H. TABLES DES MATIÈRES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. (Les chiffres indiquent gt ee du volume) eee a ‘maxima et les ASTRONOMIE. A. Saviteh, Observations des planètes à St.-Pétersbourg. 271—272. | PHYSIQUE DU GLOBE. H. Wild, De la détermination du poids d’un décimètre cube d’eau distillée à 4° c. -— 70. ompensation complète pour la température du baro- mètre à erem 139—147. k —: Déviation du fil à pond Pr par l'attraction des | | —245. Gegen cremblemens de terre observés au ues et le pouvoir — 271 ifique d SES ee 291—299 ! : d E ae Ne Sa 23 MM. Christofle et Bouilhet, Note l'exécution en cuivre galva- | ; nique de la statue de No e de la Garde. 319—325. . ` A. Middendorff, Le Golf-stream à Pest du Cap-Nord. 409—434. . Jegorof, Rotation du i ‚par "e des —] es batteries secondaires ou de polarisatio re gr E SCH | es Hed end fi See ARE EE geg : ARS GEOLOGIE. Le v. Helmersen, Sur les memi de lignite prés de Sméla, a de Kief pe e — et au erh: ment de Kherson. 113— BOTANIQUE. A, Batalin, Action de e brem sur les tissas de quelques- mono- et dicotyledones. . J, Maximowiez, Les p d'Ophiopogonis dans les herbiers de St-Pétersbourg. 83 N. M. Maclay, Les éponges la mer Blanche et de l'Océan arctique. 203—205. —99 C. 3, Maximowiez, Courtes diagnoses de quelques nouvelles plantes du Japon et de la Mandchourie. Septiéme décade. 225—232. Huitième dé 873—381. 200LOGIE, ANATOMIE ET PHYSIOLOGIE. | Aladof, Sur Pirritabilitó de quelques parties de la moelle épi- nière. 1 ac Gruber, Sar l'apparition d'un lobe surnuméraire à l'extré- du poumon droit de l'homme, et sur la direction de l'arc de la veine Fas De e fente verticale qui en est la cause. ernant le développement de quel- P. Brandt, Nouvelles vécherches sur los restes de mammifères és dans des cavernes dans l'Altai. 147— 202, Dr. w. y. Gruber, De quelques anomalies ou variétés rares des artères. " F. Brandt, Remarques concernant l’histoire naturelle du Cervus ! A prouver l'identité des a u antes S : y la distribution me Planche.) 352—372. . (Avec une Planche.) de T N IV _ Dr. W. ct: Remarques sur l'ostéologie de la main et du pied. (Avec une Planche.) 435— — Observations sur les cas de poly dactelis 460—483. — Nouveau cas d'un 9"* petit os du carpe, remplaçant l'apo- E deeg (processus noie) de Pos III du métacarpe chez Phomm —486. Lo cas Pankylose du One petit os de + avec Pos n ag mutant chez ome 486—192. = © aa pena ar l’organisation des pepitas E temor odds Communication préalable concernant Tenbryologie | des ie Ke A. Stuart, ag mierographiques. 517—522. Ph. Owsiannikoff, Etudes istologiques sur le système Bar des | | mollusques. 5 : Dr. W. ux sche de leision extraordi mité inférie ure og l’homme. 527—530. MIA! ET HISTOIRE. Brosset, Note sur le pont I N 23 de la Bibliothèque Tmpériale de Paris, 45+ B. — Quelques remarques concernant la géographie de la Perse. 263—268. ee Notice sur le Makhzen - ul-esrar de Mir- es rap- M. Bus, a sur un manuscrit grec des en‘ e Panine. rté du EE Libre et appartenant au Ae corps infants aux CR pomos E^ . B. TABLE ALPHABÉTIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) Aladof, M., Sur Pirritabilité des quelques parties de la belle épi- nière. 15 ier Fr., Sur quelques tremblements de terre observés au n d’un niveau très sensible. 268. me de Fe lumière sur les tissus de quelques mono- et dieot tyledon Brandt, J. E Sea recherches sur les restes de SE Altai. 147 | ans des cavernes dans D —— Remarques con du Cervus Alces cernant Vhistoire naturelle | Max Linn., tendant à a eo l'identité des espéces vivantes et fos- sur la í siles, suivies d ibution géographique de Pélan. ( 4 ues reı | “concernant le poil du Mamouth, à yd sion ( o n de M. le professeur fraas. 8 ini T.I Le Cup Ge de Lepas anatifera. ie une Planche.) 332. —— Sur les jeunes Zdothea entomon. (Avec une Planche.) 403 Brosset, M., Note sur le manuscrit géorgien N 23 de la Bibliothèque Impériale = Paris. 45. — Notes manuscrit grec des quatre eo Zén rapporté du ; Souaneth-Libro et appartenant au comte Pan 85. Christofle e Note sur l'exécution = enivre EEE de la gees de Notre Dame de la Garde. Cyon, E, Sur le Nervus depressor du cheval. Dem une Planche.) 261. Dorn, ei Quelques remarques concernant la géographie de la Perse . 263. Grüber, W., Sur l'apparition d'un lobe surnuméraire à l'extrémité du poumon droit de l'homme, et sur la direction de l'arc de la veine Arygos dans la verticale qui en est la cause. 91. —— De quelque ariétés rares des artères. 245. —— Sur la polydactylie. De e Planche.) 352. —= Remarqnes sur Postéologie de la main et du pied. (Avec une Planche.) 435. —— Observations sur les cas de polydactylie. 460. — Nouveau cas d'un 9% petit os du Pen remplaçant l'apo- KN iig bam u styloïdeus) de Pos III du métacarpe iques. Geert Struve, H, niaque ' AS Ca cas à e du 9 petit os du carpe avec l'os III | du métacarpe chez l'homme. 486. muscles de s | extraordinaire de l'extrémité infé- Thon Yéliaminof- Ternof, V., Notice sur le we 7 si Ä | der. S WI De Ja détermination du poids un déeimètze enbe d’eau | à 4" C. 58. | saison techn Kohearo N,, Des cristaux de Chondrodit provenant de la Fin- lande —— Sur les cristaox du Greenockit. 219. —— L'Olivin du météorite de Pallas. 303 Lazorenco, M., Sur les corps correspondants aux produits nitrés de la bensoff-A&nilide. 72. Maelay, N. M., Les éponges de la mer Blanche et de l'Océan arctique. imowiez, C. J., Les espèces d Ophiopogonis dans les herbiers de St. -Pétersbourg, 88. —— Courtes diagnoses de quelques nouvelles plantes du Japon et de la Mandchourie. Septiéme décade. Huitiéme décade. 873. mima le = F., Tableau général des monuments religieux du Metschaiket, E en concernant le développement de quel- ques coelenterates. 95. — Communication 1 tege concernant l’embryologie des ani- maux inférie Middendorff, A., te tee) à l’est du Cap-Nord. 409. Owsia f, Ph., Le systéme nerveux des étoiles marines. (Avec une Planche.) — Cer tudes histologiques sur le système nerveux des mollusques. Sabinine, M. 6., Sur la méthode de ng les maxima et les , minima des intégrales définies multiples. Sainte-Claire Deville, Sur les propriétés vg et le pouvoir ca- lorifique de quelques pétroles de l'Empire ussie. 291. | Saviteh, A., ‘Observations des planètes à St.-Pétersbourg. 271. Sehiefne apport sur un voyage exécuté en 1870. 397. Somoff, J., Note sur la rectification approximative des courbes quel- conques. 257. tebnitzki, J., Déviation du fil à plomb produite par Vattraction des monts du Caucase. (Extrait.) 232. es sur l’ozon, l’eau qe et le nitrite Tammo- Communication préalable. 325 Stuart, À, Sur l’organisation des grégarines. - ane Planche) 497. —— Études micrographiques. 517. ai de Mir- Hai- aux mo aper iratos de ri So ron ar l'effet des électro- . mètre #} 21 fa MC p AA aa pt IS oo MES * © Ead A A PA SE GERD 227 ir4445E nd c — if Z vi t BULLETIN DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME XY. (Feuilles 1—7.) Page. ; Etat du eed. Se PAcadémie Impériale des sciences au 1” janvier 1870......... 1—8 Liste des Acad démies, Sociétés et corps savants auxquels l'Académie Impériale des 3 DEMO... rre n Ae Eh e notes 9—15 M. Aladof, Sur l'irritabilité de quelques parties ie la moelle évinièes A E E 15—21 A, Batalin, Action de la lumière sur les tissus de quelques mono- et dicotyledones..... 21—44 . Brosset, Note sur le manuscrit géorgien X 23, de la Bibliothèque Impériale de Paris 45—58 H. Wild, De la determination du poids d’un décimétre cube d’eau distillée à 4° C..... 58—70 M. 6. Sabinine, Sur la méthode de distinguer les maxima et les minima des —— : SEENEN e 70—83 C. J. Maximowiez, Les espèces d'Ophiopogonis dans les herbiers de St-Pétersbourg. à 83—90 Dr. Wenzel Gruber, Sur lapparition d'un lobe surnuméraire à à l'extrémité du pem droit de l'homme, et sur la direction de l'arc de la veine azygos dans la fente ver- ticale a caben A A Ce ER . 91—95 E. Observations concernant le développement de quelque aaier. ... 95—100 Bulletin bibliyrephique P EE brise pu vq. DEE . 100—112 e MA a a: ie praia ere er ee, 112 On s'abo) chez MM. Eggers & Cie, H. Schmitzdorff, J. Issakof et Tcherkensaf, libraires à à St.-P tin? de Nefski; au eh Administratif de l'Académie (Bonert Hparzenia Vert Wen Hays) et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. a, Le pri d'abonnement , par volume composé de 36 feuilles, est de seen: — Ru SC 3 thalers de Prusse Presto pont l'étranger. (. Imprimé par ordre de l'Académie Académie Imp riale des se Mai 1870. Amat Ee ERIS es E EE Kr ue d Br BULLETIN DE D'ACADÉMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE at ur ETAT DU PERSONNEL DE LACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES AU 1% JANVIER 1870. Président: M. le comte Frédéric Lütke, aide-de-camp-gé- néral et amiral. Vice-Président: M. Victor Bontiskoiski, conseiller privé. Secrétaire Perpétuel: M. Constantin Vesselofski, con- seiller d'état actuel. L CLASSE DES SCIENCES MATHÉMATIQUES ET. dac Mathématiques. pures. M. Victor enee GE ordinaire, con- seiller privé (Vice-Présiden M. e Somof Académicien e conseiller d'état uel. M. rc Pérevostchikof, Académicien extraordi- naire, conseiller d'état actuel. Mathématiques appliquées. M. Paphnuce Tchébychef, Académicien ordinaire, con- seiller d'état actuel. - Astronomie. M. Otto Struve, Academicien ordinaire, conseiller prive. » M. Alexis Savitch, A , conseiller privé. M. Maurice J acobi, Académicien ordinaire, conseiller privé M. Germain Wild, Académicien extraordinaire. Chimie générale. M. Jules Fritzsche, Académicien ordinaire , conseiller | 2 … privé. : E [Ae appliquis cur arts t ira v Technologie. M. inso Académicien ordinaire, conseiller d'état 3 gie , Glognosie et Paléontologie. M. ng Helmersen, Académicien ordinaire, lieute- M. Nie Xokcharof Académicien ordinaire, général. | Sir Roderick "id Marehisos, Académicien ordinaire "E 1. Const (à Londres Tome XV. Botanique. M. Francois Vids aa Académicien ordinaire, ir d'état M. Charles cr conseiller de collége. M. Nicolas Jéleznof, Académicien extraordinaire, surnu- morais, conseiller privé. ..... Zoologie. M. Jean n Frédéric Brandt, Académicien an conseiller Académicien extraordinaire, M. Léopold. Se "rens, Académicien ordinaire, conseiller d'état M. Alexandre Strauch joint. assesseur de collége. Anatomie comparée et Physiologie. M. Philippe Ofsiannikof, Académicien ordinaire, con- seiller d'état. II. CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITTÉRATURE RUSSES. MM. le prince Pierre Viazemski, Académicien ordinaire, conseiller priv Michel Pogodine (à Se Académicien ordinaire, conseiller d'état ac Paul Stroief (à: aeris Académicien geg conseiller d'état actuel. Ismaël Sreznefski, Académicien ordinaire, conseiller privé. Mgr. Macaire, Atadémicien ordinaire , Archevéque de Lithuanie et de Vilna. Alexandre Nikitenko, A seiller privé. . Jacques Grot. ire , conseiller privé. d Théodore Bouslaief d Moscou), Académicien ordi- naire, conseiller d'état actuel. Pierre Pekarski, Académicien ordinaire, conser ; d'état. MM. Académicien ordinaire, con- AZ véi eni * D Michel Rosberg, Académicien e: Aor seiller d'état actuel. . pu Athanase Bytchkot; Acad lémici E oO Bulletin de l'Académie Impériale 4. M. M. Woldemar Bézobrazof, Académicien extraordinaire, conseiller d'état actuel. Histoire et antiquités russes. M. re Oustrialof, Académicien ordinaire, conseiller rivé. M. ét Kunik, Académicien extraordinaire, genen d’etat actuel. Litterature et Zeg grecques et romeines. MM. Ludolph Stephani, Académicien ordinaire, conseiller : d'état actuel. : cues Nauck, Académicien ordinaire, conseiller d’eta | Littérature et antiquités orientales. MM. Marie-Félicité Brosset, Académicien EE con- Seiller d'état actuel. Bernard Dorn, Académicien ordinaire, conseiller uel. d'état act Otto no dee Académicien ordinaire, conseiller . d'état. ac ntoine S fner, Académicien extraordinaire, con- ~ geiller d'état actuel. Woldemar f-Zernof, X EG + «à extra ordinaire, conseiller d'état actuel. - — Langues et Ethnographie des peuples finnois. M. Ferdinand Wiedemann, —— ordinaire, con- seiller d'état actuel. | uw regnicoles. Sa Majesté l'Empereur Alexandre II. 1826. Son Altesse Impériale Monseigneur Césarevitch Grand- | Duc Héritier Alexandre. 1865 Son Altesse Impériale Monseigneur. le Grand-Duc Con- stantin. 1844. Son Altesse Donee Monseigneur le Grand Duc Nicolas Père, Son groe Tnpiril Monseigneur le Grand-Duc Michel. = Son dE Impériale Monseignenr le Prince Roma- novski Nicolas Duc de Leuchtenberg. 1865. - Son Altesse Impériale Monseigneur le Prince Pierre | d’Oldenbourg. 1834 * de Mecklenbourg-Strelitz. 1856. — gan: Stroganof, MM. le comte Bi 1844. ler d'état actuel 1841 le comte Kisselef, 1855. | Altesse Gread Deak Monseigneur le Duc Georges) le princeDavydof, 1852. | le baron M. Korff, 1852. MM. le comte Lütke, (Prési- MM. sch lieutenant - général dent) 1855. le général aide-de-camp Tchefkine, 1855. le baron F. Wrangell, 1855. le comte Poutiatine, 18552 3 j le comte Panine, 1855. . le général-aide-de-camp Todtleben, 1855. Mgr.Bajanof, 1856. — MM. le comte Adlerberg I, 1856. er le prince A. Gortcha- - kof, 1856. le conseiller privé actuel Brock, 1856. le général-aide-de- -camp Ignatief, 1856. le conseiller privé actuel Levschine, 1856. Mgr. le métropolitain Isi- . dore, 18 Mgr. le métropolitain Inno- = 857... => le conseiller d'état actuel cent : MM. lebarondeLieven, 1857. => le conseiller privé actuel Hube, 1857. © le comte Ouvarof, 1857. le comte Mouravief- Amourski, 1858. le général d'infanterie — . . Hasford, 1858. - le baronBrunnow, 1858. - | le conseiller privé Sar bed dz, 1858. elnikof, 1858. 7s vs Tiszkiewicz, 1858 le prince Bariatinski, 1859, le conseiller privé actuel Kniajévitch, 1859. le en, SC pe lianof, 1 le prince ala ante Souvorov de Rym- nik, 1861. le conseiller privé Go-. lovnine, 1861. le conseiller privé Baer, 1862. le conseiller privé actuel Reutern, 1863. le conseiller privé actuel Boutkof, 1863. _ le maitre de la cour Gué- déonof, 1863. le conseiller d’état actuel Dahl, 1863 Middendorff, 1865. Te a privé Po- ~ stels, 1 Je le Se actuel . Abich, 1866. ` le comte Tolstoi, 1866. le général-aide-de-camp ` - Miliutine, 1866. ` le conseiller privé actuel - Walouyef, 1867. MM. le marquis Pietre-Citelia, à | Naples 1846. Zarco del Valle: $ - Associós ho = président de Académie des sciences à Madrid, 1851. ` E le maréchal Vaillant, à Paris, 1856. om Son Altesse Je prince io Lucien Bonaparte, 1 o EX es d ui x » L CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE. - j MM. Horse & Londres, MM. life ä Christie 1830. - | Sabine à Londres 1826 Ehrenberg; à | Berlin, gio E = EE ILOLOGI M. le baron C. Dupin, à à Paris, 1826. {es i bus is 5 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Membres honoraires de la Classe russe. MM. le conseiller d'état Fedorof. le conseiller d'état actuel Mouravief. le conseiller privé Serbinovitch. Membres correspondants. L CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE. Nota. Le réglement du 8 octobre 1855 donne à chaque Section le E | ombre de correspondants suivants. a) Section mathématique. MM. le baron a Beo ee MM. Airy, 4 Greenwich, 1840. à Réval, 1828. eVerrier, àParis,1848. Knorre, P Nikolaief, "Peters, à Altona, 1849. 1828. Yvon Villarceau, à Pa- ris, 1855. Maury, 1855. - Hermite, à Paris, 1857. Baeyer, à Berlin, 1858. Bertrand, à Paris, 1859. Duhamel, à Paris, 1859. Chasles, à Paris, 1861. (30) Clausen, àDorpat,1856. Kowalski, à Kazan, 1862. Minding,äDorpat,1864. Popof, à Kazan, 1866. Ivachinzof, 1866. Lindelöf, à Helsing- — Kummer,àBerlin, 1862. Winnecke, à Carlsruhe, i zelandet: à Bonn, 1864. 1826. ~ Weierstrass, à Berlin, -Lamé, à Paris, 1829. - 1864. Babbage, à Londres, Adams, à Cambridge, 1832. 1864. Hansen, à Gotha, 1833. Steinheil, à Munich, Londres, 1864. 8355. > + Ross-Clarke, à Sout- Liouville, à Paris, 1840. hampton, 1867. - RE, (30) MM. Hermann, à Moscou, MM. Wöhler, à Göttingue, 1831. 1853. le comte Keyserling, A Dorpat, 1858. _Volborth, à St.-Péters- Mirci beih. 1854. - bourg, 1863. See Weisbach, ere 1855. Voskressenski, à i Kharkow, 1864. _ Riess, a Berlin, 1856. - EE à Vienne, ; Fremy à à Paris, 1856. De Verneuil, à Paris, -. 1856. Dumas, à Paris, 1845. 5 Regnault,aParis,1848. Hofmann, à Berlin, | ` 1857. | Chevreul, à Paris, 1853. = Warren De-la-Rue, ä| 5 b. ME à Güttingue, MM. Élie de Beaumont, à MM. Bros 7 _ Naumann, à Leipsie, | e 7. ; gen Daubrée, à Paris, 1861. Kirchhoff, à Heidel- berg, 1862. à New-Haven, ` à Heidelberg. erer à Cambridge, 1864. Kobell, à Munich, 1867. Poggendorff, à Berlin, 1868. Henry Sainte-Claire- Deville, 1869. c) Section biologique. (40) MM. ee -Péters- MM. Siebold, A Munich, 1855. bour 6. Peace e, A Sot 1833. Trautvetter, à St.-Pé- tersbourg, 1837. Pirogof, 1846. Bidder, à Dorpat, 1857. Mercklin, à St.-Péters- bourg, 1864. ` Gruber, à St.- Pers bourg, 1866. Setschenof, à Sr Pé- tersbourg, 1869. Brogniart,àParis,1829. Harlan, à New- York, 1838. Gaimard, à Paris, 1839. Owen, à Londres, 1839. Milne-Edwards, à Pa- ris, 1846. Bischoff, à a 1846. Fries, á Upsala, 1850. Reichert, 4Berlin,1850. ` à Dresde, Seh. q à Munich, ES 1851. Gappert à Breslau, Mon à Tubingue, 1854. do Mitad. M. Granville, à — 1826. Es à Halle, Kölliker à Wurzbourg, sok Deeandolle, a Genève, 1858. Jos. Dalt. Hooker, à Londres, 1859. - Hyrtl, à Vienne, 1859. Claude Bernard, à Pa- 860. ps à Stockholm, Lenttéés. à Leipsic, 1861. Steenstrup, à Copen- hague, 1861 AsaGray,a Boston,1862. Henle,äGöttingue,1863. Huxley,àLondres,1864. Ratzeburg, á Neustadt- Eberswalde, 1864. Nageli, à Munich, 1865. a à Londres, Helmholtz Sé Heidel- da fis. Van-Beneden, à Lou- ` vain, 1869. E.Weber,à Leipsic,1869. Agassiz, n : Bulletin de l’Académie Impériale 2 ^ MM. Lavrofski, à Kharkof, MM. SE à Moscou, MM. le prince Obolenski, à MM. Quetelet, à Fenai, = M 46. - 1847. | toria: à St.-Pé- tersbourg, 1856 dáledot à St.-Péters- bourg, 1868 Tuttchef, à St-Péters- Mgr.Amphilochios, á Mos- Tourguenef, à Baden- Baden, 1860. Gontcharet, > St.-Pé- tersbourg, 1 e à zm Péters- - bour; urg, 1861. | Nevostrouef, à Moscou, 1861. Doubrofski, 1862. Tikhoñravof,à Moscou, 1863. cou, 1868 MM. Kukuljevié -Sakcin- ski, à Agram, 1855. Miklosich, à Vienne, 1856. Erben, à Prague, 1856. Hattala, à Prague, 1862. eng: à Belgrad, Ps à Vienne, 1868. Jagié, à Agram, 1868. Raëki, à Agram, 1869. IN. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE. ` a) Section historico-politique. es : oscou, 18 nn à Moscou, ` er E à St- Pétersbourg, 1855. . Zablotski-Desjatov- Ski, à cis alas 1856. | Skalkotski ä Odessa, Kalatchet, à Moscou, 1858. Bunge, à Kief, 1859. Eug. Lamanski, à St.- rsbourg. 1859. | poesis à Moscou, Schitren 1864. Schaitslór d bourg, 1839. Zachariae de itl eme co e : ERP A à Stock- olm, 1859. Renan, à Paris, 1860. Ranke, à Berlin, 1860. Chevalier, Paris 1861. Grote, à Londres, 1861. Palacki, 4 Prague, 1863. Finlay, à Athènes, 1865. | E à Lemberg, E eent à Copenhague, .. 1866. Thoma s, à Munich,1866. Bankroft, à Berlin, 1867 | Michaelis, à Berlin, 1868. b) Section de Philologie da et d Archéologie. a5 - S SS, à Stuttgart, 1848. ineke, à Berlin, 1856. ler, à Göttingue, | Beste: à Moscou, MM. Cobet, à Leyde, 1857. Ritschl, à Leipsic, 1858. Roulez, à Gand, 1858. Haupt, à Berlin, 1859. Henzen, à Rome, 1860. Lehrs, à Sieg 1860. Halm, à Munich, 1865. Bernhardy, à Halle, 1866. MM. Brunn, à Rome, 1861. MM. Müller, à Copenhague 1867. le comte Conestabile, à Perugio, 1869. c) Section des Lettres orientales. (20) tersbourg, 1835. J. Kowalewski, à Var- sovie, 1837. Khanykof, à Paris,1852. Grigorief, à St.-Péters- bourg, 1853. Bartholomaei, à Tiflis, - 1856. Chwolson, a St.- Pé- tersbourg, 1858. MM. Kazembek, a St.-Pé- MM. v ia à Leipsic, Së à Bonn, 1855. Roth, à Tubingue, 1855. Garcin de Tassy, à Pa- ris, 1856. Flügel, à Dresde, 1857. Weber, à Berlin, 1860. Defrémery, à Paris, 1860. Olshausen, à Berlin, Wassiljef, à St.- Pé- 1864. SC bier. 1866. Stenzler, à Breslau, 1867. Ewald, à Güttingue, Rödiger, à Berlin, 1867. 1834. Petermann, à Berlin, Stan. Julien, à Paris, __ 1869. 1845. = = ij Bacon de Linguistique (5) MM. le e baron Uslar,ä Temir MM.Kuhn, à Berlin, 1863. | = Conon von der Ga- Tot à Halle, 1855. belentz, à Altenbourg, Diez, à Bonn, 1855. INS - Appartenances scientifiques. 1) Bibliothèque. ; 1° Section. Livres en langue russe et autres — slaves en général.: Bibliothécaire: M. K 2% Section. Livres en langue étrangères. Bibliothé- | caire: M. Schiefner. 2) Cabinet de physique. Directeur: M. Jacobi. 3) Laboratoire chimique. Directeur: M. Fritzsche. 4) Musée minéralogique. Directeur: M. Kokcharof. D Musée botanique. Directeur: M. Ruprecht ` irecteur: M. Brandt. : eh Musée anatomique. Directeur: M. Owsiannikof. ..8) Musée asiatique. Directeur: M. Dorn. ` | 9) Musée numismatique. Directeur: M. Stephani. .10) Musée ethnographique. Directeur: M. Schiefner. ; 11) Observatoire physique centrale. Directeur: M. Wild. ` 12) Observatoire astronomique | de Vilna. Directeur: M. Smyslof. i 13) Observatoire magnétique et météorologique à Pékin. S Directeur: M. Fritsche. a 9 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 10 i ; St.-Pétersbourg| — ble Impériale. ......|T. LISTE Uni ee UE APIS a JT. bti vue centrale astronomique . es e D des Académies, Sociétés et Corps savants auxquels l'Acà- Jardin botanique Imperial... .......... B. M. Observatoire physique eu: ae B. M. Z. émie Impérial des sciences envoie ses pupa. Bibliothèque de PÉtat-Major .......... B.M.C.Z Département hydrographique du Minis- — tére de la marin . M.C. Z. (Explication des abréviations: B. Bulletin; = Mémoires; C. Com Comité scientifique du Ministére E l'in- rendus; Z. Mémoires en langue russe S. Quelques. hiciera structi Iblige iL. cest... Z. spéciales; T. Toutes les publications. Comité scientifique de la marine ....... B. M. C Comité scientifique du Corps des mines .|B. M. C — Institut du C des ingénieurs des é ponts et SC M. C. j omité central de statistique ..........|B. M.C. Z. I. L'EMPIRE DE RUSSIE. Société Impériale économique ......... . M. C. Société Impériale E Lov uad . MLC. Z. -..| Bibliothèque publique . Jia. yas ES de «|B. M.C. Z. Société entomologique ......,.... Segel di. B. ien = Ee ussoles ......... es Le O. Commission d'archéologie ............. 3 DUM C de la marine............. B. C. Z Académie Fast hg Peel T. rv AVA Dorpat.......| Univ es. «pk. Société minéralogiqu M. : Société Ser TE PA Rédaction du sonas! du ER de Observatoire astronomique............|B. l'instruction publique............. »|B. C. Z. i ifiq te Livres ere. Société russe technique. ......,...,... B. Z. Grodno.......| Bibliothèque publique... DNA Aus ie a ee: Rédaction du journal «Apxuss Cyae e6nofi Helsingfors.. ..| Université ...........:: T ef, Meannugpn u eeng HHO Turiean»|B. Z. —— Société des sciences de Finlande . .. vs | Institut des min .M. Z. S. Observatoire astronomique ....... .|B. ité de tique de St.-Pétersbourg Irkoutsk...... Section aem = la Société Impé- Semipalatinsk.. Bibliothèque parey AS EE, A | riale de géographie.................|B.M.C.Z. | Simbirsk.. liothéque de Karamzine .... “EC: A Jaroslaf... «| Lieée Démidof +.. -+ x». nennen č BMO Zi Tifiia un sten :| Observatoire magnétique ..... Ben ER Université E ers Bibliothèque publique. . M.C.Z Kharkof. .... m ee aS EE T, Section Caucasienne ^ la Société Impé- di ibliothéque des étudiants de l'Université Z. riale de géographie. ...... B. M.C.Z i ee Bibliotheque publique .. fees OZ. crece de - gazette «Kankasın .. BD AA EE EE EE AQUÍ eg e e Bibliothèque E. EE e IB. C. Z. Rédaction = journal —— Me- Varsovie...... Bibliotheque publique HOUSE bd ve ees T. AMIHH AB3 Observatoire astronomique ,........... B. Mitsa... sss Société oe lettres et des arts kUgketssa B. M. C rm de Médecine e de Chirurgie . |B., M. Mohilef. = cr d pate Ma USE. ard ds Et Biblio BE Ee ti eee due ve T. Moscou....... AIMIVGTRNG e sen en vestks Viatka..... avs ibliothèque publique . . ENEE Soe AS Société geg naturalist tes. N .|B. M. HA. s ee toire DRE oec »B.M. Z. ue ine l’histoire et des ‘antiquités Musée d’antiquités et Commission ar- : B. M.C. Z. | chéologique de Vilna....... B. M.C. Z Société Tnpirieie des — naturelles|B. M. | Voronége.....| Rédaction du journal « Pisoaorgaeckia Société russe de l'acclimatisation des ani- 3a ue ele maux et des enin. 4 B. M. Société archéologique . Z. 8. Sr Bibliothèque publique .. Beete 96 gymnases..... ers Z. Bibl saue ee Lucie dE. Aca i ic: ien rofskoë ...|B.C.Z.S. i D „Be arreveaet | see : E f - re rear .|B. Z. H. A L'ÉTRANGER. Nicolaief.. .| Bibliothèq ue de ez marine ... Rcx Pees Gen + Vs ci = — ee : a) Europe, = Société € d'histoire et d'antiquités .......|B. M.C. Z. | Aberdeen …. Université . B. M.C. | Agram .......|Societ& Illyrienne x Z. Anvers... .... Académie d'archéologie de Belgique ... 5; Samara.......| Athénes...... Jniv ce dE CSR? e E a, be EES e ER TT RA 1" Bulletin de l'Académie Impériale: 12 Berlin........| estime bh des sciences .........|B. M. GORE... Société des sciences (Oberlausitzische Ge- B. M. | sellschaft der Wissenschaften)....... B. C. Bibliothèque roy yale e UE M. C. EGoths -c.v — géographique de J. Per Société hiess (Gesellschaft für Justus Perthes peche pete B. Erdkunde .|B. S. Bi bliotheque ee re . |B. Société géologique ue Allemande..,....../B. M. Géthembourg..| Société royale des sciences et belles let- Société des amis des sciences naturelles tres EM THEE och pes (Gesellschaft der Werer SambQliet) «Tes eo o LER b. .|B. M. Göttingen ..... er B. M. C. Societe physiqu .|B. M. : mE du journal «Zeitschrift für Börme;.,...-. Société générale Suisse des sciences na- mie » : SEL, E Société royale des sciences. race dis M. Société des naturalistes...... B. M. PRESS. à E ¿roer he "B. M,C. Bologne ...... ne des sciences........,..... ..|B. M. Greenwich.... rege? royale ..........,...... .|B. M. OMR cas eee Université .|B. M. Greifswald.... us e er RE T . M. Société d'histoire naturelle (Naturhisto- Halle o Uni D ES D ne LC ENN . M. C. rischer Verein der Preussischen Rhein- Hambourg REC Bibliothèque publique ` Free . M. ande und West DER Ehe ies vs ID. : Société des sciences naturelles (Natur- Bordeaux.....| Société Linnéenne de Bordeaux .......|B. wissenschaftlicher Verein) ee des seiences physiques et natu- Hanan... .....| Société des ue naturelles LC Wetier | rete B auer LES nes die gesammte Breslau....... Uni ei B. M. APOPEGUGO) Susi ein ne Société Silésienne de l’instruction du pays B. 2 Harlem....... Société Hollandaise des sciences (Hol- Brunn........| Société Moravo-Silésienne B | landsche Ee TE der Weten- Société dre naturalistes (Naturforschen-| L' schappen}. ds a Bean... ».¡B. M. der Ver B Heidelberg. ..| Université ........ JB. M. C. Bruxelles.....| Académie pes des KS des lettres | ¡Société d'histoire naturelle a de la mé- $ et des beaux-arts de Belgique..... ..|B. M. decine Arge medioialscher Académie royale de re de Bel- GET EURS dE EE evt eur gique .|B. M. Doo SIDES .| Universi té . is Ra SE ers Ka S >: . M. C. Bystritza...... een Slave (Maéciea Slovenska)..... ve eier: enne de Normandie B.M. Cambridge.. "| Société p Phil 80- . Se, E .|B. M Cherbourg. ...| a er d e+e © à 5 2 - AE Coimbre. see ni à e SHE + Coire.... <. eve | Société stes (Naturforschende scienc Gesellschaft G ee A D E Be Gesellschaft der B. M. Colmar.. .....| Société de l’histoire naturelle .........¡B. ` "Société Allemande des orientalistes . JB. = Constantinople. Société impériale des médecins........[B. ` Ute EE ois sk EE B. M.S. Copenhague Société ale De es sciences . ...|B. M. un. Au « Journal für che Société des antiquaires du Nord (Kon- a EE B. gelige No Old — .+B.M. Lemberg...... Institut des Eegen B. M.C. Z. a i Md B. M. C. : Dom» C. Z. Cracovie......| Université (Universitet ER: ....B.M.C. [Leyde........ Université (Acad emia ‚Imgduno-Batara) . B.M. Deidesheim... "| Société «Pollichia» .................. d. x Liege ........| Société royale des science B Dijon.. .......| Académi ee des. sciences, arts et Lille ...| Société impériale des e d'agri- belles dite B. M. culture et des arts = 4 / B.M. Dresde... — Léopoldino-Caroline des natu- — | Lisbonne. i ier des eege Beer BM i "^. ae B. M. ox & jl ) JA hnia m or ee s Dablin........ Académie royale d'Irlande SZ i M. Londres ,... ..| Société pe? (Royal PA ME B. M. Rédaction du journal P pe P UTI Me PETS pss | o S SCH e s 2 Edimbourg.... Société ek dEdimdourg. ey Se à M. Erlangen ...... Univeruité ees tere reisten BE : M rence. ....| Musé : 2781: ce fue Francfort sur- T manes 9 E à i s>» ie enberg nenne |B. M. , * Get OE I oo E I me» jé e M Beie? E E SES : Il. Frankfurter Verein. für Geographie = sa EE : LM c e Me und Statistik), . AB. | Société d es ar JB. r _ Fribourg - y es usée des re : : __ Brisgau.. e Sen B.M. T ded | Gand......... Univ ee ee SKS? sap Me ! Voie = Gewve...... E pa physique et —-— = iété di ST = | ACME ee = EE, EE EE = Giessen.. q. «e e en KL. B. M. College à e chirurgie “ Ke = -|B © = | Société des sciences naturelles et T" Ir. > -geons)....... B.M médecine (Oberhessische Gesellschaft! ` i pe HB ‚für Natur- und Heilkunde).......... a 13 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 14 Londres ......| Rédaction du journal « Nature»........ B “me eue «| Université. /.2.,n..,,............,.. B. M. potih du journal «Scientifique Opi- gen Stettin ....... | «East India EEE > Stockholm . -| Académie royale E erp N Ben A Upon UM ot cu E Seeger I. S. Svenska Vetenskaps Akademien}... .. B. M. y — ‘Unive ee ee re ERIS 3. M. Académie royale d'histoire ei d'antiqui- Lucques...... Société Tee entomologigue ar, : tés (Kongl. Vitterhets Historie och An- MAA | Université . e Ae 3. M. err RADIOED) erret B. Lux: re ..| Société des sciences naturelles ........ 3. Strasbourg....| Société du Museum bien naturelle . B. M. UD... Perdu Bou riale des sciences, belles Stuttgart..... "| Bibliotheque Die és B. M. SECH eps IU See EE cad B. M. Toulouse .....| Académie imperialo: des Sciences, np. Société rai d'agriculture iex aar B. M. € = belles lettres ............. . |B. M. s Société Linnée HR. CI B. M. Tubisgue. el UDIVOr u... ENEE E eoo B. M. Z. Madrid. ......| Académie royale des sciences........ - .|B. M. Turit.. 9. Académie royale des SE Reale E Académie royale de l'histoire. ......... B. M. cademia delle scienze) ........... B. M. "Manchester . ..| Société littéraire et philosophique me le `. ett es » Société Kä et d'antiqutés en für rary ang KEN Boci iety).. MG und Alterthum Ulm) UV vt pom el EE . M. Una... e. Regia Metz......... keinal impér e. , M. scientiarum sent MERS A ers B. M METTE: "er Institut Lombard ds sciences et Kite , M. ‘Université verd A SR TT TR RU wees C eh B. M. vatoire astronomique ........ , Venise........) Congrégation dos Mékhitaristes de St. Société Italienne des en naturelles, , M. Lo RM Side cep rare oen B. M. odène ...... Société Italienne des sciences ......... = Ge Institut - sciences, lettres et arts (Isti- Montpellier =: -| Bibliothèque de la Faculté de médecine B. M. | ^| tuto eto di Ee lettere et arti) B. M. i | Académie des sciences et lettres... ....|B. M. Vienne .......| Acad émie ris BeIERBBB. . lea d «|B. MLC. Z. Munich ..... .| Académie des — (Kgl. en ische er x ; est. éologique dE K. geologische : zi B. M. epe... dB. M. Bibliotheque royale (Kel. Hof- and Staats, ) Observatoire atsronomique er ..|B. M. 4 ae, FRERE RTS bebe] L M. C. Soci iété ue noo. .....,. ner. B. M. Nancy. .| Académie de Stanislas . iria reco» 18, M. Observatoire Cohtrdle o météorologique = Naples ....... “Académie royale des sciences..........|B. M. m: m (Centralanstalt für Meteo-| ` , Sem xm Ger E EE d rolo Weeer ien mus). SEE à e E Collage EE etur e ‘ Société zoologique e et botanique ...,....B. M. Rh. é des AEN naturelles... ..- --- |B. M. | Société Slave ege Becbaa). EEN Z. RENS oni Serbe (Maéc ica Serbska) ....... s Ze Weimar .......| Bibliothèque grand-ducale.. ........... B. M. C. Ofenbach. .| Société des sciences naturelles (Offenba- Wiesbaden ...| Soci 5 des ite qe asturellos VH cher Verein für Naturkunde) ....... -\B. für Naturkunde) .|B. Ozford PA GE e (Bodleian Library) . M. C. | Wurzbourg ...| Université .......,.................. B. M. Palerme ...... mie ond bus et belles lettres . 3. M. , | Société physico-médicale (Physico-Medi- : PE... ess Institut im Bi ratu is L M, cinische ts Ilscha ft).. Seet Ee Bibliothèque : impéria Ali irre EE LM.C. FZara.......:; Gen Dalmate.................,... cadémie impériale de Médecine ......|B. M. Zurich Université . ..|B. M Ce? té géologique de France .........|B. M. | Bibliothèque publique Barger Bible S. longitu en. .M. Société des naturalist f£ JB. ‚sum d'histol oire naturelle...........|B. M. P Sch ee Pe M .M. b Société philomatique .............. 2 «IB. E ces Société asi Mn Se ee z "PU TELS 4 i Batavie. LSG Se ALUI RU) end ELE de France . = e i : = = er ge Vereeniging in SA dt ntn eb Société des arts et des sciences es (Bata-| à | Société des an u pp E e France.. «+ 4B. M. — em me M ; be > généra £ des Ponts et de = Mines B is 5 - | Calcutta Société asiatique de Bengale (Asiatic So- | Société botanique de France. ssh ee ciety of Be + «¡Bu M. Pesth ........| Soviéeé Hongroise des sciences (Società! - | Peking......- Observatoire météorolo. ique et magné- IB. SE = ee erudita Hungarica ` acia 10. Ml er ADA carece ee eyes Maie a Hona Bohémien oceana n if i: fb cg n i ...] Société were sciences (Kgl. Böhmi- T 9: TERA Ths SE l E ice cce der amie Sur y M. | Société historique Algérienne......... 15 Bulletin de l'Académie Impériale Cambridge... «| Zeien ee asser ja des sciences EE ces). Havane. ...... | eren physique et eege e ia. Bagger EE ce e Se Américaine orientale zaka Oriental Society). d sss ss 0548: en E M. $. New-Havn. New-Orleans.. Ser des WENN e iae eren a M New-York... | Licée d'histoire elle (Lyceum of na- tur A Vor a: : | Institut Américain (Institute of the Citi |. of New-York B | Société Américaine géographique et sta- , tistique (American geografical and sta- - | tistical Society) ..,................ B. Philadelphie . S Société Américaine ees (Ame- | rican Philosophical Socie . | Académi | mie of 1 natural sciences Bre geriet géographique Gi o-geographico Brasilie B Kee des sciences eeu (Cali- eee ree ee eee ee ewe ese vn: De e des sciences Rio-Janeiro. St. Francisco. . ornian Academy of natural sciences) . B. M. St.Jago de CB UR rios e dre cute pees, ce B. St. Louis. ..... Academie des sciences ,............,.. B. M. Washington «Smithsonian Institution »............. B. M. e) Australie. Melbourne. |B. M. a Université eet à int Ga D Bi A Rückenmarks. Von Stud. Aladoff (Lu le 16 décembre 1869). Die Untersuchungen von Fick und Engelken über die Erregbarkeit der vorderen Stränge des Rücken- marks, haben in der letzten Zeit wieder die Aufmerk- samkeit der Physiologen auf diese für die allgemeine Physiologie so wichtige Frage gelenkt. Der seit Jahr- zehnten in der Physiologie als maasgebend geltende Lehrsatz Van-Deen's über die Unerregbarkeit der Vorderstränge für elektrische Reize, welcher vor| einigen Jahren von Guttmann neu bestättigt worden | 2" ist, ist von Fick‘) und Engelken auf Grund ihrer | Versuche für unrichtig erklärt worden. Nach diesen Forschern beruhte der Misserfolg Van- Deen's bei Reizung der Vorderstränge nur darauf, dass die zur | Reizung benutzten Ströme nicht intensiv genug waren, | um Bewegungen in den Muskeln einzuleiten. Die vor- sche Ströme, sondern es bedurfte zu ihrer Erregung nur | viel intensiverer Reize, als für motorische Nerven. Die Versuche von Fick und Engelken bestanden haupt- | Ivo Dubois Reymond und Reichert. 1866. reflectorische deren Stränge wären also nicht unerregbar für elektri- Ee sächlich darin, dass sie das Rückenmark eines Frosches bloss legten, es in der Höhe der Halswirbel vom Gehirne trennten und dann die Brustwurzeln beiderseits durch- schnitten. Sodann wurde durch einen Längsschnitt die hintere Partie des Rückenmarks von der vorderen ge- trennt und in diese letztere zwei Nadeln eingesteckt, welche mit den Enden einer Inductionsspirale in Ver- bindung standen; bei Durchleitung eines intensiven Stromes durch die vordere Partie des Rückenmarks entstanden tetanische Zuckungen der hinteren Extre- mititen. Durchschneidung des Riickenmarks unterhalb der gereizten Stelle war im Stande, diesen Reizerfolg ‚aufzuheben, ein Beweis also, dass dieser Erfolg nicht vom ÜDerspringen elektrischer Ströme auf die intact gebliebenen Wurzeln des Ischiadicus herrührte. Schon vor Fick hat der Van-Deen’sche Lehrsatz | Angriffe von Seiten Vulpian’s erfahren, wenigstens was die Erregbarkeit der vorderen Stränge für mechanische | Reize anbelangt. In seinen Lecons?) führt Vulpian | Versuche an Hunden und Kaninchen an, welche ganz S in der Men wie sel Wes, mates. Versuche Stränge nicht elektrische Ströme, sondern mechani- anwan dta LIVES Jeder solche mechanische Insult führte eine Bewegung der hinteren Extremitäten herbei. Den Misserfolg Chauveau's, bei der Wiederholung der Vulpian'schen Versuche, erklürt letzterer dadurch, dass der zur Rei- - zung benutzte mechanische Insult nicht genügend in- tensiv war. Die Vermuthung, es handle sich bei seinen Versuchen um Erregung der an den Vordersträngen ` geen grauen Substanz, sucht Val pian dadurch : ehnidsi der Versuche von Fick und En- gelken sind einige Zeit nach Verôffentlichung der- selben von S. Mayer‘) angegriffen worden. Derselbe - behauptet, es handele sich bei diesen Versuchen um regung der _Vorderstränge durch | der hinteren Extremitäten. waren | also. nach ch Mayer E E d be SE 2) Lavell sur la physiologie dir wéih nerveux. 1865. 3) Pflüger’s Archiv. 1868 17 des Sciences de Saint -Petersbourg._ 18 sondern nur Folge der auf dieselbe übertragenen Er- regung der Hinterstränge. Mayer stützt seine Behaup- tung hauptsächlich auf die negativen Ergebnisse der- jenigen seiner Versuche, in welchen er sorgfältig die ganzen hinteren Stränge entfernt hatte. Gegenüber. diesen negativen Resultaten Mayer’s hält Fick ‘) in einer neueren Mittheilung die Richtig- keit seiner früheren Untersuchungen vollständig auf- recht und führt zur Bekräftigung derselben einige neue an Fröschen angestellte Versuche an, welche voll- ständig dasselbe positive Resultat ergaben. Die grosse Wichtigkeit dieser Streitfrage veran- lasste Herrn Dr. E. Cyon, eine erneuerte Untersu- chung zur Lösung derselben vorzunehmen. Ich habe diese Untersuchung unter: Leitang es Mitwirkung des Dr. E. Cyon im physi torium der hiesigen Universität auch See D will hier die Resultate derselben mittheilen. ‚Diese Versuche wurden an Hunden, Kaninchen und Fröschen angestellt und zwar an allen diesen Thieren nach einem allgemeinen Schema, welches von denen Vulpian’s und Fick’s nur in einigen Punkten abweicht. An Hunden und Kaninchen wurden die Ver- suche im Allgemeinen auf folgende Weise ausgeführt. Die Thiere wurden auf dem Bauch in der Weise be- festigt, dass der Brusttheil der Wirbelsäule durch eine unter den Bauch geschobene Unterlage höher zu liegen kam, als die übrigen Theile des Thieres. Die Wirbel- säule wurde iu der ganzen Ausdehnung des Brust- theils (vom 7. Halswirbel bis zum 1. oder 2. Leuden- wirbel) möglichst schonend und ohne zu grosse Blut- verluste eröffnet. Nach Blosslegung des Rückenmarks wurden sämmtliche hintere und vordere Wurzeln mittelst eines unter sie geschobenen hackenförmigen Messers vorsichtig in der ganzen A es bloss gelegten Rückenmarks durchschnitten. Sodann wurde das Mark durch einen zwischen dem 7. Hals- und 1. | Brustwirbel geführten. Schnitt in der Quere durch- trennt, unter das peripherische Rückenmarkstück von oben her ein Glastab geschoben und so dasselbe scho- nend aus der Höhle emporgehoben. Nachdem ich mich durch das -von Zuckungen in den hinteren Extremitäten bei. leiser dau der Hinterstränge Reizung der Vor | ', res] : haftenden grauen Substanz und ü- | messch auf die e ckenmarks überzeugt hatte, entfernte ich mit einer Scheere die Hinterstränge, sowie méglichst viel grauer Substanz, so dass ich jetzt nur noch die Vor- derstränge mit einer sehr dünnen Schicht grauer Sub- stanz vor mir hatte. Nun begann ich die Reizung dieser zurückgebliebenen Partien. Früher wurde me- chanische Reizung versucht und dann elektrische und zwar erstere durch Quetschen mit einer Pincette, letztere durch starke Inductionsstróme, welche mit- telst Nadeln dem Marke zugeführt wurden. - -Die Ergebnisse einer grésseren Anzahl auf diese Weise ausgeführter Versuche waren nun folgende: 1) Mechanische Quetschung der vorderen Stránge führt nur selten einzelne Zuckungen der hinteren Ex- ` tremitäten hervor und dies auch nur ausnahmslos in solchen Fallen, wo gréssere Mengen grauer Substanz, vielleicht also auch Reste der hin- teren Stränge erhalten waren. War nur eine dënne Schicht grauer Substanz, oder etwa gar nichts von derselben erhalten, so blieb die mechanische Rei- zung erfolglos. 2) Elektrische Reizung der Vorderstränge rief in allen Fällen, wo das Rückenmark vorsichtig präparirt war, tetanische Contractionen der hinteren Extremi- täten hervor, die so lange anhielten, als die Reizung dauerte. Dieser Erfolg trat aber auch nur in den Fallen ein, von denen ich nicht zu behaup- ten wage, dass nicht noch eine diinne Schicht grauer Substanz erhalten blieb. Wurde die ganze graue Substanz entfernt, so blieb die Reizung erfolglos, und ich konnte an allen den Vorderstringen, deren Reizung positive Ergebnisse lieferte, bei der späteren Untersuchung Spuren grauer Substanz, wenn auch noch so geringe nachweisen. Wurde das Rückenmark unterhalb der gereizten Stelle durchschnitten und die beiden Schnittenden eng an einander gefügt, so blieb die Reizung, un ich den Strom noch so verstärkt ie in allen Erfolg. . : Die beobachteten ‘tetanischen Con tra hinteren Extremitäten waren also wirklic von der erhaltenen Err 4) Pflüger's Archiv. 1869. Tome XV. ; fen a iel besser an Hunden, als 2 19 Bulletin de l’Académie Impériale an Kaninchen, da Hunde viel besser die Eröffnung der Wirbelsäule vertragen. Einige Hunde überlebten sogar die Operation und wurden erst ein paar Tage nach derselben getödtet. Die an solchen Hunden ge- machten Versuche sind darum besonders wichtig, dass sie in viel geringerem Grade dem Verdachte ausge- setzt sind, als sei die Erfolglosigkeit der Reizung der von grauer Substanz vollständig befreiten Vorder- strange dem Erregbarkeitsverluste derselben durch Blutmangel zuzuschreiben. Die Versuche an Fröschen wurden fast ganz auf dieselbe Weise wie diejenigen von Fick ausgeführt und zwar mit demselben Erfolge. Intensive Reizung der Vorderstränge bewirkte eine tetanische Zusammen- ziehung der hinteren Extremitäten, auch wenn die Hinter- und Seitenstränge ganz abgetragen wurden. Dagegen kann ich auch hier nicht behaupten, dass nicht noch Spuren von grauer Substanz an ¿den Strán- gen hängen blieben. Wenden wir uns nun zu eder es, der gemachten Versuche. Zunächst Reg sie gezeigt, dass m von. s. Maver | gemachte Einwand, es handle sich in den Versuchen Fick's um reflectorische Erregung von den Hinter- strüngen aus, ganz unberechtigt war. Ein solcher Ein- wand, der gegen die an Fróschen angestellten Ver- suche wegen der Kleinheit der Theile noch zulässig war, fällt ganz weg, wenn es sich wie bei mir hauptsüch- einzelnen Partien des Rückenmarks gross genug, um mit Sicherheit von einander getrennt werden zu| können. Was nun die PRESS der vorderen Stränge für elektrische Stréme anbelangt, so glaube ich, dass meine Versuche in hohem Grade gegen das Vora densein derselben sprechen. In allen Fällen, wo ich bei Reizung derselben positive Resultate erhielt, war. das einer hnoch so geringen Schicht grauer Substanz ¢ die nothwendfge gece des Ge- ingens. ist also viel her berechtigt, aus den mitge- | Versuchen den Schluss zu ziehen, die ubstanz des Rückenmarks sei oo e elektrische, als auch für mechani- e regdan, und zwar für letztere in Grade als für erstere. Der. Beweis, für die Berechtigung aus meinen Versuchen auf die Erregbarkeit der Vorderstränge zu schliessen, könnte nur dann beigebracht werden, wenn es gelingen sollte zu zeigen, dass das Abschaben der grauen Substanz von den Vordersträngen den Verlust der Erregbarkeit dieser letzteren nach sich geführt hat.. Die Möglich- keit einer solcher: Beweisführung scheint mir aber | darum wenig wahrscheinlich, als die Reizung der Vor- derstránge auch dann erfolglos war, wenn die ganze, graue Substanz mit dem ersten Schnitte entfernt wurde. Irgend welche thatsächliche Beweise gegen die Er- regbarkeit der grauen Substanz giebt es meines Wis- sens in der Physiologie nicht. | But E 4 o £* LJ über die Erregbarkeit der grauen Substanz für elek- trische und mechanische Reize stehen also weder thatsächliche, noch principielle Bedenken entgegen. Auch Fick neigt sich in seiner letzten Mittheilung einer solchen Deutung seiner Versuche hin und weist nit Recht auf die grosse Wichtigkeit eines solchen b rkei it der granen Pasion hin. g meine! MN und dern von Vulpian den seinigeri- beige- legten, besteht, hat ihren Grund nur in dem Umstande, _ | dass Vulpian die Unerregbarkeit der grauen Substanz | als bewiesen voraussetzte und daher seine Ergebnisse ‚auf Rechnung der Erregbarkeit der ee | $ ‚schieben musste. lich um Versuche an Hunden handelt. Hier sind die | Anmerkung von p» E. Pu : Ich will noch auf einige E dieser Versuche out, welche‘ bit = De — = esse sind. Wie jehan "m pesce dae. die Hunde, bei denen wir den ganzen Brusttheil des Rückenmarks Diese Hunde fuhren fort Bewegungen des Schwanzes ohne äussere Veranlassung zu machen. "Sollten die motori- schen Nerven desselben, oder wenigstens ein Theil derselben, aus dem Halstheil des Rückenmarks ent- ` springeu? “Antoine habe ich diese Pros eg weiter | verfolgt. S Ich tüdtete die Thiere, \ sde in den nie = tremitäten noch bis zum Tode Reflexbeweglichkeit ` entfernt hatten, noch ei nen oder zwei Tagel J zeigten, durch Verbluten. Dabei beobachtete ich, dass des Sciences de Saint. Pétersbourg. die Verblutungskrämpfe nicht nur in dem oberen Kör- pertheile, sondern auch in dem unteren und zwar nicht minder heftig auftraten. Da die motorischen Nerven der hinteren Extremitáten aus Marktheilen entsprin- . gen, welehe von der Medulla oblongata vollständig getrennt waren, so folgt aus dieser Beobachtung, dass dg irbiutangskrampie ihren Ausgangspunkt nicht im verlängertem Marke haben, wie Kuss- maul und Tenner es aus ihren Versuchen folgerten. Im Gegentheil zeigt diese Beobachtung, dass alle mo- torischen Theile des Riickenmarks durch die Verblu- tung selbstständig erregbar sind, welche auch die nähere Ursache dieser Erregung sein mag. St. Petersburg, d. 16. (28) December 13659. Uber die Wirkung des Lichtes auf das Gewebe einiger mono- und dikotyledoner Pfianzen von A. Batalin. (Lu le 16 décembre 1869). Die Wirkung des Lichtes auf das Gewebe der Pflanzen ist fast gänzlich unbekannt. In der botani- schen Litteratur kann man nur einige Beobachtungen über diesen Gegenstand finden. Dazu wurde der grösste Theil dieser Beobachtungen nicht gerade mit dem Zweck gemacht, zu untersuchen, welchen Einfluss das Licht auf das Gewebe der Pflanzen ausübt, son- dern beiläufig, neben Untersuchungen mit anderen Zielen, und demnach fehlen genaue Beobachtungen. Man kann sagen, dass zur Zeit nur die einzige Thatsache festgestellt sei, dass nämlich in etiolirten Pflanzen die Zellen länger sind, als in normalen, Sachs!) sagt, dass sich diese Verlängerung in den verschiedenen Theilen des Stengels (in der Epidermis, dem Rindenparenchym und in den Fibrovasalsträngen) | verschieden kund giebt; indessen spricht er nicht ausführlicher über seine Beobachtungen in dieser Hin- | sicht, — y Die; von Sac hs gemachte. Bemerkung, Ges * : ti 1: I Dl. in den tiolirten Blátt kein Zerreissen des Parenchyms : in der Mitte ze de hat nur beschränkte Bedeutung, weil diese Thatsache an anderen Pflanzen nicht beobachtet wurde. Diese Beobachtung hat um so weniger allgemeinen Werth, als in anderen Pflanzenorganen diese Erscheinung nicht immer wahrgenommen wird.*) Z. B. ich liess junge Blüthenschäfte des Taraxacum officinale vergeilen; im Anfang des Versuches waren sie 1 Centim. lang und ganz mit Parenchym angefüllt. Etiolirte, in Blüthe stehende Blüthenschäfte hatten dieselbe Hóhlung, wie in normalen Pflanzen; die etiolirten Blüthenschäfte waren weiss und hatten eine bedeutende Torsion. — Die von Dr. Weiss gemachte Folgerung’), dass die ‚| Zahlen der Spaltöffnungen auf den Blättern und Sten- ‚| geln der etiolirten einerseits, und der normalen Pflan- zen anderseits, gleich seien, nehmen nicht alle Phy- siologen an. — In Betreff der Wirkung des Lichtes auf die Entwickelung verschiedener Elemente der "| Gefässbündel existiren zwei sich diametral widerspre- chende Beobachtungen; die erstere gehört Sachs‘), welcher beiläufig in dem Baue der etiolirten Stengel keine Abweichung von demjenigen der normalen fand’). Die zweite gehört Kraus, welcher behauptet, dass überhaupt alle Gewebe sich in etiolirten Stengeln schwächer entwickeln; doch detaillirt er seine Be- obachtungen nicht und spricht über die Methoden seiner Untersuchungen nur sehr mangelhaft. In seiner Abhandlung?) sagt er (Seite 233), dass man in den förmiges Ansehen an, nach einigen Tagen wird diese Zusammen- drückung sehr klar 4) Etiolirte vegetativo. Sprossen verschiedener "eti haben es Mark. ` issenes 5) A. Bu (Pringsheim’ s Eer, IV Band, 2. Het) «Untersue r die Zahlen- und Grössenverhältnisse der Spalté i i Sake E. ied tiolirten Stamm- ` ees pe qu keine Partie tie Abweichung». Bot. ZUR : 1, A merken, dass Sache in seinem. bel ekannt en. hrb. VII Band, 1869, Heft 1—2). E > : Bulletin de l’Académie Impériale 24 etiolirten Internodien geringe Epidermisverdickung und Anlagen zur Collenchymbildung bemerke, — dass die Holz- und Bastzellen auf halbem Wege zur Ver- dickung stehen bleiben, insbesondere aber die Bildung sekundären Holzes durchaus unterbleibe, und die Ge- fässbündel deshalb gewöhnlich nicht zu einem Ring vereinigt, sondern isolirt dastehen. Das ist beinahe Alles, was ich über diese Frage gefunden habe. Dieses mangelhafte Material war noch geringer, als ich meine Arbeiten begonnen hatte (im Frühjahr 1868)”, da zu dieser Zeit der lehrreiche Aufsatz von Kraus noch nicht erschienen war. Als " Dr. Kraus's Aufsatz erschien und im August 1869 mir bekannt wurde, waren meine Arbeiten fast been- digt, und deshalb kann ich mich nicht jetzt schon über alle Ansichten des Hrn. Dr. Kraus aussprechen. Ich gehe jetzt zu meinen eigenen Beobachtungen über, halte es aber zuvor für unentbehrlich, genau die Methoden zu beschreiben, welchen ich gefolgt bin. Der Experimentator kann nur dann sagen, dass die gegebene Erscheinung von einer bestimmten Wirkung abhänge, wenn sein Versuch so ausgeführt wurde, dass keine anderen Ursachen auf das Ergebniss des Versuchs einwirken konnten, d. h: nur dann, wenn alle Kräfte, bis auf eine, gleichmässig auf die zu ver- gleichenden Pflanzen wirkten. Folglich war es bei Untersuchung der Wirkung des Lichtes auf das Ge- webe der Pflanzen unvermeidlich den Einfluss aller anderen Kräfte zu beseitigen, d. h. die Pflanzen, so viel als-móglich,.in gleiche Bedingungen.in Bezug auf | äussere Kräfte (mit Ausnahme des Lichtes) zu stel- len. — Es ist bekannt, dass im Dunkeln die Assimi- lation nicht erfolgt, also die Nah tel sich nicl anhäufen. Um daher die zu etiolirenden Pflanzen i in gleiche Bedingung bezüglich der Quantität der Nah- ‚rungsmittel zu stellen, wählte ich zu den Untersu- chungen keimende Pflanzen. Ich untersuchte also die Pflanzen während ihres Wachsthums auf Kosten der ‚aufgespeicherten Nahrungsmittel; demnach wuchsen- E die zu vergleichenden Pflanzen längere oder kürzere | - - Zeit, je nach der Grösse des Albumens und der Coty- SCH Mittheilungen über meine es sind der ome der St. Petersburger Gesellschaft der Natur- April pe gemacht worden. S. das sehr e img in der Bot. Zeit. 1869. Ne 30. (Kartoffeln). Für diese Versuche waren die Samen und Knollen in annährend gleiche Tiefe gebracht. Um die Pflanzen dunkel zu halten, benutzte ich einen grossen eisernen Ofen, oder setzte sie in ein dunkles Zimmer, und daher kann von einer Unvollständigkeit der Ventilation nicht die Rede sein. Die Pflanzen wurden nur dann begossen, wenn die Erde auf der Oberfläche austrocknete. Zum Verpflanzen. wählte ich ‚annährend gleich grosse Knollen und Samen (wo es möglich war, z. B. bei Zea Mays). : Die erste Frage, welche ich zu lósen suchte, war folgende: ist die Zahl der Zellen in den etiolirten | Pflanzen grósser oder geringer, als in normalen? Ich stellte. diese Frage daher auf, weil bis jetzt darüber keine Meinung festgestellt war; vielmehr existirten hierüber diametral widersprechende Beobachtungen. Schon seit lingerer Zeit vertreten mehrere Gelehrte die Meinung, dass das Licht die Zelltheilung hindere, die Dunkelheit dagegen sie begünstige. Die gegen- wärtigen Physiologen nehmen diese Meinung an, und Sachs erscheint als der wichtigste Vertreter dieser Meinung. In seinen zahlreichen Versuchen brachte er mehrere Beweise für diese. Ansicht und i in seinem letz- ten Werke «Lehrbuch der Botanik» ") spricht er sich über diesen Gegestand ganz kategorisch aus, indem er sagt: «Die erste Anlage der Organe, besonders in soweit sie mit Zelltheilungen verbunden ist, scheint sogar durch Abwesenheit des Lichtes oder doch durch Beschattung begünstigt zu werden, Verhältnisse, die gewiss nicht so allgemein sich geltend machten, wenn in ihnen nicht eine Begünstigung des Pflanzen- lebens, zumal eine Begünstigung der Zelltheilungen durch Dunkelheit läge». In seiner «Experimental-Phy- - | siologie» "') äussert er sich in fast gleicher Weise. Im Gegentheil zeigte Famintzin” ), dass die Anwe- | 'senheit des Lichtes eine äusserst günstige "Wirkung | auf die — ~- mit Stärke gefüllten pi gyra ausübe. Zuletzt, in diesem faire noch, theilte geg a oi eine Reihe von Beobachtungen mit, durch die er be- ` ne d zur Untersuchung nahm ich auch Knollen | Seite 10) Z Sachs. «Lehrbuch der Botanik» 1868, Seite a Sachs. geg der -Ph T 1865, 12) y: Famintzin. «Die Wi des Lichtes auf die Zellthei- - S Wirkung es physiques et un tirés du lung der Spirogyra». Bulletin de l'Académie ^ St.-Pétersbourg. 1868, Avril des Sciences de Saint- Petersbourg. weist, dass die Zahl der Zellen in normalen Pflanzen geringer, als in etiolirten sei. Angesichts dieser widersprechenden Resultate war es äusserst interessant, die Frage über die Wirkung des Lichtes auf die Zelltheilungen zu lôsen. Daher unternahm ich eine Reihe von Versuchen mit der Ab- sicht zu-bestimmen: welche Wirkung das Licht einer- seits und dessen Abwesenheit andererseits auf die Theilung der Zellen verschiedener Gewebe, die uns in den Stengeln der höheren Pflanzen entgecontreten, ausüben. Ich habe diese Frage bis jetzt nur allseitig für die Epidermis und das Rindenparenchym gelöst. Die Beobachtungen waren an Kresse (Lepidium sativui) gemacht und zwar in folgender Weise. Die Kresse keimte in Töpfen und wuchs darnach 3 und 6 Tage. Solche Sämlinge wurden auf einige Tage in Alkohol gebracht t. Um die Zahl der Zellen, welche eine vertikale Reihe bil- den, zu ermitteln, habe ich von dem ganzen hypoko- tylen Gliede einen Streifen der Epidermis und damit 2—3 Lagen des Rindenparenchyms, welche unmittel- bar unter derselben liegen, abgezogen. Die Grenzen des hypokotylen Gliedes sind leicht, sowohl vom An- fang der Wurzel, als auch von dem der Kotyledonen zu erkennen. Auf diesem Streifen zählte ich an drei Orten (oben, unten und in der Mitte der Keimpflanze) auf einem bestimmten Raume (15 oder 111/, mill.) die d nachher Menge der Zellen; diese Zählung geschah in mebre- ren parallelen Reihen; aus den gewonnenen Zahlen (mindestens 3 für jeden Ort, d. h. für die Mitte, den Gipfel und den unteren Theil der Pflanze) berechnete | ich mittlere Zahlen, aus welchen die ganze Zahl der Zellen in einer verticalen Reihe, auf der ganzen Aus- dehnung des hypokotylen Gliedes berechnet wurde. ve Berechnung war so gemacht, wie es aus dem n Beispiele zu ersehen ist. — Gesetzt, wir | dr eine etiolirte Pflanze von 69 millm. Lánge; durch unmittelbare Beobachtung ist gefunden, dass auf 15 mill. am oberen Ende des bypokotylen Gliedes | T1, in der Mitte 10 und am unteren Ende 17 Zellen der Epidermis liegen. Es bleibt also die Zahl der | ; Zellen auf den Stücken zwischen dem Gipfel und der | Mitte (12 mill.) und zwischen der Mitte un: dem an- nt; um sie zu bestim- | = E " E: $ teren Ende (12 mill.) u men, wurde jedes Stück i in | die Hälfte geth | liche Zahl; len in jeder Hälfte des Stückes derjenigen gleich sei, welche die Zellen in den anliegenden Theilen haben; darauf berechnete ich nach Proportion die Zahl der Zellen auf diesen Stücken + 15 mill. x:11=15+ 6:15; x= 15,4 (am oberen Viertel) x:10=15+12:15; x — 18,0 (auf zwei mittleren Viertheilen) :17=15+ 6:15; x = 23,8 (am unteren Viert.) 57 Zelen für das ganze hypokotyle Glied. Diese Art der Berechnung lässt.keinen Fehler zu, weil die móglichen Fehler sich gegenseitig aufheben. Wenn man z. B. annimmt, dass die obere Hälfte des Stückes, welche zwischen dem Gipfel und der Mitte des hypokotylen Gliedes liegt, Zellen von der Länge der Gipfelzellen zeigt, so vergrössert man die wirk- weun aber angenommen wird, dass die Länge der Zellen der unteren Hälfte des Stückes der- jenigen gleich ist, die an den Zellen der Mitte gefun- den ist, so vermindert man dieselbe Zahl. Dass die Fehler wirklich gegenseitig aufgehoben werden, dieses beweisen Controll- Versuche. Bei einigen Pflanzen wurden die Zellen nicht nur auf die beschriebene Weise gezählt, sondern auch unmittelbar auf der ganzen Länge der Pflanze. Solcher Controll- Versuche waren allerdings nur wenige, da die Schwierigkeit solcher unmittelbarer Zühlungen eine nicht geringe ist; den- noch ist aus letzteren ersichtlich, dass die auf die be- schriebene Art erhaltenen Zahlen nur wenig von den berechneten abweichen. Bei dem Zählen der Zellen auf den genannten Làn- gen (15 oder 11'/, mill) $ wurden folgende Massregeln ‚befolgt: starke, fast 500malige V ergrösserung gebraucht. ausgemessene Deckglüschen. ` | Sen erg dem ee. der Zone, ‚der E elungsgeschichte d 5, Heft 3—4. Die 1 der Pflanzen hat mill.) und dann ; angenommen, dass die e Länge der Zel- de 2) Als Mass von 15 und 11°, mill. dienten gena = | -1) Um einige Zellen nicht zu übersehen, warde eine S 2v Bulletin de l’Académie Empériale nodiums findet man nicht selten Spaltóffnungen; die sie umgebenden Zellen sind betrüchtlich kleiner, als die übrigen, und daher kommt es, dass man in solchen Reihen eine grössere Zahl der Zellen auf dem bestimm- ten Raume (15 mill.) findet. 4) Ich zählte stets solche Parenchymzellen, welche sich auf der nämlichen Tiefe befanden (1 — 2 — 3-te Reihe).'? Um die Zahl der Zellen in dem hypokotylen Gliede zu bestimmen, wählte ich das Zählen der Zeilen mit! den genannten Deckgläschen, da ich von der grössten |. Genauigkeit der, nach dieser Methode erhaltenen, Resultate überzeugt sein konnte. Ich wählte nicht die Messung der Länge der Zellen, weil dieses Mittel, welches man bis jetzt angewandt hatte, offenbar ungenau ist; es forderte viele Verbesserungen und führte zu falschen Folgerungen, wenn solche Verbes- serungen unterblieben ^^). Nach dieser Methode untersuchte ich keimende Starkes Licht. Kresse in zwei Perioden ihres Wachsthums: 3 und 6 Tage nach der Keimung: ` 1) Im absoluten Dunkel, 2) Im dire e a Sg 3) Im sehr schwachen zerstreuten Lichte. + Folgende Tabellen ' 7) zeigen die Zellenzahlen der Epidermis und des Rindenparenchyms in einer Zel- | lenreihe, lings des ganzen hypokotylen Gliedes. L Zahlen der Epidermiszellen. | 8) 3 Tage nach der Keimung. Dunkel. Starkes Licht. Schwaches Licht. 54 50 49 52 54 50 + bi sat 53 52 50 54 50 52 51. 49 49 52. Dunkel. Schwaches Licht. 50 50 52 47 53 53 52 Mittlere Zellenzahl 51 Eu 51 nos: D MM. 15 mm 41 mm b) 6 Tage nach der Keimung. Dunkel. Starkes Licht. Schwaches Licht, - 56 53 48 53 50 59 E 58 53 58 58- 50 59 54 52 51 52 53 53 57 53 53 52 = Mittlere Zollenzabl 55 52 "54 x ae 77 mm. 21 mm. 54 mm. | Aus diesen Tabellen ist zu 1 ersehen, dass die zai zellen der etiolirten ' = | im Lichte verschiedener Intensität mer: Pflan- zen gleich ist, und dass daher das Licht keine Wir- - kung auf die Theilung der Epidermiszellen ausübt; - mit anderen Worten: die Theilung erfolgt mit gleicher | Leichtigkeit sowohl unter Einwirkung des Lichtes, |als auch ohne dasselbe. Da die Zahl der Zellen in dem hypokotylen Gliede der normalen und etiolirten — Pflanzen gleich ist, und da die etiolirten Pflanzen 1/5 — 3'4 Mal Dinger sind, als die normalen, so folgt ` aus diesem, dass für die Eni die Abwesenheit = - [des Lichtes = nur ` durch TECUM der Zellen * . | äussert. — | "Bie Haare eer bekannt auch E Ep LO Da der ganze Raum von 1114—15 Mill. nieht in inne | feld des Mikroskops fällt, so wurde des Objecttrüger zugleich mit dem | Print während des Zählens weiter geschoben. Dieses Verfahren | W. te viele Schwierigkeiten, welche ich durch eigenthüm- | liche ku cree an dem | Mikroskoptische zu überwinden wusste. | 19 Die one von Dr. Kraus (1. em bee | iu In — alle wirkte e ine hohater T Temperatur auf te : TS pe a € 1 des Sciences de Saint-Pétersbourg. der Kartoffeln beobachtet, : wo sie als lange, pfriemen- förmige, vielzellige Fäden von doppelter Form er- scheinen. Die einen bestehen aus 7 — 8 Zellen und sind viel massiver; die anderen aus 5 — 6 Zellen. Nur die letztgenannten Haare verlängern sich im Dun- keln (Fig. 1 und 2), wobei der Durchmesser ihrer Zellen sich betrüchtlich vermindert. Die Zahl der Zellen in normalen und etiolirten Haaren ist gleich. H. Zahlen der Rindenparenehymzellen (in den áusseren Lagen). a) 3 Tage nach der Keimung. Dunkel. Starkes Licht. 92 89 116 -87 84 119 91 87 110 111 87 118 : 106 . 89 97 À 94 97 103 80 90 114 102 | 96 Mittlere Zahl 95 GITE 110 b) 6 Tage nach der Keimung. : Dunkel. Starkes Licht. Schwaches Licht. . 98 Lu TB os. 122 HE — AE. dij 106 — 94 123 104 102 127 106 90 - 117 £c 94 138 8 SE ` ZE 119 ei. Hane es Mittlere Zaht 104 | 95 — peo Aus diesen Tabellen darf ı man folgende Schlüsse | ziehen: 1) Unmittelbares Sonnenlicht (starkes Licht) ver- Je : hyihotiger Sege | zögert = Theil ung i der. 2) Zerstrentes Licht bens à | lenzahlen des Rindenparenchyms zeigen, kam {nicht umhin zu bemerken, dass sich. diese Jativ nicht viel von einander unterscl eiden 3) Abwesenheit des Lichtes wirkt eben so wie starkes - Licht. = Man kennt bis jetzt drei Fälle (unser Fall ist der vierte), wo das Licht mit der Anderung seiner Inten- | sitát gerade eer ed Wirkungen auszuúben im Stande ist. Hofmeister ! F zeigte, dass mit der Vergrösserung der Lichtintensität sich der positive Heliotropismus der Stengel der Kryptogamen in negativen Heliotro- pismus verändert. Famintzin ”) zeigte, dass áu Algen und Zoosporen das starke Licht, so wie das Dunkel, fliehen und sich zum Lichte mittlerer Intensität bewegen. ; Borodin ”) zeigte, dass, das Dunkel und directes | Sonnenlicht die Chlorophyllkörner zwingen, auf die Sei- tenwände der. Zellen er - h. die nächt- liche Vertheilu : be hen Lichte begeben sich die Körner auf die Wände, welche der Oberfläche der Pflanze parallel sind (tägliche Lage). Die von mir zuerst gefundene und genau festge- stellte Wirkung des Lichtes auf die Zelltheilung kann | eine ganze Reihe von Erscheinungen an verschiedenen .| Organen erklären, besonders wenn man die Wirkung des Lichtes auch auf andere Gewebe, deren Zellen sich theilen, ermittelt haben wird. Schon jetzt kann man sagen, dass die gegenwärtige Annahme yon dem schidlichen Einflusse des Lichtes auf die Zelltheilung durch eine neue ersetzt werden | muss, dass nämlich nur starkes Licht die Zelltheilung hindere. Alle diejenigen Vorrichtungen, durch welche man den Zutritt des Lichtes zu den jungen, sich thei- |lenden Zellen zu wehren gedachte, müssen jetzt nur - als Vorrichtungen zur Verminderung der Intensität | des eindringenden Lichtes betrachtet werden. = Bei der Betrachtung der Tabellen, welche die Zel- = vue eech fand ichi im Dur ; ES v. Hofmeister. «Die Lehre von d 1 ies auf die Ver- n Theilen der Phane- Sen (1869) p. 50 — 77: Bulletin de PAcadémie we H und in den Stengeln solcher Pflanzen; welche im schwa- | chen Lichte wuchsen, 123 Zellen, also nur gegen 20 | Zellen mehr, d. h. im Lichte haben sich noch 20 Zellen getheilt; dieser geringe Unterschied scheint die von mir aufgestellte Wirkung des Lichtes bei der Zell- theilung des Rindenparenchyms in Zweifel zu stellen. Dieser Zweifel wird aber dadurch gänzlich besei- tigt, dass das hypokotyle Glied der Kresse zu solchen Internodien gehört, welche nach vorangegangener gleichmässiger Ausdehnung später nur an ihrem obe- | ren Theile unter den Hahpledonen wachsen und sich ausdehnen ?' Die Pizenden Tabellen, als Belege zu dem eben Ge- sagten, zeigen (in Millimetern) die Länge der Stengel- chen und die Entfernungen zwischen 5 — 8 Strichen (welche auf dem hypokotylen Gliede mit Tusch gemacht waren) ^); die Beobachtungen wurden jeden Tag vor- genommen und waren vom zweiten Tage nach ce | mung a also sad diese Pflänzchen b so erre eichten "dock die bras Juni. Dunkel. Den 28. October 1869 wurden die Kresssaamen _gesäet, keimten den 30.; am 31. October wurden auf 5 Exemplaren Striche A O mill. = Anfang | der Wurzel. Die obersten. Ziffern Eege die ganze | T Ange dos hx Loti (315 i Ca AHMAD UN +» ie E fast die námiicho Lánge, wie im = ériale 32 1. EX: 2. Oct. November. Oct. November. 31. $. " " 4. 5 81. É 2. 8 4. 5 18 92 29 8 22 KZ? CSS d x 15 16 16 16 16 16” 18 18 À18 I8 B 30 -10. 10 10 310 10 19 10 10 10- I0- 10 5 D 5 5 S Bn ^. 5 D $9 B 9 0-0 0 0 8 0. 0 .-0- 0 95 — “fa WM nn à Ve vs ` ie 3. 4. Oct. November. Oct. November. 34. 1. 2, WV De © Sb WW oW E.) 40 57 63 66 99 48 50 52 52 **62- 62 17.830 40 42 42 42 19 380 58. 57 57 57 15 22 25.25 25 95 18. 35: 44 45 45 45 13 16:37 437 HAS l6 36 2 97 37.27 1 39 13 5 D 18 14 20^ 290 20: 20. 20 9::10° IO 10 10-10 12:75 15 15 15 Jb 7 7 7 7 7 195 Ib dI: PE RE dE u: "V 5 5 0 D o 5 =D 0 0 .0 989 0 0 CU 9 See Vo Vs Ve % 1 Ya i Vo Ve GY 1 5. Oct November. 3 4 ch Schwaches Licht. BE Die Kresssamen wurden gesäet den 28. Oct., (om ten den 30., mit Strichen bezeichnet 1. Nor. da am ‚gekrümmt waren. November. : à 4 e 2 4 Fine 33 35 35 uw dr 27 31 M 3 15 95.398.925 25 ic triche. T 2 otyle Glied wuchs über den obersten Strich hin- 31. Oct. die Pflänzchen nicht lang genug und gie S e 4 3: des Sciences de Saint- Pétersbourg. 34 da 5. November. November. 1. LR à 5. bnpÜ 6. 87 43 45 47 19 29 85.34 36 21 33 38 38 40 17.26 27 29 99 171, 27 30 30 30 15 99 92 93 93 15 21. 98 98 28 10 12.129 12 14 ED 17 19 32 12 0.90 '0..0—90 5 Fa 6 6 O 0 D O 6 "s Us Vs Ve Zi, Bi Wa Aus den Zahlen dieser Tabellen ist leicht zu sehen, | dass Anfangs die Verlängerung an allen Punkten des Internodiums gleichmässig erfolgte, nachher hörte der untere Theil auf sich zu verlängern; später der mittlere und kurze Zeit darauf der obere; nur ein: sehr kleiner Theil unter den Kotyledonen bleibt thätig. Aus den gegebenen Zahlen ist ferner ersichtlich, dass | die im Dunkeln wachsenden Pflänzchen sich denjeni- gen vollständig gleich verhalten, die dem Lichte aus- gesetzt waren, d. h. in beiden Fällen erfolgt die Aus- dehnung zuerst der ganzen Lange nach und erst spä- ter hört sie unten auf. ' Mit den Zahlen der fachfolbenden Tabellen kann man beweisen, dass unten und in der Mitte des Inter- nodiums schon 3 Tage nach der Keimung nicht nur keine Verlängerung der Zellen erfolge, sondern auch keine Theilung der Zellen mehr vor sich gehe, d. h. dass die unteren und mittleren Theile des hypokoty- len Gliedes aus untheilbaren Dauergeweben bestehen. In der That, zählte man auf 15 mill. an Rinden- E KC (in leren Zahlen): Im schwgchen bete oben in der Mitte unten In den Pflänzchen nach 3 Tagen 16, Im Dunkeln oben in der Mitte unten 11 16 mi p » »'464 wt v0 8 15. | Die geringe Abnahme der Zellenzahlen in der Mitte ” des hypokotylen Gliedes erklirt sich dadurch, dass zu Ende des dritten Tages noch ein Theil der unte- ren Hälfte des Internodiums sich im Zustande der Ausdehnung befindet, was klar aus den oben ange- führten Tabellen zu sehen ist. Dabei bitte ich, je nach der verschiedenen Einwirkung des Lichtes, die auf- fallende Übereinstimmung der Zahlen unten und in der Mitte zu beachten; sie kann als Beleg für die Ge- nauigkeit der Beobachtungsinethode angesehen werden. . Es erweist sich also, dass nur ein kleines Endstück des Internodiums sich zu verlängern fähig ist und ein noch kleinerer Theil desselben Zellen besitzt, in wel- chen die Theilung vor sich gehen kann. Dadurch er- klárt sich der geringe Unterschied in den Zellenzah- len der normalen (in schwachem Lichte gewachsenen) und etiolirten Pflinzchen. Diese Zunahme muss man der geringen Zahl der theilungsfähigen Zellen zu- schreiben. Noch ein anderer Umstand wirkte, aller Wahrscheinlichkeit nach, auf die Abnahme des Unter- schiedes zwischen den mittleren Zahlen der Tabellen am Schlusse dieses Aufsatzes. Das bereits schwache Licht wurde noch mehr geschwächt, da ich ein ande- res Resultat, als das gefundene, zu erlangen hoffte; ich glaubte nämlich dadurch die Verschiedenheit in der Wirkung des schwachen und starken Lichtes In den Pflänzchen nach 3 Tagen a 69 26%, 27. |recht klar zu machen” , | F^ Pas oi » 6 » ap 26'/,| Die Versuche mit Saamen von Zea Mays, cé | | | im Dunkeln, | im Dunkeln und im zerstreuten Lichte keimten, ga- In den Pflánzchen dh 3 Tagen 45 18 2:30. ben viel auffallendere Resultate. Ich werde ein Bel: 1m 3 EE Bo 28 1018 20. | spiel Sg welches aber nicht zu den ënger asselbe Resultat erhielt ich auch für die Epidermis- E és it. (Dio Bore "s der Zahlen [92 et in unteren und mittleren Theilen E gering. SS Im schwachen RE a | In Danke 7 5 millim. x Hur ES oen. in der Mitte unten |. - fi = Pflänzehen Se 3 Tats 73 Mi E e » ET EE a c Wi 25) Da die Zellen der: koci Post ges À: auf eine Linge en. a mill. gezählt wurden, so re Za für diese und die nachfolgende der Gleich! keit y mit der e: Fon iat 15 mill. berechnet werden Tome X 26) Die Pflanzen standen i in einem Zimmer, s durch ein Fenster, das in ein anderes helles Zimmer führte, nt beleuchtet wur n Lichte wuchsen, is eben, so machte ich 3 35 Bulletin de PAcadémie Bmpériale 26 d. h. die Zahlen der Zellen verhalten sich wie 1 : 5,6 und die Länge der Stengel 33:1 Also die Pflanze, welche mehr als 3 Mal kürzer ist, hat 1,9 Mal mehr Zellen (die Zunahme beträgt sonst 70%). Übrigens führe ich dieses Beispiel nur als Be- leg dafür an, dass man viel schärfere Resultate ge- winnen könnte, wenn andere Pflanzen zur Untersu- chung benutzt würden. Die Kresse erwies sich als ein für unsere Ziele unvortheilhaftes Object; es ist noth- wendig, solche Pflanzen zur Untersuchung zu nehmen, in welchen ein und dasselbe Internodium an verschie- denen Orten ungleichförmig wächst”). > » » Die An- und Abwesenheit des Lichtes erzeugt keine Wirkung auf die Zahl der radialen Reihen des Rin- denparenchyms; wenigstens fand ich in normalen und etiolirten Pflanzen, auf Querschnitten, die nämliche Reihenzahi von Parenchywzellen; mit wenigen Aus- nahmen fand ich sogar keine Schwankungen in den Zahlen (Lepidium sativum, Cannabis merde Zea dirai | Zu den anderen. Geweben überge en. € zuerst bei d H führt wurde, ist es leicht zu ersehen, dass die Anga ben der verschiedenen Beobachter in Bezug auf die | Frage, ob das Licht irgend eine Wirkung auf die Bil- dung der Holzelemente ausübe, sehr verschieden sind. Die nachfolgenden Beobachtungen, welche mit den beschriebenen Vorsichtsmassregeln gemacht sind, zei- | gen, dass das Licht auf die Entwickelung des Holzes | eine Wirkung ausübt. ister Versuch, Am 8. Juli 1868 war eine Aussaat der Saamen von Cannabis sativa gemacht; ein Topf war ins Dunkel gestellt, der andere blieb im hellen Zimmer. Am 13. Juli keimten die Saamen, am Mor- gen des 17. J. wurden die Pflänzchen in Spiritus ge- legt; ihre Kotyledonen enthielten eine m Öl; die 3 Querschnitte verschiedener Ex , welche im Aufange des Autazes epes ew a= atts | Birender Her? ein schlos dem Cambiumringe und dem Marke. eingenommen wurde, betrug in Quadrat- -Mill. Im Lichte Im Dunkeln 0,17 0,14 0,16 043 0,18 0,12. In diesen zwei sich eben zu differenziren beginnenden Fibrovasalsträngen zählte ich die Zahl der verdickten Zellen (meistens Gefässe): Im Lichte Im Dunkeln 21 + 22 = 43 10-2- 18 — 23 . 19 + 23 = 42 16-14 30 23 + 24 — 47 12 + 16 — 28. Also die etiolirten Internodien hatten von-diesen ver- dickten Zellen beträchtlich weniger. 2ter Versuch. Am 17. Juni 1868 wurden Saamen von — Zea Mays ausgesäet; die Töpfe blieben zum Theil im — Lichte, zum Theil im Dunkeln stehen. Am 29. Juni ` .| wurden die Pflanzen abgeschnitten. Im Lichte sowohl, "Murs ein prines Blatt völlig aus- — hart, und beim Zerreissen kam eine weissliche Flüs- - aaa hervor, welche mit Stärke erfüllt war”). Die ` Querschnitte durch die Mitte des epikotylen Gliedes | (das Scutellum fir den Kotyledon gehalten) zeigten Fol | gendes. Der Raum, welchen die Fibrovasalsträn es einnehmen, ist beträchtlich kleiner in den etiolirten - bre als in den normalen, dabei ist die Fläche, | welche vom Marke eingenommen wird, fast gleich ` in beiden Fallen. In dem epikotylen Gliede von Zea / | Mays bilden die Fibrovasalstránge einen ununterbro- - : chenen Ring, welcher mit einer Reihe von sehr auffal- ` lenden Zellen der Schutzscheide - > Stärkeschicht . von Fe tmgeben ist. Als ‚Beispiel: konn: ich ac den durch die Mitte des Mrs Gliedes Be |, = und untersucht. | . . Die Oberfläche, welche von 2 ien ; res Schnilte durch den ganzen Stengel, oder durch bar >= desselbe en. Die Vergrösserung des Mikroskops war nicht be- | = =) A Grisebach (a. a. O.) zeigte die Existenz solcher Interno- | i em Aufsatze «Beobachtungen über das Wachsthum der | ane in Bezug auf Systematik ». F du mer à” x "bike des Ringes In Dunkeln - : 99 = 0,47 se -M dm Lichte E : = Mee 0,84. 050 29) Nach den Beobachtungen y von Sachs (Bot. Zeit. 1862. € m : 18. 869 «Über den Einfluss des Li auf die Jums u. s. w.») können die ‘Kosten des Alb Sa ‘Bildung des i | * voi er im Dunkeln auf | ‘lang, ausbilden. a. e ps e wo i ʻi des Sciences de Saint-Pétersbourg Ahnliche Resultate gaben auch andere Exemplare. Auf diesen Querschnitten zählte ich die radialen Rei- hen der Holzzellen; in normalen Pflanzen von 12 bis | 16 Zellreihen; in etiolirten von 9 bis 11, — also war die Zahl der Holzzellen in etiolirten EE be- trächtlich kleiner; die Zahl der grössten Gefässe (z. B. mehr als 0,05 mill. im Durchmesser) in etiolirten Pflanzen war 10 — 11, muss ich bemerken, des die Holzelemente in etiolir- ten Internodien Ss schmäler sind, z. B. die grös- | sten Spiralgefässe in normalen epikotylen Gliedern | hatten 0,11 — 12 mill., in etiolirten 0,09 — 10 mill. (im Durchmesser). Die Verdickung der Wände der Holzzellen und der Gefässe ist, wie in etiolirten, so auch in normalen Internodien, gleich stark; wenig- stens konnte ich keinen Unterschied bemerken. Die Veränderungen der Holzelemente in vertikaler Rich- tung habe ich nicht untersucht; auch blieben mir die Verhältnisse des Cambiums zum Lichte und zum Dunkel unbekannt. Vorläufige Beobachtungen über die Bastelemente zeigten mir, dass die Zahl der Zel- len dieses Gewebes bei den etiolirten Sprossen der Kartoffeln geringer ist, als bei den normalen. Die Verdickung der Wände dieser Zellen steht in keiner Abhängigkeit von der Ab- oder Anwesenheit des Lich- . tes; wie in den etiolirten, so auch in den normalen Internodien sind die Zellen gleich stark verdickt. Jetzt gehe ich zu einer anderen Wirkung der Dun- kelheit über. Ich werde über die Ver dickupgen der Wände der Collenchymzellen sprechen. Fig. 3. in normalen 18 —19; dazu | Fig. 4. Meine Beobachtungen über die Kartoffel zeigten, dass die Sprossen, welche nach mehr als 5 Wochen?) EA Dunkeln eine beträchtliche Länge erreichten, die N dungen sehr schwach verdickt hatten (Fig. 3), dagegen sebr stark in Sprossen, wel- che im zerstreuten Lichte wuchsen (Fig. 4). Der Un- terschied zwischen den Verdickungen ist so gross, dass er beim ersten Blick in’s Ange fällt. Dazu muss man bemerken, dass die Zahl der radialen Reihen von Collenchymzellen in normalen, so wohl als in etio- lirten Sprossen fast gleich ist. Wenn also die Abwe- senheit des Lichtes keine Wirkung auf die Verdickung der Zellwände des Holzes und Bastes ausübt, so wirkt sie auf die Verminderung der Zahl dieser Elemente; wenn dagegen die Abwesenheit des Lichtes auf die Verdickung der Zellwände wirkt, so bleibt die Zahl der verdickten Zellen unverändert (Epidermis nach Kraus und Collenchym). Mir bleibt nur übrig, einige Worte zu sagen über die Verminderung der Zahl der Fibrovasalstränge in den etiolirten Stengeln monokotyler Gewächse. Die ` Anwesenheit des Lichtes begünstigt die Wees der Fibrovasalstränge. : = y vulgare. Die Saamen waren am 9. 1868 gesäet, keimten am 13.— 14., 20. — 26. untersucht. Bei dem Weizen das erste Internodium weder A Dunk gesteckt; in Spiritus suche fast so fest und g* 39 Bulletin de l’Académie Impériale 40 daher waren die Beobachtungen an diesem zweiten Gliede angestelit. Der Durchmesser der Querschnitte | zeigte: Im Lichte: Theilstriche des Ocular- Zahl der omete Fibrovasalstränge . ungefähr 110 | GE EN 16 13 Im Dunkeln: » 55 — 60 immer 8 Aus diesen Zahlen ist zu ersehen, dass der Durch- messer des Stengelchens beträchtlich kleiner in den etiolirten Exemplaren ist, als in den normalen, die entsprechenden etiolirten Internodien waren viel län- ger, als die normalen; die Entfernungen zwischen den | Fibrovasalsträngen waren gleich wie im Dunkeln, so auch im Lichte, Was die Vertheilung der Fibrovasal- stränge betrifft, so kann man bemerken, dass sie in |‘ etiolirtey Internodien i in einen Ring gesammelt, dage- |' gen in den normalen über das ganze Gesichtsfeld zer- streut waren (die chyms hatten keine Fibrovasalstränge). Dieser Ver- | such wurde im Sommer dieses Jahres wiederholt und gab gleiche Resultate. Zea Mays. Bei dieser Pflanze wurde das Ate und das 5te Internodium untersucht. Im vierten Interno- | dium wurden ungefähr 180 in normalen Exemplaren und 105 Fibrovasalstränge in etiolirten gezählt (mitt- lere Zahlen aus 3 Beobachtungen). Im fünften Inter- nodium \ rs sich die Zahlen der Stränge wie | P e cs hatten 3 Mal weni- | uge waren in etiolirten — ersten (schuppigen) und im ersten ite . Weizen ist die Zahl der Stränge immer ge, wie | in mg so auch in etiolirten Blättern. = — peripherischen Lagen des Paren- Es ist nicht überflüssig, die Rowaltute meiner Beob- achtungen hier kurz zusammenzufassen. 1) Das Licht hat keinen Einfluss auf die Theilung der Epidermiszellen. (Lepidium sativum.) 2) Zerstreutes Licht beschleunigt die Zelltheilung des Rindenparenchyms. (Lepidium sativum.) 3) Starkes Licht ( ittelb S i ) ) wirl kt ebenso wie die Dunkelheit nachtheilig auf die Thei- lung der Zellen des Rindenparenchyms. (Lepidium sa- tivum.) | 4) Licht begünstigt die Vermehrung der Holzele- ` mente. (Cannabis sativa, Zea Mays.) 5) Die Neubildung der Fibrovasalstränge in den monokotylen Gewächsen wird durch das Licht begün- stigt. (Triticum vulgare, Zea Mays.) 6) Die Abwesenheit des Lichtes bedingt eine schwa- che EM der Collenchymzellen. (Solanum tu- 1.1 n Das Licht übt keinen Einfluss anf die Verdickung ` der Zellen des Bastes und des Holzes. see tube- Es? Zea ilo d ANHANG | Ausführliche Tabellen zu dei Beobachtungen über die Kresse. `: E Die Saamen der Kresse wurden am 2. Juni 1869 gesäet. a 3. Juni. Die Sonne leuchtete den ganzen Tag. ex Juni. Die Saamen keimten. Der Himmel war LS TIS Uhr klar, darauf kam trübes Wetter. Blätter steht, habe ich noch nicht untersuc & Aber i im | T Ee ee e Tar hell. Am n Morgen einen Theil dE itus . f -9. Juni. Tribes Wetter. 2 Dee 10. . Juni. ees die übrigen Pflänzch 41 des Sciences de Saint- Pétershourg. 42 bcr. Zahlen der Zellen. A. Im Dunkeln aufgewachsene Exemplare. 1) Kurze Frist (3 Tage nach der Keimung). S O b e riho ws Rindenparenchym Lange des hypokotylen| en : SËCH Ma auf 15 Millim. a à ganin auf 15 Millim. In d. ganzen ledes in unm. + ly] Oben. du Unten. eke Oben. ee | Unten. | earn 63 | 14%, | 10 13: | 69... | 85 | 14% 1 174 1.92 e. T I8 12 16 51 FE 1 Ze 5 5 87 51 16 12% 18 52 45 15 2144.91 51 15% 11 17 50 (48) 58 19 i à s (107) 49 17 127, 16 49 59 25 20 52 17 11% 15 50 43 19 20 Zë 48 16 11 17 47 (48) 38 16 21 80 (78) 53 18", 11 16 53 49 15 19 9 54 17 10, 16 52 | 48 20 | 19 102 Mittlere Zahlen 53 | 16%, | 11 | 16 |51 45 |18 | 20 | 95 2) Lange Frist (6 Tage nach der Keimung). : | 0 bor heart i = Rindenparenchym Länge des hypokotylen| a | ———— ne en = ae auf 15 Millim. ` In d. ases i auf 15 Millim. | S ee ] | illim. - i 7 t SC rer Oben. he | Unten. adc. - | Oben. fen Unten. der g | 75 | 10 u [ue | D | 16 |" seg 85 19% oi d£ | 58 9] 26 FEL I1H mu | B idi 58 (56) | 25 | 18 80 | 10%, 8 10 1.58. > A zb | 10 79 À 12 Tio 1594 es 17-710 & BE 8 | 7 14 | 52(55]| 25 12 | 18 E =. 69 : ski 10 I; [9 (54) 29 Se 19 : Mittlere Zahlen 77 : E 10 . e | 15% | 55 | = . 81) Die in Rides gestlten Z Zifen « sind durch un a > Gliede E 43 Bulletin de l'Académie Impériale 44 B. Im schwachen Lichte, 3) Kurze Frist. j Oo: h wat Rindenparenchym Länge des hypokotylen| S EE auf 1114 Millim. = neo auf 1 Millim. x pen iedes in Millim. okotylen any Oben. +. Unten. lodo = Oben rm ò Unten. e liedo. 43 14% 117, 16% | 52 54 18 22% 116 42 Ke 11 154 52 58 20 1 119 43 16 10 15% 51 47 SE 207, 110 41 ITA 10 14 49 55 21 20 113 36 9 i3 16 50 52 20 21 97 42 19 107, 14% 53 49 19 I8 103 40 19 EK 17 54 25 22 22% 114 Mittlere Zahlen 41 51,5 110 | 4) Lange Frist. abe th ku Rindenparenchym Länge des hypokotylen —__ .... . ia ni es auf 15 Millim. |In d ganzen auf 15 Millim. In d. des in Millim. - ; ais E Geer | GEL CRE qu Sine. | Unten, UR" Oboe. (der | Guten. | ZB" 58,1 16% oes 12. 58 15 55:1 I3: 62 13 52 18% 48 14 Mittlere Zahlen 54 | 14%, Zählen der Zell , SES 5) Kurze Frist. Lange des hypo- - Zahl der Zellen i kotylen Gliedes. Oberhaut. ` 58 54 ` 51 50 52 f 49 50 = 53 90 > 45 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Note sur le manuscrit géorgien Ne 23, de la Bibliothèque Impériale de Paris, par M.Bros- set. (Lu le 20 janvier 1870.) Le manuscrit géorgien auquel est consacrée cette note, a été trouvé égaré à Paris, dans un modeste étalágé do bouquiniste, et acquis, sirádé à un conser- servateur intelligent, pour la Bibliothèque Impériale, qui l’a communiqué avec son obligeance accoutumée à l’Académie des sciences de St.-Pétersbourg. C'est un petit in-f”, de 70 feuillets en fort papier oriental, non lustré, dont les 45 premiers sont d’une très belle écriture géorgienne vulgaire, grosse et tra- _ cée à main posée, les autres couverts de caractères cursifs, passablement lisibles. Quant au contenu, ce sont des lettres, de personnes de haut rang, adressées soit à leurs égaux, soit à leurs supérieurs, et renfermant de simples compliments, des invitations, des communications d'événements et, pour la majeure partie, des condoléances. Presque toutes portent des titres, comme: «ceci est écrit à un souverain, par son égal;» ou «par l'épouse ou la fille d'un thawad à un souverain» ou Lbsddodséo lettre de «condoléance;» un grand nombre sont pourvues de cette formule finale, 9o3y363»oU «cela est écrit, s'écrit,» en sorte que, tout en conservant son carac- tere d'actualité, chaque pièce peut être regardée comme un modèle du genre, du style, de la forme à observer dans un cas analogue à celui qui en fait le |. sujet. ` : C'est donc un Incha géorgien, i. e un Sec dans le sens de l'arabe Li}, mais un épistolaire histo- | rique, puisque toutes les pièces dont il s’agit ont été réellement écrites par les personnes et à celles dont on y trouve les noms, pour l'ordinaire + Le tout a été recueilli par nn amateur de littérature et de haute | éloquence épistolographique. Si les pièces étaient da- tées, ce serait un véritable trésor de documents, tout | ur être employés et pour enrichir Phistoire | d’une foule de petits faits qui manquent ordinaire | ment dans les les grandes compositions. Toutefois, enj prêts p 1) Ces mte E pas rares: en SCH on a des Ke oe di 136947 «abeille,» Lasch 334g" «couronne spirituelle > en armé- nien des aukupor hh «filon d'or». en russe des copruxs. Je me um avoir vu à Gg un recueil. absolument analogue à i, entre les mains d'un collectionne Phalawandof, dont "äech sé com Por e wis sayait ESCH leur val celui- | ur très-bien placé, le printe : composait, non. de copies, 1 mais bien SS l’absence de dates positives, les noms propres servent | déjà de repères, et par une étude trés attentive, par de patientes recherches dans les histoires et dans les chartes, un ‘écrivain laborieux réussirait probable- ment à déterminer les personnes et les époques. Sans me flatter d'avoir réussi complétement dans cette détermination, je remarque que tous les person- nages, sans exception, mentionnés ici, sont de la se- conde moitié du XVII” et du premier quart du XVIII" siècle. Catholicos, éristhaws, ministres, rois et reines, avec leurs fils et filles, défilent tour à tour sous les yeux du lecteur. Deux piéces seules, les NN. 54, répété avec quelques variantes au N. 79, et le N. 55, sortent de la catégorie des lettres ordinaires et sont de véritables documents diplomatiques, et par-là mériteront d'étre traduits intégralement et annotés. Le N. 40 est un morceau d'éloquence en relatif à un tragique évènement: il suffira d'en dor des extraits; enfin le N. 99 renferme une énigme historique, qu'il s'agira de déchiffrer. Voici Vindication des pièces qui m'ont le plus frappé, dans l’ordre ascendant de leur importance. 1. Lettres de particuliers. N.1. David, éristhaw du Ksan, à un frère ou fils du maître du Karthli. 4, NN. à un grand personnage Lsds (60e pee; sur la mort de sa femme Éléné. 21. Le mdiwan-beg, grand-juge, Erasti, à un évéque ou archevéque, se recommande à la S*- Trinité d'Alawerd, dans le Cakheth. — PER N. 95. 28. Le même, à Réwaz. = = 43. Le mdiwan, juge NN., au u juge Soulkhan. 56. Giw, à sa soeur, épouse d’un juge, sur la mort de son jeune frère (à lui) Giorgi; il a encore un frère, le jeune Othar. ` = 61. Condoléance, à Giw. ten Je crois que Giw et Othar sont 63. Le juge Othar, à un juge, sur la pe 67. La nourrice eee des | Bak fils de ger la mort de son Bulletin de l'Académie Impériale is ‚La dame Léla à Thinathin, en lui annonçant la mort de son fils Dathouna. . La nourrice de la princesse Thamar, à Ana- Khanoum, qui a perdu son fils, le petit David. . Réponse de Léla à une lettre de — de ‘la reine. . Une dame, à Thamaz, sur la mort de sa femme Ana-Khanoum. . NN. remercie les princes Bakar et Giorgi — fils de Wakhtang VI — de la part qu'ils ont prise à la perte de son fils Giorgi. . L'échicaghas - bachi Zourab, Khosro °), qui sera pramt-juge de l'Iran. Le sardar, au prince Rostom-Beg*), élevé à de hauts emplois par le chah. 80. Kai-Khosro amir-edjib, à sa soeur religieuse 3*3 orsgols gsbosb Gdse»osb ogobosb 336955356 Jsb- EE Jof 36pot. "84°. Lej juge Othar, au sardar, sur la mort dé son fils. 75. 102. Le même; compliments au u e est e T D ds ee Wakhtang fut nommé djanichin ou vice- | o). Brom? exprime wii. 5° évangéliste et le 13° a kada Othar. 2. Clergé. 86. Maximé (ecclésiastique), à un abun du grand souverain. Ges sihi compliments et bé- nédiction. | 47. Le catholicos Ioané ^h patriarche de tout le Karthli et Cakheth, à un thawad. Au N. 26 il y a une lettre de Wakhtang, vice-roi de Géorgie, donc aprés l'an 1703, à un catholicos Grigol. > Or il n’y a pas eu de catholicos de ce nom dans | ` au prince Kai- | Ee, Wakhtang 100. L'archevéque de Tiflis, au catholicos et au roi d'Iméreth. | 3. Personnes royales, — Karthli. 14. Le djanichin ou vice-roi, i. e. le prince-royal Wakhtang, invite sa seur ‘Daredjan à assister à une noce. Je crois que c’est Daredjan, fille du roi Ar- tchil, par conséquent cousine-germaine du vice- roi, fiancée en 1672 & Manoutchar, fils de Lé- wan III dadian. 25. Le djanichin et son fils, à un Abachidzé. 27, 85. Le méme, au dadian Giorgi Lipartian, — premier dadian de la 2° dynastie, celle des Tchi- kowans. Cf. N. 104. 33. Le méme, à son frère, le roi de Cakheth, i e. à - David ou dmm Qouli-Khais 35. Le méme, roi de Karthli, à un souverain. 31. 84%. Wakhtang, neveu du souverain, à son oncle. Lettre antérieure à l'année 1703, oü le prince -roi de Géorgie, son mes d le roi Giorgi XI, kant alors à Qai — à un ur i celui qui invite les hôtes, lui fait ses compliments. 91. Le méme, fait ses compliments au gouriel, son ` frère. . 92. Le méme, allant à la chasse, à Qaraia. 97. Le même, au roi son beau-frère et à la reine sa soeur, fait ‚ses condoléances sur la mort de la - Kh Mi , et de son ami Mi- - £ roino ECG Róladzé. | le Karthli, mais en Aphkhazie, en 1650 et en) | 1731: ce n'est point à eux que peut s'adresser le vice-roi de Géorgie. Les simples compliments . que comporte cette IHR dea rien de ca- ractéristique. Le N. 16 est ug au ee Domenti -—3* du nom — par le frère et le fils du roi, pro~ ©. bablement par Wakhtang VI et l'un de ses fils. | ` .. En s'adressant au catholicos, on le qualifie tou-| lan E or: «porte-croix,» ygol ki ` de Wakhtang Y E tang n Toané sihi Faibd en 1688 par Eréclé 1er E E - La reine Khoréchan: mourat le 24 février 1 695; - SC était femme de Giorgi XI, qu Po | -et non le beau-frère de Wakbtang. Cette le est trés élégante. : 98. Le méme, au mestoumré, * charge de ses con- SS . doléances pour Mikéladzé, au sujet de la mor - de Giorgi Mikéladzé. Très élégante. ae 105—109. Le méme, A la reine Rousoudan. p 4 SR Eo lee, qui snppose une absence de E . 49 des Sciences de Saint-Pétersbourg. ce le roi Wakhtang, exprimant son chagrin A la reine de Cakheth, sa fille, après sa défaite et sa fuite, en 1724? . La reine Rousoudan, à Éléné, femme d’un haut personage, qui a perdu son fils. A la fin, elle dit: «Étant allée dans ma maison, dans le Haut- Karthli, chez Anouca, j’arrivai & Krtzthhilwan, sans savoir — votre malheur. — Dieu me pu- . nisse de ma faute! Là j’appris la chose et en fus informée; ne soyez pas mécontente, car j'ai été informée tardivement de l'envoi de votre | lettre.» 4, Princes du 1 sang. 3 2 110. nichin Wakhtang. 66. La princesse Gouka, à une dame, sur la perte | de son fils Mamouca. ` 70. Le djanichin Suimon, à Pamir- adjib. Khosro, qui a perdu son fils Aspan. — Le prince Suimon fut vice-roi de Karthli en ES 4718; il était marié à Gouka. +64. Le même, à la reine Rousoudan, Wakhtang VI; il désire la voir. 5. Personnes royales, — Cakheth. 88. Le roi — de Cakheth — Imam Qouli-Khan, fait ses compliments au vice-roi de Karthli. Théimouraz, vice-roi de Cakheth, beau-frere du prince Alexandré, exprime ses condoléances sur la mort de ce prince au temps de la vieillesse du roi Artchil et de la reine Kéthéwan. La lettre . est adressée au prince Wakhtang, djanichin de . . Karthli. Il y est dit que le frère de Théimou- = Taz Ee écrit d’Ispahan une lettre: sur le même 94. eg Mexniré, fait H A e bataille de SC S "arriver que bien sr tard en Aoig -— des pom i le prie de fire ses S'en | E E E ments au roi. Un prince du sang, fait ses compliments au dja- | femme d x 3 En, mourut en 1710. La nouvelle ne pe 6s M SE la mort du prince os o di. Pid | vait parlé. Or if s’agissait de partir en retard, et je n’avais pas la tête à moi, sans quoi je n’au- rais pas tardé 4 vous envoyer un de nos gens. Ce que je vous offre est: peu de chose, mais vous connaissez mes circonstances de cette année. J’ai expédié mon évêque de Nicolo- Tsminda, et vous prie, seigneur, d'accepter cette couverture de cercueil et ces présents.» Si, comme je le crois, il s'agit ici de Bagrat IV, roi d'Iméreth, peut-étre la lettre est-elle rela- tive à la mort du roi Wakhtang V ou Chah- Nawaz 1", arrivée en 1676. Sa première épouse, la reine Rodam, était orbéliane; mais qui était le roi, le beau-père, botsd6o de Bagrat? Sans doute Théimouraz 1*, de Cakheth, pére de Da- vid, père de Kéthéwan, Zeg femme de Ba- grat, lequel mourut en 1 : . «Cette lettre d'affliction est erite par un sou- verain à un souverain.» Très remarquable pour - le style. Le roi Alexandré, avec la reine Kosten Daré- djan, écrit au roi de Karthli Rostom et à la reine Mariam les tristes aventures de son frère Mamouca: «Mort pour moi, martyrisé pour moi, cause de mes pleurs, mon frère le prince Ma- mouca, objet du courroux céleste, qui me frappe de stupeur. Celui qui précédemment brisait par _son courage, digne de Roustem, les armes le- vées contre son royaume, trois ans durant, a vu meurtris par des chaînes ses beaux yeux, ses . pieds, ses mains élégantes, son cou et ses su- _perbes épaules; puis ils ont crevé ses yeux char- mants et l'ont fait mourir avant le temps, par leurs mauvais traitements, les impies! Mainte- nant Dieu s'est courroucé contre ma fanille e et | -contre mon frère, à cause de mon frère Co: _ tilé; mes yeux en sont immobiles. des ef ‘Nois vous annonçons que le 25 s 1654. Wakhoucht 4 Bulletin de PAcadémie Impériale 5? raconte ces faits, Hist."mod. de la Géorgie, I, 273, et la lettre méme du roi Alexandré à Ros- tom est mentionnée par Pharsadan cad nidzé, ibid. p- 533. Quant á Costantiné, dont parle le Geh écri- vain, je pense que c’est ce Constantin de Cakheth, grand-oncle de Nestan-Daredjan, femme d’Alex- andré, qui se signala par un parricide et un fratricide en 1605. . Je ne sais si ce n’est pas à l'occasion de la mort du prince Alexandré, qu'avait été écrite la pièce ainsi numérotée, et qui porte pour suscription: «Ceci est une condoléance; aprés avoir recu le Nichani envoyé par un autre souverain, ami, ré- ` ponse à celui qui l'a envoyé.» Le Nichani «signe, insigne» se compose d'ob- jets ayant appartenu à un personnage défunt, qui sont ordinairement livrés au prêtre officiant aux funérailles. Les amis reçoivent aussi de tels souvenirs. Ici, c’est un roi, qui nomme à deux reprises «son oncle» dont. le Nichani lui est | qan ‘tom un suaire est notre vétement, pour ainsi dire venu. ¿Qe Fee: veu d rent Ki 7. Pièces FRS Voici maintenant les deux pièces capitales de l'In- | cha géorgien. 54, 79. «Ceci est une rats de i reine à l'Ehtima- dolé,» i. e. au premier ministre de Perse. Aprés quelques lignes de phraséologie: J.-C. «Je dépose, dit le royal écrivain, ma requéte et mes désirs de service en présence du vizir-azem, administrateur de l'empire. et du tróne d'Iran et de Touran, dont la renommée est partout répandue. «Ensuite, nous vous représentons: le roi Rostom ayant pris sur lui le malheur du chah, nous avons songé aux exigences du deuil et des lamentations. En ‘tadelle — de Tiflis — avec nos servantes. et les gens ài de la cour, en attendant les bontés du chah, que Pon | nous faisait de toutes parts espérer, et nous recümes | nifie p E + | nouvelles. D'une part la loyauté du roi Rostom} ,, * lélité à son devoir nous assurait, et nombre | mence P. méme à nous de personnes dont l'esprit se dérangeait concevaient encore pour nous de grandes espérances. i «Peu de temps après arriva Saphar Werdi-Beg, un bon serviteur du chah, apportant un ordre du sou- verain, et nous sortîmes de la citadelle. Ayant appris ‚cette nouvelle, les Karthles furent très satisfaits, et la masse de ceux qui visitèrent Saphar Werdi- Beg . reprirent bon courage. Sur ces entrefaites Pharsadan- Beg étant venu, il nous apporta, malgré notre indi- gnité, un khalath trop beau et bon, dont on nous gra- tifiait. Ayant appris l'arrivée du khalath, l'apport de l'ordre supréme et la venue de Pharsadan - Beg, tous les thawads et aznaours Karthles accoururent à Tiflis, avec leurs familles. Quand Pharsadan - Beg eut dox lecture des ordres et rescrits du chah, le dé- vouement au service du souverain ne fit que redou- bler; le souverain égal au ciel nous conférait le titre de reine”), et donnait notre personne au roi Chahnawaz. Certes la mer que rien n’émeut ne saurait résister aux ordres du souverain: toutefois, aprés le roi Ros- mene "le pass, au tati 2 Rous. avons dens stees exécuté l'ordre du sou- verain; nous espérons que sa clémence sans bornes, grâce aux loyaux services de Saphar Werdi-Beg, vous -disposera à la bienveillance envers nous. «Nous avons présenté une requête au souverain, Pégal des cieux, dont nous sommes les indignes su- jets, et espérons que vous aurez égard à notre sexe, que vous appuierez notre requête auprès du souve- rain, et prendrez les intérêts de notre malheureuse ` Fa Pharsadan-Beg vous écrira le reste en langue - turque, il vous dira que nous sommes vos sujets ) et | des rameaux’) issus de vous. Précédemment, au temps ce temps lá Djamal-Khan ayant exhibé un ordre du | emp souverain, haut comme le ciel, nous le baisames et | | Tayant porté à notre tête, nous entrâmes dans aajn du roi Rostom, on s’en rapportait à à mon dévonement : en ce qui touchait les affaires du Chah, espère donc : 5) Au lieu mum de zug dare copie porte: «il vint : ee que je traduis eme gie - T des Sciences de Saint-Pétersbourg. 54 qu'à présent rien ne se fera sans mon avis. Quant à | moi, je ne laisserai rien faire à mes adhérents sans consulter le chah; à l'égard des insoumis, je vous présenterai mes requétes. En effet, il est arrivé sou- vent que les maîtres de la Géorgie ont nui à leurs pays, faute de soumission au chah; mais de méme que nul homme n'échappe à la mort, de méme le maitre dela Géorgie ne peut se soustraire à l'obéissance envers le souverain. Ordonnez - -moi tout ce qu'exige mon devoir. Dieu = sa maj jesté et bénisse votre vé- zirat!» Cette piéce fut écrite certainement en 1658, peu après la mort du roi Rostom, par la reine Mariam, sa veuve, qui eut ordre en effet d’épouser Bakhouta- | Beg’), prince musulman de la famille de Moukhran, adopté précédemment par le roi défunt; v. Wakhoucht, Hist. mod. I, 74, et p. 542, le récit de in Giorgidjanidzé. Je soupçonne, sans pouvoir le démon- trer, que cet historien est précisément le Pharsadan- Beg dont parle la reine dans sa requête; car il nous apprend, à la page citée de sa narration, qu'il fut envoyé à Tiflis, après la mort de Rostom, pour y suivre les intérêts de la cour de Perse et prendre des informations sur l'état des affaires. 55. «Ceci est écrit par le grand-seigneur au chah.» Je serai obligé de conserver intégralement la phra- séologie qui forme le caractère de cette pièce. J.-C. «Invoquons au préalable le Dieu grand et glorieux, sans commencement ni fin, maître tout-puis- sant de l'univers, dont l'esprit humain ne comprend ni la largeur, ni la majesté, ni les actes, qui donne à qui il lui plait la souveraineté de la terre et des ré- gions. C'est tellement l'oeuvre de la divinité, que la stupeur de l'homme n'y peut rien. Il donne l'empire à qui il lui plait, et précipite à terre qui il veut. C’est par son ordre que m’a été conférée la grandeur, là | tient notre innombrable aaeei RSC majesté, la pr jspérité, Pempire dont je jouis présen- tement; que | e possède suprématie , ‘magnificence, clémence universelle ; droits de justice, victoire sur les grands qui me résistent di Le sides que Wakhtang V. = de la Syrie, de bienveillance à l'égard des | sujets loyaux, force contre les insoumis, triomphe 2 et châtiment des rebelles: tout ce qui respire me sert | 9 tremblant, parce queje suis au-dessus de to les | 10) ‘souverains, et que l'on m ‘appelle le monarque des monarques. °) «Je suis le fils du haut monarque Soulthan Ibréhim, descendant des monarques Phridan et Kaïkhosro, issu | de Noé, je suis Soulthan Mourad, grand-seigneur, moi qui t’écris. Je possède la mer Noire, la mer Blanche, ainsi que les deux continents, l'Iémen entier, l'Ana- tolie, placées sous mes ordres; je me glorifie de la Mecque et de Médine; maître de tous les musulmans, ‘les chrétiens prient pour moi à Jérusalem; tout cela est sous ma protection et me sert. Je possède les contrées d’Alexandre-le-Macédonien, je suis assis sur le tróne de l'empereur Constantin; je suis le seigneur et maître de l'Iémen, de l'Abyssinie, de Sénakan, de Thounousarib (?), ei Kourdistan, de l’Arabie, d'Alep, Basra, de Djézira, du Machriq, du Maghrib, de Miléth, du Charistan en terre ferme, des îles dans la mer. Gaii ces vastes contrées il y a-encore d'innombrables villages dont je suis pos- sesseur, et qui obéissent à mes ordres, sans que nul ose me résister. Telle est la hauteur dont m’a gratifié le Dieu clément, hauteur venant de Dieu, dont j'ai les honneurs et la jouissance. «Eh bien, mon frère, toi fils du cheikh et monarque de l’Adjam, descendant d’Aphrossiab, le seigneur ton grand-père se nommait Chah-Séphi '")- Qéen "')} et était également sous ma dépendance. Lors donc que te parviendra ce mien redoutable rescrit et réponse, con- çois que Dieu qui m'a assigné toute la terre est telle- ment bienveillant pour moi, que tous les monarques, du grand au petit, me event et reconnaissent la bonté et suprématie de mon commandement, et com- prennent ce que j'ordonne. Par la force et l’assistance de Dieu, nous broyons ceux qui s’insurgent contre nous, au E qu'il ne reste d'eux pas même la cendre. = ds « Maintenant, gráce à l'assistance de Dieu, là d ec cheikh Séphi. le Géorgiens donnent au A* Le ` Bulletin de l’Académie Impériale 56 tes terres; pas un seul de tes soldats ne s’est montré, nul ne nous a fait tête, nul de tes guerriers n’a paru; ils se cachent dans l’immensité des montagnes et des vallées, nous n’avons rencontré nulle part ni toi ni aucun étendard de tes troupes. Nous venons de prendre Bagdad, sans efforts, après quoi nous sommes partis, installant là notre vizir suprême, l'illustre Moustapha-Pacha, et nous sommes retirés du côté de Diarbékir. Si Dieu est pour nous, je me présenterai à toi au printemps, avec une armée qui couvrira les territoires de l'Eran, de l'Aderbidjan et de Nakhtché- | van °); si, à l'exemple de ton grand-père, tu recours en suppliant à mon tróne protégé de Dieu, je te par- donnerai ton crime, suivant le commandement du Dieu | miséricordieux, et te concéderai les limites de mon auguste grand-pèreSoulthan Ibrahim-Khan, puis je me con- fierai à toi; sinon, sache-le, le pied de mes chevaux écra- sera Jeu 'au dernier de tes paysans et des hommes de plaisir "), et ce sera ta faute; fais tes préserstif va de cóté et d'autre: ce me Dieu ` -rifiée de Dieu et fais parvenir à mon abguste cites | otijot t ta réponse, quelle qu’elle soit: Dieu ne refuse point a} l'homme sa clémence.» ` | En résumé, un sultan Mourad, ih ou petit-fils d’Ibrehim, s wë esse au petit-fils de Chah-Séphi, autre- fois soumis au grand-seigneur; lui Mourad a déja pris | Bagdad et installé 14 Moustapha-Pacha, et compte re- venir au printemps suivant, , pour achever la conquête de la Perse. Le problème étant tel, la prise de Bagdad, qui est le fait capital, doit servir de point de départ. Or Bag- dad fut réellement pris, dit d'Herbelot, «en l'an de | grâce 1638, par Amurat troisième, sur Chah-Séfi.» En | 1638 régnait à Constantinople le sa Mourad IV, dont telle est la généalogie: 1) Méhémet IH. u Se zz 2) Ahmed 1". 3) et 5) Moustapha 1°. i 4) Osman II. 6) Mourad IV, 1623 — 1639. it signifier «les riches,» par opposition au bas peuple. | Avant Mourad IV il n'y avait pas eu de grand-sei- gneur du nom d'Ibréhim, et depuis lors il n'y a pas eu d'autre Mourad. C’est done bien Mourad IV, fils d’ Ahmed 1°, qui a pris Bagdad. Quant au chah, alors régnant, c'était Chah-Séphi 1°, petit-fils de Chah- Abaz 1“. Il est bien.vrai que du temps de Chah-Tha- maz Bagdad avait été pris par Sultan-Souleiman, mais Chah-Abaz l'avait de nouveau arraché aux Turks. Reste le grand-vizir Moustapha-Pacha, installé à Bag- dad par Mourad IV; or le P. Tchamitch a trouvé - dans les sources arméniennes, qu’en 1638 les Turks | emportérent Bagdad après un siége de 30 jours, et que Mourad, ayant confié sa nouvelle conquéte au rikabdar ou pak écuyer Moustapha-Pacha (il dit: beiler-bei) se retira du côté d’Amid, et fit la E? avec les Persans. Il y a donc, il faut en convenir, quelques graves erreurs Jains dans la pièce dont il s’agit, qui, vraie pour le fonds, semble, par Pinsolente grossié- - J En, effet Bagdad avait été déjà occupé par les Turks, en 1534, aa x yes - ilfan- Been, mais Chah- Aa avait réussi à reprendre pu. sch limon géorgien, qui me parail formé du persan | reté de la rédaction , une bouikouüe caricature, tout- it digne des stupides barbares qui Pont conçue. na retrouver Vauteur du Recueil, soit formé et Coane dann est la salutation d'un fils à son pére.» «Moi, votre fils Othar, désireux que la vie de votre ser vice. » biffées à à l'encre noire“), au point que si l'on pe encore presque sûrement apercevoir le nom vo > | et lire parfaitement les se An 14) As bas de fe VP 5 7 ment effacées à Pencre. E et des marques de la faveur du grand souverain, de à vous offre avec mille salutations mes voeux pour ve SNE ios deux noms propres ont | sté Voici en effet ce qu’on lit ici, écrit à "e : au V° du feuillet 44, à la fin de la piece N. 55: «Ceci ` personne ornée de sagesse et de science parfaite se a prolonge; moi qui ne prononce votre nom qu'avec . éloge, ô vous, mon père et seigneur Theimouraz à quije — ne puis penser sans me rappeler l'infinie miséricorde — de Dieu, à vous justement comblé des grâces divines- 3 ne 57 des Sciences de Saint-Pétersbourg. grande incertitude pour déterminer la famille à la- | quelle appartenaient ce Théimouraz et son fils Othar, qui ont pu recueillir les matériaux de notre Incha. -Au bas de la p. 45, on lit ces mots: omgsby «Jean,» | qui est biffé; puis dsdsdso ¿sobe (au lieu de ER sabe ) dick. . An bas de la méme page on lit: oogib3o. Lsdo goals 33360 Fogbo $6 ` da gogs); «Jean, il west pas venu de lettre de vous depuis trois postes;» au bas du f° 67: gogoo: bgabl: sbdsab: ajzomb3sw, au lieu de ogoobsgo. «Je sais que vous demandez de nos nouvelles.» Tout cela est de la méme main et pourra servir, un jour ou l'autre, à retrouver les anciens possesseurs du manuscrit. Au f° 70, quia été relié sens dessus dessous, on trouve la série des lettres de l'alphabet, depuis s jusqu'à 3. avec l'indication de leur valeur arithmétique en de- niers, depuis 1 jusgn E 20008, qui font un touman, et diff ièces d'argent: 36 deniers) == 1 poul, jnsqu’ à à (20 deniers) = un bist; b (50 de- niers) = un chaour; a (400 deniers) — un abaz; b (1000 deniers) — un ag % (10000 deniers) = un thouman. Ceci paraît être de la même écriture que les deux notes qui viennent d’être signalées, et con- firme ce que j'ai dit dans l'Introduction à l'Histoire de Géorgie, p. CLXXXV, sur la base des valeurs des lettres prises comme chiffres dans l'arithmétique usuelle des Géorgiens, oà le compte se fait réellement ` en deniers persans. Il ne me reste plus à faire que quelques remarques. Dans lé titre de la piéce que je viens d'analyser on La faute que je relève ici est tout-à-fait eier Il y a encore des grafiti en certains - endroits, qui pourront servir à l'histoire du manuscrit. - _ A l'époque où nous nous trouvons, les deux noms d’Othar et de Théimouraz ne se trouvent ni dans la famille royale. dn Karthli, ni dans celle du Cakheth, dans le. rapport indiqué par la note à l’encre zone] qui nous. SES, On ne les rencontre pas non | doa noms des do S j'ai donné trois Tableaux des rinces de Moukhran, ni x Ksan, tandis que chez les | ` que ce Théimouraz tomba en 1734 entre les mains | de Nadir; mais on ne lui connaît pas de fils du nom d’Othar, seulement ce nom paraît jusqu’à quatre fois dans les listes généalogiques de la famille. Comme ces listes ne comprennent que les personnages qui ont perpétué dans la lignée mâle le titre d’éristhaw, il se pourrait bien que notre Othar fût un des fils cadets de Théimouraz, à qui sa haute position a per- mis de recueillir les lettres dont se compose l'Incha. Des Amilakhors, autre famille princiére des plus dis- tinguées, nous n'avons aucun renseignement se rap- portant à notre sujet. Je m'en tiens donc, sauf recherches ultérieures, aux deux personnages de la fa- mille des éristhaws de l'Aragwi, que je viens de men- tionner. De la Détermination de = d’un décimètre cube d’eau distillée à 4° C., par H Wild. (Lu le 27 janvier 1870.) Dans le mémoire intitulé dag sur les travaux relatifs à la réf@rme des types de poids et mesures suisses»*), que j'ai eu l'honneur de présenter à la Classe il y a un an, se trouvent deux passages qni ont trait à la réforme de l'étalon métrique préconisée par notre Académie. On lit à la page 55 et 56 de ce mémoire: «Au point de vue de leur inaltérabilité dans le cours du temps, les types de poids et mesures francais, aussi bien le mètre que le kilogramnie, laissent tant à dé- sirer, que, sous ce rapport, ils ne suffisent évidem- ment plus aux exigences actuelles de la science. Si le systéme métrique des poids et mesures. doit étre ‘bientôt universellement ‘adopté, ‘ce qu’on est auto- risé à croire, vu les récents incidents qui se sont pro- duits à ce sujet dans divers pays, la confection de nouveaux types métriques et l'installation d'une sorte de contrôle gon des poids et ache cha: de T un pieux désir.» ' second me | 0 lerne de la Dë, = H | lau Lt = | i 59 Bulletin de PAcadémie Empériale 60 et son volume, est conçu comme suit: «Ce chiffre a été calculé d’après le poids absolu de ce kilogramme et d’après son volume à 0°,-et se base d’ailleurs sur la supposition que le kilogramme des archives de Pa- ris représente exactemeut le poids absolu d’un déci- mètre cube d’eau distillée à 4° C. A la fin de son grand et excellent ouvrage: «Travaux de la commission pour fixer les mesures et les poids de l'Empire de Russie», Kupffer a comparé les déterminations du poids d’un certain volume d’eau pure, opérées dans divers pays. Si nous réduisons ses données au poids d’un décimétre cube d’eau distillée à 4° C. nous trouvons les résul- tats suivants: —— ' termination du poids absolu d'un décimètre cube d'eau distillée au maximum de sa densité. En supposant, comme nous l’avons dit plus haut, que toutes les données donc nous disposons sur la pe- santeur spécifique de l'eau, soient d’égale valeur, il résulte du tableau ci-dessus que l'évaluation moyenne de 1000084 milligrammes pour le poids d'un déci- mètre cube d'eau distillée à 4° C. comporte encore une erreur moyenne de = 142 milligrammes. Les travaux dont mon mémoire mentionné plus haut est l’expose, ont d&montr® que, dans l'état actuel de la science et de l'art technique, il est possible de com- parer deux poids d'un kilogramme environ, — méme, ainsi que cela a été le eas, lorsque l'un est en platine et l'autre en quartz, et que les expériences ont été faites par deux personnes différentes, — avec une er- reur moyenne de + 0,1"*', ou, en autres termes, d'ar- river — comme pour les mesures de longueurs — à de la valeur totale, dans le résultat de la comparaison. Ainsi, au point où nous | Poids d'un décimètre Pays. Observateurs. cube d’eau distillée à 4° C. I Lefèvre-Gineau m Mig, Angleer Ee we et Kate erzelius. haber et Akermann 1000296 LE Autriche Stampfer 4 999653 >» une exactitude de 10 millionniéme QUIM — SC Mig. nmes parvenus, Y | D’après cela, ok si nous ajoutons une égale valeur à toutes les données dont nous disposons, le poids d’un décimètre cube d’eau pure serait supérieur de 84 mil- | ligrammes à à celui du kilogramme des Archives de Pa- ris. Cette différence n’a, il est vrai, aucune influence sur la pesanteur spécifique de notre kilogramme de platine, dans les limites d’erreur mentionées; néan- moins il nous paraît désirable en principe qu'à l'aide des moyens que nous fournit la science et l’art tech- nique, cette valeur si importante soit fixée à nouveau d'une manière sûre. — Les travaux de la commission internationale: qui se réunira à Paris pour s'occuper de la question des mesures métriques, seraient grandement facilités, si les savants qui se sont adonnés spécialement à l’étude | géométrique simple, une sphère ou un cylindre par a | | exemple et à évaluer ensuite, au moyen d'une T tion de la commission, à titre de travaux préparatoi- | et d’après les unités de poids adoptées, la pert i e de = | Poids qu'il subit lorsqu'on Pimmerge dans de l'eau ` SES, les résultats de leurs recherches et de leurs | | = x -— 2 de cette question, voulaient bien mettre à la disposi- _ res, soit en manuscrits, soit sous la forme de mémoires g= dans ce but que je prends la liberté de pe iuspendue : jourd'hui à la Classe une étude, se rattachant | r “7 ee cité de mon mémoire, sur la dé-| moyen d'une tare placée dans l'autre bas "e SE | mesures usitée pour les longueurs, un de de notre connaissance b un décimètre cube d'eau distillée fois plus grande que l'erreur que nous com- mettons Uns la comparaison du poids de — er correspondants. Je rechercherai d'abord si, à l'aide des moyens existants, il n’est pas possible de fixer cette valeur - plus exactement, c'est-à-dire avec la précision que — l'on peut atteindre de fait dans la simple comparaison du poids de deux corps. | La seule méthode que dans la pratique il soit pos- sible de suivre exactement pour déterminer le poids absolu d’un volume d’eau donné, — méthode, qui d'ail- — leurs a toujours été suivie jusqu'ici —, c’est celle qui - consiste à mesurer avec précision, d'a aprés l'unité de corps de forme — distillée.. Je ie pou r l'efi qui plonge dans un vase rempli d'eau ase 3 — des Sciences de Saint- Pétersbourg. lance est mise en équilibre. Ensuite le corps est mis dans la pince en question et plongé avec elle dans l’eau distillée, mais de manière à ce que celle-ci at- teigne dans le vase la méme hauteur qu'auparavant, et que la méme longueur de fil soit immergée. L'é- quilibre de la balance se rétablit, sans toucher à la tare placée dans le premier bassin, en mettant d'au- tres poids dans le second bassin, au-dessus du corps | servant à l'opération. En considérant, pendant lex- périence, la température de l'air et celle de l'eau Si, au moment de P opération, la hauteur baromé- comme constantes, nous obtenons, comme résultat de l'opération, les deux équations snivantes: P(1— it) + M(1-— lr N(1 — pe) = Tare, P(1 =) m(1 S Eu 1 eg a(1 d Tare, dans lesquelles : P EECH Je poids absolu du Corps; ` M » du fil de platine jusqu'à e la surface de l’eau; NE F2 » » du fil de platine et de la pince dans l’eau; G » » » des poids de compensa- tion de la seconde pesée; H pers; la pesanteur spec. de Pair à t (rapportée à celle de Peau á 4° C.); P, » » » du corps à f, C. (rappor- dis tée à celle de Peau a 4° 0.); m, » » » du fil de platine id. id.; 9 » » » des poids de compensa- : - tion id. id.; wy » | » de Feau id. id.; "e en » » dela pince id. id. A résulte de ces deux équations: : | Di, E ala | i ux Pil ou, comme A i est une valeur minime dont le carré í peut être SW lig Es | P= Vip», et par mee aussi : 2 ARA SA tt ETT de (v, : le lg gg | et si enfin nous représentons le volume du corps à 0° par V, et le coefficient de dilatation cubique pour 1°C. par q, nous avons aussi: = G=V, (19.1), (1 — Li 140. 5) (1 it) — +=). mE 9t 1+4.t trique est de À millimètres et l'humidité absolue de K, et si nous désignons la latitude du lieu d’observa- | tion par o et son altitude au-dessus du niveau de la mer en mètres par H, nous avons, d’après pa er et Kohlrausch: l, POR 0,001292753 (1 — 0,0025935. cos cos 39) (t e 00081 417 AE om) i ; 760 (1 + 0,009665. t) d’où il résulte pour Paris p. ex.: 1, — 0001293187 (h — 0,87792 KW) t 760 (1 + 0,003665 .f) Si dans l'équation I nous mettons les valeurs ton- vées dans les diverses opérations, nous obtenons ainsi le poids absolu des poids de compensation exprimé en vrais grammes. Les termes de l’équation, à droite, qui se trouvent entre parenthèses, représentent, comme il est aisé de le voir, la réduction des pesées au vide, lesquelles, pour 7, — 0, deviennent toutes deux égales à l'unité, Ainsi, pour apprécier l'influence des diver- | ses erreurs commises sur le résultat final, c’est-à-dire sur la valeur de G, nous n'avons qu'à différentier la formule I d’après les données variables. Si nous mettons les termes qui ne diffèrent que très peu de l'unité comme étant égaux à 1, nous avons: dY,—-dG ^ ^ dq uic 23. de o ps Ae One: cube d'eau dis lé eh C. ot en spi Bulletin de l'Académie Umpériale Phumidité absolue A à 10°" et que Pon est à Paris, alors l, est représentée par 0,001209. Ces valeurs nous donnent pour les limites d’erreur des diverses ‘données, correspondants à une erreur de 0,1 milli- gramme dans le résultat final: | dV, = = 0,0001 centimètres cubes, dw, = Æ 0,0000001 == GE HECKEN … dq = = 0,00000000571 dg, = E 0,000581 . dl, = = 0,000000160. Il nous reste A voir dans quel degré ces limites d’er- | reur peuvent en réalité être maintenues. Si pour simplifier nous posons: DEE a — 0,000001701562 = A. O.S7792 =B et — 0,003665 —2,.. zong aren: = EE -B LA da= — di, Ura om Sh pin Am Bw == ra E: Si dd ces expressions nous introduisons les valeurs en chiffres mentionnées plus haut, nous avons: dh = + 0,100”, dh’ = + 0,266™, dt — + 07039, dA=+0 ,000000000226, dB = ESFERA, 01 00, Les valeurs. h, A et t oe >= poU fa- cilement avec EE correspondante aux limites d'erreur ci-dessus indiquées, et il est indubitable que l'erreur d/' = + 020017 C. dans la détermination: du ` où y, représente la pesanteur spécifique à 0° rappor- tée à l’eau à 4° C., et b le coefficient de dilatation cubique du cristal de roche. De là résulte: dg? = dg,(1 + b.t) di = — dg, we Geen t? | dge eme tJo * Introduisons les valeurs en chiffres citées plus haut et supposons b = 0,00003255, nous trouvons que : dj, = Œ 0,000581, d= 6:7, db = + 0,0000126. Comme ces limites d'erreur peuvent aussi dans les ex- périences être observées facilement, la pesanteur spéci- ` fique du poids compensateur sera également déter minée ` avec une exactitude correspondante à la limite Ses ; db — — et | dg, = = 0,000581. Ainsi, tandis que la réduction des pesées au dé 1 [wempéche avon d’atteindre l'exactitude désirée . notre. probléme, il sera par contre de déterminer avec la certitude ` = voulue les med d # et q en relation avec le | pesage du corps dans l’eau. Pour ce qui concerne rd ` degré de température du corps immergé dans l’eau, : (des explications sur dg se rattacheront plus loin à la question de la mesure de ce corps), il ne serait peut- : étre pas impossible de trouver les moyens thermomé- : triques d'apprécier rigoureusement 05001; mais pour 1 |déterminer avec la.méme précision la température | exacte d'un corps immergé dans l'eau au moyen d'un | thermomètre placé à côté, on aurait besoin d'une con- : stance de température telle, qu'il est peu probable 3 d'atteindre méme par des dispositions toutes speci 1 ]les i 3 les valeurs, représentant les quantités | constantes 4,| er: rieures à |, B, et a, ne comportent pas d’erreurs à ce que ns les résultats précédents. < Ainsi la limite d'erreur, dl, — ous aeg M ina leur l, peut A E eur. pour la daama. de la. urs être observée dans les expériences. - pes wd — 9, du poids compensateur {de +0? s 65 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 66 surpasse beaucoup notre connaissance actuelle de la dilatation de Veau. A l'appui de cette opinion je re- produis ici le tableau suivant, tiré du s 31 de mon mémoire déjà cité. - Dans son exposé des travaux relatifs à la confec- tion du nouveau prototype de la livre anglaise *) Mil- ler a rassemblé et discuté avec beaucoup de circon- spection les données fournies par les observations an- térieures sur la dilatation de l'eau, et a établi, pour la détermination du volume d'eau à une température quelconque, une formule dont les résultats se rappor- tent exactement à la moyenne qui ressort des données de Despretz, de Pierre et de Kopp. Le tableau ci- aprés indique les volumes d'eau calculés d’après cette formule — en prenant le volume d'eau au maximum de la densité, c'est-à-dire à 3,94^ C., comme étant égal à 1 —, et comparés avec la moyenne des deux déterminations les plus récentes de la dilatation de l'eau, faites par G. Hagen”) et Matthiessen’). ode | Volume de Vosa distillée. Centigrades. $ ad^ en M xp per anal ^" Différence. 4° 000600 1,000000 0,000000 5 1,000008 1,000008 0,000000 6 1,000031 1,000030 0,000001 _ 7 1,000069 1,000069 0,000000 8 1,000121 1,000122 0,000001 9 1,000186. '1,000189 0,000003 10- 1,000265 1,000270 0,000005 11 1,000357 1,000364 0,000007 ` 12 1,000460 1,000471 0,000011 13 1,000581 1,000592 0,000011 14 ' 1,000712 1,000725 0,000013 15 1,000854 1,000870 0,000016 16 1,001009 -1,001027 0,000018 H- 1,001175 1,001195 0,000020 ` 18- 1,001352 1,001375 0,000023 19 1,0015: 1,001566 0,000026 20 1,001739 1,001767 0,000028 .— 21 1,001948 - 1,001978 0,000080 . 92 1,002167 1,002200 0,000033 — 23 1,002396 ` 1,002431 0,000035 YE 1,002634 ` 1,002671 . 0,000037 ES Ge = E = 0,000089. ci ee à la dernière Sg 7 comme la mesure de l'incertitude encore existante | par consé dans la connaissance de la dilatation de l'eau, cette | [rait la hauteur, les quantités qui sr che | que la limite d'erreur tolérée de dw, = = 0,0000001, et que méme, pour une température de 8^, elle est encore 10 fois plus grande que celle-ci. - Par conséquent, si dans les pesées nous voulons, pour plus de facilité, nous en tenir à la température de 1735 C., ni notre connaissance actuelle de la dilatation de l'eau, | ni l'estimation de la température de l'eau et du corps immergé ne seront assez précises pour que nous puis- sions déterminer avec certitude le poids d'un décimètre cube d'eau à-4^ C., à '/ de milligrammes près. L'er- reur sera aw contraire environ 100 fois plus grande. Méme en abandonnant la température commode de 1775 et en descendant à 8°, p. ex. — ce qui du reste entrat- nerait. indubitablement d'autres inconvénients — , Ver- reur serait encore cependant 10 fois plus grande. H résulte de ce qui précède que l'erreur tolérée pour la détermination du volume du corps en ques- tion est: ; dv, = T -0, 1 millimètre he Nous avons admis que V, était égal à 1 litre, et nous supposons de plus que le corps ala forme d'une sphére; dans ce cas nous avons, en représentant par D le dia- mètre de la sphère: V,= e D; = 1000000 millimètres cubes, d’où résulte, en chiffres ronds: D, — 124,1 millimètres. La- détermination du volume de la sphère est ramenée ainsi à la mesure du diamètre de celle-ci, et l’erreur D | dD, Bar UR aD ee | En y eat les valeurs en chiffres, on a: aD, = + 0,00000521 millimètres. S'il s'agissait d’un cylindre dont le. diamètre € raient exprimées par: incertitude est, à 1756, encore 110 fois pias grande et 1) Philosophical Transaction f. 1856. Part. 3.0.7 PL SE | der Akad. d. Wissensch. zu DREAM —- 3) Picaa Annalen. Vol. er Ps 512. Tome XV. e de cette derniére estimation doit étre évaluée P : Gebei, | TN - Si nous combinons ces deux équations avec Téqua- ium Bulletin de l'Académie Impériale E" - 6s ien: Ayto — Mat ou bien: ga = + 0™00000542 a = “= dH = = 0,00001084. BEER . Les travaux à l'exposé desquels est destiné mon mémoire cité plus haut, démontrent que, par un petit nombre de mesurages, il est possible actuellement de comparer des règles de 1 mètre de longueur, — méme. si l'une d'entre elles est une mesure à bout et l'autre une mesure à trait — avec une erreur moyenne de = 0"^0001 seulement. Mais je ne sache pas que ce degré d’exactitude ait été dépassé jusqu'à présent, et, malgré que les dimensions du corps qui nous oc- | cupe soient à peu près 10 fois plus faibles, il ne se- rait guère possible de les rapporter au nouvel étalon métrique avec un écart plus petit que + 0""00005. Ainsi dans la determination du volume du corps dont il s'agit, on ne pourrait également guère éviter une er- reur 10 fois plus grande que celle à tolérer d’après notre calcul. Occupons-nous enfin encore de la détermination du coefficient de dilatation cubique du corps: q, pour. le- quel nous avons. Ge l'erreur. tolérée de: ? =+0 ,00000000571. A Raach We seule méthode qui dans ce ts puisse conduire à la solution désirée, c’est de mesu- rer les dimensions du corps: (diamètre de la sphèr ou hauteur et diam ratures différentes ty et = présentant un écart d'envi- | ron 20°, néaire de dilatation » soit connu avec une certitude - suffisante. Comme résultat de ces deux E - nous aurons les équations: D, +1 $) at, a — D,(1 gr M,a + né) + a, dans lesquelles M, représente la longueur de la partie | correspondante de la règle à 0° exprimée en vrais | millimètres, a, et a, les petites différences, appréciées | e du cylindre) à deux RAF Br au moyen d’une règle dont le coefficient li- r a mesurée morena RR micromét Ee : tures différentes. De là résulte: Prenons, pour simplifier, t, — 0 et a, — 0 et nous aurons aussi: Ge D q 3 * à 5 p d’où résulte: dn — dq. ^ ay tS — c dq i En y substituant les valeurs en eg et supposant i, — 20° et d, — 0,002, nous aurons: da, = = 0"^00000473, dn = + 0,00000000190, di, = + 05047. L'évaluation de la difference de longueur ay à ta degrés doit donc s’opérer avec Ja même exactitude que celle de D,, pour le reste la détermination du coeffi- ` | cient. it cubique de dilatation q est rapportée A celle du A as t de la régle normale. M AMLO Si cette grandeur doit étre déterminée au prix de la- limite d'erreur de + 0,0000000019 au moyen de | deux opérations de. mesurage des longueurs absolues artie e de la ee M, à deux oe diffé- db — dn. M, (t, — t), © di, = dt, = dn DH à l'aide de micrométres, existant entre le diamètre del la sphère et la EM M de la régle aux tem mpé ion ana = m | D, = M, +0, Supposant t — mie = 20° M,= 124^ et b= = - 072038, E ur => 3 pour les grandeurs cherchées los valeurs: | des | Sciences de Saint - Pétersbourg. 70 aussi le résultat comportera une erreur 10 fois plus grande que celle que nous avons calculé. Dans tout ce qui précède nous avons supposé que | la sphère (ou le cylindre) soit d'une forme géomé- trique parfaite et présente partout la même dilatation linéaire. Comme dans la réalité ce ne sera pas rigou- reusement le cas, l’on devra mesurer non seulement un diamètre à deux températures différentes, mais en mesurer un aussi grand nombre qu'on pourra le faire, afin que la moyenne soit autant que possible indépen- dante des différences éventuelles. En résumant nos recherches il en ressort que, dans l'état actuel de la science et de l'art technique, la dé- termination du poids absolu d’un décimètre cube d’eau à 4° C. à '/, de milligramme prés (ou à 0,0000001 de la valeur totale) n’est point possible, mais qu’une limite d’erreur environ 10 fois plus considérable peut être obtenue, moyennant des opérations de mesurages nombreuses et minutieuses. Si donc nous pouvons établir ainsi, qu'à 1 milligramme près, le vrai kilo- gramme conform & à sa definition, nous atteindrons pourtant, en comparaison avec l'état actuel, une exacti- tude 100 fois plus grande dans la détermination de cette grandeur si importante dans la pratique. En méme temps les appareils et instruments nécessaires à ce travail pourront servir, — si l'on pése le corps en question dans de l'eau à des degrés différents de température, — à nous faire connaitre avec plus d'e actitude la dilatation de l'eau, sur laquelle, comme nous l'avons vu, nous ne possédons encore que des notions trop peu certaines. Pour ce qui concerne les travaux de la commission | internationale relatifs à l'unité des poids, le kilo- gramme, les résultats obtenus pant les us) suivantes: -~ 1. L'unité des poids (tout e comme Tünité de mesure des longueurs) doit étre absolument déterminée par Son représentant matériel, le kilogramme prototype, et non par son rapport théorique à à l’unité de mesure des longueurs, « c’est-à-dire par le poids d’un certain volume d’eau, par la raison que Yon peut comparer | y deux kilogrammes entre eux avec beaucoup plus de- E précision que l’on ne peut en determiner’ le ag " d’après la définition théorique. SS p Comme, d’après « ce qui price. | pi | raitre indifférei | = Sur la méthode de de M. Clebsch: «Über die zweite Va = er ienei de eerte T. 56, S pour la nouvelle unité, il est cependant désirable — vu l'importance qu'ont en pratique, dans le système mé- trique, les rapports de cette unité avec celle des lon- gueurs, — que le nouvel étalon du kilogramme se rap- proche autant que possible de cette définition théo- rique. Mais pour cela, la confection d’une simple co- pie du kilogramme en platine des archives de Paris ne suffit pas; il paraît souhaitable au contraire que, conformément à sa définition, le kilogramme soit nou- vellement dérivé du mètre, parce que nous pouvons compter avec certitude que ce problème difficile sera résolu maintenant d'une manière beaucoup plus satis- | faisante qu'il ne l'a été antérieurement. 3. Quant à la proposition qui a été faite de divers cótés, d'abandonner, dans la question qui nous occupe, la température normale de 4^ C. pour l'eau et d'en choisir une autre plus élevée, elle ne pourrait pas, comme cela résulte de notre travail, offrir des avan- tages considérables. Il est vrai d'un côté, que par là Pinfluene de notre connaissance incertaine de la dila- tation de l'eau serait diminuée, mais, d'un autre cóté, cest au maximum de densité que le changement de" volume de l'eau est le moindre, et, comme nous l'avons déjà dit plus haut, en constituant le nouveau kilo- gramme, on aura is meilleure occasion possible de dé- terminer la dilatation de l'eau, avec toute la précision a "exige cette importante qe. distinguer les n 1 a des intögrales döfinies ER Par CS G. Sabinine, ' à l'Université | d’Odessa. (Lu le 17 juin 1869.) $ E Pour distinguer les maxima etles minima d’une ‘intégrale définie multiple, que nous See mel i PY. Le moyen de le Hire est indiqué d dan T i distinguer les maxima et les BT p vi Bulletin de l’Académie Impériale Mais il nous semble qu’on n’a pas besoin de recourir à ces principes, et nous proposons un moyen, qui nous paraît plus convenable, pour la réduction de la varia- tion èF ; ce moyen est fondé sur une substitution di- recte de certaines expressions algébriques linéaires de quantités arbitraires à la place des variations tron- quées ou, 0,,. . trouvent sous je signe de l'intégrale multiple. Dans notre discussion de la variation 5°V nous adop- terons le méme degré de généralité, quiest admis dans le mémoire cité plus haut de M. Clebsch, ainsi que dans les travaux de la plupart des géométres qui ont traité Ja variation seconde d’une intégrale simple, et nons supposerons, de même que ces géomètres, que les limites de l’intégrale multiple sont données et restent invariables; ce qui revient à supposer que les variations | tronquées o,, o,,..... sont nulles aux limites des in- tégrations. Cette restriction n'a pas d'influence sur l'expression, à la quelle doit étre réduite la Magie: non intégrable de Ja variation SE. $ 2. Nous exposerons maintenant les EE, qu’il est nécessaire de connaitre pour la solution de la question qui nous occupe. - Soit proposé de trouver le maximum ou le minimum ments eS Q5. . i sements Z2 de l'intégrale multiple W= fwda, da, . da, see se geg prise rapport aux variables indépendantes z,, 5s , dont les valeurs extrêmes ou les limites des en successives sont données; la fonction w, qui se trouve sous le signe /, Greg: explicitement: | les variables indépendantes x T, , 2,,...4;, des fonctions inconnues y,, May Ye de ces (variables et les dëse 43 port à 2,, %,,...2; la suite pak a n2 Bd s | Psp Ponit Dass» Dogo Paas: = Pat. | = Fo et en général 8 py Nous admettrons encore que les fonctions T CA sont liées à leurs dérivées partielles p, ‚et aux variables indépendantes x, par les équations E ba le Ka - variations. Mémoires de l'Académie des > 7). .$ étant un des un 1, 2....1, et s un des nombres Peer. E ., que subissent les fonctions qui se | Caec c" ce 9,—0,9,—0,...9,—0....... . O, et leurs déri- vées partielles du qui sont en méme temps les varia- tions des dérivées partielles p, ;, doivent satisfaire aux équations Les variations tronquées 9, Ban, | $9, — 0, $9, —0,...09, —0,. ..... (3) dont la forme générale est de det dos — oi I, +2,23; da, —0 Jorise 8) La question proposée du maximum ou du mini- mum relatif peut être raménée, comme l’on sait, à la question du maximum ou du minimum absolu de cette | autre intégrale V = fodz, dz,... da; dans laquelle PW SAGs el les à, représentant des fonctions inconnues de ay, 25, a, qu'il faut déterminer, ainsi que les fonctions Te au moyen des équations (2) et d'autres équations, qui at de la condition èV — 0. GE EE ns se que lin- tégrale de la différentielle de V, ie aux ACTU SE = b. , des Yı, Y2- . - Y, et aux accrois- u = * des Pon Da: «Dag» Nous pou- vons donc it: cette variation 8V par sV=/Q, dz,, das. . . die, Ic e ee 6 c -(6) en posant pour piss dv t N,= = = —— ES pe. u : bc +2 (8. — 2,5229) o. an. ? expression, on obtient les — aux KE ` partielles du second ordre a e ipe 3, iius: ne somme eine sx Id 1, 2,3 . 8 et Ze aux indices 1, 2.. 73 y Po des Sciences de Saint - Pétersbourg. NUNCA C N 34... DÉI auxquelles il faut adjoindre les équations (2). Ces équations (10) et (2) serviront à déterminer les fonc- tions inconnues y, et X. Les valeurs générales des Y, et À, obtenues par l'intégration des équations (1 - et (2) Sontendrout des fonctions arbitraires a,, a,.. La partie intégrable de 3V, savoir 32, Ze da,,.. dz, se réduira au moyen de transformations connues à une | intégrale de l'ordre ¿— 1, laquelle, étant égalée à zéro, donnera des équations de conditions relatives | aux limites de l'intégrale V, qui serviront à déter- miner les fonctions arbitraires a,, @.... Mais nous n’avons guère besoin de ces équations pour la trans- formation que nous nous proposons de aid dans la variation seconde 3° Cette variation, ex vertu de la formule (6), se ré- ae à oF =/0,d2,... de, ^ 3 dQ, dù == 1 L 1 Q, 2,5,10,- 2,2 2 a2. Or on peut mettre cette dernière expression sous la forme 9,— 3,3, Ted M x[2:— xb par conséquent | y= [| 2,2, ch, «de, AS [9 — 2, q ei ae s . dz, | où sous le signe / il es bin à Q, son expres- | sion (7). La sommation relative à Gaas des in- dices s et à devant être faite deux fois, nous rempla- cerons d'abord dans la formule (7) les indices s et i| respectivement par c et j et nous porterons ensuite cette expression dans (11), sans changer les indices | s et à relatives aux secondes sommations. Observant que | dps -— Aw Me dee c 3 Ys i dyg dy et E nous obtiendrons ainsi la formule CP vs), dE | SV — JE, 2,2; } dr, “+ 0%, ace SS do + ving pm : | (tu) (12) Sal Sin gh pes, e dP,; d SS m dps,; oj dx d Re da; 9,] gs o aa Pour obtenir une expression de 3”V qui puisse ser- vir à la distinction du maximum ou minimum de l'in- tégrale V, nous transformerons l’expression (12), en substituant aux variations tronquées o, des fonctions linéaires de nouvelles variables, dont les coefficients se déterminent de Ja maniére suivante: Désignant par a, une constante indéterminée, qui n’entre dans les expressions générales des y et A que par suite de l'intégration des équations (10) et (2), ef qui peut se trouver ou dans les fonctions arbitraires gu, 05. .., OU indépendamment, formons les expres- sions bo =2 45 0 Lenz) ji 4,1 e Lë da,’ > [ET e ne da,’ ud c o A p M ccu. oue <-> » $ (18) e L3 aho dans lesquelles b,,,...0,,,...8,,,...b, se sont des constantes indéterminées, qui n entrent, ni die les fonctions y et à, ni dans les équations (10), (2) et les équations aux limites. ~ La somme 2, s'étendant aux constantes a,, et n désignant tous les nombres entiers depuis 1 pee à * It Nous représenterons ( encore ces momes valeurs | aV ZZ ri a. LII Pc 9». b» e. L, Lr on peut toujours eurs, pour lesquelles 75 Bulletin de l'Académie Impériale : 76 le déterminant D des s' quantités (13) ne sera pas égal à zero. Cela posé, formons - encore s.k expres- sions: + vi 4 | dx, Asa = eg An — Sb ine da,’ . . | E cer EE ST Ay, = 2,5, zb. A, Eh, id qui nous seront utiles dans la suite. En prenant les dérivées de quelques-unes des équa- tions (10) et (2) par rapport aux constantes a,, mul- tipliant ensuite ces dérivées par les constantes b, , et faisant la somme des produits, nous obtiendrons des équations différentielles linéaires par rapport aux expressions (13) et (15), de la forme = $ -dN, dió 3, Ty: La MEL gs Ka y ing i a sie . deg án LN S dps i dr E55. + 2,2 ou de la forme 2, GEL, Sex d Spy, + 2,2, Wo Han eu € de; Bes ze HD tZ dP, Lë gi dpoj dz KEE "qus A nl .. (18) nr es o, en fonctions d'autant. de : vari in s £,, en prenant les expressions Sr | is de ces variables, savoir E REL, E sn n! o ub tos Lom y e| s où les variables ¢, doivent être — comme fonctions arbitraires des 24, Za. Avant de faire la substitution NV ces expressions des o, dans celle de 3V, nous démontrerons deux éga- lités qui nous seront nécessaires dans la transforma- . tion de èF, que nous avons en vu. La premiere de ces égalités est dri, y x^ EU. a Fr (22) où | Ka Sg E M L, t a A TAL n \ ps i: PH T dL, a L a . (23) —z|x Lt E Be : "ER xx Po E ho | et la seconde (d HE xi Ak yt, os | —3, DENM = u Pour démontrer la formule (22), multiplions d’abord l'équation (16) par L,, et l'équation (18) par Le: faisons ensuite la somme des premiers produits Da rapport à l'indice s, et la somme des seconds pro- duits par rapport à c, soustrayons enfin la première de ces sommes de la muda = rela fait, nous aurons 22, dy, e + 2,3, as . Er ANG dan - IT gie p ins L, iE ER Don. ; = u: TM. a a t des Sciences de Saint-Pétersbourg. 78 233 dLs,, Te eL, 33 EXON Ais a Il est évident pea : do 0 do ES i +3, Se E den _ 2,3,2, un om Zut. Lob" SA Lon ‘a ee as. (28) et les Es (20) et (21) donnent iz dP, id aL, l -3; Ee cape, de ae | ie aD | no dL y = >. E > al, + age ker À > M ES o et A Se e Ds; ar EN : i = gei dPs,; Ps dPsi Los P dD. 2,2, TE du voy 2, RE ie, dy n = Ei 2x dan Lens | et si l’on prend en considération les équations (17) et — de S. sc? Bull . (29) (19), on trouvera l'égalité (22). dL. dh, S Nous démontrerons maintenant l'égalité (24). e ` ene T a -3,3, € p” 5 Si aprés avoir multiplié l'équation (3) par Any, nous faisons les sommations, par a aux indices k et y, nous aurons Pat 4° D Aj uty Os) a | | A Ary] | © (25) aN, d A Eu | : aP, ; _s ENTER 2M A ib, nl: Les expressions (20) des o, étant substituées dans l'équation (3), il en résulte don "un FE ESA nt Bot Gi pex angel, A = = 0. Ce qui devient, en vertu de l'équation (17), AL, F 26) | Si après avoir multiplié cette dernière équation par A, yt, nous faisons les sommations par rapport aüx indices k et », nous aurons | EL = EC La a tie o 0, —€— respectivement $, n, Y, par G, Y, n; TEE Cette équation, pa. á en en donne ro I. | lité (24). que l'on obtiendra en ki = lac Gore et tQ. des o, CH E E ab | + 2,3,2, Nous introduirons encore dans | le cale ls ex- ao Au moren 2 ces formules, Sen (26) peut être mise sous la idus JN = Ps e nn 0 E D. seii MD § 3. Revenons maintenant à la transformation de la variation 9?V. Si nous ajoutons à la troisième intégrale de l’ex- pression (12) l'intégrale de l'équation (24), nous aurons ee Ee (32) où de Psi ps E de. dt SE Li SE + faz e" de, . . da; (33) a(S, Gen vty al ` da, } a == aN, d (Ls, vty) a a= ay, ph t Pai, & en E SE d He E TU 4 $ Bulletin de l'Académie Impériale Les réductions, qu'on peut faire dans 8°V, repo- sent sur l’égalité La eo ee SCH où me. dt SC Ce . (88) ANM 3, Du, PAL, val gos pex 23 Ur Es ere ee (40) , étant le second membre de l'équation (23). Pour elie la formule (37), observons que : ZN, =L L 14% d (Loty) aNs snan s P A dm + aL, 23 ifs aP, #8 d (Lg yty) | | v MS d Kë d Ls. te) ROE 2; L, n M , dx; Sa: L, nt, ES dys “hjj dP, i dL, y Pb ES * + a : ; as ) LPA 3 P Ne dls iue dis- r. : > de; = dr . My 2 Geck Lin AS E E ST EE = we Palsy MN Los aa do L ar, y IS, sagt aa ES a et en vertu s SC | dP, _ Poj Poj dps i nous aurons 5,8 dlL di, — 3,3, PRU At, ndo > qu ; = a (gees ipo), at, dP To, xn E =— 35, AR aes a SE ame SE a + = el, 8,3 =— 233, dts hs Lords) à URS its CZ Ze dP, i dt, _33 Je laa de = dE SC Lan y i dps de, aPs3 iL | di d = = =>, 2, J dg 5 "L dt, , da 9» dz? E) par | | dans l'expression (40) de o. Nous introd: da; | ow J a. le a total nap z des dP, HL (reri wi) 9 — 2,2 RL, e — 2,2; ape; 7 dej — (4 ) KN dt, dis UL L dpoj n~ oyd dP, E dt —3, 3, ES =. 22) AS Ki Za "dn ovate; (43) Si, dans la formule (41), 1 nous oce SR sion (42) qui s'y trouve par (43), nous obtiendrons Ls s Lu Ly KEE cate) ett i en i i -3 dur e GE =) CHEN Ee A + E Pos TESTS Lig} Maltipliant maintenant ai dernière expression Së, L s,n Z dz, oi dt de ~ 2; 37 app du dz; nous trouverons h=223 Beet, nn si Any s 32 aN, Bay mr y xTM Aal d E —— TA Se > =. d E +6 «fo E > Or le SEH de. Lh ah E ant. E = vertu de 2 dx; | l'équation (16), il en résulte l'égalité (37). ll nous reste maintenant à faire des 1 = ce but SR 3 nr "Ce (28) la fone : | Eu égard à l'égalité (22), il est évident que ae sı Ge Beieneen de TS SE 292 Ce Pe de g par raii aux x, sera égale à sy AAA .. (54) (23) c.-à-d. E ug dans l'intégrale (50) la valeur de Lz z^ 4j dL, „ag a wr a 5) | par = Sen A ur nous pouvons mettre cette intégrale er sous la forme : pat cette raison l’expression (40) de p se réduit à ats, dP, doa LE a(n) | O= f{2,2,2,2,2— "es "e: eg dx dz, RSR (85) et, remplaçant les indices i et 7 pipes dnt par j. et i, on peut mettre cette expression sous la forme ; = n,v e E = i di xo CZ gi — da; M ite n) — ; AA Il est facile de voir que | c 2,2 a asas P = 0. En effet, si nous désignons par Z,; la sommatation relative seulement aux combinaisons binaires des in- dices 7,7, dans lesquelles ces: indices occupent les mêmes rangs, nous aurons det o 3 p £y deser GR =< 254 mR a > St dt, ij n desde; n^ »* 4 ^ dede; ij, Kat or le second membre de cette égalité est égal à zéro, parce que e, dits à E Tae = ledr; et en vertu de la formule (44) 5: a: ij : Y E, ONE > eng par o A nn (46) E ccu xut qt où c= a nm 4 at, dt, LO 2,23; das da ar Se et d'après les formules (37) et (46) a on E > tx e—f—h. or SE y | on aura al; ] E 3 XX. D is Jus dz,. .. dz, Nous voyons que Ze ida ëch in ex- pressions (33) À et (55) C disparaissent; d'ailleurs, si dans la première intégrale de Æ (33) nous substituons la somme 2,0, ,t, à o, et si nous ajoutons le résultat à la premiere intégrale de C(55) et à la troisième de A(33), nous aurons 4+0= aaa) de,...de,..(56) E. E s Sek, ys A de, 2; Zait ih k Tas 82, | (57) de Or, en vertu de l'hypothèse que les variations tron- quées o, sont nulles aux limites de l'intégrale V, la formule (54) deviendra e SV Es FG, Pe rt Le déterminant D des quantités L,,, étant different de zéro, si l’on pose B= 2,2 L ebe $4 À Ke d . 4D aD : > as Urn mm ETH r Au | Si, pour abréger, nous faisons ae me (88) 69, ao, vn, 60, E | ses ca uverons ` (62) et (a Bulletin de l’Académie Impériale $4 ` Si enfin nous éliminons sous le signe / de 3 Y (62) les & quantités + au moyen des équations (31), la discussion de SE (62) se ramènera à celle d'une ex- pression différentielle homogéne entiére et du second degré, par rapport á des variables arbitraires. Ophiopogonis species in herbariis Petropolitanis | | exposui: arborum et herbarum, pars VI. fol. 45. (var. B., spec. frf. c. anal. floris et scapo florente seorsim. Icon bona). servatas 27 janvier 1870.) | — @phiopogon Gawl. Gawl. in bot. mag. 1063. —Endl. Gen. pl. c. syn., excl. Sanseviella Rchb. — Ophiopogon Kth. et Flüggea Kth. En. pl. V. p. 301. l Characteri generico saepissime non rite adhuc ex- posito adde: ovarium lata basi sessile vel semiimmer- it C. J. Meximewios. (Lu le sum, triloculare, 6 — 9-ovulatum. Ovula anatropa, mox | post ‘fecandationem ovarium rumpentia, pleraque-abor- tiva, attamen vulgo persistentia, Semina matura nuda, circa axim verticillata, abortu saepissime 1-2, ra- rius 3, interdum 4 —6, ovarii vestigio perigonioque [2j SE mox nogr. fam. nat.) appropinquatae, communi fere con- sensu tamen in familiae propriae dignitatem erectae, | habitum re vera offerunt Liliacearum Anthericearum nonnullarum, quibuscum conveniunt fibris radicalibus | incrassatis, Philonis obliqui vel repentis structura, pedicellis articulatis, ovarii loculis saepe 2 — 3-ovu- latis, ovulis anatropis (ex Kunth. contra Endlich er), differunt vero tantum ovario interdum semiinfero et seminibus nudo statu maturescentibus. Habent sese igitur ad Liliaceas, ut Caulophyllum ad Berb à, ate hondum: matura | baccata, colorata (coe | E E Boni 9-8 zibedigeh (EG Ser Formosa insula (Oldham! pl. exs. A i eis, 1 mox Amaryllideis (ef. RER Ico- | (var. y., fl. pallide coeruleis). — Don. Prodr. fl. Nepal. p. 47. — Miquel. Prol. fl. Japon. p. 307. — Conval- laria spicata Thbg. Fl. Jap. p. 141. — Liriope spicata Lour. Fl. Cochinch. 1. p. 200. — Flüggea spicata Schult. Syst. VII. p. 310. — Slateria repens Siebold in Act. Bat. XII. p. 15. (nomen). — Convallaria japo- nica sive Slateria Jaburan. I-ku-ma-yu-ssai. Soo bokf dz' sets dsen hen, i. e. tentamen adumbrationum Gracilis, stolonibus elongatis horizontalibus; foliis scapum angulatum superantibus linearibus vel late li- nearibus; bracteis pedicello brevioribus; fasciculis paucifloris; pedicellis longitudine florum vel brevio- ribus; floribus erectis; filamentis antheram ob- tusam aequantibus stylum superantibus; peri- gonio deciduo; seminibus nigris lücidis globosis. Hab. in Japonia fere tota: e Hakodate semina ac- ceperunt hortulani Londinenses (ex bot. mag. 5348)— plantae cultae forsan, nam talem eandemque collegit Albrecht! (f.). In Nippon occurrit a Nambu ad me- ridiem usque, circa ( frequens. In Jung pinis (ex Benthâm I. c.); India boreali (Royle! Don). Floret Julio et Augusto, fructus maturos profert Decembri et Januario. | Planta valde variabilis statura, erassitie et altitu- dine scapi, foliis longioribus brevioribusve, magis vel- minus angustis, obtusiusculis vel acutatis, plus vel mi- mus nervosis, fasciculis paucifloris | vel plurifloris, brac- teis distinctis vel parvis, - magnitudine et colore flo- rum, Ih Varie- tates speciei hucusque i in Europa 1 nimis parco speci- minum numero notae, e et a Kunthio hanc. ah eg Theropogon noster transitum magis adhuc demonstrare | Le WE ae erassiore inter T fase Es los flexuoso; pedicellis florem 1 leue n (1. centim - jon 19 aequantibus vel paullo s peranti : L e — Perigonium campanulatum. pipii ani breviter e itis Stutieebbis CORR nibus- scariosis pedicelli. sub a ice articulati t | partem aequantibus. | e T — videtur. . Sect. 1. Liriope Hance a + Journ. 1869. . p. 115. — Genus Liriope Lour. — Ophiópogon K tis. Ovarium lata basi sessile, Ubera, loculis atis s. Filamenta subulata. Soe? e ra est O. japonici). — Bot. BR - in species diversas S dimi: Spontaneum non vidi. Cultus | nonnullis, annos circiter 40 al "m js $5 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Robustissima varietas, attamen ad 8. jam interdum transiens, habitu in speciminibus majoribus diversis- simo, nullis vero notis bonis a deducto Reeg? a Fructus adhuc ignoti. 8. communis. — Bot. mag. t. 5348. — Aequialtus, sed gracilior; foliis late linearibus (3 — 4 lineas latis); rhachi stricta; bracteis saepe *herbaceo-acuminatis, bracteolis parvis saepe ‘subobsoletis; floribus triente. vel duplo minoribus; pedicellis apice articulatis. Ubique in Japonia frequens, a Tschonoski in prov. Nambu Nippon borealis, a Kusnezovio prope Simo- dam collectus. Folia vulgo late linearia, sed occurrunt etiam an- gustiora, illis var. y. analoga. Flores a me semper. violacei visi, vel in planta culta (e Yedo) profunde violacei, ut in tabula citata depicti. Ob colorem pul- chriorem a Japonensibus mm Come, nune etiam in Europam introductus. y. gracilis Miq. 1. e. — O. gracilis Kth. l. c. Statura var. 8. vel minor; foliis late vel anguste (2 — 3'/,”) linearibus; bracteis saepe herbaceo-acuminatis; brac- teolis var. 8.; floribus duplo saltem quam in «. mino- ribus; pedicellis triente superiore articulatis. Occurrunt lusus duo: latifolius (in Japonia) et an- | gustifolius (extra Japoniam crescens, in Japonia ra- rior), prior a yar. 8. nonnisi pedicellorum articula- | tione saepe distinguendus. Vidi hujus varietatis specimina Japonica numero- sissima, circa Yokohama et Nagasaki a me et ab aliis callecié. omnia plus minus latifolia. E Formosa habui ab Oldham s. n. 575 collectum, latifolium. E China: India boreali-occidentali ex hb. Royle! — Ex Ben- I thamió 1. €, qui 0. gracilem | Kthii etiam cum O. mel, We cato al, ea occurrit. etiam in Lutschu. et| lacei, vel rarissime lactei. | S E 3. minor. — Lodd. bot. cab. tab. 694. (praete pum in hac fig. longiorem). — Vix. pith anguste linearibus (1 — 2") vulgo re breviato tripollicari paucifloro; pedicellis mox var. 8 mox var. Y.; floribus var. 8 A me locis aridis, ad vias, in fruticetis siccioribus, circa Yokohama variis locis collectus, vulgo in con- sortio var. «. O. japonici crescens. Huc spec. Old- ham X 184. a. 1861. flor. et Flüggea spec. E 359 (quoad spec. frf. ). — E China acceptus in Anglia floruit, ex Loddiges L c. Flores vulgo pallide coerulei. Abit in var. y. — Varietas tam similis var. a. O. japonici, ut statu sicco staminibus tantum dignosci possit. Sect. Flüggea Hance 1. c. — Genus Flüggea Kth. l. e. Phylla perigonii a basi ad mediam longitudinem fere in tubum farctum connata apice patentia; sta- mina sessilia; ovarium semiimmersum apice 3-lobum 3-loculare, loculis 2 — 3-ovulatis. 9. 0. Jaburan Lodd. Bot. cab. t. 1876 (mediocris). — Flüggea Jaburan Kth. 1. c. p. 303. — Miquel Le | p. 307. — Slateria Jaburan Siebold I. c. — Conval- laria japonica a. major Thbg 1. c. p. 139. — Willd. Sp. pl. II. p. 160. — Flüggea japonica a, Schult. L c. p. 309. — No-shi-ran, I-kuma-yu-ssai l. c. VI. fol. 48. Robustus; rhizomate obliquo torto articulato; stolo- nibus nullis; foliis numerosis dense arcteque sibi invi- cem accumbentibus late linearibus coriaceis glauco- viridibus scapum ancipiti - compressum superanti- bus; fasciculis multifloris; pedicellis flores magnos nutantes lacteos superantibus bractea brevioribus; perigonio campanulato persistente; filamentis subnul- lis; antheris acuminatis stylo brevioribus; semini- Pekinensia flor. et frf. , prope Whampoa (Hance Y 703 bus coeruleis globoso-ovalibus. fl), utraque puro et Hongkong a Wrightio | collecta, jam minus angustifolia, denique Indica ex | Hab. in Japoniae insula Kiusiu: circa Noni ie : horto. caesareo Nishi- yama cultus, ad pedem. mc REN BEER | wir vis umbrosis | montium 1 freque ab oriente ‘occide er tem versus decrescere videtur, — |* »ma | Flores ludunt pallide. coerulei, E qui Kees vio- | ligo mde Ye vincia 1 Bulletin de l’Académie Impériale a. 1864. Petropolin introductus, ubi jam flores pro- tulit. 3. 0.japonieus Ga wl. bot. mag. t. 1063(excl. deser.). = Slateria japonica Desv. Journ. de bot. I. p. 244. — Siebold 1. c. — I-kuma-yu-ssai. l. e. VI. fol. 46. (var. æ., spec. frf. c. racemo florente et analysi rudi floris. Icon optima). — Flüggea jap. Richard. in Schrad. N. Journ. IL. 1. p. 9. tab. 1. fig. A. —Kth. l. c. p. 302. — Mig. 1. c. p. 307. — Flüggea jap. var. 8. Schult. Syst. VIL. + 308. — Convallaria ja- ponica L. suppl. p. 204. — Redouté Lil. t. 80. — Conv. jap. 8. minor Thbg Fl. p. 140. — Willd. l. c. II. p. 160.— Mondo, biakf mondo, vulgo Rinno fige, sio- | gei-fige, jamásuse, soos. Këssen fer. Am. exot. p. 823. c. fig. in pag. 824 (optima). Minor, gracilis; stolonibus horizontalibus elongatis; foliis linearibus vel anguste linearibus scapum anci- pitem duplo, rarius in var. y. paullo tantum superan- tibus; fasciculis 1 — 3-floris; pedicellis florem subaequantibus bractea brevioribus; floribus nutanti- bus; perigonio patente persistente; filamentis. subnul- | lis a brevissimis, antheris acuminatis stylo brevio- ribus; seminibus coeruleis globosis. Hab. in Japonia media et meridinali frequens, lis. dem locis ac O. Japoniani; in Cama pipe tantum a "üi Hanceo eti India. Floret et fructum fert paullo ante 0. spicatum. Planta simili modo variabilis atque O. spicatus, va- rietatibus utriusque speciei sibi invicem parallelis. Quum vero in Europam hujus speciei varietas depau- perata, O. spicati vero varietas robustior prima intro- ducta fuisset, formas hic reverso ordine enumerare aptius videtur. Differentias a Kunthio ad species de- | finiendas ex nervatione apiceque foliorum depromp- tas nil valere certo certius est: in uno eodemque spe- cimine folia exteriora semper breviora et obtusiora et minus nervosa sunt quam interiora, quis autem co- piam speciminum majorem investigabit, mox istas dif- | ferentias sensim inter varietates diversas evanescere observabit. a. genuinus. — Huc icones supra citatae. Foliis-an- guste linearibus apice revolutis scapin palmarem eure t i tem superantibus. On Va OpICULE Val. de e imina ante oculos nnmerosa, in Japonia Koreano ab Oldhamio s. n. 883 a. 1862 in India: ‘montib. Nil: — 1863. fructifera collecta (a Miquelio 1. c. ad. O. spicatum infauste ducta), a me ipso variis locis Nip- pon et Kiusiu florentia et fructifera decerpta, nec non a Miquelio communicata. Loca amat sicciora, sae- pissime obvius fit secus vias, in fruticetis silvisque lucidioribus. — In Europam, et quidem in hortum Ke- wensem, à dom. Graefer a. 1784. jam introductus, a patribus sat frequenter cultus (vidi spece. hortensia inde ab a. 1798 exsiccata), nunc vero vix non ubique in hortis nostris a var. f. supplantatus, in tepidariis nostris fere nunquam florente. 8. umbrosus. Dense caespitosus; foliislong anguste linearibus interdum submembranaceis rectis scapum palmarem duplo vel triplo superantibus. ` ` In umbrosissimis humidissimis, v. gr. in sylvulis Cryptomeriae japonicae circa Yokohamam vulgaris, ad pedem Zidsi-yama prope Nagasaki, ad rivulum quen- dam umbrosissimum, in consortio Trichomanis alia- rumque filicum, non rarus. — Pekin (Skaczkoff! fl.). Flores, albidos vel albido-coeruleos, rarius profert. Ob. comam foliorum densissimam a hortulanis Japoni- cis, et nunc etiam nostris, ad areas m eircum- plantandas m multum usitatus, in t ep jam perfrequens, sed apud m nos vix pal. p. 48. — Royle Ill. bot. Himal. t. 96. (folis E nimis serrulatis, fere ciliatis, fl. albidis). — Flüggea intermedia Schult. Syst. VIL. p. 310. — Kth. Le V. p. 306. — Fl. Jacquemontiana Kth. 1. c. p. 304. (ex descript.). — O. umbraticola Hce in Seem. Journ. of bot. 1869. p. 115. (ex descript.). — Thwaites, Enum. pl. Ceyl. p - 339., cujus specc. tamen non vidi, huc ducit etiam Hs 3 dubiam Kth. Lc. p. 305 (antheris extrorsis, ex Kun thió). Foliis minus anguste linearibus quam à in varr. prae- ced., scapum spithamaeum parum vel haud superan- tibus vel rarius illo brevioribus, apice vix revolutis. Crescit in Chinae prov. Cantoniens (ex Hance); in Ceylona (W. J. Hooker! s. n. O. japonici, flor); - agiri (Metz! X 955 fl. s. n. Fl. japon.; Schmid! X 31. fl., s. n. FI. Wallichianae), prope Dwarubah (Jameson! x 295. for. a. 1846), ex India boreali- occidentali que e! s. n. Fl. des Sciences de Saint- Pétersbourg. tervisus. Ceterum quad habitum non male var. Y. gracili O. spicati analogus. ` _ 8. Wallichianus. — Oph. indicus Rottl. ex - Royle, in Wt. Icon. VI. tab. 2050. (filam. partim nimis longa partim plane nulla delineata). — Fl. Wallichiana Kth. l. e. p. 303. — Foliis quam in praeced. varr. latiori- bus (ad 3” latis) rectis scapum spithamaeum (rariss. pedalem) paullo superantibus; floribus vulgo paullo majoribus; filamentis brevissimis distinctis. Hab. in Japonia cum ceteris formis sat communis, . v. gr. Nagasaki. 1862. NY 884. Oldham! s. n. Flüg- gea spec. (nond. fl), circa Yokohamam in fruticetis vulgaris (flor. defl.); cirea Kamakuram, et in montibus Hakone ad rivulos etc. Ex Zndia bor.-occid. coll. Royle! s. n. Fl. Wallichianae), e Nipalia (Wallich! 5139" spec. ingens fl.); Kumaon (Strach. et Winterb! X 3, fl., spece. magna). Himalaya orientàli (Griffith! dis: trib. Kew. N 5881. fl. (quoad spec. fol. coriaceis); Bengalia orientali (Id. € 5892. fl.). Flores albi vel lilacino-coerulescentes. A var. y. foliis latioribus et filamentis subdistinctioribus dignos- citur. Semina profert interdum sena! € Omnium varietatum O. japonici robustior, varr. a. et 8. O. spicati analogus. Pedicelli saepissime medio - articulati. Pedicelli in omnibus varietatibus medio vel supra medium articulati, tantum in var. a. exemplaribus in Europa cultis, ceterum spontaneis simillimis, inter- dum apice articulati, atque ita a Kunthio descripti. : | Species dubiae, partim indescriptae. ue E le l.c. 1. p. 382 ( lam). — ; S H oy e €. p. nomina solum. O. minor IE 1. c. p. 301. 0. Malcolmsonii O. prolifer Lindl. Journ. hortic. soc. I. 76. Se à ‚874.—Kth.1. c. V. p. 853. — ex Pulo | rescen . Walp. Aun. I. dalis, angulstns, pinoi folia membranacea, viridia . Rhachis tis 1-nerviis. Stamina 6, basi phyllorum perigonii in- serta, filamentis brevibus dilatatis, antheris dorso su- - pra basin affixis, cordatis, acuminatis, 2-locularibus, introrsis. Ovarium superum, globosum, triloculare, ovu- lis in quovis loculo subdenis biseriatis. Stylus simplex | stigmate obtuso. Capsula baccata, trilocularis, tri- sperma, vel abortu 1 — 2 sperma, styli basi demum ` decidua coronata. Semina subglobosa, chalaza indis- tincta, micropyle illi subopposita, parva subumbonata, testa tenui, albumini corneo arcte adnata, laevi. Em- bryo axilis, subcurvatus, dimidium albumen aequans, radicula micropylen spectante illique proxima, supera.— Herba Ophiopogonis habitu, a quo diversa foliis an- nuis, capsula baccata, etiam Phalangio vel Chlorophyto valde affinis, a quibus tamen capsula baccata abhorret nec non phyllis perigonii 1-nerviis, a Chlorophyto etiam perigonio deciduo. Jungere didani haec genera duo et Dianellam, etiam capsula baccata et habitu non Es simili instructam. Nomen Theropogon, nempe barba ientiodlis; datum est ob folia annua, quibus praesertim ab Ophiopogone habitu differt. Th. pallidus. — O.? pallidus Wall. Cat. Ñ 2138. — Kth. l. c. V. p. 300. — O. brevifolius Royle! herb. (spec. juvenile). - Hab. Kumaon (Strachey et Winterb.! X 2. nond. fl. et frf.); in Himalaya orientali (Griffith.! distrib. Kew. X 5891 p. p. (f.) et 5894. (frf); Nawalbaugh, Jameson,! X 210. frf. fine Aug. 1845 («O. spicatus»); et aiu (Royle! s. n. O. brevifolii, nond. ae et s. n. Fl. Wallichianae p. p., fl. frf.). Descriptioni Kunthianae pauca tantum addenda: Rhizoma obliquum, fibris tuberiferis obsessum. Scapus - cum foliis vel imo paullo ante folia ortus, '/, — 1 -pe- Penang. — Rhizomate scandente radicante stamini- | riferi tri busque in annulum brevem connatis abhorrens, e ge matura nere gë excludendus, sed vix descriptus Species exelusa: ` a MT 0. > pallidus Wall Cat. — Teropogon pallida Ma Theropogon Maxim. : = Dupont basi cum pode arti Des ge E phyllis Gipsa I » Bulletin de l’Académie Impériale Falle des Vorkommens eines Spitzenlappens an der rechten Lunge des Menschen durch einen supernumerären verticalen Einschnitt. Ver- lauf des Bogens der Vena azyga in diesem Einschnitte, beobachtet von Dr. Wenzel Gru- ber, Professor der Anatomie. (Lu le 24 mars 1870.) Unter den Fällen mit Überzahl von Lappen an den Lungen des Menschen sind mir zwei Fälle - vorgekommen, bei welchen die der schmalen Rücken- fläche und einem in einiger Entfernung über und hin- ter dem Bronchus befindlichen Partie der inneren Fläche entsprechende Portion der Spitze der rech- ten Lunge als besonderer Spitzenlappen durch einen supernumerüren Einschnitt abgetheilt war, welcher vertical, bei zunehmender Tiefe von vorn nach hinten, eindrang, in sagittaler Richtung so ge- krümmt verlief, dass er seine Convexität lateralwürts gekehrt hatte, und so ungewóhnlich weit war, dass sein Grund eine schmale mit der Convexität nach auf- und rückwärts gekehrte Fläche zeigte. In beiden Fällen war im Grunde dieses supernumerären verticalen Einschnittes der Bogen der Vena azyga gelagert. Ich werde diese seltenen Fälle, welche | Grunde d ich in meiner Sammiung Geesse? im caidas schn: j dos mittheilen: d Re Le : Vibes » rechte Pech eegen an Wees A2jáhrigen Beide Lungen sind dont, Tuberculose desenerhd und in Folge von chronischer, abgelaufener Pleuritis vermittelst ener dicken Pseudomembran mit den} Brostwinden verwachsen. Die li linke Lunge ist durch den ge Panda AVAL un vorderen durch dieselbe in einen oberen, mittleren und un- teren Lappen getheilt ist, noch einen supernume- rären verticalen Einschnitt in der Spitze, wel- cher das Auftreten eines vierten Lappens, eines a Spitzenlappens, bedingt. Der supernumeräre Ein- . Schnitt dringt bis 1'/,” (Par. M.) tief und bis ',” über schus vertical in die Lunge. Er beginnt n Fläche an einer verticalen Linie, die S abnormer Van gleich unter der Vereinig an einen obe- ren und unteren Lappen geschieden. An der rechten Lunge bemerkt man ausser dem diagonalen Ein- schnitt und dem von à diesem ausgehenden und im | ‚und einen unteren (el und zwei hin vor dem Bronchus in einiger Entfernung herabgeht, zieht gekrümmt in sagittaler Richtung, allmählich tiefer werdend, nach rückwärts und endet neben der abge- rundeten Kante, welche die hintere Fläche von der seitlichen Fläche der Lunge abgrenzt. Er ist am Ein- gange und Grunde gleich — und zwar bis 3” weit. Der Spitzenlappen hat die Gestalt des Viertel- segmentes eines mit seinem Ende nach oben gekehr- ten kolbigen Körpers. Er.zeigt an seinem Ende eine dreieckige convexe Fläche, welche vorn und einwärts ®, breit ist, und drei seitliche Flächen, eine laterale, eine mediale vordere und mediale hintere. Die laterale Fläche ist sehr convex, dem oberen Lappen zugekehrt; die mediale vordere Flä- che ist fast platt, oben */,”, unten 1" breit; die me- diale hintere Fläche, welche die Rückenfläche der Lungenspitze repräsentirt, ist oben 1'/,” unten */,” breit. Der Lappen ist 1/,” hoch, an der Wurzel bis 1”, am Körper bis 1'/” dick. Sein hauptsichlicher Bron- chialast geht aus der vierten Theilung des Astes. des Bronchus der rechten Lunge zn deren obe- ren Lappen hervor. Im. ‚platten und gekrümmten de des supernumeràren verticalen Ein- erläuft die 2” dicke Vena azyga, welche ; beider Venae anonymae zur Vena cava superior db, | fang der Peer Wand derselben mündet. 9, Fall. Fünflappige ma Lunge, beobachtet an einem eem männlichen Kinde, (Fig.) Die linke Sum ge ae ds durch den ‚gewöhnlichen diagon F)zweilappig. Dierechte Lunge (2) ist. durch. einen diagonalen Einschnitt (+), welcher 12” — 13" unter der Lungenspitze be- ginnt und in seitlichem Rande der Basis, 3” hinter dem vorderen Drittel desselben, endet; dann dureh - | einen queren Einschnitt (ff), se? 1"9" unter der Spitze und 1” über der Basis an der abgerunde- ten Kante zwischen der hinteren und seitlichen Fläche beginnt, ersteren Einschnitt ‚kreuzt und 5 über der vorderen unteren Ecke im vorderen I Rand vier Lappen: in zwei vordere [einen oberen [D ren in gen einen Antara. o. getl hei | it. S i| inen Sciences de Saint-Pétersbourg. 94 d Ge Aap: CN Ai, Dy vai [X R TLL LE A KE ticalen Einschnitt op der 6” tief bis Am über der Lungenwurzel in den vorderen oberen Lappen ein- dringt, bis zum Grunde, welcher eine schmale bogen- formig gekrümmte Fläche darstellt, 1'//” weit ist, wird noch ein fünfter Lappen, ein Burtkentappen (a), gebildet. Dieser Lappen ist dreiseitig prisma- tisch, oben etwas kolbig angeschwollen, 6” hoch, in sagittaler Richtung 5 — 5'/,”, in transversaler Rich- tung bis 6” dick. Seine obere Fläche ist abgerun- det dreieckig convex, 4” in sagittaler Richtung und 4%,” in transversaler Richtung breit. Seine laterale Fläche, die zum vorderen oberen Lappen „gekehrt ist, ist sehr convex, seine mediale vordere Fläche ist convex und seine mediale hintere Fläche, wel- che den oberen Theil der Rückenfläche der Lunge bil- det, ist oben convex und unten concav. Der Bron- chialast zu ihm kommt vom Aste des Bronchus zum vorderen oberen Lappen. Im Grunde des | supe ären verticalen Einschnittes zwi- läuft wieder die Vena azyga (5), welche 17,” urchmesser hat und wieder in den Anfang der | Vena cava superior (3) an deren rechter Wand mündet. I. Cruveilhier*) hat an einem Falle einen klei- nen Bronchus direct : aus der unteren Partie der pe "e Spitzenlappen und vorderen oberen Lap- aber iere tion ab, een ii ein à Ast de , men eines Bronchus IH. beim M | angegeben, dass der überzählige Bronchus einen be- sonderen Lappen der rechten Lunge angehört hätte. E. Leudet^) sah die Trachea an ihrem Ende in drei Bronchi getheilt. Der iberzihtége.Bronchus, wèl- cher viel weniger voluminös, als die anderen, aber so wie diese gebaut war, begab sich zum oberen Lappen der rechten Lunge. Die rechte Lunge: war somit mit zwei Bronchi und die linke mit ei- nem Bronchus versehen. H Luschka?) erwähnt, in dem an Cadavern so armen Tübingen einen ähnli- chen Fall, wie der viel erfahrene I. Cruveilhier, ge- sehen zu haben. In der Göttinger Sammlung be- findet sich ein dieser von Hasse übergebener Fall, -|in welchem ein Bronchialzweig über der Bifurca- tion der Trachea direct aus dieser zur Spitze der Lunge (welcher?) sich begab ^. — Während in die- {sen Fällen beim Menschen ein überzähliger Bron- chus zur rechten Lunge, aber kein überzähliger Lappen derselben vorhanden war, ist in meinen beiden Fällen ein überzähliger Spitzenlappen dieser Lunge, aber kein überzähliger Bronchus zugegen. Unter den Pachydermata haben Sus und Dicotyles, unter den Ruminantia haben wohl die meisten zwei Bronchi für die in vier Lappen getheilte rechte Lunge. Der von der Trachea über ihrer Bifurcation .abgehende Bronchus III. geht zum obersten voll- kommenisolirten Lappen. Der vierte—innere (mitt- lere) — Lappen liegt im hintern Mittelfellraume.— Ab- gesehen davon, dass letzterer Lappen dieser Thie- re beim Menschen fehlt, hatte in den bei. dem Men- schen beobachteten 3 (4?)Fällen des Vorkommens eines Bronchus III. dieser in keinem Falle einem besonderen isolirten Lappen angehört, und ging in einem Falle Recens nicht direct von der Tra zap? kaum als eg d. Menschen. Braun- - Bulletin de l'Académie Impériale pens und des Verlaufes des Bogens der Vena azyga im supernumerären verticalen Einschnitte zwi- schen diesem Lappen und dem oberen oder vorderen oberen Lappen der rechten Lunge, wohl nur zu- fällige Bildungsabweichungen. Erklärung der Abbildung. Trachea und Lungen mit Stücken der Venae anonymae, der Vena cava superior und der Vena azyga. (Ansicht von hinten und oben. ) 1. Trachea. 2. Rechte Lunge. 2’. Linke 3. Vena cava superior. 4. » anonyma dextra. 4”. sinistra. 5. » » » azyga. a. Spitzenlappen 2 Vorderer oberer Lappen » unterer a Ze = » » > der rechten Lunge. — WI ' f emt -— g. Unterer » | * Supernumerärer verticaler Einschnitt), - + Diagonaler roue. = tt Querer + Diagonaler Einschnitt der linken Lunge. E der linken Lunge. . der rechten f Lunge. ` » VOR | Über die Ent g einig iniger C + t Elias Metschnikoff. (Lu (Lu le 24 mars 1870.) L Siphonophoren. - Aus meir bei Villafranca SE Róh- | renquallen konnte ich die Eier folgender Arten zur Entwickelung bringen: Galeolaria aurantiaca, Halis- | iemma rubrum (Agalma rubrum Vogt), Halistemma sp.?, Agalina punctata Leuckart und Physophora hy- | drosialict: Die reifen Eier dieser simmtlichen Sipho- nophoren bestehen aus einem durchsichtigen Proto- | - plasma, welches an der Peripherie des Eies dicht, im | sich i Centrum desselben dagegen locker und schwammicht | ist. Einer Hülle sowchl wie eines Keimbläschens ent- e n die reifen Eier durchaus. Nach einer totalen tung des Eies verwandelt sich dasselbe in ei- | len m Zellenbaufen, dessen Oberfläche sich bald — ]Háckel für Physophof. mit Flimmerhaaren bekleidet. An solchen frei schwim- menden Larven treten bald mehrere Differenzirungs- erscheinungen auf. Es sondert sich zunächst eine ober- flächliche Schicht, dann eine zweite Zellenschicht ab, von denen die erstere das Ectoderm, die letztere das Entoderm darstellt. Diese Erscheinung tritt ent- weder zu gleicher Zeit auf der ganzen Oberfläche der Larve (Halistemana) auf, oder sie beschränkt sich nur auf bestimmte Stellen, wie es bei den Larven von Galeolaria, Agalma der Fall ist. Trotz mancher Verschiedenheiten, welche die Ver- wandlung der Siphonophoren darbietet, können wir . | die frühzeitige -Bildung der Lufttasche als Regel fiir die lufttragenden Siphonophoren anführen. Dieselbe bildet sich durch eine locale Verdoppelung der Kör- perwandungen, wobei die Ausscheidung der chitinigen Luftflasche von dem verdickten Ectoderm besorgt wird. Während der Bildung der Lufttasche bei Agalma : -| punctata Leuck. und Physophora die Bildung eines |aboralen Deckstückes vorangeht (wie das zuerst von a magnifica, Crystallodes und Athorybia. festgestellt. wurde), kommt die Anlage der | Lufttasche bei Halistemma see. = aisla mit der a wähnten Siphonophoren insofern, als bei m wW des i | der von Kowalewsky untersuchten, aber E naher bestimmten Agalmide (Götting. Nachr. 1868), zunächst nur die Anlage der Lufttasche sich bildet, welcher dann die Bildung von zwei Fangfäden folgt. Über die weiteren Entwickelungserscheinungen der oben genannten luftt Sip! will ich Folgendes bemerken. Nach der Bildung. des ersten (kappenförmigen) Deckstückes bei Agalma punctata findet die Bildung mehrerer neuer Deckstücke statt, welche sich durch die Blattform und den: gezähnelten Rand von dem erstgebildeten Deckstücke unterschei- den. Fast gleichzeitig kommt am oberen Kórperende der Larve die Luftflasche nebst Luftblase zum Vor- schein, wührend der untere Theil des Lar pers. gen (Polypiten). sowohl das [ori deny. wie das Ento | Theilen gebildet haben, so wird der Ub rrest der ı cen- tralen Embryonalzellen zu einem Nahrungsmaterial der Larve, nach dessen Verbrauche die sog. Gastrovas- cularhóhle als solche zum Vorschein kommt. 97 des Sciences de Saint- - Pétersbourg. Nach der a von zwei blattförmigen Deck- stiicken kommt ein Fangfaden, dann ein Taster zum Vorschein. Die weitere Entwickelung besteht in einer successiven Bildung von mehreren Deckstücken und Tastern, welche sich, ebenso wie der Fangfaden, von den entsprechenden Gebilden des erwachsenen Thie- res in mehrfacher Hinsicht unterscheiden. | Bei Halistemma rubrum folgt auf die Bildung der Lufttasche und der ersten Schwimmglocke die Ent- wickelung einer Reihe von neuen Schwimmglocken auf der óberen Hälfte des Larvenkórpers, während die untere Hälfte desselben sich einfach in den ersten Ma- gen verwandelt. Die weitere Entwickelung bei Physophora hydro- statica erfolgt auf dieselbe Weise wie bei Ph. magni- fica nach Hickel; die Halistemma sp? entwickelt sich | dagegen in der Weise, wie es Kowalewsky für seine | Agalmide angiebt. Die Fangfäden der Larven aller lufttragenden Siphonophoren unterscheiden sich in ihrer Form von den Fangfäden erwachsener Thiere; unter einander sind aber diese provisorischen Gebilde sich sehr ähnlich. — Bei Galeolaria aurantiaca differenzirt sich das Ecto- derm und Entoderm Anfangs nur auf einer Fläche des Larvenkórpers, auf welcher sich gleichzeitig eine : Schwimmglocke und eine Fangfadenanlage bilden. Dann aber verbreitert sich die Differenzirung der bei- den Schichten auch auf den unteren Theil des Lar- venkórpers, welcher (Theil) das untere Ende des künf- tigen Magens darstellt. Der obere Theil des Larven- kórpers bleibt lange Zeit unverändert, später verwan- | delt er sich aber in den oberen Abschnitt des MR vor der Befruchtung. Als Product einer totalen Fur- Magens. Rank gae À dis INACH Ger 13 A ay e SÉ glocke kommt auf der rene derselben mit dem künftigen Magen der Stamm zum Vorschein, welcher bald zum Sitz der Knospenbildung wird. Während sich | eine dieser Knospen in das erste Deckstück verwan- delt, erscheint die andere als Anlage der zweiten (grös- vite) Schwimmglocke. Inzwischen bilden sich die Nes- | sfaden, welcher durchaus mit dem- |: | selben Gebilde des erwachsenen Thieres identisch ist. F p. Nachdem sich die zweite Schwimmglocke i in de de in F selknöpfe am Fang ihren Theilen angelegt hat, bemerkt ; man n | sich mit Flimmerhaaren, und. die : A wüchsen, welche wahrscheinlich die Anlage eines zwei- ten Magens nebst Fangfaden darstellt. W. Hydromedusen. Aus der Familie der Oceaniden konnte ich die Ent- wickelung aus den Eiern einer Oceania (mit Oc. fla- vidula Ggb. nahe verwandt) und Tiara (der T. sma- ragdina Häck. ähnlich) verfolgen. Die Eier dieser beiden Medusen sind membranlos; die grossen Eier der Oceania sind feinkörnig und undurchsichtig, wäh- rend die auffallend. kleinen Eier der Tiara homogen und durchsichtig erscheinen. Die bereits bekannten Processe der Furchung und Larvenbildung führen zur | Entwickelung kleiner zungenfórmiger Planulae, wel- che aus Ectoderm und Entoderm bestehen und sich in zwei sehr verschiedene Hydroiden verwandeln. Das Hydrarium von Oceania besteht zunächst aus topfför- migen auf verästelten Wurzeln sitzenden Polypen, welche Anfangs zwei, dann vier Tentakeln besitzen. Bei weiterer Entwickelung verlingert sich der Poly- penkérper sehr betrichtlich; es bilden sich an ihm 12 in drei Flächen gruppirte Tentakeln, zu welchen sich zuletzt noch ein Paar neuer Tentakelstummel ge- sellt. Der sehr kleine Hydroidpolyp von Tiara besitzt nur drei lange geringelte Tentakeln und erscheint voll-- kommen durchsichtig. Aus der Familie der Aeginiden habe ich die Ent- wickelung von Cunina (welche als Aegineta flavescens _ | von Gegenbaur beschrieben worden ist) und von Aeginopsis mediterranea aus Eiern beobachtet. Die rei- fen abgelegten Eier dieser Medusen sind durchsichtig und membranlos; sie verlieren das Keimbläschen noch chung entsteht ein runder Zellenhaufen, in welchem sich die Zellen in zwei Schichten differenziren. Es WS : dert sich eine p: ripherische Zellenschich di : derm — von dem centralen Zellenhaufen a letztere das Entoderm darstellt. Das Ectod höhle zum Vor- SC 7 Bulletin de l'Académie Impériale schein kommt, welche nunmehr nach aussen durch einen Mund durchbricht. Die Larven von Aeginopsis bekommen demnach diejenige Form und Bildung, in welchen sie von Müller als jüngste Medusenlarven erkannt wurden. | Die Anfangs mit denen von Aeginopsis sehr ähnli- chen Cuninalarven bekommen bald mehrere Auszeich- nungen. Es wachsen bei ihnen zwei neue Tentakeln hervor, weshalb die nunmehr vierarmige Larve eine Kreuzform erhält. Dann kommt eine centrale Höhle | im Rumpfe zum Vorschein, welche sich durch einen kleinen Mund nach aussen öffnet. Etwas später be- merkt man zwei zwischen den Tentakeln liegende Hóckerchen, welehe die Anlage der gestielten Rand- bläschen darstellen, zu denen sich bald noch zwei an- dere ganz ähnliche Gebilde gesellen. Bis zu diesem Stadium entwickelten sich die aus den Eiern von mir | gezogenen Larven; die spüteren Verwandlungserschei- nungen konnte ich an den Larven beobachten, welche ich mit dem Müller'schen Netze auffing. Die unvoll- kommene Metamorphose solcher Larven knüpft sich hauptsächlieh an die Bildung neuer Tentakeln und Randbläschen sowie auf die Ausscheidung der Gal- |. lertsubstanz. Im Magen von Cunina ES Häckel habe | sog. radialen Larvententakeln), weshalb der Emb ich Knospen auf verschiedenen Entwickelungsstadien beobachtet. Die jüngsten von mir gesehenen mit ei- nem einzigen Tentakel versehenen Knospen lagen be- reits lose in verschiedenen Theilen des Gastrovascu- larsystems. Die Zahl der neuen Tentakeln nimmt all- mühlich zu, so dass sich Anfangs 1, dann 2, 3, 4, 5, 6 u. s. w. Tentakeln bilden. Bei Larven mit 7 oder 8 Tentakeln beginnt eine eigenthümliehe Knospenbil- dung. Es bilden sich auf dem Rücken derselben eine | Anzahl (bis 3) Knospen, welche dieselben Eigenthüm- | lichkeiten wie die jungen Knospen der ersten Gene- ration zeigen und sich wie diese (obwohl i in emor se nem Dymorphysmus der beiden Generationen keine Rede sein kaun. Es kommt vor, dass die Knospe eine grössere Zahl der Tentakeln als ihre Mutter besitzt, aber bei der ausserordentlichen individuellen Zahlver- schiedenheit der Segmente von C. rhododactyla bleibt es unmöglich, auf diesen Umstand viel Gewicht zu legen. Diese Bemerkung hat auch für die bekannten Fälle von Fritz Müller und Kölliker ihre Geltung. Carmarina hastata Häckel legt ihre Eier in gros- ser Quantität ab. Dieselben erscheinen nackt und durch- sichtig; nach einer totalen und regelmässigen Furchung bildet sich das bläschenförmige Blastoderm, welches eine centrale sog. Furehungshóhle umgiebt. "Das Dlas- toderm theilt sich bald in zwei Schichten. zwischen | denen sich die glasartige Gallertsubstanz anhäuft. Nach einigen Tagen erscheint der ganze Embryo in Form eines runden Bläschens, in dessen Innern ein anderes viel kleineres Blischen excentrisch liegt. Zwischen beiden befindet sich eine grosse Quantität von Gal- lertsubstanz. In diesem Stadium hat der Embryo ge- nau dieselbe Beschaffenheit wie die jüngsten von Fr. Müller b chri de vor Zé. sepa har inensis. Bei weiterer Entwickelung bricht eine g nach : aussen dur | ch; etwas spä- ter bilden sich sechs p en ee in das von Häckel beobachtete jüngste Carmarina- stadium eintritt. Da von dieser Periode an die Me- tamorphose der C. hastata bereits von Häckel beob- achtet wurde, so stellt es sich heraus, dass sich Car- marina hastata, ebenso wie die oben erwähnte Cu- . nina (Aegineta) flavescens und Aeginopsis SE direkt aus dem Eie MERE BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. was späteren Periode) ablö bildung dauert nur so lange, bis die Knospe ( der ersten | Generation etwa 12 bis 14 Tentakeln erhält. Erst jetzt | beginnt die Bildung der Randbläschen, welche in Form | lünglicher Hóckerchen zum Vorschein kommen. Die lten Randblüschen der Knospe sowohl, wie die ikeln und der scheibenfórmige Rumpf derselben | mit. denselben Gebilden der erwachsenen C. pr Aendöinie a regu dam‘ ses dernières séances ES ouvrages dont voici les titres: em Memorie del r. Istituto Veneto UY scienze cg xti T. XIV p. IL Venezia 1869. 4 Ä — del r. Istituto Lombardo di scienze e . Classe di lettere e scienze morale e po itiche. Vol. XL Fasci- colo I. IL Milano 1868—69. 4 a — [m — durchaus überein, so dass hier von ei- | Classe di scienze > mate: tiche « e naturali, Val. XI. Fascicolo I. II. o 1868—69 SE - des Sciences de Saint-Pétersbourg. Annuario del r. Istituto age di scienze e lettere. 1868. Milano 1868. Reale Istituto Lombardo 2 scienze e lettere. Rendiconti. Serie II Vol. I. Fase. XI—XX, Vol. II. Fasc. I—XVI. Milano 1868—69. 8. Solenni adunanze del r. Istituto Lombardo di scienze e lettere. Ádunanza del 7 Agosto 1868. Milano 1868. 4. Memorie della r. Accademia di scienze, lettere ed arti in . Modena. Tomo V — IX. Modena 1863. 4. — della Accademia delle scienze dell' Istituto di Bologna. Serie seconda; Tomo VII, fasc. 1—4, VIII fasc. 1—3. Bologna 1867—69. 4. Rendiconto delle sessioni dell’ (ER delle scienze dell’ Istituto di. SOIN anno accademico 1867 — 68. | Bologna. 1868. Atti dell’ Accademia x scienze morale e politiche. Vol. IV. 2 Napoli 1869. 4. 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B. die folgenden fünf, bei der Jablunowskischen Fabrik, auf der Hóhe, erhaltenen Bohrprofile, so finden wir in keinem einzigen derselben Braunkohle, dagegen in X 4 den Granit, der auch wohl in den drei andern zu erboh- ren gewesen wire, ohne auf Braunkohle zu stossen. Übrigens hat man auch in einem, in der Nühe des Flüsschens, bei Jablunowskoi, bis auf den Granit ge- stossenen Bohrloche, keine Kohle, sondern in abstei- gender Ordnung nur folgende Schichten gefunden: Bohrprofile bei der Jablunowskischen Fabrik. Auf den mde ie Bs iens benachbarten Höhen. X 1. N2 | X 3. Eto ES X 6. chwarzerde Schwarzerde. | Schwarzerde. | Schwarzerde. | Sehwarzerde. Sand. _ Diluviallehm Diluviallehm. | Diluviallehm. | Diluviallehm. Blauer Thon. Schwarzerde. = d. Gelber Sand. Blauer Thon. | Grobkórn. Sand. Gelber Sand. | Gelber Diluviallehm. Blauer Thon. Brauner Thon. | Grobkórn. Sand. Blauer Thon. | SchwarzerThon. Blauer Thon. Blauer Lehm. Gelber Sand. i Grobkérn. Sand.| Schwarzer Thon. Schwimmsand. - Blauer Thon. Granit. Gesammttiefe = Gesammttiefe —| Gesammttiefe — Gesammttiefe —| Gesammttiefe — Gesammttiefe — 38 Fuss engl. 53 Fuss 8 Zoll. 19 TUN 10 Zoll. 33 Fuss D Zoll. 38 Fuss 6 Zoll. Ich führe noch ein Bohrprofil an, das 3 Werst süd- lich von Smela erhalten wurde, und schliesse diese Übersicht mit einigen Schichtenprofilen bei Shurawka und Beresniki, die mir die Herren Zimmermann und Leo mittheilten. Bohrprofil SS dem Cholodnoi Jar, 3 Werst südlich. von Smela. Schwarzerde o... 2 Fuss 4 Zoll. Brauner Sand ..... BH 3 2 3 Blauer Thon . . . . .. LE.» 2. Gelber Thon . ..... 2 s 5 Blauer Thon ....—. Tos 5 Bläulicher groberSand 2 » 9 » Row GEEK ee » 2 ` . Granit Gesammttiefe 24 Fuss 11 Zoll. In Shurawka hatte man bereits 1863 das Absenken eines Hauptschachtes begonnen, nachdem, auf das Verlangen des Herrn Emil Leo, an der entsprechen- den Stelle ein Bohrloch gemacht worden war, das folgenden Durchschnitt gab: Schwärzeite o... a se d Russ EE Zoll. Trockner grobkörniger Sand... 44 e — + Grünlicher feiner Schwimmsand . 30 + 2 » DU A —— 3 X4 — Grobkórniger Sand. ........... ÿ » “4 Feste, schwarze, glänzende Kohle, ` stossen werden musste. (d cn dna »c 8 S d 7 — wo el Wet Wo AI UU I RRA 105 E 7 A des Sciences de Saint- Pétersbourg. Unter diesem Sande ward der Granit angebohrt. Als Herr Leo 1866 (im Juli) wieder nach Shu- rawka kam, war der Schacht in 98’ Tiefe zwar bis auf die Kohle niedergebracht, aber der Wasseran- drang aus der schwimmenden Sandschicht konnte durch die vorhandenen, ungenügenden Dampfpumpen nicht bewältigt werden. Und als man trotzdem 11 Fuss 8 Zoll tief in das Flötz eingedrungen war, und es nun geschah, dass ein neues, wnter dem Flôtze her- vorbrechendes Wasser, durch die, von der Schacht- sohle ab, noch 7 Fuss mächtige Kohlenschicht durch- brach, und mit Heftigkeit 35 Fuss hoch aufstieg, und als man sich überzeugt hatte, dass der Wasserandrang 450 Wedro (Eimer) in der Minute betrage, beschloss man das weitere Abteufen des Schachtes einzustellen und einen andern, an geeigneterer Stelle anzulegen. Herr Leo liess zu dem Zwecke in dem Thale bei Shurawka zwei Bohrlécher niederbringen. In beiden wurde die Kohle in derselben Tiefe wie früher gefun- den, und in einem derselben zwar über der Kohle Schwimmsand, aber kein solcher unter derselben, son- dern an seiner Stelle fester Thon mit Quarzkörnern, und unter diesem, Granit. Nach langem Suchen war es Herrn Leo auch ge- lungen, 45 Werst östlich von Shurawka, in der Nähe von Beresniki und Raigorod, in einer Schlucht, ein Ausgehendes der Kohle zu finden. Er stellte das be- treffende Schichtenprofil zu besserer Übersicht mit den im Shurawkaer Schachte und in drei daselbst angeleg- ten Bohrlöchern, wie folgt, zusammen. Natürliche Entblössung Schacht Bohrloch X 2. Bohrloch M 1. . Bohrloch X 3. i Beresniki. bei Shurawka Shurawka. Shurawka. Shurawka. Humus. Humus. Humus. Humus Humus. » ehm. ehm. Lehm. Lehm. » Grober Sand, Grober Sand. Grober Sand. Grober Sand. 8 n à Grüner Sand. Grüner Sand. Grüner Sand. Grüner Sand. Grüner Sand. Thon mit Sand. » » Grüner Thon. Grüner Thon. Quarzsand. la zeg Kohle. » Schwarzer Sand, » a. Schwarzer Sand. Schwar iod Feiner, weisser Sand. Feiner, weisser Sand.| Feiner, ie ur Sand. Fester Sandstein mit Abdrük-| Fester Sandstein. » ken von Laubholzblattern| One Eichen?). Grüner Sand. » » beg ied Thon. » Weisser Thon. Schwarzer Sand mit einzel- m nen miis; ver- i tritt das zweite Kohlenflôtz.| Graublauer Thon. » Graublauer Thon Graublauer Thon mit Granit- » Graublauer Thon mit órnern Granitkó: ‘Granit. Gr Beresniki ist wohl derselbe Ort, an welchem Bar- bot de Marny ebenfalls natürlich entblôsste Gesteine, aber nur die weissen Sandsteine mit Abdrücken dyco- tiledoner Pflanzen, sah. (Ouepk» Xepconckoit ry6epain, pag. 58). Man sieht aus diesen Profilen, dass die Kohle hier, wie bei Kijew, zwischen dem grünen und weis- sen Sande liegt. Herr Leo folgerte nun sehr richtig aus diesen und aus den früher angeführten, von Herrn — y an- gelegten Bohrlöchern, dreierlei Dinge. 1) Dass nur das obere Kohlenflöt ürdig s 5 das untere nicht, wegen seiner grossen nin | a di. gung von Sand und seiner geringen Mächtigkeit. 2) Dass man die Bohrungen einzustellen habe, wenn man das obere Flótz durchstossen hat, oder auch, wo dieses fehlte, bis auf den weissen oder blauen, mit Quarz und Feldspathkörnern ten oc oder bis auf den festen, 1 -.. &bdrücken bedeckten 3) Dass auf den Hóhen keine Kohle : m nur in ed flachen Mulden des in der is si SE Bulletin de l’Académie Impériale 124 dringt von den Plateaus in die permeabeln Sandschich- ten und sammelt sich in den tiefer liegenden Mulden unterirdisch an. Durchbricht man nun in letztern die über dem Sande liegenden impermeabeln Lehmschich- ten, so bricht das Wasser wie aus artesischen Behäl- tern hervor. Als ich im Sommer 1869 nach Shurawka kam, fand ich den neuen Schacht bis auf den, den Granit dieser Gegend bedeckenden Thon (einen mit Quarzkör- nern und Orthoklaskörnern gemengten Kaolin) abge- teuft, aber bis 14 Fuss vom Tage mit Wasser ange- füllt, das man sich anschickte mittelst einer Dampf- pumpe zu heben. Herr Zimmermann Baia, mir folgenden Datch: schnitt des Graf-Alexis Schachtes mit, der in dem Thale des Turjaflüsschens angelegt ist. a | 14 Fuss. Moorboden, Thalausfüllung. (a) 7 Fuss. Zerklüfteter Thon (Flottlehm). (b) - von Ostrea, Pecten, Spondylus 16 bis 18 Fuss.. Braunkohle; erdiger Bruch, Ss | Glanz, liegen Wee: Stamm- und A Vz Struk e Granit. (h) Herr Staatsrath Mercklin, corresp. Mitglied un- serer Akademie der Wissenschaften, hat die Güte ge- habt, das fossile Holz dieses Braunkohlenlagers zu un- tersuchen, und theilte mir folgendes Ergebniss mit. «An eine nähere, auf specifischen, anatomischen : alen begründete Analyse dieser Stücke, habe «ich mich n nicht gewagt, da mir die Erfahrung gelehet. 31 Fuss 6 Zoll. Gelber und grünlicher Schwimm- OR sand. (c) BR [x - : Neg ni S (|) 31 Fuss 6 Zoll. Blauer Thon mit weissen Glimmer- e ae] blättchen: nimmt nach der Tiefe immer mehr z a u Leer auf und geht in Schwimmsand = — In diesem Schwimmsande «d» kommen Schollen fein- | i. kórnigen festen Sandsteins vor und Schalen | nd. (f) Emte Verkohlte Wurzelfasern gehen bis 14 F. tief | hinein; er geht in festen Granit über. (g) «dass derartige Bestimmungen meist nur sehr provi- «sorischen Werth haben. «Es gehört diese Braunkohle einem Baume aus der «Klasse der Coniferen an, und zwar dem Typus des «echten Pinus mit heterogenen Markstrahlen. Letztere «haben verhältnissmässig wenige Stockwerke, wo- «durch sich dieser Baum von unserer jetzt in Russ- «land so verbreiteten Coca (Kiefer, Pinus sylvestris «L.) wesentlich unterscheidet», Mercklin. Die ganze Erscheinung erinnerte mich lebhaft an die Torfmoore Finnlands mit ihren Baumwurzeln und andern Pflanzenresten: Auch sie füllen Mulden zwi- schen gewölbten Granitkuppen aus, und die Braun- kohlenmulden des südlichen Russlands sind offenbar zu ihrer Zeit auch Torfmoore gewesen. Man kann den ganzen Hergang, so zu sagen, mit Händen greifen. Schliesslich sei noch erwähnt, dass, nach Herrn . Leo’s Angabe, das Shurawkaer Flötz eine Breite von 50 bis 100 Sashen (350 bis 700 Fuss) und eine Länge von mehreren Werst hat, und bei seiner ansehnlichen | Mächtigkeit, vollkommen bauwürdig ist. Ich reiste von Smela über Nowomirgorod nach der Station Schestakowa, auf dem Wege von Balta nach Jelisawetgrad, und untersuchte sodann die Umgebun- gen dieser letzten Stadt. Wo man auf diesem ganzen Wege die tieferen Thaleinschnitte untersuchen mag, wird man unter dem zimmetfarbenen Diluviallehm die- selben Sand- und Thonschichten wie bei Smela und Shurawka finden. Die Felsentblössungen sind aber | sehr selten und meist dürftig. Ich besuchte zunächst das, an der Eisenbahn lie- gende, nach Ost in den Ingul mündende Thal Slodei- skaia Balka. Es gehört dem Oberst der Artillerie Li- schin, und der Erbauer der Bahn, Baron C. Ungern- Sternberg, hatte hier in den Jahren 1867 und 1868 . durch den Ingenieur H. Wulff 37 Bohrlócher nie- | derstossen lassen, die, beiläufig gesagt, nur 7000 Ru- bel gekostet haben, also 189 Rubel ein jedes, was sehr billig ist, wenn man. bedankt, dass sie së Fuss tief waren. aar Der ganze abgebohrte = beträgt cirea 1, m dratwerst. ` ` Als Repräsentant der smilies: sich einander eh sehr ähnlich sehenden Fami mag hier das Fol- gende stehen: des Sciences de Saint- Pétersbourg. 126 125 a Has... «+... RISE. E pss ad. 1 3 F. 6 Z. (a) b Diluviallehm Nd NENNEN E ee 10 » 6 » (b) dr fanda i26. ous. dois Ev RK e 8 » 6 » el Weisser Sand.........-....,...+.... 3 » 6 » (d) ler PUT, RA 8 » 6 » (e) Weisser Band, see EE m 2» 8 » (f) Schieferthon........................ 2 »— » (g) St Braune, weiche, abfärbende Kohle ... 21 »— » (h) lm ; © | Grünlich-grauer grober Sand......... 2»4» (i) + o t Asch pres mitSchollen von Psam- EE ! eoo mit (Sa t (Sa in). In der Mitte Schwe- E feikfesknollen en EE 29 » 8 » (À À => ae di Granit... sauna ara EN ELM <9 oes —»—» (b Herr Wulff nimmt die mittlere Mächtigkeit des Flótzes zu 17 Fuss an. Bei solcher Müchtigkeit und Ausdehnung, bei der geringen Tiefe unter dem Tage, der günstigen Lage neben einer, dieser Kohle gar sehr bedürfenden Eisenbahn, und bei einer Heizkraft von 3700 Einheiten, nimmt sie unbedingt die erste Stelle unter allen, bisher in dieser Gegend aufgeschlossenen Flótzen ein. Man ging bei dem Abbohren dieser Lokalität nicht in allen Fallen bis auf den Granit nieder, der auch hier im Thale des Ingul und in Nebenthälern, z. B. in der Stadt Jelisawetgrad, und an dem, auf dem Gute . Balaschowka des Herrn Lischin, befindlichen Müh- lendamme in niedern Klippen zu Tage geht. Und hier, wie bei Shurawka hat die Erfahrung gelehrt, dass zwi- schen dem Granit und dem Hauptflötze kein Kohlen- lager mehr zu finden sei. Daher stellt man auch hier das Bohren ein, sobald man den unmittelbar unter dem | Flótze lagernden Sand erreicht hat. Da Baron Ungern, der hier einen Abbau einzu- richten wünschte, sich mit dem Besitzer über die Pacht- bedingungen nicht einigen konnte, so nahm er ein an- deres, etwa 22 Werst NW. von Jelisawetgrad liegen- ` des, Herrn Schischkow gehórendes Stück Land in Atrende; auf dem gleichfalls Braunkohle erbohrt wor- "den war. Bei Jelisawetgrad aber wurden die Versuchs- arbeiten in der Slodeiskaia Balka, auf Kosten des Mi- nisteriums der Wegekommunikation, von dem dazu auf- | 24 Fuss mächtige B geforderten Bergingenieur Kotschershinsky, fort- gesetzt^). Er senkte hier einen Schacht ab, es geschah aber dasselbe, wie in Shurawka. Als man die Kohle bereits erreicht und durchsunken hatte, strômte das Wasser so plótzlich und so gewaltsam ein, dass die Arbeiter sich nur mit Mühe retten konnten. Und da kein kráftiges Pumpenwerk da war, musste auch die- ser Bau vorläufig aufgegeben werden. Ich sage vorläufig, denn ein gutes Braunkohlen- flötz, dessen Mächtigkeit im Schachte freilich weni- ger als die frühere Angabe, jedoch immer noch 14 Fuss beträgt, und dessen Ausdehnung Kotscher- shinsky zu 600 Quadratwerst annimmt, mit einem Kohlenvorrathe von mehr als 120 Millionen Pud, muss nothwendigerweise bald in Angriff genommen werden, sei es von der Bergverwaltung, oder von Priva- ten. Ich will bei dieser Gelegenheit nur erwühnen, dass man jetzt in Jelisawetgrad für 1 Cubikfaden Holz 20 bis 30 Rubel Silber zahlt, dass 300 Pud dieser Kohle einen Cubikfaden Holz ersetzen, und dass ein Pud Kohle aus der Slodeiskaia Balka etwa 2'/, Copeken, 300 Pud also 7 Rub. 50 Cop. kosten würden, wenn die bezüglichen Angaben Kotschershinsky's zutref- fend sind, wie ich das nicht bezweifle. Aufjenem 600 Quadratwerst grossen Raum sind bis- her an drei Orten Braunkohlenflótze erbohrt worden. a) Bei Jelisawetgrad, wo nach Kotschershinsky ein Kohlenvorrath von 60 Millionen Pud ist. b) 10 Werst NW. von Balaschowka, bei dem Gute Je- katerinowka des Herrn Boschniäk. Das Flótz ist hier 10 Fuss 6 Zoll máchtig und enthält auch gegen 60 Millionen Pud. c) 12 Werst weiter, NW. von Jekaterinowka, auf dem Gute des Herrn Schischkow. Das von Herrn Wulff hier erbohrte Flötz ist 21 Fuss mächtig. ` Bei meinem Besuche des Schischkow "schen | L nd d. gutes") gab mir der dort anwesende Herr Wal gefülligster Weise die nöthigen Aufschlüsse über SS Vorkommen der Kohle. In 5 Bohrléchern von den b bis zum 1. December 1868 hier angelegten hatte ı in einer Tiefe von 49 bis 84 Fuss vom Tage das bis -»— wv P. PP QAI UNE. CURL einem dar. len iP à VAR in kei- | "© Gor Jura A "— " — ae 127 Bulletin de l’Académie Impériale nem aber den Granit erbohrt, obwohl derselbe auch hier gewiss nicht fehlen wird. Die Schichtenfolge ist hier, man kann sagen, genau dieselbe, wie bei Jeli- sawetgrad. a 4bis 5 Fans. Leberbrauner, plastischer Diluvi- althon mit geringer Beimengung feinen Sandes und weisser Glim- merschiippchen. Zuweilen mit Knollen weissen kohlensauren :| Kalkes und Schmitzen von Kaolin. 21 Fuss. Gelber und griinlicher, feiner Sand mit sehr wenig Thon. Ist oft was- serreich und schwimmt dann . . . 35 Fuss. Bituminöser Schieferthon mit weissen Glimmerblättchen Braunkohle Schwimmsand.... E o 5 bis 10 Fuss. o D. EN 21 Fuss. Gesammttiefe 86 bis 101 Fuss‘). ..o sg 9 cv Herr Wulff hatte hier bereits einen Schacht abge- | teuft, der am 1. September 1869 42 Fuss Tiefe er- reicht hatte. Der Wasserandrang ist auch hier sehr bedeutend, | und kann nur mittelst Dampfpumpen anschädlich ge- macht werden.. - Vergleicht man die Profile bei Smela und Shurawka mit denen von Jelisawetgrad und dessen Umgebungen, so wird man bei aller sonstigen Ubereinstimmung doch den Unterschied finden, dass bei Smela und Shurawka unmittelbar über der Kohle meist Schwimmsand liegt, während sich bei Jelisawetgrad zwischen diesen und der Kohle in der Regel eine Schieferthonschicht ein- schaltet, die wenigstens den Vortheil gewährt, dass | sie das Wasser der über ihr liegenden schwimmenden Schichten verhindert, in die Kohle zu dringen, und diese trockener erhält, als da, wo dieser Schutz fehlt. | Fügt man zu diesen Angaben noch, dass man von | Jelisawetgrad aus nach allen Richtungen und auf grosse Strecken hin, überall in den Thälern, unter dem Di- luvio, dieselben lockern Sand- und Sandsteinsehichtes wiederfinden kann, die in den Schachten und Bohrlö- 8) Versteinerungen sind in Jekaterinowka bisher nicht gefunden | worden. Wenn sie hier vorkämen, so müssten sie, nach H. W ulffs „in der Schicht c zu finden sein, wie bei Shurawka. chern unter ihm gefunden wurden, so wird man nicht irren, wenn man annimmt, dass die Braunkohlenbil- dung auch hier eine weit gróssere Ausdehnung hat, als die bisherigen Untersuchungen gezeigt haben. Es würde also seine volle Berichtigung haben, wenn man im ganzen Umkreise von Jelisawetgrad und lings der Bahnlinien von hier nach Balta und nach Kre- mentschug auf Braunkohlen bohren wollte, wobei es sich aber von selbst versteht, dass jeder Bohrpunkt vorher geologisch von Fachmännern geprüft werden müsste. . Man hat bei Jelisawetgrad gute Gelegenheit, die Eigenthümlichkeiten des hiesigen Diluvialbodens ken- nen zu lernen. Als man die Balta-Jelisawetgrad-Bahn baute, holte man das Material zu den ziemlich hohen, in der Nähe von Jelisawetgrad aufgeführten Erdwállen, zum Theil ` aus einer, fünf Werst von der Stadt, auf dem Wege nach Jekaterinowka liegenden Sand- und Lehmgrube. An den steilen, bis 20 Fuss hohen Wänden dieser Grube gingen folgende Schichten zu Tage: a) Schwarzerde. b) Zimmtfarbiger oder leberbrauner sandiger Diluvi- althon. In seinen untern Lagen den sich etwas ab- carnndata ‚grosse graue und gelbe Quarzkôrner, und an den Kanten etwas abgeriebene, bis 6 Zoll messende Stücke koh- lensauren Kalks ein. Auch fanden sich in dieser Schicht ein wohlerhaltener Unterkiefer von Arcto- mys bobac und die rechte Unterkieferhälfte eines sehr grossen Exemplar’s von Cricetus vulgaris. (Nach den Bestimmungen des Hrn. Akademikers Brandt.) c) und d) Weisser und gelber festgelegener Sand oder lockerer Sandstein, ohne Gerölle, undeutlich ge- schichtet; wahrscheinlich tertiairen Alters. Die Kalksteinstücke in der Schicht b, die vollkom- men an äbnliche Eimschliisse in dem braunen Diluvio der Asowschen Kiiste erinnern, bestehen nach einer, des Sciences de Saint- Pétersbourg. von Herrn Rosenblad, im Berginstitute, gemachten = aus folgenden Substanzen: E ir. 5,327, WOE AAA 1,24 E ......::...... 1,79 Kohlensaurer Kalk.......... 84,77 Kohlensaure Magnesia........ 6,36 serie 0,92 NATOn. 0. 70 Pie S 0,09 Organische Substanz, Schwefel- säure und Verlust......... 0,11 | 100 — Hygroscopisches Wasser...... 0,52. Wie gross ist doch der Unterschied zwischen der Zusammensetzung unseres nordischen und dieses süd- lichen Diluviums. Im Süden kein einziger Wander- block, sogar kein Gerölle krystallinischer Gesteine, und doch steht der Granit und andere krystallinische Felsarten überall in geringer Tiefe an. Ich habe aber weder bei Jelisawetgrad, noch bei Smela, oder am Dnepr, wahre erratische, weit von ihrer ursprüngli- chen Lagerstätte hinweggetragene, abgerundete Gra- nitblöcke bemerkt. Wo ich lose Blöcke ganz verein- zelt, am Ingul und andern Flüssen sah, waren sie ge- ringer Dimension, an den Kanten kaum etwas ange- griffen, und offenbar von den, durch Frühlingsfluthen getragenen Eisschollen verschleppt. Fügt man diesen Bemerkungen hinzu, dass an den entblössten Granitklippen des Südens keine Spur von Glättung und von Schrammen beobachtet worden ist — so darf man annehmen, dass hier nie eine Verglet- scherung stattgefunden hat und nie, mit Blöcken be- frachtete, Eisflotten hierher entsendet wurden. Woher stammt nun das gewaltige Material zur Bil- | dung des südrussischen Diluvialbodens? Hatte ich ‘schon i in Kijev, | in Smela, in here sos die bittersten Klagen über das schnelle Schwinden der Waldbestände gehört, so klagte man in Jelisawetgrad und Krementschug über völlige Waldlosigkeit. Und in der That erblickt das Auge nach allen Richtungen hin | eine unabsehbare, waldlose Steppe. Wo hie und da ein Park, ein kleiner Hain auftaucht, erfäbrt man bei näherer Nachfrage, dass er gepflanzt ist, wie Z. = IE der Park des Herrn Lischin bei Balaschowka, Tome XV. die kümmerlichen Baumgruppen des öffentlichen Gar- tens in Jelisawetgrad. Und so ist es von Alters her. Und dennoch mag es eine Zeit gegeben haben, wo der Boden stattliche Bäume trug; das scheinen gewisse, vielleicht von ver- moderten Wurzeln hinterlassene Höhlungen im Di- luvio zu beweisen. In der Nahe der Stadt haben sich, am linken Ufer | des Ingul, noch die Wälle und Gräben einer ehmaligen Festung erhalten. Gegenwärtig beherbergt sie nur eine friedliche Ziegelei. An den 28 bis 30 Fuss hohen, senkrechten Win- den der Gruben, war das Diluvium, das man hier zur Ziegelfabrikation verwendet, Medi entblösst und fol- gende Erscheinung zu sehen: 98 bis 30 Fuss. Diluvium bei Jelisawetgrad. a) Schwarzerde. b) Dunkelgelber, sehr sandiger Lehm, taugt daher nicht zu Ziegeln. In dieser Schicht bemerkt man gewundene, von oben nach unten sich verschmä- lernde, cylindrische Höhlungen, mit ziemlich glatten Wänden. Sie sind mit einer lockern, kleinbrüchigen, dunkelgrauen, erdigen Substanz angefüllt, die ein Gemenge von Thon und Schwarzerde zu sein scheint. Wo ein solcher Gang in die Quere durchsch ist, erscheint er kreisrund, bis 6 Zo im Durch- messer, Be, c) Hellgelber Lehm, der zu Zies hs rerarb itet vird. ba 40 Ls | tief von der y die Schicht b ein und mögen auch reic EE diese a: auch Bulletin de l’Académie Impériale der Arbeit der Zieselmäuse oder Murmelthiere zu- schreiben, wenn sie für ersterer nicht zu breit, und für Arctomys Bobac nicht zu schmal erschienen, und sich nicht nach unten dichotomirend verjüngten, was bei den von diesen Thieren gegrabenen Gängen nie der Fall ist. Im Gegentheil, die Gänge dieser Thiere en- digen unten mit einer Kammer, in der sie nisten. Die Ahnlichkeit in den Umrissen mit Baumwurzeln ist zu gross, als dass man nicht annehmen miisste, hier habe früher Wald gestanden. Auch fanden sich in diesen Wurzelgängen Reste verrotteten, aber noch erkennbaren Holzes. Wir gelangen nun zu der Frage, welches geologi- sehen Alters sind die südrussischen Braunkohlenlager? und welchen Horizont nehmen sie in der sie beher- bergenden Formation ein? Meines Wissens war Leopold von Buch der Erste, der Versteinerungen des Kijewer Gouvernements be- stimmte. Es geschah diess an Exemplaren, die Fr. Du- bois de Montperreux ihm aus Butschak gesendet hatte. Obgleich unter ihnen noch heute lebende Arten, z. B. Buccinum reticulatum , vorkommen, so schloss Buch auf eocänes Alter (Calcaire grossier, Grobkalk) wegen mehrerer Arten, die sich auch in Grignon fin- den. Er zählte die Schichten von Butschak der Pari- ser Formation zu und betont es besonders, dass sie sich von den Tertiairschichten Wolhyniens und Podoliens | (die miocän sind) durchaus unterscheiden (Leonhard | und Bronn. Neues Jahrbuch 1836 pag. 359 — 360.) Ich übergehe einige spätere Urtheile über das re- lative’ Alter der Kijewer Schichten, nach welchen ei- | nige derselben für Kreideschichten angesprochen wur- den. Es haben jedoch die neuesten Untersuchungen | keinen Zweifel mehr darüber gelassen, dass sie, wie | Herr von Buch schon vor 36 Jahren aussprach, der untern Tertiairetage und den postpliocänen Zei- ten angehören. Auch Herr Barbot de Marny °), der die Schichten von Kalinowka ") früher der Kreide zugezählt hatte, wegen einer in ihnen vorkommenden, dem Pecten orbi- eularis ähnlichen, und einer grossen, von ihm Ostrea | latissima benannten Muschel, von der er sagt, sie stelle diese Schichten zu der Kreideformation der Krym, kommt . in seinem 1869 erschienenen Peoxormieckió pz = T "Tos 1867, N 6, pag. 503 und 504. Bei Jelisawet wetgrad. gend, .1) Cassidaria chida, Ost Band. 3 Heft, pag. 587. ogepkp Xepconekoii ry6epnim von dieser Meinung zu- rück''). Auch Pecten orbicularis und Spondylus gibbosus werden unter den Formen von Kalinowka genannt. Nun sind Pecten orbicularis, Ostrea latissima und Spon- dylus gibbosus, so wie Spondylus spinosus Desh, den Barbot aus Schpola und aus Shurawka citirt, in der That Produkte der Kreideperiode. Allein in den lehr- reichen Arbeiten von Fuchs") und Herrn von Koe- nen") wird keiner einzigen dieser Arten mehr er- wühnt, da man andere, ihnen nahestehende dafür ge- halten hat. Dieser verzeihliche inten fand Anfangs auch darin noch eine Stütze, dass die fossilen Muscheln von Kalinowka und manchen andern Orten dieser Ge- in einem weichen, weissen, der Kreide sehr ähnlichen Mergel vorkommen. Herr von Koenen, dem die Muscheln von dem Professor Feofilaktow (ander Kijewer Universität) zugesendet wurden, beschreibt aus den Schichten von Butschak, Traktemirow und aus dem blauen Thon von Kijew, 39 Arten. Von diesen nennt auch Fuchs, dem die betreffenden Objekte durch Barbot aus Kalinowka zugekommen, folgende 3 Spe- cies: ea flabellula und Pecten cor- neus aus Butschak. 2) Cassidaria nodosa und Ostrea Aabellula. aus Trak- Lemirow. 3) Ostrea flabellula "em und Pecten corneus aus dem blauen Thon von Kijew. Ich selbst erhielt von Herrn Zimmermann, aus dem Schachte in Shurawka, Fragmente eines Spondy- lus, der mit dem von Fuchs l. e. beschriebenen Spon- dylus Thracicus d’Archiac aus Kalinowka, und einen Pecten, der mit dem von Koenen beschriebenen Pec- ten sales aus dem blauen Thon in Kijew identisch ist, und erlaube mir daher anzunehmen, dass in allen ge- nannten Lokalitäten ein und dieselbe Schicht sich be- findet, nur dass sie sich lithologisch an einem Orte so, an einem andern anders. darstellt; bei Jelisawetgrad in einem weissen, kreideartigen Mergel, bei SE 11) Peoxor. oxepx®, pag. 58 und 59. 12) Th. Fuchs: Eocän-Conchylien aus dem Gouvernement Cher- son. Sitzungsberichte der K. Akad. d. Wissensch. Wien. LIX Band. Februarheft 1869 und Verhandl d. K. Mineralog. Ges. zu St. Pe- tersburg. 1869. Ge 13) v. Koenen: Zeitschr. d. Deutschen eolo . 6 133 des Sciences de Saint- Pétersbourg. e 134 in einem hellen, grünlichgrauen Thone, der abgerun- | Blauer Thon mit Glimmerblättchen und Quarz- dete Quarzkórner von der Grósse einer Linse enthált kórnern. und nach unten, in den, úber der Kohle liegenden Granit. Quarzsand ahoracht, Bei Kijew finden sich die organischen Reste dieses Horizontes in einer Ablagerung blaugrauen, unge- schichteten Lehmes oder Thones, und sind darin in Schwefelkies verwandelt, wie Hofmann in dem hier folgenden, am Dnepr entblössten Profil angiebt '^). a) Dammerde. 1 Fuss. b) Gelber, zerklifteter Letten, die Klüftwände roth gefärbt. Enthält Nester weissen, feinen Thones, die bisweilen sehr gross sind. Dieser Thon wird zu Fayence-Geschirr verwendet, z. B. in der Fabrik zu Meshigorsk. Mehrere Lachter mächtig. c) Feiner, weisser Quarzsand, mehrere Lachter mächtig. d) Schwarzbrauner, bituminéser Letten, mit Spuren von Lettenkohle und mit bituminösem Holze, an dem man noch deutlich die Rinde von Pinus silvestris ") erkennt. Diese Schicht ist schiefrig, und es liegen in ihr abgerundete Quarzkórner. 12 Fuss. e) Müchtige Schicht festen, gelben, sandigen Lehmes, mit dünnen Lagen harten, gelben Sandsteins. f) Mächtige, ungeschichtete Lehmablagerung, blau- grau, mit Schwefelkies, Korallen, Madreporen, zerbrochenen Muscheln. Alle organischen Reste sind in Schwefelkies umgewandelt. Wird zu Ziegel- stein verarbeitet. Die Braunkohle bei Schpola, im Swenigoroder Kreise des Kijewer Gouvernements, von der schon oben die Rede war *), liegt, wie aus einem von Hrn. Barbot in Peoxor. oyepkp Xepconcroï ry6epnin pag. 57 aus Ka- jetanowka mitgetheilten Durchschnitte zu ersehen ist, zwischen weissem Sande und blauem Thon. Diluvium. Grünlich gelber Sand mit Sandsteinschollen, in lo- sen Sand und kalkigen Lehm übergehend. Weisser Sand mit Nestern weissen oder grauen Thones. Braunkohle 9 Fuss 4 Zoll mächtig. 14) Bullet. Bar de. PAcad. Imp. des sciences de St.- Péters- bourg. VI. NX 17. 15) Es ist res m es wirklich Pinus silvestris ist; man könnte eher eine andere, ausgestorbene Art vermuthen. H. Forst, ist ein und dieselbe Gegend. 16) Schpola, Kajetonowka, Kalnibolota und Jekaterinopolscher | Vergleichen wir nun mit einander die Durchschnitte von Kijew, Shurawka, Jelisawetgrad und Kalinowka, und nehmen wir, wozu wir berechtigt sind, an, dass an allen diesen Orten die muschelreiche, von Barbot «Spondylusschicht» benannte, ein und dieselbe ist, so ergiebt sich daraus, dass die Braunkohle hier in zwei verschiedenen Horizonten vorkommt, und zwar in Kijew und seiner nächsten Umgebung über der Spondylusschicht, und in Shurawka und bei Jelisa- wetgrad unter derselben. Ist diese Annahme richtig, so wird es in hohem Grade wahrscheinlich, dass in Kijew, unter dem blau- grauen, muschelführenden Thone, das Haupt- flötz der Braunkohle liegen werde. Ein Bohr- versuch bei Kijew würde diese Frage entscheiden kön- nen, und man hätte bei dieser Arbeit nicht nöthig, etwa bis auf den Granit niederzugehen, der auch hier den Untergrund der Sedimente bilden wird, sondern bis auf die Kreideformation, deren Gegenwart man bei Kyew aus folgenden Gründen anzunehmen berech- tigt ist. Als man bei Kijew den Boden unter dem Bette des Dnepr untersucht hatte, und sodann die eisernen Caissons in ihn hinabsenkte, die den Pfeilern der Ei- senbahnbrücke zum Fundament dienen, wurden mit andern Gesteinsproben auch Stücke des in der untern Kreide Russlands (Gault und N&ocomien) vorkommen- den Phosphorits (Russisch Ssamorod oder Rogatsch) und zwar nicht in der Beschaffenheit von Geröllen, son- dern ohne Spuren erlittener Reibung heraufgebracht. Man fand sie in einer Tiefe von 46 Fuss engl. unter dem Niveau des Dnepr, der bei Kijew bis 9 Fuss tief ist. Ich verdanke dem Erbauer der Brücke, I | Oberst" Struve, eine Sammlung von | die hier an verschiedenen Stellen und aus verschiede- nen Tiefen unter dem Bette des Dnepr heraufgeholt + wurden, und theile die begleitenden ae gefäl- ligen Übersenders mit. Bec. La) In einer Tiefe von 29 Fuss. Brekzie Ib- S. . r, ge egene? Ge M Soe + Braust À mit Sá : n. e een See gt Bulletin de l’Académie Impériale — b) In einer Tiefe von 28 bis 38 Fuss 6 Zoll liegen unter dem Boden des Dnepr, in lockeren Triebsand gebettet, Eichenbäume gewöhnlicher Dimensionen, mit den Asten versehen. Sie haben die verschie- densten Richtungen, längs des Stromes, in die Quere und diagonal. Sie wurden von einem Ufer bis zum andern unter allen Brückenpfeilern angetroffen, bil- den keine Schichten, sondern haben eine unregel- mässige Stellung. Die Rinde an ihnen war so weich und morsch, dass sie bei dem Herausschaffen der Stämme abgestreift wurde. Das Holz ist kohl- schwarz, hart, vollkommen gut erhalten. Die Spe- cies lässt sich nicht bestimmen. Von Blättern war nichts aufzufinden. c) In 44 Fuss Tiefe unter dem Pfeiler € 7 vom linken Ufer gerechnet. Grauer, sandiger Thon mit weissen Glimmerschüppchen ona undeutlichen schwarzen Pflanzenabdriicken. d) In 47 Fuss 3 Zoll Tiefe, Pfeiler 7. Gemenpe von Quarzsand und dés in Gestalt eines Cy- linders von 2 Zoll Durchmesser, mit rauher Ober- fläche, und centraler, cylindrischer, hohler Axe. e) In 48 Fuss Tiefe, Pfeiler V 4. Phosphorit (russisch Ssamorod). Rundliche, zusammenhängende Concre- tionen schwarzgrünen Phosphorits, die Zwischen- räume von feinem, weissem Sandsteine ausgefüllt, dessen Cement mit Säuren braust, und wahrschein- lich aus kohlensaurem Kalk besteht. Zwischen den Phosphoritknauern bemerkt man Schalen einscha- liger Muscheln. Die eine zeigt Rippen, wie ein Pec- ten. Sie sind nicht näher zu bestimmen. Das Stück hat auch die Gestalt eines hohlen Cylinders mit ‘sehr höckeriger Oberfläche. | f) In 55 Fuss Tiefe, Pfeiler X 7. Thoniger Sphärosi- | derit in Gestalt eines regelmässigen Cylinders von 1 Zoll Durchmesser. Farbe gelblich-grau, innen bräunlich. Dem centralen Sipho eines Orthocerati- | tes ähnlich, aber unorganischer Natur, geht eine ebenfalls cylindrische, aus derselben Substanz be- stehende Axe durch das ganze Stück. Sie löst sich leicht von der Hauptmasse los. 9) Unter dem Pfeiler X 7. Ein Gerölle lockern, dun- kelgelben, eisenschüssigen Sandsteins. "eem 56 Fuss Tiefe, Pfeiler ® 10. Gemenge von Sand und Schwefelkies in Gestalt eines hohlen Halbey- | - linders 3 Zoll 6 Linien im Durchmesser. Alle diese Gesteinsproben wurden im Triebsande vorgefunden, tragen aber, den Sandstein ausgenom- men, keine Spuren von Reibung und Abscheuerung an sich, und können folglich nicht von weit entfernten Lagerstätten herstammen. Man darf vielmehr anneh- men, dass sie in der Nähe anstehen werden. Da sich nun unter den Proben auch Phosphorit be- findet, ein Gestein, das bisher in Russland nur in der untern Kreideformation angetroffen worden, mithin für diese ganz bezeichnend ist, so darf man in Kijew die Existenz dieser Etage, in Ser Tiefe unter dem Tertiairen, annehmen. Nach Herrn Rosenblad’s Untersuchung enthält die- ser Phosphorit 30,14 Proc. phosphorsauren Kalk. Das stimmt mit früheren Analysen. Herr von Struve theilte mir noch Folgendes mit. «In dem Triebsande fanden wir bei jeder Tiefe, bis 56 Fuss unter dem tiefsten Stande des Dnepr, Knochen und andere Überreste von Thieren, und regelmässig ‚oval gestaltete Klumpen eines grünen, plastischen Tho- nes, von der Grösse eines Eies bis zu mehreren Fuss. Die Klumpen waren von verschiedenener Härte; in den grösseren Tiefen waren sie fast so hart wie Stein. Leider sind keine Proben davon vorhanden. Das Nie- derwasser des Dnepr bei Kijew steht, einem von St. Pe- tersburg bis Kijew, längs der Eisenbahn durchgeführ- ten Nivellement zufolge, 277,2 Fuss über dem Spie- gel des Finnischen Meerbusens». Herr von Struve hatte mir mit den Gesteinspro- ben auch Exemplare von Säugethierknochen geschickt, deren Bestimmung Herr Akademiker Brandt gefäl- ligst übernehmen wollte. Sie sind jedoch, ehe sie in seine Hände kamen, durch einen unglücklichen Zufall verloren gegangen. Ich kann nur sagen, dass sie von grossen Wiederkäuern und von Raubthieren her- rührten. x D N E — Schluss Aus allen oben mitgetheilten Beobachtungen und Bestimmungen ergiebt sich: 1) Dass in der Eocänformation | des Kiewer à und des _ Chersoner G inkohle in zwei Horizonten auftritt, nämlich über der sogenann- ten Son und unter ‚derselben. des Sciences de Saint- Pétersbourg. 2) Die bei Shurawka, bei Schpola *”), bei Kajetanowka und Jelisawetgrad aufgefundenen Braunkohlenla- ger, gehéren dem untern dieser beiden Horizonte an und sind bauwürdig. Uber und unter diesem | ` Hauptlager, aber stets unter der Spondylusschicht, kommen hie und da noch schwache Flötze unreiner Kohle vor, die nicht bauwiirdig sind. 3) Von den über der Spondylusschicht liegenden Braun- kohlenlagern, bei Kijew und in dessen Umgebungen, hat sich bisher noch keines als bauwiirdig erwiesen. 4) Die Tiefe, in welcher man das Hauptflétz erbohrt hat, überstieg bisher nicht 80 Fuss engl., aber in manchen Fällen geringer. Dieser Umstand, so wie die horizontale Lage der Flötze, erleichtern den Abbau. Andrerseits wird er durch Wasseran- drang etwas erschwert. Die Kohle besitzt eine Heizkraft von 3400 bis 3700 Einheiten. 5) Die betreffende Braunkohlenformation, namentlich die Kohlenlager, erfüllen die Niederungen in dem unterirdischen Granitplateau dieser Gegenden, des- sen Gestein nie auf den Höhen, sondern nur an den Flussläufen und auf dem Boden der Schluchten entblösst zu sein pflegt. 6) Die Gestalt und Grösse der Kohlenbassins hängt unmittelbar von den Dimensionen und der zufäl- ligen Konfiguration der Granitmulden ab, in de- nen sie sich absetzten. An den Ufern dieser Mul- den keilen sich die Braunkohlenlager aus und feh- len daher immer auf den Sätteln des Granits. ` 7) Die Braunkohlenlager des untern Horizontes lie- gen, entweder auf Schieferthon, oder auf Sand, oder auf einer, den Granit bedeckenden und aus seiner Verwitterung hervorgegangenen Kaolin- schicht. Hat man beim Bohren diesen Kaolin er- reicht, ohne Kohle zu finden, so ist der Versuch = | aulaageben, weil seine Fortsetzung fruchtlos wire. 8) Bei dem Suchen nach Kohle kann die Spondylus- Schicht, wo. sie vorhanden ist, als Orientirung dienen 9) An der Bildung CH Hauptflótzes haben sich vor- züglich Nadelhölzer betheiligt, wie aus der gros- sen Menge von Pinusstämmen — scheint, die man in ihm findet. 17) Schpola gehórt Herrn en und à Here Be AREE = in der Nähe dieses Ortes besitzlich ist, hat auch Braunkoblen suf seinem Terrain War | In den unter dem Hauptflitze vorkommen- den Sandsteinen finden sich aber auch Abdriicke von Blättern einiger Laubhölzer, die an Weiden und Eichen erinnern. An der Bildung der Kohle des obern Horizon- tes bei Kijew scheinen sich auch Pinusarten = theiligt zu haben. 10) Der Raum, auf welchem in den genannten Gou- vernements die Braunkohle bereits an folgenden Orten erschürft und zum Theil in Angriff genom- men ist: Shurawka, Kajetanowka mit Schpola, Jelisawetgrad, Jekaterinowka und der Besitz Schischkow’s — und auf dem man sie noch an sehr vielen Orten auffinden könnte, beträgt min- destens 4500 Quadratwerst, nämlich von Smela bis Schpola 40 bis 45 Werst in die Breite, und von Smela bis über die Balta-Jelisawetgrad-Eisen- bahn hinaus, bis 100 Werst. Dieser Raum ist aber wahrscheinlich noch grösser. 11) Obgleich nun die Braunkohle auf diesem grossen Areal keine kontinuirliche Schicht, sondern nur einzelne, mit einander zusammenhängende Becken bildet, und ihr Vorkommen sich dadurch wesent- lich von dem der Tula-Kalugaschen Steinkohle unterscheidet, die, wie es scheint, ohne wesent- liche Unterbrechung, einen noch grössern Raum kontinuirlich einnimmt — so ist sie doch in so gros- ser Menge vorhanden, dass sie mit der Zeit eine ähnliche Bedeutung wie jenes centralrussische Bas- sin erhalten muss, um so mehr, da sie in dem ganz waldlosen Süden Russlands liegt. Man ist also auch hier, aus geologischen Gründen berechtigt, ein sehr günstiges Prognosticon zu stellen. 12) Das grosse Eichenholzfloss im Dneprthale bei Kijew beweist, dass es eine Zeit gegeben hat, wo die Ufer dieses Stromes mit schönem Walde be- standen waren, dessen Bäume, vom Hochwasser unterwühlt, in den Fluss stürzten, wie das SES) : heute z. B. an den Riesenstrômen Südamerik in den Urwäldern ere Die Uribe ds aufreran Bulletin de l'Académie Impériale Über eine vollständige Temperatur-Com tion des Wag-Barometers, von H. Wild. (Lu le 24 février 1870.) Als es sich im Jahre 1862 darum handelte, für die Sternwarte in Bern ein selbstregistrirendes Barometer zu erstellen, wählte ich dazu das von Morland ange- gebene Wagbarometer, weil dasselbe den Vortheil gewährt, die bewegende Kraft beliebig vergréssern zu können und weil die dabei stattfindende Wägung des Luftdruckes eo ipso eine Unabhängigkeit seiner An- gaben von der Temperatur zu involviren schien. Die Construction, welche ich schon damals diesem Instru- mente gab, wich übrigens, wie die Beschreibung des- selben ') näher zeigt, von der durch Pater Secchi in Rom eingeführten wesentlich dadurch ab, dass ich von der Eisenröhre zur Benutzung einer Glasröhre und von den colossalen Maschinen-Dimensionen, die Secchi seinem Apparate gegeben hatte, zu den hand- lichen eines physikalischen Instrumentes zurückkehrte. Diese, die Beständigkeit des Apparates und die Sicher- heit seiner Angaben befördernde Construction gestat- tete mir, nach dreijähriger ununterbrochener Function meines Registrir-Barometers im März 1867?) aus den Zusammenstellungen der Aufzeichnungen desselben in den Jahren 1864 bis 66 mit den direeten Beobachtun- gen einen entschiedenen und nicht unbeträchtlichen Einfluss der Temperatur auf die Angaben desselben zu erkennen, was mich zuerst zu einer theoretischen Untersuchung der Wirkungsweise dieses Instrumentes und des, wie ich dabei bald erkannte, ziemlich com- piara Einflusses der Temperatur af dasselbe ver- anlasste. Ehe ich indessen diese Untersuchung vollen- det hatte, erschien in der Zeitschrift «Les Mondes» eine vollständige Theorie des Wagbarometers durch Radau in Paris, die ein Jahr später vollstündiger auch in Poggendorff's Annalen’) publicirt wurde. In den letztern Entwickelungen weist Radau nach, wie die experimentellen Bemühungen Secchi's und Anderer zur Erzielung einer Temperatur-Compensa- tion durchaus fruchtlos geblieben sind, weil je nach der Einrichtung dieser Apparate und der Gestalt der . 1) Die selbstregistrirenden Instrumente der Sternwarte in Bern, der ph . Technik von Carl. Bd. II. 2) Schweizerische Meteorologische Beobachtungen 3. Jahrgang 1866. A, 3) Zur und Theorie des Wagebarometers von R. Radan, Poggen ort? Annalen Bd. 133 $. 430. 1868. pensa- | Róhren und Gefässe in den letzteren 10 — 40 Male mehr Quecksilber zu dem Ende hätte enthalten sein müssen. Da ich seither unabhängig von Radau's Berech- nungsweise die Bedingungen der Temperatur-Com- pensation beim Wagbarometer in einer mehr concre- ten Form untersucht habe und dabei im Wesentlichen zu denselben Resultaten gelangt bin, so stellte ich mir bei der Construction und Prüfung eines neuen selbst- registrirender Wagbarometers für das physikalische Central-Observatorium unter Anderem auch die Auf- gabe, die Folgerungen aus dieser Theorie experimen- tell zu prüfen. Die gegenwärtige Notiz ist einer vor- laufigen Darstellung dieser Untersuchung und einer daraus hervorgegangenen vollständigen Temperatur- Compensation des Wagbarometers gewidmet. Ich werde zuerst mit wenigen Worten die anfäng- liche Einrichtung des neuen Wagbarometers beschrei- ben. Ein nach W. Weber's Vorschlag statt mit Schnei- den mit 2 Federn aufgehängter Wagebalken trägt an einem Armende cardanisch vermittelst eines Bügels aufgehängt die oben und unten zu cylindrischen Ge- fássen erweiterte Barometerróhre, welche bei mittlerem Barometerstande bis zur Mitte der Länge des untern Gefásses in einen mit Quecksilber gefüllten Glascylin- der eintaucht. Der Halter dieses Glascylinders steht durch feste Eisenschienen in unmittelbarer Verbin- dung mit dem Träger des Wagebalkens. Der andere Arm des Wagebalkens spaltet sich in zwei cylindrische mit verstellbaren Bleigewichten versehene Stahlstäbe, von denen der eine, horizontale, hauptsächlich zur Balaneirung des Röhrengewichts auf der andern Seite, der andere, schief nach unten gehende, zur Vermeh- rung oder Verminderung der Empfindlichkeit der Wage d. i. des einer gewissen Änderung des Barometer- standes entsprechenden Ausschlages des Zeigers be- stimmt ist. Die Registrirung des Standes dieses Zei- gers erfolgt fast genau gleich wie beim früheren Ap- parate und kann hier, als unwesentlich für unsere Betrachtung, Beggen werden. Das Schema unseres Apparates, an welches sich die theoretische Betrachtung anzuknüpfen hat, wird s nach durch die nebenst d in der wir bloss in Abweichung von der pez: der Allgemeinheit der Betrachtung halber den Quer- schnitt der unteren Erweiterung der, Barometerröhre des Sciences de Saint- Pétersbourg. verschieden von dem oberen und die Wanddicke der- selben grösser als die der übrigen Röhrentheile ange- nommen haben. Ist EB e L Se “ | | LH E = = bb 3709777777 ii MI i i ji MH TIE ID das Gewicht der Röhre, mit dem sie auf dem Bü- gel B tastet, das Gewicht der leeren Róhre, das specifische Gewicht des Quecksilbers, der innere Querschnitt des oberen erweiterten Theils, q der innere Querschnitt des mittleren Theils, Q' der innere Querschnitt des unteren erweiterten Theils der ote, d derQ g beim letzteren, Q” der innere Querschnitt des untersten engeren Thei- les der Róhre, der Querschnitt der Róhrenwandung des letzteren, Dat ^X der Róhre, die Länge des mittleren Róhrentheils, Si H” die Höhe des unteren erweiterten Theils der Röhre, | i die Höhe des Quecksilbers in der oberen Kammer | h” die Länge des untersten engeren Theils der Baro- meterröhre, so ergiebt die Anwendung der hydrostatischen Gesetze ‚für 0° die Gleichung: G, =9+8, [Q,H,-- q^ or Q,H, —4, (9, =H) 2 d hy J» wo wir die Werthe der mit der Temperatur variabeln Grössen für 0° durch Beisetzung des Index O bezeich- - net haben. Nennen wir den linearen Ausdehnungscoeffizienten des Glases für 1° C.:8 und den kubischen des Queck- silbers : æ, so ist das Gewicht unserer Röhre bei CC gegeben durch: G, 7g + %7 QH, ~Q; +g) H, + (a), — aH; — a 0 yA + 80)], wo die Gróssen H, und H, von der noch onbekannten durch die Temperatur bedingten Veränderung des Ni- veaus des Quecksilbers innen und aussen abhängen. Die Differenz dieser beiden Gleichungen gibt uns also die durch die Temperatur allein bedingte Ánde- rung des Gewichtes unserer Róhre. Wenn wir bei der Bildung dieser Differenz bei den Gliedern erster Ord- nung der kleinen Grössen a, 8, H,—H, und H, —H, stehen bleiben, so kommt: I. -6,= 81.10. (0 m - — [Q,H, + (Q; +4) H,] (a — 28) — u q, H, o — Lo ho ")(a— 38)}. Die in diesem Ausdruck allein noch unbekannten Grössen H, — H, = y und H — Hy SS anm sich aus folgender Beträchtung: Erstlich muss, da der Luftdruck. Se constant vor- ausgesetzt wurde, sein: cio dm (H, + h, + H,) $, — (H, +h, + By) 1 T3 Tees woraus nach Bissetenng vorstehender = kürz H die Entfernung des Quecksilberspiegels im Gefüss | AA SE pain vom oberen Rand des letzteren, Bulletin de l'Académie Impériale 144 ziehens der Röhre aus dem Gefäss erfährt, genau ent- sprechen muss der Volumsvermehrung, welche die ganze Quecksilbermasse im Gefäss und in der Röhre durch ihre scheinbare Ausdehnung erleidet. Die letztere Grösse ist, wenn wir das Volumen der Quecksilbermasse im Gefässe bei 0° mit Ausschluss des in der Röhre enthaltenen durch V, bezeichnen, gegeben durch: (a — 38)t[V, + Q,H, + gh, + Q, H, +Q; AT, Der Niveau-Änderung : H. — H, = y in der Röhre entspricht die Volums-Vermehrung : Q, y (1 + 28t). Heissen wir: à L die Linge des den Bügel B und das Gefäss À ver- bindenden Halters, Y den linearen Ausdehnungscoeffizienten seiner Sub- stanz, ferner i die Länge und à denlinearen Ausdel füzient des Bügels B, so rückt für £^ C. der Ee Rand der unteren Röhren- erweiterung, von dem an wir H zählen, nach oben um: (Ly — 18 — hp) t und die der Niveau-Änderung im äusseren Gefäss ent- sprechende Volumsvermehrung des Quecksilbers ist daher gegeben durch: 0, - Dia —18 —hB)t —y](1 + 286). Endlich finden wir für den Raum, der im Gefässe durch das Heben der ganzen Röhre mit ihrem Inhalte in Folge der Ausdehnung des Rohrhalters L frei wird | und mit Quecksilber zu erfüllen ist, den Werth: (Q, + 4,) [Ly —B—(h, 2- Hy) B]E— (Qj +g ) ^, Bt. Unserem obigen Raisonnement zufolge ist daher die 2te Gleichung, wenn wir wieder die Glieder hóherer Ordnung vernachlässigen : 2. Q, = Y E O, A y ‘=| (a—38 ) ( V +Q Hatt, Hy +Q h) = = dza) LL y—l8—(h, +H, bt O +4, h.e —O,(Ly—l8—h,8)} t. Führen wir die aus den Gleichungen 1. und 2. sich ergebenden v Werthe für y und y in I. ein, so kommt: IL G, — SE = =8 .t. 12 ler Q,H, 0, Q H+ Q,"hy')— —(Q5 +40 "Laien JB) Qo" +40 "Yo B— — O(Ly—18 —hoB)--0,[(H,+H, ¡+hy)a—h8)]- — Utt (a 88 (V. degen Q He ONT —(Q +90 )[Ly—18—(ho+-Hy’)8] + (Qo +90 Mo 8— —0,(Ly—l3—h,B)— Qo [(4,+H/--ho) a— Aë Se -[Q H+ Qo +g )H, (a-28)—(qoho~qo' Ho —g ho Na 38). Bei unserem Instrumente ist aber: Qu = Q, und ON =4,; wir erhalten daher für dasselbe: I’. G,—G,= =S, -t(Q,(H,+H,)28+(3 9 — Qo) hoB-3-(Qo— Go) ha + + (go Hy" + goho — qo Hy) (a — 28) — E 0; [(a— 38) (Vo Qo (Ho Hy”) + go(ho=hy)— — Qu H+ Hy +ho)a + (Qo(ho +H o )+-Goho )8— — (go + Qo + Op) (Ly +18 — (hy + = hy’ + Hy’)8)]}- Hier ist bezogen auf unseren Apparat: Qo = 1 257E H, = DH. = 65, dd = £28 de == 130 E 120 ho == 630. Bc 20 A = 30 0, = 4165 5 > == J00 V, = 933000 Cub.-Mm.; / ==220. Ferner hat man: de LOB a — 0,0001815 ` (Quecksilber) . B = 0,0000082 (Glas) X = 0,0000126 (Eisen) — 0,0000188 (Messing). Sidon wir diese Werthe oben ein, so kommt: G,— G,—13, 56.07 [2,679—6 ,059-21- 140, 524-0, soy —4,189-+3 ‚3370, 173+0 ,429] 10027 Milligramme. - Hieraus folgt also, dass bei unserem > eine Erhühung der Temperatur um 10° C. eine Ge- wichtszunahme der e um 18,6 Gramme bewir- ken soll. 145 des Sciences de Saint- Petersbourg. Um zu untersuchen, inwiefern die Erfahrung die- ser Folgerung aus der Theorie entspricht, liess ich das Zimmer, in welchem der Apparat aufgestellt ist, wiederholt so weit als es die Umstände gestatteten, abkühlen und jeweilen sowohl die Temperatur des Quecksilbers, als auch den Barometerstand an einem Normalbarometer zur Zeit der Markirung ablesen. Vermittelst des vorher schon ermittelten Werthes des Zeigerausschlages bei constanter Temperatur — bei- läufig 3 Millimeter für je 1 Millimeter Änderung im Barometerstande — wurde hernach aus den direct gemessenen Barometerständen und den correspondi- renden Markirungen des Zeigerstandes am Registrir- Barometer der Werth einer fixen Linie auf dem Pa- pierstreifen berechnet. Die hierbei sich ergebenden Variationen sind, abgesehen von den kleinen durch die Beobachtungsfehler bedingten Differenzen, offen- bar allein dem Einflusse der Temperaturänderung bei- zumessen. Aus einer grösseren Zahl solcher Messun- gen ergaben sich folgende Mittelwerthe: Variation der fixen Linie entsprechend 10? Temp. Diff. ' Temperatur-Variation bei der Beobachtung 1272 — 1872 17108 10,9 — 15,6 1,149 8,4 — 18,8 1, 090 Mittel: 1, 114 Barometerstand. Eine Temperatur-Erhöhung um 10° hat somit bei unserem Apparat eine scheinbare Vermehrung des Barometerstandes-von 1,053 Millimeter zur Folge, was einer Lesotho der Röhre um 18,9 Gramme entspricht, indem eine Anderung des ER meterstandes um 1 Millimeter das Gewicht der Röhre um 17 Gramme steigert. Die vorstehende erfahrungs- mässige Zahl entspricht der obigen theoretisch gefun- denen so gut, als dies bei der Schwierigkeit einer genauen Beobachtung und Berechnung in einem con- ereten Falle nur immer erwartet werden kann. Wir können also die Richtigkeit der theoretischen Betrach- tung durch unsere Versuche als erwiesen ansehen. Soll nun das Wagbarometer gegen den Einfluss der Temperatur compensirt werden, so muss: G,—G,=0 werden. Die Zahlen-Werthe der einzelnen Glieder in dem Ausdruck für G, — G, zeigen aber, dass dies bei unserem im Diricen’ unveränderten Apparate nur da- durch geschehen könnte, dass man das Volumen des | im Gefässe enthaltenen Quecksilbers ungefähr 33 Male! Tome XV. grösser machte, d. h. also eirca 32 Liter oder 430 Kilogramm dreien aufwendete. ` Ein anderes Mittel zur angenüherten Temperatur- Compensation bestände darin, dass man: q, = Q, machte, d. h. die Röhre überall gleich weit nähme, indem dadurch das 3te Glied im Ausdrucke für G, — G,, das alle anderen weit übertrifft, gleich Null würde. In unserem Falle stiege aber dadurch das Gewicht der Röhre von 2,5 Kilogramm, die es jetzt beträgt, auf 13 Kilogramm, was eine bedeutende und jeden- falls auch wieder die Empfindlichkeit beeinträchti- gende Verstärkung aller Theile der Wage erheischen würde. Für die unmittelbare praktische Ausführung eignen sich daher diese beiden Methoden nicht, und ich habe deshalb folgendes einfache Mittel angewen- det, um in leichterer Weise die Angaben des Baro- meters von der Temperatur unabhängig zu machen. Statt des Gegengewichtes an der horizontalen Stahl- stange des Wagebalkens wurde an derselben ein 230 Millimeter hoher Messingbügel angehängt, der ein oben offenes, unten geschlossenes 30"" weites Glas- rohr von ungefähr derselben Länge trägt. Das Letz- tere ist mit Quecksilber gefüllt, so dass sein Ge- wicht sehr nahe gleich demjenigen. des ursprüng- lichen Laufgewichtes ist. In das Quecksilber dieses Rohres taucht das offene nach unten umgebogene ca- pillare Ende eines grossen, ebenfalls mit Quecksilber gefüllten Ausflussthermometers ein, welches an der Rückwand des Gehäuses befestigt ist und die Wage in ihrer Bewegung in keiner Weise hemmt. Erhöht sich die Temperatur, so ergiesst dieses Ausflussthermo- meter eine seiner Grösse entsprechende Menge von Quecksilber in das Rohr am Wagbalken und umge- kehrt entnimmt es demselben Quecksilber, wenn die Temperatur sinkt. Es wird somit unser Instrument für die Temperatur compensirt sein, wenn das Aus- flussthermometer eine solche Grösse hat, dass es in der erörterten Weise gerade ebenso viel den b Arm des Wagbalkens schwerer macht oder erleichtert als die Barometerröhre auf der andern Bu durch den Einfluss der Temperatur an ht zu- oder abnimmt. Zu dem Ende aber muss ur unserem Ap- parate, gestützt auf das obige Resultat über den Ein- ep Me ën | selben, das Volumen des sters * we E der Gleichung ent- 10 Bulletin de l’Académie Impériale 2148 P. Vo (a— 38). o =P. 1862, wo p den Hebelarm, an welchem die Barometerröhre, p' denjenigen, an dem das angehängte Quecksilber- gefäss wirkt, repräsentiren. Nun ist: 15200; D = 240", so dass man unter Einsetzung der Zahlen Werthe ER eraat: y; — 729300 Cubic-Millimeter oder das Ausfluss-Thermometer muss 9,89 Kilogramm Quecksilber fassen. Durch ein Versehen des Glasblä- sers bei der Anfertigung des letzteren wurde: V, — 987700 Cubic-Millimeter gemacht. In Folge dessen ist unser Instrument über- compensirt und zwar, wenn wir zurückrechnen, in der Art, dass für je 10^ Temperatur-Erhóhung unsere Barometerröhre statt schwerer jetzt um 6,6 Gramme leichter wird, was einer Verminderung des Barome- terstandes um 0'739 entspräche. Die in ähnlicher Weise, wie oben angegeben wurde, seither angestell- ten Controll-Beobachtungen haben statt der letzteren Griese, ien Werth 0""40 ergeben, was als eine neue ng der Richtigkeit unserer Theorie betrach- tet bc kann. Eine vollständige Temperatur- Compensation wird aber hiernach ohne Änderung des Ausflussthermo- meters bei unserem Apparate dadurch erzielt werden können, dass than das Quecksilbergefäss, in welches dasselbe einmündet, durch Verschiebung am horizon- talen Wagarme der Drehungsaxe bis auf 177 Milli- meter annähert. Es ist sonach durch die neue Einrichtung die Auf- gabe der Temperatur-Compensation des Wagbarome- ters ohne weitere Beschwerung des Wagbalkens und unter Aufwendung einer verhältnissmässig geringen Quecksilbermenge gelöst. Neue Untersuchungen über die in den altaischen Höhlen aufgefundenen Säugethierreste, ein Beitrag zur quaternären Fauna des Russi- schen Reiches, von Akademiker F. Brandt. (Lu le 10 février 1870.) Dass in den aus Kalkstein gebildeten Gebirgszügen der nordwestlichen Abdachung des Altai, im Gebiete des Flusses Tscharysch, eines Zuflusses des Ob, Höh- len vorkommen, berichtet bereits Pallas. Von mehreren, etwa fünf Werst von Tigeräzk und etwas weiter entfernten, Höhlen, die er besuchte, spricht er namentlich im Theil II S. 562 ff. und S. 575 seiner Reise durch verschiedene Provinzen des Russi- schen Reiches. In keiner derselben sah er jedoch Thier- reste, wohl aber in einer, S. 564 erwähnten, drei Kal- mücken-Schädel nebst andern (er meint wohl mensch- . lichen) Knochen, so wie einige aus Holz oder Knochen geschuitzte Kleinigkeiten"). Auch berichtet er (S. 567) vou seiner Absicht den Bach Charchara (soll wohl richtiger heissen das Flüsschen Chanchara) zu besu- | chen, an welchem etwa 60 Werst von seiner Mündung in die Inga (einen Zufluss des Tscharysch) im alaba- sterartigen Gebirge eine beträchtliche Höhle ware, | worin viele Gebeine von nicht geringer Grösse sich - finden sollen. Erst im Jahre 1831 veröffentlichte mein verstorbe- ner Freund, der Medicinal- Inspector des altaischen Bergreviers, der um die Naturgeschichte des Altai viel- fach verdiente Staatsrath Dr. Gebler in Barnaul, im Bullet. d. nat. d. Moscou T. III p. 232 einen aus- führliehen Bericht über die Beschaffenheit der von ihm mit einem Bergbeamten, Kulibin, besuchten, in der Nähe des Tscharysch befindlichen, Höhlen und sandte einen Theil der darin gefundenen Knochen theils an das Museum der Kaiserlichen Akademie der Wis- senschaften zu St. Petersburg, theils an die Univer- sität Dorpat und an die Naturforschende Gesellschaft in Moskau. Zwei Jahre spüter erschien zu St. Petersburg im zweiten Bande des Berg-Journales (op ¿Kypuarb 1833, yacts 2, erp. 331) ein russischer Aufsatz des Gebler’ schen Begleiters, des bereits erwähnten Hrn. Kulibin, worin nicht nur die schon Pallas (siehe oben) bekannten; von Gebler näher geschilderten, am rechten Ufer des Tscharysch, uahe beim. Dorfe Tschagirskoi gelegenen, 90 Werst von Smeinogorsk (Sehlangenberg) entfernten Höhlen’), — Sach . 1). Ausser diesen von Pallas erwähnten pisia gebei ten Kleinigkeiten lieferten weder die ee noch die chan- charischen Hôhlen bis jetzt auf den Menschen ee Gegen- de. Man kann übrigens daran zweifeln, ob die nirgends näher beschriebenen, im Museum der Akademie nicht vorhandenen, Schä- del kalmükische waren, oder einem andern Zweige des mongolischen Stammes angehörten. 2) Die Beschreibung bezieht sich nur auf einige von ihm be- suchte Höhlen. Der gefälligen Mittheilung meines Colleges Y. Hel- mersen zu Folge giebt es aber im altaischen Bergrevier zwei be- 149 des Sciences de Saint - Petersbourg. 150 ` noch zwei andere am rechten Ufer der Chanchara zwölf Werst vom Dorfe Tschagirskoi vorhandenen Höhlen (deren eine auch schon Pallas erwähnt, siehe oben) umständlich beschrieben sind. Der eben erwähnten Beschreibung ist (crp. 338) ein von Sem- bnitzki unter dem Beirathe Panders verfasstes Ver- zeichniss der in einer der tscharyscher und einer der chancharischen Höhlen, in einer oberflächlichen, ge- gen sieben Fuss mächtigen, Thonschicht vom Hrn. Kulibin gefundenen Knochen beigefügt, welche dem Museum des Kais. Berg-Institutes auf Verfügung des damaligen Ober-Berghauptmanns des Altaischen Berg- revieres (spütern Ministers der Volksaufklürung) Hrn. Kowalewski's eingesandt worden waren. Das er- wühnte Verzeichniss wurde für die allgemeine Kennt- nissnahme, da es, wie der Bericht über die Höhlen, in Russischer Sprache abgefasst war, von G. Fischer (Bullet. d. nat. d. Moscou T. VII. (1834) p. 180) in franzósischer Übersetzung mitgetheilt. Es sind darin die Namen folgender Thierformen auf- geführt, denen die aufgefundenen Knochen vindicirt wurden: Rhinoceros, Equus, Cervus, Bos, Lama, Rumi- nantia generis ignoti, Felis, Hyaena, Grison, Canis, Lupus, Carnivora ignota, Arciomys, Mus, Ges, La- gomys, Glires varü, Chiroptera, und Aves. Uber die von Gebler nach Dorpat gesandten Reste theilte Rathke (Nouv. Mém. d. nat. d Mose. T. III. p. 267), über die nach Moskan gelangten aber G. Fi- scher (ebend. p. 283) Bemerkungen mit. Der Letz- tere erläuterte dieselben theilweis durch Abbildungen. Wir werden auf ihre Untersuchungen noch öfter zu- rückkommen, da sie ohne Frage als beachtenswerthe Grundlagen unserer Kenntniss der in den altaischen Höhlen gefundenen Thierreste anzusehen sind. Im Jahre 1834 besuchte Hr. v. Helmersen (siehe Gr. v. Helmersen’s Reise nach d. Altai in H. v. Baer’s | und Helmersen’s Beitr. Bd. XIV (1848) p. 252) die unweit Tschagirskoi (nicht weit vom Einfluss der Inga in den Tscharysch) gelegenen Kalksteinhóhlen, wovon eine zahlreiche Reste von Vierfüssern enthielt, während zwei andere die Knochen noch lebender, kleiner Sän- gethiere (namentlich Nager) und Vögelknochen dar- kannte Gruppen von Höhlen (im ëch? AP es 22 sein), Die eine i rechten Ufer des Tsc liegt Silbergrube Tschagirskoi; sie war es, rien p y. ipod : selbst besuchte (s. unten). Die andere Gruppe befindet sich am Flüss- | chen Chanchara. boten. Die damals dort von ihm gesammelten, später dem Mineralogischen Museum der Kais. Petersburger Akademie der Wissenschaften geschenkten, Säuge- thierknochen theilte er in solche, welche ausgestor- benen Thieren angehörten (so die von Æquus, Hyaena, Ursus und Rhinoceros tichorhinus) und andere (wie die von Cervus pygargus, Lepus, Aspalax, Canis und Pu- torius), welche von noch lebenden Thieren herrühren. Eichwald hat in seiner Lethaea rossica Vol. LIT (1853), dernière période, Mammifères p. 366 ff. die al- |taischen Höhlenfunde fleissig aufgeführt; ich vermag jedoch mit seinen Deutungen derselben häufig nicht übereinzustimmen. Wiinschenswerth wäre es auch ge- wesen, er hütte stets die Quellen und Sammlungen, worauf seine Angaben beruhen, genau angegeben und namentlich die Chanchara-Hóhlen nicht gar zu oft statt der tscharyscher als Fundorte genannt. Die genauere Vergleichung der noch nicht mit den gehórigen Bestimmungen versehenen Reste aus den tscharyscher Hóhlen, die theils durch Gebler an das Museum der Akademie der Wissenschaften #elangten, theils vom Herrn v. Helmersen demselben geschenkt wurden, ergab, dass die früheren Mittheilungen die Kenntniss der Thierarten, deren Reste die- Höhlen ent- halten, durchaus nicht erschöpften, Ich bat daher den Director des Berg-Institutes Hrn. Generallieutenant v. Helmersen, auch die aus den altaischen Hóhlen stammenden Reste von Säugethieren in den Kreis mei- ner Untersuchungen ziehen zu dürfen, yeiche sich im Museum des genannten Institutes befinden $). Die Bitte wurde sehr gern gewührt. Es stand mir also für die Höhlenfauna des Altai ein Material zu Gebote wie keinem meiner Vorgänger, welches mich in Stand setzte, durch im zootomischen Museum der Akademie der Wissenschaften angestellte genaue Vergleichung aller einzelnen, bestimmbaren Reste‘) mit deni inei entsprechenden Skelettheilen in Sibirien 1e1mISC! Süugethiere, dieschon, wie bekannt, hre: cennien zu den Gegenständen meiner : ez 3) Leider fehlten der Sammlung fast impor dio Pa ande > ¿a nitzki’schen Etiquetten, so dass einige _combinatorisch pedir a werden konnt n Sc , n Eichwald nat: de Gees T. XVIII (1845) p- n Knochen n der Ye 151 Bulletin de l'Académie Impériale 152 dien gehören, nicht nur die Zahl der bisher aufge- führten Säugethierarten, von denen Reste in den frag- lichen Höhlen gefunden wurden, durch neue Nach- weise zu verdoppeln, sondern auch viele frühere Be- stimmungen zu berichtigen. Nachstehend möge nun als Ergebniss meiner Untersuchungen eine specielle cri- tische Aufzählung der altaischen Höhlenreste aus der Classe der Säugethiere folgen. ORDO 1. CHIROPTERA. 1. Genus Vesperugo Blas. Kays. Spec. 1. Vesperugo borealis Nilss. 2, Genus Plecotus Geoffr. Spec. 2. Plecotus auritus Linn. Geoffr. Beide gegenwärtig nebst Vespertilio Daubentonii in Sibirien lebende Arten lieferten zahlreiche, im Museum des Berginstituts aufbewahrte, noch so wohl erhaltene Knochen der vordern Extremitäten, dass sie offenbar Thierarten angehörten, welche in den jüngsten Zeiten | ihren Fugdort bewohnten, ja vermuthlich noch jetzt bewohnen. Dass die Knochen, welche Ei chwald (Lethaea III p. 409) Vespertilio murinus vindizirt, dieser Art nicht angehören, dafür spricht, abgesehen von meinen mit Genauigkeit angestellten Vergleichungen derselben mit denen verschiedener Fledermausarten, auch der Um- stand, das Vespertilio murinus in mehr nördlichen Ge- genden nicht vorkommt, namentlich in Sibirien noch nicht beobachtet wurde. Auch Rhinolophus ferrum equinum, Daub., die, wie Hr. Eichwald meint, mög- licherweise in des altaischen Höhlen erwartet werden kónnte, ist bisher noch nicht in Sibirien constatirt. Eher künnte Fespertilio nociula darin gefunden wer- den. Man dl Pétersb. VI" Ser. Sc. math. phys. et nat. T. VII"). ORDO IL INSECTIVORA. 3, Genus Sorex Linn. Spec. 3. Sorex vulgaris Linn. Mus. Adolphi. Unter den vom Herrn y. Helmersen aus den tscha- 5} Da die Kenntniss der Verbreitung der Thiere für die — ogischen Studien von grósster Wichtigkeit ist, so móge erlaubt sein, hier auf meine bisher meist übersehenen Mittheilun- - über die Verbreitung der gemeinsten Säugethiere in Russland die sich als Anhang in Hofmann's Reise: Der nórd- liche Ural : Ba. IT befinden. Ueber d. Hand- | flügler Russlands in den Mém. d. P Acad. Imp. d. St.- | ryscher Hóhlen mitgebrachten Knochen fand ich ei- nen dieser auch in Sibirien sehr gemeinen Spitzmaus angehórigen, sehr frischen, Schnauzentheil des Schá- dels mit allen seinen Zähnen. Pander, Rathke, Fi- scher und Eichwald erwähnen keine Reste einer Spitzmaus. 4, Genus Talpa Linn. Spec. 4. Talpa europaea Linn. Die Sammlung des Berginstitutes enthält von die- ser Thierart ein Becken und ein Schulterblatt, die unter den Knochen der tscharyscher Hóhlen von mir aufgefunden wurden. Maulwurfsreste waren bisher aus den altaischen Hóhlen nicht bekannt. ORDO HI. CARNIVORA. Familia Felida. 5, Genus Felis Linn. Spec. 5. Felis tigris Linn. In der aus den tscharyscher Hóhlen stammenden Sammlung des Berginstituts fand ich je einen Metacar- pialknochen der fünften Zehe des rechten und linken Vorderfusses dieser Thierart, deren dortiges Vorkom- men weder Rathke und Fischer, noch Eichwald er- wähnen, was übrigens nach Maasgabe der Verbreitung derselben eben nicht überraschen kann. Man vgl. meine Monographie: Ueber die Verbreitung des Tigers in den Mém. d. l'Acad. Imp. d. St.-Péterb. EI ser. Sc. math. phys. et nat. T. VIII. Im Pander'schen Verzeichniss ist allerdings von Hauern die Rede, welche einem Ti- ger angehören sollen. Es gelang mir indessen nicht, in der Sammlung des Berginstitutes unter den chen: scher Knochen solche Zähne als sichern Beleg aufzu- finden. Spec. 6. Felis Uncia Schreb. Buff. Ein aus den tscharyscher Hohlen stammendes Os metacarpi digiti tertii pedis dextri, welches in der Sammlung des Berginstitutes sich befindet, gehört nach meinen genaueren Untersuchungen din gros- sen, in Sibirien bis zum Altai vorkommenden, Katzen- art an. Eine Unterkieferhälfte aus der Chanchara-Höhle derselben Sammlung, wohl dieselbe, welche nach Eich- wald (Leth. p. 406) dieser Art, oder der (in den al- taischen Höhlen bis jetzt nicht nachgewiesenen) Felis | spelaea (= leo) angehören könnte, ist ohne Ee die eines Luchses. 153 des Sciences de Saint-Pétersbonrg. Spec. 7. Felis lynx Linn. Das Museum des Berginstitutes besitzt von dieser bei Pander, Rathke, Fischer und Eichwald nicht aufgeführten Thierart aus den tscharyscher Höhlen zahlreiche Reste, namentlich die eben erwähnte rechte Unterkieferhälfte mit ihrem Eckzahn und drei Backen- zähnen, nebst verschiedenen Knochen sowohl der vor- dern als der hintern Extremitäten. Das Museum der Akademie der Wissenschaften verdankt Herrn v. Hel- mersen einen untern, hintersten, linken, selir charak- teristischen Backenzahn und Hrn. Gebler eine Tibia. Familia Hyaenida. 6. Genus Hyaena Briss, Spec. 8. Hyaena spelaea Goldf. Bereits Pander, Rathke und Fischer nebst Eich- wald sprechen von Fragmenten des Unterkiefers, ja selbst des Oberkiefers nebst zahlreichen Záhnen, die aus den altaischen Hóhlen stammen und einer Hyaene angehören, welche ich ebenfalls, nach Maasgabe der bis jetzt von mir beobachteten Reste, von Hyacıa spelaea nicht unterscheiden kann, so dass ich also die von Lar- tet (Ann. d sc. nat. 1861 T. XVIp. 217) hinsichtlich der Bestimmung der altaischen Reste ausgesproche- nen Bedenken nicht zu theilen vermag. Ich weiss frei- lich nicht, warum Eichwald (Leth. 111 p. 407), nach- dem er bereits die chancharischen Hyänenreste mit Recht der Hyaena spelaea zugewiesen, die Worte hin- zufügt: L’espece se rapproche beaucoup de l'espèce - fossile (Hyaena spelaea) des cavernes à ossements de Kirkdale et de Gailenreuth, Worte, die wohl Lartet’s Bedenken veranlassten. Auffallend bleibt es freilich, dass die in den altai- schen Höhlen vorkommenden Hyänenknochen nicht denen einer noch jetzt in Westasien bis Persien ver- | breiteten Art (Hyaena striata), sondern denen der echten afrikanischen Hyaena crocuta ähneln. Mir will es übrigens scheinen, dass die in Deutsch- land, England u.s.w. so häufig mit denen vom Mammuth und Rhinoceros tichorhinus gefundenen Uberreste der Hyaena spelaea darauf hindeuten, dass diese Thierart als Begleiterin des biischelhaarigen Nashorns und Mammuths schon in Sibirien aufgetreten, ja s mit denselben erst von da nach Europa, nach dem| Eintritt oder dem Beginn der Eiszeit, eingewandert sei. | Die Sammlung des Berginstitutes bot mir ausser Helmersen die mit einem § sieben Unterkiefertheilen mit mehreren oder einzelnen Zähnen nur einzelne Eck- und Backenzähne. Knochen der Extremitäten, wovon Pander und Sembnitzki sprechen, konnte ich dagegen darin nicht auffinden. Eichwald (Leth. a. a. O.) führt zwar ebenfalls in den chancharischen Höhlen gefundene Extremitäten an, wobei er sich aber wohl auf die Angaben Pander’s und Sembnitzki’s stützt. Das akademische Museum besitzt aus den tschary- scher Höhlen durch Gebler den Unterkiefer eines sehr jungen Individuums mit den Milchbackenzähnen, so wie mehrere Eck- und Backenzähne, durch Herrn v. Helmersen aber zwei Fragmente des Unterkiefers, nebst mehrern, zum Theil — nÀ Eck- und Backenzühnen. Familia Canida. Obgleich Pander und Sembnitzki bereits, ausser den Knochen eines nicht specifisch bestimmten Canis, auch die des Wolfes unter den in den altaischen Hóh- len gefundenen Resten aufführen, so schweigen doch Rathke und Fischer ganz darüber. Eichwald (Leth. III p. 408) kennt aus den genannnten Höhlen nicht nur Wolfs-, sondern auch Fuchsreste. 7. Genus Canis. Spec. 9. Canis lupus Linn. Das Museum des Berginstitutes besitzt die Hirn- kapsel eines Schädels, der, wenn man ihn nicht ge- nauer mit mehreren Schädeln des lebenden Wolfes vergleicht, Abweichungen zu bieten scheint, die aber bei nüherer Betrachtung sich als unwesentlich heraus- stellen. Ausser der genannten Hirnkapsel enthält die ` erwühnte Sammlung eine linke Unterkieferhülfte mit vier Backenzühnen, die Scapula und den Humerus, den Radius, zwei Beckenfragmente und den Metatar- ns o [Ai E zahn und vier Backenzähnen ve e E kieferhälfte eines jüngeren Thie ler aber einen SS d 155 Bulletin de l’Académie Emperiale 156 unter der Rubrik Esp. 50 Canis spelaeus Goldf. unter- bringt, und wie er nach Maassgabe derselben zu der Aeusserung sich veranlasst sehen konnte: le corps était en général plus grand. In der Vorzeit, wo es eine beträchtliche Zahl grösserer Individnen von Hir- schen, Rehen, Wildschweinen, Bären u. s. w. gab, mögen (wie noch jetzt in manchen Gegenden Asiens) allerdings auch die Wölfe häufig grösser geworden sein. i Spec. 10. Canis vulpes Linn. Im Museum des Berginstitutes finden sich von die- sem Thiere folgende aus den altaischen Höhlen stam- mende, ohne Frage dem gewöhnlichen Fuchs angehö- rige, Stücke- Der Schnauzentheil des Schädels ohne Nasenbeine nebst den drei hinteren Backenzihnen jeder Seite, drei Unterkieferhälften (jede mit je einem Backenzahn), ferner vier einzelne Schneidezähne, ein kleiner Backenzahn, ein Riickenwirbel, ein rechter Oberarm, ein rechter und ein linker Radius, ein rech- tes und ein linkes Schienbein und ein rechtes, so wie ein linkes Os metacarpi der Mittelzche. Das Museum der Akademie der Wissenschaften be- sitzt nur ein Schienbein und einen Halswirbel, die sich in der von Gebler erhaltenen Sendung fanden. Alle eben angeführten Reste, die sogar theilweise kleineren Individuen angehörten, beweisen indessen keineswegs die Annahme Eichwald’s (Leth, III p. 408), dass sie einer besonderen, ausgestorbenen, Ari oder Race angehörten und dass der fossile Fuchs der altaischen Höhlen (sein Canis vulpes fossilis L.) etwas grösser als der gewöhnliche war und sich auch noch durch andere, weniger wichtige, Charaktere unterschie- | Spee. 11. Canis corsac Linn. Das ebenfalls in einer der altaischen Höhlen ge- fundene Schenkelbein eines hundeartigen Thicres, welches das Museum des Berginstitutes besitzt, lässt sich besser auf diese, der Fauna Sibiriens ebenfalls angehörige, in den früheren Verzeichnissen der altai- schen Höhlenreste fehlende, Art als auf den eigent- lichen Fuchs beziehen. Familia Ursida. 8. Genus Ursus Lina, - Spec. 12. Ursus arctos Linn. | der und Sembnitzki erwähnen bereits in ih- rem Verzeichniss der Knochen der altaisehen Hóhlen eines Fragments des Unterkiefers eines Bären, mit einsitzendem ersten und dritten Backenzahu, das dem entsprechenden Theile des Ursus spelaeus Goldf. sich nähern soll. | Rathke lag aus den tscharyscher Hóhlen ein gros- ser Eckzahn vor, den er für den eines Düren er- klárte. G. Fischer fand unter den von ihm unter- suchten Hóhlenknochen keine Bärenreste. Eichwald (Leth. III p. 401) vindicirt ohne Bedenken die Bären- reste der tscharyscher und chancharischen Hóhlen dem Ursus spelaeus. Das Akademische Museum besitzt von dorther den Eckzahn eines alten und den Backenzahn eines jun- gen Dáren. à Im Museum des Berginstitutes fand ich ebenfalls als von dorther stammend das Unterkieferfragment eines Bären mit einem Backenzahn, nebst mehreren sehr grossen Eckzähnen. Da nach den bestätigendeu Untersuchungen, welche ich in mehreren Museen Deutschlands, namentlich in Wien, München, Stutt- gart, Darmstadt, bonn und Berlin an gegen hundert Schädeln des Höhlenbären unter Zuziehung sehr gros- ser Schädel des Ursus arctos anstellen konnte, Ursus spelacus nur durch den überaus frühen Verlust der falschen Backenzähne, und durch im Verhältniss grós- sere wahre Backenzähne von Ursus arctos sich unter- scheiden lässt, was auch die südrussischen Bärenreste bestütigen, so liefern die oben aufgeführten Reste aus den altaischen Hóhlen, die das erwühnte charakte- ristische Hauptmerkmal des Hühlenbären (den Mangel der falschen Backenzähne) nicht zeigen, allerdings auch nicht zeigen können, keinen Beweis, dass sie dem Ursus spelaeiis angehörten. Da sie nun ein ziem- lich frisches Ansehen besitzen und bei weitem die Mehrzahl der Thierarten, mit deren Knochen sie zu- sammen gefunden wurden, noch jetzt in Sibirien lebt, so kann man sie wohl mit pone hehe ^ keit Ursus arctos vindiciren. 3 Damit soll kei regs 9ehaug spelaeus früher Sibirien keines W . Es ist | vielmehr sein Vines e wenn n auch noch nicht nachgewiesener, Aufenthalt mit grosser Wahrschein- lichkeit wohl um so eher anzunehmen, da seine Reste mit denen des Elephas primigenius, Rhinoceros tichor- | hinus und Hyaena spelaea in andern Ländern (Eng- “FT. v Foo aes x E ` ; ZC? 157 des Sciences de Saint - Pétersbourg. land, Frankreich u. s. w.) nicht selten vorkommen und ihn daher zu ihrem Begleiter stempeln. Auch ist durch Nordmann’s umfassende, wohlbe- kannte, Untersuchungen, denen ich aus eigener Erfah- rung gern beistimme, nachgewiesen, dass Ursus spe- laeus früher in Südrussland in überaus grosser Menge vorkam, so dass Eichwald (Leth. III p. 401) in sei- nem Rechte ist, wenn er ihn nach Maassgabe dieses Vorkommens als Esp. 14 unter den der letzten ter- tiären Periode angehörigen Säugethieren Russlands aufführt. Nur braucht der gewaltige Bär, der sich seiner Mittheilung zu Folge im Jahre 1096 auf den Kiewschen Grossfürsten Wladimir Monomach warf, gerade kein Ursus spelaeus gewesen zu sein, da noch in der Jetztzeit, namentlich in Sibirien und Kam- tschatka, wie das zoologische und zootomische Mu- seum der Akademie nachzuweisen im Stande sind, In- dividuen von Ursus arctos vorkommen, welche in der Grösse Ursus spelaeus nicht nachstehen. benso wenig werden dem Ursus spelaeus die er- wähnten altaischen Reste nothwendigerweise deshalb zu vindiciren sein, weil er wohl, wegen der unbedeu- tenden, oben angegebenen Merkmale, ebenso als Ur- form des Ursus arctos angesehen werden könnte wie Bos priscus als die des Bos bison, da die Identität des Ursus spelacus und arctos noch nicht mit Sicherheit durch völlig schlagende Uebergänge hinsichtlich des Zahnsystems nachgewiesen ist, obgleich die Möglich- keit eines solchen Nachweises wohl nicht abzuleugnen | P sein dürfte. | m Familia Mustelida. 9, Genus Meles Briss, Spec. 13. Meles. taxus Schreb. Der siebente Halswirbel befindet sich in der Samm- lung des Berginstitutes und ein Zehenglied im Museum der Akademie. Weder Pander, Rathke und Fischer, noch Eichwald kannten Dachsreste aus den altai- schen Höhlen 5). 6) Nach Échelle III p. 02) sollen in einer chancha- rischen Höhle Knochen von Gulo spelaeus Goldf. vorgekommen sein. Pander, Sembnitzki, Rathke und Fischer schweigen indessen über dort gefundene Reste desselben. Auch ich habe we- der in der Sammlung des Berginstitutes, nech in der der Akademie der Wissenschaften die geringste Spur davon entdeckt. Gleichwohl könnten die altaischeu Reste des in Sibirien heimischen Vielfrasses (G (G ulo ver wirklich enthalten, von dem aber, meinen in drei deutschen Muscen gemachten Studien zu Folge, @ en spe- | ar inen sich Atay keine durchgreifenden Kennzeichen ada L 7) Put 10. Genus Mustela, : Subgen. Mustela. Spec. 14. Mustela zibellina Linn. Ein Fragment der linken Hälfte des Oberkiefers mit einem Backenzahn, ein Halswirbel, zwei Rippen und. der linke Oberarm fanden sich unter den von Gebler der Petersburger Akademie übersandten tscha- ryscher Hóhlenresten. Das Museum des Berginsti- tutes besitzt ebenfalls einen Halswirbel und einen Oberarmkuochen. — Dass Reste des Zobels in den tscharyscher Hóhlen vorkommen, wurde bisher nicht bemerkt. Sehr wahrscheinlich gehören aber die von Eichwald (Leth. LIT p. 404) der Mustela martes fos- silis zugeschriebenen' Knochen der cavernes ossiféres dem Zobel an, da, so viel ich in Uebereinstimmung mit Pallas weiss, Mustela martes in Sibirien zu feh- len scheint und durch M. zibellina ersetzt wird. Subgen. Putorius. Spec. 15. Mustela putorius Linn. Der erste, der das Vorkommen von Mustela puto- rius in den tscharyscher Höhlen genauer besprach und (Taf. XXI fig. 3,£) einen Schädel desselben abbildet, war G. Fischer v. Waldheim (Now. Mém. d. nat. d. Moscou.T. III p. 290). Er mochte jedoch den fraglichen Schädel wegen einiger Abweichungen nicht auf Putorius beziehen. Eichwald meint (Leth. III p. 404), die chancharischen (er wollte sagen tschary- scher, denn die von Gebler nach Moskau gesandten Knochen stammten aus den tscharyscher Höhlen) Reste - | unterschieden sich wenig von den entsprechenden Theilen der lebenden Form. Dennoch führt er sie unter der Rubrik seines Putorius vulgaris") fossilis spelaeus Fisch. l. c. auf. In Museum des Berginstitutes, so wie in dem der Kais. Akademie der Wissenschaften findet sich eine namhafte Zahl von gs die gie Ge c 1 keine mag. ab ABE ilo s $ der altaischen Worauf SHEET er beiläufige ibe des Sembnitzki'schen de glouton»? Unmög- hen Grison auf Gulo Bulletin de l'Académie Impériale Das Berginstitut besitzt einen grésseren und klei- neren Schädel, eine einzelne Unterkieferhälfte, einen denwirbel und einen Oberarmknochen. Im Aka- demischen Museum sind das Fragment eines Unter- kiefers nebst seinen drei hinteren Backenzähnen, zwei Oberarmknochen, ein Oberschenkel, der Schnauzen- theil des Schädels mit den drei hinteren Backenzäh- uen, die rechte Hälfte des Unterkiefers mit zwei Backenzähnen und vier Rippen vorhanden. — ANHANG. In dem von Pander und Sembnitzki mitgetheil- ten Verzeichniss der altaischem Höhlenreste sind die eines Raubthieres (namentlich ein grosser und kleiner Schädel nebst einer Tibia desselben) aufgeführt, das sie Grison nennen, ein Name, welchen bekanntlich die Franzosen der in Surinam heimischen Viverra vit- tata, also einem Thiere ertheilen, das in Sibirien nicht zu erwarten ist. Da nun der vermeintliche Grison der altaischen Höhlen, wovon Pander und Sembnitzki eine grosse und kleine Art unterscheiden, ein Iltiss- gebiss besitzen soll, das Berginstitut aber gerade von dorther nur einen grossen und kleinen Schädel des litisses, jedoch keine anderen mit einem Jitissgebiss, | besitzt, so dürfte wohl im fraglichen Verzeichniss | Poutois statt Grison zu setzen sein, was um so glaub- licher erscheint, da das genannte Verzeichniss ausser dem vermeintlichen Grison kein anderes wieselartiges | Thier aufführt. Weder Rathke, noch Fischer, ja selbst nicht Eichwald, spricht von Resten eines- Grison, obgleich es gerade Sache des Letztern gewe- sen wäre; in der Lethaea ein Urtheil über den ver- meintlichen Grison abzugeben. " Spec. 16. Mustela sibirica Pall. Von dieser, bei keinem meiner Vorgänger ange- führten, Art findet sich im Museum der Akademie der charakteristische Schnauzentheil des Schädels mit seinen beiden hintersten Backenzähnen nebst vier Exemplaren der Fibula, während das Museum des Berginstitutes nur das BER des Radius des lin- = Fusses aufzuweisen hat. ORDO IV. GLIRES. Subordo Sciuromorphi Brdt. Familia Sciuroides. Subfam. Sciurina. 11, Genus Tamias Mig. Spec. 17. Tamias striatus Ill. Linn. Unter den vom Herrn Dr. Gebler eingesandten Knochenresten des Museums der Akademie fand ich die rechte Hälfte des Unterkiefers mit fehlenden Backenziihnen, dieses in den bisherigen Verzeichnis- sen der altaischen Höhlenreste fehlenden Thierchens, welches in Sibirien häufig vorkommt. 12. Genus Pteromys Geoffr, Spec. 18. Pteromys volans Linn. Geoffr. Die tscharyscher Höhlenreste des Berginstitutes boten mir einen rechten Oberschenkel dieses inter- essanten, in Sibirien weitverbreiteten, wiewohl nicht sehr häufigen, Nagethiers, welches in den vorhande- nen Verzeichnissen der altaischen Höhlenreste eben- falls nicht genannt ist Be: 13. Genus Aretomys Schreb, Spec. 19. Arctomys bobac Schreb. Bereits Pander und Sembnitzki erwähnen in ih- rem Verzeichniss der tscharyscher Höhlenresie unter der Rubrik Cypsn (Marmotte bei Fischer) Schädel, Bruchstücke des Ober- und Unterkiefers und Schneide- zähne eines Murmelthieres, welches G. Fischer (Nouv. Mém. d. nat. d. Moscou T. III p. 287) nach Maassgabe eines Oberschádels, den er Tab. XXI f. 1 und 2 abbildet, durch mehrere Kennzeichen von Arctomys bobac unterscheiden wollte. Eichwald führt das Thier, dem die eben genannten Reste angehörten, (Leth. HI p. 384) als Arctomys spelaeus Fisch. auf, räumt jedoch ein, dass es sehr wenig von Bobac ab- weiche. Ich muss gestehen, dass, zu Folge meiner Verglei- chung der tscharyscher Murmelthierschädel mit zahl- reichen Schädeln des Arctomys bobac des Akademi- schen Museums, zwischen den Schädeln des Murmel- 8) In Bezug auf Systematik der Nagethiere verweise ich auf > vierte und fünfte Abhandlung meiner: Bei zur niss d. Süugethiere Russlands. Mém. de P Acad. Imp. d. s se. VI sér. 4d MEE, des Sciences de Saint-Pétersbourg. thieres der altaischen Höhlen und denen des Arctomys bobac sich durchaus keine solchen Unterschiede fin- den, die zu einer spezifischen Trennung beider be- rechtigen, so dass also von einem in den aJtaischen Hóhlen vorkommendeu Arctomys spelaeus Fisch. oder Giebel (Fauna d. Vorw.) keine Rede sein kann. Ebenso sind die im Breslauer anatomischen Museum befindlichen, von Hensel (Nov. Act. Acad. Caes. Leop. Vol. XXIV P. 1 p. 298) beschriebenen und auf Taf. 22 und 23 abgebildeten Reste (A. spelaeus Gieb.), die er selbst denen von Fischer ähnlich fand, ohne Frage dem Bobac zu vindiciren”). Selbst Arctomys primigenius Kann. (Descr. d. ossem. foss. Cah. V p. 110 tab. 25 fig. 1, 2) ist zu streichen, da er, wie bereits Hensel ganz richtig (ebd. p.297 ff.) Kent von Arctomys narmolla sich nur durch die (nichts bedeut i Grösse unterscheidet. Sowohl das Museum der Akademie, als auch das des Berginstitutes, besitzen übrigens zahlr eiche, aus den altaischen Höhlen stammende Reste des oc Dieselben bestehen aus mehr oder weniger vollstän- digen Oberschädeln, Hälften oder Fragmenten von Unterkiefern, einzelnen Schneide- und Backenzähnen, zwei Wirbeln, einer Rippe und mehreren Extremi- täten- EE 14. Genus Spermophilus Fr. Cuv. Spec. 20. Spermophilus Eversmanni Brdt. Das Bruchstück eines Unterkiefers mit den vier hinteren Backenzühnen, ein Unterkieferfragment ohne Zühne der Gebler'schen Sendung und einige Radii der v. Helmersen'schen Sammlung liefern den er- sten Nachweis, dass auch Knochen dieser, in den Altaigegenden nicht seltenen, in Sibirien sehr ver- breiteten, von mir bereits vor einer Reihe von Jahren aufgestellten, von Eversmann als Spermophilus al- taicus bezeichneten, Zieselart in den tscharyscher Höh- len gefunden wurden '^. 9) Leider ist der * Fundort du fraglicken Reste unbekannt, so dass nicht gesagt w n kann, sie stammten aus Polen (Gallizien), wo noch jetzt obere f leben, oder gar aus paper? Das Letztere rscheint keineswegs unmôglich, wenn man i iges Vorkommen in it wee Zeiten versetzt und dabei erwügt, rn der Bobac im euro- päischen Russland früher weiter verbreitet und viel häufiger war, und dass ein dem — verwandtes Thier, — — in Schlesien vorkom 10) Ich A bel Gelegenheit des Spermophilus 1 i die Ansicht nic der treffliche Lartet (Guerin Revue 1864. p. 222) den ` Tome XY. schenkels, ht unterdrücken, dass es mir auffallend isnt, wenn | Spermophile | Subordo Myomorphi. Familia Castoroides Brit. 15, Genus Castor Linn. ` Spec. 21. Castor fiber Linn. - Weder Pander und Sembnitzki, noch auch Rathke, G. Fischer und Eichwald erwähnen, dass von dieser, früher auch im Altaigebiet vorhandenen, Thierform sich Reste in den tscharyscher oder chan- charischen Höhlen fanden. Als unzweifelhafte Belege dieses Vorkommens die- nen der rechte Radius nebst dem Fragment des Ober- die in der von Hrn. v. Helmersen dem Museum der Akademie geschenkten Sammlung ent- halten sind, nebst zwei Ulnen verschiedener rose, welche das Berginstitut besitzt. Reste von Bibern sind daher nicht blos im siid- lichen Russland, als Trogontherium Cuvieri und Wer- neri, sondern auch in Sibirien aufgefunden worden. Familia Myoides Brit. Subfam. A. Rhizodontes Brit. 16. Genus Cricetus Schreb. Pall. Spec. 22. Cricetus vulgaris auct. Bereits Pander und Sembnitzki führen in ihrem - Verzeichniss der tscharyscher Höhlenfunde Schädel, Unterkiefer und Schneidezibne des Hamsters auf. Fischer (Nouv. Mém. d. nat. d. Mosc. T. III p. 289) bestütigt dieses Vorkommen und bildet (ebd. Taf. XX fig. 6,8) zwei Unterkieferhälften ab. Eichwald (Leth. III p. 386) führt die fraglichen Reste unter Cricetus fossilis Kaup auf, wiewohl die Skeletreste der altai- schen Hóhlen denen des lebenden Hamsters wie eiu Ei dem andern gleichen. Sowohl im Museum des Berginstitutes, als. auch ganz besonders in dem der Akademie der Wissen- 3 schaften sind zahlreiche Reste des in Sibirien häufiger des bröches oss. de Montmorenei auf Spermophilus : R cha SC alte cirt, da diese Art nur in Kamtschatka und im h n, Kamtschat gegeniiber liegenden, Norden Nordamerikas vorkommt, (Si Monographie der Spermophilen ` im Bullet. Imp. d. Sc. de St.-Pétersb. d. Pen. DEE Reste nur auf eine nor E | heimische, Zieselart zu beziehen wären, so liesse sich Pres s | ur r dem 50 bis -56sten Breitengrade im ischen und Orenbu Gouverne- ment eine rt. 1 teten $ Bulletin de l'Académie Impériale 164 Cricetus vulgaris aus den altaischen Höhlen vorhanden. | Sie bestehen aus mehr oder weniger vollständigen Schä- deln, einzelnen Unterkieferhälften, Zähnen, Becken- resten und zahlreichen Knochen der Extremitäten. Subfam. B. Prismatodontes seu Arvicolini Brat. 17. Genus Arvicola Lacep., Hypudaeus Illig. Spec. 23. Arvicola amphibius Lacep. (Linn.). Schon Pander und Sembnitzki vindicirten mit Recht aus der Zahl der ihnen im Berginstitut vorge- legenen Reste der tscharyscher Höhlen einen Unter- kiefer nebst Schneidezähnen der auch in Sibirien weit verbreiteten Wasserratte (Arvicola seu Hypudaeus am- phibius). Fischer (Nouv. Mém. d. nat. d. Mosc. T. III p. 290) bestátigt zwar dieses Vorkommen durch Worte, seine Abbildung (Tab. XX fig. 7) stellt aber eine Unterkieferhälfte von Myospalax dar. — Eich- wald (Lethaea III p. 387) führt die Reste des Arvi- cola seu Hypudaeus amphibius nach Fischer auf. Das Vorkommen der Wasserratte in den tschary- scher Hóhlen ist durch zahlreiche, theils von Hrn. v. Helmersen, theils von Gebler herrührende Reste derselben, welche sich im Museum der Akademie der Wissenschaften befinden, vielfach documentirt. Das-| selbe besitzt von ihr sieben Schädelfragmente, sechs- zehn Bruchstücke des Unterkiefers, mehrere Knochen der vorderen und hinteren Extremität nebst mehre- ren Fragmenten des Beckens. Spec. 24. Arvicola s. Hypudaeus saxatilis P all. Lacep. Das Akademische Museum ist durch Hrn. v. Hel- mersen im Besitz eines, aus den tscharyscher Hóhlen | stammenden, Schnauzentheils eines Schádels, den ich in Folge mühsamer, vergleichender, mit den Schüdeln anderer russischer Arvicolen angestellter, Untersu- chungen Arvicola saxatilis, einer in Sibirien nicht sel- tenen Art, vindicire. Im Museum des Berginstitutes befindet sich eine Unterkieferhalfte desselben. Familia Spalacoides Brit. Subfamilia Prismatodontes Brit. 1 Sen Brants. (1827), Genus Myospalax Laxmann. (1769). > Spec. 25. Myospalax Laxmanni Beckm. a; tien Pall. Zoogr. I p. 159 n. 75 Myospa- ii Beckmann, in Laxmann’s Sibir. Briefen herausgegeben von Schlözer. 1769,8. S. 77 Note. Ich vermuthe, dass die von Pander und Semb- nitzki angefiihrten Schädel eines Nagers, welche den Schädeln der Wasserratte ähnlich sein sollen, nichts Anderes, als die in mehreren Exemplaren in der Samm- lung der tscharyscher Höhlenreste des Berginstitutes vorhandenen Schädel des Myospalax Laxmanni sind, da sie durch ihren Zahnbau und ihre Form den Schä- deln von Hypudaeus einigermaassen ähneln und ausser- dem keine andere tscharyscher Nagerschädel im Berg- institut vorhanden sind, welche, namentlich auch im Betreff des Zahnbaues, so gut auf die EE Pan- der’s und Sombbitzkil s passen. G. Fischer (Nouv. Mém. d. nat. d. Moscou T. III p. 288) beschrieb ganz offenbar einen aus den tscha- ryscher Höhlen stammenden Schädel des Myospalaa: und bildet ihn Tab. XX fig. 1,2,3 sehr kenntlich ab, Göttingen ' erklärt ihn aber für den eines Myoxus (also für den einer Gattung, welche in Sibirien noch nicht gefunden wurde), den (Taf. XX fig. 7) von ihm abgebildeten Unterkiefer des Myospalaz aber vindicirt er, wie schon oben bemerkt, dem Arvicola amphibius. Eichwald's Myozus fossilis Fischer (Lethaea Hi p. 384) ist daher nichts Anderes als Myospalax Lax- manni. Auch citirt er ja Fischer als seinen Ge- währsmann. Alph. Milne-Edwards (Compt. rend. de l Acad. de Paris 1868. T. XXVII p. 441) spricht von Resten des Myospalax Laxmanni, welche Mey- nier und Eichíbal in den an der Inja und dem ` Tscharysch gelegenen Höhlen sammelten, ohne aber zu bemerken, -dass bereits G. Fischer ein - solches Vorkommen Sege? jedoch die Reste des Myospalax irrthümlich einem Myoxus vindicirte?”). 11) Ich muss hierbei auf meine eingehenden, durch Abbildungen erlàuterten Untersuchungen über die Craniologie von M Feed auf Cap. VII meiner in den Mém. de l Acad. Imp. d. Se. | d. St.-Pétersb. VI Ser. T. VII, daraus aber auch noch besonders lands verweisen, worin gezeigt wurde, dass Pall bereits 1769 als Typus einer eigenen Gattung ct accum erhoben und von Beckmann nach seinem Entdecker Myospalax La abgedruckten Beiträge zur beris Kenntniss der Säugethiere Russ- Spalax talpi der ADT a. a. O. p. 308 den Familie der Spalacoiden (gleich Cunicularien) aufstellte und von den echten wurz wurzelzähnigen Spalacoiden als eigene Gruppe schied. Wenn er abrigens meine 165 des Sciences de Saint -Pétersbourg. Das Museum des Berginstitutes besitzt ausser sie- ben Schädeln, einem Schädelfragment, vier Unter- kieferhälften und mehreren Schneidezähnen nebst fünf Halswirbeln, auch eine Menge von Knochen der Be tremitäten. Noch reicher als im Museum des genannten Insti- tutes sind die tscharyscher Reste des Myospalax Lax- manni durch die Bemühungen der Hrn. v. Helmer- sen und Gebler im Museum der: Kaiserlichen Aka- demie der Wissenschaften vertreten. Dasselbe enthält nicht nur eine grössere Menge von Schädeln oder Theilen derselben, sondern auch zahlreichere Zühne, so wie eine grössere Menge Knochen der Extremitä- ten nebst Beckenfragmenten. Die tscharyscher Knochen des Myospalax bieten übrigens keine Unterschiede von denen des noch jetzt lebend in Sibirien vorkommenden. An einen Myospalax fossilis kann demnach, wenigstens vorläufig, nicht ge- dacht werden. Ob die beiden Busseriiek schwer unterscheidbaren Arten von Siphneus (muss heissen Myospalax) Myos- palax Fontanieri (aus Nordchina, Pecking) und Ar- mandii (aus der Mongolei), die Alph. Milne-Edwards (Compt. rend, a. a. O. und Annal. d. sc. nat. H" ser Zool. Vol. VII. p. 375) nach Maassgabe eines abwei- chenden Zahnbaues aufstellte, auf Artrechte Anspruch machen können, wage ich für jetzt nicht zu entschei- den, da ich die von Alph. Milne-Edwards für die Nouvelles archives d'histoire naturelle angekündigte Special-Arbeit noch nicht benutzen konnte. Subordo Lagomorphi Brdt. 19. Genus Lepus Linn. Spec. 26. Lepus variabilis Pall. Weder im Verzeichniss von Pander und Semb- nitzki, noch bei Rathke, Fischer und Eichwald, ist davon die Rede, dass Reste dieser im ganzen Nor- den Europa's südlich etwa von 55° an, dann auf fast allen hóheren Gebirgen desselben, heimischen, so wie über ganz Sibirien verbreiteten Hasenart in den tscharyscher oder chancharischen Höhlen gefunden | , wurden, obgleich das genauere Studium der aus den genannten Höhlen gewonnenen Thierknochen eine Spalacoides arvicolaeformes Arvicola unmittelbar ee will, Se so muss er die ganze pui der Wühlmáuse a namhafte Zahl von Theilen des Lepus var BER nach- wies. Theils im Museum der Akademie der Wissenschaf- ten, theils in dem des Berginstitutes fand ich nämlich von der eben genannten Hasenart mehrere Bruch- stücke des Ober- und Unterkiefers mit oder ohne Zähne, ferner einzelne Zähne, Wirbel, Rippen und Beckenkaochen und serliddepa Knochen der vor- deren, wie der hinteren Extremitäten, welche Tltieren verschiedenen Alters, zum Theil sehr jungen Individuen angehörten, deren Deutung so unzweifelhaft ist, dass |&n eine andere Hasenart nicht gedacht werden kann. Eichwald (Lethaca LT, p. 388, Esp. 38) spricht allerdings davon, dass Knochenreste (namentlich ein Unterkieferfragment und andere Knochen) des Lepus cuniculus fossilis Cuv. in einer der am Flüsschen Chanchara gelegenen Höhlen gefunden worden seien, Lepus cuniculus kommt aber weder im europäischen Russland, noch in Sibirien wild vor, wesshalb Eich- wald’s Bestimmung nicht zulässig erscheint. Man kann es sogar nicht für unwahrscheinlich halten , er habe móglicherweise die Knochen der jüngern Individuen des Lepus variabilis für Kaninchenknochen gehalten, eine Verwechselung, die sehr leicht móglich ist. — Das von Eichwald erwähnte, nicht bestreitbare, na- mentlich auch wegen des noch jetzt in Griechenland heimischen, wilden Kaninchens nieht uuwahrschein- liche Vorkommen von (allerdings von mir noch nicht gesehenen) Resten eines mit dem wahren Kaniuchen zu identifizirenden Thieres im jüngern Thon bei Odessa kann natürlich noch keinen Beweis für die Meinung abgeben, dass die altaischen Reste desshalb dem Ka- ninchen -gleichfalls angehören. ANHANG. Genus Lagomys Cuv. i Pander und Sembnitzki sprechen i in ibri zeichniss der tscharyscher und chanchari j reste von Unterkiefern einer Lagomys. > - Eich- wald (Lethaca a. a. O.) fübrt sogar eine von der lebenden nicht Verschiegepe pedi nn fossili 167 Bulletin de l’Académie Impériale sprechen, jedoch keine Reste der Unterkiefer ganz junger Hasen erwähnen, wie ich sie aus den altaischen Höhlen kenne und die ich selbst, ganz offen gestanden, ehe die Unterkiefer von Lagomys damit verglichen worden waren, irrigerweise für Reste einer Lagomys hielt. Da-indessen meine weiteren Bemühungen unter der grossen Zahl von Knochen und Knöchelchen, wel- che mir aus den altaischen Höhlen vorlagen, wahre Reste von Lagomys nachzuweisen erfolglos waren, so kann Lagomys ogotonna fossilis, wenn sie, wie Eich- wald will, auf die bis jetzt bekannten altaischen Reste gestützt werden soll, gegenwärtig noch keine Berech- tigung beanspruchen, vielleicht (?) wird man jedoch künftig auch ihre Reste in den altaischen Höhlen finden, da dieselben schon jetzt als Sammelplätze ven Knochen der verschiedensten Säugethiere Sibiriens sich bekunden. Weit eher noch als die Reste des mehr ostsibirischen Lagomys ogotonna würden aber wohl die des im Altai häufigen Lagomys alpinus zunächst zu erwarten sein. | ORDO RUMINANTIA. Familia Cervida. 20. Genus Cervus Linn. . . Subgen. A Alces. mee. 27. Cervus Alces Linn. Cervus leptocephalus (das fossile Elen) und set phalus (das lebende) Pusch, N. Jahrb. f. Miner. 1840. p. 69 und 78. — Cervus savinus Fischer, ` Oryctogr. de Moscou p. 170 Pl. III C; Rouiller, Jubilaeum semiseculare G. Fischeri fol. Mosc. 1847 - p.5 2 Tab. II, III, IV. — Cervus resupinatus Rouiller ib. p. 5 N°3 Tab. I— IV. — Cervus felli- nus G. Fischer, Bullet. des nat. de Mosc. Tab.III. 1831 p. 155 (C. Alces-juv.) — Cervus (Alces) fos- silis v. Meyer. Das Elen gehórt zu den früher vom alten Gallien und Germanien bis Sibirien und von dort über Nord- amerika °) verbreiteten Thieren, dessen humatile n Häuten des Elens aus dem St. Petersburger Gouverne- ment ergab keine wesentliehen Unterschiede, eben so wenig ver- | mochte ich deren in der Geweihbildung wahrzune hmen, als ich zwei amerikanische Elengeweihe, darunter tin sehr grosses, nebst den vorhandenen Abbildungen amerikanischer Elengeweihe, so bei er (Recherch. Cuvier rt 8. 1. oss. foss.) u. s. w., mit zahlreichen Geweihen | Elens verglich. Siehe meine Beitr. Bow à Mn. de P Acad. de St.-Pétersb. VII Ser. 1870. Überreste des Geweihes aus Mangelan Vergleichungs- Material zur Aufstellung mehrerer vermeintlichen, un- tergegangenen Arten benutzt wurden. Nach Maass- gabe mehrerer Schädel und einer Menge vorliegender Elengeweihe verschiedenen Alters und sehr verschie- dener Gestalt, die theils erst in neueren Zeiten erleg- ten Individuen angehörten, theils in der Erde gefunden wurden, kann ich meinerseits Nordmann (Palaeont. Südrussl. p. 226) und Eichwald (Lethaea TII. p. 368) nur beistimmen, wenn sie Cervus leptocephalus, savimus, fellinus und resupinatus als Synonyme des Cervus Alces betrachten. Nach meiner Ansicht lassen sich jene von Pusch, G. Fischer und Rouiller aufgestellten Arten nicht einmal als sehr alte oder ältere Racen des noch jetzt lebenden Elens ansehen, was sogar von dem amerikanischen (Alce americanus Jardine) gilt, da beim Elen die Gestalt und Richtung der Geweihe nicht blos nach dem Alter, sowie nach Maassgabe der ein- zelnen Individuen, abündern (was übrigens auch bei andern Hirscharten der Fall ist), sondern auch sehr häufig, ja fast allgemein die beiden Geweihschaufeln ein und desselben Individuums gróssere oder geringere Abweichungen darbieten. Seltener findet man, na- mentlich bei alten Thieren, beide ganz gleich gebildet, am häufigsten noch bei jüngeren. Bemerkenswerth ist ferner, dass bei den alten Exemplaren des Cervus elaphus, so wie beim Elen, die bei ihnen weit ansehn- lichern Rosenstócke weit weniger von einander ab- stehen, als bei den jungen. Die Stirn erscheint daher bei den Letztern stets breiter, oft sogar viel breiter, als bei den Alten, ein Umstand, der Pusch entging, als er, ohne ein grosses, dem Schädel aufsitzendes, Ge- weih des lebenden Elen verglichen zu haben, das noch auf dem Stirnbein aufsitzende grosse, fossile, im Warschauer Museum befindliche, (auf Taf. HI. A Fig.1, 2 von ihm abgebildete) Geweih, dessen genüherte Rosen- stócke durch einen nur schmalen Theil des Stirnbeins getrennt sind, zum Typus seines Cervus (Alces) lepto- cephalus stempelte, das lebende Elen aber, dessen sehr | grosse Exemplare doch auch ein ganz ähnliches, v viel 12) Der Vergleich eines Felles des amerikanischen Elens mit | zur Naturg. des | hen den Rosenstöcken zeigen als die Jungen, nach Maassgabe des Schädels eines jun- gen Thieres, Cervus (Alces) platycephalus nannte, Mit Recht hat sich daher bereits Kaup bald nach dem Erscheinen der Pusch’schen Arbeit (Neues Jahrb. für Mineral. 1840 p.166) gegen eine solche Charakte- e des Sciences de Saint-Pétersbourg. ristik erklärt und auf Taf. IV Fig. 4 das ziemlich grosse Geweih eines lebenden Elens abgebildet, welches die geringe Stirnbreite zwischen den Geweihstangen, ähn- lich wie das fossile von Pusch abgebildete, zeigt, also den vom Letztgenannten zur Sonderung des fossilen Elens vom lebenden aufgestellten Hauptcharakter widerlegt. Weder Pander und Sembnitzki, noch Rathke und Fischer bemerken, dass in den altaischen Höhlen Reste des noch jetzt in Sibirien lebenden Elens wahr- genommen worden seien. Eichwald (Zethaea IIT p. 368) spricht nur von humatilen in Polen, dann im Gouvernement Pskow, Livland, Kostroma und Moskau, gefundenen Elengeweihen, denen sich ein im Gouver- nement Orel entdecktes anschliesst (Borissjak Bull. d. nat. d Mosc. 1848 T. XXI p. 595). Das Museum der Akademie der Wissenschaften yer- dankt indessen Hrn. v. Helmersen einen mit der Ulna verbundenen, sehr wohlerhaltenen Radius eines jün- geren Thieres aus den tscharyscher Höhlen, dem ich jedoch kein höheres Alter zuschreiben môüchte. Subgen. B. Machlis Kaup Megaceros Ow. Spec. 28. Cervus euryceros Aldrov. Cervus megaloceros Fisch. — Cervus megaceros Hart. — Cervus hibernicus Desm. — Megaceros hiber- nieus Owen. — Cervus platycerus altissimus Mo- - Jyneux (1697). — Megaceros Carnutorum Lau- gel? Gervais. Zool. et paléont. gen. p. 84. Der genaue Vergleich des Schädels und Geweihes dieser riesigen, ausgestorbenen oder, wohl richtiger gesagt, von Menschen vertilgten Hirschart lässt die- selbe als eine Art Mittelform zwischen Elen und Hirschen erscheinen. Die Ahnlichkeit mit den echten Hirschen ist aber offenbar bei weitem die überwiegende. Nach Maassgabe seiner Geweihe erscheint Cervus eu- ryceros zunächst ganz offenbar Cervus dama verwandt, so dass man ihn aus diesem Gesichtspunkte für'eine riesige, zum Tragen des mächtigen Geweihes mit einem breiteren Hinterhaupt, dickeren Schädelknochen und |. euryceros, wie Eichwald (Leth. III p. 369) glaubte, sondern ein Rennthier war, wies ich in meinen Zoo- geogr. u. palacont. Beitr. p. 53 nach. Ebendaselbst p. 55 stellte ich aber auch die Vermuthung auf, dass vielleicht der Machlis oder Achlis, den Plinius (H. N. VIH c. XVI) von Alce positiv unterscheidet, Cer- vus euryceros sein könnte. (Die Stelle bei Plinius lau- tet: «Septentrio fert et... equorum greges ferorum, prae- terea alcem, jumento similem. Item natam in Scandi- navia insula achlim, haud dissimilemilli.») Ich theilte sogar dort die von Pfeiffer (Germania VI S. 225) näher begründete Meinung, dass der Schelch des Ni- belungenliedes (der Tragelaphus der Alten) der Cervus euryceros sei, der wohl noch im 10. Jahrhundert in Deutschland lebte, nach dem 12. aber von Niemand mehr genannt wurde. Mit dieser Ansicht stimmt sehr gut die Angabe von Hibbert, dass der Riesenhirsch noch im 12. Jahrhundert in Irland existirte, poa e freilich schon Ranking (Wars and Sporks owl 1826 p. 491), ohne triftige Gründe anzugeben, die Meinung aussprach, Cervus euryceros sei dort bereits von den Rómern ausgerottet worden. Das nicht seltene Vorkommen ganzer, sehr wohl erhaltener, Skelete in Irland in einem unter dem Torfe gelegenen Mergel spricht allerdings dafür, dass diesin jenem Mergel gefundenen Exemplare vor der Bildung der dortigen Torfmoore zu Grunde gingen. Es fragt sich nur, ob die Bildung der Torfmoore, wenn man sie auch für sehr alte zu halten hat,‘ dennoch nicht erst längere Zeit nach dem Beginn der Geschichte ih- ren Anfang nahm, so dass der Riesenhirsch in Irland gar wohl noch in der historischen Zeit des westlichen Europas gelebt haben könnte, besonders wenn man in Erwägung zieht, dass grosse Skelette theils durch ihre Eigenschwere, theils durch den Druck der über ih nen liegenden Schichten in unterliegende älte i können. Die Meinungen sind indessen h noch viel kräftigeren Halswirbeln versehene, zum Elen | Exi hinneigende, Form von Damhirschen diha könnte, Ip die sich etwa wie der Edelhirseh zum Reji verhielt. | u. A. lá Dass der Bos cervi figura des Caesar (De bell. gall. | | oe Lib. VI cap. 26) weder ein Elen, wie Lenz (Zool. d. | weitere Griechen u. Römer S. 215) meinte, noch ein Cereus | forderli e ie ins Reine zu 272 Bulletin de PAcadémie Impériale bringen. Der Ansicht: er habe noch in historischer Zeit (vielleicht noch vor 7 — 800 Jahren) existirt, möchte ich indessen fiir jetzt den Vorzug geben. Uber seine frühere über Frankreich, Grossbritau- nien und Deutschland hinausgehende Verbreitung he- gen manche Naturforscher ebenfalls noch Zweifel. Nach Lartet (Ann. d. sc. nat. 1861 XV p. 224) soll er ein beschränkteres Vaterland als das Mammuth gehabt haben, denn seine Reste seien nur in Gross- britannien (besonders Irland), in Frankreich vom Nor- den bis zu den Pyrenáen und in Deutschland bis Schle- sien gefunden worden. Bronn giebt zwar (Lethaea 3. Aufl. IH p. 972), wohl auf Eichwald (Bullet. d. natur. d. Moscou T. XVIII [1845] p. 214 ff.) sich ` stützend, auch Russland und Sibirien, letzteres jedoch mit einem Fragezeichen, als Vaterland an. | Nach Grewingk (Ueber die frühere Existenz des Renthier’s in d. Ostseeprovinzen, Dorpat 1867. 8. p. 5) wurden Reste des Riesenhirsches einmal in Curland ausgegraben. Eichwald (Lethaea III. p. 366) t von in Polen gefundenen Resten, ohne jedoch näher zu be- merken, woraus sie bestanden. Dass übrigens Cervus euryceros in Polen vorkam, darf man auch daraus schliessen, dass man die unverkennbaren Reste des- selben in den Gegenden der mittleren Wolga fand. Einen derselben, ein ansehnliches Schädelfragment, ohne Schnauzentheil und Geweih, entdeckte man näm- lich bei Simbirsk, einen zweiten, eine einzelne Geweih- stange, beim Dorfe Zinofka im Distrikte Sysran des Simbirsker Gouvernements, Die beiden eben erwähn- ten, von Eichwald (Bullet. d. nat. d. Moscou T. XV LIT, 1845, S. 218) beschriebenen, yon mir ebenfalls unter- suchten, Reste befinden sich in der früheren Jasikow- schen, jetzt im Berginstitut aufgestellten Sammlung. Der dritte der fraglichen Reste besteht aus einer Geweihstange, die, wie mir Hr. v. Helmersen mit- theilte, bei Samara gefunden und vom Dr. Uke an das Museum der Universität Dorpat gesandt wurde. Nach Eichwald (Lethaea a. a. O.) soll man übri- : Perm’schen Gouvernement beim Dorfe Iljinsk entdeckt — haben, wodurch sich die Fundorte des Riesenhirsches o Leider konnte ich denselben bis jetzt von Eiehwald aber die Sammlung, welche denselben enthält, nicht angegeben wurde. Da indessen, wie so- gleich gezeigt werden soll, die tscharyscher Hühlen Reste des Riesenhirsches lieferten, so kann am Vor- kommen derselben im Permschen Gouvernement nicht gezweifelt werden. Was die Auffindung von Resten des Riesenhirsches in Sibirien anlangt, so bezog schon Fischer v. Wald- heim (Nouv. Mém. d. nat. de Moscou T. III. p. 296) einen (untern) von ihm Tab. X XIV, Fig. 4 abgebilde- ten, aus den tscharyscher Hühlen stammenden, grossen Backenzahn, da er denselben einem bei Buckland (Relig. Tab. IX, Fig. 1, 2) abgebildeten des Cervus euryceros ähnlich fand, auf diese Thierart. Der genauere Vergleich der aus den altaischen Hôhlen stammenden Überreste hirschartiger Thiere, welche im Museum des Kais. Berginstitutes aufge- stellt sind, ergab, dass aus der Zahl derselben der . Hirntheil eines Schädels, dem aber die ganze obere Wand fehlt, so dass die ganze Hirnhóhle von oben aus sichtbar wird, ohne Frage dem Cervus euryceros angehörte. Es = offenbar derselbe, welchen Eich- wald in seinen Mittheilungen über Cervus euryceros (Bullet. d. ndt. d. Moscow T. XVIII [1845], p. 226) als erstes altaisches Bruchstück desselben besehrieb und Cervus euryceros mit vollem Rechte vindizirte. Cervus euryceros gehörten auch wohl zwei obere, hintere Backenzähne der Sammlung des Berginstitutes an, die sehr gut zu dem von O wen (British fossil mamm. p. 449) abgebildeten Backenzahn desselben in Bezug auf das Verhalten der Schmelzfalten der Krone und ihre Grösse stimmen. Auch eine erste, so wie eine zweite Phalange des Vorderfusses, welche fast die Grösse der Elenphalangen besitzen, in der Gestalt aber, na- mentlich in Bezug auf stärkere Compression, denen von Cervus elaphus ähneln, möchte ich ebenfalls Cer- vus euryceros deshalb vindiziren, weil Cervus euryceros in Bezug auf die Grésse und Schädel-, sowie Geweih- | bildung gewissermassen eine Mittelform zwischen Cervus Alces und elaphus bildete. gens auch den Hinterhauptstheil eines Sehädels im | Knochen des Metatarsus, einen Astraga Reste des Ober- und Unterkiefers mit pe von Cervus euryceros habe ich weder in der Sammlung des Berginstitutes, noch in der Akademischen auffinden können, Ebensowenig sah ich darin einen noch mit | Geweihresten versehenen Hirntheil des Schüdels, wel- des Sciences de Saint- Pétersbourg. 174 cher nach Eichwald (Lethaea TH. p. 367 und Bull. d. nat. d. Moscou a. a. O.) für den eines ewryceros zu erklären wäre. Der eben genannte von Eichwald (Bull. d. nat. d. Moscou a. a. O.) als zweites, aus den altaischen Höhlen stammendes, dem C. curyceros vindizirtes, Bruchstück näher beschriebene, im Museum des Berginstitutes aufbewahrte, kleinere Hirntheil des Schädels mit aufsitzenden Basaltheilen des Geweihes | gehôrte vielmehr meinen genauen Untersuchungen zufolge ganz entschieden einem alten Cervus elaphus an, dessen Geweihe nicht selten stark abgeplattet erscheinen, wie dies einzelne, im Museum der Aka- demie der W issenschaften CR Exemplare be- weisen. Wenn nun aber auch nicht alle altaischen, von Eichwald dem Cervus curyceros zugeschriebeven, Uberreste demselben wirklich angehôrten, so ist doch das von Eichwald behauptete frihere Wohngebiet der fraglichen Hirschart (der Altai) schon durch die erwähnte (oben offenc), so charakteristische, Hirn- kapsel mit völliger Sicherheit nachgewiesen. Auch hat er überhaupt das Verdienst, deu ersten wirklichen Nachweis über in Russland entdeckte Reste des Cer- vus euryceros geliefert zu haben. Wir dürfen es dem- nach als eine wohl begründete, beachtenswerthe That- sache ansehen, dass der Riesenhirsch schon in Asien zu den Begleitern des Mammuth, des büschelhaarigen Nashorns und der Hyacna spelaca gehörte, worauf ganz besonders die Knochenfunde aus den altaischen Höhlen hindeuten, Subgen. C. Cervus. Spec. 29. Cervus elaphus Linn. aS primigenius Kaup, Neues Jahrb. f. Miner. 1839 p. 168 ff. — Cervus priscus Kaup, ebd. D. 197.— Cervus Bresciensis Pusch, cbd. 1842, p. 47. — Cervus (Strongyloceros) spelaeus Owen, Brit. foss. mamm. p. 469. — Cervus elaphus var. . fossilis hibernicus Haughton. — Cervus interme- dius Serres. — Cervus corsicanus Bonap., Ai Wagn. — Cervus barbarus Bonnet. Die in neuern Zeiten allgemein zur Geltung - gé- d kommene Ansicht, dass die Veründerungen der Erd- | oberfläche und die dadurch cepe AM der | : - eng = der Sm } 21.1 Floren und Éannen meist all gegangen seien, dass viele Arten durch allmähliche Aus- wanderung in Gegenden, die ihrem Gedeihen giinstiger waren, theilweis sich erhielten und als Ersatz dort néséestorbener auftraten, wobei sie freilich manche morphologische oder auf ihre Grösse bezügliche, je- doch im wesentlichen leichte, Umwandlungen erlitten, muss uns bei der Aufstellung untergegangener, na- mentlich denen der Jetztzeit verwandter, Arten, beson- ders wenn nur wenige Reste vorliegen, sehr vorsichtig machen. Gerade der Edelhirsch liefert, wie mir scheint, einen passenden Beleg, wie nöthig eine solche Vorsicht sei. Wer die grossen, man möchte sagen riesigen, Exemplare der noch in Urwäldern hausenden Edel- hirsche des südlichen Sibiriens, wie sie Eversmann, und der Mandschurei, wie sie uns Schrenck (Reisen und Forschungen im Amurlande Bd. I. S. 170) und Radde (Reisen im Süden von Ostsibirien Bd. I. S 284) schildern, oder selbst nur ihre stattlichen, so varia- belen Geweihe zu beobachten Gelegenheit hat, dann gleichzeitig die Angaben Bütimeyer's ber die den Pferden an Grösse gleich der Zeit der schweizer Pfahlbauten (Untersuchungen 8.58 und 71) beachtet und solche Exemplare mit denen der in Verkümmerung begriffenen der europäischen ver- gleicht, welche in den, von der Cultur mehr oder weni- ger beeinflussten Wäldern vorkommen, wird sich der Annahme nicht entziehen können, dass äussere Ein- flüsse die Art modifiziren, ja solche, jedoch immer in ge- wissen nachweisbaren Grenzen (dem Arteyelus) ver- | bleibende, Abänderungen erzeugen können, die von Art- liebhabern als wirkliche Arten angesprochen werden, obgleich sie, wenn man ihre Entwickelungsphasen in Betracht zieht, genau genommen es nicht sind. Welche Modifieationen der echte, wilde Edelhirsch (Cervus ela- phus) in seiner Geweihbildung bietet, hatte ich Gelegen- heit an einer grossen Menge aus Turkestan (also aus einer Gegend, wo der Edelhirsch noch an ny ıhrhaft na- türlichen W { A achten, welche für Se. Majestät den Ki sind und Ps ressante À 175 Bulletin de l'Académie Impériale Geweihe aufgestellte Cervus cameloides des Hrn. Alph. Milne-Edwards (Ann. d. sc. nat. 5™ ser. VII. [1867] Zool. p.377), da nach den übereinstimmenden Berich- ten Schrenck’s und Radde's, die nicht nur Geweihe verschiedener Grösse, sondern auch ganze Thiere oder Felle untersuchten, der Hirsch der Mandschurei nichts Anderes als der Edelbirsch ist. Überhaupt lässt sich ja die Fauna der Mongolei und Mandschurei im Wesent- ‘lichen nur als. eine Modification der Sibirischen be- trachten. Bereits Pander und Sembnitzki fahren in ihrem Verzeichniss der im Berginstitut yorhandenen, aus den tscharyscher Höhlen stammenden, Säugethierreste de- ren neun auf, welche sie hirschartigen Thieren (Cerf) vindiziren, machen jedoch keinen Unterschied zwischen den Knochen des Edelhirsches, des Rehes und denen des Riesenhirsches. — Rathke und G. Fischer schweigen über das Vorkommen von Resten des Edel- hirsches in den tscharyscher Höhlen. Eichwald (Lethaea III. p. 370) sagt zwar; man habe Reste des im südlichen (richtiger mittlern und südlichen) europäischen Russland vertilgten, nur noch in den Gebirgen des Caucasus, des (südlichen) Ural und des Altai vorhandenen, Edelhirsches in Curland, Polen, bei Bjalostock, Moskau und Odessa gefunden, | bemerkt jedoch nicht, dass aus den altaischen Höhlen | stammende Knochen desselben im Kaiserlichen Berg- institute aufbewahrt würden. Es gehört dahin, als am meisten charakteristisches Stück, die ganze Hirnkapsel des Schädels mit den Bensithaileh des Geweihes eines alten Individuums, den ich für denselben halten muss, welchen Eichwald (Lethaea p. 367) als partie oceipitale du cräne pour- vue de la perche d'un bois de la caverne de Khankhara dem Cervus euryceros vindizirte und (Bullet. d. 1. soc. d. natur. d. Moscou T. XVIII. [1845] p. 226) als zweites, kleineres Schüdelbruchstück desselben be- schrieb (siehe oben). 2 haryscher Säugethierresten des Berginstitutes vom = irsch die linke Seite eines Oberkiefers mit 4 ckenzühnen, den Unterkiefer eines Hirschkalbes mit le! \-Backenzihnen, n, den ersten Rückenwirbel, ein Bruchstück chten Tibia und mehrere Zehenglieder. 2 obere Backenzähne nebst. Spec. 30. Cervus capreolus Linn. Cervus capreolus und pygargus Pall. Der Cervus pygargus, den ich selbst früher (Bullet. sc. | d. P Acad. d. se. d. St.-Pétersb. Cl. phys.-math. T. III. p 280) mit Pallas für eine selbstständige Art ansah, ist nichts Anderes als die hauptsächlich nur noch in Urwäldern, namentlich des südlichen Sibiriens, vor- kommende, gróssere, mit ansehnlichern, hirschähnli- chen Geweihen versehene Form des gemeinen Rehes, wie dies Hr. v. Middendorff in seiner sibirischen Reise umständlich erwiesen hat. Dass übrigens solche Rehe in alten Zeiten selbst in Deutschland sich fan- den, darf man aus v. Kobell’s Mittheilungen (Wild- anger S. 263) folgern. Pander und Semnitzki, ebenso wie Rathke und Fischer, schweigen über das Vorkommen von Reh- resten in den altaischen Hóhlen. Eichwald (Lethaea III. p. 370) erwähnt blos, man habe in der chancha- rischen Hóhle die linke Unterkieferhälfte von Cervus capreolus gefunden. | Meinen Untersuchungen nds enthält das Museum der Akademie der Wissenschaften nur vier, das des Bergiustitutes aber vierzehn aus den nltiischien Hóh- len stammende Skeletreste des Cervus’ capreolus. Das Museum der Kaiserlichen Akademie der Wis- senschaften besitzt nämlich durch Hrn. v. Helmersen aus den tscharyscher Höhlen den Schädel eines jün- ` gern Thieres ohne Sehnauzentheil und Unterkiefer, einen Halswirbel und einen Astragalus, sowie durch Herrn Gebler ebenfalls einen Astragalus. Im Mu- seum des Berginstitutes werden folgende Skelettheile aufbewahrt: 1) Bruchstücke des (wie ich vermuthen möchte, von Eichwald erwähnten) Unterkiefers eines jungen Rehes mit den Backenzähnen; 2) ein Hals- wirbel; 3, 4, 5) drei Rückenwirbel; 6) ein Lenden- wirbel; 7) der rechte Humerus; 8) die rechte Ulna; 9) eine Tibia; 10) ein Metatarsalknochen des rechten Fusses; 11) die linke erste Phalanx der äussern Zehe Ausser der eben erwähnten, ihres Schisan zentipils | beraubten Hirnkapsel des Schädels fand ich unter den | des Hinterfusses; 12) die zweite Phalanx der innern Zehe des fochten Hinterfusses; 13) die stark verletzte zweite Phalanx der Aussenzehe des rechten Vorder- fusses und 14) die zweite Phalanx der Aussenzehe des linken Vorderfusses * dE 13) Reste des Renthieres wurden bis. jetzt in keiner der altai- schen Höhlen gefunden, wiewohl sie sich dort erwarten lassen, da nach Gebler in manchen Theilen des Altai wilde Renthiere vor- 177 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 178 Familia Cavicornia. 21, Genus Ovis Linn. Spec. 31.- Ovis domestica Linn. Der einzige mir bekannte, in den tscharyscher Höh- len gefundene, Rest des Hausschaafes besteht aus dem, im Museum des Berginstitutes aufbewahrten, linken Humerus eines kleinern Individuums. Knochen des Argali (Ovis Argali) und sibirischen Steinbockes (Capra sibirica), die man in den altaischen Höhlen erwarten könnte, wurden weder von Andern daraus nachgewiesen, noch unter den zahlreichen, von mir benutzten, Resten aufgefunden. 22, Genus Bos Linn, Subgen. A. Bison. Spec. 32. Bos (Bison) bonasus Arist. Brdt. Bovaoos Arist. Bos bonasus et bison Linn. Bos priscus Bojan. Bos latifrons G. Fischer. Bison latifrons et antiquus Lei dy. Bison priscus et minor Ow. Bos seu Bison urus seu curopaeus et americanus. Bereits Dawkins und Sanford (British Pleistoc. Mammal. in Palacontogr. Soc. XVIII (1864) p. XXIV) fassen die Gattung Bison als Untergattung auf, worin ich ihnen (Zoogeogr. Palaeontol. Beitr. p. 105) bei- stimmte. Auch theilte ich mit ihnen bereits Cuvier’s Meinung, dass der Bos priscus mit Bos urus (richti- ger bison seu bonasus) identisch ware. Ich bemerkte indessen, dass ich mit Rütimeyer auch Bos lalifrons G. Fischer, ferner Bison latifrons und antiquus Leidy | auf eine Urform (Species) reducire, die ich aber nicht als Bos priscus, sondern als Bos bonasus bezeichnen möchte, um unter diesen artlichen Namen nicht nur alle, wie mir scheint, mit Unrecht vom noch lebenden Wisent (Bos bonasus seu urus seu bison) nach Maass- gabe fossiler Reste abgetrennte europäisch-asiatische Formen (wie Bos priscus Boj. und latifrons Fischer), | sondern auch Bos bison (americanus) mit seinen fossi- Jen Phasen (Bison latifrons Harl. und antiquus tp | zusammenzufassen und, wie ich glaube, passend mit | dem von Aristoteles gebrauchten ältesten Namen | bonasus zu bezeichuen. Die als Bos seu Bison priscus Boj., latifrons Fisch. und minor Ow., kiss "Noichur moschiferus altaicus, obgleich nn zügen des Altai heimisch ist. Tome XV. so wie Bison | | Ebenso kennt man von dorther noch keine Knochen des di sien sich fi latifrons und antiquus Leidy, dann ferner als urus und bison auct. nebst Bison europaeus und americanus be- zeichneten Formen wären demnach nur in den Gren- zen des Cyclus derselben Art (Bos bonasus) bemerk- - bare Modifieationen oder Phasen. Ich weiche demnach von Rütimeyer darin ab, dass ich nicht, wie er, Bi- son priscus, europacus und americanus als drei Arten, sondern als Glieder einer Art (Phasen, d. h. Racen derselben) ansehen möchte. Rütimeyer selbst weist | übrigens (Versuch e. Gesch. d. Rindes, Abth. II. S. 66) auf die hohe Wahrscheinlichkeit des gemeinsamen Ur- sprunges jener drei von ihm statuirten Arten hin. - Die Gründe, welche mich für eine solche Ansicht bestimmen, sind folgende: 1) Die Schädel des Bos priscus und des europäischen Bison vermag ich nur als eine continuirliche Entwickelungsreihe ein und des- selben artlichen Schüdeltypus zu betrachten. 2) Die Differenzen des Schädels des Bos latifrons Harl. und Bison antiquus Leidy (die nach Rütimeyer nur die beiden Geschlechter einer Form, des Bison america- nus sind) im Vergleich mit denen von Bos priscus, scheinen mir zu unbedeutend, um als durchgreifende specifische Merkmale dienen zu können; ja Leidy selbst gesteht, dass sein Bison antiquus an Grösse nnd Bewaffnung so ziemlich in der Mitte stand zwischen Bison priscus und americanus. 3) Bison americanus bietet allerdings eine viel grössere Mähne und einen weit grössern Kinnbart, so wie eine dunklere Färbung als Bison europaeus; bedenken wir aber, wie verschie- den die Mähne bei den Löwen Asiens und selbst ver- schiedener Gegenden Afrikas ist, so erscheinen die Mähne wie der Bart, noch mehr aber die dunklere Farbe als zweifelhafte Kennzeichen. 4) Da Nordame- rika ganz entschieden noch jetzt mehrere Säugethier- arten mit Nordasien, das früher damit zusammenhing, gemein hat, wie Canis lupus, Cervus Alces, Cervus ta- randus, Ovis on Mustela Zibellina u. oder, 47. p 176 und ebend. 13 Bulletin de l'Académie Impériale 150 1854. S. 203) und Blasius (Fauna der Wirbelthiere Deutschl. Bd. I. S. 493) entschieden sich ebenfalls für die Identität des europäisch-asiatischen und amerika- nischen Bisons. Dass übrigens der Caucasische vom Bialowiezer nicht verschieden sei, wurde von Hrn. v. Baer (Bull. sc. d. V Acad. Imp. d. sc. d. St.- Pétersb. T. I. [1836] p. 155) und mir (Bull. d. nat. d. Moscou 1866. p. 252) umständlich nachgewiesen. Meine neuer- dings angestellten Untersuchungen der von A. Goe- bel aus Persien von Madgarah (Aderbeidjan) mitge- brachten fossilen Sáugethierreste weisen übrigens dar- auf hin, dass das frühere Wohngebiet des Bonasus bis in die Gegend des Urmiasees auszudehnen sei. Sie geben aber gleichzeitig meinen Ansichten über seine auch auf Kleinasien, also vom Kaukasus in westlicher Richtung, auszudehnende frühere Verbreitung (Zoogeo- graph. und palaeontol. Beitr. S. 130) einen neuen Stütz- punkt und machen es noch wahrscheinlicher, dass die dort erwähnte, von den assyrischeu Kónigen gejagte, grosse Stierart der Bos bonasus gewesen sein dürfte. Bereits Pander und Sembnitzki führen Rinder- reste aus den altaischen Hóhlen als einem Bos ange- | hórige auf, ohne aber die Art anzugeben, welcher dic- selben zu Voies sind. Rathke (Nouv. Mém. d nat. d Moscou T. III p. 275) fübrt unter der Rubrik Bos funfzehn aus den altaischen Höhlen erhaltene Knochenreste auf und be- bemerkt, dass die unter € 7— 15 angegebenen Kno- chenstiicke einer Rinderart angehörten, die bedeutend grösser als der Bos Urus und unser zahmes Rindvieh war, die Reste seien daher vielleicht vom B. primigenius. Er fügt dann hinzu, am Altai hätten in der Vorwelt wahrscheinlich zwei ganz verschiedene Rinderarten gelebt, ohne jedoch dabei den sogenannten Bos priscus seu latifrons gehörig in Betracht zu ziehen, der eben- falls viel grösser war, als sein jetzt feboudér Nach komme. | G. Fischer, der (a. a. O. p. 294) vier aus den chancharischen Höhlen stammende Knochenreste der Gattung Bos vindizirt, deutet darauf hin, dass sie sei- nem Bos latifrons angehören könnten, denn er be- merkt: die fossilen Knochen desselben seien in Sibi- rien nicht selten. Eichwald (Leth. IIT. p. 377) sagt: die Reste des Bos priscus (den er von Bos urus — bonasus unter- heide ) = sich in den altaischen Höhlen. Im Museum des Berginstitutes werden cine Menge Reste aufbewahrt, die ich der in Sibirien durch fos- sile, sehr zahlreiche, Reste documentirten ältern Form des Bos bonasus (dem sogenannten Bos priscus Bojan. | seu latifrons Fisch.) vindizire, weil sie mit den ihnen ent- sprechenden Theilen der noch lebenden Form des Bos bonasus (Bos urus auct.) morphologisch im Wesentlichen übereinstimmen, obgleich manche auf weit grössere Individuen hindeuten. Sie bestehen aus mehrern Un- terkieferbruchstücken von verschiedener Grösse, denen noch Backenzähne (meist hintere) eingefügt sind. Die Bruchstücke gehörten theils grössern, theils kleinern Individuen an. Ausser diesen Fragmenten") besitzt das genannte Museum viele einzelne Backenzähne des Un- terkiefers nebst einem Backenzahn des Oberkiefers, ferner einen siebenten Halswirbel nebst fünf Knochen der vordern und funfzehn Knochen der hintern Ex- tremitäten. Im Museum der Akademie sind nur vier Backenzähne des Unterkiefers vor handen, welche das- selbe Hrn. v. Helmersen verdankt. Die voluminósen der Fragmente des Bison, na- mentlich die so ansehnlichen, sehr stark gerippten, DBackenzühne weisen ganz entschieden auf Individuen ` hin, die grösser waren als die grössten Exemplare des noch lebenden Bison. Da indessen, wie wir bei den Edelhirschen und Rehen bemerkten, die Arten an Grösse bedeutend abnehmen können, so dürften auch die Bisonten hierin keine Ausnahme gemacht haben. — Auffallend war mir, dass bei den altaischen Backen- zähnen des Bisons der hinterste Bakenzahn des Un- terkiefers.am hintern Saume breiter und zugerundet erscheint, während er beim lebenden Bison compri- mirt ist und mit einer ziemlich scharfen Kante endet; ein Umstand, der noch nähere un ver- dienen — Subg. B. Taurus. Spec. 33. Bos Taurus var. fossilis v. Baer. | Bos primigenius Bojan. — Bos longifrons Ow. - = = Bo- vis tauri var. culta Rütim. Dawk.— Bos Nils. — Bovis tauri var. culta Rütim. Bos trochoceros H. v. Ber enm is culta Rütim. =. 14) Unter den Bruchstücken des Unterkicfers besitzt eins der- selben an der Aussenflache eine innen vertiefte und rauhe Auftrei- bung, die ganz deutlich auf eine cariôse Affection des fraglichen Knochens hinweist. 281 des Sciences de Saint -Petersbourg. 182 . Schon Rathke (Nouv. Mém. d. nat. d. Moscou. T, III. p. 275) war geneigt, drei Backenzähne, zwei halbe Metacarpialknochen, 2', Metatarsalknochen, die zweite Phalanx eines Vorderfusses, einen Oberschen- | kel, vier halbe Schienbeine, zwei Talus und einen Wir- bel, wegen ihrer Grósse, dem Bos primigenius (d. h. der ältern (fossilen) Form des Bos taurus) zu vindi- ziren. Eine solehe Annahme kann man jedoch um so mehr in Zweifel ziehen, da hierbei nicht auf den als Dos priscus seu latifrons Fisch. bezeichneten Bos bo- nasus (Bos urus auct.) Rücksicht genommen ist, des- sen Reste in Sibirien bis jetzt weit häufiger und ver- breiteter gefunden wurden als die des Bos primige- nius, ja die auch in den altaischen Hóhlen, nach Maass- gabe der Sammlungen des Berginstitutes, in grôsserer Zahl vorzukommen scheinen als die des Bos primige- nius. Indessen mögen unter den in der Dorpater Samm- lung befindlichen altaischen Höhlenresten allerdings noch die der eben genannten Art vorgefunden werden. Eichwald (Leth. III p. 372) schweigt über das Vorhandensein von Resten des Urstiers in den altai- schen Hóhlen, wiewohl er das Vorkommen derselben im Altai und Ural erwähnt. Es ist nicht immer leicht, einzelne Reste des Bos taurus var. primigenius von denen des Bos bonasus var. priscus seu latifrons mit völliger Bestimmtheit zu unterscheiden, wenn nicht Schádel und andere Ske- lettheile beider zur Vergleichung zu Gebote stehen, wie schon v. Nordmann mit Recht bemerkt. Ein trefflich erhaltener Schädel des Bos primigenius nebst mehrern Skelettheilen aus Schottland, welche Stücke das Museum Hrn. v. Hamel verdankt, setzte mich indessen in den Stand folgende im Museum des Berg- institutes aufbewahrte, aus dem altaischen Höhlen stam- - mende, Reste dem Bos primigenius mit Sicherheit zu | vindiziren: 1) Zwei obere vorletzte Backenzühne der rechtea Seite 2) drei vorletzte obere Backenzühne der linken Seite und 3) ein Os metacarpi des linken Fusses. Zur Bestätigung der Annahme, dass Bos taurus sylvestris — primigenius noch in historischer Zeit in Polen vor 466 Jahren im Parke zu Troki lebte, móge die bisher übersehene, auch in meinen Zoogeographi- | schen Beiträgen fehlende, Mittheilung eines flandrischen | Ritters Gilbert de Lannoy (Ausg. von Lelewel in | dessen Bozbori Posnán 1844 p. 382) hier Platz finden, füh welche ich der Gate meines ae Faik ter- danke. In der Mittheilung heisst es nämlich, dass-sich im genannten Parke zweierlei wilde Ochsen boeufz sauvaiges (Bos primigenius) und Wesselz (Wisents-Bos bonasus) fanden. Herberstain’s, von Pusch so an- gefochtene, von Hrn. v. Baer und mir aber umständ- lich (Zoogeogr. und palaeont. Beitr. S. 186) verthei- digte, Angaben erhalten dadurch einen neuen, uner- warteten Stützpunkt. ANHANG. In dem von Pander und Sembnitzki verfassten, oft erwähnten, Verzeichnisse der aus den altaischen Höhlen gewonnenen, im Berginstitut aufbewahrten, Säugethierreste ist von einem Oberkieferfragment der rechten Seite die Rede, welches einem jungen Thier angehörte, das sich angeblich dem Lama näherte, Ich habe indessen ein solches, einem lamaähnliehen Thier zu vindizirendes, Fragment unter dem altaischen Höh- lenresten durchaus nicht auffinden können. Knochen von Thieren, die den echten Lama’s sich näherten, sind bisher weder in Asien, noch in Europa gefunden worden und überhaupt in den genannten Welttheilen sicherlich nicht zu erwarten. Vielleicht wurden die ge- nannten Forscher durch die von Bojanus irrthümlich (s. Eichwald Leth. ITI p. 365) einer besondern cameel- artigen Gattung (Merycotherium) vindizirten, in Si- birien gefundenen, Dromedarreste (zwei Backenzähne) dazu bestimmt, an die eines lamaartigen Thieres zu denken. Die Lethaea rossica schweigt übrigens mit Recht über das Vorkommen von Resten eines lama- artigen Thieres in Russland. ORDO PACHYDERMATA. ` Familia Equida. 23. Genus Equus Linn. Spec. 34. Equus Caballus Linn, Ge Pallas (Zoograph. I. p. 260) berichtet, das Pferde, die er als 8 equiferi näher charakter in kleinen Heerden in den Steppen A d rei und Mongolei und vom Dnieper - so wie in Centralasien finden, denen zahme Pferde zugesellten. - Es in russischer Sprache : 183 Bulletin de l’Académie Impériale 184 ben und bemerkt, dass sich wilde Pferde heerdenweis in den Steppen östlich vom caspischen Meere, dann in den siidlichen uralischen und wolgaschen Steppen bis Saratow finden. — Blasius und Keyserling (Wirbelth. Europa's p. IM) sagen vom Pferd: Wild in den Steppen Osteuropa's und Mittel- Asiens. — Bla- sius (Fauna der Wirbelth. Deutschl. I. 503) betrachtet das wilde Pferd ebenfalls noch als lebend und be- schreibt es nach den Angaben von Pallas. — Hr. Gr. Czapski (Sitzungsberichte der Dorpater Naturforschen- den Gesellschaft, Sitzung am 14. Nov. 1869. Dorpat 1869. S.) sagt p. 29: ob es überhaupt noch jetzt echte wilde, nie zahm gewesene, Pferde gäbe ist sehr unge- wiss. Auf der folgenden Seite lesen wir von ihm fol- gende Bemerkungen. «Tataren und Kirgisen behaup- ten die Echtheit ihres wilden Zustandes und unter- scheiden sie als Tarpan von den verwilderten, die sie Muzin oder Takja nennen. Asiatische Völker sind der | Meinung, dass ganz reine Tarpanen äusserst selten würen, dass sie kaum noch auf kleinen Gebieten am Kanina, am Flusse Tom und in den Einöden der Mongolei oder der Wüste Gobi vorkommen. — Er be- merkt dann, dass von den grossen Pferdeheerden der Steppenvölker leicht welche entlaufen und verwildern könnten.» Es ist dies allerdings überhaupt häufig ge- deshalb nicht der Ansicht des Hrn. Gr. Czapski (S. 32) beitreten, alle wilde Pferde Europa’s könn- ten wohl ihr Herkommen auf verwilderte zurückfüh- ren lassen, weil sie, wie er freilich nur andeutet, auf die Wälder zurückgedrängt wurden, da sich dies aus einer durch die Cultur der Ebenen erzwungenen Ac- commodation erklären lässt. Hr. Gr. Czapski sagt übrigens (S. 30): die Ansicht, welche den Tarpan als Stammvater der Hauspferderacen ansah, sei in neurer Zeit sehr stark in Misskredit gerathen. Erwägt man - jedoch, dass die Tarpans in freier Natur mit entlau- fenen Hauspferden sich ohne Zwang vermischen, wor- man wohl annehmen, der Tarpan und das Hauspferd En derselben Art an. Gr. Czapski (S. 31) führt llerdings an, dass alle Berichte, die er vor Augen tehabt habe, von keiner mit vollständigem Erfolg en Zähmung des polnischen wilden Pferdes und Petzhold (ebd. 8. 34) erzählte, der olonist Cornis habe ein wildes Fohlen ge- habt, dass sich nicht zähmen liess. Bedenkt man in- dessen, dass es auch unter den zahmen Pferden tücki- sche genug giebt, die sich nur von sehr geschickten Händen leiten lassen, so kann man wohl auf die er- wähnten, ungünstigen Zähmungsversuche wenig Ge- wicht legen. Selbst wenn man aber auch einräumt, die Zähmung der wilden Pferde (Tarpans) sei eine sehr schwierige, erst bei der zweiten oder dritten Generation durch besondere Kunstgriffe und zweck- müssige Behandlung erreichbare, gewesen, so dürfte man doch um so weniger an die Möglichkeit der Zäh- mung des klügern, bei guter Behandlung sich an den Menschen anschliessenden, Pferdes, zweifeln, als selbst die des störrigern, dümmern Rindes (Bos taurus syl- vestris) vollständig gelang. Zähmt man denn nicht selbst Elephanten, ja sogar Hyänen, Löwen und Tiger? Trotz aller Bemühungen habe ich mir aus jenen Gegenden, wo es wilde Pferde geben soll, weder ein Fell derselben, noch eine zuverlässige Kunde von ih- rer noch gegenwärtigen, dortigen Existenz verschaffen können. Ein angeblich von wilden abstammendes Exem- plar, welches das Zoologische Museum lebend als Tar- pan erhielt, glich sehr einem Ponny, war ziemlich zahm | und zeigte weder die Farbe noch andere namhafte Kenn- schehen und geschieht noch jetzt. Ich móchte jedoch zeichen der wilden Race. Ich möchte daher auch mei- nerseits die Frage noch für eine offene halten, ob die von Pallas und Eversmann beschriebenen sogenann- ten equiferi für echte wilde Pferde zu halten seien, oder ob man ihren Ursprung von entlaufenen und ver- wilderten zahmen herzuleiten habe? Schon Oken (Na- turgesch. Zool. Bd. IV. Abih. 2. S. 1238) sagt: die von Pallas in seiner Reise im südlichen Russland erwähn- ten wilden Pferde scheinen verwilderte oder Hemioni Zu sein. Dass indessen in mehreren Gegenden Europa’s in historischen Zeiten wilde Pferde wirklich noch exis- tirten, dürfte aus mehrern Zeugnissen eng, aus eine fruchtbare Generation hervorgeht, so darf | Bereits Herodot (Hist. L. IV. (Melpomene) ed Schweighäuser 52) sagt vom Hypanis (dem Bug): er entspringt in Skythien aus einem See, um welchen wilde, weisse Pferde weideten "). — Plinius (H. N. 15) Die von Eichwald € III p. 363) als Beleg für die ge- schichtliche Thatsache, dass es in Sarmatien und n wilde Pferde gegeben habe, ange Mihalis Stelle des Strabo ag, IV. Cap. IV. $ 8) sagt nur: gs Sarmaten und Skythen jagten Hirsche, 185 des Sciences de Saint- Pétersbourg. VIII. cap. XVI ed. Harduinus) spricht von den gros- sen Heerden wilder Pferde in den nördlichen Län- dern. — Nach Varro (De re rust. IT, 1, 5) lebten in einigen Gegenden Hispaniens (Hispaniae citerioris) wilde Pferde. Auch Strabo (Geogr. TIT. 4.-ed. Cas. p. 163) erwähnt, dass es in Spanien zahlreiche wilde Pferde gäbe, was Manche bezweifeln, und erzühlt(ZV. ed. Cas. 207) von wilden Pferden in den Alpen. — Rüti- meyer fand indessen (Fawn. d. Pfahlb. p. 123) unter den Knochenresten der Pfahlbauten Pferdereste nicht häufig, und nur in den neuern Bauten. Die letzte bekannte Erwähnung des wilden Pferdes in Deutschland geschah im achten Jahrhundert iu ei- nem Schreiben des Pabstes Gregor III an den Erz- bischof von Mainz, worin der Genuss des Pferdeflei- sches verboten wird. (Czapski a. a, O. S. 31.) Wladimir Wssewolodowitsch, gewühnlich ge- nannt Wladimir Monomach, Fürst von Tscherni- gow von 1078 bis 1094, berichtet (wie mir meiu Freund, Hr. Akademiker Kunik, gütigst mittheilt) in seinem Poutschenie, das man gewöhnlich, obgleich nicht ganz richtig, das Testament Monomach's nennt, unter andern Folgendes über seine Pferde- Jagden in der Lawrentischen Chronik (Aaspenrpegckan JIroicb Cr. Herepö. 1846, erp. 104): Und das that ich in Tschernigow: mit meinen Händen fesselte ich in den Wäldern 10 bis 20 wilde Pferde lebendig, und ausser- dem fing ich mit meinen Händen eben solche wilde Pferde auf der Jagd in der Ebene. Der Herzog Sobieslaw von Böhmen brachte (obi 1125) nach einem Kriegszuge aus Schlesien eine An- zahl wilder Pferde mit (Lenz Zoolog. d. alten Griechen u. Römer. S. 202 Anm.) — Ein flandrischer Ritter Gil- bert de Lannoy kam im Jahre 1414, als er von| Wilna nach Preussen zurückreiste, nach der Stadt Troki, worüber er (nach Kunik’s gefälliger Mitthei- | ja lung) Folgendes berichtet (Ausgabe von Lelewel in | dessen Bozbiory Posnán 1844 p. 382). «En la dite | S. ville de Franequenne (Troki) y a ung pareq enclos, ouquel sont de toutes manieres de bestes sauvaiges et de venoisons dont on peut finer es forets et mar- | ches de par de la, et sont les aucunes, comme boeufz | pe ly nommez ouroflz (Bos taurus sylvestris), 8 et| Wildsehwein die mit Gazellen vorkommenden y , die wol der Saiga, früher mehr nach Westen verbreitet waren. ; alltres en y a comme grans chevaulz nommes wesselz, (wisents? Bos bonasus), et alltres nommes hellent, et il y a chevaulz sauvaiges, ours, pores, cerfz et toutes manieres de sauvegines. — Brincken (Mémoire de- scriptif. sur 1. forêt de Bialowieza. Varsov. 1828 p.49) meint: Das wilde Pferd habe noch ver einem Jahr- hundert den Bialowiezer Wald bewohnt und sei noch vor 40 Jahren in Lithauen, jedoch selten, angetroffen worden. Mehrere Schriftsteller des Mittelalters (Her- berstain (1516—17), Miechov und Stella erwähnen der wilden Pferde Polens, Lithauens und Preussens. Gratian de Burgo spricht (1695) von wilden Pfer- den in einem Parke des Herzogs Albrecht von Preus- sen. — Gr. Czapski (a. a. O. p. 33) fügt den genann- ten Berichterstattern über wilde Pferde Polens noch Rugieri (Relation 1568), den venetianischen Orator Lipoman (Relation von 1675), das im 17. Jahrhun- dert verbesserte Statut Litewski und Tadeusz Czaki (aus dem 19. Jahrhundert) hinzu. Die letzten Reste der lithauischen wilden Pferde sollen nach Brincken in einem Parke des Grafen Zo- moyski gewesen sein, von wo man sie, etwa 1808, entfernte und an die Bauern verschenkte. Die heidnischen Preussen sollen wilde Pferde ge- habt haben. — In zwei Mandaten des Herzogs Al- brecht vom Jahr 1543 und 1546 ist von wilden Pfer- den die Rede (Neue Preuss. Provinzialblätter Bd. IV. 1847). Thomas Rantzow (1532 — 1542) gedenkt der wilden Pferde noch genauer und bezeichnet die Uckermärker Heide als ihren, wie es scheint nur noch einzigen, damaligen, Aufenthalt (Lenz Zoologie d. alten Griechen u. Römer p. 202 Anm.). — Hr. von Baer bemerkte bei Gelegenheit des Vortrages des Hrn. Gr. Czapski, dass im 16. Jahrhundert (wie preussi- sche Akten es bezeugen) das wilde Eé, noch ein agdbares Thier war. SES? : + Bock (Naturgesch. Ost- und W ZE . 211) läugnet indessen das frühere y der Pferde in Preussen, ohne jedoch g für seine Meinung a en. Auf den dänischen Inseln agre ten Jahrhundert wilde F e, Onagri und Dorcades. Unter Onagri waren sh | Ru Hemioni i i ohl, mit. d xc Bulletin de l’Académie Impériale 188 entdeckten Reste desselben, dann der von Eichwald (Leth. IIT. p. 363) in Podolien beobachtete grosse, fossile Pferdeschädel. Die von demselben Naturfor- scher (siehe ebend.) in einem Kalktuff am nördlichen Abhange des Caucasus, bei Kislowodsk, gefundenen | s Kiefer lassen sich ebenfalls auf das frühere dortige Vorhandensein wilder Pferde beziehen. Das durch Ad. Goebel’s Sammlung nachgewiesene Vorkommen von Pferderesten bei Maragha, in der Persischen Provinz Aderbeidjan, gleichzeitig mit Re- sten des Bos (Bison) bonasus, Cervus elaphus und Rhi- noceros tichorhinus scheint übrigens anzudeuten, dass früher einmal (wohl zur Eisperiode) wilde Pferde noch südlicher als am Caucasus vorhanden waren, ja mög- licherweise dort schon sehr früh gezähmt wurden, da schon die alten Assyrier Pferde besassen. (Vgl. meine dem Naturforscher- Verein zu Riga gewidmete F'est- schrift: Ueber die von Ad. Goebel bei Maragha gefun- denen Säugethierreste. Riga 1870..4.) Für die ehemalige, auf Nordasien ausgedehnte, Ver- | breitung des Pferdes spricht das Vorkommen seiner Reste im Ural, im goldführenden. Sande (Verneuil, Annal. d. Sc. géol. 1842. no. 1. p. 17). Nach Karpins- ki (Eichw. Leth. III. p. 363) würden sie sich frei- lich dort nicht im Goldsande selbst, sondern in dem über ihm liegenden Torfe finden. Den uralischen Resten schliessen sich die in den altaischen Hóhlen gefundenen an. Merkwúrdig ist es, dass in dem an Elenen und Hirschen so reichen, mit grossen Prärien versehenen, Amurlande weder L. v. Schrenk, noch G. Radde ` Spuren wilder Pferde fanden, ebenso wie keine von wilden Rindern. In dem von Pander und Sembnitzki entworfe- nen Verzeichnisse der tscharyscher und chanchari- schen Höhlenreste werden 11 Knochen aufgeführt, welche sie als Theile der Gattung Equus ansahen, ohne jedoch dieselben einer bestimmten Art von Pferden zuzuschreiben. Selbst Rathke (Nouv. Mém. d. nat. d. Moscou T. III. p. 273) und Fischer (ebd. p. 298) sprechen nur von den in den altaischen Höhlen gefundenen Resten eines Equus i im Allgemeinen. . Backenzühne von Equus, die Rathke aus den ge- ännten Höhlen durch Gebler erhielt, deuten auf luen mittlerer Statur. Die Leisten der äus- sern Fläche derselben waren jedoch stärker als bei den jetzigen Pferden. Ausser Zühnen erwühnt er eines linken Talus, eines kleinern Talus, zweier Metacar- pialknochen des rechten Vorderfusses, eines Metatar- salknochens des linken Hinterfusses, eines untern Ge- leuksstückes, eines Metatarsus und Metacarpus, der untern Hälfte der linken Tibia und der obersten Pha- lanx des Hinterfusses. — G. Fischer v. Waldheim (ebd. p. 298) erhielt aus derselben Hóhle mehrere Zähne, die sich durch ihre Länge, so wie ebenfalls durch starke Rippen auszeichnen. Eichwald (Zethaca III. p. 362) weist die en lichen Reste der tscharyscher und chancharischen Höhlen dem Æquus caballus zu, worin ich ihm nur beistimmen kann. Ich möchte jedoch von keinem Equus caballus fossilis sprechen, da ich sie von den entsprechenden Theilen des lebenden, gezähmten Pfer- des im Wesentlichen nicht zu unterscheiden vermag. Ich glaube indessen doch, dass wenigstens ein Theil derselben, namentlich die schlecht erhaltenen, der wilden Race des Equus caballus zu vindiciren sei, da mit denselben ähnlich erhaltene Reste des Bos (Bison) bonasus, Bos taurus var. primigenius, Rhinoceros ticho- rhinus, Elephas mamonteus und des Cervus eyryceros SE wurden. Das Akademische Museum Gaur ans de drin lichen Hóhlen durch Hrn. v. Helmersen neunund- zwanzig Backenzähne des Oberkiefers und achtzehn Backenzühne des Unterkiefers nebst einem Astra- -galus. Eine bei weitem grössere Zahl dem Equus caballus See altaischer Höhlenknochen von namhafte- r Bedeutung wird im Museum des Kaiserlichen Paie aufbewahrt. Es sind dies folgende Stücke: 1) Ein Theil des Gaumens und e Oherkiefers der rechten Seite mit einsitzendem dritten bis fünften | Backenzahn eines grossen Individuums. 2) Ein Bruch- stück des vordern Endes der rechten Unterkiefer- hälfte mit drei Schneidezähnen, einem kleinern Thier angehörig. 3) Ein Bruchstück des Unterkiefers der- selben Seite mit dem dritten und vierten Backenzahn, einem noch kleinen Individuum angehórig. 4) Ein Bruchstück des Oberkiefers der rechten Seite mit dem dritten und vierten Backenzahn. 5) Ein Oberkiefer- Fragment der rechten Seite mit dem vierten Backen- des Sciences de Saini-Pétersbourg. zahn. 6) Ein Oberkiefer- Fragment der linken Seite mit dem vorletzten Backenzahn. 7) Drei Schneidezähne. . 8) Der erste obere Backenzahn der rechten Seite. 9) Drei Exemplare des zweiten Backenzahns derselben Seite. 10) Drei Exemplare des vierten obern Backen- zahnes derselben Seite. 11) Drei Exemplare des vor- letzten obern Backenzahnes derselben Seite. 12) Zwei Exemplare des ersten obern Backenzahnes der linken Seite. 13) Drei Exemplare des zweiten obern Backen- zahues der linken Seite. 14) Fünf Exemplare des dritten obern Backenzahnes derselben Seite. 15) Fünf Exemplare des vierten obern Backenzahnes derselben Seite. 16) Sieben Exemplare des fünften obern Backen- zahnes der linken Seite. 17) Ein Exemplar des sech- sten Backenzahnes. 18) Ein fünfter rechter Backen- zahn des Unterkiefers. 19) Zwei Exemplare des letz- ten Backenzabnes des Unterkiefers der rechten Seite. 20) Der dritte Baekenzahn des Unterkiefers der lin- ken Seite. 21) Der vierte Backenzahn des Unterkie- fers derselben Seite. 22) Der sechste Backenzahn des Unterkiefers derselben Seite. 23) Ein Halswirbel- Fragment. 24) Ein Carpialknochen der zweiten Reihe. 25) Die erste Phalanx der Zehe des rechten Vorder- fusses. 26) Zwei Exemplare der zweiten Zehe des linken Hinterfusses. 27) Zwei Exemplare der Phalanx des rechten Hinterfusses. 28) Ein Fragment einer Tibia und endlich 29) Drei Metatarsalknochen . des rechten Hinterfusses '^). Familia Suida. 24, Genus Sus Linn, e. p. Spec. 35. Sus serofa Linn. Wie Gebler (Katunisches Gebirge S. 78.) bemerkt, gab es früher an den Nordabhingen des Altai, nament- lich an den Ufern und Seen der Buchtarma nicht selten wilde Schweine, die aber (wie der Biber) nach und nach ausgerottet wurden. Auf der Nordseite des | Altai, an der Muita, soll 1832 das Letzte erlegt wor- den sein. Am Siidabhange des Altai kommen sie da- gegen noch jetzt vor. Sie wurden indessen nicht blos am Nordabhange des fe Aitai, sondern auch in manchen 16) Dass so manche dieser Bete. namentlich die am besten con- servirten, glänzenden, festen, gezähmten Individuen ihren Ursprung. verdanken mögen, dürfte wohl nieht abzuläugnen sein. Der oben | angeführte Humerus der Ovis domestica (Spec. 2 weist deutlich. d te Ges zähmter Thiere | so ein gezähmtes Thier hin und zeigt, dass auch Reste aus den Höhlen nicht ausgeschlossen waren. andern Provinzen Russlands, so in Curland u. s. w. ebenfalls vertilgt. Überhaupt sind sie im Europäischen Russland bis zum Ural schon viel seltener geworden und werden weit insularischer als ehedem ange- troffen. Im Museum des Berginstitutes findet sich nur de einziger, aus den altaischen Höhlen stammender, junger, hinterster Backenzahn des Oberkiefers des Schweins als einziges Belegstück, dass dasselbe zu den Thieren gehórt, deren Reste in den altaischen Höhlen abgelagert sind. Familia Rhinocerotida. 25. Genus Rhinoceros Linn. ` Spec. 56. Rhinoceros tichorhinus G. Fischer. Wie bekannt, zählt man Rhinoceros tichorhinus zu denjenigen Säugethieren der jüngeren Tertiärzeit, de- ren Reste seither von Frankreich und England bis Sibirien, und in Asien nicht blos, wie man bereits früher wusste, bis zum Caspischen Meere, sondern nach Maassgabe von Ad. Góbel mitgebrachter Reste südlich bis Persien (Aderbeidjan) sich fanden. Dass Rhinoceros tichorhinus mit seinem steten Begleiter, dem Mammuth, den Norden Sibiriens bewohnte, als er be- reits eine der jetzigen gleiche Vegetation hatte, be- weisen die von mir in den Höhlen seiner Backenzähne gefundenen Futterreste ") (Bericht ü. d. z. Bekannt- machung geeigneten Abhandl. d. kónigl. Preuss. Aka- demie d. Wissensch. a. d. Jahre 1946, S. 224 ff), so- wie die neuerdings von F.Schmidt in gleicher Süss- wasser-Schicht mit Hautstücken, Haaren und Kno- chen des Mammuth anfgefundenen, noch jetzt in Nord- sibirien wachsenden Pflanzen (Salices, Lärchentannen) angehórigen Überbleibsel (Bull. sc. d. l. Acad. Imp. d. Se, d St.-Péterb. T. XIII. [1555] und Mang bil, T. VI. [1868] p.679). Die am Wilui noch mit u À sehrter, sogar noch mit Haaren bedeckter, ] Jo frornen Boden gefundene, a i wenigstens nicht weit, verschwem mte Leiche noceros deutet aber darauf. rin, ( date den T, V sie angebörte, nicht blos einfror, : 17) Ausfabrliche | frornen Zustande mindestens | | P 191 Bulletin de l'Académie Impériale erhalten konute, keineswegs in einem warmen, jedoch milderen Klima lebte, da, wie wir durch Ruprecht und F. Schmidt wissen, dass die Waldgrenze und be- sonders auch die Strauchvegetation in Nordosteuropa und Nordasien früher viel weiter nach Norden gingen als jetzt °). Vergleicht man die aus reichen langen Woll- und Steifhaaren gebildete Haardecke des Mammuth, eben- so wie die des Ovibos moschatus, des Bos bonasus und | des Renthiers, der trüheren elite des Rhinoceros tichorhinus, mit dem nur aus büschelständigen, 1—1'/,”, 3 i bestehenden Haarkleide des letztern, so sollte man fast meinen: Rhinoceros ti- chorhinus sei für ein weniger nördliches Clima geschaf- fen gewesen als seine Begleiter, worauf auch schon Eichwald (Leth. III. p. 359) hindeutet, der freilich die Länge der Nashornbaare viel zu kurz angiebt. Es fehlen indessen bis jetzt für eine solche Annahme die nöthigen Anhaltungspunkte. Die Mammuthleichen, SS Ze CELLS g lan gen, vou denen man bisher nihere Kunde hat, wurden allerdings nórdlicher als die erwühnte Nashornleiche SSES "— auch in sehr nórdlichen nicht die geringste, se et dunkle, Kunde von e Sabes: dort | schen Nashörnern erhalten hat, ja dass sogar schon Herodot die Sage mittheilt, dass im Lande der Arimaspen (am eech das Gold von grossen Vögeln (Geiern) bewacht würde, zu welcher offenbar die i den dortigen Goldlagern vorkommenden: für Vögelknochen gehalte- nen, wohl weil vorn schnabelförmigen, Schädel, so wie did eben- daselbst geg, krallenähnlichen Horner des Rh. tichorhinus Anlass gabe 19) Wer prius. erwügt, dass zahlreiche Reste des Rhino- ceros tichorhinus, des Begleiters des Mammuth, im Norden Sibiriens, sogar selbst an de Jana, Indigirka, im Lande de Jukagiren u.s. w. vorkommen, dann dass die Futterreste aus der Tiefe der kapsel- — Pobtaniel der Backenzähne herausgeholt wurden, wer fer- tem, kritischen Urtheil die neuern Mittheilungen ee Fm Umstände beachtet unter denen Schmidt die Reste der Mammuthleiche fand, uid was er über die frühere Waldgrenze Nord- sibiriens sagt (siehe unten Elephas primigenius), wird den oberfläch- lichen Angaben des de Eichwald (Lethaea III p. 359) über das frühere nordische Vaterland des büschelhaarigen Nashorns und die in den Backenzsle nobler des Kopfes der nengen Leiche von mir actos (welche B «vague zeichnet) kein Gewicht. beilegen kónnen. Es vd ihm dies um so weniger móglich sein, wenn er noch dabei in Betracht zieht, dass Eich Geh - ez Bewohnern Sibiriens behauene, also, unvollstän- dree, Hörn J en be- den Haaren Prim Thicres sagt, sie seien: longs de 3 lignes sur -Tes pieds et d'un moins sur la tête, während doch dieselben LR mach den | von "Pallas, womit auch die meinigen a eins | , Zoll lang waren (s. meine Abhdl. De Rhi- erote tichorhino Him. d. PAcad. d, S.-Pitersb. VÍ série se mad. 1j $ 2 und meinen Aufsatz: Ueber das Haarkleid des Rh. m. de l' Acad. des sc. T. VIT. 1870) — Wer ist es nun, htungen mittheilt? . | Gegenden Sibiriens Skelettheile des Rhinoceros ticho- rhinus. Möglicherweise konnte indessen auch das durch sein dünneres Haarkleid weniger als seine oben genannten Begleiter gegen Kälte geschützte, büschel- haarige Nashorn den Winter in südlichern Gegenden zubringen, oder besass, wie die Seehunde, in einer höheren Bluttemperatur und reichlicheren Fettmaasse, Ersatz für die dünnere Haardecke. Nach Maassgabe der weiten Verbreitung der Reste des büschelhaarigen Nashorns in Sibirien darf es uns keineswegs Wunder nehmen, wenn solche auch in den altaischen Höhlen gefunden wurden. Bereits Pander und Sembnitzki führen in ihrem Verzeichniss zwei Nashornzihne auf, die sie einer grossen, und einen dritten, den sie einer kleinern Art zuschreiben, ohne jedoch die Arten zu benennen. Rathke (a. a. O. p. 272) fand unter den ihm vor- liegenden altaischen Héhlenknochen zwei Backenzähne, zwei Tali und einen Metacarpialknochen des Bee: ros tichorhinus. Fischer v. Waldheim (Nouv. Mém. a. a. 0. p. 293) erhielt aus derselben Höhle fünf Backenzähne der erwähnten Nashornart. ` Das Akademische discum. ten: durch Herrn | v. Helmersen nur einen Backenzahn derselben. Sehr reich sind dagegen unter den aus den altaischen Höh- | len gewonnenen Resten die des Rhinoceros tichorhinus im Museum des Berginstitutes vertreten. Es fanden sich jedoch darunter keine Zähne, welche, wie Sembnitzki und Pander meinten, nachweislich zwei Arten, einer gróssern und einer kleinern, zu vindi- ziren wären, obgleich Eichwald (Lethaea II. p. 359), offenbar ohne die Zühne genau untersucht zu haben, ihnen irri ise beistimmt. Die Reste bestehen aus -Batkeniithnon des Ober- und Unterkiefers. — Von Oberkieferzähnen sind neun von der rechten und eben- soviel von der linken Seite vorhanden, die Individuen von verschiedener Grósse angehórten. — Unterkiefer- backenzühne zählte ich sieben. — Ausserdem vem ich das dritte Glied der Mittelzehe des Vo jrderfu ein Fragment der linken Hälfte des Becker Pfanne eines grossen Individuums, einen genam des rechten Fusses und einen As ragalas des linken Fusses, die aber beide nicht sehr wohl erhalten sind. Das Vorkommen von Resten einer, man darf wohl sagen, ursprünglich nordischen, Art in Aderbeidjan des Sciences de Saint- Pétersbourg. dürfte sich aber nur durch die Annahme erklüren lassen, dass Rhinoceros tichorhinus, als der Norden Asiens zur Hiszeit erkaltete, nicht blos nach West- europa, sondern auch mehr nach dem Südeu Asiens (Persien) einwanderte, wo er mit Bos Bonasus, wie schon in Sibirien, zusammenlebte, denu auch Knochen dieser Rinderart fand ich unter den von Ad. Góbel mitgebrachten Sáugethierresten. Gehóren übrigens die bei Shangai gefundenen Elephantenzihne (Lockart, Athenaeum 1860—61, aus den Proceed. of geolog. So- ciety) wirklich dem Mammuth an, so würde der Fund- ort der Rhinoceroszühne in Aderbeidjan weniger auf- fallen, ja man würde auch Reste des Rhinoceros ticho- rhinus in China erwarten kónnen. Familia Elephantida. 26. Genus Elephas Linn. Spec. 37. Elephas primigenius Blumen b. Das Mammuth (richtiger Mamont) gehórte bekannt- lich, wie das büschelhaarige Nashorn, zu den weit ver- breiteten Thieren, da man seine Reste von Spanien und Apulien an nicht blos über ganz Europa, sondern auch in der ganzen Nordhälfte Asiens östlich bis Kamtschat- ka, südlich bis Shangai, ja selbst auf der Nordasien ge- genüber liegenden Küste Nordamerikas mehr oder we- niger häufig, oft sehr häufig, angetroffen hat. Die Mam- : muthe haben jedoch, so viel wir wissen, nicht in allen der genannten Linder gleichzeitig gelebt, sondern er- schienen erst in den mittlern und südlichen Breiten, als von Norden gel i , Wie es scheint zur Kiszeit. Es fragt sich iiberdies noch, ob alle Reste, die man Ælephas primigenius zugeschrieben hat, ibus allein angehéren? Als Grundlage des echten E primigenius darf wohl das von Adams mitgebrachte, früher von Tilesius geschilderte, neuerdings von mir (Bulletin sc.d. Acad. Imp. d. sc. T. X. [1866] p. 93 ff. Mélang. biolog. T. V. p.567) von neuem näher charakterisirte Skelet pole den ihm noch anhängenden oder davon abgetrennten | 1 ene angesehen werden”). Unter den} Mamm von Hrn. v. Baer verfassten Mittheilungen über das | (1866) | a . T. V. p. 645, BSA | Ort un Gen Den sich auf die Aufindung des angeblich am Tas- 4 ungen m ond enthalten Instructionen tn TR E die Namens Mammuth, Tome XV. Boden eingeschlossenen, Leichen der -| und A | früher mehr als eine Sg Schädeln, welche das Museum der Akademie besitzt, befinden sich aber entschieden solche, die vom Schä- del des Adams’schen Mammuth kbwreichöni und die ich bereits früher besondern, später von mir ange- zweifelten, Arten zutheilte. bien besitzt nur noch ein Schädel des erwähnten Museums, ausser dem des Adams’schen Skelets die für die Unterscheidung der Arten so wichtigen Backenzihne. Einzelne Backen- zähne bietet das genannte Museum in grosser Menge. Bei weitem nicht alle davon zeigen gleiche Schmelz- falten. Der Umstand, dass nicht alle sogenannten Backenzähne des Mammuth gleich gebildete Schmelz- falten zeigen, war es übrigens der schon früher G. -Fischer und Eichwald veranlasste, mehrere Arten mammuthartiger Elephanten anzunehmen. Ich beab- sichtige daher, die Artenfrage einer nochmaligen Un- | tersuchung zu unterwerfen und die — "m ben später mitzutheilen. Es darf jetzt als Thatsache shia einai aldo dass früher als die, wenn auch im hóchsten Norden selbst nur aus niedrigen Lärchen (Larix sibirica) und ` Weiden (Salix retusa und glauca) gebildete, Waldvege- tation in Nordasien bis gegen den Eismeersaum sich erstreckte, dort mit dem Bénthier, dem Moschus- ochsen (Ovibos moschatus), dem Rhinoceros tichorhinus und den Bos bonasus seu bison var. priscus auch Mam- muthe vorkamen, wenn sie auch vielleicht, wie die Renthiere, die nördlichsten Gegenden nur es som- merliche Wanderer besuchten, da nachweislich die mehr oder weniger gut conservirten, im gefrorenen Mammuthe an ihrem Fundorte oder nicht weit davon verendeten, keineswegs aus dem fernen Süden nach E ut schwemmt wurden. pe Eine solche Ansicht ist nicht gerade e: Adams, Cu rise Link (Urmwelt), byah, Bulletin de l'Académie Impériale wähnte Entdeckung von Futterresten (Stückchen von Coniferen), welche ich bei Gelegenheit meiner ein- géhenden Untersuchungen über Rhinoceros tichorhinus (Mém. d. U Acad. d. sc. d. St.-Pétersb. VI. Sér.) in den Hóhlen der Backenzühne des im Museum der Peters- burger Akademie aufbewahrten Kopfes der am Wilui gefundenen Nashornleiche machte (siehe oben), ver- anlassten mich, die Frage über die Heimath der bü- sehelhaarigen Nashórner und Mammuthe, ebenso wie über den Ursprung ihrer im Norden Sibiriens aufge- fundenen Leichen in nähere Erwägung zu ziehen. Es geschah dies 1846 in dem, oben in meinen Bemer- kungen über Rhinoceros tichorhinus bereits erwühnten, an Hrn. A. v. Humboldt gerichteten Sendschreiben. Ich betrachtete darin die Futterreste, die wohl erhal- tenen, theilweis sogar noch dicht mit Haaren besetzten, Hautreste derWilui'schen Nashorn- und Adams’schen Mammuthleiche, namentlich auch die im hohen Nor- den theilweis in aufrechter Stellung gefundenen Ca- daver oder Skelete derselben, die nur an ihrem Fund- orte verendet sein konnten, als giltige Beweise für die Ansicht, dass die beiden genannten Thiere im früher wärmern Norden lebten, während ihre dort nicht selten im Schlamme der Flussufer versunkenen Leich- name einfroren, wiederholt mit später gefrierenden Schlamm bedeckt wurden und mehr oder weniger wohl erhalten sich so lange conservirten, bis sie los- gespült wurden. Das Verschwemmtsein der mehr oder weniger wohl erhaltenen, aus dem gefrornen Boden Sibiriens losgespülten, Cadaver liess ich theils gar nicht, theils nur für sehr geringe Strecken gelten. Hr. v. Middendorff (Reise I. 1.213), der im hóhern Norden Sibiriens mit Treibholz, in der Nàhe von Mee- resconchylien, ein von verwesten, in Erde verwandel- ten, Weichthieren noch theilweis umgebenes Mammuth- skelet fand, glaubte dadurch die älteste, bereits von Isbrand, Messerschmidt, Gmelin, Pallas u. A. angenommene, Theorie, dass alle Mammuthleichen aus dem Süden nach dem Norden Sibiriens geschwemmt seien, gegen die von mir vorgetragenen Ansichten stützen zu kónnen, indem er gleichzeitig das der von ihm angenommenen Theorie völlig widersprechende - Vers nken der Mammuthe, namentlich in aufrechter ‚ in Zweifel zog. Ich selbst sah mich daher ath (Bull. de D Acad. Imp. des se. de St. in meinem Aufsatze: Zur Lebensgeschichte | Pétersb. T. X. (1866) p. 598) auf meine Theorie zu- | rückzukommen, während Alexander Brandt (Bullet. des natur. de Moscou 1867 n. 3) mit Hinweis auf die Naturgeschichte der indischen Elephanten, deren zu Zeiten in Schlamm versunkene Individuen sogar in den indischen Sprüchwörtern mehrmals erwähnt wer- den ?') (also keine seltene Erscheinung sind), das von Mehrern erwähnte, von Middendorff angezweifelte, Vorkommen aufrecht stehender Leichen und Skelette des Mammuth vertheidigte. Aus dem Berichte, welchen Hr. MagisterF.Schmidt der St. Petersburger Akademie über seine auf ihre Veranlassung zur Aufsuchung der angeblich vollstän- digen und am Tasbusen zu Tage getretenen, Mammuth- leiche (wovon Schmidt nur Trümmer fand) unternom- mene Reise abstattete (siehe Bull. de I? Acad. Imp. des sc. de St.-Pétersb. T. XIIT, und Mélang. biolog. T. VI. ». 655), geht übrigens klar hervor, dass seine an Resten (Hautstücken, Haaren und Knochen) des frag- lichen Mammuth, die sich noch im gefrornen, zur Zeit der Existenz a Mammuthe abgesetzten, Boden be- fanden , angestellten Untersuchungen die von mir an- genommene Theorie bestätigen, wiewohl er es unter- liess, meine darauf bezüglichen Arbeiten zu erwähnen. Die von Middendorff vertheidigte Theorie wird in- dessen von Schmidt nicht blos angeführt, sondern widerlegt. Da Schmidt’s Untersuchung der fraglichen Mam- muthreste wesentliche, theils bestätigende, theils er- weiternde oder modificirende Stützpunkte für die von mir angenommene Theorie über das Vaterland und die Biologie des Mammuth, eben so wie für die Art der Entstehung seiner wohl conservirten Leichen im ho- hen Norden bietet, so móge es erlaubt sein, hier die wesentlichsten Daten aus seinem Berichte mitzu- theilen. Die Reste der EE wurden nicht, wie es in der Ankiindigung derselben hiess, am Tásbusén; sondern an der obern Gyda am See Jambu, etwa 100 Werst vom Jenissei in der Schlucht eines alten, von. einem Arm des genannten Flusses durchströmten, See- 21) Den bei AE Brandt. sine uir Aber das Versinken der Mammuthe ist übrigens noch hinzuzufügen, dass man in Russland bei Danilow im Gouvernement Yaroslaw ein Skelet des- desselben fand, dessen einer Fuss ganz aufrecht stand, "A" Thier dem er angehôr te, war also versunken. (Nouv. Journ. asiat. 1 830 Nov.; : Ferussae, Bullet. sc. nat. 1831 X XV. p. 161.) des Sciences de Saint- Pétersbourg. beckens in einer gegen 5 Faden mächtigen Süsswas- serablagerung wahrgenommen. Der noch in seiner Lage im Boden befindliche Theil der Mammuthreste fand sich an der untern Grenze der fraglichen Schicht, gleich úber einem marinen Thon unordentlich durch einander in einer hart gefrornen, drei Fuss mächtigen, Lehmschicht in horizontaler Lage. Um sie herum, zum Theil in geneigter Richtung, wa- ren diinne Schichten von Wassermoosen (Hypnum) ge- mischt mit Bláttern von nordischen Weiden (Salix re- tusa var. rotundifolia und Salix glauca), die noch jetzt in der Umgebung vorkommen, und kleinen, zolldicken, 3 — 4 Zoll langen, zum Theil platt gedrückten, theil- weis von Wurzeln herriihrenden, Stiickchen von Lár- chenholz (Larix nach Mercklin), welches letztere, da die Gyda früher ihr Flussgebiet nachweislich nicht weit nach Süden ausdehnte, nicht von dorther gekommen sein konnte. Schmidt meint daher, es sei plausibel, dass früher im Flussgebiet der Gyda verkrüppelte Lär- chen mit nordischen Weiden wuchsen. Auch der Theil der Siisswasserablagerung, welcher ` über der Schicht sich befand, worin die Mammuthre- ste lagen, bot zwei bis drei Zoll mächtige, getrennte, Hypnum und Salices enthaltende, Schichten. Ahnliche Mooslager mit eingeschwemmten Blättern und Zwei- gen von Weiden bilden sich übrigens noch jetzt all- jährlich an den Ufern der Tundraseen und werden im Frühling von neuen Lehmlagern bedeckt. Die unter Schmidt’s Leitung aus dem gefrornen Boden mittelst Keilhacken herausbeförderten Reste des Mammuth bestanden aus Knochen, Haufen loser Haare und Hautstücken mit Spuren früherer Fáulniss ohne alle Haare, die unter dem Knochen lagen. Die Haare zeigten theilweis einen gewissen Zusammenhang durch Spuren einer feinen Epidermis und bestehen aus Woll- und Steifhaaren. Die gegen 2" gen 1 Fuss lang und jetzt meist von rothbrauner Farbe. An Ort und Stelle bemerkte Schmidt auch schwarze, die später ausgeblichen zu sein scheinen, da sie un- ter deu mitgebrachten fehlen. | Schulterblátter, ein ganzes Vorderbein mit alien Kno- chen und einige Halswirbel nebst einigen Rippen. | Am Grunde der Schlucht fanden sich, in Lehm gebet- tet, die meisten Theile des anderen Fusses. Später er- ! langen Wollhaare er- | scheinen weisslich, die längsten Borstenhaare sind ge- An Knochen wurden folgende zu Tage gefördert: der Unterkiefer, beide |! hielt Schmidt noch drei grosse Schenkelknochen, acht Stücke der Wirbelsäule nebst einigen Wirbeln und Fussknochen, die schon früher aus der Mammuth- schicht herausgefallen waren. — Der Schädel, einige Rippen und Halswirbel waren im Jahre vorher beim Suchen der Stosszähne von den Juraken ausgegraben worden. | Wie Schmidt sagt verendete das Mammuth an der- selben Stelle, an welcher er die Reste desselben fand, oder wurde nur aus geringer Entfernung flussabwärts dahin geflösst, was nach ihm auf Eis geschehen wäre, für welche Art des Transports indessen mir gerade keine Nothweudigkeit vorzuliegen scheint, obgleich allerdings so manche Mammuthcadaver auf Eisschol- len nordwärts getrieben worden sein mögen, wobei sie jedoch wohl meist zertrümmert wurden. Er fährt dann fort: das Mammuth habe in der alten Gydatun- dra (d. h. in einer frühern Zeit, als die Wälder viel weiter nach Norden sich ausdehnten) an Krüppellär- chen?) und Weidengebüsch noch Nahrung genug ge- funden, die wenigstens für sommerliche, nordische Ex- cursionen, wie sie noch jetzt die Renthiere unter- nehmen, genügend war. Er liefert dann geognostische Belege für die Ansicht, dass das Mammuth nicht aus dem frühern Dette des Jenissei hergeleitet werden kónne. Schmidt giebt endlich zu, dass Mammuthe im Sehlamm der See- oder- Flussufer versinken konnten, und dass man stehende Leichen oder Skelete dersel- ben gefunden habe, welches Letztere namentlich Hr. v. Middendorff bezweifelte. Nur macht er geltend, dass das Versinken nicht durch überaus grossen Ab- satz von Schlamm aus den nordischen Flüssen bewirkt werden konnte, wie A. Brandt meint. Schmidt be- merkte nämlich, dass der Schlammabsatz aus n sen auf den Jenissei-Inseln jührlich nur eine zolldicke Schicht bildet; dagegen würden die thonige zen bänge der Seen und Flüsse durch Au ftl | über dae NA asser er weicht und im : pees mie — sein. Bulletin de l'Académie Impériale m durch "— Einfriern erhalten werden konn- ten, ohne gerade i immer in aufrechter Stellung zu ver- bleiben. — Da die Frage über die frühere e — für die Mam muthfrage von Wichtigkeit ist, so möge es erlaubt sein Schmidt's darauf bezügliche Beobachtungen und Bemerkungen hier anzuführen, da auch sie auf die frü- hern nördlichen Wohnorte der Mammuthe hinweisen. Für das Zurückgehen der Baumgrenze in neuster geologischer Zeit sprechen nach Schmidt (Mel. biol. VI. p. 675) folgende Thatsachen: Auf dem Wege von Dudino zu den Norilbergen, in einer Gegend, wo Lär- chen jetzt nur noch in geschützten Flussthälern vor- kommen, fand er im Torf und auf der Höhe der Tun- dra umgefallene Lärchenstä Unter dem Torfe auf der Höhe der Tundra bei Sse- läkino sieht man '% Fuss dicke Stämme, während jetzt dort ebenfalls nur an südlichen Abhängen vereinzelte Bäume gedeihen. Lopatin fand ähnliche Stämme noch nördlich auf dem Abhange Nikandrowskije Jary unter 70", n. Br. Noch wichtiger ist, dass Lopatin nahe der Jenisseimündung, 11 Werst oberhalb Krestowskoje, unter 72° n. Br. in einer spüter mit Lehm bedeckten, humösen Vegetationssehicht (am oberen hohen Jenis- seiufer) wohlerhaltene, mit Rinde bedeckte, zum Theil noch mittelst ihrer Wurzeln festsitzende 3 — 4 Zoll dicke Stammreste vom Alnaster fruticosus wahrnahm, der gegenwärtig auf den Inseln des Jenissei bis 7 0%, n. B. allerdings noch ziemlich freudig als mannshoher Strauch wächst, in der Tundra aber nicht bis zur Mün- dungsgegend des Jenissei hinaufgeht und am äusser- sten Punkte seines Vorkommens, bei Swerowo, unter TPE Br., nur noch der Erde angedrückte, fingers- nohct Zap fan davon. dicke Aste bildet. Mit den Wurzeln des Alnaster be- | merkte Lopatin noch eine Menge wohl erhaltener feiner Zweige, die an keine Verschwemmung des Al- naster denken lassen, da das Treibholz immer an sei- Co ner Oberfläche stark mitgenommen erscheint. In dem Verzeichnisse der in den altaischen Höhlen | t Hinden Säugethierknochen, welches Pander und | Sembnitzki verfassten, ¿bello wie in den darauf be- züglichen Abhändlungen von Rathke und G. Fischer sind keine Mammuthknochen erwähnt. Auch das Mu- d (Leth. III p. 347) bemerkt dagegen: der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften | keine ' Mammuthreste aus den genannten Hóh- | On trouve rarement des ossements de Mamouth dans les cavernes de Khanhara et de Tscharysch dans PAl- tai aceompagnés d'ossements d'une espéce petite ou plutôt de petits individus de Mammouth. Er sagt in- dessen nicht, worauf seine Mittheilung sich stützt. Das Museum des Berginstitutes bot mir unter den altai- schen Hóhlenresten vom Mammuth nur zwei grosse Backenzühne, aber keine Reste einer Tn Elephan- tenart. Schlussfolgerungen aus den vorstehenden Höhlenfunden. Die in den altaischen Höhlen entdeckten Säuge- thierknochen gehören in grösster Mehrzahl solchen Thierarten an, welche noch gegenwärtig im Altaige- biet vorkommen oder (wie Sus scrofa und Castor fiber) noch vor nicht langer Zeit sich dort lebend fanden. Die genannten Reste repräsentiren etwa '/ der noch im Altai oder in seiner Nähe vorhandenen Säugethiere. Unter den altaischen Höhlenresten bemerkt man aber auch solche, wie die der Hyaena spelaca, des Cervus euryceros, des Bos (Bison) bonasus, des Bos taurus var. primigenius, des Rhinoceros tichorhinus und Elephas primigenius, welche Thieren angehörten, die jetat-is in ew semen — geg Se de- ran fi dortiger Existenz richten vorliegen. Nur in den von Radloff herausge- gebenen Volksmárchen der südsibirischen Tataren, St. Petersb. 1868. 8. Th. T, ist eine dunkle, jedoch durch allerlei Fabeln entstellte, Sage von zwei grossen, in Sibirien frúher vorhandenen, Rinderarten enthalten (Brandt Zoogeogr. u. palaeontol. Beiträge, in d. Ver- handlungen d. Mineral. Gesellschaft Bd. II. 1867, p. 132). Auch weisen einige alte, ebendaselbst von mir p. 222 mitgetheilte Sagen, namentlich die von Er- man angefübrte, von den Jukagiren vernommene (dass ihre Vorfahren wunderbare Kämpfe mit grossen Thieren um den Besitz ihres Landes zu bestehen hat- uf hi ‚ dass 3 damals BR noch Let bis Kee nannte ved Wëss könnten, d eren gänzlich | g jedoch, wie ich in der &ensiihten Arbeit (S. 225) bereits: aussprach, - leicht in keine allzuferne Zeit zu versetzen sein möchte, Was die in den altaischen Höhlen gefundenen Pfer- dereste anlangt, so gehóren sie allerdings einer Thier- art (dem Equus caballus) an, wovon nachweislich keine Les e rs.) des Sciences de Saint-Pétersbourg. wilden Exemplare in Sibirien mehr existiren, die in- dessen wohl, wie auch in Europa (siehe oben Equus caballus spec. 34), die Mammuthe und büschelhaari- gen Nashörner dort überlebten. Für eine solche An- sieht scheint mir namentlich der Umstand zu spre- chen, dass die Reste des Cervus euryceros, des Rhino- ceros tichorhinus, des Elephas primigenius, wie auch die der Hyaena spelaea, rauher und miirber erschienen und also weniger organische Substanz enthalten, also weit ältern Datums sind, als die meisten Pferdereste, welche sehr häufig noch eine ganz glatte Oberfläche und feste Consistenz besitzen. Allerdings finden sich auch solche Pferdereste, die den Knochen des Rhino- ceros und der Hyaena spelaea in Bezug auf Conserva- tion ähneln, also etwa um dieselbe Zeit abgelagert sein mögen. Im Gegensatz zu den eben genannten kön- nen aber auch so manche gezähmten Pferden ihren Ursprung verdanken und vor nicht gar langer Zeit in die Höhlen gerathen sein. Was eben von dem verschiedenen Zustande der Con- servation der Pferdeknochen bemerkt wurde, gilt auch von denen des Bos bonasus, wogegen die des Bos taurus primigenius alle auf eine alte Zeit der Ablage- rung hinweisen. Darf man daraus den Schluss ziehen, dass Bos primigenius auch in Nordasien (wie in Europa) früher seinen Untergang fand, als es dort mit dem Bison, ebenso wie mit Equus caballus ferus der Fall war? Den Anschein von Wahrscheinlichkeit bietet eine sol- che Folgerung, da der weniger wilde, und deshalb ge- zähmte, Bos taurus primigenius wohl leichter zu er- legen war und ein schmackhafteres Fleisc h bot als Bos (Bison) bonasus, der übrigens, nach Maassgabe der Zahl der bisher in Nordasien gefundenen Reste, dort die häufigere, so viel wir bis jetzt wissen, weiter | nach Norden und Osten verbreitete Art gewesen zu sein scheint. (Man vergl. hierüber meine Zoogeograph. und paläontol. Beiträge S. 156 und 170.) Was die Beste der noch jetzt im wilden Zustande | t in Sibirien lebenden Thiere anlangt, so, weist die Art ihrer’ Conservation auf eben kein hohes Alter hin, ja | manche, wie die Knochen der Fledermäuse, des Maul- wurfs und der Spitzmaus, ebenso wie die der kleinen Nager, sind, trotz ihrer geringen Grösse, noch so wohl | | wanderte. erhalten, dass sie theilweis erst in neuerer, ja selbst neuster Zeit i in die Höhlen gelangt sein dürften. Menschen mit jenen grossen Thieren noch nicht den büschelhaarigen Na den Bisonten und den Urochsen | Die eben gemachten Bemerkungen denten also un- widerleglich darauf hin, dass die beschriebenen Säu- gethierreste zu sehr verschiedenen Zeiten in die Höh- len abgesetzt wurden, die der ausgestorbenen Thiere aber offenbar früher als die der noch lebenden. Darf man indessen, wie es wahrscheinlich scheint, einen schon seit alten Zeiten (von der Existenz der Mammuthe an) erfolgten bis zur Jetztzeit fortgesetz- ten Absatz von Resten der verschiedensten Säugethiere Sibiriens in der Art annehmen, dass die grössern Kno- chen und Zähne sich erhielten, während die kleinern (namentlich kleinern Arten angehörigen) bald vermo- derten, aber durch neu hinzugekommene ersetzt wur- den, so vermögen uns die Knochenreste der altaischen Höhlen ein, allerdings zur Zeit noch unvollkommnes, Dild des Charakters der ursprünglichen, vollstündi- geren Säugethierfauna der Altaigegenden zu verschaf- fen. Das Charakterbild wird. natürlich künftig um so vollständiger werden, je mehr Reste solcher Arten in den lange nicht genug durchsuchten altaischen Hóh- len entdeckt werden, welche in dem vorstehenden Ver- zeichnisse fehlen. Jedenfalls weisen schon die bis jetzt in den altai- schen Hóhlen gefundenen Säugethierreste auf die Ver- ünderungen hin, welche die Fauna Sibiriens durch das Aussterben oder die Vertilgung mehrerer Glieder er- litt. Wenn aber die Biber und Wildschweine im nórd- lichen Altai nachweislich durch den Menschen erst ` in neuern Zeiten ausgerottet wurden, konnten dann nicht in fernern Zeiträumen auch schon andere Thiere, wie die wilden Rinder, das büschelhaarige Nas] das Mammuth und der Riesenhirsch nebst der Höh- | lenhyáne ebenfalls wiederholten menschlichen Nach- stellungen unterlegen sein? . Wenn auch für Sibirien die Gleichzeitigkeit des palaeontologische und archaeologische Fun stellt, sondern nur in jm dunklen‘ di RT in ct SÉ me mit i en shôrnern, den Riesenhirschen, vermuthlich zum Theil aus. Bulletin de l’Académie Empériale Bemerkungen zur Schwammfauna des Weissen Méeres und des Arktischen Oceans von N. M. v. Maclay. (Lu le 10 février 1870.) ` Nachdem bereits mein Aufsatz ') im Druck war, er- hielt ich eine Anzahl Schwimme, welche ein interes- santes Supplement zu der beschriebenen Fauna liefer- ten. Diese Schwimme wurden im letzten Sommer (1869) im Weissen Meere und im nördlichen Polar- meere an den Kiisten von Russisch-Lappland (am so- genannten Mypmanckiü Gcperr) von Herrn F. Jar- schinski gesammelt. Herr Jarschinski übergab mir freundlichst die mitgebrachten Schwämme zur Untersuchung. Diese Schwämme stammen meistens aus Tiefen von 200 — 400 Fuss und mehr. Sie sind alle in einem vortrefflich conservirten Zustande (in Weingeist aufbewahrt) in St. Petersburg eingetroffen. Da wir über die Schwammfauna dieser Regionen noch sehr geringe Kenntnisse besitzen, so scheint mir dieser neue Beitrag von Interesse zu sein — um so mehr, als es Herrn Jarschinski gelungen ist, einige Schwammformen mitzubringen, die von TUS Natur- forschern nicht gefunden, oder wenigstens nicht mit- gebracht worden sind. Die gesammelten Schwämme waren 3 Halichon- drien, 2 Corticatae und nur ein einziger Kalkschwamm. Die eine der Halichondrien erwies sich als die Var. digitata und arctica der von mir beschriebenen for- menreichen Veluspa polymorpha’). Die zwei anderen Halichondrien sind unansehnlich und wurden verhält- nissmässig selten gefunden; dagegen fanden sich in grosser Zahl und von sehr bedeutender Grósse orange- dan kugelige, mit kleinen Warzen bedeckte Corti- 1) M. Maclay. Uber einige Schwämme des nôrdlichen Stillen Oceans und des Rismeeres: Mém. de l’Acad. Imp. de Sc. VIIe Série. 2) In dem e blieb die Frage noch un- entschieden, ob die Var. der Veluspa, ‘die aus dem Eismeere von Baer und Mes f gebracht antwortet ga Herr Jarschinski fand die Var. digitata und arctica im Weissen Meere, | wir sie von Lepechin als spon- ; beschrieben = bebido (J. Lepechin, Tage- buch der Reise — — des russischen Rei- ches. 1771, n Hase. pr it 1783. E SE Loge, a Veluspa finden sich ten Nor a” wie ich es nach den ashlee, die hen Museum finden, beurtheilen kann. pa Excursion an das catae, welche die Grósse eines Kinderkopfes erreich- ten. Diese Schwämme kamen in beträchtlichen Tiefen vor, neben einem andern Rindenschwamm, der dicke, weisse, mit warzenförmigen Fortsätzen versehene Über- züge auf Steinen bildete. Der letztere erwies sich als identisch mit einem Schwamm, welchen Hr. E. Wosnessenski an den Küsten Kamtschatka’s und der Behringstrasse gefunden hat. Der einzige Kalk- schwamm, den Herr Jarschinski während seiner gan- zen Reise und seinen zahlreichen Grundnetz-Unter- suchungen erbeutete, war ein Sycum von bedeuten- der Grösse. Da ich von Herrn Jarschinski die Dubletten sei- ner Sammlung (ausser dem einzigen Sycum) erhalten habe, so werde ich, sobald es mir die Zeit erlaubt, über die eben besprochene Fauna gründlich berich- ten. Vorläufig habe ich nur diese Bemerkungen vor- ausgeschickt, weil die Resultate, sowie auch diejeni- gen, zu denen ich durch das Studium der Schwämme des Nördlichen Stillen Oceans gekommen bin, in eini- gem Widerspruch mit den Schlüssen stehen, die Oscar Schmidt aus seinen Untersuchungen der Grönländi- schenSchwammfauna gezogen hat. (Oscar Schmidt fand bei der Untersuchung der Grönländischen Schwamm- fauna, dass in den kälteren Regionen des Eismeeres die Kieselschwämme abgeschwächt erscheinen, wäh- rend das Verhältniss der Kalkspongien zu ihnen, im Vergleich zur Fauna der südlichen Meere, ein viel günstigeres wird’). Wenn sich diese Ansichten auch als ganz richtig für die Grünländische Küste erweisen sollten, so er- scheinen sie doch nicht massgebend für die Schwamm- fauna des óstlichen Polarmeeres. Die Kieselschwämme scheinen hier doch zu prüdominiren, und wenn auch . die künftigen Reisenden noch manche Kalkschwämme an den Küsten Lapplands und Sibiriens entdecken wer- den, so scheint es mir doch, auf Grund der mitgebrach- ten Sammlungen v. Baer's, v. Middendorff's, Wos- nessenski's und Jarschinski's, dass der Schwer- | punkt der Schwammfauna dieser Regionen nicht in er; | den Kalkschwümmen, sondern in den Kieselschwäm- men liegt‘). Jedenfalls muss man hier noch in.Be- 3) Oscar Schmidt. = nie helene über die Spongien . | der südlichen Küste p. 9. m Winter und Frühjahr vorigen J: ib macbir ich. wë 200- Rothe Meer, in der Absicht, Schwämme dort za untersuchen und zu sammeln ie Seiwa des Sciences de Saint-Pétersbourg. tracht ziehen, dass diese Meere und Küsten noch we- nig erforscht sind, und jeder Zoologe weiss, wie ver- schieden unsere Ausbeute hinsichtlich der Meeresfauna sich gestalten könne, je nachdem man zu einer gün- stigen oder ungünstigen Jahreszeit gesammelt hat; wie ferner diese Ausbeute von der Dauer des Aufenthaltes an einem Ort, der Ausrüstung mit den nothwendigen Apparaten und anderen Zufälligkeiten abhängt. Wenn wir auch schon von der Verbreitung einzelner Schwäm- me sprechen können, was auch zu sehr interessanten Folgerungen führen kann, so scheint es mir, wissen wir doch noch viel zu wenig über die Schwammfaunen einzelner, besonders so ausgedehnter Gebiete, wie die Polar- und Boreal- Region, um schon jetzt darüber zu urtheilen. Jena, December 1869. Über Chondrodit-Krystalle aus Finnland. Von N. v. Kokscharow. (Lu le 24 février.) Der Chondrodit kommt so selten deutlich krystal- | lisirt vor, dass jede Untersuchung der Krystalle des- selben noch immer einige nützliche Aufklärungen oder selbst noch etwas Neues liefern kann. Diese No- tiz kann also als Zusatz zu den vorigen Arbeiten, vorzüglichst aber zu der Abhandlung von A. v. Nor- denskióld '), betrachtet werden. fauna der ne erwies sich besonders reich au Kalkschwám- | men, es fanden sich auch ziemlich viele Hornschwämme und ver- hältuissmässig wenig Halich ondrien. — Dies ist auch ein Resultat, Die von mir untersuchten Krystalle stammten aus Pargas und zeichneten sich besonders durch ein sehr verzerrtes Ansehen aus, durch welches der hauptsäch- lichste Charakter des rhombischen Systems, zu welchem ohne Zweifel der Chondrodit gehört, in denselben fast ganz verloren ging. Um einen möglichst genauen Begriff von diesen Krystallen zu geben, füge ich hier vier Figu- . ren bei (vier verticale Projectionen), von welchen die erste die vordere Seite eines der erwähnten Krystalle, die zweite seine hintere und die dritte alle beide Seiten zusammen (transparente Zeichnung) darbieten, ge- rade so wie sie in der Natur erscheinen; was aber die vierte Figur anbelangt, so stellt sie die Combina- tion der wichtigsten Chondrodit-Formen s gezeichnet dar. Die Krystalle haben ungefähr 4 Millimeter in ihrem grössten Durchmesser, sie sind durchscheinend, stellenweise durchsichtig und besitzen ziemlich spie- gelnde zur Messung mit dem gewöhnlichen Wolla- ston’schen Reflexions-Goniometer geeignete Flächen, eine honiggelbe zum Rothbraunen neigende Far und eine deutliche Spaltbarkeit nach der Fläche a — oP, was bis jetzt noch nicht bekannt war und was den Chondrodit mit dem Humit vollkommen vereinigt, denn dieser letztere zeigt auch dieselbe Spaltbarkeit. A. v. Nordenskióld hat in seinen Krystallen keine Spaltbarkeit gefunden. i überdie Verthei- welches mit Gen Ansichten T er iz Bd. XCVI, S. 118. Bulletin de l’Académie Impériale In Hinsicht der Wahl der Grundform und daher auch der Stellung, in welcher die Chondrodit-Kry- stalle betrachtet werden müssen, bin ich Rammels- berg's^) Beispiel gefolgt, welcher zur besseren Ver- ichung der Humit- und Chondrodit-Formen mit denen des Olivins für die Grundform des ersteren | eine Rhombenpyramide (e in unseren Figuren), der Grundpyramide des Olivins entsprechend, gewählt hat. | Ungeachtet dass die Flächen der durch meine Hände gegangenen Chondrodit-Krystalle sehr unsym- | metrisch ausgebildet waren, so konnte ich mich doch mit Gewissheit überzeugen, dass dieselben zu dem rhombischen und nicht zu dem monoklinoëdrischen System gehören. In dieser Hinsicht bin ich also zu demselben Schluss gelangt wie A. v. Nordenskiöld. Was die Krystallformen anbelangt, so habe ich fol- gende bestimmt : Rhombische Pyramiden. Nach Weiss. Nach Naumann. : g vale : jb: Ze). RER ` ec... P %....(a: Bb: 20)....... EP t a: “big io c .mP Bier Ib : Lo) SP ERI «DP A E ght e, 5P2 D ja: Eb: Ello». 5P3 endorff's Annalen, 1852, Bd. LXXXVI S. 404. $Poo 5Poo Makrodoma. ët as Bis AO ic RE 5Poo | Basisch es Pinakoid. ENS POOF? SOG F7: oP In diesen krystallographischen Zeichen sind durch a die Hauptaxe, durch b die Makrodiagonale und durch c die Brachydiagonale bezeichnet. Alle oben angeführten Formen sind mit Genauig- keit bestimmt worden, mit Ausnahme von ¢, welche wegen Unvollkommenheit ihrer Flächen nicht mit ge- wünschter Sicherheit gemessen werden konnte. Ob- gleich A. v. Nordenskiöld im Chondrodit schon sehr viele Formen beschrieben hat, so erweisen sich jetzt doch y=5P2,w=5P3,e=P,2=5P und g — 2P . | als neue für dieses Mineral. Was aber den Humit an- belangt, so sind, im Gegentheil, fast alle diese For- men in den Krystallen desselben schon beobachtet, _ | demn es wurde gefunden, dass nur eine einzige Pyra- ‘mide w ebenso neu für den Chondrodit als für den Humit ist; in der That, unsere Pyramide gist Scacchi’s r (II Typus), e ist x? (II Typus), a ist 7? (II Typus), |2 ist 7* (II Typus), y ist n” (II Typus), m ist e (II Ty- - | pus), & ist e” (II Typus), p ist ¢ (II Typus) und a ist A (aller Typen). Es ist also leicht ersichtbar, dass die des Sciences de Saint- Pétersbourg. Chondrodit-Krystalle die Formen des 77 Typus des Humits enthalten. Die Krystalle (sechs kleine Krystalle und einige Bruchstücke mit Krystallflächen), welche ich unter- sucht habe, zeichneten sich nicht durch besondere Vollkommenheit aus. Einige derselben erschienen als Zusammenschmelzung zweier, dreier oder sogar meh- rerer Individuen und daher lieferten sie ziemlich abwei- chende Winkel, von denen durch Rechnung erhalte- nen, ungeachtet dass ihre Flächen bisweilen ziemlich glänzend waren und das Licht ziemlich gut reflectir- ten. Was die Messungen selbst anbelangt, so wurden dieselben nur auf approximative Weise mit dem ge- Durch unmittelbare Messungen wurden folgende Werthe erhalten: p : p (Neigung in den Mittelkanten). X 1, eine Kante = 114° 59’ ziemlich. » Zweite » 114 54 mittelmässig. » dritte » ll | mittelmässig. 114 59 mittelmässig. 65 32 (Compl. = 114° 28 Verdoppelung. X 2, eine -» » Zweite » A —— H — 3) Wenn wir uns diese symmetrische Figur vor die Augen stellen, so werden wir in den Mana gesetzt, die Flächen folgendermaassen zu bezeichnen: in jeder rechte Fläche, eine eg als obere linke, eine dritte rechte und eine vierte als untere linke, ind. ebenso können wir in | 3 jedem Makrodoma eine obere und eine untere Fläche, in aoe Brachydoma — obere rechte, obere linke, untere rechte, linke und endlich im basischen P Pinakoid — Gaeren Zeng — 65 3 (Compl. =. 114? 57) nämlich, eine Fläche als obere | wóhnlichen Wollaston’schen Reflexions-Goniometer vollzogen, indem die Beschaffenheit der Krystallflä- chen die Anwendung eines genaueren Instruments ver- bot. Ungeachtet dessen werde ich doch ganz ausführ- lich hier die von mir erhaltenen Resultate geben. Den Grad der Reflexion der Flächen werde ich durch die Worte: sehr gut, gut, ziemlich u. s. w. und die gemes- senen Krystalle durch ®1, X 2, X 3 u.s. w. bezeich- nen. Zur besseren Veranschaulichung füge ich hier wie- der die beiden letzten der oben gegebenen Figuren an, von welchen man wiederum die letzte (symmetrische Projection) vorzüglichst in Rücksicht nehmen muss ». N 4, eine Kante — 114 51 mittelmässig- Mittel = 114° 54"). und folglich muss : des a = 122° TT sein. : a (anliegende). | K 4, eine ES — 122° 33’ mittelmässig. u : (in den Mittelkanten). X 1, eine Kante — 133° 6’ ziemlich. » zweite » = 46 54 oe = 133° o X 2, eine Kante — 133 6 mitt » zweit » = 132 59 zi Mitel = 133° Eg : q LE à LE dll Bulletin de l'Académie Impériale M u : u (obere rechte u zur unteren linken v, Complement zu der Neigung in den makrodiagonalen Polkanten). X 4, eine Kante — 112° 47’ mittelmässig. u : p (anliegende, d. h. die obere rechte und linke a zur oberen p). X 1, eine Kante = 156? 40' ziemlich. » zweite » == 156 28 ziemlich. > dritte.» = 156 40 gut. » vierte » = 156 30 mittelmässig. » fünfte » = 156 35 mittelmässig. Ñ 2, ene » = 156 16 gut. Ñ 5, eme » = 156 35 ziemlich. Mittel = 156^32". u`: p (untere linke w zur oberen p). M 4, eine Kante = 119° 20' mittelmässig. u : d. X 4, eine Kante — 113? 19' ziemlich. GET er obere rechte « zur oberen rechten x). XM 1, eine Kante = 119° 37’ gut. » zweite» = 119 39 ziemlich. » dritte » = 119. 7 ziemlich. + » vierte » — 119 43 mittelmässig. » fünfte » — 60 29 (Compl. = 119 ie "mittelmässig. | » sechste» = 60 7 (Compl = 119° 53’) mittelmässig. X 4, eine Kante = 119 28 ziemlich. Mittel = 119° 34. u : z (untere rechte w zur oberen rechten 2). X 1, eine Kante = 103° 27’ gut. zweite » — 103 41 ziemlich. Mittel = 103° 34". p: p= 114° 86; * - 11? 88' » Mittel = 1149 871”. Wenn wir diese beiden Zahlen zu den unserigen hinzufügen, so wird in diesem a. der mittlere Werth = 1149 48' und alsdann p:a = 122? 36' se Im Humit did WË für seinen II Typus, — Werthe | p:a= 1990 29 30" Scacchi. SS 122° 32° 0” Marignac. — ‚Mittel = 122° 30° 45". adorff’s Annalen, 1853, Ergänzungsband III, nach Band | 4, eine (RA eine » u : e (anliegende, obere rechte u zur oberen rechten e). X 1, eine Kante = 167° 28' ziemlich. u : € (obere rechte w zur unteren rechten e). X 1, eine Kante = 121° 6’ mittelmässig. N 4, eine » == 120 54 mittelmässig. ».. zweite » 59 20 (Compl. = 120° 40’) mittelmässig. Mittel = 120° 53. u: e (obere rechte w zur oberen linken e). M 1, eine Kante — 136° 10’ mittelmässig. » 136 37 mittelmässig. Mittel = 136° 24. u : z (untere rechte u zur oberen linken 2). — — — X 1, eine Kante = 122 23' ziemlich. » zweite » == 122 30 mittelmässig. Mittel =. 122° 27. u : z (obere rechte « zur unteren rechten 2). XM 1, eine Kante — 148° 22° mittelmässig. zweite » 148 36 mittelmässig. 148 28 ziemlich. Mittel = 148° 29’. — w: z (obere rechte w zur oberen linken a. Lat eine Kante = 130° 34’ mittelmässig. u : 2 (anliegende, obere rechte w zur oberen rechten z). N 1, eine Kante = 164?27' mittelmässig. Ñ 2, eine » = 164 52 ziemlich. zweite » = 164 37 mittelmässig. Mittel — 164° 39. u : g (anliegende, obere rechte u zur oberen rechten 9). N 2, eine Kante = 158° 17’ mittelmässig. u : g (obere rechte « zur unteren rechten 9). X 2, eine Kante = 111° 12 mittelmässig. e : p (anliegende, obere e zur oberen p). — » — — » x 1, eine Kante = 159° 28’ gut. » " zweite » = 30 38 (Compl. — ae 22) gut. ». dritte. » .— 20 28 (Comp = E 32) ziemlic » vierte » = 159 30 rd Je. 2; eines an elmäs: M4, eme » = 159 37 rad | Mittel = 15926. | di dl des Sciences de Saint-Péter: e : z (obere rechte e zur unteren rechten z). X 1, eine Kante — 135? 38' ziemlich. e : z (anliegende, obere rechte e zur oberen rechten 2). X 1, eine Kante — 152° 17’ mittelmässig. N 4, eine » = 152 34 mittelmässig. ». Zweite» == 152 29 ziemlich. Mittel — 152° 27’. e : a (obere e zur unteren a). ` 4, eine Kante — — 54° 6° mittelmässig. E (in den Mittelkanten). M1, eine Ges = 108° 2’schwach, Verdoppelung. x (obere rechte e zur oberen rechten 2). X 1, eine Kante — 121° 7’ ziemlich. X4, eine » = 120 49 mittelmässig. Mittel = 12058". e : y (obere rechte e zur oberen rechten y). X 4, eine Kante = 152 35' mittelmässig. e : y (untere rechte e zur unteren linken y). M 1, eine Kante = 115° 47’ schwach. z : p (anliegende, obere z zur oberen p). M 1, eine Kante — 146° 56’ mittelmässig. X 4, eine » 33 27 (Compl. = 146° 33’) mittelmässig. Mittel = 146^ 45". 2: p (obere rechte z zur unteren p). N 1, eine Kante = 132°51’ ziemlich. » zweite » 47 8.(Compl. = 132° 52) mittelmässig. Mittel = 132° 57. e : y (obere rechte z-zur oberen rechten y). —— EEN X 1, eine Kante = 161° 8’ mittelmässig. Ñ 4, eine » = 161 51 mittelmissig. » zweite » 161 54 mittelmässig. E Mittel = 161° 38". FE y (obere rechte z zur unteren linken ai, x 5 eine Kante = 109° 30° mittelmässig, » zweite » = 109 54 mittelmässig. Mittel = 10947. — 2: y (obere rechte z zur unteren rechten di X 4, eine Kante — 152° 7’ gut. £: € (obere — z zur oberen rechten ae? KA eine Kante = 116° 8’ mittelmässig. ` np zweiten = 116 4 a Mit = AGG z : x (obere rechte z zur unteren rechten 2). X 1, eine Kante = 109? 41' mittelmässig. » Zweite » 110 20 mittelmässig. » dritte » 110 28 mittelmässig. » vierte » 70 20 (Compl. = 109° 40’) mittelmässig. Mittel = 110° Y. z : g (Complement zu der Neigung in den makrodiagonalen Polkanten). X 1, eine Kante = 128° 5’ schwach. » zweiten = 128 37 schwach. » dritte » == 128 22 schwach. » vierte » == 52 37 (Compl. = 127° 23’) Mittel = 128° 7’. z : a (obere z zur unteren a). N 4, eine Kante = 81° A0 gut. » zweite » = 81 49 gut. Mittel = 81° 45’. z : y (obere rechte z zur oberen rechten g). N 4, eine Kante = 142° 53’ mittelmässig. x : p (obere x zur oberen p). X 1, eine Kante = 100° 13’ mittelmässig. » zweite » 100 20 mittelmässig. » dritte » — 100 5 mittelmässig. » Verte » — H00 9 pul » fünfte » — 79 49 (Compl.—100^11)gut. » sechste » = 79 40 (Compl. = 100° 20) | mittelmässig. » siebenter = 80 14 Pa = t9" 46) Mittel — = 100° Y. i a : æ (in den Mittelkanten). X 1, eine Kante : = 141° 55° mittelmässig. » zweit » = 141 34 mittelmássig. — ESA. eme » = 141 42 mitti ig. | Mitteh= HEES i 5 1. | x: a (obere x zur >. di) o4 X 4, - Kante = 109° 3 mitteln e Bulletin de VA 'adémie Impériale a : y (obere rechte x zur oberen rechten y). Ñ 4, eine Kante = 134^ 18’ mittelmässig. zweite » = 134 17 mittelmässig. Mittel = 134° 18. y : y (in den Mittelkanten). X 1, eine Kante = 153° 45 schwach. y : p (obere y zur oberen p). X 1, eine Kante = 136° 50’ mittelmässig. » zweite » = 135 45 schwach. Mittel = 136° 18’. Der Vergleich aller dieser durch unmittelbare Mes- sungen erhaltenen Winkel mit denen des Humits be- weist uns, dass die Winkel des Chondrodits bedeutend näher denen der Krystalle des Humits II Typus kom- men, als es aus A. v. Nordenskiöld’s Messungen hervorgeht. In der That erhielt A. v. Nordenskiöld für die Neigung p : p im Chondrodit — 114° 374, obgleich dieselbe im Humit (II Typus) = 114° 58’ 30" » ist (Mittel aus Scacchi’s und Marignac’s Messun- gen, welche durch unmittelbare Messungen fürp:a — 122° 29 30" und 122° 32 0” fanden); während aus meinen Messungen die mittlere Zahl für die Nei- gung p : p im Chondrodit — 114° 51’ ist, und bei Weglassung einer Messung, die mit den andern ganz und gar nicht übereinstimmt, = 114° 56). Aus mehreren Versuchen fand ich, dass die am besten übereinstimmenden Winkel folgende Axen der Grundform e = P liefern: Verticalaxe ..... ü c : ,578653. Makrodiagonale . .b = Brachydiagonale..c = : 460803. Um zu beweisen, in welchem Grade die aus diesem Axenverhältnisse berechneten Winkel mit denen über- einstimmen, die von A. v. Nordenskióld im Clion- drodit und von Scacchi und Marignac im Humit (II Typus) erhalten wurden, füge ich hier folgende Tabelle bei, in welcher alle wesentlichsten Messungen | von A. v. Nordenskiöld eingeführt sind. CHONDRODIT. HU MIT (II Typus). | A. v. Nordenskisid. 'N. v. Kokseharow, Seacehi und Marignac. Neigungen. —- RR Rechnung. Messung. Rechnung Messung. Messung. E : p o " o KO r pro ` 64° 59! Scacchi. Makrod. A a MT Mw 65 4 Marignac. p:p | 115 1 Seacehi. | Sie 114 36 114 37 115 : 0 114 56 E 56 Marignac. 135 58 Scacchi. : 135.58 1 4 | — an is € Ka 1 Marignac. ma ] 115 4 Scacchi. > I5. 2 1 5 5 — über x M un ue € Be 59 Marignac. : : | 108 58 Scacchi. i + 109 1 109 1 10 rn due Wee: de 0 Marignac. 2:68 | 142 4 Seacchi. ; 141 58 MT 57 ! Mittelkanten | m ap ee Zei 0 Marignac. az: 100: 8 | 100-31 4-100; 7 | 100 9 a Wir bezeichnen jetzt in jeder rhombischen Pyra- | rege SN onalen Polkanten mit X, die bra- nalen n Polkanten mit Y, die Mittelkanten mit Z, den Winkel der makrodiagonalen Polkante gegen re Hauptaxe mit a, den Winkel der brachydiagonalen Polkante gegen die Hauptaxe mit 8 und den Winkel des Sciences de Saint-Pétersbourg. der Mittelkante gegen, die Makrodiagonale der Grund- form mit y. Bei dieser Voraussetzung lassen sich aus unserem Axenverhältnisse folgende Winkel berechnen: g = $P. INMENSO" beren" X = 100° 41° 10" BY xe 72 5359 Y = 145 47 44 iZ = 44 38 35 Z'—=°8$ 17 19° a = 67° 32 37" B=48 6 33 y = 24 44 25 c= P 1X = 42° 36’ 56" X — 85° 13' 52” AT = 70 10 39 — 140 21 18 Az e 5407 26 Z = 108 14 52 a = 59° 56’ 39" B= 38 31:54. =Ñ= 24.44, 25... siy eSP: WX 285" 35” X= 67 910” iY = 67 25 24 Y = 134 50 48 44 = 66 32 31 Z = 133 D M a = 46° 215 à — 25 32 19 y = 24 44 25 gz = DP. iX — 95? 59' 31" X= 51°59 9 1Y = 65 31 52 Y.— 13Í 3 44 i£ = 81 46 10 A xs Lä 32 20 x a = 19° a 0" B= 9 2 58 y = 24 44 25 y = 5P2. 1X = 440 10 X= 88 33 22" 4¥ = 48 42 44 Y = 97 25 28 iic EXE T o X353 38 4 a = 19° 4 0 pa 17 20 7 y ="42 39 50 oo, Ko 5P3. 1X = 55° 382” X = 111° 16 48” JY 38 43 9 m T 77 26 18 . 12254 21 20 Ba 148 42 40. &== 19° E Y kay 32 19 . Tem 7 $8 m= Poo. . "` 1Y — 2s T— 238 ST AD Z — 87 55 30 æ = 5Poo A = 1900 et 0" Y= 38° 8& 0 1Z — 70 56 0 Z=141 52 0 | p = ¡Poo sham 10 38. dg, 08.0 Y iZ = 57. 30; 0 Z —115.0 0 Da aber das von mir abgeleitete Axenverhältniss nur approximativ ist, so werde ich weiter nur einige wenige Neigungen berechnen, nur des Vergleiches wegen. Um Missverständnisse zu vermeiden, halte ich es für meine Pflicht, folgende Erklirungen zu geben: 1) Jede Flüche wird in den unten angeführten Nei- gungen durch eine besondere Zahl bezeichnet werden, wie z. B. Pi, Pa, Wry Ua, Us, U, U. S. W. 2) Wenn man die oben erwühnte symmetrische Verticalprojection der Chondrodit- Krystalle in Rücksicht nimmt (in welcher die Hauptaxe a vertical, die Makrodiagonale b quer und die Brachydiagonale c längs steht, d. h. dem Beobachter zugewendet), so werden in den rhombi- schen Pyramiden die Flächen folgendermaassen be- zeichnet werden: obere rechte mit der Zahl 1, obere linke mit 2, untere rechte mit 3, untere linke mit 4; in den Makrodomen: die obere Flüche durch 1, die untere durch 2; in den Brachydomen: die obere rechte Flüche durch 1, die obere linke durch 2, die untere rechte durch 3 und die untere linke durch 4; im Pinakoid a: die obere Fläche durch 1, die ege, durch 2. Bei diesen nen erhält we | gungen: : Bulletin de l'Académie Impériale u: e = 167° 34 55"..... 167° 28 u, : e = 120 39 57 ..... 120 53 u, : e = 135 44 38 ..... 136 24 wenam Dy oo 122 27. t, : & = 148 18 EZE =. 148 29 a LL SI TA. ..* 130 34 u : 2 — 164 46 21 ....: 164 39 w:9g,— 158 6 4..... 158 17 MA IH HM — TII 12 e,: D, = 159 18 56 ..... 159 26 e, : b È 135 53 36 ..... 135 38 e:2, 2152 21 16 ..... 152 27 en 4o 4:206 o: 54 6 6,16, —/108. 14 52..... 108 2 aD 439. 120 58 6, 19, 192: we. où 152 35 64:9, = 115 53 56 ..... 115. 47 By FD FRAG HM nebon 146 45 Ee E-Bass ABZ; BB A sie 132 52 Pará Mus 161.42: 60... 161 38 81: Y: 109, 43, 48) +: .:u 1109.) 42 Armin: 182). 7i 2,2%, = 115 59 31 .....116 6. 8, = 110. 9 5l mI 410. His: 84: 4,— 128&..0,.58 de: ch 128. edis &yf Ma =2 Bl) 46, 1050609 981 45, Hug, = MAL. 52) 255.502 4442 BS). 2, 518 8005; BR 32:50 ois 100 9 ez 141.52: Dodo sh 141:.44 ah se 109), A 0... 109. 3 Mt ze, Lä. Är ARA em 153 1 Mi: Hh 35:1224,18. 2:56. aif 189; 25 454 75194 ded Laut. 134 18 a ` 4... 153 45 Uy Dy FR 436; BA Me. on 136: 18. Über G von N. v. Kokscha- | it-Krystalle, row. (Lu le 24 février 1870) |, Die Greenockit-Krystalle bieten, ou dots glänzenden Flächen, oft ziemlich grosse Unvollkom- | menheiten dar, die einen bedeutenden Einfluss auf ihre . Winkel ausüben und die Bestimmung dieser letzteren sehr erschweren. Jede neue Messung der Greenockit- Krys alle ist daher als willkommen zu betrachten, denn eine jede solche Beobachtung liefertimmer einige nütz- | liche Elemente für die Ableitung des wahrscheinlich- sten Axenverhältnisses der Grundform dieses interes- santen Minerals. Vor langer Zeit habe ich einen Greenockit-Kry- tall aus Bishopton in Renfrewshire (Schottland) ') un- tersucht, und schon damals leitete ich aus meinen Messungen Winkel ab, die sich gewiss schon etwas mehr den wirklichen näherten als die, welche von meinen Vorgängern gegeben wurden, obgleich sie auch nicht immer ganz befriedigend waren. Jetzt hat sich mir nun die Gelegenheit geboten, die Reihe meiner alten Messungen zu vervollständigen durch die Güte Seiner Kaiserlichen Hoheit des Herzogs Nicolai von Leuchtenberg, der mir einen schönen Greenockit- Krystall zur Messung überliess, welchen er von sei- ner letzten Reise aus dem Auslande mitgebracht hatte. In der Combination dieses Krystalles (welchen ich durch X 2 bezeichnen werde, indem mein alter Kry- stall schon durch X 1 bezeichnet war) sind folgende Formen vereinigt : à : Hexagonale Pyramiden, E, : 4 Y =P o8 = OP. Hexagonales Prisma. Basisches Pinakoid. N Mehrere Flächen dieses Krystalles sind so li n und glatt wie ein Spiegel, auch seine Kanten sind scharf und im Allgemeinen besitzt er ein sehr schö- SCH ji ee über Mine von N.v. Koks charow 1865, 280 221 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 222 nes Aussere. Wenn aber auch in einigen Theilen die- | z, : z, — 93° 44’ 0”ziemlich (hieraus x : M = ser Krystall mit einer gewissen Vollkommenheit aus- 133° 8' 0” _ gebildet ist, so kann man ihn doch nicht zu den voll-| z, :2, = 74 57 40 ziemlich. ` kommensten rechnen, denn in manchen Fällen bietet x, : z, = 161 14 30 ziemlich. er so grosse Unregelmässigkeiten dar, die man in einem so schönen Individuum schwerlich erwarten konnte. Diese Unregelmässigkeiten sind am besten aus einer vollständigen dusmmepstelinng aller pami tate der Messungen in drei Zonen a 3X und > zu 1 M; ersehen. In diesen Zonen habe ich nämlich ziemlich genau, vermittelst des Mitscherlich’schen Reflexions- | goniometers, welches mit einem Fernrohre versehen war, folgende Werthe erhalten °’). x e 1) In der Zone A 151° 45’ 40” ziemlich. = 133 1 10 ziemlich. 89 50 0 mittelmässig. 0 20 0. mittelmässig. 136 47-40 wer Qnem Gr M = 199" fey — 118 151° 57’ 40^) 161.15 10 sehr gut. Es ist also ersichtlich, dass einige Flächen in die- ‚ser Zone ziemlich bedeutende Verschiebungen dar- bieten; in der That: die Prismen-Flächen M, und M, sind nicht parallel (Differenz gegen 20 Minuten), und eben so ist das Basopinakoid c nicht rechtwinkelig zur M, (Differenz gegen 10 Minuten). = 2) In der Zone 4X; 2, = 151° 49° 0" gut, M. M, : % — 133 9% 20 gut. | M,:c = 90 0 0 ziemlich. - M, m= 46 54 20 (Compl. = 133° d 40”) ziemlich. M, : 2) —28° 18 50. (Compl: = 151? 51° 10”), | ziemlich. LA € '20 90 ziemlich. £0 tim 74 59 0 ziemlich. Z% "äu 56 17 9 ziemlich ZE zDMI | ES uu pum E der Reflexion des Lichtes wird "e ae cr Worte à 2. 20 eit (hieraus 2 : M — | Diese Resultate zeigen, dass in dieser Zone fast alle Flüchen ihre Normalstellung beibehielten; auch das Basopinakoid c ist hier rechtwinkelig zu der Prisma- fliche M,. Die Werthe, die diese Zone geliefert hat, gehóren also zu den wahrscheinlichsten. 3) In der Zone M M, : x, = 133° 22' 10" ziemlich, M,:c = 90 0 830 ziemlich. M,:z,-— 46 52 20 «Compl = 133° 7' 40”) ziemlich. — |£, :c = 136 40 10 ziemlich (hieraus g : a 133° 19' 50") ` : Z, :% = 93 30 0 ziemlich (hieraus z : M — 133° 15 0^) x, :¢ = 136 49 50 ziemlich (hieraus x : M = 133? 10! 10") Aus diesen letzten Messungen ersieht man wieder, dass hier nicht alle Flüchen ihre respectiven Plátze beibehalten haben, obgleich man in dieser dritten Zone schon mehr Regelmässigkeit bemerkt als in der ersten. Die Flüche x, weicht hier ziemlich ab von den Flächen x, und x, der zweiten Zone und von der Fläche x, die- ser dritten Zone. Ausser den oben angeführten Winkeln Pis; ich noch folgende gemessen: T, : 2, = 139° 59° 30" ziemlich. T : Z, = 139 46 40 ziemlich. Mitel = 199 59 5. Ah =107 dE + gut. Ungenchiet dass die Zahl der oben ai T f Messungen ziemlich dese dr 4 ist sie í doch Kante " X E * Léi M N ce = 1458 W. 223 Bulletin de l'Académie Impériale 224 2: M. | - 2: 2 (über c). Rai... = 152 930: MEA RR And. Kante = 151 54 30 And. Kante = 55 36 0 * poo gr dv T 3B V 8 DO 0 » » — 152 12 0 (aus 2: 2, über c) Mittel = 55°57 50”. » » == 151 59 40 (aus 2 : z, über c) diode (über a e 9 69 40 Ka — age 44° 0” And. Kante = 151 57 40 (aus 2, : €) Èi Ka $ a ud did » > UTI 49 U didus. n. » — » == 151,51 10 (aus M, : 2) Mittel = 93°37 0”. » Seat 51 30 (ass s, : 2) æ : æ (in den Polkanten). Mittel = 151° 56' 51". 52... = 139 5830. And. Kante = 139 46 40 x: M. EE LU 9. = 133° T 10" | Mittel —- 139 53 y . And. Kante = 133 12 20 (aus x, : c) z : 2 (in den Polkanten). » » = 133 9 20 Ne E . = 127? 29' 40" » > c= 153 9 40 (aus AE 2) And. Kante = 127 39 50 » » — 133 8 OON E. : a) XT. "127 AT 40 » nv = 133 22 10 Mittel — Bar YE p : ee a 40 (aus M, : a) Wenn man also als Data z : M = 151° 56’ 50” SC » == 133 19 50 (aus 2; : c) eue Ge annimmt, so erhält man: "e » "ec 133 15 0 (aus x : 24) | onm | TR — 133 10 10( Sei ee ae gos ule enisi ren Gi so 196 1E S 136° 45’ 50" _ Mittel = 133^ 11. 8°. bU yc Mr 133 1110 inse Sie oe A E o 161 16 40 M1... = 161°15 10" id m 74 «62 BG tl 74 58 20 über c | And. Kante 2161 20 29 Quy » » = 161 14 30 über = 93::38 520.400 93:37:10 Mens E E Palau] = 139 59°16 .:... 139 53 0 2.:C. (ebenso auch 139 59 30) X 2... = 118° 2’ 20° Kc — 210. 3 Id. ss. DIS .2 20 NS DO 151 56 50 PC 2.2 56 e x3: s ded 6- 6301.45. 55 57 50 And. Kante — 136 40 10 » wi Ka 1 aan | e 127: IE HS. 128.370 Mittel — 136° 45’ 53’. Ferner ist aus dee a Winkel (2: M = 151° : 56’ 50") für die Grundpyramide des Greenockits fol- BE z : æ (über c). gendes Axenverhältniss berechnet: _ Be... =. 7459.0 A e 74 57 40 Wenn wir jetzt in unseren hexagonalen Pyramiden: die Polkanten durch X, die Mittelkanten durch Z, die 225 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Neigung der Fläche zur Verticalaxe a durch ¿ und die Neigung der Polkante zu derselben Axe durch r bezeichnen, so berechnet sich: == IP. FRS TT Se OT X = 155° 28" 42" 173995 7] 28 Z= 50 15 58 PEE 64° bäi I" : F = 67°65 19 d es E iX — 69 59 38: X — 13959 16° i1éscda O > 4: 962] 5 i = 46? 49’ 26” ` 30:54 43 ss QP ot 1X 08245. 97" X == 127597 54" 12-61 56 50 4:59:28 59 40 i — 28° 3’ 10” y= 31 36 19. Diagnoses breves plantarum novarum Japoniae et Mandshuriae, scripsit C. J. Maximowicz. (Lu le 5 mai 1870.) DECAS SEPTIMA. Melandryum Olgae. Pedale erectum simplex vel pau- cicaule subviscidovillosum ; foliis subsessilibus lanceo- latis vel ellipticis; cyma bis vel ter dichotoma brevi pauciflora distinctius viscidula; floribus erectis; caly- cis campanulati 10-nervii dentibus ovatis acutis; pe- talis breviter coronatis ungue exserto lineari lamina cuneata 4-fida laciniis linearibus lateralibus dentifor- mibus angustioribus; capsula subsessili ovali inclusa; seminibus echinatis. Hab. circa Mandshuriae austroorientalis sinum S'* Olgae, secus flumen Wai-fudin, in declivibus lapido- sis, nec non in saxosis montium usque ad 1300 ped. altorum, passim non rarum. — Flores rosei. Species peculiaris, nonnullis indicis tantum, et qui- dem M. cuneifolio Royle, M. nutanti Wall. et M. fimbriato Wall., nee non forsan M. piloso Edgew., mihi ignoto, appropinquanda, a primo tamen jam in- |. florescentia pluriflora, caulibus non caespitosis ungui- umque forma, a ceteris vero jam SCH ge hant ae = Be abunde Een) Tome XV. EE eg brevissimo lobis ovatis; staminibus 10 declin: Aster rugulosus. (Orthomeris Torr. et Gr.) Perennis- pedalis subsimplex, caule angulato glabro; foliis rigi- dis (infimis sub anthesi vulgo deficientibus oblongis breve petiolatis) lanceolatis vel lineari-lanceolatis acu- tis subsessilibus remotissime calloso-serrulatis 1-ner- viis grosse distincte retieulato-nervosis superne rugu- losis scabrisque; ramis floriferis elongatis fastigiatis nudis, in corymbum oligocephalum dispositis; involu- cri squamis subtriseriatis imbricatis oblongis obtu- siusculis dorso carinatis margine anguste membrana- ceis ciliatis; radiis lacteis; corollarum disci tubo lim- bum dilatatum subaequante; pappo scabro inaequali rufescente; achaenio anguste obovato 3 — 4 costato- angulatoque, parce puberulo. Hab. cirea Yokohamam in fruticetis pratisque sic- cioribus sat frequens, Septembri florens. A. ptarmicoides Torr. et Gr., huic affinis, abunde distinctus: foliis subtrinerviis integris obsolete reti- culatis laevibus angustioribus, corymbi ramis brevi- bus foliatis; involucri squamis subquadriseriatis lan- ceolatis acutis margine glabris, praeter carinam totis membranaceis, corollarum disci tubo quam limbus non dilatatus quintuplo breviore, achaenio obovato glabro, pappo albido; praeterea nostro minor et tenerior est, sed habitus et magnitudo capitulorum fere iidem. Rhododendron Sehlippenbaehii, (Sect. Azalea P1.') Pe- rulis obtusissimis cum apiculo, margine sericeis; ra- mis novellis glanduloso-pilosis, adultis glabris; foliis (caducis) amplis, apice ramorum confertis, late obo- vatis emarginato-obtusissimis cum apiculo, margine integerrimo ciliatis, superne parce pilis mox evanidis adpressis adspersis, subtus pallidis ad nervos pilosis atque secus costam mediam saepe cinereo-tomentosis, glanduloso-ciliatis; corollae rotato-campanu perioribus sensim usque duplo brevio mina superante; capsula oblon n subesulcata glanduloso-hisp 3-love pere ue 6 — Seng Azalea DC. 15 À _costis patulis parum prominulis utrinque subsenis; flo- ribus (praecocibus) umbellatis ; pedunculis g duloso- ` pilosis calyce parum longioribus; sepalis ov: Bulletin de l'Académie Impériale 328 Hab. in Korea, ubi in litore orientali a. 1853 pri- mus florens detexit lib. baro a Schlippenbach; in archipelago Koreano, ubi fructibus nond. mat. legit b. Oldham (a. 1863 X 510); in Mandshuria finitima, circa sinum Possjet, in declivibus litoris subumbrosis frequens (ipse), nec non in Japonia, ubi ex urbe Yedo cultum habui, e Tsus-sima forsan introductum? Flores ampli, albi lilaeino suffusi, lobis superiori- bus corollae maculis fuscis pictis. Antherae ochraceae. Stigma 5-lobum viride, stylo truncato albo impositum illoque angustius. — Frutex tripedalis dense ramosus et frondosus, foliis in sectione maximis. | Affine Rh. sinensi Sweet (cujus synonyma: Azalea mollis Bl. et A. japonica A. Gr., confer de hac specie Maxim. in suppl. ad ind. sem. h. Petrop. a. 1869 p. 11), sed hoc facile distinguendum pube setoso-pi- losa, foliorum minorum forma, costarum numero et directione, corollae pubescentis tubo longiore, stami- nibus 5 subaequilongis subporrectis, capsulaque duplo | majore, lucida, profunde sulcata, 361068: mec non ra- mis Neies approximatis. ` Albreehti, (isale PL) neng rotun- delis obtusis parce subsericeis vel glabris, ramis fle- xuosis gracilibus, novellis crispe- subviscide pilosis; foliis (deciduis) apice ramulorum confertis membrana- | ceis late ellipticis obovato-ellipticis vel rarius: oblon- - gis os. glandula dilatata apiculatis, ciliato-serru- latis! superne adpresse parceque pilosis, subtus secus nervos parce pilosis atque incano-tomentosis, pallidis; floribus coaetaneis umbellatis; pedunculo semipolli- cari crispe calyceque brevissime 5-dentato longe pa- leaceo-piloso; corollae rotato-campanulatae tubo bre- vissimo lobis obovatis rotundatis, fundo intus! fila- mentisque saepe ad basin villosis; staminibus 10 de- clinato-arcuatis, superioribus duplo omnibusque stylo brevioribus; capsula pedunculo breviore late ovoidea breve acuminata leviter sulcata > Blandulogospabescante opaca. Hab. in Yeso, secus sinum A Vara. in valle subalpina prope Nodafu (Albrecht, flor. 1862, ipse | fr. 1861) et in promontorio rupestri sylvestri prope Todo-hi-ki, in consortio Rh. brachycarpi Don. (ipse), e S nec non in Nippon borealis principatu Nambu, in sub- -alpi t mediae tractu Senano, in alpibus (flor. | E et miserior quam praecedens, cui ce- terum subaffinis, foliis minoribus re corolla minore purpurea. Rhododendron maerosepalum, (Azalea PI. ). Humile mi- serum; ramorum foliorumque pube grisea patente molliter setosa; foliis (subeaducis) innovationum ellip- tico-lanceolatis breve acuminatis ad ramulorum api- ces aggregatis, ceteris obverse lanceolatis acutiuscu- lis minoribus; umbellis plurifloris coaetaneis, basi squamis numerosis membranaceis oblongis filiformi- busque obvallatis; pedunculis calycibusque aequilon- gis dense glanduloso pubescentibus; sepalis linearibus vel lanceolato-linearibus longissime acuminatis sinus corollae superantibus; corollae campanulatae tubo brevi laciniis oblongis vel rarius corolla regulariter 5 -partita! laciniis lanceolato-linearibus, vel bilabiata! labio superiore trifido inferiore bipartito; staminibus 5; capsula attenuato“ ovata glanduloso - pubescente, cel duple triplove longiori erecto inclusa. Hab. in Nippon mediae alpe altissima Nikkoo, unde advectum in hortulo meo colui atque observavi. E se- | minibus eodem loco collectis in horto botanico Petro- politano educata prostant specimina numerosa, nunc primum florentia. — Corolla rosea, lobis superioribus basi parce purpureo maculatis. — Planta mirabilis, habitu et inflorescentiae indole ad hanc sectionem, signis diagnosticis ad sect. Tsusiam Pl. vergens, corolla interdum bilabiata Rhodorae ca- nadensi L. appropinquans, sed ni fallor proxima affi- nitate eum Rh. linearifolio Sieb. et Zucc., Hh. ledi- folio Don. et Rh. calycino Pl. (conf. Paxt. Fl. G. II. t. 70) conjunctum. Revera prius tantum diversum pube rigida rufa, floribus brevissime pedunculatis semper 5-partitis foliisque linearibus acuminatissimis (capsula adhuc ignota). Rh. calycinum PI. modo cres- cendi, pube eglandulosa, staminibus 10 diversum, Rh. indico nimis forsan affine. Rh. ledifolium Don.?) de- nique, in Japonia cultum tantum proveniens, statura | elata, umbellis 1 — 3-floris, staminibus 10, capsula Ee truncata, pube rigide setosa rufa abhorret. 3j Hujus synouymon, teste Planchon, est Rh. Burmanni Don. et, teste Miquel, Azalea mucronata Bl. Descriptio et figg. Az. ros- marinifoliae Burm. Fl. Ind. p. 48. t. 3. re vera non male in Rh, le- difoliwm quadrant, imo quoad stamina 10, sed tune Burmanni no- men restituendum et tota species Rh. rosmarinifolium vocant rit. Cur Don nomen mutaverit, non patet, planta homonyma Ro- thi ii enim, perfecte obsoleta mihique EE multo serius ne gala esse debet, non ante 1781. ‘des Sciences de Saint, Nota 1. Corolla bilabiata, praeter praecedentem speciem, occurrit rarius etiam in Rh. sinensi Sweet., ubi specimen varietatis flammeae observavi labio su- periore trifido, inferiore bipartito. Si in japonicis con- formatio talis raro invenitur et valde variabilis est, etiam in Rhodora ipsa partitio corollae non semper eadem, labio superiore mox 3-lobo mox 3-fido, infe- riore mox bifido mox bipartito. Melius igitur mihi vi- detur Rhodoram cum Donio Rhododendro subjungere et quidem Azaleis (sensu Planchonii) appropinquare, ubi quoad folia non parum accedit Rh. sinensi. Nota 2. Sectio Azalea P1. in series naturales duas di- viditur: altera americanas species cum A. pontica am- plectens, corollis infundibuliformibus tubo elongato sta- minibusque plerumque longius exsertis gaudentes, al- tera japonicas (nempe Lh. sinense, Schlippenbachii, Al- | brechtii, reticulatum: Don. (Rh. dilatatum Miq. et rhombicum Miq.), macrosepalum, et denique Rh. Rho- . dora Don.), corollae campanulatae vel subrotatae tubo. brevi, staminibus vix longioribus instructas. Rhododendri sect. Azaleastrum Pl, 1. c. (nomen tantum). Flores laterales, e gemmis perulatis propriis sub- 1-flo- ris orti, quae circa apices ramulorum anni praecedentis in axillis foliorum vetustorum dispositae sunt. Innova- tiones post flores vel una cum floribus evolutae. Co- rollae subrotatae. Stamina 5 distinctissime declinata. — Hue Azalea ovata Lindl. et A. myrtifolia Hook. (rectius Champ. in Hook. bot. mag. sub t. 5064, ex Hookero l. c. et Bentham fi. Hongk. p. 201. A. ovatae var.) ex Planchon, et species sequens. Rhododendron semibarbatum. (Azaleastrum) Ramulis hornotinis, petiolis, pedunculis calycibusque pube brevi tomentosa atque setis glandulosis patentibus instruc- | tis; foliis coriaceis ellipticis mucrone excurrente api- culatis, circumcirca minute crenatis crenis ex apice setuliferis, multicostatis, reticulo superne impresso subtus prominente; foliis anni praeteriti sub anthesi | nullis; floribus breve pedunculatis serotinis (post folia novella ortis); calycis laciniis triangulariovatis; corolla 5-fida; staminibus duobus superioribus brevioribus, | anthera triplo minore didymo-globosa, filamentis medio barba densa elongata instructis, ceteris nudis antheris oblongis; capsula depresso-globosa apiculata sulcata | glanduloso-setosa nitida, pedunculo breviore. ^ . In alpibus altis Nippon Ee variis esse e T mis, collect. noster Tschonoski. — Flores ex sicco albidi vel pallide lilacini videntur. Huic affinis Azalea ovata Lindl. (Fortune! A. 52. à. 1845 e China boreali) ita definienda: Rh. ovatum PI. 1. c. Glabratum; foliis coriaceis lu- cidis ovatis ovato-lanceolatisve muerone excurrente apiculatis integerrimis sublaevibus; floribus una cum innovationibus fronde anni praecedentis adhue persi- stente ortis; pedunculis glanduloso-pilosis; calycis laci- niis ovatis obtusis glabris; corolla 5-partita; filamentis infra medium brevisetosis; capsula... («ovata» Benth. Fi. Hongk. 201, «globoso-ovata» Champion in bot. mag. sub t. 4609). — Peduneuli quam in nostra triplo longiores, flores triplo majores; pubes vero dum adest, etsi parea, attamen etiam duplex atque illi nostrae plantae simillima. Rhododendron Tschonoskii, (7susia P1.) Huniile, dicho- tome denseque ramosissimum, dense frondosum, ad- presse rufo strigoso-pilosum, parvifolium, minutiflo- rum; foliis apice ramulorum confertis, breve petiola- tis, ellipticis mucronatis, subtus glaucis reticulatis, indistincte costatis; perulis sub anthesi nullis; floribus terminalibus 2 — 4; pedunculo calycem superante, utroque rufostrigosissimo, calycis laciniis triangulari- ovatis; corolla campanulata 5-fida, laciniis ovato-oblon- is apice rotundatis, fundo intus! filamentisque infra medium paleaceo-villosulis; staminibus 5 styloque ex- sertis; antheris oblongis poris minutis; capsula pedun- culum subaequante, breve ovata obtusa, n rufo- strigosissima, matura subglabrata. In Nippon mediae alpibus (T sc honor: — Flores ex sieco albidi. : Species omnino sui juris, etsi verbis difficile def- nienda, ut omnes ad hanc sectionem pertinentes. Cum = e Rh. serpyllifalio. Mig. mn di u brum, foliis inferioribus rotunda to-€ superioribus ellipticis - acutis membranaceis bec igon teneri \ l dn nervii pedicellum horizontali — bracteam subtriplo copo : P ibus: pe n me acuminato jugo Hakone, dete- 15* Bulletin de l'Académie Impériale xit a. 1866 et it indef. Tschonoski ipae. nume- rosa, flore incipiente collecta. V. albo L. ex habitu similius quam F. nigro L., quo- cum tamen pedicellorum directione et longitudine ma- gis convenit, ab utroque atque omnibus cognitis pe- rigonio staminibusque exsertis distinctum. Lycopodium eryptomerinum, (Selago Sprg.) Robustum pluricaule suberectum pedale; caulibus crassis flexuo- sis semel vel bis dichotomis dense foliosis; foliis octo- seriatis crassis rigidis, plantae juvenilis erectopatulis rectis multo longioribus, adultae recurvato-patentibus subtortisque, subulatis sensim acutatis haud pungen- tibus, fructiferis immutatis vel duplo brevioribus; antheridiis sparsis intervallum breve ramorum occu- pantibus; antheridiis amplis profunde reniformibus. Hab. in-ins. Kiusiu rarum: in monte Naga, non procul a Nagasaki, semel inventum in arbore caesa, sterile et fructiferum, in jugo Kundsho-san simili sta- tione semel sterile detectum. — Cultum habui e Yedo sub nomine japonico aptissimo sug? rang i. e. crypto- merino; magnitudo, forma et dispositio foliorum enim, praesertim plantae juvenilis, non male refert ramulum Oryplomertas j aponicae. Habitu et characteribus quodammodo simile L. se- taceo, Hamilt., statura et antheridiis L. wegder Wall. ` Nota. Ceterae hujus generis species japonicae sunt: L. Selago L., L. serratum Thbg. (cum L. lucidulo Mx.), L. aloifolium Wall. (L. Phlegmaria? Miq.), L. Sieboldi Miq. (L. fontinaloidi Spr. et L. myrsiniti | Lam. affine), L. cernuum L., L. japonicum Thbg. (L. dendroideum Mx.), L. clavatum L. et L. compla- natum eraspedosoram. (Polystichum) Caespitosum, frondibus ad rhachides dense paleatis et, juventute praesertim, longe rufo villosis, subtusque id laminam longe paleaceopilosis; stipite 1— 2-pollicari pallido; fronde 4—10-pollicari ambitu lineari-lanceolata acu- minata multijugo-pinnata, apice brevi spatio nudo ra- dicante; pinnis approximatis, apice patentibus, medio - divaricatis, versus basin deflexis, semideltoideis leviter subfaleatis obtusis, inaequilateris, latere inferiore ad . basin rectilineo-truncato ibidemque subintegro, supe- riore basi breviter acute auriculato, ceterum circum- argute. mucronato-serratis, serraturis incumben- $ rariusye patulis, venulis, praeter illam auriculae ramulum 1 vel 2 emittentem, simplicibus; soris sae- pius 1-seriatis secus marginem superiorem, rarius biseriatis secus utrumque marginem; indusiis maximis sese invicem marginemque attingentibus, rotundatis subumbonatis, ob marginem deflexum subconyexis, fusco-griseis, persistentibus. a. japonicum. Frondis magis elongatae pinnis nume- rosioribus angustioribus, serraturis incumbentibus mi- noribus, basin pinnae versus saepe obsoletis, soris vulgo 1 -seriatis. Hab. variis locis insulae Nippon: in jugo Hakone, ad saxa in silvis frondosis umbrosis; in principatus Se- nano alpibus altioribus, nee non in principatu Nambu. 8. mandshurieum. Pinnis latioribus, superne basi di- stinctius acuminato-auriculatis, acutioribus, serraturis patulis majoribus basin fere usque distinctissimis, so- ris saepius biseriatis. Hab. in jugo litorali Mandshuriae rossicae, ad su- periorem partem fluvii Da-dso-schu, in fissuris rupium calcarearum, soli obversarum, sat frequens. Species distinctissima, indusii natura A. mucronato Sw., statura A. lachenensi, forma frondis A. auriculato as quodammodo subsimilis, attamen indusio amplo subinflato longe persistente inter omnes insignis. Über die Ablenkung der Lothlinie durch die An- ziehung der Kaukasischen Berge, von J.Steb- nitzki. (Auszug.) (Lu le 13 janvier 1870.) Unter vorstehendem Titel hat Herr Obrist Stebnitzki, gegen- wärtig Chef der geodätischen und kartographischen Arbeiten des Kaiserlichen Generalstabs in Transkaukasien, der Akademie der Wissenschaften ein ausführliches Memoire in russischer Sprache vorgelegt, welches in extenso in den Yyensin 3auucknu veróffent- licht werden wird. Zugleich hat die Akademie angeordnet, dass auszugsweise die hauptsüchlichsten wissenschaftlichen Resultate dieser interessanten Arbeit durch ihr Bulletin der wissenschaft- lichen Welt in weiteren Kreisen zugänglich gemacht würden. Die- sen Auszug hat Herr Capitain v. Scharnhorst, gegenwärtig hier in Pulkowa, zu besorgen die Freundlichkeit gehabt. Es sei dabei bemerkt, dass Herr y. Scharnhorst sich sowohl im Gange der Auseinandersetzung, wie auch in Betreff der Folgerungen móglichst strenge an das Russische Original gehalten hat, auf welches wir im übrigen die Leser verweisen müssen, welche eine genauere Einsicht in die Details der Arbeit und die Strenge der Rechnungen zu ge- winnen wünschen. O. Struye. Der Hauptrücken des Kiss d sich vom Schwarzen zum Kaspischen Meer zwischen den Halb- inseln Taman und Apscheron in einer Ausdehnung des Sciences de Saint-Pétersbourg. von 1400 Werst hinzieht, erhebt sich im Westen An- fangs nur langsam, überschreitet östlich vom Berge Oschten (9358 engl. F.) die Schneegrenze und erreicht im Elbrus und Kasbek seine grösste Höhe, 18572 und 16546 F. über dem Meere. Östlich vom Kasbek wird der Kaukasus von der sogenannten Grusinischen Mi- litairstrasse durchschnitten, einem Passe, dessen höch- ster Punkt noch an 9000 F. über dem Meere liegt. Im Basar-Dühi erhebt sich darauf das Gebirge wieder bis zu 14722 F. und endlich sinkt es vom Berge Babadag an zum Kaspischen Meere hinab, von dem jener Berg etwa 150 Werst entfernt ist. Im Norden des Haupt- rückens erstrecken sich parallel zu demselben mehrere Nebenketten, welche allmählich in die Steppen-des Ku- ban und des Terek übergehen. Im Süden erreichen ähn- liche Ausläufer die Thäler des Rion und des Kur; wei- terhin aber in Transkaukasien erhebt sich wieder steil der sogenannte Kleine Kaukasus, welcher mit den Iran- Gebirgen und denen von Kleinasien inVerbindung steht. Während also einerseits der Kaukasus allmählich in die südrussischen Steppen übergeht, ist auf der an- dern Seite Transkaukasiens ein hohes Gebirgsland, welches von nur wenigen Flussthälern durehbrochen wird. Das ganze von den kaukasischen Ländern ein- | genommene Areal beträgt ungefähr 7000 Quadrat- -meilen und erstreckt sich zwischen dem 39. und 46. Grade der Breite und dem 55. und 68. Grade der Länge von Ferro. : In Transkaukasien hat General-Lieutenant Chod- sko in den Jahren 1847 bis 1853 eine Triangulation ausgeführt, welche aus Dreiecken aller drei Klassen bestand und über den Hauptkamm des Kaukasus bis zu den Städten Wladikawkas und Derbent ausgedehnt ward. Die Basis von Schamchor, in der Umgegend von Elisabethpol, bildete den Ausgangspunkt dieser Ope- ration, deren Genauigkeit durch die Basis von Schum- | gait, in der Nähe von Baku, geprüft ward. Darauf führte man von 1860 bis 1865 eine Trian- gulation in Ciskaukäsien aus und verband durch meh- rere Ketten von Dreiecken erster Klasse.die Trans- kaukasische Vermessung mit den Triangulationen, wel- che schon früher in Neurussland und längs der Wolga | ausgeführt waren. Diese Operation besass als Stütz- | punkte ebenfalls zwei Grundlinien; die eine in’ der | tri Nähe von Jekaterinograd, im Norden von Wladikaw- | barometr kas, und die andere in der Umgegend von Nowotscher- | schiedenen kask; die letztere gehórt gleichzeitig auch zur Neu- russischen Triangulation. Ungeachtet der grossen Schwierigkeiten, welche sich der trigonometrischen Aufnahme des Kaukasus in den Weg stellten, lässt diese Arbeit an Genauigkeit nichts zu wünschen übrig und steht in keiner Hinsicht gegen die Triangulation im übrigen Südrussland zu- rück, wovon man sich durch die in den Memoiren des Militair-Topographischen Depots publicirten detaillir- ten Berichte überzeugen kann. Man konnte schon im Voraus erwarten, dass die kolossale Masse des Kaukasus durch ihre Attraction eine betrüchtliche Ablenkung der Lothlinie hervor- bringen würde. Aus diesem Grunde wurden bereits 1862 auf den Vorschlag des Herrn: Direktors der Hauptsternwarte zu Pulkowa, O. Struve, von dem Obersten Oblomiewski Polhóhen und Azimathe an mehreren Punkten auf beiden Seiten des Kaukasus | astronomisch bestimmt, um mit der: Zeit, ¡decia Ver gleichung mit den aus der Tri Grössen, die Unterschiede in den Ablenkungen der Gatien zu erhalten. Nach Beendigung der Trian- gulation zeigten sich in der That bedeutende Differen- zen zwischen den astronomischen Breitenbestimmun- gen und den durch geodätische Übertragung erhal- tenen Polhéhen; auch war es auffallend, dass in allen Punkten, “cie gleichzeitig der kaukasischen und der. südrussischen Triangulation angehóren, sämmtliche Polhóhen, von der ersteren auf die letztere Soe übertragen, um eine nahezu constante Grösse, 1358 im Mittel, diejenigen Polhöhen übertrafen, welche sich aus der südrussischen Triangulation direct ergaben. Es entstand daher die Frage, in wie weit die gefun- denen Unterschiede zwischen den astronomischen und geodätischen Ortsbestimmungen sich Ge GONE ee tion des Gebirges erklären liessen. — res Zur Berechnung der localen Massenanzie hu darf man vor allem einer genauen Kenntniss des he: liefs des Landes, wozu man das Material aus H Den bestimmungen, Karten, durae ind anderen top: phisehen Aufnahmen schöpfen kann. Wahr Drain sind 830. Höhen in | goe: go rt orden sind, so er- 1 Bulletin de l'Académie Impériale hält man im Ganzen 3166 Hóhen über dem Meere, welche der vorliegenden Arbeit zu Grunde liegen. Von dieser Anzahl sind die Hóhen von 1280 Punkten ba- rometrisch bestimmt worden. Um den Einfluss des Bo- denreliefs des Kaspischen Meeres auch in Rechnung zu ziehen, ist die Karte dieses Meeres benutzt worden, solche: im Jahre 1861 von dem Hyürographischen De- partement des Mari inisteriums | ben wor- den ist, und auf welcher die Meerestiefen angegeben . Sind. Zu*denscibes Zwecke diente auch der Aufsatz des Capitain-Lieutenants Ulski: «Vorläufige Unter- suchungen über das Bodenrelief des Kaspischen Mee- res», welcher sich im sechsten Heft des Morskoi Sbor- nik für 1861 befindet. Endlich sind auch die Pláne der in verschiedenen Theilen des Kaukasus ausgeführten topographischen Aufnahmen berücksichtigt worden. Es wurden nun die aus unmittelbarer Messung er- langten Hóhenangaben auf den entsprechenden Punk- ten der Generalkarte des Kaukasus (Massstab "(sl verzeichnet und dieselbe mit einem Netze von Meri- dianen und Parallelen von zwei zu zwei Minuten be- deckt. Nachdem dieses Bees konnte man mit Hülfe der auf die Karte í und bei steter Berücksichtigung der übrigen Quellen, für das Areal eines jeden auf die angegebene Weise ge- bildeten viereckigen Terrainausschnittes, dessen mitt- lere Höhe über dem Meere bestimmen. Auf diese Weise ward es leicht, das Volumen derjenigen Theile des Ter- rains zu berechnen, von welchen man einen merklichen Einfiuss auf die Richtung der Lothlinie an einem ge- gebenen Punkte erwarten konnte. Um die Berechnung der Attraction entfernterer Massen zu erleichtern, ist ausserdem noch in viermal: kleinerem Massstab-eine Hülfskarte entworfen worden, welche auf ähnliche Weise durch ein Netz von vier zu vier Minuten ein- getheilt ward. Die Genauigkeit der mach dieser Methode für die mittlaron Sse bat, CAL verschiedenen G Hohen, punkte, ihrer Vertheilung und dem Charakter des Terrains ab. In dem gebirgigen Transkaukasien durfte - Des grössere Fehler in den so abgeleiteten mittleren e Höhen der Terrainausschnitte erwarten; dafür giebt es Nd ader auch mehr Punkte, deren Hühen über de m: Meere unmittelbar durch Messung bestimmt K der ‚sind, als in dem relativ flachen Ciskaukasien. Jenseits des Kaukasus kommt im Mittel ein solcher Punkt schon auf 70 Quadratwerst oder auf 7,7 Vier- ecke der Karte, während diesseits desselben nur ein Höhepunkt auf ganze 265 Quadratwerst oder 31 Vier- ecke kommt. Überdies ist die Vertheilung dieser Punkte eine so ungleichmässige, dass in Transkau- kasien ein Höhepunkt hie und da schon auf vier Vier- ecke kommt, während in Ciskaukasien sich gelegent- lich nur einer auf einem ganzen Grad in Länge und Breite findet; es kann aber selbst diese Seltenheit der Höhenpunkte, nach der Ansicht des Verfassers, in den Steppen des Kuban und des Terek keine grossen Feh- ler verursachen. Herr Stebnitzki setzt den wahr- scheinlichen Fehler, den man für die mittlere Höhe eines Terrainausschnitts durchschnittlich erwarten kann, gleich 0,02 der ganzen Höhe und ist überzeugt, dass dieser Anschlag nicht zu klein. angesetzt ist. Wenn man überdies in Betracht zieht, dass dieseFeh- ` ler in den einzelnen Ausschnitten mit verschiedenen Zeichen behaftet sein können, so übersieht man leicht, dass ihre Wirkungen, indem sie sich theilweise gegen- seitig aufheben, als verschwindend klein angesehen werden dürfen. Endlich ist noch zur eiae der Attraction die Kenntniss einerseits der mittleren Dichtigkeit der gan- zen Erde und andererseits der Gesteinsarten nöthig, aus welchen die anziehende Masse besteht. Für die erstere ist in den vorliegenden Untersuchungen die Zahl 5,5 angenommen, die Dichtigkeit des Wassers gleich 1 gesetzt. Was die den Kaukasus bildenden Gesteinsarten anbetrifft, so ist es unmöglich, den Ein- fluss einer jeden derselben besonders zu berechnen, und man muss sich daher ebenfalls mit einer mittle- ren Dichtigkeit begnúgen. Die Forschungen des Aka- demikers Abich haben uns den geologischen Bau des Kaukasus kennen gelehrt, und ín den «Untersuchun- gen über die Gestalt der Erde» von Dr. Philipp Fi- | scher sind die Dichtigkeiten vieler Gesteinsarten an- hängt natürlich von der Anzahl der gegebenen Höhen- gegeben, welche im Kaukasus vorkommen. Aus den von dort entlehnten Zahlen ergiebt sich im Mittel für den Kaukasus die Dichtigkeit 2,85, also beinahe die Hälfte der Dichtigkeit der ganzen Estás dieses letzte Verhältniss ist vom Verfasser definitiv angenommen worden, wie man es Sen in der englischen Triangu- lation, bei den Unt der Lothlinie, gethan hat. Log 237 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 238 Was die Methoden aubetrifft, nach welchen die At- traction des Gebirges berechnet worden ist, so findet man sie in folgenden Werken ausführlich entwickelt: «Die Abweichung der Lothlinie bei astronomischen Beobachtungsstationen» von Eduard Dechmann, Wien 1863, und in der grossen Arbeit über die eng- lische Triangulation: «Account of the: observations and calculations of the principal triangulation » drawn up by Captain Alexander Ross Clarke under the di- rection of L'- Colonel James, London 1858, Seite 578— 581. Auch in den «Untersuchungen über die Gestalt der Erde» von Dr. Philipp Fischer, Darm- stadt 1868, S. 46 — 70, und in den Philosophical Transaetions, Vol. 145: «On the attraction of the Hi- malaya mountains and of the elevated regions beyond them etc. by John Henry Pratt» findet man Angaben über die Berechnung der Anziehung sichtbarer Massen. Der Einfluss des Gebirges auf die Richtung der Lothlinie ist nun für folgende Punkte berechnet wor- den, deren Polhóhen astronomisch bestimmt waren; 1) in Transkaukasien: für Tiflis, Duschet, Elisabethpol, Schemacha und Baku; 2) in Ciskaukasien: für Wladi- kawkas, Alexandrowskaja Staniza am Terek, das óst- liche Ende der Basis von Jekaterinograd, Georgiewsk, das «Russische Signal» in der Nähe von Stawropol, das Signal Pestschanokop im Norden derselben Stadt, Jekaterinodar, das Signal Sutow unweit Kisljar und die Stadt Petrowsk am Ufer des Kaspischen Meeres. Zwar sind noch auf einigen andern Punkten der kaukasi- schen Triangulation, welche sich theils am Ufer des Schwarzen Meeres (Poti und Taman), theils nahe der Grünze von Persien befinden (Eriwan und Ordubat), auch astronomische Beobachtungen ausgeführt wor- den, doch konnte leider die Wirkung der ungleichen Massenvertheilung für diese Punkte nicht genau be- rechnet werden, da einerseits die Tiefe des Schwarzen Meeres nicht hinlänglich bekannt ist und andererseits es auch vollkommen an EE Angaben für | die Berge in Persien fehlt. Bei der Bestimmung der Attractionsrayons hat man sorgfältig auf die orographischen Eigenthüm- | x lichkeiten des Terrains Acht gegeben und die Wir- | : (Jekaterinodar), 130 (Schemacha), 188 (Jekateri- nograd) und 245 Werst (das Russische Signal) In dieser Hinsicht ist einige Willkühr fast unvermeidlich, indem die geeignete Wahl der Gränzen, bis zu denen die Rechnungen ausgedehnt werden müssen, dem Takte des Rechners überlassen bleiben muss. Im vorliegen- den Falle darf die genaue Kenntniss des Kaukasus, wie sie der Verfasser besitzt, als Bürgschaft dienen, dass bei der Wahl der Attractioustayons wenigstens mit einer môglichst exacten Wiirdigung der einzelnen dieselbe bedingenden Momente vorgegangen ist. Ob-. gleich in allen oben genannten Punkten, ausser zweien, keine astronomischen Längenbestimmungen gemacht worden sind, so hat man dennoch iiberall die Ablen- kung der Lothlinie auch in Linge berechnet in der Hoffnung, dass mit der Zeit auch die fehlenden Län- h bestimmt werden. Ehe wir zu den Resultaten der Rechnung überge- hen, wenden wir unsern Blick noch einmal auf die kaukasische Triangulation und auf ihre Verbindung mit den Triangulationen von Neurussland und an der Wolga. Das Ostende der Basis von Jekaterinograd, auf welchem Polhöhe und Azimuth durch den Obersten Oblomiewski astronomisch bestimmt waren, bildete den Ausgangspunkt der eiskaukasischen Triangula- tion, und von diesem Punkte aus sind unter Benutzung der Dimensionen der Erde nach Walbeck*) und nach der Methode von Gauss die Längen und Breiten al- ler übrigen Punkte der Triangulation berechnet wor- den. Die kaukasische Triangulation vereinigt sich in der Nahe von Nowotscherkask und Kisljar vermit- telst Dreiecke 1ster Klasse mit der Neurussischen und der Wolga-Triangulation, und desgleichen durch Drei- ` ecke zweiten Ranges längs den Flüssen Manitsch ang Q um 3 Breiten- und 6', Längengrade 1 y entfernt; wenn man ihren Abstand a I Dreieckskette misst, die sie mit pir *) Bei den geodätischen Ree kung der Hauptmassen bis auf grosse Entfernun- | 7 Re gen in Rechnung getragen. Die Halbmesser der von bald thunlich Hrn. Stebnitzki angenommenen Sanaan sa variiren für die einzelnen Sta ont = en 80| Bulletin de l'Académie Impériale 240 so findet man fiir dieselbe ganze tausend Werst. Trotz- dem erweist es sich, dass an allen Vereinigungspunk- ten die von Jekaterinograd übertragenen Polhühen um eine nahezu constante Grösse diejenigen Polhöhen übertreffen, welche der südrussischen Triangulation angehören; nämlich in Nowotscherkassk um 14,16, in Kisljar um 13,27, am Manitsch um 14,15 und an der Kuma um 13/78; im Mittel also um 13,84. Herr Stebnitzki untersuchte nun zunächst, ob nicht dieser konstante Unterschied vielleicht theilweise den der südrussischen Triangulation zu Grunde liegenden astronomischen Ortsbestimmungen zuzuschreiben sei. Den Ausgangspunkt dieser Triangulation bildete im . Poltawschen Gouvernement die Stadt Gradischsk, in weleher Polhóhe und Azimuth astronomisch bestimmt worden sind. Von hier aus sind die Lüngen und Brei- ten aller übrigen Punkte des südrussischen Dreieck- netzes geodätisch abgeleitet und können mit denje- nigen Werthen verglichen werden, welche für einige dieser Punkte directe astronomische Beobachtungen geben. So findet man z. B. den Unterschied zwischen den astronomischen und geodätischen Breiten für Ni- kolajew gleich — 1724, Charkow -+ 1,44, Odessa — 3,71, Nowotscherkask + 1710 und éndlich in der Nähe von Astrachan (Parabotschew Bugor) + 1,58. Eine ühnliche Übereinstimmung zeigt sich im Allge- meinen auch in den Lüngenunterschieden und Azimu- then aller andern Punkte auf einem Flüchenraume, der ? in Breite und 15° in Länge umfasst. Diese Mes- sung schliesst sich überdiess in Podolien an die gros- se Russisch - Skandinawische Breitengradmessung in ganz befriedigender Weise an. Die, nachbleibenden Differenzen sind nirgends so gross, als dass man zur Erklärung derselben in Südrussland die Existenz einer aussergewühnlichen Ablenkung der Lothlinie voraus- zusetzen Veranlassung hätte. Aus diesem Grunde muss die Ursache des constan- ten Unterschiedes von 13,84 in Breite in den Punk- ten, welche die kaukasische Triangulation mit den ge- nannten Vermessungen gemein hat, ganz allein einer Ablenkung der Lothlinie am Ostende der Basis von Jekaterinograd zugeschrieben werden, da dieser as- tronomisch bestimmte Punkt, wie erwähnt, als Aus- gangspunkt für die geodätisch übertragenen Positio- nen gedient hat. Die Berechnung der Attraction des Gebirges ergiebt in der That für diesen Punkt eine Ablenkung der Lothlinie von 12,62 nach Süden. Da nun eine Ablenkung nach Süden die Polhöhe vergrös- sert, so müssen alle geodätisch von Jekaterinograd abgeleiteten Polhöhen um eben diese Grösse verrin- gert werden, wodurch die aus der kaukasischen Trian- gulation abgeleiteten Breiten in vollkommen befriedi- genden Einklang mit den Polhöhen der Südrussischen Triangulation gebracht werden, indem zwischen ihnen dann im Mittel nur noch ein Unterschied von — 1,22 nachbleibt. = In Ciskaukasien. an PES * Berechnete | eodätische stronomisch e Ablenkun : Nan dis Quies. Breite. Breite. Differenz. | "ger Do. po Rest : HE | | e f Lu a E 499 1" 448 | 45° 1 40,24 — 35,76 6070 | — 3,00 Alexandr, Stanisn.: isi... Gi 43 28 49,99 48 .99 8,13 — 18,14 —1945 |. + 1,81 Georgiewsk..................:., 44 9 19,30 4 9 Ss 5% 12,09 pct. 2,12 Das Russische Signal ............ 45 7:52,31 — 9,66 — 10,83 + 1,17 Signal Pestschanokop............| 46 14 48,70 46 14 med + 2,89 07, | + 2,89 Jekaterinodar. ............... :.. 45 0 4691 633.1 — 3% - a | 300 Signal Subow......1... 0. 48 51 2107 | 43 51 2213 | — 1, 265 | + 159 Petrowak..... "te 42.59: 18,14 | 42 59 86,70 | —1856 | —1641 | + 215 In Transkaukasien. j : m | | - — | 42 5 13,96 | 42 4 55,67 | + 18,29 + 17,48 | + 0,86 41 42 59,94 | 41 13 7,50 7,56 + 241 — 997 40 40 35,84 | “40 41 859 | — 32,75 — 2050 | 1295: 40 37 47,84 | 40 -38 11,05 — 23,21 | +1643 | — 39,04 40 21 58,16 | 40 91 5740 | + 076 | +206 | — 180 . 241 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Die vorstehende Tafel enthált die Resultate, zu welchen die Berechnung der Attraction des Gebirges auf die oben genannten Punkte geführt hat, in welchen astronomische Breitenbestimmungen gemacht worden sind. Die in der zweiten Spalte enthaltenen geoditi- schen Breiten sind schon um 12762 verbessert, um für die einzelnen Punkte den Effect der Localattrac- tion auf den Ausgangspunkt Jekaterinograd auszu- schliessen; die berechnete Ablenkung der Lothlinie muss zu der astronomischen Breite algebraisch addirt werden, um sie in Einklang mit der geodätischen Breite zu bringen. In diesem Verzeichniss ist Jeka- terinograd als Ausgangspunkt der geodätischen Pol- hóhen ausgelassen. Man sieht aus dieser Tafel, dass in Ciskaukasien die Differenzen zwischen den geodätischen und astro- nomischen Breiten vollkommen durch die Ablenkung der Lothlinie in Folge der Attraction des Gebirges erklärt werden, indem die noch übrig bleibenden Un- terschiede durchaus von derselben Ordnung sind wie der mittlere Werth der localen Ablenkung an einem beliebigen Punkte der Erdoberfläche überhaupt, wie ihn die Untersuchungen von Bessel ( 2769) und von Clarke (+ 1/98) ergeben haben. Es sei hierbei be- merkt, dass das im vorstehenden Verzeichnisse merk- liche Überwiegen der positiven Vorzeichen vollstän- dig verschwindet, sobald man für Jekaterinograd nicht den direct berechneten Werth der Ablenkung (12762), sondern den sich aus dem Vergleiche mit den südrus- sischen Dreiecken ergebenden (13,85) einführt. Der letztgenannte Werth würde sich um etwa 0/85 ver- ringern, wenn man statt der Walbeck'schen die Bes- sel’schen Elemente des Erdsphäroids benutzt hätte. Anders stehen die Sachen in Transkaukasien. Für Dieser Unterschied zwischen den Polhóhendiffe- renzen und den berechneten Ablenkungen der Loth- linie in Transkaukasien kann unmöglich Beobachtungs- fehlern, oder einer Unvollkommenheit des der Rech- nung zu Grunde liegenden Materials zugeschrieben werden. Selbst wenn man in den mittleren Höhen der Terrainausschnitte Fehler von einem Zehntel der ganzen Hóhe zulässt, so kann diese Annahme, nach Herrn Stebnitzki's Meinung, das Resultat nur hóchstens um 1" ändern, und die Ungenauigkeit der | nach Walbeck angenommenen Dimensionen der Erde können hier höchstens einen Unterschied von 0,5 be- wirken. Es muss daher gefolgert werden, dass es in Transkaukasien, ausser der Attraction des Gebirges, noch eine andere Ursache giebt, welche die Loth- linie von ihrer normalen Richtung ablenkt. Da in den drei genannten Punkten diese Ablenkung eine süd- liche ist, so muss man den Grund derselben entweder in einer grossen Massenanhäufung im Süden von ihnen, oder in einem relativen Deficit von Masse, etwa gros- sen unterirdischen Höhlungen, nördlich von ihnen su- chen; jedenfalls scheint die störende Ursache ihren Sitz in der Nähe von Schemacha zu haben, da sich hier ihre grösste Wirkung zeigt. Der Verfasser hält die letztere der hier aufgestell- ten Hypothesen für die wahrscheinlichere. Im Süden von Schemacha, im Thale des Kur und in der öden Muganschen Steppe giebt es keine auffallenden Mas- senanhäufungen über dem Erdboden, welche nicht schon in Rechnung gezogen wären, und durch deren Einfluss man die hier stattfindende ausserordentliche Ablenkuug der Lothlinie erklären könnte. Vielleicht giebt uns aber eine andere Erscheinung hier einen | Fingerzeig. In der Umgegend von Schemacha kommen Duschet und Baku stimmt auch hier die Differenz | nicht zwischen der geodätischen und astronomischen Pol- s hóhe mit der Ablenkung der Lothlinie, wie sie ; aus : en. Die E E = der Attraction der si irgsmas E d gd = der Ric | um worden ist, und es ist sehr 1 mer kwürdig, w vie sel vielleicht See hinweist, | diese Übereins k d rs für die P ikte der unterirdischen Kraft non 0 bss : . ERE EE a ee 334.3 itx ee E VW T2, 272 dikawkas und Dus | Fusse | des mächtigen ns nôrdlich und südlich von demselben belegen sind. Für Tiflis, Elisabethpol und r Schemacha aber, welche nahezu in einer Linie liegen, | ho die dem Hauptkamme parallel n + die — meln, - stimmung vollständig auf. Tome XV. + : hlini = e südliche zéi die Erd- Bulletin de l'Académie Impériale 244 beben aber sich meistentheils von Norden her ver- breiten, so erscheint die Annahme ganz plausibel, dass nördlich von Schemacha sich wirklich ähnliche Höh- lungen in der Erdkruste befinden. ‘Da es im Kaukasus überhaupt an genauen astrono- mischen Längenbestimmungen fehlt, so ist in der oben angeführten Tafel nur die Ablenkung der Lothlinie in der Richtung des Meridians angegeben. Während der hydrographischen Aufnahme des Kaspischen Meers durch Iwaschinzow sind aber die Längenunter- schiede zweier Punkte der kaukasischen Triangula- tion, Petrowsk und Baku, gegen Astrachan durch Chro- nometerexpeditionen genau bestimmt worden, und man kann daher für diese zwei Orte auch die Ablenkung in Länge prüfen. ` Der Längenunterschied zwischen Astrachan und Pulkowa ist einerseits aus einer sehr langen Reihe von Dreiecken geodätisch berechnet, andrerseits aber durch Chronometerexpeditionen gr bestimmt wor- den. Die beiden so erhalt terschiede wei- chen um ganze 14,9 im ce von einander ab. Zu diesem Unterschiede kann natürlich einerseits die Un- genauigkeit der bei der geodätischen.Berechnung an- gewandten Dimensionen des Erdsphäroids beigetragen haben, andrerseits darf hier auch noch in der astro- nomischen Lingenbestimmung eine nicht unerhebliche Anhäufung von zufälligen Fehlern angenommen wer- den, Berücksichtigt man nun ferner, dass die Breite von Astrachan sehr befriedigend mit denen der übri- gen Punkte der Neurussischen und der Wolga-Trian- gulation übereinstimmt, dass ferner die Umgegend von Astrachan bis auf weite Distanzen eine Ebene ist, so darf in der That vorausgesetzt werden, dass in diesem Punkte auch keine erhebliche locale Ablenkung der Lothlinie in der Richtung des Parallels stattfindet. beiden astronomischen Längenunterschiede nur mit dem Einfluss der Ablenkungen in Petrowsk und Baku behaftet sein. Die Vergleichung des geodätischen Län- genunterschieds mit dem astronomisch bestimmten weist für Petrowsk eine Abweichung von — 16,92, für Baku von — 11705 auf. Die Masse des Lula: erzeugt ‚aber an ersterem Orte eine Ablenkung der hlinie in Länge nach Westen von 22711, an letz- von 9574. Bringt man diese Quantitäten an, so t zwischen den genannten Längenunterschieden nur noch ein Unterschied von — 5,19 für Petrowsk und von + 1569 für Baku übrig; es lässt sich also für diese beiden Orte die Ablenkung der Lothlinie in Länge auch durch die Anziehung der áusseren Ge- birgsmassen erkláren, und wir haben somit eine sehr erfreuliche, unabhängige Controle für die durch die Breiten gewonnenen Resultate. Mit einer Ubereinstimmung bis auf ein Paar Sekun- den in Länge und Breite muss man sich begnúgen, denn man kann in der That, wie es die Natur der Sa- che mit sich bringt, eine gróssere gar nicht erwarten. Auch zeigen die Untersuchungen über die Localattrac- tion in manchen andern Ländern, wie z. B. in Oster- reich und der Schweiz, in ihren Resultaten keine grös- sere Übereinstimmung als die, welche hier erhalten worden ist. Die Untersuchungen des Obersten Stebnitzki ha- ben alse zu folgenden Resultaten geführt: 1) Die Triangulationen in Neurussland und an der Wolga bezeugen, dass in den südrussischen Steppen nirgends eine ungewöhnliche Ablenkung der Lothlinie zu spüren ist; dass also hier keine störende Ursache existirt, welche die astronomischen Ortsbestimmungen beträchtlich modificirte. 2) Nördlich vom Kaukasus, bei allmählichem Über- gange des Gebirges in die südrussischen Steppen, er- klären sich die beobachteten Ablenkungen der Loth- linie vollständig durch die Attraction der sichtbaren Gebirgsmassen, so dass kein Grund vorliegt, hier die Existenz anderer störenden Ursachen zu vermuthen. 3) Auch in dem aus krystallinischen Schiefern be- stehenden Hauptkamme des Kaukasus ist zwischen | Wladikawkas und Duschet noch nichts von einer an- deren störenden Ursache zu spüren, als der Attrac- tion des Gebirges selbst. Unter dieser Voraussetzung wiirden die genannten | 4) In Transkaukasien dagegen kann die Ablenkung der Lothlinie nicht durch die Attraction der äusseren Gebirgsmassen genügend erklärt werden. Vielleicht liegt der Grund davon in der vulkanischen Struktur des Bodens, in welchem die unterirdische Thätigkeit sehr lebhaft ist und sich besonders durch Erdbeben an der Oberfläche fühlbar macht. Übrigens fehlt es noch in diesem Theile des Kaukasus an hinlünglichem Beobachtungsmaterial, so dass man noch keinen. voll- kommenen Überbliek über die hier stattfindenden. pe scheinungen gewinnen kann. 245 des Sciences de Saint- Pétersbonrz. Es wäre daher gewiss sehr wünschenswerth, in noch recht vielen anderen Punkten der Triangulation von Transkaukasien, besonders aber in der Gegend, wo sich die vorstehend erürterten Anomalien gezeigt haben, astronomische Breitenbestimmungen zu machen, diesel- ben Stationen, wo es angeht, telegraphisch auch in Län- ge mit einander zu verbinden und Pendelbeobachtun- gen hinzuzufügen, um der Ursache jener auffallenden Erscheinungen nüher nachzuspüren. Hierbei darf vor- ausgesetzt werden, dass die fortschreitende topo- graphische Bearbeitung jener Gegend, so wie gele- gentliche Recognoscirungen in den angrünzenden Län- dern allmählich das zur Berechnung der Anziehung der sichtbaren Massen erforderliche Material noch bedeu- tend vervollständigen werden. Über seltene Arterien- Abweichungen, von Dr. Wenzel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le 21 avril 1870.) (Mit 1 Tafel) — Subcutaner Verlauf des Ramus dorsalis der Arteria radialis am Unterarm- und Handwurzelrücken (5. eigener Fall), bei Vorkommen der Varietät ,,Radio-carpeus* des Museulus radia- lis internus brevis (9. eigener Fall), u, s. w. (Fig. 1). Im Jahre 1864 habe ich den 1. eigenen Fall vom subcutanen Verlauf des Ramus dorsalis der Arteria radialis, den ich am linken Arme eines jungen Man- nes beobachtet hatte und in meiner Sammlung aufbe- wahre, beschrieben '). 1869 sah ich den 2. eigenen Fall und wieder am linken Arme eines Mannes. Ich habe diesen zweiten Fall, welchen ich gleich- falls in meiner Sammlung aufbewahre, ebenfalls be- schrieben und abgebildet?) Daselbst habe ich auch die bis dahin in der Literatur verzeichneten Fälle zusammengestellt und mit meinen Fällen verglichen. Vom anomalen Musculus radialis internus brevis | (S. minor) sind mir v. J. 1854 bis 1866: 8 Fälle bei 6 männlichen Tndividuen (an 2 beiderseits, an 3 rech- terseits und an 1 linkerseits) vorgekommen. Sie waren 1) «Zur Anatomie der Arteria radialis». — Arch. f. Anat., Phy- I 8 siol. u. wiss. Medicin. Leipzig 1864. Art. IV. S. 440. 2) « —À Verlauf des Ramus dorsalis der hed semitis P Handwurzelrücken (2. viget Fo — Arch.f. | w gesandt im De- a am Unterarm- u Anat., Physiol. u. es Medicin (dahin zum cember 1869). ihrem Ansatze nach in 3 Varietäten als: Radio-car- peus (5 Mal, darunter 1 Mal ein Radio-carpeus bicau- datus), Radio-carpo-metacarpeus (1 Mal) und Radio- metacarpeus (1 Mal) aufgetreten. Ich habe die Varie- täten dieses Muskels in zwei Aufsätzen (1859 u. 1867) beschrieben tnd abgebildet?). Aus der von mir im zweiten Aufsatze gegebenen Zusammen- stellung der bis 1867 in der Literatur verzeich- neten Fille des Vorkommens dieses Muskels, auf welche ich verweise, ging hervor: dass nach mir Theile (1859) einen Fall von Radio-carpeus, Luschka (1863) zwei Fülle von Radio-carpo-metacarpeus, John Wood (1866), der die Entdeckung des Muskels, den er unpassend «Flexor carpi radialis brevis s. pro- fundus» nennt, sich aneignen wollte, 4 F. und zwar 1 F. von Radio-carpeus, 1 F. von Radio-carpo-meta- carpeus ünd 2 F. von Radio-metacarpeus, Norton 1 F. von Radio-carpo-metacarpeus mitgetheilt haben, dass somit der Muskel bis 1867 16 Mal sicher ge- sehen worden, und dass hóchst wahrscheinlich ich der "een? dieses Muskels sei *). Im März 1870 sah ich an dem imjicirten richten Arme eines jungen männlichen Individuums den Ramus dorsalis der Radialis an der untersten Partie des Rückens des Unterarmes und am Handwurzel- rücken subeutan verlaufen und an demselben Arme “à Über den Musculus radio-carpeus und M. cubito-carpeus, z supernumeräre Armmuskeln. — Bull. phys.- math. de PAcad. Imp. des sc. de St.-Pétersbourg. Tom. XVII. X 28; Mélang. biolog. Tom. IH. Livr. 2. 1859. p. 184. Fig. 1 et 2. — Über die Va- rietäten des Musculus radialis internus brevis. — Bull. de l'Acad. Imp. des sc. de St. pta Tom. XII. p. 335; Mélang. biolog Tom. VI. Lier 4. 1868. p. 493. Tab. a Der anomale Muskel, welcher von Fano — Bull. de la soc, t. de Paris. Ann. 1851. Bull. 11. p. 375. Ne 30. — in der ; rem anat. Gesellschaft am 11. November 1851 demonstrirt | war, der von dem unteren Drittel der vorderen Fläche oder Beuge dee, fläche des Radius (de la face antérieure du radius) seinen genommen, sich an das Multangulum eeng inserirt und s ve n eieht fe Bulletin de l'Académie Impériale 248 die Varietät «Radio-carpeus» des Musculus radialis internus brevis nebst einem auf die Hand verkürz- ten Musculus extensor Ge indicis proprius vor- kommen. Ich werde ae in meiner Sanmling aufbewahrte Präparat (Unicum)im Nachstehenden beschreiben: Die Arteria axillaris, A. — und deren Aste bieten nichts Abnormes dar. Die Brachialis theilt sich an gewöhnlicher Stelle in die Radialis und Interosseo-Ulnaris. Aus dem Winkel zwischen beiden entspringt die Recurrens radialis. Die Radialis (N 1) verhält sich bis 2" über der Handwurzel normal. Hier im Sulcus radialis und auf dem anomalen Musculus radialis internus brevis ge- lagert, 1'// abwärts von dessen Ursprunge und 1” 4—6” unterhalb des Hervortretens des Ramus super- ficialis des Nervus radialis am Riicken theilt sie sich in den Ramus volaris und in den Ramus dorsalis. Der Ramus volaris (a) derselben ist der schwächere Ast (% dick). Er bleibt im Sulcus radialis, daselbst unter der Aponeurose zwischen zwei Blättern und läuft in demselben, wie sonst die Radialis der Norm, aber auf dem hier vorhandenen M. radialis internus brevis in einer Strecke von 1'/,”, dann lateralwärts von ihm abwärts, kriimmt sich unter den Sehnen des Abductor longus und Extensor brevis pollicis auf den Hand wurzelrücken in die sogenannte Dose, geht durch diese, dann unter den Sehnen des Extensor longus pollicis u. s. w., wie die Carpea dorsalis der Norm weiter transversal ulnarwürts. Der Ramus volaris nimmt im Sulcus radialis an der dem Ende der vola- ren Seite des Radius entsprechenden Stelle, an der er bereits neben dem lateralen Rande des M. radialis internus brevis gelagert ist, und 1',” unter seinem Anfange den anormalen Ramus volaris der Interossea anterior (c) auf. Der durch diese Vereinigung zweier verschiedener Wurzeln gebildete etwas stärkere Ast sendet 2',—3" tiefer noch im Sulcus radialis, also bevor er auf den Handwurzelrücken tritt, einen in me Zweige gespaltenen schwachen Ast zur Daumen- | müskulatur, der die Palmaris superficialis aus der Ra- is der Norm repräsentirt, am Handwurzelrücken hen den Sehnen des Radialis externus lon- evis eine feine Metacarpea dorsalis II. (a) ~- dem Ende der in die Vol. ulnaris dig. II. und in die Vol. radialis dig. III. peine Digi- talis communis anastomosirt. Der Ramus dorsalis (b) derselben und deren Fort- setzung durchbohrt sogleich die Aponeurose und kommt unter die Haut zu liegen. Er wendet sich über der Sehne des Brachio-radialis auf den Rücken des Unterarmes und der Hand, zieht, begleitet von Ästen des Ramus superficialis des Nervus radialis und der Vena cephalica, über den Sehnen des Ab- ductor longus und Extensor brevis pollieis, über dem Lig. antibrachii dorsale, über der Dose und über der Sehne des Extensor longus pollieis schräg zum Inter- stitium metacarpeum I. herab und dringt hier durch die Lücke zwischen den Köpfen des Interosseus ex- ternus I. in die Hohlhand. Nachdem er diese Lücke passirt hatte, theilt er sich in den Ramus communi- cans und in die Princeps pollicis, die auf gewöhnliche Weise verlaufen. Die Princeps pollicis endet in die beiden Volares pollicis getheilt. Der Ramus dorsalis ist 3'^" lang und 1°," (2%, Mill.) dick. In Die Interosseo-Ulnaris giebt 3” über ihrer Theilung in die Interossea communis und die Ulnaris, die Re- eurrens ulnaris von der medialen Wand und etwas tiefer von der lateralen Wand die schwache Mediana antibrachii profunda ab. Letztere Arterie verläuft mit dem Nervus medianus und reicht bis 2” oberhalb der Handwurzel abwärts. : Die Interossea communis theilt sich sogleich (1” nach ihrem Anfange) in die Interossea anterior (in- terna) und 1. posterior (externa). Die Interossea ante- rior, sobald sie hinter den oberen Rand des Pronator quadratus zu liegen gekommen war, durchbohrt das Lig. interosseum, giebt aber früher einen anomalen Ramus volaris (c) ab, der zuerst hinter dem Pronator quadratus abwärts, dann unter dessen Bande auf dem Ende des Radius hinter dem Flexor pollicis longus und hinter dem Radialis internus brevis zum Ramus volaris der Radialis schräg bogenförmig radialwärts verläuft, in letzteren Ast mündet und mit einen auf den Handwurzelrücken verlaufenden etwas stärke- ren Ast (d) bildet. Dieser anomale Ramus volaris der Interossea anterior ist 3” lang, am Anfange */,”, am Ende '," dick. Er giebt Äste namentlich dem Pronator quadratus und dem Radialis internus brevis. Die Interossea posterior weiset nichts Besonderes auf. Die Ulnaris giebt 1'/ über dem Os pisiforme den 249 des Sciences de’ Saint-Pétersbourg. 230 Ramus dorsalis ab. Der Ramus volaris s. Ulnaris vo- laris schickt einen kleinen Ast mit dem Ramus vo- laris profundus des Nervus ulnaris zwischen dem Ab- ductor und Flexor brevis digiti minimi u. s. w. zum tiefen Hohlhandbogen und theilt sich in die Ulnaris volaris superficialis und profunda. Die Ulnaris volaris superficialis bildet den oberflächlichen Hohlhand- bogen. Aus diesem geht ab die Dig. comm. TII., welche sich in die Vol. radialis dig. V. und Vol. eloa- ris dig. IV. theilt, dann ein 2” langer Truncus com- munis, welcher sich in die Dig. comm. II., die sich in die Vol. radialis dig. IV. und Vol. ulnaris dig. IHI. spaltet, und in die Dig. comm. I., welche sich in die Vol. radialis dig. III. und Vol. ulnaris dig. II. spal- tet, und in einen langen Ast, der mit der Vol. ulna- ris pollicis anastomosirt. Die Ulnaris volaris profunda bildet mit dem Ramus communicans der Radialis den tiefen Hohlhandbogen. Aus diesem geht die Vol. ulnaris dig. V., eine Metacarpea volaris IV., dann eine Metacarpea volaris II. ab, welche mit der Dig. comm. I. aus dem oberflächlichen Hohlhandbogen durch einen Ast anastomosirt, mit dem anderen Aste aber als Vol. radialis dig. II. endet. Zwischen dem Nervus medianus und N. ulnaris ist am Unterarme ein das schräge Anfangsstiick der Ar- teria ulnaris kreuzender, von mir oft BS ano- maler Verbindungsast zugegen. Der Musculus radialis internus brevis (N 3.) li egt mit seiuem Bauche im Sulcus radialis, oben etwas vom Flexor pollicis longus bedeckt, zwischen diesem und dem Brachio-radialis auf dem Radius und dem Pronator quadratus und mit seiner Endsehne in der Scheide des Lig. carpi volare proprium für den Ra- dialis internus longus. Er hat eine plattspindel- fürmige Gestalt. Er reicht von einem Punkte des Radius, */,” unter der Insertion des Pronator teres, bis zum Capitatum carpi herab, ist 4’ 6” lang, wo- von auf die Endsehne 1” kommt, am Fleischtheile 8 bis 9”, an der Endsehne 1'/— 2" breit, am Fleisch- theile 2/,—3”, an der Endsehne ,” dick. Er ent- springt mit dem oberen Ende und dem lateralen Rande von der lateralen Fläche (= auch vorderen in unserem Sinne) und von der Kante zwischen die- ser Fläche und der Beugefläche in einer Strecke von 2" 9" bis 6” über dem unteren Ende des Radius herab y | Weise. fleischig sehnig. Seine hinter der Sehne des Radialis | internus in dessen Scheide gelagerte Endsehne ist nur an einer Stelle durch eine Art kleiner Synovial- scheide geschieden, übrigens grösstentheils, na- mentlich mit deren inneren (ulnaren) Wand ver- schmolzen, aber auch mit Bündeln an das Multan- gulum majus und Capitatum angeheftet. Der Musculus extensor digiti indicis proprius ist auf die Hand verkürzt. Er entspringt mit einer kurzen, aber breiten Aponeurose vom dorsalen Rande des unteren Endes des Radius im Bereiche der Rinne für den Extensor digitorum und von der Handgelenk- kapsel. Er hat einen 2" 3" langen und bis 6” breiten Fleischbauch, der an der Radialseite des Rückens. des Metacarpale III. in eine 1” breite Sehne über- geht, die wie die Sehne des Muskels der Norm mit der entsprechenden Sehne des Extensor digitorum sich verbindet. Der subcutan verlaufende Ramus dorsalis (b) der Radialis (N 1) dieses Falles verhält sich so, wie der- selbe Ast in meinen früheren Fällen. Der Ramus vo- laris (a) der Radialis bildet die laterale Wurzel und der Ramus volaris der Interossea anterior (c) die mediale Wurzel der anomalen zweiwurzeligen Carpea dorsalis radialis (d), welche die schwache Pal- maris superficialis und eine feine Metacarpea dorsalis IL. (x) abschickt. Dadurch gleicht dieser Fall am mei- sten meinem 1. Falle, bei dem aber die mediale Wur- zel der Carpea dorsalis radialis fein und statt der Metacarpea dorsalis II. ein Ramus communicans zum tiefen Hohlhandbogen vorhanden war. Der Musculus radialis internus brevis gehört zur Varietát « Radio-carpeus» desselben. Der auf die Hand verkürzte Musculus extensor digiti indicis proprius verhält sich auf bekannte Das beschriebene Pine ist als Fa subcutanem Verlaufe des Ramus dorsalis der Ar- teria radialis der dritte eigener agen ung als Fall mit V orkommen Ass. du ei E. fremder Be- 251 Bulletin de PAcadtmie Impériale 252 obachtung und durch seine dreierlei Abweichun- gen ein Unicum. Ein fast querer, kurzer und starker Ramus anastomoticus im Ellenbogenbuge zwischen der Arteria brachialis und der von ihr hoch oben entsprungenen Arteria ulnaris superficialis. (Fig. 2.) Beobachtet im März 1854 am linken Arme eines Mannes, und zwar an dem 47. der 350 zur Ausmit- telung gewisser Verhiltnisse an den oberen Extremi- täten (injicirt) von 1854 — 56 untersuchter Cadaver. Die Brachialis (a) giebt 1'/,” (Par. M.) unter der Insertion des Latissimus dorsi und Teres major, */,” unter dem Abgange der Profunda humeri und '/,” un- ter der Collateralis ulnaris superior (e) die Ulnaris superficialis sens. lat. ab. Sie läuft im Sulcus bicipi- | talis internus an gewöhnlicher Stelle und theilt sich im Ellenbogenbuge wie in der Norm in die Radialis und Interosseo-Ulnaris (Ulnaris communis). Die Ulnaris superficialis (b) entspringt an der ge- nannten Stelle von der inneren Wand der Brachia- lis und läuft innen von dieser im Anfange eine Strecke knapp neben ihr gelagert, später und in der grössten Strecke von ihr durch den Nervus me- dianus (?) separirt zum Ellenbogenbuge abwärts. Hier angelangt geht sie hinter der oberflächlichen Sehne: des Biceps brachii auf den inneren Muskelvorsprung der Ellenbogenregion, kreuzt hier den Pronator teres, Radialis internus schräg und zieht in‘einer Scheide der Unterarm-Aponeurose, die Sehne des Palmaris longus von hinten her kreuzend, oberflächlich und fast in der Mitte des Unterarmes zur Hand herab. Den Sulcus ulnaris erreicht sie gar nicht und tritt über der Mitte des Lig. carpi volare proprium, zwi- schen den zwei Blättern des ulnaren Theiles dessel- ben, also durch das Spatium interaponeuroticum — Guyon — in die Hohlhand, wo ihre Verzweigung nichts Ungewöhnliches an sich hat. Sie giebt die Collateralis ulnaris inferior (f) und tiefer im Ellenbo- genbuge hinter der oberflächlichen Sehne des Biceps _ einen fast queren, kurzen und starken Ramus anasto- - moticus (g) zur Brachialis. Dieser kreuzt den Media- 2 mus von vorn, ist nur 3" lang, aber 1%,” dick und idet in ilie Brachialis, 6" über deren Theilung. Radialis (c) verhält sich wie gewöhnlich; die -Ulnaris (d) ist schwächer als diese. Sie superficialis , giebt zwar dieselben Äste wie in der Norm ab, aber die von ihr abgehende Ulnaris propria (profunda) ist nur rudimentär zugegen und durch eine kurze und schwache Arterie repräsentirt, welche das schräge und leicht bogenförmig gekrümmte Anfangsstück der Ulnaris der Norm substituirt, zwar den Sulcus ulnaris und Nervus ulnaris erreicht, aber schon am oberen -Drittel des Unterarmes in der Musculatur endet. Der Nervus medianus (i) hat die gewöhnliche Lage zur Arteria brachialis. Er liegt im Sulcus bicipitalis internus oben neben dieser Arterie aussen (lateral- wärts) und unten, nachdem er sie von vorn gekreuzt hat, innen von derselben und dadurch auch zwischen ihr und der Ulnaris superficialis. Der Nervus cuta- neus brachii externus (musculo-cutaneus s. perforans Casserii) (k), nachdem er den Coraco-brachialis durch- bohrt hatte, theilt sich in 2 Äste, in einen starken lateralen und einen schwächeren medialen. Der laterale Ast (4) vertritt den Nerven der Norm und läuft wie dieser. Der mediale Ast (%”) ist abnorm. Dieser /,—/; dicke Ast bleibt im Sulcus bicipita- lis internus und begleitet die Brachialis und den An- fang der Interosseo-ulnaris bis in den Ellenbogenbug hinter dem Pronator teres abwärts. Zuerst liegt er in langer Strecke aussen (lateralwärts) von der Bra- chialis, dann kreuzt er diese von hinten, um an de- ren unterem Ende und dem Anfange der Interosseo- Ulnaris innen von denselben sich zu lagern, wobei er hinter dem Ramus anastomoticus zwischen der Bra- chialis und Ulnaris superficialis vorbeizieht. Wie er in der Ellenbogenregion angelangt ist, theilt er sich in einen starken lateralen und feinen medialen Zweig. Der laterale Zweig (a) legt sich hinter dem Pronator teres an den Mediänus und zieht mit diesem vereinigt zum Unterarme abwärts, der me- diale Zweig (ß) aber bildet eine Schlinge und legt sich an den: Medianus, wie ersterer, nur höher oben, ebenfalls an, kehrt aber an diesem in die Oberarmregion wieder zurück. ` Die Arteria ulnaris superficialis dieses Falles hat nicht die Bedeutung einer anomal vergrüsserten und in die Hand verlängerten Arteria plicae cubiti welche ich Arteria ulnaris antibrachii superficialis nenne. Ich habe vom anomal hohen Ursprung der Arteria ulnaris jener beiden Arten (sens. lat. et strict.) bis Ende März 1870 in meinen 253 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 254 Tagébüchern 55 Fälle nach Cadaver- und 68 Fälle nach Extremitüten-Zahl verzeichnet. In einer Reihe von Aufsätzen habe ich über mehrere wichtigere Fälle derselben ausführlich berichtet, habe mehrere derselben abgebildet. Den 49. Fall nach Cadaver- und 61. Fall nach Extremitäten-Zahl habe ich un- längst wegen seiner Besonderheiten auch beschrieben und abgebildet*). Unter dieser von mir gesehenen Masse von Fällen, wie sie in gleicher Anzahl kein einzelner Anatom je beobachtet hat, ist nur der eben beschriebene Fall von Ramus anastomotieus zwi- schen der Arteria ulnaris superficialis und Arteria bra- chialis vorgekommen. Auch weiss ich von keinem zweiten in der Literatur verzeichneten Falle. Was das Vorkommen der anomalen Verbindung des Nervus cutaneus brachii externus mit dem N. media- nus betrifft, so gehört der Fall zu jenen Fällen, welche ich bei normaler Anordnung der Gefässe beobachtet und theilweise schon vor 21 Jahren beschrieben habe®). Der beschriebene Fall ist daher in mannigfacher Hinsicht merkwürdig und, was das Vorkommen des Ramus anastomoticus zwischen der Arteria ulnaris superficialis. und der Arteria brachialis anbelangt, an- scheinend früher noch nicht gesehen worden. Erklärung der Abbildungen. Fig. 1. Rechtes Unterarmstück nebst Hand. (Ansicht von der Radialseite bei halb pronirter Hand.) 1. Arteria radialis. 2. Ramus superficialis des Nervus radialis. 3. Musculus radialis internus brevis. a, Ramus volaris der Art. radialis und zugleich la terale Wurzel der Art. carpea dorsalis lude neurotisch). - b. Ramus dorsalis der Art. radialis TERE c. Ramus volaris anomalus der Art. interossea an- terior und zugleich mediale Wurzel der Art. carpea dorsalis. 5) Anatomische Mistellen: XXX. ok der i ulna- ris antibrachii superficialis am rechten Arme un der Arteria interossea am linken Arme». Mit 1 Holzschmitt, — Geer Zeitschr. f. prakt. Heilkunde. Wien 1870, (Dahin gesandt im Novem- ber 1869). 6) Neue Anomalien. Berlin 1849. 4. S. 32. Taf. 3. Fue 2. SAS Aas oe x K. Lateraler Ast d. Arteria carpea dorsalis. a. » metacarpea dorsalis II. Fig. 2. Linker Ober- und Unterarm. Arteria brachialis. » ulnaris superficialis. » radialis. ` interosseo-ulnaris. » collateralis ulnaris superior. » collateralis ulnaris inferior. Ramus anastomoticus zwischen der Art. ulnaris superficialis und Art. brachialis. h. Arteria recurrens radialis. i. Nervus medianus. ; k n cutaneus externus. E. Medialer » | ER, a. Lateraler Zweig d Medialer » l. Ramus superficialis des Nervus radialis. | des medialen Astes, Beiträge zur Naturgeschichte des Elens (Cervus Alces Linn.) in Bezug auf den Nachweis der artlichen Einheit der lebenden und fossilen Formen der Untergattung Alce und ihre frü- here, wie noch gegenwärtige Verbreitung, von J. F. Brandt. (Rapport.) (Lu le 24 mars 1870.) Meine paläontologischen Studien über die quater- näre Fauna der Säugethiere Russlands, namentlich die Untersuchungen über die Säugethierreste der al- taischen Höhlen, veranlassten mich, die im hiesigen Berginstitut, ganz besonders aber im Museum unse- rer ' Akademie deseen auf = Elen om die Fr en, Lob ‘die fossilen Überreste der 1 Elent lebenden europäisch- kes Een a seien, und ob das nordamerikanische Fae sondere Art zu se habe, var mil er dung zu bringen. | — [eh stellte zu diesem E wecke í nicht nur über die E ME fossilen eu 255 Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint - Pétersbourg. 256 verglich auch mehrere Bälge des altweltlichen Elens mit einem sehr schônen Balge eines amerikanischen. Als Resultat dieser Untersuchung ging hervor, dass nicht nur das europäische und amerikanische Elen der Art nach identisch seien, sondern dass auch die bisher entdeckten fossilen Reste, deren möglichst voll- ständiger Aufzählung nach den verschiedenen Län- dern Europa’s ich eine besondere Aufmerksamkeit schenkte, zur Aufstellung irgend einer untergegange- nen, dem lebenden Elen ähnlichen, Art durchaus keine Veranlassung geben könnten. In Folge dieses Ergeb- nisses hielt ich es für zweckmässig, meinen Untersu- | chungen Abschnitte über die frühere und gegenwär- tige Verbreitung des Elens, ferner über sein allmähli- ches Verschwinden in mehreren einzelnen Ländern und seine muthmaasslich in den höheren Norden zu ver- setzende Urheimath, hinzuzufügen, denen sich ein besonderer Abschnitt über die Kenntniss, welche die alten Griechen und Römer von ihm besassen, nebst einem anderen anreiht, worin ich nachzuweisen suche, dass das Elen in der Familie der Hirsche eine so eigenthümliche, selbstständige Art und Untergattung bilde, dass sein Ursprung nicht wohl durch natürliche Züchtung sich erklären lasse. So entstand eine sowohl auf die Zoologie als auch auf die Paläontologie bezüg- liche Abhandlung, welche ich, von drei Tafeln be- gleitet, der Classe für die Memoiren vorzustellen die Ehre habe. — — A —— — BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a recu dans ses derniéres séances les ouvrages dont voici les titres: Del Fierro, M. F. Estudios preparatorios i datos pre- sentados a la comision nombrada para determinar e indicar al supremo Gubierno cuáles son los medios que pueden adoptarse, a fin de obtener en grande escala el desarrollo de la industria de la sede en Chile. Santiago 1865. 8. Courcelle Seneuil, J. H. Examen comparativo de la | tarifa i lejislacion aduanera de Chile con las de Fran- cia, Gran Bretaña i Estados-Unidos. Santiago 1856. 8. . Apuntes hidrogräficos sobre la costa de Chile acompañados de algunos planos. Santiago 1866. 8. e mes idum de la Statistique internationale de l'Eu- Angelini, A. Nicoló Machiavelli nel suo principe ossia il . machiavellismo ed i politici del nostro secolo. Milano 1869. 8. Hodges, Sir William. A treatise on the law of railways, railway companies, and railway investments. Fifth edition by Ch. M. Smith. London 1869.'8. Malmgren, A. J. Tidskrift fór fiskerinäring och aquikul- tur. Första árgángens förra häfte. Helsingf. 1869. 8. Seckendorff, Arthur v. Beiträge zur Waldwerthrechnung und forstlichen Statik. Frankfurt a. M. 1868. 4. Portner, Szym. O dzialaniu soli potazowych na krazenie krwi. Warszawa 1869. 8. Dramatická díla Williama Shakespeara. Nákladem Musea království českého. XXI. XXII. XXIII. V Prase 1868 — 69. 12. Oratoria sagrada o coleccion escojida de sermones de ora- dores sagrados americanos, recopilados por P. G. de la Fuente. Tomo I. Santiago 1866. 8. Turbiglio, Séb. L'empire de la logique. Essai d'un nou- veau système de philosophie. Florence, Turin, Milan 1870. 8. Bulletin de l’Académie royale de Médecine de Belgique. Année 1864, T. VII X 3—11; 1865, T. Vill X 1—11; 1866, T. IX X 1—11; 3° série 1867, T. I X 1—11; = 1868, T. II X 1—5. Bruxelles 1864—68. 8. Transactions of the Medical Society of the State of New York for the year 1866—68. Albany 1866—68. 8. Seeland, Nic. Beitrag zur Diätetik. Warschau 1869. 8. Harın, Hee, Heg. tod pyveyyatov dotpov. “Ev Aoua:z 1869. 8. Larrey, H. B. Étude sur la trépanation du crane dans les lésions traumatiques de la téte. Paris 1869. 4. A report of excisions of the head of the femur for gun- shot injury. Circular € 2. War Departement, surgeon general's office. Washington 1869. 4. d'Ourches, Marquis. Inhumations précipitées. Fondation e deux prix pour la découverte de moyens certains de les prévenir. St. Germain-en-Laye 1869. 8. _ The United States Sanitary Commission. A sketch of its purposes and its work. Boston 1863. 8. The Sanitary Commission of the United States army: a succinet narrative of its works and purposes New York 1864. 8. Stillé, Charles J. History of the bb States Sanitary Commission. New York 1868. — Memorial of the great ceutral fir for the U. 8. Sa- nitary Commission, held at Philadelphia June 1864. Philadelphia 1864. 4. .À record of the metropolitan fair in aid of the U. S. Sa- nitary Commission held at New York in v 1864. New York 1867. 8. Paru le 2 juin 1870. T. XV, N° 3. SS, t BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. TOME XY. (Feuilles 17—24) : TEL | CONTENT: J. Somoff, Note sur la rectification approximative des courbes quelconques . .... 2... 087—201 og Dr. E Cyon, Sur le Nervus depressor du cheval. (Avec une planche.)...... 4 wa ..... 261—263 B. Dorn, Quelques remarques concernant la géographie de la Perse.......... eee eee nnne 268—268 Fr. Argelander, Sur quelques tremblements de terre observés au moyen Foi niveau — vente : ics... 908—271 A. Sawitsch, Observations des planètes à St.-Pétersbourg ........ Cer eds ud yore rare 271—272 Rapport sur le second concours du prix Baer ...,..».o.o»ooorrorcorocrcrorcoranconcrsscororonss...s 272—291 M. Sainte- Claire Deville, Sur les propriétés SE et le pouvoir —. Ps quelques pátestos de TEMPS de Rosie, 5526 6 e Vos tee en od y ot PVP. NES CSC 291—299 V, Veliaminof-Zernof, Notice sur le Makhzen ul-esrar de Wir- Halder... Zi EEN 9—30: N. Kokcharof, L’olivin du météorite de Pallas....... SC ibis 303—310 _ Ph, Owsiannikof, Le système nerveux des étoiles marines. (Avec une planche i. Kee ... 310—318 MM. Christofle et Bouilhet, Note sur l'exécution en cuivre galvanique de la statue de Notre Dame de la BM LI A y EEN A PES ee E eh ee ees pis 319—325 H. Struve, Etudes sur l’ozon, l’eau oxygénée et le nitrite gegen, C ommunication RE rers 325—332 Dr. Ed. Brandt, Le système nerveux de Lepas anatifera. - ues une planche.) * sinew > N. Zinin, Sur quelques dérivés de la désoxybenzoine.... ... 940—947 J. F. Brandt, Quelques ee concernant le poil Bi mamouth ; à l’occasion d'une communication de M. le professcur Fraäs..... see ; . 947—851 Dr. W. Gruber, Sur la yolydctybe (Avec une planche d. MENS ae uen je ss... 252—372 M. quens Sur les corps correspondants aux produits nitrés de la best E E PEA os . 972—378 C. J. Maximowiez, Courtes ne de nouvelles plantes du Japon et de la emptum Huitióme dede 373—381 2 Bulletin Seesen ie Saye ie Shag wiles es SEELEN A pees eres > 381—384 BOT On s'abonne: chez MM. Eggers € cie, H. Schmitzdorff, J. Issakof et Tcherkessof, rores à St-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l’Académie (Komurers Ilparıesia Huneparo] SE ‘ Lune - Hays) et chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig. | Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de Së Kg een rn Imprim& par ordre de l'Académie. Académic Impériale des Novembre 1870. Steier, Ces in re de PAcadémie sz impériale des sciences. (Vass.-Ostr., „9 —— 12). BULLETIN DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST. -PÉTERSDOURG. Note sur la rectification approximative des courbes quelconques, par J. Somoff. (Lu le 24 mars 1870.) Dans mon mémoire Sur les accélérations des divers ordres") jai déduit de la théorie de ces grandeurs cinématiques les développements en séries: de la corde d'un arc d'une courbe quelconque et des pro- jections de cette corde sur la tangente et les deux normales principales, menées par l'une des extrémi- tés de l'arc. Parmi les différentes applications que peuvent avoir ces développements, il en est une qui mérite une attention particulière à cause de son utilité pour la solution de beaucoup de problèmes pratiques: c'est la rectification approximative d'une courbe quel- conque, plane ou à double courbure. J'ai tiré de ces développements une expression générale et trés simple de la longueur approximative d'un arc suffisamment petit, pour que sa 5"* puissance puisse être négligée. - Savoir: S La longueur de l'arc est égale aux quatre tiers de la corde moins le sixième de la somme des projections de cette corde sur les tangentes extrêmes. Cela méne à une régle générale pour la rectifica- tion approximative des courbes de longueur quel- conque, Parc total étant divisé en portions suffisam- ment petites. Cette régle se préte facilement aux calculs, aussi bien qu'aux opérations graphiques. Elle est surtout utile dans la Géométrie descriptive et dans l’Architecture, où l'on a trés souvent à rectifier une courbe, dont on a déterminé plusieurs points, suffisam- ment rapprochés, et les —— en ces points. Dans ces cas la rectification s’opére à l’aide de la règle que nous donnons, sans avoir besoin pour cela de | tracer la courbe, ou de raccorder les points. Voici la démonstration de cette règle. Désignant par As l'accroissement d'un arc s d’une courbe quelconque, par o et 7 les rayons de la pre- miére et de la seconde courbure à l’origine de As, 1) Mémoires de l'Académie Intels de St.-Pétersbourg T. VIII, X 5, 1864. Tome XV. Désignant par a' la projection $ de Tac cort rd 3 par w la corde de As et par a la projection de w sur la tangente à la courbe à l’origine de As, on a par les formules de la page 19 du mémoire sur les accé- lerations de diverses ordres: 1 E 1 ER 1a ade (0 1 y En SE 2 3 3 (3) 4 a = As — cz As un M uu + Supposant As assez petit, pour qu'il soit permis de négliger les termes qui contiennent As", As... et re- présentant par p’ le rayon de la première courbure à d — LA 8 LA £g. , 2 l'extrémité de As, on pourra remplacer la dérivée di par T ce qui ne produira qu'une erreur de l'ordre As”. .| Cela posé, on aura 1 d’où l’on tire 1:71 1 As =w + p (at 53) AS ORUM E - (2) Ce résultat a été trouvé par M. A. Serret’): Si Von substitue dans le second membre w? à As”, on aura une formule pour calculer Parc As au | moyen | de la corde et des rayons de courbure ¢ et €, Mais on peut obtenir une autre expression de Pare plus simple, qui ne contient pas cesrayons. Les formules (1): donnent Bag — 6 = 24s + gigs » éd .. (3) l E. De circuli p eaa ei Newtoni Opuscula, Bee et, Genevae, 1754, Opusculum X, Epistola prior ad H. Oldenburgium, E Wallis, a treatise of Algebra. London 1685 P. 17 Bulletin de l’Académie Impériale 260 tangente à As, menée par son extrémité, nous aurons de même 3w — a = 2As + 517, AS Les formules (3) et (4) conduisent à l'égalité 247 = 30 — 5 (a a’) — as 5) As? qui, ajoutée à à (2), se réduit d’abord à 3As = 40 —3(0+ a), et par suite á : | 1 r As =$ w—;(a+2), EE (5) ce qui prouve la régle énoncée plus haut. Pour on are de cercle la somme des projections a+ à de sa corde sur les tangentes extrêmes est égale à la corde de l'are double. Dans ce cas la for- mule (5) conduit à une règle donnée par Hugens ^) pour la rectification des arcs circulaires, savoir: Si. À désigne la corde de l'arc donné et B la corde de la moitié de cet arc, la longueur approximative de cet arc | "o ims - En effet, la formule (5) donne 1 4 1 än Be TA et par conséquent Nous allons présenter quelques exemples numé- . riques des formules (6) et (5), pour montrer le de- grés d’approximation des résultats du calcul. 1°. Longueur d'un arc circulaire de 20°, étant pris pour unité. Së Dans les tables de. a Sammlung mathemati- scher Tafeln, on trouve. — 0,3472964 B—0,1743114; = rayon par conséquent Ge DCH 0,3490649. - de résultat diffère moins que de 0,000001 E Traité See uctions elliptiques. REM bid on aura 3 done - de la vraie valeur 0,349065850040. .. 2°. Valeur de la fonction elliptique de seconde espèce E(o,k) pour une amplitude o = 10° et un module k — sin 45°. E me A nn N / 3 E rs Q f "à y LA B the fe un —— m F / £ d i 0 Soient AB le quadrant d'une ellipse, dont le demi- grand axe est pris pour l'unité, k l'excentricité et E le petit axe. Prenons sur ce quadrant un point M, dont l’ordonnée PM, étant prolongée, rencontre en N la circonférence décrite du centre O avec le rayon OA = 1, et menons ON; nous aurons l BM = E (o, k) où p= 4 EON. Projetant la corde BM sur les tangentes à P ‘ellipse ` aux points B et M, nous aurons a= BD, a = MG, -et posant Z MBD = 4 BMF = Y, 4. GME == G, nous trouverons facilement i tang p= ktang, tangO=k" tango . (7) w= ip a-sine deeg A Au moyen de ces jones. faisant e. 10 w= 0,1739800 a =0,1736482 ; Ce Ein)! E 0, 1740695, ce qui diffère moins que de | à ` ` 0,000094 aa 261 des Sciences de Saint-Pétersbourg. - 262 de la valeur de cette fonction qui se trouve dans les tables de Legendre ‘). 0,1740915. 3° Valeur de E (20° sin 45°). Les formules (7) donnent w = 0,3446686 a = 0,3420201 ` a = 0,3441268; par conséquent (a+ a’) = 0,3448670. ‚Ce résultat diffère moins que de 0,0007087 de la valeur 0,3455756 qui se trouve dans les tables de Legendre. Über den Nervus Depressor beim Pferde, von Dr. E. Cyon. (Lu le 24 mars 1870.) (Mit einer Tafel.) Bei Gelegenheit einer Vivisection am Pferde wollte ich untersuchen, ob Pferde auch einen gesonderten Nervus depressor besitzen. Ich habe diese Untersu- chung ausgeführt und will hier das Ergebniss dersel- ben mittheilen. Ein sonst gesundes Pferd wurde in der Seitenlage befestigt. Durch einen Schnitt am Halse wurde die Vena jugularis freigelegt. Ich wollte das Pferd mit Curare vergiften und den Versuch während der Nar- cose ausführen. Mein Apparat für künstliche Respi- ration hat sich aber als zu klein erwiesen, um die Pferdelungen mit genügender Quantität Luft zu ver- sorgen. Ich musste daher zu einem anderen Mittel greifen und benutzte als solches. eine Chlorallösung. Ich spritzte in die Vena jugularis 10 Gramm Chloral ein, da aber dieselben keine Wirkung zu erzeugen schienen, und das Thier fortfuhr heftige Bewegungen | zu machen, so verdoppelte ich die schon eingespritzte Menge. Im Ganzen bekam also das Thier 20 Gramm Chloral. Gleich nach der zweiten Einspritzung wird das Thier ruhiger; die Narcose ist zwar nicht vollstän- dig, aber die heftigen Bewegungen haben aufgehört und treten nur noch bei Reizung der Nerven ein. „Darauf schritt ich zur Präparation der Carotis und der Nerven. 4) Traité de calcul différentiel et intégral de Lacroix. gme édi- | tion T. 2, p. 175. ER Ich fand neben der Carotis drei ziemlich starke Ner- venstämme, und es handelte sich nun darum, deren Na- tur zu erkennen. Der Vagus konnte leicht durch seine bedeutendere Stärke erkannt werden. In den anderen zwei Nerven von fast gleicher Stärke vermuthete ich den N. depressor und den Sympathicus. Ich unter- band diese beiden Nerven und durchschnitt den etwas stirkeren. Die gleich darauf eintretende starke Tem- peraturerhéhung der entsprechenden Kopfhälfte zeigte mir sogleich an, dass ich den Halssympathicus durch- schnitten habe. Die Gefasse des Ohres und des Auges erweiterten sich sehr stark. Nun setzte ich die Carotis in Verbindung mit einem am Kymographion befestigten Manometer und liess einige Zeit die Pulsschlige auf der Trommel auf- zeichnen. Der Blutdruck war ziemlich gering, 150 — 160 Mm., eine Erscheinung, die ich in allen Fällen von Chloralnarcose beobachtet habe. Die Zahl der Herzschlige war 34 in der Minute. Die systolische Erhebung jedes Herzschlages betrug mit grosser Re- gelmässigkeit 12 Mm. Nachdem der Druck einige Zeit aufgezeichnet wor- den, tetanisirte ich das centrale Ende des dritten Nerven, Die sofort eingetretene betriichtliche Sen- kung des Blutdrucks zeigte mir an, dass ich wirklich - den Depressor auf den Electroden hatte. Gleichzeitig mit dem Sinken des Blutdrucks verlangsamte sich auch die Zahl der Herzschläge und die systolische Erhebung jedes einzelnen Schlages verminderte sich mehr als um die Hälfte. Das Sinken des Blutdrucks war so beträchtlich, wie ich es noch bei keinem Thiere in solchem Falle beobachtet habe. Von 150 Mm. sank der Blutdruck auf 20 — 15 Mm. Das Sinken dauerte wihrend der ganzen Reizung und ging in eine Drucksteigerung iiber, sobald ich dip pco unterbrochen hatte. 7 Ausser dieser ganz ausserordentlichen Drucksen- kung war bei diesem Versuche noch die relati ringe Empfindlichkeit des N. depressor. auffllend, Während die leiseste Berührung des Vagus ziemlich heftige Bewegungen des Thieres veranlasste, blieb dasselbe bei Reizung des Depressor ziemlich ruhig. Ich füge hier eine Zeichnung der Nerven bei, welche ich später an demselben Pferde herauspriparirt habe. ‘Wie man sieht, hat der Nervus depressor beim Pferde lainen ‘ens, à der mit dem beim Kaninchen viel 17* Bulletin de l’Académie Impériale 264 Ahnlichkeit besitzt. Auch beim Pferde erhält der Depressor zwei Wurzeln, die eine vom Laryngeus su- perior, die zweite vom Vagus. Er erhält aber auch mehrere Nervenfäden von einem Nerven (A der Tafel), welcher nach unten in den Vagus endet und etwas oberhalb mit dem Ganglion cervicale supremum ana- stomisirt. Woher dieser Nery stammt, konnte ich nicht ermitteln, da ich das Thier oberhalb des Gan- glion cervicale decapitirt habe. Jedenfalls sind die Verbindungen dieses Nerven höchst interessant, und beabsichtige ich, nächstens denselben einer Prüfung am lebenden Thiere zu unterwerfen. Nicht minder interessant ist das Nervennetz, wel- ches vom Ganglion cervicale supremum entstammt und, die Art. carotis umgreifend, in die Wandung der- selben eintritt, und zwar meistens in der Richtung nach unten. Auch diese Nerven sollen nächstens einer experimentellen Prüfung unterworfen werden. Erklärung der Tafel, Fig. I. Die Halsnerven des Pferdes frisch prüpa- riri; nur der die Carotis versorgende Plexus etwas mit Essigsäure behandelt. Fig. II. Der Ursprung des Depressor, ichdan das | Präparat längere Zeit in Essigsäure gelegen hat. A= ein unbekannter Ast des N. Vagus; B = N. Laryn- geus sup.; a, b und c = Die Wurzeln des N. Depres- sor; D = N. Vagus; E = ggl. cervicale; F — Art. Carotis; G = N. Sympathicus. e Bemerkungen zur von B. Dorn. (Lu le 31 mars 1870.) Eben hatte ich, am 13. (25,) März, in meiner Ab- handlung über die Einfälle der alten Russen in Taba- ristan die Worte: «wenn man die Beschreibungen von Schahrud liest, so möchte man fast glanben, dass es der alten Stadt Hekatompylos entspreche» im Cor- recturbogen durchgesehen, als mir der bis dahin noch nicht eingesehene sehr belehrende Aufsatz des Herrn Dr. Mordtmann: e Hekatompylos. Ein Beitrag zur ver- | — Geographie Persiens» "), zu Händen kam. I: der k, bayer. Akademie der Wissenschaften au München. 1869. I. Heft IV, S. 497. Der Aufsatz zog mich um so mehr an, als er auch sonst gerade in meine derzeitigen Beschüftigungen einschlägt; ich habe ihn mit Vergnügen gelesen, und theile hier vorläufig einige betreffende Bemerkungen mit, welche zum Theil in meiner erwähnten Schrift weiter ausgeführt sind. L Hr. Dr. Mordtmann liest (S. 498) auf einer Münze mit Sasanidischem Gepräge: Av. links: afan, augeatur ¿aman, tempus rechts: Vistakhma | Pirudsch Ry. links: tarein, d. h. zwei”) rechts: rd. SE Da meine Ansicht hinsichtlich des Wortes, welches Hr. Mordtmann «Zeit» übersetzt, bekannt ist, so will ich hier nur hinzufügen, dass ich es zwar zuerst lux”), später aber immer majestas übersetzte, wobei ich auch bis auf Weiteres verbleibe. Hr. Mordtmann geht dann zur Erklärung des rd als des Namens einer Stadt — des Prägortes der Münze — über, und glaubt mit aller Zuversicht erklären zu kónnen, dass die früher noch nicht bekannten Münzen «Vistakhma's» den Streitpunkt hinsichtlich der Städtenamen endgül- ` tig zu seinen Gunsten entscheiden. Ich würde mit Freuden von meiner jetzigen An- sicht hinsichtlich der Städtenamen auf Sasaniden- Müuzen abgehen und mich Hrn. Mordtmann an- schliessen, wenn die Sache wirklich so ausgemaclit und sicher wäre, wie er sie darstellt. Da das aber in meinen Augen nicht der Fall ist, und man auch den Ausspruch findet + dass die Das Hrn. Mordt- mann’s in den meisten Fällen den meinigen, Bartho- lomaei's uud Chanykov's vorzuziehen sind, so mó- gen eben die folgenden Bemerkungen von meiner Seite ` hier eine Stelle finden. Der Ort Radkan oder Radekan (¿831,), S. 509, brauchte, wenn man ihn auf der Münze suchen wollte, 2) Auf den anderen Exemplaren: vier, fünf, sechs. 3) S. a. a. O. die Anm. 2) S. 500. Das Wor ort gadman d$, majesty, glory, als ob von den Manech entnommen, finde ich jetzt auch in (Haug’s Prize Essay) u. s. w. Bombay, 1869. unter 5 (g); das Wort zaman, »£2 (Time), wie es auf Münzen nie vorkommt und nie vor- kommen kann, ebenda unter 2 (2). _ 4) Sitzungsberichte. 1869. I. Heft II, S. 88. NAG vasque Er Ve. ze qe T Sas à m AM Kr 265 des Sciences de Saint-Pétersbourg. | vielleicht gar nicht so entfernt in die Nähe von Mesch- hed und Nischapur versetzt zu werden. Das nicht all- zuweit von Asterabad, Sari und der Insel Aschurade°) oder dem Gäs-Ufer auf einem Wege zwischen Schah- rud und den genannten Orten liegende Dorf Rade- kan (GK: ,°) mit seinem alten Thurme, an welchem sich, nach Hrn. +. Chanykov, eine Pehlewy- und Kufische Inschriften aus dem Jahre 1019,20 befin- den, würde in jeder Hinsicht viel näher liegen; denn hatte «Vistakhma» sich wirklich in Parthien ") unab- hängig gemacht, so hat er wohl auch das eben ge- nannte Radekan besessen, wo man sogar viele alte Münzen gefunden hat, wie in meiner genannten Ab- handlung des Näheren -nachgewiesen ist. Der Ort würde ganz vortrefflich zu Zadrakarta passen, welches Hr. Mordtmann auch auf Sasaniden- Münzen finden will (s. Zeitschr. d. D. m. Ges. XIX, S. 458) und für Asterabad halten möchte. Hr. Mordtmann aber glaubt, dass man in dem angeblichen Prägort die alte Stadt Hekatompylos suchen müsse, und erklärt die Zeichen 23.5 = raz dervazé = ‘Exatopnvdoc; früher nahm er sie für Rudbar, s. a. a. O. S. 451, X 120. Es ware also etwa so, als wenn man auf Münzen Zweibrücken, Fünfkirchen, Siebenbürgen durch ZB., , SB. ausdrückte. Unmöglich wäre die Sache nicht, und ich würde es nicht einmal als eine philo- logische Schrulle ansehen, wenn man z. B. den Ma- sanderanischen Landstrich o» ya Ae, Hezar - Dsche- rib durch # oder s? (HDsch.) anzeigte. Aber dass der selbst Suf Múnzen gebrauchte Name der Haupt- stadt von Parthien, Raz-dervazé, allen bis jetzt be- | kannten orientalischen Geographen und Geschicht- schreibern so gänzlich unbekannt oder von ihnen un- erwähnt geblieben sein sollte, ist für mich ganz und gar unbegreiflich, und lässt mich die neue Erklärung als eine unerwiesene, und deshalb nichts beweisende ansehen. Ich hatte früher an eine vielleicht mögliche 5) Nicht Ashounada, wie sie in der Französ. Ausgabe Ferrier’s (Voyages. Paris. 1860. I, S. 141) genannt wird, und wo auch anstatt Ghilam, Ghilan zu lesen ist. 6) S. die Karte zu Melgunov’s Werk. Freilich lasst sich nicht nachweisen, dass der Ort als « Radekan» schon in der Sasaniden- . Zeit dagewesen ist. — Die ganze Inschrift ~ seit dem 28. März e ae in einem getreuen Abdrucke vor m _ 7) Nach Abu Hanifa setzte Kesra din Bestam zum Ver- weser von | n, Kumis, Dschurdschan und Tabaristan ein. In der Folge ir, sich Bestam für unabhängig. . von seiner Mae Frau getódtet und seine Anhänger sich nach Dalem: Er wurde aber) . = flüchteten | derartige Erklärung der Buchstaben ow (MD oder YD — Je 100), gedacht, aber sie erschien mir so un- | wahrscheinlich, dass ich sie nicht einmal ausgespro- chen habe. Es müssten dann auch noch andere Buch- staben auf den Münzen so erklärt oder aufgefasst werden, wie Hr. Mordtmann es in dem vorliegenden Falle thut, aber da würde man voraussichtlich aus dem Regen in die Traufe kommen. II. S. 520. Hr. Mordtmann findet die Stadt 37- wya des Ptolemaeus in Dameghan, weil nach Fer- rier^) diese Stadt nach einer Überlieferung Shehri- gumusch or the Siver-town, Silber-Stadt, geheissen ha- ben soll, und Use Simin «silbern» bedeute, weshalb . im Griechischen Sémina nicht Semina zu lesen sei. Aber nach den verschiedenen Angaben der morgen- ländischen Geographen selbst ist der Name Semnan (p Ui) oder Simnan (cylin), auszusprechen. Es ist also gleich, wie wir in Ptolemaeus lesen. Ich will unentschieden lassen, oder meine Meinung wenigstens nicht aussprechen, wer hier die Verwirrung gemacht hat, die erzählenden Perser oder Hr. Ferrier. Das Wort « Gumusch» ( Geet: ) ist wirklich Türkisch und be- deutet Silber. Wenn aber, wie man wohl voraussetzen muss, ein Persischer Prinz den Palast”) und die Stadt erbaut hat, so wird er doch kein Kadschare oder |Turkmene gewesen sein, dem man allenfalls den Ge- brauch einer Tiirkischen Benennung fiir dieselben zuschreiben könnte, oder er würde die Stadt dann eher Gúmisch- Kend oder Gümisch-Schehr (vergl. Gü- 8) Voyages. a. a. O. $. 140. 9) Mein Persischer Geograph erwähnt nur eines verfallenen Na- rendsch-Kale (als s 2 JU) ausserhalb Dameghan's, welches, der Sage nach, ein Fräulein (LS 55) gebaut hatte. Dagegen soll, auch ` — der Sage nach, Simnan seinen Namen zwei Heiligen, Sim (e ie | und Lan (yy) verdanken. Ferrier sagt S. 124 (Franz. Aue E SC on 8. 526 —), die Perser hätten die Stadt vor Alters Darab ge- — - Kumisch (Komisene) gemeint, aber tung Sand ist hier zulässig; "m kum, Sand, nicht Persisches Wort; daher wird die bei SES Tue im Tat op} 22 ege dst Tee NO ge nannt. So sollen die Zigeuner (8. 2 19) Kaouli (| 4,5), d. i. Sclaven, ) T , Käuli, Kuli, d. i. Ka- jeben; s. auch Charmoy, Chèref- Bulletin de l’Académie Impériale misch - Chaneh, Gümisch-Tepeh u. a.) genannt ha- ben. Ich vermuthe daher, dass die Perser von einem Palast von Kumisch, Pers. (i053, Arab. 5, und Shehri-Kumisch gesprochen haben. Dieses Kwmisch ist aber bekanntlich die alte Landschaft Komisene (s. An- merk. 9), welche nach Jakut und Abu'l-Feda Per- sisch (255 hiess, und von Justi Bundeh. (S. 212) Qi, geschrieben wird, deren Hauptstadt Dame- ghan war, wie schon Abu "Hanifa (ee 93 de) un Jakut (bip 45) angeben. Der Silber-Palast — nicht der Palast von Kumisch — so wie die Silber- stadt sind also meiner Meinung nach spurlos ver- - schwunden. Dameghan bleibt nur noch einfach als Hauptstadt von Kumisch, und die Stadt Zwjgavo. des Ptolemaeus wird wohl in Semnan oder Simnan auf- gehen. l Ill. S. 529 und 536. Das Gebirge «Labus» ist nur ein Theil des Alburs (; ll). Der Name wird richtigér, oder vielmehr allein richtig Labuta (Aa- Běta) oder Labutas-geschrieben;'er ist in dieser Form noch heute vorhanden; die Perser schreiben ihn ent- weder nach älterer Schreibweise >,U, Lawud (so in Sehireddin) oder G,U, Labut oder Laput. Es ist unmöglich, den Namen als aus Alburs verderbt anzu- sehen; das s in Labus (AaBos) ist die Griechische En- dung, und Alburs ist nichts anderes als har burdsch, der grosse Berg. "ENS. 530. mens Asterabad TD. welches Hr. Mordtmann mit Za- drakarta ") zusammenstellt, findet man viele verschie- dene Angaben. Da aber der Maulesel im Persischen wirklich astar ED) heisst — ester ist mehr Türki- sche Aussprache — so stände der Ableitung des Na- mens von astar wenigstens nicht die Aussprache ent- gegen; übrigens wird die Stadt auch in älteren Schrif- ten und Karten Esterabad u. s. w. genannt. Früher wurde die Stadt st ail sitarah-abad geschrieben, was an Sideris erinnert. Die Annahme Hrn. Mordt- mann’s, dass aus Zadra durch Vorsetzung eines Elifs Astar geworden, wie Alburs — Labus (vergl. unter III), ist also nicht einmal nöthig. Sitar-abad (oll JL), wie man es ec geschrieben findet, hat dieselbe Reihen- w Gewöhnlich Astrabad ausgesprochen. np 5. Spruner, Atlas antiquus, No. IH. Hinsichtlich der Ableitung des Na- folge von Consonanten wie Zadrakarta — a Str, 35 Zdr —, welches letztere als >l] 55, Zadrabad merkwür- dig anklinit um so mehr, wenn man anstatt Sitar- abad, Satar(a)-abad (UT audies] liest, was nach der An- gabe der Persischen Geographen auch zulässig ist. Ob aber Zadrakarta wirklich da lag, wo das heutige Asterabad liegt, lässt sich schwer beweisen, gewóhn- lich stellt man es — eben so unbeweisbar — mit Sari zusammen. Hinsichtlich der Ortlichkeiten Ta- barek (Jb) und Tambraz (S. 528 und 533), Tagae S. 532) u. a. siehe wiederum meine oben angedeutete Schrift. Nur will ich noch hinzufügen, dass in der Bu- laker Ausgabe Ibn Chaldun’s fast durchgängig (falsch) — cud: statt Je gedruckt ist, s. Band IV, S. 22, Z. 21; 29, Z: 6; 25, Z. 24; 26, Z. 13 und noch SS. 27, 28, 338, 339, 381. In der Pariser Ausgabe Masudy’ E dagegen, T. IL S. 20 findet sich wiederum Amul (Jel) anstatt J5) Itil. Daher die irrige Angabe (Travels of . Rabbi Petachia, by Dr. A. Benisch. London 1856, S. 70, Anm. 3): «The capital (of the Chazars) was cal- led Amil», d. h. Itil oder Atel. So ist der Ort 55545, bei welchem die Schlacht zwischen Muhammed b. Ibra- him b. Ssuluk und dem Aliden Hasan b. Aly el- Utrusch (vergl. Ibn el-Athir ed. Tornberg, VII, S. 64; Weil, Gesch. d. Chal. II, S. 614, Anm. 2) vorfiel, nichts anderes, als ein am Flusse Baurud ge- legener Ort, über welchen ersteren ich i. J. 1860 selbst geritten bin, welchen ich aber in keinem Europäischen Buche erwähnt finde. Aber schon Sehir-eddin kannte ihn sehr gut. Er fliesst zwischen Barfurusch und Amul, aber nüher bei letzterer Pu s. die Karte zu mei- ner eeneg des Über Erderschütterungen, an feinen Niveaux be- . . obachtet, von Fr. Argelander. (Lu le 21 avril 1870.) Die Notiz von Hrn. Wagner im Bulletin der Kai- serlichen Akademie Bd. XII p. 231 «über eine auffal- lende an einem empfindlichen Niveau beobachtete Be- wegung» hat mir eine ähnliche Erfahrung in’s Gedächt- niss zurückgerufen, die ich vor vielen Jahren gemacht habe. Ich lasse die Worte folgen, wie ich sie damals in’s Tagebuch geschrieben habe, und füge ihnen einige spätere Erläuterungen bei, die ich unter meinen Pa- des Sciences de Saint- Petersbourg. 270 pieren finde. 1849 Sept. 27 (bürgerlich Sept. 28 Vor- mittags) enthält das Tagebuch Folgendes: «Die Libelle konnte nicht abgelesen werden, weil «sie fortwährend in 6° bis 7° dauernden Schwankungen «war, und zwar nicht allein die Alhidadenlibelle des «Meridiankreises, sondern auch die der beiden Colli- «matoren. Die Schwankungen aller dieser 3 Libellen «waren vollkommen gleichmässig und gleichzeitig, «während der Faden des Collimators fest und unver- «rückt zwischen den Fäden des Fernrohres des Me- «ridiankreises stand. Senkrecht auf den Meridian wa- «ren die Schwankungen geringer. Um 11” 40” Stzt. «bemerkte ich diese Erscheinung zuerst, und sie dauerte «bis 12° 10” oder 12* 15”.» Zur Erläuterung bemerke ich Folgendes und füge zugleich einige Ergänzungen aus der Erinnerung hinzu. Das Phänomen wurde zuerst den 28. September LU 11” Vormittags bemerkt, als ich zur Beobachtung von y Ursae majoris die Alhidadenlibelle ablesen wollte; ich glaubte Anfangs, dass ich der Libelle zu nahe gekommen sei, und das Verziehen derselben durch die Körperwärme erzeugt sei, und beobachtete daher den Stern. Als ich aber nach der Beobachtung die Erscheinung wieder sah und bemerkte, dass es eine periodisch wiederkehrende Schwankung sei, rief ich meine Assistenten, von denen der eine am Nord- collimator, der andere am Südcollimator seinen Platz nahm, während ich am Meridiankreise blieb. Es zeigte sich nun, dass die Schwankungen vollständig gleichmässig und gleichzeitig waren, nnd die Libellen für alle 3 Beobachter im gleichen Augenblicke ihre grössten nördlichen und südlichen Ausweichungen hatten. Sie dauerten etwa 6° bis 7° und betrugen an der Alhidadenlibelle des Meridiankreises 4 Theile der- selben oder 5,6. Um mich noch mehr von der Rea- lität der Erscheinung zu überzeugen, stellte ich nun das Fernrohr des Meridiankreises auf den Nordcolli- mator ein und fand, dass während die Libelle dieses sowohl, als des Südcollimators nach den Angaben mei- ner beiden Mitbeobachter ihre Schwankungen gleich- mässig fortsetzten, die Fäden des Fernrohrs und des - Nordcollimators ihre gegenseitige Ges eieiei beibehielten. Jetzt setzte ich die Libellen des Collimatoren leak: recht auf den Meridian auf; auch hier zeigten sich | die Axe des Meridia die gleichzeitigen und gleichmässigen Schwankungen, | Polarsterns, aber in geringerem Grade. Dass diese Schwankungen nur von pendelartigen Schwingungen des ganzen Erd- bodens herrühren konnten, war nach dem Ganzen der Erscheinung unzweifelhaft, und die Richtung dersel- ben muss ungefähr SSO. zu NNW. hin und zurück ge- wesen sein. Es hätte sich über die genauere Richtung der Bewegung eine Entscheidung durch genauere Er- | mittelung der Grösse der Schwingung im Meridian und senkrecht darauf herbeiführen lassen; da indess die Aufsatzlibelle für die Collimatoren wenig fein ist, zog ich es vor, eine Libelle auf ein Niveau-Untersu- chungs-Instrument zu legen, um diejenigen Richtun- gen, in welchen die stärkste und gar keine Schwan- kungen stattfanden, aufzusuchen. Leider waren diese aber, bis ich damit zu Stande kam, so schwach ge- worden, dass der Versuch missglückte; das obige Re- sultat kann also nur als eine erste Näherung gelten. Schon früher hatte ich einmal eine Erfahrung gemacht, die ich nur durch solche Schwankungen des Erdbodens erklären kann. In der Nacht vom 22. auf den 23. September 1846 nämlich war die Kessels’sche Uhr jim Meridianzimmer, deren Pendel in der Richtung Ost-West schwingt, um 1”. 39” 59° stehen geblieben, ohne dass ich irgend einen andern plausiblen Grund dafür anzugeben wüsste. Das Zimmer war verschlos- sen gewesen, Niemand darin gewesen, die Uhr hatte bei 22^ 57”, zu welcher Zeit ich a Pegasi beobachtet hatte, ihren regelmässigen Gang beibehalten und zeigte, nachdem sie wieder in Gang gesetzt war, den- selben Gang; am 22. hatte ich die Grösse der Aus- schwingung nicht notirt, weil überhaupt der Wolken wegen nur 2 Fundamentalsterne beobachtet waren, aber am 20. hatte sie ihre regelmässige Ausschwin- gung gezeigt und zeigte dieselbe auch später wieder. Ihre Correction war + 2150, und es müssen also um 1° 40” 2050 Stzt. — 13” 34" 19:2 Mz. Bonn Erd- — schwingungen ihre Ausschwingung allmählich so ver- - hindert haben, dass sie zur genannten Zeit st id. Herr Wagner erwähnt noch andere Fälle, m de nen er geringere Schwankungen der Was iserwaage merkt hat. Auch mir sind d Sg fac könne: kreise: bei jederBeobachtung eines cl "zwischen den Fadenbeobach- 271 Bulletin de l’Académie tmpériate 272 tungen, und warte, nachdem die Libelle angehängt ist, immer über eine Minute, ehe ich ablese; aber es ist doch leicht môglich, dasi eine unvorsichtige An- näherung mit dem Körper und noch mehr mit der Ableselaterne eine Verziehung und in Folge dieser Schwankungen der Blase hervorrufen kann; selbst . eine strémende kalte Luft kann eine solche Erschei- nung hervorbringen, je nachdem sie auf den einen oder andern Theil des Niveaus wirkt. Ein anderer Grund können kleine Stáubchen sein, die sich zwischen die Zapfen und die Haken der Libelle gesetzt haben, und allmählich weggedrängt werden. Wo es sich um Bruch- theile der Seeunde handelt (meine Wasserwaage giebt 15337 für eine Linie an) darf man nicht hoffen, die Ursachen: solcher kleinen Unregelmässigkeiten in je- dem Falle zu ergründen. Bonn, den 9. April 1870. Observations des planétes à St.-Pétersbourg, par A. Sawitsch. (Lu le 21 avril 1870.) Ces observations ont été faites au moyen du cercle méridional qui est à l'Observatoire de St.-Pétersbourg, et elles se rapportent aux temps des passages des pla- | - nétes au méridien de cet observatoire. Les déclinai- sons de ces astres sont corrigées de la réfraction et de la parallaxe. Sous les titres Obs. — B. J. ou Obs. — N. A. sont données les différences entre les positions observées et les positions caleulées de la planéte à l'aide des éphémerides de Berlin (Supplément au Berl. Astr. Jahrbuch für-1871, p. 285) ou à l'aide du Nau- tical Almanac (anglais) pour l'an 1869. Vesta (opposition en 1869). Les étoiles de comparaison ont été: 8 de la Balance d'aprés le Nautieal Almanae pour l'an 1869; 16 du Scorpion d’après le «Greenwich twelfth year catalogue», 91333 1869. |Asc. dr. apparente. x | Déclinaison app. We Dei h s E, ” " Mai 1 15 4l "39, 21 + 1,00 — 8 40 11,8 — 6, 8 2 AT 7,52 + 1,10 38 6,1 — 4, 8 6 37 29°99 0, $0 40,054 — 5,7 11 32 42,67 |-+0,92 23 83,0 | —5,0 +0, at 39,4 | —8 T + 0,68 19 56,0 - | —3,5 | nOs | 818 554 | =, © : E | Y ince moyenne| + 0,90 | —6,02 | On a ainsi en terme moyen pour le 11 mai, 1869 à 12%4”19* du temps moyen à St-Pétersbourg: A m. 3 15 32. 42,65 Jis — 828 347 0 corrigées de Vase. droite.... l'aberration la déclinaison ES Neptune (opposition en 1869). Les étoiles de comparaison ont été s et v des Pois- sons d’après le Nautical Almanac pour l'an 1869. 1869. (Asc. dr. apparente. > = Déclinaison app. E h D Li " Sept.23 | 1 113588 |—339| 543 59,8 | 12,7 11 1020 | —333 49 58,3 |— 12,8 Oct. 2 10-27,78 - | — 8,65 38 20,1 | —13,5 EU 10 21,88 3,44 37 40,2 | —15,1 7 9 57,07 | —357 85 41 |-ı78 10 9 38,38 |—36 38 9,7 | —16,7 14 1.9 1976 3,40 + 5°80 429,5 | — 11,0 Différence moyenne| — 3,49 — 14,2 En terme moyen on a pour le 3 octobre, 1869, à 8^20"3]1* du temps moyen de St.-Pétersbourg: Vase. droite.... | 3 h m s corrigees de )... 1 10 21,88 la déclinaison.. Paberration |... + 5°87’ 41710 Bericht über die zweite un des Baer’- schen Preises. (Lu le 17 avril 1870.) Die Mitglieder der biologischen Section, denen die physiko-mathematische Klasse den Auftrag ertheilt hat, zur Beurtheilung der um Erlangung des Baer’- schen Preises concurrirenden Werke eine Commis- sion zu bilden, haben die Ehre folgenden Bericht abzustatten. Zum Concurse waren die vee Schriften einger eicht worden: 1. A. Böttcher. Über Entwickelung und Bau des Gehórlabyrinths nach Untersuchungen an Säuge- thieren. (Manuscript mit Tafeln.) A. Kowalewsky. Embryologische Studien über "Würmer und Arthropoden. (Manuser. mit Tafeln.) : 3. — Über die Entwickelung der Coelenteraten und über die frei lebenden Tunicaten. (Nachrichten der K. Gesellschaft der — und - Universi- tät zu Göttingen. 1868.) - 273 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 274 4. E. Metschnikoff. Heropis »w6pionaubnaro pasBnTia Sepiola. St. Petersburg 1867. . — Ucropia passaria Nebalia. St. Petersburg 1868. Or 6. —. Uber ein Larvenstadium von Euphausia. (Zeit- | schrift f. wiss. Zoologie.) 7. — Entwickelungsgeschichtliche Beiträge. (Bull. di l'Acad. de St.-Pétersbourg.) 8. — Embryologisches über Gyrodactylus. (Bull. de l'Acad. de St.-Pétersbourg.) 9. — Studien über die Entwickelung der Echinoder- men und Nemertinen. (Mém. de l'Acad. de St.- Pétersbourg. VIF Ser. Tome XIV, 8.) 10. — Über die Metamorphose einiger Seethiere. I. Über Tornaria. (Zeitschrift f. wiss. Zoologie.) II. Über Mitraria. (Mànuscript.) III. Über Acti- notrocha. (Manuscript.) . 11. — Embryologie des Scorpions. (Manuseript.) In Anbetracht der namhaften Zahl der vorgestellten Arbeiten, so wie ihres überaus speciellen Inhaltes, hat die Commission in dem Wunsche, möglichst gewissen- haft zu verfahren, sich bewogen gefühlt, mehrere der bedeutendsten Gelehrten um die Beurtheilung einiger der eingereichten Arbeiten zu ersuchen. Vor allem hielt sie es für nöthig, dem Ehrenmit- gliede der Akademie Hrn. Geheimrath K. E. v. Baer sämmtliche Concursschriften zur Begutachtung ein- zusenden. Ferner wurden das correspondirende Mit- glied der Akademie Hr. Prof. Kölliker in Würz- burg, der sich speciell mit dem Studium des Gehör- organs abgegeben hat, ersucht, die Beurtheilung des Böttcher’schen Werkes zu übernehmen, und Hr. Prof. Leuckart in Leipzig, welcher gleichfalls als corre- spondirendes Mitglied der Akademie angehört, um ein Gutachten über die Arbeit Kowalewsky’s gebeten. Die Beurtheilung der Arbeiten Metschnikoff’s end- lich übernahm ein Mitglied der Commission, Hr. Aka- demiker Owsjannikow. Bevor aber die Commission die von den genann- ten Gelehrten eingesandten Gutachten, so wie ihren - Beschluss in Bezug auf die Zuerkennung des Preises veröffentlicht, rechnet sie es sich noch zur angeneh- | men Pflicht an, einige russische Naturforscher, na- | mentlich die Herren Bobuchin, Borsenkoff, A.| sammentreffen mit Gleichberechtigten sein mag. senschaft in den letzten Jahren durch neue Untersu- chungen und Entdeckungen gefördert haben, aufzu- führen: Gutachten des Ehrenmitétiedes der Akademie Geheimraths v. Baer über die zu dem Daer schen Preise eingereichten Coneurs-Sehriften. Der Herr Akademiker Owsjannikow hat mir die zu dem Baer'schen Preise eingereichten Concurs- Schriften der Herren Kowalewsky und Metschni- kow mitgetheilt und gewünscht, dass ich mich über die Berechtigung derselben zur Erlangung des Prei- ses äussere, Ich darf wohl annehmen, dass dieser Schritt, wenn nicht im Auftrage, doch mit Genehmi- gung der urtheilenden Commission gethan ist, da schon wührend meiner Anwesenheit in St. Petersburg ein Mitglied dieser Commission mir erklárte, es würde seine Stimme nicht abgeben, wenn ich nicht vorher mein Sentiment ausgesprochen hätte. Bei dieser An- nahme also glaube ich, mein Gutachten unmittelbar an die ganze Commission richten zu können und zu müssen. Vor allen Dingen kann ich nicht umhin, in akade- mischem und in ächt patriotischem Sinne mich dar- über zu freuen, dass der Concurs ein so reicher ist, so wenig erfreulich auch den Concurrenten dies Zu- Der Concurs bewegt sich ganz im Felde der Entwickelungs- geschichte der Thiere, bringt aber aus diesem Felde reichliche und bedeutende Früchte, und alle diese Früchte sind dargebracht von Bürgern des Russischen Staates. Man darf wohl annehmen, dass die Stiftung. des Preises, zu dessen Erlangung diese Arbeiten ein- gereicht sind, mit dazu beigetragen habe, so ausdau- Stiftungen diner. Art sagen kann. Be son oe , lich ist auch, dass Kal de dm vene Brandt, Ganin, Golubew, Grimm, Jarshinsky, Sep rape Noch, » Stepanow und Wagner, welche die Wis- | schwerlich gewesen ‚sein ma 18 275 Bulletin de l'Académie Impériale 276 sie sich vollständig in die Reihen derjenigen Männer, welche als die Träger der Wissenschaft anerkannt und bei jeder neuen Forschung nothwendig berück- sichtigt werden müssen. Mit wahrer Freude habe ich erkannt, da ich einige der neuesten verwandten Ar- beiten vergleichen musste, dass die Namen Kowa- lewsky, Metschnikow, Ganin überall mit Achtung genannt werden. Sie fördern dadurch ohne Zweifel auch die Achtung ihrer Nationalität, wogegen der falsche Patriotismus, der die eigene Erhebung durch Herabsetzung fremder Nationalitäten sucht, nur das a erreicht. - Herrn Prof. Böttcher’s Untersuchungen «über die Entwickelung und den Bau des Ohr-Labyrinthes» be- treffen zwar nur ein einzelnes Organ und, wie man hinzusetzen muss, nur dessen Form im ‘Mansahen und in Skügeihieren, aber ein Organ, dessen Erkennt- niss gerade in dieser höchsten Form zu den schwie- rigsten gehört und sowohl wegen der Feinheit, Zart- heit und vielfach gewundenen Form des empfindenden Apparates, als wegen der Härte der umgebenden Kno- chenkapsel, nur der kunstfertigsten Behandlung sich aufschliesst. - vollständigeren Kenntniss dieses feingegliederten Ap- parates in seinem ausgebildeten Zustande die wichtig- sten Beiträge geliefert; jetzt giebt er uns eine sehr vollständige Geschichte seiner Entwickelung mit einer Vollständigkeit in den einzelnen Bildungsvorgängen, wie wir sie, so viel ich weiss, noch von keinem andern Organe besitzen. So ist, um nur Eines anzuführen, die Bildung der äussersten Gehörzellen aus vorhergegan- genen Cylinderzellen und diese wieder aus früheren Formationen nachgewiesen. Kleine Lücken, welche noch auszufüllen sind, weist der Verfasser — nach. Es ist aber nicht allein das Werden des inneren Ohres, sondern auch die genauere Bestimmuug der Einzel- heiten im ausgebildeten Organ das Ziel der — rigen Arbeiten des Verfassers. Aber auch die Arbeiten des Herrn Professor Ko- walewsky scheinen mir von grosser Bedeutung und Wichtigkeit. Ich abstrahire dabei ganz von den bei- = den Aufsitzen, die im Jalirgang 1868 der Nachrichten S der gelehrten Gesellschaft zu Göttingen erschienen sind. Auch diese zeugen von genauer und vielfacher chtung, allein ich muss gestehen, dass sie mir bei dem — Mangel aller AbbiMüngón etwas. un- Seit Jahren hat Prof. Bóttcher zur verständlich geblieben sind. Auch ist nicht zu zwei- feln, dass dieselben Untersuchungen noch einmal aus- führlicher und mit Abbildungen werden bearbeitet werden. Allein die im Manuscript eingereichten «Un- tersuchungen über die Entwickelung der Würmer und Arthropoden» sind durch ihre sehr sorgfältige und umsichtige Durchführung gewiss schon eines vol- len Preises würdig. Ich stimme nicht nur dem com- petenten Urtheile des Herrn Prof. Leuckart vollstán- dig bei, sondern kénnte noch hinzufügen, dass eine ganz neuerlieli erschienene Arbeit über die Entwicke- lung der Arthropoden an Vollständigkeit und Prácision der Beobachtungen sehr zurücksteht und dadurch die Vorzüglichkeit der Kowalewsky'schen Untersuchun- gen in die Augen springend macht. Ein Hauptergeb- niss dieser Untersuchungen von Herrn Kowalewsky ist der Nachweis, dass der Stoff zur Bildung des so- genannten Bauchmarkes oder gegliederten Nerven- stranges der gegliederten Thiere aus der äusseren oder Hautschicht stammt. Dieses wichtige Ergebniss ist bereits von Herrn Metséhnikow anerkannt, der seine frühere entgegenstehende Ansicht zurücknimmt. Was endlich die von. Herrn Dr. Metschnikow eingereichten Schriften anlangt, die dieses Mal man- nigfacher sind als die von Hrn. Prof. Kowalewsky, so kann ich nicht umhin, auch diese für wichtig und preiswürdig zu. erklüren. Seine Studien über die Ent- wickelung der Echinodermen und Nemertinen geben scht wesentliche Ergänzungen und Berichtigungen zu den Beobachtungen von Joh. Müller, Krohn, A. Agassiz über die merkwürdige und mannigfache me. dungsgeschichte der Echinodermen, so wie die neuern Untersuchungen über die Nemertinen. In: dem Ab- schnitte dieser Arbeit, welcher « Rückblick und Ver- gleich» überschrieben ist, stellt der Verfasser nicht nur die gewonnenen SE mit grosser Klarheit zusammen, sondern er zeigt auch, mit welcher Sicher- heit er das ganze Gebiet der mannigfachen Bildungen. der wirbellosen Thiere übersieht und die Verwandt- schaften abzuschätzen weiss. — Von der mit Herrn Claparède gemeinschaftlich herausgegebenen Arbeit ` «Beiträge zur Entwickelungsgeschichte der Chaetopo- den» sind die Antheile des Herrn Metschnikow, die er uns bezeichnet hat, jedenfalls nicht die unbedeuten- deren. Das sehr unerwartete Aufünden von Spermato- phoren bei Anneliden scheint mir von Wichtigkeit, da 257 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 278 es zeigt, dass diese bei den Cephalopoden seit mehr als zwei Jahrhunderten bekannten Vorrichtungen, die man nicht unpassend mit Maschinen verglichen hat, keinem bestimmten Organisations-Typus angehôren, sondern als eine Art Aushiilfe erscheinen, wo eine solche nothwendig wird. Unter den übrigen zahlreichen Aufsiitzen, welche sämmtlich mit lichtvoller Klarheit abgefasst sind, hat mich der kleine Bericht über die Untersuchung der Fortpflanzungsart von Gyrodactylen besonders ange- zogen, weil er mir die Hoffnung erregt hat, das All- gemeine im Vermehrungs- Mechanismus derjenigen Organismen, die unaufhörlich neue Individuen aus- sprossen lassen, auffinden zu können, Doch ist das vorläufig bei mir nur eine Anforderung an künftige Untersuchungen. Ich erwähne dieser Anforderung oder Aufgabe hier nur, weil ich in später einzurei- chenden Propositionen für Modificationen in der Ver- waltung des Baer’schen Preises darauf mich berufen werde. Mir scheint nach dem Gesagten, dass die Akademie und vorher also die biologische Section am besten thun würde, die Arbeiten aller drei Concurrenten des | vollen Preises würdig zu erklüren und also die ver- fügbare Summe allen drei Bewerbern zu gleichen Thei- len auszuzahleu. Wie ich hóre ist dieselbe Ansicht bei einem oder einigen Mitgliedern der Commission schon vorhanden: Ich glaube aber meinem jetzigen Vor- schlage noch mehr Gewicht zu geben, wenn ich be- ` kenne, dass ich vorläufig dieser Ansicht ganz entgegen war. Mir schien die Arbeit des Hrn. Prof. Dóttcher so sehr den Character einer gediegenen Vollendung zu haben, dass ich meinte, die Arbeiten der jüngeren Forscher müssten zurückstehen. Nachdem ich diese letzteren, so viel mir möglich war, studirt hatte, scheint es mir jetzt, dass, so viel Gewicht die Béttcher’sche Arbeit als eine abschliessende hat, die andern ein nicht geringeres Gewicht als xufschiressendé fiir künftige Untersuchungen haben. Die grösste anato- | mische Technik dürfte wohl das Werk von Professor Böttcher erfordert haben. Dagegen dürften er an- deren reichlichere ec hervorr ufen. popi, den 31. Januar 1870. Dr. K. E E Baer. Gutachten des correspondirenden Mitgliedes der Kaiserl. Akademie der Wissenschaften in St. Petersburg, Prof. A. Kölliker in Würzburg, über ein von Prof. Dr. Arthur : Böttcher in Dorpat der Akademie eingereichtes Werk (Manuscript), betitelt: „Über Entwickelung und Bau des Gehörlabyrinthes nach Untersuchungen an Sáugethieren*. Gegen die Mitte December des Jahres 1869 wurde mir durch Hrn. Prof. Owsjannikow im Namen der biologischen Section der physico - mathematischen Klasse der Kaiserl. Akademie der Wissenschaften in St. Petersburg der ehrenvolle Auftrag, über das oben bezeichnete Werk des Prof. A. Böttcher, welches zur Erlangung des v. Baer’schen Preises iac Kaiserl. Akademie eingereicht worden war, einen kurzen Be- richt zu erstatten, und komme ich hiermit diesem Auf- trage um so lieber nach, als ich seit einer Reihe von | Jahren mit dem vom Prof. Böttcher behandelten Objecte selbst mich vielfältig beschäftigt habe und im Stande zu sein glaube, ein unbefangenes und zugleich begründetes Urtheil über die fragliche Arbeit abzu- geben. Vor Allem erlaube ich mir nun nach, einer sorg- fältigen Prüfung der Arbeit von Prof. Böttcher die allgemeine Bemerkung, dass dieselbe nach allen Sei- ten so ausgezeichnet und hervorragend ist, dass es mir als ganz unmöglich erscheint, derselben den Preis nicht zuzuertheilen, möge auch neben derselben als | Concurrenzschrift vorliegen, was da wolle. Aus älterer und neuerer Zeit ist mir keine monographische Arbeit aus dem Gebiete der feineren und mikroskopischen Anatomie bekannt, welche ich über die Leistungen von Böttcher stellen könnte, und reiht sich dieselbe unstreitig den besten unter denselben, wie z. B. den | Arbeiten von Heinr. Müller und Max Schultze über : die Retina, ganz ebenbürtig an, um so mehr, , wenn 2 edenkt, dass die Untersuchung der Schnecke man b mit ganz andern äusseren technischen zu SE hat, als die eines jede * - Bulletin de l'Académie Impériale 280 Labyrinthes; Böttcher zuerst hat eine vollständige Reihe von 14 Schafembryonen von 0,9 Cm. Länge an bis zu solchen von 10 und 12 Cm. auf die Entwicke- lung des Labyrinthes untersucht und allem Detail der Ausbildung der inneren Theile die gleiche Aufmerk- samkeit zugewendet; ausserdem sind aber auch von demselben die Embryonen mancher anderen Säuger, wie besonders des Hundes, der Katze, des Rindes, in den verschiedensten Stadien des embryonalen Lebens, dann zur Zeit der Geburt und auch aus den nach- embryonalen Zeiten bis zur vollständigen Ausbildung der Organe in den Kreis der Untersuchung hineinge- zogen worden, und ist es demselben:so möglich ge- worden, ein sehr vollständiges und gelungenes Bild der allmählichen Bildung des so.schwierigen Organes zu geben, welches um so werthvoller geworden ist, als die klaren Darstellungen des Verfassers auch in zahl- reichen Gróssenangaben und durch viele treffliche bildliche Ausführungen eine erwünschte = gefunden haben. Alle Einzelnheiten namhaft zu machen, mit Bezug auf welche die Arbeit Béttcher’s Neues und die Wissenschaft Förderndes giebt, würde die Grenzen eines solchen Berichtes bei Weitem überschreiten, und beschränke ich mich daher auf den allgemeinen Satz, dass ich mit Bezug auf die einzelnen Entwickelungs- vorgänge des ganzen Labyrinthes sowohl, als auch mit Hinsicht auf den Bau und die Bildung der innern Theile der Schnecke überall wichtige Ergänzungen, weitere Ausführungen des Bekannten, überall aber auch wesentlich Neues gefunden und dass auch für mich, der ich mit diesen Theilen ziemlich befriedigend bekannt zu sein glaubte, das Studium der Schrift von | Böttcher eine wahre Überraschung und Freude war, die sich bei jedem Schritte steigerte. Von den wichtigen Entdeckungen Böttcher’s glaube ich nun aber doch folgende noch besonders namhaft machen zu müssen: 1.. Den Nachweis der Persistenz des Recessus laby- rinthi, der Verbindung desselben mit dem Sacculus und Utriculus und somit auch einer bleibenden Ver- bindung der Vorhofssäckchen unter einander. | E Die genaue Verfolgung der Entwickeluug des Ner- : vus acusticus und seiner Ganglien. ie ‚Untersuchungen über die Entwickelung des Canalis cochlearis, des Schneckengehäuses und vor Allem die Lagerung des Kuppelblindsackes und das Verhalten der Treppen in der Kuppel der Schnecke. Die Nachweise über die Entwickelung der einzel- nen Theile des acustischen Endapparates in der Schnecke. Die genaue Bestimmung des Verhaltens der Endi- gungen des Nervus cochleae zu den inneren und der ersten Reihe der äusseren Hörzellen, so dass nun das Räthsel der Endigung des Schneckennerven wenigstens einem guten Theile nach als aufgeklärt betrachtet werden darf. Den Nachweis besonderer Betukiuiverkiltuiäse an der äusseren Wand des Canalis. cochlearis, vor Allem der eigenthümlichen, Fortsätze in die Tiefe sendenden Epithelzellen. 4. 5. Wenn ich nun zum Schlusse mir erlaube, noch auf einige zweifelhafte und vielleicht nicht ganz erledigte Fragen aufmerksam zu machen, so soll damit keines- wegs irgend ein Tadel gegen die Arbeit von Prof. Böttcher ausgesprochen sein, indem es ja selbstver- ständlich erscheint, dass Niemand im Stande ist, ein so schwieriges Thema, wie die feinere Anatomie der Schnecke es ist, ganz und nach allen Seiten zu be- meistern; vielmehr geschieht dies nur, um gerade diesen ausgezeichneten Forscher, der a so tief in dieses Gebiet eingedrungen ist, auf einige Punkte zu lenken, die noch einer weiteren Prüfung zu bedürfen scheinen, Zuerst möchte ich Prof. Böttcher’s Augenmerk auf die inneren und äusseren mit einem Stäbchenbe- satz versehenen Hörzellen, meine « Haarzellen», lenken und mir die Frage erlauben, ob nicht vielleicht doch > | der Stübehenbesatz derselben eine normale Bildung ist. Wenigstens spricht die Analogie mit dem Vesti- ` bulum und mit den niederen Wirbelthieren für eine solche Auffassung und gestehe ich ferner, die fragli- chen Stäbchen in einer solchen Regelmässigkeit gese- hen zu haben, dass mir die Annahme, dass dieselben nur von Verbindungen der Cortt schen Membran mit den betreffenden Hörzellen herrühren, noch nicht hin- reichend gesichert erscheint. Zweitens scheinen mir immer noch weitere Unter- suchungen über die Endigungen des Nervus cochleae vonnöthen zu sein. Einmal zeichnet Böttcher selbst 281 des Sciences de Saint-Pétersbourg. in seinen Figg. 28 und 29 Verhältnisse, in Betreff welcher ich in seiner Arbeit keine bestimmte Aufklä- rung gefunden habe, nämlich nach innen von der «inneren Hörzelle a» gelegene Spindelzellen, mit denen Enden des Nervus cochleae in Verbindung stehen und die den «unteren inneren Hörzellen» in der ganzen Beschaffenheit gleichen. Ferner fand ich bei Böttcher keine Aufklärung über die longitudinalen (Köll.) Fa- serzüge unter dem Corti'schen Organe, die von Dei- ters und mir auf die Nervenenden bezogen worden sind. Ich bin nun freilich nicht gemeint, mit Bestimmt- heit behaupten zu wollen, dass diesg Züge in der That nervös sind, indessen werden fernere Beobachter die- selben doch zu würdigen haben, und wird die Lehre von den wirklichen Endigungen des N. cochleae erst dann als ganz abgeschlossen betrachtet werden kön- nen, wenn auch für diese sicherlich vorhandenen Züge eine bestimmte Deutung möglich geworden sein wird. Drittens endlich verdienen auf jeden Fall das Ende der Corti'schen Membran, dann die Erstreckung der Membrana reticularis nach aussen und die von Bött- cher beschriebenen eigenthümlichen Epithelzellen der äusseren Schneckenkanalwand, die vermuthungsweise als muskulös bezeichnet werden, noch eine weitere Prüfung. - Mit Bezug auf manche andere Punkte, in denen Bóttcher von mir dissentirí, kann ich schon jetzt meine Zustimmunt erklären und darf ich offen sagen, dass es mich sehr gefreut hat, dass das so schwierige. Organ an Böttcher einen so ruhigen, unpartheiischen, umsichtigen und glücklichen Bearbeiter gefunden hat. Alles zusammengenommen, erkläre ich somit noch einmal die Arbeit des Prof. A. Bóttcher als eine ganz ausgezeichnete und des Baer'schen Preises im hóchsten Grade würdige. : Meese den 11. Januar 1870. Dr. Albert Kolliker- ` Gutachten des rn A Mitgliedes dar Kaiserl. Akademie Prof. Leuckart über eine Arbeit von Prof. - Kowalewsky, betitelt: , Embryologische Studien über Würmer und Arthropoden* (Manuser.). Die von Seiten der Kaiser), Russ. Akademie der Wissenschaften in St. Petersburg mir zur Beurthei übergebenen «Embryologischen Studien über Würmer | mögen se die Ei den allgemeinen. P und Arthropoden» von Kowale wsky (193 S. Manuser. mit Atlas von 17 Taf. in Fol.) behandeln ein Thema, | welches schon von verschiedenen Seiten mit Geschick und Erfolg zum Gegenstande eingehender Untersu- chungen gemacht worden ist. Aber so viele und treff- liche Arbeiten darüber bis jetzt auch vorliegen, so hat doch keine derselben die Entwickelung der hier in Be- tracht kommenden Thiere mit gleicher Vollständigkeit dargestellt und dem wissenschaftlichen Verständniss erschlossen. Durch glückliche Anwendung der soge- nannten Schnittmethode ist es dem Verfasser gelun- gen, nicht bloss unsere Erfahrungen über mancherlei bisher nur unvollkommen bekannte Thatsachen zu er- weitern und zu berichtigen, sondern auch einen Ein- blick in den histologischen Zusammenhang der einzel- nen Entwickelungsvorgänge zu gewinnen, der unsere Kenntnisse von der Entwickelungsgeschichte der Wir- bellosen auf dieselbe Stufe erhebt, welcher wir seit Remack’s Forschungen über die Entwickelungsge- schichte der Wirbelthiere in Betreff der letzteren uns berühmen können. Als das wichtigste Resultat der vorliegenden Unter- suchungen dürfte wohl der Nachweis zu betrachten sein, dass sich der Körper der Wirbellosen, zunächst der Oligochaeten und Arthropoden, wie derjenige der Wirbelthiere, aus drei Blättern aufbaut, die, wenn sie auch im Einzelnen mancherlei Besonderheiten darbie- ten, doch im Grossen und Ganzen sich den drei Keim- blättern des Hühnchens (Hautblatt, Muskelblatt, Drü- senblatt) vergleichen lassen. Die Analogie geht so weit, dass das centrale Nervensystem auch bei den Wirbel- losen von dem Hautblatt abstammt und die Bildung der Darmfaserschicht eben so an das Muskelblatt an- knüpft. Wenn Verf. trotzdem geneigt ist, das Muskel- drüsenblatt der Arthropoden als ein Gebilde sui gene- ris zu betrachten und das von ihm bei Hydrop : unter dem Namen Rückenrohr beschriebene dige provisorische Organ als wahrscheinlie Bon des Wirbeltbierdarmes in pudo ` e verschiedenen Bildungsty ypen Pu sich i im Laufe der Zeit als verfehlt erweisen, t "seiner positiven Angaben durch Bulletin de l'Académie Impériale spätere Beobachter in dieser oder jener Hinsicht mo- dificirt werden"), — unter allen Umständen wird die vorliegende Arbeit wegen der Fülle der darin enthal- tenen neuen und wichtigen Thatsachen und Gesichts- punkte als einé wirkliche Bereicherung unserer Wis- senschaft zu betrachten sein. Ref. steht deshalb auch keinen Augenblick an, sie des Baer’schen Preises fir würdig zu erachten, glaubt aber (unter Bezug- nahme auf die grammatikalisch, wie stilistisch viel- fach unrichtige, resp. undeutsche Schreibweise) dabei die Bemerkung nicht unterdrücken zu dürfen, dass Verf. seine Abhandlung vor der Drucklegung einer sorgfältigen redactionellen Überarbeitung unterziehen müsse. Leipzig, den 8. Januar 1870: Dr. Rud. Leuckart. i tg | Gutachten des Akademikers Dr. Owsjannikow über die von Dr. Metschnikow eingereichten Arbeiten. - Die zahlreichen von Dr. Metschnikow eingereich- ten Schriften, deren Aufzählung sich weiter oben fin- det, haben zwar alle die Wissenschaft mit neuen That- sachen bereichert, dennoch wollen wir uns hier auf die Besprechung nur einiger derselben beschränken, und namentlich solcher, welche unserer Ansicht nach be- sonders berücksichtigt zu werden verdienen. Verweilen wir zunächst bei der Abhandlung über die Entwickelungsgeschichte der Echinodermen und Nemertinen, in welcher Dr. Metschnikow die Meta- morphosen der Auricularien, einer Amphiura (A. squa- mata), der Ophiuriden, Asteriden und Echiniden, so wie die Entwickelungsgeschichte einiger Nemertinen behandelt, und welcher er 12 Tafeln mit einer be- trächtlichen Anzahl von Abbildungen beigelegt hat, um durch dieselben die allmähliche Entwickelung und namentlich die Metamorphose einiger mehr compli- cirten Formen zu veranschaulichen. Auf den ersten Blick scheinen die Untersuchungen unvollständig zu sein, da der Verfasser uns nicht alle Entwickelungsstadien der genannten Thiere vortührt, | ‚1) So weit Ref. das von unserem Verf. behandelte deis mn ungs - material aus eigener Anschauung kennt (Lumbricus, as sieht er sich i in der Lage, = brape desselben vielfach bis in’s Einzelne . Er glaubt desshalb denn auch, den Angaben des Verfassers i im eum einen hohen Grad von Glaubwürdig- keit vii “ae dürfen kow hatte sich speciell die Aufgabe gestellt, den. sondern nur die Entwickelung der ganz jungen Formen, welche er mit dem M üller'schen Netze gefangen, un- tersucht; zieht man jedoch in Betracht, dass durch die Arbeiten von J. Müller, A. Agassiz, Sars und An- deren für die Entwickelungsgeschichte der Echino- dermen schon sehr viel geschehen ist, so erscheint ein soleher Vorwurf unbegründet, denn Dr. Metschni- die Lücken in den Arbeiten seiner Vorgünger auszufüllen. Da es bereits bekannt war, dass die inneren Organe (der Verdauungsapparat und die Anlage des Wasser- gefüsssystems) einiger Echinodermen und Nemertinen bei der Umwandlung unmittelbar in die gleichnami- gen Organe des definitiven Thieres übergehen, wüh- rend die Kórperbedeckungen bedeutenderen Metamor- phosen unterworfen sind, so blieb noch übrig, die Frage zu entscheiden, in weicher Weise sich die ver- schiedenartigen und éotiplicieten äusseren Theile bil- Um zu zeigen, wie schwierig derartige Unter- suchungen sind, wollen wir nur anführen, dass J. Miller, einer der genialsten Gelehrten seiner Zeit, der sich. speciell mit dem hier in Betracht kommenden Gegenstande beschäftigt hat, der Ansicht war, dass | dié Haut des definitiven Thieres sich aus dem Magen der Larve bilde, eine Ansicht, die, wie zweifelsohne Jeder zugeben wird, weder durch die Echinodermen, noch überhaupt durch irgend ein embryologisches Factum bestätigt wird. Dasselbe *gilt auch von der Ansicht A. Agassiz’s, nach welcher sich die Haut aus der Wassergefässsystemsanlage bilden soll, denn auch sie hat sich, wie wir aus der Abbas ur tschnikow’s e nicht bestätigt. Ohne dem Verfasser Schritt für Schritt zu folgen, ‘wollen wir unsere Aufmerksamkeit den Resultaten zuwenden, welche er aus einer ganzen Reihe von ihm angestellter Untersuchungen genommen. Ausser eini- gen Eigenthümlichkeiten, die in der Entwickelung der | Echinodermen einerseits und der Nemertinen anderer- seits vorkommen, fehlt es doch auch nicht an Ent- Niekelungsmomenten, welche beiden genannten Ord- nungen gemeinschaftlich zukommen. So verschieden die Beziehungen der Larve zur definitiven Thierform auch sein mögen, so geht, wie Metschnikow’s Un- tersuchungen zeigen, die Haut der ersteren doch stets direkt oder indirekt in die äusseren Bedeckungen des definitiven Thieres über, und es ist dem Verfasser 295 des Sciences de Saint- Pétersbourz. kein Fall vorgekommen, wo die Haut des Thieres sich aus irgend einem anderen Organe der Larve gebildet | | hátte. Er stellt es daher auch als Regel auf, dass, wenn die Hautanlage des definitiven Thieres in unmit- telbarem Zusammenhange mit der Larvenhaut bleibt, diese letztere auch stets direkten Antheil an der Bil- dung der definitiven Kórperbedeckung nimmt; wenn dagegen die Hautanlage des definitiven Thieres sich von der Larvenhaut abtrennt, so geschieht dieses nur durch das Dazwischenkommen einer amnionartigen Hülle, wobei dann wenigstens ein Theil der Larven- haut nicht in die definitive Körperbedeckung aufge- nommen wird. Beim Übergange der Larventheile in das definitive Thier zeigt sich nach den Untersuchungen des Herrn Metschnikow eine grosse Mannichfaltigkeit, denn während einige Formen, wie z. B. Auricularia und Bipinnaria, in ihrer Gesammtmasse in die definitive Form übergehen, erleiden die Nemertinen sehr we- sentliche Veränderungen, indem bei ihnen nur der Verdauungsapparat in das vollkommen ausgebildete Thier hinübergenommen wird. Derartige radicale Ver- wandelungen der Larve haben den Verfasser auf den Gedanken gebracht, dass zwischen Metamorphose und Fortpflanzung gewisser Thiere keine sicheren Grenzen existiren, und zwar sieht er die radicalen Metamor- phosen für Erscheinungen an, welche dem Genera- tionswechsel verwandt sind. Diese beiden Erschei- nungen mit einander vergleichend, lenkt der Verfasser unsere Aufmerksamkeit auf die Cestoden, unter denen man solche findet, bei welchen die aus dem Embryo hervorgehende Larve in ihrem Innern nur einen Sco- lex erzeugt. Zwischen der Entwickelung dieser Ce- stoden und der Entstehung der Nemertinen im Pili- dium existirt allerdings einige Übereinstimmung, jedoch selbstverständlich mit dem Unterschiede, dass die Ce- stoden keinen Verdauungsapparat besitzen. Aber der b Verfasser führt ein Beispiel von Generationswechsel | auf, welches eher für eine partielle Metamorphose an- gesehen werden kann, denn unter Generationswechsel versteht man stets eine Vermehrungsart, welche genau genommen bei den Nemertinen nicht vorkommt, deren Larven nur eine bestimmte Metamorphose erleiden. Nach unserer Ansicht kann nur da von Generations - wechsel die Rede sein, wo eine wirkliche Vermehrung, | d. h. eine Production mehrerer Thiere, stattfindet und daher glauben wir, dass bei den Nemertiuen wohl eine Metamorphose, aber Mp ein Geuerationswechsel vorkommt. Nachdem der Verfasser auf die Ähnlichkeit der ` Echinodermen und Nemertinen hingewiesen hat, be- müht er sich zugleich, die Unterschiede oder die Ana- logien in der Entwickelung der Echinodermen ausein- anderzusetzen, sieht aber dabei von den Analogien in der äusseren Form und in der Ausbildung der longi- tudinalen Wimperschnur ab, weil letztere bereits von J. Müller sehr ausführlich behandelt worden ist; eben so erwühnt er auch der Bildung der Darmhóh- lung durch Einstülpung des äusseren Blattes nach innen, die, wie Krohn und A. Agassiz gezeigt ha- ben, allen Echinodermen eigen ist, nur ganz beilüufig, macht dagegen auf die Differenzen in einigen anderen sehr wesentlichen Theilen aufmerksam. So z. B. ist es ihm gelungen, nachzuweisen, dass das Verhalten des Oesophagus zur Wassergefässsystemsanlage nicht bei allen Echinodermen dasselbe ist; wührend bei Auricularia, Amphiura squamata und einigen Ophiu- riden die Anlage des Wassergefüsssystems ringfórmig wird und den Oesophagus umwüchst, zeigt sie bei den Asteriden und Echiniden gar keine Beziehungen zum Larven-Oesophagus, sondern nimmt hier anfänglich die Form einer Rosette an und wird erst spüter vom neugebildeten Oesophagus durchbohrt. Diese Ver- schiedenheiten in der Entwickelung des centralen Wassergefässsystems bei einander doch so nahe ver- wandten Typen ist hóchst bemerkenswerth und steht einerseits mit dem Übergange des Larven-Oesophagus in das. gleichnamige Organ des definitiven Thieres, andererseits mit dem Verschwinden und Ersetztwer- den desselben durch ein neues Organ im Zusammen- dene, Auf die Differenzen i in der Entwickelung man- Von ganz besonderem: Intereise: _ ibildu: der bilateralen Echinodermenlarve in die radiäre t unterliegt es keinem Zweifel, eig alle Echinod symmetrischen Hälften - werden müssen, jedoch wollen‘ wir uns auf diese Frage, die Hee vor mehreren Jahren von Leuckart Bulletin de l'Académie Impériale erlàutert worden ist, nicht weiter einlassen, und hier nur einige allgemeine Bemerkungen unseres V erfassers anführen. Schon in einer sehr frühen Entwickelungs- periode verändert das Wassergefässsystem seine Form und bildet somit den Ausgangspunkt für die weitere Umwandlung des Thieres. Anfangs erscheint es fast immer als paariges Organ, und wenn es auch in ein- zelnen Fällen, wie z. B. bei Auricularia, nicht voll- kommen paarig ist, so giebt es doch wenigstens einem paarigen Organe, den lateralen Scheiben, den Ur- sprung. So wie nun die eine Anlage des Wasserge- füsssystems, mége sie paarig und symmetrisch sein oder nicht, sich vergrôssert, so beginnt die allmäh- liche Umwandlung der bilateralen Larve in die ra- däre Form. Bei verstärktem Wachsen der einen Seite (bei den Echinodermen gewóhnlich der linken) erhält | diese Seite sehr bald ein bedeutendes Übergewicht über die andere, wobei natürlich die Symmetrie des Thierkórpers. gestórt wird. Bei einzelnen Thieren bleibt diese Asymmetrie, d. h. das Überwiegen der einen. Kórperseite über dig andere, zeitlebens beste- hen, wie z. B. bei den Gastropoden, bei den Echini- den dagegen findet solches nicht statt, da bei ihnen die linke Seite, die mehr und mehr die radiäre Form annimmt, die rechte vollständig verdrängt. à Über die systematische Stellung der Echinodermen, so wie über ihre Verwandtschaftsverhältnisse zu den einfachsten Formen der Holothurien und Würmer geht der Verfasser kurz hinweg, weil die Entwickelungs- geschichte dieser Thiere verhältnissmässig noch wenig bearbeitet ist und daher die Möglichkeit fehlt, zu irgend einem positiven Resultat zu gelangen. Mit dieser Ansicht muss man sich selbstverständlich we : lieh in der Entwickelungsgeschichte derselben man- verstanden erklären, denn die. Entscheidung dieser hóchst interessanten "Bega wird erst dann möglich sein, wenn die zahlreichen Lücken, die gegenwärtig Thiere vorhanden me d, ausgefüllt sein werden. Für jeden denkenden Menschen, der sich nicht. mit . der blossen Aufzählung nackter Thatsachen, so gross ihre Zahl auch sein möge, begnügt, sondern bemüht | ein wurmförmiges Geschöpf mit inneren Kiemen und ist, in der Embryologie die Gesetze, d. h. das Band, welches die einzelnen Erscheinungen zu einem Gan- zen verknüpft, aufzusuchen, wird es von grossem In- esse ‚sein, die ersten, vom Verfasser vorgeführten ichte der oben e | Entwickelungsstadien durchzugehen und sich mit den von ihm ausgesprochenen Ideen bekannt zu machen. Bei den Nemertinen treten nämlich zwei embryo- nale Blätter auf, deren weitere Entwickelung grosse Analogien mit den gleichen Vorgängen bei den höhe- ren Thieren. darbietet, indem das äussere hornige Blatt sich in das äussere Flimmerepithel und in das Centralnervensystem umwandelt, während aus dem inneren Blatte die Muskeln und vielleicht auch die Gefässe entstehen. Ausserdem müssen wir noch er- wähnen, dass bei den Embryonen von Amphiura und bei Nemertes sich nach der Theilung des Dotters die sogenannte Segmentationshöhle-bildet, in welcher sich ‚später die Verdauungswerkzeuge und die zu ihnen gehörigen Organe entwickeln. Am Schlusse seiner Abhandlung hat Dr. M etsch- nikow es nicht unterlassen, die systematische Stellung der Echinodermen und ihre Verwandtschaften mit den Würmern zu erläutern, zwei gewiss sehr interessante Fragen, welche in neuester Zeit von vielen Gelehr- ten, namentlich von Semper, angeregt worden sind. Manche behaupten nämlich, dass die Echinodermen in eine Klasse mit den ere gestellt werden könnten und betrachten die Gephyreen als das ver- bindende Glied zwischen Würmern und Echinoder- men, sehen ferner in den Sipunculiden den Übergang zu den fusslosen Holothurien, da sowohl bei diesen. als auch bei jenen die Tentakeln eine sternförmige Anordnung zeigen, und finden endlich auch in dem Nervensystem Analogien. Die. Untersuchungen des Herrn Metschnikow lehren, dass der Nachweis für die Analogien zwischen den genannten Thieren schwer durchzuführen ist, da in der Organisation und nament- cherlei Besonderheiten vorkommen, die entweder aus- schliesslich der einen, oder der anderen dira eigenthümlich me i 1:5 1 Lien ST NL ng verdient schliesslich : ere die : an _ Tornaria ns Beobachtung: diese t| Larve ist einer Echinodermenlarve sehr ähnlich, ver- wandelt sich aber. bei der weiteren Entwickelung in erinnert s , dass sie aller Wahr- | scheinlichkeit nach als Larve dieses letzteren aufge- fasst werden muss. . Die zweite Arbeit des m ee, welche des Sciences de Saint-Pétersbourg. unserer -Ansicht nach ganz besondere Berücksichti- gung verdient, behandelt die Entwickelungsgeschichte der Sepiola. Die Cephalopoden bieten bekanntlich in ihrer Or- ganisation so viel Interessantes dar, dass eine einge- hende Bearbeitung ihrer Entwickeungepeschichle im höchsten Grade wünschenswerth erscheint. Unter den früheren Arbeiten, welche die Embryologie der Ce- phalopoden zum Gegenstande haben, nimmt diejenige Kölliker’s, der die Entwickelung von Loligo, Ar- gonauta und Tremoctopus verfolgt hat, ohne Zweifel den ersten Rang ein, während die Untersuchungen Van Beneden’s und Delle Chiaje’s, welche sich auf Sepiola beziehen, leider nur fragmentarisch und oberflächlich sind. Obgleich nun die Abhandlung Kölliker’s, wie schon bemerkt, eine ganz vorziig- liche ist und viele interessanten Thatsachen enthilt, so ist sie doch nicht ohne Lücken und entspricht auch den Forderungen der neuesten Embryologie nicht mehr vollkommen. Die Eier der Sepiola, an denen Herr Metschni- kow die Micropyle entdeckt hat, sind vollständig durchsichtig, setzen ihre Entwickelung im Zimmer leicht fort, und kann daher ein und dasselbe Ei in seinen verschiedenen Entwickelungsstadien beobach- tet werden. Eine der wichtigsten und interessantesten Erscheinungen, die Herr Metschnikow in der Ent- wickelung der Sepiola beobachtet hat, besteht darin, dass die erste Anlage in zwei Blätter zerfällt, welche den Dotter vollständig umwachsen. Bei der Entwicke- lung dieses Thieres treten vor allen anderen Organen die Anlagen der Augen, des Mantels und darauf des vorderen Theiles des Darmkanals auf, später bilden sich die Gehörorgane, die Kiemen und zwei Fusspaare, und endlich erscheint der Trichter, der Analhöcker, das Centralnervensystem und die Anlage der Circu- lationsorgane. Aus dem äusseren der beiden oben erwähnen Blät- ter entstehen nach Angabe des Verfassers die Haut, die Knorpel, alle Sinnesorgane, fast der ganze Darm- kanal, die Speicheldrüsen, die Leber und der Tinten- beutel, aus dem inneren dagegen bilden sich die Mus- keln, alle Theile des Nervensystems, der Schlund und das Gefässsystem. Bei der Entwickelung der Organe fand der Verfas- ser ganz allgemein, dass der grösste Theil derselben, ! Tome XV. der aus dem oberen Blatte hervorgeht, durch Ein- stülpung nach innen entsteht, wührend alle Organe des unteren Blattes sich aus dichten Zellenhaufen bilden, in denen später Hohlräume entstehen. Wenn diese Thatsachen richtig sind, was wohl kaum einem Zweifel unterliegt, so verdienen sie bei ihrer Wichtigkeit die vollste Anerkennung. Deshalb haben wir ihrer auch in erster Reihe erwähnt und manche andere, gleichfalls werthvolle Untersuchun- gen über die specielle Entwickelung dieser oder je- ner Organe bei Seite gelassen, und heben nur noch hervor, dass die Untersuchungen des Herrn Metsch- nikow ein vollständig neues Licht über die Entwicke- lung des Gehórorgans, des Auges, des Darmkanals und der Circulationsorgane verbreiten. Wie hoch wir auch die Arbeit des Herrn Verfassers stellen, so kónnen wir doch nicht umhin, in Betreff derselben einige Wünsche auszusprechen. Die Ent- wickelungsgeschichte der Sepiola gäbe uns ein noch anschaulicheres Bild von den embryonalen Vorgängen bei diesem Thiere und die Untersuchungen hätten einen noch grósseren Werth, wenn der Abhandlung einige Abbildungen beigelegt würen und wenn der Verfasser ein grüsseres Gewicht auf die histologische Entwickelung der Gewebe gelegt hätte. Endlich hätte die Untersuchung ein noch befriedigenderes Resultat geliefert, wenn die Methode der Durchschnitte ange- wendet worden wire, denn nach einigen Daten sind wir geneigt anzunehmen, dass der Verfasser, wenn er sich dieser Methode bedient hätte, vielleicht zu dem Resultat gelangt wäre, dass die Nervenknoten sich nicht aus dem zweiten, sondern aus dem ersten em- bryonalen Blatte entwickeln. Wenn wir nun auch diese Wünsche auszusprechen genóthigt waren, so kommt es uns doch durchaus nicht in den Sinn, da- durch den Werth der Arbeit schmälern zu wollen; ` im Gegentheil, wir stellen sie sehr hoch und beken- nen aufrichtig, dass die Untersuchungen des Herrn Metschnikow über die Entwickelung der Sepiola ` uns eine so vollstindige Monographie der embryona- len Processe bei einem Cephalopoden geliefert haben, wie sie, mit Ausnahme der Arbeit Kölliker’s, bis jetzt in der Literatur nicht vorhanden war. Indem wir noch einen Blick auf die von dem Ver- fasser eingereichten Arbeiten werfen, können wir nicht umhin, auf die Entwickelungsgeschichte - Scorpions Bulletin de lAcadémie Impériale aufmerksam zu machen, welche von 4 sorgfältig aus- geführten Tafeln begleitet ist. Das Hauptresultat die- ser Arbeit besteht darin, dass bei dem Embryo des Scorpions drei embryonale Blätter vorkommen, welche in vielen Beziehungen eine grosse Ahnlichkeit mit den Blättern der Wirbelthiere zeigen, wie sie von Pander, v. Baer und Remak beschrieben worden sind. Ein solches Resultat bedarf keines Commentars, es spricht selbst für sich. In Anbetracht der grossen Zahl der von Herrn Metschnikow vorgestellten Arbeiten, Untersuchun- gen und Entdeckungen, welche die Wissenschaft fac- tisch bereichert und unsere Kenntniss von der Ent- wickelungsgeschichte der niederen Thiere sehr erwei- weitert haben, glauben wir wohl unsere Meinung da- hin abgeben zu können, dass der Verfasser den Baer’- ‚schen Preis mit vollem Reehte beanspruchen darf. Nach eingehender Prüfung aller zum Concurse ein- gereichten Arbeiten und nach Kenntnissnahme der zop den Fachmännern abgegebenen Gutachten hat die , mit be htigung der vom en Herrn K. E. von Baer ausgesprochenen Ansicht, einstimmig beschlossen, die Arbeiten der Pro- fessoren Bóttcher, Kowalewsky und Metschnikow für des vollen Baer’schen Preises würdig zu erklären und demgemäss den Preis zu gleichen Theilen unter die drei Concurrenten zu vertheilen. Sur les propriétés physiques et le pouvoir calo- |. rifique de stroles de l'Empire Russe; par M. Sainte-Claire-Deville, membre-cor- de St.- Pétersbourg 1). (Lu le 21 avril 1870) - M. le contre-amiral Likhatchof, désirant connaitre, dans l'intérét de l'industrie des transports sur la Mer Caspienne, la valeur et la composition des huiles de pé- trole de Bakou, me fit remettre quelques échantillons de ces matières. J'en ai fait étude trés attentive, persuadé qu'un jour prochain, l'emploi des huiles mi- nérales, comme combustible, sera général dans tous ET Voyez. sur ce sujet mes communications à l'Académie des sciences de Paris pendant les années 1868 et 1869, tomes LXVI, LXVI et LXVIII des Comptes-rendus. les pays où la nature en fournit abondamment à une exploitation régulière et perfectionnée. Les pétroles recoivent diverses applications qui né- cessitent la connaissance de certaines de leurs pro- priétés et de leur composition. Ce sont les propriétés particulières et le résultat de leurs analyses qui fera l'objet de ce mémoire. x 4°. Recherche de la volatilité, Les pétroles sont employés en quantités considé- rables pour l’éclairage. Les huiles lampantes, pour me servir de l’expression consacrée en France, doi- vent être en même temps très fluides pour monter fa- cilement dans la mêche, et peu volatiles pour n’être pas trop dangereuses dans leur maniement. Plus ces huiles sont fluides, plus elles sont volatiles et plus faible est leur densité. Quand on distille, comme on le fait en Amérique, sur de grandes quantités, des pé- troles d’une faible densité, on ne consacre à l’industrie de l’éclairage que les produits intermédiaires dont les points d’ébullition sont supérieurs à 150° et inférieurs à 250° ou 280°. Les parties qui passent à l’alambic au-dessus de 300° possèdent une viscosité qui les font rejeter pour les lampes et rechercher pour la fabrica- tion des matières lubrifiantes ou le chauffage. Quand on veut traiter une huile de pétrole, il faut connaître avec précision le nombre qui représente la quantité de ces matières volatiles entre 150° et 300°. Ce nombre indique la proportion des huiles lampantes qu’on peut retirer d’un produit naturel. Tout ce qui ne passe pas à la distillation au-des- sous de 280°, doit être considéré comme devant four- nir des huiles à lubrifier, ou peut être employé sans danger comme combustible d’une qualité parfaite. Quant aux portions volatiles au-dessous de 150°, elles se composent de substances gazeuses, comme l'hydrure de butylène, ou de matières possédant aux tempéra- tures ordinaires une forte tension. Ce sont ces sub- stances qui causent les accidents si fréquents depuis que le commerce des e piini s’est développé sur une si grande échelle Le ER qué = vais mit, et qui contient des chiffres nombreux relatifs à la volatilité des huiles du Caucase, permettra donc de distinguer de suite celles qui sont dangereuses, celles qui peuvent fournir des des Sciences de Saint-Pétersbourg. huiles d’éclairage et enfin les parties de ces huiles qui peuvent être employées au chauffage. Il suffira pour cela de constater pour chacune d’el- les les quantités de matières volatilisées au-dessous de 150°, entre 150° et 300°, et celles qui ont résisté à cette température. : M. Likhatchof m'a remis trois échantillons d'huiles ou de produits d'usine de Bakou?); en les sou- mettant à la distillation, on trouve les résultats sui- |- vants: X 1. Naphte brut des puits de Balchany. Matières volatiles à 100? ....... 1.05, » 160 ENT 5. 0%, » 480. i 9,3 » 20.56. 14.0 » il 5. s 15.3 » 200. .... N 29.0 » aD ss» 37.0 » Moris 41.3 X 2. Résidu de distillation des usines de Bakou. Matières volatiles à 240^ ....... 1.0% » 2050 AS 2.3 » SE 4.3 » SUD Era aot Si N 3. Huile noire de l'usine de Weyser (Bakou). Matières volatiles à 200° ...... 2.37, » 240 seis ena BD » 260 Zuse 14.0 » 2980-5 .4 ces 22:3 » 900— ere es 33.7 Les numéros 1 et 3 peuvent donner une certaine quantité d’huile lampante et le numéro 2 ne peut servir que comme combustible ou matière lubrifiante. Des échantillons d'une autre provenance ?), mais qui ont été recueillis à Bakou même et dont M. Li- khatchof m’a fait remettre de grandes quantités, = — Qe les résultats suivants: N 4. Huile légère. Parties volatiles à OU oe ee Le » 109 >e 7.0 » PR SE 53.5 » RER 19.0 2) Fournis par la Société de navigation « Caucase et Mercure». | 3) Envoyé par le Ministère de la marine Impériale. 24 Parties volatiles à 240? ....... 21.27 » DU sr. 29.3 » NIE . uh i. 96.7 » 200-4. 2,0 75.8 X 4. Huile visqueuse. ; Parties volatiles à 200° ....... 1.07, » 200 A A 1.8 » 230 7.51 1:4 » NEE 3.0 » NN AS 6.0 » WdBD Vor. 9.7 Ce sont ces matières qui ont servi à déterminer les pouvoirs calorifiques qui seront donnés plus loin. 2°, Densité et coefficients de dilatation. J'ai eu déjà plusieurs fois l’occasion de signaler les dangers que peut faire naitre, pendant le transport des huiles de pétrole, leur dilatabilité considérable. Quand on charge un bátiment avec des barils conte- nant du pétrole, il faut, pour éviter leur explosion, avoir soin de laisser au-dessous de la bonde un espace vide trés grand et qu'il est facile de calculer au moyen des nombres que je vais citer en prévoyant les change- ments de température auxquels la matière sera ex- posée pendant son voyage ou son séjour dans les ports et les magasins de commerce. J'ai pris la densité à 0° et à 50° des huiles de pétrole de Bakou et j'ai calculé avec ces nombres leurs coefficients de dilatation. En supposant que pendant son voyage l'huile soit exposée à un change- ment de température de 50° ce qu'il est prudent d'admettre, on aura la valeur de l'espace qu'il faudra laisser vide dans le tonneau au moyen de la formule suivante: V x K x 50; V étant le volume du ton- neau et K étant le coefficient de dilatation. mee dessous. X 1. Densité à 0°.. B. € mat des pi 4 50°. ..,9, 847 > Coefficient de dilatation: . 0,000817. NY 2. Densitéà 0°... E resi de station des as de Bakou. Bulletin de l’Académie Impériale . Densité à 0°....0,897. huile noire de l'usine deWeyser de Bakou. à 50°....0,865. Coefficient de dilabition. . .0,000737. Densité à 0°... Fr huile légère de Ba- : kou. à 50°.. 203954, Coefficient de dilatation. . . . 0,000724. . Densité à 0°....0,938. huile lourde de Ba- kou. Ne 4. à 507....0,907. Coefficient de dilatation. . ..0,000681. 3°, Composition élémentaire, L'analyse élémentaire des pétroles sert principale- ment à calculer le pouvoir calorifique théorique de ces matières. À défaut de détermination directe, on peut admettre que la quantité de chaleur donnée par la combustion du composé est la somme des quantités de chaleur de combustion des éléments et calculer ainsi le pouvoir calorifique de ces hydrogènes carbo- nés. Le nombre ainsi trouvé pour les pétroles est toujours un maximum que l’expérience ne permet ja- mais d’atteindre, sans doute parce que le carbone et Vhydrogéne se sont combinés en dégageant de la chaleur, et cette chaleur dégagée ne se trouve natu- rellement plus dans la combinaison. Mais, comme l’a fait remarquer fort judicieusement M. Macquorn Ran- kine, on obtient par ce calcul un nombre approché qui, tout inexact qu'il est, peut guider dans la com- paraison des valeurs, comme combustible, des huiles minérales diverses. Voila les résultats que j’ai obte- nus en analysant les pétroles de Bakou. Je les dé- signe par les numéros qui m'ont déjà servi à les spé- cifier dans les chapitres précédents. Ne 1. vérse 125 E Hydrogène. si » Charbon.... 87,4. » Charbon..... 87,1. » Oxygene.... | c.c AE » Oxygéne.... 1,2. 100. - 100. X 3. Hydrogéne..12,0. NM 4. Hydrogène.. 13,6. » Charbon.... 86,5. » Charbon.... 86,3. = Onygene.... 1,5. a Oxygène... 6,1. Ec 100. 100. X 5. Hydrogène... 12,3. » Charbon..... » Oxygéne..... 100. Pour faire avec ces résultats le calcul des chaleurs de combustion, il faut déduire du chiffre de l’hydro- gène '4 de l’oxygéne trouvé, multiplier cette diffé- rence par 344,62, multiplier le chiffre du charbon par 80,8 et faire la somme des deux produits ainsi obtenus. . On calcule ainsi les chaleurs théoriques de com- bustion suivantes: A oR 11,370 calories X JI s 2s 11,000 » Mr Tres 11,060 » Lë SE 11,660 » EE 11,200 » 4°, Pouvoir calorifique ou chaleur de combustion. - J’ai déterminé déjà le pouvoir calorifique des pé- troles par des procédés qui ont été décrits dans les Comptes-rendus de l'Académie des sciences de France (voyez tome LXVIII, page 349). N’ayant plus à ma disposition les appareils qui ont servi & ces expé- riences, j’ai eu recours & une méthode qui me parait | donner aussi de trés bons résultats et qui a Pavan- tage de pouvoir être appliquée toutes les fois que l’on possède une machine à vapeur, dont la chaudière est chauffée aux huiles minérales. J’ai fait voir que l’huile lourde des usines à gaz a une composition à très peu près constante et qu’elle fournit avec une régularité vraiment remarquable la même quantité de chaleur, quand on la brûle dans un calorimètre convenablement disposé. Dans ces con- ditions l’huile lourde possédant à 0° une densité de 1,044, fournit par kilogramme 12577 de vapeur et prodali en brûlant 8916 calories. Ces nombres étant définitivement fixés (voir Comptes-rendus, tome LXVI, page 450), il est évident que l’on pourra obtenir une relation suffisamment exacte en brûlant successive- ment de l’huile lourde type sous la chaudière d’une machine à vapeur produisant un travail connu, et de l'huile sur laquelle on veut expérimenter en faisant encore le méme travail et en brûlant les mêmes quan- tités de matière. Les quantités d'eau vaporisée par des Sciences de Saint-Pétersbourg. les combustibles seront entre elles à très peu près comme les pouvoirs calorifiques de ces mêmes ma- tières. Comme on connait ce nombre pour l’huile lourde, une simple proportion permettra de détermi- ner la chaleur de combustion de l'huile minérale mise en expérience. J’ai opéré sur une machine de huit chevaux à chau- dière Belleville. J’ai maintenu constante, à moins d’un dixième d'atmosphére près, la pression dans la chau- dière, pendant que la machine comprimait dans un grand réservoir en fer de 40 mètres cubes, de l’air à une pression constante de deux atmosphères */. L'air amené par les pompes s'échappait par un ro- binet dont l’ouverture était convenablement réglée pour que, la machine faisant un travail constant, la pression dans le réservoir restät elle-même absolu- ment invariable. Dans les conditions que je viens de définir, on mesurait exactement la quantité d’eau vo- latilisée dans la chaudière, les quantités d’huile con- sommées pour produire le travail constant de la ma- chine, et quand on avait fait les deux déterminations successivement pour l’huile lourde de gaz servant de type et pour l'huile mise en expérience, on avait toutes les données nécessaires pour calculer le pou- voir calorifique de cette derniére. 1?. Huile de Bakou, échantillon remis par M. Li- khatchof et arrivé dans une caisse de tôle soigneu- sement fermée, huile fluide et déjà étudiée plus haut sous le Ñ 4. Voici les résultats de sa comparaison avec Phuile lourde: L'huile lourde a donné: Pression de la machine........... 358 Pression de l'air dans le réservoir... 2375 Température de l'eau d'alimentation. 26° Eau:velatilisée a V a 61* Huile consommée . .............. 18523 | L'huile X 4 a donné: Pression de la vapeur........ ss MS Pression de l'air dans le réservoir.. 2,00 Température de l'eau d'etimetatios 2652 Eau vaporisée........- wen dt Ze Poids de l'huile brûlée ........... 15545 On en déduit: - 1°. Pouvoir calorifique de l'huile Y 4, 11,460 cal. ~ Quantité de vapeur produite à la pression ordinaire et sans travail par 1 kilogr. d’huile 16*4. 2°. Huile de Bakou, échantillon remis par M. Li- khatchof, et arrivé dans une caisse de tôle soigneu- sement fermée, huile très visqueuse et déjà étudiée plus haut sous le X 5. Cette huile, pour couler facilement dans les tuyaux de conduite, exige qu'on la fasse arriver sous une pression de 4 décimétres de mercure environ. Pour bien brüler une huile aussi peu volatile, il faut don- ner à la grille verticale de mes appareils (voyez leur description dans les Comptes-rendus, tome LXVIII, page 349) un peu plus de hauteur que pour les huiles fluides, et une disposition telle que l'air arrive un peu plus facilement dans le bas que dans le haut de la grille où les accès d'air doivent être un peu plus étroits. L'huile & 5 a donné: 12656. 115852. Eau vaporisée Huile consommée.. . . On en déduit: Pouvoir calorifique de l'huile X 5 10,800 cal. Quantité de vapgur produite sans travail, et à la pression ordinaire par 1 kilogr. d'huile 15455. Si l’on compare ces pouvoirs calorifiques à ceux qui se déduisent de la composition, on trouve: ...... > 6-6 ore 05 00 « 9 4 + be *» e'v & e €*".6$ v Pouvoir observé. Pouvoir calculé. Différence. Huile À 4..11,460 cal....11,660 cal... .200 cal. Huile X 5..10,800 » ...11,200 » ...400 » Si l'on admet que cette différence qui est en moyenne de 300 calories, entre le pouvoir calorifique réel et le pouvoir calorifique calculé, est la méme pour toutes les huiles de Bakou, on trouve pour les échantillons des matièrés qui m'ont été remises par M. Likha- tchof, qui portent les numéros 1, 2 et 3 et qui. m'ont | été données en trop petite quate pour que ue rimentation füt possible, les names suivants: Pouvoir réel. Pony caleulé. ET. 11,070 SE Nos 11,370 cal. E eee 10,700 » se et 11,000 » 3 ae » see Es ECH, » Toutes € ces : oti ns cause decem très geg proveuant de la maniére Bulletin de l'Académie Impériale même dont les calculs sont établis. Mais elles démon- trent néanmoins que les huiles de Bakou comparées aux huiles d'Amérique et d'Europe que j'ai examinées jusqu'ici, tiennent le premier rang par la valeur con- sidérable de leur pouvoir calorifique. Notice sur le Makhzen ul-esrar de Mir-Haider, par V. de Véliaminof-Zernof. (Lu le 28 avril 1870.) Dans la Préface de mon édition du Dictionnaire Djaghatai- ture (p. 22), j'avais dit, que je n'ai pu me procurer le {,;#, poème écrit en djaghatai par Mir-Haider, et vérifier les citations empruntées à cet ouvrage par l’auteur du Dictionnaire. Mr. Gottwaldt, de Kazan, vient de me communi- quer la remarque suivante: «Le savant éditeur du Dictionnaire djagatai regrette (p. 22) de n’avoir pas eu sous les yeux entre autres le lA) ¿,52, de Mir-Haider; l'éditeur de ce poème prend la liberté d’offrir un exemplaire du texte, im- primé sur un manuscrit acquis A Kazan, et ajoute ici les pee notés sous la lettre élif. : se trouve p. 1,1. 4; ce méme mot se ren- contre aussi dans le Ronbotgeuzi. p. 9,1. 13, ayant la forme (93); le méme mot se cache sous la forme jon de l'Altai; voyez la Grammaire du père Macarius, d’où j je sais que le mot est emprunté du mongol dzon. JL) — p. i, 1. 16; le texte imprimé porte bY) er — p. 11,1. 9. Ub ye) — P. in, 1. 17, sous la forme Kl | — p. ro, 1. 16, sous la forme be. En publiant le texte, je n'en connaissais pas l'au- teur et pensais qu'il s'appelle ees, ayant en vue les passages suivants: P. A sade “haze; Cle di ` si de lao solo ` Seu. lod engl alle tie SS ju aa 2 aë ee Maintenant je suis sir du vrai nom du poéte». Le LY) 52 imprimé par M. Gottwaldta paruà Kazan, en 1858. Lors de la publication de mon Diction- united djaghatas, je n'ai pas eu en vue l'édition du ¿2 LI de M.Gottwaldt. Je la connaissais bien, d’a- près l’article de M. Gottwaldt lui-même, inséré dans le Zeitschrift der Deutschen Morgenländischen Ge- sellschaft, Bd. XIII, p. 503 (cf. Zenker II. 1212 et B. Dorn. Chronologisches Verzeichniss der seit dem Jahre 1801 bis 1866 in Kasan gedruckten arabi- schen, türkischen, tatarischen und persischen Werke, dans le Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de St.-Pétersbourg, T. XI, p. 376, et dans les Mé- langes Asiatiques, T. V, p. 636). Mais le nom de l'auteur n'étant pas indiqué dans l'édition, je n'ai pas = à la collationner avec le Dictionnaire djagha- , d'autant plus, que l’auteur du Dictionnaire ne p jamais le poème de Mir-Haider sous le titre com- plet de jl "P QJ? , mais l'appelle constamment NW? tout court. La remarque de M. Gottwaldt est parfaitement juste. Le poème publié par le savant — à Ka- y) us, zan, sans nom d'auteur et sous le titre de y) yw est absolument le (jj? de Mir-Haïder, cité par Pau- teur de mon Dictionnaire djaghatai. Tous les vers de Mir-Haider, insérés dans le Dictionnaire, s’y retrou- vent, à l'exception d'un seul (placé sous le mot As, p . 323). Le Jl 52, publié par M. Gottwaldt, est un ouvrage de fort peu d'étendue. H ne contient que 31 pages d'impression. Le nombre de passages extraits du poéme par l'auteur du Dictionnaire ne monte pas au-delà de 30. Je crois de mon devoir d'indiquer ici les correc- tions à faire dans mon édition du Dictionnaire dja- ghatai-turc, d'aprés le texte imprimé de M. Gott- waldt. 1) P. 54 et 143, sous les mots J g) As JJ et . , l'auteur du Dictionnaire cite deux vers de Mir- "Haider, qui commencent par les mots: x ~K LI. L'auteur dit à la p. 54; que ces vers sont empruntés au azls du (52; à la p. 143, il assure au contraire, que les vers sont extraits de la deuxième alle du méme livre. Les vers, comme le prouve le texte de M. ey as. cent véritablement à la deuxième 2) Une faute du même genre se retrouve dans le Dictionnaire, à la p. 407, sous le mot dels pro Les vers: Js CuI, ete., cités sous ce mot, ne sont pas extraits du asus, mais bien de la première allie > du 8. comme Pantone du Dictionnaire le dit lui- des Sciences de Saint-Pétersbourg. même dans un autre endroit de son livre, p. 303 sous le mot 55,3)... 3) P. 26 du Dictionnaire, sous le mot él, au lieu de: JEn CA... ak "má sil) 02 „> jo Q2? ied, lisez: Us. aKa] allie usell oò je me yy (o>) [lied o3, p. 4) P. 193 du Dictionnaire, sous le mot , s, au lieu de: o» allie (ust o Abee me YI, ios: RES € ( aëieali [ mif] 02 Ais q. 5) P. 393 du Dictionnaire, sous le mot 3,25, au lieu A Ur aka allie 23 02 jus Je ( J£, lisez: Hin aKa alia (ost) Læ] Säi pre US. 6) P. 166, sous le mot 3,4, on trouve dans le Dictionnaire des vers du (32, écrits de la ma- nière suivante: + yá y dos) luiy meli a! 4 x ose csl aep uu e EIUS Il faut certai- nement lire, avec le texte de M. Gottwaldt, p. 15: 4 dolas a LJ * uK» sl iy (ou A * ots pets eur 7) P. 215 et 366, sous les mots (ll, et | Kai, on lit dans le Dictionnaire des vers du u 52, cités de deux manières différentes: p. 215: jll,5, jJ,» , Ex? * ss 3 ya jos JS + wor; D 366: as} x ss) OU Uu hoy E JS, * SIR jl, (lisez: alili) olds. Le texte de M. Gottwaldt p * sis! al & Jl. Le premier vers du ee doit être nécessairement corrigé d’après l'édition Gottwaldt, c.-à-d. qu'il faut lire ax et non E et (c5? au Heu de eis, La leçon du second vers du Dictionnaire (p. 366) est, sans contredit, préfé- rable à celle du texte de Kazan. 8) P. 240, sous le mot UT le Dictionnaire re- produit T vers, attribué à Mir- Haider: le se san Ab EGE Le mot est incompréhensible. Il apparait; du texte imprimé de Kazan, p. 21, qu'un vers entier est omis, et qu'il faut lire lie) A 3 ye ta de REE Pavet de Courteille. Dictionnaire Turk - Oriental, p.| 303). Le reste des passages extraits du > de Mir-| Haïder par l’auteur du Dictionnaire ne présente que ‚| des variantes de mots, dont quelques-unes parfois sont moins bonnes que le texte de M. Gottwaldt, et d’au- tres lui sont préférables sous tous les rapports. Je me contenterai d’en indiquer ici quelques-unes — servir d'exemple. Les leçons: (c), f | i. gr et du texte de Kazan (p. 25, 1. 16, et p. 23,1. 19) va- lent mieux que les leçons: ,f ¿iS ee et POE Dictionnaire (p. 73, bl, | al et p. 229, ubh). Les vers, cités dans le Dictionnaire, à la p. 26, sous le mot d JI; dls ros all, J d» aids ron gy als sont plus corrects que les vers cor- respondants du texte de Kazan, à la p. 25: ak, ala WE SP 2p lea, * os lull 3 SP les mots e p et pono du texte de Kazan (p. 15,1. 15 et p. 5, 1. 20) doivent être certainement remplacés par les mots & et c 793,3. du Dictionnaire (p. 193, JV et p. 274, 3,5...) etc. J'ajouterai encore une remarque concernant les vers du (52, cités dans le Dictionnaire sous les mots Ups ysl et rss La.première fois sous le mot ¿joss cest, à la p. 326, l'auteur du Diction- naire derit les vers: „SI x al» ETE ES Vel ol * aly db » 5 o GEI la seconde fois, sous le mot sb, à la p. 407, il répète les mêmes vers, mais Se manière différente: » de JL 52 ES rs 3 n e alo Jlo sie Lol usa, L'ordre des vers est interverti, et le mot os l5 est remplacé par real, Il n'y pas le moindre CES que la disposition des vers, admise par l’auteur du Dictionnaire, à la p. 407, est la seule véritable. Quant au mot ls ou sb, on ne saurait dire rien de positif. Le texte de Kazan (p. 16, 1. 16) présente pour ce mot une troisième va- riante; il porte ud Un Kasten; d'environ 13 pages es i'i 1-3) QU? a été publié en 1857 par Ra t BCC? , m- 8°, du même J! M. :Bérézine dans sa Chrestomatie turque, à Kazan (T. L XV, p. 273 — 287). M. Bérézine Vavait extrait d'un manuscrit du je appartenant à la Bibliothèque Impériale de Vienne, dont la copie lui avait été communiquée par M. Gottwaldt. La tion ent de Vienne dévie considéra- i né à Kazan. La différence dans la disposition des allie et nee est grande surtout. Bulletin de l’Académie Impériale dans l’ordre des vers. L’auteur du Dictionnaire dja- ghatai-turc, publié par moi, avait, à ce qu’il paraît, si l'on en juge d’après les chiffres des allie, une rédac- tion du 18 toute semblable à celle de l'édition de Kazan, de M. Gottwaldt. De tous les passages em- pruntés au (,;2 par l’auteur du Dictionnaire, il n'y a que douze, qui se rencontrent dans le fragment pu- blié par M. Bérézine, nommément les vers extraits des allie, appelés par l'auteur du Dictionnaire deu- xième, troisième, quatrième, sixième, huitième et ré- cit de Hatim-Taii, à l’exception des vers du qua- trième allie, cités sous les mots: yá (p. 144) et Sl, (p. 393), et ceux du sixième alle, cités sous les mots: ¿ul (p. 26) et ab, ail (p. 73). Les variantes de tous ces douze passages du fragment de Vienne ne présentent rien de particulier après les corrections faites d’après le texte imprimé de M. Gottwaldt. Je remarquerai seulement, que le mot Ue al ou ies al du Dictionnaire, ¿2% du texte de Kazan, est écrit dans le fragment de Vienne, simple- ment: Er voyageur (p. 286 de la Chrestomathie turque). M. Bérézine, en publiant le fragment du (yj? „LI de Vienne, pensait que l'auteur de ce poème | est Mir-Ali-Chir Nevaii. Olivin des Pallas-Eisens. Von N. v. Kokscharow. (Lu le 19 mai 1870.) ES À (Extrait de l'écrit «Über den Olivin aus dem Pallas-Eisen», imprimé dans les Mémoires de l'Académie Impériale des sciences de St.- Pétersbourg, VII* série, tome XV, | 6.) In der folgenden Notiz sind einige der wesentlichsten _ Theile meiner ziemlich ausführlichen Abhandlung «Über den Olivin aus dem Pallas-Eisen» in einem kurzen Auszuge zusammengestellt. : Die Original-Abhandlung zerfállt in sieben Abthei- lungen, begleitet von vier Kupfertafeln. Die erwähnten Abtheilungen sind folgende: 1) Das Vorkommen des Olivins im Meteorit und über seine Eigenschaften im Allgemeinen; 2) die Krystallformen und ihre Combi- nationen; 3) Resultate genauer Krystallmessungen; 4) Vergleichung dieser Messungen mit denen, welche in den Olivin-Krystallen aus anderen Fundorten ange- stellt worden sind, und Ableitung des Axenverhältnis- ses für die Grundform des Minerals; 5) die aus dem oben angegebenen Axenverhältnisse berechneten Win- kel; 6) mikroskopische Beobachtungen und 7) chemi- sche Zusammensetzung und specifisches Gewicht, Der grósste Theil der Olivin-Individuen, an welchen man Krystallflachen bemerken kann, bietet die kuge- lige oder tropfartige Gestalt der beistehenden Figur dar. Diese Figur giebt ein ziemlich vergóssertes Bild eines an Flächen sehr reichen Inviduums. Bisweilen trifft man aber auch, obgleich selten, wirkliche Kry- stalle, die, mit Ausnahme einiger Abrundungen, sehr scharfkantig sind und eine bedeutende Menge von For- men zeigen. ` In den Krystallen und Kórnern des Olivins aus dem Pallas-Eisen wurden folgende Formen bestimmt: Rhombische Pyramiden. Nach Weiss. Nach Naumann. METIA T0: DO. “GP c. (A-4325: 320.5... iP E EE rd ee P a (gob? 20, 225 mPn fo: s (= .... 2P2 en cd A 3P3 Rhombische Prismen. Fake: (ESE. T ooP $.. (coa : 1b ei re »ooP2 Yi... «(008 Bee)... coP3 Makrodomen. Bs (a: Gols Gc). =. = «Poo 9... #2 008 : 20)... 4Poo des Sciences de Saint - Pétersbourg. Brachydomen. eor TER KR Eeer Ee? 1Poo biais (8. ET, cua Poo bis CEET ir. 2Poo Fu E ZU EE 4Poo Pinakoide EE Ee? (coa c b 20067, 3 ooPoo CAR Eo. AS OP Die Formen e, f, l, n, s, v, d, k, à, c und a wur- den schon von Gustav Rose beobachtet, alle übrigen aber waren bis jetzt im Olivin des Pallas-Eisens noch nicht beobachtet, und, mit Ausnahme der Formen h — Poo und w= 1Poo, sind dieselben im B nen für den Chrysolith ganz neu. Die nachstehende Figur bietet eine ziemlich com- plicirte, ganz er gezeichnete Combination dar. Die Vergleichung der Resultate der Krystallmes- sungen am Olivin aus dem Pallas-Eisen mit den Re- sultaten, welche Mohs, v. Haidinger, Scacchi und ich durch Messungen an Olivin (Chrysolith)-Krystallen aus anderen Fundorten erhalten haben, zeigt, dass zwi- schen den Winkeln aller dieser Chrysolithe fast kein Unterschied statt findet. Die Abweichungen sind in der That in dieser Hinsicht so unbedeutend, dass man sie gewiss in die Kategorie solcher Abweichungen stel- len kann, welche fast immer Krystalle, sogar einer und derselben Druse zeigen. Für die Axen der Grundform des Minerals wurden | folgende Zahlen abgeleitet: Tome XV. Verticalaxe - a=1,25928. Makrodiagonale b= 2,14706. Brachydiagonale c — 1,00000. Wenn man in jeder rhombischen Pyramide die ma- krodiagonalen Polkanten mit X bezeichnet, die brachy- diagonalen Polkanten mit Y, die Mittelkanten mit Z, den Winkel der makrodiagonalen Polkante gegen die Hauptaxe mit æ, den Winkel der brachydiagonalen Polkante gegen die Hauptaxe mit 8 und den Winkel der Mittelkanten gegen die Makrodiagonale der Grund- form mit y, so lassen sich aus den oben angeführten Axen folgende Winkel berechnen: q = 4P. 44 = 78 12° 5" X = 156° 24’ 10° iY = 84 32 À Y:= 169 414 iZ = 29 Z = 26 418 a — 84° 25 1” 2 p= 78 848 y = 24 58 26 AR, IX — 58° 5)’ 36" X = 117° 43 19° 1Y—76 8 46 Yin 732 12 = 34 47 0 Z= 69 34 0 a — 73° 39’ 21” B = 57 48 14 y = 24 58 26 e= P.. iX 42*97 59" X — 85' 15 58” 1Y = 69 57 40 Y = 139 0 12594 6 Z = 108 30 10 a — 59° 36’ 28" 6= 38 27 12 y= 24 58 26 f = 2P2.- IX = 504510" X — 101° 30 a 1Y — 53 53 24 Y = 107 46 48 1Z = 59 50 26 ve vol a — 40° 26°61" bs dw Tu. e = M ss j 1X = 58° | faa’ X= 1613 8" iy = 42 2526 Y= 84 50 52 a= 4144 . Z — 130 23 28 20 Bulletin de l’Académie Impériale 307 a — 29° 36’ 39" B —38 97 12 q= 54 24 33 Rn pP. 1X >= 94° 6826 X = ‘49°56 59" 1Y 166 1/34 Y=130 3 8 s = ooP2. IX 249958 9 Ree RS Se W^ IV = 47002181 Y =94 3°42 rs ooP3. oa ar 53, À = 109 49 6 oy 35.35 27 Y= 71. 10 54 Bi= Poo; IX = 78^ 8 48" X= 150.17 36 zz = 11 6112 Le m M v = 1Poo | 4X = 57° A8 14” = 115° 36° 28" 12 = 32 1146 = 64 23: 32 x d — Poo. ix = 3827 1995 "X ae 76754 24". 12 = 51 32 48 EcRIOS 5 56 Ww = 1Poo. IV = 735393 7 Yem tag 49" 12 — 16.20 39 Z =r 3% 41 18 h = Poo. iv 59 36 28 — TE HV 19 IZ = 30 29 23 gx 60 47 3 = 2Poo. | iY = 40266... Vee WU, sa 32 — 49 3379 Z = 99 6 18 i=, HOR | i ay ce 25° 54€ Y- 46 10 ME 12 — 66 54 50 Z2= 133 49 40 Der Olivin aus dem Pallas-Eisen zeigt bei seiner Betrachtung unter dem Mikroskope eine sehr merk- würdige Erscheinung, auf welche Gustav Rose zum ersten Mal die: Aufmerksamkeit der Mineralogen ge- lenkt hat und welche aus Folgendem besteht. Betrach- tet man nämlich eine geschliffene, sogar ziemlich dicke (z. B. ungefähr 2°, Millimeter dicke) Platte dieses Oli- vins unter dem Mikroskope (selbst bei sehr geringer Vergrósserung), so sieht man ganz gerade und unter einander vollkommen parallele schwarze Linien. Diese sind so scharf und regelmässig wie die Linien, die man vermittelst Tusche und Reissfeder auf Papier zieht. Beobachtet man nun diese Erscheinungen et- was näher, bei stärkerer Vergrösserung des Mikro- skops (z. B. 200 bis 300 Mal vergrössert), so über- | zeugt man sich leicht, dass diese Linien Kanäle sind, welche zum Theil hohl, zum Theil mit einer schwar- zen, oder licht-grauen Substanz oder sogar mit beiden zugleich mehr oder weniger gefüllt sind. Es scheint, dass die oben erwähnten Kanäle sich in | allen Olivinkörnern des Pallas-Eisens ohne Ausnahme befinden, wenigstens zeigte jedes Korn, das nach Be- lieben gewählt und dann geschliffen wurde, diesel- ben sogar in ziemlich grosser Menge. In vielen Exem- plaren sieht man diese Kanäle mit einer gewöhnlichen Lupe; in diesem letzteren Falle erscheinen sie als ganz feine, geradlinige, unter einander parallele, mehr oder weniger lange, haarförmige Einschlüsse, die öfters Far- ben spielen. Die Kanäle behalten immer ein und die- selbe bestimmte Richtung bei. Um diese Kanále besser zu studiren und ihre Lage zu der Lage der Krystallflächen auf eine unzweifel- hafte Weise zu bestimmen, wurden mehrere Platten mit geschliffenen Flüchen, nach den verschiedenen | wesentlichsten Richtungen: dór Olivin-Körner, vorbe- reitet. Eine dieser Platten, welche in der Original- Abhandlung mit X 1 bezeichnet wurde, ist hier abge- bildet. Zur Bereitung derselben diente ein ziemlich | grosses Olivin-Korn (ungefähr 6 Millimeter im gröss- 309 des Sciences de Saint- Petersbourg. ten Durchmesser), welches ganz durchsichtig war und auf seiner Oberfläche mehrere Flächen enthielt. In diesem Olivin-Korn ist die äussere Seite mit den Kry- stallflächen ohne alle Veränderung, d. h. im natürli- chen Zustande gelassen, während auf der hinteren Seite eine ziemlich breite Fläche, parallel mit der Prisma- Fläche s geschliffen wurde. Bei der vollkommenen Durchsichtigkeit dieser Platte konnte man die in derselben enthaltenen Kanäle sogar ganz deutlich mit einer gewöhnlichen Lupe wahrneh- men.” Bei der Betrachtung mit der Lupe zählt man ungefähr 17 derselben, aber unter dem Mikroskope freilich noch eine viel grössere Menge. Alle diese Ka- näle waren haarförmig, ganz geradlinig, unter einander vollkommen parallel und liefen alle ganz deutlich pa- rallel mit der Kante sr, d. h. parallel mit der verticalen krystallographischen Axe. Unter dem Mikroskope er- ‚schienen die Kanäle ihrer ganzen Länge nach vollkom- men deutlich und parallel mit der Kante sr, was auch mit der Beobachtung unter der Lupe ganz im Einklang stand. Als- schlagender. Beweis zu dem hier gezogenen Schlusse diente ein auf einer genauen goniometrischen Messung begründeter Versuch, der vermittelst der hier ebenfalls abgebildeten Platte M 2 ausgeführt wurde. In dieser Platte X 2 wurde nämlich der Winkel 8, welchen die Kanäle mit der Kante ea bilden, ziemlich genau gemessen, und im Mittel 8— 38^28' gefunden. Nach Rechnung muss die- ser Winkel — 38?27'12" sein. Durch diese Messung bestätigt sich also die || parallele Lage der Kanäle mit der | verticalen krystallographischen Axe in der That auf handgreifliche und streng krystallographische Weise. Die Lage der Kanäle wurde auch . im Verhältniss der Ebene, in welcher die optischen | ü Axen liegen, bestimmt. Ich habe nimlich, vermittelst eines Polarisationsapparats, gefunden, dass diese Ebene ` rechtwinkelig zu den Kanälen geht, und folglich auch rechtwinkelig zu der krystallographischen Verticalaxe, ‘d.h. diese Ebene im Olivin des Pallas-Eisens läuft, wie | bei dem terrestrischen Olivin,- e mit dem basi- _ Pinakoid e= OP. Die. allgemeine Beschaffenheit der: Moodle. monde | nicht so verschiedenartig gefunden, als G. Rose sie be- schreibt. Es scheint aber, dass diesem Gelehrten die Verdoppelung, welche bei einer gewissen Dicke der Platten durch doppelte Strahlenbrechung des Minerals hervorgebracht wird, entgangen ist. Durch diese Ver- doppelung (nämlich wenn das ordindre Bild eines Ka- nals nicht ganz von dem extraordinärem Bilde desselben Kanals getrennt ist, sondern wenn das eine zum Theil das andere deckt) erhält man in der That unter dem Mikroskope ganz dieselben Bilder wie die, welche von G. Rose gegeben sind. Dass solche Bilder wirk- lich zusammengesetzte sind, davon kann man sich auf S ganz entschiedene und leichte Weise vermittelst eines Nicol’schen Prismas oder einer Turmalin-Platte über- zeugen, denn auf diese Weise kann dieses oder jenes der beiden Bilder (welehe durch zwei auf einander rechtwinkelig polarisirte Strahlen hervorgebracht sind) nach Belieben weggenommen werden. In Betreff der ausführlicheren Details verweisen wir den Leser auf die Original-Abhandlung. Über das Nervensystem der Seesterne, von Ph. Owsjannikow. (Lu le 18 mars 1870.) (Mit einer Tafel.) In einer speciellen Untersuchung, wie die hier vor- liegende, in der es hauptsächlich darauf ankommt, neue Thatsachen mitzutheilen, könnte die Literatur des Gegenstandes als bekannt vorausgesetzt und über- gangen werden. Ich gestehe, dass ich in ähnlichen Fäl- len die Literatur gern bei Seite lasse, da sie bei dem Specialisten, welchen die detaillirten Untersuchungen interessiren können, wirklich als bekannt vorausge- setzt werden kann und nur unnütz Raum ces würde. Doch wenn wir das Bekannte über E der Seesterne zusammenfassen, so sehen wir, dass dar über eine grosse Verwirrung herrscht, und da seni - die besten Forscher Ansichten, selbst in Betreff der gro- ben Structur, ausgesprochen haben, denen . ind widersprochen haben. ri stand b dd sini rer rr nd Mis sie ab. bbili sind in alle ältere und neuere Hand- Ing = e Bulletin de l'Académie Impériale bücher und Atlasse der vergleichenden Anatomie bis zu unsern Tagen übergegangen. Ich habe die Untersuchung des TREE der Asteriden noch in Neapel im Jahre 1865 angefangen, was ich fand, war aber so anders beschaffen, als es überall abgebildet wurde, dass ich in Verzweiflung den Gegenstand auf längere Zeit aufgab, bis ich ihn wieder hier in St. Petersburg aufnahm. Nun hat es sich nämlich herausgestellt, dass das, was Tiedemann als orangenfarbiges Gefäss beschrieben hat, Nervenstrang war, und was er als Ambulacral- nerven beschrieben und abgebildet hat, nichts Ande- res ist, als elastisches Band. Merkwürdig bleibt es, dass spätere Autoren diesen Fehler nicht eingesehen haben, trotzdem J. Müller'), dieser ausgezeichnete Forscher, schon im Jahre 1854 darauf aufmerksam gemacht hat. Wir wollen seine Worte, da sie wenig. bekannt zu sein scheinen, hier anführen: «Gleichwohl kann ich das, was Tiedemann für Nerven gehalten, als solche nicht ansehen und habe in den anatomischen Studien diese Meinung begründet. Die Nervenstämme der Echinodermen sind keine sol- chen dünnen Fáden, wie Tiedemann abgebildet, son- dern bandartig breite. Was er Nervenring am áussern Rande des ringfórmigen Blutgefässes nennt, ist mir | . auch in den gróssten und best erhaltenen Exemplaren des Asteropecten aurantiacus und andern Asterien gar nicht verstándlich geworden und lässt sich dort nichts von dem Gefäss trennen, was nicht zum Blutgefäss ge- hórt.» Im Jahre 1860 erschien eine interessante Arbeit über das Nervensystem der Seesterne und die Sinnes- organe derselben von Dr. Wilson?) Er bezeichnet vollkommen richtig die Lage des Ambulacralnerven- systems und giebt eine detaillirte mikroskopische Be- schreibung über die Structur des Nervensystems. Seine Abbildungen zeigen uns dieses System, sowohl von oben gesehen als auf Querschnitten. Wilson war der erste, der das Nervensystem der Asteriden auf Quer- und Längsschnitten genau untersucht hat. Doch hat er, wie wir später sehen werden, manche wesentliche Punkte übersehen. | 4} Über den Bau r Echinodermen. Berlin 1854, p 49. : 2) The Transactions of the Linnean Society of London. Vol. first, pag. 107. The Nervous System of the Asteri- dae. By fiu S. Wilson. Ich untersuchte folgende Seesterne: Asteracanthion tenuispinus, rubens, glacialis, Asteropecten glacialis und andere. Der Nervenring, dessen Form nach der Zahl der Strahlen sich richtet, umgiebt den Mund, von dem er in einiger Entfernung liegt. Um ihn ordentlich zu sehen oder zu prüpariren, muss man die Ecken der Strahlen, die ihn.bedecken, abbrechen. Dieser Ring ist ein plattes Band (Fig. 1) und besitzt nirgends An- schwellungen, die als Ganglien gedeutet werden kónn- ten. Wenn früher einige Autoren, wie z. B. R. Wagner, solche Ganglien beschrieben haben, so war dabei ir- gend ein Irrthum. Die Nervenelemente, welche den Ring bilden, unterscheiden sich in nichts von Ambu- lacralnerven. Die letzteren besitzen Nervenzellen als Nervenfasern, ganz von derselben Beschaffenheit, wie die, die wir im Ringe antreffen. Um die Ambulacral- nerven, die gewühnlich von den Füsschen bedeckt sind, genau in ihrer Lage und Form zu sehen, reisse ich mit ` einer kleinen Pincette die Füsschen heraus. Betrach- tet man dann das Prüparat bei schwacher Vergrósse- ‘rung im Wasser, bei Beleuchtung von oben, so erscheint das Nervensystem als eine erhabene, ja selbst stark hervorspringende Leiste (Fig. 2. a), háufig gelblich, mehr oder weniger stark gefärbt. e Nicht aber die erhabene Leiste allein bildet den Nervenstrang, sondern auch ihre beiden bandartig ver- laufenden Kanten, die sich bis zu der Basis der Füss- chen erstrecken (Fig. 2.5). Am dicksten ist der Strang beim Abgange vom Nervenringe, wird dann aber, je mehr er sich der Strahlenspitze nähert, um so diinner und niedrieger. Es ist eine hôchst interessante Sa- che, dass der Nervenstrang nicht aus einer soliden Masse besteht, sondern dass dort, wo er eine Erhaben- heit bildet, dieselbe nichts Anderes als eine Falte ist. Präpariren wir den Nervenstrang heraus und betrach- ten denselben von unten, so liegt in der Mitte desselben, wo also oben sich die Leiste befand, in derselben eine Rinne (Fig.1. a). Wenn zufällig durch das Pripariren- in der Mitte des Nervenstranges ein Riss entstanden ist, so kann man durch denselben in die Rinne des Ner- venkanals hineinsehen. Auf diese Weise sind die Strah- lennerven als ein halbgeschlossener Kanal zu betrach- ten. Übrigens ist von der unteren Fläche der Nerven- kanal durch eine sehr diinne Wand, die sowohl Zellen als Fasern enthalt, geschlossen, oder wenigstens von dem unterhalb gelegenen elastischen Gewebe abgegrenzt. - des Sciences de Saint- Pétersbourg. Die Betrachtung von der unteren Flüche zeigt fer- ner, als ob von beiden Seiten des Kanals zwei symmetri- sche, gleich weit von einander entfernte Streifen sich hinziehen. Die beiden Streifen sind keineswegs beson- dere Ansammlungen der Nervenelemente, wofür man vielleicht geneigt sein könnte sie zu halten, sondern sie werden durch die Wände des Nervenkanals gebildet. Der Nervenkanal oder die Nervenrinne, die ich eben beschrieben und auch hier abbilde, ist auf keiner der Zeichnungen von Wilson dargestellt. Genau auf derselben Stelle sind auf seinen Zeichnungen Nerven- zellen abgebildet. Ich bitte die folgende Zeichnung des oben genannten Werkes zn betrachten, nämlich Tab. 13. Fig. 1. Tab. 14. Fig. 1. 7. 9. Ich konnte mir durch- aus nicht erklären, wie es kam, dass auf meinen Prä- paraten die Zellen in dieser Art wenigstens nicht vor- kommen, während sie dort so schon abgebildet sind. Ich dachte Anfangs, dass die Präparationsmethode, die ich anwandte, daran schuld war. Auf meinen Quer- schnitten Fig. 7 und 8 sieht man mit der grüssten Deutlichkeit die Öffnung des Wassergefüsses (e), das unterhalb desselben gelegene Querband und darunter als Papille (b) den Nervenstrang. In den Hauptzügen stimmen die Wilson'schen oben citirten Abbildungen, die Nervenzellen ausgenommen, vollkommen überein. Ich finde aber auf allen meinen Präparaten bei allen von mir untersuchten Seesternen, unterhalb des unter dem Wassergefüsse gelegenen Querbandes, noch ein Längsband (d), welches auf allen Wilson'schen Abbil- dungen fehlt. Es kónnte sein, dass die dicken elasti- schen Fasern auf den Querschnitten breiter erscheinen und so eine Ahnlichkeit mit den Zellen darbieten. Wilson zeichnet aber die Nervenzellen mit Nerven- hülle und Kern mit einer solchen Schärfe, dass gegen meine Erklärung nothwendigerweise ein Zweifel auf- steigen muss. Den künftigen Forschern mag es über- lassen sein, diesen Zweifel zu lichten. Ferner muss ich hervorheben, dass ich, was die Grösse der Nervenzellen als auch ihre Lage anbetrifft, anderer Meinung als Wilson bin. Nach seiner Beschrei- bung und Zeichnung zu urtheilen, liegen die Ner- venzellen in der Mitte des Nervenstranges. Sie schicken strahlenförmige Ausläufer nach aussen und sind, nach Präparaten zu urtheilen, von Nervenfasern überdeckt. | sed finde EN, dass wg Nervenzellen mehr zur gesg nsind In die- P ti ipherie d uus ser Beziehung haben meine Präparate eine grosse Ähn- lichkeit mit den Zeichnungen, die Semper”) von dem Nervensystem der Holothuria erinacea S. auf der Ta- fel XXXVIII Fig. 1. in dem von ihm sogenannten obe- ren Nervenbande gegeben hat. Semper beschreibt ebenfalls die Armnerven der Holothuriėn als einen hohlen Kanal, nur mit dem Unterschiede, dass derselbe nach ihm vollkommen geschlossen ist und das Nerven- system, welches ihn umgiebt, mehrere Schichten zeigt. Meine Präparate von den Ambulacralnerven der See- sterne haben zuweilen ein ähnliches Bild dargeboten, auch der Kanal ist geschlossen gewesen. Aber nach- dem ich eine grosse Anzahl Präparate durchmustert habe, bin ich zu der Überzeugung gelangt, dass nicht alles hier Befindliche zum Nervensystem gerechnet wer- den kann, so z. B. die untere Wand des Kanals. Diese Wand wird durch ein diinnes Häutchen ge- bildet, welches unterhalb den, den Steinkanal umge- benden Längs- und Querfasern liegt und sich an das Nervensystem mehr oder weniger fest anschliesst. Das Häutchen zeigt deutliche Fasern und Zellen, die ich aber nicht für Nervenelemente halten kann. Ich gehe nun zur nähern Beschreibung des feine- ren Baues des Nervensystems über, nachdem ich seine Lage und Form geschildert habe, muss aber noch hin- zufügen, dass dasselbe überall von aussen, sowohl der Nervenring als die Ambulacralnerven, durch eine sehr feste, helle, durchsichtige Haut bekleidet ist (Fig. 9). Einmal sah ich auf derselben kleine stachelförmige Fortsätze. Eine der Zeichnungen zeigt dieses Verhält- niss. Unter ihr, wenn wir uns den Seestern umgekehrt denken, liegen zunächst die Nervenzellen (Fig. 9. u. a) und zwar in mehreren Lagen. Die ganz nach aussen gelegenen haben eine mehr längliche Form, so dass sie den Cylinderepithelzellen nicht unähnlich sind. Die tiefer liegenden Nervenzellen haben eine mehr rund- liche Gestalt. Überall’ sieht man einen deutlichen Fort- satz, welcher nach innen und dann zu der | einen oder der anderen Seite verläuft und sehr weit verfolgt wer- den kann. Alle Nervenzellen haben einen Kern. Von . einer besonderen Membran lässt sich weder an den «Nervenzellen noch anden Nervenfasern etwas wahrneh- men. Die Behandlung: der Nervenelemente mit den tien hat mir gezeigt, dass die BURN. 3) De S. Semper, Helen im Archipel der Philippinen. 2 Theile, IV. Heft. Holothurien. 1, Band, IV 315 Bulletin de l'Académie Impériale Membran hier gar nicht vorkommt. Wenn ich die Ner- venzellen als länglich und rund bezeichnet habe und von einem weit zu verfolgenden Fortsatz sprach, so ist damit durchaus nicht gemeint, dass die Zellen nicht | andere Fortsätze besitzen. Im Gegentheil, bei 2- oder 3000maliger Vergrösserung erscheinen die Zellen eckig, schindel- oder sternförmig; es gehen von ihnen zwei, drei, vier oder noch mehr Fortsätze ab. Wegen der ungeheuren Feinheit derselben kann man sie nicht weit verfolgen. Ich bin geneigt anzunehmen, dass diese Fortsätze theils die Zellen unter sich verbinden, theils sich verzweigend die sogenannte Punktsubstanz bilden, die die Zellen umgiebt. Ich habe keine hystologischen Elemente in dem Nervenring und den Ambulacralnerven entdecken können, die nicht zu dem Nervengewebe gehörten. Die Nervenfasern sind von verschiedener Breite, doch verhältnissmässig sehr dünn. Die allge- meine Regel, die man aus der Untersuchung der niede- ren Thiere ziehen könnte, nämlich dass alle Nerven- elemente bei ihnen eine bedeutende Grösse erreichen, findet hier keine Anwendung. Die Zellen sind klein, die Fasern dünn. Mio AJIT ANCE AL. ^1 wohl der Markscheide als der Hiille, bestehen also nur aus Cyclinderaxis. Die Contouren der Fasern sind uneben, bald verschmä- lern sie sich, bald schnellen sie an. Es gehen von den fast feine Fädchen, die mit Protoplas- maklümpchen oder sehr feinen Nervenzellen, die man sonst vielleicht als Kerne bezeichnen könnte, sich ver- binden (Fig. 6). Diese kleinen Nervenzellen sind zwi- schen den Fasern und zwar in einer ziemlich regel- mässigen Anordnung eingelagert. Der Hauptverlauf der Nervenfasern in den Ambulacralnerven ist der Länge nach derselbe. Die Lüngsfasern werden von fei- | ` neren Querfasern durchsetzt. Daraus stellt sich heraus, dass die Fasern in doppelter Richtung verlaufen, so- wohl der Quere, als der Länge nach. ab zu den Füsschen. Dieselben sind im Anfange eben- _ falls nicht rund, sondern, wie die Nervenstrünge über- haupt, etwas rinnenförmig ausgehöhlt. Der Haupt- stamm liegt zwischen den Füsschen und schickt sodann. feinere Zweige zu denselben. Die Nervenwurzeln las- sen sich ziemlich weit in die Ambulacralnerven oder Ambulacralgehirne: verfolgen, wo sie erst strahlen- fórmig aus s einander laufen und endlich mit t den Zellen sich verbinden, in der Weise, wie man es gewöhnlich bei Spinalnerven im Rückenmarke der hóheren Thiere sieht. Der Nervenring ist ein vc Band, dessen Form, wie ich schon früher erwähnt habe, von der Anzahl der Strahlen abhingt. An seiner inneren Kante, näm- lich vom Munde her, ist er an manchen Stellen, bei al- len von mir uutersuchten Seesternen, mehr oder weni- ger nach oben eingekerbt. Die Rinne oder der Halb- kanal der Ambulacralgehirne beginnt nicht unmittel- bar schroff an der äussern Kante des Bandes, son- dern geht erst allmählich in dasselbe über, indem die Rinne breiter, aber auch zu gleicher Zeit seichter wird (Fig. 1. b). Schliesslich finde ich fiir zweckmissig, einige Worte über die Untersuchungsmethoden hinzuzufügen, damit meine Resultate später durch andere Forscher contro- lirt werden können. «Ich untersuchte den Ambulacralnervenstrang, indem ich ihn herauspräparirte und zuerst denselben unver- sehrt von unten und oben bei verschiedener Vergrós- serung durchmusterte; dann zerzupfte ich ihn mit fei- nen Nadeln, so dass Zellen und Fasern zertrennt ein- zeln in Glycerin oder Wasser bei sehr starker Ver- grósserung untersucht werden konnten. Zuweilen färbte ich die Präparate mit Carmin. Die zweite Untersuchungsmethede war folgende: Die untere Fläche des Seesternskelets eines Strah- les wurde von der oberen abgeschnitten, die Fiisschen wurden meistens ausgerupft. Nachdem die Stiickchen desselben eine Zeitlang in starkem Spiritus gelegen hatten, wurden sie durch Terpentin durchsichtig ge- macht, natiirlich soviel es ging. Hernach legte ich kleine Stücke in heisses mit Öl vermischtes Wachs. Nachdem die Mischung erhärtet war, machte ich | mit einem Rasiermesser, welches mit Terpentin benetzt Von den Ambulacralnerven gehen Nervenwurzeln war, feine Queracltites De BAR “heisolegien Zeich- nungen zeigen, kénnen Ich habe auch die. von Wilson vorgeschlagene Me: thode versucht, jedoch von derselben keinen besonderen ‚Erfolg gesehen, so dass ich die von mir angeführte der Wilson’schen vorziehe. Fassen wir die berichteten Resultate kurz zusam- men, so ergiebt sich Folgendes: Der Nervenring ist ein plattes Band, etwas an der FREE EE e T Lin ilein Uca ng oc TI. ver SR Demanden eher t Nervensystem (e wi Li ~ ~ D EEN RN Er T 317 des Sciences de Saint- Pétersbourg. áussern Kante eingekerbt, und besitzt sowohl Ner- venfasern als Nervenzellen. Die Ambulacralnerven sind rinnenfórmige Kanäle, wodurch eine Ahnlichkeit mit dem Rückenmarke der hóheren Thiere statuirt werden kann. Sie bestehen aus zwei symmetrischen Hälften. Die Nervenzellen liegen mehr an der äussern Flä- che und zwar auf dem convexen Rande des Nerven- stranges. Die Nervenzellen sind multipolar, besitzen keine |. Membran und sind äusserst klein. An den Nervenfasern, die meistens dünn sind, un- ebene Contouren besitzen, sich verzweigen, ist vedo Nervenhülle, noch Nervenmark vorhanden. Die Nervenfasern, die von den Füsschen ausgehen und in die Ambulacralnerven eintreten, vertheilen sich dort fächerförmig, bevor sie sich mit den Zellen ver- binden. Ausser Nervenzellen und Nervenfasern sind in dem Nervensystem gar keine anderen hystologischen Ele- mente vorhanden. Von Aussen ist das Centralnervensystem durch ein festes Häutchen bedeckt. Erklärung. der Tafel. Fig. 1.a. Der Nervenmundring vom Asteracanthion rubens, von der oberen Fläche gesehen, d. h. von der, die dem Körper des Seesternes anliegt. Der dunkle Strich an der innern Kante des platten Ringes deutet die hier sich befindende Einker- bung an. b) Die von dem Nervenringe abgehenden Ambulacral- | nerven oder Gehirne. Die dunklen Striche deuten die Wände des Nervenkanals an, zwischen welchen sich eine Furche befindet. An der äussern Kante der Ambulacralgehirne sieht man abgerissene Ner- ven, die sich zu den Füsschen begeben sollen. ` Fig. 2. Ein Stückchen des Ambulacralnerven vom | Asteracapthion tenuispinus von unten p a) Der erhabene Theil des Ambulacra ten sieht man einen Riss, der durch eine dunkle gebrochene Linie angedeutet ist. Durch diesen Riss kann man in die Hóhle des Nervensystems hineinsehen b) Der platte Theil des Ambulacralnervs. c) Die Füsschen, die fast bis zu ihrer Basis abge- ervs. Un-| | durch kleine P schnitten sind, um den Verlauf des Nervensystems besser sehen zu kónnen. Fig. 3. Ein Stückchen vom Ambulacralnerven des. Aster. rubens von oben gesehen, stärker vergróssert als auf der vorhergehenden Fig. Der helle Strich ist der Kanal, die dunklen die Wände desselben. | Fig. 4. Dasselbe nur von unten gesehen. Man sieht auf beiden Figuren die längs- und querziehenden Ner- venfasern. Fig. 5. Ebenfalls ein Stückchen vom Ambulacral- nerven desselben Seesternes. a) Die an der Spitze der Leiste gelegenen Nerven- zellen. b) Die von denselben abgehenden Nervenfasern, die sich theils in Ambulacralnerven verlieren, theils deutlich zu den Füsschen verfolgt werden kón- nen. (Schwache Vergrösserung.) — Fig. 6 zeigt bei stärkerer Vergrösserung (über tau- send) die kleinen Nervenzellen, die an den Nerven- fasern im Innern der Ambulacralgehirne sehr regel- mässig gelagert sind, und die ich zu den Nervenele- menten rechne, obgleich sie als Körnchen erscheinen. Fig. 7. Ein Querschnitt durch den Strahl des Aster. tenuispinus. a) Ein Stückchen der Füsschen. b) Ein querdurchschnittener Ambulacralnerv mit der erhabenen Leiste oder Papille in der Mitte. (Sie ist etwas verschrumpft durch die Behandlung mit Spiritus.) c) Die obere Wand des Nervensystems. Zwischen den beiden Blättern ist ein hohler Raum vorhanden. d) Ein elastisches Längsband. e) Wassergefäss. Fig. 8. Dieselben Verhältnisse bei einem andern Seesterne. Das Häutchen, das von oben den Nerven- kanal schliesst, end in den Kan — —2 Fig 9. Ein Querschnitt, jae abenen ` A stellend. Von aussen ist durch die dunkle Linie das Häutchen angedeutet, welches das Nervensystem. umgiebt. Oberhalb desselben sind ınkte Nerven allein angedeutet, die von = Seiten von Nervenfasern == rie sind. , 319 Bulletin de l'Académie Impériale Note sur l'exécution en cuivre galvanique de la Statue de Notre Dame de la Garde (statue de neuf métres de haut) par MM. Christofle et Bouilhet. (Lu le 27 janvier 1870.) La Statue de Notre Dame de la Garde, exé- cutée en cuivre galvanoplastique, est la première oeuvre colossale qui ait été entreprise depuis la dé- couverte de la pile et la mise en pratique des mer- veilleux procédés dont M. Jacobi a doté l'industrie. A ce titre, l'oeuvre présentait plus d'un cóté inté- ressant à étudier; la nouveauté du résultat et des moyens qui devaient étre employés, méritait un exa- men sérieux. Hâtons-nous de dire que le succès a dépassé l'attente de tous, méme des auteurs de ce grand travail, MM. Christofle et Bouilhet, en don- nant la confirmation éclatante de certains faits avan- cés par eux, et en faisant apparaitre des résultats nouveaux et satisfaisants. Nous dirons dans les lignes qui vont suivre, com- ment l'oeuvre a été conduite à bonne fin. Nous ne parlerons pas des procédés galvanoplastiques en eux- mémes (tout le monde en connait aujourd'hui la théo- rie), mais seulement des moyens qui ont été employés pour l'exécution de la Statue de Notre Dame de la Garde. Le modèle a été exécuté par monsieur Lequesne, au cinquième; puis, par ses soins il a été mis au Point par parties séparées. Au fur et à mesure de leur achèvement, chaque tronçon en plâtre a été trans- porté dans les ateliers de MM. Christofle et Co. Là, après les avoir fait sécher covenablement, on s’est . mis en mesure de les mouler. La gutta-percha qui devait servir à ce travail a été chauffée à une tempé- rature convenable, et appliquée à chaud sur le plátre, préalablement enduit de plombagine pour éviter l'ad- hérence. 4000 kilogr. de gutta ont été employés à ce travail en formant une enveloppe de quelques cen- timètres d'épaisseur; des ferrures noyées dans la gutta servaient d'armatures, et étaient disposées de manière à consolider les moules et à les manoeuvrer dans les différentes phases de l'opération. Puis le plátre cassé dans l'intérieur, le moule fut lavé et plombaginé avec soin; les fils conducteurs placés, les parties ronde-bosse armées de leurs anodes en plomb; le moule était alors prét à étre mis au bain. Des piéces de dimensions aussi extraordinaires * nécessitaient des bains d'un volume hors de propor- tion avec ceux qui servent aux opérations courantes, Des cuves spéciales furent construites: elles avaient 3 métres de longueur sur 5 m. de largeur et 3 mé- tres de profondeur, elles contenaient 45000 litres de dissolution saline de sulfate de cuivre. Le fonds sup- portait par conséquent une pression de quarante-cinq tonnes d'un liquide d'une densité de 1.190 pesant environ 53000 kilogr. Le sulfate de cuivre y entrait pour un poids de 9000 kilogr. environ, soit 2250 kilogr. de cuivre pur. La densité du liquide variait suivant la profondeur dans les cuves, et divers essais faits donnérent: à la surface une densité de 1.186 à 1 m. 40 EK 1.190 à 2 m. 30 » 1.192 Une agitation produite artificiellement de temps en temps suffisait pour la rendre uniforme. On sait que pour produire le dépót du métal dans un bain de sulfate de cuivre, il y a deux méthodes: celle de l'appareil simple et calle de l’appareil com- posé. Le premier est employé pour exécuter les bas- reliefs en mettant la face intérieure du moule en re- gard d'un vase poreux producteur de l'électricité et plongeant dans le bain lui-même. Le deuxième pour obtenir des rondes-bosse. Dans ce cas le moule est fermé et contient intérieurement un noyau en plomb (anode insoluble) destiné à con- duire l’électricité dans les parties les plus profondes du moule. Le plomb est en rapport avec le pôle positif d’une pile placée en dehors du bain, tandis que le moule est en contact avec le pôle négatif. C’est ce dernier procédé qui a été inventé en 1864 par MM. Christofle et Co., et sans lequel il eût été - impossible d’exécuter un travail aussi considérable, Ces deux méthodes ont été employées concurrem- ment. d On comprendra facilement, quand on pense à la di- mension de ces moules, où plusieurs ouvriers pou- vaient travailler à la fois sans se gêner, que certaines parties pouvaient être considérées comme des bas- reliefs et par conséquent être exécutées par l'appareil simple tout en produisant un tronçon ronde-bosse d'un o morceau. . des Sciences de Saint- Pétersbourg. Mais la grande difficulté était de trouver des vases poreux d'une capacité et d'une hauteur suffisantes pour des moules de 2" 70 à 3" de haut. Des vases en terre poreuse de 1" de long, tels qu'on les trouve dans le commerce, étaient d'un emploi insuffisant, car la partie bosse du moule (1” 70 environ) se trouvait en dehors de l'action électrolitique. Des expériences faites avec soin sur des témoins de longueurs différentes, nous avaient appris que le poids de cuivre déposé sur une surface donnée dé- croit comme le carré de la distance du moule au point qui est la source d'électricité. L'une d'elles avait donné les résultats suivants: Une bande de gutta de 1”50 de long avait été mise en rapport avec un zinc de 0,50 de long. Aprés sept jours de dépót la bande fut coupée en trois parties égales, et les trois fragments de cuivre déposé de 0,50 chacun avaient été pesés, et l'on avait reconnu que la partie supérieure avait pris: 303 gr. 127.3 90 » Partie supérieure... . La partie médiane .. . La partie inférieure . . ce qui représente le quart du poids déposé sur la partie du moule en regard du zinc et qui confirme la loi que le poids du cuivre déposé décroit comme le carré des distances. De là, la nécessité d’employer des vases d’une lon- gueur presque égale à celle des moules. On comprend dés-lors toute la difficulté que nous avons dû rencontrer pour nous procurer des vases de 3 mètres de hauteur. Après différents essais on s’ar- rêta à l’emploi de la toile à voile à 4 épaisseurs | goudronnées aux coutures. Bien qu’au premier abord, l'avantage de ces sacs - parüt trés sensible, puisque la vitesse du dépôt était une fois et demie plus grande qu'avec les vases en terre poreuse; d'autres inconvénients que l'usage nous fit reconnaitre, le firent abandonner. Le défaut de rigidité les faisait s'applatir sous la pression du (1,029); et leur grande perméabilité faisait qu'à la partie inférieure, sous la pression des bains, l'endos- | mose se produisait rapidement et deg un demas i ment trop fréquent du liquide excitateur. Tome XV. = ‘après achèvement wis la -— liquide extérieur dont la densité 1.190 dépassait de| beaucoup celle de l'eau acidulée qu’ils contenaient Nous fümes donc obligés de revenir aux vases po- reux; et pour éviter l'exécution dispendieuse de vases de terre de grande dimension, nous essayámes une disposition de tuyaux à emboitement qui formérent joint de 0" 70 en 0" 70. Nous pümes ainsi obtenir économiquement toutes les hauteurs qui nous étaient nécessaires. Le dernier tuyau était fermé à sa partie inférieure par une ron- delle de terre poreuse. Les parties ronde-bosse étaient garnies de noyaux en plomb isolées du moule et fonctionnaient sous l'in- fluence d'une forte pile de Bunsen. Pour fixer les idées sur l'exécution d'un des tron- cons, le premier par exemple, nous dirons que 25 vases poreux de 2" 40 de haut, représentant une sur- face de 22"7 de zinc, étaient plongés verticalement devant les parties qui se prétaient à ce travail. 40- piles de Bunsen associées en tension et présentant une surface de 6" fournissaient l'électricité à une sur- face équivalente de plomb. | Ce tronçon est resté dans le bain pendant 120 jours; il a pris 867 kilogr. de cuivre, soit environ 7.200 par jour. Le deuxième tronçon dont la surface était plus considérable a pris 1257 kilogr., en 130 jours, par conséquent, 9.650 par jour. Le troisième a pris 765 kilogr. en 85 jours, c.-a.-d. 9 kilogr. par jour. En tenant compte de la surface de chaque tronçon on arrive à une moyenne de 5 à 6 grammes par jour {et par décimétre carré. . C'est cette lenteur qui explique la cohésion et la densité du cuivre de 8,96 qui a été reconnue dans les expériences dont nous parlerons ci-aprés. La surface de la statue étant évaluée à 125"9, et en admettant une moyenne de 3'?5 d'épaisseur pour le cuivre et en supposant que le cuivre pèserait, à cette épaisseur 307800 le metre superficiel, on ar- rive au poids de 3850 kilogr., chiffre - égal au poids des différents tronçons qui s'est élevé à 3995 kilogr. 250 gr. d'aprés n nos iun. = ! mnm 4 y tte MULTA TY e depos Lorsque le des quatre KC drm panne, e par par- duction très exacte du el le moule avait été ar | 21 Bulletin de l’Académie Impériale 324 Il s'agissait alors de consolider ces différents tron- cons par un système d'armatures destinées à donner en méme temps une rigidité plus grande à l'enveloppe galvanique, une liaison trés solide des différentes par- ties entre elles et une réunion intime avec l'armature - centrale, cette dernière ayant pour but principal de relier la statue au monument tout en permettant l'évolution d'un escalier intérieur. Il y avait donc là des conditions à remplir qui pré- sentaient une certaine difficulté d'exécution. Voici comment l'opération a été conduite: Les différents troncons furent d'abord étamés in- térieurement sur toute leur surface, afin de per- mettre de fixer en tel endroit qui, par suite, serait jugé convenable, les points d'attache de l'armature. Un fer plat de 12"" d'épaisseur, suivant tous les con- tours des troncons, fut soudé à l'étain sur toute leur périphérie, de maniére à augmenter la surface hori- zontale des joints. Cette consolidation avait aussi pour but d'augmenter la résistance à la torsion et de "présenter une union plus intime avec les pattes de liaison qui y seraient fixées plus tard. Chaque joint est formé par 12 ou 16 pattes, suivant les besoins. La colonne centrale est composée de 8 fers à T disposés verticalement et reliés entre eux par des ceintures placées à 0,60" de distance. Des croix de St.-André reliaient ensemble la ceinture et mainte- naient l'écartement des fers à T: elles sont au nombre de 96. La base de la colonne est consolidée par 1 un tube de 1" 20 de diamètre, en tôle et de 10”” d'épaisseur et calibrée sur un tube pareil qui est fixé sur le mo- nument et devra pénétrer dans l'intérieur de l'arma- ture sur une hauteur de 2 métres. Au niveau de la partie sphérique sur laquelle re- pose la Vierge, une plate-forme en fonte est fixée á la colonne; elle sert aussi á recevoir le poids des tron- cons de galvano et à la reporter sur la colonne inté- Cette plate-forme est formée de 8 secteurs en fonte boulonnés sur la -colonne et portant des goussets en tôle découpée, épousant tous les contours du socle y La ce ainsi établie se divise comme la statue i elle- SSC en 3 tronçons dont les plans de section . Correspondent aux plans de section de la Vierge. Ces tronçons sont reliés par 130 entretoises en fer vissées sur l'enveloppe de cuivre galvanique par des vis en cuivre et fixées sur l'armature par des boulons qui servent à monter les croix de St.-André. Sur le plan des sections, des croix de St.- André disposées horizontalement, sont destinées à empécher la torsion et à solidariser davantage la réunion de la statue et de l'armature. Tous les fers en contact avec le cuivre étamé sont étamés eux-mêmes afin d'empêcher toute action gal- vanique ultérieure; tous les fers de l’armature cen- trale sont peints au minimum: Les différents métaux qui -ont été employés dans la confection de la Statue de Notre Dame de la Garde, se décomposent comme suit: Cuivre galvanique........ 3995.250 BE... :. 251.800 | 4247.050 A De een. 2290.150 rei 1087.500 Bar ui, 2171.900 } 2929 409 Armature centrale ........ Er e m wr 4394.750 130 Entretoises. . . ..,.... 546.060 | Base... LI 121.600 ¿ 945.956 59 Entretoises ic. tes 278.290 Bt : - Total 15,137,300 Lorsque ce grand travail a été achevé, une com- mission chargée d'en vérifier les conditions d'exécu- tion, s'est livrée á diverses études dont voici les prin- cipaux résultats. Densité. Des essais pris sur les différents points de la statue, ont donné les poids spécifiques suivants: 1° tronçon = 9.09 ae ‘0.0 To dE Ces trois échantillons réunis à deux autres pièces d'essai, levées sur le 4"* tronçon formé par le corps de l'Enfant Jésus ont donné une moyenne de 8.96. Cette densité est considérablement plus élevée que celle du cuivre laminé (8.87). C'est là un fait de la plus haute importance. Les conditions toutes nouvelles de dépôt galvanique fait avec une extrême lenteur dans un bain d’une capacité considérable, par conséquent moins sensible aux changements de température et aux inégalités de saturation ont déterminé une agglo- 325 des Sciences de Saint-Pétersbourg. mération moléculaire beaucoup plus fine, à grains plus serrés, par conséquent plus douce, Malléabilité. Des échantillons de cuivre prélevés sur les rognures, ont été soumis à différentes épreu- ves qui ont montré sa malléabilité, Ils ont été lami- nés, étirés en fils très fins et des plaques ont été repoussées, elles ont servi à fabriquer des vases de différentes grandeurs et cela comme si l’on avait em- ployé le meilleur cuivre rouge du commerce. . Pureté. A l'analyse, comme on pouvait s'y at- tendre, il a été trouvé chimiquement pur. Kanaane: Une bande de cuivre soudée à oe sur une lame de fer a été contournée à froid de ma- nière à former un S. Dans les 2 cas, les deux mé- taux ont obéi à la pression, sans qu'aucun déchire- ment ne soit venu en détruire l’adhérence. De plus, différentes soudures ont été faites et soumises au banc de traction du Conservatoire des Arts et Mé- tiers. Ces expériences dirigées par M. Tresca, sous directeur, ont montré que la soudure d’étain dis- posée comme elle l’a été dans les différentes parties de la Statue de Notre Dame où on a cru devoir l'ap- pliquer, résiste à un effort de 400 kilogr. par centi- mètre carré. Tels sont les principaux faits que Pexécution de ce travail a révelés et qui sont de nature à en faire comprendre l’importance et apprécier la réussite. Studien über Ozon, Wasserstoffhyperoxyd und salpetrigsaures Ammoniak, Vorläufige Mit- theilung von Heinrich Struve. (Lu le 5 mai 1870.) Gegenwärtig beschäftigt, meine bisherigen Studien über Ozon, Wasserstofthyperoxyd und salpetrigsaures Ammoniak zusammenzustellen, sehe ich leider ein, dass ich den Abschluss derselben noch nicht so bald, als es in meinem Wunsche lag, zu Stande bringen werde und deswegen halte ich es für gerechtfertigt, erst diese vorläufige Mittheilung zu veröffentlichen. Diese schliesst sich meiner Notiz') über die Gegenwart des Wasserstoffhyperoxyds in der Luft an und dient gleich- | sam als Erweiterung der dort aufgestellten Ansicht über die Beziehung des Ozons, n und salpetrigsauren Ammoniaks zu d 1) Zeitschrift für analytische Chemie. 8. ve 1865. É 315. | Am 5.(17.) April vorigen Jahres theilte ich der cau- casischen medicinischen Gesellschaft die Entdeckung des Wasserstoffhyperoxyds als beständiger Begleiter aller atmosphärischen Niederschläge mit. Später erst durch briefliche Mittheilungen, dann durch verschiedene Journäle erfuhr ich, dass dieses Vorkommen des HO” schon früher im Jahre 1863 vom Prof. G. Meissner in Göttingen nachgewiesen war. Diese Thatsache war dem wissenschaftlichen Publi- blikum aber durchaus unbekannt geblieben, da ja selbst der Entdecker des Ozons dieselbe nicht kannte. Hierfür spricht am deutlichsten, dass die letzte Arbeit von Schónbein?) über das Vorkommen des HO? in der Atmosphäre handelte. Unter solchen Umständen ist es zu entschuldigen, wenn ich hier in dem ersten, leider bisher nur zeit- weiligen chemischen &aboratorium, das nach Asien hin vorgeschoben ist, in der Literatur im Rückstande war und mit einer Entdeckung vortrat, die schon an- derwürts früher gemacht war. Ich gelangte zu der- selben auf einem Umwege, durch Untersuchungen des Wassers des Kur in Bezug der Verunreinigungen, die er überhaupt mit sich führt und die er während des Laufes durch Tiflis aufnimmt. Um bei dieser Arbeit — die überhaupt grosse Schwierigkeiten darbietet und zwar vorzüglich aus Mangel an rasch auszuführenden guten Bestimmungs- Methoden — einige eigenthümliche Erscheinungen er- klären zu können, war ich veranlasst, die atmosphä- rischen Niederschläge mit in den Kreis meiner Beob- _ achtungen hineinzuziehen. Bei der Untersuchung derselben trat mir die Entdeckung der beständigen Anwesenheit des HO? in allem Regenwasser und Schnee entgegen. Vom 3.(15.)Januar bis zum 8.(20. ) Mai 1869 konnte ich 15 Untersuchungen von atmosphärischen Nieder- schlägen ausführen und zwar 7 Mal Schnee und 8 Mal Regenwasser. In allen diesen Niederschlägen konnte augenblicklich die Gegenwart von salpetrigsau rem Am- ınoniak dargethan werden, während das | leic Auftreten des HO? erst am 13. (25.) I E ! URP RENE C : 2) Journ. f. ne 1869 106, 8. 270. St? Bulletin de l'Académie Impériale Ž dene Versuche im Laboratorium führten mich damals zum allgemeinen Schlusse, dass die Körper Ozon, Wasserstoffhyperoxyd und salpetrigsaures Am- moniak in sehr naher Beziehung zu einander stehen. Jetzt möchte ich mich über diese Beziehung noch bestimmter aussprechen, dass bei allen Ver- brennungs-Erscheinungen in der atmosphäri- schen Luft sich immer diese 3 Körper bilden müssen. Am schönsten und grossartigsten finden wir diese Erscheinung in der Atmosphäre selbst, wo unter dem Einfluss electrischer Entladungen, vielteichs auch von anderen Ursachen, Vert vor sich gehen, deren Resultate wir in der Luft selbst und in den atmosphärischen Niederschlägen nachweisen können. Hieraus folgt dann auch sogleich, dass das bestän- dige Auftreten von salpetrigsaurem Ammoniak in allen atmosphärischen Niederschlägen durchaus nicht nur als das Resultat einer terrestrischen Erscheinung der Verbrennung, Fäulniss und Verwesung aufgefasst wer- den darf. = : Von Wichtigkeit war es aber, dieses Zusammen- auftreten der 3 Körper bei Verbrennungen auf der Erde zu verfolgen. Hierzu müssen wir zuerst die Li-| teratur befragen. ‘Th. v. Saussure war der Erste, der auf die Er- scheinung aufmerksam machte, dass sich beim Ver- brennen von Wasserstoffgas in atmosphärischer Luft neben Salpetersäure auch Ammoniak erzeuge. Saus- sure hielt das für Salpetersäure, was nach späteren | Versuchen sich als salpetrige Säure herausstellte. Im Jahre 1845 zeigte darauf Sehönbein, dass bei der Verbrennung der Kohlenwasserstoffe, Fette u. s. w. eine oxydirende Materie entstehe, welche unter geeig- neten Umständen die Indigolösung zu zerstören, aus Jodkalium Jod abzuscheiden und noch andere Oxyda- tionswirkungen hervorzubringen vermöge. Was die fragliche Materie sei, ob salpetrige Säure oder etwas anderes, konnte damals Schönbein nicht entscheiden. Diese Thatsache blieb unerklärt bis zum Jahre 1861, wo Schónbein?) im weiteren Verfolge seiner ia gen Arbeiten auch zu dieser Frage wieder zurück- kehrte. Hier zeigte er dann, dass die langsame Ver- 3) Journ. f. prakt. Chemie. 1861. 84, S. 221. brennung von Phosphor nicht ein einfacher Oxyda- tionsprocess des Phosphors und gleichzeitige Bildung von Ozon, sondern eine viel complicirtere Erscheinung sei. Es bilden sich ausser Ozon nicht weniger als 6 verschiedene Verbindungen, nämlich phosphorige Säure, Phosphorsüure, salpetrige Säure, Salpeter- siure, Ammoniak und Wasserstoffhyperoxyd. In demselben Jahre (1861) theilte Böttger‘) auf der Versammlung der deutschen Naturforscher zu Speyer mit, dass das beim Verbrennen von Wasser- stoffgas entstehende vollkommen neutrale Wasser die Eigenschaft besitzt, die schwach mit verdünnter Schwefelsäure angesäuerte Jodkaliumlösung sofort unter Ausscheidung von Jod zu zersetzen und eben- so eine verdünnte ungesäuerte Lösung von mangan- saurem Kali zu reduciren. Böttger glaubte diese Eigenschaften des Wassers nicht vom Vorhandensein von Wasserstoffhyperoxyd abhängig machen zu dürfen. Da in der Versammlung Schönbein zugegen war, so wurde er aufgefordert, seine Meinung zu sagen. Schönbein, Anfangs sich für Wasserstoffhyperoxyd aussprechend, führte einen Versuch aus und nach demselben entschied er sich für salpetrigsaures Am- moniak. Böttger trat dieser Ansicht bei, indem er noch hinzufügte, dass nach neueren Untersuchungen sich das in der That merkwürdige Resultat herausgestellt hat, dass nicht bloss beim Verbrennen von Wasser- stofjas in atmosphärischer Luft, sondern überhaupt beim Verbrennungsprocess kohlenwasserstoffhaltiger organischer Stoffe neben Wasser und Kohlensäure jedesmal geringe Mengen von | Ammo- niak auftreten. ` Dieses Factum finden wir später von Schénbein’) durch eine Reihe interessanter Versuche bestätigt, welchen er noch die wichtige Thatsache hinzufügte, dass schon bei einfacher Verdampfung des Wassers in atmosphärischer Luft sich salpetersaures Ammoniak bilde. Gegen diese Bildung von salpetrigsaurem Ammo- niak beim Verbrennen von reinem Wasserstoffgas trat im folgenden Jahre G. Meissner‘) auf. Er behaup- . f. prakt. Chemie. 1862. 85, S. 396. 2 veris Chemie. 1862." 86, S. 131. 329 des Sciences de Salat» Pétevipdind. tete, dass, wenn man unter geeigneten Umständen die Verbrennung des Wasserstoffgases erfolgen lässt, man ein Wasser erhalte, das vollkommen neutral sei, und in dem die Gegenwart von Wasserstoffhyperoxyd dar- | gelegt werden kénnte. Zu demselben Resultate kam es unter Anwendung einer Weingeist- oder Leuchtgas- Flamme. Meissner führt keinen Versuch zum Nachweis von salpetrigsaurem Ammoniak an, was zur Entscheidung der Frage durchaus nöthig gewesen wäre. Es blieb hiernach unentschieden, und später ist diese Er- scheinung nicht wieder in Erörterung gezogen wor- den, selbst Böttger hat sie nicht wieder aufge- nommen. Schliesslich erschien die Notiz von O. Loew’) aus New-York (December 1869) über die Erzeugung von Ozon bei lebhafter Verbrennung. Loew stellte fol- gende allgemeine Schlüsse hin: 1) dass bei jeder Ver- brennung der Sauerstoff zuerst in Ozon verwandelt wird; 2) dass mehr Ozon gebildet wird, als zur vülli- ` gen Verbrennung nöthig ist; 3) dass dieses Plus an Ozon, das unter gewóhnlichen Umständen durch die hohe Temperatur der Flamme wieder zerstórt wird, durch einen starken Strom kalter Luft unverändert , aus der Flamme weggeführt werden kann. Wir sehen aus dem Mitgetheilten, dass die Bil- | dung der genannten 3 Kórper bei verschiedenen Ver- brennungs-Erscheinungen beobachtet worden ist, ihr Zusammenauftreten aber nur beim Phosphor bewie- sen war. Es ist deswegen jetzt meine Aufgabe, zur Bestäti- gung des oben aufgestellten allgemeinen Satzes bei verschiedenen Verbrennungs-Erscheinungen die stete Bildung der genannten 3 Kórper nachzuweisen. Am einfachsten ist dieses bei dem Verbrennen des Wasserstofigases. Lässt man eine kleine Wasserstoff- je unter einem lang ausgezogenen Trichter Berg so findet durch die, durch die Flamme erzeugte , Wärme ein beständiger Luftzug aus der engen Offnung des Trichters statt. Die hier entwei- chende Luft ist stark ozonisirt, was sich gege bá in diesen Luftstrom einen feuchten Streifen nrag |z pier oder einen mit Guajactinctur benetzten Papier-| Bei durch die Geruchsorgane erkennen lässt. 7) Zeitschrift für Chemie. 1870. 13. Jahrgang. N. F. VI. S. 65. ‚streifen hinein, so zeigen diese rasch die characteri- stischen Reactionen des Ozons an. Sammelt man die Wasserdämpfe, die sich im Ver- lauf der Verbrennung bilden und sich an den Wänden des Trichters niederschlagen, so reagiren dieselben vollkommen neutral. In diesem Wasser kann man augenblicklich die Gegenwart von Wasserstoffhyper- oxyd und salpetrigsaurem Ammoniak nachweisen und zwar durch ihr verschiedenes Verhalten zum Jod- | kalium. Dieser Versuch eignet sich in ausgezeichneter Weise zu Vorlesungen, da man durch denselben nicht nur die Bildung, sondern auch die Eigenschaften der genannten 3 Körper leicht demonstriren kann. An Stelle der Wasserstoffgasflamme kann man auch eine Alkoholflamme nehmen. Die Erscheinungen blei- ben dieselben, nur dass hier noch Kohlensüure auf- tritt und das Wasser immer eine schwach saure Re- action anzeigt. Bei den meisten Verbrennungs-Erscheinungen wird das gleichzeitige Auftreten dieser 3 Kórper nachzu- weisen nicht móglich sein, indem Nebenerscheinungen und Umstände auftreten können, die, wenn auch nicht die Bildung desselben verhindern, so doch die augen- blickliche Zersetzung derselben veranlassen. Zumal das Ozon und das Wasserstoffhyperoxyd werden in ` vielen Füllen nur ephemere Erscheinungen bilden, während das salpetrigsaure Ammoniak, als ein Salz, sich leichter ferneren Zersetzungs-Einflüssen entzieht. Künnen wir deswegen bei irgend einer Verbrennung in der atmosphärischen Luft auch nur die Gegenwart dieses letzteren Kórpers nachweisen, so berechtigt uns schon diese Thatsache zur Annahme einer gleichzeiti- gen Bildung der anderen beiden Kórper. Dieses giebt uns dann auch den Schlüssel an die Hand, um ipd anderen Körpern fernerhin nachzuforschen, oder nu um uns von ihrem Soe aera Auftreten. à lur ch h timmtan Effect, N Bulletin de l'Académie Impériale 332 Wie sind nun in diesem Process die genannten 3 Kör- per nachzuweisen? Eine Antwort finden wir zuerst in der physiologisch- chemischen Studie von Dr. A. Schmidt?) «Über das Ozon im Blute» und dann noch schlagender in der Thatsache, dass man im Speichel und noch besser in der ausgeathmeten Luft immer Spuren von salpetrig- saurem Ammoniak nachweisen kann. Der Versuch, um sich hiervon zu úberzeugen, ist nicht schwer auszuführen. Man hat nur nöthig, während einiger Augenblicke in ein grosses Becherglas, dessen Wände mit etwas Wasser befeuchtet sind, hineinzuathmen. Spült man später diese Flüssigkeit in einen Probircylinder hin- ein, so kann man in diesem Wasser mit Hülfe von Jod- kaliumstärke und verdünnter Schwefelsäure sogleich die deutlichste Reaction auf salpetrige Säure erhalten, während die Gegenwart des Ammoniaks mit Hülfe der Nessler’schen Reaction see dargelegt wer- den kann. - Aus verschiedenen quantitatives Versuchen glaube ich schon folgern zu können, dass die Bildung und Ausscheidung von salpetrigsaurem Ammoniak durch die am Morgen vor der Mahlzeit eine viel schwächere ist, als nach der Mahlzeit. Dieses steht auch im Einklange mit den pement gen überhaupt. | Die Thatsache dn Bildung von EEE Ammoniak bei der Respiration scheint mir neu zu sein, denn so viel ich hier nachschlagen und über- haapt in Erfahrung bringen konnte, ist sie bisher nicht beobachtet worden. Nach dieser Mittheilung wäre dann dem Stickstoff der atmosphärischen Luft keine passive Rolle im Re- spirationsprocess zuzuschreiben. Dieses steht freilich im Widerspruch i mit den Versuchen von Regnault und Reiset. Gestützt auf das Vorkommen des salpetrigsauren Ammoniaks im Speichel missen wir ein momenta- nes Vorhandensein desselben im Magensaft annehmen und alsdann dieser Verbindung eine bestimmte Rolle in der Verdauung nicht absprechen. Der Magensaft besitzt fast immer eine saure Reaction. Bei Gegen- wart einer Sáure, ausser Kohlensáure, zersetzt sich | 8) Dr. A. Schmidt, Über Ozon im Blute. Dorpat 1862. das salpetrigsaure Ammoniak und demnach muss eine solche im Magensaft erfolgen. Die freie salpetrige Säure muss dann gleich als kräftiges Oxydationsmittel wirken und hierdurch verschiedene Substanzen des Mageninhaltes in einen solehen Zustand überführen, dass sie leicht resorbirt werden können. Der directe Nachweis des Wasserstoffhyperoxyds bei der Respiration ist mir bisher noch nicht gelun- gen und bleibt ferneren Versuchen überlassen. Nur glaube ich hier daran erinnern zu müssen, dass Schünbein schon das Vorkommen des Wasserstoff- hyperoxyds im Harn °) in einzelnen Fällen durch Re- actions-Erscheinungen dargelegt hat. Diese Versuche verlangen aber eine neue Prüfung und Erweiterung. Über das Nervensystem der Lepas anatifera (anatomisch-histologische Untersuchung), von Dr. Eduard Brandt. (Lu le 2 juin 1870.) (Mit einer Tafel.) Während meines Aufenthaltes im Sommer des Jah- res 1869 an der Küste des adriatischen Meeres, in Triest, kam ich in Besitz einer Menge von Exemplaren der Lepas anatifera. Bekanntlich ist dieses Thier anato- misch von G. Cuvier) und Martin St. Ange?) un- tersucht worden. Nach den Angaben der beiden ge- | nannten Forscher wäre das Nervensystem dieses Thie- res ein ganz eigenthümliches und stelle sehr viel Abweichendes vom Baue des Nervensystems anderer Arthropoden dar. Es sollen nämlich die beiden Stränge des Bauchmarkes, welche ziemlich weit aus einander bleiben, bloss vorne und hinten durch ein Gehirn- ganglion und durch ein Schwanzganglion verbunden sein; die übrigen Knoten des Bauchmarkes wären ohne Quercommissuren. Diese Eigenthümlichkeit wird als etwas Charakteristisches für das Nervensystem der Lepadiden in allen zoologischen Hand- und Lehr- büchern, die den inneren Bau der Thiere berücksich- tigen, citirt. Spätere Untersuchungen Darwin's?) an einer anderen Lepas- Art, an der Lepas fascicularis- angestellt, zeigen im Gegentheile eine völlige Uber- 9) Journ. f. prakt. Chemie. 1864. 92, S. 152. 1) G. Cuvier. Mémoire sur les Mollusques. Paris. 1817. SET ees St. Ange. Mémoire sur l'organisation des Cirripèdes. Paris. 1835 3) Ch. Daivis A monograph of the — Cirripedia. 1851. 1855 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 334 einstimmung im Baue des Nervensystems dieser Le- pade mit dem der übrigen Arthropoden. Es erweist sich aus denselben, dass die Stränge des Bauchmarkes nicht aus einander weichen, sondern eine vollkommene Kette bilden, wie es bei den übrigen Athropoden der Fall ist. Nun war aber damit durchaus noch nicht der merkwiirdige Bau des Nervensystems von Lepas anatifera widerlegt, den G. Cuvier und Martin St. Ange beschrieben haben, weil Darwin eine ganz andere Species untersucht hat. Da ich Material genug hatte, um mir durch eigene Untersuchungen iiber das wirkliche Sachverhiltniss bei Lepas anatifera Licht zu verschaffen, so will ich auch hier dieselben mit- theilen. Das Nervensystem von Lepas anatifera (Fig. I) be- steht aus einem Gehirne (ganglia cerebralia Fig. I. 1 und Fig. II. @. C.) und aus fünf Ganglien (Fig. I. 2 — 6), welche die Bauchkette oder das Bauchmark (medulla abdominalis) zusammensetzen. Es weichen die Stränge des Bauchmarkes nicht aus einander, sondern ganz so wie bei den anderen Arthropoden, so auch hier sehen wir das Bauchmark in der Gestalt einer ununterbrochenen Kette, so dass dasselbe in dieser Beziehung eine grosse Ahnlichkeit mit der von Dar- win untersuchten Lepas fascicularis zeigt. Das grösste aller Ganglien ist dasjenige, welches gleich hinter dem Gehirne liegt, also das erste Bauchganglion (Fig. 1. 2). Das Gehirn ist grósser als die übrigen Bauchganglien, und das letzte Bauchganglion (Fig. I. 6) ist grósser, | als die drei vorhergehenden. Das Gehirn (Fig. 1. 1), welches am Ende des ersten Kórperdrittels gelegen ist, befindet sich ebenso wie die Ganglien der Bauchkette unter den Ver- dauungsorganen, so dass es nicht als ganglion supra- oesophageum (wie bei den übrigen Arthropoden, mit Ausnahme einiger der niedrigsten Crustaceen und Arachnoideen) bezeichnet werden kann. Darin liegt etwas Eigenthümliches für das Nervensystem der Cir- ripedien oder vielmehr der Lepadiden. Es ist also das Nervensystem derselben noch nicht zu jener Dif- ferenzirung gelangt, wo das Gehirn auch schon durch seine Lage deutlieh von den anderen Ganglien sich unterscheidet. Hierin stimmen also die Cirripedien mit den niédrigsten Arthropoden (Crustacea Siphono- | A x. A über- zufassen ist, kann gar keinem Zweifel unterliegen, s0- bald wir die aus demselben entspringenden Nerven und die demselben zugehörenden Commissuren prü- fen. Das Gehirn unseres Thieres besteht aus zwei quer gestellten länglich - rundlichen Ganglien, die mit einander durch eine quere Commissur (commissura transversa (Fig. I. c.¢ und Fig. IT. c. £)) verbunden sind. Zwei sehr stark entwickelte Lüngscommissuren (commissurae longitudinales Fig. I c.l. und Fig. IL. c.7.) verbinden das Gehirn mit dem ersten Bauchganglion (Fig. I. 2). Dieselben nehmen also eine Richtung von vorne nach hinten und sind sehr lang (die Länge der- selben betrügt die halbe Lünge der Bauchganglien- kette). Diese beiden eben genannten Commissuren umfassen ringförmig den oesophagus und entsprechen ‚also vollkommen dem Schlundringe der übrigen Ar- thropoden. Ich will noch mehr behaupten, indem ich sage, dass dieser Schlundring sogar den typischen Charakter des Crustaceenschlundringes besitzt. Es ist namentlich die grosse Lünge desselben, welche für das Nervensystem der Crustaceen charakteristisch ist, auch bei Lepas anatifera; welche zu derselben Classe gehört, vollkommen vorhanden. Diese beiden Com- missuren entspringen unmittelbar aus den Fasern der beiden das Gehirn constituirenden Ganglien (Fig. II. c. L.}, also so wie auch bei den übrigen Arthropoden. Nach vorne, d. h. dem Capitulum zu, sehen wir aus dem Gehirne zwei andere sehr dünne und lange Com- missuren (commissurae cerebro-ophtalmicae, Fig. I. c. 0, Fig. II. c. o) entspringen, welche dasselbe mit zwei sehr kleinen Augenganglien (ganglia optica, Fig. I. g. o, Fig. II. y 0), deren jedes je einen nervus opticus (n. o. Fig. II) zu dem unpaaren, mit zwei Linsen versehe- nen Auge (Fig. II. o. c) abschickt, verbinden. Die bei- den letzt genannten Commissuren, welche zur Verbin- dung des Gehirns mit den Augenganglien dienen, ent- 'springen nicht aus den Ganglien des Gehirns, sondern aus Fasern von Nervenzellengruppen, die in der com- missura transversa liegen und sich durch eine sehr geringe Grüsse von den Nervenzellen der | irn- ganglien unterscheiden , und zwar ‚die linke « | Commissuren auf der linken und die re te auf der iege Bein d IL. e is Zwischen. diesen beiden erv, à nó, der nich vorne Kafen stomata und Tardigrada unter den ein. Indess dass dieses Ganglion als das Gehirn Ge d verläuft (Fig. Bulletin de l’Académie Impériale IL. n. v, Fig. I. n. e). Zwischen den beiden ganglia optica theilt sich derselbe in zwei Astchen, deren je- des in noch kleinere Astchen zerfällt, die unmittelbar | vor dem Auge in der feinen, dasselbe an die Ver- dauungsorgane befestigenden Membran endigen. Die- sen Nerv kónnte man dem nervus recurrens oder va- gus der Insecten parallelisiren. Dafür spricht wenig- stens die Lage, der Verlauf dieser Nerven und seine Ramificationen. Dass die beiden ganglia optica so weit vom Gehirn entfernt würen, wie bei Lepas anatifera, sehen wir bei anderen Arthropoden nicht, indess so ganz allein für sich steht diese Thatsache denn doch nicht, sondern ich erinnere nur an die bedeutende Entfernung der ganglia optica einiger anderen krebs- artigen (Crustacea), z. B. der Daphniden. Aus jedem Gehirnganglion entspringt ein sehr starker, von hin- ten und innen nach vorne und aussen gehender Nerv (Fig. I. c, Fig. II. c) — nervus peduncularis, der am Capitulum sich in zwei Äste theilt. Der äussere Ast (Fig. L c, Fig. IL c) giebt Zweige an die Muskeln des pedunculus und kann also als nervus ilo- muscularis bezeichnet werden. Der andere, der in- nere Ast des genannten Nerven (due; nervus pedupeu: laris), ist der nervus ovarii (Fig. I. c', II. c'), der den im pedeneine gelegenen Eierstock imet Ans dem | infi lundringe (Fig. I. c. | und Fig. IL. c. D entspringen : Gene zwei Nerven: 1) ein mehr nach vorne gele- gener starker Nerv für die Musculatur der Wand des Capitulums (Fig. I. b, Fig. II. 6) und 2) ein viel kleineres hinteres Nervenästchen für die Mus- keln des Schlundes (Fig. II. r. m). Das erste Bauchganglion (Fig. I. 2), welches das grósste aller Ganglien ist, hat eine runde Gestalt und zeigt nicht die geringste Spur einer Zusammen- setzung aus zweien Ganglienhülften. Nach vorne ver- bindet sich dieses Ganglion durch den Schlundring (Fig. I. c. l) mit dem Gehirne (Fig. I. 1) und nach hinten verbindet sich dasselbe durch zwei Commissuren mit dem 2ten Bauchganglion (Fig. I. 3). Zwischen den beiden Commissuren, welche dieses Ganglion mit dem folgenden, d. h. mit dem 2ten Bauchganglion ver- binden, befindet sich der ne» (Fig.I.n. 8), welcher in der Form eines unpaaren Stranges vom hinteren Rande des ersten zum vorderen Rande des zweiten Bauchganglions verlüuft und sich durch sehr blasse und dünne Fasern charakterisirt. Aus dem er- sten Bauchganglion entspringen folgende Nerven: a) von der unteren Flüche des Ganglions: 1) jederseits ein nervus pedalis (Fig. I. np’) für das erste Fusspaar. Dieser Nerv theilt sich später in zwei Aste, nämlich in je einen für die beiden Cirren des Fusses, und da der vordere Cirrus einen Anhang hat, so giebt der vor- dere Cirrenast einen besonderen Zweig für diesen An- hang; 2) drei Nerven (Fig. I. ». ph), welche die Mund- organe innerviren. b). Von der oberen Fläche des er- sten Bauchganglions entspringen zwei Nerven für den musculus adductor scutorum (Fig. 1. a). Aus den Com- missuren, die das erste Bauchganglion mit dem zwei- ten verbinden, entspringt ganz dicht bei ihrem Ur- sprunge aus dem ersten Bauchganglion jederseits ein kleiner Nerv (Fig. I. ». m), der die Muskulatur des Rumpfes in der Umgebung des ersten Fusspaares mit Nerven versorgt. Das besprochene erste Bauchgan- glion ist nicht als ein Homologon der anderen Bauch- ganglien anzusehen, sondern er würde einem ganglion infraoesophagewm +- dem ersten Bauchganglion ent- sprechen, weil er nicht bloss das erste Fusspaar, son- dern anch: die Mundtheile mit Nerven versorgt, wäh- rend die letzteren Organe sonst, wenigstens bei den hóheren Crustaceen, von einem besonderen ganglion raoesophageum oder von einem ganglion cephalotho- racicum versorgt werden. - Die drei folgenden Bauchganglien sind viel kleiner sh das erste und zeigen deutlich eine Zusammen- lió Hälften, die jedoch einander pum geniihert sind und also durch eine sehr kurze verbunden werden (Fig. D). =. den Längscommissuren, welche diese drei Paare von Ganglien unter einander und das 4te Gan- glion mit dem 5ten oder letzten Bauchganglion ver- binden, verläuft der sympathische Nerv, der immer als ein kleiner Strang erscheint, welcher zwischen dem vorderen Rande eines und dem hinteren Rande eines anderen Ganglions liegt und durch die Bauchganglien unterbrochen wird (Fig. I. 2—6. n. s). Aus dem 2ten, 3ten und 4ten Bauchganglion entspringt jederseits ein nervus pedalis (Fig. I. n. p’, n. p^, n. p'), der, ebenso wie der nervus pedalis des ersten Bauchganglions, sich in die beiden Cirrennerven spaltet. Ausserdem giebt jede Längscommissur ebenso einen Muskelnerv (Fig. I. n. m.), wie die Commissur, welche das erste Bauch- ganglion mit dem zweiten verbindet. 337 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Das fünfte oder das letzte Bauchganglion (Fig. I. 6.), welches keine Spur einer Zusammensetzung aus zweien Hälften zeigt, besitzt eine runde Gestalt, und muss als eine sehr innige Verschmelzung zweier Ganglien angesehen werden, denn dasselbe ist grösser als die drei anderen Bauchganglien und giebt, auch zwei Paar (und nicht ein Paar) Fussnerven — nervi pedales, nämlich für das fünfte und für das sechste Fusspaar. Das letzte Fusspaar giebt nach innen je einen starken nervus caudalis (Fig. I. n. c). Die bei- den nervi caudales verlaufen jederseits bis zur Spitze des sogenannten Schwanzes oder penis und versorgen denselben mit Astchen. Die feinere oder mikroskopische Structur des Ner- vensystems von Lepas anatifera zeigt folgendes Ver- halten. Die Ganglien der Bauchkette sowohl, als das Gehirn haben äusserlich eine Zellenlage (Cortical- substanz) und innen eine aus feinen Kórnchen zusam- mengesetzte Substanz, die sogenannte Punktsubstanz von Leydig (Medullarsubstanz) (Fig. II. G. C). Alle | Nervenzellen sind hüllenlos und besitzen einen sehr | deutlichen Kern (nucleus) und je ein Kernkórperchen (nucleolus) (Fig. 3. a und b). Ihre Gestalt und ihre Grüsse zeigen Verschiedenheiten. Einige sind rund, andere birnförmig. Was ihre Grösse betrifft, so sehen wir namentlich im Gehirne die gréssten Schwankun- gen. In den Gehirnganglien finden wir grössere und kleinere Zellen; namentlich von 0,185 — 0,270 Millim.; -dieselben sind entweder unipolar oder apolar. Es fin- den sich aber im Gehirne noch viel kleinere Zellen, welche namentlich in der Quercommissur (commissura transversa) liegen; diese messen 0,1110 Millim. (Fig. U. A). Aus den Fasern dieser Nervenzellen entsprin- gen die commissurae cerebro-ophtalmicae und der ner- vus recurrens sive vagus, während aus den Fasern der Nervenzellen, welehe die Gehirnganglien zusam- mensetzen, die commissurae longitudinales (c. 1. Fig. I und ID, welche das Gehirn mit dem ersten Bauch- knoten verbinden, entspringen. Die sehr zarten Ner- venzellen lassen sich sehr schwer isoliren. In ihrem Zusammenhange in den Ganglien und namentlich in dem Gehirne kann man dieselben sehr schón sehen, indem man auf folgende Art verfährt. Nachdem das Gehirn oder irgend ein Bauchganglion aus der Con- tinuitát nn war, brachte ich € es s auf ein Ob- rhta aa mit an Kar. gms goe XV. minlósung in Ammoniak. Darauf legte ich das Gan- glion in einen Tropfen Glycerin und betrachtete das- selbe unter dem Mikroskope, fortwührend das Deck- gläschen etwas drückend. Die Ganglien sind ziemlich durchsichtig, weil das Neurilem, obgleich dick, doch pigmentlos ist. — Die gróssten Nervenzellen finden sich in den Augenganglien (ganglia optica). Das ganze Ganglion besteht nur aus zwei Zellen (Fig. II. g. o, Fig.1.9.0.), welche 0,62 Mill. Länge besitzen. Eine jede Zelle zeigt einen deutlichen nucleus und nucleolus und ist bipolar. Die Commissuren und die Nerven des Ge- hirnes und aller anderen Ganglien des Nervensystems der Lepas anatifera enthalten nur marklose Fasern. Diese Nervenfasern, we!che den Nervencylindern oder Achsencylindern der markhaltigen Nervenfasern der Wirbelthiere und einiger Wirbellosen entsprechen sind direkte Fortsetzungen der Fortsätze der Nervenzellen, wie man es sehr deutlich am Gehirne und an den Angen- ganglien sieht. An dem Gehirne (Fig. II. k.) sieht man, wie die Fortsátze der die Ganglien desselben zusammen- setzenden Zellen als Fasern der commissurae longitudi- nales (l. c.) aus dem Gehirne austreten und dieselben constituiren; ebenso wird auch der Nerv 5 (Fig. II. 5), der zur Wand des Capitulums geht, gebildet. Die bei- den Commissurae cerebro-ophtalmicae (Fig. II. c. 0) ent- springen, wie schon oben erwähnt wurde, aus der Com- missura transversa cerebri. Beiderseits dieser Commis- sur liegt je eine Gruppe kleiner Nervenzellen, (Fig. U.A), uud aus diesen entspringen die commissurae cerebro- ophtalmicae. Eine jede der genannten Commissuren besteht bloss aus zwei Nervenfasern, eine jede Ner- venfaser tritt in das Ganglion opticum (Fig. II. g. o.) und endigt in die Nervenzelle der entsprechenden Seite. Aus jedem Ganglion opticum geht ein nervus opticus (Fig. II. n. o) zum Auge. Dieser nervus opticus besteht aus zwei Nervenfasern, deren jede aus einer Zelle des Ganglion opticum (Fig. II. g. o.) entspringt. — Die Fa- - sern des sympathicus sind sehr blass und ebenfalls marklos, so dass auf diese Weise das sympathische € an als die rn ich ch bemerken, Se de ss Nervenfasern. (also des pas que Nerven- |fasern mehreren m — M: m sehr 22 Bulletin de l'Académie Impériale Erklärung der Abbildungen. Fig. I. Das ganze Nervensystem von Lepas anati- fera 10 mal vergrössert. 1. Ganglia cerebralia. 2—6. Das erste bis zum fünften Bauchganglion. c. t. Commissura transversa zur Verbindung der bei- den Gehirnganglien unter einander. c.l. Commissura longitudinalis oder der Schlund- ring. c. 0. Die commissura wi -ophtalmica. oc. Das Auge. n. v. Nervus vagus sive recurrens. np'— np”. Das erste bis sechste Paar der Fussnerven (nervi pedales). n. c. Nervus caudalis. n.ph. Nerven für die Mundorgane. n. m. Nerven für die Muskeln des Rumpfes. a. Nerv für den musculus adductor scutorum. b. Nerv für die Wand des Capitulums. n. s. Nervus sympathicus. c. Nervus peduncularis. c'. Ramus ovarialis. c. Ramus musculo-peduncularis. Fig. IL Das Gehirn und die ganglia optica nebst ihren Commissuren und den aus ihnen entspringen- den Nerven, 500 mal vergréssert. Man sieht sehr deutlich die Nervenzellen des Gehirns und der ganglia optica. | G. C. Ganglion cerebrale. c. l. Schlundring. y. m. Ramus muscularis des Schlundringes. c. t. Commissura transversa. b. Nerv für die Wand des Capitulums. N. Neurilem. i Punktsubstanz zwischen den Nervenzellen. h. Gruppe kleiner Nervenzellen in der commis- sura transversa, aus denen die commissurae cerebro-ophtalmicae hervorgehen. I. Grosse Nervenzellen des Gehirnganglions. k. Fasern, welche als Fortsätze der grossen Ge- hirnganglienzellen den Schlundring und die nervi pedunculares zusammensetzen. €, Nervus peduncularis. ve. Ramus ovarialis. €. Ramus musculo-peduncularis. b. Nerv fiir die Wand des Capitulums. c. 0. Commissura cerebro-opticalis. V v. Nervus vagus sive recurrens. g. 0. Ganglion opticum. n. o Nervus opticus. oc.. Das Auge. Fig. III. Einige durch Zerzupfen des ganglion ce- rebrale isolirte Nervenzellen bei 950maliger Vergrós- serung. a. Apolare Ganglienzellen. b. Unipolare Ganglienzellen. In beiden Formen sieht man deutlich den nucleus und den nucleolus. Sur quelques dérivés de la désoxybenzoine, par N. Zinin. (Lu le 30 juin 1870.) Il est bien connu que la désoxybenzoine n'est pas altérée par une ébullition prolongée dans des dissolu- tions aqueuses ou alcooliques de la potasse caustique; que la dissolution aqueuse est sans action sur ce corps méme à la température 180^ C.; que sous l'action d'une dissolution alcoolique à 150° C. dans un tube scellé, il se scinde d’après l'équation 3C, H O + 20, H¿0 = 2C,, H,, O -- C44 H;¡s 07 + H,O (Limpricht). La désoxybenzoïne dissoute dans l’alcool contenant différentes qualités de la potasse caustique reste à la température ordinaire sans altération pendant un laps de temps indéterminé, si l'air atmosphérique n'a pas d’accès à la dissolution; — mais le phénomène est un autre, si l'accés de l'air reste libre. Dans ce dernier cas on verra qu'une dissolution de la désoxybenzoine tellément diluée qu'elle ne donne pas de cristaux de ce corps à la température ordinaire, déposera bientót (aprés quelques heures) des aiguilles fines, blanches qui se rassemblent au fond, ou adhérent aux parois du vase; le liquide filtré dépose aprés quelque temps une nouvelle quantité de mémes aiguilles; la formation de ces aiguilles dure quelquefois de 4 à 5 semaines, et quelquefois elle est terminée en peu de jours: cela dépend de la concentration de la dissolution, de la ` température et méme parait dépendre de la quantité de Ja désoxybenzoine prise pour l'expérience. Des ré- q era. . Lepas anañif $ "M. . E un > == — un SS ar am “= # Nerve 3 H $ Brandt, Uber d . Ed. Dr xP. + 0 ny t D &, 4 e $ EE erer 4 Š Ka S ch SN RE \ pim , — Di m. ay ag Zeg 257. s = S E à i La Bulletin de V Acad Impér. d, Sc. T. | des Sciences de Saint-Pétersbourg. sultats toujours sûrs et assez avantageux ont été ob- tenus en observant les proportions suivantes: on dis- sout 100 gms. de la désoxybenzoïne et autant de la potasse caustique fondue dans un litre d'alcool à 90°; si l’on tient cette dissolution à la température de 20° à 25° C., la formation des aiguilles y est terminée dans 15 jours, — on en obtient jusqu’à 20 gms. Ob- servons que les secouements et les filtrations du li- quide faites afin d'en séparer les aiguilles déjà dépo- sées, paraissent accélerer la réaction; pendant tout le temps de la formation des aiguilles une absorption de l’oxygène de l'air atmosphérique a lieu. La désoxy- benzoine disparaît, et la dissolution qui ne dépose plus des aiguilles ne contient que le benzoate de potasse. L'acide séparé de ce sel colore en rose l'acide sulfu- rique, probablement à cause de petite quantité d'a- cide benzilique qu'il contient. Les aiguilles obtenues dans cette réaction sont insolubles dans l'eau et peu solubles dans l'aleool: 1 partie de ce corps se dissout dans 157 parties d'alcool (à 95%) à l'ébullition. Pour opérer la dissolution on procède ainsi: on fait bouillir 100 p. d'alcool avec 1 p. d'aiguilles, puis on ajoute par peu de l'aleool, en faisant bouilir une ou deux minute chaque fois qu'on a versé une nouvelle quan- tité de dissolvant. La dissolution obtenue peut étre concentrée par l'ébullition, et les premières traces d'un dépót cristallin s'y observent au moment oü sa quantité est réduite à 80 p. — Par le refroidisse- ment il s'en sépare maintenant 0,930 p. du corps dissout, — et il en reste par conséquent seulement 0,070 p. — c'est-à-dire qu'à la température ordinaire 1 p. du corps est dissoute dans 1130 p. d'alcool à 95*/. Les aiguilles sont presque insolubles dans l'éther, 10 p. de benzine bouillante en dissolvent 1 p.; par le refroidissement le corps est déposé en forme de | trés petits cristaux aciculaires; 1 p. des aiguilles est dissoute dans 35 part. d'acide acétique bouillant. L'al- cool contenant en dissolution de la potasse caustique dissout les aiguilles beaucoup plus facilement et en plus grande quantité que l'alcool pur, et les cristaux qui se déposent par le refroidissement d'une telle disso- lution, sont plus volumineux, leur forme est un prisme quadrilatéral assez plat à base d'un rectangle, les | cristaux formés dans la dissolution sont ordinairement collés Pun à l'autre en forme d'éventail. Pour ob- tenir plus aisément ces aiguilles à l'état de parfaite pureté et d'une blancheur absolue, il est avantageux de les prendre comme elles se sont déposées dans la dissolution mère de la désoxybenzoine et de les laver avec l'aleool froid jnsqu'à ce qu'elles sont devenues tout-à-fait blanches et qu'elles ne montrent plus qu'une trace légère de réaction alcaline, et cela fait on les dissout dans l'aleool bouillant et on les fait cristalli- ser par le refroidissement. Si l'on n'opére pas d'aprés cette indication, on aura souvent beaucoup de peine à débarrasser les aiguilles d'une matiére résineuse qui leur communique une légère nuance jaunátre; en fai- sant cristalliser les aiguilles colorées dans une disso- lution aleoolique contenant la potasse caustique on les obtient bien pures, — mais on en perd beaucoup. A 225? C. les aiguilles foñdent sans perdre de poids en un liquide oléagineux toujours un peu jaunátre, qui se prend par le refroidissement en masse cristalline, radiée; chauffé au-dessus de cette température, le corps est bientót altéré; la distillation séche donne un pro- duit huileux jaune, dans lequel on voit avec le temps ` se former des cristaux, qui, d'aprés leur propriété, paraissent être identiques avec l'hydrate de tuluyiéne; dans la cornue il ne reste que trés peu de charbon. La manière dont les aiguilles se comportent avec les dissolvants permet de les obtenir facilement à l'état de pureté; les analyses des deux échantillons de pré- parations différentes, recristallisés plusieurs fois dans l'aleool et dans le benzol ont donné des résultats par- faitement concordants. 0,370 des aiguilles bien dessé- chées ont donné 1,188 CO, et 0,199 H,O; corresp. à 87,57, C et 5,97, H. : 0,365 ont donné 1,170 CO, et 0,192 H,0, ce qui corresp. à 87,429, C et 5,847, H. Nous déduisons de ces nombres la formule suivante: Cr Ha 0,, qui exige C = 87,50%, H = 5,83%. De toutes les réactions essayées sur ce corps, que — nous proposons d'appeler benzamarone, une seule- ment, étant intéressante par elle-même, parait. - méme temps nous donner une idée de sa constitution: sous l'aetion prolongée d'une dissolution alcoolique produits se forment en quantités presq peu de matière résinense (et quelque fois d'acide ben- 22* 343 Bulletin de l’Académie Impériale zilique aussi) les accompagne toujours; 30 gms. de ben- zamarone mont donné dans deux expériences 10 à 13 gms. d’acide, 12 gms. de désoxybenzoine, tandis que la dixième partie á-peu près de la benzamarone restait in- tacte. Si l’on fait bouillir 1 p. de la benzamarone, 10 p. d'alcool à 90%, et 1 partie de la potasse caustique pendant 5 à 6 heures ayant soin de faire repasser le distillat dans la cornue, chaque fois qu'il s’en ras- semble le tiers ou la moitié de toute la qualité prise pour l'expérience, on verra que la benzamarone se dissout peu-à-peu, et enfin le liquide chaud restera limpide et ne déposera plus de cristaux, quand même on le fera concentrer par la distillation jusqu’au quart de son volume primitif; en faisant refroidir le liquide ainsi concentré on le verra se remplir de cristaux aciculaires qui ne sont autre chose que la benzamarone intacte, dont nue petite quantité échappe toujours à l’action de la potasse. On filtre le liquide et on le mêle avec de l’eau, il devient laiteux et dépose la dé- soxybenzoine colorée en jaune sale par une petite quantité de matière résineuse ou huileuse. La pre- mière portion précipitée par un peu d’eau contient la plus grande partie des impuretés, mêlées à la désoxy- benzoïne, de sorte que les dernières portions obtenues par une précipitation fractionée, présentent la désoxy- benzoïne à l’état de pureté bien satisfaisante. La so- lution filtrée et débarrassée par l'évaporation de Pal- cool qu’elle contient, dépose souvent encore une pe- tite quantité de désoxybenzoïne; filtrée de nouveau et évaporée suffisamment, elle se partage en deux couches, une aqueuse qui n'est qu'une dissolution concentrée de potasse caustique et de carbonate de cet alcali contenant des traces seulement de matière organique; l’autre huileuse se prenant par le refroidissement en masse solide, formée d’écailles blanches à reflet ar- gentin; c’est l’amarate de potasse insoluble comme les sels alcalins des acides gras, dans les solutions concentrées d’alcalis et des carbonates alcalins, très soluble dans l'eau, l'alcool et méme dans l'éther. L'a- cide amarique est précipité d'une dissolution aqueuse de ce sel par les acides énergiques (l'acide acétique y compris) sous forme d'un dépót caillebotteux, cris- tallin, qui est presque insoluble dans l'eau à la tem- | pérature ordinaire, se ramollit dans l'eau bouillante sans s'y dissoudre davantage, mais qui se dissout aisément dans l'aleool bouillant, dans l'éther et dans + | l'aeide acétique. Si l'amarate de potasse obtenu direc- tement de la benzamarone n'est pas assez pur et presque blanc, mais coloré en brun méme assez intense, on peut toujours en séparer directement l'acide de pureté satisfaisante en opérant ainsi: on prend une solution alcoolique d'amarate à la température ordi- naire et aprés y avoir versé un excés d'acide acétique on y ajoute de l'eau jusqu'à ce que le mélange devient laiteux, il s'en dépose par le repos une portion d'acide qui contient presque toutes les impuretés résineuses de l'amarate. En versant une plus grande quantité d'eau on obtiendra des portions d'acide de plus en plus pures, sous la forme de feuilles ou de petites aiguilles trés applaties; ces derniéres portions recris- tallisées dans l'alcool donnent un acide très pur, par- faitement blanc, une partie de cet acide n'exige pas. plus d'une partie d'alcool (à 90%) bouillant pour se dissoudre; la dissolution ne cristallise pas aussitót par le refroidissement, mais aprés quelques heures la cris- tallisation commence et presque tout le liquide est transformé en une masse cristalline; plus de y^ de l'acide dissous sont précipités; dans une dissolution alcoolique moins concentrée l'acide cristallise en forme de prismes quadrilatéraux, applatis qui se déposent sur les parois et le fond du vase en drouses et'en croüte plus ou moins épaisse et fortement adhérente. L'acide se dissout aisément dans les alcalis caustiques, dans Pammoniac et dans les carbonates alcalins, dont il chasse l'acide carbonique. La composition de l'acide ` parfaitement blanc, cristallisé deux ou trois fois dans l'aleool et bien desséché sur l'acide sulfurique dans une atmosphère raréfiée, peut être exprimée par ja formule: Ciz Hj; 0; qui exige: C= 76,59; H = $3): 0,421 d'acide ont donné 1,178 de CO, et 0,253. de H,0; ce qui correspond à 76,317, C et 6,67% H. 0,409 d'acide ont donné 1,145 de CO, et 0,250. de H,0; ce qui correspond à 76,37°/ C et 6,78% H: A 100" C. l'acide perd de l'eau; cette perte déterminée sur deux échantillons de différentes préparations a été trouvée: à 100^ C.: pour un échantillon: de 5 28% pour l'autre de 5,24°/ ; de 100° C. jusqu'à 125? C. les échantillons ont encore perdu: 0,25%, et 0,327/, ce. qui fait en tout: 5,52, pour le 1* et 5,547, pour le. 2"* échantillon. A cet état de déshydratation l'acide. ; des Sciences de Saint-Petersbourg. conserve son aspect cristallin et ses rapports aux dif- férents dissolvants (pourvu que l’élévation de tempéra- ture au-dessus de 100°C. ne soit pas produite trop brusquement); sa comopsition est exprimée par la for- mule C; Hes O; qui exige: C= 81,02%, et H = 6,10%. 0,355 d’acide ont donné 1,052 de CO, et 0,198 de HO, ce qui correspond à 80,85/,C et à 6,207, H. A 140°C. l'acide fond en se remplissant de bulles de gaze et prend enfin la forme d’une huile transparente, incolore; à cet état il a perdu encore 4,30%, 4,56%, de son poids; la perte totale est donc de 9,61°,— 9,86. Les nombres trouvés correspondent assez bien aux équations suivantes: La H. O, — Cy Has Os = 2H,0 correspond. à 5,477; 20 ¿2 Has 0, — Cy, Hp 0; = 3H,0 correspond. à 4,34°/,; 2€ ¿2 H.a 0, — C, H;, 0, = 7H,0 correspond. à 9,57°/. L'aeide fondu à 140°C. passe bientôt de l'état hui- leux à l’état cristallin, s'il n'était pas surchauffé, mais dans le cas contraire il se durcit par le refroi- dissement en prenant l'aspect de succin; cependant pour le faire cristalliser on n'a qu'à le laisser séjour- ner quelques minutes dans un bain chaud à la tem- pérature de 130°C. environ. Les propriétés de l'a- cide desséché à 140? C. sont bien différentes des pro- priétés de l'acide qui n'a pas été exposé à cette tem- pérature: il ne fond plus à 140^ C. et ne perd pas de poids; recristallisé dans l'aleool il se comporte de méme à la température indiquée et ne fond qu'à 155° C. sans perdre de poids; 1 partie de cet acide exige 15 p. d'alcool (à 90%) bouillant pour se dissoudre, les */,, de cette quantité sont précipités par le refroidisse- ment en forme de cristaux aciculaires ou de prismes à 4 pans. Dans l'éther et dans l'acide acétique il se dissout beaucoup plus difücilement que l'acide non altéré; dans l'ammoniaque aqueux il ne se dissout pas méme à l'ébullition; sa composition est exprimée par la formule: | Cs; Ho O, qui exige: C = 84,70% et H= 5,88% 0,309 ont donné 0,955 CO, et 0,1745 H,O, ce qui correspond à 84,317, C. et 6,27% H. 0,3587 ont donné 1,108 CO, et 0,201 H,0 correspond. à 84. ,24*, C. et.6, 2929 H. 0,3664 ont donné 1,132 CO, et 0,212 H,O correspond. à 84,26°/,C. et 6,42%, H. 0,3785 ont donné 1,171 CO, et 0,210 HO €— à 84,37, C. et 6 16%, H. La lessive concentrée de la potasse caustique la dis- sout après une longue ébullition seulement, tandis que la dissolution est bientôt terminée dans la même les- sive à la température de 110° à 120°C. dans un tube scellé; la teinture potassique bouillante dissout aussi aisément l’acide altéré; il se forme dans tous ces cas un sel qui est identique avec l’amarate de potasse, et l'acide qu'on sépare de ce sel ne diffère en rien de l'acide amarique, de sorte que nous pouvons bien considérer l'acide altéré, c'est-à-dire le corps Cy, Hz, O;, comme un anhydride de l'acide amarique. La préparation des amarates à l'état de pureté parfaite présente en gé- néral quelques difficultés; j'ai étudié le sel de potasse et d'argent. Nous avons déjà dit que les sels alcalins de l'acide amarique sont aisément dissouts dans l'eau, l'aleool et l'éther, ils sont séparés en forme d'huile de leurs solutions aqueuses par les alcalis caustiques et les carbonates alcalins, leurs solutions aqueuses dissolvent une certaine quantité d'acide libre; une dissolution aqueuse bouillante et concentrée se remplit par le refroidissement d'une telle quantité de plaques rhombiques trés minces que le liquide est transformé en une masse molle, cristalline, blanche, nacrée. Le sel potassique E dans Péther bonillant est quelque- fois déposé en cristaux lamelleux assez volumineux, quelquefois il ne cristallise pas et reste aprés l'éva- poration de l'éther comme une huile qui se concréte avec le temps en masse mamelonnée, composée de pe- tits eristaux lamelleux. Ce sel bien desséché sur l'a- cide sulfurique, sous la cloche de la machine peony tique, contenait 10,30%, de potassium; à la tempéra- ture de 110°C. il a perdu 2,47%, de son poids formule C:a H; Kz 0, exige 10. ‚62%, de ssium et. une perte de H,O correspond à 2,45%. — Les e de barium, de plomb et d'arge nt fo ormés d dans le mé- lange d'une solution d' amarate alcalin avec la solu- y tion d'un sel soluble des métaux col res) pré- sentent l'aspect de précipités amor , volumineux, caillebotteux, qui se dépose difficilement. Ces préci- pités diminuent de volume z avec le temps et deviennent cristallins, lourds et se déposent aisément. Le sel de 347 Bulletin de l’Académie Impériale barium se dissout assez bien dans l’eau, moins bien dans l'alcool, cristallise très bien dans l'alcool (à 55%) ou dans un mélange de 3 parties d'alcool (à 90°/) et deux parties d’eau. Le sel d’argent est blanc, presque insoluble dans l’eau et dans l'aleool; desséché à 110° C. il perd un peu de son poids (2°, à peu prés), mais aprés cela il reste sans altération méme à 130° Les analyses de 3 portions préparées séparément ont donné: Ag — 25,26%; 25, 17%; 25,19%. 0 ,57 4 ont donné 1,247 CO, et 0,237 H,O correspond. à 59,259, C. et 4 58° H. 0,472 ont donné 1,024 CO, et 0,196 H,0 correspond. à 59,17%,C. et 4,61%,H. 0,429 ont donné 0,939 CO, et 0, 184 H,O correspond. à 59,697, C. et 4,76%, H. La formule C,,H4,Ag;0, exige: 59,01%, C. 4,45% H et 25,38% Ag. L'acide amarique et ses sels ont un goüt trés amer; les amarates à base des métaux lourds sont trés élec- triques, de sorte qu'on peut à peine les broyer. J'es- pére présenter bientót une description de quelques autres amarates dont la constitution semble différer de celle des amarates décrits. | Einige Worte über die Haardecke des Mammuth in Bezug auf gefállige schriftliche Mittheilun- gen des Hrn. Professors O. Fraas über die im Stuttgarter Königl. Naturalienkabinet auf- bewahrten Haut- und Haarreste des fragli- chen Thieres, von J. F. Brandt. (Lu le 25 août - 1870.) ` Bereits im Jahre 1866 Gabes ich, wie e be- kannt, im Bulletin unserer Akademie (T. X p. 93 ff. und Mélanges biologiques T. V p. 567 ff.) zwei auf die Naturgeschichte des Mammuth, besonders auf seine äus- sere Gestalt, seinen Skeletbau und seine muthmassli- che Lebensweise bezügliche Aufsätze. Bei Gelegen- | heit der Erérterung der Behaarung und der Farbe desselben auf verschiedenen Theilen blieben indessen einige Zweifel. Namentlich war ich ungewiss, ob die, wie es scheint, vom Hals und Nacken über den Rü- cken bis 2 zum Schwanz ausgedehnte, vorn bis zu den Knieen herabhängende, Mähne eine dnnkelschwarze oder rothbraune zn e oder ein aus beiden Farben bestand rhültniss gezeigt habe. Die frühere Annahme einer rothbraunen Farbe der Mähne scheint mir indessen verdächtig, da bekannt- lich die schwarze Färbung bei Einwirkung des Lich- tes nach und nach bei ausgestopften Thieren in eine C. | rothbraune übergeht, so dass also bei den dem Licht länger ausgesetzt gewesenen Mühnenhaaren der aufge- fundenen, blosgelegten Mammuthleichen die ursprüng- lich schwarze Fürbung in eine rothbraune übergegan- gen sein kónnte, wobei übrigens auch vielleicht die Atmosphäre einwirkte. Für eine solche Veründerung dürfte auch der Umstand sprechen, dass Magister Schmidt ausser rothbraunen Haaren auch schwarze, lange sammelte und nach St. Petersburg sandte, wäh- rend bei ihrer Ankunft, wie ich selbst sah, alle von ihm eingesandten längeren Haare eine rothbraune Fár- bung zeigen, so dass die Vermuthung nahe liegen dürfte: die von ihm gesammelten schwarzen Haare _ hätten eine rothbraune Färbung angenommen, wobei allerdings die Schnelligkeit der Farbenveründerung auffallt, die vielleicht davon herrührt, dass die Haare schon lange als todte Kórper gelegen hatten und da- her durch schnellere Veründerung des Pigments braun | wurden. Höchst intressant muste es mir daher sein, im Jahre 1868 bei einem Besuche der Stuttgarter Sammlung ein Hautstück und zahlreiche Haare vom Mammuth zu sehen. Da indessen meine Zeit keinen làngern Aufenthalt in Stuttgart gestattete, so bat ich Hrn. Professor Fraas, mir gütiest eine nühere Be- schreibung der fraglichen Reste mitzutheilen. Derselbe hatte in Folge davon die, mit dem ver- bindlichsten Danke anzuerkennende, Gewogenheit, mir Nachstehendes darüber zu berichten. Im Jahre 1816 kam das K. Stuttgarter Naturalien- Cabinet durch den Grafen Golowkin in den Besitz nachstehender Reste des Mammuth mit beifolgenden näheren Bezeichnungen. 1) Hautstück mit Haaren des Mammuth aus dem Di- luvial-Eis der Lenamündung. Das Stück ist in einer Länge von 16 und einer Breite von 8 Centimeter abgesägt und zeigt eine Dicke von 1 — 1,5 Centim., ist aschgrau von Farbe, wo es angesügt ist und auf der Innen- seite, schwürzlich grau aussen. Die Haare sind anf der Hälfte des Stückes noch sichtbar bei einer des Sciences de Saint-Pétersbourg. Hautdicke von 1,5 — 1,2 Centim. Wo die Haut sich verdünnt, hören die Haare auf. Die Haare sind zweierlei, kurze, gelbe Wollhaare, als dichter Filz über die Haut gewachsen, dazwischen 6 — 7 Centim. lange, dicke braune, Borstenhaare. Die kahle Hautstelle ist mit einer schurfähnlichen Ober- fläche bedeckt. 2) Haar vom Mammuth, das 1799 an der Lenamün- dung im Diluvial-Eis gefunden wurde. Besteht aus 8 Schlicken oder Haarlocken von röthlich-gelber bis brauner Farbe. Am einzelnen Schlick unterscheidet man 10—12 Centim. lange, sehr feine Wollhaare, dazwischen 30—35 Centim. lange gröbere Haare, schwarzbraun, bis zu 0,8 Milim. dick. 3) Schwanzhaare des Mammuth, Diluvial - Eis der Lenamündung. Ein Schlick Schweifhaare, an der Basis mit ei- nem Büschel brauner Wollhaare; die längsten der Schweifhaare messen bis zu 0,6 Meter und 0,001 Meter Dicke, die Farbe von Braun zu tiefem Schwarz. Die dicksten Haare sind die schwärzesten. 4) Mähnenhaare des Mammuth der Lenamündung. Etwa 12 Stücke einzelner bis 1 Centim. 0,5 Me- ter langer Haare, steife Borsten von mehr als ] Millim. Dicke. Von diesen liegt 1 Haar als Mu- ster bei. Hiezu bemerke ich, dass auch unter den Sehweif- haaren unter N 3 vollständig dieselben Haare sich befinden und einige Zweifel über die Richtigkeit dieser Bezeichnung mir kommen. 5) Schwanzhaare des Mammuth aus dem Diluvial- Eis der Insel Ljächoff. Ein Schlick aschblonder bis zu 0,6 Meter lan- ger Haare von der Dicke gewóbnlicher Pferdehaare. Stuttgart, April 1869. Dr. Oscar Fraas. Die nähere Würdigung dieser eben gemachten Mit- theilungen veranlasst mich zu folgenden Bemerkungen. Die unter V 1 bis X 4 erwähnten Objeete stamm- ten offenbar von der an der Lenamündung bereits 1799 entdeckten Mammuthleiche, deren Skelet, Haut- und Haarreste der Botaniker Adams erst 1806 barg, die indessen ursprünglich nicht im Diluvial-Eise, son- dern im gefrornen Boden lag. Bemerkenswerth dürfte ferner sein, dass Graf Golowkin, der als Gesandter nach China geschickt wurde, Adams zum Begleiter hatte, der in Jakutzk von dem in der Nähe der Le- namündung auf einer Halbinsel (jetzt Insel Jamut) entdeckten Mammuth hörte und zu demselben auf- brach. Die kurzen, gelben Wollhare und die braunen (nicht schwarzen) Borstenhaare des Hautstiicks X 1. schei- nen mir darauf hinzudeuten, dass ihre Farbe im Ver- leich mit denen der akademischen Hautstücke stär- ker verblichen ist. . Die unter X 2 aufgeführten Haarlocken von röth- lich-gelber Farbe scheinen stark, die von schwarz- brauner sehr wenig ausgeblichen zu sein. Die unter X 4 erwühnten 1 Centim. 0,5 Meter lan- gen, borstenühnlichen Mähnenhaare von schwarzer Farbe weisen auf eine schwarze Mähne hin. i Merkwürdig ist es, dass' unter den im Stuttgarter Cabinet aufbewahrten Haarresten unter X 3 und 5 Schweifhaare aufgeführt werden, an deren richtiger Bezeichnung (wegen ihrer Ähnlichkeit mit den Mäh- nenhaaren) Fraas nicht ganz ohne Grund zweifelt. Als der Kaufmann Boltunow das berühmt gewor- dene Lenamammuth drei Jahre vor Adams sah und eine sehr rohe Zeichnung davon machte, oder machen liess, war nur noch der kurze Basaltheil des Schwan- zes vorhanden, der auf der sehr rohen Figur Boltu- now's, wovon Hr. v. Baer (Bulletin sc. 1866. T. X. | Mélanges biol. T. VI. p. 71) eine Copie nach einer Zeichnung der Blumenbach'schen Sammlung lie- ferte, nur als Stummel erscheint, der 10°, englische Zol lang gewesen sein soll, worauf indessen ebenso lange Haare wie auf dem bemühnten Nacken und Rücken gezeichnet sind, während die dicht und más- sig lang behaarten, kleinen Ohren auf der genannten Figur haarlos erscheinen. Der Schwanz des Mammuth könnte daher doch lange Haare getragen haben, ähn- lich dem des Moschusochsen; oder er besass eine grosse, aus langen Haaren gebildete, Quaste. Der Umstand, dass nicht ein, sondern zwei Büschel, X 3 und 5, Schweifhaare von Golowkin dem Stuttgarter | Cabinet übergeben wurden, liesse sich vielleicht eben- falls zu Gunsten der Richtigkeit der Bezeichnung deu- ten. Adams leugnet sogar, Jedoch mit Unrecht, wie die an unserem Ma 8 basalen Schwanzwirbel beweisen, die Gegenwart des Schwan- zes (siehe meine Abhandlung Mélanges biol. V. p. 576). Bulletin de l’Académie Impériale Von Adams konnte er also keine Schwanzhaare, we- nigstens nicht vom Lenamammuth, erhalten haben. Die unter X 4 aufgeführten Schwanzhaare rührten aber vielleicht von Boltunow her, der das Mammuth, wie schon erwähnt, vor Adam's, also in einem bes- seren Zustande der Conservation sah, und dasselbe mit einem, wiewohl verstümmelten, Schwanze zeich- nete. Golowkin erhielt also dieselben vielleicht aus Jakutzk, wohin sie “durch Boltunow gelangt sein konnten. Höchst merkwürdig ist der Umstand, dass die un- | ter Ñ 5 erwähnten Schwanzhaare des Mammoth von der Insel Ljächow, also von einem nicht in Sibirien gefundenen Mammuth, herstammen sollen. Von einer auf einer der Ljächow’chen Inseln gefundenen Mam- muthleiche ist mir nichts bekannt. Es ist indessen keineswegs unmöglich, dass früher auch dort Mam- muthe vorkamen, besonders wenn man bedenkt, dass sogar in Grönland, Spitzbergen und Kamtschatka mehr oder weniger zahlreiche Reste einer miocänen Flora gefunden wurden, die eine früher weit höhere, all- mählich gesunkene, Temperatur des Hochnordens be- kunden. Auch dürfte der für frühere Zeiten bereits bis zur Eismeerküste Sibiriens nachgewiesene Baum- wuchs : auf die Res ja vielleicht richtiger Wahr- hi ndeuten, dass er selbst an der genann- ten gegenwärtigen ‘Meereskiiste seine polare Grenze früher nicht erreicht, sondern sich auch auf die Ljä- chow'schen, vielleicht früher vom Festlande nicht ge- trennten, Inseln ausgedehnt und so das dortige Vor- kommen von Mammuthen ermóglicht haben móchte. Leider wurden weder die an Resten von Mam- muthen, Nashórnern und Büffeln (Moschusochsen?) so reichen, nórdlich von Swätoi-Nos, zwischen den Mün- dungen der Indigirka und Jana gelegenen, Ljächow’- schen Inseln (Pallas, Neuste nordische Beiträge Bd. III. 1796; v. Baer, Bullet. des sc. de P Acad. Imp. de St.- Pétersb. 1866. X; Mélanges biolog. V. p. 677), noch auch die als Neu - Sibirien bezeichnete, ebenfalls an Mammuthresten reiche, Inselgruppe bisher geogno- stisch náher untersucht und die Art des Vorkommens der fraglichen Reste genügend ausgemittelt. — 11 + EE. 21: +. 4 Falle von Po- lydactylie, mit 7— 10 Fingern an der Hand und 7 —10 Zehen an dem Fusse; und Beschreibung eines neuen Falles von Polydactylie mit 6 Fin- gern an der rechten und 6 Fingern und Du- plicität der Endphalange des Daumens an der linken Hand, mit 6 Zehen an dem rechten und 8 Zehen an dem linken Fusse, von Dr. Wen- zel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le 15 septembre 1870.) (Mit 1 Tafel.) A, Veröffentlichte Fälle von Polydaetylie mit 7 — 10 Fingern an der Hand und 7 — 10 Zehen an dem Fusse. (Fig. 6.) . Die ersten Beispiele. von 6-fingerigen Hàn- den (allein) findet man bei C. Plinius IL , das erste Beispiel von 6-fingerigen Händen und 6-zehi- gen Füssen (zugleich) in der Bibel?) erwühnt und Beispiele von 6-zehigen Füssen (allein) wenig- stens seit Morand?) verzeichnet und gut abgebildet. 6-fingerige Hände (allein) sind sehr häufig, 6 -finge- rige Hände und 6-zehige Füsse (zugleich) häufig und 6-zehige Füsse (allein) nicht háufig beobachtet wor- den. Die Zusammenstellung der von mir gesam- melten Fälle 6-fingeriger Hände und 6-zehiger Füsse werde ich in einem anderen A ufsatze liefern. - Die Berichte über 7-fingerige Hände und 7-ze- hige Füsse beginnen mit Valleriola's, die über | 8-fingerige Hände und 8-zehige Füsse mit Cau- rois und die über 9-fingerige Hünde und 9-ze- hige Füsse mit Ruysch's Fall. 7-fingerige Hände und 7-zehige Füsse sind zwar keine Seltenheiten ` mehr, aber doch noch weniger häufig als 6-zehige Füsse (allein; wohl aber sind Seltenheiten 8- u. 9-fingerige Hände und 8- u. 9-zehige Füsse. 10 Finger an der Hand und 10 Zehen an dem Fusse sind bis jetzt nur bei einem einzigen Individuum gesehen worden *). Hist. nat. "Lib. AL C. 99 (Vok EV. id 1781. 80, P 482. Hora- 1) Edit. ab J. G. Fr. Franz.) (Zwei Töchter des Patriciers Caj. tius und der Dichter Volcatius mit 6 Fingern an jeder Hand— daher Bag Bene s.) m. Cap. XXL V. 5. (Der im Kriege zu Gath von den Ja- Sen unter dei Regierung des Königs David getödtete riesige Phili- ster aus Arapha hatte 6 Finger an beiden Händen und 6 ‚Zehen an beiden Füssen.) 3) Mém. de P' Acad. roy. des se. de Paris ann. 1770, p. 137. T s 6. (Rechter Fuss eines Erwachsenen mit 6 Zehen und 6 Me ia.) ace Der Fall angeblich mit 12 Fingern an jeder nt des Sciences de Saint-Pétersbourg. Da der von mir oben beschriebene Fall zu den sel- tenen Fällen mit 8-fingerigen Händen und 8-ze- higen Füssen gehört, so werde ich, des Verglei- ches halber, alle Fälle mit 7 — 10 - fingerigen Háünden und 7 — 10-zehigen Füssen, welche ich in der mir zur Verfügung stehenden Literatur ver- zeichnet fand, im Nachstehenden zusammenstel- len. a. Bis 7 Finger an der Hand und 7 Zehen an dem Fusse. Solche Fälle haben mitgetheilt: Valleriola?), Fe- lix Plater), Morand’), Sommer, Middlesex Zehen an jedem Fusse, den Jacobus Rueff unter anderem un- en Zeuge erwähnte, ohne ihn zu beschreiben, und schlecht abbildete. — De conceptu $ nn hominis ete. Tiguri 1554, 4°, Lib. v. Cap. IH. Xe 7, p. 4 ig. — war wohl ein Falls von Du- plicität der Hände und fête falls er überhaupt nicht Dich- tung war. 5) ar gig ES (Steht mir nicht zur Verfügung, aber citirt: bei Mora "Acad. roy. des sc, de Paris ann. 1770. 40, p. 139, pm «Lib. 1 IV. O. m. IL»; bei J. Fr. Meckel — Handb. d. pa- thol Anat. Bd. 2. Abth. 1. 1816. S. 37, als «O. m. 1605, p. 256».) (Berichtet zu Arles 1561 einen 15-jahrigen Menschen gesehen Zu haben, welcher 6 Finger an jeder Hand und 7 Zehen an jedem Fusse hatte. Der Daumen war doppelt.) 6) Observ. libri tres Edit. III. ab Franc. Plater (filio). Basileae 1653. 89. (Op. posth.) Lib. III, p. 570. (Sah bei einem Bettelkna- ben 6 Finger an jeder Hand, wovon an einer Hand der meräre Finger dem Mittelfinger er teg sein so am linken Fusse 6 Zehen, am rechten Eu 7 ER 7) rg es sur quelques dans l’homme. — Mém de l’Acad. roy. des sc. de Paris ann. 1770. 40. p. 138. p. (Fig.) 7. (Bei einem Madchen von 14 Jahren waren an der rechten Hand 6 Finger, an der linken Hand aber 7 Fin- er. Der 5. u. 7. Finger waren die kürzesten. Metacarpalia schienen 6 vorhanden gewesen zu sein und das Metacarpale VI. zwei Finger etragen zu haben (nach der Abbildung zu schliessen), Die Schwe- ster derselben hatte an einer Hand für alle Finger nur einen Dau- ` men.) d 8) « Reisebemerkungen». X 6. — d. Chirurgie u. Augen- heilkunde. Bd. 7. Berlin 1825. S. 603. er von der Vorstellung eines kranken Soldaten in der a roy. de Méd. in Paris, wel- cher 7 Finger an jeder Hand hatte 9) «A many toed and fingered Pë ». — The London Med. Ga- zette. Vol. XIV (Vol. IL. 1833 — 1834) London 1854. 8°. p. 65. (Tho- mas Copsey, 19 Jahre alt, mit 13 Zehen und ursprünglich auch mit 14 Fingern. Rechter Fass mit 6 Zehen, linker Fuss mit 7 Ze- hen. Alle Zehen dreigliedrig e der 5. - ganzen Länge der und 3 Schwestern mit 6 Zehen an jedem Fusse und 6 ns | an jeder Hand; = vierte Schwester mit 7 Fingern — 1841. Fol. p. 272. r supernu- | oll; Hospital”), Lisfranc '), A. W. Otto"), Rórbérg ”), W. Gruber”), Grandelément”), Musée Vrolik ®), kel und Grossvater mütterlicher Seite mit derselben Zahl von Zehen und Fingern 10) Acad. de méd. de Paris. Séance 3. Févr. 1835 in: Schmidt's Jahrb. d. Medicin. Bd. 12. 1836. S. 263. (Vorstellung eines Men- schen mit einer bewegungslosen, anscheinend zwei Knochenkerne enthaltenden weder mit dem Metacarpale, noch mit den Phalangen des Ohrfingers an beiden Händen gelenkig verbundenen Verlänge- rung; mit 7 Zehen am rechten Fusse, wovon die amputirte 7. Zehe über dem Vorsprung der 6. Zehe auf deren Aussenseite ent- sprang, 10'"']ang war, 2 Phalangen enthielt und weder mit dem Metatarsus noch mit den Phalangen gelenkig verbunden war, die beiden ersten Zehen durch eine Schwimmhaut vereinigt waren, und mit 6 Zehen und 6 Metatarsalia am linken Fusse. Der Vater und die Schwester hatten 6 Zehen an jedem Fusse.) 11) Monstrorum sexcentorum descriptio anatomica. Vratislaviae. . X 463. Tab. XXVI. Fig. 8 — 11. (Männlicher Foetus mit Hydrocephalus und zu kurzen Extremitäten mit 6 Zehen an jedem Fusse, mit 6 (7?) Fingern an der linken Hand und 7 Fingern an der rechten Hand. Zwischen der 2. u. 3. un 5. u. 6. Zehe beider Füsse, zwischen dem 5. u. 6. Finger der linken Hand und den 8 letzten der rechten Hand Syndactylie.) 12) A. d. Mie à schwedischer Aerzte i. Stockholm. 1856 — 1857 im: Journ. inderkrankheiten. Bd. 35. Erlangen. 1860. S. 426. (Bei einem uen Knaben mit Mangel des Penis 7 Finger an der linken Hand, 6 Finger an der rechten Hand und 6 Zehen am linken Fusse. Mit ds ue IV. u. V. der linken Hand articulirten je zwei, mit dem Metacarpale V. der rechten Hand anch zwei Finger und mit dem Metatarsale V. des linken Fusses nin Zehen. Die supernumerären Finger waren wie andere Finger e gern an jeder Hand; der Bruder des Vaters der Kinder hatte 2 Kin- der mit 6 Fingern an jeder Hand. | . 13) Missbildungen. I. Sammlung. — Mém. de l'Acad. Imp. des sc. de St.-Pétersbourg. Ser. VII. Tom. II. X 2; Besond. Abdruck. St. Pe- tersburg, Riga u. Leipzig. 1859. 49. p. 2. Abgebildet i im vorlie- genden Aufsatze. Fig. 6. (Bei einem in Prag im ee der 40ziger Jahre im Leben untersuchten Idioten 6 Meta 7 Zehen am linken Fusse. Die 2. u. 3. Zehe ee BE tarsale = Die 3. Zehe hatte nur zwei Phalangen. Ee der örper wohlgebildet.) 14) Polydactylie et Syndactylie. — Gaz. des höpitaux. Paria 1861. Fol. p. sm (Bei einem Arbeiter von 44 Jahren mit 7 Fingern an jeder Hand und 6 Zehen an jedem Fusse. Die rechte Hand hatte 6, die Make aber 5 Metacarpalia. Der 7. Finger der rechten Hand, der im 12. Lebensjahre entfernt worden war, hing an der Aussenseite des Ohrfingers, bestand aus einer Ph i , Finger waren vollständig. An der linken Hand hing einer der su- rnumerären Fi des Ohrfingers und war der End der andere supernumeräre Finger em zweiter Ringfinger. Jener war haken ge ; war mit dem Mittelfing und en Ringfinger durch eine ver | bestanden aus 2 Wenger Die zwischen "Sr thologiqne de Ger. et W. 865. 3°. p. 457. EN 518 (15). | (Bei einem nes E Kinde d und Mittel phalangen an der rechten Hand, en an der Basis sehr breite | rene männ- finger mit 2 End- | an der ei Hand; gegen ihr Ende in zwei Hand ch (2 jederseits) abgenommen, mit 7 Zehen an einem usse er 6 Zehen an dem anderen Fusse. Mutter, On- XV. oi gui an beiden 23 355 Bulletin de l’Académie Impériale Marjolin 5, J. Popham”). Die Angaben über diese Fälle ergeben nach- stehende Übersichten: Tabelle I. Zahl der Finger Zahl - Zehen Beobachter. rechten F linken sicht | use Hand. Hand. Fusses. | Fusses. Valleriola........ 6 6 obs A Pi E 6 6 + 6 Mosd. o.. 6 7 D? n Sommer......... 7 7 5? De Middlesex Hospital (bei 5 Mitgliedern 7 7 6 7 der Familie Copsey) LISÍFADC. 5. ci. 6 6 T 6 JEE 7 6 6 6 SURGE S 6 7 5? 6 Gruber. v eese 5 5 5 7 Grandelément . . 7 7 6 6 ¥rokk ooo 7 6 6 6 Marjolin........ we, 5? 5? Popham.... ics 7 | 6 6 6 Tabelle IL Zahl d. Metacarpalia Zahl der Metatarsalia se es "linkes | reeksen | Haben Hand Hand. "usses. | Fusses, Valleriola ....... » » » » Pitter ess s. » » » » tan... eS, 6 6 » » Sommer... A SS" » » » Middlesex Hospital » » 5 5 Lisiane... 5 5 » 6 De uo.) » » » » Rórbag.: s. 5 5 » 5 Graber „=; 5 5 5 6 Grandelément 6 5 » » Vrolik 2.2.8 28 5 5 5 5 Morroia. EEN 6? 5 » » PORE... s > 5 » » 16) Bull. de la soc. de Chirurgie de Paris. Ser. 2. Tom. VI. 1866. Séance 15. Nov. 1865. p. 490. (Demonstration zweier bei einem Gips- händler gefundenen Gipsabdrücke. An einer Hand waren 7 Finger, an der andern Hand 6 Finger. An einer Hand schien ein su räres Metacarpale da gewesen zu sein.) 17) a Hsisenhalir Infant. — Protrusion of the membranes of the brain a fissure of the occipital bone — supernumerary fin- gers and toes». — The Dublin Quaterly Journ. of medical science. Vol. 44. Dublin 1867. 8°. p. 481. (Bei einem weiblichen Kinde | Ans den Angaben resultirt: 1) 7 Finger oder Zehen waren an einer Hand: 6 Mal, an beiden Händen: 2 Mal, an einem Fuss: 3 Mal, an beiden Füssen: 1 Mal, an beiden Hünden und an einem Fusse: bei 5 Mitgliedern der Familie Copsey beobachtet worden. — Es sind somit bis jetzt 13 (17) Fälle, also weniger Fälle, als Fälle mit 6-ze- higen Füssen (allein), mit 5 Variationen vorgekom- men; mit 3 Variationen: d.i. 7 Finger an einer Hand und 7 Zehen an einem Fusse, 7 Finger an einer Hand und 7 Zehen an beiden Füssen, und 7 Finger an beiden Händen und 7 Zehen an beiden Füssen noch nicht aufgetreten; und daran 7-fingerige Hände um die Hälfte häufiger angetroffen worden als 7 -zehige Füsse. 2) So weit Angaben über den Metacarpus und Me- tatarsus existiren, waren an den 7-fingerigen Händen 5 Metacarpalia: 4 Mal (Rörberg, Grandelément, Vro- lik, Popham), 6 Metatarsalia: 2 — 3 Mal (Morand, Grandelément, Marjolin?); waren an den 7-zehigen Füssen 5 Metatarsalia: mehrere Male (Familie Cop- sey) und 6 Metatarsalia: 1 Mal (Gruber) vorgekom- men. — Mit 7 Fingern oder Zehen scheinen daher 5 Metacarpalia oder Metatarsalia häufiger als 6 dersel- ben aufzutreten. 7 Metacarpalia oder Metatarsalia sind damit noch nicht gesehen worden. 3) Waren an den anderen Händen und Füssen: 6 Finger oder Zehen: bei der Familie Copsey und bei anderen 7 Individuen; theils 5, theils 6 Finger oder Zehen: bei 3 Individuen; nur 5 Finger oder Zehen: bei 2 Individuen angetroffen worden, 4) An den Händen mit 5 Metacarpalia: war 1 Mal der kleine Finger in drei gespalten — D. a. trifidus ` —(Popham), 1 Mal ein supernumerärer Daumen und ein an der Endphalange gespaltener Mittelfinger — D. m. bifidus —(Vrolik) zugegen; bestanden 1 Mal die su- pernumerären Finger, wovon einer (7.) an der End- phalange des kleinen Fingers hing, der andere (4.) ein Ringfinger war, nur aus zwei Phalangen (Grandelé- ment) und articulirte 1 Mal je ein supernumerärer Finger gemeinschaftlich mit dem 4. und 5. Finger der Norm am Metacarpale IV. u. V. (Rörberg); an den war der kleine Finger der rechten Hand ein trifidus, und bestand der kleine Finger der linken Hand aus zwei vollstán- digen Fingern. An jedem Fusse waren 6 reguläre Zehen in einer Reihe. 357 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Händen mit 6 Metacarpalia: articulirten zwei Finger am Metacarpale VI. (Morand) oder hing der 7. Finger mit einer Phalange am 6. Finger (Grandelément). An den Füssen mit 5 Metatarsalia articulirte eine super- numeräre Zehe am Metatarsale I. und die andern am Metatarsale V. mit der 1. und 5. Zehe der Norm: an den Füssen mit 6 Metatarsalia articulirten 1 Mal 2 Zehen, wovon eine nur aus 2 Phalangen bestand am Metatarsale II. (Gruber.) An der Überzahl der Finger bei 5 Metacarpalia betheiligten sich, mit Aus- nahme des Zeigefingers, also zwei oder sogar nur ein Finger (kleiner) der übrigen; an der Überzahl der Zehen bei 5 Metatarsalia die grosse und kleine Zehe. Der unvollkommenste supernumerire Finger enthielt eine Phalange oder war eine durch Spaltung ent- standene secundäre Endphalange; die unvollkommen- ste supernumeräre Zehe enthielt 2 Phalangen. 5) Mit dieser Art Polydactylie kam Syndactylie in verschiedenem Grade vor: sicher bei einem Mitgliede der Familie Copsey und in den Fallen von Lisfranc, Otto und Popham. | 6) Erblichkeit von theils 6, theils 7 Fingern war bei der Familie Copsey, dieselbe nur mit 6 Fingern oder 6 Zehen bei den Familien der Fille von Lisfranc und Rörberg; und Missbildung der Hand bei der Fa- milie eines einseitig 7-fingerigen männlichen Indivi- duums im Falle von Morand, — also in etwa '/, der Familien Erblichkeit von Finger- oder Zehen-Uber- zahl oder doch Missbildung der Finger nachgewiesen. . 7) Die mit 7 Fingern oder Zehen behafteten Indi- viduen gehörten in der Mehrzahl der Fälle dem männ- lichen Geschlechte, in der Minderzahl (5) dem weib- lichen Geschlechte an. Ein Individuum war aus dem Foetus-, zwei waren aus dem Kindes-, die übrigen aus dem Knaben-, Jünglings- und Mannesalter. b. Bis 8 Finger an der Hand und 8 Zehen an dem Fusse. Solche Fälle haben mitgetheilt: Cauroi"), Mo- 18) «Extrait d’une lettre». — Journ. des scavans p. ann. 1696. Amsterdam 1709. p. 78 — 81. (Bei einem Kinde, zu dessen Geburt in Beauvais C. gerufen worden war, an jedem Fusse T Zehen; an der rechten Hand 8 Finger und an der linken Hand 7 Fin- Hand waren mit enormen hydrocephalisc ' Hände mit 2 Nägeln; der Daumen der rechten | p. 505. . Séance | Fol. € 144 p. 574. (Bei rand”), Blasius™), John Harker”), (Giraldés???). Die Angaben iiber diese Falle ergeben nach- stehende Ubersichten: Tabelle L Zahl der Finger | Zahl der Zehen Beobachter der des d rechten | linken rechten | linken Hand and. | Fusses. | Fusses. a S 2. 8 7 7 7 Morand: 2 << 2.3: » » » 8 Blasius ..... ree 5 5 5 8 Marker... EE 8 7 5 5 Tabelle IL . Zahl d. Metacarpalia Zahl Uo apium er 8 Beobachter rechten | linken | rechten | linken Hand. Han ä Caurot.. oe » » » » Morand: ; 433773 » » » 8 THE 5.2, 5 5 5 6 Harker: cin os 5 5 5 5 Geburt abgerissen und später entfernt worden war, und wohl auch . mit Klumpfhänden.) e 19) L. c. p. 139 Fig. 8 et 9. (Fuss mit Weichgebilden und Skelet). (Bei einem Erwachsenen ein linker Fuss mit 8 Zehen und 8 Metatarsalia. Die zweite Zehe besteht nur aus 2 Phalangen. — Der Akademie demonstrirt.) S 20) «Merkwürdiger Fall von Überzahl der Zehen». — A. Sie- bold’s Journ. f. Geburtshilfe. Bd. 13. St. I. 1833, in: Schmidt’s Jahrb. d. Medecin. Bd. I. 1834. Leipzig. S. 58. (Bei einem 4-wöchentli- chen Kinde am linken Fusse: 8 Zehen mit 6 Metatarsalia und zwar: eine Zehe mit Nagel über der 2. Zehe ohne Nagel, mit einander vereinigt; eine andere Zehe zwischen der 2. u. 3. Zehe; eine dritte Zehe am äusseren Fussrande und das supernume- pire Metatarsale über dem Metatarsale II. Die erste supernu- meräre Zehe bestand: aus 2 Phalangen, die rudime ntáre zweite supernumeräre, polypenartig gestaltete Zehe aus einer knorp- ligen, durch eine Art Gelenk in zwei Phalangen getheilten Grund- lage, die dritte supernumeräre kleine am Meta . nor- | articuli n. — Alle 3 supernumerä- ren Zehen, die 2. Zehe und das re Metatarsale abge- 1865. Reihen, der der linken Hand mit 2 Reihen unter ei verwachsener Phalangen; der — Weiter der linke it 2 Nägeln: die kleine Zehe des rechten Fusses mit der nächste: pa Age Deng und Grossvater mit ähnlichen Hän- Zehe verwachsen. Vater e de Paris, Ser. 2. Tom. 6. 1866. den.) pm 22) Bull. de la soc. de Chirurgie de Paris. © en Séance 29. Nov. 1865. Gaz. des hôpitaux einem Kinde $ ganz 8 ganz geschiedene und voll- ständige Finger der rechten Hand ohne Spur ne Daumen. | 23 359 Bulletin de l’Académie Impériale 360 Aus den Angaben resultirt: 1) 8 Finger waren bis jetzt nur bei 2 Individuen an je einer Hand (rechten), und 8 Zehen nur bei 2 In- ' dividuen an je einem Fusse (linkem) beobachtet wor- den. Individuen mit 8- fingerigen Händen und 8-zehi- gen Füssen waren daher selbst viel weniger oft (um #, d. F.) als Individuen mit 7-fingerigen Händen und 7-zehigen Füssen, geschweige denn als die mit 6-fin- gerigen Händen und 6-zehigen Füssen, und obendrein bei einem und demselben Individuum nie zugleich und nie an beiden Seiten angetroffen worden. Ihr Vor- kommen gehört somit zu den Seltenheiten. 2) So weit Angaben über den Metacarpus und Me- tatarsus existiren, waren an einer 8-fingerigen Hand 5 Metacarpalia (Harker), an einem 8-zehigen Fusse 6 Metatarsalia (Blasius), und an einem anderen 8 der- selben (Morand) vorhanden. — Der erste Fall war der unvollkommenste, der letzte der vollkommenste. 3) Beim Vorkommen eines 8-zehigen Fusses in einem Falle (Blasius) hatten der andere Fuss und die beiden Hände 5 Finger und 5 Zehen: einer 8-finge- rigen Hand in einem anderen Falle (Harker), die bei- den Füsse: 5 Zehen und die andere Hand: 7 Finger; eines 8-zehigen Fusses in einem dritten Falle (Cauroi) am ‚anderen eg und an beiden Händen: 7 Zehen und 7 4) In = Falle mit 5 Metacarpalia hatte Triplici- tit des Daumens und Duplicitát des kleinen Fingers eine 8-fingerige Hand, in dem Falle mit 6 Metatar- salia hatte eine supernumeräre Zehe, welche sammt ihrem Metatarsale über der 2. Zehe und dem Meta- | * tarsale II lag, eine zwischen die 2. und 3. Zehe einge-| „ schobene andere supernumeráre Zehe und eine am Metatarsale V. mit der Zehe der Norm articulirende dritte supernumeräre Zehe, einen 8-zehigen Fuss ver- anlasst. In dem Falle mit 5 Metacarpalia (Harker) waren Duplicitát des kleinen Fingers und damit das | Vorkommen des 7. u. 8. Fingers durch das Vorhan- densein zweier Nágel nur angedeutet. In dem Falle mit 6 Metatarsalia (Blasius) waren die 2. Zehe und zwei supernumeräre Zehen und in dem Falle mit 8 Metatarsalia (Morand) war die 2. Zehe unvollständig. ration des Gipsabgusses. G. hatte dem Kinde zwei Finger . abg men, das geheilt das Hospital verliess. — Der Fall scheint ein Fal zweier verwachsenen und an einem Arme sitzender Hände zu sein.) Von diesen Zehen bestanden 3 nur aus zwei Pha- langen und hatte die 4. zwei die Phalangen repräsen- tirenden knorpligen Stücke zur Grundlage. 5) Mit dieser Art Polydactylie kam Syndactylie ver- schiedenen Grades sicher in 3 Fällen — also nicht wie bei den Fällen mit 7-fingerigen Händen und 7-zehigen Füssen in der Minderzahl, sondern überwiegend häu- fig vor. 6) Erblichkeit war in der Familie eines Individuums durch 3 Generationen nachgewiesen. 7) Übrigens missgebildet war ein Individuum. c. Bis 9 Finger an der Hand und 9 Zehen an dem Fusse. Solche Fälle haben mitgetheilt: Fr. Ruysch”), Casp. Neumann”), Froriep, o. rheinisches Medi- cinal-Collegium™), Athol A. Johnson”). 23) Theod Kerckring. — Spicilegium 'anato omicum. pp dami 1670. 4%, Observ. XXII. « Monstrum polydactylon» p. a — Tab. III. — Fr. Ruysch (86 J. alt 1723 gestorben). — Observ. ana- tom. Centuria accedit Catalogus rariorum Musei Re Amste- lodami 1737. 4°. p. 186 — 187. «Sceleton polydactylon monstrosum, cujus figura reperitnr in curioso Spicilegio Kerckringii etc.» (Op. ). (Bei einem 1668 im October zu Amsterdam aus dem Wasser gezogenen und dahin anscheinend gleich nach der Geburt geworfe- nen Knaben waren: an der rechten Hand 7 Finger mit 7 Me- tacarpalia, an der linken Hand 6 Finger und ausserdem am Daumen und am Ohrfinger je eine Appendicula, also — 8 mit 6 Metacarpalia; am rechten Fusse 8 Zehen und 6 Metatar- salia, am lud Fusse 9 Zehen und 7 Metatarsalia. Das Metatarsale L et II. jedes Fusses trugen a 2 Zehen.) Von der zu Ruysch an Kindesleiche hatte dieser das Skelet ver- fertigt und Kerckring zur Beschreibung ee Bei Ruysch, dem der Fall gehört, besser ae als bei Kerckring, der ine Abbildung des Skelets liefert 24) Commercium litter. ann. 1740. 40. Norimbergae. Hebd. XXII. 172. Tab. I. Fig. 12. i. (Bei einem Mädchen mit Bauchspalte Vil kanes congenita fehlte am rechten Fusse die grosseZehe, am linken Fusse (7) waren 8 Zehen, wovon die 8. am Ende ein ifidus. 25) Missbildung (Monstrum per excessum). — Neue Notizen a. d. Gebiete d. Natur u. Heilkunde. X 67. (€ 1. Bd. IV. 1837. Oktober). Bd. 4. Weimar. 1838. S. 8.+Fig. 4 — 8. (Bei einem beinahe 4 Jahre alten, 1834 gestorbenen Kinde mit Kiefern ohne Spur von Zäh- nen, mit Wolfsrachen, der 3’” hinter dem nicht getrennten Bande der Oberkiefer nem ohne Spur des weichen Gaumens und der Uvula und mit 3 elastisch sich anfühlenden glatten Kór- pern statt der (emie — im Leben in grésster Eile untersucht und gezeichnet —9 Finger an jeder Hand, 9 Zehen an jedem Fusse, 9 Metatarsalia an jedem Füsse, 9 Metacarpalia an der rechten und 8 Me etacarpalia an der linken Hand, von den 3 ersten, nicht getrennten Fingern der linken Hand nur der 1. mit einem Nagel, alle übrigen Fuger und | Zehen mit Nägeln.) — rhein Collegii ü Ur d. d 1834, Coblenz 1837. 8°. S. 218, fast wörtlich dieselbe Geschichte mit der Angabe, dass «Dr. Bernstein das Monstrum noch kurz vor des- sen Tode gesehen habe» und dass darüber schon im Generalberichte des Sciences de Saint- Pétersbourg. Die Angaben über diese Fälle ergaben nachste- hende Übersichten. Tabelle I. Zahl der Finger | der | 1 . Zahl der Zehen ` Beobachter. d rechten | linken | rechten | linken | Hand. Hand. . d Fusses. | Fusses. Ruysch.... ... 7 |(6nebst Ap- d d pendiculae 8 y am Daumen und Ohrfin- er) = Neumann........ » » 4 7 nebst ei- ner gespal- | tenen 8.) LI I 9 FM... 9 9 9 9 Jóhutog- ^ 7. V. » » » 9 Tabelle II. Zahl d. Metacarpalia Zahl der Metatarsalia Beobachter | rechten linken | rechten linken | Hand. n | Fusses. | Fusses. Huesca AS 7 T 6 6:48,47 Neumann........ » » eii torpon os 9 Mo poo kostia Jon... vm » A OF in Aus den Angaben resultirt: 1) 9 Finger an Händen und 9 Zehen an Füssen waren bis jetzt nur an 4 Individuen und zwar bei 1 Individuum an beiden Händen und Fiissen, bei 3 In- dividuen an einem Fusse (linkem) beobachtet worden. Individuen mit 9 Fingern und Zehen waren somit bis jetzt so selten, wie solche mit 8 Fingern und Zehen vorgekommen. Ein Individuum hatte so, wie oft bei den Individuen mit 6 Fingern und Zehen, 9 Finger und 9 Zehen beiderseits. Das Vorkommen von 9 Ze- hen an einem Fusse allein betraf wie bei den Indi- viduen mit 8 Zehen immer den linken Fuss. über das Jahr 1831 S. 110 (der mir nicht zur Verfügung steht) eine Beschreibung enthalten sei. . Transact of the pathol. soc. of London. Vol. IX. p. 427. | in: The med. Times a. Gazette. Sér. 2. Vol. XV. 1857. 49, p. 434; Schmidt’s Jahb. d. Mediein Bd. 112. Leipzig. 1861. S. 159. (Bei einem 6-jährigen Mädchen von gesunden Eltern am linken Fusse | J. amputirt worden waren. supernumerären kleinen Zehen standen normal, waren paar- weise verschmolzen, waren die inneren. Jedes Paar rinnenférmige Vertiefung und zwei Nagel in zwei Zehen geschieden. Die Zeheu des inneren Paares enthielten 4, die des äusseren 2 Pha- langen. Die 5. Zehe war gleich der 1. der Norm, aber kleiner als der Hallux des anderen F usses u. S. W. (unverständlich). Metatar- salia?) ren Extremität am Fusse 10 i Zehen. — D — Der l die | 2) So weit Angaben über den Metacarpus und Me- tatarsus existiren, waren an den 9-fingerigen Händen 8 und 9 Metacarpalia und an den 9-zehigen Füssen 7 und 9 Metatarsalia vorgekommen. Nur bei einem Indi- viduum waren 9 Metacarpalia an beiden Händen und 9 Metatarsalia an einem Fusse, 9 Metacarpalia und 9 Metctarsalia beiderseits abor noch nicht gesehen ae 3) Waren in den Fällen mit einem 9-zehigen Fusse an einer Seite an den Händen 7 — 8 Finger und am anderen Fusse 4 und 8 Zehen zugegen. 4) In dem Falle einer 9-fingerigen Hand mit 8 Me- tatarsalia trugen die beiden ersten der letzteren 3 Fin- ger und in dem Falle eines 9-zehigen Fusses mit 7 Metatarsalia die ersten beiden der jekkteren je zwei Zehen. 5) Mit dieser Art Polydactylie kam partielle Syn- dactylie in der Hälfte der Fälle, d. i. also — oft als bei der vorhergehenden Art, vor. 6) Erblichkeit dieser Art Polydactylie war noch nicht beobachtet worden. 7) Die damit behaftet gewesen Individuen waren übrigens eben so oft wohl- als missgebildet. d. Bis 10 Finger an der Hand und 10 Zehen an dem Fusse. Solche Falle haben mitgetheilt: Saviard”), (Gor- ^ ré}, B. Neuer Fall von Polydactylie mit 6 Fingern an der rechten und 6 Fingern und Duplieität der e des Daumens an der linken Hand; mit 6 Zehen an dem rechten und 8 Ze- hen an dem linken Fusse. (Fig. 1— 5.) Im December 1869 wurde in die chirurgische Klinik an der medico-chirurgischen Akademie in St. Petersburg, welche unter der Directi | des Professors Kieter stand, ein Mann Kä olyd ydactyli 27) Nouveau recueil d'observations chi £ Observ. 117, p. 516. (Bei einem 1687 la Hbtel-Dieu Í in Paris gese- en Kinde waren an jeder Hand Hand und an Zenger 4°. p. 878. (Ein 9-monatliches Kind hatte an einer REIR ren unte- Fall gehört nicht ^h dom hierher, wei "erhalten des Fuses, als eine. aus zwei "Terschmolzenen Extremitäten ver- wa worden TT, } kog Bulletin de l'Académie Impériale 364 und Syndactylie an beiden Händen und beiden Füssen aufgenommen, um an dessen rechter Hand und an dessen beiden Füssen, zu deren besserer Brauchbarkeit, einige vom Missgebildeten gewünschte Operationen auszuführen. Mein früherer College hatte die Giite, mir diess mitzutheilen mit der Auf- forderung, an dem Manne vor der Operation Unter- suchungen anstellen zu wollen. Ich kam dem Wunsche nach. Im Nachstehenden theile ich die Resultate meiner Untersuchungen mit, welchen ich auch das vorausschicke, was ich ausserdem über den Mann erfahren konnte: Der Mann, S. Bujew, ist ein Bauer aus dem Gouvernement Olonez, 30 Jahre alt. Er ist gesund, abgesehen von den Missbildungen an den Händen und Füssen, am übrigen Körper wohl gebildet, 53” (Par. M.) hoch. Wer sein Vater gewesen sei, weiss er nicht. Seine Mutter starb, als er ein neunjähriger Knabe war. Die Mutter hatte nach seiner Aussage an den Händen und Füssen gleichfalls Missbil- dungen, die er aber nicht näher angeben konnte. Geschwister besitzt er nicht. Der Bruder sei- ner Mutter und dessen Nachkommen sind wohl- gebildet. Wie er sich erinnert, von seiner Mut- ter gehört zu haben, und von anderen Leuten weiss, rühren ein Paar auffällige Narben, wovon eine an der rechten Hand und eine am lin- ken Fusse sitzt, von einem Schnitte her, durch den dort ein rudimentärer Finger und hier eine rudimentäre Zehe, welche an einem Hautstiele gehangen und in früher Jugend entfernt worden wa- | ren. Der Finger soll dem an der linken Hand noch hängenden rudimentären Finger gleich oder doch ähnlich gewesen sein. Er ist rechthändig und hat bis jetzt nur grobe Arbeit verrichtet. Er würde, wie zu vermuthen, schreiben, nähen u.s. w. können, wenn er es für nöthig gefunden hätte, diess zu erlernen. Er hat einen festen und guten Gang und kann, wie er sagt, bei gewöhnlichem Schritte sehr grosse Strecken ohne Beschwerden und Ermüdung zurücklegen, aber schwer und nicht lange dauernd laufen. Er verlangte die Trennung der Schwimmhaut wenigstens im In- terstitium digitale I. der rechten Hand, um durch "E garten des Daumens den Gebrauch der Hand erhóh« z.B. zum Halten eines Beiles u. s. w. fähiger en zu können. Er forderte auch die Exartien- lation der grossen Zehe an beiden Füssen, weil diese an jedem Fusse, wenn sie auch von den anderen verwachsenen Zehen frei ist, doch von letzteren sehr ab- und sehr schräg medianwärts vorsteht und deren Bewegungen nur in geringem Maasse folgt, dadurch kaum nützlich und namentlich, bei der, selbst ohne sie nach vorn noch enormen Breite der Füsse, das Anlegen eines einigermaassen brauchbaren Schuh- werkes hindert. Rechte Hand (ursprünglich mit 6 Fingern) (Fig. 1, 2). Besitzt gegenwärtig 5 Finger, hatte aber am 5. Finger noch einen rudimentären 6. Finger (a) an einem Hautstiele hängen, der in der Jugend abge- nommen worden war. Für die Richtigkeit dieser An- gabe spricht ausser der Aussage des Mannes auch eine Hautnarbe (a), welche volarwärts an der Ulnarseite der Grundphalange des 5. Fingers, in kurzer Entfer- nung über der Articulatio phalango-phalangea I., sitzt. Der Daumen besitzt 2, der 2. — 5. Finger be- sitzen je 3 Phalangen. Alle Finger haben an ihrer Endphalange einen Nagel. Die Spitze des 3. Fingers reicht kaum oder doch nur um ein Geringes als die des 4. Fingers; die des 2. Fingers ebenfalls nur um Geringes mehr abwürts als die des 5. Fingers; und die der beiden letzteren fast bis zur Mitte der Nagel- lànge der beiden ersteren (bis 3 oder 4" über deren Spitzen) abwärts. Alle Finger sind durch sogenannte Schwimm- häute mit einander vereinigt. Die Schwimmhaut zwischen dem Daumen und dem 2. Finger ist drei- seitig, am Ende bogenformig 10” tief ausgeschnitten. Sie ist 1”5” lang und bis 1" 2" breit. Sie reicht bis zum Nagel des Daumens mit einem Ende und bis zur Arti- culatio phalango-phalangea I. des 2. Fingers mit dem anderen Ende ihres freien Bandes abwärts. Die Schwimmhäute zwischen den übrigen Fingern reichen bis zu deren Spitzen, sind zwischen den Grund- und Mittelphalangen sehr schmal und bei Wirkenlassen hóchsten Grades der Mm. abductores dieser Finger gut sichtbar; an den Endphalangen aber mit dem Volar- und Dorsalblatte über die linienför- migen Interstitia digitalia so straff gespannt, dass die Endphalangen des 2. und 5. Fingers jene des 3. und 4. Fingers fast, und die des 3. und 4. Fingers, zwi- schen welchen sogar ein sehr straffes Gelenk vermu- thet werden kann, einander ganz des Sciences de Saint-Pétersbourg. Die Dorsalfläche ist am Fingerabschnitte ab- norm convex. Daselbst lässt sich an der Mittel- hand die gewöhnliche Zahl der Metacarpalia und der Interstitia metacarpalia unterscheiden; hier sind am Daumen auf der Articulatic phalango -phalangea und an dem 2. — 5. Finger auf der Articulatio phalango- phalangea I. die Hautfalten sehr gut entwickelt, auf der Articulatio phalango-phalangea II. der letzteren aber gar nicht sichtbar. Entsprechend den mit Schwimmhäuten ausgefüllten Interstitia digitalia ist im Interstitium I. eine dreieckige Grube und sind in den übrigen Interstitia Furchen zu sehen, welche zwischen den Grund- und Mittelphalangen lang und ziemlich tief, zwischen den Endphalangen aber ganz flach und linienförmig sind. Die Volarfläche ist abnorm convex. Das Thenar ist sehr, das Hypothenar aber wenig entwickelt, und Vorsprünge, welche jenen über den Commis- suren des 2. — 5. Fingers entsprechen würden, feh- len vollständig. An der Handwurzel die Quer- .furche, an der Mittelhand die Daumenfurche, die abnorme Furche an der Grenze zwischen dem convexen und dem concaven Theile des Thenar, die schiefe Furche, die Fingerfurche, welche vom Ulnarrande der Hand quer bis in die Daumenfurche reicht und die Longitudinalfurche, welche sich in die Furche zwischen dem 2. und 3. Finger fortsetzt, sind sehr ausgebildet. Von den Querfalten der Norm am 2. — 5. Finger fehlen die oberen voll- ständig, die mittleren aber, welche auf den Arti- culationes phalango-phalangeae I. liegen, und die un- teren, welche den Articulationes phalango -phalan- geae II. entsprechen, sind zugegen. Die den dor- salen Zwischenfingerfurchen entsprechenden volaren Furchen sind wenig ausgeprägt und wie die Fur- chen der Mittelhand linienförmig. Ausser der Adduction ist am Daumen, wegen Vorkommen einer Schwimmhaut, der Umfang aller übrigen Bewegungen ein viel beschränkterer als in der Norm. Die Flexion ist mehr gehindert als die Extension. Die Opposition ist nur bei Aushöhlung der 4 medialen Finger eine beträcht- liche. Der Grad der Flexion und Extension der vier medialen Finger gegen die Mittelhand ist normal. Die Flexion derselben in den Articula- tiones phalango-phalangeae I. ist eine vollständige, dieselbe in den Articulationes phalango-phalangeae II. eine beschränktere als in der Norm. Die Exten- sion dieser Finger in den Articulationes phalango- phalangeae I. ist nicht völlig, dieselbe in den Arti- culationes phalango-phalangeae II. ist nur in einem sehr geringen Grade gestattet und dadurch völ- lige Extension der vereinigten Finger gehin- dert. Bei stärkerer Flexion dieser vier an den Endphalangen vereinigten Finger werden sie durch die Wirkung der Mm. interossei externi und des M. abductor digiti minimi im Bereiche der Grund- und Mittelphalangen wie federnde Halbbogen be- trächtlich von einander entfernt und die dor- salen Zwischenfingerfurchen so vertieft, dass von hier aus und zugleich von dem seicht bleibenden volaren Zwischenfingerfurchen her die beiden Blätter der Schwimmhäute durchgefühlt werden können. Es beträgt die Länge der Hand von der Quer- furche der Handwurzel zur Spitze des Mittel- fingers 6” 3”; die Breite derselben im Bereiche der Articulationes metacarpo-phalangeae: 3” 10”, die Breite an den vier vereinigten medialen Fin- gern: 2” 4”, und der Abstand vom radialen Um- fange der Spitze des Daumens zum ulnaren Um- fange der Spitze des 5. Fingers: 5”. Linke Hand (mit 6 Fingern und Duplicität der End- phalange des Daumens) (Fig. 5). Besitzt 6 Finger mit Nägeln an der Spitze. Es ist nämlich an dieser Hand der rudimentäre Fin- ger (a’), welcher an der rechten Hand abgenommen worden war, noch zugegen. Der rudimentäre Finger hängt sehr frei am DL narrande der Grundphalange des 5. Fingers (mehr volar- als dorsalwärts) an einem Hautstiele, der. | davon 9" unter der Articulatio metacarpo- : und 3” über der Articulatio phalango-phalangea A abgebt und einen Strang einzuschliessen scheint, Derselbe hat an der Volarseite über der Mitte seiner Lánge eine ganze und nahe dem Stiele eine halbe quere Furche, an der Dorsalseite der Spitze einen Nagel. Erist 1” 2” lang, 7” breit ‘und 5” dick. Sein platter Stiel ist kurz, geht aber in einer Höhe von 10” ab. Er scheint aus 2 mit ein- ander theilweise verwachsenen kleinen Phalängen zu bestehen. Der Daumen besitzt zwei mit einander 367 Bulletin de l’Académie Impériale veswachsene Endphalangen mit zwei von einander geschiedenen Nägeln, wovon die mediale die su- pernumeräre ist, nach der äussersten Distanz der Spitze des 5. Fingers von der des Daumens zu schlies- sen, welche: 5”, wie rechts, beträgt. Die Schwimmhaut zwischen dem Daumen und dem 2. Finger ist etwas schmäler als rechts, am Rande sichelfórmig ausgeschnitten. Die übrigen Schwimmhäute sind zwischen den Grund- und Mittelphalangen etwas breiter und die dorsalen Zwischenfingerfurchen ausgesprochener alsrechts. Die Opposition des Daumens ist noch be- schränkter als rechts, wobei der ulnare Rand der supernumerären Endphalange die Hohlhand berührt. Die Extension der vereinigten Finger (2—5) ist in einem höheren Grade gestattet als rechts. Übrigens ist diese scheinbar weniger entwik- kelte Hand ähnlich beschaffen wie rechts. Die Zahl der Knochen des Metacarpus ist an beiden Händen normal. Beide Hände verbreiten denselben sehr üblen| ` Geruch, wie die Füsse. Rechter Fuss (mit 6 Zehen) (Fig. 4). Ist sehr deform, besitzt 6 Zehen. Davon ist die grosse Zehe von der 2. Zehe völlig isolirt, sind die 2. — 5. Zehe durch die bis zur Spitze reichen- den sehr schmalen Schwimmhäute, und die 6. Zehe mit der 5. Zehe durch eine stirks breitere bis zur Endphalange der ersteren sich erstreckende Schwimmhaut, ohne oder doch nur geringe Ver- schiebung zu gestatten, vereinigt. Die grosse Zehe ist zweigliedrig, die übrigen sind dreigliedrig. Die Mittel- und Endphalange der 2. Zehe schei- nen anchylosirt zu sein. Die grosse Zehe steht von der 2. Zehe durch das freie, dreieckige, 1" 4—5” tiefe, rückwärts 4” und vorwärts 7—8” weite Interstitium digitale I. ab, und vom inneren Fussrande sehr schrag median- wärts hervor. Dieselbe ist 2" 6” lang, an der Endphalange 1” 3” breit und 1” dick. Es beträgt die Länge des Fusses von der Ferse bis zur Spitze der 3. Zehe: 8” 9” — 9”, dieselbe des Fussrückens von der Fussboore bis zur Spitze der 3. Zehe: 5” 10”; die Breite an der Ferse: 2, an der Mitte: 3° 6”, hinter der Arti- culatio metatarso-phalangea der grossen Zehe: 4”, vor dieser Articulation ohne Einrechnuug der Breite der grossen Zehe: 3’6—7”; der Abstand von der Tibialseite der Spitze der 2. Zehe zur Fibular- seite der Spitze der 6. Zehe 4”, derselbe von der Tibialseite der ag der grossen Zehe zur Fibular- seite der 6. Zehe: 5” Die 2. — 6. qe beige sehr -extendirt und besonders sehr flectirt werden. Die grosse Zehe aber, obgleich in der Articulatio metatarso-pha- langea auf-, ab- und namentlich auswärts bis zum An- legen an die 2. Zehe im beträchtlichen Umfange und in der Articulatio phalango-phalangea im minde- deren Grade beweglich, kann durch Muskel- contraction zur 2. Zehe gar nicht adducirt | werden, nimmt an der gemeinschaftlichen Exten- sion der übrigen Zehen nur etwas und an der Flexion derselben gar keinen Antheil. Linker Fuss (ursprünglich mit 8 Zehen) (Fig. 5). Zeigt noch mehr Deformitäten als der rechte. Er weiset jetzt 7 Zehen, die alle Nägel besitzen, auf und hatte früher noch eine 8. rudimentäre (b). Die grosse Zehe ist von der 2. Zehe völlig iso- lirt, die übrigen Zehen aber sind durch Schwimm- häute verwachsen. Das Znterstitium digitale I. ist so- mit frei, die anderen Interstitia sind ausgefüllt. Das freie Interstitium I. ist 1” 3” tief, am abgerun- deten und abgeschlossenen hinteren Ende 7”, am vorderen offenen Ende 1” 3” weit, also grösser als am rechten Fusse. Die Schwimmhäute rei- chen im Interstitium II. et III. bis zu den Zehen- spitzen, dieselben hören im Interstitium IV. et V. an der Mitte der Endphalangen und im Intersti- tium VI. hinter diesen auf. Dieselben sind im Interstitium II. et III. ganz schmal, im Interstitium IV, V. et VI. und namentlich im letzteren etwas breiter. An dem winkligen Vorsprunge der 7. Zehe, wo früher eine Narbe zu sehen war, jetzt ein kleiner Clavus sitzt, hatte die entfernte 8. rudi- mentäre Zehe an einem Hautstiele gesessen. Die grosse Zehe ist zweigliederig, alle an- deren scheinen dreigliederig zu sein. Die 1. — 6. Zehe sind besonders in der Articulatio metatarso- phalangea, aber auch in den Articulationes phalango- phalangeae sehr beweglich; die 7. Zehe aber ist in ` des Sciences de Saint -Pétersbourg. 370 der gut durchfühlbaren Articulatio metatarso-phalangea ganz unbeweglich und in den Articulationes pha- _ lango-phalangeae nur etwas beweglich. Die Zehen nehmen von der 1. bis zur 6. allmäh- lich an Grôsse ab, die 7. Zehe aber hat etwa die Länge der 2. Zehe. Die 1. bis 6. Zehe haben ziemlich die gewöhnliche Form, die 7. Zehe aber ist hornférmig gekrümmt, oder durch rechtwink- lige Knickung fast in der Mitte ihrer Länge zwei- schenklig, mit dem hinteren Schenkel schräg vor- und lateralwärts, mit dem vorderen Schenkel schräg vor- und medianwärts gerichtet. Die grosse Zehe ist 2" 10” lang, 1" 4 — 5" breit und 10” dick, somit länger als die des rechten Fusses. Es beträgt die Länge des Fusses von der Ferse bis zur Spitze der 3. Zehe: 9" 3 — 6”,*von der Fussbeuge zur Spitze der 3. Zehe: etwas mehr als rechts; die Breite an der Ferse: 2", in der Mitte: 3" 4—6”, hinter der Articulatio metatarso- phalangea der grossen Zehe: 3" 10", vor dieser bis zur Stelle der Anchylose der 7. Zehe mit dem Metatarsus: 3” 9"; der Abstand vom Interstitium digitale I. zum winklichen Vorsprunge der 7. Zehe: 4" 2", yon dort bis zur Spitze der letzte- ren 3" 6^, von der Tibialseite der Spitze der grossen Zehe bis zum winkligen Vorsprunge der 7. Zehe: 6" 3", von dort bis zur Fibularseite der Spitze der letzteren: 6", von der Tibialseite der Spitze der 2. Zehe zum winkligen Vor- , von dort zur Fibu- larseite der Spitze der chen: — 4”, von der a T P" sprunge der 7. Zehe: Tibialseite der Spitze der 2. Zehe zur Pibulus-l seite der Spitze der 6. Zehe: 3” 6”. Die grosse Zehe ist in or Articulatio metatarso- phalangea und in der A. p angea beweg- licher als am rechten. Trotz dieser Beweglichkeit, welche gestattet, sie an die 2. Zehe anzulegen, kann | sie durch Muskelcontractioù doch gar nicht ad- ‘ducirt, nur mässig und etwas mehr als die am rechten Fusse extendirt, bei der Extension schwach abducirt und, was an der des rechten Fusses unmöglich ist, schwach flectirt werden. | 3 Die 2. bis 6. Zehe führen gemeinschaftlich die | Extension und Flexion und anscheinend noch kräf- | tiger als dieselben am rechten Fusse aus. Die 7. Tome XV. Zehe aber bleibt bei allen von den anderen Zehen ausgeführten Bewegungen ganz steif. Über das Skelet des Tarsus und Metatarsus kann durch das Gefühl nichts Sicheres ausgemittelt werden. Die innersten 2 Metatarsalia scheinen mit einander verschmolzen zu sein. Mehr als 6 Meta- tarsalia besitzt der linke Fuss nicht, weil das äus- serste Metatarsale die 6. und 7. Zehe trägt, welche letztere an sich die 8. rudimentäre Zehe hän- gen hatte. Es können 6, möglicher Weise auch nur 5 Metatarsalia an jedem Fusse vorkommen. Operation. Nach den Aufzeichnungen in der Krankengeschichte, deren Einsicht mir gestattet worden war, wurde am 29. December 1869 die Exarticulation der 7. Zehe am linken Fusse, welche ursprünglich eine 8. Zehe an sich hängen hatte, vorgenommen. Zwischen der Grundphalange und dem Capitulum des äussersten Metatarsale war eine sehr straffe fibróse Verbindung, die getrennt wurde. Am Tage nach der Operation hatte sich Anschwellung des ganzen Fusses und Rö- |thung desselben eingestellt. Alle Nähte wurden ent- fernt. Am 4. Januar 1870 wurde in Folge von Lymphangoitis ein rother, beim Drucke schmerzhafter Streifen sichtbar, welcher dem Verlaufe der Vena sa- phena magna folgte. Es kam zur Bildung von Ab- scessen am Oberschenkel, am Malleolus externus und am Fussrücken in der Gegend des äussersten Inter- stitium metatarseum, die am 8., 9. und 15. Januar geöffnet wurden. Auch hatte sich unter dem unteren Lappen der Operationswunde eine bedeutende Quan- titat Eiter angesammelt. Es trat Heilung ein, so dass ‘| der Mann, welcher die Vornahme weiterer Operatio- ‘nen an seinen missgestalteten Händen und Füssen » der Hand nicht wünschte, am 1. Márz von einer der ® Deformitäten befreit, wieder das Bach | E konnte Die abgenommene und mir supernume räre Zehe war 2 — TU i geg Erle einer 2. Zehe der Norm nichts nach. Sie bestand aus hi e nach einwärts inklig zur Mittelphalange gestellt war. Die G 2, deren Linge der er Hae der Zehe gleich kam, var an der 6 und Bulletin de l'Académie Impériale 372 7'/" dicken quer- -ovalen, etwas deformen Basis quer abgeschnitten. Die Mitielpbatatas war 6— 7” lang, 5—5'/,” breit, wenig deform. Die Endphalange war 4', —5" lang und breit, auch nur wenig deform. Die Articulatio phalango - phalangea 1. war theilweise durch fibröse Zwischenmasse verwachsen und gestat- tete abnormer Weise schwache Ab- und Adduction der Mittelphalange. In der Articulatio phalango-pha- |. langea II. war schwache Extension und Flexion mög- lich. Am Rücken sah man eine Sehne an der Mittel- | und Endphalange enden. Am Vorsprunge der Zehe durch winklige Knickung in der Gegend der Articu- latio phalango-phalangea II. und an der Stelle, wo ursprünglich die 8. (rudimentäre) Zehe gehangen hatte, befand sich unter der Haut eine accidentelle Bursa mucosa und ein in die Haut ziemlich tief drin- gender, aber kleiner Clavus. Vergleichung. Der neue Fall gehört zu den vier Fällen mit Ueberzahl der Finger und Zehen, welche oben in | der Classe «b» zusammengestellt sind. Er ist der 3. der seit 100 Jahren zur Beobachtung gekommenen Fälle mit 8 Zehen an einem der Füsse. Der mit 8 Zehen behaftet gewesene Fuss war, wie in den Fällen von Morand und Blasius der linke. An die- sem Fusse waren im neuen Falle vielleicht nur 5, oder wahrscheinlicher 6 Metatarsalia zugegen, wovon das äusserste die 6. und 7. Zehe und letztere die 8. Zehe trug; während in dem Falle von Morand 8 Metatarsalia vorhanden waren, also jeder Zehe ein Metatarsale entsprach, und in dem Falle von Bla- sius 6 Metatarsalia ausgemittelt worden waren, wo- von das supernumeráre über dem Metatarsale II. seine | Lage hatte, dieses und die vier inneren Metatarsalia je eine Zehe, das äusserste Metatarsale aber zwei Zehen trug und zwischen der 2. und 3. Zehe noch eine Zehe sass. Fuss eine Zehe, jede Hand einen Finger über die Norm und der linke Daumen eine doppelte Endphalange; während in dem Falle von Blasius ` und wohl auch in dem Falle von Morand der rechte Fuss und beide Hände nur mit der normalen Zahl| * der Zehen und Finger versehen waren. Im neuen Falle war Syndactylie an beiden Händen und Füs- sen und in Eeer Ausdehnung als in den Fäl- Im neuen Falle hatte der rechte | len von Cauroi, Blasius und Harker zugegen, und Erblichkeit wie bei dem Falle von Harker nachgewiesen. — Der neue Fall mit Finger- und Zehen-Ueberzahl ist somit ein seltener und ein yon den bis dahin zur Beobachtung gekommenen bei- den anderen Fallen derselben Art verschiedener Fall. Erklärung der Abbildungen. . Polydactylie und Syndactylie an beiden Händen und Füssen des 30jährigen Mannes. Fig. 1. Rechte Hand (Dorsalfläche). Fig. 2. .» . » (Volarfläche). a. Rudimentärer (6.) Finger (in der Jugend abge- Dommen) (Skizze). a. Von der Wunde nach Abnahme des rudimentä- ren Fingers herrührende Narbe. Fig. 3. Linke Hand (Dorsalfläche). a’. Rudimentärer (6.) Finger (am Erwachsenen noch . vorgefunden). | Fig. 4. Rechter Fuss (Dorsalflüche). Fig. 5. Linker Fuss » b. Rudimentäre (8.) Zehe (in der Jugend abgenom- men) (Skizze). : Fig. 6. Von dem mit Polydactylie behafteten linken Fusse eines Idioten. (In den 40ziger Jahren beobachtet, 1859 in Kürze erwähnt und in die- sem Aufsatze unter die Fälle der Classe «a.» sub N 9 gereiht). Note sur les corps correspondants aux produits nitrés de la benzoil.anilide, par M. Lazo- renco. (Lu le 15 septembre 1870.) On sait seulement qu'il se forme de la nitraniline par l'action de l'acide azotique sur la benzoil-anilide; il était naturel de se demander, si la benzoil-anilide se laissait nitrer directement, et s'il était possible de produire des corps nitrés par l'action immédiate de la nitraniline et de l'hydrure de nitro-benzoile. En soumettant la benzoil-anilide à l'action de l'acide nitrique sous différentes conditions j'ai obtenu outre la nitraniline des composés résineux, colorés en brun, ne cristallisant pas de leurs rm ‚dans diffé- rents liquides. Zë n ‘de d^ oro i M ta c H g A E d f F Marpentor ae ouf sel. ug wien. bd Seth VT 373 des Sciences de Saint- Petersbourg. 374 En faisant agir l'une sur l'autre l'hydrure de ben- zoile, l'aniline, l'hydrure de nitrobenzoile et la nitr- aniline, j'ai produit trois composés, d'une constitution bien déterminée, qui se forment d'aprés les équations C,H, (NO,) O + C,H; NH, = C4H,4,N,0,— HO. C; H, O + C,H, (N0;) NH, = Cy Hio N,0, — Hz O C,H;(NO,)0 + C,H,(NO,)NH, = Cia Ha N0, — H, O. Tous ces corps cristallisent bien de leurs dissolutions alcooliques et possédent les propriétés suivantes: le corps C; H; (NO,). C, H; N, — la nitro- benzoil- anilide cristallise en aiguilles jaunätres, presque blanches facilement solubles dans l'alcool et dans - l'acide acétique; — il fond à 61° C. Le corps C; H,. Ce H, (NO) N, — la benzoïl-nitranilide cristallise aussi en aiguilles, mais la couleur jaune des cristaux est beaucoup plus foncée, et ils sont plus solubles que les cristaux du corps précédent; le corps cristallise plus difficilement, il fond à 66° C. Le corps C; H; (NO3). C; H, (NO,) N, — la nitro- benzoil-nitranilide est beaucoup moins soluble que les deux précedents; il cristallise en aiguilles colorées en mee pâle, qui fondent à 114? C. Je n'ai pas pu produire ce troisième corps par la nitration directe de l'un des deux composés précédents. Diagnoses breves plantarum novarum Japoniae et Mandshuriae, scripsit C. J. Maximowioz. (Lu le 29 septembre 1870.) DECAS OCTAVA. Triosteum sinuatum, Molliter tomentosum, foliis ellip- ticis acuminatis basi attenuatis et connatis, inferiori- bus utrinque regulariter grosse bis vel'ter sinuatis; floribus sessilibus solitariis vel binis; corolla calycem duplo superante a dorso compressa leviter decurva; staminibus inaequalibus styloque longe exsertis; caly- cis tubo supra drupam globoso-ovatam sulcatam in cylindrum angustum drupa et limbo parum breviorem producto, laciniis linearilanceolatis aequalibus. Hab. in Mandshuria rossica, rarissime: collegi se- mel tria specimina fructu fere maturo ad Amur flu- vium e jugo Bureico exeuntem, ad margines silvae | etiam crescit: descripta et delineata exstat saltem in opere Y-kuma-yu-sai: Soo bokf dz' sets dzen hen, III, fol. 17., ubi figura principalis plantam fructu imma- turo onustam offert, cum flore seorsim adumbrato.. - Descriptio floris ad iconem japonicam laudatam concinnata. Color florum et fructuum hucusque ig- notus. ps Statura, pubes, et folia superiora quoad formam fere exacte T. perfoliati L. boreali-americani, sed costae foliorum in hac specie utrinque subdecem SU nostra 6 — 7, folia inferiora non sinuata, calycis la- ciniae inaequales corollam rectam teretem aequantes, stamina aequilonga inclusa, limbus calycis in drupa globosa sessilis. Ligularia ealthaefolia, Humilis, praeter inflorescen- tiam arachnoideo-tomentosam glaberrima; foliis sub- coriaceis radicalibus longe tenueque petiolatis cordato- ovatis cordato -rotundis vel infimis rarissime cordato- reniformibus, obtusis vel acutiüsculis, obtuse serratis, caulinis parvis paucissimis lamina consimili petiolo late vaginante amplexicauli, omnium nervis costa media multo tenuioribus utrinque usque ad 7; co- rymbo oligocephalo; bracteis vaginiformibus pedun- culos vulgo aequantibus; capitulo amplo multifloro basi bracteolis amplis 2 suffulto; squamis involucri subquinque disco parum brevioribus oblongis obtu- siusculis herbaceis; ligulis spathulato-linearibus obtuse bi-tri-dentatis multinerviis; pappo rufo; achaenio glabro. Hab. in Mandshuria austrorientali littorali, in de- clivibus graminosis pratisque siccioribus circa sinus Wladimiri et Olgae, frequens, Julio florens. Signis diagnosticis proxima sequenti. Statura et ha- bitu quodam similis Z. robustae DC., altaicae, quae vero valde nimisque diversa petiolis crassis, caule fo- liato, foliis caulinis suboblongis cuneatim in petiolum non dilatatum abeuntibus, pedunculis elongatis brac- - team haud vaginantem duplo- saltem —— pappo tenero albo, pube etiam foli pue eu sed capitula subaequimagn Ligularia elivorum, Rakista de pibes vel praesertim inferne plus minus glabrata; foliis mem- branaceis radicalibus longe tenueque petiolatis reni- formibus. vel cordato-reniformibus vel rarissime cor- frondosae non procul a Jekaterino-Nikolsk, inter gra- SE MAL mina elata occultata, fine Julii 1859. — In Japonia | auli parvis lamina consimili cm La rene D 375 Bulletin de l’Académie Impériale 376 amplexicauli, omnibus triplinerviis et utrinque tenue subbi-tri-costatis; corymbi oligocephali vulgo ebrac- teati bracteis pedunculo brevioribus bracteolis sub- nullis; capitulo amplo multifloro; involucri disco pa- rum brevioris squamis subocto oblongis acutiusculis margine scariosis; ligulis linearioblongis acute bi-tri- dentatis multinerviis; pappo rufo; achaenio glabro. Hab. in Japoniae pratis montanis a Hakodate usque ad jugum Hakone, frequens, in borealioribus etiam in planitiem descendens, Augusto florens. Folia fere L. sibiricae Cass., sed magis reniformia, acutius dentata et vulgo tenuiora; capitula illis spe- ciei praecedentis aequimagna vel majora, cui valde affinis, attamen signis ingenti speciminum numero quoad constantiam probatis bene diversa et habitu proprio statim distinguenda. Ceterum indicis specie- bus affinior videtur quam sibiricis, et quidem, quan- tum e descriptionibus et speciminibus mancis dijudi- care possum, L. corymbosae DC. et. L. amplexicauli DC: non absimilis, quae vero corymbis polycephalis, capitulis duplo minoribus, ligulis anguste linearibus 3— 5-nerviis, foliorumque forma valde differunt. Macroclinidium n. gen. Compositae Mutisiaceae. : Capitulum homogamum pluri- (10 — 15) florum. Involucrum floribus brevius, cylindricum , squamis multiseriatis imbricatis multinerviis pergameneis, ex- timis brevissimis, interioribus sensim longioribus, om- nibus obtusis. maphroditi, corollae tubo vix a limbo distincto, limbo 5-partito obscure bilabiato vel subregulari, laciniis anguste linearibus revolutis. Stamina exserta coria- cea, antherarum alis cartilagineis acuminatis, caudis longis connatis subintegris, filamentis distinctis. Stylus demum exsertus aequalis. Stigmata ultra medium con- nata ibique pubescentia, apice breviter patentia ob- tusa. Achaenium anguste oblongum, basi attenuatum, multinerve, callo basilari majusculo. Pappus pluri- serialis etes sordide albidus, radiis apice subin- erassatis, denticulato-scabris. Embryo cavitate achae- nii. brevior; cotyledonibus od oblongis, radicula brevissima. Receptaculum planum, alveolatum, al- | veolis margine dense longeque barbatis. Flores her- | M. robustum. Herba perennis bi-tri-pedalis glabrius- - cula, folia in media parte caulis conferta ampla (ad 9 poll. longa) petiolata, oblonga, acuminata, grosse pauciser- rata; capitula fere bipollicaria sessilia, inferiora folio vel bractea foliacea fulta, superiora vel omnia nuda, interrupte spicata. Flores albi. Hab. in Japonia circa Yokohamam, in silvis fron- dosis passim non rarum, sub nomine háguma Japo- nensibus notum, fine Septembris florens, medio No- vembri fructiferum, nec non simili loco in insulae Kiusiu jugo centrali Kundsho-san, ad pedem, initio Octobris subdefloratum. Genus fere intermedium inter Ainsliaeam DC., cu- jus habitum satis refert, et Pertyam Schltz. Bip. (ex mea sententia a Gochnatia non satis distinctam), cujus characteres nonnullos offert. Prior diversa ca- pitulo 1—4-floro et pappo plumoso, posterior invo- lucro turbinato 5-seriato, utraque receptaculo glabro. Nabalus ochroleucus, Robustus, glaber vel rarius parce hispidus; caule sulcato; foliis tenue membranaceis glabris inferioribus runcinato-pinnatipartitis laciniis lateralibus 2 — 4 brevibus terminali ampla deltoidea omnibus acuminatis acutisve parce lobato-incisoserra- tis vel lateralibus subint iolo alato,superioribus -ai T FE Ad i EE y t tata amplexi- tegris; racemis paniculatis; capitulis sub- 12-floris suberectis pedicello multo brevioribus, caly- culi squamis paucis bracteoliformibus, involucri squa- mis propriis 10— 12, omnibus glabris vel basi hispi- dopilosis; floribus. ochroleucis; pappo sordide albido quam achaenium breviore. Hab. in Mandshuria austrorientali circa aestuaria Wladiwostok (May) et Deans Dundas, in silvis humi- dis, nec non in pratis, secus rivulos, rarius, initio Sep- tembris florens. - N. Fraseri DC., ex America borealiorientali, fronde nostro valde similis, sed diversus caule tereti, capitu- lis pendulis, panicula corymbosa, squamis floribusque paucioribus, calyculi natura, pappo achaenium supe- rante. Nabalus acerifolius. Humilis; totus dense rint pubescens; caule angulato-suleato; folii in inferiore parte caulis confertis longe petiolatis cordato-renifor- mibus vel cordato-rotundis ovatisve pedatinerviis 3—7- lobis, petiolo alato, superioribus paucissimis parvis oblongis basi amplexicaulibus, omnibus inciso serratis; 377 des Sciences de Saint- Pétersbourg. racemis paniculatis ; nds pedicellum superantibus sub-12-floris suberectis; involucri calyculati squamis propriis subocto plus minus glanduloso-longepilosis; floribus albis; pappo sordide albido achaenium duplo superante. Hab. in Kiusiu interioris nec non dnos mediae silvis alpinis variis locis rarus, floret Octobri. Species sui juris, nonnihil similis tantum N. alato | Hook., circa oceanum Pacificum borealem indigeno. Utraque species nune proposita quoad sectionem |- ambigua, a 8 1. Torr. et Gray capitulis suberectis nec non calyculo diversa, etsi habitu satis congrua, a § 3. Torr. et Gray capitulo plurifloro et habitu (sal- tem in N. ochroleuco) distincta. Elaeagnus Oldhami. Ramis robustis squarrosis pulve- rulento-fusco-cinereis ; foliis annuis obovatis rotundato- obtusis utrinque superne parcius argenteo-lepidotis; Deen axillaribus politariis brevissime pedunculatis igonii brevissimi limbo supra germen valde constricto cylindrico lobis trian- gularibus acutis intus stellato-pilosis parti indivisae aequilongis; fructu globoso dense argenteo-lepidoto pe- dunculum multo superante. Hab. in insula Formosa (Oldham X: 459. a. 1864. fl. defl.). aen Limbo brevi E. latifoliae L., fructu globoso argen-- teo E. argenteae Pursh affinis, ab utraque flore soli- tario. et foliorum forma diversa, fructu globoso etiam cum E. umbellata Thbg. conveniens, quae vero flori- | bus aggregatis et perigonio gracili statim distinguitur. | Supellectili optima quoad species japonicas, haud mala quoad exoticas fultus, priorum enumerationem, | omnium clavem synopticam offerre non inutile duco. Clavis specierum mihi notarum Elaeagni. 1. Putamen osseum crassum, striatum. Conf. ad 2. fibroso-coriaceum tenue, sulcatum. Cf. ad 3. 2. Cortex een fructus glob sus argenteu Cortex lucidus, SE ruber ovalis (rarius glob GE. Ee M. B. ` 3. Vernales. Folia- decidua, uae flores ex innovationi- bus orti. 4. Autumnales. Folia ne flores ex axillis folio- rum vetustorum orti. 6. 4. Perigonium brevissimum laciniis par- _ tem integram limbi — zs 99 » » 9 9 * 9 » * v» ^ 9 * d argentea Pursh. eo... res Perigonium elongatum, laciniis parte integra perigonii /, brevioribus, fruct. rubri. 5. i Fructal globosi. Perigonium basi at- NN. EE Fructus oblongi v. ovales. Perigon. upra ovarium constrictum..... . Limbus perigonii campanulatus. 7. us. 8. . Flos amplus uti tota planta ferrugi- neo-lepidotus, lepidibus argenteis MONG EE. in is, E. Loureirii Champ. E EE E.macrophylla Thbg. 8. Limbus ad basin sensim attgnuatus, Pedunculi fructiferi immutati. 9. Limbus basi constrictus cylindricus vel ellipsoideus. 10. i Squarrosa spinosa, argenteo-lepidota e E. umbellata Thbg. E. longipes A. Gray. O, » » tubulos -1 e Sarmentosa inermis, fusco-lepidota LS BEB WEE a . Pedunculi fructiferi subimmutati 11. valde elongati, limbi pars integra quadrangula laciniis AQUI | ns . Pars integra limbi aequalis lacinias aequans, lepides ferrugineae.... Pars integra limbi ellipsoidea medio subinflata, lacinias aequans vel superans E. ferruginea Rich.!) E. gonyanthes Benth. *9** 99592929 9 9» 9 " 9 9 * 9 » * E. latifolia L.?) En species japonicae: 1. E. umbellata Thbg. (E. parvifolia Royle, E. reflexa Dne et Morr.), per totam Japoniam, Chinam borealem (Fortune!) et Himalayam, frequens. 2. E. longipes A. Gray. (E. crispa et E. multiflora Thbg.), per totam Japoniam, sed rarior "—€—X Varietates distinguo quatuor: ae a. hortensis. Inermis, folia elliptica, peduncul lon- | gissimi, fructus magni, edules. 8. ovata. Folia acuminata, Geert y eximie ela E | vati, fructus modici, edules. OU AT a y. multiflora. Spinosa parvifolia, folia | aria, | ~ breviores, fructus parvi acerbi. EE ò. crispa. Spinosa es pi | celli abbreviati. d m 3. E. Wiere HE i Kee et Nippon us- 1) Hue ducenda videtur E. Cumingii Schtdl. ide duc vind IR — ex mihi ex herbario Een den ám | E. umbellata Thbg.) : sed ultimam en ze ne immerito. Bulletin de l'Académie Impériale 380 que ad peninsulam Idzu, nec non in archipelago Ko- reano et Korea ipsa. Videtur planta litoralis. 4, E pungens Thbg. In Kiusiu vulgaris, in Nippon usque ad Simodam, sed vix magis versus septentrio- nem, spontanea. E. glabro x pungens m. Nagasaki, individuum uni- cum inter millia utriusque parentis observavi, exacte medium: frons et lepides E. pungentis, habitus et folia quoad formam, et flores E. glabrae. Certe non transitus, sed hybrida. 5. E glabra Thbg. (E. tenuiflora Benth.), in Chi- na, Lutschu, Kiusiu et Nippon usque ad Yokohamam, in silvis, praecedente rarior. Podocarpus caesia. (Nageia Endl.) Tota caesio-glauca, ramis alternis crassis erecto-patulis apicem versus fo- liosis ceterum nudis, cicatricibus foliorum delapsorum tuberculatis; foliis crasse eoriaceis subtus stomata ge- rentibus multinerviis undique versis suboppositis orbi- culatis rotundato-ovatis vel rarius orbiculato-ellipticis basi subito in petiolum brevem dilatatum attenuatis apice subito longeque acuminatis mucronatisque. In urbe Nagasaki rarius culta invenitur, e Japonia - maxime meridionali vel insulis meridiem versus sitis verosimiliter accepta, hortulanis Yedoensibus ignota. Amat terram argillaceam, abhorret nimis humidam. Individua circiter bipedalia a me a. 1864 viva Pe- tropolin introducta postea interierunt. Florentem vel fructiferam non vidi. Colore caesioglauco frondis inter omnes Species Podocarpi insignis, et cum nulla alia confundenda. Podocarpus appressa, (Eupodocarpus Endl.) Ramis verticillatis horizontaliter patentibus subpendulis; fo- Dis sparsis confertis erectis crasse coriaceis lineari- bus utrinque basin subtortam versus longe attenuatis apice acutiusculis margine obtusissimis, utrinque sub- concoloribus nervoque vix prominulo subindistincto | percursis. In Yedo urbe rarius culta, a. 1864 viva multis spe- ciminibus à me Petropolin introducta. o Ab affini P. macrophylla Don. $. chinensi direc- tione ramorum foliorumque, posteriorum forma, tex- tura et colore optime videtur distincta, etsi hucusque sterilis tantum nota. Folia in nostra duplo breviora et angustiora, longius attenuata, molliora, multo cras- siora (sectione transversali oblonga!), margine minime revoluto, obtusissimo. Rami multo graciliores, -sub- penduli. Vidi sterilem tripedalem usque (P. chinensis ` specimina vix pedalia jam fructifera!). Folia ad sum- mum 3", cent. longa, 4 mill. lata, infima ramulorum quam superiora obtusiora. Nota. Species japonicae Podocarpi mihi notae sunt sequentes: {. P. caesia m.— 2. P. Nageia R. Br. cum var. 8. rotundifolia Maxim. in Rgls. Gartenfl. 1864. p. 37. (P. ovata Henk. et Hochst. Syn. d. Nadelh. p. 381. a. 1865.), saepe variegata, et var. y. angusti- folia Maxim. 1. e. foliis linearibus vel lineari-lanceo- latis subfaleatis. — 3. P. appressa m. 4. P. macro- phylla Don. (P. japonica h. Bogor. videtur forma an- gustifolia, P. flagelliformis h. Makoy. in Belg. hortic. 1866. p. 269. videtur planta juvenilis) cum var., in hortis exorta saepeque vario modo variegata, Q. chi- nensi m. (P. chinensis Wall., P. macrophylla B. Maki Sieb. et Zucc., P. japonica 8. elegantissima Gord., si folia fasciata, P. corrugata Gord?, si folia varie- gata), cujus monstrositas est: P. canaliculata h. Ma- koy! 1865. — Ignotae mihi sunt: P. grandifolia Endl., et P. cuspidata Endl., sed vix Carriére, nec Gordon. Utraque ab Endlichero olim ad specimina viva culta descripta est, nunc vero (monente ill. Fenzl in litteris) in herbario vindobonensi desidera- tur, utriusque patria «verosimiliter in Japonia» nomi- natur. Gordon insuper P. cuspidatae patriam insu- lam Jezo esse asserit, ubi nulla Podocarpi species ab ullo collectore adhuc visa est; neque clima aptum vi- detur. Ex mea sententia utraque species e flora Ja- poniea excludenda, — P. Koraiana Sieb!, cujus syno- nymon est Cephalotaxus Buergeri Miq! nil est nisi forma foliis sparsis Cephalotazi drupaceae S. Z., qua- lem una cum ramis distiche foliatis in eodem individuo observare licet. : Iris tectorum. — 7. cristata Miq! Prol. p. 305, non Ait. — Siebold! pl. viv. h. Petrop. missae. — I. germanica, japonice Itchi hatsu. Y -kuma-yu-sai. Le, II. fol. 3. — Rhizomate crasse tuberoso articulato, innovationibus sessilibus; foliis (ultra pedalibus) equi- tantibus dorso late carinatis lineari- lanceolatis longe acuminatis scapum subsimplicem vel ramo uno alterove instructum subaequantibus; spathis bivalvibus, valvis ovato-lanceolatis obtusis; pedicello longitudine ovarii; tubo perigonii violacei crasso stigmata ovariumque aequante vel breviore e spathis demum exserto, laci- niis subaequalibus obovatis reflexis margine crispato- des Sciences de Saint- Pétersbourg. 382 undulatis, exterioribus maculatis ad unguem albidum violaceo-striatis, lamina ultra medium crista simplici albida violaceo-maculata vage longeque fimbriata in- structa; stigmatibus apice bifido acute serratis; cap- sula coriacea oblonga trigona pedunculum subaequante; seminibus angulato-globosis vix compressis. Hab. circa Yokohamam, passim inter frumenta in agris, nec non in casis stramento tectis vicorum, fre- quens, initio Maji florens, in vico Kamakura in hortis rusticanorum culta, fine Aprilis Lea — Siebold Europam introduxit. I. cristata Ait. diversissima: statura vix '/ pedali, -rhizomate repente, innovatiouibus longe pedunculatis, foliis lanceolatis acutis, spatha trivalvi, tubo corollae longissimo, perigonio pallide coeruleo laciniis interio- ribus erectis, crista triplici humili dentata, stigmatibus profunde bifidis subintegris. — Nostrae ob crescendi modum multo propior est Z. decora Wall., etiam sta- tura nostram aemulans, attamen foliis angustioribus longius acuminatis, perigonii pallide reticulati laciniis bifidis, crista dentata, stigmatibus amplis ellipticis circumcirca serratis profunde bifidis lacinias aequan- tibus optime abundeque diversa. — Ad mentem Klat- tii (cf. Linnaea, XXXIV. p. 541. 587.) ad Neu- beckiae genus pertineret nostra species, cujus vero loci sit in systemate Spachiano (Rev. gen. Iris. in Ann. sc. nat. 3 sér. V. p. 89.) ex enumeratione minus completa Spachii non patet. ae - BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L’ Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Verzeichniss der Bibliothek der physikalisch-medicinischen Gesellschaft zu Würzburg. Wiirzburg 1869. 8. gg: Hauptkatalog der k. Universitätsbibliotkek übingen. F. Berg und ihre Hülfswissen- a Tübingen 1369. XVI. Zuwachsverzeichniss der E ‘Universitatsbibliothek zu Tübingen. 1868—69. 4. Catalogus codicum manuscriptorum bibliothecae regiae Mo- nacensis. Vol. III p. 1. Monachii 1868. 8. Tabulae codicum manuscriptorum praeter graecos et orien- tales in bibliotheca Palatina Vindobonensi asservato- rum. Vol. III. Vindobonae 1869. 8. | Botten-Hansen, Paul. La Norvège littéraire. Christia- nia 1868. 8. Baron Larrey. Discours prononcé à l'inauguration de la statue de Guillaume Dupuytren à Pierre-Buffiere le 17 octobre 1869. Paris 1869. 4. Asbjérnsen, P. Chr. Anton Rosing. Biographie. Christia- nia 1869. 8 VIII Caen academica universitatis Basileensis anno 1869 GET. M academica universitatis Berolinensis annis 1869 et 1870 edita. XXVII scripta academica anno 1869 in universitate lite- rarum regia Friderico- Alexandrina Erlangensi edita. LXXII scripta academica universitatis Halensis anno 1869 edita. XLVI scripta academica annis 1869 et 1870 in universitate literarum Jenensi edita. CLXVII scripta academica universitatis EE annis 1869 et 1870 edita. XL scripta academica annis 1868 et 1869 in universitate literaria Marburgensi edita. XXIII scripta academica anno 1869 in universitate litera- rum Tubingensi edita. Tübinger Universitätsschriften.aus dem Jahre 1869. Tü- bingen 1 Annales academie MDCCCLXIV — MDCCCLXV. Lugduni Batavorum 1869. 4. Norske Universitets- og Skole-Annaler. Tredie Række. X. -1ste og 2det Hefte. Christiania 1869. 8. Det kongelige Norske Frederiks Universitets ageet ning for Aaret 1868. Christiania 1869. 8. Index scholarum in universitate regia Fredericiana anno MDCCCLXIX ab a. d. XVII Kalendas Februarias habendarum. Christiania 1869. 4. Saban, Don Pedro. Noticia de las actas de la real Aca- demia de la historia leida en junta pública de 29 de Junio de 1862 y de 7 de Junio de 1868. Madrid 1862—68. 8. De la Fuente, Vic. Elogio del Arzobispo D. Rodrigo Jimenez de Rada. Madrid 1862. 8. Fort, Don Carlos Ramon. Discurso en elogio de Don José Cornide de Saavedra. Madrid 1868. 8. — Rizzo y Ramirez, Don Juan. Juicio critico y S "m cion politica de Don Alvaro de Luna. Madrid 1865. 8. De los Rios, Don Demetr. Memoria. arqueológico scriptiva del Anfiteatro de Itälica. Madrid 1862. 8. Munda Pompeyana. Dictámen de Don Aureliano. Fernan- dez - Guerra y Orbe. — Viaje arqueológico de Don _ José Oliver y Hurtado. Madrid 1866. 8. pe Don Ant. eg, leido à la real Academia de bistoria. Madrid 1868. E ger español: pare cion de documentos, optisculos y — que publica la real Aca- ‘383 Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint - Pétersbourg. 384 demia de la historia. Tomo XV— XIX. Madrid 1862 — 65. 8. Coleccion de obras arábigás de historia y geografía que publica la real Academia de la historia. Tomo I. Madrid 18567. 8. Alcantara, D. José Godoy. Historia critica de los falsos chronicones. Madrid 1868. 8. Gonzalez, Don Franc. Fernandez. Estado social y poli- tico de los Mudejares de Castilla. Madrid 1866. 8. Cortes de los antiguos reinos de Leon y de Castilla, publi- cadas per la real Academia de la historia. Tomo II. III. Madrid 1863—66. 4 España sagrada, continuada per la real Academia = la historia. Tomo 48— 50. Madrid 1862—66. 8. Atti della r. accademia delle scienze di Torino púbblicali dagli Academici Segretari delle due Classi. Vol. IV. 1868—69. 8. Sunti dei lavori scientifici letti é discussi nella classe di scienze morali, storiche e filologiche della reale ac- cademia delle scienze di Torino dal 1859 al 1865 scritti da Gaspare Gorresio. Torino 1868. 8. . Atti del reale Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Tome XIV, dispensa 9. 10; LS XV, disp. 1. 2. Vene- _ zia 1868— 70. 8. . — della fondazione scientifica Cagnola. vel V, parte 1. Milano 1869. 8. - Rad jugoslavenske Akademije manosti i i umjetnosti. Knjiga X. U Zagrebu 1870. 8. ` Sitzungsberichte der k. bayer. Akademie der Wissenschaf- | ten zu München. 1869, H. Heft 3. 4; 1870, I. Heft 1. München 1869—70. 8. — der k. Akademie der ee E Mathematisch- . naturwissenschaftliche Classe. Abthl. I. Band LVIII, | Heft 1 — 5; LIX, Heft 1. 2. Abthl. II. Band LVII, Heft 2—5; LIX, Heft 1—3. Wien 1869. 8. — — — — Philosophisch-historische Classe. Band 61, Heft 2. 3; Band 62, Heft 1— 4. Mathem.-naturw. Classe, | Abthl. 1, Band 59, Heft 3— 5; Band 60, Heft 1. 2. Abthl. 2, Band 59, Heft 4.5; Band 60, Heft 1. 2. | Wien 1869. 8. ` Denkschriften der k. Aa der Wissenschaften. Math.- naturw. Classe. Band 16 u. 18. Wien 1869. Almanach der k. Akademie der ne Jahrgang. 1869. Wien. 8. Sitzungsberichte der k. Akademie der Wissenschaften. Philosophisch-historische Classe. Bd. LX, Heft 1—3; LXI, Heft 1, und Register zu Band 51 — 60. Wien 1869. 8. Abhandlungen der k. Sächsischen Gesellschaft der Wis- senschaften. Band XIV, X 1—3. Leipzig 1869. 8. 19ter Berichte über die Verhandlungen der Sächsischen Gesell- | schaft der Wissenschaften zu Leipzig. Math. - phys. | s Classe, 1867 X 3. 4, 1868 X 1—3, 1869 N 1. Leip- zig 1868. 8. Preisschriften gekrént und herausgegeben von der Fürstl. ablonowskischen Gesellschaft zu Leipzig. € XIV, XV, XVI. Leipzig 1869. 8. Nachrichten von der k. Gesellschaft der Wissenschaften und der Georg - Augusts - Universität aus dem Jahre 1869. Göttingen 1869. 8. Abhandlungen der k. Gesellschaft der Wissenschaften zu Góttingen. Band 14, von den Jahren 1868 und 1869. Góttingen 1869. 4. Monatsberichte der k. preussischen Akademie zu Berlin. Januar und Februar 1870. Berlin 1870. 8. Verhandelingen der k. Akademie van Wetenschappen. Af- deeling Letterkunde. Vierde Deel. Amsterdam 1869. 4. Verslagen en mededeelingen der k. Akademie van We- tenschappen. Afdeeling Naturkunde. Tweede Reeks. Derde Deel. Amsterdam 1869. 8. Jaarboek van de k. Akademie van Wetenschappen, ge- vestigd te Amsterdam, voor 1868. Amsterdam. 8. Processen-Verbaal van de gewone Vergaderingen der k. Akademie van Wetenschappen, Afdeeling Naturkunde. ` Van Mei 1868 tot en met April 1869. 8. Proceedings of the royal Society of Edinburgh. Vol. VI, X 77. Edinburgh 1869. 8. Transactions of the r. Society e Edinburgh. Vol. XXV, part IL Edinburgh 1869. 4.‘ Fortegnelse over de af det k. danske Videnskabernes Sel- skab udgivne Skrifter. Kjøbenhavn 1869. 8. Oversigt over = k. danske Videnskabernes Selskabs for- og dets Medlemmers Arbeider i Aaret 1868 og due Kjóbenhavn. 8 Thomsen, Jul. Thermochemiske undersøgelser over Af- fnitetstörähhlehe imellem Syrer og Baser i vandig opløsning. Kjøbenhavn 1869. 4. Steen, Ad. Om ændringen af Integraler af EE Differentialer til Normalformen for det elliptiske In- tegral af første Art. Kjøbenhavn 1869. 4. e Lorenz, L. Experimentale og theoretiske Undersggel- ser = Legemernes Brydningsforhold. Kjebenhavn 1869 Det bodies Norske Videnskabers-Selskabs Skrifter i det 19° Aarhundrede. 5" Binds 2% Hefte. Thrond- hjem 1868. 8. Forhandlinger i Videnskabs - Selskabet i Christiania Aar ` 1868. Christiania 1869. 8. Ghirardini, Alessandro. Studj sulla lingua umana, se - . pra alcune antiche inserizioni e sulla ortografia. ita- liana. Milano 1869. 8. Griechisehe Lieder, theils Übertragung, theils Original von Julius Richter. 4 Biblioteka Ossolińskich. Pismo historyi, literaturze, umie- jetnoéciom i rzeczom narodowym poświęcone. Poczet nowy. Tom dwunasty. Lwów 1869. 8. Paru le 11 novembre 1870. ^" literen Abweichungen re. GTA a. Ae IE otin di. ad ©: Bill « pats ee VE, > joie zë * UU ms, eun um om uo VA a E y, e? mn — RE o pi cm m m TE jw d ` LÀ" nd am rss = — Wegen amer F yt ^ — Tr Karpewrer hel: mal ma T. XV, N° 4. ss = BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. TOME XV. (Feuilles 25—31) CONTENT. age. M. Brosset, Note sur un manuscrit grec des quatre Evangiles, rapporté du Souaneth- Libre et appartenant a8 comte Panide. ir. A net 385—397 A. Schiefner, Rapport sur un voyage executé en 1870....................,....... 397—403 Ed. Brandt, Sur les jeunes Zdothea entomon. (Avec une planche.))................... 403—409 A. Middendorff, Le Golf-stream à Pest du Cap Nord .......................,..... 409—434 W. Gruber, Remarques sur l’osteologie de la main et du pied. (Avec une planche.).... 435—459 —— Observations sur les cas de polydactylie . ...................,....,....... 460—483 Nouveau cas d’un neuvième petit os du carpe, remplaçant l’apophyse styloide (processus styloideus) de Pos III du métacarpe chez l'homme ......... EE 483—486 — Sur un cas d'ankylose du neuvième petit os du carpe avec Pos III du meta- Cae OA I BONE EE do 486—492 Jegorof, Rotation du plan de polarisation par l'effet des electro-aimants............. 492—495 Um te a ee EE E 495—496 On Padi: chez MM. Eggers € Cie, H. Schmitzdorff, J. Issakof et Tcherkessof, libraires à St.-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l'Académie (Bonnert Ilpassemis Huneparopexoñ Axazenin Hayx5), N. Kymmel, libraire à Bigs; A. E. Kechribardshi, libraire à Odessa et chez M. Léopold Voss, libraire eipzig. Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. — CÓ : 3 thalers de Prusse Prusse pour Ki étranger. Imprimé par ordre de l'Académie Académie Impériale des sciences. Décembre 1870. C. Vessélofski, ecrétalie perpétuel. mm Imprimerie de l'Académie mie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9* — N 12.) BULLETIN DE L’ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Note sur un manuscrit grec des quatre Evan- giles, rapporté du Souaneth-Libre et appar- tenant au comte Panin. (Lu le 6 octobre 1870.) En l’année 1853 Vhabile numismate et antiquaire le général Bartholomée fut envoyé pour affaires de service dans le Souaneth-Libre et, tout en remplissant ses devoirs administratifs, explora au point de vue de la science. Les vieilles églises, plus nombreuses dans ce pays sauvage qu’il n’est possible de se le figurer, -les croix, les inscriptions sur les ustensiles du culte, les manuscrits, rien n’échappa à sa curiosité, à son crayon d'archéologue, la langue méme fut l’objet de ses recherches, dont les intéressants résultats sont consignés dans une excellente notice insérée au t. V des Mémoires de la section caucasienne de la Société de Géographie russe, avec deux planches lithogra- phiées. Là, au N° 9, on voit le fac-simile d’une épi- graphe grecque, tirée d’un manuscrit des Évangiles, trouvé par lui au monastère des SS. Kyrique et Iw- lita’), dans la commune de Kala, la seconde à partir des sources de l'Engour. C’est le méme qui, rapporté plus tard en Géorgie, par M. Lévachef, se trouve main- tenant entre les mains du jeune comte Panin, et qui m'a été communiqué obligeamment par M. Bytchkof. Ce manuscrit sur vélin, d'une trés haute antiquité, que je ne saurais déterminer positivement, parait re- monter au IX? ou au X" s. L'écriture en est très épaisse, mais bien lisible et très correcte. Le vélin en est fort endommagé par le temps, dur comme bois, et les marges en sont toutes rongées en certains endroits; toutefois il ny a aucune trace d'humidité ni d'altéra- tion de Pécriture. La couverture supérieure et un ou deux cahiers du commencement manquent; la pagina- 1) Sur la carte accompagnant le voyage de M. Bakradzé, dont il sera parlé plus loin, ce monastère est nommé «La gros, or une inscription sur le uir méridional, à l'intérieur de l'église, dit pe tivement: «Quand un tremblement de terre renversa l’église d S. Kwiriké...» Si la variante de la carte de M radzé, qui du reste ne reparait jamais dans le texte, est bonne, c’est-à-dire ap- puyée sur = autorités ayant quelque valeur, c'est ce que je ne puis ni r ni nier, mais je doute fort. Tome XV. tion des folios inscrite par l’acquéreur a été faite sans égard à l’ordre naturel; car le folio N° 1 s'ouvre par les mots: xaSnocoSe xat vpers ent Sadexa Soovotc, qui se lisent dans l'Évangile de S. Matthieu, XIX, 28, tandis que j’ai retrouvé hors de sa place un cahier commençant par les mots: ot revSouvrss, ot! auto TA- paxdknSyoovtat; Matth. V, 5. C'est tout ce que je dirai du texte grec, qui n’a point attiré mon attention, tout entière portée sur un certain nombre d’épigraphes géorgiennes, déposées sur les marges. C’est pour la quatrième fois que j’ai la bonne for- tune de rencontrer des manuscrits provenant des con- trées les plus reculées du Caucase, où ils ont été por- tés et mis en dépôt par des Géorgiens. Le premier que j'aie vu est un Synaxaire fruste, de la grande Biblio- ` thèque de Paris, dont j'ai rendu compte et facsimilé les épigraphes à la suite de la Chronique géorgienne, imprimée et lithographiée à Paris, en 1830; le se- cond est le magnifique volume géorgien décrit dans le 1° Rapport sur mon voyage archéologique, volume qui mériterait une étude plus approfondie. Le troisième est ce curieux manuscrit appartenant à M. Pacadémi- cien Sreznefski, sur lequel j'ai rédigé une notice dans le t. XVI du Bulletin Hist.-Philol Enfin voici venir les Quatre-Evangiles du monastère des SS. Kyrique et hdi i; : Il s'agissait de déchiffrer les horribles grafiti dont sont chargées plnsieurs de ses marges. Dés le premier coup-d'oeil je me suis aperçu que ces grafiti ren- ferment des donations du genre de celles du Syna de Paris, déchiffrées en entier par moi, il ya plus Se 30 ans. Or ces donations peuvent être intéressantes à plusieurs égards, par ex. si elles renferment des noms géographiques ou de personnes connues, des dates ou du moins des indications de moeurs; n’y eût-il même que des renseignements sur des choses aujourd’hui inconnues, mais qui demain se telieront à d’autres et seront ée é gue ne saurait les négliger. Toute mauvaise écriture peut être lue, pourvu qu'on y mette le temps et la patience. Ee en ai fait nar-là X ae Y 387 Bulletin de l’Académie Impériale 388 pl éreuve sur le Synaxaire de Paris, provenant du mo- nastére de Throuso, aux sources du Térek. Les faits qui en résultent ne sont pas tous d’un haut intérét, mais du moins ils sont positifs. Si aujourd'hui l'état de mes yeux ne m'a pas permis de déchiffrer toutes les marges de l'Évangile du couvent de S.-Kyrique, je me félicite pourtant d'y avoir consacré assez de tra- vail pour y faire quelques utiles découvertes, que je vais soumettre au lecteur. An folio 24. pS [35] $6 ebols Radobs (sic) Jead. gs dft- god | Gen 253 j9699joo mot lavé es Qu ermbosgo | ÿso- ek es gels... gh | BSz8zo~q game es 9959 Assel 25303 E es 93311067 da sgpoæobd; [dogsls goals | Ida- A jols ¿260 goobsts Ja dos bywobsol s daogobs ¿ados 3944 abolss | RAS 6°3°3d 9 | IsGosdends SE) Sen Ze | Ssfbe ba bagglbo oggb a6 PAR se | gogjb bbg? sig gbost 335 bog ba | man Lsbogoo g5 753600 | g b863] bo Sadols 33032604 bogegb | gobs gs 25956 3 ggoous vagz g? | 33 dofoësals yazgal 600 dusel 85 | ego en 99 er Salons ez ees bodbsg e en ... Par la bonté de mon maitre”), et les musul- | mans?) ont [envahi] ce Coridéthi, [pille] Véglise et enlevé ce livre des quatre-chapitres. J’ai mis la main dessus, Pai remis dans l’église; je l’ai offert à la Sainte-Vierge de Ceridéthi, et offert, moi Awgilis-dzé, pour mon âme, et j'ai organisé une agape, au jour de l’Assomption, pour la longévité de mon fils Bechken, pour autant de prêtres qu'il y en aura. Ils viendront dans l’église, qu'ils fourniront d'huile, de bougie et de fromage pour le banquet; ils pticront pour la vie et la prospé- rité de mon fils Bechken. J'ai fait cette offrande im- périssable, indiscutable.....; moi Ioané j'ai écrit ceci de ma main, en signe de....» Suivent les affreuses im- précations, ordinaires en pareil cas, contre ceux qui | contreviendront à ces arrangements, formules dont le Synaxaire de Paris offre de nombreux exemples: le 2) Le commencement de cette épigraphe se trouvait au verso du dernier folio d'un cahier manquant aujourd'hui. Il nous aurait fait connaitre ie nom de ce maitre et du père de bechken. 3) Je crois que le mot, sans doute mal déchiffré, e e cache le nom des sectateurs de l'islam, en tont cas, aucuu autre nom eth- uique plus vraisemblable ne se présente à ma pensée. l pour Marc,.. contrevenant sera exclu de la foi chrétienne ; sa part serà avec Judas et Origène; nulle pénitence ne pourra lui faire pardonner son crime. C’est ici le plus ancien renseignement fourni par notre manuscrit. Coridéthi, nom qui reparait dans toutes les épi- graphes du-manuscrit, est-il le monastère même de S.-Kyrique ou un autre, c’est ce que la pauvreté de nos matériaux géographiques ne nous permet pas de résoudre complètemént. Aucune des cartes du Soua- neth n’a enrégistré cette localité. Fol. 70 V°. Fin de S. Matthieu. 2) SB. ups v auaprokn xe dtoype | vn nycumevos ris urepayıns") Seotoxov | tov xapndeinceu TE puyau- Aog o ade | DOS pou GTETAVOS XE VOS AVTOV. *bB. Ev oveparı tou moog xe Tou tu | xe Tov aytou Teves eya peus | yenyoptos gro") nyopaca | aro tov tepy xs tov xmou | xcv omprromoud cono» | peToy xE eduxa tH V?) ohoxtov vorouyra duo | ev epes Tov Tpc- “veypap(p.evov) LEO TUOY. EY TIPOS TPEGUTEPOY TOY TAT too ym | XAL TOY POOKY, XAL TOV.... LUY.. MAL TOY xno xat TOY pacem... vag HOVQTÉE | ung APT ANSE rien de plus. Ce sont deux épigraphes différentes, on la pre- mière paraît inachevée, la 2°, moins iio écrite, est postérieure; v. la Notice dii général Bartholomée, PEERNS «C. Nous dm et repoussés, l'iégoumene de Notre-Dame de Coridéthisn, le P. Michel, mon frère Etienne et son fils ;» il n'y a rien de plus. «C. Au nom du Pére, du Fils et du S.-Esprit, moi le prêtre Grégoire Othonl (?), j'ai acheté des prétres Siritopoulo et des prédicateurs le lieu dit Métoch et donné au couvent deux boeufs? en holocauste, un pour le témoin souscrit, l'autre pour le prétre, le P. Ioané, . Michel, le prédicateur, Mates; signature du témoin Kourtzévis?> Folio 71 V°.- 3) En écriture EE très bonne: T. Usb3esoos goolsos sien Bien pols gol Webs: | gols2.os, fobs onjsba Bsogok 9(539e»oUs..os g’ Jay 3gboms [ots golos S 9398995 pues da 390906016 goal 3°4- 4) ou x&yaytac, car le mot est écrit en abrégé. 5) Mot écrit au forme Vabréviation. 389 ` : des Sciences de Saint-Pétersbourg. 7 390 346 dials sdso» Vos ambosgos ee (ses sgol Bydobs gs Idem 539osol Pigeon eyed [grok] sb. 4) En khoutzouri très mauvais: +. P6 2763501 g5 sasooslss Iaagablrabydos pls 3oGo- > gjoobs ses abhag. año 356930. ob $9056 geb. $Ós- : gab Së 53 5626 294963 sel org gols eat. 839396... En marge:.... $3935. ... «C. Au nom de Dieu, et par l'intercession de la sainte Mére de Dieu et de S. Jean-Baptiste, et par l'assistance de tous les saints, moi Pitiros J'ai été jugé digne de relier ce livre des quatre-chapitres, pour qu'il soit prié pour mon áme et pour celle de mes parents, Mikel et Salomé; amen.» «C. Nous Mourwan et Agatha nous avons offert au S. Coridéthi et à Thikhtchié deux landes*); Dieu les . fasse prospérer! que personne n’annulle ceci, car notre offrande est invariable, s'il plait à Dieu.».... .... Bechken....» La rédaction géorgienne, assez défectueuse, dit: «à saint de Coridéthi et Thikhtchié.» Cela signifie-t-il «au saint monastère de Coridéthi, Thikhtchié®), à savoir deux landes?» : Jusqu'ici, donc nous trouvons que le lieu auquel appartint autrefois le manuscrit dont il s'agit, s'ap- pelle Coridéthi ou Notre-Dame de Coridéthi; qu'il s'y trouvait des prêtres de la famille Siritopoulo?), que dans sa dépendance était un lieu dit Thikhtchié; qu'il avait pour hégouméne un prétre nommé Mikel et ma- rié à Salomé, ayant un fils nommé Pitiros et un frère Stépanos; enfin que ce lieu renfermait un certain nombre de prêtres, comme Joanne, Mare, Mathes .. Fol 72; 73 V*. 5) Dans un mauvais grafito, en géorgien vulgaire, on lit; «Moi Bechken et ma fiancée Khouachak nous avons effert 3 à Coridéthi... . J'ai écrit de ma main....» et 74 V°75, un mauvais grafito, en géorgien | vulgaire : 7) Terrains non cultivés. 8) Cf. plus bas «5», 9) Un Syropoulo à écrit unge da nn de Florence. A.de V. les dates, cone. de Florence. = 2 6) Usbagaoms polsos 85501367 akg gsf 3600 da 96:5. ob Le ¿2602205 oobbojmo gjgols gobs, ex dagf os d6 bl g’ sasorsbs.... mobb3mo 30936. = «Au nom de Dieu, j’ai tracé cet écrit, moi Mour- wan, en faveur de vous tous Coridétiens. Mourwan et Agatha vous ont offert...... je vous ai donné Thikh- tchiéthi.» V. sup. N° 4. Ici les marges sont rognées, mais on peut lire encore la défense de couper cette feuille. Fol. 119 V° 120. 7) Une épigraphe dont les deux premières lignes sont horribles, les-suivantes assez facilement déchif- frables, en caractères khouzouri: + bsb gosos polsos 3450: 5-9 je oos fobs | gol Ido- 53epoUsos da ocxgsba 95e» d 505b 252,04 33 | dadas 5535: 39060 ¿glas ale pues oye ICA SS | oyo doo o3sb (E obs God je dofs oge dolo 65543560. bog bjno 399080: ¿939697636 gb. sdol gs 3e oszovs 90759360 sAosb|ysysbso? ex osby sie... ¿$90 QF 9,,, ¿Ugo g> 396%) 95 Lénese | 39609] | bo ech? | 6s bsgoe Gol | dols ¿yeoos | > gobs e | 160229 s | ol $00 er | GEO bgal es |, ESL | els staga oyok, «C. Au nom de Dieu et avec roses de sa sainte Mère, moi Ioané Maléchel — de Malech — j'ai écrit ceci pour vous le prêtre Mikel Coïrikès-dzé, au temps de l'administrateur Parsman; j'ai acheté Choghéléthi, auprès d'Iwan- Tsmida, terre, dont la moitié formait Nigozéthi ; Dieu vous y fasse prospérer. Sont témoins de cet écrit Eaganai, Jané, Saco...li, Thi..cowi, Nadicher et Pétré, et tous les gens de Coridéthi. Ceci a été écrit par Nadiris-dzé. Qui en- freindra cet écrit, paiera dix gadanadji ?); cet arran- | gement n'en sera pas annulé et restera tel qu'il est» ` = 121 V? 122 on horrible draft qe en e. vul- T Fol. 129 V* 130 un horrible tii en car. d? : gaires. | | 8)..., Alb... ¿eos E jé = e» Vo. quos = signo Wi ee sich, démo Biete | «Moi Bechken..... n tous ‘ceux de age de Co- | let Li une nouvelle redevance fut = me ee sie? pas connue; cf. —n X 12. 391 Bulletin de l’Académie Impériale 892 imposée au bourg,.... je reconnus que j'étais cou-| es vóese go Gog mo, es 306 Ja Lf Eoo Twal pable Se Ce » osde6sbo AR "heel Cé 3*3 6 GS 3593 o deck, Fol. 130 V°. 9) Épigraphe grecque en deux lignes, assez lisibles, hors la seconde: un certain Matthaios dit qu'il a visité Koritysia, placé sous Vinvocation de la très sainte Vierge. 10) Autre épigraphe grecque, en écriture très fine et mal lisible, où la fille de l’hégoumène Mikel fait une offrande à l’église de Coridéthi. A la fin on lit: yapos dJa(da)yeypapevoy to Mxd, Téahaws. «Signature du P. Michel; Tzalznis» sa fille. #01. 153 Y”: 11) Une bonne — grecque, en caractères comme ceux du N°1 l b. oyo xv | gunos | Aog: puys ot | yvo xeo| wens | oryvo me | tees: avu | des: tov we | yang | ev ovo | pate tou | pos xar | tov vou xar | tou ato mos: exnapedoxa | peyaro | arpara | to | mov | teta | tev: Sa | tov Bou | Scuv eptoty tov Tpsoßurepov Tara wavs xat | tov... adekpov: 6 Sc xat aytos Dias OF yev- Bu... 05 avaotostu pi ext pepos tou Zeen - . «C. Je signe moi Kyricopoulos, je signe moi Cori- déis, je signe moi Pétrés, neveu de Michel. Àu nom du Dore; du Fils et de PEsprit-Sáine, j'ai donné le lieu...... de Mégalo-Strata, par la permission de Papa Ioané et des frères. Que Dieu et sa sainte Mère troc ; celui qui annullera ceci n'a pas de part auprès de Dieu.» Ceci est donc un acte de Pétré Kyricopohlos; de Coridéthi, neveu du P. Mikel. Fol. 185 V? 186. 12) Un acte de donation en géorgien vulgaire, si illisible, que j'en transeris seulement les derniers mots: TEM gsæobs es gseols 393° 6e dog, . de Wali, — de Wali». Fol. 190 V° et 191. 13) En Khoutzouri, très lisible. +. Vsbysons gobsos 3*3 Lf 36000 da oolfa | g5- 591393 33b obj g5 aol 0699 emol Bydobs 3904 | ols 55535560. gb godgebo 6 36 036 g’ 360 | dordsaseoms, so yes 559, j0 7 gos us ob} agb œobbs| Arba (56e Solo ei j^ 6ogjeolsis go. b3eo oJ AGS osga.era ol da 34. 11) Cf. Fol. 72. tert, et la vallée entiére — la commune | «C. Au nom de Dieu, j'ai tracé cet écrit en votre faveur, vous Ivané et Giorgi, et vous ai offert la moi- tié de ma part d'Iréméthi. Dieu le fasse prospérer pour vous et pour vos descendants! Ceci a été écrit sous l'administration de Ioané Phtchouel, sous le ta- noutérat à Coridéthi de Ioané Dortchel, et sous le tanouter Pétré Thawgogis-dzé et de tout Coridéthi. Quiconque détruira ceci, paiera 28 iabdrasi, et la chose ne restera pas moins telle qu'elle est.» On remarquera ici les mots «tanouterat, tanouter», qui sont d'origine arménienne et répondent au géor- gien mamasakhlis «Pére, chef de la maison,» titre qui se donne aux économes des monastéres. On remar- quera encore cette amende de 28 iabdrasi (N* 7 cf. gardanadji), deux mots dont la valeur m'échappe en- tièrement. Fol. 195 V*. 14. Grande épigraphe grecque assez kn Ent. que je crois avoir copiée fidèlement, mais que je n'es- Saierai pas de traduire. Je remarque seulement que c'est la seule où le nom de Coridéthi ne se retrouve pas, et qu’elle se termine mem par la même formule que le N° 11. + Ev oven TOU TES TOU UOV XAL TOV Gren Tavs EPOS TH TENA ayon- ëng, cony ayape Ina Toy SULYOOTY KEACOVIOY U EONS XEXO ÖEOTOTN YEPOVTES ` oe TNG efeugecay Xara. pogoy Ju xat TNS AÀNIN- ge geng pot von, EVOT MOUV tou Duve Tov. LYVOY ETN LEGOS TOY copahy’ ov Xaov TO TAQA Erop ES Green TH WYO arapov . &YTOY YNCOYNY ane taro atvopunE TO ergoen, Ex. TAVOTEV O aytos ynopynoa xe AVOSEV YONYOPNOS ESETO. AEYHSTATHYOV peya To AvSov YTOHS TA peToyua Tov we duogung des Sciences de Saint- Pétersbourg. oudd TOY GUVYOQUS TNE douvpetía Suxa Olor Ey- youca» ava tov hovxov TO VOX GAGVESN puya- vavopatious ta coti axadu yeopyns EBPAV touc paptugous QELOUS TLOTOUE PL.MOTUCOUS va. SytCott KE eSevtou AC- TOCTOTAPLOY OV XUQGY VdEXAAOLYY TOTOY XATO poßoy Su xs ttg akuSu- as uibepa cox epossev egt avatestby pt EXN . pepos tou Su. Fol. 245 V*. 15) En khoutzouri bien lisible: +, Vsli3e»oos polsos egal dobs 4e» bagalbs Zen ¿ges 0 ¿ages shamo dobo bonggo 931363» sic Jno 3560 N geno [o 60 jo” gós. jo M) bo | ¿Eno obsa après cela il n’y a rien. «C. Au nom de Dieu, quand mourut la femme du prêtre Mikhael, fille du prêtre Théodoré, nous avons inventarié sa dot: un boeuf, un...., un...., une chèvre.» Fol. 247 V°. 16) En très bon khoutzouri, régulier : +. V3 eoo sao Vs5só 35s ¿boy beso 3060 | 789 gs 100 33034 459$ log 6de nos | 34 33956 839456 339145593 QU ambos | ge do Bus? 3356005 g$ 6356008 Lsbsé joe | GË Less se 333993. sf gobs 0390 | b3og3o gs osé bee fos sis fozbos | E Ze Maa: 530 Droge 353 SA | no6bo Gels gogig 938956 Bol dubees An. | gogls dsd ab jombgobshs, «C. Moi l’éristhaw Bechken, ayant trouvé ce livre des Quatre-Évangiles, appartenant à Coridéthi, gaté par la longueur du temps, je l’ai orné, j'ai fait fabri- quer la croix, dorer l'Évangile avec des fers, et relier. . Maintenant, vous qui lirez ces saints livres et vous en servirez, souvenez vous dans vos prières de ce pécheur done qui a grand besoin de pardon au jour du jugement.» Sur la même page un grand grafito en khoutzouri, lettres capitales, fort effacé, que je n’ ai pas essayé de copier ni de WARNEN: 12) Marge den bas conpée. 17) A l’intérieur de la couverture, en grandes lettres grecques : OABCA EHNMCBACA PEPIAAPHC PEMOIS PO®NEBICA Si je ne me trompe on a voulu écrire, moitié en grec, moitié en géorgien, ces paroles du Psaume : XXXIX, 8: orsalss og booslss 1608 sGob Blob... bydols, le se- cond mot est méconnaissable; le dernier est ww de 3 lettres dont le sens m'échappe. Résumons les renseignements précédents : Notre manuscrit appartenait autrefois à un lieu nommé en géorgien Coridéthi, sous l'invocation de Notre-Dame, en grec Koridéthion ou Koritysia et dédié à la trés sainte Vierge. N. Avgilis-dzé, pére de Bechken, et dépendant d'un maitre inconnu, y avait fondé une agape, pour le jour de l'Assomption , au nom de son fils. L'éristhaw Bechken, marié à Khwachak, a fait di- verses donations à Coridéthi, ordonné de relier et fait embellir d'une croix et d'ornements en argent doré le manuscrit des Quatre-Évangiles, par un cer- tain Pitiros (en géorgien), Pétrés (en grec). ; Mourwan et Agatha, des Géorgiens, ont fait diverses donations à Coridéthi. Le couvent de Coridéthi a eu pour hégoumène -le P. Mikel ou Mikael (en géorgien), Michaïlos, Michaï- lios (en grec), de la famille des Coïrikès-dzé; Kyrico- poulos ou Siritopoulos, marié à Salomé, pére de Piti- ros ou Pétrès, et d'une fille, nommée Tzalanis. Pétrès, nommément, se donnait les titres de Kyricopoulos et de Coridéis: tous contemporains de Bechken. Stépa- nos, frère de Mikel, avait un fils dont le nom M. qum connu ; v. Pétré, N° 11. duci s Le couvent de Coridéthi tenuit à un illage ou ` bourg, formant une commune. Les re viele connus de Cori- déthi, s 3 .. a Phtchouéli. _ Pétré Thawgogis-dzé.- Les donations faites au couvent sont : Bulletin de l'Académie Impériale 396 Une agape, par le père de Bechken. Une métoque, par le prêtre Grégoire. Deux landes, à Thikhtchié ou Thikhtchiéthi, par | Mourwan et Agatha. La moitié de Nigozéthi, lieu situé dans Choghé- léthi, près d’Iwan-Tsmida, par Ioané Maléchel. Mégalo Strata, par Pétrès Kyricopoulos. -La moitié d'Iréméthi, par Thikhtché, proprié- taire de Thikhtchiéthi. Trois petits champs, par le prêtre Kéko? Plusieurs des localités et des personnes ici dési- gnées ont des noms géorgiens significatifs, excepté peut-être Thikhtché, Maléchel, Dortchel; Choghé- léthi, 943932305, est «le pays au milieu de la vallée;» Nigozéthi «le pays des noix;» Iréméthi «le pays des cerfs;» Mégalo-Strata est tout-à-fait grec, mais doit étre la traduction d’un nom géorgien. Quant à Coridéthi «le pays de Corid,» je ne soup- conne pas quelle en est la racine; ce qu'il y a de sûr, c'est que le manuscrit en question, qui lui appartenait | autrefois, a été vu et trouvé par le général Bartho- lomée au couvent des SS. Kyrique et Iwlita, commune de Kala, Vavant-derniére à l'extrémité orientale du Souaneth-Libre. Coridéthi serait-il une altération de Coirikéthi «le pays de Kyrique,» comme Siritopoulos est, à ce qu'il semble, une altération de Hees On est porté à le croire. Non entièrement satisfait de cette Spee j'ai cherché et fini par trouver à l’extrême frontière orien- tale du Souaneth - Libre, sur une carte tout-à-fait locale, de M. Séménof, pour le voyage de M. Radde, un glacier nommé Kroprozw, soit Coruldu, d’où sort le ruisseau de Kuirichi; à peu de distance à l'O., dans la commune d'Ouchkoul, voisine de celle de Kala, se trouve une «ancienne église, sans nom.» Je me contente d'attirer l'attention du lecteur sur cette particularité. Quant à Mikel Phégouméne, était-il Géorgien, comme le fait penser son nom de famille Coirikes- dzé, ou Grec? S'il était Géorgien, en tout cas, lui et ses parents, nommés dans les actes de donation, con- naissaient la langue grecque, ils savaient aussi le géorgien et l'écrivaient fort mal. Or on sait que les - pays géorgiens, et notamment la Mingrélie, renfer- maient beaucoup de dépendances des couvent de Jé- rusalem, de fondation géorgienne, mais tenus en | grande partie par des moines grecs. De Tzalanis, qui serait en géorgien Dchalanis, nom de Ja fille de Mikel, on peut conjecturer que la racine est Zeen «forêt ma- récageuse,» en souane c'est «une riviére,» au dire de M. Radde. Pour Mourwan, son nom est tout géorgien; Agatha, celui de sa femme, est grec. Qu'on nous permette maintenant quelques aperçus généraux. Le Souaneth actuel se compose de trois parties distinctes : le Souaneth du Dadian, situé aux sources de la Tzkhénis-Tsqal, et s'étendant de Pest à l'ouest jusqu'au confluent de la Khélédoula. Le Souaneth- Libre occupe aussi, de l'est à l'ouest, les sources de lEngout et toutes les vallées confluentes jusqu'à la jonction d'une petite rivière plus occidentale que la Moulkhré; celui des Dadichkélians vient ensuite, sur l'Engour, et s'étend jusqu'au confluent de la Nakra: le tout, d'aprés une belle carte jointe au voyage de M. Bakradzé, de qui je parlerai plus loin. Les anciens documents russes paraissent avoir étendu le nom des Souanes jusqu'aux rives de l'Aragwi, dont le suzerain est qualifié du titre: «d'Aristop ou Éristhaw Sonski.» Le Souaneth-Libre renferme, dit-on, 10000 habi- tants, celui du Dadian est aussi peuplé, et celui des Dadichkélians à moitié moins: ce sera un total de ` 25000 âmes. Ces vallées étroites, sans air, sans terres à blé, sans páturages pour le bétail, n'en peuvent guère contenir et nourrir davantage. Or au VP s. de notre ère les Souanes, faisant: par- tie de la confédération Jaze, sur laquelle Perses et Grecs prétendaient avoir droit de domination, source de guerres qui se prolongèrent une cinquantaine d’an- nées, étaient considérés comme une peuplade impor- tante et furent l’objet de conventions particulières entre les deux empires: il faut done que leur ter- ritoire fût plus étendu, qu'ils fussent plus puissants, | et que leur contingent militaire eût alors une plus grande importance que celle d’une tribu de 25000 âmes, pouvant tout au plus fournir quelques centaines de guerriers. Si Pon s’en rapporte à Wakhoucht, le nom de Souaneth dériverait -du géorgien Lsgsby»o Sa- wanéthi «pays de refuge,» asyle de la paix et de la sécurité, étymologie fort spécieuse, mais nullement probable, à mon sens. Comment admettre, en effet, que déjà au VI" s. les Souanes, fussent sans nom na- tional, et qu’ils en eussent emprunté un aux Géorgiens? 397 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 398 Quoi qu'il en soit, la haute Tzkhénis-Tsqal a été visitée et décrite, au point de vue des antiquités, par Pauteur de cette note, en 1848; celle de l’Engour, . en 1853, par le général Bartholomée ?); les deux Souaneth du N., en 1860, par M. D. Z. Bakradzé !), qui y a trouvé une ample moisson archéologique. Enfin, pour ne parler que des excursions dont les résultats sont publiés et acquis à la science, M. Radde a exploré ces contrées comme un savant naturaliste, en 1864"). Dans les trois Souaneth nous avons trouvé de nom- breuses églises chrétiennes, dont plusieurs sont fon- dées auprès de couvents ou monastères: celui des SS. Kyrique et Iwlita est considéré comme le plus remarquable, encore aujourd’hui, au dire de M. Ba- kradzé. Quand la religion chrétienne a-t-elle été préchée ici, c’est ce dont il n'existe aucun document histo- rique, mais il est prouvé par les inscriptions des croix et autres ustensiles du culte, en langue géorgienne, qu'au moins depuis le XIII’ s. le clergé géorgien en- voyait ici ses représentants, et que ces vallées ser- vaient de refuge aux chrétiens du voisinage, dans le temps des grandes invasions. De là leur richesse en croix, en cloches à inscriptions géorgiennes, en images, en manuscrits. Pour moi il n’y a pas Pombre d’un doute, qu'entre les XI° et XII s. le christianisme fut très florissant dans le Souaneth, et que Ics traces qu'il y a laissées jusqu’à nos jours remontent au moins à cing ou six siècles de l’époque actuelle. Bericht über eine im Sommer 1870 unternom- mene Reise, von A Schiefner. (Lu le 6 octobre . 1870.) Kurz vor Ablauf des Maimonats begab ich mich von hier direct über Warschau nach Wien, wo ich auf | Bitte unseres nun verstorbenen Collegen Ruprecht die in der Hofbibliothek befindlichen beiden ältesten Handschriften des Dioscorides ansah, um die ge- naue Lesung einiger dacischer Pflanzennamen zu er- | mitteln. Hiebei stellte sich heraus, dass in dem Codex Res als der dacische Name für 15) V. Mém. de la section caucasienze de la Soc, de ERREUR russe, t. Yl, deux planches ct une carte. 14) Ibid. t. VII, avec une feuille de facsimile et une carte. -15) Ibid. avec une planche et un atlas de 11 fuper. ue sprechung unterworfen werden, was leic Hyoscyamus (russ. Obaena) AIEAAENA verzeichnet ist, in dem Constantinopolitanus aber das betreffende Blatt fehlt. Da ich durch Prof. Sachau erfuhr, dass er von Kiel her (wohl durch Prof. Weinhold) be- auftragt sei sämmtliche dacische Pflanzennamen in den | beiden Handschriften einer genauen Collation zu unter- werfen, hielt ich es für überflüssig mehr Zeit auf eine Durchsicht derselben zu verwenden. Der Besuch der Hofbibliothek gewührte mir auch das Vergnügen der persónlichen Bekanntschaft mit dem durch seine gründ- lichen Forschungen auf dem Gebiet der romanischen Sprachen rühmlichst bekannten Prof. Mussafia, mit dem ich vorläufig meinen Plan, ein Wörterbuch der verschiedenen Mürchenstoffe, sowie der einzelnen Mürchenzüge und Mürchenelemente anzubahnen be- sprechen konnte. Hieran reihte sich ein zweiter Plan, nämlich eine periodische Zeitschrift für die Märchen- litteratur aller Völker zu begründen. Es solltedieselbe ` hauptsächlich bisher noch nicht herausgegebene uud . dem grösseren Publicum unbekannte Märchen des Orients, aber auch anderer Gegenden umfassen. Ich für meinen Theil hoffte Märchen aus dem rei-- chen Vorrath im Kandjur, ausserdem aber auch noch die neuerdings in verschiedenen Sprachen des Caucasus, namentlich im Ossetischen, Awarischen, Kasikumükischen u. s. w. niedergeschriebenen sowie auch die bisher unübersetzt gebliebenen finnischen Märchen der Sammlung von Salmelainen (Rudbäck) beitragen zu können. Beide Pläne, über welche ich bald darauf noch mit dem um die Märchen- litteratur hochverdienten Bibliothekar Dr. Rein- hold Köhler in Weimar und mit Professor Dr. Adal- bert Kuhn sowie auch mit dessen strebsamen Sohne Dr. Ernst Kuhn eingehende Rücksprache zu neh- men Gelegenheit hatte, sollten bei der : anf ` 2. Oetober und die folgenden Tage in setzten Philologenversammlung einer g darauf eingetretenen Zeitur den ist. In Wien benutzte ‚ich noch die Gelegenh | durch Vermittl lenten unserer Aka- demie, Ritter Franz. von on Miklosich, dessen persün- licher Bekann tschaft i ich vielfsche Belehrung | verdanke, die Zusage. weg | halten, welche unsere | > Bibliothek in den | Publicati der ` ie hat. Nachdem 399 Bulletin de l'Académie Impériale 400 ich von Wien nach dem siidlichen Tirol, wohin mich Familienrücksichten riefen, geeilt war, begab ich mich über München und Erlangen nach dem Schlosse Jägers- burg bei Forchheim, wo mich am 12. (24.) Juni die Gebrüder Hermann von Schlagint i und Dr. Emil Schlagintweit ernartolen. Während ich dem -ersteren eine Orientirung in seiner reichhaltigen ethno- logischen Sammlung verdanke, habe ich mit Beihülfe des letzteren die verschiedenen tibetischen Drucke und Handschriften durchgemustert. Von den Drucken interessirten mich mehrere, wegen der mir bisher unbekannten Druckorte, aus denen dieselben hervor- gegangen sind. Von den Handschriften verdienen fol- gende eine besondere Hervorhebung: 1) eine sehr zierliche auf 25 kleinen Blättern mit dem Titel AE NES Wunsch gewährender Say No ER ZC 1 Schatz genannte Chronologie der Lehre; in dieser kleinen Schrift werden unter deu acht Lehrern der Mletsehtschha's (777) Madhumati ( S^ S843) — Mu- hammed und Atra anogha genànnt; der letztere der- selben ist wohl nicht verschieden von dem bei Täranä- tha (S. 64 — 80 der Übers.) vorkommenden Ardho, in welehem Namen wir vielleicht den unter Ardeschir's . Regierung auftretenden Ardo Viraf wiederfinden. Es steht zu hoffen, dass diese Handschrift baldigst durch die Bemühungen Dr. Emil Schlagintweits veróffentlicht werden wird. 2) Ein aus Sikkim stammendes kleines Manuscript, Nr. 164, acht Blätter mit dem Titel TAHT TRI und 3) eine aus 16 Blattern be- stehende Handschrift mit dem offenbar corrumpirten Titel ANA AN VARGA EX GA yp E TSn: A. Beide Handschriften sind aus der Praxis der Bonpo-Secte, für deren geistliche Litteratur uns bisher nur ein so- wohl in St. Petersburg als auch in Paris vorkommen- der Pekinger Holzdruck TER JINJA SOT RE AW | ER aaa à XS 27] > Sa HAA (kurz auch qae 47155) vorlag. Das letztgenannte Werk ist insofern von grosser Bedeutung, als es uns in die religióse und philosophische Terminologie der Bonpo einweiht und wird deshalb, sobald es mir anderweitige Arbeiten — Gegenstand einer besondern Untersuchung orliufig bemerke ich nur, dass die ganze Kosmologie hóchst eigenthümlich ist, dass die Nâga’s in verschiedene Kasten zerfallen, dabei auch in gut- artige und bóse, welchen letzteren die Brahmanen zugezühlt werden. Absichtlich werden andere Termini als die buddhistischen gewählt; das Wort &N tschhos E. dharma) wird sorgfältig gemieden und statt dessel- ben 5 bon ( = viga) angewandt, woher denn wohl auch der Name der Secte. Von Schloss Jägersburg begab ich mich, nachdem ich einige Tage der Besprechung verschiedener wis- senschaftlicher Fragen mit dem Bibliothekar Dr. Rein- hold Kéhler in Weimar, mit unserem verehrten, nun in Jena mit doppelter Energie an der Beendigung des Sanskritwörterbuchs arbeitenden Collegen Böhtlingk, mit dem auf die Herausgabe der polabischen Gramma- tik Schleichers bedachten Prof. Dr. Leskien in Leip- zig gewidmet hatte, über Halle nach Gnadau, um da- selbst aus dem Munde des Missionärs Jäschke die richtige Aussprache der verschiedenen tibetischen Laute kennen zu lernen und zu gleicher Zeit eine Reihe von Fragen aus dem Gebiete der tibetischen Sprache und Litteratur zu erledigen. An dem über alle Erwartung an Kenntnissen und feiner Beobach- tungsgabe ausgestatteten Gelehrten, dem ich eine reiche Fülle von Belehrung veldauké, musste ich den hohen Grad der Bescheidenheit Dés underw. die sein ganzes Leben und Wesen durchdringt. Es alang mir nach und nach von seinen frühern Arbeiten im Spiti- Thale zu hören, über die bisher wohl schwerlich eine Kunde nach Europa gedrungen ist. Auch habe ich ihn vermocht, nach Kräften dafür Sorge zu tragen, dass die früher auf seinen Betrieb im Spiti-Thale lithographirten tibetischen Texte und Elementarbücher dem Asiatischen Museum der Akademie zu Theil wer- den. Ausführlicher wurde zwischen uns über das von Jäschke zum Druck vorbereitete tibetische Wörter- buch verhandelt. Auf Grundlage des von ihm kurz - vor der Zeit meines Besuchs veröffentlichten Prospects lässt sich erkennen, wie Jäschke gerade i in der neueren Sprache d der Tibeter b db ide Werke, die nicht blosse Übersetzungen a aus indischen Origi- nalen sind, für sein Wörterbuch ausgebeutet hat. Von Gnadau begab ich mich nach Berlin, woselbst ich in Betreff der beiden obengenannten Pläne mit Prof. Kuha und Dr. Ernst Kuhn, wie schon bemerkt 401 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 402 worden, Rücksprache nahm und in einer Sitzung der Gesellschaft für Erdkunde am 2. Juli durch eine Unter- redung mit dem berühmten Reisenden. Freiherrn v. Maltzan über verschiedene Eigenthümlichkeiten des Vulgär-Arabischen, welche übrigens in dem Wesen der semitischen Sprachen wurzeln, belehrt wurde. Gerade weil meine bisherigen Studien diesem Gebiete fern geblieben sind, waren mir diese Fingerzeige um so wichtiger, da sie mir erklärlich zu machen schie- nen, wie man, von der semitischen Grundlage ausge- hend, einzelne sprachliche Erscheinungen des Tibeti- schen auf eine von meiner Anschauung verschiedene Weise hat auffassen können. Berlin verliess ich am 5. Juli und begab mich nach Dresden, wo der Oberbibliothekar der Königlichen Bibliothek Dr. E. Förstemann mit der grössten Er- kenntlichkeit über den im Jahre 1868 der Bibliothek durch die Akademie der Wissenschaften bewirkten Zuwachs an Werken sprach. Nachdem ich in aller Eile über Prag und München nach meinen Sommer- aufenthalt in Südtirol, dem Dorfe Klobenstein auf dem Ritten, gelangt war, machte ich mich an die Ausar- beitung eines ausführlichen Berichts über des General- majors Baron Uslar Forschungen über die Hürkan- Sprache (Xiopramuckió 13515). Dieser Bericht gedieh in der Zeit vom 20. (8.) Juli bis zum 14. (2.) Septem- ber fast zu Ende, so dass ich denselben nach Verlauf weniger Wochen der Akademie druckfertig übergeben kann. Einige Tage des Juli-Monats benutzte ich zu einem Ausfluge nach dem Grödner Thale, da ich das lebhaf- teste Verlangen hatte, aus dem Munde der Eingebor- nen die Ausprache der verschiedenen Zischlaute der höchst merkwürdigen Mundart des Romanischen, des sogenannten Ladinischen, zu hören. Noch bevor ich den Hauptort des Grödner Thals erreicht hatte, traf es sich, dass ich in dem am Fusse des von den Bota- nikern aller Nationen besuchten Schlern belegenen Bade Ratzes den des Deutschen wie des Italiänischen gleich mächtigen Schulmeister des Ortes St. Ulrich, Metz, kennen lernte und sofort an das Ausfragen der verschiedenen Laute gehen konnte. Als ich nun um | “die Aussprache des anlautenden gia zu ermitteln, nach der Aussprache des Wortes giat, Katze, fragte, er- folgte nicht nur eine befriedigende Antwort von Seiten | des Grödeners, sondern zu gleicher Zeit stürzte = 1 e A Tome XY. als das Wort giat erschallte, unter dem Stuhle sein treuer Hund hervor und suchte im ganzen Saale ver- geblich nach dem gewöhnlichen Gegenstande des Hundehasses. Bei dieser Gelegenheit erfuhr ich auch, als ich zum Behuf einer Sprachprobe das Vaterunser abfragen wollte, dass die Grödener sich beim Gebet nicht ihrer Mundart, sondern des Italiänischen bedie- nen. In St. Ulrich hatte ich Gelegenheit, den Verfasser des anonymen Werkes über Gröden, seine Bewohner und Sprache (Bozen 1864), den Pfarrer Vian persön- lich kennen zu lernen. Derselbe theilte mir unter an- derem mit, dass im J. 1869 Professor Ascoli aus Mailand zum Behuf seiner Forschungen über die tiro- lischen Mundarten des Romanischen das Grödener Thal besucht habe. Nachdem ich davon benachrichtigt worden war, dass zwar die auf den 2. October angesetzte Philolo- genversammlung ausfallen, wohl aber eine Zusammen- kunft der Mitglieder der deutschen morgenländischen Gesellschaft zur Feier des fünfundzwanzigjährigen Be- stehens derselben an dem genannten Tage in Leipzig stattfinden werde, zog ich es vor, nach Leipzig zu gehen, statt des ursprünglich gehegten Planes, dem Anthropologen-Congress zu Bologna, der auf dieselbe Zeit angesagt war, beizuwohnen. Hauptsächlich be- stimmte mich zu der Aenderung des Plans der Um- stand, dass ich in Leipzig eine grössere Anzahl von Sanskritisten erwarten durfte. Zu den erfreulichen Nachrichten, welche mir während des Aufenthaltes zu Leipzig am 2. October (20. September) zu Ohren kamen, gehörte die Mittheilung des ‚Professors Rud. Roth aus Tübingen, dass einer seiner nun in China weilenden Zuhôrer, Dr. Eyttel nach chinesischen logie in Sanskrit mit hinzugefügter ` Transcription und Uebersetzung nicht | allein y insge- SC arbeitet, sondern auch zum uni bg ran dass Dr. Eyttel fortan ausführli che über die buddhistische - itteratur b | Chi zum Gegenstand seiner Ptrethntig machen wird. Nicht eier ze deus ai dem R erv dem unfern von Klóbenstein belegenen DE, 13,000 Bän- | ; Bibliothek stiess, dec der im Quellen ein Wörterbuch der buddhistischen | Termino= SC Bulletin de l’Académie Impériale 104 J. 1858 verstorbene Pfarrer des Orts, Parschalk, sei- nem Geburtsorte testamentarisch vermacht hat und deren Benutzung mir mit der grössten Liberalität ge- stattet wurde. Sie ist namentlich reich an Patristik, aber auchan Werken aus den verschiedensten Fächern der Theologie. Erstaunt war ich, die ältesten und seltensten Ausgaben äsischischer. und römischer Kirchenväter zu’finden, ausserdem die selten gewor- denen Werke der Assemanni, des Paulinus a S. Bar- tholomaeo u. s. w. Dass die Bibliothek an Werken über Tirol reich ist, darf bei der warmen Liebe der Tiroler für ihre Heimath nicht auffallen. Allein völlig uner- wartet war es mir, in dem Catalog eine epische Dich- tung in croatischer Sprache als Handschrift aus dem Jahre 1621 angeführt zusehen. Leider war die Hand- schrift seit längerer Zeit nach Agram verliehen und wurde erst zurückgestellt, als ich den Ritten verliess. Kurz vorher ermittelte ich jedoch, dass dieselbe nicht croatische Volkslieder epischen Inhalts, sondern das epische Gedicht Gundulic’s Osman enthalte und dass es noch nicht ausgemacht sei, ob die Handschrift aus dem Jahre Hin oder 1691 stamme. ` Über die Jungen der (Ic entomon), von (Lu le 30 jain 1870.) {Mit einer Tafel.) Dr. Eduard Brandt. Am 20. Mai dieses Jahres erhielt ich aus Kron- stadt mehrere lebendige Exemplare der bekanntlich - im Finnischen Meerbusen häufig vorkommenden Klap- penassel (Idothea entomon). Unter diesen Exemplaren befanden sich einige Männchen, drei trächtige Weib- chen (deren Brutsäcke von Jungen strotzten), ein Weibchen, dessen Brutsack ganz leer war, und viele Junge dieser Thiere, die wohl während des Trans- ports von Kronstadt nach St. Petersburg aus dem Brutsacke des letztgenannten Weibchens ausgekrochen waren. Alle diese Thiere brachte man mir in einem Glase mit Seewasser. Ich sonderte sogleich die träch- tigen Weibchen ab, indem ein jedes in ein besonderes Glas mit Seewasser gesetzt wurde. Bald nach der aration sah ich, wie aus der hinteren Öffnung des Brutsackes eines der genannten trächtigen Weibchen mehrere Junge hervorkamen und sogleich anfingen, asch zu schwimmen. Dieselben glichen vollkom- men sowohl in der Gestalt, als in der Grösse und Farbe denjenigen, die schon in dem Glase vorhanden waren, welches mir aus Kronstadt zugestellt wurde. Da die Jungen der Zdothea entomon noch gar nicht bekannt sind, so will ich hier eine Beschreibung der- selben geben. Die allgemeine Form oder der Habitus der 5— 5, Mill. grossen Jungen ist gleich wie bei denjenigen der meisten Isopoden dem der Eltern sehr ähnlich; sie besitzen eine lünglichrunde, ovale Form und zei- gen einen stark entwickelten Kopf und einen sehr grossen Schwanz (postabdomen), während der Rumpf verhältnissmässig klein ist. (Vergl. Fig. 1 mit Fig. 3.) Man kann am Körper folgende Abschnitte unterschei- den: 1) einen Kopf (caput), 2) einen Rumpf (truncus) und 3) einen Schwanz oder Hinterleib (postab- domen). Der Kopf (caput) besitzt eine — viereckige Gestalt (Fig. 3) und hat jederseits je ein zusammen- gesetztes Auge; vorne befinden sich an demselben zwei Paar Fühlhórner (antennae) und unten die Mundtheile (partes oris s. instrumenta cibaria). An den Seiten des Kopfes, nach aussen von den Augen, befinden sich jederseits zwei ziemlich starke länglich- reger Kies runde Fortsätze. Zwischen den eben genannten Fort- sützen verläuft eine Furche, dic sich auch auf den Kopf fortsetzt; in der Mitte des Kopfes treffen sich die beiden Furchen, und die aus denselben entstan- dene seichte Vertiefung theilt also den Kopf in einen vorderen und in einen hinteren Abschnitt. Die Lünge des Kopfes beträgt einen Millimeter, also folglich den fünften Theil der Lünge des gesammten Kórpers, und die Breite desselben ist 1'/, Millim. Man ersieht dar- aus, was für ein grosser Unterschied in dieser Dezie- hung zwischen einem jungen und einem erwachsenen Thiere besteht, denn bei dem letzteren ist das Grós- senverhältniss des Kopfes ein bedeutend kleineres, es verhält sich nämlich die Länge des Kopfes zur Länge des gesammten Körpers wie 1:11, d. h. der Kopf beträgt den eilften Theil der gesammten Körperlänge. Ausserdem ist noch zu bemerken, dass während der ganze Körper des jungen Thieres SEET ist mit schwarzen Pünktchen, der Kopf dunkelbraun er- scheint und so bedeutend vom übrigen Kôrper ab- sticht, was bei den erwachsenen Exemplaren nicht der Fall ist, sondern der Kopf von eben so einer Farbe 407 Bulletin de l'Académie Impériale 408 decken. (Fig. 4, 1 und 2.) Die Griffelfortsätze (styli, Fig. 4, 1, 2 a), welche als bewegliche Spitzen der EEN erscheinen, sind bei den Jungen eben- falls vorhanden, aber verhältnissmässig viel breiter ~ und abgerundet, während sie bei den Alten ganz spitz sind. Das letzte Schwanzglied besteht eigentlich aus zwei mit einander verschmolzenen Gliedern; die Spur dieser Verschmelzung ist deutlich, jedoch finde ich auch bei den Jungen schon eine innige Verschmel- zung der beiden letzten Schwanzglieder; es muss also diese Verschmelzung schon während des embryonalen Lebens vor sich gehen. Was die drei übrigen Schwanz- glieder anbetrifft, so sind sie ganz so gebaut wie bei den Erwachsenen. Die Kiemen (branchiae, Fig. 12 A und B), deren es fünf Paare giebt, sind eben so wie bei den Erwachsenen gebaut, d. h. eine jede Kieme besteht aus einem Kiementräger und aus einem Paar Kiemenblättchen, die an demselben befestigt sind. Die Ränder der Kiemenblättchen haben eine Menge sehr langer, gefiederter Haare. Bei den männlichen Exem- plaren finde ich am ersten Schwanzgliede das zwei- lappige Saamenhöckerchen (tuberculum seminale) und am Träger des zweiten Kiemenpaares eine Ruthe (penis), ganz so wie bei den Erwachsenen, ein dünnes mit einer Rinne versehenes Stäbchen darstellend. Resume. Aus diesen Untersuchungen über die Jungen der Idothea entomon ergiebt sich, dass dieselben den El- tern sowohl in der allgemeinen Gestalt, gleich wie in der Construction und Form der meisten Theile sehr ähnlich sind, sich aber von denselben durch fol- gende Merkmale unterscheiden : 1) Der Kopf ist sehr gross, er betrügt den fünften Theil des ganzen Kórpers, während er bei den| alten Exemplaren sich wie 1:11 verhält. Von den beiden seitlichen Fortsützen des Kopfes ist der vordere viel weniger ausgebildet, während sie bei den Erwachsenen gleich gross sind. Ausserdem ist der Kopf viel dunkeler gefürbt als der übrige Kór- per und sticht auf diese Weise deutlich vom Rumpfe ab. 2) Die grossen oder die äusseren Fühlhórner be- sitzen eine sehr kleine, nur zweigliedrige Geissel (es entwickeln sich also die übrigen Glieder wäh- rend des Wachsthums durch Abschnürungen aus den beiden primitiv vorhandenen Geisselgliedern). 3) Der Rumpf besteht zwar aus 7 Gliedern, aber nur sechs sind vollkommen ausgebildet, während das siebente sehr klein ist, sogar kleiner als irgend eins der Schwanzglieder. 4) Es sind nur sechs Paar Beine vorhanden, und zwar fehlt das letzte Beinpaar, denn eben das letzte Rumpfelied allein ist fusslos. 5) Die Griffelfortsitze (styli) der Schwanzklappen sind relativ viel mehr ausgebildet als bei den Erwach- senen und abgerundet, wührend sie bei den letz- teren spitz sind. Schliesslich will ich noch bemerken , dass ich bei einem trächtigen Weibchen 110 und bel dem andern 89 Junge fand. Erklárung der Abbildungen. Fig. 1. Ein erwachsenes Weibchen mit geschlossener Bruthöhle, von unten, natürl. Grösse. ig. 2. Ein erwachsenes Weibchen mit geóffneter Brut- und Kiemenhöhle. Man sieht die Schup- pen der Bruthöhle, die Klappen des letzten Schwanzgliedes (a) und die Griffelfortsätze derselben (b), natürl. Grösse. Fig. 3. Ein Junges der Idothea entomon 10 mal ver- ` gróssert, von oben. Fig. 4. Ein Junges der Idothea entomon 10 mal ver- gróssert, von unten. Fig. 5. Ein äusseres Fühlhorn des Jungen 30 mal vergr. Fig. 6. Ein inneres Fühlhorn des ec 30 mal vergr. Fig. 7. Ein äusseres Fühlhorn eines erwachsenen Männchens von Zdothea entomon 10 mal vergr. Fig. 8. Ein Rumpfglied von oben. Fig. 9. Ein Rampfglied von unten. Fig. 10. Mundtheile des Jungen von Idothea entomon, 140 mal vergr. A. Oberlippe. B. Oberkiefer. C. Zunge. . D. Unterkiefer. F. Unterlippe. G. Beikiefer oder Maxillarfuss. 409 . des Sciences de Saint- Pétersbourg. 410 Fig. 11. Beine des Jungen von Jdothea entomon: A. Vorderes Bein. B. Hinteres Bein. Fig. 12. Kiemen des Jungen von Idothea entomon. A. Eine Kieme mit dem Träger a un mit dem Kiemenblättchen b. . B. Eine Kieme des zweiten Paares eines männl. Jungen. a. Kiementräger. b. Kiemenblättchen. c. Die Ruthe (penis). Der Golfstrom ostwárts vom Nordkap. Vom Ehren-Mitgliede der Akademie A. v. Mid- dendorff. (Lu le 29 septembre 1870.) Seine Kaiserliche Hoheit der Grossfürst Alexij Alexandrowitsch hat sich in gewohnter Weise auch während des Sommers 1870 zur See begeben. Unter den Befehlen des Admirals von Possiet, Ge- neral-Adjutanten Sr. Majestät und Curator des Gross- fürsten, besuchte das zu Gebote gestellte Geschwa- der, von Archangelsk aus, Nowaja-Semlja und er- reichte in seinem westlichen Laufe die Westküste Is- lands. Auf dem Flaggschiffe, der Dampf- Corvette «Warjäg», unter Commando des Capitaines ersten Ranges O. von Kraemer, wurde während dieser Seereise das meteorologische Journal nach den Vor- schlägen der See-Konferenz zu Brüssel geführt, und wurden demgemäss auch Temperaturbeobachtungen der Meeresoberfläche von den jüngeren Offizieren der Corvette notirt, und zwar zweistündlich. An einigen Orten welche mir besonders wichtig schienen, wur- den diese Temperaturbeobachtungen, an denen auch mein Sohn Theil nahm, noch häufiger angestellt. Selbst auf der Corvette befindlich, fand ich Gelegen- heit genug, mich von dem Grade der Genauigkeit die- ser Beobachtungen zu überzeugen. Dieses berühre ich, weil mir Umstände bekannt sind unter denen es zu keiner Ausnahme gehört dass officiell anbefohlene - wissenschaftliche Beobachtungen, von übrigens sehr achtbaren Staatsdienern ohne Scheu gefälscht werden. So weit vermag das Gift der zur Gewohnheit gewor- denen officiellen Lügenhaftigkeit Alles zu verpesten. Dem besonderen Interesse welches Admiral Pos- siet dem wissenschaftlichen Gebiete der Schifffahrts- | kunde zu Theil werden liess, verdankt die Meeres- kunde nicht nur zahlreiche Orts- und magnetische Bestimmungen , sondern ausser den Beobachtungen der oberflächlichen Meerestemperatur auch eine Reihe bathometrischer Messungen, welche allerdings nicht für so genau genommen werden dürfen als es die Strenge der Wissenschaft heischt; nichtsdestoweniger bieten diese Temperaturbeobachtungen der Meeres- tiefe gewiss einen recht erwünschten Halt für unsere Einsicht in die Natur der hochnordischen Strömun- gen. Obgleich nämlich der Lauf des Schiffes nicht hinreichend angehalten werden konnte um die Leine des Bathometers jedes Mal senkrecht abwärts zu rich- ten, auch manches Mal gewünscht werden musste den Bathometer in derselben Tiefe längere Zeit wei- len lassen zu können als es möglich war, so sind doch die gewonnenen Tiefen-Temperaturen lehrreich genug, selbst wenn wir davon ausgehen dass die jedesmalige Tiefe um ein paar Faden mehr oder weniger betragen mochte, und bei längerem Verweilen des Thermome- ters in der Tiefe auch die Temperatur sich noch et- was mehr ausgeglichen hätte. Das Gebiet auf welchem die Beobachtungen des «Warjäg» angestellt worden, ist ein in Bezug auf Temperaturen bisher völlig unerforschtes. In dem- selben Maasse sind diese Beobachtungen unschätzbar, und hoffe ich dass wenn ihr Werth durch vorliegende Arbeit in ein deutliches Licht gestellt sein wird, un- sere gebildete Marine in den Resultaten dieser gele- gentlichen Beobachtungen einen erneuten Antrieb finden muss die wissenschaftliche Nautik fort und fort mit gründlichen Beobachtungen zu bereichern. Wiederholen wir hier das hübsche Wort das wir Dr. Petermann verdanken: durch die Kenntniss- nahme des Golfstromes beleuchten wir ein Phäno- men dem Europa (und dadurch die ganze Welt) seine Kulturstellung verdankt. —— a | Unser gutes Glükk hat gewollt dass der hochver- diente Geograph Dr. Petermann gerade wührend des- sen dass wir das europäisch-russische Eismeer durch- schifften, eine erschöpfende Zusammenstellung über die Temperaturen des Nord-Atlantischen Ozeans hat erscheinen lassen), und dem lappländischen Eismeere 1) Geographische Mittheilangen, Band 16, VI und VII, unter dem Titel: Der Golfstrom ímd Standpunkt thermometrischen Kennt- sies det Nord-Atlantischen Oceans und Landgebietes im Jahre 1870, si Bulletin de l’Académie Hmpériale 412 bis zu Nowaja-Semlja und bis in das Polarmeer jen- seits dieser Insel, vorzügliche Aufmerksamkeit zuge- wendet hat, welche ihn zu gar weit reichenden Fol- gerungen führt. Betrachten wir die so ausserordentlich lehrreichen Karten (Taf. 12 und 13) welche Dr. Petermann sei- ner Abhaudlung beifügt, so finden wir ostwärts vom Meridian des Nordkaps keine anderen Beobachtungen als die im Jahre 1869 auf dem Dampfer «Albert» durch Dr. Bessels ausgeführten. Die Reihe derselben bewegt sich auf der Hinfahrt zur Westküste Nowaja- Semljas zwischen 73° und 74° n. Br., geht parallel der Westküste bis 77° n. Br. hinauf und kehrt nun, immer nördlich vom 75° n. Br. zurükk bis in die Nähe des Nordkap-Meridianes, indem sie westwärts zur Südküste der Bären-Insel abfällt. Die von Bes- sels während des August-Monats beobachteten Tem- peraturen der Meeresoberfläche bewegen sich auf der Hinfahrt meist um 3° R. herum und erheben sich héch- stens bis 4° R.; bei Nowaja-Semlja und während der Rükkfahrt winds aber die Nähe des Polar-Eises dadurch bekundet dass das Quekksilber im Thermometer meist unter, selten über 1° R. steht. Nur in den Meridianen von Wardó und der Fischer-Halbinsel (Rybatschij) tritt unerwartet und scheinbar iuselartig, zwischen 75 und 76^ n. Br., eine Meeresgegend auf, welche abermals 4° R., ja bis 456 R. warm ist. Das ist AL les was die Karte und mit ihr die Abhaudlung selbst an positiven Beobachtungen iu dieser Richtung bietet, und der ganze unermessliche Raum des Eismeeres, der vom 73. Breitengrade an südwärts bis zur Küste, und in das Weisse Meer hinein bis zum 64. Breiten- grade sich «ausweitet, bot bis zu den Notirungen des «Warjäg» dem Bottheiict der Meeres- - Temperaturen nicht eine einzige Beobachtung. Nichtsdestoweniger finden wir auf der in Rede ste- | henden Karte Dr. Petermann's die Linien der Juli- Teinperatur von 2; 4; 6; 8; 10; und 12^ mit unver- kennbarer Zuversicht über das Gebiet hinübergezogen welches wir eben als Beobachtungs-Wüste gekeun- zeichnet haben; ja, thun wir einen Blikk iu den dazu gehörigen Text, so erstaunen wir über die Kihnheit mit welcher Dr. Petermann, ungeachtet zahlrei- cher, theilweise sich nicht gerade durch Hóflichkeit Auch eine Menge neuen NE wird bei dieser Ge- legenheit zu Tage gefordert auszeichnender Widersacher anglo-amerikanischen Idiomes, den Golfstrom bis Nowaja-Semlja, ja sogar durch das asiatische Polarmeer führt. Allerdings spricht Dr. Petermann mit vollem Rechte Folgendes aus’): «Bei der ausserordentlich constant «bleibenden Temperatur des Meeres, ist eine einzelne «lich zuverlüssiger als jahrelange Beobachtungen der «kungen unterliegen»; indessen fehlte ihm, wie schon gesagt, auch diese feste Grundlage einzelner Angaben ostwürts vom Nordkap und südlich vom 73.° n. Br. Worauf hin hat also Dr. Petermann jetzt abermals zu wiederholen gewagt?): «Nach uuserer schon vor «13 Jahren (1852) ausgesprochenen Ansicht ist diese «Polynja (im Osten der Neusibirischen Inseln) nur die «Verlängerung des Golfstromes 5.» — ? — oder am anderen Orte?): «Der Golfstrom umgiebt ganz Europa «bis an das Eismeer und das Weisse Meer von Ar- «changelsk mit einer weiten, warmen Wassermasse, «einer permanenten Warmwasserleitung.» — ? — Suchen wir aus der Abhandlung Petermann's selbst die Antwort auf diese Frage heraus, so gestal- tet sich unser Extrakt zu folgendem Bilde: 1) die Kenntniss des Golfstromes bis etwa 55? n Br., oder genauer gesagt bis zu dem nórdlichsten Kurse der aus Mittel-Europa nach New-York oder zurükk gehenden Schiffe, beruht jetzt schon auf Hun- derttausenden von Beobachtungen. Aus denselben ist nun ganz positiv bekannt dass der Kern des Golfstromes, der Florida- Strom, im Sommer ein durchschnittlich 22° warmes, ja mit vol- lem Rechte heiss zu nennendes Wasser führt, das selbst im Winter nicht unter 20° bis 16° R. abge: kühlt wird. 2) Wenn nun auch nordwärts von besagten Breiten die Anzahl vorhandener Beobachtungen unvergleich- lich geringer ist, so lassen sich doch im nordatlanti- © schen heu die o Meeres-Isothermen und deren Kriim- 2) p. Sc 3) p. 2 H i pi Ge finden wir ausdrükklich wiederholt dass noch im Jahre vorbei, n und bei Kap Jakan seinen Einfluss noch dentlich er- ennt. 5) p. 241. «Temperaturbeobachtung in den meisten Fällen frei-. «Temperatur auf dem Lande, die so grossen Schwan- ` ~ 413 des Sciences de Saini- Pétersbourg. ETE S mungen mit hinreichender Bestimmtheit auf die Kar- ten eintragen, und es ergibt sich dass nicht nur an den Westküsten Spitzbergens bis über den 80. Brei- tengrad hinaus, sondern auch weiter östlich, im Me- ridiane des Nordkaps das wärmere Wasser des Golf- stromes unverkennbar nachgewiesen ist. Aus den vorhandenen Beobachtungen hat sich Dr. Petermann überzeugen kónnen*) dass dieser letztere Strom, nämlich der zwischen der Bären-Insel und der Nordküste Norwegens verfolgte —- den ich im Laufe dieser Abhandlung den Nordkap-Strom nennen werde — als Hauptarm des Golfstromes in dieser Gegend anzusehen ist; während der erwähnte Spitz- bergische Strom nur als Nebenarm auftritt”). In der That sehen wir im Nordkap-Strome die Juli- temperatur mit 6° R. sich bis 72° n. Br., mit 4° R.. bis 74° n. Br. erheben, während der Spitzbergische Nebenarm ungleich schwächer ist, vielfach vom Po- larstrome angenagt und beinahe zur Vernichtung der Wärmespuren abgekühlt wird, auch schon unter nur -70° n. Br. hauptsächlich nicht mehr als 2° R. aufzu- weisen hat, obgleich interessanter Weise noch unter 79° n. Br. im Spitzbergischen Strome ein Flekk wär- meren Golfstromwassers von 4° R. emportaucht, gleich wie zwei ähnliche Flekke derselben Temperatur an der Südspitze Spitzbergens und ostwärts von derselben. So weit die direkten Beobachtungen, zu denen noch hinzugefügt werden kann die Nachricht?) dass östlich vom Nordkap bis in die Gegend des Einganges zum Weissen Meere das Meer nicht zufrieren soll, dass ich unter 76° n. Br. das Meer im Taimyrbusen voll- kommen eisfrei sah, und dass Wrangell im Osten der Neusibirischen Inseln im Juli die Durchschnitts- Temperatur des Sibirischen Ei es + 2'/? R. fand. 3) Indirekter Weise bieten die beobachteten Luft- temperaturen Anbaltspunkte zu weiteren Schlüssen, und da ist es denn allerdings von den Meteorologen schon längst hervorgehoben worden dass die ausser- ordentlich günstigen Temperatur -V erhiltnisse, deren sich Nordeuropa, insbesondere aber das nördliche Nor- wegen, zumal im Winter, erfreut, lediglich dem Ein- flusse des Golfstromes zugeschrieben werden müssen. 6) p. 226. : 7) Dieser ist zuerst von Parry nachgewiesen worden. Vergl. Middendorff, Sibirische Reise, II, 1, 1851, Wirbellose Thiere | p. 382, Anm. 2. 8) p. 222. D Die Schlüsse haben nun leichtes Spiel, wenn die milden Winter Islands und die dort unter 65° n. Br. im Freien bei Scharrfutter überwinternden Pferde und Schaafe berükksichtigt werden; wenn Hammerfest namhaft gemacht wird, wo nur ein Mal bis — 12° R Kälte beobachtet worden; wenn Wardö unter mehr als 70° n. Br. und seine -— 6° Januar-Temperatur, dem unter demselben Meridiane aber 10 Breitengrade süd- licheren Petersburg mit — 7,5° Januar-Temperatur gegenübergestellt wird; wenn Wardö andererseits mit den unter ähnlichen Breiten gelegenen Ustj-Jansk und Point Barrow und deren — 3154 und — 2255 R. Januar- Temperatur verglichen wird; wenn beachtet wird dass im Meridian von Island im Januar der Golfstrom + 10? R. warm ist, während unter der- selben Breite (50°) in Prag zur selben Zeit das Ther- mometer in der Luft bis — 25° sinkt, u. s. w. Das Alles berücksichtigend, und darüber unter- richtet?) dass bei Neufundland die Berührung des Golf- stromes mit dem kalten Polarstrome die Temperatur plótzlich um 12° bis 20° R. sinken macht; dass wir deshalb unter demselben Breitengrade (48° n. Br.) westlich nur 6°, óstlich davon aber gleichzeitig 16° Meereswürme messen; ferner in's Auge fassend dass die am Nordkap im Sommer offenbare Golfstrom-Tem- peratur von etwa 7? R. im Januar bis auf 27, R. erkaltet, finden wir uns bald darin, unter hohen Brei- ten des Polarmeeres nicht nur in 4^, sondern auch in 9? R. warmem Meereswasser noch die wärmende Ein- wirkung des Golfstromes zu erkennen. 4) Die bathometrischen Untersuchungen im Nord- atlantischen Ozean haben ergeben ") dass unter etwa ` 60? n. Br. zwischen den Fár-óern und den Hebriden der Golfstrom bis auf den Meeresgrund hinabreicht, also eine Wassermasse von 770 Faden Tiefe umfasst, welche jedoch auf dem Grunde sich schon um einige Grade, nämlich bis zu 4/2 R. abgekühlt zeigt. Nur einen Breitengrad nördlicher, zwischen den Für-óern und den Shettland-Inseln reicht der Golfstrom dagegen nur 200 Faden tief, d. i. bis zu einem Drit- theil der Gesammttiefe (von 640 Faden); weil in der Tiefe schon der Polarstrom vorherrscht. Unter 65^ n. Br., bei Island, fand Admiral Irminger bei 6,2R. Oberfláchen-Temperatur noch 6° in 60 Faden Tiefe. ~- 9) p. 220. 10) p. 236. 435 Bulletin de l'Académie Impériale 416 Beachten wir nun dass bei solcher Tiefe der Golf- strom im Meridiane der Bären-Insel, zwischen dieser und Norwegen, also beim Beginne des Nordkap-Stro- mes, Ende Juli eine Breite von 200, Ende October von 170 nautischen Meilen besitzt, so ist hier aller- dings noch das Vorhandensein einer so ungeheuren erwärmten Wassermasse nachgewiesen, dass wir die Möglichkeit ihrer erwärmenden Wirkung auch in wei- tern östlichen Fernen gern zugeben mögen. Diese Möglichkeit gewinnt aber bedeutend an Kraft wenn wir einerseits zugeben dass der Golfstrom eine seiner Richtung entsprechende oberflächliche Drift- strömung in sich aufnimmt, welche ihn ansehnlich verstärkt; andererseits aber auch niedere Temperatur- grade als vollgiltige Ausläufer des Golfstromes gelten lassen, indem wir wissen dass das abgekühlte Meeres- wasser, noch bevor es das Maximum") seiner Dichtig- keit erreicht hat unter den Polarstrom hinabgehen kann, also weiterhin bei günstigen Verhältnissen wie- der emporzustauchen vermag. Danach ergeben sich die oben berührten wärmeren Meeresstellen bei Spitzber- gen, so wie Dr. Bessels 3° bis 4° unter 73° n. Br. bis Nowaja-Semlja hin, als Ausläufer des Golf- stromes, und wir erkennen es in dieser Hinsicht als thatsächlich berechtigt an dass Dr. Petermann aus- gesprochen hat ?): «Bis zur Bären-Insel, Spitzbergen «Nowaja-Semlja, wäre somit der Golfstrom deutlich «erkennbar». An vielen Orten, an denen die bisherigen Ober- flächen-Messungen den Polarstrom durch Tempera- turen aus der Nähe des Nullpunktes nachwiesen, mag künftig in grösserer Tiefe der Golfstrom als vorwal- tend sich ergeben. Fand doch schon Scoresby un- fern Spitzbergen, in 100 bis 200 Faden Tiefe ge- wöhnlich das Wasser um 353 bis 339 R. wärmer als an der Oberfläche. 5) Obgleich Petermann den s. g. Flaschenreisen nur indirekte Beweiskraft zugesteht, so lässt er doch . den Treib-Produkten West-Indiens welche an Nor- wegens und Spitzbergens Küsten ausgeworfen werden volle Gerechtigkeit widerfahren. Indessen sind ihm 11) Dieses Maximum liegt bekanntlich bei — 37,5 R. Vergl. R. Lenz r den Zusammenhang zwischen Dichtigkeit und Salz- gehalt des Seewassers, Mémoires “de P’Acad. des sc. de St.-Pét. VITe XI. Y 15 p. NC "eier Sibirische Reise 1851, Wirbellose Thiere, IE, 1, p. 382 solche aus Nowaja-Semlja nicht bekannt und er be- tont daher nur Beweise welche im Gegentheil fiir einen Polarstrom im Osten von Nowaja-Semlja spre- chen, indem die auf den Nordkiisten Spitzbergens ge- fundenen und mit Sicherheit als Lärchenholz bestimm- ten Treibhélzer, auf ein gegen Sibirien hin offenes Meer deuten. Je mehr ich bereit bin den Resultaten dieser über alles Lob erhabenen Schwedischen Expe- ditionen volle Geltung zuzuerkennen, desto entschie- dener müssen wir daran festhalten dass solches Treibholz doch nur auf zeitweilig offenes Meer hin- weist, und noch keineswegs das Vorhandensein des Golfstromes postulirt, Nachdem wir in Vorstehendem bemüht gewesen die festeren Grundlagen zusammenzustellen, welche Dr. Petermann für seine kühnen Annahmen gehabt, denen zufolge er den Golfstrom dem gesammten rus- sischen Polarmeere zuschiebt, und bevor wir zu den Beobachtungen des «Warjäg» hinübergehen, will ich mir erlauben noch eine vereinzelte, von Petermann begreiflicher Weise übersehene östlich vom Nordkap angestellte Temperatur-Messung nachzuholen, welche jetzt Bedeutung gewinnt, und auch einige Winke hin- zufügen, welche bisher die russische Literatur zu , Gunsten unseres Goiori tandes und Gebietes enthal- ten hat. Genau vor 30 Jahren mass ich $i im Meridiane der Ostküste des Ladoga-Sees, aber unter nahe 70? n. Br., nämlich im Osten der Fischer-Halbinsel (Rybatschij) des russischen Lapplandés, zu Ende des August noch 7,2 R. und erkundete dass das Meer in der Gegend des Kola-Busens eine hóhere Temperatur seines Was- sers auch deutlich dadurch beweise dass es im Win- ter stets offen ist und deshalb zahlreichen Schaaren von Wassergeflügel zur Zuflucht dient. Dasselbe be- státigt sich vollends durch die genauere Feststellung dass der 37 nautische Meilen lange und dabei schmale Kola-Busen nur in den allerstrengsten Wintern, auch nicht vor Januar oder Februar, gefriert, und zwar von seinem blinden Ende aus nicht weiter als bis zur Insel Saljnyj, welche 17 nautische Meilen vom blinden Ende liegt"). Gewiss um so beachtenswerther als 13) PR ouncanie Koası n Actpaxann, 1804. m Onucanie ropoxa 830. 14) ibid. pag. 25. 417 des Sciences de Saint - Pétersbourg. Hs durch die Ströme Kola und Tuloma ein sẹhr be- deutendes Kontingent eisigen Gebirgswassers in den Busen geführt wird und dennoch ausdrükklich her- vorgehoben wird dass bisweilen der Kola-Busen gar nicht zufriere. Derselbe musterhaft genaue Forscher, Admiral Reinike belehrt uns dass der Winter in Kola nicht strenger als in Archangelsk sei. In der That sollen bei Kola die Flüsse sich am 13. Mai n. St. ent- eisen ); wir finden aber dass die Dwina bei dem fast 4'/, Breitengrade südlicheren Archangelsk gleichfalls am 14. Mai n. St. sich ihrer Decke entledigt "). Die Resultate der Beobachtungen des «Warjäg» wollen wir in soleher Reihenfolge wiedergeben dass wir von West nach Ost vorschreitend dem Laufe des Golfstromes folgen. 1) Sowohl im der Richtung von Süd-Island mach Tromsóe, als auch in der von Süd-Island zwr Süd- spitze Norwegens (zwischen den Shettland- und. Orkney- Inselu hindurch) und gleichfalls der Westküste Nor- wegens parallel hat der «Warjäg» die Meeresober- fläche um mehr als 1° bis 2° wärmer gefunden als Petermann's Juli-Linien (Taf. 12) es erwarten liessen. Es scheint deshalb dass im Sommer 1870 der Golf- strom sich ungetriibter und ` entschiedener nordwärts richtete, als es im Durchschnitte der Fall zu sein pflegt, und dass andererseits wohl auch Dr. Petermann’s Juli- linie von 10° R., zumal an der Küste Norwegens höher nordwärts gezogen werden muss. Die höchste von uns beobachtete Oberflächen-Tem- peratur erreichte 10° R., und zwar a) im Hohen, fast angesichts der vor Tromsöe lie- genden Schären, unter 697,” n. Br. b) auf der Rheede von Rejkiavik unter 64° n. Br, c) im Mittelmeridiane Islands, unter 61'/,° n. Br.”) Diese höhere Temperatur würden wir ohne Zögern 15) Jarke, versipekparnoe uyremecreie Bb Chsepuriii JIenonu- TH Oxeams, 1828, I,crp. 152 und Mbcanecaonp pa 1369 rout, 43A. H Araxemin Hart, crp. 168. \ 16) Auch unter 591/,° n. Br. westlich von dem Meridiane der He- briden, und bis zur Durchfahrt zwischen den Shettland- und Orkney- Inseln fanden wir 10^ R.; aber hier in voller Übereinstimmung mit Petermann's Juli-Linie. 17) So unter 64%,° n. Br. ausserhalb der Barre der Deng, am 24. Juni und mehre Tage vorher bis 15'/,° bei Nordwinden. Unter 65? n. Br. bei den Solowetskischen Inseln 131/,°. Im Katharinenha- fen des Kola-Busens unter 69° n. Br. 119/,° R. Bei Wadrö, mehr als 70? n. Br. 12? Tome XY. als ein die Juli-Linien Petermann's vorzüglich be- stütigendes Moment anerkennen, da bekanntlich im Meere eine Verspätung der extremen Monats-Tempe- raturen eintritt, und wir gerade zur Zeit der gróssten Wärme, d.i. während des August, in jenen Meeren schifften. Indessen wir befanden uns vor Tromsóe ganz zu Anfange des August, und auch Lord Duffe- rin beobachtete 1856 in der Gegend von Tromsóe gleich uns 958 R., aber schon am 19. Juli und zwar um einen Breitengrad nórdlicher als wir. Ueberein- stimmend hiermit fand der «Warjág» auf seiner Hin- reise aus Petersburg und Archangelsk schon um die Mitte Juni gleichfalls 10? R. in der Kieler Bucht und ebenso die Küste Norwegens entlang zwischen 9'/,° bis 10'/,° R. nordwürts vom 60. Breitengrade (Bergen) am 17.Juni. Namentlich dürfen wir aber diese un- gewöhnlich hohe Temperatur nicht fallen lassen, wenn wir die schon Mitte Juli von uns weit ostwürts beob- achteten Temperaturen, von denen weiter unten be- richtet werden wird, auf den Golfstrom zurükkführen sollen. Nichtsdestoweniger trafen wir die durch Peter- mann östlich von Island nachgewiesene Einbuchtung des Golfstromes durch den Polarstrom, noch prägnan- ter als auf Taf. 12 angegeben, indem bis 64'/,” n. Br. hinab das Minimum mit 4'5 R. vom «Warjäg» ange- troffen wurde. Da der Nordatlantische Ozean, wie Admiral Ir- minger nachgewiesen, hier von warmen und kal- ten Streifen durchzogen ist, so handelt es sich für mich weniger um die berührten Unterschiede, als darum, nachzuweisen dass der Golfstrom noch an sei- nem Eingange in den Nordkapstrom im Sommer bis 10° R. Wärme mit sich führt. Auch unsere Tiefen- messungen bestätigten dass dieser Strom warmen Wassers bis zu sehr bedeutenden Tiefen hinabreicht, indem unter 69'/? n. Br., im Meridiane der südlich- sten Spitze der Skandinavischen Halbinsel, wir bei ei- ner Oberfläche-Temperatur von 853, in 40 Faden Tiefe noch 624, in 80 Faden Tiefe noch 6^ R. maassen. Dass so hohe Temperaturen so früh im Jahre, wie wir oben angegeben, die Küste Norwegens entlang gemessen wurden, hat für mich um so mehr Gewicht als mir aus der Ansicht des auf dem «Warjág» geführ- ten meteorologischen Journales klar geworden, wie sogar die hóhere Temperatur (bis 1077") dem Hohen 97 Ann Bulletin de l’Académie Impériale 420 im Meere, die niedere (9',) der Strömung in grös- serer Küstennähe entsprach, so dass mit dem Eintritte der Korvette in höhere Breiten, aber auch zugleich in die entschiedenste Küstennatur der Lofoddischen Schären - Gewässer die Temperatur streifig wechselte und bis auf 7, ja 6°/,° sank. . Aber im fernern Laufe des Schiffes zeigt es sich deutlich dass nicht die nérdlichere Lage sondern nur die Abwehr des Golfstromes durch die Inselreihen, so wie der Zustrom kalten Wassers aus Schneeschmelzen und Glätschern diese Temperaturabnahme verursach- ten, während westwärts, im Hohen zweifellos die oben nachgewiesenen bedeutenderen Meeres-Temperaturen nach Norden fortsetzten. So wie nämlich die Corvette bei Hammerfest vorbei in die höchsten Breiten und in deren offeneres Küstenwasser tritt, steigt die Tempe- ratur wieder und zwar immer noch im Juni (IV. 27 n. St.) von 7° auf 7'/? ja auf 8° R. 8° R. hatte der Nordkap-Strom zu Ende Juni so- wohl unter 71?'4 n. Br., d. h. unter der höchsten Breite unter welcher das Schiff den Nord-Kyn um- schiffte als auch westlich, so wie östlich vom Nord- Kyn bis zum Meridiane des Sylte-Fjord oder Sylte-vik, westlich von Wardöe. Doch betone ich dass das Schiff in der Küsten-Nähe fuhr, und dass ich nicht daran zweifle dass weiter im Hohen, zumal mehre Wochen später, auch unter diesen Meridianen 10° R. gemessen worden wären. Ich spreche diess zuversichtlich aus, obgleich wir selbst, als die Corvette zur besten Jahreszeit, am 5. August, denselben Weg, aber in noch grösserer Küstennähe zurückging, fortlaufend nur 7° R., ja im Angesichte des Nord-Kyn nur 6°/,° maassen. Aus dem Angeführten folgere ich: 2) Dass die Juli-Linie von 10° R. für den Sommer 1870 nicht über das Binnenland Norwegens fort, son- dern im Gegentheil ausserhalb der Lofodden und in ei- nigem Abstande von der Nordküste Skandinaviens ost- wärts geführt werden musste; und dass sie nicht der Li- nie S? R. parallel verlief, sondern von einer Zweispal- tung dieser letzteren, welche sich zum Küstensaume be- gibt, gekreuzt wird. 3) Der Nordkap-Strom geht, kaum merklich abgekühlt beim Weissen Meere vorbei auf den Eingang zum Ka- rischen Meere los, so dass es in der Gegend der Insel Kolgujev noch Streifen gibt welche im Juli bis, nahe 10° R. warm sind. An Stelle der Juli- Linien von 6° und 4° haben also diejenigen von 10° bis 7° hier Platz zu nehmen. Im Meridiane der Kanin - Halbinsel hat der Nord- kap - Strom , — den wir hier den Kamin - Strom nennen wollen — noch eine ausserordentliche Mächtigkeit: eine Breite von mehr als zwei Breitengraden , innerhalb welcher er nicht unter 7° Wärme abgekühlt wird. Wol- len wir jedoeh die von Dr. Bessels während seiner Hinreise nach Nowaja-Semlja unter 74° n. Br. beobach- teten über 35 ja bis 4; gleichfalls noch als Rand des Golfstromes anerkennen, so gewinnen wir für den Ka- nin-Strom eine Breiten- Ausdehnung von mehr als vier Breitengraden ®). | Der Kanin-Strom hat eine Mächtigkeit von etwa 20 bis 30 Faden Tiefe; jedoch nimmt seine Temperatur zur Tiefe hin um so rascher ab, je höher die Temperatur — an seiner Oberfläche, was augenscheinlich daher rührt dass durchschnittlich 3 bis 4'/,” R. in etwa 30 Faden Tiefe, ziemlich konstant vorhanden sind. Nur nördlich vom 70. Breitengrade ermittelten wir auf dem Meeres- grunde (40 Faden) Polarwasser, mit weniger als 2; bis 058 hinab. Von Arhangelsk nach Nowaja-Semlja gehend stiess der «Warjig» unerwarteter Weise im Rachen des Einganges zum Weissen Meere plötzlich auf die hohen Temperaturen des Golfstromes. Unter 68° n. Br. maassen wir in der Mittellinie des Racheneinganges ....... A UE S nnd ostwärts vor derselben, also näher zum Kanin-Vorgebirge unter 68°%° n. Br. schon . 7/2 R. Je weiter wir nun nordostwärts steuerten, desto mehr nahm die Temperatur der Meeresfläche zu, bis wir unter 69° n, Br. im Meridiane der die Kanin-Halbinsel hälftelnden Mittellinie (44'4° óstl. Länge) ihr Maxi- mum mit 9',° durchschnitten. In unserem weiteren nordöstlichen Laufe schifften wir bis 695/? n. Br. und 49° Länge also bis zum Meridiane der Westküste der Kolgujev-Insel in minder warmem, aber dennoch zwi- schen 8'/, bis 7°/,° R. zeigendem Wasser. Nun begegnete uns ein zweiter schmälerer Streifen wärmeren. Was- sers von 9'/,” R. der nordostwärts sich auf 8° unter . > € >» ES 18) Erinnern wir daran dass schon Reinike (a. a. O. p. 34) be- richtete, er habe nie gehört dass im Sommer Polar-Eis in niedrige- rer Breite als 721/,” sich habe sehen lassen. Offenbar lässt der Ka- nin-Strom das tiefere Vordringen der Eismassen nicht zu. 421 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 422 70%” n. Br. und 50%,” Länge (also schon östlich vom Meridiane der Ostküste Kolgujev's) auf 7? R. abkühlte. Noch näher zu Nowaja Semlja sank die Meeres- Temperatur rasch, wie wir das weiter unten ausführ- licher besprechen werden. Dass der Kanin-Strom sich hier weit mehr als zwei Breitengrade ausdehnt erfuhren wir bei unserer Rück- reise von Nowaja- Semlja zur Küste des russischen Lapplandes und nach Wardó. Die hóchste Breite er- reichte der «Warjág» in diesem Sommer unter 71° |* 14'im Meridiane der Westküste Kolgujev’s (48° Linge), und dennoch war die Temperatur des Meeres dort 6° R: Kaum waren wir unter 71? n. Br. in den Meridian der Ostküste der Kanin-Halbinsel gekommen so maas- sen wir wieder ....... modas god (iA BAL und sofort ansteigend bis ............ 107%, » Hiermit war die höchste Temperatur in offener See östlich vom Nordkap gegeben, welche wir unter 69° n. Br. am 31. Juli, kaum 25 nautische Meilen von der lappländischen Küste, fast im Angesichte, aber etwas ostwärts der Sieben-Inseln (Ssemj-Ostrowov) antrafen. Hier waren wir offenbar in denselben Streifen gera- then welcher zwei Wochen früher auf der gegenüber- liegenden Ostküste des Einganges zum Weissen Meere 9%, R. gezeigt hatte. Noch höhere Meeres-Tempera- turen wurden auf dem «Warjäg» nur unter dem Ein- flusse der Insolation und der Festlands-Nähe in flachem Wasser beobachtet '?). Fragen wir uns, wo dieses Warmwasser von so aus- serordentlicher Mächtigkeit bleibt, so scheint mir un- fraglich dass es sich vor Nowaja - Semlja theilt, und wir haben allen Grund zu vermuthen dass der Haupt- arm des Kanin-Stromes auf das Karische Meer, insbe- sondere auf die Petschora-Gegend, und die Waigatsch- Strasse (Jugorskij Schar) losgeht, ein Nebenarm dage- gen, die Westküste Nowaja-Semlja's entlang nordwärts streicht. / 4) Eine Strömung die Westküste der Nordhälfte No- waja-Semlja's entlang polwárts ist unverkennbar. Wahr- scheinlich besteht sie als eine der Fortsetzungen des Ka- | nin-Stromes. Bei aufmerksamem Verfolge der Adm. Lütke’s 19) Turse, Yersiperparnoe nyreuieersie Bb c5seputiit zegonu- - Thili Oxeaws, 1828, Il, crp. 61, 64, 80, 191 (bis 58 nautische Meilen in 24 Stunden!) 207. — Auch Capt Johannesen traf dieselbe Strömung an. vier Sommer nacheinander wiederholter Beschiffung des Meeres vor Nowaja-Smelja *) ist es unmöglich die Beständigkeit und Gewalt dieser Strömung zu verken- nen welche im Angesichte der Küste noch unter 76° n. Br. kräftig ist, bis 76'/,° hinanreicht, dann aber zu stillem oder schwach N.-S. fliessendem Wasser führt welches bis Kap Nassau reicht. Wohl, meine ich, ein Wirbel im Bereiche des Zusammenstosses vom Golf- und Polarstrom. | Erinnern wir uns dessen dass auch Barentz, bei seiner denkwürdigen Überwinterung auf der Nord- küste Nowaja- Semlja's in jedem der Wintermonate das Meer offen, bisweilen sogar völlig eisfrei sah und schon zu Anfang Mai das Meer sich ganz vom Eise befreite. Eben so wurde bekanntlich auf der nórdlich- sten unter den drei meteorologischen Stationen auf No- waja-Semlja (Seichte Bai fast 74? n. Br.) die hóchste durchschnittliche Luft-Temperatur gefunden. Sogar unter 70 bis 71° n. Br. scheint vor Nowaja- Semlja die Strómung dieselbe Richtung zu nehmen, da der «Warjäg» ansehnlich nördlicher als beabsich- tigt war auf Meshdnscharskij, d. i. dieInsel welche Kostin-Schar vorliegt, stiess. 5) Die hier nachgewiesenen Fortsetzungen des Golf- stromes werden zum Überflusse auch durch Treibepro- dukte erwiesen. £ Nicht nur sah ich eine Bohne der brasilischen Entada gigalobium welche auf der Küste Nowaja-Semlja’s ge- funden worden war, sondern auf der Ausstellung der Produkte des Archangelschen Gouvernements welche der Gouverneur Katschalov für Seine Kaiserliche Hohheit den Grossfürsten vorbereitet hatte, figurirten auch zwei dicke Bambusstangen die gleichfalls von Nowaja-Semlja herstammten. : Überdiess ist bekannt dass der Kais. Russ. Geogra- phischen Gesellschaft vor Jahren aus der Petschora- Gegend eine jener Glaskugeln zugestellt worden, wel- che die Fischer in den Lofodden als Schwimmer zu brauchen pflegen. i 6) Indem der Kanin-Strom gegen das schnabelför- ‘mig sich ihm entgegenstrekkende Kanin-Vorgebirge an- schlägt, scheint von ihm ein Nebenarm sich abzuspalten 20) Dahin weisen unsere Beobachtungen, und auch Lütke (a. a. O. II p. 58) bemerkte unter fast 71° n. Br. im Meridiane des Kanin- Vorgebirges eine schwache nach S. und etwas nach O, gerichtete Strömung. g7* 423 Bulletin de l’Académie Impériale 424 welcher, die Ostküste des Weissen Meeres entlang noch im Halse des Weissen Meeres, bis zur Dwina- Mündung, und über dieselbe westwärts hinaus spürbar ist. Den Beginn dieses Nebenarmes erkenne ich dort wo wir in der Osthälfte des Racheneinganges zum Weissen Meere schon unter 687/,° n. Br. 7°/,° R. maas- sen (vergl. oben); also schon südlich von der Schna- belspitze des Kanin-Vorgebirges. Die Fortsetzung desselben ersehe ich aus dem me- teorologischen Journal des «Warjäg», das während seiner Hinfahrt nach Archangelsk geführt wurde. Am Übergange des Halses von Weissen Meere in den blin- den Sack desselben, und zwar an der Westküste (süd- lich der Insel Sosnowetz) unter 66° 24’ n. Br. wurden am 22. Juni nur 3'%° R. gemessen. Von hier steuerte die Corvette gerade hinüber zur Ostküste («Simnij Bereg» genannt), auf das Vorgebirge «Intzy» los, und findet sich, nur 5 Stunden später, unter 66° n. Br. plótz- lich in einer Temperatur desKüstenwassers von 13%, °R. Ein ungeheurer Temperatur-Sprung, über 10°R. betra: gend! Diese hohe Temperatur des Meerwassers erhielt sich aber fortlaufend bis zur Mündung der Dwina. Ich vermag sie mir aber in so früher Jahreszeit nur durch das Zusammentreffen des schon ursprünglich 8°, und mehr, warmen Wassers vom Kaninstrome, mit dem im Sande und unter südlicheren Breiten erwärmten Dwina-Wasser, bei gleichzeitig untiefer Küstennähe und hinzukommender Insolation, zu erklären. Die Beobachtung dass auf der Dwina-Barre nur bei frischen Nordwinden die Meeres-Temperatur sich damals zu Ende Juni bis auf 15'/? R. erhob, bei Wind- stille dagegen sogleich auf nur wenig über 10° sank, bestätigt unsere Voraussetzung ?') Auch wird sie da- durch bekräftigt dass anerkannter Maassen mit dem 21) Mit grosser LE ws ich " M: Cupansoumas Kuura Apxanureusckoit Pyóepuin ma 1850 r 8 die umfassendste Be- stätigung dessen dass dieser Umstand‘ e stattfindet, und nicht als Ausnahme angesehen werden darf. Es wird dort mitgetheilt dass das am Wege von Archangelsk nach Onega, 85 Werst von erst- genannter Stadt gelegene Dorf Ssjusjma als Badeort beliebt ist. rt, heisst es, wird das Meerwasser bei NO, N, u. NW- Winden, welche bisweilen recht kalt sind, wärmer und erreicht sogar 17° R.; während bei SO, S, und SW- Winde, die bisweilen gar warm wehen, im Widerspruche zur Temperatur der Atmosphäre das Wasser kälter wird, ja sogar bis 4° erkaltet Ja, eine andere Bemerkung des Apxanreascriü Cóopmux I, 1, 1863. erp. 58, kommt unserem Beweise gleichfalls zu Hülfe. Sonder- bar, heisst es dort, muss es erscheinen dass der Dwina-Busen, un- geachtet der im Frühjahre herrschenden NO-Winde sich früher von Eis reinigt als der Kandalakscha- und der Onega-Busen. + an der Ostkiiste des Weissen Meeres hervortretenden Kap Semljänoj, nicht süd- sondern vielmehr nordwärts, eine minder wüste Küste beginnt an welcher Baum- wuchs wieder das Auge erfreut, und schöne Milch auf die treffliche Viehzucht schliessen lässt, die dort eben da- durch ermöglicht wird dass üppiger Graswuchs bis dicht an das Ufer reicht. Ja, nicht nur Gemüse son- dern sogar etwas Gerste wird dort gebaut. Wohl auch hier wiederum die Warmwasser-Heizung des Golf- stromes! Ganz ohne Zusammenhang mit solcher Strömung wird es nun wohl auch nicht sein, dass gerade zum Kap Intzy sich schon im Februar die Küstenbewohner versammeln, um auf den Treibeis-Feldern die Rob- ben und deren Neugeborene zu schlagen. 7) An die Westküste Nowaja-Semlja’s prallt der Golfstrom nicht unmittelbar an, sondern er wird von dem Lande durch einen beispielsweise 60 nautische Meilen breiten Küstenstreif kalten Wassers (wir beob- - achteten 651 bis 4° R.)”) geschieden, welches einer tie- fen Thalfurche im Meeresgrunde. entspricht, von der wenigstens die Südhälfte Nowaja - Semlja’s umgürtet wird. Sowohl das Weisse Meer als das Eismeer vor dem- selben, i in der Richtung von Kanin nach Nowaja-Sem- lja, haben durchschnittlich eine Tiefe von nur 30 bis 40 Faden”). Die wenigen Lothungen die wir besitzen Weisen darauf hin dass die in Rede stehende Thalfur- che eine mehr als dreifach gróssere Tiefe besitzt. Ich vermuthe dass in dieser Furche sich ein polarer Küs- tenstrom bewegt, der mit dem sowohl aus der Kari- schen Pforte”) als auch aus der so eiserfüllten Meer- enge Matotschkin-Schar ostwürts strémenden Wasser in Verbindung stehen mag. Jedenfalls deutet aber auch dieses kültere Wasser von 6° bis 4° #) eine nicht un- beträchtliche Beimischung von Golfstrom- Wärme an, indem ja sogar an der würmsten Beobachtungs-Station auf Nowaja-Semlja die Durchschnitts-Temperatur der Sommerwärme der Luft nur 352 beträgt. H 22) Baer beobachtete an der Küste Nowaja-Semlja’s zwischen din: 6. bis 13 August 3°6 R. 23) Nur an sehr begränzter Stelle der Mittelgegend des Weissen Meeres findet sich ein 150 ee soda Kessel. 24) Vergl. Liitke a. a. O. II 25) Gerade diese Témpatatin’ iaa so hübsch dem von der Schwedischen rre an der Küste Spitzbergens beobachteten Maximum von 5°, 425 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 426 Schon am Westrande dieser Thalfurche massen wir (beim Ubergang von 40 auf 60 Faden Totaltiefe) auf . 40 Faden Tiefe 078; vor Kostia-Schar 254 auf 40 Fa- den, bei 6,2 Oberflächen-Temperatur. Ich kann mich des Gedankens nicht erwehren dass, da bekanntlich das Meer an der Südwestküste Nor- wegens sich zu einer analogen Thalfurche vertieft, diesen Erscheinungen eine gemeinsame allgemeinere geologische Ursache zu Grunde liegen dürfte. Sollte nicht im Zusammenhange mit dieser Thalfurche gleich- falls ein kälterer Küstenstrom, die West-Ufer Norwe- gens entlang nachgewiesen werden können *)? 8) Dem warmen Strome der Ostküste gegenüber, ent- spricht, die Westküste des Weissen Meeres entlang, ein kalter Strom, dessen Temperatur wir als die heimische, ‚ lokale ansehen dürften. Er scheint sich westlich vom Eingange zum Weissen Meere, die lappländische Küste westwärts entlang fortzusetzen. Nachdem wir, wie oben gesagt bei der Barre vor Archangelsk bis 15'/? R. gemessen hatten, fanden wir an unserem Ankerplatze vor dem Kloster Solowetsk wieder bis 13'/?. Auf der Fahrt zu den Solowetsk- Inseln óstlich von denselben war inzwischen am Ein- gange in den Onega- Busen (65^ n. Br.) das Thermo- meter auf 7'/,° R. gesunken. Von diesen Inseln riehteten wir unseren Lauf nord- óstlich, zur lappländischen Küste. Das Thermometer fiel rasch. Als wir am 21. Juli n. St. unter nahe 66° n. Br. in Sicht dieses West-Ufers (Térsky Béreg) vom Halse des Weissen Meere kamen, sank,das Thermo- meter rasch auf 5° R.; dort wo 4 Wochen früher der «Warjäg» (vergl. oben) 3'/,° antraf. Die Küste zeigte sich fortlaufend mit Schneetriften bedekkt, die Luft war sehr rauh und die Meeres-Temperatur sank bis auf 4°; aber nicht tiefer. So ging es fort bis 67°/,° n. Br. und 41?,? óstl. Länge, also bis in das westliche Drit- theil des Racheneinganges zum Weissen Meere. Bedenken wir dass die durchschnittliche Jahres-Tem- peratur der Luft bei Archangelsk 077 R. beträgt, die durchschnittliche des Winters — 977, die des Früh- Jahres noch immer — 053, und dass ferner die Dwina erst Mitte Mai ihre Eisdekke ins Meer hinaus- schikkt, so werden wir drei Breitengrade nürdlich von A 26) Dass diese Thalfarche Nowaja Semlja auch an seiner Süd- spitze umzieht, dagegen die bolschesemelskische Samojeden - Küste flach ist ersehe ich aus Lütke’s Berichte (1. c. II, p. 94). Archangelsk die Meeres-Temperatur von 3,” — 5° im Juli, eher über als unter unserer Erwartung finden und geneigt sein sie als die wenig getrübte örtliche anzusehen. So wie wir unseren Lauf, vom Westufer des Rachen- einganges ab, gegen das Kanin-Vorgebirge, also gegen das Ostufer desselben richteten und unter 68? etwa die Mittellinie des Racheneinganges erreicht hatten, stieg die Meeres-Temperatur auf 5°, unter 68°/,°, noch etwas näher zum Ostufer auf 7/,? u. s. w., wie oben gezeigt. Wir waren aus der Lokaltemperatur des Weissen Meeres in diejenige des Golfstromes getreten. Hätten wir, nordwürts gehend, uns an das lapplün- dische Ufer gehalten, so wären wir ohne Zweifel noch weit über das Swätoj-Vorgebirge im kalten Wasser geblieben. Den Beweis dafür liefert mir das auf der Hinreise nach Archangelsk geführte meteorologische Journal des «Warjäg», denn unter 68° 24’ n. Br., west- lich vom Swáütoj- Vorgebirge sank das Thermometer rasch bis auf 4?/?, und weiter südwärts wie gesagt auf das Minimum von 3'/,° R. Nicht nur weil damals der « Warjäg» vier Wochen früher (3. Juli) als auf der Rükkehr von Nowaja-Semlja (31. Juli) den Meridian des Swätoj-Vorgebirges passirte, sondern entschieden deshalb weil wir zu Ende Juli diesen Meridian nicht in der Küstennähe sondern 1'/, Breitengrade nördlicher, und deshalb im Golfstrome passirten, traf der «Warjág» auf seiner Rükkehr unter demselben Meridiane nicht etwa wie bei der Hinreise 6° und 5°, sondern 8% R. an. Dieser kalte Strom nimmt die volle Tiefe des Mee- res ein, so dass also im Grunde, auf 30 bis 35 Faden, kein polarer Unterstrom vom Thermometer angegeben wird; wir fanden vielmehr im Grunde die Temperatur nur um etwa 1? R. kälter als an der Oberflüche. 9) In geringerem Grade scheint. das Analogon der unter 8) für das Weisse Meer nachgewiesenen Verhált- nisse auch in dem diminutiven Analogon des Weissen Meeres, im Warangerfjorde, statt zu haben. ‘Auf der Hinreise nach Archangelsk ergaben die auf dem «Warjäg» gemessenen Meeres-Temperaturen ein plötzliches Sinken auf 5° ja 47, so wie das Schiff, vom Nordkyn kommend Wardö erreichte; während es doch bei der Fischer-Halbinsel (Rybatschej) und wei- ter ostwürts bis halbweges zwischen den Sieben Inseln (Ssemj Ostrowov) und dem Swätoj- Vorgebirge 6° no- Ld 427 Bulletin de l'Académie Impériale 428 tirt. Der Unterschied ist freilich gering, wiederholte sich aber als wir auf dem «Warjäg» mehr als 6 Wo- chen später dieselben Gewässer befuhren, indem wir im Warangerfjord überall 8° ja bis 10° maassen, so wie wir uns aber Wardö näherten ein Sinken auf 7° beobachteten und auch westwärts, da wir im Ange- sichte der Küste dampften, bis Hammerfest, ja sogar bis Tromso& stets dieselbe niedrige Temperatur (6°), bis höchstens 7'/,°) behielten ”). Also auch im Warangerfjord geht wärmeres, durch den Golfstrom alterirtes Wasser, dessen Osthälfte ent- lang, während an der Westküste des Einganges zum Warangerfjord und westwärts die gesammte Küste Norwegens entlang kälteres Wasser zu finden ist. Der Mittelstreifen des warmen Nordkap-Stromes scheint also nordwärts weiter ab von Wardö und von der Fi- scherhalbinsel zu liegen. . 10) Noch bei Kolgujev verrráth sich der Golfstrom, abgesehen von seiner Temperatur, durch die bekannte blaue Färbung und einen höheren Salzgehalt, der jedoch schon merklich alterirt erscheint. Wir beschifften dort so dunkel violettblau gefärbtes Wasser dass ich überzeugt war, es müsse von mikro- skopischen Thier- oder Pflanzenformen wimmeln. Gross ‚war unser Erstaunen, als unter dem Mikroskope auf frischer That nichts zu entdekken war. Dasselbe Wasser welches Professor C. Schmidt in seinem Laboratorium in Dorpat zu untersuchen die Güte gehabt hat ergab ein spezifisches Gewicht von 1,02518 bei 2094 Cels.; mithin einen Salzgehalt von 3,4238 Procent. Wir besitzen durch Reinike*) eine Reihenfolge von Bestimmungen des Salzgehaltes im Weissen Meere und an der lappländischen Küste des Eismeeres, welche ich hier zusammenstellen will. Spezif. Gewicht bei O.-Würme. Auf der Barre der Dwina ese 6 e SS € € $ Boni: 1,018 bei Ebbe 1,021 bei Fluth Beim blinden Ende der Onega-Bucht. dasselbe Bei den Solowetskischen Inseln... .. 1,023 Bei den Simnija Gory; ^ | a 27) Interessant ist es, die Übereinstimmung dieser Meeres - Tem- peraturen mit den Luft- Temperaturen zu Wardö, Hammerfest und Tromsöe zu verfolgen. Siehe Petermann’s in Rede stehende Ab- handlung p. 208. 28) l'uxporpaemueckoe onucanie chsepaaro 6epera Poccin, 1850, I, erp. 20 und Apxanreasckiit cóopuuk» I, 1, 1863, p. 25, 30. Specif. Gewicht bei à O.-Würme. Beim Eingange zum Kandalakscha Bet Bil E Terre i Beim Vorgebirge Orlov Wo 4 4 ON ee € Aa ep EK Beim Swätoj-Vorgebirge. ......... 1,028 Bein Kola-Biísétt. 2022 7l. 1,027 Bo Ward RP Ee 1,028 Auf der Dwina-Barre fand sich also das Meerwas- ser bis zu einem Salzgehalte von 2°, Procent versüsst, und der Salzgehalt nahm in sehr regelmässiger Weise zu, je mehr die Schöpfstelle sich dem Ausgange aus dem Weissen Meere näherte. Zugleich stieg der Salz- gehalt an der lappländischen Küste in der Richtung von Ost nach, West, so dass er bei Wardö sein Maxi- mum, mit mehr als 3°, Procent erreichte. Wenn wir nun im Kaninstrome einen Salzgehalt von nieht voll 3%, Procent vorfanden, so ist derselbe für ein Polarmeer allerdings stark genug, um auf Theil- nahme des Golfstromes hinzuweisen; indessen stellt sich doch gar keine Übereinstimmung mit den schrof- fen Unterschieden in den Temperaturen heraus, und bleibt in dieser‘ Hinsicht weiteren Untersuchungen noch das ganze Feld offen. Zu Gunsten der Staatswirthschaft lässt sich aber schon jetzt der Schluss ziehen dass die Salzsiedereien im Onega-Busen an vollkommen verfehlter Stelle an- gelegt sind, und dass dieselben entweder an die Küste westwärts vom Swätoj-Vorgebirge, an die Südostküste des Warangerfjord, oder auch an die Nordhälfte der Ostküste des Weissen Meeres verlegt werden müssten, an die oben nachgewiesene Abzweigung des Kanin- stromes. Das sind Örtlichkeiten an denen zugleich das nöthige Holz sich leicht beschaffen lässt. Es kann gewiss keiner Frage unterliegen dass die Menge sowohl der niederen Thiere welche an der lapp- ländischen Küste gefunden werden, und neuerdings von - Seiten der St. Petersburger Naturforscher-Gesellschaft mit so bedeutendem Erfolge durch Herrn Jarshin- skij ausgebeutet worden, als auch die damit im Zu- sammenhange stehende Unmasse von Fischen, Hä- ringen, Stokkfischen, so wie deren Vertilger Haien und Robben aller Arten, durch das Zusammenstossen der Ausläufer des Golfstromes mit den nordischen Ge- 429 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 430 wässern bedingt wird. Indessen müssen wir leider den eingehenderen Nachweis dieses Zusammenhanges noch immer der Zukunft anheim geben. Dass Dr. Petermann mit vollstem Rechte von einer unmittelbaren War -Heizung gesprochen, rief uns die auffallende Ubereinstimmung der Luft- temperatur, und die offenbare Abhängigkeit derselben von der Meeres-Temperatur überall ins Bewusstsein, Wir hätten, auch ohne die Meeres-Temperatur zu mes- sen, dem Gefühle und dem Luft-Thermometer nach fast immer richtig bestimmen können, ob wir uns im Warm- wasser der Golfstrom-Ausliufer befanden, oder nicht. Von welcher Seite der Luftzug, der Wind, kam, war entschieden von untergeordneterem Einflusse auf die Luft-Temperatur. Am rauhesten war die Luft (nachts bis 5° sinkend) an der ohnehin sehr trostlosen Westküste des Halses vom Weissen Meere (Terskij Bereg), dessen kalte Strö- mung entschieden deprimirend wirkt, so dassim Kanda- lakscha-Busen, wenn gleich unter nördlicherer Breite, dennoch die Vegetation reicher ist, als an dieser West- küste. Auf den wärmsten Partien des Golfstromes stand auch die Luft - Temperatur über 10°”), blieb jedoch stets unter den höchsten Angaben des Thermometers, wie solche-durch die Insolation, sei es im seichten Wasser, sei es in reflektirender Nähe von Felsküsten hervorgerufen wurden. So lasen wir beim Ankerlich- ten vor Solowetsk 1454, im Katharinenhafen des Kola- Busens sogar 1654 (am ersten August, unter 69"), n. Br.) an unserem Thermometer ab, und daselbst sogar | um Mitternacht noch über 12°. Die schwankendsten Luft-Temperaturen erprobten wir an unserem Ankerplatze im Kostin-Schar Nowaja- Semlja’s (71° n. Br.). Das Schiffsjournal notirte hier am 24. Juli bis 92s; am darauf folgenden Tage schon nicht mehr als 653 und in der nun folgenden Nacht bis 3° hinab. Am selben 24. Juli stieg aber während meiner Excursion auf der Insel selbst, sogar beim Scheine der Mitternacht-Sonne, im Schatten, das Thermo- meter bis etwas mehr als 14° R. Tages darauf hatten wir dort bei drükkender Schwüle drei Mal hinter ein- ander sich wiederholendes Donnern, von schwachem, bald vorübergehendem Gewitterregen begleitet. 29) Noch unter der höchsten Breite die wir erreichten (71° 14’) hatten wir zu Mittag 8°, EE noch 6° R. Luft-Te em poratan. Durch steile Abstürze gezwuugen im Bette eines beträchtlichen Gebirgsbaches von etwa 40 Schritt Breite knietief zu waten, war ich erstaunt über die Wärme seines rasch sprudelnden Wassers, das ich un- ter 71^ n. Br. für eiskalt zu halten allen Grund hatte. Ich wollte meinen Augen nicht trauen als das Ther- mometer nüher zur Mündung dieses Baches ins Meer 1154 R., höher aufwärts wo viel Wasser aus Seen zu- floss noch 10°, und sogar dicht bei betrüchtlichen Schneetriften welche, im Schutze steiler Uferwünde zusammengeweht den Dach reichlich speisten, noch immer über 8° R. im Bachwasser maass. Es ist be- greiflich dass ich argwóhnte, es müssten sich warme Quellen, Thermen, auffinden lassen. Statt dessen fand ich das Wasser in den vielen flachen Seen von eben solcher Temperatur. Ich machte nun einen Gegenversuch, indem ich eine ausnahmsweise kalte Quelle aufsuchte, die zwei- fellos von einem flachen See ge$peist wurde. Das Was- ser dieses Sees sikkerte durch eine 4', und mehr, dikke Schicht zerfallenen, aber von guter Grasnarbe bedekk- ten Thonschiefers und erschien dann als Quelle zu Tage. Diese Quelle hatte nicht mehr als 3,2 Wärme. Es konnte also keinem Zweifel unterliegen dass jene hohe Temperatur des Bachwassers, von mehr als 11^, lediglich der ausserordentlichen Wirksamkeit der Insolation zugeschrieben werden musste, welche auf dem dunkelfarbenen hogichiolorgehirns zu SO gros- ser Kraft gedieh. Dieser bedeutende Antheil der Insolation an Erwär- mung des Wassers, sei es unmittelbar an der Kiiste und auf den Untiefen des Meeres überhaupt, sei es mittelbar durch die mächtigen Süsswasser - Zuflüsse, welche auch im höchsten Norden, Unmassen auf dem Festlande gesammelter Wärme-Mengen dem Meere zuführen, dieser Antheil ist es, auf den ich habe auf- merksam machen wollen. Er ist um so beachtenswer- ther, als der tägliche Spielraum der Veränderungen in der Meeres-Temperatur so gering ist, dass er sich häufig der Beobachtung fast entzieht. Im Katharinenhafen des Kola-Busens unter 69'/,” n. Br. wo nur zur Fluthzeit ein Durchströmen des Meerwassers stattfinden konnte, hielt sich die Tempe- ratur der Oberfläche des Meeres auf 10° bis 1155, während in 10 Faden Tiefe 875; in 40 Faden Tiefe 8% und in 75 Faden Tiefe noch 678 gemessen wur- 431 Bulletin de l'Académie Impériale 432 den. Die Insolation war, wie schon angeführt, ausser- ordentlich stark, so dass die Luft-Temperatur bis 1654 um 4 Uhr nachmittags des 1. August stieg. Wir wollen uns hier dagegen verwahren als hätten wir, von «Strömungen» sprechend, irgend welche di- rekte Nachweise vom Fliessen des Wassers, nach ge- wissen Richtungen hin, vor Augen gehabt. Unter «Strom» ist in dieser Abhandlung stets nur das Re- sultat der Temperatur-Messungen verstanden worden, Es versteht sich allerdings dabei von selbst dass wir, die Wasser-Temperatur des Aequatorialstromes bei Kolgujev wiederfindend, voraussetzen das Wasser sei von W.nach O. dahin geflossen; oder dass wir, das Ein- dringen der Golfstroms-Temperatur die Ostküste des Weissen Meeres entlang nachweisend, voraussetzen, an der Westküste desselben Meeres fliesse das kalte Wasser ab, und (als Gegenstrom des Aequatorialstro- mes der im Hohen verläuft) die Küste entlang gegen Westen. Keinerlei direkte Beobachtungen bestätigen jedoch bisher diese Annahme, sondern in Bezug auf diese bleibt noch Alles zu thun übrig. Hoffen wir dass unsere Marine auch in dieser Beziehung bald Rath schaffen wird. Nur bis 5 Faden Tiefe drangen Reinike’s Unter- suchungen ®), und erwiesen stets volle Übereinstim- mung mit der Oberflächen-Strömung. Unsere batho- metrischen Temperatur- Untersuchungen wiesen, wie wir gesehen haben, auf dasselbe Verhalten hin. Was wir bisher wissen ist, dass es, zumal in der gemiede- nen Osthälfte des Einganges zum Weissen Meere, in diesem reissende Strömungen giebt ë"), und dass diesel. ben an der Westküste des Weissen Meeres eine Schnel- ligkeit von 2 bis 4'/, nautischen Meilen in der Stunde erreichen. Die Fluth, von Wardö, aus NW. kommend, erreicht binnen 7 Mondstunden das Vorgebirge Goro: detzkoj. An der Westküste des Halses vom Weissen Meere soll die von der Fluth bedingte Strömung bin- nen 12 Stunden einen vollen Rundlauf aus allen Him- melsrichtungen durchmachen ?); bei Anfang der Ebbe aus NO., darauf aus O., und endlich bei voller Ebbe aus SO. kommend; dann beginnt die Fluth mit einer 30) T cbsepgaro 6epera Pocciu, 1850, 1, erp. 23; - ehendass. 20, und presi. ac. ebopzurz I, 1, 1863, 33. um dene, xersipekparaoe uyremecrsie 1828, I. erp. 115, 175,1 T aya , CTP. 174, 190, Strömung aus W., darauf kommt sie aus N. und endet bei vollem Wasser mit der Richtung aus NO. Wenn dem so ist, so muss vorausgesetzt werden dass, unabhängig von diesem oberflächlichen periodischen Kreisen, die Hauptmasse des Wassers in der Richtung sich fortbewegt welche uns das Thermometer nachzu- weisen schien. Geht in der That in das Weisse Meer keine Strömung kalten Polarwassers hinein, wie es un- sere Beobachtungen wahrscheinlich machen, so spricht die von uns vorgefundene Tiefen-Temperatur von 4°R. im Juli, für die Gewalt der oben berührten Insolation noch unter dem Polarkreise; denn die durchschnitt- liche Jahres-Temperatur der Luft erreicht in Archan- gelsk noch nicht 1° R. Allerdings ist das Weisse Meer ein verhältnissmässig flaches Gewässer, doch sollen im Mittelpunkte seiner magenförmigen Ausweitung so- gar 150 Faden Lothleine den Grund noch nicht er- reicht haben. Gern bin ich bereit zuzugeben dass wir im Sommer 1870 unter ganz besonders günstigen Temperatur-Ver- hältnissen Nowaja-Semlja besuchten, welche ja auch. schon im Sommer 1869 Capt. Palliser und Johan- nesen begegnet waren). Wir fanden ja nicht ein Mal Gelegenheit Eis zu sehen. Das ändert aber doch nichts an dem unzweifelhaften Resultate, dass der Golfstrom unter den Meridianen von Kolgujev noch mit fast ganz derselben Temperatur aufzutreten vermag wie im nord- atlantischen Ozean im Angesichte der Lofodden. Es versteht sich von selbst dass in den Jahren 1819 | als Lasarev die Westküste Nowaja-Semlja's ganz mit Eis besetzt fand, und 1821 als Lütke noch um die Mitte des m wegen des Eises nicht nach Kostin- Schar gelangen konnte, den wir so leicht erreichten; es versteht sich von selbst, sage ieh, dass in solchen Jahren die Ausläufer des Golistroti¢s durch die her- angetriebenen Eismassen bedeutend stärker abgekühlt werden müssen. In Jahrgängen in denen z. B. der Eingang zum Weis- sen Meere sich besonders spät von Treibeis reinigt, so dass statt zu, Anfang Juni erst zu Ende dieses Mo- nats”) alles Eis geschwunden ist, dürften wohl die Temperaturen des Kanin-Stromes nur viel später im 33) Auch im Jahre 1734 traf es der Lieutenant Murawjew im Karischen Meere eben so Ay dagegen in den darauf folgen- zo Jahren es dort viel Eis gab. 34) Peiinuxe, onucanie cbsepssxs Geperopt, Pocciu I, erp. 34 und Apxanreasejli cóopauks 1, 1. 1863, p. 57. 433 des Sciences de Saint -Petersbourg. 434 Jahre sich herauszuarbeiten vermögen. Anhaltende Winde, zumal aber stärkeres Andrängen des Polar- stromes in manchen Jahren, mögen auch das Bette des Kanin - Stromes beträchtlich verschieben ?), aber das Alles ändert in der Hauptsache nichts. Auf seiner ohnehin langsamen Wanderung von der Küste Norwegens, innerhalb des Polarkreises; bis Kol- gujev, unterliegt der Golfstrom zahlreichen abkühlen- den Einflüssen. Da wir nun, hier wie dort, fast unver- ändert dieselbe Temperatur vorfanden, so bleibt uns, wenn nicht einst ein Zuströmen heissen Wasser aus dem Erdinnern zum Meeresboden jener Gegenden nach- gewiesen werden sollte,- keine andere Ersatzquelle für den Wärmeverlust, als die unmittelbare Wirkung sommerlicher Insolation auf das Meerwasser. Der Erguss hoch erwärmten Süsswassers vom Fest- lande her, vermag nur indirekt mitzuwirken, indem wir nachgewiesen haben, dass bei Weitem der grösste Theil der russischen Nordküsten von kälterem Meereswas- ser unmittelbar umspült wird; das erwärmte Süsswas- ser dürfte also nur das so kalte Küstenwasser gleich- sam vorwärmen, damit dem Warmwasser des Golf- stromes eine zu kühle nachbarliche Berührung und Einmischung erspart werde. Jedenfalls. stehen wir vor einem Gewirre mitwir- kender Faktoren, von denen jeder einzelne allerdings eine genau berechenbare mathematische Grösse ist. Nichts destoweniger wird es aber noch gar lange dau- ern bis die physikalische Geographie im Stande sein mag, uns auch nur diejenigen Elemente zu liefern wel- che nöthig sind um im gegebenen Falle einer hochnor- dischen Meeres-Temperatur von 2°, oder weniger, ent- scheiden zu können, in wie weit und ob überhaupt das Warmwasser des Golfstromes dabei mit im Spiele ist. . Um so dringender verlangen ähnliche Fragen den Nachweis des einfachen Thatbestandes, wie er z. B. durch den «Warjäg» vollkommen gelegentlich dieses Mal hat geliefert werden können. Ich müsste meine ganze Vergangenheit fortläugnen, wollte ich bei die- ser Gelegenheit nicht die Hoffnung aussprechen, das sibirische Polarmeer werde bei uns baldiger Berükk- sichtigung gewürdigt werden. Für Diejenigen denen 35) Eine Stelle in Reinike’s Werke (a. a. O. p. 24) scheint dar- auf hinzuweisen, indem er anfı im Juni die Wasser-Tempera- tur in der Dwina 10°, im Kandalakscha- Busen im Juli und A M bis 89, bei cil 6°, und beim Swätoj- Vorgebirge bis SA x Tome XV. nur der augenblikkliche materielle Vortheil etwas gilt, mag darauf hingewiesen sein dass das Polarmeer grosse Schütze birgt. Man ereifert sich über den Vernich- tungsraub der die Amerikanischen Walfischfünger in unserem Berings-Arme bereichert, dem die betriebsa- men Norweger seit wenigen Jahren in der Kola- Ge- gend und im Karischen Meere nachgehen. Die Schütze sind eben da. Statt immer wieder daran zu denken wo ein mit Feuerschlünden bewaffneter Argus herzu- nehmen wäre um sie zu hüthen, eröffne man voran die Einsicht in die Natur jener Gegenden, und nehme dann frischen Muthes die Ausbeutung derselben selbst ra- tionell in Angriff, bevor uns in unseren eigenen Grünzen der Vorrang von Fremden abgelaufen wird. Zum Schlusse aber habe ich noch einer Verpflich- tung zu genügen indem ich Herrn Dr. Petermann die gebührende Anerkennung zolle. Auf der festen Grundlage welche er uns durch seine Verarbeitung des Gegenstandes geboten, haben wir, scheint mir, manche wesentliche Berichtigung ausführen kénnen. Welch' mühsames Wirken jedoch in solcher Vorarbeit verborgen liegt wissen die Wenigsten richtig zu wür- digen. So mögen wir denn die geistige Arbeit an ihren Früchten erkennen und uns ins Gedächtniss rufen dass wir die Voraussetzungen dieses verdienstvollen Ge- lehrten über das Verhalten des Golfstromes im Weis- sen Meere, bei Nowaja- Semlja und jenseit dieser In- sel, «kühn» genannt haben. «Allzukühn» hátten wir sagen sollen im Hinblikke auf den Mangel an direktem Forschungsmateriale. Wenn wir nun an Ort und Stelle gefunden dass die Natur noch kühner gewesen als Dr. Petermann's Voraussetzungen, dass sie z. B. dort 10? bot, wo ihr der Gelehrte nur 6? zumuthete, so geht daraus her- vor, dass das was uns «kühn» schien thatsüchlich doch nur vorsichtsvoll war, und dass gründliches Verarbei- ten wissenschaftlichen Materiales ausser der tieferen wissenschaftlichen Einsicht auch noch x iche Ahnungen eingiebt, welche sich, wider Erwarten der oberflächlich urtheilenden Menge, so glänzend bewäh- ren kònnen, wie im hier gegebenen Falle. 435 Bulletin de l'Académie Impériale 436 Nachträge zur Osteologie der Hand und des Fusses, von Dr. Wenzel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le 13 octobre 1870.) (Mit 1 Tafel.) Inhalt. . Beobachtung von 11 Handwurzelknochen an der rech- ten Hand eines Mannes. (Unicum.) . Uber ein dem Os intermedium s. centrale gewisser Säu- gethiere analoges neuntes Handwurzelknôchelchen beim Menschen. (2. Fall.) Beobachtung der den Processus styloideus des Meta- carpale IIT. en persistirenden Epiphyse an einem frischen Präpar . Beobachtung eines at in zwei Navicularia ge- theilt gewesenen Naviculare der linken Hand eines Er- wachsenen. (3. Fall. Beobachtung eines urspriinglich in zwei Lunata secun- daria zerfallen gewesenen Lunatum der linken Hand eines Erwachsenen. (2. eigener Fall. . Uber eine den Processus styloideus des Metacarpale III. ersetzende, zeitlebens persistirende Epiphyse, welche mit dem Capitatum carpi anchylosirte und einen diesem ursprünglich augehôrigen Anhang vortäuscht. . Beobachtung des Processus tuberositatis navicularis tarsi als Epiphyse, die Leg durch Synchondrose ver- einigt ist. Bemerkung über ein, im es Ende des Interstitium metatarseum I. liegendes supernumeräres Knöchelchen. (W. Gruber 1852.) I. Beobachtung von 14 Handwurzelknochen an der rechten and eines Mannes. (Unicum.) (Fig. 1, 2). Unter den Knochen der Hand sind normal ge- formt: Naviculare, Lunatum, Triquetrum, Pisiforme, Multangulum majus, Metacarpale I., Metacarpale V. und simmtliche Phalanges tons Etwas deform ist: das Multangulum minus; in drei secundäre Kno- chen zerfallen erweiset sich das Capitatum; eine von der Norm etwas abweichende Superficies ra- dialis besitzt das Hamatum; durch ein articuliren- des Knöchelchen ist die mangelnde dorsale Ecke des ulnaren Kammes an der Basis des Metacarpalell. ersetzt. Ganz abnorm ist: die Superficies brachialis des Metacarpale III; und etwas abnorm dieselbe Fläche des Metacarpale IV. gestaltet. Erkran- kung der Knochen und Gelenkknorpeln ist nicht nachweisbar. Multangulum minus. (Ñ 2.) An diesem Knochen sind die Gelenkfläche der Superficies brachialis, welche mit dem Naviculare ar- E ro v - = < E = v VIII. ticulirt, und die Gelenkfläche an der S. radialis, wel- che mit dem Multangulum majus articulirt, normal, Formen, wie sie auch an sonst normalen Multangula |minora vorkommen kónnen. Die Superficies ulnaris und S. digitalis weisen Abweichungen auf. Die S. ulnaris zeigt nàmlich 3 grosse Facetten, eine vor- dere, eine mittlere und eine hintere (8). Die vor- dere Facette ist dreieckig, von oben nach unten sehr concav, mehr ulnar- als brachialwärts gerichtet, überknorpelt; die mittlere obere Facette ist halb- mondförmig, von vorn nach hinten schwach concav, mehr brachial- als ulnarwärts gekehrt, ebenfalls über- knorpelt; die hintere Facette endlich ist unregel- mässig vierseitig, ulnar- und rückwärts gestellt, an Stelle, unter der Gestalt eines schmalen langen Paral- lelogrammes, überknorpelt und daselbst mit 2 Ne- benfacetten versehen, einer vorderen längeren pla- nen und einer hinteren schwach convexen. Die vor- dere Facette ist von den beiden anderen durch eine schräg ab- und rückwärts verlaufende tiefe und schmale Rinne geschieden. Die überknorpelte vordere und mittlere Facette articuliren an Facetten der Gelenk- fläche der S. radialis des Capitatum secundarium su- perius, die Nebenfacetten des überknorpelten Theiles der hinteren Facette articuliren an der Gelenkfläche der $. radialis des Capitatum secundarium radiale und an der Gelenkfläche der $. radialis des am Metacar- pale II. sitzenden supernumerären Knöchelchens. Die Gelenkfläche der S. digitalis ist durch eine schräg volar- und radialwärts ziehende Rinne (a), in welche sich die Rinne der S. ulnaris fortsetzt, in eine vordere 3-seitige und hintere 4-seitige Facette getheilt. Beide ` Facetten sind sehr convex und articuliren in den bei- den Gruben der S. brachialis des Metacarpale II. Capitatum. (X 3, 3’, 3”, Dieser Knochen ist in 3 an einander liegende secundäre Knochen (Capitata secundaria) getheilt. Man denke sich die in der Hóhe des Multangulum minus gelagerte untere Dorsalportion des Kórpers des Capitatum der Norm jederseits in einer Linie, die von Seitenrändern der Dorsalfläche des Knochens schräg Y-formigen Linie am Rücken, also zuerst jederseits haben die rauhe S. dorsalis und die rauhe $. volaris — - der oberen viereckigen Stelle rauh, an der unteren ab- und volarwärts zur $. digitalis zieht nach einer. * 437 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 438 schräg zur Axe des Knochens, bis sich die Schnitte begegnen, eingeságt und dann in einer verticalen nach der Axe des Knochens gerade abwárts durchgesigt; so hat man ungefáhr die 3 Stücke, die den 3 Capitata secundaria dieses Falles entsprechen. Diese Capitata secundaria, wovon eines oben und volarwärts liegt, die beiden anderen unter jenem und dorsalwärts gelagert sind, können: Capitatum secundarium supe- rius, radiale und ulnare genannt werden. a. Capitatum secundarium superius. (N 3.) Dieses trägt die Superficies brachialis zur Arti- culation mit dem Naviculare und Capitatum, den obe- ren Theil der rauhen $. dorsalis, die ganze rauhe $. volaris, die S. radialis zur Articulation mit dem Mult- angulum minus, den oberen Theil der S. ulnaris, wel- cher mit der Portion des Hamatum, die sich über des- sen rauher Rückenfläche nach aufwärts erhebt, arti- culirt und die volare Hälfte der ulnaren Facette der S. digitalis des Capitatum der Norm. Es ist somit das > grösste. Die Gelenkfläche der S. brachialis ist so wie die des Capitatum der Norm beschaffen. Die Gelenkfläche der S. radialis weiset zwei grosse von einander durch eine rauhe Rinne geschiedene Facetten, eine vordere untere dreieckige sehr convexe und eine hintere obere ovale wenig convexe auf, wie sie am Capitatum der Norm nicht vorkommen. Die Gelenkfläche der S. ulnaris hat die Gestalt eines am unteren Pole abge- stutzten Ovales, ist schwach concav. Die Gelenk- fläche der S. digitalis besitzt 3 grosse Facetten, eine volare, eine radiale und eine ulnare. Die volare Facette, die der volaren Hälfte der ulnaren Facette der Gelenkfläche der S. digitalis des Capitatum der Norm entspricht, hat eine rhomboidale Gestalt, ist von der Rückenseite zur Volarseite etwas concav, von der Radialseite zur Ulnarseite schwach convex und articulirt an der volaren Facette der S. brachialis der Basis des Metacarpale IH. Diese Facette ist die grösste. Die radiale Facette ist abgerundet vier- seitig, sehr concav, ab-, rück- und radialwärts gerich- tet und articulirt mit dem Capitatum secundarium ra- diale. Die ulnare Facette ist halboval, convex, sieht ab-, rück- und ulnarwärts und articulirt mit dem Ca- pitatum secundarium ulnare. Diese ist kleiner als die vorige. Beide letzteren Facetten sind durch einen über- : i knorpelten Kamm von einander geschieden, der vom hinteren Winkel der volaren Facette ausgeht. b. Capitatum secundarium radiale. (N 3°.) Dieses liegt unter und dorsalwürts vom Capita- tum secundarium superius, über der dorsalen Portion der Basis des Metacarpale III., zwischen dem Multan- gulum minus, dem auf dem Metacarpale II. sitzenden Knóchelchen und der Basis des Metacarpale II. radial- würts und dem Capitatum secundarium ulnare ulnar- wärts. Dasselbe hat eine unregelmissig keilfór- mige Gestalt. Seine rauhe S. dorsalis ist vieleckig. Die überknorpelte S. brachialis ist abgerundet drei- oder vierseitig, convex und articulirt an der radialen Facette der Gelenkfläche der S. digitalis des Capita- tum secundarium superius. Die S. radialis besitzt ab- würts eine überknorpelte Flüche, ist übrigens aufwürts und rückwärts, dort in grésserer, hier in kleinerer Strecke rauh. Die Gelenkflüche ist in eine vor- ere grössere, dreieckige, schwach concave Facette zur Articulation mit der vorderen Nebenfacette der hinteren Facette der S. ulnaris des Multangulum mi- nus und in eine hintere, kleine, halbmondförmige zur Articulation mit dem auf dem Metacarpale II. sitzenden Knóchelchen geschieden. Die S. digitalis ist ganz über- knorpelt und durch einen scharfen überknorpelten Kamm in zwei grosse Facetten, eine radiale und eine ulnare getheilt. Die radiale Facette ist vier- seitig abgerundet, vorn concav, durch eine scharfe überknorpelte Leiste von der hinteren Facette der Gelenkfläche der S. radialis geschieden und articulirt an der ulnaren Seite des ulnaren Kammes der Basis des Metacarpale II. Die ulnare Facette ist viersei- tig sattelfórmig, vorn abgerundet und articulirt mit der radialen Facette der Gelenkfläche der S. brachia- lis der Basis des Metacarpale III. Dieser Knochen misst von der Basis bis zur Spitze: 1,1 Cent., an der Basis: in verticaler Richtung 1,2 Cent., in trans- versaler Richtung: 1,1 Cent. c. Capitatum secundarium ulnare. (X 3^.) Dieses liegt unter dem Capitatum secundarium superius, über dem Metacarpale III. und IV., zwischen dem Capitatum secundarium radiale und dem Hama- tum. Es hat die Gestalt eines vierseitigen Keiles. Die lünglich-vierseitige S. dorsalis ist rauh. Die S. brachialià ist rückwärts und ulnarwärts rauh, übrigens í : 98* 439 Bulletin de l’Académie Impériale » 440 mit einer halbovalen Gelenkfläche zur Articula- tion mit der ulnaren Facette der Gelenkfläche der $. digitalis des Capitatum secundarium superius verse- hen. Die S. radialis zeigt eine kleine dreieckige überknorpelte plane Fläche zur Articulation mit dem Capitatum secundarium radiale. Die dreieckige S. ul- naris ist auch ganz überknorpelt, unten concav, am oberen Winkel convex und articulirt mit der unteren Gelenkfläche der S. radialis des Hamatum. Die S. bra- chialis ist ganz überknorpelt. Die Gelenkfläche ist in eine grosse, vierseitig abgerundete, schwach con- cave und in eine schmale lange Facette geschieden. Erstere articulirt an der ulnaren Facette der Gelenk- fläche der S. brachialis der Basis des Metacarpale III., letztere an der schmalen langen radialen Facette der S. brachialis der Basis des Metacarpale IV. Der Kno- chen ist: 1,2 Cent. lang und an der Basis: in verti- caler Richtung 1,3 Cent., in transversaler Richtung 1 Cent. breit, somit etwas grösser als das Capita- tum secundarium radiale. Hamatum. (N 4.) Die superficies radialis weiset, statt der einzigen Gelenkfläche und einer rauhen Stelle am Knochen der Norm, zwei überknorpelte Flächen, eine obere und eine untere auf, welche durch eine bisquitför- mige (dorsalwärts schmälere, volarwärts breitere) Rauhigkeit zum Ansatze eines Lig. interosseum von einander geschieden sind. Die obere Gelenkfläche ist sehr gross, oval, schwach convex und articulirt am Capitatum secundarium superius. Die untere klei- nere rückwärts gelagerte Gelenkfläche ist abgerun- det dreieckig, am oberen Winkel concav, übrigens convex und articulirt mit dem Capitatum secundarium ulnare. An der dorsalen Ecke des ulnaren Kammes der Basis des Metacarpale II. sitzendes und in die untere Reihe der Handwurzelknochen treten- des Knöchelchen. (Y 5.) ` Dieses Knöchelchen vertritt den hier mangelnden dorsalen Vorsprung des ulnaren Kammes des Meta- carpale II., an dem die Gruben der S. brachialis der Basis ungewöhnlich ausgesprochen sind. Dasselbe hat die Gestalt eines Tetraëders. Seine convexe rauhe Basis ist die S. dorsalis. Seine S. radialis ist eine ovale, concave überknorpelte Fläche zur Articulation mit der hinteren Nebenfacette der Ge- lenkfläche der hinteren Facette der S. ulnaris des Mult- angulum minus. Seine S. ulnaris ist eine halbovale, plane überknorpelte Fläche zur Articulation mit der hinteren Facette der Gelenkfläche der S. radialis des Capitatum secundarium radiale. Die vordere Flá- che ist eine concave dreieckige überknorpelte Fläche zur Articulation mit dem überknorpelten drei- eckigen, schwach convexen Ende des ulnaren Kam- mes der Basis des Metacarpale II. Metacarpale III. (X 8.) Dieses besitzt an der S. brachialis der Basis, wel- cher der Processus styloideus der Norm fehlt, statt einer Gelenkfliche eine Gelenkfliche mit 3 Facet- ten, wovon eine volarwärts, die andere dorsal- und radialwärts und die dritte dorsal- und ul- narwärts abhingt. Von diesen 3 Facetten, welche durch einen Y-förmigen überknorpelten Kamm von einander auffallend geschieden sind, articulirt die vo- lare fast rhomboidale, dorsalwärts concave, volar- wärts convexe mit dem Capitatum secundarinm supe- rius, die radiale längliche vierseitige, volarwiirts con- vexe, dorsalwärts concave mit C. s. radiale, und die Se länglich vierseitige, volarwärts nach con- cave, dorsalwärts schwach convexe mit dem C. secun- darium ulnare. Metacarpale IV. (X 9) Dieses zeigt an der Gelenkfläche der S. bra- chialis der Basis zwei Facetten, eine grosse ul- nare, zur Articulation mit dem Hamatum und eine schmale von dem Volarrande bis zum Dorsalrande der Basis sich erstreckende radiale, zur Articulation mit der ulnaren Facette der Gelenkfliche der S. di- gitalis des Capitatum secundarium ulnare. Verbindung der Capitata secundaria und des am Metacarpale IL. sitzenden Knöchelchens un- ter einander mit anderen Carpal- und einigen Metacarpalknochen. Das Capitatum secundarium superius verbindet sich: a) mit anderen Carpalia, wie beim Capitatum der Norm, b) mit dem Capitatum secundarium radiale durch ein verticales Lig. dorsale, c) mit dem Capi- tatum secundarium ulnare durch ein Lig. dorsale und zugleich durch eine Portion jenes starken Lig. inter- 441 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 442 osseum, welches vom Ulnarrande und der rauhen, nicht überknorpelten Dorsalportion der S. brachialis des Capitatum secundarium ulnare entspringt, theils an die rauhen Stellen der S. ulnaris des Capitatum secundarim superius und der S. radialis des Hamatum sich inserirt und theils in die Volarwand der Carpo- Metacarpalkapsel übergeht. Das Capitatum secundarium radiale verbindet sich, abgesehen von dem Lig. dorsale zwischen ihm und dem Capitatum secundarium superius: a) mit dem Muliangulum minus durch ein queres Lig. dorsale und durch eine Art Syndesmose zwischen einer rau- hen Stelle an der S. radialis des ersteren und an der hinteren Facette der S. ulnaris, b) mit dem auf dem Metacarpale II. sitzenden Knöchelchen durch ein queres Lig. dorsale, c) mit dem Metacarpale III. durch ein verticales Lig. dorsale, und d) mit dem Capitatum secundarim ulnare durch ein queres Lig. dorsale. Das Capitatum secundarium ulnare verbindet sich, abgesehen von dem Lig. dorsale zwischen ihm und dem Capitatum secundarium superius und dem oben bei den Lig. dieses Knochens angegebenen Lig. inter- osseum: a) mit dem Metacarpale III. und IV. durch verticale Lig. dorsalia, b) mit dem Hamatum durch ein queres Lig. dorsale. Das am Metacarpale II. sitzende Knóchelchen verbindet sich durch Lig. dorsalia mit dem Multangu- lum minus aufwürts, mit dem Metacarpale II. selbst . radialwürts, mit dem Capitatwm secundarium radiale - und Metacarpale III. .ulnarwirts und namentlich mit dem Metacarpale II., unter dessen Basis durch ein von seinem unteren und theilweise vorderen An- fange ausgehendes sehr starkes und breites Liga- ment— also mit 2 Carpalia und 2 Metacarpalia. Accidentelles Knóchelchen im Bandapparate der Capitata secundaria (a). Das Knóchelchen sitzt im Ligamentum interos- seum, welches vom Ulnarrande und von der Dorsal- ; portion der S. brachialis des Capitatum secundarium ulnare entspringt, theilweise an die untere rauhe Stelle der S. ulnaris des Capitatum secundarium superius, theilweise an die Rauhigkeit der S. radialis des Ha- matum sich inserirt, theilweise in die Volarwand der Carpo-Metacarpalkapsel sich fortsetzt, 2 Mill. von ^ der Spitze des Capitatum secundarium ulnare entfernt neben dem volaren Ende der überknorpelten S. digi- talis des Capitatum secundarium superius ulnarwürts und neben der volaren Wand der Carpo-Metacarpal- kapsel. Es hat die Gestalt einer halbovalen Platte von 4 Mill. Länge, 3 Mill. Breite und 2 Mill. Dicke. Seine untere Fläche ist grósstentheils und auch sein gerader Radialwand sind frei. So weit es frei ist, ist es überknorpelt. Die überknorpelte Flüche hat die Gestalt eines mit dem schmäleren Pole volarwürts gekehrten Halbovales, ist plan, 3 Mill. lang und bis 2 Mill. breit und articulirt am volaren Ende der vo- laren Facette der Gelenkfläche der S. brachialis des Metacarpale III. Der überknorpelte radiale Rand ar- ticulirt am ulnaren Rande des volaren Endes der Ge- lenkfläche der S. digitalis des Capitatum secundarium Mica RE Bedeutung. In dem beschriebenen Falle sind somit 11 Hand- wurzelknochen zugegen. Sie liegen in 3 Reihen über einander. In der ersten (oberen) Reihe liegen: Naviculare, Lunatum, Triquetrum, Pisiforme; in der zweiten (mittleren) Reihe: Multangulum majus, M. minus, Capitatum secundarium superius, Hamatum; in der dritten (unteren) Reihe: Ossiculum ex epi- physe metacarpalis II., Capitatum secundarium radiale, C. s. ulnare. Wie die den Handwurzelknochen der Norm ent- sprechenden Knochen, articuliren auch die drei Zu- satzknochen in der dritten Reihe der Handwurzel an einander, an anderen Handwurzelknochen und an , den 2. — 4. Mittelhandknochen durch ühnliche und mit Knorpel überkleidete Flächen. Der knorplige Überzug derGelenkflüchen sieht macroscopisch völlig so beschaffen aus, wie an den Gelenkflächen der Handwurzelknochen der Norm und erweiset sich durch microscopische Untersuchung in der That als wah- rer Gelenkknorpel. Abgesehen vom Abgange von Kennzeichen einer früher gewesenen und abgelau- fenen Krankheit oder einer Einwirkung einer G e- walt, beweiset, nebst einer gewissen Regelmäs- sigkeit in der Anordnung der Haftbänder beson- ders: die Beschaffenheit der Gelenkflächen, dass die Zusatzknochen der Handwurzel dieses Fal- les durchaus nicht als durch Fractur abgelöste Stücke genommen werden können. Man muss daher LÀ 443 \ Bulletin de l’Académie Impériale 411 zur Deutung ihres Auftretens an Bildungsabwei- chung denken. Was nun das am Metacarpale II. sitzende, arti- culirende und in die untere Reihe der Handwurzel- knochen theilweise geschobene supernumeräre Os- siculum betrifft, so muss angenommen werden, dass es sich aus einer persistirenden Epiphyse, welche statt der dorsalen Ecke des ulnaren Kammes an der Basis des Metacarpale II. aufgetreten war, in Folge Bildung eines accidentellen Gelenkes in der Synchondrose — d. i. durch Bildungshemmung und Bildungsabweichung zugleich — entwickelt habe. Die Beobachtnng des Vorkommens der Bases der Metacarpalia II. — V. als Epiphysen in einigen Fal- len von Seite des vielerfahrenen J. Cruveilhier?), der Fund des Processus styloideus des Metacar- pale III. als persistirende Epiphyse in 4 Fallen von meiner Seite") und endlich die Beobachtung dieser Epiphyse durch Bildung eines accidentel- len Gelenkes in dessen Synchondrose als articuli- rendes neuntes Ossiculum carpi in 2 Fallen von J. Struthers?) und in 3 Fällen von meiner Seite‘) sind jener Ansicht sehr günstig und gestatten, eine ähnliche Bildung auch am Metacarpale II. anzu- nehmen. Was ferner das Zerfallen des Capitatum in. drei Capitata secundaria, welche zusammen die Form des Capitatum der Norm haben, anbelangt; so giebt es zwei Möglichkeiten, welche dasselbe bedingen , konnten: entweder es waren statt eines einzigen Ca- pitatum schon drei kleinere Capitata knorplig prüformirt gewesen; oder es war im knorplig prà- formirten einfachen Capitatum die Ossification, welche nach Béclard, Blandin, Bourgery, J. Cruveil- hier, Humphry, Meckel, den Herausgebern von J. Quain's Anatomie, Rambaud et Renault, u. A. und meiner Erfahrung von einem Knochenpunkte aus- geht, anomaler Weise von drei Knochenpunkten ausgegangen, welche zu drei besonderen Knochen- stücken sich entwickelten, als solche in Folge von 1) Traité d'anat. descr. 3. édit. Tom. I. Paris. 1851. p. 276. 2) Sieh meine früheren Aufsätze und den Art. X IH. dieses Auf- satzes. 3) Journ. of anat. a. physiol. Vol. III. Cambridge a. London. 1869. p. 8 4) orit £ Anat. neg u. wiss. Medicin. Leipzig. 1870. p. 197. Taf. V. C. Fig. 8. 8. X9 Ossificationshemmung durch Synchondrose verei- niget eine Zeit lang persistirten, später aber, durch Bildung accidenteller Gelenke in der letz- teren, drei articulirende Knochen geworden wa- ren. Für die erstere Deutung spricht mehr als für letztere. Die auffallende Facettirung an der Ge- lenkfläche der S. brachialis des Metacarpale III. z. B. ist durch letztere Deutung kaum erklärbar. Ob das accidentelle Knóchelchen im Lig. in- terosseum eine in Folge von Entzündung aufgetretene Neubildung sei oder nicht, ist mit Sicherheit nicht , anzugeben. Das merkwürdige Präparat (Unicum) ist in mei- ner Sammlung aufgestellt. - Il. Ueber ein dem Os intermedium s. centrale gewisser Säu- gethiere analoges, os Handwurzelknóchelchen beim Men- chen, (2. Fall.) Fig: à) & Der Fund dieses merkwürdigen Knöchelchens war mir vorbehalten. Ich habe den ersten Fall davon 1868 an dem linken Carpus des Skelets eines Mannes mittle- ren Alters angetroffen, beschrieben, abgebildet und 1869 veröffentlicht‘). Das Knöchelchen dieses Fal- les lag im Centrum der Handwurzel zwischen den Knochen der oberen und unteren Reihe und zwar zwi- schen. dem Naviculare, Multangulum minus und Capi- tatum versteckt. Es hatte die Gestalt eines nie- drigen Tetraéders. Was seine Grösse anbelangte, so war es 4 Mill. hoch, an der unteren Fliche oder Basis in der Richtung von der Radial- zur Ulnarseite 7 Mill. und in der Richtung von der Dorsal- zur Ul- narseite 6 Mill. breit. Es war mit dem Naviculare durch kurze Bandmasse vereiniget und articu- lirte an allen 3 Knochen, zwischen welchen es lag.: Seit Oktober 1868 hatte ich zur Ausmittelung mannigfacher osteologischer Verhältnisse. Massen- untersuchungen an frischen Händen, deren ein Theil früher anderweitig benutzt worden war, vorgenommen. Nachdem ich bis Februar 1870 293 Hände ohne Erfolg in dieser Hinsicht untersucht hatte, traf ich endlich am 4. dieses Monates an der rech- 5) Arch. f. Anat., Physiol. u. wiss. Medicin v. Reichert u. Du Bois- Reymond. Leipzig. Jahrg. 1869. S. 831. Taf. X. A. Fig. 5, 6, 8,.9. 4. 445 des Sciences de Saint -Pétershourg. rd 446 ten Hand eines Mannes wieder das Knôchelchen an. Das Ossiculum carpi intermedium des Menschen dieses zweiten Falles (Fig. 3. € 9.), welches ich die- ses Mal in allen seinen Verhältnissen noch besser kennen lernen konnte, als im früheren Falle, werde ich im Folgenden beschräißärn: Lage. Im Centrum der Handwurzel zwisehen der oberen und unteren Reihe der Knochen derselben quer und zwar am Rücken der Handwurzel sichtbar, knapp neben dem Multangulum minus zwischen das Naviculare und Capitatum keilfórmig eingetrieben. Gestalt. Viertelsegment eines nach der Lin- genachse durchschnittenen ovalen Körpers. Von den beiden Polen ist der eine radialwärts, der andere ul- narwärts gekehrt. Von den 3 Flächen sieht die Su- | im perficies dorsalis rückwärts, ist die S. brachialis auf- wärts und die S. digitalis ab- und vorwärts gerichtet. Von den 3 Rändern sieht der eine auf-, der andere — ab- und der dritte — vorwärts. Die S. dorsalis ist convex und rauh — eine Verbindungsfläche. Die S. brachialis und S. digitalis sind mit Hyalinknorpel überkleidet, also Gelenkflächen; erstere ist schwach eoncav, letztere schwach convex oder plan. Der obere und untere Rand sind rauh, Verbindungsränder, der vordere Rand ist mit Hyalinknorpel überklei- det; erstere beide sind convex, letzterer ist gerade und scharf. Die S. brachialis articulirt an einer halb- ‚ovalen, schwach convexen anomalen Facette der Ge- lenkfläche der unteren grossen Abtheilung der $. ul- naris des Naviculare, welche unter dem oberen ulna- ren Ende der die $. dorsalis darstellenden rauhen Rü- ckenrinne neben dem dorsalen Ulnarwinkel dieses Kno- chens sitzt. Die $. digitalis articulirt an einer drei- eckigen, schwach concaven oder planen Facette der Gelenkfläche der radialen Abtheilung der S. brachia- lis des Capitatum, welche am hinteren unteren Um- fang des Kopfes dieses Knochens, gleich iiber dessen Körper, sich befindet. Grösse. Die Länge von einem Pole zum anderen misst: 6,5 Mill., die Dicke von oben nach abwärts: 4 Mill. und von rück- nach vorwärts: 3 Mill. Verbindung. Durch eine Partie der Kapsel des Carpalgelenkes, die sich am oberen Rande des Knö- ehelchens befestiget, mit dem Naviculare; durch eine andere Partie derselben, die sich am ulnaren Pole und an der ulnaren Hälfte des unteren Randes inse- rirt, mit dem Capitatum; und durch eine dritte Par- tie derselben, die an der radialen Hälfte des unteren Bandes und am radialen Pole haftet, mit dem Mul- tangulum minus. Verschiedenheit des Knóchelchens des 2. Fal- les von dem des 1. Falles. Im 1. Falle lag das Knö- chelchen versteckt, im 2. Falle sichtbar im Centrum der Handwurzel, aber in beiden Fällen zwischen dem Naviculare, Capitatum und Multangulum minus, wenn es auch im 1. Falle mit allen 3, im 2. Falle nur mit den beiden ersteren Knochen articulirte. Im 1. Falle hatte es 4, im 2. Falle — 3 Flächen, also in beiden eine verschiedene Gestalt. Im 1. Falle war es grösser als im 2. Falle. Im 1. Falle hing es an einem Knochen, 2. Falle stand es mit allen 3 Knochen in Verbin- dung, zwischen welchen es Platz genommen hatte. Bedeutung. Trotz der Verschiedenheiten des Knö- chelchens des neuen Falles von dem des frühe- ren Falles ist dasselbe, bei Berücksichtigung des- sen, was Andere und Ich?) über das Os intermedium s. centrale gewisser Säugethiere aus einander- gesetzt haben, im neuen Falle wie im früheren Falle als Analogon des Os intermedium s. centrale der Säugethiere zu nehmen. Das Vorkommen eines Ossiculum carpi interme- dium beim Menschen ist somit kein Curiosum mehr. Das Präparat ist in meiner Sammlung aufbewahrt. III. Beobachtung der den Processus styloideus des Metacar- pale III, substituirenden, persistirenden Epiphyse an einem frischen Praeparate. (Fig. 4.) Den 1. Fall des Vorkommens des Processus styloi- deus des Metacarpale IIL als persistirende Epi- physe beim Erwachsenen beobachtete ich 1868 an dem linken Metacarpale III. von dem Skelete ei- nen 43-jührigen Mannes. Ich beschrieb und bildete diesen Fall ab 1869”). Den 2. und 3. Fall beob- achtete ich 1869 auch an linken Metacarpalia IMI., aber wieder nur an solchen von skeletirten Händen Erwachsener. Ich theilte auch diese Fälle 1870 6) «Uber die secundären Handwurzelknochen des Menschen ». — 1. u. wiss. Medicin. Leipzig. 1866. S. 574 Arch. f. Anat., Physiol. u. essus styloideus des | Metacarpale IL. reprasen- nde Epiphyse». Physiol. u. wiss. Medicin. Leipzig 1869. S. 36. Taf. X. B. 1—4 \ 447 Bulletin de l'Académie Impériale 448 in einem Aufsatze mit, in dem ich das Auftreten der Epiphyse als wirklich articulirendes Handwur- zelknöchelchen abhandelte, und bildete einen dieser Fälle ebenfalls ab °). Obgleich alle diese 3 Fälle, en doi aber un- ter denselben der im Aufsatze von 1870 auf Taf. V. C. Fig. 1, 2 abgebildete Fall, gut erkennen lassen, dass man es mit einem als Epiphyse persistiren- den und wegen Abganges jeder Spur von Callus an den Metacarpalia III. nicht mit einem abgebroche- nen Processus styloideus zu thun habe; so musste ich mich dennoch bemiihen, an einer frischen Hand den als Epiphyse. persistirenden Processus styloideus noch durch Synchondrose mit dem Metacarpale HI. vereinigt anzutreffen, um dadurch die Mög- lichkeit des Vorkommens des Processus styloideus des Metacarpale III. als Epiphyse über jeden Zweifel beweisen zu können.- Ich untersuchte daher, vom Oktober 1868 angefangen, alle verfügbaren Hände und traf erst nach Zergliederung von 278 der- selben am 11. Januar 1870 und nachdem ich kurz - vorher den oben citirten Aufsatz zum Druck in das Archiv für Anatomie expedirt hatte, das an der rech- ten Hand eines Mannes, was ich suchte. Dieser Fund war mir um so erwünschter, als ich dadurch den bald darauf von Professor W. Theile ®) mitge- theilten Zweifel über die Richtigkeit der Deu- tung meines ersten Falles, an dem allenfalls ein Anatom an eine Fraetur nach dem Tode, nie aber ein Chirurg an eine Fractur im Leben, wegen Abganges der eine solche begleitenden Kennzeichen, denken konnte, völlig zu beheben im Stande bin, falls noch 2 andere seitdem veröffentlichte Beobachtungen an macerirten Metacarpalia IJI., diess zu thun, nicht im Stande wären. An der rechten Hand desMannes mit Vorkom- men des Processus styloideus des Metacarpale IH. als persistirende und mit der Basis des Knochens durch Synchondrose vereinigte Epiphyse, ist weder am Carpus noch am Metacarpus eine krankhafte Ver- 8) «Über das aus einer persistirenden und den Processus styloi- deus des Metacarpale III. repräsentirenden Epiphyse entwickelte articulirende, neunte Handwurzelknôchelchen. — Arch. f. Anat. Physiol. u. wiss. Medicin. Leipzig 1870 S. 197. Taf. V. C. Fig. 1, 2. (Nach Berlin abgesandt d. 4. Januar 1870.) 9) Sieh: Schmidt’s Jahrb. d. Medicin Bd. 145. Jahrg. 1870. Be- merkung. S, 12. ' änderung zu sehen. Die Synchondrose liegt quer auf der Axe des Knochens, bildet nur eine dünne Schicht eines Gewebes, das theils aus Fasern, theils aus Knorpelzellen besteht. Die Epiphyse hat die Gestalt eines Tetraëders. Von dessen 4 Flächen sind die Superficies radialis und S. ulnaris mit Hya- linknorpel überkleidet. Erstere articulirt theils an einer kleinen Facette der S. ulnaris des Multangulum minus, theils an der Seite des ulnaren Kammes des Metacarpale IL., letztere aber articulirt an einer grossen, sehr abgegrenzten, hinteren radialen Facette der Gelenkfläche der S. digitalis des Capitatum. Die Verbindung der Rückenseite der Epiphyse mit dem Capitatum geht durch ganz straffe, die mit dem Multangulum minus und dem Metacarpale H. durch weniger straffe Bandstreifen vor sich. Die Epiphyse misst in vertiealer Richtung — 6 Mill., in der Richtung von der Radial- zur Ulnarseite — 7,5 Mill. und in der von der Dorsal- zur Volarseise — 4 Mill. | Das Praeparat ist in meiner Sammlung aufgestellt. IV. Beobachtung eines ursprünglich in zwei Navieularia se- eundaria getheilt gewesenen Naviculare der linken Hand ei- nes Erwachsenen. (3. Fall.) (Fig. 5, 6.) Diese in Folge von Bildungsanomalie und zugleich Bildungshemmung durch Zerfallen des normalen Naviculare entstandenen secundären Knochen nachzuweisen, war mir vorbehalten. Den 1. Fall fand ich 1865 an der rechten Hand eines weiblichen Skeletes. Ich habe denselben in einem grösseren Aufsatze, in welchem ich auch über das Os intermedium s. centrale der Säugethiere ab- handelte 1866 beschrieben und ahgebildet "). — Die secundären Navicularia waren völlig von einander isolirt und gelenkig mit einander verbunden ge- wesen. — Den 2. Fall traf ich 1869 an der noch mit Weich- gebilden versehenen linken Hand eines Mannes. Ich habe auch diesen Fall in einem Aufsatze 1870 beschrieben und abgebildet 2 10) «Über die secundáren Handwurzelknochen des Menschen». Arch, f. Anat., een u. wiss. Medicin. Leipzig. Jahrg. 1866, S. 565. Taf. XVI. (Fig. 1—8. 11) Beitráge zu den secundáren Handwurzelknochen. — Arch. f. 449 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 450 — Die secundären Navicularia waren in Folge Auftretens grosser Lücken in der Synchondrose und Bildung einer allseitig namentlich gegen das Ra- dio - Carpalgelenk und Carpalgelenk abgeschlossenen Kapsel durch eine Art straffen Gelenkes verei- niget. — ; Den 3. und neuen Fall traf ich im September 1870 bei der Durchsicht von 225 Navicularia aus der Maceration v. J. 1869/70 an einem von der linken Hand. In diesem Falle sind die früher getrennt gewe- senen Navicularia secundaria, wovon, wie im 2. Falle, | das N. s. radiale das gréssere und das N. s. ulnare das kleinere war, bereits wieder verschmolzen. Die Spur der früheren Trennung ist durch eine streckweise ritzenförmige Linie, die, nach dem Ver- halten der Verbindung bei den beiden ersten Füllen zu schliessen, nicht als eine Fissur, in Folge der Einwirkung einer Gewalt auf den Knochen, zu halten ist, gegeben. Die Linie nimmt ihren Verlauf über den ganzen Umfang der ulnaren Portion des Knochens. Da dieser Fall übrigens dem 2. Fall sehr ähnlich ist, so enthalte ich mich noch anderer Angaben und gebe darüber nur Abbildungen. (Fig. 5, 6.) - Y, Beobachtung eines ursprünglich in zwei Lunata secundaria zerfallen gewesenen Lunatum der linken Hand eines Erwach- senen, (2. eigener Fall.) (Fig. 7.) Den 1. Fall vonZerfallen des Lunatum in zwei Lunata secundaria hat Smith beobachtet "71. Den 2. Fall mit Trennung des Lnnatum in ein grosses Lunatum secundarium dorsale und unge- mein kleines L. secundarium volare habe ich 1869 an der noch mit Weichgebilden versehenen rechten Hand eines Mannes angetroffen und 1870 beschrie- ben und abgebildet"). — Das Lunatum hatte die gewöhnliche Gestalt und Grösse. Seine stumpfe vo- lare untere Ecke war als besonderes Knöchel- Geng: Physiol. u. wiss. Medicin. Taf. .... Fig. 1, 2, 3 a. b. (Dahin m Druck eingesandt im Januar 1870.) | A) Treatise on Fractures and Dislocations. Dublin 1847. p.252. (Bei: E. Gurlt.) — Beiträge zur vergleich. patholog. Anatomie der Gelenkkrankheiten. Berlin. 1853, S. 364; ‚bei Sie od — A Treatise on the human Skeleton. London. 1 2. p. 397. Not - 13) «Beiträge zu den secundáren EE — Arch. f. Anat., Physiol. und e Medicin. Taf. .... Fig. 4, b. (Dort- hin t im Januar 1870. | Tome XV. i chen — L. s. volare — vom übrigen Knochen — L. s. dorsale — abgetrennt. Das Lunatum secunda- rium volare hatte die Gestalt eines Viertelsegmen- tes eines ovalen Körpers und stand mit dem L. s. dorsale durch eine straffe allseitig geschlossene Ge- lenkkapsel und einige feine Fäden in Verbindung, welche als Reste der ursprünglich da gewesenen Synehondr ose zu nehmen sind. — Den 3. (2. eigenen) neuen Fall fand ich "emie ber 1870 unter ein Paar Hundert Lunata aus der Ma- ceration v. J. 1869/70. Diessmal war ein linkes Lu- natum in zwei secundäre Lunata geschieden. Das Lunatum commune hat die gewöhnliche Gestalt und Grösse. Die Gelenkfläche an der Superficies di- gitalis zeigt zwei grosse Facetten, eine lange gegen den Rücken zugespitzte radiale zur Articulation mit dem Capitatum und eine ungewöhnlich breite (— 7 Mill.) länglich - vierseitige, ulnare zur Articulation mit dem Hamatum. Dasselbe ist auf gleiche Weise wie das meines 1. Falles in ein sehr grosses Z. s. dorsale (a) und ein ungemein kleines L. s. volare (b) geschieden. Das Lunatum secundarium volare begreift wieder die stumpfe untere volare Ecke des Lunatum commune in sich. Es hat wieder die Gestalt des Vier- telsegmentes eines kleinen ovalen Kórpers oder besser einer unten abgerundeten, etwas gekrümm- ten, auf- und radialwärts allmälig sich verdickenden, dreieckigen oder halbovalen Platte. Es besitzt wie- der eine convexe rauhe Volarfliche, welche dieselbe des Lunatum commune ergänzt, und eine untere con- cave überknorpelte Digitalfliche, welche die radiale Facette der Gelenkfläche der S. digitalis des L. com- mune am radialen Volarwinkel vergróssert. Die Ver- bindung der Lunata secundaria ist aber keine ge- lenkige mehr, sondern eine durch Verknócherung der Synchondrosé aufgetretene unbewegliche. Die Stelle der früheren Trennung durch Synchondrose ist durch eine am ganzen Umfange des L. commune quer verlaufende kleine, aber zienilich tiefe Rinne (a), in der man wie zackenartige Verlingerungen der Lu- nata secundaria in einander greifen n von einem zum anderen setzen sieht. Dieser 2. eigene Fall unterscheidet sich von dem . Falle aus Angegebenem dadurch: dass bei jenem » als Epiphyse (L. s. volare) aufgetretene volare untere Ecke des Lunatum durch TEE 451 Bulletin de l'Académie Impériale 452 der Epiphysensynchondrose wieder verwuchs; bei diesem aber die volare untere Ecke des Luna- tum als Epiphyse nicht nur persistirte, sondern durch Auftreten eines anomalen Gelenkes in der Epi- physensynchondrose ein articulirendes L. s. volare geworden war. VI. Ueber eine den Processus styloideus des Mefacarpale HI - ersetzende,. zeitlebens persistirende Epiphyse, welche mit dem — carpi anchylosirte und einen diesem ursprünglich angehörigen Anhang vortáuschte. (Fig. 9, 10.) Im December 1868 hatte ich bei meinen Untersu- chungen des Carpus an Händen mit Weichgebilden an der linken Hand eines Mannes ein Multangulum minus angetroffen, welches am ulnaren Ende seiner Dorsalportion einen normalen Anhang oder einen Fortsatz besass, der den mangelnden Processus sty- loideus am Metacarpale III. substituirte. Dieser . Fortsatz erwies sich als eine dem Multangulum minus angehórige Epiphyse. Diese Epiphyse war an einem mir von meinem früheren Prosector Lesshaft über- brachten rechten Multangutum minus von einem an- - deren Individuum schon verwachsen, also bereits eine Apophyse geworden. Ich habe diese Fälle be- schrieben und abgebildet ^). Im Jahre 1870 traf ich unter einer Masse von Multangula minora wieder eines von der rechten Hand mit dem bezeichneteu und ähnlichen anoma- len Fortsatze, den ich ebenfalls als eine durch Ver- wachsung zur Apophyse gewordene Epiphyse anse- hen muss. Ich enthalte mich einer nicht mehr nóthi- gen Beschreibung und liefere davon nur eine Abbil- dung. (Fig. 8 a.) Diese 3 Praeparate habe ich in meiner Samm- lung aufbewahrt. Sie liefern die Beweise, dass das Multangulum minus bisweilen durch einen den man- gelnden Processus styloideus des Metacarpale III. er- setzenden Fortsatz vergróssert werden kónnte, welcher als Epiphyse auftritt, die persistiren kann oder bald verwüchst und als Apophyse erscheint. Das Praeparat aber, an dem das Multangulum minus mit 14) «Über ein neuntes Handwurzelknóchelchen des Menschen mit der Bedeutung einer persistirenden Epiphyse des zum Ersatze des mangeluden Processus styloideus des Metacarpale III. des ano- mal vergrósserten Multangulum minus». — Arch. f. Anat., Physiol. und wiss. Meüicin. Leipzig. Jahrg. 1869. S. 342. Taf. IX. — # einer persistirenden Epiphyse versehen ist, zeigt, dass, im möglichen Falle des Auftretens eines Gelen- kes in der Synchondrose ein neuntes Handwurzel- knöchelchen zwischen dem Multangulum minus, Ca- pitatum, Metarcapale II. et III. erscheinen könnte, «| das nicht die Bedeutung einer gelenkig geworde- nen persistirenden Epiphyse des Metacarpale III. (gewöhnlich), sondern die Bedeutung einer ge- lenkig gewordenen persistirenden Epiphyse eines anomaler Weise vergrösserten Multangulum mi- nus hat. Es kann aber auch die den Processus styloideus des Metacarpale III. der Norm vertretende persisti- rende Epiphyse mit dem Capitatum anchylosi- ren und dann einen dem Capitatum schon vom Ur- sprunge an angehörigen Anhang vortäuschen und glauben machen, dass das Capitatum auf gleiche Weise wie das Multangulum minus in oben bemerkten Fällen durch einen Fortsatz vergrössert werden kön- ne, was zwar nicht unmöglich, aber doch nicht nach- gewiesen ist. Eine solche Anordnung fand ich am 18. Septem- ber 1870 unter einigen Hunderten Capitata aus der Maceration v. J. 1869/70 bei einem von der linken - Hand eines Mannes (Fig. 9, 10), wie aus Baghate hendem ersichtlich ist: Das Capitatum (a) ist, abgesehen von dem An- hange am dorsalen Radialwinkel seiner Basis, normal ` gestaltet. An der Gelenkfläche der Superficies digita- lis sind 3 Facetten zu sehen, eine schmale längliche vordere radiale zur Articulation mit dem ulnaren |Kamme der Basis des Metacarpale IL, eine grosse mediane zur Articulation mit der Basis des Metacar- pale III. und eine hintere kleine ulnare zur Articula- tion mit der Dasis des Metacarpale IV. Mit der hin- teren radialen Facette; die am Processus styloideus des Metacarpale III. der Norm articulirt, ist der An- hang verwachsen. Der Anhang (b) desselben ist namentlich von der Rückenseite des Kürpers des Capitatum durch eine tiefe schräge Furche (a) auffallend abgesetzt. Er bat dis Gestalt eines Tetraéder’s oder einer niedri- gen dreiseitigen Pyramide, deren radiale, dor- sale und untere Fläche (Basis) frei sind und deren ulnare Fläche mit dem Capitatum und zwar an ei- ner Stelle desselben durch Anchylose vereiniget ist, x 453 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 454 welche der hinteren radialen Facette der Gelenkfläche der Superficies digitalis correspondirt. Die radiale Fläche zeigt eine kleine concave Gelenkfläche, wel- che an die radiale Facette der Gelenkfläche der Su- perficies digitalis des Capitatum stösst und an einer ' Facette der Gelenkfläche an der ulnaren Seite des ul- naren Kammes der Basis des Metacarpale IL. articu- lirt haben musste. Die dorsale Flüche ist convex, rauh. Die untere Fläche steht fast quer zur verti- lalen Axe des Capitatum, zeigt abgerundete Vor- Sprünge und dazwischenliegende grübige Vertie- fungen,sieht wie die Synchondrosenflüche einer Epi- physe aus. (Fig. 10.) Der Anhang misst in verticaler Richtung: 7 Mill, in der von der radialen zur ulna- ren Seite an der Basis: 8,5 Mill. und in der von der dorsalen zur volaren Seite: 7—8 Mill. Sitz, Gestalt und Grósse des Anhanges glei- chen denen der den Processus styloideus des Metacar- pale III. substituirenden persistirenden Epiphyse. Seine untere Fläche hat das Aussehen einer Epi- physenflüche und nicht das eines etwa durch Frac- tur isolirten Stückes, was es wegen Abganges von Spuren verknócherten Callus nicht sein kann. Noch weniger darf der Anhang als eine Exostose genom- werden. Der Anhang ist daher als eine den Proces- sus styloideus des Metarcapale III. substitui- rende Epiphyse zu deuten, welche, in Folge der Zer- stérung der Synchondrose zwischen ihr und dem Me- tacarpale III. durch Maceration, von diesem sich ab- | lóste und in Folge von Anchylose mit dem Capita- tum an diesem haften blieb. Die straffe Verbindung der den Processus styloideus des Metacarpale III. er- setzenden persistirenden Epiphyse mit dem Capi- tatum und deren Lage in langer Strecke unter dem dorsalen Radialwinkel desselben, lassen im Falle einer partiellen Gelenkentzündung Anchylose leicht móg- lich erscheineu, was mit dem nur oben und radialwärts daneben gelagerten Multangulum minus nicht, oder nur dann geschehen kónnte, wenn dieses in seltene- ren Fällen mit einer breiten Fläche mit der genannten Epiphyse articulirt. Man konnte auch an die Bedeu- tung des Anhanges als ein mit dem Capitatum an- chylosirtes supernumeräres Knöchelchen der unteren Handwurzelreihe denken, welches Stru- thers und Ich voneinander unabhüngig nachgewie- sen haben zwischen dem Capitatum, Metacarpale II. und III. oder zwischen diesen und dem Multangulum minus liegt, mit ersteren 3 oder allen 4 gelenkig ver- bunden ist, welches nicht ein Stück des Capitatum ist, wie Struthers anzunehmen scheint, sondern aus der den Processus styloideus des Metarcapale III. dar- stellenden persistirenden Epiphyse sich entwickelt oder aus der Epiphyse eines anomal vergrüsserten Multan- gulum minus sich entwickeln künnte, wie ich bewie- sen habe. — Allein das Nichtvorkommen der un- teren, an die Basis des Metacarpale III. stossenden Flüche als Gelenkflüche, zeugen gegen diese Ver- muthung. VII. Beobachtung des Processus tuberositatis navicularis tarsi, als Epiphyse, die noch durch Synchondrose vereiniget ist. (Fig. 11.) Das hintere Ende der Tuberositas des Navicu- lare tarsi ist bisweilen gerade nach rückwárts in einen Fortsatz — Processus tuberositatis navicularis tarsi — ausgezogen. Der Fortsatz kann für sich ossificiren und eine Epiphyse — Epiphysis tuberositatis navicu- laris tarsi — bilden. Die Epiphyse endlich kann als solche zeitlebens persistiren und sogar durch Auf- treten eines accidentellen Gelenkes in der Syn- chondrose zwischen ihr nnd der Tuberositas navi- cularis ein für sich bestehendes und articuliren- des Knóchelchen — Ossiculum naviculare secunda- rium tarsi — werden. In einem 1869 verfassten Aufsatze habe ich jenen bis dahin von den Anatomen unberücksichtigt ge- lassenen Fortsatz des Naviculare tarsi; ein rech- tes Naviculare tarsi eines Erwachsenen, an welchem dieser Fortsatz als persistirende Epiphyse auf- getreten; und ein linkes Naviculare farsi eines ande- ren Erwachsenen, an welchem die persistirende Epiphyse durch Bildung eines accidentellen Ge- lenkes in der Synchondrose, zwischen ihr und der Tuberositas navicularis, ein isolirtes articuliren- des Knóchelehen—Naviculare secundarium tarsi— geworden war, beschrieben und abgebildet *). Obgleich sowohl in dem Falle; in dem ich das su- 15) «Über den Fortsatz des Hökers des Kahnbeines der Fuss- wurzel — Processus tuberositatis navicularis tarsi — und dessen Auftreten als Epiphyse oder als besonderes articulirendes Knöchel- chen.» (Ein Beitrag zu den secundären Fusswurzelknochen). SS Arch. f. Anat., Physiol. u. wiss. Medicin u. Taf. (Dahin bereits im October 1869 zum Druck gesandt (— !!).) — 29% 455 Bulletin de l’Académie Impériale pernumeräreKnöchelchen als persistirende mit der Tuberositas navicularis noch durch Synchon- drose in Verbindung gestandene Epiphyse, als auch in dem Falle, in dem ich dasselbe als gelenkig ver- bunden gewesenes Navicularc secundarium tarsi deu- ten musste, eine Verwechslung mit einem Sehnen- knochen, z. B..mit dem bisweilen in der Sehne des M. tibialis posticus auftretenden (Fig. 12), durchaus unzulässig war; so hatte ich dennoch jene beiden Funde nur an macerirten Knochen gemacht. Es musste daher meine Aufgabe sein, den Processus tube- rositatis navicularis tarsi auch an frischen Navicu- laria als Epiphyse, die noch durch Synchondrose oder, in Folge von Bildung eines accidentellenGe- lenkes in letzterer, durch eine Kapsel mit der Tu- berositas navicularis in Verbindung steht und in diesem Falle das Naviculare secundarium tarsi reprüsentirt, aufzufinden, um jeden Zweifel über meine Deutung der von mir gefundenen supernumerären Knö- chelchen zu beheben. Es wurden daher seit längerer Zeit alle zur Verfügung stehenden F üsse mit Weich- gebilden von Individuen vom 10. Lebensjahre auf- würts untersucht. Erst nachdem ich 282 Füsse in dieser Hinsicht einer Durchsicht unterzogen hatte, sah ich im Februar 1870 bei einem 13 Jahre alten Knaben am rechten Fusse (Fig. 11.) den Processus tuberositatis navicularis tarsi als Epiphyse (a) vor- kommen und noch durch Synchondrose (8) mit der Tuberositas navicularis (b) vereiniget; am linken Fusse aber den verknöcherten Fortsatz mit der genannten Tuberosität ohne Spur einer früher da gewesenen Trennung verschmolzen. is Die Epiphyse (a) hat die Gestalt eines war- zen- oder kegelférmigen, von oben nach unten et- was comprimirten, gerade nach rückwärts vorste- henden Fortsatzes. Ilire Linge beträgt: 1 Cent. unten, 6,5 Mill. oben (um was sie als Fortsatz vor- steht). Sie ist in verticaler Richtung: bis — 6 Mill., in trantversaler bis 9 Mill. dick. Der M. tibialis pos sticus hatte sich mit dem gréssten Theile seiner Sehne an die Tuberositas navicularis u. s. w., nur theil- weise an die Epiphyse angesetzt. Dadurch ist nun über jeden Zweifel bewiesen, dass der in '4, d. F. überhaupt und in '4, d. F. im Maximum der Entwickelung auftretende Processus tu- berositatis navicularis tarsi für sich ossificiren, also eine Epiphyse det Tubersitas navicularis werden kann. Ist dem so, so kann auch die Méglichkeit der Persi- stenz zeitlebens und sogar desVorkommens dieser Epiphyse, im Falle der möglichen Bildung eines ac- cidentellen Gelenkes in der Synchondrose, als isolirtes und an der Tuberositas navicularis articu- lirendes Knóchelehen — Naviculare secundarium ' tarsi — nicht mehr bezweifelt werden, wenn auch letzteres bis jetzt nur am macerirten und noch nicht am frischen Knochen aufgefunden ist. Das Praeparat ist in meiner Sammlung aufbewahrt. Ich erwühne, dass ich die Tuberositas navicularis bei anderen Individuen im Alter unter 13 Jahren, von 13 Jahren und 14 Jahren ganz knorplig; im Alter von 15 Jahren aber ganz oder fast ganz verknóchert angetroffeu habe. Vill. Bemerkung über ein im hinteren Ende des Interstitium metatarseum I, liegendes, supernumeräres Knöchelchen. (W, Gruber 1852.) Ich habe dieses Knöchelchen zuerst 1852 beobach- tet und darauf nach darüber vorgenommenen Mas- senuntersuchungen ausführlich beschrieben und abgebildet. Dieses seit 18 Jahren gekannte, oft vor- kommende und hier seit jener Zeit selbst jedem Stu- denten der Medicin wohl bekannte Knöchelchen ha- ben in neuester Zeit die Engländer: I. Bankart, P. H PyeSmith u. I. I. Philips — «Notes of abnor- malities observed in the dissecting room during the winter sessions of 1866/67 a. 1867/68. Guy’s hospi- tal reports. 3. Ser. Vol. XIV. p. 436. (Steht mir nicht zur Verfügung, aber bei I. Henle — Bericht über die Fortschritte der Anatomie und Physiologie. 1869. Leipzig. 1870 8°. p. 83, 87.—) — beschriebon und, wie die Berichterstatter über die Fortschritte der Anatomie, anscheinend als neu gehalten. Wer sich interessirt, zu erfahren, wo die jetzige alte Neuigkeit als eine wirkliche Neuigkeit abgehan- delt ist, der sehe mein, auf Kosten der hiesigen Aka- demie der Wissenschaften, veröffentlichtes Werk: «Abhandlungen aus der menschlichen und ver- gleichenden Anatomie. Mit XI Tafeln. St. Peters- burg. 1852. 4°. Abh. VII. Art.: 1, 2. «Über ein neues Sesambein am Fussrücken des Menschen». S. 111—113. Taf. VOL Fig. 1, 2. K1. —— 456 ` des Sciences de Saint -Pétersbourg. ~ ~ 458 Erklärung der Abbiidungen. Fig. 1. Zweite und dritte Reihe der Handwurzelknochen mit den Basalstiicken der Mittelhandknochen von der rechten Hand eines Mannes mit 11 Handwur- zelknochen. (Ansicht von hinten und oben, bei vo- larwárts zurückgelegten Handwurzelknochen der zwei- ten Reihe und eines Handwurzelknochens der dritten Reihe.) Fig. 2 Dasselbe Praeparat bei Verbleiben des aufgehobenen Multangulum minus, des in drei Capitata secundaria getheilten Capitatum, des aus der Epiphyse der Basis des Metacarpale II. entwickelten Handwurzelknóchel- chens und der Basalstücke der vier medialen Mittel- handknochen. (Ansicht von hinten.) Bezeichnung für Figur 1 od. auch 2. l. Multangulum majus. 2. » minus. 3. Capitatum secundarium superius. 3. » » radiale. 3". » $ » ulnare. 4. Hamatum. 5. Aus der dorsalen Ecke des ulnaren Kammes der Basis des Metacarpale II. entwickeltes Handwur- zelknóchelchen. 6. Metacarpale I. E » II. B. » III. 9. » IV. x40. » V. a. Accidentelles Knóchelchen im Lig. inter- osseum, welches vom Capitatum secundarium ulnare entspringt, an das Capitatum secundarium superius und Hamatum sich inserirt und in die volare Wand der Carpo-Metacarpalkapsel sich fortsetzt. a. Rinne an der Superficies digitalis des Multangu- lum minus. 8. Hintere Facette der S. ulnaris des Multangulum minus mit einer viereckigen rauhen Stelle zur Ver- bindung durch Syndesmose mit der S. radialis des Ca- pitatum secundarium radiale und mit einer in zwei Nebenfacetten getheilten schmalen parallelogrammen Gelenkfläche zur Articulation mit der S. radialis des Capitatum secundarium radiale und der S. radialis des aus der Epiphyse des Metacarpale II. entwickelten Handwurzelknóchelchens. Fig. 3. Skelet « der rechten Handwurzel und des oberen Theiles der Mittelhand eines Mannes mit einem neun- ten, dem Os intermedium gewisser Säugethiere analogen Handwurzelknöchelchen. (Ansicht von hinten,) Naviculare. Lunatum. . Triquetrum. . Pisiforme. Multangulum majus. » minus. Capitatum. Hamatum. . Dem Os intermedium der Säugethiere analoges neuntes Handwurzelknöchelchen. Fig. 4. Skelet der rechten Handwurzel und des oberen Theiles der Mittelhand eines Mannes mit einer den Processus styloideus des Metacarpale III. substitui- renden und noch durch Synchondrose vereinigten persistirenden Epiphyse. (Ansicht von hinten.) 1— 8, wie Fig. 3 1—13. Metacarpalia. a. Den Processus styloideus des Metacarpale III. substituirende persistirende Epiphyse. a. Synchondrose derselben. Fig. 5. Linkes Naviculare mit der Spur ursprünglich da gewesener Theilung in zwei Navicularia secun- daria. (Ansicht bei verticaler Stellung von der Superfi- cies brachialis.) mm" I EN ER ww Fig. 6. Derselbe Knochen. € von der S. ulnaris.) Fig. 7 Linkes, ursprünglich aus zwei von einander ge- trennt gewesenen secundären Knochen bestandenes Lunatum. (Ansicht von der Superficies digitalis, etc.) a. Stück für das Lunatum secundarium dor- sale. b. Stück für das Lunatum secundarium volare. a. Rinne an der ursprünglich vorhanden gewesenen Synchondrose. 459 Bulletin de l'Académie Impériale 460 Fig. 8. Rechtes Multangulum minus mit einem ano- malen, den mangelnden Processus styloideus des Me- tarcapale III: ersetzenden Fortsatz. (Ansicht von hinten und oben.) a. Anomaler Fortsatz. Fig. 9. Linkes Capitatum, an dem die den Processus styloideus des Metacarpale III. ersetzende, von letzte- rem abgelöste, persistirendeEpipyhseverwach- sen ist und einen, ersterem ursprünglich angehöri- gen Anhang vortäuscht. (Ansicht von der Superficies dorsalis.) Fig. 10. Derselbe Knochen, (Ansicht von der Superficies digitalis.) Bezeichnung für Fig 9. u. 10. a. Capitatum. b. Epiphyse des Metacarpale III. als Anhang. a. Rückenrinne an der Verwachsungsstelle. Fig. 11. Rechtes Navieulare tarsi von einem 13-jáhri- gen Knaben mit einem Processus tuberositatis, der als eine noch durch Synchondrose vereinigte Epiphyse vorkommt. a. Kórper b. Tuberositas a. Die den Processus tuberositatis darstellende Epi- physe. ` 8. Deren Synchondrose. ! des Naviculare. Fig. 12. Rechtes Naviculare tarsi eines Erwachsenen mit einem grossen Knochen in der Sehne des an die Tuberositas navicularis sich ansetzenden Muscu- lus tibialis posticus. 1. Naviculare. 2. Sehne des M. tibialis posticus. 3. Knochen in der Sehne. A- Körper : ! des Naviculare. b. Tuberositas | a. Processus tuberositatis navicularis. Zusammenstellung verôffentlichter Fälle von Polydactylie mit 6 Fingern an der Hand und 6 Zehen an dem Fusse; und Beschreibung zweier neuen Fälle von Duplicitat des Dau- mens, von Dr. Wenzel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le 15 octcbre 1870.) A. Veröffentlichte Fälle von Polydactylie mit 6 Fingern an der Hand und 6 Zehen an dem Fusse. Bei A. Haller), J. Fr. Meckel?), Chaussier et Adelon?), J. Fr. Pierer‘), Jsid. Geoffroy St.- Hilaire’), Fr. Aug. Ammon), Aug. Förster’) und wohl noch Anderen findet man über Finger- und Zehen-Ueberzahl überhaupt und namentlich auch über 6-fingerige Hände und 6-zehige Füsse viele Fülle zusammengetragen, allein eine móg- lichst erschópfende Zusammenstellung beob- achteter Fälle 6-fingeriger Hinde und 6 -zehiger Füsse existirt meines Wissens nicht. Ich liefere daher eine solche Zusammenstellung, so weit sie mir die zur Verfügung stehende Literatur bieten konnte, im Nachstehenden und füge dazu die Be- schreibung von ein Paar von mir in neuester Zeit beobachteter Fälle von Duplicität des Daumens. a. 6 Finger an einer Hand oder an beiden Händen. Solche Fälle haben mitgetheilt: C. Plinius II.) Saviard”), Morand”), Oberteufer"), Bremer”), 1) Elementa physiologiae. Tom. VIII. P. I. 4°. p. 98. 2) De duplicitate monstrosa commentarius. Halae et Berolini. e Fol. p. 56—60. $ 50. — Handb, d. pathol. Anatomie. Bd. 1. Lei 1812. S, 19., Bd. 2. Abth. I. 1816. $. 35. 3) Diction. des sc. méd. Tom. 34. Paris. 1819. Art.: sité», p. 190. 4) Anat.-physiol. en Bd. 2. Leipzig. 1819. Artikel: «Hand». S. 840. Not She génér. ug garde des anomalies etc. Tom. I. Paris. 1832. p. 681 2 9 Die angeborenen chirurg. Krankheiten des Menschen. I, Th. erlin. 1 ol. «Morbi congeniti unguium et digit Tab. XXI. Fig. 1—18. n 7 merce. bn 7) Die Missbildangen des Menschen. Jena. 1861. 49. S.43. Taf. bi . 8) Hist. nat. Lib. XL $ 99. (Vol. IV. Lipsiae. 1781. 89. Edit. ab J. G. Fr. Franz) (Erwähnt zweier Tóchter eu Pers Cajus Horatius und des Dichters Volcatius mit 6 Fin an jeder Hand, wesshalb -erstere den Beinamen «Sedigitae» e? letzterer en Beinar «Sedigitus» erhielten.) 9) Nouveau recueil d’ observations chirurgicales. Paris. 1702. 10°. Observ. 117. p. 517. (Bei einem becas en Madchen die linke Hand mit supernumerärem Daumen. — Operirt.) 10) "ier aetas sur dual ERS monstreuses des doigts dans l'homme.— Mém. de l'Acad. roy. des sc, ann. 1770. 4°. p- 137. PI. (Fig. 14) 4 Fille. — Skelet Erwachsener: 1 Mal ein supernumerärer kleiner Finger mit 2 Phalangen und Metacarpale VI. — links (Fig. 1, 2.); 1 Mal ein supernumerärer kleiner Finger mit 2 «Monstruo- * L. Jonnen ood. 461 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 462 J. Fr. Meckel"), van Derbach"), Percy et Lau- rent”), Willigens''), Hecking'), Heussner?), Dublin Museum”, Kopstadt?), Busch”), Gueneau Phalangen mit Metacarpale bifidum V., an dessen aufwärts gerich- tetem Aste der supernumeräre Finger articulirend — links (Fig. 3.); 1 Mal ein supernumerárer kleiner Finger mit 2 Phalangen am Meta- carpale V. articulireud — rechts (Fig. 4.); und 1 Mal eine Dame mit doppelter Endphalange des Daumens, deren Tochter M. einen 6. Finger abgenommen hatte. — Überzahl mit Erblich- keit 11) J. Chr. prised neues Arch. f. Geburtsh., Frauen- und Kinder- krankheiten. Bd. 2 ena. 1801. Merkwürdige Beobachtungen. Beobacht. 13. $, 04-66 — (6 Fälle mit doppeltem Daumen bei 4 männlichen und 2 weiblichen Kindern: 5 Mal an einer Hand, 1 Mal an beiden Händen; der supernumeráre Daumen 1 Mal gelenkig ver- E übrigens an einem Hautstiele hängend.) 2) Med.-chir. Zeitung. . Salzburg. 1803 89. Ne 91. S. 2 (Bei einem in der philomatischen Gesellschaft in Berlin Steeg ten 5-jährigen Knaben, cher an der einen Hand zwei Daumen hatte. Der eseu ait waets stehende Daumen war etwas gekriimmt, konnte aber doch zum Fassen gebraucht werden.) 5 TY 3 pli Ex 4 + 1 11.1 D 2 1815 Fol. p. 58. — Handb. d. path. Anat. Bd. 2. Abth. 1. Leipzig. 1816. S. 85. (1 Mal hing ein Rudiment aus Haut und Fett am 5. Finger. 1 Mal (neugeb. Mädchen) beiderseits eine einen Knorpel enthaltende an ber Basis der Mittelphalange des kleinen Fingers. 1 Mal ein mit den Phalangen versehener Finger nicht eingelenkt am 5. Finger.) 14) Extrait d'un mémoire d'une famille espagnole de la Commune de San Martine de Vadeclesia dans la montagne de Guadarrama, Recueil de mémoires de médecine, sie et de pharmacie mili- taires. Tom. V. Paris. 1818. p. 176. (Der 3. u. 4. Finger der Hand und manchmal ein 5. supernumerärer Finger sind ganz durch die Haut vereiniget. Die Grund-, Mittel- nnd Endphalange dieser Finger besteht je aus 2 Knochen. Bei manchen Personen ist der Daumen doppelt (pouce biphalangettienne) oder am Ende getheilt (bifurquée), durch die Haut vereiniget. Diese Deformität ist in der Familie erb- lich, und v. Derbach selbst hat 40 derselben untersucht (?). Die Fa- milie ist im Lande unter dem Namen Los-Pedagos (famille des Collés) bekannt. Jedes Mitglied heisst Pedagosa (gluant, contagieux) berzabl und partielle Syndactylie mit Erblichkeit.) 15) Diction. desse. med. Tom. 44. Paris. 1820. Art.: «Polydactylie». p. 142. ie 1. (Doppelte Endphalange des Daumens p^ linken Hand) 16) Hufeland’s Journ. d. prakt. Heilkunde. Bd. 58. St. 5. Berlin. 1824. S. 121. (Erbliche Überzahl an beiden Hiden bei Kindern und Kindeskindern von einem Vater und zwei Mit 17) Daselbst. S. 122. (Bei 2 e uërg 1 ai; an einer Hand, 1 Mal an beiden Händen. Der eae et Finger hing an der Mittelphalange des kleinen Fingers, — rt.) 18) Generalbericht d. k. rhein. Modicinalcollegii üd. J. Coblenz. 1830. Fol. S. 147. (Bei einem 3-monatlichen Kinde waren an jeder Hand 6 Finger. Ein zweiter kleiner Finger war der super- numeräre, der 3 Phalangen und einen Nagel hatte. Kein super- numeräres Metacarpale. Die Mutter hatte an jeder Hand am 1. Finger- gelenke des kleinen Fingers ein an der Haut hängendes Rudiment von Aussehen einer grossen Warze. Andere Kinder sind natürlich gebildet — 19) Deser. Catalogue: of the praparations in the Museum of the | royal College of Surgeons in Ireland. Vol. I. Dublin. 1834. 8°. p. 149. (Bei einem cyclopischen Foetus an beiden Händen an der inneren Seite des kleinen Fingers ein 6. unvollkommener Finger.) 20) Generalbericht d. k. rhein. Medicinaleollegii 0 ü. d. J. 1827. de Mussy”), A. W. Otto”), Museum Vilnense *), Doepp *), Ezquerra del Bayo”), W. Lange (Jung- mann)”), L. Nagel”), Blot”), N. N. american. S. 147. ü. d. J. 1834. Coblenz. 1837. 8°. S. 219. (Bei einem Kinde ein 6. Fingerchen an der linken Hand. Die Grossmutter hatte den- selben Bildungsfehler. — Bei einem Knaben an der äusseren Seite des nr Fingers je eder Beh d ein eri 6. Finger mit hatte 6 Finger an der ndere En kel (Kinder enz Sohnes) kamen ebenfalls mit 6 d zur Welt. — Also mit Überspringen der Eltern eeng der Deformität von ste Grosseltern auf die Enkel. 21) ae der geburtshilfl. Klinik in Berlin. 1829— 1835, 1836 —1841, 1842—1847. — Neue Zeitschr. f. Geburtsk. Bd. 5. Berlin. 1837. S. 279. Bd. 28. 1850. S. 880. krankheiten. Bd. 4. Berlin. 1854. 5. 356. mit wohlgebildetem 6. Finger an der rechten Hand; bei einem an- deren Mädchen mit míssgebildetem Ohre (Eselsohre) und Nabel- bruch doppelter Daumen der linken Hand; bei einem Knaben an der Aussenseite jeder Hand eine supernumeräre Endphanlange.) 22) Bull. de la soc. anat. de Paris. ann.-13. 1838. p. 40. (Doppel- ter Daumen der livken Hand.) 23) Monstrorum 600 descr. anat. Vratislaviae. 1841. wen p. 267 —269. d' XXV. Fig. I. Ne 450. Tab. XXV. Fig. 9. X 451. Tab. XXV. Fig. 2., 452, 453, 454, 456, 458, 459. (11 Fälle: von | Foetus (weiblich), p Kindern — 4 Knaben, 1 Mädchen, 2 (Geschl.?) — un Erwachsenen — 2 Mánnern und 1 Weibe; 4 Mal Duplicitát ei Daumens — 2 Mal rechts, 1 Mal links, 1 Mal? —: durch eine dop- pelte Endphalange — Knabe, durch einen am Metacarpale I. arti- culirenden supernumerären Daumen mit 2 Phalangen — Knabe und? — und durch einen supernumerären durch Syndactylie vereinigten Daumen mit 1 Phalanx — Weib, 7 Mal ein ee. kleiner Finger — 4 Mal links, 3 Mal beiderseits — und zwar: 1 Mal mit Metacarpale VI. — Mann links —, 3 Mal am Eee V. arti- culirend, oder? — Mann, Knabe und? — links —, 3 Mal mit 2 Pha- langen an der 1. Phalanx des kleinen Fingers vermittelst eines Stieles oder ohne einen solchen (?) hängend. — Weiblicher Foetus u. zu. beiderseits, Mädchen re 2 Mal zugleich mit anderen Deform äten — Knaben. — In einem der genannten Fälle mit Duplicitat des — inks) hatte: Ge di: Mutter Überzahl der Finger (klein rzahl mit Erblichkeit.) em Meim Sc caes. acad. med.-chirurg. Vilnensis. Vilnae. 1842, 4. p. 264, 281. X 2712, 2766, 2768. (Ein er sip Kind mit Hasenscharte:, Wolfsrachen, 6 Finger an jeder H inger an jeder an einem anderen neugeborenen, übrigens wohlgebildeten Kinde. Kin Daumen der rechten Hand: an der ER doppelt.) 96) Be i: HO Br Stuttgart. 1843. 8°. 6-fingerigen Spanier, Seinige anerkennen wollte, weil es zahl mit ae a 3 ü. e Be Klinik in Prag. 1842—1844. — . f. prakt. Heilkunde. Bd. 7. 1845. S. 47. rn. d. Chirur urgie u Augenheilkunde. Bd. 36. Berlin. 1847. Chirurg. Hoi ungen. X 4. S. 511. (Doppelter Daumen der rech- ten Hand eines 3-monatlichen Knaben. Der supernumeràre Daumen articulirte an der Articulatio metacarpo-phalangea pollicis.) 4 463 Bulletin de l'Académie Impériale 464 Arzt*), Béchet?), Bouteillier*), Cazeaux”), Lo- rain*), Ohm“), Martinez y Molina”), G. Joseph”), Grenser ?5), W. Gruber ?), Dixon ^), G. Nicolo de Ca- 29) Bull. de la soc. anat. de Paris. ann. 23. 1848. p. 355. (Doppel- ter Gegner? Han . de la soc. anat. de Paris. ann. 24. 1849. p. 341. — Arzt und sein Bruder hatten an jeder Hand 6 Finger und an jedem Fusse 6 Zehen Ein Onkel hatte eine überzählige kleine Zehe. Von dessen 4—5 Kindern ~a ein Knabe und ein Mädchen auf jeder Seite 6 Zehen. — Operirt. — Überzahl ait Erblichkeit bei Uberspringen det: cm von den Grossseltern auf die Enkel) 31) Bull. de la soc. anat. de Paris. ann. 26. 1851. p. 247. (Bei einem männlichen Kinde an jeder Hand ein mit einem Stiele an der aee des 5. Fingers hängender supernumerärer Finger.) 32) Bull. de la soc. anat. de Paris. ann. 26. = 197, 251. (1 Fall. — y ee Daumen der rechten Hand. 2. Fall — getheilt gewesene und verwachsene Grundphalange und gothailio Endpha- lange des Daumens der linken Hand.) 33) Existence d'un doigt surnuméraire, — Comptes rendus des séances de la soc. de biologie. ann. 1850. Paris. 1851. p. 15. (Bei einem neugeborenen männlichen Kinde ein an der Mittelphalange des 5. Fingers der linken Hand an einem Stiele hängender Appendix von der Gestalt der Nagelphalange; an der rechten Hand eine Art _Auswuchs. 24) Comptes r rendus des séances de la soc. de biologie. ann. 1852. Paris. 1853. um . (Bei einem Neugeborenen ein doppelter Daumen einer Hand. Der er Daumen anscheinend nur an das Metacarpale I. an 85) Deutsche Klinik. Berlin. 1854. S. 265. (Bei einem 9-monat- lichen Kinde doppelter Daumen. Der su EES Daumen mit Metacarpale und zwei Phalangen. — Operir 86) El Siglo medico. 1855. p. 187. Gaz. er Tom, U. Ne 42. Paris. 1855. 4°. p. 758. (Bei Zwillingen — Mädchen — hatte das eine n Finger, ds andere 6 Finger und 6 Zehen beiderseits. Der eráre Finger sass am 5. Finger und hatte3 Phalangen, oder hing an einem Hautstiele und hatte nur 2 Phalangen. Mutter wohl- gebildet, hatte aber von einem Bruder ihrer Mutter ein 6-fingeriges Kind an der dri Senge 37) Bericht a. d. chir. u. augenárztl, Polyklinik i. Breslau. — A. gengen 8 qe VIII. in: Medic. Jahrb. Bd. 95. 1857. 8. 213. (Bei einem Dienstknecht ein supernumerürer Daumen mit Meta- carpale und Endphalange, am Multangulum majus eingelenkt.) 38) Jahrbuch d. een enn in Dresden. — Monatsschr. f. Geburtskunde u. Frauenkr iten. Bd. 19. 1862. S. 224., Bd. 25. 1865. S. 151., Bd. 12. Berlin. 1858. S. 473 — (Bei einem neugebore- nen Kinde an dem Ulnarrande des kleinen Fingers in der Gegend der Articulatio pha I. jeder Hand ein gestielter Anhang mit einem Knochenkerne in der Mitte 39) Missbildungen. I. Danone: — Mém de l'Acad. Imp. des sc. de St.-Pétersburg. Sér. VII. Tom. II. X 2. Besond. Abdr. St.-Peters- EES 1859. 40, Art. I. «Anomalien bei Finger- und Zehen-Überzahl», — «Notiz über die Zergliederung einer rechten oberen Extre- Ac mit Duplicität des Daumens an der Hand». — Arch. f. pathol. | nat. u. Physiol. u. f. klin. Medicin. Bd. 32. Berlin. 1865. S. 223, Taf. V. Fig. 4—5. — Anatomische Miscellen. J IIT. «Zur Duplieität des Daumens». — Osterr. Zeitschr. f. prakt. Heilkunde. Wien. 1865. 37. — (Hat unter einer Reihe von Fällen, die er an Embryonen, Kindern und Erwachsenen beobachtete, in mehreren Fällen und dar- unter, bei einem Artillerie- Unteroffiziere, Duplicität der Endpha- lange "des Daumens gesehen. Zwei Fälle der Duplicität des Dau- mens an der rechten Hand von Männern hat er nach genauer Zer- rolis*), Goyrand *), Birnbaum *), Broca“), Prestat *), Ling Island college Hospital ^), A. Förster’), Musée Dupuytren*), L. Gaillard ^), Richet”), Wiener Gebär- ere ausführlich beschrieben. Beide Daumen articulirten am Metac e 40) teen fingers occurring in five generations. — The m ed. Times a. Gazette. New. Ser. Vol. 18. (Old. S. Vol. 39.) London. 1859. 40, p. 59. (Bei einem 6 Finger an der inneren Seite beider Hände. Dasselbe bci dem Vater, der väterlichen Grossmutter, seinen 6 Töchtern rs einem Kinde einer Tochter. — Überzahl mit — 41) A.: dee Sarda. 47. 1860. in: Schmidt’s Jahrb. der Medicin. 112. Bd. Leipzig. 1861. 8. 159. (Polydaetylie mit Syndactylie durch 4 Generationen. Bei einem 8 Tage alten Mädchen an der linken Hand an der Mittelphalange des keinen Fingers ein supernume- ràrer mit zwei Phalangen und Nagel. Am Mittel-, Ring- und kleinen Finger beider Hände, an den Füssen von der grossen Zehe an Syn- dactylie. — Operirt. — Überzahl und Syndactylie mit Erb- lichkeit 42) Bull. v la "s de Chirurgie de Paris. Séance 10 Oct. 1860. ér. 2. Tom 5. (Bei einem gr von 8 Monaten an einer Ami ein en Daumen. — Operirt.) 43) Bericht ü. d. Hebammenanstalt in Trier, 1854—1860; in Coin, 1860—1863. — Monatsschr. f. Geburtskunde u. Frauenkrank- heiten. Bd. 16. Berlin. 1860. S. 467. Bd. 25. (Supplementheft.) 1865. S. 292. (1 Mal — Spaltung der Endphalange des Daumens in zwei Hälften; 1 Mal an der linken Hand ein supernumerärer Finger und — eege die supernumerären Finger an Stielen hangend ) L de la soc. de Chirurgie de Paris. Sér. 2. Tom. I. 1861. en o Oct: 1860.) p. 544. (Demonstration eines rar on Daumens. Dieser war der äusserste, fast gleich. dem normalen. Beide Daumen hatten an einem Metacarpale articulirt. — Operirt.) = 45) Bull. de la soc. de Chirurgie de Paris. — Séance 10 Oct. 1860. Sér. 2. Tom. 1. 1861. p. 544. (Bei einem 8-monatlichen Kinde ein supernumerärer Daumen, der zwei Articulationen hatte und kleiner 1860. L'Union med. . pi 400. « Doigts surnuméraires pendant cinq générations». (Bei einem Kinde ein beinahe in der Mitte des kleinen Fingers an 3 früheren Kindern der Eltern — ein Kind an einer H and, e deres an beiden Händen; die Mutter der Kinder an der’ rechten Hand, die mütterliche Grossmutter an jeder Hand, die Urgross- mutter, der Vater der Urgrossmutter, der Bruder der Grossmutter, dessen Neffe der Vater des operirten Kindes, — Überzahl mit Erblichkeit.) 47) Die Missbildungen = erën Jena. 1861. 49. S. 43. Tat VIII. Fig. 23 u. 24. (Bei einem cyclopischen Foetus — Praeparat d. pathol. Sammlung in ethane — 6 Fin ngàr an beiden Händen. Der een ze? hängt an einem Hautsti ele am Ulnarrande des Metacar 48) Ch. Houcl. — Manuel d'anat. pathol. contenant la description et le catalogue du Musée Dupuytren. Edit. 2. Paris. 1862. 80, p. 830. Ne 15, 16, 17, 18, 19. — (5 Fälle: Ein Diet mit doppelter Endphalange (Praep. v. Lassus); ein Daumen mit Duplicitat beider Phalangen von der Gestalt ciner Zange (Gipsabguss v. Broca); skeletirte linke Hand mit einem Appendix am letzten Meta- carpale von der Gestalt eines verkehrt gestellten Fingers (Praep. v. Lassus); skeletirte linke Hand mit 6 gut gebildeten Fingern; und eine Hand mit 6 Fingern von einem Foetus.) 465 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 466 und Findelhaus”), F. Howitz?), Kiche "7. Poppel (Hecker)™), Boulian*), Jsid. Vidal*), Musée Vrolik”), Cooper ^), Cloquet), Tarnier 9), Guyon (Thierry)*), 49) Note sur les doigts surnuméraires. — Mém. de la soc. de bio- logie. ann. 1861. Paris. 1862. p. 325. — (Bei einem 21-jáhrigen Jüng- ling ein "€ merärer Daumen der rechten Hand. — Operirt.) Pouce surnuméraire de la main gauche. — Amputation dans NEE TENE métacarpo-phalangienne, guérison. — Conservation pouce restant. — Bull. de la soc. de Chir de Paris. Séance 3 Avril. 1861. Sér. 2. Tom. II. 1862. p. 327—999. (Bei einer Frau, die R. vorgestellt hatte. Der an der äusseren Seite der linken Hand sitzende supernumeráre Daumen, d culirte, war der kürzere und schwächere. — Vollständige Zerglie- derung und ausführliche Beschreibung. 51) Ârzlicher Bericht v. 1861, 1863, 1865, 1867. Wien. 1863. 8. 273; 1864. S. 10, 16; 1866. S. 122, 194; 1868. S. 131. — (Be 17 Kindern: 3 Mal supernumerärer linker Daumen—1 Mal am Meta- carpale articulirend, 2 Mal háutig mit dem normalen verwachsen —; 11 Mal supernumerárer kleiner Finger —; 3 Mal beiderseits (an einer Hand gelenkig, übrigens häutig verbunden), 1 Mal rechts, 2 Mal links, 5 Mal einseitig (an einer Hand nur háutig mit dem normalen kleinen Finger verbunden) —; 3 Mal háutige Appendices am kleinen Finger jeder Seite. — Die Meisten operirt. 52) Beitr. z, Ge der Krankheiten der Neugeborenen a. d. Berichte ü. d. u. Pflegeanstalt 3 Kopenhagen. Ausz. a. d. Hospital- Tidende. x 32, 33, 34. 1862. In . Ki heiten. Bd. 40. Erlangen. 1863. 8. 378. (5 Kinder mit Polydactylie. Der 6. Finger hing an dem Ulnarrande der Hand an einem Stiele (sehr häufig), hatte 2—8 GE ke. Bei einem Knaben mit 6 Fingern an beiden Händen war das zwei Finger tragende Metacarpale V. unten in zwei Aste getheilt. De Vater und Grossvater hatten die- selbe Missbildung. — Überzahl mit Erblichkeit.) Allgemeine militärärztliche Zeitung. Wien. 1864. M 4. S. 45. Mit Holzschnitt. (Bei einem 20-jährigen Mädchen. Der rechte Daumen wahr cheerenartig. Der Mittelhandknochen einfach. = rwachsen, an den gegen die ennt si nd. Bd. 24. Berlin. 1864. S. 151, Bd. 28. 1866. S. 312. (Bei einem reifen Knaben an der linken Hand ein gestielter 6. Finger, an der rechten Hand ein ner verkrümmter, einer Kirsche ähnlicher. 25 . langen — Foetus an der linken Hand aye fast gleich ee Dau 5) Recueil de mémoires de adone. de chirurgie et de phar- idis zeg, Sér. 8. Tom. 13. Paris. 1865. p 2 Fig. (Bei einer 17-jährigen Demoiselle (J üdin) ein Geen Daumen der rech- ten Hand am Metacarpale I. — Operirt.) 56) Note explicative sur un pouce double d’Annamite, dessiné à Saigon (Cochinchine) 1864. Daselbst p. 71. Fig. (Bei einer 20-jähri- SW. terdam. 1865. 8%, p. 457. Ne 517 (14), 519 (16), 520 (17). (3 Fälle. EEE Daumen an der linken Hand eines männlichen neugeborenen Kin- des; zwei Endphalangen mit n einer rechten rs rechten Hand eines neugéborenen durch Cyclopie monströsen des. 58) Verhandl. d. med.-chir. Gesellsch. in oe — In: Jour Kinderkrankheiten. Bd. 47. Erlangen. 1866. S. 366. — (Bericht Aber einen Mann, welchem er einen überzähligen Finger (wo?) E Tome AY. e - culiren zwei Dd ei d en welche an den Grund. ine Blot ®), Giraldés®), Farge“), Th. Billroth®), H. Leis- rink®), Wiener Museum ") und wohl viele A.®). hat, dessen 3 "vr ebenfalls diesen Fehler hatten. — Überzahl mit Erblichk 59) Bull. de Ae soc. de Chirurgie de Paris. Séance 8 Nov. 1865. ger ten Daumen bei einem Erwachsenen. Der abnorme Appendix meistens am Ulnarrande der Hand.) 60) Bull. de la soc. de Chir. de Paris; Séance 8 Nov. 1865. Sér. 2. Tom. VI. 1866. p. 487. (In einem supernumerären Finger Knorpel- elemente.) 61) Peraga irrégulière, — Gaz. des hôpitaux. Paris. 1865, Fol. 185. — (Bei einem reste he Mädchen, au niveau der an einem Stiele hängender Tumor der rechten Hand. Der linke Tumor bestand aus: Haut, Bindegewebe und zwei kleinen Kernen mit knorpligem, im Centrum auf dem Wege der Ossification sich befindendem Gewebe. 62) Bull. de la soc. de Chirurgie de Paris. Séance 8 Nov Ser. 2. Tom. VI. 1866. E 487. (In einem Falle im. ‚supernumerären Daumen Knorpelelemen 63) Bu . de la soc. > Chirurgie de Paris. Séance 29 Nov. 1865. . Ser. ‘2. Tom. VI. 1866. p. 506. (Bei einem Kinde von 6 Jahren ein doppelter Daumen von der Gestalt einer me ete ee 64) Polydactylie E Seu A de médecine et de chirurgie. Bér. 2. Tom. III. 1866; Jahr; X4.p (Erblich in der Familie Cady durch 3 Generationen. Die ‘icici Grossmutter hatte 4 Daumen. Der Vater hatte statt n rancomitante der starb, normale Hände, ei an der linken Hand, zwei Knaben und eine Tochter wie der Vater keinen Daumen, aber statt dieser 3-gliederige Finger, und endlich der letzte Knabe (32-jähriger Mann zur Zeit der Untersuchung) ein een einen Vorsprung unter der Haut bildendes Metacar- pale des Daumens und noch 5 Metacarpalia und 5 dreigliederige —5. Far "ro letzteren et der 1. der supernumerire, analog denselben der Norm. — Überzahl mit Erblichkeit.) Chirurg. Ehre Missbildungen. — Arch. f. klinische Chirurgie. Bd. 10. Berlin. 1869. S. 653. (Bei 4 Knaben und 3 Mäd- chen, im Alter von 4 Monaten bis 1} Jahr — 6 Mal einseitig, 1 Mal beiderseitig — ein nn Daumen. — Operirt d 66) Beitrag zur Lehre in Bezug auf ihre Verwandtschaft zur Pre Arabum.— Deut- sche Klinik. S. — (Polydactylie an beiden Keen eines neu- erro Kindes = J. Hyrtl. Vergangenheit und Gegenwart des Museum’s für ai Anatomie Wiener Universität. Wien. 1869. 80, S. 924. V. A. M 210-212. (3 Hände von Kindern mit 6 Fingern.) 68) Z. B. Geoffroy St. Hilaire, — Op. cit. Tom. I. p. 683, (Anna de Boulen hatte eine supernumeräre Misa, einen Zahn ausser de Reihe und 6 Finger an Pu a Date nur an > Morand — 4. e. | ont Hoh n uer 10,000 Neug Finger gesehen.) Trélat — Daselbst. — Finger verschiedener Entwickel bemerkt "a ) Danyau — Da- selbst. p. 488. — (Ha at wührend 24 Jahren im Gebärhause nicht mehr als 10 Fälle mit 6 Fugit an der Hand beobachtet.) 30 "i. 3 167 Bulletin de l'Académie Impériale 468 Ubersicht. Aus dieser Zusammenstellung der Fälle mit einem verschieden entwickelten supernumerären Finger an einer Hand oder an beiden Händen . resultirt: 1) Es waren 127 Individuen und 13—14 Familien erblich mit einem supernumerären Finger behaftet.— Ein supernumerärer Finger kommt daher sehr häufig und überwiegend häufiger als jede andere Art von Überzahl der Finger und Zehen vor. 2) Von deu damit behaftet gewesenen Individuen (abgesehen von den Individuen aus den Familien mit Erblichkeit der Deformität) waren 32 männlichen und 24 weiblichen Geschlechtes. Welchen Geschlechtes die übrigen 71 waren, ist, anzugeben, versäumt wor- den. — Die Häufigkeit des Vorkommens eines super- numerären Fingers bei beiden Geschlechtern zu ein- ander ist daher nicht ausmittelbar. | 3) Ein supernumerärer Finger wurde an 35 Indi- viduen beiderseitig, an 16 — rechtseitig, an 24 — linkseitig, an 35 — an einer Hand (welcher?) und an 17 (beiderseitig oder einseitig?) beobachtet. — Es “kann somit immerhin behauptet werden: ein super- numerürer Finger komme = einseitig als beider- seitig vor. 4) Unter den 13—14 Familien mit Erbliehkeit eines supernumeráren Fingers war dieser durch 2 Ge- nerationen bei: 7, durch 3 Generationen bei: 2—3, durch 4 Generationen bei: 4, durch 5 Generationen bei: 2, und durch nicht bestimmte Anzahl von Gene- rationen bei: 1 nachgewiesen. 5) Der supernumeräre Finger war durch den Vater der Urgrossmutter: 1 Mal, durch die väterliche Gross- mutter: 3 Mal, durch die mütterliche Grossmutter: 2—3 Mal, durch den Vater: 1 Mal, durch die Mutter: 2 Mal, durch den Vater und die Mutter: 1 Mal, durch?: 2 Mal in jene Familien gekommen und zwar ohne Übersprivgen einer Generation (in der Regel) oder mit Überspringen der Eltern von den Grosseltern (Grossmüttern) auf die Enkel (3 Mal). ` 6) Das Vorkommen der normalen Anzahl der Fin- ger bei einem Kinde aus einer 6-fingerigen Familie konnte 1 Mal (F. v. Ezquerra del Bayo) Veran- lassung zur Verweigerung des Anerkennens von Seite des Vaters werden. 7) Vorkommen eines supernumerären Fingers wurde 1 Mal (F. v. Martinez y Molina) bei Zwillingen (Mäd- chen) beobachtet. Eines hatte 6 Finger, das andere 6 Finger und 6 Zehen beiderseits. | 8) Mit noch anderen Deformitäten waren behaftet: 7 Individuen (Fille v. Busch, Férster, im Mus. Dubli- nense, Vilnense, Vrolik, v. Otto — 2). — 6-fingerige Individuen sind daher meistens übrigens woblgebildet. 9) Syndactylie, und zwar nur partielle, kam bei zwei 6-fingerigen Familien (F. v. de Carolis, van Derbach), — also nur ausnahmsweise, — vor. 10) Unter den 127 6-fingerigen Individuen war der supernumeráre Finger bei 52 (°/, d. F.) ein Dau- men und bei 75 (* d. F.) ein kleiner Finger, nie ein anderer Finger. 11) Unter den 13—14 Familien mit Erblichkeit | eines supernumerären Fingers war letzterer bei Mit- gliedern von: 10, der kleine Finger, bei Mitgliedern von 3, bald der Daumen, bald der kleine Finger, bei Mitgliedern von: 1, bald der Daumen, bald ein drei- gliederiger Finger statt des Daumens (Familie Cady). 12) Unter den 52 Individuen mit Duplicitát des Daumens (3 Mal beiderseits, 49 Mal einerseits oder doch nur bei manchen beiderseits?) war die Duplici- tät an 6 (F. v. Perey et Laurent, Otto, im Mus. Vil- : nense, v. Birnbaum, im Mus. Dupuytren, Mus, Vrolik) durch Vorkommen zweier Endphalangen, an 1 (F. v. Bouteillier) durch Vorkommen letzterer und durch eine früher aus zwei Phalangen bestandenen Grund- phalange angedeutet; bestand der supernumeräre Dau- men aus einem supernumerären (6.) Metacarpale und 2 Phalangen (F. v. Ohm) oder der Endphalange (F. v. Joseph); enthielt der supernumeräre Daumen zwei Phalangen und articulirte mit dem normalen Daumen am Metacarpale I. häufig, worunter 1 Mal (F. v. Bre- mer) der supernumeräre Daumen aufwärts gerichtet war, 1 Mal (F. im Mus. Dupuytren) beide Daumen wie eine PESE, 1 Mal (F. v. Kiche) dieselben bei N gen durch eineSchwimm- haut und Convergenz ‘der Spitzen der Endphalangen wie cine Krebsscheere aussahen; weniger häufig articulirte der supernumeräre Finger nicht, hing an einem Stiele oder einer Haut, hatte 2 oder 1 Pha- lange, enthielt nur Knorpelelemente (F. v. Blot), oder war ganz rudimentür. — Daumen mit 2 Endphalangen kommen daher nicht oft und solche mit einem super- numerären Metacarpale selten vor, E < g der Gr 469 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 470 13) Erblichkeit des Daumens mit 2 Endphalangen kam an manchen Mitgliedern einer spanischen Familie (F. v. van Derbach); Erblichkeit eines doppelten Dau- mens bei einigen Mitgliedern, eines dreigliederigen Daumens bei anderen Mitgliedern und 5 dreigliederige Finger und 6 Metacarpalia bei einem Mitgliede der Familie Cady vor (F. v. Farge). 14) War der 6. Finger ein supernumeräref kleiner Finger, womit gewöhnlich 5 Metacarpalia, selten (F. v. Morand — links —, F. y. Howitz — beiderseits—) ein Metacarpale V. bifidum, noch seltener (F. v. Morand — links —, F. v. Otto — links) vorkamen; so bestand derselbe aus 3, oder 2, oder 1 Phalange; oder erschien ganz rudimentär, als ein Anhang, der ein Knochenstück (F. im Mus. Dupuytren — links —), einen Knochenkern in der Mitte (F. v. Meckel — ein- seitig —), Knorpelelemente (F. v. Tarnier — ein- seitig —) enthielt, die Gestalt eines haselnussgrossen, zwei in Ossification begriffene Knochenkerne enthal- tenden, oder eines hanfkorngrossen Tumor (F. v. Guyon) hatte, der kirschähnlich war (F. v. Poppel — rechts —), der wie eine grosse Warze aussah (F. v. Heussner), nur aus Haut und Fett bestand (F. v. Meckel — einseitig —), nur häutig (Wiener Findel- haus — 3 F. beiderseits —), ein blosser Stiel (F. v. Birnbaum — rechts —), eine Art Auswuchs war (F. v. Cazeaux — rechts —); oder war durch eine super- numeräre Endphalange am kleinen Finger, die an die- sem um die Hälfte weniger häufig als am Daumen auftrat, repräsentirt (F. v. Busch — beiderseits —, F. i. Mus. Vrolik — rechts —). — .15) So weit aus den mangelhaften Angaben ersicht- lich ist, schien der supernumeräre Finger, wenn er dreigliederig war, in der Regel am Metacarpale V., oder an einem Aste des M. V. bifidum (F.v. Howitz?), oder am M. VI. (F. v. Otto) articulirt und selten an einem Stiele oder einer Haut gehangen zu haben; wenn er aber zweigliederig oder eingliederig war, öfterer gehangen als am Metacarpale V , oder am M. V. bifidum (F. v. Morand, F. v. Howitz?), Er am M. VI. (F. v. Morand) articulirt zu haben. 16) Die Orte, an welchen der nicht articulirende supernumeräre kleine Finger zu hängen pflegt, sind: |... der Ulnarrand der Hand, die Grund- und Mittelpha- | n lange, die Articulatio metacarpo-phalangea und pha- lango-phalangea I. 1 Bd. 2. Abth. 17) der supernumeräre kleine Finger hatte selten eine aufwärts gerichtete Stellung (F. v. Morand, F. i. Mus. Dupuytren). - b. 6 Zehen an einem Fusse oder an beiden Füssen. Solche Fälle haben mitgetheilt: Morand‘), Obertenfer”), J. Fr. Meckel”); Busch”), Otto”), Doepp”), Americ, Arzt”), G. Joseph”), Luz- cinsky”), Schmerbach”), Musée Vrolik”), Odier et Chantreuil®), Wachs*), Gust. Richelot*), Wiener Museum ‘). 69) L. c. Fig. 5. et 6. (Bechter Fuss mit 6 Zehen und 6 Meta- tarsalia eines Erwachsenen. Das 5. u. 6. Metatarsale sind an der Basis verwachsen. 70) L. c. S. 642, 643. (2 Fälle. Ein Mädchen hatte m oen Zehen, die supernumeräre mit 1 Phalanx; ein Knabe hatte zwei grosse Zehen mit 3 Phalangen (wohl vni Paene — Opel) 71) De duplieitate monstrosa. p. — Handb. d. pith. Anat. 1. S. 86: (2 Fülle. In einem "Falle war das breite Meta- carpale V. vorn in zwei Gelenkflächen gesch Zehen, wovon die 6. Zehe die en —— deren Falle, bei einem Negermädchen, war das Metatarsale V. des linken Fusses breiter als gewöhnlich, an gs die 5. und 6. Zehe articulirten. Die — beider Zehen dieses Falles waren durch Knorpel verwachsen, die beiden gemeinschaftliche Mittel- phalange war vorn getheilt, an der zwei separirte, nur durch die Haut vereinigte Endphalangen articulirten.) 2) L. c. (Bei einem Kinde über der kleinen Zehe eine, an einem eth Stiele ES unvollkommene 6. Zehe mit angedeutetem agel. — reicht 73) 0 p. cit. p. 270, 273. N 460, 464. Tab. XXV. Fig. 4, 10. 2 Falle. Bei einem Knaben an jedem Fusse Duplicitàt der grossen Zehe und andere Deformitäten. Die Zehe verwachsen, am Ende ge- theilt, mit zwei Nägeln. Am rechten Fusse eines Mannes 6 Zehen und 6 Metatarsal. Das Metatarsale V. u. VI. an der Basis ver- wachsen 74) L. c. (3 Fälle — 2 Knaben und 1 Mädchen — mit 6 Zehen an eg Fusse 75) L. c. (3 Fälle i in einer Familie mit Erblichkeit von Überzahl der Finger. 2 männliche Individuen und ein weibliches an jedem Fusse 6 Zehen 76 ke c. (Bei einem halbjährigen Mädchen eine supernumeräre "088€ Zehe. — Ope 13 IV. Jahresber. d. ee Kinderkrankheiten-Institutes zu Mariahilf in Wien. — Journ. f. Kinderkrankheiten. Bd. 33, Erlan- gen. 1859. S. Kr — (Bei prios 4 Monate alten Kinde am linken Fusse 6 Zehen. — Operirt.) 78) «Über eine dreibeinige Missgeburt (lebend)». — E. medic. Zeitschr. Bd. 1. 1860. Mitgetheilt v. FU. S. 369. Taf. VII. (Bei dem 14-jàhr. Gregor Lippert a. die rechte zweite un- tere, X EE Extremitàt mit 6 Zehen. (Fig. 3.) ¿ 79) P. 457. E. Ne 521 (18), 523 (20). (Ein linker Fuss mit doppel- langen an beiden. Ein Gipsabguss ication ‘entre les deux rines; polydactylie, wéieen — Gaz. mé . 652. — (An beiden üssen 6 Zehen, 5 Metatarsalia. Das Meta- tarsale V, aus zwei an den Enden yerschmolzenen, an der Diaphyse 30* : 471 Bulletin de l'Académie Impériale 472 Übersicht. Aus dieser ‚Zusammenstellung der Fälle mit einer supernumerären Zehe an einem Fusse oder an beiden Füssen resultirt: | 1) Es waren 20 Individuen ohne Erblichkeit und 5 Individuen mit Erblichkeit von Überzahl der Finger und Zehen oder der Zehen allein in 2 Familien — 25 Individuen mit einer supernumerären Zehe behaf- tet. — Individuen mit 6 Zehen kommen daher, selbst bei Einreihung derer aus Familien mit Erblichkeit, nicht oft, hàufiger als solche mit 7 Fingern oder Ze- hen, seltener als solche mit 6 Fingern vor. 2) Von den damit behaftet gewesenen Individuen waren 9 münnlichen und 6 weiblichen Geschlechts. Welchen Geschlechts die übrigen 10 waren, ist anzu- . geben vergessen worden. — Die Hüufigkeit des Vor- kommens bei beiden Geschlechtern zu einander ist dadurch nicht bestimmbar. 3) Eine supernumerüre Zehe wurde an 10 Indivi- duen beiderseitig, an 3 rechtseitig, an 5 linkseitig, an 5 an einem Fusse (welchem?) und an 2 (beider- seitig oder einseitig?) beobachtet. Einseitiges Vor- kommen ist daher etwas häufiger als beiderseitiges. 4) Von den 5 Individuen aus 2 Familien mit Erb- lichkeit der Überzahl gehörten 3 einer Familie an, deren mehrere andere Mitglieder 6-fingerige Hände oder diese und zugleich 6-zehige Füsse besassen und 2 einer Familie, in der eine supernumeräre Zehe durch 2 Generationen erblich gewesen, nachgewiesen war. 5) Mit noch anderen Deformitäten behaftet waren 3 Individuen (1 F. v, Otto, Schmerbach — super- numeräre untere rechte Extremität —, Odier et Chantreuil). 6) Syndactylie aber Zehen wurde 1 Mal (Vrolik) beobachtet. getrennten Metatarsalia bestehend. Die supernumeräre. Zehe mit 3 Phalangen 81) Bilder a. d. geburtshilfl, Praxis. — Monatsschr. f. d. Geburts- ' kunde. XXX. 1. p. 14. Juli 1867. in: Schmidt’s Jahrb. d. Medicin. Bd. 135. 1867. S. 306. (Bei einem neugeborenen Kinde jeder Fuss mit 6 Zehen, die linke Hand mit theilweise verwachsenen Fingern von einem Vater mit derselben Missbildung.) 82) «Polydactylie — du pe gauche». L’Union méd. Sér. 3. Tour. VI. Paris. 1868. 89. N: 28. p. 289. (Bei einem 21-jähr. Indi- viduum eine mit der Endphalange der Gate Zehe verschmolzene supernumeräre ohne Nagel vom Aussehen einer Exostose. — Ex- articulation der Phalange der grossen Zehe.) 83) S. 220, 224. V. N 167, 225. (Eine grosse Zehe mit doppelter Endphalange, Ein Fuss mit snpernumerárer Zehe zwischen der 4, und 5. Zehe. 7) Unter den 25 6- RR Individuen war die supernumeräre Zehe an 5 (‘4 d. F.) eine grosse Zehe und an 20 (%, d. F.) eine kleine Zehe, wovon an 19 die supernumeräre Zehe auswärts und an 1 (F. im Wiener Museum) einwärts von der normalen kleinen Zehe sass. 8) Unter den 5 Individuen mit Duplicität der grossen Zehe war Duplicität 1 Mal durch Vorkommen zweier Endphalangen (F. im Wiener Mus. — links —) und einmal durch Vorkommen einer mit der normalen Endphalange verschmolzenen Enäphalange ohne Nagel und vom Aussehen einer Exostose (F. v. Richelot — einseitig —, angedeutet; 1 Mal die normale mit der supernumerären verwachsen, am Ende getheilt (F. v. Otto — beiderseits —); bestanden 1 Mal beide grossen Zehen aus 3 Phalangen (wohl zusammen) (F. v. Oberteufer — einseitig? —) und waren 1 Mal die supernumerären von der normalen isolirt (F. v. Joseph — einseitig? —). 9) Unter den Fällen mit einer supernumerären kleinen Zehe waren 3 Mal 6 Metatarsalia vorhanden, wovon 1 Mal das M. VI. vom M. V. ganz geschieden (F. v. Morand — rechts —), 1 Mal an der Basis (F. v.Otto —- rechts —) und 1 Mal an der Basis undam Capitulum (F. v. Odier et Chantreuil — beiderseits =) mit dem M. V. verwachsen war. 10) Unter diesen Fällen kam 1 Mal die super- numeräre kleine Zehe an einer rechten unteren super- numerären Extremität vor (F. v. Schmerbach). | 11) Unter denselben Fällen hing einmal die super- numeräre rudimentäre Zehe an einem Stiele über der 5. Zehe (F. v. Busch), enthielt 1 Mal 1 Phalange (F. v. Oberteufer — einseitig? —) 1 Mal, wie in diesem Falle anomal auch die normale, 2 Phalsigeh (F. v. Vrolik — links —) und waren 1 Mal die Grundphalangen der normalen und supernumerären durch Knorpel verwachsen, war die gemeinschaftliche Mittelphalange eine Phalanx bifida und waren die End- phalangen durch Syndactylie vereinigt (F. v. Meckel — Negermädchen — links). c. 6 Finger an einer Hand oder an beiden Händen und 6 Zehen an einem Fusse oder an beiden Füssen. Heilige Schrift‘), Thom. Bartholin’), Academie des - 1) Buch d. Könige. II. Sam. Cap. XXI. V. 5, (Bei dem Riesen aus Arapha im Kriege zu Gath (Geth?) 6 Finger an jeder Hand und 4 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 474 sc. de Paris”), Réaumur *), De Maupertuis (L. Ren.- Moreau) °), Morand*), Priickels”), Oberteufer*), An- 6 Zehen an jedem Fusse — in der qus über Überzahl der Finger und Zehen der 1. aufgezeichnete Fal 2) Acta medica et philosophica Hafniensia. Vol. IL Hafniae. 1673. 4°. Observ. 32. p. 77. Tab. (2 Fig.) (Bei einem Neger waren 6 Finger und 6 Metacarpalia an jeder Hand und 6 Zehen und 6 Mete: tarsalia = ee Fusse.) 60. Mém. p. 338. 1743. 4°. Hist. p: 77. 1751. 40. (2 Fälle, Bei einem "E 6-monatlichen Knaben von Bauersleu- ten aus der Dauphiné 6 Finger an beiden Händen und 6 Zehen an beiden Füssen. Der 6. Finger war ein supernumeriirer kleiner Finger, articulirte an der rechten Hand am Metacarpale V., an der linken ber an einem supernumerären Metacarpale (VI, Jede supernumeráre Zehe hatte ein n Metatarsale (vorge- stellt 1743). Bei einem Kinde 6 Finger an beiden Händen und 6 Zehen an beiden Füssen. Die Eltern mit normaler Zahl (vorge- stellt GES 4) H de Acad. roy. des sc. de Paris. 1751. 40, p. 77. (Unvolt- ständiger Bericht des Commandeur Godeheu auf Réaumur’s Mitthei- lung); Reaumur: Sur l’art de faire éclore et d’élever des oiseaux domestiques. Tom, II. p. 377. (Steht mir nicht zur Verfügung, aber bei: Morand, l. c. p. 140—141.) (Gratio Kalleia hatte 6 Ge- schwister. Er kam mit 6 Fingern an jeder Hand und 6 Zehen an jedem Fusse zur Welt. Die Finger waren wohlgebildet, die Zehen deform. Gratio hatte 3 Söhne (Salvator, Georg, Andreas) und eine Tochter (Marie alvator, der Erstgeborne, hatte 6 Finger an jeder Hand und 6 Zehen an jedem Fusse wie der Vater. Die Finger waren nicht so gut geformt wie beim Vater, aber die Zehen sind bei ihm gut gereiht, org hatte nur beide Daumen und die beiden ersten Zehen des linken Fusses deform. ebildet eorg deforme Daum Salvator hatte,3 Söhne und 1 Tochter, "wovon 2 Sóhne und die beren 6 Finger an beiden Händen und 6 Zehen an beiden Füssen hatte Georg hatte 3 Tóchter und 1 Sohn. 2 Tóchter hatten 6 Finger an beiden Hànden und 6 Zehen an beiden Füssen, die dritte Tochter hatte 6 Finger an beiden Händen und 6 Zehen nur an einem Fosse ` Andreas hatte gut gebildete Kinder. Marie hatte 2 Tóchter und 2 Sôhne. Ein Sohn hatte 6 Zehen nur àn einem Fusse. P durch” ded Vater die Deformität in die ‘Familie gebracht.) 5) Oeuvres. Tom. IL. p. 275. (Steht mir nicht zur Verfügung, aber bei Morand, l c. p. 141.) Elisabeth Horstmann aus Rostock hatte 6 Finger an be iden Hánden und 6 Zehen an beiden Fússen. . Eine Tochter, welche mit derselben Deformität behaftet war, hatte aus ihrer Ehe mit J. Chr. Rhue (?) 8 Kindér, wovon 4 dieselbe De- formität hatten. Ein Sohn mit dieser Deformität (Jakob) hatte aus rechten Fusse, 6 Finger a an der rechten Hand (der supernumeräre abgenommen) und eine Warze statt des 6. Fingers an der linken Hand. (Also durch die Mutter die Deformität in die Familie ge- bracht. 6) L. c. p. 142. — u. Myologie. (Gérard der Vater und die Mutter waren gut gebildet. Von den 8 Kindern hatten 2 Sóhne 6 Finger an beiden Hünden und 6 Zehen an beiden emn Der Jüngere lebte nnr 15 Tage, der Altere starb im Alter von 18 Jah- ren, An der linken Hand war für den 6. Finger ein Metac iei VI. an der Ulnarseite zugegen. Am 3-gliederigen supernumerären Fin- ger war die 2. und 3. Phalanx sehr kurz. An der rechten Hand thony Carlisle °), J. Fr. Meckel”), Krüger-Han- sen”), Sommer”), Robbe), Rheindorf'^, Ober- waren 5 Metacarpalia, wovon das Metacarpale V. grósser u brei- ter wie gewöhnlich. Der supernumeräre kleine Finger war viel kleiner und kürzer als der supernumeräre Finger der Pis Hand. Er articulirte am Metacarpale V. Jeder Fuss hatte 5 Meta- tarsalia. Das Metatarsale V. war sehr breit, stiess hinten an ein vorn viel breiteres Cuboideum und trug die 5. und 6. Zehe.) 7) Abhandl. d. Akad. d. Naturforscher. Th. 9—10. Núrnberg. 1761. 4% Wahrn, VIII. S. 33. (Hat ein Mädchen mit 6 Fingern und 6 Zehen gekannt.) 8) L. c. S. 643, (Ein Mädchen war mit Duplicitát des linken Daumens und der rechten grossen Zehe behaftet. — Operirt. —) 9) An account of a family having Hands and Feeth with super- numerary Fingers and Toes». — of London. 1814. P. 1. 4°, 4 urn, geboren zu Cabot in der Provinz Vermont in Nord-Amerika und berühmt durch seine Fertigkeit im Gedächtnissrechnen, hatte an der Ulnarseite des Metacarpus jeder Hand einen supernumerären vollständigen Finger und an der Fibularseite des Metatarsus jeden Fusses eine super- numeräre DM Zehe. bia olburn (Vater) hatte an jeder Hand 5 Finger und einen Die mit 5 Metacarpalia und an jedem Fusse 6 Zehen mit 6 Metatarsalia. Die Frau von Abian Colburn besass nicht diese De- formität. Von den 8 Kindern (6 Söhnen und 2 Töchtern) hatten 4 Söhne, darunter Zerah (das 6. Kind) des Vaters Deformität mehr oder weniger complet. David Colburn (Vater von Abian) besass nicht die gr wohl éi dessen Frau Abigail (Mutter von Abian und g en), welche an einer Hand und an den Füssen Überzahl wie GC ‘Bohn Abian hatte. oí ihren 8 Sóhnen und 1 Tochter hatten 2 Sóhne und die Tochter an beiden Haden und Füssen die Uberzahl, 1 Sohn aber nur an einer Hand und an einem Fusse. Die Mutter von Abigail (geb. Kendall) hatte 5 Finger und 1 Dau- men an jeder Hand und 6 Zehen an jedem Fusse. Von den 11 Kin- dern aus der Ehe von Frau Kendall mit Green waren alle mit Uber- zahl behaftet.) 10) De duplicitate monstrosa, p. 58. (Bei zwei Mädchen 6 Finger S jeder Hand un ehen an jedem Fusse, In einem Fall hing der 6. Finger, mit 2 knorpligen Phalangen, an der Mitte der Grund- phalange des ée? m und die 6. Zehe mit 8 knorpligen Phalangen an der s. Prakt. eg — Journal d. Chirurgie und Augen- Bd. 4. Berlin. 1822. S. 528. (Erblich in der Familie Wolter und Ganschow. Alle Mitglieder waren mit 6 Fingern und 6 Zehen geboren. Der supernumeräre Finger hatte den dritten Theil der Grösse des Ohrfingers, enthielt zum Theil 2 Phalan- . gen u.s. w. Die Geburt eines Kindes ohne den 6. Finger an den Handen wollte von dem in Unfrieden lebenden Ehemanne einer dieser Familien als pei nun wer- den, zur Ehescheidung zu gelangen. Kr — 7 sen | Familien schon von seinem Vater gege des überzähligen Fingers an mehreren Neugebornen vorgenommen.) 12) Reisebemerkungen Nr. 6. — Journ. d. Chirurgie u. Augen- heilkunde. Bd. 7. Berlin, 1825. S. 603. (Im Hôtel Dieu einen fe busten Arbeitsmann geschen, ect r 6 i acd dorem à klei- Zehen an jedem Fusse rn LEE BEE einen phalangenartigen Knochen, waren an der Hand am Metacarpale V. eingelenkt. Die supernumerären tfernung der su pm EN Res de conformation; doigts et orteils surnuméraires en- BRA un enfant d'un mois.» — Gaz. des hôpitaux. Tom. VI. Paris. 475 Bulletin de l'Académie Impériale 476 stadt”), Cramer”), Fr. Aug. Ammon"), Otto"), Dublin. Museum *), Doepp?”), Lange ?, Overgaard”), Broca #), Americ. Arzt”), Bernhardi H.”), Martinez 1832. Nr. 109. p. 448. — (Das Kind hatte an jedem Fusse s Spur einer schwachen Narbe, die nach der Aussage der Amme von der i Zeho — rechten ya waren 5 a a An dem ee culirten 2 Finger undphalangen utlich ge- trennt, bis zur haphalsage dureh Syndactylie roni und wie eine Krebsscheere gestaltet waren. 14) Generalbericht d. k. rhein. Medicinal-Collegii ü. K J. 1830. Coblenz. 1833. 8. S. 145. (Bei einem neugebornen Kinde 6 Finger an j Die er Fin- ger waren sämmtlich gut gebildet, mit Ausnahme des an der linken Hand, welcher an einem fleischigen pis an Gees unteren Ende des ner des kleinen Fingers s 15) Daselbst. S. 146. (Bei einem S eise Kinde 6 Finger an jeder Hand wech 6 Zehen an jedem Fusse. Die supernumerären von O, weggeno 16) ance des Anus und Uberfluss an Fingern und ne. — - Wochenschr. f. d. gesammte Heilkunde. Berlin. 1834. Nr. 51. S. 809. — (Knabe mit 6 Fingern an jeder Hand und 6 Zehen an jedem Fusse. Zwei kleine Zehen articulirten an einem aus zwei verwach- senen Metatarsalia bestehenden Metatarsale. An der rechten Hand articuliren zwei kleine Finger am Metacarpale V., an der linken Hand ist die Grundphalange des kleinen Fingers rs die Mittel- und Bu ced Sa doppelt.) angebornen chirurg. er des Menschen. Th. 1. Berlin. Ze Fol. S. 100. Taf. XXII. Fig. 6—9. (Bei einem 6-monatl. Kinde: an der linken Hand am SE dade des Metacarpus ein : Séah an der rechten Hand ein häutig-knôcherner Anhang an nx des Ringfingers; an dem linken Fusse eine man- ta gebildete am Metatarsus hängende PAPAS Zehe; dem rechten F Rücken der klei- ee a Finger nnd Zehen zeigten rudimentire Bildung von Phalangen. — Exstirpirt. —.) 18) Op. cit. p. 268, 270—272. Nr. 455, = 461, 462. Tab. XXV. Fig. 4, 6—8. (4 Fülle. Bei = Knaben 6 Finger an jeder Hand und 6 "Zehen am rechten Fusse, Der supernumeräre Finger sass an der 1. Phalanx des 5. bg ‘Die supernumeräre Zehe mit 2 Glie- dern an der Basis der 5. Zehe. Der Vater war auch mit Überzahl behaftet. — Bei einem Knaben mit Missbildungen 6 Finger an der rechten Hand; doppelte, hinten verwachsene, am Ende getheilte grosse Zehe mit 2 Nägeln an jedem Fusse. — Bei einem 3 Stunden eburt gestorbenen Knaben mit ee 6 Finger links und 6 Zehen rechte, Der su eräre Finger enthielt einen i — Bei einem Mäd- chen mit Missbildungen 6 Finger und. 6 Zehen jederseits. Der d 1 Nagel sass am 5. Finger.) 19) Op. eit. p. 149. (Bei einem Tentes mit Pen cerebri 6 Fin- ger an ve Hand und 6 Zehen an jedem Fusse.) 20) L. c. (Pei einem Mädchen 6 Finger an jeder Hand und 6 Zehen an SE Fus 21) L. c. (Bei einem Kinde Überzahl von einem Finger und einer . a amtl. cee. dàn. Ärzte a. d. Arch. d. B Gesundheitscollegium, ausg. v. Otto in Copenhagen in: Zeitschr. f. d. gesammte Medicin. Bd. 32. Hamburg. 1846. S. 527. (Zwei "neie wohl ne e Kinder mit 6 Fingern an jeder Hand - de la sog. anat. p^ Paris. ann. 24 (1849). (8 Tage altes End: mit 6 Zehen an Ges Fusse, 6 Fingern (mit Schwimmhäuten | ausgetragenen y Molina”), Streng”), W. Gruber”), Gaillard”), Braun (Hecker)®), A. Förster °'), Arthur” Mitchell ®), an dem 4. und 5. — an der rechten Hand und 5 Fingers: an der linken Hand.) 24) L. c. (2 Fälle. Von einer Familie mit Erblichkeit von Über- zahl der Finger und Zehen hatte er und sein Bruder 6 Finger an e? Hand und 6 Zehen an jedem Fusse.) 25) Medic. MES LÀ Vereine f. Heilkunde in Preussen. Berlin. 1851, 40, Nr. 26. 8. , 1854. Nr. 31. 8. 152. 1856. Nr. 34. 1865. (3 Fälle. Beil Are und 2 Knaben eines Zimmergesellen 6 Fin- ger und 6 Zehen an jeder Seite. Der supernumeräre Finger artieu- . lir rte am kleinen Finger, die supernumeräre Zehe articulirte am Me- tatarsalknochen. Der supernumeräre Finger bei 1 Kinde entfernt.) 26) L. c. (Bei einem Mädchen — Zwilling — 6 Finger und 6 Zehen beilerseit ts. 27) Geburtshilfl. Ber. d. Hebammen in Prag. 1852— 1855. Viertel- jahrschr. f. prakt. Heilkunde. Bd 49. Prag. 1856. S. 178.— (4 Fälle. 3 Kinder mit einem zweigliederigen, an einem Hautstiele in der Gegend des Metacarpo- -Phalangealgelenkes hängenden supernume- rären kleinen Finger an jeder Hand und einer supernumerären mit der normalen in einem gemeinschaftlichen Gelenke am Metatarsale k an zur Hälfte verwaehsenen kleinen Zehe. 1 Kind gebildeten grossen,Zehen und zwei an einem Métier pide een Mittelfingern — Seite? —.) 28) Op. cit, p. 2—9. (Bei einem männl. Embr ryo 6 Finger und 6 Metacarpalia an jeder Hand, 6 Zehen und 6 Metatarsalia am rech- = Fusse, 6 Zehen und 5 Metatarsalia am linken Fusse. Die Zehe articulirten am Metatarsale V. Mit anderen Deformitäten: SE Parietale bipartitum sinistrum, Spalte im hinteren Theile des weichen Gaumens — ` Genaue Zerglicderung, ausführlibhe Be- re ng. —) 29) L. c. (Doppelt: T Dons an jeder Hand, doppelte grosse Zehe an Mes Fusse einer Familie. — Operirt bei einem Madchen, —) 30) Bericht der E Poliklinik in sr 1859—1861. Monatsschr. f. Geburtskunde und Frauenkrankheiten. Bd. 20. Berlin. 1862. S. 320. (Bei einem starken a 6 Finger an der linken Hand und 6 Zehen am rechten Fusse.) 31) Würzburger medic. Zeitschr. Bd. 3. 1862. 8. 207. (Bei einem n Foetus mit Hypospadie, Atresia ani, Cryptorchie und anderen Missbilduugen. 6 Finger an jeder Hand. Der supernumeräre Finger hängt am La Ende des Metacarpale V. ohne Gliederung. 6 Zehen an jedem Fusse. Am rechten Fusse: die Zehen in regel- a. Reihe bei Ce zwischen 2.—5. Zehe. Zwischen 2. und 3; e Haut, zwischen 3. und he Rinne, zwischen 4. und 5. Zehe Es Rinne, die G. Zehe isolirt. Wahrscheinlieh Verdopplung der 4. Zehe. Am linken Fusse: grosse Zehe wohlgebildet, 2. und 3. Zehe = verdoppelte 2. Zehe an der Wnrzel verwachsen, 4.— Zehe = 5.—5. Zehe der Norm, normal u. s. w. 32) «Case of Fee E, » The med. Times a Gazette for 1863. Vol. II. 4 1. (Ein Mann hatte 6 Finger an jeder Hand und 6 s an iden Fosse. Das Weib hatte die nor- male Zahl. Ihre zwei Töchter und der Sohn hatten denselben Über- fluss. Die eine Tochter starb, die andere Tochter SC zwei Kinder von zwei Vätern. Das Kind (Mädchen) von einem Vater hatte die Deformität ps das andere (Knabe) die normale Zahl u. s. w.. Der Sohn mit einer Frau, die 2 uneheliche Kinder mit normaler Anzahl der Finger und Zehen hatte, besass 7 Kinder ‚wovon 1 Toch- ter und 1 Sohn 6 Finger und 6 Zehen beiderseits; 2 "Töchter 6 Fin- ger beiderseits und 6 Zehen rechts; 1 Sohn 6 Finger Seng und 6 Zehen links; 1 Tochter 6 Finger rechts und 6 Zehen und noch 1 Tochter 6 Finger an einer Hand und 6 Z en Sache be- sassen. Die Überzahl also in drei Generationen. Der rnumeräre Finger lag an der Ulnarseite der Hand und die Se Zehe 497 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 4178 Potton), Pravaz?), J. Kraus”), W. Brummer- stidt®), Wiener Findelanstalt?), Lloyd Ro- Perte, Wiener Museum ?) und wohl noch viele A. Übersicht. AusdieserZusammenstellung derFälle miteinem supernumerären Finger an einer Hand oder an beiden Händen und einer supernumerären Zehe an einem Fusse oder an beiden Füssen resultirt: 1) Es waren mit dieser Art Überzahl 42 Indivi- duen, ferner erblich in 10 Familien und sogar Fami- lien eines ganzen Dorfes noch viele andere behaftet. — Ein supernumerärer Finger an der Hand zugleich mit einer super :rären Zehe an dem Fusse kommt etwa um °% d. F. weniger häufig als ein ECHT rärer Finger an der Hand und etwa um nahe ! a9 F häufiger als eine supernumeräre Zehe an dem Fusse vor. 2) Von den damit behaftet gewesenen Individuen waren 14 männlichen, 9 weiblichen Geschlechtes. Welchen Geschlechtes die übrigen 19 Individuen wa- an der Aussenseite des Fusses. Der Metacarpus und Metatarsus wie- sen die normale Zahl der Knochen auf. 33) Bull. de la soc. d'anthropologie de Paris. Tom. IV. 1863. 49. S. 616. (Art Endemie von Polydactylie in einem isolirten Dorfe im Departement de l'Isére, Die Heirathen zwischen Consanguins waren háufig. Fast alle Einwohner hatten an jeder Hand 6 Finger und an jedem Fusse 6 Zehen. Als die àusseren Communicationen er- leichtert waren, wurden Heirathen mit benachbarten Dórfern ein- gegangen, also die Heirathen mit Consanguins seltener. Der super- numeràre Finger und die supernumerare Zehe wurden nach und nach kleiner, verminderten sich zu einem Tuberkel und verschwan- den endlich ganz.) - 34) Bull. de la soc. de Chirurgie. Ser. II. Tom. VI. Paris. es Séance 29 Nov. 1865. (Demonstr. zweier Gipsabgüsse von Füsse mit E Zehen von einem Individuum, das auch 6 Finger an jeder Hand esass.) 35) Allg. Wiener medic. Zeitg. Im XI. Wien: 1866. S. 278. (Bei einem neugebornen Knaben 6 Finger und 6 Zehen. Dieselbe Anomalie beim 1. Kinde ef Mutter, welche mit denselbeu Bildungs- fehlern geboren worden w. perirt. — - 86) Bericht d. Central- nes Lehranstalt in Rostock. 1866. 80. S. 57. (Bei einem Neugebornen 6 Finger an jeder Hand und 6 an jedem Fusse. 37) Ârztlicher Bericht, 1867. Wien. 1868. 8°. 8. 134. (Bei einem Säugling ein supernnmerärer kleiner Finger links vorhanden, rechts ur angedeutet; eine supernu —€— kleine. Zehe beiderseits. — Wegen guter Fonction nicht ne 38) «Two cases of monstrosity». — = Tran sact. of the — society of London. Vol. X. (for tha year 1868.) London. 1869. p. 27 Case II. Fig. (Bei einem Knaben mit Compression hohen La der Frontalportion des Schädeldaches, doppelter Hasenscharte un gespaltenen Gaumen auf beiden Seiten und Gase — 6 Finger an jeder Hand und 6 Zehen an jedem 89) S. 224. V. Nr. 224. S. 264. VI. "hin Nr. 111, 114. (Bei einem Kinde Polydactylie an Händen und Füssen, bei zwei Monstra Polydactylie -- Zahl? ren, ist nicht angegeben worden. Wie sich daher die Häufigkeit des Vorkommens bei beiden Geschlechtern zu einander verhalte, ist wieder nicht ausmittelbar. 3) Es wurden an 30 Individuen 6 Finger beider- seitig und 6 Zehen beiderseitig; je an 2 Indivi- duen: a) 6 Finger nebst 6 Metacarpalia beiderseitig und 6 Zehen nebst 6 Metatarsalia beiderseitig; b) 6 Finger beiderseitig nebst 6 Metacarpalia nur linksei- tig und 6 Zehen und 6 Metatarsalia beiderseitig; c) 6 Finger nur linkseitig und 6 Zehen nur rechtseitig; je an 1 Individuum: a) 6 Finger nebst 6 Metacarpalia beiderseitig und 6 Zehen nebst 6 Metatarsalia nur rechtseitig; b) 6 Finger beiderseitig nebst 6 Metacar- palia nur linkseitig und 6 Zehen beiderseitig; c) 6 Finger rechtseitig und 6 Zehen linkseitig; d) 6 Fin- ger rechtseitig und eine am Ende getheilte grosse Zehe beiderseitig; e) doppelter Daumen linkseitig und eine doppelte grosse Zehe rechtseitig; f) ein doppelter Mittelfinger und eine doppelte grosse Zehe (einseitig oder beiderseitig?) beobachtet. Es waren daher bis jetzt 10 verschiedene Varianten gesehen worden, wo- von die mit 6 Fingern und 6 Zehen nebst 5 Meta- carpalia und 5 Metatarsalia beiderseitig am aller- gewöhnlichsten (/, d. F.) auftrat. 4) Unter den 10 Familien mit Erblichkeit dieser Überzahl war diese in 2 Generationen bei 4 (F. v. Otto, americ. Arzte, Gaillard, Kraus), in 3 Generationen bei 2 (F. v. Reaumur — ge Kalbia —, Mitchell); in 4 Generationen bei 1 (F. v. de Maupertuis — Fam. Horstmann —); in 5 tion bei 1 (F, v. Car- lisle — Fam. Colburn —); in Generationen (Zahl?) bei 2 (F. v. Krüger-Hansen — Fam. Wolter u. Gan- schow —) nachgewiesen. 5) Bei 9 Familien hatte das Individanm, : welches die Überzahl in dieselben gebracht hatte, Überzahl an den Händen und Füssen zugleich, bei 1 Familie aber F. y. americ. Arzte) nur an einer Hand allein. 6) Nur bei 1 Familie war die Überzahl an Hand und Fuss durch Duplicität des Daumens und der gros- sen Zehe bedingt (F. v. Gaillard). 7) Die Zahl der mit dieser Überzahl behaftet ge- wesenen Individuen variirte in den verschiedenen Fa- milien von 2—20 (Fam. Colburn); die Überzahl be- traf alle oder doch die Mehrzahl der Mitglieder der Familie, und die Variante «6 Finger und 6 Zehen beiderseitig» kam meistens vor. 479 Bulletin de l'Académie Impériale 480 8) Bei 6 Fingern und 6 Zehen beiderseitig wurden nur an einem männlichen Mitgliede einer Familie (Colburn) auch 6 Metatarsalia beiderseitig gesehen. 9) Die Geburt eines Kindes ohne den 6. Finger inder 6-fingerigen und 6-zehigen Familie Wol- ter oder Ganschow gab ebenso Veranlassung zum Nichtanerkennen von Seite des Vaters wie in einer oben angeführten 6-fingerigen spanischen Familie (F. v. Ezquerra del Bayo). (Bronn und dessen Nach- beter in Wien konnten somit das, was später in Spa- nien geschah, früher in Deutschland finden). 10) 6 Finger durch Duplicität des Daumens kamen nur selten vor (F. v. Oberteufer — links —) und erb- lich in einer Familie — (F. v. Gaillard —). 11) 6 Finger durch Duplieität des Mittelfingers oder durch einen rudimentüren zweiten Ringfinger wurden nur bei je 1 Individuum gesehen e v. Streng — Seite? —, Ammon — rechts —). 12) 6 Pilar traten in der Regel durch einen super- numerären Finger am Ulnarrande der Mittelhand und des kleinen Fingers, oder durch wirkliche Duplicität des letzteren, oder durch Theilung in verschiedener Strecke ohne oder mit einer Schwimmhaut (F. v. Cra- mer, Robbe) auf. 13) 6 Zehen durch Duplicität oder Theilung der | grossen Zehe kamen selten, aber ófterer vor, als 6 Finger durch Duplicitát des Daumens (F. v. Oberteu- fer — rechts —, Otto — beiderseits —, Streng — Seite? —) und erblich in einer Familie (F. v. Gaillard). 14) 6 Zehen durch Duplicitát der 2. oder 4. Zehe wurden nur an 1 Individuum angetroffen (F. v. Fórster). 15) 6 Zehen traten in der Regel durch eine super- numeräre Zehe am Fibularrande des Mittelfusses, an der kleinen Zehe, oder durch wirkliche Duplicität der letzteren, oder durch Theilung derselbenin einer Strecke (Streng) auk 16) 6 Finger mit 6 Metacarpalia wurden an 6 Indi- viduen (an 3 beiderseitig, an 3 einseitig) und 6 Zehen mit 6 Metarsalia auch an 6 (an 5 serene an 1 einseitig) wahrgenommen. 17) Der supernumeräre Finger (abgesehen von einem supernumerären Daumen) schien in der Mehrzahl der Fälle vollkommen entwickelt gewesen zu sein und an der Mittelhand articulirt zu haben, kam aber auch nur angedeutet, oder mit 1 Phalange oder einem Knochenkerne, oder mit 2 Phalangen versehen vor und konnte am oberen oder unteren Ende des Meta- carpale V. in der Gegend des Metacarpo-Phalangeal- gelenkes, oder der 1 Phalange des kleinen Fingers, oder selbst des Ringfingers hängen. 18) Die supernumeräre Zehe (abgesehen von einer supernumerären grossen Zehe) schien in der Mehrzahl der Fälle ebenfalls gut entwickelt gewesen zu sein und am Mittelfusse articulirt zu haben, war aber auch in Ge- stalt eines Tuberkels nur angedeutet, nur mit 1 oder 2 Phalangen versehen, am Metacarpale V. oder an der kleinen Zehe hängend und im letzteren Falle 1 Mal (Meckel) trotzdem 3 knorpelige Phalangen enthaltend, angetroffen worden. 19) Von Zwillingen (Mädchen) war einer 6- -fingerig und 6-zehig, der andere nur 6-fingerig. 20) Syndactylie kam zwischen dem 4. und 5. Finger und zwischen den Zehen er der 2.—5. je an einem | Individuum vor. 21) Von 6-fingerigen und 6-zehigen Individuen wa- ren 11 noch mit anderen Deformitäten behaftet. B. Neue Faille von Duplicität des Daumens. 1. Fall. Doppelter rechter Daumen eigen- thümlicher Form. (Die Daumen durch Syn- - dactylie mit einander vereiniget.) (Fig.) Beobachtet an einem jungen Manne im Leben. Die rechte Hand besitzt 5 Metacarpalia, einen dop- pelten Daumen und vier dreigliederige Finger. Das Metacarpale I. scheint überhaupt und na- mentlich am Capitulum etwas stärker zu sein als das- selbe der linken Hand, die übrigen Metacarpalia sind normal. Im doppelten Daumen lassen sich 3 Knochen durchfühlen. 2 davon liegen ulnarwärts, 1 radialwärts. Die 2 ulnarwärts unter einander liegenden, wovon der untere den Nagel trügt, entsprechen den beiden Pha- langen des Daumens der Norm, reprüsentiren den normalen Daumen; der radialwárts liegende Knochen mit einem Nagel ist eine supernumeräre Phalange, repräsentirt den supernumerären Daumen. Die beiden Phalangen des normalen Daumens sind fast rechtwinklig zu einander gestellt, wodurch der- selbe wie geknickt und mit der Spitze radialwärts gerichtet erscheint. Der supernumeräre Daumen, dessen Phalange vielleicht aus zwei anchylosirten des Sciences de Saint-Pétersbourg. Phalangen besteht, articulirt mit der Grundphalange des normalen Daumens am Capitulum des Metacar- pale I, liegt knapp, aber verschiebbar neben dem nor- malen Daumen, namentlich parallel der Endphalange und ist mit beiden Phalangen bis zum Nageltheile der Endphalange häutig vereiniget. Zwischen den Na- geltheilen beider Daumen existirt ein enger Spalt. Die Grundphalange des normalen Daumens ist 11” lang, um 3” kürzer und etwas schmäler als dieselbe des linken Daumens, die Endphalange ist wie die des lin- ken Daumens 1” lang, aber etwa um Y, schmäler als dieselbe. Der supernumeräre Daumen ist 1,” lang. Sein Nägel ist grösser als der des normalen Daumens. Der doppelte Daumen reicht mit seiner Spitze nur bis zu den Commissurenfalten des Zeige- fingers abwärts, während der linke Daumen mit seiner Spitze am Zeigefinger bis an die Mitte zwischen den Commissuren- und ersten Phalango-Phalangealfalten sich erstreckt. Der supernumerüre Daumen bleibt durch Muskelcontraction unbeweglich und folgt nur den Bewegungen des normalen Daumens im Metacarpo- Phalangealgelenke. Die articulirende Endphalange des normalen Daumens kann wegen Syndactylie mit dem supernumerären Finger durch Muskelcontraction für sich gleichfalls nicht bewegt werden. Erweiterung des Spaltes zwischen den Nageltheilen der Daumen ist durch Muskelcontraction unmöglich, die Verenge- rung aber der Art möglich, dass ein eingeschobenes Tome XV. \ NN VW AE NN N Ss NN i A Ñ B H AA A RUN UD Blatt Papier eingezwängt und fest gehalten werden kann. Die 4 medialen Finger der rechten Hand sowie alle Finger der linken Hand und der übrige Kórper ver- halten sich normal. Erblichkeit dieser Deformitàt existirt nicht in der Familie des jungen Mannes. 2. Fall. Doppelter rechter Daumen. (Die Daumen von einander geschieden.) Beobachtet an einem anderen jungen Manne im Leben. Der supernumerüre Daumen sitzt neben dem normalen, an dessen Radialseite. Derselbe hat die Richtung des normalen, ist von diesem geschieden. Er articulirt wie der normale am Capitulum des Meta- carpale L, welches etwas stürker zu sein scheint als das linke. Er besteht nur aus einer Phalanx und be- sitzt einen Nagel. Er reicht mit seiner Spitze bis un- ter das Phalango-Phalangealgelenk des normalen Dau- mens, 10" von dessen Spitze entfernt, ist nur 1// lang, 5” breit und etwas weniger dick, also kürzer und schwächer als der normale. Für sich kann er durch Muskelcontraction nicht bewegt werden, folgt nur den Bewegungen des normalen Daumens. — Der junge Mann ist übrigens wohlgebildet. Kein Mitglied seiner Familie ist mit einer ähnlichen Defor- mität behaftet. 31 483 Bulletin de l’Académie Impériale 484 Die Daumenduplicität des2. Falles hat nichts Ungewöhnliches an sich; die des 1. Falles aber weiset eine Anordnung auf, die bei der oben an- geführten Masse von Fällen, nach den Angaben darüber zu schliessen, noch nicht vorgekommen zu sein scheint. Neue Fälle des Vorkommens eines neunten, den Processus styloideus des Metacarpale III. substituirenden Handwurzelknöchelchens beim Menschen, beobachtet von Dr. Wenzel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le 10 novembre 1870.) Den Processus styloideus des Metacarpale III. habe ich bei Erwachsenen bereits 4 Mal als persisti- rende Epiphyse angetroffen. 3 Fälle davon sah ich an trockenen Knochen, 1 Fall aber an einer frischen Hand. Erstere Fälle habe ich im Archiv für Anato- mie, Physiologie und wissenschaftliche Medicin ^, |. letzteren aber in einem Aufsatze?) beschrieben und abgebildet, den ich Einer Akademie der Wissenschaf- ten unlängst vorzulegen die Ehre hatte. Ich sprach schon bei der Veröffentlichung meines 1. Falles die Vermuthung aus: «dass eine solche Epiphyse, falls sich in ihrer Synchondrose ein ac- eidentelles Gelenk bilden sollte, als ein 9, ar- ticulirendes Handwurzelknöchelchen auftreten könnte.» Ich nahm auf diese Vermuthung hin Mas- senuntersuchungen vor. Am 24. November 1869, nachdem ich 134 frische Hände untersucht hatte, traf ich an beiden Händen eines Mannes und an der rechten Hand eines Weibes den Processus styloi- deus des Metacarpale III. als besonderes articuli- rendes Knóchelchen an, welches in die untere Reihe der Handwurzel als 5. Knóchelchen oder als 9. Knóchelchen derselben überhaupt gescho- ben war. Meine Vermuthung war dadurch zur Wahr- heit geworden und damit auch die Bedeutung des Knóchelchens, das wahrscheinlich schon J. Saltz- oY 1869. S. 361. Taf. X. B. Fig. 1—4; 1870. S. 197. Taf. V. C. e à u^ Nachtráge zur Osteologie der Hand und des Fusses. Art.: Beobachtung der den Processus styloideus des Metacarpale TIT. sub- stituirenden, persistirenden Epiphyse an einem frischen Praeparate: — - Bull. de Acad. Imp. des sc. de St.-Pétersb. Tom. XV. p. 446. . 4 a. ‚anomal vergrösserten Multangulum minus », — Ar mann?) yor 145 Jahren gesehen und John Struthers’) unlüngst bei einem 29-jáhrigenIndividuum beider- seits gefunden und 1869 beschrieben hatte, ausge- mittelt, falls diese Fülle nicht die Bedeutung eines 9. Handwurzelknöchelchens haben sollten, das sich aus einer Epiphyse des zum Ersatze des mangelnden Processus styloideus am Metacarpale IIl. anomal vergrösserten Multangulum minus entwickelt hätte, was auch möglich wire’). In meinen 3 Fällen, die ich 1870 veröffentlichte) und in Struthers 2 Fällen lag das Knöchelchen zwischen dem Multangulum minus, Capitatum, Meta- carpale IT. und IIL.; in meinen Fällen articulirte es mit 3 Knochen (dem Capitatum, Metacarpale II. und III.), in Struthers Fällen aber mit allen ge- nannten 4 Knochen: in meinen Fällen hatte es die ‚Gestalt eines Tetraöders, in Struthers’ Fällen war es unregelmässig viereckig. Seit dem Funde des Knöchelchens in 3 Fällen habe ich bei meinen Untersuchungen auch fernerbin auf dasselbe meine Aufmerksamkeit gerichtet. Nachdem ich wieder 400 frische Hände durchgemustert hatte, traf ich dasselbe am 27. October 1870 neuerdings an beiden Händen eines Mannes, die ich gleichfalls in meiner Sammlung aufgestellt habe. Ich werde im Nachstehenden auch diese Fälle (4. und 5. Fall eigener Beobachtung) beschreiben: Lage, Jederseits am Rücken der Handwurzel zwi- schen das Multangulum minus und Metacarpale II. (radialwärts), das Capitatum (ulnarwärts) und den dorsalen Radialwinkel der Basis des Metacarpale III. (abwärts) tief eingekeilt und mit allen 4 Knochen durch Flächen, die mit Gelenkknorpel überkleidet sind, articulirend. 3) Decas observ. anat. Obs, III Argentorati. 1725. (Diss. ab H A. Nicolai).— Haller. Disp. anat. select. Vol. VII. Goettingae 1751. p. 691 4) «Case of additional bone in the human carpus». Journ. of anat. a. physiol. Vol. III. Cambridge a. London. 1869. p. 354. . Gruber. «Uber ein neuntes Handwurzelknôchelchen des Menschen mit der Bedeutung einer persistirenden Epiphyse des zum Ersatze des mangelnden Processus styloideus des Metacarpale IH. ch. f. Anat., Phy- siol. u. wiss. Medicin. Leipzig. 1869. S. 342. 6) «Über das aus einer persistirenden und den Processus styloi- deus des Metacarpale III. repräsentirenden Epiphyse entwickelte, pier ie neunte nope nn — Daselbst 1870. S. - 197. Taf. V. C. Fig. 3. 9 485 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 486 Gestalt. Einigermassen eines Tetraéders, welcher statt einer Spitze eine längere Kante besitzt, diese volarwärts und seine Basis dorsalwärts kehrt; oder eines unregelmässig vier- bis fünfseitigen Kör- perchens. Das Knöchelchen besitzt 4 Flächen: eine radiale, eine ulnare, eine digitale und eine dorsale. Die ersten drei sind mit hyalinischem Knorpel über- kleidet, also Gelenkflächen. Die letzte ist rauh. Die radiale Fläche ist durch eine Kante in zwei Facet- ten geschieden, wovon die obere kleinere dreie- ckige etwas convex ist und an einer ähnlich gestal- teten concaven Facette der Gelenkfläche der Super- ficies ulnaris des Multangulum minus articulirt, die untere grössere parallelogramme concav ist und an einer ähnlich gestalteten convexen hinteren Facette der ulnaren Seite des ulnaren Kammes des Metacar- pale II. articulirt. Die ulnare Fläche ist unregel- mässig vierseitig und sehr convex. Sie articulirt mit dem Capitatum an der am dorsalen Radialwinkel der Gelenkfliche seiner S. digitalis sitzenden, rückwärts und radialwärts gekehrten, ähnlich gestalteten conca- ven Facette. Die digitale Flache ist dreieckig con- vex, mit einem dorsalen convexen, ulnaren weniger convexen und einem radialen concaven Rande ver- sehen. Sie articulirt an einer ähnlich gestalteten, con- caven, dorsal- und radialwärts abhängigen Facette der Gelenkfläche der Basis des Metacarpale III., die an dem dorsalen Radialwinkel der letzteren an der Stelle sitzt, von welcher der hier fehlende Processus styloideus sich sonst erhebt. Diese 3 Gelenkflächen ' sind durch scharfe überknorpelte Winkel von einan- der geschieden. Die dorsale Fläche hat die Gestalt eines mit dem breiteren Pole radialwärts gekehrten Ovales, ist rauh und sehr convex. Grösse. Die Breite an seiner Basis beträgt in trans- versaler Richtung: 9 Mill., in verticaler Richtung: 7 Mill., die Dicke in sagittaler Richtung: 7 Mill. . Verbindung. Durch 3 sehr starke Ligamenta dor- salia und zwar: durch ein queres radiales mit dem Multangulum minus und der Basis des Metacarpale II.; durch ein queres ulnares mit dem Capitatum und | - durch ein verticales mit der Basis des Metacarpale III. Bedeutung. Das Knöchelchen in diesen Fällen arti- eulirte daher nicht wie in meinen früheren Fällen nur mit 3, sondern wie in den Fällen von Struthers mit 4 Knochen, also auch mit dem Multangulum minus. Das Knöchelchen dieser neuen 2 Fälle hat sicher dieselbe Bedeutung wie das meiner früheren 3 Fälle, wohl auch wie das der 2 Fälle von Struthers und vielleicht auch wie das des Falles von Saltz- mann. Dass das Knöchelchen mit dem Multan- gulum minus bald articulirte, bald nicht articulirte, kann dagegen nicht sprechen, weil letzteres, wie ich 1870 anführte, an der Gelenkfläche seiner S. ulnaris in Y, d. F. keine hintere Facette, in '/, d. F. aber eine solche zur Articulation mit dem Processus styloideus des Metacarpale ITI., den das Knóchelchen substituirt, besitzt. In meinen 5 Fällen und wohl auch in den 2 Fällen vonStruthers hatte das Capitatum minus nichts Abnormes oder doch nichts an sich, was nicht auch bei Vorkommen des Processus styloideus des Me- tacarpale III. beobachtet worden wäre, aber es man- gelte letzterer Processus. Allerdings kann der Processus styloideus des Metacarpale III. mangeln und durch Vergrósserung des Capitatum oder sogar durch Vergrósserung des Multangulum minus, wovon ich 3 Fälle mitgetheilt habe, ersetzt werden; allein von einem solchen Ersatze kann in diesen Fallen des Vorkommens des Knóchelchens keine Rede sein. Es muss daher angenommen werden: «dass das Knóchelchen die Bedeutung einer den Pro- cessus styloideus des Metacarpale Ill. reprä- sentirenden und gelenkig gewordenen Epiphyse habe, so lange nicht nachgewiesen ist, dass es schon als besonderer Handwurzelknorpel praeformirt ist. Uber einen Fall des Vorkommens des den Pro- cessus styloideus des Metacarpale III. substi- tuirenden neunten Handwurzelknóchelchens beim Menschen, welches mit dem Metacar- pale III. theilweise anchylosirt war, beobach- tet von Dr. Wenzel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu le 24 novembre 1870.) Aus Mittheilungen in einer Reihe von Aufsüt- zen*) ergiebt sich, dass ich den Processus styloideus *) W. Gruber. a) «Vorkommen des Processus styloideus des Metacarpale III. als persistirende und ein neuntes Handwurzelknó- chelchen repräsentirende Epiphyse ».— Arch. f. Anat., Physiol. und wiss. Medicin. Leipzig 1869. S. 361 Taf. X. B. Fig. 1—4. b) Uber das aus einer persistirenden und den Processus styloideus des Meta- carpale III. reprasentirenden Epiphyse entwickelte, articulirende neunte Handwurzelknóchelchen». Daselbst. Leipzig. 1870. S. 197. 31* 487 Bulletin de l’Académie Impériale 488 des Metacarpale III. bereits in 5 Fällen als persis- tirende Epiphyse, welche in einem Falle mit dem Capitatum anchylosirt war, auftreten gesehen; ferner, dass ich denselben Processus unter 534 frischen Händen an 5 durch ein zwischen das Multangulum minus, Capitatum, Metacarpale II. und III. von der Dorsalseite der Handwurzel eingekeiltes, bald mit allen diesen 4 Knochen, bald nur mit den letzten 3 articulirendes, neuntes Handwurzelknôchelchen substituirt gefunden hatte. . Seit dem 27. Oktober, an welchem ich an beiden Hän- den eines Mannes den 4. und 5. Fall des Vorkommens des den Processus styloideus des Metacarpale III. sub- stituirenden neunten eiserne ange- troffen hatte, konnte ich bis zum 7. November neuer- dings 22 Hände untersuchen. er diesen fand ich an der linken Hand eines Mannes an dem Stücke des Metacarpale III., welches den Processus styloideus repräsentirt, eine Anordnung, welche beweiset: «dass man es in diesem Falle wieder mit jenem neunten Handwurzelknöchelchen zu thun habe», das nur noch an der kleineren volaren Hälfte seiner S. digi- talis von dem Metacarpale III. völlig geschieden, an der grösseren dorsalen Hälfte mit letzterem ver- schmolzen ist», wie aus nachstehenden Angaben ersichtlich werden wird: Lage. Das den Processus styloideus des Metacar- pale III. repräsentirende Knochenstück (b) sitzt über dem dorsalen Radialwinkel der Gelenkfläche der 8. carpea der Basis des Metacarpale IIL., ist zwischen diesem, dem Multangulum minus, Capitatum und Me- tacarpale 11. in die untere Reihe der Handwurzelkno- chen eingekeilt. Gestalt. Dasselbe hat das Aussehen eines Tetra ë- ders, der an seiner Superficies digitalis dorsalwärts mit dem Metacarpale III. verwachsen ist, seine Basis dorsalwärts, seine Spitze volarwärts, eine Fläche ra- Taf. V. C. Fig. 1, 2. c) «Nachträge zur Osteologie der Hand und des Fusses ». Art.: « Beobachtung der den Processus styloideus des Me- tacarpale III. substituirenden, persistirenden Epiphyse an einem fri- schen Praeparate» und Art.: «Über eine den Processus styloideus des Metacarpale III. ersetzende, zeitlebens persistirende Epiphyse, wel- che mit dem Capitatum carpi anchylosirte und einen diesem ursprüng- lich angehörigen Anhang vortäuschte ». Bull. de l'Acad. Imp. des sc. de St.- Pétersbourg. Tom. XV. Fig. 4. a., Fig. 9 et 10. b.—d.) «Neue Fülle des Vorkommens eines neunten, den Processus styloideus des beim Men- etacarpale schen», Daselbst: Tom. XV. dialwärts und eine Fläche ulnarwärts kehrt. Die dor- sale Fläche (Basis) (a) ist oval (breiter am radialen Pole) oder abgerundet dreieckig, rauh, sehr convex. Die volarwárts gekehrte Spitze (s) ist oben eine rauhe gerinnte Stelle von der Gestalt einer vertical stehen- den Ellipse, welche am oberen Pole in die rauhe dor- sale Fläche sich fortsetzt; unten ein etwas schräg ab- und vorwärts gerichteter, abgerundeter, überknorpel- ter Winkel. Die radiale Fläche (8) ist mit Gelenk- knorpel überzogen, also eine Geienkfläche. Dieselbe ist durch eine transversale Kante in zwei Facetten geschieden. Die obere grosse Facette (8') ist drei- eckig, convex, steht vertical und articulirt an einer besonderen Gelenkflüche an der S. ulnaris des Mul- tangulum minus. Die untere kleinere Facette (9") ist parallelogramm, ab- und radialwärts gerichtet und auffallend schrüg zur oberen Facette gestellt. Die ulnare Fläche (y) ist mit Gelenkknorpel überkleidet, also eine Gelenkfläche. Diese ist dreieckig, oben con- cav und unten convex. Sie articulirt an der S. digi- talis des Capitatum und zwar an der dorsalen radialen Facette derselben, die wenig ab- und fast ganz radi- alwürts gekehrt ist. Die digitale Flüche (Fig. 4. 9) ist nur an ihrer kleineren volaren Hälfte frei, an ihrer grósseren dorsalen Hälfte mit der Basis des Metacarpale III. verschmolzen. Zwischen dem freien Theil des verwachsenen Knochenstückes und der Gelenkflüche der S. carpea des Metacarpale III. befindet sich ein Raum. Zu diesem Raume, durch den man die Spitze eines dünnen Skalpel's leicht füh- ren und beim Trockenwerdenlassen der Gelenkknor- ' pel gut durchblicken kann, führt eine unter den Sei- ten und der Spitze des Küockendttiekes laufende bis “ls Mill. weite Ritze (Fig. 2. 3. *). Nachdem man ent- sprechend der Stelle der Ritze das Knochenstück (Fig. 4. b) vom Metacarpale IIT. (Fig. 4. a) quer ab- gesägt hatte, sieht man an der S. digitalis (3) des er- steren (b) volarwärts eine mit Gelenkknorpel über- zogene dreieckige Stelle, also eine Gelenkflüche (8), dorsalwärts den quer ovalen Durchschnitt (3), an letzterem (a) an der Gelenkfläche der S. carpea (E) dorsalwárts eine dreieckige radiale Facette (2) zur Articulation des ersteren und dahinter den quer ovalen Durchschnitt (£”). Grösse. Seine Höhe beträgt: 7 — 10 Mill., seine Breite an der Basis: 11. Mill., seine Dicke Yol der 489 des Sciences de ———— 490 Basis zur UE 10 Mill. SeineSpitze misst am obe- ren elliptischen rauhen Theile in verticaler Richtung: 5 Mill., in transversaler Richtung: 2, 5 Mill.; am überknorpelten unteren Theile: 2 Mill. Verbindung. . Von der Basis und dem dorsalen radi- alen Rande geht ein starkes queres Ligament zum Multangulum minus und zum Metacarpale IL, von derselben und dem dorsalen ulnaren Rande ein ühn- liches zum-Capitatum, von der Spitze ein kurzes, star- kes zu einer Stelle am Rücken des Capitatnm, die am Winkel über der Verbindung der beiden radialen Fa- cetten der Gelenkfliche der S. digitalis dieses Kno- chens sitzt. Bedeutung. Das Knochenstück hat du Aussehen eines enorm entwickelten Processus styloideus des Metacarpale III. oder einer diesen substituirenden persistirenden Epiphyse und gleicht, nach Ab- sägung vom Metacarpale HI., vollständig: der Art des den Processus styloideus des Metacarpale III. sub- stituirenden neunten Handwurzelknöchelchens, das mit 4 Knochen, d. i. mit.dem Multangulum minus, Capitatum, Metacarpale II. und III., gelenkig verbun- den ist. Es ist in der That ein neues Beispiel (6. ei- gener Beobachtung) des Vorkommens dieses Knö- chelchens, mag dieses sich nun aus einer persisti- renden Epiphyse des Metacarpaie HI., durch Auf- treten eines accidentellen Gelenkes-in der Synchon- drose, gebildet haben; oder schon ursprünglich als besonderer Handwurzelknorpel, der bis jetzt noch nicht gesehen worden war, praeformirt gewesen sein. Es ist aber zugleich ein Beispiel eines später wieder theilweise mit dem Metacarpale UL anchylosir- ten Knöchelchens. Seine partielle Verwachsung mit dem Metacarpale III. ist sicher theilweise durch Os- sifieation des von mir anderwärts beschriebenen, sehr kurzen und dicken verticalen Lig. dorsale geschehen, welches hinter der Gelenkflüche der S. di- gitalis von einer breiten rauhen Stelle der letzteren entspringt und an eine raulie Stelle der Basis des Me- tacarpale III. sich inserirt, die hinter der für das Knóchelchen bestimmten Facette der Gelenkfläche der S. carpea desselben sich befindet. Das eege habe ich in meiner — mp bewahrt. Erklärung der Abbildungen. Fig. 1. Linkes Metacarpale III. mit dem mit ihm theil- weise anchylosirten und seinen Processus styloi- : deus substituirenden neunten Hand wurzelknöchel- chen. (Ansicht von der Dorsalseite.) Fig. 2. Dieselben Knochen. (Ansicht von der Radial- und Volarseite.) 491 Bulletin de l’Académie Impériale 492 Fig. 3. Y. Ulnare Gelenkfläche Vag Dieselben Knochen. (Ansicht von der Ulnarseite.) ò. Digitale Fläche t 3 9. Mit Knorpel überkleideter Theil (Ge- | 2.3 ie aac derselben E 8 . Durchschnitt an der knóchernen Ver- DK goung mit dem Metacarpale m. j 5 e, Spitze. €. Anomale Facette an den S. carpea des Metacar- pale III. C. Mit Knorpel überkleideter Theil (Gelenkfläche) derselben. Fig. 4. Dieselben Knochen an der Verwachsungsstelle durchsägt. (Ansicht der Basis des Metacarpale III. von der Volar- und Carpalseite des neunten, dorsal- wärts zurückgelegten Handwurzelknöchelchens von der Digitalseite.) Bezeichnung für alle Figuren. Metacarpale III. Neuntes Handwurzelknóchelchen. ` Ritzenartiger Eingang zum übriggebliebenen Ge- lenkraum zwischen beiden. . Dorsale Fläche Radiale Gelenkfläche 8’. Obere Facette derselben |: 8”. Untere » » = oS * wa des neunten Handwurzel- knóchelchens, £”. Durchschnitt an der knóchernen Verwachsung mit dem neunten Handwurzelknóchelchen. Über die Drehung der Polarisationsebene unter dem Einflusse von Electromagneten, von Je- gorow. Vorläufige Notiz. (Lu le 24novembre 1870.) Die Erscheinungen der Drehung der Polarisations- ebene des Lichts in Krystallen und Flüssigkeiten, welche zwischen die Pole von Electromagneten ge- bracht werden, bieten für die Experimental- Physik grosses Interesse dar, sowohl in Bezug auf die Er- scheinungen des Diamagnetismus, als auch weil man hoffen darf, hieraus mit der Zeit einige Anknüpfungs- punkte zur Lósung der Frage úber den inneren Bau und die Molecül-Gruppirungen der Kórper zu gewin- nen; auch sind diese Erscheinungen schon wiederholt von vielen Physikern untersucht worden. Im Laufe dieses Sommers habe auch ich über diese ` Erscheinung einige Untersuchungen-angestellt, welche, obgleich gering an Zahl, doch zu einigen nicht unin- teressanten Schlussfolgerungen führen, was mich ver- anlasst, die Resultate derselben hiemit bekannt zu ma- chen. Die Versuche sind im physikalischen Laborato- rium des Technologischen Institutes ausgeführt worden. 1. Ich untersuchte zuerst den Einfluss, welchen auf die in Faraday'schen Glase durch Electromag- netismus erzeugte Drehung das umgebende Medium ausübt. Ich benutzte hierzu ein Stück schweren Gla- ses von 44”” Länge und einen Rhumkorf’schen Elec- tromagneten, in welchem der Magnetismus durch 30 hinter einander verbundene Zinkkohlenelemente erzeugt wurde. Nachdem ich die Drehung der Pola- risationsebene in diesem Glase bestimmt hatte, mass ich dieselbe fiir Wasser, welches sich in einem weiten 493 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 494 - Glasrohre von 47"" Durchmesser und 60™ Linge be- fand, und dessen Enden durch planparalelle Gláser geschlossen waren. Schliesslich tauchte ich das obeu erwähnte Faraday’sche Glas in diesen mit Wasser ge- füllten Cylinder und bestimmte nochmals die Drehung der Polarisationsebene. Ich erhielt hiebei folgende in Tafel 1. angeführte Resultate: Tafel 1. Schweres Wasser. res Glas in eier? Differenz. Glas. eobacht. Berechne 5,3 2,3 5,7 „18 — 0,48 5,0 2,6 5,5 5,94 — 0,41 4,8 2,7 5,3 5,74 — 0,44 4,8 2,7 5,2 5,74 — 0,54 4,8 2,8 5,0 5,74 — 0,74 4,8 2,3 5,0 5,60 — 0,60 4,7 d£ 27529 5,43 — 0,21 2,4 153 2,5 2,52 — 0,02 Aus diesen Zahlen ersieht man, dass die beobach- tete Drehung geringer ist, als die bérechtiete, d. h., dass Faraday's Glas, wenn es in Wasser getaucht t die Polarisationsebene schwächer dreht, als in dem Falle, wenn es von Luft umgeben ist. Ich erklüre mir diese Abnahme in der Drehung durch eine Verringerung des Diamagnetismus des Glases durch den Einfluss des umgebenden Wassers, genau entsprechend dem Ge- setze von Becquerel für Diamagnetismus. Um zu sehen, ob. der beobachtete Einfluss des Mediums auf die Drehungsfähigkeit auch für andere Substanzen stattfindet, benutzte ich noch 2 Lósungen von Eisenvitriol in Wacker. Die eine, Ñ 1, enthielt 16%, Salz, die 2te, schwächere, N 2 nur 1°/,. Die um- gebende, äussere Flüssigkeit befand sich in einem Glastroge von 68”” Länge, die innere Flüssigkeit in einer Röhre von 50”” Länge und 13"" inneren Durch- messers. Indem ich nun den Trog und die Röhre ab- wechselnd bald mit der stärkeren, bald mit der schwä- cheren Lösung füllte und die Röhre dann in den Trog stellte, erhielt ich folgende Ablenkungen: A Tafel 2. Eisenvitriollösung im X der Versuchsreihe‘ Troge. Röhre. B-r B 4 X 1 Ne 2 2, 2,1 2,2 25 X 2 X 1 2,0 2,1 2,0 2,1 Luft mb. Li 1,1 1,2 Lë Luft B2 Ip 1,6 1,6 1,6 Ne 1 Elig 1,5 1,5 1,5 #2 X 2 za. A 24 dd Aus diesen Beobachtungsresultaten stellte ich dann . folgende Tafel zusammen: Tafel 3. Schwache Lösung in der starken Beobacht. Berechnet. Differenz. Starke Lösung in der schwachen Beobacht. Berechnet. Differenz. 2,2 1,9 +- 0,3 2,0 1,9 0,1 24 2,0 + 0,1 2,1 1,9 0,2 2,2 1,9 + 0,3 2,0 1,9 0,1 2,2 2,0 + 0,2 DR 1,9 0,2 Aus diesen 2 Tafeln sieht man: | 1) dass die schwache Lösung, wenn sie von einer starken umgeben ist, die Polarisationsebene mehr dreht, als wenn sie in Luft taucht; 2) dass die starke Lösung, in schwache getaucht, gleichfalls ein stärkeres Drehvermögen zeigt, als in Luft. Wenn man auf diese Erscheinung das Becque- rel’sche Gesetz anwendet, so ergiebt sich, dass eine schwache Lösung innerhalb einer starken diamagne- tisch wird (dieses hat bekanntlich Faraday an ähnli- chen Lösungen direct nachgewiesen.) und dass sie die Polarisationsebene stärker dreht, als in dem Falle, wo sie von Luft umgeben, d. h. paramagnetisch ist; dann ergiebt sich auch, dass eine starke Lösung innerhalb einer schwachen die Polarisationsebene stärker dreht, als in dem Falle, wo diese Lösung von Luft umgeben, d. h. mehr paramagnetisch ist. Der Einfluss des umgebenden Mediums auf die Drehung der Polarisationsebene eines in dem Me- dium befindlichen Krystalles oder einer Flüssigkeit äussert sich demnach in demselben Sinne, wie es das Becquerel’sche Gesetz für den Diamagnetismus und Paramagnetismus erfordert. 2. Ich-untersuchte den Einfluss, welchen der Róh- rendurchmesser auf die Drehung der Polarisations- - ebene ausübt und benutzte zu diesem Zwecke 3 Röh- ren mit Wasser, jede von 80”” Länge und respective 12, 19 und 31" Durchmesser. Die Resultate dieser | Untersuchungen sind in der 4ten Tafel enthalten: Tafel 4. Ablenkung bei 12"" Durchmesser 1,2 1,2 1,1 1,2 144.2 1,3 1,2 19 5s 1712 121717 17 18 17 31 » 2,3 2,3 2,4 24 2,4 225 2,3 Bei den folgenden Versuchen änderte ich den Durch- messer und die Linge in grésseren Grenzen, 495 Bulletin de l'Académie Empériale des Sciences de Saint-Petersbourg. 496 Tafel 5. Ablenkung beim x Durchmesser. 4t" Länge 68°" 27 24.4.8 23 23 13.2723 15 +. 400.28 28 2 21 24 13.20 28 Tafel 6. Ablenkung beim Durchmesser 15"" Länge 450 2,0 » » 15 » 206 Ha: 2,2 » 8 ei. 406 Fe 1,3 Die Zahlen der Tafel 4 zeigen, dass die Drehung der Polarisationsebene mit dem Durchmesser der Réhre wiichst; zu demselben Schlusse fiihren die Resultate der Tafel 6; diejenigen der 5ten Tafel lassen dieses Resultat nicht erkennen, da sich hiebei die lange und | die kurze Röhre unter verschiedenen Verhältnissen befanden; es befand sich nämlich die letztere zwischen den Polen der Electromagnete, die erste hingegen ragte weit in die durchhöhlten Eisencylinder hinein. 3. Als ich die Drehung der Polarisationsebene in einer Zuckerlösung untersuchte, wenn auf dieselbe, die ja schon an und für sich ein Drehungsvermögen besitzt, noch ausserdem die Electromagnete wirkten, bemerkte ich ein sehr eigenthümliches Verhalten die- ser Lösung; es schien mir nämlich, als erleide die Dre- | hung der Polarisationsebene in diesem Falle eine blei- bende Verrückung. Da die Versuche hierüber. jedoch zu wenig umfassend sind, so will ich das Resultat nicht mit Bestimmtheit aussprechen und behalte ich mir die weitere Untersuchung dieser, Erscheinung vor. Da ich veranlasst bin, auf kurze Zeit die begonne- nen Versuche zu wiitbrbrechiib. so glaubte ich, cem vorläufigen Resultate, trotz dec geringen Zahl vo Untersuchungen, denaseh schon jetzt bekannt schon zu dürfen. BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE. L'Académie a recu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: Viek i Djelovanje Sv. Cyrilla i Methoda slovjenskih Apo- Stolov. Nacrtao Prof. Dr. Franjo Racki. Svezak ll. U Zagrebu 1859. 8. Odlomci iz državnoga práva hrvatskoga za narodne dy- nastie. Pokusae Dr. Franjo Raćki. U Beču 1861. 8. + Rački, Fr. Pismo Slovjensko. U Zagrebu 1861. 8. Foneans, P. E. Ocjena starijih izvora za hrvatsku i srbsku poviest sred- njega vieka. Izpituje Dr. Franjo Raëki. U Zagrebu 1865. 8. Assemanov ili Vatikanski Evangelistar. Iznesé ga na svjetlo Dr. Franjo Ratki. U Zagrebu 1865. 8. Rieka prema hrvatskoj. Sastavio Dr. Franjo Raëki. U Za- grebu 1867. 8. Pokret na slavenskom jugu koncem XIV. i pocetkom XV. stoljeéa. Sastavie Dr. Franjo Raëki. U Zagrebu 1868. 8. Bogomili i Patareni. Napisa Dr. Franjo Rački. U Zagrebu Ewald, Heinr. Ausführliches -Lehrbuch der hebräischen Sprache des alten Bundes. Göttingen 1870. 8. An old Pahlavi-Pazand glossary edited with an alphabeti- cal index by Destur Hoshangji Jamaspji Asa. Bom- bay and London 1870. Elliot, Sir Henry M. Memoirs on the history, folk - lore and distribution of the races of the northwestern provinces of India. London 1869. 2 vol. 8. History of the Brooklyn and- Ze Island fair, February 22, 1864. Brooklyn 1864. Garcin de Tassy. Histoire de p littérature Hindouie et Hindoustanie. II^ édition. Tome I. Paris 1870. 8. tude sur le Lalita Vistara pour une édition critique du texte Sanskrit. Paris 1870. 8. Riedel, J. G. F. Bijdrage tot de kennis der talen en diàlekteni voorkomende op de cilanden Luzon of Le- - soeng, Panai of Hong-Hong, Balangingi, Solog, Sangi, alsmeda op Noord-en Midden Celebes. 4 J aeschke, H. A. Romanized Tibetan and English Dictio- nary. Kyelang in British Lahoul 1866. 8. Journal asiatique. Tome XIV X 55, tome XV N 56. Paris 1869—70. 8 The Journal of the r. Asiatic Society of Great Britain and ^. Ireland: New Series. Vol. IV. Part 2. London 1870. 8. Journal of the Asiatic Society of Bengal. 1869, Part I X III. Calcutta 1869. 8. | Part II X IV. 1869. Calcutta. 8. Bibliotheca indica. New Series V 164— 169, 171, 174 — 177. Calcutta 1869. 8 et 4 | The Kamil of El-Mubarrad, edited by W. Wright. Sixth part. Leipzig 1870. 4. Revue africaine. X 80. Mars 1870. Alger. 8. Astronomische Mittheilungen von Rud. Wolf. XXV. 8. | Almanaque näutico para el ano 1871, calculado de örden de la Superioridad en el Observatorio de Marina de la ciudad de S. Fernando. Cadiz 1869. 8. RA von 4793: telescopisehen Sternen zwischen und — 9° Declination. (IX. Supplementband zu Ts Bee der Münchener Sternwarte.) München Paru le 22 décembre 1870. ~ -ri er i pL PATH S | , CESELL CH jr ^ T. XV, N° 5 et dernier. VE u b E sai d. A A A d BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. TOME XV. (Feuilles 32—36) CONTENU: Page. A. Stuart, Sur l'organisation des grégarines. (Avec une planche ).. 0 497—502 E. Metchnikof, Communication préalable concernant l'embryologie des animaux inférieurs 502—509 M.- Jacobi, Application des batteries secondaires ou de polarisation aux moteurs electro- magnétiques. Communication préalable OE PTT EN LEE Ce EE ERR 510—517 A. Stuart, Etudes micrographiques...................... NS E Re E 517—522 Ph. Owsiannikof, Etudes histologiques sur le système nerveux des mollusques... ...... 523—527 ruber, Deux muscles de tension extraordinaires de l'extrémité inférieure chez ËNNER e nr ses er tenons rennen nennen "EE u... 527—530 M. Mehren, Tableau général des monuments religieux du Caire................ ,--- 530—561 Bullett PiU a EE dua ares desc wee dw ee wenn ser: 561—572 Ci-joint les titres et les tables des matiéres du Tome XV. On s'abonne: chez MM. Eggers € Cie, H. Schmitzdorff, J. Issakof et Tcherkessof, libraires à St-Pétersbourg, Perspective de Nefski; au Comité Administratif de l'Académie (Komurer®% IIpanzenin Mxneparopckol Axazemin Hayxs), N..Kymmel, libraire à Riga, A. E. Kechribardshi, libraire à Odessa et chez M. Léopold Voss, libraire Leipzig. Le prix d’abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 8 rbl. arg. pour la Russie, 3 thalers de Prusse pour l'étranger. Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences. — .. C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. . (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.) Février 1871. BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Über den Bau der Gregarinen; von Alexander Stuart, in Odessa. (Lu le 30 juin 1870.) (Avec une planche.) Die den Gregarinen zugewiesene Stellung in der Reihe der Protozoen kann als Merkmal der über den inneren Bau derselben allgemein geltenden Ansichten dienen. Die Gregarinen werden. als sackartige Thiere, aus einer weichen feinkórnigen Masse bestehend, welche in eine festere Corticalmasse eingeschlossen ist; auf- gefasst. | Angaben über eine anscheinlich complicirtere Struc- tur derselben finden sich zuerst bei Lieberkühn'), der am unteren Ende der Gregarinen vom Hoden des Regenwurms (Monocystis und Zygocystis cometa-Stein) eine partielle Längsstreifung vorfand, über welche er sich nicht auszusprechen wagte, ob sie als Anzeichen eines besonderen Structurverhältnisses, oder nur als ein Contractionszustand aufzufassen wäre. Claparéde?) beschreibt die Gregarine von Phyllo- doce als nematodenartig und fadenförmig an den Enden ausgezogen. Der cylindrische Körper zeigt eine An- zahl Längs- sowie kreisförmiger Streifen. Ray Lan- kaster?) fand im Darme von Aphrodite aculeata eine gestreifte, der Gregarine von Phyllodoce sich annä- hernde Form vor. Die Corticalmasse von Gr. Blatta- rum erschien ihm als doppelt-contourirt und aus einem äusseren hellen und einem inneren gestreiften Theile bestehend, wobei diese Streifung sich nicht auf den Kopftheil afsireößte: der nur aus der äusseren hellen Substanz bestand. Bei Gr. Lumbriei und Gr. Blattarum fand ich die angegebene Streifung oft vor, sie war aber weniger deutlich, und es liess sich immer keine wahre Vorstel- lung über deren wirkliche Natur bilden. Viel exqui- sitere Bilder liefern die Parasiten einiger marinen Evertebraten. 1) Evolution des Grégarines p. 24, Tab. I. 1, T. VII. 2) Recherches anatomiques dans les Hébrides p. 88, Tab. IV. 5. 8) Quart. J. of micr. Sc. III N. S. p. 86 und 90. Tome XV. Zygocystis Pterotracheae. Die Leibeshóhle von Pte- rotrachaea wird öfters von Gregarinen, welche zum Stein'sehen Genus Zygocystis gehüren, und welche wir daher Zyg. Pterotracheae nennen wollen, infestirt. In der äusseren Form erinnern dieselben an Gr. Blat- - tarum und scheiden sich in*den eigentlichen ovalen Körper und einen schmäleren, dreieckigen Kopftheil. Auf der Grenze zwischen beiden befindet sich ein grosser Nucleus, welcher 1 bis 4 solide Körner ein- schliesst, seine Substanz ist schleimiger Natur und leistet einen sehr bedeutenden Widerstand gegen äus- sere Pressung; eine Begrenzungsmembran scheint der Nucleus nicht zu besitzen. Der Kórper scheidet sich in den äusseren Hautsack aus einer festeren, hellen Masse bestehend, mit ein- gestreuten Kórnchen, welche aber keine bestimmt wahrnehmbare Struetur darbietet, und einen inneren contractilen Muskelsack, welcher viel mehr die Merk- male einer differenzirten Membran trägt, als der Haut- sack. Die contractile Membran ist dünner, fester und zeigt ausser einer sehr feinen, kreisfórmigen Quer- streifung dicke Längsstreifen, welche durch die ganze Länge des contractilen Sackes verlaufen. Die Persi- stenz dieser Streifung, auch im ganz ruhigen Zustande des Thieres, kann als Beweis davon dienen, dass die- selbe als der Ausdruck eines bestehenden Structur- verhältnisses aufzufassen ist. ! Die Bewegungen des Thieres sind schlängeiäder Art, aber neben den Hauptcontractionen, als deren Resultat die Vorwärtsschiebung der Gregarine er- scheint, bemerkt man eine Reihe partieller Contrac- tionen, welche die äusseren Contouren des Körpers wellenförmig umändern. Bei diesen Contractionen wird die weiche innere Körnermasse hin und hergeschoben und nimmt die durch die partiellen Gestaltänderun- gen des contractilen Schlauches gebildeten Innenräume ein. Der Nucleus -folgt diesen Bewegungen in be- schränktem Maasse mit. Wenn das Thier ganz ausgestreckt und ruhig liegt, kann man bei genauer Beobachtung eine centrale, 32 499 Bulletin de l'Académie Empériale 500 hellere Partie wahrnehmen, welche von einem Pole des Thieres zum anderen verläuft und auf eine cen- trale Verflüssigung der Körnermasse hinweist. Ausserdem sieht man.oft an dem dem sogenannten Kopftheile entgegengesetzten Ende einen rüsselarti- gen Anhang des Hautsackes, welcher zu einem Trich- ter führt, der dem tonales lichten ee entge- gengesetzt steht. Die Gregarinen kommen vereinzelt, wie paarig vor; ich habe bemerkt, dass, in der Mehrzahl der Fälle, die Nuclei der solitären Individuen mit einem einzigen Korn versehen waren, die gepaarten aber zeigten ge- wöhnlich 3 bis 4, manchmal auch mehr kleinere Kör- ner , offenbar Theihiogspreilukte der grossen Nu- cleoluli. Solitäre Formen fanden sich auch in merkwürdigen Cysten eingeschlossen. Dieselben kamen auf der inne- ren Fläche, oder auch zwischen den einzelnen Mus- kelfasern, des Muskelschlauches des Nährthieres, der Pterotrachea, vor und bestanden aus einem um- fangreichen Sacke bindegewebiger Natur, der dicht ausgefüllt war mit hellen, dünnhäutigen Blasen, wäs- serigen Inhaltes, mit nur wenigen Körnchen und Bläs- chen. Die Gregarine nahm das Centrum der Cyste ein, und in den sonstigen Verhältnissen den frei leben- den ganz gleich, schien sie nur in einem mehr ruhen- den Zustande zu verharren, beim Herausschälen aus der Cyste aber wurde sie ebenso beweglich als die freien. . Dass diese Cysten kein Absonderungsprodukt der Gregarine sind, ist leicht ersichtlich, wogegen es viel wahrscheinlicher erscheint, dass deren Ausbildung aus dem Bindegewebe des Nährthieres durch den Reiz, welcher von den Bewegungen der Gregarine be- wirkt wird, wie es z. B. bei den Muskeltrichinen der Fall ist, hervorgebracht wird. Darauf deutet auch das Vorhandensein von Bindegewebselementen, zwi- schen den hellen Blasen, im Innern der Cysten, hin. Monocystis Telepsavi. In den Darmanhüngen von Telepsavus Castarum fand sich eine noch ausgebilde- tere Form, welche keinen Kopftheil hat und dem- nach zu dem Genus Monocystis-Stein gehört. Die Körperform ist eine längliche, an dem einen Ende _ spitzenförmig ausgezogene. Die Bewegungen sind re- gelmässig, gewöhnlich pendelartig. Der stark lichtbrechende, derbe Hautsack ist ziem- lich dick und erweist sich als leicht. opalescirend. Der Muskelschlauch zeigt sich als eine deutlich ab- stehende Membran und besteht aus einer Ringfaser- schicht, welche aus ungemein feinen, dicht neben einander liegenden, blassen Fäserchen zusammenge- setzt ist, und einer daraufliegenden Längsfaserschicht, welche eine Reihe durch Zwischenräume getrennter Leisten darstellt, welche aus einer dunklen, anschein- lich körnigen Substanz bestehen. Der Muskelschlauch ist mit einer breiartigen Masse ausgefüllt, welche, wie sonst bei den Gregarinen, viele Fettkörner einschliesst. Wenn die Thiere ruhig liegen, kann man sehen, dass das innere Parenchym eine lichtere Centralbahn besitzt, welche durch Fetteinla- gerung weniger getrübt ist, als die Peripherie. Dieser lichte Streifen zieht sich von dem einen Ende des Körpers zum anderen, an seiner breiteren Stelle in der Mitte durch den Nucleus unterbrochen, an den Enden sich verschmälernd. Der breitere Pol des Kör- pers ist mit einem trichterförmigen Wulste mit nach innen umgebogenen Rändern versehen. Die Central- grube ist immer sichtbar. ` Wenn die Bewegungen des Thieres lebhafter wer- ` den, nehmen diese Wülste oft die Gestalt eines brei- ten Rüssels an, in dessen Ausbildung dem Hautschlau- che die Hauptrolle zukommt; der innere Muskel- schlauch bleibt gewöhnlich an seinem Ende zusam- mengezogen und schliesst den Eingang zur Verdau- ungshöhle ab. Der untere, schmälere Pol zeigt öfters einen dünnen cylindrischen Fortsatz, welchem eine gewisse Seibstständigkeit der Bewegungen zukommt. Der Cystenbildung geht ein Zustand lebhafter Zu- sammenziehungen voran, dann kugelt sich plötzlich der Thierleib und bildet eine zellenähnliche Kugel, welche in ihrer äusseren Gestalt sehr ‘an ein Warm- oder Molluskenei erinnert. Die Oberfläche der Kugel verdickt sich, de zuerst lebhaften Bewegungen derselben hören and; die wei- teren Umbildungen derselben zu verfolgen gelang mir nicht. Der Umstand, dass die Umwandlung dieser schon höher organisirten Gregarine in die Cystenkugel in sehr leichter Weise, als Resultat einfacher Contrac- . tionen des Thieres, vor sich geht, und dass die Cyste. dann nur eine liehtere Corticalmasse, mit einer dar- in eingeschlossenen körnig-fettigen, weichen Masse, nebst dem Kerne, darstellt, ohne dass in derselben Bulletin del ‘Acad Imp. dee LXV. | T E Stuart. Gregarinen. ` g D y Tu . ^ i t 4 i 4 e a Md Ga n ` Ñ Ld 1 LI duy ; Bv A Si = ege 501 des Sciences de Salat) toes. 502 die Fasern des Muskelschlauches zu entdecken wären, könnte zur Annahme führen, dass die beobächteien Stränge und Fasern nur als der Ausdruck eines vor- übergehenden Contractionszustandes der Corticalmasse zu deuten wären. Das geschah auch bezüglich der frü- heren Angaben von Lieberkühn und Claparède. Es ist aber zur Genüge bekannt, dass niedere Meer- thiere, besonders solche, welche wie die Gregarinen keines besonderen äusseren Schutzes ihrer Körper- bedeekungen bedürfen, öfters ganz complicirte Struc- turverhältnisse, durch eine plötzliche Aenderung des Brechungsvermögens der Gewebe, in rascher Weise gänzlieh der Beobachtung entziehen können. Gute Beispiele dafür bieten die Muskelnetze in der Classe der Heteropoden oder des Hutes einiger kleinen Me- dusen. Ebenso merkwürdig ist das schnelle Zerfliessen der Ctenophoren. und sogar einiger Würmer. Daraus ist zu schliessen, dass die grosse Zartheit eines Ge- webes keineswegs als Hinderniss zu dessen Zurech- nung zu den höher organisirten Geweben dienen kann, wenn dasselbe in seiner Function und Stuctur den gestellten Anforderungen entspricht. Ich bin aber sicher, dass eine mit Hülfe geeigneter Untersuchungsmittel unternommene Durchforschung der Gregarinen, namentlich der in den Würmern vor- gefundenen, welche anscheinlich eine entwickeltere Organisation besitzen, meine auf vorurtheilsfreie Be- obachtung begründeten Ansichten über den Bau die- A ser Gregarinen bestätigen und auf mige Arten er- weitern werden, Odessa, Febrnar 1870. —: Erklärung der Abbildungen. Taf. Fig. 1. Monocystis Telepsavi. Vergr. 300. Länge 0,0825"", Breite 0,0165"", Die kleineren E SE E nur 0,0165”” in der Länge und 0,0066 in der Breite. Der Nucleus beson- ders ausgebildet. Fig. 2. Contractionszustände, dung vorangehen. Fig. 3. Ausgebildete Cyste 0,0264"”. Fig. 4. Grosses Exemplar 0,1650"" lang. Rüssel und welche der Cystenbil- Trichter sichtbar. Die digestive Hóhle durchschim- mernd. Fig.5. Vergrösserung 500. Der contrahirte Trichter, Fig. 6. Zygocystis Pterotracheae. Zwei vereinigte Indi- viduen. Vergr. 300. Fig.7. Ein solitäres, eingekapseltes Individuum, die Trichteröffnung sichtbar. Fig.8. Der Trichter für sich. Beiträge zur Entwickelungsgeschichte einiger niederen Thiere; vorläufige Mittheilung von Elias Metschnikoff. (Lu le 13 octobre 1870.) 1, Kalliphobe, Es sind mir in Spezia zwei Arten die- ser Larvengattung vorgekommen, welche sich beide im Juni in kleine Polypen verwandelten. Der eben aus Kalliphobe entstandene Polyp erscheint in Form eines topfartigen oder beinahe cylindrischen Geschö- pfes, an dessen Vorderende sich bereits acht Tenta- keirudimente befanden, Zwischen den letzteren konnte man eine Mundöffnung wahrnehmen, welche in einen taschenförmigen, unten offenen Magen führte. Im In- nern der Leibeshöhle eines solchen Polypen waren zwei noch nicht ganz entwickelte Mesenterialfäden zu unterscheiden. Der Unterschied zwischen beiden aus Kalliphobe entstandenen Polypen beschränkte sich blos auf die Länge der Tentakeln sowohl, als auf die Poren der sogenannten Nesselorgane, Ich konnte einen aus Kalliphobe entstandenen Po- lypen während zweier Wochen beobachten. Er wuchs sehr schnell bis auf die Länge von einem Centimeter, Dabei nahm er eine lange Röhrenform an und endigte mit einem stumpfen abgerundeten Hinterende. Die Zahl der Tentakeln vermehrte sich zugleich bis auf acht, von denen die beiden zuletzt entstandenen viel kleiner als die primitiven Tentakeln waren. Im In- nern des Körpers konnte man jetzt deutlich zwölf Längsscheidewände wahrnehmen, welche je mit zwei Communicationsöffnungen versehen waren. Als cha- rakteristisch für unseren Polypen will ich noch her- vorheben, dass seine Oberfläche mit einer Menge in rosettantounige Klümpchen angesammelter Nesselor- gane versehen war. Der aus Kalliphobe entstandene Polyp gehört zu der Gruppe der sog. Polyactinien, weil er aus mehr als 8 Segmenten besteht. Die Abwesenheit eines Ske- letes in seinem Körper deutet darauf hin, dass der Polyp zu den Polyactinia Malacodermata gerechnet E 32 503 Bulletin de l’Académie {Impériale 504 werden mnss. Offenbar gehört er (da er keinen echten Fuss besitzt) zu der Familie der Edwardsien. Von den beschriebenen Gattungen passt der Kalliphobe- Polyp am meisten zum Genus Xantiopus Keferstein. 2, Hippopodius gleba. Zu meinen über die Entwicke- lung der Siphonophoren gemachten Mittheilungen ') will ich jetzt einige kurze Notizen über die Entwicke- lungsgeschichte von Hippopodius gleba zusetzen. Die ersten Entwickelungsvorgänge bei Hippopodius sind denen bei allen anderen Siphonophoren vollkom- men gleich. Es bildet sich aus dem Embryo eine zun- genförmige freischwimmende Larve, in welcher sich die beiden Hauptschichten des Körpers (Ectoderm und Entoderm) differenziren. Das Eigenthiimliche in der Entwickelungsgeschichte von Hippopodius beginnt mit dem Stadium, wenn sich die beiden Körperschich- ten, besonders aber das Ectoderm, zu verdicken an- fangen. Diese locale (auf der oberen, breiteren Hälfte des Larvenkörpers sich befindende) Verdickung erhält bald eine innere Höhle, so dass sie im Innern des Larvenkörpers ein mit den Körperwändungen zusam- menhängendes Bläschen zum Vorschein kommt. Zu gleicher Zeit fängt das Ectoderm der oberen Hälfte des Larvenkörpers an, eine Schicht glasheller Gallertsub- stanz auszuscheiden, welche sich zwischen dem Eeto- und Entoderm ansammelt. Vermittelst dieses Vorgan- ges differenziren sich sehr stark die beiden (obere und untere) Körperhälften, von welchen die obere (das er- wähnte Bläschen enthaltende) durch Gallertansamm- lung stark aufgetrieben wird. Bei weiterer Entwickelung (etwa am zehnten Tage nach dem Eierlegen) erweist sich das innere Bläschen als die innere Wandung der Schwimmglocke, welche bald ihre Radialgefässe bekommt. Die obere Hälfte des Larvenkörpers verwandelt sich überhaupt in die erste Schwimmglocke, während die untere Hälfte der- selben zum ersten Magen wird. Dieser fängt bald an, seine eigenthümlichen wurmartigen T zu wb: Die weitere Entwickelung von Hippopodius wurde nicht beobachtet. 3. Polygordins. Es sind mir in Villafranca Larven von zwei Polygordius- Arten vorgekommen. Die eine ist gel Bulletin D no Impér. d. Sci iences de St.-Pétersbourg. 0. T. XV, p mit der von Schneider bei Nizza beobachteten Art identisch; nur konnte ich viel jüngere Stadien beob- achten. Ich habe solche Larven untersucht, deren hintere Kórperabtheilung kaum grósser als die vor- dere war. Jederseits neben dem Mastdarme solcher Larven fand ich je eine feine Röhre, welche zwei Endóffnungen hatte und offenbar die Rolle eines (ver- gehenden) Excretionsorganes erfüllte. Die Weiterent- wickelung solcher Larven geschieht einfach dadurch, dass sich der hintere Kórpertheil verlängert und all- mählich seine charakteristische Form annimmt. Der Schwanzwimperreifen gehört zu den späteren Erschei- nungen. Die Metamorphose der ieri von mir gesehenen Poly gordius-Art ist in manchen Stücken abweichend, weshalb ich darüber näher berichten will. Bei den jüngsten von mir gesehenen Larven (welche ebenfalls dem sog. Loven’schen Typus angehören) fand sich schon, dass der After sich auf einem in’s Innere des Larvenkörpers eingestülpten Zapfen befindet, welcher somit das hinterste Ende des Körpers darstellt. Die weitere Entwickelung besteht hauptsächlich darin, dass dieser eingestülpte Körpertheil stark in die Länge zunimmt, wobei er sich in ringförmige Falten zu- sammenlegt. So kommt es denn, dass wir im Innern der Larve eine ganze Reihe etagenartig neben einan- liegender Ringfalten finden, in deren Centralaxe der gerade Darmkanal verläuft. Dabei hat die Larve ein ähnliches Aussehen wie eine alte Actinotrocha mit einem in ihrem Innern liegenden Wurmtheile. Nach einem mehr oder weniger langen Schwärmen kommt das kritische Stadium der Metamophose zu Stande. Die Bewegungen der Larve werden langsamer, und es tritt aus ihrer Hinteréffnung (nicht aus dem After) der im Innern der Larve gelegene Wurm her- aus, wobei zuerst der nunmehr mit zwei Cirren ver- sehene Analzapfen nach aussen kommt. Auf ihn folgen die ringförmigen Falten, welche sich allmählich aus- einanderlegen und den definitiven Wurmkörper bilden. Wenn dieser seine charakteristische Form bereits an- genommen hat, zerfällt der breite Wimperring in mehrere Stücke, welche bald eins nach dem andern abfallen. Der aus dieser Larve hervorgehende Polygordius unterscheidet sich von den übrigen Repräsentanten LI 505 des Sciences de Saint-Pétersbourg. dieser Gattung?) dadurch, dass er, ausser zwei Kopf- tentakeln, noch zwei tentakelfórmige Cirren auf dem hinteren Körperende in der Nähe des Afters trägt. Neben dem letzteren befindet sich noch eine Reihe warzenförmiger Erhebungen, welche denen von Poly- gordius lacteus Schndr. sehr ähnlich sind. Das Ge- huen ist bei dieser Art sehr leicht zu unterscheiden; eine Bauchganglienkette konnte ich aber nicht wahr- nehmen. 4, Clepsine. In diesem Sommer konnte ich die Ent- wickelung von Clepsine bioculata untersuchen, wobei ich hauptsächlich auf die Keimblätterbildung meine Aufmerksamkeit richtete. Bei dem ersten Erscheinen der beiden Keimstreifen bestanden dieselben bereits | ans drei Keimblättern. Das oberste Blatt erschien in Form eines dünnen Häutchens, welches den ganzen Embryo von allen Seiten umgab. Die beiden anderen Keimblätter beschränkten sich blos auf die Keimstrei- fen. Das eine von diesen Blättern, dasjenige nämlich, welches unmittelbar unter dem obersten Häutchen lag, bestand aus einer Reihe grosser Zellen, welche in vier Reihen in jedem Keimstreifen geordnet waren. Das untere, dicht dem. Dotter anliegende Blatt er- schien in Form eines dicken, aus kleinen Zellen be- stehenden Wulstes. Bei weiterer Entwickelung, zur Zeit wann sich die beiden Keimstreifen in cin Ganzes verschmolzen haben, erfahren die Keimblätter wich- tige Umänderungen, wobei übrigens das oberste dünne Blatt nur eine untergeordnete Rolle spielt. Dieses behält seine ursprünglichen Eigenschaften und erweist sich bald als die Epidermis des Embryo. Das zweite Blatt, welches nunmehr aus kleineren Zellen zusam- mengesetzt wird, bildet dann das centrale Nervensy- stem. Das dicke untere Blatt erfährt zu gleicher Zeit eine Spaltung im oberen Theile des Embryo, wodurch sich eine Reihe Höhlungen bildet, welche durch Schei- dewände von einander getrennt werden. Die Spaltung im Bereiche des dritten Blattes schreitet immer fort, wobei die Zahl der würfelförmigen Höhlen um ein 2) Zu den zwei von Schneider bei Helgoland aufgefundenen Polygordius - Arten muss ich noch eine dritte zufügen, welche ich 1867 in Jalta (in der Krimm) untersucht habe. Diese Art, welche mit ziemlich langen Kopftentakeln versehen ist, hat einen in zwei zugespitzte Ausläufer sich endenden Schwanz. Das Gehirn ist auch bei dieser Art sehr schön zu sehen, so wie auch eine herzartige Er- weiterung des Dorsalgefässes. Das ganze Thier erscheint in Form eines weissen. (nur mit einem rothen Flecke im vorderen Körper- theile) Wurmes, welcher ungefähr 1,5 Centim. in der Länge misst. Bedeutendes vermehrt wird. Man kann sehr leicht die Überzeugung gewinnen, dass das sich spaltende Blatt die äussere (vielleicht auch die innere) Wand des Mit- teldarmes, den sog. Fettkörper und die Segmentalor- gane liefert. Während der beschriebenen Vorgänge bildet sich eine Verdickung des obersten Blattes im vorderen Theile des Embryo, welche sich bald in den Vorderdarm verwandelt. Nachdem sich der Embryo so weit ausgebildet hat, verlässt er die Eihülle und befestigt sich vermittelst einer Epidermoidalverdi- ckung an die Bauchwand der Mutter. Er nimmt da- bei rasch an Grösse zu, erfährt aber hierbei keine wichtigen Veränderungen. ' Was die Frage über die morphologische Beziehung der Keimblätter von Clepsineembryonen zu den Keim- bláttern anderer Articulaten und Wirbelthiere betrifft, so muss ich bemerken, dass der Hauptunterschied bei Clepsine darin besteht, dass sich das epidermoidale . Blatt sehr früh von der Nervenanlage absondert. Es kommt dadurch ein ähnliches Verhältniss zu Stande wie bei Batrachiern, wo man bekanntlich vier Blätter aufgefunden hat. Die beiden ersten Keimblitter von Clepsincembryonen werden somit dem oberen Dlatte des Skorpions und anderer Articulaten entsprechen. 5, Seebryozoen. Ich habe mich bereits früher (Gót- tinger Nachrichten. 1869. X 12) gegen die vonSchnei- der geäusserte Meinung, nach welcher die Bryozoen während der Metamorphose eine Art sog. Histolyse erfahren, ausgesprochen. Jetzt kann ich meine An- sicht mit neuen Beobachtungen verstürken. Ich konnte in S. Vaast (Normandie) die Entwickelung einiger Seebryozoen verfolgen, von denen eine der Membra- nipora nahe verwandte Gattung sich besonders gut zu entwi gsgeschichtli hen Zwecken eignete. Die Larven dieses (noch nicht genau bestimmten) Moos- thierchens glichén insofern den Cyphonautes, als sie eine zweiklappige Schale besassen; sie erschienen aber viel linger, so dass die Schale eine hülsenartige Ge- stalt zeigte. Im Innern der Larve konnte man einen‘ obwohl nicht ganz entwickelten Darmtractus unter- scheiden, den ich niemals functioniren sah. Ausserdem konnte man noch eine ganze Reihe Muskeln wahrneh- men, welche die Bewegungen der Schale, so w eauch eines fussartigen Organes vermittelten. Der änssere Körperrand der Larve war mit einer Reihe langer Wimperhaare bekleidet, welche stets in Bewegung 306 . 507 Bulletin de l’Académie Impériale 508 begriffen waren. Die Schwärmerperiode dauert im ‚Verhältniss zu Cyphonautes nur kurze Zeit, weshalb es auch begreiflich wird, warum der Darmkanal un- serer Larve nicht zur nada -Entwickelung kommt. Nach ihrem Festsetzen verliert die Larve ihren Wimperüberzug und breitet sich dabei etwas aus. Es beginnt dann die regressive Metamorphose der inne- ren Larvenorgane, welche allmählich in eine fettartige körnige Masse umgewandelt werden. Nur die breite Hautschicht nimmt an diesen Erscheinungen keinen Antheil, indem sie eine Zeit lang ganz unverändert bleibt. Aber noch bevor sich die Larvenmuskeln re- gressiv metamorphosirt haben, fängt eine locale Haut- verdickung an sich zu bilden, welche bald zu einem grossen ovalen Körper wird. Dieser letztere bildet nun. die Anlage zu den Eingeweiden des definitiven Thieres. Es sondert sich aus ihm zunächst die Ten- takelscheide nebst den Tentakelanlagen ab, zu denen sich bald noch der Darmkanal gesellt. Die weitere Entwickelung zeigt uns nichts Besonderes und ver- läuft wie bei den meisten Seebryozoen. Aus dem Gesagten geht klar hervor, dass, wenn auch manche Larvenorgane während der Verwand- lung zu Grunde gehen, sich die Eingeweide des defi- pitiven Thieres nicht aus Zellentriimmern bilden, son- dern aus der stets ihre Structur behaltenden Haut- schicht der Larve. 6. Aleyonella. Die Entwickelung der Süsswasserbryo- zoen verläuft im Ganzen viel einfacher als bei See- bryozoen, da bei jenen die Larveneingeweide direkt in die entsprechenden Gebilde des definitiven Thieres übergehen. Trotzdem zeigt uns die Entwickelungsge- schichte der im süssen Wasser lebenden Moosthier- chen manche interessanten Erscheinungen. Besonders auffallend erscheint die seit Dumortier und Van Beneden constatirte Doppelleibigkeit der Alcyonella- larven, welche ich bei Moskau in hinreichender Menge een konnte. Die Eier von Aleyonella bilden sich in der inneren epithelialen Schicht, welche die Leibeshöhle ausklei- det. Sie erscheinen in Form einfacher Zellen, welche zusammen einen Eierstock darstellen. Von dem letz- teren lösen sich reife (noch mit einem Keimbläschen versehene) Eier ab, welche eine Zeitlang in der Lei- beshöhle schwimmen, dann aber in Verbindung mit in Form einer gewöhnlichen Bryozoenknospe, indem sie sich als eine locale warzenartige Verdickung der Körperwand bildet. Ich konnte niemals direkt beob- achten, wie sich das Ei an diese Knospe befestigt; Thatsache ist aber, dass die letztere das reife Ei in sich einschliesst, indem sie um dasselbe eine Duplica- tur (in der Art von decidua reflexa) bildet. Nach einer totalen Zerklüftung verwandelt sich das ursprüngliche Ei in einen Zellenhaufen, in dessen Cen- trum sich dann eine innere Höhle — Leibeshöhle — bildet. | 4 Während der Grössenzunahme des Embryo kommt die Differenzirung seiner Wandungen .zu Stande, in welchen man jetzt schon deutlich zwei Schichten, oder Keimblätter wahrnimmt. Zur Zeit wenn sich der Em- bryoin einen verhältni fórmigen Körper mit einer gerüumigen beibechöhle umgewan- delt hat, findet die erste Bildung von zwei Knospen statt, w elche als kleine Einstülpungen am oberen Ende des Embryo entstehen. Bald darauf bildet sich unge- de | fähr in der Mitte des Embryonalkörpers eine Ringfalte, welche allmählich nach oben verwächst und die die sog. Zooiden umhüllende Scheide darstellt. Die beiden Zooiden entwickeln sich wie gewöhnliche Knospen, wobei die beiden Keimblätter einen grossen Antheil nehmen. Das obere Blatt dient zur Bildung der Epi- dermis, des Tentakel- und Darmepithels und höchst wahrscheinlich auch zur Erzeugung des bei den Em- bryonen sehr grossen Nervenganglions. Das untere Blatt bildet dagegen die Muskeln des gesanımten Kör- pers, sowie das innere Epithel nebst Geuitalien._ 7: Comatula, Ich lasse auf die kurze Darstellung der morphose von Comatula mediterranea wahrgenomme- nen Thatsachen folgen, und thue es aus dem Grunde, weil die Entwickelungsstadien dieses Echinoderms in manchen auffallenden Punkten an Bryozoen erinnern. Ich unternahm die Untersuchung von Comatula zu dem Zwecke zu bestimmen, ob auch dieses Thier die- selben Entwickelungserscheinungen in Bezug auf die Entwickelung innerer Organe zeigt, wie die übrigen Echinodermen. Ich musste demnach vor Allem con- statiren, ob die Larven von Comatula solche sog. la- terale Scheiben oder ihre Homologa besitzen, wie es ‚einer eigenthümlichen Knospe treten. Diese erscheint ` Entwickelungsgeschichte von Aleyonella eine ebenfalls - kurze Auseinandersetzung der von mir bei der Meta- > in der Lage der Verdauungsorgane und Tentakeln ist 509 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 510 für die Larven vieler Echinoder men und für Tornaria nachgewiesen worden ist. Es hat sich bald ergeben, dass bei Comatula keine solchen Bildungen aufzuweisen sind, dass bei diesem Thiere überhaupt das Wasserge- fässsystem auf eine andere Weise als bei den übrigen Echinodermen zur Ausbildung kommt. Bei den freischwimmenden Comatulalarven ist der sackförmige Darm das einzig vorhandene innere Or- gan. Es geht unmittelbar in das entsprechende Gebilde des definitiven Thieres über, wobei freilich das hintere Ende des Larvendarmes atrophirt wird. Nach dem Festsetzen der Larve bemerkt man in ihrem Innern den abgerundeten Darmkanal nebst den mit ihm unmittel- bar zusammenhängenden Ambulacraltentakeln, welche einstweilen noch nicht ganz entwickeltsind. Erst spä- ter brechen die Tentakeln nach aussen durch, wenn der Darmkanal bereits weiter diferenzirt und mit ei- ner Mund- und Afteröffnung versehen ist. Die erstere dieser Öffnungen liegt im Centrum der ovalen Fläche, während der nicht weit davon entfernte After auf ei- ner Seite des Kelches ausmündet. Gleichzeitig mit den beschriebenen Veränderungen kommt eine grosse, die Eingeweide enthaltende Höhle zum Vorschein, welche sich in zwei Partien theilt. Die obere Höhle verbindet sich unmittelbar mit dem inneren Hohlraume der Ten- takeln und repräsentirt den sog. Ringkanal. Im Zu- sammenhange mit diesem steht die grössere untere Höhle, welche die eigentliche sog. Leibeshöhle repräsen- tirt. Die eigentliche Form und Lage der Verdauungs- organe, sowie die beiden Höhlen zeigen uns Verhält- nisse, welche eine grosse Ähnlichkeit mit den von Nitsche näher untersuchten anatomischen Eigen- thümlichkeiten der Süsswasserbryozoen (namentlich Alcyonella fungosa) haben. Bei diesen (s. Nitsche im Archiv für Anat. und Physiol. 1868. p. 487) zerfällt ebenfalls die innere Höhle in einen oberen (im Lopho- phor liegenden) Abschnitt (welcher offenbar dem Ring- kanal von Comatula entspricht) und einen unteren, die eigentliche Leibeshóhle. Hier finden wir auch ein Peritoneum und eine innere die Leibeshóhle umklei- dende (in mehr oder weniger geringem Maasse) Wim- perepithelschicht, welche bei allen Echinodermen ihre Homologa findet. Die grosse Ähnlichkeit im Bau und nach dem oben Gesagten ganz klar. Odessa, October 1870. Vorläufige Notiz über die Anwendung secun- därer oder Polarisations-Batterien auf electro- magnetische Motoren. Von M. Jacobi. (Lu le 27 octobre 1870.) Ich erlaube mir der Academie mitzutheilen, dass ich seit etwa 1Y/, Jahren meine Aufmerksamkeit von Neuem auf die Anordnung der electromagnetischen Motoren verwendet habe. Die allgemeinen Bedingun- gen, welchen diese Motoren unterworfen und die Ge- sichtspunkte die bei ihnen massgebend sind, hatte ich in meinem vor etwa 20 Jahren publicirten Mémoire sur la théorie des machines electromagnétiques fest- gestellt. Als eins der wichtigsten damals gewonnenen theoretischen Resultate kann bezeichnet werden, dass, wenn bei diesen Motoren Widerstand und Geschwin- digkeit der Production einer Maximal-Arbeit gemäss angeordnet sind, diese letztere nicht abhängig ist von den aufgewendeten Draht- und Eisenmassen und der speciellen mechanischen Anordnung. des Motors, son- dern proportional der chemischen Action in der Batterie — also für gewöhnlich der Zinkeonsumtion — mul- tiplicirt mit der electromotorischen Kraft der Ele- mente. Die Anwendung grösserer oder geringerer Me- tallmassen hatte hier nur die Bedeutung der in der Mechanik gebräuchlichen Organe zur Umwandlung des Verhältnisses der beiden Factoren, Kraft und Ge- schwindigkeit, bei denen das Produet im Wesentlichen nicht afficirt wird. Insofern nun einerseits von einer mehr oder weniger sinnreichen mechanischen Combina- tion bei diesen Motoren wenig oder nichts zu erwarten war und andererseits wegen der Kostspieligkeit des in den galvavischen Batterien aufgewendeten Materials, deren ökonomischer Nutzeffect sich als unverhältniss- mässig gering herausstellte, war wohl meinerseits ein vorläufiges Aufgeben der Beschäftigung mit diesen Mo- toren, der esübrigens an Aufmunterung keineswegs gefehlt hätte, vollkommen gerechtfertigt. - Was mich zur Wiederaufnahme dieser Arbeiten bewog, sind neue Gesichtspunkte, die ich seitdem ge- wonnen habe, von denen ich keineswegs behaupten will, dass sie das Problem entschieden lösen, die aber nel verdienen, einer näheren Prüfung und Erör- terung unterworfen zu werden. Bei meinen frühern Arbeiten hatte ich häufig den, À ich weiss nicht ob irgendwo von mir erwähnten Ver- |such gemacht, einen solchen Electro- Motor in der au Bulletin de l'Académie Impériale 512 Ebene des magnetischen Meridians zu orientiren, um durch Drehung des Apparats auf mechanischem Wege einen magneto-electrischen Strom zu erzeugen. Auch hatte ich öfters den galvanischen Strom nur durch die Electromagnete des einen Systems, des beweglichen oder des festen, geführt, um in den Spiralen desandern Systems einen magneto-electrischen Strom zu erzeu- gen. Ich hatte um so weniger Veranlassung, diese Ver- suche zu verfolgen, als deren Resultat mir nichts Neues darbot und überhaupt die bei den electro- magnetischen Motoren ‚auftretenden Gegenströme, wenn sie auch nicht den ökonomischen Effect geradezu beeinträchtigten, dennoch der vollkommenen Aus- nutzung der Batterie hinderlich waren. Selbstver- ständlich musste ich mehr dafür eingenommen sein, diese Ströme zu beseitigen, als deren Energie zu fördern. Wenn ich auch in dem erwähnten Mémoire (Art. 20) die Gründe auseinandergesetzt habe, warum ich da- mals wenig oder keine messenden Versuche ange- stellt, so zeigte mir doch schon das oberflächlichste Appercu, dass die dt gee ey Coercitivkraft oder viel- ti der Kisenmassen einen wesentlichen Einfluss auf den Nutzeffect dieser Moto- ‘ren ausübt, indem der schnelle Wechsel der Polari- täten Perez? verzögert wird; zugleich auch, dass die- ser remanente Magnetismus nicht nur mit der Masse des Eisens unverhältnissmässig wächst, sondern auch durch ihre geometrische Form bedingt ist. So konnte z. B. die von Herrn Joule in Manchester vorgeschla- gene sinnreiche Form der Electromagnete bei meinen Untersuchungen nicht in Betracht gezogen werden, we- gen des ausnehmend grossen remanenten Magnetismus, welchen diese Eleetromagnete besitzen, obgleich ihre Anwendung manche Vereinfachung in der Construction der Motoren möglich machen und viele Bequemlich- keit darbieten würde. Es war bei mir, schon in der letzten Zeit meiner frühern Untersuchungen, zum Grundsatz geworden, den Electromagneten nur die einfachsten Formen zu geben und alle solche Theile zu vermeiden, welche der unmittelbarsten Einwirkung der magnetisirenden Spiralen sich entziehen und die nur von den magnetisirten Eisenkernen selbst einen indueirenden Einfluss erfahren. Eine Abweichung von dieser Regel ist da gestattet, wo keine dynamischen Effecte in Anspruch genommen werden, sondern wo mehr der es sich darum handelt, Electromagnete von grosser Tragkraft zu construiren, wo allerdings die Anwen- dung von unbeschäftigten Eisenmassen und von beson- dern Formen sich als nützlich erweist. Wenn ich nun in meinem Mémoire (Art. 5) sewitliós dass jede electromagnetische Maschine zugleich eine magneto-electrische ist, und dasselbe auch umgekehrt Statt findet, so müssen auch bei der Construction der zur Erzeugung magneto - electrischer Ströme con- struirten Apparate obige Regeln sich geltend machen. Es ist also vollkommen gerechtfertigt, die zuerst von Herrn Wilde in Manchester, später von den Herren Wheatstone, Ladd und Simens, oft in colossalem Maassstabe construirten magneto-electrischen Appa- rate, von denen ich öfters Gelegenheit hatte, die Academie zu unterhalten, als Apparate zu betrach- ten, die gewissermaassen gegen alle Regeln construirt sind, und die nur sehr unzulängliche Effecte hervorbrin- gen würden, wenn man sie mit Hülfe galvanischer Batterien als Motoren anwenden wollte. Es war gleich bei der ersten Bekanntwerdung dieser Erfindungen evident, dass bei ihnen ein möglichst starker rema- nenter Magnetismus unabweisliche Bedingung ist, und so war es nicht zu verwundern, dass electro- magnetische Motoren, durch mechanische Mittel in Be- wegung gesetzt, je rationeller construirt, um so weni- ger solche sich immerfort steigernden magneto - elec- trische Stréme lieferten, wie die oben erwähnten Apparate. Wenn man nun aber in der That im Stande ist, durch diese Apparate die wundervollsten Effecte hervorzubringen und Ströme zu erzeugen, die an Stürke alles überbieten, was, soviel ich weiss, bis jetzt durch galvanische Batterien geleistet worden ist, so sei es erlaubt, darauf aufmerksam zu machen, dass solche Erfolge nur möglich geworden sind durch ei- nen unverhältnissmässigen Aufwand. der zur Activi- rung solcher Apparate angewendeten mechanischen‘ Arbeit. Erörtert man nun die Frage, ob diese Arbeit, abgesehen von der Reibung und andern mechanischen Hindernissen, allein auf die Production solcher Ströme verwendet wird, so muss diese verneint und auf die grosse Wärmeentwicklung hingewiesen werden, wel- che in diesen Apparaten stattfindet, welche leicht bis zur Verbrennung der zur Isolirung der Drahtspiralen angewandten Substanzen geht, welche eine Desorga- nisation und Klemmung der reibenden Theile herbei- 513 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 514 führt und der Anwendung dieser Apparate ein wesent- liches Hinderniss darbietet. Wenn nun auch durch künstliche Mittel, wie die Übertragung der entwickelten Wärme auf andere Körper, z. B. auf immer sich erneuernde Wasser- massen, diese Hindernisse zum Theil beseitigt werden kénnten, so ist es einleuchtend, dass hierdnrch für den eigentlichen Zweck nichts gewonnen wird. Getreu den unabänderlichen Gesetzen der Erhaltung der leben- digen Kräfte, ist die verwendete Arbeit genau gleich der Summe der mechanischen Aquivalente der producir- , ten Wärme und der producirten Stromeseinheiten. Je grösser die erstere, desto geringer die letztere und so umgekehrt. Da nun bei den electromagnetischen Motoren die galvanische Arbeit eine ähnliche äquiva- lente Spaltung in Wärme und mechanische Arbeit er- fährt, so ist für beide Kategorien von Apparaten die Richtung streng bezeichnet, die einzuhalten ist, wenn von irgend welchen Verbesserungen bei diesen Appa- raten die Rede sein soll. In beiden Fällen muss auf Verminderung des producirten Wärmeäquivalents hin- gearbeitet werden, um dort das Äquivalent der Ströme, hier das der mechanischen Arbeit zu vergrössern. Der nächste Eindruck, den man auf diesem Er- scheinungsgebiete erfährt, ist wohl der, dass, wie be- kannt, durch Störungen im magnetischen Gleichge- wichte idiomagnetischer Massen, electro- dynamische Ströme. hervorgerufen werden können; dass diese | Ströme eine gewisse mechanische Arbeit consumiren und ein entsprechendes Wärmeäquivalent entwickeln, welche beide nicht nur abhängig sind von der! spec. magnetischen Coörcitivkraft der erwähn- ten Massen, sondern auch von ihrer geometri- schen Form; dass endlich der nach den magneti- schen Störungen beobachtete remanente Magnetismus, einigermaassen einen Ausdruck abgiebt für die zu diesen Störungen erforderliche grössere oder geringere mechanische Arbeit und des hierbei entwickelten grössern oder geringern Wärme- äquivalents. Hier liegt ein weites und wichtiges, aber schwieriges Feld von Untersuchungen vor, für welche als Material bis jetzt nur wenige Vorarbei- ten vorhanden sind. Als practisches Resultat dieser nn er- . giebt sich, dass von solchen electromagnetischen Mo- Tome XY. 1 toren ein relativ grösserer Nutzeffect zu erwarten sei, bei denen eine gróssere Beschrünkung der zu den , einzelnen Electromagneten verwendeten Eisenmassen stattfindet. Einen solchen Apparat habe ich schon in vorigem Jahre construiren lassen, der aus Eisenstüben besteht, die nur 9"" im Durchmesser und 54"" Länge haben und die mit Drähten von 0745 Dicke bewickelt sind, in der Art, dass zum Durchmesser der Spiralen der doppelte Durchmesser der-Eisenkerne genommen ist. Die durch diesen Apparat producirte Arbeit zu mes- sen, bin ich bis jetzt noch nicht im Stande gewesen; oberflächlich durch Hebung irgend eines Gewichts mochte ich es nicht, und eben so wenig durch ein zu diesem Zweck construirtes Pronysches Dynamometer, dessen Unzulünglichkeit zur Messung kleinerer mecha- nischer Arbeiten ich bei meinen früheren Versuchen er- fahren hatte. Ich beabsichtige aber, wenn anderwei- tige Vorbereitung werden beendigt sein, solche Mes- sungen vorzunehmen durch einen thermodynamischen Apparat, der zu diesem Zwecke bereits entworfen ist, und bei welchem die Totalität der während einer be- stimmten Zeit geleisteten Arbeit durch Reibung consu- mirt und zur Erwärmung einer umgebenden Flüssig- |keit verwendet wird. Ich habe ein um so grüsseres Vertrauen zum Erfolg dieser Messmethode, als die dazu erforderlichen Apparate lange vorher entworfen waren, ehe der berühmte Schópfer der neueren neshänlichei Wärmetheorie dieselbe Idee, den im vorigen Jahre in ‘Innsbruck versammelten Naturforschern vorgelegt hatte. Welche Art galvanischer Batterien zu den electro- magnetischen Motoren verwendet werden solle, ist. für die practische Bedeutung dieser Motoren eine Le- bensfrage. Zunächst muss eine solche Batterie mög- lichst constant sein und eine möglichst grosse electro- motorische Kraft besitzen; dann erfordert es die von uns angewandte Bewicklung mit dünnem Draht, dass die Batterie aus zahlreichen zur Kette verbundenen Elementen bestehen müsse. Wer je mit diesen immer unentbehrlicher werdenden Apparaten zu thun gehabt hat, wird die Schwierigkeiten, eine für unsere Zwecke passende Wahl zu treffen, gewiss nicht unterschätzen. Ich habe, um mich meiner Aufgabe zu erledigen, einen, wie ich glaube eigenthümlichen Weg einge- schlagen und hätte wahrscheinlich die Beschäftigung mit diesen Motoren gar nicht wieder aufgenommen, 33 515 Bulletin de l’Académie Impériale 516 wenn sich mir nicht von vornherein dieser Weg als zum Ziele führend dargeboten hätte. Vor etwa 25 Jahren hatte ich der Academie eine Mittheilung gemacht über die Einführung einer durch Polarisation erzeugten Contrebatterie, für solche telegraphische Leitungen, welche entweder zu gut oder zu mangelhaft isolirt sind, zwei extreme Fille, welche bekanntlich der Übertragung. telegraphischer Zeichen die meisten Schwierigkeiten darbieten. Eine solche secundäre oder Polarisationsbatterie habe ich nun schon bei meinen vorläufigen Versuchen mit Er- folg angewandt. Sie besteht nicht, wie meine frühere Contrebatterie, aus Platin, sondern ich habe dazu nach dem Vorschlage des Hrn. Planté in Paris, in starker Schwefelsäure von 1,3 sp. Gew. tauchende Bleiplatten gewählt. Diese Polarisationsbatterie, von der ich ge- genwärtig 50 Elemente, jedes zu 900 Quadrat-Centi- meter wirkender Oberfläche und dennoch sehr wenig Raum einnehmend, construiren lasse, befinden sich in kleinen Guttaperchatrógen von nur 6%5 Länge, 673 Breite und 13°76 Hohe. Aus diesen 50 Elementen werden 2 Batterien formirt, jede zu 25 Elementen, und ist die Einrichtung so getroffen, dass wenn die, zu einer Oberfläche von 2”, Quadrat-Metre verbundenen 25 Elemente der einen Batterie geladen werden, die Elemente der andern zu einer Kette varo tdem auf den Motor wirken. Nach einer gewissen durch Er- fahrung zu bestimmenden Zeit, geschieht plótzlieh der Wechsel; die erste Batterie wird, zur Kette verbun- den, in Thätigkeit gesetzt, während die zweite mit ihrer ganzen Oberfläche geladen wird. Die von Herrn Thomson in Kopenhagen vorgeschlagene Methode der abwechselnden Ladung immer nur eines Elements, . habe ich als unzweckmüssig gefunden und lieber eine dem Princip der bekannten Poggendorffschen Wippe - entlehnte Vorrichtung zur Herstellung der verschie- denen Verbindungen gewählt, obgleich es nicht leicht war, bei so vielen Elementen diesen Zweck auf be- queme und sichere Weise zu erreichen. Der Wech- sel muss natürlich automatisch geschehen; bei meinen vorlàufigen Versuchen wurde er durch eine electro- magnetische Vorrichtung bewirkt, die mich aber we- nig befriedigte; bei der jetzt zu construirenden Batterie werde ich eine Art hydraulischen sehr einfachen Mecha- nismus anbringen, der zugleich eine genaue Reguli- rung der Perioden des Wechsels zulässt. - ‘Zur Ladung hatte ich mich früher zweier grossplatti- gen Bunsenschen Elemente bedient, ich werde diese durch eine gleiche Anzahl Grovescher Elemente er- setzen oder noch wahrscheinlicher durch 4 grossplattige Danielsche Elemente, um mich von der lästigen schwer zu beseitigenden Entwicklung der.salpetrigen Dämpfe zu befreien, welche die beiden ersten Arten von Batterien begleiten. Hat man mehrere grosse Tróge, worin galvanoplastische Kupferreductionen durch den sogenannten einfachen Apparat vorgenommen werden, so können diese die Danielschen Batterien. insofern vortheilhaft ersetzen, als man hierbei galvanoplastische Abgüsse statt der in den Batterien mehr oder weniger unregelmässigen Kupferniederschläge erhalten kann. Es ist hierbei noch der Vorzug zu erwühnen, dass man hierbei nach Umständen mehr als 4 Trog-Ele- mente zur Kette verbinden könnte, ohne einen 6kono-_ mischen Nachtheil durch die gróssere relative Zink- consumtion zu erfahren. Die Polarisation der Bleiplatten ist zumeist der Bildung einer Schicht von Bleihyperoxyd zuzuschrei- ben, die sich auf der Anode bildet. Die Elemente haben eine hóhere electromotorische Kraft als die' eines wohlgeladenen Bunsenschen oder Groveschen Ele- ments. Der innere Widerstand der Bleielemente ist nur gering, wegen der grossen Oberfläche, welche die- selben besitzen, wegen der guten Leitungsfähigkeit der angewendeten Schwefelsäure von 1,3 sp. Gew. und endlich wegen des geringen nur etwa 3™™ betragen- den Abstandes der Platten von einander. Die sonst bei secundären Batterien wahrgenommene überaus . schnelle Abnahme der electromotorischen Kraft ist bei den Bleibatterien weniger merkbar, besonders wenn der eingeschaltete ee Widerstand nicht ear zugeringist. Ihre Dauer hängt übrigens von der Dauer der Ladung ab; die Zeit, in welcher diese ihr Maximum erreicht, wird ermittelt werden. Über dieses Maximum hinaus zu gehen, wire nachtheilig, weil hierdurch der von der electromotorischen Kraft abhängige Nutzeffect des Motors beeinträchtigt würde. Es ist auch hier ein weites Feld der Untersuchun- gen offen, die weit entfernt sind, abgeschlossen zu sein. Es handelt sich einmal, das dem Maximo des Effects entsprechende Verhältniss der primären Batterie zu der secundären zu finden, wobei es sich sehr wohl ereignen kann, dass die fernere Untersuchung eher LI 517 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 518 eine Verminderung als eine Vergrösserung der Ober- fläche der secundären Elemente fordern dürfte, was‘ übrigens durch eine geringere Ausfüllung der kleinen Tröge leicht geschehen kann, und dann ist gar wohl möglich, dass noch andere secundäre Combinationen aufzufinden sind, die wenn auch keine grössere electro- motorische Kraft, doch eine von längerer Dauer dar- bieten. Ich will mich übrigens hier sogleich gegen eine etwaige Missdeutung meiner Ansichten verwahren. Wenn es feststeht, dass bei der Verwandlung der Wärme in mechanische Arbeit, das durch verschiedene Versuche ziemlich sicher ermittelte mechanische Aequivalent der Wärme nicht überschritten werden kann; wenn ich zugebe, dass wahrscheinlich unter allen Umständen ein ähnliches Aquivalent, wenn auch noch nicht streng ermittelt, bei der Umwandlung der chemischen Processe der Batterie. in Wärme und me- chanische Arbeit sich geltend macht, so kann ich nicht durch Vermittelung einer secundärenBat- terie einen grössern Nutzeffect erzielen wol- len, als die unmittelbare Anwendung der pri- mären Batterie auf den Motor liefern würde. Ich bin von dem practischen Gesichtspunkte ausge- gangen, dass es viel bequemer ist, statt 35 Grove- scher oder Bunsenscher oder 60 Danielscher Ele- mente nur 2 Elemente der erstern oder 5 der letztern Art von grosser Oberfläche und dabei 50 secundäre Elemente zu verwenden, die keiner beständig zu er- neuernden Ladung und keiner weitern Sorgfalt bei ihrer Handhabung bedürfen. Es ist immer ein Ge- winn, seine Aufmerksamkeit, statt sie auf eine grosse Anzahl von Gegenständen richten zu müssen, auf eine geringe Anzahl derselben beschränken zu können. Mikrographische Beiträge von Alexander Stuart in Odessa. (Lu le 27 octobre 1870.) 1. Ausmessung der Beleuchtungsrichtung. Dem prakti- schen Mikrographen ist zur Genüge bekannt, dass vie- les Detail oft nur bei einer ganz bestimmten Beleuch- tung dargestellt werden kann, und dass es dann oft bis zur Unmöglichkeit schwer fällt, dieselbe schriftlich anzugeben. Eine genaue Bestimmung der Richtung der Be- leuchtungsstrahlen kann natürlich nur vermittelst eines zwischen Spiegel und Tisch intercalirten optischen Apparates ausgeführt werden. Dasselbe Ziel ist auch in einem dem praktischen Zwecke genügenden Grade der Genauigkeit viel ein- facher zu erreichen. Alle Grade der Schiefheit der Beleuchtung werden durch die vollständige Umdrehung des Beleuchtungs- apparates, also des Spiegels, auf zwei senkrecht auf einander stehenden Axen bedingt. Dieses Prineip kann leicht bei unseren Mikroskopen geltend g Bemacht werden. MATAN i d CALE ` UAM FEY 2 Wenn wir uns den Spiegel so auf seiner Axe fixjrt denken, dass die von ihm reflectirten Strahlen móg- lichst parallel auf das Untersuchungsobjekt einfallen, so stellt uns seine seitliche Hebelbewegung die eine Bewegung dar. Die zweite wird durch die elec niti Rotirung des Mikroskoptisches und des Spiegels, auf der opti- schen Axe des Instrumentes, erwirkt. Die grossen Belthle’schen Mikroskope besitzen beiderlei Bewe- gungen. ] Durch einfaches Anbringen zweier Bogen, wel- che mit Theilungen versehen sind, mit einer Null an den Ausgangspunkten der respektiven Bewegungen und den fortlaufenden Zahlen auf beiden Seiten, wird r 33* 519 Bulletin de l’Académie Impériale 320 eine doppelte Ablesung ermöglicht, welche natürlich keine absoluten Zahlen giebt, dem praktischen Zwecke aber vollkommen entspricht. In dieser Weise müssen bei bezüglichen Angaben 2 Zahlen angegeben werden, welche aus der einfachen Ablesung der beiden Skalen hervorgehen, vorausge- setzt natürlich, dass das Untersuchungsobjekt im An- fang des Versuches mit seiner Längsaxe parallel der optischen Axe des Mikroskopes liegt. Im anderen Falle soll das Verhältniss angegeben werden. Durch mehrjährigen Gebrauch der angegebenen Vorrichtung sind wir zur Ueberzeugung gekommen, dass verschiedene Eigenthümlichkeiten der Präparate, — wie, z.B. für eine sehr-schiefe Beleuchtung, die Ke- gel auf der Oberfläche einiger Diatomeen, wie Pleu- rosigma gracilis, Pl. attenuata, Navicula Amici, oder, für eine weniger schiefe, die Querbänder an den Spermatozoiden des Bären oder Rindes, wenn deren Lage vorher notirt war, — ohne ont schnel- ler dargestellt werden ëmer: als es ohne den Ge- brauch unserer Vorrichtung möglich gewesen wäre. 2. Ein Laboratoriumsmikroskop. Obgleich die Mikros- kopverfertiger in der letzten Zeit neben der Vervoll- kommnung der Instrumente auch deren mögliche Billigkeit in’s Auge gefasst haben, so kann dehnoch nicht behauptet werden, dass die Preise unserer Mikroskope das erwünschte und mögliche Endziel erreicht hätten. Im Folgenden theile ich* die Beschreibung eines billigen, hoffentlich aber auch allen begründeten An- forderungen genügenden Mikroskopes mit. Da die Ermässigung im Preise des optischen Apparates gänz- lich von der Erwägung der betreffenden "Techniker abhängt, so musste ich mich auf die Abänderung des | | der genommen und nur in Papier eingewickelt, ohne eigentlichen Statifs beschränken. Ein richtiges Instrament muss in dieser Hinsicht zwei Bedingungen entsprechen, der Stand soll stabil und der Bewepungsapparat genügend fein sein. Der Stand, welcher in der Art der gewöhnlichen chemischen Stative construirt ist, besteht aus einer gusseisernen Platte, aufwelcher eine dicke, viereckige eiserne Stange aufgeschraubt ist. Zwei kleine mes- singene Stützen, mit welchen der Tubus und der Mikroskoptisch nebst einem auf einem Hebel herab- hängenden Spiegel im Zusammenhang stehen, werden auf der Stange ausfreier Hand vermittelst Stellschrau- ben fixirt. Die feine Bewegung wird durch eine kleine hebelartige Einrichtung in englischer Weise bewirkt, wodurch eine kleine Hülse, auf welcher das Objektiv anzuschrauben ist, am unteren Ende des Tubus in Bewegung versetzt wird. ‚Die als Diaphragma dienenden durchlöcherten Plättchen werden einfach aus der Tischöffnung heraus- genommen. | Die Theile des Mikroskopes können leicht aus einan- Kasten, auf die Reise genommen werden, ohne Gefahr der Beschädigung. Ausserdem in nämlicher Weise wie die Stangen auf den Tragplatten angebracht "sind, können dieselben zu den Arbeitstischen aufgeschraubt werden. Ein so befestigtes Mikroskop ist gegen jede Gefahr der Beschädigung durch unvorsichtige Behandlung geschützt, denn im Stande ganz stabil ist unser Instru- ment gegen die Gefahr des Zerdrückens der Präpa- rate, welcher alle Hülsenmikroskope ausgesetzt sind, sicher, da hier das Rohr auch fest zugeschraubt 521 ` des Sciences de Saint-Pétersbourg. 522 wird und die geringe Linge der Mikrometerschraube, bei Anwendung der bei Demonstrationen sonst ge- bräuchlichen schwachen und mittleren Vergrösserun- gen, die Annäherung des Objektivs zum Präparat nicht ermöglicht. Das so gestaltete Laboratoriumsmikroskop erwies sich in der Praxis als ein in jeder Hinsicht ganz zweckmässiges. Es wird von der Firma Belthle, vor- mals Kellner, jetzt Leitz in Wetzlar, mit Ocular I und den Systemen 3 und 6, fiir den geringen Preis von 23 Thalern verabfolgt. Es muss dabei bemerkt werden, dass die dazu gelieferten Linsensätze mit den grösseren Instrumenten beigegebenen identisch sind, was sonst, z. B. bei den weit verbreiteten kleinen Instrumenten von Hartnack zu 115 Fres., nicht der Fall ist. ` An diesem Orte ist es Pflicht, des frühzeitig ver- storbenen Herrn Belthle zu gedenken. Dieser streb- same Künstler hatte in der letzten Zeit seine auf den Grundlagen der Gauss'schen Optik gebauten Objektiv- systeme sehr weit gebracht. Seine aus stark licht- brechendem Glase construirten Linsensätze haben wohl eine kleine Spur von Chromasie, welche aber in dem vorhandenen Maasse keineswegs der Beobach- tung hinderlich ist; dabei besitzen dieselben, bei einem sehr stark zu nennenden Focalabstande, eine sehr ausgebildete Penetration, welche hier aber der Definition nicht zum Opfer Déeg ist, wieesz. B. in den schwächeren Hartnack’schen Objektiven, wie X 2 und 4, der Fall ist. Ausserdem ist die Zahl der zu- gleich sichtbaren Punkte auf der Vertikallinie eine be- deutendere; dadurch wird die scharfe Beobachtung des tiefer liegenden Details ermöglicht, was namentlich bei embryologischen Untersuchungen von Belang ist. Die Prüfung mit der neuen Nobert’schen Probe- platte zu 19 Gruppen ergab, im Vergleich mit Linsen- sätzen anderer namhafter Optiker, sehr günstige Resultate. In der folgenden Tabelle sind die gewonnenen Data zusammengestellt. Die in erster Linie stehen- den Ziffern geben die Anzahl der vollständig, die in Klammern gestellten diejenige der weniger vollständig gelösten Gruppen der Probeplatte an. System 0, Oc. 2. | Syst. I, Ocul. 2. | Syst. II, Oc. 2. | Syst. III, Oc. 2. Belthle. Vergrösserung 35.| Vergr. 75. Vergr. 200. Vergr. 400. ` |1. Gr. vollst.gelóst.| 2. Gr. (3. unv.). 5. Gr. (4). 6. Gr. (1). : Schwaches $. Mittleres. Amici. ee Vergr. 78. Vergr. bis 200. ‘ Ss - 3 Gr. 4. Gr. (1. unv). : JL 2; NIV; 06:2: X V, Oc: 2. X VIII, Oc. 2. Hartnack. Vergr. 32. Vergr. 65. Vergr. 168. Vergr. 400. 1. Gr. unvollst. | 2. Gr. (2. unv.). 5 Gr. (hin 6; Gr: (2). Eech l.inch, Vergr. 40. inch, Vergr.195. Pillischer. 1. Gr. unvollst. 6 Gr. (1. unv.). 1. inch, lóst die IG inch. 4. Gr. C; Baker. 1. Gr. nicht. West (1. unv.). A Triplet bei Vergr. bei Vergr. 180. eO e. 80. 1. Gr. (1). 9. Gr. Ch Erklärung der Abbildungen, des Mikroskoptisches mit; die Ablenkung wird durch Taf. Fig. 1. Unterer Theil eines grossen Belthle”- | einen unbeweglichen Stift angezeigt. schen Statifs. Der Spiegel auf der Ablesungsscala ab- Fig. 2. Das Laboratoriumsmikroskop. gelenkt. Die untere Theilung folgt den Besnguneen Odessa im Februar 1870. A 523 Bulletin de l'Académie Impériale 524 Histologische Studien tiber das Nervensystem der Mollusken, von Ph. Owsjannikow. Vor- läufige Mittheilung. (Lu le 24 novembre 1870.) Ich benutzte meinen, diesjährigen Aufenthalt in Nea- pel, um einige Studien über das Nervensystem der nie- deren Thiere zu machen. Meine früheren Untersu- chungen über das Nervensystem des Amphioxus, der Krebse. der Cephalopoden, der Seesterne, gaben mir Veranlassung, derartige Studien fortzusetzen. In die- sem Jahre wendete ich meine Aufmerksamkeit dem Ner- vensystem' der Mollusken zu, welches bei verschiede- nen Gruppen sehr verschieden gebaut ist. ` - Ich untersuchte vorzüglich das obere Schlundgang- lion oder das Gehirn und zwar bei Thetis, Aplysia, Doris, Umbrella, Gastropterus, Aeolis, Dolium und einigen anderen. Meine Studien richtete ich darauf, in dem Gehirn einzelne Theile -näher kennen zu T nen, sowohl ihr Verhältniss zu einander bei ein und dempelbeh Thiere, als auch ihre Beziehung zu ähn- lichen Thelen bei anderen Thieren, so wie auch das Verhältniss der Fasern zu den Zellen. Schon grobe anatomische Studien haben mich gelehrt, dass in die- sem Gebiete grosse Lücken vorkommen, und dass man- che bisherigen Angaben der Wirklichkeit nicht ent- sprechen. So fand ich z. B. das Gehirn vom Gastrop- terus bedeutend verschieden gebaut von dem, was uns bisher darüber bekannt war. ` Da meine Abhandlung über diese Thiere des rei- chen Materials und auch vieler Zeichnungen wegen, . die derselben beigefügt werden, erst nach einiger Zeit dem Drucke übergeben werden kann, so habe ich mich entschlossen, vorläufig nur über die feine Structur der Zellen und Fasern Mittheilungen zu machen, um so mehr da hier einige Anknüpfungspunkte für den Vergleich dieser Elemente mit denen der höheren Thiere sich auffinden lassen. Ich werde mich hier beispielsweise an die Beschreibung der. Nervenele- mente von Thetis halten. Diese Thiere sind in Nea- pel sehr leicht zu haben, und es lässt sich bei densel- ben mit Leichtigkeit das Kopfganglion aus den sehr lose anliegenden Häuten herauspräpariren. Über die Nervenzellen. Es könnte als Regel gelten, dass die Nervenzellen bei niederen Thieren grösser sind, als bei den höheren und dass dieselben hier wie dort nach der Grösse des tativ. Thieres sich richten, Bei den Mollusken finden wir im Allgemeinen eine grosse Differenz in der Grösse der Zellen. Bei Thetis, die um vieles kleiner ist, als Do- lium, waren in dem Gehirn die zur Peripherie hin liegenden Zellen viel grésser, als bei letzterem. Wir unterscheiden bei Thetis so wie auch bei anderen Mollusken die zur Peripherie hin liegenden sehr gros- sen Zellen und die nach innen liegenden kleineren. Bei einzelnen Mollusken finden sich ausnahmsweise nur sehr kleine Zellen, wie z. B. bei Pecten. Die Form der grossen Zellen ist eine kugelförmige. Nach aussen liegen die Zellen, nach innen die Fort- sátze. An den kleinen Zellen kann man mehrere Fort- sätze nachweisen. Ich behaupte entschieden, dass jede grosse Ganglienzelle eine Membran besitzt. Anfangs hat jede Zellengruppe eine allgemeine Membran, die auf das Nervenbündel, das aus den Zellen dieser Gruppe entspringt, ‚übergeht; dann aber hat jede Zelle eine eigene Hülle, die nun auf den aus ihr ent- springenden Nerv übergeht. Die histologische Struc- tur und die chemische Zusammensetzung der beiden Hüllen ist identisch. Der Unterschied ist nur quanti- Bei Untersuchung frischer, lebenden Thie- ren entnommener Zellen lassen sich mit den starken Vergrósserungen M 11 und 15 von Hartnack an den Membranen Zellen nachweisen. Häufiger aber, beson- ders wenn das Gewebe durch diese oder jene Reagen- tien behandelt worden, erscheint auch selbst ‚bei starker Vergrösserung die Hülle durchsichtig, struc- : turlos. Beim Druck auf die Ganglienzellen legt sie sich gern in Krausen und Falten. In der Nervenzelle finden wir den Zelleninhalt (Protoplasma), einen Kern und einen oder mehrere Kernkörperchen. Der Zellen- inhalt nimmt im Gegensatze zu den meisten Nerven- ‚zellen der höheren Thiere einen sehr geringen Raum ein. Er umgiebt den Kern als eine mehr oder weniger dicke Schicht, die unter dem Mikroskope in Form eines söhinalen Ringes erscheint. Der Consistenz nach ist das Protoplasma halbflüssig und wird erst nach dem Tode fest. Beim Zerreissen einer frischen Zelle und bei mässigem Drucke auf das Deckgläschen fliesst der Zelleninhalt leicht heraus. Nie ist dies der Fall mit dem Inhalte einer abgestorbenen Zelle. Das Pro- toplasma der Nervenzelle-geht unmittelbar in den Nervenfaden über. Ein constanter Bestandtheil des | Protoplasma aller Nervenzellen ist das gelbe Pigment. / 525 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Seine Farbe wechselt von Hellgelb bis ins tiefe Gold- gelb, geht zuweilen, wie z B. bei der Umbrella, in das Rothe über. Dieses Pigment hat eine bestimmte Lage, ist krystallisch, zuweilen nach dem Tode ist es von fettartiger Natur. Der Kern ist, wie ich schon oben angedeutet habe, verhältnissmässig sehr gross und nimmt den grössten Theil der Zelle ein. Im ganz frischen Kerne ist sein Inhalt klar und flüssig, all- mählich aber gerinnt er. Man sieht hier und dort einzelne Linien, welche als feine Fädchen erschei- nen. Die Zahl dieser Fäden, deren Richtung, An- fangs wenigstens in manchen Kernen, radiär -zur Mitte derselben ist, wächst immer mehr. Sie verwe- ben sich in einander, und der Kern wird undurch- sichtig. Der Kerninhalt füllt die Kernmembran nach dem Tode entweder ganz aus, oder er gerinnt zu einem mehr oder weniger festen Klümpchen , welches von derselben zuweilen sehr bedeutend absteht. So lange der Inhalt flüssig war, konnte man durch den Druck auf das Deckgläschen und somit auf den Kern die Membran desselben sprengen und den Inhalt der- selben herausfliessen lassen. Alsdann hatte man die . leere, feste, glashelle Kernmembran vor sich. In dem flüssigen Inhalte des Kernes finden sich rundliche Kern- körperchen. Die Zahl derselben ift sehr verschieden. In den kleinen Nervenzellen liegt in jedem Kerne ein Kernkörperchen, in den grösseren mehrere und in den ganz grossen eine bedeutende Anzahl derselben, zu zehn, zwanzig, dreissig und mehr. Über die Nervenfasern. Die Nervenfasern sind von sehr verschiedener Breite. Manche sind fast unmessbar fein, während andere eine kolossale Dicke erlangen. Doch über- all steht ihre Breite im bestimmten Verhültnisse zu der Grüsse der Zelle, von der sie entspringen. Mégen die Fasern fein oder diek sein, überall haben sie eine Membran. Diese ist in dünnen Fasern einförmig, durchsichtig, glashell, während sie in dicken Fasern eine bedeutende Mächtigkeit erlangt. Sie erscheint hier immer sehr deutlich quergestreift, so dass ihr Aussehen dem eines gestreiften Muskels oder den Ringmuskeln in den Gefüssen nicht unähnlich ist. Diese Querstreifung der Nervenmembran ‘ist von ` einigen Forschern, so z. B. von Roudanovsky, bei den Nerven hóherer Thiere beschrieben worden. Sie rührt unstreitig hier wie dort von quer liegenden bandfórmigen Bindegewebszellen her. Durch die helle, durchsichtige Membran scheint der Nervenin- halt durch. In den erhärteten, oder abgestorbenen Fasern ist dieser Inhalt lüngsgestreift in der Weise, wie ich denselben bei Krebsen, oder anderen Thieren vor lángerer Zeit beschrieben habe. Die Streifen sind feine Fasern. Der Inhalt einer frischen Faser ist halbflüssig. Er quillt aus dem abgerissenen Ende tropfenfórmig her- vor. Die Tropfen sind nicht das herausfliessende Ner- venmark, solehes nehme ich in den Fasern der Mol- lusken nicht an, sondern sie sind die Bestandtheile der Cylinderaxis. : Durch Zusatz von Wasser werden die frischen Ner- ven sehr verändert; ihr Inhalt verliert die regel- mässige Faserung, lüsst mehr oder weniger grosse Tropfen in der Nervenhülle annehmen. Die todten Nervenfasern haben eine festere Con- sistenz, sind rund, obgleich sie bandartig platt er- scheinen. | Im Verlaufe der Nervenfasern in dem Gehirngang- lion lassen sich dieselben Gesetze mit unbedeutenden Abweichungen feststellen, die màn in der Vertheilung der Fasern im Gehirne, oder dem Rückenmarke bei hóheren Thieren beobachten kann. . In den meisten Fasern lässt sich auf das Bestimm- teste die Theilung derselben nachweisen. Während ein Ast einer breiten von einer grossen Zelle entspringenden Faser direct in den periphe- |rischen Nerven übergeht, begiebt sich ein anderer zu der entgegengesetzten Hälfte des Nervenknotens. Es lüsst sich aber auch ferner nachweisen, dass ein- zelne Gangliengruppen: auf ebendieselbe Weise mit einander verbunden sind. : An manchen primitiven Nervenästen fand ich sehr kleine multipolare Nervenzellen sitzen. Diese Verhält- nisse hat schon G. Walter*) gesehen, doch haben spütere Forscher seine Beobachtung in Zweifel gezo- gen. Schliesslich muss ich hervorheben, dass ich an manchen primitiven Nervenfasern auch solche Neben- y ästchen entdeckt habe, die sich fast plótzlich in eine sehr grosse Anzahl höchst feiner Astchen dritten und vierten Ranges theilten und endlich so fein wurden, *) Microscopische Studien über das Centralnervensystem wirbel- loser Thiere von Dr. Georg Walter. Bonn. 1863. 527 "m Bulletin de l'Académie Impériale 528 dass sie der stärksten Vergrösserung entgingen. Diese Astchen kann man ohne Zweifel den von Deiters bei höheren Thieren entdeckten, sogenannten Protoplas- mafortsätzen an die Seite stellen. Die Vermuthung über die Existenz solcher Fasern hat schon R. Buch- holz in seinen gründlichen Untersuchungen über das | Centralnervensystem der Süshwassermollusken ausge- sprochen. Zuletzt füge ich noch Mie dass ich zur Zeit nicht im Stande bin, irgend geben Zusammenhang zwi- schen der Gestalt und der Form der Nervenzellen und ihrer physiologischen Thätigkeit, wie G. Wagner es annimmt, festzustellen. Ein solches Bekenntniss von ‘meiner Seite hätte vielleicht um so mehr Gewicht, weil ich die Vermuthung eines solchen Zusammen- hanges bei höheren Thieren vor längerer Zeit ausge- sprochen habe und in gewissem Sinne noch jetzt an dieser Idee festhalte. Über zwei ungewöhnliche Spannmuskeln an der unteren Extremität des Menschen, von Dr. Wenzel Gruber, Professor der Anatomie. (Lu | © le 8 décembre 1870.) L Wadenbindespanner — Tensor fasciae suralis, — (a.) Ein an jedem Ende mit einer schmalen Sehne versehener bandförmiger, 12" (Par. M. ) langer, am 8” langen Fleischtheile 2%,” breiter und II" dicker Muskel. | Lage. Mit der oberen Hälfte in der hinteren Ober- schenkelregion und im oberen Dreiecke der Kniekehle,. mit der unteren Hälfte in der Wadenregion. Ursprung. Von der unteren Spitze des vorderen Seh- nenblattes des langen Kopfes des Biceps femoris (c’), 7” unter dessen Ursprung, 9" über dessen Ansatz und 6’ über dem Condylus externus femoris mit der 173" langen und Y,” breiten plattrundlichen oberen Sehne. Verlauf. Vor dem langen Kopfe des Biceps femo- ris, hinter dem Nervus ischiadicus in der äusseren Hälfte des oberen Dreieckes der Kniekehle zwi- schen dem N. tibialis und N. peroneus, hinter dem Ursprunge des Plantaris auf dem Gastrocnemius externus in einer besonderen Scheide der Fascie ge- rade abwärts. Endigung. Mit der 1" 9" langen und °/,” breiten, un- teren Sehne strahlenförmig an der vorderen Fläche der Fascia suralis in diese. (f.) \ Il. Hinterer oberer Kniegelenkkapselspanner — Tensor capsu- lae genualis posterior superior, — (b.) Ein lánglich rhomboidaler gefiederter, 7" Hinges (4” lang angehefteter und 3” lang freier), bis 1” gert ter, 3—4” dicker, starker Muskel. Lage, Im Grunde der inneren Hälfte des oberen Dreieckes der Kniekehle und weiter viv am Oberschenkel. Ursprung. In einer 4" langen Strecke von der Linea aspera. femoris, neben dem kurzen Kopfe des Biceps femoris (c") über dem Planum popliteum, und von dem 529 530 mit dem Vastus internus verwachsenen — intermusculare internum femoris. (e.)' Verlauf, Schrag ab- und einwürts, déralid mit der inneren Grenze des Planum perlita 10% ab: und seitwärts vom Foramen popliteum (*) des Canalis femoro-popliteus; mit der 37 langen freien Endportion hinter den Vasa poplitea, diese kreuzend, hinter dem Tuber supracondyloideum internum: femoris und eng Ursprunge des Gastrocnemius internus: Endigung; Mit einer 5 —- GT breiten und D dicken | © Sehne (a), die schmal schon 1’ unter dem oberen Ende | + des Fleischkórpers beginnt, in dessen Mitte am Kiele | herabsteigt und jederseits die schrügen Fleischbün- | del, selbst noch 1^ 27" nach dem Freiwerden des Mus- | kels, aufnimmt, mit ihrem inneren Rande mit dem Lig. intermusculare internum: femoris und der Sehne des Adductor magnus-(d):2”9"" lang unterhalb der Kreuzung mit den Vasa poplitea verwachsen ist und | mit ihren Bündelu theilweise i in der Kniegelenk- : kapsel hinter dem Condylus internus femoris sich verliert, grósstentheils aber in einen 2” langen Zi- pfel die AITOR arcuatant transversum) (a”) endi- get, der vor dem Gastrocnemius internus mit der Kniegelenkkapsel vereiniget quer bogenförmig auswärts zieht, in der Kniegelenkkapsel hinter dem Condylus externus femoris ausstrahlt, im Planta- ris, Gastrocnemius externus und dessen Knöchelchen, über dem Zipfel des Semimembranosus zur Kniege- lenkkapsel (Lig. pöpliteum obliquum) endiget, rechts schwach, links aber sehr stark und daselbst am An- fange gut am Ende 1” breit ist. Die seitwärts und abwirts vom Foramen popliteum | des Canalis femoro-popliteus zwischen dem freien inne- ren Rande des Muskels und dem Lig. intermusculare | internum nebst dem Vastus internus gelagerte Lü- cke(**) zum Durchtritte der Vasa poplitea ist schräg und parallel dem genannten Foramen ‚gestellt, oval, 1” 3” lang und 6” weit. ` Diese brun merkwürdigen Muskeln sind bei einem robusten Manne vorgekommen. Der Tensor fas- | ciae suralis existirte nur an der. linken Extremitàt, | der Tensor capsulae genualis posterior superior aber an | beiden Extremitäten. An beiden Extremitäten, na- | mentlich an der linken ist das Tuber supracondyloi- | dun: dictns femoris. sehr entwickelt. Dieses steht | assez links 3— 4" hervor, misst in verticaler Richtung 9” und in transversaler 6”. Die Bursa mucosa genualis retrocondyloidea interna der Norm befindet sich bei diesem Manne beiderseits zwischen dem 'Gastroche- mius internus und dem queren Endzipfel des Tensor capsulae genualis posterior superior und —— a mit der Kniegelenkkapsel. B — ee in meiner Sammlung p — H --—9 re der Abbildungen. ie far unkexe ‚Extremität, (Ansicht v von hinten.) a. Tensor, fasciae suralis., 11: b. Tensor capsulae genualis posterior superior. | Ones BERS femoris... |. c dessen Caput longum (aie fae Seite rückwärts gedreht). c" dessen Caput d. Adductor magnus. e. Ligamentum intermusculare internum von dem Va- . stus internus verwachsen), f. Fascia suralis. . i œ. Sehne des Tensor capsulae genualis posterior su- perior, o. deren quer bogenfórmiger Zipfel zur äusseren, hinteren Partie der Kniegelenkkapsel. *. Foramen popliteum des Canalis femoro-popliteus. ** Lücke zum Durchtritte der Vasa poplitea unter der Sehne des Tensor capsulae genualis posterior superior, i o | général des monuments DEVE du Sech Par M. A. F. Mehren. (Lu le 9 juin 1870.) Avant de commencer l'énumération des monuments religieux du Caire nous ferons remarquer, que la ville a la forme d'un parallélogramme d dont l'étendue, du Nord au Sud, dépasse de beaucoup celle de l'Est à l'Ouest. La rue principale de Mouski, ainsi appelée d'après le compagnon de Saladin SH Musek (f 584 'H.), menant de la Birket el-Ezbekiah jusqu’au désert et traversant le quartier Enropéen de l'Ouest à l'Est, a été commencée sous l'occupation francaise , puis continuée sous les prédécesseurs du pacha actuel, de manière Sai faut. se Tag, un passage, oui ile, à travers les des maisons 34 Bulletin de l'Académie Impériale 382 démolies. Dans la direction du N. — au S. deux rues forment les artères de communication, dont l'une lon- geant le grand canal débouche au Mouski, l’autre le traversant du côté du Sud se continue jusqu'à l’ex- trémité de la ville au-delà du Bab el-Fotouh et du Bab el-Nassr, les deux portes septentrionales élevées par le général en chef Bedr el- Djemali el- Djojouschi vers la fin du 5"* siècle de l'H. En passant en revue les monuments nous commencerons du côté du Nord aux environs du Bab el-Nassr et du Bab el-Fotouh en suivant l'une des artères déjà mentionnées en ligne droite jusqu'au carrefour de Mowayjad, après quoi nous prendrons la route du Sud-Est menant à la plus proche extrémité de la ville, oà est située la citadelle; puis nous reviendrons au point d'intersection de la deuxième artère de la ville et du Mouski en tournant vers l'Est du côté du carrefour de Mowayjad et sui- vant au-delà la grande route du Sud avec ses em- branchements du Sud-Ouest vers les portes de Sitta Nafisa et de Sitta Zeinab. L'intérieur de ces monu- ments étant bien uniforme et ayant été en général assez largement décrit dans le grand ouvrage de l'ex- pédition française et dans celui de Pastal- Coste”), nous ne ferons ici que constater l'existence actuelle de ces monuments avec Vindication de la date de leur construction selon les inscriptions de murailles (thiráz) que nous transcrirons en entier dans les cas oü elles nous semblent contenir quelque chose oe d’attention. I. 1) Djämi de Hakim biamr-allah (380 — 403 H), entre le Bab el- Nassr et le Bab el- Fotouh, n'est qu'une vaste ruine, dont le liwan (l'oratoire) méri- dional seul a été conservé; il est séparé par une mu- raille de la place libre au milieu, où s'élévent pour le moment quelques misérables masures, La construc- tion de ce grand édifice qui ressemble parfaitement à celle d'Ibn Thouloun, fut commencée sous le règne du chalife Fathimite p billah Van 380 H. et ache- vée par son successeur Hakim, d'après lequel il porte son nom, en 403 H. Aprés avoir souffert avec le Djàmi el-Azhar et un grand nombre d'autres édifices une dévastation presque entière par le tremblement 1) Architecture Arabe ou monuments du Caire, mesurés et des- sinés de 1818 — 1825 par Pascal-Coste, Paris 1839, de terre de 702 H., il fut reconstruit l'année suivante par les soins de Rokn ed- Din Beibars al- Djashenkir. Bien que Makritzi^) mentionne encore quelques répa- rations successives en 760, sous le pieux sultan Ha- san et en 827 H., il semble avoir perdu son ancienne splendeur probablement à cause de son éloignement du centre de la ville et de la résidence du sultan, élevée aprés la chüte de la dynastie Fathimite par Saladin sur le Mokattam jusqu'à ce que l'oceupation française le changeát en forteresse et le réduisit à là condition op nous le trouvons actuellement. Aprés avoir traversé la partie bien misérable du faubourg de la ville aux environs du Báb el-Nassr et du Bab el-Fotouh, ce n'est qu'au commencement de la rue appelée Darb an- Nahhasin (rue des chaudron- niers) où nous découvrons plusieurs édifices, portant lempreinte de leur ancienne Heime; nous men- tionnerons d'abord: 2) Le grand hôpital al e ou Moristan al- Mansouri . (683 H) : uni à Ja chapelle. et à la madrasah, et. båti. par le sul- tan Mélik el-Mansour Kilawoun Pan 683 H. qui; après avoir été guéri d’une grave maladie dans l'hôpital de Nour ed-Din à Damas, fit. ‚le voeu d'en. ériger un pa- reil, s'il réussissait à être nommé sultan d'Égypte. C'était la coutume que celui que le sultan nommait Émir, était conduit en pompe de la citadelle à la chapelle de Mansour, oü il devait préter serment sur le tombeau du hes aprés quoi il retournait par les rues illuminées à la citadelle. En entrant dans le cor- ridor on a à gauche la mosquée et. vis-a-vis. la chapelle sépulcrale du sultan; le sarcophage est en bois et couvert d'un tapis qu'on renouvelle annuelle- ment. Aux pieds et à la tête est une stile portant une épitaphe toute moderne de l'an. 1231 H.°). Le mih- rab de l'oratoire est un chef-d'oeuyre d'art, jouissant d'une renommée rae en Sep 5. 2) V. al-Khithath éd. de ee i. II p. 277. 9) Le dernier hémistiche contient le phronbirammer : 05595 ep 3 Rus bes us ail ay ade E (rn 4) V. ibid. p. 380, 406. Nous lisons sur la muraille: dër al 533 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 3) Le Diami du sultan Moh, b. al-Mélik al- Mansour (698 — 703 H.), contigu au Moristan et se distinguant par un des plus beaux minarets du Caire qui s’éléve au-dessus d'un “portail magnifique, fut commencé sous le règne de Mélik el-Adil Ketbogha et achevé par Nassir ed-Din Moh., fils de Kilawoun, pendant les années de 698 — 703 H., ce que nous indique l'inscription de la mu- raille extérieure "1. Le portail que nous admirons ap. partenait originairement à une église chrétienne d’Ac- ca, d’où il fut transporté au Caire à la prise de cette ville par Mélik el-Aschraf, fils de Kilawoun, et appli- qué à l’entrée de cet édifice par Ketbogha. L'inté- rieur comprend encore une petite mosquée et la chambre sépulcrale située vis-à-vis dans le corridor renfermant Ic sarcophage du sultan Mélik an - Nassir. D'après Makritzi ê), Anouk le fils du sultan et de la princesse Thoghái (T 741 H.), dont nous avons fait mention dans la description des monuments du Kéra- fat, y a été enterré au-dessous de la méme coupole. 4) La madrasah et-Tsábiriah (660 — 662 H.) de l’autre côté de la rue vis-à-vis du Moristan est presque en ruine complete; d’après l'inseription de la muraille extérieure cet édifice a été élevé par Melk et-Tsálir Abou-l- Fath Beibars dans le courant de l'année 660 H.°) pss yu e ral SU] [as ais oi 8 ELS, o el 3) La coupole de Mélik as-Sälih (647 H). située du méme côté de la «rue renferme le tombeau du fameux sultan a as-Salih — ed- Din Eyjoub, Lll er echt Al Jil HA x a Ad J 3 as syle ARO, Be ll TeL TM JJ, YAP A 34) | Comp. v. Kremer, Sitzb. Ach phil, - hist” CL Jahrg. 1850; VI. Bd. 1. Heft p. 118. 5) e i Li) il iua a) ojo deed da9) e Ge Bei Ee pal d lli lis pajas ule 4 din yy à Ab, ant pc ap 7 an Sgr ai-Khithath t. II. p. 378 — 379. mort à Mansourah en 647 H., un peu avant Ie dé- sastre de St. Louis et l'emprisonnement du roi fran- cais après sa défaite prés de cette ville. Dans la cha- pelle sépulcrale un peu délabrée on lit encore le nom ` du sultan «mort à Mansourah au milieu de Scha'ban 647 H.»; ce qui est répété dans une inscription assez longue au-dessus du portail. Au baldaquin, au-dessus du sarcophage, sont suspendus une selle et le modèle d'un navire du temps du sultan. Cette coupole avait été élevée par la femme du sultan Schadjaret ed-dorr qui, cachant pendant quelque temps la mort de son mari, se chargea elle-même du gouvernement. Le corps y fut déposé le 27 Regeb 648 H.°), 6) La Madrasah as-Salihijah (641 H.), située à peu de distance de la chapelle sépulcrale, porte encore au-dessus du portail en fer l'ancienne inscription «as-Salihijah» avec le nom du sultan et la date de sa coustruction l'an 641 H. Une petite mos- quée est encore conservée dans l'intérieur et de deux côtés de la ruelle où l'on entre par ce portail, on voit les immenses bátisses destinées d'apres Makritzi?) aux collèges des 4 facultés de la théologie orthodoxe. Au fond de cette impasse est située une petite mos- quée habitée par une pauvre famille, et dont la mu- raille porte encore la date de 758 H., ce qui suffit pour l'identifier avec la mosquée mentionnée par Ma- kritzi ") sous le nom de Madrasah al- Bediriah, située tout prés de la porte secréte de la Salihijah et élevée pour les étudiants en théologie de la secte Schaféite par Nássir ed-Din Moh. b. Bedir Pan 758 H. 7) La madrasah et- Tsähiriah (786 H), | une des plus grandes mosquées du Caire a té con- struite sous le sultan Melik el - Tsähir pas Yan 8). V. ibid. p. 374 et Lane, manners and customs t. m p. "t London 1846. La fin de Pinscription mentionnée est celle - ci: on dia 3 ee = a) (à d» ET us c de a Y. Makritzi p. 374; Vinseription du portail est celle - À pel à AA D geg $534 d Ab d í ov] BER y se 9 eil e eet S si AL. 10) Y ibid ^p.-892 — gt Bulletin de RAgadsémie,. Impériale 536 786 en par l'architecte. Djerkes al-Haranbali '') dont on lit le nom dans le thirâz. Le liwan méridional seul a été conservé, encore employé pour le culte; a gauche en entrant se trouve une chapelle sépulerale renfermant les restes d’une fille du sultan, tandis que lui-même repose dans le mausolée que nous avons dé- crit dans la première Partie de cet ouvrage, sur le Kerafat. Après avoir leie la ligne droite menant du Bab el-Nassr jusqu'au Mouski prenons les rues la- térales du quartier septentrional «al-Djémaliah»; nous y trouvons: 8) Le Khanegáh ou le couvent de Rokn ed-Din Beibars al- Dj (706 H.) | destiné à 400 Soufis et élevé par Rokn ed-Din Bei- bars 706 H. un peu avant le deuxième détrônement du sultan Nassir Moh.; au rétablissement de ce sul- tan le couvent fut fermé pendant une vingtaine d'an- nées, et le nom du fondateur effacé du thiráz, viola- tion dont on voit encore les traces ©); il fat rouvert l'an 726 H., mais la disette de l'an 796 le fit tomber en oubli. Péur le moment il est changé en Okal de- puis l'an 1222 H. formant une impasse habitée par des négociants. Le tombeau du sultan se trouve dans. n'y a pas de doute que Makritzi n'ait en vue le méme la chapelle à — = tous wm pair en eet | été enlevés. ` 11) Ye Makritzi t ESA du Caire « gier al-Mühädhirat» par Sojouthi (éd, du Caire) t. II p. 147; nous reproduisons ici le thiráz entier : nid S> ola ES af LJ c! oJ js Go oil à Us y sak cn SEI zs Pr diri Cos LA us all LUS " Ss, opas dj} Sel. a à LES) WI, Al ur Le sel Lilli cn J rl . 12) piel Je ER Gs, GH olasl2) Js m Si pe SCH Kat aas] Ce? À em, Ps ut Ge di DIS T Sr F all, ail Ae . 418 e: sur Parchitecte Djerkes v. la | 9) La Mosquée de Ghammari (905 H.), située dans la ruelle «Zikkat Marghousch», contient la chapelle sépulerale du santon Sidi Moh. Aboul-Ab- bas al-Ghammari, mort d’après les «thabaqât al- Ku- bra»") Pan 905 H. et célèbre par une quantité de miracles dont plusieurs assez ridicules ont été racon- tés dans l’ouvrage mentionné. Au-dessus de l’entrée de la chapelle on lit son nom avec Vindication de la date de sa mort le 24 Djoumadhi II Pan 905 H. 10) Le Djàmi Abd-el-Baskhi (823 H.), situé de l’antre côté de Mansouriah, vers l'Ouest, dans le quartier de Khourunfesch, est assez splendide et bien conservé. Le liwan méridional, servant encore au culte, contient le tombeau du Scheich Ahmed es- Soubki ").. Le thiráz nous indique que ce sanctuaire a été élevé par Abd el-Bäskhi. fils de Khalil Schaféite, grand=maitre de la garde-robe et gardien du harem du sultan al-Mowaijad Abou-l-Nassr Scheich de l'an 813 — 823. H."). Makritzi *) mentionnant ce Djámi nomme son constructeur Zein ed- Din Abd el-Bâsith b. Khalil al-Kadhi; la position de cette mosquée étant la méme et la date de sa construction (823 H.] cor- respondant exactement à celle indiquée ci- dessus, il : sanctuaire que | nous avons examiné, soit qu'il ait con- fondu le nom de bell avec celui de [se LJ] , soit que la faute provienne de notre maniére de lire cette inscription, placée à une distance assez considérable. Du reste Makritzi nomme le quartier en plusieurs endroits «Khowrouschtouf» en expliquant ce nom par «décombres servant’ à la construction de maisons», leçon qui nous parait évidemment fautive. En retournant du quartier Khourounfesch nous trouvons dans un cul de sac (ibe) le tombeau du ae l'édit. du Caire 1276 H. t. II p. 141 et Makr. t; II p. 331. 1) Gea]. er E il» o ee J yl QU oue E hs ën Gell UN | Za pil ‚el, ie E oec elke "puc "m ble OÙ, pie, C à Y Coole a lu, 16) V. t. II p. 331 et sur le quartier Khourounfesch p. 28. 537 . / des Sciences de Saint -Pétersbourg. d 538 santon Sedhan'’) avec la date de 994 H. et en avan- cant du cóté du Nord-Ouest nous entrons dans la rue de «bain es-suraim» où se trouve 11) La mosquée de Scharäwi (1188 II.) avec la chapelle sépulcrale, entourée d’une grille magnifique en bois, incrustée de nacre et ornée de lampes, d’oeufs d’autruches et de globes d’argile de la Mecque et de — Au-dessus de l'entrée nous lisons ces deux vers ^): «Cette place est la Ca’ba d'Égypte et un refuge de «paix pour tous ceux qui la cherchent; car voici le «Wali: éerivez en entrant: Que Dieu illumine celui «qui visite son tombeau (l'an 1188 H.)» Une inscription semblable se lit sur la muraille: «Le possesseur de cette place est le póle des Welis et des savants en Dieu; celui qui nous óte le voile, Sidi Abd el-Wahhab as-Scharáwi» "?). E Des lecteurs du Coran étaient très occupés à lire le texte sacré. — Ce Weli est l'auteur de l'ouvrage déjà cité «les thabakât al-kubra» ou vies des Soufis et des Welis, mort en 973 ou 976 H. Ii ne semble pas justifier la grande renommée que l’auteur a acquise en Orient et qui même s’est répandue en Occident par quelques articles sur sa vie et ses ouvrages ?) les tha- bakát ne contenant, pour la majeure partie, qu'un amas d’anecdotes ineptes et ridicules et prouvant la déca- dence de la littérature. En traversant le Mouski et suivant la grande route du cóté du Sud nous avons dans le quartier de Ghouri 12) la madrasah el-Aschrafiah (827 H.) élevée par Mélik el-Aschraf Birsbáy l'an 827 H., comme nous l'indique le thiráz extérieur ”). L'inté- 17) ge aie EET ls gèl eos 18) T o gel ren Bi EX HAM AL. alie A ja c ye AU Gy eg VM Lis ¿y er “La, «La = NI Le alo |. APV Aa Cyn ap 20) Lise ER As. tni med 1868 p. 253 — 271 et Flügel, Zeitsch. d. d. m. G. Bd. XX p.1—48 et XXI p. 271. Dans le dernier ouvrage de M. Kremer «die herrschenden Ideen des Islams», Leipzig 1868, cette Saber a été mentionnée p. 182 sad rieur de la mosquée est des plus splendides et des mieux conservés du Caire. Nous avons déjà décrit dans le Bulletin de l'Académie 24 j juin (6 juillet) ded le mausolée de ce sultan au Kérafat ?). 13) Djämi al-Ghouri (909. H.). En avancant du cóté du Sud nous arrivons à la place pittoresque souvent reproduite par la peinture où la rue semble encombrée par des bátisses immenses, ne laissant qu'un étroit passage abrité du soleil par des nattes étendues des toits qui presque se réunissent au-dessus de nos tétes. A gauche nous avons la cha- pelle sépulerale destinée au sultan Kansouweh al- Ghouri, à droite le grand Djámi portant son nom et achevé dans le mois de Rebiah I l'an 909 H., comme nous l'indique l'inscription du mihrab ”). L'intérieur ressemble à celui du précédent, le sol et les murailles étant couverts de mosaique noire, blanche et rouge. La chapelle située de l'autre côté de la rue, bâtie au méme temps (909 H.), est presque en ruine; bien qu'on voie encore les murailles couvertes d’inseriptions | Coraniques avec le nom du sultan, tué à la bataille de Dábik en Palestine l'an 922 H., ses restes n’occupè- rent jamais cette chapelle ni le mausolée mentionné au Kérafat. 14) Djämi Mowayjadi (823 H.), le plus vaste des sanctuaires du Caire, est situé sur un carrefour tout près de la porte de Zoweilah ou Bab : el- Motewally, nom qui lui a été donné d’après: un gé- nie tutélaire que la légende dit avoir résidé au coin | de la porte”). Le minaret de la mosquée forme : sym- métrie avec la tour de la porte. La mosquée a d entrées; le portail du côté de la rue de Ghouri est plus imposant; il appartenait auparavant au grand Djami du sultan Hasan, et fut transféré à la place qu’il occupe aujourd’hui, par Mélik at-Tsähir Barkouk. La construction date, comme nous l'indique 1 ‘inscription au-dessus du portail, de Pan 823 H. du temps du sul- at Ger oda ad Ab at ail ll Ai 29) V. Makritzi al-Khithath t. II p aed ere au m Vi AA manners ads customs t. II p. 46 = 1846). Bulletin de l'Académie Empériale 540 tan al- Mélik al-Mowayjad Abou-l- Nassr Scheich”). A l'exception du liwan méridional, mesurant 26 pas du N.—S. et 60 de !’E.—!’O. et restauré l'an 1255 H par les soins d’un certain Ibrahim du couvent voi- sin de Goulscheni Pb. ren) SL EI Lis vel [us |, ce que nous indiquent deux médaillons ap- pliqués sur la muraille, ruine. On y enseignait la théologie d’après les quatre sectes orthodoxes; outre le sultan lui-même (7 le 8 Moharram 824 H.) sa fille et son fils Ibrahim as Sárim (+ 823 H.) reposent dans la chapelle sépulcrale *). 15) Le couvent de Goulschéni (926 — 31 H.). En tournant au carrefour de Mowayjad par la rue du côté du NO., la continuation de la rue de Darb el- Ahmar, nous avons le grand couvent de Goulschéni, élevé Pan 926 — 931 H. et servant aujourd’hui d’a- syle à 30 derwisches de l’ordre Nackschibendi-Khal- watt. Au milieu de la place libre se trouve la chapelle sépulerale du fondateur, au-dessus de l'entrée de la- quelle nous lisons ces vers persans: «Goulschéni, nommé Scheich Ibrahim, abandonna ce «jardin de fragilité; il plaça le pied sur les plates-ban- «des de la contemplation et devint un hôte de ce vieux «couvent. Lange de la mort eria en l'enlevant: le pôle «du temps Ibrahim est mort (940 H.).» En dessous on lit le verset du Coran 8. 39 v. 73), 16) Le Djämi Sàlih Thalài'h (du 6"* siècle H.), situé au-delà du Bab ez-Zowailah du côte du Sud, date du temps des Fathimites; il a été élevé par Salih Thalavh b. Rouzik, vizir du dernier sultan Fathimite el-Adhid-le-din allah, pour y déposer la téte de Ho- 26) "De dell eer PRRI deel | Je Lisl po! 26) X Makritzi t I p. 328 — 380 et Weil, Gesch. des Ab- bas. Chal. t. JI 27) Sall T ais iu TP NI o Ell Je ile dol rá (3 lea) o par) us uM — E d'en ale; e e» datz lige fe, UY + pti >) | perl olli bis le — 25 EI exile Laf le reste de l’édifice est en | sain qui pourtant par l’ordre du chalife fut transférée sous une coupole aux environs du chateau Fathimite, où nous trouvons pour le moment le Djàmi Hasanem. Détruit par le tremblement de terre de 702 H. le Djámi fut reconstruit par les soins de I'Émir Seif ed- Din Boktemir al-Djoukendar, dont nous lisons encore le nom sur le vieux minbar”). : | 47) Le Djámi Kadjmäs ou Abou el Haribah (886 H.). En prenant la route Darb el- Ahmar du côté du SE. qui mène à la citadelle, nous avons cette petite mosquée, construite par le grand-écuyer de Kait-Bây as-Seifi el- Aldi Kadjmas Van 886 — 887 H. comme nous l'indiquent plusieurs inscriptions des murailles”). Le nom d’Abou Haribah lui a été donné depuis le commencement de ce siècle, après qu’un scheich de ce nom y eut été enterré. 18) Le Djämi Maridäni (739 H.). Tout près de lá, à gauche, nous avons les ruines du grand Djämi Märidäni dont de hautes murailles en- tourent un carré mesurant à peu pres 75 pas de côté. Le portail principallest du côté du Nord, surmonté d’un haut minaret dont la partie supérieure, il y a peu d'années, s'écroula et remplit l'intérieur du Djàmi. Du côté de l'Est se trouve l'autre entrée au-dessus de laquelle une inscription nous indique que cet édi- fice a été élevé par Altunbogha al- Mar idáni, échanson et gendre du sultan Mélik an-Nässir dans le courant de l'année 739 H.”). Un dattier et un acacia (Labq) couvrent encore de leur ombre la fontaine au milieu de la place libre. 19) Le Djàmi Mihmendari (725 H.) situé dans la méme rue et datant de la méme époque a été bâti par Schihäb ed- Din Ahmed b. Akousch el- 28) = dui E: iive PART =} Lie ulm d Huye! PUT yd! pie rel se e Comp. Makritzi t II p: 293 et Weil, Gesch. der Chal. t. III. p. 320. 29) 338) el Los? cima! IE BU — lil, P = 3 NJ cu All Comp. Weil Gesch. des Abbas Chal. in Eg. t. Il. p. 343. 30) en X E. laabi.. NI NU Ak E) vrg d yt EU, v. Makr. t. II. p. 308. 541 des Sciences de Saint-Pétersbourg. _ 342 Azizi al- Mihmendár Van 725 H. Le fondateur repose dans une chapelle située vis-à-vis de l'entrée; sur le sarcophage en marbre on lit encore le nom du dé- funt: «Ahmed Emir Mihmendär, Emir des chefs des armées victorieuses de Mélik an-Nassir, fils de son Altesse al-Djemáli al-Mihmendar etc.»?'). La muraille extérieure nous donne une assez longue inscription €n lettres colossales *’) contenant la date de la con- struction de ce sanctuaire. 20) Le Djàmi du sultan Seha'bàn (770 H.). En avançant dans la même rue nous avons ce Djami magnifique à minaret octogone et coupole; Plin- scription du portail nous indique, que cette madrasah a été élevée par le sultan al- Mélik el- Aschraf Scha’ban b. Hosein à la mémoire de sa mére l'an 770 H., ce qui est encore confirmé par une disposition testamen- taire qu'on lit sur la muraille?). A droite et à gauche du liwan méridional sont les chapelles sépulcrales du sultan et de sa mére, mais complétement en ruine. Makritzi en décrivant ce Djämi le nomme «Dj. d’Omm es-Sulthan» c.-à-d. le Djämi de la mère du sultan, à 3 - 0-0 e Pod 31) La el, liege er. deed e Al sul Que!) kabel dl edel sly ie vel TIPPS ego Anes Ai diem Fund Paci, Anes y) FI « Mihmendär» signifie maitre de iid pour la reception des dignitaires étrangers; 999. comp. Makr. t. II p. 8 32) Nous reproduisons ici cette inscription: o J=? en Al ado Au Ji = alle walls ¿yo ERA! asl], à) A All, s d. Ja] s ay) Olai ët) sie 28 dits ss any bi, ES a aN Mr ske 3 ¿y youll eyed) aa Jl dud Ë eem Ai all sini el ds kg «3 e a) jio Sal 5) à et ete a aaliyah 39 Voilà la copie de cette inscription: ojo Aib i Al a.d! Al Je Gi Sul SEJ LY, o U Al ed late E ius ye LA al Jos all) „el Le Ae alo ce? ell es plo del Jan LE Lat) pale e Al öl ee ER | Comp. Makr. t. 1L. p. 400; ` laquelle il fut dédié. Son nom était Berekät; elle était célébre pour sa bienfaisance et tendrement aimée par son fils le sultan; elle se maria pour la deuxième fois avec PÉmir Djai J usufi et mourut l'an 774 H. quatre áns avant son fils. 21) Tout près de l'ancienne porte «Bab el-wizir» ` donnant sur le cimetiére nous rencontrons la chapelle de l'émir Therábay (909 H.), ordinairement connue sous le nom de «tombeau du sultan», datant de l'an 909 H., ce que nous indique l'inscription de la corniche *). 22) Le Djämi d'Ak-Sonkor. A peu de distance entre le Bab el - Wizir et Rou- maelah est situé le grand Djâmi Ak-Sonkor portant le nom d’Ibrahim Aga, d’après celui qui l’a restauré l'an 1063 H. Le liwan méridional seul a été con- servé; il est séparé de la place libre par un double portique; au-dessus du Mihrab une plaque en marbre incrustée dans la muraille nous donne cette in- scription: «Le prophéte, que Dieu lui soit propice! s’est ma- nifesté dans sa puissance dans ce Djämi béni la nuit de samedi le 9 Dhoul-Kahdeh Van 868; à présent Ibrahim Aga Moustafazan fait sa prière dans ce haut Djámi l'an 1062 H.»”). Le tombeau de Sonkor se trouve dans le Dean oriental avec cette inscription au-dessus de l'entrée: « Voici le tombeau de f: Ak-Sonkor al-Nássiri connu sous le nom de Djàmi an-Nour; commencé le 16 du Ramadhan l'an 747 et achevé en 748 H.»™). 39 e. GE 2 All Sall le dëi Gal el bhb Cul äech) Sr ll Jul ed SOU EUs pb all hall bp Sg ud 99% à. CU 3 ¿lll us BB e aly à JA oht lis 3 ell y» ile yla, e ain pl Jl sail) (65 el Ubi Fy el co All pe dl Lis vis Jo, pl ler dien ¿bi ¿E YL 36) els SST rela! Je 3 poil a Lis > Bulletin de l'Académie Impériale 544 A côté est la chapelle d'Ibrahim Aga avec l'indica- tion de l’année 1062. Selon Makritzi cet Ak-Sonkor, nommé as-Sallàri an Nässiri, était gendre du sultan el-Melik an-Nassir et successivement gouverneur de Safad, de Gazza et enfin d'Égypte, fonction qui lui fut ótée Pan 744 H. 23) Le Djämi Kaghbay (908 H.) s’eleve tout près avec la chapelle sépulcrale du meme style que la chapelle de Thérabay et datant de la méme époque 908 H. selon l'inscription du portail, laquelle contient une série d'épithétes de ce fonction- naire de Mélik el-Aschraf Kansouweh ”). 24) El-Iimischia (785 H.). Construction peu importante presque en ruine, se trouve tout près et doit son origine à Seif ed-Din It- misch al-Bedjäsi qui selon Makritzi”) éleva cette ma- drasah lan 785 H. Il fut partisan du premier sultan circassien Barkouk et Atabeg de son fils qui le fit tuer peu aprés son avènement au trône 801 H. - 25) Le Djämi du sultan Hasan (764 H.), au coin de la place de Roumaclah et de la rue «souq es-siläh», un des plus vastes du Caire, a éte élevé par le : sultan Mélik an-Nassir Hasan b. Muhammed b. awoun l'an 764 H., à la mémoire duquel on a con- struit une chapelle sépalersle surmontée d'une vaste coupole, Une stèle placée à côté du sarcophage donne le nom du sultan avec l'an 780 H.*), tandis que l'in- SCH de la muraille intérieure et celle au-dessus VIA del Wée" TAR ad sol obs Ji Comp. Makritzi t II. p. 309. m Jl SE al LI EI Le Jak ul Nell E ais äs) ce sell Zell alanis OLS a gLill oy: tj 38) V. ibid. t. II p. 400. E On lit sur cette stèle 3), E er Lis = P Ne LS? De dem) SZ ES Ee 1253] e» odia dän de l'entrée de la madrasah dans le liwan oriental in- diquent l'an 764 H. D’après Makritzi ce Djami fut com- mencé l'an 757 H., et on y travailla pendant 3 ans sans l'achever. Le sultan eut l'intention de Porner de 4 minarets, mais le troisième s'étant écroulé il aban- donna ce projet et fut tué peu après dans une révolte laissant l’intérieur inachevé l’an 762 H. Le tombeau mentionné, dont nous avons lu l'inscription, a été con- struit aprés sa disparition, et on ignore où ses restes furent déposés ^^). 26) Le Djämi Qanibày (988 H.), sur la place de Roumaelah assez vaste bâtisse, mais pres- que en ruine, porte ordinairement le nom de Sidi Moh. Mir-Achor (grand écuyer); il a été élevé, comme nous l'indiquent l'inscription du portail et celle de la cha- pelle sépulerale, par Qanibây, grand écuyer de Mélik el-Aschraf Toumanbay, dernier sultan Mamlouke, l'an 988 H.*'). 27) Le Djämi al-Djài b. Abdallah al-Jousoufi (774 H.) situé dans la rue de souk es-silah a été élevé par Pémir Djái b. Abdallah al-Jousoufi, marié avec Béré- kat, mére du sultan Schabán, dont nous avons fait mention précédemment. Selon Makritzi cet émir périt dans le Nil aprés une défaite, et son corps fut trans- féré dans ce Djami ?). II. Arrivés au bout d'une des grandes artères de la ville, retournons au Mouski pour suivre l'autre route longeant d'abord le grand canal, puis tournant du côté de l'Est vers le carrefour de Mowayjad, et, de là, con- tinuant notre chemin tout droit, du côté du Sud et du ^ À CA 40) Comp. Makritzi t. II p, 316 — 318. 41) Al Cus «Lll ll ajo ul: P. | ^ i E gels à ill ap Ju. 5 i 42) ai al D Lu Si E) ES a hex ali opai ET Far” LE el ds lenny uses el Comp. Makritzi t. H. — 545 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Sud-Ouest, vers les portes de Sitta Nafisa et de Sitta Zeinab. he commencement de cette rue appelée or- dinairement à cause de ses belles citernes «rue des sebils» nous avons en tournant du Mouski 28) le Djämi al-Kädhi Zein ed-din Jahya (848 H.) bâti d’après l'inscription du portail l'an 848 D par le Kadhi et Ousteddar Zein ed- Din, dont le tombeau se trouve dans une chapelle latérale ^). Au-dessous de cette mosquée une cave, servant pour le moment d'abri à un mendiant, renferme le tombeau du santon ‚Ferrädj as- Sathouhi qui semble avoir donné le nom à l'ordre des Fakirs Sathouhiens “‘). 29) Le Djämi Fachri (820 H.) restauré l'an 1270 H. par la femme de Mohammed Ali, Omm Hosain- Beg, morte pendant mon séjour au Caire le 9 février 1868 et ensevelie avec une pompe extraordinaire; il porte de méme les noms de Djämi d'Omm Hosain- Beg et de Djámi Benät, le dernier par- ce que les femmes enceintes y font leurs prières pour obtenir une heureuse délivrance. Le nom du fondateur primitif est Fachr ed- Din Abd-cl-Ghani b. Abi-l- Farag, dont le nom se trouve dans le sarcophage de la cha- pelle avec l’indication de l'année 820 H. *) L'intérieur de la mosquée est bien délabré; au-dessus du portail l'inscription moderne que nous donnerons ci-dessous, nous indique que le rétablissement de ce sanctuaire et la construction de son minaret ont été ordonnés par la mère de Hosain- Beg, fils de Moh. Ali“). Vis- 48) Jal] e Say JI all 3), ES il Lis =y ple ¿y ell ol) Got Ga! AN ucl A les ue or cole 44) dl pe o BER | ¿> dis dial e — de Fakirs Guer" se trouve an Makritzi t. II p. a y : is) Je aso] 2 Ce CR Pm jn up oJ? HRZ ls |y de 46) à yal] h ‚Je ay Le Aail, lee JJS OS as ell yon pIe Js? él ER sol, ve? Al Jess Lol „lb ell U is? Lil e Lë "LU JL») T! Le, Loa) Al Jl CL TENET ch yal Ju) sy y” Legale Aen Al Tome XV. à-vis de la niosquée on a construit à la mémoire du prince défunt un des plus beaux sébils du Caire, où Pon trouve de curieux échantillons de poésie moder- ne que nous avons lintention de communiquer dans uu. petit recueil à part. _30) Le Couvent de Nakhschibendis (1268 H.) situé sur la route principale du Sud au-delà du car- refour de Mowayjad doit son origine à Abbas- Pacha qui l'éleva à peu-prés dans le méme style que le cou- vent de Goulscheni l'an 1268 H. Au-dessus de l'en- trée de l'oratoire on lit le nom: Scheich Khálid Dhiá ed- Din, le pôle de la direction *). 31) Le Djämi du sultan Mahmoud (1164 H.) contigu au sibil magnifique a été élevé d’après le thi- ráz**) par le sultan Mahmoud l’an 1164 H. 32) Le Djami de Moustapha-Beg (1277 H.), élevé sur la place de l’ancien Djämi Beschtaq *) par le prince Moustapha, frère du vice-roi actuel, qui con- struisit de même le beau sébil, situé vis-à-vis de la mosquée. L'intérieur de celle-ci ne comprenant qu'un vaste oratoire dont le toit est porté par 20 colonnes en marbre et le sol couvert de tapis, ne nous offre rien qui soit digne d'attention. Des vers contenant des louanges de Moustapha-Pascha et de sa mère couvrent les plaques en marbre incrustées dans la muraille. 33, 34) Le Djàmi Behloul (887 H.) et Almas (730 H.), l'un tout prés de la Birket el-Fil, élevé d’après l'in- scription de la chambre sépulcrale l'an 887 H.™), l’autre sur cette place, bâti par l'Émir Almas 730 H.”), tous les deux en décadence et ne nous offrant rien 47) ie ST TT sess Ls = u co ED m E ou SE ZEN Le dernier des vers dos y^ wed eb e contient de méme cette année: | ll 2 Ya Je ME Ju |J» 49) V. Makritzi a - Khithath t. IL. p. 309; Ga année de la con- struction 1277 = est indiquée par la fin des vers qu'on lit au-dessus de Pentrée: 3 a) „> au! cu pic : 50) 3 gold ius Aib Jue el pell ul ST Ge AAV EC al d P m EST V. Makritzi t. II Le 307. 35 547 Bulletin de l’Académie Impériale 548 d'important; nous nous approchons de la colline de Kabsch, le ceutre de plusieurs monuments bien remar- quables, parmi lesquels nous nommerons: 35) Le Djämi Sirghatmiseh (757 H.), batisse colossale á minaret octogone et coupole, doit son origine à Sirghatmisch, Émir et général en chef de Mélik an-Nássir qui l'éleva l'an 757, comme nous l'indique le thiráz ?). s 36) Le sanctuaire de Khodeira (Liss H) — situé vis-à-vis du dernier a gardé sa réputation d'asyle de sainteté jusqu'à présent, au moins comme nous l'indique l'inscription du portail SÉ «La porte de Khodeira t'offre ce que tu cherches; voilà la majesté divine, elle te prétera son aide.» — . 37) Le couvent et la Madrasah Schaikhou (756 H.) situés à peu de distance de là sur les deux côtés de la rue qui paraît encombrée par ces immenses bâtisses ont été élevés au même temps que le Djämi Sirghat- misch l'an 757 H. par PÉmir Schaikhou, favori du sultan Mélik an-Nassir b. Qélawoun, qui y repose dans | la chapelle du liwan méridional avec le célèbre pro- . fesseur de théologie et de jurisprudence Akmal-ed- Din Mah. b. Mahmoud b. Ahmed (+ en Safar 780 HA ce que nous indique l'inscription du sarcophage *). Le 5 JUN EN AN ar Ul à all je Lib S Jo: sa Gud Lal oae OR ty a ch D clodel) Fa AR) Kai à y du ET Zare ze PESI Pl e SD i, 53) soll wi ole 365 ¡as ¿llo as "ys SS? pa ie dessus du portail de la mosquée on lit après 8. 51 y. 15: ze dl es EET ER All cH | jo M AE ce dne Ji e ox o ach ga Jal qe, y Jis od uà de Le dal, deme, cess et el L'inscription du Fu eat celle - di: re 15 LE - 25 Lë de JU s. tym alu, & ' 2 Us. p Le À «adel Es Jel J? couvent est situé vis-à-vis de la mosquée; l'inscription du portail porte de méme l'année 756 H En tournant un peu du cóté du Sud-Ouest nous arrivons à la colline de Kabsch, où d’après la légende égyptienne Abraham immola le bélier au lieu de son fils, ce qui est l'origine du nom de cette place. Outre la ruine vénérable du Djämi d'Ibn Thouloun, nous trouvons une bâtisse imposante, située au sommet de la colline avec deux immenses coupoles e un haut minaret, portant le nom de 38) Djämi Djàwouli (723 H.) contenant deux chapelles sépulcrales: l'une de Seif ed- Din Sallär, gouverneur du sultan Mélik an-Nässir, élevée l'an 723 H. "71: l'autre de l'Ousteddàr Sandjar al- Djáwouli, de méme au service du sultan Mélik an- Nassir et mort en 745 H. sous le fils de celui-ci, Mélik as-Salih, dans son château au Kabsch, où il fut dé- - posé *). Quant à Sallar il fut condamné à mourir de faim par le sultan Nassir Moh. b. Qélawoun Van 710 H. pour avoir participé à la révolution de Roku ed- Din Beibars; — cette chapelle lui a été probablement élevée après sa mort par son ami Sandjar al-Djà- wouli. Sur cette colline nous avons encore à mentionner une bâtisse assez imposante léguée par sultan Kait- a vid s ye uses ils... ee S3 U Al, 1°40 diw JbUJI la jot JY » 54i] a Comp. sur ce professeur en théologie Makritz t. II p. 313, 421. 55) Au- dessus du portail de l'une de ces chapelles nous lisons: NES ER d: T ob m Gëf JS — 4j P Tm E dal Jill ollas y Ll, cpl eet Sk GT CRM D 45 des Ju a) les ye dj} Le es gat ell 4435 ¿ye mée) DN an. 23 3 SU EI Lie des o ae | c teas ro 56) Au-dessus de l'autre après le même versét du Coran 8.55 v:26: Al anid yo ET dl ill cual] ia Je ool) U ill lost DUE ji o zie im dl al les ¿yo ul Le äise * 549 des Sciences de Saint- Pétersbourg. Bay au Djämi Djáwouli?) et une petite mosquée du quartier Häret el-Nabigat, bien conservée et distinguée par ses voûtes ogivales de l'année 886 H.*) En des- cendant nous trouvons enfin les ruines du 39) Djämi Ibn Thouloun on Theiloun (263 — 65 H.) entouré d’une muraille crénelée renfermant un carré dont le côté mesure à peu près 120 pas. Au milieu de la place libre une Hanéfiah porte encore le nom du sultan Lágin Melik al-Mansour Husám ed-Din qui se lit de même sur le minbar ?). Il restaura cette mosquée que l’année de disette 460 H. et, un siècle plus tard, | > les dévastations de la guerre avaient transformée en un monceau de ruine. Ce n’est que le liwan méridio- nal qui a été conservé, et où nous voyons quatre rangs de colonnes, chacun de 13, portant des voûtes ogi- vales, Du côté de l'Ouest un petit minaret a été con- servé d’où l’on jouit d’une vue ravissante au-delà des pyramides. Ce Djâmi d’une date plus ancienne que la fondation du Caire doit son origine à Ibn Thouloun, qui établit la colonie militaire d'al-Qathás, et bien que nous le voyions restauré Pan 696 H. par Lágin, et qu'il serve de sanctuaire jusque dans les premières années du 9% siècle, le commencement de sa déca- dence est probablement contemporain de celle de tout ‚le quartier et date par conséquent du milieu du 6"* 57) Nous lisons sur la muraille: me El jui Wl ae Las] S -7 0% à G = + qe Cals Lt * rt un JI Ai 58) Dans la corniche intérieure nous lisons après 8.3 v. 187: Si} SN UY, GL af, LJ Al oJ? 55 ja} 3 EAR ye ¿Lal ob, € ay) SS: Lal SES" dsg) st) ya AM Ai Sy Ll) SS 59). m er + EI LU} Ai lie Jess zi SC ys 9 Eau ds Une inscription ee se trouve au- ost Y pull, wol, we ai dessus d'un portail: 1 siècle H. Descendus de la colline de Kabsch nous con- tinuons notre route par la rue principale du Sud vers la porte de Sitta Nafisa et rencontrons & peu de dis- tance du Djami Sirghatmisch 40) le Djämi Uzbek (905 H.) élevé Pan 905 H. selon l'inscription du portail®) par Seifi Uzbek al-Jousoufi, général du sultan Qáit- Bay, bien différent du contemporain Uzbek b. Tatach qui à donné son nom à la place de Birket el- Uzbékiahou Ezbékiah, où un grand Djimi, maintenant en ruine, lui doit son origine, La chapelle sépulcrale à gauche enentrant a été destinée à l’épouse du sultan, fille de Seifi Uzbek (+ 907 H.?), tandis que le sarcophage porte le nom d’un certain Sidi Farrag, fils de Seifi + 888 H.)*”. Deux bátisses appartenant à Pépoque du sultan Qäit- Bay et situées dans la rue de Schari Salibat restent à mentionner: 44, 42) le Djämi Djäbek on Djänbek (830 H.) élevé par le seeréfaire du Qäit-Bäy, Djábek Pan 830%); l'autre a la mosquée de Moh, Gànim (¿ls 1,2 883 H.) avec la chapelle du fondateur, à qui l’on doit de même une petite mosquée en ruine sur le Kabsch portant l'an 877 H. 2 Ger 3 5 ay J E Jl] e oJ? Ail ^ ub x ig Í ENT wll Ged me Ai Sl mi ES? EFS Le Ge dy ns Sur le E on Jit: E C24 Cer pool à i y! e dëch ss Al Al er des Le aen A dj! chis AREA RER jur go) Ado, url oie CHER JM pose sb en Cam EN Gall LLU peldi Le Ach Al di agi e» AGE (m Kell E E LC. 63) Sur un siége appartenant à = mosquée du Kabsch on lit le nom: EE pë T "Y 99 551 Bulletin de l’Académie Impériale 352 Vis-à-vis de celle-là nous avons dans un enfonce- ment de la rue le grand 43) Djämi Qousoun (730 H.) élevé par l'Émir Qousoun, échanson de Mélik an-Nás- sir l'an 730 H.%). Le liwan méridional seul a été conservé; le toit est supporté par 24 colonnes corin- |' thiennes. Au-dessus du mibrab s'élève une grande coupole portée par 10 colonnes en marbre, tandis que le devant est formé par dix colonnettes en marbre noir; sur la chaire on lit l'année 727 H. Le minaret dont los débris remplissent une partie de la place libre, sécroula au temps de l'expédition française. L'Émir Qousoun fit partie de la suite de la prin- cesse tatare Dhoulbiah, femme de Mélik an-Nássir, dont nous avons décrit la chapelle sépulcrale sur le Kérafat, et monta aux plus hautes dignités jusqu’à atteindre- la régence au nom d’un des fils du sultan. Enfin un autre fils, le troisième, réussit à le saisir, le fit transporter à Alexandrie et ant à mort l’an 742 H. Outre ce Djámi magnifique il éleva un cou- vent sur le Kérafat et un palais sur la place de Do meilah qui tous deux ont disparu ®): | 44) Le couvent de Rogayah (1170 H.) élevé l'an 1170 H. et dédié à Roqayah, fille du 8"* Imäm Ali Ridhä, abrite dans son intérieur une ving- taine de Derwisches, la plupart de familles turques et se distinguant par leur politesse et leur instruction. Outre le tombeau de Sitta Rogayah on y montre ceux d’Ali-Ridha, père de Rogayah et d'Atika, tante du pro- phète. Au-dessus du portail nous lisons ces vers: «Place sanctifiée par la famille du prophète et par Roqayah, fille d’Ali Ridhá, l'an 1170 H.»™). 64) Au-dessus de l'entrée du liwan méridional on lit: al One ill a? Al JJ pail] Al gold) Le dëi, soll) EY GELD dl a Goold! EI — à o5, usb v ST, or an 65) V. Makritzi al-Khithath t. II p. 307. un ee i Ku bei daa ¡[Yo dine 45) Chapelle Abbaside (1242 H.) située vis-à-vis renferme les restes d'un des der- ` niers descendants du chalifat Abbaside. Comme nous savons par l’histoire, qu’une ombre du chalifat se maintint depuis l'an 659 H. en Égypte, et que ce re- eton Abbaside, exploité par les divers prétendants du sultanat, habitait le couvent voisin de Nafisa, il est bien vraisemblable que nous pouvons avoir ici son tombeau. La populace le nomme fils de Haroun er- Raschid. Deux vers modernes au-dessus du portail célèbrent la gloire de ce pauvre descendant des cha- lifes : «Voilà le tombeau de celui qui a été élevé en rang parmi les hommes; dont les qualités ont brillé dans le monde; — sa demeure est belle.» La date de sa con- struction est indiquée: «Quelle augmente votre gloire, ô postérité d'Abbas (1242 H.)»®. Un sarcophage en marbre, placé au milieu de la chapelle renferme ses dépouilles, et, vis-à-vis, un enfoncement de la mü- raille en contient un autre en bois, couvert d'un drap, sur lequel on lit le nom de Sitta Fathimah Schadjaret ed - Dourr, reine du sultan Eyjoubide Mélik as-Salih, dont noun avons décrit précédemment la chapelle. Une inscription moderne autour de la muraille, con- tenant l'éloge de la reine, n'a pas assez d'intérêt scientifique pour être communiquée ici. — 46, 47) Chapelles de. me (1170 H.) et de Sitta Nafisa 8 H), Consacrées à deux "een de la postérité d'Al, l'une Sakinat, fille de Hosain, l'autre Nafisa, fille de Hasan b. Zeid, petit fils d’Ali, sont situées à l’extré- mité de la ville. La premiére un peu avant la sortie de la ville comprend un oratoire, dont le toit est porté ¿ | par 6 colonnes, ét où la chambre sépulcrale se trouve à droite séparée par une griHe. Au-dessus des deux portails des vers indiquent l'année de la construction 1170 H. «Une mosquée renfermant la famille de ab (c.-à-d. Mahomet), le soleil de la direction, la fille de Hosain Sakinat» et: «Un sanctuaire oú est renfermée T e en - ys alil, 2,5 ljo SR JH, alo C (pret As 553 des Sciences de Saint-Pétersbourg. la fille de Hosain, Sakinat, qui verse sur nous ses dons» 5. La deuxième située à la porte du même nom et restaurée tout récemment l’an 1248 H. aux frais d’un certain Hasan d’Arzingan %), ce qu'indiquent quelques vers du portail, appartient aux plus grands sanctuaires de Égypte. Quand aprés la mort de Nafisa, 4 ans aprés Schafei, on voulut transporter son corps, sancti- fié par une quantité de miracles, la population du Caire s’y opposa, et elle fut enterrée sur cette place appelée Darb es-Sibá ou Darb Bazreb, où plus tard l'on éleva une mosquée ”). 48) Coupole de Qélawoun et de sa reine, Deux monuments à grandes coupoles attirent l'at- tention en sortant de la ville; ce sont des chapelles destinées au sultan Qélawoun et à sa reine Sitta Kha- toun, ce qu'indique l'inscription de la corniche ex- térieure avec l'année 687 H.*'). Le sultan dont nous avons décrit la chapelle sépulerale dans le Moristan, ne fut jamais déposé ici, et sa reine fut transférée à la méme place par son fils Mélik an-Nassir. Nous avons mentionné ici ces deux ruines qui ne tarderont pas à disparaitre, Pascal- Coste dans son grand ou- vrage Jes ayant appelées ruines d'une vieille mosquée. Dans un abrégé de l'histoire d'Égypte l'auteur Schar- qàwi dit, que ces deux chapelles ont été dévastées sous l'ecutiütion francaise. 49) En passant dans le quartier de la porte de ` Sitta Zeinab du côté du Sud-Ouest nous traversons la ruelle de Massthabah Faraun, où se trouve la mosquée 0 sd Ci (IP prow iz ab JI ds Jax? > [IVe A w á raid $ s 69) Nous EE ici le nimes et la fin - ces vers: vill, ell = perles — ai an del ab dy)! ue Ul asl; ds «al; Isi caf isl s eu v IPEA dis 70) > Makritzi t. II p. 440 — 441 et Lane, manners and cost. t. ID p. 5 71) Y. Makritzi t. TI p. 382, oú la reine est nommée 3 Sok- bày»; comp. l'abrégé de l'hist. d'Égypte, intitulé: JJ] aas? hd o J U^ es idi ue par l’Imâm “Abdallah as- Scharqawi Cah. 1281 H. p. 56. du même nom bâtie par le sultan Abou Said Djakmak (857 H.), et nous arrivons à la rue de Sitta Zeinab menant à la porte du même nom et au Djämi de Sitta Zeinab (1177 H.) situé au coin du marché et de la rue de Sitta Zeinab, ainsi appelée d’après la fille de Fâthimah. La façade du côté du marché est précédée d’un portique assez élégant dont deux saillies renferment les sarcophages de deux esclaves de Sitta Zeinab Qarisch et Aidousch | Za j3) (uses. La partie extérieure du côté de la rue est toute moderne, élevée aux frais d'un certain Ibrahim Adham sous le gouvernement de Mohammed Ali l'an 1276 H.”). Par le portique du côté du marché on entre dans l’oratoire dont le toit est porté par 25 co- lonnes avec la chapelle sépulcrale de Sitta Zeinab, en- tourée d'une grille ciselée, au-dessus de l'entrée de laquelle on lit”): «Voilà le tombeau de Sitta Zeinab de la famille du prophète, la Haschémite, fille de Fäthimah la floris- sante, progéniture de Mousthafa, le maitre de l'huma- nité et le meilleur des hommes.» La date est indiquée: Vénérez-la, depuis qu'elle a quitté cette terrel'an 105 H. “21177 4 Au-dessus des autres portails du Djämi on lit des vers modernes célébrant Fâthimah et la famille d’ Ali. L'origine de cette bâtisse date des ans 1163—77 H.; mais elle a subi plusieurs restaurations en 1210, 16, | 76 H. Arrivés à l'extrémité de la ville du côté du Sud- Ouest nous retournons vers PEst pour monter la col- line de Ja citadelle, où nous trouvons outre le Djämi - moderne de Mohammed - Ali les ruines du Djami cé- lèbre de Nässir ed-Din Moh. b. mm et le Djämi de la garnison al-Kaisaréah. 72) Au-dessus d’un des portails on lit des vers, dont nous repro- duisons ici le commencement: U joo LL sl] se sul Ar T3 2) pla as al Lidl) Ijo — anus e BAR oli s 73) Al Catz -y Ges: Gei à. illl plie Js gl Jes à ell s Jil e ånd bell dal pole pell Al A és le à LE LU ai Au ls) leds 555 Bulletin de l’Académie Impériale 556 50) Le Djämi de Nässir ed-Din Moh. b. Qélawoun (718 H.) date de Pan 718 H., comme nous l'indiquent les restes d'une inscription ") au-dessus du portail; l'intérieur est tout en ruines et parmi les colonnes de marbre, où d’après Makritzi les sultans, résidant dans le palais voisin, dirigèrent eux-mêmes le service divin du ven- dredi, on a établi des étables. 51) Djâmi Kaisaréah (935 H.) situé du côté opposé de la montagne a été élevé sous le sultan Soliman par un certain Soliman Pacha 935 ., comme nous l’indique une plaque en marbre au- dessus du portail de la chapelle sépulcrale ”) située derrière le liwan méridional. Les liwans sont séparés par une colonnade de la place libre; du côté du Nord se trouve le tombeau d'un wéit. nommé Sariat el- Djebel, c.-à-d. la colonne de la montagne. 52) Djämi de Mohammed Ali (1263 H.) élevé par le célèbre fondateur de la dynastie 1263 H. n’a pas besoin de description, comme il a été visité par tous les touristes d'Égypte; il rivalise en splendeur ex- térieure avec celui fondé par Zsmaïl- Pacha en 1280 et consacré à la mémoire du Scheich Salih. Abou-Ha- did. Tous les deux ont le même style: un vaste ora- toire dont le toit voüté en coupoles est porté par une quantité de colonnes en marbre, devant lequel se trouve la place libre avec la Hanéfiah an milieu entourée de ` portiques. - IM. 53) Mosquées dispersées dans les rues latérales. Après avoir traversé les deux grandes rues prin- 74) cpl Sall] Al Al Lye Ak pel Le ya ol dl 3 Ss, Años Ai ay! TS U SS? ale, Comp. Makritzi t. II p. 212, 325. 75) Ske Gees Ge? dg wkd) ae wi dra cm EE det? Su Au : cipales du côté du Sud avec les embranchements de l'Est et de l’Ouest il ne nous reste que quelques mo- numents dispersés dans la partie occidentale de la ville le long du grand canal, et dans le réseau compliqué des ruelles intermédiaires. A l'entrée du grand canal dans la ville nous avons: 54) Le Djàmi de Sitta Meska (740 H.) portant le nom de Hadak Sitta Meska, favorite du sultan Mélik an-Nässir qui après avoir exercé une grande influence sous le règne de ce chalife employa sa fortune considérable à la fondation de cet édifice qui date de l'an 740 H., comme nous l'indique l'in- scription du portail 5). L'intérienr est presque en ruine. i 55) Djämi Scheich Salih Abou Hadid (1280 H.) élevé par le vice-roi actuel et consacré à la mémoire du Scheich Abou Hadid dont la chapelle est à droite en entrant dans le vestibule, a déjà été nommé pré- cédemment. Des vers au-dessus du portail célèbrent la ee du vice-roi actuel ”). 36) Djämi Pasrodd Jousonf ( 1177 H) situé dans le quartier du Maks dans la rue Háret el- Ayjathin a été construit à l'emplacement d'une an- cienne mosquée mentionnée par Makritzi, par le Vi- zir Dawoud Jousouf l'an 1177 H. Plusieurs vers au- dessus du portail contiennent l'éloge du fondateur avee l'année de la construction”). 70) SL ll Le Lil I — — api uas dy) Jr AS al Ge Y BU) a Jill a reve.) Lu äss jal) KR er go pull, Gel la «Jc i xe die yy i3 à Ll Comp. Makritzi t. II p. 116, 326 qui de ces deux noms «Hadaq et Sitta Meska» fait deux femmes différente es. 77) al 3p— pem ial Gul Lisl 7 let erh Lie Def ge a a RE » 78) Voici la fin d'une de ces strophes en poésie moderne: Aug T3 yl) Al... e Je oye él ¿ll Comp. Makritzi t. II p. 107. 557 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 558 57) Djàmi Ak-Sonkor ou Khalwáti (8"* siècle H.) tout prés du pont Kantharat Ak-Sonkor, construit par Ak-Sonkor, l’intendant de bâtisses, différent de celui que nous avons mentionné précédemment, sous le règne de Mélik an-Nassir dans le 8”" siècle, a été restauré récemment et porte le nom de Khalwäti d’après le wali Muh. Kerim-ed-Din Abou-teqà al- Khalwäti ”), dont la chapelle sépulcrale s'y trouve. 58) Djàmi Ismaëli (748 H.) presque en ruine, élevé d’après l'inscription du por- tail?) par PÉmir Arghoun Ismaëli l'an 748 H., ce qui est confirmé par Makritzi. 59) Djämi al-Hanéfi (817 H.) . situé tout près date son origine de l'an 817, mais a été restauré sous Mohammed-Ali 1237 H. de manière qu'il a perdu tous ses souvenirs historiques*'). Un vieil acacia (labakh) greffé sur un figuier, dont le tronc est parsemé de dents et de clous, à seul survécu. La superstition avait adopté ce remède comme le plus efficace contre le mal de dents. A droite en entrant est la chapelle du wali Schems-ed-Din Müh. al-Hanefi, qui, d’après les vers inscrits sur le portail, jouit encore d'une grande réputation). Arrivés à la porte occi- dentale Bab el-Loug, ordinairement nommée Bab en- Nássiríah, nous retournons vers le Nord-Est où nous avons le Djámi le plus ancien du Caire, fondé par le général Djawhar l'an 361 H. sous le nom du - 60) Djámi el-Azhar (du 4"* siècle H.). z Jadis l'Académie la plus célèbre de l'Islam, il ne 79 E m ui 4 CR All 2 Jef Cet Ak-Sonkor mou- rut à de. 740 H., v. Makritzi p. 147, 309. a VEA din e bl a gm v. Makritzi t. 11 81) res Du el E e ay) Ja SE Li > je les 251 3 ous. JS Lal, + ne. Lois) e EM suis) (REN ans 82) Nous reproduisons ici un — de ces vers: HE, p £l. — À ll o 3 ze o Pe | pum Makritzi t. II | p. 327. cue i, lso nc mm conserve aujourd’hui qu’une ombre de son ancienne réputation comme école de théologie et abrite dans | son intérieur un nombre de 1000 étudiants de toutes les contrées de l'Islam. Pour éviter les suites pos- sibles des accès du fanatisme il faut en entrant être accompagné par un Aga de la police; muni d'une telle escorte j'y suis entré le 4 février 1868. Apres avoir traversé la vaste cour destinée aux exercices du corps, on entre dans un immense oratoire, mesurant de l'Est à l'Ouest à peu-prés 97 pas, et du N. — S. 66, dont le toit est porté par 8 rangées, de 12 colonnes chacune, en marbre formant des portiques; il a 4 portails et 2 Mihrabs. On y voit les étudiants étendus sur les nattes parmi les colonnes écoutant les lecons des pro- fesseurs ou prenant leurs repas ou s'adonnant aux douceurs du repos. — A l'époque de sa construction l'an 361 il était destiné à 35 étudiants en théologie et les chalifes Fathimites célébraient alternativement le service dans ce Djàmi et dans ceux de Hákim, de Thouloun et d'Amrou, jusqu'à ce que le sultan Eyjou- bide Saladin choisit exclusivement le premier. Le tremblement de terre de 702 H. le dévasta presque. entièrement, après quoi il fut restauré par le sultan Hasan 761 H., et le nombre des étudiants monta au sn dément du 9™ siècle à 750 personnes, apparte- nant comme à présent à toutes espèces de nationalités. Une mauvaise administration le fit tomber peu à pen ` en décadence jusqu’à être regardé comme une auberge ordinaire de pauvres; alors le pieux sultan Qäit-Bäy le fit réparer, et nous avons découvert plusieurs indi- cations de ces restaurations ®). Au-dessus du portail principal, construit Pan 1167 H. et portant quelques vers modernes es) s'élévent deux minarets. E Dans le mihrab nous Bee après le verset 76 Sour. XXIL: bed) LEY UX yay bo Samal eil al Le niet. p pee yl Gl El cL ef Al, et au-dessus d'un ei GE ch de? hel Ve: Joch e re c» 84) Nous Be ici la fin de ces vers: Ja Ze ——— elus qc ob Ch — ple ~ Ebr ssl als os 560 61) Djami Hasanein (1206 H.) situé de l’autre côté de la rue de Mouski, sur une place appartenant jadis au palais Fathimite, date de la fin du siècle passé, où Abd-er-Rahman Khiaya*%) con- sacra à la tête de Hosain la bâtisse actuelle qui bien- tôt va être remplacée par un Djämi plus splendide. L'intérieur ne renferme qu'un vaste oratoire, dont le toit est porté par 21 colonnes. Pendant ma visite on y était occupé à coudre les parties du drap (6,5) destiné à la Ka aba qu'on promène plus tard en grande cérémonie à travers la ville jusqu'au château; une quantité de femmes musulmanes faisaient acte de dé- ` votion en baisant la sainte couverture *5). La conservation de la tête de Hosain étant forte- ment apocryphe nous reproduirons ce que nous en raconte Makritzi”). Après la défaite de Kerbéla le 10 Moharram (Aschoura) 61 H. la tête de Hosain fut enterrée à Damas; pendant les guerres civiles elle pa- rait avoir été transportée à Ascalon, oit on lui consa- cra un sanctuaire, et de là, de peur que les Francais ne s'en emparassent, elle fut transférée l'an 548 au Caire où le vizir Thalata b. Rouzik ^) avait l'intention de lui élever un sanctuaire. Les habitants des environs du vieux château lui contestèrent cet honneur, et elle . fut enterrée dans une coupole voisine, que le sultan Saladin transforma en une madrasah de théologie. Cette bâtisse ayant été complètement détruite par un incen- die Pan 641 H., Phistoire de cette tête ne reparait qu'avec la construction du monument actuel qu'on va | bientôt changer, pour conserver l’auréole de la lé- gende, en Djämi magnifique. Le nom de «Hasanein» lui vient de ce qu’on a voulu comprendre dans le méme nom celui du frére Hasan qui repose 4 Médine. 62) En nous dirigeant vers le Sud nous traversons -le quartier de Dawoudiah située entre les deux rues een nous y trouvons En dessous on lit ces quatre sentences : des Sale J „iss; Be JO UE ail se iul; Salt © 3 e LIL We Sur l’histoire du Djàmi el-Azhar v. Makritzi, t. II p- 275— - 85) Y. Niebuhr, DEE I. p. 134. 86) Comp. Lane, manners and customs t. III p. 96, 115—118. 87) V. t. II p. 427; sur la féte d'Aschoura v. G. de Tassy, Mém. ` sur les particul. de la men Musulmane dans l’Inde p. 30 suiv. ` Set % €i-devant X 16 Bulletin de l'Académie Impériale "la où Von - la mosquée de Bardaini (1105 H.) élevée d’après le thiraz*) à la mémoire du wali Bar- - daini; l’intérieur est très bien conservé; 63) le Djämi de Sofia (1017 H.) bâti selon l'inscription au-dessus du portail”) par la mère du sultan Mohammed III Sofia, d'origine Véni- tienne de la famille Baffo qui pendant une trentaine ` d'années dirigea le gouvernement sous le sultan Morad et son fils Mohammed III. La place libre entourée de portiques a à droite l’oratoire principal, dont le toit est porté par 6 colonnes en granite. Avant de quitter le Caire nous avons encore à men- tionner 64) le Diámi Mirzädeh Soudou (806 H.) situé dans la partie Sudest de la ville, de Pannée 806 H. Je pense qu'il a été consacré A la mémoire d’un wali d'origine persane qui m'est inconnu; le peuple ordinairement le nomme Mizrädeh Soudou. Le nom du fondateur apparait dans une inscription qu'on voit sur une chaire dans l'intérieur"), le thiráz extérieur étant illisible couvert par des bátisses voisines. En sortant de la ville par la porte de Sitta Zeinab nous trouvons le sable du désert propre à la culture 'a pu réussir à y mener l'eau du Nil. Eu approchant du fleuve la contrée devient de plus en plus riante, animée par plusieurs palais tout modernes de pachas et de fonctionnaires tures, jusqu’à ce qu’on arrive aux ruines du vieux Fostat. Un peu avant l’en- 9 ap eal pS el All JU cl Le laf E e»! Os e an PP a) ay! pac gem AT (leg dis pba à ae 90) e ay! Je pal] SLA sell) Le cdas) al y ati yk dai UJ] UY ^ 222 y | ok er ul "ed N IHR. - e ye Se 7 eng RI = Comp. v. Hammer, . — des osman. Reiches t. IV p. 8 — 10, 211, 260, 354. 91) e dl J sad] JU kl lj» Ail m altos, c Ed din gDgw ely 561 des que, de Saint-Pétersbourg. trée nous avons sur une colline le plus ancien Djami d'Égypte 65) Djämi d’Amrou (21 H.) qui n'est qu'une restauration toute moderne ct bien misérable datant de l'an 1214 H.”). Des quatre li- wans le méridional seul a été conservé mesurant 43 pas sur 140 et le tout porté par 120 colonnes. Le nombre total de toutes les colonnes aurait été de 378; sur une d'elles prés du minbar on lit le nom du sultan Soliman. L'origine de cette bátisse date de l'année de l'occu- pation 21 H. par Amrou b. el-As; elle a été élevée sur la place de l'ancienne forteresse Bäbelyoun, et d'a- prés la légende le mihrab occupa exactement la place de la tente d’Amrou™). Après avoir partagé le sort d'anéantissement général de Fostat l'an 564, elle fut reconstruite par Saladin en 568, mais subit une nou- velle dévastation lors du tremblement de terre de 702 H., aprés quoi elle fut rétablie par les soins du sultan Moh. an Nässir b. Qéláwoun. A la mort du sultan Barqouq au commencement du 9™° siècle ce Djámi parait étre tombé en décadence avec la ville de Fo- stat en général. 66) Tout prés d'ici sur une autre colline de sable est situé le Djàmi d'Abou Sooud al-Djärichi (1176 H.) renfermant la chapelle de ce wali, célèbre par une 92) Cette restauration faite aux frais d’un certain Emir Morad est indiquée par un quatrain qu'on lit dans l’un des deux mihrabs: eL) 5 SE yu) Es GE ye, E RRI ES abs p» d Ce ME eT sll aij) ps ils Ab dal Je — di 2 den dag e > ale Jyall „I IFIP ds l'autre contient 3 vers ian d une restauration A cédente, de Pan 1000 H. Ta ds Ja E cola) E Js Lu Je less du = SH ] Jo c JS — . Makritzi t. IL. p. 246 suiv. où nous lisons quelques vers 93) Comp sur l'occupation de cette forteresse: Lise, Lë au) son bes — lu Li J5 Udo, LE, dall el ¿Ll — elo pil cp stl Sec Tome XV. quantité de prétendus miracles et mort l'an 930 Ho; le nom d'al- Djárichi lui est donné d’après la colline, où il passa sa vie, et où aprés sa mort l'on érigea ce sanctuaire à sa mémoire. A l'exception de 3 portails construits l'an 1176 H. la batisse ne nous offre que l'aspect d'une ruine *). 67) Sauf la petite mosquée d'Abdi Beg (1071 H.)®) les restes des soi-disants sanctuaires ne sont que des bouges' infectes et puantes; on y montre 68) la mosquée de Moh. as-Saghir, renfermant le tombeau de Moh., fils d’ Abou-Bekr; 69) mosquée de Sidi Moh, Sài al-Bahri et 70) mosquée de Kharroubi, datant de l'année 1115 H. A Boulaq, le port du côté du Nord, nous avons la méme vue de misère et de ruine; nous pourrions y nommer le Djàmi du sultan Abou-1-Olä datant d’une époque ancienne; mais il m’a été impos- sible de découvrir l'année de sa construction et Pori- gine de son fondateur, l’entrée dans l’intérieur de la chapelle m’ayant été refusée par suite du fanatisme. Probablement le nom lui vient d’un wali à qui on a donné le titre de sultan. — Nous avons terminé cette rapide revue des monu- ments délabrés du Caire, á laquelle pour compléter ces études, nous avons l’intention d'en ajouter une “| pareille sur les monuments sépulcraux du Kérafat. La ruine de tous ces édifices est presque parallèle à 94) Sur Abou Sooud, nommé aussi à cause de sa sainteté «sultan v. Lane, manners y customs t. III p. 58, et Thabagat les (éd. du Caire) t. II p. 150 — 152. — Au- dessus de ces portails nous wees plusieurs vers contenant ses louanges, p. €. del a de Mela 9 ge iin de d ll Vi ili» je) ye — de Jane Cl (INN AA A Al gob Ob — pleb Lol, 95) Notis Tinos: dus Je minhen, geng Jam] BO LA wel ol al Ill al o e — Au evt Ain SL 36 362 ` 563 Bulletin de l’Académié Impériale 564 celle de cette religion, laquelle ne peut être arrêtée par les vains efforts d’un sultan ou d’un vice-roi pour élever avec de l'argent extorqué et à l'aide de l'art chrétien un monument resplendissant, mais contras- tant d'autant plus avec la misére générale. Comment l'Islam qui pendant une certaine époque avait ramené à la vie la civilisation agonisante de l'Europe chré- tienne a-t-il été réduit à cette condition? La solu- tion de cette question dépend du résultat de la com- paraison entre ce que cette religion renfermait des | lorigine et le changemént qu'il a subi par les in- fluences funestes du despotisme oriental et de la hié- rarchie stupide et fanatique, étude que nous nous ré- servons pour une autre fois. . Copenhague, le 9 juin 1870. E A BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE L’ Académie a reçu dans ses dernières séances les ouvrages dont voici les titres: pii der Universitäts - a zu Dorpat im Jahre 870 Dorpat 1 mier pel et Kë fe Carol. Morgenstern, Dor- pati 1868. 8. Catalogue of sient papers. (1800 — 1863.) Vol. IIT. London 1869. Krabbe, Otto. Don Chytraeus. Erste Abtheil. Rostock 1870. 8 Aradas, A. Elogio accademico del Prof. Carlo Gemmel- laro. Catania 1869. 4 Kobell, Fr. v. Nekrologe auf Martius, Hermann, Schón- bein, Plücker, Matteucci, Móbius, Forbes, Kuhn und Scherer. (München) 1869. 8. Verzeichniss der Vorlesungen, welche am Hamburgischen Akademischen und Real-Gymnasium von Ostern 1870 bis Ostern 1871 gehalten werden sollen. Hamburg 1870. 4 : XI scripta academica in universitate Friburgensi annis 1869 et 1870 edita. IIL scripta academica in universitate Vratislaviensi annis 1869 et 1870 edita. XXXIV KSE academica universitatis Regimontanae anno 1869 edita. Acta Universitatis ee Lunds Universitets ärs- skrift. 1868. Lund 1868—69. 4. XIV scripta academica in Universitate Alexandrina, quae est Helsingforsiae, annis 1869—1870 edit. XXII scripta academica in Caesarea Universitate Dorpa- tensi annis 1869 et 1870 edita. Journal de l'école polytechnique. Cahier 43°. Tome XXVI. Paris 1870. 4. Bulletin de la Société cab egress e de Paris. Tome VI Avril — Août. Paris 1869. L’Investigateur. Journal de acia historique de France. Tome X, livr. 422—425. Paris 1870. 8. Memorie del reale Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Tome XIV p. 3. Venezia 1870. 4. Atti del reale Istituto Veneto di scienze, lettere ed arti. Tome XV, dispensa 3—6. Venezia 1869—70. 8. Rendiconto delle tornate e dei lavori dell’ Accademia di Scienze morali e politiche. Anno IX. Quaderni di Gennaio a Marzo 1870. Napoli 1870. 8. Atti dell’ Accademia pontificia de’ nuovi Lincei. Anno XXII. Sessione 1—7. Roma 1869. Anno XXIII. Roma 1870. 4. Abhandlungen der k. bóhmischen Gesellschaft der Wis- senschaften vom Jahre 1869. 6' Folge. 3' Band. Prag 1870. 4. Sitzungsberichte der k. bóhmischen Gesellschaft der Wis- senschaften in Prag 1869. 2 Hefte. Prag 1869—70. 8 Repertorium sämmtlicher Schriften der k. böhmischen Gesellschaft der Wissenschaften vom Jahre 1769 bis 1868 zusammengestellt von W. R. Weitenweber. Prag 1869. 8. Zeitschrift des Ferdinandeum für Tirol und Voralberg. Dritte Folge. Heft XV. Innsbruck 1870. 8. Haidinger, Wilhelm Ritter von. Der 8. November 1845. Jubel-Erinnerungstage. Rückblick auf die Jahre 1845 bis 1870. Wien 1870. 8. Monatsbericht der k. preussischen Adan der Wissen- schaften zu Berlin. Márz— November. 1870. Berlin. 8 Abhandlungen der philosophisch-philologischen Classe der k. bayerischen Akademie der EE Band XII. Abthl. 1. München 1869. — der Pr ee ee Classe der k. bayeri- ‚schen Akademie der Wissenschaften. Band X, Abthl. 3. München 1870. 4. Sitzungsberichte der k. bayer. Akademie der Wissenschaf- ten zu München. 1870. I. Heft 2—4. München. 8. Mémoires couronnés et autres mémoires publiés par PA- cadémie royale de Belgique. Collection in 8. Tome XXI. Bruxelles 1870. 8. — couronnés et mémoires des savants étrangers publiés par l’Académie royale de Belgique. Tome XXXIV. Bruxelles 1870. 4. . Bulletins de l'Académie royale de Belgique. 2° série. Tomes XXVII. XXVIII. Bruxelles 1869. 8. Annuaire de l'Académie royale de Belgique. 36° année. Bruxelles 1870. 16. Philosophical Transactions of the R. Society of London for the year 1869. Vol. 159 p. 1. 2. London 1870. 4. 565 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 566 Proceedings of the R. Society. Vol. XVII X: 110 — 113, Vol. XVIII € 114—118. London 1869. 8. The transactions of the r. Irish Academy. Vol. XXIV. Science part 9 — 15, Antiquities p. 8, Polite litera- ture p. 4. Dublin 1867—69. 4. . Det k. Danske Videnskabernes Selskabs Skrifter, 5 Række, naturvidenskab. og mathematisk Afdel. Bd. VIII 6, 7, IX 1; histor. og philosophisk Afdel. Bd IV 4. Kjg- benhavn 1869. 4. Oversigt over det k. Danske Videnskabernes Selskabs a i put 1868 X 6, 1869 X 3, 4, 1870 jobenhavn. 8. K; Fine historie och eenegen Akademiens Hand- lingar. Delen 26. Stockholm Verhandlungen der gelehrten ie Gesellschaft zu Dorpat. 6° Band, Heft 1, 2. Dorpat 1870. 8. Rad Jugoslavenske Akademije znanosti i umjetnosti. Knjiga XI. XII. XIII. U Zagrebu 1870. 8. Letopis Matice Slovenskej. Roénik VII, eg 1. Sosta- vil Viliam Pauliny-Toth. V Skalici 1870. Jleronnep Marnne Caosencreïñ. Letopis Matice EE Ročnik II. Matiénych spisov čislo 5. Turč Sv. Martin 1870. 8. Marnna. ae 3a KHUXKEBHOCT m 3a6aBy. Tox V. Bpoj 5 — 17. Y Hosome Caıy 1870. 8. Verhandelingen van het Bataviaasch Genootschap ' van Kunsten en Wetenschappen. Deel XXXIII Batavia Notulen van de Algemeene en Bestuurs - Vergaderingen van het Bataviaasch Genootschap van Kunsten en Wetenschappen. Deel IV, aflev. 2, V. VI. VII, aflev. 1. Batavia 1867—69. 8. Katalogus der Ethnologische Afdeling van het Museum van het Bataviaasch Genootschap van Kunsten en Wetenschappen. Batavia 1868. 8. — der numismatische Afdeeling van het Museum van het Bataviaasch russes és van Kunsten en Weten- schappen. Batavia 1869. Sophokles. Erklärt von F. W. Shand ac 3° Bändchen, Oedipus auf Kolonos. 5' Auflage, besorgt von Aug. Nauck. Berlin 1870. 8. Annuaire de l'association pour encouragement des études grecques en France. 4° année, 1870. Paris 1870. 8. Tidskrift for Philologi og Paedagogik. Syvende Aargang. Kjøbenhavn 1866 — 1867. Ottende Aargang. Ibid. 1868. 1869. 8. D'Arbois de Jubainville, H. Étude sur la déclinaison des noms propres dans la langue franque à l'époqne Mérovingienne. Paris 1870. 8. — Étude philologique sur le mot français rossignol. 1870. 8. Nerger, Karl. lektes älterer uud neuerer Zeit. Laut- lehre. Leipzig 1869. 8. Grammatik des meklenburgischen Dia- und Flexions- | Hattala, M. O jazykozpyté a prirodozpyté. V Praze 8. 1869. Jiretek, J. a H. Rozpravy z oboru y^ ar a literatury. Rocnik první. Ve Vidni 1860. Europaeus, D. E. D. Die finnisch- game Sprachen und die Urheimath des Menschengeschlechts. Hel- singfors.*8. Journal asiatique. 6° série. T. XV. M 57. Paris 1870. 8. Zeitschrift der deutschen morgenländischen Gesellschaft. Band 24, Heft 3.. Leipzig 1870. 8. Abhandlungen fir die Kunde des Morgenlandes. V. Band N 3. Leipzig 1870. 8. Journal of the Asiatic Society of Bengal, 1869 Part I X 4, 1870 Part I X 1 and Part II 2. Calcutta 1870. 8. Proceedings of the Asiatic Society of Le. 1869 X XI. 1870 € I — V. Calcutta 1869 — Tijdschrift voor Indische Taal -, ud en s Valido. Deel X VI, aflev. 2— 6. XVII, aflev. 1—6. XVIII, aflev. 1. Batavia 1866—68. 8. Vullers, Jo. Aug. Grammatica linguae persicae. Gissae 1870. 8. Peile, J. B. Catalogue of native publications in the Bom- bay Presidency from 1 January 1865 to 30 June 1867. Bombay 1869. 8 Revue Africaine, 82. 83. 1870. 8. Catalogue of books printed in the Bombay presidence du- ring the quarter ending 30 June 1869. Fol. — — — — ending 30 September 1869. Fol. — — — — ending 31 December 1869. Fol. Kielhorn, F. A classified alphabetical catalogue of San- skrit Mss. in the southern divisions of the Bombay presidency. Fasc. 1. Bombay 1869. 8. Bibliotheca indica: a collection of oriental works published by the Asiatic Society of Bengal. New Series X 172, 173, 177—179, 181—183. Caleutta 1869—70. 8. A complete collection of the poems of Tukäräma, edited by Vishnu Paraschuräm Shästri Pandit. Vol. L Bom- bay 1869. 8. Garcin de Tassy. 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