schmitzen gefunden, und ist also die Wahrschein- lichkeit vom Vorhandensein wirklicher Flötze ziemlich gross. Der Ort, wo man schürft, liegt nur 3 Werst von dem linken Tschussowaja-Ufer, also geographisch sehr günstig, da man die Früh- lingsfluth des Flusses zum Transport der Kohle benutzen könnte. Da man die Tschussowaja auch 36 dieser Gesteine auf den Westabhang hinübergreifen, stellt sich auch sogleich Gold im Schuttboden ein. Eine genaue geologische Karte des Urals, auf wel- cher zugleich das Relief des Gebirges genau darge- stellt wäre, würde auch jetzt noch zur Entdeckung neuer Goldseifen führen. Eine solche Karte erwarten wir von unserem verdienstvollen Geologen, dem Ge- neral Hofmann. Seine und Möller’s Arbeiten wer- den von der grössten Wichtigkeit für die Bergpraxis des Urals werden. Wie sehr ist es doch zu bedauern, dass solche Karten nicht bereits seit vielen Jahren existiren. er: | Wir besahen zuerst die dem Hrn. Below gehórige Goldwäsche Denissowskoi. Sie ist erst im September 1864 angelegt und hatte dennoch schon sehr bedeu- tende Dimensionen angenommen. Die obere, taube Diluvialschicht ist 7 Fuss dick, die unter ihr folgende Seife 9'/, Fuss. Den Untergrund der letztern bildet ein anstehender hellgrauer, feinkörniger Dolomit, des- sen Oberfläche durch erosive Wirkung ausgehóhlt ist. An mehreren Stellen ragten Felsbuckel hervor, ähn- lich den Roches moutonnées, nur dass an ihnen, wie überhaupt am ganzen Ural, nie polirte; oder ge- schrammte Gesteinsflächen, wie die des skandinavi- schen Nordens, vorkommen. Ich habe den auffallendsten dieser Hócker nach der Natur abgebildet und mache besonders auf zwei ey- lindrische Vertiefungen in denselben, a und b, auf- merksam, die ich für Riesenkessel halte. Leider stand dieser etwa 12 bis 14 Fuss hohe Hócker in einem unzugänglichen Schlammboden , so dass ich ohne be- sondere Vorrichtung nicht an den Fuss der Riesen- kessel gelangen konnte, um sie genauer zu untersuchen. Dass Rinsenkessel überall entstehen kónnen, wo kräftige Wasserstrudel lange Zeit wirken, habe ich in Finnland nachgewiesen und werde ich in einem Auf- satze über diesen Gegenstand näher entwickeln. Es steht diese Erscheinung in keinem nothwendi- gen Zusammenhange mit dem Phänomen der errati- schen Blöcke, der polirten und geschrammten Felsen. Für diese ist die Annahme einer sie hervorbringenden Eiszeit wohl kaum zu vermeiden. Am Ural aber hat es eine solche nicht gegeben, denn ihm fehlen ihre Er- zeugnisse. Was man am Ural bisweilen erratische Blöcke genannt hat, sind zwar auch vom Mutterfels gelöste Steine, aber sie befinden sich stets in der Bulletin de l'Académie Imperiale 55 Tch verlasse jetzt den Westabhang des Urals, um an dessen Ostabhang überzugehen. Wir befuhren die Tschussowaja von Ilimka bis Os- länskaja Pristan und sahen, i wie sie, je nach der Rich- tung ihrer grossen Biegungen, bald in das Devonische, dann wieder in das Kohlensystem einschneidet und vermüge ihrer süd - nördlichen Richtung oft lange in letzterem verbleibt. Nur auf einer verhältnissmässig geringen Strecke ergreift sie, bei Sulem und weiter im Norden, das Devonische System. Ihr unterer, nach NW. und W. gerichteter Lauf gehört aber ganz dem Perm’- schen an. Möller’s geologische Karte des westli- chen Fusses des Urals, deren Veröffentlichung wir nach einiger Zeit entgegensehen können و‎ wird die Verbreitung der Schichten der Steinkohlenperiode voll- ständiger und richtiger zeigen, als es auf unseren früheren Karten der Fall war. Daher wird diese Karte in praxi von Wichtigkeit sein, um so mehr, da sie in einem grösseren Maassstabe angelegt ist. Wir begaben uns von Sserebränskoi zunächst nach Kuschwa und besuchten hier den berühmten Magnet- berg Blagodat. Auf dem Wege nach Kuschwa nahmen wir aber, auf die Bitte der Herren Rostorgujew, Anossow und Below, den diesen Herren gehörenden Antheil der Sserebränskischen Goldwäschen in Augen- schein. Die unter diesem Kollektivnamen bekannten Wä- sehen beginnen 9 Werst nórdlich von dem Dorfe Ke- drowka und ziehen sich dann 15 Werst vom Anfangs- punkte längs der Sserebränka aufwärts, die verschie- densten Namen führend. Dass hier Gold im Schutt- boden vorkommt, wusste man seit mehr als 20 Jah- ren, aber man beachtete diesen Umstand nicht, weil der Gehalt der Seife angeblich ein sehr geringer sein sollte. Als jedoch jene Herren, nach erfolgter Erlaub- niss, auf diesem der Krone gehórenden Boden zu schürfen, hier einen bedeutenden Goldgehalt entdeckt hatten, ward ihnen auch gestattet, die Seifen auszubeu- ten. Sie liegen, wie auch die Goldwäschen von Kresto- wosdwishenskoi, ausnahmsweise am Westabhange des Urals, während fast alle übrigen sich am Ostab- hange befinden, aus dem eiufachen Grunde, weil die goldführenden Gesteine des Gebirges; nümlich krystal- linische Schiefer, Serpentin, Diorit und Beresit mit Quarzgängen, an diesem Abhange und nie am west- lichen zu Tage gehen. Wo jedoch eines oder mehrere 58 Goldwüsche Denissowka. - Sehr wichtig ist noch der uns von Hrn. Anossow mitgetheilte Umstand, dass die Goldseife sich auf der rechten Seite der Sserebrünka noch weit nach Westen über die Grenze des den hiesigen Goldwüschern einge- messenen Landstücks hinaus verbreitet. In der Um- gebung von Klütschewskoi und Denissowskoi bilden, ausser dem erwühnten Dolomit, Talk und Cloritschie- fer das vorwaltende Gestein. Der Magnetberg Blagodat. Der Besuch des Blagodat- Berges war sehr erfreu- lich und belehrend. Als ich ihn im Jahre 1833 un- tersuchte und beschrieb (Bullet. scientifique 06 Acad. Imp. des sciences de St.-Pétersb., Tome III, 1838), war er zwar durch Bergbau schon ziemlich gut auf- geschlossen, aber seit der Zeit sind die geologischen Verhältnisse dieser merkwürdigen Örtlichkeit durch den vorgeschrittenen Abbau noch klarer und die Ge- stalt, das Streichen und Fallen des Magneteisenstocks, so wie sein näheres Verhalten zum umgebenden Oly- goklas-Porphyr, deutlich erkannt worden. | Der hiesige Grubenverwalter, der Bergingenieur Lessenko, zeigte uns alle wichtigeren Arbeiten, nach- dem wir uns vorher nach vortrefflichen, von ihm an- gefertigten Plänen und Profilen orientirt hatten. Der Eifer und die gute Sachkenntniss dieses Officiers ver- dienen alle Anerkennung. Beiläufg sei noch erwähnt, dass wir von Kuschwa aus die Barantschinsker Eisen- hütte besuchten und daselbst einen Ofen Rachette- scher Konstruktion sahen, in welchem Gusseisen er- zeugt wurde, und der im besten Gange war. In unse- des Sciences de Saint-Pétersbourg. l Riesenkessel im Dolomit. Nähe desselben, und ihre Translokation kann in jedem einzelnen Falle, folglich auch im Allgemeinen, durch die Wirkung fliessender, mit Eisschollen beladener Gewässer erklärt werden. Der abgebildete Dolomitfels befindet sich in der neben Denissowskoi belegenen Goldwäsche des Hrn. Pawel Gutkowski. Sie ward ihm, von seinem Prin- eipal Below in Arrende gegeben und ist durch den hohen, 2, Solotnik Gold in 100 Pud Sand betragen- den Gehalt ausgezeichnet. Die Goldseife Denissowskoi giebt dagegen durchschnittlich 93 Doli in 100 Pud Sand. Heutzutage sind aber 93 Doli schon ein bedeu- tender Goldgehalt Uralscher Seifenwerke. 1, Werst. flussaufwürts von Denissowskoi liegt die den Herren | Uschakow und Rostorgujew gehórige Goldwüsche Klütschewskoi. Obgleich erst im März 1865 angelegt, hatte sie bis zum 12. Juli d. J. bereits 36 Pfund Gold geliefert. AIRES ۱ Alle drei Wäschen nehmen zusammen etwa eine Quadratwerst ein; die gut gebauten Wohnungen der Besitzer und einiger Hundert Arbeiter, die 6 für die Pferde, die Küchen, die wohl und sauber unter- haltenen Krankenhäuser, die Vorraths- und Maschi- nenhäuser bilden ein grosses Dorf mit regem, frischem Leben. Alle diese Einrichtungen sind zweckmässig und gründlich und ohne Luxus angelegt und zeugen von guter Administration und gutem Verständniss der Aufgabe. Man bedient sich zum Waschen des Gold- sandes der durch Wasserkraft bewegten Kamarnizki- schen Maschine, und wir betrachteten mit besonderem Interesse einige von Hrn. Rostorgujew's Sohn ge- machte Verbesserungen in den Mechanismen. torische Patienten erhalten Medikamente und sonstige Hülfe unentgeltlich. Die Anstalt steht unter der Lei- tung eines als Physiolog bekannten Arztes, Ruda- nowsky, dessen mikroskopische Unter gen über den Bau der Nerven in dem Compte rendu der Pariser Akademie und in einer russischen medicinischen Zeit- schrift veröffentlicht sind. Wir haben aber auch der Vorgänger dieser Herren zu erwühnen. Zwei der be- kanntesten Metallurgen Europas haben in Tagil ge- wirkt: der jetzige Studieninspektor an der Ecole des mines in Paris, Le Play, und Hr. Nils von Norden- skjóld; beide standen nicht in der Verwaltung von Tagil, sondern waren daselbst eine Zeit lang mit hüt- tenmännischen Arbeiten beschäftigt. Hr. v. Rachette aber, der eben so verdiente Metallurg, und gegenwär- tig Direktor des Kaiserlichen Bergdepartements, hat die Tagil’schen Gruben und Hütten, nach Hrn. Ko- shuchowsky’s Tode, über vier Jahre lang in einer wegen ihres guten Erfolges höchst anerkennungswer- then Weise verwaltet. Hrn. Koshuchowsky wird nie- mand bedeutende Begabung und Energie absprechen wollen, er war aber weder Berg- noch Hüttenmann und verwandte alle Kräfte darauf, in möglichst kur- zer Zeit den möglichst grössten Gewinn zu erzielen. Dieser Grundsatz ist gewiss richtig, so lange er ohne Schaden für die Zukunft eines Bergreviers ausgeführt werden kann. Das war aber bei Hrn. v. Rachette's Vorgünger, wenigstens in Bezug auf die Gruben, nicht der Fall, denn sie waren wührend jener Verwal- tung in einen Zustand gebracht, den Hr. v. Rachette wieder zu verbessern hatte. Man braucht die Tagiler Hüttenwerke nur in ihrem jetzigen Zustande zu sehen und die bei denselben an- gestellten Beamten zu befragen, so wird man erfah- ren, dass alle wesentlichen Vervollkommnungen der letzten Zeit von Hrn. v. Rachette gemacht worden sind. ۰ Tagil hat keine Bergakademie und besitzt doch gute - Hüttenverwalter, die keine andere Schule als die órt- liche besucht haben. ` — | Endlich wollen wir auch noch dessen erwähnen, dass die Tagiler Verwaltung diejenige war, welche zuerst eine gute, auf eine Triangulation begründete topographische Karte des betreffenden Bergreviers mit grossen Kosten anfertigen liess. Zu dieser wich- tigen Arbeit waren von ihr zwei französische Inge- A Bulletin de l'Académie Impériale nwart ward der Ofen angestochen und gutes uschwa trennte ich mich der sich nach Bogoslowsk Tagilsk nach Jekateri- rer Gege . Gusseisen ausgelassen. In K von dem General Rachette, begab, und reiste über Nishni nenburg zurück. Dabei konnte ich es mir nicht ver- sagen, ein Paar Tage in Tagil zu verweilen, als einer der gróssten und wichtigsten Bergstädte des Urals, die von jeher den wohlverdienten Ruf guter Verwal- tung genossen hat. Wenngleich die reichen Besitzer dieses grossen Re- viers, in welchem nicht weniger als 10 Hüttenwerke sich befinden, meist im Auslande lebten und ihren schönen Besitz entweder gar nicht, oder doch sehr sel- ten, und auch dann nur flüchtig besuchten, so muss man ihnen doch die Ehre lassen, dass sie stets, und mit grosser Opferwilligkeit bemüht gewesen sind, den- gelben aufs sorgfültigste und beste verwalten zu las- sen. Wie ich dies vor 32 Jahren bezeugen musste, so fühle ich auch jetzt eine Verpflichtung, es zu thun. Die Besitzer haben von jeher die Überzeugung ge- habt und nach derselben gehandelt: dass ein Bergre- vier nur dann in gutem Zustande erhalten werden könne, wenn man ernstlich sowohl für das materielle als das geistige Wohl der Bewohner sorgt: wenn man von den gewonnenen Kapitalien einen reichlichen Theil zum ferneren Betriebe abtheilt, wenn man die tech- nischen und administrativen Kenntnisse der Beamten immer frisch zu erhalten und zu erneuern strebt. Tagil ist gegenwärtig ein wohlhabender, wohl ge- bauter Besitz von 28,000 Einwohnern. ; | An der Spitze der Verwaltu gst hene g h neter Mann, der Schwede Wahlstedt, und die Her- ren Cholmogorow, in Tagil geboren und erzogen, Nite und Bolin, letzterer schwedischer Herkunft. Das Forstwesen verwaltet einer unserer bekanntesten Forst beamten, der aus dem Staatsdienst getretene Oberst Beckmann, ehemals Direktor der Forstei zu Lissino unweit St. Petersburg. Tagil unterhält ein gutes Real- gymnasium, in welchem schon mancher junge Mann, der jetzt Gruben und Hütten verwaltet, seine erste Bildung erhielt, und mehrere Volksschulen. In einem grossen steinernen, zweistóckigen Krankenhause, des- sen Einrichtung sehr zweckmässig ist, und dessen Un- terhalt jährlich 35,000 Rubel kostet, werden Kranke aus dem niederen Stande des ganzen Reviers aufge- nommen und unentgeltlich verpflegt. Auch ambula- bereits ganz oder doch zum grösseren Theil beendet waren, revidirt und, wo es nóthig war, ergünzt und vielleicht auch berichtigt. Die Arbeit ist 1865 been- det, und werden die Karten jetzt in's Reine gezeichnet. Man hörte bisweilen sehr ungünstige Urtheile über die Karten der französischen Geodäten. Dies veran- lasste mich, ihre Arbeiten in Jekaterinburg zu bese- hen. Was mir sogleich auffiel, war, dass die Blätter sehr abgegriffen, also stark in Gebrauch gewesen wa- ren. Die Zeichnung war tadellos, und wenn ich hinzu- füge, dass Hr. Bergier ein guter Mathematiker, Schü- ler von Laplace und ausgezeichneter Geodät ist, so darf ich auch wohl annehmen, dass seine Karten kei- nen geringen Werth haben, sondern, wie die Karten von Tagil, den Ansprüchen genügen werden. Jeden- falls sind diese Karten unendlich viel besser als die früheren, noch zur Zeit der Kaiserin Katharina von gewöhnlichen Landmessern angefertigten, deren man- gelhafte Orientirung und Unrichtigkeit sie zu jedem ernsten Gebrauche untauglich machen. — Kamenskoi Sawod. Wir gehen nun an den Ostabhang des Urals, nach der Eisenhütte Kamenskoi über. Sie liegt an dem 90 Werst östlich von Jekaterinburg in das linke Ufer des Isset fallenden Flüsschen Kamenka und produ- cirt Artilleriemünition. Auch sind hier früher eiserne Kanonen gegossen worden. Die Holzkohle wird ge- genwärtig etwa 90 Werst weit hergebracht, da die Hütte in einer ganz waldlosen, fruchtbaren Steppe liegt. Wenn sie keine Steinkohlen erhält, wird man nach einigen Jahren gezwungen sein, sie zu schliessen. Es ist daher von der grössten Wichtigkeit, die in der Ge- gend vorhandenen Steinkohlen nüher zu prüfen, um ih- ren industriellen Werth genauer bestimmen zu kónnen. Etwa um das Jahr 1801 wurden in dem Kamensker Revier, bei Koltschedanskoi, Braunkohl lager in Thon entdeckt. Nach Grammatschikow's Angabe (Gornoi- Journal 1845, Heft 3, p. 310) kommt mit dieser Braun- kohle zusammen Bernstein vor, ein Umstand, der auf junges Alter derselben schliessen lässt. Auch zwischen den Dörfern Kasakowa, an der Sinara, entdeckte man in 21 Fuss Tiefe unter der Oberfläche in schwarzem Thone, ein 7 Fuss mächtiges Braunkohlenlager. End- lich waren auch damals schon 2 Kohlenlager in schwar- des Sciences de Saint- Petersbourg. nieur-Geographen, die Herren Bergier und Allori, engagirt worden. Diese Karte, mit der man in Tagil sehr zufrieden ist, habe ich daselbst gesehen und kann bezeugen, dass sie den strengsten Anforderungen ge- nügt. Dem guten Beispiele der Demidow’s folgte der Oberchef der Kronsbergreviere des Urals, der General Glinka. Er schlug dem Finanzminister, Grafen Wron- tschenko, vor, die Herren Bergier und Allori, da ' gie ihre Arbeit in Tagil beendet hatten, eine ähnliche in den Revieren der Krone ausführen zu lassen, und glaubte die bedeutenden Kosten, über 300,000 Rubel Silber, aus den für den Bergbau am Ural assignirten Summen bestreiten zu können. Als dieses Projekt Sr. Majestit dem Kaiser Nikolai I. unterlegt wurde, schrieb er mit eigener Hand an den Rand des Bogens folgende denkwürdige Worte: «Eine nützliche, unent- behrliche Sache. Ich bin verwundert und habe mir nicht vorstellen können, dass man bisher dergleichen Karten nicht gehabt hat. Ohne sie kann nichts Ver- nünftiges und Ordentliches geleistet werden.» Es waren neun der Krone gehórige Reviere zu trianguliren, aufzunehmen und zu kartiren. Die nöthi- gen astronomischen Ortsbestimmungen wurden von Hrn. Dóllen (von der Pulkowaer Sternwarte) ausge- führt, und der General Hofmann übernahm es, alle Reviere geologisch zu untersuchen und die Resultate auf die von jenen Herren anzufertigende Karte auf- zutragen. Er hat seine sechsjährigen Untersuchungen bereits seit mehreren Jahren geschlossen, aber leider noch bis jetzt die begehrten, im Maassstabe von 10 Werst im Zoll angefertigten Karten nicht erhalten. Es ging nämlich mit den Aufnahmen jener Herren sehr langsam. Eine wesentliche Ursache davon war, dass man den Herren Bergier und Allori immer wieder neue Gehülfen gab, die sie auf's Neue unter- richten mussten, da die früheren wegen geringer Be- soldung sich häufig dem Dienste entzogen. Auch mó- gen noch andere Umstünde den Gang der Arbeit so verzögert haben, dass der Nachfolger Glinka’s, Ge- nerallieutenant Völkner, sich veranlasst sah, die fran- zösischen Geodäten zu entlassen. ` Das ganze Geschäft wurde nun Officieren des Kai- serlichen Topographencorps übertragen. Diese haben das Revier von Bogoslowsk ohne eine Vorarbeit jener Herren aufgenommen, die andern acht Reviere, die 64 | Schieferthon Steinkohle Bandstein sise, datu Schieferthon ... Kalkstein 16Fuss— Zoll » ss. "«*29299990099929990999992829 و و رس‎ LES *99*999299999989209992929* Kalkstein . Schieferthon Steinkohle : Schieferthon...................-- Sandstein, in welchem das Bohrloch stehen blieb... 22 166 Fuss 2 Zoll ZZ‏ و ویو موم موه b "Ge 1 | o to 1 ro x e Warum man dieses Bohrloch nicht tiefer getrieben und das Unternehmen abgebrochen hat, ist mir nicht klar, und fehlen darüber im Bergjournal die näheren Beweise. Man trug die Nachsuchungen nach Stein- kohle auf einen andern Punkt über, nach dem 60 Werst nórdlich von Kamenskoi an der Pyschma befindlichen Dorfe Suchoilog. Hier ward 1849 eine halbe Werst östlich vom Dorfe, am südlichen Ufer der Pyschma, ein Versuchsbau angelegt, über welchen Gramma- tschikow im Gornoi Journal für 1852, Heft 5, p. 315 Folgendes berichtet: ` Es wurden ein Hauptschacht mit vier Hülfsschach- ten abgesenkt und von ihnen aus 7 Strecken getrie- ben. Zuerst wurde 1849 ein Schacht in geneigter Lage auf einem im Thale zu Tage gehenden Steinkoh- lenflötze bis in 70 Fuss Tiefe abgeteuft; er deckte 4 Flótze auf. In diesem sowohl als in den anderen Schachten und in den Strecken zeigten sowohl die aufgefundenen Kohlenflótze, als auch die sie beglei- tenden Sandsteine, Schieferthone und Kalksteine sehr viele und bedeutende Stórungen. Die Schichten sind verworfen, verdrückt, keilen sich in Folge dessen oft aus, und ihr Abbau ist daher unbequem und unsicher. In einem der Schachte hatte das Hauptflótz eine Mách- tigkeit von 28 Fuss und ein Fallen von 7 5? nach O.; zwei andere waren 1 Fuss und 8, Fuss mächtig. Auch in den anderen Schachten hatten die Flótze ein stei- , les Fallen bis 70 und 75^ nach O. Vom 1. September 1851 bis zum 1. Januar 1852 waren 13,491 Pud dieser Kohle gefordert worden; Bulletin de l'Académie Imperiale zem Thone aufgeschürft worden, 5 Werst von Kamen- skoi auf dem Wege nach Koltschedanskoi, in einer, Suchoi log genannten Schlucht. Da aber diese Braun- kohle geringer Qualität war, stellte man die ziemlich bedeutenden Arbeiten ein, die in mehreren Bohr- Tiefe vom Tage getrieben ward, wobei man in einem Wechsel von Sandstein und Schieferthon drei Kohlen- flótze aufschloss, welche etwas besserer Qualität als jene oberen, aber doch sehr mittelmässig waren. Das erste im Bohrloche entdeckte Flötz hatte eine Dicke von Das zweite Das dritte ud 2 Beiläufig sei noch bemerkt, dass Grammatschi- kow mit eisernem Gestünge bohrte. Da jedoch schon in 77 Fuss Tiefe nicht weniger als 10 Mann bei der Arbeit erforderlich waren und das Nachbohren mit grósserem Durchmesser auf Schwierigkeiten (welche?) stiess, setzte er in der Entfernung einer Werst von dem ersten.Bohrloche, in der Gegend, wo der Isset und die Kamenka sich vereinigen, ein zweites an und gebrauchte dazu statt des Gestänges ein Seil. Dieses Bohrloch ward vom 1. August bis 15. October 1844 bis in die Tiefe von 166 Fuss getrieben und gab fol- gendes Profil in absteigender Ordnung: Gelber Diluviallehm 7 Fuss 4 Zoll Weisser Thon 6 Weisser, kieseliger Thon.. 7 Dunkelgrauer Thon #2 Sandstein ‘53 4 Fuss 6 Zoll 4 8 » » » » “hé 17, 000 Pud dieser Kohle bringen und mit bestem Er- folg auf einer Dampfmaschine verwenden lassen. Ein Pud derselben kostete in Kamenskoi 8°, Kopeken. Dieser mässige Preis und die gute Beschaffenheit der Kohle veranlassten Hrn. Weizenbreier dazu, die am rechten Pyschma-Ufer befindliche Fortsetzung der Su- choiloger Flótze in Pacht zu verlangen; allein die Do- mainen-Verwaltung in Perm stellte dem Pachtnehmer schwierige Bedingungen, auf welche er nicht eingehen konnte. So liegt nun auch dieser Ort todt. Da aber Kamenskoi, wenn es keine Steinkohle be- kommt, sehr bald in Noth gerathen würde, war es nothwendig, sich nach bequemer gelegenen Lagerstät- ten umzusehen. Dass die Steinkohle im Kamensker Reviere, ganz wie in den Gouvernements Tula, Ka- luga und Nowgorod, unter dem unteren oder Pro- ductusgigaskalkstein vorkomme, wusste man schon seit der ersten Entdeckung der dortigen Kohlenflötze. Nachdem aber Pander durch seine 1862 gemachten Untersuchungen gezeigt hatte, dass man ausser Ka- menskoi und Suchoilog auch in anderen Gegenden dieses Reviers Steinkohlen werde auffinden können, und nachdem er dazu Örtlichkeiten mit geringer Schich- tenstörung empfohlen hatte, ward der Oberstlieute- nant Timofejew mit diesen Nachsuchungen von dem ` Oberberghauptmann Völkner beauftragt. Da die Kohle hauptsüchlich für die Kamensker Ei- senhütte gebraucht werden sollte, war es natürlich, dass Timofejew sie möglichst nahe von derselben suchte. Zwei Werst SW. von Kamenskoi Deet am rechten Ufer des Isset das Dorf Brodowa, und diesem gegenüber hatte man am hohen, linken Steilufer steil fallende und sehr zertrümmerte Kohlenschmitzen in den daselbst anstehenden Sandsteinen und Schiefer- thonen bemerkt. Hier ward zuerst ein Stollen in den Berg getrieben, aber kein Flótz aufgefunden. Wenn man den rechten Thalrand bei Brodowa erstiegen hat, breitet sich nach SW. eine unübersehbare, horizon- tale, steppenartige Ebene aus. Die Vermuthung, dass die unter ihr liegenden Gebirgsschichten sich ruhiger verhalten würden, als die sehr alterirten bei Kamen- skoi, lag nahe genug um den Bohrplatz hier, etwa 1'4 Werst SW. von Brodowa und 3'/, Werst hora و37‎ von Kamenskoi, zu wählen. Diese Richtung wurde gewählt, weil die Felsschich- ten hier in derselben streichen. 5 des مه‎ de Saint- - Pétersbourg. ein eimKalık- Ssashen derselben wiegt 486 Pud. Man theilte sie in vier Sorten. 1) Stücke von '/, bis 1 Kubikfuss. 2) Von der Grösse eines Eies bis ۱ Kubikfuss. 3) Von der Grösse einer Haselnuss bis zu der eines Eies. 4) Kohlenklein. Die beiden erstenSorten wurden vercoakt; die zweite verwendete man in der Jekaterinburger Maschinen- fabrik; die dritte diente zum Heizen der Stubenöfen. Das Kohlenklein blieb vorläufig ohne Verwendung. Von den geförderten 13,494 Pud kamen in die erste Sorte..... 3628 Pud ». » 2۷ 6116 ». um 5142. ,» ه‎ 9 ۴ ٢ ٢ 9 e 2044 » p » vierte » ..... 2700 » Ein Dud kostete damals an der Grube 3°/,, Kopeken; . bei dieser Schätzung war aber nur der Gehalt und Proviant der Arbeiter, die Instrumente und das Ma- terial und der Unterhalt der zum Pferdegöpel nöthi- gen Zugthiere, nicht aber Gebäude, Gehalte der In- genieure und Ähnliches in Rechnung gebracht, so dass die wirklichen Kosten sich etwas hóher belaufen werden. ` „Nachdem man diese Kohle mehrere J ahre lang in hatt ‚gab man ihren Abbau schliesslich aus ووي‎ : Gründen. auf: wegen ihrer Kurzbrüchigkeit, die sie zu weiten Land- lich macht; wegen ihres hohen Prei- ses, und weil, der Abbau der sehr verstórten, verdrück- ten und daher sehr unregelmässig verlaufenden Flótze viel Schwierigkeiten darbot. Seitdem ist die am lin- ken Ufer der Pyschma befindliche Suchoiloger Lager- stätte Hrn. Grammatschikow in Arrende gegeben worden; es geschieht aber kein Abbau. Obgleich nun diese Lagerstütte weder für Jekaterinburg, noch für andere sehr weit entfernte Orte jemals eine Bedeu- tung erlangen wird, so darf man ihr dennoch eine gute Zukunft nicht durchaus absprechen. Die Schmiede in Kamenskoi, wo die Holzkohle, die bis 90 Werst weit herbeigeführt wird, sehr theuer ist, brauchen die Suchoiloger Steinkohle gern, weil sie gut und wohlfeil ist. Im Winter von 1864 auf 1865 hatte der Verwal- ter der Kamensker Hütte, يوو‎ Weizenbreier, Tome XI. 67 Bulletin de l’Académie Impériale 05 lockeren, grauen Sandsteinen und grauen Schiefer- thonen auf. Sie haben dasselbe Streichen und Fallen, wie der aufliegende Kalkstein, und die Kamenka durch- schneidet sie in die Quere. Ganz in der Nähe von Ka- menskoi, bei der über die Kamenka führenden Brücke, in der Entfernung einer halben Werst von dem erwühn- ten Kalksteine, treten unter den steil fallenden Sand- steinen und Schieferthonen groteske Felsen grauen, | dichten Kalksteins. hervor, an denen keine deutliche Schichtung zu erkennen ist. (Nach Pander's Bestim- mung sind sie devonischen Alters 2) In eben diesen Kalksteinen liegen, eine Werst östlich von Kamenskoi, in der Nähe des Hospitals, die reichen Eisengruben. Grosse Stócke von Brauneisenstein, der auch hier oft die Gestalt hohler Geoden hat, liegen an beiden Ufern der Kamenka auf einer, hora 4', von SW. nach NO., also den genannten Gesteinen parallel streichenden Linie. Sowohl im Hangenden als im Liegenden die- ser Stücke sah ich graue, dichte Kalksteine anstehen, aber ein weisser, feuerfester Thon pflegt zwischen ih- nen und den Erzmassen aufzutreten und immer etwas Sand und Bruchstücke von Kieselschiefer, Quarz und Kalkstein zu enthalten. Eine Breccie aus eben den- selben Gesteinen soll gewöhnlich die Erzmasse von oben bedecken. Im Kamensker Bergrevier stehen auf solchen Eisenerzmassen 20 der Krone und 83, Privat- leuten gehórige Gruben. Ich sah mir auch die Fels- profile am Isset an. Die bei Kamenskoi entblóssten Sandsteine, Schieferthone und der Kalkstein streichen nach SW. an den Isset hinüber. Man kann sie gut beobachten, wenn man von Brodowa am linken Ufer | flussaufwärts geht. Ihre Ausgehenden sind hier sehr verstürzt und zertrümmert. In ihrem Hangenden tre- ten feste, breccienartige Sandsteine auf; sie enthalten scharfkantige Bruchstücke von Kieselschiefer, grünem und rothem Jaspis, schwarzgrauem Kalkstein und strei- chen hora 1 von NNO. — WSW. und fallen unter 30° hora 7 WNW. ES T Auf dieser Breccie liegt ein grauer, dichter Kalk- stein, der unter 40° hora 5 SW. einfällt. Wir fanden keine Versteinerungen in ihm, aber dieselben Feuer- steinknollen, wie im Kamensker Bergkalke. Durch- schnittlich haben also die hier entblössten Schichten ein nord-südliches Streichen und einen Fallwinkel von etwa 35^. hd 3 Das erwühnte Bohrloch, SW. von Brodowa, ist im Die Bohrarbeit begann im Juni 1862 und erreichte eine Tiefe von 756 Fuss unter der Erdoberflüche. Kalkstein kam gar nicht vor, sondern man bohrte fort- während durch wechselnde Schichten von Sandstein und Schieferthon und Steinkohle. Von 345 bis 356 Fuss Tiefe wurden drei Flötze durchbohrt, von denen das obere ganz dünn, das zweite, in 350 Fuss Tiefe, 4 Fuss dick und das untere wieder dünn war. In 384 Fuss Tiefe wurden zwei dünne Lager, in 515 Fuss drei und in 544 Fuss wieder zwei eben solche angetroffen. Nachdem in 631 Fuss noch zwei dünne Flötze durchbohrt worden waren, folgten sodann in einer Tiefe von 725 bis 756 Fuss 12 Kohlenschich- ten, von denen drei, mit einer Gesammtdicke von 10'% Fuss, bauwürdig sind. Auch die oben erwähnte, in 350 Fuss Tiefe liegende Schicht hielt Timofe jew für bau- würdig und machte in Folge dessen den Vorschlag, die letzteren für Kamenskoi versuchsweise abzubauen. Dabei nahm er für diese Flötze ein Fallen von etwa 10 Grad an, weil er,ein solches in mehreren, in der Nähe angelegten Schürfen beobachtet hatte. Meine Aufgabe bestand nun darin, die erwähnten Örtlichkei- ten zu untersuchen und die gemachten Vorschläge und Annahmen zu prüfen. Formationsbestimmungen zu machen, war unnöthig, sie waren durch Andere schon geschehen, und es blieb mir nur übrig, mich über die Schichtenfolge nnd das Streichen und Fallen derselben möglichst genau zu orientiren. Ich hatte gehofft, eine für diesen Zweck brauchbare Karte und eine geologische Sammlung der Gegend vorzufinden, fand aber leider weder die eine, noch die andere. Eine gewöhnlich d karte, die man mir brachte, war so ungenügend und so unge- nau, dass ich sogleich Fehler an ihr bemerkte, als ich sie mit der Natur verglich, und die wenigen Gesteins- proben, die man mir zeigte, waren durchaus nicht ge- eignet, ein zusammenhängendes Bild von der Geolo- gie der Gegend zu geben. Zunächst besuchte ich die am linken Ufer der Ka- menka am Hüttenteich entblössten Profile. Am Süd- ostrande desselben bildet ein dunkelgrauer, dichter Kalkstein (unt Bergkalk)mit vielen grossen, schwar- zen Feuersteinknollen 100 Fuss hohe Klippen. Seine dicken Schichten fallen unter einem Winkel von 40° hora 10 bis 11 NW. und streichen hora 4 SW. nach NO. Im Liegenden derselben tritt ein Wechsel von Sie fallen an einer Stelle sogar hora 10'/, SO. gegen den Kalkstein ein und machen starke Windungen. Bei Nowosawodskaja sahen wir jenen malerischen, zucker- hutfórmigen Felsen grauen, dichten, ungeschichteten Kalksteins aus der Thalsohle aufsteigen, dessen auch Andere schon erwähnt haben; 1°, Werst weiter nach NW.erscheint ein solcher Kalkstein zum letzten Male, und als wir in derselben Richtung noch weiter fluss- aufwürts gingen, trat eine Breccie auf, ganz ühnlich der am Isset beobachteten. Aber an der Kamenka waren ihre Schichten äusserst verworren; sie schienen hora 7'/ SO. zu fallen und hora UG SW. nach NO. zu streichen. Bei Cholmogorowa, wo der Tschornaja- Bach in die Kamenka mündet, sahen wir noch dieselbe Breccie anstehen, nur waren hier die in grauem Sand- stein eingebackenen, scharfkantigen Stücke von rothem Jaspis, grauem Kalkstein, weissem Quarz, schwarzem Feuerstein und Aphanitporphyr nicht selten von Faust- grüsse. Unter dieser Breccie liegt ein feinkörniger, grauer Sandstein, der unter einem Winkel von 7 hora 7”, NW. einfällt und hora 1, SW. nach NO. streicht, also genau wie die oben erwähnte feinere Brec- cie. Alle diese Angaben zeigen zur Genüge, dass die in dieser Gegend vorkommenden Schichten der Stein- kohlen und der devonischen Periode nach ihrer Bil- dung gewaltige Stórungen erfahren haben, und man hat nieht nóthig, die Ursache dieser Erscheinung weit zu suchen. Nicht nur in Kamenskoi selbst, zwischen dem Hüttenwerke und der Brücke über die Kamenka, sondern auch 3 Werst óstlich von Kamenskoi und 7 westlich davon, treten Porphyre in breiten, von N. nach ۰ rg een Zonen auf. Diese haben bei ih- rem Hervortreten die Sedimentairschichten so viel- fach verschoben und geknickt, dass deren Lagernng oft äusserst verworren erscheint. Und eben so ist es auch bei Suchoilog und bei Kitschigina an der Oren- burger Militairlinie, wo die Bergkalkformation mit ih- ren Kohlenflótzen von Kuppen massiver Eruptivge- steine durchstossen und in Verwirrung gebracht sind. An keiner einzigen der drei genannten Örtlichkeiten wird man, so glaube ich, im Stande sein, ruhige Koh- lenfelder von مسابو ې‎ Erstreckung, geschweige denn ganze Mulden oder Sättel aufzufinden, wie sie in der regelmässig gefältelten, aber von Eruptivgestei- nen nicht belästigten Steinkohlenformation des west- lichen Uralabhanges so häufig m des Sciences de Saint- Pétersbourg. 69 Liegenden des eben beschriebenen Kalksteins in der Fortsetzung der bei Brodowa zu Tage gehenden Sand- steine angelegt. Vielleicht, sogar wahrscheinlich, bil- den die an der Kamenka entblóssten Sandsteine und Schieferthone eine nordóstliche Fortsetzung der wei- ter oben beschriebenen; es war mir jedoch wegen der grossen Unzuverlüssigkeit der Karte nicht möglich, darüber vóllige Gewissheit zu erlangen. -Zum Beweise, wie wenig konstant die Stellung der Gesteinsschichten dieses Terrains ist, mógen noch folgende Thatsachen dienen: 1, Werst flussabwärts von Brodowa steht am rech- ten Ufer des Isset ein schwarzer Thonschiefer an, der hora 5 SW. nach NO. streicht und unter 80^ hora 11 NNW. fällt. In seiner Nähe, flussaufwärts schiffend, sahen wir grauen, dichten Kalkstein unter einem Win- kel von 30° hora 1Y, NO. einfallen. Diesen Kalkstein, der nach Pander devonischen Alters sein soll, ver- folgten wir bis an die Mündung der Kamenka und beobachteten an ihm ein Einfallen nach hora 3'/, NO. unter einem Winkel von 30?. Er bildet hier an einer Stelle ein sogenanntes Thor, das lebhaft an das be- kannte Prebischthor im böhmischen Antheile der säch- sischen Schweiz erinnert. Um die geotektonischen Ver- hültnisse der Gesteine dieser Gegend noch genauer kennen zu lernen, besuchte. ich die Ufer der Kamenka oberhalb der Kamensker Hütte bis zum Dorfe Chol- mogorowa, das etwa 16 oder 18 Werst NW. von Ka- menskoi liegt. Zwei Werst NW. von Kamenskoi geht an beiden Ufern dieses Flusses ein dichter, grauer Kalkstein mit abgerundeten Schichtenköpfen zu Tage. Südlich von dem Dorfe Nowosawodskaja sieht man ihn eine hohe steile Klippe am linken Ufer bilden, und seine Schichten fallen hier unter einem Winkel von cirea 80° hora 11 NW. Dieser Klippe gegenüber, am rechten Ufer, bilden 1 bis 2 und 3 Fuss dicke und mit einander wechselnde graue Sandstein- und Schiefer- thonschichten einen steilen Abhang. Sie sind schwach gewólbt und fallen vom Kalksteine weg unter 30^ hora 7 bis 11 NW., so dass ihre Ausgehenden ihm gegen- über stehen. Es hat das Ansehen, als wäre der Kalk- stein von unten heraufgedrängt worden und habe den aufliegenden Sandsteinen und Schieferthonen die Wöl- bung gegeben. Am rechten Ufer sieht man den Kalk- stein und die Sandsteine nahe beisammen, uud hier sind die letzteren sehr steil gestellt und verworren. 72 wenn man so gute und so reichlich vorhandene Eisen- erze, wie die Kamensker, unbenutzt liesse, um so mehr, als Russlands jüngste Eroberungen im Süden der Kirgisensteppe den Handel mit den sogenannten Kulturstaaten Westasiens vielleicht etwas beleben und mit andern Waaren auch den Absatz des Eisens in diese Länder vermehren könnten. Auch darf man nicht vergessen, dass Sibirien mit jedem Jahre mehr Eisen verlangt, und dass in Kamensk ein Theil dieses Be- darfs erzeugt und mit Vortheil in jenen Handel ge- bracht werden kónnte. Die Kohle von Suchoilog kostet in Kamenskoi 8”, Kopeken das Pud, also etwas weniger als die niedrigste Sorte englischer Steinkohle in St. Petersburg; sie ist aber besserer Qualitüt als diese, und es kónnten also in Kamenskoi, mit Ausnahme des Erzschmelzens, alle andern Feuerarbeiten mit der Suchoiloger Kohle aus- geführt werden. Mag nun die Kamensker Hütte eingehen, oder wei- ter bestehen, so bleibt doch so viel gewiss, dass die Kohle von Suchoilog sehr bald zu Schmiedearbeiten und zum Heizen wird verlangt werden, und man sorge deshalb dafür, dass diese Lagerstütte nicht wie jetzt unbenutzt bleibe, sondern verwerthet werde. — Die bei Brodowa begonnenen Untersuchungen wären aber jedenfalls fortzusetzen. Ieh halte es für nothwendig, in der oben angegebenen Weise mittelst zweier neuen, bis in 350 Fuss Tiefe zu treibenden Bohrlöcher die Lage der Gesteinsschichten genau und damit auch den Punkt zu bestimmen, wó man mit einem Schachte bis auf die Flótze niederzugehen hätte, Auch halte ich es für nützlich, das zweite von Grammatschikow ausgeführte, aber nur 166 Fuss tiefe Bohrloch bis in grössere Tiefe fortzusetzen, da dasselbe möglicher- weise zur Entdeckung guter Flötze führen könnte, und da der Bohrplatz nicht weit von der Hütte und auf einer Höhe liegt, von welcher herab die geförderte Kohle leicht nach der im Thale liegenden Hütte trans- portirt werden könnte. Die Steinkohlenlager des Kamensker Reviers und auch die bei Kitschigina und an andern Orten des Orenburger Kosakenlandes werden wegen des bedeu- tenden Landtransports bis Jekaterinburg und Slatoust und wegen anderer oben erwähnter Ursachen, nie- mals eine Bedeutung für diese Orte erhalten. Für beide Orte muss die Kohle am Westabhange und nicht Bulletin de l'Académie Impériale Die oben angeführten Beobachtungen mögen es nun auch rechtfertigen, wenn ich sage, dass die Annahme eines Fallwinkels von nur 10° für die bei Brodowa erbohrten Steinkohlenlager nicht genügend begründet zu Sein scheint. Um den Fallwinkel und die Richtung des Fallens genau zu bestimmen, hätte man in der Nähe des ersten und, mit diesem ein Dreieck bildend, noch zwei andere Bohrlöcher anlegen, oder doch min- destens aus den tiefliegenden Sandsteinschichten einen Cylinder herausschneiden müssen, an welchem der Fallwinkel der einzelnen Lagen zu sehen gewesen wäre, wie man das bei einer Bohrung im Donezgebirge gethan hat. Auch ein Schacht von grösserer Tiefe, als der Bohrschacht, hätte diese Frage. entscheiden können. ‘Und wollte man, ohne solche Sicherheit zu haben, zum Abbau einer 350 Fuss tief liegenden Steinkoh- lenschicht von nur 4 Fuss Dicke schreiten, so würde das, meiner Ansicht nach, um so mehr ein gewagtes Unternehmen sein, als ja die erbohrten Schichten mög- licherweise eben so verstört sind, wie die bei Suchoi- log, und vielleicht einen unregelmässigen, den Betrieb erschwerenden Verlauf haben. In Suchoilog liegen die Schichten wenigstens nahe am Tage, und ihr Abbau ist nieht so kostspielig, als sie bei Brodowa wer- den würde. Aber. der Transport der Kohle von Bro- dowa nach der Kamensker Hütte betrügt nur 3 bis 4 Werst; von Suchoilog aber das Fünfzehnfache dieser Entfernung. د‎ d Schlussbemerkungen.. Aus allen in diesem Berichte mitgetheilten Beob- achtungen glaube ich folgende Schlüsse ziehen und folgende Vorschläge zur Entwickelung einer grösse- ren Kohlen- und Eisenproduktion an beiden Abhängen des Urals machen zu können. | 1) Der Ostabhang. Die Kamensker Hütte wird zu ihrem Betriebe nach einigen Jahren der Steinkohle bedürfen, da ein Mangel an Holzkohle unvermeidlich eintreten muss. Man hat in Bezug auf dieses Hütten- werk die Wahl zwischen zwei Dingen: entweder er- weist sie sich als unnóthig und kann in Folge dessen geschlossen werden, oder ihre fernere Existenz und Thätigkeit wird für nothwendig und nützlich aner- kannt, und in diesem Falle hat man sie mit Steinkoh- len zu versorgen. Es wäre jedenfalls zu bedauern, 74 Wenn man hinzufügt, dass diese Kohlen überall, wo man sie aufgeschlossen hat, von guten Eisenerzen begleitet erscheinen, so darf man die zuversichtliche Hoffnung hegen, hier mit der Zeit einen lebhaften Betrieb zu sehen, der das óstliche Russland mit Stein- kohlen, Eisen und Maschinen aller Art wird versorgen kónnen. Fragt man sich, in welcher Gegend dieser berg- und hüttenmünnische Betrieb zuerst in Auf- schwung gebracht werden könnte, und wo man, vor- zugsweise vor anderen Punkten, nach neuen Kohlen- lagern zu suchen hätte, so weisen wir auf die Lunja, den Kisel und die Koswa. Hier sind Steinkohlen und ergiebige Eisenerze in grossen Mengen durch Berg- bau bereits aufgeschlossen und zugänglich gemacht, auf einer 70 Werst langen Zone. Nur eines Schienen- weges von 83.bis 90 Werst Länge von dieser reichen Zone bis an die Kama bedarf es, um 6 bis 7 Millionen Pud Steinkohle, welche die bereits vorhandenen Gru- ben liefern können, an die Consumtionsorte zu schaf- fen. Um in jener Zone die Punkte mit Sicherheit be- stimmen zu können, an denen man neue Kohlen- und Eisenlager auffinden kann, wäre es nothwendig, die- selbe geodätisch-geologisch aufzunehmen und zu kar- tiren. Dasselbe müsste mit der Tschussowaja, so weit sie durch die Kohlenformation fliesst, und mit ihren östlichen Zuflüssen geschehen. ` Dies ist um so wichtiger, als die Tschussowaja, wie Seliwanow’s Versuche gezeigt haben, bis in den Spütsommer hinein von ihrer Mündung in die Kama bis in die Gegend von Demidowskaja Utka hinauf schiffbar ist, so dass hier ein Transport der Steinkohle zu Wasser fast den ganzen Sommer hindurch stattfin- den kónnte. | ` [nllimskaja und in Kynowskoi müssen die Schür- fungen energisch fortgesetzt werden. Um aber diese | und alle andern Nachsuchungen nach Steinkohle und Erzen und die geologisch -geodätischen Aufnahmen richtig leiten zu kónnen, genügt es nicht, wie bisher, von Zeit zu Zeit einen Geologen an den Ural zu schicken, sondern es ist unumgünglich nóthig, dass mindestens zwei, auch mit palüontologischen Kenntnis- gerüstete Geologen bestündég zu diesen Zwecken am Ural leben und dem Oberberghauptmann zur Dispo- sition gestellt werden. Diese Ingenieure müssten dann aber auch nicht zu ändern, sondern nur ZU den er- sen des Sciences de Saint-Pétersbourg. 73 am Ostabhange des Gebirges gesucht werden; für Je- katerinburg zwischen der Tschussowaja und der Sta- tion Grobowa, für Slatoust am Flusse Ai, da wo die- ser den Bergkalk durchschneidet. 2) Der Westabhang. Hier bedürfen der Stein- ` kohle die Hüttenwerke: Alexandrowsk, Kynowsk, Wot- kinsk, die neu erbauten Werke Kamskoi und die Ka- nonengiessereien bei Perm; sodann Nishne Serginsk, Satkinsk, Slatoust, Kussinsk; endlich auch die 300 Dampfböte der Wolga. Es ist nicht zu weit gegriffen, wenn man den einstigen Bedarf für alle diese Werke und für die Dampfböte zu 35 Millionen Pud Steinköh- len jährlich annimmt. . Will man diesem Bedarf, der nach 6 bis 8 Jahren sicherlich schon dringend eintreten wird, genügen, 0 ist es selbstverständlich, dass die Kohle aus der am Westfusse des Urals verbreiteten Steinkohlenforma- tion beschafft werden müsse. Und da werden die der Tschussowaja und der Kama zunächst gelegenen Lager- stütten immer den Vorzug vor den entfernteren haben. Die Kama und die Tschussowaja sind diejenigen Ströme, welche schliesslich alle Gewässer aufnehmen, auf welchen die Hüttenprodukte des Urals nach Eu- ropa transportirt werden. Von der Wischera (Wilwa, Jaiwa, Koswa) bis zur Tschussowaja fallen alle auf dem Ural entspringenden Flüsse von Osten in die Kama. Aber vor ihrem Einfluss in die Kama nimmt die Tschus- | sowaja von Süden her die Sylva auf. So führen also 6 bis 7 Wasserstrassen, die alle zum mindesten wäh- rend der Frühlingsfluthen schiffbar sind, nach Perm. Perm ist daher der natürliche Sammelpunkt für die Uralprodukte, die von hier aus ungehindert nach der Wolga gehen kónnen. ې‎ Die zwischen Sarapul und Jelabuga in die Kama fallende Belaja nimmt von Osten her die Ufa und diese den Ai, Jurusen, Sim auf. Alle Hütten des südlichen ` Urals verschiffen ihre Produkte auf den Frühlings- fluthen dieser Flüsse, und alle diese Flüsse, die Kama allein ausgenommen, durchstrómen in ihren oberen Läufen die am Westabhange des Urals vom höchsten Norden bis in die Kirgisensteppe kontinuirlich fort- setzende kohlenführende Formation. Diese Koh- lenformation: liefert aber bereits an mehreren Orten aus 12 bis 15 Fuss mächtigen Steinkohlenlagern (Alexandrowsk, Kiselowsk, Koswa, Waschkur, Ky- nowsk) eine Kohle guter Qualität. 76 Transbaikalien stammte und sich besonders durch seine Farbe auszeichnete, die sich in nichts von der des Smaragds unterschied. Dieses smaragdgrüne Mineral ergab sich nach meinen Untersuchungen als eine neue Species des Amphibols (Hornblende), weshalb ich für dasselbe den Namen «Kupfferit» vorschlug, zu Ehren desverstorbenen berühmten Krystallographen und Phy- sikers Adolph von Kupffer. Bisher veróffentlichte ich jedoch keine weitere Beschreibung des Kupfferits und zwar aus zwei Gründen: erstens, weil ich hoffte, zur ausführlichen Untersuchung, noch in den Desitz einer grósseren Menge dieses Minerals zu gelangen, und zwei- tens, weil mein hochverehrter College Abich damals einigen Anstand nahm, dem Minerale einen neuen Na- men zu geben, da er in demselben den Smaragdit zu sehen glaubte. Was nun den letzten Grund anbetrifft, so konnte man auf keinen Fall mein Mineral für einen Smaragdit annehmen, weil Haidinger') schon vor langer Zeit bewiesen hatte, dass der Saussure'sche Smaragdit kein für sich bestehendes Mineral, sondern eine Verwachsung von zwei verschiedenen Mineralien ist, nämlich: Pyroxen und Amphibol. Haidinger be- ginnt seine ausführliche Abhandlung mit folgenden Worten: Pos («Las c «Es ist meine Absicht, in der gegenwärtigen Ab- «handlung das Resultat einer Reihe von Untersuchun- «gen mitzutheilen, aus denen hervorgeht, dass das «Mineral, welches Saussure zuerst mit dem Namen «Smaragdit bezeichnete, keineswegs eine eigenthüm- «liche Art, sondern eine Zusammensetzung von ge- «wissen Varietäten zweier verschiedenen Arten ist, «nämlich des paratomen, und des hemi - prismatischen « Augit - Spathes u. $: W.» (car e . Da nun Lelièvre, und Vauquelin in dem soge- nannten Smaragdit Chrom (0,4 bis 7,5'/) gefunden haben, und da der Kupfferit sich ebenfalls durch seinen Chromgehalt auszeichnet, so folgt daraus, dass der Smaragdit aus chromhaltigem Amphibol oder Kupffe- rii und aus chromhaltigem Pyroxen oder 671 besteht’). Aus allem Gesagten geht also hervor, dass ich nicht ganz ohne Grund dem transbaikalischen 1) Gilbert's Annalen, 1823, Bd. LXXV, S. 367. 2) In Russland, und zwar in Transbaikalien, kommt ein beson- derer Pyroxen (der in der Pyroxen- Gruppe dieselbe Rolle spielt, wie der'Kupfferit in der Amphibol-Gruppe) von schóner grüner Farbe vor, den ich weiter unten kurz unter dem Namen «Lawrowit» beschreibe. Bulletin de l'Académie Impériale 75 wähnten Arbeiten verwendet werden. Geschieht das nicht, so kann man auch auf gute Erfolge nicht rechnen. Ein wichtiger Schritt in der besprochenen Angele- genheit ist bereits durch Hrn. Möller geschehen. Derselbe hat nieht nur eine gute geologische Karte des Kynowsker Bergreviers angefertigt, sondern auch eine Karte vorbereitet, auf welcher der Verlauf der am Westabhange des Urals verbreiteten Kohlenfor- mation umstündlicher und richtiger angegeben ist, als auf den früheren Karten. Die Vollendung und das baldige Erscheinen dieser Karte würe sehr zu wün- schen. | Mineralogische Notiz, von Nikolas v. Kokscha- row, (Lu le 1 novembre 1866.) _ | In dieser kurzen Notiz sind einige neue Beobach- tungen, russische Mineralien betreffend, zusammen- gestellt, welche ich diesen Sommer, als ich das Glück hatte, Seine Kaiserliche Hoheit den Herzog Nikolas von Leuchtenberg auf einer Reise im Ural zu be- gleiten, sammelte. | 11. Chalkophyllit. (Kupferglimmer.) Bis jetzt war in Russland der Chalkophyllit noch nicht bekannt. Ich entdeckte das Mineral in Nischne- Tagilsk unter Stücken, die aus der Grube Medno- Rudjansk stammten. Dieser Chalkophyllit kommt in seinem Äusseren ganz dem von Cornwall gleich; er findet sich im schönen durchsichtigen Krystallen, die zu Drusen zusammengehäuft und auf Malachitschalen aufgewachsen sind, welche gewöhnlich die Wände der Höhlungen zugleich mit Rothkupfererz u. s. w. be- kleiden. Seine Farbe ist spangrün, in das Smaragd- grüne übergehend; die Krystalle sind tafelfórmig, klein und so dünn, dass, ausser den sehr entwickelten Flä- chen des basischen Pinakoids oP (die breite Flüche der Tafeln und die der deutlichen Spaltbarkeit), die Flächen der anderen Formen kaum wahrnehmbar sind. Der Chalkophyllit kommt in den Gruben von Nischne- Tagilsk sehr selten vor. 2. Kupfferit. Vor einigen Jahren stellte ich der Kaiserlichen Aka- demie der Wissenschaften zu St. Petersburg einen Kry- stall vor, der in einer aus kórnigem Kalkspath und Graphit bestehenden Masse eingewachsen war, aus die Form eines rhombischen Prismas dar, doch leider sind alle mit abgebrochenen Enden. Farbe smaragd- grün, etwas gelblich; dieselbe ist aber weniger inten- siv und schön, als die des Kupfferits von Transbaika- lien; sie gleicht indessen doch so sehr der des Sma- ragds, dass die mir übergebenen Exemplare, nach denen ich das Mineral bestimmte, den Namen Sma- ragd führten. | | e) Kupfferit aus dem Ilmengebirge. Der Kupfferit aus diesem Fundorte ist zuerst von R. Hermann beschrieben worden, nach Exemplaren, die er zur Untersuchung von K. Romanowsky er- halten hatte). Das Mineral kommt in Granit einge- wachsen vor, bildet Aggregate, die aus unter sich ver prismatischen Krystallen bestehen. Nach Hermann’s Messung ist der Winkel des Prismas — 124?15'. Spaltbarkeit parallel den Flächen des Prismas. Im frischen Zustande besitzen die Krystalle eine angenehme smaragdgrüne Farbe, die sich jedoch beim Zutritt der Luft leicht verändert und bräunlich wird. In dünnen Blättchen durchsichtig. Glasglanz. Nach Hermann ist die chemische Zusammensetzung folgende: سم‎ ٢ 8308016811 1 2 5 2 gei H d 3 2^ 54-1 6. *13 6 98 cai 8 17 4 95 1 10 21 6 2%: 1 12 25 10 2/9 4. 1 14 29 14 2! ae 1 Pour démontrer le procédé que nous venons d'in- diquer, reprenons, pour fixer les idées, l'exemple nu- mérique précédent, et reproduisons les deux colonnes ې des Sciences de Saint-Pétersbourg. 101 Premier cas: p ے‎ 4۷ + 1*. Pour faciliter l'exposé du procédé que nous pro- posons pour résoudre la congruence (mod. 4N + 1),‏ 0 = 1چ و2۳ nous commencerons par l'appliquer à un exemple nu- mérique. Supposons que l'on ait p = 4N + 1 = 33, et par conséquent 7 = 2N = 16. Écrivons dans la colonne ci-dessous A les 16 nombres 1,2, 3.....16 dans leur ordre naturel, et dans la colonne en regard B les mêmes nombres dans l'ordre suivant: d'abord, en commencant par en haut, les nombres pairs consé- cutifs 16, 14,19۰... 6,4, 2, et puis, à leur suite, les nombres impairs 1,3,5....11,13,15. De cette ma- niére nous formerons les deux aggrégats suivants: وه ه دي ده و و ی 4 1 1 16* 2 14 3. 12 4 10 5 8 6 6 1 4 8 2 9 17 10 3 11 5 FD > ii 13 9*. ET 178 15 13* 16 15* Cela posé, effacons ou marquons d'un astérisque le nombre 1 de la colonne B, et voyons à quel nombre ce 1* correspond dans 4; nous trouvons 9 en regard | de 1*; revenons à l'aggrégat B, et marquons y d'un astérisque ce nombre 9*; cherchons dans B le nombre 13 qui correspond à 9*, et marquons le d'un asté- risque; de méme, comme c'est le nombre 15 de la| colonne À que l’on trouve vis-à-vis de 13*, on cherche 15 dans B, et on le marque d'un astérisque. Enfin, *) Dans une note intitulée: Sur un problème de position relatif à la théorie des nombres (Mél. math. et astr. T. II, 1859) j'ai déjà eu l'occasion de considérer ce premier cas, que je traite ici d'une ma- niàre plus compléte. -ا 104 élément du M 2 qui correspond au nombre 16 du X 1 on cherchera 16 dans l'aggrégat primitif, et on trou- vera que l'élément qui lui correspond dans le V 1 est 15; ce nombre 15 sera précisément l'élément qui doit occuper la première place dans la colonne X 2. Pour avoir l'élément de second rang dans le M 2, c’est le nombre 14 du X 1 qu'il faudra chercher dans l'aggré- gat primitif; or, comme c'est 11 qui, dans la colonne X 1, correspond à 14, on écrira le nombre 11 en se- conde ligne, dans.le X 2; il en sera de méme pour tous les autres éléments. Le méme mode de dérivation servira à former les aggrégats ultérieurs- M 3, X 4 ete., en observant que grégat M 3, les colonnes MM 2 et 3 — isses X 4, et ainsi de suite. De cette manière on obtien- dra le tableau suivant: Aggr.prim. M1. 2. N 3. Je 4. N 5. 1 16 15 13 3 1 2 14 11 5 8 2 3 12 7 4 10 3 4 10 3 12 7 4 z 5 8 EN 14 11 5 6 6 6 6 V 6 7 4 10 3 12 7 8 2 14 11 5 8 9 1 16 15 13 9 (4) 10 3 12 7 E 10 11 5 8 2 14 11 12 7 4 10 3 12 13 9 1 16 15 13 14 11 5 8 2 14 15 13 9 1 16 15 16 15 13 9 1 16 Le dernier aggrégat M 5 est, comme on le voit, identiquement le méme que l'aggrégat primitif; c'est ce qui arrivera toujours pour la colonne portant le X وش‎ le nombre pn, désignant, comme plus haut, l'ex- posant minimum de 2 satisfaisant à la congruence (3). Si l'on continue le tableau, les colonnes MM: 1, 2, 3, 4 et 5 se reproduiront indéfiniment, et la solution générale de l'équation (1), pour p — AN =+ 1, sera donnée par les formules 17 3 E= AN A1? = pK, K représentant un entier positif quelconque. Quant Bulletin de l’Académie Impériale 103 Aggr. prim. X 1. Aggr.prim M1. 1 16 9 1 2 14 10 3 3 12 11 3 4 10 12 7 5 8 13 SET D 6 14 11 7 4 15 13 8 2 16 15 en affectant la premiére de la désignation d'aggrégat primitif et la seconde du V 1. Formons un troisieme aggrégat avec les mêmes nombres 1, 2, 3.... 16 de sorte que leur mode de dérivation des nombres suc- cessifs de l'aggrégat NM 1 soit identiquement le méme que le mode employé déjà pour passer des éléments de l'aggrégat primiti à ceux de la colonne X 1. Cette transformation s'opére avec une éxtréme simplicité. En effet, puisque le premier élément 1 de l'aggrégat primitif occupe la 9"* place dans la colonne X 1, il faudra que le premier élément 16 du X 1 occupe éga- lement la 9"* place dans la nouvelle colonne, que nous désignerons par le Y 2. De méme, le second élément | 2 de l'aggrégat primitif occupant la 8"* place dans le X 1, il faudra placer le second élément 14 du 16 1 à| la 8۳ place dans la colonne X 2. On agira de la méme maniére pour tous les autres éléments, et l'on formera ainsi la colonne 2 que nous produisons ici en regard des deux premiéres: Aggr. prim. X 1. Je 2. 1 16 15 2 14 11 3 12 7 E 10 3 5 8 9 6 -6 6 Y E 10 8 2 14 9 1 16 10 3 12 11 5 8 12 7 1 13 9 1 14 11 5 15 13 9 16 15 13. Cette facon de procéder revient évidemment à l'o- | pération très-simple que voici: pour avoir le premier 106 Ym —, S0it pair. Comme d’après le mode de permuta- tion qu'indique le tableau (5), les places de rang pair, en passant de l'aggrégat V (m — 1) au suivant NM m, doivent se trouver dans la moitié supérieure de la nou- velle colonne, et ceux de rang impair dans sa moitié inférieure, et que, de plus, y,, _ , est supposé pair, on aura l'équation qu'on établit de suite en ayant égard à la relation qui lie les positions des éléments de la colonne X 1 aux positions des éléments de rang pair dans l'aggré- gat primitif. En effet, l'on a ۱ Places de rang pair dans l'aggrég. prim. Nouvelles places dans l'aggrég. X 1. des Sciences de Saint- Petersbourg. 2 N بارس‎ 1 3 6 Ns =N+1-3 2n N — (n — 1) —N-1—7 2N N-N—-)=N+1—®. Pour yj, — impair, le tableau (9) donne | Places de rang impair Nouvelles places dans l'aggrég. prim. dans l'aggrég. N 1. 1 ANA) لل ې 1ه اړ‎ 3 N+2 شب 1 بر‎ 5 N+3 —=N-+1+° 2n--1 N+ +1) N41 2N—1 N+-N ې ارس‎ 14-27. Donc, pour %,, _, pair, on aura UO uw cM وني‎ MS (1) Pour comprendre les deux cas de y,, _ , pair et im- pair dans une seule formule, nous remplacerons les Lx Ym—ızı „= N--1-4-7*— 105 au signe = qui entre dans la valeur de Æ, il est vi- sible qu'en supposant 24 — (— 1) E, T AN+1 °? il sera généralement déterminé par la formule Mo — (— Dk E- 4AN--1 ° Étendons maintenant ces considérations au cas oü le nombre des éléments de l'aggrégat primitif est gé- néralement égal à 2N en exprimant, analytiquement, toutes les opérations que nous venons d'indiquer. Soient Aggrég. prim. X 1. 1 27 : 2 22۷ میت‎ 9 3 2N—A N—9 6 N—1 4 N 2 (9) ته اړ‎ 1 AN چو‎ 2 3 ۸۷ 3ب‎ 5 2N—1 2N— 3 2N 2N— 1 les deux premiers aggrégats consécutifs. Cela posé, observons que puisque les 2N éléments d’une colonne d'un ordre quelconque m dérivent des éléments de la colonne (m — 1) qui la précède immédiatement tou- jours suivant la méme loi, nous pouvons prendre, pour former l'équation qui doit déterminer la position d'un élément quelconque, l'aggrégat primitif pour la colonne X (m — 1) et le X 1 pour la colonne À m. Conformément à cela cherchons la relation qui existe entre les positions respectives d'un élément ou numéro quelconque ور‎ pris dans l'aggrégat primitif, en consi- dérant ces nouvelles positions dans les deux aggrégats consécntifs obtenus aprés (m — 1) et m transforma- tions. Représentons par y,, — le rang, compté de haut en bas, occupé par le numéro de rang y, dans l'aggré- gat de l'ordre (m— 1) et par y,, dans celui de l'ordre deux équations (6) et (7) par l'équation unique m qui le suit immédiatement. Supposons d'abord que 108 107 Bulletin de l'Académie Impériale Sa 9M, — (— 1) À 1-7-2 cou —1)— y e e غو‎ eeh Jo ۱ " ١ 2 J ماو‎ —1 E و‎ gm3 EE DEER EAS‏ سو يهر مه ول ۷ ولا 2 وا Or, puisque la différence 2y, — 1 peut prendre‏ toutes les valeurs impaires‏ AN UN, parmi lesquelles il y en a plusieurs qui sont premieres à 4N + 1, comme 1 et 4N — 1 par exemple, il faudra nécessairement que 27° — (— D^ soit divisible par AN ې‎ 1. C'est ainsi, qu'ayant pris pour point de dé- part dans notre procédé mécanique la valeur y, — 1, nous sommes assurés que tous les éléments de ve grégat primitif reprendront leurs anciennes places après y, transformations. De plus, la seconde des équations (11) conduit immédiatement à la régle que nous avons donnée pour déterminer le signe de Mee duis la congruence ` ` 9۳0 — (— 1)*ez 0 (mod. 4N + 1). Il peut arriver qu'un élément, différent de celui qui occupe la premiere place dans l'aggrégat primitif, re- vienne à son ancien rang avant p transformations. Cela s'explique tout naturellement en observant que quand le nombre AN ب‎ 1 est composé, il y aura né- cessairement dans la série des valeurs de 2y, — 1, un ou plusieurs nombres qui diviseront AN +- 1, de sorte que le numérateur 2۳0 — (— 1)» de la première des formules (11) se trouvera rem- placé par un autre de la même forme — ` 5 سوت وه mais dans lequel on aura p, < p,- Le tableau (4) nous offre un exemple de cette circonstance: on y ` voit l'élément 6 se reproduire à la méme place dans toutes le colonnes. Pour 22 éléments, et par consé- quent pour le module 2.22 ې‎ 1 = 45 = 3°.5, on trouve p, = 12, (— 1) = 1, et l'on obtient le ta- bleau suivant: qui se réduit de suite à la suivante: Au, = 217 8 — (— D? n— y, a H Si l'on donne d'abord à cette équation la forme N 1 Ue —(— 1)*n—.3 )2 سم‎ 1), = 1 — ل2 et qu'on pose, pour simplifier, : 9g — TE (8) on aura p, n HL (e Dr gau e De là on tire nn eben Diet ۰ سي‎ nn en ب اچ پو‎ Substituant successivement à la place de 2m ن‎ Zo وس‎ Vd» 2, leurs valeurs, on trouve T. +1 1 1 fal Jess [13 ha Een سل و‎ ict اڅ ته‎ P و4‎ Z» (9) la succession des signes + et — dépendant de " pls et dela non parité des nombres ولا ولا بو‎ ۰۰۰۰ Ym_ et la série comprise entre les parenthéses carrées, Gd tenant, sans exception, toutes les puissances de D de- puis la première jusqu’à la (m — 1". Quant à l'exposant 3 de — 1, il est visible qu'on a (10) Pour exprimer que l'élément de rang y,, apparte- nant à l'aggrégat primitif, est ramené à son ancienne place, il faudra faire y,, = y,, et par conséquent, en vertu de l'équation (8), A= m + Yo + V. + Ma ادا یو‎ BS WES. Soit m = p, le nombre minimum de transformations qui ramènent l'élément de rang y, à sa place primi- tive, et à, la valeur correspondante de X. Les équa- quations (9) et (10) deviendront 7, 10, 4, 16, 9, 6, 12, 1 forment douze périodes cir- culaires. De plus, comme chaque élément doit revenir à sa place primitive aprés p, transformations, il est évi- dent que le nombre des éléments qui entrent dans chaque période doit être un diviseur de p,; c'est en effet ce qui arrive dans notre exemple, pour lequel les nombres 1, 2,3, 4 d'éléments des quatre premières périodes sont diviseurs de y, = 12. J'observerai en- core que, généralement, l'existence de ces périodes met à découvert les facteurs simples ou composés du module de la congruence (3). Ainsi, la répétition 7 élément indique le diviseur 3 du module; une période de deux éléments correspond au diviseur 5 du méme module; une période de trois éléments lui assigne un diviseur égal à 7 ou à 9 etc. Sans m'arréter à ces propositions trés-simples, je passe actuellement au | second cas, celui où il s’agit de trouver la solution minimum y. = y, de la congruence 2۳ = 1 0 (mod. 4N + 3); | lorsque مش‎ et le signe de l'unité seront déterminés, la solution générale de l'équation (1), pour p = 4N + 3, sera donnée par les formules peak, E= K étant un entier positif متس‎ 7 A, ayant la même signification que dans le premier cas. Aprés l'exposé détaillé que nous venons de pré- * senter pour le cas d'un module p de la forme 4N 4-1, nous pouvons traiter le cas de p — AN 4-3 plus briè- vement, parce que les raisonnements qui s'y rappor- tent sont tout - ۵ - fait les mémes que ceux qui nous ont servi tout -à-l'heure. Comme plus haut, chacun des aggrégats que nous allons considérer se composera de P éléments; mais ce nombre, qui était pair dans le premier cas, sera impair dans le cas actuel, et égal à 2N-+1. Eu égard à cette différence, l'ordre dans Jequel on devra écrire les nombres pairs et impairs dans le second aggrégat, is 2 | se trouvera renversé. Sauf cette légère modification, toutes les autres opérations ne subiront aucun chan- gement. Supposons, par exemple, qu'il s'agisse de trouver la solution minimum y. = p}, de la congruence 2۳ 4-1 = 0 (mod. 27). des Scienees de Saint- Pétersbourg. 109 Epl MOT SR u X M S بي د په‎ m يي چو یي ص‎ s» ww يش سم‎ s 1 ي1 )0 7 19 19 و وو‎ 8g 12 1 396 11 HIT 17511 2320 N 41 2 3 18 13 18 13 31813 3 18 13 3 436 9 6 12 1 29 91 19 15 7 10 4 5 44 514 514 5 4.5 14 5 14 5 ۶۲ ۱۲ 15931 18 15 7 10. 4 6 7 10 4 16 E i :1 28-24 0349 15 7 B M 8-8 |. 8 و‎ 8 8 8 ۲ 415 149 91 19 15.7 10 416 9 I9 —6 19 T 92:21 19 15. T 10 "1i 999 17 1 . 2 20 11 11 8 20 FF 1 19 "1 9۵ 91.19 15.27 10. 4 16. 9. 6 19 13 3 48 13 3 18 13 3 18 18 3 18 8 14 514 514 514 514 5 14 514 15 7 10. 4:16::9:260:18.51/,22:21- 19:35 16..9. 6.13. 4-032 21:19. 15. 43:10... 4:16 17 41.2.99. AEE At د‎ 767 18 13 3 18.13. 3.18 43 . 2. 18 123.318 19 وو‎ £F ۱0 Zu 9 65 12 . 22 21 19 20 17 44 2 20 17 11 2 20 17 11 2 20 F AO 1/10/-A EB 0 6 12-1 00 21 99 61-19 45: 7 10. 4 16 9 6 12 1 22 L'inspection de ce tableau fait voir 1*. Que l'élément 8 conserve sa place dans chaque aggrégat. 2^. Que les deux périodes circulaires 14, 5 et 5,14, composées chacune de deux éléments, se répètent, et | correspondent respectivement aux places du 5/"* et du 14^" rang. 3*. Que les trois périodes circulaires, chacune de trois éléments | | | 3*"* rang .18 13 SE 3 18 13. 5 13 rang 13 3 bas 18*" rang se répètent. 4°. Que les quatre — circulaires 20 17 11 7 مر‎ "ee rang 21 | 17 IP o 11^" rang 11 2 20 ER 17. rang 17 11 2 EU... eg 20° rang composées chacune de quatre éléments, se répètent également. Enfin 5^. Qne les douze EEEE restants 22; 21,19,15, se réduit au nombre pair 6, on en conclut que c'est le signe + qu'il faut Siten, en conséquence de quoi l’on a la congruence 2° + 1 = 518 = 27.19 = 0 (mod. 27). On trouvera de la méme maniére pour quelques autres diviseurs de la forme AN + 3 les résultats suivants: 2N--1 4N--8 Ko 2H 1 3 7 3 9* — ] 5 11 0 SC ١ | 7 19 4 95 —] 9 19 9 9 WI 11 23 11 o"l 31 5 2° —1 Le procédé que nous venons de donner pour un module p de la forme 4N + 3 se démontre tout-à-fait de la méme manière que pour p — 4N + 1. En effet, considérons, dans leur ensemble, l'aggrégat primitif à 2N + 1 éléments, et l’aggrégat M 1 que nous dé- duisons du premier duis le mode de par aun in- ` diqué tout-à-l'heure; nous aurons Aggr. prim. N 1. 2N+1 2 2N—1 3 2N —3 N 3 N--1 1 N+2 2 N+3 4 2N 2N— 2 2N +1 IN ` Pour former l’équation aux différences qui déter- mine la position d’un élément donné dans une colonne quelconque, nous pouvons, comme dans le premier cas, prendre l’aggrégat primitif pour la colonne X (m—1), [et l'aggrégat X 1 pour la colonne X m. Soit yp, le rang, compté de haut en bas, de la place occupée dans l'aggrégat V (m — 1) par l'élément dont le rang dans l'aggrégat primitif était y,; y,, désignera le rang de ce méme élément dans l'aggrégat X m. Cela posé, on aura pour پر‎ _, pair, l'égalité Bulletin de l’Académie Impériale Nous commencerons paré ۷ dans la premiére co- E ci- dessous A les نڅ‎ 27-2 1 — 13 nombres ,2,3,... 13 dans leur dre naturel, et dans la بژ‎ éolónná B les mémes nombres dans l'ordre suivant: nous écrirons d'abord, en commengant par en haut, les nombres impairs 13, 11, 9, 7, 5, 3, 1, et puis, à leur suite, les nombres pairs 2, 4, 6, 8, 10, 12; nous aurons de cette manière A B 1 13* 2 11 3 9* 4 ٠ 5 5 6 9* 7 I 8 2 9 4* 10 6* È 11 8 12 10* 13 12* Cela posé, on efface ou on marque d'un astérisque le nombre 1* de la colonne B, puis le nombre 7*, indiqué par l'aggrégat A, le nombre 4* indiqué par la méme colonne A, et ainsi de suite, jusqu'à ce que l'on soit parvenu au nombre 13* qui occupe la pre- mière place dans l'aggrégat B, et qui se trouve en regard de l'élément 1 par lequel on a commencé. Le nombre 9 d'éléments marqués d'un astérisque dans la colonne B sera précisément la valeur cherchée p, du minimum de p. | Quant au signe qui doit affecter l'unité dans la con- gruence que l'on considére, on le trouvera par la régle suivante: à la somme des indications des rangs occupés par les nombres marqués d'astérisques, on ajoute 1; suivant que la somme ainsi obtenue est paire ou impaire, on devra prendre le signe + ou le signe —. Ou, plus simplement: on comptera, com- bien, sur la totalité des nombres à additionner, il s'en trouve d’impairs ; suivant que le nombre de ces derniers est pair ou impair, le signe cherché sera + ou —. Comme dans notre exemple la totalité des nombres impairs à additionner, nommément 1,3, 7,9, 18. SE 111 Les 9S9. 1 "Hu. "DD "97m و‎ RC رد‎ e ZS ot اا‎ ET + (— 1) TT S et t. % 1 dim y 2-26 nop. را‎ L'élimination des quantités پر‎ ,, Zu و‎ 2, con- duit à l'équation LANA riori 1 e A e ده‎ ta tac + am |+(-1) Bin دوت‎ ou bien à celle-ci m ۳2 ۸ Mini ge Lomme „2:1, (14) dans lesquelles la succession des signes est subordon- née à la parité et à la non parité des nombres y,, y,, y, quant à l'exposant À de — 1, il est donné‏ نم لا.. par la formule‏ ۸ 4,279,779, ts M atm Pour que l'élément de rang y, dans l'aggrégat pri- mitif soit ramené à son ancienne place aprés m trans- formations, il faudra faire y „=Y, et par suite 2, = ,ھم‎ 2y,— 1. En outre, si l'on représente par m = p, le nombre minimum de transformations nécessaires pour ramener l'élément de rang y, à sa place primi- tive, et par A, la valeur correspondante de A, les équations (14) et (15) deviendront ۸)) : e BE + و‎ + 1 ( (16) go gg As سل + ...+ ولا لا ولا‎ La première de ces équations étant, au module prés, exactement la méme que la première des for- ' | mules (11), on en conclut que fous les éléments se- ront ramenés pour la première fois à leurs places primitives, si l'on attribue à l'exposant la valeur mi- nimum y., qui rend 2** — (— 1)» divisible par 4N-4- 3. De cette manière on est assuré qu'en prenant y= 1, et par conséquent 25, — 1 — 1, le premier élément, et par suite tous les autres, reprendront après D, transformations leurs anciennes places, et, par con- séquent, reproduiront identiquement l'aggrégat pri- mitif, comme il s'agissait de le faire voir. Quant à la seconde équation (16), elle exprime la Zë énoncée des Sciences de Saint- Pétersbourg. x nm = "PTT TT (12) qu'on vérifie immédiatement en ayant égard au mode admis de dérivation, d'aprés lequel on a Yn = N--1-- Places de rang pair dans l'aggrég. prim. Nouvelles places dans l'aggrég. V 1. 2.179 2 N +2 کر‎ Li à 4 N+3 —N+1+3 6 N--4 که 1 سه ارس‎ . 2n 7 ې 1 ې ۷رت ((1 ېم ې‎ 27 2N + 1 =N+1+ 7 Pour Um — | impair on trouve de suite l'équation ym —1—1‏ تب Nr lan... (13)‏ en observant que l’on a Places de rang impair Nouvelles places s l'aggrég. prim. dans l'aggrég. M 1. d مس =N+1—‏ 1 ې 2۷ 1 3 N =N , 5 N—1 =N+1— y د صا وے Nn 1) SN‏ 1 —N--1 2n + 1 2N--1—1 2N--1 : Il est facile de voir que les deux équations (12) et (13) peuvent étre remplacées par l'équation unique À 1—(—1)7m—1 ya Nb C uch 2 ١ ١١‏ چو دا En mettant cette formule d'abord sous la forme ad 1 gw. Le INED (T pm: (27, — 1), et faisant EC? 2y4, — LES Ban? on obtient l AN 4-8 Puit a ) AC T e teg 1) ‘Sm: De lè on tire Tome XI. Or, il est facile de voir que ce nombre 143 pourra étre considéré lui-méme, aussi bien que le précédent 1— 106 = ,کے = 142857 comme égal à la période du rapport + réduit en frac- tion décimale alternée, ayant pour période le nombre 143 pris, tour à tour, avec le signe positif et le signe négatif, de sorte que س 1 neg 1143 143 148 ۰ : ce que l'on vérifie directement. ۱ Et en général, on peut affirmer que, dans le cas oü l'équation (EE, p 0 est possible, E, représentera le nombre de la période de 2 réduit en une fraction décimale, à périodes alter- nativement positives et négatives. La réduction de e en une telle fraction périodique est très-simple: pour cela, en effectuant l'opération ordinaire, il n'y aura qu'à s'arréter quand on sera parvenu à un reste égal à p — 1, et à augmenter d'une unité le dernier chiffre du quotient. On obtiendra ainsi pour le module 7 7 | 1000 0,142 سب 1 30 0,143 28 20 14 .6—7—1 ` Parvenus à ce reste 6 — 7 — 1, nous augmentons d'une unité le dernier chiffre 2 du quotient, et nous obtenons ainsi la période 143. Pour ce qui concerne la solution générale de l'é- 10" ې‎ 1 —-=E, elle sera la méme que dans le cas précédent, à la seule différence prés que l'entier K n'aura que des valeurs positives impaires. On arrivera à des résultats tout-à-fait analogues |en faisant usage du systéme dyadique. Supposons, par exemple, qu'il s'agisse de trouver la puissance . minimum 27 qui soit congrue à l'unité suivant le mo- dule 9. Pour résoudre l'équation indéterminée Bulletin de l’Académie 6 115 plus haut pour déterminer le signe de l'unité dans la congruence | 2o — (— 1)*°—0 (mod. 4N + 3). Telle est la solution de la question que nous nous sommes proposée de résoudre au commencement de cet article. On a pu remarquer sa liaison avec cer- taines considérations tirées de 6 dyadique, et, principalement, avec les fractions périodiques bi- quation naires qui, dans ce systeme, jouent le méme róle que les fractions décimales dans le nótre. On ne trouvera peut-étre pas superflus quelques éclaircissements que nous allons présenter à ce sujet. ات‎ Supposons qu'en prenant pour base le nombre 10, on se propose de trouver la solution minimum de l'é- quation indéterminée | 10": = 1 + pE» ou, en d'autres termes, que l'on cherche la puissance minimum 10"* qui soit congrue à l'unité positive sui- vant un certain module p, premier à 2 et à 5. Soit, par exemple, p — 7. ‚Pour trouver cet exposant mM, réduisons E en fraction décimale; nous aurons 142857 تسه سپس ده 1 وھ = ...142857 0,142857 —1. ESCH 10-1 — 142857. Cette égálité fait voir que E, est égal à 142857, nommément à la période de la fraction décimale qui exprime 7i et exposant minimum m = 6 au nombre des chiffres de cette période. Quant à la valeur générale de cet exposant que nous représenterons par m, elle sera donnée par le produit m = m K= 6K, K étant un entier positif quel- conque. On obtiendra la valeur correspondante de E en prenant pour ce nombre la période E, écrite K fois de suite. Ainsi, par exemple, pour K — 2, on aura 102-1 — 142857142857. Observons maintenant que puisque 6 est l'exposant minimum cherché, et que 7 est un nombre premier, il faudra nécessairement que le second facteur de la différence | 105— 1 = (10* — 1) (10* 4- 1), c'est-à-dire 10? + 1, soit divisible par 7; et en effet 1092-1 = = 143. — 1 correspond à la valeur w, =, la proposition 1 s'agit d'établir sera une conséquence immédiate des équations (11) pour le cas de p — 4N +1, et des équations (16) pour celui de p = 4N + 3. En effet, comme la valeur de à,, pour p = 4N + 1, se réduit à Y, eI aeg + دي سوا یک‎ pin | FE et que nous ne cherchons cette valeur que pour con- stater sa parité ou sa non parité, le premier terme —] . EP = 2N, comme pair, pourra être écarté. Pour ce qui concerne la série des p, =? = nombres Jo: UP UM quA سه‎ Yie , Eat: tous différents entr'eux, et dont le plus grand est égal à £L elle contiendra, dans un certain ordre, les P—1 nombres Le 9, حور يسه‎ on aura donc M= Y وړچ د سوا سوا‎ DT —1--2--3-r-..... یھ‎ aat- اس‎ Pour p — 4N + 3, et lorsque p, = fl la seconde des équations (16) conduit directement au méme ré- sultat (17). ۱ Considérons maintenant le cas où p, est différent de P: Nous allons montrer que, dans cette hypo- thèse, یډ‎ sera égal à un diviseur de b de sorte que yd ,شلاح‎ b En effet, en se reportant aux formules (14) et (16), on observera d'abord qu'aucun des LI éléments de l'aggrégat primitif ne peut reprendre son ancienne place avant l'élément du premier rang, c'est-à-dire avant p, transformations; cela résulte de ce que les premiers membres À »^—(- Dhu et — . رو (1--) س و9۳ —( — ,24 ۶ owes N) des formules citées, qui ont des nombres premiers pour dénominateurs, ne peuvent, par cela méme, avoir des valeur& entiéres pour des exposants de 2 infé- rieurs à p, Cela posé, figurons-nous les d. groupes, 8* ou bien p, = des Sciences de Saint 1 ۰ 117 1 — و91 re E, nous réduirons š nous obtiendrons 1 1 TTA TOREK EI د‎ = qp = 0,000111 000111 Done, m = 6, E, = la période 000111, qui équi- vaut à 7 dans le systeme décimal; en effet l'on a en fraction binaire périodique, et 26—1 T‏ سب شت Si, en convertissant $ en fraction binaire périodique, on s’arrête au reste égal au module diminué de l’unité, c’est-à-dire 1001 — 1 = 1000, et qu'on augmente d’une unité le dernier chiffre du quotient, on obtient | 001 pour période, comme on le voit ci-dessous 1000 -| 1001 0,000 1 ۱ ۱ 0,001. . On aura done de cette manière la fraction périodique binaire alternée — + پا په D — en en‏ 1 1 pg — 0,001 001 001 001 nr‏ = 5 De plus, puisque la nouvelle période 001 est compo- sée de trois chiffres, nous aurons : 93 + 1 سم‎ = 001= i. Dans un Mémoire intitulé: Nouveaux théorèmes re- | latifs à la distinction des nombres premiers ct à la dé- composition des entiers en facteurs, 1839 *), j'ai mon- tré quelques applications du système dyadique à des questions du genre de celles qui se trouvent traitées dans cet article. : Revenons maintenant aux résultats obtenus plus Haut pour en tirer quelques conséquences. Commen- cons par déduire la relation connue —1 p =1 =(—]) S ka? p étant un nombre premier quelconque. Et d’abord observons que si la solution minimum de la congruence | 1 9۳۰ — (— 1)*™ (mod. p) $ (mod. p),...(17) *) Mémoires de l'Académie Impériale des Sciences de St.-Péters- bourg; ۷۲۲۳۶ Série; Sciences math. et phys., tome second, 1840. : 120 ولا‎ 7t 9,7 94 لد لر‎ 0% = À, LA r / ` a ee =» (d — 1) denn (dt چو و‎ sont toutes simultanément paires ou impaires. En outre, si l'on écrit les d congruences Dell 9۳۰ — (— 1)^ 2۳۰ = (— p^ (mod. p) Ds i e E ver qui correspondent aux d groupes, et qu’on les mul- tiplie entr’elles, on aura, en observant que pd مس‎ p—1 و‎ 3 z& (— 1) Xy... AM mb (mod. p). Enfin, puisque + +) +... اې‎ "CH — Lt ECH EE a BE کات‎ on obtient, poür un nombre premier p quelconque, la relation (17) que nous avions en vue de démontrer. Pour mettre en évidence la formation des groupes dont il vient d'étre question, présentons un exemple numérique. Soit p — 31, et par suite P £15 le nombre des éléments; nous aurons Aggrég. prim. Bulletin de l'Académie Impériale entre lesquels se répartissent les له‎ 0 éléments; cha- cun de ces groupes sera composé de p, éléments qui, dans le passage de l'aggrégat primitif à l'aggré- gat X 1, rempliront toutes les P places de ce der- nier; on aura done, EEN à ce que nous ve- nons d'avancer, ?—- = yd. Pour fixer les idées, for- mons le tableau suivant: Rangs occupés par les Groupes. éléments des groupes. Valeurs de ۰ 1 Vos Hun Man ees Yy ۱ A 2 yis Ves Vis t vio A 3 oo Mas lias cres Mei, i A 3 (d — 1) $ (d —1) (d — 1) (d—1) (d—nD 0 PTUS nes Ip 0 D'aprés ce qui vient d'étre dit on aura, pour un groupe quelconque n, la رت‎ l — UI " (mod. D), (18) AT étant déterminé [formule (11)] par l'équation p—1 2 Pa 2 $us le cas de p — 4N + 1, et b per la suivante [for- mule (16)] AU uy ma Ae ek سو‎ (19) quand p = 4N = 3. D'ailleurs, comme nous n'avons besoin de la valeur de X,” qu'en tant qu'elle est paire ou impaire, on pourra faire abstraction du terme pair fle: 2 N, relatif à la valeur p= 4N +1, et ne tenir compte, pour les deux cas, que de la formule (19). La بد وب‎ (18) fait voir d'abord que la distri- bution des Zz 1 nombres p—1 Loos , en groupes partiels yo ولا‎ ditor ,ېلا‎ ول او‎ Bela AAT و‎ ym, yd ^ SH is est telle, que les sommes Nos formules conduisent tout naturellement à une démonstration très-simple de deux théorèmes élégants sur ]a racine primitive 2, donnés par M. Tchébychef .| dans sa Theorie des congruences *). Voici ces deux théo- rémes: ter Théorème. Si les nombres 4n + 1 et Sn + 3 sont tous deux premiers, 2 sera une racine primitive de On + 3.. i 2ème Théorème. Si les nombres n et 4n + 1 sont tous deux premiers, 2 sera une racine primitive de 4n + 1. Pour démontrer le premier théorème supposons que l'on cherche la valeur minimum p, pour le mo- dule premier p = 8» + 3, et par conséquent pour un nombre d'éléments égal à À SZ ے‎ dät LL La pre- ER mière des formules (16) donnera Pe- Dh oy — 1) CNE gh ae 2 +1. Or, comme 9۳0 — (— 1۳۳ doit nécessairement être divisible par le nombre premier p = 8n + 3, et que, d'un autre côté, l'exposant p, sera un diviseur de p —1 = 2 (4n + 1), cet exposant ne pourra être égal qu'à 1, ou à 2 ou à 4n + 1, vu que ce dernier nombre est premier par hypothèse. Quant à la supposition p, = 2 (4n + 1), elle est inadmissible, parce que p, ne peut pas surpasser le nombre 4n سه‎ 1 des éléments de l'aggrégat. On aura donc ee BE, ou کک کے ,وء‎ Us | (mod. 8»- 3). ou gnt (— 1۳۰ Les deux premières congruences devront être écar- tées; en effet, la première qui donne 30 (mod. 8n+3) ne convient qu'au cas particulier n = 0, p= 3. Quant à la seconde 274 1 = 5 = 0 (mod. 8n + 3), elle est impossible. Nous rejetons l'autre forme 2°— 1 = 3 de cette congruence, parce qu'elle est incompatible avec la condition que l'exposant y, = 2 soit un minimum. Il est visible, en général, que lorsque le module p est premier, la valeur minimum p, ne sera jamais égale à un nombre pair, 2» par exemple, pour une con- gruence de la forme 2? — 1] = 0 (mod. p); *) Teopia cpasneniü, 1849; pages 204 et 205. des Sciences de Saint - Pétersbourg. En cherchant, par notre procédé, la valeur mini- mum p, et la valeur correspondante de à , on trouve p, = 5, و‎ = au nombre pair 50; par conséquent 2* — 1 (mod. 31). Or, comme? — = 15 et p = 5, on aura dem ce 8: il y aura donc, dans le cas actuel, trois groupes, dont chacun contiendra cinq éléments. Dans le tableau ci- dessus, ces groupes, dont les éléments sont respecti- vement marqués de un, de deux et de trois asté- risques, sont les suivants: 1% groupe: te LES: en a 19 2" groupe. ..... 3:579, که د‎ A A 3۳۳ progpe. 2:77 p ns UST NE Pour ce qui concerne la valeur du symbole (i); on trouve 812 it 2 SEN Nous avons déjà remarqué plus haut que les quan- tités A, A A, .... sont toutes simultanément paires ou impaires; il suit de là que la congruence 2۳۰ — +. 1 (mod p) entraine la suivante p—1 932 E کے‎ + 1 Quant à la congruence 99» — — 1 (mod. p), elle donne ۱ هس‎ apri UE d iess وا یا‎ Dec La considération de la valeur minimum p, Satis- faisant à la congruence o 2۳۰ — (— 1)^ (mod. p), p étant un nombre premier, fournit un critérium cer- tain pour décider, si 2 est ou n'est pas une racine primitive de p. En effet, il est visible que 2 sera une racine primitive de p, si p, est égal à ?T et si, de plus, la congruence —1 و‎ ۶ + 1 0 (mod. p), avec l'unité positive, est satisfaite. . Quand ces deux conditions ne sont pas remplies à la fois, on est as- suré que 2 n'est pas une racine primitive de p. 124 ' En se fondant sur ces deux théorémes, et en pre- nant en considération la valeur minimum (u, , on arrive à un moyen simple, au point de vue théorique, pour décider, en certains cas, si un nombre donné est pre- mier ou composé. Il suffira d'énoncer les deux pro- positions suivantes qui, après ce qui a été dit plus haut, n'exigeront aucune autre explication. Le fer Théoréme de M. Tchébychef donne lieu à la con- clusion que voici. Le nombre An + 1 étant premier, 8n + 3 sera pre- mier ow composé suivant que dans la congruence 9۳۰ ے‎ (— 1)^ (mod. 8» + 3) lexposamt minimim p, déterminé pour le nombre An + 1 d'éléments, aura une valeur égale ou différente de £n + 1. Quant à la condition du signe de l'unité, elle sera évidemment remplie dans le cas de p, = 4n + 1, car on aura [formule (16)] (۸ 12-2 ...موب‎ (4n3- 1) — (2n a 1) (4n 1), d’où (—1)^——1, et par conséquent OTI 4. 1 — 0 (mod. 8» + 3). Le 24 Théoréme conduit à la conséquence suivante: Le nombre n étant premier, 4n + 1 sera premier ou composé suivant que dans la congruence 2۳۰ — (— 1)^ (mod. 4n + 1) l'exposant minimum w, déterminé pour le nombre 2n d'éléments, aura une valeur égale ou différente ` de 2n. : Pour ce qui concerne le signe de l'unité, J'observa- tion est la même que tout-à-l’heure, et l’on aura 2۳ ې‎ 1 zz 0 (mod. 4n - 1). Nous terminerons ces considérations par la re- marque que le procédé, dont nous avons fait usage pour résoudre l'équation 9۳ 4 Tz E. |p étant un nombre impair quelconque, s'applique avec la méme simplicité à trouver la solution minimum de l'équation plus generale G: 3: b — pE, Bulletin de l'Académie Impériale 123 cela suit de ce que 2"— 1 se décompose en deux facteurs 2 + 1 et 2' — 1 dont l'un doit nécessaire- ment étre SIN par p. Nous aurons done p, = An + le x P=, ر‎ — à un nombre impair, et par suite qi 1 gm-rt سے‎ EEN = — 1 (mod. 8n + 3), ou bien Le (mod. 8n + 3),‏ 1=0+ ? و ce qu’il s'agissait de prouver.‏ Pour établir la seconde proposition, on supposera l'aggrégat composé de 2» éléments, et il s’agira de faire voir que la congruence 9۳۰ — (— 1)^ = 0 (mod. 4n + 1) qui résulte de la premiere des deux formules (11), doit nécessairement se réduire à 92 ې‎ 1 = 0 (mod. 4» + 1). SAR l'exposant p, doit être diviseur de An + 1 — 1 = 4n, et que d'ailleurs il n'est pas supérieur à 2%, il ne pourra être égal qu’à l’un des cinq nombres 1, 2, 4, n, 2n, ` vu que » est premier. On s’assurera comme tout-à- I heure que les nombres 1, 2 et 4 doivent être ex-. clus; il ne restera donc à considérer que les deux derniers n et 2n. Or, je dis que p, ne peut pas être égal.à n, car ni l'une ni l'autre des deux congruences 2" — + 1 (mod. 4n + 1), et par suite celle-ci. | 2?" — +1 (mod. دزئ‎ 1), n'est compatible avec celle qu'on obtient en vertu de l'expression du symbole ( =) qui, dans le cas de n premier et impair comme nous le supposons, se ré- duit à PESCE: J= Donc, la valeur minimum p, sera égale à 2n, et l'on xim om + 1 — 0 (mod. 4n+ 1), (4n 1? —1. 8 ——1(mod.4n+ 1). d'oü l'on conclut que 2 est une racine primitive de An + 1, lorsque n est lui-même un nombre premier. Sr s 10, désignés 19* | 12 CIN E 5*! Le N1. 1 0 8 6 4 2 1 3 5 7 9 avec les éléments primitifs 1, 2, 3 plus haut par la lettre y avec des indices, nous for- merons deux aggrégats analogues avec les valeurs correspondantes de 2, z, étant déterminé au moyen de y,, par l'équation z,, = 2y,, —1 [formules (8) et (8)). Nous obtiendrons ainsi les deux colonnes sui- vantes, dont la premiére se rapporte aux valeurs de . q, et la seconde aux valeurs de r de l'équation (20): 125 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Aggr. prim. © 00 -1 ي‎ PP © D س‎ 10 Valeurs de r. 1 x6 Valeurs de ۰ Cela posé, puisque dans notre exemple la valeur numérique de ۳ est égale à 1, marquons d'un asté- risque le nombre 1* de la Seconde colonne, puis le second nombre 11* qui lni correspond dans le (pre: mier aggrégat, de même le troisième nombre 15%, le quatrième 13*, le cinquième 17۴ et enfin le Mine qui sera 199. En observant que la valeur de q = 17 se trouve parmi celles qui sont marquées d'asté- risques, et que de plus elle correspond au quatrième nombre 13* de la seconde colonne, nous concluons que m — 4; enfin, divisant 17. 2° par 21, on aura 13 pour quotient avec un reste négatif — 1; donc 17.2*—21.18 — -—1. Le signe du reste r pourrait étre généralement dé- duit de la considération de la parité et de la non parité des places occupées par les éléments marqués quand elle est possible, et à constater son impossibi- lité dans le cas contraire. Pour le faire voir, obser- vons d'abord que l'on peut transformer cette équa- tion en une autre, dans laquelle le coéfficient de 2", ainsi que b, seront impairs et inférieurs à p. Pour cela commençons par mettre cette équation sous la forme (a — pk) 2" — p (E — k . 2} 3- k) = = (b — pk), k et k' représentant respectivement les quotients en- tiers de la division de a et de b par p. De cette ma- nière les conditions a — pk < p et b— nk > p se- ront remplies. Aprés cela, il pourrait arriver que l'un, des nombres a — pk, b — p ou tous les deux, soient pairs; supposons donc en général a — pk — 2۳.0 et b — ph = Ar, q et r étant impairs et inférieurs à p. On aura Vo. 9* — p (E—k .9* - His + Hr, ou bien | E 0 8 E—k.2 4% dies q.2 put RAN Gus. 58-4 سح‎ Pour que l'équation proposée soit possible, il faut que E-—k.92"-- E soit divisible par . 2°; admettons done cette divisibilité, et remplaçons l'expression 7 - 1: .2۳-- ocio DUE E, E représentant un entier impair. Aprés ces préparations préliminaires, et en posant m = p + a — Q, nous aurons à résoudre l'équation —pE-— Er... (20)‏ 9۳ ,ې dans laquelle, nous le répétons, 0, p, r sont tous trois impairs, et de plus q > p et r > p. Les exemples numériques qui vont. suivre SCH voir de quelle maniére le procédé, exposé dans la premiere partie de cet article, conduit à la résolution de l'équation (20), quand elle est. possible, et com- ment, dans le cas contraire, il manifeste son impos- sibilité. ` Supposons, en premier lieu, qu'il s'agisse de ré- soudre l'équation indéterminée 17.2" —21E — — 1. Puisque le module p — 21, le nombre des éléments à considérer sera égal à E 10. Actuellement, au lieu de composer les deux aggrégats 128 Le tableau (21) montre immédiatement l'impossi- bilité de l'équation g2"—21E — rv dans laquelle و‎ aurait l'une des valeurs gos adus لال وله‎ et r l'une des suivantes er, 43, D, ,قلاخ‎ 1 Il en est de méme des équations dans lesquelles on aurait, à l'inverse, B6: دل لغ‎ MI وک‎ 394 A: Du reste, l'impossibilité de ces cas est manifeste, car, dans chacun d'eux, on trouverait que r ou q doit étre divisible par un facteur qui lui est étranger. Voyons encore quelle doit étre ‚la condition pour que, l'une des deux équations 11, = 8, ,19 پس ۷ q. 2۳ —pE = +r ۱ u a. ON —pE-— r | (2 © ayant lieu dans l'hypothése de g et. r premiers à p, l'autre soit également possible. En ajoutant ces deux égalités on a | و‎ 2" (2" 7" 1)=0 (mod. p), ou, simplement, 9^ —"í ,. 1 — 0 (mod. p). Or; comme pour le module p — 21 la puissance mini- mum 6 se rapporte à la congruence ; 95 — 1 2 0 (mod. 21), on en conclut que la précédente 9" —Í 4 ] — 0 (mod. 21) est impossible, et que par conséquent les deux équa- tions (22), pour p — 21, sont incompatibles entr'elles. Supposons encore qu'il s’agisse de trouver toutes les valeurs de q et de r pour lesquelles l'équation 6. 2۳ — 1945 — E eias cnni (23) est résoluble. Puisque le module 19 est de la forme AN = 3, et que le nombre des éléments qui s'y rap- porte est égal à و‎ — 9, nous formerons d'abord les deux aggrégats Bulletin de l'Académie Empériale et d'astérisques; mais il est plus expéditif dele chercher en employant pour cela la division, comme nous ve- nons de le faire tout-à-l'heure. ۱ Le méme tableau (21) indique pour r = + 1 les six équations suivantes: 112911 es +1 597911 =— 1 13.99— 21.5 ——1 17. — 21.13 = — 1 19,95 — 21.29 = — 1 1 9 212 =+ 1. Il est de méme visible que chacune de ces valeurs de g, nommément q — 11, 5,13, 17, 19 et 1, est compatible avec chacune des valeurs der = 19, 11, 1,5,13 et 17 prise avec le signe convenable. Par exemple, si l'on avait à résoudre l'équation SS 199" — 21 E — Æ 5, on remplacerait par 5*' l'élément 5? dans la seconde colonne, par 13 l'élément 13" et ainsi de suite, en diminuant de deux unités l'indice de chaque élément marqué d'un astérisque dans: le second aggrégat. De cette manière l'indice 5 de 17%, qui se trouve en regard du nombre 19 de la premiere colonne, se ré- duira à 3; donc 1 — 3, et par suite 19.27 — 21E — -t 5. En divisant 19.2° par 21, on trouve 7 pour quotient et ې‎ 5 pour reste; par conséquent 19.2? 91.7 = --5. - Si l'équation à résoudre eut été 11.2^ — 21 E — -t 5, on aurait dû passer successivement par les éléments unten 1n مل‎ en les remplacant respectivement par 8th سو در و‎ E ad or, comme aprés ces changements d'indices, 1? cor- respondra à la valeur donnée q — 11 dans la premiere colonne, on aura m — 5; et en effet 11.27 — 21.17 — — 5. ou bien 9" —* + 1 — 0 (mod. 19). Or, puisque l'on a 2* + 1 = 0) mod. 19), l'exposant 9 étant un minimum, il viendra m'—4-9, d'où m—13; par conséquent 15.2" — 19E' = +7, ce qui donne E' — 6467. En généralisant ce qui vient d'étre dit, on conclura que l'équation (23) est soluble pour toutes les com- binaisons des neuf valeurs dont و‎ et r sont susceptibles, r pouvant étre pris positivement et négativement. En général, il est facile de voir que si le module p est un nombre premier qui a 2 pour racine primitive, l'équation 1.2" —pE=tr sera toujours résoluble. Tel est le nombre premier 19 dans notre dernier exemple, et c'est pourquoi l'équation (23) est possible dans tous les cas. Au contraire, si p n'est pas premier, ou bien, qu- étant premier, il n'a pas 2 pour racine primitive, l'équation précédente sera nécessairement sujette à quelques exceptions. | Les résultats qui viennent d’être indiqués sont des conséquences immédiates des formules (9) et (14). Die Wirkung des Lichtes und der Dunkelheït auf die Vertheilung der Chlorophyllkórner in den Bláttern von Mnium sp.? von A. Fa- mintzin, Docenten an der Universität zu St. Petersburg. (Lu le 15 novembre 1860.) Dass die Chlorophylikörner an der Plasma -Bewe- gung theilnehmen und in der Zelle herum wandern, ist längst bekannt. Dagegen hat bis jetzt, so viel ich weiss, nur Boehm an den Crassulaceen den Einfluss des Lichtes auf die Vertheilung der Chlorophylikörner beobachtet. Er bemerkte") an den Pflanzen, welche in ein warmes Haus hineingebracht waren, dessen Fenster sich nach Süden öffneten, dass sämmtliche Chlorophylikörner um die Mittagszeit stets an irgend einer Stelle, der Zellenwand anliegend, zu einer Gruppe 1) Boehm, Sitzungsberichte der Wiener Akademie. 1856, S. 22, 511 u. ff. P. 9 des Sciences de Saint-Pétersbourg. LA Aggr. ۰ X 1 1 9 2 d. 3 5 4 3 5 1 6 2 7 4 8 6 9 8 que nous remplacerons ensuite, en vertu de la relation 2m = 294, — 1, par les deux suivants: Valeurs de q. Valeurs de r. 1 و‎ 3 5 7 9 11 13 15 17 Puisque nous avons commencé l'opération par l'élé- ment 1" de la seconde colonne, et que toutes les places de cette colonne sont remplies, nous en con- cluons que l'équation (23) est possible non seulement pour la valeur numérique r — 1, mais aussi pour toutes les autres valeurs tant de r que de g. Ainsi, par exemple, pour résoudre l'équation te 135 113 e € 7, nous commencons l'opération par l'élément 7** de la seconde colonne, et nous le remplagons par TE faudra donc diminuer de írois unités l'indice 7 du ` terme 11* qui correspond à la valeur 15 de g; de là m = 7 — 3 = 4, et par suite 15.9! سه‎ )9 = 27 7. En divisant 15.2" par 19 on trouve 13 pour quotient et — 7 pour reste; donc 15.2' — 19.13 = — 7. Pour décider si l'équation ` ` 15.2" — 19E' = +7 est possible, nous additionnons les deux dernières éga- lités, et nous trouvons 15.2° (27 —* + 1) 0 (mod. 19), Tome XI. am Tage untersucht, so findet man, dass die platten Chlorophyllkórner dieses Mooses in den Zellen deren obere und untere Flüche bekleiden, und dass die Sei- tenwände der Zellen ganz frei von Chlorophyllkórnern ` sind. In der Nacht dagegen sieht man die Chloro- phyllkórner alle auf die Seitenwände der Zellen über- gewandert, so dass die obere und untere Fläche jeder Zelle, somit auch fast ihr ganzes Lumen, chlorophyll- frei erscheint und nur lüngs den Seitenwünden mit einer grünen Schicht senkrecht gestellter Chlorophyll- kórner ausgekleidet wird. Am Morgen, gegen 6 Uhr, ist es mir an trüben Tagen gelungen, alle Chlorophyll- körner noch an den Seitenwänden anzutreffen. Durch den Spiegel des Mikroskops von unten her beleuch- tet, begannen sie schon nach einigen Minuten auf die | untere und obere Fläche der Zellen hervorzukriechen und gegen 7 Uhr Morgens hatten schon alle die Ta- gesstellung angenommen; gegen Abend hin und in der folgenden Nacht gingen alle Chlorophylikörner auf die Seitenwände der Zellen über und wiederholten diese Wanderung täglich. Um diese Abhängigkeit der Ortsveränderung der Chlorophyllkórner vom Licht noch deutlicher zu ver- anschaulichen, bemühte ich mich, am Tage durch Ver- dunkelung die Chlorophyllkórner auf die Seitenwände herüberwandern und dann wieder mittelst künstlicher Beleuchtung eine Tagesstellung annehmen zu lassen. Beides ist mir, wie ich es sogleich zeigen werde, ge-- lungen. Diese verschiedenartige Vertheilung der Chloro- ‚phylikörner in den Zellen des Mnium-Blattes ist schon Schimper aufgefallen, welcher sie auch in seinen Icones morphologicae atque organographicae auf Taf. VI, Fig. 4 u. 5 abgebildet hat. Dieser Erscheinung hat er indessen eine ganz andere Erklürung gegeben, wie aus der Beschreibung dieser beiden Figuren zu sehen ist: Fig. 4 deutet er als particula folii junioris (Mnii puncta- ti), in quo granulorum chlorophyllaceorum formatio inci- pit; prima granula ad cellularum commissuras disposita vides; und Fig. 5 als particula folii perfecte evoluti ejus- dem speciei, granula chlorophyllacea rite efformata den- so agmine circumcirca ad cellularum parietes jacent. Dass diese Erklärung dem Thatsächlichen nicht ent- spricht, wird aus den folgenden Untersuchungen klar. Vor Allem suchte ich nach Mitteln, meine Beob- Bulletin de l'Académie Empériale 131 vereinigt waren. An den Exemplaren derselben Spe- cies, welche aber im Freien standen, vermisste er eine solche Lagerung gänzlich. Es gelang ihm ferner, an Sedum sexangulare und Sedum dasyphyllum, bei denen sich die Chlorophyllkórner an der Zellwand befanden, wenn er diese Pflanzen in den heissen Juli-Tagen den Sonnenstrahlen aussetzte, im Verlauf einer Stunde die Vereinigung der Chlorophylikörner zu einer Gruppe hervorzurufen. Dergleichen Lageveründerungen der Chlorophyllkorner hat er auch an allen anderen un- tersuchten Crassulaceen (17 Gattungen und über 100 Arten) beobachtet. In einer späteren Abhandlung”) setzt er hinzu: «Bei Anwendung blauer Gläser erfolgte die Gruppi- rung der Chlorophyllkórner ziemlich schnell; es be- durfte aber einer mehrstündigen Einwirkung, bis man ein Gleiches bei den unter einer rothen RE befindlichen Blättern bemerkte». Um eine etwaige Wirkung der Wärmestrahlen auf die Bewegung des Chlorophylis zu erforschen, liess er auf geeignet gestellte und vor dem Vertrocknen geschützte Blätter die Strahlen eines schwarzen ge- heizten eisernen Ofens wirken, bekam aber hierbei ein negatives Resultat. Anders stellte sich die Sache heraus, wenn er mittelst einer im Kamine berussten Glasplatte mit den Sonnenstrahlen operirte, wo nach zwölfstündiger Einwirkung die Gruppirung der Chlo- rophylikörner ganz deutlich war. Als Schlussfolgerung aus allen diesen Versuchen hebt er hervor: «dass die so auffallende Erscheinung der Lageveränderung der Chlorophylikörner durch | sämmtliche Sonnenstrahlen ohne Unterschied ihrer . Wellenlänge hervorgerufen werden kann.» An demselben Orte giebt er auch noch an, diese Eigenschaft der Gruppirung der Chlorophyllkórner unter Einwirkung des Sonnenlichtes auch bei einer grossen Anzahl von Saxifraga- Arten mit fleischigen Blättern beobachtet zu haben. Diesen von Boehm erwiesenen Thatsachen schlies- sen sich meine an den Blüttern von Mnium sp. ge- machten Beobachtungen an. Die Blattfläche von Mnium ist, wie bekannt, den Mittelnerven ausgenommen, aus einer einzigen Schicht Zellen zusammengesetzt. Wenn man nun das Blatt 2)Boehm, Sitzungsberichte der Wiener Akademie. Ke: Bd. 37, 8.435 u. ff. Vorrichtung in einen mit Wasserdampf gesüttigten Raum. In dieser Weise war es mir móglich, an einer voll- kommen lebendigen Pflanze nicht nur eine und die- selbe Zelle mehrere Tage lang zu beobachten, sondern auch einzelne Chlorophyllkórner wührend mehrerer Stunden zu fixiren. Ich habe die Beobachtungen im Herbst an Pflänz- chen angestellt, welche leider nicht fructificirten, wes- halb ich sie zwar nach den vegetativen Organen als zur Gattung Mnium gehórend erkannte, ohne jedoch die Species bestimmen zu kónnen. Die Chlorophyllkórner der von mir untersuchten Art waren sehr gross, platt und der Beobachtung üusserst günstig. Sie veründerten rasch ihre gegen- seitige Stellung; am Tage aber waren ihre Bewegun- gen nur auf die obere und untere Fläche der Zelle beschränkt. Ich stellte die Versuche bald mit Tages-, bald mit Lampenlicht an und gelangte zu ganz übereinstimmen- den Resultaten. In beiden Füllen habe ich immer be- obachtet, dass, wenn man Pflänzchen aus der Dunkel- heit ans Licht bringt, schon nach wenigen Minuten einige der Chlorophyllkórner auf die obern und un- tern Flüchen der Zelle herüberkriechen, und ungeführ nach einer Stunde trifft man sie alle dort. Viel mehr Zeit, 4 bis 5 Stunden, brauchen die Chlorophyllkór- ner, um in der Dunkelheit sämmtlich auf die Seiten- wände der Zelle hinüberzuwandern. In diesen, wie auch in allen folgenden Versuchen habe ich die Wanderung der Chlorophyllkórner nur durch das Licht, nicht durch Würmestrahlen hervor- gerufen, denn ich habe immer eine müglichst gleiche Temperatur im beleuchteten sowohl, wie im finstern Raume zu erhalten gesucht. Die Wirkung verschieden gefürbter Strahlen habe ich mittelst Kerasin-Lampenlicht^) untersucht und Re- sultate erhalten, welche mit den von Boehm beschrie- benen Erscheinungen nicht ganz übereinstimmen. Ich setzte gleichzeitig drei Prüparate auf den Ob- jecttischen von drei Mikroskopen dem Lampenlichte aus; den einen stellte ich unter das volle Lampenlicht, den andern unter das gelbe, den dritten unter das 8) Die Beschreibung des Apparates siehe in meiner Abhandlung über die Wirkung des Lichtes auf das Wachsen der Kresse. Mém. de l'Acad. des sc. de St.-Péterb. T. VIII, X 15, p. یو‎ des Sciences de Saint-Pétersbourg. achtungen so einzurichten, dass es mir möglich wäre, Chlorophyllkórner in einer und derselben Zelle an einer ganz lebendigen, in möglichst normalen Verhält- nissen erhaltenen Pflanze zu beobachten. Zu diesem Zwecke klebte ich mit Copallack auf eine Objektplatte neben einander zwei 25 Mill. lange, 10 Mill. breite und 1 Mill. dicke Glasstücke in der Weise auf, dass ich beide mit ihrer Flüche horizontal legte, eines aber quer über die Objektplatte, das andere lüngs dem Rande der Objektplatte, senkrecht zum ersten, so dass beide Glasstückchen einen rechten Winkel mit einan- der bildeten. Ich bestrich nun die obere Fläche die- ser beiden Glasstücke am Rande des von ihnen um- grünzten Raumes mit Copallack und klebte darauf ein grosses und. móglichst dünnes Deckglüschen, so dass es nur mit zweien seiner Ränder den Glasstücken an- lag, mit der übrigen Flüche aber frei über den von letzteren begrünzten Raum hinüberragte. In dieser Weise erhielt ich also über der Objektplatte einen ziemlich grossen Raum, welcher nur von zwei Seiten frei mit der umgebenden Luft communicirte, überall sonst aber abgeschlossen war. In diesen Raum schob ich nun vorsichtig das beblütterte Stengelchen der zu beobachtenden Pflanze hinein. Da die Blättchen eines frei stehenden Pflänzchens vom Stengel weiter abste- hen, als es der Raum unter dem Deckgläschen gestat- tete, so lehnten sich auch in Folge dessen die über dem Stengelchen zu stehen kommenden Blättchen an die untere Fläche des Deckgläschens fest an. Letzte- res wählte ich möglichst dünn und war deshalb im Stande, auch bei dieser Einrichtung die Beobachtun- gen mit der € 9 von Hartnack anzustellen. Um die Wurzeln mit der ihnen anhängenden Erde möglichst feucht zu erhalten, bedeckte ich sie sammt der Erde mit einem Deckgläschen, unter welches ich einen Tropfen Wasser hineinbrachte, der auch durch die Capillarität festgehalten wurde. Um ferner die Blätt- chen der im Freien in feuchter Luft lebenden Pflanze vor dem Austrocknen während der Beobachtung zu schützen, habe ich ihnen mittelst einer feinen Nadel ganz kleine Tröpfchen Wasser zugeführt, ausserdem aber noch unter das Deckgläschen von der Seite her einen grossen Tropfen eingeführt, welcher in einiger Entfernung vom Pflünzchen an dem inneren Rande eines der Glasstreifen hängen blieb. Nach Beendigung jeder Beobachtung brachte ich sogleich die ganze 136 wegung der Chlorophylikörner ganz klar herausge- stellt. Sonderbarer Weise habe ich die hier beschriebe- nen Erscheinungen auch an getrockneten Herbarium- Exemplaren aller von mir durchmusterten Mnium-Ar- ten theilweise bestütigt gefunden. Es hat sich bei ih- nen allen in den Blüttern eine Gruppirung der Chlo- rophylikörner bloss an den Seitenwänden der Zellen erwiesen, was man auch erwarten konnte, da die Pflänzchen nur allmählich zwischen Papier, also im dunkeln Raume, eintrockneten, wobei auch in allen Zellen die Chlorophylikörner ihre Nachtstellung be- halten konnten. Diese Ortsveründerung der Chlorophylikörner wird nur durch das Licht beeinflusst und ist ganz unabhän- gig von der Stellung des Pflänzchens zum Horizont. Für das Licht hat sich dies durch das gleiche Ver- halten der vertical stehenden und horizontal gelegten Pflänzchen erwiesen, für die Dunkelheit aber durch folgenden vergleichenden Versuch. Zwei ganz gleiche Pflänzchen wurden in der oben beschriebenen Einrich- tung, das eine vertical, das andere horizontal ins Dun- kel gestellt; nach einigen Stunden hatten die Chloro- phyllkórner in beiden ihre وس‎ auf ganz gleiche Weise veründert. Das Resultat der vorliegenden Untersuchung lässt sich folgendermaassen zusammenfassen: 1) In den Blattparenchymzellen des Mnium sp. zei- gen die Chlorophyllkórner in normalen Verhält- nissen tüglich eine periodische Wanderung, in- dem sie am Tage nur die obere nnd untere Flüche der Zelle bekleiden, in der Nacht dagegen alle den Seitenwänden der Zelle ansitzen. 2) Diese Wanderung der Chlorop ner wird ausschliesslich durch das Licht bewirkt. ` 3) Die Tagesstellung der Chlorophyllkórner wird nur durch die stärker brechbaren Strahlen des Lam- penlichtes hervorgerufen; gelbes Licht wirkt wie Dunkelheit. ۰ ; 4) Die Wanderung der Chlorophy ner ist ganz unabhängig von der Stellung des Pflänzchens ge- gen den Horizont und geht eben sowohl an ver- tical stehenden, wie an horizontal liegenden Pflänz- chen in gleicher Weise vor sich. 1 111. ep Y a 1 111. + Bulletin de l'Académie Imperiale 135 blaue. Die Prüparate wurden vorher mehrere Stun- den im Dunkeln aufbewahrt, und die Chlorophylikör- ner hatten die Nachtstellung eingenommen. Es zeigte sich im vollen, eben sowohl wie im blauen Lampen- lichte schon nach wenigen Minuten das Hervorkrie- chen der Chlorophyllkórner auf die obere und untere Flüche der Zellen; nach einer Stunde war die Wan- derung fast sämmtlicher Chlorophyllkórner schon voll- bracht. Im gelben Lichte blieben sie aber ganz unbe- weglich und hatten selbst nach 1'/, Stunden noch die Nachtstellung inne. Es genügte aber dann, nur das gelbe Licht mit dem vollen Lampenlichte zu vertau- schen, um die in den übrigen Prüparaten beobachtete Tagesstellung eben so schnell auch hier hervorzurufen. Der Grund der Nichtübereinstimmung meiner Re- sultate mit denen von Boehm wird aus der Verglei- chung unserer Untersuchungs-Methoden klar. Er liess direktes Sonnenlicht durch rothe und blaue Kupfer- gläser fallen. «Die zum Experiment gewählten Blät- ter von Sedum spurium» legte er, wie er in der An- merkung p. 475, Bd. 37 (1859) der Wiener Sitzungs- berichte sagt, «auf eine Lage von Lóschpapier, wel- ches von Wasser, das er durch einige Stückchen Eis frisch erhielt, befeuchtet, von der betreffenden Glas- platte bedeckt und immer so gerichtet wurde, dass dié Sonnenstrahlen ziemlich senkrecht darauf fielen.» - Auf diese Weise hatte er aber das seitliche weisse Licht doch nicht ausgeschlossen und erhielt also in den beiden Fällen, ausser der Wirkung des homogen gefürbten Lichtes, noch die Wirkung des wenn auch schwachen weissen Seitenlichtes. Unter dem blauen Glase bekam er übereinstimmend mit mir eine rasche Ortsveründerung der Chlorophyllkórner. Hier hatte also das hinzukommende weisse Licht die Bewegung der Chlorophyllkórner nur etwas gesteigert. Unter dem rothen Glase, wo die Bewegung der Chlorophyll- kórner auch bei Boehm äusserst langsam zu Stande kam, wurde sie aller Wahrscheinlichkeit nach nicht durch das rothe Licht, sondern ausschliesslich durch das hinzukommende weisse Seitenlicht hervorgerufen, wie es auch in seinem Versuche mit der berussten Platte der Fall zu sein scheint. Denn in meinen Ver- suchen, wo alles seitliche Licht auf die sorgfältigste Weise vermieden wurde, hat sich die Unwirksamkeit der Strahlen minderer Brechbarkeit auf die Ortsbe- 138 P- 2.4.T. d ۰ 1 1782,65 320,7 W.Herschel,Phil.Transact.1785. 2 1823,81 36,7 3 1” Nc NE 87,5 -2 0,820 2 4 38,71 108,57 3 0,640 35W. Struve, Mens. micr. 5 85,060 132,62 5 0,527 5 6 86,61 146,8 5 0,572 5 7 97,78 157,90 3 56 8 » Addit. Mens. micr. 8 40,32 186,50 4 0,701 4 0. Struve, Manuscript. 9 40,78 186,2 3 0,8 Dawes, Astr. Obs. 1852. 10 41,58 193,58 7 0,887 7 Mädler, Dorp. Beob. Bd. 9 11 41,86 199,53 2. 0,954 2 Dawes, Astr. Obs. 1852. 12 43,18 208, 4 0,895 4 Mädler, Dorp.Beob. Bd. 10 u. 11 13 43, 0, 1 0,937 1 Dawes, Astr. Obs. 1852. 14 44,40 212,60 4 0,858 3 Mädler, Dorp. Beob. Bd. 11. 15 46,42 220,35 2 1,044 2 0. Struve, Manuscript. 16 47,58 225,10 5 1,123 5 Mädler, Dorp. Beob. Bd. 13. 17 48,22 229,70 2 1,089 2 18. 49,9 232,50 3 1,051 350.Struve, Manuscript. 19 50,04 233,87 3 1,172 3 2 y 232,29 3 1,277 3 Müller, Dorp. Beob. Bd. 13. n ne a 2 1,916 2 0. Struve, Manuscript. 2 1,18 236,95 8 1,158 81 yr; 93 51,99 937,95 4 45 A Mädler, Dorp. Beob. Bd. 13. 24 52,20 237,15 2 1,137 2 0: Struve, Manuscript. 5 x CH 10 1,248 10 Mädler, Dorp. Dech, Bd. 13. 96 53,50 240,65 2 1,348 2 o7 5430 949,98 4 7 ٩ 0. Struve, Manuscript. 28 54,99 249,88 6 Dembowski, Astr. Nachr. Bd. 44. 29 55,25 242,75 2 1,290 2 O.Struve, Manuscript. ۹ p i0 22 ` i Dembowski, Astr. Nachr. Bd. 47. 32 56,66 247,65 2 1,496 2 O.Struve, Manuscript. 38 56,80 248,81 1 1,481 1 Mädler, Dorp. Beob. B. 15. 34 56,93 252,10 1 1,158 1 Secchi,Cat.distelle doppie,1860. 5 57,37 250,07 8 1,472 3 0. Struve, Manuscript. 36 57,94 254, 2 1,301 2 Secchi,Cat.distelledoppie,1850. 97 57,99 252,29 6 1,2 Dembowski, Astr. Nachr. Bd.50. 8 1859,16 254,60 3 1,475 3 O.Struve, Manuscript 89 361, 65,20 2 1,214 2 Mädler, Dorp. Beob. Bd. 15 40 3 2 1,477 2 O.Struve, M ipt. 41 62,71 2628 1 14 Clark, uscript. ` 42 62,74 263,61 9 1,487 3 Dembowski, Astr. Nachr. Bd.62. 43 62,84 266,09 t^ 2 Mädler, Dorp. Beob. Bd. 15. 44 . 68,58 265,43 1436 7 e 4 See 10858 Ta Ü Dembowski, Astr. Nachr. Bd. 62. 46 64,65 2668 1 L5 Clark, Manuscript. 47 65,01 270,07 7 1,952 5 Dembowski, ۰ Nachr. Bd.66. 48 66,20 268,35 2 1,416 2 O.Struve, Manuscript. - Hier ist Folgendes zu bemerken: Mit Ausnahme der Beobachtungen von 1831 sind W. Struve's Distanzen geschätzte und es haben dieselben die in den «Mens. micr. p. CLIV» gegebenen Correctionen erhalten. Für seine beobachteten Winkel fand Struve, zwar aus einer nur geringen Anzahl Messungen an künstlichen Doppel- sternen, fast verschwindend kleine Correctionen, 0 dass eine Verbesserung der beobachteten Werthe da- nach unnöthig war. Dagegen erhielten die Positions- winkel O. Struve’s die durch eine grosse Anzahl Be- obachtungen künstlicher Doppelsterne ermittelten Cor- rectionen, welche, wie auch die Verbesserungen der von 0. Struve gemessenen Distanzen, dem im Bull. de 406. des sciences de St.-Pétersb., t. XVII, befind- lichen Aufsatze entnommen wurden. Die oben ange- des Sciences de Saint = Petersbourg. Untersuchungen über die Bahn des Doppelsterns 23062, von V. Fuss. (Lu le 15 novembre 1866.) Zu den wenigen Doppelsternen, welche, ihrer rasche- ren Bewegung wegen, schon jetzt oder wenigstens bin- nen Kurzem einigen Erfolg in der Bestimmung der Elemente ihrer Bahn versprechen, gehórt auch das von Herschel entdeckte und beobachtete, in der Cas- siopeja stehende, Paar 2 3062 oder H. I. 39. Die ge- nauere Position desselben ist nach W. Struve (Posi- tiones mediae): - 0 تشه ‘a‏ 184 07 شه 8 In naher Übereinstimmung mit allen übrigen neue- ren Beobachtern hat W.Struve die Grössen der Com- ponenten dieses Doppelsterns zu 7,0 und 8,0 geschätzt, womit aber die Angabe Herschel’s: «very unequal» nicht übereinstimmt. Die Farbe beider Componenten ist gelb. Die Eigenbewegung im grössten Kreise in 100 Jahren ist nach dem citirten Werke Struve's: 36,9: Obgleich schon drei verschiedene Untersuchungen über die Bahn des in Rede stehenden Doppelsterns von Mädler unternommen worden, so sind doch die Resultate derselben keinesweges als befriedigend an- zusehen und, nach Mädler’s eigenem Ausspruche, ist eine neue Untersuchung wünschenswerth, nament- lich deshalb, weil seit der letzten, in welche sich über- dies ein Fehler eingeschlichen hatte, bereits gegen 20 Jahre verflossen sind. Die erwühnten Untersuchungen Mädler’s finden sich mitgetheilt in folgenden Schrif- ten: Astr. Nachr. Bd. XV, pag. 151, Dorp. Beob. Bà. | Mil Ort für 1830,0 IX, pag. 180 und Mädler, Fixsternsysteme Bd. I, pag. | 238. Indem ich eine neue Bearbeitung des bezeichneten Doppelsterns unternahm, zog ich es, der Unsicherheit der Mädler’schen Elemente wegen, vor, nicht von den- selben auszugehen, sondern mir selbst erst genauere vorlüufige zu verschaffen, deren Correctionen dann durch Differentialformeln zu ermitteln ۰ Das gesammte Beobachtungsmaterial, welches ich habe auffinden können, stelle ich hier chronologisch zusammen, der Kürze wegen aber nicht die Resultate der einzelnen Beobachtungstage, sondern Mittelwerthe, wie sie grösstentheils von den Beobachtern selbst zu- sammengezogen wurden. 140 x —91 7,33 p —22 9,6 e—0,3772, welche folgende, den Beobachtungszeiten entspre- chende, Positionswinkel ergeben, deren Abweichun- gen von den beobachteten Winkeln, im Sinne R — B, durch AP bezeichnet sind. P AP d AP 1782,05 307,93 — 12,8 1853,50 239,05 — 0 183171 89,63 + 1 54,30 240,95 — 3,03 33,71 10928 + 1 42,55 — 7,98 35,66 18434 + 1,72 55,25 243,15 + 0,40 36,61 147,22 + 0,84 9 24417 — 5,03 37,78 162,15 + 5 56,37 245,73 — 4,48 40,32 187,27 + 7 66 246,8 — 1,27 90,66 + 3,84 80 246,70 — 1 41,58 196,28 + 2,70 93 247,00 — 5,10 198,04 + 4,51 57,37 247,99 — 2,08 43,18 205,39 — 2,61 94 249,29. — 4,71 08,41 — 1,59 99 249,40 — 2,89 44,40 211,12 — 1,48 59,16 252,08 — 2,57 46,42 218,97 — 1,38 61,80 257,93 — 7,27 47,53 22272 — 9,38 62,18 258,79 — 1,66 48,22 224,90 — 4,80 71 25998 — 28 49,19 297,78 — 4,72 74 260,04 — 7 50,04 230,19 — 3,68 84 260,27 — 5,82 71 232,00 — 0,29 63,58 262,04 — 3,32 51,16 233,18 — 2,52 64,53 264,10 — 3,96 18 233,28 — 3,7 5 264,87 — 4 99 235,31 — 2,64 65,61 266,56 — 1 52,20 235,84 — 1,31 66,20 267,22 — 0,43 72 997,14 — 0,91 Die gefundenen AP sind nicht so gross, dass man nicht hoffen kónnte, durch Differentialformeln die wahrscheinlichsten Correctionen der Elemente ermit- teln zu kónnen. Nichtsdestoweniger war doch eine 4-malige Wiederholung der Auflösung der Gleichun- gen nóthig, bis die Bedingung erfüllt wurde, dass die, nach Substitution der gefundenen Werthe der Unbekannten in die Gleichungen, übrigbleibenden Feh- ler mit den Abweichungen übereinstimmten, welche durch Vergleichung der durch directe Rechnung aus den Elementen gefundenen Winkel mit den beobach- teten erhalten wurden, d. h. bis die Elementencor- rectionen kleine Grössen 1** Ordnung wurden. Die angewandte Differentialformel war folgende: 0 AQ — ^sinisin (o-4-3) cos (P— 9) Ai -- (7 a COSA SEL *'ü- ez )sin EcosiAg-«(7 3) cosicospA M +(5) cos à cos o (f — T) Am =+ AP, in der alle Unbekannte Winkelgróssen sind. Mit Aus- nahme der ersten 6, wurden die AP zu Normalabwei- *) à der Winkel in der wahren Bahn, zwischen der ron und der Apsidenlinie. Bulletin. de l'Académie Impériale führten Zahlen sind die schon verbesserten Beobach- tungen. Die Reduction der Positionswinkel auf eine Epoche ist im gegenwärtigen Falle, wo die AR des Doppelsterns sehr nahe 0^ ist; so verschwindend klein, dass sie ganz vernachlässigt werden konnte. Zur Erlangung der scheinbaren Bahn folgte ich der von J. Herschel in den «Mem. of the Roy. Astr. Soc., Vol. XVIII» gegebenen Methode, welche bekannt- lich die Form der Bahn durch die Positionswinkel und deren Veründerungen finden lehrt, ohne Anwen- dung der Distanzen, die wol, besonders im vorlie- genden Falle, wo ihre Änderungen nieht bedeutend sind, am besten so viel als móglich umgangen werden. Die Einzelheiten der zur Ermittelung der vorläufigen Elemente geführten Rechnung übergehend, will ich nur bemerken, dass sich dureh dieselben die Unver- einbarkeit der ersten beiden der, in vorstehender Zu- sammenstellung, gegebenenPositionen erwies; dasselbe - fand auch Mädler, der seine Bahn so führte, dass sie zwischen diesen beiden Positionen, von jeder gegen 10? abweichend, lag. Auf den Ursprung der zweiten der beiden genannten Beobachtungen zurückgehend, wird die Ausschliessung derselben ohne Weiteres gebo- ten, indem der gegebene Positionswinkel nur auf drei Schätzungen während des Durchganges durch das Feld des Meridianinstruments beruht. Dieser Bemerkung sei noch hinzugefügt, dass wegen der Unmöglichkeit, die Winkelgeschwindigkeit zur Zeit der Herschel’- schen Beobachtung aus der Veründerung des Positions- winkels zu bestimmen, ich mich gezwungen sah, die aus den von Herschel gegebenen, sehr unbestimmten Angaben, von W. Struve gefolgerte Distanz in An- wendung zu bringen. Die dynamischen Elemente wurden gleichfalls auf die von J. Herschel angegebene Weise ermittelt und zum Übergange von der scheinbaren Bahn zur wahren die Encke'schen Formeln benutzt. Somit wurden folgende genäherte Elemente der wah- ren Bahn erhalten: T — 1836,00 U — 99,53 Jahre i = 50°49/3- Q — 47 10,6 142 viel ich weiss, blos für die Beobachtungen O. Stru- ve's, dessen Messungen an künstlichen Doppelster- nen ein genügendes Mittel bieten, die Beobachtungen von diesen Fehlern zu befreien. Wenn auch W.Struve ühnliche Messungen unternommen hatte, so war doch deren Anzahl zu gering, um den Resultaten grosses Zutrauen schenken zu kónnen. Aus dem angeführten Grunde hielt ich es für das Richtigste, den Beobach- tungen O. Struve's einen grösseren Einfluss auf die zu bestimmenden Elemente einzuräumen, indem ich ihnen ein doppeltes Gewicht gegen alle andern er- theilte. Die Beobachtung W. Herschel’s, die durch ihre isolirte Lage einen grossen Einfluss erlangt, wäh- rend sie möglicher Weise (Herschel lässt darüber in Ungewissheit) nur auf einer einzelnen Messung beruht, musste ein kleineres Gewicht als die übrigen erhal- ten: ziemlich willkührlich gab ich ihr ein 5 Mal ge- ringeres Gewicht als den neueren Beobachtungen, wie sie in der ersten Tafel gegeben sind. — 8 erhielten die 17 Normalabweichungen ihre Gewichte p, wie sie in der letzten Columne der folgenden Tafel aufgeführt sind. Die Coefficienten der gegebenen Glei- chungen sind in Logarithmen ausgedrückt und schon mit Vp multiplieirt; der Coefficient von Am, der Cor- rection der mittleren jährlichen Bewegung, ist durch 10 dividirt, um ihn der Grösse nach den andern näher | zu. bringen. des Sciences de Saint- Pétersbourg. chungen, von denen jede aus beiläufig 4 einzelnen Ab- weichungen besteht, vereinigt; die Abweichungen bis 1837 schien es, der grossen Winkelgeschwindigkeit und der vereinzelten Lage wegen, vortheilhafter zu sein, nicht zusammenzuziehen. Bei Bestimmung der Gewichte dieser Normalabweichungen war dreierlei zu berücksichtigen: die Anzahl der einzelnen Werthe, aus denen jede Normalabweichung abgeleitet ist; das Gewicht der ersteren, als Function der Distanz; und das Gewicht, das den verschiedenen Beobachtern zu- kommt. Es wurden die angeführten Beobachtungen, ohne Rücksicht auf die, im Übrigen nicht sehr ver- schiedene, Anzahl dér Beobachtungstage, als von glei- chem Gewichte angesehen; in Betreff der Abhängig- keit der Genauigkeit des Positionswinkels von der jedesmaligen Distanz nahm ich das für W. und O. Struve geltende Gesetz an, dass die wahrschein- lichen Fehler sich umgekehrt, wie die Cubicwurzeln aus den Quadraten der Distanzen verhalten. Die un- sichersten Data zur Gewichtsbestimmung bietet das gegenseitige Verhalten der Messungen verschiedener Beobachter. Aus den Beobachtungen selbst lässt sich so lange nicht auf ihre Sicherheit schliessen, als man Nichts über ihre möglichen gesetzlichen Fehler weiss; es verdienen aber gewiss diejenigen einen Vorzug vor den andern, für welche genügende Untersuchungen dieser Fehler vorliegen. Bis jetzt bestehen solche, so 1789.08 09.5000 AQ + 7,3226 Ai + 9,0708 41-4-8,1152 Ap-+ 9,3253 AM + 0,0560, 10Am + 9,1990, 6 183171 0= 9,7956 15238, 9,7986 0,0155 0,1582 9,8321, 99711, 4 33/71 0= 9,6810 9,9705, 9,7809 9,8145, 0 9,6215, 9,7417, 0 35,06 0— 9,0000. — 8,8105, ^ 5 2768, 47 9.0812 9.7450, 0,400 36,61 0—9,0400 74 9,8095 8,6955 0,2386 8,4938 0.0220, 0,436 37,78 0 — 9,7000 9,2359 ‚8438 9,5936 0,2671 9,3974 9,8303 0,501 4100 0= 9,1500 9,8748 0,1417 0,3542 0,5099 0,1698 04148 8 45,00 0 — 0,2000 9,6299 0,0616 0,4036 0,3158 24 9,7682, 1,585 48,00 0 = 0,2000 8,9978 0,0309 ‚3808 0,1937 0,2571 0.4672, 5 51,00 0 — 0,2900 9,3984. ‚1244 0,4519 0,2021 0,3655 8,5910" 1,950 52.00 0 0,2900 94993, 0,1308 0,4465 0,1815 0,3738 0,4693 1,950 55,00 0 = 0,3040 9,7630 0,1703 0,4494 0,1494 0,4182 9,5508 2,014 5650 0 = 0,2750 9,8000, 0,1581 0,4106 0,1045 0,4071 99661 1,884 58,00 0 = 0,3140 9,9059, 0 0,4427 0,1311 0,4649 9,9051 61 6200 0 = 0,3400 0,0275, 7 ‚4478 13 0,5457 0,3228, 2,188 6400 0 = 0,1850 9,8995, _ 0,1626 0.9795 9,9791 0,4195 0.0363, 1,531 66,00 6 — 0,1850 9,9162, 8 0,2639 9,9783 0,4776 9.9558 1,581 Aus diesen Gleichungen werden folgende Endgleichungen erhalten: __ 8998 ود‎ 4942 Ai— 6,929 A1— 9,389 Ap— 3,042 AM — 12,625 104m + 0 pem ee — 8,998 +50, ب‎ 49,171 . 4-843852 48,404 + 2,629 O— 30349 - 0929 25407 -+-38,776 +29,641 + 38,897 + 1,973 0 = + 49,171 — 9,989 38,776 “<+71,655 + 41,429 + 68,715 + 4,052 0 = + 34,352 — 8,042 <+929,641 + 41,429 + 44,531 + 88,104 + 5,549 0 48404 — 12625 38897 +68715 88,104 ۰ 71,782 + 2,042 Die Auflósung der Endgleichungen giebt folgende | als Einheit der letzteren eine Bestimmung von O. Werthe der Unbekannten und ihrer Gewichte, wobei Struve bei der Distanz 150 gilt. lis. 143 Bulletin de l'Académie Imperiale 144 , AP AP AQ = — 19,2 0/216 Winkel Bogen Winkel Bogen Ai = — 18,8 0,176 1856,93 250,22 — 188 — 0/045 1862,74 202,98 — 0,63 - 6 SS 0,244 57,97 251.23 + 1,16 بې‎ 0,028 84 263,20 — 2,89 — 0.072 Bois hod ۱ 04 25254 — 1,46 — 0,035 68,58 264,78 — 0,65 — 0,016 Ap = 00 0,490 99 252,65 0,36 + 0,009 6453 966,80 — 1,26 — 0,031 AM 2-100 . 0.894 59,16 255,24 +0,64 + 0,016 65 267,06 +-0,3 + 0,007 (E , , 61,80 260.98 — 4,22 — 0,104 65,61 269,09 — 1,58 — 0,040 Am = — 050072. 14,880 66,20 270,34 + 2,00 + 0,050 6218 261,79 +1,34 + 0,033 71 262,92 +0,1 -+ 0,003. Der aus diesen Abweichungen folgende wahrsch. Fehler der Beobachtung eines Tages ist + 0,051 im Bogen; den «Mens. micr.» gemäss ist dieser Fehler, ent- sprechend den Distanzen 0,7 und 154, für die /ucidae: 07031 und + 0048; dagegen für die reliquae re- spective سل‎ 07032 und = 0,055. Berücksichtigt man nun, dass 2 3062, der Grósse des Begleiters nach, an der Gränze jener beiden, in den « Mens. micr.» ange- nommenen Classen liegt; dass ferner der grósste Theil der Beobachtungen bei Distanzen gemacht worden ist, die eine Secunde übertreffen und auch, dass in dem gefundenen wahrsch. Fehler noch die indivi- duellen Fehler der verschi bachter enthalten sind, so muss die Darstellung der Beobachtungen durch . die Elemente als vollkommen befriedigend bezeichnet werden. Vergleicht man dié einzelnen Beobachtungen O. Struve's mit den berechneten Positionswinkeln, so folgt daraus der wahrsch. Fehler für die Beobach- tung eines Tages + 0,032; also ist der Anschluss der Elemente an diese Beobachtungen erheblich besser, als im Mittel an alle zusammen — wie ich das auch aus angeführtem Grunde beabsichtigte. Die von O. Struve aus Messungen an künstlichen Sternen gefun- denen wahrsch. Fehler einer einzelnen Beobachtung sind für die Distanzen 057 und 1,4 respective + 0; 1020 und Æ 0,025. Die Beobachtungen von Mädler zeigen starke, mit der Jahreszeit veränderliche Unterschiede unter ein- ander, welche auf vom Stundenwinkel abhängige Feh- ler hindeuten, deren Gesetz zu bestimmen nicht móg- lich ist, da nur bei sehr wenigen Messungen die Be- obachtungszeiten angegeben sind. Diese veränderlichen Fehler sind hier übrigens weniger von Einfluss, da die Beobachtungen Mádler's sich, meist in grósserer Anzahl, auf das ganze Jahr vertheilen. Die constante Abweichung seiner Beobachtungen von der == ist nur gering. Schliesslich sei hier noch bemerkt, dass die Dem- Diese Correctionen an die Elemente, welche zur Berechnung des letzten Systems von Gleichungen ge- dient hatten, angebracht, geben die nachstehenden de- finitiven Elemente, denen die nebenstehenden wahrsch. Fehler zukommen. T = 1836,51 = 0,367 U— 106,60J. = 9,583 J. i 417515... 2,79 Q = 4930 2,52 À — 9147 + 7 e= 2445 + 1,67 Es sind also die Unsicherheiten dieser Elemente, mit Ausnahme derjenigen der Umlaufszeit nicht gross; was aber diese Letztere betrifft, so war a priori von der Vertheilung der Beobachtungen, wie sie für unser Paár Statt findet, nicht viel zu erwarten: die zur Be- stimmung dieses Elementes wichtigsten Beobachtun- gen, die älteste und die neuesten, sind bei grosser Distanz gemacht worden; und weil diese noch lange Zeit nicht viel abnimmt, so wird wohl vor dem An- fange des nüchsten Jahrhunderts eine erheblich grós- sere Sicherheit in der Bestimmung der Umlaufszeit nicht zu erwarten sein, woran natürlich auch zum Theil das geringe Gewicht, das der Herschel'schen Beob- achtung gegeben werden muss, Schuld ist. Die erhaltenen Elemente stellen die Beobachtungen folgendermaassen dar; AP wieder im Sinne R — B. AP AP Winkel Bogen Winkel Bogen 1782,65 320,87 +0,2 -4-0/005 1849,19 230,11 — 2,39 — 0049 1831,71 88,97 + 1,5 + 0,020 50 0,04 23 88 — 1,19 — 0,025 33,71 35, 66 130,91 — 1,71 36, 61 — 0,013 00 +231 -+ 0,050 — 0,017 0,029 37 78 158,69 -+ 0,79 = 0,008 0,013 —+ 0,031 0,024 51,16 235,87 + 0,17 + 0,004 1 40,32 185,45 — 1,05 — 78 18 +2 4l, i. 195,35 + 1,77 + 1 4,2 — 7 0,084 +- 3,55+ 246,30 55,25 0,044 — 1,55 — 35 247 9 0,030 — 1,98 — 248,04 56,37 0,047 + 1,95 و 249,6 66' 0,027 + 1,12 + 34998 60 45, 18 205,55 — 2,45 — 0,038 80 2 208,88 — 1,12 — 0,018 vera 211, '86 — 0,74 — 0,012 2 220,53 +0.18 + 0,003 Mis 224, 62 — 0,48 — 0,010 48,92 227,00 — 2,70 — 0,054 146 d Ad d Ad 1782,65 1,988 2 1851,99 1266 + 0,121 1831,71 0,41 — 0,079 52,20 1,271 -+ 0,134 33,31 0,637 -+ 0,003 , 72 1,283 =+ 0,085 35,66 0,571 + 0,044 53,50 1,303 — 0,045 36,61 0,566 — 0,006 54,30 1,321 — 0,136 87,78 0,586 — 0,036 55,25 1,341 -+ 0,050 40,32 0,701 0 56,66 1,361 — 0,185 41,58 0,775 — 0,112 80 1,877 — 0,054 86 0,791 — 0,168 93 1,866 =+ 0,213 43,18 0,873 — 0,022 57,87 1,871 — 0,101 80 0,10 — 0,027 94 1,979 + 0,078 44,40 0,944 -+ 0,086 59,16 1,391 — 0,084 46,42 1,052 = 0,008 61,80 1,404 + 0,190 47.58 1 — 0,019 62,18 1,413 — 0,064 48,22 1,135 --0,046 74 1,414 — 0,078 49,19 1,173 +0,1 84 1414 4-0,5 50,04 1,205 -+ 0,033 63,58 1,41 0,029 227 — 0,050 64,53 1,419 -+ 0,026 0,068 — 1,420 65,61 0,074 — 1,242 51,16 0,004 هې 1,420 66,20 0,084 + 42 Hieraus folgt der wahrsch. Fehler einer der ange- führten Distanzen: + 0,062, und damit, dem Gewichte entsprechend, der wahrsch. Fehler von a + 0010. Der wahrsch. Fehler der Messung eines Tages ist bei- läufig + 0,120. Nach den «Mens. micr.» ist dieser Fehler, entsprechend den Distanzen 0/7 und 154, =+ 07074 und =Æ 07086 für die ۷۵6۵ und + 7 und Æ 0۶109 für die reliquae. Die Messungen O. Stru- ve’s allein geben den wahrsch. Fehler = 0,082, wäh- rend die Vergleichung der einzelnen Messungen mit ihren, in der ersten Tafel gegebenen, Mitteln diesen Fehler zu + 07073 giebt. Der Anschluss ist also auch hier ganz befriedigend. Die Dembowski'schen Be- obachtungen geben den wahrsch. Fehler + 0051. Schliesslich seien hier noch die Bestimmungsstücke der scheinbaren Bahn angeführt: 17309 0,978 Halbe grosse Axe Halbe kleine Axe Entfernung des Mittelpunktes der Ellipse vom Hauptstern Positionswinkel der سفن‎ in beider Punkte AS 37252' Positionswinkel der grossen Axe -1- 4855. Unsere definitiven Elemente ergeben die folgenden relativen Positionen der beiden Componenten während des nächsten Viertel-Jahrhunderts: 0,410 P d o 1866,0 269,91 17429 68, 274,15 1,427 70,0 278,41 1,425 72,0 2,6 1,420 74,0 287,00 1,414 76,0 291,34 1,407 78,0 295,72 1,401 des Sciences de Saint- ۰ 145 bowski’schen Beobachtungen des untersuchten Paa- res eine ausgezeichnete Übereinstimmung sowol unter einander als auch mit der Bahn zeigen; der wahrsch. Fehler einer Beobachtung ist hier ohne Rücksicht auf einen constanten Unterschied = 07022 für eine mitt- lere Distanz von 1,3; berücksichtigt man dagegen die constante Abweichung von beilüufig einem Grade, um welchen Dembowski’s Winkel zu gross sind, so wird dieser Fehler = 0,013. Diese Zahlen gelten für die Beobachtungen, die Dembowski seit 1862, d. h. mit dem 7-zólligen Refractor gemacht hat. Um endlich die Dimensionen der gefundenen Bahn zu bestimmen, wurden die Gleichungen À (1 — cos E qq 1 EEN i xd (1 — cos E mg 4— angewandt, um vermittelst der beobachteten Distan- zen d die halbe grosse Axe a zu berechnen. Es wurden diese Gleichungen, für jeden Beobachter besonders, nach der Methode der kleinsten Quadrate aufgelóst und den gemessenen Distanzen dabei gleiches Gewicht gegeben und auf diese Weise folgende Werthe von a erhalten: Wi Struve....... 1,480 0,944 | O. Struve........ 1;455 2: 14,599 Dawes ............ 1,583 0,709 Mad nnak 1,381 7,621 Dembowski..... 1,432 3,915 Secchi 1,281 1,835, wo die nebenbeistehenden Zahlen die Gewichte be- deuten, wie sie von der Grösse der Coefficienten von a und der Anzahl der benutzten Gleichungen abhän- gen. Verbindet man diese Werthe mit einander, mit Rücksicht auf ihre Gewichte, und indem man dem, O. Struve’s Messungen entsprechenden Werthe, ein doppeltes Gewicht, wegen der angebrachten Corê: tion, zuschreibt, erhält man ` a 1432 p— 38,203. Durch Substitution des a in sämmtliche Gleichun- gen werden folgende Werthe der Distanzen und deren Abweichungen von den beobachteten erhalten: Tome XI. 1840,32 — 1,05 + 2,23 46,42 + 0,18 + 2,08 48,22 — 2,70 — 1,20 49,19 — 2,39 — 1,09 50,04 — 1,19 — 0,05 51,16 + 0,17 +1,07 e 52,20 + 1,52 + 2,22 53,50 +1,35 +1,75 54,30 + 0,08 + 0,31 55,25 + 8,55 + 3,65 56,66 + 1,95 + 1,75 57,37 +1,16 + 0,88 59,16 + 0,64 — 0,06 62,18 + 1,95 +0,04 66,20 + 2,00 — 0,06 Diese letzteren Abweichungen, mit denjenigen der übrigen Beobachtungen zu Normalabweichungen auf die früher angegebene Weise verbunden und bei der Auflósung der Gleichungen benutzt, verlangen, nach einer zweimaligen Auflósung, folgende Correctionen der früheren Elemente: AQ = — 1?53;3 Ai—-— 58,0 ۵۸ ېه‎ 2 44 Ap—— 13,3 AM=— 182 Am = + 0,0307 und damit folgendes Elementensystem: T = 1836,60 - 0,33 U= 105,64 J. + 8,61 i = 46?16/6 + 5 Q = 47°36/9 + 0 A= 93 51,8 12,18 .1,53+ 0,4151 = 31,86 24 — ه Der wahrscheinliche Fehler einer Gleichung vom‏ Gewichte 1 wird jetzt + 17072, statt des früheren‏ also wenn auch nicht viel, so ist doch etwas‏ ;17171 + an Übereinstimmung gewonnen worden.‏ Die Darstellung sámmtlicher Beobachtungen wird‏ jetzt folgende:‏ AP کر فد‎ Winkel Bogen Winkel Bogen 1782,65 320,68 0,0 0000 1841,86 196,37 -284 + 0,089 0,058 — 3,48 — 204,52 43,18 0 ره 1,5 + 88,98 1831,71 Bulletin de l’Académie Imperiale 80 207,87 — 2,23 — 0,036 4440 210,87 — 1,73 — 0,080 46,42 219,66 + 1,21 + 0,022 47,53 223,82 — 1,28 — 0,025 48,22 226,23 — 1,97 — 0,089 49,19 229,43 — 1,77 — 0,036 50,04 232,07 — 0,66 — 0,014 33,71 107,56 — 1,01 — 0,011 35,66 131,01 — 1,61 — 0,016 36,01 143,32 — 3,06 — 0,030 37,78 158,17 + 0,27 + 0,008 40,32 184,58 +- 1,86 = 7 78 188,40 + 1,58 + 0,020 41,58 194,43 + 0,85 + 0,012 147 P 8 18800 300,16 1,395 82,0 304,61 1,391 84,0 309,09 1,388 86,0 313,58 1,387 88,0 318,06 1,388 90,0 322,58 1,389 Nachtrag. Die von Hrn. Struve im Laufe des verflossenen Sommers an künstlichen Dot ternen angestellten Messungen, behufs einer Prüfung der für die Positions- winkel früher gefundenen Correcti mel und der Erlangung einer solchen auch für die Distanzen, liess es, nach Beendigung der Reduction dieser Messun- gen, wünschenswerth erscheinen, die von mir für den Doppelstern 33062 erhaltenen Bahnelemente, den Re- sultaten dieser Messungen entsprechend, zu corrigi- ren. Es war dieses um so mehr von Interesse, als das constante Glied der Correctionsformel für die Posi- tionswinkel in diesem Jahre nicht unbedeutend ab- weichend von demjenigen, welches sich in den Jahren 1855 und 1856 ergeben hatte, gefunden wurde. Wenn die für künstliche Sterne gefundene Correction auch auf die natürlichen Sterne in gleichem Maasse Anwen- dung findet, so müsste die Berücksichtigung dieser Veränderung eine bessere Übereinstimmung der Bahn mit den Beobachtungen hervorbringen, aus welcher dann rückwärts auf die Anwendbarkeit jener Correctio-. nen zu schliessen wäre, Le DP Die nach den neuen Corr meln redueirten Beobachtungen O. Struve's id folgende: P d Z. d. B. ; 1840,32 183,22 0,652 4 46,42 218,45 0,975 2 48,22 228,90 1,140 2 49,19 231,20 1,093 3 50,04 232,73 1,167 3 51,16 234,80 1,355 2 52,20 236,45 1,180 2 53,50 240,25 1,375 2 54,80 243,70 1.478 4 55,25 242,65 1,365 2 56,66 247,85 1,405 2 57,37 250,40 1,497 3 59,16 255,30 1,457 3 62,18 - ۰ 261,75 1,545 2 66,20 270,40 1,470 2 Die Abweichungen der erhaltenen Elemente von | den früheren und den neuen Werthen der Positions- winkel sind jetzt: 150 Dieser Werth von a stellt die Beobachtungen fol- gendermaassen dar: d . M d Ad 1782,65 6 : 1851,99 1,275 -+0,130 1881,71 0,753 — 0,067 52,20 1,279 + 0,099 33,31 0,646 = 0,006 72 1,292 + 0,044 35,66 0,589 — 0,062 53,50 1,309 — 0,066 36,61 0,586 + 0,014 54,80 1,327 — 0,151 37,78 0,008 — 0,014 55,25 1,345 — 0,020 40,32 0,723 = 0,071 56,66 1,367 — 0,088 41,58 0,797 — 0,090 80 1,869 — 0,062 86 0,818 — 0,141 93 1,371 +8 43,18 0,893 — 0,020 57,37 1,376 — 0,21 80 0,929 — 0,008 94 1,984 +8 4440 0,963 - 0,105 59,16 1,395 — 0,062 46,42 1,068 = 0,093 61,80 1,415 --0,201 47,53 1,118 —0,005 62,18 1,416 — 0,129 48,22 1,148 +8 74 1,18 — 0,069 49,19 1,186 -+ 0,098 84 1,18 -+0,129 50,04 1,216 = 0,049 63,58 1,420 — 0,016 71 1,237 — 0,040 64,53 1,423 + 0,080 51,16 1,251 — 0,104 65,61 1,425 — 0,073 18 1,251 = 0,093 66,20 1,426 — 0,044 woraus der w. F. von a + 0,0123 und der w. F. der Beobachtung eines Tages = 07112 folgt, d. h. nahezu derselbe wie früher; ebenso wenig haben sich die wahr- scheinlichen Fehler der Struve'schen und Dembow- ski’schen Beobachtungen verändert; es ist der erstere =+ 02083 (unter Anwendung des Werthes von a, wel- ches O. Struve's Beobachtungen entspricht) und der andere + 0,049. UT Die Verringerung des w. F. der Messungen des Po- sitionswinkels durch Anbringung der Änderung des constanten Fehlers, wie sie sich bei den Struve'schen Messungen der Winkel an künstlichen Sternen gezeigt hat, würde also darauf hindeuten, dass eine ähnliche Änderung auch für die Messungen dieses Beobachters an natürlichen Sternen gilt; dass nicht ein noch bes- serer Anschluss der Elemente an die Beobachtungen erreicht wurde, kann wol theilweise dem Umstande zugeschrieben werden, dass dieses Paar in Pulkowa während der dem Zustande der Bilder ungünstigsten Jahreszeiten beobachtet worden ist. Derselben Ursache so wie auch dem Umstande, dass für kleine Distanzen die gefundenen systematischen Correctionen derselben nur gering sind, wird wol auch zuzuschreiben sein, dass die angebrachten Correctionen für die Distanzen O. Struve's sich von unmerklichem Einflusse auf die Darstellung der Beobachtungen durch die Elemente gezeigt haben. Die neuen Elemente geben folgende و۱۱‎ 10 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 149 AP AP Winkel Bogen Winkel Bogen 1850,71 234,77 + 2,48 -- 0,053 1857,87 251,28 =+ 088 + 0.021 51,16 235,36 + 0,56 + 0,012 94 252,65 — 1,35 — 0,033 18 235,42 — 1,53 — 0,083 99 259,77 +0,48 + 0,012 99 237,69 — 0,26 — 0,005 59,16 255,48 + 0,18 + 0,004 0,092 — 3,74 — 261,46 61,80 0,040 د 1,80 + 238,25 52,20 0,014 + 0,56 + 262,31 62,18 0,036 = 1,62+ 239,67 72 53,50 241,72 +- 1,47 + 0,034 71 263,50 +-0,7 =+ 0,017 0,001 — 0,04 — 263,57 74 0,002 ې 0,08 + 243,78 54,30 0,057 — 2,30 — 263,79 84 0,101 — 4,36 — 245,52 99 55,25 246,20 -+ 3,55 -+ 0,083 63,58 265,43 0,00 0 .. .69 247,29 — 1,91 — 0,045 64,53 267,54 — 0,52 — 0,013 56,37 948,94 — 1,98 — 0,080 65 267,80 +1,0 -+ 0,025 49,62 + 1,77 + 0,042 65,61 269,94 — 0,73 — 0,018 80 249,95 +1,14 + 0,027 66,20 271,23 = 0,83 +- 0,021 93 250,26 + 1,84 — 0,044 Den angeführten Abweichungen entspricht der ۰ F. einer Beobachtung: = 0,047 (mit den früheren Elementen: Æ 0,051). Die Abweichungen der Stru- ve'schen Beobachtungen, allein für sich betrachtet, geben den Fehler + 07029 (früher = 0,032); doch ist jetzt die mittlere Abweichung dieser Beobach- tungen von der Bahn, + 0780, gegen ihren w. ۰ + 0°20 zu gross, um sie bei der Ableitung des w. F. einer Beobachtung unberücksichtigt zu las- sen: dieser Fehler wird daher: = 0,026. Die mitt- lere Abweichung der Bahn gegen die Dembowski- schen Beobachtungen ist kleiner geworden, nämlich — 0230, mit dem w. F. + 0709; also ist der Un- terschied Struve-Dembowski, nahezu wie früher, + 1210. Der w. F. einer Dembowski'schen Mes- sung wird jetzt, mit Berücksichtigung der mittleren Abweichung + 0/012, auch kleiner gegen den frühe- ren + 0/013 (dieses gilt wieder nur für die Beobach- tungen von 1862 an). Mit den neuen Elementen und den oben gegebenen Distanzen von O. Struve werden folgende Werthe der halben grossen Axe gefunden: | a 2 W. Struve 1:453 0,977 O. Struve 1,476 | 7 Dawes 1,562 0,728 Mädler 1,384 7,593 Dembowski 1,442 3,861 Secchi 1,289 1.812. Die Verbindung dieser Werthe, bei Verdoppelung des Gewichtes für O. Struve, giebt: a— 1446 : pe 38,045, 152 kohol und Äther schwer löslicher. Körper, welchen man beim Vermischen des Produktes mit Äther und Auswaschen damit, vollkommen weiss und rein er- hält. Viel Äther darf man nicht anwenden, denn die Schuppen sind zwar nur wenig, aber doch etwas lös- lich darin. Mischt man die ätherische Lösung mit Al- kohol, destillirt den Äther ab und lässt den Rück- stand erkalten, so erhält man noch eine Portion Schuppen, welche sich in kaltem Alkohol nur sehr wenig und in noch viel geringerer Menge als in kal- tem Aether lösen. Man kann auch das Produkt der Einwirkung der Salzsäure auf das Benzoin direkt mit Alkohol behandeln, allein dann erhält man nicht im- mer sogleich Schuppen von weisser Farbe, und wenn dieselben einmal gelblich gefärbt sind, so gelingt es nicht immer leicht, sie durch Umkrystallisiren farblos zu erhalten. Im Ganzen erhält man von den Schuppen ungefähr 28°, oder etwas weniger als den dritten Theil des angewendeten Benzoins. Die nach der Abscheidung der Schuppen rückstän- digen alkoholischen und ätherischen Lösungen haben eine gelbe Farbe und geben nach der Entfernung eines Theiles des Alkohols oder Äthers Krystalle von Benzil, deren Menge etwas weniger als die der Schuppen, und zwar ungefähr 26%, beträgt. Der ge- gen 40%, des angewendeten Benzoins betragende Rest bildet ein dickes, gelbes Öl, welches in Wasser un- löslich, in Alkohol aber leicht löslich ist und sich in allen Verhältnissen mit Äther mischt. Der schuppige Körper, den ich Lepiden nennen will, ist in Wasser unlöslich; von kochendem 94, Alkohol erfordert ein Theil desselben 170 Th. zu seiner Auflösung, aber beim Abkühlen und Stehen dieser Flüssigkeit über Nacht scheidet sich fast alles - Aufgelöste wieder aus, so dass höchstens noch ein Theil auf 1000 Th. in der Auflósung bleibt, welche durch Vermischen mit Wasser nur schwach getrübt wird ohne etwas auszuscheiden. Ist der Kórper einmal in der entsprechenden Quantität Alkohol aufgelöst, so kann man die Auflósung so weit einkochen, dass auf 1 Th. desselben nur 76 Th. Alkohol bleiben, und erst dann beginnt die Ausscheidung von Krystallen. Von Ather bedarf ein Th. Lepiden bei der gewöhn- lichen Temperatur, von 17? C. ungefähr, 52 Theile zur Auflósung. Durch Kochen damit wird die Aufló- Bulletin de l'Académie Impériale 151 stücke der scheinbaren Bahn und die relative Lage der Componenten für die nächste Zeit: Halbe grosse Axe., Halbe kleine Axe Entfernung des Mittelpunktes der Ellipse vom Hauptstern „416 Positionswinkel der Verbindungslinie bei- o r der Punkte ( — 86 48 Positionswinkel der Apsidenlinie ........... + 46 18 P d 1868,0 275,20 1,426 70,0 279,62 1,422 72,0 284,05 1,420 74,0 288,50 1,418 76,0 292,97 1,413 78,0 297,45 1,409 80,0 301,97 1,408 82,0 306,50 1,408 84,0 311,02 1,409 86,0 315,52 1,411 88,0 320,01 1,415 90,0 824,49 1,420 Über einige Derivate von Benzoin, von N. Zinin. (Lu le 20 décembre 1866.) Wenn man 1 Theil Benzoin mit etwas mehr als seinem anderthalbfachen Gewichte rauchender, unge- fähr bei ې‎ 8°C. gesättigter Salzsäure in einem zuge- schmolzenen Rohre 7 bis 8 Stunden lang auf einer Temperatur von + 130° C. erhält, so wandelt es sich gänzlich in einen ölartigen auf der Säure schwimmen- den Körper um, welcher auch beim Erkalten flüssig bleibt und im geschlossenen Rohre mit der Zeit nur allmählich, beim Öffnen des Rohres aber sogleich zu einer blättrigen, gelblichen Masse gesteht. Schwä- chere Salzsäure bringt dieselbe Umwandlung hervor, bedarf aber dazu einer Temperatur von + 160 bis 170? C und einer längeren Erhitzung. Mit schwäche- rer Säure erhielt ich zuweilen unter noch näher zu bestimmenden Bedingungen Körper anderer Art. Beim Óffnen des Rohres entweicht etwas salzsau- res Gas, und die öl- oder butterartige Masse erfüllt sich mit Blasen; sie erstarrt endlich vollständig und nach dem Auswaschen mit Wasser und Trocknen fin- det man, dass ihr Gewicht dem des angewendeten Ben- zoins gleichkommt. Dieses Produkt lässt sich leicht in drei Körper trennen; der eine ist ein weisser, schuppiger, in Al- 154 0.458 gaben 1.514 CO, und 0.231 H,O folglich 90.15% C und ۰ berechnet gefunden Gu 90.32 90.12 ..; 90.15 H. 5.97 5.55 5.60 0 ée سو‎ Gef Trotz seiner Unempfindlichkeit gegen Ätzkali ist das Lepiden sehr empfindlich gegen oxydirende Körper. Ein erstes Oxydationsprodukt erhält man durch Ein- wirkung von Salpetersäure bei der gewöhnlichen Tem- peratur, wobei man die Säure nicht stärker als von 1,3 sp. G. und in solcher Menge nehmen muss, dass sie ungefähr 2 Linien hoch über den Krystallen des Lepidens steht. Nach einiger Zeit sieht man, dass die Krystalle das Ansehen elänzender Schuppen verlie- ren, und, indem sie trübe und gelblich von Farbe werden, sich in feine mikroskopische Nadeln verwan- deln; eine Entwickelung rother Dämpfe ist dabei nicht bemerkbar, die Säure färbt sich aber etwas elb; Umschütteln befördert die Umwandlung. Das Gewicht des erhaltenen Produktes ist dem des ange- wendeten Lepidens entweder gleich, oder es beträgt nur wenig mehr. Wenn man das Produkt aus Alko- hol oder Essigsäure umkrystallisirt, so erhält man es vollkommen weiss, Ein zweites Verfahren zur Darstellung desselben Produktes, welches mehr geeignet ist für die Berei- tung grösserer Mengen und kürzere Zeit erfordert, besteht in Folgendem: Man übergiesst einen Theil Lepiden mit 10 Theilen Essigsäure, erhitzt zum Ko- chen, wobei sich nicht alles Lepiden löst, und setzt der ziemlich flüssigen Masse ein Gemisch von 1 Th. Salpetersäure von 1,5 ۰ G. und 3 Th. krystallisi- render Essigsäure zu*). Dabei findet eine Entwicke- lung rother Dämpfe und ein Aufwallen in der Flüs- sigkeit statt, und allmählich löst sich alles auf; setzt man nun noch etwas von der Süuremischung zu, SO begihnt auf dem Boden des Gefässes die Ausschei- dung grosser, nadelförmiger, schwach gelblicher Kry- stalle, und beim Erkalten erfüllt sich die ganze gelb- gefärbte Flüssigkeit damit. Die Krystalle sind nicht leicht ganz weiss zu erhalten. *) Die Anwendung der krystallisirenden Essigsüure als Verdün- nungsmittel der Salpetersäure habe ich meinem Collegen Fr itzsch e entnommen, welcher damit bei seinen Untersuchungen über die Koh- lenwasserstoffe gute Resultate erzielt hat. des Sciences de Saint, Pétersbourg. 153 oo —B—— sung befórdert und die Menge des sich auflósenden vermehrt; denn 1 Th. Lepiden lóst sich schnell schon in 38 Th. kochenden Athers. ` Von kochender, krystallisirender Essigsäure bedarf 1 Th. Lepiden gegen 28 Theile zur Auflósung, aus welcher sich beim Abkühlen und 24stündigem Stehen fast alles wieder ausscheidet und nur ungefähr 1 Th. auf 500 Th. gelóst bleibt. In Benzol lóst es sich in grosser Menge, 1 Th. in 8 Th. bei der gewühnlichen Temperatur, und besonders schnell beim Erwärmen, wobei sich 1 Th. Lepiden in weniger als 2 Th. Ben- zol auflöst, während die Auflösung in Alkohol und Essigsäure nur langsam erfolgt. Aus der alkoholischen Lösung krystallisirt das Le- piden in flachen Nadeln, welche entweder federartig oder zu breiten Blättern an einander gewachsen sind; die kleinen Krystalle, welche bei schnellem Erkalten durch Umschütteln der Lösung erhalten werden, zei- gen unter dem Mikroskope alle die Form langer, sechs- sejtiger Tafeln. Aus Essigsäure krystallisirt es ähn- lich wie aus Alkohol, nur erscheinen die Blätter grös- ser und dünner. Beim Erhitzen bis auf + 175°C. verändert sich das Lepiden nicht, fängt aber bei dieser Temperatur an zu schmelzen und verwandelt sich in eine farblose Flüssigkeit, welche beim Erkalten krystallinisch zu einer strahlig- blättrigen Masse erstarrt. Wenn es beim Schmelzen überhitzt worden ist, ٥ krystallisirt es beim Erkalten nicht und erhärtet nur langsam zu einer durchsichtigen, harzartigen Masse, welche mit der Zeit weiss und undurchsichtig wird. Bei 220" C. bildet das Lepiden schon Dämpfe und in kleinen Men- gen (von 10 Gm.) kann man es überdestilliren, ohne dass es sich veründert; sowohl das überdestillirte, als auch das nur überhitzte sind beide ihren Eigenschaf- ten zufolge unveründertes Lepiden. Alkoholische Kalilösung ist ohne Wirkung auf das Lepiden; selbst wenn man e$ mit festem Ätzkali bis zum Kochen erhitzt, wobei das Ätzkali schmilzt, ver- ändert es sich nicht in seinen Eigenschaften und nimmt nur eine gelbe Farbe an, welche es beim Um- stallisiren behält. وس‎ Analyse hat für das Lepiden die Formel C,,H,,0 ergeben: | 0.696 gaben 2.300 CO, und 0.348 H,O entspre- chend 90,12%, C, und 5.55, Hn | 156 Beim Destilliren der Nadeln geht fast alles ohne Rück- stand über, die letzten Portionen schwieriger als die ersten, und man erhält eine róthlichgelbe, harzartige Masse, welche sich leicht in kochendem Alkohol und Äther löst. Der Analyse zufolge entspricht die Zusammen- setzung der Nadeln der Formel C, H,, O,. 20 "2°" 0.473 gaben 1.500 CO, und 0.230 H,0 entspre- chend 86.48%, C und ۰ 0.460 gaben 1.460 CO, und 0.221 H,O entspre- chend 86.54% C und 5.33% H. berechnet gefunden C. 8659 8648 86.54 Gë 5.15 5.40 5.33 0» —— Der Körper ist also Oxylepiden. Die kochende Lösung dieses Körpers in Essigsäure färbt sich bei der Einwirkung von Zink nur schwach gelblich, und die ganze Quantität des aufgelösten Körpers verwan- delt sich bald vollständig in Lepiden. Aus 100 Th. Oxylepidens erhält man 89 Th. Lepiden; Nebenpro- dukte treten nicht aut. Eine kochende alkoholische Kalilösung wirkt nur schwierig auf das Oxylepiden ein; kocht man aber 1 Th. Oxylepiden mit 16 — 20 Th. einer Lösung von 1 Th. Ätzkali in 10 Th. Alkohol bis ungefähr auf die Hälfte ein, so lösen sich alle Nadeln auf. Die bräunlichgelbe Lösung setzt beim Erkalten nichts ab, und Wasser scheidet daraus einen krystallinischen Körper ab, welcher kein Oxylepiden mehr enthält. Brom wirkt leicht auf das Lepiden ein. Übergiesst man 1 Th. Lepiden mit 10 Th. Essigsäure, erhitzt zum Kochen und fügt nun in kleinen Mengen Brom hinzu, so löst sich nach einem hinreichenden Brom- zusatze alles auf; setzt man noch etwas mehr Brom zu und nimmt das Gefüss vom Feuer, so erstarrt die noch sehr heisse Flüssigkeit augenblicklich gänzlich durch sich ausscheidende, flache, nadelfórmige Kry- stalle. Bringt man diese auf ein Filter und wüschf sie mit kaltem Alkohol aus, so erhält man ein voll- kommen weisses Produkt, und zwar von 10 Th. Le- piden 13 Th. oder sogar etwas mehr. Dieses Produkt ist in Wasser unlöslich, sehr schwer löslich in kochen- dem (Alkohol 1 Th. in 410 Th. 94°/, Alkohols). Beim Erkalten der alkoholischen Lósung krystallisirt es in Bulletin de l'Académie Impériale 155 Bei vorsichtiger Einwirkung einer Auflósung von Chromsäure in Essigsäure auf eine heisse Lösung von Lepiden in Essigsäure, oder auf ein erhitztes Ge- menge der beiden Körper, wobei man im letzten Falle mit dem Zusatze der Chromsäurelösung aufhören muss, sobald sich alles Lepiden gelöst hat, erhält man die- selben Nadeln; es gelingt aber nicht leicht, diese Operation vollkommen zu leiten, und gewöhnlich setzt man entweder zu viel oder zu wenig ۳۳08016 hinzu und erhält ein unreines Produkt. In starker Salpetersäure löst sich das Lepiden und wandelt sich in einen eigenthümlichen Körper von harzartigem Ansehen um. Bei der Einwirkung einer grösseren Menge von Chromsäure auf Lepiden in Es- sigsäure (ungefähr 2 Th. Säure auf 1 Th. Lepiden) erhält man eine Auflösung, aus welcher sich beim Vermischen mit wenig Wasser behufs der Auflösung des ausgeschiedenen essigsauren Chromoxyds nichts ausscheidet; durch Zusetzen von mehr Wasser aber scheidet sich auch hier ein harziger Körper aus (un- gefähr 6 Th. auf 10 Th. angewendetes Lepiden), wel- cher sich leicht in Alkohol, Essigsäure und Äther löst, und aus den beiden letzten Lösungsmitteln in vierseitigen fast quadratischen Tafeln krystallisirt. Der nadelförmige Körper ist in Wasser unlöslich ` und verhält sich gegen Äther fast eben so; von kochen- dem 94%, Alkohol erfordert 1 Th. 200 Th. zur Auflö- sung, aus welcher sich beim Erkalten und hinreichend langem Stehen fast alles wieder ausscheidet und nur sehr wenig aufgelöst bleibt. In Essigsäure löst er sich etwas leichter als das Lepiden, 1 Th. in 22 Th., nach dem Erkalten scheidet sich aber mit der Zeit fast alles Aufgelöste wieder aus. Die Krystalle aus Essigsäure sind gewöhnlich grösser als die aus Al- kohol, ihre Form ist aber dieselbe. und zwar viersei- tige Prismen. In Benzol sind die Nadeln leicht lös- lich. Der Körper beginnt bei + 220° C. zu schmel- zen und bildet eine gelbliche Flüssigkeit, welche peim sofortigen Erkalten zu einer krystallinischen Masse von unveränderten Eigenschaften erstarrt; wird er aber bis zum anfangenden Sieden erhitzt, so erstarrt er beim Erkalten zu einer gelben, harzartigen Masse, welche sich leicht in Ather und Alkohol löst. Beim Erkalten der kochenden alkoholischen oder beim Vér- dampfen der ätherischen Lösung erhält man Krystalle, welche andere Eigenschaften besitzen als die Nadeln. Benzoin bin ich bis jetzt noch zu keinem Resultate gelangt. Es versteht sich von selbst, dass ohne Un- tersuchung dieses Produktes sich keine Gleichung als Ausdruck der Reaction bei der Umsetzung des Ben- zoins geben lässt; wenn man aber die Mengen der ge- bildeten Kórper berücksichtigt, so ergiebt sich jeden- falls, dass bei der Bildung des Lepidens und Benzils aus dem Benzoin gleichzeitig ein Oxydations- und ein Desoxydationsprocess vor sich geht, oder ein Process der Wegnahme von Sauerstoff und Wasserstoff, und zwar von letzterem eines Moleküls mehr als der aus- getretene Sauerstoff zur Wasserbildung bedarf. Mir scheint die Verdoppelung der Benzoingruppe im Le- piden und die grosse Bestündigkeit des letzteren nicht ohne Interesse zu sein. Die Bohrversuche zur Entdeckung von Steinkoh- len auf der Samarahalbinsel, und die Naphtha- quellen und Schlammvulkane bei Kertsch und Taman, von G. v. Helmersen. (Lu le 20 dé- cembre 1866.) (Bericht an den Finanzminister Hrn. v. Reutern.) (Mit einer Tafel.) I. Die Samarahalbinsel und die auf ihr unternommenen Bohr- |. versuche. II. Die Entstehung der Samarahalbinsel. III. Die Schlammvulkane und die Naphtha bei Kertsch und Taman. Über den wahrscheinlichen Zusammenhang zwischen den Gasausstromungen am Kaspischen Meer einerseits und dem Sinken des Kaspischen Bodens und Niveaus andererseits. I. Die Samarahalbinsel und die auf ihr unternommenen Bohrversuche. Wenn man, von Simbirsk kommend, die Wolga hinabschifft, gelangt man bei der Mündung des Ussa- flusses an eine bis zu dem Meridian von Samara sich erstreckende Halbinsel, an deren nórdlichem, felsigem, bis 400 Fuss hohem Ufer die Wolga bis zu der Mün- dung des Sok in westóstlicher Richtung fliesst; hier nimmt sie plótzlich bis Samara eine nordsüdliche an und wendet sich dann von hier eben 0 scharf bis Ba- traki nach Westen. Von dem grossen Bogen, den der Strom hier beschreibt, rührt für diese Halbinsel der russische Name Samarskia luka ') her. Ihr malerisches Nordufer trägt an verschiedenen Stellen verschiedene Namen, von denen wir nur der wichtigsten erwähnen wollen. 50 heissen die östlich von Ussolje zunächst liegenden Höhen die Sokolji Gory, . des Sciences de Saint = ۰ 1) Der Samara’sche Bogen. (Hierzu das Kärtchen Fig. 4.) 157 dünnen und schmalen langen Tafeln, welche zuweilen strahlenförmig zu Bündeln verwachsen sind. Die Lösung des Körpers in kochender Essigsäure, wovon 1 Th. 66 Th. bedarf, erfüllt sich beim Erkal- ten gänzlich mit dünnen und schmalen glänzenden Blättchen, welche in ihrem Ansehen an die Benzoe- säure erinnern und lose in der Flüssigkeit aufgesta- pelt sind, so dass nach dem Umschütteln ihre Menge sehr viel geringer erscheint als vorher. In Äther löst sich der Körper zwar in nicht gros- ser Menge (1 Th. in 50 Th. kochenden Äthers), aber schnell, und beim Erkalten scheidet sich fast nichts aus; beim freiwilligen Verdampfen der ätherischen Lösung krystallisirt er in sehr dünnen, zuweilen ge- wundenen und gekrümmten Blättchen. Beim Erhitzen fängt der Körper bei ې‎ 190° C. an zu schmelzen, wobei er ein wenig gelb wird; beim Erkalten erstarrt er entweder zu einer krystallinischen oder zu einer harzartigen Masse, je nach dem er nur bis zum Schmelzen erhitzt oder überhitzt worden war. Der Analyse zufolge wird die Zusammensetzung dieses Körpers durch die Formel Cas His Bra O aus- gedrückt. 0.370 gaben 0.860 CO, und 0.120 H,O entspre- chend 63.38"/ C und 3.60 H. 0.460 gaben 0.324 Br Ag entsprechend 30%, Br. berechnet gefunden Cas 63.39 63.38 Ha 3.89. . 3.60 Br; 30.18 30.00 0 iss ie Der Kórper ist also dibromirtes Lepiden. Gegen Salpetersáure verhàlt es sich vollkommen wie das Le- piden und giebt ein nadelförmiges Produkt, welches sowohl im äusseren Ansehen, als auch hinsichtlich seiner Löslichkeit dem Oxylepiden sehr nahe kommt. Mit Fünffach-Chlorphosphor bildet das Lepiden bei schwachem Erwärmen eine röthliche Flüssigkeit, welche nach dem Auswaschen mit Wasser fest wird, sich leicht in Alkohol und Äther löst und aus diesen Auflösungen sich in dünnen, langen Nadeln ausschei- det. Dieses Produkt konnte ich vorläufig keiner wel- teren Untersuchung unterwerfen, weil mir die ganze dargestellte Menge zufällig verloren ging. vaia Mit dem dritten, ein gelbes dickflüssiges Ol bil- denden Produkte der Einwirkung der Salzsäure auf Als die Herren Murchison, Verneuil und Graf Keiserling die Samarahalbinsel im Jahre 1841 be- suchten, erkannten sie an deren Nordufer den Fusu- linenkalk wieder, den sie bereits im Norden Russlands bei Wyterga an der Dwina gesehen hatten. Es war damit festgestellt, dass die Gesteine jenes Ufers der oberen Etage des Russischen Bergkalks angehóren, und seitdem war die Annahme gerechtfertigt, dass in grósserer Tiefe dureh Bohrarbeiten auch der untere oder Productus-Gigas-Kalkstein und unter diesem den Tula’schen ähnliche Steinkohlenlager . zu erreichen seien. ) MEN Der Gegenstand blieb aber eine lange Reihe- von Jahren ohne weitere Beachtung. Als die bekannten, von Romanowsky geleiteten Bohrversuche bei Ser- puchow und Podolsk, im Moskauer Bergkalkbassin, zu keinen befriedigenden Resultaten geführt hatten, da mittelst derselben in grosser Tiefe nur dünne Flötze geringer Qualität aufgefunden wurden, ward die Auf- merksamkeit wieder auf den Samara’schen Kohlenkalk gelenkt, in welchem solche Versuche möglicherweise besser gelingen konnten. Dieses Mal kam aber noch ein besonderer Umstand hinzu. Der Oberberghauptmann der Uralschen Berg- und Hüttenbezirke, Völkner, hatte bereits 1860 auf die Nothwendigkeit hingewiesen, die Uralsche Steinkohle zu verwerthen. In Folge dessen ward Pander 1851 von der Oberbergbehórde beauftragt, die dortige Kohlen- formation zu untersuchen. Eines der wichtigsten Re- sultate war, dass Pander nachwies, dass, mit Aus- nahme einer einzigen Lokalitüt, Archangelo-Paschiskoi, alle Steinkohlenlager des Westabhanges ihre Stelle zwischen dem oberen und dem unteren Bergkalke ein- nehmen, wodurch die westuralische Steinkohlenfor- mation sich so wesentlich von der des Ostabhanges und von der Tula-Kaluga'schen unterscheidet, in wel- cher die Kohlenflótze nie zwischen den beiden Berg- kalketagen, sondern stets im Liegenden der untern, den Productus-Gigas enthaltenden, vorkommen. : Da man nun a priori nicht behaupten konnte, dass die Bergkalkformation der Samarahalbinsel in Bezug auf das Kohlenvorkommen durchaus den Charakter des Kaluga-Tulaer Terrains haben müsse, und da kein triftiger Grund der Annahme entgegenstand, dass an der Wolga möglicherweise unter dem oberen Berg- kalke das Uralische, kohlenführende Mittelglied der Bulletin de l'Académie Impériale 159 die Falkenberge, und deren óstliche Fortsetzung die Sheguli- oder Shegulew - Berge, nach dem Dorfe glei- ches Namens. Pallas war der erste Naturforscher, der der Sa- marahalbinsel erwähnt. Es wurde damals bei Ussolje aus einer schwachen Sole Salz gesotten und bei Ser- noi gorodok Schwefel gewonnen, der hier in einem Kalkstein als Imprägnation vorkommt. In gewissen Kalksteinen des Südufers der Halbinsel kommt über- diess noch Asphalt vor, und in unserer Zeit ist man auf den Gedanken gekommen, hier auch Steinkohlen- lager zu suchen, nachdem man erkannt hatte, dass das nórdliche Steilufer aus den oberen Schichten des Bergkalks besteht, und dass dieser auch an dem süd- lichen Ufer hervortritt. In dem Kalksteine des Nordufers waren Pallas die Myriaden eines Kórpers aufgefallen, den wir Fu- sulina cylindrica nennen. Pallas nannte sie Madrepo- riten und verglich ihre Gestalt sehr treffend mit Wai- zenkórnern. Der gemeine Mann nennt sie auch heute noch versteinerten Roggen (okawemfast poxb). Eine erste, aber unrichtige Altersbestimmung die- ser Gesteine geschah im Jahre 1837 durch einen Bergbeamten, den man beauftragt hatte, das Vor- kommen des Asphalts auf der Samarahalbinsel zu un- tersuchen (Gornoi Journal, 1837, Theil IV, p. 411). Er wies nämlich die bei Petscherskoje und Kostititschi aufsetzenden Schichten der Kreideperiode zu. Jasy- kow, der die Samarahalbinsel besucht, aber nicht spe- ciell untersucht hatte, scheint sie für Bergkalk gehal- ten zu haben. Diess geht aus einem in der Zeitschrift Moskwitänin 1843, 16 3, pag. 167 von ihm bekannt gemachten Artikel hervor. Er weist in demselben die weissen Kalksteine bei Sernowodsk, die Murehison später für Permische erkannte dem Bergkalke zu, nachdem er vorher gesagt, es erstrecke sich der Kalk- steingürtel der Shegulewschen Berge, von der Wolga unterbrochen, weiter nach Osten am Sok hinauf bis Sernowodsk. Er hatte zwar das wahre Alter der Schichten von Sernowodsk, aber nicht ihren paläozoi- schen Charakter verkannt, und es ist gewiss sehr ver- zeihlich, wenn man bei einer ersten Bekanntschaft mit unserem oberen Bergkalke und unterem Permischen beide nicht streng genug von einander hält, da sie ja in der That in einander übergehen und manches Ähn- liche mit einander haben. 162 men ist. Diese erheben sich in horizontalen Bänken, nach Pander's Angabe, wohl mehr als 40 Faden, also gegen 300 Fuss über das Niveau der Wolga und sind an mehreren Stellen von tiefen, nach der Wolga mündenden Schluchten und Thälern durchschnitten, die passende Stellen zu Bohrarbeiten bieten. Ein sol- cher Punkt ist z. B. Ussolje. Am Südufer erscheinen Bergkalkschichten nur auf dem Raume, der einerseits von Petscherskoje und Gu- bina, and its von der Stadt Ssysran begrenzt wird, und sie sind hier auffallenderweise unmittelbar von Juraschichten bedeckt, wie das auch im Moskauer Bergkalkbecken der Fall ist, wo zwischen dem Jura und dem oberen Bergkalk ebenfalls keine Permischen Schichten eingeschaltet sind. Die Juraschichten erreichen aber schon westlich von Petscherskoje ihr Ende, und weder Pacht noch Pander fanden sie weiter im Osten, wo nur Permi- sche Ablagerungen auftreten. Gegen den Nordrand hin steigen diese immer höher an, ja sogar bis auf die hóchsten Gipfel des hohen Schegulewschen Bergkalk- zuges, der unter ihnen hervortaucht, wie man das auch am Westabhange des Urals sehen kann, 7. B. bei Ster- tamak. Pander, dem wir die Kenntniss dieser Ver- hältnisse verdanken, machte auf die so eben erwähn- ten Ähnlichkeiten aufmerksam und warf dann die Frage auf‘): Welchen von den beiden Lokalitäten, dem Ural, oder dem Moskauerbecken, schliesst sich der in der Mitte zwischen beiden liegende Bergkalk der Samara- halbinsel an? Auf diese Frage gab er folgende Ant- wort: Am Ural liegt unter dem oberen Bergkalke, d.h. zwischen diesem, und dem unteren, der Sandstein mit Kohlen. Im Moskauer Bassin liegt der obere Bergkalk ohne Zwischenglied unmittelbar auf dem unteren. Der Bergkalk der Samarahalbinsel wird unmittelbar von Gliedern des Permischen Systems bedeckt und gleicht hierin dem Ural. Wir hätten also unter dem Berg- kalke dieser Gegend den Sandstein mit Kohlen zu er- warten, meinte Pander, wenn es überhaupt erlaubt ist, von der gleichen Beschaffenheit der Lagerung des . Gesteins und der Fauna auf gleiche 6 in der Tiefe zu schliessen. Ausser der Lagerung, fährt er fort, kommt aber auch die Fauna, die das damalige Meer in den verschiedenen Gegenden belebte, in Be- 4) Cit. loco pag. 134. à des Sciences de Saint- Pétersbourg. Formation vorhanden sei, sah ich mich veranlasst, im März 1862 unserer Bergbehórde den Vorschlag ` gu einer genauen geologischen Untersuchung der Sa- marahalbinsel zu machen. Es würe überflüssig, hier von der Wichtigkeit zu reden, die bauwürdige, dicht an der Wolga befindliche Steinkohlenlager haben würden. | Schonin demselben Jahre ward diese Untersuchung durch Pander ausgeführt, dem hier die Arbeiten ei- nes talentvollen Geologen vorausgegangen waren. Rai- mund Pacht, den die Wissenschaft so plötzlich ver- lor, hatte auf seiner, im Jahre 1853 im Auftrage der Kaiserlich - Russischen Geographischen Gesellschaft ausgeführten Reise auch die Samarahalbinsel besucht und deren geologischen Bau und die in ihren Schich- ten vorkommenden Versteinerungen beschrieben 27 Von 25 Arten, die Pacht hier sammelte, gehóren 19 Arten dem oberen Bergkalk, 6 dem Permischen Sy- ` steme an. Aus dem Vorkommen dieser Versteinerungen ging hervor, dass der Bergkalk, der von Ssysran nach ۰ den unteren Theil des Wolgaufers bis Petscherskoje bildet, ganz mit den Schichten übereinstimmt, die von Ussolje bis Podgory zusammenhängend fortziehen und durch Fusulina cylindrica, Cidaris rossicus , Encri- niten, Cuninia ibicina, einige Cyatophyllen, Orthis exi- mia und Productus semireticulatus charakterisirt wer- den. Auch setzte Pacht das Vorkommen von Permi- schen Schichten auf der Samarahalbinsel zwar ausser allen Zweifel, er gab ihnen jedoch, wie seine geolo- gische Karte bezeugt, eine viel zu geringe Ausdeh- nung. Pandern bleibt das Verdienst, ein vollständige- res und berichtigtes Bild dieser Örtlichkeit gegeben zn haben. Wir wollen indessen nicht unerwühnt las- sen, dass Pacht auf seiner Karte das Vorkommen des Bergkalks auch am linken Wolgaufer von der Mün- dung des Sok bis auf den halben Weg von hier nach Samara schon angiebt. Pander's Untersuchungen °) haben gezeigt, dass zwei Drittheile der Samarahalbinsel von Permischen Schichten und nur das nördliche Drittheil, von Ussolje bis ans Ostufer, von Bergkalkschichten eingenom- 2) Baer und Helmersen: Beiträge z. Kenntn. d. Russischen i : dchen, 1858. eg Me Kais. Russ. Mineralogischen Gesellschaft J ahrg. 1863. pag. 121. Tome XI. 164 bis an den oberen Rand des mindestens 200 Fuss ho- hen, steilen, felsigen Ufers anstehen. Ganz oben, auf der Hóhe fand Romanowsky weissen Gyps, der viel- leicht Permischen Schichten angehórt. Da Romanow- sky den Fusulinenkalkstein auch am linken Ufer des Sok, von Staroie Semeikino bis Zarew Kurgan beob- achtet hat, so kann kein Zweifel darüber sein, dass der Bergkalk hier eine gróssere Verbreitung hat, als man bisher angenommen, und dass die schmale Berg- kalkzone an dem Nordufer der Samarahalbinsel am Sok hinauf ihre Fortsetzung findet. Pander c. I. pag. 124 hält alle Gesteinslager vom Sok bis Samara (am linken Wolgaufer) für Permischen Alters, und nur den Zarew Kurgan für Bergkalk. Er glaubt der Bergkalk von Ussolje bis Zarewschtschina sei aus der Tiefe ge- hoben. Dieser Umstand ist nicht unwichtig, denn ge- lingt es, am Zarew Kurgan Steinkohlanlager zu erboh- ren, 80 wäre die Anlage von Bohrlóchern am Sok hin- auf und am linken Ufer der Wolga zwischen dem Sok und Samara auch gerechtfertigt. In einer Entfernung von etwa 15 Werst vom Sok, auf dem halben Wege nach Samara, war kein Fusuli- nenkalk mehr zu sehen; die Uferfelsen bestehen hier aus einer gelblichen, dolomitischen Kalksteinbreccie, in der man viele Lócher und scharfkantige, bis zwei Fuss lange Bruchstücke eines dichten, gelbgrauen Kalk- steins bemerkt. Weder in der Hauptmasse noch in den Einschlüssen konnten wir organische Reste finden. Murchison, Pacht und Pander nehmen sowohl hier als in Samara Permische Schichten an. Die Entfernung von der Mündung des Sok bis Sa- mara beträgt 30 Werst. Da nun an dem Sok und an seiner Mündung die Permischen Schichten mindestens 200 Fuss hoch über dem Niveau der Wolga, bei Sa- mara aber bereits in diesem Niveau liegen, so ist es unverkennbar, dass sowohl der Bergkalk als das ihn bedeckende Permische, wenn auch nur schwach, aber nach Süd geneigt sind, und diese Neigung lässt sich sogar in Zahlen approximativ ausdrücken. Sie betrügt auf 30 Werst 200 Fuss oder 6'/, Fuss auf eine Werst. Auf diesen Gegenstand werde ich später zurückkom- men, da er eine praktische Bedeutung hat. Von Samara begab ich mich, begleitet von Hrn. Ro- manowsky, naeh Batraki. Er hatte den Bohrplatz am ‚östlichen Rande des Dorfes, in der Nähe eines Brunnens gewählt, der das Wasser für die bei der Bohr- Bulletin de l’Académie Impériale 163 tracht, und in dieser Beziehung stimmt der obere Bergkalk der Samarahalbinsel mehr mit dem Ural- schen als mit dem Moskauschen überein. Pander's Vorschlag, auf der Samarahalbinsel nach Kohlenlagern zu bohren, ward vom Kaiserlichen Berg- departement angenommen und der Oberst Roma- nowsky beauftragt, passende Bohrplätze zu. ۰ Diess geschah im Jahre 1863. Romanowsky war der Meinung, man solle zu gleicher Zeit zwei Bohr- löcher ansetzen: das eine bei Ussolje am Westrande des Bergkalkzuges, das andere ‘am östlichen Ende, bei Zarew Kurgan oder Zarewschtschina, am linken Wolgaufer, unweit der Mündung des Sok. Auf einen dritten Punkt, das Dorf Batrazkaia oder Batraki am Südwestufer der Halbinsel, hatte Romanowsky vor- läufig auch hingewiesen, zog ihm indessen Ussolje vor. Die Tiefe, in welcher man die kohlenführenden Sand- steine erreichen könne, vorausgesetzt dass sie hier ‚überhaupt existiren, اسا‎ er, nachdem er die Ört- lichkeit untersucht babes von 400 bis 1050 Fuss engl. annehmen zu dürfen. Im Sommer des Jahres 1864 ward ich beauftragt, die Wahl der beiden Bohrplätze an Ort und Stelle zu . begutachten. Ich begab mich zuerst nach Zarew Kur- gan, der Besitzung der Gebrüder.Daschkow. Der Zarew Kurgan (Zarenhügel) ist ein isolirter, aus Fusu- linenkalkstein bestehender Berg, den die Wolga, als sie in einer jüngst verflossenen geologischen Periode noch einen hóheren Stand hatte, von allen Seiten umstrómte. Seine ganze Erscheinung erinnert vollständig an das inselartige Plateau untersilurischer Schichten, auf welchem die alte Russische Festung Iwangorod bei Narva liegt. Die Schichten des Zarew Kurgan haben eine schwa- che Neigung nach NO.; der Bohrplatz ward dicht an seinem nordöstlichen Fusse gewählt, am Rande des Dorfes Zarewschtschina. Da der Zarew Kurgan etwa 160 Fuss hoch ist, so kann das Bohren hier sogleich in den mittleren Schichten der oberen Etage ange- setzt werden, wie das auch bei Ussolje der Fall ist. Wir waren nach Zarewschtschina zu Lande aus Sa- mara gekommen. Den Rückweg machten wir auf der Wolga zu Boote und untersuchten das linke Stromufer an mehreren Stellen. Nachdem wir an der Mündung des Sok vorübergefahren waren, sahen wir 4 Werst flussabwärts von Zarew Kurgan den Fusulinenkalk 400 Fuss, Pander für den Molodezkoi Kurgan 300 Fuss über dem gewóhnlichen Stande der Wolga an. Im Jahre 1833 bestimmte ich während einer Wasser- fahrt von Nishni-Nowgorod nach Kasan, die Höhe des rechten Wolgaufers an verschiedenen Stellen mittelst eines Barometers. — Dem Flecken Makarjew gegen- über fand ich eine Hóhe von 416 Fuss engl. Der Molo- dezkoi Kurgan in den Shegulew-Bergen scheint mir mindestens dieselbe Hóhe zu erreichen. Neuerdings (1866) hat der Oberst Jeremejew die Höhe des rech- ten Wolgaufers bei Tetuschi und in der Umgegend zu 420 und 490 Fuss engl. abgeschützt. (Handschriftli- cher Bericht über seine geologische Reise zur Unter- suchung des Naphtbavorkommens am Sok und in den Nachbargegenden.) | Nehmen wir für die bei Ussolje liegende Hóhe Ka- ràulnaja?) auch nur eine Erhebung von 350 Fuss an, und diese ist sicherlich nicht zu hoch gegriffen, und nehmen wir ferner an, dass der anstehende Kalkstein etwa 30 bis 40 Fuss unter der Oberfläche des das Ussathal erfüllenden Schwemmlandes liegt, so erhal- ten wir hier einen 380 bis 390 Fuss tiefen Einschnitt in den oberen Bergkalk. Es würde also ein im Ussa- thale angesetztes Bohrloch eine Schichtenfolge von so bedeutender Mächtigkeit ganz vermeiden, und die Arbeit könnte unmittelbar in der Schicht beginnen, welche unter dem eigentlichen Fusulinenkalke liegt. Da überdiess in Ussolje sich eine gute, von englischen Meistern bediente mechanische Werkstatt befindet, und da die Gutsverwaltung die Arbeit zu fördern und zu unterstützen versprach, so war ich der Meinung, dass man das zweite Bohrloch hier und nicht etwa in Batraki anlegen solle, wo die geologischen Verhält- nisse offenbar viel ungünstiger sind, wie man aus fol- genden Umständen leicht entnehmen kann. Ich habe oben bereits mehrerer Thatsachen erwähnt, die es nicht nur wahrscheinlich, sondern gewiss ma- chen, dass sowohl die Permischen als die Bergkalk- schichten der Samarahalbinsel nicht völlig horizontal sind, wie man geglaubt hat, sondern dass sie allmählich von Nord nach Süd sich neigen. Diesem Verhältnisse entspricht auch die Konfiguration des ganzen Pro- montoriums. Allen Besuchern desselben wird es auf- gefallen sein , dass das Südufer, sogar da, wo es fel- 5) Es ist dieselbe, auf welcher ein steinerner Thurm erbaut ist, von welchem man einer schönen Fernsicht "n des Seiences de Saint-Pétersbourg. 165 arbeit anzuwendende Dampfmaschine liefern sollte. An dieser Stelle ist der Fusulinenkalk vom Diluvium bedeckt, man kann ihn aber zwei Werst östlich von hier in einer Schlucht zu Tage gehen sehen; er ist von kleinen Adern und Nestern von Asphalt durchzo- gen und in einiger Entfernung vom Wolgaufer von Juraschichten bedeckt. o Nach den Beobachtungen zu urtheilen, die wir hier machen konnten, scheint bei Batraki die obere Fu- sulinenschicht anzustehen, in welcher die Fusuli- nen weniger häufig sind als in einer der tieferen. Murchison hat die erstere in dem, pag. 86, seines Werkes gegebenen Schichtenprofil von Ussolje mit den Buchstaben f und g bezeichnet. Bei Ussolje liegt sie ungeführ 250 Fuss über dem Niveau der Wol- ga, bei Batraki aber nur wenige Faden über demsel- ben. Um unsere Beobachtungen über den hiesigen Bergkalk zu vervollständigen, besuchten wir auch das Thal Pustilnoi owrag und das Ufer der Wolga bei Pe- tscherskoie. ? Diese Örtlichkeiten sind von Anderen untersucht und beschrieben worden; ich will daher nur erwäh- “nen, dass ich in dem sehr alterirten , dolomitischen Bergkalke des Pustilnoi owrag Spuren von Korallen gefunden habe, die sich jedoch nicht nüher bestim- men liessen. 1 | Am 24. Juni langten wir in Ussolje, dem schönen Besitze des Grafen Orlow-Dawydow an, und mach- ten uns mit den geologischen Verhältnissen der Ge- gend bekannt. ee n | ۱ Ussolje liegt am linken Ufer der Ussa, die hier am westlichen. Fusse der Sokolje Berge hinfliesst. Das Thal erhebt sich hinreichend über dem Niveau der Wolga, um von deren Frühlingsfluthen nie erreicht zu werden. Sein ganzer Boden ist mit Diluviallehm angefüllt; den Untergrund aber bildet Bergkalk, den man zu beiden Seiten der Ussa anstehen sieht; östlich von ihr auf dem Berge Karaulnaia (das westliche Ende des ganzen Höhenzuges) und drei Werst südwestlich von Ussolje an dem Abhange eines ebenfalls tiefen Thales. -Die Höhe der Sokolje und Schegulewschen Berge ist nie genau gemessen, aber von verschiedenen ۰ senschaftlichen Besuchern nach Augenmaas zu 0 bis 400 Fuss geschützt worden. Murchison nimmt für die Schegulewschen Berge eine Höhe von 350 bis Am Südufer erscheint diese Schicht mit vielem Feuer- stein, nach Gerngross, bei Petscherskoie, also in ei- ner viel geringeren Hóhe als bei Ussolje. Und schliess- lich muss noch erwähnt werden, dass der in der 67 von Batraki anstehende Bergkalk wegen seines unbe- | deutenden Inhalts an Fusulinen zu der Schicht f und g des Murchison'schen Gesteinsprofils zu gehören scheint. Da der Bergkalk bei Batraki sich nur unbe- deutend über das Niveau der Wolga erhebt, so liegt auch hier ein Beweis für südliches Fallen des sämmt- lichen Schichtencomplexes der Samarahalbinsel vor. Dass die Gesteine, die wir zwischen Zarew Kurgan und Samara am linken Ufer beobachten, ein ganz ähn- liches Verhalten zeigen, ward schon oben erwähnt. ` Eine indirekte Bestätigung der Annahme eines südli- chen Fallens der Bergkalk- und der Permischen Schich- ten auf der Samarahalbinsel liegt in den interessanten Beobachtungen Jeremejew’s, deren oben bereits er- wähnt wurde. Bei dem Dorfe Matak, das OSO. von dem Sergiewschen Schwefelbade liegt, und bei dem NO. von demselben liegenden Dorfe Schugur, so wie bei dem an derScheschma stehenden Dorfe Sarabikulowa bemerkte Jeremejew an den Permischen Schichten ein schwa- ches Fallen nach Nord. Man kónnte daraus schlies- sen, dass hier ein breites, antiklinales Thal vorhan- den ist, dessen steiler, südlicher Rand durch die Sche- guliberge und deren óstliche Fortsetzung, und dessen Nordrand durch die bei jenen Dörfern erwähnten Schichten gebildet wird. Bestätigt sich dieses Ver- hältniss, so würde man ferner annehmen können, dass die Naphthaquellen am Sok und in den b hbarten Gegenden, ähnlich den Krymschen, in antiklinalen Thälern hervortreten. Aus Allem diesem aber geht hervor, dass ein bei Batraki angelegtes Bohrloch unnóthigerweise etwa 300 oder mehr Fuss zu durchsinken haben würde, um zu demselben geologischen Horizonte zu gelangen, in wel- chem es bei Ussolje unmittelbar unter dem Diluvio angesetzt werden kónnte. Dreihundert Fuss sind aber die Arbeit fast eines Jahres, und wenn man auch so glücklich wäre, bei Batraki wirklich bauwürdige Flötze zu erbohren, so würde der Abbau derselben in schäd- licher Weise durch die grössere Tiefe belastet sein. Trotz dieser Argumente sah die Oberbergverwal- tung sich durch administrative Gründe veranlasst, den Bohrversuch nicht in Ussolje, sondern in Batraki Bulletin de l'Académie Impériale 167 sig ist, nie die Hóhe des Nordufers erreicht. Pacht spricht davon, c. 1. pag. 167, und berichtet pag. 170, dass er dieselbe sehr charakteristische Schicht, welche Murchison am Ussinsky Kurgan ganz oben auf dem Bergkalke aufliegen sah und fuffaceous agglomerate nannte, bei Perewoloka am Südufer wiederfand. Nun liegt aber diese Schicht bei Ussolje mindestens 350 bis 400 Fuss über der Wolga, bei Perewoloka dage- gen nur 120 Fuss über derselben, und eben daselbst beobachtete Pacht 40 Fuss unter dieser Schicht Kalk- steinbänke mit Productus Cancrini, die über das Per- mische Alter der ganzen Schichtenfolge bei Perewo- loka keinen Zweifel lassen. Es liegen also hier die obersten Bergkalkschichten, die bei Ussolje in einer Hóhe von 350 Fuss erscheinen, bereits unter dem Niveau der Wolga. Da Perewoloka im geraden Durchschnitte 16 bis 17 Werst südlich von der Ka- raulnaja gora bei Ussolje liegt, so erhalten wir für die Bergkalk- und die Permischen Schichten ein Fallen von circa 350 Fuss auf 16 Werst — 22 Fuss auf 1 Werst. Es mag ferner angeführt werden, dass Pander, obgleich er die Schichten der Sheguliberge horizon- tale nennt, dennoch selbst berichtet, dass die am Süd- ufer der Halbinsel erscheinenden Permischen Schich- ten allmählich nach Norden bis auf die Gipfel der She- guliberge sich erheben, und von dem Bergkalke sagt er: «Es sei derselbe aus der Tiefe heraufgedrängt worden». x: Ich bin ebenfalls der Meinung, dass hier nach der Ablagerung der Permischen Schichten eine ähnliche He- bung stattgefunden hat, wie an dem Bergkalke von Sterlitamak und anderen Punkten am Westfusse des Urals. Endlich wollen wir auch das gewichtige Zeugniss Murchison's anführen. In dem Schichtenprofil des Ussinski-Kurgan, das er pag. 86 in der «Geology of Russia» gegeben hat, sind die Bergkalkschichten mit südlichem Fallen dargestellt. In den mittleren, mit den Buchstaben 5, c, d be- zeichneten Schichten kommen Myriaden von Fusulina cylindriea vor, in den obern, f und g, die schon min- destens 250 bis 300 Fuss über der Wolga liegen, sind die Fusulinen viel seltener, aber desto häufiger er- scheinen Knollen und ganze Lagen von Feuersteinen. Auf beiden Seiten des Stromes ist er von Permischen Schichten überlagert. Aber vergeblich sieht mau sich auf der linken Wolgaseite nach Jura- oder Kreide- schichten um, und doch unterliegt es keinem Zweifel, dass sie auch hier einst müssen vorhanden gewesen sein, da sie nórdlich und südlich von der Basis der Halbinsel in steilen Felswänden und bei horizontaler Lagerung mehrere 100 F. sich aufthürmen. Sie müs- sen also einst eine weite Fortsetzung nach Osten ge- habt haben, und wir sind gezwungen anzunehmen, dass t Igaschen Sekundairschichten, die sich einst an die Jura- und Kreideablagerungen der Quellgegend des grossen Irgis anschlossen, durch Wassergewalt zerstört worden ۰ Dass das Kaspische Meer einst höher stand als heutzutage, ist allgemein bekannt. Um sich davon zu überzeugen, braucht, es nicht einmal eines Nivelle- ments von seinen Ufern bis zum Schwarzen Meere, mit dem es früher in Verbindung stand, sondern es genügt, sich davon zu überzeugen, dass rings um das Kaspische Meer herum der niedere Steppenboden ei- nige 100 Werst landeinwärts wohl erhaltene Schalen noch jetzt in diesem Meere lebender Muschelarten enthàlt. Und wer das Wolgathal aufmerksam untersucht hat, wird in verschiedenen Gegenden desselben die deutlichsten Spuren eines ehemals viel hóheren Was- serstandes der Wolga bemerkt haben. Am deutlich- sten kann man die alten, in regelmässigen Terrassen abfallenden Ufer zwischen Selisharowo und Twer und zwischen Twer und Jaroslaw beobachten. Versetzen wir uns in jene Zeit zurück. Das tiefe Felsenthor, durch das die Wolga heute ruhig von der Mündung des Sok bis Samara fliesst, war damals wahrscheinlich noch gar nicht vorhanden; es wird diese dreissig Werst lange Strecke, ühnlich dem 50 Werst langen Narovathale, zwischen dem Pei- pus und dem Finnischen Meerbusen, damals eine Reihe vom Stromschnellen dargeboten haben, welche sich in den vorliegenden Bergkalkdamm immer tiefer eingru- ben und ihren Weg vom Südrande des Dammes wahr- scheinlich gerade nach Süden nahmen 6). Die damalige 6) Möglicherweise könnten die beiden Bruderflüsse, der grosse und kleine Usen, die sich in den Kamyschsee verlieren, und die in ihrer Richtung eine so auffallende Ähnlichkeit mit der untern Wolga zeigen, früher das vorhistorische Kaspische Meer erreicht haben. des Sciences de Saint -Petersbourg- vornehmen zu lassen. Dazu kam freilich noch hinzu, dass Romanowsky darzuthun versuchte, wie. bei Ba- traki die oberen Bergkalklager, die bei Ussolje die Höhen zusammensetzen, wahrscheinlich zerstört und gar nicht mehr vorhanden seien, so dass ein hier an- zulegendes Bohrloch bis zu der zu entdeckenden Stein- kohle keine grössere Tiefe zu durchsinken haben wer- de, als bei Ussolje. Ich habe weder diese Ansicht noch die Ansicht Romanowsky’s von der Horizentalität der hiesigen Schichten theilen können. Mögen die Resultate der Bohrungen die Entschei- dung in dieser Differenz bringen. Nachschrift. Lange nachdem diese Zeilen nie- dergeschrieben waren, erhielt ich aus dem Bergde- partement die letzten Nachrichten über diese Arbei- ten. In Zarewschtschina war man am 1. December 1866 bereits 542 Fuss 3 Zoll, in Ussolje am 1. No- vember 1866 418 Fuss 11 Zoll tief gekommen, ohne Kohlenlager entdeckt zu haben. کت لت Il, Die Entstehung der Samarahalbinsel. Ehe ich diese in geologischer Beziehung interes- sante Halbinsel verlasse, sei es erlaubt, eine Meinung ' darüber auszusprechen, welchen Vorgängen sie ihre jetzige Gestalt verdanken könnte. : Wirhaben aus der oben stehenden Beschreibung ge- sehen, dass die ganze Halbinsel, mit Ausschluss ihrer südöstlichen diluvialen Niederung, ein mehrere 100 Fuss hohes, aus schwach nach Süd geneigten Kalk- steinlagern bestehendes Plateau darstellt. Die Härte dieser, zwei verschiedenen Perioden angehörenden Kalksteine ist jedenfalls viel bedeutender als die der Kreide- und Juraschichten, welche am rechten Ufer der Wolga, flussaufwärts von Stawropolj und flussabwärts von Batraki und Ssysran, auftreten, und die in Folge ihrer geringen Festigkeit (es sind lockere Mergel, Sand- ` steine und Thon) von den reissenden Frühlingsfluthen des Stromes so stark benagt werden, dass alljährlich . an den steilen Gehängen grosse Abrieselungen statt- finden. | i ; Die höchste und festeste Rippe der Halbinsel bil- det der von Ussolje bis Schirajew Bujerak streichende Bergkalkzug, der, wie wir gezeigt haben, am gegen- überliegenden Sok seine östliche Fortsetzung findet. 172 tung der Flussbetten» gezeigt. (Kaspische Studien, X VIII, Mélanges phys. et chim. tirés du Bulletin de l'Acad. d. sc. d. St.-Pétersbourg. TomeIV, Livraison 2 et 3. II. Die Sehlammvulkane und die Naphtha (Petroleum) bei Kertsch und Taman, (Hierzu das Kärtchen Fig. 2.) Nachdem ich die Samarahalbinsel besucht hatte, setzte ich meine Reise nach der Krym fort über Sa- ratow und Zarizyn an den Don und an diesem hinab bis Rostow und Taganrog, wo wir ein Dampfboot be- stiegen, das uns nach Kertsch brachte. Hr. Akademiker Abich hat die Halbinseln Kertsch und Taman nach einer ersten im Jahre 1852 ausge- führten Untersuchung, im Herbst des Jahres 1863 nochmals untersucht. Es wareu aber diese Untersu- chungen im Jahre 1864 noch nicht veróffentlicht; sie sind erst 1865 im IX. Bande N. 4 der Mémoiren der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften erschienen. Einen ersten Bericht über meine im Jahre 1864 aus- geführte Reise nach der Samarahalbinsel und nach der Krym habe ich in Russischer Sprache im Gornoi Journal 1865, Heft 3 publieirt. Da ich wusste, dass ` Hr. Abich jene Örtlichkeit einer detaillirteren Erfor- schung unterworfen hatte, als es die Zeit mir erlaubte, enthielt ich mich in jenem Berichte aller Mittheilun- gen über die Lagerungsverhältnisse und den paläon- tologischen Charakter der dortigen Tertiärformation und theilte nur dasjenige mit, was ich an den Naph- thaquellen und an den موی توا تاهج‎ kennen ge- lernt hatte. Auch in dem gegenwärtigen Berichte werde ich mich auf diese letzteren Beobachtungen be- schrünken, die in mancher Beziehung, wie das natür- lich ist, mich zu denselben Schlussfolgerungen cdm haben, wie meinen geehrten Vorgänger. | Ke GC ch. Ich war so glücklich in Kertsch mehrere Personen zu treffen, die mir bei meinen Arbeiten aufs hülfreichste enigegenknmen: wodurch sie mich zu gros- sem Danke verpflichtet haben. Der Gouverneur von Kertsch, Admiral Soil der Englische Consul Hr. Kapitain Clipperton und der Amerikanische Oberst Herr Gowen begleiteten mich auf den meisten meiner Exkursionen in der ih- nen genau bekannten Umgebung von Kertsch, und den Bulletin de l'Académie Imperiale 171 Wolga erreichte das Kaspische Meer jener Zeit etwa in der Parallele von Zarizyn oder Tschernoi yar. Ist diese Voraussetzung richtig, so wird man auchan- nehmen können, dass die Wolga oberhalb des Berg- kalkdammes, ähnlich wie noch heutzutage die Narova, zu einem grossen Süsswassersee angestaut war. Und diese Annahme wird, wie mir scheint, dadurch unter- stützt, dass J asykow gerade in Hose Gegend, näm- lich nördlich von der Samarahalbinsel, an der linken Wolgaseite, die Existenz eines grossen tertiären Süss- wasserbeckens nachgewiesen hat. Man nennt es das Bolgarische Becken, weil hier das alte Bolgary ge- standen hat. Im Sommer des Jahres 1866 fand der Oberst Jeremejew in diesem Becken, mehrere Werst vom Ufer der Wolga, im losen Sande Muschelschalen, die er den Geschlechtern Unio- und Anadonta zuschrei- ben möchte. Wenn diese Schalen höher liegen, als»die Stellen, welche die Frühlingsfluthen der Wolga an de- ren linkem Ufer erreichen, so könnten sie aus der Zeit jenes Sees herstammen. Ziehen wir nun zu diesen Verhältnissen vg Mei- nung hinzu, welche Hr. v. Baer über die Gestaltung der Flussbetten ausgesprochen hat, und nehmen wir mit ihm an, dass die Wolga, wie alle in der Richtung der Meridiane fliessenden Ströme der nördlichen Hemi- sphäre, in Folge der Rotation der Erde eine fortwäh- rende und zur Zeit der Frühlingsfluthen, wegen der grüsseren Wassermenge und des beschleunigten Laufes gesteigerte Tendenz haben, ihr rechtes, bei der Wolga also das westliche Ufer durch Unterwaschung zu zer- stören und somit allmählich vorrücken zu lassen, so lässt sich ohne allen Zwang denken, dass der einst was- serreichere Strom sein Thal von jenem festen, unver- änderlichen Felsenthore weg in den weicheren Jura- und Kreideschichten immer weiter nach Westen ver- setzte, wobei der Schegulewsche Felsengrat mit sei- nem Permischen Anhängsel ausgespart wurde, Diejährlich wiederkehrenden Unterwaschungen und Abrieselungen an den weichen Sekundairschichten bei Singilei und Ssysran zeigen nur zu. deutlich, dass dieser Prozess des allmählichen Vorschreitens EC Westen noch nicht aufgehórt hat. Dass er auch in der Mün- dungsgegend bei Astrachan und an vielen anderen Stel- len in einer sogar in verhältnissmässig kurzer Zeit be- merkbaren Thütigkeit ist, hat Hr. v. Baer in seiner Schrift: «Über ein allgemeines Gesetz in der Gestal- 174 cher Massen. Diese Kugeln kónnen nur auf die Weise entstanden sein, dass der Schlamm beim Trocknen in kubische Massen zerplatzte, deren Ränder sich später durch die Wirkung des Regens abrundeten. In der Nachbarschaft erhoben sich noch zwei Schlammkegel, b (Fig. 5), 7 Fuss hoch, c, 10 Fuss hoch, beide an den Spitzen mit kleinen runden Kratern versehen, aus denen in langen Intervallen und trüge ein dick- flüssiger, grauer Schlamm herausfloss. Jeder Eruption ging Gasausströmung voraus. a ist ein kleiner Hor- nito, dessen Thätigkeit aufgehört zu haben schien; d ein frischer Schlammstrom. Auf der Oberflüche des letzteren bemerkte man eine dünne Lage von Naphtha. Da der ausfliessende Schlamm keine Bruchstücke jener Gesteinsarten mitbringt, deren ich oben erwühnte, und letztere auch in dem hiesigen Diluvio fast gar nicht anzutreffen sind, so darf man vielleicht anneh- men, dass dieser und viele ihm ähnliche Hügel durch starke Gaseruptionen aufgeschüttet wurden, wie man das an den Ausbrüchen bei Taman und Baku erlebt hat, welche ebenfalls Steine ausgeworfen haben. Wir werden bei Taman auf diesen Gegenstand zurückzu- kommen haben. Die Schlammvulkane bei Kertsch liegen in der Re- gel auf den Thalsohlen. Es war daher auffallend, westlich von dem so eben erwühnten Hügel am Thal- gehünge in der Hóhe noch zwei Eruptionskegel zu finden. Jenikale. In der Nähe dieses Stüdtchens befindet sich ein ausgetrockneter Salzsee, in welchen eine von Süd nach Nord streichende enge Schlucht mündet. Da man in ihr Spuren von Naphtha bemerkt hatte, liess die Stadtverwaltung von Kertsch hier zwei Brunnen anlegen, deren mit Kalksteinquadern belegte Wände zwar noch aufrecht standen, aber vom starken Seiten- drucke bereits gelitten hatten und den Einsturz droh- ten. Die Tiefe der Brunnen betrug 20 Fuss. Nur aus einem derselben hatte man Naphtha gewonnen. Auf seinem Grundwasser sah man Petroleum schwimmen, und die Brunnenwünde und die Erde neben dem Brun- nen waren dick mit Asphalt überzogen. An dem Ne- benbrunnen waren diese Spuren nicht zu bemerken, er scheint nie Petroleum gegeben zu haben, und das ganze Unternehmen erwies sich wegen der geringen Naphthamenge, als ein verfehltes. In der Nähe der Brunnen besuchten wir die bei- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 173 Herren Tomasini und Krassilnikow verdanke ich die Mittheilung mancher nicht unwichtigen Nachricht. Bulganak. Am 10. Juli 1864 besuchte ich zu- erst das grosse Erhebungsthal von Bulganak, in der Nähe des 5 bis 6 Werst nördlich von Kertsch bele- genen Dorfes gleiches Namens; zehn Tage später kehrte ich nochmals zu ihm zurück, um den ersten Beobach- tungen noch einige Details hinzuzufügen. Wenn man nördlich von Bulganak durch eine enge Schlucht gegangen ist, eröffnet sich ein grosses anti- klinales, ostwestlich streichendes Erhebungsthal, auf dessen ebenem Boden man zunächst einen wenige Fuss hohen, aber umfangreichen Schlammhügel erblickt. Eine zirkelrunde, 15 Schritt im Durchmesser habende Öffnung in seiner Mitte war bis an den Rand mit ei- nem grauen, dünnflüssigen Schlamme angefüllt, den grosse aus der Tiefe aufsteigende Gasblasen von Zeit ^ zu Zeit 4 bis 5 Zoll hoch emporwarfen. Eine halbe Werst NW. von diesem Schlammvulkane erhebt sich ein 2000 Fuss im Umkreise messender Hügel aus gelbem Thon, in welchem viele scharfkan- tige Bruchstücke von Thonstein, Hornstein, Kalkstein, Brauneisenstein und erdigem Sphärosiderit eingeschlos- sen sind. 1051 Auf diesem Hügel haben sich mehrere kleine, an ` Höhe und Gestalt verschiedene Eruptionskegel gebil- det, die noch in Thätigkeit waren. as Zunüchst waren es die beiden am Ostfusse befind- lichen, in Fig. 3 abgebildeten, die ich genauer be- trachtete und nach der Natur zeichnete. Sie liegen 15 Schritte einer von dem anderen; der mit dem Buch- staben « bezeichnete ist viel niedriger als sein 12 F. hoher und 100 Schritt im Umfange messender kegel- förmiger Nachbar b, hat aber dafür einen fast doppelt so grossen Umkreis. Auf beiden waren die Krateróff- ` nungen zirkelrund, auf a jedoch sehr viel grósser als ` auf 7 Aus dem Krater a, der bis an den Rand mit dünnflüssigem Sehlamme angefüllt war, stiegen fort- während kleine, und in geringen Intervallen grosse Gasblasen auf, die dann jedesmal ein Überfliessen des Schlammes zur Folge hatten. Der ebenfalls auf diesem Hügel befindliche Krater c (Fig. 4) hatte nur einen halben Rand; sein ziemlich dickflüssiger Schlamm er- goss sich jetzt nur nach einer Seite, und wo dieser be- reits getrocknet war, hatte er die sonderbare Gestalt rundlicher, über einander liegender, Bomben ähnli- 176 viele, erst kürzlich entstandene, zum Theil noch nicht einmal erhärtete Ströme und einen starken Geruch nach Naphtha, die auf der Oberfläche des Schlammes schwamm. In der Nähe stiegen aus dem feuchten Boden, ohne Vermittelung von Kratern, Kohlenwasserstoffblasen auf, die, wenn man Feuer an sie hielt, lebhaft ent- brannten. Das Wasser dieser und anderer benach- barten Lachen war salzig, und man bemerkte in der Richtung von hier nach Bulgansk an vielen Stellen Salzefflorescenzen. Eine Stelle fiel durch ihre schwarze Farbe, inten- sive Gasentwickelung und starken Geruch nach Schwe- felwasserstoff auf. Es ist unverkennbar, dass die Gestalt, der Umfang und die Hóhe der schlammigen Eruptionskegel haupt- sächlich von der Beschaffenheit des Schlammes ab- hüngig ist. Je dünnflüssiger dieser, desto niedriger und umfangreicher der Eruptionskegel und desto grós- ser der schlammerfüllte Krater; je dickflüssiger da- gegen der Schlamm, desto hóher der Kegel und desto kleiner der Krater. Dieses Verhältniss erklärt sich da- durch, dass der dünnere, daher beweglichere Schlamm, beim Überschreiten dis Kraterrandes schneller und ` weiter hinabfliesst, ehe er trocknet, als der dickflüs- sige, der den Füss des Kegels in trágem Laufe er- reicht, schneller trocknet und in Folge dessen den Kegel hóher und spitzer aufbaut als der dünnflüssige das thun kann. Wenn der Sehlamm bis in eine gewisse Tiefe ge- trocknet ist, zerreisst er, wie alle ähnlichen Substan- zen, in Schollen, deren Dicke meist 1 Zoll und deren Länge und Breite bis 1 Fuss beträgt. Bei vorschrei- tendem Trocknen ziehen sich die Schollen mehr und mehr zusammen, so dass die Zwischenrüume zwischen ihnen bis 2 Zoll gross werden. Sie bersten allmählich in kleinere Stücke und werden endlich vom nüchsten Regengusse zerspült. Dabei verándert sich die Farbe des Schlammes von grau in gelb und er ist dann von dem Diluvialthon in dieser Gegend beim ersten Anblicke nicht zu unterscheiden. Die Bohrversuche auf Naphtha. Dass die Sehlammeruptionen bei Kertsch und Ta- man auch Naphtha zu Tage bringen und dass diese hier aus Brunnen gewonnen wird, war lange bekannt. Aber Bulletin de l'Académie Imperiale 175 den am Fusse des Jenikaleschen Leuchthurmberges befindlichen Schlammvulkane. Der eine, den ich den Hauptkrater nennen möchte, hat die kegelförmige Ge- stalt und -Grösse der bei Kertsch so häufigen alten Grabhügel (Tumuli) Fig. 6. Auf seinem Gipfel befin- det sich eine kreisrunde Vertiefung b mit horizon- talem, ebenem Boden, und in deren Mitte eine eben- falls runde mit bräunlichgrauem Schlamme angefüllte, , 10 Fuss im Durchmesser habende Einsenkung c, aus welcher eine schmale, geschlüngelte Rinne e zu dem kleinen Baranco d führt. Der Hügel selbst (a) besteht aus einem gelben mit scharfkantigen Stücken weissen, gelben und braunen Thonsteins, Hornsteins und Stücken von Brauneisen- stein überfüllten Lehm. Der auf seinem Gipfel ver- tiefte Boden b ist aus weissem und hellgelbem Lehm mit denselben Einschlüssen wie a zusammengesetzt. Der graubraune Schlamm c fliesst durch die Rinne aus dem Baranco an den Fuss des Hügels hinab und ist an der Oberfläche von einer dünnen Naphthaschicht bedeckt. Am Südabhange dieses Hügels befindet sich ein ei- genthümlicher Nebenkrater, einschwachgewölbtes, aus erhürtetem Schlamm bestehendes Hügelchen, das von 30 bis 40 kleinen Lóchern durchbohrt war, die alle mehr oder weniger die Gestalt von Eruptionskegeln hatten. Sie waren alle in Thätigkeit, und ich bewun- derte die Schärfe ihrer Umrisse. Der hier abgebildete Miniaturkegel (Fig. 7) hatte 3 Zoll Hóhe, an der Ba- sis 2 Fuss im Umfange, und der Durchmesser des zierlichen; áusserst scharf begrenzten Kraters betrug 1'/, Zoll. Aus diesem stiegen Gasblasen auf vnd dräng- ten den Schlamm in den im erhärteten Schlamm aus- gehöhlten Baranco a, dessen erhöhte Ränder das Anse- hen hatten, als seien sie mit einem scharfen Messer geschnitten. Wären wir mit einem grossen Schneide- instrumente und einem Brette versehen gewesen, so hätten wir den ganzen Kegel mit Krater und Baranco vom Boden lösen und getrocknet als Modell aufbe- wahren können. + Als wir diese Vulkane nach zweitägigen, häftigen Regengüssen am 16. Juli wieder besuchten, war ihre | Thätigkeit etwas lebhafter geworden. Die Gasblasen stiegen häufiger aus dem Schlamm empor und schie- nen grösser zu sein und kopiösere Schlammströme über die Kraterränder zu drängen. Man bemerkte des Sciences de Saint- ۰ | 175 Brunnen liegen, aus denen die Tataren ehemals Naphtha gewannen. Herr Gowen hatte hier ein 210 Fuss tiefes Bohr- loch niederstossen lassen. Nachdem man 68 Fuss englisch in dem zühen, stei- fen, von Wasser und Naphtha durchdrungenen Thone gebohrt hatte, der das unterste Glied der zu Tage gehen- den Tertiairformation bildet, erreichte man eine wenige Zoll dicke Schicht emes ebenfalls von Naphtha durch- drungenen, dunkelgrauen Thoneisensteins (Sphaerosi- derit?). Sobald sie durchstossen war, drang unter ihr Wasser und Naphtha hervor, begleitet von starker Ent- | wickelung von Kohlenwasserstoffgas. Der Wasserstrahl erreichte aber die Erdoberflüche nicht, sondern blieb in einer Tiefe von 20 Fuss unter derselben. Als bei weiterem Absinken des Bohrloches kein neuer Zufluss von Petroleum sich zeigte, ward die Bohrarbeit auf- gegeben, und Hr. Gowen liess neben derselben einen Schacht abteufen, um mit der aus ihm gewonennen Naphtha, ungefähr 40 Eimer täglich, die Kosten eini- ger anderer Bohrlöcher zu decken, mittelst deren er zu ermitteln hoffte, von welcher Seite her die Naphtha diesem Orte zufliesst. Im December 1864 erhielt ich von Herrn Clip- perton noch folgende Notizen über die Arbeiten bei "Tschengolek. In 320 Fuss Tiefe zeigten sich in dem grauen Thone viele kleine Bruchstücke von verschie- denen Gesteinen. In einer Tiefe von 362 Fuss hatte man eine 1 Zoll dicke Kalksteinschicht durchstossen. Am 26. Novbr. 1864 war man 386 Fuss tief gekom- men und hatte von Zeit zu Zeit immer wieder dünne Lagen festen Gesteins durchbohrt, zwischen denen bis 2 Fuss dicke, mit Sand gemengte Thonschichten liegen. Letztere sind ganz von Petroleum durchdrun- gen, je tiefer, desto mehr. Es 6 sehr viel Gas aus diesem Bohrloche, und in 24 Stunden erhielt man aus demselben 19 bis 27 Gallonen reiner Naphtha. . Dass die Naphtha nicht nur in dem grauen Thone und in den mit ihm wechselnden Schichten, sondern, wenn auch in geringer Menge, in den hier zu Tage ge- henden Muscheltrümmerkalksteinen vorkommt, schien ein Block dieses Gesteins zu beweisen, der aus einem benachbarten Steinbruche an den Bohrplatz gebracht worden war. Eine bei dem Zerschlagen des Blockes freigelegte Höhlung war mit dickflüssiger Naphtha an- gefüllt und schien doch ganz isolirt, nach allen Seiten 12 Pen die Quantität war gering, der Gebrauch ein sehr be- schränkter, zum Schmieren von Lederzeug, zur Be- leuchtung und zur Herstellung von Asphaltpflaster in den Strassen von Kertsch. Diese letzteren Versuche wurden aufgegeben, weil die Naphtha aus jenen bei Je- nikale angelegten Brunnen zu theuer zu stehen kam. Nachdem jedoch die Gewinnung der Naphtha und ihr Gebrauch in gereinigtem Zustande als Erleuchtungs- material sich von Amerika aus über alle Welttheile verbreitet hatte, erhielt das Vorkommen derselben am Sok und an der Wolga, so wie bei Kertsch, Ta- man, am Kaukasus und auf der Insel Tscheleken, im Kaspischen Meere, eine andere Bedeutung. Es lag die Annahme sehr nahe, dass man an jenen beiden Flüssen, wo die Naphtha an einigen Stellen aus der Erde tritt, und auf den Krymschen Halbinseln in der Tiefe vielleicht reichlichere Naphthaquellen werde erschliessen kónnen als die bisher bekannten. Die vie- len gelungenen Bohrversuche in den Vereinigten Staa- ten Amerika’s und in Canada waren ein lockendes Beispiel, das bald Nachahmung fand. Der Amerikanische Oberst Gowen, der mehrere Jahre lang bei Sewastopol mit dem Hervorholen der an den versenkten Schiffen haftenden Kupferbeschläge beschäftigt gewesen war, hatte in der Umgegend von Kertsch von tatarischen Kronbauern die Concession erhalten, auf ihren Lündereien nach Naphtha zu su- chen. In seiner und in der Gesellschaft des Herrn Clipperton besuchte ich die Orte, wo Bohrversuche entweder nocli im Gange, oder bereits aufgegeben, oder noch in Aussicht waren, und erhielt dadurch die 'Kenntniss von den geologischen Bedingungen, unter welchen die Schlammvulkane und Petroleumquellen bei Kertsch vorkommen. Fernere Aufschlüsse über die geologischen Verhältnisse erhielt ich durch Fahr- ten nach dem Salzsee Tschokrak, nach dem Eisenerz- lager von Kamysch Burun, nach der Festung Pawlows- kaia an dem Vorgebirge Ak-Burun, nach den Stein- brüchen des Oberst Gurjew bei Tschurubasch und nach Feodossia. Tschengolek. In der Nähe des 28 Werst südlich von Kertsch gelegenen tatarischen Dorfes dieses Na- mens, befindet sich ein grosser, nur durch eine nie- drige Düne vom Meere getrennter Salzsee Tobetschi, an dessen südwestlichem Ufer, 25 Fuss über dem Ni- veau des Wassers, mehrere alte, jetzt verschüttete Tome XI. In der Nähe der Badeanstalt, am Ufer des Sees, aber in einiger Hóhe über dessen Xi با وی دور‎ strümt aus dem hier anstehenden Muschelkonglomerate?) eine Quelle bittersalzigen , nach. Schwefelwasserstoff rie- chenden Wassers, das von den Kranken getrunken wird. Antipow (Gornoi Journal, 1849, Heft 3, pag. 387) giebt hier mehrere solche Quellen an und sagt, sie hätten eine Temperatur von 10— 12^ R. Alle diese Quellen ergiessen sich in den See. Ob der Tschokrak seinen produktiven Salzgehalt solchen Quellen, oder seinem Boden entnimmt, der von früherer Zeit her stark von Salz durchdrungen und dadurch gleichsam eine Vorrathskammer für die Jetzt- zeit geworden sein kann, oder ob er vom Asowschen Meere durch die permeable Düne gespeist wird, wage ich nicht zu entscheiden, da ich darüber keine Erfah- rungen besitze. Ich kann jedoch mittheilen, dass bei meinem Besuche des Sees am 17. Juli 1864 ein hef- tiger Nordwestwind das Wasser des Asowschen Mee- res an dessen Südufer etwas aufgestaut hatte, so dass es in diesem Momente hóher stand als der Spiegel des Tschokrak. Wir. wirkte dabei, wie das durch die lockere Düne hind M ,wenn auch nur in geringer Menge; i in den See abfloss. Dass das Wasser des Asowschen Meeres auch bei gewöhn- lichem Stande durch die Pressyp (Düne) in den Tscho- krak eindringt, kann hier ebenso wenig bezweifelt wer- den, wie an den Bessarabischen und allen ähnlichen Salzseen. Ich verweise bei dieser Gelegenheit auf meine Untersuchung dieser Seen. (Bull. 06 68 Mes de sc. de St.-Pét., December 1854.) Wenn auch in dem grossen Thale, dessen Boden zum Theil von dem See eingenommen ist, gegenwärtig keine Schlammvulkane sich befinden, so tritt doch am westlichen Ende des Sees in der Gegend des Dorfes Mysir Naphtha zu Tage, die von den Tataren früher in vielen Brunnen gewonnen wurde. Hr. Gowen hatte auch hier ein bedeutendes Land- - stück von den Tataren gepachtet und beabsichtigte, darauf nach Naphtha zu suchen. Der Englische Geolog, Professor Ansted, besuchte 1865 dieses Thal und berichtete im ۸ desselben Jahres der von Herrn Gowen in London gegründeten «Crimean Petroleum 8) Siehe über die Ufer des Tschornak Abich's oben citirte Ab- handlung pag. 17 und 18. Bulletin de l'Académie Imperiale 179 geschlossen gewesen zu sein. Es ist eine Wiederho- holung der Erscheinung an dem Bergkalke der Sama- rahalbinsel. Mysir bei dem See Tschokrak. Der Salzsee Tscho- krak liegt 18 Werst NW. von Kertsch, dicht am Asow- schen Meere, von welchem er nur durch eine flache, aus Sand und Muschelschalen bestehende Düne ge- trennt ist. Nach einer kurzen Notiz, welche Anti- pow im Gornoi Journal, 1849, Th. 1, pag. 386 ge- geben hat, soll der See 17 Werst im Umkreise ha- ben. Abich ’) giebt ihm eine Oberfläche von 79,000 Quadratfaden — 0,316 Quadratwerst. Mir schien der See einen bedeutend grösseren Umfang zu haben. Auf Abich's schóner Karte der Halbinseln Kertsch und Taman, der richtigsten, die wir besitzen, hat der Tschokrak von West nach Ost eine Lànge von 1,75 Werst und von Nord nach Süd eine Breite von 1 Werst. Diese Grössenverhältnisse könnten ausser Acht ge- lassen werden, wenn der Tschokrak nicht ein produk- tiver Salzsee wäre. Auf einer von Sujew im Jahre 1855 mit Genehmigung des Kaiserlichen Kartende- pots herausgegebenen Karte der beiden Halbinseln hat der Tschokrak eine Länge von 5 Werst bei 2 bis 3 Werst Breite, also eine Oberfläche von mehr als 10 Quadratwerst, und das stimmt mit einer anderen An- gabe Abich's überein (c. l. pag. 19), nach welcher der See 10,3 Quadratwerst Oberfläche hat. Seine Tiefe beträgt in der Mitte nur einige wenige Fuss, und der ganze Boden ist mit einem dunkelgrauen, von Koch- und Bittersalz durchdrungenen Schlamme bedeckt, des- sen heilende Wirkung in jedem Sommer auf Kranke angewendet wird, die sich dazu in dem hier angeleg- | ten Kurhause versammeln. Zur Zeit der intensivsten Sommerwärme setzt der Tschokrak Salzkrusten ab, die von einem Pächter aus- gebeutet werden. Am Ostende des Sees hat der Oberst Gurjew auf einem ihm von der Regierung geschenkten Landstücke einen besondern Salzgarten angelegt, der aus dem See mittelst einer archimedischen Schraube mit Soole gefüllt wird. Da die Soole in diesem Gar- ten schneller verdunstet als im See, so findet die Ernte im ersteren immer früher statt als im letzte- ren. Hier wird Koch- und Glaubersalz gewonnen. 7) Geologie der Halbinseln Kertsch und Taman in den Mém. de PAcad. des sc. de St.-Pétersb., Tome IX, X 4, pag. 49 181 | des Sciences de Saint- Pétersbourg. 182 In der Mitte desselben erhebt sich ein inselartiger, aus eben dem Kalksteine bestehender Hügel. Die dik- ken Bänke dieses fast nur aus Muschelschalen be- stehenden Gesteins streichen hora 10 und fallen unter 43° — hora 4 SW. Herr Gowen hatte am Südwestfusse des Hügels ein Bohrloch von 8 Zoll Diameter angesetzt, das zur Zeit, als ich es sah, 85 Fuss tief in dunkelgrauem, von Naphtha durehdrungenem Thon getrieben war. Im December 1864 theilte Hr. Clipperton mir brieflich mit, dass die Arbeit bei Kaschik wegen ungewöhnlich starker Gasentwickelung aus dem Bohrloche aufgege- ben worden war. Auch bei Kaschik hatten alte, von den Tataren benutzte Naphthaquellen die Veranlas- sung zu Bohrversuchen gegeben. Von Kaschik aus besuchten wir noch das 10 Werst südóstlich davon befindliche tatarische Dorf Tschu- burt Masart. Am Ostfusse eines sehr markirten, in- selartig aus der ebenen Thalsohle aufsteigenden Kalk- steinhügels haben Tataren hier ehemals Naphtha ge- wonnen. Diess veranlasste Hrn. Gowen, ein Bohrloch abzusenken, in welchem man in 28 Fuss Tiefe eine geringe Menge Naphtha fand. Bei 182 F. Tiefe wurde der graue Thon, in welchem man auch hier gebohrt hatte, angeblich so fest, dass das Hinabbringen der Róhren schwierig ward. Die Arbeit ward eingestellt; man beabsichtigte aber, sie später wieder aufzuneh- men. Schlammauswürfe waren auch hier nirgend zu bemerken. Dschirdschava. Wenn man den Mithridatesberg bei Kertsch in südlicher Richtung überschritten hat, gelangt man in ein grosses, nach Osten mit dem Meer- busen von Kertsch kommunicirendes Erhebungsthal, dessen Südrand die Hóhen von Akburun bilden. Auf der niedrigen, ebenen Thalsohle befindet sich in der Nähe des Meeres ein kleiner Schlammvulkan. Herr Gowen hat hier am 27. September 1864 ein Bohr- loch ansetzen lassen. Im December desselben Jahres war man 97 F. tief gekommen in grauem, von Naphtha durchdrungenem und Gesteinsbruchstücke einschlies- sendem Thone. Hr. Clipperton bemerkt in seiner brieflichen Mit- theilung, dass diese Einschlüsse grösser sind, als die auf der Erdoberfläche verbreiteten, und dass aus dem Bohrloche kein Gas hervorströmt. Man hoffte, hier die feste Gesteinsschicht, unter welcher das unterirdi- ` 12* Company», dass bei Mysir mehrere Bohrlócher ange- | legt und mittelst derselben Naphtha entdeckt wurde. | Im December 1865 theilte Hr. Clipperton mir mit, | dass Herr Gowen auch bei Karalar, in der Nàhe des | Tschokrak, in den ersten Tagen des Septembers ein | Bohrloch habe treiben lassen, das im December be- reits eine Tiefe von 450 Fuss erreicht hatte. Nach- dem man 432 Fuss im grauen Thone gebohrt hatte, stiess man auf ein dünnes Lager festen Gesteins. Aus der Tiefe von 436 Fuss stieg ein schwacher Geruch nach Naphtha auf und ward in 450 Fuss stürker. Dieser Umstand, bemerkt Herr Clipperton, ist auffallend, da 20 Schritte von dem Bohrloche, nur etwa 10 Fuss über dessen Niveau, sich ein tatarischer Naphthabrun- nen befindet, in welchem das Wasser’in einer Höhe von 6 Zoll unter der Erdoberfläche steht. Aus Antipow's oben angeführtem Bericht ersieht man, dass am Tschokrak auch gediegener Schwefel vorkommt, und zwar in der Gestalt sehr kleiner Kry- stalle, die sich in den Hóhlungen des porósen, tertiá- ren Kalksteins und im eisenschüssigen Thon, niemals aber in dem für Wasser undurchdringlichen Schiefer- thone gebildet haben. Antipow hält sie für einen Ab- satz aus den hier vorkommenden, schwefeligen Quel- len und zeigte durch eine angestellte Untersuchung; dass die Menge des eingesprengten Schwefels hier viel zu gering ist, um eine lohnende Gewinnung des- selben unternehmen zu kónnen. ۳ l 'Kaschik und Masart. Das Tatarendorf Kaschik liegt 40 Werst WSW. von Kertsch. Der Weg dahin geht über die Poststation Sultanowka und das Gut Karmesch Kelessi. Wenn man in nördlicher Rich- tung von Kelessi eine Anhóhe überstiegen hat, tritt man in ein breites Thal, auf dessen ebenem Boden sich 7 Naphthabrunnen von 14 bis 20 Fuss Tiefe befinden. Der Pächter derselben, Hr. Kybler, gab an, dass diese Brunnen wöchentlich bis 40 Eimer Naphtha liefern. Nach anderen Nachrichten beträgt die Quan- tität nur 10 bis 20 Eimer (Wedro) in der Woche. Schlammvulkane waren hier nicht zu sehen. Kaschik liegt einige Werst westnordwestlich von diesen Brunnen. Eine Werst südlich von dem Dorfe be- findet sich wiederum ein fast zirkelfórmiges, von ho- hen tertiären Kalksteinbergen eingeschlossenes Erhe- bungsthal von 2 bis 3 Werst im Durchmesser, mit vollkommen ebenem Boden. 184 worben hat. Sein Vorschlag, fertig zugeschnittene Steine zur Errichtung von Bauerhäusern nach dem südlichen Russland zu transportiren, wo man das Ma- terial nur zusammenzufügen hätte, um statt der feuer- gefährlichen hölzernen Häuser feuerfeste zu haben, ist jedoch noch nicht in Ausführung gebracht. ` Taman und seine Umgebungen. In den letzten Tagen des Juli fuhren wir auf einem Dampfboote von Kertsch nach Taman, das gegenwärtig ein zwar ziemlich grosser, aber ärmlicher, schlecht gebauter Ort ist. Die Verwaltung des Kubanschen Kosakenheeres hatte in vier, am nördlichen Fusse des .| Kaukasus belegenen Bezirken: Taman, Natukai, Schap- sug und Abadsech, mehreren Personen die Conces- sion ertheilt nach Naphthaquellen zu suchen. Im Be- zirke von Taman war zur Zeit, als ich ihn besuchte, ein einziger Ort, wo dies geschah — die Staniza Tita- rowka, 30 Werst ONO, von Taman am See Aktani- sowskoie. Aktanis ist eine Corruption von Ak-Dengis, d. h. das weisse Meer. Die Herren Chandor, der- selbe, der einen Theil St. Petersburgs mit amerikani- schem Kerosin beleuchtet, und Clay, ein Amerikaner, leiteten die hier begonnene Bohrarbeit. Der Platz da- zu war 1', Werst südlich von der Staniza in einem von Hügeln umgebenen Thale gewühlt, und man hatte hier in den acht Tagen seit dem Beginne der Arbeit 60 Fuss tief in dem námlichen grauen Thone gebohrt, der auch bei Kertsch die tiefste der entblóssten Ter- tiärschichten bildet. Die Arbeit bestand jedoch nicht in eigentlichem Bohren, sondern man trieb mit starken Schlägen auf einander gesetzte gusseiserne Röhren in den Boden, von denen die unterste an ihrem unteren Ende zuge- schärft war. Die hier arbeitenden Amerikaner waren der festen Meinung, die Naphtha müsse unter ähnlichen Ver- hältnissen vorkommen wie in Pensylvania, wo sie in gewissen Gegenden mit Heftigkeit hervorströmen soll, wenn man eine in 20 bis 100 Fuss Tiefe liegende Sandsteinschicht von geringer Mächtigkeit durchbohrt hat?) Da sich nun im weiteren Verlaufe der Arbeit weder dieser Sandstein, noch eine grüssere Menge 9) Siehe darüber Romanowsky: Über das Petroleum in Nord- Amerika, Gornoi Journal, 1866, Heft 6, 7 und 8. Bulletin de l'Académie Impériale 1853 sche Naphthareservoir vermuthet wird, schneller als an anderen Orten dieser Gegend zu erreichen, weil sich bei Tschengolek solche Gesteinstrümmer im grauen Thone erst bei 320. Fuss Tiefe gezeigt hatten. Bei dem kleinen Schlammkegel in der Nähe von Kertsch waren die Bruchstücke schon in geringer Tiefe be- merkt worden. In ihrem westlichen Verlaufe nähern sich die Ränder dieses Erhebungsthales mehr und mehr und treten bei dem Dorfe Dschirdschava ganz nahe zusammen. An diesem Punkte befinden sich wie- der kleine, noch jetzt thätige Schlammkegel. Ein 63 Fuss tiefes, durch grauen Thon bis zu einem bitumi- nösen Sandstein getriebenes Bohrloch liefert hier be- reits Naphtha. (Ansted a. a. O. pag. 2.) Ausser den hier angeführten Orten beabsichtigt man auch bei Koltepe, Tschukul, Temes, Bulganak, Jeni- kale und Baktschia auf Naphtha zu bohren. Kaschelar. Das Tatarendorf dieses Namens liegt 55 Werst südwestlich von Kertsch und 5 Werst nord- óstlich von der Poststation Agybei oder Adshibei. Anderthalb Werst NO. von dem Dorfe befindet sich in einem ebenen Thale ein isolirter Hügel, den man auch für einen erstorbenen Schlammvulkan halten kónnte. Mehrere auf seinem Gipfel und auf den Ab- hängen angelegte, 10 bis 12 Fuss tiefe und 1°, Fuss ins Gevierte messende, mit Steinen ausgemauerte Naphthabrunnen werden hier von den Tataren benutzt. Die Menge des gewonnenen Petroleums konnten wir nicht erfahren; sie scheint gering zu sein. . Es mag noch des grossen und regelmässig betrie- benen Steinbruchs von Tschurubasch erwähnt wer- den. Er liegt etwa 25 Werst südwestlich von Kertsch in der Nähe des Salzsees gleiches Namens und hat schon bedeutende Dimensionen angenommen, da er jährlich eine grosse Menge von Steinen nach verschie- denen Orten liefert. Der Besitzer dieses Steinbruchs, Bergingenieur Oberst G urjew, hat versuchsweise aus diesem tertiären Muschelkalksteine feuerfeste Gebäude gebaut, wie z. B. die Kirche in der 5 Werst südlich von Kertsch angelegten Pawlow Festung. Mauern, Ge- wölbe und Dach der Kirche bestehen aus ihm. Die Thüren wollte man aus Eisen und so das ganze Ge- bäude vor Feuersgefahr sicher machen. Es ist nicht zu leugnen, dass Oberst Gurjew sich durch die sorg- fältige und rationelle Leitung dieser grossartigen Stein- bruchsarbeit ein Verdienst um die ganze Gegend er- gelblichgrünem Wasser angefüllt waren, auf welchem eine dünne Naphthaschicht schwamm. Pekla. Das kleine 300 bis 400 Fuss hohe Ufer- gebirge liegt 10 Werst SO. von Taman am Schwar- zen Meere, zu welchem es in steilen, fast senkrechten Wänden abfällt. Sein oberer Theil besteht aus gelbem 'Diluviallehm, der untere aus festen Tertiärschichten. Zu oberst lag ein feinblättriger, hellgrauer Schiefer- thon und darunter ein thoniger Sandstein. Die Schich- ten schienen stark dislocirt zu sein, waren aber zu spürlich entblósst, um ihr Streichen und Fallen genau bestimmen zu kónnen. (Siehe hierüber Abich's ge- nannte Abhandlung pag. 30.) Dieses Steilufer wird von dem Meere stark unter- waschen und verliert fast jährlich durch Lostrennung und Herabstürzen grosse Massen. Die so entstandenen Schluchten haben die Gestalt eines Halbkreises und sehr grosse Dimensionen. Auf ihrem Boden liegen die herabgestürzten Massen in chaotischer, aber maleri- scher Verwirrung. Auf diesen Gegenstand werde ich in einer beson- ren Betrachtung über die Zerstörungen zurückkom- men, welche das Asowsche und das Schwarze Meer an ihren Ufern hervorbringen. In einem der am Peklaberge befindlichen Einstürze, und zwar wiederum in bedeutender Hóhe über dem Meere, im oberen Theile der Kesselschlucht, befinden sich viele Brunnen, aus denen man die langsam aus dem Boden quellende Naphtha schöpft. Sie schwimmt auch hier in dünnen Schichten auf der Oberfläche ei- nes milchigen, gelblichen Wassers. Von allen mir bekannt gewordenen Personen, die sich für die Naphthagewinnung interessirten, erhielt ich die übereinstimmende Mittheilung, dass die Halbinsel Kertsch weniger Petroleum liefere als die Halbinsel Taman. Aus ihren Angaben war ferner zu entneh- men, dass die Menge der Naphthaquellen und deren Ergiebigkeit mit der Annäherung an den Fuss des Kaukasus zunehme. Die Erfahrung scheint das in der That zu bestäti- gen, denn die Naphthabrunnen bei Maikop am Psysch, einem südlichen Zuflusse des Kuban, sind seit langer Zeit benutzt und ergiebiger als die Quellen der bei- den Halbinseln; am linken Ufer des Flusses Kudako, im gleichnamigen Distrikt am Abhange eines Bergkes- sels, etwa 200 Fuss tiefer als die Gipfel der nächst- des Sciences de Saint- Pétersbourg. 185 Naphtha zeigte, so ward der Ort verlassen, um in der Nähe von Anapa neue Bohrversuche zu unternehmen. Auch bei Titarowka hatten Naphthabrunnen die Nachsuchungen veranlasst. Sie befinden sich 4 Werst SSO. von der Staniza auf dem Gipfel eines etwa 0 Fuss hohen Hügels, der aus gelbem Lehm mit Bruch- stücken der oft genannten Gesteine besteht. Dieser Gipfel bildet eine Ebene von etwa 120 Faden Durch- messer. Die Brunnen sind 4 bis 10 Fuss tief, 1 bis UL Fuss breit und waren sämmtlich mit Wandruthen vor Einsturz gesichert. Die Naphtha schwimmt auf dem in ibnen angesammelten Wasser, und es sollen in einem Monat 50 Wedro derselben gewonnen werden. Ich bin geneigt anzunehmen, dass auch dieser Hü- gel, wie ähnliche bei Kertsch und Taman, ein erstor- bener Schlammvulkan ist. Bugas. Der Kuban mündet in einen grossen Li- man, der unter zwei Namen bekannt ist: Kuban und Kisiltasch. Eine von Anapa bis zur Staniza Bugas sich erstreckende Peressyp (Düne) trennt ihn vom Schwar- zen Meere. Bei der Bugasschen Quarantaine ist diese Düne unterbrochen, und durch diese Lücke fliesst das trübe, milehige Wasser des Kuban in das Meer ab. Eine Untersuchung des 200 Fuss hohen Ufers in der Nähe der Staniza Bugas zeigte, dass dasselbe aus gelbem Lehm mit vielen eckigen Bruchstücken des in dieser Gegend anstehenden Kieselthones und Schie- ferthones besteht. In deu tiefen Sehluchten, von de- nen es zerrissen ist, bemerkt man viele mit, brackigem Wasser angefülle Tümpel, aus denen Kohlenwasser- stoffgas und Naphtha hervordringt. Letztere wird hier gewonnen, und die reichste Quelle derselbeu liegt sonderbarerweise hoch oben, etwa 50 Fuss unter dem oberen Rande des Ufers und 150 Fuss über dem Meeresniveau. Es befanden sich hier auch ein Paar Schlammvulkane, deren Krater von 1 Fuss Durch- messer dünnflüssige Schlammlava auswerfen. In einer tiefer liegenden Schlucht sahen wir in der Nähe eines mit trübem, gelbem Wasser angefüllten Tümpels einen 5 Fuss hohen Schlammvulkan (Fig. 8) und auf dem Gipfel seines zierlichen Kegels zwei, vier Zoll weite Krater, von denen der eine etwa alle 5 Minuten unter starker Gasent ickelung den Schlamm mehrere Zoll hoch emporwarf. Der Boden dieser zirkelfórmigen Schlucht war über- all von kleinen Löchern durchbohrt, die alle mit warf der Vulkan Schlamm bis zu einer Hóhe von 10 bis 12 F. aus. Als Abich ") den Berg 1863 besuchte, be- schränkte sich die Thätigkeit des Kuku-oba auf einen winzigen Kegel am Südrande, der Kohlenwasserstoff- gas und Schlamm auswarf. Es ist diess nicht das ein- zige Beispiel, dass die unterirdischen Mächte sich Grabhügel zum Ausgange auf die Oberwelt wühlten, denn was am Kuku-oba früher geschehen war, wieder- holte sich an einem etwa 20 Fuss hohen Tumulus, der sich am Ufer des Sees Ak-dengis (Aktanisow) öst- lich von dem Berge Schumukai, auf einem 150 bis 200 Fuss hohen Hügel befindet "). Am Charfreitage, den 14. April a. St. 1813, fand auf diesem Hügel eine so heftige Eruption statt, dass sie grosse Steine aus. dem Fundamente eines alten hier erbauten griechi- schen Tempels der Artemis Agrotera (Diana) her- aufbrachte. Einen derselben hat man in der Kirche zu Akdengisowka deponirt, weil sich eine griechische Inschrift auf ihm erhalten hat, die Dubois 1833 da- selbst sah. Auf der Gnilaia Gora bei Temriuk fand 1844 und auf dem nahe bei Taman gelegenen Karabetow 1858 am 3. August eine heftige Eruption statt und auf bei- den Bergen ist es seitdem wieder still. Es würe hier noch der wichtigen Mittheilung des Akademikers Abich zu erwähnen. Als er im Herbst 1864 in dem Flussgebiete der Kura das Jorathal be- trat, um die Schlammvulkane jener Gegend zu unter- suchen, fand er auf beiden Seiten der Jora auf dem Diluvio Asphaltschichten von unbekannter Dicke und Ausdehnung. Eine grosse — nicht tiefer, unfórmli- cher Lócher stellt die Naphthabrunnen dar. Auf der linken Flussseite befinden sich: in einem be- nachbarten monoklinalen Felsenthale kegelförmige Protuberanzen, die auf freiwilliges Ausströmen von schwarzer Naphtha deuten. Diese natürlichen Quellen scheinen sich selbst verstopft zu haben. Auf der rech- ten Flussseite bilden mehrere, aus tertiärem Muschel- kalke hervortretende, stark schweflige Quellen andere natürliche Ausflusspunkte des hier dünnflüssigen Bi- tumen. Die unverkennbare technische Bedeutung die- ses Naphthavorkommens von Elidjar an der Jora, so wie einiger anderen in grösserer Nähe von — 11) Geologie der Halbinseln Kertsch und Taman, pag. 66 in Mém. d. l'Acad. d. sc. d. St.-Pét ,N.4 12) Dubois c. 1. pag. 57 und 58. Abich KR Bulletin de l'Académie Imperiale gelegenen Hóhen, erbohrte Herr Peters auf Kosten des Oberst Nowosilzow am 3. Februar 1866 in 122 Fuss Tiefe eine reiche Naphthaquelle. Ueber diesen interessanten Vorgang theilte Hr. Danckwerth, ein naher Verwandter des Herrn Peters, Folgendes mit: In 122 Fuss Tiefe stiess der Bohrer auf ein hartes 1'4 Fuss mächtiges Gestein. Kaum war dieses durch- sunken, als sich ein rollendes, donnerühnliches Getóse vernehmen liess und das Bohrgestell anfing zu beben. Gleich darauf ergoss sich 20 Minuten lang aus dem Bohrloche reines Petroleum, sodann Salzwasser; da- nach strómte ein rother Schaum und dicker Rauch mit solcher Kraft hervor, dass die von ihnen mitge- brachten Steine hoch in die Luft geschleudert wur- den. Unter diesen Bruchstücken soll sich auch Braun- kohle befunden haben. Nachdem diese Eruption eine Stunde gedauert hatte, ergoss sich wieder ungemischte Naphtha in einer Quan- tität von 1492 Eimer in 24 Stunden. Die Bohrróhre hat einen Durchmesser von 2 Zoll. Das Bohrloch ward später noch bis 242 Fuss vertieft, ohne dass die Naph- thamenge sich vermehrt hätte. Die Temperatur der Naphtha an der Róhrenmündung betrügt + 25? Réaum. Später theilte Hr. Danckwerth mir mit, dass die tägliche Naphthamenge dieses Brunnens auf 200 Eimer gesunken sei. Die vulkanischen Eruptionen bei Taman scheinen von jeher den Charakter vorübergehender, nicht per- manenter Erscheinungen gehabt zu haben. Heftigen Ausbrüchen folgte schnelles Sinken der Intensität und bald darauf vóllige Ruhe. So berichtet schon Pallas (Reise in die südlichen Statth. des Russ. Reichs) von der am 27. Februar 1794 erfolgten heftigen Erup- tion des Kuku-Oba, eines 250 Fuss hohen Kegelber- ges, der an dem nórdlichen Ufer des Tamanschen Li- mans liegt, und nach Dubois ") ein zu Ehren des Kónigs Satyrus (407 bis 393 vor Chr. Geb.) errich- teter Hügel sein soll. Um 8'/ Uhr Abends an jenem Tage hörte man ein vom Gipfel des Berges ausgehendes Pfeifen, dann ein donnerähnliches Getöse, und gleich darauf zeigte sich eine Rauch- und darauf eine Feuersäule, die sogar am Kuban sichtbar gewesen und erst am folgenden Tage verschwunden sein soll. Mehrere Tage nach einander 10) Dubois: Voyage du Caucase. T. 5, pag. 48. innigsten Zusammenhange steht, so erlaube ich mir, hier diesen Gegenstand mit Bezugnahme auf die Ge- genden von Kertsch und Baku zu berühren. Über den Ursprung der Naphtha (Steinöl, Petroleum) sind gar verschiedene Theorieen aufgestellt worden. "Wir wollen sie hier nicht wiederholen, sondern bei derjenigen stehen bleiben, nach welcher das Petro- leum durch eine trockene, langsame Destillation von bituminösen Stein- oder Braunkohlen bei niedriger Temperatur sich bilden soll. Diese Lehre unterstützt man in der Regel durch die Thatsache, dass man durch Destillation von Mineralkohle künstlich der Naphtha ähnliche Substanzen erzeugen kann. Sowohl die Steinóle als die künstlichen Destilla- tionsprodukte sind Kohlenwasserstoffe, aber es be- steht zwischen ihnen der Unterschied, dass in dem Steinkohlentheer die an Kohlenstoff reicheren und an Wasserstoff ürmeren Substanzen, dagegen in der Naphtha die wasserstoffreichen Kohlenwasserstoffe vorwalten. Aus den Schlammvulkanen strómt aber nicht nur die Schlammlava und Naphtha hervor, sondern auch Kohlenwasserstoffgas, und letzteres oft in sehr bedeu- tender Menge und sehr háufig nicht aus den Schlamm- kegeln selbst, sondern an anderen benachbarten Or- ten oder aus in solchen Gegenden angelegten Bohr- lóchern; ich erinnere dabei an die von Hrn. Go wen bei Kaschik, bei Tschengolek, bei Massart und an die bei Kodoko angelegten, aus denen mehr oder minder grosse Gasmengen hervortreten; ich erinnere an den Gas- vulkan, der südlich von Baku, in einer Tiefe von 3 Faden, aus dem Meeresboden seine Auswürfe hat und aus dem das Gas an mehreren Stellen mit solcher Gewalt hervorströmt, dass das Wasser sich um meh- rere Zoll erhebt. (Baer, Kaspische Studien in den “Mél. phys. et chim. tirés du Bull. scient. de ۰ des sciences de St.-Pétersbourg. T. IIT, 1" livraison, pag. 34 und 35.) Abich schlug vor, dieses Gas für die Stadt Baku als Erleuchtungsmaterial zu verwer- then. Und der Marinelieutenant Ulsky, dem wir die Tiefenmessungen des Kaspischen Meeres, die Unter- suchungen über die Beschaffenheit seines Bodens und seiner Inseln verdanken, erzühlt in dem Texte zu der von Iwashinzow herausgegebenen schónen Karte des Meeres, dass sich 12 Meilen von der östlich von Baku belegenen Insel Shiloi, also schon weit ins Meer hinein, des Sciences de Saint -م‎ ۰ 189 dez veranlassten Hrn. Abich nach seiner Rückkehr von diesem Streifzuge nach Tiflis, die Aufmerksamkeit der Verwaltung durch einen Rapport auf jene Gegend zu lenken, wo, wie er meint, es leicht sein würde, die jetzt aus der äusserst unvollkommen betriebenen Naphthage- winnung resultirenden Einkünfte zu vermehren. Man wollte damals Herrn Noeschel zum Bohren dahin schicken. (Aus einer brieflichen Mittheilung des Hrn. Abich an mich). Bedenken wir endlich, dass die Naphthaquellen bei. Baku noch ergiebiger als die an der Jora sind und dass sie nach den von Goebel mitgebrachten Nach-- richten ihrerseits durch den grossen Naphthareichthum der am Ostufer des Kaspischen Meeres, aber in der Streichungslinie des Kaukasischen Gebirges liegenden Insel Tscheleken überboten werden, — so ergiebt sich in der That eine Zunahme der aus der Erde quellen- den Naphtha in der Richtung von Kertsch und Taman nach der Apscheronschen Halbinsel bei Baku und bis Tscheleken. Während die Menge der in der Umge- gend von Kertsch gewonnenen Naphtha eine sehr ge- ringe, kaum beachtenswerthe ist, berichtet Magister Goebel, der die Insel Tscheleken 1864 im Auftrage der St. Petersburger Akademie der Wissenschaften besuchte, dass die auf der Insel ansässigen Turkme- nen jährlich 200,000 Dud Naphtha und 80,000 Pud Nephtegil (natürliches Paraffin) nach Persien verkau- fen. Und ungeachtet so grosser Ausbeute soll viel Naphtha aus den Tschelekenschen Quellen unbenutzt ins Meer abfliessen. Aber während seines Aufenthaltes auf der Insel Tscheleken theilten die diese Insel bewohnenden Turk- menen Hrn. Goebel die Nachricht mit, dass am ge- genüber liegenden Ostufer des Kaspischen Meeres an- geblich noch ergiebigere Naphthaquellen sich befin- den sollen, die gar nicht verwerthet werden. Ist auch diese Nachricht richtig, so erhalten wir eine Linie von 1500 Werst — 215 geographische Meilen, de- ren nordwestliches Ende ein Minimum und deren süd- östliches ein Maximum von Naphthaproduktivität dar- stellt. Die kräftigste Region auf derselben ist offenbar die an den Kaspischen Ufern befindliche. Da das Phänomen der Schlammvulkane und Naph- thaquellen, da wo sie zusammenwirken, ühnlich den thütigen Feuerbergen, nicht selten mit langsamen oder plótzlichen Senkungen des benachbarten Bodens im 192 würfe dieser Periode zu Massudi’s Zeit am stärk- sten gewesen sein könnten, aber mit Unterbrechun- gen und anderen Phänomenen, wie Erdbeben und Versinken von Erdstellen (wie der Theil von Baku, der am Meere lag) bis auf die Zeit von Al Uardi und Bakui (1403) fortdauerten. «Nach 600 Jahren», so fährt er fort, «hatte diese Periode in ihren furcht- barsten Erscheinungen ausgetobt und liess nur stillere, aber neue und anderweitige, zahlreichere Spuren sei- ner tieferen. und allgemeiner verbreiteten cyclopi- schen Gewalten in den phlegräischen Feldern der Apscheron-Halbinsel, dem naphthareichen Boden der Umgegend, und selbst der nicht versunkenen Nachbarinseln zurück». Auch drängte sich dem scharfen Auge Ritter’s schon damals die Analogie dieser Erscheinungen mit denen am Todten Meere auf. In Bezug auf die Menge des ausströmenden Gases 10061116 ich dieselbe Bemerkung machen, wie in Be- zug auf die Naphthamenge, nämlich dass die Gegenden von Kertsch und Taman viel weniger Gas ausathmen, als das südóstliche Ende der grossen Kaukasischen Schlammvulkan- und Naphthaquellenreihe. Fügt man noch hinzu, dass das Phünomen der Naplitha- und Gasausströmungen und das mit ihnen im engsten Zu- sammenhange stehende Phänomen der thonigen, insel- bildenden Eruptionen durchaus nicht auf die Gegend von Baku beschränkt ist, sondern, wie Abich uns ge- lehrt hat ^), sich auch südlich von jener Stadt bis zum Cap Bandovan und in 39? 46' n. Br. und auf mehre- ren, bis 15 Werst óstlich von diesem Ufer und vom Cap Alat entfernten Inseln bemerkbar macht, und gedenkt man auch an Tscheleken, so kommt man zu der Über- zeugung, dass sich unter dem südlichen Theile des Kaspischen Meeres ein grosser, kräftiger Destillations- herd befinden müsse, dessen Thätigkeit vielleicht seit vielen Jahrtausenden mit den anderen, weniger volu- minösen Produkten auch ungeheure Gasmengen an die Erdoberfläche gesendet hat. Es erleidet also das Innere dieser merkwürdigen Erdstelle seit undenkli- chen Zeiten einen permanenten, nie wiederkehrenden Verlust an Substanz. Die Folge solchen Verlustes kann aber eine allmähliche Untergrabung des obersten 14) Abich, Eine im Kaspischen Meere erschienene Insel nebst Beiträgen zur Kenntnis der Schlammvulkane der Kaspischen Region. Mém. de l'Acad. des sc. de St.-Pétersb. VIIe Série, Tome 6, X 5. Bulletin de l'Académie Imperiale 191 eine aus Sandsteinblócken bestehende Klippe auf ei- ner aus eben diesem Material zusammengesetzten Un- tiefe befindet, aus welcher aus 5 bis 7 Fuss Tiefe Kohlenwasserstoff und Naphtha aufsteigt. Die letztere schwimmt meilenweit im Meere umher, und der Sand- stein ist von Asphalt und Kir durchdrungen. (Mor- skoi Sbornik, Band LXVI, Abtheilung 3, pag. 243, Ulsky, Untersuchung des Bodens des Kaspischen Meeres.) Ich erinnere auch an das grossartige Ausstrómen von Kohlenwasserstoffgas bei den heiligen Feuern der Inder, bei Baku. Die älteste Nachricht von ihnen dürfte die von Massudi (967) sein, (S. De Guignes, 1—17)^) der da sagt, bei Baki erhebe sich aus einer Naphthagrube eine Feuersáule so hoch, dass man sie nach allen Richtungen auf 100 Parasangen sehen kónne. . Massudi kennt auch schon eine Insel, die angeblich 9 Tagereisen von Baku liegen und einen Krater haben soll, der zu gewissen Zeiten des Jahres unter erschrek- kendem Getóse eine Feuersäule von der Höhe der höchsten Berge ausstösst. Die Feuersäule soll man am Kontinent in einer Entfernung von 100 Parasan- gen sehen kónnen. (Fraehn in Eichwald's Periplus des Kaspischen Meeres.) Im 14. Jahrhundert berichtete Al-Uardi über das- selbe Phänomen und im 15. theilte Bakui die Nach- richt mit, dass bei Baku von Zeit zu Zeit grosses Feuer aus dem Meere aufsteige. Dem Scharfsinne Ritter's entging die Bedeutung dieser Erscheinungen nicht. «Wenn man einen Blick auf den ganzen Naturtypus dieser Gegend wirft», sagt er, «so wird es sehr wahrscheinlich, dass die Erschei- nungen bei Baku das Ende einer kontinuirlich abneh- menden Eruptionsperiode sind, welche einst diese Küstengegend noch vor Massudi getroffen zu haben scheint, von der wir zwar keinen unmittelbaren Be- richt haben, die aber erst seit dem 4. Jahrhundert be- gonnen haben kónnte, worauf die frühere Nichtkennt- niss dieses Feuerlandes bei den alten Klassikern hin- deutet, welche mit oder vielmehr nach dem grossen, furchtbaren Erdbeben in Transoxiana (818), das 70 Tage lang kontinuirlich anhielt und grosse Zerstórun- gen bewirkte, etwa begonnen haben móchte». Ritter glaubt annehmen zu können, dass die Aus- 13) Ritter, Erdkunde im Verhältniss zur Natur und Geschichte des Menschen etc. Berlin, 1816. zweiter Theil, pag. 879 des, dessen Thürme noch an mehreren Stellen aus dem Wasser hervorragten. Man sagte ihm, es sei ein Karawansarai, das ehemals auf dem Festlande stand, aber in Folge eines Erdbebens (vielleicht des oben er- wühnten) in die Fluth versank. (Müller's Sammlung Russ. Geschichte, Theil VII, pag. 336.) Ich bin weit entfernt in einem allmählichen oder plótzlichen Sinken des Kaspischen Meeresbodens die einzige Ursache davon zu suchen, dass dieses Meer sich einst vom Schwarzen Meere abschnürte. Über diesen Gegenstand besitzen wir schon eine grosse Literatur; ich will aber nur erwähnen, dass die beiden grössten Naturforscher, die ihn behandelt haben, Pallas und Baer, insofern entgegensetzter Meinung sind, als er- sterer die Trennung der beiden Meere durch den Durchbruch des Meeres bei Konstantinopel, der letz- tere durch ein plótzliches Abfliessen des Kaspischen Theils jenes gemeinschaftlichen Binnenmeeres nach Südost zu erklüren geneigt ist. Zu dieser Ansicht ist Hr. v. Baer hauptsächlich durch die Beschaffenheit und die Richtung der Bugors gekommen "). Früher hatte schon der nunmehr verstorbene Akademiker Lenz eine plötzliche Senkung des Kaspischen Meerbodens als Ursache des Sinkens seines Niveaus angenommen, und neuerdings hat Ulsky die tiefen Kessel im mitt- leren und südlichen Theile des Meeres für durch vul- kanische Thätigkeit verursachte Einstürze angesehen, die ersogar mit vulkanischen Kratern vergleicht. (Mor- skoi Sbornik, c. 1.) Auch bin ich weit entfernt anzunehmen, dass die Trennung des Ponto-Kaspischen Binnenmeeres etwa in historischer Zeit stattgefunden habe; sie gehört offen- bar einer früheren Periode an, die sich jedoch nicht mit ganzer Strenge bestimmen lässt. Ich wäre aber wohl geneigt anzunehmen, dass das angebliche Sinken des Kaspischen Niveaus in der historischen und viel- leicht auch in der vorhistorischen Zeit nicht nur durch die Verdunstung des Wassers, sondern möglicherweise auch durch ein allmähliches Sinken, besonders des süd- lichen Theils des Beckens, bewirkt wurde, in welchem grossartige Gasausströmungen aus dem Erdinnern seit Jahrhunderten, vielleicht seit Jahrtausenden stattfan- den und noch jetzt fortdauern. In der seichten, nördlichen Hälfte ist mir ein ein- 17) Kaspische Studien, Artikel II. des Sciences de Saint - Petersbourg. 193 Theils der Erdkruste sein, die, wenn sie an solchen Stellen nicht hinlänglichen Widerstand zu leisten ver- mag, der eigenen Schwere und dem Drucke von oben nachgeben und sich allmählich, oder in gewissen Fällen auch plötzlich senken muss. Von plötzlichen Senkun- gen des Bodens, wie sie bei heftigen Erdbeben vor- gekommen sind, z. B. 1819 im Indusdelta "), hat man zwar am Kaspischen Meere nicht gehórt, allein ein 70 Tage anhaltendes Erdbeben, wie das von 818, wäre wohl geeignet, einen in der Tiefe ausgehöhlten Raum zu plötzlichem Einsturze zu bringen, und die am Kaspisee herrschende Sage, dass sein Wasser von einem unterirdischen Schlunde verschlungen werde "^, würde in solchen Ereignissen seine Begründung fin- den. Übrigens kann diese Sage auch auf den Kara- bogas bezogen werden, in dessen grossem, seichtem Decken das Wasser im Sommer so lebhaft verdun- stet, dass eine westóstliche Strómung von der Schnel- ligkeit von 5 Werst in der Stunde den erlittenen Verlust aus dem Vorrathe des Kaspischen Meeres er- setzen muss. Dass bei Baku eine Senkung des Ufers stattgefun- den hat, ist allgemein bekannt; schon Bakui berich- tete in den ersten Jahren des 15. Jahrhunderts, das Meer habe einen Theil der Mauern uud der Thürme der Stadt verschlungen. Und Soimonow, der das Kaspische Meer 1723 bis 1730 beschiffte, sah bei Baku, in 3 bis 4 Faden = 21 bis 28 Fuss Tiefe, Mauern eines grossen, verfallenen, steinernen Gebáu- . 15( Im Jahre 1819, am 16. Juni, ereignete sich im Delta des In- dus ein heftiges Erdbeben, das nicht nur in den Städten Bhooj, iedabad und Anjar grosse Verwüstungen anrichtete, sondern auch in der Gegend des östlichen, die Provinz Cutsch begrenzenden usarmes grossartige Veränderungen bewirkte. Das Wasser wa r hier vor dem Erdbeben durchwatbar und hatte zur Zeit der Ebbe nur 1, zur Zeit der Fluth 6 Fuss Tiefe. Nach dem Erdbeben war es bei dem Fort Luckput zur Ebbezeit über 18 Fuss tief. An ande- ren Stellen hatte sich die Tiefe von 1 und 2 Fuss bis auf 4 und 19 Fuss vermehrt. Das Fort Sindree, oberhalb Luckput, am óstlichen des Indus, ward unter Wasser gesetzt; nach dem Erdbeben sah man nur noch die Dächer der Häuser aus ihm hervorragen. Das Wasser strómte in die 2000 englische Quadratmeilen grosse, neu ent- standene Senkung und verwandelte diesen Landstrich in ein kleines Binnenmeer. (Lyell, Principles of Geologie. Deutsche Übersetzung von Hartmann, Weimar, 1841, pag. 154 | Bei dem Erdbeben am 20. Januar 1834 zu St. Jago de Chile ver- sank ein mit Wald bedeckter Landstrich von 3 Stunden Lànge un و‎ Stunden Breite sammt dem Walde. (Bischof, Lehrbuch der che- ۱ Über Passatstaub und Blutregen. Schreiben des Dr. C. G. Ehrenberg an die Kaiserliche Aka- demie der Wissenschaften. (Lu le 7 juin 1866.) Da mich die Kaiserliche Akademie der Wissen- schaften zu St. Petersburg seit dem Jahre 1840 mit der Stelle eines auswärtigen Ehrenmitgliedes hoch geehrt hat, so erlaube ich mir eine wissenschaftliche Angelegenheit, deren Lösung dem Einzelnen unmög- lich ist, zu hochgefälliger Theilnahme in Kenntuiss zu bringen. Die grossen Beziehungen, welche in der neueren Zeit die Kaiserliche Regierung zu Inner- und Central-Asien erlangt hat, sind neuerlich gegen Kaschgar erweitert worden. Diese Gegenden, von woher directe Nachrichten nun in St. Petersburg ab- und zuzugehen scheinen, veranlassen mich, ein wich- tiges meteorologisches Problem, das mich selbst seit dreissig Jahren beschäftigt hat, der weiteren Pflege der Kaiserlichen Akademie durch intelligente Reisende _ zu empfehlen. Der Gegenstand betrifft das wunderbare Dunkelmeer des Atlantischen Oceans in der Gegend der Cap-Ver- di’schen Inseln, welches bis gegen das Ende des fünf- zehnten Jahrhunderts die Umschiffung Afrika's und die Entdeckung Amerika's verhindert hatte. Ich habe durch eine grosse Menge seit dreissig Jahren gesammelter Materialien, deren wichtigste von dem rühmlichst be- kannten Reisenden Charles Darwin zu meiner Prü- fung gekommen sind, die Vorstellungen dieses Dunkel- meeres begrenzen und fester bestimmen kónnen. Dass es nicht reine Wasserdunstnebel waren, welche das Dunkelmeer in der Nähe Afrika’s begründeten, ist schon frühzeitig begriffen worden. Die Nachrichten kamen sehr allgemein darin überein, dass cin dichter Staub die Atmosphäre dort in einem der Schifffahrt hinderlichen Verhältniss trübe. Da der Staub oft zie- gelroth war, so hat man ihn den vulkanischen Be- wegungen der Cap-Verdi'schen Inseln in der neueren Zeit häufig zugeschrieben; da aber in jener Zeit, wo Herr Darwin diese Inseln besuchte, vulkanische Thà- tigkeit nicht vorhanden und déinoëh der Staubnebel sehr bedeutend war, so sprach diesen umsichtigen Forscher die andere Vorstellung mehr an, dass die Staubnebel jener Gegend der zusammengewehte Wü- stenstaub der afrikanischen Wüsten sei. Diese Vor- stellung hat sich durch die von Herrn Darwin mir- übergebenen Proben und sehr viele andere nicht be- Bulletin de l'Académie Impériale 195 ziger Ort bekannt, wo Kohlenwasserstoffras hervor- strömt und zwar in geringer Menge. Das ist das von Nóschel in Astrachan zum Erschliessen Artesischen Wassers angelegte Bohrloch, das statt des Wassers Luft gab. In der nördlichen Hälfte hat man, meines Wissens, nie ein Sinken der Ufer, wie bei Baku, sondern nur stellenweise ein Zunehmen derselben bemerkt. Ist jene Vermuthung überhaupt richtig, so kónnte man auch annehmen, dass das Sinken des Wasserspiegels in der nórdlichen Hálfte, wegen der grossen Flachheit des nórdlichen und westlichen Strandes und wegen der Seichtigkeit des Meeres, sich bemerkbarer macht als in der tiefen Südhälfte, welche sich bei ihrem all- mählichen Einsinken auf Kosten der schwindenden Nordhälfte nachfüllt. Mit anderen Worten: man könnte annehmen, dass die Nordhälfte allmählich nach Süden abfliesst. Es bleibt freilich noch zu untersuchen übrig, ob das in beiden Hälften des Meeres beobachtete Wach- sen der niedrigen, sandigen Ufer der durch Verdun- stung bewirkten Wasserabnahme zuzuschreiben ist, oder ob sich an demselben nicht auch die Steppen- winde und die Wellen betheiligen, die beide Sand an die Ufer transportiren. Ich erlaube mir zum Schlusse diesen Gegenstand nochmals in folgende Sátze zu fassen: Das Kaspische Meer hing einst mit dem Schwarzen zusammen; das beweist der Umstand, dass beide Meere mehrere Arten jetzt lebender Muscheln gemein haben. Das Niveau beider Meere war zu jener Zeit nothwen- digerweise ein und dasselbe. Gegenwürtig ist das Kaspische Meer. vollständig vom Schwarzen getrennt und seine Oberfläche ist 81 Pariser Fuss niedriger als die des Schwarzen Meeres. Es nahm früher einen viel grósseren Raum ein. Was veranlasste die Abtrennung des Kaspischen Meeres und die Verminderung seines Umfanges? Dauert die Verminderung noch jetzt fort, oder nicht? und wenn sie andauert, wie würde sie zu erklüren sein? Nimmt die Wassermenge des Kaspischen Meeres ab? Die Lósung dieser Fragen würe ein bedeutender Fortschritt in der Kenntniss der Erdbildung. Ux Helmersen Die Canara- te nd die Naphtaquellen der هس‎ : e Jenikale. QU. Gelber Lehm, überfüllt/ mit scharf bantigen. Stücken von Thonstein’, Hornstein, Brenneifenstein. i Û. Weifßer und gelber Thon/ mit Einschlüften wie in d : Braungrauer Schlamm: im Krater, fliefst ab durch den Baraneo di € hat /0 Fuß Durchmefter, die Ebene Û 30 bis 40 Fuß. €. 8. Fig. f. ig ۱ w x Ke En - Tetuschi Susswasser- Simbirsk) becken D Singilez © A ید‎ NS ها‎ RE (2 موحرم‎ 9 5 Samara {Sysran Zë Le x rd Susswasser- becken Wolsk a allein de? GE 7 ييا i A ڪڪ‎ HN SN, ^ Baschik o Tschuburto Massart Kamysch S. Tschurubas. ANN NS RN ۱۵ N Die Halbinseln KERTSCH und TAMAN. Qa N. eese, V spipnüher tem Lombard Wans ۳۹0۳ | 1 "Gg un le‏ "17 نه غه سو kanischen Luftstrom des südlichen Festlandes ab- schloss. In Asien selbst wurden dann Nachrichten vorgefunden, welche besonders in Beludshistan, Kabul und Kaschgär höchst auffällige ähnliche Erscheinungen rother, für die Völker furchtbarer Staubwolken er- kennen liessen, und in der Fortsetzung nach Osten liess sich das Phänomen bis an die Küsten des Chine- sischen Meeres bei Canton und Shanghai verfolgen. Die beiliegende kleine Karte, welche in den Monats- berichten der Berliner Akademie 1862 veröffentlicht worden ist, veranschaulicht den ganzen bisher beob- achteten Verlauf der Erscheinung, so weit sie Afrika und Europa betrifft, mit wissenschaftlicher Genauig- keit in Folge der von mir ausgeführten mikrosko- pischen Analysen. Aus Asien jenseits des persischen Meerbusens sind mir Staubproben noch nicht direkt zugänglich gewesen. Da nun Sir Henry Pottinger im Jahre 1810 in seinem Werke «Travels in Beludshistan» im März und April eine in diesen Beziehungen höchst auffällige, sehr grosse Wüste beschreibt, die er in einer Ausdehnung von sechzig englischen Meilen bei Sarawan selbst durch- ' wandert ist und die ein Fakir aus Kaschgar ihm durch Afghanistan bis nahe bei Kaschgar reichend beschrieb, und die ein lebhaft ziegelrother, unfühlbar feiner Staub in Wellenlinien bis zwanzig Fuss über- deckt, der sogar durch die Sonnenhitze am Mittag sich als dichte Nebelwolken erheben soll, so entsteht die Frage, ob denn wohl diese wunderbare Stelle mit dem west-afrikanischen Dunkelmeer, oder sammt diesem mit einem hohen von Westen nach Osten strömenden Luftstrome wie jenes Dunkelmeer in Verbindung stehe. Eine mikroskopische Analyse würde es möglich machen, dies zu entscheiden. Da sich nun an diese Nachrichten des Henry Pottinger auch die von Alex. 58 anschliessen, welcher in seinem Werke «Travels in Cabool, 1836— 1838», pag. 223, von fürchterlichen rothen Staubwolken spricht, welche mit Orkanen das Land heimsuchen, wobei der rothe Staub àls eine fremde .befruchtende Erde genannt wird; da ferner auch in der neuesten Reise von Vambéry 1864 von Orkanen in Bochara und Chiwa die Rede ist, von denen die Gegenstünde und die gelagerten Kameele mehrere Zoll hoch mit Staub überdeckt würden: so wird es wün- schenswerth, die Verbindungen dieser Erscheinungen in ihrer Quelle kennen zu lernen und auch zu erfahren, des Sciences de Saint - Pétersbourg. stätigen lassen. Die afrikanischen Wüsten sind nir- gends in solcher Ausdehnung roth, vielmehr in der grössten Ausdehnung grau und weisslich, während der Dunkelmeerstaub mit fast wunderbarer Consequenz ziegelroth ist. Es haben sich nach meinen Untersuchungen all- mählich die Scirocco-Staubarten, welche sehr häufig als Blutregen über gauz Europa, auch über Russ- land sich verbreitet haben, und die man ebenfalls aus Afrika ableitete, als mit dem Dunkelmeerstaube in di- recter Verbindung stehende Erscheinungen nachweisen lassen. Besonders lehrreich und beziehungsreich war die mikroskopische Erläuterung aller dieser Staub- meteore als Mischungen mit sehr zahlreichen terre- strischen kleinen Lebensformen, die in auffallender Be- harrlichkeit als gleichmässige Mischung in den ent- ferntesten Gegenden und Zeiten sich zu erkennen gaben. Durch den beobachteten Mangel an afrikanischen Cha- rakterformen unter diesen und die beobachtete An- wesenheit von süd-amerikanischen Charakterformen aus Guyana nach den von Richard Schomburgk von dort an mich gesandten Erdproben, entstand die Vor- stellung, dass ein wesentlicher Antheil aus Süd-Ame- rika komme, und dass der in Süd-Amerika in hoher Atmosphäre aufsteigende und in derselben weiter von Westen nach Osten getragene Luftstaub bei West- Afrika deshalb niederfalle, weil die westliche obere Luftstrómung (der obere Passat) durch den aufstei- genden Luftstrom des heissen afrikanischen Plateaus gestaut werde, und dabei seine erdige Mischung überall an der Westküste Afrika's fallen lasse. Auffallender Weise traf der damals von den fran- zösichen Gelehrten und später auch noch detaillirter von Herrn Dove ermittelte Anfang des grossen An- tille’schen, bei Lyon in Süd-Frankreich endenden Wirbelorkans ebenfalls nach Guyana Süd-Amerika's, und die in Frankreich gefallene ungeheure, von mir analysirte rothe Staubmasse war ganz der des Dunkel- meers gleich gefärbt und gemischt. Hierzu kam, dass im centralen Afrika von Westen bis Osten niemals weder rother Oberflüchenstaub, noch rother Blutregen beobachtet worden war. Nur an dem nórdlichen K üsten- saume Afrika's und den weiteren Küsten des Mittel- meeres in Asien liess sich eine fortlaufende Linie rother Staubfälle historisch reichlich entwickeln, also in einer Richtung, wo das Mittelmeer den aufsteigenden afri- 190 Bulletin de l'Académie Impériale 200 bin ich im Begriff, eine ausführliche Mittheilung auf- zuzeichnen. Meine ehrerbietige Vorstellung an die Kaiserliche Akademie der Wissenschaften zu St. Petersburg be- steht demnach in Folgendem: Es möge der hohen Akademie genehm sein, die in den grossen mittel-asiatischen Landstrichen vom Kai- serlichen Gouvernement mit Auftrügen versehenen Ge- lehrten anzuweisen, dass sie die rothen feinen Staub- orkane, welche von Chiwa an bis Kaschgar und von da einerseits in der Richtung nach Beludshistan, an- dererseits nach dem Bogdo-Oola vorkommen, mit Hinsicht auf die hier gegebenen Ansichten zu ver- zeichnen und Proben solcher, die rothen Stauborkane begünstigender oder sie bedingender Oberflächen in nicht zu kleinen Mengen selbst zu sammeln, oder, wo dies nicht möglich ist, durch Karawanen sich zuführen zu lassen. Von diesen Proben und Nach- richten wünschte ich freilich direkt Kenntniss zu er- halten. Es ist nämlich die mikroskopische Analyse in ihrer wissenschaftlichen Nutzbarkeit nicht wenig ver- schieden von anderen Analysen. Es ist mir seit vielen Jahren allmählich immer deutlicher geworden, dass gewisse wissenschaftliche Aufgaben den neueren, sehr fruchtbaren Grundsatz einer Theilung der Arbeit nicht oder kaum erlauben. Es ist in einzelnen Fällen noth- wendig, dass eine einzelne Person sich dem ganzen Bereiche einer Arbeit allein unterziehe, den Maassstab ihres Urtheils in allen Beziehungen anwende und so- mit einer Ungleichförmigkeit der Behandlung zuvor- komme und dieselbe ausschliesse, welche ere Auffassungen zusammenmischt. Ich darf nicht unbemerkt lassen, dass die von mir gemeinten Staubmeteore, welche das Dunkelmeer und die rothen Staubstürme in so grossem Maassstabe be- gründen, in gar keiner Beziehung stehen mit den ge- wöhnlichen Luftstaubarten, welche bei gewöhnlichen Stürmen das Ackerland aufrühren und allerdings auch die Luft in den Zimmern mit Staub erfüllen. Jeder Mann weiss mit geringem Nachdenken sich diesen Staub zu erklüren, und oft genug wird der fremde, allein in- teressante rothe Staub, in den gewóhnlichen Acker- und Landstaub eingehüllt, durch. ihn unkenntlich und uninteressant. Es bedarf daher einer Kenntniss des Historischen dieser wichtigen rothen Meteore, um das rechte Interesse an der Sache zu gewinnen. in welchem Zusammenhange die central-asiatischen rothen Staubstürme mit denen von Shanghai in China stehen. Aus Ritter's Zusammenstellungen ergiebt sich, dass die Landstriche zwischen dem Thian-schan- und Küen-lün-Gebirge, besonders an dem vulkanischen Bogdo-Oola, ebenfalls mit furchtbaren Staubstürmen, welche an manchen Stellen eine blutrothe Erde ent- blóssen oder fallen lassen, versehen sind, und es breitet sich hiernach die Erscheinung durch die Gobi-Wüste weiter nach China hin aus. Die Landesverhältnisse, in welchen sie in Asien stattfindet, sind noch bei wei- tem nicht übersichtlich, um ein klares Dild des geo- logischen und meteorologischen Zusammenhanges zu gestatten. Es schien eine Zeitlang möglich, durch die eng- lischen Telegraphenstationen am persischen Meerbusen die Materialien aus Beludshistan zu erhalten. 6 Herren Generale Sabine und Rawlinson, mit denen ieh in Verbindung trat, machten mir Hoffnung dazu, allein ich fürchte, dass diese Hoffnung sich zu lange verzögert, und lege deshalb den Gegenstand in die Hände: der Kaiserlichen Akademie, indem ich mich auf meine grössere Abhandlung über den Passatstaub und Blutregen vom Jahre 1849 und auf die in den Monatsberichten der Königl. Akademie der Wissen- schaften zu Berlin seitdem vielfach gegebenen Nach- - träge beziehe. Meine Ansichten über das Phänomen sind besonders in jener akademischen Abhandlung vom Jahre 1849, pag. 41, dahin ausgesprochen, dass es nothwendig sei, zur Untersuchung der wunderbaren, durch rothen Schneefall und Blutregen ganz Eüropa mit betreffenden Erscheinung eine leitende Idee zu Grunde zu legen, und diese von mir zum Grunde ge- legte Vorstellung: ist in dem beifolgenden Kärtchen graphisch dargestellt. Was die Oberflächen des Inneren Afrika’s anlangt, so sind in neuerer Zeit durch viele Reisende durch die grossen Wüsten und Länder Afrika’s, wie Barth, Vogel, Duveyrier, Beurmann, Rohlfs, Hart- mann, Baron von Barnim, Steudner, Schwein- furth und von der Decken, Oberflächenproben zu meiner Ansicht gebracht worden, welche das ganze Gebiet des betheiligten Afrika's betreffen, und auch diese haben nirgends einen Aufschluss über den afri- kanischen Ursprung des rothen Staubes des Dunkel- meeres gegeben. Ueber diese neueren Verhältnisse Dinnenmeere gehórige Flachlünder mit weit mehr Sicherheit an die Hand geben, als jede andersar- tige geologische Forschung zu geben im Stande ist. Auch wird móglicher Weise für die Zeitverhültnisse der rothen Staubniederschlüge ein Maass festgestellt werden kónnen, da diese wohl eingehüllt, aber nur schwer zerstórt د‎ können, ‚Von festen Felsarten, welche die G ten gewöhnlicher äfti Leen hierbei abzusehen sein, ‚aber j in der Nähe deutlich aus- gesprochener f E Oberflächen der so auffal- lenden binnenländischen Vulkane wäre es wünschens- werth, die Aufmerksamkeit auf die Folge der lockeren, 1 lehmigen und sandigen Ablagerungen (Mergel und Tuffe) zu verschürfen. Es bedarf zu diesen Nach- forschungen nicht den Transport erschwerender grosser Mengen solcher Erden, aber auch nicht zu kleiner Mengen; wenige Kubikzoll Masse von jeder Probe wer- den hinreichen. Besonders würden sich solche Erden der Aufmerksamkeit empfehlen, welche sich durch ihre Leichtigkeit in trocknem Zustande auszeichnen. m] Die Nachrichten des aus Bagdad gebürtigen ara- bischen Schriftstellers Abdellatif sind schon im drei- zehnten Jahrhundert insofern bedeutsam für Mittel- Asien, als er das auch neuerlich aus Kabul von Burnes citirte und aus Shanghai ebenfalls gemeldete asiatisch- arabische Sprüchwort, dass die Stauborkane Asien's durch fremde Erde eine fruchtbare Ernte bedingen, seit so langer Zeit verkündet hat. (Abdellatif's Be- schreibung Aegyptens, übersetzt von Sylvestre de Sacy, p. 3, siehe Abhandlung über den Passatstaub, p. 120.) Ob die Stauborkane des westlichen Nord- Asiens in jener Gegend, die meist als Nordwestwinde bezeichnet werden, weiter östlich nach China hin auch in der Nähe des berüchtigten Bogdo-Oola diesen Cha- rakter beibehalten, wird zwar momentan nicht zu er- ledigen sein, aber die Aufmerksamkeit wissenschaft- licher Reisender könnte doch möglicher Weise schon jetzt in grosse Fernen von den Orten aus hingreifen, wo die Kaiserlich russischen Stationen bereits ge- sichert sind. Berlin, den 2. Juni 1866. des Sciences de Saint- Pétersbourg. Da ich im Stande zu sein hoffe, eine Vergleichung neuer Materialien dieser Art mit den älteren seit 1803 mir zu Gebote stehenden, mit denselben Instrumenten, den aufbewahrten früheren Formen und in derselben Beurtheilungsweise vorzunehmen, so unterlasse ich nicht, mich hierzu zu erbieten, im Falle es gelingt, die wichtig erscheinenden Materialien zu erlangen. Zweitens möchte ich der hohen Kaiserlichen Aka- demie ehrerbietig anheimgeben, die Angelegenheit des Dunkelmeers an der Westküste von Afrika auch der Kaiserlich russischen Admiralität in der Art zu em- pfehlen, wie es in Amerika vom Capitain Maury und neuerlich von dem Kaiserlich österreichischen Contre- Admiral, jetzigen Minister von Wüllerstorf im dor- tigen nautischen Almanach für die österreichische Ma- rine geschehen ist. Von englischen, französischen und amerikanischen Schiffen, auch von deutschen Handels- schiffen existiren bereits ill gute Nachrichten, welche ich verzeichnet habe. Es würde auch sogar ein we- sentlicher Gewinn sein, wenn die mittel-asiatischen rothen Staubstürme bd wunderbaren ziegelrothen Wüstenverhältnisse eines rothen Staubes durch direkte Analysen von den historisch so merkwürdigen Dunkel- meer-Verhältnissen abgeschieden werden müssten, so wie es schon jetzt niemals mehr in Frage kiakad kann, ob dergleichen rothe Nebel die Erdkugel bei ihrer وج‎ fegende Kometenschweife oder andere kosmische Materien sind, nachdem so viele terrestrische organische Bestandtheile. darin nachgewiesen werden konnten, wie schon 1849, pag. 164, aufgezeichnet ist. Ein dritter Wunsch, welchen es mich drängt der Kaiserlichen Akademie zu hochgeneigter Mitwirkung zu empfehlen, ist die in grossem Bereiche jetzt doch wohl schon mógliche gelegentliche Untersuchung der Erdschichten in den hauptsächlichsten Stationsgegen- den der Kaiserlichen Colonien Central- Asiens. Es kann nicht fehlen, dass in sehr vielen Stationsgegenden mehr oder weniger tiefe Brunnen zu graben sein wer- den. Solche Brunnengrabungen erlauben ohne beson- dere Kosten eine Aufzeichnung der durchsunkenen Erdschichten. Das Sammeln und Einsenden von ein- fach numerirten Proben der sich auszeichnenden Schichten aus solchen Brunnen könnte bei sorgfäl- tiger mikroskopischer Prüfung leicht einen wichti- gen Aufschluss über viele einst zu einem grossen fructifer (capsula) prismatico-trigonus, 2 lin. longus, superne 1 lin. latus; laciniae 5 foliiformes, acutae, 2 lin. longae, erectae, divaricatae vel etiam reflexae et capsulae adpressae; sinus inter lacinias auriculis mi- nutis appendiculati; discus in apice capsulae planus, 1 lin. in diametro, umbilicatus, tricostatus, costae dissepimentis 3 loculorum respondentes. Semina in capsula clausa matura, numerosa (ad 30), elliptica, 72 lin. longa, turgida, nitida, flavo-brunnea, apice utroque nigricantia. Dagestania bor., in prov. Koissubu, infra montes Erpeli, in fissuris E. calearearum regionis «Machi», in umbrosis, fine Julii corollis emar cidis et sem. ma- turis lect. com. D. Owerin. 111 Campanula. $ 1 Medium. Sinus calycis appendiculis reflexis, interdum minutis vel rarius abortivis (conf. C. suanetica, Bayerniana, collina). A. Seapiflorae, uniflorae (excepta interdum C. ies eaespitosae, longaevae, rupestres vel alpinae 3. €. ciliata Steven 1812. Ab omnibus تن‎ insequentibus recedit: pilis rigidis hispidis in margine laciniarum calycis et foliorum basilarium, heic retro- versis, foliis glanduloso-crenatis. Affinitas cum sibiricis quibusdam speciebus unifloris, textura rigida foliorum praeditis. œ. typica: foliis obtusiusculis brevioribus, . obovatis aut «oblongis in petiolum vix attenuatis, po- tius lata basi sessilibus, laciniis calycinis dimidiam fere corollam (semipollicarem vel majorem) attingentibus». Cauc. orient. in rupibus circa Chinalug fl. fine Jun. (Stev.!) et in alpe Schachdagh 1500 hex. 30 Jul. flor. (Meyer!) In Awariae rupestribus graminosis alpinis Tala Kori 1390— 1400 hex. copiose, 2 Jul. flor. (ipse); haee fere intermedia est et transit in B. lon- gifoliam : foliis acutioribus, spathulato- lanceolatis; laci- niis calyc. angustioribus et longioribus, ËTT co- rollae subpollicaris excedentibus. In Age alpinis Cauc. boreali-occid. inter montes nigros et m. Elbrus, in regione fl. Malka, 1000—1200 hex. 6—8 Jul. fl. (Meyer!) spece. ۸3: et WilheIms. forte ex Ossetia. 4. C. tridens. Solitaria, unicaulis vel bicaulis, numquam caespi- tosa. Folia tantum apice پر‎ vel tricrenata. Calyx basi villis longis canescens, saepe. coloratus; | laciniis linearibus ”/, poll, longis buse corolla triente. vel dimidio brevioribus; appendiculis linearibus pe- Bulletin de l’Académie Imperiale Revisio Campanularum Caucasi Auctore F. J. Ruprecht. (Lu le 20 décembre 1866.) I Podanthum G. Don 1834. Phyteuma $ 3 Alph. Dec. 1830. Species floribus non capitatis vel breve spi- catis, sed laxe spicato-racemosis, in axilla bracte- arum geminis vel ternis, in modum. Campanularum quarundam, quare cel. Boissier cum Campanula junxit, addens lobos corollae numquam apice con- natos esse. Verum corolla Campanularum (excepta monstrositate C. Medium) numquam usque ad basin partita est et species numerosae Podanthi sectionem naturalem constituunt, etiam a cl. Boissier conser- vatam. l. P. campanuloides (M. Bieb. Ze et serius) — C. Marschalliana Boiss. In pratis reg. subalpinae et élire totius fere Cau- casi magni, rarius in sylvis et pinetis editioribus; fre- quenter inter 1270 — 780 hexap., locus maxime de- missus: Beschtau mons 400 hexap., supremus supra fontes fl. Djulti inter 1480 et 1637 ; non vidi in Tusche- tia. Floret a fine Junii (in demissis) ad med. Sept., sed medio Aug. interdum deflorata altit. 1100 hexap. P. salicifolium, (Bess.) in Iberia lapidoso-campestre est et foliis anguste lineari-lanceolatis confertis, stricte erectis praecipue dignoscitur. 11 Hedranthus: Wahlenbergia § 1. Edraiantha A. Dec. 1830. Edraianthus A. Dec. 1839. Hedraeanthus Griseb. 1844. Campanulae sp. Linné et iterum Visiani 1847; differt tamen Hedranthus a Campa- nula: capsula indehiscente vel tantum apice irregu- lariter rumpente. 2. H. Owerinianus. Affinis H. serpyllifolio et Pumilioni, quoad habitum, flores solitarios, texturam foliorum etc. Himin stirps, dense rosulata. Rhizoma lignosum, inferne 2 lin. crassum, superne ramosissimum et in cauliculos breves abiens, residuis foliorum sqamatos. Folia dense imbricata, rigida, patula, divaricata vel revoluta; su- prema rosulata, breve linearia obtusa 1— 2 lin. longa, vix '/ lin. lata, margine revoluta et deorsum ciliolata, utraque pagina glaberrima, glaucescentia, nitida, oculo armato parenchymatosa. Flores solitarii in apicibus rosularum sessiles. Corolla tubulosa, semipollicaris, | post anthesin corrugata et diu persistens. Antherae 5 liberae, 1 lin. longae, filamentis brevissimis. Calyx -a sepala margine ciliata, ceterum cum caule glabra, an hae ciliae pro lanugine marginali intelligendae? Icon tab. 2 habitum et partes floris bene exprimit, nec non sepala obtusiuscula corolla dimidio breviora, corolla pollicaris parum tantum incisa, lobis tantum bilineali- bus (forte errore pictoris e planta siccata, tamen ejus- modi forma in caucasicis rarius observatur), folia pol- licem longa, cuneato-spathulata. Recognoscenda ex herb. Acad. Berol., ubi specimen in Cappadocia a Gun- delsheimer lectum asservabatur; Schrebero idem fuit ac C. orientalis pumila repens flore magno Tournef. Coroll. 3. In herb. Tournefortii tantum adest « C. pon- tica pumila repens flore minore» examinata a Dieber- stein et A. Decandolle; haec videtur varietas a Schre- bero memorata, caule foliis floribusque dimidio fere minoribus, calycibus acutis, foliis plerisque integris aut obscurius tridentatis diversa a C. tridentata typica; Bieberstein pro C. rupestri sua declarat, serius vero pro C. ciliata; opinionem priorem confirmavit Decan- dolle, addens, pilos in planta Tournefortiana molles, nec rigidos esse; at C. rupestris Bieb. est species du- biis maximis oppressa. Specimina minora parviflora C. tridentis caucasieae plane congruunt cum C. bythi- nica Boiss. in pl. Kotschy n.280 a., e graminosis alpium Ponticarum alt. 1033 hex. Ab hae autem diversa est C. bythinica Hueti (vix Dec.) ex Armenia pr. Ispir ad rupes supra pag. Haho, pilis rigidioribus retroversis ciliata, et ad laminam foliorum juniorum interdum subhispida. Patet, in « Cappadocia» plures adesse Cam. panulas similes, nobis adhuc ignotas. Observ. 2. C. rupestris M. Bieb. 1808 n. 385 (sive C. Biebersteiniana R. 8.) jam propter nomen et sta- tionem «in rupestribus» alp. Caucasi C. tridens esse nequit, etiam descriptio differt foliis apice subserratis; in herb. Bieb. adsunt 3 specc. ex Iberia ab Adam ac- cepta, e quibus 2 ad C. tridentem pertinent et sche- dula Adami pro «C. tridentata Schreb.» e monte Kai- schaur, illustrantur. Tertium vero exemplar in herb. Dieb. est omnino alia species (verosimiliter rupestris et primitiva) jam sepalis latis et appendicibus ovatis, minime albo-lanatis diversa, nee non corolla late cam- panulata, brevi. Hujus plantae cauliculi 3 servantur in Hb. Fischer sub nomine C. affinis, pariter sine foliis basilaribus. Videsis C. Meyerianam. C. rupestris M. B. in alpibus supra pag. Chinalug, Jun. flor. lecta et memorata a Steven 1812, secundum specc. plura des Sciences de Saint - Pétersbourg. ——— OP HORA‏ مب -dunculo adpressis, post anthesin increscentibus late‏ ovalibus obtusissimis. Corolla 1 —1'/ pollicaris, potius longe infundibuliformis, quam campanulata, in vivo pallide coerulea ye intus pallidior, hinc annu- lus basilaris non tam manifeste conspicuus, ceterum extus 8970 (167 glaberrima. ` Flos suberectus, post an- thesin ita nutat, ut postea capsula pedicello adpressa sit, Semina lineari-ovalia, fere 1 lin. longa, vix '/, lin. lata, compressa, margine angusto incrassato cincta, pallida, subopaca. Semper crescit in pratis alpinis (nullibi in rupibus) aut terra nuda. Copiosa praecipue in jugis altissimis sterilibus totius fere Caucasi, interdum juxta nives et glaciem alt. 1800—1260 hex. et ex herbidis alpinis interdum descendit ad regionem subalpinam, rarius ad 1130 et imo ad 1000 hex. Floret fine Junii, imo fine Maji, sed in altioribus non ante init. vel med., rarius finem Julii, ad nives initio v. medio Aug., imo initio Sept. Medio v. fine Julii saepe jam omnino deflorata et fruct. fere maturis; medio Aug. capsulis apertis et semin. plene maturis, medio Sept. a frigore necata. Varictates: 8. crenato-serrata in margine foliorum basilarium, praeter apicem tridentatum, eum typica in Salatavia et limite Digoriae; y. araratica, major, lati- folia, margine fere dimidio circumserrata; ad pedem m. Ararat majoris; ۰ ciliata, laciniis calycinis mino- ribus, appendiculis rigido-ciliatis, nee mollitér albo- villosis; affinitatem cum C. ciliata demonstrat, sed folia C. tridentis typicae, quacum mixtim crescit in Cauc. minoris m. Kaepesdagh, prov. Karabagh fl. 27 Junii (Kolenati) Huic non parum similis, sed pilis mollibus calycinis et corolla extus dense puberula diversissima est C. quaedam nova, fallax, diu in herb. Cauc. ser- vata, eum C. ciliata minori, tridentata et Saxifraga commutata, verosimiliter ab Adam aut Steven lecta, mihi tantum e caulieulis 2 nota; a C. pubiflora angusti- sepala glabrifolia differt praecipue: foliis caulinis su- perioribus:2— 3, a basi latiore sessili lanceolato-line- aribus acuminatis سل‎ poll. longis, plane ut in spec. C. affinis Risch a C. Saxifraga pubiflora differt làci- niis calyc. angustioribus et fol. caulinis. Observ. 1. C. tridentata Schreber 1765 tab. 2 (Linné 1767 verba Schreberi repetit) ٤ species sane proxima C. tridenti et forte varietas ejus microphylla. Descrip- tio certe in nonnullis discedit aut manca est, v. g. cap- sula 5 locularis verosimiliter erronea, folia omnia et | 205 NE * DE g spathulata, crenato-serrata, petiolata; caulina sensim angustiora, superiora linearia. Calyx saepe coloratus, in fructu reflexus; laciniae variant longitudine et lati- tudine, plerumque corolla 2-8 1 breviora sun. Corolla violacea, extus semper dense puberula, ad '/,— '/, partem fissa, variat major 17, — 10011 gvel minor ات‎ poll., late campanulata vel deorsum an- gusta. Supamulae filamentorum semiorbiculares, 1 lin. longae, basi 1'4 lin. latae, margine densissime con- fervoideo-pilosae. Stylus deorsum attenuatus, stigma- tibus in flore haud circinnatim involutis. Vertex cap- sulae 4— 5 lin. in diametro, hirsuto-hispidus, in ger- mine pilis densissimis erectis strigosus. Semina ovali- subrotunda, lineam fere longa et paulo tantum angu- stiora, complanata, BEL TUENDUM margine lato incrassato cincta. Species forte collectiva, ex charactere seminum, in plerisque formis adhuc ignoto, olim dirimenda. Sae- pissime distingui possunt duae series: a. pubifoha: canopubescens vel saltem dense et molle puberula in calyce et pagina utraque foliorum; 8. glabrifolia: foliis, excepto margine, etiam oculo armato, glaberrimis. In var. 8. semina saepe videntur quidpiam angustiorä, inde magis ovalia et angustius marginata. In Tuschetia tantum Q. offendi; in Dagestania superiori montana deest fere a; in Dagest. media tantum a crescit, forte propter formationem caleaream; in Dagest. australi utraque forma obvenit. Memoratu digna, quod tantum in Dagest. (incl. Tuschetia) proveniat, i. e.in ditione fluviorum Sulak et Samur, desit vero occidentem versus in Chewsuria, Ossetia etc. aut aliis speciebus affinibus repraesentetur; v. g. in alpinis Pschawiae simillima, at seminibus C. tridentis. Quibusdam locis distingui potest var. sub- rotundifolia, glabra vel pubescens, interdum floribus roseis: Salatavia alt. 1320 hex.; inter Tindi et Aknada 1000 hex. In centenis ان‎ 2 me, nec non | à Szovitsio reportatis et sedulo examinatis, indumen- tum corollae hujus speciei numquam variat. Copiosa in reg. alpina Caucasi orientalis, in jugis altissimis ad terram nudam et in pratis substrato non semper lapidoso, juxta glacies, et non raro in rupibus nudis calcareis vel cotaceis, a 1350—1670 hex., ra- rissime altius usque ad 1800 (Artschi Kala); descen- dit interdum ad limites reg. sylv. 1300 hex. (Bogos), 1100 (Nakkerala) et imo 900 hex. (Gunib). Floret a fine Junii vel initio Julii usque ad med. vel finem Bulletin de l'Académie Impériale Steveni «ex Cauc. orient.» ad Chamiss. et Fischer missa ad C. tridentem pertinet. Planta autem Steveni sub nom. C. rupestris ad Decandollium missa et in Monogr. Camp. tab. 10 depicta, certe non est C. tri- dens, aut var. ejus crenato-serrata, nec C. affinis. C. Biebersteiniania Meyer. n. 701 valde aecedit ad C. affinem et sistit propriam speciem, sed pariter admixta est C. tridens et C. pubiflora. OC. rupestris Parrot (Reise 1811) iterum est C. tridens, sive C. Bieberst. 8. macrantha Ledeb. Fl. Ross. 5. C. Meyeriana. Proxima C. pubiflorae. Rhizoma crassum semper (in 12 exempl. examinatis) vestigia calcis carbonici offert. Cauliculi 1 —2 rigidi decumbentes, fere pro- strati, 2—4 poll. longi. Folia basilaria obovata vel ovali-spathulata, plerumque brevipetiolata, margine multicrenata vel serrata: dentibus praesertim apicali- bus magis evolutis, non conniventibus ; ceterum viridia, utrinque pubescentia vel subtus glabrescentia et imo glaberrima. Calyx coloratus, ad basin praesertim ca- nescens; laciniis 4 lin. longis, ad basin non raro 2 lin. latis, appendiculis bilinealibus, ovato-lanceolatis acutis. Corolla junior extus puberula, sub anthesi glabrescens, interdum glaberrima, semper late cam- panulata, pollicaris. Stigmata in flore erecta. C. Bieber- steiniana Meyer n. 701 et herb. max. parte, lecta in rupibus calcareis alp. Sehachdagh Cauc. orient. vero- sim. alt. 1400 hex. 30 Jul. flor.; an etiam? in rupibus subalp. et alp. versus m. Elbrus 1000 — 1500 hex. 3—10 Jul. Infra Baidaram alt. 1180 hex. prope glaciem in terra, forte cum rupibus ex alto praecipitatis, unicum specimen vidi et legi, quod tantum leviter a descripta mox specie differt et varietatem tridentatam quasi re- fert: foliis basilaribus margine integerrimis, apice tridentatis, utrinque glaberrimis; calycis appendicibus 3 lin. longis, 2 lin. latis, corolla extus glaberrima. Hujus loci esse potest C. affinis Fischer herb. (non R. S.) in quo 3 cauliculi et quartus in herb. Bieber- | steini sub C. rupestri; omnes 4—6 pollicares, sine foliis basilaribus; corollae in his semper extus gla- berrimae. 6. C. pubiflora. Rhizoma ad 3 lin. erassum. Cauliculi plerumque adscendentes, flexuosi, semipedales vel humiliores, in- terdum pygmaei. Folia basilaria fere semper ovali- 209 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 1 ?10 stincto incrassato angusto cincta, subovalia, %, lin. longa, , lin. lata, pallida, nitentia, hinc diversissima a sem. C. bellidifoliae, at fere C. kryophilae, colore pallidiori griseo et paullulum minora; sed corolla C. kryophilae extus glaberima est uti vertex capsulae ejus. Tuschetia ad rupes humidas fluvio Alasan irrigatas, in reg. sylvatica inter Zokalto et Schenako, alt; 850— 960 hex. 28 Jul. deflor. sem. mat. Vidi etiam spe- cimen simillimum 7 pollicare fructif. corolla emarcida et sem. maturis, in Gilania sub itinere Gmelini jun. lectum; ex hoc loco quoque adest C. Saxifraga corolla glaberrima, sepalis 3-plo longiore. Sed 4 alia specc. aeque vetusta sistunt novam speciem: C. gilanicam, ex alpibus gilanicis m. Julio flor., a Gmelino aut Ha- blitzl pro C. tridentata L. habitam; revera autem ex corolla glaberrima forma foliorum aliisque notis pro- xima sunt C. kryophilae, sed differunt: rhizomate et partitionibus ejus crassis obtectis, cauliculis debiliori- bus adscendentibus et flexuosis, appendiculis filiformi- bus 1°, lin., margine pilosis ut laciniae calycinae, quae corollä semipollicari (vel minori 4 lin. parum tantum vel etiam) triente breviores sunt; stigmata erecta. Var. obovata: foliis basilaribus omnibus obovato-spathulatis, magis hirsutis, apice subtridentatis vel potius conni- venti-pauciserratis; corolla paulo major 7 lin., calyce subduplo longior, appendiculis basi paulo latioribus. 10. C. Saxifraga M. Bieb. 1808 et herb.! Differt a C. bellidifolia: foliis caulinis integerrimis linearibus vel lineari-lanceolatis, nec in petiolum manifeste atte- nuatis vel superne in laminam crenulato-serratam di- latatis, confertis ct brevibus. Folia basilaria angustiora sunt, oblongo-spathulata, margine dimidio vel tantum versus apicem crenato-serrata (spec. Bieb.) vel fere integerrima, excepto margine glaberrima. Corolla eadem ampla pollicaris, sed calyce in typica duplo tan- tum longior, in typica (herb. Bieb.) extus glaberrima, sed in quibusdam aliis sat manifeste puberula. Calycis laciniae in vegetiori typicá majores, 5 — 6 lin. longae, 2 lin, latae; in specc. minoribus 2'/ longae dimidium corollae (7. lin.) haud attingentes. In quibusdam specc. .| (e Beschtau) corolla interdum pollicaris, sepalis 4-plo longior, ita ut tantum respectu habito floris C. belli- difolia eadem esset. Verum praeter folia adhuc semina prius nondum examinata diversissima sunt. In forma pubiflora loci classici vertex capsulae hispidulus vel brevi- pubescens, hemisphaericus, 3 lin. altus, basi 14 Aug., at in demissis med. Julii jam deflorata et sem. mat. fine Julii et med. Aug. 7. C. bellidifolia Adam in Web. Mohr 1805, nomen et descr. opt.! — confirmata herb. et mss. Adami! — C. Adami M. Bieb. 1808 et Centur. tab. 17 bona! characteres tamen nulli novi. «Folia caulina spathu- lata crenata, basilaria magis rotundata longius petio- laia, interdum conniventi-serrata. Cauliculi 7 polli- cares, adscendentes, unacum foliis et calyce glabri Ai. e. oculo non armato, alias enim folia margine cum ` petiolis et appendiculis calycis pl. m. dense hirsutula). Sepala lanceolata acuta, appendiculae 1 lin.ovatae acu- tae; corolla pollicaris sepalis 4 — 5plo longior, coerulea, lobis latis acutiusculis» Adam. — Rhizoma valde in- crassatum , fere immediatim obtectum fasciculis folio- rum sterilium et cauliculis floriferis. Corolla extus et ore semper glaberrima. Praeter formam foliorum cau- linorum, insignis est ab affinibus speciebus: calyce re- spectu corollae magnae et amplae brevi. Semina speci- fica! turgida, in statu maturissimo haud compressa et vix marginata, rufescentia (tantum residua annotina pallidiora sunt), lineari-ovalia, /, — 1 lin. longa, 4 —"/, lin. lata. . Copiose in rupibus ad fl. Terek alt. 400 — 929 hex. Floret a fine Maji ad init. Aug., rarius ad init. Sept. Medio Aug. defl. capsulis fere vacuis; alibi initio Octobr. sem. optime matura. à; An varietas pubiflora obveniat, adhuc dubium. Pro tali haberi possit sequens: 8. C. argunensis, e rupibus calcareis demissioribus fl. Argun prope castellum Jewdokimowskoje, a D. Bayern comm., ulterius observanda. Habitus et cha- racteres speciminum tenuiorum C. bellidifoliae, sed corolla extus cum calyce densissime cano-pubescens, sepala triangularia acuta, 2 lin. longa, basi 1°, lin. lata, corollä basi angustatä 4-plo breviora. Fructus et semina desunt. Ab omni C. pubiflora 8. glabrifolia discedit: foliis caulinis etiam supremis latis, ut in C. bellidifolia, sed ellipticis, argute serrulatis, C. pubiflora -vero respectu foliorum caulinorum C. Saxifragam re- fert. 9. C. hygrophila; Facies pariter C. bellidifoliae pu- biflorae, sed folia basilaria angustiora, oblongo-spa- thulata, caulina item angustiora fere lin eari-spathulata, calycis laciniae angustae fere 4 lin. longae venosae. Semina matura evidenter compressa et margine di- Tome XI. اوو Ossetia, distr. Alagir, in rupibus ad marginem in-‏ feriorem maris glacialis prope Zei alt. 1060—1070 hex. 5 Sept. deflorata, capsulis apertis pro parte jam) vacuis. | | 12. C. ardonensis. Affinis C. Saxifragae et C. kryophilae. A formis angustifoliis C. Saxifragae diversa glabritie 70 partium praevalente, sepalis triplo angustioribus, acu- tissimis, foliis basilaribus longioribus angustissimisapice argute serrulatis, caulinis filiformibus acutissimis etc. . Diversitatem a C. kryophila e seq. descriptione col- ligas. Rhizoma crassum, ramosissimum C. Saxifragae, apice densissime caespitosum, sed cauliculi majores subsemipedales, tenuiores, flexuosi, glaberrimi. Ra- rius adsunt pili breves molles, parci, in calyce et foliis basilaribus, oculo tantum armato visibiles, corolla tamen extus semper glaberrima est. Folia basilaria nume- rosa, erecta, 3—5 pollicaria vel breviora; petioli longi filiformes sursum sensim in laminam linearem ad 7/, rarius 1° lin. dilàtati, margine integerrimam vel ob- solete repando-crenatam, sub apice acuto vero serra- turis oppositis quibusdam notatam. Folia caulina ses- silia angustiora, lineari-filiformia, integerrima vel re- mote denticulata, suprema a flore sat remota. Flores erecti vel nutantes. Calycis laciniae lanceolatae, ple- rumque 4 lin. longae, basi tantum 1 lin. latae, acu- tissimae; appendiculae 4-plobreviores, acuminatae, in specc. latifoliis paulo longiores et latiores. Corolla saturate coerulea, extus glaberrima, و‎ — %, pollicaris, anguste campanulata, fere ad dimidium fissa, lobis acutis, margine glabris. Stylus dimidiam corollam subaequans, staminibus paulo tantum longior. Capsula annotina vacua, cernua vel nutans, pars calycina duplo brevior, quam vertex glaberrimus, hemisphaerico-co- nicus, 2 lin. altus et basi aequilatus. - Ossetia, ad fl. Ardon, infra Misurtzy alt. 500—520 hex., copiose in graminosis rupestribus, 21 Majo flo- ribus partim adhue clausis. 13. C. petrophila. Polymorpha. Dignoscitur e longinquo ab omnibus speciebus rupestribus subscapifloris unifloris: cauli- culis non raro supra basin ramosis, plurifloris, semper crebre foliosis, foliis fasciculorum sterilium plerumque majoribus ovatis, corollis plerumque parvis. Radix primaria, qualis non facile e fissuris rupium extrahitur, Bulletin de l'Académie Impériale aequilatus; semina fere matura lineari-ovalia 1 lin. longa, '4 lin. lata, straminea, complanata, margine angusto incrassato. In caeumine lapidoso m. Beschtau alt. 718 hex. (M. Bieb., Güldenst. et plur. Floret medio vel fine Junii, deflor. fruct. matur. init. Julii. Var. angusti- folia glabriflora in rupestribus Caue. occ. versus riv. Kassaut 766— 1033 hex. 3 Jul. flor. (Meyer). Var. tridentata in Abchasia, latere austr. m. Nachar, 14 Aug. fl. alt. c. 1500 hex. (Radde). Ulterius obser- vanda, fruct. mat. ignotis, est var. transcaucasica: pu- biflora, robustior et rigidior, sepalis saepe angustiori- bus. In m. Somchetiae pr. Zalka (Fricke); distr. Achalzich in subalp. m. Schambobell. (Radde); fol. latioribus acutioribus: in Iberia trans Cyrum pr. Schu- lawersk ad fodinam Alawersk (Eichwald). 11. kryophila. Proxima C. Saxifragae typicae latifoliae, sed calyces et corollae omnino C. ardonensis. Rhizomata ramo- sissima densissime caespitosa in cauliculos numerosos suberectos, bipollicares, foliis basilaribus fere duplo longiores terminata; in forma vegetiori laxa cauliculi adscendentes triplo majores. Folia basilaria ovali- oblonga (2: 6—1'%4: 3 lin.), basi in petiolum longum attenuata, margine crenulata vel prope apicem conni- venti-serrulata, supra dense pilosula, in vegetiori planta interdum fere glaberrima, etiam margine, 6 lin. longa, 3 lin. lata. Folia caulina anguste linearia, brevia, in specc. vegetis quidpiam latiora, tamen vix dilatata et obtusa. Calyx fructifer in cauliculis rectis nutans, in flexuosis vel adscendentibus cernuus vel erectus; la- ciniae lanceolatae acutissimae, fere 3, in vegetis 4 lin. longae, ad basin '%, in vegetis plerumque 1 lin. latae, glaberrimae vel margine pilosulae; appendiculae qua- druplo breviores late triangulares. Corollae emarcidae '/, in vegetis specc. fere 1 pollicem longae, extus gla- berrimae, tubuloso-campanulatae ad medium usque fissae, coeruleae. Antherae stylo duplo breviores, fila- menta deorsum terminata in squamulam triangularem notabilem, margine dense ciliato-barbatam. Stylus semipollicaris, stigmatibus circinnatis. Vertex capsulae glaberrimus!, toro 1 lineá altior, diametro 2°, lin. Se- mina ovalia 1 lin. longa, '/ lin. lata, sem. Lini instar compressa, margine tumidulo angustissimo cincta, pal- liderufescentia, hinc forte non diversa a sem. C. Saxi- fragae, sed capsula aliena. 214 DE‏ ت vel defloratam medio Aug.; semina matura ibidem fine Jul. et init. Aug. i d Varietates notabiliores: B. longiflora. Corolla 1'/, —/, pollicaris subtubulosa, ad '/ partem fissa, basi 2—3 lin. lata; calyx brevis- simus 2 lin.; folia caulina var. Y- sed in eodem loco fere abit in typicam unifloram. Diklo 1250— 1300 hex. 29 Jul. flor. Y. linoides. In loco constans, quasi intermedia inter typicam et à. Cauliculi non raro 3 V. 4 flori, folia caulina erecto-patentia, nec divaricata aut reflexa, con- ferta, vix semipollicaria , elliptico -spathulata ; calyx ` parvus coloratus, puberulus, laciniis latis corollá breve campanulatä fere 7/, pollicari , quadruplo brevioribus. Tuschetia supra Westomtha 1260—1300 hex. 8 Aug. flor. j 8. borbalensis. Caulieuli uniflori paucifolii: foliis elliptico-lanceolatis semipollicaribus; calyx coloratus dense pubescens, laciniis latissimis: 3—4 lin. longis, 1/4 lin. latis; corolla breve campanulata, laciniis duplo longior, ore non barbata, in statu virgineo extus roseo- purpurea, sub anthesi extus et intus pallide coerulea. In loco pro specie peculiari consideravi; immixta tamen erant specc. laciniis 1 lin. tantum latis, corollä fere triplo brevioribus. In rupibus humidis m. Borbalo 1530 hex. 13 Sept. flor. B. Cauliflorae, multiflorae (C. collina saepe uniflora). 1 4.۰ C. Bayerniana. Species e Caucaso minori ad illustrandam affinitatem aliarum novarum memorata. Manifeste accedit ad C. pe- trophilam, secus vix ad $ Medium indubie referenda fuisset; ex forma foliorum, inflorescentia, sinubus caly- cis obsolete auriculatis, forma corollae ete. quidpiam affinis C. suaneticae, ceterum ex habitu valde dissimili. Pygmaea, dense caespitosa. Rhizoma lignosum breve et. dense ramosum, ubique obtectum residuis petiolorum, inde squamatum et nodulosum, vestigia calcis carbo- nicae non offert. Folia basilaria cordato rotundata grosse crenato-serrata, glabra vel minntissime et dense hirta, 4 linearia vel minora, petiolo fere semipollicari insidentia. Cauliculi pauciflori 1—2 pollicares, fili- formes, procumbentes, foliosi: folia basilaribus confor- mia. Flores solitarii pedunculati, pedunculo ex axilla des Sciences de Saint-Petersbourg. loco favente fere crassitiem semipollicarem attingit, repens est et abit in rhizomata plus minus longa, ra- mosissima, hinc. inde radicantia; interdum caespites magnos et diffusos constituit, qua nota valde differt a C. bellidifolia et C. Saxifraga. Folia fasciculorum ste- rilium variae quidem magnitudinis, semipollicaria vel minora, sed semper. ovata! vel obovato - subrotunda, margine crenata vel serrata, vel praesertim apice 3—5 dentata. Indumentum cauliculorum et foliorum ple- rumque dense puberulum, rarius folia etiam supra gla- bra vel punctis densis elevatis asperula. Cauliculi raro semipedales, plerumque 3-pollicares vel breviores, erecti vel adscendentes vel decumbentes, filiformes, simplices et uniflori vel ramosi et pluriflori, usque ad basin floris dense foliati: foliis numerosis parvis latis, quoad formam et situm quidem variis sed semper multo minoribus respectu basilarium, obovatis vel ovali- spathulatis, saepe integerrimis, raro elliptico-lanceo- latis, numquam linearibus, Flores virginei erecti, dein cernui et penduli. Calyx fere semper coloratus, re- spectu corollae parvus; laciniis latis, post anthesin reflexis, appendicibus parvis vel saepe minutis. Corolla saepe pallide coerulea, quoad formam et magnitudinem varia, saepe tubuloso-campanulata, parva, LA, pol- licaris, semper extus glaberrima et ore plerumque manifeste barbata. Discus capsulae glaberrimus. Se- mina lineari-ovalia, Ÿ, lin. longa, */ lin. lata, angustis- sime marginata, compressa, pallide rufescentia, sub- | opaca, hinc distincte minora quam illa C. kryophilae ét magis adhuc diversa a seminibus turgidis immar- ginatis et fuscis C. bellidifoliae. .. Communissima in rupestribus declivitatis borealis, rarissime australis, Caucasi orientalis fere totius, ra- rius in alp. calcareis m. Schachdagh; in Caucaso occi- dentali et minori nondum reperta, dubia pro Dagestania boreali calcarea. In regione alpina usque ad 1600 hex. plerumque uniflora, rarissime ad 1660 vel 1760 ubi valde pygmaea; saepe praecipitatur cum rupibus in regionem subalpinam; in reg. rupestri usque ad 1000 hex. descendit; rarissime ad fl. Terek alt. 600 hex.; interdum supra lapillos mobiles vel terram la- foliorum egrediente subsemipollicari, versus apicem bibracteato: bracteis brevibus sublinearibus. Calycis 14* culorum sterilium majora, fere 3 pollices longa et 2 lata, basi sinu profundo cordata, margine grosse du- plicato-serrata; folia caulina numerosa basilaribus con- formia, sed minora. Cauliculi tenues adscendentes vel potius inflexi et apice florifero nutantes. Racemuli fastigiati filiformes in axillis foliorum superiorum, in- ferne ad 1—3 pollices aphylli. Flores inferiores oppo- sitifolii in pedicellis bilinealibus. Calycis glaberrimi la- ciniae fere 5 lin. longae reflexae, lineari -lanceolatae, obsolete serratae, basi dilatatae et in sinu quolibet den- tem exiguum formantes, haud facile pro appendicula recognoscendum. Corolla (e sicco) pallide-coerulea, 8—10 lin. longa et aequilata, infundibuliformis potius quam campanulata, basi 2 lin. superne " poll. lata, ad medium usque fissa, extus glaberrima, ore piloso- barbata. Stylus 7—8 lin., stigmatibus 4. Stamina stylo duplo breviora, filamentis ab apice deorsum sen- sim dilatata, antheris liberis, hine non Symphyandrae species, quam habitu quodammodo aemulatur. Suanetia ad fl. Zchenis-zchale pr. Muri 255 hex. vel supra, 16 Jun. flor. leg. D. Radde. 17. C. Kolenatiana C. A. Meyer ined. Semina C. sibiricae, cui ceterum tantum hispiditate sepalorum et appendicularum convenit, in aliis vero diversissima est. Radix perennis, ad collum crasse Bulletin de l'Académie Empériale ramosa, multicaulis. Folia basilaria subpollicaria vel minora, rotundato-ovata, majora basi cordata, margine breve hispidulo inaequaliter crenata, petiolo 3 polli- cari vel breviori purpurascenti suffulta. Caules basi ramosi 3— 9 pollicares. Rami floriferi rigidi, breve hispiduli, foliis paucis brevibus et latis. Flores in ra- cemo depauperato longe pedunculati, pedunculis saepe bracteatis. Laeiniae calyeinae 3 lin. longae, basi 2 lin. latae, appendicibus 2 4-plo longiores et corolla —4-plo breviores. Corolla coeruleo violacea, late 1 i ibuliformis, */,—1 pollicaris, ad ter- tiam partem fissa, ore pilosa. Stylus fere longitudine corollae. Capsula in spec. typico spontaneo ?/, pedali dense hispidulo, magna, fere / poll. lata, laciniis caly- cinis triangularibus 3 lin. longis et aequilatis. In declivitate australi montis Salvat supra Nucha 13 Aug. fructiferam et semina leg. Kolenati, e quibus planta educata a. 1847. Ipse 17 Jul. flor. reperi in Dagestaniae prov. Kaputscha, in rupibus ad fl. Beshita pr. Héleda alt. 800 hex., minus hispidulam in caule, 215 laciniae erectae 1Y,—2 lin., basi lata cordatae et sic ad sifius auriculam exiguam formantes, tamen vix manifeste appendieulatae. Corolla. coerulea infundibuliformis 5—6 lin. longa, basi in tubum angustata vix lineam latum, lobis fere tertiam partem corollae attingentibus, extus et ore glaberrimis. Stamina stylo duplo bre- viora, antheris liberis 1, lin., filamentis basi sensim dilatatis. Stylus corolla brevior, apice trifidus. Karabagh, in alpinis ad Tuman, prope Schachauus, ex oriente ab urbe Ordubad detex. D. Bayern et spe- cimen communicavit. ۱ 15. C. andina. Cum nulla alia magis quam C. Bayerniana compa- randa. Pusilla, nummulariaefolia, grandiflora, tota superficie dense pubescenti-hirta. Adsunt specc. 4 cum rhizomate vel partibus ejus dense squamatis deorsum attenuatis, ad pollicem usque longis. Cauliculi 1-1 pollicares erecti, adscendentes vel procumbentes sub- flexuosi, dense foliati, 1—3 flori. Folia minuta 3 lin. et minora, firma, basilaria cordata obtusa, caulina or- biculato-reniformia, omnia crenata, petiolis aequilongis vel brevioribus insidentia. Flos terminalis in apice cauliculorum nudo, veluti pedunculo 2—3 lin. ebrac- teato; in axillis superiorum quorundam foliorum adsunt 1 v. 2 flores nondum evoluti. Calyx 2—3 lin., ad me- dium fissus in lacinias triangulares, ad sinus plerumque lacinula parva lanceolata manifeste appendiculatus. Corolla infundibuliformi-campanulata, coerulea, semi- pollicaris, extus dense pubescens et ore pilosula, ad */, partem fissa, versus basin ad 2 lin. usque angustata. Stamina 2—3 lin. longa, antheris liberis, filamentis '/, lin. basi squamulae parvae subrotundae pubescenti affixis. Stylus corollà plus quam triplo brevior, par- titionibus stigmaticis erectis brevibus. Adest specimen recedens: foliis praeter margines glabris, caulinis ova- à tis, corollà 8 lin. ad medium usque fissá. In Andibus caucasieis, prov. Gumbet, in rupibus caleareis pr. Danuch 891 hex., fine Julii flor. comm. D. Owerin. 16. C. suanetica. Manifeste affinis C. Raddeanae Trautv. (e Borshom), quae calyce longe appendiculato, laciniis brevioribus setoso-ciliatis, longitudine styli, forma corollae, pedun- culis brevioribus rigidis etc., magis quam necesse, di- versa est. Glaberrima, pedalis. Folia basilaria ovato- rotundata, basi cordata, margine grosse dentata, fasci- 218 est, quod vix credidissem, C.rigidipila Hochst. et ۰ e montibus Abyssiniae, non typica n. 167, sed. var. heterophylla, pariter ex Abyssinia a Schimper n. 821 in herb. Mus. Paris.; differt tantum: foliis caulinis la- tioribus, ovatis vel late ovali-ellipticis, evidenter cre- natis, nec oblongis integerrimis vel obsolete undulatis; caulieulis basi paucifoliis, foliis inferioribus et basi- laribus alienissimis; calyce 4 lin. longo, laciniis minus acuminatis, sed in n. 167 flores et partes ejus omnino non diversi. Inter caucasicas accedit ad C. sibiricam multicaulem vel C. Hohenackerianam ramosissimam, superne latifolii, pedunculi infimi oppositifolii, nec axil- lares, corolla brevior deorsum non angustata. Con- ferenda praecipue var. darialica minus nota. A. C. caucasica adhuc magis discedit statione rupestri, ha- bitu, rhizomate, caulibus majoribus dichotomo-ramo- sis, multifloris, foliis superioribus etiam floralibus la- tioribus nec bracteiformibus, aliisque notis. Rhizoma lignosum, e rupium fissuris egressum sta- | tim dividitur in cauliculos numerosos, ',—/, pedales tenues ی‎ lin. crassos, flexuosos, dichotomo-ramosos, dense divaricato-hirtos vel breve hispidulos. Folia caulina inferiora ovali-vel obovato-spathulata, in pe- tiolum aequilongum et breviorem alatum attenuata; superiora sessilia late elliptica vel ovata, obsolete cre- nata; omnia pollicaria vel minora, tenera et pilis bre- vibus hispidulo-hirta. Flores solitarii, infimi et inter- dum etiam superiores oppositifolii, pedunculo nudo 2—8 lin. longo. Calyx 2 lin. latus, 3 lin. longus, ad ?5 fissus, lobis et appendicibus margine hispidis, his 2—3-plo brevioribus quam laciniae. Corolla coeru- lea, campanulata, 5—6 lin. longa, extus et margine glabra. Stylus longitudine corollae, stigmata apice tantum circinnatim involuta. Imeretia demissior, in rupibus calcareis umbrosis ad fl. Ziteli-zchale pr. Kutais, 14 Nov. floribus primis reperi. 22. C. lamiifolia (Buxbaum 1740, V, tab. 18 rudis) Adam 1805 et herb.!, M. Bieb. 1808!, Rchb. pl. crit. VI, fig. 749 opt.!, saepe habita pro C. alliariacfolia (Tournef.) Willd. 1797 et herb., quae etiam post ex- splicationem Cliamissonis in Linnaea 1833 p. 319 dubia restitit et panicula supradecomposita ampla differe dicitur, nam flores duplo minores, subsemipollicares et folia utrinque viridia pilis rigidis alba, etiam in C. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 217 foliis subtus et supra fere glabris, caulinis inferioribus majoribus, ceterum non diversam. 18. C.sibirica L. Typus speciei Linnaeanae est planta sibirica Gmelini III, tab. 29 depicta: Caulis pedalis, hispidus rectus indivisus. Radix biennis, simplex. Corolla eylindracea °/, pollicaris, ore plerumque glabra. Typica in Caucaso jam a Bieberstein 1808 indicata, rarior, v. g. in m. Beschtau; in promontorio occid. ad fl. Kefar in Abadsechia et pr. Kitschmalka ad 900 hex. usque; in Abchasia pr. Bambori, in Cachetia pr. Gom- bori 830 hex. vel infra; in Dagestania austr. in m. | $ VRUT Y ait: sed rhizoma perenne, cauliculi filiformes, flexuosi, etiam Kalag infra 793 hex. Vix in rupibus crescit et haud in reg. alpina occurrit. Fl. ab init. Jun. ad finem Aug. 19. C. Hohenackeriana Fisch. et Meyer 1843, cul- tura non mutatur in C. sibiricam typicam. Est quasi C. sibirica multicaulis subalpina, ramis saepe debili- bus, in rupibus et locis lapidosis crescens, admodum polymorpha. Kobi (locus classicus), Gumbet pr. Da- nuch 891 hex., fl. Samur infra Basch-Muchach 1050 —1100 hex., inter Tindi et Aknada 970— 1000 hex. etc. Floret toto Julio m. 20. C. caucasica M. Bieb. 1798 et serius; a Steven, . À. Decand. 1830, nec non a Meyer in Kol. 1849 differentiis specificis a C. sibirica et C. Hohenackerianá dilucidata. Radix primaria sat crassa, longe fusiformis, pedalis, perennis (quod cultura tamen nondum corro- boratum), multicaulis; cauliculis 4 poll. et humilioribus teneris, basi ramosissimis repentibus et radicantibus. Folia brevia, late ovata! vel obovata. Flores 5—9 lin. longi, pauci, sec. M. Bieb. saepe tetrameri; appen- dices calycis glabriusculi longitudine saepe sepalorum. Semina majora, quam C. Hohenackerianae, conpressa, nigrescentia. Tantum in Cauc. maxime orientali, reg. alpina et subalpina: pygmaea in abruptis sterilissimis lapidosis subalp. regionis «Kurt Bulak» dictae, flor. a Junio ad Aug. (M. Bieb. 1798, 1808 n. 389 et herb.! specc. flor. et fr. mat.); in alpinis circa Buduch! (quod 1042. hex.) et Chinalug (quod 1096 hex.) sec. Steven 1812 et herb.! spec. flor.; in alpe Tufandagh inter fragmina schisti 1450 hex., 31 Jul. fl. et fr. mat. (Meyer n. 707 et herb. !( 21. C. imeretina. Habitus et affinitas indubia C. dichotomae L. Euro- . pae australis, at radix mimime annua et caulis una cum ramis non tam longe divaricato-pilosus. Proxima vero 220 Campanula § u. Eucodon. Sinus calycis sine appen 1 25. C. latifolia L. In sylvis usque ad ۰ subal- pinam hinc inde in declivitate boreali Cauc. alt. 200 —1170 hex. vel paulo altius. Floret a fine Junii ad finem Aug. C. eriocarpa M. Bieb. 1808 nonnullis locis cum typo mixta, tantum lusum sistit, extra Cau- casum forte non obvenientem. C. urticifolia 8 M. Bieb. 1808 et herb. ex m. Kaischaur est C. latifolia eriocarpa, macra, tenuis, uniflora, ita ut C. Trache- lium L. in terris caucasicis nondum observata sit. 26. C. rapunculoides L. In Caucaso mire polymorpha et atypica, imo uniflora, imprimis in altioribus locis; semper sepalis in flore reflexis dignoscitur. Exceptis campis demissis fere ubique per Caucasum, fere usque ad alt. 1200 hex., praecipue secus vias saepe caleatas, in ruderibus et lapidosis, nec non in pratis subalpinis. Floret ab init. Julii ad med. v. finem Sept. Var. nota- bilis Caucaso propria est C. trachelioides M. B. 1808, sub culturà constans, summitatibus hirsuto - hispidis, sepalis cano-hirsutis, interdum etiam germinibus longe cano-barbatis. Praecipue ad Wladikawkas et in m. Beschtau. Obvenit etiam C. trachelioidi-ruthenica, fere transitus C. rapunculoidis L. in C. bononiensem La vidi tantum pauca specc. e Konstantinogorsk et Pjä- tigorsk ; indumentum foliorum et calycis vel etiam cau- lis hirsutum C. trachelioidis, cum inflorescentia com- pacta, racemulis abbreviatis et floribus parvis C. ru- thenicae. | 97. C. bononiensis L. et C. ruthenica M. Dieb. 1808, quae saepe distingui potest, in m. Beschtau alt. 100 Bulletin de l'Académie Impériale — 500 hex., pr. Pjätigorsk, Konstantinogorsk, Tarki ad m. Casp., praecipue locis siccis obvenit. Campestris est et subsylvatiea, trans Caucasum pr. Ananur, etiam in Ossetia et Imeretia altiori indicatur. C. Rapunculus L. tantum campestris est. 28. C. glomerata L. In toto Caucaso (M. Bieb. 1808, Meyer), saltem declivitate boreali, a summis alpium jugis, alt. 1700 hex. et pratis alpinis usque ad pro- montoria sylvatica 300 hex. Floret a fine Junii v. prius ad init. Sept. | ER 29. C. simplex Steven 1812 — C. Steveni ۰ 1819, Rchb. XIX, tab. 253. C. simplex Lam. et Dec. nunc ab ipso Decand. a C. bononiensi non distinguitur, hinc mutatio nominis superflua. In declivitate boreali Caucasi rarius et parce v. g. in subalp. pr. Chinalug 219 lamiifolia occurrunt; an revera diversae sint, iterum quaerit Decandolle, qui plantam Tournefortii vidit. Flores albi, ochroleuci forte tantum in herb. In decli- vitate boreali et australi Caucasi fere totius sat fre- quens, a planitie et 220 ad 900 hex., regionem al- pinam non intrat; non solum in rupibus, sed saepius , etiam in terra lapidosa secus vias et ripas fluviorum. Floret ab initio Julii vel prius usque ad init. Octobris, in Imeretia imo ad med. Nov. Var. albotomentosa pr. Tiflis et in Imeretia. 93. C. sarmatica Ker (Gawler) 1817 Bot. Mag. tab. 237 bona! — C. betonieaefolia M. Bieb. 1808 et ex Adam mss. 1803, hoc nomine jam descripta a Biehler 1807 — non Sibth. et Smith 1806. Folia radicalia Betonicae, sed basi latiora, margine crispato-crenata. Flores magni, in vivo pallide coerulei. In rupibus et locis lapidosis declivitatis borealis Caueasi hinc inde à 370—900 hex., rarius usque ad glaciem Ossetiae pr. Zei 1065 hex.; locus maxime demissus prope portam . Dagestanicam ad originem fl. Sulak 160 hex. Floret a fine Junii v. initio Julii ad init. Aug. Var. glabra notabilis, foliis (non calycibus) glabris in prom. Cauc. occ. in rup. calcareis ad fl. Kitschmalka 1 Jul. flor. (Meyer). 24. C. collina M. Bieb. 1808; ejus Cent. tab. 42. Ad S Medium relata, propterea, quod interdum aliquot calyces, monente jam M. Bieberstein, ad sinus appen- diculati sint, appendieulis notabilioribus, quam in C. sarmatica, cujus formam tenuem et parvifioram quasi | refert. Folia radicalia rarius basi subcordata. Race- mus simplex, non raro in eodem loco uniflorus; brac- teae florum angustae, non foliiformes. Sepala numquam reflexa. Calyx in eodem loco vel glaberrimus vel pilis nonnullis adspersus vel ad germen densissime albo- villosus. Copiose et fere ubique in pratis alpinis et subalpinis, rarius in reg. Sylvaticam super. descen- dens, rarissime in promont. siccis campestribus lapi- dosis calcareis Dagest. bor.; in Andibus Tuschetinis deesse videtur. Pumila uniflora saepius crescit inter 1500—1700 hex., raro 1800, interdum descendit ad 1000 et secus torrentes imo ad 660 hex.; typica ple- rumque inter 1400 et 1100, rarius 800 hex.; in pro- montoriis praecipue siccis inter 800 et 500 hex. Floret in promontoriis medio et fine Junii, in alpibus ab init. Jul. ad med. Sept. derer glandulose duplicato-serratis (S. creticae similibus). Apparenter glabra, adsunt tamen Setae in caule, mar- gine foliorum et laciniis calycinis, praecipue in planta juniori. Statura et modus erescendi S. pendulae. Folia surculorum sterilium cordata vel longe protracta scolo- pendriformia, dependentia. In rupibus calcareis ad fl. Terek alt. 400—430 hex. et fl. Ardon alt. 370— 380 hex. Flores primi fine Maji, ultimi initio Sept. cum fruct. et sem. maturis. Locus a Biebersteinio in- dicatus «in,m. Kaischaur» valde dubius. Kritische Übersicht der im Besitze der Kaiser- lichen Akademie der Wissenschaften befind- lichen Aérolithen, von Ad. Goebel. (Lule 7 juin 1866.) (Mit einer Tafel.) Die gesteigerte Aufmerksamkeit, welche den Aéro- lithen in dem letzten Decennium zu Theil geworden ist, seitdem durch sorgfältigere Bearbeitung derselben vom chemisch- mineralogischen und morphologischen Gesichtspunkte uns tiefere Einblicke in die innere Natur und die kosmischen Verhältnisse dieser räth- selvollen Gebilde gewährt wurden, hat durch das be- ständig sich anhäufende Material der Constatirung neuer Fälle und zahlreicher Arbeiten schon mehrfach das Bedürfniss hervorgerufen, alles dahin Gehörige übersichtlich zusammenzustellen, um auf solche Weise auch zu einer statistischen Behandlung des Gegen- standes zu gelangen. Früher schon sind im Laufe der letzten funfzig Jahre durch Chladni, v. Hoff und v. Boguslawsky Zu- sammenstellungen aller bekannten Meteoritenfälle in aufeinander folgenden Berichten in Gilbert’s und Poggendorff’s Annalen gegeben worden. Aber erst in den letzten Jahren haben wir durch die sehr dan- kenswerthen Bemühungen des Dr. Buchner auch den Inhalt der meisten in Europa bekannten Aörolithen- sammlungen, in Öffentlichen Museen wie im Privat- besitz, nebst einem wesentlichen Theile der dahin ein- Litteratur in ziemlich umfassender Weise‏ ی ون zusammengestellt erhalten. Vor mehreren Jahren war ich an eine detaillirtere Zusammenstellung und Beschreibung der überhaupt auf russischen Boden gefallenen Aérolithen gegangen. Dureh die Erscheinung des Buchner'schen Werkes des Sciences de Saint - Pétersbourg. ٣ (Steven), m. Schachdagh et Tufandagh alt. 1400-- 1500 hex. (Meyer), ditione fl. Samur alt. 1500 hex.: m. Dindidagh parce et supra Kussur; Tuschetia in m. Diklo rarius 1300 hex. et ibid. versus glacies 1470 — 1540. Floret medio et fine Jul. seriusque. Non re- spuit humilem m. Besclibarmak ad m. Caspium. Spe- cimina pedalia vegeta ex gub. Woronesh in collibus apricis inter rivulos Oskol et Bjelaja Majo flor., minus cum caucasicis conveniunt, quam potius cum planta alpium altaicarum, Sibiriae occidentalis et uralensis (Slatoust). 30. C. lactiflora M. Dei 1808, ejus Cent. tab. 10; Decand. monogr. tab. 7. Frequens et copiosa in de: clivitate australi Cala a prov. Radscha usque ad Sakataly; deest fere in decliv. boreali et interioribus districtis Dagestaniae, Chewsuriae et Pschawiae; crescit in umbrosis, saltem locis humidis reg. sylvaticae ple- rumque altioris usque ad limites ejus, rarius in reg. subalpina, in pratis fertilibus et humidis ad torrentes, saxosa autem fugit; communis inter 1200 — 575 hex., sed descendit ex his locis usque ad 300 hex. v. em planitiem Cachetiae in sylva, vel cum fl. Terek ad prata pr. WiIadikawkas. Floret ab init. Julii v. serius ad init. Sept.; sed medio Sept. jam fructifera. Extra Cauc. magnum nullibi obvenit exceptis montibus Imeretiae australis et forte Olympo bythinico. IV Symphyandra A. Decand. Antherae in tubum con- natae, ceterum non diversa a Campanula; species seqq. valde affines C. sarmaticae et pariter calyce . appendiculato instructae. 1381. S. pendula (M. Bieb. 1808). Flores speciosi albi (vix ochroleuei), magnitudine C. sarmaticae, colore C. lamiifoliae, sed antherae connatae; inflorescentia foliosa, semina minuta immarginata. Rhizoma crassum ramosissimum, caules evoluti penduli, debiles, flexuosi, valde ramosi, '/, 1 pedales. In rupestribus calcareis declivitatis et promontorii borealis Caucasi hinc inde: Narzana, Pjätigorsk, Konstantinogorsk, Alagir; Dage- stania pr. Gergebil, inter Tindi et Aknada, Kuppá, infra Gunib, alt. 220—860, regionem subalpinam vix attingit. Floret a fine Junii vel medio Jul. usque ad init. Sept., corolla emarcida hyemem perdurat. 32. 8. ossetica (M. Bieb. 1819). Species fere ignota et in herb. rarissima; a S. pendula longe diversa: flo- ribus coeruleis, foliis coriaceis, nitentibus, argute et 224 halten hatte, so wie auch andererseits Aérolithen sich vorfanden, von denen in den gedruckten Schriften der Akademie keine Nachricht gegeben war. Ich habe mich bemüht, jene Dunkelheiten aufzuhellen, und glaube, dass mir solches bei mehreren vollstàndig ge- lungen ist; es bleiben aber immer noch mehrere Aéro- lithen, und. gerade unter den interessantesten und gróssten der auf russischen Boden gefallenen, in Be- zug auf ihre Herkunft fürs erste noch ungewiss. Da- her bin ich genöthigt, ehe ich den heutigen Bestand. unserer Aérolithensammlung darlege, den historisch- kritischen Gang einzuhalten, aus welchem sich auch zur Genüge der sehr wechselnde Grad des Interes- ses ergiebt, dessen sich die Aérolithen im Schoosse der Akademie erfreut haben. Es kónnte Manchem überflüssig, ja sonderbar er- scheinen, dass ich ein besonderes Gewicht auf die Benennung und Herkunft der Steine lege, da diese zufällig erscheinenden kosmischen Massen ohne be- sondere Beziehung auf Zeit und Ort der Erdoberfläche sein müssen, und ihre Ortsbenennung daher ein gleich- gültiger Gegenstand sei. Hierauf muss ich bemerken, dass die Angabe eines Meteoriten durch einen Na- men, von dem wir bestimmt wissen, dass er ihm nicht oder nur unsicher angehört, vor Allem ein Verstoss gegen die Wahrheit ist, und dass Dinge, die uns zu- fällig, geringfügig oder gleichgültig erscheinen, zumal in Beziehung auf Gegenstände, deren Wesen wir noch lange nicht völlig erkannt haben, es unseren Nach- kommen vielleicht nicht sein werden. Bis jetzt sind, wie mir scheint, noch nicht völlig gleichartige Massen verschiedener Stein- und Eisenfälle beobachtet worden. Das Material eines jeden, wohl constatirten Falles hat seine besonderen Eigenthümlichkeiten. Unsere Aéro- lithen sind zum Theil auch in anderen Sammlungen ver- breitet; wenn nun dasselbe Material, von einem und demselben Steine stammend, als Bruchstücke unter ver- schiedener Bezeichnung der Herkunft auftreten, so giebt solches nur Veranlassung zu Irrthümern und Trug- schlüssen. Ich habe es daher vorgezogen, in den we- nigen Fällen, in denen die Herkunft unserer Aéroli- then ungewiss blieb, ihnen bis auf weitere Feststel- lung lieber gar keine Bezeichnung zu geben. Es giebt nur noch ein letztes Mittel, hierüber in's Reine zu kommen und die authentische Herkunft der Bulletin de l’Académie Impériale re NR EE schien mir solches für den gróssten Theil der bereits bekannten Aérolithen einigermaassen überflüssig. Ich konnte mich nun mit der blossen Anfertigung eines genauen Verzéichnisses der bei uns in St. Pe- tersburg befindlichen Meteoriten begnügen, und so den vielfältig, namentlich vom Auslande her, an mich ergangenen Anfragen und Bitten um Mittheilung eines solchen genügen. Bei dieser an sich so einfach schei- nenden Sache stiess ich indess in Bezug auf das aka- demische Museum auf bedeutende Schwierigkeiten noch übrigen unbezeichneten Aérolithen festzustellen. eigenthümlicher Natur. Nicht als ob es hier an Me- teoriten gefehlt hätte; dieselben lagen wohlgeordnet mit Nummeru und einem diesen Nummern entspre- chenden Verzeichniss versehen in der grossen Samm- lung der Schaustufen beisammen. Es war eine Copie des Verzeichnisses, welches vom Obristlieutenant Bloede der Akademie im Jahre 1846 überreicht, und in deren Bulletin vom Jahre 1848 gedruckt und seitdem als Hauptquelle über unsere Aérolithen vielfältig benutzt worden ist. Seine Nachfolger hatten nur die wenigen folgenden Acquisitionen noch hinzugefügt. Dei der kri- tischen Revision desselben überzeugte ich mich aber, dass Bloede nur ein treues Verzeichniss der Aéroli- then gegeben habe, in der Form, wie sie in der Sammlung ihm eben vorlagen. Er fand, wie mir bald klar wurde, die Aérolithen theils ohne Etiquetten vor, theils waren sie verwechselt. Ohne irgend einen kri- tischen Maassstab anzulegen, suchte er sich, ausser einer kurzen von ihm gegebenen Characteristik nebst Gewichtsangabe, durch Muthmassungen oder durch Vergleichung der bei Partsch gegebenen Beschrei- bungen zu helfen. Eine Wiedererkennung und Unter- scheidung der gewöhnlichen Steinmeteoriten nach einer gegebenen Beschreibung ist jedoch in den sel- tensten Fällen mit Sicherheit möglich, namentlich nicht nach den älteren Beschreibungen. Jetzt sind wir hierin etwas weiter vorgerückt. Bloede starb in demselben Jahre, in welchem er seine Arbeit über- geben. Mir scheint es, dass er vielleicht nicht beab- sichtigt hatte, sie in der Form zu geben, wie sie uns vorliegt. Ich überzeugte mich bald, dass, abgesehen davon, dass mehrere Aörolithen notorisch nicht der beilie- genden Benennung entsprachen und offenbar ver- wechselt waren, auch noch im Bloede’schen Ver- zeichniss Aérolithen fehlten, welche die Akademie er- 226 Laigle, gefallen 1803. Doroninsk, gefallen 1805. Charkow, gefallen 1807. Mähren (Stannern), gefallen 1808. Poltawa, gefallen 1811. Dünaburg, gefallen 1820. Smolensk, im Gewicht 2 Dud 20 Pfund. TE Pallas- -Eisen, entdeckt 1772 anfangs 38 Pud im Gewicht. , hatte Die Vergleichung mit dem Vorhergehenden zeigt, dass die Sammlung sich um einen Aérolithen, den Dünaburg (Lina), vermehrt hatte. Die Jahreszahl 1807 bei Charkow ist unrichtig als Fallzeit angege- ben und bezieht sich wohl auf das Jahr, in welchem die Akademie jenen Aérolithen empfing. Die Pallas- masse hat sich im Gewicht vermindert, wie aus dem Worte «anfangs» hervorgeht. Das Gewicht des Smo- lensk hat sogar um volle anderthalb Pud (60 Pfund) abgenommen. Ich will hier gleich bemerken, dass diese Angabe Ssewergin's nur aufs Gerathewohl gemacht worden ist und sich nicht auf Wägung gründet. Der schöne Timoschin (Smolensk) befindet sich jetzt im Museum auf einem Piedestal, dessen angeheftete Messingplatte mit der eingravirten Aufschrift ihm gleichfalls ein Gewicht von früher 160, jetzt 100 Pfund vindicirt. Solches ist nach dem Jahre 1830 von Hrn. Postels, wohl im Vertrauen auf die Angabe Ssewergin’s, ge- macht worden. Im Jahre 1858 wurde ein Stückchen vom Timoschin nach Wien gesendet”). Bruchstücke von ihm befinden sich in vielen Sammlungen. Nach meiner Wägung im Jahre 1864 beträgt das Gewicht des Ti- moschin, nachdem ich eine handbreite Bruchfläche desselben hatte anschleifen und poliren lassen, noch 118 Pfund 45 Solotnik 23 Doli(48 Kilogramme 515,1 gr.). Die Akademie hat somit immerhin über vierzig Pfund Timoschinmasse, einem Minimalwerthevon mehr als 1000 R. S. entsprechend, an andere Sammlungen vertheilt, ohne, wie auch für die Pallasmasse, irgend ein entsprechendes Äquivalent dafür erhalten zu haben. Das dritte Verzeichniss ist, nebst einer kurzen Charakteristik der einzelnen Aérolithen, vom damali- gen Conservator, dem Bergingenieur Obristlieutenant '8) Partsch. Die Meteoriten im Kaiserlichen Mineraliencabinet zu Wien. 1843. S. 81. ٩ des Sciences de Saint- Pétersbourg. 225 Da Bruchstücke der meisten unserer russischen Aëro- lithen Dank der früheren, zu grossartigen Freigebig- keit der Akademie, in den Museen des Auslandes sich befinden, wo sie einer sorgfältigen Aufbewahrung sich erfreuten, so würde ein autoptischer Vergleich un- serer Stücke von ungewisser Herkunft, namentlich mit den in Wien und Berlin befindlichen, die Sache am sichersten entscheiden. Eine Gelegenheit, solches thun zu kónnen, fand sich bis jetzt nicht. Um aber die bisher gewonnenen Ergebnisse, die sehr viel Zeit geraubt haben, nicht verloren zu geben, theile ich sie im Folgenden mit. ‚Gehen wir daher zur Geschichte unserer Aéroli- thensammlung über. Die Akademie hat zu drei verschiedenen Malen ge- druckte Verzeichnisse der in ihrem Besitze befindli- chen Aörolithen gehabt. Das erste und älteste ist in ziemlich vielen Exem- plaren im Archive des Museums vorhanden, und, wie das folgende, in russischer Sprache. Es rührt ohne Zweifel von dem damaligen Direktor des Kabinets, Akademiker Ssewergin, her und ist gleichlautend mit dem Inhalte einer von Letzterem im Jahre 1811 gedruckten kurzen Abhandlung über die Aörolithen im Museum der Akademie der Wissenschaften). Es umfasst 7 Nummern und lautet wörtlich: 1) Br Xapkosb 1787, ل1‎ ۰ 2) Bb orpecruocrax® لك‎ 58, Bb 1160807. 8756 . 1803, 26 76. | ` 8) Bama, Aoponmmera ne 1۸836960 orb pbku 1180161 BB Hpkyrekoit l'y6epain 1805, 15 ۰ 4) Bast, IOxno8a pp, Cuouenckoit l'yGepuin 1807, 7 Iona, Bo 160 ۰ 5) ۸10038601 1808, 22 mais. 6) 1103738008 m» cerb HKyaemoskb5 Bb 81556 yb3x5 1811, 28 ۳۵۴0۵۵8/۸ Bb 15 eyHTOBP. 7) Camopormoe 63130, 113101106 wou Kpacnosp- |, CKOMb I Aóakanckow» na pbkb Enmceb, 38 ۰ Das zweite Aérolithenverzeichniss theilt Akade- miker Ssevergin im J. 1822 mit”). Es lautet: 1) Hasberie o Bo3AXylüHbBIXb KAMHHX' HIM ۵1031185 P, XPAHA- muxca BB wyaeb Hwuueparopckoii Akaxewim Dart Ara. Cenep- runÓbrwm. Texmozormueckiiü ;xypHaaxe mau Coópanie couunenin 1 up. n31asaeuoe Hunep. Akan. Hayk®. Tow. VIII. «. 2. 1811. crp. 128. 2) Kparkas ounce Munepaaxsnouy Kaöunery Hunep. Aan, Hayes, 1822. pag. 7 un Tome XI. 228 Oktober 1861 von mir bestimmten Gewichte hin- zu. In der Folge sind die Aérolithen von X 1 bis 16 auf einer Bruchfläche angeschliffen worden, wo- durch sie noch ein Geringes einbüssten. Ihr gegen- würtiges Gewicht ist in der am Schlusse dieser Abhand- lung folgenden übersichtlichen Tabelle angegeben. Bulletin de l'Académie Imperiale Bloede im J. 1846 publicirt und umfasst die Aéro- lithen der Akademie der Wissenschaften so wie die des Kaiserlichen Bergcorps. Ich theile hieraus die der Akademie gehörigen nebst den von Bloede angege- benen Gewichten im Auszuge mit und füge in einer zweiten Rubrik die für dieselben Aérolithen am 31. Verzeichnisse von Bloede, 1846. 1846. 31. Oct. 1861. Bemerkungen. A. In Russland gefallene Aérolithen. Pfa. fans. Pfd. lSolotn.IDoli 1) Timoschin, 13. März 1807. 100 118*)| 45 | — |*) Im Jahre 1864 gewogen. ` 2) Kuleschowka, Kr. Romen, Pol- broderie Welke tawa 28. Febr. (12. März) 1811 15 | — | 10 28 6 das schon vonSsewergin 3) Gouv. Poltawa, 13. Mai 1807 | 3|68| 3 | 67 92 aufgeführte ursprüngliche 4) Kirgisensteppe, Fluss Irtisch, fd. an. Die Aka- r E 27.Apr. (9. Mai) | AL aus den Meteo. IBAN Quare sa S e RR ee 7 € 6 73 | — ritenverzeichnisse 5) Simbirsk. (2 BEL 3... 6e. 6166| 6 | 10 3 schen bereit vielfältig den Zeit u. Fallort unbek. 6) Gode Kursk. ۰ -. CX 1 | 48 1 35 | 66 ^ 7) Bialystok, 5. (17. ) Oct. 1827| سب | 68 ات‎ 26 |6 2 9) Sterlitamak, Juni 1824 . sels LO beziehen 10) Pallasmasse ef و‎ RR le 1270 | — | — |— | sich auf die Sammlung des Katie Bergkorps. B. Meteoriten aus anderen Ländern. Steine. 12) Laigle, Dep.de L'Orne 26. Apr. 61| 22 6 28 |24 13) Départ. del’Orne.......:. 1 | 12 1 11 127 14) Stannern, 22. Mai 1808 (2 St.) 111 32 1 30 |58 15) Ensisheim, 7. Nov. 1492 ...| — | 48 | — 46 |66 16) Bokkeveldtam Cap d. g. Hofin., تل‎ Gub; 18328 Pod Lars — | 60 | — 58 | 52 Die Differenzen in den Ge- 17) Macao, 14. Nov. 1836 ۰ — | 18] — 46619 ot Sir Ed Sê ...پو وو ووو وو‎ : von mir durch directe IS) Ball; PF SAN 101 TOP — | 6|— 7 172 |] ۵ ها‎ ,rübren 19) Lenarto, LORD, GIFS SE 41 — 4 |42 nung des auf den Etiquet 20) Rasgata ۱1010 u, Far ند‎ ۲ 19 E 15 7 Gewichts in russisches Ge- 21) Magdeburg, 1832 1 Penis er MI ACT 36 اجه‎ wic t her früher vorhandenen in Russland gefallenen Aöroli- then «Charkow», « Doroninsk» und e Dünaburg» (Lixna) nicht mehr erwähnt werden. Es wird aber auch der «Krasnoi Ugol» nicht aufgeführt, von dem G. Rose in seiner Reise nach dem Ural spricht, und den er, wie À. v. Humboldt im J. 1828 im Museum der Akademie gesehen hatte, und von welchem ein Theil in's Berliner Museum überging. Es schien mir ferner nicht unwahrscheinlich, dass Ein viertes, handschriftliches Meteoritenverzeich- niss, welches der Sammlung beilag, ist nur eine ge- treue Copie des Bloede’schen, mit Hinzufügung der allmählich unter Bloede’s Nachfolgern erhaltenen Acquisitionen. Da ich in der Folge alle Meteoriten- acquisitionen der Akademie besprechen werde, so ist eine Mittheilung dieses Verzeichnisses überflüssig. Aus der Vergleichung des Bloede'schen Verzeich- nisses mit dem von Ssewergin zeigt sich, dass die bald völlig gerechtfertigt, wobei es sich herausstellte, dass auch der andere von Bloede als Dép. de l'Orne bezeichnete kein Laigle war. Endlich befanden sich in der Sammlung noch funf- zehn kleinere Meteoritenbruchstücke ohne Bezeich- nung der Herkunft. Vierzehn von ihnen waren mit aufgeklebten gedruckten Nummern in zweifach ver- schiedener Form versehen, welche ihre frühere An- gehörigkeit zu einer anderen Sammlung darthaten. Schliesslich muss ich noch erwähnen, dass in Folge einer in den Jahren 1861 und 1862 von mir unter- nommenen genaueren Durchsicht des Inhaltes von sie- ben und sechzig Kisten, die sich in Abraumkammern beim Mineralogischen Museum befinden und welche mit abgelegten Mineralien aus dem vorigen und den ersten Decennien dieses Jahrhunderts gefüllt waren, ausser anderen werthvollen Sachen, sich noch drei Aérolithenstücke (ein Eukrit und zwei Chondrite) von verschiedener, aber unbekannter Herkunft vorfanden. Eines derselben hatte über ein Kilogramm an Gewicht. Um bei derartiger Verwirrung den Versuch zu ma- chen, móglichst in's Klare zu kommen und diese Aé- rolithensammlung, welche wissenschaftlich so werth- volles Material enthielt, nach Möglichkeit zu sich- ten, schien es mir vor allen Dingen nothwendig, alle Quellennachrichten aufzusuchen, welche sich nament- lich in den Sehriften der Akademie befinden, und die sich auf Aërolithen bezogen, welche sie bis zum Jahre 1846 erhalten hatte, und dieses auf solche Weise er- haltene Verzeichniss mit dem Inhalte des Bloede’- schen Katalogs und dem Bestande der Sammlung kri- tisch zu vergleichen, so weit solches thunlich ist. Be- vor solches nicht geschah, und bevor wir nicht die möglichste Gewissheit über die Herkunft unserer un- gewissen Stücke besassen, konnte nicht gut an eine Ver- grösserung der akademischen Sammlung durch Aus- tausch seitens jener Stücke, denen so viele Zweifel an- haften, gedacht werden. Auch war eine solche Sichtung : jedenfalls vor dem Beginn mineralogisch -chemischer Arbeiten vorzunehmen. Für diese wichtigen Kórper auf die ursprünglichen Quellen zurückzugehen, schien um so nothwendiger, als die so vielfältig citirte Bloede’- sche Abhandlung bis jetzt die einzige und Hauptquelle für die in St. Petersburg vorhandenen Aérolithen ge- blieben ist. Für die in Russland gefallenen und damit auch für einen Theil der in St. Petersburg befindlichen 15* des Sciences de Saint-Pétersbourg. die Akademie ausser diesen noch andere in Russland gefallene Aérolithen besessen habe. Endlich regte noch eine kritische Durchsicht der Aérolithen selbst viele Zweifel gegen die Richtigkeit des Bloede'schen Verzeichnisses an. Bloede's X 2 und 3 («Poltawa») waren zwei ganz heterogene Aé- rolithen (Chondrite) Der eine gehörte der Gruppe des «Erxleben», der andere der des «Mauernkir- chen» an^. Ein Fall von Poltawa im Jahre 1807 ist meines Wissens nicht bekannt und nirgends be- schrieben. Bloede’s Nr. 5, «Simbirsk», hatte zwei Stücke, deren eines von Bloede als die abgeschlagene Spitze des Aörolithen bezeichnet wird. Es zeigte sich auch hier, dass beide zwei ganz verschiedene Aérolithen reprüsentirten, deren Herkunft um so ungewisser war, als auch von Simbirsk in der Meteoritenliteratur nir- gends ein Fall erwähnt oder beschrieben worden ist. Ebenso fehlen auch von Æ 6 («Kursk») nähere Nachrichten. Ferner erwiesen sich auch die beiden Meteoriten aus dem Département de l'Orne (X 12 und 13) als zwar verwandte, doch sehr verschiedene Chondrite. Zugleich erweckte das ungewóhnliche Gewicht von N 12 von 6 Pf. 46 Sol. = 2650,2 Grammen, obwohl es kein ganzer Stein mehr war, da er durch Abschla- gen sichtlieh viel verloren hatte, starke Zweifel ge- gen seine Ächtheit als Laigle. Obgleich dieser Aéro- lith in Sammlungen sehr verbreitet ist, so ist doch ein Laigle von so ungewöhnlicher Grösse nicht bekannt. Die erste Meteoritensammlung, die Wiener, besitzt mehrere ganze Exemplare desselben, deren grösstes aber nur 1565 grm. wiegt. - Im Muséum d'Histoire naturelle de Paris beträgt, nach dem Verzeichniss des Hrn. Daubrée vom Dec. 1864, das Gewicht des gróssten Laigle nur 646 grm. Es war somit von vornherein zu bezweifeln, dass gerade die Petersburger Akademie im Besitze eines Laigle von so ungewöhnlicher Grösse sein sollte. Diese Zwei- fel wurden durch die nähere Vergleichung dieses Steines mit zwei unzweifelhaften, fast ganzen Steinen von Laigle, im Besitze des Kaiserlichen Bergkorps, 4) 8. Gustav Rose: Beschreibung und: ور‎ der Meteo- riten, auf Grund der Sammlung im mineralogischen Museum zu Berlin. Berlin 1864, S. 90 und 92. lands in auszüglicher Übersetzung aus dem Russi- schen mitgetheilt). Da diese Abhandlung wegen der von Eiehwald gegebenen Charakteristiken der ein- zelnen Aérolithen das scheinbare Gepräge der Dar- stellung eigner Beobachtungen und somit den Werth einer Originalabhandlung trügt, als welche sie auch in der Meteoritenlitteratur neben der von Bloede bis jetzt angesehen und aufgeführt wird, so müssen wir nüher auf ihren Werth und Inhalt eingehen. Das russische Original ist eine kleine mir vorlie- gende Brochüre von 26 enggedruckten Seiten ohne Jah- reszahl, unter der Überschrift: Mereopngeckie kam, npeuwyurecrBenuo (71381006 BB Pocciu; sie ist ein Sonder- abdruck aus einem russischen Journale, der Duóaioreka qua 170101, 1845, Bd. VI, wo sie unter der Rubrik «Wissenschaft und Kunst» sich befindet. Die erste Hälfte enthält allgemeine Mittheilungen über Wesen, Erscheinung und Beschaffenheit der Meteoriten. In der zweiten Hälfte giebt Hr. v. Eichwald das erwähnte Verzeichniss der in Russland gefallenen Meteoriten mit Charakteristiken der meisten von ihnen. Diesen wesent- lichen und scheinbar Neues enthaltenden Theil hat Er- man durch seine Übersetzung zur Kenntniss der west- europäischen Litteratur gebracht. Wir werden uns da- her nur an ihn balten. Eine ausführliche Kritik zu ge- ben würde uns zu weit führen, da es uns nur um die Aérolithen der Akademie zu thun ist. Dieser Aufsatz Eichwald's, obgleich aus ihm unzweifelhaft hervorgeht, dass Hr. v. Eichwald die Aérolithen der Akademie wirklich gesehen hat, und obgleich in ihm ` die von Bloede nicht genannten Aérolithen von Char- kow,Slobodka und Krasnoi Ugol als im Besitze der Akademie der Wissenschaften aufgeführt werden, ist leider für unsern Zweck vóllig unbrauchbar. Weder Correctheit und Klarheit der Darstellung, noch in- nere Wahrheit gehóren zu den Vorzügen, durch wel- che er sich àuszeichnet; Hr. v. Eichwald führt kaum eine einzige Quelle an, auf die sich seine Angaben für Ort und Zeit des Falles der Aérolithen gründen, obgleich es sonst an einigen gelehrten Citaten für un- wesentliche Dinge nicht fehlt, und mit Ausnahme der Erwähnung eines problematischen, in der Sammlung des K. W. Rosenberg in Pawlowsk gefundenen Aéro- 6) Ein Verzeichniss vom Meteoritenfällen in Russland. Von H. he: Erman’s Arch. zur wiss. Kunde Russlands. Bd. ¥ 1 Bulletin de l’Académie Impériale Aërolithen giebt es indess noch einige Schriften in der russischen Litteratur, die hier kurz besprochen werden müssen. Die älteste, unter dem Titel: «O so3zymmbIX'b KaM- HAXb n nxb npomexoxJenir», ist im Jahre 1807 von Stoikowitsch, Prof. der Physik an der Universität Charkow, selbstständig nach deutschen und französi- schen Quellen bearbeitet. Was sie wesentlich Neues enthält, ist von Stoikowitsch selbst in deutscher Ühetsetzung in Gilbert’s Annalen der Physik vom Jahre 1809 vollständig mitgetheilt worden. Die zweite, eine wie die vorhergehende, sehr sel- ten gewordene und aus dem Buchhandel verschwun- dene Schrift von Iwan Muchin”), erschien 1819. Dieses auf Subscription herausgegebene Werkchen hatte den Zweck, das russische gebildete Publikum mit den Erscheinungen der vom Himmel gefallenen Massen und den Ansichten und Controversen der da- maligen Zeit, wo die Geister noch der herrschenden Naturphilosophie mit ihren verfrühten Speculationen und Theoremen huldigten, über diese Gegenstände be- kannt zu machen. Auch sie ist eine mit sichtlicher Liebe zur Sache geschriebene sehr brauchbare Arbeit aus meistens deutschen und franzósischen Quellen, die der Verfasser alle anführt. Das Neue, was sie enthält, sind einige sehr schützenswerthe Nachrichten über die Aérolithen der Akademie der Wissenschaften, welche dem Verfasser zur Benutzung vorlagen, und die der westeuropäischen Meteoriten-Litteratur bisher fremd geblieben sind. In werde im weiteren Texte darauf zurückkommen. Eine dritte fr E welche Notizen über die in Russland gefallenen Aérolithen enthält. ist vom ` Mitgliede der Medicochirurgischen Akademie, Wirkl. Staatsrath Dr. v. Eichwald erschienen und wurde im Jahre 1847 in Erman's Archiv zur Kunde Russ- 5) Der Titel lautet: O uyxecubix-b A0 AAXE (niu HEOÖBIKHOBEH- HBX) M o HH3IAAAIOUIHX'. W3b BO3AyXA KAMHAXB (A9POAUTAXT). Cou. HB. Myxuna, Huneparop. Akagexiu و د‎ Denn mo ۰ C. H6. rr Tuuorpae. Bocunrareabnaro 0118۰ ۰, Das Werk von Stoikowitsch fand ich nar in der Bibliothek der St. Petersb. Universität, aber weder in der Kaiserlichen óffent- lichen Bibliothek, noch in der des Bergcorps, noch in der demie; die Schrift von Muchin war wiederum nur in der Akademie allein vorhanden. Eine dritte Schrift in polnischer Sprache, welche gleichfalls einige auf russischen Boden gefallene Aérolithen be- handelt, von Professor Drzewinski in Wilna «Uber Meteoriten und ihren wahrscheinlichen Ursprung. Wilna 1825» war in keiner der vier genannten Bibliothéken zu finden. P 234 derselben auf Bruchflüchen nicht hervortretenden ku- geligen Ausscheidungen; viel fein und mittelfein ein- gesprengtes gediegenes Eisen und sehr fein einge- sprengter Magnetkies; zahlreiche schwarze und glün- zende Ablösungsflächen, welche diesen Stein beson- sonders auszeichnen. Eichwald S. 16. 1 138187 macca 1097111 1۳۵۸/۲۵ - 1۲611621011811 , CH ۷ NATHAMN ۳2231۲۲۲۲۲ H Cb HeDHDIMH ANMIAME, DPCACTABIACTE 11110716680 MCIKAXD, ۵1110 - ChPbIXB OKPYTACHHBIXB OT- - NBabHOoCTCii, Kphnko epocumxes Ch TAABHOW ۱۵6۵۵۱0, Co- 60215111 Bb 6661 111010 weJko- Bkpanaemmaro 1161733017 ۱1۵616810 503138 m 13111818350 1039618153. JTOTP 56 0130936161 OTB ApyrHX Bb 00608000011 11801110011 Yep- HbIMH 11 036017111113111 1130011111 066066۱٨1. In ganz gleicher Weise sind die scheinbar selbststün- digen Charakteristiken der Meteoriten von Charkosy, Timoschin, Kuleschowka, Loutolaks, Bach- mut, Saboryza, Bialystok, Krasnoi Ugol, Gouv. Poltawa, Kursk und Ssimbirsk, sämmtlich von Hrn, v. Eichwald wörtlich aus dem Werke von Partsch entnommen. Dass Hr. Akademiker v. Eichwald so verfahren, _ ist darum sehr zu bedauern, weil, wie es sich im Ver- lauf dieser Abhandlung zeigen wird, Partsch einige ihm vorliegende Aérolithen beschrieben hat (Slo- bodka, Gouv. Poltawa und Ssimbirsk), welche ihm schon von vornherein oder durch Verwechselung von Etiquetten ganz unrichtig bezeichnet waren. Als ich mich daher in gutem Vertrauen um Aufklärung an den von Erman mitgetheilten Aufsatz Eichwald's wendete, der doch Anspruch auf Autopsie jener drei in St. Petersburg befindlichen Originalstücke machte, und hierin den Faden der Ariadne zu finden glaubte, stiess ich auf eine undurchdringliche und zeitraubende Barriére, weil auch hier die Beschreibungen den frag- lichen Stücken nicht entsprachen und die Wahrheit auf solche Weise noch mehr verhüllt wurde; bis endlich das russische Original Hrn. v. Eichwald's in meine Hände gelangte, und nun in der Erkennung einer blin- den Wiederholung der Worte Partsch's von Seiten Hrn. v. Eichwald’s der Isisschleier des Geheimnis- ses fiel. Der Kürze halber werde ich in Folgendem nur da ausführlicher sein, wo es sich um Mittheilung unbe- des Sciences de Saint-Pétersbourg. lithenbruchstückes, so wie der ihm gemachten Mitthei- lung des Admirals Wrangel über die Nichtexistenz des vermeintlichen Meteoreisens auf dem Alassei- Bergrücken in Sibirien, finden wir kaum etwas, was nicht schon aus andern Quellen bekannt würe. Das Wesentliche und scheinbar Neue aber, die von Hrn. v. Eichwald gegebenen Charakteristiken , sind kei- neswegs das Resultat seiner eigenen Beobachtungen, sondern eine wenig verkürzte wórtliche Abschrift in russischer Sprache aus dem klassischen Werkchen von Partsch (Die Meteoriten im Kaiser) Kónigl. Hof-Mineralien-Cabinettein Wien. 1843.) ohne Angabe der Quelle. Solches zeigt sich schon recht deutlich in der Erman'schen Übersetzung, obwohl hier die Worte durch den Übersetzer verstellt sind und auch in einzelnen Fällen, wie solches im Erman'schen Ar- chiv gar nicht ungewöhnlich, recht nachlässig übersetzt worden ist, — ganz unzweifelhaft aber beim Vergleiche des russischen Originals von Eichwald mit den be- treffenden Stellen im Werke von Partsch. Ein paar Beispiele mögen genügen. So lautet die Charakteristik des Slobodka bei > Partsch $. 55. ٠ Lichtgraue, rostbraun gefleckte, mit feinen schwar- zen Adern durchzogene Grundmasse; mit vielen, aber undeutlich kugeligen, meist jedoch eckigen, mit der Grundmasse fest verwachsenen Ausscheidungen, die dem Steine ein marmorirtes Aussehen geben; ziem- lich viel, theils fein, theils mittelfein eingesprengtes metallisches Eisen; weniger, sehr fein eingesprengter Eichwald S. 16. 1 138898 Macca mgbra cBbra0-c5paro ch Gentmm mat- HAMM OT PKABYHHBI, IPOHHKHYTA 116603710111111 7 AULIKAMH, CO MHOTUMN, HO ei CAUIIKOMB JICHDIMH , MAPO- 3111111111۲ H y ,OTUero BHD 5 10101815 Hà 110311007: opt, CONEPKUTB BB 6661 Meko- BKpaILIÉHHbIMb 11617333866006 61530 m, HbCKOJBKO BD 1168116117 11031196678, MarHHTHbIii 0۵ Vom Lixna heisst es bei . HE Partsch $. 70. Fast dunkelascl it kleinen Rostflecken durch- süete und von schwarzen Linien durchzogene Grund- masse, mit zahlreichen, aber kleinen, dunkelgrauen, mit der Grundmasse fest verwachsenen und daher aus | Magnetkies. ^ Malen, und ist überzeugt, dass die erwühnten Stücke wenigstens nicht nach dem Jahre 1796, wo er die Masse das erstemal sah, von derselben abgetrennt worden sind. Die gróssten der auf den Tródelmarkt zu Mos- kau gerathenen Stücke kamen in die Sammlung des ehemaligen Reichskanzlers, Grafen Rumjanzow und an die Oxforder Universität. Partsch bedauert, dass man damals nicht nachforschte, ob diese Moskauer Stücke nieht von einer neuen, nicht bekannt geworde- nen Lokalität herrührten. Ein Vergleich der feineren Struktur des Eisens an der im Rum janzo w'schen Museum befindlichen Masse mit der unsrigen würde noch jetzt über die Zusam- mengehörigkeit beider entscheiden. Abgesehen davon, scheinen mir aber die von Heuland mitgetheilten An- gaben Sitrikow's hinsichtlich der zwei Centner eine Übertreibung zu enthalten, selbst wenn man annehmen wollte, dass alle in den mir bekannten öffentlichen rus- sischen Sammlungen, mit Ausnahme der Akademie, be- findlichen Stücke der Pallasmasse von diesem Mos- kauer Tródelmarktsfunde herrühren sollten. Im Ru- mjanzow'schen Museum befinden sich 5195 Gram- men; die Universität Kiew hat 1287 Gr.; Dorpat 225 Gr.; das Bergeorps hat 794 Gr. und die medico-chi- rurgische Akademie in St. Petersburg ungeführ 500 Gr. Die Universität Kasan soll auch, wie mir Privät- docent Baron Rosen mittheilte, ein unbedeutendes Bruchstück haben und in der zu Charkow fand ich im Jahre 1864 gar nichts von ihr. Die Summe der eben angeführten Stücke beträgt 20 bis 21 Pfund, was noch weit bis zu den zwei Centnern ist. Die Verbreitung von Stücken der Pallasmasse, er- klärt sich einfach aus ihrer Geschichte, wozu in die- ser Hinsicht folgende kurze Übersicht dienen mag. Als Pallas sie im Jahre 1772 in Krasnojarsk er- hielt, wog sie 49 Pud. Ein 1 Pud schweres Stück wurde losgearbeitet und an die Akademie der Wissen- schaften zu St. Petersburg geschickt. Im Jahre 1777 kam die Masse selbst bei der Akademie an und hatte 39 Pud an Gewicht. Die Akademie war somit im Be- sitze von 40 Pud Pallasmasse gewesen, und circa | 2 Pud waren von Pallas zu den von ihm beschrie- benen Schmelz- und Schmiedeversuchen verwendet worden. Nach 1811 figurirt sie in dem ersten Meteoriten- Bulletin de l'Académie Impériale kannt gebliebener oder neuer Thatsachen, so wie um Nachweisung der ungewissen oder vermissten Aéro- lithen handelt, namentlich derer, die in Russland ge- fallen sind, und wünsche insofern das Nachstehende als ein Supplement zu den trefflichen Schriften von Partsch und Dr. Otto Buchner anzusehen. 1) Meteorisches Eisen. Dass die Akademie schon früh, in der ersten ۵ des vorigen Jahrhunderts, im Besitze meteorischer Ei- senmassen gewesen sei, ohne dass man damals die Bedeutung derselben ahnte, habe ich aus dem Inhalte von Gmelin’s und Lomonossow’s Katalogen (1732 bis 1745) darzuthun versucht’). | 2) Pallasmasse. Über den ältesten von der Akademie erhaltenen Aé- rolithen, die Pallasmasse, habe ich bereits in einer vorhergehenden Abhandlung mich bemüht, ausser ei- genen Bemerkungen, das Material einer wissenschaft- lichen Geschichte dieses Aérolithen zu liefern. Sie ist gedruekt als Anhang zu dem «Bericht an die phy- sikalisch-mathematische Classe über dieDurch- schneidung der Pallas'schen Eisenmasse». Ich muss daher darauf verweisen?) und benutze diese Ge- legenheit, ein paar Nachtrüge und eine Berichtigung zu jener Abhandlung hinzuzufügen. Um die grosse Verbreitung der Pallasmasse in den europüischen Sammlungen zu erklüren, ist die Meinung aufgestellt worden, dass ausser der grossen von Pallas naeh St. Petersburg gesendeten Masse noch andere Stücke von derselben Fundstätte entdeckt | und nach Europa gebracht worden seien. Partsch (a. a. O. pag. 87) erwähnt einer Mittheilung des Hrn. Heinrich Heuland, des Inhabers einer zu ihrer Zeit berühmten Sammlung, nach welcher dessen ehemaliger Associé Sitrikow im Jahre 1807 über zwei Centner des Pallaseisens zu Moskau auf dem Tródelmarkte als altes Eisen nach dem Pfund in der Bude eines Eisen- händlers gekauft habe. Hr. Heuland sah die Pallas- masse der Akademie zu St. Petersburg zu wiederholten 7) Über die von Lomonossow edirten Kataloge des mineralo- gischen Museums der Akademie und deren Inhalt. Bull. de l'Acad. Imp. de St.-Pétersb. T. IX, 1865 p. 26. 8) Über die Pallasmasse, von Ad. G. Bulletin de l'Acad. Impér. des 8c. de St.-Pétersbourg T. X, 1866 p. 305. die Pallasmasse. gegenwärtig in der Kaiserlichen Steivschleiferei zu Peterhof, wo an ihrer Durch- schneidung gearbeitet wird, nachdem vorher im Som- mer 1866 durch Hrn. Akademiker v. Fritzsche ihr absolutes und specifisches Gewicht bestimmt worden ar. z 3) Meteoriten von Charkow und Kiew, Innerhalb der Zeit von 1803 bis 1806 erhielt die Akademie Stücke von Meteorsteinen, die aus Char- kow und Kiew gesendet waren. Das chemische La- boratorium der Akademie erhielt gleichfalls einen bei Charkow gefnndenen Meteorstein durch den Präsi- denten der Akademie (۰ Einige nähere Nachrichten über diesen Fall sind von Stoikowitsch, Professor der Physik an der Char- kower Universität erst siebzehn Jahre nach stattge- habtem Ereigniss gesammelt worden "). Bei Durch- lesung derselben drängt sich die Überzeugung auf, wie viele solcher von vielen Zeugen gesehenen Vorfälle aus dem Gedächtniss der Menschen verschwunden und für die Wissenschaft für immer verloren gegangen sein mögen, wenn sich nicht zufällig Jemand fand, der Notiz hiervon nahm und das Geschehene zu Papier brachte. Stoikowitsch theilt einen vom 23. Mai 1804 datir- ten Brief des Hrn. Grodnitzki, Stabsarztes in Ssumi, an den Apotheker Piskunowski in Charkow mit, in welchem jener das vor 17 Jahren geschehene Ereigniss mit grosser Ausführlichkeit beschreibt. Hiernach fielen mehrere Steine imJahre 1787 am 1.(12.)October Nach- mittags 3 Uhr bei den Dórfern Shigailow und Lebe- din im Achtirker Kreise des Slobodsko-Ukrainer, spá- ter Charkow genannten Gouvernements. Von Vieh- hirten des Dorfes Shigalowka, 10 Werst vom Dorfe Dobrik im Ssumschen Kreise des Charkow'schen Gouvernements, wurde an jenem Tage gleichfalls der Fall eines Steines beobachtet und von Stoikowitsch, nach der erwähnten brieflichen Mittheilung, ausführ- lich erzählt; die Bauern gruben ihn aus und überga- ben ihn der Landobrigkeit. Die nicht veröffentlichten Acten über jenen Steinfall müssen noch jetzt in den Archiven des Ssumschen und Achtirker Landgerich- tes liegen. Muchin bezeugt, dass ein Stück dieses 10) L'histoire de l'Académie 1808 — 1806 in den Mémoires de l'Académie Impériale des sciences de St.-Pétersbourg. T. I, 1809. 11) Crolikonuu v, OB poseer KaMHAX' b, CTD. 257. — Gil- bert's Annalen, Dd. 31, S. 305 und 3 des Sciences de Saint- Petersbourg. verzeichuisse der Akademie mit einem Gewicht von 38 Pud. Im Jahre 1822 heisst es von ihr in dem Verzeich- niss des Akademikers Ssewergin, dass ihr Gewicht anfänglich 38 Pud betragen habe, woraus hervorgeht, dass unterdessen ihre Masse vermindert worden ist. Prof. Gustav Rose sah sie im Jahre 1828 und schreibt von ihr Folgendes: «Von ihrer ursprünglichen zackigen Form und den in ihren Höhlungen einge- schlossenen Olivinkórnern war gar nichts zu erkennen, uoch dazu, da sie auf dem Fussboden an einem ۳۹ finstern Orte lag». Von dieser Lokalität aber sagte er vorher, dass die in einem grossen Saale aufgestellte Mineraliensammlung der Akademie im Winter, also in einem grossen Theile des Jahres, nur schwierig zu benutzen sei, da der Saal nicht zu heizen und an dem Boden noch dazu mit Fliesen belegt war?). In meiner Angabe, dass die Pallasmasse im Jahre 1830 gewogen und von Hrn. Postels auf den bis jetzt noch von ihr eingenommenen Platz geschafft worden sei, hat sich ein Druckfehler eingeschlichen. Es muss heissen 1836 statt 1830. Im Jahre 1830 trat Postels seinen Dienst als Gehülfe des Akademikers Kupffer, Directors der akademischen Mineraliensammlung, erst an, und jener von mir erwähnte, im Archiv des mine- valentes Museums befindliche Rich ام‎ ht von Postels bezieht sich auf das J ahr 1836. Sie wurde erst im Jahre 1835 wiederum von Hess gewogen, in Folge der Bemerkung von Berzelius über die Zer- stückelung der Masse. Ihr Gewicht betrug 31 Pud 30 Pfund. Es ist ganz offenbar, dass die Wissenschaft es lediglich Berzelius zu verdanken hat, dass sie da- mals gewogen und en aus ihrem Dunkel her- vorgezogen wurde. Als ich im Jahre 1861 nach St. Petersburg gekom- men, war es mein vielfach motivirter und mündlich vorgelegter Wunsch, die Pallasmasse durchschnitten und eine besondere, zu Untersuchungen bestimmte Scheibe von ihr abgetrennt zu sehen, welchen unter den Gliedern der physico-mathematischen Abtheilung Hr. Akademiker Abich vollkommen theilte. In Folge des weit wirksameren, von einem hervorragenden aus- ländischen Gelehrten gegebenen Anstosses befindet sich 9) Reise nach dem Ural 1837. 8. 43 und 44. Es war der Saal der ehemaligen Kunstkammer, wo jetzt das ethnographische Museum sich befindet. 240 dem Timoschin, sonst aber keinem unserer Meteo- riten nahe kamen. 4) Laigle und Doroninsk. Zwischen 1807 und 1808 erhielt die Akademie vom Adjuncten Adams ein Fragment des Laigle bei Alen- on, so wie ein Fragment des zu Doroninsk ") in Daurien gefallenen Aérolithen "). Vom Laigle führt Bloede sogar zwei grosse Exemplare auf, sub X 12 und 13. Ich habe schon oben meine Zweifel gegen die Ächtheit beider mitgetheilt. Muchin bezeugt im Jahre 1819, dass im Museum der Akademie nur ein Stein von Laigle aufbewahrt wird”). Den Doroninsk erwähnt Bloede gar nicht. Nach dem im November 1805 amtlich mitgetheilten Be- richt in der St. Petersburger Zeitung") wurde das letztere Phänomen den 25. März (6. April) 1805 um 5 Uhr Nachmittags in der Nähe des Flusses Ingoda und des Baches Doroninka von Hirten gesehen. Bei Ostwind senkte sich eine von Westen ziehende ziem- lich grosse dunkle Wolke mit zunehmendem Getüse nieder. Die Hirten sahen im Augenblicke des völli- gen Herabsinkens einen feuerrothen Stein aus ihr her- abfallen, der beim ersten Fall von dem gefrorenen Boden, in welchem er einen Eindruck von einem Wer- schok Tiefe hinterliess, in die Höhe prallte und in ei- ner Entfernung von acht Faden (56 russ. Fuss) in westlicher Richtung wiederum auf die Erde fiel, auf welcher er noch fünf Sashen weiter rollte. Er war eine halbe Stunde nach dem Fall noch so heiss, dass man ihn nur mit Mühe in der Hand halten konnte. Er wog sieben Pfund, war vier Werschok hoch, nach ab- wärts breiter und sein oberer Theil (die Spitze) auf 1, Werschok abgesprungen. Ein ähnlicher Stein von 2'/, Pfund wurde Tags darauf gefunden. es Der erstere Stein war auswendig schwarz und wie mit Russ bedeckt, die Schwärze liess sich leicht ab- wischen, und dann schien die Oberfläche dunkel katfee- braun zu sein. Inwendig ist er bläulich. Im Geschmacke . 15) Doroninsk im Werchneudinsker Kreise, Gouv. Irkutsk, liegt auf dem halben Wege zwischen Werchneudinsk und Nertschinsk am Flusse Ingodà. 16) Mémoires de l'Acad. Impér. des sc. de St.- Pétersb, T. U, 1809. Hist. pour 1807 et 1808, p. 21. 17) Myxum? a. a. O. p. 110. 18) C. Ilerepóyprexia Bbzowoerm 1805. X 92, erp. 1044. Von dem Major Blasow und dem Aufscher der Salzsiedereien, Hrn. Bogdanow. Bulletin de l’Académie Émpériale Steines an die Universität Charkow und eins an die Kaiserliche Akademie der Wissenschaften gesendet wurde "). Zufolge der vom Adjuneten Krüger gegebenen Be- schreibung gehören sie zu der grossen Masse der halbharten, hellgrauen, eisenhaltigen Steinmeteoriten (Chondrite, G. Rose) mit erdigem Bruch und braun- schwarzer, glatter und glänzender Rinde und zwar zur Gruppe des Mauernkirchen. Von den Professoren Schnaubert und Giese in Charkow ist er chemisch analysirt worden, so wie auch vom Akad. Scheerer. Chladni ?) vergleicht den Charkow mit dem Steine von Vorkshire und Laigle. Ein solcher summari- scher Vergleich hat jetzt wenig Werth, da man damals nur nach der allgemeinen Ähnlichkeit urtheilte, ohne auf die feineren, durch mineralogische Structur und Habitus bedingten Unterschiede Rücksicht zu nehmen. Der Charkow lässt sich in unserer Sammlung nach der blossen Beschreibung nicht ausfindig machen. In ausländischen Sammlungen ist er ziemlich verbreitet. Die grössten Stücke von ihm befinden sich im Bri- tish Museum (494 Gr.) und Göttingen (44 Gr.). Ob er im mineralogischen Cabinet der Universität Charkow selbst noch verwahrt wird, habe ich trotz mehrfacher Bemühungen bis jetzt nicht erfahren kön- nen. Was den Stein aus Kiew betrifft, so könnte das, wenn er sich nicht auf einen Fall bezieht, der unbe- kannt geblieben ist, wohl nur der «Bjelaja Zerkow» sein, der einzige damals bekannte Fall aus dem Kiew’- schen Gouvernement, von dem wir gleichfalls durch Professor Stoikowitsch Nachricht haben. Er fiel 1796 den 4. Januar. Die Universität Kiew besitzt zwar die Hauptmasse des Bjelaja Zerkow von 1807 Gr. Gewicht"), aber erst seit dem Jahr 1833, bis wohin der Stein dem Kremenetz’schen Lyceum angehörte. Drei von dieser Hauptmasse abgetrennte Stücke, wel- che die Akademie im Jahre 1866 von der Universität Kiew erhielt, erwiesen sich als eigenthümliche, sehr eisenreiche Chondrite, welche in ihrer Beschaffevheit 12) Myxn#», O uUyaecHbIXb 1067985 M 8٥2003117352, C. Ile- , Tepőypr» 1819, erp. 101. 13) Über Feuer-Meteore. 1818. p. 258. 14) S. Aérolithenverzeichniss der Universitàt Kiew und über die Steine von Dolgaja Wolja und Bjelaja Zerkow vom Professor Theophilaktow in den 0 Unnep. C. Ilerepöypreraro Mu- Hepaoruuecxaro OGmecrsa. 1866. II. Cep. .لا‎ I. crp. 255. 242 Basis zu erhalten, nach einem Ende zu quer durch- gesägt. Schon Muchin erwähnt 1819, dass ein Theil abgesägt sei, und es daher schwierig sei, seine Form genau zu beschreiben 7). Die drei noch mit Rinde erhaltenen Seiten desselben sind von glatten, vier- und fünfseitigen Flächen begränzt, deren geradlinig verlaufende Kanten durch Schmelzung abgerundet er- scheinen. Die Zahl der noch erhaltenen Flächen be- trägt acht. Muchin führt ihrer etwa 9 bis 12 auf. Bemerkenswerth ist, dass der ganze, noch 30 Centim. hohe Aörolith, keiner der Aussenflächen, wohl aber der Diagonale einer rhombisch gestalteten Fläche pa- rallel, durch eine 1 bis 1°, Millimeter dicke zusam- menhängende Platte von Nickeleisen in zwei ungleiche Hälften getheilt wird, vielleicht ein während des Zu- ges durch die Erdatmosphäre entstandener Querriss, in welchen durch den Luftdruck das leichter als die Steinsubstanz schmelzbare Meteoreisen hineingepresst wurde. Er ist derart eisenreich, dass das Nickeleisen zum Theil ein zusammenhängendes Netz bildet, und der Aérolith eine Übergangsform vom Chondriten zum Mesosiderit darstellt. Es existiren von ihm alte Ana- lysen von Scheerer und von Klaproth. 6) Stannern. Im J. 1810 erhielt die Akademie vom Wiener Na- turaliencabinet drei Fragmente vom «Stanneru» in Mähren ^. Muchin erwähnt ihres Vorhandenseins im Museum der Akademie und hebt ihren eigenthüm- lichen Geruch hervor (a. a. O. p. 119), giebt aber die Anzahl der Stücke nicht an. Bloede erwähnt eines Steines; ich fand zwei Bruchstücke vor, die zusam- men nahe das von Bloede erwähnte Gewicht hatten. 7( ۰ Durch den Minister des Innern erhielt das Museum im J. 1811 einen Aérolithen von über 15 Pfund Ge- wicht, der am 28. Febr. (12. März) desselben Jahres um 11 Uhr Morgens im Garten eines Bauern des Dorfes Kuleschowka, im Districte von Romen des Gouvernements Poltawa gefallen war. In dem Be- richte des Civilgouverneurs von Poltawa an den Poli- zeiminister ist gesagt, dass drei Donnerschläge dem | 99) Myxuns a. a. O. p. 116. 23) Mém. de l’Acad. du. de St.-Pétersb. T. ITI. L'histoire pour 1809 et 1810. 16 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 241 soll er salzig gewesen sein und klebte etwas au der Zunge ”). Bei dem Fallen sprang der obere Theil des Steines auf anderthalb Werschok ab und zerfiel in kleinere Stücke. Der Stein von 2Y, Pfund war dem vorigen ähnlich, nur an deu abgebrochenen Stellen weit dunkler und auf andern Stellen selbst von roth- graulicher Farbe. Muchin?) giebt an, dass ein Theil des ersteren Steines im Museum der Akademie aufbewahrt werde. Seine äussere Oberfläche ist von schwarzer, das In- nere aber von aschgrauer Farbe. Von salzigem Ge- schmack erwähnt er nichts, giebt aber an, dass der Stein ein wenig an der Zunge haftet. Partsch giebt eine auf äussere Kennzeichen ge- gründete Beschreibung dieses Steines, der nach sei- nen Worten von dem Meteorsteine von Seres in Ma- cedonien kaum zu unterscheiden sei. Hierauf ist äber wenig zu geben. Ein angeschliffenes Bruchstück des so charakteristischen «Seres» stimmte mit keinem un- serer ungewissen Aörolithen völlig überein. Solches würde nur ein Vergleich mit den in Wien und Berlin aufbewahrten Bruchstücken des Doroninsk entschei- den. 5) Timoschin. Im Jahre 1807 erhielt das mineralogische Cabinet | der Akademie vom Minister des Innern einen grossen Meteorstein von 4 Pud (160 russ. Pfund) Gewicht, der am Nachmittag des 13. März 1807 beim Dire Timoschin im Kreise Juchnow des Gouv. Smolensk |! in Gegenwart zweier Bauern mit donnerartigem Ge- töse auf das Feld niederfiel, in welches er anderthalb Arschin tief eindrang?!). Der Aérolith ist zum gróssten Theile noch bei uns vorhanden, und ich habe sein Gewicht oben (S. 226) angegeben. Die Grundmasse des Timoschin ist hin- länglich bekannt. und beschrieben. In Bezug auf seine äussere Form aber bemerke ich, dass sie beim er- sten Anblick den Eindruck eines gewaltigen, ei- nem Rhombendodecaëder ähnlichen Krystalles her- vorbringt. Man hat ihn, wohl um ihn bequem auf's Postament stellen zu kónnen, und eine breite ebene e Diese Angabe des Salzgeschmacks beruht sicher auf Täu- ung. Er mochte vom salzhaltigen Boden herrühren, auf welchen im Stein gefallen. 20) Myxun? a. a. O. p. 1 21) Mémoires de 6 kg, de St.-Petersb. T, II, Hist. p. 21. Tome XI. 244 gegengesetzten stellt sie ein besonderes Naturspiel dar,. denn der Stein ähnelt auf dieser Seite einem kohl- schwarzen Schädel eines besonderen Thieres, an wel- chem eine gewólbte Stirn bemerkbar ist, die sich mit ihrer dreieckigen Oberfläche zum untern Theile der Nase oder des Rüssels fortsetzt. An den Seiten jener Stirn sind eingefallene Wangen sichtbar, von gleich- falls dreieckiger Figur. Die Zahl aller Hauptflächen an jenem Steine beträgt fünf, welche au mancher Stelle eingedrückt sind (usorayrp1). Daraus kann man auch schliessen, dass er vor dem Fallen in weichem Zustande sich befand und die Figur einer vierseitigen Pyramide hatte, welehe die obenerwähnte Veränderung beim Eindringen in die Erde erlitt.» «Seine Oberfläche ist von einer schwarzen Rinde umgeben, aber seine innere Substanz ۲۵۲ ۴۶ Farbe, kleinkórnig, durchsáet mit Rostfleckchen, und hat feine Risse, aus deren einem ein glänzender me- tallischer Streif von Bleifarbe durchgeht. Dieser Stein hat funfzehn Pfund Gewicht und wird im Museum der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften be- wahrt, wo ich die vorliegende Beschreibung en habe.» Jene nach den Worten Muchin’s mit einem Thier- schädel verglichenen Flächen der vierseitigen Pyra- mide sind noch jetzt an dem Rest des Steines erhal- ten. Jedoch sind durch Abschlagen zweier nebenein- anderliegender Basisecken der Pyramide die Hälfte der einen Wange, ein kleinerer Theil der anliegenden untern Schädelbasis (sit venia verbis), wie ein kleiner ` Theil der die etwas gewólbte Schaufelplatte (Grund- fläche oder Ee vorstellenden Fläche Geer worden. Die schwachglänzende Schmelzrinde ist von unglei- cher Dicke, die jedoch 0,75 Millim. nicht überschrei- tet. An der Spitze der Pyramide ist sie von brauner Farbe. Sie zeigt auf drei Seitenflächen der Pyramide feine nach einem Sinne in parallel-strahliger Richtung verlaufende Schmelzlinien, durch welche die Lage des Steines während seines Zuges durch die Atmosphäre angedeutet wird. Der von Muchin und Ssewergin erwähnte glänzende Metallstreif ist das Ausgehende eines feinen, den ganzen Stein durchsetzenden ebenen und geradflächigen Risses, welcher mit Nickeleisen ausgefüllt ist. Er steht in keiner Parallelbeziehung zu einer der Aussenflächen oder den natürlichen Ecken Bulletin de l’Académie Impériale 243 Falle vorangingen, und dass der Letztere von einem fremdartigen Lärm, von Funken und einer Art Pfei- fen begleitet gewesen sei. Der Stein war durch Schnee und Eis in den gefrorenen Boden bis zur Tiefe einer Arschin eingedrungen und besass im Momente des Ausgräbens noch einen sehr fühlbaren Grad von Wärme”). Ssewergin”), welcher den Stein bald nach dem Fallen für das Museum erhalten hatte, hebt die Fein- heit des Korns, die grosse Weichheit und die vielen feinen Risse hervor, welche ihn im Innern durchsetzen, deren einer einen dünnen glänzenden Metallstreif von hellgrauer Farbe darstellt. Naeh Versuchen des Aka- demikers Petrow wurde das sp. Gewicht des Aéro- lithen zu 3,539 bei + 1655 R. gefunden. Der Stein ist von Scheerer untersucht worden. Da seine Analyse unbekannt geblieben zu sein scheint, _ indem ihrer sonst nirgends erwähnt wird, so theile ich sie hier mit”). Er giebt in 100 Theilen dessel- ben an: . JMMetallisches Eisen .... 10,00 » Nickel. 1,20 Kieselerde. ..... .. ... 52,00 Kisenoxyd د‎ eine polemische Schrift gegen die Muhammedaner, in Karas im Jahre 1220 = 1806 DIER: al Al gedruckt. kl, 80. 312 1823"). * شریلی‎ old 16°. * شریی‎ Luis kl. 8°. 1827. ob امان‎ * شرق‎ Élus kl. 8°. 1832 °). * be Gul 16* * La (کلام شريف)‎ fo. * شىق‎ lae kl. 8°. 1833 ^). * شرن‎ ki kl. 8°. شر ير‎ lie اع‎ 8. ps 1834. "ar 8°. Beide Ausgaben im Februar erschienen. ES? | 1835 '. ~ * القران‎ fol. SRLS a el ثورات وانجیلدن ملاحظه‌لر ابله‎ MS بو‎ * Al abla), gedr. 1822; 7 „les صاغلفی ويرن‎ aile, 8. 11) In diesem Jahre erschien in Astrachan in der Typographie von J. Mitchell * کتابی‎ did) مب‎ 80, Im Jahre 1825 erschien: * 2 نام کناب‎ a Ze WIES, u. s. w. Abulghasi Bahadür Chani historia Mongolorum et Tataro- rum (ed. Ibr. Chalfin, unter der Aufsicht und mit einer Vorrede von Fraehn). fol. کتاب السبع السیار فی اخبار ملوک تاتار تالبف سید )12 ed. Kasem-Bek. 49.‏ ,ګیل رشا 2 2 مسیعیلار oos eue‏ با »& te‏ ختصری وختصر کانبخیژس یعنی عقایل که مقرس صینودده تیش ایتلب ac‏ عم ابېراطور le die‏ فرمانی asm‏ مکتب خانه‌لار تلیبزلاری LJ Dos) ai‏ اولنمشدور فزان ر en‏ سبينار به اسملی مدرسه‌س‌ننات uds‏ .امام اللسی اونیسیفوری تورکی لسانینه ترجه ابلمشدر * بادشاه روس‎ E ,حکایت‎ ed. Erdmann, 49, Die Schóne vom Depto uU. ۰ ٣ 0 Auflage 1844: à ام کور‎ e cube. 19 * العرب‎ Je) من حديقة الادب‎ 5 nil) Ae), cd. Kasem - Bek. 80. 14) Tn der Festung Schuscha (شوشی)‎ sind in diesem Jahre von , Bulletin de l'Académie 6 + . مه ات 8د‎ 0 co S ll bg د و‎ | Verschied. Ausg. * شر بی‎ Élus kl. 8°. 1817. * 0 MI 4°, | 1819. | * ابراعيم بن اسعق خلفی‎ "E احوال جنکز خان واقساق‎ سنه مبلادیله‎ ۱۸۱٩ بلد قران‎ A ونقریر ایلمشم‎ alel dps? سنه‎ ۴ Der russische Titel hat das Jahr 1822: 5 ]Uxuruxb-Xanma m Akcakb- Tumypa u np., 76 Xarsonmoms. Haan, 1822. 8°. , * اسئوانی کتابی‎ kl. 8°. RE ENS OR 12". 18205. * شریلی‎ ou 16°. * ثبات العاجزین‎ ۰ * oll fol. 1822 '^. *: شر نق‎ EES Jo kl. 8°. 8) دق‎ à wird oft nicht beigefügt gefunden. بو تعلیم نامه آدميلرنك صادق وفانی ابله GE‏ وفات یتک o‏ فرقلرین 35 بلوب وم نی وفانیدن نه قباس ووجه‌لر dl‏ خلاص قبلنمتاری خصوصلرنده در - ژنوطرننوی دیل دید‌وکلری مینبطرصطژاده d‏ اولان usos‏ اطبا دیوانی نن ۱۸۱۶ us‏ سه ده قبلر‌قاری انشالربدن لسان ترکی معلی ابراعیم بن geil.‏ خلنی‌ننل ترجه سیدر فی بلد قزان — ۱۸۲۰ ax.‏ * Über die Erkennung der Scheintodten u. s. w. Aus dem Russischen‏ übers. von Ibr. Chalfin‏ 10) Im J. 1822 erschien eine Schrift vom Missionär Mitchell gedruckt, enthaltend: 1) eine religiöse Abhandlung بات وبرن‎ pone‏ بر دوسندن )2 ;1821 gedr. in Astrachan‏ ,را e]‏ بول سوال 9 زخرستیان دبنگ سری 9 ;مقس نواریخ منتصری B‏ ۳ ol All fol. EU سیف‎ PC * pus dios kl, 8°, s| په‎ 1839 '^. Beide Ausgaben vom April auf Kosten 1) Mahsutov’s, 2) Rahmetullah's. 16". E ۳ 7 fol. Ae 4.‏ یوسف عليه السلام * kl. 8".‏ اك شرب * * شریی‎ ois kl. 8°. ` des Sciences de Saint- Pétersbourg. 313 * Sjå loss, im Juli kl. 8°, * شر يف‎ lose, im November kl. 8°. 1836. استوای سا‎ kl. 8°. : 8 اما جوب‎ 10" Beide Ausgaben im ۰ re شرد‎ o, * Unsere Ausgabe dieses Werkchens, auf Kosten Mahsutov's حصوتف‎ (so öfters, sonst auch richtiger paie Maksutov) gedruckt, giebt den Monat nicht an. 12°. (2 Ex.). im Juni.‏ ,امان شرطی im November.‏ ,امان شرطی ,”4 تبات. العاجزز ین 2 E aD : 3 1 ۱ E 1840. se Al elus kl. 8°. Alle drei Ausgaben im März | * استوانی کتابی‎ kl. 8°. 1 "E erschienen. * b ایمان شر‎ 16°. 2 Ausgaben. : 1837 * فوز النعات‎ 4. * d£ Gel 16° ۱ * SU سف‎ aes 4". D" ur , 1841. Bis zu diesem Jahre sind. alle vorher angegebenen Werke in der Universitütsdruckerei erschienen. Ende 1840 hatte die Buchdruckerei Schewitz sich tatari- pane REG eigends schneiden lassen ' 7. cu ,غر‎ 40jähriger Kalender, zusammengestellt von Rahmetullah Amirchanov. (lijne). Sch.‏ القران fol.‏ القران EU قصة سيف‎ Sch. p - + ای‎ "c 80 | Élus, 2 Ausgaben. Sch.‏ شرب Auszug aus dem 7'^ Theil des Koranes, enthält : nur Sur. I. 15 V. 1 — 4 und führt gewöhnlich ‚den Titel: $4 oder u Sch. 16) In St. Petersburg erschien lithogr. + JW رکناټ‎ von Mulla Abdul- Wahid b. Sulaiman herausgegeben. ۰ 17) Sch. in der Folge = Schewitz ule مان‎ ۰ x E. بات العاجز‎ 4° شر‎ ie kl, gi, * jo à dle kl. 8°. 10878618806 0621۵1116 Ha ۰ eege, übersetzt von ۰ 1838 ^. * eh er 16°. Auf Kosten Apanajev’s. * شرطی‎ old 16°. Auf Kosten ۰ cle فوز‎ den schottischen zn verfasste Schriften gedruckt worden mit Kasan. geistl. Cen a—b) * (a) = Al هگ د‎ an die Bhar (Türkisch und Persisch) vom Missionär Dittrich zum Druck befördert. e) * 3l c سزان‎ (Pers.), It. von Strömberg. d) * T LE. (Pers, über Judenbekehrungen. It. vom Missionär Pfander. Ist die Fortsetzung und das Ende des vorigen Wer- kes (p. PPP — PVP). ۰ 15) O6sasıenie uszanin Typenko-Taraperaro czonaps, cocraBz. Mux.Ilepsyxunsw. (Ankündigung eines türkisch - tatarischen Wörterbuches, von Mich. Perwuchin, früher Lehrer der oriental. Sprachen am Gymnasium zu Astrachan). Es soll dabei ein specimen des Wörterbuches sein. 316 * äi Aë Eli kl. 8°. Sch., 3 verschiedene Ausgaben. * شریی‎ le kl. 8°. RS., 2 verschied. Ausg. 1845 ^). * US استوانی‎ kl. 8°. — Voigt, S. 70. آن‎ A Ka (wahrscheinlich dasselbe, was sonst مې‎ oder سور من القرا آن‎ heisst). Sch. * کلی کتابی‎ Aa 4^. VS. کبیر‎ ou البسئوی .1 .۵ ترجه‎ A ابو‎ ek ترجۀ‎ السعیدی‎ 4°. الفاری‎ Aë 4*. — Voigt a. a. 0. | * LG در‎ ۰ OI elf 4".‏ ابو السعود انندی * ula) fol. RS. * dall 4°. RS. * Je Ax Ae sa کتاب‎ (d. i. das (یندنامه‎ 4°. T خواجه نصر الدین افندی‎ KI 4°, à Sch. = ;‏ ليه 4 کتاب n‏ نامه cl;‏ & اب el‏ حقی * * رسال ممه‎ 4°. Univ.-Typogr. Eu ELi kl. 8° RS. * هتګ خربف‎ kl. 8°, Sch. * Ankündigung der Herausgabe der T. durch Ka- sem - Bek, 2 Blätter. 4°. 1846. |* شرطی‎ ol) 16°. * گنای‎ re $ ,بدو ام کتابی‎ auf Kosten Maksutov’s. 8°. کتاب ختصر الوقابة فى مسائل المد اية للامام all‏ 0« cd.‏ ,صدر الشريعة عبید الله بن مسعود بن e‏ الشر Gen‏ Kasem-Bek. (pue = 1844. 40 — Mioxrecepsioa5-Burkaer» n np.‏ کناب مستطابت "m‏ از تصنغات قطب العارفين )2 und‏ 1845 ed. Kasem-Bek, 1845 )۱۳۹۱(۰‏ ,یل جلبی اللقب به بازیعی زاده Bulletin de l'Académie Impériale 49, — In St. Petersburg: * d ارات‎ JY eJ, lithogr. von | Mulla Kemal-eddin. &. ۱ 315 1842 ^^. الع احکام‎ T > Al. s. d. Register unter reel. * شرطی‎ olk, auf Kosten Maksutov's. 16". * LL ,ايان‎ auf Kosten Rahimoghli’s. 16°. * „LS شوربده حال‎ 4". — Voigt, S. 69. التران‎ fol. | * all fol. Sch. * یوسف عليه السلام‎ Ae 4°. — Voigt, S. 69. * in, im Febr. kl. 8°. * Ale, im März. kl. 8°. * شربف‎ Elie kl. 8°. Sch. 1843. „er امان‎ * القران‎ 4. Voigt, a. a. O. RES | یف‎ ^t - kl. 8°. Sch. * SL * Elsi kl. 8°. — Voigt, a. a. O. 184. Im Winter 1843 — 1844 schaffte sich ein kasani- scher Kaufmann Rahim-Dschan Saïtov "( (د حدم جان‎ (les) ums eigene tatarische Lettern an und legte eine Buchdruckerei an, deren erstes Product der Ko- ran war. Wo in der Folge keine Druckerei angege- ben ist, ist jedesmal die Universitütsbuchdruckerei zu verstehen. sb ol. Sch. ;12° سور We‏ القران * * القران‎ fol. 3 verschiedene Ausgaben. RS. * all fol. 2 verschiedene Ausg. Sch. * القرآن‎ fol. Univ.-Dr. — Voigt, 8. 69. + all 4°. Der zweite Theil 1845. Drei Suren 1. 2. 96. 18) * 1) Tarapexaa xpecromaria, 2) Tar. 703031018, ۰ ^M.Hnanonznmw-. (1) Tatarische Chrestomathie und 2) Grammatik von Iwanov.) 80. — Vergl. für 1842-1852: Voigt, Übersicht (06o- 388816 n np.) S. 69 — 72. 19) = ۰ 318 im December.‏ ردعاء e dees cals‏ شال الثبی kl. ۰‏ هزم عبرخ نامه وشار نامه سن اببات isad)‏ 7 Ei anlc بوسف‎ as 4°, Bun لایزالی عضرت اما مخز‎ LAS سلبم‎ ver کنات ايها‎ | رول انر‎ Jaio مین‎ ger نصعت‎ 4". ^ dl باقر‎ dive کتاب‎ 4^. RS. * يسن باش کنابی‎ KL 8. aio مسایل شر‎ (?) ohne besonderen Titel. kl. 8°. * Elzie kl. gi LG, Gwg., 2 Ausgaben. RS. 1848. rad} اسماء الله‎ . ۰ الخ‎ cael. H Al. Sch. S. d. Register. | .امن تذکر‎ Sch. as 5] 5]. Sch. S. das Register unter اوراد‎ "od اما‎ 16. باشماق شريف‎ Zeg — Voigt, 8. 70, nennt als Verf. Hakim-Ata. ds: بوسی تعسر‎ yes. Sch. e العاجز‎ SLS. Univ.-Typogr. — Voigt, : 2.2.0. ۰ ثبات العاجز à c‏ مدح اما مار Jl ER ass des‏ ال ËI des‏ ۰ .دعاء u) lee‏ cles‏ قدم KÉ‏ sles. Sch.‏ لر الوباء des. Univ.-Buchdr.‏ لدفم الوباء ope. Sch.‏ نامه (Zenk, II, 1205).‏ .کناب الفرض d. Reg. u.‏ .8: فرش la)‏ * القران des Sciences de Saint- Pétersbourg. eias T سلیمان‎ kl. 8°. Sch. 317 دوام کتابی‎ * ثبات العاجزین‎ 4°. RS. * UC حکایت‎ kl. 9". * خاصبة اسما اصعاب بر‎ - دول‎ cles (Gebet für das Kaiserl. Haus), s. Ausg. s. ۰ رساله 5 العقاید الاسلامية‎ 8°. * منظومه‎ QJ. AC 39°. * دعوات‎ e? Qr? ues Age) 8°. * السلام‎ ae بوسف‎ os 4. * le باقر‎ Code کتاب‎ 4°. RS. * LUS باش‎ élus 8°. * کتابی‎ alle kl. 8°. * فتك‎ kl. 8°. * LUS یک حکایت‎ kl. ۳ Gänn, ۰ A Auszüge aus Bakir-ghan, unter dem Titel: : pbel .امام‎ 184175. اخر زمان US‏ Voigt, 8. 70...‏ — .استوانی کتابی * الله تعالى الحسنى‎ cell, im Mai. ۰ "m dy} اسیا؟‎ , im November. : se, اصعاب‎ AX] bU; s. das Reg. unter à e E i dg کتابی‎ UI 4. Ae old برده‎ See sonst genannt (امن نکر‎ تعبیرنامه‎ (Zenker II, V 1395); s. das Register. ^ الاعنلم AR‏ الس اسو القاری * Qr o‏ sles, im‏ عچایب الاستغفاز دض فرانده اولان Alle‏ * April. 8°.‏ 91) In St. Petersburg erschien: * يزه‎ je «IL. y vlt, 49, und * شور د یف‎ Sli, 89; in Moskau: * ,عفترا‎ mit Goldbuchstaben. 89. Letzteres lithogr. S. das alphab. Register. 320 les 8°.‏ اسم „bel‏ وم باشقه شردف دعالر im Febr.‏ , دعاء عچایپ الاستغفار دی قرانده اولان تیلیل‌لر im Februar u. März. kl. 8°. K.‏ ,دعا عايب الاستغفار اوه * قرمصقه بودر‎ (je قرنجه‎ cles شرم‎ 1 Blatt. * العاجزین‎ cel EP ox je رسال‎ 8°. (2 Ex). — Voigt, S. 71. K.‏ .رونق الاسلام mr‏ التران .8° شراط الامان * * شردق‎ „lb, im Juli, 1 Bogen. . * m „lb; im September, 1 Bogen. * (کلام شریف) القرآن‎ fol. Univ.-Dr. * all شریف)‎ PAS) fol. RS. ورو LR‏ (کلام غر al.‏ * اورص بازوبن بلکورنکوبی کتابی تالیف نیکلای ایوان E CER EP NE |‏ * الفضایل‎ ch 1 Bogen. im Januar. K.‏ رمپر شریف * شریق‎ se, im März, 1 Bogen. K. ۰ مهر شریف خاصیتلری برلان * * شریق‎ Elsi, Februar. kl. 8°. RS. * jo jé lus, März. kl. 8°. RS. * SL» kl. 8°. K. elo. Univ.-Dr. + یس‎ kl. 8°. RS. Bulletin de l'Académie Impériale 1851”). * „US استوانی‎ KL 80. K. * ud) اسماء الله تعالى‎ kl. ۰ صاقلانوننات‎ las اولکان کبک بولغان کشی‌لرنی قبرکا‎ * عیل‌لری ببانشل, دور‎ 8". Darüber, dass man sich hüten müsse, schein- todte Menschen zu früh zu beerdigen; aus dem Russ. übers. von Mahmudov, Lehrer des Tata- ` rischen am 1sten Gymnasium in Kasan. کتاب Sc aca‏ للامام العلامة عل بن مود بن )35 Cie o‏ البرخشای * ed. Gottwaldt. (2 Ex.). 4°.‏ و Bu6aioreka BOCTOYHBIXb MCTOPUKOBD. N IL. * 2 J ^ J Mi ed. Beresin. 69. i el! Le o 319 * جقسی‎ D طیبه‌ننل‎ iK بعنی‎ äub åK kl. 8°. Sch. شریف‎ s, 2 Ausgaben. Sch. Eli, — Voigt, S. 70. 1849 ^). In diesem Jahre verkaufte Ludw. 77 Druckerei an Nic. Kokowin ^). „LS امالی‎ K. ۱ * فضیات لاری وئوابلاری بیانشل‌در‎ ef? امان معناسی‎ 8°. glali ol. RS. seine * 4.6 کناب‎ 855 s. das Register unter 4.6. مزب الاعظم الغ‎ انا‎ cus 12°. ‚les. Sch.‏ بغت eo Haas B.‏ شرح فقه اکبر Sch..‏ کر انات des. — Voigt, S. 71.‏ سیف EU‏ کتاب مولود شریف aso all. RS.‏ CN‏ ld; wg. RS.‏ Lis Guy. — Voigt, a. a. ۰‏ .18505 اسماء الله تعالى الحسى Old Cr. vom 1) Mai, 2) October, 3) Novem-‏ شرطی + ber. 16°.‏ K. (2 Ex.).‏ .16° بدو ام کنابی * Jas, mit tatarischer Einleitung und Interli-‏ برده near-Übersetzung. 8". i‏ Bogen. K.‏ 1 ,مباراگ دعاء chu‏ * 22) Buóaioreka BOCTOYHEIXB UCTOPUKOBL. * X 1. نامه‎ SÉ | Uleä6aniana u np., ed. Beresin. 8°.. K. — Kokowin. 24)*U.H.Bepesuma Xanckie 0۸ I. II. Kasans 1850 m 1851 u. III. St. Petersb. 1850. 8°; s. das Register s. v. .درل ليغ‎ — * Tarap- cko-Pycckie pasroBOpt, 0602383 5676 (Cuuoepornoasckoit Tum- Hasin) Kp BIM 5-X 0 BANK 0.10. (Tatarische und russische Gespräche, von dem Lehrer (am simpheropol'schen Gymnasium) Krym - Cha- wadscha.).1850. kl. 4°. Nach Zenker II, 96 und Gottwaldt, i. J. ` 1853. Die Censur; 1850. S. Anm. 59). 322 Zwei Auflagen im Monat März (1 Ex. vom Januar). kl. 8°. * هك شرف‎ kl. 8". RS. * شریفی‎ oie, April. kl. 8°. K. .کوکوبين‎ * Piso, April. kl. 8". K. .کوکووین‎ 8# یانکاسباق اوقی باشلاغان مسلیان بالالاری اوجون یکرمی‎ cd یات‎ wf ps sel الف با و#م‎ zu l^ S توقوز نورل‎ sch AR 8°.‏ وم سوره amli‏ وم بس شربف ues Februar. kl. 8°. RS.‏ س يسین RA‏ ۲ im 1) Januar und 2) November. kl. 8°.‏ ريس * im Febr. kl. 8". RS.‏ ریس 1852 ^^. su الله‎ Lu. K. * بدوام کتابی‎ kl. 8°. * برد‎ HEU kl. EW * العاجز ین‎ el 8". K. * AL دخی قرانده اولان‎ SENAT Lee ‚les kl. 8°. K. | شریف‎ cles, lithogr. bei Schogin. * الامان‎ LJ s 16*. K. je 1 Bogen. K. (2 verschiedene 2‏ زطلسم شرازگ fol. — Voigt, S. 71.‏ القرآن RS.‏ .4° القران ۰ .الفران * کلام شریف) القران‎ ( fol. RS. KG‏ کتاب jap Lip‏ مر Bogen.‏ 1 ,کعبه شریف * الفضایل‎ zë) gelbes Bl. * ,مپر شربف‎ 1 Bogen. K. * شر ری‎ lose, April. kl. 6 * شریی‎ élus 8°. RS. * Élu, August. kl. 8°. K. Bara6ossım®. (Rus- [ob] Sue], Leh- 21 sisch-Tatarisches ABCbuch von Wahhabov 26) * Pycexo-Tarapckan 336718 8۰ rer an der Militairschule in Kasan). 8°. des Sciences de Saint- Petersbourg. Sack انان‎ 6: | امان شریطی ls ارس فضبلت لارق‎ Al, K. * ,باشماق شربف‎ 1 Bogen. (ou = 1401). 86 باشماق شربف خاصیتلری a] p‏ * * بدوام کتابی‎ kl. 8°. K. .*8 تبات العاجز ین * النبی‎ AL. 1 Bogen. K. kl. 8°,‏ دعاء „bel p‏ وه باشقه شريف دعال * * سیفی خاصبفلری برلان‎ cles kl. 8%. K. * شريف‎ des رمباراگ‎ (2 Ausg.). 1 Bogen. K. * عجایب الاستغفار دغى قرانده اولان تیلیل‌لر‎ cles kl. 8". K. * قم الور وتفسیر ابچن‎ des kl. K. * رسالة فرش عبن عم دعوات‎ 8 K. * رشمائل النبی‎ lithogr. bei Schogin ,(شوکین)‎ 1 Bogen. * رشمایل‎ 1 Bogen. K. ; * Ein Bogen (طباق)‎ Kor. III, 167. é lax U: XXII 8. E OR m Januar. 1 Bogen. K. April. 1 Bogen. K.‏ ,طلسم شر ېه * کناب طوطی نامه ال‎ 8°; s. d. Register. —Voigt, S. 71. * عبرة نامه وشکرنامه من ابیات الاحدية‎ oo kl. 8°. K. bes‏ 8° رولك * غره نامه‎ 80. K. fol.‏ التران * (قرآن شريف) القرآن‎ fol. (2 Ex.). 2 Ausgaben. RS. * bla c 1 Bogen. K. * کتابی‎ aile kl. 8°. K. ١ شربف‎ ye je 1 Blatt, zwei Auflagen im M. 1) März und . 2) April. K. : M‏ شربف خاصیتاری برلان وعم اسباء اصحاب* lb Zell ailes وعم‎ HS] 2 ۳ اصیتاری برلان‎ u ad (2 7* N schiedene 8°, K. Ausg. * شریف خاصیتاری برلان الغ‎ oe ۰ lad ۶ e ^ * T شری ماب مولود‎ EK 8°. * نور نامه‎ GP 8°. K. Tome XI. 324 ,ریس‎ Im August. 13. u. 23. September. kl. 8°. (2 Ex.). 1854. x e$» شر‎ er استوانی کنابی e‏ اجان ثریلی * K.‏ وام کتابی ثبات العاجزین às, 1 Bogen.‏ النبی * d ‚les, lithogr. bei Schogin.‏ الصبیان les. K.‏ مان EN Lee es‏ حضرت امام مد غزا ی any‏ الله علیه‌ننل * kl. 8°.‏ رساله‌س‌در zei asil,‏ اوجون دعالار CH Aë sles. K.‏ K.‏ .سلیمان قصه سی : غره dek‏ K. (S. unter d. Jahr 1856).‏ .8° فضائل الشمور H‏ * ol All. RS.‏ fol. K.‏ (کلام شریف) القرآن * ۰ کناب قصة حضرت Guy‏ الثبی e‏ + جع الفضائل Ars 1 Bogen. K.‏ شریق * Élus, Februar. kl. 8°. K.‏ * ele kl. 8°. K.‏ Juni. kl. 8°. K.‏ ,کلک * élue kl 8* ٤٣ ۰‏ .1855 41 کتاب Je? PT‏ افندی " | .8 ثبات العاجزين ck. 12°.‏ فی مدم امام phel‏ cles kl. 8°. K.‏ اسم d ‚bel‏ * * uld ,شرابط‎ 1) Mai, ohne Titel, 2) November. 16°. Lo شبائل‎ 7 غره نامه الخ‎ 40: s, unter 1853. Bulletin de l'Académie Impériale 323 tint * SL, October, kl. 8°. K. 2 Ex. verschied. Papier. * b E ین‎ kd: 8* RS. 1853. * براك اوجون دعالر الم‎ ; s. das Register. * الصبیان‎ d ردعاء‎ lithogr. bei Schogin. 1 BI. A. * ایمان‎ „les kl. 8°. * شریق‎ le», 1 Bogen. K. * تاغو اوجون دعالر‎ al 4". 1 Bl. ۰ * رسکز جنت مثالی‎ 1 Bogen; s. کعبه شریف‎ * شرایط الامان‎ kl. 8°. ۱ رشرایط الایمان‎ Januar. 16°. K: ۱ * — October. kl. 8°. (2 Ex.). * ,شمایل‎ 1 BL * ,طلسم شر یی‎ lithogr. bei Schogin. (2 Ex. verschied.). T e, je, 1 Bogen. * اوشبو غره نامه‌ده روسیه‌ده بولغان پارمونکالار بلنور‎ 4°. * OA (ar ,(قرآن‎ im Februar. fol. RS. الفرآن‎ (Co کلام‎ ), Februar. fol. RS. ,(فران شریف) القرآن‎ März. fol. RS. ,(فران شریف) القرآن‎ Juni. fol. RS. + ,(قران شریق) القران‎ Juni. 4". RS. — andere Ausgabe. * شریف) القرآن‎ AN) Cr.: Oct. 30. fol. K. * Obl شریف)‎ 2:9 Cr.: Oct. 31. fol. K. * النبی‎ Guy حضرت‎ es کتاب‎ ٩ * à aa, 1 BL, lithogr. Univ.-Druck. * Hall zë 1 BI. (2 Ex) القيمة‎ e» شرفها الله تعا ی الى‎ à» Kl الک‎ (Abbildung, lithogr.). i i + ell مآب نصبعت‎ ie کناب‎ 6 + ,نصيعت نامه وعقيله نامه‎ 1 Bogen. * هتل‎ Cr.: 15. Januar. ,عنوار‎ kl. 8°. K. > * Elio Or.: 22. Jan. بنوار‎ kl. 8°. K. * Glue. April. kl. 8°. K. * Sli» kl. 8°. Univ.-Dr. * es im Januar. kl. 8°. K. 325 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 326 * فضائل الشهور بو رساله‌ده رجنب وشعبان ورمضان مر‎ Al قایوسی‌ننل فضیلتنی وثوابنی بیان‎ ۰ * (قران شریف) القرآن‎ fol. Cr.: 1) Mai u. 2) August. RS. * (کلام شریف) القرآن‎ 6 * الفران‎ 4°. RS. WÉI .قران شریف)‎ * Abt Guy قصه‎ 8°, * کناب قصة حضرت بوسف النبی‎ 8". 6 * شريف‎ den, 1 Bogen. K. - کتاب جمع الاداب‎ 8°. * الفضادل‎ c 1 grüner Bogen. * ,مپر شر یف‎ 1 Bogen. * êa, im März. kl. 8°. K. * dian, im September. kl. 8°. K. * Lass, im November. kl. 8°. K. * شرف‎ Elus kl. 8 RS. * پس‎ 1... 1857”). * „LS زمان‎ (sio) آغری‎ kl. 8°. K: کتابی‎ Ul. K. * شرطی‎ old ge, * alp باشماق شر یف خاصیتلری‎ 8°. باقر مان‎ | * کتابی‎ plus, im Mai. kl. 8°. K. J| JE ,بر‎ 8. aus. et Br تعبین نامه بعنی نوش تعبیری بو کتابنی ایکی کتابدین * اختصار برله جع قبلریلر بری e‏ ابراقيم def‏ کتأیبدور وبری شخ مد بن سید کتابيدور بو کتابه ER áas? 8°.‏ اد p‏ * العاجزين‎ cU Cr.: Octob. 8°. “ep ثبات العاجز‎ Cr.: Decemb. 8°. 28) * "E L — Baber-Nameh diagataice ad fidem codicis Petropolitani edidit N. Ilminski. 1857. 8°. — In St. Petersburg : à w ; » re z 27) In St. Petersburg erschien: * yl الله فلس‎ UJ n ul, اسزاره‎ von Mulla Tarchan Kemal-eddin herausg. 1 Bogen. , Slas‏ الشهور * dall, April. fol. RS. ? ol ,(قران شربف) القرا‎ October. fol. RS. فرق در یت‎ * خضرت بوسف الثبن مر‎ Dei کتاب‎ 8. K. c» A a, 1 Bogen. "8 کتاب شری ماب مولود لنبی عم * مپر شربی * cl ll] ماب نصیعت‎ 55e كناب‎ ۳ + le kl. 8. RS. * lio, Juli. kl. 8°. K. ` Kusreeunoe oóburauie n np, Rangeid, November. 1856 ^). x ار زان کتابی‎ 8". : iet. استوانی‎ 8°. K. * باقر غان‎ £. K. * OU بدوام‎ 16°. K: T العاجزین‎ cU. 8°. K. * he] حکایت فی مرم امام‎ Kl. 8°. BER 6 ds x الله انندی‎ dë کناب در الكلام مولفه‎ 8 e xcd دعالار‎ eu 052! تأغو‎ agb, 1 Bl. 4 * le» اوچون‎ JB, 1 7 E کتاب مستطاب رونق الاسلام‎ 8°. * وشرایط امان‎ im März. 16°. K. . * امان‎ LE, im September. 16°. K. * رشرایط امان‎ im November. 16°. .. النبی‎ JLi. K. * Ae xe „nie kl. 8°. : العلم‎ Ut LS, ed. Gottwaldt. 4°, امه‎ oy? i So auch im Jahre 1858. ss. - ` ABCbuch | , 7 = In Kasan: 7100۴0۶57 23617148. (Russ. : = ABCbuch | „ RT 3 هرن ی‎ Dën, von Wahhabov, 2te Ausg. 80, Vergl. J. 1852). | 328 * کر یی‎ aa, 1 Bogen. 1) K., 2) Univ.-Dr. dur 8°.‏ باش کتابی * * bla c 1 Bogen (rothes Papier). * ,مپر شریق‎ 1 Bogen. K. | * شریف‎ se, 1) Mai, 2) November; je 1 Bogen. * öl ,مېر شریف خاصبتلر ی‎ 8° (2 versch. Ex.), und öfters. + نور نامه‎ al) 8". * Sli kl. 8°. K. * فران شربی‎ Suis kl. 8°. * lis, Mai. kl. 8°. co“ 1858. شرطی‎ ùle). Zwei Ausgaben. K. * باقرغان‎ 4°. K. + بدوام کتابی‎ kl. 8°. K. * 027.6 ves kl. 8°. * بی‌حدننل ترجه سی‎ Ja تصنیفی‎ jlha) بعنی شی‎ asli ينر‎ 8". * الان‎ axo 8. K. Bulletin de l’Académie Impériale y العاجزین‎ lo 8 phel امام‎ tw 3 حکایت‎ * انا کتابی‎ „Se 8°. K. * ue e خاصیتلری‎ ee در‎ AR El; خل ای نما‎ 8°, * u, ale الله تعالی‎ Le al ida, 1 Bogen. 2| تلم‎ | J „les kl. 8°. i Ol d دعاء‎ (öfters). * دعاء ایمان‎ kl. 8?. K. جنت الاسماء‎ cles, im November. K. doit a. «le», im December. K. * قدم النور الغ‎ cles kl. 8°. ta Ales اوجون مائور‎ PU ail, EBLA. * الوراء وف دق البيع والشراه‎ ee ایمان‎ a رسالة‎ 8°. T ثبات العاج زین‎ n رساله عزیزه‎ 8°. pil رونق‎ * سور من القران‎ kl. 8°. 327 d Cu kl. 8°.‏ مدم امام „bel‏ * .8° خدای تعالنننك منکره بر e dëse e Ae‏ برلان * kl. 8°. K;‏ دعاء اسم اعظم وم باشقه شریف دعالن * cles 8°.‏ سبفی خاصبتلری برلان * cle», 1 Bogen.‏ شریق * Le Ups) E‏ Ups) gel ail, 1 Bl. 4.‏ مائور دعالار رسالة 3 بیان abs‏ جنس الانسان بعنی -قیيافت نامه * .99 بو All al,‏ قیافتی subs‏ ال Kl. 8°.‏ رسالة فى > البیع والشراء * S"‏ ;4 عزیژه شرم ثبات العاجزین * , K. 8%. K.‏ رسالة فرض dios‏ * ٠‏ کناب مستطاب رونق الاسلام * .8° سور من oll‏ * im Mai. 16°. K.‏ رشرایط امان * LE, im Juli. 16°. .‏ اتان ^ im September. 16°.‏ رشرابط الایمان * Bogen.‏ 1 ,شمائل * Bogen.‏ 1 ,شمائل ur‏ kl. 8°.‏ هزه عبرة نامه وشکر نامه من ابات isad)‏ * ۰ عقبله منظومه pes La im Januar und April. 8°.‏ * ۰ کناب مستطاب فوز الاعات * im Januar. fol. RS.‏ ,(قران شریف) القرآن n‏ fol. RS.‏ الترآن * ol all. K.‏ im August. fol. RS.‏ ,(قران شریف) dall‏ * fol. Univ.-Dr,‏ کلام شریف) القرآن * | :0 سه اغ * بر ظالم غيار وعالم قاض‌نی حق تعالی بر عالم اوغری‌ننك * قولینه کرفتار قبلب کوب دلیل‌لر برله قاضی‌نی رسوای ule‏ قیلغان قصه ترر LE‏ مبیتطاب عشري FU:‏ ف قصة_النصور 2 * Ae LS, März. 8°.‏ حضرت Cal) Guy‏ * Ae LUS, October. 8°.‏ حضرت ll Gus‏ * 330 1859 ^). * oil ری وئوابلاری‎ las وم‎ ure Une JL] 8°. وام فا‎ SC? eim SS SCH Eli خد ای تعا‎ iles اسم اعظم وم هم باشقه شر نف‎ sles: K: * مستعات‎ ‚lea بيان فضيلة‎ à رسالة‎ kl. 8°. * tA Gall, 8°. سور من القران‎ kl. 8°. * بس‎ SIT 1 Bogen. * ,شرابط مان‎ im November. kl. 8°. K. * رشرابط الایمان‎ im December. 16°. * pU, 1 BL * Kor. IL, 256, 1 Bogen ,طباق‎ lithogr. (2 verschied. Ex., 1 blau). Drei Worte aus dem Koran (Sur. XXXVI, 1.) künst- lich verschlungen, d. i. | ,وره‎ q. v. 1 Bogen , lithogr. ۶ اى‎ 1B KK. * الشپور‎ Jila 8°. * القرآن‎ fol. RS. des Sciences de Saint-Pétersbourg. T ol ,القرا‎ im Februar. fol. K. cl im Juli. fol. K. Fri کلام ثریف)‎ ( 4°. Univ.-Dr. * Jos KR B", E" النصور‎ das $ e SÉ e مستطاب‎ ol f en ge ee دوسف‎ Ae E" o^ حضرت بوسف النبی‎ tas کتاب‎ 8°. 6 * شر ری‎ dent, 1 Bogen. * الفضایل‎ d 1 Bogen. A (62399) Vers, ed. Ilminski. 8%, — 1) 56 xpecrowaria Kykaamena. 2) Caopape Kb ۵ xpecroxariu, cocrası. C.Kykasınessım®. (1) Tatar. Chrestomathie und 2) Wór- terbuch, von Kukljaschev). 89. HauaxbHoe PyKoBOACTRO KB uaysenim Apa6ckaro, Tlepenzexaro u Tarapckaro 8387087, cocrasnı Mups -Caınx» bekuypum m. (Anleitung zur Erlernung = arab., pers. u. tatar. Sprache von Mir- Ssalih Bektschurin). 80, — In Moskau erschien: : مراد رفن‎ * Bye A Dm ez EE lithogr. bei Abdulofsky. 1275 = 1859. 49. 329 * رشرایط الامان‎ Mai. 16°. * الامان‎ Lili, December. 16°. * OLA LIE, Or: December 1857. 16°. K. * الترکی فقه کید نی شرحیدز‎ bal شرم فقه کې انف‎ Seck: EU u A e * ,شمایل‎ 1 Bogen. * yel! فضادل‎ ۰ * القرآن‎ 4°. Univ.-Dr. t ,(قران شردف) الفرآن‎ 1) Cr.: 1857, April. 2) Januar 1858 u. 3) September. fol. RS. * ران‎ ka کلام‎ ( ) fol. K. | LA, im Juni. RS. القرآن‎ 4°. K a o سيف‎ das, im März. 8°. e حضرت هتفه الخ‎ has کتاب‎ 1) Februar, 2) März. 8°. E aî, 1 Bogen. * Al الشپادة وتمليلات القران واسماء‎ AR n o Jo الاعظم وحرز ابی دجانه‎ p ووقف‎ (ud), 1 Bogen, lithogr. ٥٩٣١ = 1858, 9 * "m c TREY * الفضایل‎ el blauer Bogen. * ,هنزن الاسرار‎ ed. Gottwaldt. ۰ SE ممېر‎ 1 Bogen. * ,مور شر یف‎ 1) Cr.: December 1857, 2) August 1858, 3) December; je 1 (also 3) Bogen. * ,مور شر رف‎ 1 rosenfarb. u. 1 gelber Bogen. K. * polls رجه الله علبه‌ننگ در شأکردننه نصبعن‎ Jr Le) رساله سی ننگ ترجه سی دور‎ a. H. 1274-1857, 8. [ge * gem eto) اب‎ e کناب‎ 4^. * رسالة تور نامه‎ ۳ * عفتراگ‎ kl. 8°. K * Slo kl. 8°. RS. * Lsi, gedr. 5000 Ex. kl. ۰ is, 9 Auflagen in einem Monat, jede zu 3000 Ex. : بس .8° بات العاجزین * ن للامام الغزالی رجه ul‏ * .8 تعا یی رسالة فى الجنايز SEN مدم امام‎ ۴ none kl. 8°. Cab, 8°. Wiederabdruck der Con-‏ ترجه سی LL‏ طاغی e Ausgabe.‏ „les kl. 8°.‏ | E‏ ان ab, 1 BI. (öfters),‏ تاغو TE‏ دعالار old! کناب ترجة جنان‎ ljo ۰ .8 .کناب دیوان رضابی کناب اسطات ;| رات دل از مصنعات ملا خواجه E‏ ابن Lol 8°.‏ نظر جیانی اللقب بهوبده Cr.: 1) Juli, 2) November. 8°.‏ سور من الترآن ! Sue", ed. Nasyrov. 1 Bl. K.‏ مبارکه wo‏ * April 7‏ ,شراط الایمان * Lie, Jak. 119°.‏ الامان * Ll i, October. 12°.‏ الایمان * Bogen.‏ 1 .11111087 ,شماگل النبی * Bogen. K,‏ 1 ,شمائل النبی kl. 85.‏ ضر نامه S‏ Ze 4‏ رعقیله منظومه * 8 رسالة فرض عبن el‏ * im März. 8°. K.‏ رفضائل الشهور el‏ « im October. 8°.‏ رفضائل الشمور el‏ * T ul ass, 1 grüner Bogen. 2 Auflagen, e‏ zu 4000 Er lithogr. bei Jahjin éste‏ old K.‏ M RER‏ as‏ يوسف NE S,1)K., 2) Univ. -Dr. kl. 8%‏ کتابی Bei‏ Ses) z‏ 2 obs (mit tatar. Erklärung) 8°. S. d. Register.‏ العارفین * Bulletin de l'Académie Imperiale UC luo شر ې ماب‎ us > — * Id. al i 331 mine, m 5‏ 5 صبتلری p - do a.‏ 8° بیانند,در fol.‏ .رسال aus‏ للشی bs‏ ني Ate‏ این کیپ جلبی * Lie 8°.‏ کتاب A‏ بیان ممعزان النبی kl. 8°.‏ ملیکه کتابی * .8 مېر شریف خاصبتلری برلان * in einem Monat, jede zu 4800 Ex.‏ .۸01188 2 ,مپر شر یف * SK K‏ کناب شرق ماب مولود gui:‏ ز ترساله نور نامه * ge Unie Dr.‏ = : ele 8°. K‏ * lass kl. 8°. RS.‏ * ی رک تلنده (صنفه * ج الدین افندى ق سنة (res‏ .بهادر شاه کایناوی .)”1860 le; l kl. 8. K.‏ کتابی * Al kl. 8°. Univ.-Buchdr.‏ زمان کتابی * Bogen.‏ 1 ,اصعاب بر * s. Li.‏ :"12 ایمان شریلی bé ole), lithogr. bei Jahjin pe.‏ T^ Al il, 9 Auflagen, jede zu 4000 Ex., lithogr.‏ .8° باقرغان * kl. 8°. K.‏ بروام کتابی SES je |”‏ التجویں — بو تجوید کتابنی رحة الله pael‏ خان * اوغ ls‏ خراجاقبله اول کره طاش ابلان باصه اولندی 7 ,مد ولی مظفر et al‏ ننک لبتأغرافبه‌سنده bei Jahjin. 4°.‏ RS.‏ کناب تجویں السمی aimo‏ الاولاد * Ke Le :‏ کتاب ترجة بدابة الهراية للامام الغزالى زحه ai‏ als 8°. 30) * Pyccko- Tarapckas asóyka — (Russ.- Tatar. ABCbuch von Wahhabov). 89. — *Kparkaa Tarapckas rpammaruka Hacsıpopa: (Kurze tatar. Grammatik von Nasyrov). 89. 334 Ts E Eine Karo der óstlichen Erdkugel mit tata- rischen Erklärungen, verfasst von Abdul- Ha- kim Abdurraschid Oghli. 1 Bogen. * شریف‎ auf, 1 Blatt lithogr. ai, K.‏ العرش * القبمة‎ pr النورة نورها الله تعالى الى‎ avull, Abbildung, 1101108۳. 1 0 * à الک المكرمة‎ (Abbildung, lithogr.). 1 Blatt. Lie, lithogr. 4°.‏ کتاب مولود شریف * * uL sye, Januar. 1 Bogen. * شریی‎ Sg Cr.: 1) Juli, 2) December, je 1 Bogen. ds 3, خاصبتاری‎ EN مر‎ ۰ (les) 1 BI. fol. lith.‏ لرفم Go i "ES J|‏ دعاسی a IR.‏ + Eli, 8٩, RS. ٩. um.‏ GR; * CK یل‎ kl. 8°. K 1862. * نار‎ e آخر‎ kl. 8°. K. * اسای کناب‎ اعاب بدر‎ * ,ابر طارغن‎ ۰ piu 8°. (2 SH + o doble, | حاجی‎ SA وعلټه نامه‌لاری‎ a „le اتن‎ اوغلفدین‎ E امین‎ Je اوغلندین وبنه بری حاجی‎ Je روابت اولثغان‎ 8°. S. das Register. * بدوام کتابی‎ I E. * الصلوع‎ m 8". oed ao bx * الع‎ bel دعاء اسم‎ kl. 8°. a dud A Je a See * سلطا رونق الاسلام‎ cU 9. "o سور هنن لقا‎ kl. 8°. ,شراط الاییان‎ im Juli. 19". Been KI A kl. 8°. des Sciences de Saint- Pétersbourg. * Ci pi N°) 1 Bogen. * Bl, Cr.: 1) Februar und 2) December. 19". * elio 12^. BS; ې el uo‏ نفسبری à‏ تالیف بهادر شا LE,‏ دی" Auflagen.‏ 2 دي Verschiedene Gebete. RS.‏ 1861 °'). * اصعاب بر‎ , 1 Bogen. * glez sal کتاب انوار المانفین تالبف بازییی اوغلن‎ 8° Wiederabdruck dei Constantinopoler Ausgabe. + tee شره‎ Ciel 75 کنابی‎ dh kl. 8°. da, EXE r سک‎ Eer البشئوی‎ E gil. el ترجه‎ 4°. E quique re Kypcenu. ۰ * QUAD مایت زي عفتیل تفسیری ذرکی‎ B". (2 Ex.) * اسم اعظم الغ‎ des k1. 8° SE d t نا فا ` ان‎ * در‎ Nessi. آوچون‎ ,£U sb, 1 BI. 4°. 1) Uniy.-Dr., - M a کناب مستطاب‎ 8 را‎ nice, نل‎ E Ce رس‎ شرع فر الروم دن نقل ایتولدی‎ d, „us به‎ Jes * adc رحة الله‎ pe حضرت اسماعرل‎ p dall للامام‎ 8°. * ul all رن‎ . Pus, 7 Bl. * EL), js 8°. (sonst نامه‎ osë). * اوشبو غره نامه‌ده روسیه‌ده بولغان پارمونکالار بلئور‎ 8°. (2 Ex.). " فضائل الشهور‎ 8°. K * شریف) الترآن‎ Jo 8°. * owl بوسف‎ ie kai کتاب‎ 8 . 81) * ۵0۵ Pyccxoi TPAMOTEI ۶ KuprusaoB', cou. Hit, xunckaro. 89. 335 Bulletin de l'Académie Impériale 336 * Verschiedene Gebete, 1 Bogen (alb). St DIR De سور‎ kl. 8°. K. 0 iie مین هم‎ va رسالة‎ kl. 8°. K. Bee ,شرايط‎ 1) im Mai 2 Ausgaben und 2i im No- vember, 12°. Lie ۰‏ کاب شروط الصلواة ٠*‏ lithogr. bei Jahjin.‏ رشمائل النبی * pU, T Bh * (Die Namen der 4 Chalifen, Husain's und Hasan's und Kor. XXI, 167), lithogr. 1 Bogen (طباق)‎ ۱ * العاجزین‎ co عز دزه شرع‎ SL. 8°. * 7 ورمضان وذی‎ Ù فضا الشهوز بو رشاله‌ده رجب وشعبان‎ - بيان‎ PO ننک فضیلتنی‎ oye گر قا یو‎ Joh DD jJl Mai. 8°. (2 Ex.). * — — id., Juni. 8°. وصلوات‎ Jac. عجایب‎ ‚les, ST le شربف‎ ul; شریف وباشقه شریف دعالر بباننده‎ kl. 8. * v" حصرت بوسف‎ [er el ۲۰80۰ K Loki ندیه‎ ubl uki عزتلو زاین انندی رشن‎ ,نفيسه سیر‎ 1 gelbes Bl. fol. * شریی‎ ge, 1) April, 2) November; je 1 goe * SL» 16°. K. + gll تصنیف تام‎ à CS LN à کتاب‎ 8. së 1864. * اصعاب برر‎ (2 Ex); je 1 Bogen. با‎ cl. K: ایمان شرطی‎ Juli, August u. s. w., s. lalis. * ښوا کتابی‎ 12: * o" „as 8". ثبات العاجزین‎ 8°. K e Le] pe + ke. K. mm i Ks à شامی‎ 2523. Jr 8, * اسم اعظم الع‎ des kl. 8°. Ü p | دعاء قرم‎ kl. 8°. ۶ دل الم‎ me کتاب مستطاب‎ 85 (Esch kalt ترام‎ * Ze سو‎ 8; s. das alphab. Register. * سور من الترآن‎ im Juli. kl. 8°. (2 Ex.). fol. K.‏ بو شریف) التران à ن شریف تبلبل‌لری‎ obs kl. 8°. af |‏ العرش Li‏ قل de‏ حال تعببر اولنان مفتاع الينة نام كناب مر جواهر الاسلام وشروط TÉ y‏ سه UNE‏ * دن ځل دم منطومه‌س‎ or Wiederabdruck der Constantinopolar Ausgabe. مور شریف خاصینلری برلان وم gel‏ اصعاب کهی # خاصبت‌لری ol»‏ وعم af deo‏ العرش خاصبت‌لری .8° بب هر قابوسی مبارك دمالاردر al al, دعالری‎ 8°, ar ed jae, 1 Bogen. | کتاب مهمة‎ 8°. * ech ,رسالة نور‎ Cr.: 1) October, 2) AME 8". * Sl,» 12°. Univ.-Dr. * ds, Cr.: Mai 1862. kl. 8°. 2 Ausgaben. K. * Skip, Cr.: Dec. 1861. kl. 8°. 2 Ausgaben. K. تلسښن ته‎ ii ec کوبت‎ SEK ur 1863 ^). Ji ,ابمان شره‎ lithogr. bei Jahjin. " غان‎ Al, es PT ی سر اما‎ uu. 8°. K. * وسلم‎ EL job الثم په‎ às, 1 BL عطار‎ n SR js Je کناب‎ laali لم‎ * Jel Ee) قل‎ ‚les kl. 8°. *L, ولا‎ ER فضل العام العلهاء وحقوق‎ à at; هله‎ العالم‎ Gal All, de JeU x de | من‎ Jas e والحدنبن‎ JN الفهامة شبع‎ ally العلامة‎ : الو اسنا کاب النزی‎ Dë E sol, lithogr. 4°. (Nach d. Constantinop. Ausg.). 32) لک‎ dc اه طابه‎ Zen وقوغانده‎ | Lies اور‎ * اق حرفلری‎ dis ايری عم‎ + . Haat, 181781008 12 (Her- ausgegeben von Wahhapov 186 1 ES lithogr. x K. 1) Febrĝar, 2) April. kl. 8°.‏ تعییر نا تعلم الصلوة ثبات العاجزین des kl. 8°.‏ جنت الاسیاء الغ * دعاء ام الصبیان sles‏ ددم النور ۴ ماءثور دعالار در‎ Ups) تاغو‎ ab, 1 BI. * سور مر القزآن‎ kl. 8*. K. * ,رايط الایمان‎ im Juni. 12°, * رشرایط الایمان‎ Cr. vom 2. u. 8. October. 12°. * (gl ,رسال (شروط الصلوة‎ auch über Waschungen وضو‎ u, رفسل‎ ohne näheren Titel. 12°. 65 کناب daa‏ زادم * کناب اللباب * ۱ به ار ین * ds sl. بولانورغان خطرنال وفورقوناج ی‎ qa دوالری بیاننده دوکتر زابلونسکی‌ننك ۱۸۷۵ نچی بل‌ننل‎ des Sciences de Saint- Pétersbourg. لینبینیم با لاان ab il ee‏ ترجه FETAR 8°; s. d. Register.‏ c‏ الرعوات ein Wiederabdruck der Constantinopo-‏ ;مرش التاعلین ler Ausgabe.‏ X مان نصاعت الصا ميسن‎ DW کتاب‎ 8°, K. el. K. 1866. uud aul اسماء‎ kl. 8°,‏ دعاء اسم اعظم وم ail‏ شریف دعالر * ‚les. K.‏ ام الصبیان Men‏ جنت Ces cl.‏ امام مد Al aa, Je‏ علبه‌نناگ رسالەس در الله تعا Jos,‏ اسم اعظم بونله دیو ياد sn) 16°,‏ * تاغو اوجون ماثور دعالار‎ al, 1 BL 4°. (Mehrere Ex.). * دل‎ Cal, کتاب مستطاب‎ 8. Vs. (2 Ex.). * U] 50255 رسبعة اخبار‎ genealogische Tafel der türki- 22 337 سور من التران H‏ وم قران اوقوغان صونکنده اوی * September. 12°.‏ ,تورغان les‏ * شرایط الایمان‎ 80, (2 Ex). * رشرابط الایمان‎ im Januar. 12°. * im Juli. 12°. (2 Ex. u. 1 auf verschied. Papier). تا‎ — Im November. 12°. ell .شمائل‎ K. من اببات الاحرية‎ dal D E عبر نامه‎ o9 kl. 8°. * کلام شریف) القران‎ (, im Januar. fol. K. * all ر( کلام شربف)‎ im October. fol. + à لری‎ dde قران شریف‎ 8٩0. K. (2 Ex). EU سيف‎ But ۰ حضرت بوسف النبی‎ Ze کناب‎ ۰ * LU کتاب‎ 8٩. ` سينا‎ Je حلمت ابو‎ aus. Wiederabdruck der Constanti- nopoler Ausgabe. ۰ * Zo مراد‎ 8°; d. i. ein Commentar شرم‎ zu dem Gedichte. K.; s. d. Register. : * رمهر شریف‎ 1 Bogen. Cr.: 1) October, 2) December. (2 Ex.). : * عنتبای‎ kl. 8°. K. | vun PP C CON کتاب مستطاب‎ 8°. u. K. (öfters). 1865 ^). ینسلا راسماء الله‎ lithogr. bei Jahjin. * 2] gud] اسماء الله نعا ی‎ Kl. 8°. 1) April, 2) Mai. ,عاب بدر‎ lithogr. bei Jahjin. à * ,التی بارمق کتابی تالیف مد بن بل افندی‎ (Wiederabdruck der Constantinopoler Ausgabe). 33) * Camoyunreas Aug Pycckuxm 0 Tarapcku n x15 7575 no Pyccku, cou. Bar 2.17 0 1 BIM ۰ 9 Tome XI. 340 &ndet sich ein kurzes Verzeichniss jener bis zum Jahre 1816 erschienenen Schriften. Fraehn führt da auch (S. 19 und 26) السابم من القران‎ e Jl (wohl = ds) und NE vom Jahr 1801"auf. Auch ein «Alkoran» von demselben Jahre wird da angeführt, aber nicht von seiner Hand. An der Angabe hinsichtlich der bei- den ersten Schriften lässt sich nicht zweifeln; vgl. das im alphabetischen Register unter SL Beigebrachte. Auf diese Angabe hin habe ich auch das Jahr 1801 in dem chronologischen Verzeichnisse zugelassen, wäh- rend man gewöhnlich das Jahr 1802 als das erste nennt, in welchem das Drucken der in Rede stehenden Schriften begann. Hinsichtlich der arabischen Typo- graphie aber bemerkt Fraehn, sie sei im Jahre 1801 nach Kasan gekommen und von Buraschew”) Ab- dul- Asis im Jahre 1802 im März übernommen wor- den. Das erste von dem genannten Tataren gedruckte Werk sei das ABC gewesen. Im Jahre 1805 wurde die Typographie an Jusuf Apanajev BL Go (Apanai) abgetreten (ib. S. 21). Sowohl in dem angeführten handschriftlichen Nach- lasse « Tatarica» als in dem 117, IV‘ und VIII" Bande der «Syllogae», und sonst in der Dibliothek Fraehn's und des Museums überhaupt finden sich noch einige gedruckte Tatarica u. A. und zwar: A Über die Anwendung der Vaccination, ins Tatar. 35) In den Ausgaben : العز بز 2 راشف‎ Jac. Erdmann («Die Tataren Kasans, in der Zeitschrift der D. m. Gesellschaft», Bd. XIII, S. 671) und Zenker u. A. sehen ihn mit Unrecht als den Verfasser oder Übersetzer einiger Schriften an. Aus der «Über- sicht des Fortschrittes und der Erfolge im Lehrfache der asiatischen Sprachen an der Universität Kasan». Kasan 1842. 89. (vom vormaligen Professor der kasanischen Universitàt Ko walevsky, S. 12. — Oó6oapbnie xona u 160050812 9555 Asiarckux'b A3bIKOBB pt Hun. Kas. Ygusepemrerb. Cocrasa. Opa. IIpo@. 11023162 601111 25.133865. 1842. 80, — Französ. Übers. von A. de Plagny. Ibid. 1842. 89, — ersieht man, dass schon früher eine oriental. Druckerei in Kasan bestanden hat. Nach einer Mittheilung in der Zeitschr. d. D. m. Gesellschaft, XIII, S. 501, erhielt Kasan i. J. 1799 eine tatar. Buchdruckerei. Aus St. Petersburg wurde eine solche dem kasanischen Gymnasium i. J. 1800 übersandt, «Übersicht» S. 52. Aber wenn Erdmann (S. 672) von einer im Jahre 1802 gegründe- ten Druckerei eines gewissen Buraschew spricht, so war eben dieser Tatar nur der zeitweilige Inhaber (cozepzkaTed5, ds (خو‎ der Kronstypographie. In der «Bibliothéque de S. de Sacy» und bei Zenker: Burachof, welche Aussprache die richtige ist: Bü- räschdv. Bulletin de l'Académie Imperiale 339 schen Sultane, von Ad 90 angefangen, lithogr. bei Jahjin; s. d. Register. * cl All ,سور من‎ 0 1) Januar, 2) Novemb. kl. SW ۰ شرایط الابیان * kl. ۰‏ شرایط الایمان * ۰ شط الامان * SN Utt wer als, 8h 8. x à فضائل الشهور‎ 8° " القران‎ fol. K. | * di مهر شریف خامیتاری برلان‎ 8 )2 Ex) * ,مهر شریق‎ 1 Bogen. (2 Ex.). * السلمین‎ Ae کتاب‎ Lie ۰ Ausgaben ohne Angabe des Jahres. * ابمان شریلی‎ ٠ | SA | حکایت فی مدع امام‎ kl. 8. * ul &b, 1 Bogen lithogr. * dl] cles, 1 Bogen lithogr. u. * دولت‎ des. * الاسلامية‎ all فى‎ dl, 8°. * 1 Bogen, Kor. II, 256. lithogr. * الفرآن‎ fol. (Nach Fraehn: vom Jahre 1820). Beilage ۰ Fraehn hatte im Jahre 1819 Schritte gethan, um die in Kasan schon gedruckten und ferner zu drucken- den morgenlindischen Bücher für das durch ihn im Jahre 1818 gegründete asiatische Museum zu erhal- ten; vergl. «Das Asiatische Museum» S. 29. Dass er sich, wie natürlich, überhaupt um sie bekümmerte, geht auch noch aus seinen nachgelassenen Papieren hervor. In einem der Tatarica genannten Bände (LXXIV, 4)? 84) S. Fraehnii opp. post. ed. Dorn. P. I, S. 448. 342 13) اعلام نامه‎ — Dass فینانسوی دبدوګلری مینیستردن‎ دوو‎ Ze: .دعقانلری اوزره اعلام‎ Ors 6۲0۵ Pu- 11211608 106612983015 KA3CHHBIMB. Erlass des Finanz- ministers an die Kronsbauern. (IIpuóaBa. x» M 20 Kasauck. Hapberiii). 1814. fol. 14) a) اعلام نامه‎ : u^» ‚= ro bl سنه‌ننگ‎ ۴6 اعلامنامه سيکه ضم‎ MIND رقم‎ ۷ chaika. 9) قزان‎ اولنمشدر‎ . Kriegsbericht (1814) u. s. w. Relation u.s. w. Es ist nämlich auch eine deutsche und eine französische Übersetzung beigefügt. b) سنده قلغه پار 025 فرانصز‎ ۲ a سنه ننلگ ابر‎ ۴6 وخبردر‎ LA Ai Rage Aufruf an die französische Armee — Appel aux armées francaises etc. Über- setzt von Ibrah. Chalfin. | وس چ فی als‏ بارېژ zul] (sio)‏ مشترل يم نلک — dch‏ Öffentliche Bekanntmachung des ver-‏ اعلام رونداس sammelten Gemeinderathes zu Paris. — Proclama-‏ tion du Conseil de Paris. 1814. Übers. ins Tatar.‏ von Januarii Jarzov. (Ibid. KB M 17).‏ 15) Einladung des Rectors und des Conseils der ka- san. Universität zur Feier des Stiftungstages der letzteren am 5. Juli 1814. 2 Ex., das eine die Correcturen von Fraehn's Hand enthaltend. ۰ (Das As. Mus. S. 127, À 128, a). 16) Id. vom Jahre 1816. des Sciences de Saint-Petersbourg. Zwei Kriegsberichte des Feld- |‏ .شویله م 17) اعلام نامه‎ Aufforderung von Seiten des kasan. Gymnasiums an die Tataren, wer von ihnen die asiatische Druckerei oder den Druck der asiati- schen Bücher in derselben übernehmen will. 1816. (IIpuóag. rt, 16 29 1183805. 18) Manifest Peter's des Grossen vom Februar 1711 über die Beschwerden gegen die Türkei. (S. Hozmoe Coöpanie Zap. 1711 22. esp. X 2322, Gravirt. fol. (D. Asiat. Mus. X 41). 19) Peter's des Grossen Manifest über den Krieg gegen Persien; d. Astrachan lo ual 15. Tamus (Juli) 1722. Ibid. X 30. S. unten d. deutsche Register. نظامات Becker‏ حربیهدن اولوب عسکر ضبطنده اولان )20 ve‏ افالیسنه دی wos ^ Jsle‏ موادك 36) Über قلغه‎ ) i. asl), s. d. Register unter NEI 22* 341 übersetzt von Chalfin. Kasan. 1813. 8°. (Syll. II. 8". X 20 (2 Ex.). 2) Aufforderung von Seiten der kasanischen Univer- sitätstypographie zur Subscription auf den Koran und die Elementarlehren der tatarischen Sprache und der muhammedanischen Religion, welche mit neugegossenen Lettern gedruckt werden sollen. 1814. Tatarisch und Lateinisch. (Tatarica LXXIV, 2 und Syll. VIII, also 2 Ex.). 3) ,اعلام نامه‎ Einladung zum «Act» (Austheilung der Censuren an die Schüler) des kasanischen Gym- nasiums am 10. Juli 1807. fol. ! 4) Über Murink's Opodeldoc, ins Tatarische übers. von Chalfin und zwar zwei verschiedene Bear- beitungen, a) vom 30. Haziran (Juni), 4 Seiten 4° und b) vom 16. Tamus (Juli), 2 Seiten 4°. 1808). (Das As. Mus. 8. 127, X 127). 5) نامه‎ sel, Theaterzettel für eine von einer in Ka- san angekommenen Künstlergesellschaft zu ge- bende Vorstellung am 14. Mai 1809. fol. . 6( لشکرلره باش سرد ار غینرال فيلدمارشال کناز — أعلام نامه‎ وکونوزوف وباش قونایقلری دوبرژو نام‎ Gast f dil Jul ایکی اعلام‎ a pliée قربه دن شاه اعظم‎ marschals Fürsten Golenischtschev - ۲ aus Dubrowo an S. M. den Kaiser, vom 6. u. 8. Nov.1812. Übers. von Chalfin. Kasan. 1812. fol. 7( اعلام‎ — Al امر مباییتاری‎ és lé شاه اعظم‎ دور‎ Ul .مینصط رصطغ| پولیتصییادن اعلام‎ Ein Befehl des Polizeiministeriums, aus dem Russ. ins Tatar. über- setzt. Kasan. 1812. fol. 8) Manifest des Kaisers Alexander I. aus Polocz vom 6. Juli 1812. Gedruckt in der Synodaldrucke- rei in St. Petersburg am 10. Juli; die Übersetzung in Kasan am 19. Juli. fol. : 9) Manifest des Kaisers Alexander I. aus Karlsruhe vom 6. Dec. 1813. Russ. und Tatar. Übersetzt von Chalfin. Gedr. in Kasan 1814. fol. 10) Id. übersetzt ins Tatarische von Onisiforov. ۰ 11) Aufforderung zur Subscription u. s. w. s. V 2. 12) Manifest des Kaisers Alexander I. vom 30. Au- gust 1814, übers. von Jarzov; fol. 8. St. Petersb. Zeit. 1814. À 76. 344 3HMbIX 1135 KOHCTAHTHHONOJA 00۵6601011111۲" ۲‏ باز رکانلری ايله استانه‌دن بو H np.‏ 0880085 طرفه وبوندن اول طرفه کنوزیلن ماللردن اخذ اولنه‌جق رسم كمرك بابنده بيك Jr SA‏ سکسان ایکی سنه‌سنده: C HA ref olo‏ بشنعی بومنله رو ax Lie,‏ دولنلری (Ibid. M 14). 1784.‏ .بینارنده ترتیب اولنان تعر يغه در 101. ۱ کت 27) à. Ein Billet für solche, die über die 70 gehen (die Türkei?). Pocciiickoii IIuneparopckoit 6n- Aert Cb 10103811101 7 نعیین‎ ail حل‌ود‎ BL (bid.‏ 1 .اولان فراولدن دولت روسیه پرلیفی. .)14 ۶ 28) Ukas S. M. des Kaisers Nikolai I. vom 28. Sept. 1827, enthaltend Verordnungen für die im tauri- schen Gouvernement lebenden Tataren. — Hozo- 26816 pa Taraps-noceJanb 1 Ip.— مه‎ als — Russ. und Tatar. gedruckt in St. Petersb. (Ibid. S. 115, Æ 15). fol. Ferner: - qa 29) Tapa o cóopb nomumwb Cb 101880311151 1 BP Typenkis 0618671 u BbiBO3UMbIXP 0171718 Pocciii- CKIIMII IIOJUJAHHBIMH TOBADOB'b, 100731021001211 Me;K- Ay Pocciitekoro Mmnepiew u Iloproio ۵ BB 1842 roay. fol. (Geogr. 1, a). (Russ. u. Tür- kisch). A. 30) Diplom (منشور)‎ für den Mufti von Orenburg *) Muhammed-Dschan (jl. b. Husain, in arab. Sprache aufgesetzt von Fraehn 1814. Es ist das Correctur-Exemplar. (Ibid. S. 127, 128 a). P. 31) Sonet ۷٧ Widok Szatyrdahu ze stepów Kozlowas Polskiegó na wiersz Perski przelozyl Mirza Dza- far Topezy - Baszy. Lithogr. in St. Petersburg. 1826. 2 Blätter. 4". (Ibid. S. 137, M 126). 32) Hier seien auch zwei (ein persisches und ein tür- kisches) Gedichte desselben Persers erwühnt «auf das Denkmal für Kaiser Alexander I.» (die Alexan- dersäule): Ha 13318111 Hwneparopy Aaekcanapy I. MBa cruxorBopenia ua Ilepeuickomp u Typenkow» 8357 Kark, C. IIerepó. 1835. 4°. 38) Der jetzige Mufti heisst: Hadschi Selim Girai Tevkelev (Tepkezen?). Bulletin de Académie Impériale 343 YJo-‏ 370302818310 0 1831 136108014 .خلاصه‌سبدر xenia TÉXE crareii, KOTOpbIA OTHOCATCA H KB WH-‏ TIME 3AHHMAEMBIXB 80116010 MECTb. — Kriegsfeld-‏ gesetze. Russ. u. Tatar. 1 Bl. fol. (Das As. Mus.‏ S. 115, X 16). :‏ 21)Ukas der Kaiserin Katharina II. vom 8. April 1782. لسانندن ترکیه لسانته نقل وثرجه اولندی‎ aus, CN De ges qe ne بولاغوجنیه با خود‎ me ال‎ CP 2572. S. Toauoe Coópauie Zar. : Yerags Baaroummia mm IHoauteitckiit. Polizeiverord- nungen. : 22) Fraehn (Opp. post. msc. LXIV, S. 45) führt noch als rariss. an: Tpakrars o 700708711 1160157 Pocciü- cxoro Vunepiew u IIoproio Orrowanckorm , 3814110- geunbrit Bb Kogncranrunonob 11088 10-ro gua 1783 roja. Don Uns. Aranemiu Hayk» 1783 roga. fol. Je ايله دولت عنمانیه بیننده جارت‎ ne دولت‎ EL, ER رشنن‎ Jac (sic) نامه‌سی قسطنطیه‌ده‎ ۳٣ .اوجی پومنله :سنه‎ (Geogr. I). Bo. 23) خلت ار بادشاه‎ ab) لسن جنابلو مبألغه‎ Ge مزيل‎ er عظمی ايمېراطوريچه اقاترینا ثانبه حضرتلرینك‎ نظام وذرتیبی ایعون ايعاد‎ J'AU ر وسبه اببېربه سنده‎ بد بدر‎ Je .واملا اوس قانون‎ Ukas der Kaiserin Katharina II. vom 12. Nov. 1775. (Moskau?). 4°. (Syllog. IV). حضرتاری نك جیع ر وسیه‎ ab امپراطوریعه اقاتر ینا‎ „be قانون جدبدبدر‎ „èll. Katharina II. Verord- nungen zur Verwaltung der Gouvernements des russischen Reiches vom 12. Nov. 1775. Aus d. Russ. ins Tatar. im Jahre 1785 übersetzt; zu St. Petersburg 1786 u. 1796 gedruckt. 4°. (Zenker I, 1493)?). 25) Ukas der Kaiserin Katharina II. vom 26. Mai 1784 über die Handelsverbindungen mit der Tür- kei. (Das As. Mus. X 14). (2 Ex.). 26) Tapash ٥ 66001 101۲1۲۲ CB 1101803100155 H BbIBO- 37) Hier sei auch erwähnt: Manusecre o 8358315 ۳ 775 BOHBI et, IIepciero, Aan, BB C. HerepoyprE.... Mapra 1796. (Russ. und Persisch). fol. Ich habe die Schrift nicht gesehen. 346 TAPCKHXB 1063088155 H 1070800016. 117 41 1849. fol. 5) Verschiedene Hefte und Papiere, betreffend die Erlernung der türkischen und tatarischen Sprache, aus dem Nachlasse des verstorb. Ministers des Innern, Perovsky. | 6) Poceiücko - Tarapekiit 61088105 (unvollendet). Msc. X 484, b”). ` T)8aid Hasanogli Chalfin's russisch-tatarisches Wörterbuch, verfasst im Jahre 1785, abgeschrie- ben von seinem Sohne Ismail. 2 voll. kl. 4". ۰ Das Asiat. Mus. S. 29 u. 115. V 18); vergl. Bóht- lingk, Zur Türkisch-Tatarischen Grammatik, ۰ Asiat. T. I, S. 115. 8) فارسی ونرکی‎ sb الف‎ (von Hadschi Jusuf Schah- nasarov, Lehrer der tatarischen Sprache am Gymnasium zu Tiflis). Msc. X 484, c. 9) خانه فانون نامه‌سی‎ e Ups) سوداسی‎ ale, Fraeh- nii opp. post. ed. P. I, 1855, S. 444, 15. — Ist auch gedruckt; s. im ۲ نامه‎ m. 10) Ferner eine bedeutende Sammlung von Kirgisi- cis, welche es mir nach vieljährigen Bemühungen gelungen ist zusammenzubringen, und deren Be- arbeitung der schon genannte Mulla Husain auf sich genommen hatte. Vergl. noch «Das Asiat. Mus.» S. 117 — 123, V 34 — 36, 67, 96. Beilage ۰ Angabe der Anzahl von Exemplaren, in welchen einige Schriften in den Jahren 1853 — 1859 gedruckt worden sind *^). Ex., 1857: 4800 Ex.‏ 4800 :1856 آخر زمان کنابی Ex., 1857: 4800 Ex.‏ 4800 :1854 استوانی کتابی Ex., 1857: 4800 Ex., 1858:‏ 5000 :1856 بافرغان Ex.‏ 5000 Ex., 1856: 2500 Ex.‏ 4800 :1854 ,بدوام کتابی faas 1853: 4800 Ex., 1858: 4800 Ex.‏ برده Vergl über diese Handschrift so wie über andere noch Ouucanie Typenko-Tarapckuxb pyronucel xpaHA- C: Herepóypra. (H3r 58 Mun. Hap. Jy. LIX u. 1850 lex. Ora. III, 39) Bepes3uu®% (N.), 1117125017 8151 م3‎ IIpocs. 1846, X 5 n 1847, X 5, 1848, des Sciences de Saint- Pétersbourg. . M. ji Auch diese Zahlangaben verdanke ich Hrn. Dr. Gottwaldt. 345 B. Dann folgende Christiana: 1) Das N. Testament, Karas. 1813, 8°. مقښس‎ Jas) رہز عبسی مسرعل‎ er بعفی لسان نرکیه ترجه اولنان‎ (ur à (Pagi idi, و‎ Jb X ENTER): 2) Das N. Testament im tatarischenDialekt von Oren- burg. Astrachan. 1820. me dei مقدس‎ Jar] استراخان شهرده‎ ENT ي۳ اولکی‎ Por مسحګ‎ DI? à میعلد ان باصلیشدر‎ Lay. (2 Ex.). 3) Das Evangelium Matthài in demselben Dialect. Astrachan. 1818. بازوسی‎ line مقدس‎ Jas]. 8". 4) 1d. بازوسی‎ luz. us) Dn, auf blauem Pa- pier. fol. (Karas 1807)? (Syllog. VII). 5)Die Genesis in tatar. Übers. Astrachan. 1819: - e a 0 J E u 6) Die Psalmen im Noghaier Dialect. Ibid. 1818. Tue (ce yi Js» بادشامی‎ Sl UM un .8 سفری Das Evangelium Lucae, ebenfalls im Noghaier Dia-‏ )7 lect. Ibid. 1816. 8%.: اغيل مقدس لوقادن لسان‎ .پورکبه ترجه اولندی الخ‎ Von tatarischen Übersetzungen des N. T. (von Ka- sem-Bek) nenne ich die 1) der Evangelien. 1855; 2) der Apostelgeschichte, der Briefe und der Apokalypse. St. Petersburg. 1859 — 1861, und die Übersetzung eines grossen Katechismus der orthodoxen Kirche. Ibid. 1962. S. im Register: .کيل ,حواری ,58 یس‎ C, Von umfangsreicheren türkisch-tatarischen, darun- ter auch von russischen Muhammedanern, verfassten Handschriften und sonstigen schriftlichen Arbeiten be- sitzt das Museum noch: 1) Die Geschichte der karabaghischen Chane, von Adi Güsel ادى کوزل‎ und 2) das Derbend- nameh des Mirsa Kerim in Dérbend. ` ` 3) Historia Chanorum Schekiensium auct. Latif Ef- fendi. Msc. 590, bb. (Abgedruckt in den «Auszügen aus muhammedanischen Schriftstellern», ۰ 515). 4) KcexoæouToB® (X.), Coópauie Typeukux» u Ta- 318 Js Lai af 1853: 3360 Ex., 1854: 2880 Ex., 1856: 1200 Ex , 1857: 2880 Ex., 1858: 4800 Ex., 1859: 4800 Ex. Ex., 1859: 4800 Ex.‏ 4800 کتاب مولود شر یف الثبی Ae 1854: 3000 Ex., 1855: 4800 Ex., 1856:‏ شریف Ex.,1857: 4800 + 4800 + 4800 Ex.,1858:‏ 4800 Ex., 1859: 4800+ 4800Ex.‏ 4800 +-4800 + 4800 LUS 1853: 5000 Ex., 0‏ نصعت الصا Ex., 1858: 6000 Ex.‏ Ex., 1858: 4800 Ex.‏ 4800 :1857 رساله نور نامه Elio 1853: 4800 + 7000 + 8000 Ex., 1854: 6000 + 3000 + 7500 + 8000 + 8000 Ex., 1855: 4500 -+ 8200 Ex., 1856: 4800 + 7000 + 1200 + 6000 Ex., 1857: 4800 + 5900 + 10,600 + 4800 Ex., 1858: 9000 + 5000 -+ 3000 + 4800 = 15,000 Ex., 1859: 16,000 + 3000 Ex. [1866: 15000 ه‎ 9600 Ex.]. ٢ dij 1859: 4800 Ex.‏ تنسیری aet 1853:2400 -+ 4800 ې‎ 4800 -+ 4800 Ex., 1854: 4000 Ex., 1856: 2400 Ex., 1857: 4800 Ex., 1858: 4800 Ex. »- Ue Dali s. Voigt, S. 69- 71. Verkauft werden die SECH 7. B. zu folgenden Preisen: Bulletin de l'Académie Impériale Rubel. TW. SE ww oW We‏ نه eg ee, d +‏ سر .9 BET AM E L9 - 9. B. NM‏ e um idees Lee, 6, 61 018: ve EE é6-. 5-9 $ 4 e $9 à ER E Ee NU COS E DT bat DO پو‎ EN dê Le e, " à 6 eeneg 99 ^ هه‎ © LAS Wo ru O COE IO EO OLE mw 347 LS 1854: 4800 Ex., 1856: 4800 Ex.,‏ العاجز Ex., 1858: 7200 Ex.‏ 4800 ب 4800 :1857‘ Ex., 1857: 4800‏ 4800 :1856 عکایت فی مدم امام اعد Ex., 1858: 4800 Ex.‏ ll il 1854: 4800 Ex., 1858: 4800 Ex.‏ Ex., 1854: 4800‏ 2400 :1853 بانغه ناغو اوچون lle»‏ Ex., 1856: 3000 Ex., 1857: 3000 Ex.‏ JE 1853: 4000 Ex., 1856: 3000 Ex.,‏ اوجون دعا Ex., 1858: 19,200 Ex.‏ 3000 :1857 Ex., 1857: 4800 Ex., 1858:‏ 4800 :1855 دعاء اسم cl‏ Ex.‏ 7800 ‚les 1853: 5000 Ex.,‏ ام ۱ St‏ Ex.‏ 4800 :1858 des 1854: 4000 Ex.‏ امان cles 1854: 3000 Ex., 1858: 5000 Ex.‏ جنت LM‏ de» 1854: 5000 Ex.‏ شریف Ex.‏ 9600 :1866 کتاب راجت دل Li: 1853: 4800 + 5000 Ex., 1854: 2400‏ الایمان Ex.,1855:4800-- 4800 Ex., 1856: 4800 4-4800‏ Ex., 1857: 4800 -+ 4800 + 4800 + 5000‏ 2500 + Ex., 1858: 5000 -+ 4800 Ex., 1859:‏ 4800 + Ex.‏ 4800 +- 4800 Ex., 1855: 4800 Ex., 1856:‏ 2400 :1854 فضائل الشهور Ex., 1857: 4800 =- 5000 Ex., 1858: 4800‏ 4800 Ex., 1859: 6000 Ex.‏ + 5000 + 5000 + 4300 + 5000 :1853 القرآن Ex., 1854: 8000 + 5000 Ex., 1855: 4800 +‏ 4000 Exi; 1856: 1500 + 1500 + 4800 + 0‏ 1500 Ex., 1857: 1200 + 1200 -+ 1200 -+ 3400 Ex.,‏ Ex., 1859: 3000 +‏ 6000 -+ 3000 + 1200 :1858 Ex.‏ 4800 + 5000 Ex., 1859: 9600 Ex.‏ 4800 :1855 قرق حدیث Ex.‏ 4800 :1854 قصة سلیمان ias 1853: 4800 Ex., 1854: 4000 Ex.,‏ یوسف All‏ Ex., 1856:...? Ex., 1857: 3000 +‏ 4800 :1855 Ex., 1858: 4800 -+- 4800 Ex., 1859:‏ 2400 +- 4800 Ex.‏ 5000 Ex., 1855: 4600 Ex., 1856:‏ 4800 :1853 کعبة شر Ex., 1857: 4800 + 4800 Ex., 1858: 4800‏ 3000 - Ex., 1859: 4800 Ex.‏ eh 1856: 1200 Ex., 1858: 4800 Ex.‏ الاداب 1854: 2400 Ex., 350 Leipzig, Paris, London u. s. w. dreist zur Seite stel- len zu können. Sehr häufig wurden und werden die Schriften auf Kosten (ab) (خراجات‎ reicher Tataren, namentlich Kaufleute, gedruckt, was gewóhnlich in der Schlussbemerkung angegeben wird. Da, nament- lich von den Censoren, werden den Monatsnamen die europäischen (russischen) Benennungen gelassen, wie das auch bei den westlichen Arabern und bei hie- sigen Regierungs-Erlassen immer der Fall war, z. B. بنوار‎ oder رغنوار‎ Januar, ,فبرال‎ JL Februar, u. s. ۰ Die Erwägung aller mit der Herausgabe so vieler Druckschriften verbundenen und auf dieselbe bezüg- lichen Umstände berechtigen uns, wie schon zum Theil oben angedeutet ist, auf einen fortwährend steigenden Grad von Volksbildung unter den Tata- ren zu schliessen, wenn gleich bei den Verlegern oder Druckern auch gewiss geschäftliches Interesse mit im Spiele ist. Ob jener schon früher von mir ^) gemachte Schluss richtig ist, mögen solche entschei- den, welche aus eigener Erfahrung oder in Folge einer näheren Kenntniss des Sachbestandes eine be- treffende Entscheidung zu geben im Stande sind. Auf die Frage Fraehn’s, ob die Tataren einen ge- druckten Koran brauchen dürfen, wurde ihm in einem der Jahre 1806 — 1816 geantwortet: das sei aller- dings gegen das Gesetz, aber da die geschriebenen Ko- rane zu theuer seien, z. B. die aus Constantinopel ge- brachten Exemplare 25, 30—50 Rubel kosteten und es in Kasan keine Koranschreiber gebe, und endlich weil der Kaiserliche Wille so sei, so gebrauchten sie auch gedruckte Korane. Nach Erdmann (a. a. 0.) stände es mit dem Streben der Tataren nach Bildung doch nicht sehr hoch. In der schon erwähnten Schrift «Übersicht» wird S. 52 angegeben, dass asiatische Lettern und beson- ders arabische, mit allem typographischen Zubehör, auf die Bitte der Tataren des kasanischen, orenbur- gischen u. a. Gouvernements aus der Hauptstadt dem kasanischen Gymnasium i. J. 1800 übersandt wur- den, um Korane, Gebetbücher u. dgl. m. zu drucken. Das sprüche also doch für die Tataren. Noch günsti- ger für sie spricht sich Fuchs in seiner Schrift: «die kasanischen Tataren in statistischer und ethnogra- phischer Beziehung, Kasan 1844, 8" (Kasanckie Tara- 41) Über die hohe Wichtigkeit und die namhaften Fortschritte 8. 51. des Sciences de Saint- Pétersbourg. [EERE | ageet Rubel.| Kop. BT aliti ditam e ES + |.15 HEUTE Mire 1 | 50 eee, چو‎ — |: 50 bes leegen ابو مزع دلو‎ 5 | 50 Sub MD ue | ام‎ نا‎ sof 2 کنابی‎ plan: Jupe. dug: — | 2 TAN یور یایب‎ edo eh ربب‎ 25 di A) EAR 5 —— و د و و ند د و مور‎ Wollte man aus den mitgetheilten Angaben der in den angegebenen Jahren in so vielen Exemplaren und öfters in mehreren Auflagen erschienenen Schriften eine Folgerung auf den Bildungstrieb der Tataren ziehen, so kónnte dieselbe nur sehr günstig ausfallen. So viele Exemplare einer gegebenen gleichgeltenden Schrift würden kaum in europäischen Staaten bei glei- cher Bevölkerung abgesetzt werden — in sieben Jah- ren 82,300 Korane, 165,900 Heftjek li», 77,500 Scherait el-Iman CE LIZ. oder nach unse- rer Weise zu reden, 82,300 Bibeln, 165,900 Dibel- auszüge und 77,500 Katechismen bei einer Bevólke- rung von lange nicht drei Millionen. Freilich gehen von jenen Exemplaren sehr viele nieht nur an die andern, nicht zu dem Ressort des Mufti von Orenburg gehórigen Tataren des russischen Reiches, sondern auch in die Türkei und nach Mittel- asien. Bemerkenswerth ist auf jeden Fall die Thátig- . keit, welche in den tatarischen Druckereien herrschen muss. Man sehe nur die grosse Anzahl von verschie- denen Schriften und deren Ausgaben, welche in einem Jahre erscheinen. Auch das Capital, welehes durch den Druck und Verkauf der in Rede stehenden Schrif- ten in Anwendung kommt, muss sehr bedeutend sein und es würe in statistischer Hinsicht nicht uninter- essant zu wissen, wie hoch es sich beläuft. Die tata- rischen Druckherren und Verleger in Kasan scheinen hinsichtlich des Vertriebes der von ihnen herausge- gebenen Schriften sich ihren christlichen Collegen in | der asiatischen Studien in Russland. St. Petersb. 1840. e 352 hiesigen (Kasan) zwei tatarischen Vorstüdten [1844] giebt es 8 Moscheen und bei ihnen nur 4 Schulen, in denen sich indessen viele Schüler befinden. — — Die Kinder treten im 7'" oder 8"^ Jahre in die Schule ein; sie bleiben da zum wenigsten 5 Jahre‘). Die, welche sich den Wissenschaften widmen, d. i. mit der Zeit Geistliche oder Lehrer werden wollen, blei- ben viel länger. Der Unterricht fängt mit dem ABC an; nach diesem lesen sie das Heftjek, welches Auszüge aus dem Koran enthält, entweder verkürzt oder ganze Suren. Dann lesen sie hier in Kasan gedruckte tata- rische Bücher: Pirguly, Subat (Sebat)-ul-Adschi- sin, Faus ul- Nadschat, Stuany (استوانی)‎ " ?) und endlich das Buch des Muhammed Efendi (se ily افندی)‎ ^), welches Anleitungen zum Handel enthält, und manchmal auch die Grammatik (Nahu) der arabischen Sprache"). Ausser dem Lesen und den Grundlehren der muhammedanischen Religion lernen sie hier auch so viel Arabisch, als zu einem oberflächlichen Ver- stándniss des Koranes nóthig ist — auch Persisch und Bucharisch. Diese Sprachen lernen sie sowohl zur leichteren Betreibung ihrer Handelsverbindungen, als auch um türkische Bücher lesen zu kónnen, in wel- chen sich sehr häufig arabische und persische Wörter befinden, und um in hóherem Style zu schreiben, wel- cher einzig in der Beimischung von arabischen, per- sischen und türkischen Wórtern zu den tatarischen be- steht. Da aber erlernen sie das Tatarische nicht naeh den Regeln der Grammatik. Ein Tatar, sagen sie, muss seine Sprache von der Mutter lernen und es darf da- her dafür kein Geld in der Schule bezahlt werden. Als sich Hr. Fuchs über die geringe Vergütung wun- derte, welehe den Lehrern zufállt, sprach der Leh- rer (Achun): bitten sie unsern Hrn. Minister der Volks- aufklärung, dass er unsere Schulen in seine besondere Fürsorge und Schutz nehme. Wir wünschen, dass un- sere Kinder sich mit den Wissenschaften bekannt 44) Vergl. hierzu Erdmann, a. a. 0. S. 671. Beiläufig will ich be- merken, dass es in St. Petersburg zwei sunnitische Moscheen giebt; die eine bei der Wohnung des St. Petersb. Civil - Mulla, des Imam, Chatib und Tarchan: Muhammed Alim Chantemiroy — Xan- 2011002272 — (Fontanka, Haus Ruadse X 54); die zweite bei der Wohnung des Mulla des St. Petersb. Militärbezirks: bre n Cha- litov (Ligovka, Schmiedebrücke, Haus Boldovsky d Stuany spricht auch ein von mir وه‎ Hope Tatar 6) Bei Zenker: Nils, al; s . das Register. 47) Nach Erdmann lesen sie auch: al | ,سيف‎ vie? Ja U. à. Bulletin de l’Académie Impériale 351 pbi, BB CTATHCTHICCKOMB H ITHOTPAPHJECKOMB OTHOME- nat) aus. Er hatte als Arzt sehr vielen Umgang mit Tataren, und Gelegenheit, sie nach allen Seiten hin kennen zu lernen“). So sagt er denn S. 23:’ Man ‘muss ihren Mulla's (Geistlichen) die gebüh- rende Gerechtigkeit wiederfahren lassen. Sie bestreben sich die morgenländische Aufklärung nicht nur in den Städten, sondern auch in den ärmsten Dörfchen zu verbreiten und erzielen in dieser Hinsicht bedeutende Erfolge. Fast jeder Mulla hält eine Hausschule; für eine kleine Vergütung unterrichtet er Knaben und Mädchen in der arabischen Sprache, liest und erklärt ihnen den Koran und die Sittenlehre seines strengen Gesetzes, welches aber leider! die Herzen nicht er- weicht und die Roheit und Ungeschliffenheit der Sitten nicht mildert, wie das aus ihrer Lebensweise und ihren Eigenschaftnn ersichtlich ist. Dass sich die mor- genländische Aufklärung sowohl in den Dörfern als in der Stadt verbreitet hat, kann man sogleich bei der Einfahrt in jedes tatarische Dorf sehen, u. s. w. — Der Bauer liest jeden Tag mit seiner Familie geist- liche Bücher, setzt gegen Abend seine Kopfbedeckung (tschalma) auf und geht zur Moschee, wo gewühn- lich der Mulla mit greisen Tataren zusammen sitzt und gewichtige Betrachtungen anstellt. S. 113 lesen wir unter der Überschrift: sche Schulen» ®) Folgendes: Jedem Reisenden muss es, ohne Zweifel, sonderbar erscheinen, in den kasanischen Tataren, im Allgemei- nen, ein Volk zu finden, welches mehr gebildet ist als einige andere, sogar europüische. Ein Tatar, der nicht lesen und schreiben kann, wird von seinen Lands- leuten verachtet und geniesst als Bürger der Achtung der Anderen nicht. Aus diesem Grunde sucht jeder Vater seine Kinder so früh als móglich in die Schule einschreiben zu lassen, wo sie zum wenigsten lesen und schreiben und die Anfangsgründe ihrer Religion lernen. Zu diesem Behufe soll bei jeder Moschee eine Schule sein, welche unter der besonderen Aufsicht eines Achun (Oberlehrers) steht; der Mulla der Mo- schee ist hier der Lehrer; er bescháftigt sich tüglich mit dem Unterricht in jenen Gegenstünden. In den «Tatari- 42) Vergl. Fraehn, Bullet. scientif. T. I, S. 99. 43) Vergl. meine eben angeführte Schrift, wo (8. 107 folg.) éi es Nachrichten über die Schulen der هرز‎ in Russland b 1840 zusammengestellt finden. 354 Hr. Fuchs erwähnt endlich (S. 121) einer List, welche sich Buraschev im Jahre 1802 bei der Hort ausgabe eines Buches aus Gewinnsucht erlaubt Hatte. Er fügte nämlich dem Werke Faus ul-Nadschat ei- nige Blätter zu Gunsten der Glaubensmeinung der chiiten, wahrscheinlich in der Absicht hinzu, um das Buch auch an Perser vortheilhaft verkaufen zu kón- nen. Allein nach einem achtjührigen Process wurde Buraschev von den kasanischen Tataren, welche Sunniten sind, der Heiligthumsschündung beschul- digt. Die von ihm hinzugefügten Blätter wurden aus- gerissen und in Gegenwart von Mulla's und russi- schen Beamten verbrannt. Den Hass, welcher zwi- schen Sunniten und Schiiten Statt findet, kann fast nur der begreifen, weleher unter ihnen selbst gelebt hat. Mein persischer Mirsa in Baku, ein sonst ganz vernünftiger Mann, versicherte, Baku bestehe seit uralten Zeiten unangefochten von Erdbeben, Krank- heiten u. s. w., blühe immer mehr auf (es war eben anstatt Schemacha's der Sitz des Gouverneurs gewor- den) und sei als ein wahres Paradies namentlich auch aus dem Grunde zu betrachten, weil sich in ihm, Jed) dy Gottlob! kein einziger Sunnite befinde. Auf mei- ner Reise in Masanderan stahlen einmal meine Tscher- wadare (Pferdvermiether) aus Karatepeh, welche Sun- niten, zum Theil Afghanen waren, zwischen Sari und Barfurusch ein Schaf von einer am Wege weidenden Heerde. Als ich ihnen ihr Unrecht vorstellte und ihnen zu bedenken gab, dass der Besitzer der Heerde möglicher Weise den armen Hirten für seine Nachlüssigkeit tódten könnte, antworteten sie lächelnd: einem Schiiten etwas wegzunehmen sei weder Sünde noch Diebstahl, und wenn der Hirt und in Folge dessen vielleicht auch von der weltlichen Obrigkeit sein Herr getödtet werde, so hätten sie das Verdienst, dass zwei Schiiten weni- ger auf der Erde seien; sie hätten also durch die Weg- nahme des Schafes ein gottgefälliges Werk verrichtet und hofften Gottes Lohn dafür zu empfangen. Das Ärgerniss also, welches die kasanischen Tataren an der hinterlistigen und betrügerischen Handlungsweise ihres Glaubensgenossen nahmen, lässt sich leicht be- greifen. Sie handelten nach dem Ausspruch: hanc ve- niam pelimusque damusque vicissim. In dem dem Mu- seum gehörigen Exemplare des in Rede stehenden Buches findet sich der schiitische Anhang nicht. 23 e- des Sciences de Saint- Pétersbourg. 353 machen, kennen aber die Mittel nicht, um zu diesem Ziele zu gelangen; bis jetzt schicken wir nach Buchara [s. Lehmann, Reise, 8. 194 ( alle die, welche die Stelle eines تاه ام‎ Geistlichen bökleiden wollen, denn hier haben sie keine Gelegenheit und Mittel, We die erforderliche Bildung zu erwerben. In dem Abschnitt über die tatarische Typographie (S. 119) giebt Hr. Fuchs an, dass sie ihren Anfang im J. 1802 genommen, und dash deren Inhaber (coxep- arem), der tatarische Kaufmann Buraschev, im Laufe dreier Jahre folgende Schriften gedruckt habe: 1) 11,000 Ex. des tatarischen ABC's. 2) 7000 Ex. des Heftjek. 3) 1200 Ex. des Pirguly. 4) 3000 Ex. von Faus ul-Nadschat. 5) 3000 Ex. von Subat (Sebat) ul-Adschisin. 6) 3000 Ex. von Stuany .اتو‎ 7) 2000 Ex. des Koranes. 8) 1000 Ex. des Koranes in 30 Theilen (Heftjek). Unter dem folgenden Druckerei-Inhaber Jusuf Apanajev wurden im Jahre 1806 gedruckt: 1) 19,000 Ex. des tatar. ABC. 2) 3000 Ex. des Heftjek. 3) 1000 Ex. von Pirguly. 4) 1200 Ex. von Stuany. 5) 1200 Ex. von Subat (Sebat) ul-Adschisin. 6) 1500 Ex. vom Koran. Später wurde eine ungeheuere Anzahl von tatari- schen ABC-Büchern und dem Heftjek gedruckt. Un- ter dem Inhaber der Druckerei, Kaufmann Junusov, kamen sehr schöne Ausgaben des Koranes in fol. her- aus, von denen auf dem nischnynovgorodschen Jahr- markt das Exemplar eingebunden für 25 Rub. [Assign.] verkauft wurde. Die Arbeiter in der Typographie sind alle Tataren. Blos das Papier und die Druckfarben werden von den Russen gekauft. Ich habe, bemerkt Hr. Fuchs, in die- ser asiatischen Typographie eine besondere Thätigkeit zu der Zeit bemerkt, als die Bibelgesellschaften bestan- den. Die Tataren suchten damals ihre geistlichen Bücher mit eben solchem Eifer zu verbreiten, als auch wir. 48) Im Jahre 1848 wurde indessen der Eintritt in das russische Reich allen muhammedanischen Individuen aus dem geistlichen Stande, selbst wenn russische Unterthanen, verboten, wenn sie ihre geistliche Würde ausser Landes erhalten hatten. S. C. ی‎ de 135100 1848, N 36. — SEN Meyendorff, Voyage, S. 182. Cha nykov, Buchara, S. 86, 14 Tome XI. 356 3) dl اسماء الله تعایی‎ 1847. 1851. 1865; s. auch کلمة الشهادة‎ J) بیانی‎ 1848. kl. 8°. 5) jJ» اصعاب‎ 1860. 1861. 1864; s. auch üb. ,اعلام (نامه)‎ Befehl des Polizeiministeriums v. J. 1812. Beil. I, À. 7). e ,اعلام‎ Erlass des Finanzministers 1814. Ibid. 13). — ,اعلام‎ Bekanntmachung des Gemeinderaths in Pa- ris. 1814. Ibid. 14, c). اعلام نامه‎ (a. d. J. 1814, Theaterzettel). Ibid. 3). ,اعلام نامه‎ zur Feier im kasan. Gymnasium 1807. i Ibid. 3). اعلام نامه‎ (hinsichtlich der asiat. Druckerei in, Ein, 1816. Ibid. 17). ,اعلام نامه‌لر‎ Kriegsberichte vom J. 1814. Ibid. 6) u. 14, a). ساکنلربله که‎ Ss)» Js) کر‎ aufs قرار‎ CS Us, افالارله‎ ابدی موافق فرمایش‎ p E CH اول برلر‎ ساکذار ينك رفتارنك قرار‎ "ind Joh یق‎ a, al) دادی در افالار‎ S. 1103806 Coópanie 3akoHoB» 28. Dec. 1847: Bbicouaiimee yTBepK1CHHOC 10306116 0 B3AHM- HbIXb OTHOMEHIAXB AraJapoBb U HOCCJSH'b, IKM- ByHIHX'b Hà 3eMJAX'b, BO3BDAIHAeMbBIX'b Aralapamb H yrBep;xAaeMbIX'b 32 Dun Hà OCHOBAHIn BbICO- 3110310 Peckpunra 6 /Lekaópa 1846 roga. Ukas vom 28. Dec. 1847, betreffend die Grund- besitzer im Kaukasus. Lithogr. (in Tiflis), ge- schrieben von Mirsa Mahammed Husain Hu- sainaly Oghli. kl. 4°. à „el, s Jas e J 1865.‏ ی بارمق کتابی تالبق Aë‏ بن مین افندی )6 und‏ شر ابط s. Gë‏ ;1802 الی با امان شرطلاری ايلان än e, In einigen Exemplaren, z. B. vom Jahre‏ in der‏ ; شرایط اسان steht vorn als Titel:‏ ,1866 Schiniäbeiberkag wird =. Werkeheu b الق‎ genannt. * Bulletin de l'Académie Impériale Alphabetisches Register ^). | Jel, s. بې‎ d Locmani ex libro Turcico qui Oghuzname inscribitur, excerpta etc., ed. J. Joh. Wilh. Lagus. Helsingforsiae. 1854. 8°. von Ibra-‏ .22 — 1819 احوال ee‏ خان وافساق‌قر الع him Chalfin ^). .حواری .8 الس ak‏ رلارداغی پاشاعلق sie)‏ — پادشاهلق (sonst:‏ رعبت ابچون m یازولغان سودبنی دیکان‎ 016 über- setzt von Kasem- Bek. Kaaaup. 1842. Das Re- gister فهرست‎ 1843. 4°. 1)55 | Uf زمان‎ Al 1856. 1857. 1860. 1862. 2) PES استوانی‎ 1802. 1806. 1807. 1819. 1836. 1840. 1845. 1851. 1856. 1862. Nach Zenker (I, 1473) und der Biblioth. de Sacy (X 1507), ist es ein Werk des Abdul-Asis Toktamysch Ogh- lu, nach der Anweisung des Estewani Mehe-. med Efendi. Ersterer war nur der Drucker und ` Herausgeber. Fraehn schreibt richtig Üstuwany; die Tataren sprechen gewöhnlich Stuany. 49) Da die meisten Schriften in tatarischer oder auch in türki- scher Sprache verfasst sind, so sind blos die arabischen durch ein a E persischen durch P. bezeichnet. AT. — Arabisch und Tata- ; PT. — Persisch und Tatarisch. Vs. — in Versen, Gedicht. Fo Chalfin (Ibrahim) von 1800 — 1828. Zu unterscheiden von Said (Carurg, Sahit) Chalfin, welcher im Jahre 1778 ein tatari- sches Elementarbuch in Moskau herausgab: As6yka Tarapcxaro A3bIKa, cou. Carurta Xaabouna. 89, (Zenker, I. 306) und der Verfasser des schon erwähnten russisch -tatarischen Wörterbuches ist. Vergl. über die Chalfine, Kowalevsky a. a. 0.8.7 und Zeit- schrift d. D. m. Gesellschaft. Bd. XIII, S. 502. Said's Sohn Ishak liess auf Allerhöchsten Befehl vom Jahre 1792 in einer eigens dazu angelegten Druckerei zum Gebrauch der kasanischen und der übrigen an der untern Wolga wohnenden Tataren drucken. Kowa- levsky S. 8. 51) Da die von Tataren und vorzüglich und namentlich für die Tataren in Kasan gedruckten Schriften im Museum zusammenste- hen, so sind hier blos sie nummerirt. Nur die Grammatiken und ei- nige andere Druckwerke machen eine Ausnahme. Die übrigen an- geführten Schriften ohne Nummern sind in den betreffenden Kata- logen an der gehörigen Stelle angeführt. Das Register enthält übrigens mehrere früher nicht genaunte Schriften als Ergänzung 358 win‏ حضرت مير سید Je‏ عید‌انی قدس dl‏ سره عجن مفیل ومبارك len‏ واوراد در کثیر القبر ومزید Kasan. 1848. kl. 8°. Auch nach Ha-‏ البرکات در dschi Chalfa ist der Verfasser Mir Seyid Aly‏ b. Schihab el-Hamadany. کانبخیزیس . ,اورئودکس مشرق کلیسیاس dl.‏ اورسچه اوقوغانده صولدان اونکفه طابه اوقومق كرك )10 Dach, von ۰‏ ایری م واق حرفاری Bl.lithogr. 1863. .‏ 1 H ob, GR استخرام ابلاویی‎ rl رانات اوروس‎ استخرام ایدوجی-(1852)‎ —, s. unten: Bara- بط ظ60‎ Pyccro-Tar. a36ÿka. 1852. ed. TIminsky. 1850.‏ ,اورص 5b‏ وین بلکورتکوم یکتابی )11 ۰ غمل لری بیاننده دوز ۰ ایر طارغن )13 mmm حاجی‌ننل رحلت‎ PEF S. "ek Ces ob ایمان‎ oder شرایط الاییان‎ Ersteren (tatarischen) Titel finde ich nur selten in den Exemplaren des Museums gedruckt, z. B. 1861: LA old ۰ .شرايط الاییان‎ ۱ ایمان معناس وګم فضبلتلاری وئوابلاری بیاننده در )14 .1859 .1849 —15) الفران‎ à) 1849. سور .8 ,1845 UT‏ التران Ul» فضبلت‌لاری‎ ul اية‎ 1851, s. alas. e ۱ CR S; العمل‎ 25-25. AN UJ, s. .کناب‎ ed. Ilminsky. 1857.‏ ,بابر نامه ۰ باشماق شریف )16 ۰ .1851 باشیاق شربف خاصیتاری برله )17 18) بافرغان کتابی‎ (oft auch ,(باقرعان‎ Vs. 1846. 1847. 1856. 1858. 1860. 1863; auch 21 کناب سلیمانی‎ genannt z: B. 1846. Voigt nennt als Verfasser Hakim- Ata. ol; dai, S; کناب‎ dl ,بداية‎ s m des Sciences de Saint- ۰ 357 d Lll; scu jn الع‎ aee: vergl. die Bemerkung unter dem Jahre 1802. Dr. فارس‎ sL ,ل‎ von Schahnasarov. Beil. I, C. 8). aus Je اليف‎ élus اليف بی طارطار‎ s. unten ۱ à ;بازولعان حرفلاری‎ s. unten Said Chalfin. 1778. A LLJ 1847, s. .رساله‎ | — 7) AT. LUS JL) 1847. Arab. mit tatar. Interli- nearübersetzung. 4°. Es ist das von P. v. Bohlen herausgegebene Gedicht. Abe ,امام‎ S. .نصاعت‎ Sgr ,امن‎ S. درد‎ buas, P ۱۸۱۳ قرسده‎ H مقدس‎ Jas], Karas”). 1813. 8°. * دینك سری‎ e], Karas. 1810. 8°. مقرس‎ Jas], Astrachan 1818. 8°. » » » 1820. 8". (2 Ex.). » » » 1825. 8°. cin ol Elise مقدس‎ Jos], Astrachan. 1818. 8°. زین‎ CS HS) ,عيسيتلګگ‎ (Karas?). fol. مقرس لوقادن‎ Jusl, Astrachan 1816. 8°. E los, St. Pe-‏ الع عېسی sue‏ ننلگ Ls! cite‏ در tersburg. .1855. 4”.‏ کتاب انوار العاشقین تالیف پازنجی ule» sal él‏ )8 ۱ .1861 کناب ستطابت هری مان او راد فقعنه z‏ مصنفات A. cos‏ )3 52) Über die schottische Colonie oder Missionsanstalt in Karas (Charras, Karras (قراس 7 س‎ an der kaukasischen Linie s. Leipz. Lit.-Z. Intellig.-Bl. 1814, M7, u. Klaproth, Reise in den Kaukasus, Th. I, 23. Kap., wo über die dortige Druckerei und die aus dersel- ben bis 1812 hervorgegangenen Schriften Nachricht gegeben wird. Die russische Bibelgesellschaft liess im J. 1815 hundert Exemplare des N. Test. in tatarischer Sprache aus Karas, von wo schon früher von der Auflage von 3500 Ex. 50 und später noch 10 Ex. in die Krim geschickt worden waren, kommen. S. den ersten, zweiten und dritten Bericht der Comitàt d. russ. Bibelgesch. vom J. 1813 (S. 20 u. 30), 1814 (S. 23 u. 96) und 1815 (S. 15). Da indessen, wie ۰ 27—28 angegeben wird, die bisher aus Karas bezogenen Exemplare bei weitem nicht ausreichten, so unternahm die Comität im Jahre 1815 eine Ausgabe von 5000 Exemplaren des Evangelii Lucà, welche in Astrachan auf Rechnung der russ. Bibelgesellschaft unter der Auf- sicht und in der Druckerei der Mitglieder. der dasigen schottischen Colonie gedruckt wurde. Im Jahre 1816 liess sie ebenso und eben- daselbst eine Ausgabe des tatar. N. Test. in 5000 Exemplaren ver- anstalten. S. Vierter Bericht, S. 55. Über eine in Dschufut-Kale bei den Karaiten gefundene tatar. Ubersetzung des A. T. mit hebrài- schen Lettern geschrieben, s. ebenda, S. 39. 360 = 24) P. Je & نامه‎ Ju, auch Js? Ja ur genannt. Vs. 1845. 25) العطار تصنیفی حل بی‌حدننل ترجه سی‎ ai نامه بعنی‎ Ae 1858. Vs. Die tatar. Übersetzung des vorigen. P. الدین سعدی شیرازی‎ cimen academicum Pendnämeh, ed. G. Geit- lin, Helsingforsiae. 1835. 8°. E‏ معط کا ]نی Die Ausgabe vom Jahre 1802 hat keinen be- sonderen Titel. Fraehn (Tatarica 4) nennt die . Prosa-Ausgabe | Je پر‎ gls”, die gereimte: کویلو‎ ,ېر‎ d. i. die zum Declamiren bestimmte; man sagt z. B. کویلب اوق‎ er liest in singendem, de- clamirendem Tone (G.). S. Tpoaxcrif s. v. det & نامه‎ A کناب‎ Spe- oe Real oh cb gb خوانین‎ p Beil. I, C. 1). اختصار اوزره تاربخی‎ ls Job رشکی‎ Beil. I, C. 3). 7 الا‎ dis, S. .کتاب تجویل‎ JI nid) ,التعفة‎ ed. Kasem-Bek. 1833. 8°. (Zen- ker II, 1300). اللولك‎ dis, S. .تعبیر نامه‎ 20( م الغزای‎ LY براية الهداية‎ àe 5 کناب‎ ۰ "xus quie ترحه‎ 1845, d. i. ابو النیع‎ ,البسئوی السعیدی‎ Vs. 1845. 28) کتاب ترجة جتان الجنان لامام الغزالی الع‎ 6 = 30) gu زبدة‎ das 1849. نامه‎ jus 1865. Cr.: 14. April. AO السلامننك‎ anle بو کتاب حضرت بوسف دمغم بر‎ نامه‌سی در بعنی توش بورسق ن‎ Cr.: - 19. Febr. SD این‎ EE بش‎ AU هسر‎ à کتابرین اختصار برله هم قیلد‌یار‎ 7 — 32) عرب‎ eel یناه بع‎ dei ترجه‌سی‎ ab تعبیر نامه‎ کتابندن 12 کوجرلشد‌ور‎ 1847. 8°. as تعر‎ — Tarif. 1784. Beil. I, A. 26). ترجه حاجی 30) Bulletin de l'Académie Impériale 19) و وام کتابی‎ so genannt, weil durch das ganze Ge- dicht hindurch der zweite Doppelvers ,/ بدوام‎ Je اززه‎ ist. 1846. 1847. 1850. 1851. 1852. ۰ 1857. 1858. 1860. 1861. 1862. 1864. 1865. d تا‎ de قصه .5 ,بر ظالم غبار‎ 20) AT. à Dur Aio Suse QUA, Va 1852. 1858. u. 1806. 8°. (2 Ex.‏ .1805 ,بر دوستك کلامی مسلمانه (Biblioth. de Sacy, 16 434; Zenker, I, 1697.) Das eine Exemplar mit der Fraehn'schen Be- merkung auf der Rückseite des Umschlagblattes: «Eines Freundes Wort an den Musülman. Gedruckt zu Karras a. 1220 d. H. d.i. a. 1805 christl. Zeitrechnung», hat als letzte Seiten- zahl o4 und unten als Jahrzahl rr, — 1805; das zweite hat als Seitenzahl op und unten die Jahrzahl- ۱۳۳۱ = 1806. Jenes o4 (56) ist aber ein offen- barer Druckfehler: Beide sind aus der Biblioth. Fraehn. Nach Fraehn adhi ins Arab. übersetzt: خطاب‎ ie u^; S. Zenker I, À 1647. pipes s. d à sid] .التصفة‎ 21) ,برکلی نان‎ Vs. 1802. 1806. 1807. 1808, Pros. 1845; s. auch .بر‎ Nach der Biblioth. de Bel. X 1501 und Zenker I, 1466 ist das Buch von Abdul-Asis Toktamysch Oghlu in ost- türkische Verse gebracht worden; aber er war nur der erste Herausgeber, wie schon bemerkt. Die Reimsetzung ist im Jahre 1052 — 1642 ge- macht; der Reimer nennt sich nicht. .4 .1855 کتاب برگلی ین افندی A.‏ )22 à Sak, s. les. کينتدن بولاتورغان خطرناك Jer‏ آورولرونناگ- بان )23 دوالری uas‏ دوکتر زابلونسکی‌ننكگ ۱۸4۰ نچی نلک wi,‏ باصلغان ab „LE ganas]‏ ترجه bell 8°, 1855. Anleitung zur Hülfeleistung ar in plötzlichen Unglücksfällen und in Lebensge- fahren, von Dr. Paul Sablozky (3a6aonkiä). Aus dem St. Petersb. Kalender für das J. 1865. Übersetzt von Muhammed Aly Mahmudov. ge A v .خل ای‎ 362 Jahre 1848. 4" mit Randbemerkungen führt den‏ کتاب مستطاب شری غاب ثبات العاجزین Titel:‏ e‏ العارفین al‏ صوفی الله بار JEU‏ البغاری € er ,جامع‎ ed. Beresin. Kasan. 1851. QUE اکل غان‎ cias بچنام السعادة من‎ all JL p مطبوعة باغراجات السلطانية اعنی السلطان‎ فى ایام نبابة الکینیاز‎ ek وایمېراطور اعظم نبقولای‎ .الاثبل الکینیاز وارانصوی‎ Lithogr. Tiflis, Redscheb 1264 (— 1848) kl. 8". (Über muhammed. Reli- gion.) (K. öffentl. Bibl.). QUII ,جنان‎ s. .ترهة‎ AT: shati &s, St. Petersb., vom Mulla Tarchan Ke- mal-eddin herausgegeben. 1857. () .1808 جوهرمً ap‏ اجدبه فی شرم الرضبة ad]‏ )89 — dr‏ الشهاده ۰ Sr, Ip‏ دجانه بانکاسباق اوق بائلاغان مسلمان بالالاری اوچون یکرمی )40 توقوز تورلی حرونی Lef‏ بعنی الف با Je) r^‏ وګم m‏ ach 1851.‏ وعم سور فاتعه وم پس شربف عزب الاعظم ana SU‏ الیادی Je‏ بن سلطان A. ge‏ )41 .)1849 .1847( .1845 القاری P. روس‎ ob uu» رات‎ ed. Erdmann. 1832. 4°. — 2te Aufl.: à کور‎ dag حکاپت‎ — Behram- gur und die russische Fürstentochter. Kasan 1844. 8°, +5 42) „bel فی مدع امام‎ cos, Vs. 1855. 1856. 1857. 1860. 1863. 43) LI کایت حکیم‎ oder „LS D pde, VS. 1846. 8 5 ميزان الق s.‏ ,8° کابات P.‏ ۰ حلبی an;‏ باباطاغی )44 45) AT. النبی‎ Ad 1851. 1854. 1858. 1863. AT. النبی‎ äh s. 1. et a. Je Je SL, S. نامه‎ J^. Luis‏ حواریلرننك sole‏ ورساله‌اری وعم = حواری des Sciences de Saint- Pétersbourg. jy 4". S. IIoxgoe 0060. 7‏ به امتاع دعر یف نامه‌سی N 26. 894. 30. Mai 1817. Tawo:xenntiii ۲ CTAB‏ no ۸3131761011 ۰, (In der Universit.-Bibl.).‏ .1864 .1862 تعلم الصلوة A.‏ )33 "٢ (?) ,تعليم‎ 8. ng u. .خرستيانلو‎ ri (Über die Pockenimpfung). 1813, Beil. I,‏ نامه A. 1).‏ 34) à نامه‎ pli — Über die Erkennung der Schein- todten. 1820. .4 تغسیر عفت يك من تفسیر التبیان تاليف قورصوی )35 کناب LG‏ [التکملة] ترجه طربقه حم به ale‏ افضل الصلوة )36 isi], Als Übersetzer nennt sich el- ۲‏ .8° .1849 .الودادی پادشاه All‏ اعطم Elo La.‏ اراد علبه‌سبله — تعلیمنامه موجود اولان افونوهبچیسکی اوپشیستوا دیکان EIER‏ le‏ در که das Y oh‏ دیلوکاری علندن (sic) bis‏ وصیانتچون نه alyas‏ صبغر e (sic)‏ آشلامعا (St. Petersburg 1855). (K. öffentl. Bibl.).‏ .يلات قابودان مبرزا فتععلی اخونزاده — تفلیس ۱۳۷۷ سنه Komexin u 1108566۰ Kamrraua Mapssı bert, - Aan‏ Axynıopa. Tiflis. 1277 (1860, 1). 8°. Auch Rus-‏ sisch: Komeyin Mupabr cPers-Aaun-Axyniosa. Tuo-‏ met, 1853. 8°. (Komoedien des Mirsa Feth-‏ Aly Achundov. Tiflis. 1853).‏ ' 87) الصبیان‎ aus 1858. ‚sl 1801; s. Beilage I. ‚les.‏ عجایب 2 &K u.‏ الشهادة sus, s.‏ الفرآن D 38) ,بات العاجزین‎ 1802. 1806.1807.1820. 1821. 1836. 1837. 1846. 1852. 1856. 1857. 1858. 1860. 1864. In der Zeitsch. der D. m. G. Bd. XIII, 8. 671 wird «Abdu-l-aziz Buratschew» mit Unrecht als Verfasser genannt. So auch Zen- ker I, 1477; s. auch o » je lly. Der Verfasser ist AHah-Jar ass Buchara. Im J. 1845 er- schien eine Ausgabe mit Vorrede und Anmer- kungen von Kasem-Bek. — Eine Ausgabe vom 364 . | — 55) Ce «le» 1849. 56) AT. H le» اوجون‎ SK, oft mit le» E بانغه‎ zu- corpas hoi 1853. 1856. 1858. تفا es‏ سماء حضرت امام حمد غزالی ره رع ننك AT.‏ )57 „alu, 1854. 1865. 58) abs دعاء‎ (Gebet für die Kaiserliche Familie). s. l. et a. 1846. (?) cles 1851. 1857.‏ سیفی خاصبهةلری برلان AT.‏ )59 60) AT. شر بف‎ cles (Ja) 1850. 1851. 1853. 1857. 61) AT. Je اولان‎ ons én عجایب الاستففار‎ cles 1847. 1850. 1851. 1852. 62) AT. قرم الثور وتفسبر ابجد‎ des 1851. 1858. 1863. 1864; s. auch Tos je 1850.‏ شرم دعاء قر عه بعنی قرمصقه بو در AT.‏ )63 64) AT. دعالا ردر‎ fl Uns) gel; asob, oft mit 2 Sk, zusammengedruckt. 1853. 1856. 1858. 1860. 1861. 1865. 1866. .مر ex‏ خاصبتلری برلان .8 à des,‏ العرش cles.‏ شریف des 1857, s.‏ مباركگ دعاء الوباء AT.‏ )65 66) A. الطاغون‎ e» الوباء‎ el (دعاء)‎ Gebet gegen die Cholera. 1861, lithogr. Je.‏ الفضائل s.‏ ;1861 وبا دعاس SCH ups quu cus Eleng ا‎ E A. ا‎ del کناب دلائل‎ (von Dsehesul y). Lithogr. in St. Petersburg. 1845. 8°. Die Schrift ist sehr schön ausgestattet, mit Goldeinfassungen und vielen reich verzierten Vi- gnetten u. dergl. Darstellungen der heiligen Stät- . ten in Mecca und Medina. Zu Ende geschrie- ben und herausgegeben von dem Haupt - Imam صابور نای امام‎ und Militärprediger Kemal- ed- din وی‎ ka das .بن‎ (Sie war von einem aus Taschkend gebürtigen alten Ischan in Kasan be- gennen worden, nach dessen Tode sie von dem - eben genannten Mulla beendigt wurde. Daher der Unterschied in der Schrift des Anfangs und des Endes. Gottw.). A. ردلایل الوافية‎ ed. Kasem- Bek: Astrachan. 1822. s. ]. et a. 1 Dogen. Bulletin de Académie Impériale St. Petersb. 1845. 8°. |‏ ,خرستيانلو تعليمنك ابتدالری Über die Wahrheit des Christenthums. Im Jahre 363 Petersb. 1861. 4". 46) AT. بدر‎ PARET سه‎ Wi 1846. 47) رن‎ PAR vp 3? منکن‎ élu نما‎ BS 1857. 1858. ۱ : “(Übersetzt von Joak. Romanov). 48) A. JS مود بن‎ CH للامام العلامة‎ illl کتاب خلاصة‎ vi ,الرائقض‎ ed. Gottwaldt. 1851. d خلاصه"‎ — Bpmmcra u. s. w. — Kriegsfeldgesetze. ` Beil. I, A. 20). ,خواص اسما الحسنى‎ (sic) خوص‎ )1 848), E > .زبور .8 رد آود‎ 49) sil عبة الله‎ ail, p در‎ SES, Vs. 1856. 50) LS ر‎ P 1845. asl s> Derbend-Nämeh, translated etc. by A. Kazem-Bek. St. Petersb. 1851. 4°. Von der beabsichtigten Ausgabe des persischen Textes durch Senkovsky im Jahre 1826 habe ich blos einen Bogen gesehen. Sie ist nie er- schienen. اسراتبل‎ ol الیل تدا‎ eb. نامه ثالیف مسر‎ J^ «sul, Beil. I, C. 2). 51) bb Gk. (à SE دسئور‎ LS 1864. Aus dem . Türkischen ins Tatarische übertragen von Mah- mudov. Jp; E FUERON deg ER‏ اونرو Aaf‏ دستور et Jul‏ ترجه o54,.. lila,‏ | ولان اکاره ili K,‏ ومعامله کسکارنه ترخیب Kpar-‏ .ویرن جعیت مجلسدن acli)‏ واعلان اولش Kia 28123778 o MeAKOBOACTBE u np. 3۱۱۵11۲6۳۰ 1842.‏ kl. ۰ ۱‏ 52) AT. شرریف دعالر‎ ail un, „bel دعاء اسم‎ 1855. 1857. 1858. 1860. 1861. 1862. 1864. 1866. ۰ دعاء | م الصبیان )53 Wad d 1853..1858. 366 al, 1859.‏ فى بيان فضيلة دعاء AT. line‏ )73 رسالة نی بیان Css‏ جنس الانسان zu‏ بو رساله )74 7 آدملارنن قیافتی بیاننده الغ al, 1859.‏ فى Lidl‏ )75 رسالة فى ایمان s. auch‏ ;1857 رسالة فى حق c‏ والشراهء )76 i» : ;‏ Se „EEE‏ رعا صوفبه .1 رسالة سکز جنت صفتلرینی بيان وعبان ايدر الغ )17 78) شرم ثبات العاجزین‎ oj je Al 1850. 1857. 1858. 1863. (Zenker II, 1199). Der Verfasser ist Tadsch-eddin Efendi, welcher etwa vor 30 Jahren gestorben ist. oj e رسالةً‎ LES, St. Petersb. 1847. s. a. (1846?).‏ رسالة فى العقاید الاسلامية )79 .1857 .1851 .1846 رسالة us?)‏ عبن عم دعوات AT.‏ )80 .1866 .1862 .1860 رسالة ئی Jas‏ العلم والعلماء الع تاليف el‏ یوسف کساب )81 1 الغزى ثم ll‏ 83) انندی‎ m JLo, 1808. (Bei Zenker II, 1228: معاملات‎ JL). ally, entlehnt, wie am Ende gesagt wird,‏ مهم السلمین ۰ احباء علوم الدین aus Ghassaly's Buch:‏ S. 4,» 1845.‏ .1862 P. u. T. alle), Ansprache an die Muhammedaner. 1835. S. unten Ilnıoc-‏ رنفس متعلم lat] aai Wies‏ رام cann. 1862.‏ De 3 0^ 3 07 53) var; «Obliegenheit» ist zweierlei: فرض .0 فرض عبن‎ nr 0^ 702 = š ist die jedem Musulman zukommende Oblie-‏ فرض une‏ إكفاية genheit oder Verpflichtung, wie z. B. die fünf Gebete, das Rama- dhanfasten, das Almosengeben für den der die Mittel dazu hat, das Wallfahrten für den der es ausführen kann, die verschiedenen Wa- schungen, und der heilige Krieg bei einer allgemeinen Erhebung 2 „7 3 0-7 À (Ge „all کان‎ 151); gt ,فرض‎ eine Obliegenheit oder der durch Stellvertretung genügt werden kann, z. B. das Leichengebet und das Wohlseinwünschen beim Niesen Anderer. So im الصلوة‎ dei, Eine gereimte persische Abhandlung über d. 0 T s. in der Beschreibung der Chanykov'schen Hand- MN sĉhriften (St. Peterb. 1865), S. 7,8, a). Bullet. T. VIII, S. 249, 3, a). des Sciences de Saint- Pétersbourg. | Verpflichtung, 365 1823 schrieb der Mudschtehid von Tebris, Ha- dschi Mulla Risza l5, SL حأجی‎ eine Entgeg- nung in persischer Sprache unter dem Titel ¿ls p». Gegen diesen «Burhan» schrieb Kasem - Bek wieder eine persische Antwort: ley 3. ,جواب حاجی‎ welche sich als ein handschriftliches wnicum in der hiesigen Universitäts-Bibliothek befindet. 67) ,کتاب دیوان رضابی‎ aus den Diwanen des Risza-ed- din Neddscharsadeh جار زاده‎ Ismail Hakky u. À., zusammengestellt und geordnet von Mulla Lutfullah ibn Mulla 41 AN, und von Rahmetullah ibn Emirchan el-Kischity الکیشیتی‎ [aus Kisehit, einem Dorfe 50 Werst von Kasan] el-Kasany الغزانی‎ geschrieben. Lithogr. bei Muhammed Wely Jahjasadeh. 1860. 8°. ۱ 9 کتاب مستطاب lias Si Jacal‏ ملا خواجه B‏ ابن )68 cle, Vs 1860. 1861.‏ نل هیا wëll‏ بوي .1866 .1864 able.‏ ۰ ,راشد افندی 69) رحلت‌نامه‌لاری بری حاجی. اسماعیل‎ Li, el ایلی‎ عمل امین عمر‎ gb اوغلندین 495 بری‎ git d. اوغلندین روابت اولنغان‎ 1862. 4°. 1117684 sa- MICKE AByXb XaokleB"b H ۰ Reisebemerkungen zweier Hadschi's: Hadschi Ismail's.aus Kar- gali, im orenburgischen Gouvernement, welcher im Jahre 1751 über Buchara, Afghanistan und Indien nach Mecca reiste, und Hadschi Muham- med Amin's aus Jangakischt, im kasanischen Gou- vernement, welcher im J ahre 17 83 über den Kau- kasus, Constantinopel und Agypten seine Wall- fahrt ausführte. 5 کناب Ha‏ ابو السعود افندى )70 +دصعت 8٩.‏ ,رسالة امام die‏ رسالة à‏ اببان امة Je?‏ الثبی الوراء وش ^l à‏ )71 ۱ ۰ والشر | EE ` 233) توشره تورغان‎ Kai فى بیان الفاظ الکفر بعنى‎ JL, سوزارنی ببان AN‏ کتاب در مکنون تصنیف بل نور الدین مصر de Jae Sl s‏ وخامه‌سندان ویرک ی کنابندین EM & 1847. kl. 8". 368 mud. So auch nach Zenker und Erdmann (S. 671). Ich zweifle sehr an der Richtigkeit dieser Angabe. u” s^ 1825.‏ $ ترکن ul‏ ابو الغازی الخ Vergl. Desmaisons, Bullet. scient. T. IV, 1838, 5. 299 u. Saweliev, Mél. As. T. III (1858), S. 483. 90) rar مب رکه‎ el, Le sus” 1860. (امان بلط (auch Old‏ شرابط الامان od.‏ — ابان AT.‏ )91 .1820 .1819 .1812 .1806 .1802 الف با od.‏ شرطی 1823. 1832. 1836. 1837. 1838. 1839. 1840. 1842. 1846. 1847. 1848. 1850. 1851 — 58. 1859. 1860 — 63. 1864. 1865. 1866 شرط)‎ Sint) — 92) اکبر‎ ais شرع‎ 1849. 93) e Jof as Gs LS 1858. 94) A. Ara M کتاب‎ 1863; s. auch ad] 95) رساله) شر وط الصلوة‎ ?), auch über re entum وضو‎ ۰ خسل‎ ohne besonderen Titel. ۰ P. De expeditione Russorum Berdaam versus auctore inprimis dapes disseruit Fr Erdmann, Casani 1826. 8°. 23 بو‎ Bera دری‎ ades S. i» 0 .عبر‎ i 96) AT. شمایل‎ u. شمائل النبی‎ 1851.1853. 1857. 1858. 1859. 1861. 1863. J| .شه نامه‎ Eine sehr seltene Schrift ist das persi- sche Gedicht (mit russischer Übersetzung) des pers. Gesandten Muhammed b. Muhammed Muhsin, gen. Aschrefy, welches er zum Lobe Katharina II. verfasste; m einer kurzen Ein- leitung folgt der Titel: شه نامه ایست که باسم اشری‎ خورشيل کلاه‎ et: L ur پاده‌شاه عالم ينا‎ ui اشرفی الاصل‎ ¿ ied ALES à به نظم در آورده‎ Cie coummemie BB noxBaıy Ea unepéropixare BeawsecrBa T'ocyaapsınn 111۵601111 58 88311168355 Cruxamn 0861 Dbosiiü nociammuks Mo- ۲۵11 ۸1 و61‎ cbirb 103111613 111010183, no npo- ۳ل و اا Bulletin de l'Académie Impériale 367 ` .نور نامه AL, S:‏ تور نامه نور نامه روسبه لننانثله ذرکیه TN‏ نقل وترجه اولندی بولاغوجنبه با خود پولیچه بعنی حسن موّدب رسم دستوری‌نگ o‏ ja. St. Petersburg 1782. 4^. Polizeiverord-‏ دور nungen (übersetzt von Ishak Chalfin? s. Über-‏ sicht S. 22). Ukas der Kaiserin Katharina II.‏ Co6panie 55‏ و1100 vom 8. April 1782. S.‏ am gehörigen Orte. Beil. I, A. 21).‏ Vs. 1856. 1857. 1862.‏ وکتاب مستطاب رونق الاسلام )83 s.‏ ,زابلوتسکی el D ER da p. o?‏ وش ۱ T‏ پادئای Juybp sys‏ مقس si, Astrachan 1818. 8°.‏ : be 84) JU] اخبار وزبدة‎ ást, verfasst von Mulla Abdul- Hakim b. Mulla Abdurraschid el- Atnewy (im Dorfe Atneh, nicht weit von Kasan). Lith. 1866. dl. ال السا‎ LS— ۸6662۶ O-Cceitsps nm 1656 [laanèrs u op., ed. Kasem - Bek. 1832. 4°. .4 سرام القلوب )85 8 سکز جنت JU.‏ )86 AT. فنس الله اسرارهم‎ di Lgl ALL. St. ۰ lithogr. 1856. 1858. À .بافرغان s.‏ ,کتاب سلیمانی desk‏ eT لاس‎ T سلیمان‎ 1848. 1855. kl. 8°. Fragebuch, religiösen Inhalts, am Ende‏ ,سوال کتابی defect. kl. 4۳. (Karas? Fr.).‏ erf, ۵. aer.‏ سوال وجواب 88) PT. از تصنیفات بد العاملی‎ ly- 1864. Den ta- tarischen Commentar schrieb der eben erwühnte Mulla Abdurraschidov aus Atneh. G. .1860 .1859 .1858 .1857 .1844 سور من القران A.‏ )89 .1866 .1865 .1864 .1863 .1862 .1861 s. AL‏ ,1859 سور .حروف Zi S.‏ فأتعه os. Nach der Biblioth.‏ سیف s. EU‏ ,سيف EU‏ کتابی de Sacy, M 1517 ist der Verfasser Sultan Mah- | . 370 106) ,غره نامه‎ d. i. Kalender 1851. SU, je 1861. اوشبو غره‌نامه‌ده روسه ده بولغان Al‏ بلنور(107 .1861 .1855 .1853 108) آینی‎ sü 1859. .4° .1848 ]2,53 العکروی (حمد ثریف بن داملا (se‏ Jles 1854. 1856. 1857. 1858. 1859.‏ الشهور الع )110 .1866 .1863 .1861 .1860 TD اللرتی‎ D فضيلة‎ 1860; s. auch .شمايل‎ RS añs, S. .شرم‎ 112) مستطاب فوز الفعات‎ LES, Vs. 1802. 1840. 1857. Von Erdmann (Zeitschr. d. D. m. Ges. S. 749) wird «Abdu-l-aziz Buratschew» als Übersetzer aus dem Persischen angegeben; so auch bei Zen- ker (I, 1476) und in der Biblioth. de Sacy X 1514. Dem ist nicht so. P. d. ,قانون زبان فارس‎ von AbbasKuli Aga Baki- chanov; vergl. Mél. asiat. T. I, S. 164. Dull. hist.-phil. T. VII, X 3. Zenker II, 241. DJ» قانون‎ (unter Katharina II. — Moskau? — Beil. > دول‎ I, A.-23). | — — $t. Petersburg. Ibid. 24). P. بازار مکاربه‎ SE ,قانون‎ Verordnungen, die Messe in Makariev betreffend. 1 Bogen lithogr. (2 Ex.). Tatarisch: s. .بارمنکه‎ Abu, اکاره وکارغانه ومعامله مهارننه تشویق‎ SL, Ale جیعتنگ‎ alas ویرمکدن اوترو‎ DE درقوقاسووگ نجر به‌لردن‎ n" Asl H .اولنمش مشنبل قانوناری‎ Tiflis. 1842. 8°. هق‎ unckn Sakagkasekaro O6meersa moompeHii Celb- cKO m wamydakrypHoi mpowbimLIeHHOCTH H TOP- 0818, 000788568038 MempabJsoHb AOJ;RHOCTb 110616131638 11. ۰ اقالر s.‏ ,قرارد اد Verordnungen für die krimischen Tataren.‏ — قانوننامه Beil. I, A. 28).‏ Zoll- u. Handelsverordnungen 1817. Beil.‏ — قأنوننامه I, C. 9). 4 des Scieuces de Saint-Pétersbourg. 38801۱0 Amıpeou. Bo Dpaxb Cs. Herpa. 1793. 4°. (967 Verse). Eben so selten sind zwei auf den letzten eng- lisch-persischen Krieg bezügliche lithographirte Schriftstücke: 1) Traduction d’une brochure, concernant la ques- tion anglo-persane, imprimée à Teheran en langue persane. 10 Bog. fol. 2) Franzósische Übersetzung eines in der tehera- ner Zeitung a. 25. Schaban 1272 (1856) abge- druckten, aus dem Bombayer jle Y) اخسن‎ X 8, T. XI, Febr. 1856 entnommenen Aufsatzes über die Handlungsweise der englischen Mission in Persien u. s. w. 12 Bogen. fol. 97) „US JL ,شوریده‎ Vs. 1842. del کان‎ Illeiöaniara. 116070017 111081010 - 5 Ha JLararaäcpot, XiaIeKTE m T. A. 1313111131 H Depeznpout, Kasaub. 1849. 8°. ve EE وو یر‎ Ws on و‎ A. CP الانشقاق‎ eb نان‎ sel AS کتاب بلعی کر‎ à ill, .الکنینشین الشرقية‎ S. 1. et a. (St. Pe- tersburg 1858. 8°). (K. öffentl. Bibl.). L 98) ,طباق‎ d. i. einzelner Bogen, mit Gebeten u. s. w. (durchaus nicht als Titel zu nehmen). 1851. 1859. 1862. 1863. | 99) AT. شربف‎ m 1850. 1851. 1852. 1853. 100) نامه الع‎ bb کتاب‎ 1851. (Zenker II, 678). e n np. Kasan. 1849.‏ 085 ۵6 مبادتلرټنک ترتبین .8° .1852 Vs. 1847.‏ ,عبرة نامه وشکر نامه من اببات asal‏ )101 .1864 .1860 .1857 .1851 Vs. 1846. 1856.‏ ,عقيل منظومه )102 103) منظومه‎ $c, Vs. 1860 lithogr. 4°. .نصیعت نامه PTS‏ JU „ie, 8. .کاب‎ Ae Handelstractat ۰ Beil. I, A. 22).‏ نامه ed. Gottwaldt. 6‏ کناب عبن العلم )104 105) غرو لگ‎ — 1853. Tome XI. 372 fit ut addant ubi omittendum erat, quam ut omittant, ubi addendum. Ille Abdulasis filius Tuktamisch idem est qui nomine gentilitio vulgo compellatur راشف‎ » prouti etiam in fine libri EI jg. Extrema quum vertere non plaeuerit Schnurrero, qui quidem alias talia silentio transmittere non solet, addo: «Facta est impressio in urbe Kasan, anno europaeo 1803, finita autem virginis signi cael. die» et haec addo, quia qui in iis haererent vidi: ایلان‎ idem esse quod abl, Y, ete. (cum, in) uti dicunt I, ail mane etc. porro oJ scriptum esse pro کوننده‎ S. 099. — So schrei- auch die kasanischen Tataren promiscue بافرعان‎ und باقر غان‎ u.s. ۰ Der St. Petersb. Koran ist äusserst selten. In dem «Supplement to Howell and Stewart's Catalogue of oriental litterature for 1827», 1.3249 ist der Preis die- ser Ausgabe von 1787 zu 6 L. 6 Sh. angegeben und dazu die Anmerkung: This edition was executed at the ex- pense of the Empress Catherine, under the superinten- dence of a learned Mollah, for the use of, and. for the purpose of conciliating her Tartar subjects. The whole impression, with the exception of about 20 copies, was sent for distribution into the interior; but owing to the Mahometan prejudices against printed books, could not be got into circulation. — — About three years ago, 15 copies were all that were known to be in circulation, or in the Imperial library. Die kasaner Ausgabe vom Jahre 1817 kostete bei Dondey-Dupré (N. J. Asiat. XII, 1833.) 140 fr. In dem Katalog der Bibliothek Langlés M 258, wird eine petersb. Ausgabe vom Jahre 1789 «avec des commentaires» angeführt. | In dem Katalog der de Sacy'schen Biblioth. NM 1464: Le Qoran. (Pétersb. 1790.) Pet. in-fol.: «de peur que les Mahométans ne la (l'édition) repoussas- sent, comme venant des Chrétiens, on n'y a indiqué ni lieu ni date d'impression; il n’y a pas une lettre qui ne soit arabe, et l'on n'a méme pas mis de signa- tures aux cahiers; toutefois on n'a pas songé au papier dont les marques sont des lettres russes et portent la date de 1789 et 1790». Auch dieses Exemplar hat die Endzugaben, welche sich in den von mir gesehe- nen St. Peterb. Koranen nicht finden. Nach Schnurrer 8. 420 und Wachler soll die. Ausgabe in den Jahren 1790 und 1793 wiederholt worden sein; nach Zenker (I, X 1363) in d. J. 1790, Bulletin de l'Académie Imperiale 113) A. کلام — 0067 قران شر — القرآن‎ 1803. ۰ 1809. 1816. 1820. 1821. 1832. 1835. 1838. 1839. 1842. 1843. 1844. 1845. 1850. 1851. 1852. 1853. 1854. 1855. 1856. 1857. 1858. 1859. 1861. 1862. 1864. 1866. Eine sehr schóne von MullaSchah Ahmed b. Bajasid el-Kasany el- Mamasehy الامشی‎ corrigirte Ausgabe in gr. 8". ist die im Jahre 1861 u. 1866. in fol. gedruckte. Über die kasaner Ausgaben finde ich bei Fraehn in seinen Anmerkungen zu Schnurrer’s Bibliotheca arabica folgende Bemerkungen: S. 420: (haec editio Petropoli[tana]) Casani pluri- ribus vicibus repetita est et haec edit. iu folio iisdem typis sed detritis illis. Etiam nunc cum maxime repe- titur, sed typis iisdem recenter fusis, sumtibus mer- catoris Tatari .و‎ S. 491: Per a. 1815 et 1816 facta est Casani nova editio Korani in folio eum glossis marginalibus. In ex- tremä paginà haec leguntur: قزان نن‎ A : SUM وغل الله 0 عمل دم‎ m شروي کیلدیی شودکارلر عبل‎ عباد السلمین اوجون‎ e حریانلربل‎ Ahr بس‎ سنه‌ده وق‎ ۱۸۱٩ طبغخانه‌سیله. خزینه‌لکرن باصمه اولنیشدور‎ فزان‎ Salz i. e. hie liber sacer, Abd-el-Kerimo et ‘Ubeid - ul -laho filiis (lego yiy) Muhammed Rahimi, Junisidis (Junussow), mercatoribus primo sui ordinis collegio (Gilde) adscriptis, sumtu (lego A jl» am fungentibus, in usum Muhammedanorum (rectius slc ^ AU) in Gymnasii Caesarei Kasanensis officinä typographic (leg. (طمعغانه‎ Asiaticá ab Imperio [sumti- bus publicis] (orb xa3mbr, leg. ai ji) excusus est. Anno 1816 in urbe (leg. ala) Kasan. Ich finde sehr häufig قلغه‎ statt 4»ls. In dieser Hin- sicht sagt Fraehn in einer Anmerkung zu demselben Buche S. 420, da wo Schnurrer Z. 8 von unten, Abu Ali liest: Perperam Schnurrerus legit ابو‎ c. Scribendum ` LS Non admodum observantes sunt Tatari Casanenses punctorum diacriticorum lit- teris م‎ et E aut addendorum, aut non addendorum, siquidem et in pronuntiandis iis hoc puncto vel auctis vel eo destitutis nil discriminis faciant. Saepius tamen 54) In den verschiedenen Ausgaben: تله‎ b SE ab) .خراجات‎ D. 374 116) 4] &as, Vs. 1857. بر تالم غبار و Jle‏ عالم قاضی‌نی حق تعالی بر عالم اوغری‌ننل )117 قولینه کر AL, LP Us‏ برله st‏ د رسوای 7 جپان قبلغان قصه ترر ol. s Aa, S. "LL e 118) AU سف‎ Set oder سیف الک کتابی‎ q. v. Vs. 1807. 1840. 1858. ۰ ,کباب مستطاب وشر ى الاب فى قصة النصور H)‏ )119 .1859 .1857 .1846 .1842 قصة پوسف النبۍ oder‏ پیفمبر )120 .1857 .1856 .1855 .1854 .1853 .1852 .1847 .1863 .1861 .1859 .1858 ed. 11110817. 9‏ ,قصص LSY‏ ربغوزی الع )21 A. ,القصدتان اللامیتان‎ ed. Fraehn. 1814. al...‏ .8 ,قبافت نامه E A. تق‎ Gus کانیشیسس ای تعلیم‎ Co Moskau 1859. Eu ek St. Petersb. 1863. 8". 122) تی‎ E Karte der östlichen Erdkugel von Abdul- Hakim Abdurraschid Oghli. 1861. — 123) AT. حضرت‎ o فیض‎ pure — — AMI LJ SES 8 ZB Jane ws نصاعت نامه سی‎ das y Je امام‎ dl 9 Uf 1847 4°. (Arab. mit tatar. Erklärung). 124) A. بغارزاده )3 بيان للاعنقادات والاخلاق‎ „uf ۰ والاعمال) is LS‏ سوال وجواب در بیان کلام الپی واعتقاد کلیسیای P.‏ von K asem-Bek. Kasan.1857).1 2:‏ ,مس حی Lis, Vs. 1859.‏ کتاب فی بيان مجزات النبی عم )195 126) الاولاد‎ ass ul) Ds ,کتاب‎ Vs. 1860. 127) ssi) LS Lis, lithogr. 1860. 4°. کناب 0% اوقومقدن وذرجه oL‏ اوتری al‏ اولندی نفلیس غینازیه‌سنگ معلملرندن غر بغوربف en‏ زا pi. Tiflis. 1855. kl. 4^; s. unten‏ صادق اوغلندن Grigoriev.‏ dn‏ نامه .5 رکتاب uet Ja‏ للشیغ عطار des Sciences de Saint- Pétersbourg. — 1793, 1790 u. 1798. Der Mulla, welcher die Ausgabe besorgte, wird von Georgi (ündgrabun‘ d. Or. I, S. 130) und Schnurrer: Molla Usman Ismael, von Zenker: Molla Osman Ismail genannt. Fraehn a. a. O. bemerkt: Hic autem اسماعبل‎ . (lie ملا‎ vir arabice doctissimus, sacerdotis munere functus est dum viv eret in pago „lg, haud procul ab oppido Arsk sito. Ferner bemerkt Fraehn zu: non ungeret nisi sputo S. 420: imo verte: quod neminem plagà aliquá per- we cussum palparet quin convaluerit ز(بری)‎ cf. de Mu- hammede in procemio Bordae. Ibid. zu: et esse — glorioso: Kur'anus quidem au- getur epitheto jı 53d], neutiquam vero بزی‎ jell in ejus locum admitti potest. Nec adest ,العز بزی‎ sed ,للع ز بزی‎ quod lam [J] aüctoris est. Verte meo periculo hunc in modum: «sumta haec glossa est e libro de raris et elegantioribus Kur'ani elocutionibus, cujus auctor est «sx العز‎ ; vid. Comment. mea de titulis etc. Chano- rum hordae aur. p. 6, not. ”). On Befehl des Kaisers Paul I. vom 21. Dec. 1797 (Iloanoe Coóp. Baron. T. XXIV, 18287) befiehlt «3600 in der asiatischen Kronsdruckerei gedruckte Exemplare des Koranes in arabischer Sprache zum Verkauf in die Gouvernements zu schicken, wo Muhammedaner woh- nen, die Bücher hier (in St. Petersb.) nicht zu binden und den Preis für das Exemplar auf 6 Rub. 5 Kop. zu setzen.» Das scheint Zenker's Angabe zu besti- tigen. Im dem Ukas wird der im J. 1796 gedruckte Koran gemeint sein. Vergl. noch Gótting. gelehrte Anz. St. 54, 5. April 1806; Hasse, Magazin für die bibl. or. سا‎ S. 253. Michaelis, N. Or. Bibl. VI, 5. 29. 114) Sei الاستغغار وصلو‎ Em شرف تولیل‌لری» ودعاء‎ oli پیاننده‎ leg شریف وباشقه شریف‎ 1862. 1863. 1864. 115) A. کتابئ‎ vide فرق‎ 1859. 1860. ele».‏ رکه S.‏ ,5 4$ د سي p‏ بورنینه Is);‏ طرفلازغه Jil»‏ بولغان Jig:‏ وخط لر 1 Matériaux pour servir à l'histoire du Khanat de‏ Crimée etc., publ. par MEME St.‏ ` Petersb. 1864. 4 376 laret in Moskau: 3370801067 16717 79656 u yBbpeunbmwb 0 10880618218 800709801 rpeko- poceiitekoit nepken. Mocksa. 1841. (4te Ausg.) («PasroBopb1 0 1. 139) Die Ankündigung der Herausgabe der Muham- medieh durch Kasem-Bek. Anf. معلوم اولسون‎ dl .کر‎ 1845. کتاب مستطاب #مریه از تصنیفات قطب العارفین Jus‏ )140 als, ed. Kasem-Bek. Vs.‏ اللقب به بازیعی زاده Kasan. 1845. 4°.‏ 141) جلبی‎ AE ابن‎ Aë العارفین‎ bs ce به‎ Je? EE ^ Vs. 1859. fol. £ M E". Si عزتلو راش افندی طرفندن سویلان able‏ نفسیه منظومه )142 Vs. 1863.‏ ,نفيسه سی در 143) A. H اية‎ all ,کتاب ختصر الوقابة فى مسائل‎ ed. Ka- sem-Bek ip4«—1844. Einleitung: Mioxrecepb- 1045-Bikraers u. s. w. Kasan. 1845. kl. 4°. 144) #زن الاسرار‎ 1858. Herausgegeben von Gott- waldt; s. Zeitsch. d. D. m. Gesellsch. Bd. XIII, S. 503, und Zenker II, 1212. 145) * دوان‎ UL) مشورت‎ slonl فبلانطروبعسکوی‎ Kur صفرلرده اولنان جچکلری شول‎ ab) تصنيفی‎ El le Bulletin de l'Académie Impériale 375 JUI Je رکتاب‎ St. Petersburg 1839, lithogr. Der Her- ausgeber Mulla Tarchan [d. i. frei von Abga- ben] Abdul- Wahid Sulaimanov (ابن سلیمان)‎ wurde im Jahre 1840 zum Mufti von Orenburg ernannt. St. Petersb. Zeit. 1840. X 155. ,کناب سلیمانی باقرغانی‎ s. des. 128) A. کناب اللباب‎ 5. ادمیلرداکی طبیعی Al dite Je‏ قلرینی دقع Eine von der medico-philanthropischen Gesell-‏ schaft in St. Petersburg 1803 herausgegebene‏ und von Ibrahim Chalfin ins Tatarische über-‏ setzte Abhandlung über die Nützlichkeit und An-‏ wendung der Kuhpockenimpfung. Kasan.1811.8^.‏ Zenker (II, 959) nennt als Übersetzer ins‏ Osttürkische Fedor Wolkoff. Das war aber nur‏ der, welcher sich auf dem Widmungsblatt als‏ Herausgeber (u3zareıs) nennt.‏ vol) 1861. (Li-‏ النورة نورما الله تعالی الى يوم القيمة )146 thogr. Abbildung).‏ Moskau lithogr. 1859.‏ Kasan. 1860. 8°. Der‏ ,(شرم) مراد العارفین PT.‏ )147 Verfasser ist der noch jetzt im Dorfe Atneh le-‏ Vs. In‏ ,مراد العارفين 129) کعبه شریف‎ 1853. 1856. 1857. 1858. 1859. 1861; s. H eius ibi .بر دوس .8 ,کلام .القران s.‏ ,کلام ثربف 130) A. d کلمة الشهادة‎ ۰ 131) طيبةنئك ترجقسی‎ AN یعنی‎ äub A 1848; s. auch هر وف s. in‏ ,فضيلة دعاء كن العرش — 1862 ei‏ العرش )132 — .مهر شریف خاصیتلری Sans, Vs. 1846. 1847. 1857. 1860.‏ باش کتابی )133 c‏ ان Joss,‏ 4 کاجینة کیت ابو على سينا )134 J‏ SU, 5. us.‏ .5 لطائٌف خواجه نصر poll‏ افندی )135 ۱ f QU Säll «مبین‎ Astrachan. 1823. 136) الاد اب‎ t Vs. 1856. 1858. gf 1859.‏ الذعوات والاذکار الغ )137 138) Lla) مع‎ 1850. 1851. 1852. 1853. 1856. 1857. 1858. 1859. * الفضایل‎ eg o0: Moskau. 1843. 1 Bogen. کناب افحعادثات فيما بين الفاحص والومن فى اسنقامة .۸ رای الكنيسة البامعة الشرقية ثرجم من اللغة الروسية ان SEL Ae ll Al‏ افایبوس LL‏ التوس ge sed cb‏ بد ار طباعة الا كاديمية الایمبراطور بة à‏ مدينة intl „usb‏ وذلك فی شهر عوز سنه ۱۸۸ Übersetzung der Schrift des Metropoliten Phi-‏ 378 امام Je‏ رحة Al‏ علیه‌ننكگ بر شاکردینه Cats‏ )160 .8 ,1857 = ۱۳۷ قبلغان رساله‌سی‌ننكث ترجه سی دور 1 صعت نامه وعقبره نامه )161 à نظامات ساسه‎ Beil. I, 4. 20). H jJ ul» بن‎ els, طریقعه بارانلوی‎ 1851. 1857. 1858. 1859. 1862. 1866. © 163) A. شر يف‎ SL» 1803. 1807—1809. 1816.1821. 1823. 1833. 1835 — 1839. 1841 — 1844. 1845 — 1847. 1850 — 1862 — 1864. 1866. -In den schon erwähnten Ergänzungen zu Schnurrer’s Bibliotheca arabica findet sich fol- gende Bemerkung Fraehn's (S. 422) zur ersten Ausgabe des iss. بیان Edit. 1°. a. 1801 18-8, extremo loco, post‏ quae cum iis,‏ بيان سعنة الثلاوة et‏ تلاوة القران quae ad calcem editionis Petrop. et Casan. to-‏ tius Corani exstant, eadem sunt, haec habet:‏ شوکتلوعناینلو ومرحتلو رعبت بروری joli‏ ایبراطور اعظم حضرتلرندن بو Jal‏ العباد عبد العزیز طوقتامش je ALI Ael‏ اوجون اوشبو is‏ يکن ترکب ونظامی dl‏ باصمه قبلماق اوجون فرمان هبابونه سب ée Al‏ اوفوبانلار ان ومنتصی الانلاردان خر des‏ Ai‏ یاد اولاغم مرجو Qul js nr‏ باصمه اولنیشدور سنه ۱۸۰۱ رومیه OH‏ Ed. 2%. (ایکتعی کره)‎ in-4° a. 1807. Ed. 3%, (اوجونعی کره)‎ in-8° a. 1808. Sonderbar genug führt Fraehn in den Opp. post. msc. LXIV: «Übersicht der Orientalischen Litteratur in Russland», S. 46 die Ausgabe von 1801 nicht an: Heftijek Kasani a. 1803. 1807. 1808. 1809. 1821. 1822 et 1823. A. شریف‎ Es, St. Petersburg. 1847. Gli, Moskau. : 1847. : .1863 .1859 فتيك نفسیری تصنیف نام الدین AT.‏ )164 4 عنتبك نفسیری d‏ )165 (o — 1859, 1860.‏ بهادر شاه کایناوی Id.‏ )166 167) نفسیری‎ us 1861. 1862. د pe TE des Sciences de Saint- Pétersbourg. 377 bende Mulla Abdul-Hakim b. Abdurraschid. Gottw. 148) PT. مراد العارنین‎ ) E: +) — verschieden von dem vorigen — auf desselben Mulla's Kosten. Kasan. 1864. K. s. dI „Lie‏ ,مزرا قلى .۰ مرش الناعلین )149 — (Kasan?) 1832. 8°,‏ ,مسیعی لار )9( Eli, „les‏ ابتداس الع ۰ کناب معرفت نامه sl d Gb‏ حقی )150 A. رمعلقات‎ /Ipesnis هم۸۵‎ 60708 010178001118 57 not, 1116080115 110333831315 u TMP., W34. ۰ BozAbrpesbrw s. Mockpa. 1832. 8°. 151) Ad حال تعبیر اولنان مفتام — مفتام‎ de Bl H نام كاب هم جواهر الاسلام‎ aid) 1862. 152) يوم القبمة‎ J الكرمة شرفها الله تعالى‎ AU 1861. (Li- ‚thogr. Abbildung). 153) „US ملیکه‎ 1846. 1851. 1859. Diplom für den Mufti von Orenburg. 1814.‏ — منشور.۸ Beil. I, A. 30).‏ Astrachan. 1819. 8°. :‏ ,موسن Eis‏ ابلك کتابی 154) al c A شرف ماب مولود‎ ls, Vs. ۰ 1855. 1859. 1861. prise 4 we 1850. 1851. 1852. i ً We ER 1859. 1860. 1861. 1862. 1863. 1864. 1866. .1851 .1850 مهر ثریف خامیتلری برلان AT. d‏ )156 = 1857. 1859. 1861. 1862. 1866. 157) ae Al, 1845. kl. 4". .رساله LS 1860. 1862. 1866; s.‏ مهمة السلمین )158 P. ,کتاب میزان الق‎ ۰ 1835. 8°. (Zenker II, 1281). Es erschien in dritter verbesserter Auf- lage in Agra 1849. 8°. (Ibid. X 1282). Ù رناصعارت‎ von Ghassaly. 1847; s. .کتاب ايها الولن‎ GLS غو‎ 1860; s. unten Hacbrpos 1860. H وخمر‎ Ju; — Aufruf an die franzósische Armee, 1814. Beil. I, A..14, b). 159) کتاب نصعت الصَا مين‎ 1853. 1855. 1858. 1865. 390 Manifeste, Ukase u. 8۰ ۰ Peter 1. Manifest vom Febr. 1711, betreffend den Krieg gegen die Türkei. Gravirt. Moskau? Beil. I, A. 18). » » » vom 15. Tamus (Juli) 1722. Beil. I, 4. 19). Katharina II. Ukas vom 8. April 1782, Ibid. I, A. 21). » » `» » 26.Mai 1784. Ibid. 25). Alexander I. Manifest vom 6.Juli 1812, Beil. T, A. 8). » » » » 6.Dec.1813. Ib. 9)u. 10). » » » » 80. Aug. 1814. Ibid. 12). Nikolai I. Ukas vom 28. Sept. 1827. Beil. I, A4. 28). Einladungen von Seiten des Rectors und Senats der kasan. Universität. 1814 und 1816. Beil. I, A. 15 — 16). Die letztere Einladung (von 1816) ist neuerdings wieder abgedruckt worden. Aufforderung zur Subscription auf den Koran u. s. w. 1814. Ibid. 2). Über Murink's Opodeldoc. Ibid. 4). P. u. T. Gedichte von Mirsa Dschafar. Beil. I, A. 1 — 82). Xenophontov, Türkische und tatarische Sprüchwör- ter. Ibid. C. 4). Verschiedene Papiere, die Erlernung der türk. und Latar. Sprache betreffend. /bid. 5). Russisch-tatar. Wórterbuch. Ibid. 6). Said Chalfin's Russisch-tatar. Wórterbuch. Ibid. -9 | Kirgisica. Ibid. 10). Von dem Kriegsmanifest gegen Persien, welches im Jahre 1721 — 22 in einer vom Fürsten Demetrius. Cantemir dazu eingerichteten kleinen türkischen Druckerei in tatarischer, türkischer und persi- scher Sprache gedruckt bnie (s. Müller, Samml. Russ. Gesch. Bd. 7, 8. 214 — 5) ist mir nur ein tür- - ET Exemplar zu Augen gekommen. S. Beil. H A. 19). S. noch: Arr co6pauubie 1۱8813301٧010 Apxe010- ۲۲۱۹66۲۸۵1۵ Konmucciem. T. I. ۱۱:16. 1866. fol. Aus diesem Register, dem chronologischen Ver- zeichniss, so wie aus den andern noch angeführten Schriften geht hervor, dass es an Hülfsmitteln zur Erlernung der türkischen und tatarischen Sprache, auch nach verschiedenen Dialecten, nicht fehlt. Ich lasse hier zur leichteren Übersicht noch ein Verzeich- Bulletin de l'Académie Impériale 379 ‚mies وبا‎ 1861, s. .دعا‎ 7 8. ur: eil "p روفق‎ ۰ anl] AR. 168( LUS وفت سعر‎ 7 ی‎ pl ,بارمنکه‎ Verordnungen für den Makariever Jahr- markt. (3 Ex.); s. قانون نامه‎ تاغو اویون دعالار‎ aih, s. le». à باشلاغان‎ 3 ۳ s. روف‎ iji Aer Su | 1850. 1 851 — 1853. 1856. ks 8.1861. 170) P. À ët نوی‎ حکایت کتابی‎ EL 1846. , LG Guy 1846. 1847. 0.9. ¥. = Ge ,قصهً‎ Q. Y. 169) A. ۳ éd — ein Billet oder Grünzschein. Beil. I, À. 27). ab 8 HH. Bepeauna, Xauckie apabiku. I. 56 Toxrawpmrb Xana KB Araïñay. Hat, xu. O601eH- CKHMD. Kaaanp. 1850. 8°. II. Tapxamnbie 56 . Toxraubuma, Tumypp Kyrıyra u Ceaxerr-l'upes ı np. Kasaus. 1851. 8°. III. Buyrpennoe ycrpoii- creo Boaoroi Opası. C. Terep6. 1850. 8°. IV. Tapxannsıe مسصسېر سممصص‎ Kanamu 302010 Opbr PycckoMy AYXOBeHCTBy. Kasaub. 1852. 8°. — Apısıru Toxrampnna n'Ceaxerr-Fepas, Bb JUTOTPAPHP و‎ CHAMKAXE pa6orbi K. A. T po- MOHHHA, Ch TAN En Hu 000 A. O. ApnoBa, c5 2 B. B. Fpa- ropbeBa. ) ۰ 1844. ۹ 55) Von eigens, sols Erklürungen türkisch-tatarischer In- schriften führe ich a 1) Kasew - or OGracuenie BOCTOYHLIXB 55 0 T. III. Soen, San. Hen. Asa, Hart, 1865). ۰ 2) 13 ۵ ر 0108 6 3 - ده 150 11 16 ود از‎ Iauarumco Cb ۸ 036010 - Tarap- eo pa1mnetto Bb bamkupiw. 1857. 80, (Tpyası Huu. ۰ 061. T. IV, 1859, S. 257). 3) Pelias - XAHOB® , Tpu HAaNTPOOHBIXD Byarapeuxs 19 ۰ (IV 1. ۰ Yun. Apxeoa. O6nieersa. 1863). 8°, Hayepranie ysamekaro 835113, m 108808۰ Ka3aHb. 1836. 8°. Mnxaiizos (Cnupya.), Hypamckie pa3roBopbi ۱۸ 76 ۲1۵328118۰ 1853. Vergl. Coumenis npmauesaumis Kb rpawwarmkb Yysauıckaro assıra. 1772. 8°. Baci u 8088611 188 nepsonaya.ısuaro yrenis. I[lepeBe- Aen cb 116001160۴3۵٥0 m oruaerH 00083830111 856 na Tarapekows ,تیه‎ 114006 1839. 4°. Kasemp-Bex® (Aïekc.), 1 08300001118 Typenko-Tarap- ckaro 835118. Ka3aHb. 1839. 8. 118310871 (Mapr.), Tarapekas rpammarura. Kasaus. 1842. 8°. Tarapckas xpecrowaris. Ibid. e. a. Handjéri (Alex.), Dictionnaire francais-arabe-persan et turc etc. à Moscou. 1840 — 41. 3 voll. 4°. (JL), Typenso-Tarapcekiü 67708106. ۰‏ 134108 رط 844. 4. 1133 117-15 115 (Auexc.), Oómas 0800301۵8 Typenko- Tarapekaro s3bika. 2-e n31. Kaaanb. 1846. 8°, über- setzt von Zenker, Leipzig. 1848. 8°. Marapopt (T.), Tarapekas rpammaruka 0 napbuin. Tmoaucs. 1848. ۰ Berezine (E.), Recherches sur les dialectes musul- mans. 1. P. Systéme des dialectes Turcs. 1848. 8°. X IL: Recherches sur les dialectes Persans. 1853. 8°. Hier seien auch desselben 88 kb Tiopkekoit 108313111. C. II. 1846 u. Gramma- tik der persischen Sprache ) 301137113 77 ekaro s3bika, Kasaub. 1853. 8°.) erwähnt. Böhtlingk (O.), Kritische Bemerkungen zur zweiten Ausgabe von Kasem - Bek's türkisch - tatarischer Grammatik. St. Petersb. 1848. 8°. (S. Bull. hist. phil. T. V). | Zur türkisch-tatarischen Grammatik. Ibid. T. VI. 1849. Mél. asiat. T. I, S. 114. A61»-215-Paxwam Yereöu Kpsıny XoBaAika (in der Unterschrift: Xasaııza), Tarapcko-Pycckie pas- ropopber. Kasamb. 1850 *), 4° Wabunnuckiit (H.), Pycckas 2061168 na TaTapCKOMb A3bl- KB. Kazans. 1850. Böhtlingk (0.), Über die Sprache der Jakuten. St. Petersburg. 1851. 2 Voll. 4°. — Zur jakutischen Grammatik. Mél. As. T. III. 1859. S. 643. 12 ۲ (ole, Ni Wahhabov, auch Wahhapov), 59) Nach der eben genannten «Übersicht» erschien das Buch 1853. Die Ceusur unseres Ex.: 1850; s. Anm. 24. des Sciences de Saint- Pétersbourg. niss solcher im russischen Reiche herausgegebenen Hülfsmittel, im Ganzen chronologisch zusammenge- stellt, folgen *). | Typenkan 1033111131113 , uam kparkiii m 3079310711 cno- COOP KB 1131 ۹68110 Typenkaro 135113. 11662. Cb pan- 11۳306108۳0, C. 11606. 1776. 8°. Grammaire Turque ete. — Typerkas rpammarnka u np. 116068. c» æpanuyscrkaro 136114 P. ٧ Bs 11005 1777. 8°. 282۳5۲۱۲۲5 (Carurp), ۸36718 Tarapckaro 131118. Moc- kga. 1778. 8°. Im tatar. Titel الى بی الخ‎ nennt sich der Verfasser Ae! ail. Jar, und قلعه — قلغه‎ die Stadt. , 1 17810815 (oct), 1831131118 Tarapekaro 1 C. Ilerep6. 1801. 4°. | j Copa 100680۶78, nysubinnis Kb 05108110 878 oó6ysenis Tarapckomy asbiky. Ibid. a. eod. Histp Bax. ۸78011617681, Byksapp Tarapekaro m Apaóckaro 11869۱۵ m np. coumnennbit Byxapromb ١. Hiarp Baron ATHOMeTeBBIM'b, 1011 7 erBowb m np. 100898 11781088. C. Ilerepó. 1802. 4°. 117۵ م8085‎ (L), Caosapb Pocciiicko-Tarapexiit. C. He- reng, 1804). 4. ۱ (Höparuns ®), ۵36718 ا١‎ 48 Ta- Tapekaro ashika CB 1084138001 Apaóckaro yreHis. Kasans. 1809. ۳: ۱ | Tposnexiü (Ax.), 1103138 13130631 0. Ilerep6. 1814. 4°. ۱ Xaıseuns (Höp.), Zum, J[rmrusxama w up. Kasanb. 1819—22.8.. تت‎ e UT TEN T poznexiit (Au.), Kparkaa Tarapekañ rpanmarıka, Ka- aam, 1824. 4". Ceukoncxiit, 11301131837 KAMTA 87 Pycekmxb 85 Bp Typemnxe noxojaxe. C. Ierepó. 1828. 8°, -Rhasis, Vocabulaire francois-turc. St. Peterb. 1828 = 1699, 4. Tponneriü (Auerc.), Caosape Tarapckaro 6 Ka- gans. 1833 — 1835. 4". - 86) Vergl. Übersicht der tatarischen Grammatiken von *. (Zeit- chrift d. D. m. Gesellsch. Bd. XIII, S. 501). Kowalevsky (Übersicht, Kasan. 1842) u. A. Nach der in Anmerk. 56) genannten «Übersicht» wäre der 384 KB naygeniro ۸0960618۲0 1166/10/30 u Tarapcraro 413BIKOBB. Kasans. 1859. 8°. Hapmunckiü(Hne.), 1) Zur tatarischen Lautlehre. Mél. - As. T. III, 1858. S. 476. — 2) Über die Sprache der Turkmenen. Mél. As. T.IV.S.63. 1860. Marepia.sı Kp 113۹01۱۹۵ 0 1۱806912۰ 11830110, ۰ 8°. س-‎ (anmoyaurens Pyceroï 108311011 8 HuprH30Bb. Ibid. 1861. 8. ——— Marepiaısı 138 /Lxararaiickaro CHpAReHIT رت‎ BaGeps-maws. Ib. 1865. 8°. — 3 311310171131 8 ۱31790010164 ۰ 1803 in: Vueuvia Bannera Mm. 1183.3 م1186‎ 186 8 11130663111 (I. 11.(, 5 MycyaBManCKOÏ a3- geen u 10.113162 1862. 4°; 8. H Ge :نفس‎ 11603617171087 (Fp.), O 91757 6eperk 0 mopa, C. 1102006. 1863, S. 325: Typkuenckis 11 11 0۰ | Hacsıport (R.— lé) lal القیوم عبل‎ Jae —), Kpar- ras Tarapckaa rpawwarmka. Kasanb 1860. 8". (Myaza Xyceäur) Peii3b- 0101272, 5 yueó- naa rpawwarmka Tarapexaro 8384. C. Ilerepó. 1862. fol. (lithograph.). Jasapes® (JI. M.), Typenxo-Tarapcko-P yeckiii CJOBApb yapbuifi: Ocmaucraro, 110100370 m Kapkasckaro, 6 68 55 rparkoi 10800013110 Moama, 1864. kl. 8°. Baranog® (K.), Camoyunreap Au Pyceruxp 0 Tarap- cku m A Tarapp no 1۳۲661:11, ۰ 1865. 8°. 33300081 (JI. M.). Cpamrnrreabnaa xpecromaria Ty- peukaro A3bIKA napbyiiü Ocwamzbr u ۵ u np. Mockga. 1866. 8°. 23 Radloff (W.), Die Sprachen der Türkischen Stämme Süd-Sibiriens u. s. w. 1. Abth. St. Petersb. 1866. 12. Januar 1867. Nachträglich sind dem Museum | noch zugekommen: : 1) Eine Schrift (fast nach der Weise der امان‎ MEA ent- haltend a) das russische Alphabet und b) den klei- nen Katechismus, russisch und tatarisch: Hayaanoe ون‎ YEAOBKBKUMA, 1۳011۸1۱۱۵۱۱۸ ۸ ۹ ها من‎ ete.: Gortauntranun KATH- 131۶ TIEPEREAENNAIN na ۷ iai 11 ۰ en KaasáuckoÁ Arartmin Air ۱6۸۵ — ۸ 6۱۸۱۸۸۸ KATHXH3HEZ (1. e. (ختصرلنیش کات غیزبس‎ u np. für getaufte Tataren. Kasan. 1803.8. 7 Bulletin de l'Académie Imperiale Pyceko - Tarapekaa 0۰ Kasans. 1852, 1856, 1860 n 1862. 8°. Kasens-bBex»# (Ax.), ¥ 7 1000677 Js 0 xypca Typenkaro 138168 H 7۰ C. Herep6. 1854. lithogr. fol. siskan och Turkiskan u. s. w. Helsingfors. 1854. 8°. Grammatik der Osmanischen 6‏ رقواعی عنمانبه u.s. w., bearbeitet von H. Kellgren. Helsingfors.‏ .8° .1855 D'pntroptert, H.) u Mupaa Maon 0۵ ه110‎ ls Jl :ترکی اقومقدن وترجه ایلیکدن اوتری‎ s. d. Reg. $. v. کناب‎ 11381600016 56 0100070811001 Xpe- cromarin Tarapekaro 0 napbuin. Tuoducs. 1855. kl. 4°. ILusoccaun (I. ۸.(, 6 pasropopbı Ha PoccifickoMB, dbpanny3ckoMb, Typenkow u TarapckoMB A3ÞIKAX'D. Nouveaux dialogues etc. Par M. I. ۰ ۰ Tuset. 1856. 4. Castrén (Al), Versuch einer Koibalischen und Ka- ragassischen Sprachlehre u. s. w. Herausg. von A. Schiefner. St. Petersburg. 1857. 8°. Vergl. Schiefner (A.), Heldensagen der Minussinschen Tataren, St. Petersb. 1859. 8°. Einl. S. VIII. (Iporoiepeü Ioak. PomanoBb) 131736011 0118305 eoerapz II. I. P. — C. Herep6. 1854, n34. 2-e 1856 u 3-e i31. 1860. 8°. | 51817087 (JL), ITpakrmeckoe 0 T ypeuko- Tarapcraro ۸ 3 0۵ 1890591. ۰ 1857. 8°. Bapt (II.). Typenkas 0601701131171. 8۰ 1857. 8 | 1137 108 5, 11۳9111113661606 27108010780 Kb 10 Tarapekaro 36168۰ baang, ۰ 8°. Xırrpog® (/L.), Kparkan rpammarnka fIKYTCKarO A3bIKA. Mocxea. 1858. 8°. EIS (Aur.), Ocmauckan xpecrowaris. C. IIe-‏ و1 ۱ .8° .9 — 1858 .1606 Dupont, Tepenenet, 07۵0101 A11 1833361130 Hepe- 80318, CB TPaMMATHTECKIMD 0230010115 H ۰ C. Ie- rep6. 1858. 8°. Kyxaamess (Camp Jang), Tarapcran 7 maris. Kasams. 1859. 8°. = Caosaps Kb Tarapekoit 0601703111. 75 1859. 8°. Bexuypuus (Mupr-Caauxe), Hauaabuoe 0 : Kelleren (H.), Om Affix-Pronomen i Arabiskan, Per- | - LA Industrieausstellung erleiden wird, veranlasst mich, der Akademie eine gedrängte Übersicht der haupt- sächlichsten Thatsachen vorzulegen, welche das Er- gebniss meiner Arbeit bilden. Obgleich in den Handbüchern mehrere feste Koh- lenwasserstoffe des Steinkohlentheers aufgeführt sind, so besitzen wir doch noch von keinem derselben eine den Anforderungen der Wissenschaft genügende Auf- zählung solcher Eigenschaften, welche für ihn allein charakteristisch sind; in der Auffindung solcher Cha- raktere aber, und in der Darstellung der Körper in reinem Zustande liegt die ganze Schwierigkeit ihrer Untersuchung. Diese Schwierigkeit hat schon Lau- rent kennen gelernt, als er im Jahre 1837 unter dem Namen Pyren einen neuen Kohlenwasserstoff be- schrieb, und in dieser Schwierigkeit liegt der Grund davon, dass wir seit Laurent in der Kenntniss. die- ser Körper, welche in den Leuchtgasfabriken täglich in grossen Mèngen erzeugt werden, fast keine Fort- schritte gemacht haben. Einen Beweis, wie schwierig die Aufgabe ist, hat noch im Jahre 1862 Professor Anderson in Glascow durch seine Abhandlung über das Anthracen geliefert, indem die von ihm gegebene Charakteristik dieses Körpers durchaus nicht als ge- nügend anerkannt werden kann, und keine hinreichen- den Beweise für die Reinheit des von ihm untersuch- ten Körpers beigebracht sind. Auch dass Anderson den Körper Cs H für das Anthracen von Dumas und Laurent erklürt, erscheint nicht hinreichend ge- rechtfertigt, denn für dieses letztere wird von den Entdeckern der Schmelzpunkt zu + 180° C. angege- ben, während der Körper C,,H,, nach Anderson bei + 213? C. (416° Fahr.) und nach meiner fünf Jahre früher gemachten Angabe ungefähr bei + 210° C. schmilzt. Es drängt sich daher unwillkührlich die Frage auf, warum Anderson nicht nach einem an- deren, jenen niedrigeren Schmelzpunkt zeigenden Kör- per gesucht und für diesen den Namen Anthracen reservirt hat, denn dass der Körper C,H, von ande- ren, einen niedrigeren Schmelzpunkt besitzenden be- gleitet ist, davon überzeugt man sich beim Arbeiten mit diesen Körpern sehr bald. Als ich bereits im Jahre 1857 die Formel C,H, für den von Anderson spå- ter Anthracen genannten Kórper aus seiner Verbin- bindung mit Pikrinsáure ableitete und feststellte, habe ich ihn absichtlich mit keinem Namen belegt, weil ich 25 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 385 2) Caanrenmas ACTOpİA orb corBopenis Mipa 10 KOHWHHBI Iocusa, no kuurb bbrris, 133076081835 Hà 05 Tarapckowb 838115. — By KHAFA AIIAHbIHD 5 KHATACHHHAHB Kloumpnób auras. Kasaup. 1863. 16°. Biblische Geschichte von Erschaffung der Welt bis zum Tode Joseph's. 3) BykBapb, HpaBoyseHis, MOJHTBbI, KPATKAA CBALLCH- HAA 10708 U cokpantemnbrit karmxuaucs. Ha 13007 nout, TaTapCKOMb 838116. Han, I-e, 16008835. — by KHATA 73617۵ 110818 , aHHaHb apbI ۲۵60818 5 Gupa, u np. Kaaagb. 1864. 8°. ABC, Sittenlehren, Gebete, kurze h. Geschichte und kurzgefasster Katechismus. 4) Kunra Ilpemyapocru Incyca 68 ÜUnpaxopa, 160610- CHHAA na 1831000557 Tarapckiit ۰ Art ۸ Typrans Kuara. Kasaub. 1864. 32°. Das Buch der Weisheit von Jesus Sirach. 5) Csaroe Esaureuie l'ocuoga 0 Iucyca ۰ Ha 83001501111 7576 aart — Dbeanenb 455 Iucycb XpucrOCHbIHb WbIHb 1188117631666. ۲75 1866. 16°. Das h. Evangelium unseres Herrn Je- sus Christus. (Matthaeus). Die vier letzten «in der tatarischen Volkssprache» geschriebenen Schriften sind mit russichen Buchstaben gedruckt. Si en leen +1 Bericht an die phy f matische Classe der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaf- ten vom Akademiker Fritzsche über seine Arbeit, betreffend die festen Kohlenwas- serstoffe des Steinkohlentheers. (Lu le 28 février 1867.) Als ich gegen Ende des Jahres 1865 den ersten Theil meiner Abhandlung über die festen Kohlenwas- serstoffe des Steinkohlentheers der Akademie vor- legte , war ich der festen Überzeugung , bald eine Fortsetzung folgen lassen zu können. Allein die Ent- deckung neuer Thatsachen und die Auffindung neuer Körper hat das Ziel, nach dem ich strebe, eine er- ` schüpfende Charakteristik der in Rede stehenden Kör- per zu geben, in weitere Ferne gerückt, und so sehe ich mich noch jetzt, nach jahrelang ununterbrochen mit dem grössten Eifer fortgesetzter Arbeit noch weit vom Ziele entfernt. Die Unterbrechung nun, welche meine Arbeit jetzt durch meine Reise nach Paris zur Tome XI. cher leichtlóslicher in Äther ist und bei gleicher Be- handlung einen weniger durchsichtigen, nicht krystal- linischen Wulst am Rande bildet. Gemenge der bei- den Körper, welche in allen Verhältnissen zusammen- krystallisiren, geben einen weissen, vollkommen un- durchsichtigen Wulst am Rande, und der Körper 03H i, ist daher nur dann als rein zu betrachten, wenn er das beschriebene Verhalten deutlich zeigt. Beim Erkalten alkoholischer Lösungen scheidet sich der reine Körper C4,H,, immer in flachen, blattartigen Tafeln aus, welche gewöhnlich eine deutliche Krystall- form zeigen, und zwar entweder sechsseitige oder auch vierseitige rhombische Tafeln bilden, welche sich an die Winde des Gefässes ansetzen; der andere Körper dagegen scheidet sich in gewundenen, in der Flüssig- keit schwebenden und sie als sehr voluminöses Hauf- | werk fast ganz erfüllenden Blättern aus, welche beim Sammeln auf einem Filter sehr zusammensinken und eine lose zusammenhängende Masse bilden. Gemenge der beiden Körper zeigen immer dieses letztere Ver- halten und schon bei der Betrachtung durch die Loupe erkennt man gewöhnlich, dass die in der Flüssigkeit schwimmenden Blätter keine gleichförmige Beschaf- fenheit besitzen, sondern dass auf grösseren, gewun- denen, dünnen durchsichtigen Blättern Gruppen von kleinen, weniger durchsichtigen Krystallen aufsitzen. Durch das Mikroskop betrachtet findet man oft die grossen ‚Blätter sehr zierlich fransenartig mit solchen kleinen Krystallen garnirt. Ist der Körper C,, Hj) noch durch kleine Mengen von Chrysogen gelbgefärbt, was seiner Krystallisa- tionsfähigkeit keinen Eintrag thut, so kann man ihn durch langsames Erkalten grosser Mengen alkoholi- scher Lösungen in bestimmbaren Krystallen erhalten, und solche Krystalle hat mein verehrter College v. Kokscharoff bereits im Jahre 1864 einer krystallo- graphischen Untersuchung unterworfen, deren Resul- tate 101 hier mit seinen eigenen Worten folgen lasse. «Obgleich die Krystalle meistentheils sehr dünne «Blüttehen bilden, und sich daher im Allgemeinen we- «nig zu einem gründlichen Studium eignen, so ist es «mir doch gelungen, das Krystallsystem derselben mit «vollkommener Sicherheit, und ihre wichtigsten Win- «kel annüherungsweise zu bestimmen. «Die Krystalle gehóren dem monoklinoédrischen Sy- «steme an und ihre wichtigsten Combinationen sind Bulletin de l'Académie Empériale 387 damals schon der noch heute gehegten Meinung war, dass, bevor man an die Nomenclatur dieser Kórper ge- hen kónne, man sie erst alle genau kennen gelernt ha- ben müsse, und dass die mangelhafte B hreibung eines derselben ohne vergleichende Zusammenstellung sei- ner Charaktere mit denen anderer ihm nahestehender Körper unsere Kenntniss wenig oder gar nicht för- dere. Ich habe auch 1858 bei meinem flüchtigen Be- suche in Glascow weder den von mir beschriebenen Körper, noch den von Anderson dargestellten für identisch mit dem Anthracen von Dumas und Lau- rent erklärt; von der Identität unserer -Körper mit diesem letzteren war damals überhaupt nicht die Rede und ich constatirte nur in Anderson’s Laboratorium die Verbindbarkeit seines Körpers mit Pikrinsäure, ohne daraus auf seine Identität mit dem in meiner analysirten Verbindung enthaltenen Körper C,H, el- nen Schluss zu ziehen. Der Körper C,, Hi ist der am leichtesten rein zu erhaltende Bestandtheil der festen Masse, welche das Material zu meinen Untersuchungen bildete, und seine . Darstellung in vollkommen reinem Zustande ist mir vollständig gelungen. Von ihm kann ich daher schon jetzt eine genaue Charakteristik geben, und wenn ich ihr auch noch keine erschöpfende Vergleichung mit den ihn begleitenden Körpern an die Seite stellen kann, so bin ich doch wenigstens im Stande, für diese eine oder die andere charakteristische Reaktion anzu- geben, welche ihre Unterscheidung untereinander mög- lich macht. Der Körper C,H, krystallisirt aus seinen Lösungs- mitteln gewöhnlich in dünnen Blättern, welche aber niemals gewunden sind, sondern vielmehr stets eine bestimmte Krystallform haben. Am schönsten und leich- testen kann man diese Form erkennen, wenn man eine kleine Menge des Körpers auf einer Glasplatte mit einem oder einigen Tropfen Äther übergiesst; es pleibt dann beim Verdunsten des Äthers ein Fleck auf der Glasplatte zurück, welcher dem unbewaffne- ten Auge durchsichtig erscheint, durch das Mikroskop betrachtet aber sich vollkommen krystallinisch erweist und namentlich an den Rändern gutausgebildete sechs- seitige Tafeln erkennen lässt. Die Durchsichtigkeit dieses Fleckes und seine krystallinische Beschaffen- heit sind ein Hauptunterscheidungszeichen unseres Körpers von einem anderen ihm nahestehenden, wel- St. - Pétersbourg. 390 «kel derselben Kante zur Klinodiagonalaxe b, durch « den Neigungswinkel der orthodiagonalen Polkante «zur Verticalaxe a, und durch c den Neigungswinkel «der Mittelkante zur Klinodiagonalaxe b, so erhalten «wir durch Rechnung: Für 0 — + P. ږ‎ 35? 49' 54" y— 66° 42' 36" اوو 89۶ و‎ 1" y —47? 30^ 52" »—76?53' 8" p—28° 2 4" c—35? 6' 58" Für m— ۰ ږ‎ 40° 26' 26" y — 49? 33' 34" Für x — + 2Poo. بت و‎ 90°. 0 0° y= 217 40 18" 2 — 1027 43' 42" und ferner folgende Neigungen: Durch Rechnung. Durch annähernde Messungen. m.: m o r سم‎ 5 o = E M 80° 53 ée = de EEN 99? 7 in y | 68°30 |- مین O WEN 111?31‏ وي | p m9 al el 97? 38‏ و om = 04927 gap: 1116 سن‎ 11:48 6 126° ووهه دنه 4217.4 zi‏ AB na ri 121° 48’‏ سوم Mm 71?40 In æ «Die ziemlich vollkommene Spaltbarkeit geht in den ‚«Krystallen parallel mit der Fläche des Basopinakoids « p gi oP. » Grössere Krystalle des Körpers C,H, erhielt ich auch zuweilen beim allmählichen, freiwilligen Ver- dampfen seiner Lósung in Steinkohlenöl in Gefässen mit hohen Wänden, allein dann waren die Flächen und Kanten gewöhnlich abgerundet und die Krystalle hat- ten eine mehr oder weniger linsenartige Form, welche sie zu Messungen nicht geeignet machte. 25* 359 des Sciences de «durch die Figuren 1 und 1۱۳ und 2 und 2۳ darge- «stellt. | Fig. 2. Fig. 1. «Sie bilden grósstentheils sehr kurze, rhombische Pris- «men m, welche an ihren Enden durch die Flüchen «des basischen Pinakoids p und des Hemidomas 2 be- «grünzt werden (Fig. 1). Nicht selten gesellen sich «noch zu den obengenannten Flächen die Flächen der «monoklinoédrischen Grund-Hemipyramide o, (Fig. 2). «Bezeichnet man durch a die Verticalaxe, durch b die «Klinodiagonalaxe, und durch v den Winkel, welchen «die Klinodiagonalaxe mit der Verticalaxe bildet, so «erhält man: Rene EZ? Nach Weiss. Nach Naumann. p. .(a:00b:000) ۰ oP. m.. (ooa:b:«c) ooP. 0 . + (a :b : €) ې‎ P x زار‎ 02 (2a:0:000)1t. /-t- ۰ a:b:c— 1,878:1,422:1*) 4— 55° ۰ «Bezeichnet man ferner durch x die Neigung der «Fläche zu dem klinodiagonalen Hauptschnitte, durch «y ihre Neigung zum orthodiagonalen Hauptschnitte, «durch z ihre Neigung zum basischen Hauptschnitte, «durch p. den Neigungswinkel der klinodiagonalen Pol- «kante zur Verticalaxe 4, durch v den Neigungswin- *) Diese Axenverhältnisse und der Winkel y sind, wie schon erwähnt, aus annähernden Messungen abgeleitet, und daher 6 mur als annähernd zu betrachten. - sich wiederum vollständig in diesen Körper. Aber auch diese Eigenschaft kommt dem Kórper C,H, nicht al- lein zu, sondern der schon erwähnte, ihm naheste- hende Kórper zeigt ein ganz ühnliches Verhalten, nur scheidet sich bei ihm der Parakürper bei seiner Bil- dung nicht in deutlichen Krystallen aus, sondern bil- det verworrene, blattartige Massen, welche die der Sonne zugekehrte Seite des Gefässes mit einer opa- ken Kruste bedecken. Zwar setzen sich auch die Kry- stalle des ersteren Parakörpers vorzugsweise an die Wände des Gefässes an, allein durch ihre schon durch die Loupe deutlich erkennbare Krystallisation gewinnt das Ganze ein anderes Ansehen. Man kann jedoch auch den zweiten Parakórper in deutlich ausgebilde- ten, freilich nur höchst kleinen, mikroskopischen Kry- stallen erhalten, wenn man ihn mit starkem Alkohol kocht und die kochendfiltrirte Lösung langsam erkal- ten lässt, wobei er sich in flitterartigen, aus vierseiti- gen rhombischen Blättchen bestehenden Krystallen, freilich nur in sehr geringer Menge, ausscheidet. Für die Darstellung des Körpers C4,H,, in reinem Zustande kann ich bis jetzt nur ein Verfahren ange- ben, welches darin besteht, das Rohprodukt in Stein- kohlenöl zu lösen und das, was sich dabei zuerst aus- scheidet, immer wieder von Neuem aufzulösen, bis man endlich die oben angeführten. Krystallisationser- scheinungen erhält. Dabei muss man, nachdem das Sonnenlicht einmal die gelbe Farbe gebleicht hat, eine weitere Aussetzung der Lösungen an dasselbe vermei- den, weil man sonst immer eine Einmengung des Pa- rakörpers erhält. Bei diesem Verfahren scheidet sich immer zuerst ein schwerer schmelzbares Produkt aus, während leichter schmelzbare Körper in der Lösung zurückbleiben, aus welcher man durch theilweise Ab- destillation des Lösungsmittels nach und nach Körper von verschiedenen Schmelzpunkten erhält. Zuletzt wird man gut thun, den Körper C,,H,, noch mit einer Lö- sung von Pikrinsäure in Alcohol auszukochen, um eine mögliche Beimengung eines Körpers von noch viel hö- herem Schmelzpunkte zu entfernen, welcher in einer solchen Lösung sehr viel löslicher ist und dessen Ver- bindung mit Pikrinsäure schon durch Hilfe von Alcohol erhalten werden kann, während bei dem Körper OH» dies nur durch Steinkohlenöl gelingt. | Den Schmelzpunkt des reinen Körpers Cla habe ich nie höher als + 207° C. gefunden, doch kann ich Bulletin de l'Académie Impériale 391 Der Kürper C,,H,, ist zwar in reinem Zustande voll- kommen farblos, zeigt aber ein ausgezeichnetes Far- benspiel. Um die ihm gewöhnlich hartnäckig anhän- gende, von einem Chrysogengehalte herrührende, gelbe oder gelbliche Färbung zu entfernen, löst man ihn am besten in Steinkohlenöl auf, und setzt die heisse Lö- sung dem directen Sonnenlichte aus, wodurch sie je nach der Intensitüt des letzteren mehr oder weniger schnell gebleicht wird. Beim Erkalten solcher Lósun- gen scheidet sich nun der reine Kórper in grossen Blättern ab, welche im reflectirten Lichte eine pracht- voll violettblaue Färbung, im durchfallenden Lichte dagegen eine schwach gelbliche Färbung zeigen. Be- sonders schönsieht man diese blaueFarbenerscheinung, ` wenn man die Blätter in einem Kolben mit nur wenig Steinkohlenöl übergiesst und darauf durch Umschüt- teln an den Wänden des Kolbens vertheilt; auch wenn man aufden Wänden eines Gefässes eine dünne Schicht des Körpers durch Ausbreiten geringer Mengen von Lösungen des Körpers in Äther bildet, zeigt die ganze Fläche diese Farbenerscheinung, und auch an trock- nen Krystallen ist sie, obgleich in geringerem Grade, zu bemerken. Sie ist jedoch nicht nur diesem Körper allein eigenthümlich, sondern findet sich auch noch bei anderen festen Kohlenwasserstoffen des Steinkoh- lentheers. Gegen das Licht zeigt der Körper Cəs Hı ein sehr merkwürdiges Verhalten. Setzt man eine in der Kälte gesättigte Lösung desselben dem direkten Sonnen- lichte aus, so beginnt in derselben sehr bald die Aus- scheidung von mikroskopischen Krystallen, deren Form je nach dem Lösungsmittel verschieden erscheint. Aus der Lösung in Steinkohlenöl erhält man sechsseitige Tafeln, bei denen zwei Seitenkanten eine viel grös- sere Ausdehnung besitzen, so dass die Krystalle als flache Prismen mit zweiflächiger Zuspitzung erschei- nen; aus alkoholischer Lösung aber scheiden sich stets blattartige vierseitige, rhombische Tafeln aus, auf denen gewöhnlich gut ausgebildete kleinere kompakte Krystalle aufsitzen. Beide Arten von Krystallen haben unter sich gleiche, aber ganz andere Eigenschaften als der Körper, aus dem sie entstanden sind. Sie sind fast unlöslich in allen Lösungsmitteln und verhalten sich gänzlich indifferent. Schmelzt man sie jedoch, wozu eine höhere Temperatur erfordert wird, als der Schmelzpunkt des Körpers CH, so verwandeln sie bei + 50 bis 60? C. eine Entwickelung rother Dämpfe und es findet bald eine Ausscheidung krystallinischer Produkte statt; je nachdem man nun längere oder kürzere Zeit, und stärker oder weniger stark erhitzt, erhält man verschiedenartige Produkte, von welchen ich hier die drei wichtigsten anführen will. 1) Ein farbloser, in mehr als eine Linie grossen schön ausgebildeten Krystallen auftretender Körper, dessen Krystallform bereits von Hrn. v. Kokscharoff als dem monoklinoédrischen Systeme angehörig er- kannt und genau bestimmt worden ist. Er ist in Alkohol und Benzol ohne Zersetzung lóslich, und kann nament- lich aus letzterem durch Umkrystallisiren in gros- sen Krystallen erhalten werden; bei anhaltendem Ko- chen mit Essigsäure aber entwickeln sich rothe Dämpfe und eine eingreifende ‚Zersetzung findet statt. Beim Behandeln der alcoholischen Lösung mit Basen wird ein gelber, nadelförmiger Körper gefällt, welcher mit Pikrinsäure eine Verbindung eingeht; es wird dabei kein anderes Produkt gebildet, da man aber von dem nadelförmigen Körper sehr viel weniger erhält, als man Substanz angewendet hat, so ist er wahrscheinlich durch einfache Wegnahme einer Oxydationsstufe des Stickstoffs aus ihr entstanden. 2) Ein in grossen, farblosen Prismen krystallisi- render Körper, welcher sich vorzüglich dadurch aus- zeichnet, dass seine alkoholische Lösung durch Alka- lien eine tief orangerothe Farbe annimmt, welche durch die Bildung einer Sáure bedingt wird; deren Kalium- salz in tief orangerothen Nadeln krystallisirt. Leitet man Ammoniakgas in eine Lösung des Körpers in Benzol, so bildet sich ein copióser, dunkelrother, amorpher Niederschlag. 3) Ein Kórper, welcher sich in geringer Menge in den Krystallisationen vorfindet, welche bei gewöhnli- cher Temperatur aus der gelben Lósung sich absetzen, aber auch beim Erhitzen und Kochen dieser Lósung sich bildet. Ihm kommt die ausgezeichnete und hóchst bemerkenswerthe Eigenschaft zu, sowohl mit fast al- len festen Kohlenwasserstoffen des Steinkohlentheers als auch mit dem Reten und Idrialin hóchst charak- teristische Verbindungen einzugehen. Leider ist es mir bis jetzt weder gelungen diesen Kórper in vollkommen reinem Zustande, noch auch grössere, zur Untersu- chung hinreichende Mengen davon zu erhalten, und ich muss mich daher auf die Aufzählung seiner Reak- des Sciences de Saint- Pétersbourg. diese Zahl durchaus nicht als eine absolute, sondern nur als eine relative bezeichnen. Alle Bestimmungen von Schmelzpunkten habe ich, wegen der Schwierig- keit, für so schwerschmelzbare Körper überhaupt ab- solute Zahlen zu finden, so ausgeführt, dass in einer Probierróhre soviel des zu untersuchenden Körpers geschmolzen wurde, dass er eine ungefähr einen Zoll hohe Schicht bildete, und an einem von Geissler in Bonn angefertigten Thermometer der Punkt beobach- tet wurde, bei welchem das Quecksilber während der Erstarrung einige Zeit verweilte. Von ganz besonderem Interesse ist das Verhalten des Körpers C4,H;, gegen Salpetersäure. Da mir vor- läufige Versuche gezeigt hatten, wie unvortheilhaft es sei, den Körper direkt mit Salpetersäure zu übergies- sen, und damit, wie es Anderson gethan hat, tage- lang zu kochen, und da mir das Mikroskop zeigte, wie eingreifend Salpetersäure schon kalt auf unseren Körper einwirkt, indem dabei verschiedenartige Pro- dukte auftreten, so suchte ich nach einem Verdün- nungsmittel für die Salpetersäure, welches zugleich als Auflösungsmittel des Kohlenwasserstoffs dienen könne, und habe ein solches in der krystallisiren- den Essigsäure gefunden. Rührt man den zu Pulver zerriebenen Körper mit Essigsäure zu einem dünnen Breie an und setzt nun tropfenweise Salpetersäure, z. B. von 1,4 sp. G. hinzu, so färbt sich die Flüssig- keit unter Auflösung des Kohlenwasserstoffes bald gelb, und wenn man alle Erhitzung vermeidet, so löst sich allmählich alles ohne alle Entwickelung rother Dämpfe zu einer tiefgelben, klaren Flüssigkeit auf, welche höchstens durch etwas ungelöst bleibenden Parakör- per getrübt ist, von dem sie durch Filtriren befreit werden kann. Durch Wasser wird aus dieser Flüssig- keit ein gelber, harzartiger Körper gefällt, über den ich in der Folge weiteres zu berichten mir vorbehalte. Überlässt man die gelbe Auflösung der Ruhe, so stellt sich nach einiger Zeit eine ganz allmähliche Gasent- wickelung ein und es beginnt eine Ausscheidung fester, krystallinischer Produkte, welche entweder nach und nach die ganze Wand des Gefässes mit einer dicken, harten Kruste bedecken, oder auch in der Flüssigkeit schwebende krystallinische Gebilde darstellen. Diese Ausscheidungen enthalten verschiedene Produkte, auf welche ich später zurückzukommen mir vorbehalte. -- Erhitzt man die gelbe Auflösung, so beginnt schon stande bekannten Körper, welcher dem Körper Gel, sehr nahesteht, sich aber durch einen bedeutend nie- drigeren Sehmelzpnnkt (4- 190? bis 195°) wesentlich unterscheidet, giebt das neue Nitroprodukt eine viel dunklere, mehr rothbraune Verbindung, welche ich aus verschiedenen, für mehr oder weniger rein ge- ` haltenen Mengen bald als nadelfórmige Prismen, bald als kleine, unter dem Mikroskope rothblau erschei- nende, rhombische Tafeln, oder auch aus heissen Ló- sungen in lüngeren, flachen Prismen erhalten habe. Die Verbindung dieses Kohlenwasserstoffs mit dem Nitroprodukte muss im Allgemeinen bedeutend schwe- rer löslich sein, als die des Körpers CəsHı0; da ich aber trotz jahrelanger Bemühungen noch nicht dahin gekommen bin, einen Körper darstellen zu können, von dem ich die Überzeugung gehabt hätte, dass er vollkommen frei von dem Körper C,H, sei, so kann ich keine genaueren Angaben machen. Mit einem dritten Körper, dessen isolirte Darstel- lung in reinem Zustande mir ebenfalls noch nicht ge- lungen ist, giebt das neue Nitroprodukt eine dunkel grasgrüne Verbindung, durch welche ich bis jetzt nur allein die Existenz dieses Körpers dargethan habe: Ein vierter Kórper giebt mit dem neuen Nitropro- dukte eine orangefarbene, sehr unlósliche Verbindung, welche beim Fällen aus kalten Lösungen gewöhnlich eine zimmtbraune oder ziegelrothe Farbe zeigt. Durch Umkrystallisiren aus Benzol kann diese Verbindung in schönen, nadelförmigen Prismen erhalten werden, an denen die orangenrothe Farbe deutlich hervortritt. Der in ihr enthaltene Kohlenwasserstoff zeichnet sich dadurch aus, dass er in concentrirter Schwefelsäure sogar bei einiger Erhitzung vollkommen unlöslich ist. ‚Ausser diesen Körpern, von denen die drei letzten sämmtlich einen ungefähr bei + 190° C. liegenden Schmelzpunkt zu haben scheinen, kommt im Steinkoh- lentheere noch ein Körper von einem höheren, bei ungefähr -+ 235° C. liegenden Schmelzpunkte vor. Es ist dies derselbe, von dem ich bereits in meiner ersten Abhandlung über die Verbindungen der Kohlenwasser- stoffe mit Pikrinsäure angeführt habe, dass er bei der Analyse stets einen bedeutenden Verlust ergab, und. also wahrscheinlich nicht bloss aus Kohlen- und Was- serstoff besteht. Er zeichnet sich schon dadurch von ` den vorhergehenden aus, dass seine Pikrinsäurever- bindung durch Hilfe von Alcohol erhalten werden Bulletin de l'Académie Impériale 395 IEEE wene tionen beschrünken, welche für die festen Kohlenwas- serstoffe eben so charakteristisch sind, wie die des Schwefelwasserstoffs für die Metalle. Der sich im Allgemeinen sehr indifferent verhaltende Körper ist eine in allen Lösungsmitteln schwerlósliche, zwar krystallinische, aber bis jetzt nur in undeutlichen mikroskopischen Krystallen erhaltene Substanz von brüunlicher Farbe. Das beste Lósungsmittel ist Benzol, und diese Lösung, welche das unschätzbare Reaktif für die festen Kohlenwasserstoffe bildet, wird durch Alkohol fast vollständig gefällt, indem sich der Körper gewöhnlich in bogenfórmig gekrümmten bandartigen Blättern ausscheidet. Durch ihn ist die Existenz meh- rerer neuer Kohlenwasserstoffe im Steinkohlentheer ausser Zweifel gesetzt, wie dies aus den hier nachfol- . genden Reaktionen erhellt, auf welche sich aber fast . alles beschränkt, was ich bis jetzt über diese Körper mittheilen kann. | Mit dem Körper C,,H,, bildet das neue Nitropro- dukt, wie ich den fraglichen Kórper vorläufig bezeich- nen will, eine prachtvoll violetrothe Verbindung, ' welche in grossen, rhombischen Blättern krystallisirt. Bei den kleinen, mir zu Gebote stehenden Quantitäten des neuen Nitroproduktes habe ich die Reaktionen meist unter dem Mikroskope vorgenommen, und kann die Anwendung dieses Instrumentes bei allen chemischen Arbeiten überhaupt nicht genug empfehlen. Bringt man einen Tropfen der Lösung des neuen Nitroproduktes zu auf einer Glasplatte befindlichen Krystallen des Kör- pers C;;H,., so sieht man unter dem Mikroskope sehr bald die Bildung prachtvoller violetter Rhomben vor sich gehen, welche, da sie etwas löslich sind, gewöhn- lich am Rande der Flüssigkeit zu entstehen beginnen. Durch Erhitzen dieser Verbindung bis + 170—180^C. kann man den Körper C,H, verflüchtigen, und das neue Nitroprodukt wiedererhalten. Auch beim Aufló- sen, namentlich in unzureichenden Mengen von Ben- zol, zersetzt sich die Verbindung gewöhnlich und es krystallisirt dann zuerst das neue Nitroprodukt und erst später auch unzersetzte Verbindung. Endlich kann man auch das Nitroprodukt aus der Verbindung durch Behandeln derselben mit einem Gemische von Essig- und Salpetersäure wieder gewinnen, welche den Koh- lenwasserstoff auflöst, ohne das Nitroprodukt anzu- greifen. Mit dem mir noch nicht in vollkommen reinem Zu- Niederung zu besuchen, über deren Wasser ich kürz- lich einige analytische Mittheilungen gemacht habe '). Ich erinnere hier daran, dass die Quellen aus einer Sandsteinformation hervortreten, welche ein Haupt- glied in dem Schichtenbaue eines 60 Werst langen Hügel-Zuges bildet, der jenseits der Region eines brei- ten, schwach undulirenden bewaldeten und sanft von der Kuban-Ebene ansteigenden Vorlandes die erste ei- gentliche Vorkette des beginnenden Gebirges darstellt. Diese, vom Thale des Psekup im rechten Winkel durchsetzte Vorkette alt-tertiüren Ursprungs befolgt zwischen den Flussthülern des Tschibsch und des Pschisch eine mit der mittleren Kammlinie des Gebir- ges annähernd parallele Richtung. In derselben wird diese Vorkette maassgebend für die geographische Lage einer Zone von 10 bis 12 Werst Breite, auf wel- cher, von der Halbinsel Taman an in ungleichen In- tervallen und in verschiedenen Hóhen über dem Meere - jene Stellen liegen, welche durch freiwilliges Hervor- treten von Bitumen bis zum Querthale der Pschecha in südóstlicher Richtung bekannt sind. Es verdient Erwühnung, dass diese etwa 150 Werst lange, im Mittel von W. 30? N. nach O. 30?8. streichende Zone, auf welcher der Causal-Nexus zwischen dem Erschei- nen der Naphtha-Quellen und schwefelhaltigen Mine- ralwasser sich so häufig manifestirt, gerade da ab- schliesst, wo mit. Annüherung an die flach domförmi- gen Kalkwölbungen des Oschtend und der ersten, perennirenden Schnee tragenden krystallinischen Fels- Pyramide des Fischta von 9360 engl. Fuss absoluter Hóhe (nach der Bestimmung des K. Generalstabes) . der Kaukasus mit zunehmender Breite und Hóhe eine reichere orographische Gliederung und mit derselben den Charakter des Hochgebirges gewinnt. Unter sämmtlichen schwefelhaltigen Quellen dieser ausgedehnten Naphtha führenden Zone tritt nur einmal, und zwar an der Stelle, wo der Psekup die bezeich- nete tertiäre Vorkette durchbricht, eine Theiotherme mit der hohen Temperatur von 447 R. hervor. Das vorerwähnte Abhängigkeitsverhältniss, welches nahes Beieinandersein von schwefelhaltigen Wassern und Naphtha-Quellen auf dieser Zone zur Regel macht, schien hier in so fern eine Ausnahme zu erleiden, als jede Spur von festem oder flüssigem Bitumen in der 1) Beiträge zur geologischen Kenntniss der Thermalquellen in den kaukasischen Ländern, pag. 56. des Sciences de Saint- Petersbourg. kann. Ferner färbt er sich durch Salpetersäure, wenn auch nur vorübergehend, dunkelgrün, was man am besten sieht, wenn man einen Tropfen seiner ätheri- schen Lösung auf einer Glasplatte verdunsten lässt, und nun auf den zurückgebliebenen Fleck einen da- neben gebrachten Tropfen starker Salpetersäure flies- sen lässt. Endlich giebt dieser Körper mit dem neuen Nitroprodukte eine tiefschwarzblaue, in grossen recht- winklig vierseitigen, tafelförmigen Blättern krystalli- sirende Verbindung. Verbindungen mit dem neuen Nitroprodukte geben ferner das Chrysen, und ein dasselbe begleitender farbloser, sich durch grosse Unlöslichkeit auszeich- nender Körper, der aber schwerlich als das Pyren von Laurent anerkannt werden kann. Beide Verbin- dungen sind hellbraun. . In dem Steinkohlentheere kommt ausser den bereits angeführten Kórpern noch wenigstens ein fester Kór- per vor, dessen Schmelzpunkt dem Kochpunkte des Wassers nahe liegt und welcher ebenfalls mit dem neuen Nitroprodukte eine gefärbte Verbindung bil- det. Dagegen habe ich mich aber bis jetzt vergeblich bemüht, eine Verbindung des Naphthalins mit jenem Nitroprodukte hervorzubringen. Während also das Naphthalin hier eine Ausnahme bildet, findet ein ähn- liches Verhalten beim Chrysogen statt; dieses geht nämlich, wie ich schon früher angegeben habe, mit dem neuen Nitroprodukte eine Verbindung ein, hat sich aber bis jetzt indifferent gegen Pikrinsäure er- wiesen, mit welcher alle anderen hier angeführten Kórper leicht sich verbinden. Über das Vorkommen des brennbaren Kohlen- wasserstoffs in den Gasgemengen der kauka- sischen Thermen, von Abich. (Lu le 17 jan- vier 1867.) Der mir im Frühjahre d. J. von Sr. K. H. dem Grossfürsten Statthalter im Kaukasus gewordene Auftrag, über die Natur und die Vertheilung des Pe- troleum-Vorkommens im gebirgigen Theile des Landes der tschernomorischen Kosaken Untersuchungen an- zustellen, hat mir Veranlassung gegeben, die heissen schwefelhaltigen Quellen ohnweit der Staniza Kliu- tschewaja am Ausgange des Psekup-Thales zur Kuban- stand von grossem Interesse, dass mein verehrter Freund C. Schmidt in Dorpat meine Bitte erfüllt und das von mir ihm zugesendete Gas der Therme von Michailow einer genauen Untersuchung unter- worfen hat. Im Februar mir zugegangene briefliche Mittheilungen setzen mich in den Stand, die Resultate der von C. Schmidt angestellten Gas-Untersuchun- gen von Michailow, wie ich glaube ganz am passen- den Orte, hiermit zu veröffentlichen. Ich entnehme dem erwähnten Schreiben das Fol- gende. | Das nach Absorption von Schwefelwasserstoff, Koh- lensäure und Sauerstoff durch successive Anwendung von Bleihyperoxyd, Kali und pyrogallussaures Kali restirende brennbare Gasgemenge erwies sich als ein Gemisch von fast reinem Sumpfgas, dem eine Spur von Steinöl-Dampf beigemengt ist, mit Stickstoff. Die sehr ausführlich angegebenen Daten der Ana- lyse hier übergehend, lasse ich sogleich die Resultate selbst folgen, welche in Volum-Procenten angegeben sind. | SH Schwefelwasserstoff . . . ........ 0,222 CO, Kohlensäure ............... 13,107 » 0 اوو رد وناز رم‎ EE 0,130 « C,H, Grubengas ................ 46,144 « C,H, 01011060068 Gas und Wasserstoff . 0,000 » N SEAN rn ee SS T 40,397 » 100,000% Das Interesse wird hier zunächst von dem Um- stande in Anspruch genommen, dass ein Kohlenwas- serstoffgemenge, dessen grössere Hälfte aus irrespi- rabeln Gasen und die kleinere aus Sumpfgas besteht, fast in gleicher Weise zu verbrennen vermag, wie das letztere, wenn es rein ist. Ferner giebt das relative Mengenverhältniss der Hauptbestandtheile des Quel- lengases von Michailow der Frage einen geologischen Werth, welche Verschiedenheit zwischen der Zusam- mensetzung dieses Gasgemenges und desjenigen be- steht, welches in den Regionen der Schlammvulkane, theils auf den Höhen oder den Abhängen der letzte- ren, theils in der Umgebung derselben und auf dem Meeresboden ausströmt. adi Um die Beantwortung dieser Frage zu erleichtern, stelle ich hier noch einmal?) die Resultate einer An- 3) Sur les derniers tremblements de terre dans la Perse septen- Bulletin de l'Académie Impériale näheren Umgebung der Thermen am Psekup fehlt. In nordwestlicher Richtung werden die ersten Naphtha- Quellen in 7 Werst Entfernung im Thale des Tschibi gefunden, und in Südosten kommen solche erst in 36 Werst Entfernung ohnweit der Staniza Kurinskaja zum Vorschein. Beobachtungen über die physikalischen Verhältnisse der genannten Theiothermen, die ich am 12. Juni in Begleitung des Hrn. Dr. Ramischewsky anstellte, unter dessen umsichtiger Leitung der grosse balneologische Werth jener schónen Thermen rasch zur Geltung gebracht worden ist, haben das Wirken einer Wechselbeziehung der angegebenen Art auch hier ausser Zweifel gestellt. Einfache, mit dem pneumatisch aufgefangenen Gase vorgenommene Untersuchungen ergaben das interessante, von mir vermuthete Resul- tat, dass das Gas, welches sich ziemlich lebhaft in dem schachtförmigen und wohl eingeschlossenen Haupt- Quellenbassin entwickelt, ein Gemenge darstellt, in dem'das brennbare Kohlenwasserstoff- oder Sumpfgas von der Formel C, H, in bedeutenden Volum-Procen- ten vorhanden sein muss, indem das Quellengas, zum continuirlichen Ausströmen aus der Sammelflasche unter Wasserdruck disponirt, anhaltend und vollstän- dig verbrennt. Beim Öffnen der mit Gas gefüllten Flaschen macht sich, besonders wenn das Gas einge- athmet wird, ein deutlicher Geruch nach Naphtha ne- ben einem äusserst schwachen von Schwefelwasser- stoff bemerkbar. Unmittelbar am Quellen-Bassin wird der letztere in einem viel stärkeren Grade empfunden. Das Fehlen instrumenteller und analytischer Unter- suchungs-Mittel erlaubte kein experimentirendes Wei- tergehen für den Nachweis noch anderer Bestandtheile des Gasgemenges, so wie der im Quellwasser vor- handenen salinischen Verbindungen. Hinsichtlich der letzteren dürfen die 1. c.?) von mir zur Kenntniss ge- brachten Untersuchungen bis auf vollständigere und bessere Arbeiten über die Thermalwasser von Psekup wenigstens einen Anhalt geben. Die von mir erkannte Brennbarkeit des Gases der Theiothermen bei Michai- low, in Verbindung mit der jetzt genau bekannten chemischen Zusammensetzung jener Wasser, spricht für eine generische Gleichheit der Quellengase von Michailow und Psekup. Aus diesem Grunde ist es ein willkommener Um- A. c. pag. 5. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 401 zahl von Analysen zusammen, welche theils von C. | ron in Glascylindern mit ausgezogenen und nachher Schmidt in Dorpat, theils von Bunsen in Heidel- | zugeschmolzenen Spitzen, wie in hermetisch verschlos- berg mit Gasproben angestellt worden sind, die von | senen Flaschen aufgefangen waren. mir auf den Halbinseln Kertsch, Taman und Apsche- Analysen von C. Schmidt. R. Bunsen. Apscheron. Kertsch und Taman, Ez II. Titarofka 4). Jenikale 5). Boulganak$). | Seleonnaja 7). CO». z 0,93 2,18 3,50 4,61 2,49 4,44 C, H, 4,11 3,26 4,26 0,00 0,00 00,0 UL. 92,49 93,09 92,24 95,39 97,51 95,56 I. 0,34 0,98 0,00 0,00 0,00 0,00 ده‎ dE Baies, 2,19 0,49 0,00 0,00 0.00 0,00 CO . 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 0,00 100,00 100,00 100,00 100,00 100,00 100,00 in Bezug auf noch andere vakante Quellen eine sichere physikalische Grundlage zu gewinnen. Zu diesem Ende mussten die mitunter ziemlich tief gelegenen Zugänge zu einigen der Hauptquellen geöfl- net werden, um an die Quellen-Punkte selbst gelan- gen zu kónnen. Das Emportreten dieser Hauptquellen vermitteln Spalten, die das geschichtete, aber stark dislocirte Gebirge durchsetzen und ganz den physika- lischen Habitus der metallführenden Gänge besitzen. Sie werden von krenischen?) Bildungen ausgefüllt, die einer früheren geologischen Zeit angehóren und haupt- süchlich aus derbem Kalkspath mit zeolithischen Über- zügen auf Drusenräumen bestehen. Diese gangartig ausgefüllten Spalten gehören zwei Systemen, einem ülteren und einem jüngeren an, deren jedes, durch den Parallelismus seiner Glieder kenntlich, eine be- stimmte Richtung zeigt, innerhalb welcher durchgrei- fende orographisch umgestaltende Bodenbewegungen zweimal im. Thale stattgefunden haben. 188 6 System beherbergt auf Drusenrüumen und kleinen Kluftflächen seiner Incrustationsspalten eine grössere Anzahl oryktognostischer Kórper von grossem Inter- 4) Einleitende Grundzüge einer Geologie der Halbinseln Kertsch und Taman, pag. 63. 5) 1. c. p 6) l. c. pag. 50. - 7) pag. 56 und Karten und Profile zur Geologie der Halbinseln Kertsch und Taman. Taf. III. i 8) Absätze und Incrustationen in den Quellen - Canälen nach Hausmann. 26 Nach den vorstehenden Tabellen besteht ein we- sentlicher Unterschied zwischen den Gasgemengen. der beiden Categorien darin, dass demjenigen aus der Theiotherme das Kohlenwasserstoff von der Formel C,H, fehlt, dagegen etwas Schwefelwasserstoff vorhan- den ist und, bei stärkerem Kohlensäure-Gehalt, der Stickstoff in überwiegender Menge erscheint. Ob diese Verhältnisse als wirklich specifische Unterschiede in der Natur der beiden Gemenge zu beanspruchen sind, kann sich natürlich nur aus vermehrten Untersuchun- gen brennbarer Gasgemenge aus anderen Theiother- men ergeben, wofür dasjenige von Psekup das nüchste Material gegeben hat. Vor Kurzem habe ich Gelegen- heit gehabt, die Gegenwart von Kohlenwasserstoff der brennbaren Art noch in einer anderen Theiotherme in Transkaukasien, und zwar in Tiflis selbst, nachzuwei- sen und damit die Zahl der gewünschten Beispiele mit einem dritten Fall zu vermehren. Die Veranlassung zu dieser Wahrnehmung, die ich als Bestütigung einer auf wissenschaftliche Analogieen gestützten Voraus- setzung bezeichnen darf, wurde durch die Wiederauf- nahme hydrologischer Untersuchungen der hiesigen Thermen gegeben. — Diese Untersuchungen sind noth- wendig, um für demnächst beabsichtigte gesetzliche Bestimmungen über Eigenthums- und Benutzungsrecht trionale et dans le Caucase, ainsi que sur des eaux et des gaz Sie trouvant en rapport avec ces phénomènes. Bulletin de l'Académie Imp. des sciences, 16 mars 1855, pag. 366—373. ; Tome XI. . 404 Aus diesem Verhältnisse lässt sich auf die Möglich- keit schliessen, von dem mit dem Thermalwasser auf- steigenden Gase Nutzen zu ziehen. Es konnte nicht in meiner Absicht liegen, mich mit einer genauen Analyse weder des Quellengases noch der Mineralwasser selbst zu beschäftigen. Ich be- schränkte mich deshalb darauf, mich in den Besitz mit Sorgfalt aufgefangener Gasquantitäten aus den Hauptquellen zu setzen und ansehnliche Wassermen- gen in grossen Flaschen zu sammeln, die einen Fuss unter der Quellenoberfläche gefüllt und verkorkt wur- den, um dieses Material demnächstiger quantitativer Untersuchung zu überweisen. Indessen will ich in dem Folgenden noch die Angabe einiger mit qualitativen Versuchen verbundener Beobachtungen zur Kenntniss bringen, zu welchen die seltene Gelegenheit auffor- derte, unmittelbar an den Quellenpunkten selbst ana- lytisch operiren zu kónnen. Von der Analogie ausgehend, welche das Tifliser Thermengas Seitens seiner Brennbarkeit mit demjeni- gen der heissen Quellen von Michailow und Psekup zeigte, suchte ich zunächst die Beantwortung der Fra- gen: ob Kohlensáure auch einen Bestandtheil dieses Gases bilde, und in wie weit Mitanwesenheit freien Schwefelwasserstoffgases in dem Gemenge angenom- men werden dürfe? Zu einem Zweifel über.diesen letzten Punkt bestimmte mich die allerdings befrem- dende Wahrnehmung einer beinahe auf Null reducir- ten Wirkung dieses Gases auf das Geruchsorgan in dem engen Raume der ۰ Ausserdem war mir eine Anschauung wenigstens von den Ver- hältnissen der qualitativen Zusammensetzung der hie- sigen Thermalwasser wünschenswerth. Im Interesse dieser Zwecke stellte ich folgende Versuche an. Eine geräumige gut verschliessbare Flasche, derge- stalt mit Gas gefüllt, dass nur eine sehr geringe Quan- tität von absperrendem Wasser zurückblieb, erhielt einen raschen Zusatz von frischbereitetem völlig kla- ren Kalkwasser. Nach wiederholtem starken Schütteln der Flasche zeigte das Kalkwasser durchaus keine Trübung. | Se? In einer geräumigen cylindrischen Flasche, welclie ohne Rückstand von absperrendem Wasser mit Gas gefüllt war, wurde ein langer Streifen von Diamant- Folie aus chemisch reinem Silber frei aufgehángt; der- Bulletin de l'Académie Impériale Bee esse und wird von den Parallelen des jüngeren Sy- stems im Winkel von 60° durchsetzt, von denen be- reits die Rede war und welche als Thermalspalten zu bezeichnen sind, da fast alle Thermalwasser von 3630 bis 3728 R. in denselben emporsteigen. Die bedeu- tendsten Quellen münden, unmittelbar aus den Spal- ten tretend, auf dem Grunde gemauerter Bassins von einigen Fuss im Quadrat, unter einem Wasserdruck von 1 bis 3 Arschinen. Nur an diesen unterirdischen Bassins ist es móg- lich, über die wahre physikalische Natur der Thermen in Tiflis positive Kenntniss zu erhalten, da die Was- ser noch vor ihrem Eintritt in die geräumigen thóner- nen Abzugsröhren und während eines oft langen Lau- ` fes in denselben unter aufgehobenem hydrostatischen Druck schon zu lange mit der atmosphärischen, Luft in Berührung treten, als dass sie ohne Beeintrüchti- gung Seitens ihrer Temperatur und der gasfórmigen Bestandtheile in die Baderäume gelangen könnten. In diesen Quellenräumen nur kann man sich über- zeugen, dass mit den aus senkrechten Spalten empor- dringenden Thermen ein Gas in mässig starker, aber intermittirender Entwickelung aufsteigt, und nur hier lässt sich dieses Gas mit Leichtigkeit und Genauig- keit pneumatisch auffangen. Schon an der Quelle selbst war die Brennbarkeit desselben erkennbar, denn die in dem tiefen Sammel- Bassin der Bebutof'schen Quelle sehr lebhaft aufsteigenden Gasblasen verpuff- ten bei Annäherung eines brennenden Lichtes mit em- porschlagender blassbläulicher Flamme. Das in Fla- schen aufgefangene, aus enger Röhre pneumatisch aus demselben hervorgetriebene Gas brennt ohne Unter- brechung in ganz gleicher Weise wie das Gas im Golf von Baku und das aus den Schlammvulkanen. Wenn tief unter der Oberfläche der Therme mit dem heissen Wasser gefüllte und auch daselbst verkorkte Flaschen hingestellt wurden, so bekleideten sich die inneren Wände derselben sogleich vollständig mit kleinen Gas- blasen. Der Inhalt der letzteren als grosse Blase un- ter dem Korke gesammelt, zeigte gleichfalls die Natur des Brenngases. Die naheliegende Vermuthung, dass das letztere auch in den Leitungsröhren vorhanden sein werde, bestätigte sich, indem bei Annäherung der Lichtflamme an verschiedenen auf dem Wege zu den Baderäumen angebrachten Röhrenöffnungen sogleich eine Flamme emporschlug, dierasch wieder verlöschte. . 406 Natrium vereinigt ist. Die pharmakodynamische Be- deutung der Therme von Tiflis scheint mir nun ganz vorzüglich auf dieses Verhältniss des stärkeren Ge- bundenseins des Schwefels zu fallen, als dies in dem Michailow’schen Wasser z. B. der Fall ist, wo in ge- ringer Entfernung von der Quelle schon keine Schwe- felreaktion mehr erhalten wird”), indem der hier bei- nahe völlig an Wasserstoff gebundene Bestandtheil rasch in die Atmosphäre entweicht. Während nun die Abwesenheit freier Kohlensäure dazu berechtigt, das absolute Gebundensein des Schwe- fels an Natrium in der Thermen-Tiefe als das normale Verhältniss anzunehmen, da das Mitvorhandensein je- ner Säure das Schwefel-Natrium ohnfehlbar zum gröss- ten Theil wie in Michailow und an anderen Orten zer- legen müsste, so folgt, dass der Zerlegungs-Process des Schwefel-Natriums in Schwefelwasserstoff, unter- schwefligsaures Salz etc. für die Tifliser Thermen na- türlich erst unter dem Einfluss der atmosphärischen Luft erfolgen wird. Hieraus erläutert sich das in dem Vorstehenden angegebene auffallende Fehlen des Schwefelwasserstoffs in dem Gase, so wie die Abwe- senheit des Geruchs nach demselben in dem Gewölbe der Bebutof'schen Quelle. | | Das Öffnen der Quéllenriume hat zur Wahrneh- ` mung noch einiger anderer interessanter Thatsachen geführt, die mit dem Chemismus der Thermen selbst in enger Beziehung stehen und darum der Erwähnung werth sind. Die Bassins von drei benachbarten Quel- len, deren gegenseitiger auf experimentirendem Wege ermittelter hydrostatischer Zusammenhang dieselben als Glieder ein und desselben parallelen Spaltensystems erkennen liess, zeigten an den steinernen Wänden in der Niveaulinie des Wassers nur schwache, nach Art kleiner intermittirender Leisten hervorstehende In- erustationen, deren Hauptbestandtheil kohlensaurer Kalk ist, und an welchen sich gallertartige Baregine- Massen von mehreren Linien Dicke und dunkelbrau- ner Färbung angesetzt hatten. Ein viertes, zu dersel- ben Gruppe gehörigesQuell in, befindet sich kaum 95 Schritt von jener Gruppe entfernt, drei Faden un- ter der Oberfläche der ziemlich steil abwärts führen- den Strasse. Die Quelle liegt im Niveau des Grundes eines geräumigen und hoben Gewölbes, am Ende eines härionc 9) Beiträge zur Kenntniss der Thermenquellen, pag. 7. 26* des Sciences de Saint-Pétersbourg. 405 . selbe hatte nach mehreren Tagen auch nicht den lei- sesten Anflug einer trübenden Färbung erlitten. Bedeutende Quantitäten des Thermenwassers in reichlicher Menge mit Kalkwasser in mehrtägiger Be- rührung gelassen, erhielten keine Spur von Trübung. Das eben aus der Quelle geschöpfte Wasser übte auf die Farbe der frischbereiteten Lakmustinctur auch nicht die geringste verändernde Wirkung aus. Fer- nambuktinktur bewirkte dagegen eine schöne carmoi- sinrothe Färbung. Chlorbarium bedingte im Wasser sogleich Trübung, die nach einiger Zeit in ein geringes Praecipitat über- ging, welches sich zum Theil in Salzsäure löste. ` Oxalsaures Ammoniak in hinreichender Menge einer Quantität von mehreren Pfunden Quellwasser zuge- setzt hatte auch nach mehreren Tagen keine Trübung hervorgebracht. Phosphorsaures Ammoniak gab unter keinerlei Um- ständen eine Spur von Reaktion. Salpetersaures Silber bedingte eine bräunliche starke Trübung, der bald ein entsprechender Niederschlag folgte. Durch Zusatz von Ammoniak verringerte sich das Volumen des letzteren und seine Färbung wurde dunkler. Essigsaures Blei zeigte in schwach angesäuertem Wasser die entsprechende Reaktion in quantitativ sehr prononeirter Weise und bewirkte einen im Vergleich mit allen übrigen sehr bedeutend zu nennenden Nie- derschlag. Die vorstehenden Versuche liefern für das physikalisch-chemische Bild der thermalen Wasser von Tiflis vorläufig folgende Grundzüge. 1) Unter den noch näher zu ermittelnden Elemen- ten des Gasgemenges kann neben dem vorherrschen- den Sumpfgase freie Kohlensäure keine oder nur eine sehr unbedeutende Stelle einnehmen. 2) Derselbe Schluss ergiebt sich auch in Bezug auf das Schwefelwasserstofigas. 3) Die salinischen Bestandtheile qualificiren die Thermen als hoch alkalinisch, mit wahrscheinlich nicht absolutem Ausschluss erdiger Bestandtheile. 4) Bicarbonate scheinen gemäss der Negation in 1. ausgeschlossen, und es ist anzunehmen, dass das aus- schliesslich als Natron zu vermuthende alkalische Ele- ment eines Theils als an Kohlensäure, Schwefelsäure und Chlor gebunden, andern Theils mit beinahe sämmt- lichem im Wasser vorhandenen Schwefel als Schwefel- 408 scheinen, wie diese Form der Kalkspathkrystalle auf Erzgängen und in Spalten der Kalkgebirge gern vor- zukommen pflegt. Bei engster regelmässiger Durch- wachsung zeigen diese Kryställchen das Bestreben nach pyramidaler Gruppirung; das Fortwachsen solcher zu- sammengesetzter Formen senkrecht auf die Ansatz- Aäche führt bei Krümmung der letzteren zur Ausbil- dung von gebogenen Rinden und, wo diese sich über- einander legen, zur Herausbildung knolliger Massen. Die lockeren Absätze über den Stellen, wo die Quel- len mit dem Gase auf dem Bassingrunde austreten, zeigen röhrenförmige Weitungen, die das Gas durch- strömt. Auf den Wänden dieser Höhlungen wie der ihnen benachbarten Drusenräume zeigt sich die Ober- fläche des lockeren Sinters wie geebnet und von einem Netzwerk kleiner, aber ausgezeichnet schöner Schwe- felkrystalle bedeckt, die sich durch den Reichthum der Flächen auszeichnen, durch welche verschiedene Com- binationen dem vorherrschenden spitzen rhombischen Hauptoktaeder hinzugefügt werden. Im Übrigen schei- nen mikroskopische Krystalle dieser Art in einem gros- sen Theile der Sinter-Masse verbreitet, indem der Ge- ruch nach schwefliger Süure sich bei dem Glühen be- liebiger Bruchstücke bemerkbar macht. Wird dieser Versuch auf mehr oder minder röthlich gefärbte Stel- len des Sinters gerichtet, so verdeckt ein Geruch nach hornartiger Substanz denjenigen des Schwefels. Die- ser Umstand unterstützt die schon aus der mikrosko- pischen Betrachtung resultirende Annahme, dass es mikroskopische Pflanzenbildungen sind, welche den lokalen röthlichen Überzug der blumenkohlartigen Aus- senfläche des Sinters hervorbringen. Das Dasein dieser Protophyten, die sehr an Profo- cocus erinnern, wie auch das bereits erwähnte Vor- kommen des bräunlichen und gallertartigen Baregin in dem Thermal-Wasser von Tiflis lassen vermuthen, dass Stickstoff in bedeutender Menge dem Kohlenwas- serstoff des Quellengases beigemengt ist. In einer Therme, wo die Abwesenheit von freier Kohlensäure und von Kalkerde als Thatsache gelten darf, stellen die in Rede stehende Sinterbildung, wie die Abscheidung krystallinischen Schwefels, unter dem Einflusse des Durchstrómens von kohlensäurefreiem Quellengas, interessante Probleme dar. Wie mir scheint, kann die Lósung der Frage über | die Entstehung des Kalk-Sinters nur in dem Umstande Bulletin de l'Académie Impériale 407 gemauerten, stollenartig weiter vordringenden niedri- gen Ganges von zwei und einem halben Fuss Breite und etwa acht Fuss Länge. Der bis zu einer Arschin unter dem Niveau des Gewölbes vertiefte Gang ist der Recipient der mit einer Wasserfülle von einem Wedro in sechs Sekunden ausstrómenden heissesten Therme von 3728 R., deren Ableitungsróhren, dicht unter dem gepflasterten Boden 02 ۵ fortlau- fend, einen Weg von 25 Faden bis zu den Baderäu- men zu passiren haben. Die hintere Hälfte dieses läng- lichen Wasserbassins, an dessen Ende lebhaft, mit klin- gendem Geräusch aufsteigende Gasblasen den Haupt- austrittspunkt des Wassers aus der hier entblössten Felsspalte andeuten, gewährt einen eigenthümlichen Anblick. Man könnte sich an einen Behälter versetzt glauben, in dem der Krystallisationsprocess in einer gesättigten salinischen Lösung sich eben im Gange befindet. Man sieht weisse krystallinische Massen, welche als zusammenhängende Rinden im Niveau des Wassers an den Wänden haften, und drusenartige Fort- sätze aus zarten Krystallbüscheln gebildet, von meh- reren Werschok Länge in die Flüssigkeit vorstrecken. Durch helle Kerzenbeleuchtung in dem dunklen Raume liess sich erkennen, dass diese drusenförmigen Krusten mit ihren krystallinischen Apophysen an Vo- lum und Festigkeit mit der Tiefe des Wassers abneh- mend, etwa einen halben Fuss unter dem Wasser sich nicht mehr an den senkrechten Wänden des Bassins zeigen. Am bedeutendsten ist die Stärke dieser Sinter in unmittelbarer Nähe der mit den Gasblasen aufstei- genden Therme, wo sie entfernt werden mussten, um die Gefässe zum Auffangen des Gases einsenken zu können. Nur der mürbe Zustand der krenischen Ge- bilde erschwerte das Herausheben unversehrter Bruch- stücke von vier bis fünf Pfund Gewicht und darüber. Bei näherer Betrachtung wurde es ersichtlich, dass diese lockeren Gebilde einzig und allein aus kleinen durchsichtigen Kalkspathkrystallen zusammengesetzt sind, die bei dreissigfacher Vergrösserung eine Viel- zahl der interessantesten Combinationen von Rhom- boedern verschiedener Ordnung zeigen, wobei häufig glänzende Flächen mit dergleichen matten und bau- chigen abwechseln und vielfach hervortretende sym- metrische Pentagonalflächen bei den meistens rund- lichen Formen auf die Combination der kurzen sechs- | seitigen Säule mit stumpfen Rhomboedern zu deuten 410 dass alle pelitische Glieder der schon mehrerwühnten Formation des Salalaki-Thales bei starker Erhitzung chemisch gebundenes Wasser nebst gasfórmigen und flüssigen Destillationsprodukten abgeben, deren Menge verschieden ist. Das Maximum dieser flüchtigen Stoffe fand ich bei den dunkelen, mitunter schieferühnlichen Pelit-Schichten im Grunde des genannten Thales, aus welchen unterhalb des Seïd-Abad-Berges fast alle Thermen hervordringen, welche hohe Temperatur und Wassermenge vorzüglich auszeichnen. Es erscheint diese Felsart als ein dunkelbraunes, beinahe schwar- zes, halbhartes Gestein von 2,573 specifischem Ge- wicht, welches vóllig dicht, unter scharfer Loupe aber als krypto-krystallinisches Aggregat ۲ dunkler Sehüppchen, von matter Grundmasse um- schlossen, erkannt wird. Strich und Gesteinspulver sind aschgrau. Das letztere lóst sich unter starker Gas- entwickelung, ohne Geruch nach Schwefelwasserstoff, zum kleineren Theil in schwach verdünnter Salpeter- säure, mit Abscheidung von Kieselerde auf. Durch präliminäre analytische Versuche wurde das Folgende festgestellt. In Folge allmáhlicher, bis zum dunklen Rothglühen gesteigerter Erhitzung ansehn- licher Quantitäten in der Platina-Retorte mit stark erkülteter, nebst Ableitungsrohr verbundener Vorlage wurden erhalten: empyreumatisches Wasser; brenn- bares Gas; eine ölige, nach Naphtha riechende Flüs- sigkeit, der bei beginnender Rothglühhitze ein theer- artiges Destillat nebst stinkenden Schwefeldümpfen folgte; zusammen einen Gewichtsverlust von 11,20%, | bedingend. Durch Schmelzung mit einem Gemenge von Salpeter und Natron zerlegter Pelit zeigte einen Schwefelgehalt von 2۱04 ۲/۸۰ Im Übrigen wurden noch abgeschieden: 11,5%, Eisenoxyd, 11,2%, Thonerde | und 35,1, Kalkerde. Neben diesen Erfahrungen sind die Wahrnehmun- gen über die Mineralkörper in das Auge zu fassen, welche in den Höhlungen der mit krenischen Bildun- gen saalbandartig bekleideten Gangspalten der älteren Ordnung vorkommen. Schöne Krystalle von Kalkspath, Làumonit und Stilbit zeigen sich hier frei, oder in inniger Durchwachsung; nicht selten in Verbindung mit einem asphaltartigen Mineral, dessen Vertheilungs- art zwischen den genannten Kórpern auf eine gleich- zeitige Entstehung mit diesen deutet. Hierzu gesellen sich wasserklare Bergkrystalle von ausgezeichneter des Sciences de Saint- Petersbourg. 409 gefunden werden, dass das heisse Wasser in der Be- butof’schen Quelle sich in einem Quellenbassin sam- melt, welches vor 15 Jahren mit Ziegelsteinen ausge- mauert ist, die reichlich mit Kalkmörtel verbunden wurden. Der Sinter würde also das Resultat der bal- digen Wiederkrystallisirung des mechanisch vom heis- sen Wasser aufgelösten Kalkes sein. Hiermit wäre auch der Grund erklärt, weshalb in benachbarten Quel- len, die in Behälter einmünden, welche mit Psammit- platten aus der metamorphischen Formation des Sala- laki-Thales ausgelegt sind, die beschriebene Sinterbil- dung eben so wenig gefunden wird, wie in anderen Nebenquellen, für welche aus Thon gebrannte cylindri- sche Gefüsse, oder Aushöhlungen in dem Felsen-Ter- rain selbst die Recipienten bilden. Diese Erklärung der Entstehung der Kalkspath-Absätze in dem Bebu- tof’schen Quellenbassin wird bestätigt durch das sehr reichliche Vorkommen eines feinen Sandes innerhalb der Leitungsröhren desselben Wassers, der sich in Vertiefungen an Unterbrechungsstellen der letzteren ansammelt. Die Anwendung starker Vergrösserung zeigt, dass dieser Sand aus rundlichen krystallinischen Kalkspathkörnern besteht, welche gleiche Formenent- wickelung wie diejenigen zeigen, die den vorher be- schriebenen Sinter zusammensetzen. Dieser Sand kann sich lokal in so bedeutenden Quantitäten schleimartig ‚in den Leitungsröhren absetzen, dass sie periodisch von demselben gereinigt werden müssen. Die chemi- sche Untersuchung zeigt nur kohlensaure Kalkerde mit geringer Beimengung von Magnesia und einer Spur von Schwefel. Das Material zu dieser krystallinischen Sandbildung kann dem die Röhren unter schwachem hydrostatischen Drucke ausfüllenden Wasser nur aus dem kalkigen Kitte, der die kurzen Thonröhren-Stücke verbindet, oder auch aus dem hydraulischen Mörtel- Conglomerat zugeführt werden, von dem die Thon- röhren umschlossen sind. : Das Miterscheinen des brennbaren Kohlenwasser- stoffes in dem Thermengase von Tiflis steht in einer so nahen Beziehung zu der eigenthümlichen minera- logischen Natur der Schichten der Formation, aus wel- cher die heissen Quellen aufsteigen, dass es angemes- sen erscheint, durch noch einige Angaben in dieser Beziehung die allgemeinere Bedeutung dieser bisher der Beachtung entgangenen Thatsache hervorzuheben. Vergleichende Untersuchungen haben mir gezeigt, 412 Förderung der Wahrheit einen befreundeten Bund schliessen werden, den die Wissenschaft dringend zu fordern beginnt. Über Para-Nitrotoluylsáure und deren Derivate von F. Beilstein und U. Kreusler. (Lu le 17 janvier 1867.) - Kocht man lüngere Zeit Toluol mit rauchender Sal- petersäure, so bildet sich bekanntlich die mit der Nitro- benzoesäure isomere Para-Nitrobenzoesäure (Ni- trodracylsäure). Letztere ist ein direktes Oxyda- tionsprodukt des Nitrotoluols'),und aus der Entste- hung derselben ergiebt sich die interessante Thatsache, dass die Homologen des Benzols isomere Produkte lie- fern, je nachdem man sie erst nitrirt und dann oxydirt, oder umgekehrt erst oxydirt und dann nitrirt. Da beim Nitriren der Homologen des Benzols nur der Wasserstoff des aromatischen Kerns (des Benzolrestes) gegen die Nitrogruppe ausgetauscht wird, dieser Wasserstoff aber durch den successiven Eintritt von Methyl vermin- dert wird, so bietet die Oxydation der Nitroderivate der hóheren Homologen des Benzols ein besonderes Interesse dar. Es leuchtet ein, dass je nach dem die Isomerie der entstehenden Oxydationsprodukte ver- sehwindet oder bestehen bleibt, wichtige Aufschlüsse gewonnen werden über die Natur des Wasserstoffs im Benzol und die Art seiner Vertretung durch die Ni- trogruppe. Wie die folgenden Beobachtungen zeigen, weicht das Nitroxylol in seinem Verhalten gegen Oxy- dationsmittel nicht vom Nitrotoluol ab. Auch hier ent- steht eine mit der Nitrotoluylsüure isomere Para- Bulletin de l'Académie Emperiale Nitrotoluylsäure, diein ihrem Verhalten eine grosse Analogie mit der homologen Para-Nitrobenzoesäure zeigt. Hr. Dr. G. Deumelandt’) hat sich, auf unsere Veranlassung, zuerst mit der Darstellung der Para- Nitrotoluylsäure beschäftigt. Die Versuche wurden durch die frühe Abreise des Dr. Deumelandt unter- brochen. Seine Beobachtungen gaben uns indessen ei- nige werthvolle Fingerzeige an die Hand, die uns um so wichtiger waren, als Hr. Dr. Deumelandt so ge- fällig war, uns seine Präparate zur weiteren Untersu- chung zu überlassen. 1) Vergl. W. Dammann, Ann. Ch. Pharm. 139, 335, 2) Vergl. dessen Inaugural- Dissertation. Göttingen, 1865. S. 21 u. 24, 411 Schärfe und Reinheit der Form, theils mit den ge- nannten Mineralien verwachsen, theils in länglicher Säulenform mit bipyramidaler Zuspitzung, den leeren Raum von einer Spaltenwand zur andern quer durch- setzend. Bisweilen werden in Steinbrüchen Gangklüfte angebrochen, wo sich neben Asphalt dergleichen Kry- stalle von kürzerer Säulenform mit der schwachen Spur einer Ansatzstelle frei emporragend finden. Öfter schliessen dann solcheKrystalle scharfkantig begränzte, tafelformige Hohlräume ein, die gruppenweise tief in das Innere dringen und immer im Parallelismus zu hexaödrischen Zuspitzungs- oder zu den Säulenflächen sich befinden. Zum Theil sind diese Räume mit einer hyazinthfarbigen Flüssigkeit gefüllt, in welcher Luft- bläschen sich hin und her bewegen. Das Zerbrechen sol- | cher Krystalle hat bewiesen, dass die zwischen den Kry- stallamellen eingeschlossene Flüssigkeit Naphtha ist. In physikalisch-krystallogonischer Beziehung schli sen sich diese interessanten Erscheinungen den schó- nen Untersuchungen von Sorby, G. Rose und An- deren bestütigend an, während sie in geologischer Be- "ziehung, als unverkennbare und nothwendige Neben- phünomene eines grossen Bildungs- Processes, von ungemein wichtiger Bedeutung sind, über dessen ei- gentlichstes, auf das Engste mit der Vulkanität ver- bundenes Wesen die synthetischen und analytischen Arbeiten Daubrée's ein so erwünschtes Licht verbrei- tet haben. Der wissenschaftliche Werth der Naphtha einsehlies- senden Bergkrystalle von Salalaki liegt aber besonders darin, dass dieselben auf Gangklüften auftreten, die mit krenischen Incrustationen erfüllt, ein sehr eigen- thümliches Erhebungs - Thal nach geotektonischem Ge- setz durchziehen‘, welches durch ächt eruptive Thä- tigkeit successiv geworden, was es jetzt ist, und für dessen geschichtete, fossile Pflanzen- und Thierreste nicht ganz ausschliessende Fundamental-Massen, das Durchdrungensein von Bitumen Thatsache ist. Die unbefangene Forschung sieht sich Angesichts des Zusammenhanges der in dem Vorhergegangenen berührten Erfahrungen auf einen Standpunkt geführt, wo sie begreift, dass die Zeit nicht mehr fern sein kann, wo die vulkanischen und die neptunischen . Doctrinen die bedenkliche Ausschliesslichkeit ihrer Ansichten über die Bildungsweise der Gesteine unse- rer Erdoberfläche aufgeben und zur gemeinschaftlichen 414 säure, neben einer geringen Menge Terephtalsäure zurück. Eine annähernde Trennung des Säuregemisches wurde endlich durch Darstellung der Barytsalze ermög- licht. Die ersten Anschüsse der Barytsalze enthielten wesentlich Nitrotoluylsäure, hierauf folgte Para- nitrotoluylsäure, Toluylsäure und geringe Menge Terephtalsäure. DieParanitrotoluylsäureschien aber in dem Sáuregemenge in relativ geringer: Menge vorhanden zu sein, und wir waren daher genöthigt, uns nach einer zweckmüssigeren Methode der Darstel- lung dieser Säure umzusehen. Um von vornherein die Bildung der oben erwähnten, theoretisch möglichen Säuren auszuschliessen, wählten wir die direkte Oxy- dation des Nitroxylols. Um aber die Oxydation nicht auch auf die zweite Methylgruppe im Xylol auszudeh- nen, begannen wir mit der Einwirkung der verdünn- ten Salpetersäure auf Nitroxylol. Salpetersäure, welche mit dem doppelten Volumen Wasser verdünnt war, wirkte selbst nach dreitägigem Sieden nur äusserst wenig auf Nitroxylol ein. Nicht günstiger gestalteten sich die Verhältnisse, als wir rohe Salpetersäure mit Nitroxylol kochten. Letzterer ging dabei zum grossen Theil in Dinitroxylol über, aber die Ausbeute an Säure war eine sehr geringe. Es blieb uns daher nichts übrig als Chromsäure auf Nitroxylol einwirken zu lassen, und hier führten die Versuche sehr bald zum gewünschten Ziele. Schon vor längerer Zeit hatte Hr. Th. Neimcke | eine grössere Menge Toluylsäure bereitet, durch Oxy- dation von Xylol mit Salpetersäure, die mit doppeltem Volumen Wasser verdünnt war. Da die Einwirkung stets längere Zeit fortgesetzt war, so hatte sich gleich- zeitig eine ansehnliche Menge einer Nitrosäure gebil- det, die wir anfangs für Nitrotoluylsäure hielten, die sich aber später als aus Para-Nitrotoluylsäure be- stehend erwies. Die Bildung dieser Säure bei Einwir- kung von verdünnter Salpetersäure erscheint um so auffallender, da Nitroxylol für sich, wie oben er- wähnt, selbst von conc. Salpetersäure nur langsam an- gegriffen wird. 1) Darstellung des ۰ Ehe wir zur Beschreibung der bequemsten Art Pa- ra-Nitrotoluylsäure zu bereiten übergehen, wollen wir einige Worte über die Darstellung des Nitroxylols anführen. Die Darstellung des Letzteren ist mit eini- des Sciences de Saint - Pétersbourg. 413 Es war im Voraus einzusehen, dass die Einwirkung der rauchenden Salpetersäure ge Xylol zu einer ver- wickelteren Reaktion Veranlassung geben würde, als dies beim Tuluol der Fall ist. Da die Balbeler atate nicht bloss nitrirend, sondern auch oxydirend einwirkt, im Xylol aber zweimal Methyl in Carboxyl (CHO,) übergeführt werden kann, so ist hiermit die Móg- lichkeit zur Entstehung von 6 verschiedenen Säu- ren gegeben. Einmal wirkt die Salpetersünre nur oxydirend ein und dann entstehen durch die suc- cessive Oxydation der beiden Methylgruppen 1) To- luylsáure und 2) Terephtalsáure. Die Toluyl- säure wird aber durch die rauchende Salpetersäure ` leicht nitrirt und geht in 3) Nitrotoluylsäure über. Andererseits wirkt aber die rauchende Salpe- tersäure erst nitrirend und dann oxydirend ein, wo- durch 4) Para-Nitrotoluylsäure, das ی‎ produkt des Nitroxylols, ontsteht. Da endlich Nitroto- luylsäure und Para-Nitrotol heinmal Methyl enthalten, so kónnen aus diesen beiden Sáuren durch eine weitere Oxydation 5) Nitroterephtalsáure und 6) Para-Nitroterephtalsáure entstehen, ganz wie Toluylsäure durch weitere Oxydation in Terephtal- säure übergeht. Es ist uns in der That gelungen, in dem Oxydationsprodukt des Xylols durch rauchende Salpetersäure das Vorhandensein der 4 erstgenannten Säuren nachzuweisen. Kocht man Xylol 6—8 Stunden lang mit rauchen- der Salpetersäure, so bildet sich eine ansehnliche Menge eines Säuregemisches. Die Einwirkung der Salpetersäure darf nicht zu lange fortgesetzt werden, da die Menge der gebildeten Säuren hierdurch eher vermindert als vermehrt zu werden scheint. Man giesst die Flüssigkeit in Wasser, filtrirt die gefällte Säure ab und entzieht dem gebildeten Nitroxylol durch Schüt- teln mit Ammoniak alle noch darin gelöste Säure. Das erhaltene Säuregemisch wurde an Kalk gebunden und die Kalksalze der fraktionirten Krystallisation un- terworfen. Schon eine oberflächliche Untersuchung der verschiedenen Krystallisationen zeigte, dass man es mit mehreren Säuren zu thun hat. Eine Trennung derselben durch fraktionirtes Krystallisiren der Kalk- salze gelang nicht. Wurde das rohe Säuregemisch mit Zinn und conc. Salzsäure behandelt, so lösten sich sämmtliche Nitro- als Amidosäuren auf und es blieb fast reine Toluyl- 2) Darstellung der Para -Nitrotoluylsáure. Man vertheilt in mehreren Kolben, die mit langen Kühlróhren versehen sind, ein Gemenge von 20 Gr. Nitroxylol, 40 Gr. doppelt-chromsaurem Kalium und 55 Gr. Schwefelsäure, die mit dem doppelten Volu- men Wasser verdünnt ist. Man sucht die Einwirkung so schnell als möglich zu Ende zu bringen und lässt dieselbe in keinem Falle länger als 6—8 Stunden dauern. Ein längeres Erhitzen hat meistens zur Folge, dass sich die Ausbeute an gebildeter Säure verringert. Man filtrirt dann die Chromalaunlösung ab und destil- lirt die unlösliche, zähe, grüne Masse mit überschüs- siger Sodalösung in einer kupfernen Blase. Dadurch wird nicht nur ein vollständigeres Ausziehen der ge- bildeten Nitrotoluylsäure bewirkt, sondern man gewinnt auch die ansehnliche Menge des unangegriffen geblie- benen Nitroxylols wieder. Die Sodalösung wird dann mit Salzsäure gefällt, die gefällte Säure in dünner Kalk- milch gelöst und aus der stark verdünnten Lösung mit Salzsäure gefällt. Man wiederholt die letztere Opera- tion noch ein oder zwei Mal, bis die gefällte Säure den constanten Schmelzpunkt von 211^ zeigt. Auf diese Weise wird eine kleine Menge einer flüchtigen Säure entfernt, welche die rohe p-Nitrotoluylsäure stets begleitet. Die eben angeführte Reinigungsme- thode der rohen Säure ist viel bequemer und rascher ausführbar, als das Umkrystallisiren aus Wasser, was überhaupt bei grösseren Mengen Material wegen der äusserst geringen Löslichkeit der p-Nitrotoluylsäure kaum ausführbar ist. 3) Para-Nitrotoluylsäure. Die p-Nitrotoluylsäure wird aus den Lösungen ih- rer Salze in der Kälte als ein voluminöser, flockiger ' Niederschlag erhalten. Aus heissen Lösungen fällt sie als ein weisses, lockeres, krystallinisches Pulver nie- der. Sie ist in kaltem Wasser fast unlöslich und auch in siedendem Wasser löst sie sich nur äusserst wenig. Sie kann daher aus Wasser nicht in grossen Krystal- len erhalten werden. Die reine Säure schmilzt bei 211°. Zwischen Uhrgläsern erhitzt, sublimirt sie leicht und ohne Rückstand zu hinterlassen, in irisirenden Blättchen; bei langsamer Sublimation erhält man lange glänzende Nadeln. 1) 0,248 Gr. gaben 0,4809 C0, und 0,0915 ۰ Bulletin de l'Académie Impériale 415 gen Schwierigkeiten verknüpft. Beim Nitriren des Xy- lols bilden sich stets grosse Mengen der höheren Ni- troderivate, und das Rektificiren des rohen Nitroxylols erfordert deshalb einige Vorsicht, da sonst gegen das Ende der Destillation Explosionen einzutreten pflegen. Um dem letzteren Übelstande vorzubeugen, destillirt man das Rohprodukt bei einer nicht zu hohen Tem- peratur aus dem Ölbade, indem man gleichzeitig einen Strom trockener Kohlensäure durch die Retorte leitet; zweckmässiger verfährt man aber auf folgende Weise. Das nur durch wiederholtes Rectifieiren gereinigte Xylol wird unter guter Abkühlung in einem sehr ge- rüumigen Kolben tropfenweise mit rauchender Salpe- tersäure übergossen. Man setzt nur so lange Salpeter- säure hinzu, bis eine herausgenommene Probe der Flüs- sigkeit im Wasser vollständig untersinkt. Es werden dazuetwa 2 Thl. höchst conc. Salpetersäure auf 1 Thl. Nitroxylol erfordert. Man giesst dann Alles in Was- ser, hebt das schwere Öl nach einigem Waschen ab und destillirt es in einer kupfernen Destillirblase mit einer grossen Menge Wasser. Mit dem Wasserdäm- pfen verflüchtigen sich sehr leicht Nitroxylol und das unangegriffen gebliebene Xylol, während vom Dinitro- xylol nur sehr geringe Mengen übergehen. Aus dem Destillat lässt sich nun durch Rektificiren sehr leicht und gefahrlos reines Nitroxylol gewinnen. Man kann die letztere Operation etwas abkürzen, wenn man das mit den Wasserdämpfen übergehende rohe Nitroxylol getrennt auffängt. Erst geht nämlich nur Xylol über, und die obigen Tropfen des Destillats schwimmen auf dem Wasser; sobald dieselben aber im Wasser unter- sinken, wechselt man die Vorlage. Das beim Nitriren | des Xylols sich stets bildende Dinitroxylol geht bei allen Rektifikationen des Nitroxylols verloren. Um die Bildung der höheren Nitroderivate zu ver- meiden, haben wir rohe Salpetersäure auf Xylol ein- wirken lassen. Beim ‚Erhitzen auf dem Wasserbade tritt auch schon mit dieser Salpetersäure eine stür- mische Reaktion ein. Es bildet sich viel Nitroxylol, zugleich wird aber dabei auch ein ansehnlicher Theil des Xylols oxydirt. Wir finden es daher vortheilhafter, höchst concentrirte Salpetersäure in der Kälte auf Xylol einwirken zu lassen, mit dem Zusatz der Säure aber, in der oben geschilderten Weise, vorsichtig zu verfahren. A17 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 418 Diese Zahlen zeigen deutlich, dass die rohe p-Ni- trotoluylsäure durch eine kleine Menge einer koh- lenstoffreicheren Säure verunreinigt ist, welche den Schmelzpunkt bedeutend herabdrückt. Um diese Bei- mengung direkt nachzuweisen, unterwarfen wir die Mutterlaugen von der Reinigung der p-Nitrotoluyl- säure der Destillation. Die Destillate wurden mit Soda übersättigt, die Lösung auf ein kleines Volumen ein- gedampft und mit Salzsäure gefällt. Wir erhielten ei- nen sehr geringen Niederschlag, der in seinem Ver- halten die grösste Ähnlichkeit mit Benzoesäure zeigte. Diese Säure scheint ein direktes Oxydations- produkt der p-Nitrotoluylsäure zu sein. Denn als wir reine, bei 211° schmelzende p-Nitrotoluylsüure mit ` dem Chromsäuregemisch einen Tag lang kochten, beob- achteten wir ebenfalls die Bildung einer kleinen Menge eines benzoesäureähnlichen Produktes. Der Schmelz- punkt der reinen p-Nitrotoluylsäure war durch die Oxydation um einige Grade erniedrigt worden. Aus den Mutterlaugen, vom Reinigen dieser Säuren, konn- ten wir wieder eine kleine Menge einer Säure gewin- nen, die sich wie Benzoesäure verhielt. Gleichzeitig hatte sich bei der Oxydation der p-Nitrotoluylsäure eine grosse Menge Kohlensäure entwickelt. Aus obigen Versuchen ergiebt sich unzweifelhaft, dass die Einwirkung der Chromsäure auf Nitroxylol auf eine Methylgruppe beschränkt bleibt. Obgleich Toluylsäure durch Chromsäure mit der grössten Leich- sigkeit in Terephtalsäure übergeht, widersteht die p- Nitrotoluylsäure dieser Einwirkung sehr kräftig. Nur ein kleiner Theil dieser Säure wird durch das anhal- tende Behandeln mit Chromsäure vollständig ver- brannt, wobei gleichzeitig in Folge eines tieferen Zer- fallens der p-Nitrotoluylsäure eine Spur Benzoesäure (?) gebildet wird. In keinem Falle wird auch das zweite Methyl des Nitroxylols angegriffen. Die Bildung einer Säure von der Formel der Nitro-Terephtalsäure haben wir nicht beobachtet. Offenbar bewirkt der Eintritt negativer Elemente oder Radikale in den Kohlenwas- serstoff, dass derselbe widerstandsfähiger gegen Oxy- dationsmittel wird. Ähnliche Erscheinungen finden sich häufig. So wird das Dinitrotoluol von Chrom- säure nur äusserst wenig angegriffen, während Nitro- toluol dadurch leicht in p-Nitrobenzoesäure über- geht. Im Xylol werden beide Methylgruppen leicht oxydirt. Im Nitroxylol und n— liefern mit 2) 0,2656 Gr. gaben 18CC. Stickstoff bei 127 und 763,4 Millim. Berechnet. Gefunden. E 2. €, 96 53,0 52,9 ^ — H, 7 3,9 4,1 NW 7 Er: 8,1. 0, 64 35,3 de ded 181 100,0. Die p-Nitrotoluylsäure unterscheidet sich von der isomeren Nitrotoluylsäure genau in derselben Weise, wie die p-Nitrobenzoesäure (Nitrodracylsäure) von der isomeren Nitrobenzoesüure. Auch die p-Nitrotoluyl- säure zeigt einen höheren Schmelzpunkt wie Nitroto- luylsäure (191°), sie ist ebenfalls in Wasser bedeutend weniger löslich wie Letztere. Während Nitrotoluyl- säure aus Wasser leicht in grossen schönen Krystallen erhalten werden kann, scheidet sich die p-Nitrotoluyl- säure aus der wässrigen Lösung stets als ein feines, weisses Pulver ab. Endlich ist auch das p-nitrotoluyl- saure Baryum viel leichter in Wasser löslich, als das nitrotoluylsaure Baryum. Wie bereits angeführt, ist die rohe p-N itrotoluyl- säure durch eine kleine Menge einer flüchtigen (also | nitrofreien) und kohlenstoffreicheren Säure verunrei- nigt. Um einen Einblick in die Natur des direkten Oxy- dationsproduktes des Nitroxylols zu gewinnen, wurde die rohe Säure an Baryt gebunden und die Barytsalze der fraktionirten Krystallisation unterworfen; aus dem löslichsten Antheile wurde eine bei 198° schmelzende Säure (A) gewonnen, die Säure aus dem weniger lös- lichen Baryumsalz wurde aus Wasser umkrystallisirt und hierbei ein schwerlöslicher Antheil (B) mit dem Schmelzpunkt 165° und aus dem Filtrat hiervon eine leichte lösliche Säure (0) vom Schmelzpunkte 145° gewonnen. 1) Sãure A. 0,220 Gr. lieferten 0,4296 و00‎ und 0,0884 H,0 2) Sãure B. 0,2082 Gr. lieferten - 0,4115 CO, und 0,0806 H,0 xi Säure C. 0,2787 Gr. lieferten 0,5662 C0, und 0,1110 H,0 p-Nitrotoluylsäure. B C Schmelzp.2119. Schmelzp. 198°. Schmelzp. 165°. Schmelzp. 145? 53,2 53,9 - 55,4 E s A0 4,3 4,4. Tome XI. 420 2) 0,272 Gr. verloren ebenso 0,037 HO. 3) 0,451 Gr. des wasserfreien Salzes gaben 0,2065 Ba 0 4) 0,235 Gr. gaben ebenso 0,1088 Ba ۰ Berechnet. Gefunden. 1 4H,0 12,6%/,H,0 13,4 13,6 vog 4 2 (C, H.NO,) Ba 27,6/ Ba 26,9 27,2 Das Calciumsalz 2 (C, He NO;) Ca + 2H,0 wurde beim Verdunsten seiner Lósung über Schwefelsäure in zu Sternen vereinigten langen, glänzenden, gelbli- chen Prismen erhalten. Das Salz ist in kaltem Wasser schwer löslich. 1) 0,5055 Gr. des lufttrockenen Salzes verloren | bei 160° 0,0407 ۰ 2) 0,4648 Gr. des wasserfreien Salzes gaben 0,0643 Gr. CaO. Berechnet. È Gefunden. 2H,0 8,3% 8,1 3 (C,H,NO;) Ca 0۵ 9,9 Das Bleisalz bildet einen voluminösen, käsigen, das Silbersalz einen durchscheinend gelatinösen Nie- | derschlag. Beide lösen sich etwas in siedendem Was- ser unter theilweiser Zersetzung. i; | 'Para-Nitrotoluylsüure-Athylüther bildet sich leicht, wenn man eine alkoholische Lösung der Sáure mit Salzsäuregas sättigt. Nach dem Digeriren und Fällen mit Wasser wurde derselbe aus Alkohol um- krystallisirt. In 0,2399 Gr. gaben 0,5030 CO, und 0,116 ۰ Berechnet. Gefunden. Co 120 57,4 57,2 Bo dn 5,3 5,4 N 14 6,7. d Or :64 8016 > 209 100,0 | Der p-Nitrotoluylsäure-Äther bildet farblose, sei- denglänzende, geruchlose?) Nadeln, die sich in kaltem Alkohol wenig, sehr leicht dagegen in heissem Alko- hol lósen. Bei langsamem Verdunsten der alkoholi- schen Lösung erhält man grössere, schön ausgebildete , 8) Auch der Äther der homologen p- Nitrobenzoesáure ist ge” . ruchlos, während Nitrobenzoe-Äther obstartig riecht. Bulletin de l'Académie Impériale 419 Chromsäure nur p-Nitro-und p-Chlortoluylsáure, und Trichlor-Xylol widersteht , nach den Versu- chen des Hrn. Vollrath der Einwirkung der Chrom- säure auf das vollständigste. 4) Para-nitrotoluylsaure Salze. Das Ammoniumsalz C; Hg NO, (NH,) + 2H,0 wurde durch Verdunsten einer ammoniakalischen Ló- sung der p- Nitrotoluylsäure über Schwefelsäure als eine strahlig-krystallinische Masse erhalten. Das Salz ist in Wasser áusserst leicht lóslich. 1) 0,8773 Gr. verloren über Schwefelsäure 0,1357 H,0. | ( 0,227 Gr., über Schwefelsäure getrocknet, ga- ben 0,4035 CO, und 0,108 H0. | Berechnet. Gefunden. 2H,0 15, 510 15,4 C, 96 48,48 48,5 H, ٥ 5,06 5,3 N/ 798 14,14 ur Oi ek os 85,99 zi 198 100,00. Das Natriumsalz konnte, bei der kleinen Menge Material, nicht in Krystallen erhalten werden. Es ist in Wasser äusserst leicht löslich und efflorescirt beim Verdunsten sehr stark. — . Das 17 2 (Cs He NO;) Mg + 7H0 durch direktes Neutralisiren der Säure mit Magnesia erhalten, ist in Wasser sehr leicht löslich; die Lösung effloreseirt stark. Das Salz verwittert leicht und ver- Vert schon über Schwefelsäure alles Krystallwasser. 1) 0,4811 Gr. verloren über Schwefelsäure, und dann bei 130°, 0,1221 ۰ ۱ 2) 0,359 Grm. des wasserfreien 5 lieferten 0,105 Mg;P,0;. Berechnet. Gefunden. 7H,0 24,7 H,0 25,4 (C,H,NO)Mg 8# 68 0,3 Das Baryumsalz 2 (C, He NO;) Ba + 4H,0 wurde beim Verdunsten über Schwefelsüure als ein Aggregat feiner, in einander verfilzter, seidenglänzender Nadeln erhalten. Es verwittert etwas an der Luft und ist iu Wasser sehr leicht lóslich. 1) 0,521 Grm. verloren über Schwefelsäure, und | dann bei 160°, 0,070 ۰ 422 Berechnet.. Gefunden. C, 96 . 59,3 59,2 BH, 5 3,7 4,1 ی‎ oe سم‎ 0.82 39,4 — 162 . 100,0. p-Nitrotoluylsäure-Nitril scheidet sich aus der heissen, wüssrigen Lósung als ein Haufwerk kleiner, weisser, stark glünzender Nadeln aus. Aus Alkohol krystallisirt das Nitril häufig in langen, dünnen Pris- men. Es schmilzt bei 80°. Das Nitril ist in kaltem ` Wasser fast unlóslich und auch in siedendem nur we- nig lóslich. Es schmilzt unter Wasser und verflüchtigt sich mit den Wasserdümpfen unter Verbreitung eines aromatischen Geruchs. Die trockene Verbindung ist geruchlos. Durch Kochen mit Alkalien zerfällt das Ni- tril in Ammoniak und p-Nitrotoluylsáure. Ein eigenthümliches Verhalten scheint das Nitril gegen Reduktionsmittel zu zeigen. Der Theorie nach sollte hierbei das Nitril der Amidosàure entstehen: N. C,H,(NOj) -+ 6H = N. C,H, (NH,) + 2H,0 und N. C,H,(NH,) + 2H,0 = C,H, (NH) O, + NH. Die Reaktion scheint aber in anderem Sinne zu verlaufen. Eine alkoholische Lósung von p-Nitroto- luylsäure-Nitril wurde mit Ammoniakgas und hierauf mit Schwefelwasserstoff gesättigt. Nach längerem Di- geriren wurde die Flüssigkeit zur Trockne verdunstet. Der Rückstand lóste sich in siedendem Wasser schwer, leicht aber in Salzsäure und wurde durch Ammoniak aus dieser Lösung gefällt. Durch wiederholtes Lösen in Salzsäure und Fällen mit Ammoniak wurde der Körper gereinigt. 0,1452 Gr. gaben 0,337 CO, und 0,088H,0. Berechnet. Gefunden. C, 96 ۸ 63,3 H, 10 6,7 6,7 N, 28 18,7 -> O 16 10,6 Gu 150 100,0. Demnach käme dem Körper die Formel C, H,N,O zu, d. h. er ist isomer init p-Amidotoluylsiure-Amid. Seine Entstehung erklürt sich aus der Gleichung: C,H, (NO, )N 4- 6H.— C, Hu NO + H0. Der Körper schmilzt schon bei 90°, er hat offenbar 27* 421 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Prismen. Der Äther schmilzt bei 55° und ist in hö- | herer Temperatur ohne Zersetzung flüchtig. 5) Para-Nitrotoluylsäure-Amid und Nitril, Das Amid bildet sich leicht bei der Einwirkung des Chlorids auf Ammoniak. Man mischt 4 Theile p- Nitrotoluylsäure mit 5 Theilen PCI,, erwärmt ge- linde und destillirt nach Beendigung der lebhaften Reaktion das unter 130° Siedende ab. Man giesst dann den Retorteninhalt in kleinen Portionen in concen- trirtes, gut abgekühltes Ammoniak. Man bringt nach 24 Stunden die Masse auf ein Filter, wäscht durch kaltes Wasser die gebildeten Ammoniaksalze weg und krystallisirt das Amid aus siedendem Wasser um. Der Körper verliert bei 120° nichts an Gewicht. 0,2348 Gr. gaben 0,4597 CO, und 0411۰ Gefunden. ; Berecchnet. 0, 96 9 53,4 Hs 4,4 4,9 N, ap ۵ E tor 48 36,7 لش‎ | 180 100,0. pas p- Nitrotoluylsüure -Amid scheidet sich beim Erkalten einer heissen, wüssrigen Lósung in fast farblosen, lebhaft perlmutterglänzenden Blättchen ab; bei sehr langsamer Abkühlung bilden sich ausgebil- dete Prismen. Das Amid schmilzt bei 151°, es ist in kaltem Wasser sehr schwer löslich, in heissem etwas leichter. Brom wirkt auf das Amid sehr lebhaft ein. Nach längerem Erhitzen damit wurde die Masse mit Kali- | lauge behandelt. Dadurch löste sich die Hauptmenge auf und wurde aus der alkalischen Lösung durch Säu- ren gefällt. Der in Kalilauge unlösliche Rückstand kry- stallisirt aus Wasser in schönen gelben Nadeln. Para - Nitrotoluylsäure - Nitril N (C;HdNO,]) bildet sich, wenn man 3 Thle. p-N itrotoluylsäure-Amid mit 4 Theilen PCI, erhitzt. Nach dem Abdestilliren des Phosphor - Oxychlorids digerirt man den Retortenin- halt mit Natronlauge und filtrirt dann das ungelóste Nitril ab. Man reinigt den Körper durch Umkrystalli- siren aus Alkohol und dann aus Wasser. 0,2186 Gr. gaben 0,474600, und 0,0805H,0. P à aid WC پوت‎ nid رن وت نت من دا ی تست ای کات‎ SE VEU al nal E CH سح‎ 424 zoesäure bei gleicher Behandlung. Die gewöhnliche Nitrobenzoesäure liefert bekanntlich unter denselben Umständen ein Doppelsalz von salzsaurer Amidoben- zoesäure mit Zinnchlorür. Während sich die Amidobenzoesäure, nach der Vorschrift von Griess, viel leichter durch die Re- duktion mit Schwefelammonium als mit Zinn und Salz- säure bereiten lässt, ist die Anwendung des Schwefel- ammoninms wenig geeignet zur Darstellung der p-Ami- dotoluylsäure. Behandelt man eine ammoniakalische Lösung der p-Nitrotoluylsäure mit Schwefelammo- nium, digerirt längere Zeit und verdampft dann im Wasserbade, so wird nur wenig, p- Amidotoluylsäure gebildet. Sättigt man eine Lösung der p-Nitrotoluyl- säure in conc. Ammoniak mit Schwefelwasserstoff und verdampft dann die Flüssigkeit, so bildet sich zwar mehr p - Amidotoluylsáure و‎ immer entzieht sich aber ein Theil'der p-Nitrotoluylsäure der Reduktion und erschwert dadurch die Reindarstellung der p- Amido- toluylsäure. Die Anwendung des Zinns zieht übrigens in diesem Fall keinen Übelstand nach sich, da man, wie oben angeführt, sofort das reine und zinnfreie Salz der p-Amidotuluylsäure erhält. Durch Behandeln desselben mit Ammoniak und Essigsäure erleidet man nur einen geringen Verlust, da p-Amidotoluylsäure in kaltem Wasser wenig löslich ist. 7) Para-Amidotoluylsaure Salze. Salzsaure p-Amidotoluylsäure C,H.(NH,)O,HCI scheidet sich unmittelbar beim Concentriren der Flüs- sigkeit aus, die man beim Behandeln der p-Nitroben- zoesäure mit Zinn und Salzsäure erhält. Durch Ab- waschen mit Salzsäure, oder Umrkystallisiren aus ver- dünnter Salzsäure erhält man die Verbindung leicht vollkommen rein. à 0,597 Gr. der über Schwefelsáure getrockneten Substanz gaben 0,455 Gr. ۰ edem Berechnet. Gefunden. C,H,NO,HOl] 567 18,9 Salzsaure p- Amidotoluylsüure bildet grosse, gut ausgebildete farblose Krystalle. Die Verbindung ist in Wasser leicht löslich, sehr schwer hingegen in verdünnter Salzsäure. Die wässrige Lösung wird da- her durch conc. Salzsäure gefällt. Schwefelsaure p-Amidotoluylsäure 2(C,H,NO,). Bulletin de l'Académie Impériale basische Eigenschaften, da er lüst und aus diesen Lüsungen durch Ammoniak wie- der gefällt wird. Die trockene Substanz ist ganz be- stándig, die Lósungen derselben zersetzen sich aber sehr bald unter auffallender Farbenerscheinung. Ob die Substanz vielleicht nur ein Hydrat des p - Amido- toluylsäure-Nitrils ist, oder einer neuen Reihe isome- rer Verbindungen angehórt, wird die Folge lehren. — Über das Verhalten der analogen Verbindungen in der Nitrobenzoesäure-Reihe wird in einer besonderen Ab- handlung berichtet werden. sich leicht in Säuren 6) Para- Amidotoluylsáure. p-C4H; (NH;) M Ein Gemisch von 1 Thl. p-Nitrotoluylsäure, 2 Thl. Zinn und etwas rauchender Salzsäure giebt zu einer heftigen Reaktion Veranlassung. Die filtrirte und nö- thigenfalls etwas concentrirte Lösung scheidet grosse Krystalle von salzsaurer p-Amidotoluylsäure ab, die durch Abwaschen mit verdünnter Salzsäure leicht rein und zinnfrei erhalten werden. Man löst die Krystalle in Ammoniak und versetzt mit überschüssiger Essig- säure. Es entsteht ein voluminöser, rasch krystallinisch werdender Niederschlag, der nach einmaligem Umkry- stallisiren aus Wasser prachtvolle Nadeln von reiner p-Amidotoluylsäure liefert. 0,202 Gr. der bei 120° getrockneten Substanz, wo- bei die lufttrockene Substanz kein Wasser verlor, ga- ben 0,4693 CO, und 0,1164 HO. Berechnet. Gefunden. Q "9d 0356 63,4 He 9 0 6,4 N M 9,3 i 0. 32: “ah! i 151 100,0. Para-Amidotoluylsüure scheidet sich bei ra- schem Erkalten der wässrigen Lösung in langen, glän- zenden, fast farblosen Nadeln ab, die in der Flüssig- keit lebhaft irisiren. Bei langsamer Ausscheidung er- hält man kurze, dicke, anscheinend rhomboedrische | Krystalle. Die Säure schmilzt bei 167°, sie ist in kal- tem Wasser schwer, in heissem Wasser leicht löslich. Es verdient bemerkt zu werden, dass die p-Nitro- toluylsáure beim Behandeln mit Zinn und Salzsáure ebenso wenig ein Doppelsalz bildet von salzsaurer p- Amidotoluylsäure mit Zinnchlorür, als die p-Nitroben- 425 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 426 Um p-Amidotoluylsaures Äthyl darzustellen, wurde p-Nitrotoluylsäure-Äther mit Zinn und conc. Salzsäure erhitzt. Aus der erkalteten Flüssigkeit schie- den sich weisse Krystalle aus, die leicht als salz- saure p-Amidotoluylsüure erkannt wurden. 0,2968 Gr. gaben 0,2262 AgCI. Berechnet, ; Gefunden. C,H,NO,HCI 19,0Cl 18,9 Offenbar war also durch die Wirkung der concen- trirten Salzsäure der gebildete p- Re ویب به‎ Ather zerlegt worden. Para-Amidotoluylsáure-Amid. N Cal (NH.)O + H,O. 2 Man lóst das Amid der p-Nitrotoluylsáure in der ge- ringsten Menge siedenden Wassers, fügt überschüssi- ges Schwefelammonium hinzu, kocht einige Zeit und verdampft dann zur Trockne. Der Rückstand wird in möglichst wenig Wasser gelöst und die Lösung über Schwefelsäure verdunstet. Man erhält so grössere Kry- stalle, die Krystallwasser enthalten. 0,552 Gr. verloren bei 115° 0,058H,0. 0,2226 Grm. der wasserfreien Verbindung gaben 0,516 CO, und 0,1394 H,O. Berechnet. Gefunden. C, 96 64,0 63,2 H, 10 6,7 6,9 N, 28 18,7 SS 0; 16 ‘106 44. 150 0 CH, NO + H,O 10,77, H0 10,5 Das Amid ist nur in ganz kaltem Wasser wenig lós- lich, schon in lauwarmem ist es'reichlich löslich. Aus der heiss gesättigten Lösung scheidet es sich stets flüssig ab und erstarrt erst nach einiger Zeit. Die wasserfreie Verbindung schmilzt bei 115°. Durch Kochen mit Kali zerfällt das Amid in Ammoniak und p-Amidotoluyl- säure. 8) Para- i! p-Chlortolaylsäure, p-Oxy- oluylsäure, kimi eg Eine alkoholi- sche Lösung von p-Amidotoluylsäure scheidet auf Zu- satz einer alkoholischen Lósung von salpetriger Sáure H,SO, 4- 2H,O erhält man durch Behandeln der trock- nen, salzsauren Verbindung mit conc. Schwefelsäure bis zur Entfernung aller Salzsäure. Durch Umkrystal- lisiren aus Wasser erhält man lange, farblose, glän- zende Prismen. Die Verbindung ist in heissem Wasser leicht, in kaltem sehr wenig löslich; sie scheidet sich daher, wenn man die Lösung der freien Säure oder ihrer leichtlöslichen Salze mit Schwefelsäure versetzt, als ein krystallinischer Niederschlag ab. Die Verbin- dung ist luftbeständig und verliert über Schwefelsäure kein Wasser. 1) 0,500 Gr. verloren bei 130? 0,0415 Wasser. 2) 0,5451 Gr. der wasserfreien Verbindung pes 0,317 7 BaS0,. 4 Berechnet. Gefunden. 2H, 8, 3" 8,8 2(C,H,NO, 13,80, 20 ,080, 20,0. Salpetersaure p- -Amidotoluylsüure C, H,NO,. HNO, wurde durch Zerlegen der salzsauren Verbin- dung mit Silberlósung bereitet. Die vom Chlorsilber befreite Lósung wurde vorsichtig in einem Strome von Schwefelwasserstoff verdunstet, wobei grosse Prismen zurückblieben. Die Verbindung ist in Wasser leicht löslich und enthält kein Krystallwasser. 0,240 Gr. der bei 110° getrockneten Substanz ga- ben 0,3920 CO, und 0,106 H,O. Berechnet. Gefunden. C, 96 44,8 44,6 Ho6 7 TY. N28 13,1 ir 0. 80 37,4 Pe 214 100,0. p-Amidotoluylsánres Baryum 2 (C, H, NO,) Ba + 10H,0. Die schwefelsaure Verbindung wordë mit überschüssigem kohlensaurem Baryum gekocht. Beim langsamen Verdunsten der filtrirten Lösung, über Schwefelsäure, schieden sich grosse, vollkommen durch- sichtige, scharf ausgebildete Tafeln aus. Das Salz ist in Wasser sehr leicht löslich und verliert über Schwe- felsäure 8 H,O. Die letzten zwei Moleküle H,O ent- weichen erit bei 100°. ` 0,805 Grm. verloren 0,0876 H,O und gaben ` 0,1155 Ba80.. Berechnet. ! : Gefunden. 10H,0 29,2% 28,8 2(C,H,NO)Ba 31 AU Ba 31,2 428 Molekül Krystallwasser zu enthalten. Das Bleisalz ist in Wasser wenig lóslich. p-Nitro-Oxytoluylsáure C,H,(NO;)O,. Das Fil- trat von der Darstellung der salpetersauren p-Diazo- toluylsäure blieb nach nochmaligem Einleiten von sal- petriger Säure längere Zeit sich selbst überlassen. Es schied sich daraus eine reichliche Krystallisation von röthlicher Farbe ab. Nach dem Umkrystallisiren aus Wasser erhielten wir daraus ein aus sehr feinen Nadeln | bestehendes, gelbliches Krystallpulver, welches unter dem Mikroskop viel Ähnlichkeit mit Salpeterkrystal- len zeigte. Der Körper ist wohl p-Nitro-Oxyto- luylsäure. 0,2346 Grm. der bei 130? getrockneten Substanz gaben 0,4167 CO, und 0,0807 H,O. Berechnet. Gefunden. €, 96 48,7 484 ` Hj 3,6 3,8 N 14 7,1 ME 0, 80 40,6 dai 197 100,0. Dinitro-Cressol C,H(NO,)0 (?). Wie oben an- gegeben, hatten wir die p-Oxytoluylsäure erhalten durch Fällen der stark eingeengten ammoniakalischen Lósung mit Salpetersáure. Um eine weitere Menge der Oxysäure zu erhalten, wurde die Mntterlauge ein- gedampft. Es trat hierbei eine lebhafte Gasentwicke- lung ein, und es schieden sich rasch gelbe Krystalle ab. Diese Krystalle lösten sich nicht in kaltem Was- ser, wenig in siedendem, wobei sie schmolzen und sich mit den Wasserdümpfen zu verflüchtigen schienen. Die aus Wasser umkrystallysirte Substanz schmolz bei 85°. | S 0,129 Gr. gaben 0,2016 CO, und 0,0405 H,O. Berechnet. Gefunden. C, 84 42,4 42,6 H, 6 3,1 3,5 N, 28 14,1 چو‎ 0, 80 40,4 — 198 100,0. j Nach L. Duclos (Ann. Chem. Pharm. 109,141) ist übrigens das Dinitro-Cressol eine Flüssigkeit. Bulletin de l’Académie Impériale 427 einen orangegelben Niederschlag ab. Derselbe ist wahr- scheinlich p-Diazoamidotoluylsäure. Kocht man ihn mit conc. Salzsäure, so bildet sich unter Entwi- ckelung von Stickgas ein röthlicher Körper, der, durch Papier sublimirt, leicht in blendend weissen Krystal- len erhalten werden kann. Diese Krystalle sind p- Chlortoluylsäure, während das Filtrat davon p- Amidotoluylsäure enthält. i 0,1174 Gr. der bei 120° getrockneten Säure: ga- ben 0,096 ۰ Berechnet. C€H,CIO, 20,8%, CI p-Chlortoluylsäure C,H,CIO, istin kaltem Was- ser fast unlöslich und auch in siedendem Wasser sehr schwer löslich. Die Säure schmilzt bei 203°. Sie ist identisch mit der Säure, welche Hr. Vollrath durch Oxydation des Chlorxylols C,H,Cl (CH) mit Chrom- süure erhalten hat. p-Oxytoluylsäure C,H,O;. Die Oxysäuren lassen sich aus den Amidosäuren am leichtesten nach dem Verfahren von Griess darstellen, durch Kochen der Diazosäuren mit Wasser. In die concentrirte, gut ab- gekühlte Lösung der salpetersauren p-Amidotoluyl- säure wurde ein langsamer Strom, von salpetriger Säure geleitet. Der gebildete N iederschlag von salpe- tersaurer p - Diazotoluylsäure vermehrte sich noch nach einigem Stehen. Er wurde abfiltrirt, in eine grosse Menge siedenden Wassers eingetragen und die Flüssig- keit nach dem Übersättigen mit Ammoniak stark ein- geengt. Durch Salpetersäure wurde die gebildete p- Oxytoluylsäure gefällt. Die kleine Menge der erhal- tenen Substanz erlaubt keine eingehende Reinigungs- versuche. Unser Produkt war noch mit einer kleinen Menge einer Nitrosäure verunreinigt. 0,242 Gr. bei 120° getrockneter Substanz gaben 0,4875 CO, und 0,1049 HA), Gefunden. 20,2 Berechnet. Gefunden. 6 o6 62,1 H, 8 5.9 5,3 0, 48 31,6 = 152 100,0. Wir erhielten die p-Oxytoluylsäure in Gestalt klei- ner, gelblicher Prismen. Die Sáure ist in kaltem Was- ser schwer, in heissem leicht löslich. Sie scheint ein 430 tis, bracteis duabus, capsula globosa acuta calycem duplo superante. St. serrata a nostra diversissima: foliis serratis glabris, floribus duplo minoribus, brac- teis herbaceis amplis calycem superantibus, sepalis- que serratis glabris, ovario glabro stylo elongato. Cum St. monadelpha S. Z. non comparanda. | Stuartia serrata. Foliis ellipticis ovato-elliptieisve basi acutis apice subfalcato-acuminatis mucronato- incumbenti-serratis, praeter axillas subtus barbatas glaberrimis; bracteis duabus amplis sepalisque (basi connatis) inaequalibus herbaceis breviter oblongis ser- rulatis, praeter marginem ciliatum glabris, dimidia 061818 dorso velutina aequantibus; staminibus liberis elongatis subaequalibus; ovario glabro, stylo filiformi stigmatibus minutis; fructu? — Syn. St. monadelpha Maxim. in sched. a. 1865 distrib., quoad spece. flor., non 8. Z. In Kiusiu m. Hikosan, Julio flor. Arbor dicitur altissima, 4 pedes usque crassa, flo- ribus odoris albis. Differt a S. monadelpha S. Z., mihi florifera cete- rum tantum ex icone florae Japonicae nota, foliis glabris, floribus triplo majoribus, sepalis serratis ova- rioque glabris, stylo tenui, stigmatibus minutis, fila- mentis haud monadelphis, non inaequalibus, neque in fasciculum compactum corolla dimidia breviorem erectis. Praeterea species comparata, ex spece. frf. propriis numerosis, habet folia minutius atque minus incumbenti-serrata. Fructus vero, hucusque nondum cogniti, in nostra specie ob ovarium obtusum subito in stylum abiens obtusi vel rotundati (et glabri) esse debent, quum in St. monadelpha S. Z. ovati acuminati subsericei sint, sepalis bracteisque caducis. Sabia japonica, Foliis tenuiter coriaceis ellipticis utrinque breve acuminatis, nervosis, glaberrimis; pe- dunculis axillaribus unifloris, demum pollicaribus, fructiferis apice valde incrassatis; petalis obovato-ob- longis filamenta filiformia subsuperantibus; drupis ge- minis atrocoeruleis pisiformibus. Cirea Nagasaki, ad rivulos in vallibus umbrosis, rarius. S. leptandrae Hook. f. et Th. affinis. Parnassia nummularia, Pedalis, caulibus ancipiti-ala- tis multifoliatis; foliis membranaceis 5 — 7 -nerviis, radicalibus reniformibus cum apiculo, caulinis sessi- libus orbiculato-cordatis lobis sese obtegentibus am- des Sciences de Saint-Pétersbourg. Diagnoses breves plantarum novarum Japoniae et Mandshuriae, scripsit C. J. Maximowicz. (Lu le 17 janvier 1867.) DECAS SECUNDA. Lychnis laciniata, (Eulychnis.) Praeter pedunculos crispo-puberulos glabra; caule ad genicula vix tumido debili ramoso; foliis lanceolatis basi cuneata semiam- plexicaulibus; cyma multiflora densiuscula plana; pe- dicellis calyce cylindrico 10-nervio dentibus triangu- laribus brevioribus, petalis anguste cuneatis in laci- nias duas terminales subulatas et laterales filiformes vulgo duas fissis, obsolete coronatis, unguibus calycem aequantibus; gynophoro ovarium, dimidium calycem vix superans, aequante, seminibus rotundatis villosis. Var, mandshurica. Petalorum limbo unguibus caly- cique aequilongo, floribus majoribus. In Mandshuria austro-orientali, cirea aestuarium Wladi-Wostok (May), in pratis humidis. Var, japonica. Petalorum limbo ungue calyceque du- ` plo breviore. Culta in urbe Yedo. Flores coccinei, colore L. chalcedonicae L. Proxima L. Bungeana Fisch. differt pubescentia, calyce clavato basi angustissimo, neque rotundato, floribus duplo majoribus sanguineis, petalorum limbo multo latiore irregulariter in lacinias numerosiores latiores fisso, gynophoro ovarium calycis faucem at- tingens duplo superante, et inflorescentia laxa. L. Senno S. Z. differt pubescentia omnium partium densa, subincana, petalis ambitu rotundatis multifidis, caule stricto fastigiatim ramoso, calyce atque gynophoro . praecedentis. L. fulgens Fisch. et L. grandiflora J acq. magis distant jam inflorescentia compacta. Cum ce- teris non comparanda. Stuartia Pseudo-Camellia. Foliis ellipticis utrinque bre- viter acuminatis, subtus parce sericeis, minute serru- latis; bracteis tribus coriaceis ad basin calycis; sepa- is basi connatis valde inaequalibus rotundatis mar- ginibus sese obtegentibus sericeovillosissimis, capsu- lam acuminatam ad apicem fere obtegentibus; stylis in unum coalitis. Culta Yedo. — Flores candidi. St. Malachodendron L., huic affinis, diversa calycis glabrati partitionibus subaequalibus marginibus discre- 432 (S. graveolentem Poepp.) mihi ignotam, tubo laevi insignem. Epigaea asiatica. Racemis subtrifloris, corolla ealyce vix longiore intus nuda. In Nippon borealis prov. Nambu frf. et vix flor. le- git a. 1865 Japonensis Tschonoski. Planta robustior quam E. repens L., quae statim diversa corolla exserta et racemis multifloris. Menziesia purpurea, Foliis ovalibus apice emarginato calloso-apiculatis integerrimis, praeter costam parce paleis subulatis majusculis obsessam glabris; pedun- culis lorem nutantem subaequantibus; calycis 4-par- titi lobis anguste ovatis corollaeque cylindrico -tubu- losae dentibus rectis glanduloso-ciliatis; filamentis pilosis. | In Kiusiu montibus altioribus. Frutex 8 pedes usque altus, ramosus. Flores nu- merosi, purpurei, semipollicares. Planta pulcherrima, M. globulari Salisb. subaffinis. ue T Menziesia pentandra. Foliis oblongo lanceolatis utrin- que acutis glandula apiculatis integerrimis, superne strigosopilosis, subtus ad costam subulato-paleaceis, tenuiter membranaceis; corolla globosa, staminibus 5, stylo geniculato; capsula subglobosa 5-mera. In Nippon alpibus altissimis, nec non in Yeso mon- tibus, usque ad altit. 2000 pedum descendens, fre- uens. Facie M. ferrugineae Sm., sed insignis staminibus simplici loborum corollae numero, et fructu constan- ter 5-mero. — Character genericus ideo paullo mu- tandus. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. a L'Académie a recu dans ses derniéres séances les ouvrages dont voici les titres: Boissier, E. Icones Euphorbiarum ou figures de 122 espéces du genre Euphorbia. Paris 1866. Fol. Michell, Alex. Notes ou Selandria Cerasi Harris, as it occurs at Ann Arbor, Michigan. 8. Owen, Rich. On the anatomy of vertebrates. Vol. I. Fishes and reptiles. Pag. I— XL. Preface. 8. Paru le 28 avril 1867. l’Académie Impériale des Sciences de Saint - Pétersbourg. 431 Bulletin de plexicaulibus; calyce reflexo; petalis totis profunde fimbriato-fissis; staminodiis trifidis glanduliferis; ova- rio supero in stylum acuminato, placentis completis. In Kiusiw montibus altioribus, v. gr. in m. Naga, locis muscosis humidis. P. foliosa Hook. f. et Th. differre videtur caule 4-alato, foliis coriaceis,. stigmatibus subsessilibus. De calycis indole atque de staminodiis silent auctores, mihi vero specimen comparare non licuit. Mitella japoniea. (8 Mitellaria Torr. et Gr.). Foliis longe petiolatis cordato-ovatis cordatisve trilobis, lobo medio protracto acuminato, lateralibus acutis, circum- circa ineiso-mucronato serratis, superne adpresse setosis, subtus ad venas setoso-pubescentibus; scapis nudis; calycis lobis triangularibus; staminibus 5 pe- talis pectinato-pinnatifidis oppositis; stigmatibus sub- integris. Formae duae: lobo folii terminali multo magis acu- minato, scapo elongato multifloro, et lobo terminali breviore, racemo brevi paucifloro. In Kiusiu m. Aso-san, in sylvis humidis, in Nippon provincia Senano. Affinis M. pentandrae Hook. (Mitellopsis Meisn., Drummondia DC.), quae vero foliis crenato serratis lobis subindistinctis obtusis, nec non stigmatibus di- stincte bilobis differt. — Pro Mitellopside japonica S. Z. sumerem, cujus nomen tantum datum est in FI. Jap. fam. nat. I. p. 190, nisi praeterea species adhuc tres indeterminatae ejusdem generis indicarentur. — Quoad folia nostra planta M. diphyllae L. similior est | quam ulli aliae speciei. Sanieula tuberculata, Foliis radicalibus palmato-par- titis lobis trifidis mucronato-serratis, caulibus parum exsertis nudis; umbella ad radium unicum reducta simplici, basi foliis oppositis duobus tripartitis invo- lucrata atque folia vix superante; floribus exteriori- bus masculis numerosis longe pedicellatis, intimis fe- mineis و‎ — 5 sessilibus; calycis tubo tuberculato, tu- berculis limbum calycinum versus mucronibus rectis herbaceis coronatis, ceterum muticis. In aestuario Chu-san peninsulae Koreanae a. 1859 fr. immat. leg. Wilford. Folia radicalia fere S. europaeae L., sed firmiora, sublucida, serrata neque dentata. Conformatione tubi calycini transitum efficit ad Sect. Sanicoriam DC. T. XI, X? 4 et dernier. BRETTEN UNS BULLETIN | - DE L'ACADÉMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.- PÉTERSBOURG. TOME XI. (Feuilles 28 — 37.) GONTENU. : ۲ : Page. C, J. M aximowiez, Courtes diagnoses des nouvelles plantes du Japon et de la Mandjou- rie. Troisiéme décade Dr. Ed. Brandt, Sur le ductus caroticus des lezards vivipares (Lacerta crocea s. Zoo- toca vivipara) (Avec une e ES PR او ووه در وره دند د رق‎ E 439 — 444 A. Savitch, دمه چو‎ de Neptun EE ONLI OOO 4 — 445 . J. ۲۰ Brandt, Quelques hess erg à eclaireir la question de la propagation et > l'extermination de la UK Stellen EE 5—451 M KOKRKE, Sur lorthokias de RISC EEN ea 51 — 457 1 J. F. Brandt, Nouvelles recherches t à classification et les affinités de Didus ineptus 457 — 471 E. Sehneider, Sondage des profondeurs de la mer au moyen de l'électricité. (Avge une EE د رور رر‎ EE ولورد دای ه عم واه‎ se 471 — 506 H. Fritsche, Résuitats des observations de la lune et des +. lunaires, faites à Poul- ova au moyen de l'instrument des passages d'Ert 3 Ad, een و‎ ٢ chronologique des cas d'aérolithes, ds en Russie dans les siècles écéden 5 6. here, cherches relatives à la question de la diminution présumée de profon- eur de la mer d'Azof. (Avec une Planche.) 555 Ci-joint les titres et la table des matières du Tome XI. On g’abonne: chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorff et J. Issakof, libraires à St.- Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l'Académie (Koxurers Ilpaszenia Hnmeparopcroü Axazewim Dasz) et chez . Léopold Voss, libraire à Leipzig. | Le pr d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 8 rbl. arg. pour Ja Russie, | 3 thalers de Prusse pour l’etranger. * 1 EN Jets Imprimerie de Zog? Impériale des sciences. q AZ J) (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.) CF. ۱ Es RY اوي وران‎ get, 0 IT IR = SE 9 Wes nn ECS BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ۱۱ NG, feldianae pertinens, et quidem proxima P. aphyllae Sm., quae stylo arcuato corollam staminaque duplo superante, filamentis basi manifeste dilatatis, poris antherarum obliquis, caule squamis sparsis integris a basi ad /, altitudinis suae circiter obsito, perfecte aphyllo, optime diversa. — Jungit hanc speciem cum P. occidentali R. Br., Thelaiae subgenere Radia Alef., quae foliis floribusque nostrae subsimilibus gaudet, sed caule basi polyphyllo, -calycis laciniis obtusis, fila- mentis styloque arcuato filiformibus, tubulis anthera- rum rectis brevioribus, papillis stigmaticis conjunctis iustructa est. Magis distant et non comparandae P. (Thelaia) spathulata Alef. et P. elliptica Nutt., qua- rum characteres vide apud Alefeld 1. c. in Linnaea. 1856. p. 45 et 47. Chimaphila astyla. Foliis ovatis acuminatis lanceola- tisve a basi mucronulato-serratis; pedunculis elonga- tis 1 — 4 unifloris; bracteis ellipticis; calycis laciniis oblongis v. lanceolatis erosis petala subaequantibus; stigmate sessili. In Mandshuria M o circa sinum Wladi- wostok (May) et Deans Dundas, in sylvis mixtis, rara, medio Julio florens. In Japoniae totius sylvis frondo- sis umbrosis, v. gr. Yeso, non procul a Hakodate, fre- quens, eodem tempore florens; Nippon prov. Nambu, in montibus altioribus; Kiusiu m. Hikosan, ad rivulos umbrosos, rarissime. Facie Ch. maculatae Pursh. Tricyrtis flava. Obsolete puberula; caule humili valde 1011050 : foliis libus oblongo-lanceolatis longe acuminatis; pedunculis axillaribus unifloris flore sub- brevioribus; perigonii phyllis obovatis erectis cam- panulato-conniventibus, ovario lanceolato, stylo gra- cili a medio in ramos tres filiformes semibifidos diviso. Culta Yedo. Floribus amplis campanulatis flavis impunctatis, ne- que perigonii phyllis revolutis, statim inter omnes cognoscenda. Planta ob florum copiam et frondem densam purpureo-viridem pulchra. 28 Diagnoses breves plantarum novarum Japoniae et Mandshuriae, scripsit C. J. Maximowicz. (Lu le 31 janvier 1867.) DECAS TERTIA. u Tripetaleia braeteata. Racemis simplicibus; bracteis amplis ellipticis; sepalis subliberis lanceolatis capsu- lam subsessilem superantibus. In montibus secus sinum Volcanorum, v. gr. m. igni- vomo I-san, ins. Yeso, variis locis, altitudine 1°, — 3000 pedum, in fruticetis, rara, Augusto florens; in montibus altissimis principatus Nambu ins. Nippon, flor. leg. a. 1865 Tschonoski. ` Tr. paniculata S. Z., in consortio nostrae crescens, sed frequentior, diversa racemo basi subcomposito, bracteis linearibus, floribus albis ad apices roseis (ne- que totis carneis), calycis dentibus deltoideis tubo capsulaque stipitata duplo brevioribus, nec non folio- rum forma. | Pyrola subaphylla. Caule basi fere tantum obsito squa- mis lanceolatis spathulatis rhombeisve, saepissime ser- ratis, approximatis, foliisque uno alterove inter vel infra squamas positis vel sub anthesi omnino nullis, rhombeis, late ellipticis rotundatisve, acutis vel raris- sime obtusis, in petiolüm lamina saepius longiorem ˆ decurrenti-attenuatis, serrulatis; calycis laciniis ovato- triangularibus acutis dimidiam corollam aequantibus; petalis orbiculatis; tubulis antherarum filamenta basi vix dilatata duplo superantium extus curvatis, poro horizontali apertis; stylo stamina deorsum curvata parum, corollam vix superante, deflexo, subrecto, aequali; papillis stigmaticis discretis elongatis. In umbrosis muscosis sylvarum frondosarum ins. Yeso, circa Sigi-nope, cet., frequens, medio Julio flo- rens. Nippon: in m. ignivomo Fudzi, sat alta eleva- tione supra mare, in sylvis Abietis firmae, med. No- vembri frf.; in prov. Senano montium altiorum syl- vis, flór. Ad Thelaiae sect. ۸ monographiae Ale- Tome XI. 436 caule usque ad spicam, primum densissimam, vix pol- licarem, demum digitalem interruptam, foliato, flori- bus albis. — Nomen graece interpretatum e japonico, quod penicillum niveum significat. Genus anomalum defectu bractearum et perigonio irregulari. Ch. japonica., Kiusiu, in sylvis m. Kundsho-san, ad rivulos, me- dio Junio nondum florens; Kuma-moto, in sylvis Cryptomeriae, fine Maji florens. Planta nostra verosimiliter identica cum 0 luteo Thbg. fl. Jap. p. 152. — Ejus Urteslaegten Me- lanthium, in Skrift. af Nat. h. selsk. Kjóbenh. IV. 2. p. 17. t. 8. fig. sinistra. — Helonias? japonica R. ۰ Syst. VII. p. 1567. — Melanthium japonicum Willd. Mag. naturf. Fr. Berl. II. p. 22. Figura citata nempe in plantam nostram sat bene quadrat, praeter folia acutiora et spicam longiorem. Sed perigonium, a me in speciminibus numerosis examinatis semper, ut su- pra deseripsi, inventum, atque vix variabile creden- dum, perperam 6-phyllum delineatum et descriptum! Analysis floris nulla data est. Filamenta describuntur brevissima, vix semilinealia (omnia igitur aequilonga? sed icon exprimit inaequalia!), flores lutei (exsiccati?), stigmata simplicia obtusa, germen unicum ovatum. ` «Capsula fructus est» (sic!). Praeterea non convenit locus: in aquis, et tempus florendi autumnale, sed haec minoris momenti. — Nihilominus vix de iden- titate utriusque plantae dubius remansi: cuinam de- scriptiones interdum pessimae Thunbergii non no- tae?! Heloniopsis breviseapa. Rhizomate praemorso crasso brevi; foliis radicalibus spathulatis subito acuminatis; scapo folia vulgo parum excedente vel illis breviore; racemo brevi; pedunculis perigonio duplo brevioribus; phyllis perigonii obovatis; ovarii lobis dorso muticis; stylo staminibusque parum exsertis; seminibus nu- cleo oblongo utrinque longissime appendiculato. — H. pauciflora Maxim. in sched. distrib. a. 1865. Kiusiu, in m. ignivomo Wunzen, a basi usque ad acumen montis proveniens, florens et capsulis raris nondum plene maturis, medio Majo lecta. H. pauciflora A. Gray, quacum primum confudi, e descriptione differt seminibus globoso-ovalibus apice exappendiculatis, nec non foliis brevioribus. — Suge- rokia japonica Miq.!, genus novum iterum Helonio- Bulletin de l'Académie Impériale 435 Trieyrtis latifolia, Praeter pedunculos breviter pube- rulos glabra; foliis late ellipticis late obovatisve 7 — 9-nerviis, subito eximie acuminatis, basi lata am- plexicaulibus: lobis sese invicem obtegentibus; pe- dunculis terminalibus 1-— 3 bracteatis; perigonio cam- panulato-connivente crebre punctato; ovario glabro; styli ramis illo subbrevioribus bifidis. In Nippon borealis principatu Nambu legit fl. fr. Tschonoski. Similis T. macropodae M iq.!, quae constanter differt foliis angustioribus, ovato-vel oblongo-lanceolatis ra- rius ovatis sensim acuminatis, basi angusta auriculata semiamplexicaulibus, pedunculis axillaribus et termi- nalibus gracilioribus et longioribus, in cymam pluri- vel multifloram aggregatis, petalis revolutis maculatis, nec non stylo punctato, qui in nostra albus est. — T. hirta Hook. T. macropodae similis, sed prae om- nibus speciebus ovario hirto excellit. — T. japonica Miq.! eum nostra phyllis perigonii erectis convenit, ceterum vero diversissima. — Cum reliquis, T. flava m. et 7. pilosa Wall. nempe, minime comparanda. Chionographis n. gen. Melanthaceae, Helonieae Kth. Flores hermaphroditi, arcte spicati. Perigonium ebracteatum, phyllis liberis, 3 (4) superioribus pe- taloideis lineari-spathulatis, praefloratione brevibus, supra stamina deorsum flexis, sub anthesi erectis pa- tentibus, inferioribus 3 (2) omnino deficientibus! Sta- mina 6, phyllis perigonii ipsa basi inserta, tria lon- giora phyllis lateralibus 2 et loco infimi deficientis opposita, praecociora, tria breviora phyllo summo et locis lateralium deficientium opposita, seriora, virgi- nea extrorsa, dehissa ob antheras resupinatas introrsa. Filamenta plana, longiora ovato-oblonga, breviora quadrata angustiora. Antherae medio dorso insertae, versatiles, rotundatae, loculis crassis, sinu angusto profundo discretis, longitudinaliter dehiscentibus. Ova- rium trilobum, loculis in stylos tota facie interiori stigmatosos loculo, aequilongos desinentibus. Ovula in quovis loculo 2, collateralia, placentae centrali su- pra medium inserta, adscendentia, anatropa, globoso- ovata, funiculis brevissimis crassis. — Herba glaberrima, spithamaea, habitu Chamaelirii lutei (caroliniani W.), rhizomate brevi praemorso crasso, foliis radicalibus petiolatis ellipticis vel oblongo-ellipticis nervosis, Metanarthecium n. gen. Melanthaceae. Flores racemosi, hermaphroditi. Perigonium sex- partitum, coloratum, membranaceum, persistens, phyl- lis basi campanulatis apice patulis subulato-lineari- bus, exterioribus subangustioribus, praefloratione pla- nis valvatis, interioribus statu gemmaceo leviter con- duplicatis, omnibus apicem versus incrassato-1-nerviis. Stamina 6, subperigyna, phyllis perigonii ad '/, usque adnata, aequalia. Filamenta subulata, basi adnata di- latata. Antherae semper introrsae, medio dorso in- sertae, oblongae, biloculares, loculis alte discretis longitudinaliter dehiscentibus. Ovarium basi perigo- nio adnatum, ovale, in stylum conicum crassum lon- giorem attenuatum. Stigma parvum, trilobum. Loculi tres, multiovulati, ovulis placentae centrali biseriatim insertis, horizontalibus, funiculis brevibus. Capsula perigonio persistente eircumdata, ovata, in stylum persistentem acuminata, sexsulcata, 3-locularis, apice loculicida, septis crassis medio bipartibilibus. Semina numerosa, ovata, exappendiculata, testa tenui reti- culum convexum elegans efformante. Embryo minu- tus ovatus, in basi albuminis carnosi. — Herba rhi- zomate crasso brevi praemorso, fibris densis obvallato, perennans, foliis omnibus radicalibus oblongis vel spa- thulatis nervosis luteo- viridibus, scapis nudis simpli- cibus, racemo elongato rarissime basi ramo unico ad- aucto, pedunculis crassis demum arcuatis bibracteatis exartieulatis, floribus virescenti-luteis. M. luteo-viride, In totius Japoniae pratis siccis subalpinis, gre- garia, et non rara, fine Julii flor., Septembri frf. In mentem vocat aliquomodo plantam sequentem. Narthecium asiaticum. Foliis latiusculis 9 — 11-ner- viis; bracteolis supra medium pedicellorum; perigonii membranacei phyllis subulatis sensim acuminatis, sta- mina paullo superantibus; filamentis breve crispeque villosis basi apiceque exserto glabris. In Nippon borealis principatu Nambu, for. c. fr. mat. Flores virescenti-lutescentes. Reliquae duae species ita definiendae: N. ossifragum L. Foliis latiusculis 5 — 7 - nerviis; bracteis supra medium pedicelli; perigonii subpetaloi- dei phyllis linearibus apice subito acuminato obtusius- 28* des Sciences de Saint- Pétersbourg. 437 psidi subjungendum, a quo tantum seminibus utrinque appendiculatis differt, nostrae plantae valde affinis, at speciosior, ita مایت سکن‎ H japonica. Rhizomate praemorso gracili elongato; foliis radicalibus elongato-spathulatis sensim acumi- natis; scapo gracili folia vulgo 2 — 3-love superante; racemi brevis subumbellati pedunculis plurimis flo- rem duplo usque excedentibus; phyllis perigonii spathulato-oblongis; ovarii loculis dorso gibbis; sta- minibus valde exsertis; stylo perigonium totum et di- midium superante; seminum nucleo linearioblongo utrinque longissime appendiculato. — Hab. Nippon, in alpinis sylvis prov. Senano et Nambu, fl. et frf. misit Tschonoski. Colitur Yedo. — Confer ceterum Miquel. Over de Verwantschap d. Fl. v. Japan cet., appendix p. 24., ex Mededeel. d. Kon Akad. d. We- tensch. Ser. II. t. 2., quoad Sugerokiae characteres. Tofieldia sordida. (Eutofieldia). Foliis sub -5-nerviis anguste linearibus scapo subunifolio parum breviori- bus; racemo interrupto laxo; bracteis pedicellum flore parum breviorem subaequantibus; floribus cernuis tri- lobocalyculatis; perigonio cylindraceo, phyllis lineari- ` oblongis, exterioribus tri-, interioribus 1-nerviis, sta- mina aequantibus; filamentis crasse filiformibus, an- theris basifixis!; stylis ovario sessili aequilongis. Yedo, culta, medio Julio florens, ex alpibus vicinis proveniens. Proxima T. cernuae Sm., quae differt foliis, scapo racemoque elongatis, dots majoribus Deeg albis (in nostra sordide ochraceis), phyllis perigonii obovatis omnibus 1-nerviis, antheris versatilibus ex- sertis, stylis ovario stipitato triente brevioribus. — T. nutans W., etiam in Japonia proveniens, diversa - racemo breviore densiore, floribus sub anthesi brevius pedicellatis, filamentis subulatis, antheris exsertis ver- satilibus, phyllis obovato -oblongis 1-nerviis, stylis ovario duplo saltem brevioribus. — T. japonica Miq , mihi ignota, ad sect. Triantham pertinet, T. pubenti Dryand. affinis. Antheris basi affixis convenit cum T. pubente et T. glandulosa, quum omnes species Eutofieldiae habeant antheras medio dorso affixas; hoc signo igitur quasi transitum offert ad sect. Triantham, quamvis pedicel- lis solitariis instructa sit. 440 der Carotis sinistra (deren es bei der Kreuzotter nur eine, linke, giebt) nachgewiesen?) und vorgeschlagen, denselben als Ductus caroticus zu bezeichnen, wenn er durchgängig, oder Ligamentum caroticum, wenn er obliterirt ist. Ich benannte dieses Gefäss deshalb nicht «absteigendes Stück- des Carotidenbogens», wie es Rathke für die Saurier that, weil dasselbe eine ganz andere Richtung und Lage zur Aorta hatte als bei den bei Rathke abgebildeten Sauriern. Bei den Sau- riern ist es ein bogenförmiges Stück, ein im vollkom- menen Sinne des Wortes absteigendes Stück des Ca- rotidenbogens, wie bei den Embryonen aller Wirbel- thiere, während es bei der Kreuzotter und allen an- deren von mir untersuchten Schlangenarten °) als ein unter einem spitzen Winkel von der Carotis sinistra zur Aorta sinistra absteigendes Gefässchen erschien und folglich nicht mehr das Gepräge eines embryo- nalen Carotidenbogens trug, sondern schon metamor- phosirt war. Die mannichfaltige Ausbildung dessel- ben, die ich in den dreissig von mir untersuchten Kreuzottern fand, brachte mich auf die Idee zu un- tersuchen, ob nicht vielleicht auch bei den Eidechsen das absteigende Stück des Cärotidenbogens grossen individuellen Abweichungen unterliege. Da aber zur Beantwortung dieser Frage . eine möglichst grosse Anzahl von Exemplaren erforderlich ist, so habe ich zu diesem Zwecke die bei uns gemeine und in Beziehung auf die Carotidenbögen noch gar nicht untersuchte gelbe oder lebendiggebährende Eidechse (Lacerta crocea s. Zootoca vivipara) gewählt. Folgende Beschreibung resultirt aus 25 Präparaten. Bei allen von mir in dieser Beziehung untersuch- ten Exemplaren der Zootoca vivipara habe ich ein Verbindungsgefäss zwischen den Carotiden und den Aortenbögen gefunden (Fig. 1, 2, 3dc); indess ist die morphologische Entwickelung desselben keines- weges constant, sondern variirt zwischen den von mir auf den Figuren 2 und 3dc abgebildeten Extremen. Das Charakterische dieses Gefässes ist aber der Um- stand, dass es bei der Zootoca vivipara nicht (wie bei allen bisher untersuchten Eidechsen) ein bogenför- 3) Ed. Brandt: Über den Ductus caroticus und das Ligamentum caroticum der gem. Kreuzotter (Pelias berus) in: Bullet. de l'Acad. des sc. de St.-Pétersb., Tom V, 27. Sept. (9. Oct.) 1865, p. 353 — 362. 4) Ex. Bpanarte: 6 cOHHO-apTepiaxbHow OpPOTOKÉ Pamoka (Pe- = Sie H Apyrux» 3۱451۰ Mexuuugck. BECTHHKD 1866 ya X 14, Bulletin de l’Académie Impériale 439 culis, stamina triente superantibus; filamentis dense longeque villosis, apice brevi glabrato supra villum non exserto. N. americanum Gaul, Foliis anguste linearibus 8— 11-nerviis; pedicellis basi bracteolatis; perigonii subpetaloidei phyllis linearibus apice subito acumi- nato obtusiusculis stamina paullo superantibus; fila- mentis villosis apice glabro exserto. — Flores quam in praecedente duplo saltem capsulaeque minores, race- mus fructifer densissimus, in ceteris duabus specie- bus laxus. Differentiae enumeratae, speciminibus, N. ameri- cano excepto, numerosissimis superconditae, constan- tissimae videntur. Über den Ductus caroticus der lebendiggebäh- renden Eidechse (Lacerta crocea s. 8, vivipara), von Dr. Eduard Brandt. (Lu le 14 mars 1867.) (Mit einer Tafel.) Seit den ausführlichen Untersuchungen Rathke’ 8 über die aus den Aorten der Saurier entspringenden Gefüsse und ihre Ramificationen ist es nachgewie- sen, dass die eigentlichen Eidechsen (Sauri squamati) nüchst den Ringeleidechsen (Sauri annulati) Caroti- denbögen besitzen. Nur die höheren Formen der Sauri squamati, die in mehrfacher Hinsicht bezüglich ihres inneren Baues den Crocodiliden sich nähern, machen hiervon eine Ausnahme, indem sie keine Carotiden- bógen haben. Hierher gehóren namentlich die Vara- niden. Auch bei 4 von Rathke untersuchten Chamae- leon-Arten fand er nur bei einem, Chamaeleo planiceps, sehr dünne Carotidenbógen?), bei den anderen aber, liess sich, wie er sagt, nicht die mindeste Spur derselben zwischen je einer Carotis und einer Aortenwurzel er- kennen, obgleich er auf das Aufsuchen einer solchen die móglichste Sorgfalt verwendete, und sogar bei einigen die Injection der Arterien sehr gut gelungen war. Als ich das Gefässsystem der gemeinen Kreuz- otter (Pelias berus) auf die Aortenwurzeln unter- suchte, habe ich indessen bei dieser Schlange einen Ver- bindungsast zwischen dem Arcus Aortae sinister und 1) H. Rathke: Über die Aortenwurzeln und die von ihnen ent- springenden Arterien der Saurier, in: Denkschriften der Wiener Akademie, 13. Bd. 1857, 2. Abtheil. pag. 51 — 142, Tab. I — 2) H. Rathke l. c. pag. 75, Tab. II, Fig. 9. o. 412 einen ganz abgegrünzten Raum angewiesen ist, in welchen bei der Contraction der rechten Kammer das meiste venóse Blut gelangt und die arteria pulmona- lis aufsucht. An den Atrioventricularóffnungen sind halbmondförmige Klappen angebracht. Der linke Aor- tenbogen giebt nur einige kleine Muskelzweige. Aus dem rechten Aortenbogen aber entspringt, nahe seinem Austritte aus dem Herzen, der sehr kurze und breite gemeinschaftliche Stamm der Carotiden arteria carotis primaria sive truncus caroticus (Fig. 1 C. p.), der sich in die beiden gemeinschaftlichen Carotiden (Carotis communis dextra et sinistra Fig. 1 C. d. u. C. s.) theilt. Aus dem bogenförmigen Theile der Carotiden (a. c. s. u. a.c. d. Fig. 1) entspringt ein bedeutender, sehr stark sich verzweigender Kehlkopfzungenast (Fig. 1 a. l.s. u. a. 1. d.). Alsdann noch eine Strecke bogenfür- mig verlaufend steigt eine jede Carotis in die Höhe lüngs dem Halse. Zwischen jeder Carotis und dem Aortenbogen der entsprechenden Seite befindet sich der Ductus caroticus (Fig. 1, 2, 3 d. c.), der diese bei- den Arterien verbindet. An der Abgangsstelle des Ductus caroticus vom bogenfórmigen Theile der Carotis entspringt aus demselben nach aussen ein Muskel- zweig (Fig. 1,2, 3, r. m.)"). Kurz vor der Vereinigung der beiden Aortenbögen entspringen aus dem rechten die beiden arteriae subclaviae, und zwar die rechte (Fig. 1,2,3,a.s.d.) von der rechten oder äusseren Seite und etwas höher, die linke (Fig. 1, 2,3,a. s.s.) von der linken oder inneren Seite und etwas tiefer, beide gleich mächtig entwickelt, also wie dies auch Rathke*) bei der Lacerta agilis angiebt. Der Ductus caroticus (Fig. 1, 2, 3 c. d.) ist bei der Zootoca vivipara in den meisten Fällen etwas breiter als der aufstei- gende Theil der Carotis communis; in einigen Exem- plaren war er gleich breit und in noch anderen so- gar dünner. Eben so unbestündig ist auch seine Lünge. So sehen wir ihn sehr lang auf der Figur 3, und viel kürzer, aber bedeutend breiter auf den Figuren 2 u. 17). Aber in keinem der von mir untersuchten Exem- plare der Zootica vivipara sah ich ihn als ein bogen- 107101868 Endstück des Carotidenbogens, wie ihn 5) Bei der sehr nahe verwandten Lacerta agilis entspringt dieser Muskelzweig aus der Mitte des ductus caroticus. 6) Rathke 1. c. pag. 83. 7) Die grössere oder geringere Ausbildung des Ductus caroticus steht in keiner Beziehung zur Grösse des Individuums; also ganz so wie bei den Schlangen. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 411 miger absteigender Schenkel des Carotidenbogens ist, sondern ein schnurgerades Gefässchen vorstellt, wel- ches also ganz eben so eine Gestalt wie der Ductus caroticus der Schlangen besitzt; es muss daher als Ductus caroticus bezeichnet werden. Es geht aber nicht unter einem spitzen, sondern unter einem fast geraden Winkel von dem bogenförmigen Theile der Carotis ab. | Die auf ihr Gefásssystem nur sehr wenig unter- suchte Zootoca vivipara zeigt in den Centraltheilen desselben folgende Einrichtung. Das ziemlich stark entwickelte im Halse gelegene Herz ist sehr zuge- spitzt und enthält zwei nicht vollkommen von einan- der geschiedene Kammern (Ventriculus dexter Fig. 1 F.d. und ventriculus sinister H si, indem das sep- tum ventriculorum longitudinale durchbohrt ist. Die beiden Vorkammern (Fig. 1.4.d. rechte Vorkammer und A. s. linke Vorkammer) sind vollkommen getrennt, und dabei die rechte Vorkammer wie auch die rechte Kammer viel mehr als die entsprechenden linken Theile entwickelt. Zwei venae cavae superiores (resp. anteriores) und eine vena cava inferior (resp. posterior) ergiessen das venóse Blut in das atrium dextrum (vena cava superior dextra Fig.1c.d. aus der v. jugularis dextra v.j. d. und der vena subclavia dextra v. s. d., und die vena cava superior sinistra c.s. aus der vena subclavia sinistra v. s. s. und der vena jugularis si- ' mistra v.j. s. zusammengesetzt). Aus dem rechten Ven- trikel entspringen: die arteria pulmonalis (Fig. 1 a. p.) und die beiden Aortenbögen, nämlich der rechte Aor- tenbogen (arcus Aortae dexter a. À. d.) und der linke Aortenbogen (arcus Aortae sinister a. A. s.), welche unter einem spitzen Winkel hinter und über dem Herzen sich zum truncus Aortae (Fig. 1 À.) vereini- gen. Die arteria pulmonalis theilt sich in einen lin- ken und rechten Ast. Eine aus zwei Ästen entstan- dene vena pulmonalis bringt das oxydirte Blut in das atrium sinistrum. Aus dem ventriculus sinister ent- springt gar kein Gefäss, so dass bei der Systole die- ser Kammer das in ihr enthaltene Blut durch die Öff- nung im septum ventriculorum in die rechte Kammer fliesst, wo es vorzüglich in die mit ihren Mündungen zu derselben nahe gelegenen Aortenbógen strömt, während ein kleinerer Theil des Blutes in die Lun- genarterie gelangt, welche in dem vorderen 6 dieser Kammer liegt und durch eine Muskelleiste auf c.s. Cava superior resp. anterior. c.i. Cava inferior resp. posterior. a.p. Arteria pulmonalis. a. À. d. Arcus Aortae dexter. a. Å. s. Arcus Aortae sinister. A. Truncus aorticus s. Aorta. On Carotis primaria s. truncus caroticus. a.c.d. Arcus caroticus dexter. a.c. s. Arcus caroticus sinister. 0.1.0. Arteria lingualis dextra (Kehlkopfzungenast. Rathke). a.l.s. Arteria lingualis sinistra. Cd Carotis dextra. C.s. Carotis sinistra. d.c. Ductus caroticus. r.m. Ramus muscularis. 0.8.0. Arteria subclavia dextra. 0.8.8. Arteria subclavia sinistra. Fig.2u.3. Linker Carotidenbogen, linker Aortenbo- gen und das untere Stück des rechten Aorten- bogens von der Zootoca vivipara, um die ver- schiedene Ausbildung des Ductus caroticus zu zeigen. Nach zwei von mir verfertigten Prä- 'paraten. Fig. 4. Linker Carotidéibogéh à und Aortenbogen der Lacerta agilis gr Rathke). L'opposition de la planéte Neptune en 1866, par A. Savitsch. (Lu le 28 février 1867.) Les observations ont été faites au moyen du cercle méridien de l'Observatoire académique de St.-Péters- bourg. Les positions des étoiles de comparaison: x, ©, ٤ des Poissons et 12 de la Baleine sont emprun- tées au Nautical Almanac pour l'an 1866; la position de l'étoile & des Poissons (86, prec.) a été déterminée d'aprés les Catalogues de Greenwich (Twelve Year Ca- talogue, 1847) et d'Oxford (Radcliffe Catalogue, 1858 — 1861). Les étoiles eircumpolaires y du Céphée et a de la Petite Ourse ont été observées pour la recti- fication de l'instrument par rapport à l'azimut. Les declinaisons qui se trouvent dans la table suivante, sont corrigées de la réfraction et du parallaxe. Les positions de la planéte se rapportent aux mo- Bulletin de l'Académie Impériale 443 Rathke bei allen Sauriern und auch bei der Lacerta agilis abbildet (siehe meine Fig. 4, welche eine Copie ist aus Rathke 1. e. Tab. II, Fig. 4). Der Umstand, dass bei dieser Eidechse ein Ductus caroticus (wie bei den Schlangen) vorhanden ist, nà- hert das Gefässsystem der Saurier noch mehr dem der Schlangen, indem es also auch hier Fälle giebt, wo nicht der ganze embryonale Carotidenbogen nach- geblieben ist, sondern das absteigende Stück dessel- ben sich zu einem Ductus caroticus metamorphosirt. Brücke?) fand bei einem Exemplare von Podinema Tequixin sogar obliterirte absteigende Stücke der Ca- rotidenbögen (also wie es meistens bei den Schlangen als ein ligamentum caroticum vorkommt), und Rath ke?) macht die Bemerkung, dass dieselben bei mehreren grossen Schuppeneidechsen sehr dünn sind und also wahrscheinlich eine Neigung zur Obliteration zeigen. Bezieht man dieses auch auf die von mir bei der Zootoca vivipara beobachteten variabelen Ausbildun- gen des Ductus caroticus, so ist hiermit ein neuer Be- weis für die Hinneigung des Ductus caroticus (oder des bogenförmigen absteigenden Stückes des Carotidenbo- gens) der Saurier zur Obliteration gegeben, eine Nei- gung, welche auch bei den Schlangen existirt und so- wohl bei diesen, als auch bei jenen vollkommen wird, oder bloss auf einem gewisse Grade der Verkümme- rung stehen bleibt, wobei der Durchgang des Blutes, obgleich schwer, jedoch noch möglich ist. Erklärung der Abbildungen. Fig. 1. Das Herz und die Hauptgefässstämme der Zoo- toca vivipara, nach meinem Präparate ge- zeichnet. A. Atrium dextrum. A.s. Atrium sinistrum. V.d. Ventriculus dexter. V.s. Ventriculus sinister. j.d. Vena jugularis dextra. j.s. Vena jugularis sinistra. v.s.d. Vena subclavia dextra. v.8.8. Vena subclavia sinistra. 8) Brücke: Beitrüge zur Anatomie und Physiologie in den Denk- schriften d. Wiener Akadem., mathem. naturw. Cl., 1852, Bd. III. Seite 16 eines وچ ريزو‎ ze ments de passages par le méridien de St.-Pétersbourg. 9) H. Rathke L. c. pag. 7 e AC ei B randt Uber o ductus caroticus der Zoetoca. vivipara: Bulletin de Aad Iimp TXI t yt 1 à = Ke, Tii ^ $i ad natur delend. 17 9 9 977 ۳۹۹ JN Pec EE ایو نه‎ * à‏ ووو r^c‏ یښ 446 V. p. 558, Mél. biol. T. IV. p. 259, so wie Bullet. d. nat. d. Mosc. ann. 1866 n. 2. p. 572) denselben Ge- genstand dreimal besprochen und mehrere bestätigende Zusätze gemacht. In den citirten Abhandlungen wird indessen der frühere Aufenthalt der nordischen See- kuh bei der der Beringsinsel benachbarten Kupferin- sel zwar als sehr wahrscheinlich angenommen, jedoch nicht positiv behauptet. Pallas, der nach einem aus dem Jahre 1755 her- stammenden, russischen Berichte des Ober-Hütten- verwalters P. Jakowlew eine kurze Beschreibung der von diesem untersuchten Kupferinsel in deutscher Sprache lieferte (Neue Nord. Beitr. Bd. II St. Peters- burg 1781 S. 203) und S. 305 die in der Umgebung und auf der Insel vorkommenden Thiere aufführt, nennt zwar Seebiber (Enhydris marina), Seelówen (Otaria Stelleri), Seebären (Otaria ursina) und Vögel, aber keine Seekuh. Wenn Jakowlew in seiner Be- schreibung dieser Insel die Seekühe nicht erwähnt, so darf dies wohl so erklärt werden, dass er nur die während seines dortigen Aufenthaltes noch vorhande- nen Thiere aufführen zu müssen glaubte. Herr v. Baer (Mém. a. a. O. S. 67) sagt: «Geht man die Werke (d. h. die, welche über die ältesten Entdeckungsreisen und Jagdexpeditionen von Kam- tschatka, oder Ochotsk nach den Aleuten und den Amerika zu liegenden Inseln abgegangenen berichten) durch, um sich über die damalige Verbreitung der Seekuh zu belehren, so ist es auffallend, ihrer nur bei der Beringsinsel erwähnt zu finden». Auf der folgen- den Seite bemerkt er indessen: «aus dem, was Coxe und Dallas berichten, muss man glauben, dass nur die Kupfer-und Beringsinsel zur Versorgung mit Seekuh- Fleisch dienten. Beide waren unbewohnt». In seinem zweiten im Bulletin 3 ser. III. und Mél. biol. ۰ veröffentlichten Aufsatze berichtet er (Mél. a. a. O. 8. 528): «er habe vom Vorkommen der Seekuh bei der Kupferinsel keine bestimmte Angabe gefunden. Er zweifle indessen nicht, dass sie an dieser Insel lebte, da sie unbewohnt war. Die Seekühe hátten wohl dort bald abgenommen. » Im ersten oben citirten Fascikel meiner Symbolae Sirenologicae steht: « Prope Insulam Cupri, Beringianae insulae, ut notum, vieinam tamen pariter vixisse vide- tur, quamvis de hoc loco natali observationes minus sufficiant». des Sciences de Saint- Pétersbourg. 445 Kë: Asc. droites. 3 Alm. Kee ‘| TE Sept.180^ 46" 5:57 | — 2:75 |3°12 14/5) —1577 19 0,06 | — 2,44 | 11 38,0| —13,9 24 45 30,45, — 2,36 |3 8 25,2) —12,8 25 24,39 | — 2,40 7 46,5| —12,3 rn irn... T B4 —14,2 980 45 6,58 | — 2,05 5 46,7, —14,2 11,5— 10,01 5 2,03 و ز.1 29 DEDI OD 8 ‚23 | — 2,07 2 59: 16,4 —10,9 9| 43 59,16 | — 2,00 | 58 48,2 —13,3 11 46,87|— 2,05 | 57 16,9 —13,7 12 40,73 | — 2,10 | 56 40,5| —11,6 Milieu ...... mo DES seis — 13,10 La quadrature de Neptune en ۰ Déc. 2/0^39"43:39 | — 1:95 |2?32' 509 —1278 25 20,43 | — 2,07 | 31 37,11 —11,3 26 20,96 | — 2,15 | 31 45,5 — 9,3 Milieu... | — 2:06 |....... it Ergänzende Mittheilungen zur Erläuterung der ehemaligen Verbreitung und Vertilgung der Steller’schen Seekuh, von J. F. Brandt. (Lu l 28 mars 1867.) Sehr häufig spricht man zwar von der erschöpfen- den Behandlung gewisser Gegenstände. Genau ge- nommen möchte es aber, wie bekannt, besonders in den Naturwissenschaften wohl kaum irgend einen Ge- genstand geben, von dem sich behaupten liesse, er sei bereits so genau untersucht und geschildert wor- den, dass die Kenntniss, welche wir von ihm besitzen, als eine bereits abgeschlossene anzusehen wäre. Dies zur Entschuldigung, wenn ich auf einen schon mehr- mals, sogar mit möglichster Gründlichkeit, behandel- ten Gegenstand wieder zurückkomme: die Verbreitung und Vertilgung der von Steller entdeckten nordi- schen Seekuh (Rhytina borealis seu Stelleri). Herr v. Baer hat nämlich schon dieselbe in zwei ausgezeich- neten Aufsätzen (Mém. d. l'Acad. Imp. d. Sc. VI. Sc. nat. III. p. 58 und Bullet. Sc. 3. Ser. III. 1861. p. 369, Mél. biol. T. III. p. 519) meisterhaft geschil- dert. Ich selbst habe (Symbolae Sirenol. Mém. d. l'Acad. VI. Ser. Sc. nat. T, V, Bullet. Sc. 3 Ser. T. E S geringer Entfernung von den Ufern, an solchen seich- ten Meeresstrecken, die mit Tangen reichlich besetzt waren, welche ihre einzige Nahrung ausmachten. Es konnten daher selbst ohne Fahrzeug Menschen bis zu ihren Wohnorten gelangen und sie dort aufsuchen und erlegen. Die Promyschleniki (Thierjäger), welche auf der Beringsinsel verweilten, benutzten häufig diese Gelegenheit, indem sie einzeln mit einer Stange, die an einem Ende eine eiserne, schwertförmige Spitze hatte. ins Wasser gingen und die Seekühe anstachen, in der Hoffnung, dass dieselben nach ihrem Tode ans Ufer getrieben werden würden. Da indessen die an- gestochenen Seekühe weiter ins Meer zu gehen pfleg- ten, so wurden nur wenige, und noch dazu meist erst - wenn sie schon zur Speise unbrauchbar geworden wa- ren, vom Meere an die Küste geworfen. Welche Ver- wüstungen eine solche Fangmethode unter den so leicht zu erlegenden Seekühen anrichten musste, ist einleuchtend, weshalb auch Jakowlew mit vollem Rechte dagegen eiferte. Jakowlew's Leute fingen dagegen die Seekühe nur einzeln auf eine ihren Bestand mehr schonende, von der von Steller geschilderten etwas abweichende, daher als Beitrag zur Naturgeschichte der 06 beachtenswerthe, Weise. Es fuhren nämlich in ei- nem Boote acht Mann, wovon einer, der hinten beim Steuermann stand, mit einer an einem Ende mit einer eisernen, schwertfórmigen Spitze versehenen Stange bewaffnet war, zu den Seekühen. Sobald sie nun in der Richtung des Kopfes einer Seekuh gekom- men waren, wurde das Boot mit dem Hintertheile ihr zugewendet und mit dem genannten Instrumente ihr eine Herzwunde beigebracht, worauf man sich rasch entfernte, damit sie nicht durch die Kraft ihres Schwanzes oder das Gewicht ihres Kórpers das Boot umwürfe und zertrümmerte. Die Seekuh ermattete nach kurzer Zeit und blieb endlich mit nach oben gekehrtem Bauche auf einem Flecke. Die Jüger be- festigten alsdann dieselbe mittelst an Riemen befind- licher Haken an das Hintertheil des Fahrzeuges und führten sie so zum Ufer. Dort wurde sie, damit das Fleisch, welches in 24 Stunden unbrauchbar werden konnte, nicht verdarb, sogleich zerlegt. Nach Jakow- lew lieferte das ohne Knochen 200 Pud wiegende Fleisch eines einzigen Thieres für 33 Mann auf einen Bulletin de l'Académie Impériale 447 Ein Fund, welchen mein geehrter College P ekarski bei Gelegenheit seiner Nachforschungen über die Le- bensgeschichte Lomonossow's machte und in den in russischer Sprache erscheinenden Schriften unserer Akademie (3anmexu T. X, KH. 2, erp. 183) mittheilte, setzt aber das frühere Vorhandensein der Rhytina in der Küstennühe der Kupferinsel ausser allem Zweifel. Der Fund besteht aus einer Mittheilung des Tage- buchs desselben P. Jakowlew, dem wir die oben erwähnte von Pallas in deutscher Sprache veröffent- lichte, kurze Beschreibung der Kupferinsel verdanken. Jakowlew berichtet nämlich positiv nach den Aus- sagen von Leuten seines Commando’s, eben so wie von Kamtschadalen, die vor ihm (also vor 1755) auf der Kupferinsel gewesen waren, die Seekuh sei früher heerdenweis bei dieser Insel angetroffen worden, zu seiner Zeit aber habe man dort keine einzige mehr gesehen. Deshalb sei er auch, weil nur die Seekühe ausreichend Proviant hätten liefern können, ausser Stande gewesen auf derselben zu überwintern. Auf der Kupferinsel, obgleich sie etwas später als die Beringsinsel (sicher erst nach 1742) von den russi- schen Pelzjägern, von denen viele dort überwinterten, so namentlich die Bassow’schen Expeditionen 1747 und 1749 (v. Baer Mél. biol. III. p. 527), besucht wurde, folgte die Ausrottung der Rhytina mindestens um 16 Jahre, vermuthlich aber noch früher als auf der Beringsinsel, so dass sie dort in Folge der zahl- reichen Nachstellungen, die von mehreren Jagd-Ex- peditionen ausgingen, mindestens bereits schon 11 Jahre nach ihrer dortigen Entdeckung verschwand, was bei der Beringsinsel erst 27 Jahre nach dersel- ben, aber immerhin sehr schnell geschah. Der Um- stand, dass die Kupferinsel kleiner als die Beringsin- sel ist, erleichterte es offenbar den Jügern, die Auf- enthaltsorte der Seekühe an der Kupferinsel aufzu- suchen, die dort wohl nicht so ausgedehnt waren als an der Beringsinsel. , Interessant sind auch die Mittheilungen, welche Jakowlew in Betreff der Seekühe bei der Berings- Insel machte, auf welcher er vom Herbst 1754 bis zum Frühling 1755, also dreizehn Jahre nach Stel- ler, zubrachte. Die Seekühe fanden sich nach ihm damals dort noch besonders in der Nähe des Nisowzer:Hafens theils einzeln, theils in Heerden, aber immer nur in | ganzen Monat einen trefflichen Proviant. 116 6 H 450 Ausdehnung des früheren Wohngebietes der 0 Platz finden. Schon Herr v. Baer war in seiner er- sten Abhandlung nicht der Meinung, dass die Wohn- orte des fraglichen Thieres auf die Küstennähe der Berings- und Kupferinsel sich stets beschränkten, die beide unbewohnt waren, und gerade deshalb die letz- ten Wohnsitze der Rhytinen zur Zeit der Ankunft der Russen bildeten; eine Ansicht, in der ich mit meinem geehrten Collegen stets übereinstimmte. Wo nur Menschen sich ansiedelten, mussten (wie z. B. selbst auf den Aleuten) die wohlschmeckenden, eine reichliche Speise bietenden Rhytinen wegen ihres stu- piden Naturells und ihrer so leicht zugänglichen Aut- enthaltsorte sehr bald verschwinden. In meinem 1862 (Bull. sc. T. V. p. 558) veröffent- lichten Aufsatze stellte ich die Ansicht auf, dass alle mit grösseren Algen besetzten seichteren Meeres- strecken eines grossen Beckens des stillen Oceans, welches südwürts von Nishnaja Kamtschatka viel- leicht bis China, dann von der Berings- und Kupfer- insel über die Aleuten gegen die Küsten Amerika’s und von da weiter südlich bis Californien sich er- streckt, möglicherweise als frühere Wohnsitze der Rhytina angenommen werden könnten. Für eine solche Ausdehnung des ursprünglichen, noch nicht durch zer- stórende, menschliche Einwirkung beeintrüchtigten Wohngebietes spricht überdies auch die Vertheilung der anderen noch lebenden Gattungen der Sirenien. Die Manatis finden sich, oder fanden sich, an den Kü- sten, oder noch häufiger in den grossen Flüssen sol- cher Länder und Inseln, welche vom grossen Atlan- tischen Ocean von Mittel- und Südamerika bis Afrika bespült werden. Der Dugong ist der Bewohner des von Afrika bis Neuholland und den Philippinen ausgedehn- ten grossen Meeresbeckens. Die Rhytina mochte daher früher im stillen Ocean eine ühnliche Rolle, wie die er- wühnten Gattungen in ihren Meeresbecken, spielen, obgleich ihr Verbreitungsgebiet ein mehr nach Nor- den geschobenes war. Die Polargrenze ihrer Ver- breitung dürfte wohl mit der der grossen Algen (La- minarien) zusammenfallen. Für die Südgrenze fehlen noch die nóthigen Anhaltungspunkte, welche hoffent- lich die künftigen Entdeckungen A Reste liefern werden. : Zum Vorkommen der Rhytina in nördlicheren Ge- genden gehórten aber, ausser einer aus grósseren Ar- 29 des Sciences de Saint- Petersbourg. gel , nicht habe, 419 wurden theils zur Anfertigung von Kähnen (Baida- ren), theils zur Verfertigung von Schuhwerk, nament- lich Sohlen, benutzt. Da و( یدز‎ befürchtete, deg durch die oben erwühnte, für den Bestand der Seekühe so nachthei- lige, von den einzeln ins Wasser gehenden Promy- schlenik’s geübte Fangmethode die fraglichen Thiere auch bei der Beringsinsel ausgerottet werden könn- ten, so reichte er, als er von seinem Besuche der Kupferinsel nach Nishne Kamtschatski Ostrog zurück- gekehrt war, der d ırtigen Behörde (Prikas) am 27. November 1755 ei‘ Promemoria ein. In diesem machte er namentlichtden Vorschlag, die Bolscherez- kische Kanzelei móchté den Personen, welche auf der Beringsinsel sich aufhielten, durch einen Befehl (Ukas) verbieten, den Seekülen auf eine ihrem Bestande schädliche Weise nachzastellen, damit dieselben dort ' nicht eben so ausgerottist würden wie bei der Kupfer- insel, auf der er, en ei aurel die Vertilgung der Seekühe 1 ner beigeführ ten3Provi überwintern können. 9i Ob seinem Promemoria eine Folge gegeben wurde ist nicht bekannt geworden. Selbst der Befehl der genannten Kanzelei, wenn sie überhaupt einen sol- chen erliess, hat wenigstens Nie Vertilgung der letz- ten, bei der Beringsinsel wei! &den Reste nicht ver- hindert, denn, wie wir bereit?! durch Sauer wissen, wurde dort 1768 das letzte Exemplar erlegt. Sauer's Angabe, so wie did&Annahme der durch Menschenhand erfolgten günzliK*en Vertilgung der Seekühe überhaupt, gewinnen du Vh die positive Mit- theilung über die ganz entschiede? durch Menschen- hände bei der Kupferinsel bereits @t‘olgte und in Be- treff der Beringsinsel befürchtete ® Nertilgung einen unwiderleglichen Stützpunkt. ap Jakowlew’s Bemühung, die Seell's1e bei der Be- ringsinsel zu erhalten, liefert den Bets s, dass wenig- stens ein adams: hafüliel gebildeter Neon die gänz- liche Vertilgung' der Rhytinen zu 7 dern bemüht war, und lässt in den Augen der Naturfo S her, welche den Verlust einer eigenthümlichen Thic»*attung be- dauern müssen, die Geschichte der Ve څ‎ zung der . Rhytina gegen früher in einem etwas anc Ai Lichte erscheinen. $ Schliesslich mögen nun nur noch einig 4 “ervoll- ständigende Bemerkungen über die muthn g'sliche . Tome XI. Krystallen des Adulars vom Zil- lerthal (Tyrol) und aus dem Canton Grisons (Schweiz) wurden 92 Win- kel vermittelst des Mitscher- ¢ lich'schen Goniometers (mit einem Fernrohre) gemessen. Als Mittel erhielt ich folgende Werthe: AD 119° 19 57 stumpfe Kante P E | ER 67° 47’ us 1 scharfe Kante. P: 7 داز لست‎ 407 " D anliegende ۱ Vi 129 42 38. j Pia ÈS 0 ` n ۳ E ده و‎ 37 ۱ 8:1 | 0 7 stumpfe Kante ü œiT o Eet scharfe Kante | ur 69 20 À ١ 3٩:0 دنک‎ . ۳ D anliegende | رتیت‎ 153° 6 37 Kee Ei 10’ 0” I Sé o fx klinod. Kante | 7 1 18 47 91 T: e 0 , p orthod. Kante | 61 1 3 16 :0 N ٥ ام‎ D nicht anliegende ESS 85 d 10 T:M Bel 120° 35’ 15" anliegende‘ d 0: JA | — 59°24 45" nicht anliegen: ê Für die Flüchen end folgende krystallographische Zeichen angenommen: P—0P, M—(»Px), k=»P», س‎ + Pes, y==+ 2B», n—(2P»), T=»P, z—(esP3) und o= + P. j 4) Besondere Bemerkungen. In diesem Ab- schnitt meiner Abhandlung gebe ich unter anderem vorzüglich Folgendes’): a) Schon Haüy hat die Flächen des Hauptprismas des Orthoklas œP durch zwei verschiedene Buchsta- ben bezeichnet, nämlich durch T und l; er spricht auch (äusser: den vollkommensten Spaltbarkeiten nach P—oP und M — (»P»)) nur von einer unvollkomme- nen Spalt.irkeit nach T. Später haben A. Breit- haupt uncgeinige andere Mineralogen durch sorg- fältige Be; vachtungen gezeigt, dass die Spaltbarkeit nach den, „"lächen. / weniger deutlich ist als die nach 1) Hier €lnd bloss die tlichsten Gegenstände gegeben. V der detai) Jrten Angaben muss ich auf den Aufsatz selbst verweisen. Bulletin de l'Académie Impériale 451 ten gebildeten Algenvegetation, auch stets offene, nie mit einer Eisdecke überzogene, wenn auch von Treib- eis nicht verschonte, Meeresstrecken, wie sie an der Südhälfte Kamtschatka’s, bei der Berings- und Kupfer- insel, den Aleuten u. s. w. sich finden. Im gefrierenden Meere, worin die Winterkälte die Algen zerstört, also im höheren Norden (z. B. an der Beringsstrasse, an den Eismeerküsten), konnten keine, stets einer sehr reichlichen Tang-Nahrung bedürfende Rhytinen, selbst nicht einmal im Sommer, angetroffen werden, denn sie waren keine Wanderthiere, sondern fanden sich bei der Beringsinsel das ganze Jahr hindurch. Wenn daher Herr Eichwald meint, die Seekühe hätten sich in Folge der Nachstellungen der Aleuten in den Anadyrbusen, das Beringsmeer, die Beringsstrasse und das Eismeer geflüchtet, wo aber Niemand, selbst nicht Wosnessenski, der acht Jahre danach suchte, sie sah oder von ihnen hórte, so ist dies offenbar eine hypo- thetische, völlig grundlose Behauptung. So hart- náckig auch ihr allen Widerlegungen trotzender Ver- fechter darauf bestehen mag, sie widerstrebt der Be- schaffenheit der Wohnorte und dem Naturell der Rhytina wie sie von Steller und Jakowlew geschil- dert werden. (Siehe meinen Aufsatz im Bulletin de nat. de Moscou 1866 n. 5). 1867.) Den 28. März 1867 habe ich der Classe eine Ab- handlung über den Orthoklas vorgelegt. Diese Arbeit enthält: 1) Beschreibung der verschiedenen Varie- táten des Minerals (gemeiner Feldspath, Adular, Amazonenstein) aus mehreren Gegenden des Urals, Altais und Transbaikaliens. | 2) Berechnete Winkel des Orthoklas. Das für die Berechnung angenommene Axenverhältniss der Grundform (Verticalaxe a — 1, Klinodiagonalaxe — 1,18570, Orthodiagonalaxe — 1,80058, Axenwinkel + = 63° DÉI 46") wurde aus zahlreichen genauen Mes- sungen abgeleitet. . 9) Resultate der Krystallmessungen. An 17 Am Krystall M 2 (Grisons). .P:T—112?13'407 P:1— 112? 14' 10" P:T— 67°47" 0; P:l— 67 45'50" Am Krystall X 6 (Zillerthal). P:T—112*11'50; P:1—112?13*. 0" P:T— 67*49 20 P:U— ۲۳ Am Krystall V 9 (Zillerthal). P:T=11216 40" P:T— 67?48'40; P:l— 67?43'40" Am Krystall X 10 (Zillerthal). P:T—112?10'20; P:1—112?11'30" P:T=. 07250' 0, P:I— 8۵7060 0. Am Krystall X 11 (Zillerthal). EE TN PSI UE P:T'— 67?48'30; ۳:1 ت‎ 67° 48’ 50" Am Krystall X 12 (Zillerthal). P:T—112?12'10; P:1— 112? 15' 40" P: T= 6774780; P:T— 6760" 0" Man sieht also, dass das Basopinakoid P = oP ganz symmetrisch auf der Kante des Prismas aufge- setzt ist; es bildet vollkommen dieselbe Neigung zu den Flächen 7 und /. Einige nicht bedeutende Ab- weichungen, welche man an verschiedenen Individuen bald in der Neigung P: T, bald in der Neigung P:/ bemerkt, sind freilich der Unvollkommenheit der Kry- stallausbildung zuzuschreiben, sie sind aber keines- wegs constant. Die Messungen an dem Adularkrystalle V 17 vom Zillerthale zeigen, dass die Flächen M = (Pec) die symmetrischen Abstumpfungen der scharfen Kanten des Prismas (T, 7) — «P bilden; durch Messung wurde in der That erhalten: T: M— 120° 35/15" 7 : M= 59?24'45" b) In Adularkrystallen vom Zillerthale sind zwei neue positive Hemipyramiden und ein neues positives Hemi- doma gefunden worden. Diese drei Formen gehören zu der Kategorie der Formen, deren Flüchen mit der Fläche x = Pœ sehr stumpfe Winkel bilden und mit abgerundeten Kanten vorkommen; sie sind indes- sen sehr deutlich ausgebildet. Die Flächen einer der erwähnten positiven Hemipyramiden sind durch 29 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 453 den Flächen 7. A. Breithaupt’) drückt sich über diesen Gegenstand folgendermaassen aus: «Ich habe «alle mir bekannten Felsite darauf geprüft und stets «gefunden, dass die Spaltungsrichtung nach dem andern « Hemiprisma l nie ebenso deutlich sei, als nach T, ja «oft fehlt die nach 7 ganz; folglich zerfällt das gescho- «bene Prisma Tl nach der Spaltbarkeit in zwei Hemi- «prismen u. 1. w.» Diese verschiedene physikalische Beschaffenheit der Flächen T und / (die, nach Kupf- fer's und meinen Messungen, als geometrisch gleiche anzusehen sind) ist gewiss merkwürdig und spricht mehr für das triklinoédrische als für das monoklinoé- drische System. Diesen Zwiespalt zwischen den kry- stallographischen und geometrischen Verhältnissen der Orthoklaskrystalle nicht aus den Augen lassend, habe ich mir bei meinen Messungen alle mógliche Mühe gegeben, mich durch genaue Beobachtungen zu über- zeugen, ob das Krystallsystem des Orthoklas wirklich monoklinoédrisch sei. Die zahlreichen und genauen Messungen haben mir gezeigt, dass wenigstens die sogenannten Adularkrystalle vom Zillerthal und Gri- sons gewiss zum monoklinoédrischen Krystallsysteme gehören. Was die Spaltbarkeit nach den Flächen ۱ und 7 anbelangt, so konnte ich dieselben nicht beo- bachten, und daher kann von meiner Seite über die oben erwühnte physikalische Verschiedenheit dieser beiden Flüchenpaare kein Urtheil gefällt werden. Mir Scheint es indessen, dass nochmalige Untersuchungen zur definitiven Entscheidung der Frage, ob der so allgemein angenommene- physikalische Unterschied zwischen den Flächen 7 und / wirklich Statt finde oder nicht, wünschenswerth würen. Scheerer?) be- schrieb schon einen Orthoklas von Zinnwald in Bóh- men, welcher ausser den gewöhnlichen Spaltungs- flächen deutlich nach (T, I) = œP spaltbar war. Dass die Adularkrystalle vom Zillerthale und Gri- sons ganz symmetrisch ausgebildet sind, und dass die schiefe Basis P — oP vollkommen unter einem und demselben Winkel zu den Flüchen T und / des Pris- mas »P geneigt ist, zeigen die sehr scharfen Mes- sungen an mehreren Krystallen; so z. B. wurde er- halten: 2) A. Breithaupt. rg ee der Mineralogie. Dresden und Leipzig, 1847, Bd. III, S 3) Liebig, Kopp. Jhrber. 1855, ra A Berg - und Hüttenm. Z. 1855. S. 223. 456 Obgleich.diese Messungen nicht ganz scharf sind, so zeigen sie doch schon hinlänglich, dass die Orthoklas- krystalle von Elba, in Hinsicht der Flüchen P und z, keinen Unterschied im Vergleich mit den Adularkry- stallen bieten. Das Zusammenfallen der Flüchen P und z in eine Ebene in den Zwillingskrystallen kann, : wie es mir scheint, mit mehr Wahrscheinlichkeit durch das Vorkommen der Flächen solcher Kategorie, wie die der oben beschriebenen Flüche 6 im Adular vom Zillerthale oder durch das nicht ganz genaue Zusam- ' menfallen der Prismenflächen in eine Ebene erklärt werden, als durch die Annahme einer neuen Species. d) Ich habe auch einige Krystalle des sogenannten glasigen Feldspaths oder Rhyakoliths von G. Rose ge- messen, und wenn diese Messungen mich auch nicht ganz befriedigt haben, so glaube ich doch, dass es nicht überflüssig sein wird, die erhaltenen Resultate hier anzuführen, als Material für künftige Beobachter. Im Mittel wurde durch Messung mit Hülfe des Mitscherlich’schen Goniometers erhalten: ee وت‎ i | —130? 0'37" SE | —102° 29": 5° ت | یج‎ 18^ do lice Bm adr fo eec Bu as ist A = 153 22 30 klinod. SCH — 118? 59' 30" E d Les 120° 31' 30 Sa ونا خش‎ 59 0 : وت‎ | = 149°55 17" f: je 0 ini = 128" 5480 rs pus 134? 47 55" نس اسو‎ queam EON eh و‎ ior p et ۱ um 116.48. 0” Bulletin de l'Académie Impériale 455 o und die der anderen durch 8 bezeichnet, und die Fläche des positiven Hemidomas durch ۵ diese letz- tere stumpft die Klinodiagonalkante der Hemipyra- mide 8 ab. Für solche Art Formen, welchen sehr complicirte Coéfficienten zukommen (vorzüglich bei den approxi- mativen Messungen), ist es schwer, ein unzweifelhaf- tes krystallographisches Zeichen zu berechnen. Viel- leicht kommt für die Form o das Zeichen up, für 4 = Per und für 8 — p20. 7 C. F. Naumann sagt in seinem werthvollen Werke «Elemente der Mineralogie» * unter anderem: «Aus gewissen, nach dem Carlsbader Gesetze ge- «bildeten Zwillingskrystallen, welche z. D auf Elba «vorkommen, ergiebt sich, dass wenigstens in gewis- «sen Orthoklasen die schiefe Basis und das Hemidoma «Pœ gleiche Neigung gegen die Hauptaxe haben; «die nach dem Bavenoer Gesetze gebildeten Zwillinge «beweisen aber, dass das Klinodoma (2Px) recht- «winklig ist. Mit diesen beiden Thatsachen stimmen «die bis jetzt bekannt gewordenen Messungen nicht «völlig überein. Giebt es vielleicht wirklich verschie- «dene Species?» Diese Zeilen stellen also einigermaassen die Identitát des Orthoklas von Elba mit dem Adular in Zweifel. Um mich zu versichern, ob vielleicht die 6 x ے‎ +P bei dem Orthoklas von Elba wirklich die- selbe Neigung zu der Verticalaxe wie P — oP hat, habe ich drei kleine, ziemlich glänzende Krystalle aus diesem Fundorte mit dem gewöhnlichen Wollaston’- schen Reflexionsgoniometer gemessen und gefunden, dass die Flächen x = ه‎ Pe» und P — oP zum Ortho- pinakoid k = Pm, und daher zur Verticalaxe, ganz ebenso geneigt sind, wie im Adular. Durch Messung wurde in der That erhalten: Am Krystall X 1. æ:k ے‎ 114*20 (im Adular = 114° 137 20^) P:k—116? 3'(im Adular — 116° 3'14^ Am Krystall X ۰ x:k= 114^ 18° Am Krystall Y 3. g:k— 114?0' | 4) C. F. Naumann. Elemente der Mineralogie. Leipzig, 1844. 8. 318. 458 von Andr. Wagner (München. Gelehrt. Anzeig. 1847 n. 256) vertheidigt wurde. Shaw, der anfangs die frü- here Existenz der Dronte bezweifelte (Nat. misc. pl. 123), theilte später (ebd. pl. 134) so ungenügende Be- merkungen über die Oxforder Reste mit, dass selbst noch Stephens, Cuvier und Lesson das Vorhanden- sein der Dronte in Frage stellten. Erst durch die Ab- handlungen Duncan’s und Blainville’s wurden die vorhandenen Überbleibsel näher bekannt. Ein in Kopen-, hagen aufgefundener, zuerst von Lehmann, genauer aber hinsichtlich seiner osteologischen Details, von Reinhardt (Kroyer’s Naturhist. Tidskr. 1842, T. IV, p. 71) beschriebener Schädel, dann Owen’s Beschrei- bung des Kopfes und Fusses nach Gypsabgüssen (Pro- ceed. Zool. Soc. P. XIV. London 1846, p. 51), so wie eine von Strickland und Melville zu Oxford 1847 (Athenaeum 1847, Juli 10 u. 17, n. 1028, 1029) ge- machte Mittheilung ' erweiterten mehr oder weniger die morphologische Kenntniss der Dronte. Bereits im Mai des Jahres 1846 hatte ich durch Hamel's Güte Gelegenheit, einen Abguss des Kopenhagener Schä- dels zu vergleichen und darin keine nähern Ähnlich- keiten mit den Geiern, wie Blainville, La Fresnaye, Gould und Owen meinten, noch weniger aber, wie Temminck und Cuvier andeuteten, mit den Flossen- tauchern, wohl aber, wie Reinhardt, mit den Tauben wahrzunehmen. Bei noch genauerer Vergleichung fand ich indessen, dass der Dodo nicht bloss mit den Tau- ben, sondern auch mit den Wadvögeln (namentlich besonders mit den in Bezug auf den Schädel- und Schnabelbau taubenähnlichen Charadrien), dann aber auch theilweis mit den Brevipennen Ähnlichkeiten be- sitze, dass aber die Beziehungen zu den Tauben und Charadrien im Schädelbau vorherrschten. Siehe meine oben citirte, bisher von den. Naturforschern überse- hene, wenngleich neuerdings für einen populären Auf- satz (s.-Westermann’s Illustrirte deutsche Monats- Hefte, März 1867, n. 126, S. 607 ff.) von J. Nógge- rath benutzte Naturgeschichte des Dodo und meinen oben citirten Aufsatz im Bullet. scientifique. Im folgenden Jahre (1848) liessen Melville und Strickland ihr bereits angeführtes Prachtwerk über den Dodo erscheinen. Die Verfasser entwickelten darin mit Hülfe des Oxforder Drontenschädels, so wie des dortigen und Londoner Fusses, die bereits von Rein- hardt aufgestellte Ansicht, dass der Dodo ein aber- des Sciences de Saint- Pétersbourg. 457 M:3;: 42 و ه‎ or? anliegende | uc 150 35 25 Mis 1 — 00" über zu. T j Neue Untersuchungen, über die systematische Stellung und die Verwandtschaften des Dodo (Didus ineptus) von J. F. Brandt. (Lu le 11 avril 1867.) Eine namhafte Zahl von Forschern hat sich be- kanntlich theils mit der Geschichte der Entdeckung und Vertilgung, theils mit der Ausmittelung der com- plicirten, gestaltlichen Verhältnisse und der Lebens- weise des so merkwürdigen, bereits vor zwei Jahr- hunderten auf Isle de France ausgerotteten Vogels beschäftigt, den man als Dodo oder 6 (Didus ineptus) bezeichnete. Die Geschichte seiner Entdeckung und Vertilgung wurde am ausführlichsten von Hamel (Bullet. de l Acad. Imp. des Sc. de St.- Pötersb., Cl. phys. - math. 1۸17 n. 4 u. 5, T. V, p. 314 und T. VII n. 5 u. 6), dann von mir (Versuch einer kurzen Gesch. des Dodo*), Ver- handlungen der Kais. Mineral. Gesellschaft f. d. Jahr 1847), so wie auch von Melville und Strickland in ihrem Prachtwerke (The Dodo and its Kindred, London 1848. 4. p. 7 sqq.) besprochen. Der Mangel eines Exemplares des Vogels, denn das einzige, nachweislich in einer Sammlung (der Tra- descant’s und später der der Oxforder Universität) vorhanden gewesene, 1755 als verdorben ausgeschlos- sene, wurde leider von Niemand beschrieben, noch weniger genau untersucht, offenbar weil man damals noch nicht vermuthete, dass es einem schon seit mehr als hundert Jahren gänzlich vertilgten Vogel ange- hórte. Der Kopf und ein Fuss desselben entgingen glücklicherweise der Zerstórung. In London bewahrt “man übrigens noch einen zweiten Fuss auf. Ray und Linne stellten den Dodo zu den Straussen, ebenso Latham, eine Ansicht, die später auch noch *) Es ist dieselbe nur ein Auszug aus einer umfassenden, der St. Petersburger Akademie unter dem Titel: Der Dodo (Didus ineptus) und seine Verwandten am 17. (29.) Dec. 1847 (siehe Bull. se. d. phys.-math. T. VII, p. 111) eingereichten, noch ungedruckten Arbeit, wovon ein anderer, den Knochenbau und die Verwandt- schaften des Vogels betreffender, weniger ausführlicher Auszug in demselben Bande des Bulletin p. 37 erschien. 460 | p. 19) in Menge entdeckten Dodo-Knochen wirklich in Erfüllung gegangen. Hr. Alphons Milne-Edwards hat auf Grundlage eines Theiles des erwähnten, in London acquirirten Fundes einen beachtenswerthen Aufsatz, Sur l'ostéolog. du Dronte in den Annal. d. sc. nat. 1866, T. V, p. 355, veróffentlicht. Nachdem derselbe die bereits oben angeführten An- sichten Ray's, Linne's etc. über die Stellung der Dronte angeführt und bemerkt, auch Gould, Gray, Ch. Bonaparte, so wie Owen wären der Ansicht Reinhardt’s in Betreff der Taubennatur des Dodo bei- getreten, führt er an, Gervais (Thés. s. 1. ois. foss. fr. 2 ed. p. 428) habe die Beziehungen der Dronte zu den Gallinograllen (Dicholophus und Palamedea) her- vorgehoben, was übrigens schon früher in meiner Na- turgeschichte des Dodo geschah, wiewohl ich die ge- nannten Beziehungen für keine nühern hielt. Was die von mir aufgestellten Ansichten anlangt, so citirt Hr. A. M. Edwards bloss meinen Aufsatz im Bulletin und sagt darüber nur: M. Brandt tout en signalant les points de ressemblance entre les caracteres des Pigeons et ceux du Dronte, crut devoir placer ce der- nier parmi les Échassiers pres des Pluviers. Der Grund, warum er auf meine Ansichten nicht näher einging, liegt wohl darin, dass er, weil ihm nur Schädelfragmente zu Gebote standen, die vergleichende Craniologie des Schädels nicht so speciell besprechen zu dürfen glaubte, wie es, freilich leider nur mit Hülfe eines Gypsabgus- ses desselben, von mir geschah, und weil ihm meine Untersuchungen über den Wohnort des Vogels, die : ihn schon damals als Strand- oder Wadvogel nach- wiesen, in meiner Naturgeschichte der Dronte entgin- gen. Er bestütigte indessen meine Ansicht, dass auch der Schädel der Dronte sie nicht zu den Columbiden. stellen lasse. Namentlich spricht er (p. 373) sich da- hin aus: der Schädel der Tauben, namentlich der von Gnathodon strigirostris von den Samoa-Inseln, nähere sich zwar dem Drontenschädel, welcher indessen auf einen eigenen ornithologischen Typus hinzudeuten scheine. Durch die ausführlichen Mittheilungen, welche Hr. A. Milne-Edward’s über die Halswirbel, die Fuss- knochen, das Becken und das Brustbein der Dronte lieferte, haben wir namhafte Details zu einer noch gründlichern Bestimmung ihrer Verwandtschaften er- Bulletin de l'Académie Impériale 459 rantes Glied der Familie der Tauben gewesen sei. Sie waren von dieser Idee so durchdrungen, dass sie nicht bloss die Verwandtschaft desselben mit den Hüh- nern, Raub- und Schwimmvögeln, sondern sogar mit den Grallen zurückwiesen. Meine wohl wührend des Druckes ihres Werkes erschienenen beiden Aufsátze, wovon sie nur den des Bulletin citiren, scheinen ihnen sehr ungelegen ge- kommen zu sein, denn sie richteten in einem Post- scriptum einen eigenen Artikel gegen meine Deutun- gen, worin sie auf ihr besseres Material einen beson- dern Werth legten. Ihrer Ansicht nach würe die von mir behauptete Ähnlichkeit der Charadrien mit den Tauben eine oberflächliche und ich hätte fälschlich Analogie für Verwandtschaft gehalten. Jeder, der meine Arbeiten mit der von Melville und Strickland ver- gleicht, wird indessen finden, dass ich 1) die Schä- ` del und Füsse einer weit gróssern Zahl von sehr ver- schiedenen Vögeln mit den entsprechenden Theilen des Dodo verglich als sie, dass ich 2) den Dodo keines- wegs für einen Charadrius, sondern nur für einen Wad- vogel erklärte, der wegen des bei ihm, wie bei den Charadrien, herrschenden, taubenähnlichen Typus des Schädelbaues in die Nähe der Charadrien zu stellen wäre, und dass ich 3) aus seinem durch Combinationen ermittelten Aufenthaltsorte ebenfalls die Wadvogel- Natur des Dodo herzuleiten mich bemühte, was mir, wie wir unten sehen werden, wohl schon damals ge- lungen sein dürfte. Der mir.gemachte Vorwurf: ich hätte Analogie für Verwandtschaft genommen, könnte also in Bezug auf die von ihnen behauptete Taubennatur des Dodo eher auf sie selbst Anwendung finden, da auch A.Milne-Edwards darin mit mir übereinstimmt, dass der Dodo selbst nicht einmal eine anomale Taube sei. Wenn ich bisher mit einer Widerlegung zurückhielt und auch meine grössere, die von Melville und Strick- land abweichende Ansicht näher erörternde, Arbeit nicht veröffentlichte, so geschah dies lediglich deshalb, weil ich hoffte, man würde auf Isle de France Knochen, namentlich Brustbeine und Becken der Dronte anfin den, welche neue Anhaltspunkte zur Entscheidung der ماه‎ über die systematische Stellung und die Verwandtschaften des fraglichen Vogels liefern würden. Nach dem Verlaufe von 20 Jahren ist diese Hoffnung. wie bekannt, durch die von Clark (Ibis 1866, Vol. II. p. 141, dud: d. $c. nat. 1866, T. VI, 461 des Sciences de Saint, Pétersbourg. 462 Genau genommen widersprechen also die vorste- henden Bemerkungen, welche mit den von mir durch eine umfassende Vergleichung des Schüdelabgusses gewonnenen Ergebnissen im Einklange stehen, kei- neswegs der Annahme, dass der Dodo am passendsten zu den Wadvögeln zu zählen sei. Auch stimmt ja Hr. A. M. Edwards schon darin mit mir überein, dass derselbe kein taubenartiger Vogel war. Hr. A. M. Ed- wards weicht indessen insofern von mir ab, dass er seine Abhandlung damit schliesst: «Je pense donc que dans une classification ornithologique naturelle, cet oiseau, tout en prenant place à cóté des Colom- bides, ne doit pas étre considéré comme un Pigeon marcheur; qu'il ne peut pas entrer dans la méme fa- mille, et qu'il faut le ranger dans une division parti- culiére de méme valeur». — Unsere Ansichten gehen also dergestalt auseinander, dass ich die Dronte trotz ihrer Taubenähnlichkeiten, weil sich solche auch im Schädelbau vieler Wadvögel finden, nicht an die Seite der Columbiden, sondern zu den Wadvögeln stelle, eine Ansicht, welche auch durch den Aufenthalt des fraglichen Vogels, wie wir unten nüher sehen werden, dann aber auch wegen seiner unlüugbaren Beziehun- gen zu den Brevipennen (den nahen Verwandten der Grallatores) sich rechtfertigen lüsst. In derselben Sitzung der Akademie, in welcher die Abhandlung des Herrn A. M. Edwards vorgelegt wurde, reichten auch Gervais und Coquerel Be- merkungen über die Verwandtschaften des Dodo ein. (Compt. rend. de l' Acad. Imp. de Sc. de Paris 23 Avril 1866. p. 927). Nach ihrer Ansicht war die Dronte kein wahrer Geier, sondern bildete eine Familie, die mit den Geiern, gewissen Hühnern und einigen Wad- vógeln verwandt war und des Flugvermógens entbehrte. In Bezug auf die behauptete nühere Geierühnlich- keit ist zu bemerken, dass sie genau genommen eine überaus geringe sei und bereits von Andr. Wagner (München. Gelehrt. Anzeig. 1847 n. 46), so wie von Melville und Strickland, ebenso wie von mir als eine nühere verworfen wurde. Etwas grósser ist da- gegen die mit einigen Hühnern. Was nun aber die von ihnen behauptete Verwandtschaft mit den Wad- vógeln anlangt, so müsste sie nach meiner Ansicht in den Vordergrund treten. Jedenfalls ist meine Vor- 'stellung über die Verwandtschaften des Dodo weder durch Melville, Strickland und A M. Edwards, halten, als sie früher möglich war. Ich theile daher die Hauptergebnisse der von ihm an den genannten Knochen angestellten Untersuchungen mit. Das Becken entfernt sich gestaltlich von dem der Hühner, Strausse, Manchots und Tauben, selbst dem der Lauftauben, erinnert aber gewissermaassen an das der Störche und ۰ Das Brustbein weicht sehr bedeutend von dem der Tauben ab; es nähert sich dem des amerikanischen Strausses, und durch seine Dicke dem der Brevipennen überhaupt, besitzt aber abweichend davon einen Kamm. Der Tarsus des Dodo weicht noch mehr von dem der laufenden, als dem der anderen Tawben ab. Auch die Tibia des Dodo unterscheidet sich von der der Tauben. Das Oberschenkelbein ist robuster als bei den Tauben. Die hinteren Halswirbel gleichen am meisten de- nen des Apteryx und entfernen sich sehr von denen aller Tauben. Fasst man die eben angeführten, aus den Unter- suchungen von A. M. Edwards zu ziehenden Re- sultate zusammen, so erinnert das Becken am meisten an das eines Wadvogels. Das Brustbein ühnelt zwar durch seine Form und Dicke dem des Nandu, besitzt aber einen Kamm und dürfte in Bezug auf letzteren um so mehr als Mittelform zwischen dem der Lawf- und Wadvógel angesehen werden kónnen, da diese beiden Ordnungen ohnehin einander in biologischer, wie morphologischer Hinsicht nahe stehen. Aus dem eben angeführten Grunde kann es auch nicht auffallen, wenn die Halswirbel der Dronte denen des Apteryz ühnlich erscheinen. Was die Fussknochen anlangt, so hat A. M. Edwards ihre Abweichungen von denen der Tauben constatirt. Sie dürften jedoch wohl nicht mit denen mancher kurz- und dickbeiniger Wadvö- gel contrastiren, und wenn sie sich auch zur Zeit noch nicht morphologisch auf die eine oder andere der Gattungen der Wadvögel zurückführen lassen, so möchten sie doch, da der Dodo am Strande und an oder in einem Sumpfe sich bewegte (sieh unten), als in biologischer Beziehung denen der Wadvögel zu- nächst verwandte analoge, wie homologe Theile be- trachtet werden kónnen. Was den Tarsus anlangt, so habe ich in meiner Naturgeschichte des Dodo bereits darauf hingewiesen, dass er mit dem mancher Wad- vögel in Einklang gebracht werden könne. A E‏ حا 4641 Meeresstrande erbeutet wurden. Wenn man nun aber auch die Matrosen und Krebse auf den genannten Uferscenen, eben so wie die von Savery auf den Dodogemälden angebrachten anderen im und am Was- ser befindlichen Thiere für Phantasiestücke des Ma- lers halten wollte, was sich übrigens nicht beweisen lässt, so dürfte doch die Angabe von Clusius und die zuletzt mitgetheilte Bemerkung kaum angezwei- felt werden kónnen. Der Dodo móchte demnach, so viel man schon aus . diesen Mittheilungen schliessen kann, ein am Strande und an sumpfigen Orten lebender Vogel, also ein Wadvogel gewesen sein, wie ich dies in meiner Na- turgeschichte des Dodo bereits nachzuweisen versuchte. | Für eine solche Deutung. sprechen auch die Mitthei- lungen, welche neuerdings Clark über den Fundort der von ihm in Menge entdeckten Dodoknochen und die mit ihnen zugleich gefundenen Knochen anderer ۷ (Ibis a. a. O. und Ann. d. sc. nat. ser. 1866. T. VI, p. 21 — 22) gemacht hat. Die Knochen des Dodo lagen nàm- lich mit denen von Phoenicopterus , Numenius, Galli- nula und Ardea (also mit Knochen von echten Wad- vögeln) unter Wasser im Schlamm eines nur 1. Meile vom Meere entfernten (früher vielleicht ihm noch näheren?) Morastes (Mare aur Songes), der, ebenso wie seine Umgebung, vor hundert Jahren mit dichter Waldung besetzt war. Clark meint nun: der Dodo habe wohl in diesem Sumpfe oder in seiner Nühe ge- lebt. Es passt dies sehr gut zu den obigen Angaben und steht mit der bereits in meiner Naturgeschichte des Dodo aus den genannten Uferscenen und der An- gabe von Clusius abgeleiteten Vermuthung, der Dodo habe am Meeres- oder Flussufern gelebt, in gutem Einklange. Aus dem Flussufer ist freilich ein Sumpf geworden, der vielleicht aber in früheren Zeiten dem Meeresstrande näher lag, oder noch früher villeicht mit ihm zusammenhing, oder gar einen Abfluss in's Meer hatte. Dass übrigens die Dodo's auch am Mee- resstrande sich aufhielten, geht aus Clusius und den mehr erwähnten Ufersceieh hervor. Die Nahrung des Dodo vermag keinen sichern eS haltspunkt für eine Schlussfolgerung auf sein Natu- rel zu bieten, da kein einziger der Seefahrer, welche ihn verspeisten, von der Beschaffenheit seiner Nah- rung spricht. In meiner Naturgeschichte des Dodo vermuthete ich, derselbe habe sich von den am Rande Bulletin de l'Académie Impériale 463 noch weniger durch Gervais und Coquerel wider- legt. Über die inneren Theile des Dodo existirt nur die Angabe, er habe einen noch mehr als die Brust zur Speise geeigneten (offenbar also muskulósen) Ma- gen besessen, welcher einige Steine enthielt, was auch bei den Charadrien vorkommt. Bereits in meiner Naturgeschichte des Dodo meinte ich, dass der Aufenthalt und die Lebensweise des Vo- gels Anhaltspunkte für seine systematische Stellung zu liefern im Stande sein móchte. Da wir leider keine directen Angaben darüber besitzen, so bemühte ich mich schon früher aus einigen Andeutungen der Schriftsteller und den alten Darstellungen des Dodo, den Nachweis zu liefern, der fragliche Vogel sei ein Wad- vogel gewesen. Die von Clark erwähnte Lagerstütte , der Dodo-Knochen und ihr Vorkommen mit den Kno- chen mehrerer Gattungen von Wadvögeln lieferten ein neues Material. Der Gegenstand wurde daher noch- mals und zwar etwas ausführlicher von mir vorge- nommen. Clusius sagt, der Vogel habe die von ihm ver- schluckten Steine am Meeresufer aufgelesen. Im Sammelwerke der Gebrüder De Brys erscheint der Dodo auf den Darstellungen von Uferscenen (sieh eine davon bei Melville und Strickland p. 9) am Meeresstrande in Gesellschaft fischender Matrosen und Seekrebsen. Auf einem früher Edwards (dem Herausgeber des bekannten Vogelwerkes) gehórigen Bilde (copirt bei Melville und Strickland p. 29), welches in Hol- land nach der Natur von R. Savery gemalt wurde, sehen wir den Dodo in einer Sumpfgegend nebst En- ten, Reihern und einem Frosche. Ein anderes Gemälde Savery’s, welches sich im Belvedere bei Wien befindet, stellt den Dodo am Rande eines Wassers dar, worin ein aalartiger Fisch schwimmt, während hinter ihm ein Reiher und ein Casuar stehen. Dass der Dodo nicht im Innern der Insel sich auf- hielt, dafür spricht der Umstand, dass eine der von der ersten Expedition, welche bei Mauritius landete, zur Aufsuchung eines Ankergrundes abgeschickten Schaluppen bereits acht oder neun Dodo’s an Bord brachte, die schwerlich weit von der See, sondern wohl in der Ufernähe, oder noch wahrscheinlicher am 466 und dass es Taubenformen, wie Didunculus, giebt, welche durch kürzere Flügel, dann durch die Schna- belgestalt und durch ihren Aufenthalt auf ebener Erde sich dem Dodo nühern. Die Dronte bietet indessen, wie ich in meinem mehr- mals citirten Aufsatze im Bulletin und in meiner Naturgeschichte des Dodo nachwies, keineswegs den reinen Schädeltypus der Tauben. Der Schädelbau des- selben zeigt vielmehr ausser zahlreichen Homologien, welche den Tauben und manchen Wadvögeln (Chara- driden) gemein sind, auch mehrfache Beziehungen zu solchen Wadvögeln, deren Schädel von dem der Tau- ben mehr oder weniger bedeutend abweicht. Die Tau- benähnlichkeiten des Dodo-Schädels, wie ich dies schon in meiner Naturgeschichte bemerkte, können daher nicht als etwas Absolutes angesehen werden. Der Fussbau des Dodo ist, wie ich auch bereits schon früher zeigte, und A. Milne-Edwards bestätigte, gleichfalls kein rein taubenartiger, sondern findet nach meiner Ansicht auch bei manchen Wadvógeln nicht zu ver- schmähende Homologieen. Der Schnabel des Dodo ühnelt allerdings dem der Tauben. Es lüsst sich aber auch seine Ähnlichkeit mit dem der Charadrien kei- neswegs bestreiten. Die Schnabelform dürfte aber wohl bei der Bestimmung von Verwandtschaften um so weniger für ein Merkmal von hoher Bedeutung zu halten sein, wenn wir bedenken, wie verschieden die Gestalt des Schnabels bei den einzelnen Gattungen der Cuculiden, der Wadvögel, der Alciden u. s. w. sich herausstellt. Das von A. M. Edwards charakterisirte Brustbein des Dodo weist nicht auf die Tauben, son- dern überwiegend auf die Laufvögel und durch seinen Kamm auf viele andere Vögel, nicht bloss auf die Tau- ben, sondern auch unter andern auf die Wadvögel hin. Das Becken desselben ähnelt am meisten dem ei- nes Wadvogels, des Storches, die Halswirbel aber denen des Apteryx. Die Art der Befiederung, die Schwanzbildung und die Flügel der Dronte erinnern an die straussartigen Vögel; der kurze, dicke Hals und der plumpe, schwerfällige, dicke Rumpf an die Ana- tiden. Der Dodo endlich war, wie ich dies oben noch- mals ausführlicher nachzuweisen mich bemühte, und | was man bisher übersah, oder nicht gehórig beachtete, ein Bewohner der Meeresküste und eines ihr sehr nahen Sumpfes. Fassen wir nun die eben gemachten Bemerkungen 30 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 405 der Küsten lebenden oder ausgeworfenen Thieren er- nührt; er móge aber auch Früchte gefressen haben. Clark meint, als früher die Gegend beim Mare aux Songes noch mit Wald bedeckt war, hätten die wüh- rend des ganzen Jahres vorhandenen Früchte von Ficus rubra, terebrata und mauritiana, Mimosops, Olea chrysophylla und lancea, Calophyllum tacamahaca und spectabile, Mithridatea amplifolia, Terminalia mauri- ` tiana, Colophonia mauritiana, Tossinia mespiloides und revoluta, ja selbst die Saamen verschiedener Pandanus- Arten, hinreichende Nahrung geboten. Als animali- | sche Nahrung háütte dagegen die Dronte (er meinte wohl im genannten Sumpfe) nur Schnecken in grósse- rer Menge vorfinden kónnen. — Es lüsst sich indessen sehr wohl denken, dass der Dodo ein omnivorer Vogel gewesen sei, da ja auch selbst die Regenpfeifer nicht bloss Thiere, sondern auch Beeren fressen und die Hühner nicht bloss Kórner, sondern sehr gern auch . Insekten und Würmer verzehren. Das omnivore Na- turel widerspricht also keineswegs der Annahme, dass er ein Wadvogel gewesen sein dürfte. Ich habe zwar schon zu verschiedenen Malen meine Ansicht über die, wie mir scheint, natürlichste Clas- sification des Dodo ausgesprochen, dessenungeachtet dürfte es nach dem gegenwärtigen Standpunkt unse- res Wissens nicht überflüssig sein, diejenigen An- sichten über die systematische Stellung und die Ver- wandtschaften des fraglichen Vogels schliesslich noch- mals zu prüfen, welche, nach Maassgabe der Kennt- nisse, welche wir von seinen Resten und seinem Auf- enthaltsorte besitzen, am plausibelsten erscheinen. Ich halte es namentlich für passend, folgende Fragen auf- zuwerfen: Lässt sich der Dodo als anomale Gruppe pas- send an die Seite der Tauben stellen? Kann derselbe nicht noch passender der Ordnung der Wadvögel ein- gereiht werden? Oder soll er, wegen seiner so ge- mischten Charaktere, den Typus einer eigenen Ord- nung bilden? Mir scheint, dass jede dieser Fragen mehr oder weniger Anspruch auf Bejahung machen kann. Will man die erste Frage bejahend beantworten, so lüsst sich zu ihren Gunsten anführen, dass der Dodo sowohl im Bau des Schädels viele Taubenähn- lichkeiten besitzt, als auch im Fussbau und der Schna- belgestalt, und durch die Anwesenheit eines Brust- beinkammes den Tauben mehr oder weniger ähnelt, Tome XI. 468 sehr kleine Hinterzehe, ganz besonders aber durch einen andern Schädel- und Schnabelbau, so wie das kiellose Brustbein und die Beckengestalt ab, so dass der Dodo ihnen nicht angereiht werden kann. Da in- dessen die Struthioniden als die nächsten Verwandten der Wadvögel angesehen werden können, so dürften selbst die erwähnten Straussähnlichkeiten des Dodo einen, wenn auch schwachen Beweis für seine Wad- vogel- Natur geben. Fragen wir nun, ob jenen oben erwähnten Bezie- hungen des Dodo zu den Tauben, oder den vorher er- örterten zu den Charadrien eine grössere Wichtigkeit beizulegen sei, so móchte man wohl aus folgenden Gründen in der Antwort sich für die Wadvógel ent- scheiden. Prüft man nàmlich jene zu Gunsten der Beziehung des Dodo zu den Tauben ausgesprochenen Angaben genauer, so ergiebt sich, dass die vom Bau des Schä- dels, des Schnabels und der Füsse hergenommenen Kennzeichen nicht den beiden genannten Formen aus- schliesslich zukommen, sondern auch bei Wadvógeln sich nachweisen lassen, wenngleich der Dodo durch das Verhalten der fraglichen Theile ohne Frage in Beziehung mit den Tauben tritt. Erwügt man aber, dass der morphologische Bau nur das Werkzeug für biologische Functionen sei, und dass die einzelnen Gattungen und Arten nur als besondere, durch ge- wisse äussere, trotz der übereinstimmenden Functio- nen, oft sehr mannigfache Formen sich bekundende Typen sind, so wird der in biologischer Beziehung nicht als Tauben- sondern als Wadvogel erscheinende (früher mit Wadvógeln vorgekommene) Dodo am pas- sendsten zu diesen gerechnet, jedoch keiner der bis- her bestehenden Abtheilungen derselben angeschlos- sen werden kónnen. Man wird ihn vielmehr aus die- sem Gesichtspunkte in morphologischer Beziehung unter den Wadvógeln als ein solches Glied anzusehen haben, das mit den Charakteren eines 5 Merkmale verbindet, die sich einerseits bei den Tau- ben, andererseits bei den Struthioniden finden; ein Glied, “welches sich demnach also als tauben- und straussenähnlicher, vorwiegend jedoch mehr tauben- ` ähnlicher Wadvogel bezeichnen liesse, und den Cha- radrien deshalb anzunähern wäre, da es mit ihnen in Bezug auf Schädel- und Schnabelbildung eine grössere Übereinstimmung als mit den anderen Gruppen der Bulletin de l'Académie Impériale 467 zusammen, so dürfte man allerdings dem Dodo viel- fache Beziehungen zu den Tauben einräumen können, Beziehungen, die jedoch in gleichem Maasse zu man- chen Wadvögeln stattfanden, während er mit andern, den Tauben fernen Wadvögeln ebenfalls, wiewohl in geringern Beziehungen stand. Die so zahlreichen, ja überwiegenden Abweichungen vom Taubentypus und die unläugbaren, mehrfachen Beziehungen des letztern zu manchen Wadvögeln möchten es daher wohl kaum gestatten, ihn als anomale Taubenform und als Typus einer mit der Familie der Tauben (Columbidae) gleich- werthigen Abtheilung (z. B. als Fam. Dididae) an die Seite der Tauben in dieselbe Ordnung zu stellen. Eine solche Familie würde biologisch von der der Tauben zu sehr abweichen. Kann der Dodo auf passende Weise den Wadvögeln angeschlossen werden? Der Dodo erscheint nach seinem Aufenthaltsorte als ein Strand- oder Sumpfvogel. Er ist also hiernach zur Ordnung der Wadvögel (Grallae) zu rechnen. Der Fussbau würde, obgleich er einige Taubenähnlichkei- ten zeigt, gleichfalls nicht gegen eine solche Auffas- sung streiten, wie ich schon früher angab. Da die Regenpfeifer den Tauben im Schnabelbau ähneln, so liesse sich der Drontenschnabel eben so gut als ein modificirter und stark vergrösserter Schnabel eines Regenpfeifers als der einer Taube ansehen. Aus der Abtheilung der Wadvögel bietet der nach dem Typus des Taubenschädels gebaute Schädel der Charadrien mit dem des Dodo jedenfalls eine namhafte Ähnlich- keit. Aber auch andere Wadvögel lassen im Schädel- bau so manche Ähnlichkeiten mit dem Dodo wahr- nehmen. Das Becken erscheint dem der Störche am ähnlichsten. Das Brustbein nähert den Dodo durch die Gegenwart eines Kammes eben so sehr den Wadvögeln, als den Tauben. Ein, wenn auch selbst vorwaltend, straussenartiges Brustbein passt übrigens besser zu einem Wadvogel, als zu einem den Tauben verwandten. Der Dodo entfernte sich aber allerdings durch die Art seiner Befiederung, das breite, dickwandige, dem des Nandu ähnliche Brustbein, die kurzen, mit weni- gen Schwingen versehenen Flügel, so wie die denen des Apteryx ähnlichen hintern Halswirbel von den Wadvógeln (gleichzeitig aber auch von den Tauben), und erinnerte dadurch an die Struthioniden. Die letz- tern weichen indessen durch die meist fehlende, oder 470 Familie (Dididae) einzureihen, die nicht bloss mit den tauben-, sondern auch gleichzeitig mit den straussar- tigen Vögeln in Beziehung steht, während die Alec- toriden oder Gallinograllen zu den Hühnern, die Ral- liden aber zu den Wasservögeln hinneigen. Als wahr- haft typische Familien der Wadvögel würden dem- nach die Herodii seu Gruidae, die Charadridae und die Scolopacidae gelten können. Die letztere Familie dürfte indessen, wegen der mit Lappenfüssen verse- henen Gattung Phalaropus, im Vergleich mit den bei- den erstgenannten schon als eine weniger typische auftreten. In unseren systematischen Werken, wo die Fami- lien bloss hinter, nicht neben einander gestellt wer- den, worunter gewöhnlich die verwandtschaftliche An- ordnung leidet, könnten die Familien mit ihren Gat- tungen noch am passendsten, wie mir scheint, in nach- stehender Reihenfolge Platz nehmen: Fam. I. Alec- toridae sen Gallinograllae (Palamedea , Psophia, Dicholophus, Otis) — Fam II. Dididae (Columbi-Stru- thio- Grallae) (Didus). — Fam. III. Charadridae (Charadrius, Vanellus etc.). — Fam. IV. Scolopaci- dae (Scolopax, Limosa etc., Numenius). — Fam. V. Herodii (Ibis, Platalea, Tantalus, Ciconia, Anastomus, omas, Scopus, Balaeniceps, Cancroma, Ardea, Grus). — Fam. VI. Rallidae (s. Grallatores subhydrobiae) (Rallus, Gallinula, Porphyrio, Parra, Fulica, Podoa) *). Die vorstehende Reihenfolge der Familien bietet den Übelstand, dass die so anomalen, weil an zwei den Wadvógeln heterogene Ordnungen (die Colwm- biden und Struthioniden) lebhaft erinnernden Dididen hinter einer Familie stehen, welche nur mit einer fremden Ordnung (den Gallinaceen) in verwandtschaft- lichem Connexe steht. Solche, genau genommen, al- lerdings nur kleine Übelstände lassen sich indessen bei einer reihigen Anordnung, selbst wenn dabei die verwandtschaftlichen Verhältnisse die möglichste Be- rücksichtigung finden, nie ganz vermeiden. Natürlicher dürfte die Anordnung der Familien der Grallatores mit Berücksichtigung ihrer verschiedenen Verwandtschaften auf nachstehender Übersicht er- scheinen: *) Die Gattung Phoenicopterus schliesse ich, wegen ihrer vor- waltenden Anatiden-Charaktere, aus der Ordnung der Wadvögel aus und versetze sie in die Ordnung der Schwimmvögel. d 30* des Sciences de Saint-Pétersbourg. 469 Wadvógel bekündet, eine Beziehung, die darin begrün- det ist, dass der Charadrienschädel und Schnabel denen der Tauben sich unverkennbar ähneln. Ich möchte indessen den Dodo ebenso wenig für eine blosse ano- male Charadride erklären, wie man ihn für den Ty- pus einer anomalen taubenartigen Gruppe gehalten hat. Er stellt vielmehr nach meiner Ansicht unter den Wadvögeln einen gemischten Typus eigener Art dar, der durch eine grössere oder geringere Zahl von mor- phologischen Kennzeichen die Tauben einerseits, die Struthioniden andererseits mit den Wadvögeln ver- knüpft und nur am passendsten in der Nähe der Cha- radrien seinen Platz zu finden scheint; ein Umstand, der ganz folgerecht zur dritten Frage leitet. Lässt sich der Dodo nicht als Typus einer eigenen mit der der Tauben, Strausse und Wadvögel gleich- werthigen Ordnung ansehen? Wenn der Grundsatz zur Geltung kommen soll, dass solche Formen, welche durch zahlreiche mor- phologische Merkmale als Mittelbildungen zwischen zwei oder drei Ordnungen auftreten, um jede einzelne Ordnung bestimmter begrenzen zu können, als Ty- pen eigener Ordnungen anzusehen seien, so könnte man allerdings den Dodo als Typus einer eigenen Ord- nung aufstellen, da er Merkmale von drei Ordnungen | 7) (den Tauben, Struthioniden und Wadvögeln) bietet. Es fragt sich nur, ob durch ein solches Verfahren et- was gewonnen wird? Jedenfalls wird die ohnehin schon sehr complieirte Systematik dadurch nicht vereinfacht, so wünschenswerth auch dies sein mag. Wollte man den Dodo z. B. für den Typus einer eige- nen Ordnung erklären, so würde man mit gleichem Rechte, ja sogar der Consequenz wegen, die Gallino- grallen, die Pterocliden u. s. w. ebenfalls zu eigenen ` Ordnungen zu erheben haben. Da indessen, wie ich bereits oben andeutete, der morphologische Bau nur als Werkzeug für die Lebensverrichtungen angesehen werden kann, der Dodo aber in biologischer Bezie- hung als Wadvogel zu betrachten ist, und genau ge- nommen auch die morphologischen Wadvogelühnlich- keiten überwiegen möchten, so würde die Aufstellung des Dodo als eigene Ordnung das, wie mir scheint, so wichtige biologische Band zerreissen, welches ihn mit den Wadvögeln verknüpfte. . Dies sind die Gründe, welche es mir passender er- scheinen lassen, den Dodo den Wadvögeln als eigene 472 A Ordo Carsores 8. ۰ 0706 ۰ Fam. Rallidae. B. Typicae s. genuinae. Fam. Scolopacidae. Fam. 8۰ täns die Möglichkeit gegeben, die kleine Expedition mitzumachen; ich selbst hatte mir von den franzó- sischen Küstenaufsehern die Erlaubniss verschafft, in grósserer Entfernung von der Küste Messungen machen zu kónnen. Der Absturz zu grossen Tiefen liegt in einer Entfernung von ungefähr 80 Seemeilen von der Insel, und wir suchten denselben in der Richtung WSW. zu erreichen. Leider erhob sich bald nach unserer Ausfahrt ein Nord-West, der gegen Abend, und besonders die unserer Abfahrt folgende Nacht, immer frischer wurde. Die See ging in Folge dessen 80 hoch, dass auf unserem kleinen Fahrzeuge jede Ortsbewegung nur mit grósster Vorsicht vollführt werden konnte. Unter so bewandten Umstünden war an Messungen nicht zu denken, und das um so weni- ger, als 3 Leute unserer Mannschaft (im Ganzen 3 Matrosen und 1 Schiffsjunge) in so bedenklichem Grade an Seekrankheit litten, dass sie zu jeder Dienstleistung unfähig waren; der Übigbleillende, ein alter Matrose, hatte fast داجس رن‎ 36 Stunden am Steuer ge- standen, wozu bei der heftigen Bewegung des Schiffs eine nicht gewöhnliche Kraftentwickelung erforderlich ` war. Ieh lies daher, nach Berathschlagung mit Lieut. v. Wrangell, ungefáhr 100 Meilen von der Küste um- kehren, und wir waren zufrieden, nach fast dreitügiger Fahrt bei Wasser und Zwieback, müde und ermattet wieder in die Bucht von Brest einlaufen zu kónnen. Alle Lothungen in grósseren Tiefen musste ich folg- lich dem Lieut. v. Wrangell überlassen, der dieselben auch, soweit die anderweitige Bestimmung der Fre- gatte kein Hinderniss in den Weg legte, unter Bei- hülfe des Midshipman Schestinsky mit Erfolg. aus- geführt hat. Da das im Mittelmeer in Anwendung تاه اج‎ electrische Loth in manchen Stücken von dem im La- doga-See gebrauchten und angeführten Ortes beschrie- benen abweicht, so lasse ich eine gedrüngte Beschrei- bung des esteren folgen. Es besteht aus 3 Haupt- Bulletin de l'Académie Impériale ` à 076 5 , A. Anomalae. dente Dididae. ..- 471 Ordo Gallinaceae. Ordo Columbinae. Fam. Alectoridae. Fam. Charadridae. >` d Oceanische Tiefenmessung vermittelst der Elec- trieität von Emil Schneider. (Lu le 28 février 1867. ) (Mit einer Tafel.) Nachdem die von mir auf dem Ladoga-See im Som- mer 1861 angestellten Versuche, bezüglich der An- wendung der Electricität bei Tiefenmessungen, ein günstiges Ergebniss geliefert hatten"), gewährte mir das hiesige Seeministerium die zur Construction eines Ap- parats im Grossen nothwendigen Mittel. Es ward hier- bei beabsichtigt, im Sommer 1863 Tiefenmessungen auf der östlichen Hälfte der Längsachse des Mittel- meeres, zwischen Malta und dem syrischen Ufer, aus- zuführen. Verschiedene Hindernisse, theils persón- licher Natur, theils unabhüngig von mir, nóthigten mich, mein Vorhaben bis zum Sommer des Jahres 1865 zu verschieben. Im Juni des genannten Jahres sollte die Fregatte Peresvjet nach dem Mittelmeer ab- gehen, und ich suchte diese Gelegenheit zu benützen, um persónlich die Messungen auszuführen. Leider konnte das Schiff jedoch Kronstadt erst gegen Ende Juli verlassen, so dass es nach längerem Aufenthalt in Kopenhagen und kürzerem in Portsmouth erst Mitte September in Brest ankam. Meine mir ver- 80016 Ferienzeit war unterdessen fast abgelaufen, und ich musste darauf verzichten, die Reise bis ins Mittel- meer fortzusetzen. Ich me oM mich also, die Aus- führung der beabsichtigten Messungen nach Rück- sprache mit dem Capitän H. Kopytow dem Lieute- nant Baron v. Wrangell zu übertragen. Bevor ich jedoch zurückkehrte, wollte ich die wenigen, mir noch zur Disposition bleibenden Tage dazu benutzen, vor- läufig einige Versuche im Biscajischen Busen anzu- stellen. Zu dem Ende fuhr ich sogleich nach der Insel Ouessant, um dort einen kleinen Küstenfahrer zu essit Hrn. v. Wrangell war von Seite des Capi- 1) S. Bulletin de l'Académie Impériale des sciences, 1862, T. V, janvier Hm - 474 müssen (Fig. II). Bei e und e sind starke Drähte, und nicht Schnüre in Anwendung gekommen, weil ich bei Versuchen in der Newa bemerkte, dass Schnüre beim Herausfallen und ófters darauf folgendem zur Seite Rollen des Gewichts unter letzteres zu liegen kamen und dadurch das Heraufziehen erschwerten; ein Um- stand, der bei grossen Tiefen möglichst zu vermeiden ist. Die Anordnung der Grundzange rührt im Princip von Dr. Wallish her (s. Mechanics Magazine; 1861, Januar); den von ihm vorgeschlagenen oberen Halt glaube ich durch die beiden Öhrchen mit Vortheil zu ersetzen, indem dadurch das Herausfallen des Gewichts beim Hinuntersinken nicht minder i wührend die Gewissheit des jedesmaligen Loslósens auf dem Boden vergrössert wird. ٤ Für geringe Tiefen dient ein Loth folgender Ein- richtung: (Fig. III) a ist ein der Länge nach durch- bohrtes Gewicht aus Blei (30 Pfd.), welches sich leicht auf dem eisernen Stab bb auf und ab bewegen lässt; der obere Theil mit den Ablósungshebeln hat dieselbe Einrichtung wie beim Brooke'schen Loth; unten sind zwei Hälften einer Grundzange mit ihrer Achse an das untere Ende des Stabs bb befestigt; der Arm jeder Hälfte der Grundzange biegt sich von der Achse nach der Seite der an ihm befestigten Halbkugel zurück. Stösst die Grundzange auf den Boden, so wird ihre Bewegung aufgehoben; die Leine aber fällt noch fort und verliert also ihre Spannung; die Hebel ii fallen nach unten, die Haken der Schnüre ee fallen aus den Einschnitten der Hebel Ai heraus; das Gewicht a gleitet auf dem Stab bb nach unten, und sein unteres, coni- sches Ende drückt durch sein Gewicht wie ein Keil die beiden Arme der Grundzange aus einander; die Halbkugeln müssen sich schliessen. Dei vielen Ver- suchen, die mit diesem Loth auf der Rhede von Kopen- hagen angestellt wurden, kam die Grundzange immer ganz voll Meeresgrund in die Hóhe. Die Leine, 2770 Faden lang, hatte im Ganzen ge- nommen dieselbe Construction, wie die auf dem La- doga in Anwendung gekommene; in den Einzelnheiten aber wich sie von letzterer ab. Der zusammengesetzte Leitungsdraht von einem Gesammtdurchmesser von 0,8 Millimeter besteht innen aus 2 Drähten aus Kupfer und 1 leinenen Faden, alle drei geradlinig und parallel neben einander liegend; um vorhergehende sind spiralig 3 Kupferdrähte gelegt; der Durchmesser des Sciences de Saint- Pétersbourg. 473 theilen: 1) dem zeichengebenden Telegraphen, 2) der Leine mit der Winde, 3) dem eigentlichen Loth. Der Telegraph war ein gewóhnlicher von Morse, jedoch mit 2 Schreibhebeln versehen; in den Schlies- sungsbogen des einen derselben war ein Siemens’- sches polarisirtes Relais eingeschoben, so dass der be- treffende Hebel erst nach einer Wirkung aufs Relais . durch eine Localbatterie in Thätigkeit versetzt wurde. Das Ganze war auf einer starken Holzscheibe befestigt, die ihrerseits wieder in zwei concentrischen Messing- ringen hing, deren respective Achsen rechte Winkel mit einander bildeten; an den äusseren der Ringe konn- ten 3 Füsse angeschraubt werden. Auf diese Weise war das Relais und folglich auch der Schreibhebel vor den Schwankungen des Schiffs geschützt. In der Zeich- nung ist der Telegraph A (Fig. I) in einem Kasten mit der Batterie angebracht. - Das eigentliche Tiefenloth (Fig. I, a) besteht aus dem gusseisernen Gewicht g und der Grundzange b. Er- steres ist 70 Pfd. (russisch) schwer, schwach conisch, mit flacherem Kegel an jedem Ende; der untere Kegel geht bei c in einen cylindrischen Zapfen über; oben am Körper des Gewichts befinden sich jederseits zwei kleine Öhrchen, zwischen denen die Schnüre dd hin- durchgehen. Jede Hälfte der Grundzange 5 trägt am unteren Ende eine hohle Halbkugel von 3—4” inne- rem Durchmesser; das andere Ende biegt sich nach oben und nach der der Halbkugel entgegengesetzten Seite um und geht in einen horizontalen Arm aus, an dem jederseits der Draht e befestigt ist. Der Zapfen am unteren Ende des Gewichts g passt in eine cylin- drische, flache Vertiefung oben zwischen beiden Hälften der Grundzange, die durch denselben verhindert wer- den, sich zu schliessen. Die starken Drähte ee gehen etwas unterhalb der Öhrchen des Gewichts in 2 Schnüre dd über, die an das untere Ende der Leine befestigt sind. So lange das Loth den Boden noch nicht erreicht hat, sind Leine und Schnüre gespannt, weil das Ge- wicht im Wasser schneller fällt, als die Leine; die Grundzange ist geóffnet. Sobald der Boden erreicht ist, geben Leine und Schnüre nach; das Gewicht و‎ fällt mit . seinem oberen Ende aus den Schnüren dd und unten mit seinem Zapfen aus der cylindrischen Vertiefung in der Grundzange, deren Halbkugeln sich dann durch die Wirkung eines starken Gummirings schliessen und ungefähr zwei Hände voll Meeresgrund mitnehmen 476 theilt er sich von dem Leitungsdraht dem Zapfen mit, welcher ihn seinerseits in's Wasser leitet; entfernt man m von J, so ist der Strom unterbrochen, weil das Ende von 7 sich in Öl befindet und folglich isolirt ist. Das Andrücken und Entfernen des Zapfens m wird nun durch folgende Einrichtung ermóglicht. Über das Róhrchen aus Gummi ist ein etwas grüsseres pp aus Messing geschoben, welches oben durch das Anziehen einer Schraube bei o fest mit der Leine verbunden wird; unten hat dasselbe zwei in ein Charnier aus- gehende Flügel ss; in jedem Charnier sitzt ein etwas 800086067 zweiarmiger Hebel kh, dessen nach aussen und unten endender Arm gabelig ist. Werden die Gabelenden der Hebel nach unten gedrückt, so drücken die inneren Hebelarme gegen den Zapfen 111 und pres- sen letzteren gegen das Ende des Leitungsdrahtes; lässt der Druck auf die Gabelenden nach, so wird der Zapfen m durch eine Spiralfeder, die oben am Messing- röhrchen und unten am hervorragenden Rand von m befestigt ist, nach unten geschoben, und folglich fvon l entfernt”). Das Herabdrücken des Hebelarmes wird dadurch bewirkt, dass die Schnüre kk, an denen das gusseiserne Loth hängt, in die äusseren Gabeln der Hebelarme gelegt werden. Kommt das Loth am Bo- den an, so werden die Schnüre durch das Gewicht desselben nicht mehr gespannt, die Hebel drücken nicht mehr auf den Zapfen m, und letzterer wird durch die Wirkung der Spiralfeder von dem Leitungsdraht entfernt; dadurch ist der Strom unterbrochen. Beim Heraufziehen bleibt das Loth auf dem Boden, und nur das Gewicht der Grundzange wird auf die Schnüre wirken. Je nachdem man die Entfernung zwischen m und 7 im Ruhestand, oder auch die Gabelenden der Hebel grósser oder kleiner macht, wird man bewirken kónnen, entweder dass das Gewicht der Grundzange | allein im Stande ist, oben genannte Stromverbindung derart dass das obere Ende desselben durch die Leine | herzustellen, oder nicht. In beiden Füllen wird der Strom beim Aufstoss des Lothes auf den Boden unter- brochen werden; im ersteren aber wiederhergestellt beim Loslösen der Grundzange von demselben, im Zweiten aber nicht. Es schien mir vorderhand, als würe eine feine Einstellung des Zapfens » wünschens- werther, weil dabei zwei deutliche Zeichen erhalten werden, während eine gróbere Einstellung nur ein 2) In der Zeichnung ist die Feder weggelassen, Bulletin de l'Académie Impériale 475 jedes einzelnen = 0,2 Millimeter; der ganze Leitungs- draht wurde bandförmig mit 3 Schichten Gummi über- zogen, wodurch der Durchmesser bis auf 3,3 Milli- meter erhöht wurde. Auf dem dergestalt isolirten Leiter befinden sich 2—3 Lagen unter sich und der Achse der Leine paralleler Garnfäden, die aussen durch ein Geflecht zusammen gehalten werden; die ersten 1000 Faden hatten 2 Lagen Garn, die letzten 1770 deren drei; erstere mit einem Total-Durchmesser von 5,6; letztere von 6 Millim. Die ersten 2000 Faden waren mit Steinkohlentheer getränkt, die letzten 770 mit Leinölfirniss; letzterer ist leichter. Das Gewicht eines Fusses der dreischichtigen mit Steinkohlentheer getränkten Leine in destillirtem Wasser — 69 Gran; ۳ 4 E g 1.4 02 Gran; also bei 1000 Faden Länge ein Gewinn von mehr als 6 Pfd. Der besseren Austrocknung willen war das Garn vor der Verarbeitung und später die Leine noch einmal mit Firniss getränkt. Das Gewicht von je 100 Faden in der Luft und im Seewasser (Pyraeus) gewogen 44a ein Fuss derselben Leine mit Lei betrug von | Faden Luft Wasser 0—1000 17,5 Pfd. 4,5 Pfd. 1000 — 2000 23 » 5 » 2000— 2770 16,2 » ST Im Ganzen 2770 Fad. 530 Pfd. 120 Pfd. Das auffallend geringe Gewicht der letzten 770 Fad. ist übrigens nicht allein dem Leinülfirniss, sondern grösstentheils dem Umstand zuzuschreiben, dass die Leitungsdrühte von etwas geringerem Durchmesser genommen waren. Die Tragfähigkeit der dreischich- tigen Leine betrug etwas über 300 0, Der Stromunterbrecher am untern Ende der Leine war construirt wie folgt: (Fig. IV) Der Leitungsdraht U ragt etwas über das untere Ende der Leine vor; letzteres ist mit einem Gummiróhrchen gg umgeben, selbst, das untere Ende durch einen Metallzapfen m geschlossen wird, der oben eine kleine Metallfeder f | trägt. Der Metallzapfen m ist von einer Schraube durchbohrt, bei deren Wegnahme man die Höhlung zwischen m und / mit Öl füllen kann; ist letzteres ge- schehen, so schliesst man wieder durch Einsetzen der Schraube. Wird nun der Zapfen m nach oben gedrückt, so berührt seine Feder f das untere Ende der Leitung; geht in dieser Lage ein Strom durch die Leine, so 478 Ausreckung der Leine — 3 Faden; also berechnete Tiefe — 666 Faden. Zum Anholen der Leine brauchte man 45 Minuten; die Grundzange war geschlossen und enthielt Wasser und etwas gelben Schlamm. In nórdl. Breite 36° 20,5 und östl. Länge 23° 1 wurde das Loth zum zweiten Male geworten. Der Haspel wurde bei dieser Messung weniger gebremst, daher gab der Telegraph schon nach 15'4 Minuten sein Zeichen; die Lànge der abgelaufenen Leine be- trug 730 Faden und der Neigungswinkel derselben 30°; also Tiefe = 632 Faden; dazu Correction für die Ausreckung — 12 Faden; also berechnete Tiefe — 644 Faden. Die Grundzange war ganz mit gelb- lichem Lehm gefüllt. Wenn man Breite und Länge bei beiden Messungen auf der Karte eintrügt, so fin- det man, dass die erstere der beiden Messungen in einer Entfernung von 17 Seemeilen nordóstlich von Cerigo, die zweite ungefähr 2'4 Meilen dem Lande näher gemacht wurde, so dass zu erwarten stand, dass die Tiefe bei letzterer geringer ausfallen werde, als bei ersterer. Nach diesen beiden Versuchen ging die Fregatte nach dem Pyraeus, wo sie bis Anfang April 1866 vor Anker blieb. Als sie im genannten Monat eine Fahrt nach Jaffa unternahm, konnte Baron Wrangell fol- gende Versuche ausführen. Der erste Versuch (nórdl. Breite 35° 33’; östl. Länge von Greenwich 28° 30’; Barometer = 30/16; Tem- peratur der Luft — 17^, des Wassers — 15^) wurde bei anfänglicher Windstille und unter Segel unter- nommen; später erhob sich ein leichter Wind und brachte die Fregatte in Gang; nachdem 1000 Faden Leine abgelaufen waren, näherte die Leine sich schon der Horizontalen. Da das Schiff ohne Dampf nur schwierig zum Stillstand hätte gebracht werden kónnen, so wurde die Leine, nachdem 1600 Faden im Wasser waren, wieder angeholt; die Grundzange zeigte sich voll Lehm. Die Fallzeiten der einzelnen Marken sind folgende: Marken von je 100 Faden. Fallzeit. — 130° 1—2 ` 10 2-3 2720 3—4 2 4—5 1 5—6 1 0 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 477 einziges erwarten lässt; das Resultat der Versuche selbst aber hat gezeigt, dass bei Messungen vom Schiffe aus eine grobe Einstellung vortheilhaft ist, während bei Sondirungen vom Boote aus, welches immer leicht über der fallenden Leine erhalten werden kann, eine feine Einstellung mehr zweckentsprechend erscheint. Das obere Ende der Leine ist mit seinem Leitungs- draht an die metallene Achse der Winde befestigt; das Lager der Achse steht mit der Batterie und letztere mit dem Telegraphen in Verbindung (Fig. D; vom Telegraphen führt ein Draht r nach der Kupferbeklei- dung der Schiffswände k Während des Hinabsinkens ist also der Stromlauf folgender: Batterie, Lager der Achse, Achse, Leitung der Leine, Zapfen m des Gummi- röhrchens, Wasser, Schiffsbekleidung, Relais, Batterie. Die Winde zum Aufrollen der Leine hatte eine Achse von 2" Durchmesser; die Backen derselben be- standen aus starken eisernen Speichen und waren zur Vermeidung jeder scharfen Kante und Erhóhung mit Blech gefüttert. Die Achse selbst lag auf Frictions- ‚rollen und konnte durch eine an ihrem Umfang wir- kendeB ählich angehalten werden. Von der Achse lief die Leine über eine eiserne Rolle q mit tiefer Rinne, die zur Bestimmung der Ánspannung der Leine an einem Dynamometer m befestigt war, der seinerseits an einer gebogenen Eisenstange über Bord hing. Das Gestell der Winde war aus Holz. Die erste günstige Gelegenheit, um Versuche zu- erst in nicht allzugrossen Tiefen anzustellen, bot sich dem Lieutenant v. Wrangell im November 1865 beim Eingang in den Archipelagus, unweit der Insel Cerigo; nórdl. Breite 36° 21/5; östl. Länge von Greenwich 23° 24'; Windrichtung OSO.; Barometer — 30,3; Lüfitéuiperstor 13? R.; das Schiff war nicht unter Dampf. Beim Ablaufen dé ersten 150 Faden (à 6 Fuss englisch) wurde Vorsichts halber der Haspel gebremst: später gab man der Leine freien Lauf. Nach 17 Mi- nuten vom Anfang der Operation gab der Telegraph das Zeichen, dass das Loth den Boden erreicht habe; die Lànge der abgelaufenen Leine war670 Fad.; der Winkel der Leine mit der Verticalen — 8? wurde ach Augen- maass bestimmt. Durch Multiplication des abgelau- fenen Stücks mit dem Cosinus von 8? ergiebt sich tür die Tiefe — 663 Faden; dazu Correction?) für die 3) S. weiter unten. 480 ی‎ Fallzeiten. Neigungswinkel. Dynamometer. 4— 5 en 23° 30 Pfd. ger 1 28 30 » ui * 1% 40 29 » 7— 8 2 38. 25 » 8— 9 7 der ue 9—10 1}, 30 180 » 10—11 2 40 120 » 11—12 2. 45 115 » 12—13 2 55 100 » 13—14 SÉ 60: 100 » 14—15 2 60 ` 100 » 15—16 3 75 65 ^» 16—17 4 35 eu Zum Anholen brauchte man 1 Stunde 30 Minuten, die Grundzange war mit gelbem Lehm gefüllt. Von 100 bis 700 Faden hatte man der Leine freien Lauf gelassen; dabei zeigten aber die Angaben des Dyna- mometers, dass dieselbe fast keine Anspannung hatte; z. B. zwischen 700 und 800 Faden nur 25-20 ہے‎ 25 Pfd.; der Haspel wurde also, um Bogenlinien zu ver- meiden, etwas gebremst. Das Anholen überhaupt ge- ` schah nicht durch directes Aufwinden der Leine auf den Haspel, sondern, ähnlich wie beim Anholen des Logs, durch Ziehen längs des Verdecks. Dabei er- eignete es sich bei 1300 Faden im Wasser, dass wahr- Scheinlich durch irgend einen Zufall die Leine auf dem Decke zerriss, das Ende aber glücklicher Weise von einem daneben stehenden Matrosen ergriffen werden konnte, ehe es über Bord weggelaufen war. Das Dy- |namometer zeigte hierbei eine Anspannung der Leine von 115 Pfd.; bei den späteren Versuchen wurde in Folge dessen die Schnelligkeit des Anholens vermin- dert, so dass die Anspannung nicht über 80 Pfd. be- trug. Die Betrachtung der beiden zerrissenen Enden zeigte, von welchem Vortheil die Spiralen des Lei- tungsdrahtes sind; die spiralen Kupferdrähte ragten an beiden Enden über die abgerissenen Parallelfäden hervor. Die vierte Messung wurde Morgens den Di, April, wie alle früheren, vom Hinterdeck aus gemacht. Nördl. Breite 34° 50; stl. Länge 30° 46"; Barometer = 30,10; Teioperätur der Luft = 15°; Wind O. Das Loth berührte das Wasser um 6 Uhr 46 Minuten; der Telegraph gab sein Zeichen um 7 Uhr 43 Minuten, Bulletin de l'Académie Impériale 479 Marken von je 100 Faden. Fallzeit. 6— Ped 7—8 2 8—9 6 9—10 6 Von den Marken 1000 an wurden die Fallzeiten nicht mehr beobachtet. Der Moment des Berührens dés Bodens wurde durch den Unterbrechungsapparat nicht angegeben; letzterer war empfindlich eingestellt, d. h. das Gewicht der Grundzange allein war hinreichend, um denselben in Thátigkeit zu lassen; die Zange wurde, nachdem sie auf den Boden gekommen war, ohneZweifel längs desselben geschleift, und nun erhielt die Reibung gegen den Boden den Unterbrechungsapparat in Thä- tigkeit. Um Ähnliches zu vermeiden, stellte Hr. v. Wrangell spáter den Apparat gróber ein, so dass bei den spütern Versuchen der Moment des Aufstosses jedes Mal deutlich durch den Telegraphen angegeben wurde. Nach den ziemlich regelmässigen Fallzeiten bei obiger Messung zu urtheilen, kam das Loth nach der achten Hundertfadenmarke auf den Boden; daraus folgt die wahrscheinliche Tiefe = 800 Faden. . Bei den drei folgenden Messungen bemühte man sich, das Schiff mit Hülfe der Schraube an seinem Platz zu erhalten. Das Gewicht des Lothes im Wasser be- trug 55 Pfd., die eiserne Rolle,über welche die Leine làuft, und die am Dynamometer befestigt ist, wiegt 20 Pfd.; letzteres Gewicht hat man von den Angaben des Dynamometers abzuziehen und den Rest durch 2 zu dividiren, um die wahre Anspannung des Theils der Leine zu erhalten, der sich zwischen der Rolle und dem Loth شا‎ Die dritte Messung (April */,) iude ausgeführt bei nórdl. Breite 35? 12’; östl. Länge 29? 40'. Barometer اش‎ Tönperkkir der Luft — 17°5, des Wassers = 145. Windrichtung SW. Das Loth berührte das Wasser um 1 Uhr 5,5 Minuten; der Telegraph gab sein Zeichen um 1 Uhr 39 Minuten bei 1670 Faden Leine im Wasser und einem Neigungswinkel derselben von 35°. d gr Fallzeiten. Neigungswinkel. Dynamometer. Dod 47 5° 90 Pfd. i2 د‎ 1 8 49 » 2. 3 1 14 35 ` 3— 4 1 23 30 » 482 Fallzeiten. ————— Dynamometer. d 1 4" 0* 70 ۰ 12. 9 10 1659 2— 8 9 25 50 3— 4 1, 25 و سب‎ 4— 5 15 25 wë ود‎ 5— 6 9 50 60 » 06 — 7 3 25 60 » 7— 8 2 40 70 » 8— 9 1'4 20 70 » 9—10 27, 12 80 » 10—11 3 14 70 » 11-12 2 40 16 » 12—13 2 35 20 » 13—14 3 38 60 » 14—15 3 32 60 » 15— 16 3 40 65 » 16—17 3 50 70 » 17—18 37, 50 70 » 18 —19 NG 45 60 » 19— 20 NZ 39 60 » 20— 20,45 3 35 rt Die Grundzange mit gelbem Schlamm kam um 8 Uhr 16 Minuten herauf; Zeit des Anholens 1 Stunde 43 Minuten. Bei allen vorliegenden Messungen bemerkte man, dass beim Anholen der Leine der Unterbrechungs- apparat anfangs mehrere Male Zeichen gab, die aber, wenn ein kleiner Theil der Leine schon herausgezogen war, gänzlich aufhörten. Lieutenant v. Wrangell schlägt nun vor, die Länge der Leine beim letzten Zeichen und den dabei beobachteten Neigungswinkel derselben als Moment zur Bestimmung der Tiefe zu benützen. Mir scheint es, dass dieser Vorschlag voll- kommen gerechtfertigt ist. Wenn das Loth bei mehr oder weniger geneigter Lage der Leine auf den Boden gelangt ist, so muss beim Anholen und beim fortge- setzten Treiben des Schiffs die Grundzange anfangs auf dem Boden fortgezogen werden; dabei wird sie an ihren zwei Armen mehrere Mal vom weichen Boden aufgehalten werden, jedesmal die beiden Schnüre des Unterbrechungsapparats spannen und folglich letzteren in Thätigkeit setzen; dadurch wird am Telegraphen 4) Der Haspel wurde gebremst. 31 des Sciences de Saint م‎ 481 bei 2250 Faden Leine im Wasser; Fallzeit 1 Stunde وسو‎ je 100 3 Minuten. Neigungavinkel Dynamometr.‏ ات پس وی TR | 9m 5° 60 Pfd‏ » 70 10 1 9 1 » 385 95 1 8 —9 » 35 25 1% 4 —3 » 85 25 ;17 5 —4 A‏ 48 2 56 "Au 1Y, 50 122.3‏ gro 1 852 120 »‏ » 120 59 9 9—10 55 2 1 10 11-212 2 25 12—13 2 25 von 152214 4 0 14—15 4 0 di 15— 16 4 20; bis 16—17 4 20 120 17—18 4 92 — 3 30 Pfd. 19—20 4 40 20 — 29,5 14 50 Die Grundzange, voll gelben Lehms, kam herauf um 9 Uhr 45 Minuten; Zeit des Anholens 2 Stunden 2 Minuten. . | Bei ی بر‎ Messungen, die vom Hinterdeck aus gemacht waren, hatten sich mehrere Unbequem- lichkeiten ergeben, wenn das Schiff mit Hülfe der Schraube an seinem Platz gehalten werden musste. Steht es gegen den Wind, so setzt man die Leine der Gefahr aus, unter die Schraube zu gerathen; steht es mit dem Wind, so ist man bei rückgüngiger Bewegung der Schraube des Steuers nicht gut Meister. Die folgende Messung wurde, wie auch schon Day- man that, vom Vordertheil aus gemacht, was sich in jeder Beziehung als vollkommen practisch erwies. Die nördl. Breite war 34° 35'; óstl. Länge 31? 13’; Baro- meter — 29/95; Temperatur der Luft — 19°, des Wassers = 16^; Windrichtung OSO,. Das Loth be- rührte das Wasser um 5 Uhr 36 Minuten Nachmittags; Zeichen des Telegraphen um 6 Uhr 33 Minuten bei 2045 Faden Leine im Wasser; Fallzeit 57 Minuten. Tome XI. -3 ٩ 8 SE Re, PPS bh پو کر‎ 6 herausgezogen waren, erf und der Dynamometer ging auf 170 | Pfd. zurück. Bei der starken Anspannung der Leine und bei dem ge- ringen Gewicht, das unter einem Neigungswinkel von 20? senkrecht zur Achse der Leine wirkt, kann man wohl mit Recht annehmen, dass die Leine in diesem Falle fast eine gerade Linie bildete, mit andern Worten, dass die berechnete Tiefe von 1740 Faden nur um ein Geringes grüsser ist als die wahre Tiefe; ein Über- schuss von 20 Faden würde schon eine starke Bogen- linie ergeben. Wenn das Zusammenfallen der Resul- tate bei den Berechnungen kein Zufall ist, was sich spüter, wenn mehr Messungen vorliegen werden, in dem einen oder dem anderen Sinne entscheiden muss, so kann man daraus den Schluss ziehen, dass die Be- rechnung mit dem mittleren Neigungswinkel auch für die zwei vorhergehenden Messungen ihre Berechti- gung hat. Der Mittelwinkel ist bei der vierten?) Messung 35? 8 und die daraus berechnete Tiefe — 1366 Faden; bei der fünften‘) 32° 18' und die berechnete Tiefe 1902 Faden. Zieht man die einzelnen Neigungswinkel der letzten Messungen in Betracht, so bemerkt man, dass bei der vierten Messung mit einer Tiefe von 1366 Faden die Neigungswinkel von 50 — 75 bei vier Hundertfaden- marken vorkommen; dass bei der fünften Messung mit einer Tiefe. von 1900 Faden die höchsten Neigungen sich bis auf 55° vermindert haben und in der Grösse von 50— 55° bei 7 Marken sich finden; dass endlich bei der letzten Messung mit einer Tiefe von 1740 die Winkel die Zahl 50 nicht überschreiten und in dieser Grösse nur bei drei Marken vorhanden sind; dabei war bei der letzten Messung der Wind bedeutend frischer als bei den vorhergehenden. Diese Verminderung be- rechtigt zu dem Schlusse, dass bei grüsserer Übung der Mannschaft die Neigungewinhei sich nicht über 30° erheben und also einen Mittelwinkel von eirca 20° ergeben werden; dabei kann bei der Bestimmung des Mittelwinkels ein verhältnissmässig grosser Fehler von etwa 2° die Genauigkeit der berechneten Tiefe nur mit ungefähr einem Procent beeinträchtigen, denn in der Nähe von 20° schwanken die Cosinus der ein- . 5) Die وا‎ rs Marke (1600 — 1670) als Dreiviertel-Marke in Rech- nung gebracht. 6) Die letzte Marke (2200— 2245) als eine halbe Marke betrachtet. Bulletin de l'Académie Imperiale 483 ein Zeichen erhalten. Es scheint mir aber noch ausser- dem gerechtfertigt, nicht allein das letzte Zeichen zu benützen, sondern aus der Länge der Leine und ihrem Neigungswinkel bei jedem einzelnen Zeichen mehrere Werthe für die Tiefe zu berechnen. Dadurch vermehrt sich nicht allein die Anzahl der Bestimmungsmomente, sondern es wird sich auch aus der Vergleichung aller aus den einzelnen Beobachtungen berechneten Tiefen bestimmen lassen, ob die Leine Bogen- oder gerade Linien bildet, was aus verschiedenen Gründen sehr wichtig werden kann. Auf die Länge der Leine beim letzten Zeichen und ihren Neigungswinkel wurde erst bei der letzten Messung ۰ Baron v. Wrangell schlägt ferner vor, als zweites Moment bei geneigter Lage der Leine nicht den Nei- gungswinkel derselben beim Aufstoss und ihre respec- tive Länge zur Berechnung der Tiefe zu nehmen, son- dern den Mittelwinkel aus allen bei den einzelnen Hundertfadenmarken beobachteten Neigungen. Auch dieser Vorschlag scheint vollkommen berechtigt. Der einzelne Neigungswinkel ist eine Sache der Zufällig- keit, d. h. das Schiff treibt zu gewissen Zeiten mehr, zu andern weniger; manchmal auch nähert es sich mit Hülfe der Schraube dem früher inne gehabten Platze. Dabei werden offenbar nur die obern Theile der Leine hin- und herbewegt, während die tiefer gelegenen die Mitte zwischen den oberen Neigungswinkeln annehmen werden. Wenn wir bei der sechsten Messung die letzte Marke (2000— 2045) als eine halbe in Rechnungbringen, so ist der mittlere Neigungswinkel = 31°7; hieraus und aus der Länge der Leine beim Aufstoss (2045 Faden) er- giebt sich die berechnete Tiefe = 1740 Faden. Beim Anholen der Leine erfolgte das letzte Zeichen des Tele- graphen bei 1850 Faden Leine im Wasser und einer Nei- gung derselben von 20°. Daraus ergiebt sich die berech- nete Tiefe ebenfalls — 1740 Faden. Dass bei diesem letzten Zeichen die Grundzange in der That sich vom Boden lóste, geht daraus hervor, dass der Dynamo- meter, der früher 170 Pfd. gezeigt hatte, bei 1860 Faden ziemlich schnell auf 180 Pfd. stieg, ohne dass die Schnelligkeit des Anholens im Geringsten ver- gróssert worden war. Lieutenant v. Wrangell liess das Anholen einstellen; der Dynamometer blieb aber bei seiner Angabe; das Schiff trieb etwas. Nachdem die Arbeit fortgesetzt worden und weitere 10 Faden |. 486 dessen Achse unter dem Dynamometer in gleicher Höhe mit dem oberen Theil der Rolle sich befand. Die Reibung der Leine gegen das Wasser kann be- stimmt werden, indem man beim Anholen bei beobach- teter Länge und Neigungswinkel das wirksame Gewicht der Leine berechnet und das Resultat mit der Angabe des Dynamometers vergleicht. Bei vorliegenden Mes- sungen war es noch nicht möglich, diese Beobachtungen in genügender Anzahl und Schärfe auszuführen. Doch geht aus dem wenigen Material, welches mir vorliegt, hervor, dass die Reibung bei geringer Schnelligkeit des Anholens (8 Minuten per 100 Faden) kaum eine nennenswerthe Grósse betrügt, wührend sie mit der Vergrösserung der Schnelligkeit wächst. Man hat also die Móglichkeit, bei sehr bedeutenden Tiefen (4— 5000 Faden) durch anfängliche geringe Schnelligkeit des Anholens den Einfluss der Reibung auf die Anspannung, respective Zerreissung der Leine, zu neutralisiren. Um die Längenveränderung der Leine zu bestimmen, wurden nach den ersten zwei Versuchen die einzelnen Hundertfadenmarken von 0— 10 nochmals verificirt. Die gefundenen, in folgender Tabelle zusammenge- stellten Differenzen hatten alle positiven Werth. Marken. Differenzen. 0—1 11 Fuss 1 Zoll 1—2 IT NT 1 2—3 IU » 9 3 3 —-4 19 ^. عرش‎ 4—5 11 + 10 Y 9—6 9 eu ze 6 1» B. » 7—8 T »— » 8—9 وا‎ s ` X 9 — 10 1".4 € Jenseits der zehnten Marke wurde keine Lüngenaus- dehnung bemerkt. Die Marken wurden nun besich- tiet, und als nach den folgenden vier Messungen die Ausreckung wieder bestimmt wurde, zeigte es sich, dass von der 0 — 9ten Marke eine Verlàngerung von Wem 055 per veis d. h. 80 lor, stattgefunden. hatte. beim ersten Anholen, also nach der ersten Messung, vorsich ging. Bringt man von den 12 Faden, um welche die Leine bis zur 7ten Marke sich gereckt hatte, drei bis vier für die erste Messung in Rechnung, so erhält 31* des Sciences de Saint- Pétersbourg. 485 zelnen Winkel noch unbedeutend. Es sind also genaue Messungen auch vom Schiff möglich, wenn man die Neigungswinkel nicht zu gross werden lässt und beim Anholen Länge: und Winkel der Leine zur Zeit jedes ein- zelnen Tel tirt. Ohne Zweifel werden jedoch Messungen vom Boot aus noch genauer ausfallen; ein Boot lässt sich mit einigen Ruderschlägen genau über der hinabgehenden Leine erhalten und wird theil- weise selbst von ihr zurückgehalten. Man wird bei einer solchen Messung den Haspel etwas bremsen, damit die Leine gespannt erhalten werde und auf diese Weise eine Genauigkeit erreichen, die nicht geringer ausfallen kann als bei trigonometrischen Höhenmes- sungen. Strömungen können die Resultate nicht be- deutend beeinträchtigen, da sie wahrscheinlich nur in den oberen Wasserschichten sich finden und folglich auch nur auf die oberen Theile der Leine wirken werden. Es wäre sehr wünschenswerth, eine Reihe von Mes- sungen, jede an derselben Stelle vom Boot und vom Schiff aus gemacht, zu besitzen. Lieutenant v. Wrangell versuchte auf der Rhede von Jaffa bei hochgehender See den ganzen Messapparat auf's Boot zu bringen, was nach ihm durchaus keine Schwierigkeit verursacht. Messungen vom Boote aus kónnen zu gleicher Zeit zur Bestimmung oberseeischer Strömungen dienen. Man kann zu dem Ende die Entfernung des Schiffs vom Boote im Augenblick bestimmen, wenn das Loth etwa schon in 500 Faden Tiefe sich befindet, und dann das Schiff, um die Wirkung des Windes auszuschliessen, in bekannter Entfernung von einem ausgeworfenen Log halten; die Gróssenzunahme der Entfernung des Schiffs vom Boot in der beobachteten Zeit ist zugleich die Grösse der Oberflüchenstrómung. Bei jeder bedeu- tenderen Messung werden leicht mehrere Werthe für die erwähnte Strömung zu bestimmen sein. Da hier- bei die Falllinie des Lothes annähernd als unbeweg- lich betrachtet wird, so werden die Resultate der ein- zelnen Bestimmungen um so mehr der Wirklichkeit sich nähern, je tiefer das Loth bei jeder derselben schon hinabgesunken war. Die Vergleichung der er- haltenen Werthe wird es folglich móglich machen, einen Schluss auf die noch mit unterlaufende absolute Fehler- grüsse zu ziehen. Die Neigungswinkel der letzten Messungen wurden mit Hilfe eines Halbkreises mit Gradtheilung bestimmt, 48% ins Wasser gehenden Stroms; die Isolirung war also eine vollkommene und hat sich auch als solche in der Praxis gezeigt; nur durch die grosse Hitze, der die Fregatte während ihres Aufenthalts in Jaffa ausgesetzt war, hat sich das تس‎ Sak gelöst; so dass es an manchen Stell ll; dielsoli unghatte aber dabei gar nicht belitten:: Em diesen Missstand zu vermeiden, wird man gut thun, die Gummihülle, ehe sie mit Garn überzogen ist, dadurch theilweise zu vulka- nisiren, dass man den isolirten Leitungsdraht etwa 1 Minute lang in eine Mischung von Halbchlorschwefel und Sehwefelkohlenstoff taucht und sie später zur Entfernung etwa überschüssigen Schwefels eine Stunde lang in einer Lösung von Ätznatron oder Kali aus- kocht. Da das Eintauchen in Sehwefelkohlenstoff wüh- rend des Zeitraums einer Minute nicht hinreichend ist, auch die innerste Schicht zu vulkanisiren (wozu etwa 1/, Minuten erforderlich wären), so kann der Schwefel keinen nachtheiligen Einfluss auf den Kupferdraht : ausüben. Was die Gali des Leitungsdrahts betrifft, so hat sich dieselbe theilweise fehlerhaft erwiesen. Als nämlich einige Wochen nach der Messung die Leine auf Leitung untersucht wurde, zeigte es sich, dass letztere unterbrochen war. Man fand bald fünf Stellen, an denen der Draht zerrissen war; dabei waren die geraden Drähte zuerst gerissen und später erst die spiralen; denn die beiden Bruchenden der geraden Drähte standen mehrere Zoll weiter von einander ab, ` als die Enden der spiralen, deren Abstand etwa 1 Linie betrug. Die Garnhülle zeigte dabei keinerlei Art von Beschädigung und lag noch in ihren regelmässigen concentrischen Schichten um das Gummi herum. Da die spiralen Drähte etwa doppelt so grosse Länge haben als die Garnfäden, so kann starke Anspannung nicht die Ursache des Zerreissens der Drähte gewesen sein; der Grund muss in den starken Temperaturdifferenzen gesucht werden, denen die Leine ausgesetzt war. Letz- tere wurde bei einer Temperatur von 13— 14? R. verfertigt; wenn sie nun im Mittelmeer auf dem Ver- deck der Fregatte der Sonne, und folglich einer Tem- peratur von nicht weniger als 30° R. ausgesetzt war, so mussten sich die geraden Drähte bedeutend ver- längern (2" für jede 100 Faden) Der Üeberschuss ihrer Länge über die Länge der Leine musste aus der- selben in Bogenform heraustreteu, und in der That Bulletin de l'Académie Imperiale 487 man eine Tiefe von 663 + 3 = 666 — 67 Faden; corrigirt man die zweite Messung mit der Ausreckung, so ergiebt sich eine Tiefe von 632 + 12 — 644 Fa- den. Nach Beendigung der sechsten Messung wurden alle Marken nochmals verifieirt; von der neunten bis zur zehnten betrug die Längenveränderung + S"; und von der zehnten bis zur zwanzigsten im Mittel 2/9. Die geringere Ausreckung der Leine von 1000 2000 Faden erklärt sich daraus, dass dieses Stück der Leine Faden aber nur eine zweischichtige hatte. Es wird künftig möglich sein, die Ausreckung fast gänzlich zu vermeiden, indem man vermittelst des Dynamometers vorläufig jede Marke einer Anspannung von etwa einem Drittel ihrer Tragfähigkeit aussetzt. Zur Isolirung der Leitungsdrähte im Innern der Leine habe ich für nöthig gehalten, Gummi elasticum und nicht Guttapercha in Anwendung zu bringen. Ich hatte zuerst die mir vom Ministerium gewährten Mittel zu einer Leine von 3000 Faden Länge mit Gutta- perchaisolirung angewandt. Die Untersuchung der- selben mit einer Sinusboussole ergab aber, dass, wenn 1000 Faden derselben im Wasser waren, das Ver- hältniss des durch die innere Leitung gehenden Stroms zu dem durch die Guttapercha und das Wasser zur Boussole zurückkehrenden sich verhält wie 5:1, und dass, wenn 2000 und 3000 Faden ins Wasser gelegt wurden, das erwähnte Verhältniss sich bis auf 2,6: 1, respective 2,1:1 verminderte. Bei so bewandten Um- ständen wäre man genóthigt gewesen, um bei An- kunft des Lothes am Boden ein deutliches Zeichen zu erhalten, das Relais jedes Mal genau so einzustellen, dass der durch die Guttapercha sich verlierende Strom auf dasselbe nicht hätte wirken können; eine derartige Manipulation hätte aber die Operation unnützer Weise complieirt. Bei noch grösseren Tiefen, also auch bei grösseren Längen der Leine im Wasser, wäre, wie aus der Vergleichung der obigen Versuche hervorgeht, es zuletzt schwer gewesen, überhaupt ein deutliches Zei- chen vom Boden zu erhalten. Da auch der Leitungsdraht der erwähnten Guttaperchaleine nicht genügende Sicherheit bot, so beseitigte ich dieselbe definitiv und liess die in practische Anwendung gekommene, durch Gummi elasticum isolirte Leine herstellen. Als 1000 Faden derselben ins Wasser gelegt wurden, zeigte die Boussole kaum Spuren eines durch die Isolirungsschicht 400 ferner als Norm das Gewicht des dreischichtigen Stücks von 2000 — 2770 Faden — 3,2 per 100 Faden (sieh oben), so werden die ersten 1500 Faden, zweischichtig gerechnet, ein Gewicht von 15.2,7 — 40,5 Pfd., die folgenden 1500 Faden, dreischichtig, eiu Gewicht von 15.3,2 — 48 Pfd. und die letzten 2000 Faden, vier- schichtig, ein Gewicht von 20.4 — 80 Pfd. haben; im Ganzen 168 Pfd.; dazu 10 Pfd. für die Grund- zange und etwa 22 Pfd. Reibung giebt ein Totalgewicht von 200 Pfd:, d. h. noch nicht die Hälfte der Trag- fühigkeit. Da in der Praxis die angewandten Leitungs- drühte sich eher zu dick und ungelenk, als zu leicht erwiesen haben, so wird bei Anwendung von drei, mit feinem Kupferdraht übersponnenen Seidenfüden, wie oben vorgeschlagen wurde, das berechnete Gewicht bis auf 150 Pfd., d. h. ein Drittel der Tragfühigkeit, vermindert werden kónnen, uud also vollkommene Sicherheit gegen Zerreissung bieten. Was die Construction der Lothe betrifft, so hat sich sowohl das nicht ablósbare, als das am Boden sich lósende als vollkommen praktisch erwiesen, so dass keine besondere Veründerung daran nothwendig erscheint. Ersteres habe ich selbst in geringen Tiefen versucht, und immer kamen beide Halbkugeln mit Meeresgrund herauf; das zweite lässt in letzterer Hin- sicht auch Nichts zu wünschen übrig, löst sich leicht ab und fällt, trotz der dickeren Leine, ebenso rasch als Lothe mit gleich schweren Gewichten, wie sie von der englischen und amerikanischen Marine angewendet worden sind; d.h. ungefähr 25—26 Minuten von 400 — 1400 Faden absoluter Tiefe"). Nichtsdestoweniger wird man gut thun, bei Tiefen bis 2500 Faden Gewichte bis 100 Pfd. und bei noch grösseren bis 150. ۰ anzuwenden. Misst man dabei vom Schiff aus, so wer- den durch grósseres Gewicht die grossen Winkel und etwaigen Bogenlinien mehr vermieden; hingegen bei Messungen vom Boot aus wird letzteres noch sicherer über der Leine erhalten werden kónnen, wodurch die Bestimmung der Oberflüchenstrómung einen hohen Grad von Genauigkeit gewinnt. Eben so wie das Loth es auch die. :وي‎ unt de der Leine wenig zu wünschen übrig; höchstens wäre nur das mit #1 TI 4 1. 1 + m S. Dayman. Deep see soundings in the Mediterranean Sea. London 1860. Seite 6. des Sciences de Saint -Pétersbourg. 489 zeigt besonders der mittlere Theil der Leine (1000— 2000 Faden) mehrere solcher Schleifen; der aus seiner Garnhülle herausgetretene Theil des Leitungsdrahtes war noch mit Gummi umhüllt und hatte gewóhnlich eine Länge von einigen Zollen. Wurde nun in diesem Zustand die umgebende Temperatur plötzlich ernie- drigt, was namentlich in Jaffa beim Wiegen der Leine im Meere geschah, so zog der Leitungsdraht sich wie- der zusammen; das einmal herausgetretene Stück des- selben konnte aber nicht wieder ins Innere zurück; der in der Leine sich befindende Theil war also zu kurz und musste irgend wo reissen. Beim Wiegen wurde die ganze Leine in Buchten gebunden, mit einem Ende an den Dynamometer aufgehüngt, die Buchten, um die adhärirende Luft zu entfernen, mehrere Faden tief ins Wasser gelassen und auf diese Weise fast plótzlich ihre Temperatur bedeutend erniedrigt. Die geraden inneren Drähte haben sich also als eine schäd- liche Zugabe erwiesen und müssen folglich künftig gänzlich vermieden werden. Spirale Leitungsdrähte werden bei Temperaturveränderungen ihre einzelnen Spiralen entweder einander nähern oder von einander entfernen, aber nie aus der Hülle herauszutreten suchen. Zur künftigen Verfertigung eines Leitungsdrahtes er- scheint es mir am rathsamsten, einen feinen Seiden- faden mit 2 Kupferdrühten von 0,1 — 0,12 Millimeter Durchmesser spiralig zu umspinnen, das Ganze von einem Durchmesser von circa 0,5 Millimeter; drei dergestalt hergerichtete, parallel zusammengefügte Füden werden, ohne sie weiter mit einander zu ver- binden, mit Gummi überzogen. Sollte nun durch starke und plótzliche Temperaturünderungen auch der eine oder andere reissen, so ist es nicht wahrscheinlich, dass ein solcher Zufall alle drei an derselben Stelle träfe. Es kann bei Berücksichtigung der Tragfühigkeit der Leine die Frage entstehen, ob sie bei Tiefen von 4— 5000 Faden im Stande sein werde, ihr eigenes Gewicht und das der Grundzange zu tragen. Bei Leinen von sehr grosser Lünge wird man den letzten 2— 3000 Fa- den nicht eine dreischichtige, sondern eine vierschich- tige Garnhülle zu geben haben; dadurch wird ihre Tragfühigkeit mindestens bis 450 Pfd. erhóht. Nehmen wir dabei an, dass die ersten 1500 Faden zweischich- tig, die folgenden 1500 Faden dreischichtig und die letzten 2000 Faden vierschichtig wären; nehmen wir 492 suche in dieser Richtung haben meine Hoffnung einer- seits fast zur Gewissheit erhoben, anderseits aber ge- zeigt, dass jedenfalls Metallthermometer zu diesem Zwecke nicht benutzt werden kónnen. Ein derartiges Instrument muss, wenn man auch nur eine annähernde Genauigkeit von ihm erwartet, äusserst fein construirt sein, was seiner praktischen Anwendung, bei nicht zu vermeidender Bewegung, jedenfalls nur hinderlich sein kann. Ein zweites Hinder- niss der Anwendung von Metallthermometern ist der Umstand, dass sie, um dem ungeheuren Druck des Was- sers Widerstand leisten zu können(bei 2000 Faden Tiefe — 6000 Pfd. auf den Quadratzoll) mit einer die Elektri- citàt nicht leitenden Flüssigkeit angefüllt sein müssen, in der sich die einzelnen inneren Theile des Instruments bewegen müssen; die mit der Veränderung der Tempe- ratur und dem Druck sich àndernde Cohaesion der F lüs- sigkeit lässt keine auch nur annähernde Genauigkeit des Instruments zu; aber selbst wenn letzteres der Fall wäre, so würden doch die Angaben des Instruments durch den Druck beeinträchtigt, der auf den aus zwei Metallen von verschiedener Ausdehnung bestehenden Thermo- meterstab ausgeübt wird, letzterer möge nun innerhalb des Instruments, oder zur grössern Empfindlichkeit aus- serhalb angebracht sein. Die beiden Metalle des erwähn- ten Stabs lassen sich, soweit meine eigenen Erfahrungen reichen, nie ohne zwischenliegende Bläschen anein- anderlöthen; an jeder Stelle, wo ein solches Bläschen liegt, wird das Metall, welches schwächere Wider standskraft besitzt, gegen das andere gedrückt. Die Biegung des Thermometerstabes, und folglich auch die Angabe des Instrumentes muss sich dadurch ändern. Übrigens, wenn selbst keine derartigen Bläschen vor- kämen, würde doch der grosse Druck das Volumen der Metalle, aus denen der Thermometerstab besteht, verringern und folglich auf die Angaben des Instru- mentes einen störenden Einfiuss ausüben. Alle diese Unzulässlichkeiten werden vermieden, wenn man Glas- thermometer, den gewöhnlichen fast ähnlich, anwendet. Die einzige Schwierigkeit besteht in ihrer Herstellung, namentlich darin, dass in den Wänden der Röhre des Thermometers jederseits ein Platinadraht so einge- schmolzen wird, dass die beiden Enden der Drähte einander gegenüberstehen, nicht über die innern Flächen der Röhre hervorragen, nicht mit Glasmasse bedeckt sind, und dass der Durchmesser der letztern Bulletin de l’Académie Impériale 491 ÖL gefüllte Gummiröhrchen aus anderem elastischen Material zu machen, da Gummi sich etwas in Öl löst. Als vollkommen unpraktisch hat sich die Anwen- dung des Morse'schen Telegraphen erwiesen; beim geringsten Windzug geht der Papierstreifen zwischen den beiden Walzen zur Seite und stört endlich den Gang des Uhrwerks; ich liess also denselben gänzlich entfernen, so dass der Schreibhebel einfach durch das Gerüusch des Anschlagens sein Zeichen gab; es ist aber offenbar besser, ein kleines Klingelwerk, wie es auf dem Ladoga-See in Anwendung kam, mit dem Re- lais zu verbinden; am besten würde man das Klingel- werk mit dem Relais, in zwei metallenen Riugen auf- gehängt, in dem Kasten des Haspelgestells anbringen, unmittelbar über oder neben der Batterie (Fig. I). Der zweite Schreibhebel, der oben erwähnt ist, sollte zur Selbstregistrirung der Marken der Leine dienen; die letztern waren zu dem Zwecke zuerst nicht aus Garn, sondern aus Kupferdraht gemacht. Die Rolle unter dem Dynamometer (Fig. I, q), über welche die Leine hinweg- laufen muss, war senkrecht zu ihrer Achse in zwei von einander isolirte metallene Hälften getheilt, die einzeln durch Drähte mit einer Batterie und dem zwei- ten Schreibhebel in leitender Verbindung standen. Glitt nun eine Marke durch die Rinne der Rolle, so verband das Kupfer der Marke die beiden Hälften der Rolle; ein Strom war hergestellt, und der Schreib- hebel gab sein Zeichen auf dem Papier. Befand sich keine Marke auf der Rolle, so waren die beiden Hälften derselben nicht in leitender Verbindung. Je nachdem jede Marke aus zwei, drei oder mehr, auf längere oder kürzere Strecken mit Kupferdraht umbundenen Stellen bestand, erhielt man für die Hauptmarken auch ver- schiedene Zeichen auf dem Papierbande. Auf dem Schiffe, auf dem so manches Instrument, welches auf dem festen Lande gute Dienste leistet, sich nicht be- währt, erwies sich zwar die Selbstregistrirung der Marken wohl als möglich, aber als unnütze Compli- cation, da auch Marken aus blauem, weissem und rothem Tuche leicht direct sich beobachten lassen. In meinem oben angeführten frühern Aufsatze sprach ich die Hoffnung aus, dass man durch Verbindung von besonders construirten Metallthermometern mit einer elektrischen Leine alle Temperaturen von der Oberfläche bis zum Boden mit einmaligem Hinablassen der Leine werde bestimmen kónnen. Vielfache Ver- 491 fanden, so fangen einzelne Quecksilber-Kügelchen an, sich von den Sáulchen abzutheilen; bei den Versuchen selbst aber hat sich ein solcher Fall nie ereignet. Führt man die Drähte rr’ in eine galvanische Kette mit Multiplicator oder empfindlichem Relais ein, so wird bei Erniedrigung der Temperatur zwischen den Spitzen r und ۳ sich bald ein Spiritus-, bald ein Queck- silbersäulchen befinden. Ist der zur Construirung des Thermometers verwandte Spiritus wasserfrei, so wird er die Elektrieität nicht leiten und nur dann ein Strom hergestellt sein, wenn ein Quecksilbersüulchen zwi- schen r und ۳ durchgeht. Jeder halbe Grad Tem- peraturerniedrigung oder Erhóhung wird also ent- weder durch Unterbrechung, oder durch Wiederher- stellung des Stroms angezeigt. Kennt man die Aus- gangstemperatur, so hat man also für jedes erhaltene Zeichen nur immer einen halben Grad abzurechnen (oder hinzuzufügen), um die jedesmalige Temperatur des Mediums, in welchem sich das Thermometer be- findet, zu erfahren. Da man beim Meere die Aus- gangstemperatur, d. h. die der Oberfläche, immer leicht bestimmen kann, so ist auch die Temperatur jeder einzelnen Tiefe, bis zu der man das elektrische Ther- mometer hinab 18886, bekannt, vorausgesetzt, dieselbe nehme nach unten zu entweder bestündig ab oder be- stándig zu, wie sich solches nach den bis jetzt ge- machten Erfahrungen erwarten lässt. Um sich übrigens auch darüber Gewissheit zu verschaffen, kann man - dem elektrischen ein Maximum-^ hinablassen; die Zahl der Zeichen des elektrischen Thermometers muss gerade die doppelte Gradzahl der Differenz zwischen Maximal- und Minimaltemperatur betragen; ist die Zahl der Zeichen grósser, so sind die Thermometer durch eine Schicht gegangen, die dem allgemeinen Gesetz nicht folgte. Um das Instrument dem Druck des Wassers gänz- lich zu entziehen, wird dasselbe in eine starke stählerne Büchse eingeschlossen, deren innerer Durchmesser nur etwas grösser ist als der Durchmesser des Thermo- metergefässes; letzteres taucht selbst und mit seinem Drahte rr in etwas eingegossenes Quecksilber oder Wasser; dadurch wird einerseits die Mittheilung der äusseren Temperatur an das Thermometer schneller vermittelt, andererseits wird der elektrische Strom durch den Draht dem Quecksilber in der Biichse, von letzterer der Büchse und von da dem äusseren des Sciences de Saint-Pétersbourg. 493 dabei nicht bedeutend verändert wird. Diese Schwie- rigkeiten hat die nicht gewöhnliche Ausdauer und Ge- schicklichkeit Hrn. G. Müller’s allhier vollkommen gelöst. Fig. V zeigt ein derartiges Instrument. Ausser den eben erwähnten Drähten rr’ unterscheidet es sich noch dadurch von einem gewöhnlichen Thermometer, dass die Röhre desselben mit einer feinen Spitze s in das Cylindergefäss p hinabreicht, und dass letzteres mit Spiritus und Quecksilber gefüllt ist. In der Röhre st befindet sich anfänglich Spiritus; die Theilung der Skala in halbe Grade ist nach dem oberen Ende der Spiritussäule gemacht. Um das Instrument zur Beob- achtung herzurichten, verfährt man folgendermaassen: Man erkältet den Cylinder p durch Watte und auf- geträufelten Äther bis in die Nähe von 0°; ein Theil der Spiritussäule ist dabei aus der Röhre st in das Gefäss p übergegangen; indem man nun p mit der Hand berührt, erwärmt man allmählich, wobei man anfangs das Thermometer so weit auf die Seite neigt, dass das Quecksilber in p die Spitze s bedeckt; dadurch wird etwas Quecksilber in die Röhre st gelangen; sieht mau, dass das obere Ende der Spiritussäule um einen halben Grad gestiegen ist, so giebt man, indem man die Er- würmung fortsetzt, dem Thermometer wieder die senk- rechte Lage; dadurch wird jetzt die Öffnung s von Spiritus umgeben sein, und ein Theil des letzteren ge- langt in die Röhre st; hat sich das obere Ende der Spiritussäule wieder um einen halben Grad gehoben, so neigt man das Instrument wieder, bis s mit Queck- silber bedeckt ist; dadurch gelangt wieder etwas Queck- silber in die Säule; man giebt wieder die senkrechte Lage, wenn die Säule wieder um einen halben Grad gestiegen ist; indem man so fortfährt, füllt sich die Röhre abwechselnd mit kleinen Spiritus- und Queck- silbersäulchen, deren Länge je einen halben Grad der Theilung beträgt. Das ganze Verfahren verlangt nur einige Mimuten Zeit, und bei nur unbedeutender Übung bringt man es bald so weit, dass alle Quecksilber- und Spiritussäulchen einander vollkommen gleich sind. Die Säulchen erhalten sich in ihrer Lage längere Zeit hin- durch; eines dieser Thermometer befindet sich bei mir seit 1% Jahren im Zimmer, ohne dass die einzelnen hoben hätten. Stósse, selbsthundert- fach wiederholte, sind nicht im Stande, die gegensei- tige Lage der Säulchen zu ändern; nur wenn mehrere Wochen lang starke Temperaturveränderungen statt- 496 ändert, so wird man in den meisten Fällen, um nicht eine besondere Zeit auf Temperaturbestimmung zu verwenden, das Thermometer an der Reserveleine nur so lange hinunterlassen, bis das Loth an der Haupt- leine den Boden erreicht hat. Man kann auch zu gleicher Zeit das Hinunterlassen des Thermometers benützen, um mit einem Dathometer Wasserproben aus der Tiefe zur Bestimmung ihres specifischen Ge- ` wichts in die Hóhe zu bringen. Das elektrische Thermometer wird also im Stande sein, nicht nur alle Temperaturen von der Oberfläche bis zu bedeutender Tiefe bis auf einen halben Grad genau anzugeben, sondern, was das Wichtigste dabei ist, es giebt dieselben so, wie sie gleichzeitig über- einander gelagert sind. Nur dureh solche Kenntniss wird es allmählich möglich werden, genaueren Auf- schluss über die Temperaturvertheilung im Ocean zu erhalten und mithin klarere Begriffe über die unter- seeischen Strömungen sich zu verschaffen. Denn ebenso wie das Thermometer in der Luft die Änderung der Windrichtung angiebt, muss es auch, in’s Meer hinab- gelassen, Tiefe, Breite, und, bei einer grösseren An- zahl von Messungen, auch die Richtung der unter- seeischen Strömungen anzugeben im Stande sein. Um ein Urtheil darüber fällen zu können, wie weit die Genauigkeit der Skala bei dem Durchgang der Elektrieität durch die Röhre des Thermometers verän- dert wird, verglich ich ein neu angefertigtes Instrument mit einem Normalthermometer. Die folgenden Werthe sind Mittel aus je 24 Beobachtungen zwischen 0? und 20° C. Der anfängliche Fehler des elektrischen Ther- mometers war + 0;11. Nachdem dasselbe 36 Stun- den lang der Einwirl ines Daniel'schen Elementes ausgesetzt war; zeigte es einen Fehler von — 0°05, und als die Einwirkung der Elektricität noch aty وال‎ fortgesetzt worden war, von — 0,23. Der elektrische Strom hatte also, entgegengesetzt den Be- obachtungen E. Edlund's für feste Kórper, das Vo- lumen des Quecksilbers etwas vermindert. Als zuletzt noch während zweier Stunden der Strom durch das Thermometer ging, ergab sich ein Fehler von — 05723, woraus man schliessen darf, dass für die Dauer einer Messung die Veränderungen der Skala vernachlässigt werden können. Das elektrische Thermometer blieb nun 2 Tage in Ruhe und wurde dann wieder mit dem Normalthermometer verglichen. Die 24 Einzelwerthe Bulletin de l'Académie Impériale 495 Wasser mitgetheilt. Der Draht rr ist mit einem anderen in einen Glasstab eingeschmolzenen Draht qq in Ver- bindung, der durch den Deckel der Büchse hindurch geht und bei g^ mit dem unteren Leitungsende der Leine gekoppelt wird. Um das Einäringen von Wasser zu vermeiden, hat die Isolirung folgende Einrichtung: Der Deckel der Büchse hat eine nach innen sich ver- jüngende konische Öffnung, in welche der Glasstab mit dem Draht gg’ gelegt wird; der Zwischenraum zwischen Glas und dem Deckel wird mit einem leicht- flüssigen Metalle, das zugleich ziemliche Härte besitzt, z. B. mit Rose'schen Metall, ausgegossen. Über das Ganze wird eine Gummiplatte cc, die in der Mitte eine Öffnung für den Glasstab hat, gelegt, und durch eine andere Platte aus Messing nn, die in der Mitte mit einer Röhre versehen ist, an dem Deckel fest- geschraubt. Der Zwischenraum zwischen der Messing- röhre und dem Glase wird mit heiss eingepresstem Guttapercha ausgelegt. Bei mm liegt zwischen Deckel und dem unteren Theile der Büchse ein Bleiring, der sich bei starkem Anziehen des Schraubengewindes des Deckels fest an beide Schnittflächen bei m anlegt. Das ganze Instrument braucht etwa 3 Minuten, um vollkommen die Temperatur des umgebenden Mediums anzunehmen. Versuche, die ich mit ihm in kleinen Tiefen (8—10 Faden) in der Newa und auf der Rhede von Kopenhagen anstellte, fielen zu meiner vollkom- menen Zufriedenheit aus. Leider konnten keine Ver- suchein grösseren Tiefen vorgenommen werden. Baron Wrangen war beauftragt, vorerst die Möglichkeit Tief ermittelst der Elektricitüt darzuthun; als ihm diese — Aufgabe gelungen war, war es GC? nicht möglich, bei der Eile, mit der did Fregatte zurückkehrte, die zu 1۳ سین رو‎ 70 nothwendige Zeit zu erhalten. Wenn der angewandte Verschluss die Büchse selbst bei sehr grossem Druck vor dem Eindringen des Wassers schützen kann, so ist es keinem Zweifel unterworfen, dass das Instru- ment sich eben so in grossen Tiefen bewähren wird, wie in kleinen. Wührend man eine Tiefenmessung mit der Hauptleine ausführt, wird man ein Thermometer an einer Reserveleine hinablassen, es einige Minuten lang z. B. bei je 2, 5, 10, 20, 50, 100, 150, 200, 300 etc. Faden Tiefe erhalten und die bei jeder ein- zelnen Tiefe erhaltenen Zeichen notiren. Da die Tem- peratur sich hauptsächlich in geringern Tiefen stark 498 letztere gehen beide isolirt zum Loth im Wasser, und ihre Leiter sind folglich von gleicher Länge. In das obere Ende des einen auf Deck und in das untere des anderen in der Nähe des Lothes ist je eine Wider- standsrolle eingeschoben: Sind auch letztere beide gleich, so wird bei durchgehendem Strom die Nadel des Galvanoskops nicht abgelenkt. Die im Lothe wie- der vereinigten Ströme gehen hierbei aus demselben ins Wasser und von da durch die metallene Schiffs- bekleidung zum Zink der Batterie zurück. Haben beide letztgenannten Widerstandsrollen gleiche Temperatur, so ist ihr Widerstand derselbe; verändert sich die Tem- peratur des einen, so wird auch die Intensität des be- treffenden Stromzweiges sich ándern und dadurch einer der beiden durch das Galvanoskop gehenden Stróme stürker werden; die Nadel wird abgelenkt. Um sie wieder in die Gleichgewichtslage zu bringen, hat man nur die Temperatur der anderen Widerstandsrolle um eine gleiche Grösse zu ändern; zu diesem Zwecke ist die obere Rolle in ein Wasserbad versenkt. Man hat also nur beim Hinablassen des Lothes jedes Mal, wenn die Nadel Ablenkung zeigt, die Wanne so lange abzu- kühlen oder zu erwürmen, bis die Ablenkung ver- schwindet. Ein in die Wanne getauchtes Thermometer zeigt die Temperatur derselben an, die gleich sein muss der Temperatur der ins Meer hinabgelassenen Widerstandsrolle. j - So geistreich nun auch der gemachte Vorschlag in der That ist, so scheinen doch mehrere Schwierig- keiten sich seiner praktischen Verwendung entgegen- zustellen. Die Veränderungen der Temperatur des Wasserbades werden sich bis auf 20° zu erstrecken haben, also jedenfalls nur mit grossen Umständen zu bewerkstelligen sein; die Schwierigkeit wird sich bei etwas hochgehender See noch bedeutend steigern. Ferner werden die auf dem Schiff befindlichen Eisen- massen einen nicht unbedeutenden störenden Einfluss auf die Gleichgewichtslage der Nadel ausüben, der nur bei constantem Standpunkte des Galvanoskops be- quem zu eliminiren sein wird. Bei den vorgeschla- genen Temperaturmessungen sind nach Obigem zwei isolirte Leiter nothwendig, was bei grósseren Tiefen die Kosten bedeutend steigert. Der Haupteinwurf aber, den man der Methode machen kann, ist jedoch fol- gender. Bei Tiefenmessungen kónnen nur móglichst dünne Drühte in Anwendung kommen; dabei wird jede 32 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 497 für die Differenzen, die sich zwischen 07 und 20^ er- gaben, sind fortlaufend in den oberen drei Horizon- talreihen enthalten. + 0,51 | — 0,33 | — 0,32 | — 0,29 | — 0,27 — 0,29 | — 0,29 | — 0,27 — 012 | — 0,18 | — 0,23 | — 0,20 | — 0,21 | — 0,20 | — 0,22 | — 0,05 +0,03 | + 0,08 | + 0,03 | + 0,07 | + 0,08 +0,09 | + 0,08 | + 0 +051| 0,25 | 0,22 | 0,26 | 0,23 | 0,20 | 019 |.0,16 014 | 018 | 009 | 007 | 0,07 | 7 | 0,07 | m 007 | 0,08 | 008 | 0,10 | 0,09 | 0,06 | 0,08 | 0,08 Mittel + 0,14. Man sieht hieraus, dass das Quecksilber nach zwei- tügiger Ruhe noch nicht sein früheres Volumen an- genommen hatte, dass solches aber wührend der Ver- gleichung bei allmählicher Erwärmung geschah. Die unteren 3 Reihen enthalten fortlaufend Differenzbe- stimmungen, die sogleich nach den ersten ausgeführt wurden und zum Beweis dienen, dass die Verände- rungen der Differenzen der oberen Reihen nicht etwa in der Ungenauigkeit der Skala ihren Grund haben kónnen; alle Werthe derselben sind positiv. Der Null- punkt ist um 0251 zu hoch, wovon ungeführ 0525 auf fehlerhafte Lage des entsprechenden Theilstriches der Skala zu rechnen sind. Sobald thunlich, werden die Versuche über Einwirkung der Elektricität auf Queck- silber fortgesetzt werden. In neuester Zeit haben Werner und Wilhelm Sie- mens eine äusserst sinnreiche Methode für fortlaufende Beobachtungen der Meerestemperaturen bei Tiefen- messungen in Vorschlag gebracht. (S. Poggendorff's Annalen, Bd. CXXIX, 4., S. 647.) Sie beruht auf der Thatsache, dass der Widerstand der Metalle gegen den elektrischen Strom abhängig ist von ihrer Tem- peratur. Hierbei wird der von dem Kupfer der Batterie ausgehende Strom noch auf Deck durch zwei einge- schobene gleiche Widerstandsrollen in zwei gleich starke Zweigströme zerlegt, von denen jeder einzelne durch Theilung der Leitungsdrähte noch einmal in 2 Ströme gleicher Intensität getrennt wird. Je eine Hälfte von den zwei so erhaltenen Strompaaren geht zu ei- nem Galvanometer, doch so, dass ihre Windungen den von dem anderen Strompaare kommenden entgegen- gesetzt sind. Dei der Voraussetzung gleicher Inten- sität beider Ströme wird also die Nadel nicht abge- lenkt. Damit erstere erreicht werde, müssen die beiden übrig bleibenden Ströme auch gleich stark sein; Tome XI. - 500 messer der Büchse die Empfindlichkeit des Instru- mentes. Das gewóhnlich gebrauchte Six-Thermometer hat, abgesehen selbst von der Schwierigkeit des rich- tigen Einstellens der beiden Indices, den schon von Lenz gerügten Missstand, dass dieselben durch Rütteln an der Leine leicht ihren Platz verändern; ausserdem ist es auch selbst in verbesserter Form zweischenkelig, Das Maximumthermometer von Magnus und das Mi- nimumthermometer von Walferdin haben den Nach- theil, dass jedes derselben nur eine der extremen Tem- peraturen giebt; ersteres hat noch die Unbequemlich- keit, dass man es nach jedesmaligem Gebrauch immer wieder auf eine bestimmte, an einem Normalthermo- meter abzulesende Temperatur bringen muss, was bei den eigenthümlichen Verhältnissen auf einem Schiffe grosse Unzulänglichkeiten bietet, wenn nicht fast un- möglich ist. Ich stellte mir daher die Aufgabe, ein einschenkliges Maximum - Minimumthermometer zu construiren, welches ohne Vergleichung mit einem an- dern Thermometer gebraucht und dessen richtige Thei- lung längere Zeit vor oder nach den Beobachtungen ge- prüft werden kann. Allen geforderten Bedingungen ent. spricht folgende Construction: Fig. VI. Der Oylinder des Instrumentes ist bei ab durch eine Scheidewand in ein oberes und unteres Gefáss getheilt; beide sind in Communication durch die gebogene Róhre cc, die mit ih- rer ausgezogenen Spitze in das obere Gefäss hineinragt, ebenso wie die eigentliche Thermometerróhre mit ihrer unteren Spitze; beide Spitzen berühren sich nicht ganz. Das ganze Thermometer mit den Róhren ist mit Spi- ritus gefüllt, mit Ausnahme eines Theils des oberen Gefässes, welches etwas Quecksilber enthält; die Thei- lung wird wie gewöhnlich an der geraden Röhre ge- macht. Will man das Instrument benutzen, so lässt man dasselbe, nachdem man seinen Stand notirt, in umgekehrter Lage in eine Metallbüchse, die grössten- theils mit Wasser gefüllt ist, eingeschlossen in die Tiefe hinab; in solcher Lage bedeckt das Quecksilber beide Spitzen bei d Steigt nun die Temperatur, so dehnt sich der Spiritus in beiden Gefüssen aus; ein Theil fliesst oben aus der gebogenen Röhre aus; sinkt die Temperatur nun wieder, so kann der ausgeflossene Spiritus beim Zosammenziehen des unteren Gefässes nur durch einen Quecksilberfaden ersetzt werden; um- gekehrt verhält es sich mit der geraden Röhre; sinkt die Temperatur, so muss aus ihr Spiritus ausfliessen, , Bulletin de l'Académie Impériale 499 einzelne Leitung zur Sicherung gegen Bewegung und Anspannung aus mehreren, spiralig gewundenen Dräh- ten bestehen müssen. Es kann bei fortgesetztem Ge- brauch der Leinen nicht vermieden werden, dass in der einen oder in der anderen Leitung nicht einer der dünnen Dráhte, aus welchen sie zusammengesetzt ist, zerreisse. Geschieht Letzteres, so bietet die entspre- chende Leitung grösseren Widerstand, und folglich wird die Nadel des Galvanometers abgelenkt werden, ohne dass ein Temperaturwechsel vor sich gegangen ist. Dis zu welcher Grenze die Resultate durch er- wähnten Umstand beeinflusst werden können, wird nur eine Reihe im Grossen.ausgeführter Versuche darzu- thun im Stande sein. Jedenfalls vergrössert das be- trächtliche Gewicht einer starken Widerstandsrolle nicht unbedeutend die Schwierigkeiten bei Messungen grosser Tiefen. Da es zur Controle des elektrischen Thermometers wünschenswerth erscheint, mit letzterem zusammen ein gewöhnliches Maximum die Tiefe hinabzulassen, so halte ich es nicht für über- flüssig, mit einem Vorschlag zur Construction eines solchen hervorzutreten, um so mehr, da alle früheren - 5 zur Bestimmung der höchsten und niedrigsten Tiefen- temperaturen construirten Instrumente nicht in ge- nügender Weise ihrem Zwecke entsprechen. Dass Metallthermometer, wie ein solches von dem Engländer H. Thomsson im hiesigen Seeministerium sich vor- findet, nieht wohl benutzt werden können, ist weiter oben gezeigt. Die Aim&’schen°) Thermometer sind des- wegen zum Gebrauch nicht geeignet, weil sie, auf dem Boden des Meeres angekoinmen, durch einen Aus- D rat wird durch einen von oben làngs der: Leine hinab- gelassenen schweren Ring in Thätigkeit versetzt; bei grösseren Tiefen würde das Fallen eines solchen Ringes 1—2 Stunden in Anspruch nehmen; aber selbst wenn dieser Ring vermieden werden kónnte, so ist doch der Umstand hinderlich, dass zwei gesonderte Instrumente nóthig sind, von denen jedes 2 Schenkel hat ; dadurch wird, soll der Druck ausgeschlossen werden, eine weite Metallbüchsenóthig, deren Wündebedentend dickersein müssen, als wenn das Instrument nur einen Schenkel hätte; ausserdem leidet bei starkem innern Durch- 8) Ann. de chimie et de physique, série 111, 15, 7. 502 angewandt werden, dass der Fehler sich nicht über 021 erstrecken wird, nicht so beim Minimumthermo- meter von Walferdin, bei welchem ich, im Falle dass die Spitze im Verhältniss zum innern Durchmesser der Róhre sehr fein war, oft eine Theilung des in den Spi- ritus eintretenden Quecksilberfadens bemerkt habe, wodurch die Genauigkeit der Angabe sehr beeinträch- tigt wird. Ist man dadurch genöthigt, nicht zu feine Spitzen anzuwenden, so kann der Fehler, der durch die in die Róhre zurücktretenden Tröpfchen verur- sacht wird, bis auf '/? sich erstrecken, was jedenfalls nicht wünschenswerth ist. Bei dem von mir vorge- schlagenen Instrument fliesst, umgekehrt gegen die beiden erwähnten, Spiritus in Quecksilber, und zwar nicht in Trôpfchen, sondern vollkommen gleichförmig aus, was man daraus ersehen kann, dass die Oberfläche des die Spitze umgebenden Quecksilbers nie durch Aufsteigen einzelner Trópfchen bewegt wird; ausser- dem zeigen sich, wenn man die Temperatur einer ge- gebenen Flüssigkeit zu gleicher Zeit mit dem Maximum- Minimum- und einem Normalthermometer vergleicht, keine Differenzen. Das vorgeschlagene Instrument hat übrigens eine kleine Fehlerquelle mit den andern zwei Thermome- tern gemeinschaftlich: bei häufig wiederholten Beob- achtungen wird es nicht immer möglich sein, bei Er- wärmung oder Erkältung das Instrument in Wasser zu tauchen; dadurch kann es vorkommen, dass in dem Augenblicke, in welchem einer der beiden Quecksilber- fäden seine Röhre verlässt und die Temperatur an der Skala abgelesen wird, die dieselbe anzeigende Spiritus- säule in der geraden Röhre nicht genau wieder die Maximal- oder Minimaltemperatur hat, d. h. sie kann in besagtem Augenblick etwas lünger oder kürzer sein, als dies in der Tiefe der Fall war; der Fehler, der dadurch entsteht, wird, selbst wenn die Temperatur der Sáule von der wahren Temperatur um 10? abweicht und die Säule eine Länge von 40 Linien hat, nur die Grösse von 021 erreichen, wobei 1? — 1°” gerechnet ist; annähernd kann er geschätzt und folglich grössten- theils vermieden werden. Ich glaube, dass das vor- geschlagene Thermometer sich mit Vortheil auch in Häfen bei Bestimmung der mittleren Meerestemperatur aus zwei Tagesbeobachtungen verwenden liesse; es könnte nóthigen Falls auch den Rutherford'schen Thermometrographen ersetzen. 82* des Sciences de Saint هم‎ ۰ 501 der beim spätern Steigen nur durch einen Quecksilber- faden ersetzt werden kann. Kommt das Instrument wieder in die Hóhe, so giebt die Lünge des Queck- silberfadens in der gebogenen Róhre die Erhóhung, die des Fadens in der geraden die Erniedrigung in Be- zug auf die Ausgangstemperatur an. Um beide Gróssen genau zu erhalten, hat man durch Erwürmung und durch Erkältung dem Instrument nur den Stand zu geben, den es bei der Maximal- und bei der Minimal- temperatur hatte. Durch Erwärmung mit der Hand treibt man den Quecksilberfaden aus der gebogenen Röhre und liest an der Skala den Stand im Augen- blick ab, wenn das Ende des Fadens die Röhre ver- lässt Durch Erkältung mit etwas Äther treibt man den Faden aus der geraden Röhre und liest im Augen- blick, wenn er dieselbe verlässt, wieder ab. Ist ent- weder in der gebogenen, oder in der geraden Röhre kein Quecksilber, so war die notirte Ausgangstempe- ratur im ersten Falle die Maximal-, im zweiten die Minimaltemperatur; durch das Herausziehen des Quecksilbers aus den Röhren ist das Instrument wie- der zur nächsten Beobachtung fertig gemacht. Es kann auch in horizontaleı Lage aufbewahrt werden, da die Quecksilbermenge nicht so bedeutend ist, um dabei die beiden Spitzen bei d zu berühren. Wie oben be- merkt, verändern Stösse den Stand des Quecksilber- fadens durchaus nicht; nur wiederholte starke Tem- peraturveränderungen sind im Verlauf von einigen Wochen manchmal im Stande, den Faden in der Röhre ‘etwas zu verschieben; da aber gleich nach jedem Ver- such die Temperaturen abgelesen werden, so entsteht von dieser Seite her keine Fehlerquelle. Das Instru- ment umgeht ausser letzterer noch eine kleine andere Fehlerquelle, mit der sowohl das Magnus'sche als das Walferdin'sche Thermometer behaftet sind ; bei letz- teren fliesst Quecksilber in Luft, Wasser oder Spiritus aus; dies geschieht immer in Trópfchen, die so lange an der Róhrenspitze hängen bleiben, bis sie durch ihr sich vermehrendes Gewicht zum Fallen gebracht wer- den. Wenn nun, während ein solches Trópfchen noch an der Spitze hängt, die Richtung der Temperatur- veründerung sich umkehrt, so geht das Tröpfchen jedes Mal wieder in die Röhre zurück und erzeugt dadurch einen Fehler, der um so kleiner wird, je feiner die Spitze der Röhre ausgezogen ist. Beim Maximum- thermometer von Magnus können so feine Spitzen 504 | halten werden, wenn die Neigungswinkel der Leine nicht zu bedeutend werden, wührend bei nur geringer Abweichung von der Verticalen eine gewöhnliche Leine durch Verwischen der Differenzen der Fallzeiten den Moment des Aufstosses des Lothes nicht mehr erkennen lässt. Nur in einer Hinsicht steht die elektrische Leine der gewöhnlichen theilweise nach; die Anfertigungs- kosten ersterer sind bei den gesteigerten Gummipreisen bedeutend höher als die der letzteren; per Faden ۵ 6 engl. Fuss cirea 1'/,—1'/, Francs. Theilweise wird der verhältnissmässig hohe Preis dadurch ersetzt, dass bei etwa 60"/ aller nach der früheren Methode gemachten Messungen die Leine verloren geht, und dass, wenn man Grund erhalten will, eine zweite Messung mit einem 2—3stündigen Verbrauch von Kohlen gemacht werden mnss. Jedoch kann auch selbst eine unbe- deutende Mehrausgabe nicht in Betracht kommen, wenn es sich darum handelt, die Grundzüge, ich möchte sagen der Anatomie des Meeres zu entwerfen. Die Proben vom Meeresgrunde haben in getrock- netem Zustande das Ansehen von magerem, äusserst feinem, hellgelbem Thon, mit einigen eingestreuten gröberen Theilen, Schuppen und Überbleibseln von Seethieren. Eine Ausnahme hiervon macht nur die Probe aus nórdl. Br. 35° 33’ und westl. Lg. von Green- - wich 28° 30’, die eine etwas dunklere Färbung zeigt. und ein mehr fettiges Ansehen hat. Da eine West- strömung längs der Südküste von Kleinasien geht, so hängt die Verschiedenheit dieser Probe wahrschein- lich von diesem Umstande ab. Alle Proben brausen mit Säuren und lassen einen Rückstand von Kiesel- panzern. Etwa ein Drittel jeder Probe wurde von mir Hrn. Prof. Ehrenberg zugesandt, der in seinem Antwortschreiben sagt, dass es von hohem Interesse sein werde, die Materialien des Prof. Forbes und des Capit. Spratt aus den grossen Tiefen zwischen Malta und Kandia (9700’) mit den gegenwärtigen aus dem Ostbecken erhaltenen zu vergleichen. Er bemerkt fer- ner, dass die bedeutenden Tiefen, die sich bis Cypern fortsetzen, immer mehr das scheinbar spurlose Ver- schwinden der ungeheuern Nilablagerungen erläutern, worüber von ihm Andeutungen in den Monatsberichten der Berliner Akademie 1851 und Ausführlicheres in seiner Mikrogeologie mitgetheilt wurde. Da hierbei die Formen des organischen Lebens im Nilwasser nicht unbeachtet bleiben dürfen, so wird eine solche Unter- Bulletin de l'Académie Imperiale Nach dem Gelingen der im Mittelmeer unternom- menen Versuche wird es am Platze sein, noch einmal beide bis jetzt praktisch bewáührt [ethoden der Tiefen- | messung in ihren Grundzügen zu vergleichen. Die bis jetzt gebrüuchliche fand den Moment des Aufstosses des Lothes durch Berücksichtigung der verschiedenen Fallgeschwindigkeiten der Leine vor und nach dem Berühren des Bodens; sie ist also eine indirekte; die Elektricität erlaubt eine direkte Bestimmung der Zeit des Aufstosses und lässt dadurch und durch die Mög- lichkeit der Wiederholung der vom Boden erhaltenen Zeichen bedeutend gróssere Genauigkeit zu; bei der ersten Methode kann man, um die kleinen Differenzen der Fallzeiten zu erkennen, nur dünne, leichte Leinen anwenden, die in den meisten Fällen beim Anholen ab- reissen?) und folglich nur selten Meeresgrund in die Hóhe bringen, oder im Fall dies durchaus nothwendig ist, wird man eine zweite Messung mit schwererer Leine machen müssen; die elektrische Methode kann jede beliebige Dicke der Leine anwenden, und es wird folg- lich bei jeder Messung Grund in grosser Quantität er- halten. Die frühere Methode kann bei Tiefen über 3000 Faden nur bei sehr günstigen Umständen ein Resultat ergeben und hat jedenfalls die Grenzen der Móglichkeit ihrer Anwendung bei 4000 Faden erreicht; denn bei 3000 Faden werden die Falldifferenzen vor und nach dem Aufstoss schon sehr gering; die elektrische Leine giebt ihr Zeichen vollkommen ebenso sicher bei 1900, als bei 600 oder 10 Faden; es ist also keinem Zweifel unterworfen, dass sie sich bei jeder nur möglichen Tiefe ebenso verhalten wird. Bei der früheren Methode kann beim Hinablassen nur eine Maximal- und Minimal- temperatur erhalten werden; bei der elektrischen auch alle zwischenliegenden. Wird man nach meinem Vor- schlag bei jeder Messung vom Boot aus auch die Ober- flächenströmung bestimmen, so liegt auch hier der Vor- theil aufSeite d i ist, so wird das Boot leichter und genauer über ihr und an ihr erhalten werden kónnen, als über einer sehr dünnen. Endlich kann bei stärkerem Winde und Wellengang, bei welchem das Aussetzen eines Bootes nicht mehr rathsam ist, und bei welchem das Schiff kaum sicher an seinem Platz zu erhalten ist, mit Hilfe der elek- trischen Leine noch immmer ein genaues Resultat er- Teine: da oi h ‚a v VEUR 9) S. Dayman am angeführten Orte. امن E Schneider. Oceanische Tiefenmessung. vermittelst der Electriitát. Vi, Künsten ST, ۷ rume NT 506 Stellen, sei es, dass dort kein Resultat erzielt werden konnte, oder dass man sich überhaupt nicht an sie wagte. Man wird sich kaum irren, wenn man behauptet, dass die Summe aller über 1000 Faden gemachten Tiefenmessungen die Zahl 200 kaum betrüchtlich über- steigt. Wahrscheinlich ist an dem geringen Interesse, das man dem Gegenstand schenkt, die Unvollkommen- heit der bis jetzt gebrauchten Methode Schuld. Jetzt aber, da die Methode vervollkommnet ist und mit jeder Messung der für die Schifffahrt so wichtige Zweck der Bestimmung der Oberflächenströmung verbunden werden kann, hat Unthätigkeit in dieser Beziehung keine Berechtigung mehr. Eine einzige, auf drei bis vier Jahre berechnete Expedition mit dem ausgespro- chenen Hauptzweck der Bestimmung von Tiefen- und Bodenverhältnissen, von ober- und unterseeischen Strómungen, Temperaturen und Dichtigkeiten würde ein nicht minder reiches Material für die Erdkunde liefern, als irgend eine der früher unternommenen wissenschaftlichen Reisen. Vorläufig böte eineSommer- campagne auf einem Übungsschiffe, etwa nach den grossen Tiefen südlich von der Bank von Newfound- land, bei einem Opfer von nicht mehr als 5000 Rbln. nicht allein die Móglichkeiten, die Configuration und die submarinen Verhältnisse jener ungeheuren Senke zu erforschen, sondern auch Gelegenheit, die oben an- gedeuteten und noch nicht zum Versuch gekommenen Vorschlüge und Veründerungen an den Apparaten zu erproben und die Construction letzterer definitiv fest- zustellen. Wie wenig jenes Becken, trotz der ame- rikanischen Messungen, bis jetzt bekannt ist, geht daraus hervor, dass von allen dortigen Sondirungen, soweit sie über 4000 Faden hinausgehen, nur eine einzige ohne Fragezeichen angeführt ist; dabei sind fast alle nur am Rande des Central-Beckens ausgeführt und geben hüchstens zu dem Schluss Veranlassung, dass die Mitte der Senke möglicher Weise die ausser- ordentliche Tiefe von 5000 Faden erreicht. Resultate aus Beobachtungen des Mondes und der Mondsterne, angestellt am 4füssigen Er- telschen Passageninst te der Pulkowaer Sternwarte, von H. Fritsche. (Lu le 31 jan- vier 1867.) - Die Wichtigkeit genauer Örter des Mondes hat zu einer grossen Reihe von Arbeiten Veranlassung gege- des Sciences de Saint-Pétersbourg. 505 ‘suchung etwas mehr Zeit in Anspruch nehmen. Prof. Ehrenberg schreibt ferner: « Ein ganz anderes zweites Interesse knüpft sich an Ihre Sendung dadurch an, dass ich im Jahre 1822 bei dem grossen Erdbeben von Aleppo in Agenten war und bei der Heimkehr von dort im Jahre 1826 die Nachricht von einem 1822 erschienenen Felsen in der Nähe von Cypern mit so viel Details erhielt, dass ich dieselben aufzuzeichnen Veranlassung fand. Die Nachricht wurde von mir 1827 in Poggendorff's Annalen, p. 601, mitgetheilt. Die Örtlichkeit des Felsens war auf der Seekarte mei- nes Schiffscapitains in östl. Lg. von Paris 28° 35' und nördl. Br. 34° 38' notirt. So ist es denn ein sehr in- teressanter Zufall, dass die von dem russischen Kriegs- schiff gehobenen Grundproben von einer, jener dama- ligen von schnellem Zurücksinken gefolgten Hebung so nahen Örtlichkeit genommen sind, dass sie die noth- wendig damals breite Erhebungsfläche in sich einzu- schliessen scheint und wohl deren Zurücksinken bis in die ungeheure Tiefe in Erfahrung bringt». Es erscheint als eine auffallende Thatsache, dass Tiefenmessungen sowohl von Regierungen, als von den hervorragendsten Männern der Naturwissenschaften immer etwas stiefmütterlich behandelt worden sind. Es - werden bei allen Nationen viele Institute, die nur einen . rein wissenschaftlichen Zweck haben, reichlich dotirt, wührend man sieh so wenig um die hypsometrische Gestaltung des Meeresbodens und der dahin einschlá- gigen Thatsachen bekümmert, ohnederengenaueKennt- niss die Erdkunde doch nur Stückwerk bleiben wird. Fast die einzigen Nationen, die etwas in dieser Rich- tung gethan haben, sind die Engländer und Ameri- kaner; hierbei sind von den ersteren in den letzten ` Decennien nur da Messungen unternommen worden, wo der praktische Zweck der Legung eines unter- seeischen Telegraphen es erheischte, während die Ame- rikaner, durch Capitain Maury veranlasst, gróssten- theils in rein wissenschaftlichem Interesse, wenn auch in Bezug auf Genauigkeit oft mit geringerem Erfolg, die Tiefe vieler Punkte meist im Nordatlantischen Ocean bestimmt haben; die Früchte dieser Messungen sind von Maury in der Tiefenkarte des Nordatlantischen Oceans, der einzigen, die wir überhaupt besitzen, nieder- gelegt und sind selbst für den eben genannten Theil des Oceans nur als Anfang zu betrachten; ausserdem fehlen die Messungen gerade an den vermuthlich tiefsten 308 Bulletin de l'Académie Impériale 507 ben. Obgleich die Mondstafeln von Hansen selbst für | aus 60 Durchgängen von Polarsternen abgeleitet, de- ren Deklinationen zwischen 73° und 83° variirten und dem von Mädler reducirten Bradley’schen Kataloge (Dorpater Beobachtungen, Bd. XIV) entlehnt wurden: I 1 111 D ۲ VI VII D 30,093 14941 5,087 0 0,010 20,008 2-6 5,046 14703 29.950 =#0,007 =0,007 = 0,007 Zur Ermittelung der Correction der Neigung we- gen Ungleichheit der Zapfendicken, wurden keine be- sonderen Beobachtungen angestellt. An jedem Tage wurde, fast ohne Ausnahme, bei beiden Kreislagen, sowohl bei Objectiv Nord als Süd, ein oder mehrere Male nivellirt, und zwar so, dass die beiden Mittel der Zeiten der Nivellements durchschnittlich nur um et- was mehr als eine Stunde von einander entfernt lagen. Wenn W die Kreislage des Instrumentes West, O die Ost, und 6 die Sternzeit der Beobachtung der Nei- gung b des Westendes, in Theilen des Niveau's, p, be- zeichnet, so hat man für die einzelnen Beobachtungs- tage: s 1865 b 1865 b 0 0 ۸ m p h m p März 13 O 12 10 — 2,41 Mai 9 W14 18 + 0,64 W13 10 —0,62 10W12 55 + 2,47 14W12 25 — 0,29 015 2 +0,49 0 13 30 — 2,55 11 0 12 38 + 2,95 31W 6 1 —0,1 W14 55 +4,99 O 810 — 3,06 0 17 15 + 2,66 April 30 7 28 — 2,52 13 O 17 45 + 4,20 W 845 —0,30 W18 25 + 5,82 4W 852 + 0,04 019 4--3,57 6011 8—1,70 15 0 18 18 +4,39 W 13 30 — 0,17 W 18 35 + 6,16 8W11 50 — 0,29 0 20 14 + 3,63 0 13 20 — 2,65 16 018 8 +4,15 9 0 12 23 — 2,43 W 18 80 + 6,22 W13 30 — 0,42 0 20 2 +3,92 11 W 12 50 + 1,31 Juni 3 W 12 40 — 0,47 0 13 43 — 0,68 0 13 35 — 2,31 12 0 13 15 + 0,81 4012 33 — 1,32 W 14 15 + 2,61 W 13 35 + 0,46 13 W 18 11 + 4,64 15 0 23 51 — 2,26 0 14 45 + 2,26 1771:2607 Mai 3 0 1052 +0,23 170 045 — 2,10 W13 24 +1,92 W: 1 25 — 0,08 ' 90 12 10 —1,83 Juli 1 O 14 22 — 0,48 weit zurückliegende Epochen (Bradley's Beobach- | tungen in den Jahren 1751, 1752, 1753 cf. Monthly Notices of the Royal و ی‎ idiniéhl Society, Vol. XV, N 1; ferner: Vier von De l'Isle beobachtete Plejaden- bedeckungen 1727, 1729, 1744, 1745, von C. Lins- ser 1864) mit den Beobachtungen nahe übereinstim- men, so schien es mir dennoch, als mir das 4füssige Ertel'sche Passageninstrument durch die Güte des Hrn. Directors Otto v. Struve zur Verfügung gestellt wurde, der Mühe werth zu sein, mit demselben zu un- tersuchen, in welchem Maasse diese Tafeln für das Jahr 1865 den Beobachtungen ۰ Zugleich verband ich mit den zu diesem Zwecke nóthigen Zeitbestimmungen und Beobachtungen der Culminationen des Mondes auch noch die der Sterne im Parallel dieses Himmelskórpers, welche der Nau- tical Almanac darbietet, damit- man die Längendiffe- renzen derjenigen Örter finden könnte, an welchen ent- sprechende Bestimmungen gemacht wären. Über das erwühnte Passageninstrument von Ertel, welches im viereckigen Süd-West-Thurme aufgestellt ist, findet sich pag. 209 der Description de l'observa- toire central de Poulkova eine kurze Beschreibung. Ausführlicher ist dasselbe bei Gelegenheit von Längen- bestimmungen, zu welchen es verwendet wurde, an zwei Orten behandelt, nämlich im Recueil de mémoires des astronomes de l'observatoire central de Russie volume II, Expéditions chronometriques de 1845 et 1846 von Hrn. Otto v. Struve und in einer von Hrn. Smyslof in Russischer Sprache abgefassten Schrift: Onbrrbi A9 cpaBHmredbHoit ombskm pa3JHsHbIXP CHOCO- 6087 761070861966011 86013858 26116088 npn onpexbie- giu pa3socrs 1017017۶ IlyIKOBCKO u Mockosckoit o6cep- 887001. 11. ) 165161088. ۰ Indem ich hier auf diese schützenswerthen Abhand- lungen verweise, begnüge ich mich mit einer kurzen Angabe der zum vorliegenden Zwecke erforderlichen Constanten des Instrumentes, wie sie sich nach mei- nen Beobachtungen ergaben. Das Objectiv hat eine Öffnung von 3 englischen Zol- len im Durchmesser, eine Focaldistanz von 46 Zollen; die von mir angewandte Vergrósserung butrtig^tiach einer Bestimmung mit einem Dynameter von Rams- den 87. ١ Die Distanzen der 6 Fäden vom Mittelfaden sind 510 wenn b, zuerst, und positives, wenn b, zuerst beobach- tet worden. ١ Da sich a, nach der eben citirten Arbeit des Hrn. O. v. Struve, mit der Tageszeit ündert, so wurden die vorstehenden Beobachtungen b nach der Tageszeit in zwei Gruppen getheilt, um zu sehen, ob dasselbe auch für diesen Fall stattfinde. Die hieraus entsprin- genden beiden Systeme von Gleichungen der Form (1) ergaben 1) um 8 Uhr Abends a = — 0,7123 + 077017, 2) um 13 Uhr Abends a = — 0, 103 + 0, 020, also keine merkliche Änderung des a, was wohl nur von der Unsicherheit der Bestimmung dieser Quanti- tät.herrühren dürfte. Zieht man beide Resultate zu- sammen, so hat man a = — 0113 + 0,015, d. h. der West-Pfeiler sinkt um 10,5 Uhr Abends in einer Stunde Sternzeit um 0۳113 gegen den Ost- Pfeiler. Ferner erhielten wir aus denselben Gleichungen k = + 0,P485 + 4 und den wahrscheinlichen Fehler eines vollständigen Nivellements, bei Objectiv Süd und Nord ausgeführt, gleich 0,7095. . Der Werth eines Niveau-Theils, p, ergab sich bei verschiedenen Temperaturen, in Zeitsekunden: 1865 Mail9 p= 01295 = 15° Réaum. » 22 0,1277 +107 » Juni 2 0,1279 سردا‎ eu. og 1866 Janur 0 0,1309 — 10° هو‎ mithin ۵ und غا‎ in Zeitsekunden a = — (00146 E 050019 k = + 00626 + 5 Die Beobachtungen zerfallen dem oben angegebe- nen Zwecke gemäss in 1) Zeitbestimmungen; 2) Be- obachtungen der Culminationen des Mondes und der Sterne im Parallel des Mondes. Beiden Arten von Bestimmungen diente der Nau- tical Almanac für 1865 zur Grundl indem die Feh- 5" ler des Instrumentes und die Uhrcorrection mit Hülfe der Fundamentalsterne gefunden wurden. Der Collimationsfehler c hatte nach Beobachtungen von ۸, æ, à Ursae minoris und 51 H. Cephei die Werthe : des Sciences de Saint- Pétersbourg. 1865 9 b 1865 9 b h h Juli 1W15 55 + 1,11 Aug. 31 0 18 0 — 2,30 W18 40 — 0,55 O 18 50 — 2,84 Sept. 7 O 045 — 1,77 W 1 28 —0,7 27 W17 15 + 0,20 0 18 45 — 1,54 29 0 17 45 — 2,72 W 18 42 — 1,11 0 19 18 — 3,09 W 20 32 — 1,70 30 W 19 40 + 1,13 O 20 33 — 0,64 Oct. 1 O 19 49 — 0,61 W21 11 +0,93 2 W 23 44 — 0,14 O 13 26 — 1,96 60 055 — 0,99 28 0 19 45 — 1,70 W 92 29 + 0,35 W 13 27 + 0,15 Nov.22 W 19 22 + 1,67 2 W 12 44 + 1,60 O 13 50 — 0,43 501252 —1,78 W 13 35 — 0,07 W 16 16 — 0,53 7 0 17 30 — 0,90 W 18 30 +0,10 0 18 55 — 1,53 12 0 16 45 — 2,12 W17 15 — 0,22 W 020 —1,10 O 140 —2,97 150 0 55 — 2,05 W 149 —0,22 97 W 12 20 — 0,03 29 W 12 40 — 0,46 0 2027 0,00 01335 — 2,60 280 0 5 +0,58 Aug. 10 15 33 — 3,50 W 1 30 + 3 W18 30 — 2,44 29W 1 12 + 1,33 2W 17 18 — 0,68 0 2 5-0 0 18 28 — 3,08 Dec. 10 4 38 — 1,46 3 0 17 16 — 2,82 50 614 —2,90 W18 30 — 1,51 W 6 35 — 0,83 . 5۷ 19 15 — 1,58 0 740 —2,81 02045 —3,33 280 1 15 +1,35 11W 1 5— 1,22 W 212 +3,33 0 1 40 — 2,95 Um nun eine etwa stattfindende gesetzmässige Än- derung (cf. die oben erwähnte Abhandlung von Hrn. O. v. Struve) der Neigung der die Zapfenlager ver- bindenden Linie in Rechnung zu bringen, bestimmte ich die von der, bei Kreis West, beobachteten Nei- gung b abzuziehende Correction E und die zur Zeit der Neigung b stattfindende Änderung der Höhe des West- Pfeilers im Vergleich zu der des Ost-Pfeilers in einer Stunde Sternzeit, a, nach Gleichungen von der Form und b, von denen 5, die Neigung bei Kreis West, b, die bei Kreis Ost ist. ¢ hat ein negatives Vorzeichen, 512 der Pendeluhr beobachteten Fäden, C die Summe der wegen c, H und b an + anzubringenden Correctionen und 7 die Summe von « und C. Die Sterne im Parallel 4 des Mondes sind von den Fundamentalsternen durch 2 | ein Sternchen unterschieden, 0 und W bezeichnen die Kreislagen Ost und West. Die letzte horizontale Zeile eines jeden Tages enthàlt die Uhrcorrection nebst der zugehórigen Sternzeit. ; T 0 F h m s 8 8 12 28 54,55 +1,03 55,58 33 17,28 +1,03 18,31 aUrs.min.s.p.13 7 52,0 <+29,0 81,0 W aUrs.min.s.p. 7 47,6 +33,481,0 * 4 Virginis 2 2,52--0,86 3,38 * a Virginis 17 9,61--0,93 10,54 März13 O *f Virginis Bulletin de l'Académie Impériale 5n € We n 1. Von März 13 bis März 14 — 0;113 Æ 7 9. » März 31 » April 4— 0,024, 0,017 2| 3. » April 6 » April 11 —0,271 0,012 4. » April12 » April 13 — 0,015 0,017 5. » Mai 3 » Aug. 5--0,025 0,005 25 6. » Aug. 12 » Sept. 30+0,005 0,009 8 7. » Oct. 1 » Dec. 28 — 0,028 0,009 8 W, ist der wahrscheinliche Fehler von c, n die An- zahl der Tage, für welche c constant angenommen wurde. Die Übereinstimmung der einzelnen c inner- halb einer jeden der obigen 7 Perioden führte zu dem wahrscheinlichen Fehler einer Bestimmung von c h m D 12 57,0 ۳ج‎ 6 A m März14 W y Virginis 1233 55,92 —0,31 55,61 13 2 4,60—0,32 8 * 9 Virginis 815,4 +6,1 21,5 8 22,4 —0,9 91,5 17 11,68 —0,15 11,53 20 18,29 —0,16 18,13 37 51,13 —0,14 50,99 58 15,45 —0,16 15,29 + 56,07 hm s D D 4 34 29,24 —0,02 29,22 5 4 52,39 —0,1852,21 15 54,44 —0,07 54,37 27 43,55 —0,04 43,51 7 56 32,2 --13,7 45,9 56 26,4 +19,5 45,9 aUrs.min.s.p. O aUrs.min.s.p. * a Virginis c II * 86 Virginis * 94 Virginis A m 13 18,8 März 91 ۷۲ € I a Aurigae 8 Tauri *t Tauri à Urs.min.s.p. O AUrs.min.s.p. A m m s b 18,1 +1 52,97 b WT D s 7 26 19,49 +0,06 19,55 30 25,91 +0,14 26,05 35 15,27 — 0,03 15,24 52 0,58--0,06 0,64 55 45,30 4-0,07 45,37 56 34,1 +17,851,9 56 35,8 +16,151,9 April 30 CI a Canis min. B Geminorum * 5 Cancri * 8 Cancri À Urs.min.s.p. W 2Urs.min.s.p. h m m s 7 45,2 +1 49,51 = + 0:5025. Das Azimuth H nach denselben Sternen: H H. März 13 + 1:18 7 +0,04 14 — 0,18 12 +0,13 31 + 0,18 15 + 0,23 - April 3 +0,33 27 +0,31 4 + 5 28 + 0,27 6 +0,17 29 +0,19 8 — 0,03 Aug. 1 —0,30 9 — 0,03 9 —0,13 11 — 0,64 3 — 0,14 12 +0,39 5 —0,13 13 +0,29 11 + 0,07 Mai 3 —0,74 31.50, ? Sept. 7 0,00 9 +0,19 27 — 015 10 +0,01 29 + 0,01 ړو ۴ه‎ 30 — 0,34 t Oct. 1 — 0,49 15 — 0,88 , : 9 —0,41 16 — 1,06 , : 6 — 0,30 Juni 3 +0,06 Nov. 22 — 0,41 4 +0,14 28 — 0,33 15 — 0,06 99 — 0,42 „17 +0,05 Dec. 1 — 0,18 Juli 1 په‎ 0,33 5 — 0,20 + 0,22 28 — 0,80 5 + 0,28 Die zwischen den Werthen von H stehenden hori- zontalen Striche zeigen an, dass die Stellung des In- strumentes durch die Schrauben geändert worden ist. In der nun folgenden Zusammenstellung bezeichnet + das Mittel der auf den Mittelfaden reducirten, an 314 T 0 E h 90 s D D Aprilll W 12 Can. ven. 12 48 2,39 —0,51 1,88 0 Virginis 13 1 18,25 —0,8117,44 a Urs.min.s.p. 7 36,9 —5,7 31,2 O aUrs.min.s.p. 7 55,8 —24,5 31,3 * a Virginis 16 25,14 —0,34 24,80 *h Virginis 24 11,62 —0,34 11,28 n Urs. maj. 40 31,84 +0,21 32,05 € Il 51 58,70 —0,35 58,35 *) Virginis 1410 8,74—0,35 8,39 * 2 Librae 14 30,27 —0,34 29,93 c Bootis 24 19,88 —0,07 19,81 A m 9 4 13 39,1 +1 43,06 h s April12 0 aUrsminsp.3 7 30,7 --2,0 32,7 W a Urs.min.s.p. 7 33,8 —1,2 32,6 n Urs. maj. 40 32,71 +0,51 33,22 n Boots 46 35,11 +0,47 35,58 < Virginis 53 6,59—0,46 7,05 14 41 33,24 +0,44 33,68 . ۴ Librae 15 2 52,25 +0,43 52,68 h m m "e 14 7,5 “+1 42,24 h Aprill3W a Virginis 3 16 25,82 4-0,44 26,26 a Urs.min.s.p. 745,5 —11,8 33,7 O aUrs.min.s.p. 741,3 —7,5 33,8 € Virginis 26 9,62 +0,46 10,08 "d Librae 15 2 52,97 +0,39 53,36 8 Librae 8 5,61—0,42 6,03 * Librae 18 59,81 +0,40 60,21 ` &Coron.Boreal. 27 18,74 +0,51 19,25 € 1 32 57,37 +0,39 57,76 * 8 Scorpii 55 56,55 2-0,39 56,94 *vScorpi 16 2 30,22 +0,39 30,61 h m m s 14 58,9 --1 41,41 8 Mai 30 EI 9 39 27,98 —0,53 27,35 * a Leonis 59 36,54 —0,49 36,05 y Leonis _ 10 10 57,22 —0,43 56,79 a Urs. 53 47,54 +0,26 47,80 12 Canum v. 12 48 8,51 —0,28 8,23 6 Virginis. 13 1 24,56 —0,65 23,91 aUrs.mins.p 8 1,8 —16,9 44,9 33 des Sciences de Saint- ۰ ۰ T C T April 4 W Urs.min.s.p: 7 56 "35,8 +18,2 54,0 € I 8 18 26,69 +0,34 27,03 * A? Cancri 37 44,85 +0,35 0 *a Cancri 49 18,88 +0,35 19,23 83 Cancri 9 9 39,69 +0,30 39,99 h oe m s 8 54,1 --1 48,60 ER € D 8 April 6 O* B. A. C. 3336 8 37 17,51 +0,34 17,85 x Leonis 51 19,45 +0,33 19,78 Ll 9 56 8,95 --0,32 9,27 * o Leonis 10 23 57,07 +0,32 57,39 l Leonis 40 24,83 +0,31 25,14 60 Virginis 13 1 13,50 +0,35 13,85 a Urs.min.s.p. 7 28,6 —0,9 27,7 7 10,4. 2-17,4 27,8 26 5,26 —0,16 5,10 W aUrs.min.s.p & Virginis h m m 3$ 10 51,8 --1 4 h m April 8 W*oLeonis 11 8 5,59—0,34 5,25 * 79 Leonis 15 24,20 —0,35 23,85 CI 98 57,18 —0,35 56,83 * 8 Virginis 42 37,59 —0,35 37,24 "fr, maj. 45 1,01 —0,65 0,36 zo Virginis 12 11 17,98 —0,35 17,63 8Corvi - 95 35,89 —0,33 35,56 a Urs.min.s.p.13 7 13,9 2-15,1 29,0 7 32, 0 —3,0 29,0 40 30,29 —0,03 30,26 ds 0 . & Urs.min.s.p. n Urs. maj. A^ m m 8 12-13 +1 45,14 ei Ke , KE A m s s 8 April 9 0*8 Virginis 11 41 57,94 +0,11 58,05 e Corvi 12 1 29,91 +0,21 29,42 € I 15 6,44 +0,13 6,57 | * 28 Virginis 33 16,78 +0,14 16,92 * Û Virginis 45 38,14 +0,15 38,29 12Canumvenat. 48 0,23 0,02 0,25 aUrs.min.s.p.13 7 31,5 —1,6 29,9 W aUrs.min.s.p. 7 16,9 +13,0 29,9 & Virginis 26 7,19 —0,36 6,83 Soc iE en Urse md. 40 31,35 — 0,61 30,74 h m : 12. 44,1 یي‎ 44, ,62 Tome XI. Bulletin de l'Académie Impériale 516 t 0 £ 8 h m s s E Mai 11 *Scorpii 15 50 52,19 +0,01 52,20 * 8 Scorpii 56 6,24+0,03 7 € 1 16 8 52,04 4-0,05 52,09 & Herculis 34 41,40 --0,55 41,95 * 20 Ophiuchi 40 52,51 +0,12 52,63 a Herculis 17 6 59,46 4-0,18 59,64 ۸ m m s 14 39,3 --1 32,56 h m.s 5 D y Draconis 1752 0,00—0,79 0,79 € II 59 57,26 —0,46 56,80 *ySagittari 18 4 14,96 —0,51 14,45 8 Urs. min. 14 18,99 +12,31 31.30 8 Urs. min. 14 16,37 +14,92 31,29 51Cepheis.p. 34 50,57 —18,47 32,10 a Lyrae 30 53,82 +0,61 54,43 6 Aquilae 57 44,79 —0,05 44,74 h m m 1 18 22,7 4-1 0 0 Mai 13 0 WwW © A m | $ 5 Mai 15 0 8 Urs. min. 18 14 18,75 15,91 34,66 W 51Cepheis.p. 34 57,20 —22,80 34,40 51Cepheis.p. 34 53,72 —19,29 34,43 ¢ Aquilae 57 47,55 —0,29 47,26 - à Aquilae 19 17 16,95 —0,47 16,48 Y Aquilae 38 25,82 —0,36 25,46 a Aquilae 42 47,13 —0,38 46,75 € II 53 18,58 —0,77 17,81 a Cygni 20 35 24,25 +0,35 24,60 h m mM: s 19 39,8 --1 27,23 h m 8$ 8 D 9Urs. min. 18 14 19,44 +17,12 36,56 8 Urs. min. 14 17,43 +1 9,10 36,53 51 Cepheis.p. 35 0,55 -24,51 36,04 51 Cepheis.p. 34 57,77 —21,70 36,07 -B Lyrae 43 42,57 —0,01 42,56 ¢ Aquilae 57 49,43 —0,42 49,01 3 Aquilae 19 17 18,78 —0,63 18,15 a Cygni ` 20 35 25,87 4-0,28 26,15 € II 49 33,45 —0,90 32,55 ۸ m "E. + 19 25,0 + 1 25,59 © Mai 16 0 wW © T 0 يوب‎ 1 26,35 +0,09 26,44 7 40,9 2-10,1 51,0 750,3 +0,6 50,9 96 17,62 +0,21 17,83 40 41,27 +0,1441,41 4 10,52 +0,22 10,74 10 17,45 +0,22 17,67 23 23,49 +0,29 23,64 41 53,90 +0,22 54,12 3 0,732-0,22 0,95 m s 1 0 515 h D 1 s D Mai 3 W aUrs.min.s.p. 13 8 7,0 —22,144,9 16 31,96 —0,64 31,32 40 38,86 +0,09 38,95 a Virginis n Urs. maj. h m m. 12 0,3 --1 36,56 h Mai 9 O yUrs. maj. 11 45 11,16 —0,19 10,97 12 Can. ven. 12 48 10,96 —0,09 10,87 0 Virginis 13 a Urs.min.s.p. W aUrs.min.s.p. & Virginis n Urs. maj. “x Virginis 4 *) Virginis € I * a? Librae "d Librae 15 h m 13 39,5 + À LES D D Mai 10 W 12 090. ven 12 48 10,72 +0,34 11,06 ] 26,92 +0,15 27,07 8 2,5 —10,452,1 755,2 —8,1 52, 16 34,23 4-0,03 34,26 40 41,63 +0,18 41,81 46 44,27 +0,09 44,36 41 54,59 +0,01 54,60 3 1,84--0,01 1,85 13 31,29 +0,01 31,30 15 41,48 8 27 27,49 +0,08 27,57 56 5,44 0,00 5,44 ô Virginis 3 a, Urs.min.s.p. O a Urs.min.s.p. a, Virginis n Urs. maj. n Bootis "e Librae 14 "٢ Libre 15 1 € II a Coron.Bor. * 8' Scorpii h m aes 14 13,0 +1 33,45 A CO $ s 33 18,99 +0,10 19,09 48 11,50 +0,45 11,95 Mai 11 O y Virginis 12 12 Can. ven. 0 Virginis 13 1 27,64 +0,06 27,70 8 7,85 —14,3 53,55 8: 19,7 5-96, 53,55 16 35,10 +-0,14 35,24 26 18,91 +-0,24 19,15 40 41,77 +0,93 42,70 a Urs.min.s.p. : W a Urs.min.s.p. a. Virginis & Virginis 7; Urs. maj. 518 ۳ E E B A 4 $ D Juli 2 W 12 098۰ ven. 12 50 32,77 +0,30 33,07 a Urs.min.s.p.13 10 57,6 —1,7 55,9 O «Urs.min.s.p. 10 50,4 +5,6 0 1 Urs. maj. 43 3,71 +0,04 3,75 CI 46 12,27 +0,18 12,45 n Bootis 49 6,67+0,13 6,80 A m D 13 26,8 — 48,90 A Juli 5 O 12Canumv. 12 50 47,24 —0.10 47.14 a Virginis 1317 10,56 +0,18 10,74 a Urs.min.s.p. 10 58,5 --14,513,0 W aUrsminsp. 11 7,4 +56 13,0 n Urs. maj. 43 17,89 —0,01 17,88 n Bootis 49 20,76 +0,16 20,92 *g'Sceorpi 15 58 42,75 +0,30 43,05 € I 16 20 45,41 +0,29 45,70 n Draconis 23 17,47 —0,26 17,21 t Herculis 37 18,54 +0,05 18,59 h m m: 14 52,5 —1 3,59 h 8s D 1 Juli 7 O xOphiuchi 16 52 32,90 —0,03 32,87 «Herculis 17 9 45,82 —0,03 45,79 y. Herculis 42 26,94 —0,05 26,89 € I 18 14 41,83 3 = $Urs. min. 17 16,80 —0,56 16,24 W 9$Urs. min. 17 17,43 —1,16 16,27 51 Cepheis.p. 37 12,15 +0,47 12,62 O 51Cepheis.p. 37 9,67 +2,95 12,62 ¢ Aquilae 19 0 29,10 —0,10 29,00 * x Sagittarii 3 1,26—0,01 1,25 * d Sagittarii 11 1,31—0,02 1,29 h m m s 18 87 —1 13,33 ee | D $ Juli 12 W «Herculis 1710 6,29—0,05 6,34 C Pegasi 22 36 21,53 +0,01 21,54 a Pegasi 59 40,04 0,00 40,04 € II 23 5 57,68 +0,05 57,73 a Cassiopeae 0 34 30,61 —0,31 30,30 —e Urs. min. 112 0;6 —9,3 51,3 0 «Urs. min. 112 5,8 —14,551,3 23 919 —1 7 des Sciences de Saint - Pétersbourg. e 0 1 1 ز 0ک‎ D D CI 12 29 3,63 +0,03 3,66 Y' Virginis 34 18,65 4-0,02 18,67 12Can.ven. 49 11,69 —0,09 11,60 «Ursmin.s.p.13 9 4,7 +4,6 9,3 a Urs.min.s.p. 8 58,9 +10,4 9,3 ` a Virginis 17 34,94 —0,05 34,89 7 Urs. maj. 41 42,56 —0,38 42,18 h m 5 13 6,2 — 32,87 bech s ۸ m s H D Y Virginis 12 34 20,62 +0,04 20,66 12 Can. ven. 49 13,48 —0,09 13,39 € I 13 16 5,64+0,06 5,70 a Urs.min.s.p. 9 2,1 --9,8 11,9 a Urs.min.s.p. 911,8 --0, 11,9 n Urs. maj. 41 44,12 +0,07 44,19 h m $ 13 2,2 --30,96 h m s D D € II . 23 21 2,72—0,20 2 a Andromedae 0 1 26,37 —0,29 26,08 a Cassiopeae 32 53,89 —0,47 53,42 aUrs. min. 1 9 59,4 —7,7 51,7 a Urs. min. 953,7 —2,0 51,7 a Arietis 59 34,97 —0,10 34,87 A 8 | 0 51,3 +0,78 d h m S s D «Urs. min. 110 7,2 —7,8 4 a Urs. min. 10 2,8 —3,4 4 CH: 0 13 11,42 +0,01 11,43 8 Arietis 1 47 18,00 —0,02 17,98 a Arietis 59 40,89 —0,02 40,87 h m D 1 53,3 — 5,18 Bv ZS 8 D €I 12 58 35,44 +0,35 35,79 a Urs.min.s.p.13 10 52,2 —0,8 51,4 aUrs.min.s.p. 10 35,9 +15,651,5 8Librae 15 10 32,73 +0,26 32,99 a Coronae 29 45,94 +0,10 46,04 a Serpentis 38 25,29 +0,18 25,47 h m 8 15 25,4 — 45,30 317 Juni 3 W © Juni 40 Juni 15 O Juni 17 0 W Juli 1 W c 520 T 0 T 9 TE | D D 16 53 28,01 —0,13 27,88 17 11 35,48 —0,18 35,30 18 19 2,71—1,63 1,08 19 4,95 —3,88 1,07 35 28,49 —0,49 28,00 m $8 —3 2,93 AM $ D 16 25 19,17 —0,64 18,53 17 44 21,12 —0,41 20,71 50 0,45 —0,24 0,21 56 38,67 —0,56 38,11 18 19 9,95 —4,73 5,22 19 6,86 —1,65 5,21 20 29,87 —0,17 29,70 * | D 5 LAS hm S D D l 18 48 24,98 —0,31 24,67 Bulletin de l'Académie Impériale 2W CI a Herculis 8 Urs. min. Aug. o 8 Urs. min. a Lyrae h m 17 50,5 Aug. 3 8 v. Herculis CI y Draconis 8 Urs. min. W Urs. min. * 21 Sagittarii h m 17 33,6 Aug. 5 W ۵ *r Sagittarii 19 5 3,85 —0,15 3,70 * o Sagittarii 16 10,33 —0,1710,16 € I 47 21,05 —0,17 20,88 à Urs. min. 20 311,6 79 7 O A Urs. min. 317,6 —13,9 3,7 "e Capricorni 24 29,31 —0,25 29,06 a Cygni 40 10,02 —0,58 9,44 ˆ 32 Vulpeculae 52 8,40—0,46 7,94 A m m t 19 47,8. —3 15,88 h m s 5 8 1 10 10,8 —7,9 2,9 16 40,58 —0,08 40,50 23 40,35 —0,21 40,14 35 8,06 —0,19 7,87 46 35,77 —0,25 35,52 2 5 15,20 —0,18 15,02 + 38,81 18 53,75 —0,16 3,59 17 2,59—0,17 2,42 15 7,68—1,48 6,20 15 8,60—2,39 6,21 31 43,27 —0,20 43,07 35 35,45 +0,57 36,02 Aug.11 W « Urs. min. O 0' Ceti 7 Piscium € II 8 Arietis "E Ceti h m 1 38,6 Aug. 31 0" لم‎ Sagittarii € I à Urs. min. W Are min. a Lyrae 51 Cephei 8. p. T 0 1 A. SS 8 D 112 6,6 —12,054,6 11 1. 29844 48 48,93 +0,11 49,04 54 1,55--0,15 0 9 111,87+0,10 11,97 m D — 1 35,46 A 9 و‎ D s 11 55 27,52 +0,27 27,79 .12 47,9 +12,0 59,9 44 44,88 —0,26 44,62 m 8 — 92 30,63 A 3 ess D 8 12 42 2,94--0,16 0 52 20,33 —0,09 20,24 13 20 43,68 +0,17 43,85 12 51,5 +15, 6,8 18:54 5-38 7062 44 50,69 +0,03 50,72 m $ — 2 36,76 519 Juli 15 O «Urs. min. W aUrs. min. 8 Arietis € II a Arietis h m 1 53,4 Juli 27 W € I 12 Can. ven. 12 52 14,01 +0,08 14,09 a Urs.min.s.p.13 12 49,5 -- 10,4 59,9 O «Urs.min.s.p. n Urs. major. h m 13 16,0 Jui 28.0 € I 12 Can. ven. * a Virginis a Urs.min.s.p. W «Urs.min.s.p. n Urs.majoris h m 13 16,7 2 : A m s D s Juli 29 W aUrs.min.s.p.13 13 5,4 --8,4 13,8 13 0,2 13,6 13,8 20 50,06 +0,06 50,12 99 4,26 +0,05 4,31 m s للت‎ 43,01 Ama 3. | D 15 12 45,83 —0,45 45,38 40 38,52 —0,51 38,01 59 6,18—0,42 5,76 16 25 10,97 —0,88 10,09 17 11 31,54 —0,55 30,99 18 19 1,44 —4,72 56,72 18 59,57 —2,85 56,72 35 24,19 —0,56 23,63 m s ; —9 58,25 O aUrs.min.s.p. a Virginis CI Kr Mm 13 18,1 1] O 06 a. Serpentis Ci n Draconis « Herculis 8 Urs. min. W 93Urs. min. a Lyrae h m 16 34,1 Aug. 522 D x h m D 19 39 49,84 - 49,46 c 5 Oct. 1 O ¥ Aquilae À Urs. min. 58 37,7 +15,3 53,0 W 2Urs. min. 58 40,6 +12,553,1 ¢ Capricorni 20 21 9,42 0,50 8,92 a Cygni 36 49,20 —0,11 49,09 *EAquari — 21 30 34,38 —0,45 33,93 CI 41 9,75—0,45 0 16 Pegasi 46 55,64 —0,28 55,36 a Aquarii 58 51,59 —0,42 51,17 * 0 Aquarii 22 9 43,07 —0,45 42,62 * c Aquarii 23 30,90 —0,47 30,43 hm D 21 18,5 + 3,55 h m s D D Oct. 22 23 33,12 —0,42 32,70 9 W* c Aquarii € I 39 26,14 —0,41 25,73 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 521 C 7 h Aug. 31 O 51Cepheis.p.18 35 31,53 +4,50 36,03 * 0 Sagittarii 55 58,13 —0,17 57,96 ¢ Aquilae ` 58 34,64 —0,31 34,33 t h m D 18 38,5 + 41,21 Wie è D s 0 55 38,66 —0,11 38,55 1 11 40,48 —0,1 1 40,37 | 10 42,05 —5,0 37,05 1040,8 —3,8 37,0 Sept. 71 0 € II 0, Urs. min. W aUrs, min. *y Piscium 23 10 13,40 —0,39 13,01 * x Piscium 20 3,87—0,40 3,47 e Piscium 0 55 59,95 —0,40 59,55 aU. min. 111 3,1 +3,2 6,3 O «Urs. min. 11 5,5 +0,8 6,3 6 Ceti 17 19,91 —0,46 19,45 7 Piscium í 24 19,70 —0,46 19,24 h m NT 0 25,2 + 0,86 AE). 28 pv D Oct. 6 O aUrs. min, 111 10,8 +4,6 15,4 W «Urs. min. 11 10,9 --4,7 15,6 و‎ Piscium 25 27,80 —0,23 27,57 » Piscium 34 36,27 —0,26 36,01 8 Arietis 47 23,36 — 0,22 23,14 n. Arietis 59 46,26 —0,22 46,04 "E Ceti 2 6 2,74—0,26 8 * £ Ceti 21 10,91 —0,26 10,65 y Ceti 36 30,15 —0,27 29,88 € II 44 49,46 —0,25 49,21 * 8 Arietis 3 4 6,91—0,24 6,67 h m 8 2 68 — 7,56 h m و‎ s 17 Nov.22 W $ Aquilae 18 58 48,07 —0,20 47,87 CI 19 8 7,83—0,36 7,47 à Urs. min. 57 5,7 +19,4 25,1 O AUrs. min. 57 13,9 --11,325,2 a Cygni 20 36 25,32 —0,05 25,27 h m 3 19 48,1 + 26,08 0 56,0 7 AC ww 8 8 D Sept.27 W Draconis 17 27 8,29—0,09 0 y. Herculis 40 56,93 —0,12 56,81 € I 54 28,90 —0,16 28,74 SUrs. min. 18 15 20,30 +1,43 21,73 O 3Urs. min. 15 23,49 —1,76 21,73 a Lyrae 32 8,88—0,24 8,64 8 Lyrae 44 53,00 —0,23 52,77 h m $ 18 6,5 <+15,29 IN mis D D Sept. 29 p Herculis 17 41 „3,52 —0,28 4 : y Draconis 53 20,59 —0,47 20,12 $Urs. min. 18 15 31,32 —3,72 27,60 8 Urs. min. 15 31,40 —3,79 27,61 alyrae 3215,06 —0,24 14,82 51Cepheis.p. 36 19,77 4-3,40 23,17 0 51Cepheis.p.. 36 17,23 4-5,94 23,17 y Aquilae 19 39 44,87 —0,23 44,64 Cr. 46 21,65 —0,10 21,55 دږ‎ Urs. min 59 4,8 —15,1 49,7 F*eCapri. 20 21 4,57 —0,08 4,49 W*e Aquarii . 20 17,05 —0,08 16,97 À m D 19: 8,1 + 8,77 ; : ۸ m s D s Sept.30 W AXUrs. min. 19 58 37,2 --14,551,7 O Urs. min. 58 45,9 +5,8 51,7 a’ Capricorni 20 10 31,21 —0,34 30,87 * e Capricorni 21 7,07 —0,36 6,71 a Cygni ` 36 46,87 —0,16 46,71 CI 43 29,08 —0,35 28,73 is . 20 229 + 6,08 524 Bulletin de l’Académie Impériale Die Beobachtungstage, zwischen welchen die oben- stehenden Uhrcorrectionen Au nicht zur Ableitung des T C 1 523 j ۸ mt EG ٤ Nov. 28 O «Andromedae 0 1 8,02—0,05 7 ۱ x Piscium 13 22,19 —0,16 22,03 | Ganges dienen können, sind folgende: * 10 Ceti 19 25,03 —0,21 24,82 Zwischen März 14 und März 31 aCassiopeae 33 36,11 +0,22 36,33 » April 13 » Mai 3 oS 37 42,56 —0,18 42,38 » Mai 16 » Juni 3 "e Piscium 55 39,61 —0,17 39,44 » Juni #47-,» Jnli 3 a Urs. min. 110 23,4 --12,2 35,6 : In 119 XB xu W aUrs. min. 10 21,4 —+14,3 35,7 > Juli 15 » Juli 97 0 Ceti 16 59,90 —0,23 59,67 quw v" a / I g. 8 » Aug. 11 N ua 23 km —0,07 59,45 » Aug ii. Aug. 24 EE 0 40,9, + 20,82 » Sptbr. 7 » Sptbr.27 km و و‎ s » Octbr. 6 » Nvbr. 22 Nov.29 W aUrs. min. 1 10 25,6 4-10,0 35,6 " Debr. 5 » Debr. 28 Da « in den meisten Fällen das Mittel von 6 Fäden ist, so lässt sich der wahrscheinliche Fehler von + aus dem eines einzelnen Fadens, W, leicht ableiten. Wenn ۶ das Mittel der Deklinationen von v Ster- nen ist, welche an » Fäden in Summa beobachtet wur- den, so hat man W-W, 0:000 + 0,002 + 0,006 — 0,008 + 0,004 — 0,008 +- 0,022 — 0,044 ۷ W 25 6 96 0,098 91 0,103 11 4 10 0,129 11 0,148 15 0,792 57 1,524 0 Ww n 1. 752 0:096 162 2. 16,0 0,100 171 3. 26,0 0,109 138 4. 38,2 0,106 73 5. 48,4 0,133 69 6. 56,5 0,140 73 7. 86,6 0,814 33 8. 88,6 1,480 134 Nimmt man an, dass W eine Funktion des ۶ von 1 W — const. sec à* sei, so findet man für die Constante folgende Werthe aus obigen 8 Reihen 0,095 + 0:001, 0:096 0,097 0,100 0,089 0,098 0,090 0,098 0,092 BEE A AS Ei ۰ Mittel 3 W — 0:095 secà‘. der Form mithin 10 24,3 --11,335,6 O «Urs. min. CI 36 29,16 —0,30 28,86 a Arietis 59 18,86 —0,24 18,62 h R D 1 59,6 - 20,21 h. miis D 8 Dec. 1 O «Persei 3 14 29,26 —0,19 29,07 * f Tauri 23 10,84 —0,20 10,64 € I 40 58,02 —0,21 57,81 * a Tauri 4 27 56,14 —0,21 55,93 v Orionis 5 59 37,47 —0,23 37,24 8 Urs.min.s.p. 6 14 53,70 +0,18 53,88 4 16,6 +5 h m.s D $ Dec. 5 O ÔUrs.min.s.p. 6 14 46,88 +1,66 48,54 W 51 Cephei 36 42,58 —1,71 40,87 O 51 Cephei 36 42,77 —1,85 40,92 y Canis major. 57 19,99 —0,27 19,72 *) Geminorum 7 10 .1,47—0,35 1,12 öGeminorum 11 45,24 —0,37 44,87 * 68 Geminorum 25 24,22 —0,35 23,87 a Canis minoris 31 55,20 —0,32 54,88 8 Geminorum - 36 44,73 —0,39 44,34 € II 53 46,31 —0,35 45,96 | hm D 7 19,2 = 23,51 ' Dec. 28 0 aUrs. min. 1 725.0 4 W «Urs. min. 7 22,2 +28,2 50,4 n Piscium 21 35,90 —0,33 35,57 » Piscium 31 44,55 —0,45 44,10 * 6 Arietis 3 115,71—0,4815,93 € I 10 8,74—0,33 8,41 h m m s 2 0,9 +2 7 526 f 6 - 20,274 0,214 + 0,124 + 0,306 — 0,356— 0,006 — 4 ,()-+- 0,206 — 0,224-+ 0,016 — 4-0,164 0,094 -2- 0,126 — 0,014 -4 0,316— 0,196— 4-0,354 20,014 4 په 4 به 0,096 — 0,136 — . 0,026 — 0,066— 0,116— 0,026 — 0,034 + 0,094 0,084-+ 0,006— 0,006 — 0,236 — 0,136 — 0,084 + 0,134+ ` 0,034-- 0,156— B-N.A —0,47 —+-0,06 0,00 —0,09 —0,52 —0,57 — 0,22 —0,11 —0,42 +0,01 —-0,23 — 0,05 —0,12 —0,34 — 0,20 —0,53 —0,41 +0,14 —0,20 —0,19 +0,12 — 0,31 — 0,35 —0,24 —0,28 —0,33 —0,24 —0,18 — 0,12 — 0,13 — 0,22 —0,22 —0,45 — 0,35 — 0,13 — 0,08 — 0,18 — 0,37 des Sciences de Saint- Pétersbourg. | N.A B D 4,72 14,90 24.60 26,72 45,03 58,04 36,59 36,64 3,46 6,43 50,92 23,49 41,85 27,98 22,87 26,94 57,51 26,49 21,26 7,62 25,13 52,89 5,00 46,68 43,67 1,91 44,06 30,26 34,78 12,81 26,75 41,60 33,58 3,20 49,21 49,08 17,44 17,36 9,69 9,51 53,05 52,68 51,15 23,54 41,97 28,32 23,07 26,77 57,92 26,35 21,46 7,81 25,01 53,20 5,35 46,92 43,95 2,24 44,30 30,44 34,90 12,94 26,97 41,82 34,03 3,55 12 [4 10 I 15 10 IT 15 11 11 16 13 11 18 15 II 19 16 II 20 3I 12 4 I 13 15 II 23 70 1 LI 12 2 I 13 5 1 16 7 I 18 12 II 23 1511 1 27 I 11 98 I 12 29 I 13 1T 15 2I 16 3 I 17 5 I 19 17 0 1 31 I 18 7H 1 97 1 17 29 I 19 30 I 0 1I 21 9 [ 22 en و‎ 39 I 19 081 0 291 1 PU 5H 7 298 I 3 Mai Juni Juli Juli Aug. Aug. Sept. Sept. Oct. , Nov. - Dec. Das Mittel aller 51 Rectascensionsdifierenzen B-N.A — 0:214 = 0:016, und die Fehler T ergeben den ie وا‎ Fehler a Mondes +0; 118 ist einerb 525 Der wahrscheinliche Fehler von + ist demnach 1 3 W. — 0:039. sec à *. Der wahrscheinliche Fehler einer Uhrcorrection Au, berechnet aus der Übereinstimmung aller an einem Tage beobachteten, mittelst des Uhrganges auf das- selbe Moment reducirten Aw, ist für die Zeitsterne durchschnittlich 05090. Im Ganzen sind 238 Zeitsterne an 50 Tagen be- obachtet, also an jedem Tage fast 5; der wahrschein- liche Fehler einer der obigen Uhrcorrectionen An ist - demnach durchschnittlich — 0:044. . Es bleibt schliesslich noch die Vergleichung der Rectascensionen des Mondes, wie sie vorstehende Be- obachtungen ergeben, mit denen übrig, welche der Nautical Almanac von 1865 nach den Hansen'schen Tafeln darbietet. Der Beobachtungsort , dei Pulkowaer Süd-West- Quadrat-Thurm, liegt (nach pag. 291 der Description de l'Observatoire) von Greenwich 2" 1۳ 18550 östlich. Unter Annahme dieser Längendifferenz wurden die den Beobachtungszeiten entsprechenden Rectascen- sionen des Mondes im Nautical Almanac, 1865, so- wohl aus der von Stunde zu Stunde, als aus der von Mondculmination zu Mondculmination fortschreiten- den Ephemeride interpolirt. Diese so controlirten Werthe, welche wir N.A nennen wollen, geben in Verbindung mit den aus den Beobachtungen gefolger- ten, die B heissen mógen, folgendes Tableau: € N.A B B-N.A f h m s D D D März 13 II 12 34 15,51 15,22 —0,29 —0,076 14 II 13 21 14,32 14,20 —0,12 +0,094 März 31 I 4 36 21,45 21,51 +0,06 +-0,274 April 31 728 9,31 9,07 —0,24 —0,026 4 I 8 20 15,98 15,65 —0,33 —0,116 6 I 9 57 56,31 56,04 —0,27 —0,056 8 I 11 30 42,52 41,99 —0,53 —0,316 9 I 12 16 51,11 51,21 +0,10 4-0,314 11 II 13 53 41,47 41,40 -—0,07 +0,144 12 II 14 43 16,07 15,90 —0,17 0,044 13 II 15 34 39,46 39,15 —0,31 —0,096 Mai 3 I 9 41 3,94 3,88 —0,06 --0,154 9 I 14 23 57,78 57,63 —0,15 0,064 328 Eine so unverhältnissmässig geringe Anzahl von Meteoritenfällen des europäisch-russischen Areals ge- genüber dem eines Theiles der westlichen Staaten, deren Oberfläche nur ein Bruchtheil im Vergleich zum russischen Gebiete ausmacht, ist in die Augen sprin- gend. Die Gründe hierfür sind wohl in der dichte- ren Bevölkerung, der höheren Bildung und der da- durch bedingten aufmerksameren Beobachtung von Naturphänomenen in Westeuropa, im Gegensatz zu dem weit dünner bevölkerten Russland, zu suchen. Wenn auch die hochnordischen, fast drei Viertel des Jahres in Winter gehüllten Regionen desselben (vom 65. Breitengrade an), so wie die dünn bevölkerten Steppen des Südens, von wo kaum Beobachtungen zu erwarten waren, in Abzug gebracht werden, so wird hierdurch das Missverhältniss doch nur wenig ausge- glichen. Dass die auf solche Gegenstände gerichtete Aufmerksamkeit ein wesentlicher Factor ihrer Bekannt- werdung ist, zeigt die in dem letzten Decennium gegen früher grössere Anzahl in Amerika und Europa beob- achteter Meteoritenfälle. Andererseits ist jedoch in Be- tracht zu ziehen, dass ein, wenn auch kleiner Theil der in Westeuropa constatirten Aörolithenfälle, namentlich aus früheren Jahrhunderten, nur auf geschichtlichen Überlieferungen von Augenzeugen, auf Nachrichten in Chroniken u. dgl. Urkunden beruht, während bei den 24 bis zum Jahre 1861 verzeichneten Aörolithen- fällen in Russland nur ein einziger (der Aérolithen- schauer von Ustjug Weliki im 13. Jahrhundert) auf eine Heiligenlegende sich gründet, in allen übrigen 23 Fällen aber die aus der Atmosphäre gefallenen Steine oder Eisenmassen wirklich gefunden worden sind. Die Chroniken Westeuropas sind bereits von ver- schiedenen Gelehrten in Bezug auf Nachrichten über Aörolithenfälle grösstentheils erschöpft worden. Für das chinesische Reich hat schon vor längerer Zeit Ed. | Biot, theilweise gestützt auf die Arbeiten von Abel Rémusat und Stanislas Julien, die Berichte über viele Sternschnuppen- und eine Reihe von Aéroli- thenfällen in einer treuen Übersetzung aus den chi- nesischen Reichsannalen, welche von 2400 vor der christlichen Aera bis zur Mitte des 17. Jáhrhunderts nach Christi Geburt sich erstrecken, ausführlich mit- getheilt?. Auch für den Orient kennen wir durch den . 3) Ed. Biot, Catalogue des étoiles filantes et des autres mé- téores observés en Chine, pendant 24 siècles, depuis le VII avant Bulletin de l'Académie Impériale 327 oder im Bogen 1/77, wofür die Mondbeobachtungen in Greenwich 1,75 liefern. Der wahrscheinliche Fehler 20016, der in dieser Arbeit bestimmten Correction —0;214 der Rectascen- “sionen des Nautical Almanac für 1865, welcher aus dem der einzelnen Beobachtung, = 05118, abgeleitet ist, dürfte die Realität derselben genügend ۰ Die Mittel von B-N.A, jeder der beiden Mondrän- der für sich genommen, sind B-N.A n € I— 0:203 33 € II — 0,233 18. Sie führen zu demselben Resultate — 0214, wie das Mittel aus allen Tagen, wenn man bei ihrer Combi- nation die Anzahl » der Beobachtungen berücksich- tigt, und beweisen durch ihre nahe Übereinstimmung, dass beide Mondränder auf gleiche Art beobachtet wor- den sind. ` Über Aörolithenfälle in Russland aus früheren Jahrhunderten, von Ad. Goebel. (Lu le 20 dé- cembre 1866.) R. P. Greg gab im Jahre 1854 eine Zusammen- stellung der bis dahin bekannten Meteoritenfälle nach ihrer geographischen Verbreitung auf der Erdober- flache '). Dabei kamen auf Russland, mit Finnland und Sibirien, 22 Fälle (Russland allein mit 15 Fäl- len), während Deutschland mit Östreich 76 Fälle, Frankreich 35, Italien 34, Grossbritannien und Ir- land 21 Fälle zählten. Dr. Kesselmeyer?) behandelte im Jahre 1861 den- selben Gegenstand in grósster Ausführlichkeit‘ und berücksichtigt in der Zusammenstellung nach den ein- zelnen Ländern nur die sicher constatirten Fälle. Er führt solchergestalt für das europäische Russland mit Finnland und Polen 24 Aérolithenfálle auf (22 Stein- und 2 Eisenmassen), für Grossbritannien. . . . . .. 25 Aërolithenfälle, » Frankreich. „... لل‎ 32 » » Deutschland ......... 55 » » Ungarn und Siebenbürgen 17 » » Italien. د دوس‎ oot REI 42 » 1) Observations on Meteorolites or Aérolites, considered Geo- graphically, Statistically and Cosmically, accompanied by a complete Catalogue. By R. P. Greg. Philos. Magaz. IV Ser. T. 8. 1854. p. 829. 2) Abhandlungen der Senckenbergischen Naturforschenden Gesellschaft. Frankfurt a. M. Bd. III. 1859 — 61. 8. 359 ff 5390 Beitrag zur Statistik der Meteoriten sehr dankenswerth sein, zumal da die Móglichkeit vorliegt, dass in ein- zelnen Fällen auf Grund solcher geschichtlicher Nach- richten die gefallenen Massen sich vielleicht werden nachweisen oder auffinden lassen, namentlich wenn sie in Kirchen und Klöstern bewahrt werden, wie solches nicht nur in Westeuropa, sondern auch in Russland stattgefunden hat. In jedem Falle aber würde auch, wenn die in russischen Geschichtsquellen niedergeleg- ten Nachrichten über Meteoritenfälle bekannt gewor- den sind, das Verhältniss der Zahl derselben zu dem in Westeuropa anders sich herausstellen, als es jetzt der Fall ist. Jedoch dürfen wir, wie mir Hr. Kunik mittheilt, in dieser Hinsicht unsere Erwartungen nicht sehr hoch spannen, da Russland im Verhältniss zu andern Ländern an Lokalchroniken nie reich war, und die- selben auch theils in Folge der Tatarenherrschaft und des Übergewichts, welches das Grossfürstenthum Mos- kau erlangte, nicht lange fortgesetzt wurden, theils auch verloren gegangen sind. Dazu kommt noch, dass zu der Zeit, wo solche Lokalchroniken oder Annalen von Theilfürstenthümern abgefasst wurden, das Land noch wenig entwaldet, und noch weit weniger be- wohnt war als jetzt, und demnach Meteoritenfälle selten beobachtet werden konnten. Dass den russischen Chronisten die Vorstellung der Aërolithenfälle geläufig, oder wenigstens nicht unbe- kannt gewesen ist, beweist folgende Stelle der Wol- hynischen Chronik‘), in welcher ein Kampf der Po- len im Jahre 1251 mit den preussischen Sudauern des Sciences de Saint- Pétersbourg. 529 Freih. v. Hammer-Purgstall mehrere ältere Be- richte aus arabischen Quellen. Für Russland aber wissen wir, mit Ausnahme des obenerwühnten Falles von Ustjug Weliki, noch gar nichts, und es sind die russischen Geschichtsquellen in dieser Hinsicht, mei- nes Wissens, noch gar nicht benutzt worden. Es sind sicherlich in den russischen Kloster- und Kirchenchroniken Nachrichten oder Beschreibungen von Meteoritenfällen vorhanden, die es sehr verdienen würden, ans Licht gezogen zu werden. Als ich zu die- sem Zweck an Hrn. Prof. Ssa w waitow, den verdienst- vollen Forscher auf dem Gebiete der russischen Alter- thumskunde, mich wendete, wies er mir ein paar Stel- len in den Auszügen von Chroniken, welche als Quel- |- len zu Karamsin's Geschichte des russischen Rei- ches diesem Werke beigefügt sind, und in denen ent- schiedene Aérolithenfülle beschrieben werden. Ich werde sie in Folgendem mittheilen, mit Hinzufügung noch anderer Stellen, die bei der eigenen Durchsicht der 12 Bünde dés Karamsin'schen Werkes, so wie einer Reihe von der Archäographischen Commission in russischer Schrift herausgegebenen Chroniken sich mir darboten, und endlich auch eine bereits im Jahre 1811 von Bornowolokow mitgetheilte merkwürdige Nachricht hinzufügen, die aber nie berücksichtigt wor- den zu sein scheint. Bei der Übertragung der Auszüge aus den Chro- niken in’s Deutsche habe ich in Fällen, wo mir ein- ` zelne kirchenslavische Ausdrücke unklar oder zwei- felhaft erschienen, an Hrn. Akademiker Kunik mich gewendet, und von diesem in der verbindlichsten Weise nicht nur die genügende Auskunft, sondern. auch sprachliche und historisch- chronologische Auf- | oder Jatwingen in derem Lande, dem heutigen Ost- klärungen erhalten, welche zur Erlangung des vollen | preussen, geschildert wird: «Jaxowb kpbuko 00010116 u 61731131171 16910116 H ۳03088818 , AKO MOAHIS HAAXY, H Kamenje AKO 1 | cb 8666611 5 » «Die Polen wehrten sich krüftig, indem sie Speere «und Feuerbründe schleuderten, als wenn Blitze schlü- «gen, und als wenn Steine, wie Regen, vom Him- «mel fielen.» 1) Steinfall bei Nowgorod im Jahre 1212 den 5. Februar. Die älteste Nachricht über einen in Russland statt- gehabten Meteoritenfall findet sich bei Karamsin in 4) 118106 co6panie pyCCKHX'b abronncei. T. II. pag. 186. 94 Verstündnisses dienend, ebenso werthvoll als dankens- werth sind. Bei dieser Gelegenheit richte ich eine Bitte an alle diejenigen, welche sich mit den Quellen der russi- schen Geschichte bescháüftigen, die ihnen bekannten Nachweise über Meteoritenfälle aus früherer Zeit ent- weder selbst zu veróffentlichen, oder mir solche zur Beurtheilung gütigst mitzutheilen. Es ist dies ein bei uns noch kaum berührtes Feld, und es wird ein jeder J.-C. jusqu'au milieu du XVIIe de notre ère. dressé d’après les do- cuments chinois. Mémoires présentés par divers savants à l'Acad. des sc. de l'Institut national de France. Paris 1848. 532 Es wird am 14. Mai 1230, am Dienstag der sechs- ten Woche nach Ostern, eine Verfinsterung der Sonne beschrieben, über welche der Chronist in Zweifel ist, ob sie durch den vor der Sonne vorübergehenden Bulletin de l’Académie Impériale Mond oder durch von Norden kommende Wolken- massen verursacht war”). eier fährt der Chronist fort: Toro xe AHH m yaca 0671607۶ TAKO H TOTO 0031886 BE Koıegt, BCÉMb spamuwb, ObIBIIM 00381110 1156/1614 ,ط‎ A- 81010868 607031086 WepJeHu, 3eJeHH, CHHiH, 068001711 COJH- Hà; Taqe 688116 OrHb CB HeÓecH AEN 063811 61ظ‎ 5 | pya Jupe, ` 31016 1 Bcbwb OTYAABINUMBCA 706 LL 1188116 ye 108187 Cum, 1183710116 Apyrb Apyra 1100116816 HMaxXy, 133510016 TOPKO, 800101۵8 Kb | Borosu 1638810: 1 1112067۶0 680620 bor npeBeze erpai- Hbli TO 0۲5 ۹606372 Becb 11811 6895 11۵10011, u 6 Bb /lubups pbky, ry m uoruóe . Tako CKa3alia ۵ 0311081711111, 0851811111 ۰ «Am selben Tage und zur selben Stunde war die «Erscheinung ebenso und noch drohender in Kiew; «Alle sahen es, dass die Sonne wie der Mond wurde; «es erschienen zu beiden Seiten der Sonne rothe, «grüne und blaue Säulen; auch fiel Feuer vom Him- «mel herab, gleichwie eine grosse Wolke über den «Bach Lybed. Alle Menschen verzweifelten an ihrem | «Leben, meinten, dass schon das Ende der Dinge ge- | «kommen sei, küssten einander und nahmen von ein- | «ander Abschied; sie weinten bitterlich und flehten «zu Gott mit Thränen: und durch seine Gnade leitete «Gott jenes schreckliche Feuer über die ganze Stadt «ohne Schaden, und es fiel in den Fluss Dnjepr und «verging daselbst; so sagten es uns Augenzeugen, «welche dort waren.» Die drastische Wirkung, welche jenes Phänomen auf die Menschen ausübte, lässt voraussetzen, dass es eine gewisse nicht zu kurz vor ed Me Zeitdauer gehabt habe. 3) Aérolithenschauer bei Nowgorod am 19. Mai 1421. Karamsin ^) erwühnt bei Anführung der Calami- täten während der Regierung des Grossfürsten W as- silii Dimitrijewitsch auch der Steinregen, die im Jahre 1421 stattfanden. Er führt ohne Quellenangabe 9) Am 14. Mai 1230 fand, nach den astronomischen Tabellen, in der That in Europa eine Sonnenfinsterniss statt. 10) Heropia Pocciück. Tocya. T. V. raasa IL pag. 125. 531 dem Passus einer von ihm nicht näher bezeichneten Chronik, welcher folgendermaassen lautet ^): B» 1215 r. bespaus 1, BB Herbaro 01001770707710 Gut, ۱07 sb 110887000115 nocab 3ayrpegu H 0657 aii. D. h.: «Im Jahre 1215 am 1. Februar, am Sonntage Tyrophagus, war ein Donner in Now- gorod nach der Frühmesse, und es flog ein Drache.» Obgleich hier nicht gesagt ist, dass ein Stein gefallen sei, so weisen doch obige Worte deut- lich genug auf einen Aërohthenfall, gleichwie bekannt- lich in den westeuropüischen Chroniken aus der Luft fallende Steine ófter als unter Donnerbegleitung flie- gende Drachen beschrieben werden. Die Original- quelle, aus welcher diese Nachricht entlehnt ist, hat. Karamsin nicht angegeben; doch kann er sie nur. aus den Annalen von Nowgorod verkürzt entnommen haben. In der That wird dieselbe Begebenheit in der ersten Nowgorod'schen Chronik?) mit etwas aus- führlicheren Worten erwühnt, wie folgt: B® 35170 6722, 1568118 680918 Bb nepBbrii 1615 BB 1365210 CHIPONYCTHYIO, FPOMB ÓbicTb no 3ayrpenin, . H BCH CAbIMAMAa, H 101701156 75718 We awbu 81118103 Je- TAID. «Im Jahre 6722, am ersten Tage des موو ووه‎ am Sonntage ریب‎ war Donner nach der Früh- messe, und Alle hórten es, und gleich darauf sah man einen Drachen fliegen.» Nach Hrn. Akad. Kunik's Berechnungen") geschah dieses Phänomen nicht am 1. Februar 1215, sondern am 5. Februar 1212. 2) Feuerkugel bei Kiew, am 14. Mai 1230. In Folgendem theile ich einen Bericht eines Fort- setzers der Nestor'schen Chronik nach dem Lau- rentius'schen Codex^) mit, welcher, obgleich in ihm auch nicht gesagt ist, diss ein Stein gefallen sei; doch zu einer Kategorie der auf die Erde DEL lenden kosmischen Materien gehört, deren wahre Na- tur zur Zeit noch immer nicht aufgeklärt ist. 5) Kapamsuns. HMeropia Pocciückaro Tocyaapersa. T. III. rx. VII. upuwbuanie 20 6) Hosropoxckas HnepBas eee in der 1103806 Co6panie pyc- ckuxb xbrouuceñ. Tome III. pag. 7) Angestellt in den ۰ Ces Axag. HayK® mo I u III Ovx 5a. Toms II. 0116. 1854, crp. 793. Vgl.: Russisch- livländische Chro- nographie, von Bonnell. St. Petersburg 1862. Commentar pag. 51. 8) JlaspeuTiüickas xbronucs in der 11018. Coóp. pycex. abron. Bd. I. 1846. S. 193. Dasselbe steht auch in der sog. Bockpe- cenckan xbronucr (Ioas. Co6p. Bd. VII, S. 136) 531 «Erscheinung .... und es war ein starker Regen und «Hagel, Steine aber stürzten aus der Wolke.» y — In der zweiten Pskow'schen Chronik wird das Phünomen auf ein sechs Tage spüteres Datum, den 25. Mai, verlegt. Es heisst daselbst (۰ B» 1۸10 6929. 3uwa 686۲ CHEiKHa Beaman U No- TOM? Hà BecHy ÖbICTb BOJA 863111۱8 31830, 8 ۱۱۵۵۵ maca 5/8 m 16070588108 m 603608: a pt 0۵۸ MHOTO HakOCTH 108168 OTB 80151. Ton xe BeCHbl. BE 116170080 rosbuie, Mas 25, Guer, pt, 108۳00011 Bb Homb 3186 Tyga 1022۵888 crpammo 3610, 1 6 Cb 10:06 م1‎ KaMeHie AKbI 806301۵ , a 11806 aki ,هه‎ a Bb Ilekosb Bb Ty mwe HOME 88181108 063313 065 : H 6616075 BCE JETO 101680, H BOJA BeJuka. «Im Jahre 6929 war der Winter sehr schneereich, «und darauf gab es zum Frühjahr sehr hohes Wasser, «welches die Flüsse und Bäche und Seen erfüllte; in «Nowgorod aber wurde viel Schaden durch das Was- «ser angerichtet. Im selben Frühlinge, in den Peters- «fasten, den 25. Mai, zog in Nowgorod zur Nachtzeit «eine schreckliche regnerische Gewitterwolke herauf, «und es fielen mit dem Regen Steine herab, «gleichwie Äpfel, und andere, gleichwie Eier, «in Pskow aber ward in derselben Nacht eine fenrige «Wolke gesehen; und es war der ganze Sommer reg- «nerisch und ein grosses Wasser.» In der ersten Nowgorod’schen Chronik ist die Begebenheit vom 19. Mai 1421 (6929) folgendermaas- sen erzählt "): Toro xe ۱85681۵ main 19, BB 11670080 ۲08510116 , B'h 80115 , ÓbicTb TpyCb HA me6ecu 8611005۰: pmeaníu TYWI Cb 10371788 , BB 1803578008 rpoMPb m MAbHin OrHSHÉ CP 866601 cb 1170117 07031015113, H AOXJb npanpyAeH'? H Cb KAMCHİCMb H Ch rpaAOMP, H 1815113 5 BINED Bb nepkoBb CBATDIA Copia CB iepen m Cb Kpu- 301003817, 1286 CBHTAIONIy AHH BB 1080183101117 M 67 110466617 NETH ceatha 17000011151 38 ۲ b 657 xpu- cTianckin o npecranin rmbba omia. 14( 576 EE? abronuer, in der 1103806 coöpanie Pyc- ckux'b abronnceh. T. V 83. 15( 8 nepran abronnes in der 110318606 6 P $ cei. T. III. YCCKUXE JI bTOIM pag. 24* des Sciences de Saint- Petersbourg. 233 die Stelle einer Chronik an, die ich, nach dem von ihm gegebenen Wortlaut, im Original nicht wieder habe finden können, welche wahrscheinlich aber einer Nowgorod'schen handschriftlichen Chronik entlehnt ist. Sie lautet '): Bb 3۳0۲۲5 roay (1421), Mais BB 19, 81161101 7 CB HOJyAHH, B'b 0037801111 TPOMB 070811681 H 56 npanpyAeHb U Ch KaMeHieMb AKbI 863018 , à MHOC AKU AÁna...... H ÖbICTb BCE 318710 ...... «In diesem Jahre (1421) am 19. Mai stiegen Ge- «witterwolken von Süden her auf, um Mitternacht war «ein schrecklicher Donner und feuerfarbener «Regen mit Steinen gleichwie Äpfel, und an- «dere gleichwie Eier.... und es war den ganzen «Sommer über regnerisch.» Diese Begebenheit wird mehr oder minder ausführ- lich und mit einigen Variationen in einer Reihe von andern Chroniken erzählt. Ich setze den Text mehre- rer derselben hierher, da die in ihnen enthaltenen Nachrichten einander ergünzen in Bezug auf die Ein- zelheiten des Naturereignisses. In der Nowgorodschen- Golitzyn'schen Chro- nik heisst es”) vom Jahr 6929 (1421 nach Chr.): . BB To xe part Bpema, Mais Bb 19, BE 3aro- gbnbe 11670080 Bb 0037201018, ÓbicTb 706۲ Ha 1 pezi: pmeune Tyga CHIHA Cb 8017۸80 1601718 ۵ crpanrems H MOJHIA orgeHa CB HeOeCH 621601۵0۵, AKO HÉCTE MO3KHO ۹۵108150۱1171 88161, H CTA Hab 10340115 u y6o 1۲۹۵ فل‎ o04akb Hà orHeHHoe هنقطتصھ‎ Npe- JOJHCH.... U ÖbICTb 1025156 CHJeHb H و۲0۵‎ H 100 Kà- menje 833101668 m3» o6Jaka. «Wiederum war um dieselbe Zeit, den 19. Mai, am «Vorabend der Petersfasten t3), um Mitternacht ein «grosses Beben am Himmel: es stieg eine starke Ge- «witterwolke von Süden her auf, es entlud sich ein «furchtbarer Donner, und feurige Blitze erglänzten am «Himmel, wie sie nie von Menschen gesehen wer- «den. Die gewitterbringende Wolke aber blieb über «der Stadt stehen und verwandelte sich in eine feurige SS, Ibidem T. V. ra. II. npambu. 254 mort, 7012082 ۰ 19( Karamsin T. V, upu. 13) Jarosbnie Ilerpono ist der letzte Fleisehtag vor den Peters- 18. fasten. Über die genauere Zeitbestimmung s. Note 336 jenigen Bevölkerungsschichten Russlands, bis zu de- nen moderne Bildung und westeuropäische Civilisa- tion noch nieht vorgedrungen, unverändert dieselbe geblieben ist, und durch welche uns Vieles im ge- schichtlichen und geistigen Leben des Volkes aufge- klärt wird. Ich setze darum auch diesen Bericht, mit Ausnahme der am Schlusse desselben folgenden mora- - lischen Betrachtungen, vollständig her: B» To xe naku Bpema, wbesua maia Bb 19 1eHB, Ha MAMATE CBaTaro wyuenmka Harpbkis, Bb Aenb ۱6, 1001161107 mpaaumuky ee Debat, CBATBIMB eCTb 11۵011۳, Bb 3817085180 IlerpoBo, 10371010108 11011161111 626 5 KB ی‎ , ÖbICTb TPYCB Ha 1680661 م831‎ : 8186 mp Tyga CHIHA Cb 1035/1111 , 116951138 100117 089٧5 1 103718 OTHEHAA eb 8660018 6deckaiorte, AKO 1150175 ۵ ۵70851011171 811511 , m 10111611111 CTA Hab ۲031011۶ , H ۲60 1٣٣660 0610KB Hà OTHEHO 88158۱6 1067102116 H Eb TAXE 2:6 OÓJaI[ÉX'-b NOMDIMJAXY Ale BCHKO Or- 86710 ÖbITH, mu Wenn nozkuras 11111111101 M yÓosB- meca 310116 oTb CTpaxa H 1236010368, 8011185 ۳7 ۰: 1 00001871 08081135 1 bbierb 10:16 CH JeH'b, 11 و۲081‎ yóo, u KaMeHie 83810066۸ Wax o04oka. Ce me BCE 631615 CMO- ‘rpbuie wmaocepiaro bora Kb Haka3aHiro HallleMy, He X0- TAMATO 0160177 ۲0518191 , Ho CTpama M 10678 HAMP, OBOLJA Ke H KA3Hf HACH: 10867246 2021۶88 157513 u 66 00066 ycrpammerb لا‎ npubojur wedoBbka Kb Bbpb u Kb 11,061 60. و۲۵۵ ,ه107‎ 133602601018 Bean 1152/11, 8811838 Ke Ó033Hb 88016 BO 108371618, 7 138310310116 HY3KAy TU 168001017 HOCTHTHYTH. ۳117 HHKOM'b 16 H CAMOMY 80608610117 111111611011111 Bb CBA- 1۹10 60010 180108 م‎ , 1103811668 Bory u npeumerbit Bo- 10311316011, 1۲3310310116 ` 11011۵1, 1 060001 , Aug 680, BJàJAbIKO! BIGKAb HYÆAY H CTBOPH 463001:0310616 , 7 Hà HbI MHJOCTHBBIMb CH OKOM'b لا‎ CTBODH 116100167 — mosie xe B3bIBaxy: 1 0600018 nownayi! Homm ٥60 nc- Sau, 0310161111 BHIbHiewb, ÓbICTb 168111810 AO KOHIA ; 18011006 ur 166 MHIO, HOCA THIIIHRy Do H PaAOCTh, ABUCA 3808, 18026 H ,م0815‎ H 801011 م5‎ 803618 COJHIIe, orHeHoe Ke 1115816 0:167 7۰ HeBHAHMO 10 KOHIA. . . . . . ۱ «Wiederum war um dieselbe Zeit, am 19. Tage des «Monats Mai"), am St. Patrieiustage, nachdem der Bulletin de l'Académie Impériale 535 «Im selben Monat Mai am 19ten, in den Peters- «fasten, war in der Nacht ein grosses Beben am Him- «mel: Vom Süden her stiegen Gewitterwolken auf, um «Mitternacht war Donner, und feurige Blitze drangen «vom Himmel mit furchtbarem Geräusch, und es er- «goss sich ein feuriger (feuerrother) Regen mit «Steinenund mit Hagel; und derErzbischof Ssimeon «trat in die Kirche der heiligen Sophia mit den Prie- «stern und dem Clerus, als schon am Montag die Mor- «genfrühe dümmerte, und liess der heiligen Gottes- «mutter Gebete singen für die ganze Christenheit, auf «dass der Zorn Gottes aufhóre.» | Auch hier ist von einer grossen Überschwemmung des Wolchow bei Nowgorod zu derselben Zeit die Rede, wie eine solche auch zwei Jahre früher (unter dem 9. April 1419) bereits stattgefunden hatte ). In der zweiten Nowgorod'schen Chronik "( wird dieselbe Überschwemmüng des Wolchow und die das Volk mächtig aufregende Begebenheit des Steinregens am 19. Mai 1421 noch ausführlicher erzáhlt. Sie ent- hàlt den Originalbericht eines Augenzeugen, welcher dem geistlichen Stande angehórt, wie aus folgenden Worten hervorgeht: Hunt ;ke.... mamma 0911118 BHXÊXOMB 8631106 Ha- 118007816 801806, U Eike OTB HeOece crpainiHoe ABJeHIE, uHiukriona 14, npu apxienuckonb Cemionb, p» bro 6-e 83315166788 ETO. «Nun aber haben wir mit unsern Augen die grosse «Überschwemmung.... und zugleich auch die furcht- «bare Himmelserscheinung gesehen, welche in der 14. «Indietion zur Zeit des Erzbischofs Ssemion, im sech- «sten Jahre seiner Amtsführung stattfand.» Es folgt nun die ausführliche Beschreibung der Überschwemmung nebst dem von ihr angerichteten Schaden uud der Bedrängniss der Bevölkerung, und darauf die Schilderung des Aérolithenregens, welcher vom Verfasser als eine Strafe Gottes für die Sünden der Menschen angesehen, in seinen dramatisch gehaltenen psychologischen Wirkungen nebst den daraus gezoge- nen moralischen Nutzanwendungen besonders ausführ- lich dargestellt wird, — eine Auffassung, die für uns in sofern von Interesse ist, als sie noch jetzt in den- 16) 110806 Coóp. Pycck. shron. T. III. pag. 108. 17) Ibidem, pag. 139. 338 Nowgorod’schen-Golitzyn’schen Chronik offen- bar ein Excerpt ist, weicht von dem kurzen Texte der vorhergehenden ersten Nowgorod’schen Chronik darin ab, dass in ihm an Stelle der Worte «10:51» npa- npyAXenb» der Ausdruck ٨10715 cmdem» gebraucht wird. Ich werde später darauf zurückkommen. Auch giebt der Beobachter hier ausdrücklich an, dass das Phänomen nicht die ganze Nacht hindurch dauerte, sondern nur ein nach Mitternacht begonnenes und noch während der Dunkelheit vorübergehendes war. In der dritten Nowgorod’schen Chronik: wird die Erzählung derselben Begebenheit für dasselbe Da- tum wiederholt”), ist aber von den Herausgebern der Chronik mit der in der zweiten Nowgorod'schen Chronik mitgetheilten verschmolzen worden. Ferner setze ich noch den Bericht der Chronik N i- kon's vollständig her, welcher deren Compilator in einer andern Fassung vorgelegen haben muss. Es heisst daselbst unter der Überschrift: «Ein sehr schreck- liches Zeichen», wie folgt”): «Im selben Frühlinge des Monats Mai am 19., am «Sonntage des Festes aller Heiligen, geschah in Gross- «Nowgorod um Mitternacht ein grosses Beben. Eine «Gewitterwolke stieg von Süden in der Luft auf, es «ward sehr dunkel bei furchtbarem Donner und glän- «zenden Blitzen, so dass es unmöglich war, sich umzu- «schauen (wörtlich: so dass es unmöglich war, hindurch «zu schauen), und die Menschen glaubten, dass sie von «jenem Feuer verbrannt werden würden. Und nach- «dem die Gewitterwolke gekommen war, blieb sie über «der Stadt stehen und verwandelte sich aus einer re- «genbringenden in eine feurige Erscheinung. Die Leute «aber glaubten alle, dass die Flamme die Sünder ver- «zehren würde und erschreckten sich, fingen an zu ru- »fen: «Herr, erbarme dich u. s. w.» und brachten viele «Gebete und Gelübde dem Herrn und seiner allerrein- «sten Gottesmutter und allen seinen Heiligen dar. Und «es war viel Regen und ein grosser Hagel, und Steine «erschienen aus den Wolken und fielen auf die «Erde. Der Erzbischof aber, Ssemeon, mit dem ge- 20) Honropoack. rpersa abronnch in d. Iloas. Co6p. pyccx. ۰ T. DI. pag. 237. 21) Pycckaa 35100065 no Hu 0 8027 61۱۲۱6۲۲ ¥. V. CII6. 1789. (H3xagie uox» ceuorpbuiews ۰ Axaaexiu Hayk».) pag. 71. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 537 «Festsonntag aller Heiligen verflossen war, am Vor- «abend der Petersfasten, als die Mitternacht zum Mon- «tage angebrochen war, ein grosses Beben am Him- «mel. Es war eine starke Gewitterwolke von Süden «her aufgestiegen, und es brach furchtbarer Donner «los, und feurige Blitze erglänzten vom Himmel, wie «sie von Menschen nicht gesehen werden. Und als sie «über die Stadt gekommen war, blieb sie stehen; dann «aber ging die gewitterbringende Wolke in eine feu- «rige Erscheinung über, und die Leute dachten, dass «Alles in solchen Wolken vom Feuer erfasst, oder dass «die Flamme die Sünder verzehren würde; und da die «Menschen vor Schreck sich fürchteten und sich ent- «setzten, riefen sie alle: Herr, erbarme dich! Es war «ein.starker Regen und Hagel, dann aber erschie- «nen auch Steine aus der Wolke. «Dieses alles war zu unserer Bestrafung eine Fü- «gung des barmherzigen Gottes, der nicht den Tod «der Sünder will, sondern der uns schreckt und uns «droht, bisweilen jedoch auch uns bestraft: denn nur «grosse Noth und der bitterste Kummer schüchtert «den Menschen ein, und bringt ihn zum Glauben und «zur göttlichen Gnade. Gleichwie nun aber jetzt eine «grosse Noth hereingebrochen war, so ergriff‘ die Bür- «ger eine nicht geringe Furcht, und sie sprachen, dass «eine solche Noth ausgangslos über sie gekommen "). «Die Geistlichen aber, und der Erzbischof selbst be- «gaben sich in die heilige göttliche Kirche, beteten «zu Gott und zur allerreinsten Gottesmutter, indem «sie sprachen: Schone, Herr, deine Menschen, o Herr- «scher! Sieh die Noth und übe Menschenliebe, sieh «auf uns mit gnädigem Auge und sei freigebig! — die «Menschen aber flehten seufzend: Herr erbarme dich! «Als die Nacht aber zu Ende ging, war die schreck- «liche Erscheinung nicht bis zu ihrem Ende sichtbar; «es kam der Tag und brachte grosse Stille und Freude; «es erschien die Morgenróthe, zugleich auch das Ta- «geslicht, und darauf erglänzte die Sonne; die feurige «Erscheinung aber war nicht bis zum Ende sicht- «bar....» Der vorstehende Bericht, von welchem der in der 19) Der Herausgeber der Chronik bemerkt zu dieser Stelle, «dass der Sinn derselben in Folge starker Verderbniss des Textes dunkel ist» 1 540 schiedenes von dem bereits Mitgetheilten enthält”) und mit dem Wortlaute der Nicon'schen und zweiten Nowgorod’schen Chronik zum Theil zusammenfällt. Nur geschieht hier der Erwähnung des یب‎ mit keiner Silbe ?). Man kónnte die vorstehenden Berichte verschie- dener Chroniken nur als die Darstellung eines aus- serordentlichen Hagelschlages ansehen, wenn nicht die Bezeichnung «Steine» ausdrücklich neben dem «Hagel» gebraucht worden wäre. Wenn wir sie mit einander vergleichen, so ergiebt sich, dass sie ein- ander ergänzen, bis auf einen nicht unwichtigen Punkt, in welchem Widerspruch herrscht, nämlich in Bezug auf den nach der Angabe der Chroniken stattgefundenen Regen, und der verschiedenen Be- zeichnungen für denselben. Der gleichzeitige Vor- gang eines Gewitterregens und Aérolithenfalles wäre insofern sehr bemerkenswerth, als bei den bisher be- kannten und beobachteten Meteoritenfällen fast durch- weg ein heiterer Himmel angegeben wird. Die seltenen Aërolithenfälle der Neuzeit, welche sich durch die Menge der gefallenen Steine auszeichnen, wie der von Laigle in Frankreich im Jahre 1803, und andere, geschahen gleichfalls bei heiterem und klarem Wetter, was freilich darin begründet sein mag, dass bei schlech, tem Wetter, wie zur Nachtzeit, wo ein solches sel- tenes Phänomen besonders glänzend auftritt, die wenig- sten Menschen im Freien sich befinden, und es daher zu solchen Zeiten kaum zur Wahrnehmung gelangt. In den von uns benutzten Chroniken wird der Aus- druck 02616 8231071۸6871 in der ersten Nowgo- rod'schen Chronik gebraucht; dagegen steht 57 0830831 in den beiden Chroniken (der Nowgorod'- schen-Golitzyn'schen und der zweiten Nowgo- rod'schen), die mit der ersten Nowgorod'schen dem Texte nach am meisten übereinstimmen, während die Chronik Nicon’s den Ausdruck 10131 57 gebraucht. Ebenso hat auch die von Karamsin be- nutzte handschriftliche Chronik 107715 npampy AeH b, wührend wir in der mit ihr am meisten im Texte übereinstimmenden zweiten Pskow’schen Chronik das 22) Coœiñcrif Bpevauuuk nan pycekas bronce c» 862 no 1534 € Han Ilnasea5 02۵068, MockBa 1820. 1.1. pag.453. 23 oilickas propas xbrouues, in der Ioan. ve "e abron. T. XL 1853. pag. 142. Bulletin de l'Académie Impériale 559. «heiligten Clerus und alle gottesfürchtigen Leute gin- «gen in die Kirche der göttlichen Allweisheit, fielen «nieder und beteten mit Schluchzen und vielen Thränen «aus der Tiefe des Herzens. Also thaten es auch in «den übrigen Kirchen die Geistlichen und das Volk, «und so verging diese Nacht mit ihrem Schrecken. Es «brach der Tag an, es ward hell, und es ward eine Stille; «die feurige Gewitterwolke war nieht mehr sichtbar, «und kaum kamen die Leute wieder zu sich von jenem «Schrecken. Lasset uns also Furcht haben, wenn wir «dergleichen schreckliche Begebenheiten hóren und «lasset uns lernen, Gutes thun und die Gebote des «Herrn halten, und es wird uns wohl gehen.» Bnamenue 0110014140 3640 (xBTo 6929). Tobx 8۵0861 1560818 Maus 8 OI. 16868 8 7606 B Hpa3HUKb BCEXB CBATHIXE Bb BeJHukow b ۲۱02۲0۵026 B» uo1yHBomu 631615 rpycb Bemi. Ha 80315766 8321716 Tyua C HoXyAHe TeMHà CILIHO 3610 3 TPOMOMB CTDAIIHbIMb H C ١۲٥02802-۷۷8 6107310100: AKORD A mpoapbru 86110980 65, A gank, geJOBbKOM' b CORGREHHbIMb ÖbITH Ort ۶ 080170. M upumerB 618 57 TPALOMB, H U3MeHHCB ۵ OTB 1072180618 Hà 071808806 8115186: 11017167156 0 JAWIE 1180316210 ÓbITH 1۱0251۲2101۲۲۲ ۲۵5 H yaco- 1186۶, Hayamıa BONATA 1 06000111 10111117 M 1001381, 0 11016818 u 06 mpugomaxy 1 06110268۲ m npeuscre ero marepn boropojgumb: m BCEMB CBATBIMB ero. H 5 AOXRAb MHOI'b H 1۲0317 BeJHH, H KAMeHHe ABJAUIECE 0 0618۵ 083818866 Hà 3611110 : apximemuckymrb We Ceweomb C CBAILLeHHBIMb 6060000105, H BCH 007000831126118 6 BEINE B HepkoBP npewyJpoeru 00:8, HAND Tale CO MHOTHMH CJe3aMH 1135 PJXyÓHHbI 0607188 CO BO3JBIXAHHeM' 11031810666. Tako:b M Ho 8001047 HepkBaMb CBAILCH- HHIIBI H 310116 TBOPAXY, M TAKO 106۲6 101715 Ta C CTPA- xoMb obt, [IpHXOMAMY Rb AHIO u BO3CHA 6085175, u ÓbICTb THIIUHà; TyJàx&b OHà OTHCHAA 16818 ÖbICTb, U exBa mogne B 6665 npmuioma OTB crpaxa 08010. Yerpa- mmmca y6o 1787086۰18 11۵8601۲ CTPAIUHPIA 615173016 , H Hayumwcsa Ao6po 1200111 M 331085118 6585 XPAHHTH Aa 61810 1338118 ۰ Dieselbe Begebenheit wird sehliesslich in ähnlicher, ausführlicher und naiver Weise in noch einer andern Chronik, dem Cooiitckiit 1361181117 5, für dasselbe Datum, den 19. Mai 1421, erzühlt, die ich nicht her- setze, da sie in den Thatsachen nichts wesentlich Ver- 542 bekanntlich bei den westeuropäischen Chronisten öf- ters vor. In Verbindung mit Aörolithenfällen finde ich einen rothen Regen *) zweimal erwähnt; doch sind Berichte solcher Art, so lange sie nicht wissenschaft- lich untersucht sind, einstweilen von untergeordnetem Werth. Die erwähnten beiden Fälle durch den von Ehrenberg vielfältig bearbeiteten, aus Südamerika stammenden rothen Staub des sogenannten Dunkel- meeres zu erklären, dürfte darum kaum zulässig sein, da eine solche Erscheinung nicht local, sondern in wei- terer Verbreitung aufzutreten und zur Beobachtung zu gelangen pflegt. Berichte von «feurigem» Regen sind auch vorhanden, aber seltener. Die Richtigkeit der oben angenommenen Bedeutung von 107416 10311071687 (feuerfarbener oder feuri- ger Regen) in der ersten Nowgorod’schen Chronik wird indess, wie wir gesehen haben, durch die andern Chro- niken in Frage gestellt, namentlich durch die Inter- pretation jenes Ausdrucks in der ausführlichen Erzäh- lung, welche der 2. und 3. Nowgorod'schen Chronik, so wie der Nicon'schen Chronik einverleibt worden ist, durch 404b ciuem, MHOrb (starker Regen). Es sind daher, abgesehen Yon der ursprünglichen und eigentlichen Bedeutung des vom ersten Nowgorod'- schen Chronisten gebrauchten Ausdruckes, auch die Beziehungen der einzelnen obenerwähnten Chroniken unter einander für die Entscheidung der wahren Aus- legung des Wortes npampy ems von Wichtigkeit. Hr. Kunik hat auf meinen Wuusch sich der Mühe unter- zogen, seine Ansicht von der Bedeutung jenes selten vorkommenden kirchenslawischen Wortes náher zu be- gründen. Er ist dabei durch eine eingehende verglei- chende, historisch-sprachliche Untersuchung noch zu einer andern als der von Wostokow und Miklosich angegebenen Bedeutung des Wortes 13171 1811 ge- langt, und wird dieselbe in einer besondern Abhand- lung mittheilen. Hier aber setze ich die mir von ihm 24) Dr. Kesselmeier (Abhandl. der Senkenbergischen Naturf. Ges. Bd. III. S. 426) erwähnt nach Chladni (Über Feuer- meteore u. $. w., Wien 1819, S. 303 u. 377) nur eines sicher con- statirten Falles von rothem Regen, der aus einer rothen Wolke nebst Staub und mehreren Steinen unter Donnerschlügen bei Cu- tro in Calabrien 1814 am 14. März herabfiel. Als zweiter Fall wäre der von Murakóz an der Grenze zwischen Steiermark und Ungarn zu Ende August 1618 stattgefundene zu rechnen, bei wel- chem unter Donnerschlägen aus einer. Feuerkugel drei Centner schwere Steine und eine rothe schlammige Masse herabfielen. (Kes- selmeier a. a. O. S. 415. Chladni, a. a. O. S. 220.) des Sciences de Saint- Pétersbourg. 541 Wort 10:&15 ohne Beiwort, so wie den Ausdruck ryya 1016838 vorfinden. In der Sophien-Chronik wird endlich des Regens gar nicht erwähnt. Da die erste Nowgorod'sche Chronik in der Reihe der Nowgorod'schen Chroniken die älteste ist, so kommt es auf die wahre Bedeutung des in ihr ge- brauchten Ausdrucks npanpy 1681 hier sehr viel an. In Wostokow's kirchenslawischem Wörterbuch und in Miklosich’s Lexicon palaeo-slovenicum wird npa- 1071818 durch 7٥ و نا هډ دې ټ‎ purpureus, wiedergegeben; es müsste also heissen ein «purpurfarbener Regen». Da aber das Phänomen in der Nacht geschah und die Farbe nur als Lichterscheinung sichtbar sein konnte, so dürfte es feuerfarbener oder feuriger Regen heissen, welcher sowohl durch das Zerspringen der grósseren Aérolithen in kleinere Stücke, als auch durch die, hinter den fallenden und im Dunkeln leuchtenden Aérolithen, herziehenden Licht- und Funkenstreifen gebildet wurde, worauf auch die Worte zweier ande- rer Chroniken «rysemocubHt 0613151 Hà OrHeHHOe BH- 18196 mperoxuca» hindeuten. Auf dieser Grundlage habe ich jene Bezeichnungen in der Übersetzung an- gewendet. Hr. Kunik, den ich nm seine Meinung wegen der Bedeutung der Worte a 105556 1030071685 « anging, war anfangs, ehe er die Stelle nüher ansah, nicht abge- neigt, dieselben durch «rother Regen» oder «Blut- regen» wiederzugeben. Nur musste ich dagegen be- merken, dass die rothe Farbe des Regens in vorlie- gendem Falle nicht während des Phänomens, sondern erst nach Beendigung desselben, an rothen Flecken oder Wasserlachen bei Tageslicht hätte erkannt wer- den können. Am 19. Mai-ist zwar in der Breite von Gross-Nowgorod (58° 34’) während der ganzen, vom Untergange bis zum Aufgange der Sonne kaum sechs und eine halbe Stunde (6 Stunden 24 Minuten) dauernden Nacht eine Dämmerung, welche bei klarem Himmel die Erkennung der rothen Farbe gewiss ge- stattet; in unserem Falle aber wird ausdrücklich in zwei Chroniken erwähnt, dass durch die heraufge- zogenen Gewitterwolken (ryum) die Luft so verfin- stert wurde, «dass die Menschen nichts sehen konn- ten», oder «dass es unmöglich war, hindurch zu se- hen». Der Ausdruck «Blutregen» als uueigent- liche Bezeiehnung für durch verschiedene Ursachen rothgefürbten Regen ist im Volke geläufig und kommt 544 lich angeführt wird, wenn nicht gerade auch vom Hagel die Rede wäre, der im Beginne meistens von einem Regen eingeleitet zu werden pflegt. Bezeichnend ist hierbei die Nichterwähnung des Regens in der So- phien-Chronik, deren Bericht freilich nur von secun- därem Werth ist. Bei dem grossen Phänomen von Ustjug -Weliki; Gouv. Wologda, im 13. Jahrhundert, von dem eine Kirchenlegende ausführlicheren Bericht giebt, wird des Regens auch mit keiner Silbe erwähnt. Dieser letztere Fall hat viel Analoges mit dem von Gross-Nowgorod. Beim Ersteren waren die Dimen- sionen der gefallenen Steine bedeutender, als beim Letzteren. Die für das russische Volk und den dama- ligen Zeitgeist in so characteristischer Weise auf die Gemüther sich äussernde Wirkung beider Aérolithen- fälle ist ganz gleichartig. Ich mag hierbei die Bemer- kung nicht unterdrücken, dass die künstlerische Dar- ` stellung einer solchen seltenen Naturbegebenheit ein sehr geeigneter Gegenstand für den Pinsel von der Art eines Bruni, Brülow oder Horace Vernet sein würde, und da er auf einer culturhistorisch reellen Basis beruht, zum wenigsten an künstlerischen Mo- tiven nicht minder reich, und dabei würdiger zu sein scheint, als einzelne der bisweilen naturwidrigen, ob- wohl meisterhaft ausgeführten Werke des erstge- nannten Künstlers. Anhaltspunkte zur Darstellung der Naturerscheinung selbst finden sich bereits.in bild- lichen Darstellungen des Falles einzelner Meteoriten, welche von gebildeten Beobachtern unmittelbar nach der Erscheinung entworfen, aber schwerlich über die engeren wissenschaftlichen Kreise hinaus bekannt ge- worden sind, wie z. B. die schóne von Hrn. v. Hai- dinger mitgetheilte Chromolithographie ”) des vom Lieutenant Aylesbury, von der brittischen Fregatte Semiramis, um halb drei Uhr Morgens, am 27. Dec. 1857,bei Quenggouk an der Küste von Pegu in Hin- terindien beobachteten Meteoritenfalles, von dem die Steine sich jetzt im British Museum zu London befinden. 4) Fall bei Woronatscha, Gouvernement Pskow, 1426. — Während der Belagerung von Woronatscha im Lande der Pskower, durch Witowt von Litthauen im 25) Sitzungsberichte der math. MIA Kl. der K. K. Akademie zu Wien 1861. Bd. 44. II. Abth. S. 6 Bulletin de l'Académie Impériale 543 gegebene Auseinandersetzung über das gegenseitige Verhültniss der verschiedenen Chronikenberichte her. «Das Verhältniss aller dieser Berichte zu einander «stellt sich folgender Maassen heraus. In die eigent- «liche Chronik von Nowgorod wurden nach altem «Brauch nur kurze Notizen über die Ueberschwem- «mung (21. April 1421) und über das Donnerwetter «(in der Nacht vom 18. zum 19. Mai) aufgenommen, «und am ursprünglichsten haben sich dieselben wohl «in der sog. ersten Nowgorod’schen Chronik er- «halten. Von einem Geistlichen aber, der sich selbst «für einen Augenzeugen (H»inb xe . . . Hanna oua) «ausgiebt, wurde eine besondere Schilderung von die- «sen Ereignissen abgefasst, welche zur Kategorie der «sog. Crasania gehört und als besondere 110856756 in «einige jüngere Redactionen der Annalen von Now- «gorod und nachher auch in verkürzter Form in die «sog. Nicon'sche Chronik aufgenommen worden ist. «Am wenigsten entstellt hat sich diese Ckaaanie in der «sog. zweiten und dritten Chronik von Nowgorod er- «halten, aus denen sie auch in dem 3. Theile der «Iloanoe Coópanie pyeck. abron. (pag. 138 — 139) ab- «druckt worden ist. Vergleicht man aber 06 6 «näher mit der ersten Hälfte der annalistischen Auf- «zeichnung in der sog. ersten Nowgorod'schen Chro- «nik, so stellt sich heraus, dass entweder der dama- «lige Fortsetzer der Hauptchronik von Nowgorod und «der Verfasser der CKasanie ein und dieselbe Person «war, oder dass dem Annalisten schon die Crasanie «vorlag, und zwar in einer ursprünglicheren Gestait, «als wir dieselbe jetzt besitzen; denn darüber kann «kein. Zweifel امه‎ Meer der Ausdruck ao:Kıb d !)in der 1.Nowgor. « Chronik keine spätere Inferpr etation des Ausdrucks » 10516 608160871 (= starker Regen, Gussregen) in der «Cka3auie der 2. und 3. Chronik, oder des Ausdrucks » 5076 MHOP (= grosser Regen) in der verkürzten «Ckaaangie der Nicon’schen Chronik ist, sondern dass «das Umgekehrte angenommen werden muss. Auch «die so genauen chronologischen Angaben in der Cra- «zanie sprechen für die Originalität derselben.» Da nach der vorstehenden Mittheilung der Aus- druck 10x18 npanpyaeH» allein Geltung hat und die übrigen Bezeichnungen des Regens für uns ohne Werth sind, so würde hieraus hervorgehen, dass bei diesem Aérolithenschauer gar kein Wasserregen ausdrück- (fast ein vaiu 546 schlagen. Die Sache wird von Oderborn, dem Ver- fasser der Chronik, aus welcher auch Karamsin ge- schópft, und. dessen Originalbericht nebst deutscher Uebertragung ich hersetze, in der abergläubischen Fas- sung jenes Jahrhunderts folgendermaassen erzählt”), wobei ich, um des vólligen Verstündnisses der Bege- benheit willen, auch den erwühnten Bericht vom Ein- schlagen des Blitzes (Donnerpfeils) hinzufüge: «Auch ein Komet, der einige Monate vorher am Him- «mel erblickt wurde, schien zu verkünden, dass den «Moskowitern etwas Schreckliches bevorstehe. Darauf «zerstörte ein Blitz aus heiterm Himmel am Tage der «Geburt Christi die schóne grossfürstliche Wohnung «Sloboda, und das an kostbaren Sachen reiche, dort in «Verwahrung befindliche Hausgeräth, wurde vernichtet. «Der Blitz drang der Art in das Schlafzimmer des «Zaren Johann Wassiljewitsch, dass er eine Urne «zerstörte, welche die Namen der zur Willkür des Für- «sten bestimmten Gefangenen enthielt. Auf die Mel- «dung hiervon erbleichte der Tyrann, und da er sich «sehr fürchtete, gerieth er in sehr grosse Seelenauf- «regung, indem er, beunruhigt durch das Bewusst- «sein böser Thaten, aus geoffenbarten Wunderzeichen «auf eine bedeutende Veränderung seiner Lage schlies- «sen zu dürfen glaubte. : «Besonders bemerkenswerth ist auch, dass vordem «bei der Stadt N alio?) Anzeichen von Krieg und Unru- «hen geschahen. Drei Münner und eben so viel Frauen «waren in den benachbarten Wald gegangen, um, wie «es bei jenen Barbaren Brauch ist, Holz in die Stadt «zu bringen. Als sie in der Abenddümmerung nach «Hause zurückkehrten, vernahmen sie eine Stimme: «Fliehet, Moskowiter! Da sie, hierdurch erschreckt, «beschleunigten Laufes die Stadt erreichen wollten, fiel «ein grosser Marmorblock, wie er bei Deutschen und «andern Völkern als Grabstein im Gebrauch zu sein «pflegt, mit einem Blitzschlag aus der Luft auf die Erde «und in den Schnee, derart, dass er nicht im heftigen «Wirbelsturz, sondern auf künstliche Weise hingelegt «zu sein schien. Auf ihm war in unbekannten Schrift- 28) Rerum Moscoviticarum auctores varii, unum in corpus nunc primum congesti. Frankof. 1600. (MDC.) p. 293. (Joannis Basilidis Magni Moscov. Ducis vita, conscr. a P. Oderbornio. 1585). 29) Karamsin fügt hier hinzu: «Wahrscheinlich Nalejek oder die Samoskworjezkaja Sloboda», d. h. die Vorstadt jenseits des Mo- skwaflusses. 8 des Sciences de Saint-Pétersbourg. August des Jahres 6934 — 1426 nach Chr., muss gleichfalls ein Aérolithenfall stattgefunden haben, wie aus folgenden Worten der zweiten Pskow’schen Chronik hervorgeht *9), | H Tako nawama 100356 Kb ropoxy barn: mymkawH maaa m nópokawu. M mpmembsmu momu, m 651615 ۹۱010 07081150: BHe3aamy 88016 Tyya CTPAMHA u ۲۳03112 ر‎ H 1075156 CHJeHb M TPOMB 070311615, 11 5157 0030820073528 Ouucras, AKO MHbTU ye BCÉM OTB 0 10101361186111 51 ÓbiTH, ۵38 OTB rpowy KaMeHieMB roóie- HBIM'b ÓBITH, LIH OTb 111521118 0 «Und so begannen sie energischer gegen die Stadt «zu stürmen, indem man sie durch Ballisten und mit «Katapulten berannte. Und als die Nacht hereingebro- «chen war, ereignete sich ein fürchterliches Wunder: «es zog plótzlich eine furchtbare und drohende Ge- «witterwolke herauf, und es war ein starker Regen «und schrecklicher Donner, und Blitze erglänzten un- «aufhörlich, so dass schon Alle meinten, vom Regen «ertränkt, oder vom Donner mit Steinen erschla- «gen, oder von den Blitzen verbrannt zu werden.» Wegen der laconischen Kürze, mit der von Stei- nen gesprochen wird, könnte dieser Fall zweifelhaft erscheinen. Ich habe aber nicht angestanden, ihn hier mit aufzunehmen, da die russischen Chronisten durch- weg ungemein kurz, bündig und positiv sich auszu- drücken pflegen, und nur in höchst seltenen Fällen einige Beschreibungen geben. 5) Steinfall bei Nalejek, einer Vorstadt von Moskau, Weih- nachten Karamsin erwähnt”), dass im Jahre 1582 zur Zeit des Zaren Johann Wassiljewitsch II, mit dem Beinamen des Grausamen, am Weihnachtstage dieses Jahres bei hellem Sonnenschein ein Donnerpfeil (rpo- MoBas cTphua) das Schlafzimmer des Grossfürsten in der Alexandrow’schen Slobode bei Moskau anzündete, und dass ungefähr zur selben Zeit in der Nähe von Moskau ein enormer Grabstein mit geheimnissvoller unerklärbarer Aufschrift vom Himmel gefallen sei, welchen der erstaunte Zar selbst besehen und darauf seiner Leibwache befohlen habe, den Stein zu zer- 26) 1161086 588 BTOPAA 351001167۶ in der Iloım. Coop. ۰ . T. V. Seite ۰ im 16 2 0 ۵ ۷ 3 1۷ 15 s, Heropia Pocciäñcx. 756 Han, 5-0۵ pt 062 xz. H. Dünepannra. 0116. 1843. Tox. IX. ۰ V. Seite 207. Tome XI. 548: «schriebene Räthsel lösen könnten. Aber da auch jene «die unbekannten Schriftzüge nicht entziffern und den «verborgenen Willen der Gottheit offenbaren konnten, «hofften sie durch Auslegung auf’s Gerathewohl die «Freiheit zu erlangen, und wendeten sich mit folgenden «Worten zum Fürsten selbst: «Du siehst hierin die Ver- «« wüstung des Landes, daher schweige und gedenke die we Gottheit zu versöhnen. Denn diese Zeichen beziehen ««sich auf deine Völker und auf dein Reich.» Jener, «durch eine so unangenehme Antwort und schreckhafte «Vorbedeutung erschüttert, rief sogleich seine Leib- «wache herbei, befahl ihr, den Stein in Stücke zu schla- «gen, und begab sich alsbald fort von hier, indem er «so das vom himmlischen Ermessen bestimmte dro- «hende Verhängniss durch menschliche دی‎ OEE «vereiteln zu konnen glaubte.» Nam et crinita stella paulo ante aliquot menses in aére conspecta horrendum aliquod Moschorum genti portendere visa est. Fulmen deinde subitam secum coeli serenitatem adducens, ipso Christi natalitio Slobodam speciosam magno- rum Ducum habitationem, cum terribili ingentium struc- turarum et trabium ruina disjecit, rerumque pretiosarum splendidissima supellex, quae ista in munitione asservaba- tur, de coelo tacta et consumpta est. In elegantiori vero camera cubiculum Basilidis ipsius, ubi lectus erat, fulmen intravit, adeo caute pererrans, ut ipsam simul urnam fe-. riendo disjiceret, qua captivorum nomina ad libidinem forte Principis educabantur. Expalluit ad eum nuncium tyran- nus, et cum sibi magnopere timeret, in maximam animi perturbationem incidit, utpote qui scelerum conscientia exagitatus, ex manifestis quoque prodigiis insignem rerum suarum commutationem facile praevideret. Praecipuae ad- mirationis etiam illud est, quod haud procul ab oppido Nalio ante haec initia motusque bellorum accidit. Egressi erant in proximam sylvam viri tres et totidem foeminae, ut, sieuti barbarorum istorum mos est, ligna in urbem ad- ve eherent. His crepusculo vespertino domum redeuntibus vox sine ullo autore ad aures pervenit: Moschi, fugite, qua territi cum citato cursu oppidum petere vellent, lapis in- gens marmoreus, qualis apud Germanos aliasque nationes mortuorum sepuleris imponi solet, ictu fulminis ex aére in terram ita est propulsus, et in nives decidit, ut non tur- bine violento, sed fabrili artificio depositus esse videretur, in eo ignotissimis characteribus, literaque fugiente scir- pus vel potius epitaphium descriptum fuit, significans haud dubie, Moschorum sepeliendum esse imperium. Ad ictum saxi cadentis tres viri exanimati fato praecipiti interiere, quorum corpora humi per aliquot dies, neque odore tetro, neque deformi adspectu mutata, jacuere. Ipsae quinetiam foeminae novitate monstri perterritae, eodem in loco con- ciderant, sed mox resumpto spiritu, cum nivem sanguineis guttis aspersam cernerent, nocte concubia pavido regressu ad civitatem delatae cum ejulatu rem omnem in dads patefecerunt. Bulletin de l'Académie Impériale 347 «zügen und mit undeutlichen Buchstaben ein Räthsel «oder besser eine Grabschrift dargestellt, die ohne «Zweifel bedeutete, dass das Reich der Moskowiter «untergehen müsse. Beim Aufschlagen des niederfal- «lenden Felsblockes fielen die drei Männer leblos nie- «der. Ihre Körper lagen einige Tage hindurch ohne «schlechten Geruch und ohne äussere Entstellung auf «der Erde. Selbst auch die Frauen, erschreckt durch «die Neuheit des Ungewöhnlichen, waren hingefallen, «erlangten aber bald ihre Lebenskraft wieder, und da «sie den Schnee mit Blutstropfen besprengt sahen, eil- «ten sie furchtsam zur Stadt zurück, und mitten in der «Nacht dort angelangt, thaten sie mit lautem Weh- «klagen das Geschehene kund. «Zur Untersuchung dieser Sache strömten Alle zu «dem bezeichneten Ort, fanden die auf der Erde ausge- «streckten Leichen, das auf den Schnee gespritzte Blut «und auch den Leichenstein, und gewarnt durch die «dreifachen Anzeichen und getröffen von den sichern «Beweisen ungewöhnlicher Erscheinungen, sahen sie «ahnungsvoll den Untergang des Vaterlandes und einen » wenig glücklichen Erfolg der eigenen Angelegenhei- «ten voraus, Selbst Johann Wassiljewitsch, der «gewohnt war, die göttlichen Zeichen zu verachten «und seine Einsicht der himmlischen vorzuziehen, war «von der Aufregung einer zaghaften Seele ergriffen und «glaubte, dass die Zahl der Wunderzeichen die Zahl «der Unglücksfälle bedeute. Nur mit grösster Anstren- «gung bewogen seine Räthe ihn, der schweigend und «traurig zu Hause sass, sich an den Ort zu begeben, «wo der Stein lag. . «Den inständigen Bitten seiner Vertrauten endlich «nachgebend, begab er sich mit dem Metropoliten und «seinen Sóhnen aus der Stadt und betrachtete selbst «den mit Blut befleckten Schnee und den Stein. Be- «stürzt hierüber, fragte er sogleich nach der Bedeutung «dieser seltsamen Erscheinung. Da die Männer sich in «Vermuthungen äusserten, befahl er dem Metropoli- «ten, die in einander verfliessenden und unbekannten «Schriftzeichen zu erklüren. Jener erwiederte sogleich «nicht ohne grosse Furcht, dass er es nicht wisse. Daher «liess er am folgenden Tage zwei kriegsgefangene Pre- «diger aus Kokenhusen und Oberpahlen, die ihrer Ge- ‘«lehrsamkeit wegen sogar bei den Barbaren berühmt «waren, herausführen und versprach ihnen die Frei- «heit und Geschenke, wenn sie das auf den Stein ge- 350 als Grabstein hat sicherlich die von der geschmolzenen | Brandrinde bedingte, äusserlich rein schwarze Farbe | Unheil verkünden sollenden Erscheinung eines Kome- ten, der Schreckensherrschaft Johann's des Grausa- men und den Einfluss der Priesterschaft in jener Zeit, nicht ausser Acht zu lassen ist. Die vermeintliche unentwirrbare Aufschrift des Steines «in unbekann- ten Schriftzügen und mit undeutlichen Buchstaben», welche dém Zaren Johann dem Schrecklichen Ent- setzen verursachte und den Metropoliten, wie die übri- gen Gelehrten in ausgangslose Verlegenheit brachte, findet ihre Erklärung in den eigenthümlichen, oft ziem- lich regelmässig verlaufenden und scharf ausgeprägten länglichen Vertiefungen, welche sich auf der Ober- flàche mancher Aérolithen zeigen, und welche wir zur Zeit noch immer nicht mit Sicherheit zu erklüren wis- sen”). Die Bezeichnung des Steines in der Chronik als «Marmor» kann selbstverstündlich für uns keinen Werth haben. Sie rührt aus einer Zeit, die noch fern von derjenigen lag, in welcher man zur klaren Begriffs- anschauung von Kalkcarbonat und Chlorwasserstoff- säure gelangte. «Marmor» war damals eine Collectiv- bezeichnung für verschiedene Gesteine, die mehr oder minder dem ächten krystallinischen Marmor ähnlich sahen. Sehr viele Aérolithen haben auch auf den er- sten oberflächlichen Blick nach Entfernung der schwar- zen Aussenrinde ein entschieden marmorähnliches Aus- sehen, welches den Unkundigen täuscht. Da der Stein nicht tief in den Schnee eindrang, wie berichtet wird, so muss er unter einem sehr spitzen Winkel auf die Erde herabgekommen sein, ähnlich den Steinen von Stannern in Mähren im Jahre 1808, oder denen von Blansko im Jahre 1833, und auch, wie diese, von specifisch leichterer Beschaffenheit ge- des Scienees de Saint-Pétersbourg. wesen sein; er würde sonst auch nicht so ohne weite- res von der Leibwache des Zaren haben zerschlagen werden kónnen. Dass die sechs Menschen vor Schreck besinnungs- los niederfielen, ist unter solchen Umständen psycho- 30) Ein schönes Beispiel der Art liefert der Aörolith Karakol, gefallen in der. sibirischen Kirgisensteppe am 27. April (9. Mai) 1840, welcher sich im mineralogischen Museum der Akademie befindet ; s. dessen Abbildung in der Krit. Übers. der im Besitz der Kaiserl. Akad. der Wiss. befindl. Aérolithen, Bullet. de l'Acad. Imper. des sc., T. XI, pag. 222. 35* 349. locum, in quo lapis erat, proficisceretur. Tandem constantibus familiarium precibus compulsus, sacrorum principem filiosque suos extra civi- tatem duxit, maculosasque sanguine nives et lapidem ipse adspexit: statimque attonitus, quidnam monstri esset, et quid portenderet, interrogavit. Haerentibus in conjectura viris, Metropolitae mandat, ut, quid literae exolescentes et incognitae velint, explicet. Ille statim non sine magno ti- ore nescire se dixit. Igitur sequenti die eductis ex car- cere sacerdotibus duobus, quos in Caconhusio et Overpolo jure belli ceperat, et quorum eruditio apud barbaros etiam celebris erat, libertatem et munera promisit, si aenigma in lapide scriptum interpretarentur. Sed cum nec illi cha- racteres ignotos agnoscerent, nec abstrusam numinis vo- luntatem patefacere possent, fortuito vocis jactu dimissio- nem sperantes, et ad i Principem conversi, Regionis, inquiunt, vastitatem vides, proinde sile, et memento pla- care numen: Pertinent enim haec signa ad populos et im- erium tuum. Perterritus ille tam tetro responso, et omine horrendó, statim satellites inclamavit, jussitque ut lapidem in partes confringerent, protinusque inde discessit, miser profecto, qui imminentem ealamitatem coelesti judicio de- stinatam, humanis consiliis. impediri posse existimavit. Dieser merkwürdige Bericht, so fremdartig und son- derbar er seinem Inhalte nach auf den ersten Blick uns erscheinen mag, erklärt sich jedoch in allen Ein- zelheiten ganz naturgemäss. Er ist auch sehr geeig- net, uns eine lebhafte Vorstellung von den Begriffen und Anschauungen des damaligen Zeitgeistes in Russ- land zu geben. Wir werden auf seine Einzelheiten nur so weit eingehen, als es für unseren Gegenstand noth- wendig erscheint. Dass der in ihm erwähnte, aus der Luft gefallene Stein ein Aérolith war, unterliegt wohl keinem Zwei- fel, und hierin liegt der Schlüssel des Ganzen. Da die sechs Leute durch die gehörte vermeintliche Stimme heftig erschreckt wurden, so muss dieselbe sehr laut und ungewöhnlicher Art gewesen sein, und dürfte ihre einfache Erklärung in den rasch auf einander folgenden, Kanonenschlägen ähnlichen Detonationen finden, welche dem Falle eines Aérolithen vorherzu- gehen pflegen. Zu der düstern Auffassung des Steines 552 «Da ich die Handschrift jetzt nicht bei mir habe, «so kann ich es nicht mit denselben Worten wieder- «geben, wie es dort geschrieben war, gleicher Weise «entsinne ich mich nicht genau weder des Jahres noch «des Datums, sondern nur, dass solches bald nach der «Erbauung jenes Klosters geschah.» Weiter fährt er im Texte fort: «Ich schrieb unverzüglich an den Vorsteher jenes «Klosters und bat ihn ergebenst, mir darüber Auskunft «zu geben, und im Fall jene Steine noch vorhanden «seien, ob es nicht möglich wäre, ein wenn auch noch «so kleines Stück von ihnen abzuschlagen und mir zu- «zuschicken, dabei aber nachzuforschen, ob nicht ir- «gend welche Nachrichten darüber in den Kloster- «chroniken vorhanden seien. Meinem Briefe legte ich «eine Copie aus dem bei mir befindlichen Chronisten «bei, aber zu meinem Bedauern erhielt ich keine ge- «nügende Antwort. Die Beschreibung hat übrigens «nach dem Beispiel früherer schon bekannter Fälle «allen Anschein der Glaubwürdigkeit für sich.» So weit Bornowolokow. Man sieht aus seinem Bericht, dass er sich Mühe gegeben hat, Gewissheit über die Steine selbst zu erlangen. Wegen des in Klö- stern herrschenden conservativen Princips wäre es möglich, dass sie noch verwahrt werden, obwohl ihre Bedeutung im Laufe der Zeit von den Klostergeistli- chen vergessen sein mag. Nach Angabe der von Bor- nowolokow eitirten Chronik hat der Aerolithenfall bald nach der Gründung des Klosters stattgefunden. Solches giebt einen Anhaltspunkt zur ungefähren Be- stimmung der Zeit. Kirill war sechzig Jahre alt, als er durch Anle- gung einer unterirdischen Zelle in einem Haine am Siwers'schen (CmBepckoe) See die erste Anlage zur Gründung des Klosters begann. Anhänger und Mönche sammelten sich nach und nach um ihn, und bauten gleichfalls Zellen. Allmählich ward ein Gebäude auf- geführt. Kirill starb am 9. Juni 1427, neunzig Jahre رازه‎ Hiernach hat der Meteoritenfall mit Wahrschein- lichkeit im ersten oder zweiten Decennium des 15ten Jahrhunderts stattgefunden. Es würe vielleicht nicht unmöglich, dass dieser Aérolithenfall mit dem von Gross-Nowgorod, am 19. Mai 1421 zusammenfiele. Jetzt hat das Bjeloserski’sche Kloster den enormen 32) 1103113 Bb Kupurao-Bhso3eperiä 1108307007۶ BB 1847 7 IIpoe. Ulessipeza. Mocksa 1850. a 1. crp. 144, 148 und 149. Bulletin de l'Académie Impériale 551 logisch recht wohl erklärlich und steht nicht verein- zelt da. Die Männer mochten sodann der Wirkung des Frostes erlegen sein, welcher auch ihre Kórper con- servirte. Ob nicht angeborene Neugier die bewegliche- ren Lebensgeister der Frauen wieder erweckt haben mag? Jedenfalls waren sie weniger der unmittelbaren Wirkung des Steinfalles ausgesetzt als die Männer, und es scheint, dass sie, einer damals noch mehr als jetzt beobachteten Sitte folgend, in einiger Entfernung hinter den Männern hergingen, als der Stein dicht vor diesen niederfiel. Dass die Blutflecken auf dem Schnee in Folge von Blutergiessung von den auf den Schnee hingestreckten Münnern herrühren, wie solches nach plötzlichen Todesfällen durch Schreck oder Erstickung keineswegs ungewöhnlich, ist sehr wahrscheinlich, wenn man nicht ihre Erklärung in der, aber nur selten auftretenden, fleckweise rothen Fürbung des Schnees durch eine microscopische Alge (Protococcus niva- lis Kütz.) finden will. | 6) Steinfall bei dem Bjeloserskischen Kloster des heiligen ` Kirill, zu Anfange des 15. Jahrhunderts. Über einen bemerkenswerthen Meteoritenfall aus dem 15. Jahrhundert berichtet Bornowolokow, Cor- respondent der Akademie der Wissenschaften, im Jahre 1809. Da seine Mittheilung bisher ganz unberück- sichtigt geblieben ist, so theile ich sie zunächst mit seinen eigenen Worten in deutscher Übersetzung mit: Er schreibt wie folgt?'): «Im vorigen Jahre, 1808, «kam mir zufällig eine alte handschriftliche Chronik «des Bjelojeserski'schen Kirillow-Klosters in «die Hànde; in ihr war unter anderem Folgendes ge- «schrieben: «Dass bei einem Dorfe in der Nähe jenes Klosters «ein furchtbarer Sturm sich erhob, die Luft ein Feuer «durchzog in Form brennender 11061761 b «oxJornben?), dass ein fürchterliches Donnern und Kra- «chen erfolgte und vom Himmel Steine fielen, von «denen zweiins Kloster zum Vorsteher gebracht «wurden; der eine von ihnen wurde eingemauert «(BEAAACHB BB Crbuy), der andere aber auf die Vor- halle gelegt.» Dabei macht Bornowolokow folgende. Anmer- kung: | 3 31) Texmozorwweckii MypHaıp, H3XaB, ۰ Araz. HayK. 0116. 1811. T. VIII. o 4. Seite 123. , 554 «Pycckaro s3bika gedeutet, und zwar durch: mwbiomiit «kpacnbrit HBÊTB, 6arpsnbiit (rothfarben, purpurfarben). «Die Verfasser jenes Wórterbuches dachten dabei «offenbar an das auch von ihnen erwähnte kirchen- «slavische npenpyaa (= Purpur, Purpurmantel). Ge- «gen eine solche Deutung des Adjectivum npanpyassıä «muss man aber Bedenken erheben, sobald man in «Erwägung zieht, in welchem Zusammenhange das «weibliche Substantiv npanpyaa in der ersten Psko wer «Chronik gebraucht wird. In ihr wird unter dem J. «1470 ein schweres Gewitter geschildert, und unter «Anderem heisst es: H Guer, TMA CHJbHà M 107816 Npa- «IIpyJ010o Hemckaaaewo cHIeHB (Und es war eine dichte «Finsterniss und [es ergoss sich] ein an Heftigkeit un- «süglich starker Regen). Hier kann, wie aus dem Zu- «sammenhange ersichtlich ist, das Substantiv 54 «durchaus nicht die Bedeutung «Purpur» oder «rothe «Farbe» haben. Am nüchsten scheint es dem deutschen ««Sturz» zu entsprechen, so dass 10168 57 ««ein Sturzregen» sein würde. «Die Copisten der Nowgorod'schen Cxasamie ha- «ben دمم‎ 10800716871 durch (1075168 ClLIeHb, MHOI'b «(— starker, grosser Regen, also gleichbedeutend mit «imber magnus oder maximus) ersetzt. Da dieselben «aber für uns das Gewicht von Autoritäten nicht ha- «ben, so fragt es sich, was veranlasste sie, das Adjec- «tiv npanpyansıä durch ein anderes zu ersetzen, und «wie gelangten sie zu ihrer Interpretation desselben? «Im Altkirchenslawischen (Altbulgarischen) wird «sowohl mit dem weiblichen Substantiv nparpxya, als «mit dem männlichen npanpxur», der Purpur bezeich- «net, und das Adjectiv npanpobms dient zur Wieder- «gabe des griechischen roppupoüg. Das männliche npa- «ups AB ist zusammengesetzt aus dem verstärkenden «Präfix npa (= nimis, per etc.) und dem einfachen «mpxrb, womit das griechische Elektron wiedergege- «ben wurde. Dem Verbalstamme npo liegt die Be- «deutung des Brennens zu Grunde, wie unter an- «derem auch das altpolnische predanie (— das Bren- «nen), das entnasalisirte böhmische prud-iti (— bren- «nen, reizen, beizen) u. s. w. bezeugt. Aus der Be- «deutung des Brennens hat sich aber nicht nur die «des Glänzens, der brennenden oder glänzenden «Farbe, sondern zugleich auch der Begriff des Hitzi- «gen, Ungestümen, Jühen und Schnellen ent- «wickelt. Vergl. z. B. bóhmisch: prud-ina (= ein des Sciences de Saint- Pétersbourg. 553 Umfang von 740 Faden (fast anderthalb Werst), drei- undzwanzig Thürme 18088 den Mauern und elf Kir- chen innerhalb derselben ?). In der ersterbauten und ältesten unter diesen Kirchen müssten die Meteoriten zu finden sein, wenn sie noch vorhanden sind. Für diejenigen, welche dem beregten Gegenstande weiter nachforschen würden, will ich bemerken, dass S. Hochehrwürden, der Archimandrit Pater Pawel, jetzt Bischof von Wologda, mir mittheilte, dass die Nachrichten über diesen Fall in den geschichtlichen Aufzeichnungen des Bjeloserski'schen Klosters, welche im Archiv zu Nowgorod verwahrt werden, zu finden sein würden. Hr. Akademiker Bytschkow, Conser- vator der Handschriften- und Manuscriptensammlung der Kaiserlichen öffentlichen Bibliothek, erklärte mir auf mein Befragen, über diesen Steinfall auch in einer Chronik gelesen zu haben, die indess bei dem des- halb angestellten vorläufigen Nachsuchen in der Hand- schriftenabtheilung der Kaiserlichen öffentlichen Biblio- thek fürs erste noch nicht aufgefunden werden konnte. Nachtrag. Als vorstehende Abhandlung gesetzt war, hatte Hr. Akademiker Kunik die Güte, als Resultat seiner Un- tersuchung mir folgende Aufklärung über den Sinn zu geben, in welchem das Wort 10310118671 zu deu- ten ist: «Das in der ersten Nowgorod’schen Chronik unter «dem J. 1421 vorkommende Adjectivum npanpyAHbık |, «(Xo:RAb mpanpyaemp) lässt sich bis jetzt weder ander- «weitig belegen, noch kommt es in der heutigen «Volkssprache vor, da sonst der feinste Kenner der- «selben, W. Dahl, davon in seinem ToJkoBbrit CJOBADb «KuBaro Bearkopycckaro s35rka gehandelt haben würde. «Auch in der so reichen und in lexicographischer «Hinsicht besser als das Russische bearbeiteten Tsche- «chensprache, stossen wir auf kein entsprechendes «oder irgendwie umgeformtes praprudny. «Zum ersten Mal wurde jenes npanpy 57 der Now- «gorod'schen Chronik in dem noch von der ehemali- «gen Pocciiickas 5 begonnenen und im J. 1847 «veröffentlichten Caosaps lIlepkosHo- CaaBaHcKaro M 33) Ilessıper® a. a. O. Bd. I. S. 137. Beim Aufseher der Klo- Pedir fand. Schewyrew eine handschriftliche Geschichte des 6. Klosters, 1. c. Bd. II. 8. 556 desselben, Hr. v. Baer '): «Die grösste nachweisbare Veründerung ist westlich von der Enge zwischen der Belossaraiskaja und der Dolgaja Kossa und östlich von der Berdänskaia und Jelenina Kossa im Über- gang der Taganroger Bucht, im weitesten Sinne dieses Namens, in das grosse Becken des Asow'schen Mee- res?). Hier sind Abnahmen von 1, 2, 3, 4, ja sogar von 10 Fuss mitten im Fahrwasser seit den Messun- gen Peter's I. kenntlich, wenn man sich ganz auf diese verlassen kann und der damals gebrauchte Fuss vom Englischen nicht sehr abwich, also viel beueu- tendere Zunahmen des Bodens als irgendwo im Busen selbst bemerklich sind. Dieser Zuwachs am Boden kann nur aus dem Taganrog'schen Busen gekommen sein, der ihn fast ganz aus dem Don bekommen haben muss, denn von dem, was durch Wellenschlag und die kleinen Flüsse vom angrenzenden Steppenboden ab- gerissen wird, kann der Sand schwerlich bis in die Mitte des Fahrwassers kommen, wur der Thon wird weiter getragen. Der Thon allein würde aber wohl kaum eine so bedeutende Erhöhung des Bodens er- zeugt haben, wenn sich nicht zu Zeiten Sand bis an diese Mündung des Busens hervordrängte». ` Beide Kommissionen stimmten darin überein, dass das Seichterwerden des Taganroger Busens nicht, wie man irrthümlich angenommen, von dem Ballaste her- rühre, den fremde, auf der Taganroger Rhede ange- kommene Schiffe, wider das bestehende Gebot, statt an das Ufer in das Meer werfen. Die akademische Kommission, deren Mitglied auch ich war, stellte ferner fest, dass in dem Hauptfahr- wasser des eigentlichen Asow'schen Beckens eine Ver- minderung der Tiefe seit Polybius Zeiten (150 vor Chr. Geb.) nicht stattgefunden habe. Beide Kommissionen empfahien schliesslich wissen- schaftliche Expeditionen nach dem Asow'schen Meere zu Schicken, um dessen physikalische und geologische Verhältnisse genauer erkunden zu lassen. Als ich in den Jahren 1863 und 1864 das Nord- ufer des Asow'schen Meeres und die Halbinseln Kertsch und Taman besuchte, hatte ich Gelegenheit, manche, den angeregten Gegenstand betreffende Beobachtung 1) Bulletin de Ac. Imp. d. sc. de St.-Pétersbourg. Tome V: سو SS‏ oq‏ dO. 2) Diese Bucht nennt Danilewsky sehr passend den Liman des Don. Bulletin de l’Académie Impériale 555 «reizbarer, jähzorniger Mensch), prud-ky (= jähzor- «nig, ungestüm, stark, schnell), polnisch: prad — «Schuss, Strom eines Flusses oder flüssigen Körpers) «u. s. w. Das einfache altbulgarische Adjectivum رون‎ hatte die Bedeutungen «rauh, hart, empor- «ragend, steil, schnell». «Da die obigen Formen für «Purpur» und «pur- «purfarben» verhältnissmässig selten gebraucht wur- «den, so blieben sie Manchen unverständlich. Wahr- «scheinlich war der Verfasser der Nowgorod’schen «Ckasauie von 1421 nicht der erste, welcher npa- موی‎ oder das entnasalisirte mpanpyga, so wie das «davon gebildete Adjectivum missverstand — auch «manchen sonst gut unterrichteten Kennern der alt- «russischen Sprache und Literatur ist das Wort npa- «pasa im Sinne von Purpur gegenwärtig unbekannt — «und der es im Interesse russischer Leser vermittelst «der Etymologia vulgaris umdeutete. Solche volksety- «mologische Deutungen dürfen uns durchaus nicht be- «fremden, da für die Schriftgelehrten des 15ten und «der zunàchst vorhergehenden Jahrhunderte die alt- «kirchenslawische Sprache eine todte war und es «ihnen schwer fiel, sich dieselbe bis zu einem gewis- «sen Grade der Vollkommenheit anzueignen. Auch ` «der Verfasser der Nowgorod'schen Ckasamie von «1421 war des Kirchenslawischen nicht sehr mäch- «tig, so dass seine Ausdrucksweise unbeholfen ist. «Jedenfalls ist nicht ausser Acht zu lassen, dass so- «wohl sein Adjectivum 00810716817, wie das Substan- «tivum npanpyza der Pskower Chronik in Verbindung «mit م۲026‎ gebraucht wird». Zur Frage über das behauptete Seichterwerden des Asow'schen Meeres, von G. v. Holmerson, (Lu le 14 mars 1867.) (Mit einer Tafel.) Die in der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaf- ten und in der Kaiserlichen Russischen Geographischen Gesellschaft im Jahre 1861 ernannten Kommissionen zur Erörterung der Frage über das angebliche Seich- terwerden des Asow'schen Meeres, gaben ihre Mei- nung dahin ab, dass eine nachweisbare Tiefenabnahme in dem grossen Becken, seit den ältesten Nachrichten über die palus Maeotis, nicht stattgefunden habe. In dem Berichte an die Akademie sagt der Verfasser 557 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 558 in den Fluss getragen werden. Von Jendowischtsche bis unterhalb Kalatsch fliesst der Don über 600 Werst weit durch die leicht zerstörbaren Schichten der Krei- deformation und der Tertiairperiode. Nach dem Eis- bruche, der am obern Don zu Ende März oder zu An- fang April, am untern jedoch etwas früher einzutreten pflegt, schwillt der Fluss so bedeutend an, dass er z. B. bei der Mündung des Woronesh 12 bis 13 Fuss, bei Katschalinskaia 20 bis 23 Fuss über den Som- merstand erreicht. Zu dieser Zeit unterwäscht er die steilen, aus lockern Sandsteinen, Thonschichten, Mer- geln und Kreide bestehenden Abhänge seines hohen, rechten Ufers und verursacht dadurch, ganz wie es alljährlich an der Wolga aus denselben Ursachen ge- schieht, grosse Abrieselungen und Bergstürze. So z.B. stürzte 1820 bei den Dörfern Anoschkino und Storo- shevo (zwischen Woronesh und Korotajak) ein gros- ses Stück Uferland mit Kreidefelsen in den Don und bildete eine Insel in ihm, da sich der Fluss ein ande- res Bette ausgrub ^. Die frischen Spuren solcher Zerstórungen konnte ich an vielen Stellen des rechten Ufers schen, als ich im Sommer 1864 von Kalatsch den Don hinab bis Ta- ganrog reiste. Auch habe ich hier noch zu bemerken, dass sein Wasser auf dieser ganzen Strecke durch den in demselben suspendirten Thon, getrübt und-von gel- ber Farbe war, so dass man auch an sehr seichten Stellen, an denen unser 2 Fuss tief gehendes Dampf- bot den Boden streifte, diesen nicht sehen konnte. Wie am Hauptflusse, so sind auch an den Neben- flüssen des Don, z. B. am Woronesh, am Choper, an der Medwediza, Ilowlà und am Donez die Uferzerstó- rungen durch Hochfluthen und Schnee- und Regenwas- ser sehr bedeutend. Sie alle fliessen entweder ganz oder doch zum grósseren Theil, wie z. B. der Donez, durch die Kreideformation und führen alle dem Don Thon und Sand zu. Bei W oronesh selbst und von hier abwárts besteht das 120 Fuss hohe, rechte Steilufer des Flusses glei- ches Namens aus einem sehr mürben, braungelben Sandstein, der von den bis 12 Fuss über den Sommer- stand anschwellenden Frühlingsfluthen bedeutend an- gegriffen wird. Auch unterhalb der Stadt richten die Frühlingsfluthen im lockern Boden grosse Verwüs- 4) Stuckenberg c. 1. pag. 162. zu machen, und der Zweck dieses Aufsatzes ist, die Resultate derselben mitzutheilen. In der ersten Ab- theilung werden Notizen über die Zerstórungen mit- getheilt, welche die Hochfluthen an den Ufern des Don und seiner Nebenflüsse bewirken und über die Verwendung des dadurch erhaltenen Materials. In einer zweiten Abtheilung wird von der Beschaffenheit und von der Zerstórung des nórdlichen Ufers des Asow- schen Meeres und in einem dritten von der Beschaf- fenheit und der Bildungsweise der eigenthümlichen, gekrümmten Landzungen (Doc) des Nordufers zu be- richten sein. 1 Der Don und seine Zuflüsse, Der Don soll eine Länge von 1650 Werst haben’). Nachdem er eine verhältnissmässig geringe Strecke im Gebiete der Tulaschen Bergkalkformation zurück- gelegt hat, tritt er oberhalb Dankow in die Kalkstein- etage des Devonischen Systems ein und bleibt in der- selben mehr als 200 Werst, bis in die Gegend von Woronesh, wo das Devonische unmittelbar von der obern (weissen) Kreide und der untern, sandigen Ab- theilung der Kreideformation überlagert wird. Bei Jen- dowischtsche, im Westen von Woronesh, durchschnei- . det das Donthal die beiden Etagen der Kreideforma- tion von oben bis unten, sinkt aber nur unbedeutend in das Devonische ein. Von seiner Quelle bis hierher kann er, da sein Thal meist in festen Kalksteinen liegt, den wenigen Detritus, den er mit sich führt, haupt- süchlich nur aus dem Diluvium erhalten, des die pa- läozoischen Schichten Centralrusslands an vielen Orten unmittelbar bedeckt. Sein Wasser ist auf dieser Strecke,’ so weit ich sie selbst untersucht habe, und nach den Nachrichten, die ich sammeln konnte, im Sommer ungetrübt, und die Zerstörungen, welche die Frühlingswasser an den Kalksteinufern verursachen, können nicht bedeutend sein, da man.von ihnen nur geringe Spuren antrifit. Dennoch ist die Menge des Sandes, den der Don auch schon in dieser Gegend seines Laufes mit sich führt, z. B. bei Sadonsk, sehr beträchtlich; sie mag aus deti Sandmeere herstammen, durch welches der Weg von Sadonsk nach Woronsk führt, und von Westwinden Tg), Stuckenberg: Hydrographie d. Russ. Reiches. 3. Band, pag. 160. 560 Donez durch hydrotechnische Werke zu regeln, um ihn als Wasserstrasse benutzen zu kónnen. Ehe noch die Anthracitgruben bei Gruschewka existirten, hoffte man namentlich die am Donez befindliche Lissitschan- sker Steinkohle auf diesem Wege nah dem Asow'schen Meere transportiren zu kónnen. Die letzte grüssere Untersuchung wurde 1828 von dem General Kraft ausgeführt, welcher unter anderem berichtet, der Do- nez leide daran, dass sein Fahrwasser häufigem Wech- sel unterworfen sei. Die Frühlingsfluthen reissen neue Betten durch, schlämmen die alten Stromläufe zu und bilden so eine zahllose Menge von Ausbuchten, todten Armen, Uferteichen, Tümpeln und Schlammstellen. Auch seien, sagt der General, von den hohen Früh- lingsfluthen jährlich bedeutende Beschädigungen an den etwa zu errichtenden Schleusenwerken zu er- warten. - Die Sandmasse, die der Donez mit sich führt, ist schon oberhalb Lissitschansk sehr gross, und von hier bis an seinen Einfluss in den Don zieht sich am linken Ufer eine niedrige, aus lockerem Sande bestehende Ebene hin, die dem Flusse, namentlich zur Zeit des 'sie überfluthenden Frühlingswassers, viel Material zur Bildung von Untiefen und niedrigen Sandbänken lie- fert. Und ein Theil desselben wird, wenn auch nur langsam, so doch sicherlich, in den Don verschleppt werden. f Es ist bis jetzt nur von dem Detritus die Rede ge- wesen, welchen sowohl der Don selbst als auch seine Nebenflüsse mit Hülfe der Frühlingsfluthen den eige- nen Ufern entreissen; wir haben aber der noch viel voluminöseren Schuttmassen zu erwähnen, welche das Schnee- und Regenwasser allen diesen Flüssen aus zahl- losen in dieselben mündenden Thälern und Schründen zuführen. Man betrachte z. B. nur in der Umgegend von Lissitschansk die tiefen, das hohe rechte Ufer des Donez durchschneidenden Schluchten, und man wird im Bette des Donez an der Mündung einer jeden von ihnen, ein aus Sand und Gesteinstrümmern bestehen- des, halbkreisfórmiges Delta finden, das mehrere Fa- den weit vom Ufersaume, das Fahrwasser verengend, in den Fluss vorspringt, der offenbar zu schwach ist, diese sich immer wieder erneuernden Haufwerke ganz fortzuschaffen. Solche Schluchten, die sich im lockern Diluvialboden und in den weichen Schichten der Ter- tiair- und der Kreideperiode allmáhlich zu grósseren Bulletin de l'Académie Impériale 559 tungen an. Zur Zeit Peter's des Grossen ward an der Worona, 7 Werst flussabwärts von der zuerst erbau- ten Schiffswerft eine neue angelegt und mit Festungs- werken umgeben. Allein nach dreijührigen fruchtlosen Anstrengungen und Mühen, um das Werk zu erhalten, musste man es endlich vollkommen aufgeben, weil der Strom bei jedem Austreten den Grund unterwusch und über das Werk wegging °). Über den Choper, der im Frühling zu grossen Waa- rentransporten benutzt wird, hat man genaue Nach- richten. Seine Gesammtlänge wird auf 700 Werst ge- schützt; sein Boden besteht aus Sand, Grus und Thon; das rechte Ufer erhebt sich stellenweise bis zu einer Hóhe von 336. Fuss, ist steil und bróckelnd; im Frühlinge steigt das Wasser bis 14 Fuss über den Sommerstand, und der Strom wird dann, wie Gülden- stüdt berichtet, sehr reissend. Im Sommer ist sein Lauf im Ganzen träge. Da die Ufer des Choper überall aus leicht zerstörbaren Gesteinen bestehen, wie Schwarz- erde, Lehm, lockerem Glimmersandstein und derglei- chen, so kann man mit Sicherheit annehmen, dass sie von den Hochwassern bedeutende Zerstörungen er- fahren. Von allen grösseren Zuflüssen des Don dürfte die Medwediza ihm wohl die geringste Menge von De- tritus zuführen; sie hat einen trägen Lauf über tho- nigen, mit Sand und Grus gemengten Boden und eine Länge von 427 Werst°). Das rechte Ufer ist bis 350 Fuss hoch und steil und besteht aus den Schichten der Kreideperiode und der Tertiairzeit, also aus leicht zerstórbaren Gesteinen. Das linke Ufer ist niedrig und an dieser Seite ist die benachbarte Ebene mit Tümpeln, alten Flussarmen und Sumpfstellen über- Ssüet, ein Umstand, der unabweisbar anzudeuten scheint, dass die Medwediza, wie alle nach Süden fliessenden Gewässer Russlands (und der ganzen nördlichen Halb- kugel) allmählich ihren Lauf nach Westen vorrücken, indem ihre Hochfluthen das steile rechte Ufer unter- graben und bedeutende Theile desselben zu Sturze bringen. : Über den Donez kann ich als Augenzeuge berich- ten, dass er grosse Massen Sandes verschleppt. Seine ganze Länge soll 700 Werst betragen. Zu wiederhol- ten Malen ist der Wunsch aufgetaucht, den Lauf des 5) Perry bei Stuckenberg c. l. pag. 185. 6) Stuckenberg c. 1. pag. 203. 56? beschreiben liess, wurde der schlimme Umstand, dass die das Ufer des Stromes in zahlloser Menge durch- schneidenden Owragi demselben noch mehr Material zur Bildung von Inseln und Untiefen zuführen, als die Abrieselungen an den Stromufern selbst, von der Oberverwaltung des Ministeriums reichlich in Erwä- gung gezogen. Man dachte ernstlich daran, diesem Übel, wie Murchison sagte, Einhalt zu thun, allein die Ausführung der schützenden Vorrichtungen erwies sich, wie das in Russland leider so oft der Fall ist, wegen der zahllosen Menge der bedrohten Punkte und der unerschwinglichen Kosten als unmüglich. Zur Regulirung des Fahrwassers der Wolga und des Don sind seit vielen Jahren die verschiedensten Mittel vorgeschlagen worden. Die Klagen der Schiffer und der auf diesen Strömen Handel Treibenden ver- mehrten sich mit der zunehmenden Frequenz. Man wirft dem Ministerium der Wegekommunikation vor, dass es keine Abhülfe schafft und hält ihm die Ver- besserungen vor, welche die Preussische Regierung in dem Bette des Rheinstromes und in der Oder, das Rigasche Bórsencomité in der Mündungsgegend der Düna hat ausführen lassen. Man vergisst aber dabei, dass alle diese Werke, im Vergleiche zu dem, was in der viel längeren und breiteren Wolga und im Don zu demselben Zwecke geschehen müsste, verschwin- dend klein ist. . - Wenn man am Rhein und an der Oder die betref- fenden Kosten mit einigen Hunderttausend Thalern decken konnte, so würden an unsern grossen Strömen viele Millionen Silberrubel erforderlich sein, um nur das Allernothwendigste herzustellen — und schliess- lich wäre man doch nicht geschützt vor der zerstó- renden Riesengewalt unserer Frühlingsfluthen, denen der lockere Boden nie und nimmer widerstehen kann. Russland kann manche weise Maassregel nicht aus- führen, weil es dazu zu gross ist und seine physikali- schen Verhältnisse in verschiedenen Gegenden zu ver- schieden sind, um die Administration zu der Einfach- heit zu bringen, die man ihr wünschen muss. Doch kehren wir zu unserem Gegenstande zurück und betrachten wir, wie der Don den vielen ihm zuge- führten Detritus verwendet. Sobald eine Masse Diluviallehm, oder sandiger Mer- gel und thoniger Sandstein in's Wasser füllt, beginnt sofort eine Zerlegung derselben. Der Thon des Leh- 36 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 361 Thälern ausbilden, durchziehen den waldlosen Boden Südrusslands in zahlloser Menge. Wer diese Gegenden bereist hat, kennt die, ich möchte sagen, grossartige Erscheinung, von der Pallas, Murchison, Kohl’), Kiprianow°), Wangenheim, von Qualen?) und an- dere Beobachter geschrieben haben. Grosse, schwach gewölbte Plateaus mit breiten Abhängen, lockerer Bo- den, Waldlosigkeit und die Wirkung grosser, auf ge- neigten Flächen plötzlich abfliessender Wasser (schmel- zender Schnee und Regen) sind die Bedingungen zur Bildung dieser ‘gewaltigen Einschnitte in den Boden, die sich jährlich in ungeheurer Menge vermehren, und jährlich grosse Mengen des fruchtbarsten Ackerbo- dens und Wiesen verschlingen, Wege durchreissen und Brücken zerstören. Im Gouvrnement Orel geschah es ein Mal, dass ein heftiger Platzregen auf einem Abhange den Chausseegraben etwa in der Dauer ei- ner Stunde so tief aushöhlte und erweiterte, dass die schön gebaute Kunststrasse auf einer beträchtlichen Strecke in ihn abrutschte. Ich glaube nicht dass man den Denudations - und Erosionsprozess der Erdoberfläche irgendwo in noch grösseren Verhältnissen und in kräftigerer Wirksam- keit werde beobachten können, als in den Gegenden, von denen hier die Rede ist. Die erste Entstehung, Ausbildung und endlich Vollendung der Jeriki oder Werchi, der Owragi und Balki ist in den bezüglichen Schriften jener Beobachter anschaulich beschrieben worden. Indem wir auf diese Schriften verweisen, wol- .len wir nur die Worte Murchisons wiederholen: «Nirgends haben wir noch Maassregeln gese- hen, um diesem Prozesse Einhalt zu thun, der jährlich Millionen Tonn des besten und reich- sten Bodens zerstört und durch die Flüsse fort- führt, obwohl man durch Ausgleichung des Ni- veau's, durch rechtzeitige Füllung der entstan- denen kleineren Einrisse (ehe sie sich zu einer tiefen Schlucht vereinigen können), dem Übel eini- germassen abhelfen kónnte». Als das Ministerium der Wegekommunikation vór einigen Jahren den Lauf der Wolga vermessen und im Hypu. Ta. ۷ uyreñ 9) Beobacht. über den Grund der Versandungen im Wolga-Bas- sin etc. Moskau. 1860. Tome XI. 564 der Wolga und aller ähnlichen Strôme Wanderinseln nennen, um sie von den beständigen Inseln zu unter- scheiden, die zweierlei Art sind. Sie bestehen entwe- der aus festen Felsmassen, wie die Granitinseln des Dnepr, wie die Insel Krähnholm in der Narowa, oder es sind die aus aufgeschwemmtem Sand und Thon be- stehenden Inseln, die, wie oben erwáhnt ward, die Reste des alten, ehemals hóheren Flussbettes darstel- len. Zu dieser letzten Kategorie gehóren alle hóheren, oft gut bewaldeten, oder als Heuschläge benutzten In- seln unserer Ströme. Die Wolga ist in ihrem mittlern und untern Laufe sehr reich an ihnen; auch der Don besitzt ihrer eine grosse Anzahl. Wenn der Don nun auch die grössere Menge des in ihn gelangten Thones und Sandes an seinen Ufern, in seinen Buchten und in seinem Strombette deponi- ren mag, so ist es doch gewiss, dass der Rest durch ihn allmählich bis an seine Mündung ins Asowsche Meer transportirt wird, und dieses kleine und seichte Binnenmeer ist, wie alle ähnlichen Wasserbecken, da- zu bestimmt, im Laufe der Jahrtausende endlich von Niederschlägen ausgefüllt zu werden. Von den beiden Produkten des grossen, oben er- wähnten Schlammprozesses gelangt der leicht aufzu- wühlende und leicht zu transportirende Thon viel schneller zur Mündung als der schwerere, am Boden hinrollende Sand. Dieser aber rückt dafür in bedeu- tenderen Massen, obwohl langsamer vor; ein von Thon sogar stark getrübtes Wasser setzt dagegen immer nur eine äusserst dünne, kaum bemerkbare Schlamm- schicht ab. Das Delta des Don und das der Wolga be- stehen denn auch aus diesen beiden Substanzen; wir besitzen jedoch keine genauere Kenntniss über die Menge, in welcher die eine gegen die andere in dem Boden der Deltas vorhanden ist, und über ihre son- stige Vertheilung in der Mündungsgegend. Bei den seit Peter’s des Grossen Zeit im Asowschen Meere ausgeführten Tiefenmessungen hat man aber auch die Beschaffenheit seines Bodens an vielen Orten unter- sucht, und da finden wir auf der im Jahre 1833 von Manganari herausgegebenen Karte des Asowschen Meeres, zwischen der südlichen Mündung des Don und dem Meridiane der Petruschkina Kossa (einige Werst SW. von Taganrog) an drei Stellen Schlamm und nur ein einziges Mal, und zwar in der Nähe des so eben genannten Caps, einen aus Sand und Muschel- Bulletin de l'Académie Impériale - 363 mes und der Sandstein wird im Wasser in feinste Theile mechanisch aufgelöst, bleibt, besonders in fliessendem Wasser, sehr lange darin suspendirt und wird in kür- zester Zeit weite Strecken fortgetragen. Erreicht ein durch ihn getrübtes Wasser eine stagnirende Einbuch- tung, oder endlich die Mündung des Flusses, so fällt er hier allmählich nieder. Das Wasser klärt sich, wenn der Zufluss aufhört, ab, allein es genügt eines leichten Stosses in den äusserst feinen und lockeren Schlamm, um ihn sogleich wieder aufzurühren. Am Don, wie an der Wolga wühlen die Schaufelräder der Dampfer und die Ruderschläge der Böte den gelben Bodenschlamm fortwährend auf. Als ich im Sommer 1864 zuerst die Wolga von Nishni Nowgorod bis Zaryzyn und dann den Don von Kalatsch bis Rostow beschiffte, war das Wasser beider Ströme vom beigemengten Thon gelb gefärbt und undurchsichtig. Der Sand jener Gesteine fällt, als der gröbere Theil, sogleich nieder und wird, wenn der Fluss seinen gewöhnlichen Sommerstand erreicht hat, nur in geringer Menge weiter geführt. Die schnell und gewaltig strömende Frühlingsfluth schleppt ihn aber in ungeheuren Massen auf dem Bo- den des Flusses abwärts, und es beginnt da jenes grossartige, alljährlich sich wiederholende Spiel. Hier durchreisst die Fluth, mit oder ohne Hülfe der Eis- schollen, eine früher entstandene Untiefe, oder trägt eine flache Sandinsel ab, dort untergräbt sie das steile, rechte Ufer, oder die steilen Abhänge der alten In- seln, die nichts weiter als die Reste eines ehemals hö- heren Bettes desselben Flusses sind, in das er sich, seine Wasser konzentrirend, immer tiefer eingrub. An geeigneten Orten setzt er aber den geraubten Sand wieder ab und bildet aus ihm neue Untiefen, neue Sandinseln und neue Sandwüsten an den Ufern. Sie alle tauchen bei dem Sinken des Wasserspiegels all- mählich auf, und in jedem Frühling muss dann eine neue Untersuchung des Fahrwassers unternommen werden, um die in ihm erfolgten Veränderungen kennen zu lernen. Aber jede Frühlingsfluth fordert auch ihre Op- fer an Schiffen. Wie die Handelswege durch die Wü- sten Afrikas und Asiens oft durch die Skelette der gefallenen Kameele, dieser Schiffe der Wüste, bezeich- net sind, so der Lauf unserer grossen Ströme des Sü- dens durch die emporstarrenden Rippen gestrande- ter Fahrzeuge. ۱ Ich móchte die ephemeren Sandinseln des Don und 566 Fluth, von der Tiefe des vorliegenden Meeres u. s. w. Das Asowsche Meer ist überhaupt seicht, seine grösste Tiefe erreicht es mit 48 Fuss im Fahrwasser zwischen Berdünsk und der Meerenge von Kertsch; aber im nordöstlichen Winkel beträgt sie, dicht vor dem Delta, nur 3 bis 9 Fuss und zwischen dem Westrande des Delta und Taganrog nicht über 12 Fuss, mit Aus- nahme einer einzigen, 19 Fuss tiefen Stelle. Das Asowsche Meer hat keine Ebbe und Fluth, ein Umstand der die Deltabildung nicht weniger begün- stigt als die geringe Meerestiefe; die durch die Ost- und Westwinde veranlassten, sehr bedeutenden Niveau- schwankungen und temporüren Strómungen dürften wohl kaum im Stande sein, eine zerstórende Wirkung auf das Delta des Don auszuüben. Es ist daher nicht unwahrscheinlich, dass das Delta schneller wüchst, als man bisher angenommen hat, und wenn man die alten griechischen Nachrichten über die Mündungsgegend des Don mit dem gegenwürtigen Bestande derselben vergleicht, so erhült man, wie ich glaube, sogar ein Maass für die Geschwindigkeit der Zunahme. Strabo '*) spricht in seiner Geographie nur von zwei Mündungen des Don und giebt die Entfernung der einen von der anderen zu 60 Stadien — 10 Werst an: «Duobus autem ostiis Tanais se in lacum evolvit, dis- tantibus inter se stadia circiter sexaginta. Est etiam urbs Tanais, fluvio cognominis, maximum barbarorum secundum Panticapaeum illa emporium» — und an der andern Stelle heisst es: Tanaidis vero ostia quidem novimus (duo autem sunt, quibus in partes Maeotidis maxime septentrio- nales sese exonerat, stadiis sexaginta inter se distan- tia) quod autem supra ostia est etc. und c. 1. pag. 423: Ad flumen et paludem urbs sita est, Tanais ipsa quo- que appellata, condita a Graecis Bosporum incolen- tibus. Es ist hier das alte oder erste Tanais gemeint”), das der Kónig Polemo zerstóren liess; seine vor etwa 4 Jahren von Leontjew aufgefundenen Ruinen, auf deren Mauersteinen die Namen der griechischen Stadt- befehlshaber eingegraben sind"), liegen auf dem hal- 11) Strabonis Geograpbica. (Aus dem Griechischen ins Lateini- sche übertragen von Müller und Dübner. Paris 1853) lib. VII. cap. IV. pag. 257, $5 und liber XI cap. II. pag. 422 und 423. (Strabo geboren um 60 vor Chr. Geb.) prr 12) Stephani in Antiquités du Bosphore Cimmérien. Tome II. 13) Ant. du Bosph. Cimm. T. II. pag. 297. bs des Sciences de Saint- Pötersbourg. 565 schalen bestehenden Boden angegeben. Als im Jahre 1812, gewiss durch die Wirkung eines aus Ost we- henden Sturmes, der Wasserspiegel im Taganroger Busen ungewóhnlich tief sank, ward der Meeresboden auf viele Werste weit trocken gelegt, und man sah bei dieser Gelegenheit, dass er dort aus weichem Thon (Sehlamm) und stellenweise aus Sand besteht. (Stu- ckenberg. Hydrographie des Russ. Reiches. 3. Band. pag. 70). Unter Schlamm ist hier fein zertheilter, von Wasser durchdrungener Thon zu verstehen, ganz ähn- lich dem Thonschlamme, der sich in den Ausbuchtun- gen und auf dem Boden des Don absetzt. Wenn nun dieser Schlamm zum Theil, wie wir später sehen wer- den, von dem nördlichen Ufer des 138301708607 56 herkommt, so mag der gróssere Theil doch vom Don herangeschwemmt werden"). Dies ist um so wahr- scheinlicher, als eine ostwestliche, wenn auch nur schwache und nur durch die Wirkung der Ostwinde vermehrte Strómung des Asowschen Meeres den fein zertheilten Thon noch weit nach Westen fortträgt. Ich habe das Asowsche Meer zwischen Taganrog und: Kertsch mehrere Male, im Juni, im August und im September beschifft und jedes Mal bemerkt, dass sein Wasser bis weit hinaus, ja bis in den Meridian von Mariupolj getrübt war. Der wandernde Sand des Don wird aber gewiss meist in dessen Mündungsgegend bleiben, viel langsamer vorrücken und die Enge bei der Belossaraischen Zunge nicht überschreiten; das heisst soviel, dass der vom Don in seinen Liman (den Taganroger Busen) gebrachte Sand wahrscheinlich in diesem bleibt. Wie jeder Liman von dem Meere durch eine Nehrung getrennt ist, so hier der Tagan- roger Liman durch die Landzunge Dolgaia, die das Maximum ihrer Lünge vielleicht noch nicht erreicht hat. Nach allem oben Angeführten drüngt sich nun die Frage auf, ob das Delta des Don, bei der betrüchtli- chen Menge von Sinkstoffen, die der Strom ihm zu- führt, sich verhältnissmässig schnell nach Westen aus- dehnt oder nicht. An den bisher genauer erforschten Deltas grosser Ströme hat es sich erwiesen, dass ihre sichtbare Zunahme in horizontaler Richtung durchaus nicht von der Menge der Sinkstoffe allein, sondern auch von anderen Umständen abhängt: Von Meeresströmungen, von der Wirkung der Ebbe und 10) Siehe Herrn von Baer’s Bericht. 368 cher Richtung bis zum rechten Ufer des südlichen. Armes führt, so erhalten wir 14 Werst statt 10. Diese Differenz aber würde fast ganz beseitigt,. wenn man annehmen dürfte, dass die Gabelung des südlichen Ar- mes, oder des eigentlichen Don, die zwischen Asow und Jelissawetinskaia eintritt, zur Zeit Strabo’s noch nicht bestand, und dass der, Kalantscha genannte Mün- dungsarm damals der südlichste war. Die Entfernung des alten Tanais von der Kalantscha beträgt in nord- südlicher Richtung genau 11 Werst oder 66 Stadien"). Ich erinnere hier daran, dass der Kalantscha noch zur Zeit Peter’s des Grossen auf Fahrzeugen bedeutender Dimensionen beschifft wurde. > Wollten wir aber, wie man gethan hat, annehmen, Tanais habe in der Gegend des heutigen Asow, am linken Ufer des südlichen Mündungsarmes gelegen, wo die Venetianer 1333 die Kolonie Tana gründeten, so würden wir für das Wachsen des Delta’s eine mehr als doppelt so grosse Geschwindigkeit erhalten, da Asow 12 Werst von der Mündung des Don liegt. Es müsste sich in diesem Falle das Delta jährlich um etwa 22 Fuss nach Westen verlängert haben. Schliesslich erlaube ich mir noch die Bemerkung, dass der Umstand, dass Strabo nur zwei Mündungen des Don kennt, ebenfalls auf ein bedeutendes Vor- schreiten des Delta’s deutet. Man darf, wie ich glaube, annehmen, dass die durch die fünf Mal wiederholte Gabelung des südlichen Armes entstandenenen 7 Mün- dungen zur Zeit Strabo's noch nicht existirten, und dass also dieses westliche Drittheil des Delta's erst nach jener Zeit gebildet ward. Warum schweigt der berühmte Geograph, der am Schwarzen Meere gebo- ren war und dasselbe so gut kannte, von diesen Mün- dungen, von denen mehrere früher schiffbar waren oder es für kleinere Fahrzeuge noch heute sind, wie die Kalantscha, Jegurtscha, Kuterma? II. Ich gelange nun zu der zweiten Abtheilung meines ` Aufsatzes, nämlich zu den Uferzerstórungen des Asow- schen Meeres und der Verwendung des durch sie er- haltenen Materials. T ETE Das nórdliche Ufer besteht, von der Mündung des Don bis zum Siwasch, grósstentheils aus demselben 16) Eine deutsche Meile — 7 Werst — 44 Stadien. Bulletin de l'Académie Impériale 567 ben Wege zwischen den Dörfern Sinüwka und Ned- wigowka, am rechten Ufer des nördlichen Mündungs- armes (Mertwoi Donez). Strabo, nachdem er zu Anfange des 2. Kap. des 11. Buches das Asowsche Meer: palus Maeotis ge- nannt hat (den Maeotischen Sumpf)"), sagt: Tanais liege am Flusse und zugleich am Sumpfe, d. h. also am Asowschen Meere.'Das kann nun kaum anders verstanden werden, als dass die Stadt von den Grie- chen an der damaligen Mündung des nórdlichen Ar- mes und nicht etwa flussaufwürts von derselben an- gelegt war. Plinius (geb. 23. nach Chr.), der freilich nur eine ältere Nachricht wiederholt (Historia natu- ralis VI, Cap. VII), sagt: Oppidum ad Tanais quoque ostia fuit. (Es lag eine Stadt an der Mündung des Tanais) Er meinte ohne Zweifel die Stadt gleiches Namens, die Strabo ein bedeutendes Emporium (Han- delsstadt) nennt. Es scheint mir nicht wahrscheinlich, dass die Griechen diese zum Handel mit den Barba- ren bestimmte Stadt nicht an der Mündung selbst, sondern flussaufwürts von derselben angelegt haben sollen, wie man das freilich aus Ptolemàus Nachrich- ten (in der ersten Hälfte des 2. Jahrhunderts) schlies- sen kónnte, da er die Mündung um 10 Minuten wei- ter nach Süden als die Stadt Tanais setzt. Diese An- gabe scheint jedenfalls unrichtig zu sein, da die Rui- nen des alten Tanais weder 10 Minuten óstlich oder nórdlich, sondern nur 6 Werst óstlich von der Mün- dung liegen. Lag Tanais wirklich an der Mündung, so darf man annehmen, dass das Delta seit Strabo's Zeit, also in 1900 Jahren, um 38 Stadien nach Wes- ten sich vorgeschoben hat, was durchschnittlich etwas über 11 Fuss in einem Jahre betragen würde. Da- mit stimmt, wenn auch nicht ganz genau, so doch an- nühernd, Strabo's Angabe von der Entfernung der beiden Mündungen überein. Sie betrug zu jener Zeit ungeführ 60 Stadien oder 10 Werst, betrügt aber heutzutage volle 18 Werst, vorausgesetzt dass der südliche Mündungsarm derselbe ist, von dem Strabo berichtet. Nehmen wir an, dass Tanais an der Mün- dung lag und messen wir auf der unten angegebenen Karte'^) die Lünge einer Linie, die von Tanais in südli- 14) Er nennt es an andern Stellen lacus (See). E 15)Siehe die vom Kaiserl. Kartendepot, im Maassstabe von 3 Werst im Zolle herausgegebene Karte, Reihe XXVIII. Blatt 16, Land der Donischen Kosaken. 569 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 570 gen kann man am besten zwischen den beiden, aus der südwestlichen Vorstadt zum Meere hinabführenden Fahrwegen, Nikolajewskoi und Bannoi, beobachten, wo das Plateau nicht, wie gewöhnlich, in einem ein- zigen, sondern in zwei Steilabhängen zum Meere ab- fällt. Auf der untern Terrasse stehen ärmliche, aus Holz und Lehm aufgeführte Wohnungen. Vor etwa 35 Jahren standen hier an einer Stelle zu beiden Sei- ten einer breiten, geraden Gasse zwei lange Reihen solcher Hütten in der Nähe des untern Terrassenran- des. Eine heftige Sturmfluth untergrub das Ufer und brachte es, sammt der ihm zunächst liegenden Häuser- reihe zu Sturze. Die entferntere Reihe und ein schma- ler Theil der ehemaligen Gasse entgingen dem Unter- gange ®). Ein ähnlicher Fall ereignete sich hier vor drei Jah- ren, wo wieder ein Uferstück mit einigen auf ihm be- findlichen Hütten abrutschte. Ich sah hier im Sommer 1864 die.unter Fig. 1 abgebildete, von ihren Insassen bereits verlassene Wohnung, deren Grundpfeiler an der Steilwand bereits blosgelegt waren. Sie stand auf einem der Zerstörung entgangenen Vorsprunge des Ufers, der ohne Zweifel auch bald ein Raub der Wel- len werden wird. Dass hier ausser den Sturmfluthen auch schmelzen- der Schnee und Regenwasser das Ufer verwüsten, mag die Zeichnung Fig. 2 deutlich machen. Sie stellt den Anblick des Ufers bei der von Peter dem Grossen bei Taganrog, zum Schutze des Hafens angelegten Bat- terie dar. Im Hintergrunde erblickt man den Steilab- hang der obern Terrasse und vor ihr eine tiefe, breite Schlucht; im Mittelgrunde einzelne kegelfórmige Pfei- ler, die Überbleibsel des verwüsteten Uferrandes, die alljährlich mehr und mehr zerstört werden; im Vor- 18) Möglicherweise war es die Sturmfluth, über welche die St. Petersburger Zeitung von 1882, N 26, berichtet: Kertsch 11 Decem- © e «Im November 1832 wüthete ein Sturm im Schwarzen und Asow- schen Meere, der in Taganrog und an den Küsten des Asow'schen und Schwarzen Meeres vielen Schaden angerichtet hat, auch an der ganzen Nordwestküste des Euxinischen Kosakenlandes. Bekanntlich ist die dortige Küste sehr niedrig gelegen und bildet mehrere san- dige Buchten und vorragende Bänke, auf welchen bedeutende Fi- schereien angelegt sind. Am 13. Nov. trat bei starkem Nordwest- winde das Wasser des Asow’schen Meeres aus, überschwemmte alle Niederungen, zertrümmerte die Fischereien und Fischmagazine mit deren Vorrüthen an Fischen. Besonders litten die Fischereien bei Temriuk. Das Wasser stieg über 2 Arschin und riss einige Hütten nieder ». zimmetfarbenen Diluviallehm, der im südlichen Russ- land allgemein verbreitet ist. Nur an wenigen Stellen tritt unter diesem Diluvium auch der Kaspisch-ponti- sche Tertiarkalkstein hervor, so z. B. am Ufer bei Taganrog, wo er wenige Fuss über dem Meeresniveau entblósst ist, und bei Mariupolj, das auf einen Plateau dieses Kalksteins liegt. Der südrussische Granit tritt dem Ufer in der Gegend von Berdänsk (am untern Laufe des Berdaflüsschens) zwar nahe, erreicht das- selbe aber an keiner Stelle. Wie am Schwarzen Meere zwischen den Mündungen des Dnepr und der Donau, ebenso fällt auch am Asowschen Meere der Diluvial- thon nicht allmählich, sondern in steilen, oft senk- rechten, bis 250 Fuss hohen Wänden zum Meere ab und unterliegt der zerstórenden Wirkung der Meeres- wogen und der atmosphärischen Wasser in derselben Weise, wie es an der Bessarabischen Küste geschieht i Um von diesen Zerstörungen einen deutlichen Begriff zu geben, wird es auch bei dieser Gelegenheit am bes- ten sein, Beispiele anzuführen. Überall, wo das diluviale Steilüfer weder durch die Kunst, noch durch einen natürlichen, hinlänglich brei- ten Ufersaum vor dem Angriffe der Brandung geschützt ist, wird es durch dieselbe in seinen untern Theilen benagt und: ausgehöhlt. Die obern Schichten stürzen dann unvermeidlieh nach und zerfallen dabei in einen Schutthaufen, in welchem man die einzelnen Lagen des Diluviums gewöhnlich nicht mehr unterscheiden kann. Als Beispiel solcher Ereignisse mag zunächst Taganrog dienen. Die Stadt liegt auf einem 250 Fuss hohen, nach SO. steil ins Meer vorspringendem Pla- teau. Der Ostfuss und die Südostspitze desselben sind vor der Wuth der Brandung durch einen gemauerten Molo und Pfahlwerk geschützt. Der südliche Fuss des Steilufers entbehrt aber dieses Schutzes und wird bei jeder Sturmfluth von den Wellen erreicht. Die höch- sten Fluthen, so sagte man mir in Taganrog, sollen im März und April vorkommen, wenn der Don sehr | ? wasserreich und ausgetreten ist, und wenn zugleich Stürme aus West oder Südwest seine Wasser an der Mündung aufstauen, indem sie das Wasser des Asow- schen Meeres gegen dieselbe treiben. Die von solchen Fluthen verursachten Zerstörun- i 1 i i des Schwar- 17) Siehe die Salzseen Bessarabiens und den Einbruch zen M res in dieselben: von. G. v Helmersen. (In den Mélanges physiques de l'Acad. d. sciences de St.-Pétersbourg). 572 cher Schluchten, von denen viele weit ins Land hin- eingreifen, ist am nórdlichen wie am südlichen Ufer des Asowschen Meeres zahllos, wie an den Flussufern des südlichen Russlands. Ihre Thätigkeit wiederholt sich alljährlich, während manches durch einen sehr breiten und ansteigenden Saum geschützte Steilufer sich vielleicht schon Jahrhunderte der zerstórenden Kraft der Wellen entzieht. Zwar weniger häufig, aber dennoch in grósster Anzahl sind auch die Abrut- schungen oder Schlipfe dieser Ufer vorhanden. Wenn man auch annehmen kann, dass sie in vielen Fällen in Folge von Unterwaschung durch die Bran- dung geschehen, so mögen sie andrerseits auch in dem Umstande ihre Erklärung finden, dass jedes aus so lockerer Substanz bestehende, vertikale oder un- ter sehr grossen Winkeln abfallende Ufer eine Nei- gung zum Zerfallen hat. Die Wirkung der Wellen beschleunigt und vollendet die Zerstörung auch da- durch, dass die herabgeglittenen Massen durch sie all- mählich mechanisch aufgelöst und in diesem Zustande dem Meere übergeben werden. So lange der Wellen- schlag eine solche Masse nicht zerstört hat, schützt sie das Steilufer vor Unterwaschung und verhindert zugleich als Contrefort das Loslósen und Herabgleiten neuer Massen. Man kann zwei verschiedene Arten solcher Uferstürze unterscheiden. In einigen Fällen erfolgen sie dem Ufer parallel, in andern greifen sie in grossen Halbzirkeln ins Land hinein und hinter- lassen halbrunde, trichterfórmige Kessel mit steil ab- fallenden Wänden. Geradlinige Ablösungen habe ich häufig an der Nordwestküste des Schwarzen Meeres, auch bei Taganrog und Berdänsk, bogenförmige an den Steilufern der Halbinsel Taman und in der Ge- gend von Jenikale gesehen. Als ein anderes Beispiel solcher Vorgänge mag ein Ufersturz dienen, der sich 25 Werst westlich von Berdänsk ereignet hat. Er befindet sich 7 Werst von der Station Petrowskaia und 2 Werst südlich von der nach Nogaisk führenden Poststrasse. Die Zeichnung Fig. 4, die ich nach der Natur ent- warf, zeigt die ganze Schichtenfolge, wie sie auch bei Berdünsk beobachtet werden kann. Die mit dem Buch- staben f bezeichnete Ablósungsflüche verläuft im obern Theile fast senkrecht, im untern unter einem Winkel von 45 Grad. In der herabgerutschten, vielfach zer- | spaltenen und aufgelockerten Masse lagen die einzel- Bulletin de l'Académie Emperiale 571 dergrunde den sanft ansteigenden Ufersaum mit eini- gen auf ihm stehenden Hütten. Es bedarf keiner wei- tern Erklärung, wodurch die Batterie ihren Untergang gefunden, und der vor ihr liegende, ebenfalls von Kai- ser Peter angelegte Hafen schon längst so seicht ge- worden ist, dass selbst Fahrzeuge geringen Tiefgan- ges nicht mehr in ihn einlaufen kónnen. Er hat nur 3 Fuss Tiefe. Ich kann hier das Zeugniss eines Man- nes einschalten, des seit 1784 in Taganrog ansässi- gen püpstlichen Consuls D erossi. Seine Bemerkungen schrieb mein Freund, Professor Philipp Bruhn, nach den Worten des erblindeten Mannes-im Juli 1864 nieder und theilte sie mir in eben dem Jahre mit: Point de rochers sur le bord de la mer d'Asow; elle est entourée de rivages d'argile sabloneuse, de ma- niere que par les pluies et la fonte des neiges au prin- temps, les bords de ce rivage glissent et sont emportés dans la mer, ce qui forme la bourbe qu'on nomme ac- tuellement la diminution de profondeur de la mer, quoiqu'elle ne présente point d'inconvénients pour la navigation. La preuve en est que le bassin de Tagan- rog, placé à côté de l'ancienne forteresse, où les bä- timents n'entrent pas, supposant qu'on ait pu jeter du leste — est encombré de bourbe justement par la raison que l'argile est comportée dans le bassin. De- puis une cinquantaine d'années l'éboulement de la cóte prés de la forteresse de Taganrog se monte de 3 à 4 0۰ | Par eontre le delta formé par le Don et le Donetz avance de plus en plus vers la mer, par suite du sable que la mer amoncelle devant les embouchures avec le vent du SO. Le port et méme la rhade peuvent en effet souffrir, si l'on continue à jeter des pierres grosses dans la mer. Pour éviter ce cas, il faut pour base qu'un bátiment | en leste ait ordinairement le quart de son chargement en leste et qu'il paye un taux par laste de leste, fixé par une commission de négociants qui se charge du débarquement de ce leste. Figur 3 stellt einen Theil des Steilufers zwischeu Taganrog und dem nórdlichsten Mündungsarme des Don dar. In fast gleichen Abstünden von einander durchziehen tiefe Owragi dieses Ufer und führen dem Meere alljährlich neue Sinkstoffe zu, die mit denen des Don vereinigt, die Tiefe der Taganroger Bucht gar schnell vermindern mógen. Und die Anzahl sol- 574 ohne Anschwemmung aus dem Meere"), wächst, kónnte nur durch langjährige Beobachtungen darge- -than werden. Wo tiefe Owragen noch ihren Zuschuss liefern, wird ein schnelleres Vorschreiten des Ufers gewiss zu bemerken sein. Überhaupt wird dieser De- tritus seine Verwendung hauptsüchlich am Ufer fin- den und das mittlere, tiefe Fahrwasser des Asow- schen Meeres nicht erreichen. Wenn wir an diese Vorgünge an der Taganroger Bucht zurückdenken; wenn wir die bedeutende Schnel- ligkeit, mit der ihre Tiefe abnimmt, in Betracht zie- hen, und wenn wir hinzufügen, dass tief gehende Schiffe wegen der Seichtigkeit der Bucht 15 bis 25 Werst SW von Taganrog ankern und sich ihre Ladungen an Korn auf Cabotagefahrzeugen müssen heranbringen lassen, und dass Oststürme die ganze Strecke von der Donmündung bis Taganrog trocken legen, indem sie das Wasser nach West verjagen, so werden wir zu- geben müssen, dass es, vom physikalischen Stand- punkte aus, rationeller wäre, die Südbahn von Bach- mut nicht nach Taganrog zu führen, wie Viele wollen, sondern nach Mariupolj oder Berdünsk, die beide gute Rheden und keine Gefahr der Versandung haben. III. Die Landzungen am nördlichen Ufer des Asowschen Meeres. Betrachten wir zunächst auf einer Specialkarte, z. B. der Manganarischen (1833), die Gestalt, Ausdeh- nung und Richtung der Kossy, ehe wir deren geolo- gische Beschaffenheit und die Art ihrer Entstehung untersuchen. Von Ost nach West folgen sich in ungleichen In- tervallen die Landzungen Beglizkaia und Kriwaia, beide zwischen Taganrog und Mariupolj; die Belo- ssaraiskaia, 161703081318, Obitotschnaia und endlich die Fedotowa. Alle nehmen ihren An- fang am südlichen Fusseins Meer vors pringen- der Steilufer. Alle, mit Ausnahme der kleinen Beg- lizkaia Kossa, sind sie mit ihrem obern Theile nach Süden, mit ihrem untern nach Südwest ge- richtet. Dieser obere oder nördliche, dem Steilufer zunächst liegende Theil hat bei allen die Gestalt eines ungleichseitigen Dreiecks, dessen eine Seite von West nach Ost, oder von Südwest nach Nordost, am Fusse 19) Das Meer kónnte das Material dazu nur aus dem Don, Kal- mius etc. erhalten. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 573 nen Gesteinsschichten noch in ihrer ursprünglichen Folge aufeinander, waren aber sämmtlich gegen das 130 bis 150 Fuss hohe Ufer geneigt; der dem Ufer- sturze vorliegende, aus Sand und Muschelschalen be- stehende Ufersaum hatte eine Breite von 14 bis 20 Fuss. | Das Uferprofil liess in absteigender Reihe folgende Schichten erkennen. a) Dammerde. b) Zimmetfarbener Lehm mit kleinen, scharfkantigen Stücken weissen Mergels. c) Grünlichgelber Lehm mit dicht gesäeten Geoden hellgelben Mergels, die bis 3 Zoll im Durchmes- ser haben. d) Gelber und grauer, lockerer, feinkörniger, thoni- ger Sandstein, in welchem auch Knauer hellgel- ben Mergels liegen; diese nehmen aber einen be- stimmten Horizont in der Schicht d ein. d')Im untern Theile der Schicht d tritt eine 6 Fuss dicke Schicht eines Conglomerats auf, das haupt- sächlich aus abgerollten, bis 6 Linien Durchmes- ser habenden Quarzbruchstücken besteht. Diesem sind Gerölle verschiedener Granite, auch fleisch- rothen Orthoklases und Quarzits beigemengt. Das Bindemittel bildet ein feinkórniges Gemenge der- selben Mineralien. e) Ochergelber, sandiger Thon. - - Es hat dieses Conglomerat, das ein zerstörter Gra- nit zu sein scheint, eine ähnliche Zusammensetzung wie der in dieser ganzen Gegend verbreitete Küsten- sand, zu welchem sich überdiess noch eine ungeheure Menge von Muschelschalen gesellt, und von dem un- ten noch ausführlicher die Rede sein wird. Die herabgerollten, diluvialen Ufermassen erfahren allmählich denselben mechanischen Scheideprozess, wie er oben bei den Flüssen erwähnt ward. Der fein- zertheilte Thon bleibt lange Zeit im bewegten Wasser suspendirt, wird von den Wellen immer wieder auf- gerührt und von den Meeresströmungen mit Leichtig- keit verschleppt, während der Sand auf dem Ufersaum und in der Nähe der Küste bleibt und sich mit den Muschelschalen zu einem anfangs lockern, aber un- ter Umstünden auch erhärtenden Muschelkonglomerat vermengt. Ob der Ufersaum auf diese Weise, auch 576 Schutze der Schiffe angelegt hat, ist aus diesem Gra- nite aufgeschüttet worden. Es wurde schon oben erwühnt, dass der Granit an keiner Stelle bis an des Ufer des Asowschen Meeres tritt. Bei Berdänsk, und so weit als ich das Ufer im Osten und Westen der Stadt untersuchen konnte, be- steht es aus demselben grünlichen und zimmetbraunen Diluviallehm, den ich früher an der Bessarabischen Küste und bei Odessa, spáter bei Mariupolj, Taganrog, Kertsch und Taman und vielen andern Orten des Sü- dens kennen gelernt hatte. Bei der westlichen Vorstadt von Berdänsk tritt das mindestens 200 Fuss hohe, unter Winkeln von 60 bis 80 Grad abfallende Dilnvialpláteau so nahe ans Meer heran, dass nur ein schmaler, aus Meeressand beitähender: Ufersaum von wenigen Faden Breite bleibt, und diese Beschaffenheit behält das Ufer bis in die Nähe von Nogaisk. Östlich von der Vorstadt verläuft es, seine Höhe und Steilheit beibehaltend, drei Werst in östlicher Richtung, nimmt aber dann eine nordöstliche an und wird hier von der 3 Werst breiten und 15 Werst langen Niederung unterbrochen, in welcher die untere Berda fliesst. Am linken Ufer dieser Niederung, bei der alten Festung Petrowskaia, tritt das Diluvialplateau wiederum ganz nahe ans Meer und verlässt es nicht mehr bis zur Belossaraiskaia Kossa. Als ich am 1. August 1863 Petrowskaia besuchte, ergoss sich die fast ganz versiegte Berda nicht ins Meer, sondern erreichte nur das nördliche Ufer eines flachen, von sumpfigen Ufern umgebenen Sees, dessen Boden, wie der der ganzen Berdaniederung, aus schwarzem thonigen Schlamm besteht. Dieser See wird der Liman der Berda genanut und ist vom Meere durch eine breite, 14 bis 18 Fuss hohe Düne getrennt, die aus einem Gemenge von Sand und Mu- schelschalen besteht; vorwaltend ist Cardium edule, seltener Mytilus edulis, Tellina, Solen und ۰ Man bemerkt im Sande auch Stücke rothen Feld- spaths, der die Nähe des Granits verräth, und Stücke von Hornstein und Lydit. Am Strande selbst ist der Sand der Düne von gröberem Korne, die Quarzkörner erreichen bis 2 Linien Durchmesser. Der Wall der Düne aber besteht aus dem allerfeinsten Sande, des- sen Kórnchen verschwindend klein sind. Wenn die Berda im Frühling anschwillt, durchreisst sie die Düne Bulletin de l'Académie Impériale 575 des Steilufers verläuft, und dessen gegenüberliegender Scheitel nach Süden gerichtet ist. Von diesem Schei- tel veräluft eine anfangs schmale, aber dann an Breite zunehmende, sensenfórmige Landzunge nach Südwest ins Meer hinaus. Die Dreiecke haben bei allen Kossy nahezu die- selbe Grósse; die ihnen angehüngten Zungen aber eine ungleiche Lünge, und zwar ist diese bei der Kriwaia Kossa am geringsten, bei jeder nach SW folgenden aber viel bedeutender, als bei der östlichen Nachba- rin. Die Fedotowa oder Birutschja Kossa zweigt sich ohne solches Dreieck unmittelbar von dem östlichen Fusse ihres Promontoriums ab und hat noch das Ei- genthümliche, dass auf ihr in der Nähe des Steilufers ein inselartiges, kleines Plateau sich erhebt, das wahr- scheinlich ein Rest des zerstörten Ufers ist. Von der westlichen, konkaven Seite dieser Land- zungen laufen mehrere kleinere Landzungen nach Nor- den; sie sehen auf der Karte wie Widerhaken aus; auch liegen auf dieser Seite bisweilen kleine Inseln, wie z. B. bei der Obitotschnaia Kossa. An dem östli- chen, konvexen immer ungezahnten Ufer befinden sich nie Inseln. Sowohl auf den Dreiecken, als auf den Landzungen selbst befinden sich kleine seichte Salzseen, in denen bisweilen Salz gewonnen wird. Nach diesen Vorbemerkungen wollen wir die geo- logische Beschaffenheit der einzigen Kossa und ihrer Umgebungen betrachten, welche ich näher zu unter- suchen Gelegenheit hatte, der Berdänskischen. Die Poststrasse von Mariupolj nach Berdäusk geht weit vom Meeresufer über das hohe tertiaire Kalkstein- plateau hin. Sie berührt nur die obern Enden der zahl- losen Thäler und Schluchten, die den dem Meere zu- gewendeten Rand desselben durchschneiden. Bis zur zweiten Station von Mariupolj, Novospasskaia, bleibt der Weg auf dem Pontischen Küstenkalksteine, er- reicht aber hier am Flusse Berda die Grenze des Gra- nits und Kalksteins. Der untere Lauf der Berda geht stark gewunden durch ein breites, auch in dürren Som- mern noch grünes Wiesenland, an dessen Westseite sich eine gebirgige Granithóhe erhebt; diese liefert aus zahlreichen Steinbrüchen Blócke zu Hausfunda- menten und andern Werken. Der Damm (Wellenbre- cher), den man vor dem Berdänsker Hafenmolo zum dem Konglomerate fand man nicht selten beide Scha- len einer Bivalve noch zusammenhängend und das Innere mit blauem, sehr zähem Thone angefüllt, der an der Luft bald erhärtet. Unter dieser Schicht folgte ein zimmetbrauner Lehm ohne Muscheln, ganz ähn- lich dem am Steilufer entblóssten. Er ist hart, wie ein festes Gestein. Mit Mühe bohrte man in ihm 8 Fuss und stellte dann die Arbeit ein. An der Südspitze des Dreiecks beginnt der schmä- lere Theil der Landzunge oder die Kossa im engern Sinne des Worts. Sie hat von ihrem Anfangspunkte, bei dem Chutor Konstantinowka, bis zur Südspitze eine Länge von etwas mehr als 9 Werst. Das nórd- liche, 3 Werst lange Drittheil hat eine Breite von 40 bis 50 Saschen; dann wüchst diese plótzlich zu 1 Werst — 500 Saschen an, aber der Raum zwischen dem West- und Ostufer ist hier von zahlreichen, sehr seich- ten Buchten und Seen eingenommen, deren Ufer und Boden immer aus grauem Thon bestehen. Erstere schneiden alle vom westlichen Ufer, keine einzige vom östlichen ein, an welchem eine, 10 bis 11 Fuss über | dem Meeresniveau sich erhebende Düne (hier wie in Bessarabien Wall genannt) ununterbrochen fortläuft. Die Hauptmasse der Kossa oder die eigentliche Pe- ressyp hat eine absolute Höhe von 3 bis 5 Fuss. Das ausgebuchtete Westufer ist flacher als das Ost- ufer und hat entweder gar keinen, oder nur einen ganz niedrigen Wall. In ihrer ganzen Ausdehnung besteht die Berdän- sker Kossa aus demselben Sande und denselben Mu- schelschalen, wie die Petrowsker Peressyp und der Boden von Berdäusk. Unter den Muscheln sind My- tilus edulis und Cardium edule vorwaltend; Astrate kommt seltener, noch seltener Venus, Tellina, Solen vagina und Buccinum reticulatum vor, das man auf den Bessarabischen Uferdünen in so erstaunlicher Menge findet. Die einzige Süsswassermolluske, die ich bemerkte, und auch diese nur in einem einzigen Exem- plare, war eine beschádigte, bleiche Paludina, die aus der Berdaniederung hierher mag verschleppt worden sein. Der Uferwall der Berdänsker Peressyp ist die kontinuirliche Fortsetzung des bei dem östlichen Steil- ufer der Berda beginnenden, und besteht wie dieser aus sehr feinem Sande. Der an seinem östlichen Fusse befindliche Ufersaum ist aus gröberem Sande zusam- 37 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 377 an einer Stelle; dieser Durchbruch wird aber im Som- mer, da der Fluss ganz einschrumpft, gewöhnlich von den Wellen wieder mit Sand ausgefüllt. Diese Düne, auch hier wie am Bessarabischen Ufer «Peressyp» ge- nennt, fällt in ihrem südwestlichen Verlaufe allmäh- lich ab und ist an ihrem Westfusse von vielen kleinen, mit brakigem Wasser angefüllten Lachen begleitet, deren Boden, wie in den Salzseen Bessarabiens und allen ähnlichen, immer aus grauem, von Salz durch- drungenem Thon besteht, in welchem man einzelne Muschelfragmente findet. In einigen dieser Salzlachen wurde, als ich sie sah, bereits die zweite Salzernte in demselben Sommer gemacht. Man leitet dazu die Soole aus den Lachen in sogenannte Salzgärten, die durch geringern Umfang und Tiefe das Verdunsten des Wassers begünstigen. Die kleinen Seen selbst setzen nie Salzkrusten ab, weil die Soole in ihnen zu schwach ist; sie blühen nur dann und wann Salz an ihren Ufern aus, wo das Wasser schneller verdunstet als in der tiefern Mitte der Lache. Der graue Thonboden bedeckt auch die ganze Nie- derung (das Dreieck) bis Berdänsk, aber mit der An- näherung an die Stadt von Osten her, bildet die obere Schicht dasselbe Gemenge von Thon, Sand und Mu- schelschalen, auf dem die ganze Stadt erbaut ist. Alle Brunnen derselben, die übrigens nur eine Tiefe von einigen wenigen Fuss haben, sind in diesem Muschel- konglomerat angelegt und geben ein schlechtes Was- ser, das wahrscheinlich aus dem Meere durch den lockern Boden in sie hineinfiltrirt. Dass diese Uferbildung hier, wie am Nordufer des Schwarzen Meeres, unmittelbar auf Diluvialthon la- gert, ging aus den Bohrversuchen hervor, welche der Beamte der Wege- und Wasserkommunikation Van- Desen bei Berdänsk angestellt hatte, um die Beschaf- fenheit des Bodens kennen zu lernen. Er war beauf- tragt, in einer Entfernung von 400 Sashen — 2800 Fuss südlich von dem Landungsplatze, im Meere ei- nen steinernen Damm aufzuführen, einen sogenannten Wellenbrecher, zum Schutze der Schiffe. Man bohrte zwischen dem Ufer und der für den Damm bestimmten Linie an einer 13 bis 14 Fuss tie- fen Stelle. Anfangs drang der Bohrer durch das Mu- schelkonglomerat 11,3 Fuss tief. In einer Tiefe von bis A Fuss traf der Bohrer auf eine härtere Schicht, deren Mächtigkeit jedoch nicht bestimmt ward. In Tome XI, Es werden nämlich diese Strömungen einen Theil des den Steilufern und den Owragi entrissenen und in das Meer geführten Detritus, allmählich westwärts ver- schleppen. Wo das Ufer geradlinig ist, werden sie das Material ziemlich gleichmässig vertheilen. Dage- gen werden sie da, wo sie an ein Vorgebirge und des- sen niedrige, ebenfalls ins Meer vorspringende Fort- setzung (das Dreieck) drängen, wie solche an jeder Kossa vorhanden ist, den Sand nebst den Muschel- schalen von der Südspitze dieses Vorgebirges in lan- gen Bänken hinausschieben, wie das auch an den aus- springenden Winkeln der Flüsse geschieht, in denen solche Zungen ebenfalls eine leichtgebogene Gestalt annehmen. Dass im Frühling auch schwimmende, vom Winde und der Strómung getriebene Eisschollen sich an diesem Werke einigermaassen betheiligen, unterliegt zwar keinem Zweifel, doch kann ihre Wirkung nur vorübergehend sein, weil die Furchen, die ihre Rän- der in den lockern Boden ziehen, und die dabei ent- stehenden Unebenheiten, vom Regen, von den Winden und Wellen wieder geebnet werden. Denken wir uns solche Strömungen in voller Thä- tigkeit z. B. zwischen Mariupolj und Berdünsk. Sie gehen, von der Mündung des Don kommend, in ost- westlicher Richtung am Ufer hin bis Mariupolj. Hier stossen sie auf ein Vorgebirge und dessen niedere Fortsetzung und werden an deren óstlicher Seite nach Südwest abgelenkt. Im Verein mit den kráftigen, bei dem Auflaufen auf das Ufer nach SW abgelenkten Wellen, werden die Strómungen den dem Uferplateau entnommenen Sand und die vom Meere gelieferten Muschelschalen, am óstlichen Ufer der Niederung in Form einer Düne aufwerfen. Diese ist also weiter nichts als die süd- westliche Fortsetzung des aus demselben Material be- stehenden Ufersaumes, der zwischen Mariupolj und der Belossaraiskaia Kossa am Fusse des Steilufers liegt. Das Westufer der Niederung ist bei diesen Vor- güngen die geschützte Leeseite; das Meer ist hier beobachtete. Ein starker Südwestwind hatte das Wasser des Asow- schen Meeres mehr als gewöhnlich erhöht. Als er schwächer wurde, begann die Rückstrómung und war so stark, dass die im Fahrwas- | ser vor Anker liegenden Schiffe mit dem Bugsprit SR Kie gekehrt blieben und ihr Steuerruder gegen den Wind gerichtet hatten, mit welchem andere Schiffe unter vollen Segeln ipt , Nord fuhren. Die Strómung ist sowohl im Asowschen Meere pa in der Meerenge immer im Fahrwasser am — zu bemerke Bulletin de l'Académie Impériale 579 mengesetzt, in welchem ebenfalls, wiewohl selten, Or- thoklaskórner vorkommen. Am südlichen Ende der Landzunge nimmt das Ufer eine Werst weit eine ostwestliche Richtung an, lenkt aber dann an der Westseite unter spitzem Winkel nach Nordost um. Hier erreicht der Uferwall die grósste ' relative und absolute Hóhe und die entsprechende Breite seiner Basis. Wenn man sich vom Ostufer ins Meer entfernt, nimmt die Tiefe bedeutend schneller zu als an dem Westufer. Von dieser Regel macht nur die Stelle eine Ausnahme, an welcher hier bisweilen beschädigte Schiffe ausge- bessert werden. Sie liegt 2 Werst nördlich vom Leucht- thurm, an der nördlichen Spitze der kleinen Land- zunge, die sich hier in südnórdlicher Richtung von der Berdünsker Kossa abzweigt. Ihre Nordspitze biegt sich hakenfórmig nach Osten um und schliesst ein von drei Seiten geschütztes 10 Fuss tiefes Becken ein. Drei Werst von dieser Landzunge zweigt sich vom Westufer der Kossa eine zweite, ebenfalls nach Nor- den gerichtete ab, die 1'/, Werst — 750 Sashen lang ist. Als ich die Berdänsker Landzunge am 31. Juli 1863 besuchte, wehte ein Ostwind; in einiger Entfernung vom óstlichen Ufer war zwar keine Strómung zu be- merken, allein jede Welle — und sie sind hier hóher und kräftiger als an dem seichtern Westufer — wurde nach Südwest geworfen, und rollte den Ufersand in derselben Richtung weiter. Am 2. August 1864 fuhr ich bei einem wüthenden Oststurme an der Südspitze | der Kossa vorüber und bemerkte nicht nur im Meere, sondern viel mehr noch am Ostufer eine Strömung, die eine Geschwindigkeit von mindestens 3 Fuss in der Sekunde hatte und den gróbsten Sand und kleine Granitgerölle von Erbsengrösse in Bewegung setzte, aber freilich in geringer Menge. Bedenkt man aber, dass die Ostwinde hier nicht nur vor andern sehr vorherr- schen, sondern auch eine grosse Gewalt erreichen, und erwägt man zugleich, dass das Asowsche Meer, und in- sonderheit der Taganroger Liman, den Charakter ei- nes Flusses und eine, wenn auch nur schwache, aber konstante ostwestliche Strömung hat, welche den Über- schuss an Wasser in das Schwarze Meer abführt, so wird man darin leicht eine der zur Bildung der Asowschen Landzungen nothwendigen Bedingungen erkennen”). 20) Wie bedeutend die konstante Strömung unter Umständen werden kann, mag folgende Thatsache beweisen, die ich in Kertsch Grósse und Umrisse, dass wir diese Unterschiede nicht durch Ungenauigkeit der Vermessungen, sondern nur durch natürliche Veränderungen erklären können, und dasselbe gilt auch von den kleinen Landzungen. Und zum Schlusse mag noch erwühnt werden, dass der Aufseher des auf der Berdünsker Landzunge be- findlichen Leuchtthurms, mir bei meinem Besuche 1863 mittheilte, dass der Thurm in früheren Jahren dem Südufer näher gestanden habe. Diese Angabe be- stätigen auch die beiden Karten, vorausgesetzt dass sie die Entfernung des Thurms von dem südlichen Ufer genau nach dem Maassstabe angeben; sie betrügt auf der älteren Karte 109 Sashen = 763 Fuss, auf der neuern aber 250 Sashen — 1750. Es bleibt mir übrig, noch auf eine Frage zu antwor- ten: Welcher Antheil ist den in das nórdliche Ufer des Asowschen Meeres mündenden Flüssen an der Bildung der Landzungen zuzuschreiben? Man kónnte auf den ersten Blick meinen, dieser Antheil sei nicht nur nicht zu bezweifeln, sondern auch ein ziemlich wesent- licher, da im Osten von vier Landzungen, der Krivaia, der Belossaraiskaia, der Berdünskaia und der Birüt- schja, sich Flüsse ins Meer ergiessen, welche ihm Sinkstoffe bringen, die von der Ostströmung ergriffen und zur Bildung der Landzungen verwendet werden. Dagegen wäre jedoch zu bemerken, dass der Obi- totschnaia ein solcher Fluss ganz fehlt — das unbedeu- tende Flüsschen gleiches Namens fliesst westlich von der Kossa ins Meer; dass die Molotschnaia von ei- nem 30 Werst langen Liman aufgefangen wird und also die von den Hochwassern mitgebrachten Sink- stoffe in diesem und nicht in dem Meere absetzen wird — und endlich dass die Berda bei hohem Was- ser durch einen Liman passiren muss und im Sommer das Meer gar nicht mehr erreicht, wie wir oben be- reits anführten. Ich kenne die mineralogische Zu- sammensetzung des Sandes der übrigen Landzungen nicht, auf der Berdänsker entspricht sie der Beschaf- fenheit des an der ganzen benachbarten Küste ver- breiteten Ufersandes. Wir sahen oben, dass die von dem untern Laufe der Berda durchstrómte Niederung und der Boden ihres Limans nicht etwa aus Sand, sondern aus grauem thonigen Schlamme bestehen, und schliessen. daraus, dass die Berda dem Meere weder Sand noch Gerölle liefert. Die in der Uferdüne gefundenen Kórner von Or- des Sciences de Saint - Petersbourg. 551 weniger tief, der Wellengang dadurch schwücher, die östliche Strömung Null. Hier können sich also alle vom Lande durch Flüsse und Owragi gebrachte Sink- stoffe und die Muschelschalen des Meeres ruhig ab- setzen. In Folge dessen wird in diesen Buchten die Tiefe allmáhlich ab und ihr óstliches Ufer (das westliche der Landzungen) allmählich zunehmen. Diess bestätigt sich denn auch in der That. Während das Meer ganz nahe von dem östlichen Ufer der Belossaraischen Landzunge eine Tiefe von 18 bis 24 Fuss hat, beträgt sie in doppelt so grosser Entfernung vom westlichen nur 9 bis 11 Fuss. Und an der Ostseite der Berdän- sker Zunge giebt die Karte des Hydrographischen De- partements 18 Fuss, in der Nähe des westlichen Ufers 10 bis 13, in grösserer Entfernung von ihm aber nur 6 bis 9 Fuss Tiefe an. In diesen Unterschieden liegt zwar noch kein Beweis dafür, dass die Tiefe auf der Westseite wirklich abgenommen hat, denn sie könnte ja möglicherweise hier von Anfang an geringer gewe- sen und unverändert geblieben sein. Wenn man aber bedenkt, dass in Berdänsk neuer- dings Klagen über das Seichterwerden jenes kleinen Beckens, dessen wir oben erwähnten, laut geworden sind, in welchem beschädigte Schiffe ausgebessert wer- den, und wenn wir die ältere, 1833 angefertigte Karte der Berdänsker Landzunge und Bucht, (im Maassstabe von 1 Meile im englischen Zoll) mit der neuesten, vom Kaiserlichen Generalstabe herausgegebenen (3 Werst im Zoll) vergleichen, so werden wir, während das Ostufer auf beiden Karten unverändert geblieben ist, am Westufer und auf der Landzunge selbst ganz verschiedene Contouren finden. Die beiden kleinen, von dem Westufer der Kossa sich nach Nord abzweigenden Landzungen sind auf der neuen Karte verhaltnissmässig länger und breiter gezeichnet als auf der frühern; besonders auffillend ist diess an der nördlicher gelegenen. Auf der älteren Karte stehen drei von den auf der Kossa gezeichne- ten Wasserlachen, durch Einschnitte in der westli- chen Uferdüne, mit dem Meere in Verbindung; auf der neuen Karte aber sind sie vollständig von dem- selben abgeschlossen. Die Lücken in der niedrigen Düne des Westufers hätten sich also in der Zeit von 30 Jahren ganz ausgefüllt. Endlich bemerken wir noch an den Lachen auf beiden Karten so verschiedene 384 Wenn nun auch diese Angaben, wie Hr. Borissäk richtig bemerkt, sehr übertrieben sein mögen, so dür- fen sie doch nicht unbeachtet bleiben, wenn man in dieser Gegend die geologischen Vorgänge der Jetzt- zeit aufklären, und aus ihnen Schlüsse auf die Vor- gänge einer verflossenen Periode ziehen will. Und je- denfalls geht aus ihnen hervor, dass die Anwohner des Delta durch eigene Beobachtung zu der Über- zeugung gekommen sind, dass es in verhältnissmässig sehr kurzen Zeiträumen bedeutend an Länge zuge- nommen hat. Seite 295 der erwähnten Schrift finden wir nume- rische Angaben über die Dimensionen des Delta; die unten angeführten Zahlen sind die Ergebnisse einer im Jahre 1822 und zweier im Jahre 1851 von den Herren Jermolajew und Turutajew ausgeführten Vermessungen. Richtung der vermesse- 1822 Jermolajew | Turutajew nen Linien : 1851. 1851. Von dem Punkte, wo der Don und Mertwoi Donez sich trennen, bis zum westlichen Rande des Delta an derKalantscha- [100000 E 27 Werst u. 120 Ssash. 29 Werst u. 150 Ssash. Die Breite des Delta von der Kagalnik- Mündung im Süden bis zur Mün- dung des en Do- nez im Nor 21 Wer u. 450 سه‎ 22 56 u. 440 ۰ 20 ۶ u. 365 ۰ Von der Mitte des Dor- fes N ee bis zur ung des Mertwoi 8 Werst 8 Werst 7 Werst u. 220 Saach u. 350 Ssash. ju. 325 Ssash. Die auffallenden Unterschiede in den Angaben des Jahres 1851 ergaben sich, wie es scheint, nicht etwa aus Schriften, sondern, wie Hr. Borissäk mittheilt, aus einem Vergleiche der von den genannten Herren angefertigten Karten, und können sowohl auf unge- nauer Zeichnung, als auf Fehlern bei der Vermessung und auf verschiedener Höhe des Wassers zur Zeit der einen und der andern Operation des Jahres 1851 beruhen. Ich schliesse mit dem Wunsche, u Hr. Dani- lewsky, der seine gründlichen, lehrreichen Untersu- chungen nun schon auf das Delta des Don und auf das nórdliche Ufer des Asowschen Meeres ausgedehnt hat, uns recht bald die Resultate derselben mittheilen móge. Paru le 31 mai 1867. Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint -Pétersbourg. 583 thoklas, Hornstein und Lydit rühren daher wahr- scheinlich nicht direkt aus dem Gebiete des Granits und anderer krystallinischer Gesteine her, welches die Berda weiter oberhalb berührt, sondern aus dem im Diluvio vorkommenden Conglomerate, das weiter oben, am.Steilufer zwischen Berdänsk und Nogaisk beschrieben ward, und das bei seiner Mächtigkeit von 6 Fuss möglicherweise eine weite Verbreitung haben kann. Der einzige Gegenstand auf der 007 Landzunge, den die Berda geliefert haben kónnte, war jene Paludina, die wir fanden. Das Vorkommen dieser Süsswasserschnecke scheint jedenfalls sehr selten zu sein. Es kann also der Antheil, den die Flüsse an der Bildung der Asowschen Landzungen nehmen, wie mir scheint, nur ein sehr geringer sein. Nachdem der vorstehende Aufsatz bereits abge- druckt war, erhielt ich den ersten, so eben erst er- schienenen Band der von den Professoren der Char- kowschen Universität, Borissäk und Levakowsky, herausgegebenen Materialien zur geologischen Kennt- niss des südlichen Russlands. (COOPHIKB 1317601830187 orHocsamuxcs 10 reoaorin Kino Pocein). In der dritten Abtheilung dieses Bandes, pag. 229, theilt Professor Borissäk eine geologisch- hydrologi- sche Übersicht des untern Laufes des Don und Nach- richten über das Delta dieses Stromes mit, die sehr werthvoll und belehrend sind. Ich würde die wichtig- sten von ihnen in meinen Aufsatz aufgenommen ha- ben, wenn ich sie früher erhalten hätte, und beschränke mich jetzt darauf, auf diejenigen aufmerksam zu ma- chen, die über das Wachsen des Delta mitgetheilt werden. In einer von einem hochbejahrten Manne, Namens Martynow, abgefassten Schrift, fand Profes- sor Borissäk die Nachricht, dass seit dem Jahre 1796, in welchem das einst dem Martynow gehörige Dorf Nedwigowka angelegt ward, bis zur gegenwärtigen Zeit (1864) der Taganrogsche Busen des Asowschen Meeres um 6 Werst zurückgewichen sei, und dass dieser ganze Raum sich mit angeschwemmter Erde und mit Schilfwäldern bedeckt habe und von Fluss- armen, Seen und schwankenden Sümpfen durchschnit- ten werde. Hochbetagte Greise erzählten Professor Borissäk, das Delta sei während ihrer Lebenszeit um 2 Werst gewachsen, und die Batterien, die man zur Zeit des Krymmkrieges, also’in den Jahren 1855 bis 1856, am westlichen Rande des Delta in der Nähe des Meeres aufführte, seien jetzt weiter von ihm entfernt, weil sich vor ihnen (d. h. seewärts) viel Land gebildet hat. Helmer sen:Zur Frage uber d Seichlerwerden des Asowschen Meeres. 7 x LD LIEU E LE > rs کټ‎ Rei Ts ANTPO ۰ d ۶7 AN ۹‏ پد ی ج پوه چک nn شه‎ poc Tg RE‏ يدوم وپل 7 1z a 7/7 Vil hah A Bean a هح‎ 2 RN Bulletin de l Acad. Imp. d. sc.T. XI. "e D VR