BULLETIN : DE 8 s АИК } - L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE SLEPETERSBOUR (хн T - P aud d C‏ 3 ی کر Nouvelle Série I (XXXIII).‏ (Avec 8 planches.) SOT 4 м; | 1889-90 Sr.-PÉTERSBOURG, 1890. Commissionaires де l'Académie Impériale des Sciences: à ST.-PETERSBOURG: - à RIGA: à LEIPZIG: MM. Eggers et Cie ~ М. М. Kymmel. Voss’ Sortiment et Ј. Glasounof. à (G. Н aessel). Prix du volume: 3 Roub. arg. pour la Russie, 71/, marks allemands pour l'étranger. Мо P. Tor Фа TABLES DES MATIÈRES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) |. SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ЕТ BIOLOGIQUES. ۱ MATHEMATIQUE ET ASTRONOMIE. Док, О. Sur quelques observations faites dans les années 1861—1863 par М" Winnecke cercle méridien de Poulkowo. 478—486 Бора. a Déduction d'une formule pour le BR des arcs des cercles paralléles de Pellipsoide terrestre. 213—219. Charlier, C. V. Sur la solution des problèmes mécaniques amenant aux équations différen- tielles hyperelliptiques. 9—32. Lueas, E. Sur la loi de réciprocité des résidus quadratiques. 495—496. Struve, ғ Résultats préliminaires des observations faites sur les satellites de Saturne à l'aide u réfracteur de 30 pouces. 443—460. PHYSIQUE ET PHYSIQUE DU GLOBE. Chwolson, O. Les fondements d'une théorie mathématique de la diffusion intérieure de la lumiére. 221— Schmidt, C. P Dorpat). Ét: udes hydrologiques. L. 133—145. Wild, H. Sur une жы сара essentielle de son photométre de polarisation pour les usages technique La marche dee et les perturbations de la déclinaison de la force magnétique ter- restre. 155—172. Un nouvel anémographe et anémoscope (avec une planche). 487—493. et O. Backlund. Rapport fait à l'Académie Impériale des sciences par les délégués de la Russie à la conférence générale du métre, — à Paris en septembre 1889. 283—290. CHIMIE. Beilstein, Ег., et О. von Blaese. Recherches sur la basicité de l'acide antimonique. 97—116. ------ ----- Биг le dosage de l'antimoine. 201—207 Sur le dosage de la soude en présence de la n 209—211. ——— et Th. Grosset. Analyse du sulfate d'alumine. 147—153, Békétoff, N. Étude sur l'énergie de combinaison du Rubidium. Pona article. pm du métal. 117—118. Sur l'énergie de l'oxydation du Rubidium. 24 article, 173—17 Ribalquine, M. De l'équilibre ы entre l'acide ries: E l'hydrogéne par rapport aux métaux. Article 19". Cuivre. 279—282. — Rusanow, A. Sur les produits de تب مس‎ du benzaldehyd et des phönoles, 461—468. PALÉONTOLOGIE. Rohon, J. V. Poissons des couches siluriennes inférieures (avec une planche). 269—277. ----- Poissons dévoniens de Jénissei (avec une planche). 393—410. Schmidt, Fr. Nouvelles contributions pour la connaissance du Olenellus Mickwitzi. 191—195. ZOOLOGIE ET PHYSIOLOGIE ANIMALE. Büchner, E. Sur l'absence de l’écureuil au Caucase. 125—132. Feoktistow, A. Sur la sonnette du Crotalus durissus. 1—4. Sur l'action anormale de quelques espéces de Curare. 177—180. Herzenstein, S. Une nouvelle espéce de Silure russe, Exostoma Oschanini Herz. 119— 123. Kulaguine, N. Sur quelques Lumbricides que l’on trouve dans la Russie d'Europe et en Sibérie. 181—190.: Morawitz, A. Contributions entomologiques. 33— 82. Owsjannikow, Ph. Sur l'embryologie du Petromyzon fluviatilis. 83—95. - De la structure des filaments des nerfs. 497--508. Schevyrew, I. Liste des espèces du genre Scolytus de la نم رف‎ 4а ange: de l'Académie Impériale des sciences de St.-Pétersbourg. 469—471. Il. SCIENCES HISTORIQUES ET PALOLOIQUES. PHILOLOGIE CLASSIQUE. Nauck, A, De scholiis in Sophoclis tragoedias a Petro N. =... editis. 411—441. Ang P. Ad Plutarchi quae Расла Moralia. 353—371 LETTRES ORIENTALES. Lemm, О. v. Émis sahidiques de la Bible. 257--268 et 373—391. Actes apocryphes des apôtres en langue copte. 509—581. Radloff, W. Sur les anciens dialectes turcs. I. Vers seldschuks dans Rebäb-Nameh. 291—351. et C. Salemann. Rapport sur le mémoire de М’ Anderson: Wandlungen der anlau- tenden dentalen Spirans im Ostjakischen, ein Beitrag zur bäige Lautlehre. 197—199. ANNEXE. Prix proposé pour la découverte de la nature du poison qui ce و اد‎ dans les poissons et sur les moyens de le combattre, 155—156. SUPPLÉMENT. État du personnel de l'Académie des sciences au 1 octobre 1890. B. TABLE ALPHABÉTIQUE, (Les chiffres indiquent les pages du volume.) Backlund, О. Sur quelques observations, faites dans les années 1861—1863 раг M" Winnecke au cercle méridien de Poulkowo. Sg 6. ----- voyez Wild сі Backlund. Beilstein, Fr., et О. von Blaese, Recherches sur la basicité de l'acide antimonique. 97—116. Sur le dosage де l’antimoine. 201—207‏ س Sur le dosage de la soude en présence de 12 potasse. 209—211. ---- et Th. Grosset. Analyse du sulfate d’alumine. 147— Békétoff, N. Étude sur l'énergie de combinaison du Rubidium. Premier article: préparation du métal. 117—118. ———— Sur l'énergie de l'oxydation du қана 94 article. 173—175. . Blaese, О. von, voyez Beilstein et Bla Bonsdorff, A. Déduction d'une formule mei le calcul des arcs des cercles parallèles de Pellipsoïde terrestre. 213 — Büchner, Е. Sur Рађзепсе de ыы an Сапсаве. 125—132. Charlier, C. V. Sur la solution des problémes mécaniques amenant aux équations différen- tielles hyperelliptiques. 9—32. Chwolson, O. Les fondements d'une théorie mathématique de la diffusion intérieure de la lumiere. 221—256. Féoktistow, А. Зиг la sonnette du Crotalus durissus. 1—4. Sur l'action de quelques espéces de Curare. 177—180. Grosset, Th., voyez Beilstein et Grosset. Herzenstein, S. Une nouvelle espéce de Silure russe, Exostoma Oschanini Herz. 119 — 123. Kulaguine, N. Sur quelques Lumbricides que l'on trouve dans la Russie d'Europe et en Sibérie. 181—190. Lemm, O. von. Fragments sahidiques de 1а Bible. I — en П — 373—891. Actes apocryphes des apótres en langue copte. 509— Lucas, E. Sur la loi de réciprocité des résidus quadratiques. is de Morawitz, A. Contributions entomologiques. 33—82. Nauck, A. De scholiis in Sophoclis tragoedias a Petro N. Papageorgio editis. 411—441. Nikitine, P. Ad Plutarchi quae feruntur Moralia. 353—371 Owsjannikow, Ph. Sur l'embryologie du Petromyzon e 88—95. De la structure des filaments des nerfs. 497—508. Radloff, W. Sur les anciens dialectes tures. I. Vers seldschuks dans Rebäb-Nämeh. 291—851. et C. Salemann. Rapport sur le mémoire de М" Anderson: Wandlungen der anlau- tenden 2. Spirans іш Ostjakischen, ein Beitrag zur ugrofinnischen Lautlehre. 197—19 Ribalquine, ex ре l'équilibre chimique entre l'acide chlorhydrique et l’hydrogène par rapport aux métaux. Article 1*7, Cuivre. 279—282. Rohon, J. V. Poissons des couches siluriennes بخ وم‎ е 1 planche). 269—277. x Poissons dévoniens de Jénissei (avec 1 planche). 3 Rusanow, A. Sur les produits de condensation du е et des phénoles, 461—468. Salemann, С., voyez Radloff et Salemann. Schevyrew, I. Liste des езрёсез du genre Scolytus de la collection du Musée de l'Académie Impériale des sciences de St.-Pétersbourg. emm Schmidt, C. (de Dorpat). Études hydrologiques. L. 188—1 Sehmidt, Fr. Nouvelles contributions pour la connaissance we Olenellus Mickwitzi. 191—195. Struve, H. Résultats Heer des و‎ етан faites sur les satellites de Saturne à l'aide u réfracteur de 30 pou Wild, H. Sur une тате: و ی‎ de son photométre de polarisation pour les usages techniques. 5--8, La marche normale et les perturbations de la déclinaison de la force magnétique terrestre. 155 — 172. Un nouvel anémographe et anémoscope (avec une planche). 487—493. et O. Baeklund. Rapport fait à l'Académie Impériale des sciences par les délégués de la Russie à la conférence générale du métre, réunie à Paris en septembre 1889. Nouvelle Série 1 (ХХХІІ), № 1. BULLETIN EACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES Jp ST-PETERSBOURG. en Nouvelle Serie I (XXXIII. (Feuilles 1—9/,10.) CONTENU. Page. A. Feoktistow, Sur la sonnette du Crotalus durissu -- Н. Wild, Sur une, simplification essentielle de son забе de polarisation pour les usages techniques . 5—8. C. У. Charlier, Sur la solution des problémes mécaniques amenant m ur aux equations différentielles hyperelliptiques. . a E 9— 32 A. Morawitz, Contributions entomologiques ME 83— 82 ^ Ph. Owsjannikow, Sur l'embryologie du Petro ornjzon fluviatilis, 488.95. 7 e Fr. Te et О. де me Rechere hes sur la basicité de Paide. | ۱۳ 7% CUR timoniq SE ۱ Étude sur. Vénergie: de combinaison: du Tabidiun. X DU dA TN : préparation du métal DR e EE 18 E tein, Gë nouvelle espéce de Silure- russe — | Exostoma Ch ee WW 1 ни Нега. E Kë Eug. Büchner, Sur Pabsöuee . de RR an (eege us d Ех |7 CG Schmidt, de Dorpat, Études hydrologiques. I E E EE Se Fr. Beileiein et Tn. Grosset, Analyse du AR Тан. E ANNEXE ``. R | de la nature du poison qui se developpe dan йг Jes moyens de le combattre. - | жез РН бізше 29 S У 7% тарп раг ordre de l'Académie ние des Seienees. | С Ve 'ssélofsky, seerétaire n Imprimerie de l'Académie гартае, des Seienees Lus ` Vass.- 9% ligne e Se t AM Ge BULLEIIN DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST,- PÉTERSBOURG. Zur Physiologie der Klapper des Crotalus durissus. Von Dr. med. A. E. Feok- tistow. (Lu le 16 aoüt 1888.) Im Juni 1887 erhielt ich 10 lebende Crotalus durissus, die ich seit- _ dem genau habe beobachten können. — Wegen Mangels an genügenden Mengen geeigneten Futters (die Thiere wollten ausschliesslich nur ganz junge Kaninchen fressen), verlor ich 5 davon im Laufe der ersten 6 Monate. Die übrigen befinden sich gut und fressen nun ausser Kaninchen, auch Vó- gel. — Sie bewohnen ein grosses Terrarium mit gerüumigem Wasserbassin, Cementboden und permanenter Wasserheizung, welche es ermóglicht, die Temperatur der Luft im Innern auf 20— 22^ R. zu halten. Futterthiere werden in genügender Menge gereicht, und sind die Schlangen Sommer und Winter gleich munter. Bei dieser Gelegenheit habe ich das Wachsen, Abfallen und die Erneu- erung der Klapper genau beobachten können. — Bis jetzt ist nichts Siche- res über die Physiologie dieses Apparates bekannt. — In ganz Amerika beurtheilen z. B. die Einwohner das Alter einer Klapperschlange nach der Anzahl der Ringe an der Rassel, und glaubt man dort, dass jáhrlich ein neuer Ring hinzukomme (Brehm). Andere glauben wieder, dass bei jeder Häutung ein neuer Ring gebildet wird, etc. Brehm!) hebt hervor, dass man an gefangenen und mehrere Jahre nach einander beobachteten Klapper- schlangen zwar eine Zunahme ihrer Grósse, nicht aber eine Vermehrung der Glieder ihrer Rassel wahrgenommen hat, dass letztere vielmehr sich jahrelang nicht veründerte. Wie lang eine Rassel werden kann — giebt auch kein Autor mit Bestimmtheit an. — Ich bin in die glückliche Lage gekommen, an gesunden und gut fressenden Exemplaren einige Beobach- tungen machen zu kónnen, die diese Fragen entscheiden. Fünf von meinen Schlangen fielen die langen Rasseln selbstständig zu verschiedenen Zeiten ab, und nun konnte ich vor Allem beobachten, wie schnell sich selbige wieder ausbilden. — Zuerst will ich aber bemerken, dass es ganz natürlich ist, wenn die Rassel bei der Klapperschlange perio- disch oder unperiodisch abfällt. Es besteht ja dieselbe aus leblosem Horn- 1) Brehm, Thierleben, B. VII, Kriechthiere. 1883, p. 491. Melanges biologiques. T. XIII, p. 1. 1 2 : DR. MED. А. E. FEOKTISTOW. [N. 8.4 gewebe, welches zu den bekannten hohlen «Kegeln» ausgebildet wird, welche Kegel einander theilweise wóhl umschliessen, die Rasselkette bildend, im- merhin aber mit einander nur ziemlich lose verbunden sind. Es ist nun ganz natürlich, dass solch eine Kette, wenn sie einigermaassen lang wird, mecha- nischen Insulten stark ausgesetzt ist, und desshalb leicht abreissen kann. Ohne jeden Schaden für die Schlange selbst, lässt sich auch diese Kette ab- schneiden, oder gewaltsam abreissen. Das 156 auch der einfache Grund, wesshalb die Rassel niemals besonders lang wird, und 15--18 gliederige Klappern zu den Seltenheiten gehóren?) Gewöhnlich hält die Rassel nicht länger aus, als bis sie 8-1 0-gliederig wird. Wenn eine Rassel abgefallen ist, so bleibt doch immer wenigstens das letztgebildete (also erste von der Basis) Glied derselben am Schwanze zu- ` rück, da es mit demselben so lange fest verbunden ist, bis es nicht von einem neuen, darunter sich ausbildenden, verdrängt wird. Dieses letztgebil- | dete Glied der Rassel hat nicht die düsterbraune Farbe der älteren Glieder. | Es ist vielmehr hornartig durchsichtig und nur. schwach gelblich gefürbt, Durch die dünnen Wandungen dieses Rasselgliedes sieht man den horn- bildenden Kegel.am Ende des Schwanzes, als weisse, plattgedrückte, un- regelmässig-kegelförmige Masse mit tief eingekerbter Spitze, auf's deut- lichste durchschimmern. Wie gesagt, konnte ich also an den 5 Exemplaren der ENEE denen ihre Rasseln abgefallen waren, die Neubildung derselben Br So lange sie keine längere Rassel hatten, waren sie natürlich auch nicht im Stande zu klappern. Nun wuchsen aber die Glieder langsam nach und zwar so, dass bei allen im Laufe von drei bis vier Monaten bereits zwei neue | Glieder, ausser dem. erwähnten, zurückgebliebenen ( jetzt: endständigen | 3 Gliede); vorhanden waren. Solche dreigliederige Rasseln brachten. schon ` 4 einen ziemlich lauten Ton hervor. — Im Laufe уоп einem Jahre bildeten | sich die Rasseln bereits zu 5—6 gliederigen Ketten aus und waren dann P im Stande den gewöhnlichen, recht intensiven Rasselton hervorzubringen.— | Mit den Háutungen hatte das Nachwachsen. der Rasseln nichts gemein di = | Die Oberhaut wird. bekanntlich: ohne die Rassel abgeworfen, dicht.an der — | Grenze derselben sich abtrennend, und zwar so, dass das Ende des Schwanzes; 22 an der abgestreiften Haut, eine Öffnung mit fein ss den, mp P за reihen entsprechenden Rändern darstellt. ы زج ان و 2) Rasseln aus 42 Gliedern, wie es Seba abbildet, gehören wohl in d biet de Phantasie! т 8) Schlegel (Essai sur la physiasomie des serpens. T. II, 1837, р. 557). meinte, es entstehe ` ein neues Rasselglied bei jeder Häutung. Diese Meinung ist neulich auch von Garman aus- gesprochen worden. Die Häutungen folgen aber nach meinen Beobachtungen viel schneller “ S einander (eine Häutung alle 6 NS als die Bildung der Rasselglieder. 5 Melanges biologiques. T. XIII, р x (xxxni)] ZUR PHYSIOLOGIE DER. KLAPPER DES: CROTALUS. DURISSUS. 3 «Es 1#016% alen ans meinen Beobachtungen, dass је ein Rasselglied im Laufe von-zwei—-dréi Monaten gebildet werden Кап *) под 156. mir nicht klar, wesshalb andere Beobachter an gefangenen К]аррегзећапсеп das Wachsen der Klapper nicht wahrgenommen haben. Wahrscheinlich wurden die Schlangen unter für ihr Wohlsein ungünstigen Bedingungen gehalten, wodurch ihr Lebensprocess deprimirt war. Vielleicht waren aber auch die Beobachtungen nicht sorgfältig genug angestellt. worden. | Was das Rasseln selbst anbelangt, so kann ich die Worte еа sim allgemeinen bestätigen: kriecht Ше Klapperschlange langsam dain. so schleppt sie die Hassel am Boden völlig ruhig nach; ist sie aber auf der Flucht, so hebt sie dieselbe in einem Winkel von etwa 60° und rasselt dabei ununterbröchen. Nur wenn sie ihren Raub verfolgt, hört man davon meistens nichts. Letzteres ist aber nicht immer der Fall, vielmehr sah ich oft Klapper- schlangen die ihnen zur Nahrung dienenden Käninchen mit lautem Rasseln verfolgen, wovor die letzteren aber durchaus keine Angst zeigten. — Ge- reizt, nimmt die Klapperschlange die in Brehm's «Kriechthiere» (p. 492) trefflich wiedergegebene drohende Lage ein, und ist im Stande dabei ge- radezu stundenlang und ununterbrochen zu rasseln. Das Geräusch, welches sie dabei hervorbringt, ist schwer mit irgend einem andern zu ver- gleichen, jedenfalls dem «Zirpen: einer Heuschrecke», wie Brehm meint, nur sehr entfernt ähnlich. Eine starke, grosse Klapperschlange macht ein so lautes Gerüusch mit ihrer Rassel, dass man die Worte. einer laut spre- chenden Person in einer Seege von 3 Schritten nicht verstehen kann, wenn der Schlangenkäfig sich zwischen den Sprechenden befindet. Die kraftlosen Exemplare, die man gewöhnlich in den Thiergärten sieht, geben keinen Begriff hierüber. — Тапеһ die eben vibrirende Klapper in Wasser, so entsteht ein eigenthümlicher Ton, dem Zischen glühenden Eisens beim Eintauchen in’s Wasser vollkommen ähnlich. Unter dem Wasser ist das Rasseln fast tonlos. — Hält man eine Klapperschlange mit einer Hand hinter dem Кор, und fasst mit der anderen das Ende des Schwanzes gleich hinter der Klapper, so wird ihr das Rasseln unmóglich. Ich habe es versucht, die Zahl der Schwingungen, welche die Rassel pro Minute macht, zu bestimmen. — Es wurde eine grosse Klapperschlange am Nacken gefasst, und ihr darauf von einem Assistenten eine Nadel durch das mittlere Glied einer siebengliederigen Rassel durchgestochen, und zwar so, dass die Nadel die Rassel im gróssten Durchmesser durchdrang, also von Oben nach unten, wenn man sich die Schlange mit auf dem Boden ausge- strecktem Schwanze ruhig liegend denkt. Da nun die Rassel, bei der ge- 4) Allerdings bei künstlicher Wärme im Winter, Herbst und Frübjahr. In der Freiheit geht das Wachsthum der Rassel offenbar viel langsamer vor sich. Жа ee, ELLE 1% 4 DR. MED. А. Е. FEOKTISTOW. ZUR PHYSIOLOGIE U. 8۰ W. (8. в. 1 dachten Lage der Schlange, beim Klappern in der Richtung von links nach rechts und umgekehrt bewegt wird, so konnte die Nadel auf berusstem Papier Schwingungscurven aufzeichnen. Ich benutzte als Registrirapparat den Dud- geon’schen Polygraphen mit berusstem, vermittelst des Uhrwerks schnell fort- gleitendem Papierstreifen. Der Schwanz der Schlange wurde einigermaassen dadurch fixirt, dass ich letztere, in der Gegend vor dem Anus, mit der Hand hielt. Nach vieler Mühe gelang es die Nadel auf passende Weise mit dem Papierstreifen in Contact zu bringen und Schwingungscurven zu ge- winnen, aus welchen die Zahl der Schwingungen pro Minute (bei bekannter Schnelligkeit der Fortbewegung des Papierstreifens) mit ziemlicher Ge- nauigkeit auszurechnen war. — Es zeigte sich dabei, dass die Bewegungen der Klapper aus grossen Schwingungen des ganzen Schwanzes selbst und aus kleineren Schwingungen der eigentlichen Rassel sich zusammensetzen, und zwar in der Weise, dass der Schwanz 75 Schwingungen, die Rassel hin- gegen ihrer 110 pro Minute macht. Es sind das ungefähre Durchschnitts- zahlen, da ich nur mangelhafte Curven gewinnen konnte, und zwar aus dem Grunde, weil die Rassel ihre Schwingungen nicht genau in einer Ebene ausübt. — Stundenlang mit einer solehen Geschwindigkeit ausgeführte Be- wegungen sind geradezu staunenswerth. Mit blossem Auge beobachtet, sieht man nur einen Schatten von der sich so rasch bewegenden Klapper 5). 5) Über den Bau der Klapper haben folgende Autoren geschrieben: Lacépéde, Histoire des Serpens. Vol. II, p. 390—420. Pl. ХҮП. 1789. Leuckart. Anatom.-physiologische Über- sicht des Thierreiches. 1855. Czermak. Über den Schallerzeugenden Apparat von Crotalus. Zeitschrift für wissenschaftliche Zoologie, Bd. VIII, p. 294 und f. 1857. Wymann. The mode of formation of the rattle of the Rattlesnake. Proceedings of the Boston Society of Natural his- tory. Vol. VIII, p. 121. 1861—1862. Garman. Bulletin of the Museum of Comparative Zoology at Harvard College. Vol. XIII, № 10. The Rattle of the Rattlesnake. 1888. Melanges biologiques. T. XH, 4 (хххш)| 5 Über eine wesentliche Vereinfachung meines Polarisationsphotometers für technische Zwecke. Von H. Wild. (Lu le 4 octobre 1888.) Im XXXII. Bande dieses Bulletins, S. 193 und folgende habe ich ein in der Sitzung der physico-mathematischen Classe unserer Akademie vom 27. October (8. November) 1887 vorgezeigtes Polarisationsphotometer für technische Zwecke beschrieben. Bei Gelegenheit der von der Kaiserlich Russischen Technischen Gesellschaft veranstalteten Ausstellung von Naphta- producten und Beleuchtungsgegenständen, wo dasselbe ebenfalls comparirte, wurde von Technikern neben der Anerkennung gewisser Vorzüge des neuen Instruments daran ausgesetzt, dass die Justirung der verschiedenen Theile desselben, wie ich sie in meiner Beschreibung verlangte, zu umständlich sei und zu weitgehende Anforderungen an den Praktiker stelle; nur ein vom Lieferanten fertig justirtes und ganz einfach zu behandelndes Instrument hütte Aussicht, in der Technik zu ausgedehnter Verwerthung zu gelangen. Mit Rücksicht auf diese Bemerkungen und in Erwügung des Umstandes, dass gegenwärtig das Bunsen'sche Photometer in der Gastechnik und Electrotechnik weitaus das gebräuchlichste Instrument ist, stellte ich mir die Aufgabe, mein fragliches Photometer so abzuändern, dass jede Justi- rung daran seitens des Beobachters nach Empfang desselben aus den Hünden des Verfertigers überflüssig sei und dass dasselbe wo móglich bei jedem Bunsen'schen Photometer auf der Bank desselben ohne Weiteres und ohne Änderung der sonst üblichen Einstellungsweise an Stelle des Papiers mit dem Fettfleck und den verschiedenen Vorrichtungen zur Beobachtung des letztern von beiden Seiten gesetzt werden Кбппе. Diesen Bedingungen dürfte vollkommen die in der umstehenden Figur schematisch dargestellte Vorrichtung genügen, welche einfach an Stelle des üblichen Kastens mit dem Fettfleck-Papier beim Bunsen'schen Photometer zu setzen ist. Іп einem innen und aussen geschwürzten Holz- oder Metallkasten 4 В C D E sind an den Ecken eines eingeschriebenen Rhombus a b с d, dessen Winkel bei а und d gleich 66?30' ist, angebracht 1) bei а ein aus zwei mattweissen Cartonpapieren mit zwischengelegtem Staniolblatt bestehender _ Schirm « B, der den Winkel bei a halbirt, e, bei b enn c je ein dnce D _ un. ч et chim, T. XIII, p. 1. H оса 6 H. WILD, ÜBER EINE WESENTLICHE VEREINFACHUNG [N. 8.1 Glasspiegel y à und e C, der parallel zur Diagonale а b des Rhombus steht, 3) bei d eine aus 10 je 0,5 mm. dicken nahe planparallelen Platten bestehende | Glassäule ч à, die den Winkel bei d halbirt. G ist ein beiderseits nahe am ` | - die Spiegel herantretender undurchsichtiger Schirm, der als Diaphragma ` - _ wirken soll. Der Kasten hat drei Öffnungen, nämlich zwei unter sich dia- . metral und dem Schirm o 8 gegenüberstehende E und Н, dureh welche das < Licht von den beiden Lichtquellen Z und. L auf die beiden Seiten des | Schirmes «3 normal einfällt, und eine dritte rührenfórmige bei o, deren Axe in die Verlängerung des Schenkels 20 des Rhombus, fällt und die zur . Aufnahme des Polariscops p mit seinem Fernrohr bestimmt ist.. Lichtquelle L, die am einen Ende der Phot k auf, t ist, durch H einfallende Licht beleuchtet die ihr’ zugewandte Seite. der Scheibe «f. Ein Theil der von dieser diffus nach allen Seiten reflectirten Strahlen ge- langt nach. der Reflexion am Spiegel = zur Glassäule 7i und wird ee Mélanges phys. et chim. T. АШ, о N Die Wirkungsweise dieses Appareib. ist 00: ersichtlich. Das von der 4 % ~ XXXIII) | MEINES POLARISATIONSPHOTOMETERS FÜR TECHNISCHE ZWECKE. T ihr unterm Polarisationswinkel als nahe vollständig nach der Einfallsebene polarisirtes Licht zum Polariscop өр hin reflectirt. Die Lichtstrahlen da- gegen, welehe von der andern durch die Lichtquelle 7 erleuchteten Seite дег” undurchsichtigen Scheibe a 8 ausgehen, gehen nach der Reflexion am Spiegel yò auf ihrem Weg von da zum Polariscop o p durch die Glassäule hindurch und werden dabei senkrecht zur Einfallsebene nahe. vollständig polarisirt, so dass wir im Polariscop eine Mischung der von den beiden Seiten der Scheibe «ß kommenden Strahlen erhalten, welche Strahlen senk- recht zu einander polarisirt sind. Sind aber diese beiderlei Theile von Strahlen gleich intensiv, so wird ihre Mischung sich wie natürliches Licht verhalten und die Interferenzfarben im Polariscop werden dann verschwin- den; dies ist naeh den Gesetzen der Glassüule der Fall, wenn die beiden Scheibenseiten von den betreffenden Lichtquellen gleich stark erleuchtet werden. Beim Gebrauch des Apparates hat man also unter Hineinsehen in das Polariscop op einfach wie beim Bunsen’schen Photometer den Kasten längs der Photometerbank zwischen den beiden festen Lichtquéllen so lange zu verschieben, bis die Farben im Polariscop verschwinden; alsdann werden die beiden Seiten der Scheibe «3 gleich stark erleuchtet sein und es wer- den sich somit die Intensitäten oder Leuchtkrüfte der beiden Lichtquellen wie die Quadrate ihrer auf der Scala der Dank abzulesenden Entfernungen von der Scheibe «8 verhalten. Diese einfache Benutzungsweise meines so abgeünderten Polarisations- photometers, das sich in dieser vereinfachten Form wieder mehr dem Babinet’schen Photometer annähert, setzt voraus, dass die beiden Seiten . der Scheibe а 8 dasselbe diffuse Reflexionsvermögen (Albedo) besitzen, dass _ bei den Reflexionen an den Spiegeln y à und =“ genau derselbe Lichtverlust stattfinde und dass endlich die Glassäule im reflectirten und durchgegan- genen Licht genau gleiche Mengen senkrecht zu einander vollständig polari- sirter Strahlen liefere. Diese Bedingungen werden indessen in Wirklichkeit wegen der unvollkommenen Durchsichtigkeit der Glassäule und kleiner Ver- schiedenheiten der beiden Spiegel und der beiden durch die undurchsichtige ` Scheidewand getrennten Papiere der Scheibe a nicht genau erfüllt sein. - Es ist aber ohne Weiteres einleuchtend, dass die Gesammtheit der hieraus entspringenden Fehler im Schlussresultat vollständig eliminirt wird, wenn wir zu der vorigen Messung noch eine zweite entsprechende hinzufügen, nachdem wir den Kasten А В C D E um eine vertikal durch а gehende Axe . um 180? im Horizont umgedreht oder, um eine Deplacirung des Beobachters auf die andere Seite der Photometerbank zu vermeiden, denselben um die. | Diagonale ad des Rhombus als Horizontalaxe um 180? umgelegt haben. безен rn. et chim. T. Pe 8. 8 Н. WILD, ÜBER EINE WESENTLICHE VEREINFACHUNG U. S. W. [5.8.1 . Das Mittel aus den beiden so erhaltenen einzelnen Resultaten für das Intensitätsverhältniss der Lichtquellen — eigentlich wäre das geometrische | Mittel zu nehmen; wegen des jedenfalls sehr kleinen Unterschiedes beider | Grössen genügt aber vollkommen das arithmetische — ergiebt dann das wahre, fehlerfreie Resultat. E: Sowie das in Construction begriffene Exemplar dieses vereinfachten Photometers vollendet sein wird, werde ich die Ehre haben, dasselbe der Akademie vorzustellen. (хххш)] ۱ 9 Über die Lösung mechanischer Probleme, die auf hyperelliptische Differential- gleichungen führen. Von Dr. C. У. L. Charlier, (Lu le 24 mai 1888.) 1. Differentialgleichungen von der Form Gr kommen sehr häufig vor in der Behandlung von mechanischen Fragen. Indessen scheinen dieselben verhältnissmässig wenig von den Mathema- tikern behandelt worden zu sein; was vielleicht in dem analytischen Cha- rakter der durch jene Differentialgleichungen definirten Funktionen seine Erklärung findet. Die erwähnten analytischen Schwierigkeiten treten aber nur dann auf, wenn man den Veränderlichen x und 2 ein unbeschränktes Variationsgebiet giebt. In mechanischen Aufgaben, wo die fraglichen Grössen auf reelle Werthe beschränkt sind, kommen dieselben nicht zum Vorschein. D. h. Schwierigkeiten kommen wohl auch hier vor, sind aber dann nicht von der- selben Natur wie im vorigen Falle. х Der allgemeinste Satz, den man über die betreffende Differentialglei- chung unter der eben gemachten Voraussetzung über die eingehenden Ver- änderlichen besitzt, ist von Weierstrass in den Monatsberichten der Ber- | liner Akademie 1866 gegeben. Er setzt voraus, das folgende Bedingungen erfüllt sind: «1) Es verschwindet F (x) für zwei reelle Werthe а, b von 2; 2) der Quotient مس‎ PO 2) indert sein Zeichen nicht und wird nicht unendlich, so lange т in dem Intervall a . . . b bleibt; 3) für irgend einen bestimmten Werth von f ist der zugehörige von 2 in diesem Intervalle enthalten». Unter diesen Voraussetzungen hat er A dim a æ eine periodische - Funktion von f ist, die in eine für alle reelle # gleichmässig konvergente . Fourier'sche Reihe entwickelt werden kann. | Die vorliegende Abhandlung hat zum Zweck die Fälle zu untersuchen, ` Wo Фе obigen Bedingungen nicht erfüllt sind, und zwar wenn die Wurzeln Sieg | mathém. et astron. Т. ҮП, p. 1, 10 DR. С. У. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [N.:8; 3 a und 5 nicht einfach sind, sondern eine beliebige Ordnungszahl haben. Es wird sich übrigens herausstellen, dass die dritte der obigen Bedingungen in einer mechanischen Aufgabe immer von selbst erfüllt ist. 2. Wir verstehen unter z eine gewisse in einem mechanischen Probleme vorkommende Grósse, die wir deswegen als reell und stetig betrachten kónnen, und nehmen an, dass wir zur Bestimmung derselben folgende Dif- ferentialgleichung bekommen haben: GP Е (2), EE EE не e E OUS CON (1) wo t die Zeit oder irgend eine andere reelle und stetige Veränderliche be- deutet. Über die Funktion F (2) machen wir folgende Voraussetzung: wenn 2 beim Anfang der Bewegung den Werth x, hat, so soll man immer zwei reelle Grössen а und Û (а < х, < Б) und zwei ganze Zahlen m und n finden können so beschaffen, dass 3 F(a) = FO) = 0 SUE ме WIESE NOUS PR een И N CS? 4 p ۱ WEEN EE, und der Quotient mi ape den wir mit % (x) bezeichnen. für alle reelle Werthe von & zwischen а und 0, die Grenzen inklusive, stetig und von Null oder Unendlichkeit verschieden ist. Über die Funktion Ф (x) setzen wir übrigens nur voraus, dass dieselbe für eine kleine Umgebung der Werthe z =a und 2 =b in еше konvergente Potenzreihe entwickelt werden kann. 3. Dies vorausgesetzt werden wir zuerst folgenden Hülfssatz beweisen: Wenn, der Voraussetzung nach, x anfangs zwischen zwei Wurzeln a und b von F (x) liegt, so muss x immer zwischen diesen Grenzen bleiben. Dies sieht man gleich ein, sobald die Ordnungszahlen der Wurzeln а und b ungerade sind. Wenn dies der Fall ist, muss nämlich F (x) für Werthe von 2 іп der unmittelbaren Umgebung der Wurzel а 2. B. verschiedenes Zeichen haben, je nachdem 2 einen reellen Werth grösser als а oder einen solchen kleiner als а hat, und da nur in dem einen Falle (% T positiv ist, - so kann der Stetigkeit. zufolge т nicht Werthe annehmen, die an Бл бейеп einer Wurzel liegen, und muss folglich immer an derjehigen бейе ` von a bleiben an der x anfangs liegt. Dass aber x auch keine Wurzel mit gerader Ordnungszahl überschreiten қ. wird in EO аі "Weise leicht : bewiesen. Wir haben | dr 2 Гаў" 0—2)" Ae, "` sud in dieser Gleichung betrachten wir nun für einen как t Te Funktion von z Statt umgekehrt. Und zwar indem wir die Желе von t — ее Dr T уп, р. 2 --- zt Wt, MES 5 hn | (XXXII) | DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 11 suchen, Ше 2- Мегер іп der Nähe der Wurzel а entsprechen. Wir be- merken dann, dass in der Umgebung des Werthes œ = а jeder Faktor linker Hand mit Ausnahme von (z — а-з іп eine konvergente Potenzreihe entwickelt werden kann, dass wir also statt der obigen Gleichung für die betreffenden z-Werthe die folgende schreiben können | dx (CC (era) 2 06, (д ei (#— a)? Innerhalb derselben Grenzen von 2 können wir auch diese Reihe Glied für Glied integriren, und erhalten dann m 221198 бабам сан BCE ЕЕЕ: аи) ner ;] == = ( MT т), wo innerhalb der Klammer das Glied mit dem Koefficienten c» wegzu- —1 lassen ist. Wir haben hier vorausgesetzt, dass m eine gerade Zahl ist. Lassen wir nun in dieser Gleichung 2 sich dem Werth 2 == а nühern, sei es indem 2 von reellen Werthen grösser als а allmählig abnimmt, oder indem 2 zu diesem Werth durch kleinere reelle Werthe aufsteigt, so wüchst gleichzeitig der absolute Betrag von der linken Seite also auch von £ über alle Grenzen. Umgekehrt können wir also behaupten, dass, wenn m > 2 ist, es keinen endlichen Werth # von £ giebt für welchen 2 den Werth a annimmt. Da weiter x von reellen Werthen grösser als а zu reellen Werthen kleiner als а, da x reell und stetig ist, nur übergehen kann durch Passiren des ee, ж == а selbst, so ist also unser Hülfssatz allgemein bewiesen. 4. Wir wissen also jetzt, dass z immer zwischen zwei Wurzeln von ғ (т) bleiben muss. Nach der Voraussetzung können wir die gegebene Gleichung unter der Form E p= @—@"(ф—"ф@) ........: Eet ` schreiben. Die Hauptsache bei der folgenden Untersuchung ist nun, dass wir diese Gleichung in zwei andere ER und zwar сал wir eine Grösse مه‎ ет- führen definirt durch dw ` | | у TETE vus S RRE ie - (8). wo also z mit # durch die Relation ант ах \2 (22) el ny Ne ی کل‎ у раје urine à (4) © verbunden ist. TM entm ей astron. T. VII, p. 3. 12 DR. C. V. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [N. s. 1 Es sind die Gleichungen (3) und (4) die uns nun beschäftigen werden. Zunüchst ist es klar, dass dem eben bewiesenen Satz zufolge die rechten Seiten von (3) und (4) nie negativ werden kónnen. Weiter kann in (4) gele- gentlich die rechte Seite Null werden, wogegen dies in (3) nie der Fall ist. Da die Gleichung (2) durch zwei andere, jede mit ihrer besonderen Integrationskonstante, ersetzt worden ist, so ist es erlaubt, die eine von diesen Konstanten nach Belieben zu bestimmen. Wir setzen fest, dass in (3) die Integrationskonstante so bestimmt wird, dass w den Werth Null erhält, wenn ۶ selbst gleich Null ist. Dann folgt aus derselben Gleichung, dass 20 immer einen reellen Werth haben muss. Wir kónnen aber nicht nur über den Werth von го beim Anfang der Bewegung теа, sondern da es nur nothwendig ist, dass die Gleichung dr \2 KS (е) (2) = dw ) | dt zwischen den Quadraten der Differentialquotienten stattfindet, ist es auch erlaubt = beim Anfang der Bewegung ein beliebiges Zeichen zu ertheilen. Geben wir dann dw beim Anfang gà Bewegung dasselbe Zeichen wie dt, so wird dies immer der Fall sein, da © ES = nie Null (oder unendlich) werden kann. Wir haben also für alle Werthe ui t Aus dieser Gleichung zwischen w und ¢ können wir eine sehr wichtige Eigenschaft von w ableiten. Da nämlich x in seinen Änderungen so be- stimmt ist, dass immer b 7 22 а, und den gemachten Voraussetzungen ge- mäss ф (2) in diesem Gebiete stetig ist und nie Null oder unendlich wird, so muss nothwendig Û (x) für die genannten z-Werthe eine endliche obere Grenze und eine von Null verschiedene positive untere Grenze haben. Das- selbe gilt dann auch für Уф (x), so dass es immer möglich ist zwei positive | Zahlen Z, und L,zu finden der Art, dass für alle 2, die hier in Betracht Із kommen Lat eL, und also für alle reelle Werthe von £ . * ۰ mithin wo À eine veränderliche positive Zahl grösser als 1, aber kleiner als L, be- 3 zeichnet. Melanges mathém. et astron. Т. VII, p. 4. p MS d s SS ч 277 LE HE DE ў [E وه‎ д > e з ۳ > 2 ж. УН ре df АИС 15-4 ? 2 жаа нары а АИ там ыса ы аа MM و‎ Жасым ХАРА АСТ ааа ы/а M S n NE PM 3 FERT EN en Et EE E IT р ROE E аа hee 222% E (XXXIII) | DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 13 5. Nachdem wir zwei bestimmte Grenzen gefunden haben, innerhalb deren die Werthe von w eingeschlossen sein müssen, können wir zur Unter- suchung der Gleichung (4) übergehen, die die Relation zwischen 2 und w enthält. Wir schreiben dieselbe unter der Form dx бај‏ ون wo wir uns erinnern, dass w eine mit # stetig wachsende Veränderliche be- zeichnet, die alle reelle Werthe positive und negative von beliebiger Grósse annehmen kann. Wir bemerken hier gleich die grossen Vortheile, die uns die Einfüh- rung der Hülfsgrösse 20 gewährt. In der That liegt nun die ganze Diskussion der Bewegung іп der Gleichung (8). Angenommen dass die Lósung der- selben ۵ æ == f(w), so brauchen wir nur hier w alle Меге zwischen — со und + co durch- laufen zu lassen, um die ganze Bewegung von 2 darzustellen. Und noch mehr, wenn wir w mit einer Konstante mal 2 identificiren, können wir eine an- ` genäherte Darstellung der Bewegung bekommen. Es ist dies eine Annähe- rung von derselben Art, die man im gewöhnlichen Pendelprobleme bekommt, wenn man die da auftretende Sinusamplitudo gegen einen gewöhnlichen Sinus vertauscht. Bei der Integration der Gleichung (8) ist es vortheilhaft in derselben 2 gegen eine andere Veränderliche $ zu vertauschen, die mit 2 durch die Re- lation verbunden ist. Wir sehen клы dass < alle Werthe zwischen Null und =+ оо annehmen kann. Aus (9) folgt = шт 1--е, elle, dz а b—z _ 1+6? und wir erhalten statt (8) | | у; im + т) — 1 а тү / " a à (b — a) dw = (1 - =) ET E. оде" | ; 1 (on > SE | 3 — 2 CES nup dw = ZU Eco 5 (40) 7 2 Melanges mathém. et astron. T. ҮП, p. 5. 4 | s : 14 DR. €. Y. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, LEE 1 Die Integration dieser Gleichung ist sehr einfach, wenn man nur ver- | langt w durch ¢ auszudrücken. Das Integral besteht bekanntlich aus einem | logarithmischen und einem algebraischen Theil, von denen der eine in ge- | : wissen Füllen wegfällt. Der Übersichtlichkeit wegen ist es am bequemsten 3 drei Fälle zu unterscheiden, je nachdem m und n gerade oder ungerade | Zahlen sind. Nach elementaren Methoden erhalten wir dann folgende Inte- grale: a) m und п beide gerade; es sei m == др, n = 24. Dann wird G— ај“ (0--ш)--8, 8 D b di оо) т----р wo Е--р--4--9, ЖЕ == k(k— 1)(k — 2) ... (k— r -- 1) und in der Summe der Werth r = 0 ausgeschlossen ist. b) m und n ungerade: TEE П--24--1. ‚Dann wird Beau 1 ST EE (12) 4‏ وب лт wy = == В ~ Ar‏ بت نی КЕТИП, wo —p--q-— 1. Für р--4--0, d. В. p —4— 0, bekommt man dagegen das Integral А ; x == 10° (w — w). Puy. V TEM (18). с) m; gerade, n; ungerade, Der Fall m ungerade, » gerade: braucht nicht besonders untersucht zu werden, da wir-mur с gegen TIO Zu. vertau- | schen brauchen um e Resultat zu erhalten. Also == 2P, x SCH 1. ۱ Dann bekommen wir rend m ess у ай wo | М егісі тобо Sé К, uid 2 folgende Bedeutung haben en, 2 : 3 Melanges mathém. et astron, Т, ҮП, p. 6. (ххх) | “DIE AUF. HYPER FÜHREN." 15 e de Zi T » = 92: 2n au 4 198 bo ant ل‎ 1 (521 п ane м. 9 ri p — i-a (139-3 E i Z иш rtr perde 2 b 284 uA 5) ош هل‎ ч (du 3 Пов La | аута (t 1 wo | 1 1 дыл 84-1 r 2. fy ‚97—977 НА) р SE m ورس‎ UN Die Gleichung (14) kann man auch in der folgenden Form schreiben ` (b سس‎ ati (w — w) = А lug LÉ 2 la: E 9-2, 5 }} (5) wo А eine Konstante ist und R, und R, ganze rationale Funktionen von dem Grade 4—1 und p — 1 resp. bezeichnen. Für A bekommt man fol- gende Form 6. Die Diskussion der Bewegung geschieht nun ohne Schwierigkeit mit Hülfe der Gleichungen (11), (12), (13) und (15). Der Kürze wegen führen wir folgende Bezeichnungen ein. hi: Eine Grósse wird gesagt eine Librationsbewegung zu haben, wenn dieselbe periodisch zwischen zwei festen Grenzen hin und her sehwankt: Diese Grenzen werden wir Librationsgrenzen nennen. П. Eine “Grösse wird gesagt eine Limitationsbewegung zu haben, wenn: dieselbe sich allmählig einem. bestimmten Grenzwerthe nähert, ohne _ denselben je in endlicher Zeit zu erreichen. Dem fraglichen Grenzwerthe ds SE werden: wir. den. Namen: ‚Limitationsgrenze geben. „Ез Blick. auf die Gleichungen des vorigen Paragraphen. zeigt uns. nun Kë? dass die Bewegung in vorliegendem , Falle nur. von. diesen beiden Arten sein kann. Und zwar tritt Libration ein wenn die Bewegung durch die Gleichung (13) bestimmt ist und also die Wurzeln а und b beide einfach sind, sonst immer Limitation, Wir bemerken. noch, dass wenn die eine Wurzel einfach ist, nicht aber die ändere, so giebt es immer zwei Werthe von w, die demselben Werth von $ entsprechen, sonst nur einer. ' Dass in (13) eine Librationsbewegung auftritt, ist durch die periödische Form von < sogleich ersichtlich. Das Vorhandensein der Limitation in ällen übrigen Fällen wird dargelegt, indem man in den Foruak ( 1 n. (12) und ` (15) < gegen Null oder Unendlichkeit konvergiren lässt. Übrigens folgt dies leicht aus dem im dritten Paragraphen gelieferten Beweise. Mélangos mathém. et astron. T. УП, p. 7. - 16 DR. С. V. 1. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [N..8. 1 E Die obigen Formeln geben uns w in $ ausgedrückt. Wir brauchen in- | dessen umgekehrt < іп w explicite ausgedrückt zu haben, um mit Hülfe der : Gleichung (3) die Relation zwischen w und # zu finden. Die genannten Formeln lehren uns, dass jedem reellen Werth von w nur ein einziger reeller Werth von $ entspricht, dass also so lange wir uns auf reelle Werthe beschränken, с als eine eindeutige Funktion von w zu betrachten ist. Dies ist dagegen im Allgemeinen nicht der Fall, wenn wir auch komplexe Werthe von w mit in Betracht ziehen. Die Aufgabe wird daher in ihrer allge- meinsten Auffassung eine sehr schwierige, wenn man sich nicht eine prak- tisch brauchbare Methode verschaffen kann, die es erlaubt, eindeutige Funk- tionen einer reellen Veränderlichen für alle Werthe dieser Veränderlichen darzustellen. Wenn шап z. D. wüsste, dass $ als Funktion von w für alle reelle w in der folgenden Form darstellbar wäre = (и) = С, + С, 0,00) + Сфи) 4... ... 25-116) is A 2 2 SS bs. d ас қыса عون‎ сок Ri EE E A EA SRM I. ч. МУТ АА EC. СТ RC МИРЫ а а Сл d rd y . WO 9, (w), Ф, (w) etc. bestimmte, gegebene, eindeutige Funktionen von w sind, und kónnte man weiter zwei konstante Gróssen о und В finden der Art, dass für alle Werthe von т und п, die von einander verschieden sind oué PE CAPS | Sues dw =0, твор)... (16) dass dagegen ITT (012) (16: | und wenn endlich die Reihe (16) gleichformig konvergent ist für alle zwischen а und В liegende Werthe von w, so wären immer die Koeffi- cienten C, in (16) zu finden. In der That wird zuerst den obigen Gleichungen | gemäss für C, der folgende Ausdruck erhalten | KO sf co, (o) dw. Indem wir hier w gegen с als laufende Veründerliche e EN er- halten wir nach der Formel (10) # р | (+ geste Ы қс. -| ся 3 9,(9) (1-4- 9! Re E aD қ я Melanges mathem. et astron. Т. ҮП, р. 8. (xxx) | DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 17 wo wir unter À und p die gegen w == a und w= 8 resp. sprechenden Werthe von $ verstehen. In Ф, (w) haben wir die Ausdrücke (11), (12) und (15) für w einzusetzen. Die Bedingungen (16,1) und (16,2) sind an die Funktionen o, (w) ge- knüpft, da bei den gewöhnlichsten Methoden, eine willkürliche Funktion einer reellen Veränderlichen darzustellen, nämlich durch trigonometrische Reihen und durch Reihen von Kugelfunktionen, die fraglichen Bedingungen erfüllt sind. Die Reihen, die man durch Anwendung dieser beiden Me- thoden erhält, werden aber im Allgemeinen nur innerhalb endlicher Gren- zen die Funktion darstellen, und obgleich man diese Grenzen beliebig weit ausdehnen kann, bleibt es doch zweifelhaft, ob man dabei zu praktisch verwendbaren Formeln geführt wird. Jede Funktion Ф, (w), die die Be- dingungsgleichungen (16,1) und (16,2) erfüllt, giebt indessen eine neue Methode die Funktionen einer reellen Veränderlichen darzustellen, und die Lösung derselben enthält also auch die Lösung des vorliegenden Umkehr- problems [die Umkehrung der Gleichungen (11), (12) und (15)]. Übrigens kann man auch Methoden finden, die Funktionen einer reellen Veränderlichen darzustellen, ohne dass man die fraglichen Be- dingungen zu erfüllen sucht. Es scheint mir als ob einige Unter- suchungen von Tchébychef in dieser Beziehung zu dem erwünschten Resultat führen können (Vergleich: «Sur le développement des fonctions à une seule variable». Bulletin de l'Académie 1859 von dem genannten Verfasser). Hat man nun in irgend einer Weise $ durch w dargestellt, so liefert die Gleichung (3) die noch erforderliche Relation zwischen مه‎ und £. Wir wer- den dann auf ein dem obigen analoges Problem geführt. Indessen wird diese Aufgabe durch die in $ 4 erwiesenen Eigenschaften von 20 einigermaassen erleichtert. 7. Obgleich es nicht leicht ist einen für alle reelle Werthe von w gel- tenden Ausdruck für ç zu finden, so lange m und n beliebig hohe Werthe haben, so lässt sich doch immer eine Lösung erhalten, wenn m und 8 ver- hältnissmässig niedrige Zahlwerthe sind. Zur Bequemlichkeit bei der Ве- handlung solcher Probleme, in denen nur kleinere Werthe von » und » vorkommen, werden wir diese Integrale aufsuchen. Mit Hülfe der Gleichungen (11), (12) und (15) kónnen wir leicht die Fälle aufsuchen, in denen $ sich ohne Reihenentwickelungen durch w aus- drücken lässt. Da aber diese Gleichungen hier nicht abgeleitet worden sind, werden wir vorziehen, die betreffenden Integrale, direkt aus den Differential- gleichungen abzuleiten. Die Differentialgleichung für € $ маг Mélanges mathém. et astron. T. УП, p. 9. ; 2 18 DR. €. V. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [N. 8.4 а m+n т... Zur лі “3 ф—а) 9 0 == М „dw, 2 т, und wir erinnern uns, dass 1) Wenn erstens ))m=n=1, so wird ds (1-- ӘУ = Nr, dw, N, ‚= L und die Lösung dieser Gleichung haben wir schon früher gefunden, nämlich & == tg’, I. Das war der Librationsfall. 2) m — 2, n — 1. Dann ist а аы “N ди, ^ NQ2Yb—a. Das Integral wird Y1--6—1 l — 9% Ү1--с--1 Na, " also 1 en ۷ 1--< == Caw TE und : deln v En eh vp 3 was wir auch schreiben können 1 ( eaw 2-15 4 1 mess 5 ) = shp? -z Naw. Hier tritt Limitation ein. Wenn w gegen die positive oder die negative Unendlichkeit wächst, so nähert sich 2 indefinit dem Werthe 2 = et MEF 4-3) ds CENSO vm Ndw, N,=Vb—a, also | 106 = + У ($1) |= Мат, ойег gs Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 10. 1 "uid dl i — لد‎ а EE ` x EE к A E EES (XXXII) | DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. à T9 Diese Formel ist scheinbar unsymmetrisch. Indessen sieht man gleich, dass wenn hier №, 0 um — log 2 vermehrt wird, was ja erlaubt ist, da wir dadurch nur die Integrationskonstante veründern, so bekommt man e Aen ` ` — 3 ور‎ 0 SER е Еу 9 1‏ بت ње RR 9 | = shp z Na,‏ ‚wie es ja auch bei Vergleich mit dem vorigen Fall nothwendig war. Mit unendlich wachsendem w nähert sich т hier dem Werth x =b. 4) m = n == 2. Dann wird 4 | ge == Иа == —4, also < шш e Now, und æ nähert sich dem Werth а oder b je nachdem w gegen — oo oder + co konvergirt. о تا‎ 3, a == 1 75 — Nad == doc Un %, nw а. also لت تومیر‎ KS Na? wi Wenn w unendlich gross wird, konvergirt 2 gegen den Werth a. 6) mus BE 8 2 do, Х,,--0--а also а ЈИ y $ == Pu ғ, بای‎ ил, Ars t konvergirt gegen b. In diesen beiden Fällen ist z eine rationale Funktion - von w. i EX SEI 0:۷1 و‎ Fugen | TORTE 2208 = М SN, №, = (b — a)? mit dem Integral У1--с--1 Тој пр У 1 еше ЈУ, 06 Ші 271+ 0, oder У1--<-1 ЋИР ei У1--<--1 GE Е Mélanges mathem. et astron. T. ҮП, p. 11. » 2” 20 DR. С. У. 1. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, (в. 8..1 aus welcher Gleichung aber der Ausdruck für $ nicht unmittelbar hervor- geht. Das ist auch der Fall, wenn ls 8) m—3, n= 2. Durch Vertauschung von c gegen = in der letzten Formel bekommen wir dann 1 و‎ S Vı=t-ı AER) N 0 е = € У1+ +1 In beiden Fällen nähert sich 2 dem Werth а oder b je nach der Anfangs- richtung der Bewegung. | 9) m= 3, п= З 1015) = N, dw, №: = (b— а). Dann wird ў 1 1 und also | AV s =N pw + VN w 16, wo wir das obere Zeichen wählen müssen, wenn wir unter Ve die positive Quadratwurzel aus < verstehen. Indem w zwischen — со und + co variirt, nimmt ç successive alle Werthe zwischen Null und der positiven Unend- lichkeit an. Wenn die ae der Wurzeln nicht drei übersteigt, ist es also keine Schwierigkeit < explicite durch auszudrücken [mit Ausnahme von der Kombination (2, 3)]. Es sind dies die Fälle, in denen < eine ratio- nale Funktion von w oder von e" ist. Die obigen Formeln zeigen von welchem Nutzen das Einführen der Hülfsgrösse w durch die Gleichung (4), für die Betrachtung des vorliegen- den Problemes ist. Erstens braucht man hier nur w alle Werthe zwischen — со und +- co annehmen zu lassen, um gleich die successiven Werthe von x wührend der ganzen Bewegung zu bekommen. Zweitens kónnen wir, wenn - wir w mit einer Konstante mal ۶ gleich setzen, nach Formel (7) immer eine | erste Annäherung für die Bewegung bekommen, eine Annäherung, die um so genauer ist, je grössere Werthe man der unabhängigen Veränderlichen t giebt. 8. Einen von den erwähnten Fällen werden wir näher untersuchen, nämlich wenn m = n == 1, da derselbe theils durch das Auftreten von «Libration» sich von den EECH іп mechanischer Hinsicht unterscheidet, theils wegen der grösseren Leichtigkeit das Problem en zu studiren ` Melanges mathem. et astron, T. ЖЕ? р. 12. ~ 1 “ (ххх) | DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 21 besonderes Interesse verdient. Wie schon früher erwähnt, fällt der Libra- tionsfall mit einem von Weierstrass im Jahre 1866 behandelten Pro- bleme zusammen, und wir werden kürzlich die von ihm gefundenen Resul- tate ableiten. Wir haben hier 4 ($) =@—@Ф@—@Ф() und diese Gleichung wird in zwei andere getheilt dw \2 GE Ada NC (&) = @—)ф—). Das Integral der letzten Gleichung war (die Integrationskonstante gleich Null gesetzt) oder 1 a ند من‎ а COS" w -+-Ь sin’ — w. : Wie wir schon früher allgemein bewiesen haben, muss w mit f kontinu- irlich wachsen, und zwar so, dass jedem Werth von £ nur ein einziger Werth von 20 entspricht und umgekehrt; beide werden gleichzeitig Null und unendlich. Da nun 2 eine periodische Funktion von w ist, so ist hiermit auch unmittelbar klar, dass nach bestimmten Zeitintervallen 7), Т,, Т, etc. д wieder zu demselben Werthe zurückkommt. Wir können leicht zeigen, dass diese Zeitintervalle sämmtlich von derselben Grüsse sind, so dass x eine einfachperiodische Funktion von £ ist. In der That haben wir dw => rw. 7 0 und wenn wir hier um 27 vermehren, erhält ¢ einen gewissen Zuwachs ` 2T, so dass: | у 2r+w dw ——=t-+2T. f] vet) D 9 Und hieraus bekommt man durch Subtraktion 104-27 dw ise [5 Mélanges mathém. et astron. T, VII, p. 18. 22 DR. €. V. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [N. 8, 1 Aus dieser Formel sieht man gleich, dass T von w vollständig unab- hüngig ist, da 2 und also auch ф (x) die Periode 2x besitzt. Wir erhalten also einfach Әт 4 3 tb i e| us oder da x von 0 bis x dieselben Werthe annimmt, wie von т: bis 2x 3 dw dw | | 1= Ұй) | Y$(aco?i1w-bsin iw) ^ ^ (18) 4 0 „е Nach Einführung von z statt w, können wir diese Formel schreiben b d Le Vis - а) ф— )با‎ ` 4 Wir wissen also nun dass 2 eine periodische Funktion von £ ist mit der Periode 27, so dass, wenn so ist f(t- 2 T) —f(t, und да weiter д eine gerade Funktion von 20 und also auch von 2 ist, so können wir 2 für alle reelle Werthe von £ durch eine konvergente تیم‎ metrische Reihe darstellen von der Form x Фев iB, + B, cos 57 B, ee i299. (109) Die Koefücienten: haben hier ol هت‎ Ausdruck T тт? китер np “а, 15,2 o cos ^7. dt, Se LE مه wo wir Ше Werthe von d£ und £ ја т lrückt einzufüh 1 haben. Durch > à theilweise Integration erhalten St Ше Sein Formel e ат В, Mélanges mathém. et astron. T. ҮП, p. 14. (хххш)] DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. ‚28 Für numerische Rechnung wird eine dritte Form noch bequemer sein, diejenige nämlich, die man aus der vorigen Gleichung durch Einführung von w statt x erhält. Wir setzen erst т 1 T 1 1 Т уфа) T уф (а cos? 1 w sin? ! w) коо ыты e / WO т "cr И сов nw dw ei Ту , Уф (а cos? 1 wb sin? 1 w) 0 dessen Berechnung keine | и darbietet. Wir bemerken be- sonders, dass Nach Integration dieser Reihe bekommen wir nun "T р а 1 dn 9 9 1 ya we Sin 40 ----с, sin 290 0... (21) Da weiter 2 dx = (b — a) sin w dw, so können wir nun den Ausdruck für die Koefficienten В, folgendermaassen schreiben (а), IER тті sin w dw ۱ 403) هه و‎ des pr =] аш + — > 0— af COS: 7 - | oder Sen Einführung der Reihe (91) Eur em | (1-- a Jio c sin ш--2-,віпдю--.. | dw E ۱ e e (23) ; 1 А و‎ o. cos т [(1 == +) +, sin w+ c, sin 20... | аш. : | Mit Hülfe dieser Integrale kann man in verschiedener Weise die Koeffi- cienten berechnen; z. B. durch mechanische Quadratur, durch Entwicke- lung nach Potenzen von c, c, etc., mit Hülfe der Bessel'schen Funktionen u. з. w. In den meisten Fällen ist vielleicht die mechanische Quadratur vor- zuziehen. Melanges mathém. et astron. T. VII, p. 15. is 24 DR. С. V. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [N. 8.1 9, Obgleich Libration nur dann vorkommen kann, wenn die beiden Wurzeln а und 5 einfach sind, und in allen anderen Fällen Limitation ein- tritt, so dass man glauben könnte, dass das Auftreten der Libration eine verhältnissmässig sehr seltene Erscheinung wäre, so ist indessen der Fall gerade umgekehrt. Die Gleichung zur Bestimmung von 2 yere müssen wir uns nämlich im Allgemeinen aus einer Gleichung von der Form а?” а E f(x) durch Integration entstanden zu sein denken, eben weil wir mechanische Probleme in Betracht nehmen wollen. Das Integral dieser Gleichung hat num die Form (ж) = 2 [/(@) 4=- К, wo К еше Integrationskonstante bedeutet. Hieraus ist also ersichtlich, dass in der Funktion F (x) im Allgemeinen eine Integrationskonstante linear ein- geht, und die Wurzeln von F (2) sind daher kontinuirliche Funktionen dieser Konstante, die nur für isolirte Werthe derselben mit einander zusam- menfallen können. Die Limitation setzt daher gewisse Specialwerthe der Integrationskonstante voraus. Dass dieser Umstand indessen das Auftreten einer solchen Bewegung auch in Aufgaben der Natur nicht ausschliesst, kann man aus analogen Fällen im Problem der drei Körper finden. Es ist in die- sem Zusammenhang besonders eine Frage wichtig zu untersuchen, nämlich die Beschaffenheit der Bewegung unmittelbar vor dem Auftreten der Limi- tation, oder richtiger ausgedrückt diejenige Veränderung in der Librations- bewegung, die eintritt, wenn eine Wurzel in (2) (Paragraph 8) sich allmählig einer der Wurzeln а oder b nähert. So lange die betreffende Wurzel nicht - mit einer von diesen zusammenfällt, muss natürlich noch Libration auftreten. Die hauptsächlichste Veränderung kommt in der Länge der Periode der e See vor. Diese hatte folgenden Ausdruck [Колан (j: 21 sal "=| ر‎ ж = а cos? 1 10 + b sin? Lw. Wir nehmen also jetzt an, dass eine Wurzel in ф (x) sehr wenig von 2. В. а abweicht, so dass %0-6-а- уф Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 16. (Хххш)] DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 25 wo à eine kleine positive Grösse ist, und ọ (x) für keinen Werth von x in der Nähe von x == а oder 2 = b verschwindet, und also für alle reelle Werthe von w positiv und von Null verschieden ist. Nach dem Werthe von 2 ist 2—а-8% — (b — a) sin? + 40 + 8 und also т dw 0 ў Einem bekannten Satz in der Integralrechnung zufolge, können wir diese Gleichung unter eine bequemere Form schreiben, nämlich w pu „1981197 faob ne) ш 77 Уч | Y(b—a)sin? 10-5 ? 0 unter & einen gewissen reellen Werth zwischen 0 und x verstehend; oder à dw T= | ای‎ Н (24) 0 WO = ——— - [== ` )0-( ۷,8 ? 1919287 A ist den Voraussetzungen nach immer zwischen zwei positiven end- lichen Grenzen eingeschlossen, und wir haben zunächst zu untersuchen das . Integral 5:7 e йш (Ко : ~ oder | а w 0 für sehr kleine Werthe von f. Man sieht gleich, dass dies ein elliptisches Integral ist. Um dasselbe auf die Normalform zu bringen, setzen wir ела een cro sin 9 == ————— Ж Y sin? w a- f? ” also 1--f?d 1--/2--віһ?Ф und bekommen dann Melanges mathem. et astron. T. VII, p. 17. 25. DR. €. V. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [х. 8.1 т 3 GE а ыш ћи ен du? Е sin? 9 0 3 ау: ا‎ = УТ KE sin? Ф ~ ETT EP 0 Der Modul ist hier immer kleiner als Eins, nähert sich aber mit ver- schwindendem f mehr. und mehr der Einheit. Um das Verhalten von J in der Nähe von k = 1 studiren zu können, müssen wir uns desswegen einer Entwickelung von К nach Potenzen des Komplementärmoduls E bedienen. Wir erinnern zu diesem Zweck an den folgenden Satz: | Wenn der Werth der unendlichen Reihe 3 БЕСІ mit L bezeichnet und zur Abkürzung 1 === Бе 1 sF (5) k2 = p 1 = (+) k? =F (= Sc) kt — d Бб, gesetzt wird, so gilt die Gleichung | K= Llog (р-на ر‎ а سس‎ Lj i. | für Werthe von # in der Umgebung von H = 0. Da die Periode T folgenden Ausdruck hatte sehen wir also aus der obigen Formel für K, dass wenn der Modul k gegen den Werth Eins konvergirt, d. h. E gegen Null, so wächst gleichzeitig T über alle وش‎ und zwar so, dass der Quotient h й > Ў 4 ee EE ae Mus "erus E ix S EE Cp C de com p Phe acum МИ ове اس‎ E A € И SOY DN EET А оре СЕ ва аи Т тај E СЗАО ЫН e ОҒ” ҮЛ кұ Л ІТ. РК E USO WE Se ТР sich allmählig « einer endlichen Grenze nähert. | Е Der Übergang von Libration zu Limitation. „азы В. dadurch, dass | die Periode der Librationsbewegung allmählig grössere und grössere Werthe | annimmt. Die Limitation ist wie ein Grenzfall von der Libration zu be- | US trachten, und die Bewegungsverhältnisse, die beim Übergang von der einen | | Bewegung zur anderen vorkommen, sind von derselben Art wie die inter- | | — MO et astron. T. VII, p. 18. S ON : 2 (хххш)] DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 27 essanten Erscheinungen, die im Problem der drei Körper zum .Vorschein kommen, wenn die mittleren Bewegungen zweier Planeten nahezu kommen- surabel sind. Die Diskontinuität in der Behandlung der Limitations- und der Librations- fälle kann man vermeiden, wenn man bei der Einführung der Hülfsgrösse w auch die «gefährliche» Wurzel in ф (x), die mit einer von den Librations- grenzen zusammenfallen kann, berücksichtigt. Опзегет in diesem Aufsatze befolgten Princip gemäss geschieht dies, indem wir den Zusammenhang zwischen w und æ durch die folgende Gleichung feststellen: ах Fi eo Ша) Ge) wo с die fragliche Wurzel in ф (x) bezeichnet. Wir bekommen dann z durch eine elliptische Funktion von w ausgedrückt, welche Form hier sowohl die Librations- wie die Limitationsfälle umfasst. 10. In einer Abhandlung), im Januar dieses Jahres der Akademie vor- gelegt, habe ich ein mechanisches Problem behandelt, welches in mehreren Beziehungen die bei hyperelliptischen Integralen auftretenden Bewegungs- verhältnisse illustrirt, und das ich auch hier als ein Beispiel der obigen _ Auseinandersetzungen erwähnen will, um einige, іп der genannten Abhand- lung nicht beträchtete Punkte zu behandeln. Bei der Behandlung des fraglichen Problems hatte ich die Vortheile der Zerspaltung der ursprünglichen Gleichung (2) in zwei andere (3) und (4) noch nicht gefunden. Das fragliche Problem können wir in folgender Weise ausdrücken: Drei materielle Punkte mit den Massen 4, В und С werden mit belie- bigen Anfangsgeschwindigkeiten nach beliebigen Richtungen, die doch alle in der vom Dreieck АВС anfangs bestimmten Ebene liegen, ausgeschleu- dert. Sie ziehen sich gegenzeitig nach dem Newton’schen Gesetze an, sind aber während der Bewegung der Bedingung unterworfen, dass die Abstände von В und С zu A unverändert bleiben. Es ist ihre Bewegung zu unter- suchen. Wenn wir mit В den Abstand’ daehen! B und 0 bezeichnen, mit а und a, die konstanten Abstände АВ, AC тезр.,. "und mit & und 8 endlich zwei von a, а,, B und С abhängige, positive Konstanten, deren Werthe wir unten angeben, "Hütéh wir in der besprochenen Abhandlung zur Bestimman: В die folgende Gleichung erhalten: | 1) «Über еше mit dem Problem der drei Körper verwandte Aufgabe». Melanges таеп. et astron. T. УП, p. 19. à 28 DR. €. V. 1. CHARLIER, ÜBER DIE 10806 MECH. PROBLEME, [N. 8.1 iB ЕЗІ = (В — a — а) (а-+а*— R?) Lë = -- 8n), . (26) wo e 0 _ ОР о, EF Аы ы? Baan (2-2), und К eine Integrationskonstante bezeichnet, die von A und 4 EN = beim An- fang der Bewegung abhängt. Es verdient noch bemerkt zu le: dass der Winkel # zwischen den Verbindungslinien AB und AC durch die folgende Gleichung bestimmt ist: es. RTE (27) R ist also durch eine hyperelliptische Differentialgleichung bestimmt, und wir können mit Hülfe der eben gemachten Untersuchungen die Bewe- gung studiren. Es sind die Wurzeln der rechten Seite von (26), die uns vor Allem interessiren. Der letzte Faktor verschwindet für drei Werthe von В und da а und В positiv sind, wissen wir, dass wenigstens eine von diesen Wurzeln negativ ist. Wir nennen diese Wurzel — р und setzen BR? + KR + 20, =$ (R — R)(R—R,)(R-+p), wo nach (27) nur solche Werthe von R vorkommen können, für welche das Produkt (R— R) (R—R,) einen positiven Werth hat. Also muss R entweder grösser als R, und Е, sein, oder kleiner als beide. Wenn А, und А, reell sind, nehmen wir ` В, > В, an. Die Gleichung (26), іп der Form ıR(%)=(R-a-a) (ara — R) (R= R) (Е-Е) (Вата) T (a+ a, + В) RS SE | geschrieben (а > а)), zeigt uns nun: а + a, oder kleiner als а--а,, so muss іп В Libration auftreten, indem В zwischen den Grenzen a — a, und а + a, periodisch schwankt. Nach den - © früheren Auseinandersetzungen würden wir dann bei der Behandlung des = Problems eine Hülfsgrösse 20, einführen, die durch folgende Gleichung be- E stimmt wäre (е) = (В—в—а,(а--а,— В) | Mélanges mathem. et astron. Т, VII, р. 20. 1) Wenn В, und В, entweder imaginär sind oder reell, ab grösser als | : ird айта уа а В (ххх) | DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 29 oder ч 1 ^ . 1 2 2 i d В == (а — a) cos? 5-00 + (a + aj) sin? —w,. Die Periode wird mit Hülfe der Gleichung (18) gefunden. 2) Wenn a+#,>R,>a—a,7R, wird eine Libration zwischen den Grenzen а + а, und R, entstehen. Die Hülfsgrösse w, hängt mit R fol- gendermaassen zusammen 1 | SCH mee 2 3 В = В, cos? 2-0, + (а + а,) sin? —w,. 3) Wenn А, 7а a > В, > а—а wird auch Тита оп auftreten, und zwar zwischen À, und a — a,. Dann setzt man 1 dach Раза 9 9 В--(а-- а) cos? و0‎ + R, sin T 80 а 4) Wenn a + a, >В, > Е, > a— a, ebenfalls Libration, entweder zwischen а + a, und В, oder zwischen А, und а — а). Dieselben Hülfs- grössen wie im Falle 2) und 3) kommen zur Anwendung. 5) Wenn a + a, > К == Б, > а — а, so wird dagegen Limitation auftreten, und zwar indem sich В mehr und mehr dem Werthe R, = В, nähert. Nehmen wir beispielweise an, dass В anfangs sich zwischen а + a, und g (= В, und В.) befindet, so setzen wir (25) = (a+ — R) (R— у, d. h. nach den Formeln p. 9 К— 9 4e" ЕЕ "m i TE bh “Рр Kn oe 6) Wenn a + a, = R, > a— a, > R, wird die Gleichung nur von dem Werth R = a +a erfüllt, und wenn R, > 4+ “© В, == а —а;, 0 wird nur der Werth В — а — а, gestattet sein. ; 7) Wenn №, > a + а, = В,>а--а,, oder a+ a, 12-0, >В, = a— a,» R,, 50 wird Limitation auftreten von ühnlicher Art wie іп 5). Mélanges mathém. et astron. Т. ҮП, p. 21. 30 DR. С. У. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME, [n. 871 8) Wenn endlich entweder В, = В, = a — а, oder В, = Н, = а + а, so wird auch Limitation auftreten. Im ersteren Fall z. B. wird 4 В (Ж) = (R—a a, (a2-a,— R) (R--a — a) (R -a aj) BR (R 4- o). Dann setzen wir (ж) = y (а--а,-В), also nach р. 9 Е--а--а, 1 Зың ЊУ а + а — Е а? 105 oder аа а) + а — a, а?а; Ве 1 6 ©; 1 + a w? > und ев ist also В еше rationale Funktion уоп ۰ In allen diesen Formeln bedeutet w eine mit £ stetig wachsende Grösse, die alle reelle Werthe zwischen — со und + со annimmt. Es verdient bemerkt zu werden, dass der unter 1) behandelte, Libra- tionsfall sich von den unter 2), 3) und 4) behandelten dadurch unterscheidet, dass in den drei letzteren Fällen auch in w eine Libration eintritt wie es die Formel (27) zeigt, was aber in 1) nicht der Fall ist. Es ist aus diesen Gründen, dass ich in der vorigen Abhandlung über dies Problem nur 2), 3) und 4) mit dem Namen Libration bezeichnete, weil dies aus geometrischem Gesichtspunkte geeigneter ist. Ein gewisser Übelstand bei der früheren Diskussion liegt darin, dass man für jede besondere Art von Kombinationen der Wurzeln verschiedene Substitutionen machen muss, und dabei auch verschiedene Hülfsgrüssen w,, — w, etc. nóthig hat. Es scheint mir desswegen nicht unnützlich zu bemerken, dass man, von einer etwas veründerten Betrachtungsweise ausgehend, alle diese Substitutionen durch eine einzige ersetzen kann. In der That brauchen wir nur eine Grösse и einzuführen so bestimmt, dass (ле) =(#—а—а) (24 a, — RF) (R— R) R— R) ... (29) und dann wird ۱ edi ۱ ав) = (В--а--а)(а--а,-- В)9Е(В--о).... (80) 72 Aus der letzten Gleichung ist unmittelbar ersichtlich, dass м mit % stets wachsen (resp. abnehmen) muss und überhaupt von demselben Charakter d Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 92. (хххш)| DIE AUF HYPERELLIPT. DIFFERENTIALGLEICHUNGEN FÜHREN. 31 ist wie früher w. Die Gleichung (29) giebt uns Д als eine elliptische Funk- tion von w. Sie erinnert, diese Zerlegung der ursprünglichen Gleichung für À, an eine von Dillner eingeführte Betrachtungsweise für die Um- kehrungen hyperelliptischer Integrale. (Vergleich: «Aperçu d'une nouvelle manière de représenter les inversions des intégrales hyperelliptiques» in den Memoiren der Bordeaux?) Akademie 1883). Wenigstens scheint es mir, als ob dies die einfachste Methode würe, die von ihm eingeführten Umkehrungen analytisch zu untersuchen. Um bei Berechnung des Ausdruckes für В durch и imaginäre Substitu- tionen und Module zu vermeiden, scheint es zweckmässig R mit Hülfe der von Weierstrass eingeführten Funktion p (w) auszudrücken. In der That wird es dann möglich R durch eine p-Funktion auszudrücken, deren Invari- | anten bei allen Combinationen der Wurzeln in (29) reell sind. Wir werden uns indessen mit dieser Reduktion hier nicht weiter beschäftigen. Ausser dem eben behandelten Probleme können natürlich viele andere angeführt werden, in denen die obigen Untersuchungen Anwendung finden. Solche Probleme sind z. B. die Einwirkung der Abplattung der Planeten auf die Bewegung ihrer Satelliten, die vom Saturnringe ausgeübten Stö- rungen der Saturnsatelliten u. s. w. sammt allen mechanischen Aufgaben, die auf elliptische Integrale dritter Ordnung führen, und die man im Allge- meinen mit grösserem Vortheil nach den hier auseinandergesetzten Princi- pien behandelt, als wie gewöhnlich durch Reduktion auf 8-Funktionen. 11. In den «Mathematischen Annalen» für das Jahr 1887 hat Prof. Staude in Dorpat einige sehr interessante Untersuchungen gemacht über Differentialgleichungen von der Form pe _ а (а) dz, ` BI n (25) da, Tapis УЕ, (2) E У Eu тұ х. [tmm [п (еде, 7 З Y Fa (23) Y Ер (д) j ау а, wo fı, 5, 2, und x, reelle Veränderliche sind, und die Funktionen g und F gewisse Bedingungen erfüllen. Er hat dabei die anfangs erwähnten Unter- suchungen von Weierstrass, für Differentialgleichungen von der obigen Form generalisirt, und gezeigt, dass unter gewissen Voraussetzungen x, und x, doppelt reell periodische Funktionen von & und 2, sind, zu welchen als 2) Mémoires de la Société des sciences physiques et naturelles de Bordeaux 2° série, tY, Mélanges mathém. et astron. Т. VII, p. 28. 32 DR. €. V. L. CHARLIER, ÜBER DIE LÖSUNG MECH. PROBLEME U. S. W. [Х. S. I specielle Fälle die hyperelliptischen Funktionen zweier Veränderlichen vom Geschlecht 2 gehören. Dies Resultat kann in analoger Weise mit der obigen Untersuchung generalisirt werden, also unter allgemeineren Voraussetzungen über die Wurzeln der Funktionen F. Ebenso wenn die Zahl der unabhängigen Ver- änderlichen 5, & etc. und der abhängigen Veränderlichen z,, 2 etc. grösser als 2 ist. Diese letzteren Fälle scheinen mit dem Problem der drei Körper in einem gewissen Zusammenhang zu stehen und verdienen aus diesem Grunde näher studirt zu werden. + Melanges mathem, et astron. Т. ҮП, р. 94. % 55, Ақ оак HUC = ji з REN 9 4 ا‎ à ата алама акан» ۳ BEN Е E Eeer ТҰ» EEN РРР دی‎ ҮЛ Xi دنه ات‎ ааа TIMOR Тж. (хххш) | 53 Entomologische Beiträge, von August Morawitz. (Lu le 1 Novembre 1888). І, Zwei neue centralasiatische Carabus-Arten, Die beiden folgenden Caraben sind von Herrn Haberhauer in den Bergen óstlich von Taschkent gesammelt worden, zugleich mit Carabus puer und C. Akinini, Arten, welche in den Gebirgen südlich vom Issikul zuerst aufgefunden sind. 1. Carabus (Cratocephalus) pupulus: Oblongus, niger, coleopteris cu- preis, dorso nonunquam viridulis, ore, antennarum articulis primis quatuor femoribusque rufo-brunneis, capite angustiore pronotoque cupreo-nitente distincte punctatis, hoc parvo postice rotundatim angustato, usque ad mar- ginem tenuiter callosum convexo, angulis posticis apice extremo angulatis minimis; coleopteris ellipticis convexis, humeris vix ullis, obsolete punctato- striatis, limitibus alternis distinctius tuberculatis. 9 15 mm. _6. Minor, gracilior, tarsorum anticorum articulis quatuor primis valde dilatatis, transversis, subtus spongiosis. 13'/ mm. Im Bau mit C. (Cratocephalus) infantulus zunächst übereinstimmend, Py es sind, wie bei diesem, die Augen stark gewülbt, das vierte Fühler- glied bars O . Ww» Kopf, Halsschild und Flügeldecken sind aber deutlich schmäler und وی‎ daher diese Art im Ganzen etwas schlanker als C. infantulus. | | Schwarz, auf der Oberfüche des Halsschildes mit Kupferschimmer, die Flügeldecken kupfrig, beim Weibchen auf der Scheibe mit grünlichem Schimmer, der Mund, die vier ersten Fühlerglieder und die Schenkel roth- braun. Die Oberfläche des Kopfes ist deutlich, etwas zerstreut punktirt, der ` Clypeus von der Stirn durch eine eingedrückte feine, in der Mitte gerade Linie abgesetzt und am Vorderrande etwas bogig ausgerandet. An dem Kinn sind die Seitenlappen vorn abgestutzt, der Kinnzahn ragt über, dieselben als flacher, vorn abgerundeter, über die Fläche des Kinns nach unten vor- tretender Zapfen vor. Melanges biologiques. Т. ХИ, р. 5. | 3 34 AUGUST MORAWITZ, [№ 8. 1 Das Halsschild erscheint im Vergleich zu den Flügeldecken sehr klein, ist kaum mehr als 17, mal so breit als lang, an den Seiten bogig gerundet und nach hinten ziemlich stark verschmälert; der Vorderrandwulst ist in der Mitte ganz undeutlich; von den kurzen, an der Spitze winkeligen Hin- terzipfeln nimmt jeder ein Zehntel des Hinterrandes ein. Die Oberfläche des Halsschildes ist überall ziemlich grob und deutlich, in der Mitte etwas spär- licher und feiner punktirt, der Eindruck vor den Hinterzipfeln ist flach und undeutlich. Die Flügeldecken sind etwas mehr als 17, mal länger als breit, nach vorn etwas verschmülert, an den Schultern in sehr flachem Bogen abge- rundet; die Punktstreifen werden von den Hóckerchen mehr oder weniger verdrüngt, die Hóckerchen der zweiten, vierten, sechsten, achten, zehnten und zwölften Reihe sind nahezu gleich ausgeprägt, fliessen der Länge nach stellenweise zusammen, sind im Ganzen ziemlich flach, treten aber, da sie dunkler, fast schwärzlich sind, deutlich hervor. ` 2. Carabus (Tribax) eous: Elongatus, convexiusculus, niger, supra laete cupreus nonunquam cum nitore viridulo, ore, antennarum articulis quatuor primis, tibiis tarsisque rufo-brunneis nigroque variis; elytris striis punctatis quindecim subregularibus, limitibus angustis aequalibus, 4°, 8°, 12°que ra- rius magis prominentibus. 9 18 mm. 5. Minor, gracilior, tarsorum anticorum articulis quatuor primis valde dilatatis, transversis, subtus spongiosis. 15 mm. Schwarz, die Oberseite róthlich kupfern, hin und wieder mit grün- , lichem Schimmer, der Mund mit den Tastern, die ersten vier Fühlerglieder, die Schienen und Füsse rothbraun; die Endglieder der Taster sind schwarz, die übrigen zum Theil schwärzlich, so auch die ersten Fühlerglieder, die Spitze der Schienen und der einzelnen Fussglieder. | Пег Kopf | ist verhältnissmässig klein, hinter den Augen mit sehr flacher Einschnürung, auf der Oberfläche grob und seicht eingeritzt. Der basale — Ausseneindruck der Mandibeln ist ziemlich scharf begrenzt; an den Kiefer- tastern ist das Endglied deutlich lànger als das vorhergehende. Die Fühler sind kurz, nach hinten bis zum Anfang des zweiten Viertels der Flügel- deckenlünge reichend, das erste Fühlerglied etwa so lang als das dritte, das vierte kurz, so lang als das zweite und beim Weibchen am овесна, heg Männchen aber am Endfünftel fein behaart. | Das Halsschild ist etwa 17, mal breiter als lang, vorn in flachem Bogen ausgerandet, mit abgerundeten Vorderecken und hier deutlich schmäler als am Hinterrande; an den Seiten ist das Halsschild gerundet, nach hinten zu — - kaum wahrnehmbar ausgeschweift. Von den kurzen Hinterzipfeln nimmt E Mélanges biologiques. T. XIII, p. 6. (хххш)] : ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. ` 35 jeder etwa ein Siebentel des Hinterrandes ein und ist nur halb so lang als an der Basis breit, an der nach unten etwas umgebogenen Spitze abgerun- det und geht in flachem Bogen in den geraden Hinterrand über. Die Ober- fläche ist deutlich gewölbt, wie der Kopf, von unregelmässigen groben Rissen durchzogen, die nach den Seiten zu dichter gedrängt sind, wo das Halsschild auch etwas abgeflacht ist, welche Abflachung nach hinten zu an Breite etwas zunimmt. Der deutliche Längseindruck vor dem Hinterrande ist im Grunde stärker vertieft, der hintere Quereindruck scharf ausgeprägt, der Vorderrandwulst ziemlich fein, doch deutlich ab- gesetzt. _ Die Flügeldecken sind leicht gewölbt, ‚mit ganz flach abgerundeten Schultern, vor der Spitze kaum ausgeschweift, beim Männchen etwa 14}, beim Weibchen etwa nur 1% mal breiter als lang und an den Seiten auch viel gerundeter als beim Männchen; sie sind bis an den Umbilicallimes ziem- lich regelmässig gestreift, diese fünfzehn Streifen sind im Grunde deutlich punktirt, die Zwischenräume erscheinen als schmale, gleichmässig gewölbte Streifen und ist der vierte, achte und zwölfte von den übrigen nicht ver- schieden und nur bei einem Männchen ein. wenig stärker vortretend; vor der Spitze lösen sich alle Streifen auf und gehen in eine unregelmässige Runzelung über. Beim Männchen sind die vier ersten Glieder der Vorderfüsse stark erweitert und mit schwammiger Sohle versehen, das zweite ist fast doppelt so breit als lang, das dritte um ein Drittel kürzer als dieses und kaum etwas schmäler, das vierte dagegen ganz klein und kurz, doch auch wenigstens doppelt so breit als lang. In der Wiener Entomologischen Zeitschrift hat neuerdings A. v. Semenow eine neue : centralasiatische, gleichfalls zur Abtheilung der tribacogenen Caraben gehórige Art beschrieben, welche aber noch mehr abzuweichen scheint von den flachen kaukasischen Tribax-Arten als die hier beschriebene. Mir ist zur Zeit die Beschreibung der von Semenow, auf seiner dies- jührigen Reise in Turkestan, entdeckten Art leider noch nicht zugekommen, und kann ich daher über etwaige nühere oder fernere Verwandtschaft zwischen dieser Art und dem Carabus eous vorläufig auch keine Angaben machen. Als Tribax-Gruppe betrachte ich diejenigen Caraben, a mit den von Fischer (Mem. d. Mose. V. 1817. p. 463.), als zu seiner Gattung Tribaæ gehörig, namhaft gemachten Arten über- einstimmen, welchen Namen Tribaæ, nur weil er nicht charakteristisch genug sei, Kolenati (Melet. ent. I. 1845. p. 25.) durch Platychrus ersetzen zu müssen glaubte, Als Plectes-Gruppe fasse ich dagegen diejenigen flachen kaukasischen Caraben zusammen, als deren Typus der von "Fischer (Entomogr. Ross. ІП. 1825—98. р. 230.) schliesslich allein als Plectes aufgefasste —7 Carabus ibericus angesehen werden kann. Tribax und Plectes sind zwei äusserst nahe ver- wandte Gruppen, die, was den Habitus anbetrifft, in einem ähnlichen Verhältniss zu einander stehen, wie die gleichfalls unter einander äusserst nahe verwandten Gruppen Damaster und Coptolabrus (cf. Mor. Adeph. 1886. p. 19.). Auch Reitter (Wien. E. 2, 1887. p. 186.) nimmt Mélanges biologiques. T. XIII, p. 7. » 86 AUGUST MORAWITZ, [х. 8.1 jetzt diese beiden Gruppen unter den flachen kaukasischen Caraben als berechtigt an, ersetzt aber den Namen Plectes durch den von ihm früher für eine umfangreichere Untergattung vor- geschlagenen Namen Neoplectes. Über diese Namenänderung! sagte übrigens Ganglbauer (Deutsche E. Z. 1886. Heft II. p. 305. Anm. 1): «Hr. Reitter (Wien. E. Z. 1885. p. 27.) hat unter der irrigen Voraussetzung, dass Pterostichus Drescher? den Typus der Fischer’schen Gattung Plectes bilde, für Plectes im bisherigen Sinne den Namen Neoplectes vorgeschlagen. Dieser Name ist somit überflüssig», und hätten daher die Bemerkungen, welche Reitter (Wien. E. 2. 1887. p. 104. 159.) gegen die Nichtannahme des Namens Neoplectes machen zu müssen glaubte, doch eher gegen seinen Freund Ganglbauer, der überdies selbst die erste Veranlassung zur Namenänderung gegeben, gerichtet werden müssen und nicht, mit Verheim- lichung von Ganglbauer's Ausspruch, allein gegen mich, um so mehr, als ich mich, wenn auch nahezu gleichzeitig, über diese Namenänderung lange nicht so absprechend geäussert, wie es von Ganglbauer geschehen. Vorläufig kann man die Gruppen Plectes (Neoplectes) und Tribaz (Platychrus), da sie einmal in Vorschlag gebracht waren, als solche bestehen lassen, indem so durch Nennung der Gruppe, zu welcher eine etwaige neue oder wenig bekannte Art gehört, immerhin sogleich ein genauerer Begriff gegeben wird über habituelle Eigenthümlich- keiten dieser Formen und eingeschränktere Verwandtschaft. Mélanges biologiques. T. XIII, p. 8. (хххш)| _ ENTOMOLOGISOHE BEITRÄGE. 87 Il, Zur Synonymie einiger ۸ In der Deutschen Entomologischen Zeitschrift (1886. p. 379. Anm. 1.) druckt Ganglbauer die von Fabricius (Syst. El. I. 1801. p. 171. 16.) gegebene Beschreibung des Carabus lusitanicus wieder ab mit dem Zusatz: «Diese Beschreibung passt absolut nicht auf C. antiquus Dej. und es ist somit das іп der Fabricius’schen Sammlung befindliche Exemplar des C. lusi- tanicus, nach welchem Schaum denselben auf C. antiquus bezog, nicht als Type zu betrachten». Wenn dagegen von anderer Seite für die Deutung der beschriebenen Arten gleichfalls die Beschreibungen als maassgebend angese- hen worden sind, so spricht Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887. Nr. 1.) so- gleich mit apodictischer Gewissheit über «zahlreiche unrichtige synonymische Angaben», einzig und allein nach oberflächlicher Ansicht angeblicher Typen, auch wenn die Beschreibungen «absolut nicht» auf dieselben passen und ohne auf diese Beschreibungen auch nur im Geringsten einzugehen ; ja, ohne sich selbst auch nur etwas Zeit zur Überlegung zu gónnen und es für nóthig zu erachten, seine kategorischen Bemerkungen anders zu begründen als durch den Wunsch zu «korrigiren». Es ist ja auch kaum statthaft, dass in neuerer Zeit noch Jemand über Caraben Untersuchungen anstelle ausser Gangl- bauer allein, der sich zu wiederholten Malen urbi et orbi als Monograph angekündigt und als solcher von dem austro-germanischen Entomologenring . auch gleich für unfehlbar anerkannt ist. Wer kann denn auch besser ur- theilen als der Monograph, dessen für 1886 angekündigte Arbeit indessen immer noch — angekündigt bleibt. Doch ich will auf diese jedenfalls sehr sonderbaren Ankündigungen nicht nüher eingehen. Hier handelt es sich ja auch zunächst um den Carabus lusitanicus, mit welchem Schaum den Dejean'schen С. antiquus identificirt. * Hinsichtlich derjenigen Form, welche Schaum (Berl. E. Z. 1860. p. 81. 4.) als С. lusitanicus in der Fabricius'schen Sammlung fand, ist Schaum’s Hinweis indessen doch wohl von Wichtigkeit, dass "rq (Faun. Ins. Eur. Г. 1812. t. 7.) diesen О. lusitanicus recht kenntlich abge- bildet. Schaum stellt natürlich, wie es Jeder thun — der vem er Abbildungen aus alter Zeit vergleicht, an dieselben n "e T Y derungen und meint unter «recht kenntlich» doch nur, Geet der: du ۱ einigermaassen wiedergegeben ist. Ein Vergleich dieser Abbildung, welche Ganglbauer auffallenderweise ganz unbekannt geblieben ist, mit der von Mélanges biologiques. T. XIII, p. 9. 38 AUGUST MORAWITZ, [5.8.1 - Dejean (Iconogr. I. 1829.t. 47. f. 1.) mitgetheilten, zeigt klar genug, dass Schaum, der den Dejean'schen C. antiquus ohne Zweifel nie gesehen, einzig und allein aus dem Grunde, weil Dejean ein recht schlankes Exemplar des С. lusitanicus abgebildet, wie solche aus der Umgegend von Lissabon Schaum nicht gekannt, der irrigen Meinung war, dass Dejean die dort vorherrschenden kürzeren und breiteren Exemplare des C. lusitanicus als C. antiquus bezeichnete, und hat diese auch Ganglbauer selbst, eben so wie es Schaum gethan, irrigerweise für den wahren C. antiquus Dej. er- klärt und als var. antiquus aufgeführt. Dejean waren diese gewöhnlicheren breiteren Exemplare des C. lusitanicus aus dem mittleren Portugal aber schwerlich unbekannt, da Dejean (Spec. П. 1826. p. 91. 43.) keineswegs völlig davon überzeugt, dass es auch wirklich die Fabricius'sche Art sei, von seinem Carabus lusitanicus angibt: «mais c’est le méme que celui rap- porté du Portugal par M. le comte de Hoffmannsegg, et qui est regardé comme le véritable C. lusitanicus dans la collection du Muséum royal de Berlin et par presque tous les entomologistes». (ег den von Fabricius zuerst bekannt gemachten Carabus lusitanicus, welchen Ganglbauer auch nicht einmal zu deuten versucht, kann darnach gar kein Zweifel obwalten, und sind C. lusitanicus Fabr. und C. lusitanicus Пе). ein und dieselbe Art, und sind dieselben überdies, da sie nur Unterschiede im Habitus darbieten, auch nicht einmal als verschiedene Rassen anzusehen. Das von Fabricius beschriebene Exemplar gehört indessen zu einer schwarzen Farbenabände- rung, wie solche sog. Nigrinos übrigens bei fast allen metallischen Carabus- Arten vorkommen und wie auch unser Museum ein schwürzliches Stück von . der nordportugiesischen Form besitzt. Ganglbauer führt diese nordportugiesische Form, welche bis zum Jahre | 1860 ganz unbekannt war, als C. lusitanicus var. Schaumi Gaubil auf. Gaubil (Cat. d. Col. 1849. р. 17. 53°.) hat aber, in der irrigen Meinung, dass C. antiquus Пеј. der echte C. lusitanicus Fabr. sei, für die von De- . jean unter letzterem Namen beschriebene Art nur einen neuen Namen in Vorschlag gebracht, weleher neue Name übrigens schon von A. Deyrolle (Ann. S. E. Fr. 1852. p. 245. 11.) zurückgewiesen worden ist. Die er- wähnte nordportugiesische Form des C. lusitanicus, welche Gaubil damals eben so unbekannt war wie allen andern Entomologen, ist von Paulino d Oliviera erst viel später in der Serra 4’ Estrella aufgefunden und zwar wahr- scheinlich erst kurz vor dem Jahre 1860. Schaum (Berl.E.Z.1860.p.81.4) — hielt diese Form irrigerweise für den Dejean’schen C. lusitanicus und scheint Exemplare dieser Form gleichfalls erst von Paulino erhalten zu haben, und wollte es ihm daher vielleicht auch überlassen, diese von C. lusitanicus Fabr. seiner Meinung nach specifisch verschiedene Form zu benennen. Erst zwei | 2% Mélanges biologiques. T, XIII, p. 10. (хххш) | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 39 Jahre später gab Schaum (Cat. Col. Eur. ed. II. 1862. p. 3.) den Namen Hellwigi, und wurde unter diesem Namen die nordportugiesische Form in grosser Anzahl verbreitet, so dass sie jetzt in den Sammlungen am zahl- reichsten vertreten ist, und hat sie auch Thomson (Opuse. ent. ҮП. 1875. р. 648. 2.) als C. (Hadrocarabus) Hellwigi kurz charakterisirt. Zu dieser nordportugiesischen Form, welche Schaufuss übrigens als C. lusitanicus bezeichnet, wie unserem Museum gesandte Exemplare es darthun, gehört als Sculpturaberration C. descensus Schauf. (Nung. Otios. I. 1871. p. 195.), welchen Schaufuss (1. c. П. 1876. p. 367.) selbst bereits zu seinem C. lusitanicus zieht, und unterschied Schaufuss (1. c. Ш. 1882. p. 557.) spä- ter noch eine andere Sculpturaberration als C. mediotuberculatus var. ۰ Diese nordportugiesische Form ist also mit vollem Recht als «ZZellwigi» be- zeichnet worden und lässt sich für den von Ganglbauer hervorgesuchten Namen «Schaum» absolut nichts geltend machen als Ganglbauer's Wunsch, einen eingebürgerten Namen durch einen mit vollem Recht unbeachtet ge- bliebenen zu ersetzen, der, selbst wenn er gebraucht werden kónnte, jeden- . falls nicht zur Bezeichnung der nordportugiesischen Form gebraucht wer- den darf. Eine dritte südportugiesische Form ist von Paulino d' Oliveira als C. antiquus Dej. bezeichnet worden und führt Paulino, der diese drei portugiesischen Formen als zu Einer Art gehórig ansehen zu müssen glaubt, diese unter dem Namen C. antiquus auf, weil er der Ansicht war, das C. lusi- tanicus Fabr. auf keine dieser drei Formen zu beziehen sei. Abgesehen ` davon sind aber Paulino's Angaben im Übrigen sehr zutreffend, denn Pau- lino unterscheidet auch drei Formen: eine nordportugiesische von der Serra . d' Estrella und S. do Gerez, welche Paulino indessen gleichfalls irriger- weise als C. antiquus var. lusitanicus Dej. bezeichnet, eine mittelportugie- sische von Leiria und Azambuja, zu welcher das als C. antiquus var. Viei- rae unterschiedene, gleichfalls in der Хаһе von Leiria gefundene Exemplar als Aberration hinzuzuziehen sein dürfte, und endlich eine südportugiesische von Beja und Faro, welche Form Paulino wohl mit Recht als C. antiquus Dej. bezeichnet. Paulino d' Oliveira (Mél. entom. 1876. p. 19. Anm.) hebt es aber ausdrücklich hervor, dass die Exemplare aus dem Süden (Beja et Faro) und aus dem Norden (Serra d' Estrella et Gerez) so sehr von ein- ander abweichen, dass es nahe liege, sie als zu zwei mue Arien gehörig anzusehen, «mais nous possedons des plai itési médiaires (Azambuja et Leiria), qui par leur forme aussi bien ше par leur position géographique établissent la transition parmi les premiers», und ge- hóren diese, den Übergang zwischen den nord- und südportugiesischen For- men angeblich vermittelnden Exemplare zu C. lusitanicus Fabr., Dej., Mélanges biologiques. T. ХШ, p. 11. 40 AUGUST MORAWITZ, [N. 81 Schaum (= antiquus Ganglb. nee Dej.). Speciell von С. antiquus sagt Paulino: «Vers le sud du Portugal la forme de ces carabes devient gradu- ellement plus trappue, le corselet s'élargit et les bords de celui-ci se rabaissent en méme temps que les élytres deviennent plus courts, plus larges surtout antérieurement et moins сопуехев». Zu C. antiquus kann die von Ganglbauer (Deutsch. E. Z. 1886. p. 379.) dafür angesehene Form веһоп deshalb nicht gehóren, weil sie durch «hinten sehr breit aufgebogene Seiten des Halsschildes» von der nordportugiesischen Form abweicht, welche letztere nach Ganglbauer (l. c. p. 380.) «hinten weniger breit abgesetzte und weniger aufgebogene Seiten des Halsschildes hat». Denn C. anti- quus verhält sich in dieser Hinsicht zu C. lusitanicus nach Dejean (Spec. IL. 1826. p. 91. 44.) gerade umgekehrt: «les bords latéraux sont moins re- levés», was auch in der nach Ganglbauer «eminenten» Dejean'schen Ab- | bildung deutlich zu sehen ist und was auch durchaus übereinstimmt mit Paulino’s Angaben über die südportugiesische Form. Über die Sculptur der Flügeldecken der mittel- und südportugiesischen Formen macht Paulino Angaben, welche jedenfalls auch Beachtung ver- dienen: «Dans les exemplaires de Leiria les lignes des élytres ne sont pas encore interrompues, tandis qu'elles le sont déjà dans les carabes d'Azam- Рија. et dans la plupart des individus plus méridionaux. Dans les premiers les points des élytres ne terminent pas en pointe, ce qu'on voit déjà dans les exemplaires d'Azambuja et elle devient ordinairement plus saillante dans les exemplaires du sud». Paulino hebt es schliesslich noch besonders her- vor, dass er Фе Fundorte Azambuja und Leiria nur deshalb bei seinem С. antiquus verzeichnet, weil die von den genannten Orten stammenden Ехеш- plare in der Gestalt mehr mit den südportugiesischen übereinstimmen, «car par la forme, que nous eroyons le principal caractère pour séparer la variété lusitanicus Dej., ils sont plus rapprochés de l'antiquus Dej.», und scheint darnach Paulino schlanke Exemplare aus dem mittleren Portugal, wie _ Dejean еіп solchesabgebildet, auch nicht gekannt zu haben. Diese scheinen überhaupt selten zu sein und besitzt auch unser Museum nur ein solches ` Männchen des С. lusitanicus. Offenbar hat Ganglbauer (l. с. р. 380.) solche Exemplare aus der Umgegend von Lissabon, wegen ihrer schlanken Gestalt, vermengt mit der nordportugiesischen Form, welche auch nach Paulino’s Darstellung bei Lissabon unmöglich vorkommen kann, da fast in der Mitte zwischen Lissabon und der Serra 4’ Estrella, bei Leiria nämlich, die mittelportugiesische Form allein vorhanden ist. Die von Ganglbauer bei seiner var. antiquus, == С. lusitanicus Fabr., Dej., Schaum, erwähn- ten «durch dunkel kupferig grüne Fürbung» ausgezeichneten Stücke stammen auch vielleicht von der nordwestlich von Lissabon befindlichen Serra de Melanges biologiques, T. XII, p. 12. ai | (ххх) | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 41 Montachique und nicht von «dem südlichsten Gebirge Portugal», von der Serra de Monchique, wie es Ganglbauer wahrscheinlich in Folge einer Verwechselung der ähnlich lautenden Namen dieser Serren angibt. Denn bei der südportugiesischen Form sind die breit abgeflachten Seiten des Hals- schildes, wie es auch Paulino hervorhebt, nur sehr schwach aufgebogen, ungleich schwücher als selbst bei der nordportugiesischen Form. Dass die drei erwühnten portugiesischen. Formen in Wirklichkeit nur Varietäten ein und derselben Art seien, daran dürfte man eigentlich nach Paulino's Darstellung, dem ein sehr grosses Material dieser Formen vor- gelegen, nicht wohl zweifeln. Einstweilen halte ich aber dennoch die An- sicht, dass C. Hellwigi und die dünnfüssigen C. lusitanicus und C. antiquus nicht als drei verschiedene Arten anzusehen seien, für keineswegs erwiesen, da ja Paulino, vielleicht befangen von den von ihm wahrgenommenen Übergüngen in der Seulptur der Flügeldecken, auf andere Unterscheidungs- merkmale gar nicht geachtet. Das mir vorliegende Material ist leider nicht sehr gross und von C. antiquus ist in unserem Museum überhaupt nur ein Weibchen vorhanden, welches übrigens zu Dejean's Beschreibung und Abbil- dung seines C. antiquus im Ganzen recht gut passt. Nach Dejean und Pau- lino sind aber bei C. antiquus die Hóckerchen der Flügeldecken spitz, ühnlich wie bei C. scabriusculus, und fliessen sie auch bei unserem Exemplar nicht zu zusammenhängenden Leisten zusammen; nach Paulino ist letzteres bei einzelnen Exemplaren der südportugiesischen Form beobachtet worden, wie denn umgekehrt bei den Exemplaren der mittelportugiesischen Form von Azambuja, wie ich solche noch nicht gesehen, keine zusammenhängenden Leisten, sondern nur Hóckerchen zwischen den Kettenstreifen vorhanden sind. Da der C. antiquus wenig bekannt zu sein scheint, so gebe ich hier einzelne Angaben über das mir vorliegende Exemplar. Es ist auf der Ober- seite dunkel kupfrig bronzefarben und macht durch den verhältnissmässig schmalen Kopf, das breite, quere Halsschild und die kurzen, breiten und nur schwach gewölbten, und wie auch Dejean es hervorhebt, längs dem hohen Seitenrande überdies breit abgeflachten Flügeldecken einen von C. lusitani- cus ganz verschiedenen Eindruck. Das Halsschild erscheint im Verhältniss zu den breiten, nach vorn kaum verschmälerten Flügeldecken, trotz seiner transversalen Form, klein, ist fast doppelt so breit als längs der Mitte lang, . vorn nur flach ausgerandet mit verrundeten Vorderecken, die Seiten breit abgeflacht, indessen nur schwach aufgebogen. Aufden opaken Flügeldecken, . welche kaum etwas mehr als 1V, mal länger als zusammen breit sind und deren Schultern nach aussen über das Halsschild vorstehen, sind zwischen _ den Kettenstreifen drei Reihen längsgereihter, grober, rundlicher Höckerchen vorhanden und sind die Hóckerchen der mittleren Reihe etwas kleiner als Mélanges biologiques. T. ХШ, p. 13. ۰ 42 AUGUST MORAWITZ, [№ 8.1 diejenigen der seitlichen; zwischen diesen befinden sich längsgereihte feine Körnchen, doch sind diese stellenweise undeutlich, da der Grund dazwischen unregelmässig runzelig ist. Ähnlich gerunzelt und mit gereihten feinen Körnchen ist auch der Grund der Flügeldecken bei der mittelportugiesischen Form oder dem C. lusitanicus. Auch Dejean (Spec. II. 1826. p. 90.), was übersehen worden ist, gibt von seinem C. lusitanicus an: «on aperçoit, en outre, dans les intervalles de ces différentes lignes des petits points peu distincts, alternativement enfoncés et élevés», wührend die nordportugiesische Form oder C. Hellwigi sich unter Anderm durch grössere Glätte auszeichnet und auf den Flügeldecken für eine solche Runzelung auch gar keinen Platz hat, indem zwischen den nahe an einander befindlichen erhabenen Streifen ziemlich gleichartige, gróbere, längsgereihte Körner vorhanden sind, die der Länge nach häufig stellenweise zusammenfliessen, was so weit gehen kann, dass zwischen den Kettenstreifen sieben an einander gedrängte convexe Strei- fen zur Ausbildung kommen. Schon diese Sculpturdifferenz der Flügel- decken steht einer Identificirung des Dejean'schen С. lusitanicus mit der nordportugiesischen Form entgegen und wird von letzterer überhaupt wohl Niemand ein Exemplar gesehen haben, welches hinsichtlich der Form und Breite des Halsschildes und der Sculptur der Flügeldecken übereinstimme mit der offenbar sehr guten Abbildung, wie sie Dejean von seinem C. /usi- tanicus gegeben. Exemplare, welche mit irgend welchem Recht als Über- gangsexemplare zwischen den drei besprochenen portugiesischen Formen in Anspruch genommen werden kónnten, sind bis jetzt wenigstens noch nicht bekannt geworden und glaube ich auch, dass Paulino keine gehabt, wie ich schon oben erwähnt. Paulino's Angaben in dieser Hinsicht erscheinen um so zweifelhafter, als Paulino (Revista da Soc. deinstruce. do Porto П. 1882. p. 98. 21), bei sonstiger wórtlicher Wiederholung der von ihm früher in seinen Mélanges entomologiques gemachten Angaben, z. D. als Varietüten zu C. guadarramus, sowohl C. Stewarti und C. errans, als auch C. Неудет zieht, trotzdem dass diese vier Formen von einander sehr verschieden sind und ganz allgemein als eben so viele durchaus berechtigte Arten angesehen werden. Nach den Айка welche Chaudoir (Deutsch. Е. 7. 1877. р. 76.) über C. Gougeleti und С. antiquus macht: «qui a les tarses tout aussi gréles et aussi allongés et ne parait différer que par la sculpture moins en relief», ist es möglich, dass zu C. antiquus auch der mir unbekannte C. Gougeleti als Rasse oder Varietüt zu ziehen sein dürfte. Chaudoir, der das Benennen — von Varietäten im Allgemeinen nicht für statthaft fand, macht daher auch | gewöhnlich nur über das etwaige Zusammengehören verschiedener Formen zu Einer Art Angaben, ohne auf Rassenunterschiede oder Varietäten näher : Melanges biologiques. T. XI 14. 4 (хххш)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. ۱ 43 | einzugehen, was bei seinen Angaben stets im Auge behalten werden muss, und nur so darf es auch verstanden werden, wenn Chaudoir (1. с.) ausser- dem auch noch die Identität von C. Gougeleti und C. leptopus behauptet. Denn die Angaben, welche Reiche (Ann. 8. Е. Fr. 1863.p. 472.2. — 1864. р. 662.) über den С. Gougeleti macht, weichen so sehr von der Beschrei- bung ab, welche Thomson (Opusc. ent. VII. 1875. p. 648. 8.) von seinem C. leptopus gibt, dass ein so einfaches Verfahren, beide Formen für absolut identisch zu erklüren, wie es Ganglbauer und jetzt auch Kraatz für be- gründet halten, ganz und gar nicht gerechtfertigt erscheint, wie aus folgen- den, nach den Beschreibungen zusammengestellten Diagnosen ersichtlich sein dürfte: C. leptopus (Thomson): Niger, capite minore sublaevi, prothorace duplo angustiore, pronoto antice parum profunde emarginato, lateribus ante medium rotundatis, disco distincte punctato; coleopteris convexis lateribus rotunda- tis, inter catenas substriato-punctatis, interstitiis convexiusculis, antice in- tegris, aequalibus vel 2:0 et 6:0 magis elevatis, limbo — parce aspe- rato-punctato vix metallico. 20— 22 mm. 6 tarsis anticis articulo 2:0 elongato-triangulari, 4 0 SC transverso. Habitat apud Cordobam. Sehr verschieden erscheint nach Reiche’s Angaben der C. Gougeleti (Reiche): Obscure aeneus, capite ruguloso medio obsolete punetulato, pronoto capite dimidio latiore lateribus parum rotundatis et praesertim postice parum reflexis, antice sat profunde emarginato angulis anticis obtusis, disco ruguloso vix punctato; coleopteris parum convexis la- teribus subparallelis, paullo infra medium vix amplioribus, inter catenas aequaliter seriatim asperato-tuberculatis sine punctis impressis. 29 mm. ‚ Habitat in Hispania meridionali orientali, civitates Malacam et Cordu- bn versus. Zu C. leptopus gehören die von Ganglbauer (l. c. p. 377.) als var. Gougeleti aufgeführten Exemplare von Cordoba, und ist es leider nicht zu ersehen, ob Ganglbauer Exemplare von Grazalema bei Ronda, westlich von Malaga, auch wirklich gesehen, da er nur über Cordoba-Exemplare Angaben macht. Die angeblichen Übergangsexemplare zu Rassen des C. latus bleiben vorlüufig aber ganz zweifelhaft, da Ganglbauer die meisten der von Thomson angegebenen Merkmale überhaupt einer Beachtung nicht für werth gehalten. «Noch deutlicher aber vermitteln die Formen von Al- | сата? und Riopar den Übergang zu var. helluo und var. albarracinusv, was aber, da Ganglbauer (1. с. p. 378.) über diese Formen aus der Sierra de Alcaraz absolut gar nichts angibt, doch nur für Diejenigen genügend sein kann, die auf eigenes Urtheil vollständig Verzicht geleistet. Dieser Melanges I T. АНІ, p. 15. 44 : AUGUST MORAWITZ, (5. 8.1 absolut gar nicht charakterisirten, angeblich deutlichen Übergangsform gibt Kraatz (Deutsch. Е. Z. 1886. p. 384.) den Namen «alcaracinus», ohne über diese, von ihm benannte Form sonst etwas angeben zu kónnen, da er sie überhaupt noch gar nicht gesehen und nach seinem eigenen Ge- ständniss, sich über diese ihm meistens unbekannten, angeblichen Über- gangsformen auch kein Urtheil bilden und daher auch keine Vermuthungen anstellen kónne! Es ist selbstverstündlich sehr schwierig, zeitraubend und immer mehr oder weniger unsicher, nach Beschreibungen allein Angaben zu machen. Ganglbauer scheint ein kritisches Prüfen der Beschreibungen für ganz überflüssig anzusehen, wie es bei Erörterung von Dejean's C. lusitanicus und C. antiquus schon ersichtlich war, und so ist es denn auch erklárlich, wenn Ganglbauer die Beschreibung, welche ein so ausgezeichneter Be- obachter wie Thomson (Opusc. ent. VII. 1875. p. 650. 4.) von einer hier- her gehórigen Form gegeben, sogar ganz unbeachtet gelassen. Thomson's C. (Hadrocarabus) lusitanicus (nec Fabr.) == antiquus (nec Пеј.) kann weder auf C. lusitanicus, noch auch auf C. antiquus bezogen werden, und erweist sich den Angaben nach mit Ganglbauer's var. portalegrensis als durchaus identisch, wenigstens stimmt das Wenige, was Ganglbauer über letztere Form sagt, ganz zu Thomson’s Angaben. Diese Form ist aber wahr- scheinlich nicht verschieden von dem С. Gougeleti, wenigstens ist in den Angaben von Reiche nichts enthalten, was nicht auf diese Form bezogen werden kann, und desgleichen gehört nach Allem hierher auch der C. Luczoti Laporte (Ann. S. E. Fr. 1832. p. 393. 11. — Etud. ent. 1834. p. 88. ». — Hist. nat. d. Ins. I. 1840. p. 142. 7. t. 9. f.9.), welchen Kraatz (Berl. E. Z. 1860. p. 59. 4.) jedenfalls ganz ohne Grund mit C. antiquus für völ- lig identisch erklärt. Thomson hält diese Form aber für specifisch ver- schieden von С. leptopus und müssen die von ihm angegebenen Unterschiede jedenfalls erst eingehender geprüft werden. Mit solchen inhaltlich hohlen Phrasen, dass diese oder jene Form, über welche indessen absolut nichts angegeben wird, den Übergang bilde, ist nichts erreicht als allenfalls eine, | zunächst doch nur subjective, «Brücke» (cf. Deutsch. Е. Z. 1886. p. 384. Anm.) von einer allgemein als Art angesehenen Form zu einer andern. Dass übrigens die von Ganglbauer unter dem Namen Carabus latus zusammen- gefassten Formen nur Rassen ein und derselben Art seien, dies scheint aber auch Kraatz (Deutsch. E. Z. 1886. p. 384.), so blind er auch sonst für Ganglbauer eingenommen ist, denn doch zu viel zu sein, indem er unter Anderm äussert, dass ihm «die Einziehung einer Art, welche der ungemein scharfsichtige Thomson aufgestellt hat, stets besonders sorgfältig motivirt werden zu müssen scheint». In Ganglbauer’s Arbeit vermisst man aber ` Mélanges biologiques. T. XIII, p. 16. (xxx) | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 45 jegliche Motivirung, und ist dies um so mehr zu bedauern, als wohl kaum Jemandem so bald ein so «ausserordentlich reiches, prachtvolles Material, wie Ganglbauer das ihm zugekommene selbst bezeichnet, zur Verfügung stehen wird. Nach Ganglbauer's (1. с.р. 381.) «nomenclatorischem Stand- punkt» hätten die als zu Einer Art gehörig aufgeführten Formen wohl auch als Carabus antiquus zusammenfasst werden müssen, da der Name antiquus «vor latus Priorität» hat. Doch ist dies insofern gleichgiltig, als vorläufig, ausser Ganglbauer's unmotivirter Versicherung, absolut gar kein Grund vorliegt, diese Formen als zu Einer Art gehórig anzusehen. Wozu es führt, Exemplare, welche sich als sogenannte Typen in einer Sammlung vorfinden, ohne Kritik als unzweifelhafte Typen anzusehen, dafür _ liefert doch wohl der von Dejean beschriebene und abgebildete Carabus latus ein auffallendes Beispiel. Denn wer auch noch so flüchtig die von Dejean (Iconogr. І. 1829. t. 47. f. 3.) gegebene Abbildung des C. latus sich ansieht, dem muss der Gedanke ganz fern liegen, dass C. latus Пеј. und C. Gougeleti Reiche identisch sein könnten, wie es erst Reiche selbst, nach der männlichen und weiblichen Type, und später auch Chaudoir, nur nach einer männlichen Type der Dejean’schen Sammlung, dennoch be- hauptet haben. Kraatz (Deutsch. E. Z. 1876. p. 334.) bezweifelte frü- her die Angabe Reiche's, dass C. Gougeleti in der Nähe von Malaga ge- funden sei und auch die Identität der «Carabus, die eventuell bei Malaga gefunden wurden mit dem Cordoba-Käfer», sagt aber nichtsdestoweniger, Reiche's Beschreibung sei eine solche, dass darnach die Art nicht wohl zu erkennen ist. Nachdem Chaudoir aber C. Gougeleti und C. leptopus als zu Einer Art gehórig bezeichnet, behauptet Kraatz (Deutsch. E. Z. 1877. p. 77.2.), dass er dieses ein Jahr früher auch schon ausgesprochen, indessen -wies hier Kraatz nochmals auf die Unterschiede der Beschreibungen hin, «welche kaum erlauben, den grosskópfigen, bläulich schwarzen, violett ge- randeten C. latus mit leicht punktirtem Halsschilde auf C. Gougeleti zu be- ziehen», schliesst aber trotzdem seine jedenfalls nicht grundlosen Zweifel mit der Bemerkung, «indessen ist Chaudoir's Angabe wohl festzuhalten». So fest _ eingewurzelt ist der Typenglaube! In Dejean's Sammlung hat aber ganz un- zweifelhaft, noch bevor Chaudoir Besitzer derselben wurde, eine Verstellung der Exemplare stattgefunden: Ein Dejean'sches weibliches Exemplar des C. latus ist in Folge irgend welcher Unachtsamkeit als Dejean's С. helluo auf- gestellt worden, denn nur so erscheint die Angabe von R eiche (Ann. S. E. Fr. 1864. p. 662.) erklärlich, die Dejean'sche Type des С. helluo sei, «une femelle beaucoup plus grosse que toutes celles que j'ai vues». Die von De- jean gegebene Abbildung des C. latus stellt aller Wahrscheinlichkeit nach die- Mélanges biologiques. T. XIII, p. 17. 46 AUGUST MORAWITZ, (5. 8.1 ses уоп Reiche gesehene, angebliche Weibchen des С.йеЙио dar, während die Dejean’sche Abbildung des Weibchens von С. helluo den meisten Exemplaren gegenüber auf die von Reiche gebrauchte Bezeichnung «beaucoup plus grosse» absolut gar keinen Anspruch machen kann. Ganglbauer (1. с. р. 376.), welcher unter dem Dejean’schen Namen «helluo» fälschlicherweise eine südostspanische Form von Aguilas (am Mittelmeer, etwas südlich von Car- thagena) aufführt, ist überdies durchaus im Irrthum, wenn er behauptet, Dejean habe den Fundort seines ©. helluo nicht genauer angegeben. Anfangs war Dejean allerdings nur ein Weibchen des С. helluo zugekommen, von welchem Dejean den speciellen Fundort nicht kannte; später sah er aber noch andere Exemplare und theilt Dejean (Spec. ۷۰ 1831. 0. 533. 48.) selbst dieses auch mit: «M. Goudot a trouvé cet insecte (С. helluo) en Espagne, prés du Guadarama. Dans le mäle les stries des élytres et les trois ran- gées des points enfoncés sont un plus marqués que dans la femelle». Dass die bei Guadarrama vorkommende Form des C./atws Dej., welche die fran- zösischen Entomologen meistens als C. helluo bezeichnet, dieser Name auch mit Recht zukommt, dürfte darnach, schon weil Dejean selbst diese Gua- darrama-Form zu seinem С. helluo gezogen, einigermaassen gerechtfertigt erscheinen; de la Ferté (Ann. S. E. Fr. 1847. р. 449.) indessen, welcher mittheilt, dass in Dejean’s Sammlung, wie es übrigens auch aus Dejean’s Beschreibung evident ersichtlich ist, von С. brevis nur Weibchen vorhanden seien, glaubte die von Ghiliani gesammelten männlichen Guadarrama- Exemplare als Männchen zu C. brevis ziehen zu können, das eine de Bröme’sche Exemplar freilich mit Zweifel, weil es «aussi grand que les plus grandes femelleset entierement noir sans reflets métalliques», das zweite aber mit voller Sicherheit: «Si je conserve quelques doutes à l'égard du ` premier, je n'en conserve aucun à l'égard du second, que j'ai définitive- ment placé parmi les C. brevis de la collection Dejean». De la Ferté, der _ | damalige Besitzer der Dejean'schen Carabiciden-Sammlung, von welchem erst spüter Chaudoir die letztere erworben, hat demnach also den De- jean’schen Typen E lare hi ‚ ohne die von Dejean bestimmten und beschriebenen көшінен توص‎ zu haben, und ist es daher auch nicht überraschend, wenn Reiche (Ann. 8. E. Fr. 1864. р. 661.) als Typen der Dejean’ schen Sammlung bei С. brevis «2 et 9» anführt, obgleich: Dejean von C. brevis gar kein Männchen gekannt. De Та Ferté mag, da er über den Werth von Typen jedenfalls ganz im Unklaren gewesen zu sein scheint, überhaupt auf die Erhaltung der Dejean’schen Exemplare wenig Gewicht gelegt haben; wenigstens führt Chaudoir zu wiederholten Malen an, dass er nicht alle Exemplare erhalten, welche Dejean in seinem Werke ` beschreibt. Mélanges biologiques. Т. XIII, p. 18. _ (XXXII) | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 47 Was nun die bei Guadarrama gefundene Form anbetrifft, so befindet sich in unserem Museum ein, unter dem Namen Carabus guadarramus de Bréme von Ghiliani eingesandtes, schwarzes Männchen, wie ein solches de Та Ferté erwähnt, und scheint auch Gaubil (Cat. d. Col. 1849. p. 17. 52. — Deyr. Ann. S. E. Fr. 1852. p. 239.2.) unter solcher Bezeichnung ein ühn- liches gesehen zu haben. Ganglbauer hat aber diese Guadarrama-Form, welche Dejean zu seinem C. helluo glaubt ziehen zu müssen, mit Dejean's C. brevis vereinigt, obgleich letztere Form, abgesehen von dem Bronzeglanz und den grünlich metallischen Seiten von Kopf und Halsschild, auch durch die Sculptur der Flügeldecken constant abzuweichen scheint und auf den ersten Blick durch die kaum hervortretenden schmalen Kettenglieder sehr verschieden zu sein und auch nicht einmal mit der Guadarrama-Form an denselben Orten vorzukommen scheint. Das Münnchen des C. brevis zeich- net sich überdies dadurch aus, dass die Flügeldecken auffallend abgeflacht sind, ähnlich wie bei dem Männchen, welches Dejean als C. complanatus beschrieben. Nach der Abbildung, welche Dejean (Iconogr. I. 1829. t. 48. f. 1.) von einem Weibchen des C. brevis giebt, sind die Flügeldecken 1//, mal so lang als breit, in dieser Hinsicht also wirklich sehr wenig von den- jenigen des €. latus verschieden. Mit dem von Dejean (Iconogr. I. 1829. t. 48. f. 2.) nach dem einzigen, ihm anfünglich bekannten Weibchen abge- bildeten C. ћеЏио, welches laut Abbildung ein auffallend kleines Halsschild zeigt, muss aber die von Ganglbauer (l. с. p. 377.) als var. albarracinus unterschiedene Form verbunden werden, und hat unser Museum ein solches. hinsichtlich des Habitus und des «auffällig kleinen» Halsschildes zu Dejean's Abbildung des С. helluo recht gut passendes, im Übrigen aber mit den ge- wóhnlichen Guadarrama- Exemplaren übereinstimmendes Männchen von | Seoane als С. helluo erhalten, bei welchem auch der aufgebogene Seiten- rand des Halsschildes viel schmäler abgesetzt ist als bei den Exemplaren, wie sie bei Guadarrama sonst in grosser Anzahl gefunden worden sind. In diesen Unterschieden sehe ich aber nicht Rassenunterschiede, sondern indi- viduelle, wie es ja auch bei vielen andern Carabus-Arten vorkommt, dass einzelne Exemplare derselben Form durch verhältnissmässig grosses, andere umgekehrt durch auffüllig kleines Halsschild sehr von einander abweichen, ohne deshalb als verschiedene Rasse in Anspruch genommen werden zu dürfen. Man kann übrigens auch sagen, die bei Guadarrama. von Goudot gesammelten, von Dejean nachträglich gesel Exemplare, welche De- jean zu seinem C. helluo gezogen und wie solche auch die franzósischen Entomologen vorherrschend als С. helluo bezeichnen, Ganglbauer aber | ohne hinreichenden Grund mit C. brevis verbunden, seien Übergangs- eeu exemplare zwischen C. latus und С. helluo Пеј. (= var. albarracinus ` Melanges biologiques. T. XIII, p. 19. 48 AUGUST MORAWITZ, (8. 8.1 Ganglb.) Es ist ja auch nicht gut anders möglich, als dass zwischen Varie- täten, welche wirklich zu Einer Art gehören, Zwischenglieder vorhanden sein müssen, welche wegen des ganzen Habitus det Еше eni ist, der einen bereits bekannt gemachten Form zuzuzählen, während ein Andrer für solche Exemplare eine besonders zu unterscheidende Varietät annehmen zu müssen glaubt, indem er Gewicht legt auf Sculptur, die Conformation des Hals- schildes u. s. w. Erwähnen muss ich übrigens, dass Kraatz (Deutsch. E. 2. 1886. p. 384.) Ganglbauer’s var. albarracinus nach den gemachten Angaben als Varietät zu С. leptopus (Gougeleti Kraatz) zieht wegen des «kleineren» Kopfes, aber das «auffällig» kleine Halsschild unbeachtet lässt, trotzdem dass er die Grösse desselben bei С. leptopus (Gougeleti Kraatz) , als specifisches Merkmal zum Unterschiede von C. latus ein paar Zeilen vorher besonders hervorhebt! Doch auch Dejean (Spec. II. 1826. p. 95.) sagt von seinem C. helluo «la tete est un peu plus petite que celle des especes précédentes», und kann daher die Identität von С. helluo mit Gangl- bauer's var. albarracinus wohl als völlig sicher hingestellt werden. Mit Dejean's С. brevis hat Ganglbauer auch die Weibchen zweier anderer Formen vermengt, deren Männchen er als С. latus var. complanatus aufführt, doch sind seine Angaben über diese Formen so nichtssagend, dass ` esnieht einmal sicher scheint, ob er eine dem Dejean'schen C. complanatus entsprechende Form auch wirklich vor sich gehabt. Auf letztere beziehe ich, nach dem mir vorliegenden Material, die von Seidlitz (Berl. E. Z. 1867. р. 169.) bei Escorial gesammelten Exemplare, von welchen Seidlitz auch unserem Museum zwei Weibchen und ein Männchen mitgetheilt. Das letz- tere passt auf Dejean's Abbildung und Beschreibung des C. complanatus recht gut, hat auch ziemlich gestreckte, abgeflachte Flügeldecken, welche etwas mehr als 1'/ mal so lang wie breit sind, während die Weibchen, welche Dejean unbekannt waren, durch kurze und stark gewólbte Flügeldecken ` ausgezeichnet sind, die etwa nur 17, mal länger als breit sind. Das Hals- schild ist bei dieser Form ziemlich gestreckt, der Vorderrand in der Mitte tief ausgerandet, und auch die Vorderecken sind weniger verrundet under- | scheinen beinahe winkelig. Bei den Weibchen sind die Flügeldecken mit groben Punktstreifen versehen und ziemlich regelmässigen, nur wenig unter- brochenen Zwischenräumen, welche beim Männchen flacher und fast der ganzen Länge nach in längliche, zum Theil der Ouere nach zusammen- fliessende, Höcker aufgelöst sind, und sind auch die Punktstreifen nur stellen- weise und auch das nur undeutlich wahrnehmbar. Die Kettenglieder sind ziemlich schmal, der Rand der Flügeldecken grob runzelig gekórnt. Die | , Färbung ist schwarz, mit blauen, stellenweise in's Violette spielenden Rän- — dern, und macht auch de la Brülerie ңды 8. Е. Fr. 1866. р. 536.) die Melanges biologiques. Т. ХІП, р. 90. (XXXIII) | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 49 Bemerkung «que les individus де Escorial sont tous d'un noir plus ou moins bleuätre», während bei Navacerrada die Exemplare «presque toujours d'un bronzé doré trés brillant et entourré de vert» seien. Diese bronzeglünzende Form hat auch Seidlitz (Berl. E. Z. 1867. p. 171.) ш der Schlucht, die von dem Passe von Navacerrada nach La Granja (S. Ildefonso) zu steil ab- fällt, gesammelt, wie solche Exemplare vor Jahren auch Staudinger in grosser Anzahl von dort mitgebracht, und hat Schaufuss (Sitzungsb. d. G. Isis. 1862. p. 190. — Nunq. Otios. II. 1874. p.319.) diese «nach Dejean's Beschreibungen» für C.latus Реј. 9. == brevis Пеј. 6. = complanatus Dei (6 minor) == var. helluo Пеј. erklärt und unter diesen Namen auch unse- rem Museum mitgetheilt. Später trennt übrigens Schaufuss (Nunq. Otios. III. p. 557.) diese «wieder nach Dejean» als verschiedene Arten unter den Dejean'schen Namen, undscheint Schaufuss damals kéine der von Dejean beschriebenen Formen vor sich gehabt zu haben, wie denn umgekehrt De- jean diese Ildefonso-Form überhaupt gar nicht gekannt. Diese ist sehr ver- schieden von der als complanatus zu bezeichnenden Form, mit welcher sie Ganglbauer ganz ohne Grund zusammengepflanzt, und kann sie als var. complantus unterschieden werden. Abgesehen von der verschiedenen Fär- bung unterscheidet sich diese Form dadurch, dass sie im Allgemeinen ge- drungener ist, namentlich sind auch die Beine und Fühler weniger schlank und der Kopf breiter und dicker. Das Halsschild ist kürzer und stärker gewölbt, am Vorderrande in flacherem Bogen ausgerandet, mit stumpferen, breiteren Vorderecken und — gerundeien Seiten. Die Flügeldecken sind bei beiden Geschlecht ässig gewölbt, wenn auch beim Männchen weniger stark als beim Weibchen; an der Spitze stumpfer, und mit breiteren . Kettenstreifen versehen, übrigens in der Sculptur ausserordentlich variabel. Das letzte Rückensegment des Männchens ist am Endrande feiner punktirt und ist auch der Forceps ein wenig schlanker als bei dem einzigen mir vor- liegenden Münnchen der — Form von Escorial, und erscheinen beide Formen überhaupt sehr hieden von einander und auch von C. latus, wenigstens nach dem mir vortispelided Material. Manche der von Ganglbauer als Rassen des C. latus angesehenen For- men, wenn es auch nur sehr wenige sind, kenne ich nicht, und ist es über- haupt sehr schwierig, nach seinen Angaben die betreffenden Formen heraus- zufinden, namentlich wenn die Sammlungsexemplare nicht mit genauer ` Fundortsangabe versehen sind, wie es ja leider meistens der Fall ist. Es ist dies um so schwieriger, als Ganglbauer überdies die einzelnen Formen, abgesehen von den meistens unrichtigen Namen, unter welchen er sie aufführt , auch nicht einmal richtig zusammengefasst und ausserdem so manche Unter- schiede, welche zwischen den betreffenden Formen angegeben worden sind, Mélanges biologiques. Т, ХІП, p. 91. 4 " Maoa Dat Garden 50 AUGUST MORAWITZ, [N. 8.1 weil ja diese Formen seiner Meinung nach doch alle zu Einer Art gehören, brevi manu unerörtert gelassen. Gewissermaassen in Vorahnung, dass es einmal geschehen könne, dass Jemand, ohne kritische Erläuterung der angegebenen Merkmale und ohne den Nachweis zu liefern, dass letztere nicht von speci- fischer Bedeutung seien, allgemein als verschieden angesehene Arten zu- sammenziehen könne, eitirt Kraatz (Berl. Е. Z. 1860. p. 55.) Illiger's Worte: «Der für seine Lieblingswissenschaft so besorgte Creutzer fürchtet, dass bei der Zusammenfassung aller oft so augenscheinlich abweichenden Abarten manche Beobachtung verloren gehen werde, weil man eine Abart nicht der Aufmerksamkeit werth zu halten pflege, welche man ihr wid- ` men würde, wenn man sie als verschiedene Art ansähe. Sollte man diese Gleichgiltigkeit gegen Abarten wohl von einem Andern, als von einem An- fänger oder einem Dilettanten erwarten dürfen, u.s. w.». Durch möglichstes Unbeachtetlassen der anderweitig gemachten Angaben glaubt Ganglbauer sehr selbstständig dazustehen, was indessen bei einem praesumptiven, wenn auch nur palaearctischen Monographen schwer verständlich ist, und keines- wegs zu seiner eigenen Erkenntniss beiträgt und auch nicht zur Kenntniss der Arten, über welche er Aufklärungen zu geben wünscht. Beiden Hadro- carabus-Arten finden daher auch weder Deyrolle’s, de la Brülerie’s, Heyden’s ete. Mittheilungen über das Vorkommen, und, wie bei С. helluo erwähnt, auch nicht einmal Dejean’s Angaben Berücksichtigung, ja, bei dem durch seinen Fundort so interessanten С. trabuccarius wird nicht ein- mal angeführt, dass Dieck (Deutsch. E. Z. 1870. p. 148. Anm. 1.) ein angeblich dazu gehöriges Exemplar auf dem Montserrat gefunden und be- Sprochen, und ein noch besser mit С. trabuccarius übereinstimmendes aus dem südlichen Aragon erwähnt. Und doch sind dies die ersten Mittheilungen über das Vorkommen von Hadrocarabus-Formen in den genannten Gegenden, - die überdies in derselben entomologischen Zeitschrift gemacht worden sind, in welcher auch Ganglbauer’s Arbeit erschienen ist! Das Vorkommen des C. trabuccarius an der Grenze von Spanien und Frankreich, bei dem Col de Perthus, welches Fauvel bezweifelte, konnte schon damals als nicht so unwahrscheinlich erscheinen, wie es Fauvel (Faun. gallo-rhenan. I. 1882. р. 42. Anm.) hinstellt, wenn ihm nur, was bei einem Franzosen zu ent- schuldigen ist, die von Dieck in deutscher Sprache gemachten Angaben nicht entgangen wären. Den С. trabuccarius, nur weil ud er «die Type von trabuccarius | nicht zugänglich» war, ohne Weiteres als Rasse zu C. latus zu ziehen, ist jedenfalls aueh sehr eigenthümlich, so wenig befriedigend die Beschreibung - und Abbildung, welche Fairmaire (Ann. S. E. Fr. 1857. p. 727. з. t. 14. I. f. 2.) von dieser Form nach einem Weibchen gegeben, auch sein mógen. Melanges biologiques. T. XIII, р. 99. (хххш)| ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 51 Es darf doch jedenfalls nicht unbeachtet gelassen werden, dass es Fair- maire nicht unbekannt geblieben sein konnte, dass die ähnlichen Dejean’- schen Formen von Kraatz und Reiche als zu Einer Art gehörig ange- sprochen waren, und wenn Fairmaire trotzdem eine Form als neue Art aufgestellt, so muss doch dazu immerhin einiger Grund gewesen sein. Meiner Ansicht nach ist С. trabuccarius eine Form, wie sie sich auch in Aragonien findet und gehören zu dieser Form, als Abänderung, die von Ganglbauer als С. latus var. aragonicus aufgeführten Exemplare, Diese Form ist bis auf Weiteres nicht als Varietät von С. latus anzusehen, wenn man nicht alle Unterscheidungsmerkmale, welchen allgemein specifische Bedeutung beige- legt wird, a priori als unwesentlich einer Beachtung nicht für werth erachtet, wie es Ganglbauer thut. Hätte Ganglbauer die von Thomson für die Artunterscheidung der oft überaus ähnlichen Carabus-Arten als höchst wich- tig hingestellte Untersuchung des Forceps nicht vollständig ignorirt, so hätte er, ausser andern Unterschieden, jedenfalls auch finden müssen, dass bei seiner als var. aragonicus bezeichneten Form der Forceps viel breiter ist als bei C. latus. In ähnlicher Weise dem C. latus gegenüber durch Breite aus- gezeichnet ist der Forceps bei einer Form, welche Schaufuss bei Chiva in der Nühe von Valencia gesammelt und vor wenigen Jahren als den wahren Dejean'schen C. helluo unserem Museum gesandt, welche Form ich für identisch halte mit Ganglbauer’s C. latus var. catalonicus, aber bis auf Weiteres gleichfalls für selbstständige Art ansehe. C. castilianus, dessen «zuverlässige Deutung» nach Ganglbauer (l. с. р. 381.) «vom nomenclatorischen Standpunkte von Wichtigkeit» wäre, «da der Name castilianus vor latus Priorität hätte, kenne ich nicht. Dejean (Spec. II. 1826. р. 87. 41. — Теопорт. 1. 1829. t. 46. f. 3.) kannte nur ein Männchen und hat Kraatz (Berl. E. Z. 1860. p. 60. 5.) dasselbe Exem- plar untersuchen können, welches nach ihm «möglicherweise nichts als ein flaches, männliches Stück des С. Hellwigi (C. lusitanicus Dej. sec. Kraatz) sein» könnte. Nach Gautier (Ann. S. E. Fr. 1865. p. XXXIV. 2.) wäre aber C. castilianus identisch mit C. complanatus Dej., und gibt Gautier hier folgende Synonymie: C. castilianus — latus — complanatus — brevis | == helluo, wobei er schliesslich aber den С. latus, worunter auch Gautier wahrscheinlich den С. Gougeleti meint, doch möglicherweise als berechtigte Art hinstellt, «comme le pense M. Reiche.» Gautier hat diese Angaben aber offenbar nicht nach den Dejean’schen Typen gemacht und seine Be- hauptung, dass С. castilianus nach einem Exemplar, «rapporté d'Espagne par М. Chevrolat», dieselbe Form sei, wie С. complanatus, weist darauf hin, dass er das Männchen des C. brevis, welches von Paris aus mehrfach als C. complanatus versandt worden ist, irrigerweise für C. castilianus an- Mélanges biologiques. Т, XIII, p. 23. 4% 59 AUGUST MORAWITZ, [N. 8. 1 gesehen. Ich halte die Móglichkeit nicht für ausgeschlossen, dass C. castili- anus als Männchen zu derjenigen Form gehórt, welche de la Ferté (Ann. S. E. Fr. 1847. p. 450.) nach einem gleichfalls einzelnen und zwar weib- lichen Exemplar als C. Egesippii beschrieben. Denn nach de la Ferté ist der C. Egesippii auch «thorace et elytrorum margine virescente», wie nach Dejean der C. castilianus, und sind in den Beschreibungen von Dejean und dela Ferté auch keine als wesentlich anzusehende Unterschiede vor- handen, nur dass das de la Ferté'sche Exemplar, eben weil es ein weibli- ches Exemplar war, einen dickeren Kopf hatte. Ganglbauer (l. c. p. 381.) beachtet auch hier de la Ferté's Beschreibung absolut gar nicht, sondern sagt, dass C. Egesippii «die Sculptur und Färbung des C. cantabricus habe», citirt auch Kraatz, obgleich Kraatz (Berl. E. Z. 1860. p. 59. 3.) die von ihm als C. Egesippii angesehenen Exemplare für nicht verschieden von C. cantabricus erklärt. welche nur hinsichtlich der Sculptur der Flügeldecken, auf welchen die Zwischenräume nicht gleichartig hoch, sondern alternirend niedriger seien, von den gewöhnlichen Exemplaren des C. cantabricus ab- weichen. A. Deyrolle (Ann. 8. E. Fr. 1852. p. 243. 9. t. VI. f. 2.) gab eine Beschreibung der von ihm für C. Egesippii angesehenen Form, welche aber nach der Abbildung ein viel längeres Halsschild aufweist als es bei 6 Egesippii sein kann, welches von de la Ferté als «transversal» bezeich- net wird, und transversal erscheint es auch in der Abbildung, welche De- jean von seinem C. castilianus gegeben. Jacquelin du Val (Gen. d. Col. d'Europ. L 1857. t. 3. £. 12.) gibt dagegen eine Abbildung, die mit der Deyrolle’schen übereinstimmt, und darnach ist dieser neue C. Egesippü | durch die weit breitere Körpergestalt von C. macrocephalus var. cantabricus verschieden. Deyrolle hat vielleicht aber später Exemplare des C. cantabri- cus mit abwechselnd erhabeneren Zwischenräumen der Flügeldecken auch für C. Egesippi angesehen und unter letzterem Namen versandt und solche Exemplare mag auch Kraatz gesehen haben. Ganglbauer's C. Egesippii ist ohne Zweifel identisch mit der von Deyrolle und Jacquelin du Val „abgebildeten Form, obgleich Ganglbauer die letztere Abbildung nicht citirt, «keinenfalls ist er mit C. macrocephalus zu verbinden, doch halte ich ihn für eine Form des C. latus, die einzige die vorlüufig nicht durch deut- liche Zwischenglieder in denselben übergeführt werden kann». Aus der vor- stehenden Darlegung werden aber noch viele andere, von Ganglbauer als Varietäten des C. latus in Anspruch genommene Formen nicht mit dieser Art verbunden werden dürfen, und hátte auch hinsichtlich der von Gangl- bauer als C. latus var. Egesippii bezeichneten Form die Untersuchung des Forceps es sicher stellen können, ob es wirklich eine von C. macrocephalus specifisch verschiedene Form sei, da der Forceps des Männchens von C. | „Mélanges biologiques. T. XIII, p. 24. 3 — (хххш)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. па ЊЕ macrocephalus den andern Hadrocarabus-Arten gegenüber sich dadurch aus- zeichnet, dass er eine breite, unregelmässig verrundete Spitze hat. Paulino (Mél. entomolog. 1876. р. 17.) führt C. Egesippii als eine ihm unbekannte Varietät des С. macrocephalus auf, scheint aber später Exemplare des Dey- rolle'schen C. Egesippii gesehen zu haben, da Paulino (Rev. da Soc. de instr. do Porto II. 1882. p. 97. 15.) über das Vorkommen dieser Form die- selben Angaben wiederholt, doch ohne den Zusatz, dass ihm diese Form unbekannt sei. | Ich bin auf die Hadrocarabus- Arten nur aus dem Grunde näher einge- gangen, weil ich an einer Art, dem Dejean’schen C. latus, hinsichtlich dessen Deutung, da ja Ganglbauer derselben Ansicht ist, von deutscher Seite kein Einwand erhoben werden dürfte, es zeigen wollte, wie sinnlos es unter Umstünden sein kann, Exemplare einer Sammlung, wenn letztere nicht unangerührt geblieben, als unbedingt maassgebend anzusehen. Denn wenn . diejenigen Exemplare, nach welchen eine Beschreibung gemacht, nicht so- gleich als «Typen» kenntlich bezeichnet worden, woran in früherer Zeit fast Niemand auch nur gedacht, so konnte es vorkommen und ist leider auch vorgekommen, dass den ursprünglichen Exemplaren später erhaltene, besser conservirte hinzugefügt worden und bei etwaigem Tausch schliesslich allein nachgeblieben. Man behält ja die besten Exemplare für sich und gibt die älteren, oft weniger gut erhaltenen fort. Sind nun einander sehr ähnliche und zur Zeit noch nicht unterschiedene Arten vorhanden, so liegt die Mög- lichkeit vor, dass auch der erste Beschreiber einer Art, welcher von Manchen in Bezug auf die von ihm «creirte» Art für unfehlbar angesehen wird, i soleher Weise unabsichtlich eine Verwechselung verschuldet. Ja, oft genug ist eine Art nach einem einzigen Exemplar beschrieben worden, aber «Ty- pen» dieser Art befinden sich trotzdem in vielen Sammlungen! Dies kónnen aber allenfalls nur Exemplare sein, welche der erste Beschreiber der be- treffenden Art als zu dieser Art gehórig determinirt hat, und es fragt sich dabei nur, ob überhaupt und wie eingehend ein Vergleich mit den ursprüng- lich beschriebenen Exemplaren oder den sog. Typen gemacht worden ist. Sogenannte Typen beweisen meiner Ansicht nach gar nichts, wenn sie zu. den Beschreibungen ete. nieht passen, höchstens allenfalls, dass der erste | Beschreiber einer Art sich genau eben so irren konnte wie jeder Andere, ja, noch sehr viel leichter in früherer Zeit, wo viele Merkmale, auf welche erst nachtrüglich die Aufmerksamkeit gelenkt worden, ünbeachtet geblieben waren. Ich theile solche, allgemein gehaltene Betrachtungen mit, weil Gangl- bauer (Soc. ent. IL. 1887. p. 1.) ohne Erörterung der Angaben, welche Ріо- chard de la Brülerie (Ann. 5. E. Fr. 1875. p. 118.) über seinen Cara- bus башеуі macht, es für hinreichend hält, einfach zu sagen, «C. Saulcyi Mélanges biologiques. T. XIIT, p. 25. 54 AUGUST MORAWITZ, | ]۲. 8. 1 Pioch. ist nach einem typischen Exemplare der Sammlung von Dr. L. von Heyden eine kleine Form von Procrustes Duponcheli Barth». Der C. Saulcyi ist aber nach de la Brülerie 22—28 mm. lang, der Pr. Duponcheli nach Gautier aber 26—30 mm., und gibt es also von beiden Formen Exem- plare, welche hinsichtlich der Grösse von einander nicht verschieden sind. Den С. Sauleyi als «eine kleine Form von Pr. Duponcheli» zu bezeichnen, ist doch jedenfalls nicht richtig, wenn von ersterer Form vielleicht auch wirklich Exemplare vorkommen, die kleiner sind als alle bisher beobachteten von Pr. Duponcheli. Der letztere hat aber nach Barthélemy (Ann. S. E. Fr. 1837. t. 8. f. 13.) eine deutlich dreilappige Oberlippe, nach Solier (Stud. entom. I. 1848. p. 50.) den mittleren Lappen der Oberlippe «trés prononcé dans la femelle et à peine marqué dans le mále» und einen Kinnzahn, wel- cher so breit ist, dass er «cache à peu prés en entier la languette» (l. c. p. 61.), und auch nach Schaum (Ins. D. I. 1. 1856. p. 176. 2.) einen breiten Kinnzahn und eine dreilappige Oberlippe; nach Gautier (Rev. et Mag. Zool. 1866. p. 280. 1.) endlich hatten alle von ihm gesehenen Procrustes «une forte dent trés large» und eine dreilappige Oberlippe (cf. l. c. p. 292 et p. 372.) Piochard de la Brülerie (l. c. p. 120.) hebt nun in der Charak- teristik der auch von ihm als Procrustes beibehaltenen Caraben-Gruppe als wesentlichste Gruppenmerkmale hervor: «Labre trilobé, dent du menton tronquée ou legérement échancrée à son extrémité»; die von de la Brülerie nicht zur Procrustes-Gruppe gezogenen, als Carabus Saulcyi beschriebenen Exemplare müssen doch wohl eine ausgerandete Oberlippe und einen schma- len, weder ausgerandeten, noch auch abgestutzten Kinnzahn gehabt haben, weshalb auch de 1а Brülerie den C. Saulcyi nicht in die Procrustes-Gruppe stellt. Wie das von Ganglbauer erwähnte, angeblich typische Exemplar der Heyden'schen Sammlung in dieser Hinsicht beschaffen, darüber gibt ` aber Ganglbauer absolut nichts an. Hat aber dieses sog. typische Exem- plar eine dreilappige Oberlippe und einen breiten, ausgerandeten oder ab- gestutzten Kinnzahn, so ist dieses Exemplar doch wohl «nicht als Type zu betrachten». Die Flügeldecken sind bei der gewóhnlichen Form der in den Sammlungen als Pr. Duponcheli verbreiteten Art überdies mit ziemlieh gro- ben Punktreihen oder Punktstreifen versehen, bei С, Saulcyi dagegen, nach de la Brülerie «punctis minutis bene tamen perspicuis», und müssten typische Exemplare des letzteren auch in dieser Hinsicht von den gewöhn- lichen des Pr. Duponcheli abweichen. Diese gróbere, resp. feinere Punkti- rung der Flügeldecken dürfte natürlich nicht als ausreichend erachtet wer- den, um beide Formen von einander zu trennen, und kommen vielleicht auch ` von Pr. Duponcheli Exemplare mit feinerer Punktirung vor. Wenigstens theilt - Gautier (Rev. et Mag. Zool. 1866. р. 364.) eine darauf bezügliche Be- Mélanges biologiques. T, XIII, p. 96. (хххш)] | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 55 merkung von Vuillefroy mit, doch hat Gautier solehe Exemplare mit fei- nerer Punktirung nicht selbst gesehen und könnte daher die Vuillefroy’- sche Notiz sich auf C. Saulcyi bezichen. Gerade der Umstand aber, dass de la Brülerie seinen C. Saulcyi nicht zur Procrustes-Gruppe zieht, welche letztere, wie erwühnt, von ihm vorherrschend wegen der abweichenden Bil- dung der Oberlippe und des Kinnzahns beibehalten wird, hat mich veran- lasst, den C. Saulcyi nicht ohne Weiteres mit Pr. Duponcheli zu verbinden, so sehr er mit dem letzteren auch übereinstimmt. Denn de la Brülerie hatte jedenfalls nicht ganz wenige Exemplare von C. Saulcyi, da er über das Vorkommen desselben angibt: «Liban, régions boisées, Khamés! Ehden! sous les feuilles mortes, les mousses et dans les souches pourries plus sou- vent que sous les pierres». Und eben weil de la Brülerie viele, sowohl männliche als auch weibliche Exemplare gehabt haben muss, welche in der Bildung der Oberlippe und des Kinnzahns übereinstimmend von den gewöhn- lichen Stücken des Pr. Duponcheli abweichend waren, so scheint es immer noch gerathen, beide Formen so lange getrennt aufzuführen, bis der Beweis erbracht worden, dass auch der Kinnzahn bei diesen Formen variabel ist und . auch «nicht einmal specifische Bedeutung hat», wie auch alle anderen Unter- scheidungsmerkmale zwischen diesen beiden Formen. Gehin (Catal. d. Carab. 1885. t. П. 5.) bildet zwar angeblich von einer einzigen Art, welche er Carabus Ehrenbergi nennt, sowohl die Oberlippe als auch den Kinnzahn als variabel ab; die von Géhin (l.c. p. ХИ. 5.) gegebene Charakteristik der be- treffenden Untergattung passt aber nicht zu den gegebenen Figuren und überhaupt zu keiner einzigen der als zu dieser Untergattung gehórig aufge- führten Arten, und hat Géhin offenbar die beiden einander ühnlichen Chae- tomelas- und Pseudoprocrustes-Arten als zu Einer Art gehörig angesehen. Von den Abbildungen der Oberlippe und des Kinnzahns gehórt die erste (von links nach rechts) zu C. praestigiator, die zweite wahrscheinlich zu С. Saulcyi, die übrigen drei aber zu Pr. Duponcheli. Oder sind die dem Cata- logue des Carabides beigegebenen Tafeln von Haury ganz selbstständig ent- . worfen, ohne von Géhin auch nur controlirt worden zn sein? Géhin ) c. p. IV.) theilt darüber nur mit, dass «Mr. Ch. Haury, de Prague, m'a offert le concours de son habile crayon, pour goe: quelques planches», und das klingt doch so, als ob Géhin die al Objecte ausgesucht und die Beifügung der Tafeln überhaupt sein Verdienst sei. ; Dass übrigens die drei- resp. zweilappige Bildung der Oberlippe «nicht einmal von specifischer Bedeutung» ist, indem bei einzelnen genuinen Pro- crustes-Arten die Oberlippe bisweilen auch einfach ausgerandet sein kann, dies ist schon sehr lange, seit vierzig Jahren nämlich, bekannt, indessen, vielleicht nicht ohne Vorsatz; unbeachtet geblieben. In der akademischen Melanges biologiques. T. XIII, p. 97. 56 AUGUST MORAWITZ, [N. 8. 1 Sammlung sind jetzt zwei Weibchen des С. (Procrustes) Foudrasi, desgleichen ein aus Frankreich stammendes Weibchen des C. (Procrustes) coriaceus vor- handen mit einer wie bei den typischen Caraben ausgerandeten Ober- lippe und führt auch Solier (Stud. ent. I. 1848. p. 50.) gerade diese bei- den Arten als solche an, welche hinsichtlich der Oberlippe variiren. Auch der von Chaudoir (Stett. E. Z. 1857. p. 82.) beschriebene Procrustes ob- tritus, bei welchem die «Oberlippe wie bei Сағабив ausgerandet» ist, gehört zu C. (Procrustes) Foudrasi, wie schon Schaum (Berl. E. Z. 1864. p. 142. 1.) nach den Chàudoir'schen Originalexemplaren ganz kurz mittheilt; Schaum hätte nur hierbei die Richtigkeit von Chaudoir's Angabe über die ab- weichende Bildung der Oberlippe jedenfalls besonders hervorheben sollen, da ја Schaum (Ins. Deutschl. I. 1. 1856. p. 174.) die dreilappige Ober- lippe als wesentlichstes Merkmal für die Aufrechterhaltung von ۶ als Gattung festgehalten, trotz der schon früher gemachten gegentheiligen Beobachtungen eines so ausgezeichneten Entomologen, wie es Solier war. Ich gebe, nach unserem leider immer noch sehr geringen Material, mit . Berücksichtigung der anderweitig gemachten Angaben, zunächst eine Cha- rakteristik der als Procrustes Duponcheli bekannten Art oder des | Carabus (Pseudoprocrustes) Durvillei: Elongatus, niger, nitidus, parum convexus, pronoto transversim levissime ruguloso, lateribus postice latius reflexo, ad basim parum angustato, angulis sat latis, rotundatis, margine postico medio subrotundato sinuque utrinque distincto, linea media profun- dius expressa. Coleopteris depressiusculis elongato-ellipticis, grosse striato- punctatis aut punctato-striatis, limitibus costalibus postice interdum fove- olis antice tuberculo minuto instructis subinterruptis. Pectus et abdomen lateribus punctulatis rugulosis. Femoribus posticis subtus sulcatis, tibiis posticis dorso planiusculis, rugulosis, opacis. Mentum dente latiusculo, apice emarginato, labrum bisinuatum. ` Procrustes Duponcheli Barthélemy Ann. S. E. Fr. 1837. p. 245, t. 8. f. 18. Procrustes Durvillei Barthélemy Ann. S. E. Fr. 1838. p. V. Procrustes Durvillei Dupont вес. Geh. Cat. d. Carab. 1885. p. 4. Procrustes punctatus Gautier Rev. et Mag. Zool. 1866. p. 363. 1. var? sec. Gautier: elytris tenuiter minus regulariter striato-punctatis, | interstitiis tribus (vel limitibus costalibus) elevatioribus. Procrustes punctatus var. Gautier 1. с, p. 364. ре dürfte lauten die Charakteristik des С. (Pseudoprocrustes) Saulcyi: Elongatus, niger, minus Serri con- noie pronoto, postice parum angustato angulis rotundatis margine . postico utrinque sinu distincto, linea media vix ulla. Coleopteris maris elon- gatis, feminae breviter-ellipticis, tenuiter striato-punctatis, limitibus 8—5 (costalibus et intercostalibus) saepe angustioribus et elevatioribus, foveolis tri- Mélanges biologiques, T. XIII, p. 38. (XXXII) | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 57 plice serie vel nullis. Tibiis posticis sulco dorsali distincto, tenui. Mentum dente angusto, labro plerumque emarginato, rarius bisinuato. f Carabus Ehrenbergi Klug Symb. phys. Ins. ІП, 1832. t. 23. f. 7. 4. Carabus Sauleyi de la Brül. Ann. 8. E. Fr. 1875, p. 118. Carabus Ehrenbergi var. judaicus Géh. Cat. d. Carab. 1885. p. 5. var.? elytris grosse striato-punctatis, margine violaceo Procrustes incertus Haury Le Natural. УП. 1885. p. 30. 9. — Wien. E. 2. 1885. p. 109. 9. — Géh. Cat. d. Carab. 1885. t. IT. f. 8. 9 «Morawitzi» Ganglb. Soc. ent, II. № 1. sine indicatione generis et subgeneris! In einer Anmerkung, welche ich meiner Arbeit zur Kenntniss der ade- phagen Coleopteren (Мет. d. l'Ac. Imp. d. sc. d. St. Pétersb. XXXIV. 1886. Nr. 9.) glaubte beifügen zu müssen, um Diejenigen, denen ein grósseres Material zu Gebote steht und denen die Unterdrückung von Procrustes als Gattung möglicherweise nieht ganz plausibel scheinen könnte, zu veran- lassen, einige «einander ähnliche und daher oft mit einander verwechselte» syrische Carabus-Arten, näher zu untersuchen, habe ich es versucht, nach den bisherigen Beschreibungen eine Zusammenstellung dieser Arten zu geben, und habe ich es hervorgehoben, dass diese meistentheils als Сағабив angesehenen, aber «mit der Procrustes-Gruppe übereinstimmenden Arten» nur mit Unrecht als genuine Carabus- Arten angesehen worden sind. Bei dieser Zusammenstellung habe ich für die in den Sammlungen theils als Pro- crustes punctatus, theils als Pr. Duponcheli aufgeführte Art, den Namen Pr. Durvillei gewählt, weil ich annehmen zu müssen glaubte, dass Géhin (Cat. d. Carab. 1885. р. 4. 10.). im Archiv der französischen entomologischen Gesellschaft, vielleicht aber auch in Dupont’s Sammlung über Pr. Durvillei die Auskunft gefunden, dass dieser Pr, Durvillei mit dem ein Jahr vorher publieirten Pr. Duponcheli identisch sei und dass aus diesem Grunde die von Barthélemy eingereichte Beschreibung und nach Dupont ungenügende ` Abbildung, welche die französische entomologische Gesellschaft zur Ver- öffentlichung angenommen, schliesslich für überflüssig erachtet worden. Welchen Sinn hat es denn sonst, wenn Géhin einen sonst völlig unbeachtet ` gebliebenen und gar nicht festzustellenden Namen als Synonym einer, unter anderer Bezeichnung schon früher bekannt gemachten, Art aufführt? Aller- dings kann man dagegen einwenden, dass es trotzdem unsicher sei, dass die- ser Pr. Durvillei auch mit Pr. Duponcheli identisch sein könne, da. es ја durchaus zweifelhaft bleiben muss, was Géhin als Pr. Duponcheli angese- hen, da er diesen letzteren zu denjenigen Procrustes-Arten rechnet, deren erstes Fühlerglied ohne Borste sei. Aber Géhin's überraschende Leistungen ` in solcher Hinsicht sind durch die, nach Bertkau (Ent. Jahresb. für 1886. р. 313.) liebevollen Besprechungen, welche Kraatz zu wiederholten Malen gegeben, zu allgemein bekannt, um noch Worte darüber zu verlieren. Géhin's Mélanges biologiques. T. XIII, p. 29. 58 AUGUST MORAWITZ, (8. 8.1 eminentes Talent, die Arten dahin zu stellen, wohin sie nicht gehören, ist ja von keiner Seite angezweifelt worden, ausser von Heyden (Cat. Col. Eur. et Cauc. ed. Ш. 1883.), der sogar einen von Géhin als Etiquetten gedruckten Catalogue über Thomson's bahnbrechende Arbeit stellt. Was dagegen den C. (Pseudoprocrustes) Saulcyi anbetrifft, so hatte ich früher, beim Ordnen der Citate nach der Jahreszahl, den ältesten Klug’schen Namen vorange- stellt, welcher indessen nicht gebraucht werden kann, da ja Fischer (Bull. d. Mosc. 1829. р. 368. t. 6.1. 5.) schon einen Carabus Ehrenbergi beschrie- ben hatte und Klug's drei Jahre später bekannt gemachter syrischer Cara- bus Ehrenbergi selbstverständlich diesen von Klug gegebenen Namen nicht behalten kann, und war dieser Name zur Zeit jedenfalls unberechtigt. Und der Name Æhrenbergi ist auch jetzt noch unberechtigt für eine andere Ca- rabus-Art als diejenige, welcher Fischer diesen Namen beigelegt, da Fischer's C. Ehrenbergi ganz willkürlich als identisch mit Fischer's (En- tomogr. Ross. Ш. 1828. p. 303. 46°.) C. incompletus erklärt worden ist, indem weder Abbildung, noch auch Beschreibung auf letzteren bezogen wer- den kónnen, und dürfte Fischer's C. Ehrenbergi nach diesen schon eher mit C. maeander verbunden werden als mit C. incompletus Fisch. (— C. palustris Dej. Icon. I. 1829. p. 358. 66. t. 50. f. 3.). Der C. Saulcyi ( Eh- renbergi Klug) stimmt, wie es auch de la Brülerie hervorhebt, mit C. Hemprichi sehr überein, im Habitus und hinsichtlich der Wölbung nament- lich mit den schlanksten und kleinsten Exemplaren, in allem Anderen aber so sehr mit С. (Pseudoprocrustes) Durvillei (Duponcheli), dass er sehr wohl eine Varietät desselben sein kann, und zwar um so eher, als auch der For- ceps des Männchens ganz übereinstimmend gebildet ist. Man muss aber Ar- ten, die unterschieden worden sind, so lange als solche gelten lassen, bis der Nachweis geführt worden, dass alle angegebenen Unterschiede keineswegs specifische seien, und dieser Nachweis ist für diese Formen jedenfalls noch nicht gegeben. Während nämlich die Exemplare des C. Durvillei (Duponcheli), so weit nämlich Exemplare dieser Form bekannt gemacht worden sind, hin- sichtlich der Contour der Flügeldecken im männlichen und weiblichen Ge- schlecht keine erheblichen Unterschiede aufweisen, erscheinen dieselben bei С. Sauleyi nach de la Brülerie «prothorace apud mares minus duplo, apud feminas duplo aut majus latioribus» und werden bei den Weibchen hinsicht- lich der Contour wohl der Abbildung entsprechen, welche Haury (Géh. Cat. d. Carab. 1885. t. П. з.) von den Flügeldecken seines Procrustes incertus gibt, mit‘ welchem letzteren Ganglbauer's «Morowitzi» identisch sein dürfte. . Der von Klug nach einem Männchen von 26%, mm. Länge abgebildete Carabus Ehrenbergi gehört laut Beschreibung und Abbildung, welche letz- Mélanges biologiques. T. XIII, p. 30. (хххш)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 59 tere, was wohl zu beachten, von dem eminenten Zeichner Sam. Weber herrührt, unzweifelhaft zu C. Sauleyi. Da diese Beschreibung wohl den Wenigsten zugänglich sein wird, so gebe ich dieselbe vollständig wieder: Mas. Niger, obscurus. Caput vertice punctato, fronte biimpressa, elypeo (sc. labro) emarginato, mandibulis arcuatis, acutis, antennis capite thoraceque longioribus, articulis quatuor prioribus laevibus, sequentibus griseo-pube- scentibus. Thorax subquadratus, ad basin angustatus, angulis posticis ro- tundatis, parum prominulis, lateribus rotundatus, supra punetatus, medio laevis, vix rugosus, obsolete canaliculatus. Pectus abdomenque alutacea, rugosa. Elytra ovata, confertim punctato-striata, apice rugosa, scabra, interstitiis quarto, octavo et duodecimo subelevatis laevibus punctorum impressorum serie ornatis. Tibiae intermediae extus ad apicem — pilosae. Hier ist zunächst zu beachten, dass Klug das Weibchen unbekannt war, wie denn auch die Abbildung ein Männchen darstellt, und ist es daher um so weniger zu begreifen, wie eine andere, im münnlichen Geschlecht insbe- . sondere sehr auffällige Art für den Klug'schen C. Ehrenbergi hat genommen werden können. Diese von de la Brülerie fälschlicherweise als C. Ehren- bergi Klug sehr ausführlich beschriebene Art habe ich Carabus praestigia- tor genannt und ist dieselbe so matt, dass die schwarze Fürbung geradezu wie grau erscheint, wührend Klug's Abbildung des C. Ehrenbergi ein ge- süttigtes, sogar etwas glünzendes Schwarz zeigt. Der Kopf des C. praestigi- ator ist ziemlich schmal und die Stirn namentlich fast quadratisch mit fast parallelen Seiten; in Klug's Abbildung des C. Ehrenbergi erscheint der Kopf aber eben so kurz und die Stirn eben so breit und eben so stark nach vorn verengt wie bei C. Saulcyi, und muss man dabei auch noch in Betracht ziehen, dass Klug in der gleichzeitig mitgetheilten Beschreibung des Pro- crustes impressus von diesem «caput elongatum» anführt, obgleich Pr. im- pressus im Vergleich zu C. praestigiator einen breiteren Kopf hat. Es ist ferner bei C. praestigiator die Oberlippe in der Mitte deutlich ausgerandet und ist daher das Vorkommen von Exemplaren mit dreilappiger Oberlippe bei die- . Ser Art kaum wahrscheinlich; in der Klug'schen Abbildung dagegen er- scheint die Ausrandung der Oberlippe so flach, dass der Vorderrand der- selben als fast gerade bezeichnet werden kann. Auch die Mandibeln sind bei C. praestigiator viel schlanker und länger, während in Klug’s Abbildung sie eben so kurz und breit erscheinen wie bei C. Sauleyi. Der «thorax sub- quadratus, angulis posticis rotundatis» erscheint in der Abbildung fast 1"/, mal so breit als lang und stellt sich als ziemlich gewölbt dar, der Hinterrand in der Mitte flach gerundet, jederseits mit einer deutlichen tiefen Ausbucht und die Hinterzipfel erscheinen als breite, abgerundete و‎ welche nach Mélanges biologiques. T. ХШ, p. 31, 60 AUGUST MORAWITZ, [N. 8.1 hinten ziemlich beträchtlich vorragen; bei С. praestigiator dagegen sind die Hinterzipfel des Halsschildes als solche eigentlich gar nicht abgesetzt, sie sind überdies sehr viel kleiner, schmäler und gleichzeitig kürzer und gehen unter einem sehr flachen Bogen in den geraden Hinterrand über; dabei ist das bei С. praestigiator weit weniger gewölbte Halsschild verhältnissmässig schmal, nur 17, mal so breit als lang und erscheint auch deshalb noch schmäler, weil es auch nach hinten stärker verengt ist. Überdies sind die Seiten hinten nur schwach aufgebogen, eigentlich nur in Folge des stärker erhöhten Seitenrandwulstes; in der Klug’schen Abbildung erscheinen die Seiten des Halsschildes hinten stark aufgebogen und die Rinne, welche diese abgeflachten und aufgebogenen Seiten nach innen absetzt, zieht sich genau so wie bei С. Saulcyi zur Mitte des Innenrandes der viel breiteren lappen- artigen Hinterzipfel hin. Auch ist bei C. praestigiator die Mittellinie des ` Halsschildes als scharf eingedrückte Linie deutlich markirt, nach Klug bei С. Ehrenbergi dagegen «obsoleta». Überdies ist das Männchen von С. prae- stigiator durch die gegen die Schultern ganz auffallend verschmälerten Flü- geldecken ausgezeichnet, wovon die Klug’sche Abbildung gar nichts zeigt; Klug bezeichnet ferner die Flügeldecken als «striato-punctata, interstitio 4°, Siet 12° subelevatis, laevibus, punctorum impressorum serie ornatis». Von C. praestigiator, von dem de la Brülerie gleichfalls sehr viele Exem- plare gehabt, sind noch keine Exemplare bekannt geworden, deren Flügel- decken als «striato-punetata», d.h. mit gereihten Punkten versehen gewesen würen, sondern nur Exemplare mit vertieften, im Grunde punktirten Strei- fen (punctato-striata), und eben so wenig sind Exemplare bekannt geworden mit stärker erhabenen, durch Glätte von den andern abweichenden Costalli- mes. Bei C. praestigiator sind die Limes oder Zwischenrüume der vertieften Punktstreifen alle ganz gleichartig, nur je nach den Exemplaren flacher oder gewölbter und scheinen auch Exemplare, deren Costallimes sämmtlich mit Grübchen versehen würen, gar nieht vorzukommen. Klug's Angabe endlich «pectus abdomenque alutacea, rugosa» weist darauf hin, dass Brust und Hinterleib bei dem Klug'schen C. Ehrenbergi gleichartig sculpirt waren, ganz so wie es bei C. Saulcyi der Fall ist, während bei C. praestigiator die Brust ganz glatt ist oder doch nur mit vereinzelten groben Punkten verse- hen. «Alutaceus» s. alutacius — lederartig hat Klug gebraucht, um zu be- zeichnen, dass feinere, dicht neben einander stehende Punkte die Oberflüche ühnlich dem mit Poren versehenen Leder erscheinen lassen. _ Aus allem vorstehend Angeführten ist doch wohl ersichtlich, dass in den Sammlungen durchaus mit Unrecht die in früheren Jahren bei Beirut in grösserer Anzahl gesammelte und von Lederer insbesondere zahlreich ver- sandte Art als Klug's Carabus Ehrenbergi bezeichnet wird. Sämmtliche Mélanges biologiques. T, XIII, p. 99. (ххх) | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 61 Angaben von Klug sprechen gegen eine Identificirung der von Klug ђе- schriebenen Art mit der von mir als С. praestigiator bezeichneten, und wenn im Berliner Museum jetzt andere Examplare sich vorfinden, so ist das ur- sprüngliche Männchen eben nicht mehr vorhanden, sondern leider weiter gegeben. Zeller (Stett. E. Z. 1850. p. 312.) beschreibt z. B. die neue Lycaena Hoffmannseggi, welche Kirby (Cat. of Diurn. Lep. 1871. p. 355. 120.) als Varietät zu Cupido (Lycaena) Thelicanus H. zieht mit der Vater- landsangabe «Africa», Staudinger (Cat. d. Lep. d. europ. Fauneng. 1871. p. 9. Anm. 1.) dagegen als «species americana» bezeichnet, nach einem Exemplar mit der Bemerkung: «Ich erhielt es vom Berliner Museum, wo es wahrscheinlich als zu schlecht mit guten Exemplaren des Telicanus ver- tauscht worden war. Dieses Exemplar trug noch den vielleicht vom Grafen v. Hoffmannsegg herrührenden Zettel mit dem Namen Telicanus H., Bae- ticus E. F., und der Vaterlandsangabe: Lusitania». Warum kann nicht Ähnliches mit Klug's ursprünglichem Exemplar des C. Ehrenbergi passirt sein? Auch gibt Schaum (Ins. Deutschl. I. 1. 1856. p. 176. 12.) an: Pr. Duponcheli Barthélemy sei «dem ebenfalls in Syrien einheimischen Cara- bus Ehrenbergi Klug sehr ähnlich und am leichtesten durch die Gattungs- charactere von Procrustes, den breiten Kinnzahn und die dreilappige Oberlippe, zu unterscheiden». Soll man annehmen, dass Schaum zwei so verschiedene Arten, wie es C. praestigiator und Pr. Duponcheli sind, welche in zwei verschiedene Gruppen gehören, in solcher Weise erwähnt hätte? Nur _ die grosse Übereinstimmung in ihrer äusseren Erscheinung ist die Ursache, dass über diese procrustogenen Caraben hinsichtlich ihrer Bestimmung zur Zeit so grosse Unsicherheit herrschte, und dabei liegt noch die Möglichkeit vor, dass ausser den genannten, noch eine ähnliche syrische Art vorhanden, deren Existenz auch Ganglbauer nicht abstreitet, und habe ich nur aus dem Grunde auf darauf bezügliche Angaben hingewiesen, damit Diejenigen, welchen diese zur Zeit nicht mit Sicherheit zu deutende Form bekannt sein sollte, nach ihrem Material zur Aufklärung über dieselbe etwas beitragen. Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887. p. 2.) sagt, dass ich «Unrecht» habe, dies zu thun; mit welchem Recht Ganglbauer dieses sagt, ist aber gar nicht zu ersehen. | | a Nachdem schon Reiche (Ann. 8. E. Fr. 1855. p. 566. 3.) den von Laporte beschriebenen Procrustes punctatus (Chevrolat) als identisch mit Pr. Duponcheli angegeben, erklärt auch Schaum (Ins. Deutschl. I. 1. 1856. р. 176. 12.) nach «Vergleich des in Chevrolat’s Sammlung befindlichen Originalstückes» den Pr. punctatus für identisch mit Pr. Duponcheli, und es ist mir daher auch nie eingefallen, daran zu zweifeln, dass das 1« ۶ Sammlung befindliche Exemplar mit Pr. Duponcheli zu ein und derselben Melanges biologiques, Т. ХІП, р. 38. 62 AUGUST MORAWITZ, Гв. 8. 1 Art gehöre, und zwar um so weniger als Gautier (Rev. et Mag. Zool. 1866. p. 373.) angibt, dass er alle Procrustes der Sammlung von Chevro- lat gesehen und den Pr. Duponcheli unter dem Chevrolat'schen Namen als Pr. punctatus aufführt. Laporte (Etud. entom. I. 1834. p. 89.) be- schreibt zwar seinen Procrustes punctatus auch mit dem Zusatz «Chevrolat, collect.», was aber doch nur so viel bedeutet, dass unter dem von Chevro- lat gegebenen Sammlungsnamen, was jetzt mit «in litt.» bezeichnet wird, irgend ein Procrustes in den Sammlungen verbreitet war. Ich halte eS 80- gar für ein Unrecht, einen in solcher Weise mehr oder weniger bekannten Namen nicht zu verwenden, da Vielen das Erkennen der beschriebenen Art dadurch doch wohl erleichtert wird. Aber die Behauptung, dass der Zusatz «Chevrolat, collect.» es beweise, dass Laporte seine Beschreibung nach dem Chevrolat'schen Exemplar gemacht, dürfte denn doch vorläufig abso- lut durch nichts begründet sein, und wäre jedenfalls auch völlig unmotivirt. Denn, wie Laporte von seinem Käfer angibt, «noir, un peu luisant. Corselet finement chagriné et ponctué en arriere; élytres ovalaires, allongées, peu convexes, couvertes de points assez serrés et disposés de manière à for- mer de petites lignes longitudinales; ces points se confondent en arri- ère, et font paraître cette partie de l'élytre chagrinée; côtés de l'abdomen ponctués. 13 lin.» sind Angaben, welche nicht gut nach einem Exemplar des C. (Pseudoprocrustes) Durvillei (Duponcheli) gemacht werden konnten. Der letztere ist ja lang gestreckt, keineswegs «peu luisant», die Punkte der Flügeldecken bilden auch nicht «de petites lignes», sondern es sind regel- mässige, vertiefte, ziemlich grob punktirte Streifen vorhanden, welche sich auch gar nicht zur Spitze hin.verwirren, sondern es tritt hier zwischen den Punktstreifen eine durchaus regelmässige Granulation auf; das Halsschild ist ` auch keineswegs als «finement chagriné», sondern die bei Caraben häufig auftretende Querrunzelung ist eher als grob zu bezeichnen; endlich sind auch die ganzen Seiten des Rumpfes punktirt, auch die Seiten der Brust und in deutlichster Weise auch die Episternen des Prothorax, wührend Laporte nur von einer Punktirung der Seiten des Hinterleibs Erwähnung macht. Der von Laporte erwähnte geringe Glanz des Käfers und die angegebene Flügeldeckensculptur passen am besten auf die von de la Brülerie (l. c. p. 117.) beschriebene Form vom Dshebel-esch-Scheich, welche unter Апде- rem sich auszeichnet «par la ponctuation de leurs élytres plus attenuée, au point qu'il faut regarder de prés pour la distinguer. Il en résulte que les séries de points indiquent à peine les stries dont elles occupent l'emplace- ment et que les intervalles ne font nullement saillie». Jedenfalls passt doch wohl die von Laporte gegebene Beschreibung des Procrustes punctatus auf keine andere der bekannt gemachten, aus Syrien stammenden Formen besser Mélanges biologiques. T. XIII, p. 34. А (хххш)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 63 als auf die von de la Brülerie vom Dshebel-esch-Scheich erwähnte, und gibt auch Ganglbauer (Soc. ent. П. 1887. p. 2.) von letzterer es zu, dass «deren Zugehörigkeit zu C. praestigiator (Ehrenbergi Ganglb.) nicht erwiesen» ist. Wenn ich endlich nach Thomson's (Opusc. ent. VII. 1875. p. 635.) An- gaben eine von ihm als Procrustes (Chaetomelas) Ehrenbergi bezeichnete Form herangezogen, welche nicht mit C. praestigiator identisch sein kann, schon wegen der für seine Chaetomelas- Gruppe angegebenen Merkmale, so geschah auch dieses wegen der Angaben, welche Thomson über die Sculp- tur der Flügeldecken macht. Diese werden zwar als «strimmigt puncterade» bezeichnet, von den von Thomson erwähnten Pseudoprocrustes- und Pro- crusticus- Arten, welche Thomson in Einer Untergattung als Zribax zusam- menfasst, nämlich C. Hemprichi, C. prasinus (== Calleyi Thoms.) und С. Воп- plandi führt aber Thomson (1. c. p. 671.) an «genom elytras sculptur kom- mer det närmast Chaetomelas bland Procrustes». Thomson muss demnach unter dem Namen Æhrenbergi eine hinsichtlich der Flügeldecken den genann- ten drei Caraben ühnlich sculpirte Art gehabt haben. Dass Thomson etwa ein auf dem Rücken mit Punktreihen versehenes Exemplar des C. (Pro- crustes) Mulsantianus (asperatus Muls.) gehabt haben sollte, mit ausnahms- weise vorhandenen «vanliga ventral-puncterna», ist übrigens eine Möglichkeit, die nicht ganz ausgeschlossen bleibt. Der Kinnzahn muss aber bei allen von Thomson untersuchten Procrustes jedenfalls breit gewesen sein, da Thom- son von dem Kinnzahn sonst nicht gesagt hütte «lobis fere majore». Nach de la Brülerie (Ann. S. E. Fr. 1875. p. 114.) wären Procrustes punctatus und Pr. Duponcheli mit einander identisch, aber eine Varietät des Carabus Hemprichi (1), einzig und allein aus dem Grunde, weil unter den Exemplaren des letzteren auch Individuen vorkommen, bei welchen die Flü- geldecken auf der Scheibe gereiht punktirt sind: «Son labre est bien celui d'un Carabe et non celui d'un Procruste». Aber eben so unbegründet ist auch de la Brülerie's (l.c. p. 120.) Behauptung, dass Pr. asperatus Muls. identisch sei mit Pr. impressus und hat de la Brülerie offenbar die gruben- lose Varietät des Pr. impressus für Pr. asperatus gehalten, unter welchem Namen unser Museum bei Antiochia in Syrien gesammelte Exemplare der grubenlosen Varietät des Pr. impressus auch von Lederer erhalten. Pr. Mulsantianus (asperatus Muls.) ist indessen sehr verschieden von Pr. im- pressus und ist überdies auf dem letzten ventralen Abdominalsegment mit Borstenpunkten versehen, kann also nach de la Brülerie’s (1. с. p. 121.) eigenen Angaben nicht zu Pr. impressus gehören. In der Beschreibung, welche Reiche (Ann. S. E. Fr. 1855. p. 566. 4.) von Pr. impressus gibt, ist diese Variabilität hinsichtlich der Gruben der Flügeldecken ausdrücklich her- vorgehoben: «on voit de place en place de trés gros points enfoncés, quel- Melanges biologiques. T. XIII, p. 35. 64 AUGUST MORAWITZ, | [х. 8.1 quefois peu marqués, quelquefois nuls». Wenn de la Brülerie (l.c. p. 121.) - der Meinung war, dass seine Exemplare in dieser Hinsicht noch abweichen- der waren, so war dies einfach ein Irrthum, denn bei seinen als Pr. impres- sus besprochenen Exemplaren waren von den Gruben immer noch «des ves- tiges, wenn auch «à peine appréciables» vorhanden, wie de la Brülerie es selbst angibt. | Zu vielen Behauptungen, welche de la Brülerie macht, kann man aber leider nur wenig Vertrauen haben, zumal da er selbst die betreffenden For- men, trotz unzweifelhaft sehr gewissenhafter Untersuchung, doch nicht rich- tig unterschieden zu haben scheint. Denn die von de la Brülerie (l. c. p. 123.) erwühnten, von ihm als Zwitter bezeichneten Exemplare zwischen Procrustes impressus und Carabus Hemprichi können, nach de la Brülerie's eigenen Angaben, ganz leicht den betreffenden Arten zugewiesen werden: das Männchen von Katana und das Weibchen von Zebdani sind C. (Procrus- tes) impressus mit zweilappiger Oberlippe, die erwähnten Exemplare von Nazareth dagegen С. (Pseudoprocrustes) Hemprichi mit dreilappiger Ober- lippe, und de la Brülerie ist offenbar nur aus dem Grunde, weil er die dreilappige Oberlippe als wesentlichstes Kennzeichen der Procrustes gehal- ten, zu solehen Angaben veranlasst worden. Dass solche Variationen hin- sichtlich der Bildung der Oberlippe bei den genannten Arten vorkommen kónnen, dies erscheint mir nicht unwahrscheinlich, beschreibt doch de la Brülerie (l.c. p. 113.) das Labrum des C. Hemprichi als «bilobé, mais peu profondément échancré, droit en son milieu ou méme légèrement arqué en avant», und bei dem mit C. Hemprichi nahe verwandten C. Saulcyi ist die Oberlippe gewöhnlich auch zweilappig, das einzige mir vorliegende Männ- chen hat indessen eine deutlich dreilappige Oberlippe! Ja, eine dreilappige Oberlippe kommt auch bei genuinen Caraben hin und wieder vor; in deut- lichster Weise dreilappig ist sie bei einem schwärzlichen Männchen des С. (Megodontus) violaceus aus dem nördlichen Ungarn, welehes Merkl unserem Museum gesandt, und desgleichen sah ich auch ein in Nowo-Rossisk gefan- Ä genes Exemplar des С. (Megodontus) exaratus, dessen Oberlippe deutlich dreilappig war. Ich zweifle auch gar nicht daran, dass die von Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887. p. 1.) ohne Frage fälschlich als Procrustes incertus Haury bezeichnete Form, «welche dureh den Habitus, die Sculptur und Färbung lebhaft an C. (Megodontus) purpurascens Е. var. asperulus Kr. er- innert», eine solche Megodontus-Form ist, deren Oberlippe abweichender- weise dreilappig ist, was eben auch einzig und allein Ganglbauer veran- lasst hat, diese als Procrustes anzusehen. Dass sie nicht zu Haury's Pr.in- certus gehóren kann, geht aus den Abbildungen, welche Haury (Géh. Cat. d. Carab. t. II. 3 et t. III. 3*.) gegeben, deutlich genug hervor. Nach diesen Mélanges TEE T. XII, p. 36. й (xxx) | ENTOMOLOGISOHE BEITRÄGE. 65 Abbildungen sind bei Haury’s Pr. incertus die Flügeldecken mit ziemlich dicht und regelmässig gereihten groben Punkten und mit drei Reihen ziem- lich grosser Grübchen versehen, bei С. violaceus var. asperulus Kr. (Claus- thal) dagegen mit kleinen durchaus unregelmässig zerstreuten Körnchen bedeckt und überdies von drei stärkeren, geglättenen erhabenen Striemen durchzogen und, in der Nähe der Naht, mit noch einer ähnlichen, indessen weit feineren, vierten Strieme versehen, und müssen daher die von Gangl- bauer für Pr. incertus angesehenen Exemplare mit den von Haury beschrie- benen in der Sculptur der Flügeldecken auch nicht die geringste Spur von Aehnlichkeit haben. Ganglbauer, dem Haury mitgetheilt haben mag, dass er Exemplare seines Pr. incertus im Wiener Museum gesehen, hat nach den Haury'schen, in der Diagnose und Beschreibung sich widersprechen- den, unklaren Angaben über die Sculptur der Flügeldecken offenbar die wirklichen Pr. incertus, wie ich es schon erwühnt, als neue Art angesehen, und als «Morawitzi» aufgeführt. Die dreilappige Oberlippe bei Procrustes und die zweilappige bei Carabus sind Merkmale, welche der Mehrzahl der dazu gehórigen Formen zwar unzweifelhaft zukommen, aber keineswegs in der Weise, dass die Oberlippe bei Procrustes stets dreilappig, bei Carabus dagegen ausnahmslos zweilappig wäre, so dass eine generische Sonderung von Procrustes mit «dreilappiger» und Carabus mit «zweilappiger» Oberlippe, wie es bis in die neueste Zeit hinein Brauch war, gar keine Berechtigung hat. Thomson, der bekanntlich Procrustes als eine Carabus gleichwerthige Gattung anerkennt, sieht aber die von Dejean und Klug als Carabus Hem- prichi beschriebene Art für einen echten Carabus an, weil bei dieser Art, abweichend von Procrustes, die innere Lade der beiden Mandibeln gleich- artig ist, und stellt Thomson den C. Hemprichi in seine Untergattung Tri- бах, während ich (Adeph. 1886. p. 8.) dieser «im Uebrigen mit der Pro- _crustes-Gruppe übereinstimmenden» Art in Verbindung mit Carabus Saulcyi und Procrustes Durvillei: (Duponcheli) ihre Stellung in einer besonderen, Procrustes und Chaetomelas nächst verwandten Gruppe, welche ich Pseudo- procrustes genannt, anweise. «Was nun die Untergattung Pseudoprocrustes anlangt», sagt Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887. p. 2.), «so halte ich die- selbe für unhaltbar, da der Character, auf welchen sie begründet wurde, bei einem neuen Procrustes nicht einmal specifische Bedeutung hat. Bei Procrustes Kotschyi Ganglb. п. sp.... sind die Ventralstrigae vollständig wie bei Pseudoprocrustes, oder unvollständig wie bei Chaetomelas, oder gegen die Seiten viel seichter und nur unvollständig mit den marginalen Lüngs- streifen verbunden». Das Wesentlichste, die mit den genuinen Carabus über- einstimmende, von mir überdies besonders hervorgehobene Bildung der inneren Lade der Mandibeln, verschweigt aber Ganglbauer, es wäre ja Mélanges biologiques. T. XIII, p. 37. 5 66 AUGUST MORAWITZ, МУ" sonst die Unhaltbarkeit der Gruppe Pseudoprocrustes nicht nachgewiesen. Ausserordentlich diplomatisch ist es auch, Arten, über deren systematische Stellung ich anderer Ansicht bin als Dejean, Schaum, Thomson und Kraatz, wie z. B. Carabus Hemprichi, anzuführen, ohne zu sagen, wohin sie gehóren, ganz einfach, ohne Nennung der Gattung oder Untergattung, nur unter dem Speciesnamen «Hemprichi», wie es Ganglbauer hier wieder- holt thut. | Die Chaetomelas- und Pseudoprocrustes-Arten sind hinsichtlich der Bil- dung der inneren Lade der rechten Mandibel von einander ganz verschieden. Bei С. (Chaetomelas) praestigiator ist die innere Lade der rechten Mandibel fast wie bei С. (Procrustes) coriaceus gebildet, zur Basis nämlich allmählich niedriger werdend und ist der Basalzahn derselben kurz oder auch gar nicht vorhanden; bei С. (Pseudoprocrustes) Hemprichi dagegen ist umgekehrt der apicale Zahn der inneren Lade der rechten Mandibel kurz, der basale aber kräftig und nach innen weiter vorragend; bei C. (Pseudoprocrustes) Sauleyi und Durvillei (Duponcheli) endlich sind beide Zähne der inneren Lade der rechten Mandibel gleichlang, der basale aber etwas schmäler als der api- cale. Aber es kommen auch Exemplare vor, bei welchen diese Zähne wahr- scheinlich durch langen Gebrauch gleichsam abgeschliffen sind und besteht der Unterschied in der Bildung der inneren Lade der rechten Mandibel darin, dass der Innenrand derselben bei C. Hemprichi dann parallel der Längsaxe der Mandibel geradlinig ist, bei С. praestigiator dagegen schief erscheint, indem die innere Lade zur Basis der Mandibel so niedrig: wird, dass sie über den Innenrand derselben auch nicht vorragt. In den Gruppen Chaetomelas und Pseudoprocrustes erscheinen die usuell angenommenen Pro- crustes-Merkmale mit Carabus- Merkmalen gemischt. Bei den Arten der Pseudoprocrustes-Gruppe ist die Oberlippe dreilappig oder auch zweilappig, der Kinnzahn an seinem abgestutzten Ende ausgerandet oder schmal, oder endlich gegen die abgerundete Spitze allmählich verjüngt, die innere Lade der beiden Mandibeln ist aber nahezu gleichartig gebildet wie bei den mei- sten der als Carabus bezeichneten Formen. Die Chaetomelas-Gruppe stimmt umgekehrt hinsichtlich der Oberlippe und der Bildung des Kinnzahnes mit letzteren überein, dagegen erscheint die innere Lade der rechten Mandibel abweichend von der linken gebildet, indem die innere Lade der rechten Mandibel, wie bereits erwähnt, zur Basis ganz niedrig wird und daher im | Ganzen schief erscheint wie bei Procrustes. C. (Chaetomelas) praestigiator stimmt hinsichtlich der Bildung seines Kopfes mit C. (Procrustes) impressus am meisten überein und, was sehr auffallend ist, auch hinsichtlich der Bil- dung des Forceps des Männchens; die Arten der Pseudoprocrustes- Gruppe ` aber, insbesondere C. Hemprichi, der wie auch Schaum (Ins. Deutschl. I. 1. Mélanges biologiques. T. XIII, p. 38. / (xxxim)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 67 1856. р. 176. 13.) es hervorhebt, dem С. (Procrustes) Mulsantianus (aspe- ratus Muls.) täuschend ähnlich ist, schliessen sich dagegen dem letztgenann- ten Procrustes innigst an und ist auch der Forceps der Männchen dieser Arten so übereinstimmend gebildet, dass unwillkürlich an einen genetischen Zusammenhang gedacht werden muss. Daher glaubte ich diesen, überdies meistens als Carabus angesehenen, aber in Wirklichkeit mit Procrustes nächst verwandten, unzweifelhaften Uebergangsformen zwischen den bis in die neueste Zeit hinein so oft als generisch verschieden in Anspruch genom- menen Procrustes und Carabus durch Annahme eigener Gruppen Rechnung tragen zu müssen. Am wenigsten Widerspruch dagegen hätte ich erwartet von Ganglbauer, da in einer, ohne sein Wissen schwerlich zur Veröffent- lichung gekommenen, nicht genug zu beachtenden Zuschrift Ganglbauer (Berl. E. 2. 1884. p. 390.) sich in folgender, für die Entomologen im All- gemeinen gerade nicht sehr schmeichelhafter Weise äussert: «Die Entomo- logie ist mit Recht in den Augen der wissenschaftlichen Zoologen in Folge der gedankenlosen Specieskrämerei in Misseredit gekommen. Dilettanten, die allerdings hoch zu Ross sitzen und ganz eigenthümlich erhaben über die Descendenztheorie, die allein wieder Geist in die descriptive Zoologie ge- bracht hat, aburtheilen, verstehen nichts Anderes als über prioritütsberech- tigte Namen, gute und schlechte Arten, Synonyme etc. zu hadern und da- bei von Zoologie so gut wie nichts. Welcher Zoologe kümmert sich darum um ihre Leistungen etc.» Um wenigstens in letzterer Hinsicht als Zoologe zu gelten, kümmert sich Ganglbauer um die Mittheilungen der Entomo- logen natürlich auch nicht; steht er ja wenigstens in seiner Meinung 50 hoch über diesen, kann aber schliesslich selbst nichts Anderes fassen — als Syno- nymisches. Doch auch Synonymisches wäre dankbar entgegenzunehmen, wenn es nur irgend begründet wäre; in dieser Hinsicht hat aber kaum Je- mand so viele geradezu unglaubliche Fehler gemacht als gerade Gangl- bauer, was eine Erklärung findet in dem Dünkel, mit welchem Gangl- bauer, in gar zu grossem Bewusstsein seines eigenen wissenschaftlichen Werthes, herabsehen zu müssen glaubt auf die Leistungen der Entomologen, die seiner Meinung nach so gedankenlos sind, dass er sie durchaus igno- riren müsse, freilich auf die Gefahr hin, in den Augen dieser Entomologen jedenfalls nicht als einer «der wissenschaftlichen Zoologen» zu gelten, als welchen Ganglbauer sich selbst so erhaben über die Entomologen stellen ` zu müssen glaubt. Die paar Versuche, welche Ganglbauer bis jetzt ge- macht, Caraben-Gruppen zu charakterisiren, zeigen deutlich genug, dass sich Ganglbauer auch nicht einmal um Thomson's Arbeit «kümmert», und sind daher auch die von Ganglbauer gegebenen Charakteristiken in Wirk- liehkeit ganz ohne Verstündniss nts decus Phrasen, welche nicht Mélanges biologiques. T. XIII, p. 39. 5* 68 AUGUST MORAWITZ, “в: 8.1 einmal genügend sind zur Erkennung der сете еп Gruppe und daher auch zur Erkenntniss der verwandtschaftlichen Beziehnungen der Caraben abso- lut nichts beitragen. Bei der Untersuchung der Caraben, deren Artenzahl eine so grosse ist und deren verwandtschaftliche Beziehungen zu erschliessen, eigentlich erst Thomson den ersten Versuch gemacht, hat sich mir immer mehr und mehr die Nothwendigkeit aufgedrängt, nächst verwandte, in gewissen Merkmalen übereinstimmende Caraben-Gruppen als mehr oder weniger kleine Abthei- lungen innerhalb der artenreichen Gattung Carabus zusammen zu fassen. Eine solche Abtheilung innerhalb der Gattung Carabus bilden z. B. die Gruppen oder Untergattungen Platycarabus Mor. (Platychrus Seidl.), Plec- tes Fisch. (Neoplectes Reitter 1887.), Tribax Fisch. (Platychrus Kol.), Damaster Kollar, Coptolabrus Sol., Acoptolabrus Mor. und Cychrocarabus (Ornithocephalus) Semenow, welche Abtheilung als Carabi tribacogenici bezeichnet werden kann; eine andere Abtheilung bilden die Carabi cecheno- genici mit Iniopachus Sol., Cechenus Fisch. (пес Solier et Seidlitz, quod subgenus Pseudocechenus Mor. (— Platychrus Thoms.) nominandum est) und Cathaicus Bates, worauf ich schon früher hingewiesen (cf. Adeph. 1886. p. 18. Anm. — p. 60.), und eine solche Abtheilung bilden auch die mit der Procrustes- Gruppe zunächst verwandten Gruppen, welche Abtheilung sich in folgender Weise charakterisiren liesse: Carabi procrustogenici. Strigae laterales oceipitis distinctae, supra continuae. Сша distincte constricta, plerumque seta nulla utrinque. Mandibulae apice parum incurvae, externe rotundatae. | Palpi labiales articulo penultimo setis pluribus plerumque biseriatis. Pronotum setis lateralibus nullis. Abdomen segmentis 3—5 plerumque seta nulla utrinque. Elytra saltem postice lateribusque asperato-tuberculata. Folgende Uebersicht der einzelnen Gruppen dieser Abtheilung dürfte die natürliche Verwandtschaft der hierhergehörigen Caraben zum Ausdruck bringen: I. Mentum planiusculum, sinu lato, ветісігешагі. Antennae articulo secundo quarto breviore. Gula plerumque puncto setigero utrinque. Mas tarsis anticis articulis quatuor subtus spongiosis. _ Caput validum vel validiuseulum, fronte transversa, collo lato vel latiusculo, A oculis plus minusve subtransversis, postice minus rotundatis. Clypeus apice emarginatus. Labrum lateribus fere parallelis. Mandibulae ad basim externe profundius emarginatae. Metathorax episternis transversis. Mélanges biologiques. T. XIII, p. 40 y (хххш)| ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 69 Ы bo о = Pachystus Motsch. Bull. Mosc. 1865. II. р. 294. (pro parte). — Melancarabus Thoms. Opusc. ent. VII. 1875. p. 674. — Mandibulae mala interiore recta dentibus aequalibus vel basali longiore. Mentum dente acute triangulari, marginato. Labrum apice emarginatum, Abdomen strigis ventralibus profundis, ad latera evanescentibus, vel tenuibus vix indicatis, vel omnino nullis, segmentis 8--59 saepius utrinque setigeris. II. Mentum medio ad dentem tuberculato-elevatum, sinu angusto. Antennae artieulo secundo quarto aequali vel paulo longiore. Gula seta nulla utrinque. Mas tarsis anticis articulis tribus primis subtus spongiosis. A. Caput validum, fronte valde transversa, collo lato, oculis plus minusve sub- transversis, margine postico minus rotundatis. Clypeus apice emarginatus. Labrum lateribus fere parallelis vel antrorsum vix latius. Mandibulae ad basim externe profundius emarginatae. Metathorax episternis transversis. Procrustieus White. Ann. Nat. Hist. XV. 1845. p. 111. — Lamprostus Motsch. Bull, Mosc. 1865. IL. p. 297. (ex parte, exclus. C. Hemprichi, C. Ehrenbergi et С. Brandti). — Carabus B. (groupe des Lamprostus) de la Brülerie Ann. S. E. Fr. 1875. p. 118. (ex parte, exclus. C. Hemprichi, C. Sauleyi et C. Ehrenbergi В rl. = praestigiator). — Tribax Thoms, Opusc. ent. VII. 1875. p. 670. (ex parte, exclus. C. Hemprichi). — Mandibulae mala interiore recta, bidentata, rarius obsoleta. Mentum dente valido, late triangulari apice rotundato vel subtruncato, aut angustiore, apice obtuso et toto profunde sulcato. Labrum apice emargi- natum aut subtruncatum, interdum trilobatum, lobo medio brevissimo aut lobis lateralibus aequali. Abdomen strigis ventralibus bene expressis, ad latera evanescentibus aut nullis et solum interdum indicatis, segmentis 5? vel etiam 4? et 3? interdum puncto setigero utrinque instructis, plerumque nullo. B. Caput minus validum, fronte et collo minus latis, post .oculos subrotundos distinctius constrictum. Clypeus apice subtruncatus. Labrum antrorsum distinctius dilatatum. Mandibulae externe ad basim obtusius emarginatae. Metathorax episternis fere quadratis. / . Procrustes Bonelli Мет. de Ac. d. sc. de Turin. 1811. p. 39. — Carabus С. (sous-genre Proerustes) de la Brül. Ann. S. E. Fr. 1875. p. 120. — Mandibulae mala interiore inaequali, sinistra recta bidentata, dextra obliqua dente apicali magis producto, basali saepe obsoleto vel nullo. Mentum dente lateribus fere parallelo, apice lato, truncato vel emarginato. Labrum apice plerumque trilobatum, rarius emarginatum. Abdomen strigis ventralibus bene expressis ad latera evanescentibus vel usque ad latera productis aut omnino nullis ; segmentis 3—5 punctis setigeris nullis. Antennae articulo primo puncto setigero nullo (Procrustes s. str. Thomson Opuse. ent. VII. 1875. p. 634.) aut, ut apud omnibus aliis, puncto setigero instructo vel rarissime etiam nullo (Procrustes 22? section de la 1, 1. c. — Macrogenus Motsch. Bull. Mosc. 1846. II. p. 398. — Chaetomelas Thoms. Opusc. ent, VII. 1875. p. 635. (ex parte vel tota parte ?). — Sphoäristus Fauvel Rev. ۰ ПІ. 1884. p. 294). Pseudoproerustes Mor. Адерћ, I. 1886. р. 8. — Lamprostus Motsch. et de la Вгйі. ex parte. — Tribax Thomson ex parte. -- Mandibulae mala interiore recta, dentibus fere aequalibus vel basali longiore vel omnibus obsoletis, tum mala interne directa, Mentum dente latiusculo apice emarginato vel angusto longitudinaliter sulcato aut antice angustato, apice subrotundato; lobis lateralibus planis externe rotundatis et marginatis. Labrum emarginatum, interdum trilobatum. Abdomen strigis ventralibus profundis, usque ad latera ` Mélanges biologiques. T. ХШ, p. 41. 70 AUGUST MORAWITZ, [№ 8. 1 productis et in sulcum lateralem exeuntibus; segmentis 5—5 punctis setigeris nullis, raris- sime 5? vel etiam 4? puncto setigero. bau) Chaetomelas Thoms. Opusc. ent. УП. 1875. р. 634. (ex parte). — Zamprostus de la Brül. (ex parte). Mandibulae elongatae mala interiore inaequali, sinistra recta bidentata, dextra obliqua dente apicali mägis producto, basali minimo, obsoleto vel nullo. Mentum dente (sec. Thomson) lato aut angusto, longitudinaliter suleato, apice rotundato. Caput angustius, fronte fere quadrata, labro bilobo. Abdomen strigis ventralibus bene expressis, ad latera evanescentibus, segmentis 3—5 punctis setigeris utrinque unico vel duobus. Die Carabi procrustogenici und die Сакай tribacogenici sind vielleicht nüchst verwandte Gruppencomplexe, und kónnte die eine von de 1а Brüle- rie als flache Varietüt des C. (Chaetomelas) praestigiator (Ehrenbergi Brül.) aufgefasste Form vom Dshebel-Sannin und auch von Géhin als Varietät dieses de la Brülerie’schen C. Ehrenbergi angesehene und als var. Piochardi bezeichnete Form ein wirkliehes Bindeglied sein. Nach Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887. p. 2.) erinnert diese mir nicht bekannte Form, welche nach ihm «eine selbstständige Art bilden dürfte, habituell an Tribaz (Plectes) pon- ticus», aber leider theilt Ganglbauer sonst gar nichts über diese allgemein unbekannte Form mit, nicht einmal zu welcher Gruppe sie gehórt, nament- lich auch nicht, ob es eine Art ist, welche dem de la Brülerie'schen C. Ehrenbergi, == praestigiator, trotz des abweichenden, an Tribax erinnernden Habitus dennoch so nahe verwandt ist, dass sie, wenn auch specifisch ver- schieden, wenigstens zu derselben Gruppe zu ziehen sei. Ob Sphodristus acuticollis Motsch. zu den procrustogenen Caraben zu ziehen sei, bleibt zu- nächst unerwiesen; er scheint unzweifelhafte Beziehungen zu Thomson’s Untergattung Sphodristus zu haben, welche in neuerer Zeit Sphodristocara- bus genannt wird, und wird diese Gruppe im System zwischen den procru- stogenen und tribacogenen Caraben vorläufig die beste Stellung haben, wäh- rend andrerseits an Pachystus sich Lipaster (Lamprocarabus) anschliessen dürfte. ۱ . Ein Blick auf Ше vorstehende Zusammenstellung der procrustogenen Сағабеп zeigt, dass die Gruppen in verschiedener Weise von einander ab- weichen. Von den übrigen am meisten differenzirt. erscheint die Pachystus- Gruppe, wührend die andern durch eine Anzahl gemeinsamer Merkmale zu der genannten Gruppe gewissermaassen einen Gegensatz bilden. Aber in anderen Charakteren stimmen die Gruppen Pachystus und Procrusticus mit einander überein und stehen, wenn man diese Merkmale voranstellen wollte, zusammen wiederum in einem Gegensatz zu den drei anderen Gruppen, welche letzteren auf's Innigste mit einander verwandt sind, obgleich zu den Gruppen Pseudoprocrustes und Chaetomelas solche Arten gehören, welche sogar ganz allgemein als genuine Caraben angesehen worden sind, und ist ihre nächste Verwandtschaft mit der Procrustes- Gruppe wohl nur deshalb Mélanges biologiques. T, XIII, p. 49. (ххх) ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. = 71 ganz allgemein verkannt worden, weil Gewicht gelegt wurde auf angeblich generische, in Wirklichkeit aber ganz unwesentliche, zum Theil sogar bei ein und derselben Art variable Merkmale. Wenn ich den Namen Procrusti- сив für die unter diesem Namen aufgeführte Caraben-Gruppe jetzt definitiv annehme, nachdem ich (Adeph. I. 1886. p. 46.) schon früher die Zugehörig- keit des Procrusticus Paiafa zu dieser Gruppe als wahrscheinlich hinge- stellt, so geschieht es, weil unterdessen Haury (Stett. E. Z. 1887. p. 284— 290 cum tabula.) den mir leider noch immer unbekannten С. (Procrusticus) Paiafa offenbar sehr gut abgebildet, und kann über die systematische Stel- lung dieser Art nach der in der Abbildung deutlich angegebenen Oberlippe, welche nach vorn nicht erweitert ist, und desgleichen nach der ganzen Con- figuration des Kopfes, an welchem die Augen klein und nur schwach gewölbt erscheinen, kein Zweifel obwalten, dass diese Art wirklich zu derselben Gruppe gehört, wie C. robustus und Verwandte. А. а. О. habe ich mich auch gegen die Identificirung von C. (Sphodristus) acuticollis und C. (Procrusticus) Paiafa ausgesprochen, welcher Ansicht sich auch Kraatz (Deutsch. E. ۰ 1887. p. 145.) nachtrüglich angeschlossen, was aber Ganglbauer (Deutsch. Е. Z. 1887. p. 146—147.) trotzdem sogleich «korrigiren» zu müssen glaubte, wobei er seine absolut irrigen Angaben über die angebliche Identität der genannten beiden Caraben überdies mit dem Schluss versehen zu müssen "glaubte: «Mit dem Vorliegenden sind auch die von Morawitz ausgesproche- nen Vermuthungen über Sphodristus und Procrusticus widerlegt». Haury indessen, der sich, in Uebereinstimmung mit mir, gleichfalls gegen die Iden- titàt der beiden genannten Caraben ausspricht, verweist aber trotzdem, um seine freundschaftlichen Beziehungen nicht zweifelhaft zu lassen, auf Gangl- bauer's Aufsatz, indem er mittheilt, dass er ihn «bis auf dessen Schluss, vollinhaltlich unterschreibe», was doch jedenfalls schon mehr als diploma- tisch ist. Haury's Abbildungen sind vortrefflich, seine Beschreibungen aber leider nicht so, und muss man nur staunen, wenn Haury (1. с. р. 287.) das Kopfschild als Stirn bezeichnet, die Stirn dagegen als Scheitel, die Kie- fertaster als dreigliederig und die Lippentaster als zweigliederig angibt u. з. w., und wenn man daher seine Beschreibungen ab und zu nicht versteht, so kann es nicht zweifelhaft sein, wem die Schuld dabei zuzuschreiben ist. Ganglbauer (Stett. Е. 7. 1887. p. 339—343.) bespricht gleich darauf von Neuem Procrusticus Paiafa und Sphodristus acuticollis, indem er durch Kórnchen, die er bei beiden verfolgt, wenn auch nieht mehr die Identitit. so doch wenigstens «die nahe Verwandtschaft der beiden Arten eingehend erörtern» möchte, «da dieselbe von Haury negirt wird». Ganglbauer's (1. €. p. 343.) auf diese Kórnchen basirte, schliessliche «Vermuthung, dass Paiafa und acuticollis wahrscheinlich noch durch Zwischenformen verbunden Melanges biologiques. T. XIII, p. 43. * 24 AUGUST MORAWITZ, [N. 8.1 sind, beweist indessen nur, dass ihm das Verständniss für Gruppenmerkmale noch vollständig abgeht. Denn obgleich «Pr. Paiafa die Charaktere von Pro- crustes, denen man früher generischen Werth beilegte, in hohem Grade aus- gebildet» zeige, wie Ganglbauer (l.c. p. 339.) merkwürdigerweise behaup- tet, so scheint bei C. (Procrusticus) Paiafa, mit Ausnahme der drei rund- lichen Lappen an der Oberlippe, was )а auch bei andern Caraben hin und wieder vorkommt, und daher ganz irrelevant ist, trotz Ganglbauer's Be- hauptung, gar nichts mit der Procrustes-Gruppe Uebereinstimmendes vor- handen zu sein, und wie wenig Ganglbauer die für die Procrustes-Gruppe angegebenen Merkmale kennt, geht aus seiner Schilderung der Mandibeln von Pr. Paiafa und Sphodristus acuticollis deutlich genug hervor. «Die star- | ken Mandibeln zeigen, nach Ganglbauer (1. с. p. 340.), «bei beiden einen kräftigen Basalzahn (processus Thomson), der von dem Basalzahn über- deckte, in zwei divergirende Spitzen getheilte, Mahlzahn, (innere Lade oder dens basalis Thomson) der linken Mandibel ist in derselben Weise unsym- metrisch entwickelt, indem seine hintere Spitze viel mehr verlängert ist als die vordere». Dass es bei Procrustes auf die Bildung der inneren Lade der rechten Mandibel ankommt, was Thomson überdies ganz besonders her- vorhebt und als wesentlichstes Merkmal für Procrustes in den Vordergrund stellt, darum hat sich Ganglbauer wieder einmal nicht gekümmert und gibt er daher auch überhaupt gar nichts über den Bau der inneren Lade der rechten Mandibel an. Nichtsdestoweniger kann mit voller Sicherheit behauptet werden, dass C. Paiafa und C. acuticollis nicht nur nicht identisch sein kónnen, sondern auch nicht einmal zu ein und derselben Gruppe ge- hören, wenn man nur beim Suchen nach übereinstimmenden Körnchen . nicht die hauptsächlichsten Unterschiede, wie es Ganglbauer thut, voll- stándig übersieht. Meinen Ausspruch, dass sich Ganglbauer in die Caraben noch nicht recht hineingearbeitet zu haben scheint (cf. Adeph. I. 1886. p. 52.), muss ieh leider auch jetzt noch als durchaus begründet aufrecht erhalten, wobei allenfalls nur der Zusatz «zu haben scheint» angefochten werden kann. Zur Procrusticus-Gruppe кейге anch С. Calleyi und С. torosus, hin- sichtlich deren Deutung Ganglbauer (Soc. ent. П. 1887. р. 2.) meine Angaben gleichfalls «korrigiren» zu müssen glaubte, wobei er ausserdem noch mittheilt, er «werde an änderer Stelle die Synonymie der in diese Gruppe gehörigen Arten feststellen». Aber dieses ist trotzdem bis jetzt nicht geschehen, und hat sich auch diese Ganglbauer’sche Ankündigung in gleicher Weise als illusorisch erwiesen, wie alle andern. Ich hätte natürlich gern eine Begründung gesehen von Ganglbauer’s zur => völlig unmotivirten Behauptungen, da das Deuten der gewöhnlich len Beschreil Melanges biologiques. T. XIII, p. 44. e (хххш) | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 73 und der meist wenig befriedigenden Abbildungen aus alter Zeit immerhin in verschiedener Weise geschehen kann, namentlich wenn zufälligerweise ein aberrantes Exemplar beschrieben oder abgebildet worden ist. In einem solchen Falle ist ja oft genug nur dann eine Deutung mit voller Sicherheit möglich, wenn wieder genau solch ein Exemplar zur Beobachtung kommt, wie dasin der Beschreibung, resp. Abbildung dargestellte. Das von Fischer (Entomogr. Ross. П. 1823. р. 96. t. 34. f. 2.) als Carabus Calleyi be- schriebene Exemplar ist aber ein normales und trotzdem behauptet Gangl- bauer, der C. Calleyi Fisch. «st ohne Frage die von Faldermann be- schriebene Varietät Boschniaki des C. Stjernvalli Mannerh.»! Hinsichtlich dieses Ganglbauer'schen apodictischen Ausspruches unterliegt es aber gar keinem Zweifel, dass Ganglbauer ohne Frage wieder einmal weder Fischer's, noch auch Faldermann's Angaben über die betreffenden For- men, noch auch die betreffenden Caraben mit diesen Angaben überhaupt verglichen. Die Form, welche ich als C. Calleyi ansehe, ist ganz ohne Zwei- fel die Fischer'sche Art und ich kann dies mit aller Bestimmtheit sagen, da die von Ménétriés (Cat. rais. 1832. p. 109. 34&) im Talyschgebirge gesammelten Exemplare von Fischer selbst als C. Са еу) bestimmt worden sind, und auf diese Form treffen auch alle Fischer'schen Angaben zu, aber absolut gar nicht auf Faldermann's C. Boschniaki. Faldermann (Faun. transcauc. III. 1838. p. 21.), der als C. Calleyi fülschlicherweise den C. prasinus aufführt, scheint Veranlassung dazu gegeben zu haben, dass C. prasimus auch von Thomson (l. c. p. 671.) und Kraatz (Deutsch. E. Z. 1879. p. 30. 6. — p. 385.) unter dem Namen C. Calleyi aufgeführt worden ist. C. Calleyi ist übrigens den grossen, als C. Renardi von Chaudoir (Enum. Carab. 1846. p. 83.) beschriebenen Exemplaren des C. prasinus sehr ähnlich, indessen sicher specifisch verschieden durch die tiefen, scharf markirten Sulei ventrales und durch die dichte Punktirung der Flügeldecken, . auf welchen die Punkte wahrscheinlich nie regelmüssig gereiht sind, und auf welchen auch nur selten keine geglätteten Längsstriemen, meist aber als solehe wenigstens die drei Costallimes, oder auch noch ein bis vier Inter- costallimes mehr oder weniger deutlich hervortreten, wie solche vier Striemen auch in Fischer's Abbildung der Flügeldecke des C. Calleyi deutlich sichtbar sind. Auf den glatten Costallimes treten hin und wieder gegen die Flügeldeckenspitze zu einzelne feine Körnchen auf. Bei С. Boschniaki sind die Flügeldecken, wie bei allen andern Varietäten des C. Stjernvalli, auf der Scheibé gewöhnlich ganz glatt, die hier nur bisweilen auftretenden Punktstreifen sind immer sehr fein, zwischen dem wenigstens hinten deut- lichen Nahtstreifen und dem ersten Costallimes sind nur drei solcher Punkt- streifen vorhanden und zwischen je zwei Costallimes vier, im Ganzen also Mélanges biologiques. Т. ХШ, p. 45. 74 AUGUST MORAWITZ, [N. 8. 1 die gewöhnlichen fünfzehn regelmässigen Punktstreifen, welche durch sehr breite, gleichartige Zwischenräume oder Limes von einander in deutlichster Weise geschieden sind, und erscheinen die Costallimes, namentlich der dritte, wenigstens hinter der Mitte immer mit grossen Grübchen versehen, in welchen sich je ein grobes Höckerchen befindet. Wie Ganglbauer den in Seulptur der Flügeldecken so verschiedenen Fischer'schen Carabus Calleyi auf С. Stjernvalli hat deuten können, ist darnach ganz unverständ- lich, da bei C. Calleyi die Punkte so dicht sind, dass sie an den Stellen, wo sie gereiht auftreten, eine doppelt so grosse Anzahl von Punktreihen auf- weisen. Auch erscheint der Seitenrand des Halsschildes in der von Fischer mitgetheilten Abbildung des C. Calleyi gewulstet und nicht abgeflacht; hätte dem Zeichner ein C. Boschniaki vorgelegen, so hätte er nicht einen solchen Wulst zeichnen können, da ein solcher bei letzerer Form garnicht vor- handen ist, sondern der Zeichner hätte die nach hinten breit abgeflachten Seiten des Halsschildes dieser Form doch wohl zur Darstellung gebracht. Zetter, der in damaliger Zeit die meisten der von Fischer und Falder- mann veröffentlichten Tafeln angefertigt, war übrigens ein sehr mittel- mässiger Zeichner, und sind die von ihm gelieferten Abbildungen ziemlich schablonenhaft, namentlich glaubte Zetter das Halsschild eines Carabus nie herzfórmig genug darzustellen. Auf derselben Tafel, auf welcher C. Calleyi dargestellt ist, erscheint 2. В. auch C. maeotis Fisch. (= mingens Dej.) mit starker Ausbucht vor den nach aussen vorgezogenen, spitzen Hinterecken des Halsschildes, was überhaupt bei keiner Pachystus-Form vorkommt, und als Zetter's Gewohnheit bei Beurtheilung solcher Figuren nicht unberücksichtigt bleiben darf, ebenso wie Fischer's Gewohnheit, fast jeden Carabus in seinen Beschreibungen mit «thorace lyrato, lyriforme, cordato oder cordiforme» auszustatten. Das dürfte genügend sein, um Ganglbauer’s Widerspruch hinsichtlich дег une des ©. De geradezu als leichtfertig zu bezeichnen. | Kraatz (Deutsch. Е. 2. 1876. р. 142. — 1879. 0. 30.5.) hat, durch die Sculptur der Flügeldecken irre geleitet, die letztgenannte Art, den C. Calleyi nàmlich, als C. іоғовив aufgeführt. Carabus torosus, der eben so wie der von Ménétriés (Bull. d. l'Ac. Imp. d. sc. d. St. P. I. 1836. p. 149.) fast gleichzeitig beschriebene C. Bonplandi fälschlicherweise als aus der euro- päischen Türkei stammend angegeben ist, stimmt nach der von Frivaldszky (А? Magyar tudös. 1835. t. 5. f. 2.) gegebenen Abbildung eines Weibchens von 37 mm. Länge in der Grösse und dem ganzen Habitus mit einzelnen Exemplaren dieser sehr veründerlichen, unter dem Namen Bonplandi (Spi- nolae) in den Sammlungen jetzt zahlreich vorhandenen Art durchaus überein, und da eine andere kleinasiatische, gewöhnlich gleichfalls grün oder kupfrig Mélanges biologiques. T. XIII, p. 46. хххш)] ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 75 metallglänzende Procrusticus-Art, nämlich C. robustus Deyr., nach Gilnizki (Rev. et Mag. d. Zool. 1872. p. 474.) hin und wieder auch dunkel blau oder schwarz gefärbt erscheint, so halte ich es für durchaus sicher, dass C. torosus nichts Anderes ist als ein aberrantes schwärzliches Weibchen des C. Bonplandi, wenn mir auch ein solches ungewóhnliches Exemplar, wie es Frivaldszky bekannt gemacht, noch nicht zu Gesicht gekommen. Mir liegt aber von C. Bonplandi ein Männchen vor, welches in der Form des Halsschildes, das nach vorn ganz auffallend verjüngt ist, fast genau mit der citirten, von Frivaldszky gegebenen Abbildung übereinstimmt; bei einem andern Männchen sind die Flügeldecken in ähnlicher Weise punktirt, wie bei dem Frivaldszky'schen Exemplar, und es treten auf denselben in deutlichster Weise die Costallimes als drei glatte Längsstriemen hervor. Das von Frivaldszky abgebildete Weibchen ist ein in der Sculptur der Flügeldecken noch mehr abweichendes Stück des С. Bonplandi, indem zwischen den drei, als geglättete Striemen hervortretenden, Costallimes in ühnlicher Weise auch noch drei Intercostallimes auftreten, ganz so wie es bei Exemplaren des C. Сай еу auch vorkommt. Wenn Ganglbauer (Soc. eat. II. 1887. p. 2.) behauptet: «C. torosus Kraatz ist gewiss die Fri- valdszky’sche Art», so bleibt mir das «unverständlich», da Kraatz seinen C. torosus einfarbig schwarz bezeichnet und ihm einen breiten queren Thorax zuschreibt, während der Frivaldszky’sche C. torosus metallisch ist und ein eher als schmal zu bezeichnendes Halsschild aufweist. Kraatz’s Vermuthung, dass seine Exemplare von Frivaldszky stammen, ist schon deshalb unwahrscheinlich, weil Frivaldszky, wie aus den angegebenen Maassen hervorgeht, offenbar nur ein einzelnes Weibchen gekannt, über welches er in ungarischer Sprache folgende Angaben macht: «Länge 1 Zoll 1 Linie, Breite 6 Linien. Kopf schwarz, gross, nach vorn gestreckt, die Mitte der Stirn leierförmig erhöht, an beiden Seiten neben den Augen eingedrückt.... Halsschild schwarz, herzförmig, in der Mitte nach dem Kopfe zu convex, am Vorderrande eingesäumt und gekerbt, hinten nieder- gedrückt und punktirt und fast gerade abgeschnitten, die Seiten aufgebogen, hinten zwei stumpfe іп” Blaugrüne spielende Zipfel bildend .... Flügel- decken convex, schwarz; 1//, mal breiter als das Halsschild, elliptisch, fein punktirt mit feinen Längslinien, .... die Ränder ашкеһекеп н "e grün glänzend.....: » Aus einem Vergleich dieser Рота disk! schen Angaben mit den з von Kraatz über seinen C. torosus gemachten, leider auch wenig befriedigenden Bemerkungen ist es doch wohl durchaus sicher, dass die von Kraatz als C. torosus aufgeführte Art nicht identisch sein kann mit der von Fri- valdszky beschriebenen. Marseul (Abeille. XIX. 1880. p. 124.178.) repro- Mélanges biologiques. T. ХШ, p. 47. | 76 AUGUST MORAWITZ, CR dueirt in französischer Sprache, obgleich er einzig und allein «Frivald. Maggyar. П. 252.» eitirt, Wort für Wort die von Kraatz über seinen С. torosus gemachten Angaben und erweckt so den Glauben, als wären diese Angaben Frivaldszky entlehnt, obgleich nicht ein Wort zu Frivaldszky’s Angaben passt, nur bezieht Marseul überdies zum Schluss irrigerweise auf C. chalconotus die Angaben, welche Kraatz zum Unterschiede von diesem über C. torosus mitgetheilt. Die von Sacher (Wien. E. M. 1860. p. 145.) gemachte Angabe, dass C. torosus zur Gruppe des C. graecus, mingens und hungaricus gehóre, hat vielleicht Géhin (Cat. d. Carab. 1885. p. 7.10.) ver- anlasst, diesen falschen C. torosus nach einem männlichen Exemplar von Diarbekir als Pachystus procrustoides als neue Art zu beschreiben, doch sind Géhin's Angaben sehr dürftige, und wenn auch in denselben absolut nichts vorhanden, was nicht auf C. Calleyi bezogen werden kann, so spricht doch Géhin's (l. c. p. XIIL) Angabe, dass die Männchen aller von ihm als Pachystus angesehenen Arten «ont quatre pulvilli aux tarses antérieurs», gegen eine solche Deutung, wenn nicht Géhin, was bei ihm leider nur zu oft vorkommt, auch in diesem Falle seine angeblich neue Art falsch ein- gereiht, wie ja überhaupt die Pachystus-Gruppe bei Géhin die allerdifferen- testen Caraben enthält, da er ja auch C. glabratus, cribratus, bessarabicus und Mniszechi hinzugezogen. Vermuthungen auszusprechen über beschrie- bene Formen, namentlich wenn über dieselben Jahre lang sonst von keiner Seite Mittheilungen gemacht worden sind, wird man Denjenigen gestatten müssen, die sich mit den betreffenden Gruppen einigermaassen vertraut gemacht. Denn selbst, wenn solche Vermuthungen sich nicht bewähren sollten, so regen sie doch Diejenigen, denen solche mangelhaft beschriebene und daher zweifelhaft gebliebene Formen aus Autopsie bekannt sein sollten, zu Mittheilungen an, wenn auch leider meistens nur dann, wenn sie glauben, solchen Vermuthungen widersprechen zu müssen. Da aber der von Fri- valdszky abgebildete C. torosus gar keine habituelle Aehnlichkeit hat mit C. prasinus (Calleyi Kraatz), mit welchem Kraatz seine Art vergleicht, so unterliegt es keinem Zweifel, dass auch hinsichtlich des C. torosus sich Ganglbauer offenbar nicht die Mühe gegeben, die Frivaldszky'sche Originalbeschreibung und Abbildung auch nur anzusehen, sondern sich wahr- scheinlich mit Marseul's Abeille begnügt. Ueber diese Abeille hat Kraatz (Ent. Monatsbl. II. 1880. p. 113—116.) übrigens eingehend berichtet, leider aber nicht bemerkt, dass die Reproduktionen nicht immer der ange- gebenen Quelle entsprechen, wodurch schliesslich nur dem Irrthum Vor- schub geleistet wird. Damit habe ich alle давши schen angeblichen қанден іп extenso besprochen und stimme ich der früher von Kraatz (Ent. Monatsbl. Mélanges biologiques. T. ХПІ, p. 48. (ххх | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. | Z6. II. 1880. p. 114. Aum.) ausgesprochenen Ansicht bei, dass es hin und wieder leider eine nicht zu umgehende Nothwendigkeit ist, aufzutreten gegen Solche, die «mit grósster Oberflächlichkeit gegen die Wissenschaft vorgehen», — wenn es auch nur die entomologische ist. Ев ist aber sehr bezeichnend für die jetzige Zeit, dass die Jungen, im Bewusstsein ihres hohen Stand- punkts, geradezu wegwerfend über die Entomologen im Allgemeinen glauben reden zu müssen, dabei aber leider ausser Acht lassen, dass ohne descriptive Entomologie eine wissenschaftliche Entomologie gar nicht denkbar ist, und dass es ihnen selbst auch gar nicht einmal leicht füllt, in dieser Hinsicht brauchbare Mittheilungen zu machen. Ein solcher unglaublicher Dünkel gegenüber den von ihnen wo móglich auch «Entomographen» Genannten ist aber geradezu lücherlich, denn es ist schon seit Latreille, dem hervor- ragendsten Entomologen oder Entomographen der alten Zeit, auch in der Entomologie das Bestreben zur Geltung gekommen, die natürliche Verwandt- schaft der Arten darzulegen, das Ziel ist auch nach.Darwin kein anderes geworden, und der seit alter Zeit von den Systematikern gebrauchte Aus- druck «Verwandtschaft» bei Erörterung einander nahe stehender Arten ist doch gewiss eben so wenig zufällig, wie der von «Familie» u. $. w. Die Jungen sollten doch H. Milne-Edwards’s (Lecons sur la phys. et l’anatom. compar. I. 1857. p. 8.) Ausspruch beherzigen: «Chaque question s'est murie lentement; et si c'est pour tous une táche ingrate et fastidieuse que de rappeler la longue série des opinions fausses ou incertaines dont elle a pu étre l'objet, c'est au contraire une oeuvre utile et pleine de charmes (au moins pour celui qui l'entreprend) que de montrer comment la lumière s'est faite. En voyant la manière dont la-science s'est constituée et a grandi peu à peu, on en saisit mieux l’espritset les méthodes; on apprend à connaitre les hommes aussi bien que les choses, et l'on s'inspire d'un juste respect pour les travaux des investigateurs de la Nature, lors méme que les fruits de leur labeur n'auraient pas encore apparu; car dans cette étude on rencontre maints exemples de faits qui, restés longtemps stériles et négligés, sont devenus tout à coup le germe d'une grande découverte lorsque le moment était arrivé pour en comprendre la portée, et qu'un homme de génie était ` venu y apposer son cachet». Ueber das was Gan glbauer als Gattungen unter den Caraben annimmt in's Klare zu kommen, ist ein ziemlich vergebliches Bemühen. Gangl- bauer (Deutsch. E. Z. 1886. p. 305.) gab eine Revision der kaukasischen Plectes- oder Tribaz-Arten «ein Bruchstück einer für die Annalen des k. k. naturhistorischen Hof-Museums in Wien bestimmten umfangreichen Revision der gesammten palüarctischen Arten der Gattungen Calosoma, Carabus, Procrustes und Procerus, die ich», wie ез Ganglbauer hervorhebt, «hoffent- Mélanges biologiques, T. XIIT, p. 49. 78 AUGUST MORAWITZ, [х. 1 lich im Laufe dieses Jahres zum Abschluss bringen werde». In dieser Arbeit entscheidet sich Ganglbauer (1. с. р. 306.) zweifelhaft, «ob als Gattung oder Untergattung» für den von Fischer gegebenen Namen Tribax, denn «ohne Frage ist der Name Tribax gegenüber Plectes prioritütsberechtigt». Ganglbauer führt aber die dazu gehórigen Arten mit Hinweglassung des Gattungsnamens Carabus als Tribax auf, erkennt also trotz seiner Zweifel- haftigkeit Tribax thatsüchlich als Gattung an. Umgekehrt führt Gangl- bauer (Deutsch. E. 2. 1886. p. 374.) «die spanisch-portugiesischen Hadro- carabus» ohne Ausnahme als Carabus an, dann spricht Ganglbauer (Soc. ent. П. 1887 p. 1.) von Procrustes-, Chaetomelas- und Lamprostus- Arten, wobei die Namen dieser einander coordinirt genannt werden und nennt aus- drücklich (1. с. p. 2.) Tribaz Thoms. non Fisch. = Lamprostus Motsch. «Gruppe»; ferner führt Ganglbauer (Deutsch. E. Z. 1887. p. 130.) «die Arten der Sphodristocarabus-Gruppe» wieder mit Hinweglassung des Gat- tungsnamens Carabus. als Sphodristocarabus auf und in seiner neuesten Arbeit, welche mir erst während des Drucks dieses Artikels zugekommen, werden von Ganglbauer (Deutsch. E. Z. 1888. p. 383.) Chaetocarabus und Melancarabus als Untergattungen von Carabus, dagegen Procrustes als selbstständige Carabus gleichwerthige Gattung angesehen. Doch vorher machte Ganglbauer (Stett. E. Z. 1887. p. 343.) die Mittheilung: «Pro- erustes coriaceus bildet mit dem monotypen Вапот Юе]. und dem in der Flügeldeckensculptur sehr variablen Chevrolati Crist. eine Artgruppe, die sich durch den Mangel einer Seta an der Spitze des ersten Fühlergliedes von allen übrigen Artgruppen der Caraben unterscheidet». Dass die genannten Procrustes auf dem ersten Fühlergliede keine Seta haben, wird von Ganglbauer, wie es doch den Anschein hat, als etwas Neues und zwar als seine eigene neueste Entdeckung mitgetheilt. Indessen de la Brü- lerie (Ann. 5. E. Fr. 1875. p. 121.), der zuerst die Abwesenheit der Borste auf dem ersten Fühlergliede bei Procrustes coriaceus constatirt und. im Gegensatz zu diesem die Anwesenheit derselben bei Pr. émpressus und Pr. anatolicus hervorgehoben, sah ja vor mehr als einem Decennium gerade darin bereits «l'indice d'une transition» zwischen Carabus und Procrustes, «et c'est là une des raisons qui me conduisent à n'attribuer à la division des Procrustes qu'une valeur subgénérique», und auch Thomson (Opusc. ent. VII. 1875. p. 634.) führt an, dass bei Procrustes s. str. «antennae articulo 1:0 puncto setigero nullo» seien. Ja, sogar G&hin (Cat. d. Carab. 1885. p. XI.) theilt die Procrustes in Gruppen, indem bei einem Theil der Arten das erste Fühlerglied oder «scape non sétigére» sei, bei andern aber «avec un pore portant une soie», und führt Géhin (l e. Note 1.) von letzterem Merkmal ausdrücklich an «ce caractère se retrouvant dans tous les groupes Mélanges biologiques, T. XIII, p. 50. (XXXII) | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. Ban. suivants, il n'en sera plus fait mention, nur dass Géhin irrigerweise zu den Arten, deren erstes Fühlerglied ohne Borste angegeben worden, auch den ihm unbekannt gebliebenen Pr. talyschensis, und, wie bereits erwähnt, auch Pr. Duponcheli Barthél. hinzuzieht und endlich wahrscheinlich durch die Aehnlichkeit mit dem nach Ganglbauer monotypen Pr. Banoni veran- lasst, vielleicht ohne Untersuchung, auch den Pr. anatolicus, bei welchem schon de la Brülerie die Anwesenheit der Borste auf dem ersten Fühler- gliede ausdrücklich hervorgehoben. Oder hat Géhin von diesen Arten wirklich nur solche Exemplare gehabt, bei welchen die Borste des ersten Fühlergliedes und auch der entsprechende Porus abnormerweise nicht vorhanden waren? Denn eben so, wie bei den Arten der Pachystus-Gruppe die Gularborsten (cf. Mor. Adeph. I. 1886. p. 20.), welche sonst doch ziemlich constant vorhanden oder nicht vorhanden zu sein scheinen, kónnte ја auch die Fühlerborste bei einzelnen Arten der Procrustes-Gruppe variable sein, was unzweifelhaft festzustellen jedenfalls von Interesse wäre, und wäre dies ein Beweis mehr dafür, dass diesen Borsten keine garzu grosse Bedeu- tung beigelegt werden dürfe. Bei dem von Ménétriés als Procrustes taly- schensis beschriebenen Weibchen ist auf dem ersten Gliede des linken Füh- lers weder eine Borste vorhanden, noch auch die Spur eines Porus zu sehen, wührend das erste Glied des rechten Fühlers einen solchen Porus hat, und wird es daher wohl richtig sein, die Arten der Procrustes-Gruppe in einer Gruppe zu belassen und nicht eine Spaltung zu versuchen nach der Ап- oder Abwesenheit der Borste auf dem ersten Fühlergliede, wie es Gangl- bauer (Stett. E. Z. 1887. p. 343.) für gerechtfertigt zu halten scheint. Die procrustogenen Caraben sind überhaupt hinsichtlich der Variabilität der Borsten die interessante Abtheilung der Caraben. Denn dass die Borsten des 3— 5ten ventralen Abdominalringes bei den Arten der Pachystus-Gruppe bald vorhanden sind, bald aber auch fehlen, und zwar bei ein und derselben Art, ist schon früher bemerkt worden und kann sich davon Jeder bei Ver- gleich einiger Exemplare von C. mingens z. B. leicht überzeugen. Bei den andern procrustogenen Caraben scheinen diese Abdominalborsten nur bei C. (Chaetomelas) praestigiator constant vorhanden zu sein, bei den übrigen fehlen sie aber nicht so constant als angenommen wird, und finden sich aus- nahmsweise ab und zu einzelne Exemplare, bei welchen sie deutlich entwickelt sind. So ist in unserem Museum ein Männchen des C. (Pseudoprocrustes) Bp Durvillei (Duponcheli) vorhanden, bei welchem auf dem 5ten Abdominal- segment jederseits und auf dem 4ten nur auf der rechten Seite eine Borste vorhanden ist; desgleichen erhielt unser Museum als Carabus lamprus von Kraatz ein Männchen, bei welchem auf dem 5ten Abdominalsegment jeder- seits ein Borstenporus vorhanden ist, und zweifle ich auch nicht daran, Melanges biologiques. T. XIII, p. 51. i ~ 80 AUGUST MORAWITZ, [N. 8.1 dass Géhin (Cat. d. Carab. 1885. р. 8.1.) den von Schaufuss ۰ Otios. Ш. 1882. p. 526.) als selbstständige Art diagnostieirten Carabus sexpunctatus, welcher nur durch die Anwesenheit der Abdominalborsten auf ` dem 3.—5ten Segment von C. (Pseudoprocrustes) robustus unterschieden wird, mit Recht mit dieser Art vereinigt. Aber das sechste oder sog. letzte Bauchsegment ist bei allen procrustogenen Caraben једетзе а mit Borsten versehen, mit Ausnahme des C. (Procrustes) impressus, bei welchem sie fehlen, und habe ich darauf hin die von Thomson (Opusc. ent. VII. 1875. р. 635.) als Procrustes aspericollis erwähnte Art auf C. impressus bezogen. Dass aber auch bei dieser Art hin und wieder Exemplare vorkommen, bei welchen auf dem sog. Endsegment Borsten ausnahmsweise vorkommen; dies kann ersehen werden aus den von Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887: p. 2.) Procrustes hybridus genannten Exemplaren, welche mit dem typischen C. (Procrustes) impressus in der Sculptur der Flügeldecken übereinstimmen, aber «durch längere Körpergestalt einen Uebergang zu Hemprichi vermitteln» sollen. Wenn Ganglbauer auch sagt, «móglicherweise aber haben wir es doch mit einer selbstständigen Art zu thun», so ist dies, bei der sonst con- statirten Ап- oder Abwesenheit solcher Abdominalborsten bei ein und der- selben Art, eine ganz sicher irrthümliche Vermuthung und ein Irrthum ist es auch, wenn Ganglbauer der Meinung ist, dass seine Procrustes hybridus mit den von de la Brülerie erwähnten angeblichen Hybriden übereinstim- men, denn de la Brülerie (Ann. S. E. Fr. 1875. p. 122.) spricht von solchen einander ähnlichen Exemplaren des C. impressus und C. Hemprichi «surtout si l'on considére ses variétés à points effacés», und nur solche, überdies, wie bereits erwähnt, in der Bildung der Oberlippe п. s. у. aber- rante Exemplare, sah de la Brülerie als vermuthliche Zwitter an. Da die sog. gewóhnlichen Abdominalborsten, die vanliga ventral-punc- terna oder die puncta ordinaria abdominis, wie sie Thomson (Opusc. ent. VII. 1875. p. 625. fig. 23. 1.) nennt, bei einzelnen procrustogenen Caraben _ bald vollständig fehlen, bald aber auch, wie bei C. (Procrusticus) robustus aberr. sexpunctatus sogar in vollständiger Anzahl vorhanden sein können, so bleibt es natürlich fraglich, ob die Chaetomelas-Gruppe, so wie ich sie auffasse, auch wirklich der Thomson'schen entspricht. Denn Thomson führt als Typus dieser Untergattung einen Carabus Ehrenbergi an, welcher ` nicht identisch sein kann mit C. praestigiator (Ehrenbergi Brül.) und noch weniger mit C. Sauleyi (Ehrenbergi Klug.), und bleibt esmatürlich fraglich, ob die von Thomson gemeinte Art identisch ist mit der von de Ја Вгй- lerie beschriebenen angeblichen Varietät seines C. Ehrenbergi, == praesti- giator, vom Dshebel-esch-Scheich, und muss die/Entscheidung dieser Frage Denjenigen überlassen bleiben, welche die letztgenannte Form kennen. Die Melanges biologiques. Т. ХИ, р. 52. | (XXXIII) | ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. 81 Unterschiede zwischen den drei Caraben-Gruppen Procrustes, Pseudopro- crustes und Chaetomelas sind ohne Zweifel nur sehr geringe, aber schliesslich können ја auch alle Merkmale, welche zur Gruppirung von Arten innerhalb einer Gattung benutzt werden können, nur geringfügige sein, bei einzelnen Arten oder auch ganzen Gruppen schärfer ausgeprägt, bei andern gewisser- maassen verwischt, und es kann dies ja selbstverständlich auch nicht anders sein, wenn die einzelnen Arten wirklich einen genetischen Zusammenhang mit einander haben. Für Gruppen innerhalb einer Gattung solche Merk- male zu beanspruchen, wie sie für Gattungen gefordert werden, ist ein absolut unverständliches Verlangen. Wem die Merkmale der Uebergangs- gruppe Pseudoprocrustes zu geringfügig scheinen sollten, der kann letztere Gruppe doch wohl mit keiner andern als nur mit der Procrustes-Gruppe verbinden, doch muss er dann consequenterweise auch die Uebergangsgruppe Chaetomelas hinzuziehen und nicht, wie Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887. p. 1.) es thut, die letztere als gleichberechtigt mit Procrustes ansehen, die Pseudoprocrustes-Gruppe aber nicht. Die nächste Verwandtschaft von С. praestigiator (Ehrenbergi der Entomologen), C. Saulcyi (Ehrenbergi Klug.) und C. Hemprichi, welche drei Arten von denjenigen Entomologen, welche Сағабив und Procrustes als einander gleichwerthige Gattungen annehmen zu müssen glaubten, ganz allgemein als zu Carabus gehörig angesehen worden sind, mit den Arten der Procrustes-Gruppe wird aber nicht abge- stritten werden können, und auf die Erkenntniss der natürlichen Verwandt- schaft kommt es doch wohl zunächst an, während die Gruppen selbst über- haupt nur einen relativen Werth haben können, bis eine grössere Anzahl von Arten genauer untersucht worden, als es bis jetzt der Fall ist (cf. Mor. Adeph. I. 1886. p. 75.). Und so wie die Gruppen selbst, so werden auch die Abtheilungen innerhalb der Gattung Carabus wo möglich einen noch : geringeren relativen Werth haben, da so manche noch nicht genauer unter- suchte oder auch jede neu aufgefundene Art nicht nur die versuchte Charakteristik solcher Abtheilungen modificiren, sondern auch die Er- kenntniss weiterer verwandtschaftlicher Beziehungen sicherer erschliessen lassen dürfte. Alles was Ganglbauer (Soc. ent. II. 1887. p. 12) in seinen, nach Kraatz (Ent. Nachr. 1887. р. 192. Anm. 2.) «werthvollen», in Wirklichkeit aber unglaublich kleinlichen «Bemerkungen zu einer Arbeit von August Morawitz» vorgebracht, kann nur als durchaus unüberlegt und leichtfertig bezeichnet werden, und beziehen sich ja auch Ganglbauer’ $ kleinliche Bemerkungen überhaupt nur auf zwei, in kleinster Schrift gegebene An- merkungen, was doch jedenfalls hätte erwähnt werden müssen. Oder ist die Ueberschrift gegeben worden, ohne dass sich Ganglbauer ee etwas Melanges biologiques. T. ХПІ, p. 53. 82 AUGUST MORAWITZ, ENTOMOLOGISCHE BEITRÄGE. |18. I gedacht, da ja der ganze Inhalt schliesslich auch ein ganz unbedachter ist? Auf Ganglbauer trifft jedenfalls Kiesenwetter’s (Berl. Е. 2. 1865. p. 357.) gelegentlicher Ausspruch in vollstem Maasse zu, «dass er durch vorlaute Urtheile dieser Art sich selbst und seinem Rufe den grössten Schaden zufügt». Mélanges biologiques. T. XIII, p. 54. ххх) | | 83 Zur Entwickelungsgeschichte des Flussneunauges. Vorläufige Mittheilung von Ph. Owsjannikow. (Lu le 20 décembre 1888.) Die neuen Methoden, sowohl die Serienschnitte, als auch die neuen Färbemittel, erlauben jetzt eine viel genauere Untersuchung im Bereiche der Entwickelungsgeschichte anzustellen, als in früheren Jahren. Auf diese Weise ist es ganz verständlich, dass Dank diesen neuen wissenschaftlichen Mitteln, viele Lücken, welche in unseren Kenntnissen auch über die Ent- wickelungsvorgünge des Neunauges vorhanden waren, durch zahlreiche neue Untersuchungen ausgefüllt sind. Die neuen Thatsachen bringen neue Fragen mit sich, die ein besonderes Interesse für die vergleichende Entwickelungs- geschichte haben. Da eine vollständige Publikation meiner Untersuchung über die Entwickelung des Neunauges nicht so bald erfolgen kann, weil das überaus reiche Material aus allen Entwickelungsstadien geordnet werden muss und auch die Zeichnungen viel Zeit erfordern, so habe ich beschlossen, eine kurze, vorläufige Mittheilung zu geben, die zugleich bestimmt ist, meine vor fast 20 Jahren gemachten pins über diesen Gegenstand zu vervollständigen. Das Keimbläschen liegt in den Eiern der Niasangenhteyoh, die 70—90 шта. lang sind, häufig schon excentrisch. In dieser Periode der Entwicke- lung, wo der Eiinhalt halb flüssig ist, kann das Keimblüschen seine Lage ändern. Ich habe Gelegenheit gehabt, in einem Präparate drei junge Eier zu beobachten, in welchen sich das Keimbläschen zwischen dem Dotter und der Eihaut befand. Die Graaf'schen Follikel sind mit Endothelzellen belegt, Ап der Stelle, wo die Zellen sich mit ihren zugespitzten Winkeln berühren, meistens am oberen Pol des Eies, finden sich, nach Behandlung mit salpetersaurem Silber- oxyd, dunkle Flecken, welche als Eingänge in die موز‎ betrachtet iden kónnen. | Die Blutgefässe treten in den Graaf’schen Follikela an | desto Se Ende ein, an welcher Stelle sich auch der thätige Pol des Eies innerhalb der Follikelmembran befindet. Man hat öfters Gelegenheit zu beobachten, dass die Spitze des Eies von der Spitze der Follikelhaut ein wenig absteht, während dieselbe an allen anderen Stellen des Eies ihm eng anliegt. Melanges biologiques. 1. ХШ, р. 55. 6% 84 РН. OWSJANNIKOW, [N. 8.1 An allen Eiern der laichfähigen Neunaugen, wenn dieselben aus den Ovarien entnommen waren, habe ich mit der grössten Deutlichkeit an Schnit- ten das Keimbläschen gesehen. Der Keimfleck war aber nicht vorhanden. In sehr vielen Eiern dagegen, die aus dem Weibchen, zum Behuf der künstli- chen Befruchtung ausgepresst waren, konnte das Bläschen nicht entdeckt werden. In sehr wenigen Eiern lag dasselbe als eine kleine, platte Scheibe der Dotterhaut dem thätigen Pol des Eies an. Es unterliegt wohl kaum ei- nem Zweifel, dass in den Fällen, wo der Eikern nicht zu sehen ist, sein In- halt sich mit Dotterelementen vermischt hat, denn alle Eier waren befruch- tungsfähig und bei allen war gleich nach dem Befruchtungsakt der Zapfen wahrzunehmen. Die Präparate müssen, damit die einzelnen Theile des Embryo deut- licher-sich von einander abgrenzen, durchaus gefärbt werden. Die allgemein verbreitete Ansicht, dass die Eihaut die Tinetionsmittel nicht durchlässt, ist unrichtig. Ich fand, dass mehrere Fürbungsmittel in das Ei und den Embryo eindringen. Am besten fürbten sich die Eier, gleichviel ob sie anfangs mit Flemming'scher Flüssigkeit, mit Spiritus oder Überosmiumsäure behandelt worden, durch zwólf- bis vierundzwanzigstündiges Liegen in starker, gesát- tigter Hämatoxylinlösung. Bei längerem Liegen werden die Dotterkórner kohlschwarz. | Ich besitze eine grosse Reihe von Schnitten, auf denen alle jene Vorgänge zu sehen sind, die gleich nach der Befruchtung auftreten und an lebendigen Eiern von A. Müller, Kupffer, Benecke, Calberla und mir beobachtet und beschrieben wurden. | Durch Behandlung mit Überosmiumsäure erhärtet der Eiinhalt augen- blicklich, so dass man auf Schnitten den Befruchtungszapfen sammt dem Protoplasma, das beim Zurückziehen des Dotters von der Eihaut gewöhnlich auftritt, gut zu sehen bekommt. Ferner kann man auf den Serienschnitten die verschiedensten Formen von Mitosen studiren, die bei Theilung des Kernes vor der Bildung der neuen Dottersegmente auftreten. Die Zeit, in welcher sich die verschiedenen Metamorphosen im Ei bilden, ist von der Temperatur abhängig, bei welcher die befruchteten Eier aufbewahrt werden. Diese Thatsache erklärt, warum die früher von mir auch an den Eiern des Neunauges beschriebenen Dottertheilungen rascher vor sich gingen, als bei Calberla. Kupffer berichtet, dass in Königsberg bei einer Lufttemperatur von 8—10* С. die Larven am 16—17. Tage ausschlüpften und in Neapel am Ende des 8. Tages. Meine Larven schlüpften am 9. oder 10. Tage aus, bei einer Lufttemperatur von etwa 167 Б. . Melanges biologiques. T. XIII, p. 56. е х (хххш)] ZUR ENTWICKELUNGSGESCHICHTE. DES FLUSSNEUNAUGES. 85 Die erste Furche ist eine Längsfurche, hat also eine meridionale Rich- tung und theilt den Dotter in zwei ganz gleiche Theile. Die Furche beginnt vom Kerne aus, welcher längere Zeit fast ganz ober- flächlich in der Gegend des thätigen Pols liegt. Die erste Furchung geht überaus langsam vor sich. Man sieht vom Kerne aus lange Fäden austrahlen, die besonders deutlich sind und an der Stelle dichter an einander liegen, an der sich die Furche zu bilden begon- nen hat. Vor der vollen Trennung der beiden Furchungshälften, treten mehrere Kerne auf und zwischen je zwei Kernen eine Spindel. Hier solchen voll- kommenen Trennung der Dottersegmente haben wir es wahrscheinlich zum Theil zu verdanken, dass wir in den letzten Tagen der Entwickelung in einer Eihaut zwei vollständig von einander getrennte Embryonen vorfinden, wie ich häufig zu beobachten Gelegenheit hatte. Die zweite Furchung ist ebenfalls eine Längsfurchung, erst die dritte ist eine aequatoriale. Nach 15 Stunden stellt das Ei eine Blase dar, deren obere Wand aus einer Reihe kleinerer Zellen, die untere aus viel grösseren besteht. Die Baer’sche Höhle hat eine bedeutente Ausdehnung erlangt. Die Eier von 28 Stunden lassen am Dache der Baer’schen Höhle eben- falls eine einzige Zellenreihe erkennen. Am unteren Pol liegt aber eine Gruppe von grösseren Zellen. Der Über- gang von den kleineren Zellen des oberen Pols zu den grösseren des unteren ist ein allmählicher. Bei Eiern von 55 Stunden hat die Baer sche Höhle einen noch grösseren Umfang erlangt. 1 Die kleinsten Zellen liegen am oberen Pol und tragen schon einen epithelialen Charakter an sich. Auf manchen Schnitten hat das Ei das Aus- sehen eines Ringes, welcher an einer Stelle, nämlich am oberen Pol, ein- schichtig, am anderen zwei- oder dreischichtig ist. Zuweilen liegt am unteren ‚ Pol eine kleine Gruppe von Segmentationskugeln. Schon in dieser Periode findet sich an der unteren Fläche des Eies eine Rusconi’sche Grube. Die Zellen des äusseren Blattes gehen allmählich auf den Grund der Grube über. Das Bild dieser Grube giebt Veranlassung anzunehmen, dass dieselbe sich durch Einstülpung des oberen Blattes gebildet hat, was in der That der Fall ist. Diese Bildung ist jedoch eine vorübergehende, wenigstens ändert sich ihr Aussehen sehr. bald. Die grössten Zellen finden sich in der Rusconi'- schen Grube und am Rande derselben. Nach 80 Stunden hat sich das obere Blatt noch mehr umgebildet, die Zellen sind noch mehr eylindrisch geworden und haben die Dotterkörner fast ganz Mélanges biologiques. T. XIII, p. 57. 86 РН. OWSJANNIKOW, (8. 8.1 verbraucht. Die Segmentationshöhle hat unterdessen ап Umfang stark ађ- genommen. Die ganze untere Hälfte des Eies besteht aus kleinen runden Zellen, die jedoch von den noch kleineren Zellen des Epiblasts etwas abste- hen und viel lockerer liegen als die letzteren. Der Rusconi’sche After ist um diese Zeit am unteren Pol sehr deutlich, seine Form hat sich jedoch verändert, indem er schmäler und länger geworden ist. Das Ei selbst ist auch länger geworden und an einem Ende zugespitzt. Diese letztere Erscheinung ist da- durch entstanden, dass während dieser Periode die Zellenvermehrung beson- ders reichlich an der oberen Lippe des Ruseoni’schen Afters, an der Über- gangsstelle des oberen Blattes in das untere, vor sich geht. Da während dieser Periode, einige Stunden früher, meistens aber später, manche höchst interessante Vorgänge im Ei sich entwickeln, so wollen wir dieselben näher betrachten. Die Bildung des Darmkanals. In früheren Stadien stellte der Rusconi’sche After eine breite Grube dar, die durch Einstülpung des Epiblasts entstanden war. Ich spreche von einer Entwickelungsform, welche wenigstens um 24 Stunden jünger ist, als die, welche auf der Fig. 10. а. von Scott abgebildet ist. In jener Periode haben wir in der That eine Gastrula vor uns. In einigen Stunden aber hat die Zahl der am Grunde des Eies liegenden Dotterkugeln um ein Bedeutendes zugenommen. Die Baer'sche Höhle hat die Abnahme ihrer Grösse während dieser Zeit nicht dem Umstande zu verdanken, dass die Zellen durch Фе sich bildende Darmspalte in dieselbe hineingeschoben sind, sondern. dass ihre Zahl zugenommen hat. Die Bildung der Darmhóhle geht dadurch vor sich, dass von der Rusconi’: _ schen Grube aus еше Abspaltung der Dotterelemente von dem Drüsenkeim statt findet, ganz in derselben Weise, wie dieser Vorgang beim Frosch, Axolotl, Sterlet oft beobachtet und beschrieben worden ist. Bei den eben genannten Thieren ist diese Erscheinung leichter zu beobachten, weil die der Spalte anliegenden Zellen, während ihrer Theilung und Abtrennung vom übri- gen Dotter, Pigmentkörper зи, Zuweilen дейі» ет нее дег Spalte voraus. Da die Eier von Petromyzon garnicht pigmentirt sind, so wird die Beobachtung etwas schwieriger. Trotzdem kann man an Hunderten von Präparaten sich überzeugen, dass das untere ‚Blatt, das Entoderm, durch Abtrennung einer Zellenreihe von dem Dotter entsteht. Es ist noch zu er- wähnen, dass vor der Bildung der Darmspalte auf den: Schnitten schon’ eine besondere Gruppirung der Zellen erkannt werden kann, die später zu den Elementen des unteren Blattes verwendet werden. Während dieser Periode und auch etwas später sind zwei von einander gesonderte, nur an der Bie- Melanges biologiques. Т, XIII, p. 58. Lë / (ххх) | ZUR ENTWICKELUNGSGESCHICHTE DES FLUSSNEUNAUGES. 87 gungsstelle in einander übergehende Blätter, das Ectoderm und das Ento- derm, vorhanden. Die Zellen des Ectoderms sind kleiner als die des Ento- derms, was übrigens ganz natürlich ist, da die Entwickelung der ersteren früher als die der letzteren begonnen hat. Von nun an liegt der Schwerpunkt der Entwickelungsvorgänge eine Zeit lang am hinteren Theil des Embryo. Auf gut gelungenen Lüngsschnitten, nämlich solchen, welche durch die Mitte des Eies von hinten nach vorn ge- hen, so dass dieselben die obere und untere Lippe des Rusconi'schen Afters halbiren, sieht man den Embryo sich schon über die Hälfte des Eies erstrecken. Er besteht, wie schon erwähnt wurde, aus Ectoderm und Entoderm, und je- des dieser Blütter hat auf seinem ganzen Wege nur eine Zellenreihe aufzu- weisen. Man findet freilich Schnitte, in welchen das Ectoderm mehr als eine Zellenreihe hat, doch hüngt das davon ab, dass die Schnitte schief geführt worden sind und das Messer, mehr an der Oberfläche des Eies gleitend, einen grósseren Streifen von demselben mitgenommen hat. Ich habe Prüpa- rate gefunden, auf welchen die Darmspalte mit der Segmentationshöhle zusammenhing.. Die Zellen, welche sich an der Decke der Höhle befanden, unmittelbar unter dem Ectoderm, wurden für die Bildung des unteren Blat- tes verwendet. Eier 118 Stunden nach der Befruchtung. Eier aus dieser Periode unterscheiden sich wenig von denen aus der vorigen. Sie sind um etwas länger geworden, die beiden Lippen, die obere und untere und der zwischen ihnen liegende Pfropf, sind noch deutlicher, der Embryo selbst noch länger geworden. Auf vielen Längsschnitten zeigen die beiden Blätter noch immer je eine Zellenreihe. Dagegen lassen manche Querschnitte, wenn sie das hintere Ende des Eies trafen, eine Vermehrung der Eetodermzellen unterhalb der Rückenfurche erkennen. Es bildet sich der Rückenniarksstrang. Die solide Bildung, wie schon Calberla gezeigt hat, wird erst später kanalisirt, indem die Zellen. auseinanderweichen und den Rückenmarkskanal bilden. Eier 126 Stunden nach der Befruchtung. . Diese Periode ist eine der interessantesten. Der Embryo ist bedeutend | länger geworden. Auf sehr vielen Querschnitten des Eies ist er an zwei Stellen durchschnitten, am vorderen und hinteren Ende. Am letzteren sieht man das solide Rückenmark, unter demselben schon. die Chorda. vollkommen aus- gebildet und dann das Epithel des Darmkanals, welches die innere Wand desselben bildet. An beiden Seiten der Chorda liegen zum Theil noch solide Anlagen der Urwirbel, Wolf'schen Gánge und Scion die Letzteren Mélanges biologiques. T. XIII, p. 59. 88 | РН. OWSJANNIKOW, КИСЕ gehen іп ein einschichtiges Blatt über. Ein anderes Bild giebt ein nach vorn gelegener Schnitt. Das Centralnervensystem ist hier umfangreicher, dicker. Es hat sich schon ein Centralkanal gebildet, in einiger Entfernung vom Gehirn, dessen vorderes Ende ebenfalls noch solid ist. Die Chorda ist hier nicht vorhanden, die Zellen des Entoblasts liegen aber dem Centralnerven- system unmittelbar an. In einiger Entfernung von dem vorderen Ende des Embryo ist die Darmhóhle sehr bedeutend. Oben ist sie von einer doppelten Schicht der Entoblastzellen umgeben, die in der Mitte durch den Rücken- marksstrang etwas nach unten herabgedrängt sind. An beiden Seiten dieser Ausbuchtung dagegen, rechts und links von ihr, bildet das Entoblast eine Erweiterung der Hóhle nach oben. Durchmustern wir nun die Schnitte von hinten nach vorn, so sehen wir, dass zwei Falten von dem Entoblast sich mehr und mehr der Mittellinie nähern. Dadurch erscheinen zwei Höhlen, eine obere — kleinere und eine untere — gróssere. Endlich rücken die Fal- ten ganz an einander, indem sie einen —— um die kleinere Hóhle xd die schliesslich ganz verschwindet. Am übrigen Kórper scheint die Bildung der Chorda durch einfache Ab- schnürung der unter dem Rückenmarke liegenden Zellen des Entoblasts vor sich zu gehen, wie schon Calberla beschrieben und abgebildet hat. Ап beiden Seiten der Chorda liegt eine doppelte Reihe von Zellen, die bald in eine einzige übergeht. Diese Zellen haben sich vom Entoblast abgetrennt. Zwischen beiden Reihen existirt kein Zwischenraum. Trotzdem erkennt man schon jetzt die Elemente, welche sich zu Urwirbeln, zu Wolf’- schen Gängen und zu Seitenplatten constituiren werden. Übrigens findet | man an manchen Schnitten die Urwirbel schon fast ausgebildet. Die Bildung einer Hóhle im genannten Urorgan, geht spüter vor sich. Das Epiblast ist auch während dieser Periode noch durchweg einschichtig, ausser in der Mittellinie, wo sich das Rückenmark schon gebildet hat. Es sondert sich auf den Schnitten zuweilen noch von dem Ei vollkommen ab. Alle Urorgane sind am hinteren Theil des Embryo in ihrer Entwickelung weiter fortgeschritten als am vorderen. Die Bildung der Hóhlen und Kanile geht dadurch vor sich, dass entweder die Zellen auseinanderweichen, oder, wie namentlich im Bereiche des Drüsenkeimes, dass die Dotterplättchen aufgebraucht werden und an Stelle der Dotterzellen nur ‚leere Hüllen nachbleiben. Die Entwickelung schreitet von der Mittellinie nach den Seiten fort. - Nach der Bildung des Rückenmarks und der Chorda entsteht ein Hohlraum, zuerst in den Urwirbeln, die sich von den übrigen Zellen des Mesoblasts abtrennen, dann entsteht er in den Wolf'schen Gängen und zuletzt in den Beitenplatten. A. Shipley hat (Fig. 11) angegeben, dass die Wolf'schen Mélanges biologiques, T. XIII, p. 60. (ххх) | ZUR ENTWICKELUNGSGESCHICHTE DES FLUSSNEUNAUGES. 89 Gänge oder das Segmentalorgan sich früher hervorbilden, als die Urwirbel. Solche Bilder habe ich auf meinen Präparaten nicht gesehen. Die genannte Figur ist überhaupt zu schematisch gehalten. Die Urwirbelsegmente sind nicht eubisch, sondern an dem unteren, inneren Winkel zugespitzt, in der Richtung nach der Chorda zu. Über das Entstehen der Sinnesorgane. Die Bildung des Gehörapparates habe ich erst an 160 Stunden alten Embryonen beobachtet. Es tritt an der Seite des Gehirns eine grubenförmige Einsenkung des Ectoderms auf. Die genannte Bildung ist an Querschnitten sowohl, als auch an Längsschnitten in gleichem Maasse deutlich. Die in der Mitte der Grube sich befindenden Zellen sind etwas länger, als die übrigen. Nach einiger Zeit schliesst sich die Grube und wird zu einer Kapsel, zum künftigen Labyrinth des Gehórapparates. Um diese Zeit sind alle Zellen, sowohl der Haut, als auch des Nervensystems, noch ziemlich reichlich mit Dotterplättchen gefüllt. Der Zwischenraum zwischen der Ohrkapsel und dem Gehirn ist sehr unbedeutend und verschwindet später fast ganz. Das Auge bildet sich in der 200. bis 240. Stunde nach der Befruch- tung. An der seitlichen oberen Fläche des Vorderhirns, fast unmittelbar hinter der Geruchsgrube, findet sich eine sackförmige Erweiterung der Gehirnwand. Sie erstreckt sich nach hinten und unten. Auf den Längs- schnitten ist sie besser zu sehen. Die Einen jedoch ergänzen die Anderen. Anfangs ist die Höhle im Säckchen überaus eng, später wird sie etwas brei- | ter, besonders an ihrem äusseren Ende. Die erste Anlage der paarigen Augen beim Neunauge hat mehr Ähnlich- keit mit der Anlage des dritten Auges bei manchen Thieren, als mit der- jenigen der Augen im Wirbelthierreiche überhaupt. Wir haben hier näm- lich einen verhältnissmässig langen, röhrenförmigen Stiel, dessen äusseres, etwas erweitertes Ende nur zur Retinabildung verwendet wird. Die äussere Wand des Augenstiels wird dicker, eingedrückt, grubenförmig, in der Weise, wie sich überhaupt die Retina ausbildet. Das Epithel der Haut, welches der Augenanlage gegenüber liegt, nimmt an seiner Bildung keinen Antheil. Es ist während dieser Zeit keine Spur von der Linse zu entdecken. Die Bildung der Nasengrube geht durch eine grubenförmige Einbuch- tung des äusseren Blattes vor sich, wie es schon öfters beschrieben wurde. Die ersten Sinneswerkzeuge scheinen im ganzen Wirbelthierreiche alle auf dieselbe Weise entstanden zu sein. Das Herz. Die erste Anlage des Herzens oder vielmehr des Venengefässes habe ich bei Embryonen von 133 Stunden gesehen. Auf dem Längsschnitte, Melanges biologiques. T. XIII, p. 61. 90 РН. OWSJANNIKOW, Is 8.1 welcher von oben nach unten geführt wurde, erhält man ein Bild, das einige Ähnlichkeit hat mit der Abbildung von А. Goette in seinem bekannten Werke über die Entwickelung der Unke (Fig. 37). Wir sehen nämlich, dass die Darmhöhle ihre grösste Ausdehnung in der Gegend des sich bildenden Kopfes erlangt hat. Nach hinten, zum Rücken hin, wird sie schmäler, bildet eine sehr schwache Einsenkung in der Mitte des Drüsenkernes und geht dann als eine sackfórmige Vertiefung in den Dotter hinein, in der Richtung zur Bauchfläche. Die Wände, sowohl der Darmhöhle, als jenes Venensinus, sind mit Zellen des Entoblasts ausgelegt, die noch lange nicht den epitheli- alen Charakter angenommen haben. Sie sind gross und voll von Dotter- körnern. Wir haben in dieser Periode nur die Höhle des Gefässes vor uns, die sich später vom Darme abschnürt. Sehr wenig ändert sich das Aussehen der Venenanlage in den nüchsten 40— 50 Stunden. Bei Embryonen von 180 Stunden hat der Körper eine bedeutende Länge erlangt. Man sieht auf Längsschnitten die Kiemenhöhle in Form eines lan- gen Kanals, welcher schon Kiemenspalten hat. Unter der Kiemenhöhle befindet sich, wie im vorigen Stadium, eine seitwärts vom Darme abgehende Vertiefung. Sie ist unterdessen etwas länglicher und ihr unteres Ende weni- ger regelmässig geworden. Dieselbe setzt sich vielmehr in eine Spalte fort, die man sehr weit nach hinten verfolgen kann und von der, nach allen Richtungen hin, Risse zu bemerken sind, die sich schliesslich zwischen ein- zelnen Dotterkugeln verlieren. Aus diesem Bilde geht hervor, dass wir, lange vor der Ausbildung des Herzens, ein System von Kanälen haben, die mit einer Flüssigkeit, der Lymphe, gefüllt sind. In allen genannten Höhlen, in der Darmhöhle, der Kiemenhöhle u. s. w., finden wir runde Ringe, eine Art von Membranen, die wahrscheinlich von aufgelösten Dotterkugeln nachgeblieben sind. Man findet einzelne solche Schläuche, in welchen noch einige wenige Dotterkör- ner vorhanden, andere, die ganz von ihnen voll sind. Die Körperchen sind viel kleiner, als die in der Nähe liegenden Zellen oder Dotterkugeln des Drüsenkeimes. Durchschnittlich kann man annehmen, dass die Dotter- kugeln, während der zu beschreibenden Periode, die erwähnten Körperchen 9 bis 10 Mal an Grösse übertreffen. Übrigens sind manche von ihnen grösser, als ich eben angegeben habe. Weitere bedeutendere Veränderungen, die schon in direktem Zusammen- hange mit der Herzbildung stehen, sind zu verzeichnen an Embryonen von 200—220 Stunden, wenn sie eine Länge von 2 bis 3 mm. erlangt haben. Unterhalb der Kiemenhöhle bildet sich eine erweiterte ovale Stelle, in der Weise, als ob der Embryo hier etwas anschwillt. Die Längsschnitte zeigen, dass sich hier die Seitenplatten rechts und links weit gespalten haben, ев Melanges biologiques. T. XIII, p. 62. (хххш) | ZUR ENTWICKELUNGSGESCHICHTE DES FLUSSNEUNAUGES. 91 legt sich das äussere Blatt an die Haut, das innere an den Darm. Wir haben dann an beiden Seiten des Darmes zwei ovale Blasen, deren grösster Durchmesser sich von oben nach unten erstreckt. Die eben beschriebenen Bildungen erinnern uns lebhaft an die Pleurasäcke der höheren Wirbelthiere, vor dem Auftreten der Lungen. An einzelnen Schnitten sehen sie ganz hohl aus, an anderen, mehr nach oben gelegenen, findet man die Anlage der Segmentalorgane, nämlich der Urnieren. Um ein deutliches Bild von der Entwickelung den Herzens zu erhalten, müssen wir uns zu den Querschnitten wenden. Betrachtet man einen solchen aus der Herzgegend, so hat man um den Oesophagus einen weiten freien Raum, welcher sich durch Auseinanderweichen der beiden Seitenplatten gebildet hat, es ist die Kórperhóhle. Wir gebrauchen dieses Wort, um dieser Höhle einen allgemeinen Begriff zu geben. Die Darmfaserplatte oder das splanchnische Mesoblast ist an gefärbten Präparaten besonders gut zu ver- folgen. Man sieht auf der rechten, wie auch auf der linken Seite eine Falte desselben, die um die Segmentalorgane und um die obere Hülfte des Oeso- phagus geht. Wenn sich die beiden Blätter unter dem geschlossenen Oesopha- gus begegnen, so nehmen sie die Richtung nach unten und gehen schliess- lich in den somatischen Mesoblast, der sich an das Ectoderm anlegt. An der Stelle, an welcher die rechte und die linke Faserplatte sich ۲ haben, nämlich wo die beiden Stücke, zwischen dem splanchnischen und somatischen Mesoblast einander gegenüber stehen, ist anfangs eine schmale, spüter eine viel breitere Spalte, die sich von oben nach unten erstreckt. Dieser Zwischenraum ist die Herzhóhle. Die genannten Stücke der Darm- faserplatten waren an ihren oberen und unteren Rändern verwachsen und werden zu einem geschlossenen Rohre, welches nun frei in die Leibeshóhle hineinragt und durch ein kurzes Band an den Darm befestigt wird. Schon vor der Vereinigung des mittleren Theils der Darmfaserplatten, um die Herzwandungen zu bilden, konnte an ihrem inneren Rande eine besondere Lage von platten Zellen entdeckt werden. Diese innere Zellenlage trennt sich: von der äusseren und wir haben auf den Querschnitten zwei in einander liegende Röhren vor uns. Die innere wird zum Endothelüberzuge des Her- zens, also zum Endocardium. Die zweite, etwas dickere Róhre wird zum Muskelgewebe des Herzens, welches von aussen ebenfalls von Endothel- zellen bedeckt wird. Das Herz entsteht bei Petromyzon aus den Falten der Darmfaserplatten, die allein das Material zu allen seinen Bestandtheilen geben. Ich hebe besonders hervor, dass die Elemente des Darmes sich bei der Bildung des Herzens garnicht betheiligen. Die Herzhóhle setzt sich mit jenen Lymphrüumen in Verbindung, die wir oben als Herzanfang bezeich- net und die sich in die Venen umgewandelt haben. Die Venen haben um Mélanges biologiques. T. ХІН, p. 63. 92 РН. OWSJANNIKOW, Ia ar diese Zeit keine eigenen Wandungen und stehen in Verbindung mit vielen Kanälen und Lacunen. Die Literatur des Gegenstandes wird zwar erst später, beim Drucke mei- ner ausführlichen und mit Zeichnungen versehenen Arbeit ihre volle Würdi- gung finden, dennoch kann ich jetzt nicht unerwähnt lassen, dass die Be- obachtungen von A. Shipley auch in Beziehung auf das Herz hochzustellen sind. Seine Abbildungen (Fig. 24 und 26) entsprechen der Sachlage, nur sind sie etwas schematisch gehalten. Das Endothel ist an der Darmfaserplatte, bei der ersten Bildung des Herzens nicht mit jener Deutlichkeit zu sehen, mit der es auf der Zeichnung wiedergegeben wird. Da die Bildung des Herzens zu den schwierigsten Objeeten der Embry- ologie gehört, so möchte ich zu den obigen Resultaten noch einige Worte hinzufügen. P. Meyer in seinem Artikel «Über die Entwickelung des Herzens und der grossen Gefüssstimme bei den Selachiern» theilte eine Beobachtung mit, nach welcher das Endocardium anders entsteht, als wir es auseinandergesetzt haben. Nach ihm legen sich die beiden lateralen Venen an einander unterhalb des Darmes, wenn dieser sich schliesst, vereinigen sich zu einem Gefässe, um ein einheitliches unpaares Rohr, «ein Endothelsäck- chen» dem Herzen zu liefern. Die Zeichnungen (Tab. 12, Fig. 2 und andere), welche P. Meyer uns gegeben hat, sprechen ganz für seine Ansicht. In der That findet man eine Reihe von Präparaten auch aus der Entwickelungs- geschichte des Neunauges, welche die Meinung von P. Meyer zu bestätigen scheinen. Es ist nämlich höchst auffallend, dass das Endothelsäckchen des Herzens oft sehr weit von dem Myocardium entfernt liegt, als ob es selbst- ` ständig entstanden sei und in keinem Zusammenhange mit den Seitenplatten gestanden habe. Ferner findet man die Herzhöhle durch die Seitenplatten begrenzt, ohne dass an der inneren Fläche derselben das Endothel mit Deut- lichkeit erkannt werden kann. Dann kommen auch solche Präparate vor, in welchen die Seitenplatten die untere Fläche des Darmes noch nicht voll- kommen umlagert haben, ihre beiden Blätter nahe an einander und mehr zur Peripherie hin liegen und dennoch findet sich mitten in der Körper- höhle ein Endothelhäutchen des künftigen Endocardiums. Trotz aller dieser Erscheinungen glaube ich an der Meinung, dass das Endocardium an der inneren Fläche, ganz in derselben Weise, wie an der äusseren, von den Seitenplatten sich abgegrenzt hat, festhalten zu müssen. Ich finde mich dazu gezwungen durch die Bilder, welche ganz junge Stadien der Embryonen, von €. 2,5 mm., geben. Hier ist das Endocardium auf allen Schnitten aus der Herzgegend sichtbar, aber immer im engsten Zusammenhang mit dem Myocardium. Beide Häute erscheinen dick und sind reichlich mit Dotter- körnern versehen. Mélanges biologiques. T. XIII, p. 64. Lé (хххш) | ZUR ENTWICKELUNGSGESCHICHTE DES FLUSSNEUNAUGES. 93 Bevor ich diesen Abschnitt schliesse, darf ich. die Angaben von A. Goette nicht mit Stillschweigen übergehen, da dieselben im Widerspruche mit meinen Beobachtungen stehen. Nach ihm bildet sich das Endocardium aus Entoderm. Da es schwer anzunehmen ist, dass ein so tüchtiger Forscher, wie Goette, sich geirrt hätte, so muss das Untersuchungsmaterial derart gewesen sein, dass das Gesehene auf verschiedene Art gedeutet werden konnte. Es könnte für die Goette’sche ‚Ansicht der Umstand sprechen, dass der Oesophogus іп der Gegend der Herzanlage ziemlich stark an den Seiten comprimirt ist und mit seiner unteren Fläche das Ectoderm fast berührt. Hat sich das Herz gebildet, so ist das Lumen des Oesophagus um die Наше kleiner geworden. Dann findet man nicht selten einzelne Zellen in dem oberen Berührungswinkel der Darmfaserplatten. Eine Abschnürung des Oesophogus, wie zuweilen geschildert wurde, oder Abspaltung einer Zellenreihe von seiner unteren Flüche zu Gunsten des Endocardiums, habe ich niemals gesehen und bleibe desshalb bei meiner oben — er Annahme. Das Entoblast. Die Kiemenhóhle entsteht dadurch, dass die Zellen des Dotters am vor- deren Ende des Embryo so auseinander weichen, wie wir es bei der Bildung des Darmes Gelegenheit gehabt haben zu beobachten. Der grosse, dicke, aus compacter Zellenanlage bestehende Kopf fängt an, sich vom Dotter etwas . zu entfernen, wird kleiner, schmäler. Zwischen ihm und dem Dotter wird der Vorderkörper des Embryo immer sichtbarer und länger. Mit den äus- seren Veränderungen gehen die inneren Hand in Hand vor sich. Die gebil- dete Höhle, die am vorderen Ende anfangs geräumiger war, breitet sich auch allmählich in ähnlichen Dimensionen nach hinten aus. Die ganz indifferenten, die Höhle umgebenden Zellen werden zu Epithelzellen. Es treten in dem gebildeten Kanal, welcher zur Kiemenhöhle wird, seitliche Ausbuchtungen auf, die sich von vorn nach hinten verbreiten. Die Aus- buchtungen werden so stark, dass die Entodermzellen das Epithel der Haut ‚ berühren, welches schliesslich resorbirt wird. Der Ausbuchtung gegenüber ist zuweilen eine schwache Vertiefung zu bemerken. An einzelnen Stellen glaube ich bemerkt zu haben, dass das Epithel der künftigen Spalte sich 80 weit nach aussen hervorgedrüngt hat, dass die Zellen der Epidermis hier dünner erschienen. Die an der unteren Fläche der Kiemenhöhle, in der Gegend von der ersten bis zur fünften Spalte entstehende Rinne, die sich später zum grössten Theil abschliesst, die Thyreoidea, ist sehr häufig beschrieben worden und ich habe nichts Wesentliches hinzuzufügen. Die Bildung des Mundes, die Vereinigung der Ectodermbucht mit dem Ento- Mélanges biologiques, T. XIII, p. 65. 94 РН. OWSJANNIKOW, (s.a derm der Kiemenhöhle ist in den Hauptzügen ebenfalls bekannt. Betrachten wir einige Längsschnitte, die parallel der Bauchfläche des Embryo geführt waren, ungefähr solche, wie sie A. Dohrn auf der Tafel IV (Bd. VID gegeben hat, so fällt die Ähnlichkeit zwischen den Kiemenspalten und den beiden äusseren Winkeln der Mundbucht auf. Es scheint, als ob die Letz- teren nur die äusserste Reihe jener Spalten bilden. Die Ähnlichkeit bezieht sich nicht allein auf die Lage, sondern auch auf die Form. Die Leber bildet sich durch Ausbuchtungen der Darmwand. Man sieht dieselbe in Vereinigung mit Kanälen, die sich bald zu Röhren abgrenzen. An der Stelle, wo diese Bildungen vor sich gehen, ist der Darm weniger reichlich von Dotterzellen umgeben, als in seiner hinteren Abtheilung. Jedenfalls nehmen die Dotterkugeln keinen Antheil an der Bildung der Leber. Trotz der Angabe von Kupffer, dass bei den Neunaugen ein Canalis neurentericus nicht entsteht, muss ich auf das Entschiedenste sein Vorkommen bei diesen Thieren behaupten. Es existirt bis em freilich keine einzige genügende Zeichnung desselben. Verfolgen wir auf flachen Längsschnitten das Rückenmark, so sehen wir mit der grössten Deutlichkeit, wie das Ende desselben sich um die Chorda umbiegt, um dann unterhalb derselben eine Strecke fortzulaufen und als etwas dünnerer Strang in die obere Wand des Enddarms oberhalb der Anus- öffnung zu enden. Meine Präparate waren mit Haematoxilin gefärbt und sowohl die Zellen des Rückenmarkes, als auch der Canalis neurentericus sahen sehr dunkel aus, wodurch sie von den übrigen abstachen. Die . Zellen waren übrigens auch viel grösser, als andere in der Nachbarschaft liegende, z. B. als die Epithelzellen. Das Bild des erwähnten Canals wird dadurch etwas getrübt, dass in seiner Nähe ein grosses venóses Gefüss liegt. Das Gehirn und die Ganglien. | In einer vorläufigen Mittheilung, die nicht von Zeichnungen begleitet ist, lässt sich sehr wenig über die genannten Organe sagen. Mehrere Tage vor dem Ausschlüpfen der Embryonen besitzt das Gehirn schon mehrere Abtheilungen. Während der Bildung der Augenblasen stellt die vordere Wand des Vorderhirns eine sehr dünne Lamelle dar. Die Hemisphären und die Riechkolben bilden sich später. Die Hypophyse nimmt ihren Ursprung aus dem Ectoblast, während sie sich bei fast allen anderen Thieren aus den Zellen des Entoblasts bildet. Über die Epiphyse habe ich einige Data in der jüngst erschienenen Schrift über das dritte Auge der Neunaugen gegeben. Alle Ganglien, sowohl die des Kopfes, als auch des Rumpfes sind aus den Zellen des Ectoderms Melanges biologiques. Т. ХИТ, р. 66. (хххш) | ZUR ENTWICKELUNGSGESCHICHTE DES FLUSSNEUNAUGES. | 95 hervorgegangen. Die Gehirnganglien scheinen in einer sehr frühen Periode entstanden zu sein. Später trennen sie sich von der Epidermis ab und scheinen dem Mesoblast anzugehören. Man sieht sie aber bei Embryonen von 2 bis 3 mm. noch im Zusammenhange mit der Oberhaut. Die Spinal- ganglien treten später auf, und zwar nicht oberhalb des Rückenmarkes, sondern seitwärts. Ich habe Epithelzellen zapfenartig von der Haut nach innen zu, zwischen die Urwirbel, sich erstrecken gesehen. In späterer Pe- riode lagen sie, eine rundliche, selbstständige Gruppe bildend, schon getrennt von der Haut, nahe dem Rückenmarke. Aus diesem letzteren ging ein kurzes Bündelchen von Nervenfasern, also eine Wurzel, in der Richtung der Ganglienzellen. Eine Vereinigung zwischen ihnen bestand in jener Periode noch nicht. Indem ich diesen kurzen Bericht abschliesse, kann ich nicht unerwähnt lassen, dass die Beschreibung und die Abbildungen von A. Dohrn über die Gehirnganglien, 2. В. des Trigeminus, Ophthalmicus, Facialis, Vagus und anderer, im hóchsten Grade naturgetreu sind. Ich besitze eine grosse Reihe von Präparaten, die ganz dasselbe Bild geben, wie seine Fig. 1, 2, 4 Tab. 10 und besonders Fig. 6 Tab. 11 (Bd. ҮШ, НЕ. 2.). Melanges biologiquos. T. XIIT, p. 67. (хххш)] | 97 Untersuchungen über die Basicitát der Antimonsäure von Fr, Beilstein und 0. von Blaese. (Lu le 15 novembre 1888.) Was bis jetzt über die Konstitution der Antimonsäure allgemein ange- nommen wird, stützt sich einzig auf die Angaben Frémy's!) und obgleich mehrere Beobachtungen dieses Forschers keine Bestätigung gefunden haben, sind doch seine theoretischen Ansichten die herrschenden geblieben. Die von ihm gewählten Benennungen der Salze sind, im Prinzip, beibehalten worden. Nach Frémy giebt es zweierlei Antimonsáuren: die aus dem Kaliumsalz durch Salpetersäure abscheidbare Ortho-Säure H,SbO, + H,O und die durch Zerlegung von SbCl, durch Wasser gebildete Metaantimonsäure (jetzt Pyroantimonsäure) H,Sb,0,+ 2 H,O. Die Antimonsäure soll in NH, unlöslich sein, die Metaantimonsäure sich aber darin langsam, in der Kälte, lösen. Doch gesteht Fr&my selbst zu, dass seine Beobachtungen ап Schärfe zu wünschen lassen, weil die Antimonsäure, schon durch Wasser, in Metaantimonsäure übergeht. «Es scheint», (nach Frémy), dass die Meta- antimonsäure sich in Säuren schneller löst als die Antimonsäure. Geuther?) stellte fest, dass die, durch HNO, aus den Antimoniaten abgeschiedene, Antimonsüure lufttrocken der Formel H,SbO, entspricht. Bei 175^ geht die Säure in HSbO, und bei 275° in Sb,0, über. Daubrawa?) stellte ähnliche Versuche mit der Antimonsäure aus SbCl, und Wasser an und fand Dir die lufttrockene Säure die Formel H,SbO, + У, H,O. Beim Stehen über Schwefelsäure geht die Säure in H,SbO,, bei 100° in H,Sb,O,, bei 200° іп HSbO, über und hinterlässt bei 300° Sb,O,. Durch eine Reihe sorgfäl- tig ausgeführter Versuche stellte Conrad‘) fest, dass die auf die eine oder andere Art bereitete Antimonsäure stets von einerlei Zusammensetzung erhalten wird, nämlich H,SbO, + ', H,O für die lufttrockene Säure, und H,SbO, für die über Н,50, getrocknete Säure. Bei 100? entsteht H,Sb,0, 1) Journal für prakt. Chemie (1845) 43. 293; (1848) 45, 209. 2) Journal für prakt. Chemie es H = 4, 438. 3) Liebig’s Annalen (1877) 1 4) Chemical news (1879) 40, 198. De Referat über diese Arbeit im Jahresbericht für Chemie u. 8. w. für 1879, 287 ist falsch. Melanges phys. et chim, Т. ХШ, р. 5. í 98 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, (8.8.71 und zwischen 100—275? geht ein weiteres Molekül Wasser fort, doch hinterbleibt selbst bei 300? noch ein 2—35, Wasser enthaltendes Präparat. Erst bei Rothgluth entweicht alles Wasser, aber gleichzeitig beginnt ein Zerfall in Sb,0, und Sauerstoff. Die Versuche von Daubrawa und Conrad stimmen in allen wesentlichen Punkten überein und es kann daher ` als feststehend angenommen werden, dass stets einerlei Substanz H,SbO, + "H,O (lufttrocken) und H,SbO, (über H,SO, getrocknet) erhalten wird. Nichts rechtfertigt die Annahme zweier verschiedener Hydrate, wie es z. В. in der neuesten Auflage von Graham-Otto's Chemie (5. Aufl., АБ. IL 5. 575) geschehen ist. Unsere eigenen Versuche über Antimonsäure verschiedener Herkunft stimmen mit dem oben Mitgetheilten überein. In den Eigenschaften der verschiedenen Präparate vermochten wir keine Unter- schiede wahrzunehmen; namentlich war das Verhalten gegen Ammoniak stets ein ganz übereinstimmendes. Sollten hin und wieder von anderen Forschern geringe Unterschiede im Verhalten beobachtet worden sein, so erklären sich dieselben durch die verschiedene Temperatur bei der Abschei- dung der Antimonsáure. Dass Geuther's Säure lufttrocken H,SbO, und nicht nach der Formel H,SbO, ~ /, H,O zusammengesetzt war, darf nicht überraschen, da Geuther seine Säure während eines «Sommerhalbjahres» an der Luft trocknete, Daubrawa seine Prüparate aber nur einige Wochen lang liegen liess. Ausserdem ist zu berücksichtigen, dass der Antimonsäure häufig Sb,0, beigemengt sein kann. Man erkennt die Gegenwart von nie- deren Antimonoxyden an der Reduktion von AuCl, durch die Antimonsäure. Nichts nóthigt bis jetzt zur Annahme von zwei verschiedenen Anti- monsäuren, Die einzige Beobachtung, welche dazu führen kann die Existenz, in wässe- riger Lösung, von Salzen zweier verschiedener Antimonsäure anzunehmen, ist folgende.) Bereitet man eine Lösung von Kaliumantimoniat auf kaltem : Wege, so entsteht eine Lösung, welche, durch wenig Natriumacetat, Natrium- salze gar nicht fällt. Bei viel Natriumacetat entsteht ein flockiger Nieder- schlag sofort. Bleibt eine solche Lösung nur 24 Stunden stehen, so erlangt sie die Eigenschaft Natriumsalze krystallinisch zu fällen und momentan ge- schieht dies, sobald die Lösung des Kaliumsalzes zum Kochen erhitzt wird. Die kaltbereitete Lösung des Kaliumsalzes wird durch Alkohol gefällt. Der Niederschlag KSbO; + 36,0 (KSbO, + 1, HO = K,H,Sb,0, + 2H,0 bei 100° getrocknet) löst sich langsam aber reichlich in kaltem Wasser und diese Lösung fällt Natriumsalze krystallinisch, erst nach dem Aufkochen. Fre Melanges phys. et chim, Т. ХІП, p. 6. 5) Кпотте, Olschewsky, Berichte der 4. chem. Gesellschaft 1885, 2353; 1887, 3044; ету. · (хххш)| UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITÄT DER ANTIMONSAURE. - 99 Daraus würde freilich die Existenz von zwei verschiedenen Antimonsäuren folgen. Die Salze dieser zweiten Säure sind offenbar sehr unbeständig. Bereitet man sich antimonsaures Ammoniak oder Kaliumantimoniat, gleich- gültig wie, und gebraucht nur die Vorsicht die Lösung der Antimoniate, im Laufe der Arbeit, zu erhitzen, so erhält man stets eine Lösung, welche Natriumsalze sofort krystallinisch fällt. Alle Salze, welche durch doppelte Umsetzung daraus bereitet werden, leiten sich sämmtlich von einer und der- selben Antimonsáure ab. Das Einfachste wäre nun die Antimoniate als Derivate der.Orthosüure H,SbO, aufzufassen. Allein der Wassergehalt der Antimoniate ist häufig ein komplizirter, so dass viele Forscher es vorgezogen haben, seit Frémy, die Antimoniate als Pyroantimoniate, d.h. als Salze der Säure H,Sb,0, zu betrachten. Von diesem Gesichtspunkte aus haben namentlich Knorre und Olschewsky*) einige Antimoniate untersucht. Das durch Schmelzen von Antimon mit Salpeter bereitete Kaliumsalz führte zu keinen bestimmten Resultaten, weil dasselbe ganz allmählig Wasser verliert, es also unmöglich ist zwischen Krystallwasser und Konstitutionswasser zu unterscheiden. Das Natriumsalz entspricht, bei 350° getrocknet, der Formel NaSbO, + 4 H,O = Na,H,Sb,0, Das ist die Formel eines Pyroantimoniates. Dei verschiedenen Darstellungen von Kaliumantimoniat?) wurden Präparate er- halten, die bei 330° annähernd der Formel K,H,Sb,0, entsprachen. Unter diesen Verhältnissen erschien es wünschenswerth die Antimoniate einem genaueren Studium zu unterwerfen, als bisher geschehen ist. Nament- lich konnte auch die Untersuchung von Antimonsäure-Estern Auf- schluss über die Konstitution der Antimonsäure geben. | Was bis jetzt über Antimoniate bekannt ist, verdanken wir grössten- theils einer vorzüglichen Arbeit Heffter's?. Der experimentelle Theil dieser Arbeit ist mit grosser Sorgfalt durchgeführt, nur seine Be- rechnungen haben eine Korrektur erfahren. Heffter gelangte zu ausserordentlich komplizirten Formeln für die Antimoniate, z. B. für das bekannte, krystallinische Natriumsalz: 12 (NaSbO, + 3%, HO) + NaOH. Allein Schneider?) wies bald nach, dass hieran nur das früher irrthümlich zu hoch angenommene Atomgewicht für Antimon (— 129, statt — 120) Schuld sei. Rechnet man Heffter’s Analysen nach dem neuen Atomge- wicht um, so gelangt man zu einfachen Formeln, für das Natriumsalz zu NaSbO, + 37, HO. 6) Knorre, Olschewsky, Berichte der deutschen chem. Gesellschaft 1887, 3050. 7) Poggendorff's Annalen der Physik cam Chemie (1852) 86, 418. 8) Poggendorff's Annalen (1856) 98, 2 9) Berichte der deutschen chem. enz? (1885) 18, 2743. Melanges phys. et chim. Т. ХШ, р. 1. 100 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, [N. 8. 1 Heffter stellte folgende Salze dar: KSbO, + 3), H0; — Mg (Sb0j), + 19 H,0; — Ca(SbO,) + 5H,0; — Sr (550), + 6 H,O; — Ba (5ђ0,), + 6 H0; — Ni (SbO,), + 6 H,0; — Со (500,), + 12 Н,0. Raschig?) stellte antimonsaures Ammoniak NH,SbO, + 3 H,O dar durch Behandeln von Schwefelantimon mit Ammoniak und Wasserstoff- superoxyd. Durch doppelte Umsetzung bereitete er daraus die Salze Mg (5Һ0,),-- 12 H,O und OH. Cu. ONH, + 2 NH,SbO, + 4 H,O. Darstellung des antimonsauren Kaliums. Zur Darstellung der Antimoniate wählten wir das Kaliumsalz. Das nach Raschig aus Sb,S,, NH, und H,O, bereitete Ammoniaksalz wird in zu verdünnter Lösung erhalten. Für die Darstellung von Kaliumantimoniat ist die Dexter’- sche") Vorschrift wohl die geeignetste. Danach trägt man ein inniges Gemisch von 1 Theil entwässerten Brechweinstein und 1 Theil Kalisalpeter portionenweise in einen glühenden Tiegel ein und fügt der völlig weissen Schmelze, allmählig und in kleinen Antheilen, У, Theil Ätzkali zu. Man hält die Masse noch У, Stunde lang іп ruhigem Fluss und giesst sie dann auf eine Metallplatte aus. Das Produkt löst sich völlig in heissem Wasser; die Lösung wird zur Krystallisation verdampft. Wir gingen bei unseren Versuchen vom käuflichen Salze aus. Dasselbe ist oft stark verunreinigt durch K,CO,, KNO, u.s. w. Dasselbe wurde da- her zunächst mit kaltem Wasser gewaschen. Beim darauffolgenden Kochen mit Wasser löst sich aber nur ein kleiner Theil des Salzes auf, offenbar in Folge einer erheblichen Beimengung an saurem Salze oder freier Antimon- säure. Vermuthlich wird sich durch Schmelzen des käuflichen Salzes mit etwas Kali eine grössere Menge löslichen Kaliumsalzes daraus bereiten lassen. Wir fanden einen einfacheren Weg dazu. Das mit kaltem Wasser gewaschene, käufliche Kaliumantimoniat wurde, in einem verstöpselten Kol- ben, mit konzentrirtem, wässerigem Ammoniak übergossen, so dass ein dünner Brei entstand, den man 2 Tage stehen liess. „Рапп verdünnt man das Gemisch mit viel Wasser und erhitzt es in einer Metallschale längere Zeit zum Kochen, bis alles Ammoniak entwichen ist. Es tritt sehr bald ein Mo- ment ein, wo sich eine grosse Menge des Niederschlages in der Flüssigkeit löst. Während des Kochens hält man die Schale durch eine Glastafel bedeckt und ersetzt von Zeit zu Zeit das verdampfte Wasser. Die klare Lósung wird abdekantirt und nóthigenfalls durch Eindampfen konzentrirt, was aber meist kaum nöthig ist. Eine von uns benutzte Lösung enthielt etwa 36 g Kalium- antimoniat im Liter. : Die von uns dargestellten antimonsauren Salze sind in Wasser 10) Poggendorff’s Annalen der Physik und Chemie (1857) 100, 564. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 8. (ххх) | UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITÄT DER ANTIMONSÄURE. 101 sehr schwer löslich oder unlöslich. Sie enthalten sämmtlich Krystallwasser, das zum grösseren Theile bei 100° entweicht. Bei stärkerem Erhitzen geben sie alles Wasser ab, ohne hierbei Sauerstoff zu verlieren. Wir haben uns hiervon überzeugt durch Wägungen sowohl des erhitzten Salzes als auch durch Auffangen des Wassers in gewogenen Chlorcaleium- röhren. Berzelius und Heffter beobachteten das Gleiche bei den von ihnen untersuchten Salzen. Viele Salze erglühen beim völligen Entwässern; eine Ausnahme hiervon zeigten das Lithium-, Quecksilber-, Chrom- und Eisensalz. Die geglühten Salze lösen sich nur unvollständig in jenen Lösungsmitteln, in welchen die wasserhaltigen Salze löslich sind. Analyse der Antimoniate. Die Bestimmung der Metalle in den Alkaliantimoniaten geschieht, nach dem Vorgange H. Rose’s derart, dass man das Antimoniat direkt mit Salmiak glüht oder das Salz in Salzsäure löst, die Lösung verdunstet und den Rückstand mit Salmiak glüht. Hierbei entweicht das Antimon und es hinterbleibt ein Chlormetall. Durch erneutes Glühen mit Salmiak überzeugt man sich von der völligen Entfernung des Antimons. Das Antimon wird meist als Sb,S, bestimmt. Das Schwefelantimon durch Glühen im Wasserstoffstrome als Antimon zu wägen, ist, nach Heff- ter, nicht empfehlenswerth. In den Analysen wird das Antimon meist als Sb,S, gefällt und dieses wird, durch Erhitzen im Kohlensäurestrome, in Sb,S, umgewandelt. Nach Heffter soll hierzu schon ein mehrstündiges Erhitzen des Antimonpentasulfids auf 200—230? genügen. Wir fanden bei unseren Versuchen, dass auf diese Weise keine genauen Resultate erhalten werden. Man beobachtet allerdings, dass nach mehrstündigem Erhitzen auf 200—230? das Gewicht des Schwefelantimons konstant wird; allein demselben ist stets etwas Schwefel (als Sb,Sb,?) beigemengt. Erhitzt man stärker, so entweicht wieder Schwefel. Wir haben es deshalb vor- gezogen das Antimonpentasulfid im Kohlensäurestrome zu erhitzen. Der wie gewöhnlich behandelte Niederschlag wurde, nach dem Trocknen, mit CS, gewaschen um ihn möglichst von freiem Schwefel zu befreien. Das bei 100° getrocknete und gewogene Schwefelantimon wurde dann zum grösseren Theile in ein Schiffehen gebracht und dieses, in einer Röhre, im Kohlen- säurestrome erhitzt. Man lässt die Flamme des Gasbrenners nicht direkt auf das Schiffehen wirken, sondern bedeckt die Flamme mit einem Drath- netz. Diese Vorsichtsmaassregel ist in sofern zweckmässig, als bei zu star- kem Erhitzen im Gasstrome sich leicht etwas Sb,S, verflüchtigt. Erhitzt man das Antimontrisulfid, wie es Heffter vorschreibt, bis es eine blasige Beschaffenheit annimmt, so kann man stets eine deutliche Verflüchtigung von Sb,S, wahrnehmen. Mélanges phys, et chim. T. XIII, p. 9. 102 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, | LOCH Die Analyse der Antimoniate durch Schmelzen mit Soda und Schwefel vorzunehmen, ergab keine völlig befriedigenden Resultate. Beim Behandeln der Schmelze mit Wasser ging wohl das Antimon rein in Lósung, aber in dem unlóslichen Metallsulfide konnte immer Antimon nachgewiesen werden. 1. Antimonsaures Lithium LiSbO, + 1۰ Die Lósung des Kaliumantimoniates wird durch Lithiumsulfat sofort gefällt. Beim Stehen des Gemisches scheiden sich, am nächsten Tage, Кту- stalle des Salzes an den Wandungen des Glases ab. Dieselben erscheinen, unter dem Mikroskope, als hexagonale Tafeln. Beim Glühen verliert das Salz alles Wasser ohne Feuererscheinung; es bleibt dabei farblos. Zur Analyse wurde das an der Luft getrocknete Salz verwendet. Die Bestimmung des Lithiums geschah durch Glühen des Salzes mit Salmiak. Dieses Verfahren hat unvermeidlich einen kleinen Verlust an LiCl im Gefolge. | 1. 0,9541 g gaben 0,1742 LiCl. 2. 0,5410 g gaben 0,1060 LiCl. 3. 0,7586 g lieferten 0,1772 g Wasser. Berechnet. Gefunden. E = 9. Li 7 LiO 6,55 6,52 6,99 — Sb 1196 5,0, 69,81 ku Шиш О, 195048 Н,0 23,64 نیمه موی‎ 99 5 3H,0 54 228,6 100,00 2. Antimonsaures Quecksilberoxyd Hg (SbO,), + 6Н,0. Nach Berzelius?) entsteht beim Eingiessen von Kaliumantimoniat in Sublimatlösung, erst nach einiger Zeit, ein graugelber Niederschlag. Durch Glühen von Antimon mit Quecksilberoxyd erhielt er ein dunkelolivengrünes, ziemlich feuerbeständiges Pulver. Unsere Lösung von Kaliumantimoniat gab mit Sublimat, erst nach eini- ger Zeit, einen farblosen, flockigen Niederschlag. Derselbe setzte sich sehr langsam ab und da er beim Filtriren theilweise durch’s Filter ging, wurde er durch sehr langes Absetzen und Dekantiren gewaschen. Dabei nahm der Niederschlag eine gelbliche Farbe an. Zur Analyse wurde das Salz an der Luft getrocknet, dann in Salzsäure und Weinsäure gelöst und zunächst das Quecksilber durch phosphorige Säure 11) Schweigger, Beiträge zur Chemie und Physik (1812) Band 6, 8. 164. Melanges рһув, et chim Т. ХШ, _(хххш)] UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITÄT DER ANTIMONSÄURE. 103 als Kalomel gefällt. Im Filtrate davon wurde das Antimon durch Schwefel- wasserstoff gefällt und als Sb,S, gewogen. 1. 0,8282 g gaben 0,3082 g Hg,Cl, und 0,4338 g Sb,S,. 2. 0,7996 g gaben 0,2995 g Но СІ, und 0,4018 2 Sb,S,. Berechnet. Gefunden. 1 2 560, 319,2 49,64 49,88 49,18 HgO 215,8 .33,56 34,14 34,36 6Н.О 108 16,80 سب‎ — 643,0 100,00 Das getrocknete Salz ist gelb. Beim Erhitzen färbt es sich schwarz, doch tritt während des Wasserverlustes keine Feuererscheinung ein. 3. Antimonsaures Aluminium Al(SbO;), + 15Н,0 = AI(H,SbO,); + 12H;0. Eine Lösung von Kaliumantimoniat giebt mit Alaunlösung einen Nieder- schlag, der sich, bei mehrtägigem Stehen in der Flüssigkeit, in glänzende, mikroskopische Krystalle umwandelt. Zur Darstellung des Salzes diente Kaliumalaun (Analysen 1—3) und Ammoniakalaun (Analysen 4—6). Die gut ausgewaschenen Niederschläge blieben an der Luft liegen, bis ihr Ge- wicht sich nicht mehr änderte. 1. 0,5626g gaben 0,3516g Sb,S;. 2. 0,7485 © gaben 0,0526 2 ALO,. 3. 0,4964 2 gaben 0,1660 g/H;0. 4. 0,6264 2 gaben 0,3921 g Sb,Ss. 5. 0,6899 g gaben 0,0442 5 Al,O;. 6. 0,4312 g gaben 0,1456 g H,O. Berechnet. Gefunden. ۱ E 2 ید با‎ 5. 6. 350,0, 957,6 59,86 594 ef — 69,6 چپ اس‎ Al,O,. 102,1 6,38 н: 7,0! — -- 6,4 — ЗОН,0 540 3376 — - 334 — +; 33,8 1599,7 100,00 1,1941 g gaben bei ۴ ae Wasser ab, bei 150° 0,2677 g und bei 200° 0,3053 g Н.О. Berechnet. Géfunden. 16H,0 18,0% HO 18,8% Н,0 21Н,0 23,6 23,8 24Н,0 27,1 27,2 Mélanges phys. et chim. Т. ХІП, р. 11. 104 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, [N. S. 1 Demnach entspricht: das bei 100? getrocknete Salz der Formel: Al(SbO,); + 0 == AI(H,SbO,); + АН,0, das bei 150° getrocknete Salz: А(5Һ0;); + 4УН,0, das bei 200° getrocknete Salz: Al(SbOg), + 3H,0 = AI(H,SbO,);. Das bei 200° getrocknete Salz besitzt demnach die Zusammensetzung eines orthoantimonsauren Salzes. Bei starkem Erhitzen zeigt das Salz eine Glüherscheinung. | 4. Antimonsaures Thalliumoxydul TISbO; + 2H,0 =TIH,SbO,+H,0. Durch Eingiessen von völlig neutralem Thalliumsulfat in Kaliumanti- moniatlösung entsteht ein farbloser Niederschlag, der etwas in Wasser lös- lich zu sein scheint; wenigstens liessen sich in den Waschwassern Thallium und Antimon deutlich nachweisen. Das einmal getrocknete Salz ist in Wasser unlöslich. Zur Analyse wurde lufttrockenes Salz verwendet. Die Trennung des Antimons vom Thallium geschah durch Schwefel- wasserstoff, in saurer Lösung. Das Thallium wurde als Sulfat gewogen. 1. 0,8854 g gaben 0,5444 ТЬЗО, und 0,3662 g Sb;S;. 2. 0,8168g gaben 0,0746 ۰ Berechnet. Gefunden. h 80, 8192 3948 . 30838 — О 423i BAD — 4H,0 72,0 8,84 — 9,18 814,6 100,00 1,0662g verloren bei 100° — 0,0515 2 H,O; bei 150? — 0,0674; bei 200° — 0,0753; bei 250° — 0,0804 und beim Glühen 0,0946 e Н.О. Es beträgt daher der Wasserverlust: bei 100? 4,83%, H,O 1H,0 = 4,42 7 (berechnet) 5: ње 6,32 „ 200 7,06 „ 250 7,54 ә Glühhitze 8,87 ‘2H,0 = 8,84 ` (berechnet). Das bei 100° getrocknete Salz entspricht wiederum genau einem Orthoantimoniat TISbO,+H,0—TIH SbO,. Oberhalb 150° entweicht der Rest des Wassers ganz allmählig, während das erste Molekül Wasser ar Krystallwasser leicht und vollständig bei 100° entweicht, Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 12. (ххх) | UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITÄT DER ANTIMONSÄURE. 105 Beim Erhitzen färbt sich das antimonsaure Thallium eitronengelb und hierauf dunkelorangefarben, wird aber dann, beim Erkalten, wieder gelb. Bei starkem Erhitzen zeigt das Salz eine Glüherscheinung, wie die Mehr- zahl der Antimoniate. 5. Antimonsaures Blei. Berzelius beschreibt das antimonsaure Blei als einen farblosen, käse- ähnlichen Niederschlag, der beim Trocknen gelblich wird. Es gelang ihm nicht die Zusammensetzung zu ermitteln, da er das Blei vom Antimon (durch Salpetersäure) nicht zu trennen vermochte. Wasserhaltiges Blei- antimoniat entdeckte Hermann) als ein (sibirisches?) Mineral von der Zusammensetzung 3PbO . 50,0, + 4H,0 == Pb(SbO;), + 2PbO + 46,0. Das Mineral war gelb und besass ein spezifisches Gewicht — 4,60 bis 4,76. Als ein ähnlich zusammengesetzter Körper erwies sich nach Brooke?) eine «Bleiniere», aus Cornwall. Dieselbe war wohl ein Umwandlungsprodukt von Jamesonit und zeigte eine wechselnde Zusammensetzung. Ein paar Analysen stimmten auf die Formel 3PbO . 28b,0, + 10H,0 = 2Pb(SbO;), + PbO . + 10H,0. Das wasserfreie Bleiantimoniat, durch Schmelzen von Brech- weinstein mit Bleinitrat und Kochsalz bereitet, wird als ‚pomeranzengelbe Ölfarbe, unter dem Namen Neapelgelb, benutzt. Durch Versetzen von Kaliumantimoniat mit Bleiacetat erhielten wir einen farblosen Niederschlag, der anhaltend, durch Dekantation, mit Was- ser gewaschen wurde. Das luftrockene Salz wurde, behufs der Analyse, in Salpetersäure, unter Zusatz von Weinsäure gelöst, die saure Lösung mit NH; neutralisirt und mit Schwefelammonium versetzt. Oder man fällte die Lösung durch Schwefelwasserstoff und behandelte den Niederschlag mit Schwefel- ammonium. Das Blei wurde als PbS gewogen. Das Salz wurde zweimal dargestellt; Analysen 1—7 beziehen sich auf Salz der ersten Darstellung, Analysen 8 und 9 auf Salz von der zweiten Darstellung. . 0,7526 2 gaben 0,3556 2 PbS. . 0,7063 g gaben 0,3331 2 PbS. . 0,8283 g gaben 0,3916 g PbS und 0,3763 2 50,5. . 0,8896 g gaben 0,4231 g PbS und 0,3986 g 56,5. . 0,3773 g gaben 0,0481 g Н.О. . 0,5341 g gaben 0,0674 g Н.О. . 0,9870 2 gaben 0,1259 g H,0. . 0,6990 2 gaben 0,3430 g PbS und 0,3024 g Sb,5,. | . 0,8455 2 gaben 0,1105 2 Н.О. D N Сс оњ Dä D m = 12) Journal für praktische Chemie (1845) 34, 179. 13) Jahresbericht der Chemie für 1856, 8. 871. Melanges phys. et chim, T. XIII, p. 13. 106 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, [бил Berechnet. Се? ата dreon Баға ea e bn ze Е 2: 8; 4. Б; АА 7. 8, 9. 28,0; 638,4 4246 ge 48951 AOL mss венных blitt је 5۳00 6672 44,37 44,08 43,98 44,10 44,56 -- -- —- 45,76 -- 11H,0 1980 7 12,80 12,62 1274 — 18,06 1503,6 100,00 1,1625 g verloren bei 100° — 0,0924 е; bei 150° — 0,1164g; bei 200° — 0,1294 g; bei 250° — 0,1364 g und beim Glühen 0,1530 g Was- ser. Demnach beträgt der Wasserverlust: Berechnet. Gefunden. bei 100° 7,94%, ЊО 7H,0 8,37% HA) » 1509 10,01 9H,0 10,10 » 9002 11,13 -— — » 9509 11,73 10Н,0 11,97 » Glühhitze 13,16 11Н,0 13,17 Das Salz zeigt beim Erhitzen eine Glüherscheinung und bleibt dann dauernd gelb gefärbt. Es ist sehr bemerkenswerth, dass unser Salz fast genau der іп Corn- wall aufgefundenen «Bleiniere» entspricht; die ganze Differenz beträgt nur ein Molekül Wasser. Für die Formel 3PbO . 255,0, + 10Н,0 be- rechnen sich: Sb,0; — 42,33%; PbO — 44,017; H,O — 12,12%. Un- ser Salz ist demnach ein basisches: 2Pb(SbO,), + PbO + 11H,0. Die nicht unbetrüchtlichen Schwankungen in der Zusammensetzung des- selben erklären sich wohl durch die Wirkung des Waschwassers. In der That, bei einer anderen Darstellung von Bleiantimoniat, wobei aber der Niederschlag nicht durch tagelanges Dekantiren gewaschen, sondern sofort abfiltrirt wurde, fanden wir im lufttrockenen Salze: 39,30%, PbO und 14,86 % H,O. Das Salz enthielt also erheblich weniger Base. Ein anderes Bleiantimoniat erhielten wir durch Fällen von Kalium- antimoniat mit Bleinitrat. Um auch hier den Einfluss des Waschwassers zu studiren, wurde bei der einen Darstellung (Analysen 1—3) der Nieder- schlag sofort abfiltrirt und auf dem Filter gewaschen. Bei der anderen Darstellung (Analysen 4— 7) wurde der Niederschlag sehr lange, durch Dekantation gewaschen, und dazu im Ganzen 33 Liter destillirtes Wasser verwendet. 1. 0,5753 2 gaben 0,2258 g PbS. 2. 0,5497 g gaben 0,2174 g PbS und 0,2765 SbaSs. 9. 0,6895 g gaben 0,1070 g ۰ 4. 0,4518 2 gaben 0,1756 g PbS und 0,2255 © Sb,S,. Mélanges phys. et chim. T, XIII, p. 14. (XXXIII) | UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITÄT DER ANTIMONSÄURE. 107 5. 0,4759 g gaben 0,1853 g PbS und 0,2390 g Sb,S,. 6. 0,5178 g gaben 0,0816 g HO. 7. 0,2919 g gaben 0,0452 g HO. і: a 3 4. A 6. T Оооо 0: пало 42 54, «АЙТ сан улай Pü 86,61 36,82. — ШИЙ Зб Ай кши dee 11,0 о MBA И АИ". Beide Niederschläge haben einerlei Zusammensetzung. Es ist also durch das anhaltende Waschen keine weitere Zersetzung eingetreten. Das Salz entspricht nahezu der Formel Pb(SbO;), + 6H,0; gefunden wurde nur ein kleiner Überschuss an Bleioxyd. Die Ergebnisse. der Analyse entspra- chen dem Verhältniss 108b,0,: 11PbO. Offenbar besteht die Hauptmasse des Niederschlages aus neutralem Salze und ist ihm nur eine kleine Menge des basischen Salzes beigemengt. Sehr auffallend ist, dass bei zwei ver- schiedenen Darstellungen doch Salz von einerlei Zusammensetzung erhalten wurde. 6. Antimonsaures Chromoxyd Cr(SbO,); + 14Н,0. Eine Lösung von Chromalaun giebt mit Kaliumantimoniat einen bläulichgrauen Niederschlag, der sich rasch absetzt und gut auswaschen lässt. Während des Waschens ändert er seine Farbe nicht. Zur Analyse wurde lufttrockenes Salz von zwei Darstellungen benutzt (Analysen 1—3 und 4--5). 1. 0,4724 g gaben 0,2929 g Sb,5,. 2. 0,6842 g gaben 0,0650 g Ст.О.. 3. 0,4877 g gaben 0,1514 g Н,0. 4. 0,6944 g gaben 0,0625 g Сг.О,. 5. 0,4662 © gaben 0,1454 g H,O. Berechnet. Gefunden. 1 2. 3. 4 n 88b,0,957,6 “5987 5881. — т Cr, 152, 9,47 CT TNO LEGO — 28Н,0 504,0 31,22 — UU де. сата 1614,5 100,00 Beim Erhitzen wird das Salz grau, ohne еше Glüherscheinung zu zeigen. Melanges phys. et сһіш, Т, ХІП, p. 15. 108 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, (8. 8. 1 7. Antimonsaures Manganoxydul Мц($0,), + 76,0. Nach Berzelius ізі Manganantimoniat ein schneeweisser, luftbeständi- ger Niederschlag, der beim Glühen grau und schliesslich weiss wird. Analy- sirt hat er dieses Salz nicht. Beim Versetzen von Kaliumantimoniat mit Manganvitriol erhielten wir einen farblosen, amorphen Niederschlag, der sich gut auswaschen liess. Das Salz färbte sich aber, bei längerem Stehen an der Luft, dunkler. Beim Erhitzen wurde es schwarz, unter gleichzeitigem Erglühen. Wir analysirten das lufttrockene Salz. 1. 0,6787 g gaben 0,1045 g Mn,0, und 0,4354 g Sb,5,. 2.0,7153g gaben 0,1094 g Mn,0, und 0,4602 g Sb,8,. Berechnet. Gefunden. 1. 2. 5,0, 319,2 61,86 61,08 61,26 MnO- 70,8 13,72 14,46 14,21 7H,0 126,0 24,42 — үт 516,0 100,00 8. Antimonsaures Eisenoxydul. Über dieses Salz lag bisher nur eine qualitative Beobachtung von Berzelius vor. Danach bildet es einen farblosen Niederschlag, der beim Trocknen gelblich und hierauf gelbgrau wird. Das geglühte Salz ist roth. Wir stellten das Salz durch Fällen von Kaliumantimoniat mit frisch be- reitetem Eisenvitriol (Analysen 1—2) und mit schwefelsaurem Eisenoxy- dul-Ammoniak (Analysen 3, 4) dar. Die Fällung wurde in Kolben vorgenom- menund auch das Waschen in verstöpselten Kolben ausgeführt. Dergewaschene Niederschlag wurde im Exsiccator getrocknet. Das Salz wurde als farblo- . ser Niederschlag erhalten, der sich nur sehr langsam absetzte und allmäh- lig dunkler wurde. | : 1. 0,8068 g gaben 0,1582 FeS und 0,5537 g Sb,S,. 2. 0,7677 g gaben 0,1270 g ЊО. 3. 0,7726 g gaben 0,1507 g FeS und 0,5396 g Sb,S,. 4. 0,8940 g gaben 0,1434 g HO Gefunden. 1: 2. 8. 4. 55,0, 65,84 = 560 == FeOGF "1608 та 595 aL HO 16,55. — 1894 Mélanges phys. et chim. Т, ХІІ, p. 16. (ххх) | UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITÄT DER ۰ 109 Die Analysen weisen einen Verlust auf, der vielleicht durch die Gegen- wart von Schwefelsäure im Salze zu erklären ist, wahrscheinlicher aber durch einen Gehalt an Sauerstoff, d. h. das Salz enthält nicht oder nur theilweise Eisenoxydul, sondern Eisenoxyd. Dieses liess sich, inder That, im Niederschlage nachweisen. Die Zahlen deuten auf ein neutrales Salz von der Formel Fe(SbO,),-+ хН.О. Dasselbe oxydirt sich augenscheinlich leicht und kann daher nicht rein dargestellt werden. 9. Antimonsaures Eisenoxyd Fe,0,.2Sb,0, + 11H,0 = OH.Fe (H,SbO,), + 3H;0. Ein gelbes Salz von obiger Zusammensetzung erhielten wir durch Fällen von Kaliumantimoniat mit überschüssigem penre dt Ammoniakalaun. Das Salz wurde an der Luft getrocknet. 1. 1,0362 2 gaben 0,6859 g Sb,5,. 2. 0,7250 2 gaben 0,1220 g bei, 3. 0,9322 g gaben 0,1832 g HO. 4. 0,8254 g gaben 0,5449 © 50,5, und 0,1550 g Fes. Berechnet. Gefunden. 1. 2. 8. 4. 25,0, 638,4 : 64,08 63,02 — — 62,49 Reih 189 76 16,04 — 1116,88 > 11407 11H,0 198.0... 1988۰ رم‎ om 119008 1075 99.616 100,00 1,1149 g verloren bei 100?— 0,1198 g H,0; bei 150?— 0,1524 g; bei 200°— 0,1682 g; bei 250°— 0,1866 g und beim Glühen 0,2283 g Н,0. Es betrügt also der Wasserverlust: Gefunden. Berechnet. bei 100?. 10,74% 6 H,0 10,847, » 150° 13,66 » 200° 15,08 s 250" 16,73 9 Н,О 16,26 » QGlühhitze 20,53 11 Н.О 19,88 Das bei 100° getrocknete Salz entspricht demnach der Formel OH.Fe (H,SbO,),, entsprechend der oben mitgetheilten Formel. Beim Erhitzen des Salzes tritt keine Glüherscheinung ein. Wie man sieht ist das Salz nicht analog dem Thonerdesalz zusammengesetzt, wie шап а priori vermu- then könnte. Dahingegen stimmt es auffallend mit dem Bleisalze überein. Melanges phys. et chim. T. XII, p. 17. 110 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, [N. 8. 1 Bleisalz 3۳00 . 2550, + 11Н,0. Eisenoxydsalz Fe,0, . 280,0; + 11H40. Ein Salz anderer Zusammensetzung erhielten wir durch Fällen von Kaliumantimoniat mit überschüssigem, säurefreiem Eisenchlorid. Es ent- stand ein farbloser Niederschlag, der nur einen Stich in’s Gelbliche hatte. Derselbe setzte sich sehr langsam ab, wodurch das Waschen verzögert wurde. Der Niederschlag hatte sich während dieser Zeit gelb gefärbt. 1. 0,0751 gaben 0,0916 g FeS. 2. 0,2587 в gaben 0,0435 g Н.О. Berechnet. mager: 2. Ее,О 159,76 11,82 + 34 — 35,0, 957,0 70,86 - e 13H,0 234,0 17,39 с ИЗИ 1351,36 100,00 Der Niederschlag ist daher neutrales Eisenoxydantimoniat Fe (SbO,); + 6!5H,0. Ähnlich wie beim Bleisalz hängt auch hier die Zusam- mensetzung des Niederschlages von der Natur der vorhandenen Mineral- säure ab. Mit Bleinitrat wurde fast neutrales Bleiantimoniat erhalten, wäh- rend mit dem Bleisalze der schwachen Essigsäure ein basisches Bleiantimo- niat resultirte. Hier liefert Eisenchlorid ein neutrales, aber Eisenalaun ein basisches Salz. Mit der stärkeren Schwefelsäure entsteht doch ein basi- sches Salz, weil offenbar die Schwefelsäure beim Kaliumsulfat bleibt. 10. Antimonsaures Kupfer 3Cu0.2Sb,0,-+-13H,0. Von diesem Salze giebt Berzelius nur an dasselbe sei ein voluminö- ser, blassgrüner Niederschlag, der beim Trocknen blaugrün und beim Er- | hitzen, pistaziengrün werde. Nach Н. Schiff" ist Kupferantimoniat ein grünblauer Niederschlag, der sich nicht in Ammoniak löst, aber durch Ammoniak in ein hellblaues, sandiges Pulver 2CuO . ANH; . 50,0, + 4H,0 verwandelt wird, das sich nicht in Wasser löst. Aus unseren Versuchen folgt, dass das durch Fällen erhaltene Kupfer- antimoniat ein basisches Salz ist. SeineZ tzung schwankt je nach der Darstellung. Wie bei einigen anderen basischen Antimoniaten erfolgt auch hier eine Zersetzung beim Waschen. Je lünger der Niederschlag ge- waschen wird, um so basischer wird er. - 14) Annalen der Chemie und Fr [1862] 123, 39. Mélanges phys. et chim. T. XIII, р. (ххх) | UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITÂT DER ANTIMONSÄURE. 111 a. Durch Vermischen von Kaliumantimoniat mit Kupfervitriol entsteht ein blassgrüner Niederschlag, der sich rasch absetzt und gut auswaschen lässt. Der Niederschlag wurde sofort abfiltrirt, abgesogen und auf dem - Filter gewaschen. Der lufttrockene Niederschlag wurde analysirt. 1. 0,4193 с gaben 0,0672 о ۰ 2. 0,7058 g gaben 0,1628 g ЊО. Gefunden. CuO 16,36), HO 23,08% b. Der aus Kaliumantimoniat und Kupfervitriol erhaltene Niederschlag wurde durch Dekantation gewaschen und dann an der Luft getrocknet. 1. 0,6362 g gaben 0,1028 g CuS und 0,3974 g Sb;S;. 2. 0,3758 g gaben 0,0649 g ۰ 3. 0,8120 g gaben 0,1899 g HO. 4. 0,2766 2 gaben 0,0628 g Н.О. в efunden. 1. 4. 50,0. 59,44 -- -- — CuO 17,18 17,28 — — HO — — 28,88 22,70 Das Verhältniss von 50,0; zu CuO ist in diesem Niederschlage = Е LIS, с. Darstellung wie bei b, nur wurde Gen Waschen, durch Dekantation . noch länger fortgesetzt. 1. 0,4300 g gaben 0,0874 2 Cus. 2. 0,3850 2 gaben 0,0796 g CuS. 8. 0,8891 gaben 0,0696 g CuS. 4. 0,5932 g gaben 0,1227 g Cu,S und 0,3584 g Sb, Ss. 5. 0,1986 g gaben 0,0444 g Н.О. 6. 0,2592 g gaben 0,0550 g ЊО. Berechnet. i Gefunden. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 251.0, 638,40. 57,52 -- -- —- 57,52 — — 3CuO 237,54 21,40 20,32 20,67 20,52 20,70 — seg 13H,0 334,00 21,08 — - سس‎ - 21,75 21,21 1109,94 100,00 Die Zusammensetzung entspricht, bis auf еше geringe Differenz im Wassergehalte, der Zusammensetzung des Bleisalzes und des Eisenoxy dsalzes. Mélanges phys. et chim, T. ХШ, p 19. sus 112 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, (8. 8.1 0,4538 g verloren bei 100° — 0,0504 g Н,О; bei 150° — 0,0656; bei 200° — 0,0746; bei 250° — 0,0850; bei 300° — 0,0878; bei Glühhitze - — 0,0963 g H,O. Die blaugrüne Farbe des Niederschlages geht, beim Er- hitzen, in grün und dann in bräunlichgrün über. Hierauf erfolgt ein Er- glühen des Salzes und dasselbe ist dann grau gefärbt. Es verliert also das Salz Berechnet. bei 100° 11,10% Н,0 7H,0 11,35%, » 150 146 9H,0 14,59 » 200° 16,43 10,0 16,21 » 9507 18,78 » 800 19,34 19Н,0 19,45 » Glühhitze 21,22 13H40 21,10 Dem bei 100° getrockneten Salze kommt die Formel 2 OH Cu (H,SbO,) + Cu(H,SbO,) + H,O zu. Die letzten beiden Moleküle Wasser entweichen nur bei hoher Hitze. Oberhalb 250° ist die Zusammensetzung des Salzes 20H . Cu(H,SbO,) + Cu(Sb0,), und bei 300°: 20H.Cu . 550; -- Cu(SbO,). 11. Antimonsaures Silber Ag(SbO;), + 3H,0 = AgH,SbO, +- 2Н,0. Über dieses Salz lagen bis jetzt keine Angaben vor. Man erhält es als farblosen, amorphen Niederschlag durch Füllen von Kaliumantimoniat mit Silbernitrat. Das Salz liess sich gut auswaschen und wurde, zur Analyse, auf Fliesspapier an der Luft getrocknet. Das frisch gefällte Salz löst sich leicht und völlig in Ammoniak. Das getrocknete Salz liefert aber keine klare Lö- sung. Die Behandlung einer solchen Lósung mit Schwefelwasserstoff, behufs Trennung des Antimons vom Silber, gab kein befriedigendes Resultat: das ungelöste Schwefelsilber erwies sich als antimonhaltig. Dagegen gelang auf folgende Weise die Trennung sehr scharf. Das Salz wurde mit verdünnter Salpetersäure und Weinsäure übergossen, wodurch nur еше trübe Lösung entstand. Beim Übersättigen mit Ammoniak löste sich jetzt aber Alles klar auf und durch Schwefelammonium wurde reines Schwefelsilber gefällt. Das- selbe wurde als metallisches Silber gewogen. Die Wasserbestimmungen zeigten deutlich, dass das Silbersalz von der Orthoantimonsäure H,SbO, derivirt: bei 20° entweichen nur zwei Mole- | küle Wasser, der Rest erst bei stärkerem Erhitzen. Hierbei erfolgt eine Glüh- erscheinung, die indessen von keiner weiteren Zersetzung des Salzes begleitet ist. Wir überzeugten uns durch Wägungen, dass das wasserfreie antimon- saure Silber ziemlich feuerbeständig ist und beim Erhitzen keinen Sauerstoff verliert. x Mélanges phys. et chim, T, XIII, p. 20. (ххх) | UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITÂT DER ۱ 113 0,7080 g gaben 0,2280 g Ag und 0,3610 2 Sb,S,. . 0,7744 g gaben 0,2529 g Ag und 0,3964 g Sb,S,. 3. 0,5168 g gaben 0,1686 g Ag und 0,2642 2 Sb,S,. 4. 0,6789 g gaben 0,1134 g HO. Berechnet. Gefunden. bet" E 1. 9, 3. Ag,0 231,32 35,11 34,58 34,98 — Sb,0, 319,20 48,49 48,54 48,73 — 6H,0 108,00 1640. — -- 16,68 658,52 100,00 1. 0,4165 2 verloren bei 120° — 0 ‚04315 und beim Glühen noch 0,0200 HO. 2. 0,8545 g verloren bei 120° — 0,0953 2 H,O und beim Glühen noch 0,0381 g Н,0. Berechnet. и 2 ` 2H;0 10,92% va 34 11,15 11120 5,46) 4,80 4,45 Das bei 120° getrocknete antimonsaure Silber entspricht daher der Formel AgH;Sb0,. 12. Antimonsaures Silberoxyd-Ammoniak AgSbO, + 2NH, + 2H,0. Das lufttrockene antimonsaure Silber absorbirt Ammoniakgas unter Er- wärmen. Wir leiteten, bei gewöhnlicher Temperatur, getrocknetes Ammo- niak über lufttrockenes antimonsaures Silber, das sich in einer gewogenen Kugelröhre befand. Weil das Salz, bei der Reaktion, Wasser verlieren konnte, so vereinigten wir das Kugelrohr mit einem gewogenen Kalirohr. Das Über- leiten des Ammoniak wurde stundenlang fortgesetzt, bis die Gewichte der ` Apparate sich nicht mehr änderten. Natürlich wurde, vor jeder Wägung, das in den Apparaten befindliche Ammoniak. durch Luft vertrieben. Auf diese Weise fanden wir, dass 0,5877 g lufttrockenes antimonsaures Silber um 0,0282 e zunahmen und 0,0290 g Wasser abgaben. Demnach beträgt die totale Gewichtszunahme 0,0572 g ХН,. Diese Zahlen zeigen deutlich, dass die Reaktion nach folgender Gleichung verlaufen ist. AgH,SbO, + 2H,0 + 2NH, = AgH;SbO, . 2NH, . H,0 + ЊО. к Berechnet. Gefunden. + 2NH, 10,33 9,73 „ЖӨ 5,46 4,93 Mélanges phys. et chim. T. ХИ, p. 21. 8 114 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, [N. 8.1 Das lufttrockene Silbersalz verliert also nur ein Molekül des Krystall- wassers und nimmt dafür zwei Moleküle Ammoniak auf. 13. Antimonsäureester. Die Darstellung von Antimonsäureestern bot ein ganz besonderes Inter- esse, da man hoffen konnte, durch Untersuchung der Zusammensetzung der Ester, neue und vielleicht endgültige Thatsachen für die Konstitution der Antimonsäure zu erlangen. Ein erfolgloser Versuch Antimonsäureester darzustellen ist schon vor langer Zeit gemacht worden. Nach Nason’) ent- stehen, beim Behandeln von antimonsaurem Silber mit überschüssigem Äthyljodid, Äther, Jodsilber und Antimonsäure.. Diese Angabe konnte uns von einer Wiederholung des Versuüches nicht abhalten, giebt doch Nason ап, dass auch aus arsensaurem Silber und überschüssigem Äthyljodid eben- falls nur Äther, Jodsilber und Arsensäure resultiren. Nun hat aber Crafts ^) gezeigt, dass, wenn man arsensaures Silber mit der theoretischen Menge Äthyljodid (und Äther) versetzt, Arsensäureester entsteht. Lufttrockenes, antimonsaures Silber wurde mit absolutem Äther über- gossen und dann (ein Molekül) Äthyljodid zugegeben. Es bildete sich sofort Jodsilber. Das Gemisch blieb 24 Stunden in der Kälte stehen, dann wurde filtrirt und das Filtrat verdunstet. Es hinterblieben nur wenige ólige Tro- pfen. Der Filterinhalt bestand aus Jodsilber und Antimonsäure. Der Versuch wurde nun so wiederholt, dass das lufttrockene Silberanti- moniat direkt mit Äthyljodid übergossen wurde. Nach eintägigem Stehen _ wurde destillirt, wobei in das Destillat Äther überging. Ob daneben noch Alkohol entstanden war, haben wir nicht weiter untersucht. Die Reaktion war daher nach folgender Gleichung verlaufen: 2(AgH,SbO, + 2Н,0) + 20,H,J = (СНО + 2AgJ + 26,50, + ӚН,0. Die Antimonsäure weicht daher sehr auffallend von der Arsensäure darin ab, dass sie nicht, wie diese, befähigt ist, sich mit Alkoholen zu ver- binden. Vielleicht wird sich dieses verschiedene Verhalten zur Trennung beider Säuren benutzen lassen. Unsere Beobachtungen führen uns zu dem Schlusse, dass: 1) nur eine Antimonsäure H,SbO, bis jetzt im freien Zustande bekannt ist; 2) Фе Antimonsäure durchaus eine einbasische Säure ist; 3) bis jetzt nur eine Reihe antimonsaurer Salze bekannt ist, die sich am einfachsten als Salze der einbasischen Orthoantimonsäure H,SbO, be- 15) Liebig's Annalen [1857], 104, 126. 16) Bulletin de la société chimique [1870] 14, 99. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 99. (хххш)| UNTERSUCHUNGEN ÜBER DIE BASICITÄT DER ANTIMONSÄURE. 115 trachten lassen. Die Reaktionen des frisch und in der Kälte bereiteten antimonsauren Kaliums deuten die Existenz auch einer anderen (Meta- oder Pyro-) Antimonsäure an, doch ist es bis jetzt nie gelungen, ein Salz dieser Säure im freien Zustande darzustellen. Sollten auch Salze einer solchen zweiten Antimonsäure existiren, so sind dieselben jedenfalls höchst unbestän- dig. Wir haben hierbei, wohlbemerkt, nur auf nassem Wege dargestellte salze im Auge. Die Veründerungen, welche die Salze der Ortho-Ameisen- säure іп der Hitze erleiden, bleiben vorläufig unerörtert. Über den Nachweis des Natriums von Fr. Beilstein. Für den Nachweis des Natriums auf nassem Wege giebt es bis jetzt nur die eine, von Frémy entdeckte, charakteristische Reaktion mit antimon- saurem Kalium. Durch die Entdeckung der Spektralanalyse ist diese Reak- tion in den Hintergrund gedrängt worden. Die Auffindung des Natriums durch die Spektralanalyse oder auch durch die Flammenfärbung ist eine so einfache, rasch auszuführende Operation, dass.man den verhältnissmässig umstündlicheren nassen Weg fast ganz verlassen hat. Dabei sind jene Reak- tionen überaus empfindlich und verlangen nur verschwindend kleine Mengen Substanz. Aber gerade diese ausserordentliche Empfindlichkeit ist, nament- lich für die Zwecke des Unterrichts, unpraktisch. Bei der grossen Ver- breitung des Natriums und namentlich seinem spurenweisen Vorkommen ` überall, ist es begreiflich, dass der Lernende, fast in jedem zu analysirenden Kórper, Natrium findet. Hier liegt nun die Gefahr nahe, dass der Lernende oder überhaupt wenig geübte Beobachter das Wesentliche nicht vom Un- wesentlichen zu unterscheiden versteht. In der weitaus gróssten Zahl der Fälle, und іп der Praxis fast immer, kommt es nicht darauf an ein Spurenweises Vorhandensein von Natrium nachzuweisen. Durch eine qualitative Analyse will man meist die wesentlichen Bestandtheile der zu untersuchenden Substanz feststellen. Es ist fast immer erwünscht, annähernd zu wissen, welche Elemente in grósserer und welche in kleinerer Menge vorhanden sind. Das lüsst sich nun auf nassem Wege verhültniss- mässig leicht erreichen, aber nur schwer oder gar nicht durch Flammen- fürbung oder Spektralanalyse. Die Geschwindigkeit der Entstehung von Niederschlügen, ihr relatives Volumen geben schon Anhaltspunkte zur Ве- urtheilung der vorhandenen Quantitüten der Elemente. Von diesem Gesichtspunkte aus erscheint es mir rathsam anzudeuten, wie nützlich es sein kann das Natrium auf nassem Wege nachzuweisen, etwa wie man das Kalium durch Platinchlorid oder Natriumbitartrat auffindet. Die Frémy'sche Reaktion mit Kaliumantimoniat ist hierzu in hohem Grade geeignet und wenn man diesem Reagenz nicht häufiger in den Laboratorien Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 23. А 8* 116 FR. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, UNTERSUCHUNGEN U. 8. ۰ [№ 8.1 begegnet, so mag der Grund wohl darin liegen, dass die Bereitung dieses Reagenzes nicht ganz einfach und dasselbe nicht sonderlich haltbar ist. Es ist mir nun gelungen ein einfaches Verfahren aufzufinden, wodurch man sich das Reagenz in sehr geeigneter Form bereiten kann. Man bereitet sich (nach Dexter) Kaliumantimoniat oder wählt ein käufliches Salz, das man zunächst mit kaltem Wasser wäscht, um beigemengte Salze (К,СО,, КХО,, KNO,) zu entfernen. Darauf übergiesst man das noch feuchte, breiige Salz, in einem Kolben mit konzentrirtem, wässerigem Ammoniak und lässt das verstöpselte Gemisch unter Umrühren, ein bis zwei Tage stehen. Dann ver- dünnt man den Kolbeninhalt mit Wasser, bringt das Gemisch in eine Schale und erhält die Flüssigkeit in gelindem Kochen, bis das freie Ammo- niak entwichen ist. Am besten operirt man in einer geräumigen Silber- schale, die man während des Kochens mit einer Glastafel bedeckt hält, um das rasche Einkochen zu verhüten. Von Zeit zu Zeit ersetzt man das ver- dampfte Wasser durch frisches. Es tritt nun sehr bald ein Moment ein, wo sich eine grosse Menge des antimonsauren Kaliums löst. Man lässt erkalten und filtrirt; die erhaltene Lösung ist genügend stark um іп Lösungen von Natriumsalzen sofort. einen. krystallinischen Niederschlag zu erzeugen. Sehütteln der Flüssigkeit und Reiben der Glaswände mit einem Glasstabe beschleunigt sehr die Abscheidung des antimonsauren Natriums, | dessen charakteristische, glänzende Krystalle, unter dem Mikroskop leicht erkannt werden. ‘Bekanntlich setzt diese Reaktion die Abwesenheit anderer Basen, als Kalium, voraus. Sie erscheint daher besonders geeignet für den gewöhn- lichen Gang der qualitativen Analyse, wo die anderen Basen durch Schwefel- wasserstoff u. s. w. bereits entfernt sind und man schliesslich nur ein feuer- beständiges Gemenge von Kalium- und Natriumsalz übrig behält. Aber auch im käuflichen Kali u. s. w. gelingt der Nachweis von Natrium, mit Kaliumantimoniat, sehr leicht. Das beim Kochen mit Wasser nicht gelóste Kaliumantimoniat unterwirft man einer abermaligen Behandlung mit konzentrirtem Ammoniak. und Wasser und erhält dadurch eine neue Menge des Reagenzes. Mélanges phys. et chim. T. ХИТ, p. 94. (хххШ) | FT Étude sur l'énergie de combinaison du Rubidium, premier article, la prépa- ration du métal. Par N. Békétoff. (Lu le 1 mars 1888.) Le Rubidium avec le Potassium et le Cesium forment le second demi- groupe des métaux alcalins, dont le Lithium et le Sodium représentent le premier. Les trois premiers éléments se ressemblent tellement par les pro- priétés de leurs combinaisons, qu'on doit s'attendre à retrouver cette res- semblance et dans leurs énergie chimique. C'est pour élucider cette question de l'énergie de leur action chimique, non encore déterminée et pour suivre l'iufluence du poid et du volume atomique, que j'ai entrepris cette étude. D'aprés les principes, que je m'efforce d'introduire dans la science, ces deux propriétés exercent une influence prépondérante sur l'énergie chimique des éléments. Dans mon dernier mémoire présenté à l'académie, contenant les résultats de mes recherches sur les oxydes de Lithium et de Potassium, j'avais déjà annoncé, que l'énergie de l'oxydation mesurée par la quantité de chaleur dégagée par la réaction, allait en décroissant avec l'augmentation du poid atomique. Mais puisque le Lithium et le Sodium appartiennent à un autre sous-groupe, que le Potassium on pouvait se demander si cette marche de l'énergie continuerait à décroitre pour le second demi-groupe — c'est-à- dire pour le Potassium, le Rubidium et le Cesium — il m'était donc fort important de suivre cette influence pour les métaux alcalins rares. La par- cimonie des combinaisons du Rubidium dans les couches terrestres ne per- met pas de se procurer de grandes quantités de ces combinaisons et encore moins d'avoir le métal lui-méme, dont on peut à peine se procurer quelques grammes et à des prix énormes. D'autre cóté la méthode de préparation du . métal telle qu'elle a été pratiquée par Bunsen — c'est-à-dire la calcina- tion du tartrate acide avec du charbon — ne lui a fourni que 18% (c'est- à-dire moins de la cinquiéme partie) du métal, contenu dans la combinaison — et puis cette méthode, qui est une variation de la méthode de Brunner pour la préparation du Potassium et du Sodium, est d'une application fort difficile — elle demande une trés haute température et est entravée par la propriété des métaux alcalins de former des combinaisons avec l'oxyde de carbone — gaz qui se dégage avec les vapeurs des métaux. Guidé par des Mélanges phys. et chim. Т, XIII, p. 95. 118 N. BÉKÉTOFF, ÉTUDE SUR L'ÉNERGIE DE COMBINAISON DU RUDIUM. [№ 8. 1 apercus théoriques de la relation de l'énergie chimique avec les équivalents des corps combinés (désigné par moi en 1859) je présumais, que l'aluminium devait enlever facilement l'oxygéne aux oxydes des métaux alcalins à poid atomique un peu élévé. L'expérience avec l'hydrate de Potassium a pleine- ment confirmé cette supposition. — C'est par cette raison, que je m'ap- pliquai à réaliser une nouvelle méthode pour la préparation des métaux alcalins. Des études préalables de l'action de l'aluminium sur hydrate de Potassium m'avaient appris, qu'on pouvait obtenir prés de la moitié du métal contenu dans l’hydrate, la seconde moitié restant combinée avec l’oxyde d'aluminium formé — d'aprés l'équation: 45 0-- Al,— КО 41,0, + K, -+- H, La facilité de la réaction à une température relativement basse, la pu- reté du produit, qu'on peut recevoir directement dans un réservoir en verre et dans une atmosphère d’hydrogene, se dégageant en méme temps, que le métal m'a confirmé, que cette méthode était de beaucoup préférable à l'an- cienne et que c'est elle qui devait étre appliquée à la préparation du Ru- bidium. + L’hydrate de Rubidium retiré du sulfate par l’oxyde de Barium, calciné dans une capsule d’argent fut mélangé avec des feuilles découpées d’alumi- nium et le tout placé dans un cylindre de fer surmonté d’un tube et d’un couvercle également en fer. Ce cylindre fut chauffé dans un four à gaz Perrot et la réaction com- menca dans un quart-d’heure par une production abondante d'hydrogène, suivi de vapeur de Rubidium, dont la presque totalité se condensait dans le premier réservoir en verre. Le métal coulait comme du mercure et comme pendant toute la durée de l'opération — une demi-heure — Рћудго- gene continuait à se dégager, le métal conservait sa surface métallique. La proportion de P'hydrate et de l'aluminium, qui a donné les meilleurs résultats, fut d'un équivalent et demi d'aluminium pour un équivalent d'hydrate. Dans une seule opération 113 gr. d'hydrate mélangé avec 31 gr. d'aluminium ont fourni aussi 31 gr. de Rubidium trés pur, ce qui fait 667, de la quantité théorique et 33% de la quantité du métal contenu dans Гћу- drate — presque le double (18%) de ce qu'avait pu obtenir Bunsen раг la ` méthode de Brunner. Mélanges phys. et chim Т. XIII, p. 26. (хххш) | 119 Über einen neuen russischen Wels ۸۵ Oschanini Herz.) von 5, Нег- zenstein. (Lu le 29 novembre 1888.) Die Siluroiden-Gattung. Exostoma scheint, wie schon Day hervorhebt, besonders an rasch fliessende Gebirgsflüsse gebunden zu sein, wührend ühn- liche Gewässer der Ebene von anderen Gattungen bevorzugt werden!). In der That, wo wir speciellere Angaben über die Verhältnisse der Fundorte von einzelnen Arten besitzen, wird diese Behauptung Day's vollkommen bestütigt. So passen hierauf die Angaben David's über den «Chepadze» (= Chimarrhichthys Davidi Sauvage == Exostoma Davidi Day)?), diejeni- gen Anderson's über E..Andersoni?), und auch der Fluss Tschirtschik, wo einige Exemplare der in Rede stehenden neuen Art gesammelt worden sind, wird als ein «zur Zeit der Schneeschmelze sehr tiefer und unglaublich reis- sender Gebirgsfluss, im Sommer und Herbst dagegen als ein sehr ruhiges, wenn auch rasches Gewässer» geschildert‘). Fasst man nun dabei die von früher her bekannte Verbreitung der Gattung Exostoma und die im vorliegen- den Aufsatze neu angeführten Daten darüber zusammen, so erweist es sich, dass diese Gattung nicht etwa den gebirgigen Gegenden Südwest-, Süd- und Südost-Asiens eigen ist, sondern vielmehr auf jene Gebirgsmassen beschränkt zu sein scheint, welche das eigentliche Hoch-Asien 5) im Westen, Süden und Osten umsäumen und von den mächtigen Flusssystemen Turkestans, Indiens, . Hinter-Indiens und Chinas bewässert werden. Dem eigentlichen Hoch- Asien, und zwar nicht bloss den dort liegenden Quellwässern der genannten Fluss- systeme, sondern auch den Gewässern ohne Abfluss fehlt Zxostoma oder dringt doch hóchstens nur wenig über die untere Grenze dieses Gebietes 1) Proc. Zool. Soc. 1876, p. 804; Sc. Res. 24. Yarkand Miss., Ichthyology, p. 22 (1878); Journ. Linn. Soc. (Zoolog.), XII., p. 339, 343—344. 2) қ Хопу. Arch. 4. Mus. X, Bull. p. 42 (1874); Sauvage, Беу, et Mag. 4. Zool. 1874, p. 3) are Yunnan Exp. 1868—1875, Zoolog. Research. p. 866 (1878). 4) Федченко, Въ Коканскомъ Ханствћ تاه ی‎ вь Туркестань. Т. І, часть 2.) стр. 20 (1875). 5) Ich gebrauche diesen Ausdruck in dem von mir bei der Bearbeitung der Przewalski'"- schen ichthyologischen Ausbeute adoptirten Sinne (vgl. Wissenschaftl. Result. der von N. M. Przewalski etc. unternom. Reisen. III. 2., pp. І--П, Anmerkung [1888]). Mélanges biologiques. T. XIII, p. 69. 120 8. HERZENSTEIN, [N. 1 vor, indem es іп den Oberlauf der erwähnten Flusssysteme steigt; so viel lässt sich wenigstens aus dem zur Zeit schon recht beträchtlichen Material entnehmen, welches Fedtschenko, Ssewerzow, Stoliczka und besonders Przewalski mitgebracht haben. Die Flusssysteme Turkestans, Indiens, Hinter-Indiens etc., die sehr reiche und von einander mehr oder weniger ab- weichende Faunen beherbergen, verlieren also in Hoch-Asien ihre Eigen- thümlichkeiten und die dortige Fischfauna ist nicht nur sehr arm, sondern auch vom äussersten Westen bis zum äussersten Osten sehr einfórmig, da sie nur aus spaltbäuchigen Cypriniden und einer besonderen Gruppe von Nemachilus-Arten besteht. Die Gattung Exostoma scheint also darauf hinzuweisen, dass zwischen jener peripherischen Zone mit so mannigfach gegliederter Fauna und der hoch-asiatischen mit einförmiger Fauna sich noch eine intermediäre Zone findet, deren Fauna sich theils entsprechend der peripherischen gliedert, theils durch eine gewisse Zahl von eigenthümlichen Formengruppen cha- rakterisirt wird, welche durch die ganze Ausdehnung der Zone von Ost (China) nach West (Turkestan) verbreitet sind®). Im Allgemeinen würde sich hier vielleicht eine gewisse Analogie — allerdings im umgekehrten Sinne — mit den Verhältnissen herausstellen, die zwischen der reich differenzirten Küstenfauna und der einförmigen Tiefseefauna obwalten. Hoffentlich werden. spätere Forschungen das nöthige Material zur Lösung dieser interessanten Frage liefern. Wenden wir uns nunmehr zu der Beschreibung der neuen Art: Exostoma Oschanini Herz. D. 1/6. A. 3/5. Р. 1/11. У. 1/5. E. capite valde depresso, labio inferiore ad oris angulos modo evoluto, dentibus aciculatis, spatio pinnam dorsalem её adiposam inter. 1/— 929, pinnae dorsalis basin superante; pinna adiposa a caudali, recte truncata, plane sejuncta; pinnae analis initio ventralium quam caudalis basi multo propiore; pectoralibus ventralium basin haud attingentibus. 8055. Fl. Ugam (affl. dext. fl. Tschirtschik), pr. Kumsan. ی تن و‎ Т 1887. (1)°). 8056. Taschkent. Majew. 1887 (1). 8057. Amu-Darja super. Dr. A. Regel 1882 (2). 6) Vgl. auch Day, Fishes of India, p. XIV (1878). 7) Die Exemplare werden hier genau in derselben Weise angeführt, wie in dem General- Cataloge der akademischen Sammlung, d. h. zuerst die No., dann der Fundort, dann der Sammler mit Beifügung des Jahres, in titii dieselben dem мовы zugekommen sind; - lich in Klammern die Zahl der Individuen in dem betreffenden Glase. Mélanges biologiques. T. XIH, p. 70. : i (ХХХШ)] ÜBER EINEN NEUEN RUSSISCHEN WELS (EXOSTOMA OSCHANINI HERZ) ҮШ Der Kórper ist hinter dem stark abgeplatteten Kopfe zuerst auch etwas plattgedrückt, dann subeylindrisch und erscheint weiter nach hinten seitlich zusammengedrückt. Die grösste Körperhöhe ist 7— 8'/, mal in der Körper- länge enthalten und übertrifft 17/, —2 mal die kleinste, welche 3'/A—4 mal geringer ist als die Länge des Schwanzstieles. Die Länge des vollständig von weicher Haut umhüllten Kopfes verhält sich zur Körperlänge (ohne Schwanzflosse) wie 1:4°%—5. Die Kopfbreite steht der Kopflänge ein wenig nach, oder kommt derselben gleich, während die Kopfhöhe die Hälfte der Kopflänge oder etwas weniger ausmacht. Die Augen besitzen keine freien Augenlider, stehen gleich weit von der Schnauzenspitze und der Kiemenspalte ab, sind ganz klein und 18—20 mal in der Kopflänge und 5—6 mal in der Breite des Interorbitalraumes enthalten. Die vorderen und hinteren Nasenlöcher erscheinen durch eine schmale Brücke getrennt, die vorderen sind abgerundet, die hinteren — länglich; beide besitzen einen etwas erhabenen Saum. Die Nasalbarteln sitzen auf der die Nasenlöcher scheidenden Brücke und da der ebenerwähnte Saum der Nasenlöcher sich sowohl auf den Vorder-, als auch den Hinterrand der Barteln fortsetzt, so er- halten dieselben eine plattgedrückte, bandfórmige Gestalt. Die Maxillar- barteln sind fleischig, dick, zur Spitze hin sich verjüngend, reichen bis zur ` Basis der Pectoralen oder ein wenig darüber hinaus und erscheinen ebenfalls etwas plattgedrückt. Dieselben sind durch eine Hautfalte mit dem Kopfe verbunden, welche am letzteren bis zur Verticale des Auges, an den Barteln bis etwa zu ? der Länge reicht. Ebenso zieht eine wohlentwickelte Haut- falte von den Mundwinkeln längs der unteren Seite der basalen Hälfte der Maxillarbarteln und setzt sich dann als schmaler Saum bis zur Spitze der letzteren fort. Die inneren Unterkieferbarteln sind halb so lang, wie die äusseren, welche letzteren bis zur Kiemenspalte oder etwas darüber hinaus reichen; beide Bartelpaare des Unterkiefers sind etwas abgeflacht. Der Mund ist unterständig, quer und weit. Die Oberlippe greift an den Mundwinkeln ein weuig auf den Unterkiefer über, welcher aus zwei beweglichen Hälften besteht und sonst keinen Lippensaum zeigt. Die Zähne bilden im Oberkiefer eine ununterbrochene, in der Mitte breite, an den En- den zugespitzte, stark bogenfórmige Binde; auf dem Unterkiefer erscheinen | dieselben in zwei, an der Symphyse durch einen schmalen Zwischenraum getrennte, ebenfalls vorn und innen breite, hinten und aussen zugespitzte Gruppen angeordnet. Die Zähne sind meistens beweglich, wenig aus der Mundschleimhaut hervorragend, borstenfórmig und in den vorderen Reihen etwas abgestumpft. Die glashelle äussere Substanz der Zähne lässt den dunkleren Axentheil durchscheinen. Der Anfang der Dorsale liegt ungefähr Zwischen dem ersten und zweiten Drittel der ки Die Länge der Melanges biologiques. Т. ХШ, ۲۰ 71. 122 8. HERZENSTEIN, [х 8.1 Basis dieser Flosse macht У, — У, der Körperlänge aus; die Flossenhöhe ` übertrifft 17/-19; mal die Länge der Basis. Der ungetheilte Dorsalstrahl ist knorpelig und biegsam. Die Fettflosse ist von der Rückenflosse durch einen Zwischenraum getrennt, der 17 —2у, mal die Basis der Rücken- flosse übertrifft. Die Länge der Fettflosse ist ungefähr dem Abstande vom Anfange der Dorsale bis zu demjenigen der Fettflosse gleich. Die Höhe der letzteren ist unbedeutend und ihr hinteres Ende wird durch einen merklichen Zwischenraum von den rudimentären Caudalstrahlen getrennt. Der Anfang der Anale liegt ungefähr zwischen dem zweiten und letzten Drittel der Körperlänge, dem Bauchflossengrunde bedeutend näher als der Schwanz- flossenbasis; die Länge ihrer Basis macht ’/s—", der Körperlänge aus, während ihre Höhe 155—2 mal die Länge der Basis übertrifft. Die Pecto- ralen erreichen mit ihrer Spitze die Basis der Ventralen bei weitem: nicht; ihr äusserer Theil ist horizontal, der innere — subvertical. Der ungetheilte Brustflossenstrahl ist breit, knorpelig, unten von einer quergestreiften, leicht ablösbaren Hülle bekleidet. Pori axillares fehlen. Die Bauchflossen sind ein wenig hinter der Verticale des hinteren Rückenflossenendes eingefügt und ihre Basis steht dem Ende der Fettflosse bedeutend näher als der Schnauzenspitze. Ihre Form ist derjenigen der Pectoralen ziemlich ähnlich, ihre Spitze deckt den After zu und bleibt durch einen geringen Zwischen- : raum von der Afterflosse getrennt. Der ungetheilte Bauchflossenstrahl erscheint gleichfalls gestreift. Die Caudale ist vertical abgestutzt mit einem abgerundeten oberen und einem ebensolchen unteren Winkel. Der After steht ungefähr in der Mitte zwischen der Schwanzflossenbasis und der Kie- menspalte oder ist der ersteren merklich genähert. Die Haut erscheint auf dem ganzen Kopfe, sowie auf den vorderen Theilen des Rückens und der Flanken mit feinen Papillen besäet. Zwischen der Kiemenspalte und dem Brustflossengrunde zeigt die Haut wabenförmige Vertiefungen, die bei eini- gen Individuen deutlich ausgesprochen, bei anderen nur angedeutet sind. Die Färbung und Zeichnung ist an den mir vorliegenden Exemplaren sehr ` unbestimmt und undeutlich; der Körper erscheint auf der Oberseite schmutzig bräunlich, auf der unteren heller und ist, besonders oben, sehr dicht mit dunklen Flecken und Puncten besäet, die sich auch auf die Flossen verbreiten. Die Totallänge erreicht bis 215 mm. | Diese neue Art steht dem E. Stoliczkai Day). sehr nahe, unterscheidet sich aber durch die Anwesenheit eines merklichen Zwischenraumes zwischen dem Ende der Fettflosse und der Schwanzflossenbasis, der bei Æ. Stoliczkai fehlt, da beide Flossen ununterbrochen in einander übergehen. Freilich er- 8) Proc. 2001. бос. 1876, p. 782; Se. Res. 24. Yarkand Miss, Ichthyology, p. 1, Pl. 1, fig. 1 (1878). | Mélanges biologiques. T. XIII, p. 72. қ (хххш)| ÜBER EINEN NEUEN RUSSISCHEN WELS (EXOSTOMA OSCHANINI HERZ.). 128 wühnt Day dieses Kennzeichen in seiner Beschreibung nicht, aber auf seiner Figur ist die Continuität der genannten Flossen deutlich zu sehen. Über diese Art schreibt Herr W. F. Oschanin (in einem Briefe an Herrn N. A. Warpachowski) u. A. Folgendes: «Der neue Wels wurde zum ersten Mal im April dieses Jahres (1887) in Taschkent, in der Stadt selbst, in einem, Bosku genannten, aus dem Tschirtschik abgeleiteten Aryk (Bewässerungsgraben) gefangen und lebte ungefähr zwei Monate im Aqua- rium des Herrn A. P. Polewitzki. Der Fisch bevorzugte Wasser von niedriger Temperatur und versteckte sich immer unter Steinen; zweimal sprang er aus dem Aquarium heraus und blieb beide Male ohne Schaden etwa 2 Stunden ausserhalb des Wassers»... Ein anderes Exemplar «ist von den Schülern des hiesigen Lehrerseminars, bei Gelegenheit einer mit ihnen im vorigen Sommer in's Gebirge unternommenen Excursion am 21. August geangelt worden. Ausserdem soll nach eingezagenen Erkundigungen dieselbe Art auch in den Flüssen Tschirtschik und Tersa vorkommen. Ich denke, dass der Fisch in den hiesigen Gebirgsbüchen weit verbreitet ist, sich aber wegen seines Aufenthalts unter Steinen schwer fangen lässt.» E EE — Melanges biologiques. Т. XIII, p. 73. PRES Шу Ze 3 алын ы 2 Sek NOM TT ЖҰЛА Май К Ча АЗА МАҒ ТАШ И Аба ЖАКА КЕНІ ) TO к. 3 e ғ» шаа М 3 XEN ТАТРЕ ВЕ CU тет у aep oho Era ЗЛИН VISUM HEP T li: rie а ? ; ин № Ses Е 2t 5r ағуын СТЕР А LE * 3 3 ЗАЛ САРЫ Ла AR wi; E 4 en (ххх) | | 125 Über das Fehlen des Eichhörnchens im Kaukasus von Eug. Büchner, (Lu le 17 janvier 1889.) Das Fehlen unseres gemeinen Eichhörnchens (Seiurus vulgaris Linn.) in den Wäldern der Krim, diese interessante zoogeographische Thatsache, die durch Pallas bekannt wurde und auf welche später verschiedene For- scher ihre Aufmerksamkeit gelenkt hatten, wobei sie іп diesem Factum mit Recht einen Beweis für die uralte Waldlosigkeit der südrussischen Steppen zu sehen glaubten, ist neuerdings von Köppen!) in einer umfangreichen Arbeit sehr eingehend erórtert worden. In dieser Untersuchung ist Kóppen mit ganz besonderer Ausführlichkeit auch auf die Frage eingegangen, wo- her einzelne Waldsäugethiere, wie 2. B. der Edelhirsch oder das Reh, der Fauna der Krim und des Kaukasus gemeinschaftlich angehören, während das Verbreitungsgebiet anderer, gleichfalls an den Wald gebundener, Säu- ger, wie z» B. des Eichhörnchens, nur auf den Kaukasus beschränkt ist, und gelangt dabei zu folgendem wichtigen Resultalte: «die Krim hat ihre sämmtlichen Waldsäugethiere aus dem Kaukasus erhalten, und zwar sind sie über die gefrorene Kertscher Meerenge eingewandert» und dieser Umstand _ «erklärt zur Genüge die Thatsache, dass diejenigen Arten derselben, welche in Winterschlaf verfallen oder wenigstens im Winter nicht wandern, nicht nach der Krim gelangen konnten und folglich daselbst fehlen»?). Auf diese Weise glaubt Kóppen eine Erklärung für das Fehlen des . Eichhörnchens in der Krim gefunden zu haben; dieser Erklärung ist aber ein hohes Interesse in zoogeographischer Beziehung nicht abzusprechen, umsomehr als die von Pallas?) und Nordmann? aus dieser Thatsache gezogene Schlussfolgerung, dass nämlich die Krim niemals mit dem Kau- kasus zusammengehangen Es absolut nicht berechtigt ist. 1) Köppen, „Das Fehlen des Eichhörnchens und ish Vorhandensein des Rehs und des Edelhirsches in der Krim“ in: Beiträge zur Kenntniss des Russ. Reiches, (2), VI, pag. 1-4 (1883). 2) Кӛрреп: Beiträge zur Kenntn. d. Russ. Reiches, (2), VI, p. 61 (1883). 3) Pallas, Zoogr. Rosso-Asiatiea, I, p. 184 (1811). 4) Korda. ann, Observ. sur la Faune Pontique, р. 55 gren Mélanges biologiques, T. XIII, p. 75. 126 EUG. BÜCHNER, (8. 8.1 Eine Untersuchung der geographischen Verbreitung des gemeinen Eich- hörnchens hat mich jedoch zu einem anderen Resultate geführt als Köppen und die schwersten Bedenken für die Richtigkeit seiner Schlussfolgerungen in Betreff der Colonisation der Krim und speciell des hypothetischen Colo- nisationsweges über die gefrorene Kertscher Strasse, bei mir aufkommen lassen. Ich will in den folgenden Zeilen speciell die Frage über das Vor- handensein des gemeinen Eichhórnchens im Kaukasus eingehend besprechen und zugleich zeigen, dass das Fehlen desselben іп der Krim. durch andere Ursachen, als die von Kóppen vorgebrachten, bedingt wird. Da ich die Frage über das Vorhandensein des Eichhórnchens im Kau- kasus mit einer möglichst vollständigen Ausführlichkeit zu behandeln ge- denke, so will ich zuerst die in der Literatur zerstreuten Angaben über diesen Gegenstand zusammenstellen und kritisch sichten. Die ersten Nachrichten über das Vorkommen des Sciwrus vulgaris im Kaukasus finden wir bei Georgi?); derselbe führt nümlich bei Besprechung der Verbreitung dieser Art unter Anderem auch «am Kaukasus» und «in Georgien bis an die östliche, waldlose Steppe» an. Dieser Angabe des kritik- losen Compilators kónnen wir weiter keine Bedeutung beilegen, da sie ohne Zweifel auf Ungenauigkeit in der Wiedergabe der benutzten Quellen beruht. Es hatten nämlich bis zum Jahre 1800 nur Gmelin und Güldenstaedt über das Vorkommen von Sciurus-Arten im Kaukasus und benachbarten Gebieten berichtet, und während der Letztere*) das von ihm in Georgien angetroffene. Eichhörnchen mit Recht für eine von Sciurus vulgaris: verschie- dene Art erkannte und mit dem Namen Sciurus anomalus belegte, theilte Gmelin’) über die von ihm in Gilan erbeuteten Eichhörnchen zuförderst Folgendes mit: «es gibt in Gilan viele Eichhórner; sie leiden aber daselbst eine besondere Abänderung, wie aus der folgenden Beschreibung erhellet. Indessen gehören sie zuverlässig zu der Race der Europüischen». Erst später vergewisserte sich Gmelin?) von der artlichen Selbstständigkeit dieses Eich- hörnchens aus Gilan und nannte es Sciurus persicus, welehe Art übrigens, nebenbei bemerkt, nur ein Synonym des Güldenstaedt'schen Sciurus ano- malus ist. Nur diese Angaben von Güldenstaedt und Gmelin konnten Georgi vorgelegen haben und in wie weit unzuverlüssig er dieselben benutzt hat, ist schon. aus dem Umstande zu ersehen, dass er in Georgien nicht allein das gemeine Eichhörnchen und Sciwrus anomalus, sondern auch noch 5) Georgi, Geogr.-physik. und Naturhist. Beschreibung d. Russ. Reiches, Th. 3, Bd. VI, p. 1584 (1800). 6) Güldenstaedt, Reise durch Russland und im Caucasischen Gebürge, I, р, 312 (1787). 7) Gmelin, Reise durch Russland, III, p. 379 (1774). 8) Gmelin, Linn. Syst. Nat., ed. XIII, I, p. 148 (1788). Mélanges biologiques. T. ХІП, p. 76. (хххш) | ÜBER DAS FEHLEN DES EICHHÖRNCRENS IM KAUKASUS. 127 Sciurus persicus °), welchen letzteren er als selbstständige Art aufführt, vor- kommen lässt. Wir sehen auf diese Weise, dass diese Angabe von Georgi ohne weitere Berücksichtigung gelassen werden kann. Darauf theilt Pallas!?) in seiner Zoographia mit, dass обићи vulgaris in grosser Anzahl auch im Kaukasus vorkomme. Es ist mir unbekannt ge- blieben, auf Grund welcher Materialien und Beobachtungen Pallas diese Angabe gemacht hat, doch scheint er selbst diese Art während seiner kau- kasischen Reise nicht angetroffen zu haben, da er wol im entgegengesetzten Falle nicht unterlassen hätte, über diesen Fund in der Beschreibung dieser Reise !) näher zu berichten. Indem ich von einer nur wenig glaubwürdigen Angabe von Bronewski '?) über das Vorhandensein von Eichhörnchen in den Wäldern des nördlichen Kaukasus einfach bloss Notiz zu nehmen brauche, muss ich bei den Mitthei- lungen von Eichwald паћег stehen bleiben, da dieser Forscher Specialist war und während seiner in den Jahren 1825 und 1826 nach dem Kaukasus unternommenen Reise die Fauna untersucht hatte, folglich seine Nachrichten über dieselbe einen gewissen Werth beanspruchen können. Eichwald #) һе mit, dass Sciurus vulgaris im Kaukasus vorkomme, und sagt später Hi noch, dass es in allen Wäldern daselbst sehr gemein sei. Nachdem Bog- danow*) in einer kritischen Besprechung der betreffenden Arbeiten dieses Forschers die vollständige Werthlosigkeit derselben gezeigt hat, können wir diesen Angaben von Eichwald keinen weiteren Glauben schenken; es ist im Gegentheil mehr als wahrscheinlich, dass wir in diesem Falle nicht mit dem Resultate seiner Beobachtungen, sondern einfach mit einer bei Pallas entlehnten Mittheilung zu thun haben. Nach Ménétries!9) ist Sciurus vulgaris «assez rare dans les foréts eis- alpines du Сапсаве»; іп der beigefügten Tabelle, welche die verticale Ver- breitung der kaukasischen Säugethiere behandelt, führt Ménétries die in Rede stehende Art für die Region von 2— 6000 und für diejenige von 6--8000” abs. Hóhe an. Ferner theilt Nordmann ") mit, dass das gemeine Eichhórnehen ziemlich selten in Abhasien, Mingrelien und Gurien vorkommt 9) Georgi, Geogr.-phys. und Naturhist. Beschreibung des Russ, Reiches, Th. 3, Bd. VI, p. 1588 (1800 10) Pallas, Zoographia Rosso-Asiatica, I, р. 184 (1811). 11) Pallas, تا‎ ngen auf einer Reise in die südl. Statthalterschaften des Russ. Reichs, I—II (1799— 180 12) Броневекій, m Геогр. и Истор. Ceba. о Кавказ%, П, p. 26 (1823). 18) Eichwald, Zoologia specialis, III, p. 371 (1831). 14) Eichwald, Fauna Caspio-Caucasica, p. 34 (1841). | a 15) Богдановь, Птицы Кавказа, р. 10—12 (1879). 16) Ménétries, Catalogue raisonné, р. 21 (1832). 17) Nordmann. Faune Pontique, p. 54 (1840). Mélanges biologiques. T. XIII, p. 77. 128 EUG. BÜCHNER, [N. 1 und in den centralen Provinzen des Kaukasus gemein ist. Während ich weiter unten auf die Angaben dieser beiden Forscher noch zurückkommen werde, habe ich weiter der Mittheilungen von Wagner und Beketow, die beide den Kaukasus bereist haben, Erwähnung zu thun. Wagner) theilt mit, dass Sciurus vulgaris im Kaukasus seltener vorkomme als in Europa, während Beketow!?) angiebt, dass in den Buchen- und Kastanienwäldern des Kaukasus eine Menge von Eichhörnchen hausen, die den Arten Sciurus vulgaris und Sciurus caucasicus angehören. Da jedoch einerseits der Zoolo- gische Anhang zu Wagner's Reisebeschreibung zweifelsohne compilativen Charakters, andererseits Beketow nicht Zoologe von Fach ist, seiner aus- gezeichneten Beschreibung der Umgegenden von Tiflis folglich fehlerhafte zoologische Nachrichten unterlaufen konnten, so kónnen die erwühnten be- merkungen über den uns interessirenden Gegenstand keinen Anspruch auf Zuverlässigkeit erheben. In Betreff der Angaben von Ssimaschko”) dass Sciurus تفت‎ їп grosser Anzahl im centralen Theile des kaukasischen Gebietes vorkommt, weniger häufig in Abhasien und selten in den Wäldern Transkaukasiens ist, habe ich nur zu bemerken, dass dieselben ausschliesslich compilativer Natur und daher für uns vollständig werthlos sind. : Schliesslich muss ich an dieser Stelle noch einer Mittheilung von Mo- dest Bogdanow”) erwähnen, in welcher der leider so früh verstorbene Forscher in Betreff der Verbreitung des Sciurus vulgaris im Kaukasus Fol- gendes sagt: «unser Eichhórnchen ist ziemlich gemein in den Bergwüldern 4 des Grossen Kaukasus» und dieser Angabe diejenige von Nordmann hinzu- fügt. Die erwähnte Mittheilung könnte möglicherweise zur Annahme füh- ren, Bogdanow habe hier das Resultat seiner Beobachtungen über das Eichhörnchen, welche er auf seiner im Jahre 1871 nach. dem Kaukasus ausgeführten Reise gemacht hat, niedergelegt; ich halte es daher für nicht unnöthig, auf Grund einer mündlichen Mittheilung M. N. Bogdanow's darauf hinzuweisen, dass er 1871 Sciurus vulgaris nirgends im Kaukasus beobachtet und über das Vorkommen desselben daselbst nur auf Grund der in der Literatur vorhandenen Angaben geschrieben hat. Dieses sind alle die wenigen Angaben über das Vorhandensein des ge- meinen Eichhörnchens im Kaukasus, welche ich in der Literatur gefunden habe. Ich habe diese Angaben in Verbindung mit kritischen Bemerkungen über die Competenz und Glaubwürdigkeit der sie mittheilenden Autoren 18) Wagner, Reise nach Kolchis, p. 321 (1850). 19) Бекетовъ: Bcra. Русск. Геогр. Обш., XV, p. 102 (1855). 20) Симашко, Русская Фауна, Млекопитающія, p. 589 (1851). 21) Богдановъ: Журн. Охоты и Коннозаводетва, р. 120 (1873). Mélanges biologiques, T. XIII, p. 78. = (ХХХ) | ÜBER DAS FEHLEN DES EICHHÖRNCHENS IM KAUKASUS. 129 angeführt, um zu zeigen, in wie weit jede einzelne derselben Anspruch auf Zuverlässigkeit erheben kann. Aus dieser Besprechung ist zu ersehen, dass bei der Frage über das Vorkommen des Sciurus vulgaris im Kaukasus neben der Mittheilung von Pallas, nur noch diejenigen von Ménétries und Nordmann in Betracht kommen kónnen. Auch bin ich fest überzeugt, dass auf Grund der Angaben gerade dieser Forscher das Vorkommen von Sciurus vulgaris im Kaukasus allgemein anerkannt wird. Nicht nur in allgemeinen Hand- und Lehrbüchern, sondern auch in speciellen auf die Quellen zurück- gehenden Arbeiten (wie Catalogen, verschiedenartigen Verzeichnissen, Mo- nographien u. s. w.), wird bei Besprechung der geographischen Verbreitung unseres gemeinen Eichhórnchens in der Aufzählung der einzelnen Verbrei- | tungsgebiete desselben immer auch der Kaukasus genannt. Dieses Vorkom- men des gemeinen Eichhörnchens im Kaukasus wird eben durchgängig als eine feststehende Thatsache angesehen, und unter anderen auch von solchen Forschern, wie Menzbier?) und Köppen, welche eingehend die Verbrei- tung dieses Thieres in Russland behandelt haben. Da jedoch die Nachrichten über die Zugehörigkeit des Sciurus vulgaris zur kaukasischen Fauna so spärliche und dazu ausschliesslich älteren Da- tums sind, so drängt sich unwillkürlich die Frage auf, ob die mitgetheilten Angaben von Pallas, Мепбітіев und Nordmann überhaupt soweit sichere sind, um das Vorkommen dieser Art im Kaukasus wirklich als constatirt ansehen zu können. Eine Reihe verschiedener Umstände, zu deren Be- sprechung ich jetzt übergehe, hat mich auch in der That zur Überzeugung geführt, dass die Angaben der genannten Forscher irrthümlich sind, und lässt sich aus der folgenden Betrachtung das Fehlen des gemeinen Eich- hörnchens im Kaukasus mit Sicherheit nachweisen. ! Als ich meine Aufmerksamkeit auf die Frage über das Vorkommen des gemeinen Eichhörnchens im Kaukasus gelenkt hatte, unterwarf ich zuerst die sehr ansehnliche russische Eichhórnchensammlung unseres akademischen Museums einer genauen Durchsicht; es erwies sich dabei, dass unser Mu- seum keine Vertreter dieser Art aus dem Kaukasus besitzt. War damit einerseits der Beweis geliefert, dass Ménétries (dessen ganze Reise- Ausbeute bekanntlich unserem Museum einverleibt worden ist) Sciurus vul- garis nicht gesammelt hatte, so musste andererseits dieser Umstand im hóchsten Grade auffallend erscheinen, da unsere Sammlung in Betreff kau- kasischer Säuger eine nicht unbedeutende zu nennen ist und Seiurus vulga- ris doch nicht selten im Kaukasus vorkommen soll. In den Jahren 1883 und 1884 kaufte unser Museum eine bedeutende und vorzügliche Säuge- 22) Мензбиръ: Природа и Охота, I, р. 11 (1878). Melanges biologiques. T. XIII, p. 79. 9 130 EUG. BÜCHNER, (8. 8.1 thiersammlung ап, welche Hr. К. Rossikow am Nordabhange des Kaukasus zusammengebracht hatte, doch auch in dieser Sammlung fehlte Sciurus vul- garis, abgesehen davon, dass in derselben einerseits die Nager, andererseits überhaupt die Waldsäuger ganz ausgezeichnet vertreten waren. Ferner habe ich in keinem Cataloge irgend welcher Sammlung Bülge oder Schädel von Sciurus vulgaris verzeichnet gefunden, die mit Sicherheit aus dem Kau- kass stammen; auch habe ich kein Museum kennen gelernt und von keiner Sammlung in Erfahrung bringen können, dass sie im Besitze derartigen Materiales wären >). Man wird mir vielleicht өкіл кіді dass das Fehlen von jeglichem kau- kasischen Materiale in den Sammlungen ein nur zufälliges ist und noch lange nicht als Beweis für das Fehlen des Eichhörnchens selbst im Kaukasus angesehen werden kann. Ich glaube aber, dass meine Mittheilung in Bezug auf unser Museum derartige Einwendungen ausschliesst, da in diesem Falle das Nichtvorhandensein von Bälgen u. s. w. dieser Art aus dem Kaukasus absolut nicht einem Zufall zugeschrieben werden kann. Nichtdestoweniger ziehe ich noch einige Kenner und Durchforscher des Kaukasus aus der neueren Zeit in dieser Frage zu Rathe. Professor M. Bogdanow theilte mir nach seiner Rückkehr aus dem Kaukasus im Herbst 1884 mit, dass er während seines Aufenthaltes im nördlichen Kaukasus trotz vielfacher Nachforschungen und Erkundigungen nach Sciurus vulgaris, diese Art doch nirgends gefunden habe. Seine fol- gende, im Jahre 1886 nach dem Kaukasus unternommene Reise: bot ihm von Neuem die beste Gelegenheit, seine Nachforschungen nach dem gemei- nen Eichhórnchen fortzusetzen; doch blieben dieselben auch dieses Mal resultatlos, worüber er mir im September 1887 berichtete. 23) In seinem „Versuche einer natürlichen Anordnung der Nagethiere“ theilt Fitzinger [Sitzungsber. 4. К. К. Akad. d. Wissensch., Wien, I. Abth., Bd. LV, p. 475 (1867)] mit, dass das in Sibirien und Kaukasien vorkommende Eichhörnchen zu ein und derselben Varietät — Seiurus vulgaris cinereus — gehóre. Ich habe wol in einer Beschreibung des Gouvernement Eriwan (Журн. Мин. Ви. ДЪлъ, IV, 2, p. 119 (1831)] eine Mittheilung in diesem Sinne („въ Эриван- ской провинщи есть бблки, нфеколько лохожія, по цвбту, na Сибирекія“) gefunden, die aber Fitzinger ohne Zweifel unbekannt geblieben ist, sonst existirt in der Literatur, soviel mir be- kannt, keine ähnliche Angabe. Man könnte daher vielleicht der Meinung sein, dass Fitzinger’s Angabe auf einer vergleichenden Untersuchung von Materialien dieser Art aus dem Kaukasus und aus Sibirien basirt, und dass derselben auch voller Glauben zu schenken wäre, wie dies übrigens auch schon Köppen (Beitr. z. Kenntn. d. Russ. Reiches, (2), VI, p.12—13) gethan hat. Doch muss ich den Charakter und den Werth der Arbeiten Fitzinger’s als zu bekannt voraus- setzen, um noch speciell hier nachzuweisen, dass die betreffende Mittheilung überhaupt gar keine Berücksichtigung verdient. Ich will noch bemerken, dass Hr. Dr. Aug. v. Pelzeln auf eine diesbezügliche en mir ‚die freundliche B ی‎ d zukommen liess, dass in der Zoolo- gischen Abtheilung des К. K. N in Wien kein Exemplar des Seiurus vulgaris aus dem "ang vorhanden ist. Mélanges biologiques. T. XIII, p. 80. (хххш)] ÜBER DAS FEHLEN DES EICHHÜRNCHENS IM KAUKASUS. 131 Nachdem Hr. K. Rossikow, dem wir mehrere sehr gute Arbeiten über die kaukasische Fauna verdanken, іт Herbste 1886 nach: langjähriger Durchforschung des nördlichen Kaukasus nach St. Petersburg zurückgekehrt war, theilte er mir mit, dass auch er Sciurus vulgaris nirgends angetroffen hat. Коза ком =) kam auch später in seiner «Übersicht der Säugethiere des Malka-Thales», anlässlich einer Berichtigung der Angaben von Méné- tries auf diese Frage zurück und sagte hier darüber Folgendes: «ich mei- nerseits bemerke nur, dass ich das Eichhörnchen während meiner fünfjähri- gen Beobachtungen im centralen und östlichen Theile des nördlichen Kaukasus, welche ich in vielen Punkten durchforscht habe, nirgends gefunden habe, und kann versichern, dass die Annahme über das Vorkommen von Seiurus vulgaris daselbst jeglicher Grundlage entbehrt». Ferner erhielt ich von Herrn L. Mlol iewiez, dem tüchtigen Ken- ner der kaukasischen Fauna, die gefällige briefliche Mittheilung, dass er während seines langjährigen Aufenthaltes im Grossen Kaukasus nirgends Seiurus vulgaris gesehen oder gefunden habe und dass es zweifellos sei, dass diese Art den Kaukasus nicht bewohnt. Endlich hat auch der Präparator unseres akademischen Museums, Herr J. Ananow, welcher im Jahre 1886 längere Zeit in den südöstlich von Wladikawkas gelegenen Bergen des Grossen Kaukasus excursirte, nirgends das Eichhörnchen gefunden, obgleich er nach demselben specielle Nachfor- ‚schungen angestellt hat. | Wir sehen auf diese Weise, dass diese Resultate der neueren Durch- forscher des Kaukasus mit unseren früheren Schlussfolgerungen vollständig іш Einklange stehen. Nach dem Mitgetheilten kann es meiner Ansicht nach ` weiter gar keinem Zweifel unterliegen, dass Sciurus vulgaris überhaupt nirgends im Kaukasus vorkommt. | Unwillkürlich drängt sich aber die Frage auf, auf welche Weise sind so gewissenhafte Forscher, wie Pallas, Nordmann und Ménétries, zu ihren falschen Angaben über das Vorkommen des Eichhörnchens im Kaukasus gekommen? Ihren Angaben kónnen, meiner Ansicht nach, nur an Ort und Stelle bei der Bevölkerung eingezogene Erkundigungen zu Grunde gelegen haben. Beim Sammeln dieser Nachrichten haben aber die genannten For- scher entweder Angaben über Sciurus persicus auf Sciurus vulgaris bezogen, oder sie sind durch einen Umstand, den ich mir folgendermaassen erklüre, in Irrthum geführt worden. Die gewöhnliche volksthümliche Bezeichnung für Sciurus vulgaris lautet bekanntlich russisch бблка (bjelka), doch wird dieser selbe Name (einfach oder in Verbindung mit einem Adjektivum) in 24) Россиковъ: Зап. Имп. Акад. Наукь, LIV, p. 87 (1887). Mélanges biologiques. T. XIII, p. 81. 9* 132 EUG. BÜCHNER, ÜBER DAS FEHLEN DES EICHHÜRNCHENS U. S. W. [№ 8.1 einigen Gegenden auch auf Myoxus glis angewandt. So heisst z. В. diese letztere Art nach Pallas”) im Gouvernement Ssamara — земляная baka (semljanaja bjelka = Erdeichhörnchen) und nach Kessler”) in den Gou- vernements des Kiew'schen Lehrbezirks — сонливая бЪлка (ssonliwaja bjelka == schläfriges Eichhörnchen); der Lokalname des Myoxus glis im nördlichen Kaukasus lautet jedoch nach Rossikow*) einfach бблка (bjelka). Dieser letztere Umstand war nun den erwähnten Forschern wol nicht bekannt und können sie daher die ihnen zugekommenen Mittheilungen über das Vor- kommen von б$лки (bjelki) anstatt auf Myoxus glis, auf Sciurus vulgaris bezogen haben. Ihre Angaben beruhen demnach in jedem Falle auf einer einfachen Verwechselung. Ich komme nun schiesslich auf das schon oben erwähnte Fehlen unseres Eichhörnchens in der Krim und auf die Erklärung dieser Thatsache durch Köppen zurück. Es unterliegt keinem Zweifel, dass die Krim einen gewissen Prozentsatz ihrer jetzigen Säugethierfauna einer Einwanderung aus dem Kaukasus verdankt und diese Einwanderung zu einer Zeit stattgefunden hat, als der Kaukasus mit der Krim noch in direktem Zusammenhange stand. Dieser letzteren Annahme widersprach aber das Fehlen des Eichhörnchens in der Krim, da es ja gleichfalls aus dem Kaukasus (wo sein Vorkommen allgemein angenommen wurde) nach der Krim hätte gelangen müssen. Aus diesem Grunde sah sich nun Köp pen veranlasst, diese Einwanderung der Wald- säuger in die Krim in eine Zeit zu verlegen, wo der Kaukasus von der Krim schon getrennt war, und zwar lässt er diese Einwanderung über die gefro- rene Kertscher Strasse vor sich gehen, da an einer solchen Winterschläfer oder zur Winterzeit nicht wandernde Säuger nicht Theil nehmen können. Diese schon eingangs der vorliegenden Notiz citirte Erklärung für das Fehlen des Eichhörnchens in der Krim erweist sich nach den mitgetheilten Betrachtungen als den Thatsachen nicht entsprechend. Das gemeine Eich- LI hörnchen konnte nicht aus dem Kaukasus in die Krim einwandern, weil es ` im Kaukasus garnicht vorkommt; es fehlt folglich in der Krim ausschliesslich nur àus dem Grunde, weil es im Kaukasus nicht vorhanden ist. 25) Pallas, Reise durch versch. Prov. d. Russ. Reichs, I, p. 154 (1801) und Zoographia Rosso- pepe т, p.178 (1811); vgl. auch Эвереманъ, Ест. Ист. Оренб. Kp., П, p.126 (1850) und Балліонь, Опытъ изелЪдов. o русскихъ названіяхъ млекопитающихъ, p. 44 (1858). 26) ГР Животныя Губ. Kies. Учебн. Окр., I, Млекопитающія, р. 48 (1850). 27) Россиковъ, Зап. Имп. Акад. Наукъ, ІЛУ, р. 48 (1887). Melanges biologiques. Т. XIII, р. 82. GEN ацык Re Ree "Sen (хххш) | M Hydrologische Untersuchungen L. Von Prof. Dr. Carl Schmidt in Dorpat. (Lu le 17 janvier 1889.) Die Thermen zu Saniba, am Fusse des Genaldonischen Gletschers, N.-W.-Abhang des Kasbek, 8000 Fuss Meereshóhe. (Mit einer Karte.) Am 11/23. Juli 1887 schópfte Herr Stud. Eduard Stoeber aus Tiflis persónlich 2 Flaschen dieser Thermalwasser und überbrachte mir dieselben im August sorgfältig verkorkt und verharzt zur Untersu- МА chung. Über die Lokalver- N en ` hültnisse berichtet Derselbe: ۱ SE Е ew «Die Mineralquellen zu ба- P | niba befinden sich ап der Nord- IE westseite des Kasbek beim Genaldonischen Gletscher, am linken Ufer des Flusses Genaldon, wo dieser aus dem Gletscher entspringt. An den Pflanzen, welche sich hier be- finden, kann man erkennen, dass die Gegend circa. 8000 Fuss über dem Meeresspiegel sich befindet. Im Ganzen sind hier 5 Mi- neralquellen. Von diesen wer- den nur zwei von den Osseten als Heilquellen benutzt, zwei andere liegen sehr niedrig und zu nahe am Gletscher; oft wer- den sie von diesem verdeckt, wodurch der Gebrauch verhin- dert wird. Die fünfte Quelle ist arm an Salzen und hat eine niedrige Temperatur. : Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 27. 134 ۱ PROF. DR. CARL SCHMIDT, [х. S. 1 - Ausserdem befinden sich noch Mineralquellen an dem rechten Ufer des Flusses, aber da dieses Ufer zu steil ist und der Fluss stark strömt, ist es fast unmöglich diese zu erreichen. ! Die Quellen gehören der Gemeinde der Auls (Dörfer) Werchny- (Ober-) und Nishny- (Unter-)Saniba, von denen ein 18 Werst langer, schmaler Pfad zu den Thermen führt. | Werchny-Saniba befindet sich am rechten Ufer des Flusses ۵ und Nishny-Saniba an der Mündung des Flusses Faradon, der in den erst- genannten fliesst. Der Kauridon ergiesst sich unweit Werchny-Saniba in den Genaldon. | Beide Auls werden von Osseten bewohnt, die beinahe Alle Christen sind — in Werchny sind 48 Familien, in Nishny — 49. Beide liegen 40 Werst S.-W. von Wladikawkas. Als ich am 11. Juli 1887 die Quellen besuchte, waren hier 18 Perso- nen, 10 Männer und 8 Frauen, die das Thermalwasser gegen Rheumatismus und Fieber benutzten. Der Gebrauch ist sehr einfach: Von der Quelle I fliesst das Wasser durch Holzrinnen in die aus Steinen zusammengelegte Hütte und kühlt sich unterwegs von 55? C. auf 41? С. bis 38? C. ab. Im Boden der Hütte ist eine Vertiefung gemacht, die eine Wanne vertreten soll. Bei der Quelle II wird das Wasser nicht abgekühlt, daher wird sie seltener gebraucht, weil nicht Jeder die hohe Temperatur des Wassers (55? C.) ver- tragen kann. Der Kranke kriecht durch die schmale Öffnung in die Hütte hinein, kleidet sich aus und setzt sich in das Wasser hinein; die Óffnung der Hütte wird sorgfältig zugestopft, damit die Dämpfe nicht entweichen. Der Kranke bleibt 10—15 Minuten im warmen Wasser, kleidet sich in der Dampf-Atmosphäre wieder an, wird herauskriechend mit einem Pelz bedeckt und so in die benachbarte Wohnung gebracht. .... : Die Temperatur der nächsten Quelle am Gletscher, No. Ш war 48,8? C., No. IV 51,8% C., No. I 55° C., No. П 50? C., der am weitesten vom Gletscher entfernten No. V 15^ C. Die Temperatur einer süssen Quelle, die sich unweit No. I befindet, war ` 12,5? C., die des Flusses Genaldon, der 2 Fuss weit von den Thermen III und IV vorbeifliesst, war 5^ C., die der Luft bei klarem Himmel um 12 Uhr Mittags 17,5? C., bei bewölktem Himmel um 1 Uhr 15° С». Analytisehe Data. Thermalwasser I. Quellentemperatur 55° C. Das Wasser ist klar, farblos, geruchlos, bläut empfindliches, rothes Lak- | muspapier. ' Melanges phys. et chim. т. ХИТ, p. 28. (хххш) | HYDROLOGISCHE UNTERSUCHUNGEN. $35 . Vol.-Gew. bei 21,2° C. = 1,00538 (Wasser gleicher Temp. = 1). А) 194,830 grm. Wasser gaben eingetrocknet 1,3868 bei 100° tr. Rück- stand, wovon al in Wasser leicht 1631. 1,2347 == 6,3371р. М., B) » » unlösl. Kesselstein 0,1521 = 0,7807 р. M., daraus 2,7798 grm. AgCl + AgBr = 14,26782p.M. Mett ALBE 0,0495 » Ba$0, 1,1562 » KCl + NaCl, 0,2492 » K;PtCl, + Rb,PtCI,, 0,0763 » Сао, . 0,0499 » MgS0, B) 375,936 grm. Wasser mit HCl, Chlorwasser und Chloroform colori- metrisch 0,0011 grm. Brom — 0,00293 p. M. Br. — 0,00688 p. M. AgBr, 14,26094 р. M. AgCI = 3,52605 p. M. CI. А + В 0,0067 810, = 0,0117 p. M. NiO, . 0,0062 Fe,0, = 0,00759 p. М. Fe, 0,0055 gelben Ammonio- - Phosphor- Molybdàns.- Niederschlag = 0,00030 p. M. ۰ Thermalwasser II. Quellentemperatur 50“ C. Das Wasser ist klar, farblos, geruchlos, blàut empfindliches, rothes Lak- muspapier wie I. Vol.-Gew. bei 17^ — 1,00603. А) 212,65 grm. Wasser 1,6203 grm. bei 100° tr. Abdampfrückstand, wovon in Wasser leicht lósl. x) 1,4329 = 6,73513 р. M. 163. а unlösl. Kesselstein, 8) 0,1874 = 0,88085 р. M. unlösl. В, daraus 3,2688 grm. AgCl + AgBr = 15,36451 p. M. AgCl + AgBr, 0,0574 » Ва50, = 0,09264 p. M. S, | 0,0798 » СаО = 0,26789 р. М. Са, 0,1448 » MgSO, = 0,13777 р. М. Ме, 1,3026 » KCl + RbCl + NaCl, 0,4099 » КРЮ + Rb,PtC],. 5 В) 445,357 grm. Wasser mit НСІ, Chlorwasser und Chloroform colori- metrisch 0,00131 grm. Brom = 0,00294 р. М. Br. = 0,00691 р. М. AgBr, 15,35760 p. M. AgCl = 3,79733 p. M. СІ. А --В Kesselstein 0,0087 grm. gelben Ammosio-Phosphor-Molghdin- säure-Niederschlag = 0,00041 p. M. P,0;: 0,00455 Ес,О; = 0,00484 p. M. Fe, 0,0204 SiO, = 0,03102 p. M. SiO». I und H B nach der Brombestimmung eingedampft, mit Platinchlorid gefällt, die Niederschläge mit denen von I und ПА vereint, im Wasserstoff- Mélanges phys. et chim Т. XIII, p. 99. 1 156 PROF. DR. CARL SCHMIDT, [N. 8.1 strom сео ће, zeigten spektroskopisch Rubidium-Gehalt, davon 2,1348 grm. КС! + RbCl mit Silbernitrat gefällt, ergaben 4,0910 AgCl = 191,63 7, AgCI, entsprechend | 5913730” per » mithin 100 K;PtCl;--Rb;PtCl,—30,659 H 0 1601 + RbCl — (от к. Іп Ermangelung grösserer Wassermengen ist dieses Verhältniss der Ве- rechnung des Rb- und K-Gehaltes beider К,РЕОЈ, + Rb,PtCl,, Niederschläge I und II zu Grunde gelegt worden. Beim Eindampfen beider Thermalwasser setzen sich Sulfate und Car- bonate vollständig um, die Kesselsteine 2 enthalten keine Schwefelsäure, dagegen Kalk, Eisenoxyd, Phosphorsäure, Kieselsäure vollständig, Magnesia zum Theil. Ammoniak und Salpetersäure waren in den zur Verfügung ste- henden geringen Wassermengen nicht nachweisbar, ebensowenig Sulfide — der Silberniederschlag war völlig weiss. Gruppirt man die Basen und Säuren nach dem Verhalten beim Ein- dampfen und reducirt auf 1,000,000 grm. (ca. 1 Kubikmeter), so erhält man: 1,000,000 grm. Thermalwasser Saniba I und II enthalten: ...... grm. (ca. 80007 Meereshöhe, Kasbek-Gletscher). $ Зап а I. | Зап фа II. Gruppirung. Saniba I. | Saniba II. Volumengewicht ...... 1,00538 1,00603 | Wassertemperatur ...| 55° С 50? C. Rubidium Rb......... 3,22 3,46 | Rubidiumsulf. Rb,SO,. 5,08 5,41 Bh ناک‎ ү... 85,6 7,06 | Kaliumsulfat K,S0, 186,67 198,20 e, соса а 2122,20 2179,90 | Chlorkalium KÜl..... 64,3 415, Caleium Са........... 279,77 294,19 | Chlornatrium NaCl. 5385,42 5531,90 Magnesium Mg ....... 51,90 187,77 | Chlormagnes. MgCl, . 134,80 882,98 Eisen Fe..... "5,5. 7,59 4, agnes. MgBr, . 8,88 3,59 Chlor СЕ. а 3526,05 3797,35 | Calciumphosph.CaP,0 0,42 0,57 Brom Dë „abi, 6, 2, 2,94 alciumbicarb. СаС20:| 1006,69 1058,81 Schwefelsäure 504..... 87,24 92,64 е bic. MgC40 89,81 274,44 Phosphorsáure Р.О, . . 0,30 0,41 | Eisenbicarb. FeC,0;. 21,68 13,82 n der Bicar- Kieselsáure SiO, ..... 11,70 81,02 bonate 06,04 20227. 688,32 842,38 Gespier -Aequival. ‹ 4. 20, 142,59 171.13 Kieselsüure 80, ves з 11,70 31,02 Summe der Mineralbe- Summe der Mineralbe- standtheile......... 7209,45 | 7865,06 standtheile........ 7209,45 7865,66 Chlor-Aequiv. des Na..| 3263,22 8352,00 ШӨ Ho... ns 262, 83 | - 445,33 Beim Kochen und пера von 1,000,000 еттш. (са. 1 Kubikmeter) dieser Thermalwasser Melanges phys. et chim. Т. XIII, р. 30. (ххх) | HYDROLOGISCHE UNTERSUCHUNGEN. ВУ bleiben gelöst «) leichtlösliche Salze fallen nieder ß) Kesselstein Saniba I. | Saniba II. Gruppirung. Saniba I. | Saniba II, Rubidiumsulfat Rb,SO,. 5,08 5,41 | Caleiumcarb. ۰ 671,56 784,41 Kaliumsulfat К,80, .. 186,6 98,20 un -carb. Mei, 58,70 180,88 Chlorkalium KCl. ..... 864,85 415,62 | Eiseno eU os 10,84 6,96 Chlornatrium NaC 5385,42 5531,90 | Ca ако бар, 0, 0,66 0,89 Chlormagnesium MgCl, 184,80 82,9 Kieselsäure SiO, ...... 11,70 81,02 Brommagnesium MeBr, 3,38 3,3 Summe der Mineralbe- Mineralbestandtheile d. standtheile d. а)... 6079,65 6487,50 8) Kesselstein 753,46 958,61 Vergleicht man diese Kaukasischen Thermalwasser der Gletscherregion des Kasbek mit denen des Altai (Rachmanow-Belucha)!), Kamtschatka's ?) und des unteren Amur-Gebietes (Neu-Michailowsk)°), Islands, Neu-Seelands, der Alpen und Pyrenäen, so findet man, dass die Meisten viel ärmer an Mineralbestandtheilen sind, als die des Kasbek in 8000 Fuss Hóhe. In 1,000,000 grm. (ea. 1 Kubikmeter) enthalten die Thermalwasser: Wassertemp. Rachmanow-Belucha-Altai.... 172,83 grm. Neu-Michailowsk ا‎ 247,4. » 49 Ъ Wildbad-Gastein . ...... 2492» 47,8 » ERE PB lT 395.2 > 24. 8 فلت ها‎ Ро о 576,97bis3412,07 » 45 bis100 » Geisire Island's Ма | АА ыз 504,8 » 1187,2 » 100 » Tan-la (Tibet) 187 7 М. Meeresh. | 1076 » 52 ¥ Geisire*) und Thermen des Na- tonalparks..: s-os- 1190 » 2046 » 100 .» Te Tarata Geysir, Neu-Seeland . 2661,83 » 100 » Ems, neue Badquelle ....... 131171 № 50 » Aachen, Kaiserquelle....... 4396,99 ^» 55 » Von den Kasbek-Saniba nächststehenden Thermen Wiesbadens ent- hält die Schützenhofquelle®), Vol.-Gew. 1,00496, Wassertemp. 49,2" — 6538,48, etwas weniger, der Kochbrunnen‘), Vol.-Gewicht 1,00627, Wassertemp. 68,7° — 8507,80 etwas mehr Mineralbestandtheile, beide mit überwiegendem Chlornatrium. 1) Mémoires ی‎ РАс. Imp. d. sc. de St. Pétersb. 7° Serie, XXXI, № 18 (1885), p. 19—21. 2) ib., p. 1 3) Bulletin 3 xti p. 77—89 (1887). 4) А. С. Peale, Silliman Journal (8) XXVI, р 245 (1884). 5) Heinrich Fresenius, Journal f. prakt. Chemie (2) XXXV, p. 237—253 (1887). 6) R. Fresenius, Jahrbuch des Nassauischen Vereins für Naturkunde XXXIX, p. 1—20 (1886) — Heinrich Fresenius, Schützenhofquelle, ib., p. 21—50 Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 31. 138 1,000,000 grammen Wasser enthalten: PROF. DR. CARL SCHMIDT, [х. 8. 1 Wiesbaden, Schützenhof. Kochbrunnen. ат, EEE 82,630 95,698 Машина Ма. Cost. dasa sommati | 2030,472 2692,012 Оле Са 21 reger | 306,647 333,249 Magnesium Mg. ызы шышы: 35,567 50,747 MI LIL 1,052 3,24 pis UE. LE SI cde ee | 3602,848 4657,806 БРИ rca MIRAS | 1,967 33% Schwefelsäure S0... ...... 87,919 52,632 Kieselsäure 5107 .... 222... 51,162 62,714 Phosphorsäure P0, УЗ 0,193 0,013 Chloraequivalent des Natrium. . 3125,023 4139,442 Сот ев: ОР. ы. Дане еә 477,825 518,364 Beide Wiesbadener sind absolut und relativ zum Natrium ärmer ап Kalium und Rubidium, Magnesium, Eisen, Phosphor, reicher an Kieselsäure als Saniba-Kasbek. Die Schützenhofquelle nähert sich hinsichtlich des Chlor-, Natrium-, Calcium-, Magnesium-Gehaltes mehr баша I. Der Koch- brunnen II ist reicher an Chlor, Natrium, Calcium, ärmer an Magnesium als Saniba II. Der relativ wie absolut dreifache Kalium-Gehalt der Saniba-Kasbek- Gletscherwasser dürfte in der grösseren Basieität und entsprechend leich- teren Verwitterung der Kaukasus-Gipfelgesteine begründet sein, deren Kali- Gehalt beträchtlich ist”). 100 Theile enthalten: Kali Natron № K,0 Na,0 1) Labradorporphyr-Chomi-Borjom-Thal ..... Lett, 4,074 2) Eruptivgestein, Enge von Mzchetha ......... 4,630 3,601 6) Pechstein von Chomi, Kura-Borjom-Thal....... 29915 а ВЕ €) Pelit,.Enge von Mzcltetha. ur wen ene 2,285 0,926 9) Gipfelgestein des Alagéz vom Ziarat . ........ 2,806 4,144 16) Stufe Hamamli, im Norden d. Alagéz, Pambak-Thal 7,659 0,149 51) Spaltenkrater, Samsargipfel........ go со MOD 3,366 7°) Hauptgestein aus dem Bergsystem d. Kaputschidagh 3,118 4,966 7) Vergl. meine Untersuchungen der Kaukasus- und Ararat-Gipfelgesteine in: Herrmann Abich, Geologische Forschungen in den Kaukasischen Ländern, ІП, Abschnitt 4: «Chemische Analysen von Prof. Dr. Carl Schmidt in Dorpat». Wien, 1887, pag. 153—159, die № beziehen sich auf diese Abhandlung. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 32. H (ххх) | HYDROLOGISCHE UNTERSUCHUNGEN. 139 13°) Sumdur-Gipfel, Somkethien, Grundmasse ...... 3,955 4,120 16) a) in heisser 10%, НСІ löslicher Theil, Pambak-Thal 0,768 0,103 16) % » » » » unlóslicher » » » 6,885 0,046 18) Trachyt-, Achatis-Mta, Kaukasus-Gipfel. . ..... 1,919 4,518 22) о) Hochlandlava von Кей, Kaukasus-Gipfel. .... 1,641 4,524 In den Kasbek-Saniba wie den Wiesbadener Thermalwassern überwiegt der Chlor-Gehalt bedeutend das Chlor-Aequivalent des Natriums. Dieser Chlor-Gehalt entstammt demnach nicht allein der Auslaugung von Steinsalz- lagern oder eingesprengten Chlornatrium-Krystallen, sondern wahrscheinlich gleichzeitiger Einwirkung von Chlorwasserstoff oder Eisenchlorid auf die von den Thermalwassern durchsickerten Gesteinsschichten. Beide sind constante Begleiter und Produkte vulkanischer Thätigkeit — neben an- deren Chloriden (AICl;; MgCl, Саб) meist der Spaltung von Chlormagne- sium des eingesickerten Meer- oder Salinenwassers durch hohe Temperatur unter Mitwirkung der durchdrungenen Fels- oder Bodenschichten entstam- mend. Die Oceane enthalten im Mittel?) naf 1994 o ши. Mr | р. 1,000,000 grm. Meerwasser 10128,7 » Natrium Cl- Aequiv. des Ма = 15274,7, Chlor-Rest 2644,0. Auf 100 grm. Chlor-Aequivalent des Natrium beträgt der Chlor-Rest Saniba І... 8,054, + 100016 38,85, : Schützenhof . 15,291, A سم‎ ежен 12,923, 5; OOO MNE CIS гІ. 16,976. Dieser «relative Chlor-Rest» ist im Oceanwasser am grössten, trotzdem aus demselben kein Chlornatrium herauskrystallisirt ist, wie in den ge: schlossenen Soolmutterlaugenbecken des todten Meeres, Karabugas, Urmia- Sees u. А. Sümmtliche von mir untersuchte Quell- und Flusswasser Livlands ent- halten dagegen mehr als 1 Aequivalent Natrium auf 1 Aequ. Chlor, sie zeigen keinen relativen Chlor-, sondern umgekehrt einen relativen Na- trium-Rest?. Das gleiche Resultat ergiebt eine genauere Vergleichung zahlreicher anderer Quell- und Fluss-Wasser, sofern nicht besondere indu- strielle oder anderweitige Lokaleinflüsse spürliche Ausnahmen veranlassen. im Kasbek-Wasser | 8) Bulletin XXIV, р. 231—233 (1877). 9) Bulletin XXXI, р. 508—532 (1887), Quellen, Brunnen, Bäche, Flüsse, Seeen der Bahn-. linie Pskow- Dorpat-Werro-Walk-Wolmar-Wenden -Riga. Melanges phys. et chim. Т. ХІП, p. 33. Mélanges phys. et chim, T, XIII, p. 34. 140 PROF. DR. CARL SCHMIDT, [N. S. 1 1,000,000 grammen Wasser (circa 1 Kubikmeter) enthalten...... grm., nach steige Natrium- ES : A) Báche, Flüsse, Stróme. ^| Natrium Na | Chlor Cl | Aequivalent e dias des Chlors Ga Embach bei Dorpat, Livland . .......... 2-05 8,81 2,478 Moorbach bei Segewold, Livland ........ 2,473 2,449 1,807 | 1 Welikaja-Fluss bei Pskow ............. 5,720 6,275 4,081 4 Krew-Bach bei Rodenpois, Livland....... 2,221 2,334 1,514 | 4 Mudda-Bach bei Sagnitz, Livland........ 3,165 2,789 1,813 Ssyr-Darja-Strom, Unterlauf . ..........| 25,89 92,55 14,66 Düna-Fluss bei Riga, Livland .......... 7,566 6,557 4,251 à Donau Strom, Jahresmittel 1878....... 2,82 2,40 1,56 | = E 3 derselbe Јаппаг— April 1878......... 3,64 5,40 2921172 © o3 Mu Augu > 2,08 1,60 1,04 | 0 5 » September— October 1878 ог 7 HOO 117 7 № а » November—December » 2,97 2,40 1,56 12 Peddel-Bach bei Walk, Livland ......... 2,895 2171) 1,412 8 Orro-Bach bei Karolen, Livland . ........ 4,548 2,769 1,801 | 1% Elwa-Bach bei Uddern, Livland . ........ 4,206 2,384 1,550 | Ш Grube-Bach bei Ramotzki, Livland....... 3,534 2,018 1,283 | 1M Aa-Fluss bei Hinzenberg, Livland........ 5,184 2,858 1,859 | 1% Pimscha-Bach bei Petschori, Gouv. Pskow .. 3,855 2.107 1,370 | 181 St. Lorenz-Strom, Kanada 1854 März..... 5,138 2,409 1,567 22 Ahr-Fluss, 1 КИ. von der Mündung і. d. Rhein | 23,646 9.40 6,113 | 2% Renze-Bach bei Lohde, Livland ......... 9,744 1,543 1,004 | At Rhein-Strom bei Strassburg. ........... 5,167 1,215 0,788 | 9% ию чеш о... а. 15,74 11,40 741 49 Nil-Strom, 2 St. stromabwärts von Като... 15,665 | 3,37 2,192 | 1 Kempen-Bach bei Stakeln, Livland ....... 4,234 1,988 1,298 | M Elbe-Fluss bei Lobositz, Böhmen ........ 5,887 25557 1,663 | 4 Isar-Fluss; München lf: ле dot sob мате 4,866 0,988 0,642 | 99! B) Süsswasser-Seeen. e Ia Eegen ее. 2,91 3,90 2,586 || 3 ONERE И EE و‎ de 6,575 6,888 4,476 = Goktschai-See, Armenien ............. 77,28 | 64,02 41,635 | “ Gmündéni; Taunt cs afl. сс», ішірдей, 3,496 | 2,418 | 1,572 | 1% Tschaldyr-Göl-See, Armenien. aenea! d da 7479 5,09 3,310 | 19 Baikal- се... гену они ~ и 4,039 1,685 1,096 | 27 Zühcher See ...... И 2,24 0,83 0,540 | 31 Gonit Ве. 4,29 1,03 0,670 | 2 Rachel-See, Bayerischer Wald.......... THIS 0,91 0,592 | ТЕ НЕКЕГЕ... 4,86 0,78 0,507 + 55 gut 7 ПА ұта ЗЫ; CL ж- е” — (аш) GE ۳ a tri im-Rest geordnet: HYDROLOGISCHE UNTERSUCHUNGEN. H Analytiker. QuelTrlemIitteraàatur. E · . Carl Schmidt | Archiv f. d. Naturkunde Liv-, Est- u. Kurl; 1۳ Sér., Ш, р. 13—14 E. (1863) und VIII, p. 3—8 (1876 Lt » Bull. de ГАс. Imp. 4. sc. de St. Pétersb. XXXI, 508—532 (1887). Е » 1р. (1887). о ib. (1887). E ib. (1887). E o» Mém. del'Ac.Imp. d. sc. de St. Pétersb. 7*"* Ser. XXIX, B. 15 (1881). EU» Bulletin XXXI, 508 —532 (1887). J. F. Wolfbauer Sitzungsberichte 4. К. К. АК. d. Wiss. zu Wien LXXXVII, Abth. I, E Heft 5, pag. 404—422 (1883). и» ib. 2 » ib. E. -> ib. bi 1 | » ib. % Dal Schmidt Bulletin XXXI, 508—532 (1887). r » ib. в > ib. B o ib. | > ib. | o ib. TS. Hunt Phil. Mag. (4), ХШ, 239 (1857). Е. W. Dafert Sitzungsb. d. Niederrh. Ges. 1885, daraus Jahresb. f. 1885, p. 2314. - Carl Schmidt Lo Claire- Deville 3 Mk Kyle Bulletin XXXI, 508—532 (1887). Ann. de Chimie et Phys. (3) XXIII, 42 (1848). Chemical News XXXVIII, 28 (187 8), daraus Jahresb., p. 1296. Liebig's Annalen CLV, 345 (1870). Bulletin XXXI, 508—532 (1887). Verhandl. d. K. K. Geologischen Reichsanstalt 1876, p. 174. Vierteljahrschr.f. prakt. Pharm. X,342(1861), dar. Jahresb., p.1098. E Schmidt 3 à : 23 Godeffroy Ka Schmid 21 Bass T t. Claire- Deville AS. Johnson ` Mendius Mél: Bulletin XX, 152 (1874). » XX VIII, 242—249 (1882). Mémoires 7™ Série XXIX, В. 43—46 (1881). Jahresb. 1882, р. 1635. Mémoires 7°" Série XXIX, B. 43—46 aD Bulletin XXIV, 424 (1877). Schweizer. Polytechn. Zeitschr. 1857, П, 5 Ann. de Chimie et Physique (3) XXXIII, т (1848). Liebig’s Annalen ХСУ, 230 (1855). Vierteljahrschr. f. prakt. Pharm. Ү,95(1856), daraus Jahresb. р. 765. anges phys. et chim, T. XII, р. 85. * 142 PROF. DR. CARL SCHMIDT, [№ 8.1 Woher stammt diese Steigerung des relativen Chlor-Gehaltes іш Осеап- wasser, wie im Wasser der grösseren Soolbecken des Caspi, Aral, Urmia? Entweder strömen diesen kolossalen Reservoiren aus anderen bisher unbe- kannten oder nicht untersuchten Chlorkalium-, Chlormagnesium-, Car- nallit-, Chlorcaleium- u.a. -Lagern analog den Stassfurter «Abraumsal- теп» entsprechend riesige Massen anderer Chloride als Chlornatrium zu, oder den stetig zuströ Flusswassern wird, durch Wechsel- wirkung mit dem suspendirten Schlamme letzterer, Natrium durch Addi- tion (Zeolithbildung) oder Austausch gegen Kalium des Schlammes (Al- bitbildung aus Orthoklas) entzogen. Ist letztere Hypothese richtig, so müssen diese synthetisch neugebildeten Kalk-Natron-Zeolithe neben Caleiumcarbonat in Form von Muschelschalen, Diatomeenpanzern und anderen organischen Gebilden den Tiefseeschlamm der Oceane, den Boden abflussloser Salzwasserbecken, des Kaspi, Aral, Urmia bilden. Ersterer ist neuerdings von б. Lindström 1), letzterer (Aral- und Amu- Darja-Schlamm) von mir?) mit en. Resultaten untersucht worden. 100 Theile enthalten: 1 Natri 1 100 о Thelle enthalten: سس‎ Auf 100 Theile ۵ bei 1209 trocken lufttrocken jut Tiefseeschlamm Frs Tiefseeschlamm Darja- Aral- Зя Er Sc Ba | Dorii Ата1- ۱ 1 Suspen- |Seeboden- 22 ^ © = E 52 Suspen- |Seeboden- dicar си +. ions- ries schlamm. E چ‎ > 02,1 n cu schlamm. A. B. SS SH но 2,672 4,204 10,54 10,10 T n. K,0.. 2,140 | 1,998 2,06 28 12,88 12,78 12,01 18,08 Na,0 1,533 1,3 1,49 1,12 9,23 8,87 8,69 6,25 Сад 11,032 | 15,312 09 3,74 6,42 97,57 | 23,86 20,88 2,462 1,6 0,99 2,8 14,82 | 10,42 5,78 15,97 0 0,219 0,018 ‚06 0,41 1,32 1,15 0,35 2,29 09و۳6‎ 4,676 ; 7,87 8,05 28,15 18,65 45,91 44,95 my = 6,608 15694 17,14 17,91 | 100,00 | 1 1 100,00 5 H 2 1,08 CÓ,....| 8094 | 12,519 3,57 ? 48,73 | | 79,78 | 20,83 2 SiO,....| 50,993 | 6 52,98 | 54,36 | 303,42 | 28143 | 309,10 | 2 Summa .| 100,000 | 100,000 100,79 101,78 G. Lindström, Analy sen von Gesteinen und Tiefseeschlamm aus dem эра р von der Aachen Nordküste und Japan. Stockholm, 1885 — Referat, Jahresbericht, p. 2 Carl Schmidt, Boden- und бав ЖЫ. gute aus dem Ferghana- Ge Së ашый. Mémoires de РАс. Imp. de St. Pétersbourg, 7979 Série, XXIX, № 1, р. 37—42 | (1881). Aralseeboden und ib., ХХУ, № 3, р. 33 (1877). ——— des Amu- Darja. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 36. (хххш) | HYDROLOGISCHE UNTERSUCHUNGEN. 143 Gruppirung des Kalkes an Kohlensäure und Phosphorsäure, CaCO, ..| 18,395 26,286 5,64 0 110,76 163,68 32,91 Ca3P,0,. 0, 879 0,292 ? ? 2,25 1,86 ? Сад Best) 0,529 0,438 0 8,74 3,19 2,76 20,88 200. 2,08 0 12,14 MgORest 2,86 14,82 10,42 15,97 Aus dieser Zusammenstellung ergiebt sich, dass das Verhültniss der Thonerde zu beiden Alkalien im Suspensionsschlamm des Amu-Darja beim Fort Nukuss (Unterlauf des Stromes, 18,3 Meter über dem Aralsee-Niveau) dem des Aral-Seebodenschlammes und Eismeer-Tiefseeschlammes A nahezu gleich ist. Tiefseeschlamm B ist relativ reicher an Kali und Kalk, etwas ärmer an Natron. Auch das Verhältniss von Thonerde zur Kieselsäure stimmt nahezu überein. Hätte bei der Umwandlung des ИЕ ie in Aral-Seebodenschlamm, d. h. bei Einwirkung des Aral-Seewassers auf Amu- Darja-Suspensionsschlamm, eine Addition von Kalk und Natron des ersteren zu letzterem in erheblicher Menge stattgefunden (Kalk-Natron-Zeolith-Bil- dung), so müsste der Aral-Seebodenschlamm relativ zur Thonerde mehr Natron und Kalk enthalten, als der Suspensionsschlamm des Amu-Darja- Wassers. Dieses ist nicht der Fall; der relativ zur Thonerde grössere Kalk-Gehalt des Aral-Seebodenschlammes ist nicht als Zeolith, sondern als Carbonat, d. h. als Muschelschalen-Detritus u. dgl., dem Amu-Darja- Schlamm mechanisch beigemengt. Kalk-Natron-Zeolithe werden durch heisse Salzsäure gespalten — die Einwirkung letzterer auf 100 Th. bei 120° tr. mit Wasser ausgekoch- ten, salzfreien Aral-Seebodenschlamm ergab (Mémoires 7*me Ser. XXIX, В., р. 39): Von 100 Th. mit Wasser ausge- kochtem Aral-Seebodenschlamm Auf je 100 Th. А1,О; enthält werden durch heisse 10%, НСІ Yen ß) nicht zersetzt. а). 8) КО. 0,3521 1,6455 5,65 17,39 Ха,0 0,1480 1,2441 2,37 13,15 Сао 14,8786 0,4330 238,74 4,58 MgO. 1,1826 0,4589 18,98 4,80 Mn,0, 0,0179 Hem 0,29 жне; Ее,0, 2,1090 0,8183 ` 33,84 8,65 А10, 6,2322 9,4614 100,00 100,00 O. oo 12,5194 200,88 i АДЫ сија Sc 9.15 dt SiO, . 44,1663 — = Mélanges phys. et chim. T. ХШ, р 37, 144 PROF. DR. CARL SCHMIDT, [N. er Kohlensäure und Phosphorsäure за сеп den іп die HCl-Lósung über- gehenden Kalk vollständig, der relative Natron-Gehalt der HCI-Lüsung (AIO, = 100) ist nur У, des durch heisse НСІ nicht gespaltenen Silicat- Rückstandes (Natron-Feldspath ete.); er ist viel geringer als der der Natron- Zeolithe und Natron-Kalk-Zeolithe. Das gleiche Verhältniss zeigt der alte Kreidemeerboden Südrusslands, die Schwarzerden des Südosteuropäischen Sedimentärbeckens =). d Auf 100 Theile Thonerde A LO, enthalten: Zahl der durch heisse 10%, НОЈ der Die Schwarzerden der ALO ück- Ana- SES? 7 31 zersetate Theil .| "MZersetzte Rück lysen. K,0 Na,0 K,0 Na,0 13 | Ufa. und Ssamara ...... 100 9,44| 1,86! 18,08 | 16,85 GEH. EE 100 9.85: . 0,551 19.76) 4 S ГЕО: Le sue +. РОЈ TEST] 2071 20,04! 11,69 d "FREE 100 9,251 1,12۱ 34,51|. 15,49 3 D RL 100 | 11,40 | 1,99 | 33,46 | 8,99 «ЕРДЕН CEILI. 100 8,59| 1,46| 23,14 | 14,11 т МНЕ ol eines 100 9,994 ::1,55 |, 25,91 129 — | Aral-Seebodenschlamm. . .| 100 5.654: 2,87: 7,99 1.19115 Tambow, Balt. Wochenschr. XXIII, p. 284 (1885) .| 100 пау. Обо 23.131 081 T Der durch heisse 10%, НСІ spaltbare Theil (Zeolith?) dieser Schwarz- erden ist übereinstimmend viel Natronürmer, als der ungespaltene Silicat- ` Rückstand (Orthoklas-Albit etc.) derselben. Sollte hier eine Natronbindung aus dem Kreidemeerwasser stattgefunden haben, so muss ein durch heisse 10% НСІ Salzsäure unzerlegbares Natron-Thonerde-Silicat (Albit) aus . ursprünglichem Orthoklas unter Austausch der Alkalien nach dem Schema: KAISi,O,;, + NaCl = NaAlSi,0, und KCl sich gebildet haben. Je länger ein Orthoklas-Schlamm dieser Wechselwirkung mit Chlor- natrium unterliegt, desto weiter schreitet die Albitisirung fort — die am frühesten durch Hebung über den Meeresspiegel dem Austausch von Kalium gegen Natrium entzogenen ältesten Sedimentärschichten müssen. demzu- folge die Kalireichsten, Natronärmsten sein. bie 12) Carl Schmidt, Chemische Untersuchung von 41 Schwarzerden und Untergrund der Gouvernements Ufa, Ssamara, Ssaratow, Chersson, Kiew, Charkow, Kursk, Jaroslaw. Baltische Wochenschrift, XVIII, p. 421—441 (1880) und XIX, 265—280 (1881). Mélanges phys. et chim. т. XIII, p. 38, (хххш)] HYDROLOGISCHE UNTERSUCHUNGEN. 145 Die Erfahrung bestätigt diese Hypothese — die ältesten Cambrischen und Silur-Thone Estlands sind relativ Kalireicher, Natronärmer als die jün- geren Devon-Thone Livlands, diese Kalireicher, Natronärmer als die jünge- ren Jura-Schichten Kurlands und Litthauens (Popilani), und so fort bis zu den relativ Kaliärmsten, Natronreichsten, jüngsten Sedimentärschichten des Kaspi- und Wiener Beckens. Auf 100 Th. Thonerde enthält der K,0 graue untersilurische Thon von Isenhof (Estland). . .... 39,95 róthe devonische Thon von Quistenthal bei Dorpat. .... 40,67 » » » » Mutta » kt xe Ux 42,64 40 Schwarzerden Süd-Russlands, Kreide, Tertiür-Mittel . 15,17 Löss des Wiener Beckens (К. v. Hauer 1866)%)...... 9,26 Tegel » » (E. v. Sommaruga 1866) 4): б A) von Inzersdorf. . ..... 6,72 в OUR... 5 11,53 > Nue... ss 4,64 D s в... 14,06 13) Wiener Akad. Ber. ІЛІП, 148 (1866), daraus Jahresb. f. 1866, p. 983. p 14) Jahrb. d. geol. Reichsanstalt XVI, 48 (1866), daraus Jahresb. f. 1866, p. 984. Melanges phys. et chim. T. XIII, p. 89. 10 Na,0 1,06 3,61 4,11 7,26 18,34 39,03 36,45 14,63 21,35 me UN | Bu له نیو از‎ РУ теме жын ied E ap aod звано oio (ххх) | ۱ 147 Über die Analyse der schwefelsauren Thonerde. Von Е, Beilstein und Th. Grosset. (Lu le 31 Janvier 1889). _ Das Ziel der nachfolgenden Untersuchung war die Auffindung einer ge- nauen Methode zur Bestimmung der freien Schwefelsäure in der schwe- felsauren Thonerde. Wer die vielfachen Anwendungen dieses Produktes in der Industrie kennt, weiss wie sehr es darauf ankommt den Gehalt an freier Schwefelsäure rasch und genau zu ermitteln. Dies ist nun bis jetzt nicht möglich gewesen. Es liegen zwar mehrere Arbeiten vor, welche die ge- stellte Aufgabe lósen sollen, allein alle bis jetzt vorgeschlagenen Me- thoden der Analyse sind fehlerhaft. Die von einzelnen Verfassern be- obachteten günstigen Resultate sind nur scheinbare, denn soweit es die veröffentlichten Zahlen erkennen lassen, gingen die Verfasser von bestimmten Produkten aus, die sieeinfach analysirten, unterliessen es aber ihr Verfahren synthetisch zu prüfen. Niemand hat sich die Mühe genommen Mischungen von neutraler schwefelsaurer Thonerde und freier Schwefelsiure von be- kannter Zusammensetzung herzustellen und darin die freie Sáure zu ermit- teln. Nur auf diesem Wege lässt sich die Brauchbarkeit einer Methode prüfen; die blossen Analysen von Handelsprodukten beweisen nichts. Erlenmeyer und Lewinstein ') schlugen vor die freie Schwefelsäure in der schwefelsauren Thonerde durch Kochen mit überschüssiger, feuchter phosphorsaurer Ammoniak-Magnesia zu ermitteln. Nach der Gleichung: AL(80,), + 2Mg(NH,)PO, = 2AIPO, + 2М550, + (ХН,),50, wird hier- bei alle Thonerde unlóslich niedergeschlagen und in Lósung gehen nur neu- trale Sulfate. Ist dem Thonerdesulfat freie Schwefelsäure beigemengt, so wird dieselbe nun durch die gewóhnlichsten Reagenzien, etwa Lakmustinktur, nach- gewiesen und der Bestimmung derselben durch Titriren mit Normal-Alkali stünde nichtsim Wege. Stein?) fand diese Reaktion vollkommen zuverlässig, nur muss die phosphorsaure Ammoniak-Magnesia frisch gefällt sein. Wir versuchten die obige Reaktion zur quantitativen Bestimmung der freien Schwefelsäure anzuwenden, fanden aber das tn ees та, 1) Jahresbericht der Chemie für 1860, 638. 2) Zeitschrift f. analyt. Chemie 1866, 289. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 41. 148 Р. BEILSTEIN UND TH. GROSSET, [№ 8.1 so dass wir davon abstehen alle Einzelnheiten unserer Versuche mitzutheilen. Der Hauptübelstand bei diesem Verfahren besteht darin, dass die phosphor- saure Ammoniak-Magnesia kein beständiger Körper ist. Schon beim Liegen an der Luft verliert sie bald Ammoniak und selbst beim Stehen unter Was- ser zersetzt sie sich nach etwa 14 Tagen. Nur die frisch gefällte phosphor- saure Ammoniak-Magnesia setzt sich mit schwefelsaurer Thonerde gut um; hat dieselbe einige Tage unter Wasser gestanden, so bedarf es eines längeren Kochens behufs Umsetzung. Dabei kónnen aber die gebildeten Ammoniak- salze Ammoniak verlieren. Man ist daher gezwungen für jeden Versuch sich reine phosphorsaure Ammoniak-Magnesia darzustellen, was viel zu um- stándlich ist. Um mit einem beständigeren Körper als phosphorsaure Ammoniak- Magnesia zu operiren, kochten wir Thonerdesulfat mit orthophosphorsau- rem Magnesium Mg,(PO,), und Wasser, allein die Umwandlung. erfolgte viel langsamer als mit Mg(NH,)PO,. Viel rascher setzte sich Thonerdesulfat mit Baryumphosphat um, die Versuche scheiterten indessen an der Schwierigkeit das Salz Ba,(PO,), rein zu erhalten. Als wir Chlorbaryum mit Natriumphosphat Na,HPO, und Ammoniak fällten, erhielten wir nicht neu- trales Orthophosphat, sondern das Salz 5BaO. 2P,O,. Auch mit Bleiphos- phat wurden keine zufriedenstellende Resultate erhalten. Versuche. die Thonerde aus dem Sulfate durch Natriumphosphat zu fällen und dann die frei gewordene Schwefelsäure zu titriren schlugen fehl. Nach der Glei- chung AL(SO,), + 2Na;HPO, = 2АІРО,-- 2Na,SO, +- H,50, sollte für je- des Molekül neutrales Thonerdesulfat ein Molekül Schwefelsäure frei werden. Ein Überschuss an Säure würde dann einen Gehalt an freier Schwefelsäure im Thonerdesulfat andeuten. Die Bestimmungen an freier. Schwefelsäure schwankten jedoch, bei einer und derselben Probe, in viel zu weiten Grenzen. Schon vor längerer Zeit hat man vorgeschlagen, die freie Schwefelsäure, in Gegenwart von Sulfateu, in der Weise zu bestimmen, dass man die kon- zentrirte, wässrige Lösung mit dem fünffachen Volumen Alkohol (von 95%) fällt und dann im Filtrate die freie Schwefelsäure, nach dem Verjagen des Alkohols, durch salpetersauren Baryt füllt und als Baryumsulfat wügt. A. Girard?) hat dieses Verfahren eingehend geprüft und gefunden, dass es nur bei grossen Mengen Schwefelsäure anwendbar ist. Der Hauptfehler be- steht darin, dass die neutralen Sulfate sich nicht vóllig ausscheiden. Girard räth daher die Lösung der Sulfate abzudampfen und.den trockenen Rück- stand mit absolutem Alkohol auszuziehen. Girard's Versuche haben für 3) Zeitschrift f. analyt. Genen 1865, 220. Melanges phys. et chim. Т, , р. 42, (хххш) | ÜBER DIE ANALYSE DER SCHWEFELSAUREN THONERDE. 149 uns keinen absoluten Werth, da er nicht saures Thonerdesulfat untersuchte sondern nur die sauren Sulfate von Natron, Kali, Magnesia, Kalk und Eisen- oxydul berücksichtigte. О. Miller‘) zieht saure schwefelsaure Thonerde mit kaltem Alkohol aus, verdunstet den alkoholischen Auszug und bestimmt im Rückstande die freie Schwefelsäure durch Titriren mit !/,-Normal-Alkali, in Gegenwart von Methylorange. R. Williams?) lässt die feste schwefelsaure Thonerde über Nacht mit starkem Alkohol, in der Kälte stehen, filtrirt dann ab, wäscht mit Alkohol und titrirt die alkoholische Lösung direkt mit Alkali, unter Zusatz von Phenolphtalein. In einer Handelswaare wurden, auf diese Weise, 0,44% freie Säure gefunden, dauerte aber die Behandlung mit Alkohol bloss 1 Stunde so wurden 0,29% Säure gefunden. Das Verjagen des Alkohols und Aufnahme des Rückstandes in Wasser fand Williams nicht empfehlenswerth, weil да- durch ein Verlust an freier Säure eintrat. Gefunden wurde z. В. 0,35%, statt 0,447 H,SO,. Vermuthlich war während des Eindampfens ein Theil der zweibasischen Schwefelsäure in die einbasische Äthylschwefelsäure übergegangen. Unsere Versuche lassen keinen Zweifel darüber, dass sich die freie Schwefelsäure vom Thonerdesulfat, durch Alkohol, nicht quantitativ trennen lässt. Zunächst können wir Girard’s Beobachtung auch für das Thonerde- sulfat bestätigen. Aus einer wässrigen Lösung dieses Salzes wird, durch starken Alkohol, nicht alles Thonerdesulfat gefällt. Ein kleiner Theil desselben bleibt gelöst und da es sauer reagirt, so wird beim nachherigen Titriren mit Alkali die Säurebestimmung natürlich zu hoch ausfallen. Aber auch in starkem Alkohol ist das neutrale Thonerdesulfat etwas löslich. Wir liessen ‚neutrale schwefelsaure Thonerde mit Alkohol von 95%, 10 Tage lang stehen und verdampften dann ein gemessenes Volumen der Lösung. 80cc hinterliessen 0,042 g Rückstand (bei 110° getrocknet). Die nachfolgenden Versuche wurden folgendermaassen angestellt. Eine gewogene Menge (1 2) Thonerdesulfat wurde іп бес Wasser gelöst und mit 2066 Alkohol (von 95%) in einer Reibschale zerrieben. Nach weiterem Zusatz von 30cc desselben Alkohols wurde У,-У, Stunde am Kühler gekocht, dann erkalten gelassen und das gefällte Thonerdesulfat abfiltrirt und mit 50ee Alkohol (von 95%) gewaschen. Die alkoholischen Lösungen dampften wir ein, lósten den Rückstand in Wasser und titrirten die freie Sáure mit "A Normal-Kalilauge, unter Zusatz von etwas Phenolphtalein. Bei den Ver- 4) Bericht d. d. chem. Gesellsch. (1883) 16, 1991. 5) Chemical news, (1887) 56, 194. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 43. 150 қ Е. BEILSTEIN UND TH. GROSSET, [м. 8. 1 suchen, in welchen ein Zusatz einer abgemessenen Menge verdünnter Schwe- felsäure von bekanntem Gehalte erfolgte, wurde das Gemisch vor dem Fällen mit Alkohol auf 2 gr eingedampft. Die angewandte Kalilauge enthält im Liter genau 5 g KOH; 1сс der angewandten Schwefelsäure entsprach 0,685 ес der Kalilauge. Die neutrale schwefelsaure Thonerde war durch wiederholtes Lösen in Wasser und Fällen mit Alkohol einer käuflichen, reinen schwefelsauren Thonerde dargestellt. Zur Analyse wurde je 1 g schwefelsaure Thonerde mit wechselnden Mengen unserer titrirten Schwefelsäure versetzt.. Schwefelsäure. Kalilauge. % Н,80, Zugesetzt сс. Verbraucht. Bereehnet. Gefunden. Berechnet. 1,4сс 0 0,6 10,0сс 24. 6,85ес 3.2 3,0 20,0 10,1 13,7 4,4 6,0 20,0 149 13,7 5,8 6,0 20,0 9,9. 12 7 4,4 6,0 Wie man sieht fallen die Resultate zuweilen angenähert richtig aus; zuverlässig kann aber die Methode nicht genannt werden. Ein direktes Behandeln des Thonerdesulfates mit Alkohol, ohne vorheriges Auflösen in Wasser, gab uns stets einen Verlust an freier Säure. Auch Breutel (Jahresb. d. chemischen Technol. f. 1887, 581) verwirft das Ausziehen mit absolutem Alkohol Dass durch den Zusatz von Alkohol zur wässrigen Lösung des Thon- erdesulfates die Abscheidung keine völlige ist haben wir auch auf folgende Weise konstatirt. Eine gewogene Menge saures Sulfat wurde in Wasser ge- löst und іп der beschriebenen Weise durch Alkohol gefällt. Das Filtrat verbrauchte 10cc//,-Normal-Alkali. Das gefällte Thonerdesulfat wurde wic- der in Wasser gelöst und mit Alkohol gefällt. Das Filtrat verbrauchte - 1,8ce der '/,-Normal-Alkalilösung. Ев wird also durch den Alkohol. nicht alle Säure ausgezogen; im Niederschlage befindet sich stets eine kleine Menge saures Thonerdesulfat. Für die Bestimmung freier Säure, neben sauer iso йй Иш Salzen, hat Kieffer°) das Kupferoxyd-Ammoniak vorgeschlagen. Für die Analyse des sauren Thonerdesulfates ist dieses Verfahren ungeeignet, weil das ausge- fällte Kupferoxydhydrat sich löst, unter Bildung von basisch-schwefelsaurer Thonerde. Selbst Alaun verbrauchte mehrere Kubikcentimeter Kieffer'scher Lösung ehe bleibende Trübung eintrat. : Vergebens versuchten wir die freie. Säure. durch (SECH Titriren mit Normal-Alkali zu bestimmen, unter Zusatz von Eisenchlorid, von Eisenalaun 6) Annalen d. Chemie und Pharm. 93,386. Mélanges phys. et chim. T. XII, p. 44. (хххш)] ÜBER DIE ANALYSE DER SCHWEFELSAUREN THONERDE. 151 oder eines Gemisches von Eisenchlorid und Rhodanammonium. Wir unter- lassen es die wenig stimmenden Resultate mitzutheilen. Wiederholt ist behauptet worden die freie Säure liesse sich im Thoner- desulfat bestimmen, durch Titriren mit Alkali, in Gegenwart eines passenden Indikators. Als ein solcher wurde das zuerst von W. v. Miller’) eingeführte Tropaeolin 00 empfohlen und zwar von Lunge®) und Bayer”). Nach О. Miller’) ist aber das Tropaeolin 00 weniger empfindlich als Methyl- orange. Dieses bestätigen Thomson !) und E. B. 8). Wie es scheint, handelt es sich aber, in allen angeführten Abhandlungen, zunächst nur um den qualitativen Nachweis der freien Säure, Resultate quantitativer Bestimmungen liegen keine vor. O. Miller giebt geradezu an, dass er das saure Thonerdesulfat zunüchst mit Alkohol ausgezogen habe. Direkte Versuche belehrten uns, dass keiner dieser Indikatoren geeignet ist, um die freie Säure durch Titriren einer wässrigen Lösung von Thonerdesul- fat zu bestimmen. Williams!) erhielt brauchbare Resultate durch Schütteln einer wässrigen Lösung von Thonerdesulfat mit einer gewogenen Menge Strychnin, Morphin oder Chinin und Zurückwägen des ungelösten Alkaloids. Die Versuche erga- ben einen etwas grösseren Gehalt an freier Säure, als das Ausziehen mit kaltem Alkohol, was Williams der Löslichkeit der Alkaloide in Wasser zuschreibt. Gefunden wurde 2. B. 0,51 bis 0,54%, Н,80, statt 0,41%. Die Ver- suche sind wieder mit einer Handelswaare angestellt, nicht aber mit bekannten Gemischen von neutralem Sulfat und Schwefelsäure. Auch wir haben einige Versuche in dieser Richtung angestellt, aber mit anderen organischen Basen, die sämmtlich ungünstig ausfielen. Wir wandten auch Metalloxyde an, wie СаО und HgO, ohne indessen zum Ziele zu kommen. Silberkarbonat zersetzt Thonerdesulfat, schon bei eintägigem Stehen in der Kälte, völlig zu Silbersulfat und basischem Thonerdesalz. In der Hoffnung die freie Säure durch leicht lösliche Metalle ermitteln zu können untersuchten wir das Verhalten der sauren Thonerdesulfatlösung gegen Aluminium, Eisen und Zink. Aus dem Volumen des entwickelten Wasserstoffes glaubten wir die Menge freier Süure berechnen zu können. Es würde aber ausnahmslos viel mehr Wasserstoff erhalten als dem Gehalte an 7) Berichte der deutsch. chem. Gesellsch. 11, 460. 8) Daselbst, B. 11, 1944. 9) Zeitschrift für analyt. Chemie 1885, 543; Jahresbericht der chem, Technologie für 1887, 582. 10) Berichte d. d. chem. Gesellsch. 16, 1991. 11) Zeitschrift f. analyt..Chemie 1885, 233. 12) Daselbst 1886, 183, 13) Chemical news (1887) 56, 194. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 45. 152 F. BEILSTEIN UND TH. GROSSET, [N. 8.1 freier Säure entsprach. Es erklärt sich dies aus dem Umstande, dass die an- geführten Metalle sich auch in neutraler schwefelsaurer Thonerde lösen, unter Bildung von basischem-Thonerdesulfat und Entwickelung von Wasserstoff. Nach vielen erfolglosen Versuchen 156 es uns endlich gelungen eine Methode auszuarbeiten, die an Schärfe alle anderen übertrifft, sich leicht aus- führen lässt und auf exakter Grundlage beruht. Man löst 1 g (bei säure- armen Präparaten oder wo eine grössere Genauigkeit verlangt wird, nimmt man mehr, etwa 2 g Substanz) іп бес Wasser, giesst dee einer kalt gesät- tigten, neutralen Lösung von schwefelsaurem Ammoniak hinzu, lässt '/, Stunde lang, unter häufigem Umrühren, stehen und fällt dann mit 50ce Alkohol (von 95%). Man filtrirt, wäscht mit 50ce Alkohol (von 95%) nach, verdunstet das Filtrat im Wasserbade und titrirt den in Wasser gelösten Rückstand mit !4,-Normal-Kalilauge, unter Zusatz von Lackmus. Die Methode beruht darauf, dass man alle neutrale schwefelsaure Thonerde als Ammoniakalaun niederschlägt. Die gesammte freie Schwefelsäure bleibt in Lösung. Durch den Alkohol wird der Rest an Alaun ausgefällt und auch das schwefelsaure Ammoniak. Im Alkohol gelöst bleibt nur etwas schwefelsaures Ammoniak. Für die Zwecke der Technik lässt das Verfahren an Genauigkeit nichts zu wënschen übrig. Zur Analyse wählten wir zunächst ein käufliches Thonerdesulfat, dessen einzelne Bestandtheile wir bestimmten. i Das Präparat hatte folgende Zusammensetzung: ALO, 14,02% Fe,0, 0,05 50, 84,48 Н,О 50,40 Na,0 0,63 99,62 Vertheilt man die gefundene Säure an die Basen, so bleibt ein Rest von 0,719, freier Säure H,SO,. Bei der Analyse durch Fällen mit schwefelsau- rem Ammoniak u. s. w. wurde der gleiche Säuregehalt (0,71°/,) gefunden. Es wurde nun eine andere Handelswaare analysirt und in derselben, nach unserem Verfahren, der Gehalt an freier Säure in 3 Versuchen zu 0,93%, — 0,98, — 1,01%, im Mittel zu 0,97°/, gefunden. Wir lösten 20 g dieser Waare in Wasser zu 10066 Lösung und versetzten је 5ce dieser Lösung (= 16 Thonerdesulfat) mit wechselnden Mengen einer (titrirten) verdünnten Schwefelsäure. 1сс dieser Schwefelsäure enthielt = 0,00491 6 Н,50,. Die zum Titriren benutzte Kalilauge wurde völlig gleichwerthig her- Melanges phys. et chim. T. XIII, p. 46. (хххш) | ÜBER DIE ANALYSE DER SCHWEFELSAUREN THONERDE. 153 gestellt, so dass 1ccH,SO, genau durch 1сс КОН gesättigt wurde. 166 Kali- lauge enthielt demnach = 0,005616g KOH. Zugesetzt. Kalilauge (cc). Freie Säure H,S0,0/, cc Н,5,0, Verbraucht. Berechnet. Gefunden. Berechnet, 0 2,0 er 0,97 ғы. 0,5cc 2,7 2,5 1,36 1,27 1,0 2,9 3,0 1,42 1,47 1,5 3,5 3,5 1,72 1,72 20 3,8 4,0 1,86 1,96 6,0 7,5 8,0 3,68 3,99 10,0 11,2 12,0 5,50 5,89 Wir fügen schliesslich ein paar neue Beobachtungen über schwefelsau- re Thonerde bei. Dieser Körper löst sich sehr beträchtlich in konzentrirtem Glycerin, dagegen nur sehr wenig in Essigsäure. Auseiner wässrigen Lösung von schwefelsaurer Thonerde wird, durch konzentrirte Essigsäure, der grösste Theil des gelösten Salzes gefällt. Paru le 20 avril 1889. 3 HOSS Fushê una 9 CR 5 are Brit, лесі иии! Sg X‏ $ ر T VERE Ма‏ £x DA o T4 dn‏ ER ee EE С s‏ "Gefier и Prix proposé pour la découverte de la nature du poison qui se développe dans les poissons, et sur les moyens de le combattre. ИМАМ ~ La fréquence des cas de mort causée par la consommation du poisson salé non cuit, particulièrement parmi les populations habitant le long des cours d'eau poissonneux, a décidé le Comité des pêcheries de la mer Caspienne de faire appel aux savants afin d'arriver, par l'étude. de la nature méme du poison à pouvoir indiquer les moyens efficaces de com- battre le mal; à cet effet le Comité a déposé au Comptoire d'Astrakan de la Banque d'Etat une somme de 5000 roubles, destinée à former un prix pour la solution de la question sur la nature du poison qui se développe dans les poissons salés et sur les moyens de le combattre. eg question mise au concours est celle-ci: . Définir par la voie d'expériences exactes la nature tant шн апе кы. du poison qui se developpe dans les poissons. 2°. Etudier, en expérimentant sur les animaux, l'effet de ce poison sur le coeur, la circulation du sang, les organes digestifs et le systéme nerveux. 3*. Déterminer la promptitude de l'absorption du poison par les organes digestifs. 4°. Etudier et décrire les signes caractéristiques dont on pourrait зе | servir pour distinguer le poisson contaminé de celui qui ne l'est ۰ 5". Indiquer les moyens pour préserver le poisson contre le développe- ment des éléments toxiques. 6". Indiquer le contrepoison et les moyens de secours médical à donner aux personnes empoisonnées. Le terme du concours est fixé à cinq ans; sont invités à y prendre part les savants du pays, ainsi que de l'étranger; les ouvrages pour ce con- cours pourront étre écrits en langues: russe, latine, francaise, anglaise ou alle- 156 mande, et étre présentés en manuscrits ou en imprimés. Les ouvrages devront parvenir pas plus tard que le 1. janvier 1893 au Ministére des Domaines de l'Empire (Министерство Государственныхъ имуществъ); passé ce terme toutes les piéces du concours seront envoyées par ce Ministére à une Com- mission, formée, sous la présidence du Président du Conseil Médical du Mi- nistére de l'Intérieur, de deux membres délégués par l'Académie Impériale des Sciences, d'autant de membres, représentant l'Académie Médicale Mili- taire, et de deux membres adjoints à la Commission par la Société d’Hygiene Publique (Общество охраненія народнаго здравія). Cette Commission sera tenue de présenter pas plus tard que le 1. janvier de l'année 1894 son rapport au Ministre des Domaines, qui conformément aux conclusions de ce rapport donnera des ordres nécessaires pour faire toucher le prix de 5000 roubles à l'auteur du mémoire qui sera reconnu étre une solution suffisante де la question mise au concours. Ne sera pas considéré comme obstacle à Padjudication de ce prix, si le mémoire, tout en offrant une. solution suffi- sante du probléme dans ses parties essentielles, ne donne pas de réponse satis- faisante aux questions énoncées sub 4° et 5° ci-dessus. Si parmi les mémoires présentés 1 ne se trouve pas un seul donnant une solution satisfaisante du probléme dans ses parties essentielles, la Commision pourra décerner, comme accessit, le montant des intéréts du dit capital accumulés pour. les cinq années, au mémoire qui donnerait la solution d'une partie quelconque du problème, et apporterait par là des lumières nouvelles pour la. connaissance de la véritable nature du dit poison. سس eee‏ رم Nouvelle Série 1 (XXXII), № 2. BULLETIN L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES ST-PEBERSBOLURG Nouvelle Serie I (XXXIII). (Feuilles 11--У,19.) CONTENT. ` Page. Н. Wild, La marche normale et les perturbations de la déclinaison de la force magnétique terrestre EEN وه‎ 55—172 N. Békétoff, Sur l'énergie de Poxydation du Rubidium. 2° article. . 173—175 A. Féoktistoff, Sur l’action anormale de quelques espèces de Curare 177—180 N. Kulaguine, Sur quelques اي‎ y апе Гоп trouve dans la Bussie d'Europe et en њене Ee ыда 181—190 Fr. Schmidt, gea! s رورم یی‎ pour la connaissance du Ole- neus NECK ICEL сары ی‎ EN 191—195 W. Radloff et C. رس‎ Rapport sur le mémoire де М. Ander- | son: «Wandlungen der anlautenden dentalen Spirans im Ostja- dus ‚ kischen, ein Beitrag zur ugrofinnischen Lautlehre». . . . . . 197—199 ` F. Beilstein et O. von Blaese, Sur le dosage de hem е 22.2: 201—207 —— Sur le dosage de la soude en présence de la potasse |. . . . . 209—211 A. Bonsdorff, Déduction d'une formule pour le сай des arcs des cercles parallèles de l'ellipsoide terrestre . ......... 218—219 O. Chwolson, Les fondements d'une théorie mathématique de la dif- ^ . 3 fusion intérieure de la lumiére. . . ............ 201—256 : О. Lemm, Fragments Sahides de la Bible ......... 42.2: 257—968 269—277 . J. v. Rohon, Poissons des couches siluriennes inférieures : > >: ж. M. Ribalquine, De l'équilibre chimique entre Pacide Ls A دج‎ dim et l'hydrogène par rapport aux métaux: Article 1, Cuivre... 279—282 i . Baeklund, R Sciences par les délégués de la Russie à la conférence générale du mètre, réunie à Paris еп septembre 1889. . . . . . . .. 288—290 | — Imprimé par ordre de l'Académie I m périale des Science Novembre 1889. C. Vessélofsky, аач perpétuel. Imprimerie ЈЕ l'Académie ارو وم‎ des Sciences. ass.- Ostr., 9% ی‎ i BULLETIN DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURE. Normaler Gang und Störungen der erdmagnetischen Declination. Von H. Wild. (Lu le 31 janvier 1889.) Die bald langsam bald auch plötzlich eintretenden mehr oder minder grossen Abweichungen, welche die Magnetnadel von ihrem ruhigen, täglich wiederkehrenden Gang von West nach Ost und zurück nach West zeigt, hat man allgemein als Störungen der Declination bezeichnet. Würden diese Störungen innerhalb eines gewissen Zeitraumes nach beiden Seiten mit glei- cher Stärke und gleicher Häufigkeit erfolgen, so würde ihr Effect im Mittel für diesen Zeitraum offenbar verschwinden und die Mittelbildung für die ein- zelnen Tagesstunden während dieses Zeitraumes ergäbe dann auch unmittel- bar einen von diesen Störungen befreiten täglichen Gang der Declination, den wir als normalen bezeichnen wollen. Vermittelst dieses normalen Ganges wären sodann als Abweichungen davon die einzelnen Stö- rungen leicht ihrem Betrage und Sinne nach zu fixiren. Da man aber nicht a priori wissen kann, ob jene Voraussetzung in Wirklichkeit erfüllt ist, es - vielmehr auch möglich wäre, dass z. B. die Störungen nach der einen Seite häufiger oder stärker auftreten als die nach der anderen und dass dieselben überdies selbst auch noch eine tägliche Periode besitzen, so 156 шап durch- aus nicht sicher, dass der als Mittel eines längeren Zeitraumes erhaltene tägliche Gang der Declination frei von Stórungseinflüssen sei. Ез sind nun verschiedene Methoden vorgeschlagen worden, um aus die- sem mittleren, eventuell noch mit Störungen behafteten täglichen Gang der Declination den wahren normalen Gang derselben wieder herzustellen. Die bekannteste und am häufigsten angewendete ist die Methode von Sabine’), welcher nach Herstellung des mittleren Ganges alle um einen gewissen Be- trag davon abweichenden einzelnen Daten als Störungen ausstösst, aus den übrig gebliebenen einen neuen mittleren Gang ableitet, an der Hand desselben dann eventuell nochmals zu den einzelnen Daten zurückgeht und wieder alle um jenen Betrag davon abweichenden von einer neuen Mittelbildung ausschliesst u. s. f., bis die letzten Mittel sich nicht mehr durch Ausstossung ` ändern; diese letzten Mittel sollen dann den normalen störungsfreien Gang re- präsentiren. Gegen diese Methode ist mit Recht von vielen Seiten her einge- 1) Philosophical Transact. 1851. P. I, p. 123. Mélanges phys. et chim. Т. ХШ, p. 49. 1 . 158 H. WILD, (в. 8.1 ausschliessen würde, so wird шап finden, dass das Resultat sehr nahe das- selbe bleibt. Man muss nur die Vorsicht beobachten, eventuelle plötzliche und vereinzelte Störungen, welche sich mitunter auch an solchen Tagen noch zeigen, vor der Mittelbildung durch graphische, resp. lineare Inter- polation zu eliminiren. Indem ich ferner den Gang an diesen ausgewählten Normal-Tagen als normalen, 4. В. ganz von Störungen befreiten erklärte, stützte ich mich vor Allem auf den vorherrschend ganz ruhigen und gleichförmigen Gang der Magnetnadel und die gleichartige Wiederkehr -der betreffenden Form der Curve an den fraglichen Tagen. Sowie mehr als eine vereinzelte plötzliche Störung auftritt, also die Curve durch Störungen eine gezackte, oder von häufigeren oder länger andauernden Ausbuchtungen unterbrochene wird, so verschwindet gleich auch im Allgemeinen die Form des Ganges von den den Normal-Tagen. Weitere und vielleicht noch entscheidendere Gründe für die Richtigkeit dieser Anschauung, nämlich, dass unsere Normal-Tage wirklich den ungestörten täglichen Gang der Declination geben, werden sich wohl aus den Untersuchungen über den normalen täglichen vum nach dieser Definition ergeben. Als Stórungen betrachte ich sodann alle Abweichungen der einzelnen beobachteten Declinationen in einem Monat, von dem so festgestellten normalen Gang derselben für diesen Monat. Dadurch ist zugleich eine ganz bestimmte Definition der Stórungen gegeben. Dieselben sind ferner je nach ihrem Sinne als positive und negative zu unterscheiden und kónnen ausserdem nach Buys-Ballot noch nach ihrer Grösse in Gruppen classificirt werden, um zu sehen, ob die Stórungen innerhalb dieser Gruppen ebenfalls Perioden zeigen. Damit dabei in jedem Monat die beiderlei Abweichungen richtige relative Werthe erhalten, ist es endlich nothwendig, den aus den Normal- Tagen erhaltenen normalen Gang seiner absoluten Grósse nach je auf die Mitte, resp. den 15. des betreffenden Monats, nach dem jährlichen Gang der Declination aus den Normal-Tagen zu reduciren, ehe man die Abwei- chungen aller Einzel-Daten davon bildet. Nach der so skizzirten Methode hat seiner Zeit Herr P. A. Müller den normalen Gang und die Stórungen der erdmagnetischen Elemente in Paw- lowsk während der Periode der Polarexpeditionen (August 1882 — August 1883) abgeleitet*). Der Erfolg dieses ersten Versuches sprach, wie auch von anderen Seiten anerkannt wurde, so sehr für die neue Methode, dass es wünschenswerth erschien, dieselbe auf alle M tographen-Aufzeichnungen in St. Petersburg und Pawlowsk, die bis und mit 1885 zusammen 14 J ahre umfassen, anzuwenden. Auch dieser viel grösseren Aufgabe hat sich Herr 8) Repertorium für Meteorologie, Bd. X, № 3, 1885. | Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 52 (ХХХШ)] NORMALER GANG UND STÖRUNGEN DER ERDMAGNETISCHEN DECLINATION. 159 P. A. Müller unterzogen und die Ergebnisse seiner neuen Arbeit in einer Abhandlung niedergelegt, welche ich der Kaiserl. Akademie der Wissen- schaften am 17./29. Januar 1889 vorgelegt habe und die gegenwärtig im Repertorium für Meteorologie, Bd. XII, Х 8, abgedruckt wird. Bei näherer Betrachtung nun der in den beiden Abhandlungen des Herrn Р. А. Müller enthaltenen Resultate über den normalen Gang und die Störung der magnetischen Elemente bin ich zu einigen Schlüssen gelangt, welche mir nicht bloss für den Werth der in Frage stehenden neuen Methode zur Ableitung dieser beiderlei Grössen ganz entscheidende Kriterien darzubieten schienen, sondern auch in Verbindung mit den Ergebnissen der früheren magnetischen Beobachtungen in St. Petersburg geeignet sind, einen neuen und überraschenden Einblick in das Wesen des normalen Ganges und der Störungen zu eröffnen. Da von den älteren magnetischen Beobachtungen іп St. Petersburg bisher nur eine Bearbeitung der Declination durch Herrn 7. Mielberg?) vorliegt, so werde ich mich in der gegenwärtigen Mittheilung auch nur auf die, auf die Declination bezüglichen Resultate, beschränken. Häufigkeit der Normal-Tage. Nach der Auswahl der Normal-Tage - durch Herrn Müller ist die Anzahl der Häufigkeit der Normal-Tage in den ` einzelnen Monaten der 14 Jahre in der folgenden Tabelle übersichtlich zusammengestellt. Е Zahl der Normal-Tage für Declination. т SE те ата ln ГЕ СЕ |“ SES 3181412 | Së Е i4 | Sr kê. ра ра 1870 1791 Б.Т ال‎ 89 0 “ 6 L 8.5. тз р ی‎ bi dl al 5100 1874 Torea 6] TI T7 8۱ 81 6176780 1875 okie RETTET Dr THiS EBS ag ВА OL AO OE EEN PE ARE 18772 а fl 8. 61.81 6).bl 910717 HS BII AL AL 41 AL 4 41 51, di 42 4148 1:701 7109 61:61 81 91 ГЭ 71111. 5| 6159 1880 |:8| 8|. 7/12 810] 6۱ 5/10, 0 18 felag Ere Par 9 EH ров | о F07 TS PET | ۰9 86 1882 | 4| 3| 4| 2| 4| 4| 4| 8| Б 7| 6۱8 1883.[.5|.8[.5|.5 |.5 [4| 8 5| 4| 4 4 ۵ 57 1984 | 6] 3|5| 6| 6| 6|. 8| 7| 7| 84۵] 61 1885 | 3| 4۱ 5| 4| 4, 5| 3|3,2,3| 4 3 | 43 "шр |5,5 | 5,4 6,2 | 6,2 |6,6 | 7,0 5,6 6,3 6,3 6,5 5,6 4,9 72,1 9) Repertorium für Meteorologie, Bd. ТУ, № 2, 1874. Mélanges phys. et chim Т, XIII, p. 58. 160 H. WILD, (8. 8.1 Hieraus folgt, dass die Zahl der Normal-Tage im Jahre durchschnittlich 72 beträgt, wobei sie, wenn wir von der exceptionell kleinen Zahl im Mini- mum-Jahre der Sonnenflecken, 1878, absehen, zu Zeiten der häufigeren und grösseren Störungen, nämlich um die Maximum-Jahre der Sonnenflecken 1870 und 1884 etwas weniger häufig als in der Zwischenzeit zu sein schei- nen. In den einzelnen Monaten ist die mittlere Zahl der Normal-Tage 6 und, wenn wir wieder von der kleineren Zahl im Juli absehen, im Sommer relativ grösser als im Winter, ‚wobei indessen die ganze Variation nur == 1 Tag beträgt. Als kleinste Zahl in den 14 Jahren finden wir 2 und als grösste 12 pro Monat. Normaler täglicher Gang der Declination im Mittel des Jahres. Aus der Tabelle XXXVII in der neuesten Abhandlung des Herrn Müller, welche den normalen täglichen Gang der Declination im Jahresmittel für alle 14 Jahre darstellt und die ich unten reproducire, ergiebt sich zunächst das hóchst wichtige Resultat, dass derselbe in allen Jahren ein einfacher ist und zwar übereinstimmend mit einem Maximum westlicher Declination zwischen 1" und 2^ p., etwas näher an 2^ als an 1^, und einem Minimum zwischen 8^ und 9° a., etwas näher an 8" als an 9^. Da also der aufsteigende Theil der Tagescurve ungefähr 5 Stunden, der absteigende dagegen 19 Stun- den umfasst, so ist der erstere viel steiler als der letztere, insbesondere aber ist die tägliche Änderung der Declination in den Nachtstunden von 9" р. bis 3” a. eine sehr geringe. II. Normaler täglicher Gang der Declination in Abweichungen vom Tagesmittel. 3 4 3 |1870 | 1878 | 1874 | 1875 | 1876 | 1877 Gel 1879 | 1880 | 1881 | 1889 | 1883 | 1884 os | + n ж 1a.| —0,9| —1;1| —1:0| —0,6| —0,7| —0;6| —0,6| —0;6| -0/6 E EG > |—1,0| —1,4| 1,0] —6,7| —0,8| —0,7| 20,7) —0,7| —0,7| — 0,9] 2. 9 8 | —1,2; —1,6| —1,1| —0,8| —0,9| —0,9| —0,8| —0,9| —0,9| —1,2| —1,1 4 2.0] —92,0| —1,5| —1,1| —1,3| —-1,1| —1,1| —1,1| —1,2| —1,5| —1,4 5 |—28| —2,4| —1,8| —1,4| —1,5| —1,5| —1,4| —1,6| —1,7| —2,1 6 |—3,6| —2,8| —2,2| —1,9| —2,1 m —1,7| —2,0| —2,2| —2,8 7 14,5| +-8,3| —2,6| —2,4| —2,5| —2,3| —2,1, اه وب‎ —2,8| —3 8 |—45| —8,7| —3,1| —2,9| —2,8| —2,6| —2,4| —2,6| —8,4, —8,6 9 |—5,2] —3,3| —3,0| —2,7| —2,6| —2,5| —2,1| —2,4| —8,8| — 10 RYE PEY —1,6| —14| —1,41--09| —13| E = 11 01 07) ۵8 08 05 05 08 07 02 05 нас| 3,3) 50 26 24 25 25 26 28 26 29 Melanges phys. et chim. Т, XIII, р. 54. (XXXII)| NORMALER GANG UND STÖRUNGEN DER ERDMAGNETISCHEN DECLINATION. 161 Е 1870 | 1873 | 1874 | 1875 | 1876 | 1877 | 1878 | 1879 | 1880 | 1881 | 1882 | 1888 1994 |1985 | л 1р.| 57 50 44 35 за 3,6) 3,6] 56 41| AB 4/4 48) 53 4’ 2 6۸ 5,4 47) 8,9] 39 37 Së 89 45| 5,0! 49 48 56 4, 3 5,6). AN 57) Säi. SU 29 97. 92) 86 40 41 89 45 35 4 40) 851 25 92 19 Lë 16 18 22 26 98 296 28 2, 5 26 20 14 12 21 09 08 08 15 14 18 14 16 1, 6 1,6] 12) 098| 06) 0,5, 0,5). ба 0,8). 06) 0,8 0,9] 08-09 A 7 LU 0,6] 05 03 03 ба 00 01 02 04 05 06 06 0, 8 ol 02 02 01 01 01—01 0,0] 02) 02) 08 04| 04 A 9 0,31 —0,2, —0,1| —0,1 0,0} 0,0, —0,2/—0,1| од 0,0 6,0 02 0,2 0, 10 0,0| —0,5| —0,4| --0,3 —0,8| —0,3 --0,4 —0,8| —0,2| —0,2| —0,2) 0,0! —0,1| —0, 11 |—90,3| —0,7| —0,6| —0,4| —0,4 --0,4 —0,5| —0,4| —0,8| —0,4| —0,4| —0,3| —0,2| —0, 12 |—0,6 —0,7| —0,8| --0,5 —0,5| --0,5 —0,6| —0,6 —0,5| —0,6| —0,6| —0,4 —0,4| —0,4 Amp.| 116 91 7,8) 68. 6,7 $$ 60| 65 79 8,6] 8,6 58 98 7, .. Was in den einzelnen Jahren variirt, ist nur die Amplitude dieser ein- fachen tüglichen Oscillation, indem. sie von ihrem Minimum 6;0 im Jahre 1878 mit dem Minimum der Sonnenflecken beiderseits ansteigt, nämlich bis zum Maximum 11,6 im Jahre 1870 und zum spüteren Maximum 9,8 im Jahre 1884, welche beide ebenso Jahre mit Maxima der Sonnenflecken darstellen. Dieses Resultat bezüglich des aus den Normal-Tagen abgelei- teten täglichen Ganges der Declination scheint mir nun ein wei- terer Beweis dafür zu sein, dass wir es da in der That mit dem normalen, i. e. ungestórten Gange zu thun haben. Täglicher Gang mit Einschluss der Störungen. Ganz anders verhält sich der tägliche Gang der Declination, wie er sich aus allen Tagen und ohne Ausschluss von Stórungen ergiebt. Derselbe ist für die Jahre 1874—1885 unmittelbar den Annalen des physikalischen Central-Obser- vatoriums zu entnehmen, für 1873 hat ihn Herr Müller neu berechnet, da die in den Annalen mitgetheilten Mittel mit Ausschluss der dort angegebe- nen Stórungstage abgeleitet sind; aus demselben Grunde musste er auch für 1870 neu berechnet werden; für die früheren Jahre endlich ist er in der oben citirten Abhandlung des Herrn Mielberg gegeben. Wir haben hier eine von 1841 bis zur Gegenwart reichende Reihe stündlicher Daten der Declination, in der allerdings zwei Lücken, nämlich von 1863— 1869 und 1871 und 1872, vorkommen. | Vergleichen wir zunächst den mittleren, gestörten täglichen Gang für das Jahr, wie er sich aus den 22 von Herrn Mielberg berechneten Jahren 1841—1862 (Tabelle IV der erwähnten Abhandlung) 10) und sodann 10) Herr Mielberg hat den in Tabelle VI, Seite 44 gegebenen täglichen Gang allerdings, den «normalen» genannt; es ist indessen leicht ersichtlich, dass derselbe seiner Ableitung Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 55. 162 H. WILD, |8. 8.1 aus der 13-jährigen späteren Reihe 1873—1885, nach der 8 von Herrn Müller (Tabelle XL seiner Abhandlung) ergiebt, mit dem mitt- leren normalen täglichen Gang nach des Letzteren Berechnung (siehe oben Tabelle II), so zeigt sich zwischen den beiden ersten Gängen, obschon die Zeiträume, für welche sie gelten, nicht gleich gross sind und nicht analog zur Sonnenfleckenperiode liegen, doch eine ganz gute Übereinstimmung, resp. für beide eine ganz gleichartige Abweichung vom normalen Gange. Das Hauptminimum zwischen 8^ und 9^ a. und das Hauptmaximum zwischen 1^ und 2^ p. ist zwar den beiderlei Gángen gemein, und wenn wir das erstere seinem absoluten Werthe nach bei ihnen gleich annehmen, bleibt das Maximum für den gestórten Gang nur wenig unter demjenigen des normalen Ganges; von da an sinkt aber die Declination beim gestórten Gange viel rascher, erreicht ungefähr um 11^ p. ein secundüres Minimum, ` von welchem es nur wenig zum kleinen secundären Maximum um 3^ a. herum ansteigt und dann wieder zum Hauptminimum abfällt. Der Haupt- unterschied der beiderlei Gänge besteht also im Auftreten eines zweiten Minimums etwas vor Mitternacht und eines zweiten, allerdings unbedeu- tenden Maximums in den frühen Morgenstunden beim gestórten Gange, gegenüber der einfachen Periode beim normalen Gange. Zum Beleg dessen gebe ich іп der folgenden Tabelle die drei Gänge nebeneinander: Ш. Abweichungen vom Tagesmittel, Stunde. Gestórter Gang. ‚ Normaler Gang. 1841—1862, 1873—1885. 1873—1885. 1 а. -- 1,4 - 158 0,7 2 — 1,3 : — 1,2 — 0,8 3 1148 1,2 — 1,0 4 — 1,8 — 1,4 — 1,8 5 — 1,8 — 1,7 — 1,8 6 روج‎ -- 1,9 -- 2,8 7 -- 1,9 “2,2 — 2,8 8 — 2,2 — 2,5 — 3,2 9 — 2,0 — 2,8 — 8,0 10 — 02 — 1,0 — 1,7 11 1j 1,0 0,4 Mittag E | $t 21 e » > ә xi nach mit dem von uns als gestórten Gang bezeichneten identisch ist, was ich zur Verhütung von Missverständnissen ausdrücklich hervorhebe. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 56. ” A _(Хххш)] NORMALER GANG UND STÖRUNGEN DER ERDMAGNETISCHEN DECLINATION. 163 Stunde. Gestörter Gang, Normaler Gang. 1841--1862. 1873—1885. 1878—1885, 1 p. 479 416 4/3. 2 5,1 4,9 4,5 8 4,2 4,1 3,6 4 2,7 27 2,3 5 1,3 1,5 dr: E 0,3 0,6 0,7 7 UE 0,0 0,4 8 сег 0H — 0,4 0,2 9 LE — to 0,0 10 — а A rs — 0,9 11 ie Senf ee Gi 12 rr 2-14 e Б Noch auffallender werden die Unterschiede zwischen den beiderlei Gän- gen, wenn wir den mittleren täglichen Gang in den einzelnen Jahren ver- gleichen. . Während nämlich, wie wir gesehen haben, der normale Gang in aufeinanderfolgenden Jahren sich nur durch die Amplitude, nicht aber durch die Form unterscheidet, treten ausser ‚den Amplituden-Änderungen beim gestörten Gange auch noch Form-Veränderungen ein. Auf diese säculare Änderung in der Form des gestórten tüglichen Ganges hat schon Herr Mielberg in seiner mehrfach erwühnten Abhandlung, S. 48 und folg., hingewiesen; da ihm indessen der wahre normale tägliche Gang als Aus- gangspunkt für die Beurtheilung der Verhältnisse nicht. bekannt. war, 50 konnte er die beiden Hauptmomente, die hier іп Betracht kommen, nicht auseinanderhalten und so auch zu keiner klaren Einsicht in das Wesen ` . der Sache gelangen. Herr Müller hat sich in diesem Theile seiner Arbeit ‚einfach dem Vorgange des Herrn Mielberg angeschlossen, und indem er sowohl für den normalen als gestörten Gang die Abweichungen in den verschiedenen Jahren vom Gesammt-Mittel vieler Jahre in den Tabellen ХШ und folg. mittheilte, darnach bloss auf eine analoge eigenthümliche zeitliche Vertheilung der positiven und Date Abweichungen bei den beiden Gängen hingewiesen. Bei näherer Betrachtung ergiebt sich, dass дей eigenthümliche Ver- theilung der positiven und negativen Abweichungen, die beiden Gängen | gemeinsam ist, nicht auf Anomalien in den verschiedenen Zeit-Perioden beruht, ‚sondern nichts anderes als den algebraischen Ausdruck der schon oben erwähnten Zu- und Abnahme der Grösse der Amplitude..des normalen Ganges im Laufe der Jahre darstellt, und dass also der Hauptsache nach auch im gestörten Gange dieselbe Veränderung der Amplitude mit geringer Melanges phys. et chim, Т. ХІП, p. 57. ~ 164 H. WILD, [N. 821 Steigerung, ja in einigen Jahren sogar etwas vermindert auftritt. Erst wenn man das Gemeinsame in der Amplituden-Veränderung der beiderlei Gänge durch Bildung der Differenzen des normalen und gestörten Ganges je im gleichen Jahre eliminirt, zeigt sich dann deutlich die Formänderung des gestörten Ganges im Laufe der Zeit. | Der normale Gang ermóglicht mit anderen Worten eine Trennung der beiden Hauptmomente im gestórten Gange, nämlich von Amplitude und Form. Während man bisher immer annahm, dass die Vergrósserung der Amplitude des tüglichen Ganges zur Zeit der Maxima der Sonnenflecken der Zunahme der Stórungen zu dieser Zeit beizumessen sei, erkennen wir jetzt nach dem Vorigen, dass die Stórungen daran keinen Antheil haben, sondern dass diese Zunahme dem gestórten und normalen Gange gemeinsam ist, also im Wesentlichen nur dem letzteren zukommt. Die Stórungen modi- ficiren den normalen Gang —abgesehen von den mehr oder minder grossen unregelmässigen Schwankungen der Magnetnadel, die sie bewirken und die sich im Mittel längerer Zeiten aufheben — nur m uge Ba änderungen desselben, welche auf periodisch wiederkehrend zurückzuführen sind. Diese Formänderung besteht, wie wir gesehen haben, hauptsächlich in der Erzeugung eines zweiten Minimums der westl. De- clination etwas vor Mitternacht und eines zweiten Maximums in den frühen Morgenstunden, was auf eine negative d. h. das Nordende der Magnetna- del nach Osten ablenkende störende Kraft hinweist, die eine tägliche Pe- riode mit Maximum etwas vor Mitternacht und Minimum in den frühen Morgenstunden besitzt, resp. auf eine negative Störung am späten Abend und eine positive Störung am frühen Morgen. Dieser Gang einer störenden Kraft entspricht aber vollkommen dem täglichen: Gange des in Pawlowsk im Jahre 1882— 1883 beobachteten Erdstromes zwischen den Nord-Süd- Platten, der von Süd nach Nord ging und ein Maximum seiner Stärke im Mittel des Jahres um 10" р: und - ein Minimum zwischen 4” und 5” a. auf- wies 1). Betrachten wir nun den gestörten täglichen Gang im Jahresmittel in den aufeinanderfolgenden Jahren, wie er sich unmittelbar im Mittel aller Tage darstellt, so bemerken wir die sonderbarsten durch Lage und Grösse des secundären Minimums und Maximums bewirkten Formänderungen der Tagescurve. Von 1843 an, wo das secundäre Minimum sehr nahe dieselbe 11) H. Wild, Terminsbeobachtungen der erdmagnetischen Elemente und Erdstróme im Observatorium zu Pawlowsk vom Sept. 1882 bis August 1883. Мета. de Acad. Imp. des Sc. de | St. Pétersbourg, VII Série, T. XXXIII, № 5, S. 45, 1885. Was mir damals in keinem Zusammen- hange zum täglichen Gange der Declination zu stehen schien, ist jetzt durch Unterscheidung von normalem und gestórtem Gang plótzlich in seiner Bedeutung klar geworden. Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 58. ж (ххх) | NORMALER GANG UND STÖRUNGEN DER ERDMAGNETISCHEN DECLINATION. 165 Grösse wie das Hauptminimum zeigt und auf 10" р. fällt, und das secundäre Maximum recht deutlich um 2” a. heraustritt, verflachen sich allmählich diese secundären Extreme unter fortschreitender Verspätung ihres Eintritts und im Jahre 1849 sind sie ganz verschwunden, an dass auch der gestörte Gang nur eine einfache Periode darstellt. Schon 1851 tritt wieder ein secundäres Minimum zwischen 11" und 12" р. und ein zugehöriges Maxi- тапта zwischen 1” und 2” а. auf, welche beiden sich allmählich verstärken und auseinanderrücken, so dass 1853 das secundäre Minimum bereits grösser als das bisherige Hauptminimum geworden ist und endlich 1857 das Mini- mum zwischen 9" und 10” p. um 1’ das Minimum um 8” a. übertrifft und auch das secundäre Maximum zwischen 4" und 5" а. relativ recht bedeutend erscheint. Schon 1859 hat sich dies Verhültniss der beiden Minima wieder umgekehrt, so dass das vormittügliche Minimum um 27 grósser als das nachmittügliche um 9" p. ist. Die Curve des Jahres 1870 entspricht sodann wieder ganz der von 1849 d. h. sie weist auch nur ein Minimum und ein Maximum auf. Im Jahre 1873 haben wir ein secundäres Minimum um Mitternacht, welehes das übliche Hauptminimum sogar etwas übertrifft und das secundüre Maximum fällt auf 5^a. Dieses secundäre Minimum verfrüht sich darauf unter Abnahme seiner Grósse in den folgenden Jahren bis 1878, wo es auf 10^ p. fällt, während das secundäre Maximum deutlich zwischen 1 und 2^ а. sich manifestirt. Die Abnahme der Grösse aber unter Verspä- tung des Eintritts setzt sich in den folgenden Jahren fort und erreicht die extreme Stellung im Jahre 1884, wo das secundäre Minimum um Mitter- nacht durch ein, nur um wenige Zehntel-Minuten grösseres secundäres Maximum um 2^" а. von dem Hauptminimum geschieden ist. Im Jahre 1886 endlich ist bereits das nachmittägliche Minimum zwischen 10^ und 11” р. wieder zum Hauptminimum geworden und das secundüre Maximum fällt auf 3^ а. Diese complicirten und deshalb schwer zu interpretirenden Verhältnisse werden nun sofort klar, sowie wir der früheren Bemerkung zufolge die Differenzen des normalen und des gestörten Ganges bilden, also den täglichen Gang der Stórungen selbst durch die Veründerungen darstellen, welche sie am normalen Gange bewirken. Diese Differenzen oder Abweichungen sind in der folgenden Tabelle IV zusammengestellt, wobei ein negatives Vorzei- chen eine negative Stórung, resp. eine Ablenkung des Nordendes der Mag- netnadel nach Ost bezeichnet. Sie ist mit Berücksichtigung der absoluten Werthe, sowohl der normalen als gestörten Monatsmittel der Declination gebildet, die wir weiter unten mittheilen werden. | Mélanges phys. et chim. T. XIII, р. 59. 166 Н. WILD, [RST ГУ. Abweichung des gestörten vom normalen Gang. 3 Тасев = | SI EIKE EI ER PETE اه‎ SAIS هم اه‎ | à st айы о را‎ E р жу а= ЧИККЕ | E: la. | —155,—1,7| — 1,0 —1:0|— 0/6| —0;5|—0;3|— 0/2 —0,9|—0,9|—0;9|—0,8|—0;9|—1:2|—0; 2 1,3|—1,5|—1,0|—0,6| —0,4| —0,4|—0,1|—0,1| — 0,6] - 0,6 = 0,8|—0,7—0,6|—0,9| —0; 3. | —1,5|—1,1,—1,0,—0,5/ —0,3|—0,1|—0,3| 0,0|—0,4|—0,1|—0,5|—0,5,—0,6|— 1,1|—0, 4 0,8|—0,8 —0,5|—0,6|—0,3|—0,3|—0,1/—0,1/—0.2|—0,4|—0,8|—0,3|— 0.2|—0,8 —0, 5 |4-0,1|—0,1|—0,1/|—0,4|—0,1|—0,1|—0,2| 0,0,.—0,1| 0,0—0,1| 0,04-0,2|— 0,3|—0, 6 |4-0,3/2-0,2 2-0,3|—0,1 |4-0,1| 09 — 0,1] 0,2] +01 --0,3 -1-0,4 -1-0,2.-1-0,5 + 0,1۵ 7 |4-0,9/2-0,4|4-0,2 2-02 -1-0,4| 4-0,2 |2-0,1 4-0,3|-4-0,5| 4- 7+0,3|+0,6 - 0,4-0, 8 [+0405 +03 -i- 0,4 -ғ-0,41--018|--0,2/ --0,8--0,71--0,5/--0,2/--0,4/--0,8/--0,7 | --0, 9 За x +0,6 +0,3 1 0,5 + 0,5 + 0,4 + 0,24 9+ ا‎ + 0,5 4-0,3 8 4 0,9 --0,6 --0, 10 -0,4 +0,3 +0,5 --0,4|--0,5|--0,1 330 ?1 49 Я 21-0,5|4-0,5|-1-0, 5 +0,6+0,5 +0, 11 = بل‎ 0, 0О|+4-0,8\--0,8--0,2\--0,4\--0,2 +0, 3|4-0,3|-1-0,1 4-0,3 +05 --0,3|--0,4--0, Mittag. +0, 7--0,2/--0, 4 +0,1 +0,1 +02 +0,1 0,0 0, 0 --0,2/--0,1/--0,31- 0,1/+0,5/+0, lp. |--0,7 --0,2/--0,1 +0,4) 0,01+0,3/+0,3+0,5 —0,1+0,1) 0,0/3-0,5| —0,1|4-0,412-0, 2 |-0,7 0,0-к0,2--0,2--0,1--0,8/--0,3/--0,3/--0,27 0,0] 0,0--0,4| 0, 0 --0,5|--0, 3 |--0,8 0,0--0,5--0,5|--0,11--0,2/--0,3 --0,21--0,11--0,1|--0,11--0,6| 0, 0 +07 +0, 4 |-+0,8 0,0-к0,4-0,--0Д1--0Д--0,31--0/2 +01] 0,3) 0,0-0,5 -+0,1-+-0,4 4-0,1| 5 |-+0,9—0,4 0,0,—0,3|—0,1| | 0,0-0,1 4-0,1 4-0,2 —0,2| — 0,4 4-0,2|—0,1 24-0,1|—0,1 6 |-0,7|—0,6,—0,1 —0,4 —0,1| —0,1 3-0,1|—0,1,—0,4|—0,6, —0,7 —0,5|—0,4,—0,3 —0, 7 0,0—0,9 —0,4|—1,7|— 0,3|—0,2|—0,1|—0,7,—0,8,—1.2|—0,9|—0;7| —1,1|—0,7 8 |—056,—1,0,—0,8 —0,8 —0,8|— 0,4,—0,6| —0,3,—1,1,—1,0|—1,5,—1,1|—0,8| —1,2 -08 9 |—0,|—1,7|—1,4—1,1|—1,0| —0,7,—0,8| —0,8, —1,3| —1,4| —1,8|—1,4|—1,1 —12 10. |—0,9—2,1—1,5—1,4 —1,3| —0,9|—1,0—0,6,—1,3|—1,6| —1,9,—1,6|—1,3|— 1,6 —1,4 11 |-18-9,4-18-1,4-1,2-09-07-07-12-41,5-18-1,4-1,4-17-14 12! 21,6-23,7 1,3 —1,2|—1,0|-—0,7 —0,6|—0,5 —1,2—1,2| 1,3 —1,3/--1,4 14/2139 Amplit. 3,0 | 3,3 | 2,3 | 2,2 | 1,8 | 14 181,8 2,0121 | 2,8 | 21 ۱ 2,8 | 24| 18 [ | | Aus dieser Tabelle folgt das überraschende Resultat, dass die tägliche Periode der Declinations-Störungen wie diejenige des normalen Gan- ges, wenn wir von kleinen, offenbar durch noch nicht ausgeglichene verein- zelte grössere Störungen veranlassten Unregelmässigkeiten absehen, eine einfache und gleichartige in allen Jahren ist 4. В. auch wieder wie jene sich nur durch die grössere Amplitude іп den Jahren um die Maxima der Sonnenflecken der Zeit nach unterscheidet. Das Maximum der negativen Stórungen tritt durchweg zwischen 10^ und 11^ p. ein und das Maximum der positiven, schwächeren und daher auch etwas unbestimmteren zwischen 8" und 9^a. ein. Die Amplitude beträgt im Mittel: 1^, 8 und variirt zwi- schen 1^ З und 3’, 3. Aus der Interferenz nun dieser beiderlei periodischen Bewegungen mit ihren variirenden Amplituden entsteht der scheinbar so complicirte täg- liche Gang, wie er sich im Mittel aller Tage in den verschiedenen Jahren dem Obigen gemäss darstellt. Allerdings ist dies zunächst nur für die Jahre 1870—85 nachgewiesen, da eben nur für diese Jahre der normale Gang Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 60. (ХХХШ)] NORMALER GANG UND STÖRUNGEN DER ERDMAGNETISCHEN DECLINATION. 167 abgeleitet ist, durch Analogie erscheint dies indessen auch für die früheren Jahre sehr wahrscheinlich. Ebenso glaube ich allgemein als Keen Ursache dieser täglichen Peri- ode der Declinations-Störungen die Nord-Süd-Componente der electrischen Ströme in der Erde bezeichnen zu müssen, obschon dem Obigen zufolge die Coincidenz der beiderlei Perioden zunächst nur durch einjährige Beobach- tungenin Pawlowsk nachgewiesen ist. Unterstützt wird dieser Schluss durch die von mir und Anderen ?) nachgewiesene Thatsache, dass die unregelmässi- gen Stórungen der Declination, insofern sie einen mehr stütigen Charakter aufweisen, einen vollständigen Parallelismus mit den Variationen der Nord- Süd-Componente der electrischen Potentialdifferenz in der Erde aufweisen. Normaler und gestörter täglicher Gang in den einzelnen Monaten. Betrachten wir zunächst an der Hand der Tabellen I—XII und der Ta- fel 1 der 2. Abhandlung des Herrn Müller den tüglichen Gang für die ein- zelnen Monate des Jahres je im Mittel aller 13 Jahre (1873 — 85) sowohl nach den Normal-Tagen als nach allen Tagen, so ist in allen Monaten mit grösserer Amplitude d. В. vom März bis October der normale Gang auch wieder ein einfacher, ein Maximum und ein Minimum, während der ge- stórte Gang mit Ausnahme des Juni— August, je zwei Maxima und zwei Minima aufweist. Das letztere findet sodann in den 4 Wintermonaten November — Februar sowohl für den normalen als gestórten Gang statt, indessen mit dem Unterschied für beide, dass das Hauptminimum beim normalen Gange (mit einziger Ausnahme des December) stets auf 9^ а. fällt, während beim gestörten Gange dies zum secundären wird und das Haupt- minimum um 10°—11” р. eintritt. Das Hauptmaximum sowohl des normalen als des кезеп Ganges ma- nifestirt sich in allen Monaten ohne Unterschied zwischen 17 und 2” p. und zwar näher an 9^. das Hauptminimum des normalen Gangestritt im Januar — Арт] und October— December (im letzten Monat das secundäre) um 9 а. ein, rückt im Mai und September auf 8" a., im Juni und August ungefähr auf 79 a. und im Juli auf 7^ a. vor. Es variirt also ausser der Grösse der Amplitude nur die Lage des Hauptminimums beim normalen Gange mit der Jahreszeit und zwar um 2 Stunden. 12) G. Biddel-Airy, Comparison of Magnetic Disturbances recorded by the Self-register- ing Magnetometers at Greenwich with Disturbances of Terrestrial Galvanie Currents etc. Philos. Transactions Vol. 158, Part. II, pag. 465, 1868 und Vol. 160, Part I, p. 215, 1870. — Wild, Terminsbeobachtungen der erdmagnetischen Elemente und Erdströme zu Pawlowsk etc. Mém. de Acad. Imp. des Sc. de St. Pétersb. ҮН S, XXXIII, Ж 5, S. 47, 1885. — von Ste- phan, Die Erdstrom-Aufzeichnungen in den deutschen Telegraphen-Leitungen; Sitzungsb. der Preuss. Akademie der Wissensch. XXXIX, 1 Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 61. 168 | Н. WILD, [N. 8. I Während sonach der normale Gang der Declination im Laufe des Jahres durch Verschiebung des Hauptminimums und durch Entstehung eines secun- dären Minimums und Maximums in den 4 Wintermonaten sowie durch Zu- nahme der Amplitude vom Winter zum Sommer eine Veränderung erleidet, bleibt er sich dagegen in aufeinanderfolgenden Jahren für denselben Monat in der Form je wieder gleich und àndert да nur die Amplitude und zwar wieder so, dass sie in den Jahren mit den Maxima der Sonnenflecken je am grössten ist. Ob das Hervortreten der secundären Maxima und Minima im normalen Gang wührend der Wintermonate etwa nur der geringen Ampli- tude der Hauptperiode in dieser Jahreszeit und ungenügender Eliminirung der Stórungen beizumessen sei, müssen weitere genauere Untersuchungen eruiren. Der gestórtetügliche Gang der Declination variirt dagegen sehr beträcht- lich nicht bloss mit der Jahreszeit, wie wir oben gesehenhaben, sondern auch für denselben Monat in aufeinanderfolgenden Jahren, wie dies besonders auch aus der mehrfach citirten Arbeit des Herrn J. Mielberg (S. 47, Tafel I) hervorgeht. Ob dieser complicirte gestórte tägliche Gang in den einzelnen Monaten entsprechend wie derjenige im Jahresmittel auch nur durch Inter- ferenz des normalen Ganges mit einem einfachen täglichen Gange der Stó- V. Normal-Monatsmittel der Declinati Melanges phys, et chim. 1. XIII, p. 62. 1870 1873 | 1874 | 1875 1876 1877 Januar... [2° 8,0, 2° 6,8 1046/4 1°45/1 1940/0) 1°39/7| 1984/6, 1984/1 1727/4, 127,0, 1°21;7 1921,4 1910) ES 13! —0,3 05° 1 = Februar.. 61, 5,8 45,4! 448! 382 38,9. 342]. 398) 26,8]. 262) 212 N —0,3 —0,6 —0,3 —0,4 0,1 —0, März... 6,2| 5,5) 45,8| 446) 39,6| (89, 82,9) 132,41 :96,31:::2537|::20,7: 20,7 ; en, AB —0,7 — 0,2] -05 —0,6] _ 0 Anel 752) "të 452) 448| зва 382 329 854 ۱۵۵ 26,1} 119,8 —0,3|. —0,5 --0,2 J +70,5 09 رن‎ sh MIO c. 51 5,0 460 44,8| 384 38,6 82,2 32,1 . 26,0] 26,1 19,5 x IUU ABOU Na tn од © : SE ате. Jani,....lr 51l 12 44,4 ғ 44,0], 37,6. 37:9 314 318) ‚26,0, 259 191 194 7-02 —0,4 0 +0,8 "^ —6,f ШЕШЕ EN ан...) 52.56) 1452) 42,9) 9378) 87,2) 30,5). 30,21 2551255 182, 186. | : 04 1-02 —0,6 — 60,8! 0,0 40,8 August;;. li 1,6) 0/7) 142,9): 298 86,9}, ; 36,5| | 30,8) 901-245) 943 18,7 186 7100 —0,4 -0,4. NU —3 _ 1 September] 17 10 424 422 365 36,1! 299 299 990 9560 186 —0,7 —0,2| 04/17 0, - | October... 23| 96 423 415 350 346 292 291 289 284 17,9 176 à +0,3 0 --0,4| -02, 1.1/0 November | 29 24 409 403 349 545 282 280 23,0 22.8) 18,1. . 7 i | —6,5| — 0,6! --0,4! —03 —0,2 SCH December LU 00| 41,1! 405|' 842)“ 341! 27, 274| 224 218 170 to ЛЕТОВЕ их өлі —ы —0,6 i Geet —0,1| --0,6| Ee | | : : o Jahr..... |99 49) 8,7 1043,8) 48,2 19974. 37,1 19812 20,9 192511 24,9 1919,2 1911 ай ақш —0,5 +06 etus رز‎ шеді озо | —0,2 —0,1| | (ХХХШ)] NORMALER GANG UND STÖRUNGEN DER ERDMAGNETISCHEN DECLINATION. 169. rungen entsteht, lässt sich vor der Hand nicht entscheiden, da auf den täg- lichen Gang eines einzelnen Monats die nicht compensirten unregelmässigen Stórungen noch einen zu grossen Einfluss ausüben. Absoluter Einfluss der Stórungen. Nach Feststellung des normalen Ganges und damit auch Dessen, was wir als Störung aufzufassen haben, lässt sich jetzt auch der Einfluss der Störungen auf die absoluten Werthe der Declination zahlengemäss angeben. Zur Demonstration dessen stelle ich in der folgenden Tafel V die absoluten Beträge der Monatsmittel der Declination zusammen wie sie einerseits aus den, auf die Mitte des Monats reducirten Normal-Tagen folgen und andererseits aus allen Tagen ohne Ausschluss der Stórungen sich ergeben. Strenggenommen müssten an diesen Zahlen, um die absoluten Werthe der aufeinanderfolgenden Jahre vergleichbar zu machen, wegen Verschiedenheit der benutzten Instrumente und Loealitäten noch fol- gende Correctionen angebracht werden: 1? an allen Daten für 1870—1877 die Correction — 6/16. 2° an den Daten von 1878 bis 31. Mai 1883 die Correction — 0,313). Ев ist dies hier unterlassen worden, da dieselben auf die Differenzen der beiderlei Werthe, die uns hier allein interessiren, nicht influiren. 13) Siehe die erwähnte 2. Abhandlung des Herrn Müller. smittel der Declination aus allen Tagen. 1551 1882 | 1883 1585 | міне , opal , о: Lol rr oo p [2 дал” 59,4 0°54,6' 54,0 09490. 48,5 0°48,5 48,2 0934,2 --0,6 — 0,5 " R —0, ) ЕЗ А | ( 595. 627 49,1 482 45,5 425” 8417 38,7 m | 5160] ` rh | E 53,3 528 488 481 432 42,9 34,2 | 9,5: —0,7 | —0,9| 598 598 47,7 47,5) 43,1 428. 33,5 Hino 02012104009 3:902 SE 52,6 оя 468 471 499 ^ ‚38,8 | 0, H у | E 593 524 466 467. 422 5 32,4 0,1 Г 9 ав ۱ 9 ri ($ 521 518 469 469 420 42,0 320” 0,2 и гр 0,0 A a 51,7 ыд 46,2) 461 412 41,5 82,4 - LE —0 Tio f tt Kë E 50,5 503 464], ЯБЫ, 40412404 - 320 0, | a - ? : : 50,3! 500 451 448 402 396 81,4 | —0,3 —0,8 | — 0,6 mr 497| 49,1 446 42,5| 39,4! 9 818 0661г 2 0,5 E 494 487! 486 431 391 7 80,9 0,7) 11-95 A | 519 516 467 462 417 415 32,7 wg --0,4 -0,2 Mélanges phys. et chim. Т. XIII, p. 63. 170 H. WILD, [х. 8.1 Aus dieser Tabelle folgt, dass die Störungen überwiegend negative d.h. den Nordpol der Nadel nach Ost ablenkende sind; der mittlere Werth der- selben im ganzen Zeitraum betrügt — 0,26; um die Jahre der Maxima der Sonnenflecken erscheint er etwas betrüchtlicher als zur Zeit der Minima derselben. Auffallender ist die jährliche Periode des mittleren Stórungswer- thes, indem er im Winter — 0/5 erreicht und im Juli nahezu auf 0 her- untersinkt. Ja wir ersehen aus den Einzeldaten, dass sogar im Sommer háufig die positiven Stórungen im Monatsmittel überwiegen, wührend dies im Winter nie vorkommt. Das Maximum der negativen Stórungen im Mo- natsmittel wurde im November 1882 erreicht, nämlich: — 2/1. Die Resultate dieser Untersuchung sind also kurz zusammengefasst folgende: 19. Der nach meiner Methode aus den sogen. Normaltagen abgeleitete tägliche Gang der Declination darf als der wirklich normale 4. h. von Stó- rungen befreite betrachtet werden. 2?. Dieser normale tügliche Gang der Declination ist im Jahresmittel stets ein einfacher und іп der Form übereinstimmender nämlich mit einem Minimum etwas nach 8” a. und einem Maximum etwas vor 2^ p. In auf- einanderfolgenden Jahren variirt nur die Amplitude dieser periodischen Schwankung und zwar in der Art, dass sie zur Zeit der Maxima der боп- nenflecken ihren hóchsten und zur Zeit der Minima derselben ihren kleinsten Betrag erreicht. 3?. Die Stórungen der Declination befolgen in ihrer algebraischen Summe ebenfalls eine tägliche Periode, welche im Jahresmittel stets auch eine einfache und ш der Form übereinstimmende ist, nümlich mit einem Maximum der negativen Störungen zwischen 10 und 11^ p. und einem Ma- _ ximum der schwachen positiven zwischen 8" und 9" a. Diese Periode scheint dem täglichen Gange der Nord-Süd-Componente der electrischen Ströme in der Erde zu entsprechen. In aufeinanderfolgenden Jahren variirt im ` Wesentlichen auch wieder bloss die Amplitude dieser Tagesperiode und zwar analog mit einem hóheren Betrag zur Zeit der Maxima der Sonnenflecken und dem kleinsten zur Zeit der Minima derselben. ` 4°, Aus der Interferenz dieser beiderlei einfachen Tagesperioden für den normalen Gang und die Stórungen ergiebt sich dann der bekannte, in Form und Amplitude im Laufe der Jahre so bedeutend variirende, aus allen Tagen, also mit Einschluss der Störungen, abgeleitete tägliche Gang der Declination. 5^. In den einzelnen Monaten des Jahres erscheint der normale tägliche Gang der Declination weniger einfach und übereinstimmend, indem in den 4 Wintermonaten November bis Februar bei ihm auch secundüre Maxima und Minima auftreten und das Hauptminimum im Laufe des Jahres in sei- Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 64. | (ХХХШ)] NORMALER GANG UND STÖRUNGEN DER ERDMAGNETISCHEN DECLINATION. 171 ner Lage zwischen 7” a. im Juli und 9" a. inden genannten Wintermonaten sich verschiebt. In aufeinanderfolgenden Jahren aber variiren für denselben Monat auch wieder nur die Amplituden dieses täglichen Ganges und zwar ebenfalls conform der Zahl der Sonnenflecken. Zur Feststellung des tüglichen Ganges der Störungen in den einzelnen Monaten ist das vorliegende Material nicht ausreichend gewesen, so dass entsprechende Schlüsse wie oben sub 3° und 4^ hier noch nicht mit Sicherheit zu ziehen sind. 6°. Im Sommer compensiren sich nahezu die positiven und negativen Störungen der Declination, während im Winter die negativen überwiegen; ebenso compensiren sich im Jahresmittel die beiderlei Störungen nahezu zur Zeit der Minima der Sonnenflecken und in den Jahren ihrer höchsten Zahl präponderiren wieder die negativen Störungen. Aus diesen Resultaten lassen sich nun über die Ursachen der Declina- tions-Variation einige weitere interessante Schlüsse ziehen. Erstlich weist die Verschiedenheit der beiderlei Perioden darauf hin, dass die Ursache des normalen täglichen Ganges eine andere sein muss als die der Störungen. Als nächste Ursache sowohl der unregelmässigen als pe- riodisch wiederkehrenden Störungen der Declination haben wir aber die Erdstróme erkannt, folglich ist die normale Variation der Declination nicht auf Erdströme zurückzuführen. Aus der Thatsache aber, dass die Amplituden der beiderlei Perioden in analoger Weise vom Maximum der Sonnenflecken zu deren Minimum аһ- und dann wieder zunehmen, folgt, dass die Ursachen sowohl des normalen Ganges als der Störungen ihrem Effecte nach von der Energie der Processe auf der Sonne abhängen, sei es nun dass sich diese als Wärme oder Licht oder Electricität geltend machen. Da die Erdstróme entsprechend den Stórungen, deren nüchste Ursache sie sind, bekanntlich auch mit der Fleckenzahl auf der Sonne an Stärke ab- und zunehmen, so frägt sich jetzt nur noch, in welcher Weise die Sonne auf die Erdströme und weiterhin auf die noch unbekannte nächste Ursache der normalen Variationen einwirkt. Meine Ansichten hierüber habe ich bereits am Schlusse meiner mehrfach erwähnten Arbeit «Terminsbeobachtungen der erdmagnetischen Elemente und Erdströme in Pawlowsk etc.» kurz dar- gelegt. Sie weiter zu entwickeln resp. auch nach den neuen, hier gewon- ` nenen Gesichtspunkten zu modifieiren, halte ich augenblicklich nieht für gerathen. Es wird dies mit mehr Erfolg dann geschehen können, wenn eine entsprechende Untersuchung über das Verhalten der Horizontal- und Vertikal-Intensität erfolgt sein wird, wie ich sie hier für die Declination ausgeführt habe. Hiezu sind aber noch einige zeitraubendere Vorarbeiten nöthig. Melanges phys. et chim. T. XIII, p. 65 12 172 Н. WILD, NORMALER GANG UND STÖRUNGEN U. S. W. [х. S. t Inzwischen hielt ich es Angesichts einiger unerwarteter wichtiger Re- sultate, zu welchen schon jetzt die neue Definition der normalen Variation und damit auch der Stórungen geführt hat, für geboten, bereits die über die Declination gemachte Untersuchung zu veróffentlichen, da nach dem Erfolg dieser Probe Viele mit mir vielleicht für gut эш жени DN jetzt bei den regelmässigen Bearbeitungen der Magnet gen auch die wenig Zeit in Anspruch nehmende Berbehinitig desnormalen Ganges nach Normal-Tagen gemäss meiner Definition solcher ausführen zu lassen. Im Ob- servatorium in Pawlowsk wenigstens wird von 1889 an die Bearbeitung der Magnetographen-Registrirungen in dieser Weise vervollständigt werden. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 66. (хххш)] 173 Sur l'énergie de l'oxydation du Rubidium. (27% article). Par М. ۴ (Lu le 14 fevrier 1889.) Dans mon dernier article sur l'énergie des combinaisons j'ai eu l'honneur de présenter à l'académie 1а description d'une nouvelle méthode d'obtenir les métaux alcalins, que j'ai appliquée à la préparation du Rubidium métallique. Ayant ainsi à ma disposition une certaine quantité de-métal (plus de 30 gr. ), ]е ше suis ргорозё d'exécuter une série d'expériences thermochimiques pour déterminer 1) la chaleur de formation de hydrate par l’action du métal sur l'eau et 2) la chaleur de formation de l'oxyde anhydre Rb,O, au moyen de 1а réaction de cet oxyde sur l'eau. La détermination du premier terme ne présentait pas de grande diffi- 60106 — il s'agissait seulement de préserver le métal autant que possible de l'humidité et de l’oxygène de l'air — puisque le Rubidium métallique est beaucoup plus oxydable que le Sodium et le Potassium et il prend trés faeilement feu, quand on le manie sans précaution. А cet effet je renfermai le métal dans un tube en verre, que je remplissai par aspiration. On obtient ainsi une colonne de métal parfaitement pur et brillant; connaissant le dia- mètre du tube et le poids spécifique du Rubidium on pouvait calculer la longeur de la colonne qui correspondait à un certain poids, nécessaire pour l'expérience. Pour exécuter l'expérience de Paction du métal sur Pen) on faisait deux traits de lime sur le tube à Rubidium à une distance telle, que le poids - du métal contenu entre ces traits soit à peu pres ce qui est nécessaire pour la bonne réussite de l'expérience, c’est-à-dire, qu'il puisse élever l'eau du calorimètre de deux ou de trois degrés, puisque par analogie on pouvait s'attendre à un développement de chaleur par équivalent très bein: de celui du Potassium et des autres métaux alcalins. Après que toutes les pieces du calorimètre étaient ajustées à мш өше et Та lecture du thermométre placé dans l'eau du calorimétre effectuée on coupait brusquement le tube sur les endroits marqués à la lime et on intro- duisait rapidement le morceau du tube avec le Rubidium dans un autre tube en toile métallique et on plongeait à l'instant tout le systeme dans l'eau. — Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 67. 12* 174 Х. ВЕКЕТОРЕ, [№ 8,1 Par cet artifice on prévient l’oxydation du métal, qui ne présente qu'une trés petite surface à l'influence de l'air et en méme temps on modérait la réaction entre l'eau, en la rendant plus lente. De cette maniére la réaction se produit assez régulièrement et dure environ dix minutes. Plusieurs expé- riences concordantes m'ont donné le résultat moyen suivant: Rb, + 2H,0 + аа = 270 + aq + Н, = + 96400 c. C'est la quantité de calories, dégagées par la réaction du métal sur l'eau avec dégagement d'hydrogéne et formation de deux molécules d'hy- drate d'oxyde de Rubidium dissous; en ajoutant à ce nombre celui de la forma- tion d'une molécule d'eau décomposé pendant la réaction = -н 68400 et qui a dü diminuer d'autant la chaleur dégagée on obtient une somme de + 164800, représentant la chaleur de formation de oxyde hydraté dissous par l’oxygene, le métal et l'eau: ВЪ., О, H,O ад = 27^ 0 + ад. Cette quantité de chaleur est presque égale et un peu plus forte que celle du Potassium, comme on pouvait s'attendre d’après la ressemblance des deux métaux, Il s'agissait maintenant d'obtenir oxyde. anhydre du Rubi- dium et de déterminer la chaleur de son hydratation pour connaitre la cha- leur d'oxydation du Rubidium, c'est-à-dire la formation de Рохуде Rb,O par les éléments. La plus grande difficulté c'était de préparer cet oxyde, parce que le Rubidium a une tendance encore plus grande que le Potas- sium à se péroxyder et le péroxyde une fois formé est tres difficile à décom- poser — il oxyde à une témperature rouge la plupart des métaux — non seulement l'argent, mais méme l'or. La seule méthode qui m'a réussi est | la méme, que pour Гохуде de Potassium — c’est-à-dire la calcination du mélange de différents degrés d'oyxdation du Rubidium. dans une capsule d'argent avec le métal en excés. Quant au mélange oxydé je l'obtiens dans un petit ballon en verre, ou je fais couler le métal liquide et j'en enduis les ` parois. On fait passer lentement un courant d'air parfaitement pur et sec dans се ballon et on chauffe légèrement pour que l'oxydation commence, parce que dans l'air sec et à la température ordinaire le métal reste brillant, mais déjà à 50° il se recouvre d'une pellicule presque noire de sous-oxyde — Бі le courant d'air continue ce sous-oxyde passe rapidement à un plus haut degré d'oxydation, mais ne s'arréte jamais à l'oxyde Rb,O — il se forme toujours du péroxyde — probablement Rb,O,. — Pour éviter la formation de ce péroxyde en grande quantité j'ai pensé qu'il serait utile d'élever la tem- pérature du ballon — afin de volatiliser le Rubidium, dont les vapeurs pour- raient réduire le péroxyde formé — mais cependant je n'ai pu réussir jamais à obtenir une masse homogene d'oxyde Rb,O, quoique l'opération était tou- Mélanges phys, et chim. T. XIII, p. 68. (хххШ) | SUR L'ÉNERGIE DE L'OXYDATION DU ۰ 175 jours arrétée, quand l'augmentation du poids du ballon avec le Rubidium atteignait juste la quantité d’oxygene absorbé nécessaire à la formation de l'oxyde Rb,O. On obtient toujours des mélanges, d'oxydes supérieurs avec du métal non oxydé et du sous-oxyde. On transvase ce mélange dans une capsule d'argent, ой on fait passer un courant d'azote, puisque sans cette précaution le mélange prend feu et se transforme en péroxyde, qui demande une trés grande quantité de métal pour être réduit Rb,O, + Rb, = 4Rb,0. Le mélange d'oxydes, auquel on ajoute un peu de métal est calciné et de cette manière on obtient enfin un oxyde pur de la composition de Rb,0, qui ne dégage aucun gaz avec l'eau. L'hydratation de cet oxyde m'a fourni le nombre 69900 ou presque 70000, beaucoup plus fort, que pour Poxyde de Potassium, c'est ce que javais prévu; en soustrayant ce nombre de la chaleur de formation de Рћудгаје + 164800 nous obtenons le nombre 94900 pour la réaction Rb, + О = Rb,O, produisant l'oxydre anhydre; il est plus bas, que celui de l'oxydation du Potassium — c'est ce que j'ai cherché à démontrer. La chaleur d'oxydation des métaux alcalins suit donc une marche décroissante depuis le Lithium — j'usqu'au Rubidium. Melanges phys. et chim Т, XIII, p. 69. балын "а MA айғыз ЕТ ны Hs Fe aig о de dini: эш. x әр ug mm өшер do. Ess مرن‎ сива Ee (хххш)] 177 Über die abnorme Wirkung einiger Curare-Sorten. Von Dr. A. F eoktistow. (Lu le 28 février 1889.) Es ist allgemein bekannt, dass grössere Dosen Curare in das Blutgefäss- system injieirt, bei Warm- und Kaltblütern ihre Wirkungen nicht mehr auf die Nervenendigungen in den willkürlichen Muskeln beschränken, wie es bei Injectionen von kleinen Dosen der Fall ist, sondern dass die lähmende Wir- kung des Curare sich auch auf andere Theile des Nervensystems ausdehnt. Es ist 2. В. bekannt, dass grössere Curare-Mengen auch den nervus vagus, splanchnicus und oculomotorius lähmen. Von diesen drei Nerven wird aber vor allem und am häufigsten der n. vagus gelähmt. Diese letztere Eigen- ‚schaft wusste bereits Cl, Bernard und wurde auf dieselbe auch von Kölli- ker, Bezold, Heidenhain und Bidder hingewiesen, Böhm zeigte, dass bei solcher Vaguslähmung die : Reizung des peripheren Stumpfes dieses Nervens mittelst des. Inductionsstromes zur Blutdrucksteigerung und Puls- beschleunigung durch Reizung der іш Vagus verlaufenden ungelähmten accelerirenden Nerven-Fasern führt. Es ist fernerhin bekannt, dass die Intensität der vaguslähmenden Wirkung des Curare bei verschiedenen Sorten -desselben- eine verschiedene ist... Es ist also im Grunde genommen nichts -neues,. wenn. ich mir erlaube es mitzutheilen, dass ich ‚neulich. bei der Untersuchung von drei Curare-Sorten gefunden habe, dass alle drei die -erwähnte Lähmung der Vagusendigungen im Herzen hervorrufen. Es hat dieser Befund nur in sofern eine grosse Bedeutung, als dass ich.auf Curare- Sorten stiess,- welche nicht in grossen, sondern in kleinen Dosen diese Vaguslühmung hervorbrachten. Dosen, welche gerade genügten das Thier zu «immobilisiren», làhmten bereits den Vagus, was bis jetzt, wie es scheint, nicht beobachtet worden ist. Die vasomotorischen Reflexe blieben normal, - der Blutdruck war aber etwas RENE als ег giele unter gleichen Bedingungen ist. Ев ist auffallend, dass der Vagus der Hunde ett Kaninchen nur уог- übergehend gelähmt wurde, hingegen der Vagus: der Katzen sich als sehr ` empfindlich erwies, so dass selbst nach А Stunden fortgesetzter künst- Mélanges biologiques. T. XIII, p. 83. 178 DR. А. FEOKTISTOW, [N. 8.1 licher Respiration seine Functionsfähigkeit nicht wiederhergestellt wurde. Höchst wahrscheinlich ist diese Erscheinung dadurch zu erklären, dass der vaguslähmende Stoff bei den Hunden und bei den Kaninchen schneller als bei den Katzen ausgeschieden wurde. Die eine von mir untersuchte Sorte des Curare wurde vor einigen Jah- ren, die andere im Jahre 1887 von Merck bezogen. Die dritte Sorte hatte vor vielen Jahren Herr Prof. Owsjannikow von Cl. Bernard persönlich mitgebracht. Ich benutzte zu meinen Versuchen ganz frisch bereitete 1— 2°/,-ige Lösungen dieser drei Curare-Sorten, indem ich Katzen und kleineren Hunden 5—10 Migrm., Kaninchen 2—3 Migrm. (trockener Sub- stanz) intravenös injicirte. Wenn das Curare von Merck von vornherein eine den Vagus lähmende Wirkung besitzen könnte, so ist es von dem Curare von Cl. Bernard kaum anzunehmen. Es ist vielmehr möglich, dass im Laufe von Jahren eine Veründerung in der chemischen Zusammensetzung dieses Giftgemenges ein- getreten ist, und zwar trotz der Aufbewahrung im trockenen Zustande. Schulz erwühnt z. B. ausdrücklich, dass einige Curare-Sorten, welche vor einem Jahr noch sich gut und kräftig zeigten, nach Ablauf dieser Zeit ihre Eigenschaften zum Theil oder ganz einbüssen kónnen. Ferner zeigt zerrie- benes Curare unter dem Mikroskop hier und da Gruppen von prismatischen und nadelfórmigen Krystallen, deren Menge mit dem Alter des Präparates zunimmt. Dieses allein zeigt, dass in dem complicirten Giftgemenge, wel- ches wir Curare nennen, eine chemische Veründerung vor sich geht und zwar selbst in dem im trockenen Zustande aufbewahrten. Es zeigt in der letzten Zeit die Erfahrung zur Genüge, dass das Curare im Handel ungeheuer oft verfälscht oder schlecht bereitet vorkommt. Bald bekommt man ganz unwirksame oder schwach wirkende Sorten, Sorten, die die stärksten Krämpfe hervorrufen etċ., endlich Sorten, wie die von mir untersuchten, welche in kleinen Mengen injicirt, die Vagusenden im Herzen lähmen und das Präparat wenigstens zu gewissen Zwecken unbrauchbar machen. Noch schlimmer wäre es aber, wenn ein solches Präparat den Ex- perimentator irre führen sollte, was namentlich bei solchen toxikologisch- physiologischen Untersüchungen leicht der Fall sein könnte, wo von einem zu untersuchenden Gifte gerade Vaguslühmung erwartet wird. — Ев ist deshalb durchaus zu empfehlen, jedes ‘Curare auf seine Eigenschaften von Zeit zu Zeit genau zu prüfen, bevor man zu den eigentlichen Ехрегі- menten unter Zuhülfenahme desselben übergeht. Da aber die Unzuver- lässigkeit des im Handel vorkommenden Curare immer zunimmt, so ist es die höchste Zeit, der Fabrikation desselben einige ИРИ zu schenken. Melanges نموت‎ T. BI p. вы” (хххш) | ÜBER DIE ABNORME WIRKUNG EINIGER CURARE-SORTEN. 179 Bekanntlich bekommen die Droguenhandlungen das Curare von Brasilien aus eingeführt, woselbst es von den im Norden des Landes wohnenden Indianerstämmen fabricirt und verkauft wird. Ebenso wird es von den Indianern des Orinokogebietes und von denen des British Guyana bereitet und in den Handel gebracht. Nun wird aber in Süd-Amerika selbst das Curare verschiedener Bereitung verschieden geschätzt, in Europa aber alle Sorten unter einer Benennung und zu gleichem Preise verkauft. — Deshalb \аге es sehr wünschenswerth, dem Vorschlage Schulz's zu folgen und die Rohstoffe selbst, welche zur Bereitung des Curare dienen, direkt auf den Markt zu bringen und erst in Europa zu bearbeiten. Es ist das mm so viel wün- schenswerther, als bereits Appun gefunden hatte, dass der gehórig aus- gekochte Saft der Rinde der zur Curare-Darstellung verwandten Strychnos- arten allein hinreicht, um ein Curare von derselben Wirkung herzustellen, wie das von den Indianern bereitete. Couty und Lacerda erhielten auch einen Curare-ühnlichen Stoff aus der Strychnos triplinervia, welcher Stoff aber doch nicht die nóthige Intensitit und Reinheit der echten Curare- wirkung zeigte. Es würe daher wünschenswerth, alle Ingredientien, die den Indianern zur Bereitung des Curare dienen, zu prüfen. Als solche sind uns Strychnos toxifera, Str. cogens, Str. Schomburgküi, Str. triplinervia, Str. guyanensis, Str. Castelnaeana, Str. Gubleri, Str. Crevauxii, Str. hirsuta, Str. nigricans, Str. rubiginosa, ferner Paullinia Cururu (Curara), Cocculus Inème, Rouha- mon guyanensis, Burmannia bicolor, Ficus atrox, Manihot utilissima etc. bekannt. — Es unterliegt keinem Zweifel, dass zur Erzielung der Curare- wirkung ein Gemenge aller dieser Ingredientien garnicht nóthig ist, sondern dass eine oder wenige von den genannten Pflanzen das gewünschte Extract in wirksamer Form liefern würden. Es werden auch alle diese Pflanzen nicht von einem und demselben Indianerstamme benutzt, sondern von verschie- denen mehrere der verschiedenen genannten Pflanzen. Es ist ferner sicher, dass die Beimischung von Schlangengift (oder wenigstens von Schlangen- zähnen) zum Curare von keiner Bedeutung sein kann, da erstens alle Rei- senden ete. behaupten, dass letztere Substanzen dem Curare vor, oder während des Abkochens beigemengt werden und folglich durch die Hitze zerstórt sein müssen; zweitens aber habe ich bei dem Schlangengifte keine Curarewirkung gefunden, allerdings aber eine vaguslähmende Wirkung, die aber beim Kochen von Schlangengiftlósungen verloren geht. Vor Jahren hat die Firma Merck das sogenannte Curarinum sulfuricum in den Handel gebracht, welches sich aber als eine unconstante und unzu- verlässige Substanz erwiesen hat. In nächster Zeit wird dieselbe Firma eine constante chemische Verbindung — das Methylcurinhydrozyd — in Mélanges biologiques, T. XIII, p. 85. 180 DR. А. FEOKTISTOW, ÜBER DIE ABNORME WIRKUNG U. S. ۰ [ви den Handel bringen, welche die Endigungen der motorischen Nerven in gleicher Weise wie das Curare lähmen soll. Die Zukunft wird. zeigen, ob es gelingen wird, das Curare durch das Methyleurinhydroxyd definitiv zu ersetzen. D Melanges biologiques. Т. XIII, р. 86. (ХХХШ) | WS 181 Über einige im europäischen Russland und in Sibirien vorkommende Arten von Regenwürmern. Von Nicolaus Kulagin, Assistent am Zoologi- schen Museum der Moskauer Universität. (Lu le 24 mai 1888). Dank der freundlichen Zustimmung des Herrn Akademikers A. Strauch, ‚Direktors des Zoologischen Museums der Kaiserlichen Akademie der Wis- senschaften, war mir die Möglichkeit geboten, die dem genannten Museum gehörende Sammlung von Regenwürmern in systematischer Hinsicht zu bear- beiten. Diese Sammlung besteht ausschliesslich: aus solchen Formen von Lum- briciden, welche im Norden des europäischen Russlands und in verschiede- · nen Orten Sibiriens gefunden зша. Zu meiner Verfügung standen 98 Exem- "рате, welche 7 verschiedenen Arten angehören, von denen aber 2, wie man später sehen wird, eingezogen werden müssen. Zugleich konnte ich auch die Originalexemplare zu den von Gerstfeldt und Prof. Grube beschriebenen neuen Species aus Sibirien (Lumbricus brevispinus und L. triannularis) unter- suchen. | ‚Die systematischen Arbeiten über die nordischen Arten von Regenwür- ‚mern sind nicht zahlreich: Von den: Reisenden des vergangenen Jahrhun- derts, welche Sibirien besucht haben, erwähnen Georgi!) und Falk?) für Si- birien nur einer Species, des Lumbricus terrestris L., beschränken sich aber -bloss auf Angabe des lateinischen Namens, ohne zu erwähnen, wo die Art von ihnen gefunden worden ist. Der Erstere giebt nur zwei in Sibirien ge- bräuchliche indigene Namen, aber. keinen Fundort an, und der Letztere bemerkt, dass Lumbricus terrestris in Sibirien: «ueberal in mulmiger Erde» -zu finden ist. Ausser in Sibirien wird Lumbricus terrestris im vergangenen „Jahrhundert noch von Mohr з) als auf Island und von Fabric ius‘) als in Grönland vorkommend erwähnt. 1) Bemerkungen einer Reise im Russischen Reiche im Jahre 1772. St. Petersb. 1773, p. 193. 2) Beiträge zur topographischen Kenntniss des Russischen Reichs, St. Petersb. 1786, III 447. 3) Mohr. Forsög til еп Islandsk Naturhistorie. Kjóbenhayn 1786, p. 113. 4) Fabricius. Fauna Groenlandica. Melanges biologiques, T. XIII, p. 87. 182 NICOLAUS KULAGIN, ÜBER EINIGE IM EUROPÄISCHEN RUSSLAND ۰ S. I In diesem Jahrhundert führt Prof. Leuckart?) in seiner Beschreibung der isländischen Fauna noch eine neue, dort vorkommende Species der Fam. Lumbricidae, den Lumbricus flaviventris, auf. Die Merkmale, welche der Autor zur Charakteristik dieser Species benutzt, scheinen mir nicht wesentlich genug, um auf sie eine neue Species zu begründen. Er schreibt nämlich, dass «der Körper cylindrisch ist, nach hinten etwas abgeplattet. Das Kopf- ende von kolbiger Gestalt und nach vorn ein wenig verengt... Was aber unsere Art besonders auszeichnet, ist die Stellung der Borsten, die nicht paarweise an den Seiten des Rückens und Bauches vereinigt sind, wie sonst gewóhnlich, sondern einzeln stehen. Statt zwei Reihen von Borstenpaaren finden sich jederseits vier Reihen einzelner Borsten». Ferner werden als Unterschiede zwischen Lumbricus flaviventris und anderen Arten die Lage der Borsten auf dem ersten und zweiten Ringe, die Grósse und die Fárbung des Kórpers angegeben. Was das erste Merkmal betrifft — die Beschreibung der Kórperform und der Lippe, — so lässt sich dieselbe ohne allen Zwang auf mehrere andere Arten der Fam. Lumbricidae beziehen. Die Lage der Borsten ist allerdings ein wichtiges Merkmal, doch findet sich die ebenerwähnte Lage nicht nur bei Lumbricus flaviventris, sondern auch bei einigen anderen Arten, 2. В. bei Lumbricus puter Hoffm. und L. stagnalis Hoffm. Was die Anord- nung der Borsten auf dem ersten Ringe betrifft, so ist eine ausführliche Ве- schreibung derselben nur dann móglich, wenn Querschnitte angefertigt wor- den sind, und solche hat der Verfasser augenscheinlich nicht gemacht. End- lich sind die Grösse und die Färbung der Regenwürmer solche Merkmale, die sich mit dem Alter ändern. Desshalb scheint es mir, dass Lumbricus fla- viventris keine neue Species bildet, sondern nach Leuckart's Beschreibung dem Lumbricus puter Hoffm. (Dendrobaena Boeckii Eis. am nächsten steht, welcher letztere im Norden sowohl nach den Angaben von Eisen, als auch nach den mir zu Gebote stehenden Materialien weit verbreitet ist. Im Jahre 1851 hat Grube die Regenwürmer beschrieben, welche Mid- dendorff*) in Nord-und Ost-Sibirien gesammelt hat, und zwar werden folgende Species mit ausführlicher Beschreibung genannt: Lumbricus communis Hoffm., der in der Boganida gefunden worden ist. Nach der Lage des Clitellums, der Lippe und der Zahl der Ringe steht diese Species der Allolobophora mu- сова, die später von Eisen’) beschrieben worden ist, sehr nahe. Ferner wer- 5) Prof. Leuckart. Zur Kenntniss der Fauna von Island (Archiv für Naturg. 1849, p. 159—161). 6) Middendorff. Reise in den äussersten Norden und Osten Sibiriens. St. Petersb. 1851, Band II, T. I, p. 17—20. 2%. 4 ١ 7) Eisen. Om Skandinaviens Lumbricider (Öfversigt af Vetensk. Akadem. Förhandl. 1873, X 8( Toms Mélanges biologiques. T. XIIT, p. 88. (ххх) | UND IN SIBIRIEN VORKOMMENDE ARTEN VON REGENWÜRMERN. 183 den aus der Boganida zwei neue Species beschrieben: Lumbricus triannularis | und Zumbricus multispinus. In meiner ersten Notiz über die Fauna der rus- sischen Oligochaeta?) hielt ich diese beiden Species, nach der Beschreibung Grube's, für neu, fand aber in der akademischen Sammlung das Original- exemplar des Lumbricus triannularis, von dem ich später eine ausführliche Beschreibung geben werde, und will mich jetzt nur auf die Bemerkung һе- schränken, dass meiner Meinung nach diese Species ohne Zweifel zu Lum- bricus rubellus Hoffm. gerechnet werden muss. Alsdann erschien im Jahre 1858 Gerstfeldt/s?) Abhandlung, in welcher gleichfalls einige hierhergehórige Arten beschrieben sind, so Lumbricus com- munis Hoffm. ( Lumbricus anatomicus Duges), der bei Tomsk, іп der Umge- gend von Irkutsk, an der Luchna und am Amur gefunden worden und mit Allo- lobophora turgida Eis. identisch ist; ferner Lumbricus multispinus, der in den wichtigsten Merkmalen mit dem Lumbricus multispinus Grube übereinstimmt, und endlich noch eine neue am Amur gefundene Art, Lumbricus brevispinus. Nach genauer Untersuchung desjenigen Exemplars, auf welches Gerstfeldt's neue Art begründet ist, habe ich mich überzeugt, dass diese Species mit der überall in Nord- Europa und in Sibirien vorkommenden Allolobophora foetida Sav. identisch ist. Weiter unten, bei der пӛһегеп Beschreibung des Exem- plars, werde ich die Gründe auseinandersetzen, welche mich zu dieser Schluss- folgerung geführt haben. Was den von Grube beschriebenen Lumbricus multispinus betrifft, so muss man denselben nach der Zahl der Borsten und nach dem Fehlen des Lobus cephalicus für jetzt als eine selbstständige Species anerkennen. Die Regenwürmer des nördlichen europäischen Russlands sind von Prof. . Kessler) beschrieben worden, und zwar führt er für die Gouvernements St. Petersburg und Olonez zwei Arten auf, nämlich Lumbricus agricola Hoffm. ` und Lumbricus communis Hoffm., welcher letztere der Allolobophora turgida Eis. ähnlich ist. In neuester Zeit ist die Fauna der nordischen Lumbricidae hauptsächlich von dem schwedischen Zoologen Eisen in seinen Arbeiten: 1. Bidrag till Skandinaviens Oligochaetfauna 11), 2. Om några arktiska Oligochaeter '), 8) Н. Кулагинъ. Къ таунь шан встрЬчающихся въ Poccin. Труды ۰ ОтдЪл. Общ, Любит. Естест. т, 1-й 9) Gerstfeldt. Über einige zum Theil neue Arten Platoden, Anneliden, Myriapoden und Crustaceen Sibiriens. St. Petersburg. 1858, р. 8—10. 10) Матеріалы для познанія Онежскаго озера и Обонежскаго края, преимущественно въ зоолог. отношеніи. СПБ. 1 11) Öfversigt af eg Vetensk. Akad. Förhandl. Stockholm 1870, p. 953. 12) Ibid. 1872, № 1, p. 119. . Mélanges biologiques. Т. See р. 89. 184 NICOLAUS KULAGIN, ÜBER EINIGE IM EUROPÄISCHEN RUSSLAND ۰ 8:1 3. Om Skandinaviens Lumbricider 13), 4. Om New-Englands och Canadas Lumbricider'*) und 5. On Oligochaeta, collected during the Swedish exped.'*) behandelt worden. In der ersten Abhandlung beschreibt der Autor ausführ- lich die 8 in Schweden und Norwegen vorkommenden Species der Fam. Zum- bricidae und giebt eine synoptische Tabelle zu ihrer Bestimmung. Eine die- ser Arten — Zumbricus purpureus — wird vom Verfasser als neu aufgestellt, und für einige andere, namentlich Lumbricus communis, Lumbricus riparius und Lwmbricus tetraödrus, werden die auf der Skandinavischen Halbinsel vorkommenden Varietäten aufgezählt. In der zweiten Abhandlung beschreibt Eisen ziemlich ausführlich 3 Regenwurm-Arten von der Insel New-Found- land, namentlich: Zumbricus terrestris, Lumbricus rubellus und Lumbricus puter. Die dritte Arbeit ist wieder den skandinavischen Regenwürmern ge- widmet, und zwar theilt der Autor in derselben die besser bekannte Gat- tung Lumbricus in drei Genera: Lumbricus, Allolobophora und Dendrobaena und begründet ausserdem noch eine ganz neue Gattung Allurus. Aus der Gattung Allolobophora beschreibt er 3 neue Species: Allolobophora arborea, Allolobophora norvegica, Allolobophora subrubicunda. Die vierte Abhandlung bezieht sich auf Regenwürmer aus Canada, New-Foundland und dem Briti- schen Nord-Amerika; es werden darin zwei Arten Lumbricus und 6 Arten Allolobophora behandelt, von welchen letzteren die drei folgenden neu sind: Allolobophora twmida, Allolobophora tenuis und Allolobophora parva. Ausser- dem ist daselbst auch eine neue Gattung Tetragonus aufgestellt mit einer Art T. pupa aus Canada. Die Regenwürmer von N ordenskiöld’s Sibirischer Expedition S von Dr. Eisen in seiner fünften und letzten Arbeit beschrieben worden: darun- ter findet sich eine neue Art Allolobophora Nordenskiöldi, die von dem Ufer des Jenissej und von der Insel Waigatsch stammt, ferner eine andere Art, Allolobophora carnea, die bei Werchojansk (lat. 682457) und Wirogovo Selo (602507) vorkommt, und endlich Dendrobaena rubida, die zwischen Tomsk und Krasnojarsk (lat. 50?) im Dorfe Jurgotskoje (lat. 62250) und in Nowaja Semlja (lat. 732207) gefunden worden ist. Alle Untersuchungen von Eisen zeichnen sich überhaupt durch ausführ- liche, gewissenhafte Beschreibung des ihm zu Gebote stehenden Materials aus, dennoch kann ich demselben in der Bestimmung der von ihm als neu beschriebenen Arten nicht beistimmen. In der That, Eisen benutzt als cha- rakteristische Unterschiede der Arten die Anwesenheit der sogenannten «Tu- bercula pubertatis» auf dem einen oder dem anderen Segmente, ferner sehr 13) Ibid. 1873, № 8, р. нн 14) Ibid. 1874, № 2, р. 15) Kongl. Svenska Lë м Handl., Band 15, 1879. Melanges biologiques. Т. XIII, р. (хххш) | UND IN SIBIRIEN VORKOMMENDE ARTEN VON REGENWÜRMERN. 185 unbedeutende Verschiedenheiten in der Zahl der Clitellumsegmente (von 1 bis 3), alsdann die allgemeine Zahl der Segmente und endlich die Körperfär- bung. Bei meinen anatomischen und embryologischen Untersuchungen der Regenwürmer Moskau’s habe ich mich nämlich überzeugt, dass alle diese Merkmale sehr veränderlich sind, und dass deren Ausbildung oder Verküm- merung vom Alter des Regenwurms und von der Jahreszeit, in welcher er gefangen worden, — Desshalb sind is وید‎ Arten: Allolobophora subrubicunda, Allol a norwegica, All a tumida und Allolobophora parva hinsiehtlich ihrer artlichen Selbststündigkeit nicht über allen Zweifel erhaben. Die letzte Arbeit über die Fauna der nordischen Regenwürmer ist mein Referat über die im nordwestlichen Sibirien von N. Gondatti gesammel- ten Regenwürmer (gelesen in der Sitzung der Zoologischen Abtheilung der Gesellschaft der Freunde der Naturwissenschaft, Anthropologie und Ethno- graphie). N. Gondatti hat an den Flüssen Soswa und Ob drei Arten der in Rede stehenden Familie gefunden, nämlich: Zumbricus rubellus Hoffm., Allolobophora foetida Sav. und Allolobophora tenuis Eis. Die mir von dem Zoologischen Museum der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften zur Bearbeitung zugesandte Sammlung enthielt folgende Gattungen und Arten: I. Allolobophora foetida Sav. Syn. ? Enterion foetidum Sav., Cuvier, Hist. des Prog. d. Sc. Nat. T. 4, p. 14. Paris 1828. Lumbricus foetidus Dugès, Annal. 4. Scienc. Nat. Ser. IT, T. ҮШ, p. 17, 21, fig. 4. ? Enterion fimetorum Fitzinger. Beobacht. über die Lumbrici. Isis 1833, r 549—557. Lumbricus annularis Templeton, Ann. Mag. nat. hist. IX, 1836, p. 233. olidus Hoffmeister. Die bis jetzt bek. Art. а. d. Fam. 4. Regenw., p. 32, fig, 5. Alolobophora foetida Eisen. Öfvers. af Копа]. Vetensk, Akad. Förhandl. 1873, № 8, р. 50—51, fig. 3u. 4. Von dieser Art habe ich Exemplare von;folgenden Fundorten untersucht: 8 Exemplare aus Werchojansk von Baron E. Toll in Mai 1885 gefun- den. Der Kopflappen ist bei einigen Formen von dem ersten Ringe scharf abgesondert, bei anderen mit ihm verschmolzen. Die Rückenseite des 9-ten, 10-ten und 11-ten Ringes ist breiter als bei allen anderen. Vom 9-ten ansind die Rückenporen deutlich sichtbar, eine Andeutung derselben ist zuweilen schon vom 6-ten an bemerkbar. Die Vulva ist deutlich oder wenig sichtbar; das Clitellum reicht vom 26-sten, oder 27-sten bis zum 33-sten; der erste Ring zeichnet sich mehr oder minder von den anderen aus. Vom 15-ten bis zum 26-sten Ringe findet sich zuweilen an jeder Seite eine Leiste. Die Gesammtzahl der Ringe schwankt zwischen 81 und 109. Die Totallünge beträgt 5—8,8mm. Mélanges biologiques. T. XIII, p. 91. 186 NICOLAUS KULAGIN, ÜBER EINIGE IM EUROPÄISCHEN RUSSLAND [N. 8:1 3 Exemplare von der Insel Spitzbergen, wahrscheinlich von Akad. С. E. von Baer's Expedition. Zwei davon ohne Clitellum, das dritte besitzt ein Clitellum, das vom 27-sten bis zum 33-sten Ringe reicht. Alle Exemplare sind schlecht erhalten, was deren ausführliche Beschreibung unmöglich macht. 2 Exemplare vom Flusse Jenissej von Fr. Schmidt gesammelt. Das eine mit Clitellum vom 26-sten bis zum 32-sten Ringe: die Clitellumringe - : sind deutlich gesondert. Die Vulva fehlt. Die Länge beträgt 7,7 mm.; die Ge- sammtzahl der Ringe beläuft sich auf 113. Das andere Exemplar ist klein und ohne Clitellum. Beide stehen der Fürbung nach der von mir aus dem Moskauer Gouvernement beschriebenen Varietüt von Allolobophora foetida Sav. sehr nahe (5), 2 Exemplare aus Padun am Baikal-See von Czekanowsky gesam- melt. Das Clitellum reicht vom. 26-sten bis zum 33-sten Ringe und vom 15-ten bis zum 27-sten findet sich auf jeder Seite eine Leiste. Ringelzahl 130 —138. Länge 7—8 mm. Das eine Exemplar ist dunkel gefärbt. ] Exemplar aus Port-Ajan am Ochotskischen Meere von Wosnes- sensky 1846 gesammelt, leider schlecht erhalten. Das Clitellum reicht vom 25-sten bis zum 32-sten Ringe; die Vulva ist nicht deutlich. 2 Exemplare aus Bolschoje Simowje von Dr. Bunge am 17./29. Juli gesammelt. Das Clitellum erstreckt sich bei beiden vom 27-sten bis zum 39-sten Segment, die Gesammtzahl der Segmente ist 96, die Länge 5,5 mm. II. Allolobophora tenuis Eis. Eisen. Öfvers. af Kongl. Vetensk. Akad. Förhandl. 1874, № 2, p. 44—45, fig. Syn. Allolobophora arborea (?) Eisen. Ude. Zeitschrift f. wiss. oou. Bd. ЖАН В 138—134. In der Sammlung sind zwei Exemplare vorhanden, von denen das eine von Dr. Bunge den 17. Juli in Bolschoje Simowje, das andere von Baron E. _ Toll in Dolgulach gefunden worden ist. Bei beiden ist der Kopflappen deut- lich sichtbar, hinten viereckig und nimmt ?/ des Kopfringes ein. Das Cli- tellum ist bei dem einen undeutlich sichtbar, bei dem anderen dagegen stark entwickelt und reicht vom 25-sten bis zum 30-sten Ringe. Die Gesammtzahl der Ringe betrügt bei dem letzteren Exemplar 106. Die Vulva ist fast nicht zu bemerken. Die Länge beträgt 70 mm., ist also um 10 mm. länger als von Eisen in der Diagnose angegeben ist. ІП. Allolobophora carnea Sav. Syn. Enterion carneum Savigny. Cuv., Hist. des Prog. d. Se. Nat., T. 2, p. 12. Lumbricus trapezoideus PEE Annal. d. Sc. Nat, Ser. II, T. VIH., p. 22. 16) H. M. Кулагин Изв%ет. О-ва Люб. ейі Проток. засБд. отдБлъ SE I, вып. 1-й 1886 r., стр. 145. Melanges biologiques. Т. ХШ, р. 92. (ххх) | UND IN SIBIRIEN VORKOMMENDE ARTEN VON REGENWÜRMERN. 187. Lumbricus commun Hoffmeister. Die bis jetzt bek. Art. aus d. Fam. d. Regenw. р. 27. atilis Ye jdovsky. System und Morpholog. der Oligochaet. 1884. жаа mucosa Eisen. Öfvers. af Kongl. Vetensk. Akad. Fórh. 1873 № 8. р. 47, fig. 7—10. Lumbricus mucosus Tauber. Annulata Danica. 1879, р. 36. Zu dieser Art muss der von Grube beschriebene Lumbricus communis Hoffm., der von Middendorff an der Boganida gefunden worden ist, ge- rechnet werden. Ich hatte drei Exemplare von derBoganida zu meiner Ver- fügung. Der Form der Lippe, des Clitellums, der Ringzahl und dem allge- meinen Habitus des Körpers nach stimmen sie mit der typischen Allolobo- phora mucosa Eisen überein. IV. Lumbricus triannularis Grube. Middendorff. Sibirische Reise, B. H, t. I. 1851, p. 18 T. П, fig. 3. Die Charakteristik, welehe Grube von dieser Art gegeben hat, ist fol- gende: Uncinis binis utrinque distichis, in omnibus segmentis aeque dispositis, segmentis 79 triannularibus, annulo medio paulo elato, uncinos ferente, vul- vis sub segmento 15-mo sitis, clitellis minimum à 29-no usque ad 31-mum per- tinentibus, processu postico lobi capitalis totum segmentum buccale dividente. Grube, der nur ein Exemplar dieser Species von der Boganida untersucht hat, sagt, dass dieselbe sich von den anderen Arten durch die dreiringeligen Segmente, durch die Abwesenheit des Clitellums. und durch die Zahl der Ringe (79) unterscheidet. Bei den beiden Arten Lumbricus agricola und Lum- bricus rubellus Hoffm., welche der Lippenform nach der Grube’ schen Art am nächsten stehen, че die Бақы à bei der ersteren zwischen 154— 180, bei der zweiten zwischen 120—140. Nach den sibirischen Exemplaren von Lumbricus rubellus, die zu mei- ner Verfügung standen, und nach genauer Untersuchung des Exemplars, auf welches Grube seine neue Art begründet hat, habe ich mich überzeugt, dass diese Species nicht für neu gehalten werden kann. Erstens sind die dreiringe- ; ligen Segmente eine Erscheinung, die ausschliesslich von der Wirkung der Reaktive abhängt, wie man sich leicht überzeugen kann, wenn man einige Exemplare des Lwmbricus rubellus Hoffm. in starken Spiritus legt. Was die Grüsse des Clitellums und die Zahl der Ringe bei Lumbricus triannularis Grube betrifft, so variiren dieselben je nach dem Alter des Regenwurms und nach der Jahreszeit, in der er gefunden worden. Meiner Meinung nach kann Lumbricus triannularis nicht für eine neue sibirische Species gehalten werden, sondern muss mit dem in Sibirien verbreiteten Lumbricus rubellus vereinigt werden. Mélanges biologiques. T. XIII, p. 98. 13 188 NICOLAUS KULAGIN, ÜBER EINIGE IM EUROPÄISCHEN RUSSLAND (۰ 8.1 V. Lumbricus brevispinus Gerstfeldt. Gerstfeldt. Über einige zum Theil neue Arten Platoden, Anneliden, Myriapoden und Crusta- ceen Sibiriens, p. 9, 185 Von dieser Art stand mir das Originalexemplar aus der Gegend der Sun- gari-Mündung zu Gebote. Aus der von Gerstfeldt gegebenen Diagnose er- sieht man, dass der Hauptunterschied zwischen dieser Art und den übrigen darin besteht, dass bei dem Lumbricus brevispinus der Kopflappen und die Borsten unentwickelt sind und das Clitellum fehlt. Bei Determination von jun- gen Exemplaren der einen oder der anderen Art habe ich die Bemerkung gemacht, dass bei ihnen alle charakteristischen Merkmale viel kleiner, als bei den erwachsenen sind; das Clitellum erscheint nur in der Zeit der Geschlechts- reife. Daher scheint es mir, dass die Begründung neuer Arten auf die stär- Кете oder schwächere Entwickelung des einen oder des anderen Merkmals nicht zulässig ist, besonders wenn die Abänderungen, welche vom Alter des Exemplars abhängen, nicht bekannt sind. Ausserdem bin ich nach genauer Untersuchung des Exemplars, welches von Gerstfeldt beschrieben worden ist, zu dem Schluss gekommen, dass es, der Lippenform und dem Gesammt- habitus nach, ohne Schwierigkeit zu Allolobophora foetida gerechnet werden kann. VI. Lumbricus rubellus Hoffm. Syn. Enterion rubellum Örley. A mag. Oligoch. Faun. Budapest. 1881, p. 570. Zwei Exemplare aus Werċhojansk von Baron Toll gesammelt. Der Lip- penform, der Clitellumlage und der Ringzahl nach stimmen sie vollkommen mit Hoffmeister's Diagnose dieser Art !?) überein. VII. Dendrobaena rubida Sav. var. Syn. Enterion rubidum Savigny, Cuvier Hist. des Prog. d. Scienc. Nat. Tom 4, p. 20, Paris 1828. Lumbricus rubidus Dugès. Annal. d. 861696, Nat, Ser. g^ T. VIII, p. 23. Lumbricus puter Hoffmeister. Die bis jetzt bek. Art. a. d. Fam. d. Regenw., pag. 33, fig. 6. Lumbricus flaviventris Leuckart. Archiv für Naturg. 1849, p. 159. Lumbricus puter Johnst., Catal. of the Brit. non-parasit worms, pag. 62. Lumbricus pieter U dekem. Mem. Acad. гоу. Belg. T. XXXV, Tab. 4 Dendrobaena Boeckii Eisen. Öfvers. af Kongl. Vet. Akad. Förhandl. 1873, № 3, р. 53—54. Einige Exemplare von der Insel Kildin von Herrn 5. M. Herzenstein ge- sammelt. Sie unterscheiden sich von den typischen Exemplaren, der von Eisen beschriebenen Dendrobaena Boeckii cnrs durch die Lippenform, denn bei den von Нгп. Herzenstein gefund 1 nimmt der Lobus EN cephalicus nicht ?/, des Kopfsegmentes ein, sondern theilt das erste Seg- 17) Hoffmeister. Die bis jetzt bekannten Arten aus der Famil. der Regenwürmer. Braun- schweig, 1845. Mélanges biologiques. T. XIII, p. 94. (ххх) | UND IN SIBIRIEN VORKOMMENDE ARTEN VON ۰ 189 ment in zwei Hälften. Andererseits stehen die Borsten jeder Reihe viel wei- ter von einander ab, als bei den Exemplaren dieser Art, welche sich in der Sammlung des Zoologischen Museums der Moskauer Universität befinden und von dem Prof. Vejdowsky stammen. Auf Grund dieser zwei Merkmale kann man, meiner Meinung nach, diese Form für eine besondere Varietät der Dendrobaena rubida Sav. (Dendrobaena Boeckii Eis.) halten. Das Cli- tellum reicht vom 28-sten bis zum 32-sten Ringe. Die Gesammtzahl der Ringe beträgt 70. Die Exemplare mit der Aufschrift: «Mammuth-Expedition, Schmidt» und aus dem See Taimyr von Middendorff konnten nicht bestimmt wer- den, 4а sie zu schlecht erhalten sind. Aus allem Angeführten ergiebt sich, dass für den Norden Europa’s, Asiens und Nord-Amerika's überhaupt folgende Arten beschrieben sind: 1. Lumbricus terrestris Lin. (Island, Skandinavien, Nord-Russland, New-Foundland und Nord- a). rubellus H offm. (Skandinavien, Sibirien und New-Foundland). 2. 8. -- دب ی‎ Eisen (Skandinavien, New-Foundland). ? 4. multispinus Grube (Sibirien). 5. Añoohophora foetida Зах. (Skandinavien, Sibirien und Nord-Amerika). 6. tenuis Eisen (Skandinavien, Sibirien und Nord-Amerika). 74 -- carnea Sav. (Skandinavien, Sibirien und Nord. Amerika). 8. — cyanea Sav. (Skandinavien, Nord-Russland, Sibirien und Nord-Amerika). ? 9. — Nordenskioldii Eisen. (Skandinavien, Sibirien, Nord-Amerika und New- Foundland). 210. — subrubicunda Eis. (Sibirien). 211. — tumida Eisen (Nord-Amerika). 212. -- parva Eisen (Nord- Amerika). 213. — geen Eisen a нео 214. — wegica Eisen (Norw 15. Ee бау. Семен und Nord-Amerika). 16. Dénirobadié rubida Sav. (Skandinavien, Nord-Russland und Nord-Amerika). 17. Allurus tetraédrus Sav. (Skandinavien). 18. Tetragonurus pupa Eis. (Nord-Amerika). Wenn man diejenigen Arten, denen ich ein Fragezeichen vorgesetzt habe, nicht als neue Arten anerkennen will, da sie auf sehr unwesentlichen Merk- malen beruhen, so bleiben für die nórdlichen تا‎ folgende Arten übrig: Lumbricus terrestris Г. -- red Hoffm. rpureus Eis. 5 Aller. eg Sav. enuis Eis. -- carnea ۰ -- суапеа бау. соке rubida ۰ Tetragonurus pupa Eis. Allurus tetraödrus Sav. Mélanges biologiques. T. XIII, р. 95. 190 NICOLAUS KULAGIN, ÜBER EINIGE ІМ EUROPÄISCHEN RUSSLAND U. S. W. [N. S. 1 Die Verbreitung dieser Arten erstreckt sich über ein weites Gebiet, denn siesind in Nord-Amerika, Sibirien, Nord-Russland und Skandinavien gefunden worden. Einige Arten, wie Lumbricus rubellus, L. terrestris, L. purpureus, Allolobophora cyanea, А. foetida, A. carnea, А. chlorotica, Dendrobaena ти- bida und Allurus tetraëdrus werden nicht nur im Norden der alten und neuen Welt angetroffen, sondern auch in Mittel- und Süd-Europa. Eine solche aus- gedehnte geographische Verbreitung der gleichen Arten ist meiner Meinung nach durch die Lebenweise derselben zu erklären: alle Arten der Fam. Lum- bricidae halten sich in der Erde auf, wo der Kampf um's Dasein und die äusseren Bedingungen — die Hauptfaktoren für die Erscheinung der Ar- . ten — sehr einfórmig und schwach wirken. Was die von mir bearbeitete Lumbricidensammlung der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften speciell anbetrifft, so bietet sie nicht nur ein allgemeines Interesse dar, sondern hat noch einen besonderen Werth, da sie Exemplare aus dem höchsten Norden enthält. Zum Schluss halte ich es für meine Pflicht, Herrn Akademiker A. Strauch, Director des Zoologischen Museums der Akademie, der mir die Möglichkeit gegeben hat, die akademische Lumbrieidensammlung zu bear- beiten, meinen verbindlichsten Dank auszusprechen. Mélanges biologiques. T. XIII, p. 96. (ххх) | 191 Weitere Beiträge zur Kenntniss des Olenellus Mickwitzi. Von Е. Schmidt. (Lu le 1 novembre 1888.) In meiner Arbeit über eine neuentdeckte untercambrische Fauna in Estland (Мет. de l'Acad. Vol. 36, №2, 1888) habe ich nach zahlrei- chen Bruchstücken den neuen Olenellus Mickwitzi aus den oberen sandigen Zwi- schenschichten unseres cambrischen blauen Thons beschrieben, und ihn auch in Fig. 1 auf T. I so gut es ging zu restauriren gesucht. Im verflossenen Som- mer hat Hr. Ingenieur A. Mickwitz seine Forschungen an einem der Haupt- fundorte des Olenellus, am Kunda’schen Bach, bei der Cementfabrik, fortge- setzt und wieder eine Reihe neuer Stücke zu Tage gefördert, die die Kennt- niss wenigstens des Kopfschildes und des Pygidiums zu fördern geeignet sind. Er fand eine etwa '/ Fuss mächtige hellgraue Sandsteinschicht, er- füllt von Bruchstücken des Olenellus in der zweiten Entblössung unter- halb der Fabrik in der Höhe von 15 F. über dem Niveau des Baches, oben und unten von blauen Thonlagen begrenzt. Er nahm etwa 150 Pfund dieses Gesteins nach Reval mit und hat durch geduldiges Zerklopfen des- selben die nachfolgend zu besprechenden Stücke zu Tage gefördert. Es ist augenscheinlich eine Strandbildung, worauf auch die häufigen Wellen- spuren hinweisen, und wir werden auf vollständige Exemplare daher wohl noch längere Zeit warten müssen. ‘In der vorigjährigen Sammlung ist der grösste Theil des Kunda’schen Materials aus einem ähnlichen Gestein zu Tage gefördert worden, das aber damals nur in herabgestürzten Blöcken am Flussufer angetroffen worden war. Das Vorkommen des Olenellus ist nicht auf die erwähnte dünne graue Sand- steinschicht beschränkt, sondern beginnt schon einige Meter höher in einem gelblichen dolomitischen Sandstein, der wie früher ausser Pleurentheilen keine erkennbaren Stücke geliefert hat. Tiefer abwärts sind im eigentli- chen mächtigen blauen Thon noch keine Trilobitenreste nachgewiesen wor- den. Веј Reval sind in diesem Jahre keine neuen Funde gemacht worden: dort kam der Olenellus, wie früher erwähnt, in sandigen Zwischenschichten des oberen blauen Thons mit Platysoleniten und Volborthellen zusammen vor. Im St. Petersburger Gouvernement sind im blauen Thon und dessen oberen Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 1. 192 Е. SCHMIDT, [N. 8:1 Grenzschichten bisher keine Trilobiten nachgewiesen worden. Hier kennt man bisher aus dem oberen blauen Thon nur die Platysoleniten, ausser denen, wie ich früher versiumt habe mitzutheilen, Volborth bei Krasnoje Selo (Kawe- lachta) in den näm Dechen Schichten auch Volborthellen nachgewiesen hat. Es muss also noch weiter nachgesucht werden. Im óstlichen Estland haben wir am Fusse des Glint, zwischen Sackhof und Ontika eifrig. nach der Olenel- lus-Schicht gesucht. Wir fanden immer nur die schon früher bekannten glauconitischen Sande an der oberen Grenze des blauen Thons ohne weitere - Fossilien, bis auf ein paar Exemplare des Medusites Lindstrómi, der ja schon früher hier gefunden worden war. Die in der früheren Arbeit erwühnten ziemlich mächtigen назе leeren Sandsteine über der Zone mit Olenellus und Mickwitzia топ сға haben auch jetzt noch keine organischen Reste geliefert. Ich fahre fort sie dem schwedischen ebenfalls petrefactenleeren Fucoidensandstein zu verglei- chen, wie schon Linnarsson gethan hat. Die von mir schon früher ver- tretene Ansicht, dass diese Sandsteine scharf vom eigentlichen Unguliten- sande geschieden seien, der mit dem Dietyonemaschiefer nahe zusammen- gehört, und dass hier ein Hiatus (ein Fehlen der mittleren cambrischen Lager mit Olenus und Paradoxides) angenommen werden müsse, wird durch Mickwitz’s und meine Untersuchungen am Glint im vorigen Sommer voll- kommen bestätigt. Die Scheidung ist vollkommen scharf und in der unte- ren Grenzschicht des echten Ungulitensandes lassen sich stellenweise, wie bei Sackhof und Baltischport (Leetz), Conglomerate von Geschieben aus dem unteren petrefactenleeren Sandstein nachweisen, die in den unguliten- führenden Sand eingebettet M Eine Analogie findet unser Vorkommen jetzt auch in England, wo Prof. C. Lap worth (nach Mittheilung auf dem diesjährigen internationalen geolo- gischen Congress in London, s. Nature, vol. 39, № 1100, p. 212, on the discovery of the Olenellus-fauna in the lower cambrian beds of Britain) in _ der Nähe von Shrewsbury bei Church Stretton Olenellus- Schichten nach- gewiesen und mir auch gefälligst an Ort und Stelle demonstrirt hat, die der Basis des Cambriums, dem Longwynd, auflagern und von hóheren cambrischen Schichten, wie es scheint mit Ausschluss des Menevian, be- deckt werden. Auch in Nord-Amerika ist jetzt die Olenellus-Frage in Ord- nung gebracht, da Dr. Walcott, wie er ebenfalls auf dem Congress mit- Шеше, die Olenellus-Schichten unter den Paradoxides-Schichten auf New- Foundland nachgewiesen hat (s. Nature 1888, vol. 38, p. 551). Früher war man bekanntlich in Amerika geneigt die Olenellus-Schichten für jünger zu halten als die Paradoxides-Lager, wogegen bekanntlich NDS energisch auftrat. Mélanges géolog. et ісер T EE, “ (XXXIII) | WEITERE BEITRÄGE ZUR KENNTNISS DES OLENELLUS MICKWITZI. 193 Im Hinblick auf die erwähnten neuen Entdeckungen, die die Mitthei- lung jeder weiteren Erkenntniss wünschenswerth machen, stehe ich nicht an, die mir zugänglichen Beiträge zur näheren Kenntniss unseres Olenellus zu veróffentlichen, wenn die Kenntniss des ganzen Thiers auch vorläufig noch eine unvollkommene bleiben muss. Fig. 1. Glabella mit restaurirtem Umriss des Kopfschildes. — Fig. 2. Wangenschild. — Fig. 3. Seitenansicht des Nackenstachels. — Fig. 4—7. Hypostomen, in 7 mit z. Th. erhaltenen Seiten- flügeln. — Fig. 8--10. Pygidien in doppelter Grösse. — Fig. 1-8 in natürlicher Grösse. Das Kopfschild muss nach den neugefundenen Stücken breiter ange- nommen werden als früher. Wir haben jetzt den hinteren Theil des Wan- genschildes mit wohlerhaltenem Hinterrande (F. 2), der uns früher gefehlt hat, so dass wir jetzt auch den ganzen Hinterrand des Kopfschildes recon- struiren können. Die Glabella (F. 1) liegt uns jetzt in einem vollständigen Stück vor, zusammen mit den Augen, was früher auch nicht der Fall war. Die Beziehungen zur nächst verwandten Art, Olenellus Kjerulfüi, kön- nen jetzt klarer und richtiger aufgefasst werden. Die Glabella ist bestimmt schmäler als die typische Form, da sie mehr. als noch einmal so lang wie breit ist, was, wie es scheint, annähernd auch mit der Form aus Schonen der Fall ist, deren Zugehörigkeit zu unserer Art wir als möglich betrach- tet haben. Die Seiten der Glabella sind fast parallel, der Frontallobus und der erste Seitenlobus nur wenig über die hinteren Seitenloben vorgezogen. Vom Frontallobus läuft seitlich ein auch nach vorn deutlich abgesetzter Wulst zum Augendeckel, vor dem ein flaches dreieckiges Feld sich deutlich unter- scheiden lässt. Der zweite und dritte Seitenlobus sind sich in ihrer Form ziemlich gleich; der dritte ist an seinem Ende etwas breiter und scharf gegen den Nackenring abgesetzt. Die dritte Seitenfurche lässt sich deutlich, wenn Mélanges geolog. et paléontolog. T. I, p. 3. 194 ғ. SCHNIDT, [х. 8. 1 auch schwücher werdend, über die Mitte der Glabella verfolgen, während die Nackenfurche in der Mitte nur schwach angedeutet, an den Seiten aber scharf markirt ist. Die Form und Lage der Augen stimmt gut mit Olenellus Kjerulfi überein, was ich früher nicht erkennen konnte. Die Oberfläche des flachen Zwischenraumes zwischen Auge und Glabella zeigt die nämliche Skulptur wie die letztere, und nicht die Radialstrahlen wie Olenoides typicalis (W al- cott in Bull. Unit. Stat. geolog. surv. Х 30, t. 25, £. 2), welche letzteren bei unserer Агі, wie früher geschildert, nur auf der Flüche der Wangen- schilder auftreten. Von der Ausmündung der Nackenfurche ausgehend lässt sich ein schwach angedeuteter Wulst schräg nach hinten und aussen zum Hinterrande verfolgen, ganz wie bei Olenellus Куегий; er mündet auch wie bei letzterem in einen bei unserer Art nur schwach angedeuteten Zahn, der als Pleurenende des Nackenringes gedeutet werden kann. Ebenso wenig wie bei der genannten Art kann hier an eine Andeutung der Facial- sutur gedacht werden, da der erwühnte Wulst vollkommen unabhängig vom Auge ist. Vor dem Auge verläuft aber allerdings die linke Seite unseres Glabellaexemplars in einem so regelmüssigen convexen Bogen nach vorn, dass man hier an eine Naht denken kann, und nicht an eine blosse Bruch- fläche, zumal bei anderen Olenellus- Formen und dem verwandten 5 von Waleott (1. c., t. 20, f. 1; t. 25, 1. 2) ein analoger Verlauf der Ge- sichtslinie angedeutet ist, doch bleibt das eine blosse Vermuthung. Пег Hinterrand des Kopfschildes erscheint bei unserer Art, abweichend vom О. Kjerulfi, ganz geradlinig, der Randwulst ist längsgestreift, hinten flach, an den Seiten, von den Hórnern ausgehend gewólbt, vorn vor der Glabella wieder flach, wie sich durch Freilegen der Oberseite des Exemplars T. 1 Е. 11 meiner früheren Arbeit erkennen liess. Das Wangenschild weicht, wie früher erwähnt, durch seine grössere Breite und die Radialrippen we- беп ісі von О. Kjerulfi ab und nähert sich darin Olenoides typicalis und Mesonacis vermontana. Та F. 3 habe ich ein besonders. kräftiges Exemplar des Dorns am Nackenring abbilden lassen. Das Hypostoma (F. 4--7) liegt uns jetzt in mehreren Stücken vor, die wesentlich verschieden von dem bei Ol. Kjerulfi erscheinen. Die in F. 11 und 12 der früheren Arbeit abgebildeten Stücke sind ganz unvoll- kommen. Wir unterscheiden den Mittelkórper und die fast gleichlangen Flügel (Е. 7), die nur an einem Exemplar sichtbar sind. Der Mittelkörper ist hoch gewólbt, oval, am Hinterrande mit einem flachgewölbten, schma- len, ganzrandigen Saum versehen, der durch eine schmale Furche vom Mittelkórper getrennt ist, die in der Mitte ganz flach, an den Seiten (F. 6) vertieft erscheint. Die Skulptur der Oberfläche stimmt ganz mit jener der Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 4. (хххш) | WEITERE BEITRÄGE ZUR KENNTNISS DES OLENELLUS MICKWITZI. 195 Glabella überein. Zur Erläuterung der Anfügung des Hypostoma haben wir ausser dem in F. 11 der früheren Arbeit dargestellten Stück kein neues Material erhalten. Die F. 12 der früheren Arbeit entspricht vollkommen dem jetzt unter F. 4 dargestellten Stück, und hat in der früheren Darstel- lung fälschlich eine horizontale Lage erhalten. Durch das Hypostoma zeich- net sich unsere Art besonders aus. Trotz allgemeiner Ähnlichkeit mit den entsprechenden Formen bei Paradoxides und anderen Olenellus zeigt es doch mit keiner anderen Art eine nähere Übereinstimmung. Zur Kenntniss des Thorax können wir kein neues Material hinzufügen, dagegen liegen uns einige neue Stücke des Pygidiums vor (F. 8—10), die z. Th. am Hinterrande eine schwache Einkerbung zeigen (F. 9, 10), entspre- chend der Lücke zwischen den beiderseitigen Pleuren, die, etwa drei an der Zahl, jederseits in schwacher Andeutung an jedem unserer Stücke zu sehen sind. An der Rhachis lassen sich mehr oder weniger deutlich zwei Glieder erkennen, an die sich ein schwaches rundliches Endglied anschliesst. Das ganze Pygidium erscheint hochgewölbt. Trotz der vorstehend angeführten neuen Beiträge zur Kenntniss des Olenellus Mickwitzi bleibt die Kenntniss seines Baues noch immer recht lückenhaft, und wir müssen auf weitere Funde hoffen. Ausser zahlreichen Bruchstücken von Olenellus finden sich in dem herbeigeschafften Material auch Bruchstücke von Brachiopoden, die aber bisher keine nähere Bestim- mung zuliessen. Melanges géolog. et paléontolog. Т. I, p. 5. FERRARI à BE “he M < ји V. RM на с. жайы хы o Ve i$ Ach Sek S d жэ $ } $ sod.‏ ونم р. сур‏ P ЖҮ WE ET о متا‎ Фа SÉ + ұз Бр У bed ЧАВО ЗРНА ordi اف‎ 61 A ЕР ce ma dh cms s р: 7 at Zeen I. d еме оте + ғ, кала (ххх | | 197 Bericht über die abhandlung des herrn Nik. Anderson «Wandlungen der anlautenden dentalen spirans im ostjakischen, ein beitrag zur ugro- finnischen lautlehre». Von М. Radloff und б. Salemann. (Lu le 18/30 avril 1889.) In den «Studien zur vergleichung der ugrofinnischen und indogerma- nischen sprachen I')» hatte herr Anderson, gegenwärtig lerer der alten sprachen am gymnasium zu Minsk, den grundstam des pronomens der 3. person im ugrofinnischen als sava (зеуе)*) erschloßen, und mit dem idg. *sava, sva (seve, sve) identificiert, als anlaut des selben also, troz der 085. und vog. formen s an gesezt. Gegen dise aufstellung erhob professor Јо- sef Budenz in seiner anzeige der genanten schrift?) energischen einspruch, indem er auf die am rande erwünten formen mit t (t, 1) gestüzt, den lez- teren laut für den ursprünglichen erklärte. Er betrachtet somit alle im ostj.-vogulischen mit t oder verwanten explosiven an lautende wörter als auf der ältesten ugrofinnischen lautstufe stehend, auß welcher erst später- hin finn. s magy. h, ’ ab geleitet seien. бо annembar eine solche ansicht auf den ersten blik erscheinen dürfte, herr Anderson glaubte der selben doch nicht one weiteres bei pflichten zu können, da das von im gesammelte material gerade auf die entgegen gesezte, schon früher auß gesprochene, anname hin leitete. Der beweis für die rich- tigkeit diser lezteren sol nun in der vor ligenden abhandlung erbracht wer- den. Zu disem zwecke untersucht der verfaßer zunächst, ob der von Bu- denz für «keineswegs natürlich» erklärte lautwandel s:t physiologisch möglich und historisch erweislich sei, und ferner, welche von beiden laut- ` 1) Dorpat 1879. 8°. pp. (4) + 322 + (5). 8.-А. auß den «Schriften der Gelehrten Estnischen Gesellschaft ». 2) Vgl. 1. с. pag. 35 ff: finnisch hän pl. he suff. -nsà; vepsisch hàn: hö: -ze; estnisch suff. sa, -se, -za, -s; mordvinisch son: sin (erza вуй): -nza (е. -nzo, -zo); ceremissisch suff. -ža (-5а); lappisch sodn du. soi pl. sije suff. -s; votjakisch suff. -z; syrjänisch suff. -s; per- misch suff. -y-s; irtyS-ostjakisch teu du. tin pl. teg suff. et surgut-ostj. teuh: tin: teh: -et; nord-ostj. lu: Iyn (lin): ly (lu): —; vogulisch tav: tin: tan: —; magyarisch б suff, “Ja, -је. 3) Nyelvtudományi közlemények XV, 2 (1879) р. 309ff.— Literarische Berichte aus Ungarn. hgg. v. P. Hunfalvy. IV (1880) p. 160—174. Mélanges asiatiques. T. X, p. 1. : 198 W. RADLOFF UND С. SALEMANN, [N. 8.1 reihen, die spirantische oder aber die explosive, auß der zusammenstellung der mit t und dessen vertretern an lautenden vog.-ostjakischen wörter, denen in den verwanten sprachen ein an lautender zisch- oder hauchlaut gegenüber steht, sich als ursprüngliche ergeben dürfte. Hiemit war der verlauf der untersuchung vor gezeichnet. Nachdem die gründe dar gelegt worden, welche die von Budenz auf gestellte entwicke- lungsreihe t : s : h : ’ als verschidenen zweifeln unterworfen erscheinen laßen, muste der wandel eines s zu p oder t als in den verschidensten sprachen wirklich vor kommend und durch die analogie änlicher lautver- stärkungen stüzbar erwisen werden. Diß geschiht im I. teile der schrift, dessen ergebnisse am schlufe kurz zusammen gefaDt werden. Der II. teil befaßt sich mit dem auß den verschidenen ostj. dialekten vor ligenden materiale von an lautenden dentalen explosiven, denen in den übrigen sprachen s usw. (finn., magy. auch h,") gegenüber steht; dabei werden die von den frühern forschern, besonders Budenz und Donner, her rürenden vergleichungen ein gehend besprochen. Dise untersuchung glidert sich in vier abteilungen, und behandelt unter n? 1—15 die jenigen zu- sammenstellungen, deren richtigkeit keinem zweifel unterligt oder wenig- stens algemein zu gestanden ist (darunter die meisten mit ostj. t-); dann folgen die anlaute surgut-ostj. t (Castrén schrib ж, etwa tl, pl) n? 16 bis 42; nord-ostj. 1 (eine nicht näher bestimte modification von 1 *) n°. 43 bis 98, und endlich € (mouilliertes t) n° 99 —119. Auf) diser sichtung ergibt sich, daß in einer statlichen anzal von wortgruppen dem ostj. anlaut in keiner einzigen der verwanten sprachen, aufer dem vogulischen, ein den- taler explosivlaut gegenüber steht, und somit alles dafür zu sprechen scheint, daß die explosiva im vog.-ostjakischen sich erst auf der spirans entwickelt habe, wie ja auch die selbe erhärtung in einigen lehnwörtern zu beobachten ist (ostj. rut Rufe, irt. -0stj. not surg.-ostj. not nord-ostj. по] auß HOCB nase, vorderteil dd botes, u. dgl.). Es blib nun noch die andere these von Budenz zu prüfen, daß nämlich ein an lautendes altes t im magyarischen und finnischen als spiritus lenis (schwund) oder als h auf treten könne. Außer ein par schon unter den frühern nummern besprochener fälle, wo die gleichung magy. В, ' — t durch neue zusammenstellungen als ungenau und unhaltbar war erwisen worden, bliben noch zu untersuchen für t: табу. ’ die n° 120—132, und für t: magy. h die n° 133—135. Auch hier bestrebt sich der verfaßer seinen vorgünger zu widerlegen, indem er die wörter der andern sprachen mit t- 24) Aug. Ahlquist. биное auf dem Gebiete der ural-altaischen Sprachen. ш. Ueber die Sprache der Nord- Ostjaken. I. Abth. Hfors. 1880. pag. 95—101. Mélanges asiatiques, Т. X, p. 2. (xxxi)| BERICHT ÜBER DIE ABHANDLUNG DES HERRN NIK. ANDERSON U. S. ۰ 199 von den dazu gezogenen magyarischen scheidet, und für die lezteren andere etymologien aufstellt, welche auf urspr. s- zurük füren. Das selbe geschiht in n° 136—139 für vier finnische, mit h- anlautende, wörter, und по 140 endlich zeigt, daß das magy. teher, terh «last, gewicht» nichts mit dem ostj. tägert vog. tar vit «schwer» zu tun habe, sondern auf pers. ترازو‎ 11 (vgl. терезы) zurük zu füren ist. Den schluß bildet eine kurze recapitu- lation. Diß der gang der untersuchung, in welcher alles vor gebracht wurde, waß Andersons anname von 5 : t im anlaut gegen Budenz’ $: s: h : ' zu verteidigen geeignet war. Indem die hochvererte Classe uns beauftragte die hier kurz skizzierte arbeit zu prüfen, war sie durch die umstände genötigt sich an dem urteile von nicht speciell mit dem fache vertrauten zufriden zu geben. Wir unsrer- seits müßen uns bescheiden der Classe vor zu stellen, daß wir auf dem an gegebenen grunde nicht in der lage sind ein endgiltiges urteil ab zu geben, ob oder wie weit herr Anderson seine sache gewonnen habe. Doch ligt uns ein brief des sel. Wiedemann vor, in welchem dise bewärte aucto- rität sich über den älteren teil von herrn Andersons schrift höchst aner- kennend äußert, und auch uns wil es dünken, daß die streng methodische art seiner untersuchung und beweisfürung (welche, wol nicht zum schaden der sache, manches mal auch in das gebiet seiner frühern verdienstlichen arbeit hinüber greift), sowie die fülle und zuverläßigkeit des materials, die ansprechende milde und zurükhaltung an den polemischen stellen, kurz, daß all dise echt wißenschaftlichen eigenschaften der abhandlung nicht um- hin können in dem linguistisch gebildeten leser ein günstiges vorurteil auch für die resultate der untersuchung zu erwecken. Dise umstände laßen es als wünschenswert erscheinen, daß die abhand- lung unseres einheimischen finnologen der ere gewirdigt werde in den schriften der Akademie einen plaz zu finden, da dise gelerte körperschaft seit Sjógréns, ja Müllers zeiten die Rußland so nahe an gehnden finnisch- ugrischen studien stäts wirksam unterstüzt und gefördert hat. Mélanges asiatiques. T. X, p. 3. 2 ga E. ent пәр |‏ وه با а Mn an ECH statu DE‏ تیاب oiv NESE‏ Lan Sek Дађ abs иза «їз Дага Hot гы). «e е tsaki Bag menu geli EN ee (ххх!) | | 201 Über die quantitative Bestimmung des Antimons. Von Е, Beilstein und 0. у. Blaese, (Lu le 15 avril 1889). Man pflegt das Antimon jetzt meist als Schwefelantimon zu wägen. Das früher zuweilen angewendete Verfahren der Bestimmung als Sb,O, ist ganz aufgegeben, namentlich seitdem Bunsen!), der selbst früher?) diese Bestimmung empfahl, nachwies: «dass die Temperatur, bei welcher die Antimonsäure in Sb,0, übergeht, derjenigen Temperatur, bei welcher Sb,O, in Sb,O, und Sauerstoff zerfällt, so nahe liegt, dass eine sichere und exakte Antimonbestimmung auf diesem Wege nicht zu erwarten steht». Tamm's Verfahren?) das Antimon als gallussaures Antimonoxyd zu wügen, scheint kaum einer allgemeinen Anwendung fähig zu sein. Das Verfahren setzt voraus, dass alles Antimon als Oxyd vorhanden ist. Enthält die Lösung Antimonsäure, so muss diese zunächst durch Jodkalium reduzirt werden. Ferner muss die Antimonoxydlösung konzentrirt und neutral oder nur ganz schwach sauer sein, weil sonst die Fällung unvollständig ist, alles Bedingungen, die schwer einzuhalten sind. Das gallussaure Antimonoxyd wird bei 100? getrocknet und gewogen oder man bestimmt es als Antimon- sulfür. | Antimon kann vom Zinn durch Eisen geschieden werden, welches das Antimon metallisch fällt, eine Zinnchloridlösung aber nur zu Zinnchlorür reduzirt*). Man könnte daher vielleicht daran denken, das Antimon regu- linisch zu bestimmen, allein neuere Versuche lassen über die Unbrauchbar- keit dieses Verfahrens keinen Zweifel. Clasen*) beobachtete, dass die Tren- nung nur dann genau ist, wenn viel Zinn neben dem Antimon vorhanden ist. Auch fand Clasen, dass Antimon nicht ganz unbeträchtlich in Salzsäure löslich ist, namentlich in kalter, verdünnter Säure. Eine weitere Fehlerquelle kann daraus entstehen‘), dass das beim Auflösen des Eisens gebildete Eisen- 1) Liebig’s Annalen 192, 817. 2) Daselbst (1858) 106, 3 3) Zeitschrift für analytische Chemie ege = 851. 4) Tookey, Journ. of the chemie. soc. 15, 4 5) Zeitschrift für analytische Chemie (1865) 6) Attfield, Zeitschrift für analytische idee аф, 9, 107. Melanges phys. et chim. T. XIII, p. 71. 202 F. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, (8. 8.1 chlorür sich zu Eisenchlorid oxydirt; dieses löst aber das Antimon ziemlich rasch auf. Es bleibt also als exakte Methode nur die Fällung des Antimons durch Schwefelwasserstoff übrig. Ist sicher alles Antimon als Antimonsäure vor- handen, so kann das Antimon, nach Bunsen, als Sb,S, gefällt und gewogen werden. In jedem anderen Falle hat man es mit einem Gemenge von Sb,S, und Sb,S, zu thun. In diesem Falle wird bekanntlich alles Antimon, dure mos im Kohlensäurestrome, in Sb,S, übergeführt und als solches ge- wogen. Dieses Verfahren ist nun ziemlich umständlich und schliesst mehrere Fehlerquellen ein. Namentlich ist es schwer, den Punkt genau zu treffen, wo alles Sb,S, in Sb,S, umgewandelt ist. Erhitzt man nicht stark genug, so hält das Antimonsulfür Schwefel zurück; erhitzt man zu stark, so fängt das Antimonsulfür ап sich zu verflüchtigen. Dazu kommt noch der Umstand, dass das gefällte Schwefelantimon auf einem gewogenen Filter gesammelt und nicht der ganze Niederschlag іп Sb,S, übergeführt wird. Es ist aber zweifelhaft, ob das Gemenge auf dem Filter überall die gleiche Zu- sammensetzung hat. Classen und Ludwig‘) haben vorgeschlagen, das Anti- mon elektrolytisch zu fällen. Es wird zu diesem Zwecke das Schwefel- antimon in Schwefelnatrium gelöst und, nach Zusatz von Natron, elektro- lysirt. Die Methode ist aber nur gut anwendbar, wenn die Menge des Anti- mons 0,16 g nicht übersteigt. Sie setzt ein besonders reines Schwefelnatrium voraus und verlangt die Verwendung neuer Platinschalen, oder wenigstens von solchen, die «tadellos gereinigt und geglättet» sind. Unter diesen Umstünden schien es uns angezeigt, nach einem einfacheren Verfahren der Antimonbestimmung zu suchen und, gestützt auf unsere Er- fahrungen bei der Untersuchung von Antimoniaten, glaubten wir ein solches in der Abscheidung des Antimons als antimonsaures Natron zu finden. Bekanntlich hat Frémy?*), gestützt auf die Unlöslichkeit dieses Salzes, die Antimonsäure (resp. deren Kalisalz) als ein Mittel zum Nachweise des Natrons empfohlen. Er hat sogar Versuche angestellt zur Trennung des Kalis vom Natron durch Antimonsäure und ist, wie er angiebt, zu befriedi- genden Resultaten gelangt. Leider fehlen in seinen Abhandlungen jegliche Zahlenangaben über die Brauchbarkeit dieser Methode. Н. Rose?) sagt: «es gelingt nicht gut das Antimon vollkommen als antimonsaures Natron zu fällen». Er empfiehlt die konzentrirte saure Lösung der Antimonsäure mit Soda zu übersättigen, dann erst mit Wasser zu verdünnen und hierauf У, des Volumens der Flüssigkeit an Alkohol (vom spez. Gew. — 0,82) hinzu- 7) Berichte der deutschen chem. و‎ (1885) 18, 1104. 8) Journal für prakt. Chemie (1843) 29 _ 9) Н. Rose, Handbuch der analyt. "mie 6. Aufl., 2. Ва. 5. 288. Melanges phys. et chim. T SUL 78. (хххш)] ÜBER DIE QUANTITATIVE BESTIMMUNG DES ANTIMONS. 203 zufügen. Nach 24stündigem Stehen wird der Niederschlag auf einem ge- wogenen Filter gesammelt, mit verdünntem Alkohol (3 Vol. Wasser auf 1 Vol. Alkohol vom spez. Gew. — 0,82) gewaschen, bei 100? getrocknet und gewogen. Er entspricht dann der Formel NaSbO, + 3%, HO. Die Fällung soll zuweilen eine unvollständige sein. Das Filtrat vom antimon- sauren Natron trübt sich zuweilen, wenn das Waschwasser nachfliesst, weil das antimonsaure Natron in verdünntem Alkohol weniger lóslich sein soll als in (leicht lóslichen) Natronsalzen. Man benutzt bekanntlich oft die Ab- scheidung des Antimons als antimonsaures Natron bei der Trennung des Antimons vom Zinn, doch wird hierbei meist das antimonsaure Natron durch Schwefelwasserstoff gefällt und das Antimon als Antimonsulfür gewogen. Lóslichkeit des antimonsauren Natrons. Ehe wir daran denken konnten, die Abscheidung des Antimons als Natronantimoniat zu prüfen, mussten vorerst die Löslichkeitsverhältnisse dieses Salzes festgestellt werden. Wir untersuchten die Löslichkeit in Wasser, іп wässrigem Alkohol von ver- schiedener Stürke und in einigen Natronsalzen. a. Lóslichkeit des an der Luft getrockneten Salzes. 1)In Wasser: 41,9208 g Lósung, bei 12,3? bereitet, hinterliessen 0,0130 g Rückstand bei 100°. 2) In Alkohol von 15,8%, bei 12,39: 17,5333 g Lösung gaben 0,0023 2 Rückstand bei 100?. + 3) In Alkohol von 25,67, bei 12,3*: 40,0848 g Lösung gaben 0,0028 g Rückstand bei 1002, | Es lósen bei 12,8*: 1. 1000 Thl. Wasser 0,31 ТЫ. NaSbO,-+- 3'/H,0. 2. 1000 ТЫ. Alkohol von 15,8%, 0,13 ТЫ. 3. 1000 ТЫ. Alkohol von 25,65, 0,07 ТЫ. Das frisch gefällte und gewaschene Natriumantimoniat zeigte eine etwas grössere Löslichkeit in Alkohol von 25,5%. 22.4) 51,6299 g Lösung, bei 18,1? bereitet, hinterliessen bei 100° 0,0056 Rückstand. ۱ ۱ 5) 25,412 g Lösung, bei 18,1? bereitet, hinterliessen bei 100° 0,0024 g Rückstand. Es lösen demnach bei 18,1? 1000 ТЫ. Alkohol von 25,5%, 4. 5. Mittel. 0,0968 0,0944 0,0956 Thl. Das Verhalten gegen Natronlauge und Soda haben wir nur qualitativ unter- sucht. Benutzt wurden Natronlósungen mit 2,5 und 10%, Natron; die Soda- Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 73. 14 204 Р. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, EN 8.1 lösung war еше kalt gesättigte. Die mit Natriumantimoniat versetzten Lösungen blieben mehrere Tage stehen, dann wurde filtrirt und das ange- säuerte Filtrat mit Schwefelwasserstoff behandelt. Das Volumen der hierbei erhaltenen Niederschläge zeigte ganz unzweifelhaft, dass eine erhöhte Lös- lichkeit des antimonsauren Natrons nicht eingetreten war; im Gegentheil, das erhaltene Antimonsulfid betrug weniger als aus dem gleichen Volumen einer rein wässrigen Lösung. Für Natron und Soda müssen wir daher durch- aus den Angaben von H. Rose widersprechen: Natron und Soda verringern eher etwas die Löslichkeit des antimonsauren Natrons. Dahingegen wirken Ammoniak und Kalisalze etwas stärker lösend als Wasser. In Eis- _ essigist das antimonsaure Natron ganz unlôslieh. Unsere Versuche zeigen, dass Alkohol von 15%, etwas mehr antimon- saures Natron löst als Alkohol von 25%,. Es ist daher nicht angezeigt, einen schwächeren Alkohol anzuwenden. Bei der Füllung des Antimons, wie wir sie jetzt ausführen, bleibt viel Natronsalz (Na,SO,) in Lösung. Wollte man einen stärkeren Alkohol anwenden, so könnten leicht Natronsalze im antimon- sauren Natron zurückbleiben. Das Waschen mit Alkohol von 25%, hat nur einen Übelstand: das antimonsaure Natrium geht etwas durchs Filter und erzeugt trübe Filtrate und Verluste. Wir stellten verschiedene Versuche an, um das Durchgehen des Niederschlages zu vermeiden und fanden: schliesslich einen Zusatz von essigsaurem Natron als hierzu. vollkommen passend. Um einen Rückhalt an Natron oder Soda im Niederschlage zu entfernen, setzen wir dem Waschalkohol ausserdem noch etwas Essigsüure hinzu. Das im Niederschlage befindliche Natrium-Acetat kann später durch: starken Alkohol weggewaschen werden. Auch kohlensaures Ammoniak. verhindert das Durchgehen des antimonsauren Natrons ور(‎ Filter, allein auf Kosten eines Theiles des Niederschlages. Fällung des Antimons als antimonsaures. Natron. ‚Wir füllen - ` und wagen das Antimon als antimonsaures Natron. Wir beschreiben ,unser Verfahren genauer für den gewóhnlichen Fall, dass das Antimon als Sulfid vorliegt, wobei es ganz gleichgültig ist, ob 51,5, oder Sb, 5, vorhanden ist. Die Abänderungen für alle anderen Fälle ergeben sich aus unserer, „Ве schreibung von ۰ Das gewaschene Schwefelantimon spült man vom Filter mit heissem Wasser in ein Becherglas (oder Platinschale), wozu etwa 50cc Wasser er- forderlich sind, giebt dann konzentrirte Natronlauge‘ und Hierauf 70се Wasserstoffsuperoxydlósung hinzu. Man rührt um, ohne aber mit dem Glas- stabe die Wände zu berühren, weil sich sonst das Natriumantimoniat üusserst fest an den gekratzten Stellen absetzt. Man "benutzt eine kieselsäurefreie Natronlauge; dieselbe kann auch dazu dienen, etwa auf dem Filter haften - Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 74. : \ (хххш)] ÜBER DIE QUANTITATIVE BESTIMMUNG DES ANTIMONS. 205 gebliebene Spuren von Schwefelantimon aufzulösen. Man erwärmt das Ge- misch, unter beständigem Umrühren, bis deutlich Sauerstoff zu entweichen beginnt. Dann lässt man erkalten, giesst У, des Volumens der Lösung Alkohol von 90% hinzu und lässt mindestens 36 Stunden lang kalt stehen. Dieser Zeitraum ist nothwendig, um eine möglichst vollständige Abscheidung des Natriumantimoniates zu bewirken. Die klare Lösung wird. jetzt. durch ein doppeltes Filter gegossen und der Niederschlag, zunächst durch Dekan- tation, mit einem Gemisch aus Alkohol, Natrium-Acetat und Essigsäure ge- waschen. Man benutzt dazu 7 g Natrium-Acetat, gelöst іп 1 L Alkohol von 25%, und versetzt mit 7 се Eisessig. Der Niederschläg. wird dann auf dem Filter mit diesem selben Gemisch gewaschen, bis im Waschwasser keine "Schwefelsäure mehr nachzuweisen ist. Das dem Niederschlage noch änhaf- tende Natrium-Acetat wird durch Waschen mit Alkohol von 50%, entfernt. Den getrockneten Niederschlag entfernt man möglichst vom Filter, bringt ihn in einen Porzellantiegel, verascht das Filter auf dem Deckel des Tiegels, erhitzt dann den ganzen Niederschlag (und та. ihn, nach dem Erkalten, als NaSbO,. ۱ Wir lassen nun die analytischen Belege für. unser ار‎ там Genie Wir wählten zunächst ‚ein ‚selbst dargestelltes.Natriumantimoniat.: Dasselbe entsprach der Formel :NaSbO,4- 3 ,H;O. 0,5445 g verloren. hem Erhitzen 0,1331 g Wasser. | Berechnet. др , Gefunden. 3,0 о; 24 84%, 2 (24.44%. Von diesem Salze wurden 6,524 g- in Salzsäure gelöst, unter Zusatz von .Weinsüure, und die Lösung bis, auf 500cc verdünnt.. V Ql c dieser Lósung wurden jedesmal 2562, abpipettirt mit H, d ‚gefällt und, das gebildete: 5р,9, mit Natronlauge, erën охуй u, A W. art, Die ‚Lösung enthielt йө 0,2451 D Ха5һ0,, SC? ОЧКИ 368750 Баз зетанјио 2 at gene енгі? b орн УПИРОЈ э]. dxhunmod n 0,2442 2 Sai, o Di 200466 ی‎ Б SS 3. 0,2457 0—2: 21920. 4. 0,2484g 981060 5. 0,2449 g . Reines Antimon wurde in И "ez ‚Die Lösung enthielt im Liter 5,492 gr. Antimon.. Zu jedem ` Versuche dienten 25 ee. dieser Lósung, موز‎ 0,2188 g NaSbO,. Dieselben wurden durch МЫЗ они u. 5. ۰ | :1. 0,2176 g NaSbO,. РТ у) uminzum Mélanges phys. et chim. Т. XIII, p. 75. " 14% 206 F. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, (8. 8. 1 Von einer anderen Lösung von Antimon іп Königswasser, enthaltend im Liter 5,932 g Antimon, gaben 25 се (entsprechend 0,2367 g NaSbO,) 3. 0,2339 с ۰ Ausgesuchte Krystalle von Antimontrichlorid wurden abgewogen, in verdünnter Natronlauge gelöst, die Lösung direkt durch Wasserstoff- superoxyd oxydirt, dann durch Alkohol ausgefällt u. s. w. Angewandt. Entsprechend NaSbO,. Gefunden NaSbO,. 1. 0,4238g SbCl, 0,3624 NaSbO, 0,3596 99,297. 2. 0,3790 g SbCl, 0,3258 0,3261 100,095, 3. 0,4702 6 SbCl 0,3994 0,3990 99,907. Wiederholt umkrystallisirter Brechweinstein wurde ап der Luft ge- trocknet und analysirt: _ 1,7884 g verloren bei 100° 0,0418g H,O. Berechnet. Gefunden. AHO ^ 22,1% 2,34% 13,2761g dieses Brechweinsteins wurden zu ولا‎ Liter gelöst. Unter Berücksichtigung des gefundenen Wassergehaltes (2,34%) berechnet sich der Gehalt von je 20cc-Lósung, entsprechend 0,3064 с NaSbO,. Angewandt wurden jedesmal 2066 der Lösung. Man fällte mit H,S u. s. ж. Gefunden NaSbO,. 1. 0,3075g 100,359, 2. 0,3094 2 100,98% 3. 0,3076 2 100,39% | Etwa 12 g frisch dargestelltes und noch feuchtes Schlippe'sches Salz wurden in 400cc Wasser gelöst. 200cc dieser Lösung lieferten, nach dem Abscheiden des Antimons durch Schwefelwasserstoff, 0,3080 g Ха,50, entsprechend 0,2759 g NaSbO, Zu jedem Versuche wurden 20cc Lósung benutzt. Die Lösung wurde durch Säure gefällt und das Sb,S, durch NaOH und H,O, oxydirt. Gefunden. 1. 0,2813 g NaSbO,. 2. 0,2813 g 3. 0,2800 g Überblicken wir alle Zahlen, so ergiebt sich unzweifelhaft, dass das Verfahren etwas zu hohe Resultate liefert, während man doch das Gegen- theil erwarten sollte, da das Natriumantimoniat, selbst in 25prozentigem, Alkohol spurenweise löslich ist. Allein die Löslichkeit wird durch die gleich- zeitige Anwesenheit von Natriumsalzen (NaCl, Na,SO,, Natriumacetat) wohl Melanges phys. et chim. Т. ХШ, р. 76. (xxx) | ÜBER DIE QUANTITATIVE BESTIMMUNG DES ۰ 207 eher etwas verringert. Es erscheint daher überflüssig, eine Korrektur anzu- bringen für das nicht gefällte Natriumantimoniat, entsprechend dem vor- handenen Volumen an Filtrat. Führt man eine Korrektur ein, entsprechend der von uns ermittelten Löslichkeit in Alkohol von 259/, so werden viel zu hohe Zahlen erhalten. Der kleine Überschuss im Gewichte des gefundenen Natriumantimoniates erklürt sich gewiss durch einen Rückhalt an Natron- salzen im Niederschlage. Die Krystalle des Natriumantimoniates kommen oft ziemlich gross heraus und schliessen dann Mutterlauge ein, die sich durch blosses Waschen nicht entfernen lässt. Durch diesen Umstand werden die Verluste durch die geringe Löslichkeit des Natriumantimoniates mehr als genügend gedeckt und die erhaltenen Resultate sind befriedigend. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 77. араа EREN жұға, CR аже a^. t % > КЛЫ antro aed ҒАР E ӘКІ à AN IG це РА ER TOR а Ми RE ET ge‏ وان D‏ TA ом E Ре ГТ? DA АНЫ KK Дар. SCH br 37 (XXI) | 209 Über die Bestimmung des Natrons neben Kali von Fr. Beilstein und 0. у. Blaese. (Lu le 16 Mai 1889). Es fehlt bis jetzt an einer Methode, welche es gestattet das Natron direkt, in Gegenwart von Kali, zu bestimmen. Liegen beide Metalle vor, so wird bekanntlich zunächst das Kali durch Platinchlorid gefällt und dann erst schrei- tet man zur Bestimmung des Natrons. Wie zeitraubend dieses Verfahren über- all dort ist, wo ез sich zunächst nur um eine Bestimmung des Natrons handelt, liegt auf der Hand. Hierher gehört 7. B. der Nachweis, resp. die Bestim- mung des Natrons im küuflichen Kalisalpeter. Die Methode der indirekten Analyse eines Gemenges von Kali und Natron lässt sich nur in einzelnen Füllen mit Vortheil anwenden. Unter diesen Umstünden schien es uns von Nutzen zu sein, eine Methode auszuarbeiten, die allgemeinerer Anwendung fähig ist. Als eine solche ergab sich uns die Abscheidung des Natrons als Antimoniat. Nachdem wir festgestellt hatten, unter welchen Umstünden die Fällung des antimonsauren Natrons eine vollständige ist, konnten wir daran gehen zu untersuchen, wie weit diese Abscheidung genügend ist zur Tren- nung des Kalis vom Natron. Zunächst musste aber festgestellt werden, in wie weit Kalisalze lósend auf das Natrumantimoniat wirken. Die nachstehen- den Versuche geben darüber die nóthige Aufklärung. Frisch gefälltes und gewaschenes Natrumantimoniat NaSbO, + 36,0 wurde übergossen mit einer Lósung von: 1) 164 g Kaliumkarbonat in 250 сс Wasser, — 2) 486 Kalisalpeter in 250 се Wasser, — 3) 60 g Chlorkalium in 250 cc Wasser, — 4) 40g Chlorkalium in 250 сс Wasser, — 5) 27g Chlorkalium in 250 се Wasser. Die Gemische blieben 4 Tage unter häufi- gem Umschütteln, in einem Wasserbade von konstanter Zimmertemperatur stehen. Dann wurde abfiltrirt, eine gewogene Menge des Filtrates mit Schwefelwasserstoff gefällt und das ausgeschiedene Schwefelantimon als Na- triumantimoniat gewogen. 2% 1. а) 49,06 Lösung gaben 0,2600 g Sb,S,. b) 60,06 Lösung gaben 0,3156 g Хазђо,. 2. а) 133,065 g Lösung gaben 0,1750 g Sb,0,. b) 120,89 g Lösung gaben 0,1697 g NaSbO,. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 79. 210 Р. BEILSTEIN UND 0. VON BLAESE, ` (8. 6.1 3. а) 117,4 g Lösung gaben 0,170 g Sb,S,. b) 130,85 g Lösung gaben 0,200 2 ۰ 4. 159,4 © Lösung gaben 0,1326 g Sb,S,. 5. 124,5 g Lösung gaben 0,0829 2 Sb,Sb,. Demnach lösen 1000 ТШе. einer Lösung von а. b. Mittel. 164g N, іп 250cc Wasser 5,03 5,26 5,14 Thle NaSbO,. 48 KNO, » » 1,25 1,40 1,32 Thle ۵۰ 60g КО » » » 71538 1,52 1,45 Thle NaSbO,. 40g KCl » » » — 0,79 ТШе ۵۵,۰ DTF NOT EN » -- 0,63 ТШе ۰ Kalisalze erhöhen demnach etwas die Löslichkeit des Natriumantimoniates in Wasser, am meisten Kaliumkarbonat und es ist daher angezeigt, die Gegenwart dieses Salzes, bei der Fällung von Natriumantimoniat, zu ver- _ meiden, was gar keine Schwierigkeit hat, da man die Lösung durch Salz- säure oder Salpetersäure neutralisiren kann. Chlorkalium und Kalisalpeter verhalten sich, dem Natriumantimoniat gegenüber, fast gleich. Jedenfalls nimmt die Löslichkeit dieses Salzes in Kalisalzen, nit steigender Verdün- nung ۰ Um das Natrium bei Gegenwart von Kali direkt zu bestimmen, fällen wir dasselbe durch eine Lósung von Kaliumantimoniat. Das, nach unserem Verfahren bereitete, Kaliumantimoniat wird zur Lósung der Alkalien in ge- nügender Menge eingetragen, und das Gemisch 1 Tag kalt stehen gelassen. Ein Zusatz von Alkohol, um die Füllung des Natriumantimoniates voll- ständig zu machen, ist unzulässig, weil bereits die Lösung des Kaliumanti- moniates durch Alkohol gefällt wird. Man dekantirt, bringt dann den Nieder- schlag auf das Filter und wüscht ihn mit einer Lósung von 7 g Kaliumacetat in 1 L Wasser und dann mit Alkohol von 50%. Der Niederschlag wird im Porzellantiegel geglüht und als NaSbO, gewogen. Zur Prüfung des Verfahrens benutzten wir folgende Lösungen: А) 3,9787 g reinstes und bei 100% getrocknetes Natriumnitrat in 297,3 сс Wasser. 10 сс dieser Lösung enthielten also 0,1338 g NaNO, entsprechend 0,3000 g Ха5ђо,. В) 33,002g Kaliumnitrat gelöst in Wasser zu 500сс; іп 1сс sind enthalten 0,066 g ۰ Die von uns verwendete Lósung des Kaliumantimoniates enthielt in 10 cc — 0,4246 g KSbO, + 11, Н.О. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 80. (ххх) | ÜBER DIE BESTIMMUNG DES NATRONS NEBEN KALI. 211 Es wurden je 10cc der Lösung von Natriumnitrat und Kaliumnitrat gemischt und, wie oben beschrieben, verfahren. Da zur Fällung des Natrons jedesmal 10 сс der Kaliumantimoniatlósung benutzt wurden, so betrug das Gesammtvolumen der Flüssigkeit 30 се. Erhalten NaSbO, Gefunden Na,0 direkt. korrigirt. berechnet. korrigirt. berechnet. 0,2825 0,2895 0,3000 0,0471 0,0488 0,2868 0,2938 0,3000 0,0477 0,0488 0,2827 0,2897 0,3000 0,0471 0,0488 0,2855 0,2925 0,3000 0,0475 0,0488 5. 0,2932 0,2978 0,3000 0,0484 0,0488. سر يا )© Va,‏ Wie man sieht fallen die direkten Bestimmungen etwas zu niedrig aus, weil eben das Natriumantimoniat in Wasser etwas löslich ist. Bringt man nun eine Korrektur an entsprechend der Löslichkeit dieses Salzes in Wasser, so fallen die Resultate sehr angenähert aus. Man misst zu diesem Zwecke das erhaltene, wässrige Filtrat und addirt zu dem gefundenen Gewichte von NaSbO, für jede 100 cc wässrigen Filtrates 0,0233 g NaSbO,. Diese Kor- rektur beschränkt sich nur auf das wässrige Filtrat, nicht aber auf das (kaliumacetathaltige) Waschwasser. Bei den folgenden Versuchen wurden etwas grössere Quantitäten an Natronsalz benutzt. 6. 15 се der Lösung von Chilisalpeter gaben 0,4403 с NaSbO,. Das wäss- rige Filtrat betrug 30 се. 7. 20 сс der Lösung von NaNO, gaben 0,5954 g NaSbO,. Wässriges Filtrat: 40 се. ~ Gefunden NaSbO, Gefunden ۰ Direkt. Korrigirt, Berechnet. Korrigirt. Berechnet. 6. 0,4403 0,4473 0,4500 0,0727 0,0732. 7. 0,5954 0,6047 0,6000 0,0983 0,0975. Die erzielte Genauigkeit ist, namentlich für technische Analysen, eine genügende. H Melanges phys. et chim. T. XIII, p. 81. iu sn ¥ дини bon: EEE gue. пар BIOL өр порту e | amoris eb воп чиз XD tesis: «өзіні iada эге ‚bau dei m Зеб оя „пори wage warbtginémitesguiina 19b 9301 Ше эзораш Gäste? Tb понтијо у ниве pias Lising гарави. санына — 00060 — 28860 KEE а 0002.03 850$,9.:. mer E OEM ۱۳۵۵۹05 TERN. 80 — 2006050: sec nes dE 29008, O аа m SEEL OTO a % 3 = (ххх) | l 213 Herleitung einer Formel zur Berechnung von Parallelbogen des Erdellipsoides. Von A. Bonsdorff. (Lu le 16 Mai 1889.) Unter den vielen Europäischen Gradmessungen bietet die Mitteleuro- päische yon Orsk bis Valentia ein besonderes Interesse dar, indem sie einen Winkel von 69° am Pole bildet. Wenn einer der Hauptzwecke dieser grossen Gradmessung der ist, die linearen Längen nicht nur derjenigen Bogen des 52° Parallelen, welche den Längenunterschieden zwischen den einzelnen Astronomischen Stationen ent- sprechen, sondern auch des ganzen Bogens des Parallelen zwischen den Me- ridianen Orsk und Valentia zu bestimmen, so ist es vor allen Dingen wichtig Formeln zur Berechnung von Bogen grosser Ausdehnung zu besitzen. Die in der Theorie der hóheren Geodesie gebrüuchlichen Formeln sind für die Berechnung grüsserer Parallelbogen unzweckmässig, weil sie als Potenzreihen von der kürzesten Linie dargestellt werden und also voraus- setzen, dass diese Linie eine gewisse Grósse nicht überschreitet. In dem vorliegenden Aufsatze wollen wir eine Formel geben, die, frei von der erwühnten Voraussetzung, sich gut eignet den Parallelbogen zwi- schen Orsk und Valentia aus der Gradmessung zu ermitteln. Eine solche Formel wird erlangt, indem ein elliptisches Integral dritter Gattung statt des Längenunterschiedes eingeführt und dann nach Legendre dieses in eine Reihe von der иеше Form entwickelt wird: МФ — М, Sin 2 ọ + М, Sin4o—.. wo o das Argument des elliptisehen Integrales und die er Mais convergente Potenzreihen von dem Modul (< 1) und dem Parameter sind. Wie bekannt muss zur Bestimmung eines Parallelbogens auf dem Erdellipsoide eine Triangulation ausgeführt und in dieser durch astrono- mische Beobachtungen die Breite eines Dreieckspunktes und das Azimuth einer Seite ermittelt werden. Gewöhnlich bestimmt man das Azimuth der als Grundlinie dienenden Dreiecksseite (Basis) und die Polhóhe eines ihrer Endpunkte. Der grósseren Genauigkeit und der Controle wegen misst man aber nicht nur eine, sondern mehrere Dreiecksseiten, die Azimuthe und die Polhóhen eines ihrer Endpunkte. Mélanges mathem. et astron. Т. VII, p. 25. } 214 А. BONSDORFF, HERLEITUNG EINER FORMEL (8.8.1 Wenn wir uns nun zwei so bestimmte Grundlinien denken, so können die in der eben beschriebenen Weise bestimmten Punkte als Anfangs- und Endpunkte der Gradmessung betrachtet werden. Die Polhöhen dieser beiden Punkte nennen wir B’und B”, ihren Längen- unterschied A, die halbe grosse Axe und die Excentricität des Erdellipsoides a und e. Weiter soll angenommen werden, dass die Gradmessung möglichst nahe in der Richtung des Parallelen ausgeführt sei. Die Länge P des Parallelbogens soll für die mittlere Breite = )8 + B^) ermittelt ۰ Weil die Dreiecke іш trigonometrischen Netze im Verhältniss zu den Erddimensionen sehr klein sind, so können sie als Dreiecke auf der Ођег- fläche einer Kugel, deren Radius у 1— е? ысы 1— e sin? B ist, angesehen und nach dem Theorem von Legendre berechnet werden, wenn von den Winkeln ein Drittel des sphärischen Excesses subtrahirt wird. Wir können also annehmen, dass das ganze trigonometrische Netz sich auf dieser sphärischen Oberfläche befindet, und nach der Ermittelung der Drei- ecksseiten denjenigen Bogen eines grössten Kreises berechnen, welcher zwi- schen den beiden Endpunkten der Gradmessung liegt. Bezeichnen wir diesen Bogen mit o, so wird die lineare Länge: S = rg. Die Berechnung der sphärischen Coordinaten, indem man den Astronomischen Punkt als Pol an- nimmt, giebt, ausser den Breiten der Eckpunkte, den Bogen ф eines gróssten Kreises, die Azimuthe T’ und 180° T” der Endpunkte dieses Bogens. Aus den beobachteten Breiten В’ und В” auf dem Ellipsoide findet man die reducirten Breiten В” und 8”. Das sphärische Dreieck, dessen Seiten Ф, п, в , T, — B” und gegen- überliegende Winkel о, Т’, T” sind, zerlegen wir durch einen grössten Kreisbogen von о senkrecht auf ф in zwei rechtwinklige Dreiecke. Die bei- den Theile von o seien ә” und o”, die beiden Theile von Ф seien ф’ und 9^, die leicht zu ermitteln sind, nachdem 8, aus der Formel t __ У tg? Q^ -- tg? 8" — 2 tg 8۵ tg Q" cos ۵ 5 Po ius sin o berechnet ist. B, ergiebt sich aus tg Po وکا‎ дені Bekanntlich ist B, nichts anderes als die g hische Breite des Schnitt- punktes eines auf die kürzeste Linie gezögeneh "senkrechten Meridianbogens ; Melanges mathém. et astron. T. VII, p. 26. (ххх) | ZUR BERECHNUNG VON PARALLELBOGEN DES ERDELLIPSOIDES. 215 mit dieser Linie, und 7’ und 180? — T” sind nichts anderes als Azimuthe des Anfangs- und des Endpunktes derselben Linie. Die lineare Länge s der kürzesten Linie wird durch die bekannte Formel ” -9 | do V 1— e’sin? B,- sin! و‎ EN авіп Во sin Bo в und der Längenunterschied A der beiden Endpunkte durch ` tg Bo Am 1— € sin? Во. sin? o sin Bo T- ен tg? وق‎ . sinto 9 ausgedrückt. Entwickeln wir S und s in Potenzreihen nach e, so ergiebt sich mit Ver- nachlüssigung der vierten und hóheren Potenzen von e: = = el sin? В — 4 sm В, sur cos (o -- 9") sin? В, |. Die auf der Kugel aus einer Triangulation ermittelte Länge 5 des Bo- gens eines grössten Kreises weicht also von der Länge s der kürzesten Li- nie um eine Grösse von der Ordnung €? ab. Die Länge s kann aus einer Triangulation nur unter der Voraussetzung, dass die Erdkonstanten bekannt sind, ermittelt werden. Um zu unserer Hauptaufgabe überzugehen, setzen wir tg^8, = n, e sin B, =k, У 1 — k?sin* o = Аф; indem wir uns der Legendre'schen Bezeich- nung für elliptische Integrale dritter Gattung bedienen, wird dann der Aus- druck für kem ұла» (1 + Pn e^ —( 1 +) 6, Ф) | 3 E --- (а) -efg wo n, k, Ф also era un und Amplitude bedeuten. In der Jakobi B gsweise ist nun у] 44 =. 2x 4g PARS, E 44% 49" Aamu مت‎ x An. xt ESCH Ет RE نید‎ zu 24 F == қ. LL AUN ; — SSC sin + апа sn + قوب‎ К Setzen wir nun 29, 49, . . . statt T, شنت‎ . in der ersten Gleichung und beachten die bekannten Relationen Melanges mathem. et азігоп. Т. VII, p. 27. 216 / À BONSDORFF, HERLEITUNG EINER FORMEL ÎN. 8.1 pobre venit --.... WE k2 9 Ыт; + i03 Kr э so wird 2 = 4 — 24, соз 29 + 44, cos 49 — 64А,с086ф--....... (b) Аф A 12-4 Ei ده‎ bass bz же, т о кл á | А = э Ин À min In der Entwickelung П (n, Е.Ф). = Мо — M;sin29 + M, sin4® ....:.2.. (е) haben die Coefficienten M,, М, Ms, M, ...(Legendre Traité des fonctions EEN die folgende а анин ar M ۱ му n =, —да А, + 40: А, бе 3 А,-к: -- NEL E (27, ола ВАА UT +404, 6954, +. ۱ рне DM Th Raul) 204, +44, = ба А, =. -- 6 М. У1 чєп == a (M, Vin А) — 2074, + 404, — 64, +. EA? gek (M, Утв 4) — газа, + 4024, EN YN +; —10 M, Visa (M, VA -& n4- 4)— darf, + 4a4 d und allgemein . (—. Dp 2рМ, VIT. dde т LS Ә-- Qu? 4. + tort, — — Вага, Lë, æ ist suit n durch die Formel" Аура] - ` а, = ——————— WREATHS verbunden. Multiplieirt man (b) mit do und integrirt zwischen den Grenzen 9 und g › 80 wird. „Ф АА к 4 is — 4,9 — A, (ina —sin 39) + A "وه ون‎ sin 45) — — A; sin 69" — sin 6ф) ++»: j [одай Вид Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 28. =’ (хххш)] ZUR BERECHNUNG VON PARALLELBOGEN DES ERDELLIPSOIDES. 217 ۰ Führen wir nun diesen Ausdruck ebenso wie (с), жо ф zu Фф resp. 9” gesetzt ist, in (a) ein, so ergiebt sich KEE e T) Щщ, Je— =) Se — A ] (sin 29" — sin 29) + п ( Ee + IM, (1 + EE А, | (sin 49" — sin 49) — ( ке п т (М, 1 E an A, | (sin 69" — sin 69) — Die lineare Länge P eines Parallelbogens wird durch die Formel а соз БА Y.1— e? sin? В dargestellt, oder wenn r statt a eingeführt wird durch ра rì . cos BY1— e? sin? B A er Я Wenn hier der zuletzt angeführte Ausdruck : für, A eingesetzt wird, so erhalten wir P=esBV1—esin’B. ee (М, (1 гв. mur | гу [M (= ку { Ar |і 29” سب‎ sin 20 ( سه‎ | + [№ (1 ЕЕ Zu Ede. 4o" — sin 49) — м, (1 -+ ж) 4 Jee: ee‏ اس т oder weil, e Ze 28, 9 y => : سم‎ 9۷1-0 sin? ۰ Le = Ги, ( -- A acd - А h sd. ear лз (12 du من‎ me Lon dan sin 2 cos (Ф' --Ф + кее --2| М, (1 -- =)-: ЖА ‚ |: sin 77 cos 2 (s 4-9 )— —2[ м, (1-- SEO sin À cos 3 (e + Фф” Wes ciu 25 "Do ен. Die Convérgenz dieser Reihe ist um so grósser je kleiner a = e Bo oder je kleiner die Breite B, ist. Wir haben also eine Forniel zur Berechnung von P gewonnen, die aus einem der Länge 8 proportionalem Gliede und aus einer Trigonometrischen Reihe besteht, deren Convergenz von S vollkommen неш ist. Weiter Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 29. 218 А. BONSDORFF, HERLEITUNG EINER FORMEL [№ 8.1 ersieht man dass, unsere Formel vom Azimuthe unabhängig ist; in der That ist auch das Azimuth überflüssig, wenn die beiden Breiten В und В” aus astronomischen Beobachtungen abgeleitet sind. Wäre dagegen die Breite astronomisch nur in einem der Endpunkte bestimmt, so würde man die Breite in dem anderen Endpunkte durch die Triangulation ermitteln müssen, wozu allerdings die Kenntniss des Azimuthes nothwendig ist. Der Bogen ro == S kann aus einer Triangulation, in welcher die Seiten und Winkel als bekannt anzusehen sind, ermittelt werden ohne dass das Azimuth be- kannt ist; dieses mussaber als bekannt vorausgesetzt werden, wenn die pola- ren oder die rechtwinkligen Coordinaten zur Bestimmung der Breiten der Dreieckspunkte berechnet werden sollen. Es ist also nicht unumgänglich nothwendig eine Azimuthbestimmung auszuführen um die Länge eines Pa- rallelbogens zu berechnen; wenn aber das Azimuth wirklich beobachtet ist, ‚ so ergiebt sich еше Bedingungsgleichung die zur Bestimmung der Lothab- lenkung an der astronomischen Station angewendet werden kann. Die von Professor Helmert abgeleiteten, ebenso wie andere in der Geodesie üb- liche Formeln zur Berechnung der Länge eines Parallelbogens enthalten da- gegen immer das Azimuth; von diesen unterscheidet sich also unsere For- mel wesentlich. Wenn das trigonometrische Netz auf eine sphärische Oberfläche vom Radius В projicirt wird, so erhalten wir denselben Werth für S wie vorher, . aber die Amplitude würde dann nicht mehr o sein, sondern eine andere, Ф, und zwar so, dass ist. Es ist also klar, dass, wenn R und ® in die Formeln für sund P einge- setzt werden, Werthe von s und P hervorgehen, die sich beträchtlich von den richtigen unterscheiden kónnen. Als Beispiel führen wir die Berechnung des Parallelbogens Orsk-Valen- tia an. Die angewandten poem sind die Bessel'schen, nämlich log a = 6.5148235 toise. log e = 8.9122052 Nach Hansen (Geodät. Untersuchungen) wurde angenommen Orsk В’ = 512120” | Valentia В” — 51755 07, е 108 5 = 6.8740211 «обе. Melanges mathem. et astron. Т. ҮП, р. 30. (хххш)| ZUR BERECHNUNG VON PARALLELBOGEN DES ERDELLIPSOIDES. Hieraus ergab sich Бк- 5123890. log r = 6.5151512 Ф = 41°23'57'33 Ф----29192771197 59 Ф” = 1995637 4 log k? = 860 log n = 0.3666042, log а == 9.4649596, А, = 1.0011723, М, = 0.5487835, А, = 0.0005867, M, = — 0.1597941, А, = 0.0000002, М, = 0.0233073, М, = — 0.0045398, М, = 0.0009917, М, = — 0.0002314, М, = 0.0000614, М, = — 0.0000164, М, = 0.0000044, М, = — 0.0000012, M,,— 0.0000003 und endlich | Р = 2456622,0 toise. Für X = 69980” wird die Länge der kürzesten Linie 8 = 2361641,9 toise und also P— s = 94980,1 toise. Mélanges mathém. et astron. T. VII, p. 31. 219 ai H: (Loc d. л = шу. GÉIE (хххш) | | 221 Grundzüge einer mathematischen Theorie der inneren Diffusion des Lichtes. Von Dr, 0. Chwolson, (Lu le 16 mai 1889)®. Einleitung. Unter innerer Diffusion des Lichtes verstehen wir die bekannte, in trüben Medien, z. B. im Milchglas, auftretende Erscheinung der Lichtzerstreuung. Zweck der vorliegenden Arbeit ist es zu einer mathematischen Behandlung dieser Erscheinung den Grund zu legen. Ich will es sofort hervorheben, dass eine vollständige Lösung des Рто- blems vorläufig nicht als möglich erscheint, da dasselbe zu einer Functional- gleichung führt, die ich hier angeben will. Es sei h die Dicke einer von zwei unendlichen parallelen Ebenen begrenzten Platte, a die Entfernung eines Punctes M von der Eintrittsebene des Lichtes, K ein Koefficient, der stets <21 ist, a und p zwei Grössen, die ohne grossen Fehler auch als gleich angenommen werden kónnen, s. (3) und (5); ferner sei | à | о (2) = -pu dz — li (e— ар wo li den Integrallogarithmus 1 L bezeichnet. Be ۱ Die Lichtintensität f (a) im Puncte М wird, wenn wir von den inneren Reflexionen an den Grenzebenen absehen, durch die folgende Gleichung be- stimmt: e ie T ۱ | *) Die vorliegende Abhandlung ist schon im Herbst 1885 Herrn Akademiker A. Gadolin und mir zur Vorstellung an die Akademie eingereicht worden, wurde aber dann vom Autor wieder zurückgezogen, um noch einen Versuch zur vollständigen Lösung der Hauptgleichung zu machen und dann fast unverändert im Herbst 1888 uns wieder zugestellt. Wegen des in- zwischen erfolgten Erscheinens einer denselben Gegenstand behandelnden Abhandlung von E. Lommel (Wiedemann’s Annalen Bd. 36) schien mir obige Erklärung nothwendig, welehe ich leider in Abwesenheit meines Collegen Gadolin nur allein abgeben kann. St. Petersburg, 4. Juli 1889. Akademiker H. Wild, Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 88. Е 15* 222 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [№ 1 f) =" — а ћ = | Ба) ۵ (pa — X | Кајо (px — pa) da. 0 а Hier kann а = p gesetzt werden. Für unendlich tiefe Platten wäre ћ = оо. Bisher i$t es mir nicht gelungen, die Function / (a) für beliebige Werthe von р, K und h zu berechnen. à Der Inhalt der vorliegenden Arbeit ist kurz en $ 1 enthält die Darlegung derjenigen Hypothese über die physikalischen Ursachen der inneren Diffusion, welche der ferneren Rechnung zu Grunde gelegt wird. Diese Hypothese besteht wesentlich in der Annahme, dass die innere Diffusion durch, in die homogene Grundmasse des Mediums einge- streute, Partikelchen erzeugt wird, welche als leuchtende Puncte zu be- trachten sind, deren Leuchtkraft proportional der auf dieselben einfallenden Lichtmenge ist. Die von aussen direct zu dem Puncte М gelangende Licht- menge û, ist durch das erste Glied der obigen Functionalgleichung gegeben. $ 2—4 enthalten die Aufstellung der allgemeinen Gleichungen. .. $ 5 enthält die vollständige Lösung der Aufgabe für solche Stellen im Innern der Platte, bis zu denen kein Licht von Aussen her direct eindringt, die also von den Grenzebenen unendlich weit entfernt sind. Im $ 6 wird ein allgemeiner, für beliebige Platten gültiger Satz be- wiesen. | $ 7—10 enthalten die vollständige Behandlung des Problems für den Fall, dass die Diffusion überhaupt nicht bedeutend ist. 8 I. Um eine mathematische Theorie der inneren Diffusion des Lichtes auf- stellen zu kónnen, muss man eine bestimmte Annahme über die Ursache dieser Erscheinung zu Grunde legen. Es ist nun wohl einleuchtend, dass die nüchstliegende und auch wahrscheinlichste Annahme darin besteht, dass in der durchsichtigen Hauptmasse des betreffenden Körpers eine sehr grosse Menge äusserst kleiner Partikelchen, entweder derselben Masse in modifi- cirtem Zustande, oder eines völlig anderen Stoffes eingestreut sind. An diesen Partikelchen können die Lichtstrahlen möglicherweise regelmässige Reflexion oder Zerstreuung erleiden. Es ist auch denkbar, dass Ше eingestreuten Partikelchen aus einem an und für sich durchsichtigen Stoffe bestehen, dessen Brechungskoefficient aber ein anderer ist, als derjenige der Grund- masse. = Die geometrische Form der анон Theilchen kann eine in hohem Grade verschiedenartige sein, doch ist es gewiss sehr wahrscheinlich, dass Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 84. (хххш)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. ` 223 für die Gesammtheit einer grossen Menge solcher Theilchen im Durchschnitt eine, nach allen Richtungen im Raume hin, gleichfórmige Oberflächenver- theilung resultiren wird. In diesem Falle wird die optische Wirkung dieser Gesammtheit wesentlich dieselbe sein, als wie in dem Falle, wo sümmtliche Theilchen Kugelgestalt haben. Es ist nicht unmöglich, dass in einigen Fällen die eingestreuten Partikelchen wirklich kugelförmig sind: wenn nämlich so- wohl die Grundmasse, als auch die Partikelchen zu irgend einer Zeit in flüs- sigem Zustande sich befanden. Es sei im Weiteren о der Radius eines der eingestreuten Theilchen und ۶ dasjenige Volumen, innerhalb dessen durchschnittlich je ein solches Theil- chen sich befindet. In dem Volumen v befindet sich also ۵/۶ ۰ Denken wir uns die sämmtlichen Theilchen als absolut schwarz, 4. В. un- _ durchsichtig und nicht reflectirend und bezeichnen für diesen Fall, der offen- bar dem absoluten Mangel an innerer Diffusion entspricht, mit « den Absorp- tionskoefficient der Substanz des Körpers. Sind die Theilchen in sehr grosser Menge vorhanden, so wird х gross sein und eine verhältnissmässig dünne Platte des betreffenden Stoffes wird bereits undurchsichtig erscheinen. Findet eine innere Diffusion des Lichtes statt, so wird das Licht offenbar viel tiefer eindringen; in einem idealen Grenzfalle, den wir später betrachten werden, würde das Licht sogar mit constant bleibender Intensität immer tiefer ein- dringen, d. В. der Absorptionskoefficient wäre gleich Null. Nehmen wir vorerst an, es finde keine innere Diffusion statt, die einge- . Streuten Partikelchen seien also vóllig schwarz. Ist das Letztere bei einer beliebigen Platte der Fall und tritt normal zur Oberfläche derselben Licht von der Intensität 1, ein, so wird in einer Tiefe x das Licht die Intensität haben. Wir können leicht einen Ausdruck für а als Function von e und r aufstellen. Es ist klar, dass jedesmal, wo 2 sich um die Länger vergrössert, die Intensität I sich um einen Theil verringert, der gleich ist dem Verhält- niss der von der Projection eines Theilchens occupirten Fläche то“ zu der gesammten Flüche 77, auf welcher Ein Theilchen sich befindet. Es ist also e = 1 — ау = 1—26 und hieraus Eine ganz analoge Entwickelung ‚findet sich bei Clausius «Über die mittlere Länge der Wege u. s. w.» Рода. Ann. 1858, Bd. СУ, $ 5 (Ab- Melanges phys. et chim, T. XIH, p. 85. 224 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN (в. 8.1 handlungen über die mechanische Wärmetheorie 1867, zweite Abtheil., Ab- handl. ХУ, pag. 269). Um zur Aufstellung móglichst allgemeiner Formeln zu gelangen, wollen wir die Absorption des Lichtes in der Grundmasse selbst, also z. B. beim Milchglase, in dem reinen Glas, ebenfalls in Betracht ziehen, und es sei В der betreffende Absorptionskoefficient. Setzen wir so ist (1) durch zu ersetzen. In den meisten Fällen wird wohl В im Vergleiche mit « sehr klein sein und werden wir daher oft annehmen können. | Wir wenden uns zu der wichtigsten Frage — welche Annahme ist zu machen über die Art, wie die Zerstreuung des Lichtes an den eingestreuten Theilchen stattfindet? Die einfachste Annahme ist и. offenbar: jedes dieser Theilehen kann als leuchtender Punct be- trachtet werden, des- 2 | sen Lichtintensität 2 E proportional ist der ЛО gesammten auf das- Lë selbe einfallenden > ыш > Lichtmenge und des- y ERR sen Leuchtkraft nach / allen Seiten hin die- selbe ist. | Auf verschiedene Weise lässt sich zeigen, dass die- se Annahme der Wahrheit nahe kommt, besonders in Schichten, welche nicht zu nahe an der beleuchte- H ten Oberfläche der Platte | | Несеп, Fig. 1. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 86. (хххш)| THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 225 Sind die eingestreuten Theilchen absolut und regelmässig reflectirende Kugeln, so ist obige Annahme völlig richtig. In der That, es sei Fig. 1, А die betrachtete Kugel, auf welche in der Richtung BO parallele Strahlen fallen.. Die Lichtmenge MANCE, welche beim Auftreffen auf die Kugel- oberfläche mit der Normale einen Winkel zwischen o und o + do bildet, ist proportional dem Producte der Zonenfläche СЕРА mit cos o, oder pro- portional sin o, de. cos Фф == "/,sin 29. dp == '/ sin ф. do, oder, einfacher, proportional sin ф, wo ф == 29. Diese selbe Lichtmenge wird reflectirt (CD) in einer Richtung, die mit der Axe BH die Winkel von d bis ф + аф bil- det. Die von der Kugel in der Richtung zwischen ф und + 4) refleetirte Lichtmenge ist also proportional sin: — genau ebenso, als wäre die Kugel ein leuchtender Punct, welchen wir uns in О denken können, wenn der Ва- dius der Kugel sehr klein ist im Vergleiche mit den Entfernungen OX der- jenigen Puncte X, in welchen wir die durch .4 hervorgerufene Beleuchtung betrachten werden. Es kónnte im ersten Augenblick befremdlich erschei- nen, dass eine einseitig beleuchtete Kugel nach allen Richtungen im Raume gleichviel Strahlen aussendet; man darf eben nicht vergessen, dass wir die Annahme einer absoluten Reflexion zu Grunde gelegt haben, welche ein nach allen Richtungen gleich gut sichtbares Spiegelbild der ursprünglichen weit entfernten Lichtquelle liefert. Ausserdem betrachten wir die Kugel aus einer Entfernung, die gross ist im Vergleiche mit dem Radius derselben. Schon Lambert (Photom., pag. 300 u. f.) hat auf diese Eigenschaft einer «perfecte reflectens» Kugel aufmerksam gemacht. Dass wenigstens bei dem von mir untersuchten Milchglase, an den eingestreuten Theilehen auch Reflexion stattfindet, beweist ein früherer Versuch (Photometrische Unter- suchungen über die innere Diffusion des Lichtes. Mélanges phys. et chim. T. XII, p. 475—545). Es zeigte sich (1. c., p. 518 und 515), dass, wenn auf eine Milchglasplatte in der Einfallsebene völlig polarisirtes Licht fällt und die Dicke derselben eine gewisse Grösse übersteigt, indem austretenden Lichte keine Spur von Polarisation zu bemerken ist (ausser der auch bei einfallendem natürlichen Lichte beobachteten). Wird die Dicke der Platte soweit verringert, dass z. B. bei normal auffallendem polarisirtem Lichte, im normal austretenden sich die ersten deutlicheren Spuren von Polarisation zeigen, so zeigen sich ebensolche Spuren gleichzeitig auch in dem nach allen anderen Richtungen austretenden Lichte ) с., p. 517). Dies wäre unmög- lich, wenn an den eingestreuten Theilchen gar keine Reflexion stattfände. ’ Findet Zerstreuung des Lichtes an der Oberfläche der Theilchen statt und wird das Licht ausserdem vielleicht auch durch die Theilchen hindurch ge- brochen, so würde bei einseitiger Beleuchtung allerdings das wieder aus- gesandte Licht nicht nach allen Richtungen gleiche Intensität haben. In Mélanges phys. et chim. Т. XIII, p. 87. 226 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN (8. 8.1 grösserer Tiefe, 4. h. Entfernung von der beleuchteten Oberfläche der Platte, wo die direete Beleuchtung der Theilchen vernachlässigt werden kann und jedes Theilchen nur von den umliegenden beleuchtet wird, also von allen Seiten Licht empfängt, dürfte das wieder ausgestrahlte Licht wohl ohne Zweifel sehr nahe gleichfórmig nach allen Seiten hin vertheilt sein. Die durch die Theilchen hervorgerufenen Diffractionserscheinungen werden je- denfalls die Gleichförmigkeit der Lichtvertheilung vergrössern. Wir wollen im Folgenden annehmen, dass die beleuchteten Theilchen als leuchtende Puncte zu betrachten sind und es sei 4 die Lichtintensität derselben d. h. die in der Einheit der Entfernung auf die Flücheneinheit fallende Lichtmenge. Ferner sei 7 die Intensität des Lichtes, durch welches das Theilchen beleuchtet wird, d. В. die auf die Flücheneinheit desselben einfallende Lichtmenge. . Um i durch 1 ausdrücken zu kónnen, müssen wir noch eine besonders wichtige Grösse einführen. Die von einem Theilchen wieder ausgestrahlte Lichtmenge wird stets einen gewissen Bruchtheil der gesammten aufgefallenen Lichtmenge bilden; dieser Bruch, das Albedo der Theilchen, sei mit K be- zeichnet. Die einfallende Lichtmenge ist к Іто?, die ausgestrahlte 47i. Die Gleichung 4ri == Kirg giebt Es ist wohl festzuhalten, dass 2 und Г in Bezug auf die Längeneinheit von verschiedenen Dimensionen sind. | Die Grösse à besteht aus zwei Theilen: der erste rührt von der direct von aussen eindringenden Beleuchtung her, welche durch (4) ausgedrückt wird; der zweite verdankt seine Entstehung der Beleuchtung durch die Gesammt- heit aller übrigen Theilchen. In grösserer Tiefe, wo der erste Theil ver- schwindend ist, kann der zweite noch eine sehr bedeutende Grösse haben. Vernachlässigen wir die Absorption in der Grundmasse, d. 1. setzen wir В = 0 und nehmen wir den extremen Fall, dass das Albedo К = 1 ist, dass also gar kein Licht verloren geht, so müssen wir in grósserer Tiefe i — const., 4. h. unabhängig von der Tiefe, erhalten. Es sind also, s. (5), f 8 = 0 (p =a) Кур. ПО робо BET, (8) $ = const. Grössen.‏ ت In Wirklichkeit wird stets К < 1 sein und also $ mit wachsender Tiefe‏ kleiner werden. Das Sinken von $ wird aber jedenfalls langsamer vor sich‏ 2 Mélanges phys. et chim. Т. XIII, p. 88,‏ (хххш)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 299 gehen, als nach dem Gesetz (4). Sollte also unter irgend welchen Umständen $ als Function von z von der Form sein, so wäre jedenfalls zu setzen. Auch ist es a priori klar, dass je grösser К ist, je stärker also Luz Theilchen von den Übrigen beleuchtet wird, desto kleiner der Bruch = und desto langsamer die Änderung von i vor sich gehen muss. Der Grenzfall К = 1 giebt, s. (8), i= const., d. h. m = 0. 819. Wir wenden uns zur Aufstellung allgemeiner Formeln für die Lichtbe- wegung in einer Platte, in welcher innere Diffusion stattfindet. Es sei, wie oben, ? die Leuchtkraft eines der eingestreuten Theilchen, dessen Coordi- naten 2, у, 2 sind. Wir setzen is وال ال‎ 2g EAD, AY noliicga (10) Ein speciell zu betrachtendes Theilchen М habe die Coordinaten а, b, с und die entsprechende Leuchtkraft f (a, b, c). Diese Grósse rührt erstens von dem directen Eindringen der Strahlen in den Kórper her und wollen wir uns hierbei mit der Betrachtung des Falles begnügen, dass parallele Lichtstrahlen auf die ebene Oberflüche des Kórpers auffallen. Ist 1, die Intensität dieser Strahlen an der Oberfläche nach ihrem Eindringen und R, die Entfernung des Theilchens M von der Oberfläche in der Richtung der Strahlen, so wird der erste Theil von f (a, b, c) durch Combination von (4) und (7) erhalten. Nennen wir ihn i,, so ist | „== К ев Der zweite. Theil von $ verdankt seine Entstehung der Beleuchtung durch die Gesammtheit aller übrigen Theilchen. Er besteht wiederum aus zwei Theilen: i,, herrührend von der directen Beleuchtung der Theilchen (а, 5, c) durch die Übrigen und i, herrührend von dem an der Oberflüche reflectirten Lichte. [Ist die Platte durchscheinend, so kommt zu dem ersten Theile, à, noch Einer hinzu, hervorgerufen durch die an der einen Ober- fläche eingedrungenen und an der anderen reflectirten Strahlen]. Um i, zu berechnen, bezeichnen wir mit R die Entfernung des Punctes (а, b, с) von dem Volumenelement dv, dessen Coordinaten (2, y, 2) sind, und in welchem jedes Theilchen die Leuchtkraft f (2, y, 2) besitzt. Die Anzahl dieser Theilchen ist offenbar {Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 89. 228 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [№ 8.1 до "e und es kann also dv als mit der Leuchtkraft dv = (x, Y, 2) begabt angesehen werden. Die in (о, b, c) durch dv hervorgerufene Beleuch- tung ist also gleich dv er TI y, 2). Ё? Setzen wir diese Grösse statt Z in (7), so erhalten wir den durch dv er- zeugten Theil von نو‎ Kp? е РЕ “ғ: [(2, 9,2). R2 dv und folglich die Gesammtgrösse 4,, wenn wir noch (2) berücksichtigen: К -— — fs. - R2 die Integration über das ganze Volumen ausgedehnt. Der von der Reflexion an der Oberfläche herrührende Theil %, wird ge- funden, wenn wir іп (12) R durch R, + R,ersetzen, d. h. durch die Summe der Längen des von dv bis zur Oberfläche hingehenden und des von der Oberfläche nach M reflectirten Strahles und die Function unter dem | Zei- chen mit F, (o) multipliciren, wo o der Reflexionswinkel und F, die nach den besse schen Formeln bestimmte relative Intensität des innen reflec- :tirten Strahles sind. Also ак = p (Ri +R) | 2 بح‎ ftn) هچ‎ (13) Endlich ist +== fahrt. sut (14) In grösserer Tiefe, wo das directe Durchscheinen aufhört, sind i, und 4, zu vernachlässigen und es bleibt nur i ==, s. (12). Es dürfte wohl nicht überflüssig sein, "id Richtigkeit: der Formel (12) dadurch zu prüfen, dass, wenn 8 = 0 und k = 1, also f (x, y, 2) = const. == sind, s. (8), für die Leuchtkraft 2 des Punctes (a, b, ¢) dieselbe Grösse i, erhalten werden wird. Führen wir Polarcoordinaten (В, o, ф) ein, mit dem Anfang in (а, b, с), so wird dv = R? sin q.do.d9d E. und (12) giebt ` © ет г2т uc № e— РВ R* sin сав de ғу 296015 4x | R2 0 0 0 Melanges phys. et chim. Т. XII, р. ۰ (хххш) | THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES, 229 : oder aK ár СЕЕ р? was bei В = 0, d. h. р==а und K=1 in der That à — i, ergiebt. S 3. Um weiterhin Abschweifungen zu vermeiden, sollen hier einige auf den Integrallogarithmus bezügliche Formeln angeführt werden. Nach Soldner's!) Vorgange nennt man Integrallogarithmus und. bezeichnet mit li (2) die Function 2 : 1 li (2) ше | 182 de . 0 Wir werden nur mit dem Falle z 1 zu thun zu haben. Setzt man 2=e”", so erhält man eine Function, die wir durch о (x) bezeichnen werden: со EE Ач ДЕЈ. с vs (15,2) 2 Es ist д? 23 a^ | fo = lgs — a+ 2125 81438 не ғ | . (45,5) | оу в ; Ә(оо)--0. с = lim Е E ده هد‎ 2718 d = 0,5772156649..(15,c) n= Soldner hat (l. c., pag. 43) die Function li (2) für die Werthe von 2 zwischen 0 und 1 berechnet und zwar für 2-- 0,01 — 0,02 — 0,03 u.s. w. im Ganzen 100 Zahlen, die natürlich alle negativ sind. Mit wachsendem т nähert sich w (x) so schnell der Null, dass zw(x) und sogar e^e(z) für 2 = oo den Grenzwerth Null haben. Bei z — 0 wird w (x) unendlich wie (ах. Wir merken folgende Formeln: Феја) е-е я e о nnn (15,4) жын. == L— eer y ee + Za cw 9 te ee у > (15,е) lmiz.e(212504... 2... 0 вуне (15,1) ~ ші 1) J. Soldner «Théorie et tables d'une nouvelle fonction transcendante» München 1809, pag. 7. .- ; Mélanges phys. et chim, Т. XIII, p. 91. 980 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN (8. 8.1 lim ЕС ИРАН ш EE (15,5) шь O her eo (15,1) lim (е. © (pz) | EO Gb A و‎ (151) lim Е (mx) — o (па) | == lg Z ee (15,k) lim [© (x) — lg 2 | --с(-- 0,57721..).... (15,1) lim [о (m-2) — lg nz | =c+lg— а (15,0) EE Bab а entente - (15,2) | Sn amm EA a а (18,0) Alle diese Formeln sind leicht abzuleiten; am einfachsten indem man für sehr kleine x einsetzt о (x) = {gx + c. Für die Grüsse w (а — x) habe ich drei Entwickelungen gefunden, auf deren eventuelle Anwendungen weiter unten nur hingewiesen werden wird. Ich führe die Formeln daher ohne Be- weise an. Durch Entwickelung des Integrales со е— 2 | 244% а gelangt man leicht zu den Formeln: ۱ со n+l 1 set (1) тава 1 1 1 Л, (@) = зат n(n—1)a^—1 ۸۵-10-9002 — o (x — а) = o (x) — өза, (а), ETT gh ` an2 an o, (a) = Ж ыу Зина oss Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 92 (хххш) | THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 231 Zerlegt man w (а — x) direct nach dem Taylor’schen Satze und beach- tet, dass der »-te Differentialquotient — а (т) (.—1n—1eg—z | (=) = =! ee |a" па" n(n— 1)2" e... n(n—1)..3.2.1 |= n—1 = т 186, 80 erhält шап " ‚со zen (а) Sg Ха |е da — o (а) — a n.—a iE 2 Baer, В (а), (16,c) 8, (а) = а" па“ 1 -- n (n —1) a"? -- n (n —1) (n — 2) a" "+... --n (n —1)... 3.2.1 6 4. Wir wenden uns nun zur speciellen Betrachtung der inneren Diffusion in einem Kórper, der durch eine unendliche Ebene begrenzt wird, in welche das äussere Licht mit der überall gleichförmigen Intensität 1 eintritt. Es sei z die Entfernung eines Punctes von der Oberflüche; dann kann i — f (a) gesetzt werden, da in allen Puncten einer zur Oberfläche parallelen Ebene die Leuchtkraft der eingestreuten Theilchen gleich gross sein wird. Ein specieller Punct sei durch x = a characterisirt. Setzt man, s. (14), ,Жа)-із-і--і, uso тоқа ааа won .. (17) so ist, s. (11), wenn das Licht -L zur Oberfläche auffällt, Bildet das auffallende Licht nach der Brechung mit der. Normale zur Oberfläche den Winkel 8,, so Um 4, zu finden, berechnen wir zuerst die Beleuchtung eines Theilchens M, Fig. 2, durch eine unendlich dünne, ‚der Oberfläche parallele Schicht. Es sei 8 die Dicke dieser Schicht und 2 die Entfernung derselben von М. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 93. 232 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [n3 ке Ein Element dv der Schicht habe die Polarcoordinaten (ғ, Фф), sodass dv == rd. ду : 8 ist. Ist à die Leuchtkraft der Theilchen in der Schicht, 2% dv д A M - Fig. 2. so erhalten wir für die, durch die ganze leuchtende Schicht hervorgerufene Leuchtkraft di, des Theilehens M, nach (12), den Ausdruck сад со со j/'s—pR "4 —рЕ di,— ЗЕ ...ون سید‎ = SEIT | Tr rdr.. (18,0) --0” fe, 7а-0 ۱ Nun ist aber R? — 73 + 22; rdr — RAR und für r = 0 ist R= 2, also со со y _ а 87| ет PR aKoi | e—V di,— —3 p ETE Са Ww 2 pz oder | dee боб) aa (19) So gross ist also die Leuchtkraft eines Theilchens, welche hervorgerufen wird durch eine, in der Entfernung z von ihm be- findliche unendliche Schicht, deren Dicke 8 ist und in welcher die eingestreuten Theilchen die Leuchtkraft 2 haben. Hier haben о. und p die in (2) und (3) gegebene Bedeutung; К ist das Albedo der Theilchen, s. (7). Esseinun, Fig. 3, PQ die Oberfläche der Platte; AB eine Schicht; 00 ===, OM — a. Dann haben wir in (19) - Mélanges phys. et chim. Т, XIII, p. 94. (ххх) | THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 233 0 Р. "d 4 x A C В а. M Fig. 3 und für OU HE o, EE, — t em ie, 2--2--а zu setzen. Es ist also a h : «К «К = — | f()e(pa— pz) ds E | f(x) e(ps—pa)dz, .. (90) + =0 quz wo h die Dicke der Platte ist. Da die in (13) auftretende Function Е r (Ф) sich nicht in solche Form bringen lässt, dass die Integrationen зо würden, wollen wir ganz kurz == Кец. symbolisch ausdrücken. Le A Lë ? JA № it > C a 2 Р ; 57 æ4 ји Ж " АТТ 88 В P dv Fig. 4. Melanges phys. et chim. Т. ХІП, р. 95. 4 934 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [N. 8. 1 Um jedoch weiter unten einen wichtigen Satz beweisen zu kónnen, müssen wir die Form der Grösse û, aufsuchen. Es sei (Fig. 4) РО die Oberfläche der Platte; АВ eine Schicht und A’B’ das Spiegelgebild derselben. Dann ist іп (13) В, +R, = MC = CD = MD = В. Genau, wie in (18, с) er- halten wir ۱ со di,— 25 | «СЕРЕ, Е (9). т=0 Es ist Да — 7° + (z +a’; RAR == таг. а __ px+ ра Ferner ist à = dx und cos o == R Setzen wir also F (0 == SIE cs 3! so wird co c RAA е-?Е DT + ра di, “Кё д FL ) aR х--а со e иу) py рх + pa di, | (2222) а. рт--ра Nebenbei sei bemerkt, dass für z > 1—" (wo n < 1 der Brechungs- exponent ist), F von der Form ist: F (2) => re rer; TRETEN u КА : Уа У a IE M. + 22 Für <> 1— ist LM E == +; Setzen wir nun со т. Ғ (ва) ду = Q (px + pa), 1299-00 so wird - | Е % di, = ESE Q (px + pa) dz und endlich in ж oo Вей. =i = =Е | f(x) O (pr FPO. ...... (20,2) ф==0 Melanges phys. et chim, Т, XIII, p. 96. ! | 7 (хххш)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 235 Setzt man іп Q statt x und а die Grösse ћ— 2 und л — а, so erhält шап رو‎ herrührend von der Reflexion an der anderen Oberfläche; A ist hier die Dicke der Platte. (17), (18,а), (20) und (20,а) geben nun die Hauptgleichung für den betrachteten Fall der inneren Diffusion in einer ebenen Platte: f(a = EE a "E | f(x) 0 (pa— pr) dz — ER . ۲۰ ۰ (9 аһ — d f (x) о (px — pa) dz +- ۰ i а Fällt das Licht unter dem Winkel 8 auf die Platte, so ist das erste Glied rechts durch (19, a) zu ersetzen. Ist die Platte so dick, dass durch die Schicht # — а kein Licht direct durchgestrahlt werden kann, so kann in dem dritten Gliede als obere Grenze der Integration À — oo gesetzt werden. Der Gleichung (21) kann, auch bei ћ = co und bei Vernachläs- sigung des letzten Gliedes, durch eineFunction f (a) von der Form Де "4 nicht genügt werden. $ 5. Wir wenden uns zur Betrachtung eines Specialfalles, für welchen die vollstàndige Lósung keine Schwierigkeiten verursacht. Wir wollen die Lichtbewegung innerhalb einer so dicken Platte untersuchen, dass für die in Betracht kommenden Puncte derselben beideOber- flàchen als unendlich entfernt anzunehmen sind. Da in (21) x und а die Entfernungen von der einen Oberfläche bedeuten, 30 ist es besser für diesen Fall selbststindige Gleichungen aufzustellen. Es möge jetzt in Fig. 3 РО eine beliebige Ebene constanter i bedeuten und soll sie uns nur dazu dienen, um von ihr aus die 2 und a zu rechnen. Die Grösse $ = f (a) reducirt sich auf 4. Dieselbe Betrachtung, die uns von (19) | zu (20) führte, ergiebt nun für i = û, in diesem Falle einen Ausdruck, der sich von (20) nur durch die Grenzen unterscheidet; statt о und À werden wir — oo und -+ оо zu setzen haben und erhalten so f(a) — — "К | f(x) o (pa —pa) de — SE | f@)o (pz — pa) dz . . (22) Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 97. 16 256 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN (8. 8.1 Dieser Gleichung genügt eine Function von der Form о en жолақыны (98) Es ist klar, dass hierbei m unabhängig ist von der Lage der Anfangs- ebene PQ; wird diese verschoben, so ändert sich nur der Coefficient А. Setzen wir in (22) im ersten Integral а — 2 = y, im zweiten — а = у, so wird со со «К «К f (a) = —- | Га — у) e (ру) dy — = | f(a+ y) ә (ру) dy. ES, 0 Hier giebt nun der versuchsweise Ansatz (23): со со а · > «K =m m aK ёт "9 ео о (ру) dy. 0 0 Kürzt man diese Gleichung, so bleibt со со — = = €" о (ру) йу | е ۳۷ o (py) dy. ет, (24) 0 9 Da die Grösse а sich weggekürzt hat, so genügt also der Ansatz (23) іп der That der Gleichung (22). Zur Bestimmung von m dient die Gleichung (24). Um die beiden Integrale іп (24) zu berechnen, setzen wir, als untere | Grenze, = statt o und gehen dann erst zur Grenze = — о über. Es ist - >» partieller Integration, 8:(15:6; 424); ie со со e * ۵ (py) dy = И С ‚| М iyu بو وی‎ et 5 iie Е € т S со jii Teb со | p EUN | ә(рде-"9| , 1| emy . _ olp" _ г ете ара nee D Е Е 1 — жо (ps + me). Mélanges phys. et chim. Т, XIII, p. 98. % (хххш)] | THEORIE DER INNERES DIFFUSION DES LICHTES. 5 297 Setzen wir jetzt e = 0, so wird со » од ф--т e"! o (py)dy — 15 ==, GC (рй) dy 1g e à 0 0 Endlich giebt (24) mios ed p—m SCT Eë lg p--m oder i aK р--т ; i r касы WEE UE (25) Diese Gleichung bestimmt also den Exponenten m, d. h. den Absorptionscoefficienten innerhalb der Platte an Stellen, die weit genug (s. о.) von den Oberflächen entfernt sind. Hier ist «, der Absorptionscoefficient für den Fall, dass alle Theilchen schwarz sind, durch (2) gegeben; 9, s. (3), unterscheidet sich sehr: wenig уоп o апа К ist das Albedo der Theilchen. Setzen wir х == p, d. h. vernachlässigen wir die Absorption in der Grund- masse, so können wir (25) in die Form bringen, Diese Gleichung bestimmt das Verhältniss = der Dei den Absorptionscoefficienten als Function des Albedo "dor einge- streuten Theilchen ВОН -= 0, d 1E Sind die Theilchen absolut илк so erhält man aus (26) m == р, wie selbstverständlich. Setzt man m == 0, d.h. % = const., so wird, da lim GG ا‎ == 2 ist, К = 1, wie ез auch sein muss. Für alle anderen Werthe von K erhält man für © =: einen echten Bruch. Ehe wir zu einer näheren Е der Formel (26) übergehen, wollen wir die Bedeutung des Bruches = oder richtiger des Bruches -2 T (> 1) klarlegen und einige neue Termina einführen. Die Grösse p wäre der ` Absorptionscoefficient der Platte für den Fall, dass die eingestreuten Theil- chen völlig schwarz wären. Wir wollen der Kürze wegen diese Platte als «graue Platte» bezeichnen. Findet innere Diffusion statt, so werden wir die Platte weiss nennen. In der grauen Platte findet die Verminderung der Lichtstärke nach dem Gesetze е 27” statt, ist also durch pz bestimmt. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 99. 16* Ф 238 KE DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN (8. S. 1 Wir wollen nun 2 die geometrische Tiefe, pr dagegen die optische Tiefe eines Punctes der grauen Platte oder einer Ebene nennen. In gleiche 0p- tische Tiefen dringt also bei allen grauen Platten gleich viel Licht. Für das Innere der weissen Platte sei ebenso ту die optische Tiefe von irgend einer Anfangsebene aus gerechnet, wenn y die geometrische Tiefe ist. Die Grösse е "У misst zwar eigentlich die Leuchtkraft der eingestreu- ten Theilchen, doch ist diese proportional der an den betreffenden Puncten vorhandenen Gesammtbeleuchtung. Es seien nun z und y solche geometri- sche Tiefen der grauen und der weissen Platte, welche gleichen optischen Tiefen, 4. В. gleichen Lichtschwächungen entsprechen. Dann ist р == ту oder Die Zahl — zeigt also an, um wieviel tiefer ein gegebener Bruchtheil ia anfänglichen Beleuchtung sich in der weissen Platte fortpflanzt, als in der grauen. Wie man aus (26) sieht, hängt diese Zahl nur von K ab, ist aber von p unabhängig, d. h. also unabhängig davon, ob die lichtzerstreuenden Theil- chen mehr oder weniger dicht gelagert sind. Denken wir uns eine Reihe von Platten, in denen in allen die Theilchen dasselbe Albedo K haben. In allen diesen Platten wer- den die Puncte gleicher optischer Tiefe (von einer beliebigen inneren Ebene aus gerechnet) um gleichviel mal, nämlich um = mal tiefer liegen, als in den entsprechenden grauen Platten. Es folgt dies sofort aus der Gleichung y = -2- z. Um die Abhängigkeit der Zahl von К zu zeigen, genügt es für eine Reihe von Werthen des Bruches = die zugehörigen К zu berechnen. Für sehr kleine = erhält man aus (26) Daraus folgt bereits, dass X sehr nahe gleich 1 sein muss, damit die Zahl r1 gross sein kann. Aus (26) berechnet sich die folgende Tabelle Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 100. (хххш) | THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 239 Tabelle IL т. т”. Albedo der eingestreuten H p Tiefe in d. weissen Pl. __ ‚Abs.-Coeff. in d. weiss. Pl. |2 ^ Tiefe in d. grauen РІ. Theilchen K Abs.-Coeff. der grauen Pl. |[Die beiden Tiefen entsprechen gleichen Lichtsehwüchungen.] 0 : "i 1 & (sehr klein) 2. (sehr gross) 1 3 e? КОД Het Vu wal 1004. — ... 0,99996667 44: vue. d aep ui 19. ای‎ uS ль 7 Dd. vu Lois T EE ... 0,9864 Во, Dado coi cs „=. 0,9092 DA SE IE Eyed ... 0,9442 Dis tes ti СОРИ Е 1e. 0,9102 БӘТ و‎ ТА; ماه ام‎ 0.5006 Ero vlla 14101 2. те, 08014 ЗА к РА e E i395 i vo 157092 Dis ile 5t. LTHI. cu 0,01 I7 ОЗ т ی‎ dies 1 01010. . +. 0,3740 о b d. А. Das anfänglich so überaus langsame Sinken der Zahlen К führt zu dem interessanten Satze: Nur wenn das Albedo der eingestreuten Theilchen sehr gross (sehr nahe gleich Eins) ist, d. h. wenn sie fast alles empfangene Licht wieder zerstreuen, wird die Lichintensität innerhalb der weissen Platte merklich langsamer abnehmen, als das von Aussen her in eine graue Platte eindringende Licht mit der Tiefe ge- schwächt wird. Damit die Abschwächung im ersten Fall 100mal langsamer vor sich gehe als im zweiten, dürfen die Theilchen nur Au des empfangenen Lich- tes absorbiren; 10mal langsamere Abschwächung findet statt, wenn etwa 50 absorbirt wird; es muss mehr als 0,9 wieder ausgestrahlt werden, um eine nur 2mal langsamere Abschwächung zu erhalten; absorbiren die Theil- chen 0,387 des empfangenen Lichtes, so geht die Abschwächung innerhalb der weissen Platte nur um + langsamer vor sich, als in der grauen und nur um 39 langsamer, wenn 0,626 absorbirt wird. Mélanges phys. et chim, Т, XIII, p. 101. а 240 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [N::8.1 5 6. Wir wenden uns wiederum zur Betrachtung einer Platte von der end- lichen Dicke h; die Grösse ph werden wir die optische Dicke bei feh- lender Diffusion nennen (wären Ше eingestreuten Theilehen absolut schwarz, also die Platte «grau», so würde der e ?^te Theil des auffallenden Lichtes hindurchgehen, wenn die Reflexion an den Oberflüchen nicht gerech- net wird). Ebenso soll px «die optische Tiefe» eines Punctes sein, der sich in der Entfernung 2 von der Oberfläche befindet. Für die Leuchtkraft eines Theilchens, für welches ж == a ist, fanden wir, s. (20,2) und (21): a к і= Ка وگ‎ ۴ | f(x) о (pa—pa) ds — о 22. (29) һ со тг г) (рва) агенту fix) Q (pz- pa) dx a 0 Wir wollen nun einen, besonders für die Experimentaluntersuchung, wichtigen Satz beweisen, welcher gültig ist für den Fall, dass man f im Vergleiche mit « d. h. die Absorption des Lichtes in der Grundmasse ver- nachlässigt — was wohl stets erlaubt sein dürfte. Es ist dann ж — p, s. (5). Der Satz lautet: Verschiedene Platten mógen bei fehlender Diffusion von gleicher optischer Dicke sein (ph = p, = p, hy == ..... 2. Ване Platten nach einer Seite von unbegrenzter Dicke, h= оо); К sei in allen Platten dasselbe und ebenso die Intensität 7 des in die Ober- flàche eindringenden Lichtes. Dann findet in gleicher optischer Tiefe (pa = p, a, == p, а, == - ---) in den verschiedenen Platten die gleiche Beleuchtung I statt. Kürzer ausgedrückt: in solchen Platten ist 1 eine Function von ар: Li Da dies für das erste, von der directen Bestrahlung herrührende Glied von $, 8. (29), selbstverständlich ist, so liegt die Bedeutung des Satzes da- rin, dass in gleicher optischer Tiefe paauch die Beleuchtung eines jeden Theilchens durch alle übrigen und dureh das an der Oberflüche re- flectirte Licht die gleiche ist. Die verschiedenen Platten Ебппеп sich so- Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 102. 5% XXXIII) | THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 241 wohl durch die Grösse der eingestreuten Theilchen, als auch durch die Dichtigkeit der Einstreuung unterscheiden. Rein physicalisch ist der Satz so zu verstehen, dass wenn die Theilchen grósser oder dichter (oder beides) genommen werden, so wird ein Theilchen JM von den zunächst benachbarten zwar stärker beleuchtet, von den weiter entfernten dringt aber weniger Licht. Beweis des Satzes. Man kann sich die Leuchtkraft $ auf eine Weise entstanden denken, welche analog ist den sogenannten successiven Influenzen in der Electrostatik. Ein bestimmtes Theilehen М wird zuerst direct von ` Aussen her beleuchtet, wodurch ein Theil von % entsteht, welcher durch das erste Glied in (29) repräsentirt wird und welchen wir früher mit. 2, bezeich- net haben. Wir wollen ihn jetzt mit f,(a) bezeichnen, so dass also f, (а) = E EN ДӘРЕ rg еден ۱ $ (30) ist. Mit dieser Leuchtkraft wird nun jedes Theilchen von allen übrigen be- leuchtet, wodurch zu f(a) eine neue Grösse Lie) hinzutritt. Diese hinzuge- kommene Lichtstärke f, kann nun als neue Beleuchtungsquelle angesehen werden und indem jedes Theilchen durch das f,(æ) aller übrigen beleuchtet - wird, tritt zu ја) + ја) das dritte Glied f(a) hinzu. Dieses ruft auf die nämliche Weise f(a) hervor, dieses f(a) п. s. w. Es ist nun klar, dass f,(a) gleich ist der Summe der drei letzten Glieder in (29), wenn f(x) = fi(), s. (30); setzt man f(x) = f(x), so geben jene Glieder /,(x) u. в. у. Ganz all- gemein ist also (wir setzen х = р, 4. В. В == o, s. (5)): a h та) = — Ін, (oo (pa—pz) dz — EI |, () о (ps—pa)dz zl 0 (cts а т (31) oo x до (papa) dz. : i Г ` "Wir wollen nun allgemein beweisen, dass wenn f, (а) = 9, ;(pa) eine Function von pa ist, so ist auch f,(a) eine Function von pa. Es ist in diesem Falle also a h Ра) = —?E | o... (pz) o(pa—pz)dz — ® | e, ~ (pr) o(pr—pa)dz + E S 4 + 2£ | a, (ра) Q (ре pa) dz zu setzen. 0 Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 103. 242 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN (8. 8.1 Führen wir еше neue Variabele pz == ein, so wird pa ph а К а f. (a) = — ® | e, (e (pay) F— | ,0)ө(у-ра) سوک‎ 0 ра со K d +] 9, Di (y + ра) 77 о Hier kürzt sich die Grösse р weg und es bleibt, da ph eine für alle betrachteten Platten constante gegebene Grösse ist, f, als Function von pa, was vorläufig zu beweisen war. Nun ist aber, s. (30), f; das Product aus der constanten Grösse —— in eine Function von pa. Setzt man (30) statt f (2) in (31) und و‎ dass р sich kürzt, so erhalten wir = f, (а) = LE ae LÉ y (ap) = 9, (ap) und Г, (a) = ск b (ар) == e, (ap). 2222227. (31,2) Dies wiederum іп (31) eingesetzt, giebt Кз fa (а) = Tr Фа (ар) = Ф, (ар) П. S$: W. Allgemein wird Ра) = -ZE фу (ap) = o, (ар) sein. Durch Addition erhält man endlich i in der Form = = Чы(@р)............ (32) _ Бо gross ist also die Leuchtkraft eines der eingestreuten Theilchen M, welches sich in der Entfernung a von der Oberfläche befindet. Um nun die im Puncte М stattfindende Beleuchtung J zu finden, wenden wir uns zur Formel (7 », > welcher diese Beleuchtung mit I bezeichnet war. Sie ist also gleich Кү oder es ist die Beleuchtung J J= 72 же ест 9,(ар) = ПР(ар)......... (33) | Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 104, (XXXII) | THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. ; 243 Sind also in den verschiedenen Platten die Theilchen verschieden gross (2) oder verschieden dicht gelagert (r) oder beides, sind aber K, ph und 1 für alle Platten gleich, so herrscht in optisch gleich tiefen Puncten die gleiche Beleuchtung, w. z. b. w. Der Schwerpunct des Beweises liegt, wie man sieht, darin, dass in (3 1) der Factor p sich ۰ Wir haben bei dem Beweise die Glieder von 2 unberücksichtigt gelassen, welche durch die Reflexion an der zweiten Oberfläche (а == h) hervorgerufen werden. Es ist leicht einzusehen, dass auch bei Berücksichtigung dieser Glieder für J ein Ausdruck von der Form (33) erhalten wird. Für die Experimentaluntersuchung beruht die Bedeutung dieses Satzes darin, dass man sehr dünne Platten aus stark zerstreuendem Stoffe durch dickere aus weniger stark zerstreuendem ersetzen kann — vorausgesetzt, dass in beiden Arten von Platten die zerstreuenden Theilchen von einerlei Art (К) sind und sich nur durch ihre Menge oder Grösse unterscheiden. ` 2 Wir haben in § 5 den speciellen Fall der Lichtverbreitung an denjenigen Stellen betrachtet, welche von den beiden Endflächen der Platte so weit entfernt sind, dass eine directe Beleuchtung jener Stellen als nicht mehr vorhanden angenommen werden kann. Im vorhergehenden $ 6 war gezeigt worden, wie wir uns bei einer Platte von endlicher Dicke ћ die wahre Be- leuchtung eines Punctes successive entstanden denken können. Die erste directe Beleuchtung giebt das Glied 5, s. (18, а) und (29); dasselbe wurde in (30) noch durch / (а) bezeichnet. Wir wollen nun das zweite Glied f(a) berechnen, welches durch die erste gegenseitige Zustrahlung der Theilchen entsteht. Da wir sie als einen Zuwachs von à, ansehen können, so werden wir noch die Bezeichnung einführen. Wir setzen also als erste Annäherung ' Cd f (a) ae f, (a) = a Ai, Ferdi... (335) Um diesen Ausdruck zu berechnen, haben wir, nach Dë im vorigen Paragraph Gesagten, in (29) statt Да) die Grösse f(x) = Ж Ee einzu- setzen. Das letzte Glied in (29) vernachlässigen wir E ы So erhalten wir ` Melanges phys. etchim. Т. ХІП, p. 105. 244 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN (8. S. 1 a у Ex 2742 dins i= е "|, P? o (papa) da + 0 5 2.2. (84) +| € © (px— pa) d а Es ist, ра-- px — y gesetzt und dann partiell integrirt: „а ра | ра ра е o(pa—pz) dz = | هه‎ (у) dy = do (pl | = є еи pt ps ریب‎ mer. موه مگ‎ О. کج‎ д ien eg تاد‎ lg ра » fe o (pe) — 1g (р). Nach (15, f) und (15, k) ist der Grenzwerth (für = = 0) des Ausdruckes in den Klammern —c—0,57721..... Also ist a — | 672 о (pa—pr)dr = E | lg ар--с-- e” o (ар) |- (35,2) 0 Setzen wir іп dem zweiten Integral (34) px — pa == y: h | p(h—a) E € " o(y)dy. a б € 2° o (px—pa) dx = Wir berechnen zuerst durch partielle Integration und mit Berücksich- tigung von (15,0) das Integral ра) р-а) p(h-a) «p (h-a) € Уо(ујду = — | о(у) de^" = —|e o(y) € € ; Е Е e EN y цу dy == = 6 PA о(р—ра) + о (2ph—2pa) + |е “ө(г)-- o (2)). Der Grenzwerth des Ausdruckes іп den Klammern ist gleich — 16 2. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 106. (хххш)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. | 245 Also ist h — о (рг—ра) dx = = —Ph+ pa ~ Пе2-не о (ph—pa) — . (85,5) — о (2ph—2pa)}. (35,a) und (35,b) in (34) eingesetzt, ergeben А KIo? --а K? То? — | ول‎ c КЫ ИШТЕЛСЕ?” 7 P077 o(ph—pa) — o [2p (h—a)]]. | Es sei daran erinnert, dass die w nur negative Werthe besitzen. Im Weiteren setzen wir a =». Für unendlich tiefe Platten verschwinden die zwei letzten Glieder und es безш i= à + (Ai) беш HE 67e (Ah), -— (36,3) (Аз,)* بے تس‎ gue Im = ACE lg дар + c — c” o et Für die in Folge der inneren Diffusion entstehende erste, relative Verstärkung der Beleuchtung erhalten wir bei einer Platte von der Dicke hin einer Tiefe а: | à )= ЕЗІ: 2 ap + c — е o (ap) + el o (ph—pa) — .— e [2р (h—a)]). Für unendlich tiefe Platten wird . . (81) (ау о = E воре eP o (ap) ои BIO Ап der beleuchteten Oberfläche ist «= 0 und hier erhalten wir 2 2 ато (6) ES E [1g 2 +e” o (ph) — o (2ph)} билш. (38) und für unendlich tiefe Platten an der Oberfläche die erste rela- tive Verstärkung: (4%) me Dx le 9 =-0,34657 ARLES er0. (38,2) ۰ 1 Zeen Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 107. 246 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN [N. 8.1 Ап der entgegengesetzten Oberfläche ist а — und da die Summe der letzten zwei Glieder in (37) hierbei den Grenzwerth — (92 erhält, so wird в. К ph WI 3 De ph--c— e^ o (ph) ) ре (39) In der folgenden Tabelle II sind die Werthe der Grössen (Ai)! 7 ® und m ?=% für verschiedene Werthe von е ^? nach der Formel (37,4) aus- 1 gerechnet. Da о (ар) = li (e^ “?) ist, so können aus den Soldner'schen Ta- feln die Werthe der w direct entnommen werden. Das erste Glied von 2, s. (36), bezeichnen wir durch +, (а); dann ist ePi = я die Ab- schwächung des Lichtes in der Tiefe а bei fehlender Diffusion, 4. h. in der «grauen» Platte. Tabelle U. Die Platte ist unendlich dick; ћ = со. ei fg == (Афу С == (5%. جع‎ |, TEST АИ ы +с—еар‏ 900 !زا à (0) 1KI6? . {152 ap+c—eap w (ap)} 2 Eech 1(а--0).| 0,34657 77. . | 0,34657 K(- 2) 0,99....| '0,36811 — ...| 037182 K 0,9....1- 0,44695 2 --.:.|..0,49661-К 0,8.... 0,47515 — ...| 0,59394 К 0,7552..| 0,4778 --... 0,63202 К 67 ....| 0,7465. — ...| 0.67807 К 0,6....| 0,45297 — ...| 0.75496 К 0,5....| 0,42029 — ...| 0,84059 К 0:4... 086305 — ...| 0,902704 K 0,3 ....|° 0,29710 — ...| 0,99033 К 0,2552. 2270,21710 — | 1.0859 K 01....| 042141 — ...| 1,21409 X 0,01 ...| 0,01490 — .:.| 1,49025 К Sehr kleine Zahl Sehr kleine Zahl Sehr grosse Zahl 1g2 ap О==(а = со) 0 oo Für sehr kleine Werthe der Grösse е "P, also für sehr grosse ap wird das letzte Glied in der Klammer, — ео (ap), sehr klein; für e “= 0,99 ist jene Grösse gleich 4,03296 (für e^ ^P — 1 ist sie oo); für е ^? — 0,01 ist sie nur noch gleich 0,18297. Mélanges phys. et chim. T. ХІП, p. 108. (хххш)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 247 Desto tiefer wir in die Platte eindringen, eine desto grössere erste, relative Erhöhung der Helligkeit finden wir also. Die absolute Grösse WITT dieser Erhöhung hat nicht etwa ihr Maximum an der Oberfläche, sondern wächst anfangs mit der Tiefe, erreicht ein Maximum und sinkt dann wieder, um schliesslich unendlich klein zu werden. Das Maximum der Grösse (Ai, == XT e "P (1g 2 ар + с — е w (ар)) findet statt bei 122 ар--с--0 oder e Ры NT ees 0,7552 Ave Б: de wow жс o» % (40) und ist der Maximumwerth gleich EO. — Kin --а- № (0,7552) = 0,4773 ۰ ----. Es ist das Verhältniss із +», (44) max. h= (му = 1,3441: $ 8. Wir wenden uns zu Platten von endlicher Dicke h. Іп den hierauf be- züglichen Formeln (35, b), (36), (37) und (38) findet sich überall eine Func- tion, die wir hier der Kürze wegen durch ^ (2) bezeichnen wollen, nämlich At se og oD ..........:. (41) Die Werthe dieser Function sind stets negativ und wachsen von — 192 = — 0,69315 bei x = 0, oder е ^ = 1, bis Null bei 2 = со oder e %-- Es ist Ar) =e "Die "ischte >) und daher nach den Soldner’schen Tafeln leicht die folgende Tabelle auszurechnen: Mélanges phys. et chim. T. ХШ, p. 109. , 248 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN Tabelle ПІ. 4% Х(а)-- 677 o (x) — o (22) 1 er .- 0,69315 (-= — lg 2) 0,9 . 3512921810 0,8 .— 0,27659 0,7 — 0,18222 0,6 .--0,11652 ӘР 42 72007067 0,4 |. .—0,039385 0,8 .— 0,019083 0285. 00 OIX V Св — 0,0014092 0 (e ===), ۱ 0 (к. 8.71 Wir wollen nun für verschieden dicke Platten speciell die beiden Ођег- flächen in Betracht ziehen und zwar mit Hülfe der Formeln (38) und (39). Es ist ph die optische Dicke der «grauem Platte (d. h. bei fehlender Diffu- sion); е ?* ist die, durch die directe Beleuchtung an der Grenzfläche A erzeugte, Leuchtkraft, die an der anderen Fläche gleich Eins gesetzt: (à), о = 1 oder, was dasselbe ist, die Lichtabschwächung in dieser grauen Platte. Tabelle IV. Lichtabschwächung hero relativer Helligkeits- Erster, relativer Helligkeits- in der Platte bei an der ersten Ober- | zuwachs an der zweiten Ober- fehlender Diffusion AM fläche, («graue» Platte) M M SÉ us (à), ( Tu )=з 5 [1g 2 + (ph)]. ( iv ees 1 (h—0) 0 0 0,9 0,13752 К 0,15004.K | 0,8 0,20828 K 0,24737 K 0,7 0,27546 K 0,33150 K 0,6 0,28831 K 0,40839 K 0,5 0,31124 K 0,49402 K 0,4 0,392688 К 0,56107 K 0,3 0,33703 К 0,64376 К 0,2 0,34301 К 0,73937 К 0,1 0,34527 К 0,86752 К 0 (h=) 0,34657 К = و وگ‎ оо Melanges рһуз. et chim. Т. XIII, p. 110. (ххх) | THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. ۰ 249 Aus den Zahlen dieser Tabelle lässt sich nun die folgende ausrechnen: Tabelle V. Als Einheit der Leuchtkraft dient (4), 2, d. В. die an der ersten Oberfläche durch die directe Beleuchtung erzeugte Leuchtkraft (0) о 1. ph = optische Dicke der «grauen Platte (bei fehlender Diffusion); е —Р^ — Lichtabschwüchung || in derselben Platte = Beleuchtung OD ал der zweiten Oberfläche bei fehlender Diffusion. Bo (ыш) дайы Ааа سود‎ Alass бен Ађан a. Ka La (Ala o | Aia=h: | (буна а= (+ Аба А ДЕЙЛЕ x K= 1 (h=0 0 1 1 1 1 0,9 0, Тен К | 0,9504 К |1--0,18752 K | 0,9--0,13504 К) 0,9099 | 1,011 0,8 0, 20898 К | 0,19790 К 7| 1 + 0,20828 0,84-0,19790 К ‚8259 | 1,082 0,7 0,27546 K | 0,23205 1 + 0,27546 0,74-0,23205 K| 0,7807 | 1,044 0,6 8831 K | 0,24503 -+ 0,28831 0,6--0,24503 K| 0,6559 | 1,098 0,570377| 0,29399 K | 0,249046 K 1--0, 29999 К (0,5704--0,24905 К — 0,5 0,31124 К | 0,24701 К |1-- 0,31124 0,5--0,24701 0,5698 1,116 0,4 0,32688 K | 0,22443 К |1 + К 0,4--0,22448 К 0,4706 |1,178 0,3 0,33703 К | 0,19313 К |1--0,38708 К 0,3-+0,19313 EI 0,3688 | 1,229 0,2 0,34301 К | 0,14787 К | 1+ 0,34301 К А ‚14787 К| 0,259 1,295 0,1 0,34527 К | 0,086752 К : + 0, 34527 К 0,12-0,08675 К| 0,1888 |1, 388 0(һ--оо) 0, 84657 К 0 1+- 0,34657 К 0 0 Von besonderem Interesse ist hier die dritte Colonne, welche den ersten, absoluten Lichtzuwachs (infolge der gegenseitigen Zustrahlung der Theil- chen) an der zweiten Oberfläche (x = h) der Platte angiebt. Es ist, $. (39), (Ay Жете Igphc—etto(ph)y ....... (42) immer (4) , = 1 gesetzt; с == 0,5772156649 . Diese Grösse hat ein Maximum bei [gph + с = n d. h.. Ме == 0561463 oder —е g P toT Sonir BTO uue M و‎ ei (43) Dieser Maximumwerth ist gleich — Косм) = Xni (e°) = 0,219046 К. Der, durch die gegenseitige Zustrahlung erzeugte erste, abso- lute, Zuwachs an Helligkeit an der zweiten Oberfläche der Platten Melanges phys. et chim. T. XIII, p. 111. 250 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN (8. 8. 1 wächst also anfangs mit wachsender Dicke der Platten und ег- reicht ein Maximum, wenn die Platte bei fehlender Diffusion = 6 е SCH 0,570377 des auffallenden Lichtes hindurchlassen würde. Der Zuwachs ist gleich 0,249046 K. Interessant ist auch die vorletzte Colonne, welche für den extremen Fall К--1 das Verhältniss с der, an den beiden Oberflächen stattfin- denden Beleuchtungen darstellt, wenn die erste gegenseitige Zustrah- lung berücksichtigt wird; die erste Colonne enthält dasselbe Verhältniss e 28 für den Fall, dass gar keine gegenseitige Zustrahlung stattfindet. Die Zahlen der letzten Colonne zeigen endlich um wieviel, bei К = 1, in Folge der ersten gegenseitigen Zustrahlung, in gewissem Sinne, die Durchdringbarkeit der Platte für Licht gewachsen ist. Nehmen wir z. B. eine Platte, welche 0,7 des auffallenden Lichtes durch- lassen würde, wenn alle eingestreuten Theilchen absolut schwarz wären; es wäre also 0,7 für diesen Fall auch das Verhältniss der an den beiden Oberflächen stattfindenden Beleuchtungen. In Folge der ersten gegenseiti- gen Zustrahlung wird dies Verhältniss gleich 0,7307, wächst also um 0,044 seines Werthes. Diese Zahlen sind von Bedeutung als Grenzwerthe bei K — 1, wenn die Theilchen alles erhaltene Licht wieder ausstrahlen. Bei К < 1 werden die с den e 7^ und die Zahlen der letzten Colonne der Eins näher kommen. : § 9. Wir haben bisher nur die Grenzwerthe der Grösse Ai, betrachtet, wel- che а == 0 und a — ћ entsprechen und wenden uns nun zur Untersuchung dieser Grösse für a, welche > 0 und < hist, d. В. wir wollen den, durch die gegenseitige Zustrahlung erzeugten, ersten, absoluten Lichtzuwachs Ai, für Puncte, die innerhalb der Platte liegen, untersuchen. Wir sahen im vorhergehenden. 8, dass für unendlich dicke Platten das Maximum der Grösse Ai, in einer Tiefe liegt, welche durch e ^" = 0,7552 bestimmt wird. Es zeigt sich, dass auch für endliche Platten ein Maximum der Grósse Ai, existirt; dies Maximum liegt in einer Tiefe, die stets geringer ist, als die durch е ^" — 0,7552 definirte und stets näher zur ersten Oberfläche, als zur zweiten. ۱ Wäre die erste Beleuchtung i, = const. С), so würde durch die ge- genseitige Zustrahlung ein erster Zuwachs Ai, entstehen, welcher sich leicht ‚berechnen lässt, indem man in (34) statt е ?” ein Constant = C, einsetzt. Man erhält (durch einfache partielle Integration): Mélanges phys. e& chim T. XIII, p. 112. ~ Gomm! THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 251 Ai, = 5- (2 — pa-o (pa) — (ph — pa) o (ph pa) Ces }C (43,3) (die w sind negative Grössen!). Das Maximum dieser Grösse ist bei | о} und ist gleich (Ai). о K[1— о (4) ER ۱0,۰ ۰۰۰ (48,5) او а = 74‏ während ап den beiden Oberflächen‏ : , К Ss (М), عم‎ (Ай) a = 5 [1— pho (pl) —e7"1 &. . . (43) ist. à Für eine Platte, deren Dicke z. B. durch e? — 0,81 definirt ist, wäre (Ad) _ و‎ =0,28710 6, und (А4) --(А4) , = 0,21934 С. In Wirklichkeit ist aber 4, nicht constant, sondern variirt nach dem Ge- setz Ae "^. die erste Beleuchtung wird desto stärker, je mehr wir uns der ersten Oberflüche паћегп, daher auch das Maximum паћег zur ersten Ober- fläche hinrückt. Der allgemeine Ausdruck für Ai, ist, nach (36), (wir setzen, wie früher a — p und (6), _ = ER 1) асшш0 77 Ai, = Eg 4 Пе 2 ap +c— e” o (ap) + + е (Зо (ph — pa) — о (2 ph — 2 ра)}. Diese Grösse erhält ihren Maximumwerth bei einer Tiefe ap, b eis durch lg 2 ap +c— о (2ph —2pa) =0 ......... (45) und ев ist (Ana == À — o (ap) + e? o (ph — pa) |. iR d (46) In (45) ist — o (2ph — 2pa) eine positive Grösse ; es muss daher lg 2 ар--с<0 sein. Dies giebt Melanges phys. et chim, Т, XIII, p. 113. 17 252 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN (%:8:1 ар > 3 67۴: ар<<0,28074 unde > > Ve oder e ^? — 0,7552. Die für ћ = oo gefundene Tiefe, in welcher Ai, seinen grössten Werth erhält, ist also eine maximale. In Platten von endlicher Tiefe A liegt der grösste Werth, (Aö)max., in geringerer, durch (45) bestimmter Tiefe. Es ist schwierig aus der Gleichung (45) für einen gegebenen Werth von ph den zugehörigen von ap zu finden, dagegen ist es leicht umgekehrt diejenige Plattendicke ph (oder den Werth von в ?*) zu finden, bei welcher Ai, seinen Maximumwerth in einer gegebenen Tiefe pa oder bei einem ge- gebenen e ?^ erhält. Tabelle VI. Maximum von Ai, Wenn die Dicke ћ der befindet sich in einer Tiefe, I. für welche e = Platte ergiebt für e—Ph— 0,7552: = у er‘ ` D (ресімі 0,8 0,4913 0,9 0,7856 0,906 0,8000 0,907 ۱ 09 0,91 0,8089 dëng? — 5 0,9171 0,99 | 0,989 1 ; (+ @ 0) In einer Platte, für welche e”?? = 0,8, befindet sich das Maximum von Ai, in einer Tiefe, für welche e^ ^? — 0,906 ist. Dieser Maximumwerth ergiebt sich aus (46) als gleich 0,2665 K, wührend an den Oberflüchen (s. Tabelle IV) 0,20828 K und 0,19790 K gefunden worden war. Ich habe für diesen speciellen Fall (e P == — 0,8) auch noch zwei Mittel- werthe von Ai, ausgerechnet und zwar für e^? — 0,95 und € — 0,85, unter Zugrundelegung der Formel (44): Mélanges phys. et chim, T. XIII, p. 114. (хххш)] THEORIE DER INNEREN DIFFUSION DES LICHTES. 253 Tabelle VII. Dicke der Platte definirt durch e^?" = 0,8. I" “1(а-0) 0,2083 К bia 0,0522 0,2580 К 0,0987: 0,906 | 0,2665 X (Мах) 0,1625: 0,85 : 0,2544 К, 0,2231 0,8 (a=) 0,19790.К Stellt тап die А? graphisch als Function Was dar, so erhält man еше Curve, Ше etwas steiler zuerst sich erhebt, als sie nachher wieder sich senkt. - Der Scheitelpunet befindet ‚sich: nicht in der Mitte, sondern ist gegen die Ordinatenaxe verschoben. Wir finden noch für dieselbe Platte (e^ *^ = 0,8) ULM d opem à ==<1,2794. Für л = oo war die entsprechende Zahl gleich 1,3771. Wir haben uns in den beiden letzten Paragraphen lediglich mit der ersten durch die gegenseitige Zustrahlung entstehenden Vergrösserung von а, beschäftigt. Ді, s. (44) = = 1 gesetzt), ist nichts Anderes, als die in (31, a) mit га (а) bezeichnete Grösse. Um weiter zu gehen, müssten die Г, (а) berechnet werden, das ist, die Leuchtkraft, welche ein Punct in der Tiefe а erhält infolge davon, dass er von allen übrigen mit der Leuchtkraft Ai, = ЈЕ (а) beleuchtet wird. Es müsste іп (44) z für а und der so entstan- dene Ausdruck statt f, ., (2) in (31) eingeführt werden, Mit Hülfe der For- meln (15, т, 0,) können die 80 ‚entstehenden Integrale zwar ausgerechnet werden, doch erhält man hierbei Ausdrücke yon zu wenig handlicher Form. Es frügt sich nun,. in welchem Falle der Ausdruck (36) eine wirkliche An- näherung an den wahren Werth von i darstellt? Wenn die Platte eine be- deutende optische Dicke hat und K gross ist, so ist dies durchaus nicht der Fall — übrigens ist im $ 5, s. (23) und (26), für ein beliebiges К der Werth von 2 für Puncte gefunden, die sehr weit von den beiden Oberflächen entférht sind — es ist dies gleichsam eine Grenzform, welcher sich die Func- tion % mit wachsender Tiefe und Dicke assymptotisch nähert. F | Der in (36) gefundene Ausdruck von i = 4- Ai, und die in den Tabellen II, V, УП ausgerechueten Werthe der Ai, können als wirkliche Annäherungen gelten, wenn Ж klein ist, die einge- Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 115. 17* 254 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN (8. 8. 1 streuten Theilchen viel Licht absorbiren und überhaupt nur eine geringe innere Diffusion vorhanden ist. 5:10. Für Platten von geringer optischer Dicke, für welche etwa e" P nicht < 0,7 ist, lassen sich für die Werthe der 4 ziemlich enge Grenzen angeben, innerhalb welcher sie sich jedenfalls befinden müssen. Die Grösse Ai, hat ein Maximum bei dem durch (45) gegebenen ap und erreicht ihren kleinsten Werth beia—h. Es sei КЕТ M— 4 Min A — (А), _, = Cain. Denken wir uns alle Werthe von Ai, durch einen constanten Werth C, ersetzt, d. h. legen wir, statt der von den beiden Oberflächen nach Innen zunehmenden Beleuchtung C eine überall constante C, der weiteren Rech- nung zu Grunde. Diesen Fall behandeln die Formeln (43, а), Gë b) und (48, c). Es sei ph 1 = o ZE m Wir erhalten an den beiden Oberflächen eine Minimumlichtstärke Кө, und in der Mitte der Platte ein Maximum ۰ Nehmen wir nun statt der А4, in allen Puncten der Platte den Мах.- Werth Cmax.; so erhalten wir an den beiden Oberflächen die zweiten Zu- wüchse der Lichtstärken KmCmax. und in der Mitte KnCmax. Die so erhal- tene Lichtvertheilung ersetzen wir wieder durch eine überall constante, gleich dem Maximalwerth KnCmax. derselben. Dies giebt an den Oberflächen K’nmCnax. und in der Mitte Kn Cmax. Wiederum nehmen wir für alle Puncte als neue Lichtquellen die constante Intensität Fn Cnax. und erhalten an den Oberflächen КЗи und in der Mitte K°»°. Indem wir so immer weiter gehen, erhalten wir Reihen, deren sämmtliche Glieder zu gross sind. An den Ober- flächen erhalten wir О: Кт 1 + Kn + Ку? + Ки? + .. } == Са und in der Mitte der Platte À u TT к Кп (1-- Kn + Km à À = Cas Hätten wir statt Cmax, den Werth Сш. angenommen und weiterhin: jede Lichtvertheilung durch eine überall constante, gleich den Minimumwerthen Melanges phys. et chim, Т. ХИТ, р. 116. (ххх) | THEORIE DER INNEREN DIPFUSION DES LICHTES. 255 Km Onin. , Kim Су ۱۵ Ош» в so hätten wir ап den Oberflächen DES Cmin, und in der Mitte zs Onin. erhalten. | Setzen wir also, s. (36), i= EE URS Ai, + 3i, | Vorne каз ур .. (48а) wo $ =e 74 und Ai, in (44) gegeben ist, so ist ап beiden Oberflächen mK тК 1—nX Oo 5 УДАРЕ > 1-тК La und in der Mitte der Platte по en à (49) nK ғ DE Сны. > (8), 4-2 7i-mk Cain. Hier sind m und n in (47) gegeben. Ferner ist, s. (39) = (Ai) _ == Ze [в ph-+ c— e” o (pl) und Cmax. = Max. Ai, durch (45) und (46) bestimmt. Für alle anderen Puncte der Platte erhält man die entsprechenden Grenzen, wenn man in den Zählern der Ausdrücke (49) statt m und n die allgemeine Grösse 4 setzt, welche man erhält, wenn man (43,a) in der Form Ai, = КС, schreibt. ет Die Dicke der Platte sei durch e 9^ — 0,8 definirt. Dann ist, Tabelle VII, > | Сы = 0,2000 I5 Спа. 0,1979. Ferner erhalten wir aus (47) m = 0,2265; n=02961. Es ist also, aus (49), an den Oberflächen 0,06036 К? : . 0,04482 K? 1—03980& > ia f p > 102655 und in der Mitte 0,07944 K* M _ 0:058994 K^ — ток > On), > TOBE ° Es sei beispielsweise К == 0,75. Dann ist Mélanges phys. et chim. Т, ХШ, p. 117. 956 DR. 0. CHWOLSON, GRUNDZÜGE EINER MATHEMATISCHEN THEORIE U. S. W. [N. 8.1 0,04384 > Qu, n > 0,03001 pm. 0,05770 > (Si) » > 0,08950. 2 а == „Für dieselbe Platte ізі, в. Tabelle УП, (А4),-- 0,2083 - 0,75 = 0, 1562; mr 1979 - 0,75 = 0,1484; da ferner (% = 1 und (4), = 0,8, so giebt (48, а): bei а-- 0 SS er 1,2000. > à 1862. und bei a—h E 0,9922 22102 <> + поета Е Der Werth der Helligkeit ist also innerhalb zweier Grenzen eingeschlos- sen, die sich um etwa 1,3%, von einander unterscheiden. Das Verhältniss der, an den beiden Oberflächen stattfindenden Beleuch- tungen kann sich nur sehr. wenig von. der Zahl 0,8266 unterscheiden, während es bei fehlender Diffusion 0,8 gewesen wäre. Die Grenzen, innerhalb, welcher wir die Grösse: òi eingesehlossen haben, könnten noch. viel enger gezogen werden, wenn wir, statt für.Ai, in der weiteren Rechnung Constant zn setzen, eine andere, der Wahrheit nüher kommende Function eingeführt hätten, 2. B. eine parabolische Abhängigkeit der Grösse Ai, von À oder vielleicht von e H. Ist aber е2" < 0,5, oder gar e" ?"— 0 (für welchen Fall die Zahlen А4, der Tabelle П gelten), so wird jede ähnliche Methode der Annäherung hinfällig... Auf den. Fall е == 0 bezieht sich der $ 5. Mélanges phys. et chim. T. XIII, р. 118 (хххш)] ya , 957 Sahidische Bibelfragmente. I. Von Dr. 0. у. Lemm. (Lu 16 23 mai 1889.) Herr W. v. Bock, Conservator an der Mittelalterlichen Abtheilung der Kaiserl. Eremitage, hat von seiner im Auftrage der Kaiserl. Eremitage im Winter 1888/89 unternommenen Reise nach Aegypten ausser einer sehr be- deutenden Sammlung von Gewündern und Erzeugnissen der Textil-Industrie aus christlicher Zeit‘) unter anderen kleineren Gegenständen, als Stelen, Ostraca, Kreuzen, Menas-Vasen etc. auch drei koptische aus dem Funde von Deir el-Abjad?) stammende Handschriftenfragmente mitgebracht und letztere der Kaiserl. Gesellschaft «der Liebhaber des alten Schriftthums» (Императорское Общество любителей древней письменности) zum Geschenk gemacht. Der Secretär der Gesellschaft, Herr Prof. Pomjalowski, über- wies mir die Fragmente zu näherer Prüfung, wobei sich herausstellte, dass sie sämmtlich sahidisch sind. Eines derselben bereichert die sahidische Bibel um einen längeren Abschnitt des Alten Testamentes; dasselbe enthält Pro- verbia ХІ,16 — ХП,18, welcher Abschnitt unter den Borgianischen Frag- menten fehlt. Die übrigen zwei Fragmente enthalten Abschnitte aus dem Evangelium Johannis, das eine Cap. X, 8—29 und das andere Cap. XII, 48 — ХІП,9. Diese Stücke sind bereits aus den Publicationen von Woide, Min- garelli und Amélineau zum gróssten Theil bekannt, doch ergänzen sie manchen lückenhaft erhaltenen Vers bei Woide und enthalten interessante . Varianten, so dass es immerhin sich der Mühe lohnt, dieselben mitabzu- drucken. : Fragment I. — Zwei zusammenhängende Blätter, in zwei Columnen ge- schrieben, enthalten die Seiten ће — мё, gr. 4°. Der Schriftcharacter | kommt deni des Cod. Borgianus 150. bei Нугын am nächsten, so dass wir die Handschrift mit ziemlicher Sicherheit ins XI. Jahrhundert setzen können. — Proverbia XL,16—XIL13. 1) s. die Beilage. 2) Über das Kloster « Deir el-Abjad» oder «das weisse Kloster» vergl. Butler, The an- cient Coptic Churches in Egypt. Oxford, 1884. — Vol. I, pag. 351 u 3) Album de paléographie copte pour-servir à l'introduction paléographique des Actes des Martyrs de l'Égypte. Paris, 1888. Fol. — Taf. XI, № 2. Mélanges asiatiques. T. X, p. 5. | 258 DR. 0. VON LEMM, (8. 8.1 Fragment II. -- Ein Blatt, in zwei Columnen geschrieben, enthält die Seiten рме— ри. Fol. Die Schrift kommt der des Cod. Borgianus 25. am nächsten, so dass dies Fragment ins VIII. oder IX. Jahrhundert zu setzen sein wird. — Evang. Johannis X, 8— 29. Fragment III. — Ein Blatt, in einer Columne geschrieben, enthält die Seiten qe— p. 4° min. Die Schrift deckt sich fast vollständig mit der des Cod. Borgianus 109, و‎ so dass die Handschrift ins IX. Jahrhundert zu setzen ist. — Evang. Johannis XII, 48— XIII, 9. Melanges asiatiques, Т. X, р. 6. (хххш)] SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. 1. А. PROVERBIA ХІ, 16—21. 16. Wape 5 + ме сожите омот тот нес отеоо” M HECORI :۰.۰ > Отеронос жен + сощ ‘° пе от сотме есмос те нонмит ме :۰۰۰ #9 . Hpeyx naar + нәеророо он ۲ рммао e > Нжооре же + натажро он тмитрм MAO :..۰ 2% 17. бреотромен + мант ераса eon MreqY}T KH.“ cL Патна хе на + теңе neq сома : ۰. سم‎ 18. Wape пасевис + ер омобите nxin боне : — Сре петхо AIL IE. е7 | = же ۵ остин ерооё Melanges asistiques. Т. X, р. 7. _етистїс: е» Ovbrne Аме ne лесперма HHATRAIOC : ebe 19. Сухпо nor шире HAT ۱۵1۵6 епоно : e% <]سنت‎ 6 хе мпасе бис ne nao» : e% 20. QGSenanaeap == тос инаоре M пиотте не инашт HT c —Отботе Ano o eic пе ۵ _ ме өп ۲91 : e Сещни жен nappa n51 от он MIM етот лаб on теч -os let 21. Петнашен TOOT' нота он отоу мбоме ۰ nana ujone an eqosaaf € Ra фе à Петжхо хе моу 259 260 22. 24. 25. DR. 0. VON LEMM, (8. 8.1 А. PROVERBIA XI, 22—29. м مب‎ этой оо зар 8 ۲ отмннше c qnaxibene ——gevopq ` “> ۱۲07۳۲16716 : Песмо хе инт Hee ۵۵۵ ех TANE M + egon Waa ner? ebe те нохешо. .27, Петмеете eon Тәл те ee мп петнано у + са ножсолме enne нех echaane ` مه‎ опхарсена Hanos no» _ 7 De et + ош 5 Ппееооу xe нә ۱۱۱۱۵11۵06 : — Tage нет ۱ : жен wine исо » ۱۵ go --от ыйга" ӨЗ rer EE 28. Петко нео Ози : петхо и тич еулит ‚ + нота ммм PAR р ча ۱ MMOY, ep --фег : QOTO МАЦ : ۰۰۰ > Herma же ин Оз нетсо pure cenama * ovo 2007 € кәріге м ET ато MOS 5°, ETWAAT : Петнот M M 29 Фухи ипм € nem en от + тотсмот е ерос жін бонс. eg роотт та e мака энем 26. Nanor o»po + ме же ди ичеч CONT : +. Петет 6۵ + сооти шаре Melanges asiatiques, Т. X, р. 8. v TA Hanr? и wur е,‏ هی( Пете ме: хе ди мпеч HI HARAHPO (ххх) | SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. I. 261 А, PROVERBIA XI, 30 — XII, 5. MA toner нон мот ихоре титан _ Мтпнотте IH: eto Паеит нар Ере отроме + ОмовА мп xe ирецчместе саће :-:: ei 0۵۵ 30. Own оущин 2 ۳۵11061 : == + поно ебоћ | 3. Mi роме ма. ом 6 COTTA EROA ` “итал 22... P отаномта · ër CTHA па Ниотне хе ми Сенамототт AFRAIC на + лему. пори AUDI о хи menapa 4. Озклом Ж: HOMÊ Ds مه‎ песоат пе o»c en ۲ + QIME HS UIC و۲۵0۵‎ ss E 31. Cmse wore Hee моубит 200% ере ۰ еден orge: e ROTA A ebe = Ато organe Cie ере преңрр | — 9н озштии: = = нобе ми па Ta: те ee етере себне ихозо отеотме есбах но CHON тон ` «+ не na vane: хп, 1 Wapenerme | месат + n +. wrecho ме 5. —=бидап nume "pe тесеесте : · + ете mno ۲ Озгент хе | og t^^ مه‎ + пе nerMoc -т-Шәре масе | те инехтио : — bac me ер — 2. Нанот nen _ - омме поми + Taype сто род :۰ ۰ > Melanges asiatiques. Т. X, р. ۰ 262 DR. 0. VON LEMM, [N. 1 А. PROVERBIA XII, 6—13. MSA‏ ند Tranpe ин ken ۵‏ .6 мас на таңсоте :۰ <>‏ + Tor OO > = Виатна хе‏ Откроц тет ۱۲۸۸۵۱۱۲۲ 1‏ Tanpo инасе HOTHY ина‏ + Вис : «5 сећис iv‏ Пасебнс мата 11. Петероов‏ .7 RO OM има епецчкао на‏ + етечна ноту CE OGIR i p Ae‏ ероц : •> Петпнт же‏ Hui хе mar мех өмпет‏ калос намоти отет ox‏ + ећод : e ATCO не : +. >‏ Wape npeun Петотно 9‏ .8 ue мире pei өн ма и‏ + мнонт € сенри > quta‏ MOT етечта RO noyeouj‏ TPO i+ ei фи нечма и :‏ Шако = щение : =‏ хе Mca 48۵ 12. Henderna‏ + enl nia cehnuc‏ Озтроме eqo n goen :۰۰۰ 6‏ .9 өмдәА nag Сре nnorne‏ + ov ме ne ۲‏ و هه cou · epore нотте фи gen‏ нетфесот. тәрә :۰۰۰ >‏ мач отаач egp 13. Пречрноће na‏ تلحر бро ом noen: ое‏ 10, Wape narre + ocna- ине етће ммит митре >» Mélanges asiatiques. T. X, p. 10. ; | (хххш)] 22. SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. I. 263 B. EVANGELIUM JOHANNIS X, 8—18. 9 1 ме ATA ۵ 6۲6001۲6 ме ХАЛА мне несоот соты. ероот · ANOR ne про EPWA ота ظ‎ eoo» or тоот 1۵0۵1 - qunabon eoo?‏ موجه nien ебод nqoe ev‏ мә ммооме ·‏ Прецхлотуе меч ег erbe Ахат егми ті XERAC, eqeoo UT + AO ичијо OT · ATO HqTARO - Anor италег же RAC ETEXT NOTOW MP ато HCEXI м 079070: AMOR ne пшос етнано nujoe етнанот WAYRA vrequ»^cH фа нецесоот Xo aibene AC ете нотшцос AH пе HAI етепоуц at не ۵۵ ۰ WAUHAT enoso uj ецинт aoo NYRA 7 ۱111117 ATOA Wape лото торпот qoo Melanges asiatiques. Т. X, р. 11. 13. ка сл һы e ga рот ۸ же оу 2۶ ۵186 пе ATO ۸۸۱1۲6010007] an пе ог месооу ۰ ANOR пе муос ETHANOTY · ATO | Тсооун ۵ ато HO?! соотун ммог + вата ee бтере тот со OTH MMOL · ANOR оо Тсооти ми от > ATO Faro нтелружи HA на есоо”. QyHTAI Он мма“ noenne eco07 engene бод am не ом ner оде · ато метм MAT ON pane етра соотоот > ATW се HACOTM ETACMH мсещопе noy оде HOTOT: · от WOC HOTOT . Cre паг плет ме ммогже {на . 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MICRAPION не жеңге eqenapao XOT ммоц ۰ — ецсооти i55 1c же à neior nenns HIM еорат eneqoío- ATO же итацег ебоА отм пнотте ATO ечна epar мимотте. — aq TOOTH ом 1۱۵1111۲01۲ ۰ AURA месоогге eopar · дохт ноэДенолон ааморо ммоц + ATOM әлинжмоот етАе ками. aqía]pocer нео инеотерите инечмаентне ATW ецотоу м NAEHAIOH етмир MMOY: — aser бе WA cimon петрос · nexe пн нач же ижове HTOR етидета наоте рите ۰ à 16 отоша пехач nay же пе{ере ммоч HTOR иссооти ммо AM тенот · минсос хе RHAELue ероц · nexe петрос над же инаңнаан егарат енер + а тс OTO WE пез ац нац xë егтлтарати MEHTR мере мммах ۰ пехач нач HST 1۱۵۲ же по дете + ох монон наотернте VARIAE ۰ [х. 8. = Amélineau, Fragments thébains inédits du Nouveau Testament, Evangile selon St. Jean, in «Zeitschrift f.-Aegypt. Sprache u. Alter- thumskunde». 1886; pag. 103 ff. Mélanges asiatiques, T. X, p. 14. (хххш)] SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. I. 267 Ev. Joh. ХП, v. 48. W. ngae носот 49. W. пентелија e W. пет | W. нотентоди ҮҮ. пефнататоц Dieser Vers ist bei Woide überhaupt sehr lückenhaft und wird durch unser Fragment ergänzt. 50. W. ۲ 5. ۸۰ moor ХШ, 1. A. течно 1 етАгңганн А. xe га жевае ۸۰. А. ۱۱6 иммаентне А. М. мекот _ А. Ленон А. W. eaquepe 8. А. reno» fehlt. 2. А. ото für arw 7. А. еварат А. ICRAPIOTHC А. nexay fehlt 3. А. ива А. етме 4. А. 0 А. мити А. ۱۱ 9. А. мерос А. Хенфон Beilage. Unter den Zeugresten finden sich manche mit Inschriften. So ist auf einem Stücke in schöner grosser Schrift zu lesen: | + YAXW + ПоАУРЕ ж Das YAXW ist mir bis jetzt nur ап einer Stelle begegnet, und zwar іп der etwas abweichenden Schreibung ПСАХО. Dasselbe findet sich in einer In- schrift aus Dör el Medineh (Lepsius, Denkmäler VI, 108. № 36.), welche folgendermassen lautet: anor пәтдос псахо шим apr тәсин sic! WAHA е ~ 0) Паз Vasco oder ncaxo scheint ein Titel zu sein. Hier liegt wol nur eine ungenaue Schreibung von Yag == neag «der Schreiber» vor. Vergl. YAo TTA9WM ۲۲۷۵۸۲۵۰ «der Schreiber Pachomios mit dem Beinamen KACEo» auf der koptischen Elle aus der Sammlung Anastasi im Museum zu Leyden. Lepsius, Die alt-aegypt. Elle und ihre Eintheilung. Aus den Abhand- Melanges asiatiques. T. X, p. 15. 18 268 DR. 0. VON LEMM, SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. I. [к. 8.1 lungen der Ке]. Akad. d. У. zu Berlin 1865, p. 16 u. 62. Taf. IV. und «Zweiter Nachtrag», р. 64%, Taf. V. — Leemans, Description raisonnée des monumens égyptiens du Musée d’antiquités des Pays-Bas à Leide. Leide, 1840, p. 135. І. 685. — Was das у an Stelle des Корі. o betrifft, so muss hier übrigens bemerkt werden, dass in einem griechisch ge- schriebenen koptischen Papyrus (Mitthl. d. Samml. Papyrus Erzherzog Rainer. I, pag. 49. № 1785.) das Корё. o durch y wiedergegeben ist; {сог «ich schreibe» wird dort «77e geschrieben. Пав œw, resp. o am Ende kónnte man für eine analoge Verlüngerung ansehen, wie sie uns in den For- men nàaooo (Lepsius, Denkm. VI, 102. X 3.), ихоюмо (Zoéga 175, 28.— Mitthl. Sammlung d. Papyrus Erzherzog Rainer. V, p. 39. Kopt. Papier № 7751) und nagoua (l. 1. p. 26. Корі. Pap. № 94) vorliegt für und neben dem gewöhnlichen nao. Dem Namen TTSAYPE bin ich bis jetzt nirgends begegnet. Auf einem anderen Zeugstreifen muss eine lüngere Inschrift gestanden haben, wovon jedoch nur ..... ем а erhalten ist. Schliesslich sind auf einem grossen Zeugstoffe mit verschiedenen in run- - den Rahmen eingeschlossenen Figuren, wohl Heiligen, folgende einzelne Zeichen zu sehen, deren Deutung ich nicht zu geben wage. I9CS3* EAX T ж A ei Vielleicht haben wir es hier mit Abkürzungen irgend eines gnostischen Gallimathias zu thun. — Die Sammlung ist erst vor Kurzem hier ange- langt und von der Kaiserl. Eremitage erworben worden; sie wird jetzt ge- säubert, geglättet und geordnet; möglicher Weise finden sich noch andere Stoffe mit Inschriften darunter. очо >С Melanges asiatiques. Т. X, р. 16. (хххш) | 269 Über unter-silurische Fische. Von Dr. med. J. V. Rohon. (Lu le 16 mai 1889). (Mit einer Tafel.) Wenn wir die Ergebnisse mit einander vergleichen, zu welchen die Geo- · logen und Palaeontologen bezüglich der geologischen Verbreitung der Fische bisher gelangten, so erfahren wir, dass die ältesten Fischreste in den ober- silurischen Ablagerungen gesehen worden sind. Wohl hat Pander?) zahlreiche in der palaeozoischen Periode verbreitete Häckchen und Kieferchen, die er « Conodonten» nannte, beschrieben und für Fischzähne erklärt; aber die Untersuchungen aus neuerer Zeit?) zeigten, dass diese zierlichen und mannichfaltig gestalteten Gebilde, mit der allergróssten Wahrscheinlichkeit, Kauwerkzeuge von Anneliden und Gephyreen darstellen. Mit dem Studium des merkwürdigen, durch den. Herrn Akademiker Schmidt auf der Insel Oesel gesammelten ober-silurischen Fischmaterials beschäftigt, konnte ich auch die Conodonten nicht unberücksichtigt lassen, denn es kam die Frage in Betracht, ob nicht vielleicht Formen unter den Conodonten vorkommen, die man in Beziehung mit den ober-silurischen Fischresten bringen kónnte. ; In der That wurde ich in meinen Erwartungen nicht getäuscht. Ich unter- suchte mehrere Hunderte von Conodonten und fand darunter 10 Exemplare, welche ihrem Habitus nach ganz gut zu den Conodonten passten, dagegen ` in ihrer mikroskopischen Structur völlig verschieden waren. | Durch den Besitz einer Pulpahóhle, der typischen Zahnsubstanz und des Schmelzes unterscheiden sich unsere winzigen Kórperchen wesentlich von den eigentlichen Conodonten Pander's und charakterisiren sich andererseits als ächte Zähne von Wirbeltieren, beziehungsweise von Fischen. Dieser Befund stellt uns in geologischer und morphologischer Hinsicht vor wichtige Thatsachen hin. Durch den Nachweis des gemeinschaftlichen 1) Pander, Chr. H.: Monographie der fossilen Fische des silurischen Systems der russisch- baltischen Gouvernements. St. Petersburg 1856 2) Zittel, K. v., und Rohon, I. V.: Über ада. Sitzungsberichte der К. bayr. АКа- demie der одеа Mathem.-phys. Classe, München 1886, р. 108—136. ^. Mélanges géolog. et paléontolog. T. І, p. 7. 18* 270 DR. MED. J. V. ROHON, [N. 8.1 Vorkommens von Conodonten und Fischzühnen glaube ich zu einer zwei- fachen Schlussfolgerung berechtigt zu sein: 1) Das gleichzeitige Erscheinen ächter Wirbeltier-Zähne mit den Conodonten liefert uns einen wichtigen Beweis gegen die Wir- beltier-Natur der letzteren. 2) Die Wirbeltiere (beziehungsweise die Fische) kommen auch in den sehr alten Meeressedimenten, d. h. in unterem Silur vor. Das Untersuchungs-Material stammt aus dem Glauconit-Sande von Go- stilitza und anderen Lokalitäten des St. Petersburger Gouvernements und befindet sich in den Museen der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften und des Berg-Instituts zu St. Petersburg. | Erhaltung, Gestalt und Bau der Fossilien. Der Erhaltungszustand kann gar nicht anders als ein vorzüglicher be- zeichnet werden; sämmtliche Exemplare stimmen hierin mit den gleichfalls vorzüglich erhaltenen Conodonten überein. Aber auch in Betreff der Farbe ihrer Oberflächen kommen sie im Allgemeinen den letzteren gleich: es gibt gelbliche und durchsichtige, die meisten sind undurchsichtig, grünlich oder bräunlich und die Aussenseiten sind von glänzender Beschaffenheit. Die Zähnchen verhalten sich also in dieser Beziehung genau wie die Cono- donten. Untersucht man jedoch die Zähnchen mit Hartnack Ос. 3 und Syst. IV bei auffallendem Lichte, so überzeugt man sich sofort, dass an ihrer äusseren Oberfläche regellos verlaufende Streifen existiren, während die Conodonten auch bei derartiger Untersuchung den Glanz an ihren Ођег- flächen bewahren. Die Färbung der Aussenflächen von den in Rede stehenden Fossilien ist nicht ohne Belang, wenn wir die Schichten der Ablagerungen, in denen die Fossilien erscheinen, näher ins Auge fassen. Über die Beziehungen, welche zwischen der Färbung der versteinerten tierischen Reste und den sie bergenden Gesteinsmassen bestehen, äussert sich Pander?) bei der Besprechung des russischen Silurs folgendermassen: «Im Allgemeinen ist die grüne und rote Farbe den untersten festeren Schichten mehr eigentümlich als den oberen, wo der Kalkstein gewöhnlich heller gefärbt, gräulicher, gelber, hellblau und blassrot wird. Diese ver- schiedene Färbung kann uns zuweilen zum Wegweiser dienen, den aufge- fundenen Petrefacten, von welchen wir doch vielen nicht mit Bestimmtheit ihr Vorkommen in diesen oder jenen höheren oder tieferen Schichten anzu- м pus Chr. H.: Beiträge zur Geognosie des russischen Reiches. St. Petersburg 1830, ti gë géolog. et paléontolog, Т. I, p. 8. : (хххш)| | ÜBER UNTER-SILURISCHE FISCHE. 271 geben vermögen, ihren Platz anzuweisen. Wenn diese nämlich grün gefärbt sind, so können wir ziemlich sicher schon daraus schliessen, dass sie aus den untersten Schichten herstammen, wo die grüne Erde noch eine Rolle mitspielte, ebenso wenn sie hochrot gefärbt sind, wie fast alle diejenigen, die aus den Steinbrüchen von Podolowa herstammen, wo die oberen Schichten des Kalksteines von den Ufern der Ischora bis gegen Fedorowski hin gänzlich zu mangeln scheinen und nur die untersten nach- geblieben sind. Wo nun hingegen diese auffallenden Farben fehlen, und die Petrefacte schmutzig grau u. s. w. aussehen, können wir mit Wahr- scheinlichkeit vermuthen, dass sie den mittleren und oberen Schichten angehörten. Ebenso können wir uns der Farbe des Gesteines als Hülfsmittel bedienen, welches von aussen den Schalen anhängt oder dieselben aus- füllt». Abgesehen von der eben angeführten Bedeutung, welche der Färbung der silurischen Fossilien und Gesteine in vielen Fällen zukommt, besteht noch ein viel ausgesprochenerer Umstand, der für die Zugehörigkeit der vor- liegenden Zähnchen zum unteren Silur spricht. Pander wies bereits dar- auf hin, dass die einfachen Conodonten fast ausschliesslich in den unter-silu- rischen Schichten auftreten, während in den später erfolgten Ablagerungen die zusammengesetzten Formen herrschen. Damit stimmt auch die von J. Bock*) gemachte Angabe überein, wonach im Glauconit-Sande ausschliess- lich einfache Conodonten vorkommen. «Въ глауконитовомъ песчаникћ — sagt J. Bock) — я нашелъ только простыя Формы конодонтовъ Пандера, а именно: Drepanodus Pand., Acodus Pand., Machairodus Pand., Paltodus Pand., Scolopodus Pand., Oistodus Pand. u Acontiodus Pand.». Diese Angaben kann ich durch Folgendes ergänzen: Unter den zahl- reichen Conodonten, welche ich der Güte des Herrn Akademikers Schmidt bei meiner Untersuchung verdankte, befand sich nicht ein einziger zusam- mengesetzter Conodont; sämmtliche Formen waren einfache Conodonten und wurden im Glauconit-Sande von Gostilitza gefunden. Zwischen densel- ben fand ich bloss drei Exemplare von den Zähnchen. Alles spricht also dafür, dass wir unsere Fossilien, mindestens zum Teil, in die unter-silurischen Schichten verweisen müssen. Was nun die äusseren Umrisse der Zähnchen anbelangt, so genügt ein Blick auf die beigefügten Abbildungen, um uns von der Verschiedenheit in den Formverhältnissen bei denselben zu überzeugen. Wir sehen ausserdem, dass sich die Verschiedenheit noch in beträchtlicherem Maasse kundgibt, 4) Иванъ Бок: Геогностическое описанје нижне-силурійской и девонской системы С.-Петербургской губернији. Матеріалы для геологи Pocciu. Т. I, 1869 r., стр. 108 и Vergl. auch у. Zittel und Rohon: ]. c., pag. 109. Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 9. 272 DR. MED. 1. У. ROHON, [№ 8.1 wenn wir zwischen den Zähnchen und Conodonten einen genauern Ver- gleich anstellen. Zu diesem Behufe liess ich in den Figuren 2, 9 und 10 Conodonten zeichnen. Die Figuren 2 und 9 sind seitliche Ansichten von zwei einfachen und verschieden gestalteten Conodonten und Fig. 10 zeigt die obere oder äussere Flächenansicht eines zusammengesetzten Conodonts; an diesem Exemplar ist eines von den beiden Endstücken abgebrochen. Das Wesen der Verschiedenheit in der Gestalt zwischen den Zähn- chen und den Conodonten Pander’s beruht in erster Linie darauf, dass erstere rundliche und im Innern die Pulpahöhle führende Gebilde darstellen, letztere hingegen niemals vollkommen rund- lich sondern stets mehr oder weniger abgeflacht sind, ohne eine centrale Höhle (Pulpahöhle). Ein anderer wesentlicher Unterschied zwischen den Zähnchen und Conodonten ergibt sich, wie ich schon früher bemerkte, aus der histiologischen Structur; denn es ist noch niemals gelungen, den Schmelz und die von einer centralen Hóhle entspringenden und verzweigten Dentinróhrchen bei den Conodonten nachzuweisen, während sich die in Rede stehenden Zähnchen durch diese Merk- male in vorzüglicher Weise als Wirbeltier-Zähne prüsentiren. Nach diesen allgemein gehaltenen Bemerkungen dürfte die spezielle Beschreibung des Untersuchungsmaterials zweckmässig erscheinen. Der Gestalt und dem inneren Baue nach kónnen wir mehrfache Unter- schiede von den einzelnen Zähnchen ableiten; diese Unterschiede weisen jedenfalls auf mehrere Geschlechter (Genera) und Arten (Species) hin. In dem Sinne wird auch die Beschreibung erfolgen. Palaeodus n. gen. Palaeodus brevis n. sp. Figur 1 und Figur 8. Fundort: St. Petersburger Gouvernement. Unter-Silur. Winzige, bloss mit bewaffneten Augen deutlich erkennbare Zühnchen von regelmüssiger Kegelgestalt (Fig. 1); es sind das in engerem Sinne des Wortes die eigentlichen Conodonten. Das obere Ende derselben ist ziemlich dünn und abgerundet, das untere Ende oder die Basis wird von einem ein- wärts gebogenen und Bruchflächen aufweisenden Rande gebildet. Unter- sucht man die Oberfläche der Zähnchen unter dem Mikroskop bei auffallen- dem Lichte (Hartnack Oc. 3, S. ID, so bemerkt man sofort die Streifung (Fig. 1 st), welche eine geflechtartige Anordnung zeigt und sich bis zur Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 10. (ххх) | ÜBER UNTER-SILURISCHE FISCHE. ` 273 Basis der Zähnchen erstreckt. Die Färbung dieser undurchsichtigen Zähnchen ist eine grünliche. Bei mikroskopischer Untersuchung ergab sich für den innern Bau Fol- gendes. Die Figur 3 führt uns eine möglichst naturgemässe Abbildung des in der Mitte eines Zahnes bewerkstelligten Dünnschliffes vor. Wir sehen zunächst auf der Abbildung eine central gelegene Höhle (die Pulpahöhle), die sich allmählig nach oben verschmälert (P). Dieselbe ist an der Basis des Zahnes durch eine selbst bei mikroskopischer Beobachtung structurlos erscheinende Substanz (B) abgeschlossen, die man jedoch von der sie be- grenzenden Gesteinsmasse (Kalkspath u. s. w.) sehr wohl unterscheiden kann. Diese Substanz stelk eben die Reste der früher als Unterlage dem Zahne dienenden Masse, möglicher Weise von knöcherner Beschaffenheit, vor. Die Pulpahöhle ist ferner von keiner bedeutenden Ausdehnung und erreicht daher auch nicht die Zahnspitze; endlich wird die Pulpahöhle von einer ganz gleichen Gesteinsmasse erfüllt, wie die Basis des Zahnes. In der die Pulpahöhle umgebenden Zahnsubstanz (Dentin) bemerken wir parallele Streifen, nämlich die Dentinlamellen (Z) in ihrer dutenför- migen Anordnung, ferner sehr viele, schwarzen Strichen ähnelnde Zahn- oder Dentinröhrchen (D). Verfolgen wir die Verlaufsweise von den letz- teren. Dabei sehen wir, dass sämmtliche Zahnröhrchen von der Pulpahóhle entspringen, und dass sie alsbald in schiefer Verlaufsrichtung die Peripherie der Zahnsubstanz anstreben. An den Ursprungsstellen oder den Mündungs- stellen sind die Dentinröhrchen breiter; während ihres Fortganges inner- halb der Zahnsubstanz werden sie feiner, zumal an den Stellen, wo ihre zweigförmige Teilung beginnt. Die verzweigten Röhrchen endigen an der Oberfläche der Zahnsubstanz in Form von sehr feinen und zugespitzten Ausläufern. Bezüglich der Verteilung der Zahnröhrchen möchte man beim An- blick der Figur 3 meinen, dass dieselbe eine sehr unregelmässige sei. Dem gegenüber zeigt aber die mikroskopische Untersuchung des Präparates in verschiedenen optischen Ebenen, dass die Abstände zwischen den Dentin- röhrchen regelmässige Entfernungen darstellen. Dies konnte namentlich an denjenigen Stellen des Präparates constatirt werden, wo die Zahnröhrchen genau der Quere nach getroffen waren. In solchen Fällen erschienen die Röhrchen als kleine kreisrunde Lücken von mathematisch regelmässiger Anordnung. Oberflächlich und in ihrem ganzen Umfange wird die Zahnsubstanz von dem Schmelze (Email) eingeschlossen. Dieser (Fig. 3 E) bildet einen zarten Belag, der sich allüberall bis zu der Zahnbasis gleichmässig aus- breitet. Die Substanz des Schmelzes erscheint bei gewöhnlicher mikrosko- Melanges geolog, et paléontolog. T. I, p. 11. 274 DR. MED. J. V. ROHON, [8.8.1 pischer. Untersuchung homogen, hingegen treten in ihr bei gekreuzten Ni- cols in polarisirtem Lichte dunkle, senkrechte Streifen auf, welche mit lich- ten alterniren, ein Umstand, der die prismatische Structur des Schmelzes optisch demonstrirt. Palaeodus oblongus n. sp. Figur 4 und 5. Fundort: St. Petersburger Gouvernement. Unter-Silur. Auch diese Zähnchen sind von mikroskopischer Kleinheit, von grünli- cher Färbung und vollkommen undurchsichtig. Ihre Gestalt hat zwar das kegelfórmige Ansehen beibehalten, aber sie weist gewisse Unterscheidungs- merkmale auf, zufolge derer sich diese Zühnchen von den vorigen entfer- nen; sie sind länger, nicht gerade und etwas verbogen (Fig. 4 und 5), und erhalten auf diese Weise oberflüchlich an der einen Seite eine Auftreibung, an der andern eine Einsenkung. In Betreff der Pulpahóhle, des Dentins; der Dentinröhrchen, des Schmelzes und deren histologischen Baues verhal- ten sich unsere Fossilien ganz genau, wie. wir das bereits bei der vorange- henden Species gesehen haben. Palaeodus gracilis п. 5р, Fig. 6 und 7. Fundort: St. Petersburger Gouvernement. Unter-Silur. ` Charakteristisch ist für diese Zähnchen ihre zierlich gebogene Gestalt und der an ihrer Basis befindliche stärker entwickelte Abschnitt von unre- gelmässiger Form (Fig. 7 B). Als mikroskopisch kleine, undurchsichtige und grünlich gefärbte Formen unterscheiden sie sich von den früheren nicht allein durch ihre schlanke’ Gestalt, durch engere Pulpahöhle, sondern auch durch Abweichungen in ihrem histiologischen Baue. Um einen Einblick in die Verhältnisse des histiologischen Baues zu ge- winnen, wollen wir die Figur 6 einer flüchtigen Betrachtung unterziehen. Die Abbildung gibt die Detailverhältnisse des untern Abschnittes eines etwas seitlich geführten Lüngsschliffes wieder. In der Mitte der Zeich- nung sehen wir die mit Kalkspath erfüllte Pulpahöhle (Р), die von einem zackigen Rande des Dentins beiderseits begrenzt wird. Die zackige Be- schaffenheit der Begrenzungsflächen spricht ganz entschieden für die Zer- stórungen, welche im Innern des Zahnes im Laufe des Fossilisationspro- cesses entstanden sind, und sie lassen eine künstliche Erweiterung der Pulpahóhle vermuthen. = Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 12. (хххш)] ÜBER UNTER-SILURISCHE FISCHE. 275 Zu beiden Seiten der Pulpahöhle befindet sich die Zahnsubstanz (Dentin), die von senkrecht gestellten und parallel verlaufenden Lamellen (Z), den zahlreichen feinen und verzweigten Zahnröhrchen (D) und einer homo- genen Grundsubstanz aufgebaut wird. Fasst man die Verlaufsrichtung und die Ursprungsverhältnisse der Dentinróhrchen etwas näher ins Auge, so gewahrt man darin einen wesentlichen Unterschied, der sich in dieser Hinsicht den vorhin beschriebenen Zähnchen gegenüber stellt. Wir sahen nämlich, dass dort die Zahnröhrchen die Zahnsubstanz in schräger Rich- tung (fast unter einem spitzigen Winkel) durchliefen, während sie hier in horizontaler Richtung (unter rechtem Winkel von der Pulpahöhle entsprin- gend) die Zahnsubstanz durchziehen. Offenbar entsteht hierdurch ein auffal- lendes Unterscheidungsmerkmal. Zu erwähnen wären endlich die im Dentin zerstreuten dunklen Flecken (2), die weiter nichts als Infiltrationen von bi- tuminöser Substanz darstellen. Archodus n. gen. Archodus elegans п. sp. Figur 8. Fundort: Gostilitza im St. Petersburger Gouvernement. Glauconit-Sand. Unter-Silur, Sehr dünne, rundliche, gelbliche und völlig, durchsichtige Zähnchen von beträchtlicher Länge; sie sind durch eine schlanke Gestalt ausgezeichnet. Im Ganzen haben sie eine bogenähnliche Form, wobei der obere, in eine Spitze auslaufende Abschnitt stärker als der untere gebogen erscheint. In- teressant ist der mikroskopische Bau. Die verhältnissmässig sehr grosse Pulpahóhle (P) erstreckt sich in der ganzen Länge des Zahnes. An der zweifelsohne abgebrochenen Zahnbasis mündet dieselbe frei aus, und erlangt daselbst den grössten Umfang, hingegen an dem obern spitzigen Ende, bis wohin sie vordringt, wird die Pulpahöhle etwas schmäler und endigt blind. Aus ihr entspringen unter rechtem Winkel die Zahnröhrchen (D), welche in horizontaler Richtung die aus vielen, dutenfórmig über einander gelager- ten Lamellen (Z) zusammengesetzte Zahnsubstanz durchbrechen, da- bei einen geradlinigen Weg beschreibend. Während ihres Verlaufes teilen sich die Dentinróhrehen dichotomisch und ihre Zweiglein überschreiten niemals die Grenzen der Zahnsubstanz. Der als sehr zarte Decke an der Zahnoberfläche erscheinende Schmelz (Е) breitet sich über den ganzen Zahn aus; derselbe hat alle jene Eigenschaften, die der echten Emailsub- stanz zukommen. Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 13. 276 DR. MED. 7. У. ROHON, [х. 8.2 Fasst man nunmehr die Ergebnisse vorliegender Untersuchung іп we- nige Sätze zusammen, so ergibt sich Folgendes: Gemeinschaftlich mit den Conodonten Pander's kommen im Glauconit-Sande des St. Pe- tersburger Gouvernements winzige Gebilde vor, die nach ihren morphologischen Merkmalen von den Conodonten getrennt werden müssen. Dieselben sind durch den die Wirbeltier-Zähne charak- terisirenden histiologischen Bau ausgezeichnet; demnach sind sie ächte Wirbeltier-Zähne der Mundhöhle und stehen morphologisch in schroffem Gegensatze zu den Соподотећ. Ihrer Gestalt und Mikrostructur nach kann man die Zähnchen in zwei Genera: Ра- laeodus und Archodus, ferner in vier Species: Palaeodus brevis, Palaeodus oblongus, Palaeodus gracilis und Archodus elegans einteilen. Durch den Besitz einer ächten Dentinsubstanz und Pulpahöhle präsentiren sich diese Zähnchen als Mundzähne höher organisirter Fische, können also auch nicht den Selachiern, zugeteilt werden, deren Zähne bekanntlich aus Vasodentin bestehen. Möglicher Weise stehen sie inirgendwelcher Beziehung zu den auf der Insel Oesel vorkommenden ober-silurischen Ganoid-Resten. Endlich gelangen wir zu der geologisch und palaeozoologisch bedeutungsvollen Schlussfolgerung, dass bereits in den unter- silurischen Ablagerungen hoch entwickelte Fische gelebt haben müssen. Zum Schlusse meiner Mitteilungen fühle ich. mich verpflichtet, dem Herrn Akademiker Fr. Schmidt und dem Herrn Professor J. Lahusen für die gütige Überlassung des Untersuchungsmaterials herzlichst zu danken. | Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 14. суы Kä Lifh-Druck v & Koch B0.]. Lin. St Petersbur$. Goz. v J. Koh. (XXXIII) | Figur 1. Figur Figur Figur 4. Figur 5. Figur 6. Figur Figur 8. өсе ÜBER UNTER-SILURISCHE FISCHE. 277 Erklärung der Abbildungen. Palaeodus brevis. Flächenansicht von der бейе. Hartnack 06, 3, Syst. II. Conodont. Seitliche Flächenansicht. Hartnack Oc. 3, Syst. II. ; Palaeodus brevis. Längsschliff durch den ganzen Zahn. D = Dentin (Zahnsubstanz, Substantia eburnea), Е = Schmelz (Email, Substantia adamantina), P = Pulpahöhle, L = Lamellen der Zahnsubstanz, B = Basis des Zahnes, G = Gestein. Hartnack Ос. 3, Syst. combinirt IV und VII. Palaeodus oblongus. Seitliche Flächenansicht des ganzen Zahnes. Р = Pulpahóhle. Hartnack Oc. 8, Syst. II. Palaeodus oblongus. Seitliche Ansicht des ийй ما‎ Р = Hart- nack Oc. 3, Syst. II. Palaeodus gracilis. Längsschliff von dem untern Abschnitt des Zahnes. Р = Pulpa- hóhle, D = Dentin, L = Lamellen der Zahnsubstanz, В = Basis des Zahnes, x = Infiltration der bituminösen Substanz. Hartnack Ос. 3, Syst. У. Palaeodus gracilis. Seitliche Flächenansicht. В = Basis des Zahnes, Hartnack Ос. 8, Syst. II. Archodus elegans. Seitliche Ansicht des Zahnes, in durchfallendem Lichte gezeichnet, E= Schmelz (Email), D = Dentin, L= Lamellen der Zahnsubstanz, Р = Pulpa- höhle. Hartnack Ос. 3, Syst. У. . Conodont. Seitliche Mecht des unteren Abschnittes. В = basale Höhle. Hartnack Oc. 3, Syst. II. . Zusammengesetzter Conodont. Ansicht der äusseren Oberfläche, Hartnack Oc. 3, Syst. II. Mélanges géolog. et paléontolog. T. I, p. 15. A Pen ax STAA ud в тте 2 279 De l'équilibre chimique entre l'acide chlorhydrique et l'hydrogène par rapport aux métaux. 1” article — cuivre, par M. Ribalquine. (Lu le 30 mai 1889). Sur la proposition de Monsieur N. N. Békétoff, j'ai entrepris l'étude de l'action de l'acide chlorhydrique sur le cuivre et de l’hydrogène sur le sous- chlorure de ce métal pour appliquer à un cas plus accessible à l'expérience, la méthode, qui a servi à St. Claire-Deville à fonder les principes de la dissociation et del'équilibre chimique entre les corps agissants et le produit de leur combinaison. Le choix de la réaction ci-dessus nommée devait pré- senter l'avantage de se produire dans deux sens opposés à des températures pas trop élevées, parce-que la différence des chaleurs de formation de l'acide chlorhydrique (22,0 C.) et du sous-chlorure de cuivre (32,8 C.) n'est pas grande et que par suite les expériences pourraient étre exécutées dans des tubes scellés en verre. On placait du cuivre métallique tout-à-fait pur et sec!) et dans un état moléculaire dans des tubes de verre. La proportion du métal était toujours trés forte par rapport à la quantité de l'acide chlorhydrique. Le systéme de tubes avec le métal était encore une fois desséché à 92° dans un courant d'hydrogéne pendant une demi-heure et puis rempli d'acide chlorhydrique desséché par de l'acide sulfurique et par de l'anhydride phosphorique. La pureté de l'acide était constatée par l'absorption totale du gaz par l'eau, aprés que le gaz avait traversé tout le systeme. Les températures aux- quelles les tubes ont été chauffés se plagaient entre 100° et 440°. Pour la température de 100? je me servis de la vapeur d'eau, pour celle de 440^ de la vapeur de soufre en ébullition, et pour les températures moyennes j'em- ployais un bain d'air. Aprés le chauffage on brisait les pointes des tubes sous le mercure et on mesurait le volume du gaz, et puis on absorbait l'acide chlorhydrique par une goutte d'eau et on déterminait ainsi la quantité d'acide chlorhydrique et de l'hydrogéne, formé pendant l'expérience. Les volumes déterminés ont été amenés par le caleul à la température de 0°, à la 1) Le cuivre était préparé par l'éleetrolyse, puis dissout dans l'acide nitrique; l'oxyde de cuivre obtenu par la caleination du nitrate était réduit et puis refroidi dans un courant d'hydrogène. Mélanges phys. et chim. Т. ХШ, р. 119. 280 м. RIBALQUINE, DE L'ÉQUILIBRE CHIMIQUE ENTRE L'ACIDE CHLORHYDRIQUE [N. 8. pression normale et à l'état sec. Dans ces conditions j'ai obtenu les résultats suivants. Le commencement de la réaction peut être constaté à 100°; après une heure de chauffage la quantité de l'acide chlorhydrique décomposé est minime, aprés 5 heures elle est déjà de 38%, aprés 18 heures elle est égale à 66°/ et enfin aprés 196 heures elle est totale. En élevant la température depuis 100? jusqu'à 440? et pour un temps égal pour toutes de 9 heures on obtient les résultats suivants, qui peuvent étre représentés graphiquement par une courbe, en prenant pour abscisse les températures et pour ordonnée la quantité de l'acide chlorhydrique décomposé pour 100 volumes. vet /00° 120° 205" 230° 270° 310° 390° 440 9 heures de chauffage, D’après ce diagramme on peut constater, que la quantité 46 ۰ chlorhydrique décomposé monte rapidement jusqu'à 230°, mais depuis 270° elle commence à baisser, quoique faiblement, et à 440? la décomposition n'atteint que 66%. Avec plus de netteté la baisse de la courbe depuis 230° jusqu'à 270? s'exprime pendant une chauffe de 18 heures, — ainsi la quantité d'acide chlorhydrique décomposé à 230? monte jusqu'à 96,2%, tandis que à 270? cette quantité reste la méme que pour 9 heures, c'est-à-dire elle n'est que de 91,5%, — il en suit done, qu'à cette dernière température (270°) l'équilibre entre l'acide chlorhydrique et l’hydrogène est déjà atteint pendant les premiéres 9 heures de chauffage. Quoique la quantité d'acide chlor- hydrique décomposé à 230° est trés grande (96%), mais on ne peut pas atteindre une décomposition compléte: cette quantité augmente rapidement avec le temps de chauffage jusqu'à 14 heures, s'arréte à ce moment et reste constante, c’est-à-dire de 967, aprés 25 а 24 heures d’experience. Еп re- présentant cette he ета] on obtient une courbe, qui s’élève assez brusquement et puis aprés 14 rene EH етет d'une droite parallele à l'abscisse. Pour étre sür, que l'équilibre chimique avait été atteint, j'ai exécuté des expériences en sens contraire, c'est-à-dire, que je fis agir l'hydrogene sur le monochlorure de cuivre CuCl (ou. Cu,Cl,); celui-ci était préparé раг la Melanges phys. et chim, T. XIII, p. 120. (ХХХШ)] ET L’HYDROGENE PAR RAPPORT AUX MÉTAUX. 17" ARTICLE — CUIVRE. 281 méthode ordinaire, par l'action du cuivre métallique sur le bichlorure; en présence d'un excés d'acide chlorhydrique Ја dissolution était précipitée par l'eau et le précipité lavé par de l'eau chaude, puis par de l'acide acétique glacial et finalement par de l'aleool et par de l'éther. Le monochlorure presque sec était encore desséché à 92? dans un courant d’hydrogene pendant 24 heures. On plaçait le sous-chlorure decuivre en petite quantité dans des tubes qu'on remplissait d'hydrogène et on les chauffait depuis 200? jusqu'à 400°, А 2007 je n'ai constaté aucune action, quoique le temps de chauffage était poussé jusqu'à 84 heures; à 230? l'action commence et aprés 18 heures il s'est formé 5% d'acide chlorhydrique, à 270? après 9 heures 10%, d'acide et enfin à 440° 35%, Si nous représentons ces résultats par une courbe d'aprés la quantité d'acide ehlorhydrique, qui correspond à l’hydrogène restant, et si nous comparons cette courbe avec celle qui représente les résultats de la premiere série d'expériences, c'est-à-dire l'action du cuivre métallique sur l'acide chlorhydrique, nous obtiendrons le diagramme suivant: 1002 200° 230° 270% 310° 120° La courbe en points гергёзеще l’acide chlorhydrique correspondant а l'hydrogéne restant, et l'autre la quantité d'acide chlorhydrique décomposé par l'action du cuivre métallique; il ressort de ce tableau, que les deux lignes se confondent — c'est-à-dire qu'il s'établit le méme équilibre chimique en partant du systeme cuivre et acide chlorhydrique, ou du systeme invers: monochlorure de cuivre et hydrogéne — pourvu que le temps de chauffage soit assez prolongé pour atteindre un état constant. _ Aprés ces expériences j'ai entrepris l'étude des mêmes réactions pour les systèmes: argent, acide hydrochlorique et chlorure d'argent, hydrogene, et j'ai pu remarquer le fait intéressant suivant: le commencement de l’action de l'acide chlorhydrique sur l'argent est à 150°, et l'action inverse — l'action de Phy drogène sur le chlorure d'argent commence déjà à 215°, tandis que Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 191. 282 М. RIBALQUINE, DE L'ÉQUILIBRE CHIMIQUE ENTRE L’ACIDE ETC. [х. 8.1 pour le cuivre l'action de l'acide chlorhydrique commence à 100° et l'action inverse ne se fait quà 230°. Бі maintenant nous comparons les quantités de chaleur de formation des deux composés — CuCl et AgCl, nous consta- tons, qu'à une plus grande quantité de chaleur (pour le CuCl) de formation correspond un plus grandintervalle entre le commencement de l’action du métal sur l'acide chlorhydrique et l'action inverse de l’hydrogène sur le chlorure. Ce fait me conduit à rechercher une loi, qui pourrait lier ces deux données thermiques pour la plupart des métaux, et j'ai l'intention de con- tinuer mes recherches dans ce sens. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 123. (хххш) | 283 Rapport fait à l'Académie Impériale des Sciences par les délégués de la Russie à la conférence générale du métre, réunie à Paris en septembre 1889; par H. Wild et 0. Backlund. (Lu le 10 octobre 1889.) П y а maintenant un peu plus de vingt ans que dans la séance de la Classe physico-mathématique du 8 avril 1869 feu notre collègue, Mr. Jacobi, faisait la proposition de soumettre à une commission internationale plusieurs questions se rapportant à la confection de nouveaux prototypes métriques, et qu'une commission nommée par l'Académie pour examiner cette question formulait, dans la séance de la Classe du 20 mai 1869, à la fin de son rap- port, les résolutions suivantes: 1? que l'Académie emploie son autorité pour solliciter S. E. Monsieur le Ministre de l'Instruction publique d'intervenir auprés du Gouvernement Impérial pour que tous les États étrangers soient invités à envoyer des délégués pour former une commission internationale qui devrait se réunir dans une capitale eneore à désigner, dans le but de régler la confection des étalons prototypes métriques et de créer une unité de mesure véritablement universelle et effectivement internationale; 2? que M. Jacobi soit chargé de faire valoir à la réunion de l'Association bri- tannique pour l'avancement des sciences à Exeter, les principes qui viennent d'étre établis dans le présent rapport et l'urgence de l'adoption universelle du systéme métrique par les savants de tous les pays. Ces propositions furent adoptées unanimement par l'Académie. Sans entrer ici plus particuliérement dans les détails de l'exécution de ces décisions nous nous bornerons à faire observer qu'elles contribuèrent essentiellement à la convocation, par le gouvernement francais, d'une com- mission internationale de délégués de tous les pays, qui devait se réunir à Paris au mois d'aoüt 1870 et délibérer sur la construction de nouveaux étalons métriques et de copies exactes de ces prototypes pour tous les pays intéressés, Ainsi on doit avant tout à la Russie que la réforme des prototypes métriques, dont la première phase vient de se terminer, ait été entreprise en temps opportun, et notre Académie des sciences peut se féliciter de ce que cette réforme a été exécutée d’après les principes établis par elle dès le Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 193. 19 284 Н. WILD ET 0. BACKLUND, RAPPORT FAIT À L'ACAD. IMP. DES SC. [N. 8. 1 début et maintenus par elle pendant tout le temps contre des idées quel- quefois divergentes. Nous nous permettrons de rappeler en peu de mots les phases princi- pales de cette grande et importante entreprise scientifique pour faire mieux comprendre sa longue durée et faciliter l'appréciation des résultats acquis. La guerre ayant interrompu la premiere session de Ја commission inter- nationale du métre en 1870, ce n'est que dans la seconde session, en 1872, qu'ont eu lieu les délibérations complétes sur tous les travaux à exécuter pour la réforme des prototypes métriques et que ces travaux furent fixés par 40 résolutions prises par la commission. Voici les principales de ces résolutions. : Оп construira пп nouveau metre international et un nouveau kilogramme international et en m&me temps des copies identiques des deux pour tous les pays qui en demanderaient. Pour ces prototypes internationaux aussi bien que pour les prototypes nationaux des differents pays on emploiera un alliage de 90%, de platine et 10%, d'iridium. Le nouveau mètre inter- national et ses copies seront des métres à traits, mais on construira aussi pour les pays qui en demanderont des étalons à bouts. Le nouveau métre et kilogramme internationaux devront autant que possible étre égaux aux an- ciens prototypes métriques des Archives de France. La confection des prototypes internationaux et nationaux, le tracé des métres et la comparaison avec les prototypes anciens des Archives seront confiés à la Section Francaise de la Commission internationale avec le con- cours d'un Comité permanent de 12*) membres appartenant tous à des pays différents et choisis par la Commission. Ce Comité dirigera et sur- veillera l'exécution des décisions de la Commission internationale concernant la comparaison des nouveaux prototypes entre eux et aura à cet effet recours à un Bureau international des poids et mesures dont la fonda- tion à Paris sera recommandée aux gouvernements intéressés. C'est dan ces Bureau, muni de tous les appareils nécessaires à cet effet, que les premières comparaisons des prototypes auraient lieu, que seraient conservés à l'avenir les prototypes métriques internationaux, et que les comparaisons pério- diques des prototypes nationaux avec les prototypes internationaux seraient faites plus tard pour constater leur invariabilité, etc. Pendant que la Section Francaise, étant chez elle, pouvait tout de suite commencer les travaux qui lui étaient confiés par ces résolutions, le Comité international n'entrait que quatre ans plus tard dans la possession de son labora- toire, c. à d. du Bureau international des poids et mesures, fondé en 1875 *) Ce nombre a été augmenté jusqu'à 14 par la conférence diplomatique du mètre en 1875. Mélangos phys. et chim. Т, ХТ, p. 194. (ХХХШ)] PAR LES DÉLÉGUÉS DE LA RUSSIE À LA CONF. GÉNÉRALE DU METRE. 285 à Paris en vertu d'une convention entre 16 états contractants. Du reste pour les travaux incombants au Comité international il n'y avait pas eu de temps perdu. Celui-ci pouvait méme en toute tranquillité organiser le Bureau international, y installer les nombreux instruments de comparaison, et faire toutes les études préparatoires, puisque les kilogrammes et les mètres proto- types à comparer par les soins du Comité au Bureau international ne furent livrés par la Section Francaise que dans le courant des années 1886 à 1888. Ce retard inattendu dans la confection des métres et kilogrammes a été principalement causé par les grandes difficultés qu'on a rencontrées pour la préparation du platine et de l'iridium assez purs et pour l'alliage de ces deux métaux afin d'obtenir des masses assez homogènes par la fonte. Ainsi ce n'est qu'en 1882, c. à. d. 10 ans aprés la session de la Commission inter- nationale du métre, que la Section Francaise à pu enfin faire à Matthey et Comp. à Londres la commande de la тайеге pour tous les métres et kilo- grammes. La confection de ces mesures avec une matiére si dure et cepen- dant peu apte au polissage a de nouveau rencontré toutes sortes de difficultés. Les études seules pour la meilleure maniére de tracer les traits sur les métres ont pris plus d'une année de travail. Le Comité international tout en prétant son concours efficace à la Section Francaise a profité du long intervalle de temps pour étudier à fond, au Bureau international, les instruments et appareils auxiliaires, tels que thermométres, barométres, appareils de dilatation, et pour perfectionner successivement les comparateurs de longueur, les balances et les méthodes de comparaison, de sorte que quand dans les derniéres années il a pu atta- quer sa täche principale — la comparaison des nouveaux prototypes entre eux, on y a atteint un degré de précision tout-à-fait inconnu jusqu'àlors. Les métres ont été comparés entre eux avec une exactitude de 0,0002 mm. et les kilogrammes avec une exactitude de 0,005 mg. Pour apprécier ce progrés nous rappelerons seulement qu'en 1860 une commission composée de Regnault, Morin et Brix, ayant à faire des comparaisons de kilo- grammes à Paris, devait se contenter d'une exactitude de 0,5 mgr. Quant à la thermometrie et la mesure des dilatations des corps par la température le Comité a réalisé dans son Bureau de telles améliorations et une telle exactitude supérieure à tout ce qui a été fait jusqu'à. présent qu'une nou- velle époque dans cette branche de la science datera de ces travaux. Aprés avoir achevé la comparaison de tous les métres et kilogrammes entre eux, au nombre desquels se trouvaient aussi le metre et le kilogramme comparés par les soins communs de la Section Francaise et du Comité inter- national directement avec les anciens prototypes des Archives de France, le Comité en choisit pour servir de prototypes internationaux le métre et le Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 125. 286 Н. WILD ET 0. BACKLUND, RAPPORT FAIT А L'ACAD. IMP. DES SC. [N. 8.1 kilogramme qui entre les limites des erreurs d'observation correspondaient le plus parfaitement à ces derniers; les autres mesures devaient étre ré- parties aux pays intéressés. А cet effet le Comité international des poids et mesures a, conformément aux prescriptions de la convention du métre, invité les gouvernements à en- voyer, pour le 24 septembre de cette année à Paris, des délégués qui devaient former la conférence générale pour sanctionner et distribuer comme telle les prototypes internationaux et nationaux. Cette conférence s'est réunie à la date indiquée au ministère des affaires étrangères à Paris et comptait 37 membres représentant 20 états différents. La premiere séance a été ouverte par le ministre des affaires étrangères de la France, Mr. Spuller, qui dans son discours à relevé l'initiative que la Russie a prise dans cttee question; ensuite, Mr. Descloiseaux, président en exercice de l'Académie des Sciences à Paris et, comme tel, président de la conférence, conformément aux prescriptions de la convention, a prononcé un discours. Enfin le.pré- sident du Comité international général Ibanez, marquis de МаШасеп, а lu un compte-rendu des travaux accomplis par le Comité et le Bureau inter- national et a fait distribuer aux membres de la conférence le rapport im- primé du Comité sur les comparaisons des métres et kilogrammes prototypes, sur Ja détermination de leurs constantes. essentielles, savoir la dilatation, le coefficient d'élasticité, le poids spécifique du platine-iridié et la composi- tion chimique de cet alliage et sur les thermométres, accompagnant les prototypes, et leur vérification d’après le thermomètre à hydrogène. ll aurait sans doute mieux valu que l'on eut pu soumettre aux membres de la conférence une publication en détail de tous les observations, calculs et résultats concernant ces prototypes, comme on les trouve publiés pour la comparaison d'autres mesures et pour les études préparatoires dans les sept volumes, que le Comité a déjà fait рагайте. Mais considérant qu'une telle publication ne pourrait étre achevée avant deux ans, que d'autre part les prototypes étaient préts pour étre distribués et que beaucoup d'états en avaient à plusieurs reprises demandé la livraison, le Comité a cru ne pas devoir différer plus longtemps la distribution. Aussi la conférence a-t-elle, dans sa seconde séance, le 26 septembre, adhéré à cette manière de voir et prononcé la sanction des prototypes internationaux et de tous les prototypes nationaux, mentionnés dans le rap- port du Comité. Nous joignons à notre rapport la formule de sanction adoptée par la conférence. On a procédé ensuite à la répartition des prototypes, par le tirage au sort, entre les États qui les ont commandés, savoir 30 métres et 30 Rilo- grammes nationaux. Pour ces mesures on avait déjà préparé des étuis con- Melanges phys. et chim. T. XIII, p. 126. (ХххШ)] DÉLÉGUÉS DE LA RUSSIE À LA CONF. GÉNÉRALE DU METRE. 287 venables pour le transport et quelques indications imprimées pour leur transport et leur conservation, de sorte que les délégués, qui le désiraient, pouvaient incontinent retirer les prototypes destinés à leur pays ou les mettre en attendant sous scellé. А la fin de la seconde séance la conférence a par scrutin secret, confor- mément aux prescriptions de la convention, renouvellé par moitié le Comité international (les membres sortants ont tous 646 réélus) et a élu en outre deux nouveaux membres en remplacement des deux membres du Comité, dé- cédés dans le courant de cette année. Dans l'intervalle entre la seconde et la dernière séance une commission de 5 membres a, en présence de Mr. le directeur du Bureau international et de Mr. le garde général des Archives nationales de France, enfermé dans la cave inférieure du bátiment des observations au pavillon de Breteuil et dans une armoire en fer, qui y est placée, les prototypes internationaux du métre et du kilogramme ainsi que deux mètres et deux kilogrammes-témoins égale- ment en platine-iridié, appartenant à la série des mesures comparées aux premiers. En rendant compte à la conférence dans sa troisième et dernière séance, le 28 septembre, de sa mission la Commission a présenté au président sous envoloppe cachetée les clefs de trois serrures différentes des portes en fer de la cave mentionnée, lesquelles furent alors, conformément aux prescrip- tions de la convention, immédiatement remis à Mr. le président du Comité international, à Mr. le garde général des Archives nationales de France, et à Mr. le directeur du Bureau international à Breteuil. Le dernier n'aura à l’avenir accès à ce dépot des prototypes qu'en vertu d'une decision du Comité international et en présence de deux de ses membres. Considérant que la publication des travaux du Bureau international pour 1а comparaison des prototypes n'est pas encore faite en détail; consi- dérant que les mètres à «bouts commandés par quelques états, et dans ce nombre par a Russie pour l'Observatoire de Poulkowa, ne sont pas encore prêts et pas méme livrés par la Section Française, ayant été considérés des le commencement comme des étalons de second ordre; considérant enfin que plusieurs états ont encore depuis peu demandé des prototypes et surtout des métres à traits, la conférence générale a décidé dans sa derniere séance que la premiere période des fonctions du Bureau international, aprés laquelle son personnel et son budget annuel seront réduits, ne s'achevera qu'aprés l’accomplissement de ses travaux qui prendront encore trois ans. Ainsi par la sanction des nouveaux prototypes métriques internationaux et par la sanction et la distribution des prototypes nationaux à la plupart des états les voeux que notre Académie a formulés il y a 20 ans sur la proposition - . Mélanges phys. ot chim, Т, XIII, p. 127. 288 Н. WILD ET 0. BACKLUND, RAPPORT FAIT À L'ACAD. IMP. DES SC. [N. S. 1 de Mr. de Jacobi ont été complètement réalisés. Par la création d'un centre international ой les prototypes internationaux sont convenablement déposés et conservés et ой l'on pourra toujours opérer avec des appareils à la hau- teur de la science et sous contróle international de nouvelles comparaisons ауес ces prototypes, ainsi que par la distribution à tous les pays de proto- types équivalents et rigoureusement comparés l'unification des poids et me- sures pour le globe entier est accompli; il n'y aura plus à l'avenir aucune difficulté pour comparer exactement entre elles des quantités mesurées dans les différents pays. Le nom de l'Académie Impériale des Sciences de St. Pétersbourg qui a par son initiative et par sa persévérance le plus contribué à cet heureux résultat, restera pour toujours étroitement lié à l'histoire de ce grand progrés des sciences exactes. Les deux sousignés ont été chargés par Son Altesse Impériale Mon- seigneur le Président de l'Académie et Mr. le Ministre des finances de la réception et du transport de Paris à St. Pétersburg des prototypes destinés pour ces deux ressorts. Nous avons effectué ce transport avec tous les soins que demande le caractére de la plus haute exactitude scientifique de ces étalons, et comme les mesures sont toujours restées sous nos yeux dans leurs étuis et caisses scellés nous pouvons garantir qu'ils n'ont subi dans ce trans- port aucune détérioration appréciable. Pendant notre séjour à Berlin ils ont été enfermés à l'Observatoire dans une armoire de la salle des chronométres et à St. Pétersbourg ils ont été immédiatement déposés à l'Observatoire physique central dans un caveau sür contre l'incendie et le vol, et s'y trouvent encore actuellement. Mélanges phys. et chim. T. XIII, p. 128. (ХХХШ)] PAR LES DÉLÉGUÉS DE LA RUSSIE À LA CONF. GÉNÉRALE DU METRE. 289 APPENDICE. SANCTIONNEMENT DES РВОТОТУРЕ$. La Conférence générale, Considérant le compte rendu du Président du Comité international et le Rapport du Comité international des Poids et Mesures, d’où il résulte que, par les soins communs de la Section française de la Commission inter- nationale du Mètre, et du Comité international des Poids et Mesures, les déterminations métrologiques fondamentales des prototypes internationaux et nationaux du mètre et du kilogramme ont été exécutées dans toutes les con- ditions de garantie et de précision que comporte l'état actuel de la Science; Considérant que les prototypes internationaux et nationaux du métre et du kilogramme sont formés de platine allié à 10 pour 100 d'iridium, à 0,0001 prés; Considérant l'identité de longueur du métre et l'identité de la masse du kilogramme internationaux avec la longueur du métre et la masse du kilo- gramme déposés aux Archives de France; Considérant que les équations des métres nationaux, par rapport au métre international, sont renfermées dans la limite de 0,01 millimétre avec une erreur probable ne dépassant pas = 0,0002 millimètre, et que les équations reposent sur une échelle thermométrique à hydrogène, qu'il est toujours possible de reproduire, à cause de la permanence de l'état de ce Corps, en se plaçant dans des conditions identiques; Considérant que les équations des kilogrammes nationaux, par rapport au kilogramme international, sont renfermées dans la limite de 1 milli- gramme avec une erreur probable ne dépassant pas == 0,005 milligramme; Considérant que le métre et le kilogramme internationaux et que les métres et les kilogrammes nationaux remplissent les conditions exigées par la Convention du Métre, Sanctionne, A. En ce qui concerne les prototypes internationaux: 1° Le prototype du mötre choisi par le Comité international. Ce prototype représentera désormais, à la température de la glace fon- dante, l'unité métrique de longueur. Mélanges phys. et chim. T. XIII, р. 129. 290 Н. WILD ЕТ 0, BACKLUND, RAPPORT ЕТС. 2° Le prototype du kilogramme adopté par le Comité international. Ce prototype sera considéré désormais comme unité de masse. 3? L'échelle thermométrique centigrade à hydrogéne par rappport à laquelle les équations des métres prototypes ont été établies. B. En ce qui concerne les prototypes nationaux: | 1° Les mètres en platine iridié, dont les équations, par rapport au prototype international, sont renfermées dans la limite de 0,01 millimètre. 2° Les kilogrammes en platine iridié dont les équations sont ren- fermées dans la limite de 1 milligramme. C. En ce qui concerne les équations des prototypes nationaux: Les équations des prototypes nationaux, telles qu’elles ont été déter- minées au Bureau international, sous la direction du Comité international, et inscrites dans le Rapport de ce Comité et sur les certificats accom- pagnant ces prototypes. Paru le 17 novembre 1889. Nouvelle Série ۱ (XXXIID, № 3. BULLETIN DE LACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE SI.-PETERSBOURG. Nouvelle Série І (XXXIII). (Feuilles 20--5/,30.) CONTENU. 4 аре. W. Radloff, Sur les anciens dialectes tures. І. Vers seldschuks dans ۱ Бон Е о. 1-1 P. Nikitine, Ad Plutarchi quae feruntur МотаНа....... as 858—971 О. von Lemm, Fragments sahidiques de la Bible... . . . . : .. 373—891 - J. v. Rohon, Poissons dévoniens de Jénissei (avec 1 planche). . . . 393—410 A. Nauck, De scholiis іп Sophoelis tragoedias a Petro N. Papageorgio ET re E QUEE - 411—441 Herm. Struve, Résultats préliminaires des observations faites sur les satellites de Saturne à l'aide du réfracteur де 30 pouces . . . 443—460 تسم تون مت‎ Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des Sciences. zer 1890. С. Vessélofsky, secrétaire Sérpétaol. Degree de P Académie ады des Sciences. Vass ‚- Ostr., pt ligne, №1. BULLETIN DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ٩-۵ Über alttürkische Dialekte. Von W. Radloff. (Lu le 22 Aoüt 1889.) 1. Die seldschukischen Verse im Верар-Матећ. In der Privat-Bibliothek Seiner Majestät des Kaisers von Österreich іп Wien findet sich ein in sehr schönem Neschi geschriebenes Exemplar von Sultan Weled’s Rebäb-Nämeh. Dasselbe ist von Hassan ben Osman ge- schrieben und im Jahre 768 d. Н. vollendet wie die Datirung < 10] „ ۸٩۸ الضعیف حسن بن عنمان سنه‎ nel] الولدی على‎ в). Am Ende EUST Theiles, der 767 geschrieben ist, befinden sich 156 türkische Distichen, die zum ersten Male im 48. Bande der «Jahrbücher der Literatur» (1829 Anzeige- Blatt) veróffentlicht wurden. Der Herausgeber in den Wiener Jahrbüchern macht schon auf das Alter dieses türkischen Textes aufmerksam und meint, dass die türkisch-seldschukische Sprache schon 200 Jahre früher als die Dshagataische eine weit hóhere Ausbildung erlangt habe als diese, wiewohl sie noch gar nicht mit arabischen Wórtern vermischt war. Zum zweiten Male wurden diese Verse von Moritz Wickerhauser im Jahre 1866 in der Zeitschrift der D. M. б. Band XX, р. 574 veröffentlicht’). Herr Wickerhauser hat aber den Text mit lateinischen Lettern trans- scribirt und wie er selbst angiebt: «der Text ist überschrieben nach dem in B. XVII, p. 513 d. Zeitschr. vorgeschlagenen Mitlauter-Schema. Für die Selbstlauter-Überschreibung nehme ich mir ein bischen mehr Freiheit, als das Selbstlauter-Schema, ebenda pag. 512 einräumt». In seiner kurzen Einleitung weist Wickerhauser darauf hin, dass zur Zeit Weledi’s der Eintritt des arabischen Elements in’s Seldschuken-Idiom bereits vollzogen war und zwar seit geraumer Zeit. Was Wickerhauser veranlasste ein so wichtiges Dokument wie diese seldschukischen Verse in Transscription wiederzugeben, anstatt in genauer Kopie des Textes, kann ich nicht begreifen. Eine phonetische Transscription ist nur möglich, wenn man den Text selbst einer genaueren Analyse unterworfen hat, und 1) Im XXIII B. p. 201 derselben Zeitschrift hat Behrnauer in einer Abhandlung «Über die 156 seldschukischen Distichen aus Sultän Weled’s Rebäbnäme» viele Verse Wicker- hauser's verbessert und Prof. Fleischer vortreffliche Erläuterungen und Nachträge geliefert. Mélanges asiatiques. T. X, p. 17. 292 W. RADLOFF, [8.8.3 sie hat nur dann eine wissenschaftliche Berechtigung, wenn man beabsich- tigt durch dieselbe die Spracheigenthümlichkeiten des alten Seldschuken- Dialektes bildlich darzustellen. Dies hat aber Wickerhauser nicht be- absichtigt, seine Transscription soll nur eine graphische Übertragung des Originaltextes sein, und eine solche halte ich nicht nur für unnütz, sondern sogar für schädlich, da sie den Originaltext verdunkelt und den Leser nur irreführen kann. Da ich selbst diese Unzugänglichkeiten des Wicker- hauser’schen Textes erfahren hatte, benutzte ich meinen Aufenthalt in Wien im Winter 1884 um die Seldschukischen Verse im Original zu studiren. Die Benutzung des Manuscriptes wurde mir in freundlichster Weise gewährt und ich konnte eine genaue Kopie des theilweise vocalisirten Textes anfertigen. Ich halte es für nöthig diese Verse noch einmal zu veröffentlichen, und zwar so, wie sie niedergeschrieben sind, mit allen Fehlern und Versehen, die in ihnen auftreten*). Darauf werde ich den Lautwerth der Schriftzeichen prüfen, ein Wörterverzeichniss des türkischen Sprachmaterials der Verse zusammenstellen und die grammatischen Formen, die uns hier aufstossen, schematisch ordnen. Nach Beendigung dieser einleitenden Untersuchung will ich eine Transscription des Textes liefern, um dadurch ein Sprachbild des Seldschuken-Dialektes des vierzehnten Jahrhunderts zu skizziren. Ich hoffe auf diese Weise einen Ausgangspunkt für fernere Untersuchungen der alten Sprache der türkischen Süddialekte zu gewinnen, an die sich weitere For- schungen auf diesem Gebiete anschliessen können. Was das Auftreten arabischer Wörter in der alten Sprache der Türken betrifft, darüber kann uns natürlich ein Text mit so ausgesprochen religiösem Inhalt wie diese Seldschukischen Verse gar keinen Aufschluss geben. Die Bei- mischung arabischer Ausdrücke ist eine Licenz, die jeder mohammedanisch gelehrte Türke nicht nur für sein Recht, sondern auch für seine Pflicht hält; besonders in einem Werke religiösen Inhalts ist eine solche Beimischung unvermeidlich, und ich muss darin dem ersten Herausgeber beistimmen, dass in den Seldschukischen Versen diese Anwendung auf ein Minimum beschränkt ist. Ich bezweifle, dass die in unserem Gedicht angewendeten arabischen Elemente in die Sprache der Seldschuken eingedrungen waren; diese Verse können uns für eine solche Annahme durchaus nicht als Beweis dienen. Wenn Ausdrücke wie نور‎ 15 mal, > 9 mal, 5. 8 mal, خاص‎ 7 mal, (55 4 mal sich wiederholen, so muss man bedenken, dass dies termini techniei sind, die der Autor, der gewiss eine arabische Bildung erhalten, sich schon in der Schule angeeignet hatte; andere Ausdrücke wie ÉL] Je; ЗИ | »Lu> müssen wir ж) Durch die gütige Vermittlung des Herrn Prof. Fr. Müller habe ich eine vortreffliche photographische Kopie der Verse erhalten und nach dieser sind die Korrecturbogen verbessert worden. Diese Kopie wird jetzt in unserem Asiatischen Museum aufbewahrt. Mélanges asiatiques. Т, X, p. 18. (хххш)] ÜBER ALTTÜRKISCHE ۰ 293 als Übertragungen aus dem Persischen ansehen. Ebenso müssen wir auch die fast in allen Versen auftretenden untürkischen Constructionen mit aî und که‎ (letzteres direct aus dem Persischen entlehnt) und die Anwendung des nega- tiven @....a als litterarischen Einfluss des Persischen bezeichnen, der gewiss damals. der Volkssprache noch ganz fremd war, wie ja auch die ganze Anlage des Gedichtes auf eine Nachahmung persischer Verse hindeutet. Die von Künos veröffentlichten in Constantinopel gesammelten türkischen Mär- chen geben uns einen deutlichen Beweis, dass bis auf den heutigen Tag ein grosser Theil des türkischen Volkes selbst in Constantinopel seine Sprache noch verhältnissmässig rein. von -fremden Ausdrücken erhalten hat, wie sollte das nicht vor 500 Jahren in noch viel grösserem Maasse der Fall ge- wesen sein. Ich werde daher in meiner Untersuchung die arabischen und persischen Elemente der Verse vollkommen unberücksichtigt lassen, da ich sie nur für zufällig vom Autor eingeführte Ausdrücke halte. I. Der Originaltext der Seldschukischen Verse, ОВИЕ dree ДО > بلك‎ obs СМ л О А Le کول‎ e ری‎ uil дас са Ei сағана аі кад ы аа m E سل‎ edes е teg obl dL opère зы Jl КУ] ge je وردی بودر‎ EL в d JL s A یرون‎ cles اق مول ر الم ۾‎ eset d Ji edis ЕТТЕН v os cle эз pe طوبراق‌در‎ JU À ديريي دت قبوفل آنی‎ e А سوز قسالر بساق لور بای‎ SEES uisus el, کون‎ « al تکریی دت کم قلاین سن‎ ایتفل کندو لطفندّن با‎ Cas + یالوارب(" زایی قلب دبغل انا‎ 10 px uit hs раж نوزم‎ bu ام‎ er ای‎ а обр اسات‎ «Verse in der Маған», 77% el, 8) viell. nur ~ slyk 4) corr. prima manu aus کوزم‎ 5( Ren Melanges asiatiques. Т, Х, р. 19. W. RADLOFF, ] 8. 1‏ 294 dl sas‏ دنکیزا ius div Me | A e JJ‏ بن داقی del‏ بکی LS‏ الم ell e‏ دنکز کیبی دیزی" Шз‏ ГРИВА ET‏ :۱۴ کن ملین خ bis йы‏ Пу pt 28‏ یرو داوم وی ون اس PDC В‏ تکری f‏ ی БІ‏ ورر + ке ды BS ЦИ‏ بلو dnx‏ да‏ کو جر مه از کیک И AN ré‏ کوردی تنکریی * تنکری نوری‌در af‏ سورجیل تلکریی БЕ TUM‏ بی И er] DEDI ГЕ‏ رک جتن ۰ Bl‏ ول ای ال بای میات ai qu‏ ^^ РАВО КИИ.‏ بار ج am‏ اکن ایی ال m d а ET, oe‏ سز انی بنم Жанры anter ео Ze‏ بسن ديم سوزلر که کمسه دیمدی ® بن ورم نعمت که کسه پییدی 8 بسن ورم خلعت که کیشی کیبدی ٭ کسه du‏ بخششی صانیدی سوردیلر بینرن خلایق بو سری + اولویی si Que‏ قلدی دری مصلفی کوکده 455 بردی sel ОШ]‏ آبردی باوزلردن os‏ ضونی ам ОАЫ‏ الدی ж Lo‏ دشینینن ШАРЫ Яя‏ es‏ الدی غرق فرعون dl ж oral‏ کم ايشيتونك اول ایتون چاون «قان الردی آری سو کافرلرا # جانلری اولوردی اندن قرا تنگری‌دن عر کون بنونن کیبی بلا ж‏ دورو As‏ کلوردی Ы‏ !> خلیلیعن ans‏ اولدی کلف * اوده us‏ اودی بلدی کلف بیر اویزلا فرودی قبر ایلدی * انا دنیا que‏ زعر ایلدی ~ 6) AR Mélanges asiatiques. T. X, p. 90. (хххш)] ÜBER ALTTÜRKISCHE ۰ 295 „МД соме! анны ДЕШЕ ш اون اولسوردی‎ Los H رادان‎ срна ДЫ] e dis ssl [дд ell ss طاشه اوردی اول کافرلری‎ alb ж فردی اول منکرلری‎ Је "Lal هود‎ بیل کرمدی‎ LN انلری کم فود دیلردی قرمدری * انلرن‎ نوحبجون لونان فامو کفرلری + بوغدی سودن قومدی کیسه دری‎ ағалы انا قودی‎ à * الدی دنکز‎ ule فابندی سولر‎ әз سو تسنسوردن قیندی بینگار بکی * بویروفین دوتنی(* نومن قوللار‎ 0 امتینی سودن انسده بکلدی‎ ж کی نوع ابلدی‎ „ә کندوزیچن‎ آدم آنی بیلوز* بیز ق املو موز‎ * Al ай کیبی‎ pol eo gaur کامی دور انن ین‎ ye بو اوکسوت‌در حق خصینا‎ وبردی تنکری کیرو آنی(" اول بلا‎ * Lols بسوننکیبی کرامت‎ om BS وه تنگری آیتی نا کم انلر ایتیلر ٭ تنگری حاضردر کر انلر‎ JU کور ناکم انلردن کلر * تنکری‌دن بل ناکم انلردن‎ os خلقه .65 تنکریی‎ anu] ولی‌دن ایرو کورما ننکربی * اندن‎ Ar قول‎ Kl تنکری حاضر ایسته بول ٭ دوت جاندن اولفل‎ Cl بیندن‎ سر دلرس انسی دنل ای دادا‎ # dolus حق سری در‎ el ننگری‎ اول قولق قانی که بو سرلر سفا‎ + Le سرن("‎ "end pol بن نیته‎ 50 سر دلا سغيز قلقلر نه الر * بو اکیدن کم جقربا اول بلر‎ sol بلدی جانی‎ A اول نسایی کم کیسنا بلیدی * اول کم‎ МЕ аеро. а ازل سلو بتلا‎ ДА] سنا‎ ble اکش‎ bes ٭ کم عوض‎ EI کیرو ورغل‎ obs تنگری‌دن‌در‎ اندا جال ارال‎ ut) مال کر ريي الله‎ ЕРІ séi 7) ur. ] 8) ся? ‚> 9)in j بیلور‎ сотт. 10) (Pl F. 11)Die Vocalzeichen zweifelhaft. Mélanges asiatiques. T. X, p. 91. 296 | W. RADLOFF, (8. 8.1 sol El JS ol Lu БЕК шз el uf Led ns Ul) | کے بکنی:قش‎ ж ам کوددن جلا‎ а LA ч) Јој کندوزندن یوز صورت بر جان الر * شیر الر بازار الر‎ A جان ایبانقدر اكز کودا‎ a Ла عم‎ JE کندودن هم يبر‎ od dii про » لباق ج امک‎ Jae dus w a اوجاق اجریا( حورلرلا‎ + LIE جسان‎ ШШ de کم‎ بختلو اول جسان که جانی عشتدر * قولقی بو پولده صافی ضرق در‎ 3,5 30 7 Ak بلاق 807 » ول که9:‎ JE جسانی‎ не هم نورندن بو قرانگولق کیدا‎ * ПАЇ کم جسانکی عشقلا دیری‎ Шы ينازقنك‎ олы + کنذوزی بیکی سنی خاص ايليا‎ 5 Js دونفل ابرقن الدن‎ О] * ЈЕ) بسو جهاندا اول اری گی‎ us oes جضان امی الر * بلك | انلزن‎ ie آسی‎ als کور جان‎ us] Usb У * کودا بکی بنلر جانی‎ ole ہو‎ ела УЫЛ Uber * ni о), Рам قارشو دورا‎ W جان کورفس کم بوزن کوزلر کورا * کوده داکل کم‎ ٥ سوزی‎ um کورر هر‎ Eal کم‎ di * کور جان بوزن نو(" بو کوزی.‎ Ye کوز وار دوکالینی کنورر‎ y مر نسانك کسوزلری ایرقسدر * سنده‎ سوزلرنك کسوزی بایق قولق الر * سوزی یاوز سوزی قولق بار‎ ыы طانلوی آجیدن اول کی فزق‎ ж азуы 19) 11 طادم اغناگ کوزی‎ Aal اننك کوزیله باق ٭ کم کوراسن دشییاسن سن‎ ВЫ هر‎ 76 دلرسن کوددن جتماق كرك‎ oU. * Ir Aa, У Бо» с 12) نیعق‎ b 13) =l 14) Vers 58b, 59a zwischen den Zeilen nachgetragen; die Reihenfolge ergiebt sich aus dem Originale. 15) ابعر با‎ 16) über der Zeile eingefügt. 17) قو‎ ۷۰ 18) e] F. | T . Melanges asiatiques, T. X, p. 22. (хххш) | ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 297 نور A Graz‏ نوز dall‏ نورجن * حور دیلرین وار حور الغل عورجرن ya УЯ‏ + آبله کم بساور ادن کی ek‏ рт a, Al ЈА СЕТИ‏ уе‏ بسوزی Lau‏ هم بنکزمز * qs S‏ قاننده بنكي بیره Ze‏ lf i‏ ون E b is в Жо luis‏ لح Se‏ я‏ بکی عالیده DX es * №2 alio‏ فارانکنولیق у‏ са Hl uos‏ عبتتی بنکنن ДЫ a‏ دانگردم(* اول مونی: О‏ ЫМ ЫН Ғы‏ 8 هید Уа‏ باق رل Шы‏ بیغامبر لرنگ وار ВЯ‏ ٭ کم о‏ قساموسینی بر У и‏ سر اون لین در ee)‏ تاه ان жалау‏ ОБЕ О‏ دت بونده bs‏ ٭ کم بولاسن ола! SUL.‏ Junt ҒЫЗ,» өзе? eb,‏ 8 ان U duel ја‏ هکم uos кош ЫЗ paf e уш Ж gl gl‏ sid‏ بلسیدم بن ایدیدم Le‏ * سرلری کم сз AS‏ دکری بر بلدریرم سوزلا بلدرفسی TT в‏ سارت ترا құлады же‏ pb‏ کم کسوره‌لر قامو ЗМ Диу de a A‏ بیندن е-е‏ بلدرم оъ Les‏ بوللر М‏ کیچی оь‏ 5 بالوارورون٩* bE‏ بن دون وکون * کم Up Lait, gs‏ es Li‏ دوکلینی Lal т Ur‏ تنكريدن ايلك دیلرم سیز داق بیی سونك У)‏ که بن * سیزی ساورم gU Us‏ تن 3 à - 19) Jul) 20) ورر‎ 21) o» als 22) aus di corr. 23) am Rande corr. statt des zuerst geschriebenen 2.” وروم )24 و ار‎ 2156 Mélanges asiatiques, T. X, р. 23. 298 W. RADLOFF, [N. 8.1 Es کی دلامزیز قساجرییز دورت‎ Ко کسی دلروم سیز‎ Oli cy е-е ағас ايلا که‎ B) نی * کسورس‎ һы "me РЕКА Li ib bal ни & کاور کبی اول جان‎ LS حقدن ايرو سنیغل‎ Л J—— JUS دبا تتکری‎ gels آی‎ اوروزنك‎ аә اول ورر سب‌انکا‎ FREUT UNE TURN ICON није جباندن سوز‎ РУ اول بلا کم‎ Жы» coule ose Al agi ИЧИ те oes as. جپانده قوللا سلطان قلر‎ JJ Јана о еңі іы ایکی کورم | کوزلوبیسن انلری‎ بير درر‎ vb باق کم‎ Line Aus نور( بباق کم بین‎ Lë el قانرہ کم کسوره چقی انده قلا‎ برکشب در آبله کم طاغده فیا‎ فو حق بولن گی استه بل‎ реи کوردی کوزلری‎ db حق نورن جون‎ Jul An دوگلی ببانکلش‎ تنگری‌دن‌در سوزلری‎ La T اول‎ نوره )27 طلودر )26 کورسز )25 Mélanges asiatiques. T. X, p. 24. 100 بینی فسانی دوتسز بو в dolis‏ Ју‏ بو دور اول جان که بو e Боя‏ یادن ous, ls‏ استغل ж‏ e Hé BROS ET EE‏ تکری اندن ايرو دکل ام e df‏ 5 کم که بیری ایکی کورر شاثی در * ای قرنداش بوسوزی ايلا که ور * us, Вы‏ انك M lass‏ * lie LU ug‏ سوت ار * نا که ورسا اولر اول بر جبان قلر = 0 قول ael ar ҰЛЫ‏ دکل * تنکری نورندن ظلودر(* جان‌لری * instal bf. bed Coah‏ + EN‏ باقن نوری Al‏ کورر * اوسلو اولر احرا(* نوری уз‏ بلا * 5 دندی سوزبله کم کر کا # gb‏ اکا دیرلرسه بو Ју‏ حو JS‏ * bal Е‏ توا dl‏ سوزلرری e‏ سوزلرین Al‏ سوزلرن سور ж "Jal.‏ سوز انکدر کم اجقرر کسوزلری * ۰ ایننیغل )30 W.‏ سنیغل )29 ایچرا )28 (хххш)] ÜBER ALTTÜRKISCHE ۰ 299 ша ыда ایا‎ ЫШ ام * ناکم‎ FAR اول کشی کم‎ ٥ а-а ай die Ji ЫР» аҚ ادان ابت‎ cab obe ы} تتکری دیدی سیرو اولدم موسیا * کندو دویتن کیشی بوبله‎ سن سرم‌فا‎ Oud کورمفا * نیته‌در کم‎ Tun کلدی‎ е, یلق‎ pé ыы зі, سے‎ uia e, di» «opt 5 بینه دپسدی سیرو اولدم DAS‏ * دیسدکم سوزی Le‏ الدن موس دیدی بو سری انکلامزم * مقصودنك نسادر بو سردن pb‏ تنگری دیدی سیرو اولدی Ai‏ ولیم * bel ШЫ»‏ سیرولق دارنی دلیم بیر کون آنی نینه وارب کورمرنكگ * ом‏ دییب حالندن سورمرنكت بن انك سیرولفندن rauer‏ سانمه کم بن اول pal ds‏ такуа ای اسوق این‎ в dil Ste се Le Am بندن سورنکسوز‎ Я بینی اندا آن بنده کسورنکوز * بینی اندن‎ کون‎ om dl کول بکی دز کوکسن‎ + ар ello بن جانی‎ dl کوده‌در‎ use dU Lolo uui elus е do ایکی کورماناگ‎ A à امن‎ بیق‎ kilo آوبنی‎ эмэ * اول ببق‎ Ше کم آنی بندن‎ بسن А, un S SE‏ صالی ® اول ولیجن کردم ої ge‏ کم دوعا اندن ساغشسز کیشلر + جفت اولالر У‏ دیشلر هم بولردن ls Le és‏ * کم plo pl‏ بینی اول خاصلر بلا کم بن نوم * انلری ساونلری بن کی سوم ela Ls‏ بانم Ch pe‏ ٭ نا کم اول anal‏ آی قبللکز ٥‏ کم سوم قسامونکوزی آنونکیجن * قسامونکوز آجن کسوزی انونکاجن آنکه بافنك باقمانکز Sal‏ پوزا * کم نورندن نور LS‏ کوزنکوزا بینی )31 Melanges asiatiques. Т. X, p. 25. 300 | W. RADLOFF, | [N. 8.1 رحمتم اول‌در Бо‏ بلنكگ ET ж‏ دوتونك بینی اندن بولنك Deler dëch уыс Жы; "ef, ај ЦЫ ef‏ bs ule JS uS Ls‏ × او مباق bel‏ شربتندن Ll.‏ иц ii iru. 4‏ یت ОАЫ E cel e‏ اول Оз‏ کم طهور الدی آدی * تنکری قرآن‌ده ادن ЗЫ‏ دیدی اجماق d A Jus hal‏ يوق درر * نا کم oe МИ‏ ادن dën‏ 399 kel An‏ انده دایم‌در بلنكگ * Al Ae‏ اوجاق All, is‏ کر وراسز بو جهاننی اوجقی ead]‏ بسوننده کسوراسز حقی 0 کسوردلر بونده Jb‏ نبا که ور * نقد بسوکن LLL‏ بقمادلر سن داق од ШӘ,‏ استغل * اوجماقبجین دنیایی الدن dés‏ بونره بسولدپلن ارنلر بل بونی * دون ons]‏ کنودلر بللو کونی قارانکوده зу‏ حق نورنی ® دیو اعینده بسولزلر هم حورنی کفر воле]‏ دين QU,‏ بولرلر * کنندولردن الدلر حق اولدلر 155 طامله بیکی AN‏ دنکیزا کردیلر * کسن-دولرینی Жә», LG‏ deeg ibi bl э Жаб Ee‏ Il, Über den Lautwerth der im Texte angewendeten Schriftzeichen, Eine Vergleichung der Wiedergabe gleicher Wórter an verschiedenen Stellen des Textes beweist uns auf's Deutlichste, dass wir es hier nicht mit einer in hohem Grade ausgearbeiteten Schriftsprache zu thun haben, wie der erste Herausgeber der Verse meint, sondern mit dem Versuche eines Türken, der eine arabisch-persische Bildung erhalten hatte, ein Gedicht in seiner Muttersprache zu verfassen. Nirgends begegnen wir einer auch nur irgendwie durch den Gebrauch festgewordenen Orthographie. Man betrachte nur die Schreibung der allergewöhnlichsten Ausdrücke, die jeder irgendwie im Schreiben Geübte gewiss aus Gewohnheit gleichmässig schreiben wird, wie den Genitiv des Demonstrativ-Pronomens, der in folgenden Schreibungen auf- Mélanges asiatiques. T. X, p. 96. (хххш)] ÜBER ALTTÜRKISCHE ۰ 301 tritt: انونکبچن‎ (1352), 8, (V. 3b), اننكگ‎ (23b, 75а), انك ,)1325( نك‎ (1072, 119a, 129a), انن‎ (43 b), ol (2 а), oder den Dativ desselben Pronomens: Ге (16а), (С) (10а), [0] (33 b, 481, 54а), aT (1412), El (1164), oder den Accusativ: №] (85b), Я (42Ъ, 66b, 88b u. s. w.), ی ,)1342( آنی‎ (23а, 61 a u.s. W.), آن‎ (131a); oder die Formen 168 5 gb | (sein): d (13a), У) (55b, 107a, 107b), У, (93b), ЛУ, (136 b), Ji (6а, 8а), Ji (12 b), Ji (67 b), ), JI (58а, 73 b, 108 a), اولدی‎ (32a, 127а), الدی‎ (28а, 29а; 39а), الدی‎ (78а), دی‎ УЛ (30 b, 34a) ete. So verschiedenartig kann nur Jemand schreiben, der keine Übung im Schreiben hat. Wir müssen also annehmen, der Autor sei gewóhnt in einer anderen Sprache zu schreiben und mache hier nur einen Versuch seine Muttersprache durch fremde Zeichen auszudrücken. Dadurch erklärt sich auch das Schwanken bei Wiedergabe des dem Persischen und Arabischen fremden Nasals ң; bald schreibt der Autor ein J (wie auch noch heute die Karaimen der Krym ң durch 3 wiedergeben) z. В. El аңа (1162), bald ein oo 2. B. с] ітің (29b), الدن‎ алмадың (125 b), بینتن‎ бінуң (43b), :j—» Gir (tausend) (34 b, 84а), während er doch meist den а. di zur Wiedergabe des Nasals benutzt z. B. ES: u, гбрунуз (131a), کزبلگ‎ гбзун (104 а), (СІ ана (16a). Am meisten Schwierigkeit macht dem Autor die Wiedergabe der Vocale; er fühlte selbst wahrscheinlich, dass die drei arabischen Vocal- zeichen], ی رو‎ nicht zur Wiedergabe seiner 8 Stammvocale ausreichten, daher nahm er die Zeichen 7 — _’_ zu НШ und suchte durch Hinzufügung der- selben das Fehlende zu ersetzen. Er führte diese Zuhülfenahme aber nur in den ersten neun Zeilen streng durch, und weil er einsah, dass er durch diese Hülfszeichen keinen grossen Nutzen gewonnen hatte, wendete er diese Zeichen in der Folge nur vereinzelt an, um etwaige Missverstündnisse zu vermeiden. Zur Wiedergabe der vier Labialvocale treten ,, Ж — und — (Auslassung) auf und zwar sehr unregelmässig. Ев lässt sich höchstens feststellen, dass У vorherrschend durch و‎ wiedergegeben wird, während о in der Stamm- silbe sehr oft er wird, ö und y hingegen öfter als die übrigen Vocale durch — bezeichnet werden. Der dem Persischen und Arabischen fehlende Vocal ы wird meist in den Stammsilben durch a, — bezeichnet, öfter ” aber auch ausgelassen. à wird durch |, Î, f, —, . wiedergegeben oder aus- gelassen, a hingegen durch р 1 ‚ ] bezeichnet, oder ausgelassen. Ев wäre also unmöglich aus den für die Stammvocale angewendeten Schriftzeichen Melanges asiatiques. T. X, p. 27. 302 W. RADLOFF, (8. 8.1 auf den Werth derselben irgendwelche bestimmte Folgerungen zu ziehen, und wir müssten dieselben in einer phonetischen Transscription vollkommen unberücksichtigt lassen, wenn nicht andere Umstände uns erlauben würden hier Ersatz zu schaffen. Alle südlichen Türkdialekte haben, wie bekannt, in den Stammsilben die ursprünglichen 8 Vocale bis auf den heutigen Tag bewahrt, ebenso wie die räumlich am weitesten von ihnen entfernten östlichen Dialekte. Von den west- lichen Dialekten, die gegenwärtig zum grossen Theil eine Verschiebung der sanzen Vocalscala aufweisen, haben wir ein Document vom Anfang des XIV Jahrhunderts mit guter Vocalbezeichnung d. h. den Codex Comanicus, und aus demselben ergiebt sich, dass damals in den Westdialekten die Vocal- schiebung noch nicht stattgefunden hatte. Wirsind also vollkommen berech- tigt anzunehmen, dass auch die Stammvocale des seldschukischen Dialektes im XIV Jahrhundert dieselben waren, wie sie sich bis heute in den Süd- und Ostdialekten erhalten haben. Wir sind somit im Stande die 8 Stammvocale а, о, y, ы, &, 6, y, 1 der Seldschukischen Wórter unseres Textes richtig ein- zusetzen, wie ich dies in der Folge in meiner Transscription thun werde, und wie dies auch Wickerhauser in seiner Transscription gethan hat, in- dem er einfach die Stammvocale des Osmanischen anwendete. Stórend ist nur die Wiedergabe Wickerhauser's insofern als er jedesmal ein Lüngezei- chen über den Vocal setzt, wenn der Text zufällig einen arabischen Vocal- buchstaben c, رو‎ | bietet. Viel grösser ist die Schwierigkeit den Vocalwerth der auf die Stammsilbe folgenden Silben zu bestimmen. Für die Bezeichnung der weichen Vocale a—ä genügt das sehr häufig angewendete — vollkommen. Anders verhält es sich aber mit den weiten Vocalen ы,і, у, y. Dass die Stammvocale o, y, 6, y Labial- attraction ausüben, zeigt eine grosse Anzahl уоп Wörtern: çJ sss! урузы (20b), узу اولو‎ (94b), yecya اوس‌سوز‎ (86 b), гбзуңізі [555555 (131), дуру دورلو‎ (31 b), бунун بونون‎ ‚ (84 а), јулдузы زی‎ ЖҮ! (20 а), јоксуллар Дз (93 b). Ob aber diese Attraction wie in den heutigen Süddialekten über die ganzen Affixreihen ihre Wirkung ausübte, ist schwer nachzuweisen, da viele En- dungen wie , >, نی ,دیلر‎ etc. stets gleichmässig geschrieben werden. Ich bin zwar der Ansicht, dass dies nur eine durch Analogie der g tischen Endun- gen hervorgehende Schreibweise ist, und dass trotz dieser Orthographie die Vocale der Endsilben ganz wie im Osmanischen durch die Labialvocale der Stammsilbe afficirt wurden, dass man also اولدی‎ (32) олду, الدلر‎ (154) ölayläp, کونی‎ (132 b) гуну ebenso wie 3,1; (78 b) јавузу zu lesen habe. Um aber nicht eigenmächtig zu verfahren, werde ich dennoch in meiner Trans- scription ی‎ c der Endsilben stets durch i oder ы wiedergeben. Melanges asiatiques. T. X, p. 28. (хххш)| ۱ ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 303 Andererseits ist aber nicht jedes رو‎ — und و‎ in den Endsilben durch y, у wiederzugeben, sondern sehr háufig wird auch noch, wie heute im Osma- nischen, der y-Laut gesetzt um das gutturale ы zu bezeichnen. Hier eine Anzahl Belege: аның (sein) wird durch 3j (3 b), Aal (23b), sU] (132 b) wiedergegeben, kann aber auf keinen Fall анун gelautet haben. 42а wird атамыз unser Vater = ата + міз (= біз) durch л, таварым (4а) durch pis, малым (4 a) durch مالم‎ wiedergegeben, wãhrend das ы in den beiden letzten Fällen nur Bindevocal ist, der sich unbedingt vollständig nach den Gesetzen der Vocalharmonie zu regeln hatte. Ich glaube nach dem uns vorliegenden Material darauf schliessen zu können, dass im Seldschukischen folgende Gesetze der Vocalharmonie Gel- tung hatten: 1) In einem Worte können nur gutturale Vocale (a, ы, о, у) oder nur palatale Vocale (ä, б, y, i) auftreten. Transscriptionen wie بلدوغمی‎ bilaysymi Statt bilxÿrÿmi sind offenbare Versehen. 2) o — à erscheinen nur in den ersten Silben. 3) Die labialen Vocale o, y, 6, У üben einen labialen Einfluss auf die engen Vocale aus, so dass auf labiale Vocale in den folgenden Silben von engen meist y oder у folgen. In den offenen Endsilben ist dieser Einfluss wenig bemerkbar, 2. B. уссус آوس‌سوز‎ (86 b), aber усуңы MP cler (53 a). Diese Vocalgesetze hat das Seldschukische mit den heutigen Süd- dialekten gemeinsam, wir finden aber hier eine Erscheinung, die im heutigen Osmanli verloren gegangen 156, und hóchstens noch vereinzelte Spuren in der Schrift zurückgelassen hat. Es giebt im Seldschukischen eine ganze Anzahl von Affixen mit engen Vocalen, die einen labialen Vocal ent- halten, die also je nachdem die Stammsilbe eine gutturalen oder palatalen Vocale enthält die Vocale y oder y darbieten. Dergleichen Affixe sind: 1) Das Adjectiva bildende лу, ay (z.B. طاتلوی‎ (74 b) датлувы = дат + лу زب‎ ны) کوزلو‎ (111b) гбају == кӛз--1У. 2) Das Participium futuri auf ур 2. В. аідурум (аідурам 2) ایدرم‎ (15а), мур 20 (6b), олур _„ (6a), am ДІ (8b), Калур Jl (Ва), урур اورور‎ (143 b), Карылур a ДЕ (12а), варур. Ж و‎ (6 b), варур Aa (82 b), 3 بیلورز‎ (42). : 3) Die erste und zweite Person des Imperfects дум, дун (дум, дун) јараттум Ж» (1352), ашитун 82,52] (29 b). Mélanges asiatiques. T. X, p. 29. 304 W. RADLOFF, LOCH 4) Die zweite Person des Pluralis des Imperativ Кылун CHE (1b), lys بلنك‎ (la). ۱ 5) Das Nomen actionis auf дук (дук) бИдугум! بلدوغمی‎ (92а, 94 а) бул- дуБумы pon (92a, 94 a). Ebenso tritt y (y) in einer Reihe mehrsilbiger amorpher Bildungen und unzerlegbarer Stimme in der Endsilbe auf, während die Stammsilbe einen дендин Vocal enthält 2. В. aipyk (aus аїр + yk (ایروغن‎ (89 b) караңу (кара + ну) (— „4515 (81b) каршу قارشو‎ (70 b) каму قامو‎ (38a, 93а) канду کنو‎ (10b, 16b) „у (122b) ` гару کیرو ,)150( كبرو‎ (44b, 54а, 1152) rijyp aus rip + Ур LS (143 а) јавуз یاوز‎ (55 b), јавузу Ze (78b) jokapy „jő, (17 b) caipy سرو‎ (122 a), саірулуЕ Ce (127 b) дамудан طامودن‎ (144 а). Das Consonantensystem schliesst sich auf's Engste an das der Süd- dialekte an: ۱ Wir finden hier folgende Consonanten К, Б, к, г, н, j, Н, T, Д, 9, 1,63, Ш, п, 6, B, M. Von den Labialen treten im Auilanté 6, B auf und zwar ganz wie in den heutigen Süddialekten. Das s des Anlautes in вар und вар (siehe die- selben im Wórterverzeichnisse) entspricht dem der Süddialekte und steht dem б der Westdialekte (бар, бар) und n der Ostdialekte (пар, пар) gegenüber. Von den Lauten der mittleren Zunge sind д, ч, c, nr, im Anlaute all- gemein im Gebrauch ganz wie in den Süddialekten да, mär, дагу!, дав, 405, дақ etc. und zwar schreibt unser Text vor Palatalvocalen >, vor Guttural- | vocalen aber b. Dass dieses aber auch wie A zu lesen ist beweisen uns die Wörter [5,> дора (136 а), „Је, дођалар (137 a), aber طوغدی‎ дорды (35 а), Kr دارد‎ дартты (127 b). Der Anlaut е des Textes ist offenbar ч zu lesen, da г auch im Inlaute häufig > vertritt (vergl. خلیلیعون‎ und с >). Da es jetzt keinen Dialekt giebt, der das ч im Anlaute zu п erweicht hätte, so müssen wir auch annehmen, dass das Seldschukische im Anlaute nur ч kannte. Melanges asiatiques, T. X, p. 30. (ххх) | ÜBER ALTTÜRKISCHE ۰ 305 Einen klaren Einblick in die Consonanten der hinteren Zunge (Guttu- rale) zu gewinnen verhindert ‘uns das arabische Schriftsystem, in welchem f sowohl für к wie auch г stehen kann. Wir treffen im Anlaute der Wörter unseres Textes 3 und Ў, ersteres ist offenbar К zu sprechen. Über die Aus- sprache des letzteren lässt sich jedoch etwas Bestimmtes nicht aussagen. Es lässt sich aber annehmen, dass das 7 derjenigen Wörter, die jetzt im Osmanischen mit À gesprochen werden, bei den Seldschuken schon г ge- sprochen wurde; dazu veranlassen uns folgende Übergänge der explosiven Anlaute: ۱ 681. Dial. westl. Dial, südl. Dial. Seldsch. 6 П 6 в в T T A X K K r ? wo wir für «?» ohne Zweifel r zu setzen haben. Ich habe daher an Wickerhäuser mich anschliessend f in denjenigen Wörtern durch г wieder- gegeben, in denen das Osmanische ein $ bietet, aber durch к in denjenigen Wörtern, die noch jetzt im Osmanischen mit к gesprochen werden, 2. B. канду „27 (10 b) кім да b) кїмсй کمسه‎ (15 ђ). Im Auslaute der Wörter unseres Textes sehen wir folgende Consonanten erscheinen k, 5, К, Г, Т, A, H, H, T, Ч, C, 3, Ш, II (б), В, М. Wenn ich von Labialen den Auslaut п (6) anführe, so will ich damit nur bezeichnen, dass der im Auslaut überall durch <» wiedergebene Laut offenbar п zu lesen ist. Die Schreibweize 6 «> kommt jedenfalls daher, dass jedes in den Inlaut tretende m zu 6 erweicht wird. Ich bin zu dieser Annahme berechtigt, da ja im Auslaut aller türkischen Dialekte stets das tonlose n erscheint und wir nicht annehmen dürfen, dass das Seldschukische hierin eine Ausnahme machte. Ich werde deshalb іп der Transscription stets Кылып == ls ete. schreiben. Dass im Auslaut einzelner Wörter г und Б auftritt, wenn wir auch solche Wörter nicht nachweisen können, beweisen uns die Schreibungen Uf даг-д (91b), доБ-ды طوغدی‎ (35а) und ağ-ap آغر‎ (171), die darauf hinweisen, dass diese Verba, wie in den Süddialekten Aär, 105, ар lauteten. Hätten diese Verba ток, ak gelautet, so würde offenbar im Texte und Al geschrieben sein, vergl. бакма Li (872) Gak-ap AL (87а). Dass auch д im Auslaut auftritt beweist die Form ад-ы ادن ,)1462( آدی‎ (146 b) und од-а өз)! (32 b) verglichen mit ایتون‎ 11-111 (29 b). Mélanges asiatiques. T. X, p. 81. 806 W. RADLOFF, | [N. 8. ı Im Inlaute zwischen Vocalen treten alle Consonanten auf, die wir oben angeführt haben, und zwar ebenso in unzerlegbaren Stämmen, wie auch, wenn durch Antritt eines vocalisch anlautenden Affixes der Auslaut in den Inlaut tritt. Dabei ist zu bemerken, dass überall der in den Inlaut tretende Auslaut mit Ausnahme des п in derselben Form erscheint, die er im Aus- laut hatte. z. В. бак — бакар AL, (87 b), доб — дора دوفا‎ (136 a), Кулак — Кулакы قولقی‎ (62 b), дақ — Дара طاغه‎ (361), іт--ітің ایتون‎ (29 b), јат — jaryp 5h (59 b), ад--ады آدی‎ (146 а), ад — аідам ایدم‎ (50а), сав— савар pe (106 b), чав-- чавын جاین‎ (29 b), баш башына بش‎ (134 b), сіз — cisi سبزی‎ (97 b), гӧкўс — гӧкеі 445, (1325). Für п im Auslaute eines Wortes mit Affixen liegt uns kein Beispiel vor. Ob ч, п im Auslaut vorkommen und wie sie sich beim Eintritt in den Inlaut verhalten, dafür kónnen wir aus unseren Texten natürlich keine Belege aufweisen, da die arabische Schrift überall e bietet. Wir kónnen uns hier nur an die Aussprache der Süddialekte halten, die das in den Inlaut tretende ч nicht erweichen. Es wäre demnach au — ачар اجر‎ (61 b) zu lesen. Die einzige Ausnahme von dieser Regel bieten die Wórter auf 3l ЛЫК, die beim Antritt von vocalisch anlautenden Affixen das $ in ¢ verwandeln. саірулук ER سیر‎ (127 b), aber саірулувундан سر ولغندن‎ (129 a), достлык-- достлуђун دوستلغن‎ (4 b). Was die consonantisch anlautenden Affixe betrifft, so haben diese wie in allen Süddialekten das offenbare Bestreben in tónender Form aufzutreten, nicht nur wenn sie an vocalisch auslautende Stämme, sondern auch wenn sie an mit Consonanten auslautende Stümme gesetzt werden und solche Consonanten- Verbindungen entstehen, deren zweiter Consonant ein tönen- der sein kann, d. В. an Stämme, die mit einem sonoren (flüssigen) Conso- nanten oder einem tónenden Consonanten auslauten. Da die Zahl dieser Stämme eine bei Weitem überwiegende ist, so fand der Verfasser unserer Verse sich veranlasst alle Anlaute von Affixen durch Zeichen tónender Consonanten wiederzugeben, also stets ردان ,دی‎ o» Jé zu schreiben. Die einzige Ausnahme bildet der Antritt eines mit д anlautenden Affixes an _ einen mit т auslautenden Stamm, so finden wir апит-тун ایشیتونكگ‎ (29 b) statt b, ы) rär-riläp „LS (45 b) statt Jr јарат-тум өз درد‎ (185а) statt ,یرد ندم‎ Dieser Vorgang erlaubt uns den Schluss, dass bei Antritt von conso- nantisch anlautenden Affixen an Dees? anlautende Stämme genau dieselben C ten-Verbindungen im Seldschukischen entstanden, wie in den heutigen Süddialekten, d. h. : Melanges asiatiques, Т, X, p. 32. (хххш)] ÜBER ALTTÜRKISCHE. DIALEKTE. 307 | ту Treten consonantisch anlautende Affıxe an einen Stamm, der mit einem tonlosen Consonanten auslautet, so bilden sich Doppelconsonanten aus tonlosen Consonanten | тд == TT 5,L јарат-тум Кд == КТ کوکله‎ TÜR-TÄ т 5 = TK دوتقل‎ дут-Кыл. 2) Treten consonantisch anlautende А хе an Stämme, die mit einem tónenden Consonanten auslauten, so entstehen Doppelconsonanten aus tónen- den Consonanten B-A = BA طوغدی‎ ДОБ-ДЫ Г--Д.-- ГД „сн 181-1 ВД = ВД سودی‎ 088-1, Eine Ausnahme bilden die auf д auslautenden Stämme; hier entsteht ` (ә!) ar = тк Јао) (10 b) ür-xil (24) дд = тт „Al är-riläp. 3) Treten consonantisch auslautende А хе an Stämme, die mit einem sonoren (flüssigen) Consonanten auslauten, so bleibt der Affix-Anlaut töhend. Es entstehen daher solche Verbindungen: дд = m اولدی‎ ол-ды І--д--Ід کلدی‎ кёї-дї ред = = PA کوردی‎ гӧр-ді une ИУ EC 3 -- = HÀ کونله‎ ryB-1À. . Eine vollständige Tabelle der Doppelconsonanten zu geben bin ich nicht im Stande, da die uns vorliegenden Verse kein genügendes Material liefern. Es sei nur noch erwähnt, dass mit sonoren Consonanten anlautende Affixe unverändert an jeden anderen Consonanten treten. qM = mM Led (1482) ізмік Ким = км La (76 b) чыкмак тм == тм اشتیغل‎ (105 b) ämir-märil лм == m Л (125 b) ал-мадың рм == ри Le, (47а) röp-mä (т) н-=м == mw Ja) oder ایتتیغل‎ (118 b) ынан-марыл oder ынатмабыл Нл = HI انکلامزم‎ (126 а) ан-ламазым - т-єл==тл طاتلوی‎ (74) ren, Melanges asiatiques. Т. X, р. 33. 91 308 W. RADLOFF, [№ 8.1 Ich halte diese Erörterungen über das Lautsystem unseres ۵ für genügend um jetzt zu der Transscription der einzelnen Wörter unseres Textes übergehen zu können. Ш, Verzeichniss der türkischen Wörter der Seldschukischen Verse, Ich habe dieses Wörterverzeichniss nach der Ordnung des Alphabetes meines Wörterbuches der Türksprachen geordnet. Um das Verhältniss der alten Türkdialekte deutlicher hervorzuheben, habe ich bei jedem Worte die entsprechenden Formen des Kudatku Bilik (Uigurischer Dialekt) und des Codex-Comanicus (Komanischer Dialekt) in Klammern hinzugefügt, natürlich wenn mir solche Wörter zu Gebote standen. Ich hoffe, dass ich so die Unter- schiede der Dialekte am besten dem Leser vorführen kann. Es sind bei jedem Worte alle Stellen unseres Textes in Klammern bei jeder auftretenden Form hinzugefügt. Diejenigen Wörter des Seldschukischen, die in der heutigen Sprache nicht mehr auftreten, habe ich mit * bezeichnet. A. ai (Je ai Uig., ai Kom.). der Mond, ee өлі ai баш (82 а), dem Monde gleich, (>) بردی‎ јарды ајы, er zerspaltete den Mond (27а). зірыл (v) (Su адрыл Vig.). | : getrennt werden, Ў] aipsıra (100 b), er wird getrennt. 210۲ * ) адра Uig., аїры Kom.). i getrennt, gesondert, ,»! суз), вАшдАан ajpy (47 а), hakram aipy ЖҮР, ома (102 b), андан alpy و‎ 2н] ER (1042), вадан aipyBaM pal ولی‌دن‎ (129 b), ich bin vom Propheten gesondert. aipyk* | anders, übrig, аірук јуза |)» 3»! (141 a), auf ein anderes Antlitz, аірубын ایروغن‎ (89 b), sein Übriges, Alles ausser diesem, аірукын >»! (66 b) die Übrigen. аіруксы* р auserwählt, aussergewöhnlich, аїруксы олур ابر وقسی الر‎ (21 b), wird auserwählt sein; аіруксы-дур зімен (72 а), sind gesondert. аідынлык (аїдынлыК Озш.). die Helligkeit, ,آپدتلق ورر‎ аідынлык варур (82 a), ег giebt Helligkeit. Melanges asiatiques. Т, X, p. 34. (ххх) | ۱ ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 309 аід* (у) ((У2— ai Uig., air Kom.). sagen, аідам آیدم‎ (50a), ich sage, аідурум (аідурам ?) NT (15а), ich werde sagen, аітты nl (45 а) er sagte; аіттылар EZ (45 а) sie sagten; аідаі”дім ابدیدم‎ (91a), ich würde sagen; aixyp'cà а... 799, (139b). аң (v) (Au Uig., ағ(ын) Kom.). emporsteigen, agap آغر‎ (17Ъ), er steigt empor. авыз (^532— арыс Uig., арыз, ауз Kom.). ۱ der Mund, арыздур اغزدر‎ (fehlerhaft: (اغردر‎ (74 а), ist der Mund. аңла (v) ( ее аңла Uig., аңла Kom.). verstehen, аңламазым p (126 a) ich verstehe nicht. ајыр (v) (2% адыр Uig., аір Kom.). trennen, | <>! ајырды (27 b), er trennte. анцыла] ын * auf solche Weise si (19 b). apa ( ара Uig., ара Kom.). wischenraum, арасына Lu] И] (37b), zwischen hinein, арасында · ار راسنرا‎ (79.5), zwischen. ары (Жама арык Uig., apy Kom.). rein, ары Cy gw اری‎ (30 a), reines Wasser. ал (v) (Ja ал Uig., ал Kom.). nehmen, ала d (53b), ала У] (55a) ег nimmt, аласыз АЙ (149 b), ihr nehmt, алур A (6b), JI (51а), er wird nehmen, ал ыл Jall (77 a, 77 b), nimm! һісаба алмадың canali LL (125 b) du hast nicht beachtet. e ат( po ar Uig., ar Kom.). das Pferd, 21-11 9 (78a), mit dem Pferde. ата ( ада Uig., ата Kom.). Vater, انا‎ (39 b); ara гібі کیبی‎ С] (96 a), wie ein Vater; атамыз آنموز‎ (42а), unser Vater. | ад (Sas ar Uig., ат Kom.). Name; ады. آدی‎ ) 146 a), sein Маше; адын (2) (146 b), seinen Namen. Mélanges asiatiques. T. X, p. 35. 21* 310 W. RADLOFF, [N. 8.1 ач (v) (да-- ач Uig., ац Kom.). | öffnen, ач 1 (11 а), г (104a), öffne! ачар = (81а), se) (83), اجر‎ (611), er wird öffnen; ачар са Ц, ыы (99 а), wenn er öffnet; ачан ol. (140 b), geóffnet. ачы (Hau апык Uig., ады Kom.). sauer ачыдан اجیدن‎ (74b), von dem Saueren. ачыл (v) (kya ацыл Uig., ацыл Rom geöffnet werden, ачыла Le] (2 b), es werden geöffnet, es öffnen sich. auyk (~ai anyk Uig., ацык Kom.). | offen, ачук дур اجقدر‎ (119 a), ев ist offen. аз (^4— ac Uig., аз Kom.). | x wenig, азыдур e Vi (120 a), es sind (ihrer) Wenige. А à (v.) (24— ар Uig., à Kom.). = defectives Verbum äcä. سا‎ (861) жеш er ist. An Verbalformen ۳ meist zu "o gekürzt 2. В. ainyp’cä au] (1391), буўурд'йсй Laos (1b), окыр’е& سا‎ GH (2b), сусадын’сй Ze (87 а), кбзју dcr لویسن‎ b (111b) wenn du Augen hast, rälyp.äni دی‎ d (31 b), јок йді بوقدی‎ (4а) ег war ۰ ài (or Uig., 81 Kom.). — Ausruf, ài Карындаш ‚ш, قر‎ О (106 a)n f о Bruder, i ai ачі ای اې ا‎ - (121а), о Herr! | апа (01а ۰ ` go, äilä кім "E (781), کم‎ all (115), ایله کم‎ (29, b; 718. айй кі, کم db‏ البی a), so dass, кім 418 олды‏ 106( ایلا که a, 99 b),‏ 97( ايله که x (146 ded so sagte er.‏ دیدی а), die so sind, айа дйдї‏ 120( ailä (v) (Osm.). thun, machen, xac äiläjä LLJ vob (65 a), er macht zu eigen, дірі äiläp p دیری‎ (83a), ег macht lebendig, kahr äilädi 50] E (33 a) er wüthete, sühp àilàgi sub] ж; (33 b), zu Gift machte, бір rüuiji Hyh E 0516 نوم‎ себу» (41а), Noah:machte ein Boot... : Melanges asiatiques. T. X, р. 36. (XXXII) | ÜBER ALTTÜRKISCHE ۰ ^ 911 Мик (ste) Sue ürkylyk Uig., äirilik Kom.). die Güte, das Gute (5) (96 b). ак (v) (—*— ак Uig., ак Kom.). sien, ол јара ак 21 اول برا‎ (552), dort säe! йкмаўан Ай | (551), ۳ nicht gesäet hat. акі (УМ äri Uig., акі Kom.). zwei kl (12b), CRI (105a, 110a, 111b, 113a, 133a), йкїмїз ایکمز‎ (133 a), wir zwei. ӛкінці (Ju4305— йгінч Uig., йкїнцї Kom.). der zweite کنعی‎ ] (42a). ар (Јн äp Uig., äp Kom.). | der Mann, ол ӛріс)! اول‎ (66а), jenen Mann. KE emm аран Uig.). ۱ trefflicher Mann, аран сїрїн е ن سر‎ EI (50 а) das Geheimniss des (Gottes-) mannes, äpänläp اردلر‎ (150 a, 152a). äpkäk (aJ. аргӣк Uig., аркак Kom.). münnliches Wesen, äpräk-ilä ЫХ) (136 b). äl u älik Uig., äl, Кол Kom.). die Hand, Мдан hall (66Ъ; 1515), aus der Hand, Шіндін ایلندن‎ (28a), aus seiner Hand. älr (у) (Se älr Uig., älr Kom.). bringen, älrä azL] (61 а), er bringt, älryp’ai ایلتردی‎ (35 b), er brachte. атак (—2S лак Uig., атак Kom.). der Rockschooss, ӛтӛкін (ظ 142) آنکن‎ seinen Rockschooss. йд (у) (uu ат Uig., ӛт Kom.). thun, ракмат йткїї رت ایتغل‎ (10.5); übe Gnade! strenge dich ап! xipi „ада Jus) с на (64а), er macht lebendig; ада Jul (120 b); eapk ада oJ] فرق‎ (74b), er unterscheidet; Фаћм äxäp кы е (18а), ег уег- steht; üxip JJ) (56 b); адар sl (84 a). адин (v.) ger йдін Uig.). für sich thun үйім йдінің Mis де enger бесі (ив b). йді asiatiques. т. Хор. зт. 812 W. RADLOFF, [N. 7 üc* (9S ini Uig.) der Herr шћан äci اناس‎ 67a) der Herr der Welt. Amir sa ӛшіт Uig., ӛшіт Kom 1 hören, ämir ايشت‎ (48а), höre! ашитун ايشيتونگ‎ (29b) du hörtest, ämirmäril Je] (105 b), höre nicht. ав (—22— (Sa än, ав (Uig., аў Kom.). das Haus, ава. |, | (35 b), nach Hause, ава Da (1181), auf das Haus, авар > (114a), die Häuser, äsläpä LL (113а), auf die Häuser, йвіні go, (134 b), sein Haus (acc). Fleischer hält „| in У. 113 und 114 für ein alttürkisches Wort = کیشی‎ 0 Se? als Beleg auf Zenker p. 100 hin. Zenker hat dieses Wort aus,den Abuschka ent- nommen, wo (vgl. p. 22) in der That ,) durch poe а. p erklärt wird. Dies ist aber, wie man aus den dort angeführten Beispielen er- sieht, ein aus einer fehlerhaften Zerlegung des dem südtürkischen Ver- fasser unbekannten Zahlwortes „| „ә (6ipäy) hergeleitetes Wort. Die Endung ay (ûj) wird an alle Zahlwörter gehängt: бірау nur einer, їкаў alle beide, алтау alle sechs etc. (von Personen und Sachen). Die Endung lautete ursprünglich аву, ärÿ wie auch das Kudatku Bilik eẹ4}— bietet. Die Verschmelzung des ару zu ay ist doch erst als Affix vor sich gegangen, es müsste daher, wenn diese Endung ursprünglich ein selbständiges Substantiv gewesen wäre, als solches Wort ађу nicht ав oder ау gelautet haben. Die Schreibung о ЖАТ 113) beweist nichts, da ja V. 134b ebenfalls > d steht, was hier unzweifelhaft «sein Haus» bedeutet und von Fleischer auch nicht beanstandet worden ist. V. 113 ist somit unbedingt so zu übersetzen: «schaue auf die Häuser. man sieht dort zwei (mehrere) Lichte, schaue nicht auf das Haus, sondern auf das Licht, welches (überall) ein und dasselbe ist». 0 окы (v) سهنم)‎ ок Uig., окы Kom.). rufen, xöpläpi окыр-её کورلر آوقر. سا‎ (2b) wenn er die Blinden ruft. gr (SMS оБул Uig., ођул овул оул Кот.). der Sohn ЧЕ) m b). 01 Pm ол Uig., ол Kon cb јепег, ег. ол JJ (1b, 5b, 15а, 16b, 20a, 20b, 53a, 63b, 79а, ne T. X, р. 88. (xxxim] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. |^ 4219 83 b, 84а, 85a), اول‎ (29b, 36a, 36b, 44b, 50b, 51b, 52а, 52b, 55a, 62а, 66a, 74b, 86b, 89а, 100b, 101a, 101b, 103a, 104 b, 106 b, 109, 109 b, 1172, 119 b, 120 a, 120 b, 129 b, 130 a, 130 b, 1322, 133b, 134a, 135 b, 138a, 139b, 142a, 1433, 144a, 146 a, 155a. — Gen.: аның р] (2а), аның نوك‎ (8%), ELS) (23b, 752), EL] (132 b), انك‎ (107a, 119a, 129 a), р (43 b). аның мун انونكیجن‎ (135a; 140b). ey] (140). Рай: аңа انا‎ (10а), EI (162), El (33b, 48b, 54а), آنکه‎ (141a), KI (116a). Acc.: аны E (85Ъ), Я (1b, 8b, 22b, 42b, 441, 48b, 49b, 63 b, 66 b, 67a, 881, 89 b, 93a, 102b, 103b, 121b, 128a, 130a, 130b, 131b, 1335), | jl (1342), (3) (23a, 61a, 103a, СЛ (131a). Loc: апда sl (41b, 114b, 148a), Js] (55b, 56b, 131a, 145a, 145b, 147 b). Abl.: андан آندان‎ (7b), اندان‎ (121a), اندن‎ (30b, 47b, 131b, 136a, 142b). Plur. анлар „5 (45a, 45 b, 112 a), Gen. анларын انلرن‎ (37b), Dat. анлара /,/ (31b, 156a). Acc.: анлары انلری‎ (37а, 111b, 138 b, 156 b). Abl.: анлардан انلردن‎ (46а, 46 b, 67 b). ол (v.) (--Ә> пол Uig., бол Kom.). sein олрыл اولغل‎ (48 b), олам الم‎ (13a), ола У] (55, 107 a, 107 b), ارلا‎ (93b), олалар ЈУ! (136 b), олур „| (ба, 8а), JJ] (125, 215, 147 a), JJ (67b), „| (58a, 58b, 59a, 73a, 108a, 108b, 110b), олдум мА)! (122 а), олды اولدی‎ (32a, 127a), ‚soll (28а, 29а, 39а, 120 а), sol! (146 a), олдылар اولدلر‎ (154b), олмады (6.2) (19 b), الدی‎ (78a), олур ӛді دی‎ УАЙ, (801, 34а), олурд الردی‎ (30 а), олур’ ОНЕ: 2 од (œa от Uig., or Kom.). ` das Feuer اود‎ (32 а), Dat. ода о>,/ (32 b), оды اودی‎ (32 b) sein Feuer. öl (ғ.) (=== öl Uig., 01 Kom.). sterben ölyp A (81), اولر‎ (109 а), ölayläp Ji (154 b), бмајам ell (13 b), tat (sul) (52b), öliyär él (60 2). Melanges asiatiques. T. X, р. 39. 814 W. RADLOFF, [N. 8.1 üly (aaea бук Uig., öly Кот). todt, der Todte öly ألو‎ (63 a), ülÿji اولوبی‎ (26b), آولوبی‎ (83 a). ӧз (^532— бе Uig., ӧз Kom.). selbst канд'ба"-1чун کندوزیعن‎ (41 а), канд’озундан کندوزندن‎ (58 а) von .. ihm selbst, кӛіндбзі کندوزی‎ (65 а) er selbst. Ы. ынан (bimar) (у.) (is ынан Uig., ынан Kom) glauben ынанмақыл Јако] (118 b). Im Originale steht ынатмарыл und dieses reimt auf carmappıa. Sollte ein Verbum smar (das mir nirgends aufgestossen ist) existirt haben, so müsste es «vertrauen machen» be- deuten und der Vers 118 wäre zu übersetzen: «schau auf ihre Worte, frage ihre Worte, verbreite (verkaufe) sie aber nicht, alles ist Irrthum, veranlasse Niemand daran zu glauben». ырак (ASS jsıpak Uig., jerpak Kom.). weit 3»! (75b). 1. Па (e9 On ERS бірін Uig., 618 Кош). amit ابلا‎ (1085), ar па Y] (78а), аркакіа اپرککیلا‎ (136b), yjäslä اویزلا‎ (33 а), kya-ilà قوللا‎ (109 b), rös-ilä کوزیله‎ (75 а), гбзум-1й Jud (23а) mit meinem Auge, eös-ilä سوزیلا ,)2 115( سوزیبلا‎ (17b), سوزلا‎ (92 a), мал-їїй JUL (4 b). | іт = jt Uig., іт Кош). | der Hund irig ایتون‎ (29 b) des Hundes. їч (un іч Uig., in Kom., el іч Osm.). e pede das Innere їчї, ж) (68 b) das Innere acc., iui ایعی‎ (107 b) sein Inneres, ізінді ә.) (17 а), اهنده‎ (88b, 89а, 152b, 153b, 154a). іч (v) (Ju iu Uig., іц Kom.). trinken, iu ё! (87 a) trinke! ічісіз Lal (145 а) ihr trinket, iaüp ж) (57 b) er wird trinken, ічмӣк ll (148 a) das Trinken. = ічун je yuya Uig., упун Kom.). | с wegen اجن‎ (36а), خليليعن‎ (32а), udi (352), башм ічун сәтін (95 b), суку (382), dia (412); انونکیعن‎ (1358, 140a, 1401), Mélanges asiatiques. T. X, p. 40. (хххш)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 315 „та! (1510), седе (77а), حورجن‎ (TTb), исо (98а), nh (135 b). 1чур (v) (94> шур Uig., inip Kom.). zu trinken geben, 1чурё /,=/ (144 b). 1108 ) 1808 Uig., imkäpi Kom.). innerhalb Ig! (110b, 112a, 114a, 127b, 144b, 147 a), |) (90 a). 1111 (vergl. pers. ся). Herr, ,,, (59 b, 68а), کوده‎ (69а, 70b, 1322), гавдаја کودیا‎ (68 b), гавдада 002° (74 а), гавдадан کوده‌دن‎ (88 а), کوددن‎ (76 b). гамі ( қама Uig., кама Kom.). das Boot, Schiff کامی ,)412( کمی‎ (43b). гбк (--%-зз) кӛк Uig., кӛк Kom.). der Himmel کولگ‎ (58 b, 107 а), rókrà о. (27 a). гбкус (حدرهم)‎ кӛгус Uig.). die Brust rókci کوکسی‎ (132%). гёр (v.) ($52 кӛр Uig., кӛр Kom.). sehen rör کور‎ (46а, 68b, 71a, 118a), کر‎ (86а), کر‎ (45b, 149a), 20339 کورنکوز‎ (1313), 5,7 (23а), горам کورم‎ (11 a), гӧрасін کوراسن‎ (75b, 112b), کراسن‎ (90а), гӛрі کورا‎ (14b), Lei (86 b, 70 a), röpäcis کوراسز‎ (99b, 149b), röpäläp Јоду (93 а), торур کورر‎ (15b, 16 b), ah (71b, 72 b, 105a, 1132), röpfpeis کوزرسز‎ )99 b), гӛрді کوردی‎ (188), کوردی‎ (117 b), rôpaÿläp دلر‎ el (150a, 152b), SP لو‎ (153 а), гбран со (81a), röpmim کورمش‎ (1302), гбрмага کورمغا‎ (123 а), гбрма کورما‎ (ата, 111b) sieh nicht! тбрмігі Kes (1211), гбрмаз ~» Mélanges asiatiques. T. X, p. 46. (хххш)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 321 (15b), ۱۵0۱88013 کورمیا باسز‎ ) 145 b), гбрмад مدی‎ yf (69 SS гбрмадн کورمرناگ‎ (128 a), гбрмац! کورمانگ‎ (133 а). гӧрӱн (v.) (ае кӛрун Uig., кӛрун Kom.). zu sehen sein; гӧрӱнӱр کور بثر‎ (69a), FRE (112a), FÖPYHMÄC, ы کور‎ (70a). гбрк1ў UM кӛркіук Uig., кӛркіу Kom.) schön کورکلو‎ Ж (80 а). гӧстар (v.) zeigen; гбстарам e er: (4 b), rôcräpäcin سن‎ ЈЕ (90 b). ` rô3 (^$) кбе Uig., кӛз Kom.). das Auge کوز‎ (72b, 108 b), rögi کوزی‎ (71а, 140b) ace., rös-ilä ab = (75a), гбз1йр SE? (81a), کوزلر‎ (70а); гӛзі کوزی‎ (73а, 74а) sein Auge; гӛзійрі sh (а b), EP (72a, 117b) 119a, seine, ihre Augen; гӧзӱмі می‎ Amd (11a); rósywlà کوزمله‎ (232), гбзун él; (104 a), гбзунуза ES Gef (141 b), гӧзӱнӱзі کوزنگوزی‎ (99 a). ۲۵91 بحف)/)‎ ^32» küalyk Uig., козју Kom.). mit Augen,-sehend róaly асан کوزلوییسن‎ (1115). гір (v.) (220 кір Uig., кір Kom.). eintreten гірім E كىرە‎ (11%), ripä = (1411), وا‎ bad (155 а), гірмӣді مدی‎ “ар (37 b). rijyp (v) (39 кігур Uig.) hineinbringen, rijÿpä Iga (148 ». гіці (~a) кішік Uig., кіші Kom.). klein аў (94b, 1932), =? (121b, 145b). г161 (кібі Kom.). ähnlich, wie کیبی‎ (11b, 84a), کیبی‎ (13b, 19b, 31a, 34b, 42a, 96 a), کبی‎ (101 b), бунун riói بونینگیبی‎ (442). гун (a) кун Uig., кун Kom.). der ۰ i» (9b), کون‎ (31a, 95a, 1283), کین‎ (150 b), кун о“ (99 b), کونی‎ (152 b). асе., күні, 2, (132 ps seine Sonne. гунаш (Кујаш Kom.). die Sonne | 22 (20 a), гунаштан 225, (79 b). ry" (ue) кўч Uig., кўч Kom.). Gewalt, Gewaltthat.. 2 (147 а). Mélanges asiatiques. T. X, p А]. 322 W. RADLOFF, [х. 8 1 јан“ Za јан Uig., јан Kom.). Піе бейе )аңа К (98 b). jay.ısım (Mama јанлук Uig., |аңыл (v.) Kom.). Irrthum, Fehler сы (118 b). jap (v.) (jap Uig., jap Kom.). spalten дарды بردی‎ (27а). јарат (v.) ) erg PEN Uig., japar Kom.). schaffen јараттум E برد‎ (135a). јарын ) pee јарын Uig.). der Bonet Tag јарына 0,0 (150 b). 18201182 (v.) ( јарыкла Uig., јарлыга Kom.). gnädig sein; јарылқаја بارلغایا‎ (133 b), јарылқа برلقا‎ (95 Wë веі i gnädig! јалвар (у) (249229 јалбар Uig., јалбар Kom.). flehen, јалварурум HEED (95а), )алварып بای . بالوارب تب‎ јат (у) ) L- jar Uig., jar Kom.). liegen, јатур д (591), jarsınak sel, (57 a). jasyk (јазук Uig., jassık Kom.). die Sünde, јазукун بازقنك‎ (65 b). јавуз (~S јабус, јавус Uig., jays Kom.). böse, schlecht, јавуз باوز‎ (55Ъ, 73 % јавузу باور‎ (78 b); јавуз- лардан باوزلردن‎ (27 b). ја (у) (J> ја Uig., ја Kom.). ^ ` essen, јар „ә (57 b), jämäk és (148 a), jämäni d ма (24 b). јана ( and Тана Uig., дана Ҡош). wiederum aw (125а). Тар (Qe јар Uig., дар Kom.). das Land, die Erde, „> (58 b, 107 a), јара |, (55а). jäl (> jäl Uig., jäl Kom.). der Wind | (36а, 37 b). јок (as јок Uig., jok ы” | das Nichtsein, nicht یوق‎ (147 a), јок ад یوقدی‎ (4 à x^ Mélanges asiatiques. T. X, p. 48. / (ХХХ | ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 323 jokapy* (94488 jopapsı Uig., јокары Kom.). oben = يوقا‎ (17 b). јоксул“ (јоксул Kom.). : arm, 8 у «à (22 b), یقسوله‎ (84 b), 0 las (93 b). јол (25 јол Uig., јол Kom.). der Weg بول‎ (Ва), Je (83b, 101a, 116a, 143 b), јоза Ў, (53а, 53b), іолы Jy (116 b), јолда ој» (695), јолдан بولدن‎ (101a), јолун ur (116b) seinen Weg. jerk (ASS joik Uig., јык Kom.). umwerfen, à» (134 b). јулдуз (Se јулдус Uig.). der Stern, јулдузы ی‎ и (20а), sein ۰ Ірі (v) حهدءی)‎ јур Uig., jÿpÿ Кош.). gehen, leben jÿpijä 0,» (61 b). јӱз (~as јӱс Uig., јӱз Kom.). у das Antlitz јуза p (141 а); ))зі بوزی‎ (15а), acc; јуз! AT (80 а), sein Antlitz, jyainà Lu 55 (76 a); јузун بوزن‎ (70а, 71а). јӱз <ھد~)‎ jyc Uig., јӱз Kom.). hundert بوز ,)531( بوز‎ (55а, 58a, 72b, 86а, 108а). Н. на (ge ні Uig., на Kom.) was ai (119 b), нйкїм ناکم‎ (1b), ناکم‎ (45а, 46a, 46b, 120b, 139b, 147 b), нікі نا که‎ (85a, 109a, 150a), на-дур 2565 (126 b), навам نوم‎ (138 а) was bin ich. HüTà* (vielleicht == на + ата Sas надак Uig.) какъ am (12а, 26b, 27a, 28a, 29a, 32a, 50a, 123b, 128a), С (14 b), LS (97 b), натасін نیتسن‎ (1281). HüTüálik* AIDS надакик Uig.) die Beschaffenheit, nürülirini | 2.4.1.2 (69 b). Mélanges asiatiques. T. X, p. 49. 22 324 W. RADLOFF, [№ 8: 1 наџа (наца Kom.) wie as (27 b), Le (56 b). Hüácü* (== на-н аса — AU xi на äpcä Uig.) Sache, nücüuig ili (72 a), nücáji نسایی‎ (52 а), насанаја نسانایا‎ (75а). T. тавар (9-94 табар Uig.) Habe, Vieh. gu. (8 а); таварым pb (4 a). тӛңрі (SJ тӣңрі Uig., rügpi Kom.) Gott. تنگری‎ (85, ба, 16а), تنگری‎ (18b, 80b), تنگری‎ (44b, 45а, 48а, 49а, 99а, 103b, 104a, 111a, 121a, 122a, 127 a), تنکر‎ (18), танрђа LG (61а); танр ®© (16b, 18а, 18b, 81а), تتگریی‎ (9а, 79а), es (47a, 47b, 90a, 90b, 103a, 106b), تنگری‎ (1023); танрадан دان‎ Аз (2 а), BE (9 b), ОВ (21а, 31а, 46а, 54a, 91b, 96 b, 107 b, 119 b). "eH таз schnell, jai (43 b). тобрак (X52: тобрак Uig., топрак Kom.) Erde طوبراق‎ (7а). турк (au тӱрк Uig.) türkisch туркча SS ZS (91а). : A дакы* (ім табы Uig., табы дабы Kom.) auch noch داقن‎ (13a), > (97 a, 151a). дақ (~i так Uig., тақ, тау Kom.) der Berg, дава all (36 b), дада طاغده‎ (115 b), дардан طاغدن‎ (35 а). дарт (у) (Sas тарт Uig., тарт Kom.) ziehen, дартты ‚> (127 b). датлу* (ASS татлык Uig., татлы) wohlschmeckend, датлујы SE (74 b). дада Väterchen, /5/> (49 b). Mélanges asiatiques. T. X, p. 50. (хххш)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 325 дадмађ“ (тамак Кот.) die Kehle, дадмақың طادماخنگ‎ (74а). даш” (No таш Uig., таш Kom.) das Äussere, дашы ib (107 b) sein Äusseres. даш Va таш Uig., таш Kom.) der Stein, даша ail (36 b). даму? (Masio тамук, таму (2) Uig.) Ше Hölle, тамудан مودن‎ Ш (144 a). дамла ( = Tampa Uig., тампыһ Кош.) der Tropfen «halls (11b, 12а, 12 b, 18 a طامله‎ (155a, 156 a). да ( та Uig., та Kom.) sagen, дігіл Ja» (10а, 1564); дајам ديم‎ (24 а); 180-68 а. 55(119 b), Aüplüp-cà a das (116a), ділі دیدی‎ (122a, 124a, 125a, 126a, 127a, 146 b), дёдугум دیل کم‎ (125b), дӣјіп دیب‎ (128b), дама Les (103 b, 156 a), дамад دمده‎ (24а). даг (Mo так Uig., ті Кош.) berühren aärıi دق‎ > (91 b), дагмаја ам > (101 b). дагур (Se тагур Uig.) hinbringen دکورر‎ (201). aäryl (räril, дај! Kom.) nicht دا کل‎ (70 b), K> (104a, 110a, 1162). дагма тагма Uig., тагма Kom. и b). x Діңіз (AD Mu чык Uig., тӣніз Kom.) das Meer ;.65 (12b, 13a), دنکیز‎ (156a), ;б (13 b), діңізі |. (155 a, 155 b), me (11a), 1.6 (12а), діңізді دنل در‎ (83 b). дају (9e тібі Uig., тай Kom.) dumm دلو‎ (53а), „> да ум (127 b). дава (Sio таба, тава Uig., тава Kom.) das Kameel |,> (35 a), |,» (78а). Mélanges asiatiques. T. X, p .51. ; 22* 326 W. RADLOFF, [N. 8.1 Aog (v) (Has ток Uig., ту Кош.) geboren werden доба Less (136 a); добалар аі» (137 a), добды طوغل‎ (35 а). дол (у) («2 тол Uig., тол Kom.) voll sem толмады (са (19 b). долу (Man толуЕ Uig., толу Kom.) voll толу-дур طلودر‎ (1112). достлыК (ауа тостлук Uig.) die Freundschaft, достлықын دوستلفن‎ (4 b) seine Freundschaft. дбн (у) (gya TönylUig., тӧн Kom.) drehen دغدی‎ дбнмад (115 a). дӧрт (See тӛрт Uig., тӛрт Kom.) vier دوزت‎ (98 b) дірі (—*3*54 тірік Uig., тірі Kom.) lebendig e oz (64a, 67b), (c »» (13b, 83a), (с> (26b, 38b), . 11011 (а o» (8b). ДЇЇ (+ ril Uig., ril Kom.) die Zunge Уз дїїй (512). 1118 (v) (ee тїй Uig., тїїй Кош.) bitten дїїйрїм ` „b> (93a, 96 b), وم‎ Т” (98 а); дПйрсїн gar (77a, 799 0), سن‎ „J> (49b, 76 b), Ke: دلرسز‎ (147 b), диймӛзсіз pes n (98 b); диар-йді دیلردی‎ (37 a). aimi (dite тіжі Uig., rimi Kom.) Weibchen дішПар دیشلر‎ (136 b). APO oe typ DIES тур Кош.). stehen, sein. дурам درم‎ (11ђ), дура دورا‎ (70 b), дурур y در‎ (Та, 7b), jj (118b, 147b), درر‎ 47 а), درر‎ )110 a, 112 b, 113 b), дур (дур) دور‎ (43 b, 101a), dá (132 а), در‎ (га, ба, 5 b, 7а, 20а; 62b, 72a, 86а, 105Ъ), در‎ (18b, 43a, 45b, 49a, 54a, 59b, 62а, 63b, 74a, 79a, _ 79b, 89a, 105a, 111a, 119a, 120a, 120b, 121b, 123b, 126 b, 130a, 132b, 134 b, 139a, 142a, 1484). Mélanges asiatiques. T. X, p. 59. (хххш)| ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. , 827 дут (v.) ( Ee тут Uig., тут Kom.) halten. дут دت‎ (8b, 9а), دوت‎ (48b), دت‎ (88a), дуткыл دتغل‎ (89 b, 49 b), دوتغل‎ (66b, 156b), дутун دوتونگ‎ (142b), دوتنلگ‎ (133b), дутасыз ы» (100 a), mm, ,5,> (40 b, 85 b), дутанлар Ди (67 а). дука! (Se туга] Uig., туга] Kom.) ganz, alle. ıykäli, درکن‎ (118b); aykälinä C ks (20 b), LJK,» (94 а); aÿrälini | „ЈЕ, (72 b, 96а), ayrälin دوکالن‎ (95 b). дүн (ze түн Uig., түн Kom.) die Nacht دون‎ (95а, 1521). дур1у AA тӱрІӱк Uig., туру Kom.) verschieden дурју aÿplÿ دورلو دورلو‎ (31 b). душ (у.) (22% туш Uig., туш Kom.) fallen. дүшішік ds, (32 b), душмајасјн دشمیاسن‎ (75 b). чав (OC C чабы чавы Uig.) der Ruhm, чавын جاون‎ (29 b). yok viel جوق‎ (147 b), чокы جقی‎ (114 b). usik (v.) CASE чык Uig., цык Kom.) herauskommen, (5 чыка (101a, 10b b) чыкмак جقماق‎ (76 b) чыкар-сй. Lis (51 b). чун* sehr (уд (117 b). саіру* krank سبرو‎ (122 a), سرو‎ (125), сатрувам سیروم‎ (1294). сатрулук“ Krankheit ur سبر‎ (124a, 124b), dd, „~ (127 0), саірулуқындан سیرولغندن‎ (129 а). 6816511 ( сарын Uig.). sich hüten سافن‎ (601). Vielleicht ist hier саКун zu lesen «hütet», dann wäre der Stamm cak (der auch in Kudatten Bilik vorkommt). Melanges asiatiques. T. X, p. 53. 328 W. RADLOFF, [№ 8.1 сауышсыз* („str сарыш Zahl Uig.). zahllos BR (136 а). сан (v.) (саны Uig., сана Kom.). meinen, denken camma lol. (129 b), санмаңыл а.» (102 b, 1183), санмады (52-205 (25 b). сат (v) (uy Uig., сат Kom.) verkaufen сатмақыл Ja, (118 а) vergl. ۰ сач (v.) (Duy сач Uig., сач Kom.). ausstreuen cagap ,ж (81 b), cauap-cä سا‎ „‚== (1348). сін Qv сан Uig., сӛн Kom.). du سن‎ (47a, 57a, 123b, 124b), су. (9a, 60a, 75b), саңа Kl. (104b, 1245), КА (54b), сйні سینی‎ (11а), سنی‎ (652), сінді ол (72 b), сандан سندن‎ (124 a). еӛнсіз ohne dich uw (56 b). сав (у.). (ay mi сап сав Uig., сау Kom.). lieben савам سوم‎ (138 b), سوم‎ (140а), савар ECH (106 b, саварум سورم‎ (96 а), ساودم‎ (97 b), саваніарі + Um (138 b), савун Us (97 a). сор (у.) („у сор Uig., сор Kom.). pas сор سور‎ (118 a), сорунуз در نو‎ (23 b), سورنگوز‎ (131 b), copa Lys (130 b), сорды دی‎ DW (18b), сордылар pow سور‎ (26а), сормуш | سورمش‎ (130b), сормађа Le (123b), сорма سره ما‎ (47 b), сормадың سورمدناگ‎ (1983), сормады سرمدی‎ (69 b). солтан (солтан Котп.). der Fürst سلطان‎ (109 b, 110 a). сӧз (Ay cóc Uig., сӧз Kom.). das Wort bs (8а), 2» (108a, 119а), сӛзі سوزی‎ (71b, 73b, | 106 a, 125 b), сбздін سوردن‎ (3a), cösläp Луу (ба, 7а), سوزلن‎ (24а, 108b), cösläpig سوزلرناگ‎ (732), сбајара لرا‎ эш ма сбз1йрї ; سوزلا‎ (6b), Solin EU سوزلا تسود‎ (92а), Yo (17b), ab jy» (115a), сӛзуні Melanges asiatiques. TAS (ХХІ) | ÜBER ALTTÜRKISCHE ۰ 829 b), cócalüpi ade (2 a), Ih (119 b), cösläpia NR‏ 105( سوزنی à).‏ 118( сыр (v) (—*95« сің Uig., ci Kom.).‏ (51а).‏ سغمز a), сықмаз‏ 17( سغر hineingehen сыба ۳۹ (50 b), сықар‏ сырын (v) (HM, сырын Uig., сырын Кош.).‏ a).‏ 43( سيغنن vertrauen зықынуң‏ ei* (v)‏ ähneln jew сїмаз (80 b).‏ сіз (~y сіс Uig., сіз Kom.). :‏ (98a, 147b, 1518), cis. Je (50:8),‏ ,)978( سبز (23а),‏ سز ihr‏ سزنکجن b, 143 a), сізіңізун‏ 133( سزی b),‏ 97( سبزی a, 92 b), cisi‏ 91( سزا a).‏ 98( су (92 ay су, суп Uig., cy Kom.). ۱‏ سودن (88b),‏ سودان das Wasser „~ (30a, 39b, 40a, 87а), судан‏ b), сулар is (39 a).‏ 41 суса (v) (yon суза Uig., cyca Kom.).‏ (87а).‏ شین تیا dürsten сусадун-с&‏ супу (—245e супук Uig.).‏ а).‏ 146( سجودن süss ur (145 a), сучудан‏ Ш. шашы (Јејлу шашур (v.) Uig.). verrückt شاشی‎ (105 a). b. баі (949 mai Uig., баі Kom.). reich, баја L (22 b). бак (v.) (49 пак Uig., бак Kom.). schauen бак باق‎ (75а, 112 b, 113 b), 7 usb (141 а), бакар باقر‎ (87b), бакан باقن‎ (113 a), бакмак باقىق‎ (76 а), бакма Lat (68 b), La (87a, 113b), бакмаңыз بسافمانکز‎ (141 а), бакмадылар بقمادلر‎ (150b). Melanges asiatiques, T. X, р. 55. 330 W. RADLOFF, (8. 8.1 бакы* alles باق‎ (8 а). бақышла (v.) (барышла Uig.). schenken бақышлаја (222 (65 b). бахышлу glücklich pre (62 a). бахшыш der Lohn бахшышы (21b, 22 a), бахшышын (21a). бајык* sicher, gewiss. بایق‎ (73 а), фә (134 а). бардак (бардак Kom.). der Krug, бардака (55,6 (87 а). баш (уд паш Uig., баш Kom.). der Kopf башына i sb (134 b), башыны تاشتفون‎ (87 b). бакја (v.) (t? 6àxlà Uig.). befestigen 6ärlädi بکلدی‎ (41 b). баг (--%49 пак Uig., баг, бі Kom.). der Fürst بالگ‎ (110 b). баң(2)%(--а1э- ман Uig.). das Antlitz, das Äussere баш ns (80a) sein Antlitz. Fleischer will statt бан; hier jäyi lesen. Im Original ist nur ein Punkt unter dem > sichtbar, ein anderer Punkt, der sich links an diesem befindet, scheint ein Fleck im Papier zu sein. Vielleicht ist aber auch jägi (= Antlitz) zu lesen. Mir ist der Gegensatz jäyi und пірі unwahrscheinlich. Dem jäyi steht ebenso im Uig. wie auch im Komanischen äcki gegen- über, dem пір aber jam. In der Übersetzung bietet бан! keine Schwierig- keit «Seinem schönen Antlitze gleicht Niemand, neben Gott ist oder mandes) Antlitz dem Einen ähnlich. бана“ gleich, wie بکی‎ (13a, 83b, 83a), بیکی‎ (65a, 155а), بکی‎ (82а), بکی‎ (40a, 40b, 57b, 68а, 132b). Fleischer glaubt, dass Giri, wie er statt бан zu lesen vorchlägt, еше Umstellung von гібі sei, dies ist offenbar eine unrichtige Ansicht, бан! ist aus бан (Antlitz, Äusseres) entstanden, riói aber entspricht dem Kom. кібі und geht auf einen Stamm кіп, кап (Maass, Modell) zurück. Mélanges asiatiques. T. X, p. 56. (XXXII) | ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 831 6änsi (v.) (Jes мана! Uig.). ähnlich sein біңзіміз ;-;6; (80 a). бан (јез ман Uig., ман Kom.). ich بن‎ (13a 15а, 138b), بین‎ (44а), بن‎ (24a, 25a, 50а, 92b, 95а, 97a, 98a, 129a, 1291, 132a, 132b, 135a, 135b, 138а), бана b (3b, 5a), К, (10b), К, (98а), банї , ә (97a, 100a, 130a, 130b, 131a, 131b, 142b), банда oo (131a), бандан (Ji (23b, 131b, 134a), jux» (26a, 48а, 93 b, 1001). бӛінім (iS мінің Uig., маши Kom.). mein „о (23а), بینم‎ (25 b), بسانم‎ (139 а), бӣнім-ічўн بقاء‌عون‎ (95b) meinetwegen. барк (--4У49 парк Uig., барк Kom.). fest ER (89 b). баргии (v.) (>49 nüprir Uig., бӛркіт Kom.). befestigen баргипуи برکشب‎ (115 b). баў (849 nälrÿ Uig.). genau, offenbar, „lb (4 b), بللو‎ (11b), „Ш (79 b), lb (117 b, 152b). боін UE појун Uig., бојун kom der Hals, боінун up (143 b). 605 (v.) i$ erwürgen, ersticken, боңды بوغدی‎ (38 b). бол% (мол Kirg.). reichlich بول‎ (841). 60ilà so, auf diese Weise de (60а), 45» (122 b). быч (v.) (ASS пыч Uig.). schneiden & (87 b). бің (=i мн Uig., mix Kom.). tausend су (34 b, 84 а). бін (v.) > мін Uig., мін Kom.). besteigen бїнўн ш (43 b). Melanges asiatiques. T. X, p. 57. „432 W. RADLOFF, (8. 8.1 бір (95$ nip Uig., бір Kom.). eins ,ә (120, 23a, 41 a, 71b, 84а, 84b, 86a, 108a, 108 b, 110a, 110b, 112b, 113 b, 1143, 1273, 128a), بر‎ (53b), بر‎ (21a, 35a, 55a, 58а, 107a, 107 b, 109 a), бірі г,» (80), бірі (с „> (105 a). 611 (v.) (49 nil Uig., ol Kom.). wissen 6il بل‎ (46b, 152a), 6ilril Jab (60а), بلفن‎ (78а), би ELL (1a), ELL (142a, 148a). Ello (1322), 6ilÿnÿs JL, (1393), бін ај (61а), У; (106b, 114a, 1383), бур Jb (51b, 85а), بلر‎ (73 b), 0110113 j بلور‎ (42 b), бімак بلماق‎ (63 a), oily „ (16 b), бідугумі بلدوغعی‎ (92 a, 94а), бїїмйзїм بلیزم‎ (126 b), бісйідім بلسدم‎ (91а). бИдур (v.) wissen lassen бИдурам ^ ‚ЛЬ (94а), öilıypäi йдїм بلدر يدم‎ (92 a). біз (^9 піз Uig., біз Kom.). wir jẹ (42 b), бізі |» (91 b), бізі (с » (133a). бу (225 пу Uig., бу Kom.). dieser y» (За, ба, 5b, 6b, 7a, 14а, 17a, 17b, 52a, 52b, 1003), بو‎ (26a, 50b, 51b, 62b, 64b, 66a, 101a, 1988 116a, 116 b, Du 149 a, 150 b), бунун بونن‎ (31a, 34b), we (84 a), бунуң гібі ers (44a), буны je (132a, 152a), بنی‎ (99a), бунда بونده‎ (88а, 148b, 149b, 150a, 151a, 152a), AU (Tb), булар بولر‎ (137 b), бунлар بنلر‎ (68 a), "булара | ЊЕ (15а), булардан بولردن‎ (137 a). бујур (у.) (фа пујур Uig., бујур Kom.). befehlen бўўурды'са Lan (2b). буірув der Befehl Er бардың (40 b). бул (v.) (пул Uig.). қ finden бул بول‎ (48а), di (116 b), بولنك‎ булуң (142 b), буласын بولاسن‎ (88 b), булалар Jl, (94 b), булур Jh (21 a), b (85 b), булды بلری‎ (32b, 52b), بولدی‎ (1033), булдылар „holy (152a 154a), булмак بلماق‎ (63 b), бульцак (3s, (103 b), булдурумы بلدوغبی‎ (921), win (94 b), булмады بلمدی‎ (52 а), lb (781). Mélanges asiatiques. T. X, p. 58 (хххш) | ÜBER ALTTÜRKISCHE ۰ | 383 булдур (v.) = finden lassen Oyaaypai’zin „м بلدر‎ (92 b). B. вар (949 пар Uig., бар Kom.). | das Sein وار‎ (721, 85a), ور‎ (106a, 109а, 1504). вар )۲۰( x^g nap Uig., 6ap Kom.). gehen وار‎ (77b), ور‎ (77а), вара 1), (8 а), варур F id (82b), варып وارب‎ (128a), варуркан de. 60 b). вар (v.) (949 пар Uig., бар Kom.). ae ورفل‎ варгИ (54 a), варам DE (24a, 25a), و ويرم‎ (4а), вара b (3 b), 1%» pia b), Bäpäcis وراسز‎ (149 а), варур وبرر‎ (6 b), ورد‎ (16a, 1045), (82а), ‚>. (84b), вард وردی‎ (5 а), К (44%), تم وردی‎ 22b), 280180 >ы, (1551). IV. Übersicht der grammatischen Formen, Nachdem ich das lexicalische Material der Verse vollständig zusammen- gestellt habe, halte ich es nicht für überflüssig aus diesem Wörterverzeich- nisse die verschiedenen lebenskräftigen Affixe: (Declinations- Endungen, Pronominal-Affixe, die Declination der Pronomina und die Conjugations- Endungen der Verba) noch systematisch zusammenzustellen. Ich will dabei alle besonderen Bemerkungen unterlassen und nur die vorhandenen Formen des Textes zusammenordnen. Um nicht unnöthige Wiederholungen zu ma- chen, will ich mich damit begnügen, die einzelnen Beispiele nur in der Transscription aufzuführen und die Belegstellen in Klammern hinzuzufügen. Der Leser kann leicht im Wórterverzeichnisse die Schreibweise des Textes auffinden. Ich beschrünke mich unbedingt auf das vorhandene Material und unterlasse es Ergänzungen aus Analogieen herzuleiten und so die un- vollständigen Schemata zu vervollständigen. Declination der Substantiva. Genitivus ың, ің, yg, JH (nach ти (29 b), тадмарың (74a), сӛзійрің (73 а), хасларың Consonanten) (21b), паның (88 b, 89a, 90a), Нућун (40b), naigaw- ; бӛрійрің (85 a). ның etc. (nach Vocalen) кішінің (6 a), насашн (72 a). Mélanges asiatiques, TX» 354 Dativus. a, ä (nach Cons.) 1а, |8 (nach Уос.) Accusativus. bI, 1, у У (nach Cons.) W. RADLOFF, [N. 8.1 ава (35 b, 113 b), ода (32 b), jaya (98 b), јуза (141a), јарына (150 b), јара (55 a), јоксула (22 b, 84 b), јола (53a, 53b), дада (36 b), дӣңіза (155a, 155 b, 11 b, 12а), даша (362), дій (51а), бардаКа (87 а), бра (80b), амара (113a), côsläpä (14а), käsipläpä (30 a), баја (22b), Iöpahimä (34а), хаслара (44а), учмаКа (143 а). кїмєй-]й (80 а), насана-ја (75 a), танрца (61а, 95а), гавдаја (68 b), мавланаја (22 a), kamyja (96 b), Mycaja (122 a). а)-ы (27 a), оды (32 b), iui (68b), ар: (66а), урузы (20 b), cipi (26 b), ràj-i(27 b), јавузу (78 b), гун (99b, 132b, 153b), нуры(114а), 1۵01801 (2 b), [0181 (1160), jÿ3i(15 a), бірі (105 a), малы (5а, 5b), халыКы (14 b), сӛзі (71b, 73 b), паны (55а, 63a, 69а, 88 b, 97b), каФтрјар (36 b, 38 a), панлары (30 b), пываны (149 а), 6101801 (91b), чокы (1140), 218021 (135a), Адам! (135b), cóalápi (6 b, 117 a). зы, ji, ју, ју (nach Voc.) ölyji (26 b, 83 a), насај! (52 a), танру (9a, 16 b, 18a, Locativus. да да (та-та) Ablativus. дан дан (тан-тан) Plural. лар, läp 18b, 47a, 47b, 79a, 818, 90a, 90b, 103a, 106b), датлуј (74 b), xipiji (8 b), дун)а)ы (151 b). укуда (56 а), Карануда (153 a), гавдада (74 a), 8 (27 а), јолда (62 b), дарда (115 b), дашада (83 b), џы- һанда (19 a, 66a, 109b, 1422), дунјада (49 а, 100a), а1ймдё (82 a), дамда (84 a). hakran (19 b, 102 b), цандан (106 b), гавдаган (76 b, 88 а), сӛздін (3a), судан (38b, 410), ӛкідін (51b), гунаштан (79%), апыдан (74а), Мдан (66а, 1515), кандудан (57а, 58b), јолдан (101 а), танрдан (2а, 9b, 21a, 31a, 46b, 54а, 91b, 96 b, 107 a, 119 b), танурдан (40a), дақдан (35 a), тамудан (144 a), јавуз- лардан (27 b) кандујардан (154 b), Судандан (35 b), вадан (47 a, 129 b), цандан (48 b). авар (114 a), imläp (56 b), уелулар (7 b, 14а), Куллар | (40b), Кулаклар (51 a), kimiläp (136 a), rösläp (70 a, Mélanges asiatiques. T. X, p. 60. (ххх) | ÜBER ALTTÜRKISCHE ۰ 335 81а), јоксуллар (93b), ximiläp (136 a), cösläp (ба, Та, 740, 103 b), сулар (39 a), авлјалар (20 а), ciplüp (50 b), џанлар (54b, 81b), Варфлар (108 a), хаслар (88 а), äpäaläp (150 a, 152 a). Possessive Personal-Affixe und ihre Declination. 1: Pers; Sing. Indef. м, ым etc. асс. ымы etc. Plur. Indef. мыз etc. 2. Pers. Sing. Indef. ың etn. асс. ыңы etc. abl. ыңдан etc. Plur. Indef. ыңыз ۰ dat. ыңыза etc. асс. bIHbI3bI 3. Pers. канатларым (137 b), колларым (137 b), сірім (139 a), Кулларым (137 a), таварым (4а), ваім (126a), дайм (126 b), малым (4а), душманым (134 b), хасларым (189 а). róaywi (11 b), бакшышымы (25 b). атамыз (42a), ãkiMi3 (133a), Камумуз (42а). урузун (104 b), усун (71b), гбзун (104 а), мумларын (86а), јазыкың (85b), панын(57а). усуны (53а), шаныңы (57a, 60а, 64а), іманыңы (60 b). Јутфундан (10 b). Кам-унуз (140 b), нафсіңіз (143 b). гозунуза (141 b). Камунузы (140 a, 144 a), гӛзуңузі (99 a). Indef. ы etc. (nach Cons.) ады (146 a), ۲86۵21 (15 b, 65а), 6031 (106a), їчї (107 b), Кулакы (62 b), rókci (1320), гӛзі (71a, 73a, 74а), róalüpi (2 b, 72a, 119a, 117 a), дукаН (118 b), јулдузы (20 a), ады (146 а), jÿ3i (80а), дашы (107 b), cóalüpi (2а, 119 b), бахшышы (21 b, 22а), малы (ба, 7a), Кутбы (1а), панлары(111а), нуры (18 b), óryri (43 b), хасы (49 a), cipi (49 a), цаны (52 b, 62a, 68a, 132a). сы etc. (nach Voc.) Каму-сы (126 b). gen. ының etc. душманының (28 b). dat. ына etc. (nach Cons.) кулакына (117 a), кӛрікіні (28 b), хасына (43 a), јӯзіна (76 а), дукапна ы b, 94a), башына (134 b). сына etc, (nach Уос.) арасына (37 b), Каму-сына (90 b). Melanges asiatiques, T. X, p. 61. W. RADLOFF, (8. 8.1 асс. 1. ыны etc. (n. С.) йвіні (134 b), кӛндуійріні (155 b), ната ти (69b), дукапш (72b, 94a, 96а), сӧзӱні (105b), нурыны (16а,153а), үммӛтіні(41һ), башыны (87 b), малыны (6 b), муздіні (3 b), асрарыны (23 b), Каланыны (156 b). сыны etc. (n.V. Каму-сыны (85 a, 90 b). гіруқын (89b), аірукын (66 b), адын (146b), атакін (142 b), јолун (116 b), јузјн (70а, 71а), достун (122 b), достлывын (40), ду- карн (95b), бахшышын (212), нурын (1 18b), чавын (29 b), cóalàpin (118a), 6oinyu (143 b), 6yipygyu (40b), сірін(50а), ні/мӛтін (38b). ічінді (17a, 88b, 89a, 153b, 154a, 154b), Катында (107 a, 80 b). арасында (79 b). аАПндан (28 a), ганд’бзундан (58 а), саірулу- Бундан(129а), нурындан (64b, 82b, 111a, 141b), рахматіндін (65 b), паіамбаріндін (102 а), һалындан (128 b), шарбатндан (144 b). Ргафса е Personal-Affixe. 836 2. ын etc. (n. C.) loc. ында (nach Cons.) сында (nach Voc.) abl. ындан etc. 1. Pers. Sing. ам аіру-вам (129 b), на-в-ам (138 a), caipy-B-am (129 a). Plur. Үз (мыз) біруз (132 a). 2. Pers. Sing. сін ната-сін (128 a). Das Pronomen. 1) Pronomen personale (siehe Wórterverzeichniss). 1. Person бан бӛнім баңа баш банда бандан Mélanges asiatiques. T. X, p. 62. singular. 2. Person сан саңа cüni санда сандан ~ (ххх) | ÜBER ALTTÜRKISCHE ۰ 337 Plural. біз сіз var сізің | бізі 6138 бізі сізі 2) Pronomen 00۰ 1. Person Gänn oO permon + — — 3) Pronomen demonstrativum. Singular. ол jener бу dieser аның бунуң аңа — аны буны анда бунда андан — Plural. анлар булар (бунлар) анлара булара анлары == анлардан ` булардан 4) Pronomen interrogativum (relativum). KIM на асс. кімі dat. науа Das Verbum. Praesens. 1. Pers. ам, äm (nach Cons) Büp-üM (4a, 24b, 25a), Калам (13b), аїд-ам (50 а), олам (13 a), гбрам (11 a), гбстарам (4 b), гірім (110), дурам (11 b), бидурам (94 a), савам (138b, 140a). Jam, јам (nach Уос.) дајам (24а). " Mélanges asiatiquos. T. X, p. 63. 338 W. RADLOFF, (8. 8:71 2. Pers. асын, йсін (n. Cons.) каласын (9 а), röpäcin (75 b, 112 b, 90а), гбета- pãci (90 b), буласын (88 b), нӣтӣсін (128 b). јасын, jácin(n.Voc.) Fm 3. Pers. а, à (nach Cons) аірыла (100 à), ала (53 b, 55 a), ачыла (2 b), ола (58b, 93b, 55b, 107a, 107 b), iuypà (144 b), ура (143b), Каја (115a), Кыла (119b), гаја (70 b), гада (64b, 100 a), гатура (143 a), гачура (144a), rópà (14b, 86b, 70а, 130a), гіра (141 b, 155 b), ада (64 a, 74b), доба (136a), сва (500), сора (130b), 6ilä (61a, 106b, 114a, 138a), вара (3a), вара (3b, 54b), älrä (61а), чека (101 b), aiza (120 b). ја, ја (nach Voc.) icrä-jä (5b, 122b), |арылқа)а (133b), јур:-ја (61 b), äilä-jä (65 а), барышла)а (65 b). Pluralis. 1. Pers. амыз, ämi3, Тамыз, ۰ 2. Pers. асыз, сіз (п.Сопѕ.) аласыз (149 b), iuücia (145 b), rôpäcis (990, 149 b), дутасыз (100 a), Bäpäcis (149 a). јасыз, jáci3 (nach Үос.). 3. Pers. алар, äläp (nach Cons.) олалар (136 b), röpäläp (93а), дођалар (137 а), булалар (94 b). јалар, jäläp (nach Voc.). s Futurum. Sing. 1. Pers. a) урум, урјм (nach Cons) aiıypym (15 а), јалварурум (95 a). b) арым, äpim (nach Cons) cäBäpim (67а, 96a, 97 b). с) рым, рім, рум, рум (nach Voc). ДИЯ-рім (93a, 96 b, 98а). 2. Pers. а) урсын, ŸPCIH (nach Cons.). b) арсын, äpcix (nach Cons.). с) рели, рсін (nach Voc.) xiläpcix (49 b, 76 b, 77a, 77 b). 3. Pers. а) ур, Ур (nach Cons) алур (6b, 51а), олур (ба, 8a, 12b, 21b, 58а, 58b, 59а, 67a, 73a, 1088, 108b, 110b, 114a, i 147a), б1ўр (8b, 109a), урур (143b), Карылур | (12a), Калур (8а, 14a, 46b, 67b, 109a, 109 b), | Mélanges asiatiques. T. X, p. 64. (хххш)] ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 339 rälÿp (46 а), гӧрӱр (15 b, 16 b, 71 b, 72 b, 105 a, 113 a), гбрунур (1122), јатур (59b), дагурур (20 b), дурур (7a, 7b, 110a, 147a, 118b, 112 b, 113b, 1472, 147 b), бПур (51b, 73b, 85a), булур (21a, 85b), варур (82b), варур (6b, 16a, 82a, 84b, 104b). b) ар, ар (nach Cons) ађар (17 b), ачар (81a, 83b), адар (18а, 84a, 56 b), 1чар (57 b), учар (57 a), kauap (7 b), гадар (56а), сачар (81b), савар (106 b), сықар (17а), 6akap (87 b), чыКар (51 b). с) p (nach Vocal). äiläp (83 a), ierü-p (79а), jä-p (57 b), да-р (119 b), ailä-p (37 a). Plural 1. Pers. а) урмыз, ўрӱз (nach Cons.) бИуруз (42 b). b) армыз, ӣрміз (nach Cons.). с) рмыз, рміз (nach Voc.). 2. Регв. а) ypcy3, ўреўз (nach Cons) гӧрӱрсӱз (99 b). b) арсыз, ёрсіз (nach Cons.) Качарсыз (98 b). с) рсыз, üpcig (nach Voc) дїїй-рсїз (147 b). 3. Pers. а) урлар, урјар (nach Cons.). b) арлар, äpläp (nach Cons.). с) рлар, plär (nach Voc.). Imperfectum. ` Sing. 1. Pers. дум, дүм олдум (122a, 125a), гатурдум (135 b), japarryu (тум, тум) (135a). 2. Pers. дуң, Дің ашитун (29 b). _ (туң, туң) Ge 3. Pers. ды, дї — àilügi (33a, 33 b, 41a), ајырды (27 b), airrbı (45 а) (ты, ті) олды (28a, 29a, 32a, 39a, 120a, 127a, 146а), урды (36 b), Каінады (39a, 40a), Коды (39 b), Кырды (36 a), Кылды (261), rälai (123 a), гбрду (18а, 117b), јарды (27а), дартты (127 b), дад! (122a, 124a, 125a, 126a, 127a, 1462), бу)урды (1b) булды (32b, 52b, 1032), дйгдї (91b), Mélanges asiatiques. T. X, p. 65. 23 а” 340 W. RADLOFF, [N. 8.1 дорды (35 a), дутты (40 b, 85 b), Gáxláai (41 b), боңды (38 b), вард! (5a, 22a, 22b, 44b), сорды (18 b). Plur. 1. Pers. — 2. Регв. — 3. Pers. дылар,дИар Яіттылар (45 а), олдулар (1540), ölayläp (154 b), (тылар, тПар) гаттИар (45 b), röpayläp (1502, 152 a, 153 a), ripmläp (15523), булдылар (152a, 153 b, 154 a), вардііар (155 b), сордылар (26 a). Imperativus. Sing. 2. Pers. a) (ohne Endung) aq (11a, 104a), йк (55а), ӛшіт (45а); iu (87а), істі (9 b, 47b, 48а, 116b, 121a), Ко (71а, 116b), гач (88a), róp (45b, 46b, 56a, 68b, 71a, 86a, 11823, 149 a); дык (134 b), дут (8 b, да, 485, 88а, 103 a), јарылқа (95), сакын (60 b), cop (1182), 6ak 75а, 112b, 113b), быч (87 b), бул (48 a, 116 b), вар (77 a, 77 b), 61 (153a). b) Был (ril?) алыл (77a, 77 b), бП-был (6ilril) (60 а), олрыл (ғы) (48%), icrä-ppu(icräril?(66a, 89а, 1022, 151a), kopars: (8), 53 а, 66 b, 89а, 151b, 156 b), är- қыл (ätkil?) (10 b), да-қыл (дйгїї?) (10а, 156 a), дут-Был (дуткыл 2) (49b, 66b, 89b, Уи вар- қыл (Bäpril?) (54а). бын? бИвын (біігін?) (78 a). ` Plur. 2. Pers. a) уң, ўн адјн (148 b), Кылун (1 b), савун (97 a), сыңынуң (43а), бінӯн (43 b), 6ilj (1a, 13293, 1422; 148a, 158b), булуң (1421, 148 b) бакун (141a), Ayr 7 туң (138b, 142b). | b) унуз, унуз — Кылунуз (1891), гбрунуз (23a, 69 а, 1818), . соруңуз (23, 131b), бїўнўз (5849). Gerundia. 1. a) ып, im (nach Сопз.) Кылып (10а), |алварып (1 0а), бӛргішіп (1 15b), варып (128а). b) jbm, jim (nach Voc) дайи (128 b). 2. Ж! 611 (16 b). Mélanges asiatiques. T. X, p. 66. (хххш)| ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 341 | Мотта уеграћа. 1. Nomina agentis. 1) perfecti. а) ан, Ян (nach Cons.) ачан (140 b), Калан(ыны) (156 b), гбран (81a), дутан(лар) (67 a), саван(ар) (138 b), бакан (113 a), варан (53 b), ӛдін (78 b). | ја,н јан (nach Уос.) акмајан (55 b). b) мыш, mim (муш, муш) — гбрмуш (130 a), сормуш (130 b). 2) futuri: вијак, шак — блџак (60а), датьшак (57а), душшак (32%), бульцак (103 b). Nomina actionis. 1) мак, мак 1чмак (148 a), јамак (148 a), чыкмак. (76 b), бакмак . (76 b), бїїмак (63 a), булмак (63 b). Dativ: copwaga (123 b), röpmärä (123 a). 3) ayk, дук (тук түк) — oilijrywd) (92a, 94а), булдуқум(ы) (92 b, 94 b). Das negative Verbum. Praesens. ; A / Sing. 1. Pers. majam ölmäjäm (13 b). 2. Pers. мајасын — душмајасји (75 b). 9. Pers. ма)а kyimaja (117 a), дїгма}й (101 b). Plur. 2. Pers. majacis rôpmäjäcis (145 b). Futurum. Sing. 1. Pers. мазым аңламазым ( 126 a), бИмазм (126 b). 3. Pers. маз, міз гбрмёз (15b), Калмаз (12b), горунмас (70%), сықмас (51а), банзймаз (80 a), с1мёз (80 а). Plur. 2. Pers. мӛзсіз дїїймйзсїз (zilämäccia?) (98 b). Imperfectum. Sing. 2. Pers. мадың, мйдің — алмадың (125 b), гајмадн (123 b, 125 a), гбрмадн (128 a), сормадың (128 b). 3. Pers. мады олмады (19 a, 78а), бімӛді (52 b), Комады (880), | Кырмады (37 b), ráiwáxi (25 а), гбрмад! (69 a), јймӣді (24 b), дімйді (24 а), долмады (19 b), дбн- Melanges asiatiques. T. X, p. 67. 23+ 342 27 W. RADLOFF, [N. 8. 1 мӣді (115 а), санмады (25 b), сормады (69 b), булмады (52 a, 78 b), ripmäxi (37 b). Plur. 3. Pers. мадылар баКмадылар (150 b). Imperativ. Sing. 2. Pers. а) ма гбрма (47а, 1110), дама (103 b, 156a), camma (129 b), сорма (47 b), 6akma (68 a, 87 a). b) мақыл (маг!) — ынатмақыл (118 b), істёмақыл (icrämäril) (118 b), гбрмаг! (121 b), ämirmäril (105 b), can- мақыл (102 b), сатмақыл (118 a). Plur. а) ман гбрмён (133 a). b) маңыз бакманыз (1412). Zusammengesetzte Verbalformen mit dem Hülfszeitwort à. 1) ад mit dem Futurum: Мтур-д (35 b), oayp-äni (40а, 30b, 34а), алур-ді (30а), га ур-ад (31 b), дИар-йді (37 a). 2) йді mit dem Conditional: ! . бїїсаїдїм = бїЇсй-йдїм (91а). 3) аса a) mit dem Futurum: ayap-cä (99 a), okyp-cä (2 b), oxyp-cà (57 b), олур-аса (108 а), aäp-cä (119 b), дарјар-са (1162), чыКар-сй (51b), cauap-cà (134 a), aixyp-cà (139 А2 5) mit dem Perfectum: + бујурды-её (1b), сусадың-ей (87 а). 4) акан mit dem Futurum: | варур-кан (60 b). 5) Nomen verbale auf ai + йдім: аідаі-дім (91 a), бїїдўраї-дїм (92 а), сайлы қа (92 b). V. Transseription des Textes, Erst jetzt halte ich mich berechtigt, an die Transscription des Textes zu gehen. Ich führe sie nach demselben Alphabete aus, das ich beim Wörter- verzeichnisse und bei der Übersicht der grammatischen Formen angewendet habe. Ich habe die arabischen Wörter so агын wie sie ungefähr von Melanges asiatiques. T. X, p. 68. H (ХХХШ) | den heutigen Türken ausgesprochen werden und habe es dabei unterlassen auf die Consonanten des arabischen Alphabets aufmerksam zu machen. Ich halte es für unnütz, mich auf genaue Unterscheidung zwischen L —;, 5 — ; ей. einzulassen. Was die Umschreibung der türkischen Wör- ter betrifft, hoffe ich im Ganzen das Richtige getroffen zu haben, wenigstens ist alles das genau hervorgehoben, was meiner Ansicht nach für den alten ÜBER ALTTÜRKISCHE ۰ Süddialekt charakteristisch ist. مر ы со Va сл رت N (9 2) ж” . Мавлана-дур äplija Кутбы бїїўң! uà кім ол 6yJypabr-cà аны Кылуң! таңрідін раћат-тур аның cóalüpi, кбрјар' okyp-cä ачыла rözläpi. . Канкы кіші, кім бу ебздін јол вара, таңрі аның муздіні бана вара. . јок йді малым, таварым, кім варам, достлықын мал-Па ۵811 ۰ . малы, кім танр! бана вард! бу-дур, кім бу малы ierájà ол услу-дур. . услу кішінің малы cóalüp олур, малыны варур бу 3180 алур. . малы тобрак-тур, бу cóaláp пан-дурур, - услулар андан Качар; бунда дурур. . сӧз Калур, бакы тавар тані олур, діріјі дут! Кобыл аны, кім ólyp! тӣңріјі дут, кім Каласын сан абад! ryn-y-rágà танрийл істі мадад! . јалварып зары Кылып дагИ аңа! рахмат аткИ канду 1уталндан бана! . гӧзӱмі ач, кім сан! баПў гбрам! | дамла гібі дашза гірім, дурам. . ната кім дамла діңізі Карылур, iki Калмаз дамла näis бір олур . бан дакы дамла бан! даша олам, ölmäjäm дашз гібі дірі Калам. . услулар хаіран Калур бу cösläpä, кім халајык халыкы ната ۰ бан булара аідурум, кім ол јӱзӱ кімсі гбрмаз, гару кбрур ۰ . Tügpi канду нуруны аңа варур, ол nyp-ilà тірі) бПу-кбрур. Melanges asiatiques. T. X, p. 69. 344 | W. RADLOFF, КӨС. 17. hape ічінді бу Кадар мӛ/ні сықар, ` бу сбз-11й услу jokapy ۰ 18. eühw адар, кім танру кӛрді танрит, тӛңрі нуры дур, кі сорды TÄHpiji. 19. Мавлана rot пыһанда олмады, анџылајын кімса ћактан долмады. 20. ол гунаш-тур авШалар ]улдузы, aÿeälinä ол дагурур урузы. 21. тӛңрідін һар бір кіші бахшыш булур, хасларың бахшышы а1руКсы олур, 22. бахшышы, кім вйрдї ћак Мавлана)а аны на јоксула вард! на баја. . сіз аны башм гозум-Ја гбрунуз! аның асрарыны бандан сорунуз . бан дајам côcläp, кі кімей дамадт, баи варам нумат, кі кімей јамаді, . бан варам xil'ar, кі кіші ۱۸18, -кімед бінім бахшышымы санмады. сордулар бандан хала)ык бу cipi, | ölyji "Теа ната Кылды дірі? 27. Мустафа rökrä närä јарды ајы? ваца ајырды јавузлардан räji, - 28. Муса АПндан ната олду аса. душмамының KÖplirinä ӛждаһа? 29. ната олду қарЕ віравун-і ıa’ iH? äilä кім ӛшіттуң өл ітің чавын. 30. Кан олур-ді ары cy кафтрјара, панлары олур-ӣді аидан Кара. | 31. танрадан Вар гун бунун riði 6äla aÿplÿ ayply rälyp-äni анлара. . од Xalil 1чун ната олду каф? ода лушуцак оды булду гӯіаФ? . бір yja3-lä Намруды kahp äiläxi, аңа дўн]а нуматн заћр запад. 34. Кајыр ун олур-йді Ібраһыма, му иза бунун гібі бан дајыма. . Casih ічун добды дардан бір дава, ўмматї ülryp-zi Судандан ава. Һуд 1чун jäl Кырды ол мункірізрі, дава даша урды ол кӛзірізрі.. . Mélanges asiatiques, T. X, p. 70. > N ко сл +H с> кә m e bo دب دب 3 QU 3 P (хххш)| ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. - 345 © -1 . анлары кім Буд дИар-ді, кырмады, анларың арасына jäl гірмӣді. 38. Hyh ічун тутан Каму käeipläpi. боды, судан Комады кімей up. 39. Каінады сулар, пыһан олды діңіз нй ата Коду су, на овул, на Кыз. 40. Cy танурдан Каінады біңӣр бант, бутруђун дутту Нуһун Куллар бан. 41. канд'бз ічун бір гамі Hyh Шізді, умматит судан анда бакјада. 42. Нуһ Адам гібі Акипи атамыз, Адам аны бПуруз біз Камумуз. 48. бу бгут-тур hak хасына сықынун! гӛмі-дур анун бгут, таз бінуң! 44. Бін бунун гібі клрамат хаслара ' вард танрт, гару ӛтті ол байа. 45. танр! аітты, на кім анлар ürrilüp!), тӣнрі һазыр-дур, róp, анлар гйттїїйр, 46. танрадан, rop, на кім анлардан rälÿp, танртдан, Oil, на кім анлардан Калур, `47. сан ваПдан aipy гбрма Tägpiji! андан істі! халка сорма Täypiji! 48. бандан ӛшіт! TÄypi һазыр, істі! бул! аны дут! џандан олқыл аңа Кул: 49. тӛңрі хасы hak сірі-дур дӱнјада, _ cip дїїйрсїн, аны дуткыл äi дада! 50. бан ната аідам Аран сїрїн сізй, ол Кулак Каны, кі бу cipläp сықа? 51. сір дїїй сықмаз, Кулаклар на алур, бу ӛкідін, кім чыКар-ей ол булур 52. ол насајћ, KIM кімейні булмады ол кім аны булды, цаны бімйді 53. усуну кобыл! дају ол бу јола! бу |ола бір пан варан јуз пан ала. 54. танрадан-дур пан гару Bäpril аңа! кім ’iBa3 вара угуш џанлар саңа. 1) Vergl. Fleischer’s Nachträge р. 209. Ich glaube, meine Lesart ist richtiger: «Gott hat (im Koran) uns gesagt, was jene (die Propheten) gethan haben, Gott ist gegenwärtig, jene sind davongegangen», Mélanges asiatiques. T. X, p. 71. 346 | W. RADLOFF, | [N. 8. 1 5 сл . ол јара ак паны, кім бір јуз ала, акмајан анда һалы јавуз ола. . уїКуда róp шаныңы! Канда гадар, сйнс1з анда пан наџа imlüp адар? . сан |атыпаЕ гавдадан паның учар, Куш баш Канда олур-са, јар, ۰ . канд’ӧзіндӣн јӱз сурат бір gau олур, шаһр олур, базар олур, дукан олур, кандудан һам јар олур, ћам гӧк олур, пан ујанык-тур, агар гавда јатур. 60ilà Oilril сан Ölinäk панынцы, пан варур'кан, га! саКын іманыңы! . кім бїЇй, та аны пан Tügpijà уџмак 1чраја, hyplapa jypijä?). бахытлу ол цан, кі пана ышык-тур. Кулавы бу јолда cael сыдыК-тур . 'ышыКсыз цаны óly Gilmäk гарак, _ ол ’ашык-тур (дурур?), аны булмак гарак, 64. кім паныны ’bııık-ilã mipi ада, Вам нурундан бу Каранулук гада. 65. канд’ӧзі бан сан! хас апаа, рахмат!ндан јазукуц бақышлада. "66. бу пыһанда ол арі ۲۸ ۱ аны дут Кыл! аірукын &лан КоБыл! 67. аны дутанлар шыһан йесі олур 6älki анлардан пыран дірі Калур. 68. бу пыһан гавда баш, бунлар паны, гавдаја бакма! iui гбр! пан Каны? 69. гавда гбрунур, шаны гӛз гӧрмӣді, пан HäTälirini услу сормады. | | . пан гбрунмас, кім јузун гозјар röpä, гавда aäryl кім гаја, Каршу дура. . ilm ilä röp пан јӱзӱн, Ко бу гӧзі! Ша кім усун гбрур һар бір сӛзі. . һар насашн rôsläpi аіруксы-дур. санда јуз ró3 вар, aÿKkälini гӧрӱр. 5 с 5 -1 со 5 5 e 6 = دس( 6 6 P 6 دن ~ — > e ^"^ ~ 2) 60 und 61: So, wisse, ist auch deine Seele, wenn du gestorben bist, dann ist die Seele fortgegangen, (darum) hüte deinen Glauben, auf dass die Segle ihn kenne und zu Gott bringe, in das Paradies, wo sie mit den Huris sich aufhält. _ Mélanges asiatiques. T. X, p. 72. (XXXIII) | ÜBER ALTTÜRKISCHE DIALEKTE. 347 73. сбз1йрїң гӧзӱ бајк Кулак одур, га сӧзӱ јавуз сӛзі Кулак Gilÿp. 74. Тадмарың гӧзі арыз-дур гавдада, татлујы аџыдан ол rüi Фарк ада, 75. Вар насанаја аның róa-ilü бак! кім rüpäcin душмајасјн сін ырак! 76. пан jysinä nan-ilä бакмак гарак, пан дїїйрсїн, гавдадан чыкмак гарак. 77. нур ailäpcin, вар! нур олрыл нур ityn! hyp дїїйрсїн, вар! hyp олқыл hyp 1чун! 78. 21-118 Gilril дава цуфт олмады, äilä кім јавуз' адан га! булмады. 79. Вар кі icräp rÄypiji, ол услу дур. халк арасында гунашдан Gällÿ дур. rópkly ]ўз1 kincäjä ћач бӛңзіміз, räypi Катында баш бра с1маз. . Tügpiji гбран кіші rö3lãp ачар, Карану џанлар узар'на нур ۰ . ài бан ајамда аїдынлыК варур. jy3i нурындан Караңулык варур. 83. дірі äiläp ölyji Теа бан, јол ачар даңізді ол Муса баш, 84. on бунун riói адар бір дамда ол, дагма бір јоксула варур мал (да) бол. . на кі naipamöäpläpiy вар, ол бўр, кім аны дутты, Камусуны булур. . нуры бір-дур, мумларың гбр јуз аса, ак! гбра һар кім, ол уссуз аса, . сусадын-с& бардака akma су 1ч! сурата нафен бакар, башыны біч! 88. гавдадан кач! Каты дут бунда паны кім буласын паның ічінді аны. 89. паның ічінді-дур ол, га! ۲ аны дуткыл барк! аїіруқыны Корыч! 90. кім гӧрӣсін паның ічрӣ räypiji röcräpäcin kawycyna Täxpiji. туркча 6ilcäi’zim, бан аідаі-дім cisä cipläpi, kim таңрідӛн дагд 8۰ 6ilıypäi-ıim cóa-ilà 6ilaÿrÿmi, булдураі-дім бан сізі булдуБумы. Melanges asiatiques. Т. X, р. 73. 8 ыы 8 қ-а Оо N 8 сл 8 ©» о: -1 91: к- (Ӯ 9 348 W. RADLOFF, (8. 8.1 9 دب . дИарам, кім röpäläp Каму аны, пума јоксуллар ола бандан ۰ = . бИдурам дуканна Gilayrymi, булалар улу гічі булдуБумы. 95. јалварурум TÄypijä бан дун-у-кун, кім дукаНн )арлықа бӣнім 1чун!?) 96. ата гібі ayrälimi саварўм, Каму)а танрадан ашк дПарум. 97. сіз дакы бан! савјн! äilä кі бан сізі саварум, HÄTÄ кім паны ۰ 98. бан сізің-чун räi дПарім, сіз бана räi дПамӣзсіз, Качарсыз дӧрт јана. 99. гбзунуз! танр! ачар-са, буны гӧрӣсіз, àilà кі гбруреуа rýni. 100. бат Каты дутасыз бу дундада, ол кі бандан аірыла Канда гада 2 101. јол бу-дур, ол џан кі бу јолдан чыка, дагмаја гавур гібі ол пан haka*) 102. räypiji пајђамбарндан ۱ ' зынһар аны ћактан aipy санмаБыл! 103. ол кі булды Tägpiji, гај дут аны! - аны булыцаЕ, дама: rügpi Каны? 104. Täpi андан aipy näryl, au гбзун! ол варур саңа ћамша урузун! 105. кім кі бірі äki ۲۵00, шашы-дур, сӧзӱні ӛшітмігі! Кулмашы-дур. . äi Карындаш! бу сӛзі #14 кі вар ол 6118, кім тӣңріјі пандан савар. 107. гӧк-ӱ-јар аның Катында бір ола, танрадан iui дашы бір cip ола, 108. јӱз олур-йей ћарфлар, бір сӧз олур, сӛзіар-Па ’akiôär бір гӧз олур. 109. на кі Bap-cä, ólyp ол, бір пан Калур, ол шыһанда Кул Па солтан Калур. 110. Еуі-у-солтан бір дурур, йкі aüryl, ол сара iypä бір олур бак-у-Кул, 9 له مت © [er]‏ 3) «sei du Allen gnädig meinetwegen!»- 4) Fleischer’s Erklärung (р. 210) entspricht nicht dem ЕА У. 1012 steht чыка, aber 101b hakka, es ist daher zu übersetzen: «dies ist der Weg, die Seele, welche von diesem Wege abweicht, kommt ebenso wie die Ungläubigen nicht zu Gott». Melanges asiatiques. T. X, p. 74. (ххх) | 13 жесі h2 دب ны сл m р ÜBER ALTTÜRKISCHE ۰ . таңрі пурындай долу-дур панлары, акі гбрма гӛзіу асан анлары. . сурат 1чра анлар Акт гбрунур, ма nun бак! кім röpäcia бір дурур. авјара баКан нуры äki гбрур, ава бакма! нура бак! кім бір дурур. . услу Ар 1чра нуры бір 6118, Канда кім гӛрі чокы, анда Кыла. . дӧнмӣді сбз-Па, кім гару Каја, баргішш-тур äilä кім дарда Каја. халк ана дарјар'са, бу јол hak aàryl, бу јолу Ко! hak јолун räi істі! бул! . Кулакына kyiwaja ол côsläpi, hak нурун пун бану гбрду róalápi. . сӧзЈарін röp! сӧзІарін сор! сатмақыл! aykäli ]ланлыш дурур, ынатмарыл! . сӧз аның-дур, кім ачык-тур rösläpi, ол на дар-са таңрідан-дур сӛзізрі. . ол кіші кім 414 олды азы дур, на кім ол aiia Камусы разы дур . Tügpi разын андан 1стй, ài igi! га! yay дур, röpmäril аны riui! . TÄHpi дӣді: «caipy олдум!» Мусаја. «ганду достун кіші 60118 1етаја 2» . «улу riui rälıi бані röpmärä, «ната-дур, кім гамадун сан сормађа 2» . Муса дӣді: «hama сандан caipyayk! «сан халыксыв, сана Кандан caipy 1y k?» . јана дадт: «саіру олдум, га1мадің, «дӣді кім сӛзі ћасаба алмадың». . Муса дйді; «бу сірі анламазым, «максудун на-дур, бу сірдін ۰ тӛңрі дӣді: < caipy олды бір Bälim, «дунуа ispä caipyıayk дартты дайм. «бїр гун аны ната варып гбрмадн, «nürücim дали һалындан сормадың. «бан аның саірулубундан саірувам «санма, кім бан ол ваПдан аірувам «кім аны гора, бан! гӧрмӱш-тӱр ол, «кім авы орау бант сормуш-тур ол. Mélanges asiatiques. T. X, p. 75. 349 W. RADLOFF, [№ 8. 1 131. «бан! анда, аны банда гбрунуз! «бан! андан, аны бандан соруңуз! 132. «гавда-дур ол, бан паны, 61ўң буны! «ГУ баш дур гӛксі аның, бан rýni, 133. «ükiwis біруз, ак! корман бізі! «дутуң аны, јарлықаја ол cisi. 134. «кім аны бандан cayap-cä, ол Öajbık «душманым дур, йвїнї башына jerk! 135. «бан аның ізун јараттум alämi, «ол Büliw-uyu гатурдум бан Адімі. 136. «кім дођа андан саңышсыз кїшїїйр, «pyer олалар äpräk-ilà дир. 137. «һам булардан доқалар хас Кулларым. «кїм булар Канатларым-дур Колларым, . «баш ол хаслар бПА кїм бан навём, «анлары cäBänläpi бан räi ۲ . «хасларым башм сїрїм-дўр бПунуз! «нё кім ол ainap-cä, аны Кылунуз! . «кім савам Камунузы аның їчўн, | «Камуңуз ачан гӛзі аның ічун; . «аңа бакун! баКмаңыз аірык јуза! «кім нурундан нур глра гозунуза! 142. «рахмӣтім ол-дур пыванда, г бун! «атакін AyTyH! бан! андан булуң! : . «кім сізі yımaka ол хас гатура, «нӛтсіңіз кім јол урур, боінун ура. . «Камуңузы ол тамудан гачура, «урмак iupä шарбат!адан igÿpä.» . ћурылар-1& анда iyäcia суш гбрмајас1а 111168 анда riui . ол суудан, кім туһур олды ады, тӣңрі Кур анда адын äilä дада. . упмак ічрӣ адл олур, гуч јок дурур, на кім анда сіз дПареіз, чок дурур. 148. јамак, ічмӣк анда дајім-дур, Gilÿ4! ` пућуд адун! уџмакы бунда булуң! . гбр! Bäpäcis бу пыһаны, уџмакы ` аласыз, бунда гӧрӣсіз (сіз) ВаККы. . rôpaÿläp бунда äpänläp на кі вар | накыд бугун, дара» EIER Melanges asiatiques. T. X, p. 76. [не — per H> تن‎ ЗО о e OD к к= кеі кеі a—— Ls БЕ н> H> №. c сл н- 4%] мегі н> ~] кеі н> e T сл © (хххш)] ÜBER ALTTÜRKISCHE ۰ 351 151. сан дакы упмаКы бунда icräril! упмаК ічун дӱнјајы &дан Коқыл! 152. бунда булдулар ара р, 61 буны, Дун 1ч1нда гӛрдізр 6ällÿ rýni. 153. Караңуда röpıyläp hak нуруны, дав ічінді булдулар һам һурылы. 154. кўр ічінда дін-ў-іман булдулар, ` кандуардан ólaylüp, hak олдулар. 155. дамла баш ол дашза ripailàp, кӛндуійріні давза Bäpailäp. 156. дамла дама анлара! дан1з 1! анлары дуткыл! Каланыны КоБыл! Ich hoffe, dass diese meine Untersuchung aufs klarste dargethan hat, dass in diesen Versen uns ein Denkmal eines ganz bestimmten einheitlichen _ Dialektes hinterlassen ist, der einer anderen Dialektgruppe angehörte als das Kudatky Bilik und der Codex Comanicus, und dass wir berechtigt sind anzunehmen, dass schon im XIV Jahrhundert eine dreifache Scheidung der Türkdialekte sich längst vollzogen hatte. | Die überall in unserem Gedichte auftretende vollkommene Gleichmässig- | keit der grammatischen Formen unterstützt auch meine Voraussetzung, dass wir es hier nicht mit einer conventionellen Schriftsprache zu thun haben, sondern mit einem Schriftwerke, das ein, in der arabischen und persischen Litteratur bewanderter Türke als ersten Versuch in seiner Muttersprache verfasst hat. Wenn der Verfasser ein Pronomen in doppelter Form aufführt, ich meine بولر‎ (137 b) булар und بنلر‎ (68 b) бунлар, so müssen wir annehmen, dass beide Formen auch in der gesprochenen Sprache im Gebrauche waren, und dass die Seldschuken im vierzehnten Jahrhundert begannen neben der regel- mässigen Bildung des Plurals von бу, eine анлар entsprechende analoge Bildung бунлар anzuwenden, die in der Folge die regelmässige Pluralbildung verdrängt hat. Mélanges asiatiques, T. X, p. 77. титан ودره‎ 484 leur mise nó 4 Le | po Mais vin, mei: Heyy: d Ve vin. ЫА Cent iz! noc E Pa N Же к АИ А AE n > 4 Ad Plutarchi quae feruntur Moralia. Scripsit Petrus Nikitin. (Lu le 22 aoüt 1889). Libellum qui тері тоідоу Фүшүйе inscribitur Wyttenbachio facile con- ° cedimus Plutarchi non esse, huius discipuli esse commentationem argumentum а magistro propositum tractantis non concedimus. Vix enim credibile est adulescentulum nescio quem nondum e Plutarchi schola egressum eo arrogan- tiae esse processurum, ut haec, quae in c. 17 p. 13 Wechel. [vol. I p. 29, 3 Bernard.] leguntur: ӛтер yap roMaxıs xai пробе подлођа zën тотоу бате 2Еүшу, хай уйу dv size scripserit. Multa sane іп һас declamatione insunt quae puerilia videantur, nihil tamen est cur ea scriptoris aetatis, non ingenii vitiis deberi putemus. Velut minime certum auctoris aetatis indicium haberi potest, quamvis puerile videatur, studium, cui deditus est, flosculos orationis undique decer- репа. Cuius unum exemplum nondum, quantum ego seio, ab aliis indicatum afferam: cum c. 12 p. 9 A [19, 25] scribit: у auvoüvzat yap tats 4 тфу Етаіуөу xal Әроттоута!, Platonem imitatur, qui Lys. р. 210 E: одто 01 — — 796 тобхой даће уводе, татецуобута xai сустФАХоута, GAA un Фатер où yauvodvra xai Grad pümcovca (тоё; eratvors scilicet. ОШ. р. 206 A: oi холо, іпидӛу ты; ато ётолуў xci ain, фроупыатов tuti- TÀavTa xal meyarauytac). | Admonet me iste Platonis locus eorum, quae apud hune nostrum scrip- torem іп cap. 2 p. 1 B [1, 19] edi solent: та poovquata тфу UmóyaÀxov хай 4۵۵920۷ Еубутәу тд yevos 942266 xal ۲۵۸6۱۷۵00 перуже'). Dubito num eo sensu qui hic requiratur та opovnuara сфалћодо: dici possint. Exspectarim та Фроуцията — سب‎ сиостећлесда. Cfr. Diod. 20, 18, 3: «dv соугстаћу та фрсуђџата Tav Bapßápwv et de iunctura сост Лода xai тотеусбадал praeter Platonis locum modo allatum Eurip. fr. 716 (Trag. gr. fragm. ed. sec. p. 586): 1) In iis quae sequuntur: xot bah? 209% € 6 (6۵۷ 70۵4 4 Фоу 7 үйр 4убра, хау екы TG A, Beau suved impos 5 патрос ха vix recte omnium codicum scriptura тотр% ў Mntpèc xaxa сн кайын est. Neque enim id hic spectandum est, quid Euripides scripserit, sed quid huius libri auctori scripsisse visus si Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 1. 354 PETRUS NIKITIN, (8.8.1 тӧ\ра 82 трос тиу ше кой pq pov Ta Tos заћи. та Tol ۵ 0۸0/602 ۵5 татеју (06 xal 0۱۵۷606۱۸6۷ ۰ Plut. Mor. р. 70D |170, 4 Bern.]: 276006 бі xatoóg ест. уоодесіос бтау Um’ CANON hotdoondévrec ÉD’ ois йрортауоос: TATELVOL TE үёушута: xal CUOTA- 26۵6۱۷. р. 366 D |448, 19 Duebn.]: хратпсас ravranacı тоу Nov cic іуаутіоу?) und Aodevsias auc x aA Ev ac xal buévra®) хоїћоу хо Tate бу беу eis thy Заласвау. p. 544 Е [659, 15]: xal хжтжтАт тос ёмауоб xai состоћўс Evexa xal той raneıyaaaı xal Хо Фу umoyeipıov Tov aad xa! ітамбу où yeloov істі хошт@то: т. тері отой xal ueyaAvyopToat. vit. Cim. с. 12: xai uv айт00 ye той ueydhou Baothéws сді Етатеіушсе xal соуё- стеле TÒ 6۵6۵۷۵ ۵۵۵0 T, Kiuwv. vit. Ages. с. 29: ۵۲6۱۷۵٩5 0 xxi 00۷60۲۵۸۵6۷۵۹ vit. C. Gracchi с. 18: Tarervod YEvouévou xal соста- 2۸6۷۲۵6۰ vit. Cie. с. 32: тб ppovnuarı فص‎ Ayav xal 2۵6۱۷۵4 ré THS сорфорӣс yeyovws xal cuvecTaAu.évog. Liberiore quam libelli тері «үөү auctor locum illum Platonicum expressit imitatione ipse Plutarchus in vit. . Alcib. с. 6: &xelvov 6 Уохрдтус Әро)-ос бисту xal yauvörnros oax dv Лао та (оу ТФ Абүф xal cuc tEAA cv татеубу епови xal ام(‎ Cfr. etiam Dionis Chrys. ог. 67 (vol. П p. 231, 14 Dind.): уйу рёу ферореуоу xai петоџеусу UülmAótepov TOY Уфу, Фу zer рартирсаутєс airov ec Xal ЕталуЕсаутес, убу 6Е систеЛАбреуоу xal Tameıvoünevov et quae Anto- nius Melissa qui dieitur Gregorio Theologo I 26 (p. 860 B ed. Mign.) tri- меге videtur: ouotéA Etat таму xal 2 Pueriliter libelli auctor etiam nimia illa orationis coneinnitate delec- tatur, de qua Seneca «non est o? tum virile concinnitas». Eo magis miri videri debent cum alii quidam eiusdem opusculi loci, in quibus con- cinnitas cum facillime servari potuerit laesa sit gravissime, tum hic qui est c. 2 p. 1 C [2, 7]: Абфҙаутоу — tóv Феџшстожћесос то/дахы Хғүоуві pavar ха! проб woÀÀoUc Фе ӧт dv abrös Bonta, тобто xal TD hup соудохеї ۵ тфу Аӛтуудішу. à рёу үйр айтос 29 ла, xal h virge à 9 Фу Y rero, ха! Өсистодйс à 97 dv Oepuoroxhe, ход тӛутес Adyvalsı. Nonne ea est vér- borum compositio quae scribendum esse: & шеу Y&p Xv) autòs Әл +) ipsa quodammodo clamet? 2) sic &uuröv Bentley. Cf. Moral. р. 1129 Е D 1381,16]: cuotaheie 6 و۵۲۱6(‎ ete ۰ 3) Interpunctionis nota quam editores е buévra ponunt nemini placebit qui quid sit 1۳00۳۵6 хо | уе meminerit. Cfr. Plut. vit. Cam. c..3: oi 88 лотаро: лауте OTEP gei хотћог xat Tametvo! біз. pous ёрроцсау. 4) Ante 29% pronomen Яу particulam excidisse arbitror etiam Moral. p. 159A |р. 389, 8 Bern.], ubi lego: б el 0 трос 0088 cwpuroc Beirat. тобто D Ry) хотду ny 29:99 un detodar суу сорот: үйр huy 2хастов. Melanges greeo-romains. Т. УТ, р. 2. (ХХХ) | AD PLUTARCHI QUAR FERUNTUR MORALIA. 355 Sed multo magis etiam inconeinna sunt quae c. 9 p. 7 A [p. 14, 23] leguntur: беттер — — Түу Әғатрихйу x«l таратойүобоу, одтос ай појму xal түу cuuxpoAovíav тіс 2 ос xal татејувилу tapava ان‎ xxi Geimer, Nam adiectiva Seuroxnv et таратрФүодоу substantivum non habent ad quod referantur. Tacent de hoe loco editores quos scimus omnes praeter Huttenum, qui «subaudi» inquit «А иу stylum ex subsequenti commate», Sed si hoe loco ad subaudiendi artificium confugere licet, ubi non liceat? Mihi probabilius videtur түу Aeazoai ex то 9ea7pixóv esse corruptum. Plutarchus quam saepe numerum singularem neutri generis adiectivorum pro substantivis quae abstracta dicuntur positorum cum gene- tivo casu substantivorum coniungat, inter omnes constat. Nostrum scrip- torem hoc dicendi genus non vitasse ostendunt verba c. 18 p. 13 E [p. 30, 24]: nd тоб ҮҮрос Фа Аофуттоу хой б0тхо)фоу?). Credere non possum sana esse verba с. 7 p. 4 А |р. 7, o ёпибам тозуу тмжау (oi тойда) А43 осту und тодаүюүої тетаудо, іута0да дү RONA NV Émméhenv ёхтёсу істі тўс тодтыу хатастаскос, Өс un Мад ctv «убратобок; ў Засфарос ў narımBorcıs та техуа парадбутес. Nam si ita haer leguntur, verbi Хадосту subiectum erit oí тодаүмүсі, quo ineptius nihil fingi potest. Recte sane loci sententiam Xylander expressit, cum verba ex- trema sic latine reddidit: «ne filios nostros per imprudentiam mancipiis aut barbaris aut levibus hominibus trad amus». Sed ut hic sensus restituatur, Мосту іп Хад меу mutandum. In eiusdem opusculi с. 10 p. 8 AB [р. 17, 13 sqq.] haec fere omnium librorum scriptura esse videtur: тперотёоу ойу eis Slvanıy xal та ۵ тойттыу xal тї; Ф:Лософіхс кутар ауєсдот хата то тарИхоу тӛу хофу. ойто гпомлеосало Періс, cütws Арубта; ё аин; суто) Ашу ó Eupaxóctoz, оўтос Етоџауфудаг ó ӨтВоїос, Фу Ехалерос Пәфтоуос гүёуєто cuvousiactns. Pro гхатерос Wyttenbachii coniecturam @тєро et Bernardakis recepit et ante eum Hercher. Hic tamen, cum post editionem suam emissam in Hermae vol XI p. 227 sq. hunc locum tractaret, pronuntiavit verba Фу гхатерос ПАйтоуос Еүгуето cuveucixc nz esse delenda, өрге апае ех adnotatione ad Ша одтес Аруотас 5 Tapavrivos sie Айюу à Хорахдсіос а lectore aliquo adscripta nata essent. Equidem, sicut @тєрос Wytten- bachianum ne intellegi quidem posse, ita hanc Hercheri opinionem, quam Bernardakis commemorare noluit, prorsus veram esse iudico neque quid- 5) Neutrum genus adiectivi cum genetivo substantivi iunxisse videtur etiam c. 7 р. 4Е р. 9, 9 sqq. 1, ubi edi solet: оох einora xoAAxXxt; Xo Konsens Exetvoc 6 muAatbg Eheyey, rt гілер dox Buvathy Яу; Дува та. (ап avaßasäv legendum?) : еті tb RETEWPOTUTOV тйс Role رازه‎ XpxyYetv j ép oç o Жудрөтд, пої іргеде) Nam рос vocabulum ex glossemate ortum esse locus quem tenet perincommodus argumento est. Cfr. та. детеора тйс 522۵6 Thuc. 8, 72, 3. 4, 112, 3. Sero comperi zÄ wer inventum iam esse a e Papageorgio (Adnväs vol. I p. 469). Mélanges gréco-romains. T. VI, р 24 356 PETRUS NIKITIN, (5: 8.1 quam, quod Из quae ab Herchero disputata sunt addam nisi hoc parvum habeo: videri mihi istius adnotationis auctorem, ut Archytam eodem atque Dionem sensu Platonis соусуслистиу diceret, Amatorii Demostheni falso tributi loco (88 44—46) esse inductum, quem, ut quam huie nostro similis sit appareat, adscribam: vópu(s 9% тасау piv Түу gthocogiay Hëräia тоў уреюрёусис pe, поду бё малта TV тері тос тр@ 5 кой той толико 2бүсо6 топили. — — "уска D фу 22 Army те Toiv ход т@рж#єө- оттас тойс mob: cautod yeyevnmévous ёудобоос йудрас. roro меу Пеџжлет, ту тууёта .тћеїстоу тфу холу артбу беугүхеу ббежута паутеу, وم‎ TANTI- cata Avakayopı Tw KAatouevío хай Dar Exeivou үсудіеуоу тате TIS биудцеюс ретасу бута" тобто © موه‎ фота! piv «pog pey ۳92۵6۵ yEloov Zaxsiusuen xad та рёу Әтерурауос та Ob татыу та ۵ опер- 00 Wad пострпиуоу, бто бі б ۱ тој билм 20 MEY егауордюҘЕуто; тоб Biou тӛ $ Aoma cQ meyéder TOV. ФАЛОУ Seen رباج دوع‎ ei òè 67 un taiar 6۵ коры; Еуоутас Әлоүлотірас пародеіушаст y Tat, тойто uiv Tınödeov сих ЕЁ фу vewrepos Фу Enerndeuoev, AAN && фу Таохрољећ соудито ас пробе меүістіс onc: xal тӛгістәу ug ebonasıg یه‎ toro à Apyizav түу Тараутіуәу тоу ойто) ход xat фоудротор نوت‎ саута, корюу aUis хатастаута, фот’ Eis Ятаутас ту Exelvou Wann Geer: ху: 66 Еу &pyT, xaTappovoumevos x той ПАФтоу: TÂnotacar тосайтау Елафеу Етібосіу. In c. 14 p. 10 E [р. 23, 24], 55 editur: tò тојуџу тўс. YAWTTNS хратећу (тері тотоу үйр, Gomes Ünsdéuny, einelv Хотбу)- ЕЁ oe џахобу xai Фобћоу отеле, плестоу Ölauapraveı Tie هکل‎ ea quae uncis inclusa-sunt aut fallor aut hune іп modum sunt emendanda: тері тоотоо үйр ۶۵ опедешту einelv ۰ e “6:16 p. 12 ]26 25 sqq.]: rod — شا نت‎ тоу ۷ ду yeyovöras cionyntäs, ۳۷6 ote міу пода! یاون دهشم‎ xai Ora wks ётёстисоу; ту BE TOV ширахіөу бори Ger elan: убреаол, eov ай т00- уаутісу тігім тфу Letpaxiwy zotzfoeäat thy ЕО Вени» xai фићажђу ў тӛу raidwv. Codicis D auctoritatem Hercher et Bernardakis sequi videntur, cum tovtov туу edunt. Nam ante Hercherum non тӧу pesaxiov, sed тозтоу legebatur, et голо дижу articulo carebat. Atqui, ut si тойтоу a scrip- tore profectum esse statueris, unde càv uersaxiov ortum sit, facillime intel- leges, ita si лбу рирахіоу genuinam esse scripturam credideris, quo modo in тоотоу mutata sit, non magis unquam explicabis, quam quae sit туу illius ` ratio syntactica. Quae cum ita sint, vereor ne hic locus iis, in quibus librum. D; quem Bernardakis certissimum atque adeo unicum in huius Moralium partis lectione constituenda ducem praedicat, interpolationis vitio laborare idem [p. XIX] concedat, sit addendus. Alibi fortasse iniuria . Mélanges gréeo-romains. T. VI, p. 4. ^ » Ai (хххш)] AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR MORALIA. | 357 Duebner ducem istum fallacem duxit, hie recte videtur edidisse: туф roûrov Säit помутфа xxi pyaxnv T, «Gv поі? оу. Iste enim verborum ordo, quem editor Parisinus quibus libris debeat, nescio, ego in codice Moscoviensi 352*), qui Wyttenbachio Mosc. 1 est, inveni, praeferendum arbitror ei, quem editiones antiquiores habent, huic dico: тігім 00 тоотоу ebAaBerav xal quhaxny T, тӛу то4дөәу. Sed ea quae praecedunt: доу ж) тозуеутісу, num recte se habent? Soloecum esset xai 0627, soloecum &&oy 2: non minus, nisi fallor, soloecum est доу ad. Corrigendum ant Zen rêv тойуаутісу 7) aut, quod ex tradita scriptura aliquanto facilius elicitur: бу هی باه‎ тойуаутісу. Cfr: Plut. Mor. p. 646 С [p. 784, 8 Duebn.]: ёро yàp «отд дохеї тоймаутісу, si uut ў 9906 -- ATV عم‎ тадта т/с пбоуђе memotrio9at уйру. Krueg. Gr. gr. 1$46,3,3. Weil ad Demosth. 21,120. Eiusdem, ut credere licet, codicis D ope?), non sensu aut elegantia, sed syllabis duabus locupletiorem editores reddiderunt locum qui est eiusdem libelli c. 7 p. 5 BC [10,5 sqq. Bern. |: 76 ойу suußaiver tots Bauuagect: Tatok- رصع‎ пе! жжх® рёу доба хахф 0& толде0соост той зі, &Yà qoia. бтау үйр sic %уброс éyyaupévres той Dën бүшіуоутос ход тетаүрёуоо Dieu xataue- Answauwv, ini òè тас @т@хтоу xal дубралобобыс Nova Еләтоік хопим та, Tore ди иглодљећомтол ту TOV Tervwy пробебижотес Tut ela, бт ойдёу öpehos, то Ехеуюу Ovx Tate @ЭТОУОйутЕ$` бі (Atv yo Grën жоћажа xal таото!- Tous 00700۵090۷ аудротоцс тараст шоу Kal хатардто xal тїс 6 буалротеас xal Элудефуас, ol DE тує етпірас xal уароптотос Әотродутой сођо- pas xal поћотећећ, d бі хатофора усели, 2 2 гіс x0Bouc xul 42ص چام‎ Моту, Dën dE туба xal TOY veavıxwutégoy Фттоутол хахФу, [ACLYEUOVTES xal eixopdopoüvres xai pixy доу» Әаудтоу тцмюршуо. фАотоф 6’ همه‎ ۵0۱ où тоооток Кос TOY LAGE ёйотоус фу халаты тареау0уто. Plura descripsi quo clarius appareret ойто: istud tam supervacaneum esse tamque languidum, ut scriptoris quamvis imperiti esse nequeat. Miror, si nemini adhue in mentem venit natum esse ex prava syllabarum où то: repetitione. Libera est ab: һас labe lectio quae ante Hercherum vulgo erat recepta, бӛтен cU тй сок, quam perspicuum est ad où тоюото іш recta via ducere. Non nimis, opinor, indignum est illud curaovrasuraz quod cum invento comparetur, quo Plutarchi vit. Caes. caput 17 est кейек кедеймін 6) бей omissa ibi est 4 particula ante rv то!бөу. Т) rêy rodvavtiov sine dubio restituendum est in hoc Dionis Cassii (vol. I, p. 75 ей. Dind.) fragmento: Areito дету тду et dr? улоррђтоу три 9202 undevt ae TÒ т®р®тау épqui- ушу" собеуа. үйр ore tayupógpova eivaı Фе 3۵۵09۷۳4 т! паратпрӯса ха: смопўса: AUTO 29 бо, ЗАЛАХ xui mavu тодуау vtov, доо ۷ Geet ту uh єїлеїу ті, тосо Wëllen aurov ітедәдеіу avrò ixAaAZzGut xxi обтюс ётероу тар ётёроо то флоррутоу ÓG хай џбусу ۷ص‎ Gebiet 8) Neque enim Ушсођи leetiones Негеһег aut Bernardakis tanti fecisse videntur, ut earum causa codicum scripturas ne verbo quidem lectoribus monitis deseruerint. Mélanges gréco-romains, T. VI, p. 5. 24% 358 PETRUS NIKITIN, | [№ 8.1 ibi «otc 5۳022۵2 Evoyog. Noluit hoc contentus esse Sintenis: ex codicibus nescio quibus тос Еті totç &xtÀv xol; Evoyoc invexit. Perlegas nunc velim libelli de recta rat. audiendi с. 6 p. 40 D [98,9 sqq.] haee: Get petapéper түу کوخ منت‎ ÉauTobe and тоб Akyovros, 0۷۵0۵ тобутос sl тї Tororo ХауӘйуомеу Ямортауоутес. ф@ттоу үйр ёст. TOV бутоу то џерљасба, тоу rAnoiov, &y eto coc те xai xev YLYVOMEVOV, ам ил тоб пук бібодосіу T; фолажђу Guagëerat TOV óuoiev?). xal те «o0 ПОЯтоуос oux GXVNTÉOV Gel подс хотӧу Exi тфу бддартаубутюу avapdeyysodaı, Tun moo йр evo тоюйтос; WE үйр Ev тої; ӧршис: тфу тӚусісу EAAGuTOVTO та хиту брбудеу, одтос iTi TOV 2۵۵۷ Gef той tautõv Eveıxovilsodar то Erkpwv, iva рт сүлу Эрасёос̧ хотафроубреу &AAcv, оўтоїс те тросёуюрғу Ev TO Akyeıv етдеде- бтероу: уроцлоу DE прёс тобто xal тб тї тарафоХ%с, Grau yevópevori ха abrobs amd тўс dupodoewc xal Ха бутес vt zë un xa Тү Hm іхауда отада OX CUVLO)V етеуиофбиеу ci; таот6 xai тооЖүмшцеу AUTOUG та меу стер @У2- rAnpoüv, та à епамордобсдац, т0.0'ётерос фра є1у19)у та б’бАшс 5 отору ісфёриу metompevot трд nv Dëser. 6 xai Плаљеу £xotroe прос тбу Лисіоо Aöyov. тё pv yàp Әутетеіу où уоћепбу ФМА xai тауу basıov сірушеуә XOY: тё Ò ётєроу бутауистӯўсох Beiriova ravramaoiv ёоүбдєс. буттер ё EC &xoücac бт Pirros "Оћоудоу хатёсхо{еу ‘АА сих йуастфсооі ye тошту“ Eon ‘mov Ехеіуос йу Suvndein’. бтау оду Eu ТФ ۵۱0۲۵۵ прос тууу vota тл» Әтбдесіу un поло фоиуюие а TOV гірухбтоу д:хфёроутес, TOAL той хатафроуау &oatocUpev, xai тжуџтта хоһобето тд abdades uav: xal pihautot Фу Tate тошута! EAeyyönevov avrimapafchaïs. Nonne sentis pro thy نموه‎ requiri 7n» «отту? Nulla opus est coniectura: түу œùthv omnes editiones, quae ante dominatum codici D concessum prodierunt, habent !). Non minimi nobis momenti esse videtur quod in verbis qrAocoqi à àpt- Anoavrss 0970100 тооотов low тожүшатіу 5407005 ЯУ Betz т@оёту OVTO, de quibus supra egimus, obror pronomine deleto hiatus tollitur molestissi- mus. Nam in hoe, quod de pueris educandis inscribitur opusculo, quamvis pessime a librariis habitum sit, hiatus neque tam crebri occurrunt neque tam insanabiles, ut nullam a scriptore vocalium concursus evitandi curam habitam esse affirmare possimus ©). Praeter eum locum quem modo memo- ravimus non desunt alii ita comparati, ut hiatu sublato aliud quoddam vitium tollatur. Velut in iis quae c. 4 p. ЗА [5,8] leguntur, ¿vi òè тегі 9) An potius Toy “лкы 10) Cfr. vit. Demosth. c 11)Idem habet Mosc. 1. ud etiam dubito, n num recte in eiusdem libelli с. 14 0. 45 E [p. 110, 22], ubi ante Hercherum legebatur: où t фу Exstvou mmu ke f uem TiXQOG Eszter Gei Äer бет рта. хо: тоба. тросїүюу туу sten, artic 9 фуго Quvoc ac no ver, adiecti- vum, quod non solo, opinor, codice Moscoviensi traditum est, дугодоуос adverbio cesserit. 12) Cfr. Benseler de hiatu p. 422 et 547. Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 6. (ххх) | AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR MORALIA. 359 TOUTWV Еті Tapadiya ۱۵ атаћ\аборол то ёти тері AUTOY (rat, very, posterius Ет. non modo propter hiatum quem efficit, sed etiam propter repetitionem ingratum est. Bis in uno eodemque dicendi genere hiatum de- prehendimus eumque asperrimum с. 9 p. 7 A [p. 14, 22]: 6۳۵۷۵۲۵ үйр тр% ту #5 apyñe той 2бүоу оподету et c. 17 p. 12 F [p. 29, 1]: дуахаџлио біті Tv && арус тоб Acyou urödesıw. De codicum lectione cum Bernardakis hie etiam ut alibi saepius taceat, in Wyttenbachii acquiescendum testimonio, ex quo discimus loco posteriore omnes eius codices eo, quem D appellavit excepto, priore codices AC Harl. Mosc. 1. 2 non ۳۳۵0600 sed 0 praebere. In codice Moscoviensi 352 utroque loco то69есіу legi ego testis oculatus confirmare possum. Codicem C, qui et ipse, si Wyttenbachius vera rettulit, utroque loco contra D facit, etiam Bernardakis plus semel vel codicis D auctoritate postposita secutus est. Dixit sane Plutarchus Moral. p. 423 С Тр. 515, 6 Duebn.]: метшеу ётї туу 65 ۵07 0 et p. 431 B [р. 524,3]: @уосттёо ó 26үо5 — — ini түу 5 dere оподету. Sed auctor opusculi falso Plutarcho tributi potuit тродетс voce ita uti, ut usi sunt Aristoteles Anal. pr. 1, 32 p. 47 A 5: тёЛос йу fra ў ЕЁ denge zoó9ecic. De sophist. elench. 33 p. 183 A 34: Acımöv dE тері тїс #5 аруїс тродЕсео 00۷۵۵۵۵0۸ einelv Т! Poazh тері abris. Rhet. 2, 18 p. 1392 A 4: oruç та Мита mooadévres апобфиву түу ÈE арус продету et Polybius 2, 37: хата — «ny && руте тор09етіу. Itaque huius libelli non modo loco posteriore, ubi scriptura quam defendimus ante Hercherum vulgo erat recepta, sed etiam priore тродету auctorem scripsisse veri simile putamus. In c. 14 p. 10 A [p. 22, 8], mid usque ad Hercherum Sun 6: pápzupz robrwv Eübomi?nw тӧу софёу inavayayésða, edi fere solitum erat, quo iure quave iniuria Bernardakis тоџтоџ forma recepta hiatum invexerit, tum videbimus, cum melius, quam adhuc fecit, editionis suae lectores de codicum lectionibus atque cognatione mutua docere voluerit. Huius loci р. 12 E: ‘пор npp uy exaAsüetv', буті той dupobpevov an грен иу verba extrema ut significent non moli, iaa сит sis, irritare, sed noli hominem iratum irritare, participio лбу articulus addendus est. Сїт. Porphyr. у. Pythag. $ 42 p. 39, 7 sq. ed. Nauck. sec.: ру zé тор тў وه رس‎ сходедыу, ӛтер Zu uh tv Ффуобобута хай öpyılöpevov жуєїу Або тӛӛлүшіуес. Viderat hoc Hercher qui edidit: аут 709 ph грен иу Tov Juuovuevov. Eam quam supra posui scripturam Bernardakis codieum sine dubio auctoritate fretus dedit. Eadem est editionis Duebnerianae, eandem vidi codicis esse Moscoviensis prioris. Sed hoc verborum ordine restituto Hercheri coniectura tantum abest ut supervacanea fiat, ut eo probabilior existat, quo nunc facilius intellegatur, quomodo factum sit ut zv illud in libris exciderit. | Melanges gréco-romains, T. VI, p. 7. 360 ; PETRUS NIKITIN, [х. 8.1 Cum aliorum eorporis Plutarchei partium tum huius libelli locos plu- rimos litterarum syllabarum vocabulorum omissionibus depravatos esse nemini est ignotum. Hac labe affecta sunt etiam ea quae in c. 9 p. 7 B ante Hercherum sic legebantur: түу Gë туүудуә yvapıny Éyov xal тері тїс £v тў duu? 0:09 сес. Hercher түу abrnv è pro «nv o£ edidit. Hercherum secutus est Bernardakis cuius haec est de hoe loco |р. 15, 4] adnotatio: «аорту add[idit| Hfercher]». Necessaria sane est Hercheri emendatio, ut nulla defen- sione indigeat. Sed nescio an liber Moscoviensis 352 commendationis aliquid inde accipiat, quod in eo ante thv de (nam sic haec ibi scripta sunt) spa- tium vacuum relictum est quinque vel sex litterarum capax. Itaque non аут sed thy «ù in codice, unde omnes qui adhuc innotuerunt descripti sunt, omissum fuisse videtur. Cum libri Plutarchei cui titulus inscribi solet тӛс 2 тбу vEov тошт» ахобеу c. 3 p. 18 F [p. 44, 3] verbis ў «26: tò трбтотоу brolia 20۵/۵0206۱ xat ۵ 10۵8 xad тоу Хбуоу ws YN ото pauhou хай №үдреуоу xal проттбигуоћ. бібу Ести xml те тїс тсшүхоцдїүтєшд той Паобос ёх «fj; бутс @тобр@утос. obötva үйр &KAXcw й4уӘрәтоу іміз туүхоцбудеуоу үзушиі толса T, Tv ахоћатлоу xal Herrn ÈV aicy ovn 075 Есті xal феуф ۰۲۳0606۷55 ту тоюотуу daxpacio:y Wyttenbach hane annexuisset observationem: «Usus et ratio po- stulat тфу &XAcov Әуӛротоу aut XAAcv йудоютоу. Partem rectae lectionis habent E. margo C. Ваз. Xyl. ХАЛоу &v826xcov»"), Hercher in ista Wytten- bachii correctione &AAov &vdpwrov acquievit, Bernardakis in textu qui dicitur 222оу будротоу scripsit, sed in adnotatione аудофтеу delendum sibi videri pronuntiavit. Cur videatur, non significavit neque ego intellegere possum. Non obloquerer, si &AAov delevisset. Nam sive &AAov ex XAAcv est depravatum, potuit hoc ipsum ex sequenti буоу oriri, sive &AAov scriptura est antiquior, potest eiusdem esse originis, cuius sunt apud Xenophontem in Cyrop. &AAou 2, 3, 10, ubi legitur u&yato&v ye uv ebdug под» Фу Zossen бтоу Borut, 0022 тас” буда olk тодто pav, orc Det Anußavev fj пари тїз quctoc, ante ў particulam et 8225 5, 1, 30 in verbis бтьс поюбутес oi ЕУ той схууаїс паути та 0 60001۷ eis mas табыс 6 кеннен xai TOUS Immoug Tedepameumevous رهم2۵‎ Пёроолс dè џлужу T &pyov ў tà трёс ۷ тёћероу томе post umdtv in libris deterioribus inserta. Sed utut haec res se habet, sive Plutarchus cbótvz үйр оу scripsit sive obdéve үйр, aut &з9ротоу aut avdparwv't) aut тфу @у#оФтооу 15) necessario addere debebat, 13) &ЛЛоу душу habet etiam Mosc. 352. 14) Cfr, Mor. р. 1074 Е ір. 1315, 18): т үйр ёстіу 922% аудротеу —, Ze ovx. —. vit. 5о1. €. 27: et pera ТӘ Доу @АЛАоу 2 EYVOXEY, ۷32۵70۷ et 2۵۱۸ 0۷500 vit. Pomp. с. 33: 2085уа 30 ауӛрӛлеу ig’ inrou xadelönevov ё Еу Рорайиб бтратолебо төзтоте брдуђуш. vit. Alex. 30: pner 26: ӛудрӛтоу хоссу cic zën Короо Әрбуоу туђу А22%ауброу. 15) Cfr. е. gr. ar Chrys. ог. 11 ol. Тр. 172, 7 Dind.): оо: 435 тӛу фудрбутеђу واه‎ ۷ TIVO єїйєуж тї тога Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 8. (хххш) | AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR MORALIA. қ 361 ut Martis ac Veneris et Iovis atque Тапопае coitus diurnos; quos mox (c. 4 p. 19 F) erat memoraturus, exciperet. Non praetermisit certe hane exceptionem facere p. 655 A [p. 795, 11 Duebn.], ubi de eadem re agit: бё тойут TOV Tipo v ойте үоретў туа Led ўрёрау өте палћижд сиужате- xÀwe ТОЛУ $ Tov Пару. In libri de adulatore et amico c. 7 p. 52 E [p. 127,1 sqq.] Plutarchus scripsisse fertur: £v Хорахоотоц qaciv, стиха Платеу йфіхето xal ۵9۵ соу (0 boys neamavnc اماب‎ ті баскет хомортой yéuev und TAN- 9004 TOY үғолдетрооутоу” ёте! бё прёсёхроосе Платеу xal Atovüctog ЕхтЕСФУ философа тому eis тбтоо хай "ovata xai To Anpelv xal ахоћастодуцу Түке фербдеуо5, @90б0с бтаутас Waren tv Кірхус реташорфюд утас guzuote xal Му xxi eundera хатесуву. In ebndex iam Herwerden offenderat, qui (Plutarchea et Lucianea p. 2) «dicuntur» inquit «eundeıs homines hebetioris ingenii, quos nulla philosophia curare potest. Sed huius (осі est dementia, бума». At quis credat &votx in eunderz abire potuisse? Equidem, ne Circes frustra mentio fiat, pro €YHeelà scripserim CYHNIA =). lade editur apud Plutarchum Moral. p. 535 Е [p. 648, 24 Duebn.], sed соё? p. 716 Е [р. 873, 17]. Ipsum cunviæ p. 988 E [p. 1210, 14] dieitur de specie suilla quam Circe Ulixis comitibus induit. Eiusdem libri с. 18 p. 59 € [p. 143, 15] sunt T фттер Еу eed Меуфудро) ЧФаубурахА < mpöceıcı bóraňov cU стВорёу хош оу 2000 ісучрёу 4229 “уабубу тї пора xal бийхеуеу” 7), ойто тіру TOU хбАахо6 ۵۵۵ paveodar писи ус роћахіу xad aao xal тбуоу сих Еуоусау, 9224 тота Tois лбу مد‎ тросхефаћаїос дрфсау, à доходута той хефаћой; 0۳۵۵6 беу xad &y £y ty губи дом. xad breeixer ov. Verbum TIPOCEIC lin ТТРОЄІСІ mutandum puto. Cfr. Moral. р. 289 D [p. 357, 17]: оцой? убасу іу ‘Pour YEVOLEVNY таутас 042205 бухрӘєеїда! тойс еті oxnvhnv mpospy op.évouc. Plut. vit. Phoc. c. 19: ô pêv трхүфдёс ciciévat MEY Вост os просетоу rer xai xexocupévas ۳222 подотећо б©табойс тбу уортүүбу` xal un порёусутос Nyavazreı xal XATEÏYE ۵ Jéaroov où BouAóusvos проЕ^ Феу (CFa: проселдећу). vit. Demetr. c. 25: DË vOv ما‎ EWpaxEvar Tóovnv 62 оруу ёх (2) траүіхӣ сулус. Luciani Men. 16: ۵ abrés, ei туо, шхр®У Le ی‎ роћа бешуФ2 To той 6 1 "Ecc 3&oc syn iua шота мЕу25 шет Pie 0 "тропадеу Und той 1211700 0۵۵۹ 16) Cuius vocis зуПађа medin рег =: fortasse scripta erat. Nam Unveia pro مان‎ scriptum inveniri constat. Multum negotii haee vocabula librariorum тў Gala facessisse doeumento sunt باون‎ in arnvstus ap. Phot. Bibl. p. 347°, 17, Couch іп ی‎ ib. 8507, 17, davia et úavtaç in - Juaviæ et Juxvixg ap. Athen. 2 p. 36р, cunvia sive толу in cuyyéverx apud Suidam v. “Үзу dé H, р. 1301, 17 Bernh. corrupta 17) Vide Kockii Com. att. fr. vol. ІШ р. 150. Melanges greeo-romains. Т. УТ, р. 9. 362 PETRUS NIKITIN, [№ 8.1 Nihil ad hunc libri qui inscribitur هم‎ бу «tc 2159070 Exutoü трохбттоу- тос Ет ӛретй locum (e. 13 р. 84 A == p. 202, 19): ходатер үйр ai тфу ۷۵۵۷ eis «X рл] х0р® pépi той сеџатов Ехтротоі ompelöv io où фа9Хоу, бото Y| хахім тфу прохоттбутеу ÉGIXEV elg ётиихёстєри TAN медетаемеуу) XATA шхрбу éfaheipecdo Bernardakis adnotavit. Minus parcum se praebuit Wytten- bach: «хоіпа» inquit «Mosc. 1. Collect. Muret. Jannot. Anon T. V. B.». Sed codex Moscoviensis 1 eo nomine minus de hac re certus esse testis putari debet, quod in eo, cum primitus xbox scriptum esset, postea alia for- tasse manu у in о! correctum est. Sed alium testem neque а Wyttenbachio neque ab editore novissimo auditum dare possumus. Descriptum esse hunc Plutarchi locum in Parallelorum sacrorum et profanorum codice Parisino 1169 f. 7. ibique хабоа legi certiores nos fecit Semenov, gymnasii Petropolitani quinti praeceptor. Itaque vix iam dubium haberi debet, quin Plutarchus, id quod sententiae aptissimum?) vereque хору est, xaíoux seri- pserit, librarii хорске), quo nihil magis vulgare esse potest, vocabulo rariori elegantiorique substituerint. Hinc etiam apparet, quam recte et Maxim. Treu (De Plutarchi libellis qui in codice Tischendorfiano VII. insunt dis- sertatio p. 7) Vulcobii lectionibus (hae enim a Wyttenbachio V littera significantur) maiore quam adhuc a viris doctis factum sit cautione fidem esse abiudicandam affirmarit et vir ille doctissimus, qui Literar. Centralbl. 1888 p. 1551 de editione Moralium novissima rettulit, a Plutarchi editoribus florilegiorum graecorum copias sperni non debere monuerit. Quod in tali sententia, qualem habemus in eiusdem libri c. 15 p. 84F [p. 204, 26 sq.]: unre quynv Aproreidou und’ вірүрбу Ауабасүброо unte Teviav Ewxparouc Y, Фохіюуос хала у ОтодецьоіуерУ, Phocionis damnatio com- memoratur, Socratis silentio praeteritur, non mirari nequeo. Cum ceteros accusativos guynv cioyuóv пеуау negatione илуте iterata inter se copulatos esse video, facere non possum quin putem per 7, particulam non Xa/ca ocn accusativum accusativis qui praecedunt annecti, sed Zwxparouc et Pwxiw- vos genetivos ita iungi, ut ex uno eodemque хатабіхуу accusativo uterque pendeat. Quod ut commode fieri possit, novo opus est nomine proprio, cuius 18) Cfr. Moral. p. 223C Тр. 274, 11 ‚Duebn.]: йледі Tıvog подано xal а9тӛу ۷ and Ty sou оређу 506 ёт: тойс ierg тбт005 ха! о9тос Exkımeiv Tov Шоу et p. 8411 Гр. 418, 21]: Тору Tapéyovoa о Béisen тӛ. xatpux. Sed recte sane se habet xpos, р. 159 [р. 389, 2 Bern. ратуу» тб сода mepıxetseru тў dung: TX п\еїста үйр азтой ха! хорифтала TOV шерфу Еті ТЛУ профу ёрүхух т есета, тАфтта хо: 656утес хол стомахос ха! ўтар et р. 375 [р. 458, 24]: рӯ xxt тлу Әзӛу وت‎ — бихуовта дал той прото 900 Mera ورام رم‎ йі хо! суобсау Zpwrt тфу тері ۷ ико xat XXAÀw, ооу ӛтеуаутізу, AN — det YArgop.evnv Exetvou хай тер! ёхеїуоу Tapoüczy xat AVATIUTÄALEVNY тої хориотатоц |дЕересіу xax хадарьот2тов. _ 19) In Hieroclis Facetiis c. 217, ubi codex habet: 222.26 бих бе Ма Emsypabev à 271 той peto- | тоо “О 7070 TÖV хор! юу”. палоџгуоб оду тәуе eine трос тӛу nalovra ‘un ct обтоб урл рота ойх olde, xat avapet ме) corruptum esse xuptov ex хору vidit Boissonade. Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 10. (XXXII) | AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR MORALIA. | | 968 casu genetivo теуілу vocabulum definiatur. Neque difficile est tale nomen quod hune potissimum locum iure optimo tenere possit invenire. Nam multi sunt et Plutarchus et alii librorum moralium auctores in Epa- minondae animi aequitate, qua paupertatem tulerit, laudanda. Itaque sic haec verba scripserim: руте guy» Aetgzetëeu иу гірүлӛу Avakayöpou unte темеу Ет жш у®убоу итеу Ewxoarous ў Фохіюуос хжтаб!хлуу?) Әтобецдді- уюшу. Hic etiam, ut alias saepe, una dicendi formula aliquoties deinceps iterata ansam librariorum neglegentiae dedit ad scriptoris verba corrum- penda. | Alium quidem, sed non minus illum perniciosum, eadem causa effectum habuit alio eiusdem capitis loco, p. 85 A [p. 205, 12], quo et ipso de Epa- minonda agitur: Tote: тооотос тодётєто TÒ Badilovrac Еті тре туйс 1 Aafovras @рулуу ў ponrauévous TON Tidecdar тоё срдаћифу тоқ буто dya- dv Етрабеу ёу тоотф ПАатоу, ті 0 9.» Jobs 1, yevcuévouc xai ۵۱۵۵2۲00 “тї бітеу "Етошиуфубас, nolos © dv ФфӘу Auxcüoyoc ў Аүпооос̧;’. Nolo iis quae de Epaminondae ingenio taciturno veteres tradiderunt abuti. Scio eundem arte dicendi instructum fuisse perhiberi. Sed quid est eius elo- quentia prae Platonis orationis flumine aureo? Idem fere, opinor, quod huius res gestae prae iis quibus ille clarum se reddidit. Epaminondae dicta Platonis facta praedicare nonne hoc demum est-pavonis cantum, lusciniae caudam admirari? Quid quod ne id quidem recte factum esse videtur, quod verba тоос 2 äv Gei ab illis ті 9 фу Епрабеу interrogatione ті à &v бітеу interposita sunt disiuncta. Mirum ni scripsit Plutarchus: ті Ф dv гілеу Еу тоот ПӘАдтоу, ті Sav émpaËsy Еташиуфубос, тойо ò dv mpd Лохобрүос n Аүусійа22;. Componitur Epaminondas cum Platone etiam Moral. р. 472 E [р. 573, 2 Duebn.]: тоотоу б& ойбу BeAtiwv ó Bouröuevos dua êv "Eu e50x) 36 h Плато ў Anpöxorros slvat тегі бср) үр@ршу xal TIS TOY ۷ akndeias, dua òè тӛсусіп үрді тоуха деде, ос Езҙоріюу, ў шу іті xõpov А Е52убрр тоџлјуну, Өс Мїўю` dyavaxr@v Ob xal Aumobuevec, ci un дози ето. би 70170۷, We Isunvias, xai eU Ger, 95 Етациуоудос. Sed hic suum cuique vides tribui, philosopho doctrinam virtutem imperatori. In his, quae sunt libri De capienda ex inimicis utilitate c. 11 p. 92 [p. 224, 10 Bern.]: Enel тофАобта! тё qua тері TÒ 0۸۵0۵6۷۵۷, 95 EE ö Платоу, xal eM пићу oi Spo Sekten ais niv ватру Ти Get UNTE ۵ уоїроу ip oic Bareer oyy elvat uns TÒ Àumoüpevov £g" cic халорфобту, AAN émhoyileodar 6 фіфотіоәу ӧтә та piv ФоЛаттоџеуо! 20) Сїт. Moral. р.1051С Гр. 1286, 23]: то uiv оўу ті ۵ BA TOV XXÀOV XAYA- Zeg avèpüov, otov A Хохратоос хатад ix xxt ó Подоудроо {бутос à eurpnopds ото тӛу KuXo- Уфу xar 74уөуо: ото Anuühou coU торамусо xat Аутирбут% Ото 2” orpefhouevoy &vatoécets, титором тархтіттоуту ameınaleıy Bang Есті euyspetag, à Mélanges greeo-romains, Т. VI, р. И. — 364 i PETRUS NIKITIN, [3.8.1 06710۷64 uev abr@v, та dE pımobmevor win yeiosvec, asperior sententiarum infinitarum (тё yaïsov — &pyèv civar — ФАУ Erıroyileodar) compositio tam facile vitari poterat, ut vitatam a scriptore non esse non sit credibile. Nam inter аоубу et eivar insere modo e äu: omnia erunt levia et concinna. Libri De amicorum multitudine c. 6 p. 95 € [p. 231, 2] editur 2%26- роқ roy aot xxl подет просљлоууамоутеб. Sed, quantum equidem scio, тоФүратогһошіті dicuntur троттоүу учу (cfr. ex. gr. Plutarchi fragm. р. 37,3 Duebn.), homo rpayuası mepıruyyaveı, non троттоүу@уе.. Libri De fortuna c. 4 p. 99 C [p. 241,8] sunt verba: о: réy var wıxoat тимес elvat Akyovrar opovnasız, [AOV DN anoppoai ۵06۱06 xal апотош aca еудйестаріліуд тойс y pelate als тєрї тоу Bioy, Фстер atvícvevat то тор ото тоб Прорм0 шеру [Ао Ф дастаро]. xod үйд The poovhoewc бия xai стйсроти шхой Әразомеууд хол хатахеєршоті оре eig تج‎ X£J ۵ Quo modo Plutarchi editores табис istud intellegant non intellego. Neces- sarium arbitror «&4c тра» ес. Sic enim non nimis obscure ё rpaxtixès Bios significabitur, de quo supra auctor verbis той; yosíoic тойс тері zé (оу usus est. Etiam p. 1034 B [p. 1265,5 Duebn.], ubi legitur та ушата тойс برغم‎ avapuoota хай той; тойбевіу, vocabula урей et з Ша sunt posita, ut idem fere utrumque significet. Verba 9722 022 Saorasrjva: quid aliud ern esse possint nisi lectoris additamentum, non video. De virt. et vit. c. 2 p. 100 E |р. 245, 14 Bern.] lego: yuvatxéz có уаћетог фу то атола поупрӣс буйр Фу, uh дубрйтобоу поба Ob Thy auto xaxixw сих істі yoalanevov отоћециу Non траүмдтоу Фрода xal ауатоос дол yEvonEvov XAF aurov, QAN del сәусіхобсо xai TOG ттА@үууо& простефухита, уохтор xal ше’ ђигоау ‘eber ётер дало [xal орф үтірі Due] Papeta cuvéxônuos oùoa Or dhakovelav xal moAureing б0убитуос Und Aryvelas xal abyxcıros uvod, фрсутісі xal uepiuvars xal Asturias Фххбттоуба TOV Әтуоу xal Owxp9cíocuca. xal үйо 5 хаде0доуті тоў сератог Әтуос ёсті xai avanauaıcz, The 0 фойе ттш! ха! сістро%) xad tapayal бді See zua, Nam persuadere mihi non possum Plutarchum, id quod et editiones et, quantum quidem ex editorum silentio conicere licet, libri omnes habent, G'UVOLXOUG O0. тс GÀ ry VOLS ха! тростефихх scripsisse. Id enim iam mihi dubium est ouvarzelv vcl; отлаүуус unquam graece dictum esse pro eo quod est coi; amAayyvars іуәхеу. Cfr. Eurip. fr. 403 (Trag. gr. fr. ed. 2. p. 484): тіс ара unto h патир хахбу ۵ Воотоїс Ерусе zën досеуџџсу 996усу; 21) Sie Hercher pro öveıpar. Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 13. (хххш)] AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR ۸۸ ж "865 той xai пот ۵6۲ сератос Aa v Epos; ёу yspolv 4 Ga x Ad (y vototy — Sed etiam si alibi dici potuisset, hoc loco incommodum esset. Nam quae est orationis forma? Comparatur vitium cum uxore improba. Pergit scriptor hac uti similitudine, cum атпоћециу nominat, pergit etiam, nisi omnia me fallunt, cum соу оса verbo utitur. Sed num recte se comparatio habebit, si ita dixeris «ut uxor cum marito, sic vitium cum visceribus habitat»? Vix opinor. Qui enim vitium cum uxore comparat, comparat cum marito quem? aut quid? Non viscera sine dubio, sed hominem qui vitio est affectus. Itaque vix recte ad ооусходса additur то стлауууос, poterat addi тф хехтуугуф vel то Еуоут, poterat etiam illud participium sine ullo dativo poni. Hoc a Plu- tarcho factum esse arbitror. Sicut ad nudum ouverxoüca rectissime iam cum gradatione quadam, id quod et fortius et vitii proprium est, xai «eig стлау- Jorg тростіоуойа adiungetur, ita putidum est, postquam туушхоўт@ 6 orAayyvars dictum est, ха! поостефужла addere, quasi permagni interesset, utrum cum visceribus vitium habitaret, an 2» iis inhaereret. Quod ad versus Hesiodei membrum posterius xa! орф ynpai 2Gxs, a lectore id aliquo ex vulgaribus Hesiodi carminum exemplaribus inculeatum esse vel ideo pro certo habeo, quod in iis quae sequuntur de senectute sive praematura sive tempestiva ne unum quidem fit verbum. Si cui hoc parum firmum est argu- mentum, meminerit ex Moral. p. 527 А |р. 637,47 Duebn.] constare in eo Operum et Dierum exemplo, quo Plutarchus utebatur, versum 705 sine turpi illo numerorum vitio sic scriptum fuisse: Eja ӛтер نام(‎ xal іу QUE үпоої ۷ Itaque hoc loco, quo de nunc agimus, cum Plutarchus priorem tantum versus partem attulisset, altera invito illo suppleta est. Qua expuncta ap- tissime iam verba уохтор xal 19 muéouv поп ad ea quae praecedunt refe- ана id quod fecisse videntur editores qui post иёоху interpungebant, 1 ad sententiam Hesiodeis verbis viet #тєр daho expressam: siet ў xaxix Me Ямёсяу quippe quae Bageta ouvéxènoc sit et mokurerhs соубитуо6, 5065 убхтор quippe quae сбухитог sit бума. Mirari satis nequeo quod Consol. ad Apoll. c. 6 р. an 254,10 Bern.], ubi legitur: à д Шударос £v 2206 Lei dE та; лї 9 00 ты; amäs буар Avdowrog’ Ерот e офббра xal qihotéyvwc Опербомј ۵09۵۵6۷۵6 TOV ۷ аудовутеју беу Amos . ті үйр ох йсдеуіттіроу; тё 6% тут; буар 009 фу ехрратол та Етерос диупдет capac, istud 52225 et Duebner et Hercher et Шагын» aequo animo tulerunt. Quid nisi glossema esse potest, quo nihil ineptius fingas praetér ётёрыс, quod Meziriaco et Wyttenbachio legendum esse videbatur? Mélanges gréco-romains, T. VI, p. 19. 366 : PETRUS NIKITIN, (8. 8.1 In poetae nescio cuius versibus, qui Consol. ad Apoll. с. 15 р. 110 D ір. 270 Веги. | afferuntur: той үйр та 080۷۵ ۷۵۷۵, тоб 6: Ауёс меүас боуаа те 1501006 ў Etoëns ۷ (е05ас аћасстс auyev’ "EXAna novias; drat?” ёс سح‎ паде ход Addas 50005 Wyttenbach Bacóv non admodum feliciter in 8290у mutabat. Ego, cur 4 legere non liceat, non intellegere me confiteor. Cfr. Theocr. 16, 74 - $ Жос h Ayıdlebs ӧосоу piyas f, Вирус ۰ Eiusdem epistolae consolatoriae с. 31 p. 117 E |р. 287, 19 Bern.] editur: тетобелдіуәу 9 істіу &v9ocoy GE EEGEN бл: Врауђу ۷ про траву пиле ol бохобутес бюро ze (йу ёттєрїтдол. Sed nihil est cur a consolationis auctore, quisquis Ше fuerit, lusum verborum tam frigidum aut dedita opera quaesitum aut, cum temere elapsus esset, non animadver- sum concedamus. Itaque Madvigii (Advers. I p. 622) coniecturam irerAy- феуд, quae novissimo editori Moralium ne mentione quidem digna visa est, recipiendam arbitramur. Similis est ratio corruptelae qua hic Mo- ralium (p. 517A = p. 625,38 Duebn.) locus inquinatus est: ode, & ті ŒxOVÉTOU Үғдоло полотромисуфу An табтута, 00406 тїз ۵000 проауећфу TOV ۵۵۵۵۵6۵۷ обтос oi та TOV раЌбуюу хохӣ (11596, 7200/۷۵/0۷۵0 тїз удео éauroig. Nam hic etiam propter verbum cum тро praepositione compositum factum est, ut librarius, cum quae поп satis attente legerat non magis attente ex memoria scriberet, eadem praeposi- tione aliud verbum auxerit. Delendam esse verbi mooatodéuevoy syllabam primam Duebner in editione sua recte significavit?). Mihi ne тбу aisdavo- | uevoy quidem legi posse videtur. Requiri opinor aut rêv аіс9<оуореуоу aut TÒ aladavönevov. | Ad consolationis е. 34 p. 120 B [p. 294, 1 Bern.] verba: si ۵ à ۷ т@А\а!@фу TOTTOV те ход ФіЛосбфюу 2бүо: ёстіу Anne Фостер 4 rer ойто xal тої езбе) Еті roy nerardakavrwv ёст: тї; ТА) xat проє?ріа, х492- тер №үєтол, xal (6065 ты йтотетаүріуос ёу à діатрідоуоту ai тотоу duy at, хала Әлтібас буку се Gef тері toU шахарітоу uitoc cou, бт тойтос GUYXATA- 219191 сиуёсто: Wyttenbachius adnotaverat: «Leve fortasse quibusdam videatur, quod monemus comma inter Suen et сте ponendum esse cum Stephano Aldo et plerisque omnibus libris, non inter ойто et xai, ut voluit Reiskius et iam antea fecerat Xylander non animadvertentes vim parti- culae сото, quae hoc loco non refertur ad бстег, sed ad ei... Etenim ei — ore significat consequentiam si — tunc. Plutarchus Adv. Epicur. р. 1100 D: 22) Vide de hoc errorum genere Nauckii Anal, erit. (Hermae vol. 24) p. 462. Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 14. | (ххх | AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR MORALIA. 367 3 Na ойто VAY TOUS‏ اه бё yonou.ol xal шоутиеи — Evöckov Ze хой‏ ع AtYovzac, bs où Gef себиу тош "EX AnvEs — 00у». Obtemperavit Wytten-‏ bachio Hercher, Herchero Bernardakis. At si одто hoc loco est func,‏ statuendum est ab hoe iam adverbio apodosin quae dicitur incipere. Fac‏ hoc ita esse: quid tum verbis халас &Xmíóxc Бушу се Set — ouvéore fiet?‏ Ego Өстес adverbio in 6утео pronomen mutato et post &Andns et post oürw‏ interpungo, ut protasis usque ad verba ai тотоу duyai pertineat.‏ Quamquam mei fortasse iudicii culpa factum est, ut alibi etiam inter-‏ punctionis ab. Herchero introductae a novissimo editore servatae ratio me‏ lateat. Velut p. 77 В [p. 186, 12 Веги. |, ubi editur nune: ходатер оду čow-‏ ос̧ &pyopktvou бүшгібу істіу cU то успону тф халф торбуті (тодто үйр xotvóv)‏ тд даме ои xal 920۳6 дтостореуоу, Gene Жүоутай uev und философа‏ & xal собра ye сото dvriraußaveodaı Tod uavdaveıv Section, Фу‏ 7۲922۱ стосу Und траурбтоу Ау xal dey ory, роот тё 4‏ айту ёхеїмо, xal рибиос фёроџоту, ego non intellego, cur post асусмфу non‏ post апел) осту interpungatur, cum dubium esse non possit, quin Ша und‏ трлүмдтоу xal àcy oiv cum &zeooov, verbo non cum &x£A9octv sint iungenda.‏ Libri de puerorum educatione c. 14 p. 10 D [p. 23, 14 Bern.] legitur:‏ ПЛ@төу dE 620 Мууф xal 90 ур0 Эрос Tov Tic дес vièv Drevom-‏ mov хоћёсас: Totey- Ерусеу anEIdWv “хротђтоу yù үйр тауо Yupoüpar.‏ Corruptum esse хоотиссу dudum est perspectum. Vera fortasse est Heusin-‏ geri coniectura xoA«cow. Sed &«tA96v etiam vix ferri posse videtur in ista‏ praesertim huius loci interpunctione, quam a Menagio commendatam Hercher‏ et Bernardakis receperunt. Neque enim poterat Plato, postquam abiit, haec‏ dicere, nisi a Speusippo exaudiri nolebat, poterat, cum abiret, quod graece‏ esset дтифу 21). Sed neque ёте Әбу ex дтибу corruptum esse facile quis. |‏ credat et ita hoc апбодеујро ab aliis auctoribus referri solet??), ut parti-‏ cipium exspectetur, quod non ad épnoev, sed ad xékasev pertineat. Itaque‏ nihil iam restare videtur, nisi ut aut huius de educatione declamationis‏ auctorem атеддфу participium minus accurate pro eo quod dicere debebat‏ атогу гу adhibuisse concedamus atque sic verba interpungamus: Xm«sóstn-‏ тоу xahtoag ‘тобтоу к "— xóAacov', aut hac eadem interpungendi‏ а 21) Cfr. p. 551 B Гр. 666, 41 Duebn)): ры дн otxETOV ۷ Siedler è ev m хә! drakiav xata uad, stra ёхотоб Chien “атада: TEPOV Еуоуто6 ха: x na аг" тр% AÜTOUS, 0985, éroinsev ЗАА’ Я тосодтоу (t1 v. ebrugeite’ бітеу “Ort дру фора буду. 22) Vid. Stob. Flor. 20, 57 [= Flor. Mon. 284 p. 286 Mein.; Maximi Conf. Loc. comm. 19 p. 841C. Mign.; Gnomol. Vatie. a Sternbacho Wien. Stud. vol. 11 editi р. 200 п. 436, ubi сїт. eme? editoris.]; Пл\атоу дру ёреубс поте ТФ о!хётї|, ітистіутос Zevarparous aov! Zeg ۷ D Tocov, ero To бора, Plut. Mor. р. 1108 А Ir. 1355, 8 ‚Duebn.]: 5 Арттобтуио га. date Eon ётё тоб HAdcovos, бт тӘ та! yahernvas ойх одутфе évéreive Tnys, 22% Хле0сіттоу ёхё- Хосеу, erry айтдс و‎ da xx: в) тоуоу парилаВ Фу хода (sic Cobet pro xóptýe) тоу Яуӛролоу gros Booker #79 үйр Әрү орал. Quo de-loeo cfr. nunc Nauck 1. 1. Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 15. 868 PETRUS NIKITIN, i [№ 8: 4 ratione servata emendatione, quam Nauck Hermae vol. 24 р. 457 proposuit, utamur. Libri, qui inscribitur ٩۹۳۱۵۱۷۵ параүүё\лиата, с. 6p.1248q.[p. 305,11 sqq. Bern.] sunt verba: quAaxcz£ow — @тєрохжМ жу xai флота xol үйр aire moAAaxıs cuvavanedcuor ил тиуфутас Eadterv Eva хай niver un Sub@v- тас, GVEAEUDÉpOUS хоџлођ xai Doprınas отоба клона фаутасіос, Өс ۷ ёст. похүратос стоаміоо xai полотеЛсйс wi аполодсо тарбутос, olov ойдатос N XT ІталмхФу T, Хороо пЛахобутос 1] ytóvoz èv Абуотто. тата үйр EnTou пробуєто: тоАА@хы урсдаг тойс тероптос ход спао, Фотер ито хуісүс̧ тўс хеуйс 600546 аүсиёусоз хол то Gë ۵ undev бебідеуоу омаүхоќоутос, бтос ywV Erepors Gm үйдей, 0202۷۵ тїз dmohadcews rûv ойто дисторістоу xal теріттоу. In his editiones Duebneriana superiores, quantum scio, omnes xvisanc exhibent; editores novissimi unum sigma com- pendii fecerunt legitima videlicet vocabuli forma restituta. Sed antequam de orthographiae minutiis decernerent, sententia loci erat perpendenda. Neque enim іп ea verborum Фстер — &yopéívouc interpretatione, quam Xy- lander proposuit?), «animo vanae gloriolae quasi nidore quodam illecto», acquiescere possumus. Mihi certe, pace virorum doctissimorum dixerim, vanos vendere videntur fumos, qui quid vel nidor iste vel fumus sibi velit simulent se scire. Nam xvtsoxóAaxsc xvtaoAoty ol xwcornontai nihil hic habent quod agant. Quid multa? Ipsa se praebet emendatio: ото хіссус; tam evidens est tamque facilis, ut credere non audeam me primum in eam incidisse. Cfr. p. 801 A |р. 978,10]: ai хитова“) Мош xal. oi эжут!футёс ӘАмурбос x«l талОта Вофрола Oloxcuct тоћћажас, gie ۷ болероу ёбёттусау хол дӛлістрйфусау. Musonius ap. Stob. Flor. 17, 43 [vol.I p. 286, 31 Mein.]: под) — хфиоу Sraxeın&vous бойу Етті та сорта TOLG тері та Воор то трурфутос, фу eio: буги aparato пода KITT o arg үзуді хай "бр 0 хїйс: тӛ 0۵ ۷۱۵9 60 ۵۵ тоу BP AT o duc- yseatvouct. Arrianus Epict. Dissertt. 4, 8, 34: уйу 2' арте póvov 6 кода философиху, oe сі XAXOTTÓLAYCL 120$ т Bowudriov 8 merk (мхрбу 0 ver роот, 0904 ёті tò схйттроу, èni түу Виста" nadete cm хору, буе Tpifuva, үоруёу Gerxvüet mov OLOV, Ua ETON то отоаутбсг nv Èy pamon туд En, yáyetar артф. äs, уецаясхисоу побутоу 1009 соо ТУ Фрџлу uh хажостомтусо h xo 00 C. Yuvotxóg touv. Vix opus est monere genitivos тї; хеуйс 2055 non ex xiscng nomine pendere, sed eam verborum 28) Eadem fere est Stephani in Thesauro s хусса: «veluti nidore inanis gloriae in- ductos ». 24) Inde quod hie xırr@cat, non xi6362: scriptum sit, aut quod avis nomen хіттз. in nostris Plutarchi editionibus per тт scribi soleat (vid. pp. 887, 13. 1191, 14. 22 Duebn), alibi eundem rma 6۵ uti non potuisse concludi non debere sciunt omnes qui illam sive sermonis Plutarchi varietatem sive codicum P cognitam habeant. . Mélanges gréco-romains, T. VI, р р. 16. | т % (XXXII) | AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR MORALIA. 369 стер ото و00‎ Tic хеуйс 90676 ayouévous esse structuram, ut idem sint atque ото тўс хеуйс 0054: фттер فجن‎ xisons бүсиёуоос. De qua comparationum forma а Plutarcho adamata Hermannus. Sauppe Æmendation. Plutarch. p. 10 sq. uberrime disputavit. In Praeceptis conuiugalibus c. 20 p. 140 F [p. 344, 1 Bern.] editur: ту Yuvaîxa. Tois 100 dvôpès auunadeiv хоћу ход тбу ёудра той; тї yuvarxés, 5, معجون‎ сі бетисћ хотф тір no atv (туђу 80 GO Av Aaußavausıv, 0995 &xattooU Thv «улау бутістрофоу йто040утос Y) xovwvia сета Or Angcht, xal yap ў бота шіүуосі 9% тфу соротоу qu, IV ék ёхат&р®у péooc Aafoüca xai соуубиси хомёу @ишфотёроф drop TÈ үгууоцауоу, oTe рудё- тероу Otogícon uaët дохо тё rov ў) тб 9226лриоу. Recte fortasse faciunt editores quod Wyttenbachium sequi nolunt qui іп Animadversionibus ad р. 177 F, ubi hune locum affert, pro 25 Ехатеру scripsitgé Ехетероу. Мат plus semel Plutarchus, ubi éxareocs vocabuli genus neutrum sine substantivo ponit, numero plurali pro singulari utitur. Cfr. Mor. p. 961 E [p. 1177,4 Duebn.]: dove dE ТФ piv 60 (cv óvoua хпАђа ёст, TË 0% OU орцлатоу yonteia. урбуте бё 5хетіров еті та Inola. p. 1082F [1325,2 Duebn. |: El Vas ФФ) màéðpw бусу Y| ysÀcvY, тбу Immov, ci тобто piv tig Greco термоутес, Фирт Ob жмуо0утес хата TÒ тобтероу xal тё 0ттероу, орветоље ^9 Әработфто npoaakous: тё тауттоу. Fragm. 26, 1 [p. 45 sq. Duebn.]: со тәудетос Qüciz фудротоу ёх Cato xal uy Tc; Әйтероу дохо0у haty; xol TOŞ обу те; тд piv yàp ойх dv ein и урореуоу Чуу, oy) 9 cox dv ein uh Е/оуба тб сусретом. Тї обуу Өстер ЕЁ irou 0و1‎ Екдтера то OY YE: уёоту, Y uiv Фхдосоуп жоі awppocuvn xal фроупаеь тд бе ісуі xal ۵۵ xal byuæix. Huc fortasse referendum quod p. 920.С Гр. 1127,15 Duebn.] dicitur: ха Ерлебох Айс nv éxatépov [desole et luna sermo est] ато оо eux. naz дигрорау. Simili ratione џлуетера pro pnòõétepov et ab illis dictum et а Plutarcho vit. Rom. €. 29: oi Popoto Tov те тойдо» ёфодсфуто xal ТАУ пасафосту тфу YuvorxGv 000% gin همع بوصم‎ rer Evapılov. торобо Ў abrots Әердтуйуа PAO — -- соугфоблеосе рү0ілера пої, &Xk& yonrauévous Sop نوم‎ dua Toy тоћеџру xal: ту бортов”). Eodem modo та, #1500; sive Әблере pro то ۷ poni constat *), neque alia, opinor, ratio est потер pro пбтерсу usurpati. Sed extra hane exceptionem а Plutarcho summa cum constantia illa regula observata est ut ёх@тєроф sit uterque, ixdrepot utrique. Nam quod in Antonii vita c. 42 legitur тас 6۵4 £xatoac facilem in nomine collectivo habet excusationem. Vid. Krueg. ad 25) De оџбгтера, v. Stallbaum ad Plat. Lys. 218 E et Apol. p. 22 E. 26) Vid. Kuehneri Gr. Gr. ampl. $ 366 not, extr. Exemplis а Schoemanno ad Isae. 1, 38 p. 191 allatis adde Plat. Phaed. p. 68C: 6 айты BE поб обтос TUYAAVEL OV ха! مرچ‎ ха! Qt Actos Arer тӛ tepa тодтөу ў aj. go tea. Melanges greeo-romains. T. VI, p. 17. ^s. 870 PRTRUS NIKITIN, ІК. 821 Xen. An. 3, 2,36 еті тфу т/еурбу схалереу. Vix licet eadem ratione in vitae Arist. с. 7 librorum scripturam тас стасис ёхатёрас eis тхото соухүхүбутєс defendere, adversari enim videtur ipse Plutarchus qui in Niciae c. 11 de eadem re: тас ставе 0۱۵۷۵۵۳۵۸۲۵۷۲۵ eis Еу و۵‎ Іп vitae Antonii с. 30, арі legitur: ünateberv dE tabavres, бте un یه‎ autoe, ouAous &£xa toc торӣ рёрос, fortasse Exatésou est restituendum. Quae in v. Alex. c. 63 edi solent: Пеохёстос òè xal Auuvaïse пооёстусау` фу mAnyEvrwv هم‎ 5 кеу атедоме, Пеохёстас 5% & v cety &, TOV dE 0 АЛЕ аубоос 4тЕхтамеу genetivis пАурубутоу Exatéowv іп тАтүёутос Éxatépou mutatis hiatus vitio non afficiemus, si hunc quem codex С verborum ordinem praebet [leux£tas uiv &wvelye, Әдтерос 65 anédave praetulerimus. Minus dubia praesto est eorum emendandi ratio quae in Demosth. vitae c. 15 leguntur: ё òè хит ۵ fig rapanpeobeinc &OnAov ei А&Аєхтш хата onalv "Idoueveuc пара ۵ ~ ~ шбуас zën Alaytvnv anopuyeiv. AAN сих ÉotxEV one £y &tv ۵/۸096, el Bet тоё тері 0090 yeyoxuuévors Ехатершу Aoyaıs ۵0 LÉUVNTAL Yo орбетерос زاغ باه‎ 015 zouge Exeivou той @үбуо Өз йу Gare поовћ- Әбутоб. Nam perspicuum est ёхитёоф pro éxaréswv esse scribendum. Cfr. Moral. p. 58 Гр. 140,7 Bern.]; Box: ль тфу атф ей et vit. Dem 17: ۳6۷09۵ TOY тері TOY бош XOY GIE ExaTE 2015 (1.6: utrisque) rokeuov. In libri de gloria Atheniensium с. 6 p. 348E [p. 426, 35 Duebn.] verbis: 900259: «cuc %убрас (i. е. et poetas et imperatores) eiz&- yanev abrous та соџфоћа xal та mapdonne лбу Eoywv хош(оутос, itay Ехатеро таробоу йтодбутес, si Exatéow ай то &vdoxz rettuleris, ut interpretes faciunt, cum per utrisque reddunt, in схатеро mutandum erit; sed Plutarchus fortasse ad «àv ёсүшу referebat. Septem sapientium convivii c. 15 p. 158 CD [p. 387,17 sqq. Bern.] ostenditur, quantae rebus humanis mutationes essent subeundae, si fieri posset ut nullo hominibus cibo ad vitam sustentandam opus esset. Verba sunt Cleodori: ос — дале Аёү ge үйе avanpedetong соүуооту тбу bohov EEety хӧсуоу, chtwc охоо биду 4 TOOTS جوا‎ Ze: auvavameitaı үйд abri тор гттобусу [£c ín] хҙатһрғе отодоуоі kevisust, фиаудретотала жар тобто хоуюуйиата тоба 2227) ом, шоу DE сопла 6 Biog, єї ye бой Tis taty аудофтоо то9беюу Eyauca همه‎ фу їр тї; трофїс урих xal парисхол TAS боча торахоћї. 69۵۷ mtv обу, © ётоїоє, xal tò yewoyias [2071]. Sain: меуі yo add: 2۳026 уђу пилу Augen xal ахадаотоу, UNS бхдотоо ха beuuatwv тес Феродіуәу от? срушио блату. соуатоћлот ob ха тёууас тасас xal &oyaciac, (vy #2207 65 істі xal 1 Basıy nasag ха! i m <-- 1 X DI ~ a ГА ~ ` ГА H ` Dim, xal tò pndév siot, табтус ёхтодфу yevouévne. хатаћооутол Db xal Ta . 26) Haec Bernardakis rectissime supplevit Madvigio (Advers. I p. 625) praeeunte. Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 18. ж (хххш)] AD PLUTARCHI QUAE FERUNTUR MORALIA. Be сбу, "НМ piv purodv, Ет 6 атто ZeAnvn yapıv оруђа џбуоу xal 92545 аудротоу ёубутоу. Au оір BE Ди xal тпостоосі Anunta xad putahutw Потг!- Gët той Верос сто, той 6% Әәтіл; In his quae de agricultura dicuntur tum demum intelleges, si molestum illud «u, abesse finxeris. Nam cum ipsum per se pateat cibi desiderio ex hominum natura sublato agriculturam neces- sario esse perituram, hoc sine dubio vult Cleodorus: magnum fore malum etiam id quod agriculturae tum accideret (i. e. agriculturae interitum), ‚ Вас enim amissa fore ut et terra ad pristinam illam tristem feritatem recidat et artes, quarum omnium agricultura sit fundamentum, intereant et deorum cultus, quos homines tum maxime et timere et precari soleant, cum de prospero 'operis rustici successu sint solliciti, neglectus iaceat. Itaque pronomen, quod post үөрүү ж: est positum, nihil esse potest nisi interpretis additamentum, qui istud suum ог] ad rapacxsun, nisi fallor, referebat, neque id perspiciens non opus esse hic dici, сиё тей agriculturae interitus esset periculosus (sic enim диубу intellexisse videtur), cum facile pateret perieulo- sum illum esse omni hominum vitae cultiori, neque id sentiens ineptum esse in tali orationis contextu pronuntiare agricultura sublata perieulum fore, ne homines non haberent unde cibum sibi compararent. Non minus ab anctore est aliena interpretatio істія verbis то ёстобуоу addita. 19 Qt Mélanges gréco-romains. T. VI, p. 19. EA ПЗЕ 45553 Ж i inue: = > pre ha ұз: № 7 Ж. 373 Sahidische Bibelfragmente. Il. Von Dr. 0. von ۰ (Présenté à à l'Académie le 12 sept. 1889). Die im Folgenden veróffentlichten Bruchstücke der sahidischen Bibel- übersetzung sind im verflossenen Winter von meinem verehrten Freunde und Collegen Herrn W. Golenischeff in Ägypten erworben und mir mit grösster Liebenswürdigkeit zur Verfügung gestellt worden, wofür ich ihm hier öffentlich meinen Dank ausspreche. Auch sie rühren, wie die vor Kur- zem von mir edierten, aus dem Funde von Deir-el-Abjad her. Es sind im Ganzen Fragmente von fünf Pergament-Handschriften, welche fast aus- nahmslos solche Abschnitte enthalten, die entweder noch nicht ediert oder überhaupt bisher nicht aufgefunden sind, so dass die sahidische Bibel durch dieselben um manches werthvolle Stück vervollständigt wird. D. Ein Blatt, in einer Columne geschrieben; pagg. op — ox; gr. 4°. 37,5 Ж27,5 cm. Der Schriftcharacter kommt dem des Cod. Borg. Sah. № XXI!) am nächsten; etwa IX. Jahrhundert. — Psalmus ХЫХ, 14 — Г, 13. — Unter dem Borgianischen Fragmenten ist von Psalm 49 gar nichts und von. Psalm 50 nur Vers 9 und 12 erhalten?). Vergl. dazu Lagarde's Psalterium. E. Ein Blatt, in einer Columne geschrieben; pagg. ста — сір; gr. 4°. 29,5 X 24 сш. Schriftcharacter wie des Cod. Borg. Зав. № XX?) und СШ); IX. Jahrhundert. — Psalmus CXVIII, 152 — CXIX, 1. — Unter den Borgianischen Fragmenten sind von diesem Abschnitte, von Psalm 118 nur die Verse 109 und 154—156 erhalten); bei Tuki^) finden sich nur von Psalm 118 die Verse 169 und 173. ---- 1) Ciase a, Sacrorum Bibliorum fragmenta Copto- Баана Musei Borgiani, Vol. П. 1889. — ZAR XE 2) Tidi von „бк 1. 1. Vol. П, рас. 104. 3) Ciasea, 1. 1. Taf. XXI. 4) Hyvernat, Album de paléographie copte. Taf. XI. № 8, 5) Ediert von Ciasea 1. 1. Vol. II, pag. 6) Rudimenta linguae Coptae sive Aegyptiacae. Romae, 1778. — pagg. 173. 174. Mélanges asiatiques. T. X, p. 79. 25% 374 DR. 0. VON LEMM, [N. 8.1 F. Zwei Doppelblätter, in zwei Columnen geschrieben; pagg. pe — раб S fol. 45,5 X 34,5 cm. Schriftcharacter wie des Cod. Sah. Borg. V XXV’); ҮШ. oder IX. Jahrhundert. — Evangelium Marci VL46 — IX,2. — Dieser Abschnitt findet sich unter den Borgianischen Fragmenten; bisher unediert. . Ein Blatt, in zwei Columnen geschrieben; pagg. pz;— zm. fol. 39,5Ж31 cm. — Schriftcharacter wie des Cod. Clarendon Press, 21°). — ҮШ. oder IX. Jahrhundert. — Epistola ad Colossenses ГУ, 2—18. Epistola I. ad Thessalonicenses I, 1-6. — Von dem Colosserbriefe sind von A mélineau, vermuthlich nach den Borgianischen Fragmenten, veröffentlicht Cap. IV, Vers 1—5 vollständig und die erste Hälfte von Vers 6, und von dem ersten Thessalonicherbriefe Cap. I, Vers 4 und 10?). Ein Doppelblatt, in zwei Columnen geschrieben; pagg. п5 — ҷ. 4^ min. 23,5 X 18,5 cm. Reich verziert mit Thierornamenten. Schrift- character wie des Cod. Borg. 1421). — X. Jahrhundert. — Epistola Jacobi П, 23 — III, 14. — Von diesem Abschnitte ist bei Woide veróffentlicht Cap. П, 23. und Cap. III, 3— 6. Unter den Borgia- nischen Fragmenten ist von diesem Abschnitte nichts erhalten. 7) Hyvernat, 1. 1. Taf. V, № 2. 8) Hyvernat, 1. 1. Taf. VIII, №1 9) Zeitschr, für Ägypt. Spr. und Alterthanek. 1887, pagg. 110 u. 126 Ж. 10) Hyvernat, 1. 1. Taf. ХТ, №1 Melanges asiatiques. Т, X, р. 80. (XXXII) | SABIDISCHE BIBELFRAGMENTE. II. D. PSALMUS XLIX, 14 — L, 3. 14. net нненшАнА мпето осе: 15. мсепетнадег ммог ом neooov nrereAnfie- ATS фнатотжов meteoor мат arayana 16. Hexe пнотте миречриове ۰ же erke оз итов RARE Ән ma RAA 2 ATO RXT ۱۲۲۵۵1۵۵1۱۲۲ өтти ۰ 17. MTOR ме анместе тесбо). ATO AR HOTXE ۱۲۱۲۵۷۵2۶ 6 HINAIOT ۰ 18. евщаинат еуречхлоте HERNHT HMMA: ATO NERRO HTERTO ми иное. 19. а тевтапро тащеваита. aro пеңдәс 6 ом 0۳2۲ ۰ 20. мекомоос евватаЛаАет исх ۰ ATO HERRACRAHAAÄOH Mea MWH ре ۵۵۰ 91. ARP мат هه‎ ۰ теңде. ARMEETE етаномта же емащоне и Фиалентон татаооот EPATOT Жиен MTO ekod- 22. eme бе enat нетриов т мпнотте: миноте ицтори ичтмиепе HFT RETHOTOM- 23. отетст nemor Ternafeoor nar хто ере тедти MMAT стоталћ etis тслбоҷ ерос поу жал MIMOTTE ! #4 11 дь. eno он eA пеухАмое naaa ом итре NAGAN пепрофитие ег над итерецёок eoo» wa ћерсаве : n 3. Ma nai пнотте ната пекноб’ ина. VARIAE LECTIONES. Lagarde, Psalterium pag. 128 ff, Ps. 49, 16. 11۲۵۵ 1a enun HERACRAMA Aon 17. Tacho ۱ Ps. 50, 1. maten: 18. иско ` 2. Берсәйее 20. исомоос Melanges asiatiques. T. X, р. 81. k 576 DR. 0. VON LEMM, (8. 8.1 D. PSALMUS Г, 4 — 18. E RATA MAWAT инекмитијен о THY JOTE ебоА ۰ 4. EIAAT EMATE ебоћ фи TAANOMIA ато истабог ебол ом памобе: 5. же феооти anon HTAAHOMIA ато» панобе мпамто CROA HOTOEIU ۰ 6. nraipitobe EPOR MATAAR: AIP neeoov мпенмто EQOA жеңас ERETMAIO өн HERWARE- нехро ом птренфоап ۰ 7. ес оните сар итато MMOS ON ден AHOMIa- ATO ита TAMAAT SIOTO MMO ọm pennoĝe. 8. ес 9111176 сар àRMepe тме у меени ми мете исеотоно ۸ 1۲7 613601۳15 ۰ нәт 1 9. кнабшбфщт ON 0۳86۵۵ ¢ ебсА ом песноц мище татбб пнахокмет EROA нонтч РЯ ало {палотбащ eoove OTXKIW 10. кмәтрасотм еттеАнА ми от оној сенатећнА HIT ngeec rg 11. кте nenoo нсабоА ۰ ATO HAAHOMIA THPOT чотот EONA 12. отонт ецотаа соитц понт пнотте AT отпих ечсоттомн маречрёрре мпаса ۵ ۰ 13. мирнохт ебоА ۰ VARIAE ۰ L. = Lagarde, 1. 1. pag. 1 В. = Borg. Fragmente bei de 1. Vol. II, рар. 104. Ps. 50,6. №. 8 L. пооте orxıon L. енетмәешю В. ngore ۲ 9.1. B. кнабешсошт 12. В. emm `` В. ототссопос B. Vor отпна steht ато · В. кнахокмет Melanges гін. TRIE (хххш) | SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. I. Е. PSALMUS СХУШ, 152 — 164, ста 152. жан ишори arene ебоћ ۴ митре: | же ARCMHCHTE ммоот WA exeo puc 153. (Анат enaoßbıo и©нг омет же мпегр поду мпенномос“ 154. нріне мпафаи avo ۵ матаноог RATA nenas е: 155. now at: отит ииречрнове xe mnor WINE nca HERATRAIOMA- 156. maye невмитијанотиц EMATE пос ۰ матаноо RATA меншалее. 157. NAWE нетинт neos етейібе ммог Мтетрант COA инекмитмитре 158. әінат enaonr ATboA ekor. же мпотохрео emenujao e: 159. жанат же aimepe ۰ матаноог HAOCIC ом пекна: 160. тефотегте иненшалсе те TME: нози тироу NTERATRAIOCTHH woon ша ۲۰ сен 161. A napocon пот меої ۰ Se ото A ۲ 56e онтот нненшае- 162. иатеАнА es A nengjaoe пее Amen тап pap ۰ 163. аїместе пост ибоие ато» Aıbory- HERHOMOC хе ۰ 164. аїсмот epon ۲۲۵ neon мпеооот ежи ноди HTERSIRAIO стин: VARIAE ۲ ۰ Fragm. Borg. bei Ciasca, 1. 1. Vol. II, pag. 146. 156. митщенертич матаноог пос RATA MeHHO лл se 4 Mélanges asiatiques. T. X, p. $3. 971 ~ 8 ar 169. me 10,4 DR. 0. VON LEMM, PSALMUS CXVIII, 165 — CXIX, 1. оти 5 нетрнин инетме мтенран- хто ммитот скам Лом: мегболцт ебоћ онту Mnenoyo at I 0616 ATO әлегре HHEREHTOÄH- à TAM YOCH одрео енемитмитре ATO AIMEPITOT EMATE: митре. AIDAPEO емекентоди ми HERMIT же наогооте THPOT мпенмто ебод че посте. Пре пасопс oon еооти ерок ۵۰ по oeic матсабог RATA TIERWARE- мәре патаего er ероти MIIER MTO ебол. мәлтотжот RATA TIERWARE: HACHOTOT нахо HOTCMOT еңшан TCAÈOI EHERAIRAIOMA- nàAac натато HHERWANE:- рот. же TAIRAIOCTHH те ненентоАн TH мәре TERTIX WOME ENTOTXOI же әлотеш HEREHTOÄH- XE AIMEPE неңоужат их дес. ATO пеңномос пе тамедети: TAWTICH MAONO исемот EPOR: ATA nenoan набонесг ۰ әлсорм Hee novecooy ечеорм. шше иса пекомомА ao месо тм ере: же мпегриозыц HMERENTOÀH - тољн имтортр: Ало ищо an eopar EPOR Tex 06۲۶ птер VARIAE LECTIONES. Tuki, Валара pag. 173, 174. 169. — м «уе; Ps. 119, 1. — Ciasca hat als Überschrift: [тољ н инанабхемос Für Атхицнан ete. hat Ciasca ergänzt: [atow еорат ерок rox oere м итрафор > акеотм epor]. Melanges asiatiques. Т. X, р. 84. [N. S. I Gul 46. + 4 23 ” SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE ۰ Е. EVANGELIUM MARCI VI, 46 — VII, 1. HWE + ATO итереч ANOTACCE HAT Aq бон 69۵۲ ۳ ещАнА ۰ ۶ ротое хе wone мере mno or on тмн те ۱۲۵6۵۵۵۵ · ATO NTO нецог пекро ۸۱۵۵۵ ۰ итереч HAT хе ероот ет росе ом ۰ пити“ cap негот HT пе. на пнат Ae мимеоцтоот n WON HTETUH aq ei WAPOOT equo още огхи eaAacca: ATO neqovouy пе ECAATOT + итооу ме HTEPOTHAT е роц ечмоошје or хи eaAacca · думе eye хе оуфаита сма пе · ATO ATOW ећоћ не ۵۵0 6 сар THPOT ۰ ато ATWTOPTP- HTOY << 6 7 хашахе HMMAT اعد‎ Амос. же TOR понт анон пе мпррооте · ато ом птреҷа Хе епжот иммат пити“ Ло 0۰ &spumnpe ae ема Mélanges asiatiques. T. X, p. 85. [мн] 52. 53. сл сл те орм монтоу · ме MNOTTITHT сар ме о: noen ۰ ХАЛА пере 1167۳ 7 obuj epo от. итеров io ор хе enenpo AT ез есенинсарео ATMOONE : MTE porer хе eopar or пој · нтетно“ аусо ону 1 проме MIMA € TMMAT · ATO ATIOT ebo on тлертхо рос тире GTMAAT: ATAPX EI meme or жи осима HHROTR инетмоко фи нет шеме EMMA ен TATCOTM же чи QHTq- ATO има е Tarta bon едоти epoq ene ۰ не nore ۰ H دم و‎ ше. WATRA мет шоме фи nacopa- исесепсолу же RAC RA нет exoo ептоп итец штин ۰ ATO ие шау оф epog шат Хо · ат УП, 1. Соото хе ероц ибт нефартсолос ATO porne инесрал мәтетс. EATEI € 379 380 DR. 0. VON LEM, pe Бол on 111۸ ۰ eco ом птретнат eoonte инечма эитие . хе ceo» ом MNETOEIR м потеза тоото“ · нефартсәлос сар ми HIOYA AI тироу ETTMEIATOOTOT метотом > ETAMA өте итпарах OCIC инепресӛтте ۳06۰۵: матке ећоћ on тасора ет тмлбешбошот мет OTOM-ATU өн oe RECMOT THPOT EWATRITOT-ETA мәоте MMOOT- QE &nor еоориот- ми дендестис · ми 9 ۵ ۲ ми мма 7 ۰ 5. ау ноу Ae HTT ме ۵016۵106 · ми ME срамматетс ет хоз ммос · же етбе от HERMASHTHC мсемооще ди ка та тларахосте и _ nenpecbTTepoc · aAa сеотом мие 07۳0611: ере тоотот 22۵9۸ ۰ иточ Ле пе хәл нат xe Ra oc à Hcalac профи тете охроти HOT 1101117116 · nee етцено же пега Mélanges asiatiques. T. X, p. 86. F. EVANGELIUM MARCI VII, 2—10. ос тмаю ммог ом MEYCHOTOT · пет онт хе отит нек BOA ммог - ETM ще же ммог епот’ en, езфећо noe сбооте MENTO 8. и проме · атети RO исоти ۲ TOÂH ۰ TETHÈAMAOTE ни 11۵ 0 ۵2۵ OCIC пиро 9. ме: netz жем мос HAT пе же еге наЛос - TETHA SE тег H Ten TOÀH м пнотте ۰ же ете 7۱۲۵9۵۵ етети 10. napaaocıc- мо Penc сар agxooc же тмате ۲ ми TERMAAT : ATO) NETHARIWANE 1900 иса не ет ми тецма ау өн OTMOT : мә 11. речмот. итоти Хе тетихо ммос же ершан проме 2۶ 006 миецеют H ۲6۵۵ же кор Ban ете nar ne от хором шав{онт ммоч EROA 7 ۰ 12. ма тетинаа бе ep Ахат noob mney (8. ar (XXXHI)] SAHIDISCHE BIBELFRAGMENTE. II. Е. EVANGELIUM MARCI УП, 13—24. — етот ° H TEJMAAT 13. ететитсто ебоА мишахе ۳ те он тетинара ~ осте ентатита ас ETOOTOT · дуо) оенкеобите ти роу еттитон e HAT ететнегре м 14. моот. ач 15. мое. . Morte хе enman ше Tapy пехач нат эме COTM € рої тирти ите Sie! мми Ахат ом 1۵۲۲۵0۵۸ egra eoo» епроме equa голец. 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