BULLETIN LU VA DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES S'-PÉT FRSBOURG. e à de ee da | TOME TRENTE-UN. © 3 2- - (Avec 4 planches.) . | Mo: Bot, (Csarden, # , SRE A ” EL ÆNRE de | ST.-PÉTERSBOURG, 1887. - ; Commissionaires de l’Académie Impériale des sciences: : À ST.- PÉTERSBOURG : À RIGA: A LEIPZIG: Eggers & Cie et J. Glasounof; . N.Kymmel; Voss Sortiment (G Haessel). Prix du volume: 8 Roub. arg. pour la Russie, 10 marks allemands pour l'étranger. nt TABLES DES MATIÈRES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) SCIENCES MATHÉMATIQUES, CR ET BIOLOGIQUES. MATHÉMATIQUES. B, bare Sur la transformation d’une équation différentielle pair à la forme d’une équation isopérimétrique. ie — et V, hlonkr, Sur un nouveau nombre premier, annoncé par le père Pervouchine. Extrait d’un rapport à l’Académie. D32— ASTRONOMIE o. Backlund. Rapport sur le mémoire de M. Harzer: Recherches - sur un cas spécial du problème des trois corps. 125—188, 0, Struve, La nébuleuse près de c Orionis. (Avec une planche). 540—544. PHYSIQUE ET PHYSIQUE DU GLOBE. 0. Chwolson. a photométriques sur la diffusion intérieure de la lum . 213—261. in Carl Sehmidt, Recherches ProloEines XLV—XLVII. XLIX. 262—288. 508— 533. CHIMIE. ne B Rizza et À, Boutléroff, Sur l’asarone. 496-—508. MINÉRALOGIE. N. de Kokcharof, Mursinskit, nouveau minéral. 450—464. GÉOLOGIE. LA Kärpitty Sur quelques roches métamorphoriques de l’Oural contenant le graphit et le grenat. (Avec une planche). 484—496. gre — Contributions à la co Te Ra Da du gouvernement Ü de Pskow. (Avec une planche). 4 e Lahalka, Sur les poes ss Aie, crétacées en Bohème. (Avec une planche). 464—47 BOTANIQUE ET PHYSIOLOGIE VÉGÉTALE. C, J, Maximowiez, Diagnoses de nouvelles plantes de l'Asie. VI. 9—121. , ZOOLOGIE. à À Bianchi, Contributions à la connaissance ornithologique des rami- cations occidentales de Pamyr et de l’Alaï. 337—396. N, soit Notice sur les aq du genre eng qui se rencontrent en Russie. 533—53 PHILOLOGIE. N. Katanof, re transcription des mots de la langue Koïbale notés par Castrén. Avec une préface de M.Radloff. 138—213. A. sy rr 3 cg 8 + l'ouvrage ue Galeni Pergameni scripta se 1. I. (Lipsiae, 1884). 3 W, Radio, eue la linguistique contenus dans le Codex Comanicus. 121—124, —— Rapport préalable sur un voyage en Crimée en 1886. 544—550. —— PAPRaEt sur deux noticés de M. N. Katanoff contenant des iaux pour l'étude du Sagaï. 550—554. C, rats Études sur Je moyen-persan. L. 417—450. Rapport sur les matériaux pour la AE persane re- cueillis par M. V. Zoukovski. 537—540 F, 3, Wiedemann. re et rectifications au riens syren- allemand et votiak- allemand de 1880. 293—387, État du personel de l’Académie au 1 mars 1886. 1—12. — 414. D sur une nouvelle eblication des matériaux pour : B. TABLE ALPHABÉTIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) —— LA Pr 0. Rapport sur le mémoire de M. Harzer: Recherches cas spécial du problème des trois corps. 125 —138. Bianchi, Ÿ. Contributions à la connaissance ornithologique des rami- sÈ fications occidentales de Pamyr et de l’Alaï. 337—396. Boutléroff, À voyez Rizza, B. Chwolson, 0, Recherches photométriques sur la diffusion intérieure de la lumière. 213—261. État du anal de l’Académie au 1 mars 1886. 1— LR rer mdR B, a la transformation d’une He différentielle air à la forme d’une équation isopérimétrique . — et Bouniakowsky, V. Sur un nouveau nombre premier, annoncé “par le père Pervouchine. Extrait d’un rapport à l'Aca- . démie. 532—533. sky, À. Contributions à la connaissance ER du gou- vernement de Pskow. (Avec une planche). 473-484. __ — Sur quelques roches métamorphiques de POural contenant le vi graphite et le grenat. (Avec une planche), 484-496. = Kokcharoff, N., de, Mursinskit, nouveau minéral. 450—464. Katanoff, N. Nouvelle transcription des mots de la langue Koïbale _ notés par Castrén. Avec une préface de M. Radloff. 138—213. Maximowiez, C, J, Diagnoses de nouvelles plantes de l'Asie. VI 21. : Nauck, À. A propos de l’ouvrage Claudii Galeni Pergameni scripta minora, Vol. L. (Lipsiae, 1884). 396—414. Radloff, W, Rapport sur une nouvelle publication des matériaux pour la linguistique contenus dans le Codex Comanicus. 121—124. tanoff contenant des matériaux pour l’étude du Sagaï. 550— Fr Rizzà, B, et Boutléroff, À, Sur l’asarone. 496— Mme er & Études sur le moyen-persan. I. 417—450. sur les matériaux pour Ja en persane recuéiis par M. V. D akUwSEE 537— Schmidt, Dr, Carl, Recherches hydrologiques. XLVXLVIIL. XLIX. —283, 508—533. Struve, 0. 3 au près de c Orionis. (Avec une planche). 540— — Warsohonit, N. Notice sur les PRÈS du genre Phoxinus qui se rencontrent en Russie. 533—536. Wiedemann, F. J. Additions et Hs pere La retaper syren- allem and e fines allemand de 1880. ZLahalka, C, S s Phymatelles des ne He en Bohème. (Avec une st 464—473 * > FER her Ash a ES f 4 tr te TOME XXXI. à ar | . (Feuilles 1—3/,8.) ea ; ru . ru RS tat du personnel de l'Académie au 1 Mars 1886 ............................. Der CG 3.1 aximowiez, Diagnoses de nouvelles plantes de l'Asie. VL...............,..... _W. Radloff, Rapport sur une nouvelle sa des matériaux pour la ieistique «Comes dans la VON: COAST Su RUE TU de ed ee total Ve eo ou ‘191124 à a ns ki, Suertiir perpétue. primerie d puis YEN ES des sciences. + CARRE LU (Vass. -Ostr., 9° ligne, M 12) LE P'AER | : BULLETIN | DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. ÉTAT DU PERSONEL, (AU 1 MARS 1886.) A. CONFÉRENCE ACADEÉMIQUE. . Président, conseiller privé actuel, comte Dm. Tolstoï. à 1882 | Dre, » » » V. Bouniakovsky. Rire Perpétuel, conseiller privé, C. Vessélof- sky. 1857. 1 Ë 3 # 7 MEMBRES EFFECTIES DE L'ACADÉMIE. | 1 CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE. … Mathématiques pures: Académicien Ordinaire, cons. _ priv.act. V.Bouniakovsky (Vice-Président) 1828. - Académ. Ord., cons. d’état act. G. Imché- netzky. 1881, Mathématiques appliquées: Académ. Ord., cons. priv., .. P. Tchébychef, 1853. Astronomie: Académ. Ord., cons. priv., O. Struve.1852. = — Académ. Ord., cons. de collège, O. Backlund. 1883. ique: Académ. Ord., cons. d'état act., H. Wild. 8. _—— Académ, Extraord., général-lieutenant, A. Ga- . doline, 1875. . Chimie: Académ. Ord,, cons. d'état act,, À. Boutlérof. BR 1875. Minéralogie: Académ. Ord. ,cons. priv., N. Kokcharof, F. 1865. Géognosie et Paléontologie: Académ. Ord., cons. d’ ne __ act., Fr. Schmidt. 1872. Fe Académ. Ord., cons. d’état act., Ch. Maxi _ movicz. 1865. 1878. : Tome XXXL Acad. Extraord., cons. d'état act., Famintzine. | Zoologie: Académ. Ord., cons. d’état act., L. Schrenck. 1862, ——— Académ. Ord., 1867. cons. d'état act., A. Strauch. | Anatomie comparée et physiologie: Académ. Ord., cons. d'état act., Ph. Ovsiannikof. 1862. I. CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITTÉRATURE RUSSES. Académ. Ord., cons. priv., J. Grot, Président de ‘la Classe, 1855. Académ. Ord., cons. priv., Th. Bouslaef, à Moscou, 1860. Académ. Ord., cons. priv., A. Bytchkof. 1866. Académ. Ord., cons. priv., M. Soukhomlinof., 1872. Académ. Ord., cons. d'état act., A. V'essélofsky. 1877. Académ. Ord., cons. d'état act., J. Jagië. 1880. HI. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE. Statistique et Économie Politique: Académ. Ord., cons. priv., C.Vessélofsky (Secrétaire Perpétuel). 1852. Académ. Extraord., cons. priv., W. Bézobrazof. 1864. Histoire et Antiquités russes: Académ. Extraord., cons. d'état act., Kunik. 1844. Philologie et Archéologie classiques: Académ. Ord., cons. priv., Stephani. 1850. Académ. Ord., cons. priv., A. Nauck, 1858. Littérature et Histoire des peuples asiatiques: Académ. Ord., cons. priv., O0. Büthlingk. 1842. _—— Académ. Ord., cons. d'état, Radloff. 1884. = Académ. Ord., cons. priv., B. Wassilieff. 1886. Langues et ethnographie des races finnoises: Académ. Ord., cons. priv., F. Wiedemann. 1857. Bulletin de l’Académie Impériale 4 B. MEMBRES HONORAIRES. Sa Majesté l'Empereur Alexandre II. 1865. Son Altesse Impériale, le Césarévitch Grand-Duc Hé- ritier Nicolas. 1876. Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc| Wladimir. 1875. Son Altesse Impériale Monseigneur le Grau - Duc Alexis. 1875. Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc Serge. 1876. Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc Constantin. 1844. - Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand -Duc Nicolas père. 1855. Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc Michel. 1855. Son Altesse Impériale Monseigneur le Prince Ro- manovsky Duc Nicolas de Leuchtenberg. 1865. Sa Majesté Guillaume I, Empereur d'Allemagne et Roi de Prusse. 1876. Sa Majesté Don Pedro II, Empereur du Brésil. 1876. Son Altesse l’Archiduc Rodolphe, d'Autriche. 1885. ” Mrg. le metropolitain Isidore. 1857. _ MM. le conseiller privé actuel Hube. 1857. à le conseiller privé actuel Kerbedz. 1858. le conseiller privé actuel Delianof. 1859. le conseiller privé actuel Golovnine. 1861. le conseiller privé actuel Reutern. 1863. le conseiller privé Middendorf. 1865. le conceiller d’état actuel Abich. 1866. le comte Milutine. 1866. le comte Valouef. 1867. l’admiral Zelenoï. 1873. le conseiller 2. Dphenor 1873. t lexandre Bunge. 1875. le général F de camp comte Adlerberg. 1876. le conseiller privé actuel Abaza. 1876. le général aide-de-camp Greigh. 1876. le conseiller privé actuel de Giers. 1876. le conseiller privé prince Lobanof-Rostofsky. MM. le conseiller d'état actuel Kotchoubey. 1876. P. A. Tchikhatchef. 1876. le conseiller privé actuel baron Bühler. 1878. le général-major Przewalsky. 1878. le général aide-de-camp Possiet. 1879. le comte Loris-Mélikof. 1880. le conseiller privé actuel Pobédonostsef. 1880. le conseiller privé Sabourof. 1880. le cons. privé actuel baron Nicolaï. 1881. le conseiller privé actuel Nicolas Bunge. 1881. | le conseiller privé Rovinsky. 18883. le général-lieutenant du génie Paucker. 1883. le général-lieutenant Vésélago. 1884. le conseiller d’état actuel Bidder, à Dorpat, 1884. : le conseiller privé actuel Polovtzof. 1884. le général aide-de-camp M. deKaufmann.1885. le cons. privé Zdekauer. 1885. le conseiller privé Zakharine. 1885. le marquis de Pietra Catella, à Naples. 1846. le prince Louis Lucien Bonaparte. 1858. le comte Moltke, à Berlin, 1871. de Lesseps, membre de l’Institut, à Paris. 1876. C. MEMBRES-CORRESPONDANTS. l. CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE. 1. SECTION MATHÉMATIQUE. MM. Lorentz-Leo Lindelôf, à Helsingfors. 1868. le conseiller d’état actuel Dôllen, à Poulkova. 1871 le conseiller d'état actuel Bredikhine, à ve cou. 1877. le général-lieutenant Maïevsky, à St.-Péters- bourg. 1878. le général-major Stebnitzky, à St. Pétersbourg. ne 1878. - le conseiller d'état actuel Letnikof, à Kharkof, . ; 1884 5 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 6 MM. le conseiller de collège Yermakof, à Kief. 1884. | MM. le conseiller d'état actuel Beilstein, à St.-Pé- le conseiller de collège Andréief, à Kharkof. tersbourg. 1883. 1884. le conseiller d'état actuel Müller, à Tiflis. 1883. ee le conseiller d'état actuel Zaïtzof, à Kazan. 1885. MM. Airy, à Greenwich, 1840. Neumann, à Künigsberg. 1838. Hermite, à Paris. 1857. Bertrand, à Paris. 1859. Kummer, à Berlin. 1862. Winnecke, à Strasbourg. 1864. Weierstrass, à Berlin. 1864. Adams, à Cambridge. 1864. Warren De la Rue, à Londres. 1864. Ross-Clarke, à Southhampton. 1867. Cayley, à Cambridge. 1870. Kronecker, à Berlin. 1872. Sylvester, à Londres. 1872. Auvwers, à Berlin. 1873. . Schiaparelli, à Milan. 1874. Newcomb, à Washington. 1875. . Gould, à Cordoba (Rep. Argent.), 1875. Hind, à Londres. 1878. Asaph Hall, à Washington. 1880. Catalan, à Liège. 1881. Gyldén, à Stockholm. 1882, Tissérand, à Paris. 1883. - Brioschi, à Rome. 1884. Repsold, à Hambourg. 1885. D. Gill, au Cap de Bonne Espérance. 1885. 2. SECTION PHYSIQUE. . le comte-de Keyserling, à Reval. 1858. le conseiller d’état actuel Schmidt, à Dorpat. 1873. le conseiller d'état actuel Jerémeïef, à St.-P6- tersbourg. 1875. le conseiller d'état actuel Mendéleïef, à St.-Pé- tersbourg: 1876. _ le conseiller d’état actuel Oettingen, à Dorpat. 1876 , le conseiller d'état Avenarius, à Kief, 1876. le conseiller d'état actuel Lenz, à St.-Péters- bourg. 1876. le conseiller d'état actuel Henri Struve, à Tiflis. le conseiller d'état actuel Békétof, à Kharkof. 1877. Chevreuil, à Paris. 1853. Weber, à Goettingue. 1853. Frémy, à Paris. 1856. Hofmann, à Berlin. 1857. Dana, à New-Haven. 1858. Daubrée, à Paris. 1861. Kirchhof, à Berlin. 1862. Bunsen, à Heidelberg. 1862. Edlund, à Stockholm. 1870. Des Cloiseaux, à Paris. 1871. Cahours, à Paris. 1873. Rômer, à Breslau. 1874. Berthelot, à Paris. 1876. Frankland, à Londres. 1876. Beyrich, à Berlin. 1876. Damour, à Paris, 1876. Sir William Thomson, à Glasgow. 1877. R. Clausius, à Bonn. 1878. le baron Nordenskjsld à Stockholm, 1879. Gerhard vom Rath, à Bonn. 1880. Chr. Websky, à Berlin. 1882. Werner Siemens, à Berlin. 1882. Gustave Wiedemann, à Leipzig. 1883. P. Groth, à Münich. 1883. G. Kenngott, à Zurich. 1884. 3. SECTION BIOLOGIQUE. . le conseiller privé Trautvetter, à St.-Péters- bourg. 1837. le conseiller privé Mercklin, à né PE OUTE 864. le conseiller privé Gruber, à St.-Pétersbourg. 1866. le conseiller d’état actuel Setchénof, à St.-Pé- tersbourg. 1869. Je conseiller d’état actuel Regel, à St.-Péters- bourg. 1875. le conseiller d’état actuel Cenkovsky, à Khar- kof. 1881. . le conseiller d'état actuel Kovalevsky, à Odessa. 1883. 1* 7 Bulletin de l’Académie Impériale ss MM. le conseiller d'état actuel Metchnikof, à Odessa. | MM. A. Ostrovsky, à Moscou. 1863. 1883. le conseiller d’état Voronine, à St.-Pétersbourg le conseiller d’état actuel Ra dde, à Tiflis. 1884. le conseiller d’état actuel Ed. Russow, à Dorpat. Gaimard, à Paris. 1839. Owen, à Londres. 1839. Küllicker, à Würzburg. 1858. Alf. Decandolle, à Genève. 1858. Jos. Dalton Hooker, à Londres. 1859, Hyrtl, à Vienne. 1859. Lovén, à Stockholm. 1860. Leuckart, à Leipzig. 1861. Steenstrup, à Copenhague, 1861. Asa Gray, à Boston. 1862. Henle, à Gôttingue. 1863. Huxley, à Londres. 1864. Naegeli, à Münich. 1865. Helmholtz, à Berlin. 1868. Van Beneden, à Louvain. 1869. E. Weber, à Leipzig. 1869. Ludwig, à Leipzig. 1871. Vulpian, à Paris. 1878. De Bary, à Strasbourg. 1880. Virchow, à Berlin. 1881. Ludw. Ruetimeyer, à Bâle. 1882. Alb. Guenther, à Londres. 1882. L. Ranvier, à Paris. 1882. L. Pasteur, à Paris. 1884. R. Koch, à Berlin. 1884. À Milne-Edwards, à Paris. 1885. Ch. Gegenbaur, à Heidelberg. 1885. G. His, à Leipzig. 1885. Il. CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITTÉRATURE MM. le conseiller d’état actuel Apollon Maïkof, à St.- | Pétersbourg. 1853. le conseiller d’état actuel Gontcharof, à St.-Pé- tersbourg. 1860. le conseiller d’état actuel Tikhonra vof, à Moscou. 1863. le conseiller privé Galakhof, à St.-Pétersbourg. l’Archimandrite Amphilochius, à Moscou. 1868. le conseiller d’état actuel Bestoujef-Rumine, à St. Pétersb. 1872. le conseiller d’état actuel Savvaïtof, à St. Pé- tersbourg. 1872. | le comte Léon Tolstoï. 1873. “ le conseiller d’état actuel Pavlof, à Moscou. 1873 re le conseiller d’état actuel Porfirief, à Kazan. 1873. le conseiller d’état actuel Smirnof, à Moscou. le conseiller privé Tchistovitch, à St. Péters- bourg. 1874. le conseiller d’état Potebnia, à Kharkof. 1875. le conseiller privé Nicolas Dévrovikyà à Néjine. 1878. l’'Archimandrite Léonide, à la Laure de la S° Trinité près Moscou. 1882. le conseiller d'état Boudilovitch, à Varsovie. 1882. le conseiller privé Boulitch, à Kazan. 1883. le conseiller d’état actuel Léonide Maïkof, à St.- Pétersbourg. 1883. Kukulevië-Sackzinsky, à Agram. 1855. Miklosich, à Vienne. 1856. Hattala, à Prague. 1862. Raëki, à Agram. 1869. Emler, à Prague. 1876. | RAT Novakovié, à Belgrade. 1876. es Leskien, à Leipzig. 1876. Rambaud, à Paris. 1876. Milan Milievié, à Belgrade. 1877. Patera, à Prague. 1877. Tomek, à Prague. 1878. Nehring, à Bréslau. 1881. Matkovië, à Agram. 1882. Tomasek, à Gratz. 1883. Häsdeü, à Bucarest. 1883. L. Léger, à Paris. 1884. Ralston, à Londres. 1885. des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 10 IH. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE. 1. SECTION HISTORICO - POLITIQUE. MM. le conseiller d’état actuel Koutorga. 1848. MM. le conseiller d’état actuel Skalkovsky, à Odessa. 1856 le conseiller privé Eugène Lamansky, à St.- Pétersbourg. 1859. le conseiller d'état Vassilievsky, à St.-Péters- bourg. 1876. le général-major Doubrovine, à St.-Péters- bourg. 1877. le conseiller de collège Goloubinsky, à Moscou. le conseiller d’état actuel Nilus Popof, à Moscou. 1883. le conseiller d'état actuel Zabéline, à Moscou. 1884 Zachariae von Lingenthal, près Mersebourg. 1856. Hildebrand, à Stockholm. 1859. Renan, à Paris. 1860. Ranke, à Berlin. 1860. Schirren, à Kiel. 1864. Thomas, à Munich. 1866. Michaelis, à Berlin. 1868. A. Maury, à Paris. 1872. M. Amari, à Rome. 1873. | L. Stein, à Vienne. 1874. E. Freemann, à Oxford, 1875. _ Ferd. Hirsch, à Berlin. 1877. A. von Gutschmid, à Tubingue. 1878. H. Jireéek, à Vienne. 1882. F. Loeher, à Munich. 1884. S. Mueller, à Copenhague. 1885. _ 2. SECTION DE PHILOLOGIE CLASSIQUE ET D'ARCHÉOLOGIE. . MM. le conseiller d'état actuel Fr. Neue, à Stuttgart. 1848. Wieseler, à Gôttingue, 1856. Cobet, à Leyde. 1857. Henzen, à Rome. 1860. Brunn, à Munich. 1861. Mueller, à Copenhague. 1867. de ï Madvig, à Copenhague. 1871. MM. H. Sauppe, à Gôttingue. 1874. le baron de Witte, à Paris. 1875. Ad. Kirchhoff, à Berlin. 1876. Helbig, à Rome. 1876. Newton, à Londres. 1876. Fiorelli, à Naples. 1876. Chr. Frühner, à Paris. 1877. Henr. Keïil, à Halle. 1877. À. Rangabé, à Berlin. 1878. M. Schmidt, à Jena, 1878. H. Weil, à Paris. 1882. Th. Gomperz, à Vienne. 1883. 3. SECTION DES LETTRES ORIENTALES. MM. le conseiller d’état actuel Chwolson, à St.-Pé- tersbourg, 1858. le conseiller d'état actuel Ilminski, à Kazan. 1870. le conseiller d'état actuel Gottwald, à Kazan. le conseiller d’état actuel Bakradze, à Tiflis. 1879 Fleischer, à Leipzig. 1849. Roth, à Tubingue. 1855. Weber, à Berlin. 1860. Stenzler, à Breslau. 1867. Spiegel, à Erlangen. 1870, Wuestenfeld, à Gôttingue. 1874, F. Nève, à Louvain. 1875. Wright, à Cambridge. 1876. Kern, à Leyde. 1876. Edw. Thomas, à Londres. 1879. Noeldeke, à Strasbourg. 1885. Schaefer, à Paris. 1885. &k. SECTION DE LINGUISTIQUE. MM. Aug. Ahlquist, à Helsingfors. 1875. Pott, à Halle. 1855. W. Whituer, à New-Haven. 1875. Ascoli, à Milan. 1876. Budenz, à Buda-Pest. 1876. Jules Oppert, à Paris. 1883. Bulletin de l’Académie Impériale 12 een D D. Appartenances scientifiques. 1. Bibliothèque. 1” Section. Livres en langue russe et dialectes slaves. Bibliothécaire: M. l’académicien Kunik. Sous-bibliothécaire: M. Lambine. Aides: MM. J. Gonsiorovsky et P. Syrku. 2" Section. Livres en langues étrangères. Biblio- thécaire : M. l’académicien Strauch. Sous-biblio- thécaire: M. Fuss. Aides: MM. Oenmann et et Peters. . Cabinet de physique. Directeur: M. l’académicien Wild. Aide: Chwolson. Mécanicien: M. Peter- _ mann. . Laboratoire chimique. Directeur: M. l’académicien Boutlerof, Aides: MM. Zagoumenny et Kra- kau. Cabinet minéralogique. Directeurs M. l’académicien Schmidt. Conservateur: M. Gübel. Musée botanique. Directeur: M. l’académicien Maximovicz. Conservateur : M. Meinshausen. . Musée zoologique. Directeur: M. l’académicien Strauch. Conservateurs: MM. Poliakof, Mo- ravitz, Herzenstein, Büchner et Pleske. Préparateurs: MM. Ananof, P. ed Th. Dessiatof et Fizley. . Laboratoire physiologique. Directeur: M. l’acadé- micien Ovsiannikof. Préparateur: M. P. Per- stchetzky. Aide: M. Veliky. . Musée asiatique. Directeur: M. lacadémicien W. Radloff. Conservateur: M. Lemm. . Musée d'archéologie classique. Directeur: M. l’aca- démicien Stephani. Conservateur: M. Kiese- rizky. . Cabinet de numismatique russe. Directeur: M. l’a- cadémicien Kunik. . Musée éthmographique et anthropologique. Directeur: M. l’académicien Schrenck. Conservateur: M. Russow. . Observatoire physique central. Directeur: M. l’a- cadémicien Wild. Aides: MM. Rykatchef 3° et Bélikof. Inspecteur des stations météorologiques M. Schôünrock. Premiers observateurs: MM. Bergmann et Rosenthal. Second observateur: M. Mouratof. Calculateur: M. Chelkovnikof. [ie © Los dk SO an | (ee) © — Mécanicien: Freiberg. — Section de Météoro- logie maritime: Aide M. Rykatchef 3°. Adjoint: M. Neander. Physiciens: M. Sreznevsky et Rensch. Calculateur: M. Zimikhof. Observatoire magnétique et météorologique à Paw- lovsk. Premier observateur: M. Leist. Seconds observateurs: MM. Metz, Laurenty et Fride- rich. Mécanicien: Dôühring. Observatoire physique de Tiflis. Directeur: M. Mühlberg. Aide: M. Assafrey. Observatoire magnétique et météorologique à Jeka- terinbourg. Directeur: M. Abels. Observatoire magnétique et météorologique à Irkuisk. Directeur: M. Stelling. . Archives de l’Académie. Archiviste: M. Chemiot. 15. 14. 15. 16. ni ] — Commissionnaires de l’Académie pour le débit de ses éditions, les libraires: J.Glazounof, Eggers & C”, à St. Péroe M. N. Kymmel, à Riga. , Voss’s Sortiment (G. Haessel), à Leipzig. Diagnoses plantarum novarum asiaticarum. VI. — In- sunt Stirpes quaedam nuper in Japonia detec- tae. — Scripsit C. J, Maximowicz. (Lu le 4 fé- vrier 1886.) Clematis ovatifolia It”) (Sect. Flammula DC. Div. … 2. Maxim. in Mél. biol. IX, 588). Glabra pe-. + tiolis scandens, caulibus striatis; folïis bipinnatisectis 1 jugis primariis 2 terminalique trisectis: foliolis petio- lulatis tenue coriaceis trinerviis subtus pallidis lanceo- latoovatis acuminatis integerrimis opacis; alabastris oblongis acutis, sepalis 4 albis oblongolinearibus pa- tentibus margine tomentellis, filamentis linearibus an- theras lineares breve apiculatas superantibus; carpellis circa 8 glabris oblongis apice attenuatis, cauda rufes- : cente plumosa. à In Japoniae insula Nippon, proy. Ki, in monts res. 1) CI 1tô Tokutaro, venerabilis It0 Keiske nepos, mihi nuper | 5 “ plantas nonnullas pp quibus passim nomina nova dedit, F5 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 14 Kumano, init. Augusti flor., Septembri fructif. (1tô Tokutaro). __ Similis CZ. chinensi Retz., quae tamen differt foliis semel pinnatisectis, segmentis concoloribus basi tan- tum trinerviis et carpellis ovatis pilosis. Reliquae par- tes conveniunt atque mensurae fere eaedem. CI. terniflora Benth. FI. Hongk. 7. in adnot. (lapsu calami ternifolia) — nec DC. Japonia (hb. Siebold), Zaukiu (Tashiro subdef., mis. Tanaka). China: Amoy (Fortune: A. 89), Ningpo et ins. Putu (fide Forbes). CI. Forbes in Journ. of bot. 1884, Septbr., spec. authentica in herb. mus. Britann. examinans, CI. ter- nifloram DC. synonymam esse invenit C. rectae L. var. mandshuricae, C1. ternifloram Benth. vero bene distinguendam à (1. chinensi Retz. segmentis latiori- bus basi 5—7-nerviis, carpellis ellipticis. Quae igitur ‘de CL. terniflora DC. dixi in Mél. biol. IX, 596. ad duas species spectant: Cl. fernifloram Benth. et CI. … chinensemRetz., ad posteriorem autem pertinent specc. _ omnia, praeter supra citata. Paeonia obovata Maxim. Prim. f. Amur. 29, Rgl. FI. Ussur. n. 41. F. Schmidt, F1 Sachal. n. 29. ?. … albiflora Miq. Prol. 197 et Fr. Savat. Enum. I, 14 p.p. _ Itô Keïiske, Nipon San buts shi. Musashi, Il, 5. _ (fig. bona). Fe In Mandshuria orientali sylvatica ab Amur boreali _ usque ad Usuri superiorem et ejus affluentes, nec non _ circa Wladiwostok, sylvis frondosis atque mixtis hu- mosis, ubique parce, fine Maji flor., Septembri fruc- ca tif; China boreali, ditione fi. Pekneneis (Tatarinow, Bretschneider); “Tuvonie (berb. Lugd. Bat. s. n. jap. _ anishiariari P. albiflorae admixta): montibus Hakone, init. Novbris. frf. (ipse, flor., Tschonoski, Savatier Pen. 51. f Sn P al. fl. roseo), princip. Nambu _ (Tschonoski, flor.); in graminosis circa Hakodate rarius, med. Novbri frf., Kumagatake silva frondosa, _ medio Julio fr. immat. (ipse). À P. albiflora, quacum commutatur, differt folio- rum teneriorum laciniis latioribus obtusis, flore duplo _ minore subclauso et seminibus baccatis. Sepala alba v. pallide rosea, filamenta rosea basi stigmataque pur- purea. Flos inodorus. Capsula matura intus rugosa lilacinorosea. Semina perfecta azureonigra baccata, arne tenui aquosa, succo atramentario, testa laevi atra, numerosa abortiva inaequimagna angulata coc- cinea. Podophyllum japonicum It, In Japoniae montanis Togakushi (1tô Tokutaro folium 1. et adumbrationem plantae florentis cum fige. lanalyticis misit). Ex hisce figuris incertum manet, an sit anthera lon- gitudinaliter aperta Diphylleiae, an valvatim dehiscens Podophylli. A Podophylli speciebus omnibus differt foliis ternatis, a P. peltato L. calyculo deficiente (?) calyceque ante petalorum expansionem caducis, a P. ÆEmodi Wall. sepalis non 3, antheris aeque ac in planta americana anguste oblongis, a P. pleiantho Hce et P. versipelli Hce (in Journ. of bot. XXI, 175, 362) floribus singulis albis, neque pluribus sordide rubris. Florens palmare, caule pennam corvinam crasso basi squamis 2 (?) membranaceis fulto, apice diphyllo, foliis suboppositis, flore inter folia 1 quasi terminali. E foliis duobus inferum tenuius petiolatum serius evolutum videtur, petiolo primum quam limbus duplo breviore, postea (flore subdeflorato) limbum fere duplo superante. Limbus 3-foliolatus: foliola petiolulata, medium longius petiolulatum, omnia petiolulis longiora. Foliolum terminale cordatoorbiculatum leviter sub- quinquelobum lobo terminali passim trilobulato, 7-ner- vium, sub anthesi pollicare, plene evolutum 12 cm. longum totidemque fere latum, minora, oblique cordatorotundata v. rotundatoovata 5-lobata cum lobulis 2 accessoriis versus basin mar- ginis exterioris, omnia cum lobis obtusa integra mem- branacea subtus glauca. Pedunculus crassiusculus ca- lyce brevior. Flos erectus 6-sepalus (?), 6-petalus, al- bus, diam. 2 cm. Sepala ovata trinervia petalaque pa- tentia rotundata duplo breviora basi «nectariis» 2 pa- rallelis ovalibus instructa. Stamina 6 petalis opposita et breviora, filamento crasso inter nectaria locato flavo, anthera grisea lata. . . . Stigma germini brevi late tur- binato ‘impositum amplum peltatum area terminali rotundata margine radiatim in lobos 6 contiguos di- viso. — Reliqua ignota. Podophyllum peltatum L. ? Nippon in alpibus (Tanaka, japonice Sankayo). Summitas speciminis florentis missa dubia est ob stamina tantum 6. Cetera: foliorum indoles, floris insertio, stamina, stigma fungosum—omnino identica; lateralia non v. vix : ». 15 Bulletin de l’Académie Impériale 16 pubes tamen paginae folii inferioris ad basin nervorum parcissima. Macropodium DIPTOETTAUR F. Schm. FI. Sachal. hf RUE Nippon: prov. Senano in alpe Kumaga-take, flor. (prof. Yatabe; japonice Hakusen nadzuna). Species nunc florens lecta figurae plantae fructiferae supra citatae simillima. Racemus sub anthesi fere aequilongus. Pedicelli sepala aequantes, utraque cum rhachi dense breve puberula. Sepala basi aequalia li- nearia obtusa viridia anguste albomarginata erecto- patula. Petala vix longiora alba, erecta, lamina utrin- que attenuata sepalis duplo angustiore, unguem filifor- mem vix superante. Filamenta filiformia, longiora pe- talis fere 2-lo longiora. Antherae lineares ochraceae. Glandulae 4 crassae amplae inter stamina. Stipes germine utrinque attenuato linearioblongo stigmate truncato sessili longior. Senebiera pinnatifida DC. Bonin-Sima (prof. Yatabe). Jam prius (Engl. Bot. Jahrb. VI. 58) innotuit S$. integrifolia DC. in ins. Liukiu a Tashiro detecta. Polanisia viscosa DC. Liukiu: ins. Miyako juxta Formosam (Tashiro, 1880 f. c. fr.). Silene foliosa Maxim., a Franch. et Savat. I, 47. sub S. éatarica B foliosa Rgl. enumerata sine loco natali speciali, nunc accepta e Yezo, prope Otaru, Julio 78 f. s. nom. Yezo mantema (mis. prof. Yatabe), Stellaria yezoënsis. Ultrapedalis caesioglauca, caule debili tetragono flexuoso atque panicula glaberrimis, foliis chartaceis ad bases costamque subtus pilosis margine parcius ciliatis, basi rotundata sessilibus cum opposito margine membranaceo junctis, sensim atte- nuatis acutissimis oblongolanceolatis margine undu- latis; cyma terminali pluriflora membranaceobracteata bracteis lanceolatolinearibus passim ore parce pilosis; pedunculis pedicellisque elongatis patulis fructiferis deflexis, sepalis lanceolatis acutis 1-nerviis late albo- marginatis, petalis nanis bipartitis laciniis linearilance- _ olatis subfalcatis, staminibus 10 inclusis, stylis 3 (4, imo 5); capsula oblongoovali calycem fere duplo super- ante ad basin 6 (— 10)-valvi; seminibus circiter 20 late ovalibus compressis laevibus cinnamomeis. Yezo, ad Shiraoi, unde japonice Shiraoi hakobe, 2 Aug. 78 fructif, (mis. prof. Yatabe). ; Proxima $. discolori Turcz., quae glabritie, foliis obtuse acuminatis cet. differt, affinis etiam S. chinenst … Rgl., a qua tamen foliis haud acuminatoovatis, inflo- rescentia non alari, semine laevi atque pube distat. Folia 60:11 mm, magna. Sepala sub anthesi 2,5 mm., in fructu 3,5 mm. longa. Capsula matura 6 mm., | semina 0,5 mm. longs. Hypericum senanense.(Sect. Hypericum Spach) Simplex flaccidum glabrum, caule tereti inani tenui, foliis tenuibus subtus glaucis pellucide punctatis e basi ses- sili subcordata ovalioblongis obtusis; inflorescentia foliata 2—3-flora, pedicellis flore brevioribus, sepalis lanceolatolinearibus acutis petalisque triente longiori- bus obovatis nigrolineatis, staminibus 3-adelphis se- pala stylosque paulo superantibus, anthera cum glan- dula innata nigra, ovario ovoideo 3-loculari stylis sesquibreviori stigmate capitellato. Nippon: prov. Senano alpe Kumaga-take, 27 Juli 80 flor. (prof. Yatabe). Affine A. Seniawini m., sed oliganthum et sectione distinctum. Hypericum yezoënse, (Brathys Spach.) Humile sub- Simplex glabrum, caule lineis decurrentibus subqua- drangulo, foliis approximatis crebre et majuscule pel- lucide punctatis ellipticolanceolatis, ex axilla minute foliigeris, inflorescentia foliata terminali oligantha, pedicellis flore brevioribus, sepalis inaequalibus lan- _ceolatis v. oblongélanceolatis corollaque duplo longiore parce nigropunetatis, petalis oblique obovatooblongis; staminibus circa 50 3-adelphis, anthera cum glandula nigra innata petala fere stylosque 3 aequantibus, e stigmate punctiformi, ovario trisulco late ovoideo 1- loculari. Yezo, circa Hakodate, 20 Juli 78 for. (prof. Yatabe). . Affine H. Kamtschatico Ledeb., quod nuper et ex Nippon in Togakushi-yama lectum s. n. Iwa otogirisô a € Tanaka accepimus. Calophyllum Inophyllum L. Hook. Arn. Bot. Beech. 60, 160 À Hookero et Arnott ex ins. Societatis et Bonin. enumeratur, ante oculos habeo e Bonin-Simaa Wright fl. et fructif. lectum, arbuscula ramosa succo lacteo » és rares NCA 3 ré pre à + 17 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 18 dictum, n mec non frf. s. n. Yarabo a Yatabe missum, mie FE Liukiu, ad oppidum Napa-Kiang, in luco, traticert “modicum trunco recto formans (Dr. Weyrich, fl, _ Tashiro frf). # Adinandra Milletti Benth. et Hook. Gen. pl. I, 183. Cleyera Millettii Hook. Arn. Bot. Beech. 171, t. 33 Archip. Zaukin ins. O-sima (Tashiro, cum alab.), Formosa (O1dh.! n. 37 fr. mat., sine nom.), prov. Gun toniensi, montibus Pakwan née: fl). . Fructus maturus indehiscens loculis 1—-2-spermis. ee air 2 mm. longa angulatoovoidea, basi affixa, nigra, _ testa seriatim fossulis rotundatis sculpta. n : in lo- eulis ovarii placentae convexae dense inserta, numerosa. Sepala interiora dorso margineque dense rnb. : in fructu fere glabrata, praeterea margine fimbriis parcis carnosis breve subulatis instructa. ‘2 É Actinidia Lindi. His generis apud autores € Japonia species 6 JONérantur, e China 2 2, is nuper addidit subdu- EN AE et FAPSRER croi et 4. Kolo- ae synonyma esset. Omnes has species, sola À. di Franch. excepta, examipare potui. Constituunt ae aiteram chinensem foliis suptus ovarioque A. chinensis PI. in Hook. Lond. journ. bot. VI, 30 . Fol. rotundtis: apice truncato subito breve mu- Le pin is, pedunculis brevibus paucifloris, flore pollicari. ina Lips Ra D. a. Folia lucida chartacea. 3. À. callosa Lindi. Nat. syst. ed. 2, 439. Glabra, foliis chartaceis lucidulis ellipticis basi acutis, cymis plurifloris, flore albo semipollicari, ovario conico dense rufotomentoso stylo O stigmatibus brevibus acutiu- sculis, «fructu ovoideo sparse verrucosor. Dyer in Hook. f. F1. Brit. Ind. I, 286. Himalaya temperata, a Garhwal ad Bhotan, fide Dyer. Ipse vidi e Nipalia a Rudge et e Sikkim a T. Anderson lectam, utramque florentem. 4. A. strigosa Hook. f. et Thoms. in Journ. linn. soc, V, 55, Strigosohispida, pedunculo paucifloro, flore #/, poll. diam. Dyer 1. c. Himalaya: Sikkim (Hook. f. Th.), Khasia (Griffith! ; Praeter characteres datos praecedenti similis, mihi non satis nota; equidem tantum ramorum corticem dense strigosohispidum video. 5. À. arguta PI. in herb. Lugd. Bat. Glabra v. sub- tus ad axillas rufobarbata v. simul ad costam setoso- pilosa, foliis late ellipticis subito acuminatis basi subito acutis v. vulgo truncatis subcordatisve argute setoso- serrulatis; cymis plurifloris, flore viridialbo inodoro semipollicari; ovario fertili globoso glabro stylo crasso brevi cum stigmatibus stellatopatentibus in fructu de- mum deciduo, fructu subgloboso laevi dulcissimo. Fr. Sav. Enum. I, 58. Miq. Prol. 203. F. Schm. F1. Sachal. n. 90. À. cordifolia Miq. 1. c. Trochostigma e arguta Sieb. Zucc. Abh. Münch. Acad. IF, 727. Per totam Japoniam, Sachalin australi, dshuria australi circa Wladiwostok et Portum Bruce, nec non in Schin-king (Ross!); China boreali, in mon- tibus a Pekino ad occidentem (Bretschneider). Japo- nice: Shira-kutschi vel Saru nashi, Quum in omnibus Acfinidiis japonicis folia quam maxime variabilia sint, À. cordifolia Miq. vix varietas dicenda est: folia latiora leviter cordata, subtus ad axillas venarum omnium rufobarbata, serraturae den- siores. Talia exempla latifolia et simul macrophylla praesertim silvis umbrosioribus propria sunt, maxime )| macrophylla e Mandshuria vidi, ubi simul serraturae latiores minusque argutae. Pubes in nonnullis secus costam subtus densa setosa primo obtutu valde pecu- liaris videtur, sed possideo ramos innovantes ubi adest in foliis iffecieibs | in superioribus autem arts barbulis axillaribus solis evolutis. 2 in Man- 19 « Bulletin de l’Académie Impériale Ludit folüis subtus glaucis (ad axillas eximie rufo- barbatis). Talem ex prov. Idzu misit Yatabe. Var.?rufa. À. rufa Miq. T. rufa Sieb. Zucc. Foliis minus argute serrulatis, sepalis rufotomentosis {in typo dorso glabris v. pilosis, margine ciliatis). Archipel. Koreanus (O1dh.! n. 94, &), Japonia au- stralis: Osima (Wright! d). Fructu in hoc genere optimas differentias praebente floreque © ignotis, planta dubia manet, ex charac- teribus datis specie nondum sejungenda. b. Folia membranacea opaca. 6. À. Kolomikta Maxim. F1. Amur. 63. Foliis sub- tus secus nervos pubescentivillosis argute mucronato- serratis e basi cordata oblongis v. ellipticis subito cus- pidatis; pedunculis 1—3-floris ex axillis inferioribus approximatis ramorum postea apice valde elongando- rum; flore albo odoro semipollicari; ovario globoso glabro stigmatibus 12—16 inordinate patentibus ses- silibus tum caducis, fructu cylindricooblongo obtusis- simo dulcissimo., F. Schm. F1. Sachal. n. 89. Prunus? Kolomikta Maxim. in Bull. phys. math. acad. Petersb. XV, 129. Kalomikta mandshurica Rgl. ibid. 219. Trochostigma Kol. Rupr. ibid. 261. Actinidia platy- phylla À. Gray!in Miq. Prol. 203. Fr. Sav.L. c. 58. Mandshuria orientalis sylvatica, ab Amur infer. usque ad limites Koreae sylvis acerosis frondosisque umbrosis frequens; Sachalin a Dui versus meridiem:; ins. Ÿezo frequens (Small!, ipse); Nippon media (Tschonoski). Planta cirea Hakodate a Wilford lecta, a herb. Kew. s. n. À. callosae distributa, componitur e ramulis florentibus À. argutae et À. polygamae, ïlla ab eodem collectore in littore Mandshuriae lecta ad À. Kolo- mikia pertinet. 7. À. polygama Miq. L. c. Foliis subtus ad costam puberulis ad reticulum utrinque parce crasse setosis ellipticis acuminatis basi acutis mucronato-serrulatis; pedunculis vulgo 1- rarius usque 3-floris secus ramos elongatos novellos axillaribus; flore albo pollicari sua- veolente; fructu calvce persistente fulto e cylindrica basi conico in stylum persistentem stigmata brevia erecta ferentem attenuato, acri. Fr. Sav. Enum. I, 59. F. Schm, FI. Sachalin. n. 91. Trochostigma polygama . Sieb. Zucc. L c. tab. IE. f. 2. T. volubilis et T. re- panda Sieb. Zuce. I. c. (haec, forma foliis latioribus, est simul À. polyg. 6. latifolia Miq.). À. volub. (quae forma . angustioribus) Miq. 1. c. 204. Fr. Sa v. En. I, 5 Per Lo Japoniam in sylvis fruticetiaque subal- pinis frequens; etiam in Tsusima (Wilford steril.); in Sachalin australi; in Mandshuria australi: insula Russki, sinu Possiet cet. — Japonice Matatabi. Fructus maturus à reliquis japonicis quum forma, tum colore flavescente nec viridi et gustu diversissi- mus. Sapor primum mucilaginosus, omnes ductus glandularum salivalium in ore inflam- mantur et saliva vehementissime diuque movetur. Fri- gore captus fructus innocuus fieri dicitur. tum vero cito - POS Haec atque praecedens folia in apice surculorum innovantium media aestate passim tota v. partim alba (v. tempore frigidiore autumnali demum rosea) format. Apud nos utraque frequenter colitur, Petropoli tamen semper tantum flores masculos profert. Schima Noronhae Reinw. Benth. FI. Hongk. 29. | Bonin-Sima (frf. s. n. Hime tsubaki misit prof. Ya- tabe), Liukiu S. n. J-dshiyn mis. Tanaka): in China: Hongkong (Hance!), prov. Anwheï (Heude!). Prae- terea in Malacca (ex Benth.) et Java (Reinw.!). Abutilon indicum Don. Benth. FI. Hongk. 32. de | Mast. in Hook. f. FI. Brit. Ind. I, 326. Bonin Sim (Wright! Yatabel): Hongkong (Hancé Fe ex Bentham), Formosa ad Tamsuy (Oldh.! n. 49 frf.). Hibiscus Manihot L. H. japonigus Miq. Prol. 207. Fr. Sav. En. I, 64 et 65. In Japonia certe tantum cultus, e China, ut voa eo introductus. Species à Miquel proposita,plantae tantum sesqui- se pedali, foliorum laciniis basin versus attenuatis latiori- nn bus superstructa, ne minime quidem a pl. indica differt, He ubi folia similia in planta magis juvenili semper evo- + luta Mveniuntur, v. gr. spec. Wallich! n. 1926. Hibiscus tiliaceus L. Cod. 5082. Bth. FI. Hong. 35. Bonin-Sima (Wright!, Yatabe! s. n. Yama asa); Formosa, Hongkong (Fort. n. 87, Wright!) et se Éatinion à in tropicis omnibus. Var. H. Hamabo Sieb. Zucc. F1. Jap.1,176.t.98. Foliis basi attenuata leviter cordatis v. truncatis bre- se vius petiolatis, inferioribus latioribus quam — Le des Sciences de Saint-Pétersbourg. 22? omnibus totoque frutice minoribus. Miq. Prol. 207. _ Er. Sav. Enum. I, 63. Croton foliis subtus tomentosis. Thunb. F1. Jap. 353. pl. obse. n. 22. _ Kausiu: in littore circa Nagasaki, frutex tripedalis medio Julio fl, Septbri frf. (ipse) et ibid. ita ac per _ totam Japoniam cultus. Flores, fructus et semina omnino ut in typo, ita ut supersit statura minor et foliorum inferiorum forma. Sed vidi specc. Sandvicensia aeque breve petiolata, fo- lia basi attenuata etiam vix cordata, longiora tamen . quam lata, omnino igitur transitum ad typum efficien- tia. «Pori lineares» supra basin nervorum folii trium subtus, quorum mentio facta apud DC. Prodr. I, 454. interdum adsunt tantum in nervo medio, interdum obsoleti sunt. In Æ. Hamabo nervo medio in foliis non- _ pullis etiam observantur, potius autem rimae videntur, - interdum minus profunde sursum et deorsum conti- _ nuatae et in sulcum petioli abeuntes. TPS TE Hibiscus mutabilis L. Cod. 5087. DC. Prodr. I, 452. Hook, f, FI. Brit. Ind. I, 344. Thunb. FI. Jap. 272. - Miq. 1. c. Fr. Sav. Enum. I, 64. China (Fort.! A. 119): Formosa ad Tamsuy (Oldh.! np. 48), Liukiu (Wright! flore minore, folüs superio- … ribus trilobis distincte regulariter crenatis); Japonia: | Fe ad Nagasaki et Yokohama cultus, fine Septembris flo- _ rens. — Ex De Candolle originis indicae, ex Mas- _ ters in F1. Ind. e China ortus arborescens dictus, for- tasse in Zäukiu spontaneus. In Japonia herbaceus est, ( notannis e radice truncos plures usque orgyales emit- ns, floribus tectos innumeris pallide roseis fundo pur- | pureis. Corchorus acutangulus Lam. Benth. F1. Hongk. 40. Liukiu, ins. Miyako(Tashiro! sub nom. jap. Turiaso _modoki); China: Hongkong (Benth.), ad lacum prope . Kiu-kiang (Shearer!), nec non in tropicis. a CE " te pr 2 - Fuodia Lamarckiana Benth.Fl. Hongk.59.cum synn . Liukiu(Wright!): ubique ad ostium aestuarii Napa, arbor 3—4-metralis, Junio 82 #. (Tashiro! s, n. jap. Awadan); China: Formosa ad Tamsuy (Oldh.! n. 61), _ Hongkong (Hance!, Wright!, Forbes!), Canton (Wawra! n. 501). Zanthoxylon planispinum Sieb. Zucc. _ Bene distinguendum a Z. alato Roxb. foliis 1—3- (neque 3—6-jugis), foliolis latioribus obtusis acutis v. breve obtuse attenuatis (neque caudatoacu- minatis), petiolo haud v. anguste alato, aculeis magis compressis saepe multo latioribus. Tale, semper sibi , | simile, occurrit sponte in Japonia australi et media, et eandem plantam nuper accepi e Chinae prov. Kiang-su (Feng-wang-shan, Majo 79 fl.) et in hortis Shanghai cultam Novbri 80 frf. (Forbes!). In China australiore vero, jam prope Amoy, verum Z. alatum Roxb. crescere videtur, a Hance in Ann. sc. nat. 5 sér. V, 209 sub nom. Z. Bungei (non Plan- chon) descriptum. Murraya exotica L. Benth. F1. Hongk. 50. Liukiu (Tanaka!) Aglaia odorata Lour. F1, Coch. I, 173. Hook. Arn. Bot. Beech. 171, t. 34. Hiern in Hook. f. FI. Brit. Ind. I, 554. C.DC. in A. DC. Monogr. Phanerog. I. 602. Liukiw (Tanaka, fl. 4 s. n. jap. Moran); China australis!; Zndia (Royle!) horto Calcutt. culta (Wal- lich! n. 1235), Malacca, Ceylon, Java. Nostra .specc. foliis 1-jugis gaudent, figg. vero comparatae bijuga ostendunt, in descriptione autem et 1-juga occurrere dicuntur. Euonymus Tanakae, Arbuscula sempervirens glabra, foliis chartaceis petiolatis ellipticis utrinque pl. m. (apice interdum subito brevissimeque) attenuatis subtus pallidioribus obsolete usque 8-costatis opacis, basi excepta serrulatocrenulatis cum mucrone adusto ap- presso tum deciduo in quavis crena; cymis multifloris folia subaequantibus v. superantibus, pedicellis longi- tudine florum, flore majusculo 4-mero albido, sepalis depresse semiorbicularibus purpureo denticulatis, pe- talis carnosis rotundatis, filamentis ipsi disco impositis antheram superantibus, stylo conico distincto, cap- sula.... Kiusiu, japonice Kokutengi (Tanaka!, Tashiro!) Huic proxima Æ,. japonica Thunb. differt foliis * | saepissime obtusis v. acutis distinctius crenatis 4—6- costatis, cymis magis multifloris ramis divaricatis nec patulis, flore duplo minore, sed structura floris fere eadem. Fructus hucusque ignotus fortasse alias diffe- rentias ostendet. Æ. crenulata Wall. differt pedun- culis trifloris et foliis subintegris. Folia in specc. 2 suppetentibus in altero fere ob- tusa subito acutata, petiolo 8—10 mm., lamina 60 : 40 usque 75 : 35 mm. magna, in altero acuminata petiolo 9* Bulletin de l’Académie Impériale 24 8—15 mm., lamina 35 : 15 usque 75 : 35 mm. Pe- dunculus communis secundariis sesquilongior et tum cyma divitior et flores pedicellis 5-1 ordinis insidentes, vel pedunceulis secundariis multo longior et cyma tum abortu 3—7-flora pedicellis 3-i ordinis jam florigeris. Calyx diam. 5 mm. Petala 5 mm. Anthera lutea di- dyma connectivo atropurpureo cum filamento crasso articulata et facile caduca. Ovula in loculo 2—3 hori- zontalia. Euonymus Tashiroi. Arbuscula glabra sempervirens, foliis chartaceis brevissime petiolatis ellipticis ovato-v. lanceolato-ellipticis obtusis v. breve obtuse attenuatis v. rarius acutiusculis tenuiter venosis subintegris v. basi excepta obsolete distanter crenulatis; pedunculis axillaribus solitariis v. geminis abortu 1-floris florem duplo superantibus; flore 4-mero albido, sepalis de- presse semiorbicularibus minute dense denticulatis, petalis orbiculatis integris v. denticulatis, filamentis styloque nullis ; capsula . Liukiu (Tashiro 1882 flor.) Ex affinitate Æ. javanicae BI. et E. indicae Heyne. Prior abhorret foliis maximis oblongis, secunda petiolis elongatis, foliis acuminatis, pedunculis saepius 3-flo- ris, utraque flore 5-mero, petalis fimbriatis, filamen- tis styloque distinctissimis. Petioli 2— 3 mm., lamina 48 : 20 usque 85 : 50 mm., costis primariis circiter 5 et inter illas totidem minus distinctis. Calyx 5 mm., petala 3 mm. Microrhamnus franguloides Maxim. Rhamn. or. asiat. 4, fig. 15—23. Rhamnella japonica Miq. Prol. 218. Franch. Sav. Enum. I, 81. Berchemia congesta S. Moore in Journ. bot. XIII, 226 (ex descript. et | loco natali). Stationibus adde: Kiusiu prov. Hiuga ad Miyako- n0j0, Augusto 82 frf, s. n. japon. Nekonoshishi mis. Yatabe. China: Shanghai (Maingay ex Moore, Siebold! 1859, Forbes! flor.) Genus Microrhamni À. Gray a Baïllon, Hist. d. pl. VI, 82, quoad speciem americanam ad Condaliam Cav. ducitur, quoad speciem asiaticam vero non sine dubio ad Rhamnum ïipsam (p. 52), verosimiliter ob solum habitum, qui Miquelium induxit generice sejungere sub nomine Rhamnellae. Habitus difte- rentia tamen inter utramque MWicrorhamni speciem non major quam inter Æhamnos occurrit, characteres vero in utraque iidem et quum a Rhamno, tum a Con- dalia diversissimi, scil. sepala intus cristata, petala evoluta, discus crassissimus, putamen osseum crassum 1-spermum, In Condalia vero sepala membranacea ecristata, petala nulla, folia integerrima, in Rhamno sepala ecristata, discus tenuis, drupa 2—4-pyrena pyrenis cartilagineis saepe dehiscentibus. Etiam nunc igitur censeo, Microrhamni genus cum ejus speciebus : 2 servandum esse. — Exempla Forbesi e Shanghai cristam sepalorum media longitudine dente distinctis- simo auctam habent. De. Acer Tschonoskiü. Foliis À. micranthi $. Z., racemo erecto 6—10-floro, pedicellis flore duplo v. triplo longioribus, petalis sepala parum superantibus utri- busque subobovatis, staminibus intra discum positis hypogynis, samarae loculis horizontaliter patentibus, alis triplo longioribus pl. m. incurvis oblique oblongis. Nippon: ex alpe Nikko (fructif. s. n. jap. Isanoha- kaide et e Senano s. n. Ogarabana (cum À. spicato confuso) fructif. et fl. © commun. Tanaka. E prov. Nambu olim fr. immat. misit Tschonoski. In enumeratione mea in Mél. biol. X, 594. locum : tenet in Divis. 2. florib. racemosis foliis lobatis et : serratis, et juxta À. micranthum S. Z. L. ©. 598. po- nendum est. In Aceris monographia nuper inchoata a Pax in Engl. Botan. Jahrb. VI, 328. locum tenere videtur inter IV. Perigyna, sect. 12. Macrantha. Sta- mina perigyna tamen, saltem in Macranthis, in solis floribus d adesse videntur, ubi vero flores © noti hypo- gyna sunt. Sectionis nomen Macrantha infeliciter se- 0 ; lectum, dum duae ejus species À. micranthum et ë À. PAPA Sn nominantur et nulla e Fédpbse - huc. pertinentibus re vera flores magnos habet, | | Species proposita arcte À. micrantho affinis, a que: sterilis non distinguenda. Imo pubes rufa in a ; costarum principalium subtus in utroque eadem, sed x fortasse adest differentia in eo quod exempla pube copiosiore donata À. micrantki barbulas ad axillas ve narum secundariarum formant, A. Tschonoskäi vero pubes aucta secus totas cobtaé principales ipsumque | petiolum invenitur. Flores in racemo À. micranthi | duplo saltem numerosiores (usque 20) et minores (4—4,5 mm. neque 5,5 mm.), petala oblonga sepala rotundata plus duplo superantia. Samara À. micranthi | 10—13 mm, ala loculo continua et pains Y. me 25 des Sciences de Saint-Pétersbourg. latiore, ad 4 mm. lata, loculi cum alis angulo obtu- sissimo patentes. Samara À. Tschonoskii 18—22 mm. longa, ala ubi latissima 6—8 mm. lata. Acer Sieboldianum Miq. Acceptis nuper exemplis floriferis e Mandshuria, supellectilem meam denuo examinavi et speciei sat polymorphae varietates sequentes distinguo: a. typicum: pedunculis petiolis foliisque juvenilibus cinereotomentosis, lamina foliorum majuscula (7— 9 cm.) vulgo 11-loba v.-partita laciniis inaequaliter argute v. rarius incumbenter incisoserratis, pedunculis corymbum densiusculum multiflorum 2-lo v. plus 2-lo superantibus, flore flavescente, antheris virgineis pul- vereoscabris, samarae ala latiuscula versus nuculam 3-lo breviorem valde angulatam ceterum laevem parum (ù attenuata. Spontanea in alpibus ÆKäusiu interioris, culta in hortis Yedo. 8. mandshuricum: pedunculis petiolis foliisque pl. m. villosis tomentosisve, lamina majuscula (8— 10 cm.) 9-—_11-loba v.-fida laciniis patule incisoserratis, pe- _ duneulis corymbum laxiusculum aequantibus v. usque - 2-lo superantibus, sepalis purpureis, petalis flavidis, _ antheris virgineis laevibus, samarae ala nuculam 4-lo _ superante ceterum ut in &. In Mandshuria austroorientali. y. microphyllum: pedunculis petiolis foliisque villo- sis, lamina parvula (5—6 cm.) 7—9-fida laciniis ut in bs peduneulis corymbo laxo plurifloro brevioribus V. aequilongis, flore var. «., samarae ala basi duplo _angustiore nuculam angulatam opacorugulosam pilo- samque 5-lo usque superante. Nippon montibus Hakone (Tschonoski fl. et frf.). à. torluosum: tortuosoramosissimum, pedunculis pe- tiolis foliisque pilosis adultis glabris, lamina parvula a (7 cm.) 9—11-fida patule incisoserrata, pedunculo quam corymbus pauciflorus breviore, antheris virgineis Jlaevibus, flore ceterum ut in &., samara.., . Hakone (Tschonoski f. incip. cum folio 1 superstite _ vetusto). Huc fortasse Savat. n. 186 e Yokoska, fructu delapso, s. n. À. japonici, ob ramos tortuosos et nodo- É as nisi melius ad z. 0b folia lobata. Characterem igitur e scabritie antherarum petitum sa omnibus varr. non tam constantem inveni. Scabri- illa e granulis flavis acutiusculis constans in an- thera dehissa vulgo obsoleta fit (granulis caducis?), sed non in omnibus floribus ejusdem corymbi observatur. Forma sepalorum (oblonga) et petalorum (rotundata undulata passim apice obsolete subtrilobata) atque ra- tio eorum in omnibus varr. eadem. Acer mandshuricum Maxim. Mandshuria austroorientalis: jugo inter ditionem rossicam et. sinicam finitimo, cirea fontes fl. Sedemi, non procul a limite Koreano, Junio 84 subdefl. 9 (M. Jankowski). Ligno incolae lignarii utuntur v. gr. in Curris conficiendis, ex collectore. Ramuli 2 brevissimi nunc missi ex parte lignosa 5 mm. et innovante 2 mm. longa constant, perulis jam delapsis, foliis 2 subtus pallidioribus et secus costam villosulis, reticulo utrinque prominente. Corymbus terminalis 3-florus pedunculo communi 4 vel 10 mm., bracteis 2 hyalinis oblongis oppositis, pedicello termi- nali nudo praecociore 30 mm., lateralibus e bracteae axilla ortis 25 mm. erectis firmis. Flores viridiflavi omnes fertiles, diam. 14 mm. Sepala oblonga obtusa 7 mm., petala late obovata 8 mm., utraque reticulato- venosa. Discus crassus lobulatus extrastammeus et inter filamenta intrusus. Stamina 8 otals Mass filamentis subulatis firmis antheris anguste oblongis laevibus ochraceis, dehiscentibus quidem sed ut videtur vacuis. Samara juvenilis petala jam fere 2-lo superans atropurpurea alis erectopatulis. Stylus stigmata 2 re- Ne voluta subsuperans validus, nunc dimidiam alam exce- dens. Loculi ovariïi rite axi approximati, angulo supe- riore interno ovulum appensum suborbiculatum foven- tes, excavatione basali nunc ne indicata quidem. Sa mara basi demum excavata evadit post fecundationem igitur, unde character hic non magni aestimandus vi- detur, et species haec locum prope À, nikoënse, quem in Mél. biol. X, 609 assignavi servare potest, in syste- mate Paxiano sect. 4. Trifoliatis (1. c. 326) inserenda. Dodonaea viscosa L. Hiern in Hook. f. FI. Brit. . Ind. I, 697. Dent (Yatabe steril.), Liukiu (Tashiro, la- tifolia frequens, angustifolia tantum in ins. Miyako observata, utraque frf.). China: Formosa (Oldh.! frf.), Fu-tschau (Dr. Augustinowicz frf.), ex adverso Amoy, in ins. Ku-lung-su (Hance! flor.). In Zndia et : per tropicos. #- 27 Bulletin de l’Académie Impériale 28 Turpinia pomifera DC. Prodr. IL, 3. $. nepalensis Hiern in Hook. f. F1. Brit. Ind. I, 699. Kiusiu: Satsuma, 23 Mai 79 fl. incip. s. n. Shoben- noki(Yatabe!), U-sima (Wright! flor.); China australi: Hongkong (Hance!, Wright, Forbes!), Yunnan (Hiern), India oriental! Oxytropis japonica. (Sect. Caeciabia Bge.). Subacau- lis elongatocaudiculosa viridis, stipulis alte petiolari- bus obtusis 1-nerviis, foliolis 3—5-jugis linearioblon- gis subattenuatis planis supra glabris subtus pilosis; scapis folia aequantibus bifloris; calycis tubulosi nigro- alboque pilosi dentibus tubo /, brevioribus, corolla coe- rulea subduplo longiore, vexilli lamina orbiculari emar- ginata alas obovatas truncatas aequante carinam breve apiculatan superante; legumine obcompresso anguste oblongo utrinque subito acuminato membranaceo bre- viter inclusostipitato dependente dorso plano ventre medio bicostato 2-loculari sub 20-spermo. Nippon: Senano, alpe Komaga-take, 2 Aug. 80 flor. fr. immat. s. n. Oyama yendo mis. Yatabe 1884. Inter O. revolutam Ledeb. kamtschaticam et O. nigrescentem Fisch. orientalisibiricam. Prior differt legumine stipitem aequante breve oblongo basi rotun- dato, stipulis reticulatovenosis, posterior stipulis con- natis, calyce nigrovillosissimo, ovario sessili, sed legu- men hujus nostro consimile. Omnes partes in his tri- bus sat similes et subaequimagnae, ita ut descriptione fusiore vix egeant. Zornia diphylla Pers. Benth. F1. Hongk. 80. et in Mart. FL Brasil. XV, 80, t. 21, 22. Hook. f. F1. Brit. Ind. II, 147. Sikoku: prov. Tosa, japonice Sunashi mame (legit Makino, misit fructif. Y. Matsumura); China: Hong- kong (Bentham), circa Macao (Vachell!), Amoy (For- tune! n. 96). Late distrib. per tropicos. Desmodium DC. Species sinico-japonicae. Clavis specierum. Legumen altero margine integrum altero leviter crenatum. Frutex erectus orgyalis foliis 3- pe ru foliolo terminali maximo (Sect. re biu DE PPS Pas DTA ARE D. gyroides DC. Legume sacs v. uno margine sinuatum et dédie articulatum, 2. 2, Herba foliis pinnatis Aoribus roseis , ...... D. Oldhami O1, Folia ternata vel 1-foliolata, 3. 3. Frutices erecti, 4 _ caulibus © saepe basi lignes- 2 atibus Folia 1- ololta (Sect. Pteroloma Desv.).. -Folia 3-folio 5. Bracteae ps cru amplae persistentes im- bricatae flores tegentes (Sect. Phyllodium Des v.) 6 Bracteae elongatae parvae deciduae. 7 Legumen sericeovillosum articulis vulgo Dis pe glabriusculum v. ciliatum articulis .D. triquetrum DC. . D. elegans Bth. D. pulchellum Bth. 4 fnoreeonts axillaris (Sect. Dendrolobium W. A.)8. COR In SG terminalis, folia viscidula(Sect. CR BR icons elas rues D. laburnifolèum D:C. . Rami téétes. foliola obtusa late ellipticasub- tus aequaliter sericeopubescentia, articuli fere duplo longiores quam lati ........... Rami triquetri, foliola acuminata lanceolato- elliptica costis subtus griseosericeis, articuli œ@ D, umbellatum DC, . Cephalotes W al]. F © ra (=) cer [e] ns & Le © er =] [æ] = & Can œ RS RENE PES Ta D. retroflexzum DC. Pobola-GhIDNBE ei, sieurs de dogs . gangeticum DC. 11. Inflorescentia ramulos brevissimos terminans axillaris, as procumbentes (Sect. Sagotia Wall. HR terminalis (Sect. Desmodium propr. Bak.) 14. 12. Leguminis sutura superior recta. 13. Leguminis sutura utraque strangulata...... D. microphyllum DC. 13. Pedunculi mere axillares 3-flori ........., D. triflorum DC. Din D. heterophyllum D C. 14. Microphylla foliolis obtusis, racemi brevius- culi. 15. Gras foliolis attenuatis, racemi longis- 15, Foliola membranacea FÉES Le CE Vives D. polycarpum DC. Foliola coriacea D.reticulatum Champ. 16. Legumen vix strangulstum pluriarticulatuun RS articulis oblongis, caules foliati. .......... . laxiflorum DC. Legumen usque fere ad pi superiorem in articulos 2—3 partitum. 17. ETS CRORE TOUR ET RL duc recense . podocarpum DC. Folia sg caulis in pseudoverticillum ap- DrORIRARR 5 is nb Va ve sims t de dre . Gardneri Benth. 1. Desmodium gyroides DC. Proûr. II, 326. Baker in Hook. f. F1. Brit. Ind. IT, 175. China australi: prov. Canton ad Lo- fau-shan Fordt f.). Tum Himalaya: Nipal (Wallich!), Khasia (Grif- fith!), Sikkim (King!, Treutler!, Clarkel), Chota Nagpur (Clarke!), India occ. bor. (Royle!): Sumatra (Korthals!). 2. D. Cephalotes Wall. Cat. Baker L. c. 161. Hance in Journ. bot. XVIII, 260. Dendrolobium ur Benth, PI. Jungh. I, 218. China australis: prov. Canton (Hance!). India!, Java!, Moluccae!, Madagascar! cet. LE 29 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 30 3. D. umbellatum DC. Proûr. II, 325. Baker 1. c. | 5717 (1828). Hedysarum recurvatum Roxb. Hort. IT, 161. Bengal. 57 (nomen), 1814. Roxb. F1. Ind. IIT, 358 Liukiu, ubique in maritimis, frutex 3—4-metralis, Junio 82 fructif. (Tashiro!). Philippinae, India trans- gangetica, Polynesia cet. 4. D. pulchellum Benth. F1. Hongk. 83. Baker 1. c. 162. FRONONNIE pulchellum Desv. in Journ. bot. III, 123, t. 5. fig. 24. bé (Tashiro! fl); China australis: Formosa (Oldh.! n. 164), Hongkong (Forbes!, Augustino- _wicz), Whampoa et Canton (Hance!). Phiippinae, archip. Malaicus, India cis et trans Gangem. 5. D. elegans Benth. 1. c. Dicerma el. DC. Prodr. Il, 339. Phyllodium el. Desv. Benth. PL Jungh. IL, 217: China australi (W. J. Hooker!): Whampoa (Han- ce!). Philippinis ad Manilam (Eschscholtz!); Java (Bentham). Ÿ 6. D. laburmifolium DC. I. c. 337. Baker. c. 163. Miquel Prol. fl. Jap. 234. Fr. Sav. Enum. I, 100. S. Moore in Journ. bot. XIII, 230. Hance ibid. XVI. _ 9. Catenaria laburnifolia Benth. PI. Jungh. I, 220. _ Hedysarum racemosum Thunb. F1. Jap. 285 et Icon _ ined.! Miso na oshi, miso kusa, Soo bokf XIV, 27. _ Kiusiu: circa Nagasaki in fruticetis frequens aliis- que locis, Nippon: prov.Owari(Keiske!); China: prov. Canton (Hance), Kiu-kiang (S. Moore). Tum in Hima- … laya: Nipal!, Khasia!, Sikkim! alibique, Ceylon! Java! d: _Thunbergii synonymon jam ob caulem frutescen- tem huc pertinere debet et icon inedita omnia dubia solvit. Obstant quidem verba: «leguminibus glabris» et «calyx pedicellique glabri», at serius legumina _«laevia» cum ïllis A. viridifiori comparantur, ubi | «aspera» dicuntur, ita ut «glabra» tantum Jlapsus _ calami considerandus sit. 7. D. triquetrum DC. I. c. 326. Benth. F1. Hongk. _ 83. Baker L. c. 163. Péeroloma triquetrum Benth. in _ PL Jungh. I, 220. China australis (W. J. Hook.!): Macao (Vachell!}, _ Hongkong (Hinds!, Wright!, Forbes!); praeterea in tota Zndia cis! et trans! Gangem, Java!, Ceylon!, Mauritio!, Philippinis. _ 8. D. laxiflorum DC. 1 c. 335. c. synn. (1825). Baker 1. c. 164. D. recurvatum Grah. in Wall. Cat. (1832). Formosa ad Tamsuy (OIdh.! n. 161). Tum in Phi- lippinis (Cuming! n. 681), Borneo, Java!, Pequ et. India or. a Nipal! ad Kumaon! et in Deccan! 9. D. podocarpum DC. I. c. 336. Bak. I. c. 165. a. indicum: caule paucifolio, racemis paucis, foliolis rotundatis. China australi: prov. Canton ad Lo-fau-shan (Ford! fl.) et centrali: Kiukiang (Dr. Shearer! frf.); Hima- laya: Nipal! Khasia!, Sikkim (Treutler!), Gurhwal (Falcon!. 444), parte occid. (Royle!). Ludit foliolis elongatis acuminatis: var. laxa Bak. D. laxum DC.—Vidi e Nipal, Khasia (Griff.! 1624,1), Sikkim (Clarke), Kumaon (Jameson). 6. mandshuricum: caule paucifolio, racemis paucis, foliolis quam in D. laxo minoribus obtuse attenuatis. Mandshuria austroorientali: Wladiwostok, ad sylva- rum margines rarmus, ins. Russki sylva graminosa frc- quens, Aug. fl. ft frf. (ipse). Flos roseus, Ro basi alarumque apicibus satura- tioribus, unguibus albidis. Y. bond: caule elongato polyphyllo, foliolis parvulis longioribus quam latis, racemis axillaribus et terminali numerosis paniculam amplam constituenti- bus. D. japonicum Miq. Prol. 234. Fr. Sav. Enum. I, 100. Hedys. caudatum Thunb. F1. Jap. 286 et icon. ined.! (legumen ex descr. sublineare ferrugineotomen- tosum, in spec. Thunb. florente tamen ovarium tantum adest). Soo bokf. XIV, 25. Per totam Japoniam et valde ludens, : Exempla magis oligophylla et simul grandifolia, ad indica appropinquantia, in australioribus frequentiora: Kiusiu: prope oppidum Karatsu (Buerger!), ad pedem. vulcani Wunzen ad fontes fervidas (ipse), Simabara (ipse), circa Nagasaki (Oldh.! n. 351, Wawra! n. 1334, ipse); Nippon: Yokoska (Savat.! n. 268), Yokohama (ipse). Typica polyphylla et apritolls Nagasaki, Aug. fi. Octobri frf. (ip$e, Wawra! Xcit.), Yokoska (Savat. ï Yokohama in lucis frequens, Aug. f., Septbri frf. (ipse), Tokio s. n. Nusubito hagi (Tanaka!), Hakone (Tschonoski!)}, Hakodate in fruticetis vulgare, init. Aug. flor., med. Aug. frf., Arigawa cet. (ipse). PURE Bulletin de l’Académie Impériale Flos albidus apicibus alarum et interdum carina roseis. Foliolis pl. m. rotundatis: (ipse), Yokoska (Sa vat.!). Nagasaki et Yokohama 10. D. Gardneri Benth. in PI. Jungh. I, 226. Baker L c. 165. D. podocarpum Miq. Prol. 234, nec DC. Fr. Sav.Enum.I, 101. In F1 of Brit. Ind. adducitur tantum e Deccan (Wight) et e Ceylona (Gardner). Equidem vidi spec. Wight (0.719 distr. Kew. s. n. D. podocarpi), Sikkim (Clarke! sub eod. nom.), Ceylon (Thwaites sub eod. nom. et ita in ejus enum., ubi D. Gardneri omittitur). Japonia: circa Nagasaki in sylvis lucisque variis locis frequens, Julio f. incip. Septbri frf. (ipse, Oldh.! n. 349); Yokoska in fruticetis (Savat.! n. 267}, Yokohama (ipse). Huc fortasse spec. nond. flor, e #ormosa (Oldh.! n. 160), foliis solito multo brevius petiolatis foliolisque angustioribus (lanceolatis), racemo simplici, pedicellis calyce paulo longioribus. À praecedente optime distinctum folis apice caulis aggregatis paucioribus amplioribus, racemo terminal _ Jongissimo subsolitario, pedicellis elongatis, flore fere duplo majore et legumine longe stipitato. Obviam fiunt quidem rarius individua quasi transitoria: ob pedicellos breviores floresve minores seu folia sparsa stipitemque leguminis breviorem, at talia multo melius pro hybridis quam pro formis intermediis sumenda. Proxime affine D. nudifloro DC. americano, quod | praesertim differt flore majore fructusque articulis apice breve acuminatis. D. acuminatum DC. forma articulorum leguminis adhuc similius, sed pedicelli et stipes breviores potius D. podocarpi, a quo flore magno foliolisque subito acuminatis discrepat. Omnia quatuor calycibus obiter dentatis excellunt. : 11. D. Oldhami Oliv. in Journ. linn. soc. IX, 165, Miq. Prol. 234. Fr. Sav. Enum. I, 101. Hance in Journ. bot. XII, 259. Kiusiu: circa Nagasaki (Oldh.! n. 356), Nippon: Sagami, ad rivulos (Savat.! n. 270), Yokohama in umbrosis ad sylvarum margines, Julio f., Septbri frf. Gipse, Wawra n. 1564), Nambu (Tschonoski). China centrali: Kiukiang (Môüllendorff ex Hance, qui tamen pl. japon. non vidit). Unicum foliüis pinnatis praeditum, praeter D. finc- torium Vieïll. ex Neo-Caledonia, fide Hanceï. Haec species (Vieill. n. 367! fl. frf.) tamen valde differt caule fruticoso foliato, inflorescentia densa breviuscula illam D. polycarpi fere aemulante, foliolis obtusis et articulis leguminis semirotundis. 12. D. gangeticum DC. 1. c. 327. Baker I. c. 168. Benth. F1, Hongk. 84. China australi: Hongkong (Forbes!), Canton (Hance!); tum in Mariannis (Guahan!), Philippinis (Cuming! n. 437), Celebes!, Timor!, Java!, Tenasse- rim!, Deccan!, Sikkim!, India bor. oi Africa trop.! 13. D. retroflezum DC. I. c. 336. Baker I. c. 170. Hance in Journ. bot. XVIII, 260. D. orbiculatum et D. rotundifolium Wall. Cat. Hedys. retroflexum L. China australi: in collinis circa Canton (Sampson!) et Whampoa non rarum (Hance!)}. Himalaya: Silhet |(Wallich!). . 14, D. polycarpum DC. I. c. 334. Baker E. ©. 171. Benth. FI. Hongk. 84. D. Buergeri Miq. Prol. 233. Fr. Sav. Enum. I, 100. Kiusiu: circa Nagasaki (O1dh.! n. 353, ipse), cacu- mine graminoso montis Kawara (ipse); China australi (W.J. Hook.! s. n. D. purpurei), Hongkong(Wrightl, Forbes!), Formosa (Oldh.! n.163). Tum vidi e Phi- lippinis (Cuming! n. 845), Java, Sumatra, Banka, Tenasserim, Ceylon, Deccan, Khasia et Sikliim, ins. 1500 Otaheiti et Fidshi. Specc. japonica exoticis vulgo magis microphylla. Species affinis ex indicis D. concinno DC. et D. ru- fescenti DC., ex americanis D. lineato DC., D. gla- _ bello DC. et D. ciliari DC. | 5 Var. trichocaulon Baker 1. c. 172: caule patentim piloso, bracteis majoribus. D. érichocaulon DC. 1. c 335. Hance in Journ. bot. XVIII, 260. 5 China: prov. Canton (Parry ex un am (Hance!). India! | 15. D. reticulatum Champ. in.Kew journ. bot. IV, 46. Benth. FI. Hongk. 84. Hance in nés bot. XVII, 10. AE China australi (Benth.): Hongkong (id.), Whampoa ne (Hance!). LM Praecedenti simillimum, sed paulo magis micro phyllum, glabrius, foliis coriaceis, calycis laciniis acu- | minatis nec acutis, foliolis subtus glaucis. Fructum NE re F a à î 33 ‘ des Sciences de Saint-Pétersbourg. 34 non vidi, nec Bentham bonum vidisse videtur, ita ut an differentiae adsint quaedam in fructu nescio. — Bentham 1. c. in herb. Zuccarinii specimen 1 e Japonia vidisse asserit, anne errore, pro praecedente? Formam foliis omnibus 1-foliolatis vidit el. Hance ex ins. Hainan a Bullock lectam, Ex Hanceo folia inferiora pl. typicae etiam non raro 1-foliolata sunt. 16. D. triflorum DC. 1. c. 334. Baker:-I. c. 173. Benth. F1. Hongk. 83. Honkong (Wright ex Benth.). Late distributum per totam Indiam!, Ceylon!, Philippinas!, Mariannas!, Moluccas!, nec non Mexico!, Surinam!, Haity (P oi- teau!), Jamaicam (Swartz!). 17. D. heterophyllum DC... c. 334. Baker I. c. 173. China (Baker): Formosa ad Tamsuy (Oldh! n.162). Vidi e Java, Ceylon, et crescit in utraque Zndia orient., Philippinis et Mascarenis. 18. D. microphyllum D C. I. c. 337. Miq. Prol. 233. Fr. Sav. En. I, 100. Hedys. microphyllum Thunb. FI. Jap. 284. et icon ined.! D. parvifolium DC. 1. c. 334. Baker I. c. 174. Benth. FI. Hongk. 84. Hedys. LS tenellum Don! Prodr. fl. Nepal. 243. ke Kiusiu: circa Nagasaki frequens (omnes), prov. - Osumi (Tashiro!), Nippon prov. Kii (Tanaka! s. n. makive hagi, ex confus. cum ZLesped. virgata). China _ australi (Benth.): Hongkong (id.), Amoy (Fort.! A. . 118). Tum in archip. Malayano, Ceylon!, Deccan!, ou (Buchan.!), Khasia (Clarke!), Kumaon! Species incerta. Desmodium aspectu D. oxyphylli DC., ut videtur sect. Dollinerae. Hance in Journ. bot. XII, 259. China centralis: Kiu-kiang (ex Hance). Dicitur glabrum, foliola ovatorhomboidea, subtus _ reticulata venis subeoloratis, racemi parvi, laxi, sub- . paniculati micranthi, calyeis lobi brevissimi obtusi. Vicia venosa Maxim. var. cuspidata: foliis 3—5-ju- _gis, foliolis lanceolatis sensim longe acutissime acumi- _ natis mucronatisque, floribus violaceis. Nippon: prov. Senano, s. n. Yebira fudzi fl. mis, Tanaka. Vicia venosa in Sibiria orientali, Mandshuria et Ja- nn variis locis inter se remotis crescens varietates Tome XXXI. plures foliorum forma florumque colore perdistine- tas format, e quibus haec sane satis discrepans. Foliola versus apicem petioli decrescentia, maxima 58: 14 mm., terminalia 40 : 9 mm. magna. Flos 15 mm. longus. Galactia Tashiroi. Semper virens florens et fructifera volubilis ad axes omnes pilis crispis pubescens; stipulis stipellisque caducis his brevisetaceis; foliis ternatis petiolo laminam superante, foliolis chartaceis laevibus superne glabris subtus dense gilvo-sericeotomento- sis, utrinque tenere subsexcostatis late ellipticis ob- tusis v. vix acutiusculis breve, terminali vix lon- gius, petiolulatis; racemis fo]lio longioribus interruptis, bracteis minutis lanceolatis caducis, floribus singulis v. geminis, calyce sericeo pedicellum apice minutis- sime scariose bibracteolatum superante 4-fido laci- niis linearilanceolatis acutiusculis summa ovata ob- tusa binervi; corolla purpurea fere duplo longiore vexillo oblongo truncato basi late brevissime unguicu- lato, carina recta obtusa alas oblongas superante ve- xillo breviore, stamine vexillari libero, ovario dense sericeohispido stylo incurvo glabro; legumine plano- compresso linearisubfalcato laevi appresse piloso sub- octospermo stylo brevi uncinato, seminibus reniformibus compressis opacis atris hilo brevi oblongo concolore. Liukiu: maritimis circa oppidum Napa (Tashiro fl, frf. 1882). Proxima G. canescenti Benth. e Texas, quae differt foliis utrinque incanis reticulatis reticulo subtus ele- vato superne impresso, foliolis ovalibus v. obovatis, petiolulo terminali lateralibus multo longiore, stipellis persistentibus, legumine duplo minore longius uncinato basi sensim attenuato convexiore, semine vix reniformi parum compresso Ccastaneo, 5 : 3 q. exC. MM, MaAgno. G. tenuiflora W. A., indica, foliorum valde ludentium forma, indumento et consistentia membranacea magis distat, sed legumen minus quidem nostrae similius. Internodia 25—40 mm., petioli 3—4 cm., petiolu- lus terminalis 4 mm., foliola a 32 : 20 ad 27 : 19 mm. magna. Calyx 7 mm. Vexillum 11 mm., alae 8 mm. ungue brevi lineari, lamina supra auriculam basalem rectangulam transverse plicatula, carina 10 mm. un- { brevius quam in alis auriculata plicataque, apice inter | se libera. Filamenta 9 ultra medium connata aequalia. guibus ut in alis, lamina quavis basi leviter attenuata, 35 Bulletin de l’Académie Impriale 36 Antherae non visae, 3,0 :93 MM. Cajanus indicus Spr. Syst. III, 248. Baker in Hook. f. FI. Br. Ind. II, 217. Laiukiu (Tanaka). Distrib. ubique in tropicis culta, verosimiliter in Africa v. India orientali indigena. Rhynchosia minima DC. Prodr. II, 385. Baker in Hook f. F1. Brit. Ind. II, 223 ce. synn. Legumen 50 :8 mm., semen Liukiu (Tanaka). Distrib. ab Zndia per tropicos in. Africam et Americam calidiores. Pongamia glabra Vent. Jard. Malm. t. 28. DC. Prodr. Il, 416. Benth. FI. Hongk. 94. Baker in Hook. f. F1. Brit. Ind. II, 240. Liukiu: (Wright! frf.): Osima, Jul. 82 fl. (Ta- shiro!). China australi: Hongkong (Wright ex Benth.), ad fl. Canton (Hance!), Distrib. India orien- tali, archipel. Malayano, Australia boreali, Polynesia, Mascarenis. Euchresta Horsfieldii Benn. in Horsf. PI. Jav. rar, 148, t. 31. Hook. f. FL Brit. Ind. II, 248. Liukiu (Tashiro! fl. 1882); Formosa (ex Benth. et Hook. Gen. pl. I, 550), Java, Himalaya: Khasia. Caesalpinia L. Species Sinico-japonicae. TEE aculeatum (Subgen. GudandinaB a- ker). 2. » inerme (Subgen. Eucaesalpinia B a- er). 3- | 2. Stipulae membrauacene iptegrae ii ue C. Bonducella Flem. » spiniformes bipartitae,,,..,......, C. minax Hce. D RPDOE TOOPRNR 56 tu ste ues sou C. pulcherrima S w. Arbores v. frutices aculeati. 4. POS DARÉTODR ES res var ar TR C,. Nuga Aït. » multijuga. 5. 5. Juga foliorum primaria secundariis numero- » secundaria primariis numerosiora...... C. Millettii H. A. 6. Foliola acute ovata coriacea............... C. vernalis Champ. É de subcoriacea angulo inferiori affixa. .. C. Sappan L. membranacea media basi inserta..... C. sepiaria Ro xb. 1. C. Bonducella Fleming in As. research. XI, 159. Baker in Hook. f, F1. Brit. Ind. II, 254. Guilandina Bonducella L. Cod. 3003. Benth. F1. Hongk. 96. Bonin-sima (Wright!), Liukiu (Tanaka!); China: Hongkong (Wright!) et per tropicos. 2. C. minax Hance in Journ. bot. XXI, 365. China: prov. Canton (Graves ex Hance). 3. C. pulcherrima Sw. Obs. 166. Baker 1. c. IX, 255. Poinciana pulcherrima L. Cod. 2988. DC. Prodr. II, 484. Liukiu (Tanaka!). Ubique inter tropicos culta, vera patria ignota. 4. C. Nuga Ait. h. Kew. II, 32. DC. Proûr. IT, 481. Benth. F1. Hongk. 97. Baker I. c. 255. Engl. Bot. Jabrb. VI, 64. C: chinensis Roxb. F1. Ind. IT, 361. Hook. Arn. Bot. Beech. 182 (cum ?). | Archipel. Liukiu (Tashiro!, Tanaka), v. gr. Osima, China: Formosa circa Tamsuy (Oldh! n. 184), Hong- kong (Wright!); tum in Philippinis, India orient. Archip. Malayano, Australia tropica et Polynesia. 5. C. Millettii Hook. Arn. Bot. Beech. 182. Hance in Journ, bot. VIII, 313 (fructus descriptio). China australi (Hooker et Arnott): insula Lappa |prope Macao (Hance). 6. C. vernalis Champ. in Kew journ. bot, IV, ie Benth, FL Hongk. 97. Hongkong (Wright!, Hance!), nec alibi. 7. C. Sappan L. Cod. 2998. DC. Prodr. II, 482. Baker 1. c. 255. Hance in Journ. bot. XVI, 10. Biancaea Sappan Todaro hort. Panorm. t. 3. China australi: ex adverso Hongkong (Hance). Tum in Zndia cis et trans Gangem, archip. Malayano. 8. C. sepiaria Roxb. FI. Ind. IT, 360. Baker L. c. 256. Miq. Prol. 242. Maxim. in Bull. soc. Mosc. 1879, 9. Hance in Journ. bot. XX, 5. C. japonica Sieb, Zucc. F1. Jap. fam. nat. n. 3. Franch. Savat. En. I, 114. C. crista Thunb. F1. Jap. 179 (non L..) Japonia (Miquel!): Hakone, cacumine montium al- | “ tiorum rara, fine Octob. frf. (ipse), Simoda(Wright!, Yolkin!), Kioto (Rein!), Amakusi (id.!), prov. Higo, cacumine Higo-san, fine Junïi f., Kipon-san prope Kumamoto, fine Maji fl, circa Nagasaki in fruticetis, init. Maji flor. (ipse); China: Ningpo (Hancock!) prov. Hu-peh (Hance). Tum in tota Zndia or.! et ‘archip. Malayano! Gleditschia L. Synopsis specierum cognitarum. Legumen tenue varie flexuosum et tortum, cum pulpa succosa inter semina. 2. sine pulpa, rectum. 4, 2. fatioressentin brevis densa continua, floribus 37 des Sciences de Saint- Pétersbourg. & et © fasciculatis, semina medio legumine digposita ...............esv0se 00 se 00 se d secus rhachin fasciculati, © race- . G. caspica Desf. ï. 3. 5. forest brevis, 4 densa, semina secus suturam leguminis superiorem disposita, parte erma seminiferae aequila D nohrentie utriusque sexus interrupta elon- G. Triacanthos L. .® CORRE ES gata, semina medio legumine disposita ...... CG. japonica Miq. 4. Legumen chartaceum tenue breve 1—3-sper- mur. nosum crassum polyspermum. LU 5, Legumen PAT RE 1- star MRrectiss Walt. oblongum 2—3-spermum......... pi heterophylla Bge. 6. Piors secus rhachin Dal PERTE PET G. chinensis Lam. racemosi longe pedicellati........... Obs. Gymnocladus Lam. statu forifero a Gledit- schia non distinguenda, excepta spinarum deficientia (spinae, tamen et in Gleditschia interdum desunt), a Gleditschia legumine turgido pulposo seminibusque non vel vix compressis diversa habetur. At legumina seminaque G. chinensis et G. æylocarpae pariter tur- gida sunt, pulpa tamen in parenchyma siccum durum mutata. Unica igitur differentia illaque non absoluta manet spinarum defectus. . Pre a. Legumina plana pulposa indehiscentia. ae 1. Gleditschia caspica Desf. Hist. d. arbr. II, 247. _ Spinis validis ramosis, rhachi foliisque margine juven- __ tute pilosulis, foliis uni- vel 3—4-jugo-bipinnatis, fo- _ liolis 6—10-jugis majusculis reticulatis obsolete cre- . nulatis oblique oblongis ovatooblongisve obtusis cum mucronulo caduco; inflorescentia brevi continua densa floribus fasciculatis subsessilibus, bracteis obsoletis; . legumine palmari compressoplano toruloso pl. m. fal- cato pleiospermo; seminibus medio legumine dispositis illiusque latitudine triplo usque 5-lo ?) minoribus late ovalibus duplo—triplo latioribus quam crassis. Ledeb. F1. Ross. I, 718. Boiss. F1. Or. II, 631. L __ Circa mare Caspium in australi parte: Talysch prope Lenkoran! et Astara!, prov. Ghilan! Foliola maxima 2:%, poll. Flos 5 mm. longus. Le- . gumen usque 12:2 poll. magnum, pulpa dulci eduli, _ fide Hohenacker, Enum. Talysch, in Bull. Soc. Mosc. = 1838 X IV, p. 351. 2. G. triacanthos Li. Cod. 7696. Spinis validis ra- mosis, innovationibus pilosulis tum glabratis, foliis uni- 2) Legumina recentia investigare AE licuit, semina vero exsicca- tione valde contrahuntur, ita ut nidus seminis ipso semine multo ajor. Sic 3-lo minora evadunt ae ds Jatitudine si ro 5-lo autem si semen respicis, et 4—5-jugo-bipinnatis, foliolis 10—12-jugis superne glabris elevatoreticulatis pl. m. crenulatis oblique ob- longis obtusis cum mucronulo caduco; inflorescentia brevi 4 continua densa floribus fasciculatis, © race- mosa, floribus omnibus brevipedicellatis; legumine pe- dali compressoplano falcato pleiospermo; seminibus secus suturam superiorem dispositis, parte leguminis seminifera quam vacua aequilata, late ovalibus oblon- gisve 2-lo usque 4-lo latioribus quam crassis. Torr. and Gray F1 N. Am. I, 398. À. Gray Man. 145. G. ferox Desf. Hist. d. arbr. II, 247. America borealis, a Pennsylvania ad Virginiam, Il- linois et versus austrum (A. Gray). Vidi e New-York (plantatam), Kentucky, Alabama, et cultam. Synonymon Desf. huc duxi ex specc. & olim a Spach datis horti Paris. ob inflorescentiam densam continuam. | C. Koch Dendrol. I, 10. cum dubio G. chinensi sub- junxit. Foliola majora 35 : 12 mm., in bipinnatis usque duplo minora. Flos & 4 mm., © 5 mm. longus. Legu- men 260 :20—35 mm., pulpa dulci. 3. G. japonica Miq. Prol. 242, Spinis validis ramo- sis, petiolis rhachi foliisque margine puberulis tum glabris, foliis 1-, rarissime 2 — 3-jugo-bipinnatis, folio- lis 10-jugis majusculis reticulatis crenulatis oblique oblongis obtusis cum v. sine mucronulo minuto; inflo- rescentia elongata interrupta, floribus ebracteatis bre- vissime pedicellatis d fasciculatis © racemosis; legumine spithamaeo compressoplano flexuoso torto bullatoque , pleiospermo; seminibus medio legumine dispositis illius latitudine 3—4-lo minoribus late ovalibus pla- nis. Franch. Savat. Enum. I, 114, II, 327. In Japoniae australioris sylvis montanis: Nippon, circa Yokohama, jugo Hakone; Kiusiu alpe Inu-take. Japonice: saï-katsi-ibara, pulpa leguminum ad lavan- dam telam adhibetur. China media: Shanghai (F. B. Forbes!) | Foliola majora 40 : 15 mm., in bipinnatis 13:5 mm. Flos © 6 mm. longus. Legumen 35 mm. latum, pulpa viridi acida farctum. b. Legumen lignosum turgidoplanum indehiscens. 4. G. sinensis Lam. Dict. IT, 465. Spinis conicis ramosis robustis, innovatione parce pilosula cito glabra, foliis uni-rarius 2—3-jugo-bipinnatis, foliolis 8—10- jugis majusculis reticulatis crenulatis oblique ovatis v. Bulletin de l’Académie Impériale ovatooblongis subattenuatis mucronulatis, inflorescen- tia elongata interrupta floribus fasciculatis longiuseule pedicellatis ebracteatis; legumine vix palmari recto lignoso compresso laevi indehiscente pleiospermo; se- minibus medio legumine dispositis illiusque latitudine 3—4-lo minoribus late ovalibus compressis turgidis. Benth. F1. Hongk. 100. G. macracantha Desf. Hist. d. arbr. II, 247. (ex specc. h. Paris.). China australi: Hongkong (Hance!, Forbes!), culta in Zndia! et passim in Europa! Foliola majora 35:15 mm. Flos 3 mm. longus. Legumen cum sequente identieum et semina similia, sed neutrius matura visa. 5. G. æylocarpa Hance in Journ. bot. XXII, 366. Spinis validis ramosis, rhachi pubescente, petiolo foliis- que subtus juventute parce pilosulis; foliis uni-rarius 2-jugo-bipinnatis, foliolis 4- (innovationum usque 6-) jugis majusculis reticulatis crenulatis oblique ovato- oblongis oblongisve attenuatis mucronatis mucrone tum deciduo; racemis elongatis interruptis ebracteatis, floribus longe pedicellatis; legumine palmari lignoso recto laevi compresso turgido pleiospermo, seminibus medio legumine dispositis latitudine ejus vix triplo minoribus ovoideis parum compressis. G.sinensis Bge. Enum. Chin. n. 122., nec Lam. Turcz. Enum. Chin. n, 64. Gymnocladus Williams Hce: L. c. In China boreali: circa Pekin (Bunge!, alüi!, Wil- liams ex Hance), v.gr. Pan-shan (Bretschneider!), Shang-hai (Bullock ex Hance), prov. Schensi (Pia- sezki!). Leguminibus incolae saponis ad instar utuntur. Foliola in bipinnatis pollicaria, in simpliciter pin- natis usque ultra 3-pollicaria, plus quam pollicem lata. Flos 8 mm. longus. Legumen ad 12 poll. longum, fere 2 poll. latum. Neutram e speciebus Hanceanis hucusque vidi, sed * descriptio Gymnocladi sub anthesi tantum autori notae exactissime in speciem a Bungeo olim pro planta La- marckii habitam quadrat, nec diagnosis G. xylocarpae, fructiferae tantum notae, aliter discrepat quam foliolis «coriaceis», quae in omnibus hujus generis speciebus versus fructus maturitatem multo firmiora, non tamen coriacea fiunt. Si G. æylocarpa Hce. revera a nostra distincta evaderet, G. sinensis Bge G. Williamsii vo- canda esset. c. Legumen chartaceoplanum epulposum demum incomplete dehisc 6. G. heterophylla Bge Enum. Chin. n. 123. Spinis acicularibus simplicibus v. basi breve ramosis, pube brevi molli sericea, foliis uni- et 2—3-jugo-bipinna- tis, foliolis superne glabris 8—10-jugis parvulis laevi- bus integerrimis oblique ovalibus oblongisve obtusis; inflorescentia brevi interrupta, floribus subsessilibus 4 fasciculatis © racemosis; legumine oblongo parvulo recto 2—3-spermo maturo chartaceo subdehiscente; seminibus orbiculatis planis. Turez. Enum. Chin. n. 65. Ditione Pekinensi non rara (omnes collect.) Foliola in simpliciter pinnatis 20 : 8 mm., in bipin- natis 2—3-lo minora. Flos 3 mm. longus. Legumen 55:20 mm., stipes 15 mm., maturitate epicarpium membranaceum nigrescit et fragile ab endocarpio tenue pergameneo ochroleuco hinc inde secedit. 7. G. monosperma Walt. FI. Carol. 254. Torr. and Gray F1. N. Am. I, 398. Gray, Manual 145. G.tri- acanthos Ê. (1-sperma) L. Cod. 7696. G. inermis Mill. Dict. (1759). C. Koch Dendrol. I, 9. America boreali: paludibus Illinois et versus meri- diem (autt. amer.), v. gr. Florida! Vidi tantum fructu nondum maturo. Speciem in- signem amplius describere inutile puto. Legumen late ovale chartaceoplanum stipite duplo longius. Cassia glauca Lam. Dict. I, 647. DC. Prodr. I, 495. Var. suffruticosa Koenig. Baker in Hook. f. FL Brit. Ind. II, 265. C. suffruticosa Roth, Nov. sp. 213. DC. Prodr. IT, 496. Liukiu (Tashiro); China: Futschau, culta (Dr. Augustinowicz). Sponte per Zndiam orient. utram- que, archip. Malaicum, Polynesiam et Australiam tro- picam. 2e Spiraea nipponica. (Sect. Chamaedryon, Ser. 2. Maxim. : A in Acta h. Petrop. VI, 185). Glaberrima, ramis angula- tis, foliis subtus glaucis tenue 3—4-costatis reticula- tisque laevibus, innovationum. . ., ramulorum fertilium crebris orbiculatoobovatis v. late ellipticis obtusissimis integris v. apice tricrenatis; corymbis racemosis multi- floris ramulos foliatos novellos numerosos terminanti- bus; petalis albis truncatoorbiculatis stamina circiter 20 subsuperantibus; folliculis vix exsertis parallelis A 406. - AL des Sciences de Saint-Pétersbourg. 42 apice reflexo stylo terminali coronatis; calycis fructiferi laciniis deltoideis erectis. S. media var. rotundifolia G. Nicholson in Gard. chron. 1885, 283, fig. 56. *$ Nippon: Fudsi-yama, Niko, Shishibu (f. et frf. mis. Tanaka et Yatabe). Japonice: Marubana iwagasa, kobano iwagasa, iwa shimotsuke. — Introducta in hor- tos europaeos a Siebold, fide Nicholson, sed pl. cultam nondum vidi. Proxima 8. mongolicae m. in Mél. biol. XI, 216, quae differt foliis subtriplinerviis angustioribus flori- busque minoribus, staminibus petala rotundata supe- rantibus, carpellis intus villosis stylo subinfraapicali. A S. media Schmidt longius distat staminibus brevi- bus, foliorum forma, folliculis vix e calyce erecto ex- sertis, neque calycem reflexum plus duplo superantibus. Specc. praesto sunt spithamaea, intervallis pollicari- bus ramulis fertilibus patentibus 2 —3-pollicaribus obsessa. Folia in quodam ramulo 8—10, saepius integra, petiolo 2—3 mm., lamina infimorum minorum 8:6 mm., reliquorum 12:10 ad 16:12 mm. magna. Corymbi ipsa basi et interdum in pedicello infimo l monophylli, rhachi /,—1-pollicari, pedicellis florem _ duplo v. in summis parum superantibus. Flos diam. _ 8 mm., calyx fere 4 mm. Carpella matura 3 mm. et ultra longa, stylo demum deciduo parum breviora. _ Semina 2 —2,5 mm. longa breve appendiculata, nucleo _ tereti linearioblongo 2 mm. usque longo, 0,3 mm. _ lato, testa arcte appressa laevi. = Saxifraga lycoctonifolia. (Sect. Isomeria Torr. et Gray) _glandulosopubescens, foliis pedatinerviis cordatoreni- La _formibus supra glabris radicalibus et inferioribus à 7- superioribus 5-lobis, lobis trilobulatis arguteque . incisis et mucronatoserratis; paniculae laxae elongatae _ pedunculis 3—5-floris, pedicellis calyce brevioribus, _ calycis dentibus ovatis obtusiusculis sub anthesi tubo = brevioribus petalisque oblongospathulatis exunguicu- _ Jlatis erectis, staminibus 5 calyce brevioribus episepalis, # _nibus.. Nippon: prov. Senano alpe Komaga-take, 2 Aug. _ 82 flor. mis. Yatabe s. nom. japonico Arashi gusa. Simillima S. aconitifolia Field. et Gardn. Sert. : plant. t. 57 (quam ex Alleghany montibus à Gray et _Sullivant, e montibus Carolinae a Buckley lectam vidi) differt foliis rotundatis profundius lobatis paucius _ ovario ad ?/, adnato, stylis conicis subparallelis, semi- serratis, cymae ramis magis multifloris indeque mani- festius secundis, calycis limbo quam tubus breviore dentibus acuminato-deltoideis tubum sub anthesi ae- quantibus, petalis obovatis brevissime unguiculatis calycis limbo duplo longioribus. $. elata Nutt., a me non visa, diversa foliis rotundatis, laciniis calycinis acute lanceolatis, petalis (cuneatooblongis) calÿcem duplo superantibus. Certe tamen hae tres ärcte inter se affines, etsi americanae ad Boykiniam amandatae fuerint. Bipedalis. Folia radicalia majora petiolo spithamaeo lamina 9 em. lata, 6 cm. longa. Stolones innovantes horizontales dense fuscohirsuti, internodiis longiusculis, quam in S. aconitifolia duplo crassiores. Flos viridis diam. 5 mm. Calyx imbricatus (ergo non Boykiniae). Stamina rarius 6, uno enim epipetalo. Placentae sub anthesi tenues, neque crassae ut apud Fielding et Gardner delineatae. Hydrangea sikokiana. Ramis ramulisque glabris, co- rymbo plano foliisque subtus pallidioribus pubescen- tibus, his suboctocostatis late ellipticis ovatisve serratis versus apicem bi—sex-lobulatis lobulis late deltoideis subito cuspidatis; inflorescentiae laxiusculae planae pedicellis florem superantibus; calycis margine trun- cato, petalis acutis ellipticis duplo longioribus, stami- nibus longe exsertis, stylis 2 crassis, ovario infero; floribus sterilibus paucis sepalis 5 inaequalibus rotun- datis. Nippon australi: prov. Kii (ex adverso insulae Sikoku); japonice O-azisai i. e. Hydrangea magna. (Tanaka fi. et subdefl.). Huic valde affinis Æ. quercifolia Bartr. bene di- stincta videtur ramis et rhachi rufoarachnoideotomen- tosis, corymbo oblongo, foliis 3— 6-costatis costis valde inaequalibus (inferioribus validioribus et longioribus), lobis majoribus numerosioribus saepe jam a basi lami- nae incipientibus, calyce distincte obtuse dentato. Ex nomine japonico frutex v. arbuscula magna videtur, sed spec. 1 missum descriptionem completam non admittit. In ramulo ante oculos pars innovata folifera 4 cm. longa, cum foliorum paribus 3 magni- tudine cito decrescentibus: petiolis 65—20 mm. laminis 11 : 9 em. ad 65 : 45 mm. Folia adulta superne pilis appressis sat crebris adspersa. Pedunculus com- munis 3 cm. longus. Corymbus fere 8 cm. latus, radiis : M Bulletin de l’Académie Impériale 4 inferioribus 4 cem., tum post intervallum 2 cm. radiis 4 approximatis 2 cm. longis cum terminali aequilongo, omnibus in radiolos parum breviores divisos, qui pedi- cellos ferunt. Alabastra 3 —4 mm. alta. Flos sterilis abortu 1 longius pedicellatus parvus (diam. 11 mm.). Iiea chinensis Hook. Arn. Bot. Beech. 89, t. 39. Benth. F1. Hongk. 129. Hook. f. F1. Brit. Ind, II, 408. Liukiu: (Bentham): n. 108). Var. subserrata: fohis pl. m. pauciserratis serra- turis spinosomucronatis. Kiusiu: prov. Satsuma circa Kagosima; Ziukiu: ins. Osima (Tashiro); Formosa (01dh.! n. 109). Drosera indica Li. Cod. 2232. Hook. f. FI. Brit. Ind. II, 424. ins. Osima (Tashiro!); China australi Hongkong (Hance!), Formosa (Oldh.! Nippon: prov. Kadzusa (mis. Yatabe sub nom., Nagaba ishimotschiso); prov. Owari ad Okkawa, Tshita- gori (Ito Tokutaro misit); China australis; India orient. a Ceylona per Deccan usque ad Chota Nagpur, India trans Gangem, Australia tropica, Africa. Bruguiera gymnorhiza Lam. Il. t. 397. Engl. Bot. Jabrb. VI, 63. Hook. f. F1. Brit. Ind. II, 437. Liukiu: in maritimis Osima et Okinawa, initio Aprilis f., Julio fr: immat. (Tashiro!, ex quo japonice Ohirugi, cortice utuntur ad rubrum tingenda retia piscatorum, lintea cet.). Late distributa per sylvas maritimas tro- picas orbis vetusti. Terminalia Catappa L. Cod. 7625. Hook. f. F1. Brit. Ind. II, 444. Hook. Arn. Bot. Beech. 263. Bonin-sima (Wright!, Yatabe! sub nom. japonico Kurumi). Sponte in Malacca, culta ubique in tropicis provenit. Syzygium buxifolium Hook. Arn. Bot. Beech. 187. | Benth, F1. Hongk. 118. Japonia maxime australi: ins. Tanega sima (Tashiro!, ex quo japonice Adéku), Liukiu ins. Osima (Doeder- lein! steril.), Bonin-sima (Wright!, Yatabel); China australi (Hooker et Arnott): Hongkong (Wright!) Futschau, montib. graniticis 1300 ped. s. m. secus fl. Min (Augustinowicz), Amoy (Fortune! A. 93). Lagerstroemia subcostata Koehne in Engl. Jahrb. IV, 20. «. hirtella Koehne I. c. 21. Liukiu: ins. Osima, in montibus, arbor magna, peta- lis albis et roseis, japonice Aka bura (Tashiro! fructif.); Formosa (O1ldham!). Pyxipoma polyandrum Fz1. in Ann. Wien. Mus. IT, 293. Miq. FI Ned. Ind. I, 1060. Trianthema polyandrum BI. Bijdr. 1137. DC. Prodr. II, 352. Liukiu, in maritimis, Majo f. fr. immat. (Tashiro!); China: prov. Cantoniensi (Hance!), tum in ins. Mo- luccanis (Fenzl), Java (Miquel), Timor (Decaisne). Hydrocotyle L. Species sinicojaponicae. Mericarpia jugis primariis et secundariis evolutis. Planta majuscula ex omnibus nodis radicans et folia pedunculosque floriferos DR PER RD AGDE ET RC EE or H. asiatica L. eg jugis secundariis haud nn 8. 2. 2, Caulis primarius ex omnibus nodis radicans et folia pedunculosque floriferos proferens. H. rotundifolia Roxb,. Caulis primarius radicans ex axillis ramos foliatos floriferos gignit. 8. 8. Macrophylla, umbellae apice ramorum ag- gregatae multiflorae petiolo multo breviores. H, javanica Thunb. Microphyllae, umbellae sparsae. 4. 4. np sinus apertus imbricatoclausus . ..... re H. Wilfordi m. H. ramiflora m. non a. Cauliflorae. 1. H. asiatica L. Cod. 1903. DC. Prodr. IV, 62. Benth. F1. Hongk. 134. Thunb. F1. Jap. 116. Miq. Prol. 243. Franch. Sav. Enum. I, 178. Oo tshidome. Soo bokf IV, 63. Japonia (Langsdorff!), ubique in australioribus fréquens: Nagasaki (01dh.!, ipse), Yokoska (Savat.!), Yokohama (ipse), Nambu (Tschon Bonin-sima (ex Bentham); China: Hongkong (Benth.), Formosa (01dh.! n. 141) et ubique in tropicis et usque sk | in Tasmaniam, Caput bonae spei cet. Var.crispata: foliorum margine luxuriante crispato et irregulariter inciso in lobulos obtriangulos v.rhom- beos acute dentatos. In hortis Tokio rarius culta (ipse). 2. H. rotundifolia Roxb. Hort. Bengal. 21. F1. Ind. I, 38. DC. Prodr. IV, 64. Hook. f. F1. Brit. Ind. Il, 668. H. nitidula À. Rich. Monogr. n. 35. fig. 33. DC. L c. 66. Miq. Prol. 243. A. sibthorpioides Lam. Dict. IT, 153. Franch. Sav. Enum.I, 11e Tshidome o “ gusa. S0o0 bokf. IV, 62. kil); Liukiw et 45 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 46 Japonia australiore: Nagasaki (Oldh.! n. 292), Naga-yama in Kiusiu, Hakone (ipse), Yokoska (Sava- tier! n. 482), Yokohama (ipse), Tokio (Tanaka); China: Formosa (O1dh.! n. 139). Tum vidi e Bengalia, Himalaya (Silhet, Darjeeling), MNilagiri, Ceylona, Au- stralia. Specc. japonica culta v. locis apertis frequentatis orta folia majora ad apicem petioli saepeque ad laminam pilosa habent, individua sylvestria locis desertis enata .microphylla glabra foliis profundius divisis lobis tri- dentatis gaudent; quae posteriora veram sistunt H. nitidulam Rich. et Hook. Exot. fl. t. 29. Inter plantam umbella petiolo aequilonga et umbella subsessili (4. tenellam Don, Prodr. Nepal. 183, DC. 1. c. 64), inter folia majora et minora obsolete lobata et fere partita tanti status intermedii, ut limites vix ulli stabiliendi sint. Ita et Æ7. sibthorpioides Lam. non differre videtur et jam a Bentham (F1. Austr. III, 340, in adnot. ad A. hirtam) conjungitur. H. Batrachium Hance in Ann. sc. nat. 4 ser. XVIII, 220, quam e China (Whampoa, abipso Hanceo datam, Formosa, Oldh.! n. 140, et inter Sieberi fl. mixt., verosimiliter ex Australia, vidi) cum planta ons sylvestri aeque microphylla, formam sistit foliis ad basin partitis et apice petioli pilosis. b. Ramiflorae. 3. H. javanica Thunb. Diss. 2, 415. t. 3. Hook.f. h c. 667. DC, I. c. 67. Hance in Journ. bot. XXI, 821. H. nepalensis Hook. Exot. fl. t. 30. Mia. Cat. # de mus. Lugd. bat. 40. Fr. Sav. En. I, 178. Æ. poly- _ cephala Wight, Prodr. 366. Japonia australis: Nagasaki, Naga-yama (ipse); China australi: prov. Canton (Faber ex Hance). Prae- _ ! terea vidi ex Assam, Nipal, Khasia, Sikkim, Kashmir, _ Decan, Ceylon et occurrit in archip. Malaico, Philip _ pinis, Australia et Africa (Mozambique). + Vera H. javamica foliorum lobos habet longiores acu- _ tos, nostra ad 77. nepalensem pertinens breviores obtu- sos, sed posteriores in priores insensibiliter transeunt et in pl. nostra flores submasculi nulli inveniuntur, itaut recte utraque in fl. Indica rejungatur. un 4, H. Wilfordi. Ad apicem petioli et laminam subtus _ parcissime setosa ceterum glabra, caule vetusto radi- | cante aphyllo, ramis axillaribus innovantibus ascen- dentibus foliatis et floriferis; foliis opacis reniformi- cordatis obsolete 7-lobis lobis obtuse 3-crenatis cre- pulatisque, stipulis rotundatis, pedunculis filiformibus petiolos saepe triplo superantibus, umbella multiflora subcapitata, fructibus compressis laevibus utrinque costatis. Nippon, circa Yokohama, et Yezo, circa Hakodate, ubique in humidis vulgaris, caespites laxos elatiores formans, initio Julii fl. c. fr. (ipse), sine loco speciali sub nom. Yama tshidome (Tanaka!); Korea: portu Chusan (Wilford!). Modus crescendi Æ, javanicae Thunb., H. ameri- canae L., H. densiflorae DC., H. geranioidis Rich., i. e. innovationes erectae v. ascendentes foliatae flori- ferae non repunt, nisi peracta fructificatione decum- bunt, tum radicantes fiunt et anno sequente ex nodis iterum innovant. Primo tantum aspectu A. sibthor- pioidem Lam., Rich. Mon. n. 31. fig. 8. in mentem vocat, nam haec pertinet ad seriem modo crescendi di- versissimam, ubi axis primaria reptans foliata et flo- rens est, et ad quam praeterea v. gr. ducendae Æ. ro- tundifolia L., H. interrupta Mx., A. conferta Wt., H. leptostachya Rich., H. mexicana Ch. Sch1., A, Langs- dorffi DC., H. rétuaculoides ES spicata Lam., H. cie L., A. asiatica L. 5, H. ramiflora. Glabra opaca, cauliculis vetustis radicantibus subaphyllis, hornotinis ramisque foliatis floriferis ascendentibus, foliis ob sinum imbricatoclau- sum quasi peltatoorbiculatis obtusissime subseptemlo- bis quovis lobo obtuse tricrenato, stipulis amplis late ovatis fuscomembranaceis, pedunculis folia superanti- bus, umbella capitata multiflora, fructibus compressis marginatis laevibus utrinqgne bicostatis. Yezo: circa Hakodate in humidis vulgaris, floribus viridulis, init. Julii f. c. fr. (ipse). Praecedenti simillima, sed foliis statim distinguenda, Adnot. A, vulgaris Thunb. FI. Jap. 116. Æ, inter- rupta Sieb, Zucc. F1. Jap. fam. nat. n. 422, Miq. Prol. 243. Fr. Sav. En. I, 177., ex Thunbergio in Japonia «hinc inde» crescens, igitur planta non rara declarata, a nemine post Thunbergium reinventa, botanicis indigenis pariter ignota, et in herbario Thunbergii Upsaliae servato deficiens, e flora Japo- nica excludenda videtur. Quum species permultae a Thunbergio in Japonia indicatae in herbario ejus quoque desiderentur, Thunberg plantas quas pro 47 Bulletin de l’Académie Impériale 4% vulgaribus habebat omnino non collegisse, sed tantum enumerasse, alias ex confusione schedularum vel lapsu memoriae perperam ut in Japonia crescentes indicasse videtur, Ita et H. vulgarem fortasse capensem tantum legerat. Veram Æ. vulgarem in Japonia provenire non verosimile, nam in Europa crescit a Lusitania et Sue- cia australi ad Æungariam, tum in Asia circa lacum Caspium in ditione Talysch et in Capite bonae spei in- venta est, stirps americana autem à botanicis loci nunc pro specie diversa enuntiatur. Species dubia. Quid? Hydrocotyle chinensis L. Cod. 1904. e «China», a DC. Prodr. IV, 71. cum ? ad Crantziam lineatam Nutt. ducta, praeeunte Sprengel in Schult. Syst. VI, 355, de qua identitate tamen Schultes in observ. _annexa dubitare videtur. Sanicula satsumana. Foliis radicalibus trisectis, seg- mentis latissime rhombeis basi cuneata in petiolulum subito attenuatis obtuse serratis cum mucrone brevi serraturis imposito, terminali longius petiolulato antice _tri-, lateralibus valde obliquis 2—3-lobis lobis omni- bus obtusis; caulibus scapiformibus folia vix v. non superantibus; umbella 3—5-radiata foliis 3—5 oblon- gis mucronatis brevibus integris v. rarissime trilobis involucrata, radiis umbellulas 1—3 gerentibus, um- bellula centro florem femineum 1 sessilem, cireumeirea flores masculos 3—5 pedicellatos ferente, floris mas- culi dentibus calycinis acutissime subulatis petala re- tusa superantibus, tubo calycis fertilis aculeis uncinatis tecto. Kiusiu: prov. Satsuma, in ipsa urbe Kago-sima, sub arboribus, Octobri 83 f. legit Tashiro. Affinis S. lamelligerae Hce et S. tuberculatae m., ab utraque abunde diversa, a priore segmentis folii obtusis, umbellae radiis plus quam 2, involueri foliolis pluribus, fructu aculeato, neque parallele alulato; posterior magis distat foliis palmatipartitis, caule folia duplo superante sub umbella solitaria foliato, floribus fertilibus 3—5, fructu tuberculato aliisque signis. Perennis, radice fibrosa. Petioli 3—5 cm. Seg- mentum terminale 10—-14 mm. latum et longum, pe- tiolulo 2 mm., lateralia 10—12 mm. longa et lata, petiolulis 1,5 fini. Radii 2 mm. Fam radiolos sub- aequantes. Carum hol opetalum. Perenne elatum glabrum, caule fistuloso striato ramoso, petiolis vaginatis vaginis ample- xicaulibus linearibus apice rotundatoauriculatis, foliis circuitu deltoideis biternatisectis, segmentis primariis | mediisque secundariis petiolulatis, ultimis ovatis 2— 3- fidis et inciso-grandiserratis dentibus lanceolatis acutis apiculatisque, foliis summis 3-sectis; umbellis plurira- diatis, involucris involucellisque oligophyllis phyllis subulatis; calycis dentibus acute deltoideis persisten- tibus, petalis unguiculatis obovatis integris cum acu- mine brevi inflexo quam stamina brevioribus, stylopo- dio depresso; fructu ovalielliptico a latere compresso jugis anguste subalatis, valleculis 1-vittatis, commis- sura minute 2-vittata, carpophoro bipartito. Zbuki zeri, S00 bokf. V, 26. Nippon media: prov. Iwashiro monte Side-san, 13 Aug. 79 fl. c. fr. fere maturo (misit Yatabe). A Caro differt quidem petalis non emarginatis et habitu potius Pimpinellam referente, sed ob vittas solitarias priori generi adjunxi. A cl. Baïillon (Hist. d. pl. VIT, 118) jam Pimpinella cum Caro juncta est, verosimiliter recte. Quo magis tamen Umbelliferarum genera reducuntur, eo difficilior fit eorum distinctio: … characteres diagnostici, post Benthamii revisionem saepe jam valde vagi, in opere Bailloni omnino desunt. Quotidie tamen formae inveniuntur inter quaedam | genera hucusque sat bene distincta vacillantes eorum- que junctionem suadentes. Ita Baïllonium si sequi- mur mox tota familia e paucissimis iisque vastissimis nulloque limite ci iptis generibus composita erit, nisi surget monographus, omnibus votis sane deside- randus, totum familiae systema novis principiis recon- struens. Spec. missum bipedale, radice deficiente. Folium : es inferius seorsim datum petiolo (cujus dimidium vagina) 6 em., lamina 17,5:15 em. Petiolulus terminalis7em., laterales 35 mm. Segmenta secundaria lateralia obliqua bifida 65 : 35 mm., terminale item 3-sectum segmentis petiolulatis: latéralibus sensim in petiolulum brevem … angustatis et cum illo 95:40 mm. magnis trifidis, terminali petiolulo 2 mm. lamina 90 mm. Foliorun superiorum lamina vaginae insidens, summorum ad segmenta 3 petiolulata tripartita incisaque reducta. TS Umbellae apice ramorum, numerosae, radiis 8—9, radiolis 10—15 involucella superantibus. Flores parvi albi roseo suffusi, diam. 2,5 mm. Calycis dentes in 49 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 50 fructu conniventes. Antherae subquadratae. Styli sub anthesi brevissimi paralleli, in fructu recurvi accreti, sed stylopodium non excedentes. Fructus 4,5 mm. longus. Cryptotaenia japonica Hassk. Retz. I, 113 (c. diagn. et descr. mediocr.). Foliis trisectis segmentis sessilibus incisoserratis indivisis, umbellis paniculatis 2—3-ra- diatis involucratis, umbellulis 2—4-radiolatis involu- cellatis, calycis dentibus acutis minimis. C. canadensis $. Z. FI. jap. fam. nat. n. 424. A. Gray, Bot. Jap. 891. Miq. Prol. 246. Hance in Journ. bot. III, 340. et1867,114. Fr.Sav. Enum.I, 182. Sison canadense Thunb. F1. jap. 118. : Per totam Japoniam frequens, nec non in Chinae prov. Canton (ex Hance). Signis datis semper tute distinguitur a cujus diagnosis erit: C. canadensis DC. Foliis trisectis anrilié saltem inferiorum petiolulatis bi-trifidis et incisoserratis, um- . bellis 3—5-radiatis radiolatisque, involucro nullo, _ involucellis setaceis, calyce obsoleto. sequente, Osmorhiza Raf. Carpellis caudatis optime distinctum genus a HMyr- « rhide, quocum a Baillon jungitur in Hist. d. pl. VII, 233. — Species $ 1. apud DC. Prodr. IV, 232 (invo- lucris 3—5-phyllis) sequenti modo commode cognos- cendae: 4 dus bis trisecta. 2, RE. trisecta ns en 4. à _ 2. Cana tn a 6-lo vior Ménpuans sa 0. brachypoda Torr. ÿ 2-lo “es r. 5. à Messtun péñicerlà Me. ho fo- _ Hiorum subito acumina ta 3- -partita serrata- que, .. CORLINUL DPEVES ‘2 os 8 à 0 ve ne 0 O. laxa Royle. Fructus pedicellos superantes, segmenta are tete tripartita et incisoserrata, styli patuli longiusculi....,............. 0. longistylis DC. Caudae mericarpio duplo breviores, fructus a pedicello distincti basi soluti, segmenta foliorum bijugopinnatisecta. 5. _ Cauda mericarpio subaequ uilonga, fructus a pedicello indistincti vulgo apice soluti, ta -jugo-pinnatisecta pinnati- titaque svcnaats, is yli breviusculi, . pedicelli fructum supera _ 5. Pedicelli fructum pe late segmenta fo- 2 rum obtusa v. acuta apice pinnatifida par- à ER fractu. bréviores, segmenta folio- rum acuminata apice pinnatiloba-fidave . . Tome . amurensis F, Schm. CRAN) O. japonica S. Z. oi brevistylis DC. Mo. Bot: Garden, Ex his in Asia orientali duae crescunt: 1. O.amurensis F, Schmidt in Maxim. FL. Amur. 129. FI. Sachal. n. 194. In Mandshuria orientali montana sylvatica a Dshare ad Amur fl. secus jugum Sihota usque ad fontes fi. Wai-Fudin aff, aestuarii St. Olgae; ins. Sachalin. Planta americana, ab auctore (in fl. Sachal.) cum hac comparata, erat O. nuda Torr., planta yezoënsis vero ©. japonica S, Z. Cum hac ultima habitum com- munem habet, sed folia magis divisa et fructus diversi. 2. O. japonica $S. Z. FL. jap. fam. nat. n. 431. Fr. Sav. Enum. I, 183. O. longistylis À. Gray Bot. Jap. 391. Miq. Prol. 252. Chaerophyllum aristatum Thunb.! FI. jap. 119. Sylvis montanis per totam Japoniam; legit Wilford! Habitus O. brevisti ylis DC. Segmenta foliorum inf- morum saepius rotundata sunt, superiorum acuta. in Tsusima Selinum longeradiatum. Pedale radice fusiformi, vaginis amplis dilatatis apice biauriculatis summis subaphyllis; foliis inferioribus trisectis circuitu deltoideis segmentis bipinnatisectis ultimis 3—5-partitis lacinulis lineariob- longis attenuatoacutis membranaceis transverse venu- losis; caule ramoso tereti, umbellae amplae subexin- volucratae radis hinc puberulis umbellulas multiinvo- lucellatas 5-lo superantibus; calycis dentibus minutis acutis, petalis non emarginatis, mericarpiis late ovalibus jugis obtusis lateralibus alatis duplo latioribus, valle- culis 1-, commissura 2-vittatis. Kiusiu interiore monte Naga, cacumine gramine brevi obtecto, init. Octob. fr. fere mat. (ipse). Huic proximum &. Tilingia m. (Tilingia ajanensis Rgl. FI. Ajan. n. 132 in Japoniae ditione Nambu a Tschonoski lecta) differt vaginis exauriculatis, foliis mious divisis venulis transversis obseuris, lacinulis ovatis v. oblongis, umbellae minoris radiis umbellulas triplo superantibus, petalis emarginatis, mericarpiis multivittatis. Angelica multisecta. Bi-quadripedalis ramosa, caule fistuloso striato superne cum vaginis umbellaque pube- rulo, vaginis dilatatis oblongis apice auriculato-obcor- datis omnibus foliiferis, foliis ambitu deltoideis infimis breve petiolatis reliquis sessilibus, inferioribus 4— 5-nato ternatisectis summis diminutis trisectis, seg- 4 pa 51 à Bulletin de l’Académie Impériale 5? mentis ultimis ovatis lanceolatisve acutis basi breve cuneatis bi-trifidis incisoserratisque dentibus acutius- culis; umbellis longe exsertis centrali fertili lateralibus masculis exinvolueratis inaequaliter multiradiatis, invo- lucellis oligophyllis, umbellulis multiradiolatis; calycis limbo obsoleto, petalis albis quam stamina brevioribus obovatis emarginatis cum lacinula acuminata brevi in- flexa, disco pulvinato, stylis elongatis recurvis, ovario fructuque parce puberulis, fructu ovato a dorso com- presso jugis alisque obtusis crassiusculis, valleculis 1- commissura 2—4-vittata. Nippon: alpibus Fudsi-yama (ipse, Tschonoski), Hakusan ad rivulos, et Ontake (mis. Yatabe). A congeneribus facile distinguenda foliis latissimis muiltisectis foliolis numerosissimis parvulis et vaginis omnibus foliiferis. Radix carnosa fusiformis ramosa intus passim cava atque septata. Caulis crassitie pennae cygneae. Folia infima sesquipedalia, petioluli omnes segmento suo bre- viores, segmenta inferiorum ultima 1—17/, pollicaria, Umbella centralis diam. semipedalis a ramis floriferis superata. Petala intus minutissime puberula. Fructus vix 4 mm, longus, alis quam in reliquis Angelicis sub- angustioribus. Angelica koreana. (Sect. Ostericum Maxim. in Mél, biol. IX, 249). Caule striato farcto sub umbella sca- bropuberulo ceterum glabro; foliis membranaceis infe- rioribus tri- reliquis bi-ternatisectis petiolulis patulis, summis minutissimis in apice vaginae linearilanceolatae non inflatae, segmentis ultimis ovatis acutis subtrilobis incisoserratisque dentibus acutiusculis; umbellis 12— . 20-radiatis, involucro oligo- involucellis pleiophyllis phyllis elongatis subulatis, radiis striatosulcatis hinc . scabropuberulis, umbellulae multiflorae radiolis intimis brevioribus; dentibus calycinis deltoideis persistentibus, petalis albis brevissime unguiculatis orbiculatis emar- ginatis cum lacinula brevi obtusa denticulata; fructu subquadrato jugis dorsalibus angustissime lateralibus late alatis ala disco fere 2-lo angustiore, valleculis 1- commissura 2-vittata. Aë Koreae limites: locis lapidosis eirca sinum Possiet sat frequens in pratis fruticetisque, med. des flor., fine Septbris fructif. (ipse). À. polymorpha m., proxime affinis, differt vaginis lanceolatis inflatis, foliis tenuius membranaceis petiola- tis subrefractis bipinnatisectis, phyllo, petalis obovatis, ala disco latiore; sed magni- tudo partium fére eadem. Peucedanum multivittatum. Pedale ad sesquipedale, parce ad petiolulorum apicem foliaque subtus pubescens, va- ginis foliorum inferiorum oblongis, superiorum ovatis v. rotundatis, omnibus membranaceis apice cucullato obtuse latequé auriculatis; caule striato fistuloso vix ramoso 2—3-phyllo, foliis nervosis radicalibus longe petiolatis bis trisectis ambitu deltoideis, segmentis primariis petiolulatis, secundariis subsessilibus v. ses- silibus, omnibus ovatis acutis v. rarius rotundatis ob- tusis in lobulos 2—3 incisis serratisque dentibus ova- tis apiculatis, caulinis superioribus vaginae insidenti- bus segmentis acuminatis angustioribus; umbella 7 —8- radiata radiis radiolisque inaequalibus intus fuscohispi- dulis, involucro nullo, involucellis nullis v. oligophyllis phyllis lanceolatolinearibus acuminatis; calycis denti- bus ovatooblongis obtusis persistentibus, petalis stami- na superantibus rotundatis brevissime unguiculatis pro- funde emarginatis cum lacinula emarginata involuta, disco depresso crenato, stylis brevibus patulis; fructu elliptico alato jugis dorsalibus nerviformibus, vittis tenuissimis passim ramosis numerosis sub valleculis jugis et ad commissuram, carpophoro bipartibili. Nippon media (Tschonoski, f.) occasum spectante: : prov. Kaga, alpe Haku-san, 8 August. 82 fl. c. fr. lectum mis. Yatabe. Species sui juris, habitu potius Pimpinellarum japo- nicarum, petalis et fructu convexo PRIOR vittis numerosis Ferulae. Vaginae viridifuscae, Folia opaca nervis subtus pro- je winulis, radicalia spithamaea, lamina 9 em. lata, 7 em. longa, caulinorum inferiorum 7 em. Jlonga, 6 em. lata. Fructus 6,5 mm. longus, ala crassiuscula dimidium nucleum lata. Vittae tenuissimae, at distinctae, epi- carpio tenui extus bene visibiles. P. decursivum. Angelica d. Franch. Savat. Enum. I, 187. Porphyroscias d. Miq. Prol, 250. Tota Nippon et Kiusiu in pratis et fruticetis fre. ; quens, 8. albiflorum: floribus albis (nec atropurpureis). In Xiusi interioris alpibus. Ob fructus marginem simplicem et alas duriores non : ee est as sed Peucedanum; conf. Baïll. Hist, d.pl. involucro submono- HE RS RS es TEE EU QUE + y CE 53 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 54 VII, 100, adnot. 5. Foliis et fructu breviore a P.lati-| Himalaya temperata: a Kashmir ad Kumaon (ex . folio DC. cui habitum et characteres proximum, | Hook. f.). Vidi specc. ex parte occidentali a Royle, differt. valle Chenab (Ellis fl), Bahar (Duthie frf.), Kumaon Abelia R. Br. Synopsis specierum asiaticarum. Pedunculi laterales, ex axillis summis ramo- m approximati, apice y. medio pedicellique apice bracteati. 2. Pedunculi terminales in apice EE bre- vium lateralium v. terminalium biflori ebrac- teati, pedicelli apice bracteolati. 6. Pedunculus elongatus biflorus in bifurcatione AANÉE EST NOR ES LES STEP à Are .adenotricha Hce. 2. Bracteae bracteolaeque folinceac elongatae. 5. Bracteolae saltem ovatae minutae. Pedunculi et pedicelli evoluti. 4, 3. Inflorescentia corollaque longe pilosa, folia acuminata lanceolata, caly és laciniae 5 subu- latae bracteolis vix longiore PAT ie A. triflora R. Br. Inflorescentia breviter rs dioun, folia lanceolata, calycis laciniae 4 ellipticae, tubus bracteolis MA Dreviorss 4% À.corymbosaRgl.Schmalh. _. 4. Inflorescentia folia FL » aph da multiflora (foliis flora- Wa libus enim minutis bracteiformibus), calycis : . laciniae 5 spathulatae corolla duplo saltem - breviores, genitalia exserta ,.............. CS R. Br. 2 5. Bracteae EM minutae deltoideae. LT uniflora R, Br. or » iaceae elongatae, bracteolae minu- LE tae, nés) laciniae 5 spathulatae tubo corol- à lino parum breviores, genitalia e tubo exserta.A. rupestris Lindl. Dr 6. CR biflori tenues floribus sessilibus. 7 Rss. biflori nulli floribus pedicellatis... 4 biflora T ez. 7. Calycis IRON NT Ts Us o ES se À. spathulata S$. Z. » laciniae 2 (8-5) RONA RS SENS. à À. serrata S. Z. _ à. Pedunculi ex axillis summis laterales nunc corymbosoapproximati. | 1. Abelia triflora R, Br. in Wall. PL as. rar. I, 14, _ 1.15. Frutex erectus elatus ramulis minute puberulis, foliis utrinque viridibus sub anthesi membranaceis _ laevibus, in fructu chartaceis sat dense supra impresse " subtus elevato reticulatis ciliatis lanceolatis acuminatis _ integris (rarissimé prope basin hine v.utrinque 1-den- tatis); pedunculis apice ramulorum in inflorescentiam plurifloram densam approximatis brevibus 3 -floris, bracteis bracteolisque linearilanceolatis foliaceis, flori- bus centrali cujusvis pedunculi sessili 1-, lateralibus breve pedicellatis 3-bracteolatis; calycis longe pilosi Jlacinüis 5 subulatis corollae pilosae tubo cylindrico pa- k. rum brevioribus, limbo corollae parvo patulo, genitali- … bus inclusis. DC. Prodr. IV, 339. Wight, IL IN, 72, tt. 121.C. Hook. f. et Thot in Journ. Vo: soc. IT, 174. Lindl. Paxt. FL Gard.IIl,93,t.91. Brandis, For. f. Brit. Ind. 257. Hook. f. FL Brit. Ind. ILE, 9. (Wallich). . À. corymbosa Rgl. et Schmalh. in Act. h. Petrop. V, ne Frutex dumosus ramulis numerosis dense ap- presse deflexopilosis, foliis aride chartaceis utrinque viridibus subtus pilosis sat dense elevatoreticulatis lan- ceolatis obtuse breve attenuatis rarius passim incisis; pedunculis apice ramulorum brevium in corymbum pluriflorum arcte confertis 2—3-floris pedicellis sub- nullis, bracteis bracteolisque foliaceis lanceolato-ellip- ticis his tubum calycinum superantibus; calycis laci- nus 4 ellipticis, corolla utrinque pilosa vix calycem superante infundibuliformi limbo parvo patente, geni- talibus inclusis. Turkestan: prope Taschkent (Krause), alpibus Alexandri (Fetisow). * 8. À, chinensis R. Br. in Abel, Narrat. App. 377, ce. tab. Frutex decumbens, ramulis tenuiter pubescen- tibus, foliis ciliatis supra pilosulis ovatis acutiusculis, inflorescentia multiflora subtrichotoma terminal, pe- dunculis bifloris medio minute bibracteatis, floribus sessilibus, calyce basi 3-bracteolato limbi 5-partiti laciniis spathulatooblongis, corolla calyce duplo lon- giore anguste infupdibuliformi fauce imberbi limbo continuo quam tubus 5-lo breviore, genitalibus brevi- ter exsertis. DC. Prodr.IV,339, 4, Hanceana Mart. apud Hance in Ann. sc. nat. 5 ser. V, 17. ex ipso Hance in Journ. bot. XX, 289. China: prov. Kiangsi ad lacum Po-yang non procul a Kiu-kiang (Abel ex R. Br.), prov. Fokien ad Amoy in monte Lam-tai-wu (Hance), prov. Canton ad North river (Henry ex Hance in Journ. bot. XVIII, 261). Vidi fig. et descript. Brownii. 4, À. rupestris Lindl. Bot. reg. 1846, t. 8. Frutex decumbens, ramulis calycibus corollisque minute pube- rulis, foliis utrinque viridibus subtus secus costam parce villosis v. glabratis subcoriaceis ovatis acutiusculis ser- rulatis serratisve, pedunculis bifloris apice ramorum approximatis in inflorescentiam foliatam multifloram pe- dicellisque brevissimis, bracteis foliaceis oblongis, brac- teolis minutis deltoideis; calycis laciniis 5obovatooblon- gis tubo corollae infundibuliformi parum brevioribus, 4* x 55 Bulletin de l’Académie Impériale 56 corollae limbo patente majusculo, genitalibus exsertis. Lindli. et Paxt. F1. Gard. II, 130, f. 201. China: collibus Chamoo in rupibus, 1844 detecta. Verosimiliter ex parte Chinae australiori, quia ex Lindleyo circa Londinum hiemem aegre perdurat. Vidi cultam. 5. À. uniflora RBr. in Wall. PI. as. rar. I, 15. Ramulis calycibus et corollis minute puberulis, foliis utrinque viridibus coriaceis subtus ad costam villosis ovatis acutis passim serrulatis, pedunculis 1—2-floris apice ramorum approximatis in inflorescentiam folia- tam pedicellisque brevissimis, bracteis bracteolisque minutis deltoideis; calycis laciniis 2 (3) oblongis, co- rolla calyce duplo longiore late infundibuliformi fauce intus hirsuta, limbo patulo majusculo, staminibus in- clusis. Lindl. et Paxt. F1. Gard. II, 145. fig. 208. Belgique hortic. III, 338. Lindl. in Bot. reg. 1846. sub tab. 8. Bot. mag. t. 4694 (excel. synon. À. ser- ratae S. Z.). China: prov. Fokien in regione theifera (Reeves ex R. Brown, Fortune qui vivam introduxit, ex Lindley). Vidi cultam. Spec. authenticum R. Browni, cujus adumbratio- nem cum corolla decerpta ex herb. Mus. britann, mihi liberalissime transmisit el. F. B. Forbés, florae Si- nicae scrutator indefessus, a figura Hookeriana in Bot. mag. non parum quidem differre videtur pedun- eulis 1-floris et corolla duplo minore angustius infun- dibuliformi foliisque ovatis v. ellipticis subintegris, sed figura citata Lindleyi flores aeque parvos et minus late infundibuliformes foliaque vix serrata habet, ita ut medium teneat. Pedunculi ex Lindleyo quidem 1-flori, sed in fig. ejus citata inferiores flores tres ab- ortivos gerere videntur, item ut a Hookero triflori passim occurréere describuntur. b. Pedunculi semper biflori apice ramulorum terminales. 6. À. biflora Turcz. Enum. Chin. n. 93 in Bull. soc. Mosc. X, 2, pag. 152. Subprocumbens, ramulis hornotinis appresse reverse pilosis, foliis utrinque ad costas margine superneque parce Calyce saepeque co- rolla extus pilosis, foliis membranaceis ovatis lanceo- latis imo linearilanceolatis acutiusculis v. acuminatis integris v. serraturis paucis grandiserratis subconcolo- ribus laevibus; pedunculis bracteisque nullis, pedicellis distinctis, bracteolis minutis deltoideis v. rarius elon- gatis linearibus tripartitisve tum caducis; calycis laci- niis 4 oblongis tubo corollae angusté infundibuliformis parum brevioribus, limbo corollae intus pubescente, genitalibus inclusis. Maxim. F1. Amur. 472. Franch. PI. David. I, 151, tab. 11 (errore triflora signata). À. Davidü Hance in Journ. bot. VI, 329, XIII, 131. China borealis: in montibus ditionis Pekinensis (Kirilow!) ab urbe ad occidentem (Tatarinow!), v gr. Po-hua-shan (Bretschneider!), Siao-wu-tai-shan alt. 3600—5000’p. s. mare (Moellendorff!), prope Jehol (David!) Mandshuria austroorientali: jugo finitimo non procul a Korea (M. Jankowski! fl. 1884), ins. Russki (portu Deans Dundas) silvis montanis sep- tentrionem spectantibus sat frequens, usque 5-pedalis (ipse frf. 1860). Species sat variabilis formas duas bene distinc- tas praebere videtur: latifoliam foliis membranaceis vulgo fere integris et majoribus (4. bifloram Turcz.) et angustifoliam foliis vetustis firmis saepe serratis et minoribus (4. Davidii Hance). Sed bracteolarum forma valde ludit et alii characteres diagnostici pari- ter desunt. Ita exempla À. biflorae typicae pekinensis bracteolas ovatolanceolatas v. rarius lineares elongatas v. nonnullas deltoideas, mandshuricae semper deltoi- deas, Davidiana in fig. Francheti tripartitas fructu parum breviores, in exemplis communicatis jam deci- duas, florentia À. Davidi lineares rarissime tripartitas cum deltoideis intermixtis possident. 7. A. spathulata Sieb. Zucc. F1. Jap. I, 77, t. 34, f. 2. Ramulis glabris, foliis ovatis v. rarius lanceolatis acutis v. subito acuminatis integris v. grandiserratis superne parce pilosis ciliatis subtus glaucis ad costam villosis; pedunculis tenuibus calycis tubo duplo saltem brevioribus, floribus 2 sessilibus basi bracteolatis, brac- teolis minutis deltoideis: ; calycis limbo 5-partito iscutis . oblongis linearibusve corollà basi cylindrica tum subito infundibuliformi minute pubente plus duplo v. triplo brevioribus, genitalibus e tubo exsertis. Miq. Prol. 157. Franch. Savat. Enum. I, 205. À. serrata A. Gray in Perry’s Exped. 313 (fide Miquel, cui var. 8). Nippon, in sylvis et in montibus, v. gr. Simoda (Williams et Morrow Yaikint js Hakone (ipse), Yokoska (Savatier!, Moseley!), Kanasawa (ipse). 8. À. serrata S. Z. 1. c. 76,t. 34. Omnia praece- dentis; excepto calycis limbo bipartito laciniis ovalibus ls 57 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 58 v. ellipticis hinc 2-3-lobis-fidisve, corollaque calycis limbo duplo longiore. Miq. Prol. 156. Fr. Sav. En. I, 205, IT, 391. Hance in Journ. bot. XX, 5. Kiusiu, in montibus frequens (Siebold!, Buerger!): Kawara-yama non procul a Nagasaki (Siebold!), Miadzi, inter frutices, pl. tripedalis fl, lacteis (ipse), Sikoku (Rein!);, China: prov. Hupe et Sz-tchuen (Hance). — Japonice haec et praecedens: Tsukubane utsugi i. e. Diervilla quadrialoides, vel Ko tsukubane i. e. Qua- driala parva. In icone Sieboldi flores quidem paulo minores quam in praecedente delineati, at corolla calyce toti- dem longior ac in altera, quod equidem in exemplis numerosis non ita invenio. Siebold utramque promis- cue crescere affirmat atque conspecificam habet, mihi utraque et geographice sejuncta apparuit et calyx À. spathulatae constanter 5-partitus, in À. serrata rarissime, vulgo laciniis per 2 vel 3 connatis. c. Pedunculus elongatus 2-florus in bifurcatione ramorum. 9. À. adenotricha Hance in Journ. bot. IX, 132. Ad ramulos hornotinos pedunculos bracteas calycesque glandulosopilosa, foliis utrinque dense subtus densius appresse pilosis ovatis acutis integris, bracteis foliaceis - Janceolatis, floribus sessilibus, bracteolis...., calycis Fe laciniis 4 oblonkis fructu triplo brevioribus. China boreali: ditione Pekinensi ad Jehol (David * ex Hance). Species ob situm pedunculorum in furca ramulorum elongatorum et pubem capitatam in genere anomala, . floribus nondum notis. Inter pl. Davidi à Franchet _ enumeratas (PI. David. I, 152) deest, sed quaerit = Franchet anne sit eadem ac Lonicera Elisae Franch. Le. t. 12. f. 2. et folia pl. Hancei ab ipso autore communicata conspecifica declarat. Sed inflorescentia | ex descriptione nimis aliena videtur, ut jungantur. _ Adnot. Species 2 v. 3 americanae (genus Vesalea Mart. et Gal. in Bull. acad. Brux. XI, 24), recte __ obseryante Decaisne in Van Houtte F1. d. serr. II, sub tab. 5, ab Abelia non differunt nisi bracteolis non 8, sed in À. floribunda Dne I. €. 1—5, in À. coriacea Hemsl. (in Biol. centr. amer. Il, 4, t. 36 f. 1—5) “ binis. Inflorescentia pluriflora terminalis seriei nostrae _ primae, Pedunculi apice foliaceobracteati pedicellique _ evolnti. Corollae incurvae elongatae cylindrico-infun- dibuliformes, stamina inclusa, stylus subexsertus. Folia parvula quoad formam potius species chinenses refe- rentia, sed vel integra v. regulariter serrata. Lonicera emphyllocalyx. (Subgen. Chamaecerasus, ser. 2. Maxim. in Mél. biol. X, 63) Ramulis petiolisque no- vellis pube minuta dense pilisque longis hirsutis, foliis approximatis parvulis brevissime petiolatis ovatis utrin- que obtusissimis superne àd costam subtus ubique longe pilosis; pedunculis calycem superantibus dense puberulis, bracteis subulatis pilosis calyce sesquilon- gioribus, bracteolis crasse coriaceis in tubum obsoletis- sime bilobum connatis calyces liberos ovales glabros subsuperantibus, limbo calycino marginiformi, corolla intus et extus pilis longis hirsuta, tubo cylindrico basi - gibbo limbo sesquilongiore laciniis oblongis, genitali- bus breviter exsertis glabris. : Nippon: alpe Nikko (flor., Tanaka sub nom. jap. Kuromino uguis, ex quo nomine fructu nigro gaudere videtur). E nostratibus nulli, ex indicis Z. tomentellae Hook.f. et Thoms. (Hook. f. ‘FL Brit. Ind. III, 12) affinis, -quam tamen non vidi. Ex descriptione brgriore omnes partes similes et subaequimagnae videntur, praeter bracteas subulatas, nec anguste oblongas, bracteolas totum calycem tegentes, nec breves, et calyces liberos, nec in fructu coalescentes. Ramulus communicatus 75 mm. longus, cortice _vetusto laevi glabro nigrescente, innovationibus instruc- tus 2, altera basali brevi, altera terminali 25 mm. longa, utraque florifera. In hac foliorum paria 6 et 2 juvenilia. Folia maxima (terminalia) 30:20 mm., petioli 2 mm. Pedunculi 4 mm. vel breviores, Calyx 2 mm., corolla 10 mm. Lonicera gracilipes Miq. var. glandulosa. Calycis tubus densissime, pedunculus parcius pilis capitatis tectus, corollae tubus extus pilosus, stylus pilis paucis obsessus, petioli foliaque subtus ad costas appresse pilosa. Nippon media (f. mis. Tanaka s. nom. jap. Ugu- isu kagura). In forma typica folia vulgo glabra, calyces et pedun- culi rarius passim pilo capitato uno alterove instructi, et folia vulgo minora; in var. proposita maxima 75 : 50 mm. et petiolus 8 mm. 59 Bulletin de l’Académie Impériale | 60 Diervilla Tourn. Species asiaticae. Calycislimbus2—3-partitus laciniis2—3-lobis, corolla lutescens, antherae sub stigmate cohae- rentes, semina lanceolata apice basique lon- HORS der D Gels «1 D. Middendorffiana Carr, Calycis limbus aequaliter 5-fidus v. 5-partitus, corolla alba rosea y. fuscorubra, antherae li- berae. 2. 2. Laciniae calycis lanceolatae, corolla rosea, semina triquetra exalata .............,..... D, florida $. Z. Laciniae calycis lineares, semina alata. 5. 3. Corollae tubus e basi cylindrica subito late infundibuliformis. 4. Corollae tubus aequalis anguste infundibuli- formis fuscus v. initio virescens cum ovario et calyce pilosus, folia villosa,............. D. floribunda S. Z. 4. Glabrescens elata macrantha, corolla initio Inctéa tumrOSBg.. 4.40. tione sh ésie evene D. grandiflora $. Z. Pilosa, corolla rosea...................... D. japonica DC. 1. D. Middendorffiana Carr. Rev. hortic. 1853, 306. 1854, 261, t.14. Van Houtte, FI. d. serr. XI. t: 137: S Moofre in Journ. bot. 1878, 129 (var. Maximowiczii $S. Moore). Ca Lstecatiosa Midd. Trautv. et Mey. in Bull. phys. math. Acad. Pétersb. XIII, 220. F1. Ochot. n. 162, t. 25 a. et b. Rgl. Til. F1. Ajan. n. 143. Rgl. Gartenfl. 1857, t. 183. Maxim. FI. Amur. n. 350. F. Schmidt. F1. Amg. bur. n. 186. F1. Sachal. n. 208. Wagneria Midd. Verschaff. in Il. hortic. 1857, t. 115. Sibiria austroorientalis: circa Ajan (Tiling), ad sinus Mamga et Ujakon (Middendorff), ad ostium fl. Tugur (Orlow); Mandshuria borealiorientali: mon- tibus Uda et Oghobi prope Nikolajevsk, circa De Castries; ins. Sachalino vulgaris supra terminum Coniferarum (Glehn, F. Schmidt), ÆKurilis (flor.);, Nippon: alpe Nikko (Tschonoski, Bisset!). 2, D. florida Sieb. Zucc. F1 Jap. I, 75 (1835). Carr. Rev. hortic, 1853, 309. Hance in Journ. linn. soc. XIII, 81. Calysphyrum floridum Bge Enum. Chin. n. 196. Weigela rosea Lindl. in Journ. hort. soc. I. (1846), 65, t. 6. Bot. mag. 4396. V. Htte. FI d. serr. IT, 211. D. rosea Walp. Ann. I, 365. Franch. PI. David. I, 151. Weigela pauciflora D C. et W. florida DC. in Ann. se. nat. 2 ser. XI, 241. Calysph. paucifl. Bge in Walp. Repert. Il, 450. Dierv. paucifl. Carr. Rev. hortic. 1853, 310. D, amabilis Carr. ibid. 305. Planch. in V. Htte. F1. d. serr. VIII, 287, t. 855. Bot. mag. 4893. China borealis: Pekini in hortis tantum (Omnes coll.), in montib. occidentalibus (Bretschneïder), Jehol, in sylvis vallium altiorum (David!), Tschifu (Wawra! n. 1198), China media (Fortune! À. 25); | Korea (Schlippenbach!), archip. Koreanus (O1dh.! n. 490), Mandshuria austroorientalis: sinu Possiet ad | declivitates rupium littoris frequens, portu Bruce simi- li loco (ipse, frf.), ad fl. Sedemi in rupibus rarius (Jankowski, fl). Planta nonnibil variabilis. Illa e Korea et Mand- shuria, ad typum pertinens calyce 5-fido, densius, in- terdum etiam ad fructum, pilosa, filamenta basin versus pilosa habet ut typica, sed pili densiores et longiores. Spec. ex archip. Koreano Oldh. n. 490, a Miquel ad D. versicolorem ductum, mihi huc pertinere videtur ob folia concolora longius pilosa, qualia pl. koreano-mand- shuricae propria, calyces limbi enim jam caduci. D. amabilis Carr. typo simillima, at speciosior, calycis limbo 5-partito laciniis linearilanceolatis di- versa, quoad patriam dubia, mihi videtur var. grandi- flora D. floridae et ob flores majores potius e borea- lioribus locis orta, fortasse ex hortis Pekinensibus. Ludit fl. albis: Weigela alba Carr. Rev. hortic. 1861, 331, ex ipso autore tantum varietas dicta. W. Isalinae V. Htte. F1. d. serr. XIV, t. 1445. Occurrit in hortis Belgii corolla alba roseostriata (W. amabilis striata V. Htte 1. c. t. 1446, calycis limbus 5-fidus) et limbo aÿbo lobo altero roseo. Semine majusculo exalato triquetro dense impresso- punctato optime ab omnibus diversa. Planta ex Chinae prov. An-whei sub nomine D, Japonicae a Hance in Journ. of bot. XX, 289 memo- rata, mihi ad D. floridae var. amabilem ducenda videtur, quia a Hanceo a D. versicolore $. Z., quam a mee Japonia acceperat, non distinguenda dicitur. 3. D. grandiflora $. Z. FI. Jap. I, 71, t. 31. D. co- raeensis DC. Prodr.IV, 330. Weigela cor. Thunb. in : Acta linn. II, 331. et fig. ined.! XKorei utsugi. Kaempf. Amoen. 855. Icon. ed. Banks, t.45. D. japonica Miq. Prol. 157 p. p. À. Gray, Bot. Jap. 392 p. p. et — syn. W. roseae. Nippon: Simoda (Alexander!, Yolkin), Hakone 4 (Siebold!, Buerger!), Yokoska (Savatier! n. 549), Yokohama, in fruticetis frequens, Tokio culta (ipse), . is circa dmnoer frequens et luxurians dub des Sciences de Saint-Pétersbourg. 6? Frutex 4—15-pedalis truncis pluribus brachii cras- sitie, macrophyllus, dense frondens, quam sequens minus speciosus ob frondem neque flores sub anthesi praevalentem. Pedunculi longiuseuli vulgo distincti.— Legi semel in littore limoso plantulas biennes tripolli- cares jam floriferas! Nomen D. coraeensis inaptum, quia species e Korea non innotuit, Kaempferum vero hanc Korei utsugi nominasse ex falsa interpretatione char acterum sinen- sium demonstra vit Siebold 1. c. 73. 4, D. japonica DC. Prodr. IV, 330. Miq. Prol. 157, excel. syn. plerisque. Weigela jap. Thunb. FI. Jap. 90, t. 16. et in Act. linn. IT, 331. Act. holm. 1780, 137, t. 5 (ex DC.). Nippon utsugi, Kaempf. Am. 855 (verosimiliter). D. hortensis $. Z. F1. Jap. I, 70, t. 29, 30, 33, £ 2. Japonia in montanis: Kiusiu prope Kuma-moto in fruticetis montium, Nippon: Fudzi-yama sylvis vetustis lateris continentalis (ipse), Hakone (Moseley!}, Yo- kohama, rara (ipse), Nambu (Tschonoski), Yezo circa Hakodate (ipse). É A proxima D. grandiflora $S. Z. in vivo statim distin- À GTR dE A guenda: frutex minor (5-pedalis), folia quoque minora subtus saltem dense pubescentia v. villosa, flores nu- merosiores, corolla minor ab initio rosea, pedunculi (non obstante tabula fl. Jap.) vulgo fere nulli, sed oc- _ currunt aequilongi ac in praecedente et usque 7-flori, quod obvyenit praesertim in planta culta, quae simul _ folia subtus canescentivillosa habet et veram sistit D. hortensem S. Z. (Blume misit!). 7 Haec var., D. hortensis $S. Z., praesto est culta e Japonia (Buerger, mis. Miquel s. nom. D. floribundae _ var. hortensis), pariter culta e Nagasaki et Yokohama _ (ipse, varians /?. albis) et sponte crescens ad Yokohama fl. roseo (ipse), e Yokoska (Savatier n. 548 s, n. D. floribundae). PE 5. D. floribunda $S. Z. FI, Jap. I, 73, t. 32. Miq. = Prol. 157 (excel. syn. D. hortensis $. Z.). Carr. L c. 307. D. versicolor 8. Z. 1. c. 74, t. 33. fig. 1. excl. syn. D. multiflora Lem. IL. hortic. X (1863) t. 380. Japonia (Siebold!, Blume!): Nagasaki, culta, Kiusiu interiore in fruticetis planitiei prope Miadzi _ (ipse). D.multiflora Lem. sistit hujus formam genitalibus, nn stylo, paulo magis exsertis. À. Gray (Bot. Jap. 392) iconibus tantum fultus conjunxit 1). floribundam S. Z. et D. hortensem S. Z., equidem comparatis exemplis authenticis priorem et D. versicolorem $. Z. In hortis vero sub nom. D, ver- . sicoloris habere solent D. japonicam, conf. Carr. Rev. hortic. 1853, 305. Adina globiflora Sal. Parad. Lond. t. 115. Benth. FL. Hongk. 146. Maxim. in Engl. Bot. Jahrb. VI, 67. Kiusiu: prov. Satsuma prope Kago-sima, prov. Osumi, sponte crescens, arborea, jap. Tani watarinoki (Tashiro!), China: Hongkong (Fortune! n. 119, Wright!, Forbes!) Randia canthioides Champ. Maxim. in Mél. biol. XI, 791. Hucusque e Hongkong tantum notam, nune in ins. Liukiu detexit Tashiro, flor. Majo. Diplospora viridiflora DC. Prodr. IV, 477. Benth. in Kew journ. IV, 195. F1. Hongk. 157. Liukiu (Tashiro! s. nom. jap. Koffi modoki fr. juv.) China: Hongkong (Wright!, Hance!, Forbes!), col- libus Pakwan supra Canton (Hance!). Psychotria elliptica Ker. Maxim. in Mél. biol. XI, 797. et in Engl. Jahrb. VI. 67. Liukiu (Tashiro!). | Hujus synonymon est, fide Tashiro, Aucubaephyl- lum liukiense Ahlburg in Bôt. Zeit. 1878, 113, cu- jus descriptio nimis incompleta non nimis contradicens, exceptis tamen «petalis» patentibus caducis (nec co- rollae tubo brevi obconico), filamentis 4 disco (nec 5 tubo) insertis et stigmate 5-partito (nec 2-lobo). Anne hae differentiae partim errores typographici v. gr. staminum et stigmatis loborum numerus, partim for- tasse male observatae? Lasianthus Wallichü Wight. Maxim. in Mél. biol. XI, 797 Liukiu: insulis O-sima et Okinawa (Tashiro! fl. et cum alab, s. nom. jap. Maruba ruriminoki). Glossocomia Don. Duae species in Asia orientali crescunt, inter se persimiles et saepissime confusae, verumenimvero signo gravi optime distinctae: 1. G. lanceolata S. Z. F1. Jap. I, 174, t. 91) sub. Bulletin de l’Académie Impériale 64 Campanumoea) Major, foliis margine setulosis ceterum glabris v. rarissime parce pilosiusculis, corolla late _infundibuliformi-campanulata fundo corollae inter sta- mina quinquangulo, seminibus late alatis opacis lac- teis. Miq. Prol. 123, 359, 366. G. hortensis Rupr. in Bull. phys. math. Acad. Pétersb. XV, 209. Tsuru ninsin, Thunb. F1. Jap. 353. pl. incert. n. 21. Per totam Japoniam frequens, in Mandshuria australiori, v. gr. ad Usuri medium, lacum Hanka, circa Wladiwostok; China boreali: in montanis cirea Pekin, v. gr. Takiosze, monte Po-hua-shan cet. 2. G. ussuriensis Rupr. et Maxim. in Bull. L c. Minor, foliis margine setulosis subtusque saepe pilo- sulis, corolla angustius infundibuliformi-campanulata fundo inter stamina quinquefossulato, seminibus apte- ris lucidis brunneis. Maxim. FI. Amur. 184. G. lan- ceolata Rgl. F1, Ussur. n. 316. Ba sobu, Itô Keiske, Nihon san budz shi, Mino, III, 9, Nippon media (Tschonoski): Fudzi yama (Itô Keiske), Hakodate (ipse), Mandshuria, in desertis graminosis sylvisque frondosis lucidis frequens, ad Amur australem, totum Usuri f., ad fl. Suifun et us- que ad limites Koreae, Scaevola Koenigi Vahl, Symb. III, 36. Clarke in Hook. f. FL Brit. Ind. III, 421. Hance in Journ. bot. IX, 202. Engl. in Bot. Jahrb. VI, 68. Sc. Lo- belia Benth. FI. Hongk. 198. … Liukiu (Doederlein fide Engler), Bonin-sima (Wright! frf., Yatabe! fl. s. n. Kusa tobera i. e. Pit- tospori herbacei); China: Hongkong (Wright!), Prata island (Hance). Distrib. ad littora tropica utriusque orbis. Vaccinium lasiodiscus. (Sect. Æuvaccinium, ser. fl. solit. axillaribus, À. Gray, Syn. fl. N. Am. IL, 1. p. 24). Ramulis obtuse angulatis, novellis fiiformibus divergen- tibus cum foliis subtus pedunculo totoque flore minute hispidulopuberulis, foliis parvis membranaceis 1-ner- viis laxe reticulatis sessilibus linearilanceolatis acutis- sime acuminatis versus basin obsolete crenulatis; pedun- culis axillaribus bibracteatis flore brevioribus defloratis nutantibus, bracteis linearibus membranaceis ciliatis, calycis cum pedicello articulati tubo hemisphaerico dentibus 5 acute deltoideis duplo brevioribus, corolla rt urceolata ovali breve 5-dentata dentibus deltoideis | patentibus, staminibus 10 filamentis subulatis ultra medium villosis antheram superantibus, anthera mu- tica loculis quam tubuli antice poro obliquo aperti duplo brevioribus, stylo tubum corollae fere aequante cylindrico disco tumido dense hispido umbonato im- posito, ovario 5-loculari. Japonia: sine loci specialis designatione s. n. jap. Sunoki (variis Vacciniis communi) misit spec. 1. fl. Tanaka. Species sui juris, ex prima fronte Chiogeni hispi- dulae non absimilis, a speciebus americanis jam fila- mentis villosis diversa, neque ulli aliae descriptae apte associanda. Ramus missus, a crassiore abruptus, 14 cm., bis dichotomus, dichotomia secunda novella cum ramulo novello accessorio infra dichotomiam unam. Folia in sicco nigrescentia, internodia duplo superantia, 12 : 4 mm. ad summum magna. Flores ex omnibus axillis ramulorum innovantium inde a basi ipsa orti, folia aequantes, Bracteae varia altitudine pedunculo in- sertae, mox utraque approximata, mox pl. m. remota, cito post anthesin caducae. Calyx 1,5 mm., corolla 6 mm. longa. Vaccinium praestans Lamb. in Trans. linn. soc. X, 264, t. 9. Ledeb. FL. Ross. II, 904. F. Schmidt, FI, Sachal. n. 285. Maxim. FI. Amur. 187. Zwatsu- tsusi. Ito Keiske, Nihon shioku buts dzu setsu, I, 6 (fig. opt.). Nippon: prov. Senano sub nom. Iwa tsutsusi i. e. azalea rupestri mis. frf. Tanaka. Sachalin; Mandshuria borealiorientali a sinu Hadshi usque ad Nikolajewsk; et e Kamischaïtka. Rhododendron Tashiroi. (Eurhododendron). Innovatio- nibus (foliis vix erumpentibus superne) rufosetosis mox glabratis, gemmae floriferae acute ovoideae setosoto- mentosae triseriatim imbricatae tegmentis ovatis post anthesin caducis, foliis apice ramulorum subternis co- riaceis dstolé bus utrinque tenue subquadricostatis superneque impresse reticulatis laevibus glabris brevi- petiolatis ellipticolanceolatis subito breviter acumina- tis; floribus 2—3 umbellatis, pedunculis brevibus inclusis ebracteatis calyceque brevissime 5-dentato ru- fosetosis, corolla late infundibuliformi profunde 5-fida laciniis oblongis, genitalibus glabris, stylo stamina 10 paulo superante corollam fere aequante, ovario ovoideo rufostrigoso 5-loculari. Tum innotuit e nat. PCR CAE OT EL. P ho n ne ff PÉTER EN ST PR SOS DENTS Ve Es ET es ce ME 65 des Sciences de Saint-Pétersbourg. In Japoniae australis ins. Tanega-sima (Tashiro! flor.) et fortasse in Läukiu ins. O-sima, (Doederlein, sterile) si recte ex memoria huc refero «Rh. spec. ex affin. FA. ovati, sed pube setosa distinctum» Maxim. in Engl. Bot. Jahrb. VI, 64. Nulli e descriptis apte comparandum! Habitu non tam Æurhododendri quam Tsusiae, cui lubentius adnu- merarem et quam in mentem vocat foliis diminutis (3—10 mm. longis) paucis ad basin gemmarum folii- ferarum, sed gemmae floriferae perscrutatae minime folia novella sed tantum flores fovebant et unicam in- veni ubi extus arcte approximata aderat gemma pro- pria angusta, e qua folia novella erumpere incipiunt. Ita absque dubio ad Eurhododendra pertinet. Quoad folia ad Eh. ovatum PI. paulo accedit, modo crescendi in mentem vocat Rh. Seniawini m. (inter Tsusias). Foliorum lamina inter 20 :13 ad 65:26 mm., ple- rumque 50:20 mm., petioli 2—7 mm. Peduneuli 7 mm., corolla 25 mm. longa eodemque fere diametro, colore ignoto. Antherae ôchraceae 1,5 mm., poris ro- tundis majusculis. Stigma subtruncato-capitatum ob- solete 5-lobum margine tenui elevato circumdatum. Rhododendron pentaphyllum. (Sect. Azalea, ser. 1. Ma- - xim. Rhodod. 25). Elatum ramosissimum, foliis e gem- mis propriis ad basin floriferae sitis, apice ramorum per 5 approximatis et patentibus late ellipticis basi breve in petiolum cuneatis apice acutis juvenilibus su- perne secus costam tenere puberam margineque cine- reopilosis adultis glabris utrinque subtus prominulo- _ 6-costatis reticulatisque; floribus praecocibus solitariis e gemma ortis ejusque tegmentis sub-5-seriatim imbri- catis fultis, pedunculis exsertis calyceque 5-dentato . (dentibus deltoideis acuminatis) glabris; corolla rotato- campanulata 5-partita laciniis obcordatis purpurascen- tibus concoloribus, staminibus 10, ovario glabro. he Kiusiu: prov. Osumi, cacumine m. Taka-kuma (Tashiro fl.) A Rhod. quinquefolio Bisset et S. Moore in Journ. bot. XV.292, ex descriptione persimili, a me non viso, _ abhorret tamen sectione diversa, floribus non coaeta- _ neis, tegmentis intimis extima triplo excedentibus margine dense albociliatis, foliis non rhombeis, pedun- _ eulis vix mediam corollam (nec folia adulta 3—4 cm. longa) aequantibus, corolla duplo majore. Ipsi autores _tamen de sectione dubitant. . Tome XXXI. Spec. ante oculos 1 florens aphyllum, aliud sterile cum innovationibus valde juvenilibus Gemmae flori- ferae anguste oblongae tegmentis duplo latioribus et majoribus quam illa gemmarum folliiferarum, quae linearioblonga sunt. Folia adhuc omnia convoluta, sed explicata late elliptica. Pedunculi bracteis 2-—3 linea- ribus fuscomembranaceis fugacibus cbsessi. Corolla diam. 5—7 cm. Lysimachia Tanakae. (Sect. II. Lysimastrum Duby). Reptans, praeter folia superne rufovillosa, foliis oppo- sitis petiolis laminam cordatorotundatam apiculatam | dense ciliatam subtus crebre nigrolineolatam aequan- tibus; peduneulis axillaribus folio brevioribus erectis, calycis 5-partiti laciniis oblongis obtusiusculis elineatis, corollae fere ad basin 5-partitae laciniis oblongis ver- sus apicem parcissime lineatis, staminibus triplo bre- vioribus glabris filamentis ad medium connatis late subulatis, ovario parce piloso, stylo glabro corollam fere aequante. Nippon austroorientali: prov. Kïï, japonice Miyama konasubi (Tanaka, fl.). Proxima L. Christinae Hce in Journ. bot. XI, 167 a nostra differt glabritie, foliis immerse lineolatis, pe- duneulis folia aequantibus, calyce corollaque crebre lineolatis, staminibus duplo corolla brevioribus, fila- mentis glandulosis. ZL. Nummularia L. magis distat foliis brevipetiolatis rotundatis, pedunculis brevibus, calycis corollaeque laciniis ovatis, filamentis basi con- natis glandulosis et glabritie. Spec. missum spithamaeum apice radicans, caule filiformi. Internodia laminas foliorum duplo superan- tia. Calyx 5,5 mm., corolla lutea 10 mm. longa, stylus cum ovario 7 mm. Samolus floribundus H. B. Kth. Enum. II, 181. Duby in DC. Prodr. VIII, 73. S. Valerandi var. americanus À. Gray, Syn. fl. N. Am. II, 1, p. 64. Yezo, s. n. jap. haï hamabossu fl. c. fr. misit R. Ya- tabe, ex quo provenit etiam in Nippon prov. Kadzusa (ex adverso Yokohamae sita). Distrib. per Americam utramque a Connecticut! et California australi! ad Chile! et Argentinam! Specc. japonica 4 missa in americana pernumerosa comparata optime quadrant, sed omnia ex axillis radi- cantia, quod tantum in californicis et borealiamerica- nis rarissime observavi. Species a $. Valerandi levio- 5 67 Bulletin de l’Académie Hmpériale RDS a sr LT ONE Ti LR A PO CNE EN AE PE A Rs 1 07 DUT PAUVRE LE CR dE ex £ of TRE" PTE Te np Eh À 3 CS RER Re ’ ie" ; TAT ENT PAI Le p, ribus quidem signis, sed constantibus distincta et tran- situs uullos vidi: racemus laxior oliganthus, bracteo- lae minutae, folia subavenia tenuiora, flos duplo minor, petala capsulaque calycem parum superantia, Lies cell graciliores longiores recti, neque saepissime ad bracteolas sursum geniculati. Diospyros Oldhami. (Æudiospyros A. DC.) Omnibus partibus praeter costarum folii axillas subtus barbatas demum nudas glaberrima, foliis membranaceis ovato-v. rite ellipticis basi obtusiusculis v. acutis apice acumi- natis, floribus à subternis racemosis petiolum sub- superantibus, calyce campanulato 4-lobo lobis ovatis breve acuminatis, corolla calycem triplo superante ur- ceolatocylindrica 4-dentata dentibus rotundatis, sta- minibus 16 pluriseriatis, ovario minuto truncato gla- bro, floribus ©... Formosa: Tamsuy (O1dh.! n. 36 s. n. «Ternstroe- miaceae n. gen.?» flor. incip.). Conferenda cum D, chartacea Wall, quam non vidi, ceterum primo aspectu similis D. Loto L., seû partibus floris glaberrimis et structura diversis dis- tincta. Parsonsia spiralis Wall. DC. Prodr. VIII, 402. ‘Hook. f. FI. Brit. Ind. IIT, 650. Heligme javanica A. DC. I. ce. 425. Liukiu: in rupibus scandens (Small! «flores vi- rescentilutei»), ins. Okinawa (Tashiro!). Distrib. China, Ceylon!, India trans Gangem et cis Gangem in Silhet et Deccan, archip. Malaicus. Buddleia Lindleyana Fort. Maxim. in Mél. biol. X, 674. Liukiu: (Tanaka). Raliquis stationibus 1. c. adde: Shanghai (Forbes). | Erythraea japonica. (Sect. III, Spicaria Gris.). Caule stricto superne ramoso, foliis ovaliellipticis basi ro- tundatis apice obtusis, floralibus parum diminutis su- perioribus ellipticis acutiusculis, cymis spiciformibus basi dichotomis, floribus omnibus brevissime pedicel- latis 5-meris, corollae tubo infra stamina sito calyce breviore, parte supra stamina limbi lobos oblongos ob- tusos aequante, staminibus ad loborum basin attingen- tibus, antheris oblongis filamento fere triplo breviori- bus, seminibus seriatim areolatotuberculatis. Liukiu: insulis O-sima et Okinawa, in maritimis (A. Tashiro). Affinis Æ. spicatae Pers., quae differt foliis florali- bus diminutis linearilanceolatis, caulinis acutiusculis, tubi corollini parte infra staminum insertionem plus duplo illam supra stamina, hac limbum superante, an- theris plus duplo filamento longioribus dimidias corollae lacinias attingentibus, floribus sessilibus. Usque 30 cm. alta, basi aphylla, a medio ramosa. Folia caulina maxima 28 : 13 mm., floralia 8 : 3 mm. Calycis 9 mm. fere ad basin partiti laciniae lineares acuminatae, Corolla 13 mm. Semina immatura 0,2 mm. Adnot. E. centaurioides Hook. Arn. Bot. Beech. 266. cum syn. Chironiae cent. Roxb. FI. Ind. I, 584., e Liukiu, mihi ignota. An eadem ac Æ. Roxburghü G. Don Gen. syst. IV. 206 in Hook. f. F1. Brit. Ind. IV, 102, ubi tamen de distributione ultra Zndiam nulla mentio facta est? Pterygocalyx volubilis Maxim. Yezo (Tanaka, japonice: hosoba tsuru rindou). Distrib. Mandshuria. Ex Clarke in Hook.-f. FI. Brit. Ind. IV, 106. Crawfurdiae subgeneri ejus Dipterospermo adscribenda esset, sed a speciebus tribus indicis enumeratis jam foliis membranaceis angustis et corolla eplicata differt. Ophelia Tashiroi. Glaberrima annua vel biennis, foliis 1-nerviis ad vaginas nudis, inferioribus petiolatis ob- longoellipticis acuminatis, summis brevissime petiolatis anguste ovatis, caule robusto tereti apice in paniculam pyramidatam linearibracteatam laxissimam soluto, flori- bus majusculis paucis pedicello apice incrassato bre- vioribus 5-meris, calycis lobis deltoideis, corollae par- titionibus oblongolinearibus acuminatis media longi- tudine macula obscura leviter biloba nuda instructis, filamentis subulatis, capsula ovoidea apice attenuata petala aequante, seminibus numerosis triquetris mu- ricatis. Kiusiu: prov. Osumi, japonice Hetsuka rindo (Ta- shiro, Octobri fructif., fl. ult.) Habitus peculiaris et characteres ab alis Opheliis diversi. In alabastro 7 mm. longo maculae epipetalae vestigium nullum, adest tantum in flore adulto (14 mm. longo) nec ibi bene expressa: colore obscuriore et ma- culis minutis hieroglyphicis v. vermicularibus obscuris 4 plurimis picta a reliqua lamina tantum distincta. Fo- liorum paria 4—5, maxima fere 6 poll. longa, 3—3%, poll. lata, e quibus inferiora 3—4 basi caulis conferta, des Sciences de Saint-Pétersbourg. 70 par unum in medio caule, reliqua jam bracteiformia angusta. Ophelia a Swertia habitu optime, characteribus vero vix ullis diversa, recte fortasse a Benthamio cum Swertia juncta est, nam characteres boni constantes non adesse videntur, ne in semine quidem. Examinavi _semina in omnibus ubi matura observare contigit et inveni laevia in Ophelia macrosperma m. (Clarke), Chirata Gris. et purpurascente Don, Swertia multicauli Don et Pleurogyne carinthiaca Gris., tuberculata in Ophelia florida Don, nervosa Gris., zeylanica Gris., bimaculata $S. Z., Swertia Schimperi Gris., alulis crispulis subparallelis numerosis tecta in Swertia lactea Bge et petiolata Royle, late alata in Sw. perenni L., iberica Fisch. et speciosa Wall. In nulla tamen tam acute muricata observavi quam in nostra. Ipomoea pes caprae Sw. DC. Prodr. IX, 349. Benth. FI. Hongk. 238. Japonia: in maritimis prov. Idzu, ins. Hatsisjô, ins. Kiusiu prov. Hiuga et Osumi, insulis Tanega-sima, Yakuno-sima, Yerabu-sima, Sitsitô; Liukiu (ex Tashi- ro, jap. gun bai hirai gawo), Bonin-sima (Yatabe! nom. utshiwa kadsura); China: vidi e Formosa et ins. Hainan (Hancock!). Tum in tropicis fere ubique. Ipomoea reptans Poir. DC. Prodr. IX, 349. Liukiu (Wright!), China: circa Pekin culta in paludibus et locis siccioribus, folia sistunt olus sapidum (Bretschneider!). Per tropicos usque in Africam. Formae duae: microphylla latifolia flore roseo, an spontanea? (a Wright lecta) et macrophylla angusti- folia albiflora (culta pekinensis). A plerisque autoribus flores quidem rosei dicuntur, Rheede (Malab. XI, 107) intus albos extus purpurascentes describit, sed in libris sinicis (ex Bretschn.) planta in China diu culta v. in nonnullis étre spontanea albiflora dicitur. £ _ Ipomoea insularis Steud. Pharbitis insularis Choisy … Conv. or. 57. DC. Proûr. IX, 341. Nippon australi: prov. Kü, Xiusiu: prov. Satsuma __ (Tashiro!), Liukiu: ins. O-sima (Wright!). . Choisy radicem annuam dicit, nostra planta vero. - ab A. Gray in scheda Wrighti ita nominata, planta robusta perennis radice crassa elongata, caule tenaci di _pilis parcis appresse piloso, foliis non cinereopubes- sale corolla alba ni dr coerulea. In Japonia a Tashiro praesente certe spontanea dicitur. Dubitare licet igitur, anne nostra et Choisyana (ex Polynesia orta) re vera conspecificae sint. Ipomoea hederacea L. Syst. XV, 207. Turez. En. Chin. n. 147. Pharbitis hederacea Choisy, Conv. or. 58. DC. Prodr. IX, 344. I. triüloba Thunb.! FI. Jap. 86., Icon. ined.—nec L. Pharbitis tr. Miq. Prol. 25. Fr. Sav. En. I, 330. Ph. Ni Bge. Enum, n. 258. nec Choisy. Sieb. Zucc. F1. Jap. fam. nat. n. 509. Ringo vulgo Asagawo Kaempf. Am. 856. Asagao. Soo bokf. IV, 18. Japonia: Kiusiu in fruticetis littoralibus(Buerger!), Yokoska saepe culta et hinc quasi sponte (Savatier), Yokohama, culta (ipse), China: cirea Pekin, ad vias in planitie et montibus perfrequens (Dr. Bretschnei- der!). In Zndia vulgaris ct ubique in tropicis et sub- tropicis occurrere dicitur. I triloba Thunb. certe ab I. hederacea non differt, nam radix, a Thunbergio quidem non collecta, etiam annua, ut patet e specimine in ejus herbario, in icone linedita delineato, ubi cotyledones adhuc persistunt. Radix perennis tuberosa autem de qua loquitur ad praecédentem speciem spectat, ab incolis etiam Asagawo appellatam. Reliqui characteres autem identici. I. hederacea 1. aegre distinguitur a specie sequente, quacum jungitur a Clarke (in Hook. f. F1. Brit. Ind. IV, 199): foliorum lobo terminali saepissime basi atte- nuato (neque dilatato), pedunculis tenuibus brevibus 1-floris (neque crassis elongatis saepe 3-floris) et co- rolla minore. Sed adest signum constans in seminum colore nigro (unde sinice Koku tsin) in Z. hederacea, albo (sinice baku tsin) in Z. Ni Roth, ut ipse vidi in specc. a Dre Bretschneidero e Pekino missis. Folia plantae japonicae interdum ad nervos pallidius maculata. Species a hortulanis Japonensibus in deliciis habita, cultura diutina mirum in modum variabilis facta est, quam forma foliorum tam indole forum. Folia occurrunt tripartita lobis longe acuminatis, saépe iterum fissis in lacinias lineares. Corollam vidi 5-petalam petalis ex ungue filiformi spathulatis et alio modo diversissime monstrosam, de quibus monstrositatibus tractant opera duo ARRETE cum multis figuris. Vera I. Nil Roth Catal.I, 36. Convolv. Ni L. Cod. 1225. Pharbitis Nil Choisy, Conv.or. 57. DC. Prodr. 5* 71 Bulletin de l'Académie Impériale 72 IX, 343, ex Choisyo in tropicis ubique crescens, Pekini culta (Bretschn.!, Tatarinow!), seminibus albis ab I. hederacea distinguitur. Species delenda. Ipomoea kadsura Ch. Conv. or. 93. DC. Prodr. IX, 388. Thunb. FI. Jap. 350. pl. obsc. n. 6. sub Convolvulo, Karami kadsura, Saisin, e genere et familia excludenda et ad Cocculum diversifolium Miq. ducenda videtur. Solanum verbascifolium I. Cod. 1456. Dunal in DC. Prodr. XIII, 1, p.114. Hook. Arn. Bot. Beech. 202. Liukiu (Tashiro!)}, China australi (Hook. Arn.!): Formosa (Oldh.! n. 341), Hainan (Hance!) et per tropicos. Cupsicum frutescens L. Cod, 1499. Dunal I. c. 413. Osbeck It. 177. Lour. FI. Coch. 158. Bonin-sima (Yatabe! frf.), China: circa Canton cultum (Osbeck). Vidi praeterea ex India (Wallich! n. 2642), San Jago capitis Viridis (Jaeger!) etc. Physalis peruviana L. Cod. 1451. Dunal in DC. Prodr. XIII, 1, p. 440. Clarke in Hook. f. F1 Brit. Ind. IV, 238. Bonin-sima (Yatabe, japonice Budô hôdzuki). Ex America tropica orta inter tropicos ubique distribnta culta et spontefacta. Physalis minima L. Cod. 1454. Dun. I. c. 445. Clarke I. c. Japonia: circa Yokoska locis cultis (Savatier!), Nagasaki in fruticetis ad Akano-ura (ipse). Distrib. India!, Africa! et Australia! tropicae. Specc. Savatieri integrifolia, mea foliis subcor- datis dentatis, plerumque simplicia macra v. ramosa ultra pedalia. Corolla parva, ex vivo sh aperte campanulata, antherae luteae. Pentstemon frutescens Lamb. in Trans. linn. soc. X, 259, t. 6. fig. 1. Ledeb. FL. Ross. III, 222. Bentham in DC. Prodr. X, 321. À. Gray, Syn. fl. N. Am. I, 1, p. 261, Yezo: monte Kumaga-take, japonice Iwa bukuro (mis. Yatabe), Kamischatka!, Sibiria orientali prope Ochot:k (Kruhse! ex quo ludit flore azureo et albo), America, ad oras borealioccident. (Lewis): Unalaschka (Pallas! quo teste flos lilacinus). |'appendice staminum filiformi. Specc. duo missa japonica reliquis magis microphylla et angustifolia. Torenia setulosa. (Sect. Nortenia Benth. in DC. Prodr. X, 409). Pilis subulatis rigidis ad caulem parce, ad Sets costas folii subtus laminamque superne, ec non ad calycis dorsum setulosa, a basi ramosa, foliis brevipetiolatis ovatis v. superioribus cuneato- ovatis obtusis a medio pauciserratis, pedunculis axilla- ribus fructiferis calycem plus duplo superantibus, calyce ab initio profunde 5-partito laciniis subulato- linearibus costatis costis 3 in pedunculum decurrenti- bus, corolla calyce sesqui tuboque longiore, appendi- cibus staminum anticorum brevibus capitellatis, cap- sula calyce vix breviore oblonga utrinque breve atte- nuata. Nippon: prov. Ki, in m. Natshi-san, japonice Shisobo urikusa (Yatabe). Aspectus Vandelliae scabrae Benth. atque magnitudo partium fere eadem, flores axillares nec racemosi et calyx ab initio partitus etiam Vandelliae, sed calycis reliqua structura, nec non stigma bilamellatum Toreniae, hinc recte am. Hance (in Ann. sc. nat. 4 ser. XIV) priorem posterioris sectionem declarasse videtur. Aff- nis 7. parviflorae Ham. (cf. FI. Brasil, XV, t. 59, cum analysi mala), quae differt glabritie, floribus spu- rie ex axilla racemosis, calyce sub anthesi 5-lobo, T. ramosissima Vatke iisdem fere signis, tum pube molli copiosiore, calycis laciniis dorso alatis distat. Veronica Stelleri Pall. in Willd.hb. Led. F1]. Ross. III, 247. DC Prodr. X, 481. Cham. et Schlecht. in Linnaea, II, 557. Nippon: alpe Hakusan, japonice Hime Kuwagata | # (R. Yatabe);, Sachalin: valle fl. Nituinai et ad ripam fl. Plyi (Mitzul!); Kamtschatka (Merk!, Peters!): littore orientali prope Lopatkam (Rieder!); Unalaschka (omnes!). * Planta Kaméschatica foliis lanceolatoellipticis v. Rte a ds minoribus proxime ad sachalinensem accedit. Veronica Schmidtiana Rgl. Ind. sem. h. Petrop. 1864, 22. F. Schmidt, F1. Sachal. n. 325. É. Nippon: alpe Hakusan, prov. Iwashiro alpe Bandai- “ san, japonice Miyama toranowo (mis. R. Yatabe), Sachalin: ad Dui, Ktausipal (F. Schmidt!). 73 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 74 Veronica Onoei Franch. Savat. En. II, 457. Nippon: prov. Kotsuke (Ono, fide Fr. Sav.), Se- nano: Asama (Yatabe!). Affinis V. murorum GB. glabriori m., sed caulis usque ad apicem radicans, pubes brevis, bis tenuiter den- seque serrulata supra glabra, infOriors ovata, reliqua fere rotundata, racemi multiflori folio 2—3-lo longio- res, capsula obovata profunde obcordata calyce duplo longior crispule pubescens. Corolla ignota.— Ab aucto- ribus cum V. officinali L. comparatur. Verbenaceae orientaliasiaticae. Phryma L. P. leptostachya L. Cod. 4367. Maxim. FI. Amur. 212, 475. Rgl. FI Ussur. n. 374. Miq. Prol. 32. Fr. Sav. I, 355. A. Gray, Syn. fl. N. Am. II, 334. Mandshuria orientalis: a jugo Bureico ad mare et ab Amur inferiore ad limites Koreae, jugis sylvestri- bus frequens; Japonia tota in alpinis et subalpinis fre- quens; China: circa Pekinum in montibus, circa Kiu- kiang (Môllendorff!}; tum in Himalaya: Nipal!, Khasia!, parte occid. (Royle!), America boreali atlan- tica! Lantana L. L. Camara L. Cod, 4541. Benth. F1. Hongk. 268. Schauer in DC. Prodr. XI, 598. L. aculeata L. Hook. Arn. Bot. Beech. 205. Hongkong (Forbes!) culta (Augustinowicz!), Ma- _cao in hortis (ex Hook. Arn.). Ex America australi _orta. Lippia L. L. nodiflora Rich. in Michx. FL. bor. Am. 11, 15 Schauer L. c. 585. Hook. Arn. L c. 205, 208. China australi (Vachell); Liukiu (Hook. Arn.). a. sarmentosa Schau. Fr. Say. En. I, 357. Japonia , japonice Iwa dare sû (Tanaka ex Fr. Say.) 8. repens Schau. L c. 586. Hongkong (Fortune! n. 50, deest in Benth. fi. ut) Formosa, ad Tamsuy (01dh ! n. 38). Verbena L. ; F. officinalis L. Cod. 164. Thunb. F1. Jap. 22. nr Arn. Bot. Beech. 268. Benth. FI. Hongk. 268. Miq. Prol. 29. Fr. Sav. Enum. I, 357. De- beaux, Florule du Tchéfou n. 152, fl. de Shanghai n. 88. Schauer 1. c. 547. Japonia (Siebold!) australiori: Yokohama (ipse), Tokio, jap. Kuma tsudzura (Tanaka!), Yokoska (Sa- vat.!), Nagasaki (0Oldh.!, ipse); Liukiu (Hook. et Arn.); Korea: portu Chusan (Wilford!); China: Tschifu!, Shanghai!, Amoy (Debeaux), Hongkong (Bentham), Formosa (Oldh.!). Vulgivaga in calidio- ribus. V. sp. nova Hemsl. in Journ. of bot. XIV, 208, China centralis: Kiu-kiang (Dr. Shearer ex Hems- ley). Callicarpa L. Distiaguitur in hoc genere inter cymas axillares et supraaxillares, et revera in nonnullis speciebus pedun- culi basis distincte cum caule conflata apparet, in aliis pedunculus usque ad basin liber, ubique tamen sub anthesi v. postea inter petiolum et pedunculum oritur gemma innovans et pedunculus supraaxillaris evadit, gradus vero elevationis supra axillam in quadam specie nonnihil variat, ita ut character hic solus ad distin- guendas species non sufficiat. Equidem pedunculum supraaxillarem dixi si basis ejus secus caulem distincte decurrit. :Calyx 4-fidus Jaciniis tubo longioribus. 2. » truncatus v. 4-dentatus. 5. 2. Flores capitati, capitula globosa in cymas breves densas eongesta, caulis petiolique fuscovillosissimi, folia subtus dense tomen- Î i i . C. tomentosa W. basant SRI NT NET TDR Ne C. mollis $. Z. Cie amplac valde multiforae dimidiam en folii attingentes; dense stellatoto- mentos . 10. ‘ymae lé pluri-v. multiflorae, petio- O2 C. brevipes H ce. nn mms 4, Oculo nudo glabrae, folia utrinque acumi- nata. 5. Pilosae v. tomentosae. 8. . Petioli elongati, folia dense serrulata ampla unctata, %é mae petiolo duplo tronores y. un AeqQUaRtES. esse de cie» à C.subpubescens H. A. evieolétse glandulosopunctatae. 6. 6. Micranthae cymis laxis, stamina vix duplo corolla longiora antheris subquadratis, lobi Ni tubo duplo breviores. 7. Macrantha macrophylla , cymae axillares, lobi dors tubo fere triplo breviores, an- therae oblongae corollam pl. np superantes C. japonica Thunb. 7. Mierophylla, folia breve obtuse acuminata serrata, cymae supr lire pauciflorae, flores pedicellis 4-i ordinis inserti LA C. purpurea Juss. nr. 75 Bulletin de l’Académie Impériale 26 Macrophylla, cymae axillares, folia utrinque apice longe acute acuminata dense crenula- toserrulata, cymae valde multiflorae, pedicel- 6-um ordinem nuncupantibus 8. Stellatotomentosae. 9 Pilis simplicibus hirsutissima, folia lineari- oblonga valde acuminata basi subcordata mi- nute crenulata . Folia petiolata argute it serrulata basi attenuata v. rarius rotundata ........ C. formosana Rolfe a subsessilia patentim des ran basi cor- C. longifolia La m. ss... C.piosissima m. ss runs tonte Le) RL PSN DRE eee Re dE CERTA RE C. rubella Lal. 10. Calyz glaber, flores parvi, folia serratà utrin- LT TT ST GA NE AA PA RE A C. Reevesii Wall. Calyx MEtittonNien 11. Pedunculi graciles phtali; folia serrata utrin- QUE MINOR Sr res der vos k phyllaVent. Pedunculi crassi squarrosodivaricati, folia integra basi rotundata.........,....... C. integerrima Champ. 1. C. tomentosa W. Enum. h. berol. 158. Schauer in DC. Prodr. XI. 647. Hook. Aru. Bot. Beech. 205. Hance in Walp. Ann. III, 236. Benth. FI. Hongk. 269. C. americana Lour. FI. Coch. 88. China australi: Hongkong (omnes), Canton, Putoy cet. (Millett, Vachell). 2, C. mollis S.Z. EL. Jap. fam. nat. n. 526. Franch. Savat. Enum. I, 359. C. Zollingeriana Schau. IL. c. 640. Fenoki. Thunb.! F1. Jap. 354, pl. obsc. n. 25. Japonia australiore frequens in fruticetis et sylvis, a Kiusiu interiore usque ad Yokohama, Tsusima(W il- ford!), archipel. Koreano (Oldham!), japonice Yama murasaki v. in Kiusiu inter. Namainoki. 3. C. macrophylla Vahl, Symb. III, 13, t. 53. Schau. 1. c. 644. Benth. F1. Hongk. 270. China australi (Bentham): Hongkong (Fortune! n. 84, Forbes!). nec non in India orientali! 4. C. integerrima Champ. in Kew journ. V, 135. Benth. 1. c. 270. China australi (Benth.): Hongkong (Wright!, For- bes!, Ford!). 5. C. Reeves Wall. Cat. n. 1830. Schau. I. c. 641. Benth. I. c. 270. C. nudiflora Hook. Arn. Bot. Beech. 206 (fide aut. praeced.). China australis (Reeves! in hort. Calcutt. introd.): Hongkong (Benth.), Macao (Hance!), promont. Syng moon (Meyen), Canton (Millett), ins. Lappa (Va- chell). 6. C. rubella Lindi. Bot. reg. t. 883. Schauer IL. c. 645. Benth. L. c. 271. C. tenuiflora Champ. in Kew Journ. bot. V, 135. China australi: Hongkong (Wright!, Forbes!), prov. Canton pluribus locis (Sampson!), tum in Hi. malaya: Khasia!, et Pendjab! 7. C. formosana Rolfe in Journ. bot. 1882, 358. Formosa ad Tamsuy (0ldh.! n. 388, 389), nec non Philippinis (Cuming! n. 526). _ Diagnosis Rolfei ad supellectilem pauperiorem con- fecta videtur, nam folia occurrunt et basi breve atte- nuata, cymae petiolo non semper 4-lo, sed vix 3-lo longiores, costae foliorum rarius utrinque 5, saepius 9—10 8. C. pilosissima. ($ 2. xx, Schauer I. c. 643). Pilis setosis gilvis patentibus ad ramulos petiolos cymas et paginam inferiorem foliorum dense hirsuta, foliis breve petiolatis ex lineari oblongolanceolatis sensim longe acuminatis basi subcordatis obsolete serrulatis, superne pilis albidis breviorious dense molliter pubes- centibus; pedunculis petiolos duplo superantibus, cy- mis divaricatobifidis densiusculis, calyce hispido ob- tuse dentato, corollae glabrae lobis tubo apice dilatatc plus triplo brevioribus, staminibus corollam stylum- que leviter bilobum triplo superantibus. Formosa (0Oldham! n. 387. flor.). Similis C. angustae Schauer (Cuming! n. 1425) e Philippinis, quae tamen differt pube, folliis subtus incanis basi cuneatis, corolla extus tomentosa; nec non ©. caudatae m., cujus diagnosin inserere liceat: C. caudata: Caule petiolis pedunculis foliisque subtus gilvo floccosotomentosis, foliis superne caly- cibusque hispidulis viscidoque punctatis, foliis breve petiolatis e basi attenuata linearilanceolatis sensim longeque caudatoacuminatis argute acuteque patu- loserratis, cymis cum pedunculo longitudine petioli, floribus numerosis dense aggregatis, calyce obsolete 4-dentato, corollae duplo longioris glabrae lobis tubo late cylindrico triplo brevioribus, staminibus corollam duplo superantibus, antheris subquadratis, stylo leviter bilobo stamina superante.—Foliorum lamina 100 : 18 mm., petiolus 5 mm., cyma 12 mm. lata, calyx 1 mm., corolla 2 mm. Philippinae (Cuming! n. 1095 flor.). Folia C: pilosissimae petiolo 5 mm., lamina 11:2 em. Pedunculus 15 mm., cyma diam. 20 mm. Pedicelli : calycem aequantes v. superantes. Calyx 1 mm. corolla ci 2,5 mm. longa. 4 77 des Sciences de Saint-Pétersbourg. cé. 9. C. subpubescens Hook. Arn. Bot. Beech. 305. Schauer 1. c. 646 Bonin-sima: ad collium latera, frutex dumosus flo- ribus purpureis (Small!, Yatabe! sub nom. jap. Shima murasaki). Aliunde ignota. Species a Hookero et Arnott quidem inter mexi- canas describitur, sed a Hemsley in Biol. centr. amer. II. haud enumeratur, ex qua re patet, tantum confusione schedularum patriam Mexico indicatam, revera autem plantam e Bonin-sima allatam fuisse. 10. C. longifolia Lam. Dict. I, 562. Schauer 1. c. 645. (excl. var. B. et C. japonica). C. lanceolaria Roxb. FI. Ind. I, 395. | China australi: prope Canton (Hance in Ann. sc. nat. 5 ser. V, 233). Vidi e Philippinis, Java, Tenas- serim et Khasia. de. NL. ÿ n Schauer IL. c. cum C. longifolia Lam. conjungit C. japonicam Thunb., Bentham affirmat C. ameri- canam ab illa interdum vix esse distinguendam, de qui- bus duabus confer sub sequente. Planta hongkongensis a Bentham OC. Zongifolia var. brevipes dicta sistit C. brevipedem Hce., de qua atque ejus differentia à C. longifolia vide infra. 11. C. japonica Thunb. FI. Jap. 60. Miq. Prol. 30. Fr. et Savat. Enum. I, 358. C. longifolia x. subglabrata Schauer L. ce. 645. Late diffusa per totam Japoniam. Ante oculos est e Nagasaki, Hiogo, Yokoska, Fudzi yama, Yokohama, Tokio (jap. Yabu murasaki, mis. Tanaka), Yezo au- strali ubi luxuriat et valde latifolia fit, Tsusima (Wil- ford!}, Liukiu (Wright!). Fide Hance I. c. certe a C. longifolia Lam. distincta est glabritie omnium partium (excel. inflorescentia) foliisque late obovatooblongis apice longe caudatis. Me judice satis differt flore fructuque fere duplo ma- joribus, staminibus corollam 2-lo nec fere 3-lo supe- rantibus cymaque minus composita minusque divari- _ cata: ramulis 4-ti ordinis (nec 6-ti) flores ferentibus. Pubes utriusque furfuraceostellata, sed in C. Japonica cito evanescit, in C. longifolia vulgo persistit. C. ame- _ ricana L. ab utraque jam pube ramosa patula fere __ araneosa vix unquam deficiente abhorret, floris mag- # sas . nitudine ac staminum exsertione cum C. Zongifolia consentit, cyma minore densiore cum C. japonica, sed | ab hac pedunculo brevissimo indeque cyma quasi sub- sessili distat, Antherae C. japonicae ab utraque diver- sissimae: loculi non contigui tota longitudine dehi- scentes, sed basi liberi attenuati hinc sinu distincto separati et apice tantum quasi poro aperti. 12. C. brevipes Hance in Ann. sc. nat. 5 ser. V, 233. et in Journ. linn. soc. XIII, 116. C: longifohia var. brevipes Bentb. FI. Hongk. 270. China australi: Hongkong (Hance!, Wright! ex quo flores albi}, prov. Canton (Hance). Cum Hanceo video: ramos flavido furfuraceo pu- bescentes, folia haud viscida distanter obiter serrata, cymas fere sessiles, flores pauciores majores, antheras magnas partim tantum exsertas, fructus sphaericos piperiformes. In C. Zongifolia Lam. vero rami glabri, folia longiora integra v. minute serrulata, recentia valde viscida, cymae laxioris pedunculi longiusculi, flores numerosiores triplo minores, antherae late ova- les decuplo minores, filamenta capillaria longe exserta, fructus apice planus plus duplo minor. 13. C. purpurea Juss. in Ann. mus. VII 69. Schauer I. c. 645. Miq. Prol. 30. Fr. Sav. Enum. I, 358. C. gracilis Sieb. Zucc. F1. Jap. fam. nat. n. 525. C. japonica var. angustifolia Savat. Kwawi, 78. Porphyra dichotoma Lour. FI. Coch. 87, ex Schauer. Nippon australi: prov. Shima, jap. Ko murasaki (Tanaka), alii collectores et ipse tantum cultam inve- nimus; China media (Fortune! A. n. 94) ad Kiu- kiang (Dr. Shearer!) et australi: prov. Canton ad West-river et prope urbem Canton (Hance!), collibus Lo-fau-shan (Ford!); Cochinchina (Loureiro). In insulis Bonin et Liukiu ex Hooker et Arnott formae duae inventae sunt, de quibus autores sub dubio manserunt, anne huc pertineant. Illa e Bonin foliis oblongolanceolatis sensim acuminatis, corymbis axilla- ribus, illa e Zäukiu foliis subrotundoovalibus subito acuminatis, inflorescentia ex axillis summis. In utraque folia juvenilia praesertim subtus farinosopubescentia, adulta glabra. ï Premna L. Stamina st pe m. didynama antheris ro- tundatodidymi Stamina es AE aequalia antheris ob- DR UT RME mesrine ti tone ser staminea m Corymbus densus convexus surpris crassi- usculis, folia coriacea basi rotundata integra v. passim grandiserrata, corolla calyce duplo longior lobis subaequalibus, stamina inferiora OUT ARE SEE FAP ES ENS PS P,. serratifolia L. 79 Bulletin de l’Académie Impériale so Cymae compositae laxiflorae conicae pedun- culis omnibus gracilibus, folia membranacea, corolla bilabiata. 3. 8. Stamina inferiora breviora, ous conica, folia DÉQEA E. dfé P. glabra A. Gray 4, Cyma conica elongata, folia utrinque acumi- pata vulgo paucigrandiserrata.............. P. microphylla Tez. Cyma brevis subhemisphaerica, folia basi cu- neata apice obtusa vulgo integra ........... P. formosana m. 1. P. serratifolia L. Cod. 4535. Schauer in DC. Prodr. XI, 632. Bentb. F1. Hongk. 269. China australi: Hongkong (Hance!)}; Formosa (Oïdham! n. 386), India cis! et trans! Gangem. Schauer hanc vocat P. integrifoliam L., Hance in Journ. linn. soc. XIII, 116 vice versa secundam ducit ad P. serratifoliam et hoc nomen praeferendum, , quia Linnaeus quaerit, anne hujus mera varietas sit ejus P. integrifolia. 2. P. microphylla Turez. in Bull. Mose. 1863, IE, 217. (ex X Fortunei citato). P. japonica Miq. Prol. 29. Fr. Sav. En. I, 358. Hance in Journ. bot. XVI, 111. Priva spec. Sieb. Zucc. FI. Jap. fam. nat. n. 518. Kiusiu: cirea Nagasaki (Oldham!, ipse, incolis loci Haigara) v. gr. ad Himi et in Kawara-yama (Buer- ger!), prov. Higo monte Higo-san, alte supra mare (ipse), Tsusima(Wilford!); China australiore (Senia- win!, Fortune! A. n. 23): Ningpo (Hancock!). — Japonice: Hama kusagi (Tanaka!). In Japonia arbusculam 10-pedalem, pedem usque crassam sistit, in China ex Hancock fruticem 1—2- pedalem, hinc prior vera patria censenda. Exempla e China praeterea magis angustifolia foliis minus den- tatis floresque in vivo intense luteos habere dicuntur, nec pallide ochraceos ut in 7aponicis. Calycis dentes ,obtusi, superiores 3 breviores et minores. Corolla 6-—10 mm. longa, in breviore limbus tubo parum, in longiore plus duplo brevior, labium superius truncatum lobos laterales labïi inferioris ae- quans, lobus infimus major longior. Stamina medio tubo inserta, qui infra illa pilosus, superiora ad fissu- ram inter labia, inferiora ad sinum inter lobos labii inferioris attingentia. Loculi antlierae subglobosi. Crura styli aequalia. Drupa atra, putamen longitudinaliter eleganter verrucosum. Haec et duae sequentes seriem propriam consti- tuunt, inflorescentia laxa elongata, pedunculis omnium _ordinum gracilioribus et glabritie distinctam. P. micro- phylla ex foliorum forma similis P. viburnoidi Wall. quae tamen statim differt pube et inflorescentia cd vexa densiore. 3. P. glabra A. Gray (insched.). Fruticosa glabra fo- liis membranaceis ellipticis (obovatis ovatis v. ovato- lanceolatis) in petiolum brevem subito cuneatis obtusis integris, cymis conicis compositis laxis, pedicellis calyce brevioribus, calycis dentibus obtusis superioribus 3 mi- noribus, corollae triplo longioris bilabiatae limbo tu- bum calyce duplo longiorem aequante, labio superiore truncato, inferioris lobo medio majore, staminibus in- clusis supra medium tubum intus pilosum insertis su- perioribus longioribus, antherae loculis ovatis, styli lobis ovatis parum inaequalibus. Japoniae maxime australis ins. Yakuno-sima et Lau- kiu ins. Osima, in montibus (Wright! flor.). Frutex, ex collectore, late ramosus 8—12-pedalis, floribus ochroleucis tubo intus lutescente. Folia lu- dentia magnitudine et forma, mensuris 110 : 55, 80 : 50, 85 : 35, 70 : 25, 35 : 20 mm. Inflorescentia 10—11 cm. alta, 4— 6 cm. lata, pedunculorum (2 cm.) paribus utrinque 7—9. Flos 7 mm. longus. Corollae tubus latus extus glandulosus brevipilosus. 4. P. formosana. Glabra, foliis membranaceis obova- tis v. ellipticis obtusis v. acutiusculis basi in petiolum brevem sensim attenuatis vulgo integerrimis, rarius versus apicem obtuse parceque grandiserratis; cymis compositis laxifloris late conicis subaequealtis ac latis, pedicellis calyce brevioribus, calycis dentibus obtusius- culis superioribus 3 minoribus, corollae tubulosae caly- cem 4-lo superantis labio superiore integro lobos late- rales labii inferioris aequante quam intermedius bre- viore, staminibus medio tubo intra illa piloso in- sertis inferioribus longioribus labium inferius aequan- tibus, antherae loculis subglobosis, cruribus styli breve subulatis inaequalibus. Formosa: Tamsuy (Oldham! n. 385 flor., s. n. Vi. tex spec.). A praecedente forma foliorum et inflorescentiae sta- minibusque diversa. Petiolus 10—15 mm., lamina variat inter 70 : 35, 90 : 35, 45: 15—20 mm. Flos 8 mm. longus. Sta- mina superiora basin labii superioris attingentia. 5. P. staminea. Innovans'tomento stellato incana cito ". glabrata, foliis membranaceis ellipticis v. oblongoel- $ ap nées des Sciences de Saint-Pétersbourg. se lipticis utrinque attenuatis basi sensim in petiolum brevem, versus apicem argute serrulatis, cyma com- posita plana laxa, pedicellis calyce glabro truncato 4- nervi longioribus, corollae extus tomentellae intus glabrae calycem 3-lo superantis tubo lato subturbinato limbum patulum 4-lobum subsuperante lobis rotunda- tis 2 superioribus majoribus tenuioribus, staminibus aequalibus basi tubi insertis corollam subduplo exceden- tibus, antheris amplis oblongis punctis aureoglandulosis adspersis, stylo tenui longiore stigmatis lobis 2 rotun- datis conniventibus, ovario 2-loculari. Liukiu (Tanaka! flor.). Antherae forma et corollae lobis subaequalibus inter omnes notas excellens et anomala. Ramus ante oculos cortice laeviusculo albidoochra- ceo. Folia maxima petiolo 7 mm., lamina 100 : 45 mm. concolore utrinque subquinquecostata costis arcuatis reticuloque distincto subtus vix prominulis sed obscu- rioribus, folia minora petiolo 5 mm., lamina 50 : 20— 25 mm. Calyx 2 mm. latus et longus. Corolla 9 mm., genitalia exserta totidem. Gmelina L. & chinensis Benth. FI. Hongk. 272. Hongkong (Wright spec. 1 invenit, fide Bentham). Vitex L. Vs truncatus denticulatus, folia margine tegra. Fa Gure acute dentatus v. lobatus. 3 2.Glabra macrophylla, fiola ET acuminata, V. Loureirii H. À, : æ. panicula lata, flores et fructus Ke Se à Incanotomentosa, foliola (in ris singula) _ obtusa obovata, panicula angusta thyrsoidea, … flores fructusque magni 3. Incanae v. dense pubescentes macrophyllae, paniculae anguste ri ad in inflorescen- tam disposita Glabra micrphyla, foliola acute rhombea _ dentibus m ronatis paucis, panicula sors V. trifoliata L. V. Sampsoni Hce, V, Negundo L. 4, Foliola majuscula integra v.-grandiserrata… . incisa Lam. » parvula profunda incisa......,..... 1. V. Loureiriü Hook. Arn. Bot. Beech. 206, _ &. 48. Schau. L c. 686. Benth. F1. Hongk. 273. . Hance in Journ. linn. soc. XIII, 117. V. heterophylla __ Roxb. Schau. L. c. 686. Hce. in Ann. sc. nat. 4 sér. . Symb. 11. Cornutia quinata Lour. Coch. 470. _ China australis: Canton (Millett), prov. Canton. : Sampson!), Lo Fau shan (Ford!), Hongkong (Hcel!), Formosa (O1dh.! n. 384). Tome XXXI. Ex Hanceo glandulae peltatae luteae paginae ex- terioris limbi corollini in tab. citata haud expressae. 2, V. trifoliata L. Cod. 4638. Schau. I. c. 683. 8. unifoliolata Schau. I. c. Miq. Prol. 31. Fr. Sav. En. I, 360. V. ovata Thunb. FI. Jap. 257. Hook. Arn. Bot. Beech. 206, 268, t. 47. Debeaux Florule du Tchéf. n. 153. Japonia(Buerger!) Nippon: Nambu(Tschonoskil), ad Yokohama in littore (ipse), Kamakura (Savat.!), Hakone (ipse), Simoda (Yolkin!), prov. Sagami s. n. jap. Hama shikimi i. e. Skimmiae maritimae mis. Ta- naka), inter Kioto et Maïdzuru Wakora (Doeder- lein!), Kiusiu circa Nagasaki in littore (Oldh.!, ipse). China: maritimis arenosis prope Tschifu (De- beaux), insulis prope Macao (Vachell), promont. Syng-moon (Meyen), Hongkong (Hinds!, Fort! Forbes!), Formosa (Oldh.!), nec non Phiippinis!, ins. Hawaü! et aliis, Mauritio!, Australia tropica. In regionibus nostris semper 1-foliolatum et con- stantissimum, in tropicis interdum in typum trifoliola- tum abiens. 3. V. Negundo L. Cod. 4639. Schau. I. c. 684. Benth. F1. Hongk. 273. Franch. PI. David. 232. V. cannabifolia Sieb. Zucc. F1. Jap. fam. nat. n. 520. Miq. Prol. 31. Fr: Sav. En. I, 360. Hemsl. in Journ. bot. XIV, 209. China: Pekin!, maritimis Tschifu, Chekiang, Kiangsi (David), Shansi, Honan (Debeaux), Kiukiang (Da- vid!, Shearer!)}, Ku-lung-su (Fort.!), Amoy (de Grijs!), Futschau!, Hongkong (omnes!), Formosa [(Oldh.!); Japonia (hb. Lugd. Bat.!; fide Yonan-si in Kwawi, translat. Savatieri, introducta et plantata): Yokohama et Nagasaki, frequens (ipse, japonice Nin- sin boku, Tanaka!). Distrib. India!, Philippinae! ins. Malaicue! cet. Planta japonica non differt nisi foliis rome quae et in typo rarius obvia. 4. V. incisa Lam. Dict. II, 605. Schau. I. c. 684. Deb. F1. Tchéf. n. 154,. de Tientsin n. 53. Bge Enum. Chin. n. 295. Turcz. Enum. Chin. n. 164. Franch. PI. David. IL, 232. China boreali: circa Pekinum in montibus, perfre- quens (Bunge!) nec non etiam in planitie et in alto monte Po-hua-shan (Dr. Bretschneider!). Var. heterophylla Franch. I. c.: foliolis oblongis 6 _S3 : Bulletin de l’Académie Impériale s41 integris v. in eodem ramulo passim sinuatis v. profunde incisis lobis integris. — Pekin (David). A specie praecedente tantum ‘foliolis minoribus et incisis differre videtur, omnes vero reliquae partes eaedem, quam ob causam a Benthamio conjungitur, a Schauero tamen diversa habetur et geographice saltem bene cireumseripta invenitur. 5. V. Sampsoni Hance in Journ. bot. VI, 115. China australis: prov. Canton (e diversis locis à Sampson lectam misit Hance!). Clerodendrum L. Corolla infundibuliformis tubo longissimo (Sect. Siphonanthus). . ..:.......... CI. Siphonanthus R. Br. Corolla hypocraterimorpha pollice vix longior y. minor (Euclerodendrum). 2. 9. A xilliflora foliis oblongolanceolatis. 5. Paniculae terminales. 4. | 3. Calyx truncatus vix dentatus ........,... CI. inerme R. Br. » cute Ddis 0 FRA ot CI. rer L. 4, ns en compacta. 5. laxa. 7. 5. hais breve Strigosum, folia cordata grandi- LT STE DRE C. foetidum Bge. Villosa v. tomentosa, anti Le calyce 2-lo longior. 6. 6. sets amplus laciniis ovatis acuminatis, folia cordatoovata acuminata. ,....,....., C. canescens Wall. Calyx parvus laciniis sabulatis, folia subcor- GAROFOQMAR HOUR se due cour C. fragrans Vent. E nus esquamata. 8 glandulis peltatis dense squamata. 11. 8. Folia Acdks v. cordatoovata, calyx amplus canostrigosus, corollae tubus!/, calyce longior. CL. infortunatum 1. Folia basi cuneata. À Née res corolla re pen 10. folia ovata ii à cus pi fdata C. trichotomum Thunb. 10. Panicula grandibracteata, rss 5-fidus, folia ovatooblonga caudato-acuminata. . ....,... C. formosanum m. Panicula minute use sa 5-dentatus folia oblongoelliptica obtuse acuminata . 11. Calyx 5-fidus parvus, corollae tubus calye 4-lo nn folia cordatohastata 5—7- ba C. paniculatum L. Calyx 5-partitus, corollae tubus calyce 2-1 a fr folia cordata denticulata . ....... de squamatum Vahl. 1. Clerodendrum Siphonanthus KR. Br. in Aït. b. Kew. ed. 2, IV, 65. Schauer |. c. 670. Hook. Arn. Bot. Beech. 205. China australis (Vachell), /ndia! tropica, Java. ss... *C. cyrtophyllum T cz. 2. CI. inerme R. Br. in Aït. 1. ce. Schau. I, c. 660, Hook. Arn. 1. c. 205, 268. Benth. FI. Hongk. 271. Volk:ameria inermis Lour. FI, Coch. 471. China australi: Canton (Loureiro, Millett), Macao (Vachell), Whampoa (Hance!), Hongkong (Wright!) [Formosa (Oldham! n. 392 fl, 397 frf); Liukiu (Hooker et Arnott, Tanaka!) 8. CI. fortunatum L. Cod. 4634. Hook. Arn. I. c. Schau. 1. c. 671. Osbeck It. 228, 1.11. C. castanei- folium Hook. Atn. I. ec. Schau. I. c. 672. C. lividum Lindi. Bot. reg. t. 945. Benth. FI. Hongk. 272. Schau. 1.c. 673. C. pentagonum Hce. in Walp. Ann. HE 298: China australis: Hongkong (omnes!), Whampoa (Hance!), Canton (Millett). Fide Seemann vera planta Linnaeïi, conf. Hance in Journ. linn. soc. XIIE, 117. 4. CI. foctidum Bge. Enum. Chin. n. 296, nec Don. Schauer I. c. 672. Bot. mag. 4880. C. Bungei Steud. Nomenel. Van Houtte F1. d.serr. IX, t. 863. China: hortis Pekinensibus cultum (omnes!). C. foetidum Don, Prodr. Nepal. 103, quod CZ. Buchanani Walp. Repert. IV, 108, DC. Prodr. XI, 672. Bungeano nomine quidem vetustius, Schauero mihique incognitum est. Planta quam 6. énfegrifolium dixit Hasskarl in Retzia I, 60, e Singapur in hortum bogoriensem intro- ducta, diversissima species videtur, sed à me non visa. 5. Cl. canescens Wall. Cat. 1804. Schauer I. c. 665. Benth. FI. Hongk. 272, China australis (Reeves!): Hongkong, frequens in planitie (Bentham). Extra Chinam non inventum. 6. C1. fragrans Vent. Jard. Malm. t. 70 (fl. sim- plici). Schauer 1. c. 666. Hook. Arn. Bot. Beech. 205, 268. Cha australi (Hook, Arn.): Hongkong (Forbes!), Amoy sponte (Hance in schedis), Liukiu(Hook. Arn.). 6. pleniflorum Schauer. Formosa: Tamsuy (Oldh.! n. 394.) et toto orbe cultum. Schauer sub var. 6. laudat Bot.reg. XXIV, 1838, 41, quae flore simplici gaudet et ex Decaisne (in V. Htte FI. d. serr. IX, 17 in adnot. ad C. foctidum) speciem propriam sistit, C!. Lindleyi Dne, limbo co-_ rollae minore, radice stolontfarà facile propagatam atque Parisiis rusticam. Addit tamen Planchon (in V. Htte … à 1. c.) plantam Parisiensem ab illa a Lindley in bot. reg. depicta differre flore inodoro et surculis innovan- tibus violaceovelutinis (d’un velouté de couleur violette), atque quaerit, anne et hic duae species lateant. Linie : S5 des Sciences de Saint-Pétersbourg. vero de sua planta habet, tepidariam esse et primo gelu necatam. 7. C1. infortunatum L. Cod. 4633. Lour. FI. Coch. 471. Schauer 1. c. 667. Cl. viscosum Vent. Jard. Malm. t. 25. Hook. Arn. Bot. Beech. 205, 268. China australi (Vachell), Liukiu (Hooker et Ar- nott). India!, Ceylon. 8. C1. trichotomum Thunb. F1. Jap. 256. Schauer 1. c. 668. Sieb. Zucc. FI. Jap. fam. nat. n. 521. Miq. Prol. 31. Fr. Sav. En. I, 359. Banks, Ic. Kaempf. t. 22. Séo Kusitz: vulgo Kusogy, Kaempf. Amoen. 827. Japonia, frequens arbuscula a Kiusiu usque ad | Yezo australem, China media (Fortune! A. 45), . Shanghai (Augustinowicz!) et australi, Formosa (O1dh.! n. 391). Debeaux (florule de Shanghai n. 89), qui ad fossas occurrere dicit, ait, plantam esse perennem 10— 14 dm. altam: an nostra unquam ita occurrat dubito. 9. CI. formosanum. (Sect. 1, S 5. Paniculata,Schauer) Ramis panicula parceque petiolis pube strigosa brevi tomentellis, foliis oppositis modice petiolatis membra- naceis opacis subtus paulo pallidioribus glanduloso- punctatis ad venas parce strigosopuberis et ad venarum originem parcissime squamatis cuneatoovato-oblongis sensim longe caudato-acuminatis; panicula terminali _effusa amplissima, bracteis numerosis foliaceis petio- _ Jatis lanceolatolinearibus cymas cymulasque fulcien- __ tibusearumque pedunculos excedentibus, cymis iterato- trichotomis multifloris, flore parvo, calyce ipso brevius _ pedicellato acute 5-fido, corollae glandulosopunctatae tubo gracili brevi. Formosa (Oldham! n. 396 cum alab.) A praecedente multis notis discrepat. CZ. érichoto- mum non est glabrum, uti vult Schauer, sed ad eas- dem partes ut nostrum pube paleacea ochroleuca pu- bescens, folia longe petiolata latius ovata subito cus- pidata, panicula parcius bracteata bracteis ovatis cito caducis, cymae pauciores minus multiflorae, calyces corollaeque duplo saltem majores, priores inflati penta- goni, corolla glabra, stigmatis crura brevissima. + Petioli C£. formosani l!}-pollicares, lamina usque _ S8-pollicaris et 3 poll. lata. Calyx 8 mm., alabastrum - vix rumpens 9 mm. longum, lobis corollae oblongis … obtusis. Stamina 4 fauci inserta serius longe exserta stylusque longior glabra, antherae ovatooblongae basi bifidae, stylus apice breve acuteque bifidus. 10. C1. cyrtophyllum Turcz. in Bull. Mosc. 1863, IT, 222. ex descr. et NM Fort. cit. CZ. amplius Hance Advers. 34 in Ann. sc. nat. 5 sér. V. Franch. PI: David. I, 231. China: media (Fortune! A. 17), Amoy (de Grijs!), Kiangsi ad Kiu-kiang (David), ins. Chusan (Fort. 11 A. s. n. Cl. trichotomi ex Franchet), ins. St, Jo- annis maris chinensis (Stewart! mis. Hance), For- mosa (Oldh.! n. 398), ins. Haïinan parte boreali (Hance!}, prov. Canton (Krone ex Hce). 11. Cl. paniculatum Li. Cod. 4636. Schauer I. €. 668. Hook. Arn. Bot. Beech. 268. C. pyramidale Wall.! Catal. 1882. Liukiu (Hooker et Arnott). Formosa (Oldham! n. 395). Zndia trans Gangem et insulae, v. gr. Penang (Wallich!), Java. Planta formosana florere incipiens huc ducenda vi- detur, quamvis folia floralia indivisa, quae in iconibus et spec. malo Wallichii lobata sunt, et corollae tubus calyce duplo tantum longior, neque, ut a Schauero descriptus, calycem 4-lo superans, sed hoc sane ob corollam juvenilem. 12. C1. squamatum Vahl, Symb. IT, 24. Schauer 1. c. 669. Hook. Arn. 1. c. 205. Sieb. Zucc. F1. Jap. fam. nat. n. 522. Miq. Prol. 31. Fr.Sav. En. I, 359. Hance in Journ. bot. XVII, 13. Volkameria KaempfertJacq. Ic. rar. UT, t. 500. Banks Ic. Kaempf. t. 58. Volk. japonica Thunb. FI. Jap. 255. Go too vulgo Go too giri, Kaempf. Amoen. 861. China australi (Hooker et Arnott): ins. Hainan (Hancock!), in boreali! et in Japonia! cultum. India, Mauritius! Ex Kaempfero in Japoniam introductum ex ins. Luzon et ex Korea, inde et ab indigenis Rjuke giri et Korei giri appellatur. Species dubia. Clerodendrum pumilum Spr. Syst. II, 759. Schauer 1 c. 674. Volkameria pumila Lour. FI. Coch. ed. Willd. 472. China: Canton (Loureiro). Schauero ignotum. Ex descriptione Loureirii ad axillaria pertinet, folia lanceolata, corolla longa ASE De 5-fida, sta- mina didynama exserta. 6* s7 Bulletin de l’Académie Impériale ss Caryopteris Bge. De plurimis hujus generis speciebus jam antea trac- tavi, itaque satis erit hic clavem analyticam omnium mihi notarum antemittere, simico-japonicas vero bre- Vibus verbis enumerare. Frutices, cymae pluri—v. multiflorae Suffrutices foliis ovatis, cymae 1—3-florae, lobi corollae integri. 2. pe lobus infimus integer. 3. fimbriatus, cymae sub- dites 3, Cymae le folia lanceolata acuminata à IDOOID SOMRATR ni ur née des desdassscr C. Wallichiana Schau. ymae laxiflorae, folia ovata breve acuminata A DAS DrANCISGETAIR 524 nu Ur ei ges 27 C. divaricata m. 4. Calyx 5-fidus, folia cordatoovata v. ovato- oblonga grandiserrata..........,.......... C. incana Miq. Calyx 5-dentatus, folia lanceolata v. lineari- lanceolata. 5. 5. Folia linearilanceolata integra v. pauciserrata, fimbriae corollae 2 MAG ET ours rdece C. mongohica Bge. Folia lanceolata Hi opndRerEn ts, fimbriae corollae simpliees 52.0 see ar C. tangutica m. 6. Pedunculi 3-flori, calycis laciniae lanceolatae EE CG ONE ER LS ET SE PES C. terniflora m. Pedunculi 1-flori, calycis lobi ovati acuti. .... C. nepetaefolia m. 1. C. divaricata Maxim. in Mél. biol. IX, 829. Clerodendron div. Sieb. Zucc. FL Jap. fam. nat. n. 523. Miq. Prol. 31. Fr. Sav. Enum. I, 360. Kari- gane-s0, Soo bokf, XI, 40. Japonia (Siebold!, Buerger!, Tanaka! s. nom. jap. Hokake-s0): Yokoska (Savatier!), Hakodate (ipse), Koreü: Sôul (Dr. Gottsche! in hb. Engler). 2. C. incana Miq. Prol. 29. Nepeta incana Thunb. FI. Jap. 244. Car. Mastacanthus Schauer L. c. 625. Benth, F1. Hongk. 268. Fr. Sav. Enum. I, 357. Hance in Journ. linn. soc. XIII, 166. Barbula sinensis Lour. F1, Coch. 444. Hook. Arn. Bot. Beech. 205. Mastacanthus sinensis Endl., Lindi. Bot. reg. 1846, 4 Japonia (Miquel!, Tanaka!, jap. Dangiku): Naga- saki (Oldh.!, ipse), Yokohama (ipse); China: Canton (Millett), Macao (Vachell), Hongkong (Forbes!), Futschau (Augustinowicz!), Kiu-kiang (Shearer!), Amoy (Fortune!), alio loco reg. mediae (idem!). Ex Hanceo lignum Juniperi virginianae spirat. 3." C. tangutica Maxim. in Mél. biol. XI, 301. Chinae occidentalis prov. Kansu parte alte alpina (Przewalski!). "4, C. mongolica Bge. PI. mong. chin. dec. 27. Franch. PI. David. I, 231. Mongolia austroorientalis: secus tractum mercato- rium (Bge!, Kirilow!), v. c. ad Iro (Tatarinow!), jugo australi finitimo Muni-ula et in territorii Ordos valle f. Hoangho (Przewalski!), Ulaschan (David!), ‘|jugo Alaschan australi (Przewalski!). 6. serrata m.: foliis passim pauciserratis. Chinae prov. Kansu ad Hoangho super., alt. 7 mill. ped. supra mare, jugo Nan-shan inter Mongoliam et Tsaidam finitimo (Przewalski!). 5. C. ternifiora Maxim. in Bull. soc. natur. Moscou, 1879, 40. China occidentali: prov. Schensi et Kansu (Piasez- ki!)}, Hu-peh boreali (David!). 6. C. nepetaefolia Maxim. in Mél. biol. IX, 830. et in Bull. soc. natur. Moscou, 1879, 40. Franch. PI. David. I, 231. Teucrium nepet. Benth. in DC. Prodr. XII, 580. China media (Fortune!)}: Ningpo (Hancock!), ad Jacum Ta-hu prope Shanghai Ce ), prov. Hu-peh boreali (David). Sphenodesma Jack. S. unguiculata Schauer 1. c. 623. Hance inJourn. bot. XXI, 355. China australi: ins. Haïnan, scandens in bambusetis ditionis Lai (Hance). Distrib. Tenasserim!, Khasia! Avicennia L. ; A. officinalis L. Cod. 4642. (sub À. éomentosa). Schauer 1. c. 700, China australi (Meyen) et in aestuariis orbis an- tiqui, v. €. India!, mari Rubro!, Australia! et alibi. Genus excludendum. Erythrostaphyle vitiginea Hce! in Journ. bot. XI, 266, ex ipso, duce Oliver in litt., ibid. XII, 184. est Jodis species, inter Olacinens. Chine dubai. Platypholis gen. nov. Orobancheue. Calyx ebracteolatus antice et postice sectus, seg- mentis bilobis. Corolla breve lateque tubulosa, parum incurva, labiis brevibus erectis: superiore majore trun- € Stamina 4 didynama exserta parallela recta, posticis longioribus. Antherae ato, inferiore acute trilobo. PRE PR MERES Éru SUR pi e ÉRESPOAE A e E EER n Ÿ FE s Pen QU VS ee LS ER eme LE GRR TRE SEP REA pie NON LR ET MES D LS se Ra CAT ? ee PR NE ER ee % Ds ae ms SR a TRUC En Ut ES A NS DIT RS parvae connectivo adnatae loculis parallelis oblongis : 54 muticis. Stylus longitudine staminum longiorum, stigma capitatum. Ovarium basi nudum, placentis 4 parieta- s9 des Sciences de Saint: Pétersbourg. libus per paria approximatis. Capsula et semina ig- nota. — Caulis crassus brevis squamis ovatis v. obova- tis planis subcontiguis in bracteas majores abeuntibus. Spica ovoidea brevis densa. Flores e bracteis parum exserti majusculi. PI. Boninsimae. Bonin-sima (prof. Yatabe specc. 2. flor. misit). Genus affine Conopholi Wallr., quae differt calyce antice tantum secto, postice 4-dentato, 2-bracteolato, corollae galea tuboque longiore incurvis, lobis majo- ribus, staminibus e galea non exsertis subaequalibus (sSuperioribus tamen et hic longioribus), antherarum loculis mucronatis basi divergentibus. Lathraea corol- lae tubo breviore calyceque ebracteolato congrua, ca- lyce 4-lobo, galea biloba, staminibus (posticis item longioribus) galeam aequantibus, antheris mucronatis barbatis, ovario antice cum glandula crassa disci cog- noscitur. Omnium propius genus videtur Boschniakia, calyce cupulato breve 5-dentato, staminibus inclusis, stigmate late bilobo, placentis bifidis tantum distinctum. 14—16 cm. alta, 8 mm. crassa, basi ipsa dilatata É tuberiformi. Spica 4 cm. alta et lata. Bracteae 20 mm., 3 corolla 22 mm. longae, calyx bractea brevior. Stamina : inferiora breviora galeam aequantia, superiora stylo aequilonga, 3 mm. galeà longiora. Mosla Fordii. Spithamaea simplex pubescens griseo- viridis, foliis linearioblongis v. linearilanceolatis utrin- que acutis serrulatis; racemis terminalibus capitatis _ brevissimis, bracteis imbricatis inferioribus sessilibus _ reliquis subpetiolatis integerrimis longe pectinatocilia- tis ovatis ellipticisve cuspidatis calyce fructifero duplo aucto turbinato aperto brevioribus, pedicellis calyce subaequaliter 5-fido brevioribus, laciniis calycinis subulatis, corolla calycem vix duplo superante bis = longiore quam lata exannulata, antheris cassis 1-locu- _ Jaribus; nuculis tubo calycino occultatis subglobosis obiter reticulatis, styli ramis brevibus subparallelis. China: prov. Canton, ad Lo-fau-shan (Ford! fl. frf.). Inter ZM, japonicam et M. chinensem m., habitu, nuculis, antheris cassis prioris, corolla (tamen tantum 4 mm. longa) foliisque posterioris, bractearum forma pilisque ab utraque distincta. _ Bracteae 4,5 mm., calyx sub anthesi 3% mm., fruc- -tifer 5 mm., corolla 4 mm. et ultra, nueula 1 q. exc. _ mm. Folia 23 : 4 mm, capitula 10 :6—7 mm. magna. Nepeta subintegra. (Sec. 2. Pycnonepeta $ 2, Benth.). Elata fastigiatoramosa retrorsum pilosa, foliis parce pilosis longe petiolatis petiolis patenter pilosis, lamina subtus glandulis impressis punctata inferiorum corda- toovata obtusa, reliquorum oblongolanceolata acutius- cula, floralium flores aequantium subsessili ovata acu- minata, margine foliorum infimorum subregulariter grandicrenatoserrato dente terminali maximo, sequen- tium incisocrenatoserrato incisuris baseos majoribus omnibus patulis, summorum basi 1—2-serrato v. in- tegro; verticillastris densis floribusque subsessilibus in spicam terminalem elongatam densam vix basi inter- ruptam digestis, bracteis lanceolatis v. intimis lineari- bus acutis calyce longioribus v. aequalibus, flore parvo, calyce 15-nervio sursum longius piloso leviter incurvo ore obliquo 5-dentato dentibus acute deltoideis, corol- lae azureoviolaceae tubo vix exserto limbum aequante, galea porrecta acute 2-dentata staminibus superioribus vix breviore, labio 3-fido lobis lateralibus ovatis acu- tiusculis intermedio majore truncatobilobo, nuculis (juvenilibus) laevibus. E Mongolia boreali orta dicitur, ubi cirea Urga hieme 1883 semina legerat et miserat Przewalski; floruit in horto Regeliano Julio 85. Affinitas cum nulla e notis bene expressa. Summitas ante oculos 1//,-pedalis, tota graveolens. Petioli 35, lamina 50 : 20 mm. Spica principalis 13 cm., non incluso verticillastro remoto infimo. Verticillastra circiter 12-flora. Calyx 4 mm., dentes infimi 2 vix minores subconniventes. (Corolla 9 mm. extus ad limbum pilosa, intus in tubo parce pilosiuscula. Anthe- rae atrae. Styli crura acuta aequalia, antheras supe- riores non attingentia, inferiores superantia. Ovaria laevia, processu disci aequilongo lineari albo. Dracocephalum prunelliforme. (Sect. 3. Moldavica Benth.). Ascendens vix pedale pilis aridis flexuosis pubescens, foliis parcissime versus basin serratis sae- pissime integris petiolatis (superioribus brevissime) ovatis inferioribus obtusis, reliquis acutiusculis, flora- libus imis oblongis basi orbiculatodilatatis, superiori- bus sensim orbiculatis breve subito cuspidatis ciliatis pilosisque; verticillastris confertis in spicam late ova- tam, calyce basi piloso margine brevissime ciliolato bilabiato labïis aequilongis: superiore 3-dentato den- tibus ovatis, inferiore 2-lobo lobis lanceolatis, omnibus Li Bulletin de l’Académie Impériale 92 breve mucronatis; corolla ampla calyce 3-lo longiore ad galeam erectam labium superantem apice cucullato emarginatam stamina tegentem pilosa ceterum cum genitalibus glabra, lobo labii medio majore transverse orbiculato incisodentato, lateralibus ovatis integris, tubo parum inflato intus pilosoarnulato. Ufsubo qusa. S0o bokf, XI, 9 (foliis acuminatis paulo discrepans). Nippon: prov. Senano s. n. jap. Jindou sô (Tanaka), prov. Kaga monte Hakusan, s. n. jap. Tate-yama utsubo gusa (Yatabe). Typus proprius, nonnihil in mentem vocans Prunel- lam grandifloram, et paulo accedens ad D grandiflorum L., quod tamen adhuc nimis distat et aliae sectioni adnumeratur. Petioli inferiores 7 —10 mm., superiores 2—4 mm., lamina inferiorum (minorum) 30 : 15—20 mm., supe- riorum (sensim majorum) à 55:35 ad 60:50 mm. Calyx 11 mm, ultra dimidium in labia fissus, 15-ner- vius ac reticulatus, purpureo suffusus. Corolla (pur- purea ?) 30 mm., annulo pilorum incompleto parcius- culo brevipilo. Stamina inferiora galea distincte, supe- riora vix breviora. Stylus stamina breviora aequans, lobis subulatis elongatis. Adnot. D. urticifolium Miq., jam habitu v. gr. stolonibus debilibus elongatis Cedronellam cordatam Benth. referens, ob antherae loculos parallelos a Dracocephalo removendum et Cedronella urticifolia salutandum est. Philoxerus Wrightii Hook. f. in Gen. pl. IIT, 40 (nomien). Glaberrimus nanus caespitoso-ramosissimus et radicans, foliis carnosulis planis spathulatis axilla imberbi, ca- pitulis brevipedunculatis ramulos breves terminantibus paucifloris, flore opaco lacteo, bracteis bracteolisque parum minoribus hyalinis ovatis calyce fructifero plus 2-lo brevioribus, sepalis ovalibus exterioribus 3-inte- rioribus 1-nerviis “patulis in fructu subinduratis cari- natis conniventibus. Liukiu: in fissuris rupium (Wright! n. 240 fi. c. fr.): O-sima, rupibus maritimis rarus (Tashiro! nond. f1.). Ab omnibus speciebus a Hookero huic generi ad- judicatis differt bracteolis bractea brevioribus (nec longioribus) omnibus ovatis obtusis. Proximus videtur Ph. crassifolio Kth., e Mexico et Antillis, qui tamen rhachi villosiuscula calyceque bracteas aequante abunde distinctus videtur. Caules fere spithamaei in caespitem vix ultra 2-poll. altum dispositi. Folia 7:3 mm. internodia 2—3-lo superantia. Capitula 5—7 mm. alta, circa 10—15- flora. Bractea 1°, mm. bracteolis triente longior, om- nes 1-nerviae. Calyx sub anthesi turbinatus vix 3 mm. longus pedicello incrassato latior, fructifer 3,5 mm. pedicello subgloboso farcto et duro aequilongus, sed triente angustior, conicoconnivens, sepalis primum hyalinis medio subviridulis, tum totis albidis pellucidis cum margine hyalino angusto, interioribus angustiori- bus. Staminum columna tenerrima, parte connata filamentorum liberam aequante. Antherae flavae, vir- gineae oblongae, dehissae late ellipticae filamenti par- tem liberam fere deltoideosubulatam aequantes. Stylus stigmatibus acute crasse subulatis patentibus germi- . neque orbiculato longior, fructu maturo brevior et persistens. Utriculus compressus membranaceus calyce inclusus. Semen brunneum opacum testa membranacea, cum albumine centrali discoideo hinc medio parieti adnato. Embryo albidus cyclicus, radicula cotyledonum longitudine ac illis subcrassiore cylindrica acutiuscula. Atriplex arenaria Nutt. Gen. I, 198. Gray, Man. 409. $S. Wats. in Proceed. Amer. Acad. IX, 112. Hook. et Arn. Bot. Beech. 157. Obione aren. Moq.. in DC. Prodr. XIII, 2, 107. Liukiu: Distrib. America borealis! atlantica littoralis, Veracruz Mexici et Chile, ex Moquin. E California quidem enumerant Hooker et Arnott, sed fortasse ex con- fusione patriae, nam in Bot. of California IT omittitur. Asarum Forbesi. Fibris radicalibus crassis, internodiis abbreviatis, foliis membranaceis concoloribus longe petiolatis cordatoreniformibus; calycis tubo campanu- lato intus elevatoreticulato, lobis ovatis laevibus, fauce extus haud constricta intus membranaceoannulata, filamentis basi adnatis, antherarum processu brevis- simo, stylis érectis teretibus supra stigmata lateralia bifidis cruribus obtusis arcte continuis, ovario ultra semisupero. À. Blumei Hce. in Journ. bot. XX, 293. China: prov. Chekiang, ad Meichi (Forbes et Carles!). Folia À. Sieboldi Miq., recte observante Hance, perigonii forma et magnitudo fere À, variegati A. Br, praeter annulum in fauce tubi qui, sicut reliqui cha- 10 racteres florales, 4. Blumei Duch._ ins. Miyako juxta Formosam Eash ir) M PSE so 93 À des Sciences de Saint-Pétersbourg. 94 Petioli 135 mim., lamina in folio uno 67 mm. lat, 58 mm. v. a basi sinus mensa 43 mm. longa, in folio secundo speciminis missi eaedem mensur?e 120, 60, 54,-41 mm. Pedunculus parte exserta 10 mm., calyx 15:10 mm., Styli ultra ?/, tubi sub anthesi attingentes tota longi- tudine stamina superantes. Antherae oblongae fila- mento duplo longiores. ; Piper L. Species sinico-japonicae. Flores hermaphroditi. Planta glabra foliis tenue membranaceis 5-nerviis ovatocllipticis M eu Ve Ge nd Vo de ch nues P. chinense Miq. ‘ 2. Spicae oppositifoline. 8. » axillares, folia cordatorotunda ampla.. 3. “ra Mes subtus pubescentia. Glabr 4, Nr Das yalde obliqua semicordata, spicae LA TS CÉPAEU S RUO NS LOS PE TE el P. puberulum Bth. olia Ra aequaliter cordata, spicae re- DR NS er st nee dau nee P. sinense C. DC. 5. Spicae utriusque sexus elongatae cylindricae, folia septuplinervia acuminata pl. juvenilis * subcordatoovata adultae basi obliqua ovato- oblonga v. ovatolanceolata ................ + Futokadsura Sieb. Spicae & elongatae quam © multo longiores. 6. 6. Folia 5—7-plinervia basi pl. m. Mesa {à E » oblongoelliptica penninervia .......... P.officinarum C. DC. SP € D oblongo- v. ovato- “eliptics sensim acu- DR ER DENT et eve ME ph ae Pal Lee a die vs P, Hancei m. Folia orbiculato- v. rite ovata subito acu- D EN er Ne RL LI SUP Va P. sarmentosum Roxb. P, Postelsianum m. 1. ? P. chinense Miq. in Hook. Lond. journ. bot. IV, 439. C. DC. in DC. Prodr. XVI, 1, 375 (inter Spec. miuus notas). _ China (Millett in hb. Hooker, fide Miquel). 2. P. Postelsianum. (Macropiper Bth. et Hook. f. Gen. pl. ILE, 129). Glabrum, foliis amplis longe petio- latis profunde cordatoorbiculatis subito breve obtuseque cuspidatis membranaceis 13-nervits nervis subtus pro- _ minulis 5 mediis fere aequicrassis centrali usque in _ acumen producto reliquis ante marginem anastomo- _ santibus, petiolo ultra !! vaginante alis linearibus, __ pedunculis geminis petiolo pl. duplo fere triplo bre- vioribus, rhachi inter flores pilosa, bracteis peltatis sis “orbenlatis cucullatis pedicellatis, staminibus 2 (3 ?) = filamento brevi insidentibus, loculis ovoideis discretis - filamento brevioribus. Pothomorphe subpeltata Mig. in . Hook. Lond. journ. bot. IV, 431 (ex X coll. citato). = Bonin-sima (Postels!, Mertens! n. 86, Yatabe! 5 sub nom. jap. Taiyo futokadsura). tubi parte libera 8 mm., lobis 4 mm. | Miquel ob habitum sane ad Pofhomorphen relegavit et sterile tantum habuit, nam flores in Pothomorphe hermaphroditi. Proximum P. guahanense C. DC. (Macropiper methysticum et M. latifolium Miq., fide Cas. DC.) differt foliis subtus ad venas ochraceohirtis duplo minoribus 9—1 1-nerviis sensim acuminatis, ala petioli breviore, spieis (9) singulis. Lamina 22 cm. lata et longa, siuu angusto 4,5 cm alto, petiolus 7,5 em., vagina 3 em. Internodia petiolo breviora. Peduneuli 2,5—3 em. Spicae 11—13 em. longae, 3 mm. crassae, basi apiceque obtusae. 3. P. puberulum Benth. FI. Hong. 335 (sub Chavica). P. arcuatum Seem., Bot. Herald, 415, — non Miq. ? P. Hongkongense C. DC. I. c. 347 (ex descr.) Hongkong (Hance, ex Bentham). Non vidi. C. DC. I. c. 360. habet e Hongkong ?. arcuatum Miq. in Seem. Herald, et de specie Benthami silet. Tum enumerat var. à. triplinerviam e China ae fide Miq. Syst. 335). 4, P. sinense C. DC. I. c. 361. Chavica sin. Champ. in Kew journ. bot. VI, 116. Benth. FI. Hongk. 335. Hongkong (Hance!, Forbes!). 5. P. Futokadsura‘ Siebold in Sieb. Zucc. FI. Jap. fam. nat. II n. 455. Miq. Prol. 303. Fr. Sav. Enum. I, 443. C. DC. in DC. Prodr. XVI, 1, 346. Piper ‘foliis 7-nerviis Thunb.! FI. Jap. 351, pl: obsc. p. 7. P. arcuatum var. Miq. in Ann. mus. higd. bot. L'185: Japonia (Miquel!, Tanaka! sub nom. jap. kiuma (fol. latioribus) et Futou katsura (fol. angustioribus): circa Nagasaki frequens (01dh.!, ipse), Nippon: Tokio, culta s. nom. Biwats (ipse), Kamon saki (Savatier!); Formosa, ad Tamsuy ai n. 468 steril. sub hoc nomine missa). 6. P. officinarum C. DC. I. c. 356. Chavica offic. Miq. Syst. 256. Ill. 39, t. 34. et in Lond. journ. bot. IV, 433. China (Millett, fide Miquel), tum in Philippinis! Celebe, Java!, Sumatra. 7. P. Hancei m. Chavica leptostachya Hance in | Journ. bot. VI, 301. China: prov. Cantoniensi (Sampson! 6 et © misit Hance); Liukiu (Tanaka! 9): O-sima (Wright! 6 et l'fructif.). # 95 Bulletin de l’Académie Impériale 96 8. P. sarmentosum Roxb. F1. Ind. I, 162. C. DC. 1. c. 352. Chavica sarm. Miq. Syst. 242. Benth. F1. Hongk. 335. P. fragile Benth. in Hook. Lond. journ. bot. II, 234. (a C. DC. I. c. 358. e Nova Guinea seorsim inter multiplinervia enumeratum). Ch. beile Seem. Bot. Herald 415, neque Miquel. China australi: Canton (Hance!) et prov. Canton. (id.!, Sampson!), Hongkong (Hance!). P. betle L. a C. DC. L c. 359, fide Miquel ad pl. Seemanni e Hongkong enumeratum, ex Bentham huc pertinet. Machilus Rumph. Species sinicojaponicae. re subtus tomentosa. 2. » labra v. vix pilosula. 4. 2. Folia basi rotundata obovatooblonga, panicu- lae laxae longe pedunculatae Folia basi cuneata. 3. 3. Tomentum villosum patulum, folia acute acu- minata, paniculae sessiles Tomentum appressum, folia obtuse attenuata, M. Grijsii Hce. paniculae pedunculatae ................... Kobu m. 4. Folia coriacea. 5. KR. CANON, re te deshétoeeues trs M. japonica S. Z. 5. Gemma dorso ramulique saltem novelli tomen- tosa. 6. Gemma margine squamarum nent paniculae folio breviores, ramuli glabri.........,,.... M. Thunbergi S. Z. 6. Folia elongatolanceolata sübtis secus venas parce pilosula, paniculae longe pedunculatae apice dense multiflorae ceterum laxae . ,..... M. oreophila Hce. Folia basi cuneata obovatooblonga apice subito breve obtuse cuspidata glaberrima, paniculae totae laxae folia superantes. ....,......,.,. M. rimosa BI. 1. M. Gris Hce. in Ann. sc. . nat. 4 ser. XVIII, 296. Journ. bot. XX, 38. Meisner in DC. Prodr. XV, 1, 504. nn: prov. Canton. (Henry, ex Hance), prov. Fokien (de Grijs, ex Hance). Arborea. Folia 3%,—5", : 1'/,— petiolus 3—7-linealis. 2. M. velutina Champ. in Kew journ. bot. V, 198. Benth. F1. Hongk. 291. Meisn. L. c. 39. Hongkong (Hance!), nec alibi inventa. 3. M, Kobu. Ramis foliisque subtus gilvotomentellis demum glabratis, foliis novellis utrinque dense villo rubiginoso, gemmaeque globosae tegmentis dorso to- mentosis, foliis Jongiuscule petiolatis ellipticooblongis v. ellipticooblongoovatis obtuse breve attenuatis su- Fraises M. velutina Champ. 2°, poil. magna, Miq. Prol. 127. Franch. Savat. Enum. L'FHIS perne opacis obsolete scrobiculatis, subtus tum dis- | tincte elevatovenosis areolatisque, paniculis folio bre- vioribus tomentellis, drupa..… Bonin-sima (Yatabe sterilem et florere incip. misit s. nom. jap. Kobu-kashi vel Kuro tetsu). Affinis M. velutinae Champ. et M. pubescenti BI. (a me non visae). Prior paniculis sessilibus, tomento omnium partium patente villoso rufo foliisque acute acuminatis facile dignoscitur. Posterior ex descriptione foliis angustioribus supra immerse (nec prominulo-) costatis, subtus eveniis, brevius petiolatis chartaceo- coriaceis, paniculis folia aequantibus differre videtur. Folia minima petiolo 12 mm., lamina 93 : 28 mm., maxima petiolo 30 mm., fibres 130 :45 mm., latis- sima petiolo 25 mm., basis 130 : 70 mm. Gens 23 mm. alta et lata. Perigonium 4,5 mm. longum. Filamenta stylusque pilosa aequilonga, priora stami- nodia 4-lo superantia. Stamina in flore dissecto vidi fertilia 9, sterilia 6. 4. M. rimosa BI. Mus. Lugd. Bat. I, 330. Meisn. 1. c. 42. Benth. IL. c. 291. M. Thunbergii Benth. in Kew journ. bot. V, 198, non Sieb. Zucc. 54 Hongkong (Wright!), Formosa (Watters ex Hce. in Journ. bot. XXI, 335), praeterea in Java!, Mou- mein (Lobb ex Meisner). À simillima sequente distinguenda tegmentis exte- rioribus tomentosis (neque tantum ciliolatis), ramulis novellis ochraceotomentosis (neque glabris) et paniculis folia aequantibus aut superantibus (nec brevioribus). 5. M. Thunbergi Sieb. et Zucc. F1. jap. fam. nat. IL, n. 704. Meisn. L. c. 42. Miq. Prol. 127. Fr. Say. Enum. I, 411. Engl. Bot. Jahrb. VI, 57. Lauwrus indica Thunb. F1. Jap. 173, — non L. Tomu noki, Kaempf. Amoen. 906. Ic. Käémpf t. 50. 2. Korea: portu Hamilton (Wilford!); Japonia: ad promontor. Nomo aestuarii Nagasaki et circa urbem (ipse, Oldh.!), Simoda(Yolkin!), Yokoska(Savatier!), Yokohama (Oldh.!, ipse); Ziukiu (Doederlein!), 5 Formosa, ad Tamsuy (01dh.! n. 450). É Arbor dense frondens, 50—60-pedalis, pulchra. , … Folia vulgo obovatooblonga ludunt a lanceolatooblon- 4 go in late ellipticum. 20 6. M. japonica S. Z. 1. e. n.705. Meisn. L. c. 42. Japonia (Siebold!): Kiusiu interiore, ad Ko-isiwara % 4, Limbus tubo 2—3-lo brevior uterque 97 des Sciences de Saint: Pétersbourg. ps in sylvis, circa Nagasaki, Tsusima (Wilford!). Arbor 30-pedalis, 4 pedes usque crassa dicitur, incolis Kiusiu interioris eodem nomine Tabu noki ut praecedens nota. Gemmae M. Thunbergii. Folia subcon- colora, subtus ex sicco non glaucescentia videntur, ab illis A. Thunbergii consistentia chartacea et forma angustiore ab oblongolanceolato sensim acuminato in linearioblongum valde acuminatum ludente diversa. Flores fructusque idem. An igitur tantum M. Thun- bergii var. umbrosa habenda? 7. M. oreophila Hance in Ann, sc. nat. 4 sér. XVIII, 227. Meisn. 1. c. 504. Gina: prov. Fokien (de Grijs, ex Hance). Dicitur arborea, foliis 5—7 poll. longis, 1—1!/ poll. latis, petiolo subpollicari. Species dubia. M. ? longifolia B1. Mus. Lugd. Bat. I, 331. Miq. Prol. 127. Fr. Sav. Enum, I, 112. Engl. Bot. Jahrb. OT. Liukiu (Doederlein, fide Engler), Japonia (hb. Lugd. Bat.!). Sterilis tantum lecta, quoad genus et imo familiam dubia, japonice ex Franch. Savat. audit Ao kasi: i. e. Quercus glauca. in sylvis umbrosis (ipse), Cinnamomum sericeum Siebold. Miq. Prol. 127. Franch. Savat. Enum. I, 411. C. daphnoïdes Sieb. Zucc. FL Jap. fam. nat. IT, n. 701. Liukiu (Tanaka! flor.), Japonia: ad Nomosaki _ (Buerger! in hb. Lugd. Bat.) et cultum (ipse). Wikstroemia Endl. Species Sinicojaponicae. Folia omnia opposita. 2. » opposita et alterna parva acute elliptica subtus ramulique pilosula, capitula pluriflora, En sericei luteopurpurei lobi tubo triplo D Me L'or y ide or 2. Racemi capituliformes apice caulis ramorum- que pm mer tirs densam con- sti Tidem | paume apice ramorum pl. m. elon- atoru W. Monnula Hce. 18 ini crassi dense imbricatofoliati, folia obo- vata cas peer limbus perigonii tubo triplo RON 25 re té à de CAN HEC à À Rami rl virgati, folia acuta v. obtusa. 4. glaber- rimus, folia obtusa v. obtusiuscula ovalioblonga abrata 5 Limbus tubo 3—5-lo brevior ue sericeus, folia (infer. passim exceptis) acuta. 6, Tome XXXI. W. retusa A. Gray 5. Folia laevia paucicostata, flores albi. ..,.., W. indica C. A. Mey. » nervosa multicostata, flores luteovirides. W. viridiflora Meisn, 6. Folia glaberrima laevia linearioblonga utrin- . acuta, limbus tubo 4—5-lo brevior, flores D cn iles nVe Aides W. Chamaedaplhine Meisn. Rami ts subtus pilosa Y. — 7. 7. Folia lae £ flores lilacin CR DONS ET PR TT MON PE Folia ane reticulatovenosa densa ovata v. eliptica basi obtusa, flores tubo carnei limbo ina que acnta .W. chinensis Meisn. nie Ham LS cn di CRT OR 8. Glabrae, capitula pauciflora, flores TE 9, Sericea, capitula multiflora, limbus # brevior, folia ovata v. ovatolanceclats aout. hs Sikokiana Fr.Sav. 9, Capitula nutantia apice ramorum solita flores viridiluteï, se anguste ae pr acuminata, rami flexuosi .......,....... Capitula erecta ue cross flores st cti. W. japonica Mia. 1. W. Monnula Hce. in Journ. bot. XVI, 13. China: prov. Canton (Bullock, ex Hance). W. nutans Chamr. 2. W. retusa A. Gray (in sched.). (Zuwwoikstroemia Meisn.) Ramulis novellis pilosis dense imbricatofo- liatis, foliis brevissime petiolatis herbaceis glabris multinerviis obovatis retusis v. rarius ellipticis obtusis; capitulis terminalibus breve pedunculatis, perigonio pubescente lobis late ovalibus obtusis tubo brevioribus, ovario vertice piloso, squamis hypogynis !, ovarii altis oblongis passim bilobis liberis. Liukiu: in sepibus, frutex ramosissimus 4—6-pe- dalis (Wright!), ad Napakiang, ad latera collium fre- quens, a basi patule ramosus (Dr. Weyrich!}; Bonin- sima (Yatabe! s. nom. jap. Awo ganpi). Valde affinis videtur W. rotundifoliae Dne. in Jac- quem. Voy. 146, ex insulis Polynesiae, quae tamen ex diagnosi breviore differre videtur foliis late ovalibus utrinque obtusis (nec basi cuneatis) ovarioque glabro. Rami crassi, pulvinis crebris prominentibus. Petioli 2—3 mm., lamina 40:20 ad 55:30 mm., vel in sureulis novellis citius excretis laxiusque foliatis 60:25 mm., nervis utrinque 10—12 et inter nervos venosa, Perigonium ex collectore viridiluteum, drupa {late ovalis rubra 5—6 mm. Semen ovoideum nigrum lucidum testa crustacea. Albumen membranae in mo- dum embryonem globosoovoid radicula breve conica excepta circumdans. Cotyledones semiglobosae Last emarginatae, radicula brevissima. 3. W. indica C. A. Mey. in Bull. phys. math. Ac. Pétersb. I, 357. Meisn. in DC. Prodr. XIV, 543. Hook. Arn. Bot. Beech. 68, 94, 209, t. 15. Daphne ; Bulletin de l’Académie Impériale 100 indica L. Cod. 2825. D. foetida Forst. in Linn. f. Suppl. 223. China (Osbeck, Vachell) occidentali: prov.Schensi _secus fl. Han (Dr. Piasezki!, ex quo frutex parvus, floribus albis fragrantia Platantherae); tum in Austra- lia et Philippinis. Specc. sinica a reliquis ante oculôs flore duplo mi- nore recedunt, quem tamen variare statuit Meisner, ceterum plantam, praeter pilos strictos in apice ovarii, glaberrimam sistunt. Quoad floris colorem autores dissentiunt: Blanco in D. indica viridescentes, in D. foetida lutescentes dixit, Meisner utramque ad D. indicam duxit, Linnaeus in Capura purpurata L. a Meisnero etiam huc ducta purpureos habet. : An hic plures species latent? 4. W. viridiflora Meisn. I. c. 546. Benth. FI. Hongk. 297. W. alpina var. Benth. in Kew journ. bot. V, 195. Daphne cannabina Lour. FI. Coch., fide | Decaisne in Jacquem. Voy. 145. Hongkong (Hinds!, Wright! quo teste flores vires- centilutei, fructus lutescentiruber), Formosa (OIdh.! n. 456), tum in Zndia (Falconer! n. 901), Chittagong et Singapur (Bentham). 5. W. Chamaedaphne Meisn. 1. c. 547. Franch. PI. David. I, 260. Passerina Chamaed. Bge. Enum. Chin. n. 396. Turez. Enum. Chin. n. 174. Fa Ind. Pekin. 476, Ind. Mongol. 485. China borealis in lapidosis (Bunge!): circa Pekin (Kirilow!, David), montibus ab urbe ad occidentem (Tatarinow!) et septentrionem (Bretschneider!), Nankou (idem!, Wawra n. 1008!), Takiosze et alibi frequens, frutex 1—3-pedalis, floribus flavis suaveolen- tibus (Bretschn.) 6. W. chinensis Meisn. L c. 546. Debeaux, flor. du Tchéfou n. 175. Franch. PL David. I, 260. China (hb. Monac. ex Meisn.): prov. Shantung ad Tschifu (Debeaux), Kiukiang (David). Flores dilute violacei tum lilacini, fide Debeaux. 7. W. Ganpi m. W. canescens var. Ganpi. Miq. Prol. 298. Franch. Savat. Enum. I, 405. Passerina Ganpi. Sieb. Zucc. F1 Jap. fam. nat. IL, n. 696. _ Stellera Ganpi. Siebold, Syn. pl. oecon. n. 132. Nippon: Yokohama, frequens (ipse, Oldh.! cujus spec. n. 266. foliis lanceolatoovatis acutis ÿnsigne), Yokoska (Savatier!), Nambu, jugo Hakone (Tscho- noski!); Kiusiu: Tara-take non procul a Nagasaki (ipse), Kago-sima (Doederlein!). W. canescens Meisn. habitu ct floribus quidem simillima, attamen differre videtur foliis angustioribus : et vulgo acutioribus, costis principalibus 6—8 (neque 4—5), perigonii tubo limbum minorem magis supe- rante, antheris ochroleucis sessilibus (neque fuscis filamento libero brevissimo fultis), semine anguste lan- ceolato utrinque acuto (nec ovoideo basi minute api- culato, apice breve obtuse attenuato), drupa multo brevius calyce persistente inclusa obverse linearilan- ceolata apice tantum sericea majore, hine nervo elevato, latere opposito nervis 3 spatio dilutiore separatis lon- gitudinaliter pereursa (neque ovoideolanceolata obtusa tota sericeopilosa, hinc crista dilutiore sulcata notata). Var. pauciflora Fr. Sav. 1. c. II, 481. W. pauci- flora Fr. Saw. L. c. I, 406. Nippon (Oldham! 1861 n. 266 vix fl., an e Yoko- hama?): Hakone, Senano (Savatier). 8. W. sikokiana Fr. Sav. 1. c. II, 481. Sikoku (Rein! n. 77). Specc. Reini quae ante oculos sunt, flores delapsos MEN ETSEMSS nec fructus ullos superstites habent, ita ut ad descrip- en. tionem autorum nil addendum habeam. 9. W, nutans Champ. in Kew journ. bot. V, 195. Meisn. L c. 545. Benth. FI, Hongk. 297. China australi: Hongkong (Wright!, Canton (Fortune! n. 174), nee alibi. Hance!), 10. W. japonica Miq. Prol. 298. Fr. Sav. Enum. I, 405. Passerina japonica Sieb. Zucc. FL Jap. fam. nat. Il, n.695. Séellera japon. Siebold, Syn. pl. oecon. n. 131. ÆRubia spicis ternis, Thunb. FL. Jap. 357. Queria dichotoma Thunb. in Trans. linn. soc. II, 329. Icon. pl. Jap. dec. À AE AN Japonia (Siebold!. ex quo jap. kim cortice ad chartam praeparandam adhibito): Nippon (Everton Kiusiu: Simabara, vulcano Wunzen, frutex 3—4-pe- dalis digitum crassus, praesertim apice ramosus (ipse). Species distinctissima, neque W. virgatae Meisn. affinis, quacum comparaverant Siebold et Zuccarini, 4 quae autem potius W. canescenti comparanda. Observ. Daphne Kiusiana Miq. Prol. 298. Fr. Sav. Enum. I, 405. Jamma Rintsjo, Kaempf.! Amoen, 101 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 844. ex mea opinione ad D. sinensem Lam. Dict. III, 438. ducenda est. — In Japonia crescit non rara in sylvis Kiusiu, ubi sistit fruticem pauperem 4-pedalem flore albo fragrante. Praeterea sterilis lecta fuit in Yezo: arundinetis montium ad Idzi-no-watari (ipse, Albrecht!). In Æuropa colitur s. nom. D. odorae, e China olim introducta. A D. odora Thunb. differt perigonii pubescentis laciniis late oblongis et foliis in planta spontanea angustioribus floreque minore, sed in planta culta flores majores fiunt, folia vero aequilata ac in D. odora. D. yezoënsis, à Fr. Sav. En. I, 404 tantum ex sched. hb. enumerata, a me descripta est in Rgl. Gartenflora, 1866. 34, t. 496, ubi comparationis causa adducuntur etiam diagnoses D. Kamitschaticae m, et D. Pseudomezerei À. Gray. nd Fagus japonica Maxim. (nomen) apud Nathorst in Bihang till Svensk Vet. Akad. Handl. IX, Xe 18, pag. 8 in adnot. Folüs ellipticis basi obtusis v. acutiusculis apice subito acuminatis utrinque 8—10-costatis costis obscure in sinus vel passim versus dentes obsoletos v. - distinctos tendentibus; pedunculis gracilibus amento utriusque sexus pluries longioribus, fructiferis cernuis * fructum parvum 2—3-lo superantibus, involueri dehissi laciniis patentibus nucula subduplo brevioribus dorso squamatis squamis acute deltoideis imbricatis apice tantum patulis. Nippon: jugo Hakone et prov. Naibi (Tschonoski). _ Specc. flor. nonnulla olim sub nomine Æ. Süeboldi distribui. Quoad foliorum formam et magnitudinem nie F. sylvaticae L. y. asiaticae D C.,.quae tamen, ut tota EF, sylvatica, pedunculis crassiusculis amento ad sum- __ mum sesquilongioribus, fructu duplo majore, involucro _ nuculas superante, squamis ejus linearibus elongatis .. recurvopatentibus nuculaque duplo majore valde dis- _ tincta. Nervi foliorum in nostra vulgo numerosiores. : Adnot. Ad F. sylvaticam T1, cujus var. y. asiatica : A. DC. in sylvis Yezo australis frequens, ducenda est _ etiam e Var. à. Sieboldi m. Foliis ovatis basi subrotundis _ subcordatisve costis in sinus tendentibus, fructu var. y. _ Fagus Sieboldi. Endl. Gen. pl. suppl. 4, pars 2, p.29. A. DC. Prodr. XVI, 2, p. 118. F. crenata BI. Mus. Lugd. Bat. I, 307. F. ferruginea Sieb. Syn. pl. oecon. nA101. Nippon: in sylvis Nikko (Savatier!), Kiusiu inte- riore in sylvis montanis, incolis Bunna, arbor dicitur magna, 4 pedes usque crassa (ipse). — Fide Siebold jap. Bunanoki, lignum in prov. septentrionalibus ad aedificandum fabricandumque adhibetur, ex fructibus exprimitur oleum, Foliorum forma tantum a reliquis varr. diversa indeque pro specie distincta nequaquam habenda. Liparis japonica. Spithamaea vel ultrapedalis robusta, pseudobulbo ovato, vaginis 2—3 obtusis virescentibus, foliis 2 ellipticis oblongis v. rotundatoellipticis obtusis in petiolum latissimum brevem v. rarius laminam aequantem sensim v. subito attenuatis, scapo alatoan- cipiti folia duplo v. ultra superante; racemo laxo plurifloro, bracteis parvis pedicello ovarium aequante multiplo brevioribus, floribus virescentibus erectopa- tulis, phyllis perigonii membranaceis obtusis exterio- ribus ovatooblongis 3-nerviis, interioribus spathulato- linearibus 1-nerviis subaequilongis, labello paulo bre- viore vix crassiore Po ae sens at basi sub- cordata columnam iculato a medio reflexo 5-nervio antice crenato cui dente majore in medio, columna leviter arcuata basi latiore, rostello truncato in dentem depressotriangulum acutum stigma marginantem et ad dimidiam columnam decurrentem abeunte, clinandrio utrinque 1-dentato, anthera depres- sohemisphaerica 2-loculari, polliniis flavis per 2 in massas ovatas connexis liberis. Microstylis japonica Mig. Prol. 135. Fr. Sav. Enum. II, 21. Seitaka Sudzumushi, Soo bokf, XVIII, 70 verso, fig. B. Per totam Japoniam sylvis muscosis non rara; in Mandshuria australiori: ad Amur australem in angus- tiis bureicis (Radde! 1857), jugo Sihota ad fontes fi. Wai-Fudin, insula Russki ex adverso Wladiwostok (ipse). Arcte affinis ZL. Zilüfoliae Rich., minusque in Japonia rara. sed minus elegans Bulbophyllum inconspicuum. ($ 1. Lindl. Orch. 48). Rhizomate elongato repente filiformi pseudobulbis remotiusculis oblongis 1-phyllis, folio brevipetiolato lamina oblonga obtusa basi attenuata coriacea margine revoluta 3-nervi; pedunculo radieali altitudine pseudo- bulbi 1-floro 3-bracteato: bracteis laxiusculis membra- 103 Bulletin de l’Académie Impériale 104 naceis acuminatooblongis summis 2'inter se florique approximatis; flore parvo ex sicco decolori, sepalo summo subtrinervi petalisque minoribus subbinerviis ovatodeltoideis acutis margine fimbriatis, petalis hya- linis sepalis membranaceis, lateralibus majoribus oblon- goellipticis obtusiusculis 3-nerviis integris, labello petala aequante ovato acuminato incurvo intus crista validissima percurso, columna apice utrinque acute 1-dentata, anthera minuta, stigmate amplo subqua- drato, pede columnae elongato attenuato incurvo cum labello articulato. Orchidea dubia 1, ded. Siebold, Miquel, Cat. hb. Lugd. Bat. 103. Japonia (Siebold! in hb. Lugd. Bat. s. nom. jap. Mugi-ran): Kiusiu monte Naga, in arboribus, cum Trichomane (ipse, ster. et fructif.). E speciebus micranthis 1-floris mihi notis paulo accedere videtur ad PB. pygmaeum Lindi. ex Nova Zelandia (v. Ster.), nimis tamen diversum. Eria japonica. ($ 1. Conchidium Griff. Lindl.). Foliis binis lanceolatis basi vaginantibus scapum 1-florum subsuperantibus, bracteis ovatis membranaceis parvis versus apicem et ad basin, flore lacteo parvo ad mentum pilosulo, sepalis petalisque oblongis acutis aequalibus, labello purpurascente trilobo basi tricristato lobis late- ralibus erectis ovatis, terminali reflexo aequimagno omnibus obtusis. Osa ran, bakukoku ran, Soo bokf, XVIII, 19. Dendrobium reptans Fr. Sav. Enum. IE, 510, ex fig. citata. Nippon: provinciis australioribus (Savatier), Kiusiu prov. Hiuga in monte Kirisima et alibi frequens, trun- cos arborum caespitibus usque tripedalibus obducens (fide Inuma in Soo boku I. c.), ipse cultam Tokio vidi. FE. pusillae Lindl. proxima, quae tamen pseudo- bulbis globosis, foliis basi attenuatis minoribus, bractea sub flore ampla acuminata, labello integro satis nimis- que differt. | Rhizoma perinam corvinam crassum, pseudobulbis crebris oblongis striatis 15 mm. longis numerosis obsessum. Folia 3—4 cm. longa, 9—12 mm. lata, carnosula. Scapus 2—2,5 mm. Flos 10 mm. longus. Anoectochilus Tashiroi. (Odontochilus BI.) Caule foliato, foliis viridibus brevipetiolatis ovatis acuminatis, racemo laxo paucifloro cum bracteis ovariis eas superantibus calyceque dorso articulatopilosis, petalis linearilanceo- latis falcatis sepalum summum rhombeoovatum triente superantibus et cum eo in galeam conglutinatis, sepalis lateralibus divaricatis elongato-dolabriformibus basi connatis, labelli sacco brevissimo intus utrinque cum appendice 2—3-partita, ungue longitudine laminae bipartitae (partitionibus oblique ovatis acutiusculis extus irregulariter denticulatis) lineari secus medianam bilamellato, margine longe fimbriato fimbriis utrinque 8—9 subulatis laminae latitudine brevioribus versus ejus basin decrescentibus, rostello acute bipartito patente. Liukiu (Tashiro, misit Tanaka). Habitus Cystopodis elongati BI. Orch. Arch. Ind. t. 30, fig. 1, à quo differt forma sepalorum eciliatorum, petalis cum sepalo dorsali non aequilongis, praesentia dentis deltoidei inter partitiones labelli, cristis in ungue labelli duabus. Spithamaeus. Petiolus 6 mm., lamina folii maximi 5:3 cm. Racemus 6 cm. Perigonium ex sicco ruben- tivirèns cum maculis parvis obsoletis, phyllis 1-nerviis dorsali 5 mm., lateralibus connatis 15 mm., petalis 6 mm., labello albo 16 mm. longis. Orchis Roborovskiü. Rhizomate horizontali brevi stolo- nibus innovante, caule palmari diphyllo, foliis elliptico- lanceolatis obtusis cum apiculo, spica 2 — 3-flora, bracteis flores superantibus, flore roseo, sepalis late- ralibus reflexis superius petalaque superantibus omni- bus ovatooblongis obtusis 4—5-nerviis, labello basi bicristato orbiculato antice breviter trilobo lobis ovatis obtusiusculis medio productiore, calcari conico labellum superante germen subaequante. Tangut (Przewalski, 1880). Huic proxima est Orchis Chusua Rehb. f. sic dig- noscenda: Tubere unico ovali, caule spithamaeo 2-phyllo, foliis elongato-lanceolatolinearibus acumina- ‘tis, racemo secundo 2—5-floro, bracteis flores majus- culos superantibus, sepalis petalisque 3-nerviis ovato- oblongis obtusis sepalis lateralibus paulo majoribus, labello latiore quam longo basi carinato aequaliter pl. [m. trilobo calcar cylindricum atque germen aequante. Gymnadenia Chusua Lindl. Orch. 280. — Nipal (Wallich!), Sikkim (Hooker fil.!, Elwes!). Orchis cyclochila. Rhizomate e fibris elongatis villo- sis tenue carnosis, folio 1 radicali orbiculato v. orbi- culatoelliptico obtusissimo in petiolum cuneatoatte- : nuato, SCapo palmari, spica 2--3-flora, bracteis flores Li 105 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 106 roseos subsuperantibus, sepalis patulis 3-nerviis oblon- gis acutiusculis petala linearia 1-nervia superantibus, labello obovatorotundato erosulo indiviso calcar anguste conicum germenque subsuperante. Habenaria cyclochila Franch. Savat. Enum.'Il, 516. Gymnadenia spec. Miquel! Prol. 139. Gymn. n.sp. Miq.! Cat. hb. Lugd. Bat. 102. Kamomesô, Soo bokf, XVIII, 46 (mala). Japonia (bot. japon. in hb. Franchet): Fudsi yama (Tschonoski!, Yatabe! s. n. jap. Ichiyô-ran), vallibus profundis Kiso yama ([Inuma). Eadenÿ species, ni fallor, delineata est apud Itô Keiske, Nihon shioku ete. [, 35, sub nomine Itsiyo tsidori. Herminium alaschanicum. Caule foliato, foliis acumi- natis infimo oblongo reliquis linearibus summis subu- latis bracteiformibus, spica secunda densa, bracteis lanceolatis subulatis ovarium superantibus, ovario apice brevirostri inflexo erecto, floribus virentibus nutantibus, sepalo summo ovato subtrinervi, lateralibus lanceolatis 1-nerviis, omnibus obtusiusculis, petalis triente longioribus apice carnosulis pl. m. trilobis lobis medio lineari producto superiore dentiformi v. obsoleto inferiore lineari v. anguliformi- deltoideo, labello cuneato basi concavo ad medium trilobo lobis parallelis linearibus acutiusculis medio subbreviore, calcari scrotiformi distincto. Tangut, in rupibus, alt. 10 mill. ped. s. m., rara, Mongolia australi: jugo Alaschan ad latera argillosa aperta, parce (Przewalski, 1873, 1880). * Affine Æ. Monorchi R. Br., sed flores majores, calcar _ distinctius, labellum SATA saepe triloba lobis pa- rallelis. — Adsunt tamen varietates duae: alaschanica: pedalis, petalis angulatis et calcari longiore, et éangu- tica: spithamaea, petalis manifeste trilobis. Tuber (tantum in pl. éangutica collectum) 1 globoso- ovale. Caulis basi vagina 1 tubulosa hyalina, tum foliis approximatis 2—5 instructus, quorum infima basi . tubulosa vaginantia, reliqua sessilia. Imum oblongum = breve acuminatum 40:10 mm., reliqua complicata sensim acuminata 70 : 6 ad 35: 5 mm. magna, summa . 2—A sparsa. Spica 2—8 cm. Sepala 4,5 mm., petala et = labellum 5,5 mm. Columna nana basi labelli adnata, an- : _ therae lculis parallelis basi parum divergentibus, polli- # _niis caudicula brevissima, glandula ovali magna rostello plano depresse deltoideo margine tantum libero apposita. Herminium biporosum. Folio radicali oblongo obtuso 3-nervi cauli continuo basi tubulosa vaginante, scapo nudo apice laxe racemoso, bracteis minutis obtuse deltoideis pedicello brevi plus duplo brevioribus, flore viridi phyllis obtusis obsolete 1-nerviis: sepalo dorsali breviore late ovato cum petalis oblique anguste ovatis aequilongis galeam formante, lateralibus ovatoellip- ticis subobliquis labelloque vix longiore patentibus, hoc à latiore basi linearioblongo basi secus nervum utrinque poro rotundo marginato instructo, ovario obovoideo pedicellum duplo floremque fere totidem superante. Tangut: in viciniis lacus Kuku-nor (Przewalski, 1880, spec. 1). Huic proximum Æ. gramineum Lindi. in Wall. Cat. 7413, Orch. 305, quod vidi e Nipal (Wallich!}, India bor. occid. (Royle!, Falconer n. 1049!) differt folio lanceolatolineari acuminato multinervi, spica di- midium caulem occupante, bracteis lanceolatis acumi- patis germen ovatooblongum breve rostratum florem aequans superantibus, sepalis ad apicem 1-nerviis ovatis acutis aequilongis, petalis crassioribus longioribus le- viter falcatis subenerviis oblongolinearibus obtusis, labello rhombeoovato attenuato sepala aequante media basi fovea rotundata ampla concava instructo inflexo (neque patente), stigmatibus 2. Sed magnitudo florum eadem. Exemplum quod praesto 5-pollicare. Tuberi singuli vestigium parvum carnosum. Vaginae laceratae 3 ad |basin caulis. Lamina folii 30 :7 mm. Racemus 1',-pol- licaris. Flores 6 cum apicalibus 2 abortivis internodia aequantes, diam. 5 mm., ovarium 2,5—3 mm. Stigma {amplum rotundatum oo Platanthera interrupta. Tuberibus crasse linearibus elongatis divergentibus, caule ad bipedali alatoangulato plurifolio, foliis basi breve attenuatis subtubulosovagi- nantibus inf ibus ellipticis obl isve acutis, sequen- Pre tibus paulatim ohlongtlioaribus acuminatis, summis bracteiformibus, racemo elongato rarifloro, bracteis inferioribus longitudine florum, flore viridi odoro, peri- gonii phyllis 3-nervis obtusis membranaceis, sepalis majoribus: summo rotundatoovato breviore, lateralibus obliquis attenuatoovatis, petalis vix crassioribus sepala lateralia aemulantibus, labello haud longiore ovatoob- longo obtuso basi obtusissime auriculato, calcari tenui 107 Bulletin de l’Académie Impériale 108 acuto germen superante, antherae emarginatae loculis divergentibus, rostello depresso obtuso. Kiusiu: Nagasaki (ipse, Oldh.! n. 842, a Miquel Habenaria japonica dicta), prov. Omura prope Sonnogi, prov. Higo monte Higosan (ipse). Ab affini P/. mandarinorum Rchb. f. in Linn. XX V, 1852, 226, Bot. Zeitg. 1878, 75 (cujus synonyma Habenaria Keiskei Miq. Prol. 139. Platanthera Keiskei Fr. Sav. En. II, 31, Plat. oreades 6. macrocentron Fr, Sav. En. IL, 514) satis distincta radice, foliüis, racemo laxo et labello brevi. Platanthera ussuriensis. Radix e fibris tenuibus cylin- dricis horizontaliter divaricatis, eaule gracili 1—2-pe- dali supra basin 2-phyllo: folio infimo obovatooblongo obtuso, superiore oblongolanceolato breve acuminato, utroque basi attenuato et in vaginas tubulosas abeunte, foliis sequentibus bracteiformibus linearibus acumina- tis, spica digitali laxa multiflora, bracteis acuminato- linearibus ovaria aequantibus, floribus viridibus parvis: sepalis membranaceis 3-nerviis superiore rotundato lateralibus paulo longioribus ovatooblongis petala 1- nervia carnosa oblonga subsuperantibus, labello crasso patente papilloso sepalis paulo longiore ovato et basi utrinque in lobulum depresse deltoideum dilatato apice obtuso, calcari rectiusculo ovario breviore, anthe- rae truncatae loculis discretis parallelis basi vix atte- nuatis, rostello deltoideo libero, processubus lateralibus incurvis quadratis profunde suleatis glandulam oblon- gam caudiculae longiusculae recipientibus. P/. tipuloi- des var. y. ussuriensis Rgl. FI Ussur. n. 477, t.X, fig. 7—9 (pess.). Franch. Savat. Enum. IT, 32. Mandshuria: ad fl. Usuri (Maack!), Japonia (Tanaka! sub nom. jap. Oba tonbosô), in Kiusiu: ad pedem vulcani Wunzen in fruticetis paludosis, Nippon: jugo Hakone (ipse, Savatier!)}, Yokohama, parce (ipse), alpe Niko (Yatabe!), prov. Nambu (Tscho- noski!), Yezo: sylvis graminosis circa Konoma et Siginope, nec non ad Todohiki (ipse). . Ad eandem speciem fortasse pertinet Tonbo sô, Soo bokf, XVIIT, 14, de qua dicitur flores virides inodoros habere et ad pedem montium crescere, sed flores nimis magni delineati sunt. Similis ?/. flavae À. Gray (quam vidi e Connecticut ab Eaton, ex Alabama a Mohr, e Georgia a Beyrich s. n. Haben. calycinae n. sp.), sed haec distat foliis saepe tribus omnibus acuminatis, labello basi utrinque leviter obtuse auriculato apicem versus rotundato sub- dilatato, -sepalis petalisque crassis Jatioribus (obovatis v. ovalibus), loculis antherae basi divergentibus, rostelli processubus lateralibus simplicibus pariter quadratis glandulam. ovalem caudiculae latae brevissimae reci- pientibus, rostello crasso deltoideo ineurvo. Sed radix, florum magnitudo, spica cet. eaedem. Adnot. Ad Flatantheram£ decipientem Lindl. per- tinet Gymnadenia Vidali Fr. Sav. En. II, 29, 512. Obine tsidori sô, Soo bokf, XVIII, 52.—Lindley non sine causa de genere dubitavit, caudicula enim omnino deest imo in alabastro, ita ut segmenta angulata polli- niorum libera in loculo contineantur, quod iterum iterumque in individuis numerosis speciei per Japo- niam borealem frequentis atque valde luxuriantis per- scrutatis observavi. Valde tamen incertus maneo, an ob solum caudiculae defectum planta haec dignitatis genericae digna declaranda sit. | Ad PI. ophryodem F. Schmidt, FI. Sachal. n. 432 (errore calami ophrydioides) pertinet PI, Reinii Fr. Saw. Enum. II, 32, 513. PI. hologlottidi Maxim. adde syn. Habenaria neuro- petala Miq.! Prol. 139. Microscordum., Allii sectio nova. : … Perigonium breviter infundibuliforme pedicello apice dilatato disciformi insidens, tenere membranaceum G-phyllum, phyllis erectis 1-nerviis obtusis interioribus angustioribus subminoribus. epipetala ananthera saepeque pl. m. deficientia: fila- menta basi adnata anguste subulata perigonio parum . v. duplo breviora, antherae dorso affixae introrsae parvae late ovales. Ovarium lata basi impositum leviter trigastrum loculis phylla interiora perigonii spectan- tibus biovulatis. Stylus trisulcus in stigmata 3 oblonga ‘a circumcirca papillosa arcuatopatentia divisus. Capsula 51 carnosoparenchÿmatosa, matura seminaque non visa. — ne. Herba palmaris odore alliaceo, bulbo pisiformi soli: tario, tunica exteriore brunnea parallele fibrosa fibris fibrillis transversis item parallelis inter se laxe con-. AT DEEP APE SOLE SC PO a on TE De Là à SEEN RE A DS CRE 2 TANT NT PE # Stamina 6, quorum 3: D a ee ÿ: EE dan: SES % Site RE ET EE 2. RER nexis, interiore hyalina, caulis parte hypogaea vaginae hyalinae tubulosae inclusus, foliis 1—2 radicalibus quasi in petiolum elongatam contractis lanceolatolinea- ribus acuminatis umbellam valde superantibus, bracteis 109 - prominulis, petiolo tereti. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 110 tot quot flores, hyalinis acutatis flore paulo brevioribus, floribus 1 v. rarius 2, altero brevissime crasseque inclusopedicellato, altero si evolutus subsessili. Allium monanthum. Mandshuria austroorientalis prope limites Koreae, ad fl. Sedemi (M. Jankowski, 1883), Yezo interiori: Sapporo, in umbrosis alluvii secus f. Toychira intra ipsum oppidum frequens (Kingo Miyabe, 1884). Planta mandshurica ceterum simillima a japonica differt floribus rarius 2 et staminibus perigonio duplo brevioribus. — Folia circa 10 cm., scapus 5—6 cm. Spatha 1-nervia 6,5 mm., perigonii phylla 4,5 mm. longa. E descriptione plantulae ad vivum factae a cl. Kingo Miyabe humanissime communicata sequentia extraho in sicco haud observanda: Folia semiteretia pagina superiore leviter sulcata, nervis 5 dorso sub- Scapus obtuse triangulus inferne purpurascens. Pedicellus 1—2 mm., crassior quam apex scapi. Perigonium album extus leviter _ roseosuffusum (et in sicco). Filamenta subcomplanata. Stylus trigonus semitrifidus. Ancilema nudiflorum R. Br. Prodr. 271. adn. Clarke in DC. Monogr. Phan. III, 210. Benth. F1. Hongk. 376. - Liukiu (Tashiro! misit Tanaka); China australi: Formosa, ad Tamsuy (Oldh.! n. 576), Hongkong (Wright!}, Whampoa (Hance!). DE a Ceylona! Ve ad Himalayam!. Flagellaria indica L. Cod. 2606. Kth. Enum. II, 370. Roxb. FI. Ind. IT, 154. | Bonin-sima (Yatabe! sub nom. jap. Santô). Late distrib. per tropicos Australiae! Indiae! cum insulis!, _ Africae, a Madagasearia! et Mauritio! ad Guineam! Pistia Stratiotes L. Cod. 6967. «. cuneata Eng]. Fi DC. Monogr. Phan. II, 634. Zala asiatica Lour. FI. Coch. ed. Willd. 492. … Liukiu (Tanaka! flor.), China australi et Cochin- china (Loureiro), tum in Phiippinis (Cauming!): ad Manilam (Kastalski!), penins. Zndiae (Heyne!) et (als varietatibus) in tropicis utriusque orbis. Scirpus fuirenoïdes. (Secé. Trichophorum) Tripedalis gracilis viridis, culmo laevi apice acute ceterum obtuse trigono toto foliato, foliis linearibus longe acuminatis margine sursum scabris, ex omnibus v. superioribus axillis peduneuligeris, pedunculis glomerulum tribrac- teatum plurispicatum subglobosum ferentibus, inflores- centia terminali e glomerulis 4—6 conflata, quorum exteriores 2—3 pedunculati basi bracteis umbellam duplo superantibus, interiores subsessiles bracteis umbella multo brevioribus fulti, spicula ovatooblonga multiflora griseobrunnea, squamis arcte imbricatis oblongolanceolatis mucronatis costa 1 tenui concolore margine versus apicem mucroneque sursum serrulato- scabris, caryopsi quam squama triente breviore ellip- soideotrigona vix stipitata apice mucrone cylindrico duplo breviore superata laevi, stamine 1, setis hypo- gynis 6 apice -incrassato sursum scabris ceterum lae- vibus complicatis, vi explicatis caryopsin triplo exce- dentibus. Nippon: Yokohama, fine Septembris frf. (ipse), Shichinobe, medio Augusto flor. (Yatabe!, japonice Matsuzaka susuki). | Ex affinitate S. Eriophori Michx., S. lineati Michx. et S. polyphylli Vahl, sed jam inflorescentia abunde diversus. Culmus 3 mm. crassus, folia 3—3,5 mm. lata, spicula fructifera 6 mm., squama 3 mm., caryopsis 2,1 mm. longa. Scirpus concolor. (Sect. Trichophorum) Rhizomate crasso obliquo, culmo 3-pedali et ultra obtuse trigono fere usque ad apicem foliato, foliis planis late linea- ribus longe acuminatis ad costam subtus margineque sursum dense serrulatoscabris, involucro triphyllo umbellà ampla composita diffusa breviore, radis valde inaequalibus compressotrigonis sursum scabris umbel- lulas consimiles minores item compositas ferentibus, involucellis acuminatooblongis coloratis, spiculis per 1—3 aggregatis oblongis multifloris, squamis dense imbricatis glabris profunde brunneis cum costa tenui vix pallidiore acuminatoovatis vix mucronatis Caryopsin trigonam estipitatam mucrone cylindrico duplo breviore instructam laevem ochroleucam parum superantibus, :staminibus 1— 2, setis hypogynis complicatis apice in- crassato Sursum scabris vi extensis caryopsi plus triplo longioribus. Japonia (hb. Lugd. Bat. sub. Sc. Eriophoro ad- mixtus, Tanaka! sub nom. jap. Abura gaya): circa Yokohama, Augusto f., Septembri frf. (ipse). _squama sua, 2 mm., plus duplo breviore). Setae hypo- jap. Ai basô}: Yokoska (Savatier!), Mandshuria: sinu | rai appellandus est. Bulletin de l’Académie Impériale Habet sese ad simillimum S. lineatum Michx., ut S. Wichurai Bücklr. ad $S. Eriophorum Michx. Setis “hypogynis apice scabris accedit ad S. polyphyllum Vahl, ubi tamen spiculae parvae globosoovoideae et caryopsis. brevissime mucronata squamam aequans. S. lineatus Mx. differt squamis aureofuscis cum costa lata viridi, caryopsi aequimagna quidem sed squama sua fere duplo breviore, stipitata brevius mucronata, staminibus 3, setis hypogynis tenuissimis laevibus vi explicatis caryopsin duplo superantibus. Setas in hisce omnibus non numerosas, sed semper 6 video, ita tamen complicatas ut tantum earum apices erecti caryopsin cireumdent parumque superent, bases vero angulo acutissimo iteratim infractae fasciculos setarum paral- lelarum simulent et facile pro setis numerosis haberi possint. Culmus pennam anserinam crassus vel tenuior. Folia vulgo 9 mm. lata, sed adsunt usque 18 mm. lata, spicula fructifera 6 mm.. squamae 2 mm. longae. S. Wichurai Bôücklr. in Linnaea XXXVI, 729. 8. Eriophorum var. nipponica Franch. Savat. En. Il, 545. a S. ÆEriophoro Mx. revera simillimo optime tamen distinguendus non solum setis hypogynis apice crassiore sursum scabris fuscescentibus et squamis ovatis v. superioribus in quavis spicula lanceolatis (nec obovatis) utribusque acutatis, ut habet Franchet, sed praesertim caryopsi (1,25 mm.) squama sua (1,5 — 2 mm.) parum breviore (neque minuta, 0,75 mm. gynae S. Wichurai, si explicabis, caryopsin triplo, in S. Æriophoro autem sextuplo superant. Stamina S. Wichurai 1—2, filamentis caryopsin cum rostro aequantibus, in $. Eriophoro Mx. stamen 1 post an- thesin cito caducum, in fructu videtur deficiens. Nippon media (Tschonoski!, Tanaka! sub nom. Possjet ad limitem Koreae, locis udis pratorum per- frequens, med. Aug. frf. (ipse). Vidi praeterea e Bengalia orientali (Griffith! n. 6266 frf.), Khasia (Scirpus n. 4. Hook. f. et Thoms., nond. flor.). Si genus Æleocharis servatur nomen Bückeleri adoptandum et Scirpus hakonensis Fr. Sav. E. Wichu- Eriophorum japonicum. Spithamaeum v. pedale robys- {tereti, foliis culmeis bractealibusque basi in vaginam subtrigono superne scaberulo 5—7-phyllo, foliis rigi- duloherbaceis lanceolatolinearibus acuminatis margine antrorsum scabris planis excepto ipsissimo apice tri- quetro, anthelae radiis pluribus scabris valde inaequa- libus apice v. a medio 1—4-stachyis, spicis numerosis viridiatris parvis plurifloris sub anthesi ovoideis postea recurvis, bracteis radios subaequantibus, squamis ovato- oblongis obtusis tenere membranaceis planiusculis apice facillime laceratis, setis hypogynis 6 simplicibus a medio ad apicem sursum scaberulis stylum elongatum 3-stigmaticum aequantibus, staminibus 3 antheris linearibus. Nippon borealis prov. Nambu, in alpinis (Tscho- noski, flor. pleiostachyi, setae indivisae Æ. alpini L. Folia usque 3 lin. lata. Spica sub anthesi 6—10 mm., squamae 4 mm. longae. rectiuscula candida v. pallide rubiginosa, spicarum laxis elongatis teneris facile caducis tantum a Scirpi sectione Trichophoro distinctum, ubi setae complicatae jam sub anthesi elongatae fructu cadente tantum extrahuntur, ad quem, cum À. Grayo, contra Linnaeum et Benthamium, ducoS. Eriophorum Mx. (Erioph. cyperinum L.). Bth. Hook. Gen. pl. III, 1066). Elata culmo crasso latam nigrescentem sensim dilatatis longissimis convo- sessilibus oblongis summis confluentibus atris compo- sitam valde superantibus, bracteis ex ovata basi cus- rioribus atrofuscis sensim increscentibus parum inae- formibus flexuosis stylo aequilongis, stylo elongato squamam pl. duplo superante basi hispido breviter 2-stigmatico, caryopsi fusca lucida obsolete celluloso- reticulata late elliptica v. elliptico-globosa lineis 4 tum luteoviride, rhizomate obliquo crasso firmo, culmo SA! À Es CHA EESS 9 AP Sr ; a cu pis PET AU lv D SE LE So: 2 Habitus Æ. latifolii Hoppe, sed radii compositi Genus Æriophori lana in fructu elongata mollissima squamis Gahnia Boninsimae. (Sect. 1. Lampocarya, Benth. in lutis scaberrimis inflorescentiam e spicis axillaribus pidatis, spiculis densissime congestis, squamis 5 exte- qualibus e lanceolata basi valide (interioribus laminae aeque longe) aristatis, 3 intimis !/, brevioribus fusco- atris: 2 cuspidatis tertia mutica caryopsin superante; staminibus 4 ad medium planis parce ciliatis dein fili-. pallidioribus quasi subtetraquetra styli basi breve ‘apiculata. je & SA des Sciences de Saint-Pétersbourg. 114 Bonin-sima (Mertens! specc. 2 vetusta fruct. delapso, Yatabe! fructif.). Huic simillima est G. congesta Bücklr. in Linnaea, XXXVIII, 352 (Lampocarya cong. Schrad. ined.), ex insulis Sandvicensibus (Chamisso! flor.): Oahu (Esch- scholtz! fl. in hb. C. A. Meyeri nunc Acad. Petrop., fructif. in hb. Ledebouri, nunc horti Petrop.), quae tamen differt squamis exterioribus 6 e basi ovata ari- statis internis brevioribus, 3 intimis parum brevio- ribus rotundatoobtusis, caryopsi (hucusque indescripta) squamis inclusa paulo breviore fusca lucida laevissima styli basi elongata glabra apiculata, stigmatibus fide Bôckeler 4; caryopsis sine apiculo 5—6 mm. Culmus pennam anseris tenuiorem crassus, quoad basin ignotus. Folia 3// pedem longa, vagina vi expla- nata ad 9 Jin. lata. Spicae compositae axillares 3 cm., spiculae 8 mm. longae. Squamae coriaceae, externae 8,5—9 mm., internae 7 mm., caryopsis 5,5 mm. longa. Adnot. Gahnia Wichurai Bücklr. 1. c. 348, cujus patria autori ignota, eodem statu ac descriptioni op- time conveniens praesto est e Singapur (Dr. Augusti- nowicz!) Carex grallatoria. (Secé. 1. À. b., Bücklr. in Linnaea XXXIX, 15). Rhizomate descendente filiformi sub- nudo ad intervalla pollicaria usque sesquipollicaria caespites densos foliorum ferente, quorum inferiores emortui, summi 1—2 floriferi, fasciculis foliorum quovis caespite numerosis arcuatoascendentibus basi vaginis aphyllis fuscescentibus pluribus vestitis, foliis angustissime linearibus planis strictiusculis margine scabris, postea elongandis flaccidis; culmis sub anthesi 2—3-pollicaribus subtrigonis scaberulis v. laevibus, Spica laxa mascula subocto-, feminea circiter quinque- flora, priore oblongolineari squamis oblongis obtusis _ fuscis cum costa viridi breviore, posteriore sub anthesi fere filiformi basi interrupta pallida tantum ad api- cem fuscescente, squamis amplexicaulibus vi expansis _ late ovatis inferioribus breve aristatis (arista scabra) reliquismucronatoacutis, utriculo sub anthesi squamam dimidiam aequante triquetro elliptico apice scabro sty- um superante, stigmatibus 3 plumosovillosis stylo plus duplo longioribus. Kiusiu interioris pratis alpinis montium Kundsho- san, ult. Majo flor. (ipse). : Cum sola C. leiocarpa C. A. Mey. comparanda, Tome XXXL. quae tamen rhizomate squamis continuis vestito, tota longitudine culmos solitarios emittente, spica feminea 10—20-flora, utriculo glaberrimo sub anthesi lineari, nucula juvenili oblonga (nec ut in nostra subglobosa) satis nimisque differt, quam ob causam florentem de- scribere ausus sum. Nomen dedi ob stipitem elongatum quo quidque exemplum collectum quasi grallis susten- tum est. Prima species dioica hucusque in Japonia detecta! Fasciculi innovantes 2—3-pollicares, culmo vulgo paulo breviores. Squamae florum © 4 mm., 4 6,25 mm. Carex rhizopoda. (Sect. 1. B. b., Bücklr. 1. c. 31). Virens 1—1!/-pedalis caespitosa, rhizomate repente horizontali elongato flexuoso squamis striatis oblongis attenuatis haud contiguis nodoso fibrasque radicales crebras undique edente atque e quovis nodo culmigero, culmis basi vaginis 2—3 aphyllis sequentibus lamini- geris tectis, foliis utrinque margineque scabris planis linearibus v. late linearibus sensim acutissime acumi- patis culmum triquetrum scabrum florentem superan- tibus, fructifero paulo brevioribus, spica usque sesqui- pollicari et fructifera lineari, parte feminea terminalem masculam 2—4-lo superante, squamis hyalinis utriculo erectopatulo duplo brevioribus filamenta aequantibus, costa valida pallide virente in feminea brevissime ex- currente, in mascula sub apice evanida, utriculo laevi |virente oblongoelliptico brevissime stipitato in rostrum breve conicum obtusum obsolete bidentatum sensim attenuato obtuse triangulo circiter 12-nervio nervis circiter 6 validioribus omnibus fere ad apicem proten- sis, caryopsi triplo breviore brevissime stipitata api- culataque acute triquetra globosoelliptica lucida minu- tissime denseque elevatopunctata, stylo caryopsin . sesqui stigmata 3 brevia vix exserta duplo superante. Yezo: circa Ono et Konoma in sylvis secus rivulos locis paludosis non rara, medio Junio fr. nond. maturo; Kiusiu: ad pedem vulcani Wunzen ad rivulos, medio Majo eodem statu (ipse). Var. longior: bipedalis stenophylla intensius vi- ridis, squamis oblongoovatis manifestius mucronatis dimidium utriculum superantibus, utriculo angustius oblongo paulo longius rostrato, caryopsi nonmihil ajore. | * Nippon: prope Tokio, 5 Maji fr. perf. mat. s. nom. japonico Shiraku suge leg. Yatabe. 8 115 Bulletin de l’Académie Impériale Var. longior, sine rhizomate missa, fortasse olim specie sejungenda. Typum proprium sistere videtur! Spica fructifera var. longioris in mentem vocat spiculam singulam © C. sylvaticae Huds. Species in quavis statione nonnihil diversa. Rhizoma longissimum ‘quod lectum 12 cm., cum squamis 10 mm. longis brunneum, parte nuda in interstitiis squama- rum passim perspicua tereti, 1,5 mm. crassa. Folia plantae yezoënsis reliquis subflaccidiora et latiora, 4— 6 mm. lata, in sicco luteoviridia, kiusianae 2—3 mm., nipponicae 2—9,5 mm. lata. Flores d 8—12, 9 12— 15 infimo interdum remoto, reliquis statu fructifero utriculo suo ad subsequentem ultra dimidium attingen- tibus. Squamae floris feminei 2,5 mm., masculi 3,5 mm. longae, var. longioris utriusque sexus 3,5 mm. longae. Utriculus in typo 5—5,5 mm., in var. longiore 6 mm., caryopsis in typo 2 mm. straminea obtusius angulata, in var. longiore 2,25 mm. acute angulata subangustior secus ipsos angulos nervo viridi notata, ceterum atra, faciebus in utraque subconcavis. Carex capituliformis Meinsh. in sched. (Sect. 1. B. b. Bôücklr. 1. c.). Radice fibrosa caespitem laxiusculum haud amplum pallide viridem ferente, culmis 6—8- pollicaribus filiformibus trigonis scabris inferne remote oligophyllis, vaginis pallide fuscescentibus; foliis planis anguste linearibus tis culmum dimidium aequan- tibus v. superantibus, spica subglobosa parte mascula terminali subinconspicua 3—4-flora, feminea circiter 10-flora, squamis pallide fuscis ovatis costa pallidiore in infimis subexcurrente mucronatis in reliquis acutis, utriculo ovatc triquetro in rostrum breve subbidenta- tum attenuato subtiliter nervoso flavoviridi squamam subduplo superante et ea latiore.… Nippon: alpe Nikko (Tschonoski), Mandshuria: ad .Usuri superiorem inter ejus affluentes Ssitucha et Daubicha ac secus illos locis paludosis sylvarum fron- dosarum cum C. uda frequens (ipse). Similis C. nanae Boott, quae primo obtutu cognos- citur spicae parte lineari pluriflora femineam supe- rante v. aequante v. rarius breviore, squamis obtusis utriculo breviore firmiore vix obscurioribus. Dimen- siones utriusque speciei fere eaedem, sed utriculi in nostra paulo graciliores et longiores. Carex scita. (Sec. IT B. A. a. Bôückir. I. c, XXXIX, 16, XL, 379) Rhizomate brevi obliquo squamis casta- . neis tecto stolonifero,. culmo fertili 3-pedali gracili triquetro laevi ac fasciculo sterili per bina appositis basi squamis castaneis superioribus laminigeris vestitis, foliis linearibus acuminatis carinatis margine reflexo remote scaberulis culmo brevioribus, inflorescentia brevi e spiculis 4—6 pedunculatis multifloris: termi- nali & oblongolineari utrinque attenuata erecta, reliquis apice masculis, superioribus 2 approximatis breve pedunculatis erectiusculis, inferioribus distantibus pe- dunculos teretiusculos laeves superantibus nutantibus, fructiferis oblongoellipticis v. oblongolanceolatis pol- licaribus v. brevioribus, bracteis foliaceis non vagi- nantibus, infima culmum superante, sequente subae- quante, tertia spiculam quartaque pedunculum subsu- perante fere setaceis, squamis (infimis vacuis) lanceo- latolinearibus atris utrieulo brevioribus et angustiori- bus costa viridi sensim in aristam scabram utriculo [et in inferioribus squama longiorem abeunte, utriculis erectis triquetris membranaceis viridibus secus angulos superne atrodenticulatis quavis facie tenue 2—3-nerviis oblongolinearibus ore parvo quasi immerso brevissime bidentatis, stigmatibus 3 (2) late villosis stylum in- clusum parum excedentibus, caryopsi in medio utriculo laxe nidulante in stipitem stylumque sesquibreviores sensim attenuata lanceolatoelliptica acute triquetra laevi straminea faciebus convexiusculis. | Nippon media, ad rivulos, verosimiliter in montibus Hakone (Tschonoski frf.). In serie mere artificiali androgynarum prope C. sci tulam Boott (II. IV, 177, t. 600., Bcklr. 1. c. XL, 384.) ponenda, sed ab omnibus hisce jam culmis basi squamatis abhorrens. Quo ultimo signo et gracilitate appropinquat speciebus distigmaticis C. cryptocarpae C. A. Mey. et C. Middendorffii F. Schmidt, signis numerosis tamen adhuc diversis. C! fuscescens Bücklr. in Engl. Bot. Jahrb. V, 517. ex Japoniae alpe Nikko, a me non visa, ex eadem cum nunc nominatis affinitate videtur et a nostra pariter utriculi squamaeque forma distat. Culmus 1 mm. crassus. Folia 2,5—3,5 mm. lata. Spicula 8 18—25 mm. longa, 2,5—4 mm. crassa, ® 15—25 mm. longae, 5—7 mm. crassae, parte mas- cula bene v. parum perspicua. Squamae 4—6 mm., 0,5—1 mm, latae. 2 mm. So Pre io. à mr ei Col Utriculus 4:1 mm., caryopsis be SE OR EDR MES ENS RE AT 117 des Sciences de Saint -Pétersbourg. Carex plocamostyla. (Sect. III Bücklr. 1. c.) Rhizo- mate brevi obliquo stolonifero squamis vetustis brun- neis vestito fibris radicalibus villosis paucis, culmo fer- tili acute triquetro scabro fasciculoque sterili per paria congestis bi-tripedalibus basi squamis purpureis antice cinnamomeis infimis aphyllis vestitis, foliis planis dorso 1- ventre 2-costatis margine serrulatoscabris ligula oblonga fusca adnata, heteromorphis: fasciculorum sterilium culmum superantibus linearibus longe atte- nuatis, culmeis lanceolatolinearibus subito cuspidatis 1, inferiore dispositis, inflorescentia brevi e spiculis 3— 5 distantibus spiculà longius graciliter peduncu- latis, summis 1—2 masculis erectis linearioblongis ex cinereo fuscescentibus, Q multifloris nutantibus diu post anthesin stylis stigmatibusque flexuosis circumdatis eorumque ope ambitu late ovalibus, bracteis foliaceis evaginatis, infimis foliaceis culmo brevioribus, samma _ subulata basi dilatata colorata & fulciente, squamis linearibus 1-nerviis in aristam laevem triente brevio- rem subconcolorem sensim desinentibus utriculo pa- tente strigosohispido membranaceo ex lanceolata basi sensim in rostrum tenue bifidum ipso longius attenuato longioribus, stylo longe exserto basi geniculata aequali stigmata 2 villosa subsuperante, caryopsi elliptica laevi opaca biconvexa. Nippon, cum RU legit pauca specc. Tscho- noski. Locus ubi inserenda in systemate Boeckeleri vacat, affinitas satis obscura. Solae C. longirostri Torr., Boott, Ill. I, 30, t. 78. videtur apte comparanda, sed . baec jam culmo basi esquamato, foliis non heteromor- phis, spiculis laxis, squamae et utriculi breviorum forma et stigmatibus 3 differt, sed stylus basi pariter geniculatus. Folia fasciculi sterilis ultrapedalia, 2,5—3 mm. lata, culmea superiora longiora 13 cm. longa, 4—5 mm. lata. Pedunculi infimi spiculas 2-lo superantes arcuati tenuiores quam ille spiculae masculae, qui stricte erec- tus et spicula sua duplo longior, Squamae 8 mm. ütriculi 6—7 mm. longi, 1 mm, lati. Carex oligostachys Meinsh. (Sect. III, B.b. Bücklr.) Laxe caespitosa, culmis flaccidis superne acute trique- tris laevibus (1—1{/,-pedalibus) inferne foliatis basi _ Vaginis squamiformibus fuscis sensim majoribus obsitis, foliis late linearibus planis flaccidis lutescentiviridibus culmo dimidio longioribus; spiculis 3—4 distantibus: terminali mascula linearioblonga basi attenuata pedi- cellata erecta, reliquis inter se remotis femineis ovatis v. oblongis laxe 3—4-floris tenuissime longe peduncu- latis nutantibus v. pendulis, bracteis foliaceis spiculam superantibus longe vaginantibus, utriculo stramineo glabro compresse triquetro anguste ovato apice sensim attenuato subrecurvo longirostri obsolete nervoso ore hyalino oblique truncato squamam ovatam acuminatam margine fulvidam dorso medio viridem 3-nerviam duplo superante. Mandshuria austroorientalis: ad Usuri superiorem et ejus affluentem Li-Fudin, in sylvis ad rivulos, fine Maji 1860 cum fr. fere mat. (Maxim.). C. flectens Boott Ill. t. 581., huic subsimilis, pe- dunculis brevioribus, spiculis plurifloris, forma squa- marum cet. diversa. C. cruenta Nees, ut apud Boott Il. II, 75, t. 201. descripta et delineata, quoad habi- tum propior, sed spiculae multiflorae atque squamae cum utriculis diversissimae. Ex descriptione planta nostra similis videretur C. filipedi Franch. Savat,. (Meinshausen mss.). Rhizoma breve obliquum stoloniferum, usque 2 mm. crassum, fibris radicalibus numerosis. Oui ab autore triquetri dicti mihi potius ancipites videntur, facie una tamen medio acute costata. Affinitas cum C: flipede Fr. Sav., a me non visa, ex descriptione proxima, differt tamen C. filipes foliis 2—4 (neque 4—-8) mm., latis, spica à breve pedunculata parum conspicua 10— 12 mm. longa (in nostra 15 mm., pedunculum aequans v. eo duplo brevior), spicula © superiore breve pedun- culata (in nostra pedunculum aequante), inferiore sub- nutante (in nostra omnibus nutantibus v. pendulis), squama utriculo triente (nec plus duplo) breviore, utriculo 4 mm. (nec 6—7 mm.) obovato (nec anguste oblanceolato) in quavis facie 3—5- (nec 5—7-) ner- vio.—Caryopsis in C. oligostachya 3 mm. longa, fere [2 mm. lata, acute triquetra, ceterum ut in C. filipede descripta. Carex bostrychostigma. (Sect. III, B. b. Bückir.). Rhizomate crasso brevi obliquo stolonifero dense fibris radicalibus obsesso, culmis spithamaeis v. pedalibus acute triquetris laevibus remotiuscule foliatis, foliis planis pallide viridibus supra totis scaberulis, subtus ad nervos margineque scabris linearibus longe subu- Bulletin de l’Académie Impériale 1270 latoacuminatis; inflorescentia elongata rhachi scabra e spiculis 6—7 laxifloris rufescentiviridibus: terminali mascula solitaria breviore linearicylindrica utrinque attenuata magis densiflora, reliquis femineis linearibus laxis, omnibus erectis, inferioribus breviter exserte pedunculatis, bracteis foliaceis basi longe vaginantibus - infima anguste lineari spiculam superante sequentibus setaceis paulatim spicula brevioribus summa squami- formi evaginata, stylo incluso quam stigmata 3 utri- culum duplo superantia quintuplo breviore, utriculo membranaceo triquetro quavis facie subtrinervi pallide virescente laevi linearilanceolato in rostrum triente -brevius cylindricum basi purpurascens apice hyalinum bifidum v bipartitum attenuato squamam oblongam apice hyalino sublacero leviter attenuatam costa lata albovirescente faciebus pallide fuscis parum superante, caryopsi linearioblonga subobtuse triquetra opaca laevi basi brevissime substipitata apice styli basi cylindrica apiculata ochracea faciebus concaviusculis. Mandshuria austroorientalis: in viciniis aestuarii Olgae secus flumen Cruiser in sylvaticis herbosis hu- midis, fine Junii 1860 fr. fere mat.; ÆKiusiu: alpe Aso-san (ipse). be Ex affinitate C. sylvaticae Huds., statura humili, spicis erectis contiguis usque ad fructus maturitatem stigmatibus flexuosis ferrugineis circumdatis (unde et . nomen) facile cognoscenda. Rhizoma 3—4 mm. crassum. Folia in planta japo- nica 2—4 mm., in mandshurica 3—5 mm. lata. Va- gina foliorum extus truncata, intus ligula oblonga ad marginem annuliformem libera. Spicula $ 15—25 mm. saepe sessilis v. saummae © approximata, rarissime basi floribus Q 2 v. 3 aucta, spiculae © 8—20-florae, 15—30 mm. longae. Utriculus 7 —8 mm. longus, _ parum latior quam 1 mm. Caryopsis 4 mm. longa, 0,75 mm. lata. Carex capricornis Meinsh. Radice valde fibrosa, cul- mis pedalibus erectis triquetris ad angulos scabrius- culis sparsim foliatis: foliis longe vaginantibus e lata basi sensim longe acuminatis planis nervosostriatis margine reflexis; inflorescentia brevi conferta e spiculis circa 4 brevipedunculatis, terminali mascula oblongo cylindrica fulvida, reliquis femineis late oblongis, om-. nibus erectopatulis; bracteis foliaceis spiculas 4—6-lo superantibus basi atriculata brevissime vaginatoam- | plexicaulibus; utriculo elongatolanceolato in rostrum subulatum erectum sensim attenuato, rostri bifidi dentibus longis recurvopatentibus, squamis subulatis longius nervo medio velido aristatis quam fructus brevioribus. C. Pseudocyperus 8. brachystachyus Rgl. et Maack, F1. Ussur. n. 555, t. XII, fig. 13—17. Mandshuria austroorientalis: ad litus borealiorien- tale lacus Hanka (Maack! frf.), in stagno quodam prope Nikolskoye ad fl. Suifun (Goldenstädt! fr. immat.). C. Pseudocypero L. proxima, sed humilior tenuior, spiculis brevibus dentibus arcuatodivergentibus utri- culorum tam dense circumdatis quod aspectus pecu- liaris atque color cinerascens efficiatur, utriculi angus- tiores et densiores quam in C. nn ypero L.— Meinsh. mss. Ex mea opinione valde affinis C. comosae Boott, Ill. I, 14, t. 38, quoad rostri structuram fere identicae. Sed C. comosa Boott sistit quasi formam robustiorem C. ete L., a qua, secundum A. Gray Man. ed. 5. p.597 et fide specc. numerosorum e variis locis ds ante oculos habeo, distinguitur praesertim rostri dentibus recurvo-patentibus longioribus et spiculis fructiferis crassioribus majoribus. Ab ipso Boott postea (IL. IV, 140), censetur C. Pseudocyperi L. var.comosa. Quum equidem in hb. Mertensiano specc. 2 humi- liora brevius spiculata atque inflorescentia congesta donata C. Pseudocyperi invenerim, quorum schedulae inseriptum, certe tantum monstrositatem esse, quaeque ad Bielefeld in Germania lecta dicuntur atque rostrum C. comosae possident, lubenter opinioni Boottianae assentirem et hanc nostram cum Regelio varietatem brachystachyam haberem, nisi praesto essent specc. japonica fructu etiam perfecte maturo donata, quae . rem mutare videntur: Var. capitata: spiculis ovatis v. globosis sessilibus v. subsessilibus in capitulum confertis, interdum ad spiculam 1 globosam parvam reductis, utriculo rostro- que typicae C. capricornis, statura spithamaea v. pedali. Nippon: Hakone, ad lacum (Tschonoski). 2 Ita habemus C. Pseudocyperum: spicis nutantibus longius peduneulatis distantibus cylindricis, rostri den- tibus erectopatulis, vulgivagam: C. conicam Boott, infiorescentia eadem, spiculis late v. oblongocylindricis, rostri dentibus recurvo-patentibus, borealiamericanam, utramque elatam, et C. capricornem: humilem, inflores- 121 des Sciences de Saint-Pétersbourg. centia conferta v. capitata spiculis erectis saepe subses- silibus v. sessilibus globosis usque late oblongis, rostro C. comosae. Adest fortasse adhuc differentia in eo quod utriculi in duobus prioribus subsexfariam, in nostra plus quam sexfariam dispositi videntur, sed hoc in vivo revidendum est, Polypodium senanense (Phymatodes) Rhizomate gracili horizontali squamis teneris lanceolatis longe filiformi- cuspidatis denticulatis cinnamomeïs, stipite filiformi erecto opaco 1//-usque fere 3-pollicari, fronde pallide viridi membranacea 3—4-pollicari 3 poll. lata circum- circa regulariter appresse serrulata glabra concolore, lobo terminali lanceolato oblongo obtuse acuminato lateralibus minoribus utrinque 2—4 spatio lineae unius rhachin non attingentibus oblongis obtusis rarius acu- tis, reticulo subtranslucente venis principalibus indis- tinctis ante marginem evanidis, areolis inter illas 1—3, soris 1-seriatis inter venas principales singulis. P. fri- fidum Fr. Sav. Enun. II, 247, nec Don. Japonia (Ono in hb. Franchet, Tanaka!}: prov. Senano alpe Kumaga-take, japonice Miyama uroboshi (Yatabe! frf.).—Vidi frondes 4. FE trifidum Don facile distinctum statura, textura _ subcoriacea, colore nigrescente, margine vulgo integro rarius tantum hinc inde atque irregulariter serrulato, lobis omnibus acuminatis linearioblongis, venis princi- palibus usque ad marginem protensis distinctis, squa- mis rhizomatis crassioribus ex ovata basi subito cuspi- datoacuminatis parcius denticulatis, stipite lucido fir- miore crassiore. Bericht über die Ausgabe des Sprachmaterials des Codex Comanicus. Von W, Radloff, (Lu le 25 f6- vrier 1886.) Schon im Jahre 1884 habe ich in den «3anucru Akaxemin Haykp» eine Abhandlung über die lautlichen Erscheinungen des Komanischen Dialectes verüffent- licht. In diesem Aufsatze habe ich einerseits versucht, aus der Schreibweise des vom Grafen Kuun heraus- gesebenen «Codex Cumanicus» (Budapest 1880) die - Laute des Komanischen Dialectes zu reconstruiren, andererseits, aus den Lautgesetzen diesem Dialecte diejenige Stelle anzuweisen, die er unter den ver- __ wandten Türkdialecten einnimmt. Die Arbeit, die ich jetzt der Klasse vorzulegen die Ehre habe, ist eine Fort- setzung der früheren Abhandlung. Ich habe alles im «Codex Comanicus» befindliche Sprachmaterial ge- ordnet und mit dem von mir in Türkischen Texten an- gewandten Russischen Alphabete transscribirt. Bei je- dem Worte sind alle Formen verzeichnet, in denen es im Codex auftritt mit genauer Angabe der Stellen, wo jede Form sich findet und in der Schreibweise, wie der Codex sie bietet. Ausserdem habe ich bei jedem Worte die verwandten Wôrter anderer Türkdialecte beigefügt, so dass der Leser im Stande ist, NOUS seine Schlüsse über die Verwandt mit den übrigen Türkdialecten zu machen. Am Ende des Würterbuches gebe ich alle diejenigen Wôürter an, ?| die ich nicht zu erklären vermag. Zuletzt folgt eine Transcription der im Codex befindlichen Komanischen Texte mit gegenüberstehender Schreibweise des Codex und mit wortgetreuer Übersetzung. Ich habe an den Texten nur wenige Ânderungen vorgenommen und diese Ânderungen überall hervorgehoben. Die Herausgabe des Sprachmaterials des «Codex Comanicus» hat den Zweck, dieses Sprachmaterial dem Forscher zugänglich zu machen. Dies ist beson- ders deshalb nôthig, weil der Codex in der Form, wie er uns vorliegt, wenig Nutzen bringen kann. Wir kônnen dies am deutlichsten aus den Anmerkungen des Grafen Kuun ersehen, die voll von Versehen sind. Zum Ver- ständniss des Codex ist eine Bekanntschaft mit den Türkdialecten nôthig, die den meisten Turcologen ab- geht. Ausserdem war es nôthig, die Materialien des Codex durch sich selbst zu erklären, d. h. die an ver- schiedenen Stellen vorkommenden gleichen Würter neben einander zu stellenu, was der Herausgeber unter- lassen hat. In Betreff einzelner Würter wäre es mir lieb gewesen, den Codex selbst vor Augen zu haben. Die Zahl dieser Wrter ist aber, Dank der treffichen Ausgabe des Grafen Kuun, so gering und die Aus- beute verspräche eine so unbedeutende zu werden, dass ich mich damit begnügen konnte, das Unverständliche hier zusammenzustellen und die Untersuchung des- selben einer späteren Zeit zu überlassen. Das jetzt verôffentlichte Sprachmaterial wird aufs. anschaulichste beweisen, dass ich in meiner ersten, Abhandlung dem Komanischen Dialecte diejenige Stelle angewiesen habe, die ihm gebührt. Er gehürt zu der grossen Türkischen Stamm-Gruppe, die ich die Kyp- tschakische nennen môüchte, die etwa vom 9—13 Jahr- NT Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 124 hundert in ihrer Hauptmasse die weiten Steppen zwi- schen dem Altai und dem Schwarzen Meere bewohnte und deren Nachkommen ein Theil der jetzigen Aba- kan-Tataren, Barabinzen, Irtisch-Tataren, die Kasan- Tataren und Kirgisen sind, deren ursprünglich sich sehr naheliegende Sprachen im Laufe der Zeit sich getrennt und mit benachbarten Dialecten assimilirt ha- ben, und jetzt sprachlich zu anderen Dialectgruppen _ gehôüren. Der «Codex Comanicus» bietet uns nun das älteste Sprachmaterial des Kyptschak-Stammes (im wei- teren Sinne). Die Feststellung dieses Sprachmaterials war also von ganz besonderer Wichtigkeit. Nach Voll- endung dieser Arbeit werde ich meine ganze Aufmerk- samkeit den ältesten Denkmälern der üstlichen Stamm- gruppe des Türkvolkes, der Uigurischen, zuwenden und Alles zusammenstellen, was uns eine Einsicht in die Sprache dieser Stammgruppe bietet. Hier liegen uns reichere Materialien vor: Das Kudatku Bilik. Die Geschichte der Propheten Rubghusi ') eine Le- gende des Oghus Chan (ein Manuscript das mir freund- lichst durch Herrn Charles Schefer zur Verfügung gestellt war), das Chinesisch-Uigurische Würterbuch und Briefe der Uiguren, die sich in unserem Asiati- schen Museum befinden. Erst nach Beendigung dieser Arbeit werde ich mich an die Feststellung des ältesten Sprachmaterials der drit- ten Stamm-Gruppe machen, der südlichen, die ich die Seldshukische nennen môchte, von der uns bis jetzt die von Wickerhauser ?) verüffentlichten Seldshuki- schen Verse vorliegen, die sich im Rebab-Name des We- ledi Mesnewi (Manuseript der Privat-Bibliothek des Kaisers in Wien, geschrieben im Jahre 768) finden, für die aber. das von Baron V.Rosen beschriebene Manu- script der Bologner Bibliothek®) ,/, ,X] > vom Jahre 816 gewiss eine sehr wichtige Ausbeute liefern wird. Erst nach Feststellung dieser Sprachmaterialien werden wir ein klares Verständniss von der früheren Dialectgruppirung der Türksprachen gewinnen und das Verhältniss der neueren Dialecte zur älteren Spra- 1) 2e Kasan 1859. 1) &s A0 2) Zac der Deutschen Morgenländischen Gesellschaft, Band XX, p 3) TRS sur les manuscrits orientaux de la collection Mar- siglia à Bologne. Rome 1885, p. 21. che verstehen künnen. Für den Erforscher der Ge- schichte der Türksprachen kônnen leider ausser den hier genannten ältesten Sprachdenkmälern nur noch wenige andere Schriftdenkmäler von Nutzen sein, da die meisten Schriften, selbst die älteren, nur den künst- lichen Schriftsprachen angehôüren, die als solche keinen sicheren Anhalt für das Verständniss der Sprache bieten. Die beiden Türkischen Schriftsprachen, das Os- manische und das Dshagataische (Osttürkische), sind nicht die Vertreter bestimmter Dialectgruppen, son- dern im Laufe der Zeit entstandene selbstständige Kunstsprachen, von denen das letztere auf Grundlage des Uigurischen, dass erstere auf Grundlage des Seld- shukischen (im weiteren Sinne) durch Beimengung der verschiedenartigsten dialectischen Sprachmaterialien entstanden sind; sie kônnen also zur Vergleichung mit dem Sprachmateriale der Dialecte nicht herbeigezo- gen werden. Wir brauchen nur einen Blick in das Lexicon Pavet de Courteille’s, oder Vambéry’s zu thun, um uns zu überzeugen, wie viele fremde ausserhalb des Sprachmateriales der mittelasiatischen Sprachen lie- gende Elemente hier aufgenommen sind. Da finden sich Uigurische, Kirgisische, Turkmenische, Aderbedchani- sche ja selbst Kasanische Wôürter. Man lese nur ein Buch wie die Geschichte des Abulghasi und man wird anf jeder Seite auf Alt-Uigurische Formen stossen ‘), die nur durch die Schriftdenkmäler von den Uiguren auf- genommen worden sind. Das bunteste Gemengsel bildet aber die sogenannte Kasanische Schriftsprache, wo sich in jeder Zeile Dshagataische Formen mit Osma- nischen gemengt vorfinden, während das Volk weder die Einen noch die Anderen kennt. Wir haben also unter so bewandten Umständen Nichts gewonnen wenn wir mit Blau *) oder Korsch ‘) behaupten, dass das Komanische dem Dshagataischen nahe stehe, denn das Dshagataische: stellt, wie gesagt, gar keïinen be- stimmten Dialect dar. 4) Ich verweise hier nur auf dé häufig auftretende sc (statt sl wäbrend die übrigen Formen von sa] abgeleitet erd si Über berne und Sprache der K Z. as p umanen Z. d. D, M. G. 6) Archis Fi RER dl Band VIII, p. G44, Anm. 2. 4 Paru le 15 avril 1886. SAR SUD. A AO SRE A De DU an PS mA AL D er LE GR T, XXXE, N° 2. BULLETIN DE L'ACADÉMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME XXXL. (Feuilles 9—1/,19.) CONTENT. 0. Backlund, Rapport sur le mémoire de M. Harzer: Recherches sur un cas spécial OU NOIR OO MUR RUEDE D ur na den net ier diese st Ce bales eiVa ae 125—138 N, Katanoff, Nouvelle transcription des mots de la langue Koïbale notés par Castrén. VE RO DIN 8 MR OUIOM ee LU Li sudo une à aus ent de de vus à Ve 40 138—213 0, Chwolson, Recherches photométriques sur la diffusion intérieure de la lumière ..... 213—261 Dr. Carl Schmidt, Recherches Hydrologiques XLV—XLVIIT ....................... 262-283 B. Imchenetsky, Sur Ia transformation d’une équation différentielle de l'ordre pair à la forme d’une équation isopérimétrique.. :...........................,. 283—292 — #83 — CRE #4 Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des sciences. Octobre 1886. ——— C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l'Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.) BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. Dr. Harzer’s Untersuchungen über einen speciellen Fall des Problems der drei Kôrper. Bericht an die Akademie der Wissenschaften, von 0. Backlund. (Lu le 22 avril 1886.) Die Abhandlung des Herrn Dr. Harzer, die ich hiermit die Khre habe der Akademie vorzulegen, bietet ein ungewôhnliches Interesse dar und wird ohne Zweifel viel dazu beitragen, die von Gyldén als nothwendig erkannte Auffassungsweise über die Bewegung im Son- _ nensystem unter den Astronomen zu verbreiten. Indem Gyldén die elliptische Bewegung als eine erste An- näherung an die wirkliche verwirft, berücksichtigt er schon bei der ersten Annäherung gewisse Theile der . sogenannten Stürungsfunction und ermôüglicht in dieser Weise eine genäherte Lüsung, die rein periodisch ist. Es ist charakteristisch für die Gyldén’sche Theorie, dass das Auftreten von sekulären Gliedern verhindert wird. Die Ausdrücke, durch welche nach den bisher gebräuchlichen Methoden die Bewegung der Himmels- kürper angegeben werden soll, enthalten ausser perio- dischen Reïhen auch Potenzreihen, die nach den Po- tenzen der Zeit fortschreiten. Da man über die Con- vergenz dieser Reïhen nichts weiss, so künnen diese Methoden, die wesentlich nicht anderes als Interpola- tionsformeln liefern, nur für einen beschränkten Zeit- raum eine Anschauung über die Natur der Bewegung erlauben. Kann man dagegen die Coordinaten des Pla- neten durch rein periodische Reïhen angeben, s0 ge- winnt man — selbst wenn man die unbedingte Conver- genz dieser Reïhen nicht strenge nachweisen kann — doch Übersicht über die Bewegung für Zeiträume, die bedeutend grôsser sind. Während bei der Ellipse als primäre Bahn die Stôrungen Grôssen erreichen, die mit den Coordinaten selbst vergleichbar sind, s0 kommt es nach Gyldén’s Principien darauf an, in erster Näherung die Formeln für die Bewegung derart aufzustellen, dass die Ausdrücke für die Coordinaten den Ort des Planeten bis auf Grüssen von der Ord- _ nung der Masse »° des «stürenden» Kürpers wieder- XXXI. Tome geben. Ebenso wie bei der rein elliptischen Bewe- gung sind auch die einzelnen Glieder der Coordinaten in der nach den Gyldén’schen Principien bestimmten Bahn frei von dem Factor #’. Gyldén nennt solche Glieder, die die Masse »° als Factor nicht enthalten, sehr bezeichnend «elementär», und es ist leicht zu verstehen, dass die Argumente derselben von der Masse »' nicht unabhängig sein kônnen. In Übereinstimmung mit diesen in aller Kürze an- gegebenen Principien der Gyldén’schen Theorie, die in «Undersükningar af theorien fôr himlakropparnas rürelser » auseinander gesetzt sind, stellt sich Dr. Har- zer die Aufgabe, die Bewegung des Planeten Hecuba zu untersuchen; dabei hat er aber Wege eingeschlagen, die sich mitunter beträchtlich von denen unterscheiden, welche Gyldén in der erwähnten Arbeït angegeben hat. Die mittlere Bewegung von Hecuba ist nahe zwei- mal so gross wie die des Jupiters; die Môglichkeit eine brauchbare Theorie für diesen Planeten nach den ge- wôhnlichen Methoden aufzustellen, ist in Folge dieses Umstandes sehr fraglich. Es ist also kein Zufall, dass Dr. Harzer die Bewegung dieses Planeten zum Ge- genstand seiner Untersuchungen gemacht hat, viel- mehr sind das astronomische Interesse und die mathe- matischen Schwierigkeiten, welche sich an den spe- ciellen Fall knüpfen, wo die Umlaufszeit des «gestôrten» Planeten nahezu das Doppelte von der des «stürenden» beträgt, für die Wahl entscheidend gewesen. Für die- sen Fall approximativer Commensurabilität der mitt- leren Bewegungen kann es nicht genügend sein, nur die elementären Glieder zu ermitteln, um eine Bahn zu | erhalten, die sich von der wirklichen nur um Grôssen von der Ordnung der Masse »' unterscheidet, denn durch die Integration werden Glieder erzeugt, welche, obgleich mit der Masse »' multiplicirt, dennoch mit den elementären Gliedern in Bezug auf die Grüsse vergleichbar sind. Indem Dr. Harzer sich also die Aufgabe stellt, für Hecuba eine Bahn zu ermitteln, die mit einer gewissen Annäherung in Bezug auf die Excentricitäten und Neigungen sich von der wirk- 9 127 Bulletin de l’Académie Impériale lichen nur um Grôssen von der Ordnung der Masse #»' unterscheidet, hat er nicht nur die elementären Glieder, d. h. die Glieder von der Form: A) a %(ov + À), B) bKa((1—c)u—B) wo » die wahre Länge, o eine Constante von der Ord- nung der Masse »#’, a, b, À und B Constanten sind, zu bestimmen, sondern auch die ähnlichen Glieder: C) Ein (do +E), D) ns ((1— d)v + AH), wo d von der Ordnung RREd ist. £ und n enthalten allerdings den Factor »’, sind jedoch nach dem oben Gesagten mit « und b vergleichbar. £$%E und LE St 74 bedeuten langperiodische Funktionen. Die Art und Weise, wie Dr. Harzer seine Unter- suchung durchführt, muss als sehr verdienstvoll be- zeichnet werden, indem er mit Hülfe môglichst ein- facher mathematischer Mittel die Entstehung und Be- rechnung der Glieder der angegebenen Form in hohem Grade übersichtlich und klar darthut. Dass ihm dies so gut gelingt, ist wohl zu grossem Theil der zweck- mässigen Aufstellung der Differentialgleichungen, wel- che als Ausgangspunkt dienen, zuzuschreiben. Nach- dem Dr. Harzer die bekannten Laplace’schen Diffe- rentialgleichungen nach Hansen’s Vorschriften («Aus- einandersetzung einer zweckmässigen Methode etc.») auf ein bewegliches Coordinatensystem bezogen hat, leitet er die folgenden Differentialgleichungen der Be- wegung ab: dk œ AN a AR AG ne x dv? 1+v do Tr _(1—m)(1+») 1 M. r? À MT SG Mir Là k V am, (1 — r?)(1 +») æE Q dé &'— € Cos H ne el dun 1+-v BR. Die Grôüsse v ist von der Ordnung der Masse »' und wird aus der Differentialgleichung: da (1 Ex EG m) bestimmt. P, Q und À sind mit den Differentialquotienten der . pen ; oQ = P: 00 ? . a(1— r) D — cr a(l — 3 Cos A 2) ré bezeichnet die Breite des Planeten über Bahn; r'£ hat in Bezug auf den «stürenden» Planeten dieselbe Bedeu- | tung. n ist eine Grôüsse von der Ordnung der Excen- tricität; die Bedeutung der übrigen Grüssen ist die gewühnliche. Ehe der Verfasser nun weiter geht, giebt ler allgemein an, wie die elementären Glieder abgeson- | dert werden sollen. Zu dem Zwecke setzt er: RE 1+ 05. = ste und 2) : F0 wonach zur ns von 6 eine Raul chung von der Form: PE 3) dv? hervorgeht. Über die Constante ç, die von der Ord- + F nung der Masse m° ist, wird so verfügt, dass weder in der rechten Seite von 2) noch in der von 3) ein Glied von der Form Constans mal $, vorkommt. Die ‘à Function X muss aber so bestimmt werden, dass F keine Glieder mit den Argumenten (1 — a’) — 4", 4 (1— 0”) v — A" etc., wo 9’, o” etc. von der Ordnung der Massen der grossen Planeten und 4’, 4” etc. Constanten sind, enthält. Demnach ist X selbst — wie sich dies auch näher aus den späteren Unter- | suchungen ‘ergiebt — von der Form: X=—x Cos((1—0')0—4")—x"Cos((1—0")v—4" Ne Die Coefficienten x”, x” ete. sind von der Ordnung #°. Ë Durch Integration der re 2) ergiebt sich dann: — nr 204) 29 —=XxCos((1—5)0—T')-+ x po a me pre Cos((1 SE 6”)v—A"}+- . 25) Fe =) Do x und FL sind die Integrations-Constanten. Setzt man à nun: à Costr=l)= x 2 #5 —g')v— 4’ nCos(r-T)=—x+ -n() Cos((1 he 4’) 4 Get p) (—0!) e + se) A Sin (x —l)— Me, v— A) at =) cp sem) so wird: robe Lei DL 4ù à 2 1e hi vid OR 128 Cos((1—o")o—4")#+.... ‘ Sin(a-#'}-4 D 4 ê = n Co ((1— c)0— r). Se, ee PRTENR Sr INT ER RUE ni 129 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Die Grôsse n, die nach den angesetzten Formeln bestimmt werden soll, ist also eine langperiodische Function. Nachdem über $ und n in dieser Weiïse ver- fügt ist, beweist der Verfasser den fundamental wich- tigen Satz, dass F (— der rechten Seite von 3) über- haupt keine elementäre Glieder enthalten kann. n° de SL ose SON DNS Rd do 1 + dr? ds Va 2 do 1—"1 dr? a) (1 + À Ce + o (a) © 1— 1° 2(1— n°} m, dt __V(1— 7} 4) 16 Va de — (1 + p} dy e + R — mr? Var fs dr? dv do 1 wozu noch die Differentialgleichung in v hinzuzufü- gen ist, nämlich: k dr? dy dd 2 = 20 + 1—# (1 + v). Diese Gleichungen bilden die Grundlage für die weiteren Untersuchungen. Sie unterscheiden sich in vielen Punkten von denen, welche Gyldén in der an- geführten Arbeit aufgestellt hat. Zunächst ist die Ein- führung von v für den hier in Rede stehenden Fall von wichtiger Bedeutung, indem man bei den späteren Ent- wickelungen Vortheile erreicht, die man durch Anwen- dung der Gyldén’schen Differentialgleichungen nicht erreichen würde. Dass bei der zuletzt angeführten Sub- stitution von © gerade die biquadratische Wurzel aus _ 14 als Factor gewählt ist, hat offenbar zum Zweck, eine môüglichst einfache Form für & herzustellen. + & yldén führt als unabhängige Variabele eine Grüsse v, ein, die sich um eine Grôsse y—die «Variation» — von * unterscheidet und statt é eine Function 7, _ die «reducirte Zeit», Dass Dr. Harzer weder v, noch + einführt und v durchweg als unabhängige Variabele _ benutzt, ist als ein entschiedener Vorzug anzusehen, _ indem unter anderem auch die Übersicht über die dy dv LE 1, do, d Pr "do ” 81+1n 1+v 16 \1 — Entwiékelungen beträchtlich leichter wird. Die Gleichungen 1) dienen jedoch nicht als unmit- telbarer Ausgangspunkt für die weiteren Untersuchun- gen. Sie werden durch die Substitutionen: a: 11-#"0 1 TEEN EN mes CPR in die folgenden transformirt: dv a (a do & do \1+v dr 1 dv De 8 PA dt HN - æ _1( & )\ 81—® irv 16\1+v/ | + Pa" du do 1 _d!| dd j TL do u4(#) :) h Um nun die Integration der vorstehenden Differen- tialgleichungen in Angriff nehmen zu künnen, ist es zu- nächst nôthig die Storungsfunction zu entwickeln. Dies geschieht nach der von Gyldén in der erwähnten Ar- beit gegebenen Methode. Ich kann nicht umhin zu be- merken, dass die von mir in der Abhandlung «Zur Entwickelung der Stôrungsfunction», St. Petersburg 1884, auseinandergesetzte Methode hier Vortheile zu gewähren scheint; nach derselben erhält man für al — worauf es bei der Entwickelung der Stürungs- function gerade ankommt — eine Entwickelung, deren allgemeines Glied AU ui w/ [6 n a id n+4 D ETATS 0 o (5) (7) + 4 b, ;() ui ae x Cosi(o—v"+II—1T") Cosj(o+'+11-+1I1) ist. à und ? sind ganze Zahlen und n — +7. Die a! sind für s— 1 und s = 3 in der Abhandlung tabulirt. Die à sind Polynomen in v, für welche Herr Callan- dreau (Bulletin Astronomique) elegante analytische Ausdrücke abgeleitet hat. Zur numerischen Berechnung derselben sind a. a. O. ebehfalls Tafeln gegeben. Um die von Dr. Harzer gebrauchte Form: Ap°e "nn?" cos (( +3) (0 + IT) — (à Lg (0 + 11) s . 9* 1 131 4 Bulletin de l’Académie Impériale zu erhalten, hat man also nur die Substitutionen: + ali, y te avr Vlæv, r = a! (1 — 1”? 5 ? en V1+» auszuführen. Da es nicht meine Absicht ist, diese Transformation hier durchzuführen, so begnüge ich mich mit dieser Andeutung. Da » als unabhängige Variabele beibehalten werden soll, so muss + durch » ausgedrückt werden. Dies ge- schieht mit Hülfe der Gleichung: y" mi dt VO —n) à — A+ : Wenn man nun wie gewühnlich y" als die mitt- lere Bewegung n definirte und die rechte Seite nach den Potenzen von o und n entwickelte, so würde man nach der Integration—indem A die Integrations-Con- stante bedeutet — erhalten: nt-+ A — 0 — 2 |e do + [(e°— 7) do —….. Da nun o und » constante Glieder von der Ordnung der storenden Masse enthalten, so würde die durch das Integral- Zeichen angedeutete Operation ein Glied von der Form Constans mal » erzeugen. Um diesen Übelstand zu vermeiden, ersett Dr.Harzer die obige Gleichung durch: (1 +0 — —(1 + à) a do — va) (+ 0} und bestimmt « so, dass die Constante der Entwicke- lung der rechten Seite gleich der Einheiït wird, d. h. mit anderen Worten so, dass die von der p, £?, n° etc. herrührenden Constanten verschwinden. Dass diese Operation auf eine Function ausgeführt ist, deutet er . mit eckigen Klammern an; es bedeutet also z. B. [o] dass o mit 1-+ « multiplicirt ist und & so bestimmt, dass (1-+- &) 9 keine Constante enthält. Hiernach de- finirt Dr. Harzer die mittlere Bewegung folgender- maassen: n—(1 + a) 1% und es ergiebt sich nun: né + A = 0— 2 [[e] de +- 3 [le —% |do—… * und ebenso für den stürenden Planeten: nt+ Lve 2[[e] dr’ + 3[ [e— T du... Nach Elimination von { leitet er dann den folgenden Ausdruck ab: v'=pv—A—R,— 24.[[el dv + auf e—Ÿ] dv—…. PT Sin(1 —éjpo—(1—<)(a+R)—7) n”Sin (1€ juv—(1—<)(4+R)—7 1 SE ina = 4m Cosf(1— po —(1—2) 4427 fred Der Index , bedeutet, dass die betreffende Function nur Glieder von kurzen Perioden und der Index ,, dass PE RS Re sie nur Glieder langer Perioden enthält, indem man mit kurzperiodischen und langperiodischen Gliedern solche versteht, deren Perioden mit der Umlaufszeit vergleichbar resp. viel grüsser sind. Zur Abkürzung ist in dem obigen Ausdruck gesetzt: ! 1 R 2 nb pA—A —A; R—2pfledo—3u[| —7] dv; die gestrichenen Grüssen beziehen sich auf den stüren- den Planeten. Die angeführte Relation zwischen und v’ ist mit Rücksicht auf die im Folgenden erzielte An- näberung genau bis auf Glieder dritter Ordnung in den . Excentricitäten. Als charakteristisch für seine Methode hebt Dr. Harzer hervor, dass er im Ausdrucke für … v die Glieder kurzer Periode und von der Ordnung der Excentricität aus dem Argumente der trigono- metrischen Functionen herausnimmt, während er R, un- ter dem Zeichen Cos. oder Sin. stehen lässt; das erstere geschieht mit demselben Rechte wie die Storungsfunc- tion nach den Potenzen der Excentricität entwickelt wird; À, darf aber desshalb nicht aus den Argumenten herausgenommen werden, weil es in Folge approxima- tiver Commensurabilität der mittleren Bewegungen beträchtliche Grüsse erreichen und daher die Conver- genz der die trigonometrischen Functionen ersetzenden Reïhen sehr schwach werden kann. Hiermit ist im Wesentlichen der Inhalt des ersten s. Kapitels angegeben. Auf Grundlage der im ersten Kapitel gewonnenen he. Entwickelungen wird im zweiten Kapitel die speciel- lere Untersuchung der elementären Glieder von der Form 4) und B) und der mit den elementären Gliedern | vergleichbaren Glieder von der Form C) und D) durch- geführt und die vorgelegte Aug endgültig theores 4 tisch gelüst. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 134 Als Ausgangspunkt dient die erste der Gleichungen 4), die folgenderweise geschrieben wird: 5) + p=W, wo çs so bestimmt wird, dass W keine Glieder von der Form Constans mal 9 enthält. Es soll nun aus dieser Gleichung der Ausdruck für p, insofern es sich um elementäre Glieder von den Formen À) und B) und um die von den Formen C) und D) handelt, ermittelt werden. Da der von Dr. Harzer behandelte specielle Fall der ist, in welchem die mittlere Bewegung des gestür- ten Planeten nahe doppelt so gross ist, wie die des storenden, so ist, indem TT und 1—2p —ù gesetzt wird, à eine kleine Grüsse. Zur Erleichterung der folgenden Untersuchung wird noch die Bezeichnung 6) p— or A+T +R, eingeführt. Die Glieder kurzer und langer Periode fordern verschiedene Behandlungsweïise; wenn demnach ein p und 6, — derart, dass p = p, +0, — zerlegt wird, so soll p, nur Glieder von den Formen B) und D), e, aber nur Glieder von den Formen À) und C) ent- halten. Dr. Harzer leitet aus 5) für o, den folgenden Ausdruck ab: e—nCos((1-<)0-7)—; 72 Cos((1—<)0- T) {Sin 2pdv i-—à : — 50" Sin ((1-<)o-T)[Cos24 de. Der Strich über Sin 24 und Cos 24 bedeutet, dass die in der Entwickelung dieser Functionen enthaltenen Glieder mit Argumenten von der Form 4) und ausser- dem das in Cos2% vorhandene constante Glied weg- gelassen sind. Zur Bestimmung von p, giebt er die Dif- ferentialgleichung d = Hnn Sin(r'— 7 —(s—1<") v)— 5% =s —VnSin(24-+r—0)—yn Sin[29—(5—ps')0+r 7]; Æ, Vs, Y, und y, sind von der Ordnung der stôrenden Kraft. Die drei letzteren Grüssen sind constant, die _ erstere aber eine Reïhe von Gliedern von der Form A). _* Hiernach ist ersichtlich dass die nächste Aufgabe die ist, à zu ermitteln, und hierin liegt die Hauptschwie- rigkeit. Zu dem Zwecke wird die Differentialgleichung 7) + 28 Sin sos 20) = X hergestellt, wo X = 2pHan Sin(r'—r—(s—pe)v) —În%, also die erste Zeile in dem Ausdruck für 29. 2e ist und 28 5% 20 langperiodische Functionen von der Ordnung der stürenden Kraft bedeuten. Die Methode, nach wel- cher diese Gleichung integrirt wird, ist Herrn Harzer von Gyldén mitgetheilt. Indem X als eine kleine Grôsse gegenüber 8 betrachtet werden kann, wird in der ersten Annäherung X — O0 gesetzt, Die zu inte- grirende Gleïichung + + 28 Sin (2ÿ + 20) = 0 ist also unter der Voraussetzung, dass 285% 29 constant seien, die Differentialgleichung des einfachen Pendels, dessen Integral d—am(vo+ EF) Modk=Y-*. +8? « oder Sin ÿ =" rt Modk= 18, - je nachdem 7 3 Kleiner cèu grüsser als die Einheit ist. y ist für ln gesetzt und y und F sind Inte- grations-Constanten. Das erste Integral, das dem Fall des rotirenden Pendels entspricht, kann bekanntlich folgenderweise geschrieben werden: d + 0 — x (0 + F) + Sin 2 r0L+F) +. Fe vergleicht man diesen Ausdruck mit 6), so ergiebt sich Ô + € SV FepontEr Wenn v+$ Integralform, dass >1 so folgt dagegen aus der zweiten d + (a 0 wird, was dem Falle des oscillirenden Pendels ent- spricht. Für Hecuba ist, wenn Jupiter als der stürende Kôrper betrachtet wird, die letzte Bedingung nicht erfüllt und $ + s obgleich eine kleine Grüsse.jedenfalls > 0. Weil 135 Bulletin de l’Académie Impériale 136 diese beiden Füälle, à + ç >> oder — 0 charakteristisch für die Bewegung sind, so würde, nach Herrn Har- zer’s Auffassung nicht 1—2u—0—0 eine strenge Commensurabilität zwischen den mittle- ren Bewegungen von Jupiter und Hecuba bedeuten sondern E— 2+çs—d+ç—0. Da wie gesagt diese Bédingung bei Hecuba- Jüpiter nicht zutrifft, so muss die erste Integralform ange- Fe ; i — 1 —#k/? , K Sin A RTE 7 HR: r \2 + 16(,%) Sin 20 pee wandt werden. Um mit Hülfe derselben das Integral der vollständigen Gleichung 6) zu erhalten, müssen die Grüssen F und v als Functionen von v betrachtet werden und mit Rücksicht auf die Grüsse X.und auf die Variabilität von $ und © bestimmt werden. Die Operationen, welche zu dem Zwecke mit grossem | Scharfsinn ausgeführt sind, kônnen selbstverständlich hier nicht wiedergegeben werden, sondern mag es genügen die für Sin 24 und Cos 24 hergestellten defi- nitiven Ausdrücke anzuführen. Dieselben sind: | q Sin(2 00 + F)— 26) — qSin(2 5 (0 + PF) 26) + + 24Sin (4 5x (0 + F)— 26)— 2q° Sin (4 5x 00 + EF) + 26) + v.le + ‘6 Je. 7e 575 9° + 6 0e ds ‘Se + 0:68 ee 1e 0 q Cos(2 5k 0% +F) 26)— a" Cos (2 + (0 + F7) + 7) un + 16 (x) + 2q”Sin (4 5x0 + F) — 26) — 2qÿ Cos (45 (vo + F1) + 26) +- Die Bedeutung von X, E und # und g ist die ge- . wühnliche; da # variabel ist (langperiodische Function) so sind auch diese Grüssenariabel. Zur Vervollstän- . digung der angeführten Ausdrücke gehôrt aber noch die Bestimmung von 4. Wir kônnen uns aber auf das Referiren dieser Bestimmung hier nicht einlassen, sondern führen sogleich die Endresultate an, die deut- lich die Beschaffenheïit der gesuchten Glieder darthun: 9, — Const. + nCos((1—<)v— 7x) LA D Y j x +16( 25) du = Cs((--3)027 Gr) : zx \2 + L + +8( x) d'en Cos((1-- 20) 04 G-T+26) U—= Const.— [Arr Sin (tr —7—($— wc") 0) do — UE M16( 2) gn Cos((3+ 9)o+ 2, 2. RG+R—T) Me Bon gn Cos (0-27 Gæn—T) Ç G ist eine langperiodische Function von derselben | esp 0 0 + ee + € + + + © Form wie y, und F eine Constante, Für £ ist der - à Ausdruck ht + À — le G— A A—?) :Sin((8 + 9)v+ 2,74 +26) — É_ Sin (+ 90 222 G + 26) —; 7 Sin((1—<)v— +) sf) Yo +9 Reg Si ((i + À) 0 + 2 @— r} 16() de ue (arrange reas) +° = Ÿ_ Sin 2((1— 215 Bulletin de l'Académie Impériale wo R— LE. Wird ein, zwar Licht absorbirender, aber nicht zerstreuender Kürper ÆZN (Scheïbe) in den Weg der Strahlen gestellt, so wird Z geschwächt; die Grüsse der Schwächung hängt aber nicht davon ab, an welcher Stelle, zwischen Z und E, die Platte AN eingestellt ist und bleibt also unverändert, wenn dieselbe z. B. nach M'N' verschoben wird. Ist LD — a und DE = 56, also R— «a-+-b, so, ist bei allen Lagen von MN stets: WO + — K der Schwächungscoefficient der Platte MN ist. | Fig. 1. œ B Dies wäre der eine extreme Fall. Der andere extreme Fall würde einer Platte entsprechen, welche nur durchscheinend wäre, bei welcher alles auffallende Licht innen zerstreut würde. Man ist berechtigt zu vermuthen, dass eine solche Platte weiterhin (nach rechts in Fig. 1) als selbstständige Lichtquelle zu betrachten ist, deren In- tensität proportional ist der empfangenen Lichtmenge. Ist die Platte sehr klein im Vergleich mit «& und b, sodass eine gleichmässige Beleuchtung derselben an- genommen werden kann, so muss die Beleuchtung in Æ _offenbar von der Form: sein, also bei constantem LE = a +-b je nach Lage der Platte JAN in hohem Grade variiren. Dürfte man das L'ambert’sche Gesetz für solche Platten anwenden, so würde die von einem Elemente odo.dO einer grôs- seren Platte MN, Fig. 2, nach Æ gelangende Licht- menge von der Form: LOT M ET RG 2 PNR 0. ‘a e de de . sin à. sin 8 pp sein. Einige auf diesen Fall bezügliche Ausrechnungen | finden sich weiter unten $ 5. Fig. 2. M A P. «18 4 L ÉS toip 772 A 2 AV V1 Durch die Formeln (1) und (2) sind zwei, so zu- sagen, extreme Gesetze ausgedrückt. Es frägt sich, ob erstens diese Füälle in der Natur vorkommen !) und wie, zweitens, die Verbreitung des Lichtes in den zwischen- liegenden Füällen stattfindet, wenn wir es z. B. mit halbdurchsichtigen Kôrpern zu thun haben, wo direc- tes Durchdringen des Lichtes und innere Diffusion gleichzeitig auftreten ©). Findet innere Diffusion des Lichtes statt, so ent- steht die Frage nach der Intensität des in verschie- denen Richtungen austretenden Lichtes und zwar für, unter verschiedenen Einfallswinkeln die Platte treffen- den, Strahlen. Die hierbeï an einer etwaig matten Ober- fläche beim Eïin- und Austritt hinzutretende äussere Diffusion müsste sorgfültig von der inneren Diffusion getrennt werden. $ 1. Die Apparate und ihre Aufstellung, Das benutzte Photometer. Die sämmtlichen photometrischen und polarimetrischen Messungen wurden mit dem von Herrn Director H. Wild con- struirten Uranophotometer ausgeführt, nachdem dasselbe in ein gewôhnliches Photometer verwandelt worden war. Eine ausführliche Beschreibung desselben : 1) Züllner vermuthet, dass für Milchglas, wenn es durchschei- nend beleuchtet wird, das Lambert’sche Emanationsgesetz genau erfüllt sei. Photometrische Untersuchungen, p. 24. 2) Eine analoge Frage lässt sich, nebenbei bemerkt, auch für die Reflexion des Lichtes aufstellen. Ein Spiegel môge sich À in der Entfernung a von einer Lichtquelle befinden; die reflectirten Strahlen | beleuchten in einer Entfernung b vom Spiegel ein Wandelement E. Für einen gut polirten Spiegel wird die Lichtintensität in E durch (1) ausgedrückt; für eine weisse, matte Fläche, begabt mit môglichst vollständiger äusserer Diffusion, würden wir die Formel (2) erhalten. Zwischen diesen extremen Fällen muss es zwischenliegende geben— | halbreflectirende Oberflächen, analog den halbdurchsichtigen Medien. “. 217 des Sciences de Saint-Pétersbourg. findet sich in den Mélanges phys. et chim., tirés du bulletin de l’Acad. Imper. des sciences de St. Petersb., T. IX,-p. 443, wo auch auf Seite 473 bereits die Ver- wandlung desselben in ein gewühnliches Photometer und die Benutzung und Theorie desselben mitgetheilt sind. Die wesentlichsten Theïle desselben sind in Fig. 3 scizzirt. Fist die runde, allseitig geschlossene, innen matt-schwarze Messingbüchse; À die aus 10, nahe 0,5 mm. dicken Glasplatten bestehende Glassäule, deren Die um eine, zur Ebene der Zeichnung senk- rechte Axe vérmittelét eines an dieser Axe angebrach- ten Zeigers und einer auf dem Deckel der Büchse befindlichen Kreistheilung gemessen werden konnte. B und C sind Senarmont’sche Kalkspath-Prismen, E ein Savart’sches Polariscop. Die Rôhre A ist so eingestellt, dass das von Æ kommende Licht die Säule Fig. 3. A unter dem Polarisationswinkel trifft, wenn das re- flectirte Licht in der Richtung der Axe der Rôühre N geht. D ist ein unbeweglicher Kreis mit Theïlung (Grade) am Rande. Die Rôhre Æ sammt Polarisator darin kann mit Hülfe einiger Griffe G gedreht und die Grôsse der Drehung durch einen, an 4 es Zeiger auf D abgelesen werden. - Die Rühre B wurde stets gegen die zu untersu- chende Platte, die Rôhre Hgegen eine unveränderliche Hülfs-Lichtquelle gerichtet. Sollte der Apparat als Photometer dienen, so wurde der Hauptschnitt des Polarisators in B unter 45° zur Einfallsebene auf die Glassäule orientirt (nach der 1. c. p. 458 angegebenen Methode) und dann À 50 eingestellt, dass die von Æ kommenden Strahlen nach N reflectirt wurden. Durch Drehung der Rühre Æ konnten die in N beobachteten Farbfransen zum Verschwinden gebracht werden. Dies geschehe bei einem Winkel & zwischen dem Hauptschnitt von C und der Einfallsebene aufdie Glassäule, welcher an dem Kreise D abgelesen wurde. Blieb die durch }Æ eintret so war die zu messende Intensität Z des durch M. trs tretenden Lichtes proportional cos’x. Es war nämlich bei allen Versuchen die erstere, Z,, unpolarisirt, wäh- rend die Zweite, Z, aus einem unpolarisirten Theile Z, und einem, stets in der Einfallsebene der Glas- säule À, polarisirten Theile P bestand. Es war also: 1= I, + P. Das durch c hindurchgegangene Licht hatte die Intensität à I, wo K; ein Schwächungscoefficient we- nig kleiner als 1, und konnte in die zwei Componenten: K M: [[S'Acos"æ LL <'Z sine [|| und L zur Eiïnfallsebene der Glassäule zerlegt werden. Nach der Reflexion werden wir haben: HS _ ju 0e TRS à si sin°a-ÿ”, wo + und y? zwei Constante repräsentiren (1. c. p.463 und 464). gs von Æ eintretende Licht Z,+ P wird in B auf — EE + P) reducirt, dessen entsprechende Com- | het sind, wegen der obenerwähnten Einstellung von B 1ÉG+P LÉ(+P) und nach dem Durchgange ee die Glassäule: | 2 +P}# L— PL + Pré. Die Bedingungsgleichung für das Verlôschen der in N beobachteten Fransen ist: Hi d+— (I + P)s"—= TA sin°æ px aGrP)E. 219 Bulletin de l’Académie Impériale 220 Treffen die von Æ kommenden Strahlen die Säule À genau unter dem Polarisatiqnswinkel, so ist y — 0 (1. c. p. 464). Da jee I,+ P= T ist, erhalten wir: 13e ia I, cos’ a — C'cos x. — e K Der Bruch Eins (1. c.). Jedenfalls ist bei constantem Z die Lichtstärke I proportional cos’ und dies genügt für unsere Zwecke, da wir lediglich die Variationen von Z zu beobachten hatten. Sollte der Apparat als Polari- meter dazu dienen das Verhältniss von P zu 1, zu be- stimmen, so wurde Æ geschlossen, die Rôühre M durch eine andere ohne Polarisator, ersetzt und durch Dre- hung der Säule À um einen gewissen Winkel ®, bis zum Verlüschen der Streifen, das Verhältniss: Re À I ? nach der 1. c. p. 465 angegebenen Weise, bestimmt. Die Werthe der Function À, sind zwar 1. c. p.481 gegeben; doch hat Herr Director H. Wild seitdem, nach genauerer Methode, eine Neubestimmung der Function A+ ausgeführt und habe ich die so erhal- tenen Zahlen weiterhin benutzt. Die Aufstellung. Es sind zwei Aufstellungen be- nutzt worden, welche kurz als erste und zweite be- zeichnet werden sollen. Die erste Aufstellung, bei welcher nur photometrische Messungen ausgeführt wurden, ist in Fig. 4 scizzirt. Das Photometer war auf Fig. 4. ist jedenfalls sehr nahe gleich a. ie ls )e ed à 5: 6 Lo L. “ L x x ee à \ O .* LS : LT ——— Cal - — SET AIT a É a A, 3 M € HIPO “ - = 12 _— Ss einen verticalen Fuss so aufgesetzt, dass die in Fig. 3 als Ebene der Zeichnung angenommene Einfallsebene der Glassäule horizontal lag. In der Richtung der Axe der Rôhre M stand eine eiserne optische Bank auf welcher zwei Plattformen sich verschieben liessen. Die erste trug die untersuchte Platte @, auf der zweiten stand die Lampe L. Die Platte Gsteckte in einem Rah- men, welcher beiderseits eine runde Offnung von 88 mm. Diameter frei liess. Die meisten Platten wur- den durch Schrauben an einen anderen Rahmen so befestigt, dass sie einen rechteckigen Ausschnitt von 70 mm. Länge (horizontal) und 35 mm. Breite be- deckten. Dieser Rahmen wurde von einem kleinen Theodoliten getragen, welcher Drehungen der Platte G sowohl um die verticale als auch um die horizontale (in der Platte liegende) Axe gestattete, wobei die Drehungswinkel genau gemessen werden konnten, Die Häülfsplatte G, war stets von derselben Sorte, wie G. Die Lampen Z und Z, enthielten Oleofin und zeigten die Versuche, dass bei richtiger Behandlung der Lampen eine genügende Constanz der Lichtinten- sititen erreicht werden konnte. Übrigens wurde in allen Fällen folgendermaassen manipulirt: während der Beobachtungen, sowohl bei dieser ersten, als auch bei der gleich zu besprechenden zweiten Aufstellung, blie- ben &, und Z, unverändert; dagegen wurden die Stel- lungen von G und Z verschiedenen Veränderungen unterworfen. Der Vergleich der von G ausgestrahlten Lichtintensitäten (entsprechend diesen verschiedenen | Stellungen) untereinander, war eben Zweck einer jeden einzelnen Beobachtungsreihe. Es wurde von einer | Normalstellung ausgegangen und nach jeder Messung der Lichtintensität in anderer Stellung oder hôchstens nach zwei solchen, wurde auf die Normalstellung zu- rückgegangen. Auf diese Weise konnte der Einfluss geringer Ânderungen in der Leuchtkraft der Lampen | eliminirt werden; fanden grüssere Ânderungen statt, so wurden die betreffenden Beobachtungen verworfen. Die Lage von G und Z wurde selbstverständlich s0 justirt, dass bei allen Verschiebungen längs der op- tischen Bank die Centra der Flamme und der Platte G in der Verlängerung der Rôhrenaxe AN blieben. Die grüsste Sorgfalt wurde verwandt um durch richtige ,Aufstellung von Schutzwänden (aus matt-ge- |schwärzter Pappe, 83 em. hoch) fremdes Licht und : Reflexe zu vermeiden, Die Versuche wurden in einem 221 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 22? Zimmer ausgeführt, in welchem bei Abwesenheit der Lampen Z und Z, vüllige Finsterniss herrschte; selbst die Nebenzimmer waren verdunkelt worden. Die Stel- lung der hauptsächhchsten Schutzwände ist in Fig. 4 punctirt angedeutet. Wurden zwischen ZL und G Schutz- wände eingefügt, um etwaiges von den Seitenwänden reflectirtes und G& treffendes Licht abzuhalten, so wurde keine merkbare Ânderung in der Photometercinstellung beobachtet. Das von den schwarzen Wänden reflectirte Licht war also jedenfalls zu vernachlässigen, Zwischen G und M erwies sich eine Schutzwand gleichfalls als überflüssig und zwar aus Gründen, die weiter unten (s. Prüfung des Photometers) erläutert sind. Der von den Schutzwänden eingeschlossene Raum wurde auch von oben, so weit thunlich, bedeckt um das von der Decke reflectirte Licht abzuhalten und im Zimmer den môglichsten Grad von Dunkelheit zu erreichen. Bei der ersten Aufstellung konnten die Entfernun- gen ZG und GA beliebig variirt und auch die Platte G gedreht werden, doch bildeten die beobachteten aus- tretenden Strahlen stets die gerade Verlängerung der einfallenden. Bei der zweiten Aufstellung konnten Einfallswinkel und Austrittswinkel beliebig und mess- bar variirt werden; zugleich wurden auch polarime- trische Messungen gemacht. Diese Aufstellung ist in Fig. 5, 6 und 7 skizzirt. Das Photometer ist an eine Fig. 5. horizontale Axe befestigt, die Ebene der Zeichnung Fig. 3 liegt also hier vertical. Die Rôhren M und N bleïben horizontal, die Rôhre Æ (Fig. 3) ist nach unten gerichtet. Fig. 5 und 6 giebt eine Ansicht von oben, Fig. 7 eine Seitenansicht. T ist ein massiver eiser- ner Tisch (Theil eines grossen Steinheil’schen Spec- Tome XXXI. trometers), dessen runde Oberplatte einen Diameter von 67 cm. hat. Durch das Centrum des Tisches geht eine Axe, um welche sich der Messingstreifen S, auf der Tischplatte schleifend, drehen lässt. Eine am Rande des Tisches 7 angebrachte Theiïlung liess die Grüsse dieser Drehung messen. Durch Holzblücke war die Lampe Z mit dem Streifen $S fest verbunden. Der die Platte G tragende Theodolit war gleichfalls mit die- sem verbunden-und nahm also an der Drehung dessel- ben Theiïl. Sollte, wie dies ja meist der Fall war, bei constantem Einfallswinkel, nur der Austrittswinkel verändert werden, so wurde der Streifen $ mitsammt der Lampe Z und dem Theodoliten gedreht; um den Einfallswinkel zu ändern wurde G um die verticale Axe auf dem Theodoliten gedreht. So konnten beide VWinkel vôlig beliebig eingestellt werden. In Fig. 6 ist eine solche veränderte Stellung angegeben; Cn ist die Normale zur Platte G; in Fig. 7 sind 7, G, S und. Z in der Stellung skizzirt, welche der Fig. 5 entspricht. F ist die Seitenansicht der Büchse des Photometers; die Einfallsebene der Glassäule ist bei dieser Stellung vertical. M und N haben dieselbe Bedeu- tung, wie in Fig. 3 und 4. Die Rôbre A ist nach unten gerichtet. Die Ebene der Hülfsplatte G, bildet mit der Axe der Rôhre Æ und mit der Ebene der Zeichnung Fig, 7 einen Winkel von etwa 45°; sie wird auf der 15 Bulletin de l’Académie Impériale 224 anderen Seite von der Hülfslampe Z, beleuchtet. Was die Justirung dieser Aufstellung betrifit, so kam es vor Allem darauf an eine richtige Ausgangslage zu erhal- ten und wurde als solche die Lage angenommen, welche in Fig. 5 scizzirt ist: Axe von NH, Centra des Tisches T und der Lampe L in einer Geraden und | Ebene von G senkrecht dazu. Letzterer Umstand konnte auf drei Weisen verificirt werden: 1) der Strei- fen S wurde mit Lampe und Theodolit um 60° zuerst nach rechts, dann nach links gedreht, sodass der Aus- trittswinkel +- 60° und — 60° wurde; 2) dasselbe, aber die Platte G-um den gleichen Winkel rorithue. dreht, so dass der Einfallswinkel + 60° und — 60° wurde; 3) bei unveränderter Lampenstellung wurde die Platte G allein zuerst nach rechts, dann nach links um 60° gedreht. Bei jedem dieser Versuche mussten bei den je zwei Stellungen gleiche Lichtintensitäten beobachtet werden. Die Stellung der Schutzwände ist in Fig. 5 punctirt angegeben; bei Seitenstellungen der Lampe wurde noch eine Wand X (Fig. 6) benutzt. Das Drehen der Rühre ÆH und Ablesen der Winkel auf dem Kreise D (Fig. 3), war nicht ohne Schwierigkeit; es dienten dazu besondere Einschnitte in den Schutzwänden. Prüfung des Photometers. Die mit dem Photo- meter nach der Formel (4) gemessene Grüsse J soll ein Maass sein für die Intensität der von G in der Rich- tung der Rührenaxen MN ausgestrahlten Lichtmenge (also nicht etwa ein Maass der gesammten Beleuch- tungskraft der. Platte G als Lichtquelle betrachtet). Durch zwei Versuche liess sich nachweisen, dass das Photometer in der That dieser Bedingung in hohem Grade genügte. Erster Versuch. Bei dé ersten ‘Aufstellung (Fig. 4) wurden Lampe Z und Platte G zusammen verschoben. Zuerst befand sich die Platte in einer Entfernung vor 1 bis 2 Decimetern von der Rôhren- ôffnung W und hierbei wurde das Photometer einge- stellt (die Fransen zum Verlôschen gebracht). Bei einer Verschiebung von G und Z um fast einen ganzen Meter war noch keine Ânderung in der Einstellung zu bemerken; erst bei noch grôsserer Entfernung begann . die beobachtete Lichtintensität langsam zu sinken. Zweiter Versuch. Die Platte G (Milchglas) wurde ohne den obenerwähnten Rabmen frei aufge- | stellt; sie war 80 mm. breit, 120 mm. hoch undstellte eine nicht ganz gleichfrmig (in der Mitte stärker) leuchtende Fliche dar. Das Photometer wurde einge- stellt und dann die Platte mit schwarzem Papier be- deckt, welches in der Mitte einen kreisfürmigen Aus- schnitt hatte. Bei einem Radius dieses Ausschnittes von 9 mm. war noch keine Ânderung der im Photo- meter beobachteten Lichtintensität Z zu bemerken. Es wurden ferner von der Seite her über die Platte schwarzes Papier geschoben und der Moment bestimmt, wo sich Z zu ändern anfing. Es zeigte sich, dass die Ânderung eintrat wenn das Papier von irgend einer Seite her bis auf 4 mm. dem Centralpunct genähert wurde. Es ist also unzweifelhaft, dass nur die von einer kleinen Fixirungsfläche ausgehenden, parallelen Strah- len in dem Photometer zur Wirksamkeit gelangen. Von der Seite herkommende Strahlen bleiben ohne influss. Dies der Grund, weshalb zum Schutz des Photometers keine Wände aufzustellen nôthig war; ein anfänglich benutztes complicirtes System von Wänden, welche zwischen G und dem Photometer aufgestellt wurden, ist später, als offenbar überflüssig, weggelas- sen worden. Selbst in dem Fig. 6 skizzirten Falle, wo die Lampe Z direct hätte die Offnung der Photo- meterrühre M beleuchten kôünnen, war die Zwischen- setzung der Wand X von kaum merklichem Einflusse. -$ 2. Methoden der Untersuchung, Die Verbreitung des Lichtes nach dem Durchgange durch die Platten konnte auf verschiedenen Wegen untersucht werden. Es wurden überhaupt die folgen- den Beobachtungsarten benutzt, wobeï ein für alle Mal 8 den Eïnfalls —, y den Austrittswinkel des Lichtes bei der Platte G (Fig. 8) darstellen soll. Liegen $ und y in derselben Ebene, so sollen beide Winkel nach Fig. 8. . \ Pot. 225 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 226 derselben Seite von der Normalen aus positiv gerechnet werden. 1) Bei der ersten Aufstellung (Fig. 4) wurde die Platte G unbeweglich gelassen und nur die Lampe Z verschoben, also die Entfernung GL verändert; es war also 8 —"Y— 0. Es ist wichtig zu bemerken, dass die erste Aufstel- lung und ebenso die Normalstellung der zweiten (Fig. 5) nur dann zu benutzen waren, resp. Photome- ter, Platte und Lampe nur dann in einer geraden Li- nie liegen konnten, wenn die Platte G durchscheinend, nicht aber wenn sie halbdurchsichtig war (s. Einlei- tung). In letzterem Falle erblickte man bei erwähnter Stellung der Lampe im Gesichtsfelde des Photometers die Conturen der ungleichformig hellen Flamme ; von emer Einstellung des Photometers konnte also keine Rede sein. Wurde aber die Lampe durch eine gleich- mässig selbstleuchtende Fläche ersetzt, so konnte eine derartige Untersuchung auch für halbdurchsichtige Kôrper ausgeführt werden. 2) Bei der ersten Aufstellung wurden G audi L auf ihren Plätzen gelassen und nur G um die verticale Axe gedreht. Die austretenden Strahlen bildeten also die gerade Fortsetzung der einfallenden. Obwohl dies nur ein specieller Fall des allgemeinerenist, der gleich erwähnt werden soll, schien es doch interessant ihn einer besonderen itiuchoug zu unterwerfen, Es ist hier y— — $. 3) Bei senkrechter feidèus der beleuchtenden Strahlen wurde die Intensität der nach verschiedenen Richtungen austretenden Strahlen bestimmt. Es ist in diesem Falle 8— 0 und y veränderlich. 4) Dasselbe bei schiefer Incidenz d. h. für ein ge- gebenes 8. Hierbeï konnten für positive y andere (klei- nere) Werthe als für negative erwartet werden. Inte- ressant müsste es sein, für diesen Fall die Intensität der nicht horizontal oder, allgemeiner, nicht m der Einfallsebene austretenden Strahlen zu bestimmen. Eine solche Bestimmung ist aber bisher nur einmal ausgeführt worden und zwar für den Fall à— 90°, wo à der Winkel zwischen Einfallsebene und Austrittsebene. Die Drehung des, die Platte G einschliessenden, Rahmens um eine horizontale Axe ermôglichte es, die Platte in solcher Stellung zu fixiren, dass die drei Winkel: drei gegebene Werthe annahmen. Um dies zu erreichen wurde von der Normallage (Fig. 5) ausgegangen. Es sei, Fig. 9, 7 der Tisch Fig. 9. RE und OM der zum Photometer führende Radius des- selben. Der Streifen S (Fig. 5) wurde zuerst mit Lampe und Theodolit um einen Winkel 0 = < HOL gedreht; hierauf der Rahmen allein um die verticale Axe um einen Winkel b— < LOG zurückgedreht und end- lich die Platte G um die horizontale Axe um einen Winkel © — << GON geneigt; NO ist also die Normale zur Platte G.—Es ist in diesem Falle: B=— < LON vs 4 NOH — < (Ebene NOZ, Ebene NOH). Man hat nun die drei Gleichungen: cos B — cos Ÿ cos w : cos y — cos (2 — 4) cos w cos 0 — cos $ cos y + sin $ sin y - cos à, aus welchen die Winkel ®, 0 und o, welche den ge- gebenen 8, y und à entsprechen, berechnet werden künnen. Hier müssen $ und y beïde immer als positiv und kleiner als 90° genommen werden, während à von 0° bis 360° variirt. Es giebt vier Stellungen, welche den gegebenen Be- dingungen entsprechen, indem die erste Drehung des Streifens $S (um den Winkel 6) nach der einen oder an- deren Seite ausgeführt werden kann und ebenso die Neigung des Rahmens (um den Winkel w) vorn oder hintenüber erfolgen kann, wobei die Normale ON über (wie in Fig. 9) oder unter die horizontale Ebene zu liegen kommt. Für den besonders interessanten Fall à — 90° hat man die Gleichungen: cos 8 — cos à : cos w COS y — cos (9 — L) cos © cos — cos $ - COS Y. 15* . 227 Bulletin de l’Académie Impériale 2?2s Für $f—y—60" erhält man z. B. cos 0 — - : ÿ— + und coso—V0,4, d.h. 0—75,5°, ÿ—37,75° und © — 50,8°. 5) Um die äussere Diffusion von der inneren zu trennen, wurden unter gleichen Umständen matte und polirte Platten mit einander verglichen. | 6) Auf die vertical aufgestellte Platte liess man voll- ständig polarisirtes Licht horizontal einfallen und be- stimmte für das austretende Licht den Bruch : nach Formel (4, a). Auch hierbei wurden der Einfallswinkel $ und der Austrittswinkel y in weiten Grenzen variirt. Das Licht war bei allen Messungen senkrecht zur Einfallsebene der Platte G d. h. in verticaler Ebene, also in der Einfallsebene der Glassäule des Photometers polari- sirt. Die dabei gebrauchte Einrichtung ist in Fig. 10 Fig. 10. skizzirt. S ist der Messingstreifen (Fig. 5), L die Lampe, G die untersuchte Platte. Ein doppelarmiges Holzstativ trug die Linse e und den Nicol », welcher unschwer richtig einzustellen war. Es war zum Mindesten anzunehmen, dass die Be- stimmung des Bruches & für das in verschiedenen Richtungen austretende Licht wichtige Fingerzeige er- geben würde, obwohl es nicht môglich ist für die wahre Bedeutung dieses Bruches etwas Bestimmtes anzuge- ben, ohne zugleich von einer bestimmten Vorstellung über die in der Platte bei der Durchstrahlung statt- findenden Vorgänge auszugehen. Darüber das Nähere später. 7) Um die Wirkung der Dicke der Platten zu stu- diren, wurden dieselben allmälig immer dünner ge- schliffen. Beobachtete und wahre Intensitäten. Die Win- kel $ und y wurden von 0° bis + 60° varürt und nur einmal bis 70° gegangen. War y nicht gleich 0°, d. h. | stand die Platte nicht senkrecht zur Axe des Photo- meters, so wurde Licht von einem Flächenstück er- halten, welches umgekehrt proportional cos y war. Um für alle y die, demselben Flächenstück entsprechen- den, Z zu erhalten, müssten die direct beobachteten Intensitäten 2 mit cos y multiplicirt werden: L=i cos. Im Weiteren sind stets die bereits berechneten Z angegeben. Bei fast allen Beobachtungen variüirte Zin Abhängigkeit von y nach einem Gesetz, welches nicht bedeutend von dem Cosinusgesetz abwich. Die beob- achteten à variirten daher überhaupt nur sebr wenig, wenn y verändert wurde und folglich ebenso auch die am Photometer gemessenen Winkel &, Formel (4). Es kam daher weniger darauf an diese Winkel selbst, als ibre-geringen Differenzen mit môüglichster Genauigkeit zu messen. Was die Genauigkeit der Messungen betrifft, so liessen sich in fast allen Fällen die Winkel & mit einer Genauigkeit von 0,1° einstellen. Vorläufige Versuche hatten nun aber gezeigt, dass die grüsste relative Sicherheit in der Einstellung sich erreichen liess, wenn a zwischen 50° und 65° lag. Für die meisten Fälle war & nahe gleich 60° und hier giebt ein Fehler von 0,1° eine Variation von cos «, die 0,6%, beträgt (= 2 tg. «. Aa). In einigen Füällen, wo die Lichtinten- sität sehr gering war und das Gesichtsfeld daher sebr dunkel erschien, war die Genauigkeit eine geringere. S 5. Erster extremer Fall, Rauchglas, In der Einleitung ist als erster extremer Fall derjenige bezeichnet, welcher eintrifft, wenn in einem Kürper absolut keine Diffusion stattfindet, obwohl die Absorbtion bedentend sein kann. Für diesen Fall sen- det die durchstrahlte Platte selbst kein Licht aus; vi- sirt man also durch eine solche Platte nach einer Licht- quelle, so muss die Helligkeit der letzteren unverän- dert bleiben, wenn man die Platte dem Beobachter, oder von ihm weg der Lichtquelle nähert. Dass solche Kôrper wirklich existiren, zeigte sich bei der Unter- Fig. 11. | L [As O M sn W « 229 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 230 suchung zweïer Rauchglasplatten von 1,35 mm. und 1,5 mm. Dicke. Es sei L die Lampe, G eine Milchglasplatte von 0,607 mm. Dicke, R das Rauchglas und ZZN der Pho- tometer; GM war etwa gleich einem Meter. Die Platte R wurde einmal dicht an G angelegt und dann gegen M hin bis dicht an das Photometer verschoben. Es war nicht die geringste Spur einer Ânderung in der Ein- stellung des Photometers zu bemerken. Bei allen Stel- lungen des Rauchglases gingen 28,77, des von G aus- gestrahlten Lichtes durch dasselbe. Genau das gleiche Resultat wurde erhalten, als zwei zusammengelegte Rauchgläser benutzt wurden: bei allen Stellungen der- selben empfng das Photometer 6,68, der von G aus- gestrahlten Lichtmenge. Wir werden später sehen, dass für eine halbdurch- sichtige Platte (statt des Rauchglases) ein ebensolcher Versuch eine Variation der Lichtstärke ergab von 1636, wenn die Platte dicht an G anlag, bis herunter zu 40,3 bei einer Entfernung GR=— 320 mm. Bei der ersteren Lage wurden 53°, bei der letzten 1,3% der von G erhaltenen Lichtmenge in der Richtung zum Photometer wieder ausgestrahit. Ich führe dies hier nur des Vergleiches wegen an und um die Wirkung der inneren Diffusion zu illustriren, $ 4. Zweiter extremer Fall, Milchglas, Als zweiten extremen Fall haben wir den einer voll- ständigen inneren Diffusion bezeichnet, wo direct durchgehendes Licht nicht vorhanden ist und der durchstrahlte Kürper gleichsam als neue Lichtquelle betrachtet werden kann, deren Intensität proportional ist der Beleuchtung, welcher man ihn aussetzt. Für diesen Fall gelten die Formeln (2) und (3). Wie bereits in der Einleitung (Anm.) erwähnt wurde, glaubt Zôliner, dass im Milchglase durch die einge- | streuten Partikelchen von phosphorsaurem Kalk (dem Glassatz wird fein gemahlenes Knochenmehl beige- mischt) eine totale Zerstreuung des Lichtes stattfinden und daher für das wieder ausgestrahlte Licht das Lam- bert’sche Cosinus-Emanationsgesetz genau gültig sein müsse. Ich will nun kurz die Resultate einiger Vor- versuche mit dickeren Milchglasplatten angeben. Wei- tere Details von Versuchen, die mit Reïhen allmä- lig dünner werdender Gläser ausgeführt wurden, fol- gen in den späteren Paragraphen. 1) Das Beleuchtungsgesetz der umgekehr- ten Quadrate. Es wurde bei der ersten Aufstellung (Fig. 4) die Lampe allein verschoben und für verschie- dene GL die Helligkeit Z der Platte bestimmt. Dicke der Platte 1,610 mm. Bei der Berechnung (nach der Formel I — Z, wo C eine Constante und r = GL). wurde die Flammenbreite berücksichtigt und GZ von der Platte bis zum Centrum der runden Flamme (Cy- linderdocht) gemessen. Da die Richtigkeit dieser Mes- sungsmethode keine unzweïifelhafte ist, so künnten ge- ringe Differenzen zwischen Beobachtung und Berech- nung hierin eine Erklärung finden. Im Nachfolgenden gebe ich mehrere Beobachtungsreihen; die sinkenden Zahlen für die Intensitäten entsprechen wachsenden Entfernungen GL. d. 15. Sept. 84. d. 17. Sept. 84. d. 19. Oct. 84. d. 9. Jan. 85. Beob. Berechn. Beob. Berechn. Beob. Berechn. Beob. Berechn. 100 100 100 100 100 100 100 100 13,3 13,4 73,69 72,52 44,99 44,44 4944 49,97 59,08 59,24 26,47 96,95 12,67 12,69 412 4,58. Die vierte von diesen Beobachtungsreihen wurde ausgeführt als der Photometer an horizontaler Axe befestigt war d. h. in der zweiten Aufstellung (s. Fig. 5). Mit dünneren Platten wurden folgende Beobachtungen gemacht: Dicke der Milchglasplatte 0,607 mm. d. 12. März 85. Beob, Berechn. 100 100 35,46 36,00. Dicke der Milchglasplatte 0,317 mm. d. 12. März 85. Beob. Berechn. 100 100 35,78 36,00. Es wurde ferner das Gesetz geprüft für den Fall nicht senkrechter Incidenz ($ nicht Null) und den Fall nicht senkrechter Ausstrahlung (y nicht Null). Bulletin de l’Académie Impériale 23? Erster Fall. Senkrechte Incidenz ( seitliche Ausstrahlung (y — 50° ungefähr). — 0), aber d. 21. Oct. 84. Beob. Berechn. 100 100 44,05 44,44. Zweiter Fall. Schiefe Incidenz (8—50° ungefähr), senkrechte Ausstrahlung (y — 0). d. 23. Oct. 84. Beob Berechn 100 100 44,86 44,44. Wir dürfen aus diesen Versuchen wohl folgern, dass für nur durchscheinende aber nicht durchsich- tige Milchglasplatten, die dicker als 0,32 mm. sind, das Gesetz der Quadrate erfüllt ist. 2) Schiefer Durchgang des Lichtes (y = — f). Zu den ersten orientirenden Vorversuchen gehürte auch der folgende, welcher entscheïiden sollte, ob für die Milchglasplatte überhaupt von einem Durchgange des Lichtes in schiefer Richtung die Rede sein konnte. Die Platte wurde in der Fig. 5 angegebenen Stellung beobachtet, dann um 60° um die verticale Axe ge- dreht und für diese beiden Stellungen die Z bestimmt. Dasselbe wurde dann für eine doppelte und für eine dreifache Platte ausgeführt. Die sechs Füälle sind in Fig. 12 skizzirt. Fände in der Lage II Durchstrahlung in der Richtung des gebrochenen Strahles statt, so wäre die durchstrahlte Schicht 3, => 5, wo à die Dicke Fig. 12. der Platte bedeutet und zwar wäre D —5, cos f,, wo FR — —p— dem Brechungsexponent des Glases wäre. Es seien nun die, den 6 Fällen I und II ent- sprechenden beobachteten Lichtintensitäten: I II. F à A ty r A HE à F x Ia PB, . L$ C D C, : HD Dann müsste .. —xù (2 e x(Ô, —Ô) om sein, Wo x der ScEmachiinesteticient d des Milchglases, Die Beobachtung zeigte aber, dass die, der Stellung IT entsprechenden Lichtintensitäten, den, der Stellung I entsprechenden, proportional waren; symbolisch, leicht verständlich, ausgedrückt, war also: G Ce ue pe : MAR A6 und hieraus folgt sofort: B— a, d. h. die, in den Stellungen I und II durch- strahlten Schichten hatten gleiche Dicken. Die Verbreitung des Lichtes ist also bei schiefem Auffallen nicht durch die Linien LM in Fig. 12, I ausgedrückt. Es findet vielmehr auch bei schie- fem Auffallen des Lichtes nur senkrechte Durchstrahlung statt, wie dies in Fig. 13 ange- deutet ist. Dies wird durch die, weiter unten sub. 5 angegebenen Resultate bestätigt. Fig. 18. ë L Um dies Resultat direct zu prüfen wurde (4. 27 Nov. 84) der folgende Versuch gemacht (s. Fig. 14). L ist Fig. 14. # des Sciences de Saint-Pétersbourg. 234 eine Lampe, Æ ein Convexglas, F'G eine in einer Wand SS steckende Rühre. Das aus dieser hervor- kommende Strahlenbündel fiel auf eine 10 mm. dicke, aus mebhreren zusammengelegten Scheiben gebildete Milchglasplatte und zwar unter einem Einfallswinkel 8— 78,4. Die Seite AB war mit schwarzem Papier bedeckt, in welchem sich ein kreisformiger Ausschnitt befand, dessen Diameter ab — 15 mm. war. Dies war also das seitwärts beleuchtete Stück der Oberfläche. Auf der entgegengesetzten Seite DC der Platte zeigte sich ein heller Fleck »n, vüllig genau gegenüber ab. Er blieb unbeweglich auf derselben Stelle, soviel man die Platte ABCD auch hin und her drehte. Der Dia- meter dieses Fleckes war nicht merklich grüsser als 15 mm., nur seine Ränder erschienen verwaschen. Von analoger Bedeutung ist der folgende Versuch. Schreibt man auf eine Milchglasplatte schwarze Buch- staben oder Figuren, so erscheint auf der anderen Seite ein nur wenig verwaschener Schatten derselben; dieser ändert seinen Ort nicht, wie schief auch das Licht auf die Platte auffallen mag. Hierher gehôrt auch der folgende Versuch: eine ziemlich dicke Milchglasplatte (4 — 1,4 mm.), durch welche man natürlich Nichts sehen Lie (dies ist be- reits bei d— 0,2 mm. nicht mehr môüglich) wird auf eine bedruckte Seite direct aufgelegt — man kann die Schrift deutlich lesen. 3) Durchgang von polarisirtem Licht. Aufeine _ Milchglasplatte von 1,6 10 mm. Dicke liess man, nach der Fig. 10 skizzirten Methode, vollständig polarisir- tes Licht einfallen. In dem austretenden Lichte liess sich keine Spur von Polarisation nachwei- sen. Fiel auf die Platte natürliches Licht, so enthielt das austretende bei y — 60 etwa 8°, L zur Einfalls- ebene polarisirtes Licht, ungefähr soviel, wie es nach der Fresnel’schen Theorie bei einem Brechungswinkel von 60° enthalten müsste. 4) Das Emanationsgesetz bei senkrechter In- cidenz (6 — 0). Eine Milchglasplatte von 1,610 mm. wurde wie in Fig. 5 angegeben aufgestellt und dann der Streifen S mitsammt der Lampe Z und dem das Glas tragenden Theodoliten um den Winkel + nach der einen oder anderen Seite gedreht. Die hierbei direct beobachteten Lichtintensitäten sanken, wenn auch lang- sam; hieraus folgt nach Formel (4), dass die Z schnel- ler als nach dem Cosinus-Gesetz abnehmen. Als cha- raCteristische Zahl wurde das Verhältniss a der Inten- sität bei yY—60° zu der bei y—0, in Procenten ausgedrückt, betrachtet. Es ist also sy mbolisch ge- schrieben : (M he (ES 2e =): 100 = % : 100 (Fig. 15). L | Fig. 15. A. B L L | CG Fa RE Al & & eh AW ÿM Wäre, wie Züllner vermuthet, für Milchglas das Cosinus-Gesetz gültig, so müsste a = 50 sein. Es wurde aber bei der untersuchten Platte für a ein Werth gefunden zwischen 43 und 44. Dass dies nicht etwa ein Mittelwerth ist, welcher für dickere Platten dem Grenzwerth 50 zustrebt, zeigte sich spä- ter, als Platten von verschiedener Dicke untersucht wurden. Für a wurde stets ein und derselbe Werth gefunden, obwohl die Dicke der Platten von 0,3 mm. bis 3,33 mm. (Doppelplatte) varürte, Nur für noch dünnere Platten wurde ein anderes Resultat erhalten. Wir sind also wohl berechtigt auszusprechen, dass für Milchglas 445% a > 43 ist. Das Lambert’sche Emanationsgesetzist für Milchglas nicht gültig, die Intensität sinkt schnel- ler, als es nach diesem Gesetz der Fall sein müsste. Die für y — 60° gültige, characteristische, zwischen 43 und 44 liegende, Zahl a scheint von allgemeinerer Bedeutung zu sein und nicht etwa bloss für den spe- ciellen untersuchten Kürper Gültigkeit zu haben, wie wir später sehen werden. Es wurde dasselbe a erhal- ten, gleichviel ob die Milchglasplatte glatt oder matt- geschliffen war. 5) Das Emanationsgesetz bei schiefer Inci- denz. Allgemein zeigte es sich, dass für dickere Plat- ten bei schiefer Incidenz fast genau dasselbe Emana- tionsgesetz gilt, wie bei senkrechter. Da bei wachsen- 235 Bulletin de l’Académie Impériale dem Einfallswinkel 8 die Abweichungen von dem Cosinus-Gesetz, also die Ânderungen in der direct beob- achteten Lichtintensität, nur sehr langsam auftreten, wurde als characteristisch für die meisten Platten nur der Fall 8— 60° untersucht. Das Maximum ist bei y —0 und nach beiden $Seiten sinkt Z und zwar stets schneller als nach dem Cosinus-Gesetz. Bei einer Platte von 2,56 mm. Dicke war nach beiden Seiten das Sin- ken gleichschnell und für y — + 60 und y — — 60 war Z durch 43,3 ausgedrückt (100 bei y —0). Für dünnere Platten war Z bei negativen y grôsser, als bei positiven. Als Maass dieses Überwiegens wurde eine zWeite characteristische Grôüsse, b, eingeführt, das Ver- hältniss der Lichtstärke bei y — — 60 zu der bei y = + 60° (immer 8 — 60° vorausgesetzt) in Procen- ten ausgedrückt. Es war also: (40). LL —— y = + 60° ) 100 = ©. . 100 (Fig. 16). Für dickere Platten war b — 100; für dünnere grôsser als 100. In diesem Falle war (s. Fig. 16): Fig. 16. | D C 4. So wurde für eine Platte von 1,114 mm. Dicke H—=4243 und 245,32 gefunden, während für dieselbe a — 43,85 war. Die Grôsse b war gleich: p— 482, 42,43 100 = 106, 81. Es überwiegt also C über D (Fig. 16) um 6,8%. Nach der $ 2, 4 angegebenen Methode wurde noch 0 0=0 r 2x r de sin « . sin 6 . 46 K| RTS = 2rKab 5 q (a? + p2)? (b2? + p2)? ES die Intensität Z für Strahlen bestimmt, welche nicht in der Einfallsebene austreten, sondern in einer zu dieser senkrechten. Es wurden die Z verglichen für a nd LU ES à — (° und 5—7y=— 60°, à— 90°. [Letzteres, wenn die Platte nach der einen und dann wenn sie nach der anderen Seite geneigt war]. Es war nicht der geringste Unterschied zu bemer- ken. Fasst man die Resultate der vier in diesem $ summarisch angegebenen Beobachtungen zusammen, so darf man wobhl sagen: Durchscheinend beleuchtetes Milchglas, so- wohl mattes, als auch polirtes, kann als selbst- ständige Lichtquelle betrachtet werden, deren Intensität proportional ihrer Beleuchtung ist. Mit wachsendem Emanationswinkel sinkt die Intensität Z des ausgestrahlten Lichtes schnel- ler, als nach dem Lambert’schen Cosinus-Ge- sétzitissl, Cos:v} Für.y== 60 "ist = 0,435 [statt Z—0,5 I,, wie es bei der Gültigkeit die- ses Gesetzes sein müsste. $ 5. | Berechnung der Leuchtkraft durchscheinender beleuchteter Platten, wenn sie dem Lambertschen Gesetz genügen, Wir sahen, dass beleuchtetes Milchglas, den äus- | sersten Gegenzatz zum Rauchglas bildend, als selbst- id leuchtende Lichtquelle betrachtet werden kann. Obwohl das Lambert’sche Gesetz für dasselbe nur annà- hernd Gültigkeit hat, schien es doch nicht uninteres- sant, für den Fall der Gültigkeit desselben die Be- … leuchtung eines Punctes Æ (Fig. 2) zu berechnen, wenn eine durchscheinende Platte MN zwischen diesen und die Lichtquelle L gebracht würde. Die Platte seirund und habe den Radius r. Bei Zugrundelegung der Ele- mentarformel (3) erhält man für die gesammte von 4 der Platte MN zum Puncte Æ gelangende Lichtmenge 2 den Ausdruck: e dp 236 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Die Beleuchtung eines Elementes Æ der Wand AB erhält man dagegen nach der Formel (s. Fig. 2): pdp p—0 60=0 K ist ein von ZL und MN abhängiger constanter Factor. Für eine sehr kleine Platte, wenn r im Vergleiche mit &« und db verschwindend ist, erhält man, da cos ñ (Fig. 2) gleich eins wird: RER dt Ek ie ‘ also einen Ausdruck von der Form (2). Behält man die erste auftretende Potenz der Brüche . und _ bei, so erhält man (s. Fig. 17): (4). perte Ra KE {l (5 + F)=K-% . Für eine unendlich grosse Platte MN erhält| man den merkwürdigen Ausdruck (r — ©): Re TT {a+tÿ Die gesammte nach Æ ec laeude Lichtmenge | ist also in diesem Falle umgekehrt proportional dem Quadrat der Entfernung von der ursprünglichen Licht- quelle Z und unabhängig von der Lage der Platte MN. Unter à küônnte man physicalisch die Gesammtbe- leuchtung einer in Æ befindlichen sehr kleinen ne oberfläche verstehen. Die Beleuchtung Z eines Flächenelementes E der Wand AB wird dagegen durch die viel verwickelteren Ausdrücke: ” 2x r UN 2 RE Ne op - | ?°9 (a? +- 92)? (02 +- p°}° g 0 p— Fig. 17. A M Fr (2 b FE T B nr? a?b? K (1 — 2 (tp + tee) (tete): Für a = b ist: Wird die Entfernung LE verändert und zugleich die unendlich grosse Platte AN so verschoben, dass 2 unverändert bleibt, so ändert sich Z umgekehrt pro- portional dem Quadrat der Entfernung LE, wie man ohne Weiteres aus (16) und (17) sieht. Was endlich den Fall einer Weliebig grossen Platte betrifft, wo r weder sehr klein, noch unend- lich gross ist, so erhält man sehr verwickelte Formeln. US et Viens A | Es ist (s. Fig. 17): TrK — a? D: MST 5 ; ..0>a (a+0} A (b — a) ) .__ 2rK pq(a?+0?)— ab(p° + g°) a ta a+ pa (a —v? Fe | foret “Here Va?—1? EE (19) . re ee (cos b — cos æ) (a? cos p — D? cos Ÿ) me“! (a +-b) cos @ cos D (a — b}? (40..1—= ) .ba (20) — | sé rK fo a (29*°+p°)ab? 3ab? (p— Va —tb?) b | Gta 0 | + 2% — gp Re ER pa }-..5 Z,. Bei grüsseren Winkeln wird 253 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 254 aber L; wieder etwas grôsser als Z,. Das gesammte hindurchgelassene Licht ist aber bei beiden Platten nahe dasselbe. Legt man nämlich die beiden Platten nach einander an eine durchscheïinend hell leuchtende Milchglasplatte (NS 6, s. $ 7, d—0,607 mm.) und beobachtet die Intensität bei 8 — y — 0, so erhält man fast ganz gleiche Werthe. Es ergeben nämlich bei senkrecht durchgehendem Lichte: (25) f Milchglas M 6 + M II (matt). . . I, — 100 \ Milchglas X 6 +- N I (polirt) .. 1, —102,9. Während also das concentrirte Licht einer entfernten Flamme bei 8—y—0 für -” eine sehr grosse Zahl giebt (über 20), giebt das breite dicht an die Platten angelegte leuch- tende Milchglas für diesen Bruch eine kaum von Eins unterschiedene Zahl. Hierin mag vielleicht ein Fingerzeig liegen, der auf eine nicht unmôgliche Quelle von Fehlern bei photometrischen Untersuchungen hinweist. Verglich man J,, und 4, wie sie in (25) gegeben sind mit dem Z, welches die Milchglasplatte N: 6 allein gab, so zeigte es sich, dass die Platten NX I und X IT im Mittel : 53,4%, des Lichtes durchgehen liessen—wohlverstan- den ist hier von dem gesammten, in allen Richtungen durchgehenden Lichte die Rede. In gerader Richtung geht bei der polirten Platte unvergleichlich mebr Licht hindurch, als bei der matten. Von wie grosser Wichtigkeit dieser Umstand ist, wenn es sich um die Bestimmung des Schwächungs- coefficienten handelt, braucht wohl kaum ausführlich hervorgehoben zu werden. Sowohl die polirte, als auch die matte Platte wurden photometrisch und polari- metrisch untersucht; es sollen zuerst die Resultate an- gegeben werden, welche für die, an und für sich we-| niger interessante, matte Platte gefunden wurden. $ 15. Die matte halbdurchsichtige Milehglasplatte X IL, Bei den photometrischen Messungen zeigte es sich, dass bei schiefer Incidenz, 8 0, die Lichtvertheilung auf der positiven Seite (y >> 0) ganz den Character hat, der bei dicken durchscheinenden Milchglasplatten ($ 7) gefunden wurde. Bei Vergrüsserung der y sank _ Tome XXXI. ur * die beobachtete Intensität nur ganz langsam; die Z sanken also etwas schneller, als es nach dem Cosinus- Gesetz sein müsste. Bei schiefer Incidenz und posi- tiven y, wurde daher, wie bei dickeren Milchglasplatten ($ 7) nur der Werth für y — + 60° bestimmt. VE L ous) 0 | — 16° | 0° | 16°: | 80° |-45° | 60° | =+ Re MUR ER _. 32,314 80 74,8 100 74,8|61,046,0/32,3| 0° 46,017 0110,4.108,0! 100 = | — | — |41,5| 30 50.7 Si ons — [100 — | — | — 145,4] 45 56,6 — | — | — |100! —| — |64,2/42,4) 60 À VIL, —. 100. —60° | —45° | —30° 0° 30° 45° 60° re) — RE D Bo 0° | 881 — | 90/9298! 9,0! — | 88 30 114,3121,0125,0! 6,7| — : — | 27 45 117,0120.0115,0!. 0 | — | — | 0 60 1165) — | 0 | 0 | —)—]|0 Vergleicht man Tab. VI mit Tab. I ($ 9), so zeigt sich in der ersten Reihe fast vüllige Gleichheït, in den weiteren aber, besonders für positive y totale Ver- schiedenheit; dasselbe findet man bei Vergleich der Tabellen IT und VI. $ 16. Die polirte halbdurehsichtige Milehglasplatte L'EA $ In gerader Richtung konnten photometrische Unter- suchungen nicht ausgeführt werden; die Werthe von Z bei y——$ waren sehr gross im Vergleiche mit allen Übrigen. Polarimetrische Messungen sind aber doch gemacht worden; sie ergaben eine enorme Quantität (72,5°/) durchgehenden, polarisirten Lichtes. Bei schiefer Incidenz erhielt man für y — + 60° wieder- um eine 43 nahe Zahl und polarisirt unverändert : ns durchgegangenes Licht nur in nächster Nahe der Linie Fo: des geraden PT. re 17 255 Bulletin de l’Académie Impériale 256 Die photometrische Untersuchung ergab folgende Werthe der Z: F- VIII. FT qe | go | as | ane | age | __30 | 19° | o | 19° | so | 35° | 45° | 48° | 60° 8 € à 0° 148,6! — |65,2| — | — |100! + |100 — |65,2| — |43,6 45 |49,7| — | + | — 1870! — | 100! — |82,1| — | — | — |42,7 60 | + |72,0| — |83,8| — | — | 100! — | — |78,3| — |62,5|43,2 Die sehr grossen Zahlen, welche y— —$ ent- à sprechen, sind durch <+- ersetzt. “ 1 Die SR Messungen ergaben folgende PIRE 231 Werthe + — + 100: 80 » 100 120 » 68,59 IX. 160 » 57,00 200 » 48,34 y= |—60°|—45°|-30°)—15°| 0° | 15° | 30° | 45° | 60° 40 0 43,84 320 » 40,30 6 0°|14,2! — 9,5172,5| 9,3] — | — 114,2 Bei weiterer Anderung von > blieb Z wesentlich 45 |22,772,5) 9,3 O0! O0! —}—1}! 9,3 ]|constant. CONTE = mme tt | Wurde.die Platte À ganz fortgenommen, so wurde Ô | 1 = 3064 Bei allen y——$ wurde derselbe enorm hohe| s,pjten. Da wir nun ftüher gefunden haben, dass die Werth von + + 100 beobachtet. Die Seitenzerstreuung des polarisirten Lichtes war aber nur eine geringe, Mit der polirten Platte X I sind noch weitere Ver- suche ausgeführt worden, um das im Glase zerstreute Licht, von dem direct durchgehenden zu trennen. Platte À dicht an M angelegt 53°/ des von M ausge- henden Lichtes weiter ausstrahlt, so folgt, dass, wenn wir r —0 gemacht hätten, wir 1— 3064.0,53— 1636 gefunden hätten. Wir kônnen also der Tabelle IX noch die Zahlen: y o I dès (BL En, 0 mm. 1636 M 100 mm. kann o° im Ver- gleich mit r? füglich vernachlässigt werden. Da M aber nicht gleichformig beleuchtet ist, so wird es ungefähr wie eine Scheibe leuchten, deren Radius etwas kleiner, als o — 20 mm. ist. Wir setzen also: I= À + CE EE DRE NE A0 Rs Um auch für r — 40 mm. einigermaassen Überein- stimmung zwischen Rechnung und Beobachtung zu finden muss x < o« angenommen werden und setzen wir: x— 16 mm. Die Werthe der Tabelle X ergeben nach der Me- thode der kleinsten Quadrate für À und B die Werthe: HA rie B = 457300. Diese Werthe setzen wir in (27) ein und finden: r I Beob. I Berechn. 40 Dh à 282,5 80 100; 42 102,8 12066059: 45 67,32 OO DL CR 53,8 200 4834 cn: 47,47 240 40,84 2001 44,02 320: 4030: %, 40,57 Für r—0o erhält man Z— 1822, während 1636 beobachtet wurde. Zum Mindesten also Grôüssen einer Ordnung. Für kleine r liess sich Übereinstimmung zwischen Beobachtung und Rechnung auch nicht er- warten, da die Beleuchtung von À durch M sich ver- wickelter, als durch (27) ausdrücken muss. Die Zahlen (28) zeigen, dass 35,36 Lichteinheiten (bei r— 80 mm. haben wir {= 100 gesetzt) durch die Platte frei hindurchgehen. Etwa bei r — 112 mm. ist dieser Theïl gleich dem von der Platte direct aus- gestrahlten;, bei r — 80 mm. ist er nur noch wenig über Re Drittel (35%), bei r —40 mm. bildet er etwa — = und bei r—0 nur noch Ji dagegen bei r= 320 mm. bereits 87°, des ganzen L. 1 Zweite Versuchsreihe (Fig. 23). Es sind einige Versuche gemacht worden bei umgekehrter Anordnung Fig. 28. RS 7 g | # | Ji ERSS der Platten; À und AZ haben dieselbe Bedeutung wie früher. Es wurde also die Intensität Z der, durch die Platte À hindurch beleuchteten Milchglasplatte M beobachtet. Dies Z muss wiederum aus zwei Theiïlen bestehen, deren Form durch (1) und (2) im $ 1 gege- ben ist, wo a—9, b—7r ist. Wir setzen also, aller- dings nur näherungsweise: ARNO Ge DA 20 ii Ye : Werden r und 9 miteinander vertauscht, so muss I unverändert bleiben und dies wurde in der That beobachtet. Folgendes sind die gefundenen Resultate: XL. p r I Beob. 1 Berechn. 100 mm 50 mm. 120,2 . 114,7 10: 3 15 9 100 99,7 75 » 100 » 100 » 75 » | 63,86 63,3 75 » 125: 5 fon + 0 49,27; 44,2 150 » 1%: 9 28,40(?).. 34,2. Die letztere Zahl ist sehr unsicher, das Gesichts- feld war äusserst dunkel und die Einstellung des Pho- tometers sehr schwierig. Setzt man A=— 1500, B—24700, so erhält man für drei mittlere Zahlen eine ziemliche Übereinstimmung, wie aus den obigen unter Z be- rechnet stehenden Zahlen erhellt. $& 17. Vergleich der an vier Platten erhaltenen Beobachtungs- fate, Die vier Platten sind: das dicke Milchglas ($ 7), . das dünnste Milchglas X 10 ($ 9—$ 13), das Über- fangglas ($ 14) und die polirte halbdurchsichtige Milchglasplatte ($ 17). Als fünfte kann die matt Re Lu cs à aer 259 Bulletin de l’Académie Impériale 260 halbdurchsichtige Milchglasplatte erwähnt werden, welche aber nur zum Studium der Oberflächendiffusion Material giebt. I. Die dicke Milchglasplatte. Sie ist als Grenz- fall zu betrachten und durch folgende Eigenschaften characterisirt: 1) Mit wachsendem Emanationswinkel y sinkt die Lichtintensität Z schneller als nach dem Cosinus-Gesetz. Bei y— 60° ist Z der 0,435-te Theil von der bei ve 0" 2) Die Emanation ist unabhängig von dem Einfalls- winkel des Lichtes. 3) Fiel vüllig polarisirtes Licht auf die Platte, so war das austretende Licht vüllig unpolarisirt. II. Die dünne Milchglasplatte M 10 (d— 0,162 mm.). Das ausgestrahlte Licht kann als aus zwei Theiien béstehend betrachtet werden, derén er- ster den sub I angegebenen Eigenschaften entspricht. Zu diesem kommt aber ein bedeutender Überschuss hinzu, der sich nach beiden Seiten von der Richtung der eïinfallenden Strahlen bedeutend ausbreitet und vielleicht bis zu den grüssten y reicht. Bei schiefer Incidenz entsteht hierdurch ein sehr bedeutendes Überwiegen der Z auf der einen Seite der Normale, gegen die auf der andern. | Polarisirtes Licht geht bei allen Incidenzen und bei allen y in bedeutender Menge hindurch. II. Überfangglas. Die wirksame Schicht ist -0,390 mm. dick. Man sieht das Bild einer Flamme hindurch. In der Richtung der auffallenden Strahlen geht eine grosse Lichtmenge hindurch; der Über- schuss ist nur wenig nach den Seiten verbreitet, in Folge dessen bei schiefer Incidenz die eine Seite nur wenig die andere überwiegt — ausser, natürlich, _nabe der Richtung der einfallenden Strahlen. Bei schiefer Incidenz erhält man für positive y eine Licht- vertheilung, wie sie in I, 1 characterisirt ist. Das letz- _ tere ist auch mit den polarisirten durchgehenden Strahlen der Fall; doch findet man für diese nicht unerhebliche, aber fast für alle + constante Werthe. Man kann daher auf das Vorhandensein eines über. vale y ft gleichfürmig vertheilten Überschusses a schliessen. ; à us EV: Polirte halbdurchsichtige Milchglas- _ platte. Der Überschuss ist fast vôllig in der Rich- tung der ei len Strahlen trirt Polarisirtes Licht geht auch fast nur in dieser Richtung hindurch. Bei schiefer Incidenz und positivem y erhält man das- selbe, wie X II. Sämmtliche Platten bestehen aus wesentlich glei- chem Stoffe — gewühnliche Glasmasse, welcher fein vertheiltes Knochenmehl, also phosphorsaurer Kalk beigemengt ist. Die Dichtigkeit dieser Beimengung ist bei den Platten I und IT am grôssten, bei III ge- ringer und bei IV noch geringer.. $ 18. Allgemeine Bemerkungen, Ursache der Diffusion. Züllner weist («Photo- metrische Untersuchungen» p. 24 u.f.) auf das Milch- glas als auf einen Kôrper hin, für welchen das Lam- bert’sche Cosinus-Emanationsgesetz gelten müsse. Dieses wird auf bekannte Weise theoretisch für den Fall abgeleitet, dass das Licht aus einer gewissen Tiefe des Kôrpers dringe. Beim Milchglas sind nun, nach Zôllner’s Ansicht, durch die in der Masse gleichmässig vertheïlten, das Licht nach allen Seiten zerstreuenden Partikelchen von phosphorsaurem Kalk, die theoretisch geforderten Bedingungen gewisser- maassen künstlich erfüllt. Für die Richtigkeit dés Ema- nationsgesetzes spricht die in der Mitte und am Rande gleichférmige Helligkeit halbkugelfrmig über die Flamme gewôülbter Lampenschirme aus Milchglas. «Aus diesem Umstande wird man nun auch auf die Richtigkeit des Emanationsgesetzes für den Fall schliessen dürfen, wo das Milchglas, anstatt von durch- gehendem, von auffallendem Lichte erleuchtet wird.» Wir sahen dass bei den Platten IIT und IV, in welchen die Dichte der eingestreuten Partikelchen eine verhältnissmässig geringe ist, der Lichtüberschuss sich um die Richtung der einfallenden Strahlen con- centrirt; in der etwas dichteren Platte III scheint er etwas weiter und, ausser der erwähnten Richtung, ziemlich gleichfürmig verbreitet zu sein. In der viel dichteren Platte IT findet sich ein, sozusagen inten- siver Überschuss mit starker Verbreitung nach beiden Seiten. Das Lambert’sche Emanationsgesetz. Wie in diesem $ bereits angeführt wurde, hat Züllner vermuthet, dass für Milchglas das Lamb ert’sche Ge- #4 setz richtig sein müsse, Wir fanden in allen Füällen 261 des Sciences de Saint-Pétersbourg. eine Abweïchung und zwar sinkt die Intensität des ausgestrahlten Lichtes in dem Falle, wo die Platte so dick und dicht ist, dass sieher Grenze weiterer Ânderung des E ti ichtist, schneller als nach dem Lambert’schen Cosinus-Gesetz. Was den Züllner’schen Hinweis auf die Lampenglocken betrifft, so dürfte der Contrast gegen den dunkelen Hintergrund eine Rolle spielen. Projecirt man den Rand einer Glocke auf die Mitte einer anderen, so erscheint, mir wenigstens, in der That der Rand we- niger hell als die Mitte. Ob dies seitlichen Beleuch- tungen oder anderen stôrenden Ursachen zuzuschrei- ben war, müsste durch genauére Messungen ent- schieden werden. E. Lommel hat das Emanationsgesetz für den Fall durchsichtiger glühender Kürper aufgestellt und so eine Verallgemeinerung des Lambert’schen Gesetzes durchgeführt *), doch lassen sich seine Endformeln wohl kaum auf unseren Fall anwenden. Für beleuchtete Oberflächen fand Bouguer be- kanntlich eine sehr grosse Abweichung von dem Lam- bert’schen Gesetz und zwar bei mattem Silber, Gyps und holländischem Papier («eher cos, als cos p» sagt Züliner, 1. c. p. 22). Âhnliche Resultate erhielt Ko- nonowitsch für weisses Papier (Carton) und Marmor. Bei der theoretischen Begründung des Emanations- gesetzes, besonders für den Fall des Milchglases, müsste auf folgende Umstände Gewicht gelegt werden. Beim Austritt der Strahlen findet Brechung derselben staft, begleitet von entsprechender Schwächung (Lommel, 1. c. p. 458—459); die Strahlen, welche den sämmt- lichen, zwischen den Werthen e und e + Ae liegenden inneren Einfallswinkeln entsprechen, werden nach dem Austritt auf einen breiteren und längeren Raum ver-| theilt. Eine bedeutende Menge Licht wird total reflec- tirt und verändert den Character der inneren Beleuch- tung der Grenzschicht. Theoretische Untersuchungen und weitere Versuche nach den früheren und nach neuen, noch nicht angewandten Methoden werden hoffentlich über das Wesen der inneren Diffusion wei- | tere Aufklärung schaffen. 3) Wiedemann’s Annalen T. X, 1880, p. 453. & Hydrologische “Untersuchungen XLV, — XLVIH. Von Prof. Dr, Carl Schmidt i in Dorpat. (Lu le 22 Avril 1886). XLY, Wasser aus dem See Zizik-nor, 46°36 n. Br. . W. Mongolei. 93°20" 5. L. v. Greenw. 5410/—1648,9 Meter Meereshühe. (17. (29.) April 1878. 6 hor.12°55”à.l.v. Greenw. Bestimmung Rafailow’s)— geschôpft von Herrn G. N. Potanin ) 4. (16.) April 1877. «dieser kleine Gebirgs-$See liegt inmitten des Altai ?); sein Wasser ist bittersalzig, am Boden krystallisirt Salz. Die Ufer sind flach, 7 bis 10 Werst vom Nord- und Süd-Abhange des Nam-daba- und Djetchän-daba- Passes entfernt. Er ist etwa 10 Werst lang, abflusslos; seine Ufer Salzmoräste». Mit dieser Darstellung Potanin’s stimmt das Re- sultat der Analyse hinsichtlich des überwiegenden Glaubersalz-Gehaltes des Zizik-nor-Wassers über- ein. Dasselbe scheint jedoch an der Schôpf-Stelle stark durch Schneewasser verdünnt worden zu sein. Die Analyse ergiebt nur 2!/ p. M. Salzgehalt etwa gleich dem des finnischen Meerbusens vor Kronstadt, wobei an eine «Krystallisation von Salz am Boden des See’s» nicht zu denken ist. Das Wasser ist klar, farblos, geruchlos, Volum.-Gew. bei 20° C. — 1,00231 Analytische Data. a) 93,061 grm. Wasser gaben 0,1152 Chlorsilber — 0,30609 p. M. Chlor. b) 192,621 grm. Wasser 0,5855 Ba SO, — p. M. SO. c) 199,260 grm. Wasser 0,0248 CaO — 0,08890 p. M. Ca == 1,04364 b+ c) — 391,881 grm. (Filtrat von b u. c) 0,0356 Si0, — 0,09085 p. M. SiO,. 0,1446 MgS0, — 0,07380 p. M. Mg. 0,6330 KCI + NaOI, __ f 0,02361 p. M.K. VOSPEEN =} 0,61857 p. M. Na. 1) ef. G. N. Potanin, Skizzen der N.W.- sde + Petersburg 1881, I, p. 112 u. 362 (Russisch: «Ouepru posanaxaoñ Mox- ras») 1 Resultate der Expedition der Kaiserl. prices Gesellschaft 1876— 2) AA A nôrdlich der Gobi und des ca. 3 Braliengrade süd- licher den Zizik-nor-Meridian schneidenden Tjan-schan-Rückens. ei Bulletin de l’Académie Impériale 1,000,000 grm. Wasser (ca, 1 Cubikmeter) enthalten: Elementarbestandtheile. 4 JO UE SE DR Lie bn EU A M RAP MEME à 23,61 | Kaliumsulfat K,S0, . ...... 52,57 NnumNa rit un 618,57 | Natriumsulfat Na,50, . . .... 1810,25 Cast Os ne 88,90 | Chlornatrium NaCI. ...... 80,55 Maghedam: Mu: 73,80 | Chlorcalcium CaCL, . ...... 246,53 CHIOr OR Lien adieu 306,09 | Chlormagnesium MgCL. . . .. 133,36 Schwefelsäure SO,. . ....... 1043,64| Magnesiumbicarbonat MgC, 0, 213,76 Koblensäure d. Bicarbonate CO, 146,96 | Kieselsäure SiO, . ........ 90,85 Kieselsänre S10,..,.:.::... 90,85 Sauerstoffaequiv. d. SO, u. C0, 235,45 Mineralbestandtheiïle . . ..... 2627,87 | Summe der Salze. ........ 2 627,87 Nasser, SDUr 0rpai SUDSt. : . . l 99791213) Wasser. nv. Jai", 997372,13 ne ST a EU 29 1000000,00 DA. 2, 1 r0. 1000000,00 Das Verhältniss der Sulfate zu den Chloriden gleicht dem der Glaubersalz-Seeen des mittlern Jenissei (Mi- nussinsker Kreis), zunächst des Tagarski See’s ?). Reconstruirt man aus dem Abdampfsalze des letz- teren das Wasser durch Berechnung des Kesselsteins als Bicarbonat-Gemenges, so erhält man in 100 Th. wasserfreier Mineralbestandtheile: Elementarbestandtheile. 5 PS US: QUE ÙR 0 n g Zizik-nor. Tagarski, Zizik-nor. Tagarski. Raï ci sers 0,899 0,161 | Kaliumsulfat K,S0, . 2,001 0,358 Natrium Na....... 23,538| 27,778 | Natriumsulfat Na,SO,| 68,887. 80,427 CAOUNLS 4: 3,383 1,025 | Chlornatrium NaClI. . 3,065 4,329 Magresium Mg. .... 2,808 2,931 | Chlorcalcium CaCI.. . 9,381 2,842 HIT Cr: 02 — 0,085 | Chlormagnes. MgCL,. 5,075 |: 11,252 Schwefelsäure SO, . 39,715! 45,459 | Brommagnes. MgBr.. — 0,022 Fit 5 OF Eee 11,648! 12,849 | Magnesiumbicarbonat Hu br, 5. 4) ns 00191 MeO0S 4... 8,134! 0,448 Kohlensäure der Bicar- Eisenbicarbon.FeC, O0, — 0,272 bonate CO, : . :: 5,592 0,458 | Kieselsäure SiO, .. . 3,457 0,050 Kieselsäure SiO, . . . . 3,457 0,050 Sauerstoffaequiv. d.SO, 11115 4 34 4 PRES 8,960 9,185 Summa . . . | 100,000 | 100,000 Summa . . .| 100,000 | 100,000 3 049 - 9) 15 Werst von der Stadt Minussinsk À Dog à Là Greenwich} % Bulletin T. XVIII, p. 477 (1885) des Sciences de Saint-Pétersbourg. 266 XLVI Wasser des Turkjuil-See’s am Nord-Abhange des Tjan-schan 43094’ n, Br. 94°9’ 6, L. v. Greenw. (63°49’ 6. L. v. Pulkowa). Geschôpft von Herrn G. N. Potanin ‘) am 2. (14.) Juni 1877, dessen Schilderung nachstehende Charak- teristik des Seebeckens entnommen ist: «Dieser Salzsee erstreckt sich W — O auf 6 Werst Länge; das Wasser ist salzig, an den Ufern krystalli- sirt Salz, das als Kochsalz benutzt wird. Rings um den See wächst ZLasiagrostis mongholica (Mongolisch: «Deressu»)”), auf dem Salzthonboden im weiteren Umkreise Halophyten, auf dem Sandboden eine Astragalus-Art der Gruppe Tragacanthae (Mon- golisch: «Zagan ortüt»), Thermopsis lanceolata, Nitraria Schoberi und Cynomorium coccineum. Ausserbalb dieser Zone umgiebt den See harte Steppe, bedeckt mit Stein- schutt, der sich zu dem den See umgebenden Felsgür- tel emporzieht. N.und W. vom See ist diese Steppe von natürlichen Rieselfurchen durchschnitten, in denen die mit goldgelben Blüthen überdeckte Caragana traga- canthoides D. C. wurzelt. An’s Nordufer des See’s treten die Felshühen näher heran, deren Quellen zu einem kleinen Bache zusammenrieselnd, in den See münden, eine grüne, mit Weidengebüsch, Potentilla anserina, Primula sibirica, Orchis salina Turcez, Po- lygonum bistorta bedeckte Oase bildend. Der südliche Gebirgsstock «Karluk-tag» ist mit ewigem Schnee bedeckt, der nürdliche näher zum See herantretende ist niedriger, nackter Fels. Das Wasser ist klar, farblos, schwach alkalisch, Geschmack stark salzig. Inhalt der Flasche 881,87 grm. Soole A plus Krystallabsatz B. Vol. Gew. bei 21° C. —1,23411 . f ‘999,504 p. M. Soole A — | 0,496 p. M. Krystallabsatz B in 1000,000 Gesammtwasser À + B. 4) G. N. Potanin, Skizzen der Nord-West-Mongolei I, p. 174.— N.-0.-Ende des See’s 6 hor. 16’ 28” 6. L. v. Greenwich nach Rafai- _….ow’s Bestimmung vom 15. (27.) Juni 1878 L. c. p. 354, 360 und 365. 5) Grasart aus der Familie der Gramineen in der Mongolei sehr häufig und gesellschaftlich wachsend — botan. Bestimmung AI. Bunge’s. Analytische Data. A. Soole: a) 4,6193 grm. Soole A mit Silbernitrat und Ba- ryumnitrat gefällt geben 2,6634 grm. AgCI + AgBr = 576,2948 p. M. AgCIl+- AgBr des Wassers À +B und 0,4065 grm. BaSO, — 30,1994 p. M. SO, des Wassers A + B. b) 98,7288 grm. Soole A mit Chlorwasser-+Chlo- roform colorimetrisch 0,00025 Brom = 0,00253 p. M. Br. = 0,00595 p. M. AgBr mithin 576,2889 p. M. AgCI — 142,4991 p. M. CI des Wassers À + B. c) 8,1343 Soole À 0,4737 Mg,P.,0,= 12,5933 p. M. Mg des Wassers À + B. d) 141,474 Soole A mit BaCI, Überschuss und Alcohol, dann Platinchlorid 0,0301 K,PtCl, — 0,0482 p. M. K des Wassers À + B, 33,0144 NaCI—91,9724 p. M. Na des Wassers A+B. B. Krystallabsatz mit viel Wasser ausgewaschen, das Waschwasser eingedampft 0,0525 CaSO, — — 0,06640 CaSO, + 2 aq. in 881,87 grm. A+B 0,01544— Ca | 0,03088 — SO, ; in 881,87 grm. A+B 0,00618 — 0 0,0753 p. M. CaSO, + 2 aq. des Gesammtwas- sers À + B 0,0175 p. M. Ca 0,0350 » » SO; 0,0070 » » 0 Der mit Wasser ausgelaugte Rückstand bei 140° trocken — 0,3714 grm. = 0,4211 p. M. A + B, in HCI unter starker CO, Entwickelung lôslich: 0,0448 Ca0O = 0,0363 p. M. Ca aeq. 0,0907 ° p. M. CaCO,{ von 0,0550 Mg,P,0,—0,0135 p. M. Mg aeq.0,0472 fA+B. p. M. MgCO, 0,0048 Fe,0;, = 0,0038 — p. M. Fe | | aeq. 0,0079 — p. M. Fe,CO, von A+B aeq. 0,0109 — p. M. FeC.0, | 0,0627 Si0,— 0,0711 p. M. SiO, von A+B 0,0011 Mg,P,0, — 0,0008 p. M. P,0, von A+B. Das Wasser des Turkjuil-See”’s ist mithin eine Chlor- natrium-Glaubersalz- und Chlormagnesium-reiche ge- | des Gesammtwassers A +-B. ne ee ne — —— sättigte Salzsoole, deren Gypsgehalt als Incrustation + de, des Bodens grôsstentheils herauskrystallisirte. sr Bulletin de l'Académie Impériale 1,000,000 grm. Wasser enthalten: Elementarbestandtheile. MR N DCD ET EUR EE Mat KR ee ruine, 48,2 | Kaliumsulfat K,SO, . ...... 107,4 Nat Ni RCA 91972,4 | Natriumsulfat Na, SO, . . .... 53534,5 CHOIDRR etes 53,8 | Chlornatrium NaCI. . ...... 189421,0 Magnesium Mg............. 12606,8 | Chlorcalcium CaCL. . . ..... 148,6 PIB Ads el den. 3,8 | Chlormagnesium MgCL,..... 36941,7 Kieselsäure SiO,. ....... 71,1 | Brommagnesium MgBr,..... 2,9 Sauerstoffaeq. d. SO;, C.O,, P. 0, 8218,3 | Calciumphosphat CaP,0, . ... 4 à Schwefelsäure SO, .......... 30199,4 | Magnesiumbicarbonat MgC.0,.| 17417,5 CIHOR CAS enr eeio demeure 142499,1 | Eisenbicarbonat FeC,O.. . . .. 10,8 BIO DE er nur. 25.1 RiéoaureiO SIN 71,1 Kohlensäure d. Bicarbonate C0, 11980,4 Phosphorsaure. PO, 2,5. ; Mineralbestandtheile. . . . . ....l 297656,6 | Summe der Mineralsalze . 297656,6 Mar SR ess TORSAS LE Nat Ge and 702343,4 SUR 11° PAR ER EURE 1000000,0 DOM ne 1000000,0 Vergleicht man die Zusammensetzung des Zizik-nor- _Wasser’s mit dem des Turkjuil-See’s, so ergiebt sich dass ersteres relativ reicher an Kalium, Calcium, Schwe- felsäure, Kohlensäure, Kieselsäure, letzteres (Turkjuil) dagegen reicher an Natrium, Magnesium und Chlor ist. Auf 100 Theïle Wasser enthält Turkjuil-See- Wasser: 7,622 Th. Na, SO, 26,971 » NaCl _während bei 0° und 10° gesättigte Glaubersalz- und _ Kochsalzlüsungen enthalten auf 100 Theiïle Wasser: 0° C. 10° C. Natriumsulfat Na,SO, .. 5,02... 9,00 Chlornatrium NaCI. . .. 35,52 ... . 35,76. Im Winter wird unter 6° der Glaubersalz-Über- schuss als Na,$O,, 10 aq. herauskrystallisiren, während alles Chlornatrium gelôüst bleibt. Aus 100 Theilen Turkjuil-See- Wasser krystallisiren bei 0° heraus 5,902 Theïle NaSO,, 10 aq. — aus 1 Cubikmeter Turkjuil- See-Wasser mithin 76,27 Kilogramme Glaubersalz, dessen grosse Krystalle durch Siebschüpfer ausgebrückt und erforderlichenfalls entsprechende technische Ver- wendung zur Glas-Soda-Seifen-Fabrikation u. A. m. finden kôünnen, 269 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 100 Theiïle wasserfreie Mineralbestandtheïle des Turkjuil-See-Wassers enthalten: Elementarbestandtheile. Turkjuil, le. Gruppirung. fr Turkjuil. | "Ru. à Kahanx Ki, 2802 0,016 0,321 | Kaliumsulfat K,SO.. . |. 0,036 0,714 Natrium Na ....... | 30,899 28,129 | Natriumsulfat Nas, 17,985 | 39,676 Calcium Ca... « | 0,018 5,243 | Chlornatrium NaCI. 63,638 26,065 Magnesium Mg ..... |. 4,235 4,653 | Chlorcalcium CaCL.. 0,050 14,538 Has Tes unis | 0,001 Spur | Chlormagnes. MeC, 12,411 16,857 Schwefelsäure SO, 10,146 22,672 | Brommagnes. MuBr. | 0,001 0,030 CRETE nan 47,874 | 37,688 ny a AOL: eo 0,001 0,026 A MERE AN pur Spur Kohlensäure der Bicar- | Mount he) bonate C0, 4,025 | : 1,417 Co, 5,851 2,061 Phosphorsäuré P,0, . . Spur Spur | Eisenbicarbonat . Sauerstoffaequiv. der QC. Lie 0,004 Spur se VU PAIE 2,761 4,792 Kieselsäure SiO, 0,024 0,059 “Éd SI0, 0,024 0,059 Summe der Mineral- bestandtheiïle . . .| 100,000 | 100,000 | Summe der Salze . .! 100,000 | 100,000 Das mit dem Turkjuil-Soolwasser zusammenge- | XLyI, Wasser der Thermen am Fusse des Sehneegebirges stellte Wasser des Balüktü-Kul-See’s repräsentirt eine frühere Bildungsstufe des ersteren vor seiner Concentration durch Sommerverdampfung bis zum vollständigen Herauskrystallisiren des Gypses und Kaliumsulfates. Beide verdanken wahrscheinlich dem- selben Umsetzungsprocesse von Gyps mit Soda und gelôsten Kali-Natron-Silicaten, — den Verwitterungs- und Auslaugungs-Produkten des Tjan-schan und seiner Parallelketten — zu Glaubersalz und Calciumcarbonat neben Kalkzeolithen, ihre Entstehung. Wird Balüktü- Kul- Wasser eingedampft, so krystallisirt zuerst Cal- ciumcarbonat, dann Gyps und Kaliumsulfat, endlich Chlornatrium oder im Winter Glaubersalz, heraus; es hinterbleibt eine dem eo ra äbnliche Mut- terlauge. Fliessen, bei gleichzeitiger starker Sommerver- dunstung Quellen und Bäche hinein, wie es beim Turkjuil-See nach Potanin’s Darstellung namentlich “von der nürdlichen niedrigeren Parallelkette des Tjan-schan her stattfindet, so wird die Mutterlauge entsprechend Glaubersalzreicher. 6) me 3 æ re ë. in der Kirgisensteppe 80 Werst westlich von AAA best Bulletin T. XX VIUI, p. 476 (1883). Tome XX Otchan-Chairchan, 47940 n. Br. : 97° 30’ 6. L.' v. Greenw. 5000’ — 1524 Meter Meereshôhe. Geschôpft von Herrn G. N. Potanin am 25. Juli (6. August) 1877. Über Lage und Umgebung dieser Thermen be- richtet unser hochverdienter Reisender ?): «Die Quellen liegen im Thalgrunde zwischen dem Ufer des üstlichen Armes des Arschani-Gol-Flusses und dem Nordabhange des Baga-otschirwani-Hoch- gebirgsgipfels. Sie entspringen aus Rissen im rothen Syenitischen Granit und bilden zwei Gruppen, eine nôürdliche und cine südliche, etwa 50 Schritte von leinander entfernt, jede zu 6 Quellen. Das Wasser zeigt starken Schwefelgeruch. Seine Temperatur übersteigt 40° C. — Leider war das Thermometer nicht hôher getheilt. Die Quellen zerfallen in Trink- und Bade-Quellen; aus letzteren werden über 20 Wannen gefüllt, d. h. hôlzerne in die Erde gegrabene Kasten etwa 2 Arschin lang und 1 Arschin tief. Während der Badezeit sind ee 7) Skizzen der N.-W.-Mongolei, I, p. 282. 18 271 Bulletin de l’Académie Impériale 27? diese «Wannen» von einem baumwollenen Zelte über- dacht. Jede Quelle ist von einem Steinwall umkreist, nach aussen von Strauchwerk und Stangengeflecht um- schlossen, dessen Hühe den Maassstab für den Werth und die Wärme der Quellen bildet: bei den heïssesten übersteigt seine Hühe 2 Faden. ..» Am 25.Juli nahte die «Badesaison» ihrem Schlusse— es waren nur noch 25 Kranke und 1 «Lama-Doktor» anwesend.... sie sassen je 1 bis 3 Stunden in den Wannen, je nach der Vorschrift des «Doktors».., In Folge der hohen Lage treten mitunter schon im Juli kalte Stürme und Schneefall ein. Das in der wohlverkorkten Champagnerflasche ent- haltene Wasser war klar, farblos, schwach nach Schwe- felwasserstoff riechend. Volum.-Gewicht bei 20° C. — 1,000325. Analytische Data. a) 168,739 grm. Wasser gaben 0,0386 hellbräun- liches AgCI + Ag,S woraus: 0,0381 AgCI—0,05583 p. M. Chlor. 0.0005 Ag,8—0,00039 p. M.HS—0,00041p.M.HS. b) 187,884 grm. Wasser direkt mit 10 Cc. Baryt. wasser — 0,2230 BaO versetzt: 0,0243 BaSO, — 0,04441 p. M. SO, 0,0694 BaCO,— 0,08242 p. M. CO.. c) 557,080 grm. Wasser: 0,0045 CaO — 0,00577 p. M. Ca 0,0039 MgS0, — 0,00140 p. M. Mg 0,1338 KCI + NaCI 0,03534 p. M. K 0,1228 KPtCL =! 566808 SE 0,0467 Si0, = 0,08389 p. M. Si0, 0,0009 Fe,0, — 0,00113 p. M. Fe 0,0005 P,0; — 0,00090 p. M. P,0:. 1,000000 grammen — c. 1 Cubikmeter Thermalwasser enthalten: Quellentemperatur. oirené Rachmanow sn vis Ragaz-Pfäfers A GE über 40° 0. | 25°C | 478 © | 96,6 0. LÉ RAR KR, 4... 35,34 7,62 6,06 11,6 385: | 16. 6,12 Natrium Na ....... 68,08| 29,20 84,50! 49,0 32,98 | Na 8,67 : n Li 0,45 Si 0,03 | NH,20,00 Calcium Can". 5,77 3,82 és 7.80 | 9,3 ee 52.26 | Ca ‘37,39 Magnesium Mg. .... 1,40 0,37 | Mg0,49 3,6 | Mg 15,16 | Mg 21,32 : Fe 0,34 — Fe 0,83 Heu Fees: 1,13|, Spur (à her A1 0220 }AI 8,01 CI 30,07 Obor BE: 55,83 | 3,89 28,19! 58,0//Br 0,016, — Ü oo18 Schwefelsäure SO, ...| 44,41] 0,345) 123,59) 34,0 | SO, 21,97 | 234,50 Schwefelwasserst. HS, 0,39! 11,47°) — ? — H$ 8,20 Phosphorsäure P,0, . . 0,90! Spur 0,41 ? P,0, 0,53 — Kohlensäure der Bicar- bonate C0, ,.:., 70,13! 53,657) :19,92 44,1 |C,0,178,10 — Sauerstoffaequiv. der - D COS PO. 21,74 9,82 28,25 23,21 0 38,25 49,41 Le : B,0, 0,26 | je Kieselsiure SiO, . 83,89] 48,86 |. 49,60) 127,0 EU “> 41,71 Summe der Mineralbe- | | standtheïle . . .:. .. 389,01 | 169,04! 349,16! 359,8 388,10 | 435,33 Freie Kohlensäure F8 12,29 | berechnet!| — es Me Dis Volum.-Gewicht. . . .[1,000325 |1,000214 |1,000335 | — 1,0003 — » 9 one: Wasser geschüpft Sommer 1882 von Herrn N. A. Ssokolow und B. K. Poljanow, in Dorpat angelangt März 1888. = Schwefelwasserstoff ist wahrscheïnlich nicht präformirt, sondern … durch Reduktionswirkung einiger Thermal-Algen während des Trans- | __ ports aus der Schwefelsäure gebildet. 11,47 HS sind aequivalent 27,77 SO, — mithin wahrscheinliche Gesammt-Schwefelsäure des frischen Rachmanow- Wassers — 28,11 grm. SO, im Cubikmeter Wasser. Cf. Bull. T. XX VII, p. 497—502 (1883). 9) Berechnet — direkt gefunden 44,83 CO, (Gesammt- «ROIS säure). des Sciences de Saint-Pétersbourg. 274 Gruppirung. 1,000000 grammen — c. 1 Cubikmeter Thermalwasser enthalten: 0 e . . . Quellentemperatur. nee Phchmaaer Hire rt Era LT ever ÿ über 40° ©. | 425° C. 47,8 C. | 9690. | 37°C. 100° C. Kaliumsulfat K,SO,. .. 78,68 0,74 13,50 25,9 7,46 ) Ù , 13,63 Natriumsulfat Na, SO, . 14,72 se 208,50 39,8 | 32.94 26.74 Ammoniumsulf. N,H,S0) — — + ré 73.33 Calciumsulfat CaSO,. — — — — — 1 27, 12 Magnesiumsulfat MgSO,,, — — — — — 106,62 Chlorkalium KCI....| — SO re js ee Fa Chlornatrium NaCl... 92,12 42,80 92,0 49,34 — Bromnatrium NaBr. . _— — — 0,02 = Jodnatrium NaJ..... — — — — 0.01 — CHiortithidm ACL? , LE PURES 00 Natriumbicarb. Na,C,0,! 87,12 74,84 — 8,67 — Baryumbicarb. BaC,0, . _— — — 0,78 — Strontiumbicarb.SrC.O, — — — — 1,97 — Calciumbicarb. CaC,0.. 19,87 13,75 28,08 28,9 | 188,12 — Magnesiumbicarbonat Me O0: ci. 7,46 1,98 2,59 19,2 | 80,85 a Fioartiont FeC,0, 8,23 — 0,69 24,0 2:37 es Kaliumsulfhydrür KHS — 5,54 — — — — Natriumsulfhydr. NaHS 0,66 15,15 — — — Kieselsäure SiO,. . ... 83,89 48,86 49,60 127,0 14,08 41,71 AluminiumsulfatALS,0,.) — — ne — _— 32,61 Thonerde ALO, . .... — — _ — { île 0 1 5,37 ? : Al,P,0 Na,B Cal hosphat C 1,26 A Las daD304 alciumphosphat CaP,0, ; 0,70 } Cac! 3,5 { 0,38 H,S 8,20 Summe, ...| 389,01 | 169,04 | 349,16 359,8 | 388,10 | 435,33 Das Thermalwasser von Otchan-Chairchan ist hier bequemen Vergleichs halber mit 4 Gebirgs-Ther- malwassern annähernd gleicher Concentration und dem viel verdünnteren des Belucha-Altai (Rachmanow) zusammengestellt worden. Mit letzterem hat es den relativ bedeutenden Gehalt an Kieselsäure und Na- triumbicarbonat gemein, unterscheidet sich jedoch wesentlich durch den viel hüheren Gehalt an Sul- faten (Kaliumsulfat, Natriumsulfat) und Chloriden (Chlornatrium), die dem Rachmanow-Thermalwasser fast fehlen. Wildbad-Gastein ist viel reicher an Glaubersalz, ärmer an Kaliumsulfat, Chlornatrium und Kieselsäure, frei von Natriumbicarbonat, auf ein kleines Volumen eingedampft mithin nicht stark alkalisch, wie Rachmanow und Otchan-Chairchan. ; Trincheras (Venezuela) ist reicher an Kieselsäure und Natriumsulfat, ärmer an Kaliumsulfat, frei von Natriumbicarbonat, eingedampft nur schwach alkalisch. Ragaz-Pfäfers ist viel reicher an Calciumbicar- bonat, Magnesiumbicarbonat, ärmer an Kaliumsulfat, Natriumbicarbonat und Kieselsäure. Reykjahlid (Island) ist ein siedendes Sulfat- und Schwefelwasserstoff- Wasser, frei von Chloriden, relativ reich an Ammoniakalaun, Gyps und Bittersalz, ärmer an Kieselsäure. Durch den bedeutenden Ammonium- sulfat-Gehalt und die saure Reaktion des Eindampf- rückstandes von den meisten Theïothermen charakte- ristisch unterschieden, bildet es den Übergang zu den Alaun- und Vitriolwassern Toskana’s (Allume, Boc- cheggiano, Colombajo), Buxton («Orchard Alum Spring»), Harrogate («Ancient Alum Well») u. N 10) J. C. Thvesh, Chemical News, XL, 226 (1882). 11)R.H. Davis, Journal of the Chemical-Society, XXXIX,19(1881). 8* 275 Bulletin de l’Académie Impériale 276 Das Wasser der Tanla-Thermen *), Temperatur 52° C., am Süd-Abhange des Tanla-Gipfels, Tibet 15600 bis 16000" (4755 bis 4877 Meter) über dem Meeresspiegel entspringend — ist bedeutend concen- trirter als Otchan-Chaïrchan und Rachmanow (1076,0 bis 1341,6 grm. Mineralbestandtheile im Cubikmeter), enthält absolut und relativ weniger Kalium, Chlor und Kieselsäure, mehr Natrium, Calcium, Kohlensäure der Bicarbonate, absolut mehr, relativ zum Gesammtgehalt an Mineralbestandtheilen weniger Schwefelsäure als Otchan-Chairchan. Neu Michailow #) (Amur-Littoralgebiet) Wasser- temperatur 49° — 247,4 grm. Mineralbestandtheile im Cubikmeter —Bagnères de Luchon“) (Pyrenäen, source Bayen) Wassertemperatur 44° — 243,4 grm. Mineralbestandtheile im Cubikmeter.—Plombières#) (source des Dames) Wassertemperatur 35° C.— 322,0 grm. Mineralbestandtheile im Cubikmeter. — A mélie les Bains'*) (Arles — source Gr ) Wasser- temperatur 62,2° C.— 304,1 grm. Mineralbestand- theile im Cubikmeter Thermalwasser enthalten weniger Mineralbestandtheile als Otchan-Chaiïrchan. Alle ent- POP | 4 000000 grm.— c. 1 Cubikmeter Wasser enthalten . halten absolut und relativ weniger Kalium und Kiesel- säure als Otchan-Chairchan. Bohrbrunnenwasser vom Gute Jama bei Dor- pat, in Devon-Dolomiten und Sandsteinen aus 235 Fuss—71,6 Meter Tiefe, 38 — 11,6 Meter über den O Punkt des Embach-Pegels der Dorpater Stein- brücke emporsteigend, enthält bei gleicher Gesammt- menge Mineralbestandtheile !/, des Kalium, ?, des Na- trium, ‘/, der Schwefelsäure, !/, des Chlors, ‘/,, der Kie- selsäure, dagegen 6 mal so viel Calcium, 16 mal so viel Magnesium als Otchan-Chaïirchan-Thermalwasser. Bei 3° C. Lufttemperatur und 8,7° C. Wassertemperatur ergab dasselbe, am 17.(29.) December 1884 zur Ana- lyse gepumpt, in 1 Stunde 36,9 Cubikmeter Wasser. Dasselbe ist als typisches Normal-Quellwasser unserer Mittel-Devonschichten, d. h. als mittleres Auslauge- produkt unserer Mittel-Devon-Dolomit-Thone und Sandsteine durch kohlensäurehaltige atmosphärische Wasserniederschläge: Regen, Thau, Nebel etc. aufzu- fassen und seine Parallele mit dem Syenit-Granit- Wasserextrakte der Tjan-schan-Gruppe von beson- derem Interesse. . grm. Mineralbestandtheile: os Auf letzterer ist 2 zu berichtigen: T. XX VIH, p. 1 B Bicarbonate C,0, — statt: 0,5875—0,1542 lies: 0 nus und p. 13: Natriumbicarbonat Na,C,O, — statt: 0,3778 lies: 0,5845 umme der Mineralsalze — statt: 1,1849 lies: 1,3416. Dorpat Neue | 1 si . |'Tanla (Tibet _Bokrbrannen Michaïlow Fe of purge ] eg re J 1785 Maté Quellentemperatur. _ : pp Litora 13 (Pyrenñen.4, 0 Dames 15), ( Arles 18), über dem 87° C. 49 €. C: 85° C. 62,2 C. 52 C. DORE. nr ou nes 8,41 10,5 — 3,7 D; 27,5 ONE Ein US ha. 34,18 51,9 78,5 60,9 115,7 199,3 ARMOR DL ini. 0,65 — — — ? RU RU nus 32,07 — 7,6 10,7 — 140,5 MARnOsioi Me 1... 21,99 — —— 4,5 — 19,3 " Fe,0,+ PRO PO duo dinnit ii: die 0 0,17 — Spur ete | Fe 0,6 PUR OR Sd nes Dei At 9,75 9,9 50,2 ray 26,7 10,7 DonWtoisure SO. 4. Là 8,53 27, 0 — 49,8 27,6 74,2 Schwefelwasserstoff HS, ....... noi — 32,9 _ 5,1 2,3 Phosphonure PQ. .,..,..,.,.: 0,13 — be — — ? Salpetersäure N 0, de 1,10 — — — : ps ? Koblensäure der Héhinaté É O,. 205,31 68,9 | 16,7 96,2 ? 694,2 Sauerstoffaeq. d. SO, P,0,, N 0. C, O, 39,21 17,9 3,0 27,3 32,8 140,9 ie no 2... 7,28 61,3 55,8 61,0 58,0 32,1 _ Summe der Mineralbestandtheile . 368,78 247,4 244,7 321,8 | ? _ 1341,6 4 12) C£. Bulletin, T. XXVHII, p. 9 bis 15 und ASS Tabelle 13) Von Luedorf, die heissen Quellen am Amur bei Neu- Mi- cg 1882. 14) E. Filhol, Journ. vers gs me Se DATES 81—88(1851) 15) D. Moissenet, Ann. 0 XVII, 11 (1860). et de Chimie (3) XXXIV, de fer » muss vorläufig, in Ermangelung neuerer Analysen pe hr 4 bleiben,. Auf 100 grammen Chlor enthalten, nach abnehmendem relativen Schwefelsäure-Gehalt geordnet: Rachmanow Tan-la Plom Wildbad MAT At Amélie Dorpat Otchan- Ragaz- | Bagnères | Trincheras Quellentemperatur. (Altai) (Tibet). bières Gastein, mur- les Bains Bohrbrunnen| Chairchan | Pfäfers. |de Luchon! Venezuela Littoralgeb.) - 42,5° C. 52° C. 85° C.: F 47,8" 0. $ 62,2° C. 8,7° C. | über 40° C, | 87,5°C. | 44 C. | 96,6° C. HAN Ki, ... 195,9 257,0| 48,0 21,5 106,1 21,4 86,3 63,3 bE,1 —— 20,0 Natrium Na..... |. 750,6 1862,6 | 790,9! 299,7 524,2 433,3 350,6 121,9 109,7 | 156,4 84,5 Ammonium NH,.. — —— — — — 6,7 — — es — Lithium Li ..... — me — 1,6 — — — — 0,1 — — Calcium Ca.. 98,2 1313,1} 139,0 27,7 — — 328,9 0,3 | 173,8 15,1 16,0 Magnesium Mg . 9,5 180,4, 58,4 ET — 225,5 2,5 50,4| — 2 Bison Fe, .... — 5,6| — 1,2 — Fe,0, 1 ne. 17 — 2,8 — — Aluminium Al... — —— — 0,6 — +ALO, Al — 6|- mr Schwefelsäure SO, | 722,6) 693,5| 646,7| 438,4) 272,7 103,4 87,5 19,5 73,1, 65,5! 58,6 ER 100,0 100,0! 100,0! 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0 100,0! 100,0! 100,0 Brom und Jod. — ce paie Le ns _ 0,1 — — Schwefelwasserstoff HD 0 L.. — 21,0 — — — 19,1 — _— SR ps Phosphorsäure Os. — Er 1,5 per Me F9 1,6 1,8 —— — Kohlensäure d. Bi- carbonate CO, .| 1379,2 6487,9 |1249,4 68,5 695,9 _ 2105,8 1256}. 992,8 33,3 76,0 Sauerstoffaeq. SO,, 2 0» N,0,| 252,5 1316,8| 354,5| 100,2 180,8 402,2 3891 187,2 6,0! 40,0 Kieselsänre SO. 1265,0 300,0! 792,2| 175,9 619,2 217,2 74,7 150,3 46,8 | 111,2! 219,0 Borsüure B,0, . js ne . me — Æ nl pe Salpetersäure YN, 0, _— dr se s — — 1,1 LE — = a Summe der Mine- ralbestandtheile. | 4345,6 | 12538,6 |4179,3 1238,6| 2498,9 — 3782,4| 696,8 | 1290,6| 487,5| 620,5 17) Rachmanow -Thermalwasser — auf 100 Chlor direkt gefunden { 57,8) | Péraut œudialt Uber die Grande dieser Annalrme vers. Baïlein, À XXI, hier auf die ursprüngliche Gesammt-Schwefelsäure des frischen Thermalwassers | p. 497—502 (1883) und Anmerkung zur vorhergehenden Tabelle 248 ‘SAnNOqS19)94"JUI8S 9p S92U919$ S9p 279 Bulletin de l’Académie Impériale XLVIII, Wasser des Salzsee’s Nesamersajusehtseheje (nicht zufrierender See), In Nord-Tibet 12300 Fuss — 3749 Meter über dem Meeresspiegel. Geschôüpft von Herrn General N. M. von Prze- walski am 8. (20.) December 1884. In Dorpat ein- getroffen März 1886, Das Wasser ist klar, farblos, geruchlos, bläut ohne vorherige Concentration gerôüthetes Lakmuspapier, bräunt Çurcumapapier. Volum.-Gewicht bei 18,6° C. (aq. gleicher Tempe- ratur — 1) mit Sprengel’s Apparat bestimmt — 19,8448 177800 870. = 1,116005. Analytische Data. a) 19,8448 grm. Wasser eingetrocknet bei 200° C. 2,9059 grm. schwach geglüht 2,8825 — 145,2522 p. M. Salzrückstand, davon beim Wiederauflôsen in Wasser zurückbleibende Magnesia aeq.0,1780 Mg,P, O0,= 3,23356 p. M. MgO — 4,43469 p. M. CIO mithin wahre Summe wasserfreier nicht flüchtiger Salze — 149,6869 p. M. Magnesia-Rest aeq. 0,5589 Mg,P,0, — 8,03730 p. M. Mg Summe. b) 4,4458 grm. Wasser direkt mit Silbernitrat +- 1,000,000 grm. Wasser enthalten: Salpetersäure 0,5268 AgCI + AgBr — 364,3658 p. M. AgCI + AgBr. c) 215,547 grm. Wasser auf ca. 100 Ce. abdestillirt, Rückstand mit einigen Tropfen Chlorwasserstofisäure angesäuert, mit etwas Chlorwasser+Chloroform colori- metrisch bestimmt 0,0001 Brom—0,00046 p.M.Brom aeq.—0,00108 p.M.AgBr demnach AgCI — 364,36472 p. M. — 90,09646 p. M. Chlor mit BaCL, 2,1706 BaSO, — 3,45760 p. M. SO.. Filtrat mit Barytwasser neutralisirt, durch das gleiche Volumen Alcohol gefällt, mit 50%, Alcohol aus- gewaschen, geglüht 0,0069 BaB,0, — 0,01003 p.M. Borsäureanhydrid — B,0,. Filtrat mit Platinchlorid 0,6839 K,PtCI, (rein, frei von Rubidium und Caesium) — 0,50868 p. M. Ka- lium aeq. 969,61 p. M. KCI: Das Destillat mit etwas verdünnter Salzsäure eingetrocknet, mit PtCI, —0,0273 Platinsalmiak (NH), PtCI, — 0,00973 p. M. Ammoniak NH, aeq. 0,01030 p. M. Ammonium NH,. d) 114,477 grm. Wasser direkt mit Ammonium- oxalat 0,0028 CaO — 0,01747 p. M. Calcium; 0,0012 Si0, — 0,01048 p. M. SiO, und 13,2893 KCI + NaC1 = 45691,34 p. M. Na. Elementarbestandtheile. GruppirT sa £s. DR ie. dome 508,68 | Kaliumsulfat K,SO, ........ 1132,55 Nat Na rss in ie, 45691,34 | Natriumsulfat Na,SO, . . . . ... 5216,30 Adnoment NE... .. 10,30 | Chlornatrium NaCI. . .......|1111694,00 Calemm GA. sous 5 17,47 | Chlorammonium NH,C1...... 30,60 MagDoninn Mig. ec," 8037,30 | Chlorcalcium CaCL, . . ...... 48,43 CORRE le neue ut: 90096,46 | Chlormagnesium MgCL,. . .... 29928,81 ae RS PT 0,46 | Brommagnesium MgBr,. . .... 0,53 Schwefelsiure SO, ...:..... 3457,60 | Magnesiumborat MgBo,0, . . .. 15,78 Dons RS. ur ot, 10,03 | Magnesiumbicarbonat MgC.O,; .| 2431,16 Koblensäure der Bicarbon. C,0,! 1670,90 | Kieselsäure SiO, . ......... 10,48 Kicselsare M0... su à 10,48 _ Sauerstoffaeq. d. SO,, B,0,, C,O,| 997,62 . Summe wasserfr. Bestandtheile . |150508,64 150508,64 Beim Abdampfen entweichen NH, und CO, (Hälfte) .......... SR nee Berechneter wasserfreier bei 120° trockner Abdampfrückstand . . .. ... 149663,46 Das Offenbleiben des See’s bei starkem Froste erklärt sich aus der Zusammensetzung des Soolwassers. Brom ist nur spurweise, dagegen Salmiak und Borsäure in deutlich nachweïsbaren und be- stimmbaren Mengen vorhanden. Rubidium und Caesium fehlen — das aus dem Platindoppelchloride durch Reduktion im Wasserstoff- strome erhaltene KC1-+-RbCI (?) ergiebt mit Silbernitrat gefällt 192,2%, seines Gewichtes Chlorsilber, das AgCI Aequivalent reinen Chlorkaliums. Calcium und Kieselsäure sind nur in sehr geringer Menge vorhanden. Der relative (auf je 100 grm. Chlor bezogene) Kalium-Gehalt dieses Hochgebirgs-Salzsee’s ist geringer, als der des Ocean wassers, des Caspi, Aral und Kukunor #). Vergl. seinen relativenGehalt an Schwefelsäure,Calcium,Natrium undBrom. Folgende Übersichts-Tabelle wird den Vergleich erleichtern. 1,000,000 grammen Wasser enthalten: sajuschtscheje Ocean È Kukunor Todtes Meer. | Urmiah-See. Great salt ord- -Tibet Kaspi. Aral. 800 Meter 5116’ über : 22500 La Mittel. (Herbst). Tiefe 19). dem Meere2). lake, Utah °1), CR en rondes 90096,46 | 18218,7 5440,5 3833, 4288,9 | 174985 128476 83031 sitio: 0,46 44,0 7, 2,9 3,9 7093 Spur Spur Schwefelsäiure SO... . ....... 3457,60 2148,1 2586,6 2780,6 1592,0 523 9273 8215 ee 508,68 288,9 70,3 58,5 115,9 4386 923 2408 D... 6, . 45691,34 | 10128,7 3197,4 2456,2 3277,7 14300 76437 49755 RCE... dun. : 17,47 376,4 296,5 458,0 189,6 17269 579 252 D NE... ..,, 8037,30 1233,6 772,7 596,5 810,8 41428 5839 3774 Summe der Mineralbestandtheile | 150508,64 | 329242 | 12977,2 10908,9 11146,3| 278135 223382 149078 Auf 100 grammen Chlor enthalten dieselben: Se “à Rp 100,000 100,000 100,000 100,000 100,000 |! 100,000 100,000 | 100,000 SÉPARER, ec a 0,0005 0,241 0,131 0,076 0,091 4,053 Spur | Spur Schwefelsäure SO TE. : 3,838 11,790 47,543 72,530 37,118 0,299 7,218 | 9,893 Rd ne: 0,565 1,586 1,292 1,526 2,702 2,506 0,718 | 2,900 NOR NS. 50,714 55,594 58,768 64,071 76,422 8,172 59,495 59,923 CNE CR... . és. 0,019 2,066 5,450 11,947 4,421 9,869 0,451 0,304 Magnesium Mg .,.,,:,...., 8,921 6,771 14,203 15,560 7,246 23,675 4,545 4,545 Summe der Mineralbestandtheile | 167,053 | 180,717 | 238,530 | 284,567 | 259,887 | 158,948 | 173,871 | 179,545 19 -& Bulletin, F XX VII À 7 a und Mélanges, XII, 42. nalyse März 1864 von L. Lartet 5 Meilen og von Wad, Mrabbu fr 500 rs Tiefe. À trs Wassers. Compt.-rend., LXII, 1329 Eat H. Abich, Mém. de l’Acad. Imp. des Sciences de St-Pétersbourg, 6°"° Séri 56), im Februar 1855 am westlichen See-Ufer sf ee pe Spec. Dev. 8136 (Wasser res Temperatur=1). Nac Abichs brieflicher nage der analytischen 1534 +4 dE Soi Il Lu = grm. Urnisktisite e 14,806 grm. AgCl. D 24,674 grm. Urmiahwasser — 0,020 CaO. 26, grm. Urmiahwasser = 0,716 Mg,P,0,. 1 grm. Urmi der aSO e) 28! 102 grm. Urm m. K, PtCI. PS berechnet — die rise sr re enthält einige Druckfi in United States geological exploration of the fo den nelle, II, 1, u877 bei Blackrockpoit 1869 geschopf. Spektral-analytisch Lithium, Brom Bor Des nachweisbar ‘Sanoqgsio)9q-JuIeS op sSoou2$ s2p Bulletin de l’Académie Impériale PLE: Zum Wasser des Todten Meeres bildet das Wasser des «Nesamersajuschtscheje» Salzsee’s den vollständig- sten Gegensatz. Während jenes das Bromreichste bekannte Soolwasser bildet, in welchem zerfliessliches Chlormagnesium und Chlorcalcium (Tachhydrit) neben Chlorkalium — Chlormagnesium (Carnallit) weitaus überwiegen, nachdem die Sulfate als Gypslager grüss- tentheils herauskrystallisirt waren, enthält letzteres («Nesamersajuschtscheje») nur Spuren Brom und Cal- cium, nur /, des Kalium, dagegen das Dreifache Natrium, die nahezu 7fache Schwefelsäure-Menge des Todten Meeres. Mit dem Urmiah und Great salt lake (Utah) hat «Nesamersajuschtscheje» den äusserst gerin- gen Brom-Gehalt gemein. Beide erstere sind absolut wie relativ zum Chlor viel reicher an Sulfaten (Glau- bersalz) als Nesamersajuschtscheje — der Great salt lake (Utah) enthält fast 4 mal so viel Kalium, als Nesamersajuschtscheje, während Urmiah Kalium- arm ist und in seiner Zusammensetzung den Minus- sinsker Seeen *) (mittlerer Jenissei) gleicht. Hinsichtlich der geographischen, geologischen und anderweitigen Beziehungen dieses «nie zufrieren- den» Hochgebirgs-Salzsee’s verweise ich auf die Mit- theilungen unseres hochverdienten Reisenden, die demnächst verôffentlicht werden. Es dürfte in densel- ben auch der tibetanische Name dieses See’s er- wähnt werden, dem hier die Russische Übersetzung: «Hesamepsaromee 03epo» substituirt worden ist. Sur la transformation d’une équation différentielle de l'ordre pair à la forme d’une équation isopérimé- trique. Par B.Imchenetsky. (Lu le 13 mai 1886.) |: 1. Il a été demontré par Jacobi, qu’une équation différentielle isopérimétrique d Va 9 ci cr Œ y ae: _ où V est une fonction de x, y, y,... 7", non linéaire par rapport à y" — 7, peut toujours être trans- = = 0 (1) 292) Cf. Re dre At e rs, LP 473—516 (1883) z. B.X XXXVIII « Dschabalak-Kul » formée en un système d’équations de la forme cano- nique dpi 0H dx _ 0H @ de 0q dx 0m? H étant une fonction connue de x, p,, 4,...,p,, 4, NAS CE PS GR th Nous nous proposons de montrer, dans cet écrit, quelles conditions sont nécessaires et suffisantes pour la transformation d’une équation différentielle de l’ordre pair yo) Ste (2n — 1) =f(&, YsY,..., (3) en une équation de la forme isopérimétrique (1) et, partant, en un système d'équations de la forme cano- nique (2). Se trouvant en possession de la méthode générale de cette transformation et en l’appliquant, quand cela sera possible, à l’équation donnée (3) de l’ordre pair, on pourra profiter, pour son intégration, des avan- tages considérables qui appartiennent, comme on sait, à la forme canonique des équations différentielles. 2. Notre problème de la transformation ci-dessus mentionnée, s’exprime par l'équation dy dx dy! re de SEE ( 1) dx" dy) re (y f), (4) V et p désignant deux fonctions inconnues de x, y, , .. Y et f la fonction donnée, dans le second home de l’équation (3). Les valeurs convenables de V et de x étant obte- nues et substituées dans l'équation (4) celle-ci deviendra identique en x, y, y, ..…., °° et, différentiée partielle- ment par rapport à ces variables, elle donnera d’autres identités. En effectuant ces différentiations, pour éviter la complication, il faut suivre des règles particulières, qu’on ne donne pas ordinairement dans les Traités de calcul différentiel, mais qu peuvent être exprimées par la formule suivante 1) Jacobi (Vorles. über ren Nachgelassene Abhandlung: De aequationum differential imetric: nsformatio- nibus earumque reductione F4 per re differentialem partialem primi ordinis non linearem. 285 des Sciences de Saint-Pétersbourg. pe = ap dam P (MM Ye. 9 ) A er ML 0p …. m(m—1) dM—2 + 09. dam ape) demi dyE—1) | 1.2 dam—2 aa ee m(m—1)...(m—1i+1) HR Le) Hot Re On dam—$ ÿyl—$) d 0p (Je) dæ dyi—m+#1) pa dÿE—m) : (A) Le nombre des termes de cette formule n’est pas toujours égal à » + 1; car dors k— de la va- riable y*—Ÿ, dans la dérivée : enr n'étant jamais négatif et plus grand que n, il faut supposer égaux au zéro tous les termes de la formule (A) où les condi- tions 0 <'k— Zn ne sont pas remplies pour à = 0, A EVE à La démonstration de la formule (A) est fort simple. D'abord, il est facile de la verifier pour »m— 1. Et ensuite, en la supposant vraie pour une valeur déter- minée quelconque du nombre », on s’assure aisement qu’elle existe alors pour cette valeur de » augmentée d’une unité. 3. En différentiant successivement l'équation (4) par rapport à ie et à ÿ°"— à l’aide de la formule (A) on aura A #2) ana —Ÿ (5) et of RE ag een Il suit de l'équation (5) que la valeur de y ne peut pas contenir les dérivées de y de l’ordre supérieur à n; c’est pourquoi on à supposé — 0, en dé- duisant l’équation (6). Si l’on substitue dans l'équation (6) la valeur (5) de ., on obtient p dy! 2n—1) du FR NET ou + y dlogu” û nr dx LE dyen—1) 0 (9) l'équation qui définit le facteur y de notre trans- formation isopérimétrique. oz comparant l'équation À avec l'équation connue d DER + ne, + ES Tome XXXI. (8). qui, d’après la théorie de Jacobi, définit le dernier facteur M du système d'équations L'NRTA) yen—1) dy A1) = @ équivalent à l’équation donnée (3), on ne trouve que cette différence entre p" et M: la valeur de M peut généralement être une fonction de x, y, y, ..…, y?» tandis que, d’après la remarque déjà faite plus haut, la valeur de p ne peut contenir les dérivées de y que de l’ordre non supérieur à ». Donc, si on peut obtenir la valeur du dernier fac- teur M du système d’équation (9) ne contenant les dérivées de y de l’ordre supérieur à "#, alors, en posant ET Qu y 4 ma Éd! (40) on aura le facteur p de la transformation iso- périmétrique. La valeur demandée du dernier facteur ZX s’ob- tiendra D de l’équation (8), si la dérivée par- tielle —=— ; —. est en même temps la dérivée complète, par rapport à x, d’une certaine expression en #, y, y, … de l’ordre différentiel non supérieur à n; c’est- à-dire, si l'équation de condition d'Euler ù 2n—1)5, d 2n—1) 9 PR AR 7 y y æ Of [A (41) am of Par a ee 1 dx oy2r—1) dy) = 0 | est satisfaite identiquement pour » — où << n+ 1. Donc la condition nécessaire (1 1) peut être considerée comme équivalente à (7). 4. Passons, maintenant, à la recherche de la valeur de Y, en supposant la condition (11) satisfaite et la Valeur de x, tirée de l’équation (); substituée Dane les équations (4) et (5). Il faut remarquer d’abord qu’il suffit d'obtenir la. valeur particulière (W) de V, satisfaisant à l'équation . (4), pour avoir tout de suite sa valeur générale. . ee En effet cette valeur joe sera V= (7) +7 c®. si II désigne une fonction Fe de x, y, y, .. oi à . pr. Rp on sait que a.Il Fe dæ | qui est appliquée à 287 Bulletin de l’Académie Impériale 2ss est la valeur la plus générale satisfaisant à l’équation (1), c’est-à-dire à l'équation (4) sans second membre. On peut se figurer la valeur particulière (W) de l’in- tégrale de l’équation (4) comme une somme (P)=V,+V,_ +... +V+, composée des expressions différentielles V,, V,_,, .…, V,, V, des ordres respectifs n, n—1, (13) és 0 en dé- rivées de y, V, désignant cnrs (e fonction de x et y. On remarquera facilement, que le terme existe nécessairement dans cette somme, tandis que les autres y peuvent manquer en partie ou totalement. 5. Pour obtenir d’abord le terme V, de la somme (13), on déduit de l'équation (5) ! V=(— 1)" | og" | O9 + U (14 Il est bien entendu que pendant l'intégration par- tielle par rapport à y” on considère les autres va- riables æ, y, y, .…, y" ” comme des constantes; donc on à ; 3 | U— a+ Le (1 5) où œ et a sont des fonctions inconnues de x, y, Ÿ, LA °2 y" HR, pour abréger l'écriture, par W l’inté- grale double (—1) loge uw dy" et convenons de repré- senter par le symbole Z°° l'opération # do æ à ; Bo Tama + CD la fonction. V dans le premier membre de l’équation isopérimétrique (1). À l’aide de ce symbole l’équation : s’écrira INT] pp — et, en ÿ substituant ire "fon" [ao + 0 = W+ 0, on aura ee Ôy : 4 se? PAULINE a f), où où tire ; ; re I"[U]= F, (16) ‘en posant F=gg— f) PES (7) nd est facile de faire voir que le premier membre . _ de LÉ np (16) ne contient pas les dérivées de y de l’ordre supérieur à 2n—2. En effet, U étant géné- ralement de la forme (15), on a n TT Es Ts d {da 08 (in) I(U=; y) (+ )+. RMS. Le 0) 8 +(— si is an") #1) Mais on peut écrire an an—1 {06 dy 8 m1 CENT (B)— SMILE e#1) (n) |. dr ane 07 Foy ognnŸ } n dan LB) donc l'égalité PRES deviendra n da ñ d [0x n TAU=$ + y de LC + E y +. CENT A LUE dœ ; LR pe 1) dan— 1 Le Du nd! US ! dB (—1) pre D PE +; dy? A dyt—1) 9 h d’où l’on voit que y°”7 ? est la plus haute dérivée de y qui peut figurer en 1°” [U] et il en sera de même, si l’on y suppose 8 — 0. Nous admettrons cette hypothèse 8— 0, pour sim- plifier la recherche de la valeur particulière de V, en vertu de quoi il faudra écrire 2" "[U] au lieu de I"[V], si U— a sera une expression différentielle de l'ordre #n—1, où bien— changer T"{U] en 1°" U], si U— « sera une expression différentielle de l’ordre N — M. Mais il faut savoir d’abord l’ordre différentiel de l'expression F, du second membre de l’équation (16), pour pouvoir faire une supposition déterminée sur l’ordre différentiel de la fonction inconnue U. 6. On trouve sans peine que dans l'expression (17) de F les termes en #°” et en y°"" se détruissent mutuellement. En effet, à l’aide de la formule (4) on a on... 2 agen) FE Op opt) et a, Li of agen TR a LA Due à TT AE [ue Sn ha æ |, deux expressions se réduisant identiquement à zéro en vertu des équations (5) et (7). D'autre part, quelque hypothèse que l'on. fasse sur l’ordre différentiel »—m de U, il est clair que 197 [U] sera toujours de l’ordre pair 2(n—m) et linéaire par rapport à la plus haute dérivée y”. 289 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 290 Donc, notre problème de transformation iso- périmétrique serait impossible, si l'expression (17) de Fn’avait pas la forme suivante FE pl fon En D V9 0 PTT M, (18) où » peut avoir une des valeurs 1, 2, ..., n. En supposant la condition nécessaire (18) dsbistaits, il faut poser TE Pda des en Pa De A n une fonction inconnue de x, Yes YU De cette manière on aura un nouveau problème, exprimé par l’équation LORS RER fe) «e : (9) analogue au problème primitif, qui s'exprime par l'équation (4). Mais il y à cette différence entre eux, que l’ordre de l’équation (19) est moindre de 2» unités et que le facteur y, de son second membre est connu à priori. Cette dernière circonstance donne lieu à deux nouvelles conditions nécessaires: PVy— (Cr à AE (n—Mm) ÿ CT — Fm ni (20) n fm Li dy2(r—m)—1 et dp. (n — m) Le. Er analogues à (5) et (7) et que l’on obtient en différen- tiant l'équation (19) par rapport à y "età? Nu La première des équations (20) montre que p,, doit être de l’ordre différentiel n—»", tout au plus, et, si cette condition est remplie, la valeur de p.,, doit en- core satisfaire à la seconde des équations (20). © 7. Dans ce qui précède nous avons obtenu la forme générale des conditions nécessaires pour la solution du problème consideré et il est aisé à voir qu’elles sont en même temps suffisantes. En supposant satisfaite la condition (11) on tire de l'équation (7) la valeur du facteur y et ensuite on aura Vi =(—2)"[ 090 Fa du le terme de la some 9 de l'ordre différentiel supé- rieur. Si l'on. suppose Fe dites a 8) et (20) Lait on a LA le terme de l’ordre n—-m qui suit V, dans la somme (13). s À l’aide de la valeur de V,_,, on transformera l'équation (19) de la même manière, comme au #° 5 on à transformé l'équation (4’) en (16), à l’aide de la valeur W=Y, Si l’on trouve, pour l’équation transformée, les condi- tions analogues à (18) et à (20) satisfaites, on aura un terme nouveau de la somme (13) de l’ordre infé- rieur à » —m"” et qui suit le terme V,_ En continuant ainsi et en supposant que les condi- tions analogues à (18) et à (20) seront toujours sa- tisfaites, ce qui arrivera nécessairement si le problème est possible, on obtiendra sa solution générale VV Tr AE n — n "M" dx ? où, comme il est dit plus haut, II est une fonction arbitraire de #, y, y, .…, y" et le nombre des termes LL) LA LA “ de la somme D 14 peut varier de zéro à n. sm Nm mn Le cas le plus simple se présente alors, quand on trouve, d’après la formule (17), que l’expression F est une fonction f, de x et y, qui peut en particulier se réduire à zéro. ‘Il est évident qu’alors la somme D se réduira m nm à un seul terme V, — [ dy, qui s’évanouit, si f,—0. Cette circonstance se rencontre toujours dans le cas particulier n = 1. Par conséquent, si l’on connait une rc M du dernier facteur du es 0m. 00 du", ÿ_ f(&9,9)? l'équation du second ordre y—f(@, y, ÿ)=0 multipliée par M, se ramène toujours à la forme iso- érimétrique CRM ENT ON ER Je m’empresse de citer un travail récent de Mr. le professeur N. Sonine”) où cette même remarque à été faite sur ce cas particulier de la transforma- : CROËCTEE 2) O6 onpexbzeni H IXE CBOÏCTBB HIOCEUXB KPHBHIXE ($ 8) H. 4. Conuxa. Yuus. Has. 1886 r. X 1. 3 Pre Bapmasa. : 1e rs 291 Bulletin de l’Académie Impériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 292 tion isopérimétrique; mais selon ma connaissance, | l’équation (a) devient le problème général de cette transformation n’a pas FUIT (b) encore été discuté. 8. Pour compléter l’explication de la théorie pré- cédente nous allons l’appliquer à un exemple parti- culier. Soit mr 2% + 2% 4%) F 4 ( y ÿ y)? ) y3 1 y"? y? y” T3 ares mur à 4 jy EE 20 l’équation différentielle du 4-me ordre que l’on demande de ramener, s’il est possible, à la forme isopéri- métrique. Il faut poser l’équation : I°[V]= 84" —p#), où V et x désignent des fonctions inconnues de #, Y, Sd. 6/5: f=(2# +00 —0)g ee RUE Te M9. ÿ 12 2 op +py +5 er À On a l’équation d.logu? … of dx . apr _ de laquelle on obtiendra w. En effet, of ie 2(Y ve y"! D); y e ; oy7 y y" donc dy" dy à dogs — + 5h y" y y et, par conséquent, 44 Fe rex Fe ? C désignant une constante arbitraire. Ensuite on peut poser V — _V,, V, V, désignant des expressions différentielles, en dérivées de y, des ordres respectifs 2, 1, O et Il une fonttion arbitraire de x, y, Y. On a L 2 V, = = [oy" [wo nds et si l’on fait | V=p,+U se Ep" —f)—1%[7;] Il est aisé d’exprimer en y et en ses dérivées les quantités p(y!"—f) et 1°[V] et leur différence sera F=C(—yy —;" +9). On voit que F, ne contenant pas les dérivées y!} et y” et étant linéaire par rapport à y”, remplit les condi- tions demandées par la théorie. On peut donc supposer que © désigne une fonction inconnue de x, y, ÿ et changer Z®[U] en Z®[U]. Par suite l’équation (b) deviendra IOTU]= m @"—f), (e) où pb, ——0Cy et f,—= —; 2 + 1. Ces deux quantités satisfont également aux conditions exigées par la théo- rie, savoir y, ne contient pas les dérivées de y supé- rieurs à y, a, et f, satisfont à l’équation ce ARE ee = = 0. Donc on a = — | 0y [us 0y =1 Cyy? et on peut poser U—=V,;+U. Par conséquent au lieu de as (c) nous aurons ITU] — (d) où F,= [er À Aie ie Par la dernière formule on trouve facilement F= Cy, donc on peut supposer que U, ne contient pas les dé- rivées y, de sorte que l'équation (d) devient IO[U]= Cy où = Cy. De là, par l'intégration, on U,=V,=10Cy" Donc, en rt les Far précédents, on conclut qu’en posant tri V7 72 d.U(x,Y, PRO RP ER, l'équation | OV. doV. d 0V 3 = 0 dy dx dÿ Ÿ dx? dy” 2 sera équivalente à l'équation différentielle proposes, dès le 18 octobre 1886, T. XXXL, N°53. BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME XAXI. (l'euilles 20—3/,27.) CONTEND. Page. F, J, Wiedemann, Additions et rectifications au dictionnaire syren-allemand et votiak- ORNE A ES ee Rue leo Ur di au ten ere tone bo see rm utirtre 293—-337 V. Bianchi, Contributions à la connaissance ornithologique des ramifications occidentales de Pamyr ét de PAL 7.54 ne en nes mous poemes ne eee ne au 837—396 A, Nauck, À propos de l'ouvrage: su Galeni Pergameni seripta minora, Vol. I (ipaiie 180) 156. tonnes ete ne ee pue ss save ne péte dense 396—414 ———"#ñ BR — Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des sciences. C. Vessélofski, Secrétaire Li jar Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.) Décembre 1886. PART À > DES ADS SEPT EEE LEE bee BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. Zusätze und Berichtigungen zu dem syrjänisch-deut- schen und wotjakisch-deutschen Wôrterbuch 1880, Von F, J.. Wiedemann, (Lu le 29 avril 1886.) Seit 1880, wo mein syrjänisches und wotjakisches Würterbuch im Drucke fertig und herausgegeben wur- de, ist mir noch Manches an Wôrtern und Texten — Gedrucktes sowohl wie Handschriftliches — zugekom- men, das Material bot zur Bereicherung dieses Würter- buches. Von Druckschriften sind besonders hervorzu- : heben: für das Syrjänische eine von dem hiesigen Gymnasiallehrer Herrn Lytkin, einem geborenen Syr- jänen, welche unter dem Titel «31panckiü kpaïñ n 3b1- paackiä sa3bkb» (Land und Sprache der Syrjänen) unter Anderem auch mancherlei Texte enthält, theils von dem Verfasser selbst angefertigte, theils aus dem Volksmunde gesammelte, und von demselben die Li- turgie der griechischen Kirche; für das Wotjakische einige von der fleissigen «orthodoxen Missionsgesell- schaft» in Kasan herausgegebene Schriften, ferner eine «ethnographische Studie über die Wotjaken» von dem Dr. Max Buch im XII Bande der «Acta Societatis scient. fennicae» in Helsingfors, von dem Dr. Aminoff unter den Wotjaken gesammelte Räthsel und Sprüche, im ersten Heft der Zeitschrift der neu gestifteten «ÆFinnisch-ugrischen Gesellschaft» eben da, «Brire Bo- TAKOBE CapanyascKkaro yÉsaa» (das Leben der Wotja- ù ken im Kreise Sarapul) von Koschurnikow, «Kpe- “ mennsie Borakn Kasauckaro yhaza» (die getauften … Wotjaken des Kreises Kasan) von Miropolski, und … einige zum Theil auch schon vor 1880 erschienene | Artikel in verschiedenen russischen Zeitschriften. Das aus den angeführten Schriften und aus anderen |} Quellen Geschôpfte hat einstweilen nur zur Bereiche- rung meines Handexemplars gedient. Ein Werk wie das in Rede stehende hat natürlich keinen grossen Leserkreis, und ich kann, schon im zweiundachtzigsten Lebensjahre stehend, wohl nicht darauf rechnen das neu gesammelte Material noch bei einer zweiten Auf- lage zu verwerthen. Ich habe mich daher entschlos- Tome XXXI. sen es in dem «Bulletin» unserer Akademie zu ver- ôffentlichen und auf diesem Wege den dafür sich in- teressirenden Besitzern des Würterbuches zugänglich zu machen. Da in diesem das Syrjänische ohnehin schon einen viel grüsseren Raum einnimmt als das Wotjakische, so ist in den Zusätzen dieses verhältniss- mässig reichlicher bedacht als jenes. Die eingeklammerten Wôrter sind nicht ganz neu hinzugekommen, sondern bilden schon Artikel des Würterbuches, die hier nur noch mehr oder weniger Zusätze éthalie haben. Syrjänisch. A. alavastrôvüi (P) alabastern. arôs Lebensalter. (artalny), artalôm Gedanke. as-vyityny, as-vyitôm — as-vyialny, as-vyi. (avgus), avgust August. 5 F B. (baksiny) schreien. (bara) und. (bed'), iz-bed' Schieferstift, Grifjel. beresta (P) PBirkenrinde. berezliva (P) sparsam. (bergüdny), bergüdôm Abzug. bogoroditsa (P) Mutter Gottes. (bolk) Kibitke. (bolksa) Xibitken- bonjôd, nin-b. Bastmaite. (bübüt) (P) falsch, betrügerisch. bürjüdny richten, verfolgen, bürjodan-lun, Gerichtstag. bürjüdtSiny rechten, processiren. büzitasny (1) fluchen. brostok — bostrok. bumaga Papier. bur-juvôralny (P) das Evangelium predigen. bur-kolômty$ny set geruhen. bur-lun Güte, 295 Bulletin de l’Académie Impériale bur-Setôm A/mosen, Geschenk, —segensreich, b.-$.-tor Gabe, Geschenk. bur-siny séatt bursiny. bura-todôm Dankbarkeit, Erkenntlichkeit. bura$em-lun Friede. burôt (P) Recht, Gerechtigkeit. bursedny segnen. byd-in, davon als Adverb byd-ind etc. — bydlaÿ etc. byd-tor Ales. bydtas Garten. D. dastüdtsiny — dasedtsiny. (dekab), dekabr December. (deñga) halbe Kopeke. (dert), d'ert ja. ! devjasil — devesil. (dod”) Fuhrwerk, jur-vyla d. Kibitke, laïkan-d. Kutsche, t$ürs-vylsa d. Achsenfuhrwertk, t.-v. vor-d. Wagen. dolüdny — dolydmüdny. dolüdt$iny erfreut, erquickt, erleichtert, getrüstet werden. dolyd-in Paradies. (donguz), dongus, tyngus-d. (?) Schwein. (dor) jugdan-d. Morgendämmerung. doréan-in — dort$an-in. dorsiny — dortäiny, — dorsis Schmied. (doz), gor$a-d. Krug, juan-d. Trinkgefäss, Glas, la- pyd d. Teller, püZalan-d. Kasserolle, pym-va-d. Theemaschine, sa-va-d., $üd-va-d. Tintenfass, $o- jan-d. Schüssel, tSynôdan-d. Räucherfass. (düra), jur-ulsod-d. Kissenüberzug. druzka (P) Freundin. dy$-lun Faulheit. dyZjos — dyxôs. (d/al) Schlittenkufe, giitan-d. Lineal. déera vidény anschen. dzimbyltny schmeicheln, liebkosen. déon vidéan olan vylan (Grussformel). (déormyny) blühen. (d/ôrmalny) = déürny. déurkjalny (déurkjavny) niséern, knarren. _ dZünsalny (P) — dzeñdyny. #. ap ot Tiefe. _ (ebüstôm) gichébrüchig, gélähmt. elinsa griechisch. | em-bura vermügend, reich. em-burtüm arm. em-lun Dasein, Wesen. em-luna wesenhaft, ôti-e.-1. gleichartig, einheitlich. (ema), byd-dyrji e. ewrg. emyi — em. (eskyny), bura esky$ gläubig, veékyda e. rechtgläubig. eskytôm-tui Unglaube. eskôm-tui, in abu-e.-t, Unglaube. etsüm solch. G. (gaZa lun) Festtag. gazüra (P) froh. gazôrasny (P) = gazmyny. gaZtom-lun Betrübniss, Langeweile. (giZôd), veZa-bur-juôr-g. Ævangelium. giZtan-jitan-puktan-in Druckerei. (glist) (P), glista Fingeweidewurm. (gognitny), jurôn g. den Kopf schütteln. gorny — gorüdny, gorüm Geschrei. gorût (P) Geschrei. gospüdsvuitny herrschen, regieren. gôgôrüt (P) Umgegend. gôgresoo (I) rund. (gürmüg), vôl-g. scharfe Fetthenne (Sedum acre). griva (P) Mähne. k, ierei Geistlicher, Priester, ydzyd i. Hohepriester. (in), enoltüma in Wäste, kelman-in Bethaus, — inyn, imô anstait. ina-arta Beamiter. intas Land, Gegend. (isa, iska), bur-i. wohlriechend, Le -i.-tor Räucherwerk. islaltyny (islavtyny) — islalny. itseti Kindheit. (iz), jugyd-i. Brülant. (\üz ï., $üd i.) Bleistift, lya i. andstein. (iz-ki), ki-pom-i.-k. Handmühle. iz-va der Fluss Ishma. (izny), izyS Müller. d. (jai), bala-j., yZ-j. Schaffleisch, kukañ-j. Kalbjleisch môs-j. Rindfleisch, pors-j. Schweinefleisch. jaisi$ny Fleisch werden. jJanvar Januar. 297 des Sciences de Saint- Pétersbourg. jazytSnik (P) Heide. jem der Fluss Wym. jem-dyn die Stadt Ustwymsk. jenmüdny güttlich machen, vergüttern. jensa gôttlich. jeparkia Æparchie. jepiskop Bischof. jepiskopsa Bischofs-. (jitny), giztan-pas vylô jitny puktyny drucken. jokmylsiny — jokmylttSiny. jomala Gott (der heidnischen Syrjänen). (jo$), iztôg-j. Schwefelhôlzchen. Jôgor — Jegyr. (jüktyny), joktyS Tänzer. (jürtod), jürtod vidzis Gärtner. (jôtkyény), t$elttSiny j. läugnen, verläugnen. (jualny), j. tôdmalny forschen, sich erkundigen, verhôren. (jugyd), mu-j. Welt, Weliall. (jukalny) theilen. (jumol), $om-j, süsssauer. juüktôdny #ränken, zu trinken geben, vordny j. bewirthen. (jurôdz) Kopfgestell. | K. kad-dyrsa 2eitweilig. (kaï) (viZ-k) Ammer (Emberiza). kameñ (P) Séeinkrankheit. (kar), (ki-k.) Handrücken, kok-k. Fussblait. kartas, in das-k. Dekapolis. katyny (1) — kajüdny. kayny (1) — kajny. ka/tylôm-lun, än burôn-k.-1. Dankbarkeit. ka/tylôma, ir burün k. dankbar. kaftylsiny — ka/tySny. (kaétyny) sich erinnern, (burôn-k.) danken. (ked/oltny) verachten. kenak (P) Schwägerin. keran-tor Werkzeug, Geräth. _(kerny), ki-pyd-kery$ Handwerker, izün-k. Steinhauer . (kidmôdny) zurück stossen, verachten. kimalny (kimavny) betasten. kindzi — kind/a. (kiska) Hutband. kist (P) Traube. * kisttéem Austreten des Wassers, Ueberschwemmung. kod-lun Ahnlichkeit. (koda) -ähnlich, -artig, jugyd-k. lichtartig, Sondy-k. sonnenähnlich, diolajas-k. wie die Kinder. (kok), kürt-k. Schittschuh. (koktüm) lahm. (koktômmyny) lahm werden. (kola kylny), kola-kyly$ Nachtigall. kolmüdsiny (kovmüdsiny), kolmôüdtSiny (kovmüdtsiny) Lust bekommen. (kolmyny) (P) wollen, nüthig haben, brauchen. kolmy$ny (kovmy$ny) wollen, kolmy$ema freivillig. (kolny), kolüm Wüille, bur-k. Woklgefallen, Woklwollen. kom der Fluss Kama. (koñür) Armuth. (kor), kor ...kor bald...bald, kor-tai wenn nämlich. (korja), kuim-k. Kee (Trifolium). korost (P) Reisig, Strauchholz. koselt (P) Riss. koskôs Hüfte. (kost), kyk-vidé-k. Feischessenszeit (ewischen zwei asten). koza Ziege. kozel Ziegenbock. kozlonok (P) Zickel. kôltôm (Kôvtom) — kültym. (kôm), vylsa kok-k. Séiefel. kôürt (P) Bündel, jur-si-k. Kopfbinde. (kürtalny), kürtalüma Gefangener. (kürtüd), kynôm-ulsa k. Bauchriemen, puküd-vyla Kk. Sattelgurt. kürtôda gebunden. kôs — kô. krinka — krintsa. krukyl Haken, hakenfürmige Spitee. kudjasa mit Kôrben versehen. (kulny), myrdjy$ kulis Räuber. kultümla-lun Unsterblichkeit. (kum), izan-kum Mühle. kunsuk (P) Flockasche. (kustyny) beschneiden. kutSkôb Zeichter Schlag. Kuz männt. Name (Cosimus). (kya), asyl-k. Morgenrûüthe. (kyjan), téeri-k. Fischfang, Fischerei, Netz (2. Fiche (kyjay, kyjy$), téeri-k. Fischer. kyk-t$u/omjas Zwillinge Gkyl) votSa-k. kutny zur | Baoercief zichen. 299 Bulletin de l’Académie Empériale 300 kylmüs Sinn. (kylny}, kôr-kylôm Geschmack, Geschmackssinn. kylan-tui Sinn. kylôt (P) Gerücht, Gerede. kylôttSiny (P) sprechen, Gerede machen, Gerücht ver- , breiten. (kylzyny), kylzyS gehorsam. (kyn) kalt. (kyntyny), kyntôm ÆErkältung. (kyny), kyy$ Weber. kyts — kyts, jur-k. Kranz, kürt-kok-k. Schlittschun. kytSlol (kytSlov) — kyt$ol, sily-k. Kragen. kyt$lola rund, Kreis-. kytSod — kyt$ 4., jur-k. Krone. (kytt$üd£) (mit der Negation) bis, so lange bis. L. (lad, jen-L.) Gottesfurcht, j.-1. tüdys gottesfürchtig, fromm. lañtmyny, 1. ga£myny sich trôsten. (lapa), (ki-1.) Handrücken. (ledény), as ordaz 1. bei sich auf nehmen. leptodny — leptyny. * (leptySny), vylü-lepty$em Stolz, Überhebung. (lettSiny) erlassen werden, vergeben werden. (lok-lun) Schlechtigkeit, Bosheit. loka (P) deswegen. (lola), pez-l. besessen. (lolziny), fañ lol£ema der Teig ist aufgegangen, bara- lol£em Auferstehung. (lony), bara-loôm Wiedergeburt. lôdüs Schôpfen, Schôpf-, 1.-doz Et lüg-t$uZôma grimmig. . Jüman, jur-l. Schädel. (lôn) Stille, Windstille. (on bada-veZa-lun, déorydia-v.-1. Palmsonntag, gos- podlün ve$em-1. Verklärung Christi, jenmüs t$uz- tySlôn bur-juôr-$etôm -L. Mariä Verkündigung, j. t$. tSuan-l. Mariä Geburt, j. t$. vitékoô vajô- dôüm-l. Mariä Reinigung, jugyd-sizim-l. Oster- woche, jugyd ydZyd veZa-1. Ostern, Kristoslün lepty$em-l., K. lepty$an-1. Christi Himmelfahrt, K. pyrtt$an-l. Epiphanias, K. t$uzan-1. Weihnacht, ñolôd-l. Donnerstag, perna-leptôm-l. Kreuser- hôühung, vetymynôd-1, Pfingsten, veZa-l. Sonntag, veZa-kuima-l, Trinitatis, veZa-lol-1. Allerheiligen, # vitod-l. Freitag, ydZyd-nolôd-1. Gründonnerstag, ydZyd vitôd-l. Charfreitag. lun-dor Süden. lun-dorsa südlich. up lup (vom Patschen durch den Koth). M. maibyrtalny (maibyrtavny) — maiïbyrtny, maiïbyrtalôm Lobgesang, Hymne. malalôm Gefühl, Tastsinn. maty nah. mat$a nah, benachbart. med (P) Rer. (melhnit$a), vaün izan m. Wassermühle, tülôn izan m. Windmühle. mitropolitsa Metropoliten-. mitsmaény schôn sein, hübsch sein. mogmy$ny, — davon mogmySem Lage, Verhältniss; — Noth. monak Môünch. monastyr AXloster. monastyrsa Xloster-. (mortä), morta mortôs einander, Einer den Andern. mortsa menschlich. (moz), mozün (als Postposition) wie, gleichsam wie. (môd/la$ny), vistaény-m., müd/lagny vistaény Busse fhun. mudémyny — mud/ény. (munny), dynty m. vergehen, vorüber gehen. munty$ny £ommen, heran nahen. muôs (1) — môs. (murtas, murtôs) Wegstrecke, Werst. (musa 2.), m. olny Zeben, vylty-musaüs kerny ehe- brechen. musmüdny licben, uZ-musmüdüm Arbeitsamkeit. musmüm-lun Liebe. (mu), (mala-m.) Hummel, (P) Bremse (st. bala-moÿ?). (myi), myiôn kü (c. sajut) durchaus nicht, keineswegs. (mylkydtümasny), mylkydtümasem Unocinifs: Irrsinn. myna bezahlt, losgekauft, frei. myrdmüdny — myrdjyny. myryl (P)= myr. myS$an Waschgefäss, ki-m. Handbecken, Waschschale. (myZdyny), bürjüdny m. verurtheilen. (myZmyny), kulôm vylü myZmüma er hat den Tod ver- dient | myZsiny — myZmyny, myZsem Sünde. des Sciences de Saint -Pétersbourg. N. nadi-lun Geiz, Sparsamkeit. (nem), n. pomasem Ænde der Welt. nemja ewig. nilzan Schwitzbad. (nima)-namig, sy-n. der und der. (nimalny), nimalôm Ruhm, Preis. (nirtan) Säge. (nirtny) sägen. nitkal Mitkal (Baumwollenzeug). (noga), mukôd.-n. andersartig, neu. nojabr November. (nomsalny), nomsalüm Schwangerschaft, scheraw. ñoñedtSiny — ñoñasny. ñoZtôm (P) — noëtôm. ñôba$an-vuza$an-in Kaufplatz, Markt. nüZünikôn almählich. (urgyny) mwrren. (ñuZôdny) fortsetzen. (nyrôm) viell. st. nyr-ôm, vgl. vom. 0. Ode weiblicher Name (Awdotja). oktabr October. (olan-in), kuljas-o. Hôlle. oljalny — olgyny. olmo Apfel, olmo-pu Apfelbaum. (olmüdt$iny), olmüdt$em Woknung, Aufenthalt. (olny), bur olôm Glück, Wohlergehen, omül o. Unglück. (omôl), omôl-kutys Feind. Ô. (üksiny), dk$em Sammlung, Versammlung, bürjüdan 6. Gericht. üksyny herrschen. ültod Füächer, Wedel. (ôt-vyiôdny), ôt-vyiddtôg, ôt-vyiôdtüm unvergleichlich. üti-ema gleichen Wesens. 02 (P)— voz, gôür-ü2jes Gabeldeichsel am Pflug. : | P. pametnik (P) Denkmal. (pas) Kalender, giitan-p. Buchstab. (pasjalny) zielen, auf’s Korn nehmen. (pasjyny), pasjôm Zeichen. (pa$kôm), vyly-p. Oberkleid, Rock. patriark Patriarch. Pedesüi männl. und weibl. Name(Theodosius, Theodosia). perjy$ny sich heraus arbeiten. pesük (P) Sand. pezlalny (peZlavny) — pezalny. (pi), pyrtan-pi Pflegesohn, Adoptivsohn. (pian) Kinder, por$-p. Ferkei. (pidéüs) Absatz, Glied, Knoten (im Halm). Pilip männt. Name (Philipp). pimiam Weikrauch. (piñol) Egge. (pirag, pirôg), jai-p. Fleischpastete. pisküdan Pfriem. (polan) furchtsam, feig, — Feigling. polüga furchtbar, fürchterlich. (pom), vodé-p. Anfang, Beginn. pondüs Anfang. pondüsa einen Anfang habend. pondyny — pondüdny. porok (P) Fehler. (potka) Niere. (pot$üs), téeri-p. Fischwehr, Wehr. pot$tar (P) Postknecht. (poény), poéem môglich, abu p. unmüglich. poZem — pozüm. (pül), giZan-p. Schreibtafel. Püras (P) weibl. Name (Praskowja). (pürjalny), pürjalôm Lüge, Betrug. pôtas — pütüd. pravnut$ka (P) Urenkelin. Protô männl. Name (Protogon). propoveduitny predigen. pudüvôi Tschetwerik (ein Hohlmaass). pukasa von einer Statur. puklüdny ausbreiten. puktylsiny — puktySny. (puktyny), kolôm p. für nôthig erachten, .. gleich setzen, vergleichen. : (pukty$ny), syly oz puktys es isé nicht verbindlich für ihn. (pul) Beere (speciell éco pydy immer. pyisa — pyisa. pyrskyény eindringen. | : (pyrtny): » pre mi bekümmern, sr be- . kod' p. pyrtodny — port. Bulletin de l’Académie Impériale (pyzan) Sessel, Thron. (py£), üdôn munan p. Dampfschif]. ER, radmyny froh werden. falzyny (favzyny) — ralzyny. ramôt (P) Sanfimuth. resnitsa (P) Wimper. rezjüdny — rezgyny. (rüdja) èm Trab, im Trab gehend. (rômyd) grau. rôs rôt — rüd. rôtja — rüdja. rud£ schwach. rumanitsa — rumana. rysak (P) Traber. (rytja-vyl) Abenddämmerung. S. (sabla) Messerfisch (Cyprinus cultratus). sajüg — sajü (Sam) Weise $am-n0g Gewohnheit. $am-tSupôd Abtheilung, Classe. (Sama) gewühnlich. (seky) = sek. sentabr September. (seralny), seraly$ Spüôtter. seralsiny — seralny. serebro (P) Siber. (se$$a) ferner, und. setün — set. (setny) gewähren, erlauben. sluna (V) — déu Loch, Verticfung. éoia lehmig, thonig. solmüdny (sovmüdny) salzen. solmüdtSiny (sovmüdtSiny) sa/zig werden, solonitsa (P) Salzfass. som (I) und die Ableitungen davon — $om ct. (sorla$ny) sich versehen. (so$siny, su$siny) zuräcknehmen, wegnehmen. SülmôüttSiny (P), in bur-s. sich erbarmen. éolôm-lun, i# bur-$. Guéherzigkeit, Güte. $ôrna inter einander. (sürny) keifen, zanken, sôrôm, süran Gezänk, _—. Faselei, FES Geschwätz. (stupeñ) Séufe. subota — subôüta. (sultny), votsa sulty$ Widersacher. sultôt (P) — sultüdan. suüdt$iny wmher schlendern, sich umher treiben. supoñalny(P) den K triemen an zichen, das Kummet zusammen zichen. svad'bôüvüi (P) hochzeitlich. Symôt (P) Rost. sy$ja$kon — sy$jasan. LA S. Sanga Pfannkuchen. (Sat), 8.-t$etvert fünf und zwanzig Kopeken, $.-diyn halber Rubel. Sebyr Decke. Sedy$kytyny bemerkbar machen, zeigen, belehren. (Sogalny), Sogalôm Xrankheït, Sogaly$ krank. Sogmôüdny — Sogüdny. Sogmôüdtsiny, sogmySny, Sogny, Sogy$myny — Sogsiny. (Soi) Kôürper, Leib, veZa $. Reliquie. (Soimyny), Soimüm Abgezehrtheit, Blässe. Soitôm £ôrperlos. (or), ju-Sor Bach, Fluss. (Sôr), Sorô vony bestürat werden. Sôryon — Süry. Sud-vylja Glücks-. Suôdny nennen. Surin Schwager, Bruder der Frau. Surol lufttrocken. SuSkôdtSiny — Susüdtsiny. (Sy), jüla Sy Echo. Syts! sél-stul! P, (tai) denn, nämlich, myi-tai — tai. talny = talalny. à (tas) Gegend, tasyn an, längs. (tasa) an oder bei ehwas befindlich. tatarin (P) Kratzdistel (Cirsium). (telega) Karren. temja (P) Scheitel. (tetény), lyd t. rechnen. tipiktyny ziffern. titsa (TD) V4 | ogel, 54 tüblôs Fingewickeltes, Plätechen. 2 (tüdny), bur tôdy$ dankbar. 305 des Sciences de Saint -Pétersbourg. tsep (P) Kette. téyrs (P) = tSdrs. (tSapa, in kvaït-t.) Schnarrone (Crex). tSeglasi$ zerbrechlich. (tselttsiny) sich werfen. (t$er) — t$er. (téeri) — tseri. (téerkjol) ausgestreckt. (t$im) — dZim. (tSipan) Huhn, ai-t. Hahn. tSitser feiner Regen. (téorp, t&orp) (P) Rückenwirbel, Wirbellnochen. (tSôktyny) erlauben, t$üktôm Gesetz, Befehl, abu-t$ük- tôm, tSüktytôom Gesetzwidrigkeit, Übertretung. (tSôts), t.-keSjalys Mitknecht. (tSôtSja) gemeinschaftlich. tSôtSjalny (tSot$javny) sich vereinigen, sich verbinden, tSôtSjalôm Gemeinschaft. (t$üZ, t8oZ), t.-ai Oheim, Mutterbruder. (t$üZ-ii) ModtsriGhiresier. | t$éukôs Ruf. (téuküstt$iny) krähen. (tSukyla) — téukla. t$uleb — téulk. tSulütny (P) (die Zeit) zu bringen. tSuskys Igel. (t$u26ma), lüg-t. grimmig. tSyrs — téürs. tui-veZsan Kreuzweg.. (tuia), ai-t. Künstler. tuja — tujana. tujmüdny — tujüdny. tujmôüdtSiny — tujüdtsiny. (tujsiny), gebühren, — = tujny tujsem-lun Würdigkeit, abu-t. Umvürdigkeit. (tuktas) Geschwulst. (tuna$ny) errathen. tunalny (tunavny) rathen, errathen. tunjalny (tunjavny) = tunalny. (tuny), tuan bydman (Grussformel). tura (P) — turi. tydôs Bild, tydôüsa irgend wie aussehend, Sog-t. traurig aussehend, sauer sehend. tykô = tykôs. typ, typ-pu Æiche. (tyr-lun), bur-t.-1. Freigebigkeit. (tyrtny) beendigen. tySkôs Gefecht, Schlacht. U. udZjüsalny (udZjüsavny) schuldig sein. uksusnit$a (P) Essigflasche. ulmô, ulmüs Apfel. ultyrttSiny erniedrigt werden. (ultys) Unteres. urpyñ Xotz. LE (va), Sôd-v. Tinte. (vartan), doran-v. Schmiedehammer. (vartny), vartny viny erschlagen. (varys), tSalkan-v. Habicht, (vat$kan) Drossel, Wachtel,(kvait-v.) Schnarrwachtel(?). veko (P) Augenlid. velôt (P) Lehre. (velt), gyna jur-v. Mütze. (vem), (jur-v.) Gedächtniss. (vermasny), vermasis Kämpfer, Raufbold. vermôs — vermÜg. vermôüsa stark, kräftig, abu v. schwach. (vermyny), vermüma müglich, abu v. unmôüglich. vernüi éreu, zuverlässig. vers (1) = verst. (vesküdny), vesküdys Art. vesküdlyny — vesküdny, vül-vesküdlan Leine, Lenkseil. (veskyd) Redlichkeit, abu ve$kydün fälschlich. (veskyda), v. oly$ gerecht, rechtschaffen. veskyd-tui — veskyd sbst. ve$kydmyny gerecht werden, gerechtfertigt werden. Vetja Wjatka. vezaalôm-lun Neid. vezôg Eifer, Neid. vezôr-tui, mylkyd-v.-t. Weisheit. (veZsiny), gospodlün veZ$em-lun Verklärung Christi. (veZyn) krumm, schräg, schief. (vidtSi$ny), votés vidtéiéeim Zank, Streit. (vidéan), dod-v. Wagenscheune, Remise. Su-v. Korn- scheune, Kornkasten. vidéaün sichtbarlich, ôffentlich. (vidéedny), vidéedem Blick. (vidéedt$iny) = vidzi$ny. vidées Wache. 307 Bulletin de l’Académie Impériale vidémüdtsiny erscheinen, sich zeigen. vidé$a munter, wachsam. (vidési$ny) wachen. Vikul männl. Name. vinogradnik (P) Weënberg. (vira)-blütig. virdalan Blitz. (visem), kid-v. Chiragra, Handgicht. viser der Fluss Wischera. (vi$ny), Sdlômüi vise (mt ]ylyS construirt) mir thut leid. (vistodny) bekennen. (vitny), (vitom) Leid. vnutska (P) Enkelin. (vodi) vorderes ÆEnde, Vordertheil, Vordersteven, (asyl-v.) Anbruch des Morgens, vom-v. Ausfluss- rôhre am Fasse. vod/oltyny zuvor kommen. (vodzôs) Lohn. vodisôs — vodzüs. voisalny (voisavny) äbernachten. (vom), (nyr-vom) Mund. vorota (P) Pforte. (vorsan), kytSlola v. Reihen, Reihentanz. vorsmy$ny sich in’s Spielen vertiefen. (vorsny), vorsys scherzhaft, lustig. (voSny), ylasem-voSsôm Versuchung. vossiny verloren sein, in der Irre gehen. . votésüs — vodiüs. vottSiny pflücken, sammeln (Beeren). (voZ), vozjas Heugabel. (voZa) sbst. Grabel. (voZalny), veZürün v. zweifeln, Bedenken tragen. voZla$ny — vozalny. (vüipôdt$iny) — vôüipsiny. vühny — vüñalny. vüreg (1) Feind, s. vrag. vôtSsiny — vôt$edtsiny. vôttSiny — vottsiny. vôtty (U) vorher. (vudZny), t$ôktômôs v. das Greselz übertreten. vugôrttäiny schläfrig werden. (vunüdny), bur vunüdys undankbar, b. vanôdüm Un- dankbarkeit. _vunôdtéem Vergessenheit. (vurny), kôm-kot vurys Schuster. (vu), t$u/an-v. Generation, Geschlecht. vuztômsiny ausgereutet werden. vuztomtyny ausreuten. (vyd-tyra), as-v.-t. eigensinnig. (vylys), vom-v. Gaumen. (vyn), ty$ka-v. Heer, Soldaten, Krieger. vyn-tui, tySka-v.-t. Heer, Heerschaar, Armee. vyndüdny — vynüdny. vyamüdny — vynüdny. vzduk — zduk. É, (ybsa) wild. (ybôs), müd dor$añ vostan y. Flügelpforte, Flügelthür. ydZdalny (ydZdavny) séolz sein, sich überheben, ydZdalôm Stolz. (ydZyd) Herr. ylalsiny — yla$ny, ylalny. ylôd, ylôdlan-lun Schalkheit, Hinterlist. (ylôg), ylôg vistalys falscher Zeuge, (ylôgô pyrtny) ver- suchen, überlisten. ylsôg Versuchung, Tüuschung. yrsküba schnell, hitzig. (ySmüdt$iny) lüséern werden. (yStô) dass. (yt$!) st! ytSkan-in — ytSkas-in. (yt$kas-in, ytSkôs), turyn-y. Mähwiese, Heuschlag. zapoved (P) Gebot. (zduk) Minute. (zeldZyk, zevdzyk) lieber. zofa — Zofa-turyn. (zy), ma-zy-ai Drohne. zyl-lun Fleiss. zylsiny, zylziny = zylny. 2. Zabry (P) Kiemen der Fische. Zertvennik A/far. (Zynjan) Glockenblume. Wotjakisch. A. (abi) Grossmutter, — Schwiegermutter des Mannes. adarynyny geloben, adarynon Gelübde. ad'iny ec. — adziny und die Ableitungen. 309 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 310 -Adyl männl. Name. ad/ontem blind. aeson — al$on. (agar) wenn, wenn nun aber. agarda — agar. (ai), tubat-ai Séammuwater. aison, ae$on, asjan, oSjan London der Weiber in Fe einer abgekürzten Pyramide. akaska Ostern. akoja$ki, zin ein dreitägiges Frühlingsfest (Freitag, Sonnabend, Sonntag), wohl dasselbe mit dem vor- hergehenden Worte. aktyk Schluss, Letztes, Rest. akyr künftig. alat$a gestreifte Leinewand. albast ein büser, neckischer Geist. (aldany) an locken, verlocken. aldartaz Betrüger. aldatyny — aldany. allak — avlak. alida ein büser Waldgeist. altynatyny vergolden. (ana) Feldstreifen, Feldbreite. (anai), t$uZ-a. Grossmuiter. Andrei männl. Name. a — añg, Kinnlade, a.-ly dass., — Wange. aña — ana. Apa männl. Nains, (apai), t$uz-a. dltere Mutterschwester, badzim a. jüngere. (ar), vil-ar Neujahr. (ar, är) är-tôrli allerlei. argamat Zelter, Passgänger. arjan Buttermilch, überfrorene und mit der zertrüm- merten Eisschicht zusammengeklopfte Mick. armys jährlich. (arña) biger-a. Freitag. artana — ardana. a$kyny st. adzi$kyny. _ a$jan s. aison. atalmaz (eine schüne Wiesenblume). atalt$i ein wohlriechendes Gras (Anthoxanthum odo- ratum ?). aulak — avlak. (ai), dürem-ai Bruststück am Hemüe: — — ai erste, ai- lañ luyny gelingen. azab—azap. azan der Ruf vom Minaret. : (azap), azap adziny zu leiden haben. (azaplany) quälen; leiden, zu leiden haben. (azgyn) Schlechtigkeit. aziny schlecht werden. azlaysen vorher. azmak niedrig. B. badagauz ug vylySky er hält sein Wort nicht. badan Æimer. (badzim) älter, erstgeboren. badzimlyk Ærstgeburt. badzym — badzim. bagada — bagada. bagalma Apfel. bagyl, bagyles — babyl, babyles. Baiïmet, Bairan männliche Namen. (bak) séwmm. * bakel luyny verzeihen. baskôtS, baskyt — baskyts. (ba$tyny), dunen b. kaufen. basylyny ruhig werden, sich beruhigen. batman zehn Pfund. bazyny sich aufrichten. begloi Läufling, Vagabund. bekt$e, bekt$e — betske. beralja$kyny — bergany. bereketo gesegnet. berekty$kyny — beryktySkyny. (beryktySkyny) sich verwandeln betske — betske. biñalja$kyljany, biñalja$kyny sich ein wickeln, sich ver- hüllen. binalton Fusslappen. biz (sweisse) Schminke. bodyk — body. bor$an, bor$any efc. — vorsan, vorsany etc. borsatyny ein schliessen lassen. borys-vetlys erster Theil der serie botan Plumpkeule. (bür), bürlañ zurück. bürdzedny zum Weinen bringen. brato Gebrüder. budnik Minze (Mentha). bujol = bujou. : NN Bulletin de l’Académie Impériale bul Xohle. bulgan was da ist, vorhanden. bulyk Magenschmerz, Kolik. burany stürmen. burlak Arbeiter auf Schiffen. butmar um den Hals gehende Schnur mit dem Schlüssel. butmarka Leibschnur mit Kämmen. (byd), byden byden im Ganzen. (bydmyny) wm kommen, adiem bydmemte Hass. (bydsa), bydsa, byttysa s0 gross wie, so viel wie. (bydtyny) c. Gerund. für «vollends». bydzym eéc. — badzim. (byrgy) metallene Rôhre. byrkentsi Schleier. byrtet Zipfel des Kopftuches. byrtyny benähen. bytsy Leuchthäfer, Johanniswürmchen. byttysa — bydsa. byziny — biziny. da und, aber. dada Vater. danly ehrwürdig, berühmt. darali Seide, Seidenzeug. Darja weibl. Name. dei, dejmyny — düi, düimyny. (den), den uti$ Priester. dera, derem — düra, dürem. (deulet) Gnade, Segen, Überfluss. deület, deületo — deulet, deuleto. diakon Diakon. dolkany séwmpf werden. dolkatyny séumpf machen. dongySkyny sich bewegen, sich schobeus rücken (intr.) dorôs — dürüs. doska Tafel. doskyt — dzoskyt. (düdi), d. kuSton Mariä Verkündiqung. dôl — jôl. Dôra weibl. Name. | (dürem), nyl-ky$no-d. Weiberhemd, pijos-d. Münner- . hemd, Sod-d., Sot-d. Jacke, Kamisol ohne Armel, — leinener Oberrock (2). taie D été dukta — dukja. dulany àrgerlich werden. (dunja), jugyt-d. Aufenthaltsort der Seligen, Himmel. durmek — jurmek. durt — jurt. dusjet ein Halsschmuck (zwei mit einer Schnur über den Hals gehängte, mit Münzen benähte Lein- wandstreifen zu beiden Seiten des «gurnes»). duvany — juany. duZany, duzyt — dZuzany, dzuZyt. dû — ju. dyn = dzijyn. (dyn), dynaz zu Hause, nach Hause. {(dyr 1.) vg/. $S. dert. (dyr 2.), vüi-d. Butterwoche, Carnevalwoche. (dyrja), ta d. jetzt, heut zu Tage. dz... (die so anlautenden Würter s. auch unter j.… déardyny Morgen werden. dées — diets. (déets), d. karyny heiligen. déet$jiralny, déet$yralny sich schaukeln. déet$i — dzizi 2. d£eziny — zeziny. dziget ehrlich, redlich. dzigetlyk Æhrlichkeit, Rechtschaffenheit. à | dzijin, dzin, dzyjyn Versammlung, Gemeinde. dzilkyndyryny an spannen. dzingyr déañgyr laut tünend, kling klang. dzolgri — déorgyli. (d/oskyt), d. karyny beengen, sich drängen. dzôk, dzük Fuhr. dZôt8i — dzizi 2. déumalanyny, in kyk-kylo déumalanys Heuchler. déumart, Zumart freigebig. déumyny — zumany. dzutkam Zeug mit gewebten Mustern. déuZda — dZuda. dzyjyn = dzijin. déadZi, ZaZi — dZadz (S) Wandbrett, Regal. (dZokatyny) drücken. dzôk — dzek. dZujy — dzui. dZutytyny auf heben etc. lassen (vgl. dzutyny). (dZyt), d.-pal Westen. 313 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 314 E. chyr Geist, geistiges Wesen. egsany reifen (tr.), Reifen auf zichen. egyT — ÜLYT. egyzen — igyzen. ener und die Ableitungen — eñer etc. eñnertsak — enertsak. erkyjaskyny lieb werden. (erkyn), erkin frei. (erkynlyk) Freiheit. erton Sérumpfband. (eryk), erke nach Wohlgefallen. Esenkul männl. Name. (eryksyz) unfreuvillig. (es) Verstand, Besinnung. (esep}, eseb Termin, Anzahl, — Verstand. Estek männl. Name. evol, evül — evyl. (evyltem), e. ponna ohne Grund, fälschlich. eéel e/eltem — ezel, ezeltem. ezyly$kyny schmelzen (intr.) G. gadel gerecht. gadellek Gerechtigkeit. gaitan mit Münzen benähte seidene Schnur. ga$alo auf dem Rücken (liegend). gertyny, kirtyny séricken. gidka, gidk’-a/ — gid, gid- af. godkany gackern, falzen. Glaz die Stadt Glasow. gonéyrtyny éraben. gordomyny roth werden. goryb buckelig. goZlyny schreiben. goZmo streifig, gestreift. gôdôri — guduri. gôl Rose. goldyrtny donnern, krachen. Gülzan weibl. Name. gôür Ackern. (gürany), g. poton (ein Fest D. gôürlany girren. gür$ok — gorsok. grafityny liniren. 3 grifel, gripel Griffel. (gu), je-gu ÆEiskeller. gulbetS Raum zwischen Wand und Ofen. gulkoi (glukoi?) taub. gumer — gumyr. (gumi), gumu, uzy-g. Angelika, pyt$al-g. Flintenlauf. gumur — gumyr. gurnes #it Münzen benühter Leinwandstreifen, auf der Brust am Halsbande. gur Läed. gur-ulo, ên t$uZ-g.-u. #nit gelber Brust. (gurt), tserka-g. Kirchdorf. (guZ-dor) Fest am Montag nach Ostern. guzjany bleichen (intr.), düra g. ein Fest zur Zeit der Leinwandbleiche. guzlany rauschen. gürlany sich belustigen. Sy — su. gyltyny glätten, — abspülen. gyYry = güra. gyryk = gyrk. gyryny — güryny. gy$ Berg. ikt$e — itsi. ikym, ikem — itym. ilmer = inmar. indzi — in/y. integyny sich quülen. (inty), kur-ad/on-i. Ort der Pein, Hülle. in/elka Weinbeere, i.-vu Wein. ipostas Person, güttliches Wesen. iposta$o -personig, kvin-i. drei Personen enthaltend, dreieinig. iSka dlterer Bruder. (itsi-moñ) Jüngere Schwester des Mannes, Frau des jängeren Mannesbruders. itsemeñ — itsi-mon. J. (jaby) Mattensack (Kul), Baly. jake oder. Gal), j. SATA aus ruhen. (jal 2.) Mähne (jalbaryny) ch beugen, sich cerbeuen. 21. 315 Bulletin de l’Académie Impériale (jam) Herrlichkeit. jamsyk Postknecht. (jara), tyl-j. Brandwunde. jarsyny zufrieden sein. jate, java gut. (jen), j. Sedtyny Rath wissen, sich zu rathen wissen. (jetyny) 20 kommen, zu fallen. (jez) Metal. jezany mit Draht versehen, oder bezichen. (jir), jir-murt Oberer, Befehlshaber, tsilym-j. Pfeifen- kopf. jiradZ Kopfhkissen, j.-pu Kopfbettgestell. Jjivatyny = jyvatyny. jômys — jemys. jôn — jen. jJugany — jigany. (jugdyny), jugdem Verklärung. jumol — jumal. juno stark, gewaltig. (juon), tol-j. Wänterfest (24 Decbr.), guzem-j. Sommer- test, (29 Juni), sizil-j. Herbstfest (1 Octbr.). jurany deuten. jurmek Wiesel, Kaninchen (2) (jurt), Surest$i-pyron-j. Gasthaus. juSman Umzug junger Burschen und Müdchen an Fei- ertagen mit Tanz und Gesang, besonders à in Häu- sern, wo Kinder sind. juZ Wange. (jüû$) = jus. jyg karyny gewandt sein. jyrjyoy = jirjyoy. jyvor — Jivor. ie (kab), kut-k. Leisten f. Bastschuhe. (kaban) Getreideschober, Getreidefuder. Kabo männl. Name. kabusta — kubista. (kader) Werth. (kaderlany) ehren, kaderlatyny ehren lassen. _ (kadertem) wnanständig. _ kagarlany verfluchen. _ (kagaz), goZlem-k. Schreibpapier. kaisy) swilde Taube M (kakyt) Agat, Karneol. kalai Blech. kalamper Nelke (?). kalyp der Leisten. kamali-kal mit Silbermiünzen benühtes Bandelier der Müdchen. kamzol Kamisol. kañol — kanil. kapkan Falle. kaptsilyk Gnade, Milde. karalty (?), ên ulon-k. Wohnung. karol — karaul. (kart), tür-k. Oberpriester, Opferpriester. kartok Kartoffel. (karyny), subbota k. den Sabbat halten. Raë — kats. katantSi — katantsi. kandan verdorrtes Gras. kaz Vogel. (kazak) Bräutigamsführer auf der Hochzeit. (kebit) Laden, Bude. kebits — kebit. kedzi — kei. keliny liegen. kem schlecht, gering. (kema), kema ulem bere nach langer Zeit. (ken), vil-k. junge, seit ques als einem Jahr verhei- rathete Frau. kendZali — kenali. | (kenir), kvaka-k. Coriander? (kenos), der untere Stock (ju-k.) ist für Getreide, der obere (azbar-k.) enthält Zimmer (korka-k.), welche als Sommerwohnung dienen. keremet Opferstelle, Opfer, — büse Gottheit. keremetka durch das Fuselül veranlasste Krankheit der Säufer. (kesek) als Zugnetz gebrauchtes Stück groben Leinen- ceuges, og kesek vad'es eine Zeitlang, og k. inty nicht allgemein. kesi — kisy. kets — kets. — ket$-pn — Leu (ketse), kot k. was für ein nur immer, all. ket$es — kets. (keZi), kur-k. Bohne. kiamat-tôre der Richter ae. eu bte kibet — kebit, 317 des Sciences de Saint-Pétersbourg. kika, kitska weibliche Kopfbedeckung mit einem hinten herabhängenden Tuche. kilet roth, fuchsroth. kiliny — keliny. Kimofei männ!. Name (Thimotheus). kininy = kyniny. kirt-veñ Stricknadel. kirtyny s. gertyny. kisal, kiseÏ säuerlicher Mehlbrei. kiston Todtenopfer, Trankopfer. kitai Baumuwollenzeug, Nanking. kitSka s. kika. kizyr und die Ableitungen — kizer etc. kobla Séufe. kodfato wunderbar. kokalny ein teigen. koliny und die Ableitungen — Kkeliny etc. Kkolosa Rad. komali — kamali. koñalo — koïal. (kor), Suri-k. Tragbalken. (korbon), k.-inty Opferstelle, Altar. (korka) — kerka (S), Zimmer, Süd-k. Rauchstube, ulon-k. das ganze Jahr hindurch bewohntes Haus, bus-k. im Winter unbewohntes, zük-k. Bethaus. (kort-tSogany) kort-tSogjany. kosak Thürpfosten, Fensterstock. ko$ako mit dem «ko$ak» versehen. ko$o — kotso. ko$tan angesehene Person, Opferpriester. (kotkyny) falzen, vgl. godkyny. _ (kotëo) Schecke. kozma ein büser Waldgeist. (koze) bei. : kôber, küberany — keber etc. küdzi — keäi. küj, kôi Zustand (2), davon küjôn, küjyn als Post- position im Sinne des ehstnischen Essivs, wie nyl küjün als Jungfrau, sukyr k. als Blinder, blind, ulep k. lebendig; vgl. (S) kod, koïd. (küky) (nuny-k.) Tragkorb für Kinder. kükyy$ Wiegen-. or jir-k. Stirnbinde, dürem-kus-k. Hemdschnur, Hemdgurt. küZi — kezi. krüdZ — krei. (kryZ), k. tyl Nebenwind. (ku), kot ku émmer. kudoiï schlecht. kudfavoi lockig. (kui), küi, nañ-k. Brotschaufel. kuiky — kuiki. kujaskon Trankopfer, Todtenopfer. kukt$askyny — kuk$askyny. kukt$any — kukt$any. (kules), kulesy$ wenigstens. kulits Schlüssel. (kulono), k. üvyl unsterblich. (kum), k.-atai Pathe, Taufvater. kumy$ka ungereinigter Branntwein. (kuno) kunoe vetlyny besuchen. (kunoka), auch st. kuno-kva Gasthaus. kunyl Umarmung (2). kupyrjany = kupyrtyny. (kure) in Betracht. (kurektyny), kôt (kyt) k. dass., es verdriesst. kurojo = halmig. kurySky$ Opferpriester. kus-mekan Birkenschwamm, Feuerschoamm. (kuSkyny) verlangen nach etw. (kut), ukmyso k. aus neun (st. sieben) Baststreifen ge- flochtener Schuh. kutt$any = kut$any. kutyrtySkyny glauben. (kutySkon), güryny k. Fest nach der Saat des Sommer- getreides. kümes Kuchen, Fischpastete. küz und die Ableitungen = kui etc. (ku/a), ku/ayn längs, entlang. kuziny, ku£yny auf schichten. kuzirsy — gid-utis der Hofgeist. (kuo) ein Reicher; —korka-k., vyZ-ul-k. Hausgeist, nules k., tel-k. — fules-ñuña eine Waldgottheit, — der Bür. (kva) Zelt, Jurte. kvadi — kva, (kvala) Sommerhütte, Kochhütte, Zelt; — gurt-k. = vo- aékon-k. Tempel, Bethaus, badzim g.-k. meh- reren Dürfern gemeinschaftliches Bethaus. (kvaldem) Bruch, Spaltung. kygeti link. kyktoïies Zeit von zwei Tagen. 319 Bulletin de l’Académie Impériale 320 kyktyny verdoppeln, kyktem das Doppelte, Zwiefache. (kyl) Spruch, Zauberformel, (madiskon-k.) Räthsel, kyr- : Zan-k. Lied, Gesang. (kyl), bergan-k. Drehkrankheit, k.-düi ein büser Geist, welcher krank macht. kylja$kyny die Sprache wieder bekommen. (kyr), bus-k. Wüste, Einüde. kyryé liegende Harfe, Gusli, vgl. kreé, krüd£. Kkyryz = kryz. (kyskany) ziehen. (kyskyny), tamak k. Tabak nn. (kyS), tSyrty-k. Halsschmuck. ky$! (scheuchend). (kyëet), pitsi k. Brustlatz, pel-k. von den Weibern ge- tragener rother Kattunstreifen um den Kopf. kyStyr kaëtyr! (v. Rascheln). kyti, kytti #0 hindurch. kyt$-pu — ky$-pu. kyt$eltyk Schimmer, Schneeglanz. (kyzmet), k. karyny dienen. kyzynyny angezogen werden. L. lag Wald. lakyttem hässlich, unfreundlich. (lapeg) klein von Wuchs. (lapt$a), laptsa Æhebett. _ lapuska Klette. - ledziny — leziny. lek — lük bôs, schlecht. lekatyny stossen oder stechen lassen. Yektsi, lektSi der Bôüse. lelany zwinkern. lemta, lenta Band. letsket Wiege. lineika Lineal. lomy$ Gesträuch. 101, lübtytyny — lüptytyny. (lud) Wald, heiliger Hain, badzim 1. dass. mehreren Dérfers gemeinsam ; = = keremet büser Geist. (lugy) Kleite. _ Jukatyny sammeln lassen. (luny), luyz Ke no sei es nun. lusjany — lusjyny. (latékyny), lut$kemen heimlich. (lym 1.), La lym-Syr Mittag, Süden, 1.-$.-pal Süde (lym 2.) pe | Iyntyr Rate un Auftreten). M. mad — madon. maigany Séangen auf richten. majaljany betasten. majaljaSkyny = majalja$yny. majyg — majeg. (make) irgend etwas. (malpany), d£ets malpam Segen. manara Minaret. mändä — mende. maner Form. manet Werth von einem Rubel. Marja weibl. Name. Matron weibl. Name. matSit Metsched. meda — medam. mende, mändä Xnecht, Magd. mertsiny, mertsiny splüterig werden. (meza), aña-m. Feldrain. mitSiny — mitsiny. mogatyny auf halten, verzügern. momy — MUuMYy. | morjo — mofo. mot ausgelassen, wild. (mozmytyny), mozmytyS Heiland, Retter. müs — muÿ. (mudor) Onfstéshrant in der Kochhütte, Gütze, m. .-utié Opferpriester. mudortsi — mudor-utis. mudrana = mudran. muly — muli, poi-pu-m. Haselnuss. (mumi), m. kaltsina Mutter des Gottes inmar, guduri-m. Güttin des Donners, Sundy-m. Güttin der Sonne. (munt$o) ein Ballspiel. (mufo) Schornstein. : (murt), jir-m. Oberer, Vorgesetster, juon-m. Süufer, palas-m. de büser Waldgeist, vu-m. Wasser- geist. | Musko — Muskou. mutson — myty$kon. 321 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 32? (mut$), vuy$ m. Insel. (nyd), Sulo-n. Peitschenstiel. (mue), muze, auch st. myzen. nygyli Kugel, iz-n. runder Stein. mus — mus, (nyl), kazak-n. Brautführerin bei der Hocheeit. (mydlañ), myd-mydlañ hierhin und dorthin. pyn, nynal, nyna/e — nun efc. (mylkyd), solen mylyz-kydyz kilem er wurde zornig, | (nypy), nypyet Tragetuch. mylkyd ponyny verlangen. (nyr), tyl-n. Schnuppe. (mylkydo), badzim-m. äbermüthig, stolz. mynt$o — muntso. Re mynt$yktjaskyny — mynt$yktjany. obin Darrscheune, Riege. myrk, myryk — myr (S) Baumstumpf. Obra$ka männt. Name (Ambrosius). my$— S. Rücken. obyda — obid, o.-ky$no Hexe. mytskon s. mytsyékon. odig, odik — odyg. mytsy$kon, myt$kon, mut$on, x vyle-m. Opfer, v.-m.- odigeti — odygeti. "als Opfertisch. Odokta weibl, Name (Awdotja). (odyg), odyg og érgend ein. : N. (og), og ogez bere Æiner nach dem Anderen. nakaz, nakazjany — nakas etc. -0giien — ogiñe. (üala), kud fi. bis wann, wie lange. oktet, èn jir-si-0. Haarflechte, Zopf. altas — naltaz. (olip) vgl. alipa (S). (añ), kvar-û. Pfannkuchen, pel-û. gekochte Tôrtchen. | "lanka Schrift und Adler (ein Spiel). napes Dickes, Bodensatz. ortsontem wnvergänglich. des Wok: | ortSiny und die Ableitungen — ortsiny etc. fat Get ost, oste — 0Sta. nerad àrgerlich, verdriesslich. (oSany) passen, nach dem Sinme sein. nimjaljany — nimjany. (oSatyny) nach bilden. (nin), niñ, n. puppy junge Linde (zur Bastgewinnung ofjan s. aison. geschält). (o$on) Kleiderhaken. nono mit Brüsten versehen, — Mutter. oSytyny auf hängen lassen. nonok == nony. oti, otti dort hindurch. (ôl) Wurfpfeil. otSorany, otSoratyny — utSirany eéfc. numor, numores — nomyr, nomyres. ous. OÙ ae (ñuña), fules-n., t$atsa-n. (= ñules- Kuño) eine Wald- | (0%, ozi), ozi luyz kü no dessenungeachtet, ozi ozi so und 80. gottheit, de Bür. (nunal), badzim-n. Ostern, keremet-n. Festtag nach der Ernte, tulys-n. Festtag nach der Saat im Früh- jahr, vül-n. Sommerfest (20. Juli), nunal adziny leben, eine Lebensart führen. nunyka dèmin. von HBye nurt Schlitten. (hurtytyny) äberschvemmen lassen. (furytyny) bedecken. furyty$kyny, davon nurytySkem, iurt$kem Verwirrung, — Krebs, fressendes Gescho ür. nuëy Faulenzer. nuytyny, nüetyny tragen lassen. nünä — fu, fuña. ozbor Einzäunung. Ô. üdany bitten. (6jany) fluthen, schiwvimmen. (mes), gord ü. Himbeere. ürekt$an, ürykt$an etc. — ürykt$an efc. (ôrykt$any) betrügen. ürykt$askyny irren, sich täuschen. ôttéany rufen, ein laden. PL: padza — pad/a. … [(paga), pagdia Zreppe. 323 Bulletin de l’Académie Impériale paidatem wnvortheilhaft, unnütz. paky Messer (kleines). (pal 2), pala, pal aziSen von fern, og pala bei Seite, og palan auf der Seite, zur Seite. palas s. murt. palat Pritsche (unter der Stubendecke). palats — palas. paldyny schwärmen (von Bienen). paltkaskyny über laufen, über fliessen. (papa), Sôd-p. Adler. paren Bursch. (pars, pary$), paris, kyr-p. Wäldschwein. paskany — patskany. paskatyny — patskatyny. paSpurt Pass. pater Quartier, Wohnung. Paviol männl. Name. paza$kyny sich verbreiten. pegdziny = pegziny. peizdyny — pezdyny. pelat (it Zahlen 2. B.) kviñ p. in drei Theile etc. (peles), kut-p. Sérippe am Bastschuh. peljany — püljany. _ perepets Xeiner Pfannkuchen. peres — püres. pertsyny, pertSytyny — pes-ai — pets-ai. pester, pet$ter geflochtener Korb, Kober. Petka männi. Name. petlaéan, petlo, petlon, petlos — pedlasan etc. petset — petsat. petseto, petSeto mit einem Siegel versehen, versiegelt. pet$ter s. pester. pet$surka Ofennische. (pi), kazak-pi Bräutigamsführer bei der Hochzeit. (pildyny) sich bewülken. (pinal), piñal jung. (pirog) Torte. pis = pis. Pitas männt. Name. pitsi = pitsi. pityres rund. (piZni) Dohne. plaë — ples. podjas Schreiber. podmes Bienenstock. pôrtsiny ec. (podon), dzu-podon Ofenherd. (ponyny), kyl p. sich besprechen, verabreden. portyny durchbohren, durchdringen, bohren. (poskes) metallenes Armband. (posky), jar-po$ky Uferschwalbe. (po$ky) Ausschlag, Flechte. postyny alt oder hinfällig werden, sich ab nutzen. (postem) abgenutet. posul Pfand, Weihgeschenk, Exvoto. poëiljaskyny sich zu schaffen machen, sich ab quälen. potsi — poktsi. | (potyny), svjatoi p. heilig gesprochen werden, kyt$e pote tynyd was dünkt dich. pOZ = py£. pôny — punu. pôs — pus. À pôti = pyti. (pô), suron-p. Lederhandschuh, vyrt-veñen p. gestrick- ter Handschuh. (pritt$a, prittsa) Ungemach. psalom Psalm. psaltir Psalter. (pu), vamen-p. Achse. pudom-pus ane Hausmarke. pukala sitzend. (pukran, pukron) (an Feiertagen getragen). (pukton), Su$-tyl-p. Leuchter. (puktyny) errichten, grümden, ein setzen. pukylo Ball, Rue. (puky$) Bolzen (der Armbrust), Bogenpfeil, val. fôl. (pun), sereg-p. Brand, Feuerbrand. Pup — pop. (puran) Führe. (pus) Kerbstock, p. ponyny bezeichnen, an kerben. pustol Tuch, (Zeug). (pus, pus-muli) Æichel. put karyny spalten. putet — puteg. (put$), kener-p. Zaunstange. putsany ein dringen. puZy — puzi. puZmo Kiefer. ‘puZnyny heulen. pykjany hinan reichen. pyktja$kyny — pykjany. pynet, pyny — punet, punu. 325 des Sciences de Saint-Pétersbourg. (pyrgyny) zerbrechen (intr.) (pyrontem), vu-p. wasserdicht. pyrti durch. pyrt$y Hintere, Sleiss. pyrySkyny sich ein lassen. py$al — pytsal. pytsany sé. pydsany (pyt$al), pu-p., Armbrust. pyzer Schäben (v. Flachs, Hanf). pyéni = pini. R. rakato — rakat. rakim Barmherzigkeit. rakmat, èn oi rakmat habe Dank. ranziny = ranZyny. ranzitiny — ranZytyny. rat — rad, raten der Reihe nach. rizalyk Zufriedenheit. S. sagynyny ehren, achten; — sich langweilen (?). (salam), s. verany grüssen (in Auftrag Jemandes). salmaken träg, langsam. (Sam), so $am 50, auf diese Weise. san Achtung, Beachtung, sane ponyny chren. sanjany éhren. sano geachtet, geehrt. santem verachtet, santem karyny verachien, missach- ten, verunchren. | (sapeg), gyn-s. Filzstiefel. sarai Scheune. sarana Lälie. (Sa$ka), téalma-$. Trollblume (Trollius). éa&kany singen (v. Vügeln). (sai) Wachsein. seion Glückwunsch. Sekyt wnd die aa davon — $Sükyt eic. $el — sil 1. $emolo Schober. sendra, sendyra Prifsche. (serak) ee se$t — ses. (sesyrmyny) sich beschiädigen. Tome XXXL. |surym Stange me nes ae (Set) Setznetz. Sety über den Rücken hängende Kopfbinde. (si) Saite, krei-si Darmsaite. siktan Pfriem. silo — silo. simvol Glaubensbekenntniss. sin = sin. sinmaskyny #missgôünnen, beneiden. sirektjany, sirektjatyny = serekjany etc. sirmet — sermet. sityny, sijytyny essen lassen, zu essen geben. siyny — siny. ; skrypka Wioline. smolojany = ysmolojany. (so) — sy, syja (S), soyn, so ponna darum, deswegen, so bereze, so bere darnach, darauf. sogy Hechel. Sor — $o0r. Soryg — t$oryg. sotysem — sotsem. sükôri, sôkyri — sukuri. (&ükyto), s. dyr Schwangerschaft. sûl — sol. ‘{sôryny, sürySkyny = seryny elc. sôtyny ein holen, ereilen. süzjalton, sü/jany, sû/jatyny — se/jalton etc, {stabes Schüssel. $uansi, Suant$i — Suantsi, sukman wollener Rock. sukyri — sukuri. Sulmas Kummetkissen. $ulvor karyny bitten. éulyk Tuch (über dem ai$on getragen und hinten herab- hängend). | éulys Zängliche Schüssel, Mulde. $sumok — Sumyk. Sumori ein Theil des Spinnrades. Sunep, Sunepes — $uned, $unedes. (sur), kvar-s. Fest Petri und Pauli (29. Juni). suran Rührholz, gur-s. Schürstange. surany #n rühren, schüren. surestäi Reisender. Surlo-tui Erntefest im Spätherbst. Sursy-vu Birkenwasser. &ury, $uro = Suru. Bulletin de l’Académie Impériale 32s sutaltyny — sutyny. Si=csut.2 süi — sui. Süres — $ures. sûziny — suziny 2. (svjatoi) fromm. sydéan, in tsilym-s. Pfeifenräumer (st. suéan?) sykal — yskal. (sylyny), badagauz ug syly$ky er hält nicht Wort. synany prüfen, versuchen. syndyk — sandyk. syr, syr syr dichtes Gestrüpp. 4 S. Sabardi ausgebreitct. Sabur leinener Sommerrock. SakSylyk Unreinigheit. Saktos männt. Name. Salaë — salaë. Sali kleine Steine, Kies. Saltrak nur, lauter. SamSurka weibliche ne À Saña,— t$ana. Sap zufällig, gerade. Sap Sap! trab trab. (Sedyny) merken, bemerken. (Sedy$kyny) Dhserhen. SedySkytyny, SôdSkytyny bemerkbar machen, zeigen, belehren. (Seklany) irre werden, Anstoss nehmen. Seklanyny — $eklany. Seksyz — Segtem. Seksyzlanyny — $Seksyzlany. Sektem, Sektemlyk — Segtem ec. _ ($er 2.) Schleifstein, typo $. versteinertes Holz. Serbet Honigwasser, Limonade. _ Sidon Schmaus. Siktem wnzweifelhaft. Sila s. Silla &ilk $alk (von Rascheln). Silla, Sila — Syla. &irany, Syrany Müuse fangen. = (Sobyr) = Sebyr (S). = 8ogjany séellen. _ Sogol Séuizer. _ (Soner), Soneren wahrlich, Sonere pottyny rechtfertigen. (Sort), $.-my$kon Fest beim Waschen der Grespinnste. Sory, Soryak mütten durch. {Sot-dürem s. dürem. Stsog — t$og. Styk Bajonctt. (Sug) schlimm. Sugomyny éraurig werden. (Sukkyny) schärfen (Sensen). (Sum), Sum potymon erfreulich. | (Sumes) — Somôs (S). Sumi£ karyny renommiren, Händel suchen. Südo — sudo. Sykys — Sikys. Synyr junge Saat. Synkyt Nebel. Syr, Syrany s. Sir eéc. sh (ta), ta bereze darnach, darauf. tabañ (sé. taba-ñañ) Pfannkuchen aus Hafermehl. tabynyny (c. Allat.) verehren. {ag tag! (Gänsegeschrei). (tagan) Gestell zum Aufhängen, murt o$on t. Galgen. taktja — takja Käppchen der Mädchen. famak — tamak. (tamga) Familienzeichen, Hausmarke, Eigenthumss et- chen, Handzeichen. (tanyklyk), t. karyny zeugen, Zeugniss ab legen. (tanka) Rubel. tapéyryny übergeben, widmen. tati Kopftuch der Mädchen. (tatyulany) sich befreunden. tatyulandyryny befreunden, versühnen. tazaryhyny rein werden. (tegis) tegyz eben. (tektSytyny) hervor springen lassen. tel bugo, telvugo Leine, Lenkseil. temani lange. tenke — tañka. (terki), terke Teller. tertyny, teryny — türtyny eéc. teskyt — t$eskyt. (tod), t. kutyny eingedenk sein, tode u$kytytyny erin- |. ner. toledz, tolü — tolez. (tole), (kvaka-t.) März, (o8-t.) April. 329 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Toton männl. Name. tô — ty. tüldyny, tüljyny windigen, aus wettern. tülo Feld, vgl. tarlau. (tôre), kiamat-t. Todtenrichter. (türly), kyk-t. zweterlei, (odyg-t.) einerlei, ma-t. wel- cherlei. toSak — tusak. tôzem, tüzy$ ordentlich, gehôrig, gerecht. (tôzôtem) wnordentlich, wüst. (tsabei), Sôd t. Bucluveizen, vadi-t, Weisen. tsafyr Teufel. tSeljaSkyny springen. (tsigyny) zerreissen (tr.) tsike Geist der Verstorbenen. (tsilpam) Geländer. tsilym Pfeife (zum Rauchen). tsipsyny, t$ipsyny pfeifen, piepen. (tsirdyny) singen (von Vôügeln). (t$oZ), ta t$oZe bis Jetat. tsukyndyrtyny éaufen lassen. (tsukynyny) sich taufen lassen. tSumon 7r0g. t$utsi Blutgeschwür. tsutySkyny hinken. (tSuZon), gur-t. Ofenbesen. tSabyny klatschen. tSag, tSagyny = t$ tai Thee. tSaliny — — téalyny. t$alma D um den Kopf der jungen .. Frauen. t$as t$as! Fe fallendem Laub). tSeber — t$eber. t$erko — t$erk. t$ersyny — t$ersyny. _ téerteky$ mit Münzen benähter Brustschmuc. tSeskyt — t$Seskyt. tsetse — tsetsi. tidyr dicht, ausammengeballt. tsilter Schnitzwerk. téiltero mi Schnitzwerk verziert. tSilym = tsilym, t. kyskyny rauchen. téilymtsi Raucher. tSingulio klingelnd. tSipsyny = tsipsyny. “ tSirkemlyk Muth. tsokmor — t$okmor. tSortyny — t$Sorjany. t$0Z — t$0Z. tSüStem finnisch. t$üZaskyny sich vermehren. téuan Feier der Abholung der Neuvermählten aus dem Elternhause, wo sie bis zur Butterwoche (Carne- valswoche) als Gast lebte. tSuas Tschuwasch. tfudys Haarknoten an den Seiten des Kopfes. (tSuk), t.-aeja früh Morgens, morgen. tSuskyny — tSut$kyny. tSuz — t$uz. tSybor bunt. tSygyny — tSogyny. (tSyn) heilig. tSynajak Theetasse. tSynnany — t$ynany. t$yno-murt eine seit mehr als einem Jahr Verheirathete (nicht mehr vil-ken). téyrekjany etc. — t$erekjany etc. t$yreSyny — tsyrySyny. t$yri pyri gans klein. tSyrs bitter. téyZektyny roih werden. tuala — tue. tubalgy, tubylgy Spierstaude (Spiraea). _|tübat — tubat. tud£ Spierstaude (Spiraea). (tue) jetzig, heurig. (tug), uko-t. bunte Feiertagsmütze der Mädchen. (tugan), t. karyny ehren. tugyny — tudyny. (tui), tüi Metallsaite. (tuklatsi), tuklaëti Brautwerberin. tukmatS Fürberkamille (2). tünotSi — tuno. (tup) Ball. (tupany) gleichen. tuptany passen. turi braun (v. Pferden) = : türi, türly = tôrly. turto Femerstange. tygyzlany bedrängen, verfolgen. |tygyzlyk Bedrängniss, Verfolgung. ni. (utiny) regieren, halten, Bulletin de l’Académie Impériale tyla$kon Brandopfer, Feueropfer. tynyS = tynyo. tyny$lanyny ruhig sein, Frieden geben. typo = typyo. (tyryny), putSky$ t. gerührt werden, — tyrem (c. Abl.) überdrüssig. tyrytyny bezahlen lassen. ty$at$ki Dorfpolizeimeister. U. ua — Va. ubir büser Zauberer, Hexenmeister. ug — ugoi. (ugoi) nämlich. ui! ach. (ujany), üjyny, — treiben (st. uljany ?). * ujez Xreis. (ujol) wach, munter, — Munterkeit, ukmyso neun enthaltend. (uko) Siberfaden (zum Sticken). (ukoe$), ukojo mit Silber gestickt. (ukojany) mit Silber sticken. (ulemo), déet$-u. fromm. uljan, èn kurek-puz-u. Fest beim Hafersüen. ulla$an wnten, von unten. ultes, in jir-u. Kopfkissen. uly Uniteres, Tieferes. uléany — ulziny. umoitemlanyny — umoitemlany. urbet ein büser Feldgeist. urmytyny reizen, wüthend machen. urodlygySkyny boshaft werden. (urom) Mensch. urys — urs. (usiny), sin use » der bôse Blick trifft. (uskytyny), sin-u$kytem der büse Blick. (usto) Herr (Ehrentitel). (ustyny), mylkyd u. erheitern. üSjano, üSjany, üsjaskyny = u$jano éc. behalten, — (utis), lud-u., kvala-u., vor$ud-u., mudor-u. Opferpriester. utiSkytyny beobachten lassen. _ utsy — utsu. _ utSyrtyny — utsiratyny. ot ütyny — utyny. uémak, uzmak Paradies. u£y — uZy. u/ym Wintersaat. V. vadé — vai, vad/-tsabei Weizen. vakt$i — vaktsi. (valatyny), valatysa Sotyny deuten. valla$an oben, von oben. (valt$e), v. karyny zusammen setzen, vereinigen. (vandyny) schlachten. Vañuska männ. Name. varmes-babai Schwiegermuiter des Mannes. vasil, in mus-v. Bienenschwarm, val. tscheremissisch nasyl Generation. vaskala = vazkala. va$kyny, va$kytyny = vaziny, vaékytyny. (vatet) Sacrament, h. Abendmahl. vatSyl Jung. vaziSkyny, vaziSkytyny — va/kyny, vaékytyny. {(vaZkala), v. dyrja vor Alters. vedeño Fest'am 24. Novbr. | (vednam), vedñam angezauberter Schaden. vedñamy — vednamy. (vedyn), v. murt, vednas bôser Zauberer. (veñ), kirt-v. Drm. ver — vir. (verany), azlay$en v. vorher sagen, denez serysa veras Lrrlehrer. (ves 1.) oft. (veS 2.), ki-v. Armband von Perlen, tSyrty-v. Hals- perlen. (vetlyny) damit um gehen (etw. zu thun). vetlys s. borys. (vettos) zwanzig Obairutfaden. vetyl Fürse, Kuh welche nicht gekalbt hat. vezy und die Ableitungen davon — vüzy etc. (vil), v.-ken Neuvermählte (seit weniger als einem Jahre). (vis) eine Spanne, vier Werschok. visak etc. — vots etc. vizim, viZymM — viz. voldet und die Ableitungen davon — veldet etc. volnoi frei. voltsyny gleiten. volyt = volit. |(vordyny), erhalten, halten; — Sud vordys s. vorsud. 333 des Sciences de Saint-Pétersbourg. voronka Trichter. (vorsatyny) ein schliessen lassen. (vorSud) — Sud-vordy$ Schutzgott, Gütze, — mudor Opferschrank, kieiner Schrank auf dem Wandbrett in der Kochhütte. vortany, vortaskyny, vortyny, vortytyny — vürtany efc. vot! siehe da. vots — vots. (voz) Last, Fuhr. voiany bewahren, auf bewahren. (vozit), vozite vutyny beschämen, scheiten. (VoZ) Jung. (voZo), voZo-dyr die Zeit vom 20. Juni bis zum 1. Juli und 25. Decbr. bis 6. Januar. (voZtyny) bezahlen. vôldet mit den Ableitungen — veldet etc. vôrtyny sich tummeln, sich an strengen. vôrtytyny sich bewegen lassen, tummeln, jagen. (vu), in-vu ein bôser Geist, (surs-v.) Birkenwasser (surd-vu?). - (vudor) Reiher (2). vugal Niederung. vuljany hin und her drehen. (vuny), mar tatyu-ulemly vuoz was ist zu vergleichen mit friedlichem Leben. (vutyny) berichten. (vy2), v.-ul Raum unter dem Fussboden. (vyZi), (vyZiyn) unten bei, sis Mie unten, hinunter, nicder. à (ym), badzim-ym Grossmaul. (ymit) Hoffnung, Verheissung. ymitlandyryny verheissen. ymitlanyny hoffjen. yrtsag Stange, Hebebaum. ySkyny = ytékyny. yStyrtyny ziehen. Zaber männt. Name. zabod — zavod. zamana — Zaman. zañgari grün, blau. zar Gürtel. zerebei Stôssel, a tods zerekt$askyny sich drehen. es — déets, zin dreilägiges Frühlingsfest — akojaëki. zolotoi golden. (zoryny) herab fallen, kva zore es regnet. zod = zud. u. (zu), tsilym-z. Pfeifenrohr. | zudany, zuda$kyny schleifen, zuda$kon zud Schleifstein. ZUMYNÿ — ZUMANY. zuop Glück, Heil, — glüchklich, unversehrt. zuopo glücklich — recht, brav, gerecht. zybka Schaukelwiege. zybyn Oberrock der Weiber, kitai-z. baumuwollener. Z: Zal Zal! (von fliessendem Wasser). Zegatyny hindern, auf halten. Zltyr da Zaltyr mit Geräusch. Altyrtyny erklingen. Zivot Vich, Kleinvieh. ÿoñ! (von zerbrechenden ass. _ Li Zo2on, Z.-py£ Hafermehl. a Zdk — dZek. (ZugySkon) Xrieg. Zujy = dzui. Zumart — dzumart. Zumat$ka Blindekuhspiel. Zyngyres, zyhgyrjany, Zyhgyrtny — dzingyres ec. 2y2 Fussboden — dZadi (S), Zyz-ul Rawm unter dem Fussboden. Ich benutze diese Gelegenheit auch noch zur Angabe und Berichtigung einiger entstellender, nicht schon von dem Leser selbst leicht zu verbessernder Fehler, welche theils schon bei der Redaction des Manuscripts, theils beim Satz hinein gekommen waren und auch bei der letzten Correctur noch übersehen wurden. a Der wunderlichste und ärgerlichste Fehler ist ein mit russischen anstatt mit den für das Syrjänische und Wotjakische hier zu Grunde gelegten lateinischen Buchstaben geschriebenes Wort. Die meisten von mir benutzten schriftlichen Quellen haben Russen zu Ver- fassern, welche natürlich auch für das Syrjänische und Mdr sich ihres Sos bedient haben. Bei 335. Bulletin de l’Académie Impériale der Transscription nun so vieler tausend Wôrter aus dem einen Alphabet in das andere ist es unvermeid- lich, dass bei der Bezeichnung der Laute, die man im Sinne hat, Hand und Feder sich in das falsche Alpha- bet verirren, das man mit dem richtigen immer zu- gleich vor Augen hat, und auch Anderen ist es, wie sie mir versichert haben, ebenso gegangen. Das russische Alphabet hat aber ausser den ihm eïgenthümlichen Zeïichen auch viele mit den lateinischen gleiche, zum Theïl mit derselben Bedeutung wie dort (a, d, e, i, k, 0), zum Theïl aber auch einen verschiedenen Laut be- zeichnend (b, €, m, n, p, u — lateinischen v, 5, t, p, r, 1), und wenn bei dem obigen Versehen Bucbstaben dieser letzteren Art concurriren, so kommt natürlich ein ganz anderes Wort auf das Papier, als man im Sinne gehabt. Meistens wurden Fehler dieser Art, auch ohne dass gerade welche von den dem lateinischen Alphabet ganz fremden Zeichen vor gekommen wä- ren, sogleich nach dem Niederschreiben bemerkt und corrigirt, oder wenigstens als später die gesammelten Würter in die alphabetische Ordnung gebracht wurden; dass mir bei «nops» (st. pors wie S. 344) die Unmôg- . Jichkeit nicht ebenso augenfällig gewesen ist wie bei anderen ähnlich verschriebenen Würtern, kann ich mir nur dadurch erklären, dass es in dieser verun- glückten Gestalt an klingt — wie so viele andere Wôrter — an ein gleichbedeutendes Wort der ver- wandten ehstnischen Sprache, nämlich «ups», dessen Ahnlichkeit mit «nop$» noch grüsser erscheint, wenn man berücksichtigt, dass schon im Ehstnischen selbst _bisweilen an die Stelle des in einem grossen Theïl des Sprachgebietes stummen anlautenden «h» dialek- _ tisch ein «n» tritt, wie «nakkama» (an fangen) st. chak- kama» (gesprochen «akkama»). Es ist also S. 2,a Z. 14 pors zu lesen st. nops und S. 197,b die Zeile 15 zu streichen. Noch einige Fehler gewühnlicher Art, die keiner _ weiteren Befürwortung bedürfen, sind die folgenden: _ 8. 16,4 Z. 10 v. u. l. bôryñtny sf. boryütny. » 43,4 » 6 L. saran st. saram. » 05,4 » Zu. 5 v. u. l. gormôüg st. gormüd. » D9,b » 5 von «g.» an zu streichen. » 72,4 » 8 v. u. l. sürny st. $Sorny. » 78,b » 21. machen st. werden. » 98,b » 5 v.u. zu streichen. » 101,4 » 3 v.u. L. fynüdt$an sf. zynüdtsan. | » 543,0 » S, 112,b Z. 12 v. u. zu streichen. » 113,a » 19 1. Helligkeit st. Helligzeit. » 124,a » 10 1. kruksan sé. krusksan. » 146, » 3 von «Hermelin» an zu streichen. » 176,a » 16 1. Kuh- st. Kuh. 5 v. u. l. muû duzgyny st. muüd uzgyny. » 187,4 » 5 1. naldny st. naldny. » 235,0 » 8 v. u. L. pon sf. pom. » 240,0 » 7 L. pükôt st. pükôt. » 268,a » 10 v. u. l. Pflugbrett st. Pflugschar. » 277,b » 18 1. ryskôbtyny st. ryskôptyny. » 290,b » 91. ü$ st. üs. 13 v. u. zu streichen. » 301,0 » 3 zu streichen. » 824, » 12 v. u. 1. Sotémyny st. sotémyny. » 329, » 5 1. Schvager, Bruder der Frau st. «— Surÿn». » 330, » 6 L. tuiüd st. tujüd. » 338,b » 1 L. tat$aitny st. tatSaitny. » 347,0 » 41. tüly$ st. tülys. » 309,4 » 3 L, tSaprasny sé. tS$apasny. » 354,4 » 5 v. u. L. t$egjalny st. tt$egjalny. » 357,) » 3 1. t$erodittôm st. téeredittom. » 385,b » 2 v. u. 1. tyrün st. tyrôm. » 389,a » 1v.u. und b Z, 1 bis 5 L. udéjüs, udZjüsa, udZjüsô, udZjüsa$ny st. ud2jüz etc. » 897,0 » 2 v.u. 1. vaksyny st. vaksiny. » 418,0 » 3 v. u. l. asyl-v. st. azyl-v., zel-v. » 420,b » 11 1. kyskalan sf. kyska-lan. » 423,b » 1 l. vork-va st, verk-va. » 430,4 » 12 v. u. zu streichen, desgl. b Z. 6. » 434,b » » 445,4 » 11 v. u. |. vyjym sf. vyjyn. 17 1. zeldZyk st. zelzeldzyk. » 450,b » 6 v.u.l. Pflugbrett st. Pflugschar. » 455,b » 3 v. u.1. Zulliny st. zulliny. » 470,a » 15,16 «sad-dürôm Schlafrock» zu streichen. 7 v. u. L. dugdüdny st. dngdüdny. » 478,0 » 2 v. u.l. jamsyz st. jamsys. » 488,0 » 5 1. t$ogany st. t$agany. » 516,b » 171. pot st. pote. » 532,a » 14, 13 v. u. l. Sodyny, Sody$kytyny, (Sôds- kytyny), Sodytyny — Sedyny, Sedys- kytyny, Sedytyny. 19 v, u. L. Sudzimyny st. Sudzimyuy. 10 1. t$abei st. t$abli. 2 v. u. l. tupyttem sé. tapyttem. » 532,b » » 537,4 » 337 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 33 S.549,b Z. 8 v. u. zu streichen. » d51,a » 5 v.u. 1, (vaz) Spelt st. (vaz) Spalt. » d52,a » 2 v. u. zu streichen. b» 7v.u. «(ein Hohlmaass)» zu streichen. » 60,4 » 6,7, 8 v. u. zu streichen. » 61,0 » $8 1. Zerebei st. Zerebe. » 643,b » 121, 97 st. 47. Zur Ornis der westlichen Ausläufer des Pamir und des Alai, Von V. Bianchi, (Lu le 27 mai 1886.) Die vorliegende Abhandlung ist das Resultat der Durchmusterung einer kleinen Sammlung ') von Vo- gelbälgen aus dem ôstlichen Theïile des Chanats von Buchara, die mir der Director des Zoologischen Mu- seums der Akademie der Wissenschaften, Herr Dr, A. Strauch mit gewohnter Liberalität zur Verfügung gestellt hatte. Das Gebiet, wo die Sammlung zusammengebracht worden, erstreckt sich vom Amu-Darja nordwärts, bis zum sogenannten Kaschgar-Dawan oder der Turkestani- schen Gebirgskette mit Ausschluss jedoch der letzte- ren; den am meisten nach Westen gelegenen Punkt bildet die Stadt Karschi, nach Osten—der Berg Tup- tschek, der etwas weniger als um einen Breitegrad nach Westen hin vom Gletscher Fedschenko’s ent- fernt ist. Die Gegend liegt mithin in einem in orni- thologischer Hinsicht fast unerforschten Gebiete; so viel mir bekannt ist, haben hier nur V. Russow und Dr. A. Regel gesammelt, beide verhältnissmässig nur sehr wenig, besonders letzterer: die von ihm einge- sandten Exemplare (die sich in schlechter Verfassung befinden) wurden mir, wie auch einige Bälge aus der Russow’schen damulung von Herrn Th. Pleske freundlichst zur Disposition gestellt. Aus dem eben angegebenen Grunde interessirte mich diese Sammlung in hohem Grade, ich wurde aber bei näüherer Durchsicht derselben ziemlich ent- täuscht, da dieselbe ohne System zusammengebracht worden ist und Lücken'aufweist. 1) Diese Sammlung hat das Zoologische Museum von Herrn Grum-Grzimailo gekauft. [früher von Russow beim Eisernen Thore am Fusse des Baiïissun-Tau erbeutet und ein np des Ni- Alles in Allem enthält die Sammlung (Herrn Dr. Regels 10 Exemplare mit eingerechnet)— 388 Bälge, die 136 Arten angehüren. | Von dieser Anzahl sind 54 Stück in Samarkand (7 Ex.), Dscham (14 Ex.), in der Karschinskischen Steppe (26 Ex.) und in Gusar (7 Ex.), d. h. in dem Steppenlande Buchara’s gesammelt. Die übrigen 334 sind im gebirgigen Theile des Chanats, oder, phy- sisch-geographisch richtiger ausgedrückt, in. den westlichen Ausläufern des Pamir und des Alai, er- beutet. Von den oben erwähnten 54 Exemplaren sind 21 Arten ôstlich von Gusar nicht angetroffen worden, da aber einerseits die Mehrzahl derselben für die Steppe nicht characteristisch ist, andererseits im gebirgigen Theiïle des Chanats auch Sopnenint mit seinen Ver- tretern existirt, so hielt ich mich für befugt, diese 21 Arten der Liste der Vôgel der Ausläufer des Pamir und des Alai einzuverleiben ohne Bedenken zu hegen die Physiognomie der Avifauna derselben zu entstellen. Ich nehme folglich in dieser Gegend das Vorhan- densein aller 136 Arten an. Diese Anzahl bildet im Hinblick auf die Fauna des nôrdlich angrenzenden russischen Turkestan nur wenig mebr, als ein Drittel aller wabhrscheinlich in dem betreffenden Gebiete vor- kommenden Arten. Von den in Ost-Buchara aufgefundenen 136 Arten fübrt Dr. Severtzow (Journ. Orn. 1875) nur fol gende nicht an: 1) Saxicola Finschi, Heugl., 2) Pra- se tincola caprata (Linn.), 3) Cyanecula leucocyana, Brehm, 4) Herbivocula neglecta (Hume), 5) Acan- & thopneuste nitida(Blyth), 6) Trochalopterum lincatum, Vig., 7) Microcichla Scouleri (Vig.), und 8) Misaëtus fasciatus (Vieill.). — Mittlerweile hat V. Russow P. caprata und AH. neglecta aus Turkestan mitgebracht (der erstere Vogel stammt von Tschinas, der letz- tere vom See Iskanderkul) und H. Seebohm ein Fa Exemplar des Microcichla Scouleri aus der Umgegend von Samarkand erhalten. Mithin sind von unseren 136 Arten, so viel ich weiss, im russischen Theïle von Turkestan nur 5 nicht gefunden worden, nämlich: 1) S. Finschi, 2) C. leucocyana, 3) Ac. nitida, 4) Trochalopterum lineatum und 5) N. fasciatus. Von diesen letzteren fünf Arten wurde ?. lineatum schon saëtus FRE stammt von Dr. sion Bulletin de l’Académie Impériale 340 Auf diese Weise kann man mit grosser Wahr- scheinlichkeit behaupten, dass die Avifauna der west- lichen Ausläufer des Pamir und des Alai dieselbe ist, wie die der anliegenden Berge jenseits des Gebirgs- zuges, der unter dem Namen Kaschgar-Dawan be- kannt ist. Dieses ist eigentlich die einzige Schlussfolgerung, zu der mich das Studium dieser Sammlung gebracht hat; da beinahe zwei Drittel der Vertreter der Fauna unseres Gebietes fehlen, so vermag man die Âhnlich- keit derselben mit der benachbarten nur in dem Falle zu erkennen, wenn die Fauna des Nachbargebietes vollständig erforscht ist, was glücklicherweise in Bezug auf die Fauna von Turkestan der Fall ist. Bei dieser, dennoch etwas riskirten, Schlussfolgerung laufen wir dem ungeachtet Gefahr, einen Fehler zu begehen: erstens sind wir nicht im Stande alle die Formen auf- zuführen, welche sich nicht bis nach Turkestan ver- breiten; zweitens kônnen unter den fehlenden zwei Dritteln (obwohl dies wenig wahrscheïnlich ist) ende- mische Formen kleiner Bergvügel, die Standvôgel sind, vorkommen; drittens endlich ist ein grüsserer Zusatz von Formen, die dem Himalaya eigen sind, müglich; — Alles dies kann die Âhnlichkeit der Fauna des in Rede stehenden Gebietes mit der Turkestanischen vermindern. In noch grüsserem Maasse sind diese Bemerkungen in Bezug auf andere, weniger oder noch garnicht er- forschte, Nachbargebiete am Platz. - Im westlichen Himalaya sind circa 100 von den obenerwähnten 136 Arten gefunden worden, aber die Himalaya-Provinz wird scharf abgesondert durch den Zusatz von rein endemischen Formen, welche selbst einem ungeübten Sammler nicht leicht entgehen kônn- ten. — Ungefähr dieselbe Anzahl fand man in Afgha- nistan, einem Lande, das bis jetzt wenig erforscht ist, namentlich dessen nôrdlicher Theil,welcher détente an das in Rede stehende Gebiet grenzt. — Im Pamir und der Alai-Steppe fand Dr. Severtzow etwa die _ Hälfte der Arten, die unsere Sammlung aufweist; _ übrigens hält es Dbwer das Hochplateau des Alaïi nd -_ Pamir, deren Thäler in einer Hôhe von 11—13. 500’ gelegen sind, mit deren verhältnissmässig niedrigen _Ausläufern zu vergleichen: man müsste in diesem Falle alle Fundorte von unter 10,000’ Hühe ausser Acht _ lassen.— Aus eben demselben Grunde ist ein Vergleich der Steppenfauna der am Caspimeer gelegenen Wüsten unstatthaft; — und in den Bergen von Chorassan sind die Forschungen erst kürzlich begonnen. Bedenkt man schliesslich, dass mir eigene Beobach- tungen fehlen und dass ich dadurch gezwungen worden bin, nach Bälgen und den dazu gehôrigen Etiquetten nur muthmaasslich den Character des jeweiligen Vor- kommens der Vügel zu bestimmen, so wird man ein- sehen, aus welchem Grunde ich mich jeglicher Schluss- folgerungen, die wohl erwünscht wären, enthalte. Die Details sind bei jeder Art angegeben, ich halte es aber nicht für überflüssig, auf folgende in geographi- scher Hinsicht interessante Formen besonders hinzu- weisen: Saxicola Finschi, Cyanecula leucocyana, Her- bivocula neglecta, Acanthopneuste nitida, Trochalopte- rum lineatum, Microcichla Scouleri, Cyanistes flavi- pectus, Rhodopechys sanguinea, Nisaëtus fasciatus etc.; dagegen in systematischer Hinsicht auf folgende: C. flavipectus, Scops obsoleta, Scelospizias cenchroides und manche andere. Es sei mir gestattet, noch einige Worte hinsichtlich der Bearbeitung des Materials hinzuzufügen. Ich hielt es für nôthig bei jeder Art kurze Citate anzuführen, vermittelst welcher die Genesis der Be- stimmung einer jeden Art leicht zu verfolgen ist. Dasselbe bezweckt die in vielen Füällen in systemati- schen Anmerkungen angegebene Motivirung. Ich habe endlich bei einigen Exemplaren die permanente Num- mer des ornithologischen Catalogs des Zoologischen Museums nur aus dem Grunde angegeben, um das betreffende Exemplar zu jeder Zeit leicht auffinden und verificiren zu kônnen. Ich habe alle Exemplare mit ihren Daten aufge- zählt, da das Befolgen dieser Regel, meiner Meinung nach, für das Studium der geographischen Verbrei- tung und der periodischen RENE überaus wichtig ist. Die Daten sind alten Styls. Ferner müchte ich noch den Umstand entschuldigt wissen, dass die Maassangaben bei mir bald in Milli- metern, bald in englischen Zoll angeführt werden. Diese ichainbare Inconsequenz findet jedoch in Fol- gendem eine Erklärung: während ich selbst mich des metrischen Systems bediene, steht bei englischen Au- toren stets das Zollmaass in Gebrauch, beim Vergleich von Maassangaben mit solchen aus englischen Quellen, 341 des Sciences de Saint - Pétersbourg. habe ich mich nun, um nicht die Angaben aus einem Maass in ein anderes, überzuführen, ebenfalls des englischen Zolles bedient. Fast alle Namen der Fundorte konnte ich auf der Karte auffinden und nur einige unbedeutende Ort- schaften werden auf allgemeinen Karten wohl nicht vermerkt sein. Über die ungefähre geographische Lage dieser letzteren kann man aus der beigefügten Marsch- route urtheiïlen. Die Originaletiquetten waren in russischér Sprache geschrieben, bei ihrer Wiedergabe mit lateinischen Lettern habe ich mich an die deutsche Orthographie gehalten. Der Name Eines Fundortes übrigens bedarf einer besonderen Bemerkung: der Ort, an dem zwi- schen dem 9. und 11. Juni gesammelt wurde, ist auf den einzelnen Etiquetten Tobi-dara genannt und auf der Karte finde ich ihn als Tabi-dara vermerkt, wäh- rend in der Marschroute des Herrn Grum-Grzimailo (Masbcria Pycex. Feorp. O6. r. XXI (1885), Bb. VI. crp. 579—582) ?) augenscheinlich dieser selbe Ort Tawildar oder Tabi-dag genannt wird; ich führe diesen Fundort in der Schreibweise der Etiquetten an. Marschroute des Herrn Grum-Grzimailo im Jahre 1885, 15—22, IIL Samarkand. 28—929. II. Dscham. 30. III Karschi-Steppe, zwischen Dscham und Ak-Kuschuch. 1. IV. Karschi-Steppe, Brunnen nerrire 20 . Werst von Karschi. 1. IV. Ibid., Brunnen Taschli, 40 W. v. K. 3. IV. Karschi. 7. IV. Jange, am Wege von Karschi nach Gusar. | 9—10. IV. Gusar. 11. IV. Tengi-Charam. 12. IV. Tschaschma-Chafisdschan. 13. IV. Engpass Tschak-Tschak oder Eisernes Thor; — Ak-Rabat. 13. IV. Schur-ab. 14—15. IV. Sser-ob. 2) Da diese Marschroute nur einen Theil der Daten und Fund- _ orte enthält, so ist die nachfolgende hauptsächlich nach den Eti- quetten, mit manchen Zusätzen meinerseits, um die Lage der Ort- .chaften näher zu erklären, zusammengestellt. 16: EV. 17—19. IV 20. IV e. 1 Pa à ‘4 22;-1V 23, 51N, 24—926. IV 29. IV 80::IV ES À 5 —6. V. BEN. REA À 8—10. V. 12—]14. V. LOS NS, 17—18. V. 19,:V; 01-22: : V. 9—31. V. 7— 8. VI 9==11. VI 115 VE 12:5Y1 13: VI EAU FE VE 19. VI Doi VE 2: NI 25,: VI 26. VI 27.NVI-—2.VII. 3: il 4e 5. VII. Laïljakan. . Schir-abad. . Weg von Schir-abad zum Fluss Surchan. . Ak-Kurgan am F1. Surchan. . Kum-Kurgan am FI, Surchan; Kap- tugai. . Garm-Kurgan am FI. Surchan. . Kokaiïty-Kurgan am FI. Surchan. . Sary-Dschuj. . Regar. , Karatag. Engpass Kara-Kuss im ARR (zwi- schen den Flüssen Surchab und Ka- firnagan). Schurjan-Tugaiï Ak-Metschet Dschidda-bach Kabadian. Fluss Wachsch, westliches Ufer. Kurgan-Tjube | am ôstlichen Ufer San-Tuda d. Wachsch. Kischlak Baljan am Flusse Ktschi-Sur- chan (Nebenfluss von Ak-Su, unweit von der Stadt Kuljab mündend). Baldschuan. | am Flusse Kafir- nagan. . Karnak (am Ak-Su?). . Tabi-dar am F1. Chingob. . Fluss Chingob. . Kischlak Inku. . Fluss Sagri-Daschte; Kischlak Sagri- Dascht. . Sagri-Dascht-Pass, 10,000"; Flüsse Chumbou und Bida- Abdschabar (10,000). . Fluss Sagri-Daschte (Rückweg). Re CE | am rechten Ufer d. F1. . Nossany | a . Gardani-Kaftar-Pass. Berg Tuptschek. Chysch-Kuljak-Pass im Peter’s I Ge- birge. Nürdlicher Abhang des Peter’s I Ge- . . birges; Fluss Sinde-Kul (4. VID); Li Kalai-Ljabi-ob (4. VIT); ObI-Nassr s rok, F1. Kara Saur (5. VID. 23 343 | Bulletin de l’Académie Impériale 344 11—12. VIL Obi-Garm am F1. Surchab, süd-west- 4. Monticola saxatilis (Linn.). lich von Garm. | ee ‘1320. VIL Obi-Garm, Faisabad, Kafirnagan, Dju- | Cat B. Brit. La V, A Dresser, schambe, Karatag und Sary-Dschuj. Le RE 21—25. VII. Längs dem Laufe des Flusses Sang- a. Q adit. Tschaschma— Chafisdschan 12. IV. Girdan bis nn b. © adlt. | Éacosun Tache To. ; 23. VII. Sarym-Sakli am Sang-Girdan. c. 6 adit. Ak-Rabat (Eïsernes Thor) 13. IV 25—29. VII. Lagari-Murda-Pass. d. & adlt. | _ ss 30.VII—-8.VIIL. Tasch-Kurgan; Schaar; Tchim-Kur- e. Ô adit. Sser-0b 15. IV. gan; Dscham. f. & adit. Schir-abad 19. IV. 9. VIII. Samarkand. g. à adit. Karnak PASS h. & adit. Karnak NE 4. 6 adit. Inku 12 NE + . k, Jjuv. FI. Sagri-Dascht TONI. 1. Turdus viscivorus, Linn. 1. © adit. Ischtiun 23. VI. Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 185 (Key), 194; Dresser, B. Eur, IL, tab. 1. a. juv. Tuptschek A UVIE b. juv. Lagari-Murda-Pass 26. VIT. Das Exemplar a trägt noch das Nestkleid, während _ bei dem ne Va b schon einige Federn auf der Brust mausern. sde 2, Merula merula (Linn.). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 233 (Key), 235; Dresser, B. Eur., IT, tab. 13. a. à adit. Fluss Sang-Girdan 21. VII. . Das einzige stark mausernde Exemplar, das uns vorliegt, ist die typische M. merula und nicht M. mazima Seebohm (Cat. B. Brit. Mus., V, p. 405). : 3. Merula atrigularis (Tem m.). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 235 (Key), 267. à a & semiad. Dscham 29. III ( 10116). Über die Halsseiten unseres Exemplares, welches ein stark abgestossenes Frühlingskleid trägt, erstrecken _ * sich schwarze längliche Streifen und der Hals ist von _ schmutzig-weisser Färbung ohne dunkle Schaftstriche. Es ist also der Hals nicht gefleckt, wie nach Se- __vertzow, bei M. mystacinus, welcher noch 1883 _ die Selbstständigkeit dieser Form zu or suchte. Alle im April erlegten Männchen (e, d, e, f) und Weiïibchen («, b) tragen noch die Spuren des Winter- kleides, welche sich darin äussern, dass die Federn auf der Brust, auf dem Bauch und-auf dem Rücken am Ende weiss umsäumt sind. Da die Weïbchen über- haupt bunter gefärbt sind, so erscheinen diese Säume bei ihnen nicht so scharf prononcirt, wie bei den Männchen. Diese Umsäumung fehlt beinabe schon vollständig bei allen Exemplaren (9, k, à, !), welche in der ersten Hälfte des Juni erbeutet wurden. Die Steuerfedern des jungen Exemplars (%) haben our drei Viertel der Länge erreicht, so dass man an- nehmen muss, dass dieses Exemplar Anfang Juni das Nest verlassen hat. Die breiten rostfarbig - weissen Säume auf allen Schwungfedern lassen die Jungen dieser Art von den Weibchen, bei welchen diese Säume namentlich auf den Schwungfedern erster Ordnung, nur sehr schmal sind, leicht unterscheiden. 5. Monticola cyanea (L.). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. HAE Dresser, B. Eur., IL, tab. 18 a. 6 adit. Sser-ob 15. I. b. Ô adit. ibd. 19, IV: c. d'adit. ibd. 15: IV: d. @ adit. Karatag BY. e. Ô Sarym-Sakli 23.VII. Dresser meint, dass das erwachsene Weibchen in der Färbung dem Männchen gleicht, was jedoch nach Hume (Stray Feathers, X, p. 109, footnote) nur aus- 345 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 346 nahmsweise der Fall ist. Unser Exemplar (d) ist oben einfarbig schwarzbraun, unten mit Ausnahme der Sei- ten gefleckt, zur Unterkehle wird die Fleckung eine geringere. Auf dem Kinn, der Kehle, Gurgel und Ober- brust ist jede Feder am Schañfttheile hell und von einem dunklen Saume umgeben; auf den Schwung- federn sind die Federsäume kaum merklich. Die schwärzlichen und weisslichen Ränder der blauen Federn sind als Spuren des Winterkleides bei dem Exemplar a noch sehr stark, bei b und c schon weniger stark prononcirt. Die vorherrschende Färbung des Exemplars e ist blau, doch besitzt jede Feder am Ende zwei Siume, einen schwärzlichen und einen weisslichen und sind die Schwungfedern hell einge- fasst; die Schwung- und Steuerfedern mausern nicht, das Kleingefieder dagegen sehr stark und gehôüren alle Federn schon dem Herbstkleide an; es ist ein| jJunges Exemplar. 6. Cinclus asiaticus, Swains. Cat. B. Brit. Mus., VI, pp. 307 (Key), 314; Gould, B. Asia, IV, tab. 21. a. à adit. Ischtiun 23. VI (K 10042). b. juv. Tuptschek 30. VI (X 10041). Das alte Exemplar trägt ein stark abgestossenes Gefieder. Das junge Exemplar habe ich mit einem unzweifel- haft zu dieser Art gehürigen Jungen, welches Russow mit den alten Vügeln erlegte, verglichen und als zu dieser Art gehôürig erkannt. 7. Cinclus leucogaster, B p. Cat. B. Brit. Mus., VI, pp. 307 (Key), 314; Gould, B. Asia, IV, tab. 24. a. & adlt. Tuptschek 28. VI (X 10040). Unser Exemplar trägt ein abgestossenes, jedoch der Mauser noch nicht unterworfenes Kleïd. 8. Saxicola oenanthe (L..). Dresser, B. Eur., I, tab. 21. a. Q adlt. Dscham 20..HEL. b. © jav. Lagari-Murda-Pass 29. VIT. Das Exemplar @ hat noch nicht das Früblingskleid angelegt, da die braunen Enden der grauen Federn auf dem Oberkürper noch nicht abgestossen sind. Das Exemplar D trägt schon das Herbstkleid, doch mausern noch die Federn auf dem Kopf sehr stark. 9, Saxicola morio, H. u. Ehr. Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 364 (Key), 372; Severt- zow, Turkest. Jevotn., tab. VIII, fig. 1——4 (5, talas); : Henderson und Hume, Lahore to Yarkand, tab. XIII (S. Hendersoni). . a. adit. Dscham 29. III (X 10043). b.G adit. ibd. 29.114, c. G adit. Karschi 3,17; d.9 adit. Baldschuan 31. V (X:10046). e.d adit. Lagari-Murda-Pass 29. VIT. f.3 adlt.autum. Lagari-Murda-Pass 27. VII (K 10044). g. & juv. autum. Lagari-Murda-Pass 27. VII (X 10045). Die alten im Frühlinge erbeuteten Männchen (a—c) stimmen am,besten mit der Abbildung bei Severtzow . (1. c. fig. 1) überein und unterscheiden sich ziemlich auffallend von derjenigen bei Gould (B. Asia, IV, tab. 29) und Dresser, (B. Eur., IL, tab. 33, fig. 1°). Der Färbung des Kopfes und der Oberseite ist näm- lich bei ihnen in viel grüsserer Menge ein grau-brau- ner Ton beigemischt. Beim Exemplar c treten schwarze Federn mit braunen Enden in grüsserer Anzahl, als bei a und b auf; beim Exemplar e fehlen diese braunen Enden wie auf den weissen, so auch auf den schwarzen Federn beinahe vollständig. Nach der Färbung der hellen_ Stellen haben unsere Exemplare auf diese Weise eine ent- fernte Ahnlichkeit mit der Abbildung von S$. capistrata bei Gould (1. c. tab. 28), doch unterscheïden sie sich von dieser Art sofort dadurch, dass die zweite Schwinge länger als die 6. und kürzer als die 5. ist, während bei 8. capistrata dieselbe Schwinge kürzer als die 6. ist und die 7. an Länge überragt. Das erwähnte Verhält- niss der Schwingen ist bei allen unseren Exemplaren ein constantes. Ich halte unser Exemplar f, welches auf der Oberseite noch mausert, für ein ausgewach- senes Männchen im Herbstkleide; es ist der Abbil- .|dung dieser Art bei Severtzow (1 c. fig. 3) und Hume (1. c.) hôchst ähnlich. Mit der letzteren Abbil- dung stimmt auch vollständig das junge (g) beinahe ganz ausgemauserte Männchen im Herbstkleide über- ein. Nach eingehendem Vergleich erwiesen sich diese 3) Nec fig. 2 — lugens (Licht.). n 347. Bulletin de l’Académie Impériale 34s Exemplare als identisch mit einigen Bälgen, welche b. Q juv. Tuptschek 30. VI(X: 10048), Russow erlegt und an Ort und Stelle bestimmt hatte. | c. & juv. Lagari-Murda-Pass. 27. VII. Das alte Weïibchen d in sehr abgetragenem Kleide ist| d. 9 juv. ibd. 27. VII. der fig. 2 bei Severtzow sehr ähnlich; dieses Exem- plar ist mit einem Weibchen der $. Zeucomela Pall. identisch, welches Herr Kibort bei Krasnojarsk erlegt hat, wo ausser ihr keine andere Art vorkommt, mit der sie verwechselt werden künnte. Dr. N.. A. Severtzow (Ibis, 1883, p. 69) suchte noch 1883 die Unterschiede michel S. morio und S. leucomela nachzuweisen, aber vergeblich, denn Seebohm (cf. ibd. footnote) konnte zwischen diesen Arten die erwähnten Unterschiede nicht finden. Die Unterschiede, welche Biddulph angiebt und die darin bestehen sollen, dass die Innenfahne der Schwungfe- dern erster Ordnung bei S. morio schwarz, bei S. leu- comela dagegen weiss gefärbt ist, sind ebenfalls irrig und daher werthlos. Biddulph hat nämlich augen- scheinlich die Arbeit von Blanford und Dresser (P. Z. $. 1874, p. 225) benutzt, wo als $S. leucomela die S. lugens Licht. beschrieben ist. Hume (Stray Feathers, IX, p. 326 footnote) vertheidigt die Selbst- ständigkeit seiner S. Hendersoni bis in die letzte Zeit. 10. Saxicola deserti, Temm, Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 364 (Key), 383; Dresser, B. Eur., IL, tab. 27. a. ® adlt. Sser-ob 14. IV (X 10057). Diese Art ist mit S. montana leicht zu verwech- seln, doch ist bei dieser letzteren die Innenfahne der Schwingen erster Ordnung bis zum Schafte weiss, während bei S. deserti die weisse Farbe auf der In- nenfahne der erwähnten Federn nur als breiter Rand _ auftritt. Die Länge des Flügels beträgt 3,6”, dieje- _ nige des Schwanzes 2,7”. Nach Seebohm beträgt die … Fittiglänge der Weïbchen von $. deserti 3,5 bis 3,3”, bei den Weïbchen von 8. montana dagegen dant __ dieselbe zwischen 3,9 und 3,6”. Unser Exemplar hat ein nur wenig abgetragenes Winterkleid und mag = desshalb einen etwas längeren Flügel haben. Fe 11. Saxicola isabellina, Cretzm. CL Brit. Mus., V, pp. 365 (Key), 399; Dresser, _. B. fr. IE, tab. 22. + S adit. Sagri-Dascht, Fluss Bida- ce. Abdschabar 18. VI (M 10047). Das erwachsene Männchen (a) in ziemlich abgetra- genem Gefeder unterstheidet sich von der Abbildung- dieser Art bei Dresser (Weïbchen im Herbstkleide) nur durch einen mehr prononcirten grauen Anflug. Die jungen Exemplare (b und d) tragen das gefleckte Nestgefieder und hat bei ihnen die Mauser noch nicht begonnen. Das Exemplar c befindet sich in voller Mauser und gehüren die meisten Federn schon dem Herbstkleide an. 12. Saxicola Finschi, Heugl. Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 364 (Key), 388; Dresser, B. Eur, IL, tab. 207 (S. erythraea). a. G adit. Tschaschma-Chafisdschan 12. IV (X 10058). Diese Art ist in der Vertheilung der weissen Fir- bung auf der Oberseite (von dem Schnabel bis zu den Schwanzdeckfedern) der S. melanoleuca im Frühlings- kleide ähnlich, doch unterscheidet sich diese letztere Art sehr auffallend von ihr durch eine weissgefärbte Stelle zwischen dem schwarzen Hals und dem Flü- gelbug, während S. Finschi seitlich vom Kinn bis zur Flügelspitze durchgängig schwarz gefärbt ist. Die Federn des Exemplars b sind im Ganzen ziem- lich stark abgestossen. Bis jetzt ist Tschaschma-Chafisdschan dr äusserste Fundort dieser Art im Nordwesten und ist sie für Turkestan, so viel mir bekannt, noch nicht nachge- wiesen; im Südosten ist ihre Verbreitung bis Kan- dahar und Quetta, wo sie Swinhoe (Ibis, 1882, p. 107) sammelte, verfolgt. 13. Saxicola opistholeuca, Strick. Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 364 (Key), 376; Gould, B. Asia, IV, tab. 27. 11.1V (M 10049). FR, a. & adit. Tengi-Charam b. à adit. ibd. c. 6 adit. Kara-Kuss (Engpass im Baba-Dagh) 6. V. Bei den mir vorliegenden Exemplaren ist das Ms fieder noch wenig abgetragen. des Sciences de Saint - Pétersbourg. 14. Pratincola caprata (L.). Cat. B. Brit. Mus., IV, pp. 179 (Key), 195. a. à adlt. Kurgan-Tuebe 18. V (Ÿ 10050). Die Federn unseres einzigen Exemplars sind our wenig abgetragen. Diese ôstliche Art erreicht im Südwesten ihres Ver- breitungsbezirkes das südôstliche Persien und kommt in Nordwesten bis zum Atrek und der Chiwinischen Oase, wo sie von Bogdano w ‘) gesammelt wurde, vor. Im Turkestan ist dieser Wiesenschmätzer, nach Mit- theilung von Herrn Th. Pleske, von Russow ge- funden worden. 15. Pratincola maura (Pall.). Cat. B. Brit. Mus., IV, pp. 179 (Key), 188; Gould, B. Asia, IV, tab. 34 (P. indica). a. à adlt. Dscham 28, IIL. b. & adit. Lailjakan 16. IV (K 10052). c. (8)°) juv. Baljan 22. V (10051). d. (Q) juv. ibd. Da NY, e. (9) juv. ibd. 22: Va Das Kleid der alten Exemplare (a und b) ist wenig abgetragen; auf dem schwarzen Rücken sind noch viele Federn von den rostfarbigen Rändern der Win- tertracht umsäumt. Zwei rostfarbene eben zum Vorschein tretende Fe- dern auf der Brust des Exemplars c geben mir die Môglichkeit auch die Jungen im Nestkleide als zu dieser Art gehürig anzusprechen. 16. Ruticilla phoenicura (L.). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 335 (Key), 336; Dresser, B. Eur. Il, tab. 41. a. 4 adit. Schir-abad 17. IV (X 10053). Das einzige DUR a ist in abgetragenem Früh- lingskleide. Die zweite Schwinge dieser Art ist grôsser als die 6., während bei der folgenden Art dieselbe kleiner als die 7. ist. 4) Oueprn npupoxst Xupnaekaro oasnca n neckoss Kussar- Kyre. us 1882, crp. 75, 88. 5) Die von mir in Klammern gesetzten Geschlechtzeichen halte ich für nicht ganz sicher. 17. Ruticilla rufiventris (Vieill.). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 335 (Key), 342; Moore, P.Z.S. 1854, pl. LVII (R. phoenicuroides); Dresser, B. Eur. IL, tab. 48. a. à adit. Inku 12. VI (MK 10117). b. @ adlt. Ischtiun 23. VI (N° 10054). ©. juv. Fluss Sang-Girdan 22. VII (VX 10056). d. 8 Lagari-Murda-Pass 29. VII (X 10055). Das alte Männchen (a) mag nach seinem einfarbig- schwarzen Mantel zu der Form À. atrata Jard. et Selb. ‘) gehüren. Das alte Weiïbchen (b) habe ich nach einem Exem- plar, welches Russow zusammen mit dem Männchen erbeutete, bestimmt. Ein anderes Weïbchen (d) in fast ausgemausertem Herbstkleide ist jenem, trotz anderer Nüancen in der Färbung, in der Grüsse und den plasti- schen Merkmalen vollständig gleich. In diesen Merk- malen stimmt auch das Junge (c), welches das ge- fleckte Nestkleid trägt, mit den erwähnten Weiïbchen überein. Abgesehen von dem Unterschiede in der Färbung, scheint das Weibchen von 2. rufiventris(V.) auch noch kleiner als dasjenige von R. erythronota (Eversm.) zu sein. Im Längenverhältniss der Schwingen scheinen sich diese zwei Arten nicht von einander zu unter- scheiden. Das junge Exemplar (c), welches das gefleckte Nest- kleid trägt und noch nicht (22. VII) zu mausern be- gonnen hat, lässt eine zweimalige Brut vermuthen. Ich füge noch die Ausmessungen und das Verhält- niss der Schwingen von 6 R. rufiventris und 2 R. erythronota bei. os ttig ris er : nge ange. er DCnwingen. R. rufiventris | 4 + E- a. G adit. (84, 75|.68,00 7>25>8 b. © ya Grum-ri-]79 00! 61,50 7>25>8 c. Q (aut.) mailo 179,00! 63,00 7>25%8 [d. jury. (77, 00! 60,00 759 fast—8 e. G adit.} Russow; ein 81 ,00! 63,00 7>8>2>9 f: ss adit. | uses pa 79,50! 60,50 (7>2>8 ER. erythronota | a. à adit.| Russow; ein 85, 50! 70,00 7>2>8 b. © adit. Ban Paar 183, 00! 71,00 75>2>8 6) Cf. N. Zaroudnoiï, Oiseaux de la Contrée Trans- s-Caspienne : p. 37, De von M, Menzbier nos Bulletin de l’Académie Impériale 18. Cyanecula caerulecula (P all.). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 294 (Key) 308; Dresser, B. Eur., I, tab. 49 (C. suecica). : a. & adit, Dscham 28. III (K 10060). Das Gefieder ist nur wenig abgestossen. 19. Cyanecula leucocyana, Brehm. Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 294 (Key) 311 (Æ. cya- necula), Dresser, B. Eur., II, tab. 48 (C: Wolfi). a. & adlt. : Sagri-Dascht-Pass b. & adit. (©) Tuptschek 14. VI (K 10061). 27. VI (M 10059). Die Bestimmung des Exemplars b bietet einige Schwierigkeiten, da der weisse Kehlfleck einen schwa- chen rostfarbigen Anflug hat und daher die Müglich- keit nicht ausgeschlossen ist, dass wir es mit einem Bastard von C. leucocyana und C. caerulecula zu thun haben; jedenfalls aber steht es der C. Zeucocyana viel näher. Der Reisende hat es als Weïbchen notirt, doch muss ich diese Geschlechtsbestimmung entschieden für irrthümlich halten, da sogar bei hahnenfedrigen Weib- chen der blaue Kehlfleck niemals so intensiv und un- unterbrochen auftritt. Das Exemplar von Scully, welches in Gilgit gesam- melt wurde, scheint nach der Färbung des Kehlsternes auch keïn typisches zu sein, da Biddulph (S. F. IX, p. 330) von ihm sagt: «a faint rufous tinge appears at the base of the satin-white feathers, looking very much as if there were a change of colour in the feather». Das Gefieder der mir vorliegenden Bälge ist ziem- lich stark abgetragen. Ich weiss nicht, ob diese Blaukehlchen-Form für Turkestan schon nachgewiesen ist. Wie es scheint, lie- gen die am meisten ôstlichen Fundorte dieser Art im westlichen Theiïl der himalayanischen Provinz der Re- gio aemodo-serica (Severtzow): Scully (Str. Feath. IX, p. 330) fand sie in Gilgit am 15. April (3. IV n. Jul. Kal.) auf dem Durchzuge (einzelnes Exemplar) und nach Biddulph war sie «very common on both sides of the Digar pass, between the Nobra and Indus val- leys during the last week ?) of June» (Str. F. X, p. 268). 7) Also Mitte Juni, vielleicht brütend. 20. Calliope pectoralis, Gould. Cat. B. Brit. Mus., V, p. 294 (Key.), 306; Gould, BR: Asia, IV;:tab:. 239: a. à adit. Tuptschek 27. VI (X 10062). b. G adit. ibd, EVE l c. Q adit. ibd. 2. VII (NX: 10064). d. & adlt. Chysch-Kuljak-Pass, über 10000" 3. VII (X 10063). e. & adlt. ibd. 8. VII. f. & adit. ibd. 3VIL g. & adit. ibd. 3. VII. h. Ô adilt. ibd. # VE: Alle Exemplare sind in abgetragenem Sommerkleid und mausern noch nicht. 21. Irania gutturalis (Guérin). Cat. B. Brit. Mus., V, p. 304; Dresser, B. Eur., IT, . tabb. 53 und 54. de a. à adit. Karnak 7. VI (Ÿ 10065). b. @ adit. ibd. 8. VI (M 10068). c. G adit. Fluss Sagri-Dascht 13. VII (NX: 10066). d. ® adit. ibd 13. VII (M 10067). Alle Exemplare sind in abgetragenem Sommerkleid und Kkeines mausert. 22. Daulias Hafizi (Severtzow). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 293 (Key), 297 (Eri- thacus Golzü); Blanford, Eastern Persia, II, tab. X, fig. 2 (optima); Radde, Ornis Caucasica, tab. XV (fig. mala). a. à adit. Gusar SR b. S'adit. Schir-abad 18. IV (W 10069). c. Q® adit. ibd. 18. IV. d. 8 adit. Karnak FINE e. & adit. Fluss Chingob 11. VI (K 10070). f. © adlt. ibd. 11: VE Die Bestimmung des Geschlechtes ist bei allen Exemplaren, welche ein nur wenig abgetragenes Kleïd haben, zweiïfelhaft. Bei den Exemplaren a und b ist die Abortivschwinge gleich den grossen Flügeldeékfedern und 2 — 5 > 6; bei den übrigen Bälgen (c—f) ist dieselbe etwas 353 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 354 länger (nicht einmal um 0,1”) als die Flügeldeckfedern und 2 > 5 > 6. Die unteren Schwanzdeckfedern sind in allen Übergängen von weiss bis rostfarbig gefürbt; beim Exemplar b ist auf denselben eine Wellenzeich- nung zu bemerken. 23. Sylvia cinerea fuscipilea, Severtzow. Sylvia cinerea B. fuscipilea Severtzow, Journ. f. Orn. 1875, p. 176 Sylvia fuscipilea Seebohm, Ibis 1884, p. 427; id. Hist. Brit. Birds, I, p. 406. Sylvia cinerea fuscipilea Zaroudnoiï, Trans-Casp. 1885, p. 41. Oiseaux a. à adit. Tuptschek 28. VI. -b. adit. ïbd 29, VE. c. G adlt. ïibd. 30. VI (K 10071). d. & adit. ibd. 30. VI. e. &adit. ibd. 30. VI (M 10072). Wenn man diese Form als ôstliche Unterart der gemeinen S. cinerea anerkennt, so müssen alle unsere Exemplare als zu derselben gehürig angesprochen werden. Die Bälge sind in abgetragenem Kleide und haben noch nicht zu mausern begonnen. 24. Sylvia currusa affinis, Blyth. Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 5 (Key), 19. a. 6 adit. Sser-0b 15.1V(K 10165). © b. © adit. Kara-Kuss, im Baba-dagh 6. V (10166). c. 6 adit. Baldschuan 30. V (M 10073). d. © adit. - bd. 1142 5 . e. 9 adit. Karnak ZiNE f. & adlt. Ischtiun 23. VI. 9. & adit. ibd 23. VI(N: 10074). Die üstliche Form unserer $. curruca unterscheidet sich von dieser letzteren nur dadurch, dass bei ihr die zweite Schwinge kürzer als die 6. und länger als die 7., während bei $. curruca dieselbe Schwinge länger als die 6. und kürzer als die 5. ist. Die Färbung der Oberseite der im April und An- fang Mai erlegten Exemplare (& und b) ist hellbraun und halte ich diese Färbung für diejenige der Winter- tracht; die Ende Mai erbeuteten Exemplare sind oben _aschgrau gefürbt. Auf diese Weise kann man, glaube ich, diese Art im Tone mit S. ose ver- | wechseln, doch variirt bei dieser letzteren die Länge | des Flügels*) zwischen 2,45—2,3"(62,5—58,5 mm.) während dieselbe bei unseren sieben Exemplaren von S. affinis von 2,73 — 2,52" (69,5 -- 64 mm.) beträgt. Die Fittiglänge bei den Exemplaren a und b ist 2,65 und 2,58” (67,5 und 65,5 mm.) Von allen mir vorliegenden Exemplaren mausert nur das am 7. Juni erlegte Weibchen (e): bei ihm ge- hôüren schon alle kleinen Federn dem Herbstkleide an, die frischen Steuerfedern, namentlich die äusserer, sind noch kurz, während die Schwingen noch nicht alle mausern, Wahrscheinlich war dieses Weibchen ledig geblieben, da sogar die am 23. Juni erbeuteten noch nicht angefangen haben zu mausern. 25. Sylvia orphaea Jerdoni (Blyth). Cat. B. Brit, Mus., V, pp. 5 (Key), 16; Nicholson, P.Z.S. 1851, p. 195, pl. XLITI (Artamus cucullatus). a. & adit. Sser-ob 14. IV (10075). D Oral bd 147 IV, c. (G)adit. Karatag 3. V. d. & adit. Tabi-dar 10. VI (10076). é; 6 Alt, ibd. 10.:VI. fo ait 15 : : 10. VE. g. @ adit. Inku 12. VL. Alle Exemplare gehôren der ôüstlichen Form der S. orphea an; sie unterscheiden sich von der Abbildung bei Dresser (B. Eur., IL, tab. 64) nur dadureh, dass bei ihnen die Färbung auf der Unterseite einen sehr schwachen isabellfarbenen und auf den Seiten einen bleigrauen Anflug hat. Sie stimmen vollständig mit . der Abbildung bei Nicholson (L c.), welcher die Art fälschlicherweise in eine andere Gattung stellt, über- ein, our scheint mir diese Zeichnung um ein Geringes die natürliche Grüsse dieser Art zu übertreffen und der Schnabel ist jedenfalls zu gross und dick wieder- gegeben. Die Länge des Schnabels (d. h. des Culmen), welche nach Seebohm (Cat. B. Br. Mus. 1. c.) als bestes Crite- rium dieser Art angesehen werden muss, beträgt beim Exemplar f 0,67”, beim Exemplar g 0,70” und variirt bei allen übrigen Bälgen zwischen 0,72—0,78”. DieLänge des Flügels varürt zwischen 3,07—5, 20" , diejenige des Schwanzes von 2,90"—3,07”. .. . | 8) of. Seebohin, Cat. B. Brit. Mus., V, p. 5 (Key) 355 Bulletin de l’Académie Impériale 356 Das Kleid aller Exemplare ist mehr oder weniger stark abgestossen. Herr Zarudnoï brachte diese Form aus dem Transcapi-Gebiet mit, während Nikolsky die- selbe in Nord-Persien (Firjuse bei Budschnurt 14. u. 12. VII, 85) erbeutete. Der Schnabel des alten Exem- plars von Nikolsky misst 0,78”, derjenige des jungen (M: 10077) nur 0,60”. 26. Adophoneus nisorius (Bechst.). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 5 (Key), 6; Dresser, B. Eur., IT, tab. 68. a. & adit. Tabi-dara 9. VI. b. à adit. ibd. 9. VI. e:.0 adié. ibd. 10. VI. d. & adlt. ibd. / 10. VI. e. G adit. ibd. 10. VI. f. & adit. ibd. 10. VI. g. 4 adlt. ibd. 10. VI. h. & adit. ibd. ÉECVE i. Ô adit. ibd. IHVE j. 6 adit. 1 TI VE, k. & adit. Nôrdl. Abhang Puch I-Gebirge, Fluss Kara-Saur 5. VIL Alle Exemplare sind in einem mehr oder weniger _ stark abgetragenen Kleiïde. 27. Herbivocula indica (Jerd.). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 121 (Key), 126. a. G jury. Lagari-Murda- Pass 28. VII (X 10078). b. & juv. ibd. 28. VII (N 10079). Ich habe Gelegenheit gehabt die mir vorliegenden Exemplare mit Bälgen dieser Art, welche von Rus- sow gesammelt und von Herrn Seebohm bestimmt worden sind, zu vergleichen. Bei beiden Exemplaren fangen auf der Brust Fe- derkiele an sich zu zeigen und die frischen, aber nicht mausernden, Schwingen und Steuerfedern wei- sen darauf hin, dass wir es mit jungen Exemplaren, = die ir Nestkleid vermaysern, zu thun haben. 28. Herbivocula neglecta (Hume). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 121 (Key), 131. a. adlt. Lagari-Murda-Pass 26. VII (VW 10080). Dieses Exemplar habe ich ebenfalls mit Bälgen aus _bohm bestimmt worden sind, verglichen. der Russow’schen Sammlung, welche von Herrn See- Einige Schwingen und das Kleingefieder mausern sehr stark, während die Steuerfedern schon ausgemau- sert haben. Diese Art wurde schon früher am Iskander-Kul (6. VIIT) von Russow gesammelt. Unsere Kenntniss der geographischen Verbreitung dieser Art westlich von Turkestan, wo sie zweiïfelsohne als Brutvogel vor- kommt, ist in letzter Zeit durch die Funde von Za- rudnoï ”) und Lorenz ) sehr wesentlich erweitert worden. Ersterer hat sie auf dem Kopepet-Dagh er- beutet und ich besitze einen Balg von ihm aus den Bergen der Umgegend von Aschabad, während Herr [ Lorenz dieselbe für den nôrdlichen Caucasus. nach- gewiesen hat, 29. Acanthopneuste nitida (Blyth), Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 39 (Key), 43. a. (6) adit. Dscham 28. III (W 10113). Das mir vorliegende Exemplar in ziemlich frischem Gefieder stimmt vollständig mit einem Balge meiner Sammlung, welchen Herr Zarudnoï im Juli bei Ascha- bad erbeutet hat, überein. Die Verbreitung dieser Art im Westen scheint mit derjenigen der vorigen Art zusammen zu fallen; we- pigstens theilt Herr Menzbier ‘) mit, dass Herr Lo- renz im Frühjahre 1885 À. mitida im nordwestlichen Caucasus gefunden habe, 30. Acanthopneuste viridana (BI yth). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 39 (Key), 44; Henderson u. Hume, Lahore to Yarkand, pl. XIX. a. à adlt. Tuptschek 28. VI œ 10114) Unser Exemplar, welches ein nur wenig abgestos- senes Kleid trägt, habe ich mit Exemplaren dieser Art aus der Russow’schen Sammlung verglichen; die letz- teren waren von Herrn Seebohm bestimmt. 31. Iduna languida (H. u. E br.). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 76 (Key), 80; Dresser, B. UP, CAD a. Ô adit. hit 31. V (X 10084). Durch Vergleich dieses Exemplars, wie überhaupt aller Zduna unserer Sammlung, mit Russow’schen 9) Ois. de la contr. Trans-Caspienne, p. 40. Sep. Abdr. aus Bull. Soc. Nat. Mosc. 1885, Xe 2. 10) Ibidem, Anmerkung von M. Mensbier, 11) Zarudnoi, 1. c,, p. 40, Anmerkung, 357 des Sciences de Saint - Pétersbourg. es welche durch Herrn Seebohm’s Hände gegangen sind, konnte ich meine Bestimmung einer Controlle Ditrrer ti Diese Art und Zduna olivetorum besitzen eine Abortivschwinge, welche kürzer oder um hôchstens 0,05” grüsser als die grossen Flügeldeck- federn ist, doch ist die Form dieser Schwinge eine von den Acrocephalus-Arten vollständig verschiedene, was auch die Môglichkeit giebt, diese beiden Species von den Arten der letzteren Gattung zu unterscheiden. : Das Exemplar ist in abgetragenem Kleide. — Der . Flügel misst 77,0, der Schwanz 6,50 mm.; Reihenfolge der Schwingen 3>4>5>2>6>7. 32. Iduna pallida (H. u. Ebr..). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 76 (Key), 82; Dresser, B. Eur, IL, tab, 80, fig. 1 a. & adlt. Kara-Kuss, Engpass im Baba-dagh 6. V ds 10081). c. à adlt. Dschidda- Bach, Fluss Kafirnagan 10. V. d. à adit. Baljan Auch diese Art habe ich mit Exemplaren aus der Russow’schen Sammlung, welche von Herrn Seebohm bestimmt und von Hrn. Th. Pleske mir freundlichst zur Untersuchung überlassen worden sind, zu ver- gleichen Gelegenheit gehabt. An allen diesen Exem- plaren, so wie auch an den Bälgen, die von Herrn Za- rudnoi gesammelt worden sind und theilweise sich jetzt in meiner Sammlung befinden, konnte ich mich überzeugen, dass in den meisten Fällen (bei 11 Exem- plaren an 10) die zweite Schwinge in der Grüsse zwi- schen der 6. und 7. steht und nur bei einem Balge fand ich dieselbe um ein Geringes kleiner als die 6. Schwinge. Das Verhältniss der Schwingen ist also grüsstentheils dasjenige der Zduna caligata und nur beim Verhält- b. 6 adit. Ak-Metschet 8.V lguida und Zduna .opaca (nach Schwingenformel) ver- Tabelle der Maasse und Schwingenverhältnisse von Zduna languida, pallida, caligata und rama. X| Iduna: So pa Coll. von: as. reg Reihenfolge der Schwingen. ÿ \ mm, | mm. ; 1! languida | a Grum-Grz.Acad.Petr. 77,0 | 65,0 13>45>5725>6>7>8 2:00 240 Russow ibd 76,0 | 67,0 |3=—45>5>256>72>8 3|'pallida a (Grum-Grz. ibd. 66,0 | 55,0 | 4fast—3>5>6>7—2>8 4] do. b id. ibd. 67,0 | 56,0 | 4 » —=3>55>6>2>7>8 M 00 ét id, ibd. 67,0 | _56,0./4 » —3>5>6>2>7>8 -7| do. 416, Russow ibd. 69,0 | 60,0 .4=3>5>2fast—6>7>8 8. do. 420 id. _ibd. | 65,5 | 60,0 |4=3>5>6>2>7>8 9! do. É70 ei. ibd. | 68.0 | 57,0 |4—=3>5>6>2>7>8 10! do. 481| id. ibd. | 67,0 | 59,0 |4—3>5>6>2>7>8 11! do. 417 id. ibd. 68,0 | 56,0 |4=3>5>6>25>75>8 12| do. HaBe .ià ibd. | 66,0 | defect. 4—=3>5>6>2>7>8 13, do. 419 id, ibd. 66,0 |! 55,0 | 4=35>61206>2>7533 14! do.(juv.)1339, Zarudnoi | Bianchi 61,0 | 52,0 4=3>5>6>2>7>8 15! do. 1345 id. ibd. 6,0 | 54,0 | 14=3>5>6>2>7>8 161 caligata a Grum-Grz.Acad.Petr. 60,0 | 50,0 14=3>5>6>2>7>8 17, do. 717, Russow ibd. 0,05, 50,0 ,4=355>6>2>7>8 18! rama 489 id. ibd. | 60,0 | 55,0 ee —4=5>6>7>2>8>9 19, do.. 426 id. ibd. 58,5 | 50,0 Le 1=5>0>1>2>8>9 20: : do. 427 id. ibd. 62,0 55,0 | 3=4=0>6>7>8>2>9 HARAS Doch ist die erstere durch die auffallende während sich die letztere durch ihren ul platt- Kürze ihrer Abortivschwinge sebr gut en re Tome XXXI. gedrückten Schnabel und ihre nr qu (Süd- ; 22, V.( 10082): :- niss 5 >2>>6 kann man diese Art mit Zduna lan- 359 Bulletin de l’Académie Impériale 360 Spanien, Nordwest- und West-Africa) von unserer Art genügend unterscheidet. Beim Schwingenverhält- niss 5>6>2>7 kann man /d. pallida. nur mit Id, caligata verwechseln, doch ist diese letztere klei- ner, als die erstere Art: bei Zd. caligata ist die Flü- gellänge immer kürzer, als 61,0 mm. (2,4”), während bei pallida diesélbe dieses Maass immer übersteigt. Iduna rama endlich, hat ein sehr charakteristisches Ver- hältniss der Schwingen, und ZWar ist die zweite klei- ner als die 7. oder sogar als die 8 Alle Exemplare sind in mehr due weniger abge- tragenem Kleïide. 33. Iduna caligata (Licht.). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 77 (Key), 85; Dresser, B. Eur., II, tab. 84. a. & adlt. Lagari-Murda-Pass 28. VII (K 10083). Dieses Exemplar, welches ein stark abgestossenes Gefieder trägt, hat noch nicht zu mausern begonnen. 34. Aedon galactodes familiaris (Ménétr.). : Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 5 (Key), 36; Dresser, B. fu IL, tab. 82 fig. 2 a, & adit. Ak-Kurgan 21. IV. b. à adlt. Kokaity-Kurgan 24. IV. _ Diese Bälge tragen ein nur wenig abgestossenes Kleïd. 35. Acrocephalus stentoreus (H. u. Ehr.). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 88 (Key) 98; Stafford Allen, Ibis, 1864, pl. I; Henderson a. Hume, Lah. to Yark., tab. XVI (4. brunnescens). a. à adlt. Kokaity-Kurgan 25. IV (M 10085). b. Sadit. Baljan 21. Y. ‘ ç. Q adit. ibd. DEV. Bei allen drei Bälgen ist die zweite Schwinge kür- |? | zer als die 5. and sind die Beine dunkel gefärbt; die Länge des Flügels beträgt bei a—3,52”, bei b—3,49" und bei c — 3,47”. Daher spreche ich meïne Exem- plare als zu dieser Art gehôrig an und sehe das Ver- 1e hältniss der Schwingen als bestes Merkmal für dieselbe an. Hemprich und Ehrenberg haben diese Art auf è Sie Weise HapnQHSLEEe «Habitu et colore Cur- Sylviae) turdoidi similli , sed paulo inferior, sex- ee MIO Fat pollicaris, remigum 2-da quam 5-ta aut 6-ta minore ©), rostro longiore, pedibus gracilioribus. C. éurdoides dif- fert, statura majore, remigum 2-da et 3-tia longis- simis, pedibus validioribus, longioribus, rostro breviore et paulo altiore». 36. Acrocephalus dumetorum, Blyth. Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 89 (Key), 104; Dresser, B. Eur., IL, tab. 86, fig. 2 a. à adit. Kara-Kuss im Baba-dagh 6. V. b. adlt. Ak-Metschet 8. V (MK 10086). c. Ô adit. Obi-Garm 11. VII d. 8 adlt. Lagari-Murda-Pass 27. VIL, Ich habe die mir vorliegenden Exemplare mit Bäl- gen dieser Art aus Turkestan (Russow), aus Achal- Teke (Zarudnoi), aus Nord-Persien (Nikolski) und aus dem Petersburger- und Twerschen Gouvernement (Bianchi) verglichen und unter ihnen keine Unter- schiede auffinden künnen. Das Kleid der Exemplare « und à ist nur Wet : abgetragen, dasjenige der Exemplare c und & jedoch schon sehr stark abgestossen ohne der Mauser unter- worfen zu sein. (2 37. Accentor alfaicus, Brandt. Cat. B. Brit. Mus., VIL, pp. 649 (Key), 660; Gould, B. Asia, IV, pl. 49. a. à adlt. Sagry-Dascht-Pass, Fluss Chumbou, 10,000 14. VI. b. & adit. ibd. 14. VI (X: 10090). €. © adit. 1bd. 14. VI. d. & adilt. Sagri-Dascht, FI. Bidà- | | Abdschabar 18. VI (X 10089). e. © adit. ibd. 18. VI. f. 6 adlt. Chysch-Kuljak-Pass, über 10, 000! 2. VII(N 10087). g. Q ad. ibd. 3.VIL(K 10088). Die im Juli erlegten Exemplare haben noch uicht zu mausern begonnen. 38. Tichodroma muraria (Linn.). Dresser, B. Eur., IL, tab. 123. a. (&) juv. Sagri-Dascht-Pass 13. VI. Das Exemplar trägt das Nestkleid. 12) Die Cursivschrift gehôrt mir an. des Sciences de Saint - Pétersbourg. 39. Myiophoneus Temmincki, Vigors. Cat. B. Brit. Mus., VII, pp. ? CÉEY 7; Gould, Cent. Him B., pl. 21 a. & adit. Karnak 7: VE b. à juv. Fluss Sagri-Dascht 19, VI. c. Ô adit. Ischtiun 23. VI. d. & juv. ibd. 23; V1. e. Ô adlt. Lairan 24. VI. f. © adit. ibd. 24. VI. g. ® Jury. ibd. 24. VI. h. © juv. Nosany 25. VI. î. 6 juv. Nôrdl. Abhang Peter’s I- Ge- birge, F1. Sinde-Kul 4. VII. Obi-Garm 2 liVE Die alten Exemplare sind in einem abgetragenen Kleide, die Jungen im Nestkleide; sogar das am 11. Juli erlegte Junge hat mit der Mauser noch nicht be- gonnen; bei dem am 19. Juni geschossenen ist der Schwanz schon vollständig ausgewaclisen. 3. 6 ju. 40. Trochalopterum lineatum (Vigors). Cat. B. Brit. Mus.. V, pp. 356 (Key), 377; Hen- derson a. He Lahore to Yarkand, tab. VIII. a. & adit. Fluss Sang-Girdan 21. VII (X 10091). b.(S) juv. ibd. 21. VII (X 10092). c.(S) juv. ibd, 21. VIL. Die Enden der Steuerfedern sind bei dem von Hen- derson und Hume abgebildeten Vogel grauweiss; bei unseren jungen Exemplaren sind diéselben jedoch dun- kelaschgrau und beim Weïbchen hellaschgrau gefärbt. Das Gefieder des Weibchens, welches noch nicht zu mausern begonnen hat, ist vollständig abgestossen; die Jungen tragen das frische Nestkleid. Schon früher ist diese Art für den gebirgigen Theil Buchara’s von Russo w, welcher sie am 9. October am Fusse des Baussun-Tau (Eisernes Thor) erlegte, nach- gewiesen. Dieser Fundort bildet, so viel mir bekannt ist, den nord-üstlichsten Punkt der Verbreitung die- ser Art; die mir vorliegenden Exemplare sind mebr ôstlich, im Gissar, erbeutet. Sowohl im Norden, im * russischen Turkestan, als auch im Osten, auf dem Pamir, kommt Z. lineatum schon nicht mehr vor. Bis nach Buchara verbreitet sich also diese himalayanische Art aller Wahbrscheinlichkeit nach über den uner- forschten Badakschan und Hindukuseh. In Gilgit und weiter nach Südosten, auf allen Gebirgszügen des Hi- malaya-Systems, kommt sie, wie es scheint, überall als Standvogel vor. 41. Microcichla Scouleri (Vigors). Cat. B. Brit. Mus., IX, pp. 312 (Key of Genera), p. 322; Gould, B. Asia, IV, tab. 71. a. G adlt. Kischlak Sagri-Dascht 13. VI (X 10093). b. juv. Fluss Sang-Girdan 22. VII (X 10094). Die Federn des erwachsenen Exemplars (a) sind ziemlich abgestossen ; das Junge trägt dasjenige Kleïd, in welchem diese Art als Æ. atriceps beschrieben wurde und ist bei ihm die ganze Oberseite des Kop- fes schwarz, die Unterseite, vom Schnabel bis zum Schwanz weiss, manche weisse Brustfedern tragen dunkle Enden. Seebohm (Ibis 1882, p. 423) erhielt ein Exem- plar dieser Art aus Samarkand; unser junges Exemplar ist in Gissar (Provinz), das alte in Darwas erbeutet; weiter südôstlich ist A: Scouleri von Scully in Gil- git gefunden worden. Auf diese Weiïse, hat diese hi- malayanische Art in Ost-Buchara ungefähr dieselbe Verbreitung, wie Trochalopterum l'ineatum. 42. Aegithalus coronatus, Severtzow. Acgithalus coronatus, Severtzow, Turkest. Zevotn. p. 136, tab. IX, fig. 3. aise Ham id., ibd. p. 137, tab. IX, fig. 4 und 5 a. A adit. Karnak 8. VI (N 10095). b. (8) juv. Nossany 25. VI (K 10096). c (Q} IT: PT 208 VE d. (Q) jav. Obi-Garm 11. VIL. €... quy. id: 12. VIF (10097). à (Qdavs bd 12, VIL g juv. ibd. 12. VII (X 10098). h. juv. ibd. 12. VII: Die jungen Exemplare im Nestkleide sind der Fig. 5 bei Severtzow sehr ähnlich, Doch sind mir die un- ne terscheidenden Charaktere der jungen À. coronatus, wenn solche überhaupt vorhanden sind, nicht bekannt und kann ich daher für die Richtigkeit der Bestim- 2. mung nicht einstehen. | 1 363 Bulletin de l’Académie Impériale 364 43. Parus cinereus bocchariensis, Licht. Seebohm, Hist. Brit. Birds. I, p. 463. a. à adit. Kabadian 14. Y (K 10099). BG a 1 HN c.' 6 ad, 14 :: 14. . d:(0} juv: "14 “14 W.: Aller Wabrscheinlichkeit nach gehüren meine ÆExemplare zu dieser Form und nicht zu P. cinereus, Vieill. Die Exemplare 4, b und c zeigen ein abgetra- genes Kleid und hat Dai ihnen die Mauser noch nicht begonnen; das junge Exemplar 4 trägt das Nestkleid. Beim letzteren ist der Kopf schwarzbraun ohne me- tallischen Glanz; der schwarzhraune Kehïfleck und der Streifen, welcher nur bis zur Mitte der Unterseite geht, sind viel schmäler als bei alten Exemplaren, bei welchen der Streifen sich bis auf den Bauch erstreckt. 44. Cyanistes flavipectus, Severtzow. Severtzow, Turkest. Zevotn. p. 133, tab. VIII, fig. 7; Menzbier, Bull. Soc. Z. France, tome IX, 1884, p. 278. _a.Q adit. Karnak rex à À b. & juv. Lagari-Murda-Pass 25. VII (NM 10118). Das Federkleid des alten Exemplars (a) ist stark abgestossen, aber noch ohne Anzeichen von Mauser; das Junge trägt das Nestkleïd, doch zeigen sich auf der Brust schon neue Kiele. Die Fundorte dieser zwei Exemplare in Gissar und Darwas erweitern etwas den Verbreitungsbezirk die- ser Art nach Süden. Da eine ausführliche foséhreiline der Jungen von C. flavipectus nicht existirt, so habe ich eine solche nach dem mir vorliegenden Balge abgefasst. Stirn und seitliche Scheitelstreifen blass fahlgelb: Scheitel hellschieferfarben; Wangen, Kinn, Kehle, Ohrgegend und Halsseiten von blasser fahlgelber Fär- bung; auf dem Kinn und der Kehle steht ein ziemlich deutlich prononcirter Fleck, welcher von dem danklen _ durchscheinenden Basaltheile der Federn gebildet wird; von der Halsoberseite erstreckt sich jederseits . auf die Halsseiten ein schmaler, langer bräunlich- _ grauer Streifen, welcher jedoch mit dem dunklen Kehl- fleck nicht zusammenfällt. Auf dem oberen Theile des = Rückens steht ein verwaschener matter Fleck. Mittel- rücken und Schulterfedern sind hellbräunlich mit Bei- mischung von Gelb; Hinterrücken und Bürzelgegend etwas heller als der Mittelrücken mit bläulichgrauer Bei- mischung ; Oberschrwanzdeckfedern noch heller. Brust, Bauch und Unterschwanzdeckfedern von fahlgelber Färbung. Kleine Flügeldeckfedern von der Färbung des Rückens; grosse Flügeldeckfedern dunkelblau mit c. 7 mm. breiten gelblichweissen Enden. Die Aussen- fahne der Handschwingen (mit Ausnahme der ersten, deren Aussenfahne durchgängig weiss ist) im Basaltheile ultramarinblau, im Endtheïle weiss; die Innenfahnen derselben grau mit einem weissen Saume an der Basis. Die Armschwingen sind auf ihrer Aussenfahne ultra- marinblau, auf ihrer Innenfahne grau gefärbt mit weissem Seitensaume, Die Enden der Armschwingen sind in einer Breite von 2 mm. weiss; die zwei äusser- sten Armschwingen besitzen ein grüsseres weisses Ende, wobei die weisse Färbung auf der Innenfahne einen breiteren Endsaum, als auf der Aussenfahne bildet ®). Die äusserste Steuerfeder ist längs der ganzen Aussenfahne und auf der Innenfahne bis zur Hälfte weiss, die folgende jéderseits ist auf der Aus- senseite bis zur Mitte weiss gefärbt und auf ibrer Innenfahne steht nur auf dem Endtheile ein grosser weisser Keilfleck; auf der dritten Steuerfeder ist end- lich auf der Endhälfte nur ein unregelmässiger weisser Fleck zu sehen. Alle übrigen Schwanzfedern sind ul- tramarinblau, am Schafttheile dunkler gefärbt, 45. Lophophanes rufonuchalis (B1yth). Cat. B. Brit. Mus., V, pp. 29; Gould, B. dia, II, pl. 60 a. G adlt. Sarym-Sakli 23. VIL b. 6 adit. ibd. 20: YEL. c. Ô adit. ibd. 23. VEL. d. 6 adit. Lagari-Murda-Pass 25. VII. e. Gadlt bd. 25. VII. f. & adit. ibd. 25.NIT: g. © jury. ibd. 25. VII. h. Q adit. ibd. 25: VIE i. Q adit. ibd. 26. VII. k. © jury. ibd. 26. VII. 13) Durch diesen letzteren Umstand unterscheidet sich unser ve von allen anderen Cyanistes-Arten, mit Ausnahme von C. cya- us und C. tianschanicus, welche ibrerseits von C. flavipectus in de Färbung des Schwanzes abweïichen. ; des Sciences de Saint - Pétersbourg. 1. © adit. Lagari-Murda-Pass 27. VII. m. & adit. ibd, 28. VII. n. Q adit. ibd. 29. VIT. Unter den mir vorliegenden Exemplaren fand sich L. Beavani, Blyth nicht vor. Die Länge des Flügels variirt zwischen 2,8 und 3/1. Das junge Exemplar g trägt noch ziemlich viele schwarzbraune Federn des Nestkleides auf dem vor- deren Theile der Unterseite und namentlich auf dem Kopf, wo übrigens auch schon einige Federn mit me- tallischem Glanz aufgetreten sind. Beim Exemplar 4 sind nur noch wenige Federn des Nestkleides auf dem Kopf stehen geblieben. Die alten Exemplare » und » sind schon beinahe ganz vermausert, während alle anderen sièh noch in voller Mauser befinden. 46. Sitta syriaca, Ehrenb. Cat. B. Brit. Mus., VIIL, pp. 341 (Key), 346. a. à adit. Tengi-Charam 11. IV. b. G adit. Sser-ob 15. IV. Ich halte die mir vorliegenden Spechtmeisen, welche beide im abgetragenen Kleïde sind, für diese Art, da | beï ihnen die Flügellänge 3,45” né 3,26” beträgt, während dieselbe bei S. Neumayeri immer kleiner als 3,00" ist. So muss ich z. B. für letztere Art eine von | Herrn Nikolski in Nord-Persien erbeutete Specht- meise ansprechen, da ich bei ihr eine Flügellänge von nur 2,87” gefunden habe. 47. Motacilla alba, Linn. Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 458 (Key), 467; Dresser, B. Eur., HI, tab. 125, fig. 1; Gould, B. Asia, IV, tab. 62 (M. dukhunensis). a. Q adit. Weg von Karschi nach Gusar 7.IV (K 10115). Ich kann nicht mit Gewissheit behaupten, dass un- ser Exemplar nicht vielleicht AZ. dukhunensis ist, da] ich die letztere nicht zu unterscheiden verstehe. Mei- ner Ansicht nach kann weder die Grüsse, noch die Fär- bung der Oberseite (bei unserem Exemplar ist sie dun- kelgrau), noch die gelbliche Färbung der Gesichtstheile (bei Jungen) Anhaltspunkte zur Unterscheidung dieser beiden Formen liefern. Der Balg ist im Sommerkleide. 48. Motacilla personata, Gould. Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 458 (Key), 479, tab, V, fig. 3; Goutd, B. Asia, IV, tab. 63. a. à adit. Baldschuan 30. V. Das Exemplar trägt das Sommerkleid. 49. Calobates melanope (Pall.). Çat. B. Brit. Mus., X, pp. 459 (Key), 497; Dresser, B. Eur., III, tab. 128. a. à adlt. Kischlak Sagri-Dascht 13. VI. Sharpe (Cat. B. Brit. Mus., X, p. 459 (Key)) führt den viel grelleren Ton der gelben Färbung auf den Unterschwanzdeckfedern im Verhältniss zu der Fär- bung der übrigen Unterseite als Merkmal für diese Art an. Mir scheint jedoch der Contrast in der Fär- bung zwischen dem gelben Bürzel und den Oberschwanz- deckfedern und dem gräuen Rücken ein viel besseres Merkmal zu bieten umsomehr, da bei den Arten der, Untergattung Budytes die Oberschwanzdeckfedern mit dem Rücken in der Farbe beinahe übereinstimmen. Unser Exemplar trägt das Sommerkleid. 50. Budytes citreola (Pall.). Cat. B. Brit. Mus., V. pp. 459 (Key), 503; Dresser, B. Br III, tab. 127. a. & adit. Karschi 3. IV. b. Ô adit. ïibd. 3. I. C. Ç adit, 14, : 3. I: Beide Männchen unterscheiden sich von der Dres- ser’schen Abbildung dadurch, dass bei ihnen der weiss- lich-gelblichen Färbung am Hinterkopfe sehr viel Grauschwarz beigemischt ist. Auf dem Halse und dem oberen Theile des Rückens steht ein breiter schwarzer Kragen, weiter nach hinten ist der Rücken dunkelgrau. 51. Budytes flava (Linn.). Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 459 (Key), 516, tab. VI, E fig. 5. a. & adit. Jange 7. IV (X 10100). : : Dieses Exemplar ist der Fig. 5 auf der citirten Ta- fel hôchst ähnlich und kann nicht als B. beema an- ; gesprochen werden, da bei ihm die Ohrfedern und dé Gesichtstheile nicht weisslich gefärbt sind. ps Bulletin de l’Académie Impériale 368 52. Budytes melanocephala (Licht.). Cat. B. Brit. Mus.. X, pp. 459 (Key), 527, tab. VIII, fig. 3 (M. Feldeggi); Dresser, B. Eur, IT, tab. 130. a. 6 adit. Karschi 3. IV. Unser Balg stimmt mit Fig. 3 (1. c.) vollständig überein; das Kinn ist weiss, die schwarze Färbung des Kopfes geht etwas auf den Hals, auf welchem übrigens die grüne Färbung vorwaltet, über. - 53. Anthus arboreus, Bechst. . Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 535 (Key), 543 (À. érivialis); Dresser, B. Eur., II, tab. 132, fig. 2. a. à adlt. Dscham 28. III. 0.6 dits Hd. . 28. ILE, c. adit. Gusar 10. IV. d. à adit. Tuptschek 28. VI. e. &adlt. ibd. 30. VI (K 10101). É CO adit bd. 30. VE Da den mir vorliegenden Exemplaren der oliven- grüne Ton in der Färbung, welcher für Anthus ma- culatus so charakteristisch ist, vollständig fehlt, so sehe ich dieselben als zur westlichen Art gehürig an. Das Kleid der Exemplare a und b ist nur wenig ab- getragen und dem Herbstkleide dieser Art sehr ähn- lich, dasjenige des Balges c ist schon viel mebr abgenutzt; die Exemplare d und f tragen ein stark abgestossenes Sommerkleid, haben jedoch noch micht zu mausern begonnen. 54, Anthus spinoletta Blakistoni, Swinhoe. Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 537 (Key), 592 (4. spi- noletta, p. 595 — Blakistoni); Severtzow, Ibis 1883, p. 62 (A. Coutelli). a. Q adlt. Sagri-Dascht-Pass, Fluss ‘Chumbou, 10,000’: 14. VI (W 10119). _ Unser Balg passt nach der Severtzow’schen Ta- belle (1. c.), in welcher übrigens Anthus Blakistoni unter dem specifischen Namen À. Coutelli angeführt wird, nach der Mehrzahl der Merkmale, wenn auch nicht nach allen, eher zu dieser Form. Die Länge des cs Flügels beträgt bei unserem Exemplar 3,13”, dieje- _nige des Schwanzes 2,55”; nach Seebohm (cit. im _ Cat. ut supra p. 595) ist die westliche À. spénoletta etwas grôüsser und variirt béi ihr die Fittiglänge zwi- schen 3,6 und 3,3 und der Schwanz von 2,85 bis 2,55; bei À. Blakistoni: Fitt. 3,4—3,1”, Schw.2,65— 2,45”. Unser Exemplar trägt ein stark abgestossenes Som- merkleid. 55. Oriolus kundoo, Sykes. Cat. B. Brit. Mus., II, p. 189 (Key), 194; Hen- derson and Hume, Lah. to Yark. pl. XI. . 6 adit. Schir-Abad 17. IV. & adlt. Kum-Kurgan 22. IV. ® adit. ibd. 22. IV. . & adit. Kurgan-Tjube 17. V. e. © adit. Baldschuan 30. V. Beim Exemplar c steht ein kleiner schwarzer Fleck an der Basis der Aussenfahne der äussersten Steuer- feder; beim Exemplar a sind an der Basis derselben Feder nur die Schafte schwarz. Bei diesem letzten Exemplar ist auch die schwarze Färbung hinter dem Auge viel stärker ausgesprochen als beim Exemplar 4, bei welchem auf den Steuerfedern das Schwarz voll- ständig fehlt. 5 LOI SS 56. Lanius minor, Gm. Cat. B. Brit. Mus., VII, pp.232 (Key), 235; Dresser, B. Eur. III, tab. 149. a. 6 adit. Tengi-Charam: 14. TV. b. 6 adit. Kara-Kuss (Engpass im Baba-dagh) 5. V. c. 6 adit. Baldschuan 30: V. d. © adit. | Lairan 24. VI. e. G jury. Lagari-Murda-Pass To LE Die Exemplare « und & tragen ein prachtvolles, vollständig frisches Kleid, welches beim Balge c schon etwas abgetragen erscheint. Am Exemplar d zeigen sich auf der Brust schon Kiele, während € noch im Nestkleide ist, 57. Otomela Romanowi, Bogd. Bogdanow, Russ. Lan. p.14, tab. 1, fig. 2: Dresser, B. Eur., ILE, tab. 152 (L. isabellinus). a. Q adlt. Tengi-Charam 11. IV. b. G adit. Tschaschma-Chafisdschan 12. IV. c. à adlt. Ak-Kurgan DTA. 369 des Sciences de Sainé-Pétersbourg. 370 d. à adit. Tabi-dara 9. VL. e. 6 adit.. ibd. 10. VI. f. & adit. ibd. 10. VI. g. à juv. Sarym-Sakli 23. VII. Alle Bälge tragen ein nur wenig abgetragenes Kleid. Die Färbung der im April erbeuteten Exem- plare ist viel greller als bei Junibälgèn. - 58. Collurio erythronotus, Vigors. Cat. B. Brit. Mus., VII, pp. 234 (Key), 263; Gould, Cent. Him. B., pl. 12, fig. 2 a. à adlt. Tschaschma-Chafisdschan 12. IV. b. G adit. Schur-ab 13. IV. Die Exemplare sind im etwas abgestossenen Kleide. 59. Butalis grisola (Linn.). Cat. B. Brit. Mus., IV, pp. 150 (Key), 151; Dresser, B. Eur., II, tab. 156. a. & adit. Karnak 8. VI. In etwas abgestossenem Gefieder. 60. Erythrosterna parva (Bechst.). Cat. B. Brit. Mus., IV, pp. 151 (Key), 161; Dres- ser, B. Eur., IIL, tab. 159. a. Q adit. Schir-Abad. 18. IV. In etwas abgestossenem Gefieder. 61. Terpsiphone paradisi (Linn.). Cat. B. Brit. Mus., IV, p. 344—346 (Key), 347— 348, obs.; Gould, B. Asia, I, tab. 18, fig. super. dextr. a n0lt. b. & imm., 3° veste { Ost-Buchara, Dr. Regel. c. à imm., 3° vest te) | Herr Dr. Alb. Regel sandte in’s Zoologische Mu- seum der Akademie drei Exemplare dieser Art, leider ohne näheren Fundort und Datum der Erbeutung, ein. Zwei von diesen Bälgen sind Männchen im 3. Kleide, wie dasselbe Sharpe annimmt; in diesem Kleide ist der Schwanz sehr lang und rostfarben und die Schwin- gen schwarz mit weissem Saume auf der Aussenfahne. Bekanntlich ist diese Art schon von Dr. Severtzow und V. Russow für das russische Turkestan nach- gewiesen und erstreckt sich demnach der Verbrei- tungsbezirk derselben, so wie auch von M. Temmincki, weiter nach Norden, als derjenige von einigen andern Himalaya-Arten, wie z. B. M. Scouleri, Trochalopte- run lincatum, etc. 62. Lillia rufula (T em m.). Cat. B. Brit. Mus., X, pp. 125 (Key), 156; Dresser, B. Eur., IT, tab. 161. a. 6 adlt. Dschidda-Bach, am F1. Kafirnagan 10. V. 63. Carduelis caniceps, Vigors. Carduelis caniceps Vigors, P. Z. S. 1831, p. 23; Gould, Cent. Him. B., pl. 33, fig. 1. Carduelis orientalis Eversmann, Add. Z. R.-As. II, p. 16, tab. 9; Gould, B. Asia, V, tab. 17. a. à adit. Karatag a. V: b, © adlt. ibd. 7. c. 6 adlt. Kara-Kuss, Engpass im Baba-dagh 6. V. d.(6) juv. Obi-Garm 11. VII (K 10123). Die Färbung aller Exemplare ist sehr blass und ge- hôüren sie daher zu derjenigen Form, welcher Gould den Namen C. orientalis Eversm. beilegen wollte. Das junge Exemplar unterscheidet sich von den jungen C. elegans durch dieselben Kennzeichen am Schwanze, wie die Alten. Bei C. elegans steht näm- lich auf der Innenfahne der äussersten Steuerfeder nur ein ovaler weisser Fleck in der Mitte der Feder, während bei C. caniceps die ganze Innenfahne bis an die Basis der Feder mit Ausnahme nur eines dunklen Endsaumes weiss gefärbt ist. Die Exemplare «a, b, c tragen ein ziemlich abge- stossenes Kleïd, das tie d — das Nestkleid ans Anzeichen von Mauser. 64. Oraegithus pusillus (Pal). Pallas, Z. R.-As., IL, p. 18; Dresser, B. Eur, IL tab. 173. a. à adit. Fluss Chingob TE VE b. à adlt. Sagri-Dascht-Pass, 10,000 14. VI. c. 6 adit: Tuptschek 30. VI. d. & adlt. Lagari-Murda-Pass 26. VII. e. Q adit. ibd, 26.VIL. Das Exemplar d hat mit der Mauser bereits be- . i- | gonnen und zeigen sich bei ihm auf der Brust Kiel 371 Bulletin de l’Académie Impériale 372 der neuen Federn; das Weïbchen(e) welches mit dem eben besprochenen Exemplare an einem Tage erlegt worden ist, hat noch nicht zu mausern angefangen. 65. Mycerobas carneipes (Hodgs.). Hodgson, J. As. Soc. Beng., 1844, vol. XIIE, pt. IE, p. 950; Asiat. Reas., XIX, p. 150 (1836); Gould, B. Asia, V, tab. 21. a. à adlt. Lagari-Murda-Pass 29. VII. b. Q adlt. ibd. 29. VIT. Die Exemplare sind noch nicht der Mauser unter- worfen. 66. Passer hispaniolensis, Temm. Dresser, B. Europe, IIL, tab. 177. a. adli. Schir-abad 18, b. & adit. Kaptugai, Kum-Kurgan 22. c. Q adit. 1bd. 22. In einem nur wenig abgetragenen Kleide. AY IV. EY: 67. Petronia stulta (Brisson). Dresser, B. Eur., IL, tab. 180, fig. a. 6 adlt. (Q) Laïljakan 16. IV. b. pull. ibd. 16. IV. €. ® Sarym-Sakli 23. VIT. Das Exemplar « ist im abgetragenen Kleide; das mit c bezeichnete hat zu mausern begonnen und stehen bei ihm auf der Brust schon Kiele. Das junge Exem- plar trägt das Nestkleid. Bei diesem letzteren hat der Schwanz kaum *, der Normallänge erreicht, so dass man annehmen darf, _ dass es das Nest im ersten Drittel des April ver- lassen hat... a 68. Montifringilla nivalis alpicola (Pa11.): a Pallas, Z. R.-As., IL, p. 20; Blanford, East. Persia, IL, p. 248; Radde, Ornis Caucasica, p. 171—172, tab. VIII, fig. 2. a. ® adit. Sagri-Dascht-Pass, g Fluss Chumbou 14. VI (10102). 0" Her ist unser Exemplar ein Weiïbchen, wesshalb an demselben die charakteristischen Merkmale dieser 6stlichen Form der im Westen verbreiteten M. niva- lis (L.) schwer nachzuweisen sind, mit Ausnahme, übri- gens, der Schnabellänge, die an unserem Balg 15,5 mm, beträgt,während für das Männchen von deneuropäischen Alpen Radde eine solche von 12 mm. angiebt. Aus- serdem tritt auch auf der grauen Grundfärbung des Scheitels die braune Nuance ziemlich scharf hervor. Das Exemplar zeigt ein recht abgetragenes Kleid. 69. Fringilla montifringilla, Linn. Dresser, B. Eur., IV, tab. 184. a. & adilt. Baldschuan, Frübjahr 1884. Dr. A. Regel. Ein Exemplar dieser Art in einem nur wenig abge- tragenen Kléide ist von Dr. Alb. Regel im Frühlinge 1884, wahrscheinlich auf dem Zuge in Baldschuan erbeutet worden. 70. Fringillauda altaica, Eversm. Eversmann, Bull. Soc. Mosc. 1848, p. 219; Bp. et Schl., Mon. Lox., pl. 47; Hume, Str. Feath., I, p. 43; IX. p. 354 (F°. dial, a. (&)adit. Fluss Chumbou 14. VI (K 10105). b. & adlt. Sagri-Dascht-Pass 18. VI (X 10103). c. Ç adlt. Tuptschek: 28. VI (X 10106). d. 6 adit. ibd. 30. VI (VX 10104). Synonyme dieser Art sind Passer pulverulentus, $e- vertzow und Fringilla sordida, Stoliczka. Die Axil- larfedern sind weiss, wogegen bei Fringillauda nemo- ricola, Hodgs. dieselben gelb gefärbt sind. Die Exemplare sind in mehr oder weniger abge- stossenem Kleide. 71. Cannabina cannabina bella (H. u. Ehr.). Cabanis, Mus. Hein. I, p. 161; Bp. u. Schl. Mon. Lox., pl. 49 (L. fringillirostris); Biddulph, Ibis 1881, p. 87; Borxauo8®, Ir. Kagk., p. 65. a. S adit. Tschaschma-Chafisdschan LIN b. G adit. Sser-0b° A dr à c. G adlt.. Sagri-Dascht, 10,000” 13. VI. d. Q adit. ibd. 1 1h e. adlt. Nürdl. Abhang Peter’s I-Gebirge, Fluss Kara-Saur 5. VIL. Obyrohl man nicht umhih kann dieser ôstlichen Form unserer westlichen ©. cannabina eine gewisse Selbstständigkeit zuzuschreiben, so ist es dennoch 373 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 374 recht schwierig die Unterscheidungsmerkmale anzu- geben. Weder die Grüsse des Spiegels (Biddulph), noch die Breite der Kanten auf den Schwingen und den Steuerfedern, noch die Intensität der rothen Färbung auf der Brust (Bogdanow), noch die Grüsse des Schnabels und des Vogels selbst liefern ein Cri- terium für diese Art. Die jungen Vôgel und die Weibchen sind absolut nicht zu unterscheiden, und wenn auch die Männchen ein permanentes, wenn auch recht feines Unterscheidungsmerkmal besitzen, so doch nur im ausgefärbten Sommerkleide. Dieses Merk- mal besteht im Fehlen der schwarz-braunen Schaft- flecken auf den Federn des Rückens, woraus die einférmig kastanien-braune Färbung des letzteren resultirt. In dieser Hinsicht gleichen die ostbuchari- schen Bälge den persischen. Was unsere Exemplare anbelangt, so nähern sich die im April (a, b) erbeuteten in Färbung und Zeich- nung des Rückens der gewühnlichen Form, nur sind die Schaftflecken weniger scharf prononcirt; beim Männchen c, welches im Juni erlegt worden, sind nur die. Striche, die von den dunklen Schaften gebildet werden, nachgeblieben; beim Juli-Exemplar (e) endlich sind auch diese letzteren nicht mehr vorhanden. 72. Carpodacus erythrinus (Pa1l.). Dresser, B. Eur., IV, tab. 195. a. 8 adit. Schir-Abad 17: AV; b. 8 adit. ibd 14 1V: c.(&)adit ibd. CINE d. 3 adit ibd. 18:LY, e.(9)adit ibd. 18. IV. f. 3 adit Karatag 3. V, g.(é)semiadit. Ak-Metschet 8. V. h. S adit. Kischlak Sagri-Dascht 13. VI. i.(Q)adit. Tuptschek 2. VII. j.(&)semiadit. Lagari-Murda-Pass 27. VIL. . k. Q adit. ibd 27. VIL. Die Bälge a, b, d, f, h sind im rothen Kleide. Alle Exemplare tragen ein mehr oder weniger abgetragenes Gefeder; keines steht in der Mauser, nicht einmal die am 27. VII erbeuteten (7, ” Tome XXXI 73. Rhodopechys sanguinea (Gould). Gould, P.:Z. S: 1837, p.127; 10. B. Asia, V, tab. 28; Dresser, B. Eur., IV, tab. 197. a. & adit.) Nürdl, Abhang Peters 1- 5. VII (K 10107). b. © adit. f Gebirge, Fluss Kara-Saur 5. VII (K 10108). Die beiden Exemplare haben augenscheinlich zu einem Paare gehôrt; ihr Gefeder ist abgetragen, aber ohne Anzeichen von Mauser. Unsere jetzige Kentniss über die Verbreitung die- ses, wie es scheint, überall seltenen Vogels, deutet darauf hin, dass zwei separate Verbreitungsbezirke desselben bekannt sind: der eine reicht von Palästina (Libanon) und Arabien bis nach Nordpersien (Elburs), der andere umfasst Turkestan, wo Severtzow Rh. san- guinea für alle seine vier zoogeographischen Bezirke nachgewiesen hat. Das Auffinden unserer Exemplare am nôrdlichen Abhange der Gebirgsketten Peter’s I erweitert etwas den zweiten Verbreitungsbezirk nach Süden hin, verbindet denselben jedoch noch nicht mit dem ersten. Es ist vorauszusetzen, dass man diesen Bewohner der mit Laubwald bedeckten Vorberge in den noch vollständig unerforschten Gebirgsketten des nordwestlichen Afghanistan auftinden wird. : Diese Art scheint überall Standvogel zu sein, 74. Granativora luteola (Sparr.). Gould, B. Asia, V, tab. 14. a. S adlt. Tschaschma-Chafisdschan 12. IV. b. G adlt. ibd 12: FT: c. G adit. ibd. 12.19. d. & adit. Schir-abad. 19. IV. Hier und da sind einzelne Federn noch mit den dem Herbstkleide eigenen grauen Spitzen versehen. 75. Cryptophaga miliaria (Lin n.). Dresser, B. Eur., IV, tab. 208. a. Q adit. Dscham 28. III. b. Ç adit. ïibd. 28. III. 40. Mb 150. 29. IIL us Der Grüsse nach nähern sich die osthucharischen Bälge den westeuropäischen und unterscheiden sich scharf von der kleineren Form der vorderasiatischen; 25. à 375 Bulletin de l’Académie Impériale 376 diese letztere hat neulich von Radde (Ornis Cauca- sica, p. 196) den Namen — var. minor bekommen. — Länge des Flügels unserer Exemplare beträgt 112— 102 mm., des Schwanzes — 81,5—80; der Flügel der mir vorliegenden Bälge aus Nordpersien (Nikol- ski) misst 91—89, der Schwanz 66—63,5. Radde führt für var. minor die Flügellänge von 98 —84 und die Schwanzlänge von 73—70 mm. an. Das Gefieder unserer Exemplare ist schon ziemlich abgestossen, 76. Glycispina hortulana (Linn.). Dresser, B. Europe, IV, tab. 211. a. 8 adit. Tengi-Charam 11. IV. Weder der Hals, noch die Brust unseres Vogels hat irgend welche Striche aufzuweisen; der graugelb- lichgrüne Kopf ist mit zarten schwarzen Schaftstreifen _ versehen. Eïinige nordpersische Exemplare sind mit _ demjenigen von Ost-Buchara vollständig identisch, bei _ anderen dagegen sind auf dem Halse und der Ober- _ brust dunkle Striche bemerkbar. Diese letzteren Exem- plare kônnen wohl kaum als selbstständige Form — ÆE. shah (cf. Blanford, Eastern Persia, IT, La _ angesehen werden. Das Gefieder unserer Bülge ist schon FRA abge- stosserr. | 77. Glycispina Buchanani (Blyth.) Blyth, J. As. S. Beng., XVEI, p. 780 (1847); Hume, 12 ” Str. Feath., VIE p:.150; ie B. Asia, V, tab. 11 AA TOR a. a. à adit. Sat: 0b 15. IV. Ein vollständig typisches Exemplar im ziemlich _ abgetragenen Kleide. 78. Hylaespiza Stewarti (Blyth). : BIÿth, J. As. S. Beng., XXII, p. 215; Gould, B. Asia, V, tab. 6 (Æ. _— 0 O Al Kara-Kuss * b. e adit, re im Baba-dagh * FRS c. adit. Baldschuan 30: V, #. : adit Sarym-Sakli- 23.VII. _ Das zugleich mit dem Männchen erbeutete Weib- chen dieser Art gleicht der Abbildung bei Gould. Von den Weibchen der ÆL. Stracheyi und Æ. cia unter- scheidet sich dasselbe, wie folgt: 1) durch seine gerin- gere Grüsse (der Flügel misst 73, der Schwanz 71 mm.), 2) durch den Umstand, dass die dunklen Schaftflecken auf dem oberen Theil des Kopfes keine mehr oder weniger deutlichen Längsstreifen bilden, 3) durch seine gelblich-weisse,vom Schnabel bis zu den Unterschwanz- deckfedern längsgestreifte Unterseite. Beim Exemplar d beginnen sich Kiele auf der Brust zu zeigen und die 6. und 7. Schwingen sind der Mauser unterworfen. 79. Hylaespiza cia Stracheyi (Moore). Moore, P. Z.S. 1855, p. 215, pl. CXII; Dresser, B. Eur., IV, art. Æ. cia, p. 3. a. & adlt. Karnak NE b. © adit, ibd. 7.NI(M 10121). c. 6 adlt. ibd. 8. VI (X 10120). d. & adit. Lagari-Murda-Pass 27. VII. Jerdon (Birds Ind. II, p. 372) führt beinahe als einzigen Unterschied dieser Form von 71. cia die weiss- liche Färbung des Kinns und des Halses an. Dicsem Merkmal fügt Dresser (L c.) noch eins hinzu, näm- lich dass die der ZZ. cia eigenthümlichen zwei Reiïhen weisser Flecken, die von den Flügeldeckfedern gebildet werden, bei ÆZ. Stracheyi weniger deutlich ausgespro- chen und fahlgelb (fulvous) gefärbt sind. Dieses Merk- mal soll von grossem Nutzen bei Unterscheidung der Weibchen sein. = Ich habe nicht Gelegenheiït gehabt typische ôstliche H. Stracheyi zu sehen, bin jedoch der Meinung, dass weder das eine, noch das andere der angeführten Merkmale genügt, um diese conspecifischen, wenn nicht identischen, Formen zu trennen. Übrigens be- sitzen unsere Exemplare diese beiden Unterscheidungs- merkmale, weshalb ich sie auch vorläufig unter dem Namen 71. Stracheyi anführe. Scully (Str. Feath., X, p. 129) sagt, dass die Exem- plare aus Gilgit einen Übergang von A. Sfracheyi aus Simla zu den westlichen ZZ. cia bilden. Dasselbe kann ich hinsichtlich der von H. Nikolski aus dem nord- üstlichen Persien heimgebrachten Vôgel sagen: sie behaupten die Mitte zwischen den osthucharischen und den osteuropäischen. Es existirt auf diese Weise, bei minimalen Unterschieden, vermuthlich noch eine Reïhe von Übergängen zwischen den extremen Formen. Es 10; 0 adit. 37% des Sciences de Saint-Pétersbourg. 378 Die Schwanzlänge unserer Exemplare schwankt von 3,05 bis 3,25” (78—83 mm.), bei den A. cia (nach Nikolski’s Bälgen) beträgt diesclbe weniger als 3” (76 mm.). Die Exemplare à und c weïisen keine Spur von Mauser auf; beim Exemplar «a mausert eine Steuer- feder, wahrscheinlich zufällig, da die andere, symme- trisch gelegene, der Mauser nicht unterworfen ist; beim Balge d mausert sowohl das Kleingefieder, als auch die Schwingen und die Steuerfedern stark; das Mausern der letzteren, während im Gefieder noch viele abgestossene, nicht vermauserte Federn stehen, weist darauf hin, dass dieses Exemplar kein junger Vogel ist. | 80. Alauda gulgula, Franklin. Franklin, P.Z.S.1831, p. 119; Jerdon, B. India, Il, p. 434; Severtzow, Turk. Zev., p. 142 (Al. in- conspicua); Henderson and Hume, Lahore to Yar- kand, p. 269, tab. XXIX. a. Q adit. Karschi 3. IV (NW: 10109). Länge des Flügels 3,8”. Die zweite Schwinge ist die längste (die erste — Abortivschwinge — ist sehr wenig entwickelt), deshalb kann unser Vogel nicht als A. guttata, Brooks angesprochen werden, welche in «Lahore to Yarkand» tab. XX VIII unter dem Namen A. triborkyncha abgebildet ist; die beste vergleichende Diagnose dieser letzteren scheint Severtzow (Journ. Orn. 1875, p. 193) gegeben zu haben: «.... remige secunda (praeter abortivam) *) longissima.….….» Unser Balg hat noch unbedeutende Spuren des Herbstkleides beibehalten. 81. Otocorys penicillata, Gould. Gould, P. Z. S. 1837, p. 126; Scully, Ibis, 1881, p. 581, woodeuts; Dresser, B. Eur., IV, tab. 244. a. & adit. Sagri-Dascht-Pass, Fluss Chumbou 14. VI(K 10111). ibd. Fluss Bida-Abdschabar 18. VI(K 10110). Das Schwarz der Backen vereinigt sich mit demje- 14) D. h. die dritte, wenn wir die Abortivschwinge mitrechnen. nigen der Brust; die Gesichtstheile sind weiss. Die Maasse sind folgende: a. b. mm. mm. Schnabel von der Befederungslinie. 12,5 12,5 » » » Stirn (culmen)... 16,5 15,5 Lünge de ii LEP RE QE 113,0 :: 1100 } 5 HCHNANES di 90.0 82,0 Bei den Exemplaren aus der Umgegend von Ascha- bad (N. Persien) ist die Schnabellänge dieselbe wie bei unseren Bälgen, die Länge des Schwanzes und des Flügels weist einen Unterschied von weniger als 5 mm. auf. 82. Sturnus purpurascens, Gould. Gould, B. Asia, V, tab. 44; Seebohm, Ibis, 1880, p. 182; Hume, Str. F., VIII, p. 174. La. & adlt. Karnak, Fluss Ak-Su 6.8.7. VI(K 10112). Ungeachtet dessen, dass beim Benennen dieses Exemplars die Angaben von Seebohm und Hume (Il. ce.) in Betracht gezogen worden sind, so finde ich es doch für nôthig eine kurze Beschreibung desselben zu liefern, um etwaigen Missverständnissen vorzu- beugen. Wenn zwei Farben sich vermengen, so gebe ich die dominirende in Cursivschrift an. Die Länge des Flügels, der an der Spitze ziemlich abgestossen ist, beträgt circa 5,0; jedenfalls nicht we- niger. Der Vorder-, wie der Hinterkopf ist purpur- grün, ebenso Oberbrust; Ohrdeckfedern, Flügeldeck- federn und Unterbrust rein purpurfarben; Ober- und Unterrücken, Bürzel, Oberschwanzdeckfedern, metal- lisch-glänzende Theile der Schwungfedern 2-ter Ord- . ï nung und Schulterfedern — purpurfarben mit mehr o oder weniger bedeutender Beimischung von blaugrü- é, mn ner, bläulicher und grünlicher Färbung; Seiten des Kürpers bronze-purpurfarben; Bauch und Unter- schwanzdeckfedern matt purpurfarben. Der Vogel gleicht vollkommen dem X 2 Hume’s Ts Tabelle (1.c.); nach Seebohm (1. c.) stellt er, folglich, «extreme purple form of purpurascens» dar. Wenn man, mit Seebohm, für Asien (also ausser St, unicolor) 3 Arten Staare annimmt, so kann unser Vogel weder S. vulgaris, noch «S. dioiss (apud See- bohm)sein, da bei diesen die Schultern, die Flügeldeck- ” federn und die Ohrgegend grün sind. Wenn man je- Bulletin de l’Académie Impériale doch, Hume’s Beispiel folgend, Anhänger von 5 For- men ist, so unterscheidet sich unser Vogel von dem __ihm sebr nahe kommenden St. minor durch die Grüsse (die Flügellänge ist bei S. minor —4,25—4,50") und dadurch, dass die Flügeldeckfedern und die Schwingen 2-ter Ordnung nicht grün, sondern purpurfarben sind. Bei den übrigen 3 Arten ®) sind Kopf und Oberbrust nicht grün, sondern purpurfarben. 83. Pastor roseus (Linn.). Dresser, B. Eur., tab. 250. a. & adit. Karschi 6. IV. DO A0. id: 6. IV. 84. Graculus graculus (Linn.). Cat. B. Brit. Mus., IT, pp. 146 (Key of Genera), 146; Dresser, B. Eur., IV, tab. 251, fig. 1. a. & adit. Tuptschek 1. VII. Auf der Brust beginnen die Kiele sich zu zeigen. 85. Cypselus apus (Linn.). Dresser, B. Eur., IV, tab. 266. a. & adit. Kalaï-Sabi-ob 4. VII. 86. Cypselus melba (Linn.). Dresser, B. Eur., IV, tab. 269. a. à adit. Kokaity-Kurgan 26. IV. b. & adit. ibd. 26. IV. 87. Caprimulgus europaeus Unwini, Hume. Scully, Str. Feath., X, p. 101. a. 6 adlt. Kum-Kurgan 22. IV. b. & adit. Karnak 8. VI. Unsere Exemplare zeigen eine ctwas hellere silber- _ graue Färbung als die gewühnliche Form, wie Scully = sie, 1. e., angiebt. In allem Übrigen, auch hinsichtlich _ der Screen: unterscheidet sich diese re = de vom europäischen Ziegenmelker. 88. Picus leptorhynchus, Severtzow. = Severtzow, Ibis 1875, p. 487—489, woodeut on : p. 489, fig. 2. a. ® ad. Gusar 8. IV (Ÿ 10039). 15} #. vulgaris mit var. indicus, 5. nobilior und S, nitens. 89. Alcedo ispida, Linn. À. ispida, Sharpe, Mon. Alcedin., p. 1, pl. 1. A. bengalensis, id., ibd., p. 11, pl. 2. a. & adit. Sary-Dschuj 29. IV. b. © adlt. ibd. 29. IV. ce. QÇ adit. Baldschuan 29. V. d. 6 adit. ibd. 30. V. e. 6 adit. ibd. 30: Y. Sharpe’s Diagnosen von À. ispida und À. benga- lensis enthalten keine positiven Unterschiede dieser beiden Formen. Hume (Str. K., I, p. 168) und See- bohm (Ibis 1882, p. 424) suchen die Differenz in der Grüsse des Vogels. Als Criterium hierzu dient ihnen absolute und relative Länge des Flügels und des Schnabels. Als extreme, conspecifische Formen werden von diesen Forschern einerseits die ostindi- schen, andererseits die westeuropäischen hingestellt. Eine endlose Reïhe von Übergängen, bekannt unter dem Namen À. Pallasii Reichb., verbindet diese bei- den Formen, die ohnehin nur einen Grüssenunterschied von bloss einigen Millimetern aufweisen und wobei ausserdem noch das grôsste indische Exemplar grôüsser ist, als das kleinste westeuropäische und umgekebrt. Es stellt sich auf diese Weise kein genügend scharfer Unterschied selbst zwischen den «extremen Formen» heraus. Auch in der Färbung lässt sich kein Merkmal auffinden, wie ich mich nach Vergleich der buchari- schen Vügel mit solchen aus Süd-Frankreich, Deutsch- land, Turkestan, Persien und von der Insel Formosa durch Augenschein habe überzeugen künnen. Murray (Vertebr. Zool. Sind, p.111) giebt in seiner Beschrei- bung differente Färbung des Unterkiefers an: bei À. bengalensis sei derselbe schwarz, bei À. ispida — orange-roth. Selbst bei Durchsicht einer kleinen Suite von Exemplaren kann man sich aber leicht überzeugen, dass auch dieser Umstand keinen Unterschied dar- . bietet: ich gebe in Folgendem die Maasse und die Färbung des Unterkiefers unserer 5 Exemplare. des gel, d. et (Catar) ©; 54 MTRINIer a 2,80” 1,45 ganz schwarz. b. 2,94 1,60 ganz orange-roth. e, 2,95 1,55 grüsstentheils orange-roth. d. 2,99 1,47 ganz schwarz. e 2,87 1,49 ganz schwarz. i 381. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 38? Der Grüsse nach müssen die Exemplare D, c und d als À. ispida angesehen, der relativen Länge des Schna- bels nach zu À. bengalensis gerechnet werden, der Färbung des Unterkiefers nach jedoch wiederum zu ispida. Man kann auf diese Weise beim Bestimmen zuweilen nicht bloss sagen, dass dieses oder jenes Exemplar dieser oder jener extremen oder mittleren Form angehürt, sondern es kommt auch häufig vor, dass ein und dasselbe Exemplar gleichzeitig als hierher und dorthin gehôrig betrachtet werden kann. Unter solchen Verhältnissen konnte ich mich nicht entschliessen, den mir vorliegenden Exemplaren einen anderen als den Collectivnamen À. ispida beizulegen. 90. Coracias garrula, Linn. Dresser, B. Eur., V, tab. 295. a. à adlt. Karschi 3. IV. 91. Merops apiaster, Linn. Dresser, B. Eur., V, tab. 295. a. adit. Jange am Wege von Karschi nach Gusar 7. IV. b. © adit. Kokaity-Kurgan 26.IV. * 92, Merops persicus, Pall. Dresser, B. Eur., V, tab. 296. a. & adit. Kokaity-Kurgan 26. IV. b. & adit. ibd. 26. IV: 93. Cuculus canorus, Linn. Dresser, B. Eur., V, tab. 299. a. & adit. Kokaity-Kurgan 24. IV. b. Q juv. Inku +2 VE Die Länge des Flügels beträgt 8,5”, der Vogel ist folglich nicht C!, himalayanus V ig.(—striatus Drap.— saturatusHodgs.—Horsfieldi Moore=canorinusCab.), dessen Flügellänge, laut Seebohm (Hist. Brit. B. IT, p. 379), von 7%,—6%" variirt. Das Exemplar b ist in braunem Kleide. 94, Scops giu (Scop.). Cat. B. Brit. Mus., II, p. 47; Dresser, B. Eur., V, a. G adit. Sser-ob 14. IV. D. S'adit "10 LA TY. Die Exemplare zeigen folgende Maasse: Flügellänge. D be of Tarsus. Reïhenfolge der Schwingen. a. 152 mm. 70 mm. 21 mm. 3—4>5>6 fast—-2>7. b. 159 » 77 » 24 » 3—4>5>6 fast—-2>7. 95. Scops obsoleta, Cab. Scops obsoleta Cabanis, Journ. f. Ornith. 1875, p. 126. Scops Strauchi Bogd., Ouepkn npnpoxsi XusnacKaro Oa3nCa H neCKkOBR Rn3b1rs-RyMr, Tamuxeurs, 1882, p. 70, 72, 82, 101 (sine descriptione). a. Q adit. Karschi 6. IV (X 10038). Hinsichtlich der Färbung des Gefieders steht diese Form in demselben Verhältniss zu S, giu, wie Capri- mulqus acgyptius, Licht. zu C. europaeus, L. Das Ge- fieder ist durchweg fahler. Grau ist im grüsseren Maasse vorhanden, als Braun, die rostfarbigen Flecken werden durch isabellfarbene, die weissen durch fast graue er- setzt. Scops obsoleta scheint etwas grüsser als S. giu zu sein, was wabrscheinlich vom etwas lüngeren Schwanz abhängt, denn die Maasse sind folgende: Flügellänge 155, Schwanzlänge 86, Tarsus 26 mm.; Reïhenfolge der Schwingen: 3 —4 > 5 > G bedeu- en >22>7T. 96. Athene bactriana, Hutton. Cat. B. Brit. Mus., II, pp. 132 (Key), 137 (A. plu- mipes), Seebohm, Ibis, 1882, p. 420. a. 6 adit. Karschi GIV b. (G) adit. Tschaschma-Chafisdschan 12. IV. Diese Form, gewühnlich unter dem Namen À. plu- mipes, Swinhoe und À. orientalis, Sev. bekannt, weist, laut Seebohm (1. c.) folgerde Unterschiede auf: 1) die Länge des Tarsus beträgt nicht mehr, wie 1,1”, während bei À. noctua und glaux dieselbe gleich 1,25—1,40"ist; 2)die Zehen sind bisan die Nägel dicht 383 Bulletin de l’Académie Impériale befiedert, im Gegensatze zu den beiden anderen Arten, deren Zehen mit spärlichen Härchen bedeckt sind. Unsere beiden Exemplare besitzen eine Tarsuslänge von circa 0,9”; die Oberseite der Zehen ist dicht mit abgestossenen Federn bestanden, an denen man den- noch leicht die Fahnen wahrnehmen kann. Aus diesem Grunde sehe ich auch die mir vorliegenden Exem- plare als zu dieser Art gehôürig an. Nicht ganz so leicht scheint mir die Bestimmung der jungen Vôgel zu sein, da einerseits die Maasse hier von keinem oder geringerem Werthe sind, und andererseits die Vügel auf den Zehen statt der kleinen Federn, wie es scheint, Härchen besitzen. So z. B. scheint ein Exemplar von Nikolski aus Nordpersien der Tarsuslänge von 0,9” und der blassen Färbung nach zu urtheilen zu Afhene bactriana zu gehüren und doch sind dessen Zehen mit dichten Härchen bedeckt. Es ist jedoch die Môglichkeit nicht ausgeschlossen, dass dieses, so wie auch viele andere Exemplare aus Achal-Teke, zu À. glaux, Savig. (— À. meridionalis, Less., persica Bp.) gehôüren und die geringe Länge des Tarsus sich durch den Jugendzustand der Vôgel erklären lässt. 97. Gyps himalayensis, Hume. Cat. B. Brit. Mus., I, pp. 4 (Key), 8 Dr. A. Regel hat ein Exemplar dieser Art ohne nähere Daten aus Ost-Buchara eingesandt. | 98. Gypaëtus barbatus (Linn.). Cat. B. Brit. Mus., I, p. 288; Dresser, B. Eur. tabb. 322—325. . Stammt ebenfalls von Dr. A. Regel, leider auch ohne jegliche Daten. 99. Circus Swainsoni, Smith. Cat. B. Brit. Mus., I, PP. 50 (Key), 67 en ); | Dresser, B. Eur., V, tab. 3 a. cn Dscham 29; IH. RS adit. Karschi-Steppe, zwischen Dscham und Ak-Kuduk 30. III. 100. Nisaëtus pennatus (Brehm). Meu36npr, Op. l'éorp. Esp. Poccin, I, p. 406: Dresser, B. Eur., V, tab, 351, fig. 2. a. Q adit. Kischlak Baljan 21. V (X 10026). b. à adit. ibd. 22. V (M 10025). Beide Exemplare gehôren der typischen Form die- ser Art (die ich vorläufig im Sinne Severtzow’s auf- fasse, indem ich AN. minutus als selbständige Art betrachte) an, nicht aber der var. albipectus. 101. Nisaëtus fasciatus (Vieill.). Cat. B. Brit. Mus., I, pp. 249 (Key), 250; Dresser, B: Eur: V. 9: 10, 681. a. adlt. Baldschuan? Dr. A. Regel (X 10167). Dr. À. Regel sandte ein Exemplar dieses Vogels ebenfalls ohne nähere Daten, aber glücklicherweise in erträglichem Zustande, aus Ost-Buchara (vermuth- lich aus Baldschuan) ein; der Mangel der genauen Fundortsangabe ist um so mehr zu bedauern, als bis jetzt niemand den fraglichen Adler in diesem Theiïle Asiens gefunden hat. Er kommt in Persien, Afghani- stan, Beludschistan, Sind, Pundjab und Indien vor, ist doi weder im mssiachien Turkestan, noch in Gilgit beobachtet worden. 102. Aquila imperialis, Bechst. Men36upr, Opu. l'eorp. Ep. Poccin, p. 380; Dres- ser, B. Eur., V, tab. 344 (adit.), u. tab. 343 (juv.). a. Q adit. Samarkand 22:16 b. & semiadit. Kokaity-Kurgan 24. IV (M 10024). 103. Accipiter nisus (Lin n.). Cat. B. Brit. Mus., I, pp, 131 (Key), 132. a. Q adit. Schurjan-Tugai 7. V (X 10029). Dieses Exemplar bietet einige Unterschiede von den russischen Stücken derselben Art dar. Was das Ver- hültniss der Schnabellänge zur Länge der Mittelzehe (geringer als die Hälfte der Mittelzehe), die Grôsse 385 des Sciences de Saint-Pétersbourg, 386 und die Färbung anbelangt, so ist unser Vogel ohne Zweifel ein Accipiter nisus, aber das Verhältniss der Schwingen ist ein anderes, als bei europäischen Exem- plaren. Die letzteren (N. Russland) weisen folgendes Schwingenverhältniss auf: 4>5>3>6>2>7>8, unser Vogel dagegen: 4> 3 > 5>2 bedeutend > 6>7>8. Die Ausschnitte an den Fahnen der Schwingen sind ebenfalls anderer Art: die St.-Peters- burger Exemplare haben Ausschnitte an der Aussen- fahne der (2.) “), 3., 4., 5. und 6. und an der Innen- fahne der 1.—-5. Schwinge; das ostbucharische Exem- plar an der Aussenfahne der (2.) ), 3., 4. und 5. und an der Innenfahne der 1.—4. Schwinge. Das letztere nähert sich folglich in dieser Hinsicht dem À. badius, entfernt sich von demselben aber endgültig durch die Länge der Mittelzehe, die Färbung und die unten an- gegebenen Dimensionen. Ausmessungen: Flügellänge 9,5”, Tarsuslänge 2,2” Mittelzehe 1,5”, Schnabel 0,6”. Der Schnabel (vom Vorderrande dr Wachshaut bis zur Spitze) ist folg- lich um 0,15” (— 4 mm.) kürzer als die Hälfte der Länge der Zehe. 2 104.7 Scelospizias badius cenchroides (Severtzow). Blanford, E. Persia, IT, p. 107 (footnote 2), 108 [ A. (Micronisus) sp.]; Gurney, Ibis 1875, p. 360— 361, 479—480; Biddulph, Ibis, 1881, p. 40; Se- eh Turk. Zevot., p. 113; id. Str. Feath., IE, p. 422; Gurney, List of Birds of Prey, p. 31. a. © adlt. Schir-abad 19. IV (K 10028). Die Bestimmung dieses Exemplars hat manche Schwierigkeiten verursacht. Es stimmt vollständig mit der Beschreibung von Astur (Micronisus) sp. bei Blan- ford (1. c. p. 108) überein; der einzige Unterschied besteht darin, dass die seitlichen (jedoch nicht die äussersten) Steuerfedern nicht mit 5, sondern mit 6 Querbinden versehen sind; übrigens befindet sich die erste dieser Binden hart an der Basis der Steuerfedern, ist undentlich ausgesprochen und von den Unter- schwanzdeckfedern verdeckt. Blanford konnte sein Exemplar nicht bestimmen; Gurney (Ibis, 1875, 16) Sehr nahe an der Wurzel. p. 361) hält dasselbe für À. badius, jedoch nicht mit Bestimmtheit, da es sich in der Grôsse zu sehr dem À. nisus nähert. Aus den folgenden Zeiïlen wird übri- gens klar hervorgehen, dass weder Blanford’s, noch unser Exemplar zu À. nisus gehôren kann. Die Dimensionen unseres Exemplars sind folgende: 8,80”. 1,97. 1,32"(— 33,5 mm.). 0,60”(— 15,0 mm.). à." 000 LAROR LE. Mittelzehe ohne Kralle.. Länge des Schnabels ").. Also der Schnabel ist um weniger als 2 mm. (1,75 mm.) kürzer, wie die Hälfte der Länge der Zehe. Die längste Schwinge ist die 45 3=—5>6 unbe- deutend > 2>7; Ausschnitte an der Aussenfahne besitzen die Schwingen (2) ), 3, 4 und 5, an der Innenfahne: 1, 2, 3 und 4 Der Färbung nach kommt unser Stück dem À. badius sehr nahe und gleicht einem, unzweifelhaft zu dieser Art gehôrigen Männchen, welches Herr Zarudnoï in Persien erbeutet hat, nur hat die Unterseite unseres Exemplars, wie auch diejenige des Blanford’schen, breitere Streifen aufzuweisen, nämlich je vier weisser und rostfarbener auf einen Zoll. Auf der Oberseite des Halses und auf dessen Seiten tritt der, von Bid- duiph (1. c.) erwähnte, fahlrostfarbige Fleck scharf hervor. Unser Exemplar kann nur einer der folgenden Formen angehôren: 1) Accipiter nisus (L.), 2) Astur brevipes, Severtzow, 3) Scelospizias badius (Gm.) 4) Scelospizias cenchroides (Severtzow). Die Unterschiede dieser 4 Formen ergeben sich aus folgender Tabelle: 17) Längs dem First von Vorderrande der Wachshaut bis zur Spitze gemessen. Le 18) Hart an der Basis der Feder. 4 387 Bulletin de l'Académie Impériale 388 , de | Ausschnitte L | Schwingenverhältniss. | L'4 nn He | ation k Lass des 8 | | der Schwing. Li nee ne ehunhétos Le à : 385% E 7 S| Des Flügels. | Des Tarsus. bats Re = & Reïhenfolge. om Bale 0 | Flügel. = 2225) à $ ê | die Halfte Überragt L DR die Mitte brevipes, er Länge | 5 8 u. 4| 1—3 |9,1-8,2| 9,8—9,8 |2,1-1,8/2,1—1,8 dx der Mittel- Bobwshighs zche. ; és 4>5>3>6>2>7 | 3—6 | 1—5 à nisus. re 4 oder 7,5-8,1/10,0-8,75 22-25! € BRPREEE 4>3>5>2>6>7 | 3—5 | 1—4 S mn Ô & Ist grôsser, "5 ‘tæ@: ñ “ À œ mire) badius, | #lich oder | 4 35-92 kaum 6-7] 3—5 | 1—4 |8,1-7,2/8,3—7,8 1820202156 Ë £E geringer. gas Be | È 58 cenchroides.| do. 4 do? do? | do? |7,4-7,0/8,5—8,1 1,9-22215-2,9) © à = à AR U Etwas a. à 5 nser Re do à de £ 2 Exemplar.| geringer. 4 4738=5767271 8—5 | 1—4 8,8 1,97 É £ É } 5 [ee] Aus dem Studium dieser Tabelle folgt: 1) Das Verhältniss der Flügel zu dem Schwanz und der Umstand, dass die lingste Schwinge die 3., und nicht die 4. ist und dass die Ausschnitte auf der Aus- senfahne nur bei den Schwingen 3 und 4, auf der Innenfahne nur bei 1—3 zu bemerken sind, trennt Ast. brevipes von allen übrigen Arten und kann unser Exemplar mit ihm nicht verwechselt werden. 2) Die bedeutende Länge der Mittelzehe (im Ver- gleich zur Schnabellänge), eine andere Färbung und die bedeutende Grôsse unterscheiden À. nisus von den übrigen Arten und unter anderen auch von unserem Exemplar. Das Verhältniss der Schwingen kann, wenn man das schon oben erwähnte Variiren derselben bei einzelnen Individuen von À. nisus in Betracht zieht, allem Anscheine nach keïn Criterium ablegen. 8) Wenn man endlich unser Exemplar mit À. badius . vergleicht, so erweist sich, dass beide in allen Merk- malen übereinstimmen, mit Ausnahme der Grôsse: unser Weïibchen übertrifft um ,” die Maximalgrüsse (in der Flügellänge) des Weibchens von À. badius. Dieser Umstand kônnte uns einigermaassen abhalten unser Exemplar mit À. badius zu identificiren, wenn man nichts von der Existenz einer grossen Form dieser Art wüsste, als welche sich wabrscheïinlich À. cen- chroides Sev, erweisen wird. Bis jetzt ist diese Form für mich eine räthselhafte, da sich unsere Kenntnisse über dieselbe zur Zeit nur auf folgende Angaben be- schränken. In der ursprünglichen Beschreïibung von À. cen- chroides führt Severtzow (Turkest. Zev. p. 113) dessen Unterschiede von A. brevipes an und giebt uns keine Aufklärungen hinsichtlich seiner Abnlichkeit oder Verschiedenheit von À. badius und selbst von A. nisus. Im Ibis (1875, p.104) wird dasselbe wieder- holt, aber die Herausgeber dieses Journals fügen in … einer Anmerkung (p. 480) hinzu, dass, laut Dresser, Severtzow diese Art für eine grosse Form des À. ba- dius hält. Etwas spâter (Str. Feath. 1875, III, p. 422) pennt auch Severtzow selbst seinen À, cenchroides einfach «the pale Cabul and Punjab race of À. badius». Severtzows spätere Ansicht ist mir unbekannt. Blanford (East. Persia, Il, p. 108) legt seinem Exemplar den Namen À. cenchroides bei, jedoch mit einem Fragezeichen, während Gurney, einige Monate später (Ibis 1875, p. 479— 480) fortfährt, Zweifel zu hegen an der Müglichkeit denselben von À. nisus zu trennen, und erst neuerdings (List of Birds of Prey, 1885, p. 31) erklärt er ihn für eine Subspecies von A. badius. Biddulph endlich (Ibis 1881, p. 40) erklärt denselben für eine blasse Form derselben Art. Nach allem Gesagten kann man, wie es mir scheint, entgültig annehmen, dass À. cenchroides eine etwas grôssere blasse Form von À. badius ist. Ich weiss je- rie ee D 389 des Sciences de Saint-Pétersbourg. doch nur nicht, in wieweit dieser Annahme das Vor- handenseïn einer grôsseren Anzahl von Querbinden auf den Steuerfedern des À. cenchroides widerspricht: laut Severtzow (Turk. Zev. p. 113) haben die Sei- tensteuerfedern deren 7-—8, die äussersten 9—10 aufzuweisen. Von À. nisus ist À. badius (inclusive À. cenchroides) auf den ersten Blick durch die Färbung und durch die Kürze der Mittelzehe zu unterscheiden. Alles Gesagte resümirend, kann man folgende syn- optische Tabelle für die vier besprochenen Arten zusammenstellen. | a. Länge des Schwanzes geringer, als die Hälfte der Totallänge; die zusammengelegten Flügel überragen die Mitte des Schwanzes; die dritte Schwinge ist die längste; Ausschnitte an der Aussenfahne sind bei der 3. und 4.,.an der Innenfahne bei der 1., 2. und 3. Schwinge vorhanden; die doppelte, Länge des Schnabels (längs dem First vom Rande der Wachs- haut gemessen) übertrifft die Länge der Mittelzehe ohne Nagel...... Scelospizias brevipes (Severtz.). Länge des Schwanzes grôsser als die Hälfte der Totallänge; die zusammengelegten Flügel überragen nicht die Mitte des Schwanzes; die vierte Schwinge ist die längste; Ausschnitte an der Aussenfahne zei- gen die 3., 4. und 5., an der Innenfahne die 1., 2., 3. und 4. Schwinge. a. Länge der Mittelzehe, ohne Nagel gemessen, übertrifft die doppelte Länge, des Schnabels (uti supra) beinahe um die ganze letzte Phalange; die Aussenzehe (an der Dorsalseite und ohne Nagel) reicht kaum bis zum proximalen Ende der dritten Phalange. Die Mittelzehe ist also Accipiter nisus (Linn.). b. Die doppelte Länge des Schnabels (uti supra) übertrifft entweder die Länge der Mittelzehe, oder ist derselben gleich, und wenn sie geringer ist, so immer um ein viel geringeres Maass, als die letzte Phalange der Zehe beträgt; die Aussenzehe (an der Dorsalseite und ohne Nagel gemessen) über- trifft das proximale Ende der dritten Phalange und reicht fast bis zu deren Mitte. Die Mittelzehe ist also verhältnissmässig kurz. a”. Kleine dunkle Form. . . Scelospizias badius (G m.). b’. Grosse blasse Form. . . Scelosp.cenchroides(Sev.). Tome XXXI. TS 105. Milvus migrans (Bodd.). Cat. B. Brit. Mus., I, pp. 319 (Key), 322 (M. Kor- schun (Gm.); Dresser, B. Eur., V, tab. 362, a. à adit. Dscham 29. III. 106. Hypotriorchis subbuteo (Linn.). Dresser, B. Eur., VI, tab. 379. a. & semiadlt. Laïljakan, Weg nach Schir-abad 17. IV (X: 10027). Dieses Exemplar ist etwas grôsser, als der gewühn- liche A. subbuteo, da die Länge des Flügels 11,1” be- trägt ). Ausserdem wird die weisse Farbe des Halses, des Kinnes und der Federränder auf der Unterseite durch eine rostgelbliche ersetzt; die Flecken auf den Halsseiten sind intensiv rostfarbig. Meiner Meinung nach bietet weder die Grôsse, noch die Differenz in der Färbung genügende Veranlassung, um dieses Exem- plar für Æ. Eleonorae zu erklären. 107. Cerchneis tinnuncula (Linn.). Cat. B. Brit. Mus., I, pp. 423 (Key), 425; Dresser, B. Eur., VI, tab. 384. a. 6 adit, Kum-Kurgan, Kaptugai 22. IV. b. Q juv. Lagari-Murda-Pass 28, VII. 108. Nycticorax griseus (Linn.). Dresser, B. Eur., VI, tab. 402. a. Q adit. Laiïljakan 16. IV. b:'6 alt. 104 : ES IV. c. Gadit. Regar 30. IV. 109. Platalea leucorodia, Linn. Dresser, B. Eur., VI, tab. 497. a. Q adit. Kokaity-Kurgan 26. IV. 110. Plegadis falcinellus (Linn.). Dresser, B. Eur., VI, tab. 409. a. d adit. 128, EN; b. G adit. {| Garm-Kurgan 23. IV. c. adit. {am F1. Surchan 23. IV. d. 4 adit. 23. IV. 19) Mit dem Bande gemessen. Bulletin de l’Académie Impériale 111. Tadorna casarca (Linn.). Dresser, B. Eur., VI, tab. 421. a. ® adit. Garm-Kurgan am Surchan 23. IV. b. & adit. Ak-Kurgan am Surchan ZE V: 112. Spatula clypeata (Linn.). Dresser, B. Eur., VI, tab. 425. a. S adlt. Kokaïty-Kurgan 25. IV. ti. Nyroca ferruginea (G m.). Dresser, B. Eur., VI tab. 458. a. à adlt. Kabadian 12. V. d. Gt. 100: 19. IV: 114. Palumbus casiotis, Bp. Bonaparte, Comptes-rendus XXXIX, p. 1103. Bp. Icon. Pig., pl. 58. a. à adlt. Ak-Metschet 8. V. 115. Columba livia neglecta, Hume. Henderson and Hume, Lahore to Yarkand, p. 272 and 273; Hume, Str. Feath., I, p. 208; Severtzow, Journ. f. Orn. 1875, p.194; id. Str. Feath., IUT, p. 430. a. à adlt. Tuptschek 2. VII (X 10030). Der Bürzel dieses Exemplars ist in seiner vorderen Hälfte weiss-bläulich, hinten weiss mit einer hell-bläu- lichen Nüance; der Hinterrücken hat kein Weiss auf- : _ zuweisen; die Zeichnung des Flügels ist dieselbe, wie bei der typischen C. livia. Das in Rede stehende Exem- plar kann man als var. neglecta, Hume bestimmen, wenn man diese Form überhaupt unterscheidet. Hin- sichtlich der Verbreitung der weissen Farbe auf dem Rücken und Bürzel habe ich als typische Form Dres- sers Abbildung (B. Eur., VIL, tab. 457) gewählt. 116. Turtur vulgaris, Eyton. Dresser, B. Eur., VII, tab. 462. a. à adit. Schurjan-Tugai 7. V. Bd adit. 117. Pterocles arenarius (Pallas). Elliot, P. Z. Soc. 1878, p. 245; Dresser, B. Eur, VII, tab. 466. a. 6 adit. RACROBFRRDES, zwischen Dscham und Ak-Kuduk 30. IL. ibd. Brunnen Ber-gamisch 1. IV. c. Q adit. Kurgan-Tjube . 118.7? Phasianus chrysomelas, Severtzow. Severtzow, Journ. f, Ornith. 1875, p. 224; id., Ibis 1875, p. 493; Gould, B. Asia, VIII, tab. 36. a.- pull. FI. Kafirnagan, Dschidda-bach 9.V (X 10034). b. Q adit. 10.V (M 10032). c. 6 adit. Fluss Wachéch 15.V (M 10031). d.Q adlt. F1. Wachsch, Kurgan-Tjube 18. V (NX 10033). Es war mir nicht môglich diesen Fasan endgiltig zu bestimmen. Von allen beschriebenen Arten (unter anderen auch von Ph. Komarowi Bogd.”), der, wahr- scheinlich, sich als identisch mit Ph. principalis Sclat.”) erweisen wird) gleicht er am meisten dem pd » 5 Fu Ÿ Ph. chrysomelas, Sev. und zeigt nur folgende Unter- schiede: 1) Die dunklen metallischgrün schimmernden Fe- derränder am Kropf und auf der Brust sind bedeutend breiter, als bei Ph. chrysomelas, die kupferrothe Mitte der Feder jedoch kleiner, als beim letzteren; aus die- sem Grunde erscheinen an unserem Vogel oben- erwähnte Kôrpertheïle viel dunkler. 2) Der kupferrothe metallische Glanz der Federn, besonders derjenigen der oberen Partien, tritt bei un- serem Exemplare nicht so prononcirt hervor. Diese Unterschiede glaube ich dadurch erklären zu künnen, dass die Exemplare, die mir als Vergleichs- material dienten, ein frisches Gefieder besassen, wäh- rend unser Vogel im abgetragenen Frühlingskleide ist. Ausserdem hat unser Exemplar kein Halsband und nur beim Auseinanderbiegen der Federn kann man auf einigen derselben (in der Mitte) weisse Flecken entdecken; übrigens bin ich selbst nach Durchsicht des geringen Materials, das mir zu Gebote stand, zu dem Schluss gelangt, dass das Halsband bei 24. 20} Bull. de l’'Acad, Imp. des Se. “ St.-Pétersb., T. XXX, p. 356 | 21) P. Z.$S. 1885, p. 322—324, pl. XXII Ç 393 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 394 chrysomelas Stark variirt. Wenn mir ein Exemplar dieses letzteren im Frühlingskleide vorgelegen häâtte, wäre ich wahrscheinlich nicht in die Lage gekommen, ein Fragezeichen stellen zu müssen. Überhaupt variirt Ph. chrysomelas in hohem Grade, ein Factum, von welchem mich schon Herr M. Menzbier freundlichst benachrichtigt hatte. 119. Caccabis chukar (G. R. Gray). Dresser, B. Eur., VII, tab. 470, fig. 2 (sinistra; C. saxatilis). a. Ô adlt. Engpass Kara-Kuss im Baba-dagh 5. V b. Ç adit. ibd BV. 120. Ammoperdix Bonhami (G. R. Gray). G. R. Gray, Ann. and Mag. Nat. Hist., XI, p. 372 (Caccabis Bonhami); Brandt, Bull. Acad. Se. St.- Pétersb., X, p. 27 (Perdix griseigularis); Gould, B. Asia, VII, tab. 1; Dresser, B. Eur., VII, tab. 472. a. 6 adit. Sser-0b 14. V. b. 6 adit. Lailjakan 16. IV. c. G adit. Engpass Kara-Kuss im ; Baba-dagh 5. V (X 10036). d.Q adit. ibd. 5. V (K 10035). e. Q adit. ibd. D. Vs f. © adit. ibd. 5. V. g. à adit. ibd. 6. V; h. 6 adit. ibd. et à. Q adlt. ibd. 6. V (X 10037). k. Q adit. ibd. HS ES l. G'adlt. San-tuda, Felsen am Wachsch Ia, m. Q adlt. ibd. 19. V. n. Q adlt. bd. 19. V. Das Exemplar d zeigt eine aussergewühnliche rothe | Färbung und sticht daher sehr von den übrigen ab, die isabellfarben-grau sind; das Exemplar à hält etwa die Mitte zwischen den letzteren und dem Stück d ein; das Männchen c (welches zugleich mit dem © d erbeutet wurde) unterscheidet sich in Nichts von den übrigen. Die Flügellänge der Männchen schwankt von 5,05— 5,50”, der Weibchen von 4,93—5,1"; kein Exemplar bietet folglich eine so geringe Grôsse dur, wie ein von Nikolski aus der Provinz Aschabad mitgebrachtes Weibchen, dessen Flügel nur 4,52” lang ist; überdies sind die Füsse dieses letzteren Exemplars nicht dunkel olivengrün (ef. Gould, 1. c.), sondern gelb. Übrigens giebt letzterer Umstand noch nicht das Recht, das Exemplar von Nikolski zu À. Heyi, Temm. zu stellen, da die Färbung der Füsse vom Austrocknen des Balges abhängen kann; Dresser bildet À. Bonhami einfach mit gelben Füssen ab und dasselbe behauptet auch Hume (Str. Feath., I, p. 226). 121. Coturnix communis, Bonnat. Dresser, B. Eur., VII, tab. 476. a. Q adlt. Kokaïty-Kurgan 24. IV. 122. Gallinula chloropus (Linn.). Dresser, B. Eur., VIE, tab. 503. a. adit. Karschi-Steppe, Brunnen Taschli 1. IV. 123. Fulica atra, Linn. Dresser, B. Eur. VIL, tab. 504, fig. 2. a. à adit. Karschi 6. IV. b. © adlt. ïibd. 6. IV. LA 124. Houbara Macqueeni (J. E. Gray). VIE, tab. 511. a. (©) adit. Karschi-Steppe, zwischen Dscham und Ak-Kuschuch 30. NL Dresser, B. Eur., 125. Oedicnemus crepitans, Temm. Dresser, B. Eur., VII, tab. 512 (O. scolopax). a. d adlt. Garm-Kurgan am F1. Surchan 23. IV. b. 6 adit. Sari-dschu) 29. IV, 126. Glareola pratincola, Linn, Dresser, B. Eur., VIT, tab. 513, fig. 1 (sinistra). a. adlt. Weg von Schir-abad zum F1. Surchan 30.1IV. 127. Aegialitis curonicus (G m.). Dresser, B. Eur. VII, tab. 524. a. (8) adit, Gusar 10. IV. b. (Q) adit. ibd. 10. IV. c. (2) adit. ibd. 10. IV. d. (Q) adit. 10. IV. ibd, e. Q adit. Schir-abad 18. ne Bulletin de l'Académie Impériale 396 128. Himantopus candidus, Bonnat. Dresser, B. Eur., VIT, tabb. 535 u. 536. a. à adit. Karschi 3. IV. b. à adit. ibd. 6: EN: . Q adit. ibd. 6. IV. ä. G adit. Kurgan-Tjube 18. IV. 129. Gallinago gallinula (Linn.). Dresser, B.-Eur., VII, tab. 544. a. Q adit. Samarkand 22. III. 130. Totanus ochropus (Linn.). Dresser, B. Eur., VITE, tab. 564. a. & adit. Samarkand 22. III. b. © adit. Ib 22: UE 131. Totanus glareola (Linn.). Dresser, B. Eur., VIIL, tab. 565. a. & adit. Kum-Kurgan am Surchan 23. IV. 132. Totanus stagnatilis, Bechst. Dresser, B. Eur., VIIL tab. 566. à a. Q adit, Karschi 3. IV. b S'adit "100." 6. EV. 133. Totanus calidris (Linn.). Dresser, B. Eur., VIIT, tab. 567, fig. 1. a. 6 adit. Samarkand 22. III. DS adit. =" bd 22 HE 134. Limosa aegocephala (Linn.). Dresser, B. Eur., VIIL tab. 575, fig. 3 (dextra). a. & adit. Kokaity-Kurgan 24. IV. 135. Sterna anglica, Mont. Méeer: 8. Eur., VIII, tab. 585; Saunders, P. Z. S. 1876, p. 644. a. 6 adit. Garm-Kurgan am Surchan 23.V. b. G adit. ibd. 23,Y: 136. Larus ichthyaëtus, Pall. __ Dresser, B. Eur., VII, tab. 598; Saunders, P. Z. S. 1878, p. 198. a. & adit. Samarkand 15. IT. Schliesslich erlaube ich mir Herrn Akademiker Dr. A. Strauch meinen innigsten Dank für die mir zur Verfügung gestellte Sammlung auszusprechen. Ferner môchte ich hier noch der Freundlichkeit und Rath- schläge, mit welchen mir Herr Conservator Th. Pleske bei meiner Bearbeitung entgegengekommen, und der Hülfe durch Rath und That von Seiten des Herrn Conservators Eug. Büchner mit Dank Erwähnung thun. BERICHTIGUNG. 1. Turdus viscivorus Hodgsoni, J'erd. Die Bestimmung unserer Exemplare des T. visci- vorus ist nicht ganz genau, da dieselben zur grossen üstlichen Form dieser Art (var. Hodgsoni Jerd.) ge- hôüren. Die Länge des Flügels variirt bei dieser Form (nach Seebohm, History of British Birds, I, p. 217) zwischen 6,7 und 6,0 Zoll; bei unseren Exemplaren beträgt diese Länge 6,6 und 6,4 Zoll; bei der kleinen westlichen Form dagegen varirt die Länge des Flü- gels zwischen 6,1 und 5,6 Zoll. Zu Claudii Galeni Pergameni scripta minora, vol. 1 (Lipsiae 1884). Von A, Nauck. (Lu le 14 octobre 1886.) Die beiden umfangreichsten Griechischen Schrift- steller die wir besitzen, sind Galenus und Libanius. Eine kritische Gesammtausgabe des Libanius ist in Aussicht gestellt von R. Fôrster: für den bei weitem wichtigeren und noch viel mehr vernachlässigten Ga- lenus werden wir voraussichtlich noch lange uns be- | helfen müssen mit dem hôchst unzulänglichen Abdruck des Griechischen Textes und der Lateinischen Über- setzung, welchen C. G. Kühn (Leipzig 1821—1833) {besorgt hat. Auch diese Ausgabe, die einzige welche [dem Privatbesitz noch zugänglich ist, hat eine geringe Verbreitung gefunden, wie schon daraus hervorgeht, dass der Verleger sich entschlossen hat den ursprüng- lichen Preis auf den zehnten Theil zu reduciren. Für die heutige medicinische Wissenschaft ist aus Galenus natürlich so gut wie nichts zu gewinnen: aber auch dem Philologen, der eine so reiche Fundgrube des Wissens nicht vernachlässigen sollte, ist es kaum zu 397 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 398 verdenken, wenn er durch den Umfang (nominell zwan- zig, factisch zweiundzwanzig starke Bände) wie durch die Beschaffenheit der Kühnschen Ausgabe, die einen hôüchst fehlerhaften Text bietet und eines kritischen Apparates ermangelt, abgeschreckt wird dem Galenus die gebührende Aufmerksamkeïit zu widmen. Um die Emendation einzelner Stellen des Galenus haben sich während der letzten Decennien besonders Cobet und Kôvzos verdient gemacht: aber auch die besten Emendationen sind für denjenigen, welcher ei- nen Text des emendirten Schriftstellers nicht besitzt, so gut wie verloren. Darum war es hüchst dankens- werth, dass Joh. Marquardt, Iwan Müller und G. Helm- reich sich entschlossen eine auch weiteren Kreisen zugängliche Auswahl der Schriften des Galenus zu veranstalten, von der bis jetzt das erste Bändchen vorliegt, enthaltend J. Marquardt’s Recognition der Schriften reoi duyñc ra)üv xxi auaptnuatov, mepl rc dpiorne Oasxahiac, mepi roù X Ts ouuxpac COAIpAs YUHLVAOIOU, TOOTRETTLXCE. = Wer den Marquardtschen Text mit dem Kühn- schen vergleicht, wird einen sehr erheblichen Fort- schritt der neuen Ausgabe gern anerkennen. Freilich aber überzeugt man sich auch bald, dass Marquardts Ausgabe vieles zu wünschen übrig lässt. Wenn er an manchen Feblern der Überlieferung ahnungslos vor- übergegangen ist, so wird ihm niemand daraus einen Vorwurf machen; weniger leicht lässt es sich entschul- digen dass zuweilen unsichere und entschieden falsche Ânderungen in den. Text gebracht worden sind: vor- zugsweise aber ist zu missbilligen die Einrichtung der annotatio critica, welche überflüssige Notizen in Masse . bietet, Nothwendiges dagegen vielfach verschweigt und an einzelnen Stellen Genauigkeit vermissen lässt. Zur Begründung des Gesagten wird es genügen den Anfang der Marquardtschen annotatio critica anzu- führen. Der Titel der ersten Schrift lautet in der neuen Ausgabe: TAAHNOY LIEPI TON TAION EKAZTQ TIAOON KAI AMAPTHMATON THE AIATNOYEQE B. Dazu wird bemerkt: «De inscriptione vide Observat. crit. p. 3; Gal. XIX, 45 ‘repi to uv ExGoTE TAÏGY xai ne A This dre yvoseuc 8° et XVI, 335 ‘eipn- Tex uv xad” Ev idix BufAiov repl ro apenuéro xo raÏGY TA< FR émryeyoauuévoy mepl day. 2. depart. r@v èv Exdorou Quyñ iiwv rad@y LO». Der auf die Vorrede folgende Index notarum lebrt, dass L — Cod. Laurentianus 74,3 und O — Omnes codices et editio- nes. Somit enthält die Angabe LO einen Pleonasmus; es genügte O. In der Kühnschen Ausgabe lesen wir jedoch TAAHNOY TIEPI AIATNOYEQZ KAÏ OEPA- JIEIAË TON EN TH: EKAËTOY WYXH: IAION TIA- OON. Ich halte es für wahrscheinlich, dass auch im cod. Laur. nicht Gtayv. x. Sepaur., sondern àxyvosewe nai Jepameiac, nicht ëv Exgotou uyñ, sondern ëv à éxaotou duyñ sich findet. Zu éveorhoo p. 1, 2 wird bemerkt «ëvesrnow LAB Don», dies und weiter nichts. Wer nur den Mar- quardtschen Text vor sich hat (in dieser Lage wer- den sich aber die meisten Leser befinden), kann den Sinn dieser Bemerkung unmôglich ergründen. Das Räthsel lüst sich, wenn man die Kühnsche Ausgabe vergleicht, die jicht éveotou sondern évésTrnsa bietet. Meiner Ansicht nach lohnte es sich nicht von dem absurden évésrnox Notiz zu nehmen, das jeder Unter- richtete ohne weiteres durch évesrtnow ersetzen konnte. Hielt es aber M. für nothwendig oder rathsam einem gleichgültigen Fehler der neueren Ausgaben die un- verdiente Ehre einer Bezugnahme angedeihen zu lassen, so war es in der Ordnung, dass er neben dem richtigen und allein beglaubigten éveornro das falsche und unverbürgte ëvésrnoa ausdrücklich er- wähnte. Die nächste Note lautet (p. 1, 4) «ëxi voë: Ch K», d. h. das im Text stehende éri ras findet sich in den Ausgaben von Chartier und Kühn. Was aber bietet statt dessen der cod. Laur. 74,3? Um dies zu erfah- ren, sind wir gezwungen eine der vor Chartier er- schienenen Ausgaben des Galenus nachzuschlagen, wie etwa die Baseler Ausgabe vom J. 1538 oder die Al- dina vom J. 1525. Unter hundert Benutzern des Mar- quardtschen Textes werden kaum zehn dies künnen, und auch wer es kann, wird wenig Lust verspüren Recherchen anzustellen, die keine weitere Ausbeute versprechen als einen ziemlich irrelevanten Schreib- fehler. Marquardts an sich unbegreifliches Geheim- halten der handschriftlichen Lesart erscheint hier als um so befremdlicher, da man an der Berechtigung der aufgenommenen Conjectur zweifeln darf. Statt ri rois ist Ta überliefert: ich môüchte den Buchtitel zepi ne voie ldlois radeary égédgeiac, zumal bei einem Epi- a $ 399 Bulletin de l’Académie Impériale 400 kureer, nicht beanstanden. Dass von épeôsetx ein Da- tivus abhängig gemacht wird, ist nicht befremdlicher als Verbindungen wie érireryiouèc + ywpx Thucyd. 1, 122, 1 und émèpounv T@ reyiouan mapdomov- dov 4, 28, 1. Es folgt zu wopisa (p. 2, 6) die Anmerkung «èw- oua Li». Den Schlüssel bietet die Kühnsche Ausgabe, wo wir root lesen. — Weiter wird über xexAÿ- cJau (p. 2, 10) gesagt «xcxAñodar LG xexAciodar A. Der Druckfehler der Aldina xex)0da konnte füglich unerwähnt bleiben, entbehrlich ist auch die Notiz über G(oulstons Ausgabe): die Note ist überhaupt nur bedingt durch die bei Kübn sich findende Schreibung 2x 580. Nach diesen theils entbehrlichen theils unzureichen- den Bemerkungen folgt endlich (zu p. 2, 18) eine brauchbare Notiz «post x&yù plura excidisse censet R» (der Recensent eines Marquardtschen Programmes). Dagegen ist es wieder hôchst unangenehm, zu erfahren dass die Schreibung ôoxcduey fuiv abroi p. 2, 23 auf einer Vermuthung des Herausgebers beruht, ohne dass der handschriftlichen Lesart (20xoimuev ao) ge- dacht wird. Besser ergeht es uns p. 3,3: «oiya vourouc* Pr. XXXV oyotarous Lo». Als befremdlich aber erscheint es dass über die Lesart des Laur. Verschiedenes be- _ richtet wird: okyorarouc L bietet die ann. crit., «Laur. bluyotätouc praestat» heisst es in der Vorrede p. XXXV. Welche Angabe die richtige ist (die Wahr- scheinlichkeit spricht für okyerérouc), werden wir vielleicht künftig erfahren ?). An den ersten Seiten der vorliegenden Ausgabe glaube ich gezeigt zu haben, dass Marquardts anno- tatio crit. weder ganz zuverlässig noch irgend wie zweckmässig ist. Es widerstrebt mir das unerquick- liche Thema weiter zu verfolgen, und ich wende mich dem Versuche zu, einzelne Stellen des vorliegenden Textes zu berichtigen. Galenus bedauert, dass der Epikureer Antonius, der repli Tic vois ldloic médeory égeñpeiuc geschrieben, das Wort égedoci nicht selbst erklärt habe, so dass man nur vermuthen kôünne, was damit gemeint sei: ëvaivero _ Les: Bé\rrov civur doxst citirt 5 Auch p. 18,11 lässt uns Marquardt über die handschriftliche in Un ngewissheit, sofern er in der Vorrede p. XLI Euorye Békriov sives hietet in Übereinstimmung mit der Kühnschen _ Ausgabe (V p. 24 7) im Text dagegen stillschweigend Egorys doxet D, &c oiodæ, ai doapac Eounvetwy Tà moA À T@v eipn- Uévov, @c elxaoat AAA ÉGTY N voñoat cape (p. 1, 11). Das xai vor äcaoüc ist mir unverständlich: es sollte wohl heissen Atav arapüic. Nachdem Galenus gesagt hat, der Epikureer Anto- nius scheine mitunter uns zu ermahnen darauf bedacht zu sein ôruwc y Tic ÉUTÈV ATAYOL TOY UAPTALATUY, fibrt er fort (p. 1, 17—2, 1): & doxeï por vod ÀAcyou mavTèc ElVaL GONG ÉXAOTOY YAO TOY TOOELPNLLE VE Y &- LONTTÉV Eat Âal RELTTÉV, ei Lh ToÔc TOÜTOV GVAPÉPOUTO. Statt mpèc roùrov (nämlich oxotév) fordert der Gedan- kenzusammenhang vielmehr pô toùto d. h. moûc Tè ÉAUTOV ARAYELV TOV AUADTALATOY. Pag. 4, 16: à à IAdtwv xai Tny aitiav aroûidwot roù yryvomévou' TuoAodTar yap, gnoiv, à LADY ep ro guhoüuevov. So der Herausgeber nach Plat. Leg. V p. 731 E statt des überlieferten rup&TTov Ydp, nt, mo quhodv epi ro puhoïpievov. Sollte auch bei Plato ë ad&v nothwendig sein, so durfte doch bei Galenus die Lesart 7 ohoüv nicht angefochten werden, zu de- ren Vertheidigung es genügt an zwei Plutarchische Stellen zu erinnern, de adulat. et amico c. 1 p. 48 rupAodra yap To quhodv repli Tè quhobuevo, und de uti- litate ex inimicis percipienda c. 7 p. 90 A: ruphoïrar ve To puhoëv nepl té quhobuevov, wc à ITarwv ont. Dem entsprechend sagt Galenus p. 5,2: TUYAWTTELV avayratov Éont Tè puAobv Tepi ro de wo Mar- quardt wiederum die unberechtigte Ânderung rév ot- Acüvra in den Text gebracht hat. Für das Neutrum rè œthoùy spricht auch p. 27, 19: 6m à où BAéromey ég” u@v adr@v LMôEv, elvar voile roocuez TUDAOTNT elite nepi vo quAobv eite mepi ro qucuevov. Selbst u- pÂGTTey bei Gal. p. 4, 17 in tugkcüt zu ändern sind wir nicht berechtigt, da re p. 5, 1 wieder- kehrt. . Pag. 6, 9: éav ième abToy Emi Täc Tüv TAcuoiwWY TE al roÂd CR Van N xai Tac TOY pLovapywy oixiac émiovra ouvey@c. Statt oixixs erwartet man hier, wo vom Antichambriren die Rede ist, vielmehr S69cc. Vgl. Galen. VI p. 758: ëri sc r@v noAL duvapévuwv éiévat Soous. X p. 6: obdels rotwy obre Éwdev ëmi tac TOY Thousiwv époita Spas Toocayopebawy "œbrobc obre els ÉoTÉpaV Germvnoémevec. Diogen. Epist. 32, 3: tac Aic- vustou Spas Separebev &yvocüvrec. Hor. ‘Epod. 2,8: forumque vitat et superba civium potentiorum limina, wo Kiessling zu vergleichen, AO1 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 402 Alle Menschen fehlen tagtäglich, Gore unôè où vo- mine a0Tos ao m1 MA oY 1 vIowroc eivar. So Mar- quardt p. 7, 21 mit der Bemerkung «ouine airècts, welche lehrt dass die den Gesetzen der Grammatik widerstrebende Verbindung pen vouitne (statt un voue oder ph vouions) auf einer Conjectur des Herausgebers beruht. Bei Kühn steht otre unèë où voile caurèv ao mi UA OV N avIowTov eive, was mir tadellos scheint, Ob Marquardts Schreibung ñ ävIpwros ei- va der Überlieferung entspricht, weiss ich nicht. — Der von uns gerügte Verstoss gegen die Syntax kehrt wieder an einigen anderen Stellen. So p. 17, 13: un TOIVUY vo mins pocvmoy avBowToy Ürapyev, Wo nicht gesagt wird welche Autorität das unmôgliche vouine für sich hat, wahrscheinlich aber voute (so Kühns Ausgabe) überliefert ist. Ferner p. 58, 21: nn voivuv davudCns, wo in der Lesart des Laur. JaouaCot offenbar nichts anderes zu suchen ist als das bei Kühn stehende Saouate. Endlich verdankt ein unmüglicher Conjunctiv ohne Negation seine Existenz dem Belieben des Herausgebers p. 20, 7: &e © Ga (so Kühn und Marquardt p. XXXIII, ws © oi &\ka Marquardts Text) — mpoEAdVTES eic To émuésiov äravra mep@vr au TRATTELV XOTULX, oùTw où XATX TN idLaY OÙXIGY TpdT- ns, Wo Kühns Ausgabe roérrac bietet, während der Zusammenhang TeAvTE fordert. : Pag. 8, 3: isuc oùv tot, Nv EvavTiooYinèc "S; NTOL XATA Le 1 EX (L0YJNPOŸ TLVOS NIOUS VE YOVW TOLOUTOS ñ Aa pur pr Sven os &y, — TOUS gopouc avdouc ao mt uäkhoy N dviowmouc eivm. Als Evavrioloyraée kann nur derjenige bezeichnet werden, der geneigt ist’ das directe Gegentheil zu behaupten (von dem was andere sagen). Bis zu diesem Extrem aber pflegt der Widerspruchsgeist sich nicht zu steigern, und sollte das wirklich hie und da vorkommen, so wäre doch für den Zusammenhang der vorliegenden Stelle der Be- griff évayciwooyixé durchaus unpassend. Darum habe ich im J. 1880 zu der Lesart der Kühnschen Aus- gabe si (nicht ñv) évaymohoyixée ne die Correctur £dv avuhoyuèc ns mir angemerkt. Marquardts Ausgabe lehrt dass #v oder ei im Laur. fehit. Durch die somit allein verbürgte Lesart, icwc oùy épete évavtiohoyixèe ñ; wird meine Emendation : EGY éeayerde ne als rich- ig erwiesen ?).—Nach den Worten ñ xx} güser quôvet- -2) Bei Demosth, 22,44 bieten die meisten und éttan Hand- L LU » LI x06 &v folgt bei Gal. p. 8, 5: 6vov èni r@v vüv UT” woù TROTYEYPAILUEVOY AGYWY, WO TP YEYOMLLÉVWY VON) Herausgeber gesetzt worden ist statt des überlieferten roocxeyonuEvev, das ich lieber in npoevnveymévoy ändern môchte. : Pag. 10, 14: à mn mAobotos mnte Quvatées. Viel- mehr nèè Quvaroe. Pag. 11, 23: aYyanmrèv Voüv fiv, ei ual ah To vod ‘Hpoaxhéous (sou), GAÂ& T6 YE Toù AY EE sYEV,N ei MÔE ToUTO, TO Ye ToÙ Ale roc h Arounèouc ñ Aya- péuvovoc ñ IlaTrpéxhov, si dE ph Tobtwv, WA AY YE rivwv ayad@ov Tov nowwv. Statt 7 si unûè Toùro ist herzu- stellen ñ ei un ToûTrou: der Genitiv rourcu, wie es nachher heisst ei Ôè un vobtuy (nicht taüra), und &t un (nicht pnôè) roûrou, weil es sinnlos ist zu sagen «nicht einmal den Lieib des Achilleus», jenes Heros, der an Kürperkraft als nur dem Herakles nachstehend bezeichnet wird. Anstüssig sind, wie mir scheint, auch die Worte &yad@v T@v npwwv. Vielleicht ist &yxd@y verdorben aus uudéwv, Wozu T@üy npowv als Erklä- rung beigeschrieben sein mag. Pag. 17, 2: va uèv xavappätrev, ra dE Oduve, à dE haxrilev. Richtiger xaraoarrev, obwohl die Schrei- bung xavaspatrer häufig wiederkehrt. Pag. 20, 20-—24: Aéhextor d’ ëmi mAËov èv voie moi NDV UToUVAUAGIV, ÉTUC dpiornv Ti aÜTNY ÉpYATato, ai Ge Thv HÈv ioybv où ypn xaTaahEt abTic, Wonep c0dE Toy rTruwYy te xai xuv@Y oic APOLEIX, TV © ebrei- Jeruv de ET ÉxEiVOY, oÙtw xam abris doxeiv. In den Worten ôrws doiotnv mis adTny éoyäcaro ist nach 6rwe die Partikel &v einzuschalten, und aùrnv beruht auf einer unwahrscheinlichen Vermuthung Kühns: das handschriftliche ny abzny ist wohl aus y duyv ent- standen. Die letzten Worte haben die obige, vom Kühnschen Text wesentlich abweichende Gestalt erst durch den Herausgeber bekommen. Nach der Lesart des Laur., &s Exeivny oûro xèr” af àoxäv, müchte ich vorziehen: rhv © ebmeiderav &e éxeivov, TAUTNS AOKEË. : Die ëmduumrxn dbvaus der Seele gleicht, wie Ga- lenus p. 21, 8 sagt, cby inne xai xuvi, àN oBpurs XATO KA TOAY® KA TI TOV [éyoiwv] fus poD er uñ à duvauévwv. Das unnütze und stürende &yoiwv ist zu tilgen: | OÙTO X4 schriften xäv pèv Evayria Àéyer vi statt xüv pLèv veau 4 vgl. Cobet Misc. erit. p. 525. nn 4103 Bulletin de l’Académie Impériale 4104 Wir sollen znv ëv qui &oyov Oüveuuv bei Zeiten niederhalten, bevor sie wächst und eine schwer zu né raidendé Kraft crlangt (p. 22, 10): ThyxadTe yao ad Eav Se eANTN Te FANS AE aÜTNY dune, k- TELUTX ONE, WOTEO fxoUo a TLVOG ÉYOVTOG JA pèv rabsasdar, UN Jvaodar dE, Tapaxa EE TE érny Quès bouiroc Exsivo To Ôeouév Bondñou xai ro ados éxxébar. Das Participium Xëyovros hat Marquardt hinzugefügt. Dies Einschiebsel kann ich weder für nothwendig noch für wünschenswerth er- achten, ja bei der oben mitgetheïlten Fassung der Stelle ist es geradezu sinnstürend. Denn was wird mit Marquardts Einschaltung erreicht? Offenbar dies, dass die Worte ëdékev uèy Tabousda, un Obvasdar dE, nicht dem Angeredeten, sondern dem és@v in den Mund gelegt werden, dass somit ofoex des unentbehrlichen Objectes er Hanget: Ohne Zweifel sind von ones die Worte ëdéAcev pèv rauoardat un dbvardat DE abhängig: durch das eingeschaltete A£yevrec wird diese Abhängig- keit aufsehoben, d. h. die Stelle verdorben bis zur Sinn- losigkeit. Allerdings aber liegt ein Fehler in den Worten üoneo Nrousa mvoc ép@vroc. Unmôglich kann Galenus behaupten, irgend ein verliebter Mensch habe ïhm mitgetheilt, was der Angeredete sagen werde. Natür- lich -muss es heissen ômep fxouod mvos to@vrec, du wirst das nämliche sagen was ich aus dem Munde eines Verliebten hôrte, du môchtest zwar abstehen, aber kôünntest nicht. Nachdem 6reo hergestellt ist, er- scheint die Hinzufügung des Aéyovroc zwar als müglich, aber durchaus nicht als nothwendig. Die nachfolgen- den Infinitive Bondñoar und Exxébe sind abhängig von rasarahéces: diese Beziehung wird verdunkelt durch die Worte 7& Gecuéve, die ich für einen fremdartigen Zusatz halte, namentlich des Artikels wegen. Sollte éxeivw näher béstimmt werden, so war zu sagen éxeivo r® éowvt, nicht aber éxeivo +@ decuéve, denn von ei- ner Bitte des Verliebten ist im Vorhergehenden nichts gesagt. Übrigens bedarf Cobets Emendation Boy- So statt der früheren Lesart Bonnous$u einer kleinen Nachbesserung: da im Laur, Bondnserez steht, so ist zu schreiben Bon)ñoui te xai tè roc Exx0 bar. .:.Pag, 22, 17: où Ÿ Iomc oùd Emevénodc more toûro. ÉPÉVTOc Béduov cbv ot xai vüv évvoñoui te xai duaoxébasda rétepoy anale Aéyoy—} Veèoua. Wer diese Worte aufmerksam liest, wird sich leicht überzeugen dass xœù dacht, so kann man mich auffordern es xxi vèv zu bedenken; habe ich etwas früher nicht bedacht, so wird die Mahnung lauten, ich môge es vüv oùy oder &hÀ\& vüv oder xäv vüv bedenken. Und xa&v vüv (oder xäv vuvi) las man vor Marquardt: das unpassende xat vüy hat er erst in den Text gebracht. Denselben Fehler haben die Abschreiber zuwcilen verschuldet, vel. Crates Epist. 32: Ex oùv xai vüv (1 x&v vüv) ÉTAVNXE. Pag. 23, 14: OÙ Yap GORE [LOVOY GOPYNTIAY LYELV, ahÀQ rai un xal Auyvelac civopAU Via TE XGA TE- pepyias «ai odovou (yon) xadapebev. Schon früher (Jambl. de vita Pyth. p. 227) habe ich bemerkt dass es heissen muss gopynoiuv &oxeiv. Zur Unterstützung dieser Emendation genügt es anzuführen Gal. p. 8, 16: oi dr 6kou Toù Biou amaderay ATANIMVTES, und Eur. Bacch. 641: TpoG sooÙ yàe &vôpèc ATKEL cUPpoV? EU- op YNT av. Pag. 25, 20— 925: éd0c dm abcny (nämlich Eëri Tv cupooobvnv) Éom ia Tic éyapatelac. oÙùtw (route Marq.) yap abrocs mAcovexteï cwppwv éyxparoüc, 7% uno” éme En Myvoy Éecudtuv, h dx To rohUyp6- Vrov Edoc ñ Ô0 Eyxpdretav, xaddmeo x adro robvoua abris évéetxvure, yeyovos [émeo éotiv] Ex roû nowretv xat vixäv Täc émuupiac. Statt mit Marquardt yeyovés nach éruupiac zu stellen, môchte ich die Worte ôxco éoriy tilgen. Aber nicht nur diese Worte scheinen ei- ner späteren Einschaltung ihren Ursprung zu danken, sondern der ganze Passus, or Yap abrèc rAsovexTer TOppov, Éyroatoëc bis wxäv ràs émiSuuixc ist so be- fremdlich, dass ich nicht umhin kann die Echtheit desselben in Zweifel zu ziehen. Der Gedanke ‘zur co- ‘ pporüvn gelangt man durch die ëyxpdre” wird in sebr wunderlicher Weise damit begründet, dass der soppwy vor dem éyxpatns den Vorzug geniesse Aiyva édécuaa gar hicht einmal mehr zu begéhren: als ob die yxed- eux nicht empfohlen, sondern herabgesetzt werden sollte. Vom Adiectivum Âïyvoc ist mir keine Anwen- dung bekannt, durch welche die Verbindung Ayvæ écarte sich rechtfertigen liesse. Und warum werden gerade die ëÿésuarz hier erwähnt? Wenn es sich han- delt um éyxoarerz und cwpsosuvn, spielen die Speisen eine ziemlich untergeordnete Rolle, so dass sie zwar erwähnt werden konnten, nimmermehr aber allein in Betracht gezogen Werdet durften, Hôchst anstôssig ist viy unstatthaft ist. Habe ich etwas schon früher be- |ferner der Gegensatz, ñ dix rè rohuygévov Eos ÿ à? 405 des Sciences de Saint-Pétersbourg. éyrodrauuv, da mit dem moAuyoéviov ëdoc schwerlich etwas anderes gemeint sein kann als die fortgesetzte Übung in der Selbsthbeherrschung. Was endlich gesagt wird über das Wort éyxodreur, es sei Yeyovèc Ex Toù APUTEV HAL VIXGV Tas émuuuiac, ist überflüssig und nicht einmal zutreffend. Entscheidend jedoch ist für meine Annahme einer umfangreicheren Interpolation der Umstand, dass der bezeichnete Passus den Zu- sammenhang stôrt, der durch Beseitigung der frag- lichen Partie wiederhergestellt wird: éûèc à èr” abtny Eort dia TG ÉVAPATELNS" ÉTITOVOS à Eori xai TRXYEÏX TO VE xaT aoyac, Goneo Aa ai GA räcat TOY xxADY ÉnITNdEULATUY doxNoEL. Pag. 26, 24: ëy® puèv oùv dravra Taÿr elonéva où Ta LEA AoVTA Àey Ines dar Toic BouAndEtoL Urotideuer. Statt Tadr cionuéva ist zu schreïben z& + sionuéva. Das voraufgehende &rayrx würde, wie mir scheint, besser fehlen. Pag. 29, 18: Eonv idetv Ex uèv dvaioyuvra rüv radiov, Evix à aidobueva, xaÙ TA HÈV LYMLOVIXG, TA D’ auvnuovæ, Tiva à ëmAncuova. Dass die Kinder nach ihrem Gedächtniss in drei Kategorieen zerfallen sollen, 1. uvmuouxd, 2. auvnmova, 3. ëmAnsuova, erscheint als wunderlich; es dürfte vielmehr zu schreiben sein ra à duvnuova xai értAnomova. (Gedächtnisslose Men- schen (&uvnmovec) sind eben vergesslich (ërAnsuoves Auch aigobueva halte ich für unrichtig. Als Gegensatz zu &vaisyuvra wird vielmebr «iènueva erwartet. Vgl. Aristot. Eth. Nic. 3,9 p. 1115 à 14: © mëv yäp pobob- pevos émexhs xai aièmuov, à GE pin pofopevec àv- ais 'YUVTOc. Galenus vergleicht die Erziehung der Kinder mit der Pflege der Gewächse. Der Landmann kann freilich nicht bewirken dass der Dornstrauch Trauben hervor- bringe, andrerseits aber werden Weinstücke, auch wenn sie an sich geeignet sind Frucht zu tragen, falls er sie nur der Natur überlässt, eine schlechte oder gar keine Traube hervorbringen. Darauf heisst es p. 31, 3: cor dE xai nv Toy Cowy ÉrTov pèv rade nc, £is rod xpNSHLOY é£ete, äoxros dE, xäv nuépa ToTè déEn, HévOv oÙx ÉYEL TNY Etuv, Eva à QE Xi THOPTLOG oÿ & ŒyoL TOÙ DoxEy Âp0US dat TOCÉD JET a. Die unmügliche Rede- weise ÿv 7üv Cowv frmoy uèv rudeuons dem Galenus zuzueignen wurde der Herausgeber veranlasst durch die fehlerhaft überlieferte Parallelstelle XVI p. 324: oùro dE nai ei rüv Cowv frrov pèv rudeüsex. Nach Tome XXXI. der Lesart des Laur., oùto dE xai +) rüv luwy frroey pèv raeucac, war es nicht eben schwer das Original herzustellen: oùto dt xx ëni rov Cowy Érroy LÈèv rat- dou. Pag. 32, 3: dia ro un TAChaS erv æbrév els ToduTIxdG asyohias EAxoUEvoy brè tv rokr@v. Den Pluralis Aude asyokias mit Marquardt durch den Singularis rohtixnv asyohiay zu ersetzen halte ich für verfehlt. Vgl. Iambl. de vita Pyth. ce. 6 $ 28 p. 21, 18: ges- VOY TA ToMTixdS aoyohias, und zahlreiche im Thes. Gr. L. angeführte Belege (aus Plat, Xenoph. Lucian. Plut, u, à.). | Pag. 33, 17: oùr ixavN AUT NCA pe, ThNv ei Taytoiws dmoAËTOU TA xTNUATE — DOENS te Aa TS 6 rathp ciduoé pue xataopoyetv. Unpassend ist ravroiwc: vielleicht genügt xxvs” roc. Von seinem Vater sagt Gal. p. 34, 14: zoùroy yao étideto Tp@TOV 6poV ÈXELVOV XTNLATWV, WG [AN TELVŸY un ryoûv un Spy ei d mAtlw This els TaÛTX Lpeias ein, [xœi] roès zac xahac Thdses, En, JPNOTÉOV aUTOi. Das unpassende, aus den nachfolgenden Worten, we xai moûc tac Torabtus npdkex (p. 34, 18) Lertrnoe mene xai ist auszuscheiden. Vorher erscheint Exervwy als sinnlos: es war zu schreiben éxeïvos. Pag. 35, 24: Ever uëv (nämlich xrnuata) oùx 0p- JO éonolast, xaddnep oi uaoyaoitar «ul oi oaxpôc- vuyecs al 7” GAdar Aidor räcar xÉGUOoV Daneo ai YUVATKES | OÏOV T1 DEpOUGAL Tac aprnapeévars QUTALS TOUTOU TO yÉvous Éori Tà Ta ypuooüph Tv iuatiov N TVA TEpiep- yov Éoyov Eywv ñ Ans dedueva TéppudEv xOUUCOUEVTE, GorEp TOY net ovoualouEvey (ovouatouévns Laur., jedoch in évoualouévwv von erster Hand corrigirt). 50 lautet der heillos zerrüttete Text nach der Überlie-. ferung. Ob xà 74 yousoüon, wie Marquardt will, in xai Ta yousoüoñ oder in <à yousoüpñ zu ändern sei, wage ich nicht zu entscheiden, wie ich auch hinsicht- ich anderer Schwierigkeiten rathlos bin, Für den Schluss, wo Marquardt zñs onprxñs ovoualonEvne ge- schrieben hat, müchte ich vorziehen | obsls incl.) im grundtexte und ruBischer übersetzung, nebst ei- er fleifigen biographisch-bibliographischen einleitung, ist als hie- sige doctordissertation gedrukt worden unter dem titel: «Hcropuse- ckia maBreueria» agropa Xamxyaasi Rassumekaro. CE npexncaosiems OÛB UCTOPHIECKUXE UCTOHHUKAXE H HPAABICHIEME TEKCTA CB UE- PEBOTOME |’. Mestrymona CII6. 1873. 80, tit. ind. LXXXI. Ie u. 06 pp. Der nows verzügerte die herauBgabe seines werkes, es es doch noch bewerkstelligt werden kan. Mein exemplar gs vas ich Mods a . S. Oldenburg, der mich auc die über- a es SR bei Sachau und Anquetil PES EE acht hat 98% der liebenswirdigkeit eines De en Zu 423 Bulletin de l’Académie Impériale so vil ich sehe, mit unserem texte fast gar nicht über- ein, eben so wenig wie die dem selben weisen bei Masüûdi II 206 zu geschribenen zwülf sentenzen. Ganz anders stehts mit dem «Sähnâma», worauf der herauBgeber schon selbst hin gewisen hat. Firdausi fürt (VI, 291 der kleinen Mohl'schen übersetzung) merere sätze fast würtlich gleich an, so daB man ver- muten müchte, im habe, wenn nicht das original selbst, so doch eine genaue übersetzung des selben vor ge- legen ?). Ferner entneme ich der vorrede, daB eine zimlich getreue widergabe unseres textes enthalten sei im > Uls,l («printed and published in Persia in the Yezdezardi year 1246 by Mr. Manekji Limji Hoshang Hataria»®) p. 49—66: Rieu II 441 kent dise auBgabe nicht). Das vor ligende werk, auch «Kârnämak i Va- Zargmihr i Bôxtakän» benant, ist zuerst von Haug Essays” 111 erwänt worden (nach der handschrift des «Pahlavi Sâhnâämak» A. Y. 691 — 1322 A. D. in der bücherei des dastürs Jâämâspji zu Bombay, deren inhalt ib. p. 109—111 auf gezält wird), und findet sich auch unter seinen handschriften in München X: 16,1) unter dem titel «Pandnâmak i Vazurgmihr» °). Dem heraufgeber standen drei andere handschriften zu gebote: eine datiert Samvat 1067, die andere da- tiert A. Y. 1131, beide im besitze des dastürs Edalji Dorabji Rustamji Sanjana, die dritte datiert A. Y. 1148 in einem sammelbande der bibliothek des «Parsi Panchayat» zu Bombay. Alle drei handschriften sind der reiïhe nach von einander copiert. Der zweite text ist hier «Andarz u frahang i anû- Sakrovän Âdurwäd i Märspandän» betitelt. Es ist die selbe schrift, welche Sheriarjee Dadabhoy 1869 in Bombay als.Haug’s Prize Essay herauB gab, und von welcher im jare darauf bei Trübner & Co. in Lon- don eine englische übersetzung erschin (vgl. de La- garde GGA. 1870 p. 1441 ff.—Symmicta I 24— 50). Eine flüchtige vergleichung beider texte zeigt, da der 7) Darmesteter, I. c., zieht auf einer genauen vergleichung beider texte den schluB, Firdausi habe noch Fans verstanden. 8) Über ein verdienten vertreter des Parsentums in Teheran vel. W. ass m >Kyps. Mu. Hap. Ilpocs. 1885, x. & COXXX VII OTX. 2 CTP. 7 0: 46 uoxoxenin Te6pose Br Tepeiu «, wo er Mânykau de 9) Villeicht ik die «Réponse d’Aderbad Mahrespand au roi des Perses» cod. Ang. VII pag. 254 (Anquetil ZA. I, 2 p. xx = Kleu- ker ZA. I p. xxvij und Spiegel Einleitung IL p. 135) ein fragment des Pandnämak : Müller’s abschrift dises textes findet sich in der K. Hof- u. Statsbibliothek zu München als Cod. or. mixt, 8 (Cat. I, 4 p. 130). peuere wol beBer ist, besonders, wa die saztrennung an geht; doch werden noch andere handschriften hinzu gezogen werden müBen, um einen lesbaren text her zu stellen. Haug L. c. weist das werk in dem oben erwänten sammelcodex nach, und in seiner eigenen samlung befinden sich zwei abschriften: M 16, 2) und NV 17,1). Wenn er ebenda 110, 111 die meinung auB spricht das andere dem Âdurwâd i Mârspandân zu geschribene schriftchen «Mâdikân i si rôZ» bilde vil- leicht die fortsetzung unseres «Pandnâmak», so wird diser gedanke auch durch die neue auBgabe nicht be- stätigt. Welche und wie vile handschriften der herauf- geber benuzt habe, das hat er zu melden unterlaBen. Die beiden folgenden stücke sind bedeutend kürzer. Das «Mädikân i éatrang» behandelt die einfürung des schachspiles auB Indien und die erfindung des nard- spiles durch den schon oben genanten VaZurgmihr, und bietet einen recht guten text. Auch dise erzälung findet sich bei Firdausi VI 306 ff. und im js ef) JAS XIV p.119 und 139. Zwei handschriften traktates wies Haug I. €. 111 nach; der herauf- geber konte drei benutzen, zwei auB seiner eigenen samlung, datiert A. Y. 627 und 1131, und eine in der bibliothek des erwänten Parsi Panchayat, datiert À. Y. 1148. Wie er uns ferner mit teilt, ist seine Guzerâtiübersetzung diser erzälung zuerst 1854 im augusthefte eines journals «Jagatpremi» erschinen. Bibher auch noch nicht in den bibliotheken Europas nach gewisen ist das lezte schriftchen «Andarz i Xus- rov i Kavâdän» d. i. Anô$travân. Obgleich in diser recension der künig, als er zu sterben Kam, seine guten leren den «leuten» («gêhânikân», die übersetzung hat «minister noblemen») vor trägt, so findet sich doch manches an klingende in den ermanungen des selben an seinen son Hurmuz IV bei Firdausi VI 391 ff. und Mas üdi II 208. Haug kante disen traktat nur auB der unter I erwänten alten handschrift, der her- auBgeber benuzte zwei undatierte copien, deren eine im selbst gehürt. Der Guzerâtisprache nicht mächtig, kan ich mich über die vom herauRgeber verfafite übersetzung nicht au sprechen; bei der beurteilung der englischen über- setzung aber, welche Hirji Pestonji Wadia zu ver- danken ist, darf nicht vergeBen werden, daB sie nicht auf dem originaltexte beruht, und daher mer einer _ 425 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 426 paraphrase änlich siht, als einer von streng philolo- gischem standpunkte auB unternommenen reproduc- tion der urschrift. Für schwirigere stellen ists mir daher kaum môglich zu entscheiden, wie der herauB- geber selbst den grundtext construiert und auf fait. Eine gute hilfe in solchen fällen künte das bei gege- bene würterverzeichnis leisten, wenn es nicht bloB ein «glossary of select words» wäre. Es ist aufrichtig zu bedauern, daB der gelerte herauBgeber nicht dem bei- spile seines oben erwänten vorgängers Sheriarjee Dadabhoy gefolgt ist, und kein volständiges ver- zeichnis aller in den texten vor kommenden würter mit stellenangabe gelifert hat, sondern nur ein supple- ment zu seinen würterlisten beim «Dênkard». Hier s0- wol wie dort ist mir das bei der auBwal befolgte prin- cip nicht ganz klar, denn würtern Wie Days, ue, e»v9, dev u. del. erwartet man nicht gerade hier zu begegnen. Ferner kan ich auch nicht umhin gegen - manche der gebotenen erklärungen und etymologien einspruch zu erheben, da sie wol geeignet sein dürften schwache gemüter irre zu füren. Für leztere behaup- tung nur ein beispil. Unter shy65r lesen wir: this word is composed of the Chald. ÎTS Eye (sic), very precious and persian >, à stone and means «a precious stone» i 6 a diamond or a gem. Dergleichen erklärun- gen, auch gut persischer würter, finden sich nicht selten, wobei die in quadratschrift wider gegebenen semitischen wôürter meistens so ser durch drukfeler entstelt sind, daB erst die nebenan stehende arabische transcription auf die richtige lesung fürt. Bei einer künftigen änlichen arbeit würde es sich als zwekdien- licher empfehlen das etymologisieren ganz bei seite zu lafen, und lieber anstat dessen die nôtigen belegstellen auf zu füren. Es ligt mir nun ob, ein specimen von der art und weise zu geben, wie ich mir nach den obigen auf- fürungen die transcription eines Pehlevi-textes denke. Ich wäle dazu die beiden lezten der in der eben be- sprochenen aufigabe enthaltenen texte, teils ires gerin- geren umfanges wegen, teils aber weil sie der recon- struction und übersetzung keine al zu grofien schwi- rigkeiten entgegen stellen. In betref der im folgenden an gewanten umschreibung bitte ich aber beachten zu wollen, daB bei der aufBwal der zeichen doch wol ei- nige rüksicht auf die ursprüngliche schreibweise zu nemen war; denn wie eine tote sprache gelautet habe, äBt sich ja doch nur annähernd bestimmen. Das vocalsystem des Mittelpersischen kônnen wir getrost als mit dem des älteren Neupersischen identisch an setzen. Für die grammatik genügt es a "), i, u nebst iren längen, ê und Ô zu unterscheïden; der divhthong ai ist überauS selten, und für np. # (noch jezt ow ge- sprochen) finden wir_y ov und e& ow'), welche ich wie an gegeben umschreibe, Endlich habe ich in der 1 sg. praes. nach dem vorgange des Pâzend'om belaBen *). Bei den consonanten: k (k) x g y,ëj,td(ddn,pfbw (vgl. jüdisch-persisch 3 alt ;) m, jr lv, s z 8 Z,h ge- nügt es zu bemerken, daB d dem pâz. e np. > (nach . vocalen) entspricht, Gr k d (nach consonanten) w Z die erweichten 4 + s e auB drücken sollen. Z für e schreibe ich aber nur da, wo im Neupersischen ; (nicht @) entspricht: schon im inschriftlichen jN2?%1 z. b. muB @ einen mittellaut zwischen ; und ÿ, oder lezte- res selbst bezeichnet haber, denn wie solte ap. vaz- raka über *vajrak oder gar *vaërak zu np. J5 HE geworden sein? Auch g für erweichtes altes k zu schreiben mochte ich mich nicht entschlieBen, eines umstandes wegen, dessen erklärung uns die herren Arabisten werden geben künnen, Warum nämlich er- scheint pers. g ( (J—= 3, im auBlaute &) in arabischen schriftwerken bald als à (£)) bald als € Es scheint einmal, als ob wir an nemen müsten, daB solche würter auf mundartliche verschidenheiten des Persischen hin deuten, wie noch zu classischer zeit sowol Si) als JE, Cr und & u. dgl. geschriben und gesprochen wurde (vgl. sé, ke, I, 8 und Blochmann’s Con- tributions to the Persian lexicography JASB. 38 I (1869) p. 34); andererseits kan man sich aber auch dem gedanken nicht verschliefen, daB villeicht das arabische ë selbst zu einer gewissen zeit oder bei ge- 10) Daf die Armenier in einigen würtern für im Mpers. vorauB zu setzendes a # schreiben, zeigte Hübschmann ZDMG. XXXV 174; doch sind der beispile vil zu wenige, als daB wir bei der lesung des Phl. darauf rüksicht nemen dürften. 11) Ich verwende die zeichen v 4 und w . altem herkommen gemäl in um gekertem sinne wie Lepsius. Dagegen habe ich das j wider in seine alten rechte als consonant zu i ein setzen zu pe geglaubt. 12) Für altes ahmi lese ich aber ham, denn gs wechselt mit y. Bulletin de l’Académie Impériale 42S wissen stimmen noch wie g habe lauten kôünnen, also volkommen dem pers. Fa entsprach. Dazu ne man sich vor, da pers. , im Arabischen durch ; wider gegeben wird, nicht durch eh welches nach der land- läufigen auBsprache im doch bedeutend näher steht. Später natürlich trat die analogie und die an genom- mene schreibweiïse in ire rechte, und jedes pers. v (0) wurde mit , umschriben; ja die lezten consequenzen diser sitte haben die Perser selbst gezogen, in iren misbildungen Gti u. dgl. Zur entscheidung der oben auf geworfénen frage bedarf es aber einer ge- nauen und volständigen samlung der ins Arabische auf genommenen persischen wôürter, mit bestimmung des Mädiîkân !) i éatrang. Pa nâm i jazdân. 1. Édûün govénd ku: andar xvadä- jih i Xusrov*) i AnôSakrovân, ka”) Déwsarm ‘) i va- Zurg Sabrjàr®) i Hindükänihâ‘), awar Ôzmüdan i xrad u dänâkih i Érânéabhrikän, u sûd-ic i xvéS nikiridan râi, Catrang ê juxt’) SâänZdah tâk°) a uzumbrud”) u SâänZdah tàk àZ jàkand!°) i suxr kard, fristàäd!!) — awàk ân éatrang haZär u dû sad usturbâr ZATT U asim u gôhar u murvärid u jàmak, nuvad pil, vas *) ëisi mâdiki %) kard, awâk fristàd; u Taxtarîtüs #), ëûn andar Hindûükân pa-viZin ®) büd, awàk fristàäd. U pa *“parvà- nak 1) édûn niwit éstâd ku: awâjèd !), éûn Sumâ nâm pa Sähân$ähih [därèd u]*) pa amä bamâk Sâhân Sh hèd, awäjéd !*) ku dânäkàn 1?) i Sumâ aZ ân i amà dâ- nâktar bênd: agar ëîm *”) i în éatrang [nê]”") vizärêd, ‘ângâsaë sk u bàzZ fristéd. 2. Sähâänkäh si rôZ zamân xvaäst, u êëi kas nè büd a4 dânâkân i Érân$abr, ki &îm i ân éatrang vizärdan Kâjist. 3. Sidigar rôz Vazurgmibr i Bôxtakän ©) awar Ô pàj éstâd, vas guft ku: anô$ak bed! man éim i in éat- rang tàk 45) rô% a% ân tm ràj bê nê vizàrd, tàk Sumâ u har ki pa Érân$ahr hêd bê dânêd, ku *) dtidér Érân- Sahr mard man dânâktar ham; man ëîm i în éatrang xvârihà #) vizärom u sûk u bâz az Dêwsarm istânom; alters und der heimat der schriftsteller, bei welchen die selben sich zuerst nach weisen laBen, — eine one zweifel durchauB dankenswerte aufgabe. Wie nun auch das urteil über den hier vor gelegten versuch auB fallen môge einen Pehlevi-text in der form dar zu stellen, wie er gesprochen, nicht geschriben wurde, eines hoffe ich wird mein wagestük zur genüge zeigen künnen, nämlich daB sowol die textkritik als das grammatische und lexikalische verständnis der sprache auB solchem tun nutzen zu ziehen vermôügen. Die folgende übersétzung ist môglichst wôrtlich ge- halten. ; Die geschichte vom schachspil. Im namen Gottes. 1. Also erzält man, daB unter der herschaft des Chus- row Anôscharuwän, als Déwsarm, der groBe beherscher der Inder, um den verstand und die weisheiït der Ira- nier zu prüfen und auch der warung seines eigenen vorteiles wegen, ein spil schach, sechzehn (steine) auf smaragd und sechzehn auB rotem rubin gemachi, sante, — er mit jenem schachspile tausend zwei hun- dert kamellasten gold und silber und edelsteine und perlen und gewänder, neunzig elephanten, für welche dinge ein register gemacht worden (?), mit schikte; und da Tachtaritus unter den Indern der auRgezeichnetste war, sante er in mit. Im begleitbriefe aber stand also geschriben: da ir den namen künig der künige fürt und über uns künige alle künig seit, so zimt sichs, daB eure weisen weiser als die unsrigen seien: wenn ir nun den sin dises schachspiles nicht herauB bringet,, so schikt dafür tribut und zol. 2. Der groBkünig erbat sich drei tage zeit, doch es war niemand unter den weisen Irans, welcher den sin Jenes schachspiles herauB zu bringen vermochte. 3. Am dritten tage erhob sich Wazurgmibr au$ der familie Bôchtak und sprach: seit unsterblich! ich habe den sin dises schachspiles biB auf den heutigen tag auB dem grunde nicht erklärt, damit ir und ein jeder der in Iran ist wiBet, daB unter den leuten Irans ich der weiseste bin; ich wil den sin dises schachspiles des Sciences de Saint-Pétersbourg. 430 429 AVS, Ver À r ;j u han *) éêi &is ê?) kunom, à Déwsarm fristom i aÿ*) vizärdan nê tovân, azaë du bârak sâk u bâZ gîirom; u pa în awêgumän bêd ku Sumä pa Sähänfhîh arZänik hêd, u dâänâkân i Sumâ *”) aZ ân i Déwsarm dânâktar hand. | 4. Sähân$äh si bâr guft ku: zihi°) Vazurgmihr i Taxtaritüs 1 amâ; vas duàZdah haZâr ditam Ô Vazurg- mibr framüd dâdan. 5. RÔZ i dudigar®) Vazurgmihr Taxtaritüs Ô pês xvâst, guft*!) ku: Déwsarm în éatrang pa ëîm i kâri- Zàr humânâk kard, vas humânâk du sarxvadäj kard, Sâh Ô mâdijâvarän i®) 6 havik u daënak humânâk, fra- Zin Ô artéStàrân sardâr humânâk, u asp Ô asovârân sardàr humänäk, pijàdak Ô ân i ham pijädak humânâk pês i ram. AZaÿ®) pas Taxtaritüs éatrang nihâd u awâk Vazurgmihr vâzid, u Vazurgmihr duâdah dast az Taxtaritüs burd: padaë vazurg râmiën Ô hamâk kisvar mad. 6. Pas Taxtarîtüs awar Ô pâj éstàd, vas guft ku: an0Sak bêd! jizad%) în var) u farr u amâvandih u pêrôzkarih à Sumä dâd, Érân u Ânérân xvadäj hêd. 7. Cand tâk dânâkân i Hindûkân in éatrang ê juxt’) nibâd pa vas arg%) u ranj, Ô in jàk *) fristàd %) nihâd, u éëi kas vizärdan né tovân büd; Vazurgmihr i Sumà az âsn xrad *) i xvés êdün xvärihà u sawukihà bé vi- Zärd, vaë ân and xvâstak Ô ganj i Sähân$âh vês kard. 8. Sähân$äh dudigar rô% Vazurgmihr Ô pés xvâst, vaÿ Ô Vazurgmihr guft ku: Vazurgmihr i amà, èt hast ân &i8 i am guft ku kunom u Ô Déwsarm fristom? 9. Vazurgmihr guft ku: aZ dahjowadän i andar in ‘ haZârak Ardaëir *) kardârtar u dânâktar bùd, u Nèv- Ardaëir#) & juxt”) pa nâm i Ardaëñir nihom: taxtak i Nèv-Ardaëtr à Spandarmad zamîk ©) humânâk kunom; u sih muhrak Ô sîh rôZ u Sawän“) humänäk kunom, pândah i spêd Ô rôz humânâk kunom u pânZdah i sjâh Ô Saw humâänâk kunom; gardänàk #) i & tàk Ô vardiën i axtarân u gardiën #) i spihr “) humânâk kunom. leichtlich lüsen und tribut und zol von Dêwsarm ne- men; und wil noch ein anderes ding machen und dem Déwsarm senden, welches er nicht herauB bringen kan, und von im doppelten tribut und zol nemen. Und dessen seit sonder zweifel, daB ir des groBkünig- tumes wirdig seit, und daB eure weisen weiser sind als jene des Dêwsarm. 4, Der groBkünig sprach: heil Wazurgmihr unserem Taxtaritus! und befahl zwülf tausend dirhems dem Wa- zurgmihr zu geben. 5. Des anderen tages berief Wazurgmihr den Tach- taritus vor sich und sprach: Dêéwsarm hat dises schach- spil änlich der ordnung des krieges gemacht, und dem änlich zwei oberherren gemacht, den kônig änlich dem mitteltreffen(?) zur linken und rechten, die künigin än- lich dem hauptmanne der wagenkämpfer, und den springer änlich dem hauptmanne der reiter, die bauern änlich jenem selben fufivolke, (das) das vordertreffen [bildet: läufer und turm felen]. Danach stelte Tachta- ritus das schachspil auf und spilte mit Wazurgmihr, und Wazurgmihr gewan dem Tachtaritus zwôlf spile ab: darob kam groBe freude über das ganze land. 6. Darauf erhob sich Tachtaritus und sprach: Seit unsterblich! Gott hat solche herlichkeïit und majestät und macht und sighaftigkeit euch gegeben, ir seit (warlich) herr über Iran und Aniran. 7. Merere weise der Inder haben dises schachspil zusammen gestelt mit viler müh und sorgen, hieher gesant und auf gestelt (?), und niemand war im stande es zu erklären; (nur) euer Wazurgmihr hat es dank seiner angeborenen weisheit so leicht und rasch her- auB gebracht, und so vile reichtümer dem schatze des groBküniges hinzu gefügt. 8. Der groBkünig berief am anderen tage den Wa- zurgmihr, und sprach zu Wazurgmihr: O unser Wa- zurgmibr, waB ist jenes ding, wovon du mir sagtest: ich wils machen und dem Déwsarm senden? 9. Wazurgmibr sprach: Unter den herschern in disem jartausende war Ardaschiîr der tätigste und wei- seste, und (daher) setze ich ein spiel Nèw-Ardaschir auf nach dem namen des Ardaschîr: das bret des Néw- Ardaschîr [nard oder trictrac] mache ich gleich der erde Spandärmadh; und die dreiBig steine mache ich gleich den dreiBig tag und nächten, die fünfzehn wei- Sen mache ich dem tage gleich, und die fünfzehn schwarzen mache ich der nacht gleich; die bewegung(?) 431 Bulletin de l’Académie Impériale 432 180: Évak awar gardänâk édûn humânäk kunom ku Ohrmazd êvak hast; har nêvakih ôi dâd. 11. Dù édûn humânäk kunom ëûn minôk u gêtik *”). 12. Si édün humânik kunom ëün humat hüxt hu- var$t u minisn govisn kuniën. 13. Cahâr êédüûn humânâk kunom ëûn ëahâr âmê- Ziën #), ki mardum aZaë, aë “) éahâr sûk i géhàn: xvaräsän u xvarbarän *) u nêmrôZ u awâxtar.. 14. Pan) édûn humänäk kunom ëün panj rôsanih, éün xvarsèd u mâh u stärak u âtax$ u varzak i aZ às- mân àjêd, u pan) gâs i roz u 8aw ‘!). 15. Saë édûn humänäk kunom éün dâdan i dûm pa Saë gàs i gàsänbâr. 16. Nihâdak i Nèv-Ardaëir awar taxtak #) édün humänàk Kkunom, &üûn Ohrsal xvadàj kaë dâm à gêtik dàd. 17. Vardisn u ardiën i i muhrak pa gardänâki édûn humâänäk kunom ëün mardumän i andar gêtik bôj à minôkän padvast êstèd, i*) pa haft à duäZdah hamij vardêènd u “niséwênd ‘*), u ka hast êvak à dudigar za- nénd u awar éinênd%), ëûn mardumän i andar gêtik êvak Ô i dudigar zanênd u awar éinênd. 18. U ka pa gardänäki ê gardisn- hamäk *) awar éinénd, «angôÿidak °’)» i mardum ki hamâk aZ gêtik vidiriën bênd; u ka dudigar bê nihènd, «angô%idak» 1 mardumän ki pa ristäxèZ hamàäk zivandak awàZ kunénd. 19. Sähäntäh kaë ân saxvan aënûd râmisnik bûd u framûd duâZdah haZâr asp i tàZik 1 aZ ham môj, ki pasâxttar %) pa zarr u murvärid; u duâZdah haâr mard i jovän?), ki pa-vizin i a Dréniahr: duäzdah baâr zrih i haëtgard); u duâZdah haZàr Samsèr i pülâftin i virâst i hindük; u duàzdah haZâr kamar i haftéaÿmak ; u awârik har ëi andar duàZdah haZär mard u asp awâjist har êi awurnäkihâtar®) pêräjinid, u *) Vazurgmihr i Bôxtakân awar ÔSân sardâr kard; rôZkâr _i vizidak pa nêévakdahiën u jazdän ajàrih Ô Hindûkân eines jeden mache ich gleich der bewegung der ge- stirne und gleich der umdrehung des firmamentes. 10. Einen (stein) an bewegung (?) mache ich dem gleich, wie Ormazd einer ist; alles gute hat er er- schaffen. 11. Zwei mache ich dem gleich, wie himmel und erde. 12. Drei mache ich dem gleich, wie gute gedanken worte werke und denken reden handeln. 13. Vier mache ich dem gleich, wie die vier tem- peramente, auB welchen der mensch (besteht), und die vier seiten der welt: ost und west und süd und nord. 14. Fünf mache ich dem gleich, wie die fünf lichter, wie sonne und mond und sterne und feuer und der glanz, welcher vom himmel komt, und die fünf zeiten von tag und nacht. 15. Sechs mache ich dem gleich, wie das erschaf- fen der schüpfung in den sechs zeiten der Gahanbûre. 16. Die aufstellung des Nêw-Ardaschir auf dem brette mache ich dem gleich, wie als Ormazd der herr die geschôüpfe auf die welt sezte. 17. Die hin- und herbewegung der steine im laufe(?) mache ich dem gleich, wie der menschen auf der welt lebenskraft an die himlischen (kôrper) geknüpft ist, welche zu siben (planeten) nach zwôlf (bildern) bestän- dig kreiBen und unter gehen(?), und wenns (zeit) ist, eines das andere schlagen und beseitigen, gleichwie die menschen auf der welt einer den anderen schlagen und beseitigen. 18. Und wenn man......... alle (?) beseitigt, (so ists) als wie die menschen, welche alle auB der welt davon gehen müBen; und wenn man sie widerum auf stelt, (so ists) als wie die menschen, welche man bei der auferstehung alle wider lebendig macht. 19. Als der groBkôünig dise rede hôrte, ward er er- freut und befahl zwülf tausend arabische rosse von gleicher farbe, welche am meisten mit gold und perlen geschmükt waren; und zwülf tausend junge leute, welche die auBerlesensten in Iran; zwülf tausend pan- rer HIt ACRE ou, : und zwôlf tausend stälerne damascierte (?) indische schwerter; und zwülf tausend gürtel mit sieben schnallen (?buckeln? auB zu suchen), und lieB alles andere waB für zwôlf tausend man und rosse nôtig war aufs treflichste bereiten, und sezte den Wazurgmihr auB der familie Bôchtak über sie zum anfürer; zu einer (nach den regeln der sternkunde) des Sciences de Saint-Pétersbourg. 434 20. Déwsarm i vazurg Sahrjàr i Hindükânihà kaëân . pa ân âyénak %) did aZ VaZurgmihr i Bôxtakân ëahal‘) rôZ zamân xvâst; éèi kas né bûd az dânâkân i Hindü- kân ki ëfm i àn Nêv-Ardaëir dânist: Vazurgmihr du- digar ham and ân sâk u bâZ aZ Déwsarm istad, u pa vihdabiën u vazurg awrang awâz 6 Érânèahr âmad. 21. Vizàriso i ëîim i Catrang in ku: ëi a$%) — pa nérôk i az àn éün danàkàn ti) guft éstéd ku «pérô- %ih%) pa xrad barënd ®)»— az hô$ zên i xradik ©) mâdakvarihà dânistan. VàZidan i éatrang în ku: niki- risn u tuxSisn i pa nikâs dâStan i awzâr 1 xvad; vés tuxSièn, éûn Ô burdan Sâjistan 1 awzàr i Ô i dudigar; u pa umêd i awzär i à i dudigar burdan Sâjistan râj dast i vad nê vâzisn. Hamvär awzàr i évak i pa kàr vâzänik ?) pa pahrêz dâriën; nikirisn i®?) bundakmi- nisnihà vâZanik, édûün éün andar âyènak dahmak fràZ à éstêd ?). Anmerkungen. 1) »des ist villeicht mit dem arm. duunbut Zzu- sammen zu stellen. 2) Hier immer :Ÿ+» geschriben; ich habe mich an die gewünlichere schreibung y gehalten. 3) Anstat £ lese ich :6, welches wie s0 oft felerhaft für +# steht; überhaupt werden ;6 kî «welcher» + ka «als» und æ ku «daB» nur zu häufig mit einander verwechselt. 4) Im syr. re À u Damnag 82) Debascherim, im arab. u. s. w. >, Skr. à AT ; phL. 4e» (ob in de Déwéarm zu corrigieren, wegen A = + (?). 5) Bei der in sex nv de erhaltenen ältesten schrei- * bung bezeichnete < von anfang an die spirans p, welche aber im Mpers. längst in h über gegangen sein muste; im Päz. wird freilich z. b. noch -&@ geschrieben wird, nach analogie des Awestischen. 6) Man beachte die pluralform, welche noch ; 20 wider vor kommt, Tome XXXI. auB erwälten zeit, in wolbefinden und mit Gottes hilfe, kam er in Indien an. 20. Als Dêwsarm der groBe beherscher der Inder in in diser weise (oder in disem aufzuge?) sah, erbat er sich von Wazurgmihr auB der familie Bôchtak vier- zig tage (bedenk-) zeit; (doch) es war niemand von den weisen der Inder, welcher den sin jenes New-Ardaschir erkante: Wazurgmihr nam (also) dem Dêwsarm noch einmal so vilen tribut und zol ab, und kam mit wolbe- finden und groBem pompe zurük nach Iran. 21. Die lüsung des sinnes des schachspiles ist die, daB man dazu—in kraft dessen wie etliche weise gesagt haben «den sig trägt man davon durch verstand» — die vernunft als geistige waffe in sonderheit erkenne. Das spilen des schachs ist dises: auf passen und be- strebt sein zum bewaren der eigenen hilfsmittel; groBes bemühen, wie in betref des weg nemen künnens der hilfsmittel des anderen; und in der hofñung (absicht) auf die hilfsmittel des anderen, wegen des weg nemen künnens (der selben) unerliches spil nicht spilen. Im- mer sol man das eine mittel, welches am passendsten ist zum zuge(?), in hut halten; acht haben auf erliches ziehen(?), so daB man der sitte gemäf untadelig da stehe (?). 7) Ich habe y »» vgl. $S 7. 9 var. (wo im texte er steht, wa man 4,5) lesen künte, wenn das einen sin ergäbe) vor ziehen müBen, und erkläre SL 9 Es «ein par» d. h. ein saz spilsteine in zwei ver- schidenen farben; doch ist das nur ein notbehelf. 8) 3 np. alt und vulgär (auch in den dialekten) L nach zalwürtern; vgl. $ 7 5 se. Somit dürfte man für 5, überall «tâk» (stat des unmôglichen pâz. uv zu lesen wagen, wie ichs in disem stücke getan; denn auch das beliebte np. SG oder af BG für einfaches L ist môglicher weise gar nicht mit der conjunction af zusammen gesezt; doch vgl. 9) lis dé» für vy65r, ru. H3YMPYAS. 10) vel. Nüldeke in Bezz. Btr. IV 62 N; in den np. farhangen SSL oder SSL sa dem sites HUAe vgl. meine aufgabe des ie ne Jus p. FV, 6. si) 11) Man verbefere sw für new hier und weiïter noch einige male; die drei verba nerex àmadan «kom- men» 1erexo fristèdan «schicken» und ere âwurdan «bringen» werden beständig mit einander vertauscht, à Bulletin de l’Académie Impériale 436 So ist Ardà V. N. 1,8 gewis «sex zu lesen: u Ô patijärak i vadbaxt i ahrmôk i darvand i anâkkardär Araksidar i Hrümâjik i Mujräjik-mäniën awar mad u bê sôxt — «und dank der unglükseligen feindschaft des schlimmen übeltätigen Bôsen kam Alexander von Rûüm der bei den Âgyptern wonende darüber (über die heiligen schriften) und verbrante sie.» Haug siht das subject fälschlich in Swve. 12) #e u.s.w. wird im pâz. mit «sub u.s.w. umschri- ben; ich erlaube mir aber auch a$, wo das v nicht in die construction zu passen scheint. 13) Dise beiden worte weiB ich weder zu lesen noch zu construieren, ich folge also in der übersetzung dem dastür, welcher übrigens .-wveuvç. PEADUIRUE list: «and an inventory of the articles». 14) Das ist villeicht gar kein eigenname, sondern ein titel, dessen ersten teil C& «thron» bildet: $ 4 wird Vazurgmibr so genant, und bei Masüdi II 225 heift der zweite vezir des Chusrov Parvêz sl, (die varianten p. 451). Vgl. jezt noch Darmesteter Reverb ce. 7 N. 15) »o in composition mit einem substantive bildet adjectiva, wie & und L z. b. 3,& |, 5 u. dgl. 16) d.i. ai), » de Lagarde Ges:abh. 76. Nüldeke Mand. Gramm. xxxj, 12. 418 N. Ich coniciere etwal kün wwŸe für das mir verdorben scheinende 46))e, im glossary: «a letter, an epistle, an account», eine be- deutung, welche diser form doch wol kaum zu kom- men dürfte 17) Eines der beiden ++ muB wol gestrichen werden, wenn wir nicht eine al zu verschränkte con- struction zu laBen wollen; an rhetorische widerholung ist meines erachtens in einem phl. texte nicht zu denken. Das folgende wve_ habe ich nach der tran- scription des dastürs hinzu gesezt. 18) Von mir der construction wegen hinzu gesezt. 19) So muB man für 43»» lesen, wie das verb zeigt. 20) Ich habe das wort mit «sin» übersezt, vgl. Bdh. 49,7. 60,18 DK.13,21; eigentlich heifit es wol «urgrund, ursache»: ge_ # se «deshalb» ib. 17,4. 45,9 ge % € ib. 63,10 a? ân ëim râi $ 3 unseres textes («)— £ jezt QsLe 51); ham ëim râ pédà ku sf ar: aé 44 MX. . 1,14 u ham ëim rà gt ane: qi: b. 13,11 pa hamâ # ‘im 4dfaaà 1,41; gee, «one grund» AV. 2,14 bè im Aog.- 31; dazu ëimi-varzinän qomféni MX. 1,1. An den übrigen mir bekanten stellen steht pe oder çe_ für 6 «warum» oder «denn» mit dem enclit. prono- men Bdh.60,17.72,4.73,8 AV. 68,19; an beiden lezteren stellen künte es auch die, von Justi an genommene, fragepartikel «warum» sein, deren existenz wegen DK. p.11,8.14.1 3,6.15 etc. Aog.48 im EL zu gegeben werden muB. Die np. farhange kennen ein FE ( é) L), welches sie durch | = erklären (Halimi, Surüri, Injü), oder durch ai), [, as le (Injü) rl, 3, (Rañidi), und be- legen es allesamt mit einem verse der Ja pud] pl: Land © “do p25 sb 18 ee LS9E2 re CS à, Cl ro [2 Für die andere bedeutung füren Injû und Rañidi einen vers des {ç_veic an, den ich so her stelle: le as à A6 ms ÿ je KE cite 5 21) Né ist unumgänglich, vgl. $ 3. 6. 22) BiBher sprach man wol fälschlich LS mit a, Sacy Cal. Dimn. 26. Mas üdi II 206. Nôldeke Ta- bari 251 N. 23) gw ist nach dem itaie 82,5 #:6» (lis #?), worin ich den alten stam ima Dites Études I 172) zu erkennen vermeine; vgl. den folgenden text € $ 2 d)e), 24) e+ lis ve. 25) Xvär und duëxvâr — ,),3 (jezt «vilis») und he oder ss = au und «Gwetss: Geldner K. Z. XXV 478. Studien z. Avesta I, 17 ff; zur bil- dung des zweiten wortes vel. v&uur muy ex) iuur. 26) wy pâz. ww; der einzige neue dialekt, in wel- chem das alte anya (Dmst. Études [ 171) seine ursprüngliche bedeutung bewart hat, ist das Jaghnôbi (Tomaschek Pamir-Dialekte 14): in den texten A. Kuhn’s, welche ich augenbliklich bearbeite, kom- men vor: ani miti «am anderen tage», anj âdam «ein anderer mensch», anjäkai «anderswo» u. s. w. | 27) Ê «einer» wird oft mit dem gewünlichen » ge- schriben, anstat mit dem lang gezogenen 28) lis 425 für 2495. 28°) Ich denke so (43) müBen wir für #3 der auf- gabe lesen, vgl. $ 1 am ende. 437 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 438 29) So môchte ich für «zik» lesen, doch vgl. die for- men auf # AVN gloss. 344, yazis Parsenhds. 35 (yt. 1,9), deren entstehung au dem medialen -aësa doch noch nicht ganz fest steht. _30) Zu Dmst. Études I, 150, dessen erklärung von 25 ae noch dadurch bestätigt wird, daB von den übrigen zalen, deren ordinalia eben nicht mit -tija gebildet werden, änliche formen nicht nach zu weisen sind, môüchte ich zu bedenken geben, ob wir nicht 9 noch dem Firdausi die ältere form ,$35> vindicieren künnen? Es ist einfach das so häufig am versanfange stehende ss in 588 — wo hat Dmst. L c. 183 die form “Es (sic) gefunden? — zu verändern: denn die conjunction , ist bei den persischen dichtern immer enklitisch und lautet à, auBer vof vocalen z. b._ÿ, v-agar L j v-ayä (alte form L} phl. sw pâz. afro &wssw) u. dgl., und darf sonst den regeln der metrik gemäB niemals zu anfang des verses stehen. Bei den späteren dichtern ist natürlich das auf falscher mo- dernisierung beruhende Es volständig berechtigt. 31) Wer hier redet, ist nicht ganz klar; môglicher weise ists der abgesante des dise da #e felt und die selbe person weiter unten handelnd auf tritt. 32) Worauf beruht die angabe im glossary: amaussonve adj. regulating, keeping within bounds; V màä»? Trozdem daB das wort ser plene #spre£ ge- schriben ist, môchte ich doch lieber an maïidja denken. Auch habe ich die izâfat hinzu gesezt. 33) Ob 50? vgl. [jure — oJ2 34) rex 5, das À ist î ist schwer zu erklären. 35) Das wort bedeutet nach der tradition «weisheït», vel. Vd. 20,2 vareëañhatim æw3 0e m0 06») varjômandän, dânâkân éûn Kajus (3 KE 75 varetañhañtem 4» 56pdr (bei Dmst. Études II 294) Que cp) ls ie eo (D. 297) rar ÉTAT: (ib. 300); doch re ti ist die erklärung der per- sichen lexikographen ok DR D vel. Fird., wo wir die selbe zusammenstellung mit 3 finden: 9 Je übl Les €? Je + és € pri CL s51 (die stelle habe ich leider nicht auf finden kônnen). Übrigens bitte ich im texte varj zu lesen; auch $ 3 hâtte ich arjänik schreiben kôünnen, wegen &) = jy). 36) Zu >)» arg «effort» im glossary vgl. «alag trouble» West Pahl. Texts III 146. Im Jaghnôbi heiBit ark «werk, arbeit». 37) Die etymologie von 3» jàk (?) KL ist unbe- kant. Da das an lautende np. , fast überall auf älteres j zurük geht (nur LL w8 aw. Faja? und üte = NPA S haben », auB g), und da ferner im Mp. kein wort sicher mit } Dégint, es auch für disen laut kein eigenes zei- chen gibt, indem in und auf lautendes j durch e, aub gedrükt wird, — so transcribiere ich mit j die würter pe jadük, ge Jèm, so jâmak u. s. w.; dagegen »&6 gân und 56% gurdäk (? Dmst. II 65 vergleicht chordeum»). Würter wie y «jeh» aw. jahi, «jiv» (West L c. I Ixxiij) aw. gâuÿ jivja sind erst auB der kirchen- sprache entlent, wärend jaën (ib. 208) cs hôüchst warscheinlich altes *jasna reflectiert, nach ap. laut- gesetzen—aw. jasna-(vgl. ap. vaÿna aw. vasna), und das einzige für die älteste zeit maB gebende wort, der eigenname Qaulels aw. jämâspa, auf den münzen mit ? zu beginnen scheint (ZDMG. XIX 439. XXI 161. Nôüldeke Tab. 142) wie syr. em, arm. © woum, 38) Corrigiert auB sw. | 39) Corrigiert au va vgl. die variante ve, widerum ein beispil für die verwechselung der liga- turen & und w, wie im bekanten vs+ç für #06 jD7. 40) Nach Nüldeke in Bezz. Btr. IV 35 N ist die lezte silbe beBer mit î (nicht ê) zu lesen; auch die Ar- menier schreiben l'rwmwohn. 41) So las schon Haug, der herauBgeber hat die unférmliche umschreibung Vinearthsadar; über das erste element des compositums vgl. Nôld. Tab. 59 N und Dmst. Rev. cr. L. ce. 7 N. 42) Die traditionellen lesungen «damîk» und «da- mân» haben für die lautverschiebung h-z-d absolut absolut keïinen wert; ir ? ist graphisch das selbe wie In »6pp TONTN ov MIN. 43) Vgl. das adverbiale sex 6 AVN. 2, 35; auch im np. ;,#L& kan ich die silbe -ân nicht als das alte thematische -an- auf faBen, wie Dmst. I 28 N. 262 an zu nemen geneigt ist. 44) Ein troz merfachen vor kommens ($ 10. 17.18) in bildung und bedeutung mir unerklärliches wort. 45) Dise nebeneinanderstellung der älteren und jängeren form des selben wortes, welche sich $ 17 widerholt, weist wol auf die späte abfaBung unseres op 0 EN vite el s. pe dl t DE | Ro Pre Pu"2 F: ie dx \ . Fe 439 Bulletin de l’Académie Impériale +10 schriftchens hin; doch vgl. auch #51 «» (eigentlich «xvaÿ u xvaÿ»!) AVN. 3, 18; im Bund. finden sich beide würter. 46) we» Vd. 19, 44 ist wol verschriben, Justi las spaÿ; ser an zu zweifeln ist die zusammenstellung von pwäsa — spihr mit sep: Hübschmann Zor. Lied 76. 77. 47) Die verschidenen schreibungen Farh. 68,7 trad. stayà stà stahà kôünnen eben so gut gêti(k) gelesen werden; solten sie wirklich das aw. sti au drücken, so gehürt dises wort sowol wie {2 f der Edoecties terminologie an; lezteres hat sich im np. gegen alle lautgesetze ation (wie sl ersteres ist ganz ver- schollen. 48) In der übersetzung «the four elements»; doch vgl. Qsmel temperies, are deu s. constitutio corporis Vull. ex C.; JB ,,L e" eo = 3h Gps à Fe A RC RE Abû Muvaffag ed. Se- ligmann 5, 14. 49) sic, man erwartet ; u. 50) Im Bundehesch my vgl. IaTkan08B, Apuau- cxaa reorpaoia VII 8., p. 58 N. Das etymon für QyL.),: findet sich im Balûüëi: âs-ay, âs-ta «to rise», âsân cri- sing», rôSäsân «sunrise»; s. Dames A sketch of the Northern Balôchi language. (Extra nr. JASB. 1880, I). Calc. 1881 p. 41. 80. 51) Wilson Parsi Religion 115 N. Haug Essays’ 159 N 52) Corrigiert auB pue. 53) Felt im texte, die transcription hat «4 zu ge- sezt. | 54) 5ves vel. 55, doch gibts im Np. kein zeitwort #*OJsss; unhaltbar ist «néhipénd» von «néhîpiîtan to proceed retrogressively (said of a planet)», welches doch zu belegen war. Das simplex sehe ich in aui op U. S. W. 55) Vgl. Ce » «auf pflücken, weg räumen»; Me 5.4 der varr. passt durchauB nicht. 56) Villeicht ist hier und weiterhin »# zu lesen. 57) Traditionelle auBsprache; West Pahl. Texts I 25 hat mit recht im ersten teile »» — êdûn erkant, der rest bleibt aber noch dunkel. 58) Corrigiert \+)pw»# auB Meuse «pésidtar». Es ist hier warscheinlich zusammen gesezt auB pa und Cable pare F5 und Qu) S'PE also «gesattelt, auf gezäumt»; doch lieBe es sich auch als particip eines verbs pasäxtan (volbringen) auf fassen: «vol- stindig an getan, geschmükt». AuB der bedeutung «volbringen» entwickelte sich die andere «eine wun- dertat volbringen, sich einem ordal unterziehen», welche ich an folgenden stellen glaube an nemen zu müfen. In der übersetzung des AVN. 145 fürt Haug ein citat auB dem «Dénkard» an, wo drei und dreïlig verschidene arten von gottesurteilen erwänt werden; dann heilt es weiter: vaë ayénak êvak ân i vidäxtak rôd (gedr. :):) awar kas rêxtan, ëûn hüfravard Âdur- wâd i Mârspandän pa pasäxtak i awar dên, padas bôxtan âkâsih andar géhân (vi)stardak, waB wir etwa so übersetzen künnen: «Und die eine art davon ist geschmolzenes erz auf jemand giefen, wie (es mit dem) hochseligen A. M. (geschah) beim ordal über die lere, durch seine erlüsung (wurde) die kunde (von der lere) in der welt verbreitet»; ein par zeilen hüher steht var pasäxtak «var performance». An einer anderen ebenda 144 an gefürten stelle des selben buches heïft es: u pa vidäaxtak rôd pasäxtan i hûfravard Âdurwâd i Mârspandän [u] bôxtan «und durch des hochseligen À. M. sich dem ordal des geschmolzenen erzes unter- ziehen (und) seine erlüsung (darauB}». Danach ist nun auch AVN. 1,16 zu verbeBern: tâk ân ka zàd hûfra- vard anôSakrovän Âdurwäd i Märspandän, ki padaë, pa [palsâxt i pa dên kard, rôd i vidâxtak awar var rêéxt «biB daB geboren ward der hochselige unsterb- liche A. M., welchem beim ordal, dem er sich für die lere unterzog, geschmolzenes erz auf die brust gegoBen ward»: von «the tale (das müste von Y sañh ja sâst heifBen!) which is in the Dinkard» kan hier also nicht mer die rede sein. Der selbe aufdruck muB sich noch finden im urtexte von Bahman Jaët 2,199, wo West übersezt «with the prepared brass»; zur [sache vgl. noch Sâjist né Sajist 15, 16. Skandgomäntk Vizâr 10, 70.— Solte nicht Te ë je) caussativ zu Cp (V saë) sein ? 59) Man kôünte ebenso gut guën lesen, doch passte das nicht zur überliferung (vgl. zu Farh. 72,13 note v), und ich ziehe es vor hier ein verschlungenes ; (für 1» ir) Zu sehen, wie in & j’2 und um gekert | für > in 0 Farh. 70,7. _, für 3 Pahl. Pâz. GL. 21,7 ist fraglich, da der St.-Petersburger codex #_y mit y» «avâm» A des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 44? umschreibt (Farh. 85,7), ebenso wie die ser gute hds. K 25 fol. 73 r zeile 1, indem sie _y für » nemen. 60) In der transcription «haft-gérté octuple ar- mours»; die bedeutung von gard kenne ich nicht. 61) ewwssue Spiegel Einl. II 311 $ 11 ist ein zweites beispil dafür, daB das suffix des comparativs ans adverb an treten darf. 62) Mein zusaz. 63) Selbstverständlich für rex. 64) Die conventionelle schreibung 3», welche ge- wônlich T's gelesen wird, ist ursprünglich 5yce» #4 für æ) gewesen d. i. âdènak, vgl. np. ss y) od. 3, welche doch gewis mit Wet od. avi ver- want sind, ebenso wie mit av] (tat. al. 65) Oder üihil, oder ëihal? die vocale sind jezt nicht mer zu bestimmen: np. J{> und 66) So dürfen wir, denke ich, das #e (für #4f) des textes auf lüsen. 67) Es gibt im Mp. zwei partikeln @&, eine dem alten «vw «und» entstammend, die andere dem ap. ëij aw. +9, welche sich noch recht gut unterscheiden lassen. Nur wenige der neueren dialekte haben dise par- tikel erhalten, so die mundart der CLR eines dürfer- complexes bei Ispahân, über welche wir genauere nachrichten von hrn. mag. V. Zukowski erwarten (s. den vorläufigen bericht in 3anuckn Bocrouaro Or- xbuenia M. P. Apxeoxormaeckaro OGmecrsa I, 1 (1886) p.23—29), In seinen materialien findet sich die phrase: mun ji vâda bûm «auch ich bin da gewesen», vgl. gû- râni: gée «ich auch», €) «er auchv Rieu Cat. Pers. Mss. Brit. Mus. II 73 Im Jaghnôbi haben wir «èu»: 1) ; Pa nâm i jizad i®?) dâdâr Ohrmazd. 1. Êdün govénd ku anôSakrovän Xusrov°) i Kavâdän, andar ân han- gâm *#) ka purgâs bûd, péS az ân ka gân aZ tan judäâk”) bûd, pa andarz Ô géhânikân guft Andar i anô$akrovân Xusrov i Kavädän 2(a). ku: éûn ka în gân aZ tan i man judàk bavêd, in taxt i man awar dârêd, u pa Aspähân ) man barèd, tavângar avàv: ajab axmaki i$t, tu &’ ît suxanit vaxtim xu$ akuni, man èu tau xuaë akunim, ki yala û ’tifa- rim «der reiche man sprach: du bist merkwirdig dum, du erfreutest mich mit disem deinem worte, ich auch erfreute dich, darauf korn warum gäbe ich» (Rosen Narrat. pers. nr. 42 — frno6crie orioxpr 75,6—8). Im Npers. hat sich die partikel ëi(d) nur in einigen weni- gen zusammensetzungen erhalten: ces: ap. kañüi], je ap. Üj, ge od. 2] Yaiva + ti (nicht aita wie Dmst. wil), ;Ÿ» #hakara + di: auch ;5 nêz (die ältere form ist im jüdisch-pers. #3 erhalten) glaube ich hieher ziehen zu dürfen, indem ich es für auB *an- jadä-ëi (vgl. É auB *kadä) «irgend wie anders» ent- standen an sehe; Darmesteter’s ableitung von einem vorauB gesezten *anyañë, *aniè wird dem sin und ge- brauche der partikel nicht gerecht, auBerdem lautet die einzige uns bekante schwächste form solcher stämme nicht, wie im Indischen, -ië- vgl. aw. hävayaëa. Am lebendigsten aber fült dé &(d) noch herauB in & AA | «wenn auch», und villeicht in verbindungen wie as pal, vgl. $ 19 zeiïle 8. 68) So lese ich nach der var. ve_Ÿ’e für e }e. 69) Wie die endung der 3 pl. # oder :£ eigentlich zu lesen sei, bleibt noch fraglich; doch wol eher ând als «yên»! 70) Auch die transcription hat das «i», figt aber noch «va» hinzu. 71) Eine sonderbare bildung, u awäriîk gibt sovil ich sehe keinen sin. 72) Corrigiert nach der transcription auB nf. Meine übersetzung dises schwirigen absatzes ist ganz conjectural. Testament des unsterblichen Chusrow son Kawâdhs. Im namen Gottes, des schôpfers Ormazd. 1. Also er- zält man, daB der unsterbliche Chusrow son Kawädhs, zu jener stunde als seine zeit vol war, ehe die sele vom leibe sich trente, in unterweisung zu den leuten also sprach: 2(a). Wenn dise sele sich von meïnem leibe Lené so hebet disen meinen thron auf, und traget in nach 443 Bulletin de l’Académie Impériale ai u pa Aspàhän man bè nihèd; pa sar i géhânikân vâng kunêd ku: (b). Mardumän! a vinâs kardan bé pahrêzêd, u pa kirfak varZiën tux$âk bêd; u hir i gêtik pa xvàr dârêd. (e). Üi77) in ân tan hast, ki dék #) bé în tan bûd, u in ®) mardum pa si gàm *) nazdéktar bûd, pa har gâs u zamân ahrâjih u hîr i gêtik bé awzüd; (d). u im rôz bahr i rimanih râj *) har ki dast awar nihêd, ângâsaÿ pa baraSÿnüm awâjèd $Sustan, ajow pa jaZiin i ©) jazdân à hampursakih i vihân nê hilénd *). (e). Dék Sukôh (94) i xvadàjih ri dast à kas nè dàd ®), im rôZ bahr i rimanih ràj kas dast awar nê nihèd. (f). Mardumän i géhân! durûdômand rawêd, râjinièn pa miniën i râst u ©) kàr-varZikarih, u pa kàr i géhà- nikän tux$âk u zénävand bêd. (g). Âyên u padmän pa kâr dârèd, u pa kâr i dà- distân râd u rästän hamsaxvan bêd. (h). AndarZ guftärän i gân andarz i njôx$idär ‘*) pa andàzak Ô kàr u padmân kunêd (sic). (i). Pa bahr i xvês xvarsand bêd, u bahr i han kas ma âvarêd; pa dahiën i darjôfân spôz%) u vistärih ma _ kunêd, bé nikiréd ku, ëûn «apär» ®) béd, xvadäjih u xvâstak bê Savêd, hir i stawr u duSärm Ô°?) duëxvärîh u darjôSih bé vidirêd. (k). Êdar zivandakih andak, u ânô râs i dûr u ha- mêmâl i Skaft u dâdovar i râst; u kirfak pa âwâm nê vindênd *). (1). Druj u pârak kâr nè kunêd, u tan rovân râj nê padirèd, bê ka vas kirfak kard éstêd, ajow *) pa üin- vad puhl vidärdan nê tovän: ânû dâdovar êdûn éûn Mibr u°’) Raën *). (m). Vihdénan bêd, tâk garôdmanik 3) bêd; awsôs°?) ma kunêd, tâk farrômand bêd. Ispahan, und in Ispahan bestattet mich; (dann) rufet über die leute auB: (b). O menschen! vor dem sündigen hütet euch, und zum tun guter werke seit eifrig; und die güter der welt verachtet! (c). Denn dif ist jener leib, welcher gestern (noch) nicht solch ein leib war, und disen menschen um (die) drei schritte näher war, (und dessen) reinheit und welt- liches gut an jedem orte (oder zu jeder stunde) und jeder zeit zu nam; (d) und heute, — (seiner) unreinheïit wegen — wer nur immer die hand daran legt, der muB sich durch das Baraschnom reinigen, oder man läBt in nicht in die gemeinschaft der guten um Gotte zu dienen. (e). Gestern reichte (dieser leib), von wegen der majestät des kôünigtums, niemanden die hand, heute legt, von wegen der unreinheït, niemand die hand an (in). (f). Ir menschen auf der welt! wandelt mit preiB, man sol fürdern mit gerechtem sinne und tätigkeit, und in den angelegenheiten der leute seit eifrig und wachsam. (g). Sitte und vertrag bringet in auBfürung, und in den werken der gerechtigkeit seit freigebig und der gerechten genoBen. h CO, DE ONE CO OL NE 2e A VOD EUN MR DS MED GT 0 NL HN DER EN OU PO A DRE UP A Ge (i). Mit eurem teile seit zufriden, und das teil der anderen leute traget nicht davon; im beschenken der armen treibet keinen aufschub und läBigkeit, sondern haltet im auge, daB wenn ir davon gehet, herschaft und reichtum vergehen, mächtiges vermügen und ere sich in bedrängnis und armut wandeln. (k). Hier ist das leben wenig, und dort ein weiter weg und ein strenger widersacher (ankläger) und ein gerechter richter; und gute werke erlangt man nicht auf borg. (D. Lüge und schulden (oder: bestechung) machet nicht zu eurem tun, und den leib erwerbet nicht um die sele, sondern wenn vile gute werke volbracht sind, — oder man kan die brücke Tschinwad nicht überschreiten: dort (gibts) richter als wie Mithra und Raschnu. (m). Seit bekenner der guten lere, auf daB ir des paradises teilhaft werdet; treibet étien spott, auf da ir verherlichet werdet, 445 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 446 (n). Ci névakih u «sy ®) pa har gâs u pa har kas Sajéd büdan. (o). Gêtik pa aspan) darêd u tan pa xân *), névakih pa kard därêd u bazak pa rôZ-spôz ®), u minôk pa xvês kuni$n. 3(a). In ëi guft éstèd ku har kas bé awàäjèd dàänistan ku: aZ kû *) âmad ham, u ëî am êdar ham, vam awàäZ*”) Ô kû ”) awâjêd Sudan, vam ëi aZaë xvähénd. (b). U man în dânom ku: a% pô i Ohrmazd xvadäj bè âmad ham, u stovinidan i druj râj êdar ham, awâ2 à pés i Ohrmazd xvadàj awäjèd Sudan, vam abrâjih azaÿ xvaähênd u xvéSkârih 1 dânâkän u hamzivisnih i xrad u évak-viràjisn 1 xîm. 4. AnôSakrovän bàd. Xusrov i Sähân$äh i Kavädân, ki în andarz kard. Vaë in framän dàd: édün bâd. Anmerkungen. 73) Disen titel habe ich auB dem guzerâti um geschriben. 74) Im texte steht +», aber & scheint hier durchauB nicht zu passen. 75) Die lesung ist nichts weniger als sicher; ich glaube das wort kan auB juta «getrent» (Vd. 5,54" 157) + j»e zusammen gesezt sein. 76) Beide male defective geschriben we». 77) Ich lese für 1. 78) Beide male bs$e anstat dwéx des Farh., wider ein beispil für den wechsel der ligaturen # und w; man beachte den gebrauch des gleich folgenden 79) Man erwartete à, (oder à) für 6. 80) Das sind die drei schritte, welche die dem kür- per entschwebte sele tun muB, ehe sie ins jenseits ge- langt: Jt. 22,15. AVN. 4,7. 81) Die selbe ab geschwächte bedeutung von Lu «anteil» haben wir im np. _# 5). 82) Ist dif nicht eine bestätigung der Geldner- . schen deutung von pesôtanu als «auB gestoBen»? 83) Darmesteter übersezt in der Rev. cr. 6: Hier encore cette main, à cause de sa splendeur royale, dé- |rôZ spôz (n). Denn gut oder büse sein ist an jedem orte (oder: zu jeder zeit) und für jeden menschen müglich. (o). Die welt haltet für eine herberge und den kürper für eine wonung, das gute haltet für eine tat und die sünde für eines tages aufenthalt, und daB der himmel zu eigen zu machen ist. 3(a). Und auch das ist gesagt, daB ein jeder wifBien mu: wo bin ich her gekommen, und wozu bin ich hier, und wohin muB ich wider keren, und wa (ists) worüber man von mir (rechenschaft) verlangen wird. (b). ÜUnd das weiB ich: vom herrn Ormazd her bin ich gekommen, und bin hier des verwirrens des Dä- mons wegen, (und) muB zurük zum herrn Ormazd ke- ren, und gerechtigkeit (ists) worüber man von mir (rechenschaft) verlangt, und tugenhañftes tun der wei- sen, und ein leben gemäf der vernunft, und gleich- mäfige auBbildung (?) des charakters. 4. Unsterblich sei Chusrow der grofikünig son Ka- wâädhs, welcher dises testament gemacht hat. Und er gab disen befehl: dem sei also. daignait de toucher aucun homme, der dastur besser: it was but yesterday, that (this body) for (its) royal splendour was not extending its hand to any one; subject ist doch wol în tan. 84) em für das gewünliche sw". Der ganze saz ist mir unklar: solte nicht # > für > saxvan ste- hen, und der sin der selbe sein wie Jac. 1,22: yiveode de rotnTa ÀGYou, xai UN LÔvOV &xpoutal....? Der dastur paraphrasiert: Listen to the admonitions of those who instruct about the soul and to the precepts of religion and do the work (connected with it) in a worthy and honest way. 85) Np. FPE SORT ar das selbe wort müBen wir wol in ee eÿ $ 20) an nemen, man vgl. die pa- rallelstelle Min. Xd. 36, 32: vist u nahum, ki vinàs pa râjinièn u kirfak pa esese ÿ (sic) dârèd Ner. pa , wonach W est’s neue über- setzung lautet: who considers sin as to be urged on, and a good work as a day’s delay. Villeicht heifit un- sere stelle, wenn man das, bild von der lebensreise weiter auB fürt: «ein gutes werk haltet für eine ge- machte (tagereise oder station)»? Vgl. auch 3e» ab- schnitt, capitel, das sich nicht wol von der V':kart ab leiten laBen wil. 447 Bulletin de l’Académie Impériale 418 86) Päz. ebenso laut Pandnâmak i Âdurwäd 1869 p. 69 des glossars; vgl. im text $ 134 (140 der neuen auBgabe): angàr ku dôdak tovânik, bè ka aZ tô «apär» bavêd, àân zamân tô ràj hamràäs nê àjéd «bedenke, ob auch die familie mächtig ist (a large family, Dest.), aber wenn sie von dir (bei deinem tode) fern wird, dann begleitet sie dich nicht (in jenes leben)». 87) Im texte ;, waB ich in !, beere. 88) Pâz. vañdàädan aw. vind (vend). _ 89) Im Deutschen klingt dise sazbildung äuferst vulgär, — aber ich wolte würtlich übersetzen. 90) Vgl. Vd. 13,9". 25° gl. den vers: jajà asti anjô ‘ rasnuÿ razisto. Bei dieser gelegenheit môchte ich darauf aufmerksam machen, da dise versart (4+7 silben) noch jezt in ganz Iran gebräuchlich ist. We- nigstens lässt sich nur bei anname einer solchen ur- form der bau der volkstümlichen vierzeilen im Gila- nischen, Talysch, Mazanderanischen (Chodzko Pop- ular poetry 533 ff. nr. 11,63, 77. 556 ff. 569 ff.), bei Bâbà Tâhir (Dorn Mél. as. V, 418. Clément Huart JAsS VI, 513 ff), und im Tadschikischen (s. das mir von hrn. prof. N. Wesselowski mit ge- teilte liedchen rx. Arroxpi 107) begreïifen. Indessen müBen wir jezt noch eïnen auftakt von einer oder zwei silben zu geben, und ebenso die vertretung einer silbe durch zwei schneller gesprochene. Auf dem echt iranischen charakter diser versart beruht, glaube ich, auch die beliebtheit der classischen form der selben, d. b. des arab. 9 Les 7 (95 yhele yhele), welche wir schon bei Azraqi (Houtsma Recueil de textes relatifs à l’histoire des Seldjoucides I ir ff), und in vilen methnevis (Garcin de Tassy Rhéto- rique? p. 276 N) finden. 91) Corrigiert auB we): vgl. Aôgem. 110. 92) Corrigiert auB æwe trscr. +4 93) Wie dises wort zu lesen und zu erklären ist, weiB ich nicht, im päz. findet sich dafür jatar, jatari und West MX. 8, 17 (27,9 — warum sol jeder neue bearbeiter von der alten bezifferung ab weichen? —) hat «the reverse», wol im anschluBe an ser. 94) Ich lese wy für wo» trsCr. sw», WaB ich nicht verstehe. 95) w ku für kû — LS vgl. AVN. gloss. s. v. NV; YIK 96) Als ich im Lit. BI. £. or. Phil. II 80,22 auf den wechsel von £eÿ awâk und M) awâz hin wis, wozu sich noch einige beispile in den varianten zum Bdh. finden laBen, war mir eine notiz unbekant, welche bei der beurteilung des jüdisch-persischen tS3S nicht übersehen werden darf. Im ç94i, Lüs,s I 99 lesen wir s. v. 5L folgendes: 45L (be af af L (55le (ilelus es bye Je Je D ou ot, el lol) Le af Cu) EP w57* bis nec 8 per er Cul Qjse rep as ls Le] as Fe aie role ES ds Fe Abe noch mer: eh bin jezt so nr biBher so gut wie unbekante praeposition wirklich in der literatur nach weisen zu künnen, und zwar dank dem hrn. prof. V. baron Rosen, welcher mich auf ein rätselhaftes wôrtchen ;L in dem anm. 90 genanten buche von Houtsma aufmerksam gemacht hat. Ich sah den text sofort durch und notierte mir, wie ich hoffen wil, alle stellen an denen das wort als praeposition gelten muB; und sowol wegen der wichtigkeit einer so unerwarteten erscheinung, als auch um anderen die nachprüfung zu erleichtern setze ich meine notizen volständig her. Dises interessante ;L steht immer an stelle von «& der gewünlichen sprache, niemals für L «mit» und zwar in folgenden verbindungen: a) mit zeitwürtern, welche eine bewegung bezeichnen: Quel 9,22. 59,16. 66,3. 91,20. 110,3. 111,4 118,4. 126,19. 135,16. 19. 136,17 “(ee instructiv: y (vas UE ARR Qèrs Hole) 5 D LLs). 148,20. 149,5. 159,4 172,10. 173,7. 177,14. 181,1; in übertragener bedébténg 1545; sb ,10 Er 5b af Jel «es kam so weit da). Qui «gehen» 63,10. 65,22. 85,1. 89,18. 1 14,4. 193,19; ail ;L «nach hause» 119,11. 185,21. 13) Der früher apres vers lautet: Die selbe form der praeposition môchte ich auch lesen Sàhn. ed. Vull. 532 v. 151: bob L Li >] Je ss Uyusl, vs & 1 Je anstat ls sir waB gegen das metrum verstôBit. 449 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 450 y 82,20. 167,20. — Jess 152,16. Qol usos 3,18. 80,21. 81,11. 92,12. 112,18. 117,6. 135,11. 13. 151,11. 161,12. 171,19; ls ;L 200,10. Ur «535 184,21 Wo zu corrigieren: y UNd (653: os: Le 72,5. 91,8. 109,7. 144,11. 171,7. O2 JUS) 35,6. 80,8. 98,6. 114,20. 149,16. 169,12. 175,2. 195,20 (wo beïide D zu recht bestehen); intr. JL JUS) 189,16. US ds 41,11. 154,20. U5p» plis 23,18. 158,21. 168,14. 191,1. or Vi] 155,15 (gedrukt 3). LAS JS 153,18; intr. 5L5l 59 160,8. Dh, 264 cf; s2 108,1 Ce) Dhs Lies 103,11. DJ ab 50 135,8. — cl 142,8. 6 ;L 135,1. Uno) 58,12. 67,5. 70,18. 83,14. 146,7. 152,5. 163,18. |: 193,18 JS 129,2. 163,16. 169,5. a5ls ;L 89,19. Uls 33,8. ss 5 103,10. ; Us) Le, 5 cfiel im zu» 39,6. 42,2. Jr Cas 5 43,23 LU.) 28,15 (gedrukt ,L). 50,10. 128,15. Cols) 126,1. Qols 154,19. C3, «sich bemächtigen» 197,8. 25 pli 5b gs 478. — lé Gi 5b 25 148,5. b) mit anderen zeitwürtern: Us 46,16. Up ol 28,18. 159,10. 29 Li] 26,1. Dos JL 188,6. — Use JXe 119,22. De Ces jb 119,21. 145,5. | C) als besonders bemerkenswert füre ich an: ss 3b «durch in, dank im» 44,7. ul #P jk 18350. Lolé # 5b Jéle Luis 181,19. ol... is 5 91,4. üJal.….… ule 3b 80,0. Yi € 3b «zu nichts werden» 75,9. An einer stelle 174,1 hat die handschrift noch ein pleonastisches & ; sonst schreibt sie für gewünlich ganz regelrecht , doch auch manchmal L (z. b. mit Gel | 187,6. Qu 62,9. 126,12. 167,15.177,10; als L 196,3. Jl) 18917. çy5» pla 198,20; und mit verbis lo- quendi 27,15. 190,14. 192,4) oder L (Gus 182,2) Tome oder 4cj (ssl Le 47,16); «sh» (y 97,20). , Auch wil ich nicht unterlaBen zu erwänen, daB ;L sowol in des verfaliers ,s) ,] J® eigenem texte, als in den stücken vor komt, welche er auB der geschichte des je cpu] Jail entlehnt hat. | Wie dises ;L zu erklüren ist, bleibt mir noch zwei- felhaft. Hätten wir nicht die älteren formen awûÿ, awàz, s0 lieBe es sich ser wol vom alten pati ab leiten: pati — pad — bad JD —baz }» (als vulgäre auf- sprache)—und mit denung bâz ;L. Darum warten wir lieber neues material ab. Mursinskit, ein neues Mineral. Von N. v. Kokscha- row. (Lu le 4 novembre 1886.) Dieses Mineral kommt am Ural vor, in der Um- gegend des Dorfes Mursinsk (oder Mursinka, wie man {es nennt an Ort und Stellé), bei Alabaschka, Ekate- rinburger Bergrevier, wo es Einschlüsse in den so be- kannten grossen, durchsichtigen Topas-Krystallen bil- det. Ich schlage vor dasselbe « Mursinskit» zu nennen, nach dem Namen der Localität, welche so viele schüne Mineralien geliefert hat und dadurch weltbekannt ist. Ich hoffe, dass dieser Name von den Mineralogen gern angenommen werden wird. Das Krystallsystem des Mursinskit ist tetragonal: die Grundform: tetragonale Pyramide, deren Flächen, nach meinen approximativen wenig befriedigenden Messungen, in den Polkanten'unter einem Winkel —127° 31° 40” und in den Mittelkanten — 77° 23° 28” geneigt sind. __ a:b:b—0,56641:1:1 (wo a — Verticalaxe, b — Nebenaxen). Das Mineral kommt in kleinen, schôünen Krystallen vor. Seine Farbe ist wein- bis honig-gelb. Glas- glanz zum Fettglanz neigend. Durchsichtig bis halb- : durchsichtig, Härte 5...6. Chemische Zusammensetzung ist unbekannt. Das spec. Gewicht auch noch nicht mit Sicherheiït bestimmt worden. Der Mursinskit ist ein hüchst seltenes Mineral. Ich be kenne bis jetzt nur zwei Exemplare von demselben, nämlich: einen kleinen Krystall, welchen ich aus einem … Topas-Krystalle, für meine Untersuchungen, heraus- Dr on 451 Bulletin de FAcadémie Impériale . genommen habe und einen anderen, welchen ich auf seiner primitiven Stelle in demselben Topas-Bruch- stücke gelassen habe. Der erste von diesen Krystallen hat ungefähr 2 Millimeter im Durchmesser und wiegt 0,039 Gramm”). P. Nikolajew, Laborant am Berg- Institut zu St. Petersburg, hat das spec. Gewicht des- selben zu bestimmen versucht. Mir scheint es aber, dass wegen der ungemein geringen Dimensionen des Krystalls man das von ihm erhaltene Resultat nicht als ganz richtig betrachten kann; —er hat nämlich das spec. Gewicht — 4,149 gefunden. Es ist merkwürdig, dass der Mursinskit so selten ist. Meine ersten Messungen an demselben waren schon im Jahre 1854 angestellt worden; da aber der er- wähnte Krystall, nach der Art seiner Bildung, mir nicht genug befriedigende Resultate lieferte, so hielt ich es für besser dieselben nicht gleich zu verüffent- lichen, sondern das Erscheinen anderer Exemplare des Minerals abzuwarten, welche im Stande wären mir genauere Resultate zu geben. Leider war es mir nicht môglich, m Laufe von 32 Jakren, auch nur ein einziges Stück des Mursinskits zu erhalten, Aus diesem Grunde habe ich mich entschieden in dieser Abhand- lung meine alten, so wie meine in neuester Zeit, an demselben Krystalle erhaltenen Resultate, ungeachtet ihrer Unvollkommenheiten, zu verôffentlichen. Viel- leicht werden die künftigen Beobachter glücklicher sein als ich. Der Krystall, welcher zur Untersuchung angewandt wurde, ist hier in zwei horizontalen Projectionen ab- gebildet: auf Fig. 1 in seinem natürlichen Zustande und auf Fig. 2 symmetrisch. | Fig. 1. Z 9 He XD si 1) Diese beiden Krystalle befinden sich in der Mineralien- _ sammlung meines Sohnes. Dieser Krystall enthält folgende Formen: Tetragonale Pyramiden der ersten Art. Pape Tetragonale Pyramiden der zweiten Art. = 2Pœ = (a:5b:b) y = $Peo — (a: 2b : wb) Ditetragonale Pyramiden. g.= 5P2 = (a: !b.: £b) 8 — 8P2—(a: ib : :b) 1 | w= mPn—(a:,b :£2b) o =mPn'= (a: 25b:%b) . Diese Formen sind hier, nach der Quenstedt’schen Methode, graphisch auf Fig. 3 dargestellt. Die Flächen x, und y, sind glatt und sehr glänzend, die Flächen z,, » und # sind auch ziemlich glänzend, aber weniger glatt, alle anderen, obgleich glänzend sind aber uneben und zum Theïl gebogen. | 453 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 153 XYZ 0 PA ss: 7 =P | DRE NS / 2e men A NN N\ BK Fig. 3. À | Gers 4 x YzS° Die mit dem gewühnlichen Wollaston'schen Reflexions- ' ne. Goniometer ausgeführten approximativen Messungen, Le Da der abgemessene Krystall, ungeachtet seiner Erste Einstellung — 127° 30/ unbefriedigend. glänzenden Flächen, ziemlich unvollkommen ausgebil- 127 30 ; det war, so kann man nicht den grüssten Theil meiner Mittel = 127° 30° 0” (a). -Messungen als befriedigend betrachten. Um besser zu | zeigen in welchem Grade bisweilen die Differenzen : é Fri ie a =. zwischen den einzelnen Beobachtungen bedeutend wa- Zweite Einstellung = 127° 32 © (b) unbefriedigend. . ren, werde ich hier meine. Messungen in ganzer Aus- A DE : Fa 1e führlichkeit anführen, d. h. wie dieselben in meinem Mittel aus (a) und (b)— 127 31° 0° (1). Notizbuche eingeschrieben waren.- | ha 455 03: 0, Erste Di ras — 127° 10° unbefriedigend. 127 90 : » Mittel — 127° 20 0” (c). Zweite Einstellung — 127° 15’ unbefriedigend. 127 20 » 124: 4: » Mittel — 127° 16° 20” (d). Dritte Einstellung — 127° 20° unbefriedigend. 187.90 » 127 40 ue Mittel — 127° 20° 0” (e). Mittel aus (c), (d) und (e) — 127° 18’ 47” (2). 0,50, Erste Einstellung — 127° 30/ passend. 127 45 » Mittel — 127° 37° 30” (f). Zweite Einstellung — 128° 0’ passend. Bulletin de l’Académie Impériale 127 50 128 0 » » dr be | Erste Einstellung — 102° 25” (a) unbefriedigend. Zweite Einstellung — 102 O0 (b) » Mittel aus (a) und (b) — 102° 12’ 30°. Ya * 08 Erste Einstellung —150° 0’ 0” (a) mittelmässig. Zweite Einstellung — 150 20 » 150 20 » Mittel = 150° 20’ 0” (b). Dritte Gr à — 150° 3” mittelmässig. 150 17 » Mittel = 150° 10° 0” {c). Vierte Einstellung — 150° 20° (d) mittelmässig. Mittel aus (a), (b), (c) und (d) — 150° 12’ 30” (1). 3 * du Erste Einstellung — 151° 10’ ziemlich, 19120 » 151 20 » YEOETI0 » 10 0 » AOL: EU » Mittel — 151° 12° 30” (e). Zvweiïte Einstellung — 151° 27’ ziemlich. Mittel = 127° 56/ 40” (g). Dritte Einstellung = 127° 25’ mittelmässig. 127 45 » 127 25 » 227: 50 » 28 2 UÙ » Mittel = 127° 41° 0” (h). Mittel aus (f), (g) und (h) = 127° 45’ 3" (3). Also für die Neigung der Flächen der Grundpyra- | 4 _ mide o—P in den Polkanten haben wir erhalten: (1)= 127° 31° 0” (2)= 127 18 47 - (3)=127 45 3 im Mittel — 127° 31° 37”. … Und daher wurde von mir der Winkel—127° 34/40” | _ für die Berechnung des Axenverhältnisses der Grund- form angenommen. 150 151 50 0 » » Mittel — 151° 5° 40” (f). Mittel aus (e) und (f) — 151° 9° 5” (2). Also für die Neigung der Flächen y, zu den anlie- genden Flächen 0, und 0, haben wir erhalten: (1) = 150° 12’ 30” (2)—151 9 5” im Mittel — 150° 40’ 48”. Ys © Ty Erste Einstellung — 173° 10° unbefriedigend. 178 30 » 175 95 » 179: 80 » 179 : 10 » 174 50 » 173 30 » 175::0 » 174 0 » Mittel — 174° 1' 40”. 457 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 458 Ys * La Us : # Erste Einstellung — 117° 50° unbefriedigend. à à 8 118 35 : ë Erste Einstellung — 88° 40° unbefriedigend. 117 50 , 15 » 118 5 » 87 40 » 118 30 " Mittel — 87 51’ 40” (2). 117 50 » Mittel — 118° 6’ 40” (a). Zweite Einstellung — 117°, 25’ unbefriedigend. 127::20 » 118 10 » 118 10 » 117 40 » 117.00 "He 118 0 » 1185" 0 » Mittel — 117° 50° 38” (b). Mittel aus (a) und (b) — 117° 58° 39”. 4? 6, Erste Einstellung — 107° 15° unbefriedigend. 3 104 40 » 106 10 » 106 45 » Mittel — 106° 12° 30”. Ys° 3 _ Erste Einstellung — 88° 0’ unbefriedigend. 0 » 88 0 » Mittel— 88° 0 0” (a) Zweite Einstellung — 86° 55’ unbefriedigend. 87 40 » Mittel— 87° 17° 30” (b). Dritte Einstellung = re 30° unbefriedigend. 40 » “ 25 » Mittel— 85° 31° 40” (c). Vierte Einstellung — 86° 20° unbefriedigend. 6 50 » 83 :.0 » 86 0 Mittel— 85° 32° 30” Mittel aus (a), (b), (€) und (d) = 86° 35° 25" (1). Also für die Neigung der Fläche y, zu den Flächen &, und 2, haben wir erhalten: (1) = 86° 35° 25” (2) — 87 51 40 Mittel — 87° 13° 33”. Ys : & Erste Einstellung — 120° 0’ ziemlich gut. 120: 2 Dr. 12070 - » 120 30 » » 120 10 » » 120 10 » » 120 20 » » 120 20 » »: 120 09 ». » 120 35 » » Mittel = 120° 16° 127: Ya * So Erste Einstellung — 62° 40’ ziemlich de 62 45 » 62 20 » » 62 20 » » 62 20 » » 62.50 » » 62 20 » » Mittel — 62° 30° 43”. CAR A Erste Einstellung — 85° 30° ziemlich. 85:30: 1%» Mittel = 85° 30° 0”. 459 Bulletin de l’Académie Impériale 460 2,5 8, Erste Einstellung — 128° 40” unbefriedigend. 26.54 » 128 50 » 2 VU » 128 19 » 128 50 » 128 50 » 128 50 » 128 -5 » 194: 0 » F29 7: D » 137.00 » Mittel — 128° 20° 0”. 2,70 Erste Einstellung — 142° 40’ schlecht. 142 50 » 148 1075 143 40 » A3" 0.5 Mittel = 142° 52° 0” (a). Zweite Einstellung — 142° 50° schlecht. 140. :50: 5 143 20 » Mittel — 142° 13° 20” (b). Mittel aus (a) und (b) — 142° 32 40” De 83: Erste Einstellung — ne 8 (c) schlecht. Zweite Einstellung — 145 10 (d) » Dritte Einstellung — 142 40 (e) » Mittel — 143° 19° 20” (2) ne 83: 0 Erste Einstellung —144° 0’ schlecht. 144 40 » . Mittel — 144° 20° 0” (f). Zweite Eistollung = — 145 50 schlecht. 146 10 » | Mittel — = 146 0 0” (g). | Dritte Einstellung — 142° 40° 142 30 Ë Mittel — 149° 35° O0” (h). Mittel aus (f), (g) und (h)— 144° 18’ 20” (3). Also für die Neigung der Flächen 4,, z, und 2, zu den Flächen o,, 0, und 0, haben wir erhalten: (1) = 142° 32° 40” (2)— 143 19 20 (3) — 144 18 20 Im Mittel — 143° 23° 27”. 2 Erste Einstellung — 116° 50’ mittelmässig. “FES 29 » Er" 0 » Mittel — 116° 56° 40” (a). Zweite Einstellung — 116° 5° mittelmässig. 5 40 » 116 10 » Mittel = 115° 58° 20” (b). Dritte Einstellung — 116° 10° mittelmässig. 116,5 » 116 40 » Mittel — 116° 18’ 20” (c). Vierte Einstellung — 116° 5° mittelmässig. 115 25 _» r16 20 » 115 :40 » Mittel — 115° 52° 30” (d). Mittel aus (a), (b), (c) und (d) = 116° 16’ 28”. É% O Erste Einstellung — 92° 50” (im Mittel), ziemlich gut. 8:75 0 Erste Einstellung — 137° 50° mittelmässig. 4-20 » 10-34 » Mittel — 137° 35° 40” (a). Zweite Einstellung — 137° 30° mittelmässig. 1 959 » Mittel — 137° 30° 0” (b). Mittel aus (a) und (b) — 137° 32° 50”. HT OR Erste Einstellung — 145° 50° mittelmässig. 145 50 he 145 50 » Mittel — 145° 50° 0” (a). AG des Sciences de Saint-Pétersbourg. 462 Zweite Einstellung — 145° 20° mittelmässig. 145 40 » Mittel — 145° 30° 0” (b). Mittel aus (a) und (b) = 145° 40° 0”. | S2 * 29 Erste Einstellung, À ,;, Lo an a” :: pe im Mittel }119 20° 0” mittelmässig, : vie, Erste Einstellung — 175° 20° ziemlich. 140: 209 » 19:40 » 175 45 » Mittel — 175° 25° 0”. d : 23 Erste Einstellung — 141° 15° mittelmässig. | 140 55 2 41: 20 » 14115 » Mittel — 141° 12° 30”. Mot | A À Im Mittel — 123° 15° 0” ziemlich. W:2, Erste Einstellung — 119° 25° schlecht. TI 4060 119.59 » Mittel — 118° 42’ 40” (a). Zweite Einstellung —119° 0’ schlecht. 18:50 : s FE9.: 0 » Mittel — 118° 41° 0” (b). Mittel aus (a) und (b) — 118° 41° 20”. Berechnung der Krystallformen. Wir bezeichnen: 1) In jeder ditetragonalen Pyramide mPn: ; die normale Polkante.....—X, die diagonale Polkante.... = Y, die Mittelkante....... ré dm die Neigung der normalen Polkante X gegen die Verticalaxe a —*, die Neigung der diagonalen Polkante Y. gegen die Verticalaxe a — 0, die Neigung der Mittelkante Z gegen die Neben- axe b—, die Neïigung der Mittelkante Z gegen die Zwi- schenaxe R — x. 2) In jeder éetragonalen Pyramide der Hauptreihe oder der ersten Art mP: qe Polkante cu, R —# @ die Mittelkante .......... PS Re die Neigung der Fläche gegen die Verticalaxe ai, die Neigung der Polkante gegen die Verticalaxe a —=T. 3) In jeder éetragonalen Pyramide der Nebenreihe oder der zweiten Art mP: die Poikante "062 CE Cu die Mittelkante.......... 2: die Neigung der Fläche gegen die Verticalaxe a—i, die Neigung der Polkante gegen die Verticalaxe AL: Diese Bezeichnung beïbehaltend, erhalten wir durch Rechnung, aus a:D = 0,06 ETS TL Re (wo a— Verticalaxe, b— Nebenaxen), folgende Werthe: Füro=P=(a:b:b), IX — 63° 45° 50” ZX 127.51 404 1Z—38 41 44 Z— 77 23 28 i — 51° 18’ 16” r— 60 28 20. Für y= 5Pœ = (a : 5b : æb) 1Y = 60° 57’ 41” Y—121° 55° 22” 1Z=43 21 2 — 86 42 4. i — 46° 38° 58” r—56 16 34 Für = 2P> = (a : {b : «b) 1Y = 57° b9: 14" Y = 115°.58° 28” 1Z—48 33 48 Li 91 SLT | i = 41° 26° 12” PA 0E 10710: Bulletin de l’Académie Impériale 164 Foré—DbP2 = (a ;iD:Eb) IX — 64° 45/ 27" 1Y—72 926 58 1Z=—72 28 21 X — 129° 30° 54” Y— 144 53 56 Z—144 56 42 Les 19 2608 9 —18 24 47 V—63 26 6 r—171 33 54 Für s— 8P2 — (a : :b : :b) IX — 63° 5833!” X—127°57 7” 1Y—71 55 341 Y—143 51 9 1Z—78 50 2 Z—157 40 4 6 = 12726" 427 po —11 45 13 L—63 26 6 r—71 33 54 Um besser zu zeigen in welchem Grade die durch Messung erhaltenen Resultate unbefriedigend sind und wie wenig sie mit den berechneten. übereinstimmen, geben wir hier die nachfolgende vergleichende Ta- belle. In dieser Tabelle sind die unbefriedigenden Messungen in Klammern gestellt. Neigungen. Berechnet. Gemessen. #8 == 129" 30 54” s 414 (128720) 2: : % ee GE 47 #7 85 30 ziemlich. Lu] pe . (144 18) = 143 11 20 . (142 33) at) > . (143 :19) Mittel —(143° 23) 0: 2415 5 80". :U(EI6" 16) 12:00, ==, 92 400. 92 50 ziemlich gut. “He CE a Due . ( 86 35) she 85 46 ul: :( 87 52) Mittel —( 87° 14’) 4 :Ys —120°46 46”... : | de 127 91 FE 127 81 200. 127 :19 NUE s | | #07: 45 . 120° 16° ziemlich gut. 8,:03 —137 8 20 . 137 33 mittelmässig. BY; —— 02 90 904%. 62 31 ziemlich gut. _ S:2; —143 46 43....(145 40) ds #° 2:49 —120 11.53 .... 119 20 mittelmässig. Gemessen. , (1029199 150 13 mittelmässig. Neigungen. Berechnet. M0 102 50-03 4% Vs: 1150 34 31 ΰ he en Ya . 151 9 ziemlich. Mittel — 150°41 Ys:0 —105°18 43”....(106°13) Ys: % —174 47 14....(174 2) m2 11940 99: (CR17 59) vis = = . 175 25 ziemlich. AR PR — . 141 13 mittelmässig. UD — . 123 15 ziemlich. Win — . (118 41). Bemerkung. Es ist zu bemerken, dass die Winkel der Grund- pyramide o— P (Polkantenwinkel — 127° 31° 40”) des Mursinskits ziemlich nahe den Winkeln der von V.v.Zepharovich bestimmten Pyramide der zweiten Art £—3P (Polkantenwinkel — 127° 19° 26”) des Vesuvians kommen, aber allen anderen Formen des Mur- sinskits begegnet man dagegen nicht im Vesuvian und im Allgemeinen hat der ganze Habitus der Mursins- kit-Krystalle nichts SRMMPCRANEsA PS mit dem des Vesuvians. Beitrag zur Kenntniss der Phymatellen der bühmischen Kreideformation. Von C. Zahälka. (Lu le 4 no- vembre 1886.) (Mit einer Tafel.) Phymatella intumescens, Rôm. sp. aus den Scaphiten- : (Fig. 1—8). 1864. Eudea intumescens, F. A. LP Palacontographica, Bd. 13, S. 26, Taf, 11, Fig. 1 1878. Scyphia intumescens, Quenstedt, Petrefaktenkunde, Bd. 5, S. 392, Taf. 138, Fig. 23— 1878. Phymatella inbumescens Zittel, Sidièn IT, Abh. de M.-Ph. C1. d. k. bayer. Ak. d. W., Bd. 13, S. 188. 1883. ec inlmésomn, Hinde, ee FE. pi 1884 Poëta, Beiträge IL S. 3 Eine Phymatella éinescoie mit Cana Struk- tur der Oberfläche und Skelet wurde bisher in der bühmischen Kreideformation nicht aufgefunden. Im Folgenden mag auf erhaltene Phymatella intumescentes hingewiesen werden, welche sich überdies durch Man- Mittel = 127° 317 mittelmässig. nigfaltigkeit der Form auszeichnen. Schichten der Rohatetzer Anhôhe bei Raudnitz a, E: 465 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 466 In den Scaphiten-Schichten der Rohatetzer Anhôühe aNa vinicich» !), fand ich einige ganze Exemplare und eine grosse Anzahl von Bruchstücken der Phymatella intumescens. Dieser Meerschwamm wird im Verhält- pisse zu anderen charakteristischen Petrefakten dieser. Schichten selten vorgefunden. Unsere Exemplare haben gewôhnlich eine walzen- fürmige, gegen oben zu sich verengende oder eine birn- fürmige Gestalt. Alle aufgefundene Exemplare sind etwas zusammengedrückt, so dass ihr Querdurchschnitt als eine Ellipse erscheint. Oft ist der obere Theil des Schwammes mehr oder weniger gekrümmt. Am Gipfel befindet sich eine grosse elliptische Offnung. Wenn ‘der obere Theiïl des Schwammes gerade und aufrecht ist, dann ist die Offnung horizontal, ist aber der obere Theïl gekrümmt, so hat dann die Üffnung eine schräge Lage. Die Basis des Schwammes ist immer mächtiger als der obere Theil. Die Ursache davon sind bedeutende kugelfrmige oder unregelmässige Anschwellungen, welche entweder durch flache Falten oder durch tiefe in das Innere des Schwammes führende Lücher von einander getrennt sind. Nach der Anzahl der Anschwel- lungen, ihrer Gestalt, ihrer Zusammenstellung nach den zwischen denselben sich befindenden Falten und Vertiefungen verändert sich sehr die Gestalt eines je- den neuen Exemplares,welches man findet. DerSchwamm ruhte auf Stielen, welche aus dem unteren Theiïle des Schwammes emporragen. Gewübhnlich verengen sich die Anschwellungen am unteren Theile der Basis, indem sie in einen kreisfôrmigen cylindrischen Stiel überge- hen. Nur ein einzigesmal fand ich auch einen sich verzweigenden Stiel. Auf den Stielen befinden sich gewühnlich längliche Furchen. Selten sind die Exem- plare, die nur einen einzigen Stiel haben; gewühnlich pflegen der Stiele mehrere zu sein. An den Fig. 2 u. 4 abgebildeten Exemplaren sind die Stiele nicht er- halten und an den Fig. 1 u. 3 ist nur der Anfang derselben zu sehen. Junge Phymatellae intumescentes pflegen einfacher zu sein. Die Anzahl der Anschwel- lungen ist geringer. Ein solches Exemplar, welches auf der Figur 5 abgebildet ist, hat nur drei kugel- 1) Ü. Z. Geologie vÿäiny Rohatecké u Roudnice n. L. (Geologie der Rohatetzer Anhôhe bei Raudnitz à. E.). Mit 2 Taf. Sitzb. d. k. bôhm. Gesellsch. d. Wissensch. 1885. . Z. Über Isoraphinia texta, Rôm. sp. ete. Mit 2 Taf. Sitzb. d. Kais. Akad. d. Wissensch. in Wien 1885. Tome XXXI formige Anschwellungen, von denen die untere sich verengt, und auf dieser war der Meerschwamm ange- wachsen. Die Offnung am Gipfel des Schwammes bildet die Mündung eines Centralganges, welcher bis in die Basis reicht. Auf der Oberfläche des Schwammes befinden sich zahlreiche kreisformige oder ovale auch unregel- mässige, 0,5 bis 2 mm. breite Offnungen. Sie sind un- ragelmassig verstreut. Aus diesen führen in die Wände des Schwammes horizontale Gänge. Âhnliche Gänge beginnen nahe unter der Oberfläche und münden im Centralgange. Auf der Oberfläche des Stieles befinden sich keine Offnungen. Der Stiel ist durch Vertikal- gänge durchbrochen. Wenn das Skelet am Stiele ver- letzt ist, so erscheinen die unter der Oberfläche befind- lichen Vertikalgänge in Gestalt von Furchen. Die Off- nungen auf der Oberfläche des Exemplares Fig. 5 sind verhältnissmässig kleiner. Die Dimensionen der abgebildeten Exemplare sind folgende : obere, Basis- Breite Läünge b Exemplar HS Lil Hühe PAL. 010 7 0 3,9; Do 0. 12 cm. 2... 40 0 2:09 375 8,5 » Sri A0 DV SN EU D 7,9 » PARA NNONS N EU OU S 109 » D AN. 208: 11:19. 8 5,5 » Einige aufgefundene Fragmente weisen nach ihrer Länge und Breite noch grüssere Dimensionen auf als die hier angeführten sind. : Das Skelet (Fig. 6 u. 7) ist aus vierstrabligen Kürpern von ansehnlicher Grüsse gebildet, deren Arme glatt und rund sind. Die Enden der Arme sind mit kurzen, mit wurzelartigen Fortsätzen versehenen Âsten vergabelt. Auf der Oberfläche findet man zwi- schen dem Skelete walzenfrmige Nadeln. Am Anfange des Stieles, welcher bis einige cm. lang zu sein pflegt, fangen die Arme der Nadeln an sich zu verlängern und gehen weiter in lange schwach sich verzweigende Fasern über. Diese Fasern sind schon mit unbewaff- netem Auge wahrnehmbar. Auf der Fig. 8 ist dieses Skelet aus dem Stiele nach 60-facher Vergrüsserung dargestellt, Das Skelet unserer Phymatellen aus dem Innern des Schwammkôrpers ist grôssten Theiïls in kohlensauren Kalk verwandelt. Ein geringer Theilistin Limonit verwandelt und ein noch geringerer hat das 31 467 Bulletin de l’Académie Impériale 16 Skelet noch aus Kieselsäure erhalten. Der Schwamm enthält viele sehr zarte gerade Fleischnadeln. Auf der Oberfläche ist das Kalkskelet sehr gut erhalten. Fig. 6 zeigt uns das Kalkskelet der Oberfläche bei 25-facher, Fig. 7 bei 60-facher Vergrôsserung, und darnach sind die Abbildungen auch zu beurtheilen. Auf unseren Phymatellen fand ich nur eine Serpula (auf Exemplar Fig. 2) angewachsen. Beschreibung. Eudea intumescens des F. A.Rômer ?) stimmt mit unserer Phymatella intumescens überein. Seine Abbildung Taf, 11, Fig. 1 entspricht am mei- sten unseren Fig. 1 u. 2. Unsere Abbildungen Fig. 3 u. 4 unterscheiden sich von Rômer’s Figur dadurch, dass sie den oberen Theil etwas gekrümmt haben und dass die Offnung des Centralganges schräge ist. Aber solche Abweichungen sind auch bei anderen zu einer und derselben Art gehôrigen Meerschwämmen bekannt. Es mügen hier zum Beispiel Quenstedt’s Exemplare der Phymatella tuberosa *) angeführt sein. Unsere Exemplare auf der Fig. 3 u. 4 stehen zu den Fig. 1 u. 2 in demselben Verhältnisse wie sich Quenstedt’s Phymatella tuberosa Taf. 133, Fig. 20 zu derselben Art Taf, 133, Fig. 18 verhält. Wenn wir die Basis unserer Abbildungen mit Rümer’s Figur vergleichen, so ist zu erwägen, wie schon angeführt wurde, dass nach der Anzahl und der Gestalt der Anschwellungen, nach ihrer Zusammenstellurg, der Basistheil der Ph. intumescens sich sehr mannigfaltig gestaltet, wie aus einigen ganzen Exemplaren und einer Auzahl von Frag- menten, die ich in einer und derselben Bank des an- geführten Fundortes auffand, ersichtlich ist. Rômer fübrt diese Art in der Cuvieri-Kreide am Windmühlen- berge bei Salzgitter, bei Dôrnten und in der Quadra- ten-Kreide im Kôhlerholze bei Ilsenburg an. _ Quenstedt’s Scyphia intumescens“) stimmt auch mit unseren Arten überein. Eine ähnliche Anordnung der runden Knoten und des Stieles wie an dem Exemplare Taf. 133, Fig. 23 fand ich auch an einem Bruchstücke der Ph. intumescens. Quenstedt sagt auf Seite 394 (Taf. 133, Fig. 25): «Einen ganz anderen Eindruck 2) Die Spongitarien d. nordd. Kreïdegeb. Palaeontographica, _ Bd. 13, Seite 26, Taf. 11, Fig. 1 La na Petrefaktenkunde Deutschlands, Bd, 5, S, 388— 390, né s) 5 Péettenkande Deutschland Bd. 5, S. 892—395, Taf. 153, —26. machen zwar die grüssern Formen, wovon ich Fig. 25 eine verkieselte Endspitze mit schiefem ellipti- schem Osculum von der Schmalseite abbilde, allein es ist dennoch die gleiche nur mehr abgewitterte Spe- cies, welche der Rümerischen Abbildung (Palaeontogr. 13, Taf. 11, Fig. 1) sehr nahe kommt....» Dieses Exemplar stimmt demnach bezüglich der Form des Obertheils vüllig mit meinen Exemplaren Fig. 8 u. 4 überein. Ein schlankes und dünnes Exemplar wie jenes Quenstedt’s Taf. 133, Fig. 24 habe ich nicht gefun- den. Als Fundort der Phymatella intumescens führt Quenstedt den Obern Pläner von Dôrnten bei Salz- gitter an. Zittel”) reihte Rômer’s Eudea intumescens in seine Gattung Phymatella ein. Unser Meerschwamm trägt sämmtliche Merkmale dieser Gattung. Auch das Skelet stimmt mit dem Skelete der Gattung Phymatella über- ein wie sie Zittel abbildet: z. B. bei Phymatella hete- ropora, Rôm. sp.) aus der Mucronaten-Kreide von Ahl- ten. Auch das faserartige Skelet am Stiele unserer Ph. intumescens hat denselben Charakter wie z. B. Zittel bei dem Stiele der Phymatella tuberosa Rüm. sp.?) aus der Quadraten-Kreide von Linden bei Hannover ab- gebildet hat. Hinde *) führt auch eine Phymatella intumescens aus Upper Chalk: South of England an und schreibt: «.…. which is cylindrical in form, tapering near the base, with irregular hollows in its lower portion. It is 43 mm. in width; the cloaca is cylindrical, about 12 mm. in width, and extends nearly to the base of the sponge. The exterior surface is thickly covered with numerous irregularly disposed canal-apertures 1 mm. wide; the canals extend in a nearly horizontal direction towards the centre of the sponge. The fourarmed spicules are slender with inconspicuous nodules. The specimen is preserved in Chalk, and the spicular structure has been changed into reddish peroxide of iron». In Bühmen wurde bisher nur in Schwefelkies ver- wandelte Ph. intumescens gefunden. Poëta ?) behaup- tet nämlich: «In den Sammlungen der k. k. bübhm. 5) Studien über fossile Spongien, I. Abh. d. M.-Ph, CL. d. k. bayer. Ak. d. W., Bd. 13, S. 138. 6) Dasselbe, Taf. 8, Fig. Fa 7) Dasselbe, Taf. 8, Fig. 3 8) Catalogue of the fossil re Page 58 9) Beiträge zur Kenntniss d. Spongien d. bôhm. Kreidef. II, $. 33. 469 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 470 Universität zu Prag, befinden sich zwei in Schwefelkies verwandelte Spongien aus den Teplitzer Schichten von Koschtitz, die dem Âusseren nach mit der von Rômer gegebenen Abbildung übereinstimmen. Schwammkür- per einfach, fast cylindrisch, mit ziemlich langem, dün- nem Stiel versehen, oben allmälig verengt und mit weiter bis zum Stiele reichender Magenhühle versehen. In der Nähe des Stieles ist die Oberfläche mit wulsti- gen und knolligen Auswüchsen ‘und Anschwellungen versehen, die durch Vertiefungen mit grossen runden Lôchern getrennt werden. Das Skelet und die feinere Struktur der Oberfläche nicht erhalten». Phymatella tuberosa, Rôm. sp. aus den Scaphiten- Schichten der Brozaner Anhôühe bei Lovosic. (Fig. 9—14). 1841. Se tuberosa, F. À. Rümer, Die Versteinerungen, T. IT, 1864. Siphonia re | ag : © ms dd, Die Spongitarien, Palaeon- tographica, Bd. 13, $. 2 1878. Spongites Quensteut Petrefaktenkunde, Bd. 5, S. 888, Tab. 133, Fig. 1 1878. Phymatella hs Zittel, Studio IT. Abh. d. M.-Ph. CI. d. k. bayer. AK. d. W., Bd. 13, 8. 138, T. 8, F. 3a. Südlich von der Stadt Lovosic a. E. erstreckt io die Brozaner Anhôhe, deren niedere Schichten zur Kreideformation gehüren. In meiner Abhandlung: «Prvni zprâva o geologickÿch pomérech vySiny Bro- zanské» (Erster Bericht von den geologischen Ver- hältnissen der Brozaner Anhôühe) ®) habe ich auf Grund palacontologischer Studien darauf hingewiesen, dass die niedrigsten zu Tage tretenden Schichten, wie z. B. in der Gegend zwischen Lovosic, Cikovic und Lukavec mit den Typischen Scaphiten-Schichten in der Scaphiten-Zone der Turon-Stufe (Oberer Pläner) in Norddeutschland übereinstimmen. Der Fundort der bisher in der bühmischen Kreide- formation nicht vorgefundenen Phymatella tuberosa ist ein Plänerkalkbruch 1 km. ôstlich von CiZkovic am Wege von Cizkovie nach Lukavee, wo ich einige Exem- plare dieses Schwammes in einem bläulichen, weichen, leicht verwitternden Plänerkalk fand. Letzterer tritt dort ungefähr 160 bis 166 m. über dem Meere zu Tage. Ein einziges kleines Exemplar fand ich in dem fürstl. Schwarzenbergiscien Bruche ungefähr 1 km. 10) Abh. d. k. bôühm. Gesellsch. d. Wissensch. 1884. ôstlich von Sulevic. Der Plänerkalk, in welchem dieses Exemplar gefunden wurde, hat dieselben Eigenschaften und tritt in der Hühe von ungefähr 151 bis 157 m. über der Meeresfläche zu Tage. Unsere Schwämme haben entweder eine eifrmige knollige Gestalt, oder sie sind verlängert, zusammen- gedrückt cylindrisch. Oben verengen sie sich bedeutend gegen die Mündung des Hauptcentralganges zu, so dass der obere Theil kegelfôrmig gestaltet ist. Selten ist der obere Theil des Schwammes gekrümmt. Am unteren Theile verengt er sich allmälig in einen Stiel, der immer abgeschlagen ist. Der Stiel pflegt auch zu- sammengedrückt zu sein. Der Querdurchschnitt des Schwammes und des Stieles pflegt bei unseren Exem- plaren elliptisch zu sein, oft nähert er sich auch dem Kreise. Charakteristisch ist auch der Oberfläche die- ses Schwammes eine tiefe Bucht, welche manchmal wellenfürmig gekrümmt ist und bis *, des ganzen Um- fanges des Schwammes umfasst, wie es bei Fig. 9 der Fall ist; nur dass aus der Abbildung diese wellenfr- mige Form nicht ersichtlich ist, da man nur einen Theil der Bucht sieht. Oft bildet die Bucht nur einen einfachen Bogen, Fig. 11. Exemplar Fig. 9, welches unten einen Spondylus latus Sow. sp. angewachsen hat, ist am meisten verlängert; Fig. 11 u. 12 hat eine mehr eifürmige Gestalt. Die obere Offnung ist die Mündung eines Central- ganges. Diese Offnung ist elliptisch und ist in Folge des mehrzugespitzten Endes des Schwammes kleiner als bei Phymatella intumescens. Der Centralgang ist cylindrisch zusammengedrückt aber an der Stelle der tiefen Bucht verändert er seine Form. Fig. 12 ist zu sehen, dass er sich verzweigt und dass überdies ein Seitengang in denselben führt, welcher seinen Anfang im oberen Theile des Centralganges hat. Âhnlicher Nebengänge sah ich an manchen Exemplaren mehrere. Der Centralgang hat seine Fortsetzung im Stiele, s0 dass unsere Exemplare, welche den Stiel abgeschlagen haben, kreisformig oder elliptisch enden (Fig. 10u.11). Wenn der obere Theil des Schwammes gekrümmt ist, so ist dann die Mündung des Centralganges schrâge - zur Längenachse gestellt. Die anderen Eigenschaîften des Canalsystems stimmen mit der Phymatella intu- mescens überein, namentlich sind auch auf der Ober- fläche des Meerschwammes unregelmässig FAseUe 7 zahlreiche Mündungen von Gängen. 5. 31* AI Bulletin de l’Académie Impériale 472 Die Dimensionen der abgebildeten Exemplare sind folgende: Länge ie Hôhe Exemplar (von links (von unten nach rechts) nach Mort nach ben) Hi ions 4,5 cm. 10 cm. AE À NE UT 3 » «5,5 » 12! er » 3 » 5,5 » Ein kleines Éremplar 1,8 » Lt LL Das Skelet unserer Phymatella tuberosa stimmt mit dem Skelete der Phymatella intumescens überein. Fig. 14 ist das Skelet von der Oberfläche der Phy- matella tnberosa bei 25-facher Vergrüsserung abge- bildet, wogegen Fig. 13 das Skelet vom Anfange des Stieles bei derselben Vergrüsserung zu sehen ist, wo die Arme der vierarmigen Nadeln sich in längere Fa- sern zu verlängern anfangen. Angewachsen pflegen zu sein: Spondylus latus, Sow. sp. und Ostrea Hippopodium, Nilss. F. A. Rümer führt diesen Schwamm zuerst als Scy- phia tuberosa "), später als Siphonia tuberosa **) an, und beschreïbt ihn als «eiférmig, knollig, unten verengt, am _ Scheitel mit tiefer enger Rôhre, Die Aussenseite zeigt ein gitterformiges Gewebe mit einzelnen grôüsseren | Mündungen». Als Fundort führt er die Quadraten- Kreide des Sudmerberges an. Unsere Exemplare stim- men mit Rômer’s {uberosa überein. Sie sind gewühn- lich eiformig, knollig, manchmal aber verlängert, wie s bei Quenstedt. Quenstedt führt die Phymatella tuberosa als Spon- gites tuberosus *) aus der Quadraten-Kreide vom Küh- lerholz bei Ilsenburg an. Sein stark zugespitztes Stück Taf. 133, Fig. 18 ist dem unsrigen Fig. 9, bezüglich der Form und Grüsse ähnlich, aber unser Exemplar hat die untere Mündung nicht verzweigt wie bei Quenstedt. Quenstedt’s Taf. 133, Fig. 19 erinnert uns, bis auf die untere Mündung, welche die Form _ einer 8 hat, an unsere Fig. 11 und das schiefe Oscu- lum, wie es Taf. 133, Fig. 20 hat, stimmt mit dem Osculum unseres Exemplares Fig. 12. Die untere Mündung unserer Exemplare stimmt mit der Mün- 11) F. “ ES die Versteinerungen des nordd. Kreïidegeb. Taf. LL. D F. À. er die Spongitarien, Palaeontographica, Bd. 13, 3 Quenstedt, Petrefiktenkunde Deutschlands, Bd. 6,S. 388— — 890, Tab. 133, Fig. 18—20. dung bei Quenstedt Taf. 133, Fig. 20 überein. Solche Mündungen, welche getheilt wären oder die Form einer 8 hätten, habe ich bei unserer Phymatella nicht gesehen. Die Struktur der Oberfläche stimmt vüllig mit Quenstedt’s Exemplaren überein. Quenstedt hat Taf. 133 in kleinem Maasstabe das Skelet der Phymatella tuberosa abgebildet und sagt von dersel- ben: (sie).... «besteht nämlich auch aus zarten ein- fachen mit blossem Auge kaum sichtbaren Fäden, die aber an den Verbindungsstellen eigenthümlich knotig sich verdicken». Das stimmt auch mit unserer Ph. tu- berosa überein. Âhnliche tiefe Buchten, wie sich bei Quenstedt’s Exemplaren vorfinden, bemerken wir auch bei unseren Exemplaren. Zittel reihte Rômer’s und Quenstedt’s éuberosa in die Gattung Phymatella *) ein. Er bildet dann Taf. 8, Fig. 3a eine Partie des Skeletes aus dem Stiel der Fhymatella tuberosa aus der Quadraten-Kreide von Linden bei Hannover ab. Denselben Charakter trägt das Skelet am Stiele unserer Exemplare. Erklärung der Tafel. . 1,2, 3 u. 4. Phymatella intumescens, Rôm. sp. Verschie- dene Exemplare aus den Scaphiten-Schichten der Rohatetzer Anhôhe «Na vinicich» bei Zidovic un- weit Raudnic a. E, */, der nat. Grüsse. ig. 5. Phymatella intumescens, Rôm. sp. Ein junges Exem- plar aus demselben Fundorte, wie die auf Taf. IL. Natürl. Grüsse. ig. 6. Dasselbe. Eine Partie vom Skelet aus der Oberfläche der Basis. Nach 25-facher Vergrüsserung gezeichnet. ig. 7. Dasselbe. Eïne Partie vom Skelet aus der Oberfläche der Basis eines grüsseren Exemplares. Nach 60- facher Vergrôss. gezeichnet. . 8. Dasselbe. Ein Stückchen vom Skelet aus dem Stiel. Nach 60-facher Vergrüsserung gezeichnet. « 9. Phymatella tuberosa, Rôm. sp. Ein verlängertes und stark zügespitztes Exemplar aus den Scaphiten- Schichten der Brozaner Anhôhe bei Cf/kovic un- weit Lovosic. Natürl. Grüsse. Fig 10. Ansicht des unteren Endes von demselben Exemplare. Natürl. Grüsse, Fig. 11. Dasselbe. Ein eïfürmiges Exemplar. Auf dem oberen und unteren Ende beschädigt. Von demselben Fundorte. Nat. Grüsse. 14) Zittel, Studien I. Abh. d. M.-Ph. CI. d. k, bayer. Ak. d. W., 13, S. 188. : à Bulletin de l'Acad. Imp. des 5e. Autor delin. cé PTS 1 7: » | | | | Î Ê F | | g. 5. Fig. 9. Fig. 11. Domomunia Pa. Imeuna. 473 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 474 Fig. 12. Dasselbe. Ein eiformiges Exemplar mit einem schie- en Osculum. Längendurchschnitt, Von demselben Fundorte. Nat. Grüsse. Fig. 13. Dasselbe. Eine Partie des Skeletes der Oberfläche vom Anfange des Stieles. Nach 25-facher Ver- rüsserung gezeichnet. Fig. 14. Dasselbe. Eine Partie des Skeletes von der Ober- fläche. Nach 25-facher Vergrôsserung. Zur Geologie des Gouvernements Pskow. Von A. Kar- pinsky. (Lu le 2 décembre 1886.) (Mit einer Tafel) Vor einigen Jahren habe ich im Gouvernement Pskow geologische Untersuchungen angestellt, um die Frage über das Vorkommen von Steinsalzlager da- selbst aufzuklären. Diese Frage ist von mir in einem besonderen Artikel ‘) ausführlich behandelt worden; die Resultate der Untersuchungen, die aber in keiner direkten Beziehung zur praktischen Tü6sung der be- treffenden Frage standen, sind nicht im Druck erschie- nen, und nur einige derselben durch meine mündlichen Mittheilungen ?) bekannt geworden. Obgleich ich auch gegenwärtig noch keine vollständige Beschreibung der von mir im Gouv. Pskow angestellten Unter- suchungen geben kann, halte ich es doch für zeit- gemäss über einige Fakta, deren Beobachtung im er- wähnten Gouvernement nicht zu erwarten war, Genau- eres zu verôffentlichen *). Auf Grund der Untersuchungen von Pander, Gre- wingk, Helmersen, Rosen, Stuckenberg u. a. glaubte man gewühnlich, dass im ganzen Pskow’schen Gouvernement nur devonische Schichten entwickelt sind, die von glacialen und anderen posttertiären Ab- lagerungen bedeckt werden. Nach den Beobachtungen aber, die an der Düna, an der Gränze des Gouv. Smo- lensk angestellt wurden, unterliegt es keinem Zweifel, dass die hier entwickelten Carbonablagerungen sich 1) Berg-Journal, 1876, I, p. 179 2) Arbeiten det St. -Petersburger Naturforscher - Gesellschaft, VIIL, 98. 8) 8) Ich verôffentliche einstweilen nicht die geologische Karte des Pskow’schen Gouv., da der wichtigste Theil derselben in der inter- nationalen Ausgabe der «Carte géologique de l’Europe» aufgetragen werden 8011. auch auf ein gewisses Areal im südôstlichen Theile des Pskow’schen Gouvernements erstrecken. Das Auftreten von Thonen des carbonischen Sy- stems am Flusse Lowat wird durch einen Hinweis aus früheren Zeiten auf das Vorkommen von schwarzem, mit Schwefelkies gemengten und in Alaunerde über- gehenden Schieferthon nachgewiesen “). Das erschien um so môüglicher, als im Meridian des Auftretens dieser Thone, von der Mündung des Wolchows an und in der Richtung nach Süden längs diesem Flusse, am Imen-$See und weiter am Lowat immer neuere Schich- ten bis zu den oberdevonischen mitgerechnet zu Tage treten, auf welchen weiter im Süden kohlenführende Carbonablagerungen angetroffen werden konnten, die wie bekannt (z. B. an der Msta), direkt auf den ober- devonischen Schichten lagern. Desto unerwarteter war hier das Antreffen, mitten unter den oberdev blagerungen, einer ganzen Reihe der ältesten normalen Sedimentgesteine des europäischen Russlands, und zwar der cambrischen und untersilurischen, die hier in einer Entfernung von 300 Kiïlom. von ihrem Hauptverbreitungsgebiete auftreten. In Figur 5, die einen Theil des Lowatlaufes dar- stellt, sind die Entblüssungen beim Dorfe Kunitzy angegcben; die Ansicht des Ufers aber mit den zu Tage tretenden Gesteinen sieht man in den Figuren 1—3. Der Deutlichkeit halber sind die diluvialen Überdeckungen und Schuttmassen nicht angegeben; die Aufschlüsse der silurischen und cambrischen Schichten dagegen mit solcher Genauigkeit abgebildet, dass bei Beschreibung derselben nur einige allgemeine Bemer- kungen hinzugefügt werden künnen. Das oberste Glied der silurischen Sedimente beim Dorfe Kunitzy ist der Glaukonitkalkstein, der in dem Profil X VII auf einer Strecke von 14 Meter in Schichten von geringem Fallen nach NW zu Tage tritt. In petrographischer Beziehung erscheint dieser Kalkstein als eine seiner gewühnlichsten charakteristi- schen Varietäten. Er ist grau, stellenweise roth ge- fleckt und enthält einzelne Kürner, zuweilen auch un- bedeutende Ansammlungen von dunkelgrünem Glau- konit. In diesem Kalkstein sind nur ungenügend er- 4) Tschaikowsky und Warwinsky, Berg-Journal 1826, IV, ie p. 32. “he 475 Bulletin de l’Académie Impériale 476 haltene Brachiopodenreste gefunden worden, von denen nur Bruchstücke der Orthis obtusa Pand. bestimmt werden konnten. Die paläontologische Ausbeute wäre bei grüsseren Dimensionen der Entblüssung unzweifel- haft reicher gewesen. Direkt unter dem Kalkstein folgt der Glaukonit- sand, der in dem Profil VII mit dem Kalkstein in Be- rührung steht; in den Profilen VI und XI liegt der Glaukonitsand auf dem unterlagernden Schiefer und in den Profilen I, VIII und IX ist der Sand nicht in Be- rührung mit anderen Sedimenten beobachtet worden. Nach den petrographischen Merkmalen ist auch der Glaukonitsand mit dem von Esthland und Gouv. St.- Petersburg identisch. Zuweilen erscheint er sehr thonig (Profil I), zuweïlen sehr reich an Glaukonit, der einen vorherrschenden Bestandtheil bildet (Profil XII) und dem Gestein eine reine grüne Färbung giebt, wobeï durch Oxydation stellenweise rothe Flecken entstehen (Profile VIII, IX). In diesem Sande kommen weder Conodonten, noch die den Foraminiferen ähnlichen Steinkerne vor. Unter dem Glaukonitsande folgt der Alaunschiefer, der, wie schon oben bemerkt wurde, mit dem ersteren in den Profilen VI und XI und mit dem unterlagern- den Ungulitensandsteine in den Prof. II, V und XIII in Berührung steht. Ausserdem erscheint der Alaun- schiefer auch in den Prof. III, IV, X und XII, wo aber seine unmittelbaren Beziehungen zu den anderen Gesteinen nicht bemerkt werden konnten. In petrographischer Beziehung unterscheïdet sich dieser Schiefer von demjenigen in Esthland und Gouv. St.-Petersburg dadurch, dass er ähnlich der aequiva- lenten Ablagerung Schwedens alaunhaltig ist. Der Schiefer oder richtiger der Schieferthon erscheint ge- wôübnlich sehr dünnschiefrig, zuweilen aber werden seine Schichten 1 oder sogar 2 Cm. dick. Stellenweise bemerkt man im Schiefer linsenférmige Theile bis 9 Cm. Dicke, die fast gar keine Schieferung zeigen; das Ge- stein ist von Schwefelkies stark durchdrungen und wird durch die Verwitterung des letzteren alaunhaltig. Der feinkôrnige Schwefelkies bildet in den Schiefern ziemlich regelmässige Zwischenlagen (von ungefähr 1,5 Cw. Dicke; s. Prof. II, V, X u. XI) und sogar dünne Schichten (bis 0,1 M. im unteren Theiïle des … Profils XII). M den Schiefern kommen auch kleine Schwefelkies- concretionen vor, die gewôhnlich an der Oberfläche in Brauneisenstein verwandelt sind. Ausserdem ent- hält das Gestein Zwischenlagen (Prof. III) und Con- cretionen von Anthraconit (Prof. XII). Stellenweise (Entbl. XIT) erscheinen im Schiefer verticale Spalten, die sich mit den Schieferungsflä- chen kreuzen und das Gestein in dünne prismatische Theile zerlegen. Der Schiefer ist schwarz, an verwit- terten Stellen aber grau. Weder Dictyonema-Reste noch Trilobiten sind trotz der genauesten Untersu- chungen in den Schiefern gefunden worden. Die un- mittelbare Berührung der Schiefer mit dem Unguli- tensandstein in den Prof. Il, V und XIII ist schon erwähnt worden, aber ausserdem erscheint dieser Sandstein in den Prof. III und IV, und grosse plat- tenfürmige Bruchstücke des letzteren finden sich noch bei den Entblüssungen XIV und XV. Der Ungulitensandstein erscheint hier als ein ziem- lich loses, schwach cementirtes Gestein mit Ausnahme seiner Platten, die in einzelnen Bruchstücken den zu Tage tretenden Thon bedecken. Er ist gelblich, grau, grünlichgelb (Prof. IT) oder grünlichgrau (Prof. II) gefärbt. Die Oberfläche der Bruchstücke des losen Sandsteines ist gewôhnlich von einer rothen eisen- schüssigen Kruste bedeckt. Im losen Sandsteine fin- den sich ziemlich selten vertheilte Schalen von Obolus und Schmidtia, die fast in allen Entblüssungen des Ge- steins angetroffen wurden, aber in den erwähnten ein- zelnen Platten des festen Sandsteines in bemerkens- werther Menge und Erhaltung vorkommen, wobei Schmidtia celata Volb., in Begleitung von XKeyserlin- gia reversa Vern., Keys. Buchii Vern. und Helmer- senia sp.”) auftritt, so dass auf diese Weise nicht selten auf einem kleinen Gesteinsbruchstück fast alle 5) Wie bekannt, hat Pander der von ihm creirten Gattung Key- serlingia keine Species-Bezeichnung gegeben. (Bull. de l’Acad. de St -Pét, 1861, III, 48). Die am Lowat angetroffenen Muscheln dieser attung, ebenso wie auch der grôsste Theïil der im baltischen Gebiet vorkommenden, gehôren scheinbar zu einer Art, die man als Keyser- lingia Panderi bezeichnen kônnte. Ausserdem müsste, nach Pander, . ie von Jeremejew als Siphonotreta Ladogensis (Verh. d. Min. Ges: 1855—56, 73, 80) beschriebene Form zu derselben Gattung ge- rechnet werden. Die beiden angeführten Arten unterscheiden sich sehr gut unter einander, Der Schlossrand von Keys. Panderi n. sp. bildet einen stumpfen Winkel von 110—120° und die grôsste Breite is Muschel befindet sich in der Mitte der Schalen. Bei Keyserlingia adogensis Jerem. dagegen ist die grüsste Breite am geradlinigen oder sehr stumpfwinkligen Schlossrande und diese sich auch, wie es scheint, durch eine geringere Grüsse aus. Form zeichnet 47% des Sciences de Saint-Pétersbourg. 47s Vertreter des Ungulitensandsteines vorhanden sind. Gewübnlich finden sich die zahlreichsten Reste in den oberen Schichten des in Rede stehenden Sandsteines, da aber diese Schichten hier unmittelbar untersucht werden konnten und sich nicht reichhaltig an Verstei- nerungen erwiesen, die erwähnten Sandsteinplatten dagegen in grosser Menge den zu Tage tretenden Thon bedecken, so bin ich der Ansicht, dass der feste Sandstein hier in der engsten Berührung mit dem Thon entwickelt ist. Der Thon tritt hier nur an zwei Stellen auf, am linken und rechten Ufer des Lowat und hat eine gelb- lichgrüne (Entbl. XIV) oder blaugrüne (Prof. XV) Farbe. Organische Reste sind im Thon nicht gefunden worden. Beim Dorfe Kunitzy am Lowat sind nun folgende silurische und cambrische Schichten in der Richtung von oben nach unten angetroffen worden: Glaukonit-Kalkstein, entblôsst bis . 0,9 M. Ghautogisand is 2 UN 0,7 » RARES TON US EN Nr 4 » DinDee FROM Cr ? Alle diese Schichten beobachtet man hier nur auf einer Strecke von 50 M. (von dem Prof. VII bis zum Prof. XIV). Die horizontale Lagerung der Schichten ist gestôrt und letztere bilden flache Falten, die in Fig. 4 darge- stellt sind. (Vielleicht müsste die Form der Falten etwas verändert werden, da einige Profile (z. B. I) Einstürzungen darstellen. An der nächstfolgenden Biegung des Lowat befinden sich Stromschnellen, in welchen, im Niveau des Was- sers, wie unter demselben Platten von Glaukonitkalk- stein beobachtet werden künnen, die ein schwaches Fallen nach NW besitzen. Sie enthalten auch Verstei- nerungen, aber in Folge der grossen Schwierigkeiten sie zu erlangen, konnten keine guten Exemplare zur näheren Bestimmung herausgeschlagen werden. Diese Platten sind von erratischen Blücken übersät. _ Auf der Karte Fig. 5 ist zu sehen‘), dass unmittel- bar hinter den beschriebenen Profilen am linken Ufer des Lowat oberdevonische Thone und Sandsteine auf- 6) Alle Entblôssungen, die in dieser Figur eg und nicht mit Cm (Cambrische), S, (Untersilurische) oder D, (Mitteldevonische) bezeichnet sind, gehôren zu den Aufschlüssen der oberdévonischen Ablagerungen. | hohen Entblüssung, auf. treten, die weiterhin sehr oft in den Ufern dieses Flusses in horizontalen Schichten aufgeschlossen sind. Es bleibt nur zu erwähnen, dass neben der Ent- blüssung des blauen Thones am rechten Ufer des Lo- wat ein Kalksteinstück gefunden wurde, das keinen Glaukonit enthielt, dagegen aber Sérophomena sp. und ein Pygydium von Asaphus expansus, die auf einen hüheren Horizont als der Glaukonitkalkstein hinweisen. Flussaufwärts am Lowat beim Dorfe Siwzowa in einer Gegend, in welcher nur diluviale Entblüssungen vorkommen, fanden sich gleichfalls Kalksteinstücke mit Asaphus sp. Später wird es sich vielleicht erweisen, dass hier auch unter dem Diluvium silurische Ablage- rungen verborgen sind. Unterhalb des Dorfes Kunitzy treten oft in den Ufern des Lowat, ausser den diluvialen Schichten noch oberdevonische Ablagerungen (hauptsächlich Sand, Sandsteine, Thone und Mergel) zu Tage, welche in Fig. 5 fast bis zur Gränze des Nowgorod’schen Gou- vernements angegeben sind. Nur an zwei Stellen wech- seln diese Ablagerungen mit anderen entblüssten Ge- steinen ab. An einer derselben unterhalb des Dorfes Maksimowa, 8 Werst von der Stadt Cholm, am linken Ufer des Lowat ist der silurische Glaukonitkalkstein aufgeschlossen, dessen Schichten nach NW, h. 6, streichen und nach SW fallen, wobei sie in der Rich- tung des Fallens gebogen sind; der Fallwinkel schwankt zwischen 13° und 17°. Die Länge des Aufschlusses beträgt ungefähr 14 M. Die Ansicht dieses Profils flussaufwärts ist in der Fig. 7 dargestellt. Der Kalk- stein ist hier mehr oder weniger thonig, hat entweder eine graue, grünliche oder rôthliche Farbe und enthält Glaukonitkôrner. Die einzelnen Schichten dieses Kalk- steines sind 4 Cm. dick, aber einige auch 11 Cm.; Ver- steinerungen sind hier selten. So fanden sich hier nur einige Exemplare von Megalaspis planilimbata Ang. und ebenso Asaphus (od. Megalaspis) sp., Orthis parva Pand., Orthisina plana Pand. und Orthoceras wa va- atiss Schl. Die ersten Anzeichen der oberdevonischen Thone bemerkte man am linken Ufer ungefähr 100 M.un- terhalb der Entblôssung des Glaukonitkalksteines; noch weiter abwärts hinter dem Dorfe Skarujewa treten schon ganz horizontale gestreifte Thone und gelber | ct Sandstein in einer von dem Niveau des Lowat 4 M. 479 Bulletin de l’Académie Impériale 480 Hier kann man folglich ebenso wie beim Dorfe Ku- nitzy annehmen, dass die silurischen Schichten von den oberdevonischen sandigen Ablagerungen bedeckt werden. Die bei den Dürfern Kunitzy und Maksimowa be- schriebenen Durchschnitte sind bis jetzt im ganzen Pskow’schen Gouvernement die einzigen Aufschlüsse der Yordevonischen Sedimente. Ausser der ganz unerwarteten Entdeckung der silu- rischen und cambrischen Ablagerungen in dem ge- nannten Gouvernement, sind auch folgende daselbst beobachtete Data von grossem Interesse: 1) Die Beständigkeit des petrographischen Charak- ters fast der ganzen hier entwickelten Schichtenreihe in einer so grossen Entfernung von dem silurisch- cambrischen Hauptgebiet, wobei sogar auch solche unbedeutende Ablagerungen vorhanden sind, wie z. B. der Glaukonitsand, der bei Kunitzy nicht mehr als 0,7 M. entwickelt ist. Hierbei muss jedoch bemerkt werden, dass in den Sandsteinen der baltischen Pro- vinzen, die unter dem Dictyonema-Schiefer lagern (wie bereïits schon mehrmals vom Ak. Schmidt und Ande- ren nachgewiesen wurde), nur in den obersten Horizon- ten Versteinerungen vorkommen; die unteren Hori- zonte dieser Sandsteine, die stellenweise ziemlich mächtig entwickelt und fast fossilienleer sind, erschei- nen mit dem blauen Thon durch abwechselnde Lage- rung so eng verbunden, dass eine scharfe Trennung derselben nicht môglich ist. Es ist anzunehmen, dass die unteren Sandstein-Horizonte den oberen Theilen des blauen Thones aequivalent sind and dass an ver- schiedenen Stellen des baltisch-cambrischen Beckens, die thonigen Ablagerungen nicht gleichzeitig durch _ die sandigen ersetzt wurden. An dem Lowat ist die. Ablagerung der unteren Sandstein-Horizonte gar nicht erfolgt; hier ist dieser Sandstein bis zum Horizont mit Obolus und Schmidtia durch den Thon ersetzt, daher erscheint er hier nur wenig entwickelt und an der Be- rübrungsfläche mit dem Thone sebr reich an Verstei- _ nerungen. 2) Die zahireichen und Dane Mgr Formen im Ungulitensandstein. 3) Die gestürte Lagerung, die nicht durch locale = Ursachen ie werden kann, wie z. B. durch Ein- . stürze u. s 4) Die. icone re der in Rede stehenden silurischen Sedimente von den oberdevo- nischen Schichten. 5) Die Beziehungen, in welchen die Pskow’schen Schichten zu den aequivalenten Ablagerungen in Esth- land und im Gouv. St.-Petersburg stehen. Wie bekannt haben die baltischen silurischen und cambrischen Ablagerungen, ungeachtet ihrer scheinbar horizontalen Lagerung in den einzelnen Profilen ein Fallen nach Süden, in Folge dessen bemerkt man im cambrischsilurischen Gebiet in der Richtung von Nor- den nach Süden einen allmähligen Übergang von den ältesten Schichten zu den neueren. Akademiker Schmidt u. A. haben schon ôfters dar- auf hingewiesen, dass die obersten silurischen Schich- ten nur an der Westgränze des erwähnten Gebietes zu beobachten sind; in der Richtung nach Osten aber be- decken die devonischen Ablagerungen die nach einan- der folgenden älteren Horizonte dieses Systems, so dass am südôstlichen Ufer des Ladoga-Sees, (was unter An- derm aus den UntersuchungenInostranzew’s amSjass- kanal zu ersehen ist), die devonischen Schichten schon unmittelbar die unterste cambrische Ablagerung, den blauen Thon überlagern. Es ist aber nicht bekannt, ob von diesen ôstlichen Theilen des silurischen Gebie- tes alle diejenigen silurischen Schichten, die weiter im Westen entwickelt sind, sich auch nach Süden verbrei- ten. Nach dem petrographischen und palaeontologi- schen Charakter der letzteren zu urtheilen, müsste der grüsste Theil derselben sich auf eine mehr oder weni- ger bedeutende Strecke fortsetzen, aber sie wurden zum Theil und stellenweise vielleicht vollständig durch Denudation zerstürt; dieselbe erfolgte in der Epoche der unterdevonischen Ablagerungen, als die in Rede stehende Landesfläche zum Festlande wurde, und in der mitteldevonischen Epoche, als das Meer dieses Gebiet von Neuem bedeckte. - Die hier betrachteten Verhältnisse zwischen den silurischen Ablagerungen am Lowat und dem Haupt- gebiet ihrer Verbreitung wird durch den beifolgenden idealen geologischen Durchschnitt (Fig. 6) im Meridian des erwähnten Flusses und des Wolchow’s dargéstellt. Die untersten Schichten dieser Ablagerungen, die in der Parallele von St. Petersburg zu Tage treten, fallen so tief unter der Oberfläche ab, dass sie selbst von den Bohrlüchern in Staraja Russa (an 226 M.) nicht erreicht werden und treten dann wieder auf einer LL des Sciences de Saint-Pétersbourg. 482 bedeutenden absoluten Hühe im Pskow’schen Gou- vernement und bei Wischni- Wolotschek im Gouv, Twer zu Tage; an dem letzteren Ort ist der von Bock entdeckte untere silurische Kalkstein von den Ablage- rungen des carbonischen Systems umringt. Diese bei- den Punkte befinden sich in einer, den Entblôüssungen der untersilurischen und cambrischen Schichten im Gouv. St.- Petersburg parallelen Linie. Auf diese Weise kann man-annehmen, dass die cam- brischen und silurischen Schichten vor der Ablagerung der mitteldevonischen Sedimente ein breites und flach- abfallendes Becken oder eine breite Mulde bildeten, wobei die erwähnten zu Tage tretenden Schichten am (südsüdüstlichen) Rande dieses Beckens einstweilen nur an zwei Stellen beobachtet worden sind. Die in Rede stehenden Schichten sind ungleichmässig ausge- waschen und von den mittleren und oberdevonischen Ablagerungen (Lowat), wie auch von denen des carbo- nischen Systems, einschliesslich der oberen Etage des letzteren (Gouv. Twer), übergreifend bedeckt. FT AT ALT | Ausser dem Obengesagten folgen hier noch einige kurze Bemerkungen über die devonischen Ablagerun- gen am Lowat und über die carbonischen an der Düna. Unter den ersteren verdienen ein besonderes Inter- esse die mitteldevonischen Ablagerungen, die in der Näühe der Stadt Cholm (an einer Stelle, die auf der Karte Fig. 5 mit D, angezeigt ist) als Sandstein, Mer- gel und grauer Kalkstein zu Tage treten und in der Stadt Welikije Luki, wie flussaufwärts am Lowat aus dolomitischem Kalkstein oder Dolomit, Mergel mit Zwischenlagen von Gyps und Thon bestehen. Wie bei der Stadt Cholm, so auch oberhalb von Welikije Luki sind die Gesteine stellenweise sehr reich an Spirifer Anossofi Vern.”). Beim Dorfe Ribjak und Andrei- kowa erscheint diese Form nur in Steinkernen, aber bei Cholm in vollständig erhaltenen Muscheln, auf de- nen zuweilen Spirorbis omphalodes Gldf. zu bemer- ken ist. Wie schon Tschernyschew erwähnt, ist Spérifer Anossof, der zum ersten Male im dkyonischèn Haupt- verbreitungsgebiet am Lowat gefunden worden ist, 7) Bei Welikije Luki ist Spirifer Anossofi schon von Wenjukow gefunden worden. Die Fauna d. dev. Syst., 1886, p. 82, 259. Tome XXXI. sehr charakteristisch für den oberen Horizont des Mit- teldevons *). Die jüngeren devonischen Ablagerungen sind bei Welikije Luki durch Denudation zerstürt wor- den. Im Cholm'schen Kreise erscheinen sie als ober- devonische Thone, Sandsteine und Mergel (zum Theil als Kalksteine), die nach Tschernyschew Glyptolepis leptopterus Ag. enthalten. Auf diese Weise entspricht in erwähnter Gegend die Gränze zwischen der sogenann- ten «oberen devonischen Sandsteinetage» und der «Kalk- steinetage» fast vollkommen der Gränze zwischen dem Mittel- und Oberdevon, während in anderen Gegen- den des russischen devonischen Verbreitungsgebietes, die erwähnte petrographische Gränze zwischen den Etagen hôher hinauf in das Oberdevon reicht, so z. B. an einigen Stellen des Schelon; im sogenannten südüst- lichen devonischen Gebiet erhebt sich diese Gränze, wie bekannt, bis zu den carbonischen Ablagerungen. Im St.-Petersburger Gouvernement sinkt die untere Gränze der oberen Sandsteine im (Gegentheil in das Mitteldevon, wo in dem sogenannten nordôstlichen devonischen Gebiet die erwähnte Etage schliesslich in die unteren Sandsteine übergeht. In Bezug auf die devonischen Ablagerungen des Cholm’schen Kreises muss ich noch erwähnen, dass beim Profil, in welchem die Kalksteine mit Spirifer Anossofi zu Tage treten, Sandsteinstücke gefunden wurden, die mit Pseudomorphosen dieses Gesteins nach Steinsalz angefüllt waren und dass in dem in der Nähe entblôüssten grauen Mergel (s. das Profil bei Tscher- nyschew D,a°) das Auftreten von Kupfererz (Kupfer- grün) bemerkt wurde, das zuweilen als pseudomor- phische etwas verunstaltete Krystalle erscheint, die scheinbar Hexaeder darstellen. An der Gränze des Pskow’schen und Smolenskischen Gouvernement ist das Auftreten von carbonischen Ab- lagerungen!°)schon seit längerer Zeit bekannt. Obgleich ich noch auf einige Entblüssungen dieser Ablagerun- gen, die bis jetzt noch nicht beschrieben worden sind, hinweisen kônnte, beschränke ich mich einstweilen 8) Verhandi. der russ. Kais. Mineral. Ges. 1886, XXII, S. 335. 9) Verhandi. der Min. Ges. XXII, S. 356. 10) Ditmar, Bericht über die geogn. Untersuchungen in den Kreisen Ostaschkow, Rschew, Kaschin, Beschetzk und We ssiegonsk. Mat, z. Geol. Russ]. IIE, S. 69 82 483 Bulletin de l’Académie Impériale is# nur auf einige Bemerkungen über die Profile beim Kirchdorfe Dubno. Hier tritt am rechten Ufer der _ Düna (Fig. 8) an dem Knie, unterhalb der Kirche im Niveau des Wassers ein Kalkstein zu Tage, dessen ho- rizontale Schichten unter der Wasserfläche bis zu 1 Meter zu beobachten sind. Am Ufer bilden diese Schichten einen ganz ebenen Boden, der weiterhin steil abfälit. In dem Kalkstein fand ich ausser einer undeut- lichen Koralle, noch ein kleines Exemplar von Pro- ductus giganteus Mart. Hüher am Uferabhange er- scheint ein heruntergerutschter blaugrauer Thon. In einiger Entfernung vom Ufer, auf einer hôüheren Stelle treten von Neuem Kalksteinentblôüssungen (gewühnlich künstliche) auf, wie z. B. an der Mühle. Bei Dubno wird dieser Kalkstein gebrochen und ebenso wird hier auch der unter dem Kalkstein liegende Thon gegraben, der mit dem an der Düna entblüssten identisch ist. Die Mächtigkeit des Kalksteins in den vom Ufer ent- fernteren Gruben erreicht mehr als 6 Meter. Er ent- hält viele grosse Muscheln von Productus giganteus Mart. und stellenweise auch Stielglieder von Crinoi- deen. Der im Kalkstein eingeschlossene Feuerstein ist gewôühnlich von dem ersteren nicht scharf getrennt. Der Thon führt Schwefelkiesknollen (sogenannten «Ro- gatsch»), die gewühnlich sehr klein sind, aber zuweilen (der Aussage der Arbeiter nach) bis 5 Pfund wiegen, - und ausserdem auch Steinkohlenstückchen. Der Thon, der hier zur Bereitung von Geschirr gegraben wird, - bildet eine Schicht von ungefähr 1,72 Meter Mäch- tigkeit; unter demselben liegt nach der Beschreibung der Arbeiter ein thoniger Sand. Die bei Dubno aufgedeckten Sand und Thonschich- ten werden gewôhnlich zur unteren kohlenführenden Etage des carbonischen Systems gerechnet, aber die Parallelisirung der, in Fig. 8 dargestellten einzelnen _ Entblüssungen beweist, dass die Thonschichten eine der Etage mit Productus giganteus untergeordnete Ab- lagerung darstellen. Diesem Umstande ist unter An- derem auch zuzuschreiben, dass in diesem Thon unge- achtet der zahlreichen und an vielen Stellen angeleg- ten Gruben, bis jetzt keine Steinkohlenschichten an- … getroffen worden sind, während das Auffinden der = Jetzteren an den Gränzen des kohblenführenden Mos- __ kauer Beckens, im Bereiche der Gouvernements Pskow und Smolensk sehr müglich ist. Aus Allem, was wir _ über die carbonischen Ablagerungen an der Gränze des Pskow’schen Gouvernements wissen, kann man schliessen, dass diese Ablägerungen sich in Form eines breiten Streifens in das Innere des Gouvernements auf eine Strecke von 10—15 Werst fortsetzen und dass, _sowohl an den Gränzen dieses Streifens, der fast über- all von diluvialen Schichten bedeckt ist, als auch in seiner ganzen Ausbreitung (aber in verschiedener Tiefe), das Antreffen von Kohlenlagern zulässig ist. Man kann sich davorn sehr leicht durch Bohrungen über- zeugen, aber ich glaube nicht, dass bei den vorhande- nen ükonomischen Verhältnissen des, in Rede stehen- den Theiles des Pskow’schen Gouvernements, die Kohle mit Gewinn abgebaut werden kann. Die Reïhe an sie kann erst in späteren Zeiten kommen. Über einige graphit- und granatführende metamor- phische Gesteine des Urals. Von A. Karpinsky. (Lu le 2 décembre 1886.) (Mit einer Tafel.) Die Lehre von dem metamorphischen Ursprung der krystallinischen Schiefer findet gegenwärtig, wie be- kannt, immer mehr und mehr Gegner. Desto interes- santer und wichtiger ist das Auftreten solcher Ge- . steine, deren metamorphischer Character keinem Zwei- fel unterliegt. Im Ural kennt man mehrere solcher Fälle, die in dieser Beziehung sehr bezeichnend sind, aber ich führe hier nur einen der bemerkenswerthe- sten an und weise namentlich auf die metamorphisirten Gesteine des carbonischen Systems hin, die beim Flüss- chen Bagarjak in der Nähe des Kirchdorfes Bajew- skoje am Ostabhange des mittleren Urals zu Tage treten. Diese Gegend ist den Mineralogen durch das Vorkommen daselbst von Wolfram, silberhaltigem Bleiglanz, Graphit u. s. w. bekannt, ist aber in geolo- gischer Beziehung noch nicht genügend untersucht worden. Eine ausführlichere Beschreibung derselben wird in meinem Werke «Geologische Untersuchungen am Ostabhange des Urals» gegeben werden; hier aber fübre ich nur die wichtigsten von den erwähnten me- tamorphischen Gesteinen an, indem ich eins von den letzteren ausführlich beschreibe. Schon früher habe ich darauf hingewiesen!), dass 1) Berg-Journal 1880, I, S. 86. A.Karpinskv. Z Geolosie d.Gouv. Pskow. ï Es La sand. hp rés ex. Schrefet. Eu: CRE, . SP D 0 Ex À Se ir RE À EEE AU — : PSE À an à Le pres = aise. < 16 a. > sig Ba ré LnorliÀ - conflit = Tu. PE PRET TT TES : TU a - are ns ee mu a Ba Lo wat eee D SE LR, ——— > — 2 — rm Th RUE -Sant, a . ee er Bu Ne, =: RE Le Sand “AR HET UMR DS is a Ve ©. 2 Re IN 25 102. pastis pr et LE DNS ——— >= "hi i (anses ie APE EN DAT Lowat. a A Tien À US 4 PC > RE PPORE à Æ ÿ LL mnt 4 Semdst. | . 6 6 Heat Devon. 3 Sands HR TT ns vert aoga Welsi ME | nr | : H qu ji LA D. nn a Lu LL 485 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 486 das carbonische System am Ostabhange des mittleren Urals in drei Etagen eingetheilt werden kann. Die obere ist aus kalkigen Thonschiefern, Sandsteinen, Conglomeraten, Kohlenschiefer, Gyps u. a. zusammen- | gesetzt; die erstgenannten Gesteine sind die vorherr- schenden. Die mittlere Etage besteht aus Kalksteinen mit Productus giganteus Mart. u. a., und die untere — vorzüglich aus Thonschiefern, Schieferthone und Sandsteinen mit Pflanzenresten. In dem angeführten Artikel ist erwähnt worden, dass die in Rede stehenden Gesteine stellenweise me- tamorphisirt sind: die Kohlenschiefer in Graphitschie- fer u. s. w. und eine solche Umwandlung z. B. am Fluss Bagarjak, beim Kirchdorfe Bajewskoje zu beobachten ist. Hier treten auf der ganzen Strecke bei den Dürfern Larino, Mylnikowo, Bajewskoie, Fa- dina, Melnikowa und weiter bis hinter das Dorf Brjuchanowa von den Ufern des Bagarjak Entblôs- sungen der metamorphisirten und normalen Ablage- rungen des carbonischen Systems auf, die stellenweise durch massige Gesteine (Porphyrite) und durch Ge- steine problematischen Alters und Ursprungs unter- brochen sind. Unterhalb Larino und Mylnikowo sind schiefrige kalkige Gesteine entwickelt, die meiner Ansicht nach veränderte kohlige und gewôhnliche Kalkschiefer der oberen Carbonetage darstellen. Zuweïilen nehmen sie eine marmorartige Structur an, wobei die kohlige Sub- Stanz in Graphit verwandelt ist; zuweilen aber erschei- nen im Gestein eine Menge Granate, oder es bilden sich in demselben Individuen von Biotit und Quarz; auf das letztere Gestein passt vollkommen die Bezeich- nung Kalkglimmerschiefer. An vielen Stellen enthalten diese Gesteine Crinoïdeenreste, die sogar in den er- wähnten glimmerhaltigen Schiefern sehr häufig vor- kommen. Die Ablagerungen der unteren Etage sind viel stär- ker verändert, so dass sogar einige Forscher, die die- selben anstehend beobachtet haben, diese Gesteine nicht als zum carbonischen System angehôrig zu be- trachten wagten, obgleich sie unmittelbar von den _ Kaïksteinen mit zahlreichen Muscheln des Productus giganteus und Korallen bedeckt werden. Aber das Vor- | kommen in dieser Gegend zahlreicher Übergangsge- steinsvarietäten zu den unveränderten Ablagerungen, und besonders der organischen Reste liefert den augen- scheinlichsten Beweis für die Angehôrigkeit der in Rede stehenden Gesteine zum carbonischen System. Dort, wo die Sandsteine nur wenig verändert sind (bei Brjuchanowa), enthalten sie verhältnissmässig nur seltene Individuen, wie auch stern- und garbenfür- mige Gruppen von Hornblende, aber in stärker meta- morphisirten Gesteinen findet sich dieses Mineral in s0 grosser Menge, dass die vom ursprünglichen Sand- steine entfernteren Varietäten, die hauptsächlich aus kôrnigem Quarz und verhältnissmässig grossen Kry- stallen der stark pleochroitischen Hornblende bestchen, ein dioritartiges Aussehen erhalten. Ausser den erwähnten Mineralen enthalten diese Gesteine zuweïlen eine unbedeutende Menge von Or- thoklas und Plagioklas, wie auch das glimmerartige Mineral, das besonders stark in den ursprünglich tho- nigen Gesteinen vertreten ist. Einige veränderte Schie- fer bestehen hauptsächlich aus diesem Mineral und kleinen Hornblendeindividuen. Die Schieferthone, die eine grosse Menge kohliger Substanz enthielten, sind, wie schon oben erwähnt wurde, in Graphitschiefer verwandelt worden. Die Beziehungen zwischen den veränderten und verhältnissmässig wenig metamorphi- sirten Gesteinen sind besonders beim Dorfe Fadina zu beobachten, wo die Schichten des eigenthümlichen Anthracites (an 1,3 M. mächtig) schon mehrmals unter- sucht worden sind; der letztere enthält nach der Ana- lyse von Prof: Jossa nur 0,38, Wasserstoff und (nach den Untersuchungen von Nikolajew) zuweiïlen etwas Graphit. Dieser Anthracit tritt in Begleitung von Gra- phitschiefer auf, der sogar als Graphit von niedriger Qualität ausgebeutet werden kônnte. Direct in diesem Schiefer finden sich stellenweise zahlreiche Pfanzen- abdrücke, obgleich das Gestein nicht die mindeste Spur von amorpher kohliger Substanz enthält, die vollstän- dig in Graphit verwandelt ist. Das beweist die Unter- suchung des Gesteins vermittelst stark oxydirender Substanzen (einer Mischung von Bertholetsalz und Sal- petersäure) nach der Methode von Brodie. In diesem Falle bilden sich gar keine lôsbare Huminsubstanzen, dagegen erhält man eine grosse Menge Graphitsäure (C;,H,0,)°). In Schiefern, die nur eine verhältnissmäs- 2) Brodie, Phil. Transact. v. 149, 1859, I, 249. Ann. d. Chemie u. Pharm. 1860, CXIV, 6. Gottschalk, Journ. f. pract. Chem. 1865. XCV, 321. Berthelot, Comptes-rendus, 1869, LX VII, 188, 259ete. | 32* … 487 Bulletin de l’Académie Impériale 4188 sig geringe Menge kohliger Substanz enthalten, sind die Pflanzenreste am besten erhalten. Unter den hier angetroffenen Formen konnten folgende bestimmt werden: Stigmaria ficoides Brgn. Lepidodendron Glincanum Eichw. Sphenopteris rutaefolia Eichw. Aneimites Sp. Das Vorkommen von Pflanzenabdrücken in den me- tamorphisirten graphitführenden Gesteinen hat eine sehr wichtige Bedeutung für die Erklärung der Frage über die Genesis der Graphitlager; aber dieses Vor- kommen wird, wie zu erwarten war, sehr selten beob- achtet. Ausser dem Ural kann man noch z. B. auf die nordôüstlichen Alpen *) und die Umgegend von Wor- cester in Massachusetts) hinweisen, wo die metamor- phischen Gesteine nach den Pflanzenresten zu urthei- len zu den carbonischen Ablagerungen gehüren. Unter diesen metamorphisirten Gesteinen verdient ein nicht geringes Interesse ein schiefriger graphithal- tiger Kalkstein, der mit kleinen Granatkrystallen an- gefüllt ist; diese Krystalle erscheinen in Folge einer oberflächlichen Graphithülle ganz schwarz, sind aber im Innern vollkommen farblos. Die Grüsse der als Do- decaëder ausgebildeten Krystalle ist gewôhnlich unge- fähr 1 Mm.; aber zuweilen erreichen sie auch 6 Mm. Die Graphittheïlchen sind im Gestein ungleichmässig vertheilt; stellenweise ist diese Vertheilung ganz un- regelmässig, aber gewôhnlich wechseln äusserst dünne Gesteinslagen, die sehr reichhaltig an Graphit sind, mit solchen, die diese Substanz nur wenig enthalten, ab, so dass bei Anfertigung eines Dünnschliffes aus diesem Gestein senkrecht zur Schieferung , das Gestein in demselben feingestreift erscheint. Die Streifen sind etwas wellenfürmig gebogen, aber sie verlaufen alle in einer und derselben Richtung. Ihre Biegungen be- 3) Stur, Funde v. untercarbonischen Pflanzen d. Schatzlarer Schicht. etc. Jahrb. d. k. k. geol. R.-Anst. 1883, XXIII, X 1, 189. Foullon, Über die petrogr. Beschafl d. kryst. Schiefer d. untercarb. Schicht. Ib. Eé 4) Perr Note on à Foss. Coal Plant found in Micaschist at Worcester, RE) J. 1885, XXIX, X 170, 159. ebr bemerkenswerth ist die neue Edechate fossiler Pflanzen im Gneïss. Société géol. Suisse, d. 1. cinqu. réun. ann en Août 1886 à Genève. D’ Fellenberg: Tronc d'arbre fossile dans le gneiss du Haslithal, p. 37; Prof. Baliner. Tronc d'arbre trouvé d. le gneiss et le profil de Ja ‘Grimsel. merkt man namentlich in der Nähe der Granatkrystalle, wobei die Gesteinslagen ôfters fast perpendiculär zu den Flächen dieser Krystalle gerichtet sind (ohne sie zu umhüllen, wie das gewühnlich bemerkt wird). In Fig. 1 sind diese Verhältnisse zwischen der Schie- ferung und den Granatkrystallen stark vergrôssert (30 M.) dargestellt. Der im Gestein enthaltene Graphit besitzt einen solchen Character, dass er von einer amorphen koh- ligen Substanz nicht zu unterscheiden ist. Daher ist er vermittelst der Reaction Brodie-Berthelot be- stimmt worden, bei welcher nur Graphitsäure und gar keine Spuren von Huminsubstanzen erhalten wurde. Diese Methode wird bis jetzt verhältnissmässig sel- ten zur Unterscheidung der fossilen Kohlensubstanzen angewandt, wenn die letzteren als selbständige Ge- steinsbildungen erscheinen ; bei Gesteinen aber, die diese Substanzen in unbedeutender Menge enthalten und von denen einige sogar, wie bekannt, ziemlich oft durch dieselben gefärbt erscheinen, wird diese Me- thode gewühnlich ganz ignorirt. Die Bestimmung dér Zusammensetzung der erwähnten Substanzen kann vermittelst der chemischen Analyse die Frage in Be- treff des krystallisirten oder amorphen Zustandes des Kohlenstoffes nicht genau entscheiden, da die Analysen des Graphits zuweilen auch ein gewisses unbedeuten- des Quantum von Wasserstoff nachweisen (vielleicht in Folge der Ungenauigkeit der allgemein angenom- menen Methode der Analyse: $S. z. B. Jüptner. Osterr. Zeitschr. f. Berg. u. Hütt. M 41, 1884, 592). Als Beiïspiel kann man die von Sauer als Gra- phitoid beschriebene kohlige Substanz anführen, deren wirkliche Natur noch nicht genau festgestellt ist. Zur Lüsung einer solchen Frage kann die Brodie’sche Reaction dienen. Bei Untersuchung kohlenführender Gesteine muss man der Klarheit der Reactionen hal- ber, so auch'in Betracht des môüglicherweise gleich- zeitigen Vorhandenseins von Graphit und amorphen Kohlenstoffes zuerst die kohlige Substanz zu concen- triren oder aus dem Gestein auszuscheiden suchen. Zu diesem Zwecke bearbeitet man eine mehr oder weniger grüssere Menge des Gesteins gleichzeitig oder nach .|emander mit Fluor- und Chlorwasserstoffsäure oder Schwefelsäure, oder schmilzt das Gestein mit Na,CO; und bearbeïtet es mit Salzsäure. Die auf diese Weise 489 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 490 ausgeschiedene Substanz untersucht man nach der Methode von Brodie-Berthelot”) Nach der Analyse, die auf meine Bitte der Labo- rant am Berginstitut P. Nikolajew gemacht hat, ist die Zusammensetzung des in Rede stehenden Granats folgende: Kieselsäure: ... : .. 37,12 Thonerde. 8: 21,31 Eisenoxydul . .... 8,82 Manganoxydul. . .. 25,83 Kaki our ran 5,72 Magnesia ....... 0,94 99,74. Aus dieser Analyse ist zu ersehen, dass das Mineral eine isomorphe Mischung verschiedener sogenannter Thongranate darstellt, wobei der Mangangranat den Hauptbestandtheil bildet. Berechnet man aus der angeführten Analyse die elementare Zusammensetzung des Minerals (1) und drückt den Procentgehalt der Elemente in Aequiva- lenten (IT) aus, erhält man: L IL. puce 17,32 0,618 AT ii 11,34 0,415 perte 6,86 0,122 Mate 20,00 0,363 à EE 408 0,102 Mproies 0,56 0,023 un 39,56 2,472. Das Verhältniss der zweiwerthigen Elemente zu Al, Si und O kann folgendermaassen ausgedrückt werden: Mr di 0 nie LU 0,610 : 0,415 : 0,618 : 2,472 oder Las 1 1,53 : 5,95 d. h. fast ; 3:2:9142, was der typischen Formel der Granate entspricht: R;' AL SL 0. 5) Karpinsky, Material z. Kenntn. d. petrogr. Untersuchungs- method. 1884. Die angeführte Bearbeïitung mit Säuren oder die Schmelzung mit Na,CO,, die keinen Einfluss auf den Graphit aus- üben, kônnen die Eigenschaften einiger amorpher kohliger Sub- stanzen verändern; da die letzteren aber dabeï sich weder in Graphit verwandeln, noch ganz zerstôrt werden, so erreicht die angeführte Method e der Concentrirung der kohligen Substanz vollkommen ihren Zweck Wenn man aber die aequivalente Quantität des Mag- niums als Einheit annimmt, so wird das Verhältniss aller übrigen das Mineral zusammensetzender Elemente durch folgende Zahlen ausgedrückt: Mg : Ca Fe: Mn: "Al"; M. V 1:4,434:5,304:15,782 : 18,043 : 26,87 : 107,48 oder fast PRES | 11 31 36 54 215. Diese Data entsprechen der Formel: 31 (3 MnOALO, 3 SiO,) 11 (3 FeOALO, 3 SiO,) (A)°) 9 (3 CaOALO, 3 SiO,) 2 (3 MgOALO, 3 Si0,) oder einer isomorphen Mischung bestehend aus: 58,5% Mn,ALSi,0,, 20,7%, Fe,ALSi0,0,, 17,0%, Ca,ALSi,0,, 3,8%, Mg ALSiO 9 Diese Grüssen erfordern übrigens einige unbedeu- tende Correcturen, da bei der Berechnung der Ver- hältnisse zwischen den Elementen einige Abkürzungen zugelassen worden sind, ohne die die Zahlen in der Formel À verhältnissmässig zu gross gewesen wären. Viel richtiger ist das Procentverhältniss der Verbin- dungen, die die isomorphe Mischung bilden: 60, Mn,ALSi,0,, 21%, Fe, Al SisO» 167, Ca; AL Si,0,, 3%, Mg,ALSi,0. Vergleicht man die hieraus berechnete Zusammen- setzung (I) mit der, die sich direct aus der Analyse ergab, so findet man, dass sie fast vollständig überein- stimmen: pod Ébiiee Differenz. MO 52: BTDS BTS 009 AO ET D. 014 VeD. 4 00984. + 0,27 MaQ 2075 2588 |--0.10 Ca0: 5,96 62 +0 Ms0O 0,89 0,94 0,05 99,87 . 99,74. 6) Oder vereinfacht # TeALSIO 6 | - ao AL Ge 491 Bulletin de l’Académie Impériale 492 Das specifische Gewicht des in Rede stehenden Gra- nats ist 4,065. In Russland kommen die Mangangranate selten vor, wobei nur einer derselben (aus den Umgebungen der Hütte Kussa, Ural), der von Prof. Lissenko analysirt wurde, sich durch einen grüsseren Mangangehalt auszeichnet’). Alle diese Granate haben eine mehr oder oder weniger dunkle rüthliche oder braune Farbe, wo- durch sie sich von den beschriebenen farblosen Gra- naten scharf unterscheiden, die überhaupt, wie be- kannt, sehr selten vorkommen. Eine noch seltenere Erscheinung bildet die mathe- matisch regelmässige Vertheilung der Einschlüsse, die in den mikroskopischen Präparaten als regelmässig sich kreuzende Linien erscheinen. Diese Einschlüsse sind in den Fig. 1—6 dargestellt. Sie sind unter dem Mikroskop sehr gut zu sehen und in den dickeren Präparaten auch vermittelst der Lupe. Die in Rede stehenden Einschlüsse bestehen aus einem Gemenge sehr feiner Graphit- und Calcittheilchen, d. h. aus den Hauptelementen des Gesteins. In Folge einer sol- chen Zusammensetzung erscheinen die Einschlüsse bei gewôhnlichem durchfallenden Lichte in der farb- losen Substanz des Minerals als pulverfürmige Linien, wobei die Kalkspaththeiïlchen nicht zu unterscheiden sind. Dagegen, bei gekreuzten Nicols verdunkelt sich die vollständig isotropische Granatsubstanz, die Gra- phiteinschlüsse sind nicht zu bemerken, während die Calcittheilchen deutlich hervortreten, und in den er- wäbhnten Richtungen helle punctirte Linien bilden. Eine ebensolche Vertheilung der Einschlüsse in den Granaten ist schon einmal von Renard in den meta- morphischen devonischen Quarziten der Ardennen beobachtet worden*). Das konnte ich aus den Abbil- dungen Renard’s°) und der Photographie des Präpa- rates dieses Gelehrten, die sich in den Cohen’schen Tafeln *) befindet, schliessen; ein Abdruck derselben ist auch in der zweiten Ausgabe der mikroskopischen 7) N. v. Re Materialen zur Mineralogie Russ- lands. IL. 2 di. 8) nan Les roches grenatifères et amphiboliques de la région de Bostogne. . dé Musée Royal d'Histoire Natur. de Belgique, 1882, I, p. 1. 9) Ib., PL. I, fig, 1 10) Cohen. Sanailahg von Mikrophotographien. Taf. LXXVIII, +, Fig. 5. standtheïlen dieser Gesteine: Physiographie von Rosenbusch ") wiedergegeben. Diese sehr bemerkenswerthe Vertheilung der Ein- schlüsse ist jedoch weder von Renard, noch von an- deren Gelehrten richtig erklärt worden. Der erstere führt folgendes an: «Ces inclusions sont généralement alignées suivant les axes cristallographiques du grenat; les trois plans suivant lesquels elles sont réparties, se coupent régu- lièrement au centre du cristal. Dans lés sections elles se traduisent par des lignes qui s’entrecroisent, et qui sont assez nettement indiquées pour être discernées à la loupé. Au microscope elles se montrent formées par des files d’inclusions plus ou moins prismatiques et orientées suivant l’axe cristallographique dont elles marquent la direction. Souvent elles sont distribuées dans les secteurs; mais alors même on remarque une orientation constante pour ces enclaves “)». Eine ebensolche Erklärung für die Vertheilung der Einschlüsse führt auch Rosenbusch an, indem er sagt, dass die in Rede stehenden Ardennen’schen Granate parallel den Hauptsymmetrie-Axen überaus zierliche Reïhen von Interpositionen zeigen. . Bevor ich zur Erklärung des wirklichen Characters der Vertheïlung der Einschlüsse in den Granaten über- gehe, muss ich bemerken, dass die Gesteine des Urals und der Ardennen, die diese Einschlüsse führen eine grosse Analogie zeigen. Sie gehüren beide zu den re- gionalmetamorphischen Bildungen und sind aus beiden Fundorten mit Graphittheilchen überfüllt (in dem Ar- dennen’schen Quarzit bildet der Graphit auch tafelfr- mige Einschlüsse); ausserdem gehürt der Granat der beiden betrachteten Gesteine zum Spessartin (enthält in dem Ardennen’schen Granat nur 14,72°/ MnO.), und schliesslich ist auch eine vollkommen identische Ver- theilung der Einschlüsse zu bemerken. Die letzteren bestehen in den Kalksteinen des Urals, wie auch in den Quarziten der Ardennen, vorzüglich aus den Be- in den Kalksteinen aus Calcit und Graphit, in den Quarziten scheinbar aus Quarz, Muscovit und Graphit. Obgleich nach Renard die Einschlüsse nur aus den beiden ersten Mineralen bestehen, unterliegt es aber, nach den. Abbildungen der mikroskopischen Präparate zu urtheilen und nach 11) Rosenbusch, Mikroskopische Physiographie der petrogra- phisch wichtigen Mineralien, 2 Aufl., 1885, 268, Taf, XIV, Fig. 3. 12) Renard, L c. p. 18. 493 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 494 der directen Mittheilung Cohen’s (dass die Einschlüsse aus amorpher kohliger Substanz bestehen), kaum einem Zweiïfel, dass in den Granaten auch Graphit vorhan- den ist *). Das Auftreten einer amorphen kohligen Sub- stanz ist meiner Ansicht nach kaum anzunehmen, da der Quarzit selbst nach Renard’s Angabe Graphit enthält und zwar zum Theïi in hexagonalen tafelfôr- migen Individuen. Hierbei muss noch hinzugefügt werden, dass auch einige Hornblendegesteine, die in den Ardennen zusammen mit granatführenden Quar- ziten vorkommen, nach der Zusammensetzung, Struc- tur und den Eigenschaften der Hornblende den oben- erwähnten Gesteinen des Urals sehr ähneln. Wenden wir uns jetzt wieder zu der Vertheilung der Einschlüsse im Granat. Sie befinden sich nicht in den drei, im Centrum des Krystalls sich kreuzenden Flächen, sondern in sechs Flächen, die dieses Centrum schneiden und jedem Flächenpaare des Rhombendo- dekaëders parallel sind. Dabei sind aber die Ein- schlüsse nicht in der ganzen Fläche im Inneren des Krystalls vertheilt, sondern nur zwischen dem Cen- trum und dem Theile der Peripherie, wo die Fläche mit den Kanten des Krystalls und nicht mit seinen Flächen in Berührung kommt, wie das in Fig. 7 abgebildet ist. (Wie bekannt, geht jeder Schnitt durch das Centrum des Krystalls parallel der Dodekaëderfläche durch die vier Kanten des Dodekaëders und die kurzen Dia- gonale zweier Flichen). Mit anderen Worten der Rhombendodekaëder zerfüllt durch die Flächen, die die Einschlüsse enthalten in 12 Pyramiden, deren Spitzen sich im Centrum des Krystalls befinden und deren Basis die rhombischen Flächen bilden. Fig. 8 u. a. stellen z. B. einen solchen in Pyramiden einge- theilten Rhombendodekaëder dar. Trotz der verschiedenartigen Figuren, die die Ein- _schlüsse darstellen und die in den Dünnschlifen der Granate beobachtet werden künnen, bilden sie alle Durchschnitte der ebenerwähnten Pyramiden. So sind n Fig. 8 Schnitte des Krystalls parallel den Flächen des Hexaëders ©o0Oco (100) dargestellt: in der Hauptfigur ist eine perspective Ansicht und in den übrigen sind die horizontalen Projectionen der ent-|. sprechenden Schnitte vwiedergegeben. Alle Durch- 13) rs RE u. erläuternde Bemerk. zu d. Sammlung v. Mikrophotographien, schnitte zwischen der Spitze des tetragonalen Winkels und der, die trigonalen Winkel durchschneidenden Fläche bilden Quadrate, die durch Diagonale getheilt sind (Fig. 8, À 1 u. 2). Die Schnitte || co0c durch das Centrum des Krystalls gelegt bilden gleichfalls ein durch Diagonale getheiltes Quadrat, dessen Seiten und Diagonale aber einen Winkel von 45° zu den Seiten und Diagonalen der obenerwähnten Quadrate bilden. Die Schnitte zwischen dem Centrum und den trigonalen Winkeln stellen Achtecke dar, deren innerer Einthei- lungscharacter in der Fig. 8 K 3 wiedergegeben ist. So bezeichnen a in Fig. 1 und c in Fig. 3 die Durch- schnitte, die den Flächen des Hexaëders annähernd parallel sind. Die Figuren 9, 10 und 11 entbinden mich der Nothwendigkeit von den Figuren der Durch- schnitte, die dem co0 (110), O (111) und 202 (211) parallel sind, zu reden. Ich füge nur noch hinzu, dass die Schnitte durch das Centrum des Krystalls parallel den Flächen des Octaëders ein regelmässiges Sechseck darstellen werden, das durch die im Centrum sich kreuzenden Linien getheilt ist (Fig. 10, 4), und die Schnitte durch das Centrum, die dem Rhombendode- kaëder parallel sind, ein unregelmässiges Sechseck Fig. 7 mit der in letzterer dargestellten Vertheilung der Einschlüsse bilden. Die dem co0 parallelen Schnitte, welche fast das Centrum berühren, kônnen in Folge. des unbedeutenden und undeutlichen centralen Rhom- ben (der allen dem ©0 parallelen Durchschnitten eigen ist) eine Figur darstellen, wie die der centralen Schnitte || O, von denen sie sich aber durch die un- gleichen Winkel zwischen den Seiten des Sechsecks, so auch zwischen den anderen Linien der Figur un- terscheiden werden. Eine entsprechende sechseckige Figur bildet der Durchschnitt durch das Centrum des Krystalls parallel dem Ikositetraëder 202. Die auf Tafel abgebildeten Granatkrystalle stellen folgende Figuren dar: Fig. 1a— Durchschnitt parallel der Fläche co0co. b— Durchschnitt || #Om, wobei m> 2. c — Centralschnitt stAherod parallel O oder vielleicht Durchschnitt in der Nähe des Centrums || co, Winkel || ©. É e— Schnitt || co0, in der Nähe des Cen- à trums des Krystalls. d — Schnitt durch die Spitzen der uns ee 495 Bulletin de l’Académie Impériale 496 Fig. 2 — Durchschnitt || O. Fig. 3a — » || co0. b — » durch das Krystalls || O. c — Durchschnitt || ©0000. Centrum Fig. 4 — » || co0On. Fig. 5 — » [| 00. Auf der Renard’schen Zeichoutg des Präparates aus dem Ardennen’schen Quarzit (1. c. pl. 1, Fig. 1) sind nur mit Ausnahme des rechten oberen Schnittes, wel- cher parallel coO und des linken unteren, welcher scheinbar parallel coOn ist, vorzüglich centrale Durch- schnitte der Granate dargestellt, die entweder parallel zu den Flächen O oder etwas schräg zu diesen letz- teren verlaufen. In den Mikrophotographien desselben Ardennen’schen .Quarzites, die auf den Cohen’schen Tafeln (Taf. LXX VIII, Fig. 3 und in Rosenbusch’s Physiographie T. XIV, Fig. 3) abgebildet sind, sind auf der rechten Seite der Figur die Durchschnitte || O0 und fast 1202 (letzterer in der Nähe des Krystallcentrums) angegeben; auf der linken Seite befindet sich ein Durchschnitt dicht beim Krystallcentrum || 0 und ein anderer |} co0n. Die oben beschriebene Vertheilung der Einschlüsse ist meiner Ansicht nach sehr bemerkenswerth; sie weist auf die Theilbarkeit der Krystalle in Formen (rhombische hemimorphe Pyramiden hin), die dem An- scheine nach dem regulären System nicht eigen sind. Eine solche Theilbarkeïit zeigt sich auch in vielen Fäl- len, in welchen die Granatsubstanz doppelt-brechend wird. Der Typus der sogenannten optisch-anomalen Granatkrystalle, die in 12 geometrisch und optisch rhombische Pyramiden zerfallen, gehôrt zu den ge- wôhnlichsten. Aus den Versuchen Klein’s, Mal- lard’s, Rosenbusch’s u. à. folgt, dass einige Sub- stanzen, die bei hoher Temperatur in Formen der hôheren krystallographischen Symmetrie erscheinen, ihre Structur bei einer niedrigeren Temperatur s0 verändern, dass diese Structur auf die Zugehôürigkeit der Substanz zu den weniger symmetrischen Formen hinweist. Wenn das Mineral anfangs zu dem regu- lären System gehürte (Leucit, u, 4.), SO wird es dop- pelt lichtbrechend. Obgleich die Erscheinung der sogenannten anomalen doppelten Lichtbrechung augenscheinlich oft gar nicht von der Veränderung der Temperatur abhängt (z. B. in den Krystallen des Alauns) und die Temperatur selbst, bei welcher die Umgestaltung einer gewissen Substanz erfolgt, sich unter dem Eïinflusse äusserer Bedingungen verändern kann “), so erscheint doch die obengegebene Erklärung für einige Minerale als eine hôchst wahrscheinliche und bestätigt sich, wie schon erwähnt wurde, durch directe Versuche, die namentlich in Bezug auf Leucit besonders über- führend sind. Die Versuche mit Granaten, die von Penfield angestellt wurden, sind nicht genau be- schrieben worden Der Bagarjak’sche Granat, der einfach lichtbre- chend bleibt, zeigt durch die Vertheilung seiner Ein- schlüsse dieselbe Theïlbarkeit, die unter günstigen Umständen bei der Veränderung der Substanz in eine doppelt lichtbrechende, sich scharf ausprägen kôünnte !), Sur l’asarone. Par MM. Benvenuto Rizza et A. Boutlerow. (Lu le 9 septembre 1886.) (27° partie.) Il y à deux ans environ ‘) nous avons publié les premiers résultats de nos recherches sur l’asarone. Les analyses de ce composé, ainsi que la détermination de la densité de vapeur *), nous ont conduit à la formule 14) Mallard et de Chatelier, Sur la variation, avec la pres- sion, de la température Fe den. se produit la transformation de Piodure d’argent. Bull. a Soc. minér. ce Fr. VII, 1884, 478, 15) Neues Jahrbuch A We 1884, II, 2 Nachrichten über den gegenwärtigen RÉ TEUR der Frage über die anomalen optischen Erscheinungen in den Krystallen, ebenso wie die einschlägigen litterarischen Angaben findet man in der Mal- lar d’schen Abhandlung: Sur les hypothèses diverses proposées pour expliquer les anomalies optiques des pers Bull. de la Soc. Fr. de Minér., 1886, IX, 54. Siehe auch fetes : Zur Frage d. opt. Ano- malien. N. Jahrb. £ Mineral., 1877, I, 4 ass die en éde der doppelten suchen an Steinsalz u. à. ausgeführt worden ist. M in der angegebenen Richtung an dem Bagarjak’schen Granat haben noch zu keinem befriedigenden Resultat geführt 2 Bulletin de l’Acad. Imp. des se. de St. Pétersbourg. T. XXIX, 4 Nous profitons de l’occasion pour relever une erreur, qui s’est glissée dans notre premier article: au lieu des densités de vapeur De rapport à l’hydrogène, nous y avons donné les poids moléculai- res; pour obtenir la densité de vapeur ces chiffres doivent par con- séquent être réduits de moitié, "ph. Gest.d.Urals. + 10. A.Karpinsky. Ueb: ein PEN Er" À 00 0. TAN FR CR HsP UTP 347 Vans Lots eu : ; : 4 a vit Ke A - Î / ve À pets ’ > > f +. LEA U n. art neu vien Lente .e, A hé K1. 11202 4 : Li À, Fate enr can hard te a 9 na à Lis CP Fe CRD / * | sir 4 ne C7 mn où L 4 On CORPS CRC EE SE, ? Es Lien mn \ \ fra No à PONS N 2 mo RS 497 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 498 moléculaire suivante: C,,H,,0,. Nous avons établi que l’asarone est capable de former facilement un produit d’addition cristallin avec deux atomes de brome, ce qui prouve la nature non-saturée de ce composé. Chauf- fée avec l’acide iodhydrique, l’asarone fournit plus de deux groupes méthyliques, qui se séparent sous forme d’iodure de méthyle. Ce fait nous permit de constater la présence de trois groupes méthoxyliques dans la molécule d’asarone. Dans notre première communica- tion nous avons remarqué en outre, que lors de l’oxy- dation de l’asarone un produit cristallin neutre est en- gendré, dont la nature était à déterminer par des re- cherches ultérieures. Peu de temps après la publication de nos résultats M. le Prof. Th. Poleck de Breslau fit paraître les premiers résultats d’un travail sur l’asarone entrepris dans son laboratoire par M. Fr. Staats”). Plus tard parut la dissertation‘) de M. Staats, renfermant un exposé détaillé de l'ensemble des résultats obtenus par lui. Les données qu’ont fourni les recherches de cet au- teur s’accordent en général avec nos résultats. Il n’y a que l’analyse du produit neutre de l’oxydation de l’asa- rone, qui ait conduit M.Staats à des nombres, rendant fort probable que la substance, qu’il à eue entre les mains n’était pas suffisamment pure. De notre côté, en continuant nos recherches, nous parvinmes à établir des relations déterminées entre la composition de l’asarone et celle de ses produits d’oxydation, dont il sera question plus loin. Les for- mules, que donne M. Staats, ne font pas ressortir ces relations et sont d'autant plus douteuses qu’elles contiennent un nombre impair d’atomes d'hydrogène. Ce fut surtout l'étude des produits d’oxydation de _l’asarone, qui nous permit d'établir la nature chimique de ce composé. De même que M. Staats, nous avons obtenu un acide et le corps neutre, cité précédem- ment. Enfin nous avons pu passer de cet acide à un autre produit, qui est formé par élimination de CO, au dépens du groupe carboxylique de l'acide. Les pages suivantes seront consacrées à l'exposition de nos expériences sur l'oxydation de l’asarone, des rela- tions chimiques des produits formés dans cette réaction 3) Berl Ber. XVII (1884). 1415 k. Fr. Staats. «Ueber Asaron» ‘Inaugural- Fe Breslau 0] Tome XXXL. et des conséquences qui peuvent être déduites de ces données experimentales. Pour effectuer l’oxydation de l’asarone nous nous sommes servis de deux méthodes différentes: 1° nous avons employé le bichromate de potassium, en le faisant agir sur l’asarone dissoute dans l'acide acétique concentré; 2° — l’action du permanganate de potassium sur des solutions aqueuses du composé. La première de ces méthodes conduisant à des ré- sultats moins satisfaisants, nous eûmes donc générale- ment recours à la dernière. L’oxydation par le bichro- mate se faisait de la manière suivante: Une dissolution de 12 gr. d’asarone dans 40 gr, d'acide acétique con- centré est additionnée de 6 gr. de K,Cr, e mé- lange est chauffé avec précaution, jusqu’à ce qu'il ait pris une Coloration franchement verte. Le liquide, étant refroidi et dilué d’eau, dépose après un court espace de temps des «cristaux de forme aciculaire, ainsi qu’une quantité considérable d’une substance rési- neuse de couleur rouge-brun, contenant du chrome. Cette substance, traitée par l’eau bouillante, donne encore une certaine quantité du produit cristallin. La substance résineuse n’a pas été examinée d’une ma- nière plus détaillée; quant aux cristaux, ils sont de nature neutre, se composent de longues aiguilles soy- euses, peu solubles dans l’eau froide, se dissolvant facile- ment dans l’eau bouillante, l’éther, la ligroine et la benzine. Elles fondent à 114°, mais dès la température de 100° elles commencent à se volatiliser, donnant un sublimé de petites aiguilles brillantes de couleur blanc- neige. L'analyse de ce composé a donné les nombres sui- vants: 0,2228 gr. de matière, brûlée avec de l’oxyde de cuivre (vers la fin de Popération dans un courant d'oxygène), ont donné 0,1230 gr. d’eau et 0,5018 gr. d'acide carbonique; en centièmes: C — 61,42; H — 6,13. Ces nombres conduisent à la formule C,,H,,0,, qui exige: C—61,22; H—6,12; 0—32,65. Le pro- duit neutre se forme donc de l’asarone, d'aprés l'équa- tion suivante: C0, — 2C — 4H + 0— C,H,,0, L’oxydation de l’asarone par le permanganate de se potassium a été soumise à une étude plus détaillée. Après un certain nombre d’expériences la méthode sui- : : 33 " TUE 499 Bulletin de l’Académie Impériale vante a été trouvée être la plus expéditive. On intro- Rr duit dans une fiole spacieuse un mélange de 10 gr. d’asarone et de 450 gr. d’eau, qu’on chauffe jusqu’à # commencement d’ébullition. Dans ce mélange on verse $ goutte à goutte une dissolution de 40 gr. de permanga- nate dans 750 gr, d’eau. On procède d’abord lentement en ayant soin que chaque fois le liquide ajouté soit entiè- rement décoloré. Vers la fin de l'opération le perman- ganate peut être introduit dans la fiole un peu plus rapidement. Pendant tout le cour de la réaction le mélange est maintenu à la même température. La teinte violette de l’oxydant ayant disparu, le liquide est porté à l’ébullition. On filtre et on lave à l’eau bouillante l’oxyde de manganèse. Après refroidissement la liqueur filtrée est agitée à plusieurs reprises avec de l’éther; la solution éthérée est distillée; le résidu- substance blanche cristalline neutre, — est repris par ie l’eau bouillante et cristallisé de nouveau. Le liquide 2 aqueux alcalin séparé de l’éther est évaporé à sec et le résidu, contenant du carbonate de potassium et les sels des acides organiques formés lors de la réaction est traité à plusieures reprises par de l’alcool (95%) bouillant. Les premières portions de la solution alcoo- lique déposent après refroidissement des écailles cristal- lines blanches grasseuses, — sel potassique d’un acide particulier. On peut aussi directement décomposer le ré- sidu par l’acide chlorhydrique et reprendre par l’alcool bouillant; la solution alcoolique concentrée donne des cristaux aciculaires de l’acide lui-même. D’après ce procédé 10 gr. d’asarone fournissent environ 4,5 gr. d’acide cristallin et 0,2 gr. du produit neutre. Outre ces deux substances cristallines, l’une neutre, l’autre acide, il se forme de l’acide carbonique accom- _pagné des acides oxalique et acétique. L’acide oxalique a été identifié par son sel de calcium; la présence de _ l'acide acétique en quantité considérable se manifes- tait par l'odeur caractéristique de cette acide. Nous crûmes pouvoir nous dispenser de constater la forma- tion de ces acides par des expériences plus détail- lées, ce fait étant déjà bien établi par les travaux de M. Staats ”). = En oxydant l’asarone, comme nous venons de le _ décrire, on obtient comme LE eux acide 5) «Über Asaron» Inaug.-Dissert. p. 25, 26, 28. quantité totale du permanganate étant ajoutée et la cristallin, la substance neutre ne se formant qu’en quantités relativement petites. Lorsqu'on procède d’une manière modifiée il est aisé d'obtenir un rendement plus abondant de ce dernier produit. L’expérience suivante le démontre. Un mélange de 5 gr. d’asarone finement pulvérisée et de 7,5 gr: de MnKO,, égale- ment réduit en poudre fine est introduit par petites portions dans 750 gr. d’eau bouillante, en agitant continuellement le liquide. Le liquide encore chaud, séparé par filtration de l’oxyde de manganèse, donne après refroidissement une cristallisation abondante du produit neutre. Une nouvelle portion de ce corps est obtenue, en traîtant la dissolution aqueuse par l’éther. De cette manière 5 gr. d’asarone donnent 2,1 gr. du produit neutre. Ce produit obtenu par l’oxydation de l’asarone à l’aide du permanganate est identique avec : le produit formé par l’action du bichromate. Les pro- priétés du composé, ainsi que les analyses suivantes, le prouvent suffisamment. I. 0,1259 gr. de matière brûlés avec CuO (dans un courant d'oxygène vers la fin de la combustion) ont donné 0,0688 gr. d’eau et 0,2828 gr. CO.. II. 0,1728 gr. de matière ont donné 0,0954 gr. d’eau et 0,3876 gr. CO,.. En centièmes: J. IL. Théorie pour C,9H 904: C— 61,26 61,22 C— 61,22 H— 6,06 6,13 H— 6,12. L’acide cristallin, préparé d’après la méthode pré- cédemment décrite et purifié par des cristallisations réitérées de ses solutions dans l’eau ou la ligroine, présente les propriétes suivantes: il forme des aiguilles cristallines incolores, solubles dans la benzine, la ligroine, l’alcool et l’eau bouillante, difficilement solu- bles dans l’eau à froïd. Les cristaux déposés par les solutions aqueuses ne contiennent point d’eau de cristal- lisation. Le point de fusion est situé à 144°, le point d’ébullition à 300° environ. Chauffé avec des acides minéraux concentrés, l'acide sulfurique surtout, le composé prend une teinte verte et forme des produits résineux. [l réagit d’une manière prononcée sur le pa- pier de tournesol bleu et décompose les carbonates avec effervescence. L’acide, de même que la substance neutre, ne présente guère les propriétés des composés non-saturés, propriétés si accentuées dans l’asarone. L’acide purifié par plusieurs cristallisations dans la 44 $ 501 des Sciences de Saint-Pétersbourg. ligroine, brûlé avec l’oxyde de cuivre (dans un courant d'oxygène vers la fin de la combustiôn) a donné sur 0,2110 gr. de matière analysée 0,1056 gr. H,0 et 0,4374 gr. CO.. En centièmes: C — 56 54; H— 5,55. La formule déduite de ces nombres est a exigeant: C — 56,60; H — 5,66. L'analyse du sel d'argent conduit à la même formule. Ce sel a été obtenu par double dé- composition du sel potassique avec le nitrate d'argent; purifié par des cristallisations répétées de ses solu- tions dans l’eau bouillante, il forme de longues aiguilles soyeuses incolores, assez stables à l’air et à la lumière. La combustion de 0,3182 gr. de ce sel, en nacelle de platine dans un courant d'oxygène, a donné: 0,1050 gr. d’eau, 0,4362 gr. CO, et 0,1070 gr. Ag; en cen- tièmes: C — 37,38; H — 3,66; Ag — 33,62; la for- mule C,,H,,AgO, exige:.C — 37,61; H = 8,45; Age= 33,85. | Ces résultats démontrent que la formule de l’acide C;çH,,0, ne se distingue de celle du produit neutre C;5H,,0, que par la présence d’un atome d'oxygène de plus. Le produit neutre serait donc l’aldéhyde, corres- pondant à notre acide. A l’appui de cette supposition nous pouvons citer les faits suivants: 1° il est pos- sible d'obtenir l'acide en oxydant le produit neutre; ‘2° le produit neutre forme avec la phénylhydrazine un dérivé cristallin — réaction caractéristique pour les aldéhydes. : Une quantité d'environ 1,5 gr. du produit neutre dissous dans Peau fut Éxydés par 5 gr. environ de MnKO,. Une partie de ce sel fut introduite à l’état de poudre dans la solution chaude du produit neutre, le reste fut dissous dans l’eau et la solution versée peu à peu dans le mélange, la quantité totale d’eau intro- duite dans I réaction étant de 130 gr. En traitant le mélange par le procédé décrit précédemment pour l'oxydation de l’asarone par MnKO,, nous avons obtenu dans l'extrait éthéré des traces du produit neutre non oxydé, tandis que la dissolution aqueuse nous fournit plus de 0,5 gr. de l’acide cristallin, parfaitement iden- tifié par ses proprietés caractéristiques. Nous traitimes d’après le procédé de M. Fischer”) le produit neutre par le chlorhydrate de la phénylhydr: azine en présence de l’acétate de sodium. Dès 4 ‘on 6) Ber, d. d. Chem. Ges. XVIL (1884). 572. mélange les solutions de Ja phénylhydrazine et du produit neutre dans l’alcool dilué le liquide se trouble. Après un certain temps une substance jaune cristal- line se dépose (présentant au microscope des prismes à bases tronquées), et le liquide redevient entièrement transparent. Purifié par une nouvelle cristallisation dans l’alcool chaud, le composé azoté est obtenu sous forme de beau prismes jaunes, au point de fu- sion 120—121°. Le dosage de l’azote d’après la méthode Dumas a donné les résultats suivants: 0,3120 gr. de matière donnèrent 28 c. c. d’azote (température 19°, pression barométrique, réduite à 0° — 755,9 mm.), en cen- tièmes — 10,22. Ce résultat s'accorde parfaitement avec la formule empirique du produit, qui doit se for- mer par l’action de la phénylhydrazine sur un aldé- hyde de la composition de notre substance neutre. La formule d’un produit de cette nature C,,H,.0,N, (Cs H,,0, + CHEN, = CH ON, + H,0) exige 9 799, d'azote. La nature aldéhydique du produit neutre se mani- feste en outre par sa faculté de se dissoudre dans une solution saturée de bisulfite alcalin. Traité par l’amalgame de sodium, l’aldéhyde forme deux produits: l’un fusible à 62°, l’autre à 102°. Nous n'avons pas soumis ces composés à un examen plus détaillé. Néanmoins il est fort probable que l’un d'eux est un alcool, l’autre ‘un produit de condensation. La réaction serait donc analogue à la réduction de la vanilline, du piperonal, des aldéhydes benzylique et anisique par l’amalgame de sodium, réduction qui mène d’un côté à la formation des alcools correspon- dant aux aldéhydes cités et qui fournit de l’autre côté des produits de condensation — l’hydrovanilloïne, les hydropipéroïnes, les hydrobenzoïnes et les hydro- he anisoïnes. je Il a été prouvé que l’asarone renferme trois groupes méthoxyliques dans sa molécule; or, rien ne fait croire que ces groupes subissent un changement quelconque pendant l'oxydation de ce composé; il était done fort probable que la même quantité de méthoxyles devait se trouver dans l’aldéhyde et l’acide, dérivés de l’asarone. En effet ces deux substances chauffées au bain marie avec de l’acide iodhydrique donnent une quantité con- sidérable de CH,J, de même que l'acide re avec. HCI fournit du CH,CI en grande ae à se 503 Bulletin de l’Académie Impériale 504 Mais ce sont les expériences sur le produit de dé- | doublement de l'acide qui ont fournies une preuve in- contestable de la présence de trois groupes méthoxyli- ques dans ces produits. En distillant un mélange de l’acide avec de la chaux fraîchement éteinte (5 gr. d’acide sur 20 gr. de chaux) nous avons obtenu une huile lourde, qui fut purifiée, désséchée sur du chlorure de calcium, enfin soumise deux fois à la distillation. Après ce traitement elle pré- sentait les proprietés suivantes: elle est peu fluide, de couleur faiblement jaune. Elle ne se solidifie pas encore dans un mélange de neige et de sel marin, seule- ment sa viscosité est augmentée d’une manière notable. Elle possède une saveur brûlante et une odeur aroma- tique, assez agréable, son point d’ébullition est situé à 245°—247° environ, elle est presque insoluble dans l’eau et les alcalis et ne donne pas de coloration avec les sels de fer. 0,2844 gr. de cette substance brûlés avec CuO et O, ont donné 0,1826 gr. de H,0 et 0,6716 gr. de CO; en centièmes: C — 64,40; H = 7,13. Ces données conduisent à la formule C,H,,0;, qui exige: C— 64,28; H— 7,14. L'huile se forme donc, comme il était à prévoir, par une décomposition de l’acidé selon l'équa- tion C0H,905 — CO, = C,H,,03. L'action d’un excès d’acide iodhydrique sur cette huile a montré qu’elle contient trois groupes métho- xyliques: 0,816 gr. de matière, scellés dans un tube avec 10 gr. de HI (p. d’éb. 127°), furent chauffés pendant 5 heures à 120°. En ouvrant le tube on n’observa point de pression. L’iodure de méthyle formé fut sé- paré par distillation au bain-marie: le rendement était de 0,780 gr. Il fut alors introduit dans le tube de l’a- cide iodhydrique fumant additionné d’une certaine quantité de phosphore amorphe; le tube, scellé de nou- veau, fut chauffé pendant 10 heures à 150°. Après ouverture du tube une nouvelle quantité de CHI fut séparé par distillation au bain-marie; cette quantité était de 0,673 gr.; le montant total de CHI formé était de 1,453 gr. Par conséquent 100 p. de lhuile avaient fourni 178,06 p. d’iodure de méthyle. Pourtant la réaction n’était pas encore terminée: le tube étant scellé et chauffé de nouveau pendant 10 heures à 150°, nous obtinmes encore une petite quantité de CH,I, qui du reste ne fut pas dosée. Ces expériences permettent de conclure que le com- posé C,H,,0, contient en effet trois groupes méthoxy- liques. L’élimination complète de ces groupes corres- pondrait à la formation de 253 p. d’iodure de méthyle sur 100 p. d'huile; en admettant que le composé en question ne renferme que deux groupes méthoxyliques on ne pourrait obtenir que 169 p. d’iodure de méthyle; or plus de 178 p. de CH,I sur 100 p. d’huile furent isolées. D’après ce qui vient d’être dit l’huile formée par le dédoublement de l’acide, que fournit l’oxydation de l'asarone, présente la composition suivante: CH (OCEH:).. C’est donc l’éther tri-méthylique d’un phénol tri- atomique. La formation de ce composé par dédouble- ment de notre acide serait analogue à la formation de l’anisol au dépens de l’acide anisique et du vératrol au dépens de l’acide vératrique. Pour nous convaincre d’une manière plus positive de la présence d’un noyau aromatique dans l’asarone, nous l’avons traitée par la poussière de zinc. Cette ex- périence a été faite par M. Staats, mais ce chimiste n’a pas pu constater la présence de dérivés aroma- tiques parmi les produits de: la réaction. Un mélange intime de 5 gr. d’asarone et de 100 gr. de poussière de zinc fut chauffé en faisant passer les produits de la réaction dans l’acide azotique concentré. L’acide étant dilué par de l’eau une huile lourde s’est séparée; lavée à l’eau et au carbonate d’alcali, elle fut distillée avec la vapeur d’eau. Ainsi fut recueillie une huile légère- ment jaunâtre à l’odeur caractéristique de la nitro- benzine. Elle fut transformée, d'après la méthode de M. Hofmann‘) en aniline, qui fut identifiée par son odeur, par la coloration qu’elle prend avec le chlorure de chaux enfin par la formation des cristaux caracté- ristiques de son sulfate. — Les résultats, exposés ci-dessus, démontrent, que l’asarone est un dérivé tétra-substitué de la benzine: trois atomes d’hydrogène dans celle-ci étant substitués par 5 groupes méthoxyliques, un quatrième par le 7) A. W. Hofmann. Lieb, Ann. LV, 200, 506 505 des Sciences de Saint-Pétersbourg. groupe non-saturé C;H,, qui se transforme, lors de CH, __CO0H CH,- -CO0H 2P Real COOH l'oxydation, d’abord en groupe aldéhydique, ensuite en #—OCH, = (OCH, h 1 Z(0CH, )e carboxyle. Quant à la structure de ce groupe C,H,, il est à remarquer que lors de l’oxydation de l’asarone il se forme à ses dépens de l’acide acétique — composé renfermant un groupe de méthyle, —tandisque l'atome de carbone immédiatement relié au noyau aromatique reste (dans le cas où il y a formation d’aldéhyde) en combinaison avec un atome d'hydrogène. Or il est peu probable que lors de l’oxydation le carbone se combine avec l'hydrogène. Il faut donc admettre que le radical CH, renferme déjà du méthyle tout formé et le groupe CH, fournissant par oxydation le groupe aidéhydique CHO. La seule structure du groupe C;H, qui pourrait remplir ces conditions serait celle-ci: CH— CH — CH,;; elle est en outre en parfait accord avec la règle, qui veut que le dédoublement par oxydation des groupes non- saturés se produise toujours à l’endroit de la double liaison entre deux atomes de carbone. Les acides car- bonique et oxalique sont évidemment les produits d’une oxydation plus avancée. Les formules suivantes représenteraient donc la con- stitution de l’asarone et de ses dérivés, que nous avons examinés : —(OCH;), =(OCH;)s Gb cac 0n; Cl CHBr-CHBr-CH, asarone bromure d’asarone == H CRE QE CHOC aldéhyde acide éther du phénol ” triatomique. Le groupe non-saturé C.H,, présent dans l’asarone, est le même qui a été déjà rencontré — souvent simul- tanément avec le méthoxyle — dans plusieurs sub- stances formées par les organismes végétaux tels que l’anéthol, l’eugénol etc. Laissant de côté la question, quant à la position re- lative des groupes substituants dans le noyau benzi- nique, nous pouvons constater les analogies suivantes: -_C;H, 2:60, GE _ 00H, Gi=(0cH), © see anéthol éther pre asarone de l’eugénol Ch 00 cu OR er ge 1 OCH, entre ES ne ‘# aldéhyde éther méthylique aldéhyde dérivé anisique de la vanilline de Pasarone acide dérivé de l’asarone acide anisique acides vératrique diméthylrésorcique Il paraît que l’asarone est le premier représentant triméthoxylé qui soit connu de ce groupe de com- posés, La position relative des quatre groupes, qui rem- placent dans l’asarone et ses dérivés les atomes d’hyd- rogène du noyau benzinique, pourrait être déterminée jusqu’à un certain point par la connaissance de la struc- ture de l’éther triméthylique décrit plus haut. Malheu- reusement ni pour la phloroglucine, ni pour le pyro- gallol, ni pour l’oxyhydroquinone *) nous ne connaissons d’éthers triméthytiques, qui pourraient être compa- rés avec notre produit. Pour résoudre la question de la structure de ce corps nous avons exécuté quelques expériences qui seront décrites plus loin. Cependant les résultats obtenus ne permettent pas de tirer une conclusion précise concernant la disposition des groupes substituants dans l’asarone”). Cette question : n'étant d’ailleurs que d’un intérêt secondaire et exi- geant pour la résoudre un travail long et pénible nous l'avons laissée pendante. Elle sera résolue dès que l’aldéhyde ou l'acide, que nous avons préparés en par- tant de l’asarone, auront été obtenus par quelque autre procédé, permettant de juger de leur structure d’une manière dr 8) Monatshefte, IV. 1883. p. 176. 9) Pour la formule C;H, HEC 9 la théorie prévoit six cas d’isomérie Er en effet, en sg par un groupe mon mique un atome d'hydrogène ‘dans chacun des trois éthers triméthye iques dérivés des trois triphénols isomériques, on obtient: pour l’éther (1, 3, 5) — un seul produit de substitution, pour l’éther (1, 2, 3) — deux, pour l’éther (1, 2, 4) — trois produits: (0) MeO e &0 G ho Put NA NT Me0 MeQ MeO É pe É as É do 2. 9. 8. MeO Me0 Me0 Me0 Fe /NMe0 ZNMe0 NMeO x// \Me0 | 3. | | r 5. 6 + 4 X + 4 MeO Me0 Me0 507 + Bulletin de l’Académie Impériale Croyant pouvoir substituer par le chlore les groupes méthoxyliques de nos dérivés à l’aide du perchlorure de phosphore nous traitâmes par ce réactif, et ensuite par l’eau, l’acide et l’éther du triphénol. L’acide, ainsi que l’éther, ont fourni dans ces conditions des ‘sub- stances cristallines; mais ce ne furent ni l’acide tri- chlorobenzoïque, ni la trichlorobenzine. L'action de l’acide iodhydrique sur lacide C,,H,,0, et sur l’éther C,;H,,0, n’a donnée à côté de l’iodure de méthyle, aucune substance suffisamment caractérisée, pour en faire l’objet de recherches plus détaillées. L'action de l’acide chlorhydrique (densité 1,16) sur les mêmes dérivés de l’asarone a conduit à des résul- tats également peu satisfaisants. L’éther traité par ce réactif, ne donne pas le triphénol: il se forme simulta- nément avec le CH,CI un produit cristallin peu soluble dans l’eau froide, apparemment identique avec le pro- duit, formé par l'acide dans les mêmes conditions. . Cette réaction a été effectuée de la manière suivante: l'acide fut chauffé pendant 8 heures à 150° dans des tubes scellés avec de l’acide chlorhydrique (d. 1,16). Les tubes étant ouverts, il s’en échappe beaucoup de CH,CI, accompagné de quantités notables de CO, produites probablement par un dédoublement de l’a- cide lui-même. Comme l'acide gallique se transforme en pyrogallol déjà par l’action de l’eau à une certaine _ température, on pouvait s'attendre dans le cas pré- sent à la formation d’un triphénol. Mais à ce qu'il parait la réaction va au delà de ce terme et ils se for- ment des produits de déshydratation du phénol en question. _ Le contenu du tube, qui se présentait sous l’aspect d’un liquide rouge-brun, renfermant des flocons gris- foncé, fut traité par l’éther. La solution éthérée fut décantée et soumise à la distillation, le résidu desséché fut chauffé avec précaution dans un courant de CO.. Il se sublime une substance cristalline blanche peu so- à _ luble dans l’eau froide, bien soluble dans l’eau bouillante; par refroidissement de la solution aqueuse le composé est obtenu sous forme de cristaux aciculaires brillants. La solution aqueuse, exposée à l’air, prend une colo- ration verdâtre; en présence d’un aleali elle devient brune. Le composé est fusible vers 250°, mais déjà à des températures considérablement inférieures il __ devient brun et commence à se décomposer; en même temps il est partiellement volatilisé. Le: corps, qui vient d’être décrit, possède les réactions caractéristi- ques suivantes: les acides sulfurique et azotique con: centrés le dissolvent, donnant le premier un liquide d’une couleur bleu-de-ciel, le dernier un liquide vert; en mélangeant ces deux solutions, on obtient un liquide rouge, La solution aqueuse donne avec le perchlorure de fer une coloration noire; une solution diluée de Fe,Cl,, additionnée d’une quantité minimale de NaHCO, prend une coloration violette. L'analyse de la substance sublimée, (brûlée avec CuO, à la fin dans un courant d’oxygène), a donné les résultats suivants: 0,2192 gr. de matière ont fourni 0,0750 gr. HO et 0,5336 gr. CO,; en centièmes: C— 66,39; H — 3,80. Ces-résultats rendent fort probable la formule C,,H:0,, qui exige: C—66,66°/; H— 3,727, Si l’on admet cette formule, la substance en question pourrait être envisagée comme un anhyd- ride incomplêt d’un triphénol: 2C.H;(0H); rt 2H,0 —= C;,H,0,. Parmi les anhydrides analogues nous ne connaissons d’une manière plus ou moins positive, que le phloro- glucide C,,H,,0,, anhydride, présentant du reste un degré de déshydratation inférieur à celui de la sub- stance qui vient d’être décrite. St-Pétersbourg. Le 9 (21) mai 1886. Hydrologische Untersuchungen XLIX. Von Prof. Dr. Carl Schmidt in Dorpat. (Lu le 13 janvier 1887.) Quellen, Brunnen, Bäche, Flüsse, Seeen der Bahalinie Pskow- Dorpat-Werro-Walk-Wolmar-Wenden-Riga, Im Spätherbste 1886 übersandte mir der Bau- direktor der Pskow-Dorpat-Rigaer Bahn, Herr von Goette, 22 mit besonderer Sorgfalt von den betref- fenden Abtheïlungs-Ingenieuren in grosse Glasstüpsel- flaschen à 12—13 Liter geschüpfte Wasserproben mit dem Ersuchen um Analyse und Begutachtung behufs Verwendung zur Lokomotiven-Speisung. Ich benntzte dieses interessante Material: 2 Quellen, 1 Brunnen, 1 Bohrbrunnen, 10 Bäche, 3 Flüsse, 1 stag- nirender Flussarm, 4 Seeen — zur vollständigen Un- 509 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 10 tersuchung. Es sind, der Bahnrichtung NO—SW folgend : 1) Pskow, Fluss Welikaja, geschôüpft 30. Septem- ber (a. St.), Wasser gelblich. 2) Pskow, Bohrbrunnen- Wasser, das Bohrloch 6 Meter durch harten Dolomit getrieben; Wasser farblos, Geschmack schwach salzig, geschüpft 30. Sep- tember. 3) Isborsk, Kolomen-See, 2219 Meter von der Bahnstation, Wasser gelblich, geschôpft 29. September. 4) Petschori, Bach Pimscha («Bümsche») in den : Peipus mündend; Wasser gelblich, geschüpft 31. Octo- ber, 225 Meter von der Station. 5) Werro, See Tammula; Wasser hellgelblich, geschôüpft 8. October, 1323 Meter von der Bahn- station. 6) und 7) Zwei Quellen bei der Station Antzen, 926 und 1016 Meter von letzterer entfernt, À 6 beim Dorfe Masika, N 7 auf dem Plane als Y bezeichnet, geschôüpft 30. September, Wasser klar, farblos. 8) Walk, Bach Peddel, dem Embach zufliessend; Wasser gelblich, geschüpft 30. September, 1045 Meter von der Bahnstation. 9) Karolen, Bach Orra, der Aa zufliessend; Wasser gelblich, geschôpft 28. September, 53 Meter von der Babhnstation. 10) Sagnitz, Bach Mudda, Wasser gelblich, ge- schôpft 27. October, 1045 Meter von der Station. 11) Wolmar, Brunnen, Wasser farblos, klar, ge- schôpft 25. September. - 12) Stakeln, Bach Kempen, der Aa zufliessend : Wasser gélblich. geschôpft 25. September, 384 Meter von der Station. Le 13) Lohde, Bach Renze, der Aa zufliessend; Wasser gelblich, geschôpft 25. September, 427 Meter von der Station. 14) Ramotzki, Bach Grube, der Aa A oc E Wasser gelblich, geschôpft 25. September, 384 Meter von der Station. 15) Wenden, See Kiner, Wasser farblos, sehr weich, fade schmeckend, geschôpft 25. September, 2795 Meter von der Station. 16) Segewold, Bach aus einem Morast entsprin- gend; Wasser dunkelgelb, geschôüpft 30. September 2091 Meter von der Station. 17) Hinzenberg, Fluss Aa («Livländische Aa); Wasser gelblich, geschôüpft 30. September, 3307 Meter von der Station. 18) Rodenpois, Bach Krew, der Düna zuflies- send; Wasser dunkelgelb, wie M 16, geschüpft 30. September, 309 Meter von der Station. 19) Riga, Kriegshospital «rothe Düna»; Stagni- render rechtsseitiger, üstlicher Düna-Arm, 3 Kilo- meter unterhalb der Stadt; Wasser gelb, stinkend, ge- schôpft 20. October, 2560 Meter von der Halt-Station. 20) Riga, Düna-Fluss, Wasser gelblich, geschôpft 20. October, 107 Meter von der Bahnstation. 21) Elwa, Bach Elwa, in den Embach mündend ; Wasser coli. Seschopft 20. September, 641 Meter von der Station, 22) Elwa, Uddern'’scher See, Wasser gelblich, geschôüpft 20. September, 320 Meter von der Station. Nach abnehmendem Salzgehalte geordnet sind dar- gestellt auf Tabelle I die Elementarbestandtheile in 1 Cubikmeter Wasser. Tabelle II deren Gruppirung. Tabelle III das Verhältniss der Elementarbestand- theile — organische Stoffe und Mineral-Elemente auf 100 grammen der Summe letzterer berechnet. Ein Blick auf die drei ersten Gruppen: A) Quellen, B) Brunnen, C) Bohrbrunnen zeigt, dass das Was- ser der 2 Quellen von Antzen mit dem des Wol- marer Brunnens nahezu übereinstimnt. Nur der Chlor- und Schwefelsäure-Gehalt ist wesentlich verschieden. Während letzterer (SO,) ersteren (CT) um mebr als das Doppelte (K 6 Masika) bis Fünffache (K 7, Y) über- steigt, überwiegen in NX 11 Wolmar die Chloride be- deutend. Dieses Verhältniss läisst auf einen Zusam- menhang der Antzen’schen Quellen mit Gypslagern schliessen, obschon letztere erst in grüsserer Entfer- nung ostwärts bei Isborsk zu Tage treten. Vüllig verschieden von jenen 3 ist das Bohrbrun- nenwasser von Pskow. Dieses, 6 Meter tief die harten devonischen Dolomitbänke der Welikaja-Ufer durch- setzend, fürdert eine wahre verdünnte Salzsoolezu Tage, ein Gemenge von Pskower Dolomit-Bicarbonat und Isborsker Gyps mit dem durch überlagernde Do- lomitbänke vor Süsswasserauslaugung bewabrt geblie- benen Reste des Silur- und Devon-Oceans, der wahrscheinlich in gleicher Weise die zablreichen schwa- chen Soolquellen des Ilmensee-Gebietes um de en Russa speisen dürfte. . Bulletin de l’Académie Impériale 511 522 TABELLE I 1,000,000 RER AL an En 1 LRRIRRSNRS enthalten X VAR | end | Kalium K. |Natrium Na. TT AUS Calcium Ca. Me A) HAE 7 Enr) Quelle Y. Menu 5,894 2 294,991 1,703 1,088 0,964 | 71,923 | 23774 6 Antzen’ Quelle Masika. . . ... 3,272 | 277,892 0,978 5,988 1,445 | 73,068 15,767 . Sur 4 ‘ B) DST u 11 | Wolmar Re | 12,882 | 284,160 | 1,918 | . 4,163 | 1,199 | 75,653 | 19,546 | C) Bo + ER RO UE | 8,517 | 1488,580 | 11,614 | 226,781 | — | 204,205 | 63,633 D) B 4 21 | Bach Elwa bei Uddern. . .... 12,136 | 250,654 1,966 | 4,206 | 0,102 | 65,809 | 18,97 13 | » Renze bei Lohde...... 12,006 | 246,467 | .: 2,171 3,744 1,212 | 67,780 | 13,952 9 | », Orra bei Karolen . .... 16,592 | 237,648 2,476 4,548 0,964 | 63,043 | 15,7b 4 | » Pimscha bei Petschori 5,894 |’ 217,722 1,783 | 3,855 | 1,152 | 56,423 | 15,025 8 | » Peddel bei Walk. ..... 11,567 | 206,860 1,738 | 2,895 | 1,598 | 48,278 | 16,95 10 | » Mudda bei Sagnitz ....| 12,001 | 184,678 1,421 | 3,165 | 1,577 | 47,549 | 12,983 12 | » Kempen bei Stakeln. . ..| 23,135 | 184,537 | 1,308 4,234 1,082 | 41,678 | 16,870 14 | » Grube bei Ramotzki. . 21,831 | 154,278 0,827 | 3,534 | 1,419 | 39,148 | 9,888 16 | Moorbach bei Segewold . . . .. 39,079 | 110,571 1,010 | 2,473 | 2,379 | 23,088 | 7,710 18 | Bach Krew bei Rodenpois. . .. | 33,184 | 89,724 | 0,673 | 2,221 | 1,943 | 19,403 | 6,482 E) Fr. 1 17 | Finss Aa bei Hinzenberg ....| 13,100 | 215,777 | 1356 | 5,184 | 1,878 | 52,602 | 15,036 1] » Welikaja bei Pskow. : ..| 15,061 | 164,870 1,828 | 5,720 | 0,858 ! 42,736 | 9,780 20 | » Düna bei Riga... ... | 21610 |: 161,722 1,847 | 7,566 | 0,894 | 39,876 | 9,23 $ 22 r- F) D OR EE DU 000: Vote Damas bei Rige | 57,197 | 505,480 | 28,076 | 43,350 | 18,232 | 71,509 | 26, | ee G) S e 22 | See Uddern bei Elwa. . ... 15,648 | 264,507 | 3,236 | 4,261 | 0,118 | 59,580 = 3 | » Kolomen bei Isborsk . 20,085 | 257,798 7,318 | 5,159 | 1,125 | 56,115 5 | » Tammula bei Werro . ... 8,772 | 149,951 2,129 | 2,783 | 0,499 | 39,948 15 | » Kiner bei Wenden. . ... 16,592 | 39,922 5,731 | 2,648 | 2,033 | 2,536 513 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 514 TABELLE I. grammen wasserfreier Bestandtheile: ER Dee rt mem K Sauerstoff- Säure-Anhydride x re unlôslich 2 FT nue EE : , ” derlslich ven sen Fe. N,0:, CO», CIE Schwefel- | Salpeter- | Phosphor- Kohlensäure | Kieselsäure Ru enr as er ST] Kesselstein Ë P,0,. : säure S0,. |säure N,0;.Isäure P,0.. CO. | SiO y : C. “4 I e n. 11,377 7 | 46,614 | 1,454 7,519 | 1,888 | 0,075 | 123,222 | 10,390 302,64 20,80 | 281,84 0,469 | 40,925 | F, 472 16,090 | 2,802 | 0,087 | 102,481 | 10,320 290,76 58,64 | 232,12 n n e n. 0,825 | 44,647 ur | 4,564 2,438 | 0,643 | 0,075 | 121,109 | 7,380 | 286,46 | 27,62 | 258,84 E ta 2... A Es a ét RAS REP. ACTU JU Pas mr : STE MA AP re b r u n n e n. 0,595 | 99,245 | 467,043 | 312,390 | — | 0,030 | 101,211 | 1,833 | 1761,50 | 1211,03 550,47 nc h ê. 0,216 | 40,194 2,384 2,342 | 0,625 | 0,048 | 108,947 4,840 259,38 23,66! 235,72. 0,296 | 38,273 1,543 7,354 | 1,547 | 0,069 | 100,506 8,020 247,22 27,62 | 219,60 _ 0,960 | 37,674 2,769 1,936 | 0,840 | 0,060 | 102,147 4,520 238,10 29,76 | 208,34 | 0,898 34,413 2,107 4,429 | 0,563 | 0,072 91,092 D, 100 : 223,72 26,58 | 197,14 0, 364 | 32,112 2,171 3,118 | 0,523 | 0,061 86,325 | 10,720 205,52 16,72 | 188,80 0,854 | 29,239 2,789 3,447 | 0,644 | 0,048 78,189 2,780 187,00 23,18 | 163,82 0,420 | 29,624 1,988 1,882 | 1,453 | 0,035 79,803 4,160 208,04 44,06 | 163,98 0,308 | 23,796 2 018 2,204 | 1,759 | 0,039 63,478 5,860 159,62 20,86 | 138,76 0,457 | 15,952 2,779 2,960 | 0,832 | 0,108 41,803 8,960 . 119,40 37,80 81,60 0,249 | 13,325 2334 0,749 | 1,210 | 0,059 35,680 5,396 103,76 26,34 77,42 Fi ü S , S e. 0,856 | 33,443 898 | 11,434 | 1,917 | 0,044 84,860 4,220 221,58 . 36,16 | 185,42 0,248 | 24,899 6,275 4,546 | 0,890 | 0,022 65,588 1,480 176,66 40,82 | 135,84 0,416 | 24,060 6,537 3,351 | 1,328 | 0,075 63,715 2,820 177,72 41,58 | 136,14 D otiu. ts. s re : 3,289 Us Peas) 69,157 | 27,153 | 2,071 | 1,033 | 141,439 | 10,660 | 509,16 | 246,18 | 262,98 0092 | 42,656 | 2873 | 1,428 | 1,767 | 0040 | 115765| 6,380 | 27494 | 2878 | 24616 0,443 39,688 6,607 6,496. 1,020 | 0,039 | 105,124) 6,060 258,32 51,58 206,74 0,142 | 23,586 2,384 2,733 | 1,479 | 0,044 | 62,715} 1,620 | 154,08 25,76 | 128,32 0,079 4,883 | 2,357 1,049 | 3,313 | 0,036 11,467 1,678 39,34 27,02 | LE + Tome XXXI. se. 515 Bulletin de l’Académie Impériale 516 TABELLE II. : 1,000,000 grammen Wasser (circa 1 Cubikmeter enthalten ; HET ‘ 1 À Natrium- ; E . à Kaliumsulfat | Chlorkalium | Kaliumnitrat| Natrium- | Chlornatrium| Natrium- Calciumsulfat| Chlorcale AR Ka) KCI. KNOs. (sulfatNa,S0,| Na. Initrat NaNO,. Na 00. CaSO, A) Q u e 7 | 294,991 3.793 EE A ee 10,258 1,931 AE se Re 6. | 277,892 2,178 Een APE 18,462 “1 aa 7,978 | 11,689 | E. | B) B u 11 | 284,160 | 4,972 | pe | su | 0,845 | 7,532 | 1,012 | 1,489 | ie | 4 C) B 0 r 2 | 1488,580 | 25,867 | Frs | ak, | ia | 575,497 | ei | st 510781 | 149,584 | D) B:. 2 21 | 250,654 4,379 Le _ 0,588 3,934 | 0,985 | 5,058 “ei +4 13 246,467 4,836 — — 9,115 2,000 — — — 0,518. 9k::297648F. 4216 |: 1111 de es 3,698 | 1,322 | 6,289 =” -24 4 | 217,722 3.972 se pr 4,627 3,477) 10886 |. 1712 sta 3 8 | 206,860 3,871 ms au 2,380 3,583 0.824 1,123 fe = 10 | 184,678 isa t ae 3,540 4,603 | 0,749 de ss 4 12 | 184,537 2,913 ca = 0,966 3,281 2288 | 4,621 js — 14 154,278 1,842 — — 2,411 3,330 2,769 1,587 — 16 | 110,571 2,249 _ — 3,429 3,459 Le he cs 1,068 18 | 89,724 1,499 22 cs 0,108 3,852 | 1,905 | 0,350 — E) 1 4 17 | 215777 300 - Le 15,983 He e Le 1,779 | 4,472 1 | 164870 4,072 Lu — 4,752 | 10,355 | 0,364 . dE _ 20 | 161.722 4,113 is — 2,596 | 10,788 2.052 4,478 ue —: 4 F) Mt al get ifaesn;de ra 19 | 505,480 | 59,125 | 2,916 | —… | pe | 110,008 — | ” — 1,741: | | | G) S e. 22 | 264,507 | 3,109 | 3,507 | — Le 1,990 |. 2,783 | 6,266 | — 4 58. 2071984 14145 1,843 — — 9,458 1,606 2,294 mere T0 5 | 149,951 | 4,741 et _n 0,987 3.934 | 2329 | 0,649 De 24 15 39,922 | 2,284 | 4,959 | 5,439 us se 0,642 5,693 ce Fa des Sciences de Saint -Pétersbourg. 517 be TABELLE II. grammen wasserfreier Mineralsalze: CaO +- Ca0- — : ; Aequivalent Bénin) ne | cases | maueun | estous | cuoqut (Eéenultu| Anar | Amqaam | Kioélahuse- | de LOS 0 _ CaN,0s- CasP,0s- à MgCl,. MgCO,. FeCO,. Fes. N,H,C. N,H,S. SiO,. Härtegrade: 1 1 e D 2866 | 0164 | 177,448 |: — 82,280 | 2,851 |: — | 2566 ré 10,390 | 155.31 - 4955 | 0,190 | 163,434| . — 54,569 | 0,971 us 3,846 _ 10,320 | 138,51 n n e De | 0,164 | 188,918 | Ex | 67,647 1,709 | Eu | 3,192 | …— | 7,380 | 150,81 b r u n e n. D | 0,065 | 2 | 30,519 | 193,203 1,232 | de, | de | re | 1,833 | 432,06 C h e — 0,105 | 164,373| — 65,672 | 0,448 as 0,272 — 4,840 | 135,72 29348. . 0151 | 167354! 48,286 | 0,613 | — 3,226 ne 8,020 | 126,94 — 0,131 | 157,439 |: | 54376 19088 jeu 2,566 4,520 | 124,35 ho — 0,157 | 140,864] — 52,000 | 1,860 |. — 3,067 ie 5,100 | 113,50 _— 0,133 | 120,531| — bB687 1: 0764 | == 4,954 a 10,720 | 106,54 … 0,255 0,105 |:118,5894 44,933 1,769 Le 4,198 sus 2,780 | 96,39 — 0,076 | 104,095! — 58,387 | 0,870 |: — 2,880 cd 4,160 | 97,10 0,085 | 97,757] — 34,222 | : 0638 |: — 3,777 ce 5,860 | 77,52 1,263 | 0,236 | 55,743| — 26,891:| 0,947 | — 6,333 en 8,960 | 50,17 ‘0,129 | 48,368 | — 22,499 | 0,516 | — 5,172 pi 5,396 | 42.06 ef S S €. 2,911 | 0,096 | 124,489| — 52086: HT7S Ex 4.999 4 — 4,220 | 108,31 1,001 0,048 |:106,154| — 33,846 0,514 — 2,284 — 1,480 82,29 ‘ms 0,164 | 99,500! — 31,969 | 0,862 _— 2,380 — 2,820 | 77,04 F hu :s 1. 3,145 | 2,254 173,053 | — | 91,962 — | 5,171 | 37,912 | 7,533 | 10,660 | 161,15 — 0,087 | 148,820 | : — 91,061 | 0,190 | — 0,314 — 6,380 | 143,86 Her 0,085 | 140,163| — 78,232 | 0,917 ns 2,995.| — 6,060 | 130,49 he 0,096 | 99,747| — 24998: 09295 1,328 — 1,620 | 78,64 is 0,079 6,263| — 7,309: : 0,164 |: — 5,412 — 1,678 8,40 _ 519 Bulletin de l’Académie Impériale TABELLE III. | Ostliche | Entfer- Auf 100 grm. 100 r à ; À DORP AR NNS Name der Bahn- |Nürdliche| Länge |nung von Farbe Mineral- 8 ms. 4 X Baches, Flusses, ; à von der Bahn ge et “4 Ses racer Breite. | Green | station | d°5 Wassers. Organische | Kalium K. | Natrium Na. A wich. | (Meter). Stoffe. +2 A) Q u Met 2 Ac DA PORTEURS EU Antzen..... 57° 56 26° 36! 1016 | farblos | 1,998 0,577 1,386 | 0,327 6 | Masika. .... Antzen . . ... — | — | 926! fus | 1177] 0352 | 2,155 | 0,520 B) Be or: 11 | UE | Wolmar 57° 32 25°25| 704 | farblos | 4,533 | 0,675 | 1,465 0,422. C) B 0 h 1 Es | | - 2 | he | Pskôw: à | 57° A 28° 19: — | farblos | 0,572 | 0,780 | 15,234 | — D) B à or: Elwa 0:86 à. | Elhes Lt 58°14/ 26°26| 641 | gelblich |. 4842 | 0,784 | 1,678 | 004 14 Rénze:. 5. Lobde : 0. —. 427 | gelblich 4,876 0,881 1,519 0,492, SrOrr Le. Carolen. : ... 57 45|26 23 53 | gelblich 6,982 1,042 1,914 0,406! 4 | Pimscha Petschori 57 47127 38| 225 | gelblich 2,707 0,819 1,771 0,529 8 | Peddel. . ... Nas 57 47126 4] 1045 | gelblich | 5,587 | 0,840 | 1,399 | 0,714 10 | Madda:::.. SAPRÉZ, 5 57 55126 13| 1835 | gelblich 6,498 0,769 1,714 0,854 12 :| Kempen Stackeln . :..|57 38125 41| 384| gelb 12,537 | 0,709 | 2,294 | 0,580 14 |'Grube.:.:.. Ramotzki .:.157 13|925 11| 384 gelb . 14,150 0,536 2,290 0,920, 16 | Moorbach Segewold. . ..!57 11|24 55] 2091 | dunkelgelb| 35,342 93 2,286 2,152 16 FKreni 5: Rodenpois . . . | 56 59|24 40! 309 | dunkelgelb| 36,985 0,750 2,475 2,165, | E) F 4 pra Rd CE a de le | AT TAR. u. Hinzenberg . . | 57° 8) 24° 40) 3307 | gelblich 6,071 0,628 2,402 | 0,870 1 | Welikaja. Pskow . ....|57 4928 19! — | gelblich 9,135 1,109°| 3,469 | 0,520 1) Dinacc: | Mig. 56 57/24 6)°107 | gelblih | 13,362 | 1,142 | 4678. 0,5% | F) Shin EE, Mir e 42 f 19 Ehothe Düna: . | Riga, :..:: Kriegshospital | 2560 | gelb | 11,316 5,554 | 8,576 | 3,607) G) se 2 22 PUddeME : 5. BIWa-... 11 58°12}26°281 320 | gelblich 5,916 1,223 1.611 0 3 | Kolomen Isborsk. . . .. 57 42127 54] 2219 | gelblich 7,191 2,839 | 2,001 | 0 20 Tammula. MNOrPO.. 57 51,27 1} 1323 |hellgelblich) 5,850 1,420 1,856 0 15 | Kiner...... Wenden 57 19,25 16| 2795 |hellgelblich| 41,562 | 14,355 6,633 5 521 des Sciences de Saint-Pétersbourg. | ; 522 dl $ TABELLE II. wasserfreier Mineralbestandtheile. enthalten: Das Wasser wurde à : Magne- Lion Sauerstoffaeq.. | ‘18 äure-Anhydride. geschüpft (alten Calcium Ca. Mr ve 00 720! Chlor CL dchwefel. | Salpeter- | Phosphor- | Kohlensäure me rs Styls, 1886) am: : 8: säure SO;. | säure N,0.. | säure P,0.. | 0,. Il l e n. Las | 8,059 59 | 0,167 | 15,801 0,493 | 2,549 e 0,640 0025 | 41,772 | 3,529 30. September. | 26,293 | 5,674 20100) 14,727 Hire 0,031 | 36,878 | 3,714 | 30. September. D EL 0,290 | sas. 1,606 | «0858 | : 0,226 | 0,026 | 42622 | 2507 | 25! September: ea | 0,002 | 6,799 | 0123 | 50. September. | in | 4,275 | 0,040 | 6,667 | 31,374 | 20,989 (2 h e. | 26,256 7,570 | 0,086 16,035 | 0,951 | 0,934 0,249 0,019 | 45,466 1,931 — 27,500 | 5,661 | 0,120 15,529 | 0,626 2,984 0,628 0,028 40,777 | 3,255 | 25. September. 26,528 | 6,611 | 0,404 15,853 | 1,165 0,815 0,354 0,025 42,981 1,902 | 28. September. 25,915 | 6,901 | 0,413 15,806 | 0,968 2,034 0,259 0,033 42,210 2,342 | 31. October. _ 23,339 | 8,198 | 0,176 15,524! 1,049. 1,507 0,253 0,029 | 41,731 5,182 | 30. September. _ 25,746 7,036 | 0,462 15,828 | 1,510 1,866 0,349 0,026 | 42,335 1,505 | 27. October. . 22,585 | 9,142 | 0.228 16,054 | 1,077 1,020 0,787 0,019 43,244 2,255 | 25. September. 25,375 | 6,409 | 0,200 15,424 | 1,308 1,429 1,140 0,025 41,146 3,798 | 25. September. . 20,881 | 7,027 | 0,413 14,427 | 2,515 | 2,677 0,753 0,098 37,807 8,103 | 30. Septenrber. "21,625 | 7,224 | 0,278 14,851:/..2,601 | :0835;1: 1,349 0,066 39,767 | 6,014 | 30. Fa ü S S e. n — es —— SNS AR SM EE SANT) RME ANRT AN 2 ca + ——— 24 490 | 6.968 | 0,397! 15,499| 1325| 5,299 | 0,888 | ‘0,020 | 39,328 | 1,956 | 30. September. 25,920 | 5,932 | 0,150! 15.103| 3,806| 2,757 | 0,540 | 0,014 | 39,782 | 0,898 | 30. September. à 24 657 [712 0,257 14877 | 4042! 2072 | 0.821 | 0,046 | 59,399 | 1,744 | 20. October. ï Fear vt , PAPER EEE FRE ANSE p. Luis rat re hi | 14,146 | 5,257 À 11,577 0,651 13 682 | 5,372 | 0410 . 0,204 27,989 | 2109 | 20. October. 2 7e n. 2 595 9,947 | 0,035 | 16,126| 1,086! 0,540 | 0,668 | 0,015 | 43,767 | ‘2,412 | 20. September. 21,767 | 8,768 | 0172! 15,395! 2563| 2520 | 0,396 | 0,015 40,778 | 2,350 | 29. September. 26,640 | 6,595 | 0095! 15,729 | 1,590 | 1,823 | 0,986 | 0,030 | 41,823 | 1,080 | 8. October. - 6,352 | 5,290 | 0198| 12,231 | 5,904! 2,628 | 8,299 | 0,090 | 28,724 | 4,203 | 25. September. (+) : _ 523 Bulletin de l’Académie Impériale Mischt man 25 Liter mittleren Oceanwassers (cf. Bulletin XXIV, 233 (1877) mit 553,2 grammen Gyps CaSO,, 2aq und 275,6 grammen Pskower Do- lomit in kohlensaurer Wasserlôsung und verdünnt auf 1 Cubikmeter Gesammtvolum, so enthält die Mischung : Kalium K und Rubidium Rb ... 7,721 grammen. RER Ni nr ur 259,356 » Cac Oasis selon 204,205 » Monueaum Me: ui. 63,633 » PEUR hi 466,870 » ed han 1,128 » Schwefelsäure (anhydrid) SO, . . . 312,390 » Gebundenes Kohlensäure (anhy- ns DA dt PO CP AE A 130,268 » im Cubikmeter Wasser, nahezu übereinstimmend mit Pskower Bohrbrunnenwasser. Zum Kochen sowie zur Lokomotiven-Speisung ist dieses Bohrbrunnenwasser ungeeignet und nur im Nothfalle verwendbar. Das Wasser der 10 Bäche D) ist unbeeinflusst von Industrie-Abfällen unter gleichen Kklimatischen und geologischen Verhältnissen (Devon-Sandsteine und Do- lomite; hie und da Gypslager) gebildet. Trotz bedeu- tender Verschiedenheit der Concentration, von 250,6 bis 89,7 gramme Mineralbestandtheïlen und 12 bis 39 grm. organischer Substanzen im Cubikmeter, ist bei ihnen Analogie des relativen Verhältnisses der Mineralbestandtheile zu erwarten. Tab. III zeigt die- selbe in charakteristischer Weïse. Die beiden süd- lichsten X 16 und 18 sind die salzärmsten, absolut wie relativ Humusreichsten, Der Härtegrad (Kalk plus Kalk-Aequivalent der Magnesia, Tab. II letzte Vertikalspalte rechts) steigt regelmässig direkt pro- portional dem Gesammtgehalt an Mineralsubstanzen _ umgekebrt zum Gehalt an organischen Stoffen (Moor- _ Extrakt). Entsprechend ihrem hohen Gehalt an letz- | tern zeïigen die Moorbäche X 16 und 18 hôhere Ammonium-, Salpetersäure-und Phosphorsäure- -Gehalt, als die nürdlicheren X 21 bis 14. Das Durch- _ schnittsverhältniss der Wasser aller 10 Bäche, zu _ gleichen Volumen gemischt +) sowie zu aequisa- _ linen Volumen d, h. im Gemenge von 1 Cubikmeter Wasser 21 | mit 1,0170 » » » 13 » 1,0548 » » » 9 » 1,1512 » » » À »- 1,2118 » » DE. (8) », E,93079 » » 10 » 1,3583 » » » -12 » 1,6247 » » » 14 » 2,2669 » » » 16 » 2,7936 » » » 18 J sowie das Durchschnittsverhältniss aequisaliner Ge- mische y) der 2 Gypsreicheren Bachwasser K 13 und 4 à) der 6 Gypsärmeren X 21, 9, 8, 10, 12, 14 c) der 2 Gypsärmeren Moorbachwasser X 16 und 18 ergiebt nachstehende Tabelle IV. Das Wasser der 2 grôüsseren Flüsse (E) Welikaja X: 1 und Düna X 20 besitzt nahezu gleiche Zusam- mensetzung, das der livländischen Aa X.17 ist ärmer an Kalium, Natrium, Chlor, reicher an Ammo- nium, Calcium, Mesa, Eisen, Schwefelsäure, Salpetérsäure di ; jene. Der absolute sowie der relative Gehalt an organi- schen Substanzen ist im Wasser der Aa X 17 am kleinsten, der Welikaja hôher, der Düna am grüssten. Die sogenannte crothe Düna» X 19 (F) ist ein alter rechtsseitiger Düna-Arm, etwa 3 Kilometer un- terhalb der inneren Stadt Riga, dessen oberen Ein- gang der «Katharinendamm» absperrte und zum Versanden brachte, während seine untere Mündung in den Düna-Hauptstrom durch die vorliegende Insel «Pferdeholm» théilweise zum Stagniren gebracht wird !). _ Die Analyse ergiebt das Wasser M 19 (F) als Ge- *|menge von Dünawasser mit Kloaken- und Abfall- Wässern benachbartef Hospitäler (Kriegshospital, 1) Vergl. die Darstellung des H. Hafenbau-Ingenieur A. Pabst «Die in den Jabren 1878 bis 1884 ausgeführten Dünaregulirungs- Arbeiten». Rigaische Industrie-Zeitung X, X 8 und 9, pag. 85— und 98—102 (1884) mit Karten der unteren Düna von der Stadt Riga bis zur ag à in den Rigaischen Meerbusen. Alexandershôhe) und Häuser. das Wasser der rothen Düna im Cubikmeter: Demzufolge enthält | | | 17,338 525 des Sciences de Saint-Pétersbourg. TABELLE IV. t ;. Gleiche Vo- | Gemenge peter Volume enthalten in 100 grm. ume Wasser der Mineralbestandtheile: bin : : | 9 Gv à) der 6 na dem] er 10 | reerer | Parme der à Moor. Tr ] albe- achwasser > \ | bachwasser Bachwasser. | X 13 und 4. | * EUX 10, X 16 und 18. RAD MS NE SE SEL 0,816 0,804 0,850 0,780 0,831 NatrinmNdi5s2:5u OM a 1,852 1,929 | 1,645 | 1,881 2,355 Ammonium NH, ........ de 0,713 0,892 0,510 0,597 2,159 Calcium Gas fr aise mure 25,076 24,575 | 26,708 | 24,972 | 21,253 Magnesium Ke a nt Cry 7,148 7,178 6,281 7,494 7,125 à DT CE DE, AN RSS RS PA Re 0,267 0,278 0,266 0,259 0,346 Sauerstoffaeq. 60, N,0,, CO,, , RÉ ane iris 15,644 | 15,533 | 15,668 | 15,786 | 14,639 COTE de oeie 2 dut à 1,215 1,377 0,797 LE à à 2,557 ! { Schwefelsäure SO, . 1,615 1,619 |:::2509 1,262 1,756 = | Salpetersäure N, ds 0,531 0,612 | 0,443 | 0,522 | 1,051 SE { Phosphorsäure P. 0. 0,032 0,037 | 0,032 | 0,024 | 0,082 = © | Kohlensäure CO, nat 60 41,886 41,546 | 41,493 | 42,484 | 38,787 A, Kieselsäure SiO, . . ... 2200 + 3,629 2,798 2,762 7,059 Summe der Mineralbestandtheïle| 100,000 100,000 : 100,000 : 100,000 ! 100,000 grammen Ammonium NH,,enthaltend 13, 487 N aequivalent 51,917 N,0.. $ ; 31,633 » Calcium +. ne ie Sem | 17,335 » Magnesium : ; F::2,870 » Eisen dre He AE À 33,454 » Sauerstoff(aeq.SO,, N,0,, CO,,P.,0,) PRE 62,620 » Chlor ë é | ee : k . + re 23,802 » Schwefelsäure SO, (anhydrid) » » ISsen es 4 s 0,753 » Salpetersäure N,0, OT M à tee (aeq. SO, N,0,, CO,, P,0,) 0,958 > Phosphorsäure P.0, ri “ k ns és 77,124 » geb. Koblensäure CO, ne à à ss se | St 7,840 » Kieselsäure SiO, ; » » alpetersaure 5 498 * Gchwefel S 13,77 » » Phosphorsäure cie Ne 292 » » geb. Kohlensäure 343,769 grammen «ta g 3,78 » » Kieselsäure co ot \: 20 In diesem Zuwachs ist der Schwefel theils gelôst NO 00e, SRE NRA PR SRART AE als Schwefelammonium N,H,S vorhanden, theils | Fi ungelüst, als fein vertheiltes Lune Schwefeleisen | Der Zufiuss von Abfall- und Kloaken-Wässern hat | … ; é à : : eS, suspendirt, wie letzteres im schwarzen Bade- jeden Gubikmeter Dünawasser À 20 angereichert um: FR Ci Areniburs “dnû -Hapsal: d6ù Lil 26,229 grammen Kalium vieler Salinen (Staraja-Russa) aller Gossen und me . Natrium aken enthalten ist. : 35,784 » d / 527 . Bulletin de l’Académie Empériale 328. Der mittlere «Stadtlaugen»-Zuwachis von 125 Dorpater Stadtbrunnen enthält, auf gleichen Chlor- Gehalt berechnet”): 33,38 grammen Kolini 31,42. » Natrium 0,89 » Ammonium NH, 29,46 >» Calcium 26,44 » Magnesium : 0,18 » Eisen És 62,62 » Chlor te 14,50 » Schwefelsäure SO, Lt 110,38 » Salpetersäure NO. aeq. 36,87 grm. ES NH, — 28,68 N 2,97 » Phosphorsäure P,0, 37,89 » Kohlensäure CO, 3,85 » . Kieselsäure SiO, .worin 29,31 grammen Gesammt-Stickstoff. Auf gleichen Chlorgehalt reducirt enthält demnach 1 Cubikmeter Wasser der «rothen Düna». mehr: 4,364 grammen Natrium Na 16,448 » Ammonium NH, 2,173 » Calcium Ca 2,852 » Eisen Fe (als FeS suspendirt) 9,302 » Schwefelsäure SO, 39,874 » Kohlensäure CO, 3,990 » Kieselsäure SiO, weniger: 7,151 grammen Kalium K 9,105 » Magnesium Mg 109,627 » Salpetersäure N,0, aeq. 36,619 NH, enthaltend: 28,484 N 2,012 » Phosphorsäure P,0, turkunde Liv-, Ehst- und Kurlands I, ‘370 (1863). 2) Carl Schmidt. Die Wasserversorgung Dorpats, Archiv f. Na- | als der Zuwachs des unseren Städten zustrômenden Quellwassers an «Stadtlauge» während des Durch- sickerns des Stadtbodens bis zu den Stadtbrunnen, Diese Differenzen sind sehr charakteristisch. Die 16,448 grammen Ammonium-Überschuss des Was- sers der «rothen Düna» würden sich, den Boden durch- sickernd, zu 49,241 grammen Salpetersäure-anhydrid N,O, oxydiren. Von den mit obigen 62,62 grammen Chlor als NH, und N.,0, ins Stadtbrunnenwasser über- gehenden 29,31 grammen Stickstoff sind 15,627 grm. als Schwefelammonium und Ammoniumcarbonat N,H, CO,, die Umgegend belästigend, in die Athmosphäre übergegangen, nur der kleinere Rest — 13,683 grm. N noch in gleicher Form im Wasser der «rothen Mina» vorhanden. Als Koch- oder gar Trink-Wasser ist letzteres absolut unbrauchbar, als Lokomotivenspeisungs- “wasser nur im äussersten Nothfalle zu verwenden, da der beträchtliche Ammoniak-Gehalt alle kupfernen und messingenen Hähne, Verbindungsstücke, Muffen, Schrauben etc. sehr stark angreiïft, als blaue Cupra-: ammoniumcarbonatlüsung von denselben herabtropfend. Das Wasser der 4 Seeen X 22, 8, 5, 15 (G) unter- scheidet sich von dem der Bäche und Flüsse durch absolut und relativ bedeutend hühern Kalium- Gehalt. Der Kiner See bei Wenden X 15 ist, der Zusam- mensetzung seines Wassers nach eine Hièbe Cisterne, ohne speisende Quellen, durch Zufluss oberflächlicher Tagewässer gebildet, dre sich auf sehr kalkarmem un- durchlassendem Lehmboden in geschlossener abfluss- loser Mulde sammeln. Sein relativer Kalium-Gehalt ist 5 mal so hoch als der des Kolomen-, 10 mal s0 hoch als der des Tammula-, 12 mal so hoch als der des Uddern-See-Wassers, 14 bis 16 mal so hoch als der der Fluss- und Bach-Wässer D und E. Diese rela- tive Anreicherung der Landseewässer an Kaliumsalzen tritt bezeichnend beim Vergleich des Verhältnisses von Kalium zu Natrium mit den nahbelegenen oder in die Seeen mündenden Bächen hervor. So enthalten: des Sciences de Saint-Pétersbourg. 530 TABELLE V. 1 Cubikmeter Wasser | Auf 100 gram- enthält .... gre ; Mo ni Kalium, Natrium. | CT Kiner-See bei Wenden MED Ce 5,731 2,648 46,2 dér benachbarté Ad-Finss N°17 2 SE, 1,356 2,184 382,2 Kolomen-See bei Isborsk À 3.,:...:....,..:... 7,318 5,159 70,5 der benachbarte Pimscha-Bach M 4. ........... 1,783 3,855 216,2 Cador Seth 28 Remises tes su 3,236 4,261 131,7 der benachbarte Elwa-Bach M 21............. 1,966 4,206 213,9 Tanmul-Seb Mb es Mt Er re 2,129 2,783 130,7 Peipus-See (Mitte des Sees Juli 1868).......... 2,19 2,91 132,9 Welikaja-Fluss (30. September 1886) .......... 1,828 5,720 312,9 Durch stetige Fällung von Calciumearbonat in Form | Wasser abflussloser Secen fortschreitend Magnesium- von Thiergehäusen und Pflanzenincrustationen wird das | reicher. Es enthalten demgemäss: TABELLE VI. 1 Cubikmeter Wasser Auf 100 gram- enthält .... grammen. ue Cathie - HART nie am Calcium. | Magncsium. alcium | agnesium Magnesiuin. Kiher-Sob 15 nn eat A ES 2,536 2,112 83,28 der benachbarte Aa-Fluss M 17............ | 52,692 | 15,035 28,53 Kolomen-See bei Isborsk M 3............ A 56,115 | 22,604 40,28 der benachbarte Pimscha-Bach M 4.......... 48,278 | 16,957 35,13 Uédermneem 22 di han Er us à Sa 59,580 26,511 44,16 der benachbarte Elwa-Bach M 21........... 65,809 | 18,975 28,83 Ostabe ER NE a D dE ee rie 120,6 254,1 210,70 Dücs-Fhiss ss + D a QU 39,876 9,237 23,16 Beim Eindampfen aller Wässer setzen sich Na- triumcarbonat und Magnesiumcarbonat mit Gyps, Chlorcalcium und Calciumnitrat zu Calciumearbonat und den betreffenden Natrium und Magnesium-Salzen um. Das Eisencarbonat oxydirt sich unter Kohlensäure- Tome XXXI Verlust zu Eisenoxydhydrat, als solches die dut =. säure zu Fe,P,0, bindend. Die Wasserlüsung des Abdampfrückstandes B rea- “ ; girt mehr oder minder stark alkalisch; der Kessel stein C ist ein Gemenge von Calciumcarbonat, Mag- nesiumcarbonat, Kieselsäure, Eisenoxydhydrat, Ferri-_ . 35 : 531 Bulletin de l’Académie Impériale 53? phosphat mit geringen Mengen organischer Substanzen, den schwerlüslichen Calciumsalzen von Humussäuren, deren leichtlôsliche Natriumsalze in die Wasserlôsung B übergehen, dieselbe entsprechend tief bräunend. Nur der Kesselstein vom Bohrbrunnenwasser N: 2, Pskow, enthält je nach dem Grade des Ein- dampfens, grüssere oder geringere Gypsmengen, da die vorhandenen Carbonate zur vülligen Umsetzung des Gypses unzureichend sind. Die Tab. I X 2 C auf- geführten 550,47 grammen Roh-Kesselstein sind ein Gemenge von 230,07 grm. Calciumcarbonat CaCO, 0,06 » Ferriphosphat Fe,P. AA 0,96 » Eisenoxydhydrat Fe, H, 90,= 0,82 Fe.0, 319,38 » Gyps-Rest. Der bedeutende Überschuss des direkt gefundenen Abdampfrückstandes über die Summe wasserfrei be- rechneter Abdampfsalze besteht aus Halhydratwasser des Magnesiumsulfats und Chlormagnesiums, einem Theil ihres Krystallwassers und dem Kry stallwasser des Gypses. Bei den übrigen Wässern À, B, D, E, G sind die Unterschiede zwischen direkt erhaltenen Abdampfrück- ständen und der Summe der Einzelbestandtheile gering. Mehrgewichte ersterer werden durch Hygroskopicität . und Halhydratwasserrückstand, Mindergewichte durch _ Kohlensäure-Verlust des Eisencarbonats und unver- _. meidliche Verluste bei dér grossen Zahl von Einzel- bestimmungen veranlasst. Zur Bestimmung der «organischen Substanzen» mit- telst Kaliumpermanganats in alkalischer Lôsung diente ein verdünnter alkalischer Torf-Auszug, darge- stellt aus 1 gramm bei 120° trockenem Torf (Ocht, Ehstland à 6,4%, Mineralbest.), 2 Ce. Normal- Natronlüsung — 0,07992 grammen NaHO, 500 Ce. Wasser, 5 Stunden bei 100° digerirt, mit Wasser auf 10 Liter Gesammt- volum verdünnt und filtrirt. . 1 Liter dieses Filtrats enthält 0,03734 grammen bei 120° trockner Torfsäuren und anderer in so ver- dünnter Hexenseung lüslicher ne Sub- _ stanzen. : 100 Ce. derselben = 0,003734 grammen Humus- | _säuren etc. entfärbten 17,1 Ce. !/,, Normal-KMnO,.- ei a 1 gramm KMnO,, mithin 0,6902 grm. bei 120° trockner lüslicher Torfsäuren. Diese alkalische Torf- Lüsung, mit dem gleichen Volum Wasser weiter verdünnt, ist dunkelgelb, gleich N: 16 Segewold-Moorbachwasser und X 18 Rodenpois, Bach Krew. Die so verdünnte gleichfarbene Torflosung enthält im Cubikmeter 18,67 grammen Torfsäuren; das Färbungsvermügen letzterer in alkalischer Lô- sung ist mithin doppelt so hoch, als das der organi- schen Stoffe im Moorbachwasser. Die Bestimmung des Ammoniums geschah durch Destillation von 2 Litern Wasser mit 25 Cc. Normal- natronlüsung — 0,999 grammen NaHO (aus Natrium), die der Sihtersture durch Destillation von Wasser- lüsung B des Abdampfrückstandes von 5 Litern Wasser plus dem Destillationsrückstande der NH, -Bestim- mung, zusammen 7 Liter Wasserlüsung, Eindampfen der Destillate mit einigen Tropfen Platinchlorid + HCI und Wägung als N,H,PtCI.. Zur Berechnung dienten die Atomgewichte: H— 1 K — 39,038 O— 15,96 Na— 22,999 S — 31,982 Ca — 39,92 CI— 35,365 Mg — 24,32 (Marignac 1883) N — 14,006 _Fe— 55 88 P—- 30,96 Ag — 107,667 100 grm. K,PtCI, — 30,560 KCI1= 16,034 K (Fre- senius Zeitschr. f. analyt. Clianite XXI, 239: (1882)). 100 N,H;PtCI, = 8,132 NH. Sur un nouveau nombre premier, annoncé par le père Pervouchine. Extrait d’un rapport, fait à l Aca- démie par MM. Imchenetzki et Bouniakowsky. (Lu le 27 janvier 1887.) La présente Note est un extrait relatif au point principal du rapport, lu dans la séance de l’Académie le 27 janvier de l’année courante. En novembre de Fannée 1883, dans la correspondance de notre Aca- démie se trouve une communication qui contient l’as- sertion que le nombre 211 — 2305843009213693951 est un nombre premier. Ce résultat nous à été an- noncé par son auteur, I. M. Pervouchine, prêtre à 533 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 534 Chadrinsk (gouvernement de Perm), qui nous avait envoyé auparavant des communications intéressantes sur quelques propositions arithmétiques analogues (Bulletin de l Acad. Imp. des Sciences, 1878 et 1879). Tout en laissant à la charge de l’auteur la respon- sabilité pour l’exactitude du résultat qu’il a obtenu au bout de ses longs et fatigants calculs, — nous devons constater, pour sauvegarder son droit de priorité, que: 1°”. Le manuscrit du père Pervouchine contenant sa communication de l’année 1883, est déposé aux Archives de notre Académie; ce document est accompagné de quelques tables, calculées par l’auteur, et destinées à faciliter la vérification du résultat qu’il a obtenu. . Le tome XLVIII des Mémoires Russes de l’Aca- démie («3anuckm Mmneparopekoï Akaxemin Haywb») contient le compte-rendu de la séance du 20 décembre 1883, dans lequel l’objet de la communication du père Pervouchine est indiqué avec précision. Lie) e Notiz über die in Russland vorkommenden Arten der Gattung Phoxinus, Von N. Warpachowski. (Lu le 13 janvier 1887.) Die Zahl der russischen Arten dé Gattung Pho- æinus ist ziemlich gross, da ich ausser Ph. laevis, Agass., Ph. stagnalis, Warp., Ph. perenurus, Pall.®, Ph. Lagowskii, D yb.?), Ph. Czekanowskü, D y b.*), und Ph. Poljakowii, Kess1.*) in den Sammlungen des Zoo- logischen Museums der Akademie der Wissenschaften noch folgende neue Arten gefunden habe: Ph. Strau- chi, Ph. alitus, Ph. Sabanejewi, Ph. sublaevis, Ph. va- riabilis und Ph. kuldschiensis. Abgesehen von dem überall verbreiteten Ph. laevrs, | Agass. und dem von mir im Gouvernement Kasan gefundenen PA. stagnalis‘), sind alle übrigen Arten auf das asiatische Russland beschränkt, wo sie bis zu 70° nürdlicher Breite vordringen. Paie, Zoogr. Ross.-Asiat. IIT. p. 299. 2) Dybowsky, Verh. Es bot. Ver., Wien, B. XIX, p. 952. 3) Dybowsky, Op. € 4) Kessler, Mél. 6 Acad. Science. Pétersb,, T. X., p. 235. 5) Warpachowski, Zoolog. Anz., 1886, X 216; Ouepr HXT. vaynBr Ras. ry6., erp. 16, 53. Ohne mich hier in ausfübrlichere Erürterungen über die geographische Verbreitung der einzelnen Arten einzulassen, werde ich nur bemerken, dass die meisten Arten dem Altai-Sajanischen Gebirgs-System eigen sind, nach den einzelnen Flüssen aber folgender- weise sich vertheiïlen: Ph. Sabanejewi, sp. n. nur in den Seen an den üst- lichen Abhängen des Ural-Gebirges; . variabilis, Sp. n. in den Zuflüssen des Obj; . Strauchi, Sp. n. in den Zuflüssen des Irtysch; . altus, sp. n. in den Zuflüssen des Jenissei; . Sublacvis, sp. n. in den Zuflüssen der Lena; . Lagowshii, D y b. in den Lena- und Amur-Becken; . Czekanowskii, Dyb. nur im Amur-Becken: . perenurus, Pall. im ôstlichen Sibirien; . Poljakowii, Kessi. und in dem Balchasch- . khuldschiensis, Sp. n. ecken. SSSSSSSSE Wie schon oben erwähnt, findet sich Ph. laevis, Agass. sowohl im europäischen, als auch im asiatischen Russland, auch Turkestan nicht ausgenommen, von woher wir durch Herrn N. Majew im Amu-Darja ge- sammelte Exemplare haben. Indem ich mir die ausführlichere Erürterung der geographischen Verbreitung, sowie des Verhältnisses einzelner Arten zu einander für eine grüssere Arbeit vorbehalte, müchte ich hier. nur bemerken, dass die sibirischen Phoxinus-Arten meist ganz eigenthümlich. aussehen, indem sie bald eine sonderbare an PA. stag- nalis, Warp. erinnernde Kopf-Form, bald eine stark verlängerte (Ph. Strauchi), bald endlich eine auffal- lend hohe, comprimirte (PA. altus) Kürperform ha- ben; einzelne Arten erreichen eine bedeutende Länge, über 200 mm., was bei Ph. laevis, Agass. niemals beobachtet wird. Im Folgenden gebe ich die vorläufigen die der neuen von mir unterschiedenen Arten. Phoxinus Strauchi, Sp. n. D. 317; À. 317; V. 2/5; P. 1/14—15. Lin. lat. 85; lin. tr. 28 *). Phoxinus corpore elongato compresso; altitu äné . corporis 5,2 in longitudine ejus (absque pinna cau- dali), 1,2 in peduneulo caudali; altitudine corporis …. *) Die Zahl der Schuppen in einer > ne wird von dem an. fang der Dorsale bis zur Ventrale gezähit. 7. 85* 535 Bulletin de l’Académie Impériale 536 minima 1,75 in maxima, 2,2 in pedunculo; longitudine capitis 4 in longitudine corporis (absque pinna cau- dal); altitudine capitis 1,5, latitudine 2 in ejus lon- gitudine; oculis diametro, rostro aequante, 2 in latitu- dine capitis; spatii interorbitalis latitudine 3 in longi- tudine capitis. Phoxinus Sabanejewi, Sp. n. D. 3/7; À. 3/7—8; V. 2/6; P. 1114—15. Lin. lat. 83—85; lin. tr. 30—532. Phoxinus corpore compresso; altitudine corporis 3,7 in longitudine ejus (absque pinna caudali); alti- tudine corporis minima 2,6—2,4 in maxima, 1,9—1,8 in pedunculo; longitudine peduneuli caudalis 1,3 in altitudine corporis maxima; capitis longitudine cor- poris altitudine paulo minore; altitudine capitis 1,4 latitudine 1,7 in ejus longitudine; oculis diametro, longitudine rostri vix majore, 3,6 in capitis longitu- dine, 1,25— 1,1 in spatio interorbitali. Phoxinus altus, Sp. n. D. 3/7; À. 3/7; V. 116; P. 1113—14. Lin. lat. 78—83; lin. tr. 32—36. Phoxinus corpore compresso; altitudine eorporis 3,4 in ejus longitudine (absque pinna caudali); altitu- dine minima 2,7 in maxima, 2 in peduneculo caudali; peduneulo caudali 1,3 in altitudine corporis maxima; longitudine capitis subconici 4—3,8 in longitudine corporis (absque pinna caudali), altitudine capitis 1,5, latitudine 1,6 in ejus longitudine; oculis diametro lon- gitudine rostri paulo minore, 3,8—4,4 in longitudine capitis, 1,6— 1,4 distantibus. Diese Art steht der vorigen sehr nahe, unterschei- det sich aber hauptsächlich durch grüssere Kürper- hôühe und kleineres Auge. / Phoxinus sublaevis, sp. n. D 87, A:ai7,v. 2155; P: LE): Lin. lat. 82—92; lin. tr. 26—31. Phoxinus corpore subcylindrico; altitudine corporis 4,5—4,4 in longitudine ejus (absque pinna caudali); altitudine corporis minima 2 in maxima; longitudine pedunculi caudalis altitudinem corporis maximam aequante; capitis longitudine, altitudine corporis maxima vix majore, 4,4—4,3 in longitudine corporis (absque pinna caudali); altitudine capitis 1,5—1,4, latitudine 1,7—1,6 in ejus longitudine; oculis dia- metro, longitudine rostri fere aequante, 4,7— 4,1 in longitudine capitis. Phoxinus variabilis, Sp. n. D. 3/7; A. 3/7 —8; V. 116; P. 1114—15. Lin. lat. 81—87; lin. tr. 30—34. Phoxinus corpore crassiusculo; altitudine corporis 3,7—4 in longitudine ejus (absque pinna caudali), altitudine corporis minima 2,5—2,8 in maxima, 1,9— 2,4 in pedunculo caudali; peduneulo caudali 1,2— 1,4 in altitudine corporis maxima; longitudine capitis 3,4—3,6 in longitudine corporis (absque pinna cau- dali); altitudine capitis 1,4—1,6, latitudine 1,7—1,8 ? |'in ejus longitudine; oculis diametro, longitudine rostri vix minore, 4,6—3,9 in capitis longitudine, 1,7—1,3 in spatio interorbitali. Phoxinus kuldschiensis, Sp. n. D 7: A: 011: Ve 2105 PP HI&; Lin. lat. 90; lin. tr. 35. Phoxinus corpore compresso; altitudine corporis 4 in ejus longitudine (absque pinna caudali); altitudine corporis. minima 2,2 in maxima; pedunculo caudali altitudigem corporis maximam aequante; capitis longi- tudine, altitudine corporis paulo minore, 4,2 in longi- tudine corporis (absque pinna caudali); altitudine capitis 1,5, latitudine 1,9 in ejus longitudine; oculis diametro, rostri longitudinem aequante, 4,25 in longi- tudine capitis, 1,25 diametris distantibus. Diese Art unterscheidet sich von dem ihr nahe ver- wandten Ph. Poljakowii, Kessi, hauptsächlich durch grüssere Kürperhühe und kleinere Kopflänge. In den vorliegenden Diagnosen musste ich mich selbstverständlich nur mit den wesentlichsten, in kur- zen Worten oder sogar Zahlen leicht fassbaren Unter- scheidungsmerkmalen begnügen. Die übrigen für jede Art mehr oder weniger charakteristischen Kennzeichen kôünnen nur in ausführlicheren, mit Abbildungen be- gleiteten, Beschreibungen erürtert werden. 537 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 538 Bericht über des Mag. V. Zukovski Materialien zur persischen Dialektologie. Von C. Salemann. (Lu le 3 février 1887.) Ein besonders günstiges geschik waltet widerum über dem von unserer Akademie so erfolgreich gefor- derten studium der neuiranischen sprachen. Nach einer kurzen, durch des sel. Dorn unersezlichen ver- lust bedingten pause, wurde der druk der von den proff. Socin und Prym gesammelten kurdischen sprachproben genemigt, so wie dem schreïber diser zeilen die herauBgabe einer arbeit über das Jaghnôbi gestattet, und immer noch wird uns neues material zu gefürt. Ich halte es daher für eine angeneme pflicht, die geerte Classe auf die arbeiten eines jungen iranisten aufmerksam zu machen, welche ein sprachgebiet be- treffen, das biBher nur ganz fragmentarisch unter- sucht worden ist, ich meine die gegenwärtig im eigentlichen Persien gesprochenen volkstümlichen mundarten. Denn die früheren verüffentlichungen be- zogen sich vorzugsweise auf die dialekte der nord- küste Persiens, wärend von den im innern des landes gangbaren mundarten nur das Gebri (Deri) durch Beresin !}, Rehatsek?), Petermann-Justi*) und Schindler *), und das Semnänische durch Schindler”) und Dorn “Xe ein gehender behandelt worden sind. Herr V. Zukovski, welcher wärend eines dreijä- rigen, von 1883 biB 1886 dauernden, aufenthaltes in Persien zum ersten male zu rein linguistischen zwe- cken das land durchzogen hat, ist es gelungen eine überraschende und die wiBbegir im hôchsten grade spannende mannichfaltigkeit von dialekten zu consta- tieren, und ein für die kurze zeit imponierend reich- haltiges sprachmaterial zusammen zu bringen, über E. Bérésine, Recherches sur les dialectes persans (Casan, 00 1'° partie, p. 100—118: 99 partie, p. 19—95; 3° partie (Voca- bulai 2) k. Rehatsek, Deri phrases and dialogues. Ind. Antiq. IT (1874), p. 331—335 3 F. Justi, Über die Mundart von Jezd. ZDMG. XXX V (1881), p. 327—414, 4) A. Houtum-Schindiler, Die Parsenin Pérsien, ihre Sprache und einige ihrer Gebräuche. Ib. XXXVI (1882), p. 54—88. : H. Schindler, Bericht über den aide Dialect. Ib. XXXII 1878), p. 535—541 6) D! orn, de die Ssemnânische Mundart. Mél. As. VIII 1878), p. dr CH 11. welches ich seiner mitteilungen *) die folgenden notizen mir zu entnemen gestatte. Die untersuchten dialekte sind meistenteils auf einzelne dürfer beschränkt, sie laBen sich indessen nach mabgabe irer charakteristischen eigentümlichkeiten in familien gruppieren, deren geographische grenzen an nähernd bestimbar sind. Im südlichen Persien trit uns zunächst das gebiet von Siràz entgegen; biB 50 werst nürdlich und 20— 30 südlich von der stat wurden zwei dialekte unter- sucht, im dorfe Sivend und im dorfe ‘Abdû (zu lezte- rem gehüren auch die mundarten der dürfer Kelûn und Pôpün). Die zweite gruppe umfafit das gebiet von Ispahân; sie ist durch drei dialekte vertreten, welche in den dürfern Sedé, Gäz und Kafrôn gesprochen werden. Es folgt eine dritte gruppe im gebiete von Käkân; hier besitzen wir material auB vier dialekten, nämlich der dürfer Vônisün, Kohrüd, Keëé und Zefré. Die vierte gruppe gehürt zu Semnâän-Teherân; von ir wurde nur der dialekt von Señgiser näher erforscht, und zum teil die mundart des dorfes Semerzôd. Da die genanten dialekte, mit nur geringen auf- namen, keine selbständige literatur besitzen, so muste, am zusammen hängende texte zu erhalten, durch über- setzungen auB dem Persischen abhilfe geschaft wer- den, und da ist es nun von groBem nutzen für das vergleichende studium, daf merere stücke in allen dialekten auf gezeichnet wurden, und zwar: 1) die sog. Bacmeistersche sprachprobe; 2) der anfang der (auch von Lerch ins Kurdische übersezten) finnischen rune; 3) die geschichte vom verlorenen sone, Ev. Luc. XV, 11—32; 4) zwülf erzälungen auB den volksbüchern US Ji, ais LE, ab), und Dorn’s Beiträgen pe Co a Dazu kommen: 5) für die mundarten von Kohrûd, Keëé, Zefré und Sedé: übersetzungen persischer toile, liebes- und kinderverse, wie sie in den dürfern anstat der ori- ginale von mund zu mund gehen; 7) Vgl. M'ÉROTOPHXE, pm Haphuiax Apxeozor. Oôux. I (1886), p. 23—29. auch B. noi, pins rs satire , Fe. . Sanuexn Boer. Orx. M. P. 539 Bulletin de l’Académie Impériale 540 6) im dialekte von Kafrôn: eine reiche samlung von nachbildungen Häfizischer und anderer dichtwerke, an welchen sich der übergang zur kunstdichtung ver- folgen läBt; und endlich 7) in den dialekten von Zefré, Gäz und Kafrôn: eine statliche reihe selbständiger poetischer leistungen ein- heimischer dichter, von welchen der samler einige hat persünlich kennen lernen. Einen nicht minder wertvollen teil der samlungen bhrn. Zukovskÿs bilden für alle dialekte an gelegte würterverzeichnisse, welche eine grofe anzal in den texten nicht vor kommender auBdrücke enthalten; da- bei wurde eine besondere aufmerksamkeit den ver- schidenen stamformen der verba gewidmet, und auch für jeden dialekt eine grammatische skizze entworfen. Ganz unabhängig von disen materialien hat der eifrige forscher noch eine reichhaltige samlung bach- tijàrischer lieder zu wege gebracht, und auch einen kurdischen dialekt erforscht, welcher einer unterab- teilung des geschlechtes Kalchâäni vom grofien stamme Güûrân*), den Küzievend eigen ist. Nach durchsicht des mir vom verfaBer vor gelegten teiles seiner arbeit kan ich mich nur mit hôchster an- erkennung über seine methode und die auf gewante sorgfalt auB sprechen, welche allen anforderungen der _modernen sprachforschung genüge tun. Zur transcrip- tion hat er auf mein an raten das etwaB modificierte Sjogrenische alphabet gewält, und sich auch mit der bezeichnung des accentes besonderer mühewaltung un- terzogen, Und waB endlich die als originale bei gege- benen persischen gedichte und lieder betrift, so bie- ten dise sowol der sprache als dem inhalte nach so viles interessante, ethnologisch und selbst literarisch wertvolle, da auch diser hier gewisser mañen neben- sächliche teil des werkes von jedem fachmanne mit freuden begrüBt werden mul. AuB al dem an gefürten ist leicht ersichtlich, welch _ ein reicher schaz neuiranischen sprachgutes in hrn. : Zukovskïs samlungen vor ligt, deren nuzbarmachung für die wiBenschaft nur dringend gewünscht wer- den kan. Ich beere mich deshalb den antrag zu stellen, die Classe wolle genemigen, daB die verôffentlichang von hrn. Zukovskïs es AIS H3ydeHiA Hep- 2 ar 8) Eine grammatische skizze des Güräni verdanken wir Rien: Cat. Pers. Mss. Brit, Mus. x 728—732, CHACHUXE Hapbuiñ» unter der aegide der Akademie vor sich gehe. Das ganze material liefe sich in fünf bände verteilen, von welchen die drei ersten den schärfer ab gegrenzten ersten drei gruppen entspre- chen würden, wärend der vierte den rest der persi- schen dialekte und der fünfte die Bachtijàri-lieder enthielte. Jeder der vier ersten bände würde sich in eine einleitung, die texte, das glossar und die gram- matik glidern, und das ganze wäre eine wirdige fort- setzung der von Dorn begonnenen «Beiträge». Der Nebelfleck um C Orionis. Von 0. Struve. (Lu le 24 février 1887.) (Mit einer Tafel.) Vor 4 Wochen theilte mir Admiral Mouchez mit es sei der Photographie gelungen im Sternbilde des Orion einen ausgedehnten sich auf den clichés glän- zend darstellenden Nebel zu entdecken, der mit den Refractoren der Pariser Sternwarte dem Auge nicht erkennbar sei. Indem er mich aufforderte die Sicht- barkeïit dieses Nebels an unserm 30-Züller zu consta- tiren, versäumte es aber mein geehrter College mir dessen Ort näüher zu bezeichnen. Ich musste daher auf weitere Mittheilungen warten. Solche sind mir erst vor wenigen Tagen durch die Comptes-rendus der Pariser Akademie vom 14: Februar zugekommen, Es ergibt sich aus denselben, dass der vermeintlich neuentdeckte Nebel kein andrer ist, als der längst wohlbekannte um C Orionis belegene, dessen Abstand vom Centro des grossen Orionnebels nur 33° in der Richtung nach Norden’beträgt. Dass derselbe den Franzüsischen Astronomen zeitweilig als neuentdeckt . galt, erklärt sich muthmasslich aus dem Umstande, dass er in dem bekannten Herschel'schen Ver- zeichnisse von Nebelflecken und Sternhaufen vom Jahre 1833, welches bis in die Mitte der 6O-er Jahre als einziger zuverlässiger und in den meisten Füllen genügender Leitfaden bei allen Nebelfleckbeob- achtungen galt, nicht besonders aufgeführt ist. Ob er dort nur aus Versehn weggelassen oder weil die Her- : schel ïihn nur als einen integrirenden Theil des grossen 3-Nebels ansahen, mag dahin gestellt bleiben. Jeden- falls ist er re in dem 1847 erschienenen Werke 541 des Sciences de Saint- Pétersbourg. von J. Herschel über die Resultate der von ihm am Cap der guten Hoffnung 1834—38 angestellten Beob- achtungen nicht bloss katalogisirt, sondern auch be- schrieben und sorgfältig gezeichnet, was auch bald nach ihrer ersten Mittheilung von den Pariser Astro- nomen erkannt ist. Besonders auffallend ist der Umstand, dass die- ser C-Nebel, der in der Regel mit mässig starken Fernrühren erkennbar ist, an den zum Theil sehr kräftigen Instrumenten der Pariser Sternwarte nicht hat erkannt werden künnen, was Hrn. Adm. Mouchez veranlasste auch den Director der Nizzaer Sternwarte Herrn Perrotin aufzufordern mit dem vortrefflichen im vergangenen Jahre aufgestellten 30-Züller der dor- tigen Sternwarte, nach jenem Object auszuschauen. In Erfüllung dieses Wunsches berichtet nun Herr Per- rotin in dem erwähnten Artikel der Comptes-rendus, dass er den Nebel relativ glänzend finde und gibt auch einige Details über dessen Structur. Schliesslich be- merkt er, dass das schlechte Wetter ihn verhindert habe den Nebel zu zeichnen, Diese Nachrichten brachten mir in Erinnerung, dass ich selbst vor langen Jahren einmal versucht habe diesen Nebel zu zeichnen. Obgleich ich mich sonst mit Zeichnen von Nebelflecken nicht abgegeben habe, so hatte ich doch mit dem Vorliegenden eine Aus- nahme gemacht, weil das Fehlen desselben in dem Herschel’schen Cataloge von 1833 mich im ersten Augenblicke, als ich zufällig auf denselben stiess, gleichfalls glauben liess, wir hätten es da mit einer neuen Formation oder auch mit einem bis dahin noch unbekannten Objecte zu thun. Durch Einsicht in die Herschel’schen Capbeobachtungen kam ich jedoch gleich folgenden Tages von dieser irrthümlichen Auf- fassung zurück und legte deshalb die Zeichnung, nebst den sie begleitenden Anmerkungen, ad acta. Dort hat sie ruhig bis in die letzten Tage gelegen. Indem ich sie jetzt wieder hervorsuchte, hat es mir geschienen, dass unter den gegebenen Umständen dieses ältere Document trotz der unvollständigen Ausfübrung nicht ganz ohne Interesse sei und erlaube ich mir daher dasselbe hiermit zu verôffentlichen. Die Anmerkungen sind offenbar theils während der Beobachtung selbst niedergeschrieben, theils unmittelbar nachher aus der Vergleichung mit den Herschelschen Capbeobach- | tungen hervorgegangen. Sie lauten: 54? 1851 März 6. Helligkeiten der Sterne: a—=(5), b—(6), c=(7), d=(9) = (9), f =), 2 = (12 ON Der Nebel tritt scharf hervor auf einer etwas aus- gebogenen Linie von a nach d; € und b befinden sich : entschieden ausserhalb des hellen Nebels, entgegen dem wie es bei Herschel (Ospbeobachtunges) ange- geben ist, obgleich wohl die ganze Gegend noch mit etwas schwacher Nebelmaterie angefüllt ist. Die ge- rade Begränzung ed stimmt genau mit Herschel, so wie auch, dass f etwas ausserhalb derselben liegt. Bei e biegt die Begränzung unter einem stumpfen Winkel nach Sûüdwesten, wovon in Herschel’s Zeich- nung nichts angegeben. Die grüsste Intensität des Ne- bels ist in der Gegend zwischen a und e, Die nürdlich von & belegenen Nebeltheile, die im Allgemeinen mit Herschel’s Zeichnung übereinstimmen, sind nur roh entworfen; ihr Glanz ist erheblich geringer als der des Hauptnebels. Mit Sicherheit konnten Nebeltheiïle auf + 8° von C— a aus in Declination verfolgt werden. Zusatz 1851 März 7. Von d nach b ist auch noch etwas hellerer Nebel, aber viel weniger intensiv wie zwischen a und e. Von der Linie db aus erstreckt sich ein noch schwächerer Nebel keiïlformig bis 2. Das Sternchen c ist entschieden ausserhalb des erkennbaren Nebels. Vorangehend vor a erstreckt sich der Nebel wenigstens noch 12° weit, allmälig abfallend. Mit Ausnahme des Umstandes, dass ich den Stern c als entschieden ausserhalb des helleren Nebels liegend bezeichne, während die Herschel’sche Zeichnung den- selben als noch vollständig von hellem Nebel umgeben darstellt, stimmen offenbar unsre beiderseitigen Beob- À achtungen, die respective den Jahren 1835 und 1851. angehüren, vortrefflich unter einander überein. Später : = habe ich diesen Nebel wiederholt betrachtet, nament- lich zur Zeit meiner Bearbeitung der Centraltheile des grossen 3-Nebels, ihn aber nie wieder so glän- zend und in so scharfen Umrissen gesehn wie bei jener früheren Gelegenheïit, was ich damals auf we. “ niger durchsichtige Luft zu schieben geneigt war. Nach einer sichtbaren Fes dieses Nebels mit : 243 Bulletin de l’Académie Impériale 544 dem grossen 3-Nebel haben beide Herschel oft, aber vergeblich ausgeschaut, wenngleich sie wohl angeben, dass ihnen das die beiden Nebel trennende Intervall gelegentlich nicht so dunkel erschienen sei, wie andere Theile des Himmelsgrundes. Auch mir ist es nie ge- glückt eine verbindende Nebelbrücke oder etwas dem . ähnliches mit Sicherheïit zu erkennen, selbst nicht nach- dem es bereits bekannt geworden war, dass G. P. Bond im Frübjahre 1864 mit Hülfe des unserm alten 15- zülligen Refractor in allen Stücken gleichstehenden Refractors der Sternwarte Cambridge (Mass.) eine Ver- bindung der beiden Nebel durch 3 bandartige Nebel- streifen wahrgenommen hatte. Besonders auffallend aber ist es, dass dieselben 3 Nebelbänder auch im Herbst desselben Jahres 1864 von d’Arrest in dem nur 11!/-zülligen Refractor der Copenhagener Sternwarte mit solcher Schärfe erkannt sind, dass er in seiner 1872 erschienenen Schrift «Undersogelser over de ne- bulose Stjerner» ihren Verlauf detaillirt beschreiben konnte. Ob dieselben später als 1864 irgendwo noch wahrgenommen sind, ist mir nicht bekannt; bei uns gewiss nicht und auch nicht von den beiden genann- ten Beobachtern, indem Bond bereits 1865 starb und d’Arrest sonst wohl dieses Umstands in seiner 8 Jahr später erschienenen Schrift Erwähnung gethan hätte. Besonders bemerkenswerth ist auch der Dnstanl dass sowohl Bond wie d’Arrest während 7 Jahre vor 1864 den grossen Orionnebel sorgfältig studirt hat- ten, ohne dass ihnen jene interessante Verbindung aufgefallen wäre. Es liegt daher nahe die Vermuthung aufzustellen, dass der Nebel um C Orionis und die ihn umgebenden Nebentheile Lichtwechsel unterwor- fen sind, die im Jahre 1864 ein Maximum der Inten- sität erreicht haben. Meine Beobachtungen über die Centraltheile des Orionnebels, haben eine Variabilität im Lichte der dieselben constituirenden Nebelmassen sebr wahr- scheinlich gemacht und die späteren Beobachtungen von Holden am 26-zülligen Washingtoner Refractor … haben diese Wahrnehmungen bekräftigt. Es liegt nahe die vorstehend ausgésprochene Vermuthung eines môg _lichen Lichtwechsels am C Nebel mit jenen Verände- rung in Beziehung zu bringen, besonders seitdem _ durch die erwähnten Beobachtungen von Bond und _ d’Arrest, der früher nur vermuthete physische Zu- Ne sammenhang der beiden Nebel, jetzt augenscheinlich nachgewiesen ist. Auf eine geringere Lichtstärke des Nebels zu ge- genwärtiger Zeit deutet gewiss auch der Umstand, dass die Pariser Astronomen mit ihren 13—15-zül- ligen Refractoren nicht im Stande gewesen sind den- selben mit Sicherheit zu erkennen, während d’Arrest ihn 1864 mittelst des 11!,-zülligen Copenhagener Refractors ganz detaillirt beschrieben hat. Adm. M ou- chez ist geneigt diese Lichtschwächung der ungün- stigen Lage der Pariser Sternwarte in der Mitte der grossen Hauptstadt zuzuschreiben. Ohne Zweïfel mag dieselbe ‘etwas dazu beigetragen haben, aber doch wohl schwerlich in dem Maasse, dass dadurch der grosse Unterschied der Sichtbarkeit in Paris und Copenhagen ausgeglichen würde, besonders da die erwähnten Refractore in Paris oben auf dem Dache des hohen Sternwartsgebäudes aufgestellt sind. Somit würde dieses Indicium der Lichtverminderung immer- hin von Bedeutung sein, wenn nicht Herr Perrotin in seinem Schreiben erklärt hätte, dass er in Nizza den Nebel schon mit einem Fernrôlire von Mn =S 7,3 Engl. Zoll Offnung erkannt hätte. Vorläufiger Bericht über eine wissenschaftliche Reise in die Krym im Jahre 1886. Von W. Radloff. (Lu le 3 Mars 1887.) Die Herausgabe eines Mädschuma» der krymschen Karaimen, d. h. einer Sammlung von Erzeugnissen der tatarischen Volkslitteratur (Sprichwôrter, Räthsel, Er- zählungen, Lieder u. s. w.) nach Aufzeichnungen tata- risch sprechender Karaimen, veranlasste mich schon seit einigen Jahren, mich mit dem Dialecte der Krym- tataren zu beschäftigen. Ich hatte schon in Kasan Ge- legenheit, dort wohnende Karaimen zu Rathe zu ziehen und setzte hier diese Untersuchungen mit einem in der tatarischen Volkspoesie sehr bewanderten Karai- men, Herrn Erak, fort. Das Abweichende der Sprache der einzelnen Individuen und die Schwankungen in den mir vorliegenden Texten lieferte mir den Beweis, dass auf der taurischen Halbinsel verschiedene Dialect-Nü- ancen existiren mussten, und ich sah bald ein, dass ich mir keïn klares Bild derselben verschaffen konnte, wenn ich nicht die sprachlichen Eigenthümlichkeiten dieser ) GX 177 PA) JPY À, er MP PIN « Lul «te / ( Y ad ( ) AY AVE. >» / ” #4 à ds )/ de le A 11111 545 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 546 Nüancen an Ort und Stelle untersuchte. Dieser Um- stand veranlasste mich, die historisch-philologische Klasse zu ersuchen. mir die Mittel zu einer Reise in die Krym zu bewilligen. In Folge der mir gewährten freundlichen Unterstützung hatte ich die Môglichkeit, diese Reise Ende October vorigen Jahres anzutreten und mich bis Ende December daselbst aufzuhalten. . Zu der Wahl einer für eine Reise eigentlich ungün- stigen Jahreszeit hatte mich der Umstand veranlasst, dass ich.einerseits die während der Saison in der Krym herrschende Theuerung fürchtete, andererseits dass ich meinte, im Winter die Bevülkerung weniger be- schäftigt zu finden, und dass ich so leichter Gelegenheit haben würde, die mir nôthigen Sprachmaterialien zu sammeln. Ich reiste zuerst nach Sympheropol und be- gann von dort meine Fahrten durch die ganze Halb- insel. Meine erste Station machte ich in Baktschi-Sarai, das gleichsam den Mittelpunkt der tatarischen Intelli- genz der ganzen Halbinsel bildet. Von hier ging ich zu den nôrdlichen Gebirgsthälern bis zu der Quelle des Kasch und hielt mich einige Zeit im Rayon der Dürfer Ésenbasch und Stile auf. Dann kehrte ich nach Bak- tschi-Sarai zurück, wendete mich nach dem Süden und verweilte in dem Dorfe Karalez, nôrdlich vom Baiïidar- Plateau. Von Karalez ging ich über Sebastopol, Bai- dar auf der grossen Poststrasse nach dem Südufer bis Miskor bei Alupka, wo ich wiederum einige Tage Rast machte. Von Miskor ging ich, Jalta passirend, bis Ulu Lambat, 13 Werst westlich von Aluschta, und dann, nach abermaligem Aufenthalt, über Aluschta Kuru Üsen bis Üsküt. Nachdem ich in Üsküt das mir nôthige Material gesammelt, ging ich über Sudak nach Theodosia und von dort zur Halbinsel von Kertsch, in deren Mittelpunkt, im Dorfe Chodschalar, ich wiederum einige Tage verweilte. Nach Theodosia zurückgekehrt, hielt ich mich einige Tage daselbst auf und reiste dann direct bis Karassu-Basar, wo ich einen längeren Auf- enthalt nahm. Von Karassu-Basar unternahm ich eine Reise in die Steppe, und zwar durchschnitt ich die Mitte der Halbinsel über Taschly-Dair nach Norden bis Kyjat, 30 Werst südlich von Perekop, wo ich wieder einige Tage verweilte; dann wandte ich mich nach Südwesten und ging über Botasch bis Eupatoria, von wo ich nach einigen Tagen schon nach Symphe- ropol zurückkehrte Diese meine Énsifatirt durch die Krym gab mir die Tome XXXI. Môglichkeit, mit Individuen der verschiedensten Ge- genden zusammen zu treffen, so dass sie mich in Stand setzte, mir ein klares Bild aller krymschen Mundarten zu verschaffen. Die Tataren selbst theilen die tatarisch sprechenden Einwohner der Krym in drei Gruppen: 1) Schähärhäm Tau-chalky, die Stadt- und Berg-Be- wohner, d. h. Bewohner der Städte Sympheropol, Bak- tschi-Sarai, Karassu - Basar, Theodosia und Eupatoria, und die im Gebirge und am Südufer wohnenden Tata- ren; 2) Tschôül-chalky, die Steppenbewohner, und 3) Nohi: chalkv, die Nousior: elu jetzt ausgewanderter Tatarenstamm, der früher nürdlich von der Landenge von Perekop wohnte. Diese Eintheilung ist eine den historischen Verhältnissen entsprechende. und wird durch das richtige Sprachgefühl und die Verschieden- heit der Lebensverhältnisse dieser Gruppen veranlasst, Die Nogaier waren die spätesten Einwanderer, Sie hatten am Ende des vorigen Jahrhunderts den nürd- lichen Kaukasus verlassen und die Absicht, sich auf türkischem Gebiete niederzulassen, waren daher nürd- lich vom Schwarzen Meere nach Westen gezogen. Da aber die Bodenverhältnisse Bessarabiens ihnen, den Nomadeu, nicht behagten, so wendeten sie sich wieder nach Osten und überwinterten nürdlich von der Krym, da zu jener Zeit diese Landstriche vollkommen unbe- wobnt waren. Durch die russischen Behürden veran- lasst, schlugen sie in jenen Gegenden ihren dauernden Wohnsitz auf und nomadisirten daselbst während der ersten Jahrzehnte unseres Jahrhunderts, bis sie sich auf Veranlassung des Fürsten Woronzew in Dürfern ansiedelten und nun hauptsächlich sich mit dem Acker- bau zu beschäftigen begannen. Sie blieben in jenen Wohnsitzen, bis sie nach dem Krymkriege, aus Furcht vor dem Militärdienste und durch mohammedanische Emissäre veranlasst, nach der Türkei auswanderten. Ausser einzelnen Individuen, die sich in der Krym niedergelassen hatten, und wenigen Zehnt Familien, . die von ihrer Wanderung durch Kleinasien zurückge- kehrt sind und jetzt im Dorfe Kyjat wohnen, finden ; .. sich heute nirgends mehr Nogaier im taurischen Gou- vernement. Die Nogaier unterschieden sich durch Spra- che, Gesichtsbildung, Lebensweise und geschichtliche : Erinnerungen so scharf von den übrigen Tataren der . Krym, dass noch jedes von denselben in der Krymzu- rückgebliebene Individuum dieses Stammes sich als Fremdling fühlt und sil seiner Gp bewusst on 545 Bulletin de l'Académie Impériale 548 ist. Die beiden übrigen Gruppen werden von den No- gaiern als Krym-tatarlari (Krymtataren) bezeichnet, und zwar deswegen, weil, wie sie sagen, alle diese Ta- taren längst in der Krym ansässig gewesen seien, als sie aus dem Kaukasus einwanderten. Die Unterschei- dung der beiden letzten Gruppen ist auf die Wohnsitze, Sprache und Beschäftigung gegründet, das Tschül- chalky oder die Steppen-Tataren bewohnen die Steppe der eigentlichen Krym und die der Halbinsel von Kertsch und sind alle ohne Ausnahme Ackerbauer, während die Tataren der letzten Gruppe, die in den Städten leben, sich mit dem Handel oder mit Gewerben beschäf- tigen, oder in Dürfern dem Garten-, Wein- und Ta- baksbaue obliegen. Die Steppenbewohner sind auch zum grôssten Theil ausgewandert, so dass jetzt nur noch die tatarischen Ortsnamen beweisen, dass früher die ganze Steppe von Tataren bewohnt war. Am zahl- reichsten sind noch die Städte- und Bergbewohner zu- rückgeblieben, und sie bilden jetzt die Hauptmasse der tatarischen Einwohner der Krym. Nach officieller _ Angabe betrug 1884 die tatarische Bevülkerung der Krym 142,179 Individuen, unter diesen 77,717 männ- lichen und 64,462 weiblichen Geschlechts. Ausge- wandert sind vom Jahre 1860 — 1875 aus der Halb- insel nach der Türkei 61,984 Männer. Schon die Physionomien und die Sprache der Step- penbewohner beweisen uns auf’s Deutlichste, dass die- | _ selben anderer Abkunft sind, als die Berg- und Städte- bewohner. Offenbar sind sie, wie auch die tatarischen Dorfnamen der Steppe beweisen, fast ausschliesslich seit dem XIII Jahrhundert eingewanderte türkische Nomaden der verschiedensten Geschlechter, Kyrk, Kyptschak, Känägäs, Altschyn, Kyjat u. s. w., die sich Stammweise in den weiten, für die Vichzncht treffich geeigneten Steppen niederliessen. Die Bewohner des Gebirges und der Städte hingegen bilden in ihrer Haupt- masse Überreste der yiel früher, vielleicht schon vom IV. und V. Jahrhundert an, in die Krym eingewander- ten Türkstämme: Uiguren und Komanen, die im Laufe der Jahrhunderte zahlreiche Einwohner anderer Her- kunft: Griechen, Gothen u. s. w. absorbirt haben. Im Laufe der letzten Jahrhunderte hat auch ein nicht un- bedeutender Zuzug von kleinasiatischen und Balkan- | + Türken stattgefunden. Bis in’s XVIL Jahrhundert war die Sprache der _ Krymtataren offenbar eine Kyptschakische Mundart, die aus einem Gemisch der Komanischen und der der später eingewanderten Steppennomaden sich ge- bildet hatte. Eine Aushahme bildeten vielleicht nur die Bewohner des westlichen Theïiles des Südufers, die gebildete Bevülkerung von Baktschi-Sarai und die hôühere Beamten-Welt, die durch Eïinfluss der Beziehungen mit Constantinopel, sich der litterarisch ausgebildeteren osmanischen Sprache bedienten. Als aber durch das stete Vordringen Russlands der Ver- kehr der tatarischen Bevülkerung der Krym mit der der Wolgagegenden vollständig abgeschnitten war, so begann der Einfluss der ausgebildeten Litteratur- sprache der Osmanen immer festeren Fuss zu fassen. Der heutige Zustand der Dialect-Nüancen der Spra- che der Krymtataren giebt uns ein klares Bild des Kampfes des neu vom Süden importirten Süd-Dialec- tes mit dem ursprünglichen Nord-Dialecte der Bevül- kerung, ein Bild, welches besonders lehrreich für die Entwicklung der Dialect- Übergänge überhaupt ist, da der Kampf hier auf einem vollständig von stürenden Nebenstrümungen isolirten, durch die Natur des Lan- des genau begrenzten Raume, der die verschiedenar- tigsten geographischen Bedingungen (Steppe, Bergland und Meeresufer) bietet, stattgefunden hat. Das Resultat des Dialect - Kampfes zeigt uns am deutlichsten folgende Übersicht der Dialecte: 1) Südliche Mundarten. Die lautlichen Erscheinungen, grammatischen Bil- | dungen und der Sprachschatz zeigen überall ein Vor- herrschen des südlichen Einflusses. a) Die Sprache des Südufers (von dem Baidarthore bis Üsküt). Eigenthümliches, festgeordnetes Laut- system, das keinen bedeutenden Schwankungen unterworfen ist. Diese Mundart muss in gramma- tischer Beziehung vollständig zu den Süd- Dialecten gerechnet werden. b) Die Sprache der Städte Baktschi-Sarai, Symphero- pol, Karassu-Basar, Theodosia und Kertsch. Misch- sprache mit nôrdlicher Unterlage, wo aber in allen Schichten schon das südliche Element vorherr- schend geworden ist. Nirgends aber hat es sich zu einer die Sprache beherrschenden festen Form entwickelt. In Lautlehre und Grammatik ist das südliche Element vorherrschend, überall treten aber noch die alten Formen auf. Das mehr oder weniger häufige Erscheinen alter Formen hängt 549 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 550 von der Bildungsstufe und der Beschäftigung der Individuen ab. ce) Die Mundarten der Gebirgsbewohner der nôrdli- chen Abhänge und Vorberge. Eine ähnliche Misch- sprache. Nur mit dem Unterschiede, dass hier meist die ursprüngliche nôrdliche Form die vor- herrschende ist. Jedem Individuum sind aber auch die neueren südlichen Formen geläufig, wenn sie in der Anwendung auch meist hinter den ersteren zurücktreten. 2) Nôrdliche Mundarten. a) Der Krym-Dialect. Der südliche KEinfluss ist zwWar auch zu spüren, tritt aber vollkommen in den Hintergrund. Den lautlichen Verhältnissen nach ist die Sprache zu den nord-tatarischen Dialecten zu zählen. Ebenso sind die grammatischen Formen des Nordens durchgängig im Gebrauch, wenn auch einzelne südliche Formen sich einzubürgern be- ginnen. Das Lexicon zeigt schon einen bedeuten- den südlichen Einfluss. Im Ganzen ist der Sprach- gebrauch ein fester zu nennen, Anwendung von Doppelformen ist seltener und findet sich nur bei einzelnen Individuen. Man kann diese Mundarten nicht scharf von einander scheiden, da die Natur der Steppe hier im Ganzen ausgleichend gewirkt hat. Bedeutendere Verschiedenheiten bietet nur die Sprache der Steppe der eigentlichen Krym und die der Halbinsel von Kertsch. Die Sprache der Stadtbewohner, von Eupatoria muss zu den nürdli- chen Mundarten gerechnet werden, ebenso wie die Sprache eines Theiles derjenigen Einwohner von Karassu-Basar und Theodosia, die durch ihre Be- schäftigung mit den Steppenbewohnern im Verkehr stehen. b) Der Nogai-Dialect. Reiner nord-tatarischer Dia- lect, der dem Kirgisischen sehr nah steht. Der Dialect ist jetzt fast verschwunden und wird nur noch von wenigen Individuen der Ansiedlung Kyjat gesprochen, sonst lebt er noch in vielen Liedern und Heldengesängen fort, die von den Sängern der Steppenbewohner noch jetzt vorgetragen werden. Die jüngeren Einwohner von Kyjat sprechen vor- herrschend krymtatarisch. Ausser den eigentlichen Tataren ist die tatarische Sprache als Muttersprache der Karaimen, der Krym- tschak (Talmudisten) und eines grossen Theils der Griechen anzusehen. Die Karaimen und Krymtschak sprechen den reinen Städte-Dialect von Baktschi-Sarai und Karassu-Basar, während die Griechen, je nach ihren Wobhnsitzen, die Stadtsprache, die Sprache der Gebirgsbewohner und die des Südufers anwenden. Die Sprache der Karaimen von Eupatoria weist viele Eïi- genthümlichkeiten des Steppen-Dialectes auf. Um die Eigenthümlichkeiten aller dieser Dialect- Nüancen fixiren zu kônnen, habe ich allerorten zahl- reiche Aufzeichnungen von Proben der Volkslitteratur gemacht, lautliche Untersuchungen angestellt und mein Lexicon nach Môglichkeiït zu vervollständigen gesncht. Sehr wichtig war es für meine sprachlichen Unter- suchungen, dass ich bei den Karaimen und Krymtschak alte Bibelübersetzungen vorfand, die in der früheren Sprache der Krymtataren verfasst sind und uns einen Begriff von dem Zustand dieser Sprache im XVIL. Jahrhundert geben. Ich gedenke, reiche Proben aus diesen zum Theil mit Vokalzeichen versehenen Über- setzungen herauszugeben. An diese wird sich das ka- raimische Mädschuma anschliessen, das in seiner Sprache den Dialect der tatarischen Intelligenz der Städtebevülkerung treu wiedergiebt. Einen grossen Theil des Mädschuma werde ich in Transseription nach dem Dictat von Karaimen wiedergeben. Diesen Tex- ten werden dann diejenigen Aufzeichnungen folgen, die ich während meiner Reise an den verschiedenen Orten der Krym gemacht habe. Auf diese Weise hoffe ich, ein genügendes Sprachmaterial zu verôffentlichen, das im Stande ist, ein klares Bild der Krym-Dialecte zu entwerfen. Dies ist um so wichtiger, als die Osma- nisirung, Wenn ich so sagen darf, mit Riesenschritten fortschreitet und voraussichtlich nach wenigen Jahr- zehnten die letzten Spuren der Eigenthümlichkeit der Krymschen Mundarten sich verwischen und vollständig verschwinden werden. Bericht über zwei von N. Katanoff eingereichte Bei- träâge zur Erforschung des Sagai-Dialectes. Von W.Radloff. (Lu le 3 Mars 1887.) Ich erlaube mir, heute der Classe zwei Arbeïiten des Herrn N. Katanoff vorzustellen, welche uns einen recht schätzenswerthen Beitrag zur Erforschung des Sagaischen Dialectes bieten. Die erste ist ein Würter- 51 Bulletin de l’Académie Impériale 552 verzeichniss der aus dem Russischen entlehnten Fremd- wèrter im Sagaischen. Herr Katanoff hatte bei seiner neuen Transscription der von Castrén aufgezeichneten Helden-Sage und bei dem Studium des II. Bandes meiner Litteraturproben die mühsame Arbeit über- nommen, alle in diesen Texten auftretenden Wôrter, die aus dem Russischen entlehnt sind, zu excerpiren. So gewann er eine schon ganz bedeutende Fremdwür- tersammlung, die er auf meinen Rath noch durch eine grosse Anzahl von Fremdwürtern der Umgangssprache und von russischen Eigennamen, die bei den durch- gängig getauften Sagaiern allgemein im Gebrauche sind, ergänzte. Diese Arbeit konnte allein Herr Ka- tanoff übernehmen, da er als geborener Sagaier solche Würter leicht aus dem Gedächtnisse auffinden konnte, wobei ihn das sichere Sprachgefühl für die Lautgesetze der eigenen Sprache vor Anwendung sprachwidriger Formen schützte. Da die Arbeit fast unter meinen Augen vollendet wurde, so konnte ich mich davon über- zeugen, mit welcher Vorsicht Herr Katanoff die Ver- voliständigung seines Fremdwôürter: Verzeichnisses aus- fübrte, er merzte jedes zweifelhafte Wort aus, ver- zeichnete alle ihm bekannten Varianten und liess sich nie durch den Wunsch leiten, in dem aufgeschriebenen Worte einen Beweis für die Richtigkeit der von mir aufgestellten Lautgesetze zu finden. Das Verzeichniss wurde von Anfang an auf Zetteln alphabetisch geord- net und dann sogleich so abgeschrieben, wie es uns vorliegt. Erst nach Vollendung dieses Würterverzeich- uisses machte der Verfasser sich an die Untersuchung der Lautveränderungen und ordnete die einzelnen Wäürter nach Gruppen, wie sie in meïner Phonetik auf- gestellt sind. Das Resultat dieses zweiten Theïls der Katanoff’schen Arbeit sind seine Untersuchungen über den Lautwandel, dem die aus dem Russischen entlehn- ten Würter unterworfen sind, sie bieten eine schätz- bare Ergänzung und theilweise Verbesserung der von mir in der Phonetik der Türksprachen aufgestellten Sätze und beweisen, dass Herr Katanoff ein richtiges Verständniss für die Auffassung der Lautverhältnisse seiner Muttersprache hat. Ich halte es für überflüssig, hier näher auf die Resultate dieser Untersuchung einzugehen, ich will mur auf Eines hinweisen, dies ist die Bedeutung _des Accents der russichen Wôrter, die hier theilweise : in ein neues Licht gestellt wird. Ich hatte in meiner Phonetik schon hervorgehoben, dass bei der grüssten Zahl der in tatarische Sprachen aufgenommenen russischen Fremdwürter der Vocal der Accentsilbe die Rolle des herrschenden Vocals, die in tatari- schen Wôrtern sonst dem Vocale der ersten Sylbe zufällt, übernimmt, und zum grôssten Theiïl die Pala- talität und zum Theil auch Labialität der Vocale des ganzen Wortes beherrscht. Ich hatte aber übersehen, dass der Accent, ausserdem dass er diese Wirkung aus- übt, noch als Accent in den meisten schon vollkommen lautlich accommodirten Fremdwôrtern forthbesteht, d. h. dass den Gesetzen der tatarischen Sprache zuwider die Accentsilbe dynamisch hervorgehoben bleibt. Somit erscheint ein russisches Fremdwort im Sagaischen nicht immer als eine an die erste Silbe agglutinirte Silben- reihe, wie ein jedes andere sagaische Wort, sondern auch oft als zwei solcher Silbenreïihen, indem die letztere Reihe gleichsam als Enklitica an die erste Reïhe gehängt ist. Wir finden eine ähnliche Erschei- nung in einzelnen Zusammenfügungen tatarischer Würter, z. B. Kirg. rÿYpô-rälii er ist aufgesprungen statt rypa rälxi. Hier hat die nahe Verbindung beider Wäürter eine Vocalassimiliation bewirkt. Die guttu- ralen Vocale des ersten Wortes sind durch die Pala- talattraction der palatalen Vocale des letzten Wortes in palatale Vocale verändert, y in ÿŸ und a in ü; das y des ersten Wortes hat aber dadurch seine Labialität nicht verloren, sondern der Einfluss derselben ist so stark geblieben, dass sie das ä der zweiten‘Silbe in 6 verwandelt hat. Auf den zweiten Theil des zusammen- gesetzten Wortes hat der Labialitätseinfluss des ersten Worttheils sich nicht erstreckt, er ist non-labial ge- blieben. Der Grund ist hier offenbar darin zu suchen, dass der psychische Zusammenhang des nur wenig veränderten rälai mit dem Worte Kälxi (er kam) noch nicht geschwunden ist, schwindet dieser, so wird un- bedingt rÿpü-rälai in rfpôrôlaÿ oder in rÿpôlaÿ über- gehen, wie dies im altaischen yauyknazpi «er schwieg» = ÿa + spiknapr (Laut + nicht hervorgegangen) ge- schehen ist. Russische Fremdwürter, deren Vocale nicht gegen die Gesetze der Vocalharmonie des sagaischen Dialectes verstossen, sind somit in Folge des ihnen eigenthümli- chen russischen Accentes in zwei Gruppen zu theilen: 1) Wôrter, die den Hauptton auf der letzten Silbe haben. Diese weichen in keiner Weise von den echt 553 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 554 tatarischen Würtern ab (vergl. Phonetik $ 136), z. B. Ennim, Eläkcäi, [aukprpar, PITAHC, pasacna, cakkpuar, 2) Wäürter, in denen der Hauptton nicht auf der letzten Silbe ruht. Solche tatarische Wôrter kommen ebenfalls vor, sind aber als Ausnahmen zu bezeichnen 52% DJ UM V L V (vergl. Phonetik $ 138), wie axa6biH, Kepäknic, appi- A VU ONU a A LA LA A Y “ V aamkazak, jekramagsr etc., z. B. Ilap6apa, nanka, LA A VU $ A V M0 AL V V Ocraunbii, Orpännänä, OCTRIPBIN. Diejenigen russischen Fremdwürter, die gegen die Vocalharmonie verstossen, sind als zwei getheiïlte Sil- bengruppen aufzufassen, in denen die zweite enklitisch LA) w YO OV sich an die erste anschliesst, z. B. Kap + MOxbija, LAN \ V Ps ‘ M: » a “ és S\ Al nB1+- p030a, [lapa + ck06b1ja, [lei+-6pônijä, ca + MyKk. Manchmal beginnt die Trennung vor der accentuirten Silbe, z. B. nÿH + r06bIk. Die zweite Arbeit Katanoff’s ist ein Verzeichniss der «Sagaischen Namen der Flüsse, Dôrfer, Städte und Stämme, die die Unterthanen des Steppenge- richts der Vereinigten Stämme (an der Mündung des Askys) bilden». Dieses kleine Verzeichniss macht nicht den Anspruch auf Vollständigkeit, ein solches wäre nur im Abakan- thale selbst zusammenzustellen môglich gewesen. Es bietet aber, so wie és uns vorliegt, eine wichtige Vor- arbeit zu einem Lexicon der tatarischen Eigennamen, welches Herr Katanoff die Absicht hat, in der Folge zusammenzustellen. | Da beide Arbeiten, wie ich schon oben erwähnt, einen sehr schätzenswerthen Beitrag zur Kenntniss des sagaischen Dialectes und der tatarischen Sprachen überhaupt bieten, so ersuche ich die Classe, dieselben im Bulletin abdrucken zu lassen, ich werde selbst den Druck derselben leiten, und wo ich es für nôthig halte, erläuternde Anmerkungen einschieben. Paru le 28 avril 1887. BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE S'-PEÉTERSBOURG. TOME TRENTE-DEUX. (Avec 6 planches.) Mo. Bot, Garden, Ron «dr ST.-PÉTERSBOURG, 1888. Commissionaires de l'Académie Impériale des sciences: À ST.- PÉTERSBOURG : A RIGA: À LEIPZIG: Eggers & Ci° et J. Glasounof; N. Kymmel; Voss Sortiment (G Haesse I). Prix du volume: 3 Roub. arg. pour la Russie, 10 marks allemands pour l'étranger. » TABLES DES MATIÈRES. A. TABLE SYSTÉMATIQUE. (Les chiffres indiquent les colonnes des volumes.) SCIENCES MATHEMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES. À, Gernet. Sur l'acide phénil-angélique. 465—467 Gorboff et Kessler, De ne ction de l’iodoforme et de l’iode sur l’iso- me butylate de soude. 218—255. ASTRONOMIE. C, Sehmidt, Recherches hydrologiques. L. (Avec une planche). 77—89, 0. Backlund. Sur les termes hyperélémentaires dans la théorie des | ns perturbations. [. II. 629—648. BOTANIQUE ET PHYSIOLOGIE VEGETALE. —— Études sur le catalogue stellaire «Positions moyennes de 3542 étoiles, déterminées à l’aide du cercle méridien de Poulkova M. Chrap Hits Sy sen dim Se era par er bu dans les années 1840—1869 et réduites à l’époque 1855.0. St. ! Pétersbourg 1886». 53—77. —— Remarques complémentaires pour les études sur le catalogue res Sr ee moyennes de 3542 étoiles, déterminées àl’aide | ZOOLOGIE. du cercle méridien de Poulkova dans les années 1840—1869 et réduites à débats 1855. 182—185. et B, Séraphimoff, Eléments : po approchés de la comète Encke pour 1888. 467— ATOME SATER | C Z ec Didies des Gr nouvelles asiatiques. VIL 71—629. (Avec 4 planches N. Warpachowsky. Sur le genre Hemiculter Bleek et sur une nou- velle espèce du genre Hemiculturella. 13—24. A, Bonsdorf, Sur la détermination ee constantes de Pellipsoïde de a terre au moyen de mesures géodésiques. 377—383. PHILOLOGEE. C. Y. L. Charlier. Sur la formation des courants météoriques par la is désaggrégation des comètes. 383 —402. A. Nauck, Quelques remarques sur les fables de Phèdre. 434—464. B, Hasselberg, Sur une méthode de déterminer avec une grande exactitude la distance focale d’un système des lentilles pour les LETTRES ORIENTALES. ivers rayons de la lumière. 412—453. N, Katanoff, Des mots du dialecte sagaï, empruntés au russe. 25—40. M. Nyrén, Sur l'aberration dos Senes res. 202 4 Transformation phonétiques des mots empruntés au russe dans le dialecte Sagaï. 40—49. ns ET PHYSIQUE DU GLOBE. —— Liste des nonis sagaïs de fleuves, villages, villes et différentes i 49— 53. M, im ff, Du maximum de température avant midi en mer | tribus. | | | 9— ous les réa d’après les observations de M. Makarow. | @, . Histoire de 1e princesse Bentrès et de l’empereur Zénon 8 — 96. s deux filles. 4 76. H, Wild. Sur l’effet du tremblement de Se. du en février 1887 à W. rte) Rapport sur un ouvrage e de M. le professeur Chwolson, l’observatoire magnétique de Pawlowsk. 11— ee À aux inscriptions funéraires trouvées à Semiretschié. —— Photomètre de polarisation pour 1es usages pa et son emploi à la vérification de lampes à gas de Wenham. 193—218. | Ç, eq Nouvelles acquisitions du Musée asiatique. 98—154. —— Rapport sur la publication de Mijàr i Jamâli (Avec nne RS CHIMIE. planche. 255—376. "A pers Recherches sur l'énergie de la combinaison. Les oxydes | potassium et de lithium. 186—193. État du personnel de PAcatémie tn: au 15 mai 1887. 1. BP — B. TABLE ALPHABÉTIQUE. (Les chiffres indiquent les pages du volume.) Backlund, 0, Études sur le catalogue er sig moyennes de 3542 étoiles, déterminées à l’a cle méridien de Poulkova dans les années 18401869 et as à l’époque 1855,0 St. Pétersbourg 1886. 53—77. —— Remarques “er rm aires pour les études sur le pret stellaire «Positions moyennes de 3542 étoiles, déterminées à l’aide du cercle méridien de Donlkots dans lesannées 18401860 et réduites à l’époque 1855». 182—185. —— et B, Seraphimoff, Elements et éphéméride approchés de la comète Encke pour 1888. 467—472. Sur les termes pure dans la théorie des pertur- bations. L. IL. 629-648. al \, Lie sur l'énergie de | combinaison. Les oxydes e potassium et de lithium. 186— ss À, Sur la détermination des constantes hs ni enr de la terre au moyen de mesures géodésiques. Chartier, €. V. L. Sur la formati ge des courants ends par la régation des comètes. 7 À Chrapowitzki, A. Synthèse des substances albumineuses dans les __ plantes contenant du chlorophyl. se _ Gernet, À, Sur l’acide phenyl- ne —467 _ Gorboff et Kessler, De l’action de na et de l’iode sur l’iso- butylate de soude. 218—255. - Hasselberg, B. Sur une méthode de déterminer avec une grande exactitude la distance focale d’un système de lentilles pour les divers rayons de la lumière. 412—488. Katanoff, N, Des mots du dialecte re empruntés au russe. 25—40, —— Tansformatious phonétiques des mots, empruntés au russe dans le dialecte Sagaï. 40—49 —— 383— — Ra as noms sagais de fleuves, villages, villes et différentes ribus ue et dataf voyez Gorboff et Kessler, Lemm, O0, Histoires de la rene Bentrès et de l’empereur Zenon et ses deux filles. 473— Maximowiez, C, J, Diagnoses sn plantes nouvelles asiatiques. VII. (Avec 4 planches). 477—629. fauck, À, Quelques remarques sur les fables de ere 434—464. Nyrén, M. Sur ue des étoiles fixes. 402— Radloff, W. Rapport sur un ouvrage de M. le ren Chwolson, _. tif aux RE Phons funéraires, Prune à Semiretchié. —465, be M. Du maximum de te SH MHE ne avant midi en mer sous les past og d’après les observations de M. Makarow. 89—96 Salemann, C, Nouvelles acquisitions du Musée asiatique. 98—164. apport sur la publication de Mifàr i Jamäli (Avec une planche). 255—376. ——. à C. Recherches hydrologiques Z ns Avec une planche). rail B,, et Baeklund, 0, voyez 0, Backlund et B, Séra- Warpachowsky, N. Sur le genre RP radis et sur une nou- velle espèce du genre Hemiculturella. Wild, H, Sur l'effet du tremblement de pr ss 23 février 1887 à observatoire magnétique de Pawlowsk. 11— —— Photomètre de polarisation pour les usages SR et son emploi à la vérification de lampes à gaz de Wenham. 193—218. 1 T, XXXEL, N°1. PAT D a) 4 FL DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME XXXIL (Feuilles 1——3/,10. CONTENT. État du, Personnel de l'Acadäinie an IS mai: 1087.12 4450 um are amuse Ti duUn ne Joe do ut 1— 11 H, Wild. Sur l’effet du tremblement de terre du 23 février 1887 à l'Observatoire magnétique de Pawlowsk 11— 13 N, Warpachowsky, Sur le genre Hemiculter Bleek. et sur une nouvelle espèce du genre Hemiculterella.. 13— 24 N. Katanoff, Des mots du dialecte sagaïi empruntés au TUSSE.................................. ts, 26— 40 -—_— Transformations phonétiques des mots empruntés au russe dans le dialecte sagaï....,.....,.... 40— 49 —— Liste des noms sagaïs de fleuves, villages, villes et différentes tribus...................,...... 49— 53 0. Backlund, Études sur le catalogue stéllaire: « Positions moyennes de 3542 étoiles, déterminées à l’aide es . méridien de Poulkova dans les années 1840—1869 et réduites à l’époque 1855,0». dant LB vid Le di dt dt once D TNT NS 58— 77 Dr. Carl ui Recherches hydrologiques. L. (Avec une Sie SR uv PR CN A) PR 77— 89 M. Rykatschew, Du maximum AS température avant midi en mer sous les tropiques, d’après la observa- SE di en id de lun nr u ve 8 et duo au oc bee oies M. Chrapowitzki, Synthèse a substances ihuialhèuses dans les plantes contenant du chlorophyl....... C, Salemann, ae toto du Musso Afiatiques 5.14 Loin nues ne ee dns A Bat. (yat jen, P - en Imprimé par te de l’Académie Impériale des sci ie Novembre 1887. C. Vessélofshi, Sert rpétuel.… Imprimerie de l'Académie se hiriais des sciences. ne (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12) BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG. ÉTAT DU PERSONEL. (AU 15 mar 1887.) A. CONFÉRENCE ACADÉMIQUE. Président, conseiller privé actuel, comte Dm. Tolstoï. Vice-Président, » » » V. Bouniakovsky. 1863. Secrétaire Perpétuel, conseiller privé, C. Vessélof- Sky. 1857. MEMBRES EFFECTIFS DE L'ACADÉMIE. I. CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE. Mathématiques pures: Académicien Ordinaire, cons. priv.act. V.Bouniakovsky (Vice-Président) 1828. Académ. Ord., cons. d'état act. G. Imché- netzky. 1881. Mathématiques appliquées: Académ. Ord., cons. priv., P. Tchébychef., 1853. Astronomie: Académ. Ord., cons. priv. actuel, O. Struve. 1852. —— Académ. Ord., cons. de collège, O0. Backlund. | 1883. Physique: Académ. Ord., 1868 ——— Académ. Extraord., général-lieutenant, A. Ga- doline, 1875. Chimie: Académ. Ord., cons. d'état act., N. Békétof. 1886. Technologie et chimie appliquée aux arts et métiers: Académ. Ord., cons. d’état act., Th. Beilstein. 1886. Minéralogie : er Ord., cons. priv., N. Kokcharof, cons. d'état act., H Wild. Géognosie et Paléontologie: Académ. Ord., cons. d'état | act., Fr. Schmidt. 1872. ni ont cons. d'état, A. Karpinski. 1886. Tome XXXII Botanique: Académ. Ord., cons. ae act., Ch. Maxi- movyicz. 1865. Acad. Extraord., cons. d'état act., Famintzine. 1878. Zoologie: Académ. Ord., cons. d'état act., L. Schrenck. 1862, A. Strauch. Académ. Ord., 1867. Anatomie comparée et physiologie: Académ. Ord., cons. d'état act., Ph. Ovsiannikof. 1862. Il. CLASSE DE LA gare ET DE LA LITTÉRATURE RUSSES. cons. d'état act., Académ. Ord., cons. priv., J. Grot, Président de la Classe, 1855. Académ. Ord., cons. priv., Th. Bouslaef, à Moscou, 1860. Académ. Ord., cons. priv. actuel, A. Bytchkof. 1866. Académ. Ord., cons. priv., M. Soukhomlinof. 1872. Académ. Ord., cons. d'état act., A. V essélofsky. 1877. Académ. Ord., cons. d’état act., J. Jagië, à Vienne. 1880. II. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE. : Statistique et Économie Politique: Académ. Ord., cons. priv., C.Vessélofsky (Secrétaire Perpétuel). 1852. Académ. Extraord., cons. priv., W.Bézobrazof. 1864. Histoire et Antiquités russes: Académ. Extraord., cons. d'état act., Kunik. 1844. Adjoint, général-major N. Doubrovine. 1887. Philologie et Archéologie classiques: Académ. Ord., cons. priv., Stephani. 1850. Académ. Ord., cons. priv., A. Nauck, 1858. Littérature et Histoire des peuples asiatiques: Académ. Ord., cons. priv., O. Bôthlingk, à Leipzig. 1842. 1884. ; Académ. Ord., cons. priv., B. Wassilieff. 1886. - Adjoint, K. Salemann. 1886. on FR et ethnographie des races finnoises: Académ. de Ord.; cons. priv., F. Wiedemann. 1857. Fe 1 FRA Ord., cons. d'état actuel, W. Radloff. . Bulletin de l’Académie Impériale 4 B. MEMBRES HONORAIRES. Sa Majesté l'Empereur Alexandre IIL. 1865. Son Altesse Impériale, le Césarévitch Grand-Duc Hé- ritier Nicolas. 1876. Son Altesse Impériale Monseigneur Wladimir. 1875. Son Altesse Impériale Monseigneur le Alexis. 1875. Son Altesse Impériale Monseigneur le Serge. 1876. Son Altesse Impériale Monseigneur Paul. 1886. Son Altesse Impériale Monseigneur le Constantin. 1844. Son Altesse Impériale Monseigneur le Grand-Duc Nicolas père. 1855. Son Altesse Impériale Monseigneur le Michel. 1855. le Grand-Duc Grand-Duc Grand-Duc le Grand-Duc Grand-Duc Grand-Duc Son Altesse Impériale Monseigneur le Prince Ro- | manovsky Duc Nicolas de Leuchtenberg. 1865. Sa Majesté Guillaume I, Empereur d'Allemagne et Roi de Prusse. 1876. Sa Majesté Don Pedro II, Empereur du Brésil, 1876. Son Altesse l’Archiduc Rodolphe, d'Autriche. 1885. ee Mrg. le métropolitain Isidore. 1857. MM. le conseiller privé actuel Hube. 1857. le conseiller privé actuel Kerbedz. 1858. le conseiller privé actuel Delianof. 1859. le conseiller privé actuel Reutern. 1863. le conseiller privé Middendorf. 1865. le général aïde-de-camp comte Milutine. 1866. le conseiller priv. actuel comte Valouef. 1867. l’admiral Zelenoï. 1873. le conseiller privé Sémenof, 1873. le conseiller d’état actuel AlexandreBunge. 1875. le général aide-de-camp comte Adlerberg. 1876. le conseiller privé actuel Abaza. 1876. le conseiller privé actuel de Giers. 1876. le conseiller privé prince Lobanof-Rostofsky. le conseiller d’état actuel Kotchoubey. 1876. P. A. Tchikhatchef, 1876. le conseiller privé actuel baron Bühler. 1878. MM. le général-major Przewalsky. 1878. le général aide-de-camp Possiet. 1879. le général aide-de-camp comte Loris-Mélikof. 1880. le conseiller privé actuel Pobédonostzef. 1880. le conseiller privé Sabourof. 1880. le conseiller privé actuel baron Nicolaï. 1881. le conseiller privé actuel Nicolas Bunge. 1881. le conseiller privé Rovinsky. 1883. le général-lieutenant du génie Paucker. le général-lieutenant Vésélago. 1884. le conseiller d’état actuel Bidder, à Dorpat, 1884 | le conseiller privé actuel Polovtzof. 1884. le général aide-de-camp M. de Kaufmann.1885. le conseiller privé actuel Zdekauer. 1885. le conseiller privé Zakhariine. 1885. le conseiller privé actuel Ostrowski 1886. 1883. le marquis de Pietra Catella, à Naples. 1846. le prince Louis Lucien Bonaparte. 1858. le comte Moltke, à Berlin, 1871. de Lesseps, membre de l’Institut, à Paris. 1876. C. MEMBRES-CORRESPONDANTS. l. CLASSE PHYSICO-MATHÉMATIQUE. 1. SECTION MATHÉMATIQUE. MM. Lorentz-Leo Lindelôf, à Helsingfors. 1868, le conseiller d’état actuel Dôüllen, à Poulkova. 1871. le conseiller d’état actuel Bredikhine, à Mos- cou. 1877. | ; le général-lieutenant Maïevsky, à St.-Péters- bourg. 1878. le général-lieutenant Stebnitzky, à St.-Péters- bourg. 1878. le conseiller d’état actuel Letnikof, à Kharkof. le conseiller de collège Yermakof, à Kief. 1884. le conseiller de collège Andréief, à Kharkof. 1884. MM. Airy, à Greenwich. 1840. Hermite, à Paris. 1857. Bertrand, à Paris. 1859. 5 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 6 MM. Kummer, à Berlin. 1862. MM. Kirchhof, à Berlin. 1862. Winnecke, à Strasbourg. 1864. Bunsen, à Heidelberg. 1862. Weierstrass, à Berlin. 1864. Edlund, à Stockholm. 1870. Adams, à Cambridge. 1864. Des Cloiseaux, à Paris. 1871. Warren De la Rue, à Londres. 1864. Cahours, à Paris. 1873. Ross-Clarke, à Southhampton. 1867. Rôümer, à Breslau. 1874. Cayley, à Cambridge. 1870. Berthelot, à Paris. 1876. Kronecker, à, Berlin. 1872. Frankland, à Londres. 1876. Sylvester, à Londres. 1872. Beyrich, à Berlin. 1876. Auvwers, à Berlin. 1873. Damour, à Paris, 1876. Schiaparelli, à Milan. 1874. Sir William Thomson, à Glasgow. 1877. Newcomb, à Washington. 1875. R. Clausius, à Bonn. 1878. Gould, à Cordoba (Rep. Argent.). 1875. le baron Nordenskjüld, à Stockholm. 1879. Hind, à Londres. 1878. Gerhard vom Rath, à Bonn. 1880. Asaph Hall, à Washington. 1880. Werner Siemens, à Berlin. 1882. Catalan, à Liège. 1881. . Gustave Wiedemann, à Leipzig. 1883. Gyldén, à Stockholm. 1882. P. Groth, à Münich. 1883. Tissérand, à Paris. 1883. G. Kenngott, à Zurich. 1884. Brioschi, à Rome. 1884. G. A. Hirn, à Colmar. 1886. * Repsold, à Hambourg. 1885. Gust. Lindstrôm, à Stockholm. 1886. D. Gill, au Cap de Bonne Espérance. 1885. 3. SECTION BIOLOGIQUE. 9. SECTION PHYSIQUE. MM. le conseiller privé Trautvetter, à St.-Péters- MM. le comte de Keyserling, à Reval. 1858. bourg. 1837. le conseiller d'état actuel Schmidt, à Dorpat. le conseiller privé Mercklin, à St.-Pétersbourg. 1873. 1864 le conseiller d’état actuel Jerémeïef, à St.-Pé- le conseiller privé Gruber, à St.-Pétersbourg. tersbourg. 1875. 1866. le conseiller d’état actuel Mendéleïef, à St.-Pé- le conseiller d’état actuel Setchénof, à St.-Pé- tersbourg. 1876. tersbourg. 1869. ; le conseiller d’état actuel Oettingen, à Dorpat. le conseiller d’état actuel Regel, à St.-Péters- 1876 bourg. 1875. le conseiller d’état Avenarius, à Kief. 1876. le conseiller d’état actuel Cienkovski, à Khar-° le conseiller d'état actuel Lenz, à St.-Péters- kof. 1881. bourg. 1876. le conseiller d'état actuel Kovalevsky, à Odessa. le conseiller d’état actuel Henri Struve, à Tiflis. : le conseiller d’état actuel Metchnikof, à Odessa. le conseiller d'état actuel Müller, à Tiflis. 1883. le conseiller d'état actuel Zaïtzof, à Kazan. 1885. le conseiller d’état Voronine, à St-Pétersbourg MM. Neumann, à Künigsberg. 1838. le conseiller d'état actuel Ra dde, à Tiflis. 1884. | Chevreuil, à Paris. 1853. le conseiller d'état actuel Ed. Russow, à Dorpat. Weber, à Goettingue. 1853. 1885 . Frémy, à Paris. 1856. — Hofmann, à Berlin. 1857. MM. Gaimard, à Paris. 1839. Dana, à New-Haven. 1858. Daubrée, à Paris. 1861. Owen, à Londres. 1839. Küllicker, à Würzburg. 1858. 7 Bulletin de l’Académie Impériale É MM. Alf. Decandolle, à Genève. 1858. Jos. Dalton Hooker, à Londres. 1859. Hyrtl, à Vienne. 1859. Lovén, à Stockholm. 1860. Leuckart, à Leipzig. 1861. Steenstrup, à Copenhague. 1861. Asa Gray, à Boston. 1862. Henle, à Güttingue. 1863. Huxley, à Londres. 1864, Naegeli, à Münich. 1865. Helmholtz, à Berlin. 1868. Van Beneden, à Louvain. 1869. E. Weber, à Leipzig. 1869. Ludwig, à Leipzig. 1871. De Bary, à Strasbourg. 1880. Virchow, à Berlin. 1881. Ludw. Ruetimeyer, à Bâle. 1882. Alb. Guenther, à Londres. 1882. L. Ranvier, à Paris. 1882. L. Pasteur, à Paris. 1884. R. Koch, à Berlin. 1884. À Milne-Edwards, à Paris. 1885. Ch. Gegenbaur, à Heidelberg. 1885. G. His, à Leipzig. 1885. Il. CLASSE DE LA LANGUE ET DE LA LITTÉRATURE RUSSES. MM. le conseiller d’état actuel Apollon Maïkof, à St.- Pétersbourg. 1853. le conseiller d’état actuel Gontcharof, à St. -Pé- tersbourg. 1860. le conseiller d’état actuel Tikhonravof, à Moscou. 1863. le conseiller privé Galakhof, à St.-Pétersbourg. 1868. VArchimandrite Amphilochius, à Moscou. 1868. le conseiller d’état actuel Bestoujef-Rumine, à St-Pétersbourg. 1872. le conseiller d’état actuel Savvaïtof, à St. Pé- _ tersbourg. 1872. le comte Léon Tolstoï. 1873. le conseiller d’état actuel Pavlof, à Moscou. 1878. MM. le conseiller d’état actuel Porfirief, à Kazan: 1873 . le conseiller d’état actuel Smirnof, à Moscou. MM. le conseiller privé Tchistovitch, à St. Péters- bourg. 1874. le conseiller d'état Potebnia, à Kharkof. 1875. le conseiller privé Nicolas Lavrovsky, à Néjine. 1878 l’Archimandrite Léonide, à la Laure de la S° Trinité près Moscou. 1882. le conseiller d’état Boudilovitch, à Varsovie. 1882.. le conseiller privé Boulitch, à Kazan. 1883. le conseiller d’état actuel Léonide Maïkof, à St.- Pétersbourg. 1883. le conseiller d’état actuel Jacques Polonski.. 1886. le conseiller d’état actuel Athanase Chenchine (Fett). 1886. Kukulevië-Sackzinsky, à Agram. 1855. Miklosic, à Vienne. 1856. Hattala, à Prague. 1862. Raëki, à Agram. 1869. Emler, à Prague. 1876. Novakovië, à Belgrade. 1876. Leskien, à Leipzig. 1876. Rambaud, à Paris. 1876. Milan Milicevié, à Belgrade. 1877. Patera, à Prague. 1877. Tomek, à Prague. 1878. Nehring, à Breslau. 1881. Matkovië, à Agram. 1882. Guilleaume Tomaschek, à Vienne. 1883. Häsdeü, à Bucarest. 1883. L. Léger, à Paris. 1884. Ralston, à Londres. 1885. I. CLASSE HISTORICO-PHILOLOGIQUE. 1. SECTION HISTORICO - POLITIQUE. MM. le conseiller d’état actuel Skalkovsky, à Odessa. le conseiller privé Eugène Lamansky, à St.- Pétersbourg. 1859. 10 9 des Sciences de Saint-Pétersbourg. MM. le conseiller d'état Vassilievsky, à St.-Péters- | MM. Th. Gomperz, à Vienne. 1883. bourg. 1876. Fr. Bücheler, à Bonn. 1886. le conseiller de collège Goloubinsky, à Moscou. H. Usener, à Bonn. 1886. 1882. le conseiller d’état actuel Nilus Popof, à Moscou. : je née and ar mp re 1883. MM. le conseiller d’état actuel Chwolson, à St.-P6- le conseiller d’état actuel Zabéline, à Moscou. tersbourg. 1858. 1884 le conseiller d’état actuel IIminski, à Kazan. PS 1870. le conseiller d’état actuel Gottwald, à Kazan. MM. Zachariae von Lingenthal, près Mersebourg. 1856. Hildebrand, à Stockholm. 1859. Renan, à Paris. 1860. Schirren, à Kiel. 1864. Thomas, à Munich. 1866. Michaelis, à Berlin. 1868. A. Maury, à Paris. 1872. M. Amari, à Rome. 1873. L. Stein, à Vienne. 1874. E. Freemann, à Oxford. 1875. Ferd. Hirsch, à Berlin. 1877. H. Jireëek, à Vienne. 1882. F. Loeher, à Munich. 1884. S. Mueller, à Copenhague. 1885. L. Bodio, à Rome. 1886. Neumann-Spallart, à Vienne. 1886. Caro, à Breslau. 1886. 2. SECTION DE PHILOLOGIE CLASSIQUE ET DARCHÉOLOGIE. MM. Wieseler, à Gôttingue. 1856. Cobet, à Leyde. 1857. Brunn, à Munich. 1861. Mueller, à Copenhague. 1867. H, Sauppe, à Gôttingue. 1874. le baron de Witte, à Paris. 1875. Ad, Kirchhoff, à Berlin. 1876. Helbig, à Rome. 1876. Newton, à Londres. 1876. Fiorelli, à Naples. 1876. Chr. Frôhner, à Paris. 1877. Henr. Keil, à Halle. 1877. A. Rangabé, à Berlin. 1878. M. Schmidt, à Jena. 1878. H. Weil, à Paris. 1882. MM. le conseiller d’état actuel Bakradze, à Tiflis. 1879. Fleischer, à Leipzig. 1849. Roth, à Tubingue. 1855. Weber, à Berlin. 1860. Spiegel, à Erlangen. 1870. Wuestenfeld, à Güttingue. 1874, Wright, à Cambridge. 1876. Kern, à Leyde. 1876. Noeldeke, à Strasbourg. 1885. Schaefer, à Paris. 1885. De Goeje, à Leyde. 1886. &. SECTION DE LINGUISTIQUE. MM. Aug. Ahlquist, à Helsingfors. 1875. Le [ie] C9 2 Pott, à Halle. 1855. W. Whitney, à New-Haven. 1875. Ascoli, à Milan. 1876. Budenz, à Buda-Pest. 1876. Jules Oppert, à Paris. 1883. D. Appartenances scientifiques. Bibliothèque. 1” Section. Livres en langue russe et dialectes slaves. Bibliothécaire: M. l’académicien Kunik. 2" Section. Livres en langues étrangères. Biblio- thécaire: M. l’académicien Strauch. . Cabinet de physique. Directeur: M. l’académicien Wild. . Laboratoire chimique. Directeurs: MM. les acadé- miciens Békétof et Beilstein. ARE Cabinet minéralogique. Directeur: M. pure Schmidt. do Bulletin de l’Académie Impériale 12 11 5. Musée botanique. Directeur: M. l’académicien Maximovicz. 6. Musée zoologique. Directeur: M. l’académicien Strauch. 7. Laboratoire physiologique. Directeur: M. l’acadé- micien Ovsiannikof,. 8. Musée asiatique. Directeur: M. l’académicien W. Radloff. - 9. Musée d'archéologie classique. Directeur: M. l’aca- démicien Stephani. Cabinet de numismatique russe. Directeur: M. l’a- cadémicien Kunik. .… Musée éthnographique et anthropologique. Directeur: M. l’académicien Schrenck. . Observatoire physique central. Directeur: M. l’a- cadémicien Wild. . Observatoire magnétique et météorologique à Pav- lovsk. Directeur: M. Leist. Observatoire physique de Tiflis. Directeur : Mühlberg. 5. Observatoire magnétique et météorologique à Jeka- terinbourg. Directeur: M. Abels. . Observatoire magnétique et météorologique à Irkutsk. Directeur: M. Stelling. 17. Archives de l’Académie. Archiviste: M. Chemiot. M. bd (op Commissionnaires de l’Académie pour la vente de ses publications: J.Glazounof, Eggers & C”, à St-Pétersbourg. M. N. Kymmel, à Riga. Voss’s Sortiment (G. Haessel), à Leipzig. Note sur l'effet du tremblement de terre du 23 février 1887 à l'Observatoire magnétique de Pawlowsk. Par H. Wild. (Lu le 14 avril 1887.) D'après plusieurs communications dans les Comptes- rendus de l’Académie des Sciences de Paris et dans la «Deutsche meteorologische Zeitschrift» (cahier 4), on a constaté surtout par les appareils enrégisteurs des perturbations de la position des aimants, lors du _ tremblement de terre du 23 février de cette année, dans les observatoïres magnétiques de la France, de _ l'Italie, de l’Autriche, de l'Allemagne et de l’Angle- terre. Ces perturbations furent reconnues partout telles à démontrer que l'influence du tremblement de terre sur les aimants n’était nullement due à une action magnétique, mais seulement aux chocs que les piliers ou les pièces de suspension des aimants subis- saient par le mouvement du sol, Les aimants n’avaient pas dévié de la manière connue dans les perturbations magnétiques, mais commencaient simplement à osciller autour de leur position d'équilibre, comme cela se fait quand on ébranle leur suspension. Il me paraissait intéressant de voir si cette in- fluence du tremblement du sol, qui s’est fait sentir distinctement jusqu’à Kew et à Wilhelmshaven, se soit aussi propagée jusqu’à Pawlowsk, c’est-à-dire environ à une distance double du centre du tremblement de terre. J’ai l’honneur de présenter à l’Académie les enrégi- strements photographiques des trois appareils magné- tiques de variation à l'Observatoire de Pawlowsk pour le 23 février 1887. Il en résulte qu’au moment du tremblement de terre à la côte Ligurienne, savoir 7 heures 40 minutes avant midi temps local de Paw- lowsk ou avant ou après ce temps non-seulement il n’y avait pas de variations magnétiques spé- ciales, mais qu’aussi les courbes des trois instru- ments n’accusent pas la moindre trace d’un ébranle- ment des piliers et partant d’une oscillation des aimants. À Pawlowsk les marques du temps sur les courbes magnétiques ne sont pas comme ailleurs faites par la pendule elle même, laquelle met en mouvement les cylindres tournants avec le papier sensible, mais elles sont produites, pour les rendre plus exactes, par une pendule indépendante, laquelle ferme seule- ment chaque heure pour quelques secondes le circuit d’une pile électrique et fait dévier par ce courant les trois aimants du magnétographe. Ces aimants oscillent alors pendant 2 à 3 minutes autour de leur position d'équilibre, ce qui selon le degré de sensibilité du papier photographique et l'intensité de la source lumineuse produit dans la courbe ou une petite interruption ou un trait transversal plus : ou moins long. Nos courbes présentent actuelle- ment à la fois les trois modifications de ces signes de temps; l’enrégistrement de la balance de Lloyd, qui donne l'intensité verticale du magnétisme ter- restre, se faisant par la lumière non affaiblie de la lampe, montre chaque heure des traits transversals assez forts et longs, le papier bromo-gélatin, que des Sciences de Saint-Pétersbourg. 14 nous employons étant très-sensible; dans la courbe appartenante au magnétomètre bifilaire indiquant les variations de l’intensité horizontale ces traits trans- versals sont très-fins et courts, parceque la lumière de la lampe y est affaiblie par un verre vert destiné à donner plus de précision aux bords de la courbe et enfin la courbe enregistrée par le magnétomètre unifilaire qui indique les variations de la déclinaison, montre au lieu de traits des lacunes blanches, par- ceque la lumière y est encore plus affaiblie (par des verres verts et bleus) ainsi que pendant les oscilla- tions de l’aimant l’action de la lumière sur le papier sensible est trop courte à chaque endroit pour y laisser des traces. Maïntenant dans ces trois courbes différentes on ne peut pas remarquer, même moyen- nant une loupe, la moindre trace d’un trait latéral on d’un affaiblissement dans le noir de la courbe à 7° 40” après-midi du 23 février ou après ce temps. On en peut donc déduire que le tremblement de terre mentioné ne s’est pas propagé d’une manière sensible jusqu’à Pawlowsk. St.-Pétersbourg, ce 14 (26) février 1887. Über die Gattung Hemiculter Bleek. und über eine neue Gattung Hemiculterella. Von N. Warpachowski. (Lu le 24 mars 1887). Unter den Arten seiner Gattung Culter beschreibt Basilewsky!) auch einen C. leucisculus, dessen am meisten characteristisches Merkmal in den Worten: «pinna anali abbreviata, linea lateralis anterius ad 2 pollices descendens, postea subito reversa et abdomini valde approximata, *usque ad posticam partem pinnae analis recta excurrens, abinde sursum recurvata et ad caudam media propagata» besteht. Bleeker hat diese Art zu einer besonderen Gattung Hemiculter erhoben, die gewissermaassen die Mitte zwischen Culter und Chanodichthys hält. Die von diesem Autor gelieferte Gattungs-Diagnose*) liess aber noch manche Zweifel über die Berechtigung der von ihm aufgestellten Gat- tung übrig, besonders nachdem Kner°) eine von der 1) Basilewsky, Ichthyographia Chinae borealis. Nouv. Mém. Soc. Natur. Moscou * FA er eker, Atlas ichthyologique des Indes orientales. 1863. 3) S Novara-Reise, Zoolog. Th. I. Fische, p. 362. Bleeker’schen etwas abweichende Beschreibung von C. leucisculus Bas. verüffentlichte. Diese Abweichung betraf sogar solch’ ein wesentliches Merkmal, wie die Anwesenheit des Bauchkieles vor den Bauchflossen, welche von Basilewsky und Bleeker geleugnet wird. Günther stellte in seinem Catalogue“) C. Zeucisculus in die Gattung Chanodichthys und lieferte eine Be- schreïbung dieser Art nach Kner’s Angaben, wobei er auch auf die eben erwähnten Unterschiede hinsicht- lich der An- oder Abwesenheit des Bauchkieles hin- wies. In einer späteren Arbeit gab Bleeker°) von Neuem eine Beschreibung des A. leucisculus, wobei er die Selbstständigkeit der Gattung Hemiculter verthei- digt, zugleich aber bemerkt, dass die Basilewsky’sche Art müglicherweise von der gleichnamigen Kner’schen verschieden sein kônne. Hemiculter leucisculus wird auch von Sauvage und Dabry‘) anerkannt. Darauf hat Peters *) im Jahre 1880 die Ichthyo- logen wiederum an die Existenz der Gattung Hemi- culter erinnert, indem er eine neue Art derselben be- schrieb und zugleich die Müglichkeit hervorhob, die einander vwidersprechenden Angaben Kner’s und Bleeker’s in Einklang zu bringen. Dabei hat aber Peters die von Bleeker angegebenen Grenzen der Gattung Hemiculter nicht eingehalten, da seine neue Art Æ. dispar 17 verästelte Strahlen in der Analen hat, während Bleeker die Gattung Hemiculier u. a. auch «par la courte anale qui n’est soutenue que par 11 à 13 rayons divisés» characterisirt. Man sieht also aus dem Vorstehenden, dass die Gattung Hemiculter von einigen Autoren als selbstständiges Genus anerkannt, von anderen mit Culter oder Chanodichthys vereinigt wird und dass keine bestimmte Diagnose dieser Gat- tung existirt. Da ich Gelegenheit gehabt habe, die im Zoologi- schen Museum der Akademie der Wissenschaften vor- handenen Exemplare von C. leucisculus Bas. aus Ba- silewsky’s eigner Sammlung zu untersuchen, gebe ich in der nachstehenden Notiz eine Beschreïbung dersel- 4) Günther, Catalogue of Fishes, VII, p 5) Bleeker, Mém. sur les Cyprin. de ue Verhandi. d. K. Akad. van Wetenschappen. 12, p. 76—78. 6) Sauvage et Dabry, Notes sur les poissons des eaux douces de Chine, p. 12. Ann. d. Scienc. naturelles. Zoologie. Sér. VI, T. L 4 Pe é hs eine Sammi. von Fischen, welche Gerlach in ngkon . Monatsb. d. K. P. Akad. d. Wissensch. zu Berlin. 1880 p. es. 1036. 15 Bulletin de l’Académie Impériale ben, wobei ich die Art in der Gattung Hemiculter be- lasse und letztere folgendermaassen auffasse. Hemiculter Bleek. Kôürper länglich, comprimirt, mit mittelgrossen Schuppen bedeckt. Die Seitenlinie, welche nicht mehr als 60 Schuppen einnimmt, ist im Anfangstheile steil nach unten gebogen, verläuft dann längs dem Rumpfe ganz nahe dem Bauchrande, davon nicht mehr als durch 3 Schuppenreihen geschieden, steigt dann hinter der Analen hinauf und nimmt im Schwanzstiele eine mitt- lere Lage ein. Anale kurz oder mässig lang, mit nicht mehr als 17 getheiïlten Strahlen. Der Anfang der Dor- salen, die mit einem verdickten zweiten ungetheiïlten Strahle versehen ist, steht etwas hinter der Basis der Ventralen. Bauch meist gekielt. Schlundzähne drei- reihig. Wie aus dieser Diagnose ersichtlich, unterscheiden sich die Arten der Gattung Hemiculter sowohl von den Culter-, als auch von den Chanodichthys- Arten (von Eustira gar nicht zu sprechen) durch die niedrige Lage der stark gebogenen Seitenlinie, durch die kurze Anale, durch die Stellung der Dorsalen, durch die mittelgrossen Schuppen und durch die dreireihigen Zähne. Bei einer solchen Auffassung der Gattung Hemicul- ter gehôüren hierher manche Arten, die unter anderen Gattungsnamen beschrieben worden sind. Ich erlaube mir hier eine Zusammenstellung aller mir bekannten Arten zu geben. Nachstehende synoptische Tabelle wird über die Unterschiede der einzelnen Arten den nôthigen Auf- schluss geben: Die Analflosse enthält I. 11—14 verästelte Strahlen. Der Bauch a) gekielt. Die Länge des Kopfes } ist der grüssten Hôhe des Kôrpers gleich und ist in der Länge desselben 1) H. Foi 8) 4 Mal enthalten Jin ss, 2) H. K 2) ist geringer, als die Hôhe des Kürpers. Die Zahl der Schuppen in der Seiten- linie beträgt 1) NE As D0 sue 3) H. Schrencki. OÙ RE 00 use, 4) H. Balnei 1 Di MORE ROM bonne vue dure edie } H. Bleekeri IL. 16—17 verastelte Streblen: Die lacee des £) ist der given Hôhe des Kôr- PO GR nr un indie: 6) AH. dispar de. _ geringer, als die Hôhe des . OMR Sa ta entres 7) H. lucidus. 1) Hemiculter leucisculus Basil. Culter leucisculus Basilewsky, Nouv. Mém. Soc. Natur. Moscou, T. X, p. 238. 5272. China sept. Dr. S. Basilewsky. 1865. 2 Ex. ?). D. 2j7; A. 3/11; V. 2/6; P. 1/15. Lin. lat. 50 — 53. Die Hôhe des seitlich ne längli- chen Kürpers ist 4,6 —4,8 Mal in seiner Länge (ohne Schwanzflosse), die kleinste Kôrperhôühe 2,1—2,3 Mal in der grüssten und 1,6 Mal in der Länge des Schwanz- stieles enthalten. Die Länge des comprimirten Kopfes kommt der grüssten Kôürperhôhe gleich. Die Hühe des Kopfes wird 1,6—1,75 Mal, die Dicke 2,3—2,4 Mal von der Länge desselben übertroffen. Der Augendiameter, der etwas kürzer ist als die Schnauze, ist 4,2—4,4 Mal in der Kopflänge und 1,2: Mal in der Breite der kaum convexen Stirn enthalten, Die Länge der Schnauze ist 3,8 Mal geringer, als die Kopflänge, Der Mund ist halboberständig und die Schnauzenspitze kommt dem oberen Augenrande gegenüber zu stehen. Der Abstand vom Ende der Schnauze bis zum hinteren Au- genrande ist kaum grôüsser, als der Abstand von dem- selben Rande bis zum Ende des Kiemendeckels; der Augendiameter ist 2,2 Mal in diesem letzteren Ab- stande enthalten. Das vorderste Suborbitale ist gross und reicht bis zum Oberkiefer. Die Dorsale ist kurz; ihre Basis ist 10°, Mal in der Kôrperlänge und 1,7 Mal in ihrer grüssten Hôhe enthal- ten. Ihre kleinste Hôühe macht beinahe !/ der grôssten aus. Der erste ungetheilte Strahl ist fast halb so lang wie der zweite, in dessen Länge die Basis der Dorsalen 1,5 Mal enthalten ist. Die Dorsale ist kaum weiter vom Schnauzenende als von der Basis der mittleren Caudal- strahlen entfernt. Der Anfang der Dorsalen steht dem ersten Drittel der Bauchflossen gegenüber. Die Basis der Analen, die etwas kleiner als die Hühe des zweiten ungetheïlten Strahles der Dorsalen ist, macht!/, der Kôürperlänge aus. Ihre grüsste Hühe über- trifft ein wenig die Basis der Dorsalen und ist 2,7 Mal | grüsser, als ihre kleinste Hühe. 8) Die angeführten Exemplare gehôren dem Zoologischen Mu- seum der Akademie der Wissenschaften und sind unter der ange- gebenen Nummer im Katalog der en Samie À ein- Jgetragen. 17 des Sciences de Saint-Pétersbourg. LE Die Länge der zugespitzten Brustflossen ist 5,1 bis 5,2 Mal in der Kürperlänge enthalten und sie Nr nicht bis zu den Ventralen; die Entfernung zwischen dem Ende der Brust- und dem Anfang der Bauch- flossen ist einem Drittel der ersteren gleich. Die Länge der Ventralen ist 6 Mal in der Kürper- länge enthalten. Der Abstand vom Ende der Ventralen bis zum Beginne der Analen macht *. der Länge der ersteren aus. Die Seitenlinie fällt vom oberen Ende der Kiemen- spalte steil nach unten, verläuft dann am Rumpfe sehr niedrig und fast geradlinig bis zum Ende der Analen, von wo sie sich scharf nach oben biegt und durch die Mittellinie des Schwanzstieles zur Basis der Caudalen kommt. Zwischen der Seitenlinie und den Bauchflossen findet sich nur eine Reïhe von Schuppen. Am Bauche vor den Bauchflossen ist eine ganz deut- liche Hautfalte, hinter denselben ein deutlicher Kiel zu sehen. Die Länge unserer Exemplare beträgt 160 Mm.; nach Basilewsky soll seine Art bis «6 pollices» Due erreichen. Fundort: Nürdliches China: nach Basilewsky ‘ «habitat in aquis versus sinum Tschiliensem curren- tibus». | Indem Basilewsky seine Art «abdomine non com- presso» characterisirt, glaubte er zweïfellos dadurch dem, Umstande Ausdruck zu geben, dass der Bauch- kiel vor den Ventralen nicht so scharf, wie hinter den- selben ausgebildet ist, denn an den eigenen Exempla- ren Basilewsky’s kann man sicher eine, wenn auch schwache, mediane Hautfalte vor den Bauchflossen constatiren. 2) Hemiculter Kneri Warp. Culter leucisculus Basil. apud Kner, Novara- Reise, Zoolog. Th. I. Fische, p. 362. Chanodichthys leucisculus Günther, Catalogue of Fishes, VIT, p.327. D. 9/7; A. 2/13; Lin. lat. 50 ?— FE. Die Kürperhühe vor der Dorsalen ist der Kopflänge gleich, die ‘/, der Kôrperlänge ausmacht. Das Auge !/ der Kopflänge messend, steht über 1 Diameter vom Mundrande und ebenso weit vom anderen Auge ab. Die Dorsale beginnt gegenüber dem Raume zwischen der Ventralen und der Analen hinter der halben Kôr- perlänge, ihr erster dünner, sich an den starken Kno- Tome XXXIL verû chenstrahl anlegender Strahl erreicht nur ”, der Hôhe des letzteren. Die längsten Strahlen besitzen die Pec- toralen, indem sie die Kopflänge etwas übertreffen und fast bis zu den Ventralen reichen, während diese nur unter das Ende der Dorsalen reichen. Der Bauch bis zum After gekielt. Länge etwas über 4”. (Kner). Fundort: Schanghai. Bleeker hat schon seiner Zeit die Unterschiede zwischen der von ihm beschriebenen Art und Kner’s C. leucisculus betont und sich in dem Sinne aus- gesprochen, dass der letztere môglicherweise mit dem echten C, leucisculus Basilewsky’s identisch sei. Er schreibt nämlich: «il est possible aussi que l'individu, décrit par M. Kner sous le nom de C. leucisculus, ne diffère point de l’espèce actuelle, mais M. Kner donne un peu autrement les proportions de la hauteur du corps et de la longeur de la tête, tandis qu'il parle de 50 écailles dans la ligne latérale et de 8 ou 87 écailles au-dessus de cette ligne». Aber obwohl Kner”’s C. leucisculus der gleichnami- gen Art Basilewsky’s durch die Anwesenheit eines Bauchkieles und die Zahl der Schuppen ähnlich ist, unterscheidet er sich doch wesentlich durch längeren Kopf, hühere Kürperform und Brustflossen, die die Kopflänge übertreffen, während dieselben beim echten C. leucisculus Basilewsky’s der Kopflänge nachstehen. Freilich ist die Kner’sche Beschreibung unvollstän- dig, aber auf Grund der angeführten Unterschiede sehe ich Kner’s C. leucisculus als eine besondere von der gleichnamigen Basilewsky’schen verschiedene Art an, obwohl die Môüglichkeit nicht ausgeschlossen bleibt, dass beï einer näheren Untersuchung beide For- men ch als identisch erweisen kônnten. 3) Hemiculter Schrencki Warp. Hemiculter ne Bapuaxosckiñ u l'epnenmreñne, Ku 0 uxriouorin Gacceña p. Amypa, crp. 46—47, Ta6, puc. 6. * 7033 | Fu-tschau. Poljakow. 1884. 2 Ex. D. 2/7; A. 3/11; V. 2/6; P. 2/13. Lin. lat. 8 50. Die Hôühe des seitlich zusammengedrückten net: chen Kürpers ist 4,3 Mal in seiner Länge (ohne Schwanz- _ 9) Diese Arbeït ist in russischer Sprache mit lateinischen Din. nde der Ar- beiten der St.-Petersburger Naturforscher - Gesellschaft C. Oômecrsa Ecrecrsoucusrrarezeÿ, T7. VID ire gnosen und einem dentschen Résumé in dem - on 19 Bulletin de l’Académie Impériale 20 flosse), die kleinste Kôrperhôhe 2,5 Mal in der grôssten und 1,8 Mal in der Länge des Schwanzstieles enthalten. Die Länge des comprimirten Kopfes, die geringer ist, als die grüsste Kürperhôühe, ist 4,8 Mal in der Kôr- perlänge (ohne Schwanzflosse) enthalten. Die Hühe des Kopfes wird 1,6 Mal, die Dicke 2,2—2,4 Mal von der Länge desselben übertroffen. Der Augendiameter, der der Schnauze an Länge nachsteht, ist 4—4,1 Mal in der Kopflänge und 1,1—1,25 Malin der Breite der kaum convexen Stirn enthalten. Die Länge der Schnauze kommt der Stirnbreite gleich und ist 3,3—3,4 Mal geringer als die Kopflänge. Die Mundôffnung ist nach oben gerichtet und die Schnauzenspitze befindet sich in der Hôühe des oberen Orbitalrandes. Die Entfernung zwischen der Schnauzenspitze und dem hinteren Au- genrande ist kaum grôsser, als die Distanz zwischen diesem letzteren und dem Ende des Kiemendeckels, Die Basis der Dorsalen beträgt !/,—!/}, der Kürper- länge (ohne Schwanzflosse) und ist 1,75 Mal in der Hôühe derselben enthalten. Die grôsste Hôhe dieser Flosse übertrifft 2,5— 2,7 Mal die kleinste. Der zweite ungetheïlte Strahl ist 2—2,5 Mal länger, als der er- ste und 1,5 Mal, als die Basis der Dorsalen. Die Dorsale beginnt der Basis der Caudalen etwas näher, als der Schnauzenspitze. Die Basis der Analen ist kürzer als der zweite un- _getheilte Strahl der Dorsalen und 8—8,5 Mal in der Kôrperlänge (ohne Schwanzflosse) enthalten. Die Länge der zugespitzten Brustflossen macht !! der Kôürperlänge (ohne Schwanzflosse) aus. Dieselben erreichen bei weitem nicht die Basis der Ventralen und der Abstand zwischen dem Ende der Pectoralen und der Basis der Ventralen kommt ‘/. der ersteren gleich. Die Länge der Ventralen ist derjenigen des zweiten ungetheilten Strahles der Dorsalen gleich und 6,75—7 Mail in der Kürperlänge enthalten. Die Spitze der Ven- tralen steht vom Beginne der Analen bedeutend ab und dieser Abstand macht ‘, der Länge der Ven- tralen aus. Am Bauche vor den Bauchflossen ist eine Hautfalte, hinter denselben ein deutlicher Kiel zu sehen. Die grôsste Länge ist 145 Mm. _ Fundort: Fu-tschau. Diese Art unterscheïdet sich von der vorhergehen- | _ den durch einen kürzeren Kopf, dessen Länge geringer ist, als die grôsste Kürperhôhe, und durch einen hühe- ren Kürper. Die Entfernung zwischen der Spitze der Brustflossen und der Basis der Bauchflossen ist eine viel grüssere, als bei den anderen Arten. Eine Abbildung des Kopfes dieser Art findet sich in der von mir gemeinsam mit Hrn. S. Herzenstein in russischer und deutscher Sprache verôffentlichten Notiz über die Fische des Amurbeckens, Auf dieser Figur sieht man denn auch, dass das Suborbitale anterius gross ist und bis zum Oberkiefer reicht. 4) Hemiculter Balnei Sauv. Culter pe Semen gi Bull. Soc. Zoolog. de France. 1884. p. 3. PI. VIII, fig. D..9; A; 17; Liu k,.57-—>. Die Hühe des Kürpers ist 5 Mal, die Länge des Kopfes 5°, Mal!) in der Gesammtlänge (mit der Schwanzflosse) enthalten. Die Schnauze ist etwas län- ger, als der Augendiameter, welcher ‘/, der Kopflänge ausmacht. Die Stirnbreite übertrifft ein wenig den Au- gendiameter. Bauchkiel vor und hinter den Bauch- flossen. Die Dorsale steht der Basis der Caudalen näher, als der Schnauzenspitze. Der zweite ungetheilte Strahl der Dorsalen gleicht der Länge des Kopfes ohne Schnauze. Die Brustflossen reichen nicht bis zu den Ventralen. (Sauvage). Fundort: Hanhoi in Tonkin. VIIL 5) Hemiculter Bleekeri Warp. Hemiculter leucisceulus Bleeker, Ichth. Arch. ind. Prodr. IL. Cypr., 01; Atlas ichthyologique des Indes orient. 1863. T. II, p. 31; Mém. sur les Cypr. de Chine, p. 76—78. D. 2/7—8; A. 3111—13; V. 218; P. 1]13—14. Lin. lat. 40 = 42. Die Kürperhôühe ist 4°/,—4%, Mal, die Kopflänge 41/,—41/, Mal in der Kürperlänge (ohne Schwanzflosse) enthalten. Die Hôhe des Kopfes macht 17,, die Dicke 2!/, der Kopflänge aus. Der Augendiameter ist beinahe 4 Mal in der Kopflänge, beinahe 2 Mal in dem Ab- stande zwischen dem hinteren Augenrande und dem Ende des Kiemendeckels, 1 Mal in der Stirnbreite ent- halten. Die zugespitzte Schnauze ist kaum kürzer als das Auge. Die Dorsale beginnt der. Basis der Caudalen 10) Da nach den Angaben Sa uvag e’s die Gesammtlänge 245 Mm. und die Kopflänge 45 Mm. ausmacht, s0 verhalten sich die Zahlen wie 5?/; : 1 ; 21 des Sciences de Saint-Pétersbourg. näher als der Schnauzenspitze. Die Pectoralen sind eben so lang oder kaum kürzer als der Kopf. Sie er- reiche fast die Ventralen. Der Bauch ist vor den Ven- tralen abgeflacht, hinter denselben sehr stumpf gekielt. (Bleeker). Fundort: Yan-tse-Kiang ? Obwohl Peters !!) vermuthet, dass Bleeker den Kiel wegen der Kleinheit der von ihm untersuchten Exemplare übersehen habe, erscheint es doch sehr zweifelhaft, dass nach dem Erscheinen von Kner’s Be- schreibung und Günther’s Bemerkungen Bleeker trotzdem in seiner späteren Arbeit seinen Fehler nicht berichtigt haben sollte. Zeigt er doch solche Unter- schiede zwischen seiner und der Kner’schen Art an, wie die Proportionen verschiedener Kürpertheile und Zahl der Schuppen; es ist daher kaum denkbar, dass er ein so wesentliches Kennzeichen wie den Kiel un- beachtet gelassen haben sollte. Die Abwesenheit des Kiels würde schon allein ge- nügen eine besondere Art aufzustellen; aber es sind noch andere Unterschiede von den übrigen Æemiculter-Ar- ten vorhanden, denn abgesehen von den Proportionen seiner Kôrpertheile, differirt Æ. Bleckeri von H. Bal- nei, Sauv., namentlich durch seine grüsseren Schuppen, | durch die mehr nach hinten gelegene Dorsale (die bei H. leucisculus Bas. und ÆH. Schrencki Warp. beinahe in der Mitte der Kürperlänge beginnt), durch die sehr nahe bis zu den Ventralen reichenden Pectoralen und durch das kleine (wenigstens der Bleeker’schen Figur nach) Os suborbitale anterius. 6) Hemiculter dispar Pet. Hemiculter dispar Peters, Monatsber. d. K. P. Akad. d. Wissensch. zu Berlin. 1880. p. 1035— 1036. Fig. 7 D. 2/7; A. 3/17; V. js. Lin. lat. 50 =. Die Kürperhühe ist gleich der Kopflänge und 4’/, Mal in der Totallänge (ohne Schwanzflosse) enthalten. Au- gendurchmesser kürzer, als die Schnauze, 3%, Mal in der Kopflänge enthalten. Oberkiefer reicht bis hinter die Verticale des Nasenlochs. Brustflossen etwas kür- zer, als der Kopf. Anfang der Rückenflosse in der Mitte zwischen Schnauzenende und Schwanzflosse ; ihr zweiter starker Stachelstrahl ist so lang, wie die Entfernung 11) Peters, 1. c. p. 1036. der Schnauzenspitze von dem hinteren Rande des Vor- derdeckels. Bauch hinter den Bauchflossen deutlich gekielt. Totallänge bis 170 Mm. (Peters). Fundort: Hongkong. 7) Hemiculter lucidus D yb. Culter ser Ba pm Verh. zool. bot. Ges. Wien. XXII, p. 8. Cn6. Orx. M. P. l'eorp. OGux. T. VIII (1877), Xe 1—2, F Hemieuiter lucidus Dyb. Bapnaxosckiä nu l'epnenmreüx®», no uxTiOu. p. Amypa, CTp. 46—47. D, 317; A: 3116; V. 218; P.1112. Lin. lat. 49“ 52. HET Die Hôühe des Kürpers ist 3,8—4 Mal in seiner Länge (ohne Schwanzflosse), die kleinste Kôrperhühe 2,5—92,6 Mal in der grôssten und 1,6—1,9 Mal in der Länge des Schwanzstieles enthalten. Die Länge des Kopfes ist 5,3—5,5 Mal in der Länge des Kürpers (ohne Schwanzflosse) enthalten. Die Hôhe des Kopfes verhält sich zu dessen Länge, wie 1,3—1,4, die Dicke wie 2,2. Der der Stirnbreite kaum nachstehende Augendiameter ist 3,4—3,6 Mal in der Kopflänge enthalten. Die Länge der Schnauze ist 4—4,1 Mal geringer, als die Kopflänge. Die der kleinsten Kürperhühe gleichkommende Ba- sis der Dorsalen ist 9,7—10,5 Mal in der Kürperlänge und 2,2 Mal in ihrer grüssten Hôhe enthalten. Ihre kleinste Hôhe wird 3,2 Mal von der grüssten über- troffen. Die Dorsale beginnt der Schnauzenspitze be- deutend nüäher als der Basis der Caudalen. Die Basis der Analen ist 5,7—6 Mal in der Kürper- länge und 1,5 Mal in ïhrer grüssten Hühe enthalten. Ihre grüsste Hôhe übertrifft 2,5 Mal die kleinste. Die Länge der Pectoralen kommt der grüssten Kürper- hühe gleich. Die Länge der Ventralen ist 6,3—7 Mal in der Kürperlänge (ohne Schwanzflosse) enthalten. Diese Diagnose ist nach Dybowsky’s Messungs- tabelle ausgearbeitet. Fundort: Chanka-See. Der Zahl der Strahlen in der Analen nach nähert sich diese Art dem Hemiculter dispar Pet., unter- scheïdet sich aber schon durch den der Kürperhühe bedeutend nachstehenden Kopf, der bei. Æ. dispar Pet. derselben gleichkommt. Ich scheide diese Art aus der Gattung Culter aus . auf Grund der unbedeutenden Zahl der en in + 2 : keri. Bulletin de l’Académie Impériale 21 der Analen und obwohl Dybowsky der Eigenschaften der Seitenlinie nicht erwähnt, verläuft dieselbe doch ziemlich niedrig, und ausserdem vermuthe ich, dass . der Verfasser die Zah] der Schuppenreïhen unter der Seitenlinie bis zur Mitte des Bauches gezählt hat. Bei der Untersuchung der dem Zool. Mus. gehüren- den Arten der Gattung Hemiculter bin ich auf eine Form gestossen, die ihrem Habitus nach allerdings einem Hemiculter ähnlich sieht, bei nüherer Untersu- chung aber manche so wesentliche Abweichungen, und zwar in der Dorsalen und in den Schlundzähnen, dar- bietet, dass ich für dieselbe eine besondere Gattung aufstelle, die sich in folgender Weiïise characterisiren lässt : Hemiculterella g. n. Habitus, Schuppen und Verlauf der Seitenlinie wie bei Hemiculter. Die Dorsale, deren zweiter ungetheil- ter Strahl nicht verdickt ist, beginnt etwas hinter der Basis der Bauchflossen. Bauch vor den Bauchflossen ungekielt, hinter denselben scharf gekiclt. Anale kurz, nicht mehr als 13 getheilte Strahlen enthaltend. Zäühne zweireihig (5—3|2—4). Hemiculterella Sauvagei sp. n. Xe 4474. Sse-Tschuan occ. Mus. Paris. 1879. D-217; À. 3113; V.216; P. 1/15: Lin. lat. 50 ©. _ Erinnert im Gesammthabitus an Hemiculter Plec- Die grüsste Hôühe des länglichen und seitlich comprimirten Kôrpers ist 4,8 Mal in der Kôrperlänge (ohne Schwanzflosse), die kleinste Hôhe (an der Basis der Caudalen) 2,3 Mal in der grüssten Hühe enthalten. . Die Länge des Schwanzstieles übertrifft die grôsste Kôrperhôhe kaum. Die Länge des keïlf‘rmigen Kopfes ist 4,35 Mal in der Kôrperlänge (ohne Schwanzflosse) enthalten. Die . Hôhe des Kopfes verhält sich zu dessen Länge, wie _ 1:16, die Dicke wie 1:2,3. Der Augendiameter ist | 3,8 Mal in der Kopflänge und 1,12 Mal in der Breite der kaum convexen Stirn enthalten. Die Schnauzen- länge übertrifft den Augendiameter ein wenig, und . _ zwar verhält sie sich zur Kopflänge wie 1:3,25. Der Mund ist klein, halboberständig; die Schnauzenspitze steht der Mitte des Auges gegenüber. Der Unterkiefer | de : trägt einen kleinen ar rl der in eine ent- der Analflosse gleich. sprechende Ausrandung des Oberkiefers passt. Der Abstand von der Schnauzenspitze bis zum hinteren Augenrande übertrifft bedeutend die Entfernung von diesem letzteren bis zum Ende des Deckels, welche der Kopfdicke gleich ist; der Augendiameter ist in dieser letzteren Distanz 1,6 Mal enthalten. Das vorderste Suborbitale ist gross und reicht bis zum Oberkiefer. Der Bauch ist zwischen den Pectoral- und Ventral- flossen abgeflacht, zwischen den letzteren und dem After scharf gekielt. Die Basis der Rückenflosse, welche über der Mitte der Bauchflossen beginnt, ist 1 1 Mal in der Kôrperlänge und 1,75 Mal in der grüssten Kôürperhühe enthalten; ihre kleinste Hühe macht weniger, als die Hälfte ihrer grôüss- ten Hühe aus. Die beiden ungetheiïlten Strahlen der Dorsalen sind ohne jegliche Verdickung. Die Hôhe des zweiten ungetheïlten Strahls repräsentirt zugleich die grôüsste Hühe der Flosse; der erste Strahl ist halb so lang, wie der zweite. Die Dorsale ist etwas nach hin- ten gerückt, denn ihr Anfang liegt nur wenig weiter . vom Schnauzenende ab, als von der Basis der mittleren Caudalstrahlen. Die Basis der schwach abgestutzten Analen macht !/, der Kôürperlänge aus. Ihre grüsste Hühe ist 1,2 Mal in der Länge ihrer Basis enthalten und übertrifft 2 Mal ihre kleinste Hühe. Die Länge der zugespitzten Brustflossen ist der grüssten Kürperhôühe gleich und die Länge der abge- rundeten Bauchflossen ist kaum grüsser, als die Basis der Analflosse. Die Pectoralen reichen nicht bis zu den Ventralen und die Entfernung zwischen dem Ende der Brust- und dem Anfang der Bauchflossen ist einem Drittel der letzteren gleich. Die Ventralen reichen fast bis zum Beginn der Analflosse. Die Schwanzflosse ist stark ausgerandet und die Länge ïhres mittleren Strahls kommt nur der Hälfte Der untere ra ist etwas länger als der obere. Die Seitenlinie verläuft wie bei Hemiculter Blee- keri Warp. Die Zühne zweireihig, rechts 4/2, links 513. Silberfarben, mit einem schmalen schwarzen Streifen, der aus Flecken besteht und auf der 5. Schup- penrèihe (von der Rückenflosse aus gezählt) Rte Totallänge 120 Mm. Fundort: Westl. Sse-Tschuan. 25 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 26 Die aus dem Russischen entlehnten Fremdwôrter des Sagai-Dialectes. Von N. Katanoff, (Lu le 3 mars 1887.) In einem nach dem russischen Alphabete geordneten Würterverzeichnisse habe ich diejenigen Wôrter der sagaischen Mundart verzeichnet, welche aus der russi- schen Sprache entlehnt sind und welche nicht nur in der gewôbhnlichen Rede, sondern auch in Märchen und Liedern gebraucht werden !). Offenbar sind alle russi- schen Fremdwäürter durch den unmittelbaren Verkehr mit den Russen eingedrungen. Da viele russische Wäürter in den bei den Minussinskischen Tataren auf- gezeichneten Märchen und Liedern vorkommen, so meint Herr A. Schiefner *), dass diese Würter dar- auf hindeuten, dass auch diese Märchen aus russischem Munde von den Türkischen Stämmen des Minüssinski- schen Kreises vernommen sind. Ich halte diese Mei- nung für unberechtigt, da alle Volkssänger oft alte Erscheinungen des Volkslebens mit neuen Namen be- zeichnen ÿ). Bei denjenigen Wôrtern, die ich aus Castrén’s Sprachlehre entnommen habe, habe ich natürlich viel- fache Ânderungen vorgenommen. In Betreff der Vo- calisation dieser Wüôrter bemerke ich nur, dass ich die Längezeichen nur in denjenigen Fällen beibehalten habe, wo der Vocal stets lang efscheint. Bei dem von Castrén als lang bezeichneten offenen Vocal der Ton- silbe habe ich das Längezeichen fortgelassen. Bei jedem entlehnten Worte, welches von Castrén’s oder Radloff’s Aufzeichnung entnommen ist, verweise (V.), wo sie sich vorfinden. A. AGpäm — Abraham. ÆRuss. AgpaâmB, AGpärB. Dimin. | A6packa — Russ. AGpamka. Afânnprja — Agathe. Russ. Arâois. Apuärpii — Ignatius, Ignaz. ÆARuss. Mruâriü. Diman. Apuacka — Russ. Mraarmka. 1) Für die Letzteren haben mir als Quellen gedient: a) Castrén, Versuch einer Koibalisch - Karagassischen Sprachlehre, St.-Peters- burg , 1857, und b) Radloff, Proben der Volkslitteratur, Band I, St.-Petersburg, 1864. 2) Vorwort zu Radloff, Proben der Volkslitteratur, Band I, Übersetzung, Einleitung , S. 3) Vel. BecryxeB®- “Paoxu Pycekaa Mcropia, C.-Ierep- Gypre, 1872 r., v, I, crp. 1 emcik — Postknecht. Russ. sum. Osman. (sl ich auf Band (B.), Seite (S.) und Zeiïle (Z.) oder Vers | Abpanrmiaa — Agrippina. ÆRuss. Arpnnanaa. Auch: Erpänmaui. Aaikcânapip — Alexander. Russ. Axercauapr. S. Elir- CAHp. Amôc — Amos. Russ. AmOct. Âuna (Jakut. Aua)— Anna. Russ. Anna. Aurôx — Antonius, Anton. Russ. Aurore. anmâp (A. Abak.) — Niederlage, Magazin, Speicher. Russ. Jakut. am6âpr. Pers. SO S. Radloff’s Sprachproben, B. IE, $. 176, V. 107; $. 180, V. 227, 229, 236 und 250; S. 181, V. 261, 268, 272 und 288; S. 182, V. 298, 299, 307, 309, 311,325 und 326; S. 183, V. 350; S.184, V. 366: S. 185, V. 418 und 419. Autanâchri — Athanasius. Russ. Aoonaciü. ap6ÿe — Wassermelone. Russ. ap6ÿ35. apbic (Al. Kasan. Kirg. apbum) — Roggen. Russ. poxr, apkAHOÏ. AE Erpännänä (auch: Appanniua) — Agrippine. Russ. Arpa- oéna. Jakut. Oppondnd. Exkänri — Innocentius, Innocenz. Russ. Vunokentii. Eläcäi (Jakut. Olürcôi) — Alexius. Russ. Anercbi, Elijä — Elias. Russ. Mass, ais. Vgl. Ill. Elikcanxïp — Alexander. Russ. Axekcauxpr. S. Asbik- CAHXBIP. Elixcanxipä — Alexandrine. Russ. Axercasapa. ElicäGarrä — Elisabeth. Russ. Exmsagéra. at Courier, Eilbote (vom Persisch. rb— Couriers- pferd). Kirg. nemumik. Eunim — Euthymius. Russ. Esoumiñ, Eæwnmr. eprälai — Prälat, Bischof, Russ. apxiepéii. I. I6ân (Jakut. ViGan, Alt. li6an) — Johann. Russ. loauxr, Msäre. isäpr — Stange. Russ. xepas. S. Castrén’s Versuch * | ein. Koibal, Sprachlehre, $. 84 und 159: izärt. Illin kÿn-— Elias-Tag (der 20-ste Juni). Russ. Main ne aeub. Val. Elijä. ei ipar — Reiïhe. Russ. pare. : ie icuiurä — Schwefelhülzchen. Russ. (chpnas) conaka. Icye D ra PR Site Russ. Incÿc» ne Fr 27 Bulletin de l’Académie Impériale jä63ak — Kartoffel. Russ. kaproæeus; bei den Sibirischen Bauern auch: 46a0K0 oder 3emaamoe A610k0 — Erdapfel. Jägbip oder Jasop — Georg. Russ. l'eoprit, Er6pz. Jappän — Eugraphus. Russ. Errpaws. jäkkpin — Diaconus (4. L. Priestergehülfe). Russ. 1b4- KOHB. Jäkkbin — Jakob. Russ. fko85. jäma — Grube. Russ. fma. Dieses Wort «jäma» wird bei den Katschinzen an der Ok-Mündung und am Ui-tag gebraucht. Sag. oimak. Jäpvaska (Jakut. wapôanxbi od. yap6ag) — Jahrmarkt, Messe. Auss. tpmapra, 4pmagxa. Japmazäi — Hermolaus. Russ. Epmorâü. Jepämäi — Jeremias. Russ. Iepemis, Epemi. Jon — Jonas. Russ. Iona. D | Sn Le Ka6äk (Alt. Kirg. Sag.) — Schenke, Krug. Russ. Ka6âke. Ka6ak apapaspt — der Russische Branntwein, eig. Schenkenwein. KaGpisa — Gabriel. Russ. l'aspiuxre, Connie käGb1 — wenn; als ob; als wenn. Æuss, KâkB Gbi. S. Castres Ai “outh ein. Koïb. Sprachl. $. 71, 93 und 133: kaby. Kasak (Sag.; Kirg. kasak-opye)—Kosak. Russ. ro3an, KA3AKB. kaosmmé (Sag. Kirg.)—Schatz. Russ. vasnä. Arab. à 53, Uigur. = ; kazäc — Kalatsch, Semmel. ÆRuss. Kazaur, Alt. Kirg. kazam. karär—Schlafrock. Russ. xazarB, von dem Arabischen äebs, Ehrenkleid (Giergass, Würterb., S. 299). … kam36x (Sag. Kirg.) — Camisol. Russ. Kam3078. Auch: KAM301. … kampic — Schüpfkelle, Russ. KkamBinrB, KoBmB; ixic ka- MbIC — Geschirr; wôrtl. Geschirr und Kelle. Kaparrina — Charitina. Russ. Xapuruma. kapGän (Kysyl. kanmap) — Tasche. Russ. Kapmân. 8. Radloff’s Sprachproben, B. II, S. 192, V. 664. S. auch: kapman und kapbi6an. © kapwän (Æysyl. kanmap, A4. kapOar) — Tasche. Rad- loff, B. II, S. 134, V. 1587; S. 556, V. 836 | und 837; S. 557, V. 849; $. 558, V. 884 und 885; S. 559, V. 937; S. 560, V. 981. S. auch: kapôan und kaprhiôan. Man sagt auch: rapuax. kapmôupija — Harmonika. Russ. rapm6auka, rapmoups. kapr (Abak. Al.) — Karte. Russ. Kapra, kaprBr. Radl. B.:11,5. 20, V:11; 5. 43, V, 14 und 17; S. 44 V.19. Auch: kapr. Kirg. kapra. Kaprÿc — Reisemütze, Mütze. Russ. Kapry3R. Auch: KAPTYC kapp16an (Kysul. kaamap, Ali. kapôan) — Tasche, Russ. xapmaur. Radloff, B. IT, S. 84, V. 450. S. auch: kapôan und kapmau. kaprinaäc — Bleistift. Russ, kapañämr. Auch: Kaprm- aac. Kirg. kaprigan. Kaprrrrôn — Chariton. Russ. Xapnrône. Karrapfna — Catharina. Russ. Ekarepia, Karepnna. kaprfna — Gemälde, Bild. Russ. Kaprima. S. auch: Kep- TIHà. Kipicräi — Gregorius. Russ. l'pruxa, dimlius. von Rsiipropsti, Gregorius (Russ. l'pnropiü). Kôzka — Nicolaus. Russ, Kk6aPka, dim. von Hnkoxaï. Kôavic — Leinwand. Russ. xoucre. Jakut. xoxycra. komôT (Kirg. kambir) — Kummet. Russ. xoMÿTE. Kônbin — Conon. Russ. Know. kon — Graben, Kanal. Russ. npokonr von KOnaTr, gra- ben, vgl. Mon. — ein kleiner Kanal oder Graben (Schmidt, Würt., S. 162, c). kônebik — Trinkgeschirr, Schôpfkelle. Russ. Kk6BmnKE. Vergl. kambic. kopôk — Erbse. Russ. ropôxR. Auch: Kopor. kôpbirt (auch: küpar, Jakut. ryopaa) — Stadt. Russ. rô- POXB. Auch: KOPbIT. ôcka — Katze. Russ. xômka. Vergl. npiphick. Kocrpraca — Gastgeschenk. Russ. rocrnnenr, Gen. ro- cruaua. Radloff, B. II, S. 212, V. 1334. kor—obgleich; obschon; wenn nur. Russ. xors. Ca- strén, Vers. ein. Koib. Sprachl., S. 71, 96 und 164: ot. kyObipnärrpip (Alt. Sag.; Jakut. ky6apnarbrp) — Gou- verneur. ÀÆuss. ry6ePHaTOpr. Kysma — Cosmas. Russ. Kocma, Kyspma. kynäâxubt — Badehäuschen. Russ. kynâabus. KouäGapija — Claudia. Russ. Kiâsais. kbimâc — Kwass. Russ. KBacr. Kempbijän — Cyprianus. Russ. Kanpidur. S. auch: Kiu- mipijan. des Sciences de Saint -Pétersbourg. Ksip5oppri — Gregorius. Russ. l'pnrôpiä. 8. Kipicxi. Koipsäa — Chrysanthus. Russ. Xpncänor. Ksipicrôc — Christus. Russ. Xpuerécr, auch: Kpicrôc. Koipricrbrjän (Sag. Alt.) — Bauer. Russ. Kkpecrkannme. . KIPäCTIjàE. KeanaTkä — Confect, Zuckerwerk. Russ. KonpéKTA. Kepilä (Jakut. Kipillä) — Cyrillus, Cyrill. Russ. Ru- pra, Kupnaa. Genit. KRupraa. Keprinä — Gemälde, Bild. Russ. rapruma. $S. kaprina. Kinäc (Abak. Alt.) — der Âlteste in jedem Stamme, Fürst. Auss. KHA3L, KHA3CNB 04. CTAPOCTA poza. Radloff, B. II, S. 527, V. 1191 und 1203; S. 528,: V. 1231, 1234, 1236, 1237, 1244; S. 529, V. 1276 und 1277; S. 530, V. 1292 und 1323. Kiairä — Buch. Russ. raura. Kinuipijäa — Cyprianus. Russ. Kuupiänr. S. ne Kipä (Abak. Alt.) — Gewicht (der Wage, der Uhr). Russ. rupa (BBCOBR, 4acoB®). Kipäk — Sünde, Übertretung. Russ. rpbxe. Kipäcrijan (A4. kpipeicrbijan, Kpäcrijän) — Bauer. Russ. Kxpecrpanune. S. auch: kbipbiCrbijâx. Kkipôc — Kreuz, Taufe. Russ. xpecrr, Kpeménie, Kü3aix (Alt. küjôim) — Wirth, Herr. Russ. xos4nu8. KO31p (Al. KÜ30p) — Hranné Russ. KO3bIpL. KOKIÔ — Puppe. Russ. KÿKkaa. Külanä (vgl. Pasacna) — Weihnachten (den 25. De- cember). Russ. Kozaya, npazxmr? P, X. (25 /Le- Ka6pA). KkôlagKä — Ring. Russ. Koxéuko, dim. von koaeuo, Ring. Castrén, Vers. ein. Koib. Sprachl., S. 97: kü- lätkä. kônnan — Haufen, Schober. Russ. konnä te Plur. KÔDHBI, Gen. KONÉKHE. künnac (Kirg. kÿnôc) -— Kaufmann. Russ. Kkynérrs. KÜp — Masern (Krankheit). Russ. rops (6orbsne). Kôücräukin — Constantin. Russ. Koncraurame. Kÿläc (4/4. Abak.) — Schlüssel. Auss. kaoaB. Radloff, B. II, S. 488, V. 3702 und S. 489, V. 3737; auch S. 562, V. 1029. S. auch: Kÿlÿc. Kirg.kilm. Kkÿlÿe (A4. rÿläc) — Schlüssel. Russ. knowB. Radloff, B. IL, S. 62, V. 643; 5. 43, V. 13. S. rÿläc. Ah. Jakkän — Kübel; Becken; Waschschüssel. Auss.10xâar. Jâuka (Alt. sakna) — Bank; Bude. Russ. xäBka. LeGäuri — Leontius. Russ. Jeourit, .Tesonrif. lérkip (Kirg. lerkäp) — Arzt. Russ. xÉKkape. LeGpäari — Laurenz. Russ. Jagpénriÿ. Jykkpijan — Lucian. Russ. Jykbine, Jyrians. Jyaiua (auch: yasiua) — Kienspan. ÆRuss. ayunma. Val. YAYIHA. M. Makkäp — Makarius. Russ. Maxkäpiü, Makap. Makcpm — Maximus. Russ. Marcus. Maränvija — Melania. Russ. Mexäuis, Maramps. Mapina — Marina. Russ. Mapuua. Mäpka — Marke, Knopf. Æuss. mäpra, S. mapkbi. Mäpka — Marcus. Russ. Maprtr. Gen. Mapra. Mäpkr — Marke, Knopf. Auss. mâpra, nyrosnna. Radloff, B. IL, $. 128, V.1374. S. auch: mapka. Mäpua — Martha. Russ. Mäpoa. Mapsija (Jakut. Maprija) — Marie. Russ. Mapis, Mäprs. Marni — Matthäus, Mathias. Auss. Maroïü, Marsbi, Merkinnip — Nicephorus. Russ Hnknæopz. Merkirrä — Nicetas. Russ. Hnrwra. Meccai — Moses. Russ. Moncéi. Merpôuä — Matrona. Russ. Marpona, Marpèna. Mirpai — Demetrius. Æuss. ]luurpiü. Dèmin. Mir. Russ. Murs. Mykuai — Nicolaus. ÆRuss. Hukoïaë. Dimin. koaka, Russ. Kozpbka. Mykadi ÿroxmik — Nicolaus (der Heilige). Russ. Hu- KoJAË Yroaumre (wôrti. Nicolaus, der dienstfertige). Mpoikkaisa — Michael. Russ. Muxaurr, Muxañua. mocra (Jakut. myocra) — Brücke. ARuss. mocrr. Gen. MOCTA. | môcannik — Spitzbube, Betrüger. Russ. uoménanks. IYTOBHHA, Mÿka — Qual, Jammer, Russ. myÿKka. Radloff, B. I, 61, V. 618. MŸT — Honig. Russ. mëxB. Alt. MÔT. Morrrair — Medaille, Schaumünze. Russ. mexaas. H. Hasap — Nasarus. Russ. Hasape. Hacräcerija — Anastasia. Russ. Auacracia, Hacracps. Dimin. Hacra, Häcrä. Russ. Hacrs. Harraxsija — Natalia. Russ. Haras. Hasäanbik — der Vorgesetzte, Befehlshaber. Ans. aa ne YA IBEAKD. 31 Bulletin de l’Académie Impériale 32 gaxä — aber, doch, allein. Russ. onuarko. Vgl. ünärä. Hexilä (AU. uänlä, Tub. jänilà, Jakut. näinälä) — Woche. Russ. nexbas. Hennam — Methodius. Russ. Meocxiï, Heæëéxe. ay — nun! Russ. uy! Radloff, B. IL, S. 3, V. 83. 0. 06priu — Reif. Russ. 66pyE. 06pac — Heiïligenbild. Russ. 66pasz. oi306a (Alt. yaama) _— Gabelarm, Deichselstange, Fe- merstange. ARuss. or1061. oic — Achse. Russ. ock. Okkpixina — Aquilina. Russ. Aknaumna, Akyauma. Man sagt auch: Orlinä. Okepmbija — Xenia. Russ. Kcénis, Arcnabs, Oxchaba, Auch: Orcinijä. Oupa — Olga. Russ. Ouvra. Ouacka — Ananius. Russ. Andmxa, dimin. von Ananiü. Ouaprpai — Andreas. Russ. Auapéü. Auch: Onaxipai. Onicepmm — Onisymus. Russ. Onncuur,. Opina (Alt. Apiua) — Irene, Russ. Upuua, Opusa. Oc— Espe, Zitterpappel. Russ. oCHHa “). Ocin (Teleut.: Ocxn) — Joseph. Russ. locnæs, Ocurs. Ocrannbii — Eustath. Russ. Escraoiï, Acraoiü, ocrÔi (Sag. auch: erox, biCrOx) — Tisch. ARuss. croxs. Radloff, B. II, S. 67, V. 810; S. 69, V. 889; S. 79, V. 283: S. 80, V. 325 und 332; S. 85, V. 489 und 490; $. 87, V. 574; $. 125, V. 1284; S. 188, V. 509 und 510. Gersrpsn — Insel. Russ. 6crposr. oupik — Heerd, Feuerheerd; Dreifuss. Æuss. ouar, TPEHOKENKB. Alf: o10k 42 : td Orpännänñ (A4. Jakut. Orpôundnd) -- Agrippine. Russ. + Arpavéna. Auch: Appanma, Erpän- | CS Russ. Euéna. _ ünäkä —allein, ohne Zweifel. Russ. oanako, 6e3r co- _ mrbnis. Castrén, Vers. ein. Koib, Sprachl.,S. 71, 87 und 133: ünäkä. Vgl. näkä. ne oe 4) Ich glaube nicht, dass € dies ein aus dem Russischen entlehntes | : Wort ist Vergl. aycak (Tara- Dialect) ancak (Alt. Teleut: Schor.). Re Radloff 5). Ouak (Tar. Dchg.) ist eintatar. Wort, entstanden aus ÿu+-ajak . ; (Drei-+ Fuss), das russische Wort ist somit eine Entlehnung aus dem Onaipai — Andreas. Russ. Anapéï. Auch: Onavpäi. Ourôrriji — Eudoxia. Russ. EBxokia, AB10Tb4. HaGia (Leleut.: Tla6bia) — Paulus. Russ. IäBexrs. HaGxin — Paulinus. Russ. lagune. na34p — Markt, Kaufhof. Russ. Gasapr. Kirg. Osman. 0 ,> ,— Shibe au (Jak. 6acb6a) — Dank. Russ. cnacn6o. nai -— Theil, Portion. Auss. naï (4acrb, 1014). Osm. «sb. thé = Dantus Basil. Russ. Bacnaiü. Dimin. von Taciapri — Russ. Bacs. nakna — Knôchel. Russ. 6a6ka. Radloff, B. IL, S. 501, V. 317. S. nanka. nakga — Päckchen. Russ. nauka. Radloff, B. II, S. 43, V. 14; $S. 44, V. 19. [axir — Hippolytus. Russ. Unnoaurr, Hours. Hankbipar — Pancratius, Pankraz. ue Iaaxkpariÿ, Iauxkpare. nanka — Knôüchelchen. Russ. 6a6ka. Castrén, Vers. ein, Koïb. Sprachl., $. 126: bâpka. S. auch: nakna. napakkôrT — Dampfschiff, Russ. napoxoyrr. [apackoGb1ja — Praskevia. ÆRuss. Ilapackesa, [apa- CKOBIA. IHap6apa — Barbara. Russ. BapBapa. napka — Barke. Russ. 6apra. Tapaam (dim. apzacka) — Warlaam. Russ. Bapraans. uapôm— Fähre, der Prahm. Russ. napôwr. Tacilicca — Basilissa. Russ. Bacnancca. Tactabii (A6. Hacirai) — Basilius, Basil. Russ. Bacuaiït. nacrÿk (Abak. Alt.) — Hirt. Russ. nacrÿxz. Radloff, B. I, S. 11, V. 358; S. 13, V. 412; S. 531, V:E997. Tarran — Patapius. Russ. Tlaräniÿ, [orarrs. [an — Peter. Russ. [erpr, dimin. Héra. Vgl. Terrip. Häpä — Wera (wôrtl. der Glaube). Russ. Bépa. nac (Alt. nâc) — Ofen. Russ. news. Radloff, B. II, S. 205, V. 1103. [e6pônijà — Febronia. Russ. Pespônis. Hexaceñi — Theodosius. Russ. Ocoxécit, Oexochi. ne364H oder necnän — Schnellwage (Gewicht von 2 und einem halben Pfund). Russ. Gesménre. Heläräjä — Pelagia. Russ. Hexarés, uelär — Billet. Russ. Gnrers. Tlelin oder Hilin — Philipp. Russ. Pamons,. nendar -er— die Ehe einsegnen. Russ. Bbagars. des Sciences de Saint - Pétersbourg. nepäG0e — Überfahrt. Russ. nepesozt. nepicrä (auch: neperä, Alt. näpicrä, Jakut. Giâpieri)— Werst, Russ. Bepcra. Radloff, II, S. 71, V. 14; MID, V, 146: S:79,:V::907)8.-81;V; 363; S. 92, V. 137; S. 102, V. 475; S. 141, V. 779. népcäl — Feldscherer, Russ. æéabamepr, æépmart. nepcôk — Werschok. Russ. Bepmors. Teciläi— Basilius, Basil. Russ. Bacnmiü. Auch: Haciamri. ner — halt, freilich. ÆAuss. Bba. Castrén, S. 71, 127 und 142: bit. Iérrip — Petrus, Peter. Auss. Herps, Dimin. Ti = Russ. Flers. Teleut.: Härrip. Tlerpôn Kÿx — Peter-Tag. Auss. Herporn AeHB (den 29. Juni). neqar — Siegel. Russ. negars. Radlotff, B. IL, < S.D951, V. 659 und 661; S. 556, V. 837; S.557, V.850, 852 und 868; $. 558, V. 891 und 898; S. 559, V.916,938, 946 und 947; $S. 560, V. 969 and 982; S. 561, V. 997. Al.: nägär. niuä — Elend, Unglück. Puss. Gba. Iikrap — Victor. Russ. Bnrkropt. nilärä od. nlärä — Flagge. Russ. æxara. nläcär od. niläcär car —tanzen. Russ. nancars. nilinä od. nlinà — Fladen, Pfanokuchen. Russ. Gmmur, JeNËIMKA. nilic od. ulic — Plüsch; baumwollener Sammet. Russ. nIUCR (Stoff, és ee nilkä — Gabel. Russ. Buaxa. [issu — Pimenus. Russ. Tiens. mipar oder upär — Verlust; Schade, Russ. Bpex, Yutep6r. Radloff, BCE 40, "%, 6617: mipÿknä od, npÿkni — Kohlrübe. Bus: 6pHKBa. mirôk (A{é. närik, Jakut. Gürÿk) — Hahn. Russ.n'bryx3. naar — Tuch. Russ, usarr, natokr. Radloff, B. II, S. 15, V. 465 und 466; S. 234, V. 490. Auch: upiar (Alt. Sag.). n066cka od. n66ÿckä (Abak. Alt.) — Wagen. Russ. no- 863ka. Radloff, B. IL, S. 93, V. 187 und 190. Kirg. 6dÿerd. - nozÿcka — Kissen, Russ. n01ÿImKa. nosâamicrpa — gefälligst; ch bitte. Russ. noxaryücra. uo3pak — Sonntag. Russ. Bocxpecesse. Radloff, IL, S. 562,.V. 1042. S, auch: nosbipak. n0851pak — Sonntag. Russ. Bockpecebe. Gien, S. 159: bôzerak. Val. nospak. H6kka — Phocas. Russ: P6ka. Tome XXXII. 1 noJac (Zel. noxoc) — Gerichtsdorf. Russ. 8010078. noMocaBIk — Gehülfe. ÆAuss. nomomaure. nopax (Alt. noposon) — Schneesturm. ARuss. 6ypaur’; cabxabli Buxpb; Meress. Radloff, B. II, S. 222, V. 74. Vyl. Osm. o Up Dschg. Je DE [opic — Boris. Russ. Bopnez. uôcua (Alt. ocn6) — Blattern; Russ. 6ena (Goxbaus); Bocna. notkôn — Hufeisen. Russ. nozx68a. noTu0asija — der Raum unter der Diele. Russ. no7- node. Schor. nonnazai, Alk: norTnaia. Horrämpi — Potamius. FRuss. Toramii. nôyka (Alt. nouko und nouka) — Fass. Russ. 66uka. Radloff, B. II, S. 250, V. 53, 54, 56, 59, 60 und 61; S. 252, V. 65, 76, 78, 83 und 93; S: 253, V. 98, 100, 109, 111,114,117u.118. nôgra — Post. Russ. nôura. Tôxip (Alt. Tüaüp) — Theodor. Russ. Oeoxopr, Péaope Uüxlä — Thecla. Russ. Oékaa. nôlicäi — Polizei. Russ. noxmnis, npéxuik — Pfefferkuchen. Russ. nparure. 7. ni péAHik. upecas — Bittschrift. Russ. npoménbe. Auch: nipein. uyaka — Semmel. Russ. 6ÿaka. : Ilyakapeija — Pulcheria. Russ. Ilyasxépis. HyETOOPIk — Gewicht von einem Pfund. Russ. yH- | TOBHKB (THPA BB 1 YHTE). nyarbi (Alf. mbrara) — Pfund. Russ. æyare. uyr (4bak. Alt.) — Pud. Russ. nyxr. Radloff, B. II, 8. 41, V, 712; S. 49, V. 749 und 750; 8.98, Pocken Maui L 2] V. 367; S. 338, V. 1210 und 1212; S. 341, V. 1298; S. 461, V. 2781; $S. 468, V. 3036; S..477, V. 3348. nyiryaka — Flasche. Russ. 6yTPura. uBlapaupia — Aufseher über mehrere Kirchen. Russ. 61aro4nBHb1i (CBANIEHHUKE). | Neuanimbip — Wladimir, Woldemar. Russ. Braanmip. usar (Al. naar oder npiar) — Tuch, ÆRuss. nxars. Radloff, B.IL S. 105, V. 603 und 604; S.165, V.263; S. 183, V. 360; S. 302, V.976; S.350, V.1620; S. 552, V. 76 und 77; S.553,V.72. | nsipkaccsik—der Handlungsdiener. Russ. APR à Ke” npipkac — Befehl. Russ. npnkase. us1pO36a — Bittschrift. Russ. npôck6a. re. D re — Prokopius, aan Buse: Upon. moe | n. Ibipôua — Russ. II LS à Bulletin de l’Académie Impériale 36 Hripokkpip — Prochor. Russ. [poxope. Ibipôna — Prochor. Russ. Ipôua. Dimin. von Tbipo- kônnpii — Russ. Tporoniÿ. Ipiprac — Protasius. Russ. [poraciï. ubrppick — Katze. Russ. von Gprick! Kkomxa. Radloff, B. II, S. 229, V. 330. Val. kücka. nbICO rakhis — ebenfalls. Russ. Bc&-Takn, nbicron — Piston (für die Flinte). Russ. mmcerôme FR ... PYXKPA). HIBITARC — a pin Pnes. KBNTAgUIA, 0der œu- TAHCIA. F pasacna — Weïhnachten. ÆRuss. Poxxecr6 (den 25. December). pe6i30p — Revisor. Russ. pesus0pe. Peccäi (Tel. Päccä) — Russland. ÆRuss. Poccia, oder Pacés. Pimä — Rimma. Russ. Puma. Pomau — Roman. Russ. Pomänr. pocnicka — Schein. Russ. pocnera. Por — Geschlecht. Russ. pors. Radloff, B.IT,S.414, Vers. 1179, 1181. pycubik (auch: Thcslak): — Handtuch. Russ. Punk», TI0H0TEHIE, py6aka od. ypôaka (Jakut. péaxs) — Hemd. Russ. py6axa. C. ca66r (Alt. ca6ar) — Manufactur; Bergwerk. Russ. 3a- BOXB; IPIUCKB. - cai — Thee. Russ. gaï. So sagt man am obern Abakan. Bei den Sagaiern und Altaiern: sai. Cakkap — Sacharias. Russ. 3axapis. cakzar (4bak. Alt.) — Wette. Russ. sakiane. Radloff, B. I, S..270, V. 700. S. cakkpraar. cakou (Alt. cakan) — Gesetz. Russ. 3akow2. cakna (Alt. Abak.) — Mütze. Russ. manxa. Radloff, ua ES EE V. 280::S.:54 :V.:369: S: 95, 940: S. 136, V. 18: S. 148, V. 432. cakkbHäT (A. cakxar) — Wette. Russ. 3akaaxr. Ca- *:\ ten, à 207; V. 1572 and 13955 5 206. - V. 1356: sûkalèt. + . cäkkbp (AÏ. airip wnd cakap, Jakut. caxap, Kara- . Kirg. mekäp)— Zucker. Russ. caxapr. CAMAT (Sag. und Alt.; Jakut. _——. — Soldat. Russ. come. j cauk66ai — Rubel. Russ. wbarôBbii, 1 py6a8. camak (Abak. Alt.) — Schloss. Russ. 3am6k8. Radloff, BAIL:S 176; Vs 108, M9 amd 119; :$S 177; V. 125, 126 und 140; $S. 180, V. 237, 243 und 251; S. 182, V. 312; S. 471, V. 3145: S. 473, V. 3208; S. 488, V. 3701; S. 489, V. 3732 und 3736; S. 561, V. 1010; $S. 562, V. 1033 und 1035; S. 564, V. 1107. Auch: cauyk. tte tnt Fe Cauyur8, Camôüaa. Cameôn — Simson. Russ. Camncowes. camyk (auch: camak) — Schloss. Russ. 3aMOK. caua6ap (Kara-Kirg. canôp) — Theemaschine. Auss. CAMOBAPE. cannak (Abak, Alt.) — Stiefel. Russ. canore. Radloff, B. IE,5. 422, V.1480. Auch: cannok wnd cannÿk. cannok (A7. cannak) — Stiefel. Radloff, B.IL S. 210, Ÿ. 1262; S. 211, V. 1288; S. 219, V. 1317, 1321 und 1324. Auch: cannäk und cannÿk. cannyÿk (A/é. cannak) — Stiefel. Russ. canére. Canpox — Sophronius. Russ. Cowponii, Coæpors. caluä — Schelm. Auss. mé THMA. cânäx — Vorhaus. Russ. chur. cexärril — Beisitzer, Assessor. Russ. sacharens. | Ceuôn— Simeon. Russ. Cumeonr, Cemérz. | Cend6tjä — Zenobia. Russ. 3nnosis. | Cepänninä — Seraphine. Russ. Ceparuma. cepäGpôou (Sag. Tel.) — Silber. Russ. cepe6pÜmrs. Cepräi— Sergius. Russ, Ceprbi. cépriGà — Kirche. Æuss. néproës. Man sagt auch: rerip e6— Himmelshaus. Kasan. > yipkäÿ. ciôaakä — Licht. Russ. cBbura. -Cinap — Isidor. Russ. Mcuropr, Cirops. ciläjà — Rûckenriemen. Russ. maea.. cilannä (44. Abak.) — Hut. ARuss. mana. Radloff, B. II, $. 210, V. 1265; S. 211, V. 1294 und 1995: S. 212, V.1319, 1344 und 1345: S. 213, V. 1368. Val. clännä. | cimärran — saurêr Schmand, saure Sahne. Æuss. cme- . raua. Radloff, B. IX, $. 1154: 28, clannä — Hut. Russ. mama. ” cilännä. Côja — Zoe. Russ. 36a. Comvija — Sophie. Pre Covba. concam— ganz. Puss. coschmB. Man sagt auch: côncäw. Crannan (Sag. Tel.) — Stephan. Russ. Creœaur. CTOZ (AVE. OCTO, yCroa, siCTox, ycraz; Jakut. cTYo1) — Tisch. Russ. eror. Radloff, B. IL, S. 58, V. 508; des Sciences de Saint - Pétersbourg. S. 66, V. 798; S. 89, V.:45; $. 112, V. 883; S. 196, V. 795; $. 198, V. 840; S. 198, V. 856; S. 205, V. 1102; S. 206, V. 1114; S. 219, V. 1559 und 1561; S. 247, V. 933; $. 263, V. 447;'S. 268, V. 639; S. 274, V. 50; S. 981, V.290; S. 289, V. 531; 5. 348, V. 1370; 5.368, V.:2215:;$. 473, V. 3199: S. 491, V. 8819; S. 552, . 709; S. 553, V. 716; S. 587, V. 417. Kirg. Sag. auch: vicro. CTol6a — Pfosten. ARuss. crox68. Radloff, B.I,S.263, V. 438 und 457; S. 266, V. 552; S. 267, V. 595; S. 270, V. 677; $. 272, V..769; S. 274, V. 45 und 46; S. 276, V. 93; S. 284, V. 367; $. 290, V. 577; S. 300, V. 917; S. 301, V. 939 und 945; S. 304, V. 42; $S. 305, V: 93; S. 308, V.189;5. 319, V,9332;:9:318;V:0525; 9,805, V:: 705.8: 339, V::12386%.8 249, V: 1399: S. 344, V. 1401: S. 345, V. 1455: 8. 348, V. 1545, 1551; S. 350, V. 1612 und 1618: S. 352, V. 1689: S. 353, V. 1717; S. 359, V::1902; 1999; S. 860: V.:1942/ 8.361, V. 1988 und 2000; S. 364, V. 2102; S. 368, V.:2209; S:870,"V: 2282, 2300; S. 372, V: 2849::S. 373, V. 24015 9.:374, V. 2499 ‘und 2434; S. 382, V. 115 und 116; S. 387, V. 264; S. 389, V. 339 und 346; $S. 406, V. M0: and -912;;S 415; V:12392: $, 499, V. 240, 244: S. 500, V. 274: S. 505, V. 461; S. 507, V. 513; S. 511, V. 651, 663 und 664; "8.533, V. 53:58. 541, V: 311; S. 549, V. 345: S. 547, V. 526: S. 570, Y. 1290: S. 571. V.1344; $. 586, V. 398. Auch bei Castrén, Vers. ein. Koib. _. S.:187, V: 670 sa 671: stôlba. cy6ar (4bak. Alt.) — Sonnabend. Russ. cy660ra. Rad- ùJoff, B:IE;:6 562, V. 1043. cykäipei (Sag. AU.) — Zwieback. Russ. cyxäph, Cyxapr. cymaÿk (A. Sag. auch: cynaÿk) — Kasten. Russ. Cyu- *aÿe. Radloff, B.IT, S.224,V.129. Arab. 3,922. cynayk (Al. Sag.) — Kaëten. Russ. cynaykB. Radloff, | B: II, S.43, V. 13: 8. 62, V. 646: 8. 75, V:149; 8. 80, V. 346; S. 81, V. 35038. 177, V. 149; 8, 179, V::217:8. 233, V:458;:5. 235, V.621; S. 523, V. 1072, 1073 und 1086; S. 524, V. 1087. Arab. à AP S. auch: cyMayk. cyp5ÿce — Siegellack. Russ. eypryar. cYlüirä — Glas. Russ. crekio, crekannxa. Castrén, Vers. ein. Koib.Sprachl., $. 123 und 143: süläikä. cb1a01ka — Rückenpolster beim Pferdegeschirr. Auss. CAC IKA. À TaGir — David. Russ. Jarure. Taicçprja — Taisia. Russ. Tancis. . Tax — Weide. Russ. nBa, raxmma, Radloff, B. II, S. 316, V. 443. Man sagt auch: côr. Vergl. Djag. Osm. Uig. JG, JE — Weide®). Taufsa — Daniel. Russ. Jlaninx», /Laumao. Tapâc — Tarasius. Russ. Tapacit, Tapäcr. Täâpsija — Daria, Dorothea. Russ. JIäpis. TAPHIATAC — Fubtwerk. Wagen. Russ. rapanräcr. Man sagt auch: kapanjac. täc — Becken. Russ: rasr. Arab. €. lL. Per und LÉ COR, CplË radin Tatiana. ARuss. Tariäua. relärä — Wagen. Russ. rexbra. Man sagt auch: kaä. Tepänri — Terentius. Russ. Tepénriit. repimnä — Dorf. Russ. 1epéBn. recaraik — der Aufseher über zehn. Russ. aecéTENrS. Tikkbrm — Ticho. Russ. Tuxons. Tiaännai — Timotheus. Russ. Tnmooéÿ. ripäa (Schimpfwort) —Kleinigkeiten; Strund; albernes Geschwätz. Russ. pas. . 10617 — Dame (im Brettspiele). Russ. 16Bexe, AAMKA (85 mameunoï urph), kirg. 1oïGoi. rékrbtp — Doctor der Medicin. ÆRuss. AGKTOPE va a + HUHBI); BPATB. rosarrä — Meissel. Auss. 101076. * Témna — Domna. Russ. /[6mua. T0p06a — Glück auf! Guten Tag! ÆAuss. 310p680! sapascr8yä! Jakut. nopo6o! Radloff, B. II, S. 254, V. 159;.58. 409, V. 1032; S. 412. V.1118;8. 445, V. 2233; S. 454, V. 2671; * S. 456, V. 2609; S. 599, Ÿ. 576. Man sai. auch: esäa! roufia od. rouïaa ras — Schleifstein. Russ. Tour. rare Gericht. Russ. se 6) Taxuaa, raxsanxke sind offenbar aus dem Fnrnenes exlehnts “à . russische Würter, R. Mo g* * Bulletin de l’Académie Impériale 40 rypô6à — Rôühre, Esse. Russ. rpy64. rÿrä— Krummholz. Russ. xyrä. Radloff, B. II, S. 419, V. 1358; S. 421, V. 1448; S. 447, V. 2305. Tÿmaÿk — Rauchfang. Russ. 1bimauxr. Castrén, Vers. ein, Koïb. Spr., S. 112: tümnük. Vgl. Jakut. rÿa- uÿk (Fenster) und Karag. rÿxnÿr ?). Toipaunim — Trophim. Russ. Tpoæumsz. Toipionsix — Tryphon. Russ, Tpivons. TBipôn—Schrot (für die Jäger). Luss. 1p068 (oxoranabA). Ÿ: y5bI6âT (auch: yknar) — Ofengabel. von XBATATE (greifen). Vakä — Lucas. Puss. Jykä. yadfua — Kienspan. Russ. ayañaa. Va. Iy4IHA. yc (koib. katsch. ym) — schon. Auss. yx®, yxé. Ca- strén, S. 71, 88 und 157: us, us. Yeupinja (Alt. üeuünjô) — Usminia. Russ. Y cumin. ycrôx (Alt. yeros, bicros, yerax und ocros), PI. yer6a- sap — Tisch. Russ. croxs. Radlaff, B. IE, S. 39, V. 664. | yairrsii — Lehrer. Russ. yanreas. Auch: ÿairril. Æuss. YxBâTE, ÿrÿpci — Gurke. Russ. orypens. Plur. orypupr. ÿe (auch: yic) — Russ. yes! (zu Hunden). Radloff, B:I1 5.102, V, 499. ‘ Æ | - yasôx — Jasaul. Russ. acaÿas: vgl. Mong. Ée — Schildwache (Schmidt, Würterb., S. 306, b). qai (Sag. Jakut.)— Thee. Russ. aañ, Mong. À gaiubik — Theekessel, Theekanne. ÆAuss. uaïñfre. Jak. aaiubx, von sai. yepuilä — Tinte, Russ. wepanaa. we4oxk — der Kirchendiener, Vorsinger, Vorleser. Russ. 1bA4éKR (arenr 85 mepKBn). Jakut, AôAÛK. _ aülü6ir — Gruss; Ehrfurcht. Russ. sexo6urie, n0K1o4L. Re . BI. * Biabipfa — Ohrring. Æuss. ceppra. Man sagt auch: _ CHIP5a Le und Abak.; Jakut. biTap5a). 7) Die Herkunft dieses Wortes ist wohl eine tatarische aus rÿ- à aÿa+lÿx. Dafür spricht das altaische rÿaÿx und die weite Verbrei- tung d Wortes. Dies schliesst aber offenbar nicht aus, dass im aischen rÿmaÿx abermals eine Anlehnung an das russische ABIM- nden, R. a. HUKE stattgefunden, bipôm — Rum. Russ. pour. Jakut. Ypyo. bickämpija — Bank. Puss. ckamps. BICk66pa — Pfanne. Auss. ck6BOpoza. bicnacci6a — danke! Russ. cuacu6o! bICHpâMHBIK (Jakut. ricupaGnpix, Alt. ricnpainbik) — der Polizeichef eines Kreises. Auss. ncnpâBHure. bicrTakkän — Glas. Æuss. Crakân'r. É Bicräx (Sag. Jakut.) — Hosen. Russ. iwranbi. Radloff, B. IL, $. 377, V. 1 und 2. PI. bicränuap. Blcrannäu — Stephan. Russ. Crewänr. Dimin. Icranäi— Russ. CTéna. biérapebin (Jakut. eraperma) — der Âlteste. Russ. craprnmnä. Pl. biCTapcbianap. bICTOGPI — auf dass; damit. Auss. gr6681. Castrén, S. 71, 124, 134 und 137: stoby. Z: B.: «rarxa ana KOHAPOPIC, BICTOGBI ON TYCTA CYT AJAPEa Tin» — dort werden wir morgen übernachten, um Wasser zu nehmen. Bicrôa (Jak. cryox, Alt. ocrox, ‘LCTOZ, yeTaa und ycroz) — Tisch. ÆRuss. croxr. Radloff, B. IT, 29, 11108 SES, VOS. 1ASS K4 928 S' 131; V. 1483. | BICTÔI (Abak, Al.), Pl. wicronrap — Flasche. ÆAuss. mroæB. Radloff, B. IE, S. 195, V. 742 und 743, PicrBipän (auch: bicrsipak) — Strafgeld. Russ. mrpaæ. biCTBIpakrTa — Strafgeld auflegen. BICTBIpOk — Termin, Frist. Russ. cpor®, volksth. cTpoKe. Untersuchung über den Lautwandel der aus dem Russischen entlehnten Fremdwôrter, Die hier folgende Untersuchung über die Verände- rung, Welche die einzelnen Laute russischer Würter bei dem Eintritte in den sagaischen Sprachschatz unterliegen,-bilden gleichsam eine genauere Ausfüh- rung der von Radloff aufgestellten Theorien der Ost-Dialecte *), ich ordne dahier die betreffende Laut- veränderung nach Gruppen an, die den von Radloff l'aufgestellten Sätzen entsprechen. I. VOKALE. 1) Verstossen die Vokale der russischen Fremdwôürter nicht gegen die Vokalharmonie, so werden dieselben nicht verändert. Beispiele: Buss. AGpaur (Slav. Aspaamr) — Sag. AGpam; Russ. 8) Vgl. Phonetik der nürdlichen Türksprache. Leipzig 1882. A1 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 4? Auga — Sag. Anna; Auss. Kka6arkt — Sag. Alt. ka6ak; Russ. ns mapka; Russ. Hasapr — Sag. Ha- gap; Russ. nañ — Sag. nai (Osm. (sb). 2) Unterordnung aller Vokale unter den Vokal der betonten Silbe (wie in allen türkischen Ost-Dialecten). Beispiele: Auss. Oëxopr (Slavisch Ocoropr) — Sag. Hüxip; Russ. Oërra — Sag. Tôklä; Russ. noxmuia — Sag. nôlicäi; Russ, kenragmia — Sag. npiTanc; èuss. ry6epaaropr — Sag. Alt. kyGbrpar- Tip (Jakut. Kky6bipaarbip); Russ. Knpnio (Slav. Kn- pare) — Sag. Kepilà (Jakut. Kipillä); Russ. néperii, (der erste) — Sag. nepôäi; Russ. rupa (Gewicht der Wage)— Sag. Alt. Kipä; Russ. Marpëna — Sag. Me- TPÜnä ; Russ. moménnnke — Sag. môcännik; Æuss. mMe- nâas — Sag. merrrais; Æuss. Akyanma (Slav. Aku- anna) — Sag. Üklinä; Russ. Orcuusa (Slav. Kcenia) — Sag. Orernijä; Russ. Arpaæéna (Slav. Arprunnua) = _ Sag. Ürpännänä; Russ. Anapéñ — Sag. Ouxipäi; Russ. Bhpa = Sag. Häpü; Auss. æepmaars (aus dem Deut- schen «Feldscherer») — Sag. nepcäl; Russ. Humenr — Sag. Timbm; Russ. nomme — Sag. nornoabija (Ait. norTuaisa, Schor. nonnaïai). À. Schiefner meint fälsch- lich, dass «nornaira» aus dem Russischen «no18arr» (Keller) entlehnt ist (Radloff, B. IT, Vorwort). Ferner: Russ. Araoin — Sag. Apannmija; Russ. Vruarit — Sag. Apuarbii; Russ. AtekCAnapr — S0g. AabikCaHAB1P; Russ. Wuanoréariñt — Sag. Exkänri; Æuss. cnnska — Sag. icniakä; ÆAuss. l'pnmxa — Sag. Kipicxä; Puss. Kunpianr — Sag. Kemprijau; ÆRuss. Kkonæwérka (statt KoHbekTa) — Sag. Kennärrä; Æuss., Kaprina — Say. kaprina oder Keprinä; ÆRuss. xos4nms — Sag. rüsäin (AU. Kôjôim); Russ. roxéuxo — Sag. Külurä; Auss. Hukwwopr — Sag. Mexkinnip; ÆÀuss. Moncéiï — Sag. Meccüi. Le ; 3) Herrschaft des Vokals der unbetonten Silbe. Beispiele: Russ. roasxa — Sag. Küliuä. Hier- bei ist zu bemerken, dass der gutturale Vokal einer Silbe mit palatalisirten Consonanten als ein palataler Vokal aufgefasst wird; hier: aa — 1a — là. Puss. Hacra — Sag. Häcrä; Russ. yrôaanxs — Sag. ÿrüanik; Russ. Arxôria (Slav. Esxoris) — Sag. Onrôrrijä; Russ. Bepera — Sag. nepicrä, AÙf, näpicrä, Jakut. Giäpicrä; Russ. Perponra — Sag. IeGpônijä; Russ. nepeso3r — Sag. nepäGüc; Russ. BepmôKr — Sag. nepcür; Auss. Ilerporr = Sag. [erpün; ARuss. HegäTs — Sag. neuäT; Russ. pesus6pr — Sag. peGisüp. 4) Getheilter Einfluss zwischen den Vokalen der Tonsilbe und einer anderen Silbe, a) Der betonte Vokal bestimmt die Palatalität der Vokale des ganzen Wortes. Beispiele: Æuss. Ky- nénr — Sag. kônnäc, Kirg. kônnôc; Russ. Akchabn — Sag. Ürcinijä oder Okcrkeja: Russ. Hewëyrs (Slav, Me- ooaii) = Sag. Hennämi. b) Der betonte Vokal bestimmt die Labia- lität der Vokale. Beispiele: Russ. 16n9ëK8 — Sag. yeuük, Jakut. 1640k (Vorsinger in der Kirche); Russ. Bcë-Takn (ebenfalls) — Sag. nbico-rakhi; ÆRuss. cb- aëara = Sag. chixoïka (statt «cünülkä»). 5) Das «i» der betonten russischen Silbe wird oft gedehnt und erlaubt als palatal-indiffe- renter Vokal eine freiere Vokalanwendung. Beispiele: Æuss. Arpnnnnma — Sag, Agpannina; Russ. Xapnrusa — Sag. Kaparrina; Russ. rupa — Sag. Alt. xipä; Russ. Ilimers — Sag. Himbm; Russ. Iorpo- mAio8s — Sag. Torpaccraan; Russ: Kaprina — Sag. kaprina. Manchmal wird auch das «e» der unbetonten Silbe in «I» verwandelt um es nicht dem betonten Vokal unterordnen zu müssen, Beispiele: Russ. no- Bezb — Sag. roôtr, Kirg. noïiGoi; Russ. Taser — Sag. aix (statt «TaGbia»). 6) Vollständiger Vokalwechsel. beicbiele: Puss. poxr = Sag. apric; Russ. Ko3bips — Sag. Küaïp (statt kosbip), Al. Kôsüp; Russ, rozaga — Sag. küläaä; Russ. oauaxo — Sag. dnäxä oder nükä; Russ. Poccin — Sag. Peccäi; Russ. creriauka — Sag. cÿläirà (Castrén sülâikä); Auss. ayra — Sag. rÿrä; Russ. xbiManKE — Sag. vÿmaÿk oder Temamk; Æuss. orypnsi — Sag. ÿrÿpci; Russ. ryria = Sag. Küklô; Russ. Oxkemba — Sag. Okcbiasija; Russ. Anapeïñ — Sag. Onavipai, Russ. rbkaps — Sag. likip; ÆRuss. BocKkpecenbe — Sag. no- sppak; Auss. Kpecrs — Sag. Kipüc; ARuss. MEL — Sag. mÿr; Russ. Kopb — Sag. kôp; Russ. KaoYE — Sag. Kÿläc. 7) Abfall und Ausfall der Vokale. Beispiele: Russ. ayma (Gericht) = Sag. rÿm; Russ. Iona — Sag. lon; Auss. Kapra — Sag, kapr oder kaprbt; Russ. rap : : una — Sag. bicrapeHiH, Jakut. crapcbima; Russ. n07- KoBa -— Sag. norkon; Russ. cuerana — Sag. cimäTrän; Russ. Hnrozaï — Sag. Mykaai. AHes bis jetzt Gesagte entspricht vollkommen den à von Radloff aufgestellten Regeln über den Einfluss der Vokalliafmonie in Fremdwürtern. Es ist aber trotz . * 43 Bulletin de l'Académie Impériale 44 der bedeutenden Herrschaft der Vokalharmonie in Fremdwürtern ein Moment hervorzuheben, auf das in der Phonetik der Türksprachen nicht Rücksicht ge- nommen ist, das ist der Umstand, dass in den meisten russischen Fremdwôrtern der Accent den Lautge- setzen der tatarischen Sprache entgegen in seinem alten Rechte bleibt und deshalb Vokale in der Accentsilbe in solchen Fremdwürtern verbleiben, die in ächt tata- rischen Würtern nie auftreten. Dites untatarische, wenn ich so sagen darf, Auftreten des Accents in den Fremdwürtern macht es nôthig, dass ich für die russischen Fremdwürter hier eine ihm eigenthümliche Vokalfolge aufstellen muss. Die Vokalfolge in den aus dem Russischen entlehnten Würtern ist folgende: a) Auf den denti-gutturalen Vokal «a» künnen die Vokale a, pr, i, o und y folgen. Beispiele: AGpa, Ausa, Ajaunija, Anxagacbii, Afpannisa, Kaprisa, kaparrisa, Karrapina, Amoc, kam301, kapmüasija, cai- küGai, Camoisa, Camcon, apôyc, kapryc, cauyk, cannyk. b) Auf den denti-palatalen Vokal «ä» konnen die Vokale: i, à, à folger. Beispiele: Exkäuri, Eläxcäi, : Elicä6ärrä, nepäGüc. c) Auf den weiten denti-palatalen Vokal «e» kün- nen die Vokale: ï, ä, ü folgen. Beispiele: Elijä, Ex- KäaTi, nerrük (Hahn). d) Auf den engen op paidtelen Vokal «i» kônnen unmittelbar die Vokale: a, à, i, p1, y, 0, ü folgen. Bei- spiele: Appanmna, Elijä, de Himsia, Icye, Kpicroc, nepiôüc oder nepäGüc. e) Auf den weiten labio- LE Vokal «o» kün- nen unmittelbar alle vier gutturale a, 0, y, b1 und das palato-indifferente «i» folgen. Beispiele: komor, no- aÿcka, ToJaTTa, 1010618, n0MOCHIK. f) Nach dem engen labio-gutturalen «y» stehen in folgender Silbe Vokale: a, y, bi, i, 0. Beispiele: nyr- TEA nyTTYAKA, HYHTBI, YCTOX, YATIHA. g) Auf das enge denti-gutturale «br» kônnen un- Ve mittelbar die Vokale: a, 0, bi Fig Beispiele: nosa- ne JIBICTIPA, Hb1P0364, TBIPBIC. h) Nach dem weiten labio-paatalen «ü» stehen in se folgender Silbe Vokale: ä, i, 6, ÿ. Beispiele: ônäxä, … Küsip, kôklô, n06ÿcKà. i) Auf den engen labio-palatalen Vokal «ÿ» kônnen nee die palatalen Vokale: ä, ÿ,i | folgen. Benpiele npÿkuë, … sÿläc wud kÿlÿe, ÿrÿpeï, : - gourif (statt «.leonriñ») — Sag. LeGänri; II. CONSONANTEN. 8). Übergang der einfachen Consonanten: I. Lippenlaute. a) Der russische explosive tônende Laut 6 und die Spiranten 8 und æ gehen im An- und Auslaute. oder als Bestandtheil eines des ton- losen Consonantén bestehenden Doppellautes in n über. Beispiele: Russ. 6asapr — Sag. nasap, Jakut. Gacap, Kirg. Osm. Pers. 6asap; Russ. 6a6ka — Sag. uauka; Auss. GprokBa— npÿknä; Auss. Gogka — Sag. nouka, Al. nogko; Russ. œæyurs — Sag. nyarbt, At. mbinTa; Âuss. Araoïa — Sag. Apannbija; ARuss. Mar- oiï — Sag. Marni; Russ, Akoër — Sag. Jakkbin; Russ. aagxka — Sag. sanka, Alt. Sag. xakna; Russ. Baca — Sag. Taica; Russ. Bocna (statt «ocna») — Sag. nocna; Russ. gepcra — Sag. nepicrä oder neperä, Alt. näpierä, Jakut. Giäpicrä. b) Zwischen zwei Vokalen erscheint statt æ meist nu. Beispiele: FRuss. Aoonaciï — Sag. Annanacbii; Russ. Araoia — Sag. Apannmija; Russ. Eoumr — Sag. Eunim. — Ebenso wird häufig n zwischen Vokalen durch nu ersetzt. Beispiel: Russ. Arpnnuna = Sag. Erpännäuä ?). | | c) Die im Inlaute stehende russische tônende Spi- rante b wird in den entsprechenden tünenden Ex- plosivlaut 6 verwandelt. Beispiele: Æuss. ABpa- am — Sag. A6pau; Russ. Kansagera — Sag. Elicä- Gärrä; Russ. Vsaur — Sag. IGau, Alt. I6an, Jakut. ViGan; Russ. Kaagxia — Sag. KeuaGgpija; Russ. Jle- Russ. Ia- di Fans Russ. 3aB01r — Sag. ca6or, te ca6a $ à Die labialen Explosivlaute n und 6 gehen auch in M über. Beispiel: Russ. 6aprnnna — Sag.mapricna. Il. Laute der vorderen Zunge. a) Der alveolare tonlose Explosivlaut Tr geht zwischen Vokalen in das tünende x über, Beispiel: Russ. [era — Sag. Hänä. b) Der russische alveolare tünende Explosivlaut 4 geht im Auslaute des Wortes stets, in Inlaute zuweilen, in T,über. Beispiele: ÆAuss. xepas — Sag. isäpr; Russ. ropors = Sag. koprir, kopar, Jakut. ryopal; Russ. Mexars — Sag. mprrrais; Russ. SaBOAB — 549. | ca6or, Alé. ca6ar (Fabrik). c) Die russische tünende alveolare Spirante 3 int 9) Erpännäsà ist nicht aus ArpHuEa sondern aus dem volks- thümlichen Arpaoësa entstanden. R. D 45. . des Sciences de Saint-Pétersbourg. 46 im An- oder Auslaute des Wortes in das tonlose € über. Beispiele: Æuss. ap6y38 — Sag. ap6yc; Russ. Eansasera — ElicäGärrä; Æuss. raprysr — Sag. kap- ryc; Russ.. 06pasr — Sag. o6pac; Russ. Benosia — Cendoijà; Auss. 3akonb (Gesetz) — Sag. cakon, Al. cakax. d) Die note alveolare tonlose Spirante m geht gewôhnlich in c über. Beispiele: ÆRuss. A6- parka — Sag. AGpacka; Russ. Kkapariame — Sag. ka- phinnac; Auss. Re — Sag. PICTAPCHIH, “Jakut. CTAPCPIHA. e) Die dem mm entsprechende tônende alveolare Spirante :k geht im Auslaute in © oder in 3, im Inlaute zwischen Vokalen in 3 über. Beispiele: Russ. poxr — Sag. aphic, Kas. Kirg. apoum; Russ. KEPAE —= 54. I3àPT; are yYÆB (statt «yke») — a yc, Koibal. Katsch. ym. f) Der russische sonore Nasallaut mit alveolarem . Zungenverschlusse # geht in das labio-labiale sonore m über. Beispiele: Auss. Huknæopr — Sag. Mex- Kinnip; ÆRuss. Huknra — Sag. Merkirrä; ÆRuss. Huko- Jañ — Say. ice ee LE de — Sag. Cymaÿk oder cynaÿk, Arab. à ie . g) Der russische Laut x geht im Worte mit pala- talen Vokalen immer in das sonore alveolare d» ps Beispiel: ÆRuss. Kuprao (Slav. Kupuarr) — Kepilä, Jakut. Kipillà (Bôhtlingk, Über die srae der Jakuten. Würterbuch, S. 68,a).. : .h}) Der russische alveolare Zitterlaut «p» geht in das Sag. «ap» (im Anlaute) über. Beispiele: ÆAuss. poxb — Sag. apric, Katsch. Kas. Kirg. apr. INT. Laute der hinteren Zunge. a) Das russische r geht entweder in 5 (zwischen Vokalen oder sonoren Lauten in Würtern mit gutturalen Vokalen), oder in |. k (im An- oder Auslaute), oder in k (im An- oder Auslaute des Wortes mit palatalen Vokalen) über. Beispiele: 1) Russ. Araoin — Sag. Apanubija; Auss. Mraariä — Apuarpii; Russ. Oxpra — Sag. Oupa; Russ. raïra — Sag. raisa, Alt. raika. 2) Russ. l'aspmio (Slav. T'aspinre) — Sag. KaGpina; Russ. oJarr — Sag. ouBik; Auss. ry6epaaropr — Sag. Alt. kyObIpHarTbp, Tabait KYOBIPHATHIP; , 2USS. TOPOXB — S0g. kopar oder kôüpoir (auch Kopar, Kkôpeir), Jakut. ryopaz. 3) Russ. Vprropit — Sag. Kipirôpi; Russ. rHpa — 54. Alt. ripä. | b) Das russische «x» geht im An- oder Auslaute i in Würtern mit gutturalen Vokalen in den hinterguttu- ralen tonlosen Explosivlaut k über. Beispiele: ARuss. Kä6aKkr— Sag. Ait. ka6ak; Russ. dame ne kap- Gau, Kysyl. kanmap. : c) Das russische x geht im Worte mit gutturalen Vokalen in k und mit palatalen Vokalen in r über. Beispiele: 1) Russ. xararb — Sag. kaïar, Arab. : Le PR Russ. Xapnrnma — Sag. Kaparrima; Auss. XOMYTE — Sag. komor; Æuss. Muxañao (Slav. Mu- xan18) — Sag. Mrikkaïta, Arab. 4 Ke; Russ. py- 6axa — Sag. ypôaka, Jakut. bipOaxb1; Russ. caxapr (Zucker) — Sag. cakbip, AU. cakap, Jak. caxap, Mong. À (Schmidt, Wôrterbuch,S.355,c), Kara-Kirg. meräp, Arab. Pers. me Russ. xo1crr — Sag. koavie, Jakut. xoxyCra; Russ. n'ÉtyxR — Sag. nirok, Al. närik oder nô1ÿk, Jakut. Gürÿk (Bühtlingk, Über die Sprache der Jakuten. Wôrtérbuch, S. 135,b). 2) Russ. apxiepeñ — Sag. epKräläi; Russ. Xpucrdcr — Sag. Kpicrüc; Russ. xo3anire ban ne Pr de À KOSä, Alt. KküJüim. 9) Gewôhnlicher din der zusammen- gesetzten Consonanten. a) Das russische n (r+-c) geht in das tonlose alveolare c über. Beispiele: Russ. rocrunna — Sag. kocrrinca. ee b) Das russische «4» (r+-m) geht in «ce» über. Beispiele: Russ.raraTr — Sag.kaïac; Russ. Kknogr — Sag. Alt. xÿläc oder Sag. Kÿlÿc; Russ. nes — Sag. nec, Alt. näc; ÆRuss. pyisnke — Sag. pycamk oder ypeubik; Russ. qaï — Sag: cai (am Fluss Es, Is) und qai (Sag. am Askys, Osman. und Jakut.), Mong. À . (Schmidt, Wôrterbuch, S. 315,c), Kirgis. mai. c) Das russische 14 (m7 oder m+v) geht immer in die tonlose alveolare Spirante c über. Beispiele: Æuss. ammmxr® — Sag. emcik, Osm. jauap1; Russ. uparamerr — Sag. usipikacepik oder nripkacerik, 10) Übergang der russischen HE et Consonanten. a) Russ. x — ia (im Auslaute) Beispiel: Pass. Ti MEJAIb — S4g. MbITTAÏT. b) Russ. a — Sag. à im Worte mit aura. Vokalen. Beispiele: ÆAuss. Re rss Russ. xynaua — Sag. kynammpi; Russ. a en | 47 re Bulletin de l’Académie Impériale “ie _4s - ©) Russ. pe — Sag. là (im Worte mit palatalen Vokalen). Beispiel: ÆRuss. apxiepeñ — Sag. epräläi. d) Russ. pu (pi) = Sag. ip. Beispiel: Russ. Ku- upiaur = Sag.. Rinnipjäx. =. e) Russ. ps = Sag. ip (im Auslaute). Beispiel: Russ. cyxaps — Sag. cykaip, Alé. cykaipi, f) Russ. cA—=cb+a—ic+a. Beispiel: Russ. Baca — Sag. Taiïca. g) Russ: cb — Sag. ic. Beispiele: Russ. oc — Sag. oic; Russ. yes — Sag. yic oder ÿc. 11) Übergang der Doppel-Consonanten. a) Russ. Bœ (80) geht im Inlaute immer in den potenzirt ausgesprochenen Explosiv - Consonanten n über. Beispiel: Russ. Slav. Esouwr — Sag. Eunim. b) Der russische Doppel-Consonant «m6» geht in «m» über. Beispiel: Russ. am6apr (aus dem Persi- schèn Se — Niederlage) — Sag. axmap. c) Der russische Doppel-Consonant œr» wird in * Fremdwôrtern nicht verändert, während er in nicht- entlehnten türkischen Würtern in «y» übergeht. Bei- spiel: Russ. Anrour — Sag. Anton séatt Anjau oder | AHJBIH, 12) Zur Vs der Doppelconsonanz im An- oder Auslaute treten folgende Erschei- nungen auf. a) Abfall der a Consonanten. Beïispiele: Russ. 310p080 — Sag. ropo6a; Russ. cuacn60 — Sag. na- 3B16a. Russ. [[unrpiï— Sag. Mirpai; Russ. KkBwraunia— Sag. npiTanc; ÆRuss. Xpncanor — Sag. blpsan oder Kbipsax. b) Eintreten und Vorsetzen eines Vokals. Bei- spiele: Russ. Guns — Sag. uilinä; ARuss. Gprice — * Sag. nbIPBIC oder nbipbick; Russ. Gprokba — Sag. ni- pÿknä; ÆAuss. Baaxmmipr — Sag. [pitaqimbip; Russ. BpezaB — Sag. mipär; Russ. Bcë-raku (ebenfalls) — Sag. nbiCO-Takb1; Russ. L'paropit — Sag. Kbipnôprii; Russ. _rpbxr=Sag. kipäk; Russ. xpo6e (Schrot der Jäger)— Sag. rripou; Russ. 1paub — Sag. Tipän; ÆRuss. Arek- ca1pB — Sag. Aabikcangeip oder Elikcäamip; Russ. KBaCB — Sag. kpimac; Russ. Kaasaia — Sag. Kb11a6- abija; Russ. Ko — Sag. Alt. Kÿläc, Sag. auch: Kÿlÿc; _Russ. Kua3b — Sag. Kinäc; Russ. KpecrhsnnuB — Sag. kpipeiCrbijas oder Kipäcrijän; ÆRuss. KDCTE = Sag. __ nipôc; Russ. naarb — Sag. Alt. neuar; Russ. nmcr (Plüsch)= Sag. nilic; Russ. nprammee — Sag. nvipi- kaccbik; Auss. npnKka3? — Sag. npipikac oder nripkâc; Russ. npomense — nipcän; ARuss. cebyrka — Sag. ci- Gäurä; ÆAuss. ckamba — Sag. bickambija, Kas. icrä- mijä; Russ. cxoBopoza—Sag. bicko6pa ; Russ. cuerana— Sag. cimärrän; Russ. cruaka — Sag. icniarä; Russ. cna- cn60—Sag.bicnaci6a, Jakut. 6acb16a, Sag. auch: na3p16a ; Russ. crakanr — Sag. bicrakkau; Russ. Cros — Sag. BICTOZ oder CTOI, Alf. OCTOI, YCTOH, HICTOA, YCTAI, Jakut. eryox (Bôhtlingk, Üb. d. Spr. d. Jakuten. Würterb., S. 174,b); Russ. Bropoï (der zweite) — Say. ouTopoi; Æuss. KOBIE — Sag. kambic; Russ. crap- muHa — SAÿ. bICTAPCHIH, Jakut, CTapchina; Russ. wranbt — Sag. Jakut. ticran (ebend."S. 34,a); Russ. [lerpr — Sag. Ilerrip, Osm., 5; Russ. æxara (aus dem Deutschen «Flasche») — Sag.nilärä; Russ. Xpncanor — Sag. Kpipsau; Æuss. Xpuerocr — Sag. Kbipicroc; Buss. yro6b1 = Sug. BICTO6BI oder cro6b1 (Castrén: stôby), Beispiel: bCr06br cyr axappa —um Wasser zu nehmen. Ferner: Russ. maana — Sag. cilänä oder : clännä (Al. Sag.); Russ. xoacrr — Sug. küabie, Fe XOJIYCTA. 13) Das Umstellen (Metathesis). Beinidle a) ay — ya, Àuss. ayanna — Sag. yagiua; Russ. Jyxa — Sag. Yakä. b) 8k = nk = kn, Russ. 1aBka — Sag. bé Jakna. * c)py = Sag. yp, Russ.'py6axa — Sag. yp6aka, Jakut. bip6axbI. 14) Eintreten und Vorsetzen der Consonan- ten. Beispiele: ÆRuss. npannxs — Sag. mpäAHK; Russ. chan — Sag. cânäk; Russ: ocua — Sag. nocna; Russ. noxaïyüCTa — Sa. 10341BICTBIPA. 15) Abfall von Silben. Beispiele: ÆRuss. KpecTs- AHUHE — Sag. KbipbiCTbijaH, Kipäcrijän; Æuss. npo- kon — Sag. kon (séatt npipkou oder nbipkan). 16) Vereinzelter Übergang der Consonanten. a) Der russische tonlose Explosivlaut « geht in das tonlose n über. Beispiel: ÆAuss. Monokr (Name eines Dorfes im Minussinskischen Bezirke) — Sag. Hôüanik oder Hôabmn. b) Das russische labio-labiale m geht entweder in das labio-labiale 6 oder in das sonore alveolare #4 über. Beispiele: Russ, rambinrs — Sag. kaôbic; Russ. KAPMAHR — Sag. kapôan, Kysyl. kaumap; ÆAuss. 6es- men — ag. nes6àa; Russ. Tumooeï — Sag, Tinäunäi. €) Das russ. c — pic, b18 (Séatt «c»), Beispiel: Russ. 49 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 50 cepsra = Sag. bl3bIp5a (salt Chip5a), Jakut. biTappa (Ohrring), Djag. Kas. Kirg. cbipra. d) Der russische tonlose alveolare Explosivlaut r geht in den tonlosen vordergutturalen Explosivlaut über. Beispiel: Russ. Koncranrune — Sag. Kücräkta. 17) Ausfall der Consonanten. a) 8. Russ. Slav. Esrpaær — Sag. Jaspan. b) r. Russ. or106414 (Femerstange) — Sag. 01106a, Alt. yaama. c) x. Russ. Slav. Poxaecr8o (Weiïihnachten) — Sag. Pasacna, Alt. Pasxacua, Jakut. Oxocno. d) K. Russ. Kkak+-6b1 — Sug. Ka6br. e) a. Beispiel: ÆRuss. or10614 — Sag. 01106a, Al, YJAMA. f) 4. Russ. Koucranrunr — Sag. Kücränkin. g) n. Auss. Slav. Caunconr — Camcos. h) r. Russ. Slav. Poxxecrso — Sag. Pasacna, Alf. Pa- æacna, Jakut. Oxocno, 18)Abkürzungen.Beispiele: Russ.ManorenTii— Sag. ExkäaTi; Russ. KkButTagnia — Sag. npirâne (Quit- tung); Auss. crapmnnä — Sag. vicraperiu (Dorfältester). Verzeichniss der sagaischen Namen der Flüsse, Dürfer, Städte und Stämme, welche die Unterthanen des Steppengerichts der vereinigten Stämme (an der Miündung des Askys) bilden. Von N. Katanoff. (Lu le 3 mars 1887.) À. A56an — Abakan, linker Nebenfluss des Jenissei, Russ. AGakanr. Z. B.: Apôan ka3biaa-— Am Ufer des Abakan. A56au ya3b1 — Abakansteppe. Russ. creur AGakanckan. AGa-rypa — Stadt Kusnetzk. ÆRuss. Kysneure (Tom- CKOÏ ry6epain). Agrai ChIH — . Russ. xpe6ers AurTaïñckii. Mong. Ap6ar — Flüsschen art, Abakan. Russ. Ap6arr. Ackpic oder Akcpic — Askys, linker Nebenfluss des Abakan. Russ. Ackbice. Ackpbic oder Akcbic nelripi — Dorf Askys (an der Mündung des Askys). Puss. cexo Ackbiccroe, Abix kôpar — Stadt Atschinsk. Russ. ropoxr AUHHCKE. Tome XXXII. linker Nebenfluss des E. Ec — Es, Is, linker Nebenfluss des Abakan. Auss. Ecs. Ec nelripi — Dorf Ust-Es, (wôrtl.: Mündung des Flüsschen Es). Russ. cexo Vers-Ecnacroe. J. Jeniccäi kopar — Stadt Jenisseisk. ÆAuss. Ennceïck®. TOPOLB K. Kaspip cyr — Kasyr-Sug, rechter Nebenfluss des obern Jenissei. (wôrtl. schnelles Wasser). Russ. Kasbrp CyKEB. Ka — Dorf Kolsky (im Minuss. Kreise). Russ. ne- pesua Roïkcras. Kan rerip — Kantigir, linker Nebenfluss des obern Jenissei. Russ. Ranrnrnpe (wôrtl!. Künig-Himmel). Kau küpar — Stadt Kansk. Æuss. ropoxr Kanckt. Kap5a onropoi noxo6ix (oder: rar kappasbi) — Karga- Geschlecht. 2. Hälfte (wôrtl. Berg-Karga). Russ. Jaïbnekaprnackiä poxR; Raprnackiñ poxr 2-of n0J10BAHbI.— Kappa nepôäi noxoGia (oder: cyr kap- 5a3bl) — Karga-Geschlecht 1. Hälfte (wôrt. Was- ser-Karga). Russ. Banxnerkaprunckiä poxr; Kap- CHHCKIH POLR 1-0 NOIOBHHI. Kac (oder Kau) — 1) Fluss Katscha (Æuss. Kaya), an welchem die Stadt Krasnojarsk liegt.— 2) der Ka- tschinze. Russ. Ragunens. Plur. Kacrap (oder Kam- rap— die Katschinzen. ÆRuss. Kaumamm). Herr A. Castrén theilt fälschlich mit, dass «die Ka- tschinzen sich selbst Chaschtarbs» nennen (s. seine «Reïseberichte und Briefe aus den … Jahren 1845—1849».$. 521). Dieses Wort hat Castrén nicht verstanden. Chaschtarbs — Kämrap-6me, d. k. wir sind Katschinzen. Ich denke, dass Dieses auf die Castrén’sche Frage «wer seid ihr»? oder «wie nennt ihr euch»? eine richtige Antwort war. Kac ua3pr — die Katschin- zische Steppe. uss. Kagnackasa crenr. Karrmipac — Dorf Kaptyrewo (im Minussin. me Russ. cexo Kanreipeseroe. Ko6pii, PI. Ko6rrisap — Kobyi-Geschlecht,. Russ. Ka- BunHeuB, RUBAHCKIK POLE. oi6ax — der Koïbale; ?/. Koïi6asrap — die Koïbalen. Russ. Koï6aïr; en cKkiñ poxB. Koï6ar don die Koïbalische Mc | Russ. RoïGaïbcKaa crens. 4 KRoüGaïbnpt; Koï6aas- | o1 Bulletin de l’Académie Impériale 52 Koupir Kaja — Kysyl-Geschlecht. Æuss. Knsnasckiit poaz. Wôrtl. rother (kr1b1a) Fels (kaja). Kpisbia ap — Hauptstadt Krasnojarsk (am mittleren Jenissei). Æuss. Kpacaoapcxr. Wôrtl. rothes (kp13B11) Ufer (aap). Kou, PI. Korisap — Kyi-Geschlecht. Æuss. Kiñcriñ POXE. K. Ken — Fluss Jenissei. Russ. Eanceï. M. Mayap cyr — Madyr, linker Nebenfluss des obern Abakan. ÆRuss. Maropr. Bei Castrén: Matyra. Cyr — Fluss, Wasser. Menÿccin kôpar — Stadt Minussinsk. Æuss. roporr Munycuxcre. Mpac oder Msipac cyr — Mrass, linker Nebenfluss des Tom; bei Castrén: Mrassa. Russ. phkä Mpaccz. H. Hix cyr — Nenja, rechter Nebenfluss des Uibat. Russ. Huus. Hônbu — Dorf Monok (im Minussin. Kreise). Russ. xepesaa Monorckaa oder Ménore. pe Ô. j Ok — Ok cyF oder Kamyschta, linker Nebenfluss des mittleren Abakan. Æuss. Ramsnura. IT. Hasa cyF — Basa, linker Nebenfluss des mittleren Askys. | Russ. Basa. Helrip — der Beltire; 71. Ilelripläp — die Beltiren. Russ. Bexsrupent, Bessrupri, Bexsrapupr; Beas- THPCKIÏ POXR. Hi cyr — 1) Béja, rechter Nebenfluss des obern Uibat. Russ. Bes. 2) Beja, linker Nebenfluss des mitt- leren Abakan. Æuss. Bea. — Il rypa — 1) Stadt Bijsk; 2) Dorf Beiskoje (im Minussin. Kreise). Russ. 1) ropoxs Biücks (Tomexkoÿ ry6.); 2) cexo Beïücroe. Torpacertan — Potroschilow’sche Überfahrt (28 Werst von Minussinsk). Russ. Iorpomnio8r nepesosr. Hÿpä cyr — Bjura, linker Nebenfluss des obern Uibat. Russ. Bropa. C. Capai — — der. Sagaier; Plur. Capaisap — die Sagaier. Russ. Caraewr, Caraïnpi. Capai onropoi nouo- Gin — Sagaier-Geschlecht 2. Hälfte; Capai nepôäi uo0611 —Sagaier-Geschlecht 1. Hälfte. Russ. Ca- raückiä poxB 1-où n0o10BmHb1; CaraïCKiü POLE 2-0ù no1oBuubI. — Capai 4a3b1 — die Sagaische Steppe. Buss. Caraïñcraa Creuse. Cajor oder Cojaunap — die Sojoten, Grenzbewohner der Nord-Mongolei. ÆRuss. Coïorbi. Mongolischer Sing. von Cajor ist Cojan: siche Cojax. Ca16a — 1) Salba, rechter Nebenfluss der untern Tuba. Russ. Cax6a. 2) Salba-Geschlecht. Cä — Seja, Sé, linker Nebenfluss des obern Abakan. Buss. Ces. Cojau, P/. Cojannap — 1) der Sojote, Grenzeinwohner der Nord-Mongolei (Vergl. Cajor); 2) Dorf Sa- janskoje (im Minussinskischen Kreise). ÆRuss. 1) Caïñor?; 2) xepesua Caaackas. Côp (oder Iop), PI. Coprap — Schor-Geschlecht. Russ. KRapauepckiit poxe. Côc— Dorf Judina oder Sossy (im Minussinskischen Kreise). Russ. 1epesua FOyuua, Cocpr. Cyc — Dorf Schuschenskoje (im Minussin. Kreise). Russ. cero Hiymeuckoe oder lyme. 1" Taôar — Dorf und Fluss Tabat (im Minuss. Kreise). Liuss. Ta6ars. Ta306a cyr — Tascheba, linker Nebenfluss des obern Jenissei. Æuss. Tame6a. Tajac, P/. Tajacrap — Tajas-Geschlecht, ARuss. W3y- IePCKI POXE. Tacrbin — 1) Taschtyp, linker Nebenfluss des obern Abakan. Russ. Tamrbins. 2) Dorf Taschtypskoje (im Minussin. Kreise). ARuss. cexo Tamrrbinckoe. Teucäl cyr — Tepsel, rechter Nebenfluss des obern Je- nissei. Æuss. Tencers. Tec— 1) Tes, linker Nebenfluss der untern Tuba. Russ. Tece. 2) Dorf Tessinskoje (im Minuss. Bezirke). ARuss. cexo Tecnncroe. Tom— 1) Tom-Geschlecht, P/. Tomnap. Russ. Rasa- HOBCKIÏ por. 2) Fluss Tom, Nebenfluss des mitt- leren Ob. ÆRuss. Tous. 3) Tom kôüpar — Stadt Tomsk. Auss. ropoxr Tomer. Ty6a — 1) Tuba, rechter Nebenfluss des mittleren Je- nissei. *%uss. Ty6a. 2) Tuba-Geschlecht der Kat- schinzen, P4, TyGarap. Russ. TyGnuckif pOxs. 53 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 54 Y. Vi oder Ÿ — 1) Flüsschen Ui, linker Nebenfluss des obern Jenissei. Russ. phka Vi. 2) Vi rar (oder Ÿ Tar) — UÜi-Berg am mittleren Abakan. ViGar cyr —Uibat, linker Nebenfluss des mittleren Abakan. Russ. YüGarz. ViGar aazb1 — die Uiba- tische Steppe. Auss. crens YüGarckas. Yr— 1) Flüsschen Ut, rechter Nebenfluss des mittle- ren Abakan. Zuss. Yre. 2) Dorf Uty (im Minuss. Bezirke). Russ. 1epesua Vrnncras. ÿ Ÿ oder Vi rar — Ui Berg, am mittleren Abakan (unter den Flüsschen Ok und Vi6ar, im Minuss. Bezirke). Russ. ropa Yü. ee da6ar cyr — Tschebal Sug, rechter Nebenfluss des obern Abakan (würtl. schlechtes Wasser). Russ. Tebarcyke. TarGaprsi — Dorf Tschelbarty (im Minussinsk. Kreise). Russ. erGaprer oder Bospmoï Iyrr. (Grosse Wiese). Mai (oder Tai) cyr — Flüsschen Tschai oder Dschai, linker Nebenfluss des obern Jenissei. Russ. phuxa xaï. Studien über den Sterncatalog .Positions moyennes de 3542 étoiles, déterminées à l’aide du cercle méridien de Poulkova dans les années 1840— 1869 et réduites à l'époque 1855,0“. St. Péters- bourg, 1886. Von 0, Backlund, (Lu le 14 avril 1886). Der mit dem obigen Titel versehene Catalog, _ welcher von mir und unter meiner Leitung aus den in den «Observations de Poulkova», Band VI und VII, publicirten Beobachtungen hergelcitet ist, wurde, als er noch im Manuscripte vorlag, von Herrn L. Struve benutzt, um die Constante der Präcession, die Bewe- gung des Sonnensystems und die Eigenbewegungen der Bradley’schen Sterne zu berechnen. Da aber Herr Struve, wie es scheint, bei dieser Gelegenheit über den Catalog selbst keine Untersuchungen ange- Stellt hat, so halte ich die folgenden Mittheilungen nicht für überflüssig. Die in den Bänden VI und VII der «Observations de Poulkova» gegebenen scheinbaren Oerter sind, was die Rectascensionen betrifft, durch Anschlussbeobach- tungen ermittelt; die Anschlüsse künnen jedoch nicht als vüllig streng betrachtet werden, weil sie in Zonen bestimmten Aequatorpunkte abgeleitet; sie sind also ganz unabhängig von irgend einem anderen System von Sternpositionen. Aus diesem Material sollte ein einheit- liches, mit dem Mittel aus den Pulkowaer Hauptcata- logen für 1845,0 und 1865,0 identisches System ge- schaffen werden. Um dieses Ziel zu erreichen, war eine Reïhe von weitläufigen Untersuchungen nüthig, die dadurch noch verwickelter wurden, dass an den Beob- achtungen sich fünf verschiedene Beobachter betheiligt haben, die in Bezug auf die Methoden sich mehr oder weniger bewusst von einander unterschieden. Aus die- sem Grunde erscheint eine Untersuchung a posteriori, in wiefern unser Catalog mit dem erwähnten System als identisch betrachtet werden darf, besonders geboten; ferner ist aber auch die Feststellung seiner Qualität an und für sich sowie in Bezug auf andere bekannte Sy- steme eine wissenschaftliche Anforderung, die erfüllt werden muss, wenn er überhaupt Verwendung für Auf- gaben finden soll, die eine genaue Kenntniss des anzu- wendenden Materiales verlangen. 1, Vergleichung mit dem von Herrn Romberg aus seinen Beobachtungen am Pulkowaer Meridiankreise abgeleiteten Cataloge, Ein besonders werthvolles Material zur Erledigung der Frage über die Identität unseres Cataloges mit dem Pulkowaer Hauptsystem boten die umfassenden Beob- achtungen des Herrn Romberg am Meridiankreise im Laufe der Jahre 1874— 1880. Seiner freundlichen Mitwirkung verdanke ich die Müglichkeit, dieses Ma- terial benutzen zu künnen, indem er (aus dem Manu- scripte seines Cataloges für 1875,0) alle den beiden Catalogen gemeinschaftlichen Sterne mit bekannter Eigenbewegung auszog und auf die Epoche 1855,0 reducirte. Ehe ich zur Mittheilung der Vergleichung der bei- den Cataloge gehe, wird es nothwendig sein, einige Be- merkungen über die von Herrn Romberg getrofiene Anordnung seiner Beobachtungen vorauszuschicken. : | + 55 Bulletin de l'Académie Zur Ableitung der Uhrstände und Aequatorpunkte der Kreise wurden nur Sterne, die südlich vom Zenith cul- miniren, benutzt, und zwar wurden die Sterne so gewählt, dass das Mittel ihrer Declinationen für jeden Beobachtungsabend nahezu dasselbe war. Durch eine solche Anordnung wird offenbar kein stref#er Anschluss an das adoptirte Fundamentalsystem erzielt, vielmehr wird dadurch, namentlich was die Declinationen be- trifft, eine vüllige Übereinstimmung mit dem Funda- mentalsystem nur in demjenigen Parallelkreise zu er- warten sein, welcher durch die mittlere Declination der angewandten Fundamentalsterne bestimmt wird. Dass man es hier, strenge genommen, nicht für jeden Abend mit demselben Parallelkreise zu thun hat, ist selbst- verständlich; die Abweichungen von einem mittleren sind aber so gering, dass ihr Einfluss auf das Endresultat nur den Character von zufälligen Fehlern haben wird. Das Verfabren des Herrn Romberg hat jedenfalls Res grüsseren wissenschaftlichen Werth als reine À Ï gen, besonders wenn es sich um sorgfältig und genau ausgeführte Beobachtungen handelt, denn dadurch wird bis auf eine Constante ein selbstständiges System erlangt, das also bis zu einem gewissen Grade dem angenommenen Fundamentalsy- stem zur Controle eventuell Verbesserung dienen kann, vorausgesetzt natürlicherweise, dass das Instrument hinreichend genau untersucht ist. Als Fundamentalsy- stem hat Herr Romberg das provisorische Pulkowaer System für 1865,0, welches dem Auwers’schen Funda- mentalcataloge zu Grunde liegt, angewandt. Bei den nun folgenden Vergleichungen wollen wir uns der Kürze halber einiger Bezeichnungen bedienen, nämlich: P, — Der Catalog der Pulkowaer Haupt- DRCPINS ŒE nc ed dus ue 1845,0 Pi — Der Catalog der Pulkowaer Haupt- SIOEDS I Sen nue 2e 1865,0 (P.) = : Der provisorische Catalog der Pul- | = kowaer Hauptsterne für. . . ... 1865,0 P,, — Das Mittel aus P, und P, geltend NN IR is me une 1855,0 IH — Positions moyennes . 1855,0 R — Romberg’s Catalog für . ...... 1875,0. Die nb von EI mit R ergab folgende Dif- | wurde Aa — + Impériale 56 Mittlere Differenzen. ts: à Aa #* AG #% #8197 —0:24 0:05 13 —071 0,12 1} +-77,5 —0,20 0,06 27 —0,60 0,07 29 +72,4 —0,16 0,03 23 —0,76 +0,07 25 +-67,2 —0,09 0,01 31 —0,62 +0,06 31 +-62,0 —0,11 #0,02 23 —0,31 +0,06 24 +-57,9 —0,015-<0,009 49 —0,12 0,06 49 +-52,4 —0,003-#0,012 30 —0,11 0,08 29 +-48,1 —0,008#0,010 39 —0,38 0,05 39 +-42,5 —0,015—#0,010 38 +0,10 0,07 37 +37,8 +0,030#0,007 41 +0,56 0,08 41 32,4 —0,024#+0,008 40 +0,43 +0,06 39 +27,0 —0,014#0,006 48 +-0,31 +0,07 46 +22,7 —0,0322#0,006 61 +0,03 +0,06 64 +-17,3 —0,042-<0,006 44 0,00 +0,08 41 +12,2 —0,059#0,009 29 —0,05 0,05 30 + 7,3 —0,054#0,011 32 +0,31 +0,10 30 + 2,7 —0,0302#0,011 30 —<+0,06 +0,10 29 — 1,7 —0,072-#H0,013 14 —0,54 +0,12 14 — 7,1 —0,044-H0,008 18 —0,30 0,10 19 —12,4 —0,047-H0,011 11 —0,58 0,12 13 Die w. Fehler der Differenzen Aux und A sind 'an- gesetzt, um über die Zuverlässigkeit der anzuführenden Ausgleichung leichter urtheiïlen zu künnen. Ein Blick auf die Aa genügt, um sofort die Überzeugung zu ge- winnen, dass sie nürdlich und südlich vom Zenith ge- trennt ausgeglichen werden müssen, dass also das Ze- nith als ein Unstetigkeitspunkt der ausgleichenden Curve zu betrachten ist. Demgemäss wurden auch bei der Ausgleichung die Aa als zwei verschiedene durch das Zenith getrennte Systeme behandelt ). Die Ablesung der ausgleichenden Curven gab fol- gende Zahlen: Ausgeglichene Differenzen. II — XX. ô Aa ô 4 80° 0219 — 064 + 75 — 0,11 — 0,68 T0 008 (21066 1) Bei dem Zeichnen der Curve für die Aa sûüdlich vom Zenith 0:030, entsprechend à — + 37,8, unberücksichtigt ge- lassen, weil in dieser Differenz kein hinreichender Grund zu liegen schien, um von dem môglichst einfachen Zug abzuweichen. Die erste Annäherung erwies sich als vôllig ausreichend, indem die zweite Annäherung die angeführten Zahlen nicht merkbar änderte 57 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 58 — 10 — 15 Aa — 0:10 — 0,12 — 0,010 — 0,010 — 0,010 — 0,010 — 0,012 — 0,019 — 0,028 — 0,038 —— 0,044 — 0,046 — 0,043 — 0,041 — 0,040 — 0,040 — 0,040 AS — 0:49 — 0,20 — 0,10 — 0,26 — 0,15 + 0,50 + 0,48 +- 0,356 + 0,18 + 0,01 — 0,02 + 0,07 + 0,19 — 0,30 — 0,42 — 0,40 — 0,65 Herr Romberg hat selbst die von ihm beobachteten Pulkowaer Hauptsterne mit (P,) verglichen. Das Re- sultat dieser Vergleichung ist das folgende: Mittlere Differenzen. (P)— R ô Aa AS + 7456 HOIE ce 0577 + 72,3 — 0,07 — 0,65 +- 67,1 — 0,10 — 0,46 + 61,9 — 0,13 — 0,35 + 57,4 —+- 0,020 0,00 +- 52,3 + 0,018 — 0,29 + 47,5 + 0,015 — 0,22 + 42,4 +- 0,009 + 0,07 + 38,1 + 0,013 + 0,51 + 32,9 + 0,025 + 0,52 + 28,0 -+ 0,012 + 0,24 +- 22,8 + 0,006 + 0,053 +- 17,3 — 0,005 — 0,09 + 12,7 — 0,014 — 0,17 + 7,7 — 0,017 + 0,17 + 5,0 — 0,022 + 0,23 99 — 0,024 — 0,80 — 8,0 — 0,022 — 0,34 — 15,1 + 0,001 — 0,76 — 16,5 — 0,015 — 0,64 Die von Herrn Romberg ausgeführte Ausgleichung lautet: Ausgeglichene Differenzen. ô Au A + 80° — 020 — 0,77 + 75 — 0,11 — 0,68 + 70 — 0,08 — 0,56 +- 65 — 0,11 — 0,43 + 60 — 0,13 — 0,19 + 55 + 0,018 —0,11 + 50 + 0,018 —0,27 + 45 + 0,016 —0,09 + 40 + 0,016 +0,33 +4- 35 + 0,014 +0,53 + 30 + 0,015 +0,40 + 25 + 0,008 +0,15 +- 20 — 0,001 — 0,06 + 15 — 0,011 —0,17 + 10 — 0,016 +0,03 + D — 0,019 +0,22 0 — 0,024 —0,43 — 5 — 0,022 —0,56 — 10 — 0,012 —0,48 — 15 — 0,007 —0,71 Ich bemerke hier nun vor allen Dingen, dass die Differenzen (P,)—R ausschliesslich auf den Pulkowaer Haaptsternen beruhen, während zur Bildung der Dif- ferenzen 112 diese Sterne nicht mit hinzugezogen worden sind, Die Añzahl der verglichenen Sterne ist also bei T1— À nahezu doppelt so gross, als bei (P,)—2. Während aber die dem Cataloge II wie die dem Ca- taloge À angehürenden Sterne durchschnittlich nur 4 Mal beobachtet sind, ist jeder der Pulkowaer Haupt- sterne von Herrn Romberg durchsehnittlich 23 Mal beobachtet worden. | Wäre nun (?.) mit ?,, identisch, so würden die an- geführten Differenzen sofort einen Aufschluss über die Beziehung zwischen II und P,, geben. Da dies aber nicht der Fall ist, so kônnen die Differenzen I—R und (?P,)—R nicht ohne weiteres mit einander ver- glichen werden. Um die beiden angeführten Reductionstafeln mit : . : einander vergleichbar zu machen, wollen wir die be- kannten Relationen einerseits zwischen P, und P, und” . 59 Bulletin de l’Académie Impériale 60 anderseits zwischen P, und (P,) benutzen. Diese sind durch die folgenden Tafeln gegeben: Er l, Fe) ô Aa Aë Aœ A8 80° —05158 +026 —0087 —0,19 +13 0,142 0,29 22 081 0,21 +70. 0,120 0,32 0,070 - 50,25 4-65 —0,082 —-0,32 0,070 : —0,28 +00 008 009 20,066. : 0,27 +55 —0,055 —0,22 0,062 —0,22 +50 —0,055 —0,07 —0,057 —0,15 +45 —0,056 +0,11 —0,054 —0,06 +40 —0,057 +0,25 —_0,050 +0,03 +55: -0056 +0,39 0047: - +0,08 +80 —0,054 +0,15 —0,044 —+-0,05 1625 20.048 +0,11 —0,041 +0,02 +20 —0,043 +0,21 —0,040 —+-0,02 +15 —0,040 +0,27 —0,038 —+-0,03 +10 —0,038 +0,20 —_0,038 +0,05 + 5 0038 -H014 0 129. +007 0 —0,040 +0,16 0,040 +0,11 — 5 —0,043 +0,24 —0,042 +0,16 2-10 20,048: +0,30 0,044 +0,22 #15 0,060 +0,27 : (--0:045) (0,28) Die Werthe der Tafel P.—P, sind der Einleitung zu dem VIIL Bande der «Observations de Poulkova» entlehnt. Es ist P=P,+i(P,; Pr) Soil nun 11 mit P, identisch sein, so muss auch P,=11+;(?7,—P,) und also P—R=—=1N—R+;(P,—P,) sein. Berücksichtigen wir ausserdem die Identität P,—R=(?, tr US so ist ersichtlich, dass wir aus den angeführten Ta- . feln P—R in zweïerlei Weiïise erhalten künnen. Ein- mal dadurch, dass wir zu den Zahlen der Tafel 11—-X _ die entsprechenden Zahlen von P,—P, addiren, nach- … dem sie mit 2 dividirt sind; und sodann aus der Tafel (P,)—R durch Addition der entsprechenden Zahlen der Tafel P.—(P). Wenn also die auf diesen beiden | Wegen erhaltenen Tafeln für P,—2 identisch sind, so | muss auch II mit P,, identisch sein. Es folgt nun das Resultat dieser Rechnung: : I—R+;(P—E,) (P,)—R+P,—(P,) = P —k = P —R ô Aa AS Aa TE) 280% ::220:27 —0,77 —0:29 : —0,96 +75 —0,18 —0,83 —0,19 —0,89 +70 —0,14 —0,84 — 0,16 —0,81 +65 —0,14 —0,65 —0,15 —0,71 +60 —0,15 —0,35 —0,16 —0,46 +55 —0,038 —0,21 —0,044 —0,33 +50 —0,038 —0,50 — 0,039 —0,42 +45 —0,038 —0,10 —0,038 —0,15 +40 —0,038 +0,42 —0,039 +0,36 +35 —0,040 +0,64 — 0,035 +0,61 +30 —0,046 +0,43 —0,029 +0,45 +25 —0,052 +0,23 — 0,033 +0,17 +20 —0,059 +0,11 —0,041 —0,04 +15 —0,064 +0,11 —0,049 —0,14 +10 —0,065 +0,17 —0,054 +0,08 + 5 —0,062 +0,26 — 0,059 +-0,29 O —-0,061 —0,22 —0,064 —0,32 — 5 —-0,062 —0,30 —0,064 —0,42 —10 —-0,064 —0,25 — 0,056 —0,26 —15 —0,070 —0,49 — 0,052 —0,43 In & ist die Übereinstimmung, mit Ausnahme der Zone + 30° bis + 5°, eine vollständige zu nennen; die in dieser Zone stattfindende Abweichung ist aber eine so geringfügige, dass man sie keineswegs als reel anzusehen braucht. Die Ausgleichung, da sie durch Curvenziehen stattfindet, ist immerhin einer gewissen Willkür unterworfen, deren Grenzen von den wahr- scheinlichen Fehlern der auszugleichenden Zahlen an- gegeben werden; bedenkt man nun, dass jedes der ne- ben einander gestellten Resultate die Summe zweier ausgeglichenen Reïhen ist, so dürfte man kaum be- rechtigt sein, eine grôüssere Übereinstimmung zu er- warten. Die Übereinstimmung der A3 kann man nach dieser Bemerkung ebenfalls als befriedigend betrachten; man darf deshalb den Schluss ziehen, dass zwischen II und P,, weder ein constanter, noch ein mit den Decli- nationen veränderlicher Unterschied vorhanden ist. Es erübrigt nun zu untersuchen, ob ein von der Rectascen- sion abhängiger Unterschied sich zeigt. Nach Berücksichtigang der vorstehenden Reduc- des Sciences de Saint-Pétersbourg. tionstafel für 11— À, ergaben die übrigbleibenden Differenzen, zu Mitteln von Stunde zu Stunde ver- einigt, die folgenden Zahlen: se œ Âœ LE AÔ LE 05 —0:003 32 019 54 1,5 —0,002 30 —0,09 30 2,5 —0,019 33 =10,25.:33 3,5 <+0,011 24 —0,07 24 Abe. -0-00% 17 +0,10 . 21 5,5 0,001 27 +0,31 26 6,5 <+0,016 26 +0,09 27 1,5 0,021: 95 009 27 8,5 <+0,010 29 +0,11 29 9,5 —0,003 25 +0,12 925 10,5 <+0,010 26 +-0,28 26 11,5" -L0,082 ” 14 +0,15 15 125 +0,029 28 EOES 82 13,5 <+0,022 22 4-0,10 22 14,5 <+0,019 21 Loch "91 15,5 0,000 22 20.28.00 16,5 —+-0,010 23 +001 22 17,5 —+0,031 23 +0,15: 24 18,5 “<+0,034 25 D tt 41 19,5 —+0,049 30 0,02 31 20,5 <+0,009 39 —0,26 39 Dia 0,018 23 —0,05 24 295 0,046: 26 0,00 27 23.5 --0:032 33 +0,14 33 Bei dem Zeichnen der Curve für die Aa wurden die Werthe dieser Grôüsse bis 12° vernachlässigt und nur die späteren von dieser Stunde an berücksichtigt. Nachdem diese Zahlen ausgeglichen waren, ermit- telte ich, wie oben, P—2À und dann mit Hülfe der von Herrn Romberg abgeleiteten Reductionstafel für (P)—R die (P2J—R+P—(#)—=7#7,-—R. Es konnte dabei P,— P,=P, — (EP) angenommen und daher die Reductionstafel in Au- wers’s Fundamental-Catalog nach Umkehrung der Zeichen benutzt werden, nämlich: P, es (2) 3 œ Aa AG 0° —0:013 0716 1 —0,015 —0,10 2 —0,012 +-0,05 3 — 0,006 +0,10 4 0,000 +0,10 Au +-0:006 +-0,010 +-0,013 +0,013 +0,010 + 0,005 +-0,001 —0,003 —0,006 —0,008 — 0,008 —0,007 — 0,003 +-0,001 +-0,004 +0,003 0,000 — 0,005 — 0,010 —0,013 Ich erhielt in der Weise: H—R+1(P, —P.) P & © D I OS Ot à © D mm ©R ee creme nat se Amen DES MD à +-0/02 —0,09 —0,01 (P)—R+P,—(P) = ?P —R l HD M —0011 —0,10 —0,024 —0,02 — 0,014 +0,05 0,000 0,00 0,010 —+-0,02 +0,014 +-0,08 +-0,018 +-0,08 0,019 +0,02 +-0,015 0,00 +-0,007 +0,12 —0,002 +-0,23 — 0,006 +0,29 — 0,001 +0,32 +-0,001 +0,19 —0,003 0,00 —0,003 —-0,08 40,001 —0,04 +0,006 —0,01 +0,003 —0,08 0,000 —0,13 — 0,012 —0,01 —0,012 0,00 — 0,005 —0,10 —0,008 —0,18 — 0,011 63 Bulletin de l’Académie Impériale 64 Die Reductionstafeln I1— À und (?,)— R führe ich, um Raum zu sparen, nicht an. Sie ergeben sich übrigens sehr leicht mit Hülfe der Tafel ?, —(?,) aus den eben angeführten. Auch hier ist die Übereinstimmung befriedigend, wenigstens bis auf die A« für die Stunden 13"—20/; in diesem Intervalle scheinen freilich die Unterschiede der beiden Reïhen zu bestimmt hervorzutreten, um ihnen jede Bedeutung abzusprechen, auch wenn man berücksichtigt, dass sie aus einer Reiïhe von Opera- tionen resultiren, deren jede für sich unvermeidliche Fehler einschliesst. Wenn man nun annimmt, dass ?, und À für 12*—20” identisch sind, wie es in der That nach der zweiten Reïhe erscheint, so würden an II folgende Correctionen anzubringen sein, um mit ?, identisch zu werden: Corr. zu II. 19° — 0006 13 —0,012 14 —0,015 15 —0,001 16 0,004 17 0,015 18 0,027 19 0,030 20 —0,011 Vorläufig lege ich jedoch auf diese Correctionen kein Gewicht, sondern werde später diese Frage be- rühren. Es mag aber hier hervorgehoben werden, dass der ersten Reiïhe nur Vergleichungen solcher Sterne zu Grunde liegen, welche im Allgemeinen schwächer sind, als die Hauptsterne, aus deren Ver- gleichungen die zweïte Reïhe abgeleitet ist; es Wäre daher nicht undenkbar, dass der Unterschied von Romberg’s Catalog herrührte, was jedoch unwahr- scheinlicher ist, | enn man nun auch die angeführte kleine Correc- tionstafel als begründet annimmt, so muss dennoch das Resultat der Vergleichung mit Romberg’s Ca- _talog als im Wesentlichen befriedigend betrachtet werden, indem aus derselben hervorgeht, dass IT so nahe mit P, übereinstimmt, als man billigerweise erwarten kann, wenn man bedenkt, wie heterogen das im Bande VI und VII gegebene Material ist. Dies vor- _ausgesetzt, ergiebt sich aus unserer Untersuchung eine __ ganz besonders hervorragende Eigenschaft des Rom- berg’schen Cataloges, nämlich dass die von ihm beob- achteten Hauptsterne mit den anderen Sternen seines Cataloges ein vollständig einheitliches System bilden, denn sonst wäre die im Vorhergehenden erlangte Übereinstimmung zwischen den Reductionstafeln P —R nicht müglich gewesen, wenn man nicht gewisse Voraus- setzungen machen will, die wenig Wahrscheinlichkeit für sich haben. Es kann daher nur dringend gewünscht werden, dass dieser werthvolle Catalog môglichst bald herausgegeben wird, damit er der Wissenschaft den môglichst grossen Nutzen leiste. Es müge hier beiläufig, mit einigen Worten, das Verhältniss des Meridiankreises zum Verticalkreis den auf die Collimatoren bezogenen Beobachtungen von Sabler, Dôllen, Winnecke und Gromadski gebildetes mittleres System M verhält sich zu P,,, wie in der folgenden-Tafel P, — M angegeben wird; die Bedeutung der übrigen Columnen ist ohne weiteres verständlich. der Pulkowaer Sternwarte erwähnt werden. Ein aus À ap pe ONE Sn 2 M—R ô AS aë Aë +-80° —0;28 —0°64 —0;36 +75 —0,14 —0,69 — 0,55 +70 —0,03 —0,68 —0,65 65 +-0,05 —0,49 —0,54 +60 +-0,14 —0,20 — 0,34 +55 +-0,21 —0,11 —0,32 +50 +0,32 —0,26 — 0,58 +45 +0,51 —0,15 —0,66 +40 +0,65 +-0,30 —0,35 +35 +0,78 +0,48 — 0,30 +30 +0,68 +0,36 —0,32 +25 +0,31 +0,18 —(0,13 +-20 +0,43 +0,01 —0,42 +15 +0,60 —0,02 —0,58 +10 +0,57 +0,07 — 0,50 + D +0,44 +0,18 —0,26 0 +-0,01 —0,30 —0,29 — 5 —0,22 —0,42 —0,20 —10 —0,21 —0,40 —0,19 —15 —0,22 —0,50 —0,28 Dass M—R so gross ist, im Mittel — 0%, ist allerdings auffallend, wenn man bedenkt, dass die Beobachtungen mit demselben Instrument ausge- führt sind; es lässt sich aber zum Theil daraus erklären, dass Sabler, Düllen, Winnecke und 65 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Gromadski den Aequatorpunkt mit Hülfe von Colli- matoren bestimmten, Romberg aber denselben mit Hülfe der Hauptsterne ‘abgeleitet hat. Ausserdem sind die Combinationen der Lagen des Instrumentes etwas verschieden gewesen, Die Herren Sabler, Dôül- len, Winnecke und Gromadski beobachteten in 4 Lagen des Instrumentes — dabei wird der Umtausch von Objectiv und Ocular als ein Wechsel der Lage aufgefasst — und hatten dabei immer die Mikroscope am ôstlichen Pfeiler befestigt, während Herr Romberg nur in zwei Lagen beobachtete und die Mikroscope am westlichen Pfeiler ablas. Durch diesen Umstand sind allerdings für die beiden Reïhen verschiedene Theiïle der beiden Kreise zur Anwendung gekommen; nichts destoweniger ist diese Anordnung jedenfalls un- zweckmässig, weil die systematischen Fehler der Kreiïse nur zu geringem Theile eliminirt werden. Die Kreise sind nämlich so gestellt, dass bei der ersten Reïhe im- mer dieselben Striche der beiden Kreise zur Anwen- dung kommen, und zwar in allen 4 Lagen, wenn ein und derselbe Punkt des Himmels beobachtet wird. Da nun die beiden Kreise nahezu dieselben systema- tischen Fehler haben, so ist ersichtlich, dass die Thei- lungsfehler systematischen Characters in dieser Weise pur in ganz geringem Betrage eliminirt werden. Von den beiden Lagen, in welchen Herr Romberg beob- achtet hat, lässt sich genau dasselbe sagen. Durch Anwendung der Mikroscope am westlichen Pfeiler sind bei seinen Beobachtungen zwar andere Theile der Kreise zur Geltung gekommen, als bei der ersten Reiïhe; die systematischen Theilungsfehler wiederholen sich hier aber beinahe in derselben Weiïse, was auch die beiden Columnen P,— M und P,—R deutlich zu erkennen geben, denn diese zeigen bis auf eine Con- stante nahezu denselben Gang. Die Theïlungsfehler der Kreise sind allerdings zweimal untersucht worden, einmal in Intervallen von 7,5 und dann in Intervallen von 10°. Die durch die vorstehenden Tafeln angege- benen Abweichungen von dem gut untersuchten Ver- ticalkreise stellen aber als dringendes Desideratum eine noch genauere Untersuchung der Kreise hin, es sei denn, dass man durch zweckmässige Drehungen der Kreise die systematischen Theilungsfehler müg- lichst vollständig zu eliminiren sucht. Die Vergleichung von Il mit X bietet die Môglich- keit dar, sich ein Urtheil über die Genauigkeit der Po- Tome XXXII sitionen von [1 zu bilden, vorausgesetzt, dass man die Genauigkeit der Positionen von À kennt. Für die Rectascension erhielt ich als w. F. einer Differenz die folgenden Zahlen : w. F. einer Diff, + 82° + 05166 75 — 80 + 0,139 10-273 + 0,079 60 — 70 + 0,072 30 — 60 + 0,057 HS 20 + 0,046 Nur für die Sterne südlich vom Zenith habe ich von Herrn Romberg Angaben erhalten, welche vermu- then lassen, dass der w. Fehler einer Rectascension sei- nes Cataloges ungefähr =+ 05030 ist und zwar nahezu gleich vom Zenith bis — 15°. Hiernach ergiebt sich der w. Fehler einer Rectascension des Cataloges I zu ô w. F.e. Æ 30°— 60° + 0048 — 15 — 30 # 0,034 Für die Declinationen fand sich 0) w, F. e, Diff. 60 55° + 0,36 30 — 60 + 0,43 0 — 30 + 0,48 — 15 — 0 + 0,44 Als w. Fehler einer Declination bei Romberg wurde + 0,25 angenommen. Demnach findet man für 11 ô w. F. e. Decl. 60 -— 85” + 0,26 30 — 60 0,96 0 — 30 + 0,41 — 15 — 0 Æ,0,36 Die in dieser Weise erhaltenen w. Fehler sind nur als provisorische zu betrachten, indem die Annahmen über die Genauigkeit der Positionen R nicht auf end- gültigen Untersuchungen basirt sind. 2, Vergleichung mit Herrn Becker’'s Catalog, Der schüne Catalog: «Resultate aus Beobachtungen von 521 Bradley’schen Sternen am grossen Berliner 2 Meridiankreis» von E. Becker, ist durch die Art und Weise, wie die Beobachtungen angestellt sind, . als ein genauer Anschluss an (P,) zu betrachten ?). Die be 2) Ich nehme dabei an, dass (P,) und Auwers’s Fundamental- or rt - catalog identisch 5 Bulletin de l’Académie impériale Vergleichung von [1 mit diesem Cataloge musste also eine werthvolle Controle der vorhergehenden Resul- tate gewähren. 405 Sterne sind den beiden Catalogen gemeinschaftlich; die Vergleichung der Positionen derselben gab die folgenden, nach den Declinationen ns mittleren Unterschiede: Re è . Aa A) + 48259 —0;043 0047 ji 0,25 F0/08 11 76,9 —0,069 40,032 14 +0,01 +0,10 14 72,3 0.094 50,018 16 —0,16 +0,07 16] +67,2 0,065 0,024 8 0,40 +0,13 8 +-62,5 —0,067 0,016 19 +0,21 +0,11 19 +57,4 —0,072 #+0,008 65 +0,09 +0,05 65 452,8. 0,026 50,011 27 --0,10 0,07 97 #-47,7: 0,078 #0,011 25 —0,09 0,07 25 442,8 —0,032 0,009 20 —0,02 +0,09 20 438,5 +0,002 +0,015 17 +0,21 +0,13 17 482,4 0,023 0,011 14 —0,01 +0,17 14 +26,9 0,000 +0,011 14 +0,20 +0,09 14 +-22,7 —0,044+0,009 23 +0,65 +0,10 23 17,0 —0,044 #+0,015 18 +0,12 +0,08 18 +-12,8 —0,039 #0,009 19 —0,03 +0,10 18 + 7,0 —0,021 #+0,013 16 —-0,07 +0,10 16 + 2,0 —0,0146=20,012..16 +0,12 #+0.11. 16 — 2,2 —0,009 +0,007 28 +0,03 0,08 ,28 — 7,8 —0,026 0,011 18 +0,06 0,04 18 12,6 0,030 0,011 17 +0,07 +0,13 18 Mit Hülfe einer angenäherten Ausgleichung dieser mittleren Aa und AS wurden von den einzelnen Ax und _ A die von der ausgleichenden Curve abgelesenen Aux und AS abgezogen, und die so erhaltenen Aa und AS in Gruppen von 3 zu 3 Stunden zusammengezogen. Diese Gruppen sind in der folgenden Tafel zusam- mengestellt : II — Becker. a AV #** AS ie LT - OUIÉ 07 0,00 67 48 “1010: 66 0,00 66 7,3. —0,013 72 —0,01 72 10,5: +0,01 28 :+09! 28 13,4 <+0,053 27 +0,19 27 16,7: 0,025 38 —0,12 58 04 .-#0.030: 62. 2002 61 228-::4+0,007 45: +0,02 : 46 Aus diesen beiden Zusammenstellungen wurden die | folgenden Reductionstafeln ermittelt, von denen die _ für die Declinationen auf zwei Annäherungen beruht: Au ? —0;06 —0,06 —0,07 —0,07 70 07 —0,07 —0,060 — 0,048 —_0,022 —0,006 —0,002 —0,006 — 0,024 — 0,042 —0,046 —0,046 —0,042 —0,034 — 0,026 0,022 __0,022 [1 — Becker. D Aô +-0710 +0,10 "0,08 — 0,24 —0,16 +0,10 — 0,06 —0,11 — 0,07 +0,01 +0,14 +0,27 +0,38 +0,37 +0,12 +-0,02 —0,02 +-0,02 +0,05 +0,08 +0,05 LDODIUIOGURCX Dm O©Q8e Aus den Reductionstafeln für ?,—P, und ?,—(?,) ergiebt sich Aa —0:08 —0,07 —_0,06 —_0,04 —0,03 —0,027 —0,027 — 0,028 —_ 0,029 — 0,027 — 0,025 —0,022 —0,022 —0,020 —_0,019 —0,019 —0,020 —0,021 Pur Aô œ — 0706 —0,07 —0,09 — 0,12 —0,13 —0,11 —0,12 —0,11 —0,10 — 0,08 —0,03 —0,04 —0,08 | 12 —0,11 —0,05 0,00 +0,03 +-0,04 | 1 n\h 0 1 2 3 + D 6 7 8 9 10 Aa —0;006 —0,008 —0,006 — 0,003 0,000 +-0,003 0,005 +-0,006 —+-0,006 —+0,005 + 0,003 +-0,001 — 0,002 — 0,003 — 0,004 — 0,004 —0,003 —0,001 69 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 70 8 Aa AS | « Au A8 10° —0:026 -+-0/07 | 184 0001 —0/05 —_15 (—0,030) (—0,13) 19 +0,002 —0,0 20 +0,002 0,0 21 0,000 -+-0,03 22 0,002 +0,03 25 — 0,005 —0,05 24 0,006 —0,08 Da nun (?,) dem Auwers’schen Fundamental-Cata- loge zu Grunde liegt und Becker’s Catalog diesem angeschlossen ist, so müsste, wenn der Anschluss ein voliständiger wäre, Becker’s Catalog sehr nahe mit (P,) übereinstimmen. Da ausserdem II mit P,, identisch sein soll, so müssten die beiden Reductionstafeln II — Becker und P,—(P,) übereinstimmen. Dies findet aber nicht statt, wenigstens nicht in genügender Weise. Um dies leichter zu übersehen, ziehen wir die zweite Reductionstafel von der ersten ab. Das Resultat kôn- nen wir dann als Reductionstafel für Becker’s Catalog, mit P,, statt (7,) als Fundamentalsystem, auf IT be- trachten. ‘Da in dieser Weiïise eine Anderung mit Becker’s Catalog vorgenommen ist, so wollen wir dies mit der Bezeichnung (Becker) andeuten. I — (Becker). ù Au AÔ œ œ A +80° +002 +0,26! O0 “<+-0:002 +0,08 +75 0,00 +0,17! 1 —-0,001 +-0,05 4-70 —0,01 <+0,03| 2 —-0,006. —0,03 +65 —-0,03 —0,12} 3 —0,011 —0,05 +60 —0,04 —0,03| 4 —0,014 —0,05 +55 —0,033 —<+0,18| 5 —0,016 —0,03 4-50 —0,021 +0,23] 6 —-0,017 —0,01 +45 +0,006 +0,17, 7 —0,016 0,00 +-40 +0,023 +0,09! 8 —0,010 —0,02 +35 +0,027 +0,17! 9 —0,003 —0,08 +30 +0,021 “+0,31110 <+0,015 —0,03 +25 <+0,001 +0,42 | 11 +0,025 —+-0,02 +20 —0,020 +0,45112 <+0,034 —+-0,05 +15 —-0,026 +0,17|113 +0,039 +0,09 +10 —0,027 +0,07 |14 -+-0,033 +-0,04 + 5 —0.023 —0,0215 <+0,015 +0,05 O 0,014 —0,01 16 —0,005 0,00 — 5 —-0,005 +0,01|17 —0,009 —0,02 —10 +0,004 +0,01 !|18 0,000 0,00 —15 (0,006) (+0,18) 19 —+-0,015 0,0 | 20 +-0,022 0,00 21 +0,018 —0,05 22 <+0,010 —0,03 23 +0,005 +0,05 24 +0,002 +0,08 Da sowohl TT wie (Becker) mit P,, übereinstimmen sollten, so müsste diese Reductionstafel eigentlich verschwinden. Mit den AS nach den Rectascensionen geordnet wird dies auch wohl der Fall sein; dagegen bedürfen die 2., 3., und 5. Columne einer näheren Betrachtung. Was zunächst die Ax und AG, nach den Decli- nationen geordnet, betrifft, so scheint es wohl nach der Untersuchung in dem ersten Paragraphen wahr- scheinlich, dass die hier auftretenden Zahlen wesent- lich eine Reduction bedeuten, um Becker auf II zu beziehen, d.h. mit anderen Worten, dass Herrn Becker’s Catalog nicht vüllig identisch mit (P,) ist. Bei den Aa sind die Minuszeichen bei den AS die Pluszeichen vor- herrschend; demnach sind also die Rectascensionen in Becker’s Catalog etwas grôsser als die Rectascen- sion in (2,), dagegen die Declinationen kleiner, na- mentlich in der Zone 15°— 30°. In der Einleitung zu seinem Cataloge (pag. 29) giebt Herr Becker eine Vergleichung mit dem Fun- damental-Cataloge von Auwers. Diese Vergleichung habe ich, wie die folgende kleine Tabelle angiebt, geordnet: Auvwers F. C.— Becker. è Âa a ++ 60.80.0014 -1-085 6 40 — 60 — 0,006 +0,16 13 20 — 40 —0,006 +0,15 12 D SD DOI i0rd 10 te 2 0 DE 4010 3 Obgleich die Ax und A3 klein sind, so scheinen doch die Zeichen ziemlich sicher angedeutet zu sein und zwar in dem Sinne, dass die Rectascensionen in Herrn Becker’s Catalog, durchschnittlich kleiner, die Deeli- nationen aber grüsser ausfallen als in (P.), wenn wir annehmen, dass (?,) mit dem Fundamental- Cataloge übereinstimmt. Auf meine Bitte hatte Herr Romberg die Güte die Declinationen von 76 Sternen, die in seinem und Herrn Becker’s Cataloge gemeinschaftlich vorkom- o | men, zu vergleichen. Die Vergleichung gab: Becker —R. ô aë x 60°— 80° == 61 14 10 260 +029: 56 Bulletin de l’Académie Impériale 72 71 ô aë _ 20°-— 40° + 0,24 12 02920 = 0,20 12 St 0 — 0,78 4 Hieraus bildete ich mit Hülfe der Reductionstafel (P,) — R und unter Berücksichtigung der den ein- zelnen AS entsprechenden Declinationen folgende Zahlen für (P,)— Becker ab: (P,) — Becker. à à 0) + 0,27 14 60°— 80° 1060. FO17,. 96 AD 40 +OI6 19 0907 +094 12 RE VDS M UD? > 4 Die Täfelchen F. C.— Becker und (7,)— Becker bestätigen sowohl einander wie die Vermuthung, dass die Declinationen im Catalog Becker nôrdlich vom Aequator zu klein sind. Wegen der geringen Anzahl Sterne künnen sie selbstverständlich nicht als die wirk- lichen Unterschiede der erwähnten Systeme betrachtet werden. Der stark ausgeprägte Gang der Aa in der dritten Columne der Tafel 11 — Becker verschwindet nicht durch Berücksichtigung der kleinen Correctionstafel für 11; wir haben somit keine Controle für die Rich- | tigkeit dieser Tafel gewonnen. Vielleicht trägt dazu auch der Umstand bei, dass die mittleren Differenzen I1— Becker in Intervallen von 3 Stunden ausge- glichen sind, wodurch müglicherweise der Character der ausgleichenden Curve etwas geändert worden ist. Durch Vergleichung der Differenzen mit ihren Mit- teln in den einzelnen Zonen erhielt ich als wahr- scheinlichen Fehler einer Differenz 11— Becker: für ein Az: +0:038 (im Aequator) und für ein A3: +0,36. Nehmen wir für Becker den w. Fehler einer Æ zu + 05015 und einer Decl. zu +0,13 an (Becker, p. 29), s0 findet sich für I der w. Fehler einer Æ — + 0:034 und einer Decl. — + 0/34; Resultate, die | mit den vorhergehenden gut übereinstimmen. 4, Vergleichung mit Respighis Catalog, . Der vollständige Titel des Cataloges lautet: Cata- logo delle declinazioni medie pel 1875,0 di 1463 stelle comprese fra i paralleli 20° e 64° nord com- __ pilato sulle observazioni fatte al circolo meridiono del R. Observatorio del Campidoglio negli anni 1875, 1876 e 1877 dal prof. Lorenzo Respigbhi. Roma1880. Die zahlreichen Beobachtungen, durchschnittlich mehr als zehn directe und zehn reflectirte für jeden Stern, ausgenommen die Zenithalsterne, die nicht reflectirt beobachtet werden konnten, und die vor- zügliche Übereinstimmung der nach den beiden Me- thoden abgeleiteten Declinationen liessen vermuthen, dass die Vergleichung dieses Cataloges mit IT nicht werthlos wäre. Die aus der Vergleichung hervorgegangenen Diffe- renzen wurden nach der Declination von 5° zu 5° zu Mitteln vereinigt und die wahrscheinlichen Fehler je- des Mittels berechnet. Es fand sich in der Weise: Il — Respighi. ci) Aù g +-6176 +010 +008 32 +57,3 +0,02 +0,05 85 +-59,3 — 0,18 +0,07 50 #47, +0,19 +0,05 78 + 49,3 +0,11 +0,06 79 37,6 +0,28 0,06 98 32,5 +-0,35 +0,06 80 +-27,3 +-0,25 +0,05 118 +-22,8 +0,19 “+0,04 126 Der im Zusammenhang hiermit berechnete w. Fehler einer Differenz 11—-Respighi ergab sich zu +0,50. Durch Ausgleichung dieser Differenzen wurde die folgende Reductions-Tafel ermittelt: I1— Respighi. ô AG + 64° + 0,04 + 60 0,00 + 56 — 0,06 +52 — 0,06 + 48 + 0,10 +- 44 + 0,18 +- 40 + 0,25 ; + 36 + 0,30 + 32 + 0,32 + 28 + 0,27 + 24 + 0,20 + 20 + 0,13 Nachdem die einzelnen AS mit Hülfe dieser Tafel reducirt wurden, um einen Gang nach den Rectascen- sionen zu ermitteln, ergab sich: 73 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 74 us æ aë = + ro. . 20° + 0/04 0’ _o"4 58 21 — 0,02 2 0,99 65 22 — 0,09 4 06 74 23 — 0,11 6 +-0,12 86 24 — 0,12 8 +0,05 61 In der Einleitung des Cataloges giebt Herr Respighi 10 +0,22 64 eine Vergleichung mit Auwers’s Fundamental-Catalog 12 +0,19 99 und findet dabei den w. Fehler einer Differenz gleich 14 os je + 0,265; demnach müsste also der w. Fehler einer 16 +-0,02 41 JE 18 no ti 55 Declination in Respighi’s Catalog noch kleiner sein. 90 +0,02 89 Nehmen wir jedoch + 0,265 als w. Fehler einer De- 29 DE6 59 clination bei Respighi an, so würde, da der w. Fehler Die grosse Anzahl Sterne kôünnte es berechtigt er- scheinen lassen, diese Zahlen durch eine genaue sich an- schliessende Curve darzustellen, eine solche ist die durch die folgende Formel angegebene: A — Respighi — — — 0703—0,14 cos a—0,05 cos 2a—0,02 cos 3a +- + 0,08 cos 4x — 0,02 cos 54 + 0,01 sin &« — —0,10sin 24-+-0,06 sin 34 — 0,04 sin 4a-+-0,06 sin 5@. Ich habe es jedoch vorgezogen, die Mittel graphisch auszugleichen und erhielt dadurch die folgende Re- ductions-Tafel: I — Respighi. a AS 0° 0712 1 — 0,16 2 — 0,19 3 ce 017 4 SAUTS 5 — 0,04 6 + 0,03 7 + 0,08 8 + 0,13 9 0,17 10 + 0,20 11 +- 0,16 12 +- 0,09 13 0,00 14 — 0,08 15 = 0,06 16 + 0,01 ET + 0,07 18 + 0,10 19 + 0,09 einer Differenz 11— Respighi gleich +0,50 ist, der w. Fehler einer Declination in I gleich + 0,42 sein, Dies stimmt nicht mit dem aus den Ver- gleichungen mit 2 und Becker erhaltenen w. Fehler, es sei denn, dass der w. Fehler einer Declination in diesen Catalogen zu gross angenommen ist. Um über diesen Punkt weitere Aufklärung zu erlangen, ver- glich ich die Declinationen von 157 Sternen, die Becker und Respighi gemeinschaftlich sind, und fand dabei nach Zusammenziehung in Gruppen die folgenden Zahlen: Becker— Respighi.. ô AT) LE: HORS HV. ECTS 7 19 +-57,3 0,00 +0,10 10. 409,0 5008 60,920. ‘M MATRA IS #09 € DE +42,6 - +0,02 #0:15. : 19 OS +099 +008. 24 6028. DST “ÆÉ000. 20 OR 0 HOT: 20.09 : “A1 223,227 620:00 0.19 6 und hiernach fand ich als w. Fehler einer Differenz: + 0/45. Wir bezeichnen nun mit: =., den w. Fehler einer Diff, II — Becker, De » » » » [— Respighi, € » » » » “b,r so dass man hat: 4 s pts +6, 2 En e4 2 =, +e, — © Becker — Respighi, ” 75 Bulletin de lAcadémie Impériale 76 Hieraus findet man die Relation: 2 Ce —= Cr Unabhängig von jeder Vorhergehenden gefunden: He es, His häben wir im Ep —= HE 0,35 E, — + .0,50 = © 0,45, 3 woraus nach der ucfhsth Formel: = + 0,30. Mit dem erhaltenen Werthe von e_ finde ich dann für Romberg’s Catalog als w. Fehler: - + 0/31, also grüsser, als ich angenommen hatte. Weiter er- giebt sich für Becker: Se 0,20 und für Respighi: == € 0,40. Die so gefundenen w. Fehler dürften ein ziemlich richtiges Maass der Genauigkeit der hier in Betracht gezogenen Cataloge sein. Dass der w. Fehler einer De- elination in I #Æ 0,30 beträgt, ist überhaupt ein sehr befriedigendes Resultat, jedoch meine ich, dass dieser Werth eher zu gross als zu klein ist. Die Epochen des Cataloges 11°sind ziemlich verschieden; für die Sterne zwischen 15° und 60° ist die Epoche vorwiegend zwWischen 1840 und 1850 enthalten, während die Epochen der Beobachtungen der Sterne nürdlich vom Zenith zwischen 1858 und 1866 liegen. Dié grosse Mehrzahl der Sterne des Cataloges II, welche hier zur Anwendung gekommen sind, sind also etwa 30 Jahre früher beobachtet als die Sterne, welche in den Ca- talogen Romberg, Becker und Respighi enthalten sind. Der w. Fehler einer Eigenbewegung in Decli- nationen dürfte wohl kaum kleiner als 0,008 sein; für | 30 Jahre macht dies 0,2, was bei der Ableitung der _ W. Fehler aus der Vergleichung mit den 4 genannten Catalogen gerade dazu beiträgt, den w. Fehler einer Declination des Cataloges T1 zu vergrüssern. Auffallend gross ist die Genauigkeit des Becker’schen Cataloges, und dieser Catalog dürfte wohl in dieser Hinsicht _ nahezuallein dastehen. Dagegen ist der w. Fehler einer Declination bei Respighi weit grüsser als man bei der . ersten Durchsicht dieses Cataloges erwarten künnte *). nie m Eine dingehésde Untersuehung des Respighischen rs _ scheint wünschenswerth zu Bei Respighi beruhen die einzelnen Declinationen mit Ausnahme der Declinationen der Zenithal-Sterne, auf durchschnittlich 20 Beobachtungen, während den Declinationen der Cataloge II, Romberg und Becker nur 4 Beobachtungen zu Grunde liegen; ausserdem ist zu beachten, dass die angeführten w. Fehler Durch- schnittswerthe sind, die für 11, Romberg und Becker vom Pole bis — 15° Declination, aber für Respighi nur für die Zone + 64° bis +-20° Declination gelten. Theils um das Verhältniss unseres Cataloges IT zu Boss’s Fundamental-Declinationen kennen zu lernen, theils um noch eine Controle des gefundenen w. Feh- lers einer Declination in II zu erhalten wurde noch I] mit Boss verglichen. Für viele diesen Catalogen ge- meinschaftlichen Sterne sind nur in Boss’s Cataloge die Eigenbewegungen angegeben; ich habe daher bei der Vergleichung mit Boss’s Cataloge die in diesem Cataloge angegebenen Eigenbewegungen berüksichtigt. 4, Vergleichung mit Boss's Cataloge, II —Boss Ô AS 8 à +-8208 +0,20 0,16 3 +-74,6 0,00 +0,08 16 +-67,8 +0,12 0,09 11 +61,3 +-0,09 +0,12 8 + 56,6 +-0,05 +0,08 15 +-51,5 0:23 +0,12 9 +-48,2 Æ0:12 “0:07 19 +-41,3 0,18 “0,11 13 +-37,9 20,17. 220,06 13 +-39,1 —0,25 +0,09 13 +-26,6 —0,08 +0,06 14 +-21,5 —0,13 =<0,16 6 —+18,4 +0,10 Æ#:0,09 8 Te —0,15 +0,09 8 + 0,3 0,62 0,11 5 10,6 —0,85 +0,19 6 Als w. Fehler einer Differenz 11— Boss crhielt ich: w. Fehler einer Diff. — + 0,31. Nach den Angaben von Professor Boss ist der wahrscheinliche Fehler einer der hier angewandten Declinationen seines Cataloges durchschnittlich grôsser als 0/15. Setze ich denselben — + 0,15, so erhalte ich als w. Fehler einer Declination in I: + 097. 77 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 7 Die hier gefundenen mittleren Differenzen sind zu unsicher, um eine Reductionstafel für [Boss abzu- leiten; deutlicher, als die angesetzten w. Fehler an- geben, ersieht man dies, wenn man bei der Vergleichung der beiden in Frage stehenden Cataloge die Au- wers’schen Eigenbewegungen anwendet. Selbst dieje- nigen mittleren Differenzen, welchen eine gleiche Anzahl Vergleichungen zu Grunde liegen, werden dadurch stark verändert; nur die beiden letzten stim- men darin überein, dass sie dasselbe Zeichen haben und gross sind. Das einzige, was die Vergleichung von [I mit Boss uns über das Verhältniss dieser beiden Cataloge lehrt, ist also nur eine Bestätigung der längst bekannten Thatsache, dass das Pulkowaer System die Declinationen vom Aequator an gegen Süden zu süd- lich angiebt. Hydrologische Untersuchungen L. Von Prof, Dr. Carl Schmidt in Dorpat. (Lu le 14 avril 1887.) (Mit einer Tafel.) Die Thermen von Neu-Michailowsk, 7 Werst vom rechten Amur-Ufer, 130 Werst von der Amur- ündung. Im Juni 1886 besuchte Herr Dr. med. Ludwig Birk aus Dorpat, gegenwärtig in Wladiwostok, auf dem Seewege über Nikolajewsk die 130 Werst stromauf- wärts, 7 Werst vom rechten Ufer des Amur in einem von hohen Bergen umgebenen Thalkessel belegenen warmen Quellen von Neu-Michailowsk behufs per- sônlicher Kenntnissnahme, Temperaturmessungen und Eindampfens grüsserer Wassermengen an Ort und Stelle zur Analyse. Am 8. Juli auf dem Dampfer «Kostroma» über Suez, Odessa nach Dorpat eingeschifit, langte die Sendung Ende October wohlerhalten hier an. Dem Begleitschreiben ‘des hochverdienten vom regsten wissenschaftlichen Interesse bescelten Absenders ent- nehme ich folgende nähere Mittheïlungen: .. «Die Quellen von Neu-Michailowsk liegen 130 Werst von Nikolajewsk rt qe PR DA LL vom rechten Ufer des Stromes entfernt in einem von hohen Bergen umgebenen Thalkessel. In der Mitte des Kessels stromt ein unbedeutendes nur 4—6 Schritt breites Flüsschen, in welches die Abzugskanäle der Quellen münden. Sämmtliche Quellen liegen am linken | Ufer dieses Flüsschens, einige Schritte von demselben und sind von einander zu je 20 —25 Schritt entfernt. Zur besseren Orientirung lege ich einen primitiven Plan der Lage der Quellen mit Angabe der Tempe- ratur derselben, bei. Jede Quelle ist überdacht und in ein hôlzernes Bassin mit Bretterboden, in welchem sich runde Offnungen zum Einstrômen des Wassers befinden, eingefasst. Die Bassins sind sehr alt und vollständig verfault. Das Wasser in denselben ist krystallklar, geschmack- und geruchlos. Obwohl ich die Quelle B, bevor ich die Probe zum Eindampfen entnahm, ausschôpfen liess und dann das neu einstromende Wasser in den Kessel goss, so habe ich dennoch eine stark getrübte braune Lôsung mit viel Bodensatz nach dem Eindampfen erhalten, was wohl an dem schmutzigen, verfaulten Bassin mit den vielfach daran klebenden Epidermisschuppen liegen muss. Die Quelle A ist in ein circa 15 Fuss tiefes Bassin eingefasst und wird nicht zum Baden, sondern nur als Trinkbrunnen benutzt. Bei den unzureichenden Ar- beitskräften daselbst war es mir unmüglich, diese Quelle vor der Entnahme des Wassers ausschôpfen zu lassen. Die Bassins zum Baden, 8 Fuss lang und 4 Fuss breit, enthalten 3 bis 4 Fuss tiefes Wasser. Nach dem Ausschôpfen sprudelt das Wasser durch die Offnungen des Bretterbodens sofort nach und erreicht in 8 bis 15 Minuten seine alte Hühe. Die hôühere Füllung des Bassins wird durch ein nach aussen füh- rendes Abzugsrohr verhindert (s. Tafel). Im Ganzen sind nach Aussage des Badewärters nur 3 Quellen aufgedeckt, von denen Quelle A, die wärmste, our als Brunnen benutzt wird; die Quelle B, ein wenig kälter als A, hat 2 durch eine Bretterwand getrennte Bassins unter einem Dache, während die Quelle C—5 und Quelle D—4 Bassins enthalten, Zu den letzt- ete erwähnten 4 Bassins (Quelle D) soll das Wasser durch eiu unterirdisches Abzugsrohr aus Quelle C geleitet werden, Eingedampft habe ich das Wasser nur aus den Quellen À und B—je 100 Liter auf circa 1 Liter (inel. Nachspülwasser des blanken Kupferkessels). ... Was die Frage nach sonstigen Thermen an- langt, so kann ich vorläufig folgendes mittheilen: kannt. 2) Eben so wenig auf 1) Auf Sachalin sind bis jetzt keine Thermen be- > de ir: den Kurilen und auf Jesso. : : : 79 Bulletin de l’Académie Impériale 3) Im Amur-Littoral-Gebiete waren bis jetzt ausser | bei Woskressenskoje so heiss wären, dass sie im Winter den Thermen von Neu-Michaïilowsk keine weiteren | bekannt. Während der Fahrt aber hatte ich Gelegen- heit in mehreren Giljäken-Dôrfern zu übernachten und erfuhr in einem derselben zufällig, dass sich Quellen etwa 20 Werst von dem Dorfe Woskressen- skoje, 110 Werst flussaufwärts von Nikolajewsk, und andere Quellen bei dem Dorfe Tür, 90 Werst von Nikolajewsk befänden. Die Giljäken, die es mir im Vertrauen mittheilten, behaupteten, dass die Quellen Kartoffeln darin kochen kônnten. Ich scheine der erste Europäer zu sein, der von diesen Quellen Kenntniss erhalten und môchte die- selben sebr gern weiter verwerthen. Ich will mein Müglichstes versuchen dorthin zu gelangen oder we- uigstens Wasserproben von dort zu erhalten. Temperatur der Quellen nach Celsius gemessen vom 6. (18.) bis 10. (22.) Juni 1886 um 7 Uhr Mor- gens, 12 Uhr Mittags und 7 Uhr Abends: me fun) que ue nd Juni. A Ta legal se Pets ME en ou cas O [Le] | Le) | O [e) [e] [e) | Oo | Le] © roi 4711460 35.113711. 406444 45,3 45,9 29,6 | 29,4 | 26,0 22,1 | 25,1 7" Morg. [47,0 146,0 36,0 28,1 29,0 | 24,8 22,0 | 17,0 12 Mitt. |47,5145,5 36,0 370 40,5 rare 45:7[284 290 246 218| 182 7 Ab. |47,0/45,5 36,21 37,0 40,0 44,8 45,1 | 45,8128,4 29,2, 24,7 21,9 | 17,1 à f 7 Morg. |47,0/45,5 36,8136,3 40,0 44,5. 49,5 45,6 27 8 30,0 23,0 21,2] 11,4 12 Mitt. |[47,0146,0 36,0136,8 41,0. 442 44,0) :45,5128,0 30,5 |22,5 21,0] 18,6 a 7 Ab. |47,0146,0 36,0136,0 40,0 44,5 46,0 46,0129,5 31,0 26,0 22,0 | 13,2 7 Morg. |[47,5145,8 36,0/36,0 40,8 44,5. 1445 453 28,4 30,5 25,0 22,0 | 12,1 9.112 Mitt. |47,7145,5 36,0137,1 41,2 | 44,3 44,2 | 45,01 28,9 31,0 24,6 ,21,6| 11,4 Reg| 7 Ab. 47,6 45,4 | 36,0 36,5 | 4121430 44,0 44,8 [28,0 30,4. 24,0 21,0 | 12,3 10 7 Morg.!)46,5/45,3 35,5 36,2 39,0 41,0 43,8 44,6 128,0 29,6 | 23,0 20,2 | 13,0 À 7 Morg?)|46,5 16,8 36,6 s68 41,6) des 44,0[28,4 | Î | Im September 1877 besuchte der bekannte Rei- sende, Herr Baron Friedrich August von Lühdorf aus Hamburg das Amur-Mündungsgebiet, entnahm den Thermalquellen von Neu-Michailowsk mehrere Flaschen mit Wasser zur chemischen Untersuchung und verôffentlichte seine Beobachtungen nebst den Resultaten der Analyse in einer als Manuscript ge- druckten, nicht in den Buchhandel gekommenen Ab- | | : handlung”). Verfasser hatte die Güte,mir ausser letzterer 1) Vor dem Ausschôpfen der Quellen gemessene Temperatur. 2) Nach dem Ausschôpfen, behufs Entnahme frisch aufquellenden Thermalwassers zur Analyse. Die W ratur des Flüsschens oberhalb der Quellen (bei a) 8%5 C., unterhalb (bei b) 13°0, Wassertemperatur des Amu : 7 Werst von den Quellen entfernt, 1473 C. … 3) Fr. Aug. Baron von Lühdorf, Die heissen Quellen am Amur bei Neu-Michailo wsk im Bezirke Nikolajewsk. Hamburg, 1882. 8°, Druck von Gustav Diederich und C°. 15 Seiten mit eingedruckter Situationskarte auf ] Verfasser bereiste zweimal Ost-und West-Sibirien,zwôlfmal China, warin nn ue besuchte Kalifornien zur Zeit ‘des Goldfiebers, | noch die Original-Akte der chemischen Untersuchung des Herrn Dr. Th. Wimmel in Hamburg zu über- senden. Ich theile dieselbe nachstehend vollständig mit und beehre mich Herrn Baron von Lühdorf für deren liberale Übermittelung den wärmsten Dank auszusprechen. Das Untersuchungsprotocoll des Herrn Dr. Th. Wimmel—dat. Hamburg 29. Januar 1879 — lautet: «Das (September 1877 geschôpfte) Wasser war ungefärbt, aber nicht ganz klar und etwas flockig, ohne hervortretenden Geschmack. Beim Offnen der versiegelten Flasche zeigte sich Geruch nach Schwefel- wasserstoff, der indess in den geôüffneten Flaschen bald verschwand. Es war neutral gegen Lakmuspapier, hielt sich 1854 längere Zeit in Japan auf und verôffentlichte seine me Beobachtungen über Land und Leute in dem Werke: cht Monate in Japan nach dem Vertrage von Kanagawa”». 1856. “Seine Studien auf dem Amur-Mündungsgebiete sind theilweise bereits 1868 in Petermann’s Mittheilungen, IX, mitgetheilt. si des Sciences de Saint-Pétersbourg. s?2 färbte aber Lakmustinktur blauroth, wie die doppelt kohlensauren Salze. Beim Abdampfen nahm es eine stark alkalische Reaktion an. Das specifische Gewicht war bei 15° C—1,0011. Als Bestandtheile wurden nachgewiesen: Kali, Na- tron, Kalk (Spur), Schwefelsäure, Chlor, Kohlensäure, Kieselsäure und organische Substanz. Ammoniak und die Oxyde des Stickstoffs fehlten. Die quantitative Analyse ergab in 1000 grammen (1 Liter): 0,2040 unverbrenuliche mineralische Stoffe 0,0520 verbrennliche organische Stickstofft- freie-Substanz. 0,0350 chemisch gebundenes Wasser mithin 0,2910 feste Bestandtheile in Summa. Die Mineralstoffe enthielten : 0,1427 in Wasser lôsliche alkalische Salze 0,0613 Kieselsäure mit Spuren von Kalk 0,2040. in den lôüslichen Salzen wurde gefunden: -0,0116 Kali 0,0646 Natron 0,0099 Chlor 0,0280 Schwefelsäure 0,0308 Kohlensäure. Der Gesammtsalzgehalt sowie die Schwefel- säuremenge stimmen mit denen des von Herrn Dr. Birk im Juni 1886 geschôpften Thermalwassers vôllig überein. Der von Herrn Dr. Wimmel ge- fundene grüssere Kali-,. Kohlensäure- und Chlor-, geringere Natron- und Kieselsäure-Gehalt dürfte durch die geringe zu seiner Analyse verwendbare Wasser- menge veranlasst sein. Analytische Data. Die von Herrn Dr. med. August Birk am 6. (18.) Juni 1887 den Quellen A, B, C, D entunommenen Wasser sind klar, farblos, geruch- und geschmacklos. Nur die Flasche C, zeigt beim Offnen schwachen | Niederschlag aus demselben erscheint durch Beimen- gung einer Spur Schwefelsilbers etwas gelblich. Dichtigkeit und qualitative Reaktionen stimmen bei allen nahezu überein: viel Kieselsäure, Natron, Schwe- felsäure, Kohlensäure, weniger Chlor, wenig Kali, sehr wenig Kalk und Magnesia, Spuren Eisen, Rubi- dium, Lithium, Brom, Phosphorsäure. 100 Liter Wasser À an der Quelle im blanken Kupferkessel von Herrn Dr. Birk auf circa 1 Liter (incl. Nachspülwasser des Kessels) eingedampft, im Dorpater Laboratorium in gewogener grosser Platin- schale weiter concentrirt, hinterliessen 22,943 gram- men bei 150° trockenen Rückstand. Dieser in der- selben grossen Platinschale mit 500 cc. Wasser wie- der ausgekocht, der «Kesselstein» auf dem Filter mit heissem Wasser bis auf 1 Liter Gesammtfiltrat erschôpfend ausgelaugt, zerfiel in: 1,039 grm. bei 150° tr. Kesselstein A,x 21,904 » » » lôsliche Mutterlaugensalze A6. Ersterer (Kesselstein A,x) enthielt Kalk, Magnesia, Eisenoxyd, Phosphorsäure mit circa ?/, der vorhan- denen Kieselsäure, deren übrige ‘/,, als wasserlôsliches Bisilicat und Hydrat neben Natriumsulfat und -car- bonat, Kalium- und Rubidiumsulfat, Chlor- und Brom- natrium, Spur Lithi bonat die Mutterlauge A,8 des auf !/,, concentrirten Thermalwassers bildeten. Das Volumgewicht letzterer, bei 17° auf Wasser gleicher Temperatur — 1 bezogen ist = 1,01855. Das des frischen Thermalwassers À — 1,000298, Als Summen von je 2 übereinstimmenden Einzel- fällungen und Wägungen wurden aus 100 Litern Thermalwasser A erhalten: 7,7495 grammen SiO, == 77,495 grm. p. Cubikmeter Thermalwasser 2,0741 grammen AgCI + AgBr 0,00447 AgBr = 0,019 grm. Brom p. Cubikmeter Schwefelwasserstofigeruch, der Chlor- + Bromsilber Tome XXXII. 2,26963 AgCI— 5,117 » Chlor » » 8,1020 BaSO, = 27,819 grm. SO, » » 0,0753 CaD = 0,538». Caltiom + 0 0,0927 MgSO,— 0,188 » Magnesium » » 0,0057 Fe,O, — 0,040 » Eisen a : worin 0,0019 Brom (colorimetrisch bestimmt) ent- sprechend: Bulletin de l’Académie Impériale “+ 0,0038 Mg,P,0, — 0,024 grm. P,0, (durch Molyb- dänsäure-Mischung aus dem Salpetersäure- Auszuge des Kesselsteins gefällt. 0,0022 Li,PO, (aus Aetheralcohollüsung der Chlor- alkalien). 14,2720 NaCI + KCI + RbCI, woraus durch PtCI, 0,9014 K,PtCI, + Rb,PtClI, 0,2691 grm. KCI +- RbCI, aus letzterem durch Glü- hen im Wasserstoffstrome erhalten, gaben mit Silber- nitrat gefällt 0,5129 grm. AgCI — 190,607, AgCI (des KCI +- RbCI) entsprechend: 97,774 KC1 aeq. 319,954 K,PtCl, 2,226, RbCI » 5,326 Rb,PtCI, mithin: 100,000 KCI+-RbCI—325,280 K,PtClI, +- Rb,PtCI, aus 100 Litern Thermalwasser: 13,9949 grm. NaCI — 55,148 grm. Natrium im Cu- bikmeter Wasser Kalium » Rubidium » 0,27095 » KCI 1,422 » 0,00617 » RbCl— 0,044 » 2 Flaschen ursprünglichen Thermalwassers À, di- rekt aus der Quelle gefüllt — 1492,543 grammen ergaben: 0,0286 grm. AgCIl+-AgBr—19,162 grm. p. Cubikm. 0,1214 » BaSO, — 27,928 gr. SO, Thermalw. À 0,1164 » Si0,— 77,987 grm. SiO, » _ 0,2084 » NaCI + KCI + RbCI — 139,63 grm. NaCI + KCI + RbCI per Cubikmeter Wasser. 100 Liter Thermalwasser B in gleicher Weise an der Quelle auf !/,, eingedampft, wie À weiter be- handelt, ergaben p. Cubikmeter Thermalwasser : 7,6593 grm. SiO, — 76,593 grm. 2,1060 » AgCI + AgBr — — 21,0146 AgCIl — 5,196 Chlor — 0,0454 AgBr— 0,019 Brom BaSO, = 27,511 grm. SO, p. Ca0 — 0,436 grm. Calcium _8,0125 » 0,0611 » 0,0699 » MgSO, — 0,142 grm. Magnesium 0,0036 » Fe,0,— 0,025 grm. Eisen 0,0020 » Mg,P,0, — 0,013 grm. P,0, | 15,0287 » NaÜI-KOI+ RbOI = woraus 9,004 K,PtCI, +- Rb,PtCI,. 0,2592 grm. KCI + RbCI aus letzteren durch. Glühen im Wasserstoffstrom erhalten, gaben 0,4951 grm. AgCI— 191,01°, AgCI entsprechend: 98,330%, KCI = 321,764 K,PtCI, 1,670%, RbCI— 3,995 Rb,PtCI, 100,000 KCI+ RbCI= 325,759 K,PtOI, + Rb,PtCI, mithin aus 100 Litern Thermalwasser B: 14,6366 grm. NaCI = 57,675 grm. Na p. Cubikm. 027180» KCbL= 426 5 Ko » 0,00462 » RbCI— 0,033 » Rb » » 1 Flasche ursprünglichen Thermalwassers des Bas- sin B, Abtheilung I — 768,779 grammen ergab: 0,0152 grm. AgOI + AgBr =— 19,77 grm. p. Cubikm. 0,1127 » NaCI+-KCI+RbCI=—146,60 grm. p. » 2 Flaschen desselben, Abtheilung I1=— 1465,593 grm. Wasser. 0,0287 AgOI + AgBr = 19,58 grm. p. Cubikmeter 0,2294 NaCI + KCI+ RbCI— 156,53 grm.p. » Quelle C— je 1 Flasche der Abtheilung: [= 755,314 grammen Thermalwasser — —0,0175 AgCl+-AgBr—923,17 grm. p. Cubikmeter —0,1266 NaCl4-KCIH4-NaCl= 167,61 grm. p.Cbkm. IH = 779,752 grammen Thermalwasser — —0,0171 AgCI + AgBr — 21,93 grm. p. Cubikm. —0,1231 NaCI+-KCI+-NaCI— 157,87 grm.p. » I = 753,341 grammen Thermalwasser — —=0,0158 AgCI + AgBr—20,97 grm. p. Cubikmeter —0,1202 NaCI+-KCI+4-NaCi— 159,55 grmp. » IV = 769,765 grammen Thermalwasser — —0,0165 AgCl + AgBr — 21,43 grm. p. Cubikm. —=0,1338 NaC1+-KCI-+-NaCl— 173,81 grm.p. » - V — 738,438 grammen Thermalwasser — —0,0140 AgCI + AgBr — 19,09 grm. p. Cubikm. —=0,1110 NaCI+-KCI-+-NaCl= 150,32 grm.p. » Summe — 3796,640 grammen Thermalwasser C: 0,0810 AgCI + AgBr — 21,33 grammen p. Cubikm. 0,6147 NaCI + KCI +- RbCI — 161,90 grm. p. » s5 des Sciences de Saint-Pétersbourg. s6 Quelle D: 762, 912 grammen Thermalwasser gaben: 0,0184 grm. AgCI + AgBr — 24,12 grm. p. Cubikm. 0,1213 » NaCI+ KCI-+ RbOI — 158,99 grm. p. Cubikmeter. Bach E. Das Wasser aus dem Bache, in den sich die Ther- malquellen ergiessen, am 8 (20.) Juni 1886 einige hundert Schritte oberhalb der Einmündung letzterer geschôüpft, Wassertemperatur 8,5°C., Volumgewicht bei 17°C 1.000075 (Wasser gleicher Temp. — 1). 789,829 grm. Wasser eingedampft, hinterliessen 0,0400 grm. bei 150° tr. Salzrückstand = 50,64 grm. p. Cubikmeter Wasser: 0,0073 AgCI + AgBr — 9,24 grm. AgCI + AgBr p. 0,0185 BaSO, = 8,04 grm. SO, p. Cubikmeter 0,0128 SiO, — 16,21 grm. SiO, p. Cubikmeter 0,0047 CaO — 4,25 grm. Calcium p. Cubikmeter 0,0078 MgS0, — 2,00 grm. Magnesium p. Cbkm. 0,0136 NaCI + KCI + RbCI = 17,22 grm. NaCI +- KCI +- RbCI p. Cubikmeter, woraus 0,0232 K,PtCI,-+-Rb,PtCI, — 29,37 grm. K,PtCl, + Rb,PtCI, p. Cubikmeter. Unter der Voraussetzung annäühernd gleichen Ver- hältnisses von Chlor-+Brom zum AgCl+-AgBr—Nie- derschlage — 1 : 4,038 und Kalium +- Rubidium zum K,PtCI, + Rb,PtCI, — Niederschlage = 1 : 6,160 enthalten je 1,000,000 grammen (1 Cubikmeter) Thermal- und Bach-Wasser von Neu-Michailowsk NaCI+KCI+RDbOI 139,63 151,56 161,90 158,99. Cubikmeter | ..... grammen: Thermalquelle, Bachwasser A. B. # VOOR PV 1,000298 1,000297 1,000075 RER pi QU HSE 31 ©, 59:06: HAN ND Ve sRAdi.U2sn 0,044 0,033 477 ADO NT MR ER dns succes 1,422 1,426 : Naam NE SE SE en 55,148 57,679 3,23 RACONTER Ce 0,004 0,004 L Cho CR Rs Ne ee es 0,538 0,436 4,25 MagheNa Me... Au Ne 0,188 0,142 2,00 TT LR D OR TRE Dh Pa 0,040 0,025 ? Sohnetsure 0 Lu Re rs 27,819 27,511 8,04 CDR TRS rt vie Den e: 5,117 5,196 2 98 DOM Te EN nv see te 0,019 0,019 7 Phosphorsäuré PO. ssh. 4 0,024 0,013 ? Koblensäure C0)... 4.4.4 sx 24,555 22,342 8,19 Sauerstoff (aeq. SO,, P,0,, CO,, SiO,). . 18,627 19,409 4,58 Kicselihre 80.21... vi. 77,495 76,593 16,21 Summe wasserfreier Mineralbestandtheile 211,040 210,824 53,55 Wasser, Kohlensäure Rest, organ. Subst. | 999788,960 | 999789,176 | 999946,45 Thermal- und Bach-Wasser. . ....... 1000000,000 | 1000000,000 | 1000000,000 4) Des Abdampfrückstandes, als Carbonat gebunden. Die, ohne Eindampfen, in Flaschen übersandten Thermalwasser ergaben: ‘ 5 ; D. Chlor+-Brom,..,. 4,74 4,87 5,28 5,97 s7 Bulletin de lAcadémie Impériale ss Gruppirung im Abdampfrückstande Thermalwasser. Bachwasser (Fe,0, als FeCO, berechnet). 74 B. E. Rubidiumsulfat Rb,SO,.............. 0,069 0,051 | 1055 Rabumsuié KO nu 0. 3,168 3,176 à Natramentat Neso Ti 20516. 46,780 46,237 J,6 Chioradrinm Nas rs... 8,445 8,575 || 351 Bronnatfinnr NaBr:.1:.. 01... 1. 0,024 0,024 |f # eat PACA pi es 56,862 52,000 -- bonat Li,CO, LS Mo en te dus 0,039 0,039 Ca CI, 0,23 tn tee Re NT à Came 0,042 0,023 ? Calciumcarbonat CaCO,. ............ 912 1,075 10,42 Magnesiumcarbonat MsCO, Re Dr DA (EE 0,650 0,491 EE À p rasentarpotae PebO 505 4, 0,082 0,051 , Natriumsilicat und f Natron Na,0 ..... 16,072 22,489 — Kieselsäure — { Kieselsäure SiO, . . 77,495 76,593 16,21 Summe der Mineralsalze......... 211,040 210,824 53,55 Gruppirung im ursprünglichen Wasser Thepmalwasser. Bachwasser {als Bicarbonate). À. B. E. Rubidiumsulfat Rb,SO, . ............ 0,069 0,051 1055 Kalamsutfat K:40,, 6.1 3,168 3,176 és Natriamenifet, NS EURE 46,780 46,237 5,71 Chiomatrium Nabf #35... 8,445 8,575 || dH4 B'OMAUNON Nabil eue 0,024 0,024 |f + Natriumbicarbonat Na,C,O, . ......... 80,440 73,562 ? Lithiumbicarbonat Li,C,0,. .......... 0,069 0,069 | CaCO, 0,23 Calciumphosphat Ca,P,0,... ........ 0,042 0,023 ? Caleïiumbicarbonat CaC,0,. .......... 1,889 1,548 | 15,01 Magnesiumbicarbonat MgC,O, . ....... 0,989 0,747 10,5 Fisenbicarhonat Fe0.0,.. ui. 0,113 0,070 Natriumsilicat und fNatron Na,O ..... 16,072 22,489 — Kieselsäure — ee HU. 77,495 76,593 16,21 Summe der Mineralsalze.. ........... 235,595 | 233,164 61,75 Wasser, organische Stoffe, freie CO,. ...| 999764,405 | 999766,836 | 999938,25 Thermal- und Bach-Wasser. . ... pre .1000000,000 : 1000000,000 | 1000000,000 Das Wasser des Baches E, in den die warmen 17,07 mal so viel Natrium Quellen von Neu-Michailowsk sich ergiessen, ist dem- 478.» :5 » Kicselsinre = nach, oberhalb der Mündung letzterer geschôüpft, _ vüllig verschieden von den Thermalwassern. 3,46 ». » » Schwefelsäure 2 Das Thermalwasser A, enthält viermal so viel Mi- 3,00 » » » Kohlensäure der Bicarbousté . neralbestandtheile als das Bachwasser E und zwar: RA Chlor uni Brom. Bulletin de l'Acad. mp des oc. | Prof Dr C Schmidt Hycrohg. Unters L EE — — a — RÉTRRESR EE g —— 6,9 GC 13 ( 0 — ee a a — RE IE : EE ——— : HAE D Wassertemp. Wassertemp. = INIKKKIKK IRKkKKKK _ __ VE — ee ———— à — |. RS D a — JP \\ ——————— ss \ Hnnnnannrnnnnrnnant = _ = = TS a N Quelle À nc à \ \ —— a —— ann an = B ——— N EE —— ce — d Ÿ— Kant — ù RATS A nan en —— SINIIKKKKKKKKKKK \ a NN RKKKNNNN Quell e s9 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 90 Dagegen enthält das Bachwasser E: 10,64 mal so viel Magnesium Calcium ( als Thermalwasser A. Kalium j 7 ,90 d'pE p 3522,» 5.9 Die zum Bache E oberhalb der Thermalquellmün- dungen zusammenfliessenden Tagewasser und Quellen müssen Kali-reichere, Dolomit-haltige Bodenschichten auslaugend durchsickern, während die aus beträcht- licheren Tiefen emporsteigenden Thermalwasser unter Mitwirkung verwitternder Kiese (Schwefelsäure) ge- spaltenen Natronsilicaten (Albiten?) ihren über- wiegenden Soda- Glaubersalz- und Kieselsäure-Gehalt verdanken. Hinsichtlich des Vergleiches mit anderen salzarmen Thermalwassern cf.: «Die Thermalwasser Kamtschatka’s»y Mémoires VIT Série, Tome XXXII, M 18 (1885) und «Die Thermalwasser von Rachmanow, am Südabhange des Belucha (Altai)», Bulletin XX VIII, 492— 516 (1883). Das vormittägige Temperaturmaximum zur See in den Tropen nach den auf der Corvette .Witjas“ unter dem Commando des Flügeladjutanten, Capitän f. Ranges S. 0. Makarow angestellten Beobach- tungen. Von M.Rykatschew. (Lu le 26 mai 1887.) 1858 legte der Akademiker Lenz der Kaiserlichen Akademie der Wissenschaften die Ergebnisse der Beob- achtungen des täglichen Temperaturganges vor, die während der Weltumsegelungen von Dr. E Lenz 1847, 1848 und 1849 auf dem Schiffe «Acht» der Russisch- Amerikanischen Compagnie und vom Akademiker L. J. Schrenck auf der Fregatte «Aurora» 1853 und 1854 angestellt wurden !). Hr, E. Lenz durchkreuzte die Tropen 2 Mal im Atlantischen und 2 Mal im Stillen Ocean. L. J. Schrenck 2 Mal, von denen das eine im Atlantischen, das andere im Stillen Ocean. Hr. Lenz stellte in den Tropen zweistündliche in 2 Reïhen eingetheilte Beobachtungen am Tage und in 1) Über die stündlichen Temperaturänderungen der Luft vs der Oberfläche des Mecres in den Tropen, von E. Le nz (lu le 26 vembre 1858). Ball. de l'Acad. Imp. des Sciences de St héniies T. I. 1860. der Nacht an, ausser zweien, die nur am Tage ausge- führt wurden. Hrn. Schrenck’s Beobachtungen wur- den stündlich Tag und Nacht gemacht. Akademiker E. Lenz bearbeitete alle 6 Reïhen der Beobachtungen, von denen er die 4 vollständigsten einer Berechnung nach der Lambert’schen Formel mit Berücksichtigung der dreifache Winkel enthaltenden Glieder unterwarf. Er erhielt dabei wie für jede Reihe so auch für das Mittel ein unverhofftes, interessantes Resultat. Es ergab sich, dass im Ocean zwischen den Tropen das Temperaturmaximum sich nicht eine oder zwei Stunden nach Mittag, wie dies für beständige Stationen des Erdballes gefunden, einstellte, sondern vor der Mittagszeit, d. h. vor der maximalen Er- wärmung durch die Sonnenstrahlen. Nach der von Hrn. E. Lenz vollführten Berechnung ergiebt sich als Zeit des Eintritts des Temperaturmaximums: Im Atlant, Im Stillen Ocean. cean. Nach den v. Hrn. Lenz gemachten Beobachtungen .......... 1] 49% 1007 Nach den v. Hrn. Schrenck ge- machten Beobachtungen. ... 11 40 11 32 Akademiker E. Lenz erklärt diese Erscheinung durch ein Abkühlen, welches von starker Verdunstung oder von einem aufsteigenden Luftstrom oder von beiden Ursachen zusammen bedingt wird. Seitdem gab es, wie mir bekannt, keine genauen Beobachtungen, ie diese Slustleérane Lerititee j oder widerlegten. Indessen sind solche Beobachtungen sebr erwünscht, da die angegebenen Ergebnisse des Akademikers Lenz nach einer Formel berechnet sind, die alle Ungleichheiten der Curve des täglichen Tem- peraturganges ausgleicht. Wenn wir indessen zulassen, dass das regelmässige Steigen der Temperatur von Morgen bis Mittag unter dem Einflusse anderer Ursachen, wie Verdunstung oder ,aufsteigender Luftstrom gestürt wird, so muss man unumgänglich annehmen, dass diese Ursachen eine systematische Ungleichheit in der Curve des tüglichen Temperaturganges hervorbringen künnen. Es kann z. B. ein zeitweiliges Sinken der Temperatur gegen Mittag stattfinden und eine solche Abweichung . . ” wird in der nach der Formel erhaltenen Curve aus- geglichen sein. Auch die ” sogar stündlichen Beobachtungen. sind zur Beur- i benutzte, + 91 Bulletin de l'Académie Impériale 92 theilung des Temperaturganges in der Näühe des Maximums ungenügend. In der nächstfolgenden Tabelle führen wir die aus der erwähnten Arbeit des Akademikers KE. Lenz ent- nommenen directen Temperaturmittel für die um Mittag liegenden Stunden an. l1/a.m. Mittag. 1”. ï 10/ a. m. 2"p.m. Atlant. Ocean: + FT 20530 — 920543 — 20,31 Schrenck.... 20,71 20,74 20,85 20,78 20,74 Stiller Ocean: RUE PORTE 19,60 — 19,78 — 19,51 Schrenck.... 20,19 20,25 20,23 20,11 19,96. Wenn man nur diese Beobachtungen berücksichtigt, so künnte man den Schluss ziehen, dass die Zeit des Maximums im Atlantischen Ocean unweit des Mittags, eher zwischen 12” und 1” p. m. als zwischen 11” a.m und 12” eintrete. Im Stillen Ocean dagegen würde das Maximum Vormittags zwischen 11° a. m. und 12” eintreten. Capitän Toinby berechnete 1874 auf Grund eines von dem Londoner Meteorological Office gesam- _melten umfangreichen Materiales den täglichen Gang der Lufttemperatur für das 3. Quadrat des Altanti- schen Oceans (zwischen dem Aequator und 10° N. Br. und den Meridianen 20° und 30° westlich von Green- wich) ?). Er fand für die Zeit des Maximumeintritts: in der nürdlichen Hälfte des Quadrats 1° 10”p.m. in der südlichen » » » 0 547». Hier ist also ein Resultat erhalten worden, das dem vom Akademiker Lenz gefundenen entgegen- vesetzt ist. Die Schlussfolgerung gründet Toinby auf 9600 den besten meteorologischen Tagebüchern entnommenen und hôüchst sorgfältig bearbeiteten Beobachtungen. Ungeachtet dessen muss das von Lenz erhaltene Resultat bevorzugt werden, da letzterer die von L. J. Schrenck angestellten stündlichen Beobachtungen vierstündlichen Beobachtungen basiren. Es ist klar, dass es unmüglich ist, über die kleinen Anderungen __ gegen Mittag auf Grund noch so genau für die Ter- a 2) Remarks to accompany the Monthly charts of Metcorogical Data for Square 3. Published by sp of the Meteorological Aursou es 1874. | hingegen Toinby’s Ergebnisse nur auf minstunden erhaltener Temperaturen. zu urtheilen. Auf solche Weise bleibt es eine offene Frage: ob das Temperaturmaximum in den Tropen im Ocean vor oder nach Mittag eintrete und welcher Art dort der tägliche Temperaturgang gegen Mittag ist. In Erwägung des Besprochenen brachte ich, als der Flügeladjutant, Capitän I. Ranges $S. O0. Makarow bei den Vorbereitungen zur Weltumsegelung unter An- derem sich auch an mich mit der Anfrage wandte, welche Beobachtungen besonders zur See anzustellen wären, ihm diese unentschiedene Frage in Erinne- rung, worauf er es übernahm, specielle Untersuchun- gen über den Temperaturgang gegen Mittag in den Tropen anzustellen, Im Januar des laufenden Jahres (1887) übergab oun S. O. Makarow dem Physikalischen Central- Observatorium seine darauf sich’ beziehenden werth- vollen Beobachtungen, die in den Tropen auf der Fahrt von der Insel Madeira bis Rio-Janeiro ange- stellt waren. Wir führen hier die Ergebnisse dieser Untersuchungen vor. Die Beobachtungen wurden nach der Instruction des Hrn. $. O. Makarow vom Secondelieutenant Hrn. Igumnow angestellt. Vom 7. bis zum 10. No- vember benutzte man ein Thermometer mit vergoldeter und geschwärzter Kugel auf einem drehbaren Gestell. Dieses Instrument wurde von dem Akademiker Wild empfohlen und im Physikalischen Central- Observa- torium verificirt. Die Correctionen der in ° ge- theilten Thermometer wurden in Rücksicht genommen. Für die Beobachtungen wurde das Instrument im Freien im Schatten der Segel oder unter einem Schirme aufgestellt und in schnelle Rotation gebracht. Nach einer vom Instrumente während der Beobach- tung aufgenommenen Photographie wurde das Gestell mit den Thermometern auf die Lehnen der Com- mando-Brücke gestellt. Die Temperatur wurde aus den Angaben beider Thermometer nach folgender von Akademiker Wild gegebenen Formel berechnet: t=t,,—0,15(f, —4,,), wo &,, die Angabe des mit einer vergoldeten Kugel versehenen Thermometers, # des mit einer ge- schwärzten bedeuten ©). Da der Unterschied in den Angaben beider Ther- _mometer selten 0,3 oder 054 überstieg, so kann man 3) Repertorium für Meteorologie, Bd. X, X 4, S$. 9, des Sciences de Saint-Pétersbourg. 94 das Resultat als ein sehr zuverlässig erhaltenes an- sehen. Überhaupt gehüren wohl diese Beobachtungen zu den besten jemals auf Schiffen gemachten Bestim- mungen der Lufttemperatur. In Anbetracht dessen, dass es besonders interessant war, die Frage zu ent- scheiden, ob das Temperaturmaximum eintrete, bevor die Sonne ihre grüsste Hühe erreicht hatte, wurden die Reïhen der Beobachtungen nach der wahren Zeit eingetheïlt. Die Beobachtungen fingen durchweg um 10” 50” oder 11” a. m. an und endeten um 1“ oder 1” 10” p. m.; sie wurden alle 10”, in seltenen Fällen alle 5" angestellt. Bei jeder Beobachtungsreihe sind Breite und Länge am Mittage angegeben und für dieselbe Zeit die Barometerhôühe, die Angaben des Thermo- meter attaché, die des trockenen Thermometers, Zu- stand des Himmels, Grad und Form der Bewôülkung, Windrichtung und Windstärke, wahrer Cours und Lauf des Schiffes. Ausserdem wurde alle 10 Minuten im Moment des Ablesens der Thermometer annotirt, welcher Theïl der Sonne von Wolken bedeckt war. Am 10. November wurde durch heruntergefallenes Takelwerk das Thermometer mit der geschwärz- ten Kugel zerbrochen, demnach wurden die weiteren Bcobachtungen mit den Thermometern Cels. À 1 und N°: 3, die bei der Hydrographischen Hauptverwaltung verificirt waren, angestellt. Die Kugel des einen Ther- mometers (NX 3) wurde so gut es angieng vergoldet, die des anderen (Ÿ 3) geschwärzt, worauf beide, an das Gestell der früheren angepasst, wie letztere ge- braucht,wurden. Nach den übereinstimmenden, mit Hülfe beider Thermometer beobachteten Anderungen und den klei- nen Differenzen in den Angaben beider zu urtheilen, kann man schliessen, dass diese Reihe der Beobach- tungen ebenfalls vollkommen zuverlässig ist, wenig- stens bezüglich der Temperaturänderungen. In der folgenden Tabelle gebe ich die Resultate aller Beobachtungen von 10 zu 10 Minuten; da die Beobachtungen mit den Zwischenräumen von 5 Minu- ten nur an wenigen Tagen angestellt wurden, so ent- nehme ich denselben nur die Ergebnisse von 10 zu 10 Minuten. With A er | d e Or t 1886. Breite. Ne DT M it + "ém a g. wich. h ai h, mn A mi A m 6 QU I MNE à bp. SR à és: h 11 40” ru 12 010" November 7. 18°55'W — » 8. 19 12W 23,18 99,84 929.57 97,27 29,88 10. 28,05 27,35 27,97 97,10 27,47 97,67 97,84 27,19 | 27,49 95,5 26,56 25,89 25,37 34 OM 34 15W 5134 55W 85 29W] 2 a 56W 5,4 18 36 48W 26,37 0. [19 108 37 5LW] 25,97 ééenber à [22 53840 8W 24, 97 95,37 A 26,19 95,56 95,29 21,37 26; 25 25,36 | 21,40 23/19 21, 537 98,56 21.57 925, 7 22 7 26,09 | 2 26, 17 1) Mittel aus allen 18 Tagen.…. 26,08 2) Mittel aus 15 lue von 1” a. m. bis 1 r p. 26,12 3) Mittel aus 13 Tagen in des 26,05 | 26,11 26,04 den Tropen 26,05 | 26,16 4) Mittel aus 9 Tagen, zwi-| | schen 10° N und 10°S.....1 (27,46) (27,51) 5) Mittel aus 2 heiteren Tagen in den Tropen. 6) Mittel aus 2 Wan: Pigen .-iù den Tropen,.:..,....: 26,07 | 26,12 CR (27.52) (27.57) 27,67 | LA FE 7 L4 27,65 | 27,81 | 27,62 24.04 | 24,03 | 23,98 26:02 26,09 26,13 27,63 27,27 23,88 28,83 26,09 26,08 27,56 27,59 M 26,02 26,07 26,11 27,51 27,53 23,90 26,10 26,16 26,19 27,59 27,39 27,53 27,58 27,47 26,03 26,13 26,21 0 où 26,17 26,20 27,37 26/07 | Ex 29,37 7 97, 63. 259 | 27,29 26,47 25,47 Le) 26,12 26,16 27,54 —— (26,08)! 27,44 (782) 23,93 Lo bd | 23,88 | 28 95 Bulletin de FAcadémie Impériale BEMERKUNGEN. ”: November 7. und 8. Die Sonne war die ee Zeit über in keiner Weise durch Wolken verdec Le] » Nachmittag. . Die ue war die ganze Zeit über durch Wolken verdeckt. >. Vormittag bedeckten von Zeit zu Zeit leichte Wolken die Sonne. . Vormittag bedeckten, mehr als am Nachmittag, von Zeit zu Zeit leichte Wolken die Sonne. . Die Sonne wurde die ganze Zeit über in kejner Weise durch Woïken verdeckt. . Vormittag Se ds leichte Wolken, dichtere, die Son Nachmittag » 20. und 22. Vo mitlag. ‘bedeckten Wolken von Zeit zu Zeit die » 23. Nachmittag hétéct ten von Zeit zu Zeit leichte Wolken die Sonne. », 24. Am se: schien die Sonne kaum durch die Wolken hindur » 25 . Am tag mm je Wolken den grüssten Theil der Sonne und um ” überzogen sie dieselbe voll- ständig ‘ Vormitag at Wolken theilweise die Sonne » 28. Die n ar die ganze Zeit über durch Wolken ver . Die rene wurde die ganze Zeit über in keiner Weise durch Wolken verdeckt. . Nachmittag verdeckten Wolken von Zeit zu Zeit die Sonne. : : December 1. Gegen 11° a. m. und gegen 1 p. m. verdeckten Wol- en die Sonne Die fehlenden Beobachtungen für den 17. November von 10° 50" bis 11° 20”a. m. und 1*10”“p.m., so wie für den 18. November um 10° 50”, 11” a. m. und 1” 10" p. m. wurden auf Grund des mittleren RE turganges an anderen Tagen ergänzt. Alle am Schluss der Tabelle A D a res Ergebnisse zeigen, dass ein wenig vor dem Mittage und gegen denselben ein kleines Sinken der Tempe- ratur stattfindet, so dass sich 2 Maxima, das eine eine ‘}, Stunde vor, das andere eine !/, Stunde nach dem Mittage bilden. Diese Erscheinung offenbart sich am besten in der _ Nähe des Aequators, zwischen den Parallelkreisen 10°N u. 10°; hier erreicht der Unterschied zwischen dem Mittage und 11° 30" a. m.—0°,16. Bei dem Be- trachten der Beobachtungen für einzelne Tage und bei dem Vergleiche derselben mit den Aufzeichnungen des von Wolken bedeckten Theiïles der Sonne kamen wir zur Schlussfolgerung, dass, obgleich dieser Um- stand auf den Temperaturgang an einzelnen Tagen einen kleinen Einfluss übt, er doch nicht merklich auf das Mittel wirken konnte, da die Fälle der Bede- : AE verdeckten Wolken die Sonne mehr als ckung der Sonne durch eine Wolke sich gleichmässig auf alle Beobachtungstermine vor wie nach dem Mit- tage vertheilten. Zur Bekräftigung dieser auf der Corvette «Witjas» erhaltenen Resultate ist eine Wiederholung solcher Untersuchungen sehr zu wünschen, wobei es von grossem Nutzer wäre, an jedem Termin des Ablesens der Thermometer auch die Bewôlkung zu notiren, da dieses Element jedenfalls einen Einfluss auf den Tem- peraturgang ausübt und vielleicht bei der Erklärung des Sinkens der Temperatur gegen Mittag mitwirken wird, indem ich der Meinung bin, dass man den von Lenz angeführten Ursachen dieses Abkühlens noch den Einfluss der Bewülkung beifügen kann, da ja eine starke Verdunstung und ein aufsteigender Luftstrom eine Vergrüsserung der Bewülkung gegen Mittag be- fürdern. Über die Synthese der Eiweissstoffe in chlorophyllhal- tigen Pflanzen. Vorläufige Mittheilung. Von Chra- powitzki. (Lu le 26 mai 1887.) Die neuesten Arbeiten über Chromatophoren von Schmitz, Schimper, Meyer und besonders von Za- charias weisen schon darauf hin, dass diese Gebilde eine wichtige Rolle bei der Eiweisssynthese spiclen. Um diese Frage genauer zu prüfen, liess ich Pflanzen die in ihnen vorhandenen Reserveciweissstoffe verbrau- chen, um darauf den Gang ihrer Neubildung vermit- telst microchemischer Reactionen verfolgen zu kônnen. Ich benutzte dazu die von Raspaille, Frôhde, Mil- lon und Zacharias empfohlenen Reactionen. Die der beiden Ersten sind am empfindlichsten und ermôgli- chen, obwohl sie die Eiweissstoffe allmählich auflôsen, nach der Intensität der Färbung der Präparate an- näherungsweise deren Eiweissgehalt zu schätzen. Die weniger empfindlichen Reactionen von Millon und Zacharias bieten den Vortheil, dass sie die Eiweiss- kürper nicht auflüsen. Um das Verschwinden der in den Pflanzen enthaltenen Reserveeiweissstoffe zu ver- anlassen, liess ich zuerst die Pflanzen im Dunklen ver- weilen; allein dadurch wurde das gewünschte Ziel nicht erreicht; die Pflanzen starben ab, ohne die Re- serveeiweissstoffe verbraucht zu haben. Erst als ich Wasserkulturen, am Lichte, in stickstofflosen minera- lischen Salzlüsungen aufstellte, gelang es mir, die Pflan- 97 des Sciences de Saint-Pétersbourg. zen von Reserveeiweissstoffen zu befreien. Ich benutzte dazu die Knopp'sche Lüsung, in der ich aber das sal- petersaure Kali durch Chlorkalium und den salpeter- sauren Kalk durch Gyps ersetzte. Ich stellte eine Lü- sung dar, die in einem Liter destillirten Wassers 0,6 gr. KCI, 0,6 gr. KHPO,, 0,6 gr. Mg$0,4H,0 und 2 gr. CaSO,2H,0 enthielt. Die Samen wurden in destillirtem Wasser zum Keimen gebracht und erst als die Wurzeln die Länge einiger Centimeter erreicht hatten, in die genannte zur Hälfte mit Wasser ver- dünnte Lôüsung_ versetzt. Die Pflanzen wurden darin gelassen, bis die, 70 bis 100 Cub.-Cent. fassenden Gefässe für die Wurzeln zu eng wurden; hierauf aber in grüssere, mit der obengenannten Lôsung gefüllte Gefässe übertragen. Anfangs entwickelten sich in dieser Lüsung die Pflanzen (Phaseolus, Lupinus, Pisum, Cucurbita, He- lianthus, Cannabis, Zea und Pinus-Arten) eben so gut, wie in der Lüsung von Knopp. Allmählich jedoch er- wies sich die Entwickelung immer mehr und mehr verlangsamt; die ausgewachsenen Blâtter zeigten nun | keine Eiweissstoffreaction mehr, während junge, in Vegetation begriffene Pflanzentheile und die Siebrüh- ren auch in diesem Falle bis zum Absterben der … Pflanze Eïweissstoffe enthielten. Beim Vergleich zweier gleich alter Blätter von Pisum, welche zweien sechs- wôchentlichen Pflanzen entnommen wurden, deren eine in stickstoffloser, die andere in stickstoffhaltiger Salz- lüsung erzogen war, stellte sich eine in die Augen springende Differenz in der Färbung dar. Die Blätter- stücke wurden zu diesem Zwecke zuerst mit Alkohol entfärbt und dann mit Zucker und Schwefelsäure be- handelt. Das in der stickstofflosen Salzlüsung erwach- sene Blatt blieb fast farblos, während das der stickstoff- haltigen Lüsung entnommene eine intensiv rosa Fär- bung erwies. Meinen Beobachtungen nach bedarf die Pflanze gewühnlich 1 bis 2 Monate, um die in den Blättern befindlichen Reserveeiweissstoffe zu verbrau- chen; hierauf beginnen die Blätter zu welken; die Entwickelung der Pflanze steht still und die Pflanze geht allmäblich zu Grunde. Wenn man, nach dem Schwinden der Eiweissstoffe in den Blättern, die Pflanze in eine Lô- sung von Knopp oder überhaupt in eine salpetersaure Salzlüsung versetzt, so lässt sich schon nach drei bis sechs Tagen in den Chlorophyllkürnern eine Anhäufung der Eiweissstoffe microchemisch nachweisen. Es gelang mir auf diese Weise in einem sechs Wochen alten, in einer stickstofflosen Salzlüsung erzogenen und von Ei- weissstoften befreiten Phaseolus vulgaris, nach sechs- tägigem Verweilen in einer salpetersauren kalkhaltigen Lüsung, in den Blättern mittelst Zucker und Schwefel- säure eine intensiv rosa Färbung hervorzurufen. Einen merklichen Unterschied in der Färbung, vor und nach dem Verweilen in dieser Lüsung, wiesen auch die Reactionen von Millon und Zacharias nach. Bei Cucurbita Pepo-Blättern trat der Unterschied, wenn auch deutlich, doch nicht so intensiv hervor. Sehr gut war unter denselben Umständen der Un- terschied in der Färbung in Blattstücken von Zea Mays zu beobachten. In allen diesen Füällen war die Fär- bung bloss auf Chlorophylikôürner beschränkt. Dasselbe Resultat erhielt ich bei vergleichenden Ver- suchen mit abgeschnittenen Blättern. Es erwies sich dabeï, dass zum Erzielen günstiger Resultate die Blätter unter der Lüsung abgeschnitten werden müssen. Schon nach 6—8 Stunden konnte mittelst Zucker und Schwe- felsäure eine schwache Eiweissreaction erzielt werden; nach zwei Tagen färbten sich die Blätter ziemlich leb- haft rosa. Phaseolus- und Cucurbita-Blätter gaben das gleiche Resultat. Blätter, welchen statt salpetersaurer Salze Asparagin als Stickstoffnahrung dargeboten wurde, färbten sich weniger intensiv, doch konnte auch in ihnen nach 24 Stunden eine bemerkbare Färbung der Chromatophoren mittelst aller obengenannten Re- actionen erzielt werden. Die angeführten Versuche rechtfertigen also, meiner Meinung nach, den Schluss, dass die Chlorophyll- kôrner als Orte der Synthese nicht nur der Kohlenhydrate, sondern auch der Eiweiss- stoffe zu betrachten sind. Diese Arbeit ist, unter der Leitung des Herrn Pro- fessors Famintzin, im botanischen Laboratorium der St.-Petersburger Universität ausgeführt worden. Neue Erwerbungen des Asiatischen Museums. Von . . : C. Salemann. (Lu le 17 mars 1887.) Herr N. Pantusov, beamter für besondere auf- ee trâge beim kriegsgouverneur des Sibenstromgebietes ne (Cemmpbase), sante im herbste des vorigen jares der K. M num ee Geselschaft fünf Perd Le, . Bulletin de l’Académie Impériale 100 handschriften ein, welche für das Asiatische Museum an gekauft worden sind. Im folgenden gebe ich eine vorläufige beschreibung der selben. I (Persisch). Ne aa568,a. 24 X 18,5 em. 251 fol. 19—22 lin. à 12,5 cm. Lake, ob vel. Rieu I, 164. Anfang lv: äb Jul, Golwles es ES) af > Ji L'oE ls QE ge solere, 25 ve Sbl ble +» ue Lol (3v.) à) wléñe » ALT de Sa ile ae, is ils olee) LL ee Eh ot She el ji de Ji, au Ja, but Ji 25... 1, Cu sul HS cr [über der zeile ? us] pl ue Je ll = [am rande (ei, 2e js Le (ONE os af] Cl ue 4 re ‘4 ploi ls yo) DIR us gé Syene j) ais Ja D GYl 5) Jsse JS ss oil Ule 55 Que codes Jil of Lebs Slibe nb Dit lle JS (Quels D,» vil ass Cab : à Cul EL olsu, agi et DSPIS TE Der titel findet sich fol. 4 v, z. 12. Le Pob 5 veu us cles Kb Al sé, ex ;L) à [am rande »l3 lue] 5)5 > re sf, eh) Fol. 83 v: sm, ét 5} ds! _35 Pl > ar Fol. S4v: a aël > Le y Qui, AU cpl els le is ab ouh ss vi pl, à , cymiess Lo] #7 1) So, OH, hier und am schluf des ersten buches; die bei- den anderen hdschr. lesen fälschlich EX, die osttürkische über- setzung p.11 hat L} ab. NE 2) UM fügen noch hinzu: lé 5, elbiul sue 2e,L 3) So alle drei hdschrr., ob türkische construction anstat els SU? T p.12 hat: (ll, 25 ét Ds os Fe LR >» _»P MA) üll [am rande mit bleistift sl] e ss » UE) ls >L 2} Jate 4 IL] DE Ua lL Je ull, clé. 0 0 Dub il LEP Reis LU r be . OBS te Line (f Li) Das zweite buch begint unmittelbar auf der fol- genden seite, one irgend welche überschrift; fol. 85r: La 2) Glulss Las y Uluos ss p Ji JS cp) JA Lise ( UY1) PS 4 ll JD HS : A1 lee asp œil, d'ail ié ES Am ende der geschichte des Sultän Husain (} Lab us OL il) reg. 873-—911) von Herât widmet der verfaBer merere seiten der biographie von gelerten und dichtern, welche an dessen hofe geblüht haben. Ich drucke den ganzen abschnit hier ab, und bezeichne die neu erworbene handschrift mit P, die beiden früheren mit U und M, die übersetzung mit T, vgl. unten. Die folgende überschrift ist dem index zu M entnommen. AUS yes has, Lip pans CHBLes re) cl Xl ln rl 5l css QU fme Lel L ne LS >) ue) jl Dy sel G LS 5 ul Dy Je case Jloë gloil 5l ue spot oui, het ous CS p Jul JL is, Je “oue CL os Gr ep 3 à lb ous Bb ob bo) ;) Lie Le 5 sl, ul ais Ile lb 5 Ji hp os los Al lobe 3» éb JL Hat af Jus leu Cuke gs ‘ op 3) Je MERS ob] Jlo= WA. al,1} <. af” posé Je, rer 5 2%. Jp be üLe; Lls af aile ol], fils 5 J> els pe" Cell Ci Ce La 4) So die drei pers. hdschrr., die osttürkische pag. 184 ein 5) So die drei pers. hdschrr., die osttürkische pag. II,2 j9-gae Junlt le. De purs ober c) om. UM d) add. j>, UM > 9 € l3 Je T à Ju, UM Leo T 7) yuele P 9) add. œUM HD jSBUM>T i) om. P a) P 106v. U Sr. M 165. T U, 70 à) CyUL. cpuus Le UM 101 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 107 gel Spb Gé Lois 5 gb 5 af ae at se Ro Lol Made 3} ae af 8565 cpelis AG lueb 4e go ë Fois De Hs lise ls y Ch sl, ps Sois cr) me Hp 5 55 o2f pbs uLbie ele Jy5 be el ul &5 2» 65 & Obas fs m, lle LÉ» by ES gs > af Os) SEC, ue, ft or JS SY ai) 3 aë, Pouce se ose), Lis IST) > Lol De plie LE) plu a$ls rs PR) ps oil af ds OL pag A 55 © Ubylail Bus 5e 2 als Al (ob eue Jaie blé Lele le y S S sog af Jslojue ds]l ado Re dl Je JS de ob hs ST Gb Go ls 51 gl a Le 5 ST, ob FA Ds "eo 5, übe Le JG Lo & fl pie all vas (us als tp oil code «39e >> il eu, * és; Uyss Ji del D Cr Cyye cités) > f ob af JL 9 «jet el F3 çpes Cp bles sales Ge € se go ou. 55h, fl He) pull ae PE Ho Fois pts + LS ne phb if, ne Qi Ciyes ol es de J1* le ULXe 5) La ne ie lien jus Cul D Je) Dore UM 0 du D: eo DUT q) om. UMT ») less 6 Jepbum Sfr sum es T Ce PQ UM TS UM 0) » Olil Li çsle UM, aber Ji,5 Ko Yi és 1) om. P. j> (cpl UM als je T a) add. af P! ü Q@P DT 4) om. UM ü) P 107r m) a UM>P 0) Lu (ç) UM p) ef Rieu I, 85. LS U 84v. M ol) Ebs;, UM ai, Ms sir ns P|P els UM FT Ml 2) SP pl T; von stern zn stern om, UM 166 | Dig JE Lil one JG of ox, LÉ» Lie Ji) lus &bl,,, LES all cl © PS ça cpl ,b rt EU alu: (9 5 ES FA MS Eu 52, 2 dal ol SEIt Ji Re Re CS OP an ne 5| ie cos at ) LC Les ie dun ls 9 pl Le cs sb K üL$s Ju pe de ue ge üLSs JLs: Et Le » us re lc 2 dons‘ Cas Uy—> ‘a pet 3) «sl por} 236 Dogs Sil sue ! Se Es, Les dd 3 sims all jet ge cu A Re AT RE eby gt Jet Lun nb 5 5 + ble Le els piles 5 LL Lo honte Cle Cut us Le ES = y—e pe, CL Je Le pull, AN xt CL 5 es (1) nb UF ae aE Ab ol Jp gs OL Le Ole; > af use lle vil, PI és ll 8 ue ol el, dl, Ji prle Le d'ouis dl 35 il ele el ve pull 5 b) TE oo) UM; von stern zu stern om. P ce) T Cuiaf UM ec) T 72 d) om. UM f) UMT JSl,s P ï) ,G, UMT Dom.P m) [J%) UM OM» ce Jp norte as]. ï s2#) Dr 2 9 sl » + n} «JS UM o) om. à ë Re Die überschriften gebe ich méist nach P one die varianten, von welchen im folgenden überhaupt nur die wichtigsten an gefürt Wer- den sollen; und da M durchgängig zu U stimt, so es nen- nung des lezteren (l P 107v- 9) le se P de JÈ s i) om. P Son di) J> Cols nes ls Koh sé Fi. ne add. » U Bulletin de l’Académie Impériale 104 MED a el MUR ME ar can Uys ‘JL ip auf cpl Je) 5} aGT TL ail Use De Ull sie 029 oil dub ol, y pull pis Lee He (555 Dil sk pull Ja bs re Ji pe (555 be ul c}e als er AS à all, gli cl als sue Jol pu äls, NS, ME ‘ol al, obiall, él él ous &le xl eu as ae if pol Jeu Be 5 (+) A EAT &L ; Lis ai ‘Cu , les; pK #4 cl es = abs ;) Di 02 (5° LJ,}, lle, Ca Jp, LL 5 "ol Ju >: RAA ER ES ue ÉË Hye HS >qume y pe L aus ep) af Del Je nel ée Jil op Lee gi Cale Le Je ne 2 »L° als (9 de in Jil 029 ll Cable ju fly fe ail are Jigfee de Sad Gé Eee es Cp à y ete | Las at Sel D DFetin de “En je DS of np © + Fi Cl) De) Dr Cap üh pl VERTE 2 Less oh He phase ÉE re CPS ##ob SD ui de ons aura Vs, ,e 5b Ve Lot ol gi sl ce pS ci » us Cul LS eme cpl af Julo ire, HP sUess LE, » CE, a Qi ps fui CSS lée | nubrabs,bT + . 78; ivgl. Ua) be ed. Lees (späterhin Naf.) nr. 451 _ t) UT om. P RE UGET ) U 85r dd y) M 167 je rss Le, pol Cul JUL à et oil on ce ob cifob je TR > Fi Ai 45% poil Jeu Le Gb 5 SH) PT ARS | Lhe es Le C] J> op Le by gl ble ; 12 € f je Ms LA, Less pl Le is US af Joe pare ji] PO SM . d 9 ED pe” > SH aST Caulie 6,3] Ets fe as Sur LT, Ji ? pre ele Ju QE De de OU} See ST She jus ° Sel, ca 5) US am ÈS gb Ole CA, SEL Cal 4 238 Cet UE piste JU Us lis, OL (hs af ogé Cylil Cu 2 ol. y ll em Or oil Cas Fed a EL _» Fed C2 5 #59 er hs ? É b Yo ss laits pi Joie ob » Use por Au Fe FE Si, csU) hs Gb FE Sul, ‘ me pol Jan Le, É pri ssl, A on Cal Ji ai c Os 5) Le a Lo aise jee ss Gi, il alé É Lee pl Ha res nd DISC Jé (sos > L 2 > S'anlee 1, spl Ge fssi Ge lb Le] os CS ME AE à br PA AR a a Ju pol Jam Lie 5 r Us obls » 4) ei JL ve 51 ve gile Vie pue | le ui Te a lu Nassl él sk) Ce b) Ale P; T übersezt: js p] pal, ds Lule JJ 2, al a), Lise Ée Dé af DS Jai sépyle Jes dl, | gels nl ni pr) 28) Libre Nes c) T 74 D LU CU soi, Je F f) »b 7 Je ab T g) P 107% 4 Ts>pl JL à je Elioli,s, als ObUJsé ÿom UT FT ee Jp PE dl & Gs 5, (sic) Dot. ni uls hs 5) ; LS (sie) J5 a) om. und danach y, P e) om. P : 2») pu Jus sp) és. Ls2p) 1) des Sciences de Saïint-Pétersbourg. em Oil cou 5 Le LS (Hs) ce &ls Coll Lis al; ve oil k 5 L, ds che usb Cul, y de, Jus, Wii gene js le po J> ee "Ex, Jilodp se «se _p le Jyoill #1 ée ob pu > 2 Too aGls otime ? ll os y Ye en aÿl;] Je* Ji5ge ane ou), ol Jëb übs Le ST af "oil ossajine il au, als use Par € ne ER Si hi tSlsle Golss li) SI JE pylae Hire (sui Le rca ee oi Le ct ge sé » wi ls Le ue es ve. Jel,s als pes 6 J Ole pull Je LS (re) ut els LE Jel Use w,| Qlisl ol oo 5 CE 51 auf cpl sil anis Clés del,s eye a pol) DE az) af Jioge pare pl oi Spée 32) ape ads Hs pull el as) Lx oH Ju lil oEb Jsb Ab, be âc)> Hat af Qplitte DST af Ji ovess als Jil o3é Jys QL|. TE DE, C9) bal e, JS Jos Li Le pl de al, Jai. be + aile yep? 65 Creme 1 Re pa LEE op lil &els xs af Let; sh 5 °} «sl ct er sdb “5 m) vgl. Naf. nr. 449 n) sic PU nn) sic P, cett. om. 0) om. U;T ki 35 pl p) U 85v g)om. U (> ee med als, ob, LT r) om. U 5) pie om. Lu FL... yeT t) T75 u) in P auB gekrazt, aber auch T A v) M 168; zum Le P & T pe (am rande L [d.h. | ll oder Lo En Es U cM! y) ls. FU 2) add. cle U bP arr folgenden vgl. Naf. nr. 443. #) om. P x) ; a) om. P ul dE jo JS CL) PES PE | dns Us as] Ce > US eue, 'aïab ps Si af LL 5] ce on als yes LU «S, Bu d SI* Us! li) r? a 3," Lans lil Jb » 1, als pe dE as LL gius perdit Oil of Jyé Lily) los cl Er 5 Lo dle2h) à où ge D ob bus codll de af ui fe, 351 05525 2) al 6 eu Os Js ol, eu tal él L ne Je ass Js 3 JE pe nn a Joe, COLA Lt ee MEL A Le) pes TE An Eli Jus il Jly! EX Less” 7 dl Lt Ds je el un af pol ls RE ÉPAE ra enr S 9 CY] P om. 03 Ti cpu ST af 'huls Ole, als: af jt il Ss Jys = ue SLI, ail Cu Go) As fase JL Ex La, Jo “se ol LU ane) hit as cuil Le 5 ous ail Do > ps) bb a); JE Jol ps, mb d one P domuUT PU ve. T: éLs,),] re blo re: Fo P LS bles, P S ; U Naf. fe i) FRS U Naf: dise beiden be lesungen ERA villeicht in it sb se ssl den text gesezt werden, aber wie die an gefürten beispile leren, ent a nimt der vf. den Nafahât selten etwaB wortlich #)s. Rieu IT, ee DU me P aus T m) add. als JS U>T n) sic PU; vel. Bull. N XXXT, 434 n°8)= Mél. As. IX,231 n.8)? G T p) À 5) U q) für das ganze stük hat T: das D pes ans » op» prie, folgt pag. 76 + 0) dre pre nr, 444. 4, , À ee 107 Bulletin de l’Académie Impériale osé CE + ue sl le > pas ris EE LR Se af ARE 9-5 SA nid ee D r) UT om. P 5) D» él af 0: JR) CA où) Ti om ar. Das gedicht, welches auf den ersten blik nichts weniger als mysti- schen inhaltes ist, findet sich in Gâmis erstem divân, in der hds. der K. Off. Bibliothek Dorn nr. 422 (man beachte die wihéte Zu- rechtstellung bar. Rosen’s in den Collections scientifiques de l’In- stitut des langues orientales III, 252 #.), fol. 452r: Fi ob JE M ELT] 62 ER 9) A RENE SEE Ho Ji 5) + OLS ES De ge af OS a Re nr PES PE ter J— RE o pl VU? ul >» J=) te Led MU D Ce o CL; ps pre vise lus SL ÿ Cal, ol aus ls , His de “ dec 4 esb; 5j De ns LS me 5 L + Ur. u) vgl. Naf. pag. &OM. La de Æ <= EL du ce a: j af se) ENT 54 [+ EE - Cal J> rs Ce) he SJ) Ends) pi ce 2 gli gp gb Su «file Sul vs ARR jye#l Cas 0 ol 5} x, ex deb Le} a Jus, nd dsl, ? ae BREST els pol JL o) Klxe, Jils | ea ÿs Spreu sm 5) V6 > j> hole nt de Let bi Ge Las af por Js Ds ‘ 3p Ji D JE > &ls es Ja Lai UE" Ur pis) oi) che Ji je 2e Sao Ja Le Or “ue ciel oo) Lit RUE DE be JD ais re Jaf ss ul nie de co pe D “us aGT LUI (hs °uaill of Cyge pi Jidel eye 5 > (ont Clé ss ede.b Deus blet cl Haddad pt ns üLes 9 af il ile, Fe. Ji] ais A a eue 9 US El LS ob Ji: s lé #b opte fs Jill LU J> él (4 DE LYre cab) 3° CRE y) Ja GI, ee ul) ee se ang : De ülis] es = 029? nee ET au side dure HA | di J> ne CE v) 80 PT ÿäle UM w) M 169 NE UM! y) P cf. Dimisqi VA; one punkte T Fe UM! Lit Naf. ul Vall. ex Ferh. Su. ét nine SR ae aa) om. P : _€e) ue FR A Rosen, 1. c. 122. 139. 9 n F4 109 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 110 1 oil Ji vlus, on Ce JU c5) 6e oil ‘éL 37 AE üle; ULs ol es Le Caus, * Cal Gil Ge God Loire he YEL ar LE sole D) af Leesl À pl se PSE eau LE 1] do os ess JS], Ja à OS Le Éhaes b y sil es Ulysse Çs22 7 49 0292 Fes üb J je. Le si. su : 3} lo af Eu jbl La so af oi Le ge)l Je Li, AU, sl LL ep lg G tel 5 sb] JS > BY Ces pr Lys, 4 af Joss (je 4 José tbe Ole ER a Das QD des © oi Céyels rl lue où Ce LÉ ue Ji yer Ghl Dabauu D, ls ba ares Co Dali Las 4 a Ci] Pts is 5} Dis” CstE) C2 Cal cpl Géslbe DS eos 05 Pr PA] obl ae a Cane : pl belle 9 DE el oh sil LL lil es La O3 pou jo 8 Dis gi dj ae Lg endt eyés* t siuel çsL» aol de 39 sh # él Qi li) EU Ve GX. °C es Je » Je robe, üLLs J,13e Un à h Came 5) T, om. U k) Qaësb U, das ganze stük lautet in T: pl I QU“ f é> É d5p ée lle Elise af Lun pps ESS J,) el a y, p eee sic p Up és op) LÉ ] cs) 25 Leesb 33 JD») abs Qéws pl ee eo 1) Le Gels) hi li) Gel 19) us HI] VU” f ads joie LA EnUue > 0 ONiÉ unklar 1) über der zeile P Nil Li m) Gb U nñ) CHE: 4 0) U 86v p) P 108v; es ist nicht die von bar. Rosen I. c. 233 nr. 24 erwähnte qaside, auch findet sie sich weder in disem codex, noch in Dorn nr. 422 (freundliche mit- teilungen der hrn. bar. Rosen und mag. Zukovski) anderem reime: Cody, und UM: Laure 7 r) om.T. rr) 55 P s) M 170 q) T 78-mit Le ©) ls “poiloste Dei Gp oil Qies pr vs CL) LL) el) lp “af pl Ls LV, Jé (US des UE sb Fer des (J2ye Da ue "ge bb 39 LY, ass Le JL pl ge "we pie Lçys* af li Slt PAIE Jo» - es Le Ces LES" asus) je 5 D Jless 59 ot Lure ue es sh XL pl à Lyme y Vie db SE ss a Jiopei, Jus Le je ILE ns Vive) ais SU ST gl, ob 3 cp Pn das de opt dos re ss 55p € Dpt SSipes pou Cu? ob lil eu, Ale; HDp 579 pus ms Ces PCR PR ‘e _. Li db. tie Cas puni, sb pe QE as 9 LE lp af J554es OU pu, he (pe Le Hyl Ce Le 4 dl ouf, à (ere kel af JE pli Eee 2 Es dé ut Jid9s ES Cle LYe Cas ‘ Ji pi hs Li op GSLE, ab] °, UN GAS QE EL) 54 Be eus ais be af yiges Lg cenui use pe, Rul ypès Dig Uel Jiipust JU Cés Le }e QI JAI pe slyil af Jùf, Hip D sl L LA, >» OL) Dès sb£b af, el Le DIE Çp39 ee af p y fi) olif (hs af uses Qos geler le G ul Lib js il Lo, L jf os 5 Pr ae: a Ji53e 5 Dp (LR 2 5 nues, JT üle;P u) om. P : pool Oligl che sie Le yste d) om. U e) Ka le T 5) LI UT J)T79 schreibt beide mal case = 2 om. e. _àP 109r Re î) be d: ge sl) UT; me 9 200. Ce _p P, mr Sr ob lue) QG bas js 0) ALUT |æ) T des PU y) 50? JP: om. T . z)om. P,in Tfelt dersaz 0 NU SLT AG Leo olsudeu Ir Bulletin de l’Académie Impériale l 12 à : AL "LS Que 4ebl lon og Cale 23 ai 025 m5 Us Ley) F2? 3) os 55 LD LS Le ous Ji Le S oé sp cet sols Gi BI a Je, CUS a nb RE LA, 59h "95 Jésjen 2 S dj; Fu Jo nee DE JS jen as sus Lili rc D Jp oJel (to ge UD œls SU P & le BP cure : d$ cl Lee Las Cul op Ts lus Be eus #be F le es etre Sal 5h af rs nl 5 5 Of Gall Caluil Gl Gé can sg OS p5h eb5 port hs Cul ppice “Calfasl,s Qfs af lsl, Le Cl 5) *oléel cet Caui pl Suisses Ole pl >, vix,6 Jy5 De ose sl, Je Ce 5) op Cu, °L 0e ao à ) 2? POP NE ET GE pla 44) LE Ds a 9 poid de Le‘ Lis ab Jules Lakule Die ‘2 Lie v Caus > SE eo 235 Lee Le bel | à Go Jp eyes Jp Lol *U,e Caus eu) ob aus Joel pod PL à se di (pr Lo os ee seul) sut set Lie Eds her me boost, Lh,e Gyie “LI, y} Gide 55 sis af iles Ce I, pre ul Ja ps © Ciloasse, pui ile oh ai ent JL = ob), ss Dé ce JE le EL LL «GT Ce 51 les. 1) T las 29 da er «s2»l ae pb übersezt Jeu. ») LU 9 pee ut 8; 2er | L a el ue ) s) U 87r t)T, om. P, lit 7) deT, Ru w) om. P æ) M 171 y) vel. Rieu I 351 2) PU BJ JT a) T 80 ù PJ) U U JS sieP ce) mein zusaz «> Of Su sé ls Gé ples oi yel UE oh | sl» nr ; LA gl 4 Does Ghoe Les 39 ol JE &p us dl hs dl 51 ol Le G fu, e gel 5» Db Ge Jonke 55 pas 5 Ed Gus 5) ue tu Éu o ve at ob de, io els 5 dl ge UI £e Oo ClsS : 5 ps ob le Ju nés p2ys dl ÿ pr übs as]. re LS ÿ, >p Jyabe 295 J@ lee L Li jeu as 5 > LS CS En cpl '&bol, sas, OU ie ei jo Lise Lu, és, "ae dl à vil, us _plle SU pl Cgnbe as] Clara, xl EX 2 #J> oeil ac io EPL, Cie, el St, as] vel plis Cl ges TD pis ce er y? ke] aile ely,* gl Re HAE Vo Sel", ne El, ? Ulps dug aa ee 0 ob y) d) JS U; der ganze saz lautet in T: His ass AVE! : > Cds) jee hs bi vie Er 5 Êe d a)» sh Ja aus ge all dde re cols het h) P109v i) mcinzusaz j) add. 4 P 4) Ç5 ph P vel. T: UJUs Ün le JE 2x) ob lis osabd & Lel 1153) Sas Ki, 25 le sol le Ju ps als Gb » ol 3}, ; Lu clils Jon aë Yi) , ae 1) 0540 Gus DR Jp T! m)om.P n) Rieu I 146 0) om. U: Rieu I 349 ») om. U; Rosen 216-225 q) 4 P œU r) Dorn p. 158; ed. Gottwaldt, Kasan 1885 s) Rieu I 17 t) ib. I 44 u) om. PT; Rieu IT 594 #) Sprenger p. 447 w) Rieu II 808 x) Rieu II 827 y) Rosen 252 ff. z) Rieu IT 876, Dorn 372, 11). 373, 32) 113 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 114 Le SL Dé LS 5 Ne Lu, LT Calle js D. De yo$* Ji] 02055 poxxll He li) ul 4 a j] oyme Gl,l ox Le Ob, 5) Ja ob Colt LEE LT ouf ge af Cul el ne dy) ail; D ur JS Cyés af° La) 069 99 as Jo) ll y 55 ls ol uit ais aueS cpl (sb € Jal ls Ul ue ge) Ye Ye va (o) LP ee DE ES SE sl b de aus abs LL |, oLLs Jp! pl sil GA po) ue de Je 7 dope St Egle Là. ‘ oil Ji” ol) ti L* lie fe NS nl Jpl, rat :jles Lile 5 L''lels dl Jill, Lu po) ce Lie De ai Lio e L'Ubust GI ee ass fol &lss Cas jl avé, se Jll, ll Gil "els Eu Go ai Lilo, Cul ces CS couille Le ç al 09 ‘çes JS SN qi Le 5 (4) JS (69 a ‘Je cd qe : LA, Fa ob hs tes oo res Pie ut — Je Le, gi, ue cpull de ai ee pull n) aLG T d) add. Cu) DE Pi Ts Se a) Dorn 371,°) c| om. T Cul tee P e) sic P je U; o 5e 4) Jp T Ho RE Gt Je) nr | T; das eine stük findet sich P 211r U181rM 360 g) T;o U k) om. U à) P schreibt meist 4295 | LS k) U 87v 1) Rieu II 862a m) JT Le ,5 U n) s0 P (sos, und CP2J T (93 U o) M 172 p) auB P und U combiniert, T hat nur: ,, » + sit q) Naf. 524 ur. 486 Tome XXXII: f) 3 PU» 75 Jo) | t) Le ds TU DEL TES Jim use 465] ue Ji 059 ons Cas us » Le all age ge af Eul jee js le sy 6 afee, Dose Le Ge Cul Dpt Dés 425 op çe ble 55 Lyme cpl LE Le Lie, “55,5 pure oral ele gé “ous ‘LA, ble (je col ue ul Es, > »b 9 5 Éssus see» a25 af sil 02929 _yeC a D SR sé Je (oupé a cp3l 4 aG;) Der Jisée Jltsss some Le 59 pb PRE AU all Ja Fa RER Dyés Aile CS lis ve Qu Je é L AL. ÿL 3 Du Aù JE Le ol Le >p pue Li Le Lol af 230 eye il, YJine Lee >L;) Le el CCS "Le Li LL 5h y 3p D IT Li sel, JS Of, ul af JAI 5 45 es Case cl étels (in 5 Lau pa Fake as SI sl (v) tele ja) Je aelgs 5 5e a a ut CU) bal ue de Gb, 5 Gi, fois dns ,b jus Je, LE Ci, ‘obs & S (4) LA nu ol, ed oh gé abe obl, Ep ol 5 sil le »xb ail JS pol 5e Li, af 6 axe Léh D me | Je ho où EE ANS . r) P 110r t) om. U ce Ju LES ‘ue TR . T 82 y JL, ,e U Lol lp T à SaS plss ,l Lot a) om. P b) des vaters, s. Naf. 580 nr. 511, wo sich ne die fol- ee gende anekdote findet Un à ; $ : A u) due . x) om, p : . ns es : Je “ Jée U, die richtige lesart kenne ich nicht, auch in Naväis 115 Bulletin de l’Académie Impériale sl, De pres bre ‘oxf LT GLLX Je CT QC Ja) EL poses cs) UV? DO bal ns ch a le laut ox 31 LE ele 29 ie alle nf je aGlux Je ps ob 5 5b D) lei pire 9 sf L FL éL se Hé Dole U° A? ob O1 65 pr: LT a as 1 Dieu Duel 5) ue, loué fe fe bp Ce» Lb) 530 gg) ülelus ie) He ioksl af» af 5 GE Gb) ps Chsls pb LS) »L ue ds Jus (je OT =, De és Ubu 5305 (oje Cube a) a 59 | Gil ch “sf cé: elrt sb ee “Eee Cul 5 fus à 5 le Llsls 55 ST as gi ns URe a mule pr dou Ji Le, je Qi! a ar ou "pr Jo Les JE ciphe é m Lay} use sb 5 (55, se ass y] RS lrol ne HR Ph mess Lobles ans AL bu 0e ent e sl oil a 54 Pr Burt, Cu { de 4 OU ue. og Cle LT d'asils CT! é) 80 T Na. > Joe Je U f) S D 25) U Naf. T ff) Fr? Da L pis T hat das erste mal (jneyL, dann | j ia a LT r eL ge» Rs 0 se Jo Ke J,) sic T 83; 5 Jé Je « Le pe pe UT at. h) vgl. T: Eu) le als) Je LI JS SES slt Col nge al) RS coul SL PAT = LE) k) U 89r T hat misverständlich us É= Do Fe É QU sic y 7 IS >>) os LU] Qs y Nas Lo) no sub uw) p) 50, spâter Jolae P KEY: Ls L,.) 2 Et P cpl, U LE) n) M 173; » Li L}, m) om. 4 P, wie üfters ÿ P 110v : Ca | CH konte ich den namen nicht finden | D Lil ALAN C a Pape ae ce JS Ji tbe, JUS Dec, li is és Gr GE 578 Obs "usé LÉ, 505 Ulusil 5h js be Te Les Caf aololi Ce JL Loi Se) Line Je Lei je af Ca éb ÿ, JD Lai és L SE ob üb» É 59 übs y ch Jrest D 9 Day 029€ ire VIE lé Jet elle EDS SES 075 5h; Je ee "5 OH Eure pbil " ‘429 Jluie as HD übe Ju, 5 DU che 2 SUR AE ns he Lelail, JS ss Salé plus Vos ane 51 dog LL > nes ob ls fa fe 2 ge? er des 1; 5260 dass Lol, oploe kaë, caf Lei Deyslae Jylèe pol cpl a if et Code 5 vu 5,6 pl 029 Cailuil, Leds sxi cpl tps) Jane pl LA. ae (4) D + af SI V Ja p) Ye Las abs C5 Jol de nu Lu lue pos die JS li) yes SJ Je Ceÿ}e Je LS ns HT 0% oLls Las cpl cb tél, dl avi jrhe Ulis) topañs Dog, pl glrel Lp QE yes j) per Dsl "pi LA F2» one Que “Cle 5 of els 55 a Ju JL 070 ue à Le eds press Ls},5 >p 9) Jef ile T r) T sezt noch den titel Le davor LA} DT D TS DomU #9) add. & U, val. T Ë 0 ES Jo) Guel él. ni) és Oo» SV > Jo Ls2p) cluS op5lae als ELs Li uu) d> y Jñe P in marg. v) om. P w) U hat nur sui ob US exe l o5Lae ls 6: T's cpl ls Es, «sobs 0 à) U cpl in Y)UT cpu} as P z) add. L u. por pois U a) ? sic P dos T ass pr U! Aie u) add. 53 U 127 des Sciences de Saint - Pétersbourg. us « Gluf cuyge af Lil SL 51 am De pus y > Ji Fe af JS Le web HI als OÙ pus PRE She * Dit ge 0 ve os Ji mise of Us PS à “Jée Le Jus AR Un ‘Lol, sus Le 55 (1e) Hype Vols 6 Use af Lol, une Le abs bl, ef L obls Jel ss us cel, se ültl, Jil Jb oli,] Ch AS als Lie 5 (11) JE 5 GOUS a EU of als Le abs Gb LeytE Jless 5U 5) Je LL âmes TR Le a le 5 Je ef ge » LA‘ all rs Salé Ts Jlol ss ès Je UT >p And Fans als LI Sn den le jé Qé j) po he >p Es) Gluss su) ions po m Ji) Glisl CS al Din pr ul 5 ou Vos ein Lise af pie oil Goap Je DS Le, PCsb y rl ls Jus Sy Von Huiles al 2 al LI, Cal ‘afp Caÿhe fo ie Je pus OL sell 38 sb 5 (1r) Us ;) ie sb; ab }, LE ; TS domP 6 Us Jäile T,om P f)Pilir g) wol der verfaBer der sl cha Rieu I, 149. Rosen 124 (wo LS zu ca h) U 89v à) om. P a Aus! Six «SleU DomUT "MI1% n) add. als, à 0 U 0) Jus, Py)Ds, ya a 4 p) PU, add. Jhols Tr 4 LY,e Pr) Naf. 569 nr. 506. Rieu IN, 926 +) Naf. 565 nr. 505 PE Hu Ci, L'EU se coll dti oJE Qiyhe y Ca} y» ns So Ole 5 LC Jus ble Soil CES cl, po32 uE, LU] NS ont OU, li übe » üLls 3, ol Jlpl, pois ate vil Le}e ui em bus "pes Us 31 Lol os EI plus pl els Dé sb É Æ Je LL, PK. gel) He Lee Je VUs% le Dé al Us Le, * jles mel ds ail Gui prés le y gi sl 5 Lu Sloss 1 ne bai à af Le L) sois LDH -5 are a es ee Je Lu Je DA 8 sl LM a oil É el (1) ge Üle; > cpoll Jus Le‘ gi ils coll Jan EE PEN RE ts lb. RS DU dé d'A de GE 2 Le je lol, eo 335050, op les GE Je af LE 25, A ol os pol ue. ve LI, té oil, ul on pe Co 55 Jel RÉ RE Cas Ji [al ° > Li jl Dsl ne 025 ge ce “le ne | A . age af Ji pe y due Ed 5) D of Ca hf Le OEM C pn] JE Ces ge ff lose Gel Las Eine t) T 86; cf. Naf. 544 nr. 495. Rien II, 853 u) us PV. ) GLST w) om. T x) >P z) cf. Rieu II, 522 a) Hal JE U 6) T87 c)Pitiv 9 Je Cl Lu Gb Ke ue dééans . “4 ASUS us és ee ne lus gl) éks, Ar di. «s>ble T 119 Bulletin de l’Académie Impériale 120 dis culs 5 Le SO old 5) FA ra for Ubps oi er bal Case, dl oui gr OUR Le Ole; Dis 5) p}il À: Ji a, 3 > te sel prb ol La üte; G Lee cake F ls SL D LS dote Do Do Cébls, UE, 5 ob Lite DE su SO Cuilé 4 ie » vebiel Läfl ss a D) D D ue Tele 9 sr ÉË af Jose, pl Ets Le 51 as ‘ls LE] oblil SL , lb vive Jlil, oi Cale 5! L ÉË MERE af Juiils Lef € sé came Ps m pe) ol ? Lac Ge Je Ji) 029 p}.3) Je pes He "ble Je oil y ie nee es > né OAI ws° « vla Gb Le, Pass Qlebls a (op “is a | less |° éé So ob UT sul Coms Juke elE d us Lol pos € af J5se)5, Le 1).3l = pol an SE os es > At ue le É > Do ge sie el be as af (som OÙ is 31 Je D E2 Gb 4 af* Jp se Us PE ob cp A DE AE A pee Les Léo Us | à Cols UT f) U 90 9) >P M) M175 5) i. J.414, vel. im capitel Ju) 55 UE Qype Lui ai, Jelu) lé füslie P 138 U 112 M 220T173 k)om.U lJom.P "”) vgl. Rosen 1.c.127 8.a0.943? 0) T 88 ») U Gys P am 45T q) om. P r) 295 ob Jys es D as af UM! Gus 0, aéas, ps : ME orslls J,s e2alT s) > le» à 5) a? a us Er Us vel. T: Joli ET grd La is «sl Dal Ds = Ne ue ordilèe Bb }22l sé Lo es la «P ? ul » ; Bas LS] JL sl, um ul Lust sul Cils «os col lp lis cpl 4 59 À tb lil "us obLe jun a ol ob, foi uxuilss (arme it a ul ab al Cid, ses ip e Late Jisi se a ojossles aslesl, alle &s, Euh Del Doi Che Jr Su dé 2 ps rl sp poil dé où» El Re Gp “éoor Ci, GE ou 5, ui ab dal doi ses 0 S DE es ul Die JI x pÿ a S phcse Duel, Laure * LL 35 8) FT PURE #3) ar) je 3 e ue x (ir) leu +. us af jliol LL als LG (lo). oL& af" 9 cf CNE 39 RE ais le jl af ls Je Je tou, CAS af Je) us Jo! Us PiPuras ee LU lys 5) as, Lel, gb} 5 | as pale 1 Loeb A si lle ee tte ds Cl ah 0e Ci 95 lébo y Cé, ill Te PE € ou) JLs Des (Ste >] JE pes sl) A +: C9 29 CS“ ç (14) logé synme Lie, (susie * ol al ne, dul che yes fom.P #) om. P, vgl. T: :jn uels als : 2) US$ as Lis y lib Ds S soil 5 ais jL J D, dB de SE adet AC. RS OA C9 üu) (599 np U v) P 112r w) om. P æ) T 89 9) Die UT 2) ,) UM) a) PU > JET DT LUN c) U 90v usb sie T! d) om. P e) sus see : cf. Rosen 125 5, ao, 925 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 12? DE pres re PIRE" QU . ds CS 9 mn Dlosë plat Be is Be Kobe pull Sbè is je Gise, us°99 Jes) hr», déle de sé Else, JS buse Le, LS DD + Lie, LS 2® pe 51 lle ml pl Le ee Ole, obus | à les), sl) 55 li) Én "y al pe lvl Ci JS “ee 2% Os os Glél Us sel vhs Llxs LL, DESSERT J5lisf LL px Jin FE) oral 25 Le eg Le > oil £eb 4b a D Fe ‘s on JLè À Cu) .. Hd &3 da ft Sep" he cŒ er | Ja e>Lo bb, JD Ds Ji ° js 5! Ca LS? Diop lus DL 35 Le * (o5505 pe is gl ail nes (53 Lu s ME Job A 2 Jlsl, Lette “yles] lui ob Lil 555, lui Lil) os ‘Jé ouf fjomP g>UM 4) M17%6 5 >UM D Poe np T Los U m) ji] grec ne U V2 y y D dl Ci pe rs Lis pl 25 op uno ÈT dé pou s) ? sic P vgl. Ui Lo mhS (cos A (hey Je 5) Lie F] ei Lois, T: LE Le Gas lu) él A o>Ls es b L LL, >) YaK 0, heal. 5 Les U u) Rois) p à) cf. Rieu I, 98a LR Me p) >U ne * A RP yet ol LÉ» sl Lee vbs üls af Las sl, Je Sos y Je Lb, U),] yes 2 fase) É es Le ep Cul el : y Li L JUS, Ja de Le Cu) ST US LS Sr IN] é pl Kg) ip Lu 55 Ep» (Sy Y sal Je Le op LT JL Dh) 5 Le cass F & Jo Le Js él De 52 EC dos), Van Doy Qf Le usb» cl Ut ALT Sac 02 Le sale nes SL bi pos ol s culs ce fous, > 5lss dé ns ‘ol cast be vil ous OT ie do à Gens 22 or le Lis ue Le sels x L ile Le af Eu (5e 4 Jisses Sins Le Le el5,bL Qerrbe ps > JE 5 “al o1> ,},5 JE vige La op Gi v) 3 [M 1% one pankte] 1,6 D , UsLsel f “ É : es > U QG ebls LG Cole, se LIST spl JS HÂT wPua + LGr,,6 v Le T xx) Rieu I, 350? D >P [us HU) à 5j ju UM! a) sie PI ee T po U Li M . WTHZ>UM ce) y ag, 0 OLG Gil age dUN à an PU | Re piles UL£, ae Sige OI* re > dl & & si pros ue of oo J pile e aile >> nds Esp al 22e yat. a : Bulletin de l’Académie Impériale 124 a Eu gaie QI Dlésl slt, 5 28 h5ge 335 € bel A LS EL Le] Jéb als 4e SEE El LL Jib >$ 25 O) Jil Cw Jil AS Pal a ppp pè SUP pa As À cr ve ee af SA de ar A pare ne Soi je cé» Ji üh ER eee Ji 55 ol SJ33 pol 23 é | 4 Us7? ra Ee 05) Pts CCE Eee P AE our rt 9 prime re a y=Has ak JJe LeT sil) Je 6h, best ous m 55 ol Léle ji (ons adauil Jshs ST af sise gril syoie Us C5 jlasf lui œb "2p jus sp 25) ol; 1 Cul pu se pa ‘fs f) anders U: its : Dee Sjge ci cles Copa Le Del use JE 55 À 5 Lil ni Cu, 39 Ts CS» «ls Sig Jo ss leLu db, ailes # es Fe ue” . a, b rs 3) G,lae UT ) Qols ü F) abs) axoi T 1) vgl. Rückert- Pertsch p- 174 und dazu Fleischer ZDMG. XXXII, 235 mET RU nT 0 son | 7 aie U g) M 177 Din (Je ne juf nel LS (14) «sal Je (sol Yi CEA DJ > Cul ely ÿ Uels lil, el SU 15 CRI LS af LS2 sluie ufse de ob af 2h © üle cxé ss EG 5,15 VE ve ne his a Lo Di, 548 NSP ES as le Les y | uislh ai Q} Joie y “de ET 2705 &el,s 5) Je Can) : BL az) Ulys Ciyos LE et ne af Lel ii Cape D ps Jus + sys) Je poil oi Lise Ge) 5 out Eee 2 ol et Je me nf 5le ji 5) Ce L el) by OUT ho L ben) Je Leb, Fe ls GT ot Kb) pl 25 es plus ss cp5 L ee phil sell us Hosted Cul ais UN 85, ab CS, als CES Us 4 ls bus Ole pl Dès où Clg CES L aus, glès Je, del Cul C5 as Rs Ulys éb op Le Je Ge Mantes Dsl ju Cul sol SUP J> (yum Gbbke 5e Je pp) Es Be Ce eus LU EC Gal ele tel L Je Jl, Vo plans C4b, FI Lines us che übe* übs Soi à Flu a ou) af ») die literatur findet man bei Rieu 1, 366; dazu Mux. Hukur- CKaroO, Juapr-Husaum-51-nur8-Aau-inpr BB TOCyYLAPCTBCHHOMP H XUTEPATYPHOMBR ero sHauenin. Diss. Cn6. 1856. 8°. 104 pp. 9) P 18r r) vgl. Hukurekiü p. 88 s) Rieu I, 240. II, 609 5) Belin JAs5 XVII (1861) p. 339; ebenda p. 233 ff. die liste von Navàäÿs werken, vel. Hukurckiä p.75 ff. u) aKss asy T'as TU v) T 93 æ) U 91v y) M 178 2) om. P 125 des Sciences de Saint -Pétersbourg. lol üte °J5 Clos 9) Qu pi] Jé lus ps 2 os pe afle à, OL Ouf, Elle © 86 plosl le D 25 eybel lu Dhs 59 alé be oi ,| a sllisL ti ee € hs dlehs, re pos 5) dis Gi ul gl, 5] af Je LL LL lbs > Les 29 ot él 4, > Line ls Le 5 y ab, fe Cale Lliles y Ji Joel Cu, Cale ail y D Sbk ob Le les y L 3 Se) re fe" ol 4 3 lus ©, Le Jelue, pli e& DÉS je CHA pluie OT L af FU ‘eus ls VS AE 1) as js Jet 5 Cr NS abs os ol Le ne a ee Le Jéls Hp fit ce JD Lt üls af Culs se L YyrS 49 rlol, CslE Miel Cie hs TE YS p? url Hib poil, CLS ae Gb ON 5h ui Le es Jète Lis nes c5l, 2 Fa 3) ls Ce Je é pe Cut UMES 9) Ses 2e Léelf Le pli 2x di dat | Ja PS -p NE Te : Sp > cp & Lis Je Cu) op ie "as fes Qu mél Li #1) af ace Je) ? Gé mel DS5 I ET A de il Co on ls L, qus, 5,15 éls jbl ra L pe b'ums,=s (4) OUEL, * [ie ol 5 5 wo El bol Se WomU co) Cul Ole (3b ju U jun JT de e Pl13v f) PT ds U a) >U J3339° D>e mTau JM okbTUilsU HompP vs de m) = Cabas 3 sic U! n\ om. U 0) À P; vgl. Dorn p. 885; Rieu II, 756; Navâi oile| L:J} 17 (hs. der Univ. Bibl. 618) fol. 38v; Âtaïkadah ed. Fland p. |A. T vertauscht dise und die folgende überschrift r) Navâi L e. V fol. 67; ÂAtaëkadah p. FF; f) ee) 5 U Le JS T (pl. der hôflichkeït) Cul 5 Ÿ es > y Gels pie Cul sus ® Cu G y 25 ges Cul jh, LL F Le ete OI da de Fast 51 lois Létes UT ef ANSE Café pp us 2 ole us Jé | Cut fs vds CA Ja) ef 3j Uude Us L asté ÿ fus Café y5 Lb Us Las 5 £ site ous »L5 a SE ml,s (5705 bg RARES | jee er Le cd PO E'iybel pal el CT ae af D, cpl plé os cpl el als Cous 5 (19) * 5,15 > Lai) Lo As siel de jh Cul Late ‘ES op ce DIS Os (539 De es Ur dy 4 L $ U &) U fügt ve vers ein (is ai 28 las JF el pis den Café jy due 77 y) Navâi VII fol. 79v: ed. Belin JAs.5 XVII (1861) 255 u. 297; Rieu IL 651 z) >U a) Navi III fol. 84v: ed Bepesuu% S'JpenRes xpecromartis I (Ka. 1857) 147; Rieu II 651 b) dafür - 1 FA U Pet À eë T, also aa) eë J° in der vorlage c) Rien II 736; Ataskadah p. V d) Cl D LS» e) om. F U L sic Lans hi) dafür opleël pe, Conde U92M179T vo | ee) Navâi I fol. 18; Riou I 640 ee : de q) add. ul U, vom stern an >T “. né se Bulletin de l’Académie Impériale 178 “os 5 Js ul ul, ob ce L téogé JL Ua L (ul de di) dy AJ Ge LS (b1) Ju, Rest 5,15 Sy il, , SL je L$ » cl: als Col Es sn) Dre ) Op ssl “Clayhie LI Le albe WE Jus 65 ao L € Eu) di Lis Es je; de : m ob LS (Pr) dr NRA übe Cul Je eli, Cl Jéb Fa Ge 1e LS ÿbe af LEGLE, * ose béslie "els pa CE Le ab hr ei Jytie sis GTS 5» D a Cul cel Lee JG plhe 35 1 Li a Col ass pl Le ds Cet AL pobe ne ss ALES RL see CRIS ré ” p%ss Lo] ee 5! Dig * eu * Ab LA, 5 ée it LT 0 2 0 | elle or as | lue 3j) UT haben dafür einen 7. vers: î) cui J: r k) 15 III fol. au Âtaëkadah p. na. Rieu II 656; diser ganze pagraph felt in UM 1) P 114 . m) add. fälschlich % U; s. Navâi II fol. 84v: ed. Bepesux® 1. c. 148; Rieu I 351; Rosen p. 125 n}T y U ?) y U RE o) om. P. + qd) sic _ 9 TP alhe U! ef Navai IT fol. 28v t) sie, U hat: ane ea pl 235 31 Dluie fe 5) Lie Li ox at pu LA of x L of vel T: y dv, æ Ji a: “à LA, esse ns U] Lg) Fe ] S D Jar er Fée » Op Mélius, &L poil, É Épulh pl le LU, St Is "pre LOS LE LE Je ue aG) Ce 5) œb ais cola Le "af Disses oué. CSL Las is ae hé, . nee LE plus. Li alle OUL 51 LT, asp dy Ge a F9 ee pas os nes *Ul Clg 5 Code 5h ue d5b lis oies ARE ist, Cu) UE pli, Gb Le 50 3 0e Gb e lobes Cul? als ee o>9Ë «Ab af Cul Uup pe SI odel y pe af EL * Lisp Lolsle je ol af auf LE xl vs Lbe # hd ones LOS vai ‘SL es 9 Lu ob «525 DI* Lo Lelés5 cl 2 5 8 ss Lio Dr? we che pren elles sat LL els be os sen Fa Jin ) PER ee, D die” D? Crème 2e More af pre lo» > eSLSS at dis La Eu "ele Le 5 ma ot ab ls af Be Cofee Us usle 51 lue y | Pamils de àS il vai Emil De a Le urls role bus os (slgalhe Tu Li sf albe cl u) js U v) om. U w) add. ; P 2) NELLs T Ju! y) add. af P! 2 T 96 a) sie P; U hat: sé LL ol US vi $ be, T nur: hs Lib Lall CS Ci 8 me 5) Colle rt ee ha 0) dulss PR le «sos hat A É jadis oJe » ie débLur e) LL. li) u ge | p nd. U, ul: Gé L val. Tia 5 je y}, Lille OI QU plsu ol GIT DUT | “p U FE) Jus U 1) P 114v m) UT n) sic 0) T Jas PU 1) poils QU por RARE q) om. U 129 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 130 ares oi ee ‘JA 335 “JT pu 5 Sole ° Qyiess Che 55 (Pr) LS» 3) Le) bel 55% geo e ) pe Sd =) Ds Ole A Jeb DU cut 4e SG) «ss lil &ls ;) JT ol» lie Je ve Li il JE GLs is, aixs Carels > qui ge fn S Cunds y= JE OLL ae Of pus aile aile eL elo “LI af Li ele Jol ou «ss ul dé I He) Of > Half ge y Lu sp oub EU Ss h PS erbe ‘alag Gé dus je Je ba 6 Das pr ÿle y> 15) le Of jf ue af Lai ie ee FPE FRA A ARS CS Hs y PS Dogs ps De ce » pTor ou) JL us ,L um: a ee J35,L ami L ST v) Navâi II fol. 34: ed. Be- pesuu”8 1 c. 146; Rieu II 5925 ({529 ©) w) T ob Us tL Rieu II 735° x) >P y) 3 «ss D von hier bif zu den versen -T 2) U 92v, om. af a) M 180 b) &ûs PT o LES Le ds, Je! Ataëk. d) } 55 ü e) citiert von den lexicographen, cf. Vullers II 1289* f) sic Co U f) sb à g) sic, dafür U: ts D sic hs a clé! 3) Las le; x) D Lu) Ts 5 pesls 3) es Lai ; sic D Dpt oJiLe; # S pp Tome XXXIL EVE SOL TE Se 21 (168) 9 2 , bs n Jo) der Spb Cul cal "A, » SH leul yyghe (ouais 49 Ari je Je Ps Gale 1 0 af af | p) als, u*les AE ‘prés Taxdf js ph at ue La re al LISE us noch 0 fs ble cales gere Je (re) 15 5315 188 . Cas La 3 els . Le ca FRS Le ä lee > j) si Ur ve sb Of] vais el Jeb TE MN M A D tb a Si LS pe Cels cpl «Lis Pre Si * JS pe Lovers Qlil FéSS, ul soie h) welcher von beiden gemeint ist, weiB ich nicht,ob LS à p 5 € Jo) (ALL) + 934, cf. Naväâi III fol. 47; Sprenger p. 319; Rieu IL 6572, — oder sobre J,5 € ol + 942, cf. Na vài VI tol. 75; ME ger p. 320; Rieu IL 657; Rosen p.127 îi) wol LS ne (Qsæ 1) + 987, cf, Navi III fol. 38v: ed. Bepesux® I c. p. Fe Hammer nr. 173; RARE p. 514. 22; ein auB Merv gebürtiger dichter dises beinamen wird von Navâi IILI fol. 47 erwänt k) disen beinamen Te merere dichter, s. Sprenger p. 30 (350). 42 (5738). 55. 65. 87 î) Jai UT, wol richtiger, denn bei Sprenger sinds zwei personen p. 22 (209). 21 (200) vgl. Rieu II 735? m) ib. 20 (164 ammer pr. 161 o) T, om. PU, vgl. Naväi AS 0 jh pee g) Sprenger p. 423; Rieu II 736% r) LAS EU ss UT SIP: PUS LTO Jr Jr t) à ur IV fol. _ Riou 650; a à 128 (+ se Fes codd. æ) SAT Au L U; mir ist di râtsel, welches sich auch in den ,;s a VI, 149—164 nicht ne è anklar gebliben; villeicht ist für que zu lesen li: cles y) >P 2) T 98 . M ee € Ÿ wo) _ 131 Bulletin de l’Académie Impériale 13? a CO 09 033 pe af EiL gl üle; übs eo - LS Mohere sus Le ne Os une Ep, : Lie) RES J> ent à ds es, cb S sl et GDS Lu) Lie &e os é, labs Bile, cute, sf Tr ge Us De 2e ue oo Lie il ceke ph ofs le cela + Cul jee Use SE Ge > CA ve et ire, | culs dy JE FE Fe LI, Se “. Le ie ju de = és or ds ë à. : Aya Se A. Léa, Ce; Ke “E m Cu) RE Ce) Ra dos Cu > Dé Je De cs) 5,5 5l, Cul “ _. Le ob 2 Je a. : sl mb hs À PO HE) LL 5 (pd) fl Dh, où ES ue pl Lee pe ab) Le ee JD» pet a) vel. Dorn Mél. asiat. II, 88Æ 0) U (lle une 39 si. «s2x) T; Us P €) Dorn I. c. 41; Rieu II 531 u. 621; ; . hésen 260. 321; w Re d) SR cf. Rieu 16 e) P 115 pe ea ST, ob y g) vom stern an > U de in Dm U ROSE _o) T9 2») T>PU H xb É ToJaise L LB. LI, 5/5 dll " él ‘ol. CI, TCuslh ai pls 5 af ls Lie, xs le gé be 4 Lai Cr : | Ge ab Rs US Jo EU, hi 59 Lund Jqise "ss 3) ms 5 5 Js ous, Cul plus 57 ‘als éb Ch Lib aus 5 Gus culs ie VIS US ME Le Ls af 0j, Lee able Do Ai Le],s Lu des Là So) 5 &L, LES | el Es cpb Jpbe ie Le, > he li) > af ul af Cré por ls LI Gb Pr us pull, as] ade dE 2j} gl ol : ll à > Jos EX ël plal APE ge Em ce ds d/ ps es | ol ep A Le sb joe Le Es ré ls à eppge D Le 5 Gi 5] He ie S JL hi 029 Jus 58 | Card else de 029 OE Lpsrculoss aile AE 55h) ans Dis pl sil, Di af nil Cafe af 5305 Jus ») OIL Sri Je olL Lie pus ülee » Os MES 25 St We rise Com Cul e39 02 Lie 5,7 us D hs Let cl ol af Si osé | Jies Le LL, F5 2 AE Xe re Lee 013] ais , je EL 0 Jys JU) (3 Ge vil SL 055 Glisl Fur Ji) 02? dun als > S b) q) Dorn 42, Rieu I 3732; TU schreiben (LS) He r) >T;—U 93 s) M 181, vgl. Dorn 42 ti) sic PU ÊTRE ar v) om. P w) Ÿ T 100 x) che, P ÿ U és L Ls PL) Jol LE De ve SE el y Les las pl Lu, T! 1] 2 sie P Ji, fu L As Le A er SL à Q UTC SUP. os Ça) UD) dou E Ê 09) el p Un des Sciences de Saint -Pétersbourg. 134 ais his 5, 35 Ji 055 (sl, oil 25 GB L' Je Hi) ) Les aus, ae Ï pus 5 LP D Ci cb e él 02) ME éab5 RARE F a pp L abé a Eu me m Ab Ÿe < C ds io 35 sa Ce) 0297 es “ns de ré L:, (pe ob ces Ales SU 55 pr ss), > L lue Of spl, + CS ol Le Le ss robe js 2! D en Le 3% st ae Hire ÿ Sal AAC af Jëb J jé Ja Le QU a 9 ék Li LOL 55$ SLle jh al ) SALLE 8 gs F LES Ed pe 7 Pret a sl ie fe Fe Re ; me Ag Claims Cet él de bis fs] Jusroi ve 5 duufé Lol g) P 115v i) Qeys U; sic cl sl e) om. U >? h) U ab T! 5,5 &le P use ce QT is.pT D ui U Css Jl D, joie Lol vi m) om. U n) QI U SSI 05605 Jol T o) GIU »#)T101 9 ne UT) noyé U ue T! rr) om. P s) che U tb >U u) U 93v 9 0 SSP a, DEUST w) U Jus P cf. Rieu II 617 æ) M 182, von v an >T vv) om. P | € 11 FL Cu Se so pe coll ce5 Le Jun gs Foge L* us lus D, CLS CI le 35 L 5 & 5 ul 5 Je ol Rs, Jus ie SELS Hu op pl JE, LÉ cul OX 325 6 Ji Hp Lil af als Cuss 1 *olul er of sil Dee os ÿ JU, SAS lost ons ya Cu Ge cle cesse) Et ss de Je pb Be sil ele ul glafté à 6 as DURE EU el Se Le SU pe cpl EL a Les B, Ki, sl), oje “le ot Juge Je 35 ge we) AT 5) ‘oil lost sl ,| vi Cul (55 TE a lus Je OL 24 Le, feli (ol pb fs* (2 Jp oh 38 pol ps SG ws ul fe ee Le LÉ Cl te 5) & 31 Le vus eee, SL cl cul os ls» LE sf aabs 5) je 3) Cas, Es D Le} Css ch Fe JDDy dus pe af Cole "as pl db GS auf af uns pole 3] Je? ep5) Je? cp 5) Lis af e. gcle* Jé Je tu 5 lue lil D>P Jojrs js U sUbS ss Lu GOUT 0,10 ile) Ge, SIT Dar um: af Le | Cp, SDS D 5, D Le Le vis us, Seb, phe à so PU, aber ep) Gel T d) >P e) T 102 f) dafür jo 5 ep Le ES] dy T nn. g) om. LE U, vgl Dorn 43 h) >P erfinder des nastaliq, 8. 0. x) 3) T EE le Ps TI m) dafür bloi Jus el D on ol 310 de L'J us Pr i) zu unterscheiden vom à 135 Bulletin de l’Académie Impériale Usoyal) pes B ii sr e 2 "AN D LS2 Ps à . A8 LS + et OÙ UGe 15 js ile où uw sl Tél, L col ‘1 Ses on Di cn els or di "ble Us pis he, Ne w SL Ab » af 5,)5 6 |- DJs, s$ ie sa re 339 ‘ Jile os ue» D 3) © pbs dy 29 ple Qulé cuis Lois Le Cal ML) Cole spl Yu ssie Léb pase ‘Jilse 5e ile o Jui 4 tou st he 35 51 ;p* ph Cu 5) a! Char os D? GY 95 > DE ie oh) Rd = Je als oil Le oblisL RDC FA PA PA TNT a at ete | Jol slie) ul 059 _çe 2 COS af L », su Fa al 35 de s #6, «LE Ce LL) dége (es due Cu asL à» 4 of Gb 6 os » el pl als 5} Je © Cul oi lu 55 die uye5 Glesl || Du, cal she be de et FE 116 r) ÊRE ERR U! SL ,L SU T! Da die meisten der hier _ gebrauchten termini auB Fe wôrterbüchern nicht bekant sind, so halte ich mich in der lesung vorzugsweise an P, gebe aber genau die varianten in U und T an. s) SL CRE PMCRERIE i) Lles, P #5 U Cal 0) Ses SLe A a D il ST ù) Jkw UT DUToSP,omT _ mad. 4l, UM mom,UteMle,T y) Liv + D Lu (gs Lu pa Los be 0 és Ji es « 2 JP el sic; vgl. Dorn L, c. 47 a) T 103 _ D MUR IT 9omP d) U 94, add. Cu) + SLT Eole UT;— M 188 oil né (Je ue Vibes 8 65 GE elle SL (ss slifoses Ele vols aol CL dés cul dal ASS Le bles af pb ,5 ire ‘sil Sp: 6 Cu) pile «5 ab Jels 5e (lee us Jo goal pese SE EI I de Ge jyara* ME csh te e? 1 LC ae de pli a Cul" (Je ere Cu JF Li 6, eléle jé, ils 4 Le use Ne +7 ab. Ji re oi RS sbE $L Here Le joie so Cal» a 258 Use «sl ail Ds De LU D lé, Ja PS QG cpl y pl JE, ee Je jf cu) ARE Lille ‘af 35 dre, és! JK:Y] Je pe a étés LUE Le oeil ul GB, uses Lie als Cei ob of + UJdJs be) sS) OE ten ul us gel pb ges El pe Cu Je) Le ME ds? rep æb ue LL su} “ Gs dE, Lis épLb ss olls el 5 Lil ploile LS f) on. U QG) 4, T ) LL v h) hier felt in P ein ganzes stük, biB zu den musikern, welches ich nach UT gebe, obwol ein par stellen dunkel bleiben müfen; in Le vorlage von P war offenbar ein blat au gefallen Doi VDS S yis T n) T AE 0) davor 49 9 + 0 L%s N'y IS LU do A T! q) sic? lil ul Op y _jau il ré Le) añjet Ises Ule son LS Gsm uslss opxtl ail 3, 5) Ur ds T, um nichts klarer r) Lui) 199 U hier und später, MS y; T s)T104 # sic, ob 5L55? That: CL (del. <) nu olep LG, waB ich auch nicht verstehe u) HE Uas,T m) >T 136 137 des Sciences de Saint -Pétersbourg. Les Le Voulé j5 af un na Clips HS ps ge $ ls Syile LE dar à J39° rs olsu 6 2y5 UÂS sé ç5ys J* FR RER Lise, sens Le LL PEU Hs É* sEs Q) ut de el A, Ulis Soyluë all plus sul, sil ol, uluis Los à, oil ele ) as] und jo Co ab 21 ;g DE Lamg a\), en 5 AS Ses OST LS JS Le NP Et ee ans ji Cous DIU cl luñe Les 45 ç 5) JP LS Lu 9 y) D ile oi LE Cu 5 su) D Mr Lie GS he de sal hu db 2 GE e| Jef" 2,15 €, A, se FR rie é» € SL 2 > Er FA PEN oo La: HI Cels cpl sels Ji su as] al jet 2le bee sl S5-à. Urs ol) pes ps ei j) Cul lu Lan 5 (ol Ye tRash sf ss 5 cu, ÿ SL Cul je 5 GE, Ci es Bb cool, Lou) 03 Es ls *uynus L 0 «Le ARE Lu) ss NAS qe HT Ca? ps THE rkb, v) «kolenzeichnung, skizze » ? | Ji Do Le; Lo QU LE à w) corr. nach T/ Jul aus, le 9 U x) T js jU y) undeuflich T 2) 4 U cf. T: Jp L:, de Gas ll > PE Ds? Gp sole, ol &hs » os 5 ple plie a) Le T b) Pa T, er las also ,> bb) 2e U! c)omT| d) dagegen LS?» ] JL r° T dd) das ende dises absatzes felt i in T f) Dorn 48 g) M 184 HET €) 4) U, 94v à Line cpu LL T n 4,56 T h T105|,4 5 pri plu XL PU) 5 Jobs; ag ns aSte xl est asl IPEDIE éL SL LsL5* JL 029? LL Tim HS D de? af JL Eu QE 0 pr CR Le) ‘ui Lu, os ulaie ol übs ef LR les 2 ol P Ua) pes ss 51 vèg «ss die Slëb Cul ve Bb 14e OI ol Jei y af Ron Us! gliel ue 029% "Ve as, gs Je © Jp se "HI, 2 ni ” LL J> PUS en SR ge le y Lis (65 5h) Can, 2 "b. ns AP Llyste. DE ps Luis 0 Cell Ca ph «699 5 mu J us ls dl Je als, Je ni, Jë Ge yfje lie ES élL gala gs D U39° Le, Le Je PS pe gl 373 Pb üLs Céÿ usb Le Li, 5 Hs OL ; jl es if sl Je og » LI tn Ju do us m) sic U | Junal Ge re, Je T ü so U, waB ich nicht zu beBern weiB. T hat nur: Jos JP pli 4] lp eur s 0 SSI jus LC lse3, IT ») >UP, welch leztere hier wider ein sezt; daB ich den text in etwal roher gestalt geben muste, wolle man meiner ungenägenden kentnis der realien zu gute halten, waB auch für den folgenden abschnit gilt g) mein zusaz nach DO à ub] Ur T->PU r) om. UT s) ésËL U Jumasél T à >U mb T u) add. 2x) lus be T #) davor su U, dafür LL T w) (9 P 2) p 295 pr U ps 2)» JE 4 à y) hier fügt U an: Elo) LS œb Bb, A poly hes el Eb buses à wofür T: us [ES ELJELiof ets) mur LL, +. ï : ge Lsls 2») 299) Li Er me | sx) Les LS 9 U aus T Ks2») s} hesbé 2 £: den text wage ich nicht her zu stellen à z) om. U a) p?P b) T 39 Ji Le D: 139 Bulletin de l’Académie Impériale 140 > Cul 595 cote pds PE Up ‘ 0 9 eL=) CL cui de et flat. lié cé, Cab 1 65 51 *ayl ve als oil LS Css als :l, cl us) cp 2 LE Us> Re ai LL ) J92 pe pr Ys cl éb "al Lo} * x) ele LS25° be FLE Hs) Fa el Lis" Faso vins Culmil jf > je : "Je J5 3) Qi" FES ALT RUN >> PP de ALL LE us sh 1 4 L_ 1 ass 9% 9 13) LÉ, Es ë= 3! bib ges cu brad anis Ob cel (ss à we ‘ul al je ble FC UE jyne OLA nee ets J-5 “del ee D y sh lb > ds li) é alé as ne ‘Ubu, Qu 49 Jde Giles REP A Ji Jo) ele, {La op He CP Fol. 173v ist unbeschriben, biB auf einen arabi- schen spruch, es felt jedoch nichts, waB auch durch die notiz plu ge an gezeigt wird. c) so P DME pa De, U 5% El F5 A5 bu pis Lt du ki Le dipl Gael Soi) ce RE) Er (T 106) de! Le sr ES Fe eee k,, F E é L5b 7? = Fe T; ich verstehe die ganze erleuterung nicht q) 3) | L au We do Cl 7 F5 He À 9) y ,%5 U! %) om. P : î) om. UT Æ) sic? vor dem lezten worte Lee ? (villeicht auf gestrichen) P hs U US ue T D om. P . m) add. bots du vom stern an >T n) pb o UT 0 mp D JL r SLT D) je (ss U | r) om. PT J Fer Der von Rieu erwänte tractat des Maulâänà Muham- mad Qäzi solte im abschnitte: L pe Copé Cl, T5 nach fol. 185 folgen, er felt aber bi auf die lezten zeilen, und nach einer lücke begint fol. 186r mit den worten (U 156v,9. M 304,16): bles L'Euul OI, 2] il mel. Der schluB des abschnittes ist in den neueren handschriften verschiden. Fol. 209r,7 . C5 pos LA ME ne NES Ds) Lu) ? Uy> à 39€ ls Le Jls-| es 3 Lo (sic) ds Diser abschnit, welchem das bei Veljaminov- Zernov IT, 198 ‘) ab gedrukte stük entnommen ist (P 209v, vorlezte zeile), schlieRit fol. 211: b,] CSS ol of Lol le 5! oil étés Lu aù LE Go LL, de qv a # bb de Lx) af ul 4Jls,, und darauf folgt der andere von Rieu erwänte tractat fol. 21 1v— 214 (M 361—371. U 181r—185r). Fol. 248v: a Bb AS id Je his ie Élsul DL JL er FA de ue dt Ji Jos a Es Mi on pe y | 4), Ego lil sb), Ca US slogé “leu | me Ule 5) Eef, ue Éleuk (fol. 249), 33514 Cup Gasb yes cpl Dye D agi lé Cane ( RS SE Ka “8 es sLe) SJ! Elle Li} ue? P ms das Le pi dre Fob 249v: Les, Liber, QU ns) Fol. 250v: NE bas ne) eu à» das ai Lt à IN del re 6) B.Bexsamnmo8a-3epaora Macrhxosanie o KacnmoBCKkuxB HapaxE A uapeBnuaxB. I—III. — Tpyxs Bocrouxaro Orxbaenia I. Apxeozorudeckaro OôuiecrBa. IX. 1863. X. 1864. XI. 1866. Cn6. 8°. Der vierte band, welcher genealogische tabellen und das register bringen sol, steht noch immer auf. 7) Diser zusaz felt in den Ateren hdschrr., ich komme später Fr auf in zurüû 8) Immer one punkte. 9) Hier schlieBen die beiden anderen hdschrr. UM, indem sie fürs lezte wort HIS lesen! 1AL des Sciences de Saint-Pétersbourg. 142 ME ol SG 4 JE CM, 80 Ab dll, Hodl 261, dlsle 6 gt 3% Lil gl sn äe JJ) PL äm à) el lue], Jya) pb SUR Li) y) Spas yyeil] he çèse (sic) Je) ebls Es se Je Le ll Col Claull EU ss Je el se Ms cp Ubudl & LL + + al ab al Ce, [Rieu d] San y) SERRES y) Gaël D (Le, olsfe id! Je, 05 il 5 GUd) 3 dl [schräg? JL cs] sr dl äa, 4) ill al sLel) xl, Die handschrift ist alt, zwar flüchtig aber recht felerlos geschriben, und ermargelt ser oft der diakri- . tischen punkte; das » hat oft das in Ostiran gebräuch- liche unterscheidungshäkchen. Hie und da finden sich correcturen am rande. Man künte fast das datum A. H. 972 —A. D. 1564/5, welches sich fol. 211 findet, für die zeit der abschrift zu geben. Auf einem merfach ab gedrukten sigel findet sich das jar |1or. In jedem falle verlieren mit ir verglichen die beiden anderen handschriften, welche wir biBher besaBen (As. Mus. a568,a !°) und Universitätsbibliothek nr. 272 — Ras. 22022 vil an irem werte. M ist ec ne VS yon U ab geschriben und widerholt alle feler der lez- teren, da so vil ich verglichen habe, keine nl _ mir auf gestoBen ist auBer dem charakteristischen gs (oben $ 4 des textes), und beide mit dem selben falschen worte mitten im satze ab brechen. Auch eine osttürkische übersetzung des werkes besizt das Asiatische Museum (nr. 590,0 Ÿ). Sie ist von 10) Ganz modern, aber undatiert; 463 pp. fol. Vgl. Bexramu- H0BB-3epaoBe, Hacrbropanie o Kacumosckux® napax», Il, 130 und Mél. As. V, 456; — oben mit M bezeichnet, 11) Fol. 7-+-224 bl.: dj) pi ce dj} Je 8) 33 as | 1Pog - Sr & Qéb'Yall Gall (5) (fol. 64); —oben U. Are 12) Fol. pp. 184+ 316; — oben T. Be1LAMUHOBE - BEPHOBB beschreibt sie 1. c. II, 138. 199, und gibt vile auBzüûge. Wie die h un verständlich; darum bleibt sie als textkritisches hilfsmittel aber (ai Le jee für den fürsten (EL), x] 5,2 UE, F L, son des Kaëgarischen fürsten Ur) Lys une Le als he und ee pag. 2: SE dt ve RP me LL ss _. Die vorrede gehürt dem cu das Re liche werk begint pag. 10 unten. Beide teile des lezte- ren sind separat paginiert, leider felt aber das ende, denn im capitel | K&l, QU ne Li 5 bricht der codex mit den worten ab: SJ) Ssc,UL ne li u, l'esaxl Giles dl, 5 y JD soil vu} [eustode Joel à], cf. P 204,5. U 173 v. Hie und da finden sich einige bleistift-notizen, über welche fol- gende randbemerkung auf pag. 12 auBkunft gibt: «Toute la pagination de ce manuscrit ainsi que les «notes marginales et les dates au crayon sont de la «main bien reconnaissable de feu notre respectable «collègue et ami Mirza Djafar Toptchibascheff 1). «Bar. Desmaisons». Früher gehôrte die handschrift einem Kasaner, wie die pag. 1 befindliche aufschrift lert: 3. a5l. 5 A) ae dj! Fbsl 73) él EL J en IPVP ds José äL à Ya st e ÿ® fe ganz brauchbar. In sprachlicher beziehung mal ich die herren Turkologen auf das sonderbare praet. © J, 5 pl. 55), 5) aufmerksam, welches ich noch nirgendwo anders “Rolise habe. Re sie, wol chin. Æ wañ «herscher, fürst ». 14) Über in vgl. Bezxsamunos®-3epro8®» L c. schrib A. H. 1182 (am schluB steht 4 1136) eine geschichte von Kaëgar unter dem titel RTE on}, welche hr. Ü. Vali- chanov 1859 auB KaSgar mit gebracht bat (8auncru HU, P. l'eorp. O6. I, 1861: Hscabrosania u Ferner erwänt er selbst seiner rare des Tabari—T fol. ce folgenden worten: Ë (JL pe L ut éb ee “l ER Vs SP de - 15) Einige notizen über disen früheren professor unserer univer- sität findet man in Grigorjev’s Geschichte es she (CII6. 1870) . zerstreut, vel. den Index p. 13, und in N. Vesselovskÿs arbeit in den Travaux de la 3° session du congrès internat. re ES listes, L. p. 246. + EE, 188: er - u marepiaasr, p. 199); eine abschrift . davon, wie es scheint, findet sich im Asiat, Museum sub nr. 590,00. 143 Bulletin de l’Académie Empériale ait EtwaB älter ist folgende notiz auf dem vorsazblatte: IPA4 JE OL as Lt” (SP LS Le Je 9?) das felende stük befand sich also am anfange eines besonderen bandes, worauf auch der original-einband hin weist. IT. (Persisch). M 666,2. 27X 16,5 em. 192 fol. 15 lin. à 9,5 em. Ce El von (ais Je pie Ye cp es js Ye Eine geschichte Ferghäna’s, welche der oben er- wänte hr. Pantusov, — allerdings one seine hand- schrift oder handschriften zu beschreïben und durch- auB nicht felerlos —kürzlich hat drucken laBen !f). Mit vilen persischen und osttürkischen versen und ge- dichten (chronogrammen) des verfaBers. Die ersten siben blätter sind unbeschriben, Fol. 8v begint das werk: 542 9)] caals Copa li Je à ble Ligue sens SL Li, LC und stimt biB fol. 15v, z. 9 mit der aufigabe 14,8; | daran schliefit sich sofoit 1V,14 der edition (in folge dessen das datum der abfafung A. H. 1288 — A. D. 1871/2 übersprungen wird), und so finden sich auch weiterhin kürzungen und zusätze gegenüber dem ge- drukten texte. Unser exemplar endet fol. 181r mit Ed. 14,2: haie He) JO LE | Es Et rar af >L up, DES ST se es _p Je ob fois be Je LL el 6 8 5 plé LE A Eine flüchtige vergleichung beider texte legt die _ anname nahe, daB die handschrift eine ältere, noch nicht mit allem rhetorischen pompe auB gestattete, redaction sein künne. Sie ist ser jung, und in Tur- kestan geschriben. Fol.181v, sqq. sind unbeschriben "”). 16) Taapuxr Ilaxpoxu. Hcropia Bxaxbrereñ Pepranti. Couuxe- Hie MOzaBI Hiasu Myxamwexs Gear Amyps Myxamwere, Xorasxna, +. 4 usransan (sic) H. H. nr MR Kasaus. Tuu. U. Yuus. titel. An gezeigt von |” . H. Becesosckiü SK. M. EH. Ip. 048, T1, 175 (H046p& 1886). 1885. 8°, f#f#f# pp.; auch mit 17) Ein anderes exemplar dises werkes (172 fol. 8°, undatiert, aber ganz modern) besizt die Universitätsbibliothek sub no. 942 als one hrn. prof. N, Vesselovski. III. (Cagataisch). x 667,a. 25,5X 19 cm. 812 fol. 17 lin. à 11 cm. Que 5 be» Jl,5] one daB der titel oder der name des übersetzers an gegeben wäre. Anfang fol. 4v: L: £ moe J995° y pe Sas Schlu8 fol. 306r: LIL or rE Ca | D) gene let übe sy >) ANSE À , ok 2 p) 13 pin 232 as ps Sy) JL pus EL Fois pos ob ICS phull, ps purs moil ré aLAl 3 lil isuel a Darauf folgt Là einzige zusaz des übersetzers: a de Es je EE Su nn É? Ge: Je Je» Fée : waB die jareszal À. H. 1131 — A. D. 1738/9 ergibt. Unterschrift: sk ee ON Ce SLO) + e + LU sk J> Le fre ds SP Lo Le Auf der folgenden seite finden sich neben drei per- sischen perte noch D ce verse: à fyenden nibe ich als rite der recht ge- schikten übersetzung die 2. und 3. erzälung der ein- leitung (ed. Ouseley p. «t# ff.) genau nach der handschrift, nur einige punkte und lesezeichen ge- hôren mir. 1.2 (+) ob lassb QG Les, » Sa sl lil übs ik lues Ub, ns Vo Lol de = a) fol. 29v 145 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 146 on ul Pl D juuaals éb RS Et RP jus rl © UL,L aësLl) SLI ds is ülb QU, aus Eli) dl, Cash, pub as col lb + «s2»l ces al HS rs ue) ét RTE M Jos gl sn» de “kg état ur ss») I DUTY J'p55 JL, 4h Jluxse y db (sl LL Jleus 5 ns dbule A ss Ja Jus Hi a}, | ls Dislus] JS yes, a p 2e poilue Goes Dee Ko 5, ouls Île gxsl Des Shi ,5b all ab Ki] so A) x loile fébuil AL sl Jos lie 2), ‘| so el, L'on sl Ci of ol 55 oelLs He Jà) Uy?s NS ol s & sl » LES, 1 als il ses; al A nr ékisasLeT ts «s2») ps vise sul Le, LUE Res LL ee 5 EE ce As ç6b as 5 Lis Uy2sl SkL aab aw Jp , FE 1, Les < «s2») Cr Ks;L Jo) Ls2b5 Ls2») EN "HuyUT Ji «y üls- Aols Je, pl sub Sip OL Les Job 7 eds sl 4 ps) Ls seb, ES ‘aol Æ dl ae ous ls Ke CT ca5,l JU Lys e Aols Peas Kl Cous 2 anis, Grue Uel esuie Vis EE connait tb, & xl Lil culs lu je Ki MG luiel Le rs op» awb lune JL » ile él Je gb b) lis luais c) sic d) mein zusaz e) ,9, Cod. f) d.i. 3) 5) 9 di (wi Mit Dies à (asë Coù. 1) sie; fol. 30r Tome XXXII. L uk J,| gb JS ur "ER ébsl JG ais y nil 5 le » Lol LU, éL® sol, «s2l B eybesl 2e) EL) SL) La LS £Las a Ks>pl 5 CS KL Ls y ps GI 0, Le (url LsJbs Lu, "amet jeu KEL os; 5 (jl SL JE EL iles 5 dl, ol ee le als 5 1 RU, ls lt 5e sl Jonie ans élil oui Ci ,L «s2n) gb °], 5 r KG (52) sos l, 4 aù los, 5 2,1 ke célols lis se PEL, as) |) St Pr GEL Ms Qu es luslé, ob Jul r les ii HI ls Qslss* enr ol 29 Neue 7e J339° pis CRE Le cv él L col as ST * pus aëyyb Lots dsl Goes he, yes LI (sol ge S] An) LE lois La, ST, 22 cles ai},] ie, Cyge Oyasl à5 plulss ds AV LA af pl, 3» MEL yes leuis,l gb yon) Jhs 1:1,} » EST pd d b su ps ak) F ls 955 d RER ai stès L ñ ob of F. yet Je J, ls LE Cole [ou] Ge auly “ébef g5 2e GK ST, ce pulse Le 9, gel lus bots Jus QI LE es Ja Li 6 JL jo G JO SU ES ue 5 m) LK: 5 Cod. n) …….l& Cod. 1 : o) d.i. FE p) fiügge» cf. Byxaros®e 1,498 q) nur (y le Cod. s) sic, pers. LS der einbeit, wie in disen r) 59! Cod. » u) d. i SL, 10 : texten ôfters . t) mein zusaz 147 Bulletin de l’Académie Impériale 148 ? J'Y BA) É Si F2» > ls B: yes LL) RSA pluls ST spenblo % és Lis ce sp) Cu gel os » wubT le dy CE Le à ol re Li) mo gore SJ Al LES Cas, Ke Jobs gloise geslee JL De pie pe De yon lusLEI le GS pl pl Ge last gumaste SK ed e Æ&l; aude) Joxise ai Xl é, Q»ls° él ul, T 5 Lu sl Ju Liséaol pre Pre sb) Gi sl LS sl és bis abs Cul jo DS af ep Ji délls ge CI, “11 éblils & élouls Jr ns JL a » Hs (sl Aols sb » CPDy+ Ja El) ask. LL rs son) al JS) ai, ssl «bil, sel J3° PTE rs del) 3e "shop Ju Jo ie és sis) Je GO ge De gel GLISSE L'SSLLs Lis) Lu ps, Fsid)l és ssl, Bob L > > Up) GUs lue 1 CE PO ëb ve. e Al » Es ,, 5) au as Cels, ai as 5) LL) rs aël ss soda, pe Sp op 55; E,,) av, LL ji 4h aége pe Re) Un a65, ll, | Eli. Je LMI 45 el Cl, sis LLsl be Elres Sos sn Gle cou LL Hal: LT SLRE SF au obus Ca ébul Ke r asT sl cle b Ébe ag, af cpegls JG ee Le can 2 SG ES de ol Ge all | v) fol. 30v._ w) add. 5] Cod. _ z#\ s0,.one suffix 3 sg. Lu Fr æ) mein zusaz y) œb j Cod. ex ci À ut LU 6 0) Le B. xl le - yre “pe » ol 29e) &8,eb Cas abc Hi «s) «sl, ,B Kll Do! «5 Ds a GS se ge PS à ps Ds cpelie Cels cest) Piye J5p5 5 ’aes gra Do) rss Vers 9) Us Üyrs lb SU abs Cols à ab ais IE ob sable D ,< y lis € Ce Ki, ver Ji Jsl ob ETe ; yls Lee JUL; GEST ps sort spl ,L sl: fl L cu, UyJ Cle JL 2x) P9 SLaGLs ss DA CE JS RS EE phonl 5b Qu or) Si ST CT lil, dés, pl LS cest RH Ep cr Us BE &6 KG] ST, cel LS lunes ébs >) SLT °[L,] » SX Ge less pl 1, sil Le Ge] eauis aus EL) Glis DJ é sEb af 2 IG JS | HG a) ébusle uns cube 2 ol 20) GS dy Jië plie à Us Lol ee 55 pl JU eLe alé pes cie man Le Jls >#L 29 gr se us, L Lo Xe) 29 7 lbs bus, ces) Cie rs Se 72 DA loge Jls cpuslh, (50 cms Go)] abs Cie, Ce le él sl à alé def» ‘sal a) fol. 31r b) corrigiert nach dem pers; io Cod. c) mein zusaz d) « geleitet, auf den weg gewisen » ? €) bloB di, Cod. f) om. Cod. pis JLLss ai Cl 149 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 150 dise» lun) als al ee ail less dl, és 3e aus) «EL Co Le of bel: AO use ja) ut Lio ‘,L3s pos ol ELU Le se du p) 2 ip 555 eJL EL Jo) 5 SE ob ls JL) ef cp SU M Kslel,s JL lbs BTE pole gts: dos joli CL » M, «sale “i rte ste Ce yiye als ‘pl à LP? à CSÿË ps J5° es y) OST Élus” SE eLioL Ed 2» ls Céle, cpople el anti Éb élit ie aol Les Cgf jres 3 oS gps dupl n'a nie lab hi as "él L JT ai) a _p ZE Us rie Oo ‘ gs) DS 4)» cils, 2 OL Us Dre dus p El xb ele DS Dre AO Lil ul, sub pére abus 50, 2 8be oise sw sx ls 3° p3#lsele 9) LS Us?s D lila «lee plis aus ll LE préle e &Y sn, dl die p Lys ps gl 5) be Dsl lé, »35 St Lil ét Dry . Fe Sylossl jomassb élusse KI à js) JUL Di JI EL, Job CL ou 5 EI de es opte VébLls do lg Sloes “er es een Jp james LuËp pa) ) Ps UE n550S Je ÿ uw ose Cl os, ‘e) Re —— 1) dif dempers. L entspréchende wort ist in den lexicis nicht zu finden [ôrÿsñ «dach» kenne ich nur bei den Irtysch-Tataren. Radloff] 2 d. i Gb 1) fol. 31v robe Mile o) lis S [gesprochen rôm R.] m) sic, im grundtext SE n) 50, one folgendes suffix p) sic, ob vom pers. p? a ss Géle aus oo yet OoLeSb Obs) Lil 9 aub_5 ul Le Gus Us 2 PTE &s) ho) np mA sys Ce» CAL ls Glorie ssiebls 2 je pe Eau PS Casio ELL, if «ls gb sl, Ds All, Li, és Ul ébubl » Gie Tonus Jeb sl "en élues, lus Es 5h JS dl 0 plasil Ji Jet Lust sl Je Lefs Jane CEE À au) il geusbs db » ÉLUT fsise aoluss jadis) Aoks Des “spl JON pus) y bu fie Ces ‘oleb Log » aies olisb dial Qi Del le db GE dy de,» Cstes Ke ions up (sub Ds aie gré Jéll, a 5 ab Lis Je) Gb ge gs (5) FDA Re DS ds ce ol dy aus él uëlss LS > ul me a), ai ai, NS del, ee) Gs 0» dl cyiles Celis ess LOL Gole LES ot a cle «stade os Hot De AIME SE € NE ee los GS LL amtl Sie ue ss Le) cb sLee ve cpl +É LAS PA ES Cstei fol sis Cstai Êe af Lol gs yo pl : ‘ge oJi=) Je J> (pas Cod. r) d. + t) fol. 32r q) om. - s) «reichtum, überflu£» er t) sic, näch dem originale erwartete man: { En ; SL} E . ww) 3 p} Cod. me és . u) «zerschmolz» ” . . L | v) im urtexte Ye sh, vgl. osm. sLL, gts «topf, gefäB» . D lis Cp; nach dem urtexte 151 Bulletin de l’Académie Empériale 15? FL: La d, sl El, Sie wlus Of y aoill J 55 ÉLsolsy ps So SE ue es) Lil éks PA ent de. ponËs pe cb rl op Sppsse "lb Ge, al el el a u1eA #2) dl ous «s2») el ais) ob Cas el Clé as] ,L] als »,,L D LA neo ls 20 5 El, ot LIL ss lunes Ji hal Cl Jets ao WOL ee, Lee De D Eh el oc di LD) pl Jai ls LL is aile Des os Ki dre Gloss ef "NÉROISS ee Ges ‘cle LE 526 GT sis rS ai) ? airelie Er ea CT ES Er 7 hrs “+ mn Me LS Lite + Ki 5 OÙ jar Us ‘sul ‘usb al Lise » (ss gite Jil els Qu Es | ‘y p» sl sin #b Pc tel Le Le LS psy Ki le » Re en ee En al Ji lobe pulls els aëf », Cale cos a p A@] «le b : = lls JE) » ou ay dau jé eje Le] j> Costa Us Late JE bus ae] SL os, 1,5 idiot Noos se Joie ASS nl le Mol js suls Cols SN 4 ES aus il late Gi o is al y) lis Le beholfen übersezt a) fol. 32v # sic, für he ail >Y Sles ail get Ce 1 SEE» u239l ue cash LI Lil El 2 SAS PA D Debill, Este: Es) ii pe hs is Lis 4 n5 ue CET OS ab) Les ‘> dti ol Ki LU, gole 1 Ja x%) Jils ‘ gels Te Je ds ui ab) Jo 655» . es) l, æ . ULb -E. Ks ë ls bis di COR es os one) fois vale Les Cobel ol as Lnhust 75 yrle» ip prie asty re Cu) sh) me pe gel sal, Us pe asLLs [us Cl, él dr LE «pl Qlas,b os all ag, b (us pole, JS CAT y ol re Joy De ‘sont Ces Slt, cons ls sl ),,)s rs 7 5 Le CL al Ge Dell LT (subs culesl gs nl. Aie ADTE LE Per x CE J;| IV und V (Cagataisch). Ne 555,2. 22,5X 15 cm. 95 fol. 13 lin. à 9 em. Xe 555,b. 26,25 X 16 cm. 76 fol. 14—15 lin. à 9,5 cm. a) ab M), wie das methnevi auf einem bei ligen- den, ganz modernen, blätchen genant ist, welches die sn notiz über den verfaBer enthält: LS Ar op Jé 359) Uyl fe 5) c) om. y Ÿ Cod. à) lis JL) e) njTaEx à «zu stande kommen», nÿrÿpmär «volbringen»: Karan0B8® f) lis à g) sic 153 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 154 daneben (6) Yl,| af Jus, JET ‘ ss Ole, ls) os 2 DB als (set Durs Al Les usl #14 éL 5 05, Je se ee LE J,e,l as, Ulbs cxai 005, Je alé LU, L,| OUR 5 de + Ab ae as Lie UE, DS, Je Ce Go 5» (sic) _» JET sus unes Im texte selbst habe ich weder den namen des ver- faBers noch den titel seines werkes finden kôünnen; das datum 1180 A. H. findet sich auf dem lezten blatte von À,s. u. Die erste handschrift (A) ist ganz volständig, der anderen (B) felt anfang und ende. Anfang A, fol. 1v: ab! SL Je se ir af tabl leu ul lol Cod B begint fol. 1 mit À 3,5: In PR ap or CA cer Ur de SchluB des methnevi A 79v, B 68: BULLE euels awlhs Le Le ULL CL 53» D Dann fie ein us A 79v—85, B 68v—74v: € re her one Je LL rs dès JU Yu le J> lb Sy JU ob pbl [B_e] J5 y LL yyés da Und ein anderes À 85—92v, B 74v—76v: dE “a als, ES per ere pas se ül) de ». De Us © 0 Je jp + d) Ferner ein Lise A 92v— 93v; B 76v bricht mit dem dritten verse ab. Beide one überschrift. a) ol JE Çp A Jets 5 Core fou» joue. NIUE sdiles dual ble els dit » af I at AVE 0 bas JO ot ds ne OP Jobs (sb) éks EU » ue LS Up Jadilrs (sic) Jie éls pl px) als jh Luc » e) Endlich ein ps A 94—95; anfang : sl ULe; 3) sl Dodo sols sa Qi 3), Jp life Lu À 4 Das oben erwänte datum lesen wir in str. 3: Sel af GS Es ol ps Des ss y} blues ns le " ar «sl ne se D9 ie jbl EME (io) So ele 599 ce Et Drop JSLL ol (sie) Slus Li, LES ag 3 DS Qu p ge Cal XGL lus ge regles «sel (sic)üle 3 Gi, » De JISLLL 5 Die 7-te und lezte strophe lautet: JS ot Gels 5,1 ob ae dy 5 9 Lie Je dl Je ob pli putes OL ox,5T ps JSy UR ex) p}u)) HS D es JS» oli opte Ure ax, 0 J-< OU sl ol ciboli àe sul OL à Gil cons alain a rlrrleriples Damit schlieft A one unterschrift und datum der abschrift; aber beide handschriften sind zimlich alt und schon recht an gegriffen; turkestanischer schriftzug. : Paru le 23 novembre 1887. f nd T. TT. XXXEE, N° 2. BULLET DE L'ACADÈMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. TOME XXXIL. (l'euilles 11—3/,24.) CONTENU. Page À, Karpinsky, De la régularité dans la configuration et la structure des continents........,.....,...,.. 157—173 W. Radloff, Rappot sur un voyage dans les gouvernements de l’ouest, chez les Karaïmes.............. . 173—182 0. Backlund, Remarques complémentaires pour les Etudes sur le catalogue stellaire: « Positions moyennes de 3542 étoiles, determinées à l'aide du cercle méridien de Poulkota dans les annés 1840—1869 et réduites à l’époque 1855..... de DR douane ane be D'OR den elle there ed ee Tan 182—185 NX. Békétoff, Recherches sur l’énergie de combhnhidon, Le oxydes de potassium et de lithium... RAA 186—193 H, Wild, Photometre de polarisation pour les usages techniques et son emploi à la verification de lampes À GES 06 NAN in ne ti ide de ii ui rene er db iuer 193—218 Gorboff et Kessler, De l’action de l’iodoforme et de l'iode sur l’isobutylate de TE CRE A RER 218—255 C, Salemann, Rapport sur la publication de Mijàr 1 Jamäli, (Avec une DAME is er derriere 255—376 EE em — + Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des scien C. Ves qe eee “Rerrétiie perpétnel. Imprimerie de l'Académie » Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12 Juin 1868. | | | | | BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG. Bemerkungen über die Regelmässigkeit in der Gestalt und dem Bau der Continente. Von A. Karpinsky. (Lu le 26 mai 1887.) Die Âhnlichkeit der Continente und ihrer Theile, die in einigen Fällen geradezu auffallend ist, hat wie bekannt schon längst die Aufmerksamkeit der Gelehr- ten erweckt. Gleich nach Bacon beschäftigten sich mit dieser Frage Forster, Steffens, Humboldt, Peschel u. a. und in letzter Zeit z. B. Th. Fuchs, Ziegler u. a. !). Obgleich eine gewisse Analogie in den Umrissen vieler continentalen Theile auch gegenwärtig aner- kannt und fast in allen Lehrbüchern angeführt wird, so werden dennoch nicht selten diese Aralogien in letzter Zeit nur flüchtig erwäbhnt, als ein Gegenstand, der für die Wissenschaft eher ein historisches, als thatsächliches Interesse hat. Hüchst wahrscheinlich ist ein solches Ignoriren der hier berührten Frage nur die Folge einiger misslungenen Vergleiche und der scheinbaren Unmüglichkeit diese Vergleiche zu irgend welchen wissenschaftlichen Schlüssen zu verwerthen. Wenn aber die Ahnlichkeit in den Umrissen der Con- tinente nicht eine zufällige ist, sondern durch eine allgemeine Ursache bedingt wird, so ist es sehr wabr- scheinlich, dass sie gewisse gesetzliche Analogien auch bezüglich der anderen continentalen Elemente zur Folge hat. Finden jedoch bei Bebandlung dieser Frage erkünstelte Vergleiche statt, so bleibt die Ahnlichkeit der Continente in anderen Beziehungen nicht nur un- bemerkt, sondern es künnen jene Vergleiche sogar direkt zur Widerlegung dieser Âhnlichkeit führen, wie dies z. B. bei der Vergleichung von Süd- Amerika und Afrika der Fall war. 1) Die Âhnlichkeit vieler Theile der Erdoberfläche in tektonisch- stratigraphischer Beziehung ist in dem classischen Werke von Suess « Antlitz der Erde» vorzüglich erklärt worden. Mit der Frage nach den Ursachen einer gewissen Regelmässig- keit in Vertheilung und Form der Continente haben sich z. B. . Green, de Lapparent, v. Habenicht beschäftigt. Tome XXXII Seitdem der grôsste Theil der Gelehrten die rela- tive Beständigkeit der Continente anerkannt hat, müssen die Daten über ihre Âhnlichkeit eine beson- dere Bedeutung erlangen. Unsere lückenhaften geo- graphischen und besonders geologischen Kenntnisse gestatten uns noch nicht unfehlbare Verallgemeine- rungen zu geben. Abgesehen davon erscheinen viel- leicht noch folgende Umstände als unüberwindliche Hindernisse. Wenn in den Umrissen der Continente wirklich eine Âhnlichkeit vorhanden ist, so müsste sie am auffallendsten in ihrer ursprünglichen Gestalt hervortreten. Diese Umrisse, die sich wahrscheinlich anfangs durch die grüsste Regelmässigkeit auszeich- neten, erlitten im Verlaufe der geologischen Zeitalter verschiedene Veränderungen, die zur Complicirung : und Mannigfaltigkeit der Küstenlinien der Continente ne fübrten. Die gegenwärtigen Küstenlinien entsprechen ? à patürlich nicht vollständig den Umrissen der Conti- da nente. Die Grenze der letzteren kann man nicht, wie |man zuweilen annimmt, nach der Richtung einer un- ; | terseeischen Linie tien, die einer bestimmten *s Tiefe z. B. 100 Faden, entspricht. Die Veränderung | der Küstentiefen hängt von verschiedenen Ursachen ab; z. B. vou der Attraction der Continente, Disloca- tionserscheinungen u. s. w. Schliesslich ist es sehr wabrscheinlich, dass einige ursprüngliche continentale Massen mit der Zeit tief unter den Ocean gesunken sind. Bevor ich zur Frage über die Âhnlichkeit der Con- tinente übergehe, schicke ich einige vorläufige Bemer- kungen voraus, die man, wie ich glaube, bei der Unter- suchung der Vertheilung der Continente nicht ausser Acht lassen darf. . Die Anordnung der Landmassen und Meeresbecken auf der Oberfläche der Erde wird durch ihre Lage zur Erdaxe oder zu den sogenannten Weltgegenden Res So z. B., wenn Gebirgszüge, Küstenlinien : . s. w. mit Parallelkreisen zusammenfallen, so sagen wir, dass sie eine und dieselbe Richtung hiabèn D: selbe gilt auch für die meridionale ner ee. . Bulletin de l’Académie Impériale 160 in diesem Falle die Gebirge, Küstenlinien u. s. w. in der That zu einander senkrecht sein kônnen. Wenn in den Erdschichten Faltungen in der Richtung irgend eines Parallelkreises entstanden, die, wenn auch nicht in ibrer ganzen Erstreckung, so doch stellenweise zum Vorschein traten (Fig. 1, «8, «G, «’4"), so künnten wir sagen, dass die auf diese Weise entstandenen Kettengebirge, bei einer gewissen Übereinstim- mung in ihrer Structur, zu einem und demselben Fig. 1. System gehüren. Wenn aber solche Faltungen in der Richtung eines Kreises, parallel oder schräge zu irgend einem Meridian (abgesehen davon, ob in diesem letzten Falle dieser Kreis ein grosser d. h. durch das Centrum der Erde gehender oder ein kleïner ist) entstanden, so wird es uns vorkommen, dass die Gebirge, die an diesem Faltensystem theilnehmen, eine verschiedene Rich- tung haben, so in ab, ab’, a’b’— NS, in cd, c'd — WO u.s. w. So scheint uns die Richtung von Nord- und Süd- Amerika nicht die von Eurasien, welches in der Rich- tung WO die grôssten Dimensionen besitzt, und auch _ die Lage Asiens zu Nord-Amerika eine ganz andere, als die des letzteren Erdtheiïles zu Süd-Amerika zu sein. Doch bleibt in der That, wie wir unten sehen wer- den, dieselbe. Die oben angeführte Bemerkung soll durchaus : nicht zu gewagten Erklärungen dienen, z. B. zur Ver- _ einigung getrennter Gebirge von verschiedener Rich- “ tung in ein Gebirgssystem, wenn dazu nicht begrün- _ dete orogenetische Daten vorhanden sind. Ich wollte nur zeigen, dass die Continentgrenzen, die Gebirgs- | : _ketten u. s. w., wenn sie dieselbe Richtung auf einem = bedeutenden Theile der Erdoberfläche beibehalten, die allgemeine Richtung dieser Continente | wobei diese Richtung weder mit der Breite noch mit . dem Meridian zusammenfällt, in ihren verschiedenen Theiïlen eine andere Lage zu den Weltgegenden zeigen müssen, oder, mit anderen Worten, dass die gleiche Richtung auf grossen Strecken hin nicht durch eine gleiche Lage zu den Weltgegenden angegeben werden kann. Nach diesen vorläufigen Bemerkungen gehe ich zur Âhnlichkeit in den Umrissen der Festländer und ihrer Glieder über, wobei auch diejenigen Continents- theile berücksichtigt werden müssen, die sich gegen- wärtig unter dem Meeresspiegel befinden. Betrachten wir die etwas schräg zum Meridian gerichtete Zone, welche Süd- und Nord-Amerika einschliesst, so sehen wir: 1) dass diese Zone auf der entgegengesetzten Hemisphäre die Hauptmasse der anderen Continente einschliesst, 2) dass die rela- tive Lage der Continente dieselbe bleibt und 3) dass der Umriss der Festländer bei einer gewissen Grup- pirung grosse Âhnlichkeit zeigt, die besonders in denjenigen Festlandstheilen hervortritt, die auf den ersten Blick sehr verschieden erscheinen. Auf der beiliegenden Zeichnung (Fig. 2) sind Asien, Australien und Europa und die anliegenden unter dem Niveau des Oceans befindlichen Continenttheile mit einem dicken Strich so begrenzt, dass ihre Âhnlich- keit mit dem Umriss von Nord-Amerika augenscheïin- lich wird. (Die sich gegenseitig entsprechenden Fest- landstheile sind durch bogenformige punktirte Linien verbunden). Es ist durchaus nicht nothwendig diese Âhnlichkeit mit solchen Details durchzuführen, wie sie durch die dicke Linie auf der Zeichnung angegeben sind, wobei z. B. Korea und Japan zu einer Halbinsel verbunden wurden, um diesem Theiïle des Festlandes eine auffallende Ahnlichkeit mit Californien zu geben, welchem er durch seine Lage entspricht. Die wirkliche Grenze der Continente, die durch eine unterbrochene Linie annähernd angegeben ist, hat wie es scheint keine complicirten Verzweigungen ?). 2) Es ist bekannt, dass die Küstentheile des Nord-Kismeeres sehr seicht sind, mamentich papes dem Festlande und den nach Norden liegenden Inseln, wie z. B. der Wrangel-Insel, Neusibirien u. à., die na atürlich nur ue Theile des benachbarten Fe stlandes so erreicht doch die grôsste Tiefe zwischen dem Nordcap und Spitz- des Sciences de Saïnt-Pétersbhourg. 162 Fig. 2. N = # Zeichnung (Fig. 2) kann man folgende Bemer- kungen hinzufügen. Obgleich Süd-Amerika seinem Umriss nach mit Nord-Amerika keine grosse Âhnlichkeit zeigt, so besitzt es doch mit dem letzteren viel Gemeinsames. Die grôüsste Verschiedenheiït in den Umrissen zeigen diese beiden Theile an ihren ôstlichen und nôürdlichen Küsten. Ihre Âhnlichkeït ist aber eine weit grôssere, wenn wir sie in der Tertiärperiode betrachten. Den nach rechts *) hervortretenden Theil von Süd-Amerika kann man als den der Halbinsel Labrador mit Neu- fundland und den anderen angrenzenden Inseln und Halbinseln entsprechenden Theil betrachten. In Austral- bergen nur etwas mehr als 200 Faden. Ostlicher, zwischen dem Continent und Nowaja Semlja und auch zwischen letzterer und dem Franz-Josephs- Lande, ist die Tiefe noch geringer. Da ich glaube ‘ annehmen zu künnen, dass eine solche Abnahme der Tiefe rés die Fortsetzung des Ural’schen Gebirgssystems in demi in Rede stehen- den Theile des N.-Eismeeres beding ind in Fig. 2 zwei verschiedene Linien von der - tinentes angegeben, von welchen die Linie (a), die mir die richti- gere zu sein scheint, auch die grüsste RES mit der entspre- chenden agit von N.-Amerika besitz 3) D.h.n man bei dem in Rede ue Vergleiche der Festländer sich nicht en den Weltgegenden richten kann, so werde ich bedingungs weise die Ausirücke: rechte, linke, obere und untere Seite, wie es auf der Zeichnung (Fig. 2) angegeben ist, benutzen. | schliessen Afrika’s trennt das der Halbinsel Labrador Eurasien “) erscheint dagegen Arabien als derjenige Theil, der der Halbinsel Labrador entspricht u. s: w. In allen mit einander verglichenen Festländern hat dieser Theil fast dieselben Dimensionen. Dagegen sehen wir, dass die 3 einander entsprechenden Theile: die zu Süd-Amerika gehôrige Partie von Central-Amerika, Aljaska und Australien in der Richtung von Süd- Amerika nach Austral-Eurasien hin stark an- wachsen. Der Umriss der Tafelländer ist, wie es scheint, mebr dem Zufall unterworfen, als der der Gebirgs- länder; doch zeigen die in Fig. 2 angeführten Bei- spiele, dass auch die ihrer Lage nach einander ent- sprechenden Tafelländer nicht selten grosse Âhnlich- keit besitzen. Man künnte annehmen, dass diese Âhn- lichkeit durch eine gewisse Begelnissigkeit in der Bildung der grossen Bruchlinien bedingt wird, welche die tafelartigen Theile der Continente begrenzen. Zwischen N.- und $S.-Amerika befinden sich die An- tillen, von denen die meisten und grüssten näher zum oberen Festlande, d. h. näher zu N.-Amerika liegen. Zwischen N.-Amerika und Eurasien liegt das bedeu- tend grüssere Grünland, das dem unteren Festlande (N.-Amerika) näher liegt. Schliesslich, noch weiter binauf, entspricht Grünland das noch weit grüssere Afrika, das an Eurasien anschliesst und gegenwärtig durch eine Landenge damit verbunden ist. Dieses An- entsprechende Arabien von SW.-Europa, d. h. von demjenigen Theil, welcher Neu-Braunschweig u. a. bis Neufundland einschliesslich entspricht °). Zwischen Grünland und dem nürdlichen Ufer Nord- Amerika’s befindet sich der ‘arktische Archipel der grossen Inseln, welche die beiden erwähnten Festländer fast zu einem Continent vereinigen. Zwischen der in- dischen Halbinsel und Afrika existirt ein solcher Ar- chipel nicht; aber es ist wahrscheinlich, dass hier noch unlängst (im geologischen Sinne) die verschwun- denen Theile von Indo-Afrika vorhanden waren, von 4) Das Wort Eurasia benutze ich. hier einfach Pa a zur Bezeichnung der Continente von Europa und A 5) Das rechte Ende der Antillen erreicht noch si rechte Ende von S.- Amerika (Fig. 2). Die rechte (die) Spitse de | Grônlands reicht bis zum rechten Winkel von N.-A ny lich un der rechte Theil Afrika’s Eurasia’s über. Pa mer sn “ 163 Bulletin de l’Académie Impériale 164 denen gegenwärtig nur einzelne Inseln nachgeblieben sind °). Der Umriss des Festlandes am Südpol ist nicht bekannt: wenn aber die in Rede stehende Âhnlich- keit der Festländer auch an ihm sich wiederspiegelt, so hat vielleicht das antarktische Festland im Allge- meinen eine dreieckige Form, deren eine Ecke sich dem Feuerlande, die andere dem SO.-Australien (Tasmanien und Neuseeland) nähert ?). Auf Grund der von Reiter®) gesammelten Daten ist auf der Zeichnung (Fig. 3) durch Punktirung der problematische Umriss des südlichen Festlandes, wie er mir am wahrscheinlichsten vorkommt, angegeben. Er zeigt die grôsste Ahnlichkeit mit N.-Amerika und auch mit Süd-Amerika, aber nicht in der von Reiter angegebenen Richtung ?). Fig. 8. a Hoorn É Trinity L. Ann Vieloria on Hudson rues Termination L. ; © W tps Weiter unten werden wir der Kürze halber N.-und $. Sie und Austral-Eurasien als Hauptcontinente, Grünland mit dem schen Archipel, Afrika wie auch die Antillen als Area bezeichnen. 7) Da dieues Festland zwischen Austral- res und Süd-Ame- rika liegt, kônnte man voraussetzen, dass es der Form nach etwas nn. ‘#wischen den erwähnten Continenten, ähnlich wie N.-Ame- darstellen würde und dass durch die viei nähere Lage der keit dieses Festlandes mit S.-Amerika eine grôssere sein wird, als die von N.-Amerika. 8) Reiter: Sélpélarfiage. Zeitschr. f. wissensch. Geographie, 07 RIVE EL 9) Dank der gütigen ere von Suess konnte ich eine kleine _ Abbandlung von ber die regelmässige Gestalt der _ Continente», die “chon is ün Foldtani Kôzlony, 1) erschienen war, berücksichti Mu în dieser Abbandiong werden Europa, Asien und Australien auch als ein Continent betrachtet und mit N.-Amerika verglichen, nur eschieht das i in einer anderen Richtung als oben empires Durch f. Ura g: Cincinnatisatt 2 Pr sites zu Süd-Amerika, als zu Austral-Eurasien, die Âhnlich- | p ia äusserliche Ahnli verglichen wird, das m Obgleich die Gebirge nach der Bildung der Conti- nente und zwar in verschiedenen Perioden entstanden sind, kann ihre Richtung dennoch in gewissem Zusam- Schematische Darstellung der Vertheïlung der Gebirgsketten. (Der besseren Übersicht wegen sind einige Ketten fortgelassen). a. Himalaya. renzgebirgsbogen: b. Kwen-lun. c. Tian-schan. . Altaï. N — Nordafrikanischer 2 — je rer nordamerikanischer. À — Antillischer. F— Falkländischer. à ç e. Sajan-Stanowoj. F tel. oblem. antarkt. Gebirgskette. einige Veränderung in der relativen Lage Afrika’s und des euro- âisch-asiatischen Festlandes ist diesen beiden Continenten eine hnlichkeit mit zwei anderen Continenten, denen von S. Amerika verliehen worden, wobei S.-Amerika mit Afrika it S- Fat grosse Âhnlichkeïit im Umriss zeigt, aber açh sehr abweicht. Bei Vergleichung der res ed dieser Cnénénte wird die Halbinsel Labrador en igen mit Arabien verglichen; der grüsste Theïl der side ist jedoch ganz verschieden. So z. B. w Florida mit Klein-Asien, Californien mit Scandinavien u. s. W. verglichen. .-und er inneren 165 des Sciences de Saint-Pétersbourg. menhange mit dem Umriss der Festländer stehen !°), Ein solcher Zusammenhang ist von Suess in Bezug auf die continentalen Küsten von pacifischem Küsten- typus vortrefflich erklärt worden. Eine vollständige Übereinstimmung in der Vertheilung der Gebirge ist nicht vorhanden, aber eine Analogie wohl zu bemer- ken, wobeï, je grüsser das Festland, desto complicirter sein Gebirgssystem erscheint (Fig. 4) Die lingste Gebirgskette zieht sich längs der ganzen linken (am stillen Ocean) gelegenen Seite der Continente. Diese Gebirgskette ist, mit gewissen Unterbrechungen, auf ihrer ganzen Erstreckung von Vulkanen begleitet und bildet einen fast vollständigen etwas gebogenen Ring, der sich gürtelformig um die Erde zieht, aber nicht in einem grôssten Kreise, sondern in ähnlichen, wie das in Fig. 1 mit dicken Strielièn angegeben ist. ru diesem Ring betheïligen sich auch die mächtigen Vulkane des antarktischen Festlandes !!). Auf dieser ganzen Erstreckung haben die Gebirgs- ketten eine in Bezug auf die pacifische Küste ähnli- che Structur. Suess sagt: «entlang der asiatischen Küste des pacifischen Oceans durch Japan und die Kurilen und dann ostwärts durch die Aleuten bis Aljaska zeigen sich auf dem Festlande selbst oder auf langen vorliegenden Inselreihen mehr oder minder zu- sammenhängende Linien von Gebirgsketten, deren Streichen entweder der Küste parallel oder gegen die- selbe concav ist, so dass die Inseln wie ebensoviele hängende Blumenkränze das Festland umgeben und dass bestimmte Beziehungen zwischen der Umgrenzung des Festlandes und seiner Structur nicht zu läugnen sind. In ebenso unverkennbarer Weise tritt der Zusam- menbang des Verlaufes der Küste mit dem Streichen der Gebirgsketten an der amerikanischen Westküste bis Californien hinab und durch ganz Südamerika hervor». Zu diesem «pacifischen» Küstentypus rechnet Suess 0) Hier will ich an folgende bemerkenswerthe Worte von Suess Dés («Antl. d. Erde», p. 8): «Die mächtigsten Gebirgsketten der pe sind nur untergeordnete Glieder sebr grosser Structurerschei- ungen, den ganzen Erdball beherrschen. Man mag di ue und den Bau eines Gebirges im Einzelnen beob- achten und beschreiben, aber man vermag nicht eine Erklärung für dieselben zu geben, ohne die Beziehungen dieses Gebirges zu der Vertbeilung der Gebirgsketten überhaupt im Auge zu halten». 11) Links vom oberen linken Winkel der Continente befinden sich vulkanische Inselgruppen, die desto grôsser sind, je grüsser der Con- tinent (Galapagos, Aleuten, polynesische vulkanische Inselgruppen). @ 'latitudinalen Gebirgsketten nach oben (nach Süd) gefaltet. auch die Küste von Chittagong am nürdlichen Ende der Bucht von Bengalen bis Java. «Vom Ganges bis zum Cap Horn ist also eine Wech- selbeziehung dieser Art die Regel». Wie Reiter mit Recht gezeigt hat, kebrt die für die pacifischen Küsten Amerika’s und Ostasiens cha- rakteristische Gebirgsketten-Structur auf Neu-Guinea, den Salomonen, Caledonien, Neu-Seeland und wahr- scheinlich auch auf der pacifischen Küste von Ant- arktis wieder. Auf diese Weise ziehen sich längs der ganzen paci- fischen Küste in einer allgemeinen Richtung des er- wähnten, nicht durch das Centrum gehenden und et- was deformirten Kreises, solche Gebirgsketten, die nach links ?) einseitig vorgeschoben sind *). Ep In verschiedenen Theilen dieses Kreises — nach W, nach O FE 13) Eine ganz exacte Darstellung der Gebirgszüge APRES zu geben ist jetzt noch nicht môglich. In dem Ussuri-Gebie n den der Küstenregion angrenzenden Gebirgen bestehen die ie aus massiven und archäischen Gesteinen, auch Kalksteinen, die prä- cambrischen oder paläozoischen Alters sind, Ausserdem finden sich ezeugt die verhältnissmässig unlängst stattge- fundenen Dislocationserscheinungen. Es bleibt aber noch ganz un- aufgeklärt, ob in dieser Gegend eine ne faltenbildende ue nach der archäischen Âra erfolgt i 112.1 #14 a biee Flächenrâume mit stark re Lepage Schich- . In andern Theïlen dieses Landes beobachte n Carbon-und Po ner ere die letzteren zeigen ute ein Fallen bis ee | Sy Verhältnisse der noch weiter nach SW. bis on nchi inc bin ina liegenden Küstenregion bleiben noch ungeachtet der rm rennes Ri de u’s und der Arbeiten anderer Gelehrten nicht gauz aufgeklär Die ganze ôstliche Küstenregion pate stellt ein gefaltetes Ge- birgsland dar, das jetzt aber aus den Reïhen vieler Trûämmer besteht. Werthvolle Angaben über den Bau der japanischen Gebirgsketten enthalten die letzten Mittheilungen Naumann s und Haradas. Alpen sr sich ausser ii archäischen Bildungen paläozoische Ablagerungen bis zum Devon PAT stellenweise aber auch Carbonschichten, ob- gleich die I letzt (auch oberd isch Échichten) viel weniger gestürt sind, An das oben angetührte pacifische Kstengebirse schliessen sich die in anderen Richtungen verlaufenden Gebirge in Abzweigungen an, Dabei verändert sich die Richtung der tangentialen Beweg ke dort, wo die Faltenketten sehr dicht auftreten und zusamme Bras bemerkt man einige Unregelmässigkeiten (z. B. in Burmab). Die Solche ee rdv wie die Alpen oder der Kaukasus haben pra a | Lage und Faltungsrichtung nach keine Analoga auf anderen Conti- enten. 6 N A rwahnte sit ürmige Vertheilung der Ketten erhält sich un. a 167 Bulletin de l’Académie Impériale Wenden wir uns jetzt zu den anderen Gebirgen. Die Gebirgsketten Brasiliens sind vorzüglich aus steil- abfallenden Gneiss-Schichten und auch Schiefern, Quar- ziten, Itakolumiten, Kalksteinen u. s. w. zusammenge- setzt, die man oft für archäische hält, die aber nicht ganz unbegründet von Hartt und einigen Anderen zu den untersilurischen Ablagerungen gerechnet werden. An diese Bildungen schliessen sich die horizontalen devonischen und Steinkohlenablagerungen an, die übrigens stellenweise schwach geneigt erscheinen ‘). Den brasilianischen Bergen entsprechen der Lage nach in Nord-Amerika die Alleghanen, welche aus stark gefalteten paläozoischen Ablagerungen bestehen, die, je weiter sie sich in das Innere des Continentes erstrecken, eine um so mehr der horizontalen sich nähernde Stellung annehmen. Die tangentiale Bewe- gung richtete sich ins Innere des Festlandes. In Austral-Eurasien entsprechen den Alleghanen > die scandinavischen Berge, in welchen die paläozoi- + Ro schen Ablagerungen im allzemeinen gestürt sind; aber nach dem Innern des Festlandes zu, noch in Schweden selbst und dann in Russland, nehmen diese Ablage- rungen eine horizontale Lage an. Die tangentiale Bewegung ist auch hier im allgemeinen landeinwärts gerichtet. Solche Gebirge, die dem Ural entsprechen, treten | in N.- und S.-Amerika nicht auf. In N.-Amerika künnte vielleicht als Analogon die Anticlinale von Cincinnati betrachtet werden, die wie der Ural sehr weite Flä- chenräume trennt, welche aus paläozoischen Ablage- no. rungen bestehen, die keine Stürungen aufweisen ). ok Solche ausgedebnte Tafelländer befinden sich in 14) Die Frage ob die Bildung der Falten in den brasilianischen Gebirgen noch in archäischer Zeit beendigt war, oder ob sie sich noch in der paläozoischen Âra fortbildeten, pes man wie es scheint als offene betrachten, selbst wenn die oben angeführte Ansicht von “rt u. à. über das silurische Alter eines à Theile es der Schiefer, Quar a. Gesteine sich nicht bestäitigen würde, Wenn z ie ein ben nr nee irgend einer Ursache zufolge in Nore Cwegen nic orb anden und an den daselbst auftretenden Falten “ e bus + e und silurische Schich- ten auflagern, die Faltung der Gebieins pv scandinavischen re insel überall noch vor Beginn der paläozoischen Âra beendigt w Le Faliangserschéiauore n in den archäischen en None gen’s sind wahrscheinlich pone vorcambrisch ' 15) Es ist môglich, wi uess meint, dass der Cincinnati- _ Faltensattel nur eine dite Falte à im Vorlande des Appalachien- ré LE allen Hauptcontinenten an den sich gegenseitig ent- sprechenden Stellen, Die indische Halbinsel, Arabien und der grüsste Theil Afrika’s (d. h. Indo-Afrika) sind alte Tafelländer; ebenso stellen die entsprechenden Theile von Nord- Amerika, der arktische Archipel und Grôünland alte Tafeln dar. "Nach oben (d. h. nach N.) von der Anticlinale von Cincinnati befindet sich in N.-Amerika eine Gruppe grosser Seen (Obere, Michigan u. a. ), ebenso wie nach oben (d. h. in der Richtung nach Süden) vom Üral eine Gruppe von Binnenmeeren, wie das Caspi- sche, der Aral und das Schwarze Meer auftritt !?). Weiter oben ist eine Vergleichung Afrika’s und der verschwundenen Theile von Indo-Afrika mit Grünland und dem polaren Archipel Amerika’s angeführt wor- den. Die denselben der Lage nach entsprechenden Antillen unterscheiden sich jedoch ganz bedeutend in orographischer und tektonischer Beziehung. Die letz- teren sind in der That durch Gebirgsketten gebildet, deren Structur so vortrefflich von Suess erklärt wor- den ist. Die Cordilleren der Antillen bilden einen nach oben d. h. nach N. convexen Bogen, der aus mehreren Zonen besteht, von denen die innere jungvulkanischer Entstehung ist. Das Vorland der in Rede stehenden Cordilleren ist vom Meer bedeckt; als Theile desselben kann man einige Inseln der 3. oder äusseren Zone von Suess betrachten. Das mächtige Nebenfestland von Austral- Eurasien d.h. Afrika mit den nachgebliebenen und versunkenen Theïlen von Indo-Afrika bildet, wie schon gesagt, ein grosses Tafelland. Doch an seiner Grenze mit Eura- sien sehen wir Gebirgsbogen, die eine grosse Ahnlich- keit mit den Cordilleren der Antillen zeigen. Diese ÂAbnlichkeit ist in vielen und mannichfaltigen Be- zichungen schon von Suess nachgewiesen worden. Die erwähnte Grenze hat jedoch eine so weite Er- streckung, dass hier das Auftreten einer Gebirgskette in der Gestalt eines einheitlichen Bogens (wie wir das auf den Antillen sehen), kaum môglich ist. Wir sehen hier im Gegentheil mehrere getrennte Gebirgsbogen. 16) Fast alle diese Seen (exel. Erie) sind die Krypto-Depressio- nen R. Credner’s, d. h. Seebecken mit positiver Spiegel- aber ne- Ro “eng 17) Der Aral ist eine Krypto- Robes Beim Caspi findet sich, wie FAR bekannt, die echte Depression 169 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 170 Verschwunden, untergesunken oder der Beobachtung unzugänglich sind nicht nur einige Theile derselben, sondern vielleicht auch einige ganze Bogen. Einen der grüssten Bogen bilden die nordafrikani- schen Ketten mit den sich anschliessenden Bettischen Cordilleren und den sicilianischen und apenninischen Gebirgsketten. Die afrikanischen Ketten sind nach oben (d. h. nach Süden) gefaltet, wie die Cordilleren der Antillen, die auch bei tangentialer Bewegung nach oben (in diesem Falle nach Norden) gebildet sind. Die Vulkane Italiens und die vulkanischen Inseln an der nôrdlichen Küste Afrika’s befinden sich, ebenso wie auf den Antillen, im Innern dieses Bogens. Der andere grosse Bogen wurde von Suess der dinarisch-taurische genannt. Im ôstlichen Theiïle des Mittelmeeres ist dieser Bogen fast überall eingebro- chen, aber man bemerkt ihn noch auf Cypern und Kreta. Im Innern dieses Bogens befinden sich die Vulkane des griechischen Archipels. Schliesslich, stellen die Nikobaren und Andaman- Inseln die Reste eines ähnlichen Bogens dar, der sich von Chittagong im Norden des Bengalischen Meerbu- sens bis Java hinzieht. In dem südamerikanischen Nebenfestlande haben wir also ein Grenzgebirge mit unbedeutenden Tafel- resten. Das Nebenfestland von Eurasien stellt dagegen eine ausserordentliche grosse Tafel und verhältniss- mässig unbedeutende Theïle von Grenzgebirgsbogen dar. Soviel ich weiss, scheint ein derartiges Grenzge- birge zwischen N.-Amerika und seinem Nebenfestlande gar nicht vorhanden zu sein Ÿ), und es bleibt noch un- entschieden, ob es in der That fehlt, oder nur in Folge der mangelhaften Untersuchungen nicht bekannt ist; vielleicht ist auch das Fehlen desselben durch die Sen- kung der gefalteten Bogen unter das Niveau des Oce- ans hervorgerufen, wie das z. B. mit vielen Theilen des dinarisch-taurischen Bogens geschah oder auch mit den Theilen des Antillen-Bogens zwischen den einzelnen Inseln und Honduras und Jukatan. Es scheint mir nicht unwabrscheinlich, dass die Falklands-Inseln mit South-Georgia und Sandwich- 18) Gegenwärtig ist es noch nicht môglich festzustellen, ob die Ketten an der Nordküste Amerika’s (zwischen der Barrow-Spitze und der Mackenzie-Mündung): Richardson, British, Rumjanzow und Pelly einen solchen Grenzgebirgsbogen darstellen (siehe ? in Fig. 4). | Ocean eindring Group die Reste eines ähnlichen Bogens darstellen, wie der der Antillen '?). Die Reïhe oder die Zone der Continente theilt die Oberfläche der Erde in zwei grosse Oceane: den Pa- cifischen und den Atlantischen mit allen übrigen grossen Meeren. Diese Oceane haben nur an zwei Stellen verhältnissmässig tiefe und breite Verbin- dungen, Das Nord-Eismeer 7. B. (wie in Fig. 2 zu sehen) bildet eine ebensolche golfartige Fortsetzung des At- lantischen Oceans, wie das Karaïbische Meer und der Mexikanische Meerbusen. Eine solche Eintheïlung der Wasserfläche der Erde in zwei grosse Theile ist schon von Reiter *) ange- fübrt worden. Suess hatte nachgewiesen, dass zwischen der atlan- tischen Küstenlinie und der Structur des Continentes kein ursachlicher Zusammenhang sichtbar ist. «Diese Unabhängigkeit des Verlaufes der Meeres- küste von jener der Gebirgsketten ist bezeichnend für die atlantische Region» *). Eine Ausnahme bilden diejenigen Grenzkettenbogen zwischen den Haupt- und Nebencontinenten, deren Vorland sich gegenwärtig unter dem Niveau des Oce- ans befindet. Hierher gehôren der Antillen-Bogen und der Java-Nikobaren-Arrakan-Bogen *®). Wenden wir uns jetzt zum geologischen Bau der Festländer. Wenn das Meer zu den verschiedenen Perioden in gleicher Weise die Continente überfluthet hätte, so kônnte man einen ähnlichen geologischen Bau ihrer Theile erwarten; aber die Transgression wird durch complicirte Ursachen bedingt. Dessen ungeachtet, er- 19) Darwin hat gezeigt, dass die Falklands-Inseln aus gefalteten paläozoischen Schichten A: die zuweilen in Quarzit und Thonschiefer umgewandelt s Obgleich das Auftreten de paläozoischen Schichten auf den An- tillen nicht nachgewiesen ist, so ist es doch sehr wahrscheinlich, dass die ie zuü ar tretenden Quarzite, Thonschiefer u. a. paläo- zoischen Alters sind. In anderen dé Lage nach entsprechenden Bogen (im Ma- layischen Bogen, in den nordafrikanischen Ketten) sind die paläo- zoischen Sehéchten rep bekannt 22) Alle ee LU sind nur RS So z. B.stellen die Gebirge von Nowaja Semlja nur eine Forts enden grossen Quergebirges dar, nas sic nur auf dem _—— Theile des Continentes befindet. tzung des in den ja: h ausserdem 171 Bulletin de l’Académie Impériale 172 scheinen in der That die HAE CRLADre CAES Festlandstheile in ibrer geolog g nicht selten übereinstimmend. Die Halbinsel Labrador besteht, wie es scheint, hauptsächlich aus Graniten und archäischen (auch pa- läozoischen) Bildungen. Eine gleiche Beschaffenheit hat auch der entsprechende Theil von S.-Amerika und ebenso Arabien, in welchem, soweit es bekannt, diese Gesteine wenigstens als Fundament auftreten. Im centralen Theïle von N.-Amerika treffen wir einen mächtigen Flächenraum mit horizontalen paläo- zoischen Ablagerungen; nur im rechten (ôstlichen) Theile dieses Flächenraums befindet sich die flache Anticlinale von Cincinnati. In dem entsprechenden Theile von Eurasien sehen wir ebenfalls grosse Flä- chenräume mit horizontalen paläozoischen Ablagerun- . gen des europäischen Russlands und W.-Sibiriens, die durch den Ural getrennt sind. Auf dem südwestlichen Theile von S.-Amerika zeigt sich eine busenfürmige Ausbreitung der marinen Ter- tiärablagerungen. Eine ähnliche Erscheinung bemerkt man in N.-Amerika und in dem entsprechenden Theïle Eurasien’s (in Westsibirien von der Seite des Eismeeres). Man kann noch auf einige derartige Beispiele hin- weisen; z. B. auf die Âhnlichkeit in der Structur der obenerwähnten Cordilleren der Antillen, Nikobaren- Andamanen-Arrakanketten und dem taurisch-dinari- schen Bogen, eine Âhnlichkeit, die schon von Suess nachgewiesen ist, Aus dem ausserordentlich inhalts- reichen Werke dieses Gelehrten («Antlitz der Erde») kôünnte man noch andere hierher gehürige Beispiele anfübren. Wiederholen wir hier in aller Kürze einige der oben- angeführten Schlussfolgerungen. Alle Hauptcontinente: der Antarktische, Süd-Ame- rika, Nord-Amerika und Austral-Eurasien haben eine _ dreieckige Gestalt, und sind derart angeordnet, dass _immer die untere Ecke des einen der linken oberen des benachbarten genähert ist. Ihre Abnlichkeit er- scheint auch in den Details, wobei jeder Continent der Gestalt nach eine mittlere Form im Vergleich mit den Continenten darstellt, zwischen welchen er sich befindet. Die Richtung aller erwähnten Continente ist eine und dieselbe. Die pacifische Grenze der Continente hält auf der ganzen Erdkugel eine allgemeine Rich- tung ein (die nur in Bezug auf die Weltgegenden ab- weicht); diese Richtung folgt einem deformirten Kreise, der schräg zum Meridian und nicht durch das Centrum der Erde geht. Alle Hauptcontinente erscheinen in orogenetischer Beziehung unter einander analog, obgleich die Gebirgs- systeme desto complicirter auftreten, je grôsser der Continent ist. An der oberen Grenze eines den Continentes be- findet sich ein Nebenfestland, das um so grôsser ist, je grôsser der Continent. Die längste fast ununterbrochene Reïhe von Gebirgs- ketten zieht sich in einer allgemeinen Richtung hin, die mit der pacifischen Grenze des Continentes zusam- menfällt Die Reiïhe oder Zone der Continente theilt die Was- serfläche der Erde in zwei Hauptoceane. Diejenigen Theïle der Continente, die sich gegen- seitig entsprechen, zeigen nicht nur Ahnlichkeit, sondern zuweilen sogar bemerkenswerthe Überein- stimmung in ihrer geologischen Zusammensetzung. Nach allem Obengesagten glaube ich noch folgende Bemerkungen hinzufügen zu kônnen. Wenn wir die ursprünglichen Umrisse der Continente herstellen kônnten, so würden sie hôchst wabrscheinlich viel regelmässiger als gegenwärtig erscheinen. Die pacifi- sche Grenze, die wohl mit Recht als die älteste ange- sehen werden kann #), ist zugleich auch die regel- mässigste *). Überhaupt ist die Regelmässigkeit der Continente eine normale Erscheinung, aber mit dem Lebenslaufe des Planeten wird diese Regelmässigkeit allmälig mas- Auf der Oberfläche eines anderen Planeten, des Mars, wie auf der von Schiaparelli zusammenge- stellten Karte zu ersehen ist, erscheinen die Landmas- sen auch mit einer gewissen Regelmässigkeiït vertheilt, 23) Die ar Küstentheile der Continente sind vom Ocean in verschiedenen Perioden auf eine gewisse Strecke überfluthet wor- den. Die dabei rap arÈn Sedimente konnten später auch an der Bildung der Falten theilnehmen. 24) Eine mathematische Regelmässigkeit der ältesten Grenzen der Continente ist nicht zu erwarten. Nicht nur diese Grenzen, son- h 2 ihre ursprüngliche Form eines regelmässigen Drehungselip- pers nicht beibehalten. 173 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 174 aber diese Vertheilung hat einen anderen Charakter als auf der Erde. So viel man das gegenwärtig beur- theilen kann, steht die Vertheilung von Land und Wasser auf dem Mars in engerer Beziehung zu der Drehungsaxe dieses Planeten, als auf der Erde. In der vorliegenden Abhandlung ist die Structur der Erdoberfläche unabhängig von der Stellung der Erdaxe betrachtet worden, obgleich es den Anschein hat, als ob ein so wichtiges Element der Erde, wie ihre Drehungsaxe, nicht unberücksichtigt bleiben kônnte. Und wenn es mir scheint, dass die obenange- fübrte Vertheilung der Continente wohl einige Gründe für sich hat, so ist es nur der dabei zugleich bemerk- baren Âhnlichkeit der Continente in orogenetischer Beziehung, und ihrer geologischen Zusammensetzung zuzuschreiben. Ausserdem walten vorherrschend, so- viel man es gegenwärtig beurtheilen kann, bei der Bildung der Continente und Gebirge innere Processe der Erde, deren Vorgänge den Einfluss vollständig verhüllen, welchen müglicher Weise die rotirende Be- wegung der Erde oder äusserliche astronomische Ursachen auf diese Bildung ausüben. Endlich ist es auch môglich, dass die Erdaxe nicht stets dieselbe Stellung hatte wie gegenwärtig. Es ist nicht zu läugnen, dass in der That gewisse gesetzliche Beziehungen zwischen der Landvertheilung und der gegenwärtigen Erdaxe vorhanden sind. Hier wäre die bekannte südliche Zuspitzung der Continente und ihrer Theile (Indien, Grünland u. a.) anzuführen; obgleich nicht ausser Acht zu lassen ist, dass diese Zuspitzung durch solche Continentalgrenzen bedingt ist, die wir als verhältnissmässig neuere ansehen kôünnen *). | Bericht über eine Reise zu den Karaimen der west- lichen Gouvernements. Von W. Radloff. (Lu le 18 août 1887.) Zur Vervollständigung meiner im vorigen Jahre begonnenen Untersuchung der tatarischen Mundarten der Krym unternahm ich in diesem Sommer im Auf- trage der Akademie eine Reise in die westlichen Gou- pla Selbst in solchen Fällen, wo die erwähnte Gestalt von der urchkreuzung einer alten Grenze mit einer neuen abhäà Stande gekommen. ome X] vernements, um etwaigen Überresten der alten Sprache der Krym bei den im XV. Jahrhundert nach Lithauen und Volhynien übergesiedelten Tataren und Karaimen nachzuforschen. Ich reiste im Juni dieses Jahres von St. Petersburg nach Lithauen, wo sich in den Gouver- nements Wilna und Kowno Ansiedlungen von Karai- men und Tataren befinden. Zuerst besuchte ich die Stadt Troki und Umgegend und fand leider, dass die Wil- naer Tataren ïihre Sprache vollkommen vergessen haben und sich jetzt als Umgangssprache ausschliess- lich des Polnischen und Weissrussischen bedienen, Alle diese Tataren sind, wenn ich so sagen darf, ent- tatarisirt, und würden sich schon längst mit der sie umwohnenden slavischen Bevülkerung assimilirt haben, wenn sie nicht ibhre Religion bewahrt hätten und eine Anzahl kleiner Gemeinden, die noch ziemlich streng an ihren mohammedanischen Religionssatzungen fest- halten, bildeten. Dahingegen fand ich in der Stadt Troki selbst eine noch bis jetzt tatarisch sprechende Karaimen-Ge- meinde. Nach Aussagen dieser Karaïimen wäre die Stadt Troki früher ausschliesslich von Karaimen be- wohnt gewesen, die hier in einer Zahl von über 300 Familien angesiedelt worden sind. Sie hätten hier einen recht ausgedehnten Landbesitz erhalten. Be- deutende Privilegien hätten sie vor Unbill der Nach- baren geschützt; unter Anderem wäre es keinem Talmud-Juden gestattet gewésen, sich in Troki nie- derzulassen. Da ihre Privilegien später von den polni- schen Künigen und russischen Kaisern in ihrem gan- zen Umfange bestätigt worden wären, so wäre es der an Zahl geringen Karaimen-Gemeinde môglich ge- wesen, sich als ein geschlossenes Ganze Jahrhunderte lang zu erhalten. Seit den fünfziger Jahren hätten sich die Verhältnisse geändert. Die Ansiedlung von Juden und der Umstand, dass die St. Petersburg- War- schauer Eisenbahn die Stadt Troki nicht berührt babe, hätten eine stets zunehmende Auswanderung der Rae veranlasst, und die Gemeinde würde ; . schon jetzt sehr zusammengeschmolzen sein, wenn nicht in den sechziger Jahren etwa 80 Karaimen- Familien aus dem Kownoschen nach Troki überge- siedelt wären. Die Erwerbsverhältnisse seien in Troki so schwierig und ungünstig und durch die stets zu- wâre =nehmende Concurrenz der eingewanderten Juden so. ein keilférmiger Umriss ohne die Bildung der Se ue zu 8 J drückt, dass die ne nas Karaimen, 175 Bulletin de l’Académie Impériale 176 wenn sie auch in Troki als Bürger angesthrieben blieben, doch in anderen Städten ihren Erwerb suchen müssten und nur zeitweise nach Troki zurückkehrten und hier nur ältere Leute und ganz arme Karaimen zurückblieben, die durch den Gemeinde-Landbesitz ihren Unterhalt gewännen. Trotz dieser mit jedem Jahre zunehmenden, auf die Gemeinde zersetzend wirkenden A jerung und zeitweisen Übersiedlung in die verschiedenen Ge- genden Russlands steht die Karaimen-Gemeinde von Troki noch bis jetzt als eine feste kirchliche und, man môchte fast sagen, nationale Gemeinschaft da, die die religiôsen Überlieferungen ibrer Väter treu bewahrt bat und starr festhält an der sie von allen Umwohnern scharf scheidenden tatarischen Sprache. Es muss un- sere Bewunderung erregen, dass ein so kleines Vülk- chen, das bei seiner Ansiedlung hierselbst nur aus 300 Familien bestand, sich bis jetzt unter so ungün- stigen Verhältnissen als ein Ganzes erhalten kounte und im Stande war, in der Mitte anders redender Nachbaren seine Sprache zu bewahren, trotzdem es mit den Nachbaren in regstem Verkehre stand und alle seine Glieder ohne Ausnahme die Sprache der Nachbaren sich vollständig zu Eigen gemacht hatten. Diese hôchst auffällige Erscheinung lässt sich nur dadureh erklären, dass bei den lithauischen Karaimen die tatarische Sprache zugleich als Träger des reli- giôsen Ideals des Volkes auftrat. Wenn die Karaimen der Krym auch ohne Ausnahme sich des Tatarischen als Familiensprache bedienen, so sind sie sich doch in Mitte der tatarisch-mohammedanischen Bevülke- rung wohl bewusst, dass diese Sprache ihnen eigent- lich eine fremde ist, und sie betrachten ausschliess- lich die hebräische Sprache als den Träger des reli- giôsen Ideals ihres Volkes. Die lithauischen Karaimen hingegen, die von allen Seiten von slavisch und jüdisch-deutsch sprechenden Volksmassen umgeben sind, sehen ihre tâtarische Mundart als ein Vermächtniss ihrer Väter an, als ein theures Eigenthum, das ihnen zur Kenntniss ihrer Religion unbedingt nôthig ist. Diese ihre Sprache war ja der Wall, der sie scharf von den sie in dichten = Massen umgebenden jüdischen Gemeinden schied, denn in ihr kam der Secten-Unterschied von en = ihnen fremden Glaubensgenossen am klarsten zum __ Ausdrucke, Aus diesen Gründen blieb bei ihnen das Tatarische nicht nur als einzige Familiensprache, sondern es gewann selbst die Herrschaft in der Schule, die die Kenntniss des Tatarischen ebenso forderte wie die Kenntniss des Hebräischen. Ja selbst in der Syna- goge, beim Gottesdienste, hat sich die tatarische Sprache eingebürgert, denn am Sabbath und anderen Festtagen werden die officiellen Gebete und zahlreiche Hymnen in tatarischer Sprache recitirt, und bei religiôsen Festlichkeiten, wie bei der Beschneidung und bei Hochzeitsfeierlichkeiten, tatarische Gedichte und An- sprachen vorgetragen. Wie tief die tatarische Sprache im Volksbewusstsein der Karaimen wurzelt, beweist uns unter Andern auch der Umstand, dass fern von Troki lebende Karaimen häufig ihre Kinder auf län- gere Zeit nach Troki zu Verwandten schicken, damit sie dort ihre Muttersprache, wie sie sich ausdrücken, erlernen. Die in Troki bestehende Medresch (Schule) wird noch heute von 40 Kindern besucht, die hier wäbrend einiger Jahre, vor Eintritt in die russische Schule, die hebräische Schrift, tatarische Schrift- sprache und die hebräische Sprache erlernen und sich mit den Religionssatzungen bekannt machen. Wie hoch die Trokier Karaimen ïhre tatarische Mundart schätzen, davon konnte ich mich selbst wäh- rend meines Aufenthaltes in Troki überzeugen. Kaum . batte sich das Gerücht verbreitet, dass ich mich für die karaimische Sprache (so wird dieselbe stets ge- nannt) interessire und bhierher gekommen sei, die- selbe zu erlernen, so fanden sich bei mir die ange- sehendsten Einwohner des Städtchens ein und stellten mir ihre Dienste zur Verfügung. Man verschaffte mir nicht nur die geeignetesten Persünlichkeiten, die mir Erzählungen und Märchen vortragen konnten, und Kenner der Sprache und Litteratur, sondern man suchte auch in allen Häusern nach Schriftdenkmälern und stellte mir dieselben bereitwillig zur Verfügung. So war ich im Stande, meine ganze Zeit ausschliesslich den Sprachstudien widmen zu kônnen, und im Laufe von fast zwei Wochen eingehende grammatische und lexicalische Sammlungen anzulegen, Märchen und Er- zählungen aufzuzeichnen und eine ganze Reihe von Liedern und Gebeten, wie auch Theile von Überset- zungen des alten Testaments mit Karaimen durchzu- gehen und nach ihrer Aussprache zu transscribiren und auf diese Weise reiches Material zur es Hs. Mundart zusammenzubringen. 177 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 178 In diesen Materialien liegen uns zwei deutlich ge- trennte Stufen des lithauischen Karaimendialectes vor: 1) Die Litteratursprache, ein ziemlich reiner Türkdialect, der sich gewiss nur wenig von der ge- sprochenen Sprache unterscheidet, den die Karaimen vor Jahrhunderten aus der Krym nach Lithauen verpflanzt haben. Sie ist am Reinsten in den Bibel- übersetzungen bewahrt, die mir in einigen älteren Handschriften vorlagen und gewiss treuen mündlichen Überlieferungen der Vorzeit entsprechen. Diese Schrift- sprache wird noch mehr oder weniger rein bis jetzt im schriftlichen Verkehre angewendet und ist ausser- dem die Sprache der Schule. In ihr fand ich auch viele Gebete, Hymnen und Lieder geistigen und welt- hchen Inhalts aufgezeichnet. 2) Die gesprochene Volksmundart. Dieselbe ist lexicalisch stark mit polnischen, weissrussischen und lithauischen Elementen versetzt und zeigt be- deutende Abweichungen in lautlicher und gramma- tischer Beziehung von der Schriftsprache, die offenbar dadurch entstanden sind, dass in der kleinen, in sich vollkommen abgeschlossenen Sprachgemeinschaft die sprachliche Fortbildung schneller fortschreiten konnte als in den sich gegenseitig stets zu reactionären sprach- lichen Rückbewegungen zwingenden grôüsseren tata- rischen Sprachgemeinschaften der übrigen Türk- ialecte. ; Besonders in die Augen fallend ist der Einfluss, den die Syntax und die Wortstellung der Lette Schriftsprache und der slavischen Mundarten der Nachbaren, deren Sprachen die Karaimen seit Jahr- bunderten vollkommen mächtig sind, auf den eigen- thümlichen, von den vorgenannten Sprachen so abweï- chenden, Satzbau des tatarischen Idioms ausgeübt haben. Die den übrigen Tatar-Dialecten fremde Wortstellung giebt der Trokier Mundart ein so eigen- thümliches Gepräge, dass der anderer Türk-Dialecte Mächtige sich anfangs gar nicht in den Gedanken- gang der Rede hineindenken kann, so dass ihm das aller Bekannteste in dem fremden Kleide vollkommen unverständlich erscheint. Der tatarische Satzbau ist selbst in der gesprochenen Sprache so vollkommen vernichtet, dass Erzählungen aus dem Volksmunde sich fast wie würtliche Übersetzung aus dem hebrüäi- schen Urtexte ausnehmen. Dieser ganz eigenthümliche Satzbau ist es auch, der die Trokier Karaimen veran- lasst, zu erklären, ihre Sprache sei eine ganz selbst- ständige, sie seien nicht im Stande, sich derselben im Verkehr mit den krymschen Karaimen zu bedienen und müssten mit ihnen russisch sprechen, da sie ein- ander nicht verstehen kônnten. Ich will hier nicht näher auf diese interessante Erscheinung eingehen, sie bedarf einer allseitigen gründlichen Beleuchtung, und ich hoffe, dass das reiche von mir gesammelte Sprachmaterial im Stande sein wird, ein klares Bild des Dialectes zu entwerfen. Die Sprache der Karaïmen, die um Kowno wohnen, und früher eine eigene grüssere Gemeinde in Pone- vieZ bildeten, stimmt vollkommen mit der Sprache von Troki és und unterscheidet sich von dieser nur dadurch, dass die Kownoer Karaimen mehr li- thauische Wôrter gebrauchen als die Trokier. Da ich mich davon selbst überzeugen konnte, indem ich die Sprache des erst vor einigen Jahren nach Troki ein- gewanderten Lehrers Rojezki zu beobachten Gele- genheit hatte, und ausserdem erfuhr, dass sich die Gemeinde von Poneviez vollständig aufgelüst habe und die Überreste derselben jetzt zerstreut in den umliegenden Dürfern wohnen, so gab ich meine ur- sprüngliche Absicht auf, mich noch nach Kowno zu begeben und reiste, mit guten Empfehlungen versehen, direct nach Volhynien, um die karaimische Mundart in Luzk zu studiren. Zwischen Troki und Luzk bestehen nur sehr ge- ringe Beziehungen und ich konnte daher in Troki kei- nerlei Nachrichten über den Zustand der Karaimen- Gemeinde in Luzk erhalten. Sehr enttäuscht und entmuthigt war ich daher, als ich in Luzk anstatt einer Zahlreichen Gemeinde, wie ich erwartete, nur den Hassan (Geistlichen) und drei Karaimen-Familien vorfand. Der Hassan von Luzk, ein Bruder des Leh- rers Rojezki aus Poneviez, konnte mir selbst nicht bei meinen Sprachstudien behülflich sein, da er einen Mischdialect zwischen der Sprache von Luzk und Troki spricht, und die übrigen Einwohner waren ganz lalte Leute, die ebenfalls mir nicht von Nutzen sein konnten. Wenn ich trotzdem die Môglichkeit hatte, erfolgreiche Sprachstudien hier vorzunehmen und den u luzker Dialect gründlich kennen zu lernen, so war dies nur dadurch ermüglicht, dass es den freundlichen Bemühungen des Hassan gelang, einen sehr a Karaimen zu ce piss der sich zufällig zum , 179 Bulletin de l’Académie Impériale in Luzk aufhielt, und der seinen Dialect rein, ohne jede fremde Beimischung, sprach und sich mir wäh- rend meiïines Aufenthaltes in Luzk vollständig zur Verfügung stellte. Ausserdem wurden mir durch die liebenswürdige Verwendung des Hassan alle hier- selbst vorhandenen Schriftdenkmäler bereitwilligst zur Verfügung gestellt. So konnte ich trotz der vollstän- digen Auflüsung der luzker Karaimen - Gemeinde doch ziemlich umfangreiche Sprachmaterialien sam- meln, was gewiss nach wenigen Jahrzehnten unmüg- lich gewesen wäre, denn der luzker Dialect ist im Aussterben begriffen. Nur wenige in Russland sehr zerstreut lebende Karaimen sind desselben noch mächtig, und er wird nirgends mehr als ausschliess- liche Familiensprache gesprochen. Von einer karaimi- schen Schulsprache in Luzk kann gar nicht mehr die Rede sein, die Medresch daselbst hat schon seit zwei Jahren keinen einzigen Schüler mehr. Die Synagoge wird zwar noch auf Kosten der zerstreut lebenden Karaimen-Familien unterhalten, in ihr hält aber der Hassan den Gottesdienst gewühnlich ohne Gemeinde ab, denn nur an grüsseren Festtagen finden sich ver- einzelte Mitglieder aus der Umgegend zum Gottes- dienste ein. Mit Wehmuth erzählte mir dies Alles mein Lehrer und fügte traurig hinzu: «Wir werden wohl unsere Karaimensprache mit uns zu Grabe tragen, unsere Kinder verstehen jetzt nur noch pol- nisch und russisch und erklären die Kenntniss des Karaimischen als vollkommen unnütz». Das Verhältniss der gesprochenen Sprache zur Schriftsprache ist in Luzk fast das nämliche, wie in Troki. Die Litteratursprache ist die Sprache der ver- gangenen Jahrhunderte, während die gesprochene Sprache eine weit vorgerückte Stufe der Fortbildung dieser alten Sprache darstellt. Beide Sprachen be- _ weisen unumstôsslich, dass die Karaimen, die vor Jahr- hunderten in Luzk angesiedelt varie. schon beï ihrer Einwanderung nach Volhynien eine andere : Mundart des Krym-Dialectes sprachen, als die Karai- men von Troki. Die älteste Schriftsprache zeigt schon _ viele Momente, die sie scharf von der alten Sprache in Troki scheiden, und dieser ursprünglich schon ver- = schiedene Türk-Dialect hat jetzt im Laufe der Jahr- = hunderte einen ganz eigenthümlichen Gang der Fort- _tung, als die Volkssprache von Troki. _ entwicklung genommen in einer ganz anderen Rich- | Ich kann mich natürlich hier nicht auf weitere Aus- einandersetzungen einlassen, ich will aber doch einige Punkte der Lautlehre hervorheben, die uns als cha- rakteristisches Merkmal für den luzker Dialect die- nen kôünnen. Während in der Trokier Mundart sich alle ursprünglichen Vocale der Türksprachen, wenn auch mit gewissen Modulationen, erhalten haben, sind in Luzk die labiopalatalen Vocale 6 und ÿ ver- schwunden und an ihre Stelle die entsprechenden dentipalatalen Vocale à und i getreten; so lauten die in Troki noch deutlich geschiedenen Wôrter ÿa (drei) und ia (Inneres) beide in Luzk in wie auch die Wôr- ter Kkü3 (Auge) kün (viel) 63ÿm (ich selbst) in der Form Ke3, Ken und exim erscheinen, Ferner tritt in Luzk, wie schon das zuerst angeführte Beispiel beweist, an Stelle des zusammengesetzten Consonanten «x der Trokier Mundart überall x anf. Letztere Erscheinung unterstützt meine Ansicht über die Aussprache des Buchstaben & im Codex Comanicus auf das Eclatan- teste. Nicht minder interessant ist die eigenthümliche Fortbildung und Abschleifung der grammatischen Bildungssilben im luzker Dialecte. Eine zweite Ansiedelung der Karaimen in Volhy- nien, wo sich bis jetzt noch eine geschlossene Ge- meinde erhalten hat, befindet sich im Städtchen Ha- licz, das gegenwärtig zu Galizien gehôrt und etwa dreissig Meilen von Luzk entfernt ist. Leider hatte ich nicht die Môglichkeit, die Grenze zu passiren, da ich versäumt hatte, mich mit den zur Fahrt ins Aus- land nôthigen Papieren zu versehen. Nach Angabe der luzker Karaimen ist die Sprache der Karaimen von Halicz vollkommen die gleiche wie die ihrige, nur seien diese Karaimen den Juden näher getreten und biete ihre Sprache daher oft deutsche Wôürter, die ihnen unverständlich wären. Dass die haliezer Schrift- sprache sich durchaus nicht von der luzker unter- scheidet, davon konnte ich mich selbst genügend über- zeugen, da ich in Luzk ziemlich umfangreiche, in Halicz geschriebene, Bibelübersetzungen vorfand. Der einzige Unterschied, den diese Bibeltexte zeigten, war der Gebrauch des Vocals ÿ, der in den luzker Schriftstücken stets durch i wiedergegeben wird. Ob die haliczer Karaïmen jetzt noch ÿ sprechen, konnte man mir in Luzk nicht angeben. Wabrscheinlich ist dieses ÿ der haliczer Schriftsprache ein Überbleibsel -| der ältesten Schriftsprache, das nur in Bibelüberset- ; des Sciences de Saint - Pétersbourg. 182 zungen beibehalten wurde. Ich hoffe später noch Ge- legenheit zu haben die haliczer Mundart aus eigener Anschauung kennen zu lernen. Die während meiner diesjährigen Reise gesam- melten sprachlichen Materialien für die Mundarten der Karaimen der westlichen Gouvernements sind somit folgende: 1) Übersetzungen eines grossen Theils des alten Testaments zum Theil im Dialecte von Troki, zum Theil in dem Dialecte von Halicz. Diese Texte sind besonders dadurch wichtig, dass sie mit einer con- sequent durchgeführten, peinlich genauen Vocalbe- zeichnung versehen sind und daher als hôüchst werth- volle Sprachdenkmäler der ältesten Karaimen-Mundart gelten kôünnen, einer Mundart, die sich aufs Engste an die Sprache des Codex Comanicus anschliesst. 2) Gebete, Hymnen und Gedichte in der Schrift- sprache der Mundarten von Troki und Luzk. Diesel- ben sind, zum grôssten Theïl mit hebräischen Buch- staben geschrieben, in meinem Besitze, ausserdem habe ich sie aber nach der jetzigen, zum Theil abwei- chenden, Aussprache der Karaimen mit meinem Alpha- bete umschrieben. 3) Aufzeichnungen von Redensarten, einzelnen Sätzen, Erzählungen und Märchen, die ich nach dem Dictat von Leuten niedergeschrieben habe, welche der Schriftsprache nur wenig mächtig waren, die daher eine treue Anschauung von der gewôhnlichen Umgangs- Sprache geben. 4) Wôrtersammlungen und grammatische Aufzeich- nungen, Dieses an Ort und Stelle gesammelte Sprachmate- rial ist im Stande, ein klares Bild des gegenwärtigen Zustandes der karaimischen Mundarten und einen Eïnblick in die Vergangenheit dieses Türk-Dialectes zu gewähren. Da die ältesten Schriftdenkmäler dieses Dialectes sich, wie schon gesagt, eng an das tür- kische Sprachmaterial des Codex Comanicus anschlies- sen, so künnen sie gleichsam als Ergänzungen zur Er- Kkenntniss dieses jetzt ausgestorbenen Dialectes dienen. Ich beabsichtige deshalb, mit der Verôffentlichung dieser von mir gemachten Sammlungen sogleich zu beginnen, da sie gewissermaassen die Fortsetzung meiner jetzt im Drucke beendigten Arbeit über das Komanische bilden, und als eine Grundlage für die richtige Er- kenntniss der Mundarten der Krym dienen werden. Durch die Verwendung des Hassan von Luzk ist es mir gelungen, einen grossen Theil der haliczer Bi- belübersetzung zu meiner Verfügung zu erhalten, was mir um so wichtiger ist, als nur noch sehr wenige Exem- plare dieser Übersetzungen sich erhalten haben, und diese alle wie Familienheiligthümer bewahrt werden. Der Besitzer dieser Übersetzungen will diese werth- vollen Handschriften unserem Asiatischen Museum als Geschenk überlassen, wenn wir dafür den Karaimen- Gemeinden 80 gedruckte Exemplare zur Verfügung stellen. Ich erlaube mir deshalb, der Klasse vorzu- schlagen, sogleich mit dem Abdruck dieser Überset- zungen zu beginnen und nach Vollendung jedes einzel- nen Buches dem Hassan von Luzk und dem Lehrer Rojezki in Troki je 40 Exemplare zuzustellen. Ei- nige Bücher des alten Testaments, z. B. Hiob und Daniel, die mir auch im Dialecte von Troki vorliegen, werde ich im Dialecte von Troki abdrucken und nur mit den Varianten der haliczer Übersetzung versehen lassen. An diese Bibelübersetzungen sollen sich dann meine übrigen Sammlungen ansschliessen und das Ganze soll dann unter dem Titel: «Die Sprache der Karaimen von Lithauen und Volhynien» in unseren «Mémoires» oder als selbstständiges Werk erscheinen. Da die Kaiserliche Offentliche Bibliothek in der Firkowitsch’schen Sammlung einige sehr alte Bibel- übersetzungen der krymschen Karaimen besitzt, so môchte ich dieselben zu Rathe ziehen, und ich ersuche deshalb die Klasse, sich bei der Verwaltung der «Kai- serlichen Offentlichen Bibliothek» zu verwenden, dass mir die Manuscripte À 140—146 der Firkowitsch’- schen Sammlung zur Benutzung in dem von mir ver- walteten Asiatischen Museum überlassen werden. Zusatz zu ,Studien über den Sterncatalog: Positions moyennes de 3542 étoiles, déterminées à l’aide du cercle méridien de Poulkova dans les années 1840-1869 et réduites à l'époque 1855,0. St. Pétersbourg, 1886“. Von 0. Backlund. he le 15 septembre 1887.) Seitdem ich den Aufsatz mit dem angeführten Tite + der Akademie vorlegte, habe ich Gelegenheit gehabt die grain A der pas ei weleho bei bn la 183 Bulletin de l’Académie Impériale Reduction der Declinationsbeobachtungen am Pulko- waer Meridiankreis berücksichtigt worden sind, zu revidiren. Es stellte sich dabei heraus, dass man die Theïlungsfehler aus den Messungen mit falschen Zei- chen abgeleitet hat. Die Anwendung der hiernach construirten Theilungsfehlertafel hat also zur Folge, dass die in den Bänden VI und VII angegebenen De- clinationen fehlerhaft um den doppelten Betrag der Theilungsfehler sind. Wir wollen nun untersuchen, wie die Differenzen zwischen dem Vertikalkreis und dem Meridiankreis sich gestalten, wenn für den letzteren die wirklichen Theilungsfehler berücksichtigt werden. Zu dem Zwecke benutzen wir die in dem erwähnten Aufsatze gege- bene Relation P,—M und bezeichnen mit (M) das wegen der wirklichen Theïlungsfehler corrigirte AZ. Pn—M Corr. wegen P,, —(M). ô Re Th.-fehler Aë tes 028: 44 0 00 0192 + 75 — 0,14 —0,13 — 0,27 + 70 — 0,03 —-0,14 —0,17 + 69 + 0,05 —-0,12 —0,07 +- 60 + 0,14 0,00 +0,14 + 55 + 0,21 —0,21 0,00 + 0 + 0,32 — 0,29 +0,03 + 45 + 0,51 — 0,39 + 0,12 + 40 + 0,65 —0,37 + 0,28 + 39 + 0,78 —0,48 + 0,30 + 30 + 0,68 — 0,56 +0,12 + 25 + 0,31 + 0,26 + 0,57 + 20 + 0,43 +0,03 + 0,46 + 15 + 0,60 — 0,29 +0,31 + 10 + 0,57 — 0,27 + 0,30 + 5 + 0,44 — 0,05 + 0,39 0 + 0,01 + 0,16 + 0,17 — — 0,22 +0,40 +0,18 — 10 — 0,21 + 0,06 — 0,15 — 15 — 0,22 —0,13 —0,35 Mit Ausnahme von den Differenzen bei - 25° und +-20° ist die Übereinstimmung zwischen P, und (H) überhaupt so gross, wie man von zwei von einander, bis auf die Polhôühe und Refractions-Constante, unab- bängigen Lors erwarten kann. Was die Differen- : zen bei + 25° und + 20° betrifft, so ist es leicht ihre Abweichung von den nächstliegenden zu erklären. Die | | Reductionstafel P,— M ist auf Grundlage der Ver- . der an ”beiden Instrumenten beobachteten Pulkowaer Hauptsterne und zwar mit Hülfe von aus- gleichenden Curven ermittelt; nun ist die Anzah]l der Hauptsterne in der Zone 20°—25° eine verhält- nissmässig geringe, so dass man bei dem Curven- ziehen sich berechtigt betrachten konnte die in dieser Zone angedeutete starke Biegung beträchtlich zu ver- einfachen. Jetzt erscheint es in der That, als wenn der Curve ein zu einfacher Verlauf gegeben wäre und dass also der Anschluss des Cataloges II an P,, in dieser Zone nicht hinreichend eng sei. Nehmen wir mit Rücksicht auf diesen Umstand an, dass die Differenzen P,—(M) von + 40° bis + 5° constant sind, eine Annahme die nicht unberechtigt erscheint, so würde sich für den Catalog II eine Correction von etwa —0,2 in der Zone 20°— 25° ergeben. Durch Anbringung dieser Correction an II würde auch die Übereinstim- mung zwischen II und dem Catalog Becker eine weit bessere werden, so dass in der That die Differenzen bei + 25° und + 20° zum Theïil von einem ungenauen Zeichen der Curve herzurühren scheinen. Übrigens ist zu bemerken, dass die Zahlen in der Columne P—(M) noch kleine Modificationen erleiden kôünnen, wenn die wahren Theiïlungsfehler thatsächlich an die Beobach- tungen und nicht, wie hier, an die ausgeglichenen Mittelwerthe angebracht werden. Jedenfalls ist die Tafel P,—(M) verglichen mit der Tafel P,— M em Beleg dafür, dass die Theilungsfehler mit ihren rich- tigen Zeichen angebracht eine nähere Übereiustim- mung zwischen Meridiankreis und Verres be- wirken. In der Columne P,—R pag. 580 sind die Zahlen dieselben wie die AS pag. 568; P,, und II sind also identisch angenommen. Es wäre misslich, wenn man die Differenzen P,—R in derselben Weise corrigiren wollte wie die Differenzen P,— M, denn die Aequator- punkte, welche den Romberg’schen Declinationen zu Grunde liegen, sind mit Hülfe der Hauptsterne abge- leitet. Erlaubt man sich aber die plausible Hypothese aufzustellen, dass der Einfluss auf die Aequatorpunkte nahezu Null sei, und corrigirt demnach die Differenzen P—R mit Hülfe der wahren Theilungsfehler, so er- giebt sich eine sebr befriedigende Übereinstimmung zwischen (M) und (R). Die Herren Nyrén und Rvuhene haben an direét zu dem Zwecke von Herrn Romberg angestellten | _. die von mir durch Revision der früheren ; ; des Sciences de Saint-Pétersbourg. 16 Berechnung der Theilungsfehler gewonnenen Resultate bestätigt. In meinem vorhergehenden Aufsatz sind die Au der Reductionstafel P,—(£,), pag. 586, etwas fehler- haft, wie man sich leicht überzeugen kann, und dem- zufolge werden auch die Ax der Tafel II — (Becker), pag. 587, entsprechend fehlerhaft sein. Ich führe bier die corrigirten Werthe an: Pyn —(P:) I—(Becker) Ô Au Aa + 80° — 0;01 — 0505 + 78 0,01 — 0,06 + 70 0,02 — 0,05 + 65 — 0,03 — 0,04 + 60 — 0,04 — 0,03 + 55 — 0,036 — 0,024 +- 50 — 0,029 — 0,019 + 45 — 0,026 + 0,004 + 40 — 0,022 +- 0,016 + 35 — 0,019 + 0,017 + 30 + 0,017 + 0,011 +25 — 0,017 — 0,007 2-20 — 0,018 — 0,024 + 15 — 0,018 — 0,028 + 10 — 0,019 2 0:027 + 5 — 0,020 20,023 0 — 0,020 — 0,014 = # — 0,020 — 0,006 -— 10: : 50.020 — 0,002 À Ce 0,015) :(e-0.007) Wie man sieht, sind die Aa der Tafel II—-(Becker) durch diese Correction so unbedeutend verändert worden, dass die a. a. O. gezogenen Schlüsse durchaus nicht berührt werden. Ich benutze diese Gelegenheit um einige Druck- und Schreibfehler in meinem früheren Aufsatz zu corrigiren. Pag. 571. In der Tafel P.—P, ist das + 80° gehürende A zu + 0,26 angegeben; es soll sein — 0,26. : 580. Zeile 12 steht — 0/50, lies: — 0,63. 589. Zeile 13 von oben steht ca lies: grüsser. Zeilelé» » >» r, » kleiner. Zeile 2 von unten steht bildete, » Jleitete. » » 5 Y Sy y lies: Declination. 596. Zeile 5 und 6 von unten steht Declinationen, | Recherches sur l’énergie de combinaison. Les oxydes de potassium et de lithium. Par N. Békétoff. (Lu le 15 septembre 1887.) En entreprenant l’étude des oxydes anhydres des métaux alcalins j'avais en vue de donner une nouvelle preuve expérimentale en faveur de la relation, qui doit exister entre l’énergie de combinaison (thermo- chimique) et le poid atomique (ou équivalent pour les éléments pluri-valents) des éléments combinés. Il y a plusieurs années, que j'avais posé en principe, que pour les combinaisons entre les éléments hétéro- gènes — par exemple entre les métaux et l’oxygène et les corps halogènes — l’action chimique ou l'énergie de combinaison devrait être d'autant plus forte, que la relation des poids (équivalents) du métal et de l'élément électronégatif se rapprochait le plus de l'unité. D’après ce principe les éléments métalliques possé- dant les minimes poids atomiques doivent développer comparativement le plus d'énergie dans leurs combi- naisons avec l’oxygène, qui de son côté possède le moindre poid atomique et équivalent parmis les corps électronégatifs. Dans le groupe des métaux alcalins [les poids NOR augmentent rapidement du (i- thium— 7, jusqu’au cesium — 133. On pouvait donc prévoir, que l'énergie chimique de ces éléments de- vrait suivre deux marches différentes — croissante ou décroissante à partir du lithium, suivant que cette énergie serait comparée dans la série de leurs com- binaisons haloides, ou dans la série de leurs combinai- données thermochimiques n’était connue que pour la série des combinaisons haloides —chlorures, bromures, génées n'étaient pas déterminées, puisque les oxydes étudiés par suite de la difficulté de les obtenir dans un état de pureté indispensable à cet étude. Po C’est dans le but non seulement de combler cette lacune, mais surtout pour n. le principe de la telabion des poids équivalents, que j’ai entrepris rte . étude. . L'Académie connait le résultat de mes A? . études sur l’oxyde anhydre de sodium et les nouvelles @ ire de cet oxyde que j'ai eu sue de d sons oxygénées. L'énergie chimique mesurée par les - tandis que les données de leurs combinaisons oxy- anhydres de ces métaux étaient très incomplètement LE PAT 187 Bulletin de l’Académie Impériale couvrir — notamment son réduction par lhydrogène et par l’oxyde de carbone. Mais un seul cas ne pou- vait servir à déterminer la marche de l’énergie chi- mique par rapport au poid atomique. Il fallait au moins étudier un des métaux à poid supérieur et un autre à poid inférieur pour voir la marche de l'énergie. C’est dans ce but, que j’ai entrepris l’étude des oxydes anhydres de potassium et de lithium. L’oxyde de potassium. Cet oxyde à été obtenu dans un état impur, par Davy et par Gay-Lussac, qui en donnent une description très succincte et ne mentionnent presque aucune de ses propriétés. L’oxyde de potassium anhydre K,0 ne s’obtient qu'avec une grande difficulté. La méthode de Gay-Lussac c’est-à-dire l’action du métal sur l’hydrate ne m’a pas donné de résultat, l’hydrate de potasse, comme celui de soude n’est pas décomposé par le métal, qui se volatilise sans déplacer l’hydrogène — ce qui était facile à prévoir et ce qui s'explique par les propriétés de l’oxyde, dont ïl sera question tout à l’heure. J'ai beaucoup mieux réussi, en calcinant du peroxyde (K,0,) ou plutôt le mélange peroxydé, qu’on obtient en oxydant le métal en couche mince par de l'air bien desséché avec du métal non oxydé. La calcina- tion du peroxyde dans un cylindre en argent ne donne pas d’oxyde, comme le pense Davy. Dans ce cas l’ar- gent est oxydé et il se produit une combinaison fort stable des deux oxydes — probablement de la formule +0, où l’argent joue le rôle de l’hydrogène dans l’hydrate F0. Cette combinaison résiste à une tempé- rature rouge autant, que peut supporter le vase en argent. D’un autre côté il est très difficile d'obtenir un oxyde d’une composition définie (K,O), en calci- nant le peroxyde, avec du métal, parce qu’une partie du métal se volatilise avant la fin de la réaction et on obtient un oxyde contenant du peroxyde. = Pour avoir un oxyde pur et de la composition _… normale c’est-à-dire le vrai oxyde anhydre K,0, qui _ doit se dissoudre dans l’eau, ou les acides sans déga- gement ni d'oxygène ni d'hydrogène j'ai eu recours à un artifice. Je préparais d'avance une sorte d’amal- game d’argent en poudre et de métal alcalin, que je _ mélangeais avec du peroxyde; c’est ce mélange que je _ calcinais dans un cylindre en argent. De cette ma- _ nière le potassium métallique retenu par l’argent se volatilisait lentement et préservait en même temps l'oxydation de l'argent. De cette manière j'ai pu obtenir de l’oxyde de potassium assez pur; il ne conte- nait que de l’argent métallique mélangé mécaniquement et en se dissolvant dans l’eau ne dégageait point de gaz. C’est cet oxyde, qui m’a servi à déterminer la chaleur de l’hydration et l’action de l’hydrogène. Un poid de 8 gr. contenant d’après le titre de la dissolution obtenue 2,5 gr. de K,0 fut dissous dans 550 gr. d’eau contenu dans un calorimètre en platine et produisit une élévation de température de 3°2, ce qui équivaut (avec les parties du calorimètre en eau) à 1788,8 calories. Pour le poid moléculair de K,0—94 on obtient le nombre de 67400 calorie. C'est-à-dire la réaction K,0 + H,0 + aq. — 250 + aq. — + 67400 c. Mais d’après Berthelot 220 + aq. dégage 24920 c., donc la combinaison de la pre- mière molécule d’eau pour produire deux molécules d’hydrate solide dégage la différence de ces deux nombres. 2 K,0 + H,0 — 220 — 67400 — 24920 — 42480 c. D'un autre côté Thomsen a calculé la somme de la chaleur d’oxydation et d’hydratation du potassium, d’après la détermination expérimentale de la chaleur, développée par l’action du métal sur l’eau. Il en a déduit pour la réaction: K, + 0 + H,0 + aq. — 240 + aq. — 164500 c. En soustrayant de ce nombre la chaleur de lhy- dratation de l’oxyde anhydre, que je viens de déter- miner, on obtient: 164500—67400—97100 c. pour la chaleur de combinaison du métal avec l'oxygène pour former l’oxyde anhydre solide. K, + 0 = K,0 = + 97100 c. En comparant ce nombre à celui, que j’ai trouvé pour l'oxydation du sodium — 100,260 c., on s’aper- çoit, que l'oxydation du potassium pour produire K,0 est un peu moins énergique, que celui du sodium et que l’action plus énergique du potassium sur l’eau s’explique par une plus forte chaleur d’hydratation, qui est 67400 c., tandis qu’elle n’est que de 55000 c. pour l’hydratation de l’oxyde de sodium. La combinaison de la première molécule d’eau à l’oxyde anhydre de potassium 42480 est encore plus grande comparativement à celui du sodium — on à 189 des Sciences de Saint-Pétersbourg. pour la formation de l’hydrate solide en partant du métal de l’oxygène et de l’eau: K, + O0 + H,0 — 250 — 139580. Ces nombres peuvent expliquer l’action de l’hydro- gène sur l’oxyde anhydre et l’abscence de réaction entre l’hydrate et le métal. En vérité le résultat thermochimique de l’action de l’hydrogène sur l’oxyde anhydre se déduit par le calcul, comme il suit: K,—0 K,0+H,0 H,+0 2K,0-rH,=22 É0+K, = —97100+42480+69000 — Elle est donc positive et doit dégager plus de cha- leur, que la réaction correspondante pour le sodium. L'expérience a pleinement confirmé la prévision de la théorie. Quelques morceaux d’oxyde de potassium anhydre placés dans un tube recourbé, rempli d’hydro- gène bien desséché, et dont l'extrémité plongeait dans du mercure, ont été chauffés faiblement; aussitôt la réaction a commencée et s’est continuée d’elle-même et le mercure a monté rapidement; on a vu apparaître le métal donnant une vapeur verte. Après le refroi- dissement du tube j’ai pu en extraire le métal alcalin, qui introduit sous une cloche m'a fourni jusqu’à 40 c. m. c. d'hydrogène. La réduction d’une partie du métal de son oxyde anhydre est encore plus facile, que pour l’oxyde de sodium. Les données thermochi- miques ainsi que cette expérience directe donnent la raison pourquoi le potassium n’agit pas sur son hy- drate — cette réaction étant exothermique et devant se faire avec une absorption de chaleur inverse de celle de pa précédente: 2 FO +K,— —= 2K,0 + H, = — 14380. Non de lithium. De tous les oxydes des métaux alcalins c’est celui qui s’obtient le plus facilement grâce à sa faible tendance à la suroxydation et à la moindre Stabilité du carbonate de lithium. Le meilleur moyen de se procurer l’oxyde de lithium anhydre est celui qui a été proposé par Troost'). On calcine fortement un mélange intime de carbonate de lithium et de charbon en léger excès dans une capsule en platine; si la première calcination ne détruit pas tout le car- bonate on répète la calcination une seconde fois, en 1) Annales de chimie et de physique (3), t. 51, p. 112. Tome XXXII. ajoutant un peu de charbon. La réaction chimique est la même que celle qui sert à préparer l’oxyde de barium de son carbonate. Li,CO, + C = Li,0 + 200. L’excès de carbone ne produit pas de réduction du métal comme pour les oxydes de sodium et de potas- sium; c’est par cette raison, que le métal ne peut pas être préparé comme les autres métaux alcalins par la distillation à une très haute température d’un mé- lange de carbonate et de carbon en grand excès, Ces propriétés connues de l’oxyde de lithium faisaient déjà présumer une plus grande énergie de combinaison du métal avec l'oxygène. Il s'agissait de prouver cette induction par des données thermochimiques, puisque la chaleur de l'oxydation du métal était inconnue. C’est ce que j’ai entrepris de résoudre par la même méthode, qui m'a servi à établir l'énergie de combi- naison avec l'oxygène du sodium et du potassium. Dans mon mémoire «Recherches sur la formation et les propriétés de l’oxyde de sodium anhydre» présenté à l’Académie en 1881°), j'avais déjà énoncé la pré- somption, que le lithium ne serait pas déplacé par l'hydrogène de son oxyde Li,0 et que sa chaleur d’hydratation devra être moins forte que celle de l’oxyde de sodium et qu’en revanche sa chaleur d’oxy- dation sera plus haute (p. 11 du mémoire). C’est ce que l’expérience a pleinement confirmée. RS L’oxyde de lithium préparé comme je l’ai dit par la méthode de Troost contenait encore de 12 à 6% de carbonate non décomposé; mais comme cela répon- dait à une proportion moléculaire assez faible de 5 à 2,5 molécules de carbonate pour 95—-97,5 de molé- cules d'oxyde anhydre il pouvait très die servir à la détermination de l’hydratation à la condition de con- naître la chaleur de dissolution — dans l’eau ou les” acides — du carbonate de lithium. J’ai donc déterminé par des expériences spéciales les données thermochi- miques de l’action des acides et de l’eau sur le car- bonate de lithium. Ces données m’ont servi à faire la correction nécessaire des expériences sur l’oxyde dont les échantillons ont été toujours analysés avant de : s’en Servir. ss Comme l'oxyde de lithium se dissout assez lente- ue : ment dans l’eau, j'ai préféré le dissoudre dans l'acide 2) Mémoires de Académie Impériale des Sciences de: St. Péters- pe bourg, VII* Série, T. XXX, X 2. | 13 Bulletin de FAcadémie Impériale 192 chlorhydrique. Puisque la chaleur de neutralisation de l’oxyde dissous était connue par les expériences très précises de Thomsen, la différence de ces nombres de ceux de la neutralisation par le même acide de l’oxyde anhydre exprime la chaleur de lhy- dratation. Cette différence d’après mes expériences est égal à 26000 c. par molécule. C'est-à-dire, que la réaction: Li,0-+H,0 + aq. — 20 +- aq. dégage — 26000 c. La somme de la chaleur d’oxydation et d’hydrata- tion trouvée par Thomsen étant de 166000 c., il s’en suit, que la chaleur d’oxydation du lithium est: 166000 — 26000 — 140000. C'est-à-dire la formation de l’oxyde anhydre solide en partant des éléments dégage: Li, + 0 — Li,0 = + 140000. On voit donc, que cette chaleur surpasse de beau- coup celle de la formation des oxydes de sodium et de potassium, ce que j'avais prévu en appliquant mon principe de la relation des masses (équivalents) com- binées— cette relation pour la combinaison du aps avec l'oxygène est ? ou pour la molécule Li,0 = #; cette relation des del combinés est la plus favorable parmis tous les métaux alcalins, puisqu'elle se rap- proche le plus de l’unité. Pour connaître la chaleur de combinaison de la première molécule d’eau pour former l’hydrate solide, j'ai déterminé la chaleur de neutralisation par l'acide chlorhydrique l’hydrate solide et j'ai obtenu par différence de la chaleur de neutralisation de l’hydrate dissous le nombre — 13000. Li,0 + H,0 — 2#0 dégage — + 13000. nu . Si on forme l'équation thermochimique de l’action de l’hydrogène sur l’oxyde anhydre, on a: à 214,0 + H, = 270 + Li, = FE $ Li,—0 H,+0 Li,0+ :—=— 140000 + 69000 +- 200022 — — 58000, o c’est une réaction fortement endothermique ou avec une grande absorption de chaleur; par contre la ré- action inverse c’est-à-dire le déplacement du second _sera accompagné d’un dégagement égal de chaleur — E. 58000. L ue 140 de bhram ne doit pas donc atome d'hydrogène dans deux molécules d’hydrate| être réduit par l'hydrogène, au contraire l’action du métal sur son hydrate doit être très énergique. J’ai: pu confirmer par l'expérience seulement l’impossi- bilité de la première de ces réactions. Un échantillon d'oxyde anhydre de lithium, chauffé fortement dans une atmosphère d'hydrogène n’a subi aucun change- ment. Je n’ai pas pu réaliser la seconde réaction, à cause de la grande difficulté de se procurer du lithium métallique. Je me propose cependant de revenir à cette réaction. Ces recherches sur l’énergie de combinaison des trois premiers métaux alcalins avec l’oxygène et les propriétés nouvelles, que j'ai pu constater, m'otorise à en déduire les conclusions suivantes. Plaçons en regard les données thermochimiques des trois métaux. Poid atom. eee M;+0 M,0+-H,0 M,0+aq. M+0-+aq. Lithium 7 (14) 140,000 13,000 26,000 166,000 Sodium 23 (46) 100,000 35,400 55,000 155,000 Potas. 39 (78) 97,000 42,000 67,000 164,000 D'après ce tableau il est clair, que la chaleur de combinaison avec l’oxygène décroît à partir du lithium jusqu’au potassium et que la chaleur de l’hydratation suit au contraire une marche opposée — elle s’accroit du lithium au potassium. On pourrait supposer à la première vue, que c’est le poid atomique seul, qui produit son influence, puisque la chaleur d’oxydation diminue avec l’augmentation du poid atomique. Il n’en est rien cependant, puisque par rapport aux élé- ments haloides avec des poids athomiques (se confon- dant avec leurs équivalents) beaucoup plus forts, que ceux de l’oxygène (8) ces mêmes métaux alcalins suivent dans leurs chaleurs de combinaisons une marche diamétralement opposée. Le plus énergique c’est le potassium, puis vient le sodium et en dernier lieu vient le lithium. K + CI dégage 105000 Na+CI » 97300 Li+CI » 93500. Ce n’est donc pas le poid atomique d’un seul élé- ment, qui influe sur l’énergie de combinaison, mais aussi le poid du corps électronégatif (oxygène et ha- 193 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 194 loides) ou plutôt leur rapport. Dans le premier tableau c’est pour le lithium que ce rapport est le plus favo- rable c’est-à-dire se rapproche le plus de l’unité, où Le il est — — (is) et dans le second tableau ce rapport 16 est le re favorable pour le potassium, où il est K = 33; C'est pour ces métaux, que l’énergie de com- binaison est la plus grande — du lithium pour l’oxy- gène et du potassium pour le chlore. Cette règle s'applique aussi à d’autres groupes de métaux; mais je me propose de revenir une autre fois à ce sujet, quant à présent je me bornerai aux métaux alcalins et pour compléter mes études il me reste à déterminer l’énergie de combinaison du rubidium et du cesium, dont je m'occupe depuis quelque temps. D'après ce qui a été développé dans ce présent mé- moire on peut supposer, que la chaleur d’oxydation continuera à décroître depuis le potassium jusqu’au cesium et que leurs oxydes seront probablement réduits par l’hydrogène. Polarisations-Photometer für technische Zwecke und Untersuchung von Wenham-Gaslampen mit dem- selben, Von H. Wild. (Lu le 27 octobre 1887.) Mein Krystall-Polarisations-Photometer, welches ich vor vier Jahren bei Gelegenheït einer Mittheilung über seine Umwandlung in ein Spectro- Photometer in seiner neuen Gestalt beschrieben habe '), verlangt behufs richtigen Gebrauchs eine sorgfältige und umständliche Justirung aller Theile desselben, welche nicht Jedermann’s Sache sein dürfte, und eignet sich daher nur für streng wissenschaftliche Untersuchungen. Bei technischen photometrischen Be- stimmungen, ja selbst bei wissenschaftlichen Üntersu- chungen, wo es mehr auf ein rasches Arbeiïten an- kommt, dürfte deshalb das Glassatz-Polarisations- Photometer in der Modification, die ich schon im Jahre 1858 in einem Vortrag auf der Versammlung schweizerischer Naturforscher in Bern *) angegeben 1) Bulletin de de so Impériale des Sc. de St. Pétersbourg, VIN, p. 39 2 Archives des Fa de la Biblioth. Universelle de Genève. Année 1858. habe und die ich sodann auch in meinem Uranopho- tometer *) verwendete, vorzuziehen sein. In der That hat denn auch Herr Dr. 0. Chwolson bei seinen «Untersuchungen über die innere Dif- fusion des Lichtes»‘) mein in dieses Photometer verwandeltes Uranophotometer benutzt und bewäbrt gefunden. Dies hat mich veranlasst, für derartige Untersu- chungen und hauptsächlich auch behufs Einführung des Polarisations-Photometers in die Technik, das Glassatz-Photometer in einer Form construiren zu lassen, welche eine müglichst bequeme und vielseitige Verwendung desselben gestattet. Ehe ich zur Beschrei- bung des neuen Instrumentes übergehe, will ich das Princip und die Theorie des Glassatz-Photometers in der von mir angegebenen Modification nochmals kurz entwickeln. Theorie des Photometers. Das fragliche Photo- meter besteht der Hauptsache nach, wie die beistehende Skizze es zeigt, aus einer Glassäule g (ungefähr 10 Fig. 1. 3) Dieses Bulletin Te xx p- 312. 1875. Feu phys. et chim.… tirés du Bulletin T. ie 4) Dieses Bulletin T. KXXE, p. 918. due 195 Bulletin de l’Académie Impériale 196 Platten dünnen Spiegelglases aufeinander gelegt), vor welcher das Polariscop-Fernrohr f so aufgestellt ist, dass seine optische Axe unter dem Complement des Polarisationswinkel des Glases in der Eiïinfallsebene der Glassäule gegen deren spiegelnde Flächen geneigt ist. In diesem Fernrobr künnen also Lichtstrahlen sich vereinigen, welche einerseits in der Verlängerung seiner optischen Axe durch die Glassäule hindurch- gegangen sind und anderseits, von der Seite kommend, an ihren dem Polariscop zugewandten Flächen reflec- tirt worden sind. Auf dem Wege dieser beiderlei Lichtstrahlen, welche von den gleichfürmig leuchten- den Flächen a und a, ausgehen môügen, sind die Pola- risatoren p und p, so angebracht, dass sie gewisser- maassen um diese Lichtstrahlen als Axen betrachtet … drehbar sind, also die Polärisationsebenen der aus ihnen nach der Glassäule hin austretenden vollständig pola- j risirten Strahlen beliebig zu variirende Winkel mit Hs. der Einfallsebene der Glassäule einschliessen kônnen. se Diese, an getheilten Kreisen abzulesende Winkel sollen für die Polarisatoren p und p, respective $ und 8, sein. _ Der Allgemeïnheïit halber nehme ich an, es sei so- _ wohl das von a als von a, ausgestrahlte Licht theil- weise polarisirt und zwar resp. in den Azimuten « und a, zur Einfallsebene der Glassänle, auf welche wir alle Orientirungen als eine feste Ebene beziehen. * Die Intensität des natürlichen Antheïls des von a ein- fallenden Lichts sei Z und diejenige des polarisirten Theiïls P und die entsprechenden Grüssen für das von a, kommende Licht sollen durch Z und P, *) darge- _stellt werden. risatoren werden die Intensitäten der von a und a, stammenden Lichtstrahlen resp. sein: k|%31-+P cos{(a—8) | und 4,[%,1,+P,cos'(a—8,) | wo wir mit k und #, die Coefficienten bezeichnet haben, _ welche die Schwächung des Lichts beim Durchgang _ durch die Polarisatoren p und p, in Folge Reflexion an deren Grenzflächen und Absorption im Iunern de a 5) Um hier, wo ich nicht die voilständige Herleitung der For- meln gebe, Missverständnissé zu vermeiden, habe ich die Intensitäts- “ grôssen nicht wie früher durch die Quadrate der betreffenden Buch- _ stabe née Ploss durch lineare Grossen eric Hit, : Nach dem Durchgang durch die betreffenden Pola- | Diese im Azimut $ resp. 8, zur Einfallsebene voll- ständig polarisirten Strahlen fallen nun auf die Glas- säule und geben nach ihrem Durchgang resp. nach ihrer Reflexion an derselben folgende zum Polariscop- Fernrohr gelangende Intensitätscomponenten parallel (|) und senkrecht (_L) zur Einfallsebene: zur Einfallsebene {| k [y I + Pcos (a — 8) cos? 5 + + k (y, TI, + P, cos”(a, — 8.) cos*B,°%, zur Einfallsebene L k LY, + P cos®(a —$) | sin? -# + | + k, Er I + P, cos*(a, — 8) sin°8, -Y, wo s, t, x und y gleich näher zu definirende constante Gioison darstellen. Damit nun die Interferenzfarben im A ee verschwinden, müssen nach bekannten Principien °) diese beiderlei Lichtquantitäten einander gleich sein und man erhält daher folgende Gleichung zur Ermitt- lung des Verhältnisses Z+ P zu Z + P;: k Paz + Pcos’(a — B)| (ésin?8—s cos?) — = k [1,1 + P, costa — $,) }rcos'f,—y-sint8,). Nach Stokes”) haben die Constanten £ und y fol- gende Bedeutung: Es ist: t = ah, (2) wo «a den Durchsichtigkeitscoefficienten des Glases, A den Weg der Lichtstrahlen im Inneren der Glas- platten repräsentirt, d. h. also — nd: cosec p ist, wenn # die Anzahl, d die gleiche Dicke der einzelnen Glasplatten, » ihr Brechungsverhältniss und somit nach der Relation tang p —m die Grôsse p den Pola- risationswinkel derselben darstellt. x und s sind eben- falls bloss von n, », d und a, aber in complicirterer y= 0, | Weiïse abhängige Grüssen, Für den Fall vollkommen 6) Siehe deren präcisere Definition in meiner Abhandlung: «Pho- arte ri rsuchungen» Pogg. Annalen, Bd. CXVIII, #10 und folg. 7) Piles, ab 4. Ser. T. XXIV, p. 480. 1862. 197 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 198 durchsichtiger Glasplatten i. e. für a — 1, wird nach F. E. Neumann: CEE 1 — m?\2 1—m?\2 br) jé (rs) 1—m2\29 1—m?\2 —1—$, (3) Die obige Gleichung vereinfacht sich also jeden- falls zu folgender: I+ 2 Pcos(x — $) — mas =[Z +2ñ cos”(&i— Bi 2 k as S es 8 cos?8 * Hier sind noch zwei beliebig veränderliche Grôssen nämlich die Azimute 8 und B, der Polarisatoren vor- handen,; die eine derselben genügt zur Realisirung der Gleichheït der Ausdrücke links und rechts resp. zur Erzielung des Verschwindens der Interferenzfarben im Polariscop, wir disponiren daher über die andere und zwar über $ so, dass die Gleichung sich noch weiterhin wesentlich vereinfacht. Wir setzen nämlich constant: Je f= 45°, (5) wodurch die obige Gleichung in folgende übergeht: I1+-2P cos(a—45°)— (L+2P, cos (&,— a] C-cos’8.. (6) Hier ist der Kürze halber als constante Grüsse: A 64 (7) gesetzt worden, welche Grôsse den obigen Relationen zufolge für vollkommen durchsichtiges Glas : a — 1 und für _— gleiche Polarisatoren: k, = £ den Werth: G=2 (8) annehmen würde. Wir werden später sehen, wie am fertigen. Instrument, ohne diese Voraussetzung der wirkliche Werth von C empirisch bestimmt werden kann. Ebenso werden wir auch dort die Messung der Azimute « und &, der Polarisationsebenen des einfal- lenden Lichts erdrtern und da der Winkel $, am Theil- kreise abgelesen wird, so bleiben somit zur vollständi- gen ue der Aufgabe nur noch die Verhältnisse Ÿ D und : 2 zu bestimmen. F, pa 1 — Diese Messung kann ebenfalls vermittelst unsers, in ein Arago’sches Polarimeter zu verwandelnden Instruments ausgeführt werden. Zu dem Ende muss die Glassäule um eine durch ihre Mitte o gehende, auf der Einfallsebene senkrechte Axe gedreht und die Drehungswinkel an einem Theilkreis abgelesen werden künnen und ferner das Instrument um die Axe des Polariscop-Fernrohrs f drehbar sein, so dass man die Einfallsebene der Glassäule der Polarisationsebene des einfallenden Lichts parallel machen kann, nachdem der Polarisator p entfernt worden ist. Angenommen es sei dies bei der Stellung des Instruments in Fig. 1 für das von a herkommende partiell polarisirte Licht ge- schehen — das von a, kommende Licht sei hiebei durch einen Schirm abgeblendet —,s0 dreht man wieder die Glassäule um ihre Axe, bis die Interferenzfarben im Polariscop verschwinden. Ist © der Winkel, unter welchem hiebei die Strahlen auf die Glassäule einfal- len, so sind die einander gleichen Intensitätscompo- nenten parallel und senkrecht zur Einfallsebene nach ihrem Durchgang durch die Pants - (klæP)s = lt oder : (9) wo £,, und s, zwei den frühern Constanten £ und s ana- loge, F jetzt aber noch von dem Winkel + abhängige und 2p = 1(e— 1) — ri -daher mit diesem variable Grüssen darstellen. Für vollkommen durchsichtige Glasplattéen wäre wieder nach F. E. Neumann: __fsin(o — 9) g (? — mi) . en nes (een) BE Es nn 2 of (40) und hier ist ©, der zum Einfallswinkel o gehôürige Brechungswinkel, mit dem er durch die bekannte Re- lation: sin o — ” sin +, zusammenhängt. Da die obige Bedingung in Wirklichkeït nicht genau erfüllt ist, so dürfte es besser sein, die Function f(@) in Gleichung (9) empirisch nach der Arago’schen Methode zu betimmen. Zu dem Ende ist es bloss nôthig, zwischen dem Po- Jarisator p und der Glassäule g eine parallel zur opti- schen Axe geschnittene Quarzplatte so einzuschalten, dass ihr Hauptschnitt parallel der Einfallsebene sei, darauf die Glassäule der Reïhe nach auf die Einfalls- winkel 10°, 20°, 30° etc. einzustellen und jeweilen dén Polarisator nach der einen und andern Seite so lange zu drehen, bis die Interferenzfarben im Polari- scop-Fernrohr verschwinden. Heissen wir y den Winkel, den hiebei jeweilen die Polarisationsebene des Polari- 199 Bulletin de l’Académie Impériale sators mit dem Hauptschnitt der Quarzplatte macht, so besitzen die aus der letztern nach der Glassäule hin austretenden, parallel und senkrecht zum Haupt- schnitt resp. zur Einfallsebene polarisirten Strahlen die Intensitäten: | Z cos *y, L Z sin ?+. Die Mischung dieser verhält sich aber wie theil- weise polarisirtes Licht, bei welchem die Intensität des nach der Einfallsebene vollständig polarisirten An- theils gegeben ist durch: P = L (cos y — sin y) und die Intensität des natürlichen Antheils repräsen- tirt wird durch : T= 2 L'an". Aus diesen beiden Gleichungen folgt : 2 P — I (cotg y — 1). (41) Combinirt man diese Gleichung mit Ÿ (9), die für die gleichzeitige Einstellung an der Glassäule auf den Win- kel o gilt, so ergiebt also diese Beobachtung für die gesuchte Grôsse : fo) = cotg *Y — à oder : æ Cote Y: sp In gleicher Weiïse, wie dies durch Gleichung (9) defi- pirt ist, bestimmt man auch das Verhältniss 2 P,:1,, nachdem man das in das Polarimeter verwandelte In- strument durch Drehung mit der optischen Axe des … Polariscop-Fernrohrs auf die von a, kommenden Licht- strahlen eingestellt hat, womit dann die allgemeine Aufgabe vollständig gelüst ist. Wenn aber das Instrument nicht um die Polari- scopaxe, wie vorausgesetzt, drehbar ist, so dass also die Einfallsebene der Polarisationsebene des einfallen- den SE nicht par zu machen ist, so kann bei icht htzur Axe Césehnitieuen Krystallplatte im Polariscop, doch im Allgemeinen durch Drehung der Glassäule ein Verschwinden der Interferenzfarben erzielt werden und man hat alsdann, falls der Hauptschnitt. jener Krystallplatte unter 45° zur Einfallsebene orientirt ist, z. B. bei Untersuchung des von & kommenden Lichts die Gleichung: Lee 2P=E ms | MAN? _® sgin?a — cos? sp g einer : : t : wo die Grüsse -? wieder entweder nach (10) durch Rechnung oder nach (12) empirisch zu ermitteln ist und es bleibt dann nur noch mit dem Polariscop das Azimut æ& der Polarisationsebene des einfallenden Lichts zu bestimmen °). Haben wir es nur mit natürlichem Lichte zu thun, so verwandelt sich die Gleichung (6) in die sehr einfache : 1= 1 CCE (6) oder angenähert in: 12 cos (6” Durch Differentiation folgt hieraus : 0 — 9 sin 28, 08. (14) Angenommen es sei der Fehler der Enistellung beim Polarisator p, auf das Verschwinden der Farbfransen im Polariscop: 08, — 051, so ergeben sich also der Reiïhe nach für verschiedene Werthe von $, folgende entsprechende Fehler in der Bestimmung des Intensitäts- verhältnisses : 200 L I “ TJ B % dE à + A 5° 1,985 0,00061 0,00030 15 1,866 0,00174 0,00095 25 1,643 000267 0,00163 35 1,342 000328 0,00244 45 1,000 0,00349 0,00349 55 0,658 0,00328 0,00498 65 0,357 0,00267 0,00748 75 0,134 0,00174 0,01302 85 0,015 0,00061 0.03989 ; (13) | Hieraus folgt, dass der procentische Fehler des Resultats bei constant vorausgesetztem Einstellungs- resp. Beobachtungsfehler mit wachsendem Azimut $, des drehbaren Polarisators sehr stark zunimmt, so dass er z. B. für 8, — 15° nur 0,1 Procent und für 8, — 75° bereits 1,3 Procent beträgt. Jedenfalls wird es gut sein, bei den Messungen nicht über diese Grenzwerthe für 8, hinauszugehen, da die entsprechenden Ânde- rungen der Intensitätsverhältnisse jenseits derselben entweder zu rasch oder zu langsam erfolgen, um das Verschwinden der Farbfransen mit genügender Sicher- heit verfolgen zu künnen. Ob überhaupt der pi 8) Siehe das Nähere in meiner Abhandlung: «Über ein neues Photometer und Polarimeter» Pogg. Ann. Bd 99, S. 249. 1857. 2061 des Sciences de Saint-Pétersbourg. tungsfehler, wie wir voraussetzten, constant sei oder nicht, wird erst der Versuch entscheiden kônnen. Die einfache Gleichung (6’) zeigt nun auch, in wel- cher Weise die Constante C des Instruments empirisch bestimmt werden kann. Denken wir uns nach Aus- führung der dureh Gleichung(6') repräsentirten Messung die beiden Lichtquellen a und a, vertauscht, so wird eine neue Messung die Gleichung: F: = 1:0c0s8 PS; ergeben. Aus dieser und Gleichung (6”) folgt aber: CE | (45) cos B, - COS Êrr Statt die Lichtquellen zu vertauschen kônnte man offenbar das Gleiche auch dadurch erreichen, dass man das ganze Instrument um eine, durch die Mitte der Glassäule gehende und ihren brechenden Flächen pa- rallele Axe um 180° umlegt. Für die Ausführung ein- facher wäre es, zu dem Ende das Polariscop-Fernrohr aus der Verlängerung der von a einfallenden Strahlen in diejenige der von a, kommenden zu versetzen und dann eine neue Messung zu machen, nachdem man Fig. 2. |jetzt den Polarisator p, auf 45° Azimut zur Einfalls- |ebene orientirt und die Drehung des Polarisators p zum Auslüschen der Interferenzfarben benutzt hätte. Bei diesem Verfahren erhält man indessen, wie ich dies schon in meiner Abhandlung über die photometri- sche Bestimmung des diffusen Himmelslichtes®) erürtert habe, nicht unsere durch Gleichung (7) definirte Con- stante C, sondern die Grüsse: und wir müssten daher dann noch die Coefficienten X und 4 der Polarisatoren etwa nach der ebendaselbst angegebenen Methode besonders ermitteln, um C zu erhalten. Beschreibung des Photometers. Aus dieser Theorie des Instruments und den Anforderungen seiner Justirung und bequemen Verwendung ergaben sich die Constructionsbedingungen desselben, welche Herr Me- chanikus H. Pfister in Bern nach meinen Angaben in folgender Weiïse realisirt hat. Die nebenstehende Fig. 2 giebt eine perspectivische Ansicht des Instru- ments und Fig. 3 einen Durchschnitt durch dasselbe. Fig. 3. Bulletin de l’Académie Impériale 204 Die aus 10, je bloss 0,5 mm. dicken Platten be- stehende Glassäule G ist, mit Zwischenlagen von Staniol zwischen den Rändern der einzelnen Platten, in einem Messingrahmen gefasst und mit diesem auf einer Axe aufgeschraubt, welche den Deckel der sie umschlies- senden cylindrischen Messingbüchse durchsetzt und aussen einen auf die Kreistheilung an der Peripherie des Deckels weisenden Index trägt. Im Mantel der Büchse sind 4 Offnungen eingebohrt, welche einander paarweïise diametral gegenüberstehen und so angeordnet sind, dass die Axen der rührenfôr- migen, äussern Ansätze der beiden Offnungs - Paare 66° 26° i. e. das doppelte Complement des Polarisa- tionswinkels der Glasplatten miteinander einschliessen. Die einen der rührenformigen Ansätze tragen die mit den getheilten Kreisen À und B versehenen Halter der Polarisatoren PP, welche in ihnen drehbar sind und auf welche ihrerseits die Blendrühren »# m aufge- schraubt sind. Auf die Kreistheilungen weisen die in Fig. 2 sichtbaren an der Büchse festsitzenden Indices und die Drehung der Kreise ist vermittelst Zahnräder und Getriebe durch die Stangen «a und b mit rände- rirtem Kopf in der Nähe des Beobachters zu bewerk- stelligen. In eine oder andere der beïden, den Kreisen A und B gegenüberstehenden Rühren C und D lässt sich nämlich nach Belieben das Polariscop-Fernrobr » einschieben, das aus dem Ocular N mit Nicol’schem Prisma vor der Ocular-Linse und dem Objectiv I mit . Savart’scher Doppelplatte Æ aus Kalkspath vor ïhr besteht. Das Fadenkreuz im Focus des Objectivs ist in der Zeichnung weggelassen; die andere der beiden Rôhren wird jeweilen durch einen Messingdeckel ver- schlossen. Eine Nase am Polariscop und entsprechende Nute an der Rôhre giebt dem ersten stets wieder die- selbe Lage. Über dem Ocular des Polariscop-Fernrohrs ist noch ein kleines holländisches Fernrobr f ange- bracht, welches zur Ablesung der Stellung des Index an der Kreiïstheïlung À direct und an der Kreistheilung B vermittelst eines auf dem Glassäulen-Index ange- brachten und zu dem Ende aufzuklappenden Spiegels S dient. Im letztern Fall wird, um die durch den Spiegel gewendeten Zahlen wieder in der richtigen Stellung _ zu sehen, am Ocular ein rechtwinkliches Glasprisma angebracht. Am vordern Ende der Blendrübren m lassen sich entweder blosse, die Üffnungen begrenzende Blenden oder dann gefasste Milchgläser vorsetzen. Um das Instrument leicht in jede Lage bringen zu künnen, ist dasselbe, wie Fig. 2 zeigt, um zwei auf- einander senkrechte Axen drehbar aufgestellt. Ein Dreifuss mit Säule besitzt am obern Ende eine w-fôr- mige Gabel, welche als Träger der klemmbaren Hori- zontal-Axe dient. Durch ihre Mitte geht eine ebenfalls klemmbare Stange hindurch, die am einen Ende am Boden der Büchse befestigt ist und am andern ein Ge- gengewicht trägt. Bei horizontaler Stellung der Büchse resp. des Instruments dient diese Stange zugleich als Vertikal-Axe, dagegen bei vertikaler Lage des Instru- ments als Horizontal-Axe zur Neigung desselben und im Horizont lässt sich dann dasselbe durch Drehen der Gabel auf der Säule — mit etwas grüsserer Reibung — verstellen, Alle drei Kreïse: À, B und derjenige auf der Büchse, sind nur in ganze Grade getheilt und die Indices sind einfache Striche, so dass man durch Schätzung bloss 051 abliest. Zur Bestimmung der Function f (@) in Gleichung (9) nach der Arago’schen Methode (Gleichung (12)) lässt sich in die festen Ansatzrühren hinter den Polarisato- ren ? eine passend gefasste parallel zur optischen Axe geschnittene Quarzplatte einschieben. Für die Lüsung der allgemeinen, dmeh die Glei- chungen (6) und (13) charakterisirten Aufgabe, wäre eigentlich noch ein vierter getheilter Kreis nothwendig, der mit dem Polariscop-Fernrohr fest verbunden auf die Rühren C oder D aufzuschieben wäre, so dass man die Drehungen des letztern um seine Axe vermittelst fester Indices auf den Rôhren am Theïlkreise ablesen und so die Azimute « und a, der Polarisationsebenen des ein- fallenden Lichts ermitteln künnte. Diese Complication ist indessen bei unserm Instrumente fortgelassen, da dieser allgemeine Fall sehr selten vorkommt, sondern diese Azimute durchweg entweder gleich 0 oder 90° sind, Es bedarf schliesslich kaum der Erwähnung, dass alle innern Wände des Photometers mattschwarz ge- macht sind. Justirung des Instruments. Das Savart’sche Polariscop zeigt bekanntlich in polarisirtem Licht far- bige geradlinige Fransen; damit in unserm Falle diese Farbfransen recht dexitlich erscheinen, muss das kleine ungefähr 5 Mal vergrüssernde Fernrobr, mit dem WT sie betrachten, auf die Unendlichkeit alagestaltt und 205 des Sciences de Saint-Pétersbourg. der Hauptschnitt des Nicols vor dem Ocular unter 45° zum Hauptschnitt der Savart’schen Doppelplatte — hier zwei unter 45° zur optischen Axe geschnittene, gleich dicke, plan geschliffene und kreuzweise aufein- ander gelegte Kalkspathplatten — orientirt sein. Diese Orientirung soll durch den Verfertiger bereits ausge- führt und ebenso das Fadenkreuz im Focus des Objec- tivs angebracht sein, so dass der Beobachter das nicht drehbare Ocular (Schraube daran, die sich in einem Schlitz des Auszugs bewegt) nur durch Auszieben auf deutliches Sehen des Fadenkreuzes einzustellen hat, um das Fernrohr.auf die Unendlichkeit jüstirt zu er- halten. Eine Verification der Richtigkeit dieser letztern Einstellung ist durch Hinrichten des Polariscops auf einen fernen Gegenstand jeder Zeit môglich. Die Farbfransen in diesem Polariscop verschwinden nun jeweiler, wenn nur natürliches Licht auf dasselbe einfällt, sodann aber auch, wenn die Polarisationsebene des cinfallenden polarisirten Lichts dem Hauptschnitt der Kalkspath-Doppelplatte parallel ist oder darauf senkrecht steht. Die letztere Eigenschaft wird zur Jüstirung der einzelnen Theiïle gemäss den Anforde- rungen der Theorie benutzt. Nachdem man sich überzeugt hat, dass die Glas- säule parallel ihrer Drehungsaxe ist und diese der Büchsenaxe parallel sei, was daran zu erkennen ist, dass sei es bei der Stellung der Glassäule in Fig. 3, sei es bei der darauf senkrechten, wie es die punktirten Linien in dieser Figur andeuten, die Bilder der beiden Offnungen À und B nach dem Durchgang und der Reflexion an der Glassäule für den Beobachter bei C oder D resp. für den Beobachter in À oder B die Bil- der der Offnungen C und D sich vollständig decken, | wird nach Entfernung der Polarisatoren P das Polari- scop-Fernrohr bei C soweit eingeschoben, dass die Nase noch frei bleibt, die Glassäule wie in der Fig. 3 unterm Polarisationswinkel resp. so, dass die Bilder von À und B sich decken, orientirt und nun nach Verschluss der einen oder andern der Offnungen À und B das Polariscop so lange um seine Axe gedreht, bis die Farb- fransen darin verschwinden, alsdann ist der Hauptschnitt der Kalkspath-Doppelplatte parallel oder senkrecht zur Einfallsebene der Glassäule i. e. der Polarisationsebene des von ihr her einfallenden Lichts. Hierauf setzt man in den Theiïlkreis À den Polari- sator wieder so ein, dass das Licht ganz ausgelôscht Tome XXXII wird, wenn beim Hineinsehen von der Offnung D aus der Index am Theilkreise auf 90° weist; es ist dann angenähert die Polarisationsebene desselben bei der Ablesung 0° am Theiïlkreise parallel zur Einfallsebene. Um nun die Ablesung am Kreise, wo dies genauer der Fallist, zu erhalten,benutzen wir das in der obigen Weise orientirte Polariscop. Wenn wir nämlich die Glassäule senkrecht zur Sehaxe des letztern stellen (so dass sie also das durchgehende Licht nicht polarisirt), so wird offen- bar die Polarisationsebene des Polarisators bei À genau parallel zur Einfallsebene sein, wenn die Farben im Polariscop eben verschwinden und man hat dann nur die Index-Stellung am Kreise abzulesen, um diese Lage zu fixiren oder, unter genauer Einstellung auf 0°, den Polarisator in seiner Fassung vermittelst der seitlichen, durch einen Schlitz in der letztern herausragenden Schraube (vis-à-vis P in der Fig. 3) etwas zu drehen, bis das Auslüschen der Farbfransen erfolgt. Nach An- ziehen dieser Schraube wird dann stets die Ablesung 0 am Kreise À dem Parallelismus der Polarisationsebene seines Polarisators mit der Einfallsebene bei der Glas- säule entsprechen. Stellen wir jetzt diesen Polarisator resp. den Kreis am Index auf 45° ein, so werden wie- der lebhafte Farben im Polariscop erscheinen, die beim Zurückdrehen des Polariscops um 45° auch wieder verschwinden. Sollte bei der so ermittelten Stellung desselben die Nase des Polariscop-Fernrohrs nicht ge- nau in den Schlitz am Rohre C passen, so würde das eine nicht genaue Jüstirung der Kalkspath-Doppelplatte in Bezug auf diese Nase durch den Verfertiger des Instruments anzeigen und man müsste nun selbst diese Platte mit ihrer Fassung im Rohre etwas nachdrehen, bis beim Einfallen der Nase in den Schlitz, ein voll- ständiges Auslüschen der Farbfransen erfolgt. In ganz entsprechender Weise erfolgen die Jüsti- rungen für den Polarisator im Kreise B,nachdem man das Polariscop in die Rühre D eingeschoben hat. Hiemit ist das Instrument für den Gebrauch bereit. Gebrauch des Instruments. Die Theorie des” Instruments setzt voraus, dass die zu vergleichenden Lichtquellen zwei gleichférmig leuchtende Scheïben von genügender Ausdehnung darstellen, um das Ge- sichtsfeld des Polariscop-Fernrohrs gleichfürmig zu er- leuchten und die Messung mit dem Instrumente wird dann offenbar das Verhältniss des von gleich grossen Flächenstücken ausgesandten Lichtes ergeben. Ist diese 14 fe : 207 Bulletin de l’Académie Impériale Bedingung nicht erfüllt, hat man es also z. B. mit Kerzen, Lampen und dergl. Lichtquellen zu thun, so muss man, in gleicher Weise wie bei allen gebräuchlichen Photo- metern, die Erleuchtung von durchscheinenden oder diffus reflectirenden Schirmen durch diese Lichtquellen mit dem Instrument messen und daraus dann nach be- kannten photometrischen Gesetzen rückwärts auf das Intensitätsverhältniss der fraglichen Lichtquellen schliessen. Demgemäss sind dem Instrumente zwei in die Blend“ rühren m m mit ihren Fassungen einzuschiebende 0,88 mm. dicke beiderseits matt-geschliffene Milch- glasplatten beigegeben, von der Sorte,welche Herr Dr. O. Chwolson in seiner Abhandlung: «Photometrische Untersuchungen über die innere Diffusion des Lichts» als durchscheinend bezeichnet hat. Dieses das einfal- lende Licht diffundirende Glas wurde gewählt, weil dasselbe nach den eben erwähnten Untersuchungen des Herrn Chwolson selbst vollständig polarisirtes einfal- lendes Licht beim Durchgang ganz depolarisirt, so dass das von der Platte auf ihrer Hinterseite nach allen Seiten wie von einem Selbstleuchter ausgesendete Licht keine Spur von Polarisation zeigt, und sodann weil für dasselbe wenigstens angenähert das Lambert’sche Ema- nationsgesetz gilt, Für einen Emanationswinkel von 60° sollte nämlich nach der Lambert’schen Formel: J —4J, cos © sein: /,5 = J,.0,5, während die Messungen des Herrn Chwolson hiefür den Werth: /,, — J,.0,435 ergaben. Die Depolarisation aber des Lichts durch die Milchglasplatten ermüglicht trotz der eventuellen theil- weisen Polarisation der Strahlen der fraglichen Licht- quellen, etwa durch die umgebenden Zuggläser, Glas- kuppeln und dergl., doch die einfache für natürliches Licht geltende Formel (6/) für die Berechnung der Be- obachtungs-Resultate zu verwenden, da es ja in diesen Fällen durchweg auf eine gesonderte Bestimmung des polarisirten Antheils nicht ankommt. Das Messungsverfahren besteht nun im einen oder andern Fall einfach darin, dass man die beiden zu ver- gleichenden Éichtqnélien in gleicher Entfernung vor den Rohr-Offnungen resp. Milchgläsern bei À und B und zugleich mit ihrer Mitte in den Verlängerungen der betreffenden Rohraxen aufstellt, den Polarisator À unter 45° zur Einfallsebene bei der Glassäule einstellt, dann den ränderirten Kopf von der Getriebestange a zur Stange b versetzt — derselbe ist zu dem Ende leicht abzunehmen und wird durch Eingreifen in eine Nase bei den Stangen fixirt — und nun den Kreis B mittelst desselben dreht, bis die Farbfransen im Polariscop verschwinden. Sollte nun die Ablesung am Index er- geben, dass der Winkel B, erheblich kleiner als 25° oder beträchtlich grôüsser als 65° werde, so ist es räth- lich, entweder die schwächere Lichtquelle dem Instru- ment mehr anzunähern oder die stärkere davon weiter abzurücken (ohne dabei aus den Rohraxen herauszu- kommen) bis in Folge davon der Winkel B, beim noch- maligen Bestimmen desselben durch Auslôschen der Farbfransen innerhalb der obigen Grenzen fällt. Als- dann werden entsprechende Einstellungen des Polari- sators auf das Auslôschen der Farbfransen in allen 4 Quadranten gemacht und die Differenzen der Winkelab- lesungen am Theilkreis im Quadrant 270°—360° und 0°— 90° einerseits sowie 270°—180° und 1 80° —90° anderseits gebildet. Heissen wir diese Grôssen d, und d, so ist dann: wobei ein Fehler in der Jüstirung des Polarisators B— Parallelismus seiner Polarisationsebene mit der Ein- fallsebene, wenn man am Index 0° oder 180° abliest— im Resultat herausfällt. Repräsentirt e die Entfernung der Lichtquelle mit der Intensität Z von dem Milchglas bei À und e, die, eventuell nach dem Obigen verschiedene, Entfernung der Lichtquelle Z, von dem Milchglas bei PB, so ist das Intensitätsverhältniss jeu gegeben durch: TE . C:cos°8,, (16) wo in der Constanten C auch noch ein, von der even- tuellen ungleichen Licht-Durchlässigkeit der beiden Milchglasplatten herstammender Factor steckt. Be- stimmt man diese Grôüsse nach dem durch die Gleichung (15) charakterisirten Verfahren, so wird dieser Factor mit erhalten; andern Falls kann er durch eine weitere Messung nach Vertauschen der beiden Milchglasplatten ermittelt resp. sein stôrender Einfluss durch Bildung des Mittels aus den beiden Messungsresultaten elimi- nirt werden. Beim Uranophotometer habe ich seiner Zeit für diese Constante C den Werth: C — 1,9870 gefunden, der also nur um 1%, von dem theoretischen Werth 2 bei Vernachlässigung der Lichtabsorption in der Glassäule abweicht. des Sciences de Saint-Pétersbourg. Ehe ich zur Mittheilung einiger mit dem neuen Instrument ausgeführten Vergleichungen von Licht- quellen als Beispiele seines technischen Gebrauchs — ein Beispiel wissenschaftlichen Gebrauchs desselben bieten die damit ausgeführten, oben erwähnten Unter- suchungen des Herrn Chwolson über Diffusion dar — übergehe, will ich noch kurz einer Untersuchung über die Einstellungs- resp. Beobachtungsfehler bei demselben erwähnen. Ermittlung der Variation der Einstellungs- fehler mit dem Winkel 8. Um durch den Versuch zu entscheiden, ob gemäss den Bemerkungen zu Glei- chung (14) der Einstellungs- resp. Beobachtungs- fehler 08, constant oder mit 8, variabel sei und im letzteren Fall in welchem Betrag veränderlich, habe ich von einer einzigen kräftigen Lichtquelle — das eine Mal eine Petroleumlampe mit Runddocht von 21 Kerzen Lichtstärke, das andere Mal ein Argand- brenner von 27 Kerzen — durch 2 beiderseits von ihr aufgestellte Spiegel das Licht der einen und andern Milchglasplatte des Instruments zureflectirt, Indem ich dann die Lichtquelle bald dem einen, bald dem andern Spiegel mehr annäherte, konnte ich be- liebige und von absoluten Intensitätsschwankungen derselben unabhängige, also constante Verhältnisse in der Erleuchtung der beiden Milchglasplatten her- stellen. Es wurden nun Jeweilen bei 3 verschiedenen Beleuchtungsverhältnissen 10 Einstellungen am Kreise | B gemacht, welche zu folgenden Resultaten für das Mittel derselben 8, und die mittlere Abweichung der ein- zelnen Beobachtungen von diesem Mittel: 08, führten. În den beiden letzten Columnen habe ich den procen- tischen Fehler des Messungsresultats: 100. 7 25 einmal gemäss der Tafel nach Gleichung (14), wenn 08, constant gleich 021 angenommen wird und sodann unter Einsetzung der wirklich beobachteten Grüssen für 08, beigefügt. E er 100-0-7:+ 1887. B 0j 0B,—051 08, —0B; 26. October 33252 +039 0,230 0,897 » 45,82 +0,25 0,360 0,900 » 59,30 <+0,15 0,590 0,885 2. November 24,37 +0,52 0,152 0,790 » 45,37 “+0,23 0,354 0,814 » 64,55 +0,11 0,731 0,804. Hieraus folgt ein Anwachsen des Einstellungsfehlers mit abnehmendem Winkel B, und zwar wenigstens für mein Auge in einem Maasse, dass das Resultat der Messung inserhalb der Grenzen 8, = 25° bis 8,— 65° nahe dieselbe procentische Sicherheit darbietet, näm- lich 0,8 bis 0,9%. Was diesen absoluten Werth des Fehlers im Beobachtungsresultat betrifft, so ist der- selbe für verschiedene Beobachter etwas verschieden und im Allgemeinen bei grôsserer Helligkeit geringer. Bestimmung der Helligkeit von Wenham- Gaslampen. Als Beispiel von Helligkeits-Messungen mit diesem Photometer will ich hier die Vergleichung des Lichts einiger Wenham-Gaslampen mit dem einer englischen Spermaceti-Normalkerze ver- mittelst desselben genauer beschreiben. Die von mir selbst untersuchte Wenham-Gaslampe ist eine solche mit Ventilation und Schirm-Reflector (Classe Æ N° 2 des Preis-Courants von 1886 der Wen- ham Company Limited) und an der Decke eines 4,2 m. hohen und 5,3 m. in’s Gevierte haltenden Zimmers befestigt. Die Ventilation erfolgt durch ein längs der Decke gelegtes und in einen Schornstein eingeführtes Rohr. In die *,-züllige zu dieser Lampe führende Gasrühre wurde ein Experimentirgasmesser von J. Pintsch in Berlin eingeschaltet, um während des Ver- suchs den Verbrauch der Lampe an Leuchtgas be- stimmen zu künnen. Das Photometer wurde unter der Mitte der Lampe so aufgestellt, dass die Grundfläche der Büchse eine vertikale Lage hatte, die Axe der Rühre DB horizon- tal stand und also die Axe des Polariscop-Fernrohrs un- ter einem Winkel von 66° 26 zum Horizont geneigt war. Für diesen Versuch hatte ich in der Werkstätte des physikalischen Central-Observatoriums vom Me- chaniker Herrn Freiberg zwei neue bloss 0,62 mm. dicke Milchglasplatten schleifen lassen, welche mit über die Rôhren » überzuschiebenden Fassungen die eine bei PB senkrecht zur Rohraxe, die andere bei À unter einem Winke]l von 23° 34’ zu derselben in gleicher Entfernung von der Glassäule vorzusetzen waren. In Folge dessen konnte durch Drehen um die Rohraxe die letztere bei der obigen Lage der Polariscopaxe mit ihrer Fläche horizontal gestellt werden, so dass das Licht der Lampe senkrecht auf sie einfiel, wenn der ganze Apparat auf dem Tische verschoben wurde, bis die Mitte der Milchglasplatte nach dem Loth vertikal 14* . Bulletin de l'Académie Impériale 212 unter der Brennermitte der Lampe stand. Vor der Milchglasplatte bei B aber wurde in gleicher Hôhe mit ihrer Mitte und in Verlängerung der Rohraxe eine gewühnliche Petroleumlampe mit Rundbrenner aufge- stellt, deren Licht, durch einen sie umgebenden Blech- globus vom Zimmer abgeblendet, längs einer seitlichen Rôühre in diesem allein zur Milchglasplatte B gelangen konnte; in Folge Übergreifens dieser Rühre über die Rôhre m war anderseits jedes fremde Licht als das der Lampe von dieser Milchglasplatte abgehalten. Die Distanz e des Brenners der Wenham-Lampe, welche bei diesem Versuch wie gewühnlich nach unten eine durchsichtige Glaskuppel hatte, von der horizon- talen Milchglasplatte betrug: # ==" +1:2000 M; während die Entfernung der Mitte des Rundbrenners der Petroleumlampe von der vertikalen Milchglasplatte e, War: €, = 0,2425 m.. Es bedarf kaum der Erwähnung, dass die Messungen durch Einstellen des Polarisators B auf das Verschwin- den der Farbfransen, wobei zur Bequemlichkeit des Beobachters auch beim Polariscop ein rechtwinkliges Prisma vor dem Ocular angebracht wurde, erst crfolg- ten, nachdem die Petroleumlampe einige Zeit gebrannt hatte und so in ihrer Umgebung ein stätionärer Tem- peratur-Zustand eingetreten war. Das Mittel aus je 3 Einstellungen in jedem Qua- dranten ergab bei der ersten Messung: 2975 91055. 9901-1296 woraus folgt: d\ — 989 d, = 100%5 also : 8, — 49585. Hiebei betrug der stündliche Gasverbrauch der Lampe: 13,175 englische Cubic-Fuss. Die zweite Messung lieferte die Werthe: 4957 310,8. 23054: 19973 also : M 98594 == 31011 und somit: 8, —=:5000 wobei der stündliche Gasverbrauch: 13, 7 englische Cubic-Fuss betrug. Nach der Formel (16) folgt hieraus für das Verhält- niss der Intensität Z der Wenham-Lampe zur Intensi- tät Z, der Petroleum-Lampe: 1. Messung. 2. Messung. 7 = C-10,18 — C:10,12 oder im Mittel: ÿ É 7 = C-10,15 +0,03 (a) bei einem mittleren Gasverbrauch der Wenham-Lampe von 13,23 Cubic-Fuss (engl.) — 0,3746 Cubic-Meter pro Stunde. Angenähert aber wird für C — 2 sein: sé , Die Petroleumlampe und das Photometer wurden unmittelbar darauf in ein dunkles Zimmer gebracht, dort die Photometerbüchse horizontal gestellt, die un- veränderte Petroleumlampe wieder genau in derselben Entfernung e, — 0,2425 m. vor der Milchglasplatte bei B in der Verlängerung der betreffenden Rohraxe placirt, dagegen vor der andern, zur Axe des Polari- scops schiefen, aber nach Drehung des Instruments jetzt ebenfalls in einer vertikalen Ebene liegenden Milchglasplatte bei À in der Normalen zu ihr und in er Entfernung 6, =+ 0,108 Hi eine englische Spermaceti-Normalkerze aufge- stellt. Passend angebrachte mattschwarze Schirme ver- hinderten die Einstrahlung fremden, von den Wänden und der Decke des Zimmers reflectirten Lichts auf diese Milchglasplatte,. Die Einstellungen am Kreise B auf das Verschwinden der Farbfransen, in ganz ent- sprechender Weise und Anzahl wie oben ausgeführt, ergaben bei drei aufeinanderfolgenden Messungen fol- gende Werthe für den Winkel 8,, den wir hier zum Unterschied mit 8, bezeichnen wollen. 1. Messung.. ..... 849,0 2. M eee Br = 952,8 5... 8, — 47,9 Heissen wir Z, die Licht-Intensität der Normal- kerze, so hat man entsprechend (16) die Gleichung: In (16°) In _% O0 RS ET des Sciences de Saint-Pétersbourg. 214 Führen wir hier die obigen Werthe ein, so ergiebt sich der Reïhe nach: 1. Messung 2. Messung 3. Messung I 1 1 1 ; oder im Mittel: #» I 1 = 5 10,38 +0,77 (b) wo die Grüsse C wegen der ganz entsprechenden rela- tiven Lage aller Theïle offenbar genau denselben Werth wie in dem Resultat (a) der vorigen Messung hat. Setzt man wieder annäherungsweise: C'— 2, so kommt also: Æ / 7 = 5,19. (b) Obschon ich bei diesen Versuchen jeweilen den Ein- tritt der normalen Flammenhôühe der Spermaceti-Kerze: 44,5 mm. abwartete, welche ich nach dem Vorschlage von H. Krüss !) an dem optischen Bilde derselben controlirte, so ist hier die Unsicherheit der einzelnen Beobachtungsresultate, Wie man sieht, doch ungefähr 20 Mal grôsser als bei der Vergleichung der Wenham- und Petroleum-Lampen. Es ist dies theils der grossen Unruhe der frei brennenden Kerze theils auch dem _ Umstande zuzuschreiben, dass die Flammenhühe oft F schon im Laufe der für eine vollständige Messung nôthigen Zeit erheblich sich veränderte. Wegen dieser Unsicherheit schien es mir wünschens- werth, die Petroleumlampe auch noch mit der von Hefner-Alteneck vorgeschlagenen Licht-Einheit”) zu vergleichen, welche nach ihm dem Licht einer engli- schen Normalkerze bei 43,5 mm. Flammenhühe (ge- messen von dem Punkte an, wo der Docht schwarz zu _ werden beginnt) gleichkommt, also nur wenig kleiner als die obige wäre. Ich verdanke eine diese Licht- Einheit darstellende Lampe der Güte des Herrn Dr. W.Siemens in Berlin. Dieselbe wurde mit Amylacetat gespeist und während des Versuchs, bei ganz gleicher Aufstellung wie die Spermaceti-Kerze, auf der, an der Lampe selbst durch ein Visir fixirten Flammenhôühe si erhalten. Die beobachteten Winkel 8, waren hier bei der: $. Messune. 4972 2. M dial == .49,8 à, PA Ne == D0,9 10) Journal für Gasbeleuchtung 1883, 11) Electrotechnische Zeitschrift 1888, ee 445 uud 1884, S. 20. und daraus folgt dann nach Einsetzung dieser Werthe in Formel (16”) für das Verhältniss der Intensität der Petroleumlampe zu der der Hefner-Alteneck’schen Licht-Einheit J, : 1. Messung 2. Messung . Messung 1 LUN ES. RARE ji oder im Mittel: I 1 = ÿ 10,43 +0,27. (€) Die Sicherheit der einzelnen Messung ist also in der That bei dieser Lichtquelle eine bedeutend grôssere als bei der Spermaceti-Kerze, das mittlere Resultat aber nahezu dasselbe. Verbinden wir daher die Resul- tate (a) und (b) sowie (a) und (c) der beiderlei Messungen miteinander, so erhalten wir unabhängig von dem Werth der Grüsse C, die herausfällt, I = I,-105,4 — 1,:105,9 d. h. also unsere fragliche Ventilations-Wenham-Lampe mit Schirm-Reflector strahlt vertikal nach unten bei einem stündlichen Gasverbrauch von 13,2 engl. Cubic- uss oder 0,374 Cubic-Meter ein Licht aus, das in runder Zah1106 englischen Normalkerzen gleichkommt. Es giebt also mit andern Worten die vorliegende Lampe pro 1 Cubic-Fuss Verbrauch an Gas in der Stunde eine Lichtstärke von 8,03 Kerzen oder sie verbraucht pro je 1 Kerze Leuchtkraft in der Stunde eine Gasmenge von 0,125 Cubic-Fuss — 0,00354 Cubic-Meter. Dieses Resultat ist aber nach der Tabelle von F. Fischer über den Werth etc. verschiedener Lichtquellen?) ganz dasselbe, welches im günstigsten Fall Siemens’sche Regenerativbrenner ergeben, ja ein viel vortheil- bafteres, wenn, wie wir aus unseren eigenen Messungen weiter unten schliessen müssen, die unmittelbar am Photometer erhaltenen Resultate für den letzteren Brenner in dieser Tabelle bereits mit 2 multiplicirt ind, . Eine ganz entsprechende Messung der vertikal nach unten ausgesandten Lichtmenge derselben Wenham- Lampe, als ihre nach unten zu abschliessende klare Glaskuppel durch eine solche aus mattgeschliffe- nem Glase ersetzt wurde, ergab bei ungefähr dem- 12) Dingler’s polyt. Journal 248, S. 375, 1888, 215 Bulletin de l’Académie Impériale L selben stündlichen Gasverbrauch eine Intensität von 77,3 Kerzen, also einen Lichtverlust von 27, durch das matte Glas. Es bot sich die Gelegenheit dar, mit demselben Photometer noch:einige andere Wenham-Gaslampen auf ibre Licht-Intensität zu prüfen. Diese Untersuchung hat auf meine Bitte Herr Dr. O0. Chwolson, als Labo- rant am physikalischen Cabinet der Academie, im pho- tometrischen Laboratorium der städtischen Gas-Be- leuchtungsgesellschaft ausgeführt. Die von ihm untersuchten Lampen waren solche ohne Ventilation und ohne Reflectoren, wie sie in dem _ fraglichen Preis-Courant der Wenham-Company unter À bis F angegeben sind. Sie waren ebenfalls an der Decke aufgehängt und wurden direct mit dem Licht einer englischen Spermaceti-Kerze bei normaler Flam- menhôühe derselben verglichen. Das Photometer war dabei nur ausnahmsweise so wie bei meinen Versuchen d. h. also so aufgestellt, dass das Licht der Wenham- Lampe vertikal von oben auf eine horizontale Milch- glasplatte vor der einen Offnung fiel, meistentheils wurde dasselbe soweit seitlich von der Vertikalen durch die Lampenmitte placirt, dass bei horizontaler Lage der Polariscopaxe CA das Centrum des Brenners in die Verlänÿerung der schief nach oben gerichteten zweiten Rühre DB zu liegen kam, somit das unter einem Winkel von 23!/° mit der Vertikalen schief nach unten ausgesandte Licht der Lampe senkrecht auf die Milchglasplatte bei der betreffenden Üffnung des Photo- meters einfiel. Die Winkel 8, am Photometer wurden jeweilen doppelt gemessen, indem man bei jedem Ver- such die 0,88 mm. dicken Milchglasplatten vor den beiden Offnungen vertauschte. Folgendes sind die Re- sultate der Messungen des Herrn Chwolson, wobei der Gasverbrauch in engl. Cubic-Fuss pro Stunde und die Lichtstärke in engl. Normalkerzen für das unter 23/° zur Vertikalen augesendete Licht der Lampen angegeben ist. Bei der Berechnung nahm Herr Chwolson die Constante C = 2 an. Stündlicher ‘ à ; K Gasverbrauch Xe Kemen 1 Oub-Fass. Lampe M1: 770 38,8 5,04 5,75 19,7 3,43 Lampe X 2: 14,0 83,2 5.94 12,0 67,6 563 10,0 521 521 SU NN Lampe K 3: 15,8 41,1 4,50 13,8 57,5 4,17 11,8 51,9 4,40 Lampe X 4: 24,0 107,6 4,48 19,9 102,7 5,16 15,2 65,6 4,32. Unter diesen Lampen erweist sich also À 2 bei 12—14 Cubic-Fuss Gasverbrauch in der Stunde als die vortheilhafteste. Bei der Lampe X 4 hat sodann noch Herr Chwol- son die Lichtstärke unter dem obigen Emanations- winkel von 23'/° mit derjenigen für den Emanations- winkel O”(vertikale Strahlen)verglichen und im letzteren Fall eine Zunahme der Lichtstärke um 17°/, gefunden. Ebenso erhielt er endlich ein Anwachsen der Licht- stärke bei derselben Lampe um 27°, als er an ihr einen Schirm-Reflector anbringen liess. Darnach würde also in vertikaler Richtung und unter Anwendung eines Schirm-Reflectors im Ganzen 44°, mehr Licht bei die- sen Lampen erhalten werden als unter 23!/° mit der Vertikalen und ohne Reflector. Wenden wir dies auf das Resultat des Herrn Chwolson für die Lampe À 2 an, welche dieselbe Grôsse, wie die von mir untersuchte hat, und benutzen dabei das Mittel der beiden ersten Daten für einen stündlichen Gasverbrauch von 13 Cubic- Fuss i.e. 5,78 Kerzen pro 1 Cubic-Fuss Gasverbrauch in der Stunde, so würde also pro 1 Cubic-Fuss Gasver- brauch diese Lampe mit Schirm-Reflector und vertikal nach unten eine Lichtstärke von 8,32 Normalkerzen ergeben haben, ein Resultat, welches wenig von dem von mir für dieVentilationslampe gefundenen abweicht. Dieses Resultat für die Leuchtkraft der Wenham- Lampe beträgt indessen nur ungefähr die Hälfte der- jenigen Zahlen, welche nach dem erwähnten Preis- Courant die Herren Prof. W. Foster in London und Dr. Wallace in Glasgow dafür gefunden haben. Die Vermuthung liegt daher nahe, dass diese Herren die unmittelbar mit dem Photometer erhaltenen Werthe der Leuchtkraft nach dem, wie mir Gas-Techniker ver- sicherten, bei undurchsichtigen Brennern üblichen Ver- fahren verdoppelt haben. Im Fall der Wenham-Lampe scheint mir aber eine solche Verdoppelung namentlich für die Strahlung vertikal nach unten durchaus unzu- 217 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 218 lässig, indem dabei jedenfalls nur ein geringer Theil des, um den Rand des undurchsichtigen Brenners herum nach oben und innen reichenden Flammenmantels der Wahrnehmung von unten entzogen wird. Wie dem übrigens auch in Wirklichkeït sei, jedenfalls ist schon unser unmittelbares Resultat bezüglich der Leuchtkraft der Wenham-Lampe ohne irgend eine Vergrüsserung ein sehr günstiges, wie die folgende Zusammenstellung vergleichender Messungen über die Leuchtkraft ver- schiedener Gasbrenner beweist, die Herr Chwolson und ich gemeinsam mit meinem Photometer ausgeführt haben. Leuchtkraft Lampen ohne Schirme n engl. Normal- (normaler Gasverbrauch beim kerzen pro1C.-F, inCu Stündlicher Gasverbrauch Ï tunde. Lichtstärke. Wenham M 2, vertikal 13 Cub.-Fuss Gas pro Stunde 6,79 0,416 Muchall-Brenner, horizontal 6,5 Cub.-Fuss Gas pro Stunde 2,80 1,010 Siemens Regenerativ, horiz. 15 Cub.-Fuss Gas pro Stunde 2,37 1,195 Argand-Brenner, horizontal 9 Cubic-Fuss Gas pro Stunde 2,28 1,243 Von diesen unmittelbaren Messungs-Resultaten ist jedenfalls dasjenige des Siemens’schen Regenerativ- brenners im Verhältniss zu den übrigen wegen des un- durchsichtigen Aufsatzes beim Brenner zu klein und imuss nach meinem Ermessen, um vergleichbar zu sein, etwa mit ‘, multiplicirt (aber nicht verdoppelt) werden. Damit würde die Leuchtkraft: 3,16 Kerzen und der stündliche Gasverbrauch pro 100 Kerzen: 0,897 Cubic- Meter, also gleichwohl der Regenerativ-Brenner unter gleichem Verhältniss noch nicht halb so viel als der Wenham-Brenner leisten. Ob grüssere Brenner der ersteren Sorte vielleicht bessere Resultate geben, muss ich vor der Hand dahin gestellt sein lassen. Ebenso muss es künftigen theoretischen Berechnungen, analog etwa den von Strecker ‘) und v von Saltzmann "J4 aus geführten sowie bezüglich E Untersuchungen vorbehalten bleiben, das Verhältniss der unmittelbar mit dem Photometer séhaitenen Licht 13) Electrotechnische Zeitschrift, Januar 1887, S. 18. 14) Ibidem, October 1887, S. 430 stirke der verschiedenen Brenner je zu der gesammten von ihnen nach allen Seiten ausgesandten Lichtmenge zu bestimmen. Zum Schluss bemerke ich nur noch, dass weder bei der Vergleichung der Wenham-Lampe mit der Petro- leumlampe noch bei derjenigen der erstern direct mit der Spermaceti - Kerze trotz der sehr verschiedenen Färbung des Lichts dieser beiden, in der Intensität so sebr voneinander abweichenden Lichtquellen eine er- hebliche Schwierigkeit bei den Einstellungen an unserm Instrument bemerkt wurde, Wie ich schon in der Ein- leitung zu meiner Notiz betreffend Umwandlung meines Krystall-Photometers in ein Spectro-Photometer ein- gehend hervorgehoben habe, betrachte ich diesen Um- stand als einen für die Technik sehr erheblichen Vorzug meiner beiden Polarisations-Photome- ter vor den gewühnlichen Photometern; die vor- liegende Modification des einen derselben dürfte aber auch bezüglich der leichten Handhabung allen billigen ‘| Ansprüchen der Technik genügen. Über die Einwirkung von Jodoform und Jod auf Na- triumisobutylat. Von A. Gorboft und A. Kessler. (Lu le 26 Mai 1887. 1. Einwirkung des Natriumisobutylats auf Jodoform. Bereits im Jahre 1858 zeigte Prof. A. Butlerow'), dass bei der Einwirkung von Natriumaethylat auf Jodo- form Methylenjodid, Akrylsäure, CH,:CH.COOH und Aethylmilchsäure CH,.CH(OC,H;,)COOH entstehen. Es war nun hôüchst wahrscheinlich*), dass diese beiden, in ihrem Moleküle die Gruppe C, enthaltenden, Säuren, infolge einer auf diese oder jene Weise stattgefundenen Verbindung der Kohlenstoffgruppen des Aethylats und des Jodoforms, entstanden seien. War diese Ver- muthung richtig, so mussten beim Eïnwirken anderer Alkoholate auf Jodoform die Homologen der Akryl- siure einerseits und Aethersäuren der Milchsäure- reihe andererseits entstehen. Der Versuch bestätigte 1) Butlerow, À. Ann. chim. seu ut (1858) 313. Ann. Chem. Pharm. 114, (1860) 204 und 118, (18 yTaepo8, À. M eg KB ARE H3YYeHIIO OPrTAHU- yecxoh xumiu, crp. 301 (2-0e nsxamie). a 219 Bulletin de l’Académie Impériale E in der That diese Voraussetzung. Beim Einwirken von Natriumisobutylat auf Jodoform erhielten wir”) Methylenjodid und Dimethylakrylsäure C;H,0,, die zum {sobutylalkohol in demselben Verhältnisse steht, wie die Akrylsäure zum Aethylalkohol. Es kann dem- nach als bewiesen betrachtet werden, dass die Re- aktion zwischen den Alkoholaten und Jodoform eine allgemeine Reaktion zur Bildung von Säuren der Akryl- säurereihe, wenigstens von bestimmter Struktur, dar- stellt. Desto interessanter erschien die Erforschung des Mechanismus der hier vor sich gehenden Synthese, die zunächst vollkommen unerklärlich war. Wir unter- warfen daher die Einwirkung von Natriumisobutylat auf Jodoform einer eingehenderen Untersuchung. Die hierbei erhaltenen Resultate bilden den Inhalt vorlie- gender Abhandlung. Obgleich dieselben in mancher Hinsicht die gewünschte Vollständigkeit nicht erreicht haben, indem sie keine direkte Antwort auf die ge- stellte Frage geben, sind wir zu einer Verôffentlichung derselben gezwungen, da wir an einer ferneren gemein- samen Arbeit verhindert sind. Gleich bei den ersten Versuchen stellte es sich her- aus, dass die Reaktion hôchst complicirt sei, und zwar sowohl in Betreff der Anzah]l, als auch der Mannig- faltigkeit der entstehenden Produkte. Ausser der Dime- thylakrylsäure erhielten wir noch mehrere gesättigte Säuren und, als stetige Begleiter des Methylenjodids, hochsiedende, jodfreie, neutrale Produkte. Eine Ver- änderung der Reaktionsbedingungen, wie z. B. eine grüs- sere oder geringere Concentration des Alkoholats u. a. scheint auf die Zah]l der entstehenden Produkte ohne Einfluss zu sein, denn ausser der Dimethylakrylsäure erhielten wir stets eine bedeutende Menge anderer Fettsäuren, sowohl hüher-, als niedriger siedender, und hochsiedende neutrale Verbindungen. Die Ausbeute dieser oder jener war jedoch Schwankungen unter- worfen. So erhielten wir z. B. merklich mehr Dime- thylakrylsäure beim allmähligen Zugiessen des Alko- holats zum Jodoform, also bei einem Überschusse des letzteren, als beim Einführen des Jodoforms in kleinen Quantitäten in das Alkoholat. Die Ausbeute an Me- thylenjodid schwankte aber in weiteren Grenzen, und da die Gegenwart desselben die Erforschung der hoch- siedenden, neutralen Substanzen sehr erschwerte, und 3) Gorboff, A. und Kessler, A. Mélanges phys. chim. XII, 21. diese letzteren, wie wir dachten, vielleicht Zwischen- produkte bei der Entstehung der Dimethylakrylsäure sein würden und zur Aufklärung der Synthese der- selben dienen kônnten, so wählten wir zu unserer Re- aktion diejenigen Bedingungen, bei denen fast gar kein Methylenjodid erhalten wurde. Auf je 100 gr. Jodoform nahmen wir 200 gr. Iso- butylalkoho!l (von Kahlbaum) und 20 gr. metallischen Natriums (und zwar im geringen Überschusse, da auf die ganze Jodmenge in 100 gr. CHJ, zur Bildung von NaJ cetwa 17,5 gr. Na erforderlich sind) und ver- fuhren folgendermaassen: zur erwärmten Lôsung des Alkoholats, das sich in einem mit einem langen Kühler verbundenen Kolben befand, wurde durch einen breit- halsigen TrichterJodoform in kleinen Quantitäten ein- getragen und der Trichter dann môglichst schnell durch einen Korken geschlossen. Die Reaktion tritt sofort ein und verläuft sehr stürmisch: jede neu zu- . geschüttete Jodoform-Menge ruft ein Aufkochen und Aufschäumen der Flüssigkeit hervor, die theilweise durch den Kühler überdestillirt; es findet eine reich- liche Ausscheidung von Jodnatrium statt, der Alkohol färbt sich zuerst gelb und nimmt zu Ende der Re- aktion eine dunkelbraune Färbung an. Nach dem Zu- fügen der abgewogenen Menge von Jodoform wurde der Kolben-Inhalt noch mehrere Minuten lang auf freiem Feuer im Sieden erhalten (die hierbei über- gehende Flüssigkeit wurde mit der während der Reak- tion überdestillirten vereinigt) und dann mit Wasser behandelt. Die entstandenen zwei Schichten wurden mittelst eines Scheidetrichters getrennt und die alko- holische Schichte noch zweimal mit dem gleichen Volu- men heissen Wassers gewaschen. Die sauren Reaktionsprodukte. Alle wässrigen Auszüge, die Jodnatrium und die wäh- rend der Reaktion entstandenen Salze der organischen Säuren in Lôsung hielten, wurden vereinigt, bis auf em geringes Volumen, zur Entfernung des gelôsten Isobutylalkohols und anderer etwa entstandener neu- traler Produkte, eingedampft und darauf mit einem Überschuss von Weinsäure überdestillirt. Die Destil- lation wurde so lange fortgesetzt, bis die übergehende Flüssigkeit nur noch eine schwach saure Reaktion zeigte (hierbei musste das Wasser im Destillationsapparate mehrere Mal ersetzt werden). Das Destillat stellte eine des Sciences de Saint -Pétersbourg. klare Lôsung dar, auf deren Oberfläche eine dünne Ülschichte schwamm. Dieses Ül — der am schwierig- sten sich lüsende Bestandtheil des Säuregemisches — wurde abgetrennt, während die Lüsung mit Soda neu- tralisirt wurde (um die Neutralisation zu beschleunigen, wurde zu Ende erwärmt) und zur Trockne einge- dampft. Die so erhaltenen Natriumsalze wurden so- dann mit Schwefelsäure zersetzt (1 Gew.-Thl. H,SO, auf 1 Th. Wasser). Hierbei muss bemerkt werden, dass die Zersetzung der trocknen Salze mit Schwefel- säure recht schwierig vor sich geht, indem ein Theil derselben in der aufschwimmenden Säureschichte gelôst bleibt; daher wurde zu der von der Natriumsulfat- Lôsung abgeschiedenen Ülschichte, unter Schütteln, concentrirte Schwefelsäure so lange zugetropft, bis die Bildung des Niederschlages aufhôrte. Das vom letzte- ren abfiltrirte Gemenge von Säuren wurde darauf der fraktionirten Destillation bis zu 180° unterworfen, da bei hôüherer Temperatur schon Zersetzung eintrat. Der Rückstand wurde später unter vermindertem Drucke destillirt. Alles bis zu 180° Überdestillirte (zu dem auch die unter vermindertem Drucke (von circa 40 mm.) bis zu 95° erhaltenen Destillate des Rückstandes zuge- gossen wurden), theilte sich nach mehrmaliger Destil- lation mit dem Dephlegmator von Winssinger in fol- gende Fraktionen: 1) 99°—105° (zwei Schichten), 2) 105°—153° (sehr wenig), 3) 153°—158° (Haupt- menge), 4) 158°—180° und 5) Rückstand. Die Fraktion 153°—158° konnte schon ihrem Siede- punkte und ihrem Geruche nach als die bei 155° sie- dende Isobuttersäure erkannt werden. Vollkom- mene Überzeugung davon gewannen wir durch die Bestimmung des Krystallisationswassers in dem, durch Sättigen mit Calciumcarbonat erhaltenen, Calcium- salze, welches lange nadelfôrmige Krystalle darstellte. 0,5501 gr. des durch Flicsspapier getrockneten Salzes verloren bei 100° — 0,1607 gr. oder in Procenten 29,22 Wasser, während nach der Formel Ca(C,H,0,), - + 5H,0 der Verlust 29,60 °/, betragen müsste. Die aus zwei Schichten bestehende Fraktion 99° — 105° erwies sich als ein Gemisch von Isobuttersäure und Wasser mit einem geringen Gehalt von Ameisen- säure, dessen Vorhandensein durch die Reaktion mit | Quecksilberoxyd und die Reduktion von ammoniaka- lischer Silbernitrat-Lôsung und von Sublimat zu Ka- lomel festgestellt wurde. Tome XXXII. Was den zwischen 158° und 180° übergegangenen Theil anbetrifft, so scheint derselbe ein Gemisch von Dimethylakrylsäure und Isobuttersäure gewesen zu sein, da er sich mit einer bedeutenden Menge von Brom vereinigte; einer genaueren Untersuchung ist derselbe jedoch nicht unterworfen worden. - Der über 180° siedende Rückstand schied beim Ab- kühlen eine feste, ungesättigte Säure aus, deren Haupt- menge sich in den niederen, unter vermindertem Drucke erhaltenen, Fraktionen befand; diese bei 40 mm. Druck zwischen 95° und 115° übergehenden Antheile (was etwa einer Temperatur von 180°—-215° bei normalem Drucke entspricht) schieden schon bei gewôhnlicher Temperatur eine bedeutende Menge der festen Säure aus. Aus heissem Wasser umkrystallisirt, bildete die- selbe lange, glänzende, prismatische Krystalle, deren Schmelzpunkt bei 69,5°—70° lag. Die Élébent ets der freien Säure, so wie ihres Silbersalzes, die schon in unserer ersten Mit- theilung angeführt sind, ergaben die Formel C,H,0,. Diese Daten erlaubten es uns schon damals die erhaltene Säure mit der B$-Dimethylakrylsäure Cu DE CH.COOH zu identificiren, die zuerst von Neubauer‘) und darauf von Miller”) bei der Oxy- dation der gewühnlichen Isovaleriansäure mittelst Ka- liumpermanganat und chenso von Saytzew und Sem- ljanitzin®) beim Einwirken von Phosphortrichlorid auf die $-Oxyisovaleriansäure (aus dem Allyldimethyl- carbinol durch Oxydation dargestellt) erhalten worden ist. Die weitere Untersuchung hat die Richtigkeit un- seres Schlusses vollkommen bestätigt. Zu diesem Zwecke hatte Herr Glinka die Freundlichkeit einige Mes- sungen der Krystalle der Dimethylakrylsäure auszu- führen und ausserdem haben wir das Baryum- und Cal- ciumsalz und die Bromverbindung der Säure, die in letzter Zeit von Ustinow’) genauer untersucht worden sind, dargestellt. | Herr Glinka theilt uns Folgendes mit: : «Die Krystalle der Dimethylakrylsäure besitzen die Gestalt langer Prismen, deren Flächen, parallel der vertikalen Axe gestreift sind; ausserdem haben die 4) Neubauer, An». Chem. ri 106. 63. 5) v. Miller, Ann. Chem. 200. 26 6) Semljanitzin und cn Ann. Chem. 197. 72. 7) Ustinow, K. 1885, 439. 15 Bulletin de l’Académie Impériale Krystalle fast in allen Fällen, an Stelle des Basopina- koids, trichterformige Vertiefungen, welche fast bis zur Hälfte hineinreichen. Es ist mir gelungen nur einige Haushofer’sche Angaben (Zeitschr. f. Kryst. IV, 570) zu bestätigen, z. B.: b:p—(010) (110) = 123° 40°; (110) (110) = 68°: (110) (110) = 112°: Die Flächen der Krystalle erwiesen sich zwar un- vollkommen ausgebildet, jedoch konnte der Prismen- winkel und einige Flächen an einzelnen Krystallen be- stimmt werden; Winkel, welche Haushofer nicht angiebt, habe ich an einem Krystall mit 142° 20° und an einem anderen mit 145° bestimmt. Die letzte Form ist in der Zeichnung berücksichtigt und habe ich sie als Klinodom angesehen (annähernd 012) indem ich die Haushofer’schen Angaben zu Grunde legte; doch muss erwähnt werden, dass ich eine Dome mit einem Winkel von 61° nicht bemerkt habe; statt der Orthodomflächen (101),. deren Haushofer erwähnt, beobachtete ich Pyramiden-Flächen (in der beigefügten Zeichnung mit x bezeichnet), deren Parameter aber nicht bestimmt werden konnte. Der abgebildete Krystall zeichnet sich von den mei- sten übrigen Krystallen dieser Substanz, so wie auch von denjenigen ss HARMAN OTEES Angaben, besonders durch bedeut icklung des Klinopinakoïds (010) aus. Bei anderen Krystallen sind die Pinakoïdflächen (100) und (010) bedeutend schwächer entwickelt, je- doch verhältnissmässig deutlich ausgebildet». Das Baryumsalz — Ba(C, H,0,), + 2H,0 — wurde durch Neutralisation der wässrigen Lüsung der Säure l'entsprechend, mit Baryumcarbonat unter Erwärmen dargestellt. Beim Verdunsten, der vom Überschuss des letzteren abfil- trirten Lüsung, über Schwefelsäure schied sich das Salz in prismatischen, grôsstentheils verwachsenen, zuweilen von einem Punkte fächerfôrmig ausgehenden Krystallen aus und enthielt, den vorhandenen Angaben zwei Moleküle Krystallisationswasser, 0,2269 gr. des gut zwischen Fliesspapier getrockneten Salzes verloren bei 100° 0,0219 gr. Berechnet für Ba(C;H,0,), + 2H,0. 1 In Procenten. HO 29,65. Das Calciumsalz — Ca(C,H,0,), + 4H,0, das ebenso erhalten wurde, krystallisirte beim langsamen Verdunsten seiner Lôsung im Exsikkator in langen, seideglänzenden, zu Büscheln vereinigten Nadeln. Es enthält vier Moleküle Wasser und verwittert an der Luft sehr leicht. 1) 0,2538 gr. des zwischen Fliesspapier gut abge- pressten Salzes verloren bei 100° — 0,0575 gr, 2) 0,1859 gr. des wasserfreien Salzes gaben nach dem Glühen 0,0436 gr. CaO. In Procenten erhalten. Berechnet für (C;H,0,),Ca +4H,0, 1) H,0 = 22,65 H0 = 23,22 für (C,H,0,),Ca 2) Ca = 16/79 Ca 168E Wird die Lôsung des Salzes auf dem Wasserbade langsam verdunstet, so scheidet sich dasselbe in ein- zelnen, ziemlich grossen prismatischen Krystallen aus, die bei 100° keine Gewichtsveränderung erleiden und ihren Glanz beibehalten. Ustinow (1. c.) beschreïbt das Calciumsalz gleichfalls als in langen, seidenartigen Na- deln krystallisirend, hält es aber für wasserfrei, da er gefunden hat, dass «bei sehr langsamem Verdunsten im Exsikkator sich das Salz in ziemlich grossen einzelnen und zu Drusen vereinigten Krystallen ausscheidet. Beim Erwärmen auf 100° verliert das Salz nicht an Gewicht und die Krystalle behalten ihren Glanz». Unsere Beob- achtungen stimmen, wie man sieht, mit Ustinow’s Angaben nicht ganz überein; wir Shl geneigt anzu- _nehmen, dass sich in die letzteren irgend ein Missver- ständniss eingeschlichen haben mag. Mit Brom verbindet sich die Dimethylakrylsäure sehr leicht; wir erhielten das Additionsprodukt durch tropfenweises Hinzufügen des Broms zu einer Lüsung der Säure in Schwefelkohlenstoff. Nach zweimaligem Umkrystallisiren aus Ligroïn stellte diese Verbindung 24 225 des Sciences de Saint-Pétersbourg. schôn ausgebildete, grosse Tafeln dar, die zum monokli- noëdrischen Systeme zu gehüren scheinen. In Aether sind die Krystalle sehr leicht lôslich, etwas schwie- riger in Ligroïn. Der Schmelzpunkt liegt bei 107°— 108°, die Erstarrungstemperatur bei 97°, sank aber nach mehrmaligem Schmelzen. (Ustinow giebt für den | Schmelzpunkt 105°—.106° und den Erstarrungspunkt 76° an). Die Dimethylakrylsäure sublimirt leicht und siedet bei 194°—195°, spaltet sich aber schon bei einer um etwa 10° hüher liegenden Temperatur in Kohlensäure und Isobutylen. Zur Feststellung dieser Produkte er- wärmten wir die Säure im zugeschmolzenen Rohre auf 210°-—220°. Nach 25—30stündigem Erwärmen stellte der Rühreninhalt eine leicht bewegliche Flüs- sigkeit dar, die in einer Kältemischung nicht erstarrte. Die durch Schnee und Salz gekühlte Rühre wurde geôffnet und die hierbei entweichenden Gase in einem Gasometer gesammelt. Das Vorhandensein von Kohlen- säure wurde durch Eïnleiten in Barytwasser kon- statirt, während der Kohlenwasserstoff durch auf 0° abgekühlte Jodwasserstoffsäure absorbirt wurde. Das erhaltene Jodür lüste sich bei längerem Stehen mit Wasser schon bei gewühnlicher Temperatur voll- stündig und der darauf aus der wässrigen Lôsung ausgeschiedene Alkohol erwies sich nach dem Trock- nen über Baryt als das Trimethylcarbinol, das s0 leicht an dem charakteristischen Kamphergeruch und seinen bei Zimmertemperatur nicht schmelzenden Krystallen erkannt werden kann. Es kann also keinem Zweifel unterliegen, dass er Kohlenwasserstoff Isobu- tylen war. Die beschriebene Zersetzung der Dime- thylakrylsäure stimmt mit der, dieser Säure gewühn- lich zugeschriebenen, Constitution überein, da, wenn man die Môglichkeit einer Umlagerung nicht in Be- tracht zieht, das Isobutylen und die Kohlensäure als die Spaltungsprodukte von nur zwei Säuren C;H,0, auftreten kôünnen, und zwar von der Struktur: CH, CH, CH, CH, NX K 4 C Fe | | CH CH, | \ 4 | COOH COOH (8-Dimethylakrylsäure) (unbekannte Säure). In der Reihe der Akrylsäuren ist eine solche, unter dem Einfluss hoher Temperatur vor sich gehende, Spaltung, die vollkommen derjenigen der Tetrolsäure parallel wäre, unseres Wissens zum ersten Mal be- obachtet worden. Der Untersuchung der hochsiedenden Säuren stell- ten sich bedeutende Schwierigkeiten in den Weg. Die Rückstände der unter gewühnlichem Drucke ausge- führten Destillation, die über 180° siedeten, wurden unter vermindertem Drucke (bei ungefähr 40 mm.) fraktionirt, wobei zur besseren Trennung der Antheiïle ein ziemlich langer Dephlegmator von Würtz benutzt wurde. Trotzdem konnten keine constant siedenden Fraktionen abgeschieden werden, da die Flüssigkeit unter Zurücklassung eines geringen Rückstandes ziem- lich gleichmässig zwischen 100° and 150° überging, wobei die niedrigsten Fraktionen bis zu 115°, wie schon erwähnt, beim Stehen Dimethylakrylsäure aus- schieden (die jedesmal entfernt wurde). Zuletzt waren folgende Antheile erhalten worden: 1) 100°—1157, 2) 115°—135°, 3) 135°—142°, 4) 142°—150° und 5) der Rückstand. In denselben Grenzen siedete auch derjenige Theil der Säuren, welcher von dem bei der Destillation der wässrigen Auszüge mit Weinsäure (s. oben) erhaltenen Destillate abgetrennt worden war, wo- bei hier ein bedeutend grüsserer Rückstand des über 150° Siedenden zurückblieb. Die einander entsprechen- den Fraktionen wurden zusammengegossen*). Der zweite Antheil enthielt noch merkliche Mengen von Dimethyl- akrylsäure, während dieselbe in den beiden letzten nicht mehr vorhanden war, was durch Einwirken von Brom festgestellt wurde. Da nun aus analytischen Daten zu ersehen war, dass wir es mit einem Gemisch von Säuren zu thun hatten, so machten wir den Ver- such dieselben durch ïhre Calciumsalze zu trennen 8) Bei allen den zahlreichen Destillationen unter vermindertem Drucke, die wiriw on serer Untersuchung auszuführen _—… benutzten wir den v 18. 1363), der sich in rss Praxis als sehr bequem ervries. Die SA lation wurde immer, nach der Vorschrift von Würtz (Dictionn. de chim. Suppl. 667), unter Benutzung eines Kapillarrohres ausgeführt, während der Ballon, aus welchem die Flüssigkeit destillirt wurde, entweder auf dem Wasser- oder in einem Metallbade erwärmt wurde Zur Regulirung des Druckes benutzten wir den Regulator von L. Meyer (Lieb. Ann. 165. 303); zwischen dem Regulator und dem Destillationsapparat befand sich ausserdem immer eine Glasflasche yon mehréren Litern Inhalt. VCLCILS 15% 227 Bulletin de l’Académie Impériale ?22s (vorläufige Versuche hatten gezeigt, dass das Calcium- salz einer der Säuren in Wasser ziemlich schwer lüs- lich war). Die Neutralisation durch frisch gefälltes Calciumcarbonat ging nur schwierig vor sich und er- forderte anhaltendes Erwärmen, so dass wir zur Be- schleunigung der Reaktion etwas Calciumhydrat zu- setzten. Zu unserem Erstaunen lieferten die Analysen der erhaltenen Salze ziemlich übereinstimmende Zahlen, die der Formel C,H,,0, entsprachen, während die Ana- lysen der wieder ausgeschiedenen freien Säuren weder unter einander, noch mit denen der Salze überein- stimmten. Dieser Umstand, im Zusammenhange mit der schwierigen Neutralisation der Säuren, veranlasste uns anzunehmen, dass in den sauren Produkten eine Substanz von dem Charakter eines Lactons zugegen sein müsse. Die weiteren Versuche bestätigten voll- kommen diese Voraussetzung. Die noch zurückgebliebenen Theile der di 135°—142° und 142°—150° wurden bei gewühn- licher Temperatur mit einer gesättigten Sodalôsung behandelt, wobei der grüsste Theil ungelôüst blieb und als Schichte aufschwamm. Diese neutral reagirende Schichte wurde abgehoben und die alkalische Lôüsung zur vollständigen Entf g der neutralen Substanz mit Aether behandelt, darauf mit Schwefelsiure versetzt und die aufschwimmende Ülschichte der Säure in Aether aufgehoben. Nach dem Verjagen des Aethers auf dem Wasserbade wurde der Rückstand durch Durchleiten eines trocknen Luftstromes unter vermindertem Drucke getrocknet und dann unter 34 mm. Druck destillirt. Das Sieden begann bei 138° und zwischen 141°—144° ging die Hauptmasse über, welche besonders aufgefan- gen wurde. Dieselbe war vollkommen farblos, besass einen schwachen, an die niederen Fettsäuren erinnern- den Geruch und verdickte sich merklich in einem Kälte-Gemisch von Schnee und Kochsalz, jedoch ohne zu erstarren. Bei der Verbrennung wurden Zah- len erhalten, die mit der Formel C,H,,0, ziemlich gut übereinstimmen: 0,1934 gr. der Substanz gaben 0,4266 gr. CO, und 0,1702 gr. H,0. Berechnet für C,H,603 In Procenten erhalten C=260,19 — 60,00 H— 978 H = 10,06, Da unter den neutralen Reaktionsprodukten sich ein Derivat des Aldehyds C,H,,0, — Ds 5 >C(OC,H,) COH befand, so war es im hôchsten Grade wahrscheinlich, dass wir es mit der Isobutyl &-oxyisobuttersäure OH 0,— De NS C(OC,H,) COOH zu thun hatten. Um diese Frage zu entscheiden er- wärmten wir dieselbe mit Eisessig, da zu erwarten war, dass eine Säure von dieser Struktur unter den gegebenen Bedingungen entsprechend der folgenden Gleichung zerfallen würde: CH CH > C(OC,H,) COOH + C,H0, — = C,H,0-00,H, + Ce Sc (OH).COOH. 7-8 Es erwies sich aber, dass die Zersetzung sehr schwierig vor sich geht: bei andaucerndem Erwärmen, selbst bis zu 170", bildete sich nur eine unbedeutende Menge von Isobutylessigester. Da wir nun befürch- teten, dass bei hôherer Temperatur unter dem Ein- flusse der Essigsäure die Oxyisobuttersäure selbst zer- fallen künnte, so beschlossen wir die Säure C.,H,,0, mit Jodwasserstoff zu behandein, wobei wir aus Man- gel an Material die schon mit Essigsäure erwärmte Säure benutzen mussten. Dieselbe wurde von der Es- sigsäure durch Destillation unter vermindertem Drucke befreit und dann mit bei 0° gesättigter Jodwasserstoff- säure und etwas rothem Phosphor im zugeschmolzenen Rohre einige Stunden hindurch auf dem Wasserbade erwärmt. Die im Robre entstandene ülige Schichte wurde abgetrennt; dem Siedgpunkte 116°—118° und den übrigen Eigenschaften nach erwies sie sich als Isobutyljodid. Die saure wässrige Lüsung wurde nach dem Verdünnen mit Wasser abdestillirt, das Destillat unter Erwärmen mit frisch gefälltem Silbercarbonat neutralisirt, vom Jodsilber abfiltrirt und das Filtrat über Schwefelsäure im Exsikkator verdunstet. Die Verbrennung des getrockneten Silbersalzes ergab fol- gende Resultate: 0,1382gr. des Salzes gaben 0,0778gr. metallischen Silbers. - Gefunden in Procenten Berechnet für C,H,0, Ag Ag — 56,29 Ag = 55,38. Der zu hohe Silbergehalt muss unstreitig der un- vollständigen Entfernung der Essigsäure zugeschrie- ben werden; von einer Reinigung musste aber der ge- ringen Menge des Salzes wegen abgesehen werden. des Sciences de Saint-Pétersbourg. Es scheint uns jedoch, dass die bereits angeführten Daten die oben ausgesprochene Voraussetzung über die Natur der Säure genügend bestätigen. Das Octolacton — C,H,,0.. Der bei der Behandlung mit gesättigter Sodalüsung ungelôst gebliebene Theil der hôheren Fraktionen der Säuren (s.oben) wurde mit dem aetherischen Auszuge der alkalischen Lüsung vereinigt, mittelst geglühter Potasche getrocknet und, nach dem Verjagen des Aethers auf dem Wasserbade, unter vermindertem Drucke fraktio- nirt. Nach zweimaligem Destilliren erhielten wir eine bei 139°—134° (bei 36 mm.) übergehende Substanz. Die- selbe stellte eine klare, farblose, in Wasser schwer lüs- liche Flüssigkeit von schwachem, etwas aromatischen Geruche dar, die im Kälte-Gemisch von Schnee und Kochsalz nicht erstarrte und auf blaues Lakmuspapier vollkommen neutral reagirte. Beim Verbrennen gaben 0,2076 gr. der Substanz 0,5119 gr. CO, und 0,1852 gr. HO. Gefunden in Procenten Berechnet für C,H,,0, C — 67,25 C — 67,60 H— 9,91 H— 9,86. Die erhaltene Verbindung C;H,,0, lüst sich beim Erwärmen in einer Lüsung kohlensaurer Alkalien und sehr leicht in Barytwasser, gleichfalls beim Erwär- men, unter Bildung von Salzen einer Oxysäure C,H,,0,, und ist also ein Lacton. Beim Verdunsten, der vom Barytüberschuss durch einen Kohlensäurestrom und Abfiltriren des gebildeten Baryumcarbonats befreiten Lüsung, bleibt das Baryumsalz im Exsikkator als “amorphe, glasartige Masse zurück. Zur Analyse wurde das Salz bei 80° getrocknet, da bei hôherer Temperatur schon Zersetzung eintrat, was sowohl an dem Auftreten des Lactongeruches, als auch daran zu erkennen war, dass beim späteren Auflüsen eine Trübung (von Baryumcearbonat) auftrat. Bei der Analyse gaben 0,2465 gr.des Salzes 0,1263 gr. BaSO,. Gefunden in Procenten Ba— 50,10 Das Baryumsalz ist in Wasser sehr leicht lüslich . und lôst sich gut in Alkohol, aus welchem es sich beim Verdunsten gleichfalls amorph ausscheidet. Das Calciumsalz ist in Wasser verhältnissmässig schwer lüslich und scheïdet sich aus einer concentrir- Berechnet für (C,H,,0;),Ba Cr u ten Lüsung des Baryumsalzes beim Zugiessen einer Lüsung von Calciumchlorid in Form von schneeweissen, feinen Nadeln aus. Beim Verdunsten seiner wässrigen Lüsung erscheint es in Form von Krusten, die (unter dem Mikroskop) als verflochtene, feine Nadeln er- scheinen. Das Silbersalz ist dagegen im Wasser leicht üslich. Bis jetzt sind nur zwei, und verhältnissmässig wenig erforschte, Octolactone bekannt. Das eine, von unbe- stimmter Struktur, erhielten Emmert und Friedrich?) beim Einwirken von Zinkaethyl auf Succinylchlorid, das andere stellte Young!) dar. Letzteres entspricht der æ&-Aethyl-8-methyl-y-oxyvaleriansäure, die bei der Zersetzung ihrer Salze das Lacton giebt (die Säure selbst ist durch Reduktion der «&-Aethyl-8-methyl-8- acetylpropionsäure CH, - CO - CH(CH,)CH(C,H,)COOH erhalten worden). So weit wir nach den vorhandenen Daten urtheilen kônnen ist unser Lacton ein Isomer dieser beiden Lactone; auf die mügliche Struktur des- selben werden wir bei der Auseinandersetzung des Reaktionsverlaufes hinweisen. Die Untersuchung der sauren Reaktionsprodukte abschliessend, wollen wir noch erwäbnen, dass der Rückstand von deren Destillation, der unter vermin- dertem Drucke über 150° siedete, hauptsächlich noch eine Substanz von Lacton-Charakter enthielt, da er sich in einer gesättigten Sodalüsung in der Kälte fast gar nicht auflüste und der ungelüst gebliebene Theiïl, nach der Destillation, bei welcher er in sehr weiten Temperaturgrenzen überging, eine neutrale Reaktion zeigte. Die Isobutyloxyvaleriansäure C,H,,0,, die der von Butlerow (L. c.) beim Einwirken von Jodoform auf Natriumaethylalkoholat dargestellten Aethylmilchsäure entsprechen würde, haben wir, wie zu ersehen ist, nicht nachweisen künnen. Die neutralen Reaktionsprodukte. Wie bereits oben erwähnt, wurde die, während der À Einwirkung von Jodoform auf Natriumisobutylat, über- destillirende Flüssigkeit besonders aufgefangen. Die- selbe besass einen aetherischen Geruch und enthielt folglich ausser dem Isobutylalkohol noch irgend eine 9) Emmert und Friedrich, Berl. Ber. XV, 1852. 10) Young, Liebig’s Ann. 216, 43. Bulletin de l’Académie Impériale andere Substanz. Bei der Destillation mit Winssin- ger’s Dephlegmator zeigten sich schon bei 18° im Kühler leicht verdunstende Tropfen (die Vorlage wurde daher mit einem Gemische von Schnee und Koch- salz gekühit), worauf dann das Thermometer ziem- lich rasch auf 53° stieg. Das Destillat nahm begierig Brom auf, besass den charakteristischen Geruch der ungesättigten Kohlenwasserstoffe und enthielt ausser- dem noch eine Jodverbindung, da beï der Oxydation mittelst Salpetersäure eine nicht unbedeutende Menge von Jod ausgeschieden wurde. Die bei der Einwirkung von Natriumisobutylat auf Methylenjodid angestellten Versuche!!) lassen keinen Zweifel übrig, dass während der Reaktion Isobutylen entsteht ©); die fragliche Flüssigkeit war daher, aller Wahrscheinlichkeit nach, ein Gemisch von Isobutylen mit dem unten zu be- schreibenden Methylisobutylaether und einer geringen Menge eines Jodürs, seiner Flüchtigkeit nach wahr- scheinlich des Jodmethyls. Von 53° an stieg die Tem- peratur sehr langsam und bis zu 63° ging eine sehr bedeutende Menge der Flüssigkeit über, während darauf bis zu 105° nur sehr wenig überdestillirte. Nach mehrmaligem Fraktioniren schied sich aus dem Antheil 53°—63° eine Substanz aus, die nach dem Reinigen mittelst Destillation über wetallischem Na- trium bei 59° (unter 741 mm.) siedete und eine leicht bewegliche Flüssigkeit von scharf ausgeprägtem Aethergeruch darstellte. Bei der Zersetzung durch concentrirte Jodwasserstoffsäure im zugeschmolzenen Rohre, auf dem Wasserbade, wurden aus 5 gr. der Substanz 17 gr. eines Gemisches von Jodüren erhalten, die sich durch wiederholte Destillationen in zwei Fraktionen theilen liessen: in eine bei 45°— 47° und eine andere bei 118°—120° siedende. Erstere erwies sich sowohl ihrem Siedepunkte, als auch ihren anderen Eigenschaften nach als Jodmethyl und die zweite als Jodisobutyl. Durch diese Daten ist die fragliche Verbindung als Methylisobutylaether vollkom- 11) Gorboff, À., u. Kessler, A. Mélanges phys. chim., t. XIL p. 321. 12) Das Isobutylen verdankt môglicherweise seine Entstehung der intermediären Bildung von Isobutyljodid. Dieses Letztere künnte als Produkt einer, zwischen dem Isobutylalkoho!l und den vorhande- nen Jodüren stattfindenden Wechselwirkung auftreten, gleichwie beim Erhitzen von CH,J mit Alkohol sich nach Busse und Kraut (neben Methylaether) Jodaethyl bildet. Busse und Kraut, Liebig’s Ann. 177, 272 (vergl. W olkoff 3%K, 18, 320). men charakterisirt, womit auch die Resultate zweier Dampfdichte-Bestimmungen gut übereinstimmen; von letzteren war die eine bei Zimmertemperatur und die andere im Wasserdampfe nach der Methode von Hof- mann ausgeführt worden. Die hierher gehôrigen Daten sind : 1) Gewicht der Substanz 0,0605 gr., Barometer- stand 768,9 mm. bei 17,2°, Hühe der Quecksilber- säule im Apparate 648,5 mm. bei 22° und Volumen des Dampfes 127,14 Ce. 2) Gewicht dasselbe, Barometerstand 768,9 mm. bei 16,8°, Hühe der Quecksilbersäule 70 mm. bei 30° + 560 mm. bei 99,8° und Volumen des Dampfes 130,94 Ce. Hieraus berechnet sich die Dampfdichte: Theorie für I Il Im Verhältniss zu Wasserstoff 43,5 42,6 44 » » M HD 3,01::2,95:30% Der über 105° siedende Rückstand der soeben be- schriebenen Destillation, der fast ausschliesslich aus Isobutylalkohol bestand, wurde mit der Hauptmasse des Alkohols, der nach der Reaktion (zur Entfernung des Jodnatriums und der Natriumsalze der entstan- denen Säuren) mit Wasser gewaschen worden war, ver- einigt und darauf unter Benutzung des Winssinger’- schen Dephlegmators destillirt. Bei 120° wurde jedoch die Destillation schon abgebrochen (das zwischen 108° und 120° Übergegangene wurde noch einmal fraktio- nirt), und der Rückstand unter vermindertem Drucke destillirt, da vorläufige Versuche gezeigt hatten, dass die hochsiedenden Reaktionsprodukte sich bei hôherer Temperatur leicht zersetzen. Hierbei wurden folgende Fraktionen aufgesammelt: I) bis zu 110°, II) 110°— 135° (die Hauptmenge) und IIT) 135°—175° (bei etwa 30 mm, Druck). In dem Destillationsapparate blieb ziemlich viel Harz zurück, das beim Abkübhlen erstarrte und irgend welche Natriumsalze enthielt, — genauer haben wir dasselbe nicht untersucht. Aus der ersten bis zu 110° siedenden Fraktion, die noch viel Isobutylalkohol enthielt, wurde durch Fraktionirung, die anfangs unter vermindertem und später bei normalem Druck ausgeführt wurde, ein zwischen 160° und 164° siedender Theil ausgeschie- den. Da derselbe eine jodhaltige Verbindung (CH, oder vielleicht das Produkt CHJ (OC,H,)?) enthielt, s0 233 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 231 wurde er in einem mit Rückflusskühler versehenen Kolben etwa 20 Stunden hindureh mit molekularem Silber gekocht und darauf wieder destillirt. Nach die- ser Behandlung blieben nur Spuren von Jod zurück, doch hatten sich die Grenzen der iSiedetemperatur etwas erweitert, was auf eine Zersetzung, infolge des andauernden Erwärmens, hinweist. Nach einigen De- stillationen gelang es uns aber eine konstant zwischen 162°—164° siedende Substanz auszuscheiden. Die- selbe erwies sich, allen ihren Eigenschaften nach, als identisch mit dem DiisobutyImethylenaether CH, (OC,H,),, den wir schon früher beim Einwirken von Methylenjodid auf Natriumisobutylat erhalten ha- ben (1. c.). Die Analyse ergab folgende Resultate: 0,2504 g. der Substanz gaben 0,6183 gr. CO, (die Wasserbestimmung verunglückte): Gefunden in Procenten C — 67,34 — 67,50 bre == 12 60: Die Fraktion 110°—135° wurde mehrere Mal unter einem Drucke von 36 mm. destillirt, wobeï zur Dephlegmation ein ziemlich langes Würtz’sches Robr benutzt wurde. Es schied sich eine konstant bei 122°— 125°siedende Verbindung aus. Die angegebenen Grenzen konnten selbst bei wiederholter Destillation nicht ver- engt werden, sondern es war im Gegentheil eine Zersetzung zu bemerken, da beständig ein geringer, hochsiedender Rückstand zurückblieb. Auch hier er- wies sich eine unbedeutende Beimengung von jod- haltigen Verbindungen, zu deren Entfernung die Sub- stanz einige Stunden hindurch (unter vermindertem Drucke) mit molekularem Silber gekocht und dann über letzterem mehrere Mal überdestillirt wurde. Trotzdem konnte das Jod nicht vollständig entfernt werden, da eine Probe der Substanz beim Erwärmen mit Salpeter- säure und Silbernitrat im zugeschmolzenen Rohre immer noch Spuren von Jodsilber zeigte. Die auf diese Weise gereinigte Substanz ist eine vollkommen farb- lose, stark lichtbrechende, ziemlich leicht bewegliche Flüssigkeit von stark bitterem Geschmacke und von schwachem eigenthümlichen Geruche, der beim Er- wärmen scharf wird. In Wasser ist dieselbe unlôslich, vermischt sich aber mit Alkohol und Aether; in einer Kältemischung von Schnee und Salz verdickt sie sich Berechnet für C,H2002 ohne dabei zu erstarren. Das specifische Gewicht bei | 0° war 0,9041. Die Analyse (bei welchen zur Zurück- baltung der Jodspuren hinter das Kupferoxyd eine Silberspirale gelegt wurde), ergab Zahlen, die sich am meisten der Formel C,,H,,0, näherten. 1) 0,2492 gr. der Substanz gaben 0,6058 gr. CO, und 0,2647 gr. H,0. 2) 0,2628 gr. der Substanz gaben 0,6397 gr. CO, und 0,2814 gr. H,0. Gefunden in Procenten. nl C— 66,30 66,33 66,05 H= 11,60 11,89 1192. Eine Dampfdichte-Bestimmung im Dampfe des Is0- amylalkohols (bei 132°), nach der von Brühl'*) abge- änderten Methode von Hofmann, ergab die Zah]l 6,75 im Verhältniss zu Luft. Die angewandte Menge be- trug 0,0168 gr., die Quecksilberhühe im Apparate vor der Einführung der Substanz 744 mm., nach der Eïinführung 726,5 mm., das Volumen des Dampfes 127,05 Ce. Die oben angeführte Formel verlangt für D = 7,55; die Übereinstimmung ist also nicht vollkommen ge- nügend, was dadurch bedingt sein mag, dass die Sub- stanz nicht ganz rein war (worauf auch die obigen Ana- lysen hinweïisen) und dass schon bei dieser Temperatur wahrscheinlich eine Zersetzung eingetreten war (s. unten). Beim Einwirken von concentrirter Jodwasserstoff- säure gab die Verbindung C,.H,,0, Isobutyljodid und gleichzeitig harzige Produkte. Dieses wies auf einen Gehalt von Isobutoxylgruppen und auch darauf hin, dass der andere Bestandtheil der Verbindung sich leicht verändert, indem er unter dem Einfluss der Säure ver- harzt. Hierbei tauchte die Vermuthung auf, dass wir es vielleicht mit dem Derivate irgend eines Alde- hydes zu thun hätten. Es war daher nothwendig ein solches Reagenz zu finden, das unter Abspaltung der Berechnet für C,,H603. | Butoxylgruppe das zurückbleibende Produkt nicht an- greife. Als solches erwies sich der Eiïsessig, der schon mit Erfolg zur Zersetzung des Acetals von Würtz !) und Beilstein ”) angewandt worden ist, Die Behand- lung der Substanz mit Eisessig führten wir in zuge- schmolzenen Rühren aus, indem wir ungefäbr gleiche 13) Brühl, Berl. Ber. IX. 1369. 14) Würtz, Ann, Chem. Pharm. 100. 116. 15) Beilstein, Ann, Chem, Pharm. 142. 239. 235 Bulletin de l'Académie Impériale 236 Gewichtstheile von C,,H,,0, und C,H,0, nahmen. Die Rôhren wurden bei 110°—120° etwa 20 Stunden lang erwärmt, worauf dann der vollständig durchsichtige, schwach gelb gefärbte Inhalt in Wasser gegossen wurde. Die dabei aufschwimmende Schichte wurde abgetrennt, mehrmals mit Wasser gewaschen und mittelst geglühter Potasche getrocknet; bei der Destillation ging sie bei 116°—118° über und erwies sich als Isobutylessig- ester. (Der geringe hochsiedende Rückstand bestand, allem Anscheine nach, hauptsächlich aus noch unzer- setzter Substanz, da er bei weiterem Erwärmen mit Eisessig neue Mengen des Essigesters gab, und wahr- scheinlich auch aus Condensationsprodukten des Oxyal- dehyds). Die wässrigen Lôüsungen wurden alle zusammenge- gossen, mit Soda neutralisirt und mehrmals mit Aether extrahirt. Nach dem Verdunsten des Aethers auf dem Wasserbade blieb eine dicke Flüssigkeit zurück. Die- selbe enthielt etwas Natriumacetat in Lüsung, dessen vollständige Entfernung durch Auflôsen der Flüssig- keit in einer verhältnissmässig grossen Menge von voll- ständig trocknem Aether erreicht wurde. Aus der von dem krystallinischen Niederschlage abfiltrirten aethe- rischen Lôüsung wurde der Aether auf dem Wasserbade abdestillirt und die zurückbleibende Flüssigkeit der Destillation unter vermindertem Drucke (bei 32 mm.) unterworfen. Letztere ging nun in weiten Grenzen über, indem die Destillation schon unter 50° begann; der bis 60° aufgefangene Antheil besass noch den Geruch des Isobutylessigesters und enthielt auch Wasser; darauf stieg das Thermometer gleichmässig und fast alles ging bis zu 110° über. Das Destillat war eine farblose leicht bewegliche Flüssigkeit von angenehmem Geruche, welche beim Stehen dick wurde und nach einigen Tagen die Consistenz eines sehr dicken Sirops annahm; sie lôste sich gut in Wasser und reducirte energisch Siülberoxyd in ammoniakalischer Lüsung, unter Bildung eines schünen Spiegels. Die Analyse der Fraktion 80°—100° ergab Resultate die mit der Formel (C;H,0), gut übereinstimmen. 0,2963 gr. Substanz gaben 0,5906 gr. CO, und 0,2422 gr. H,0. Gefunden in Procenten. Die Formel (C,H,0), verlangt: C— 54,36 54,54 H— 9,08 9,09. Durch die, mittelst Silberoxyd ausgeführte, Oxydation wurde sodann festgestellt, dass die Substanz vollkom- men homogen war und dass das Molekül der Formel C,H,0, entspreche. Zu diesem Zwecke wurde die wäss- rige Lôsung bei gewôhnlicher Temperatur mit einem Überschuss von frisch gefälltem Silberoxyd 6—7 Tage hindurch stehen gelassen. Nach Ablauf dieser Zeit wurde die Lüsung von dem Niederschlage abfiltrirt und letz- terer mit Wasser gewaschen. Aus der wässrigen Lô- sung schied sich beim Verdunsten unter dem Exsikka- tor das Silbersalz in Form flacher Prismen aus. Die Analyse ergab folgende Zahlen: 0,1428 gr. des über Schwefelsäure getrockneten Salzes gaben 0,0731 gr. metallischen Silbers. Gefunden in Procenten. Berechnet für C,H,0,Ag. Ag — 51,19 Hi GRIS Zur Gewinoung der freien Säure wurde das Silber- salz in Wasser gelüst, durch Schwefelwasserstoff zer- setzt, der Überschuss des letzteren durch Erwärmen entfernt, die vom Schwefelsilber abfiltrirte wässrige Lôüsung mehrere Mal mit Aether ausgezogen und letz- terer verjagt. Es blieb eine krystallinische Säure zu- rück, die nach dem Trocknen und Sublimiren feine Nadeln darstellte und bei 78°—79° schmolz. Es konnte daher keinem Zweifel mehr unterliegen, dass wir es mit vollständig reiner «-Oxyisobuttersäure zu thun hatten, für welche Markownikoff'*) die eben ange- führte Schmelztemperatur angiebt, und dass folglich das Ausgangsmaterial der &-Oxyisobutyraldehyd ee C(OH)COH = C,H,0, gewesen sei. | Zur genaueren Erforschung des erhaltenen Oxyalde- hyds stellten wir eine grüssere Menge desselben dar. Als Material diente uns die Verbindung C,,H,,0,, die wir später auf eine etwas veränderte Weise, nämlich durch Einwirken von Jod auf das Isobutylat, erhielten. Wir fanden es bequemer die Zersetzung durch Kochen eines Gemisches gleicher Theile von C,,H,,0, und » | Eisessig in einem Kolben mit Rückflusskühler 20 bis 25 Stunden lang zu bewerkstelligen und zur Neutrali- sation, der nicht in Reaktion getretenen Essigsäure, eine zehnprocentige Natronlauge anzuwenden. Im Übrigen wurde die Behandlung wie früher ausgeführt. Bei der Destillation (unter 32 mm. Druck) destillirte 16) Markownikoff, Zeitschr. f. Ch. 1866, 502." 237 des Sciences de Saint - Pétersbourg. der Oxyaldehyd wieder in denselben Grenzen: das Sieden begann schon bei 40° und zwischen 75° und 110° ging alles über. Der Antheil 75°—110° wurde noch einmal destillirt, die Siedetemperatur sank hier- bei bedeutend: die ersten Tropfen gingen bei 47° über, worauf das Thermometer schnell bis zu 50° stieg und bis zu 55° war bereits der grüsste Theil überge- gangen. Die im Destillationsapparate zurückbleibende Flüssigkeit fing nun erst bei etwa 140° wieder zu sie- den an und ging fast vollständig bis 144° über, wobei das Destillat beim Abkühlen zu krystallisiren anfing. Die Fraktion 50°—55° (diese Siedetemperatur ent- spricht augenscheinlich derjenigen des monomeren Oxyaldehyds unter dem gegebenen Drucke) wurde analysirt. 0,2734 gr. Substanz gaben 0,5490 gr. CO, und 0,2268 gr. HO, was in Procenten: C — 54,76 und H = 9,22 ausmacht. Beim Stehen verdickte sich dieselbe und nach dem Zufügen von Kryställchen fing sie an zu krystallisiren und erstarrte nach einigen Tagen fast vollständig zu einer krystallinischen Masse. Auf gleiche Weise wurde auch das Oxyaldehyd aus der Substanz C,H,,0, , die bei der Reaktion auf Jodoform erhalten worden war, zum Krystallisiren gebracht. Die zwischen Fliesspapier sorgfältig abgepressten Krystalle gaben bei der Ana- lyse Resultate, die mit der Formel C,H,0, gut über- einstimmen. 0,2066 gr. Substanz gaben 0,4120 gr. CO, und 0,1692 gr. H,0. Gefunden in Procenten. VU == DE 09. = 04,54 Hs 9,10 + 9,09, Aus diesen Daten ist deutlich zu ersehen, dass das krystallinische Produkt ein Polymer des flüssigen Aldehyds ist. Die Krystalle besitzen keine scharfe Schmelztemperatur, sondern fangen schon bei 63° an weich zu werden und werden erst bei 67° vollkommen flüssig, zum Erstarren ist aber eine geraume Zeit er- forderlich. Sie sind geruchlos und in Wasser und Aether leicht lôslich. Die aus der aetherischen Lü- sung zurückbleibende, dicke Flüssigkeit verwandelt sich langsam in glänzende harte Krystalle, die bald wie verkürzte Prismen, bald wie ziemlich dicke, aus- gezogene sechsseitige Tafeln aussehen (Letzteres ist der Fall, wenn die Krystallisation in flachen Gefässen vor sich geht). Herr Glinka hatte die Güte, die prisma- Tome XXXII Berechnet für C,H,0.. tischen Krystalle zu messen und theilt uns darüber Folgendes mit: «Krystallsystem: rhombisch. a:b:c= 0,98415 :1:0,81792. Beobachtete Formen p = (110), s—(111). Grenzwerthe. 90° 50 —59" 138° 48 —53 sms ». (110):(110) = 90° 55’ (110):(111)= 138° 50’ (111):(111)—= 97° 40’ Beim Destilliren unter Atmosphärendruck geht das krystallinische Polymer zwischen 130°—136° über, indem es sich vollständig in das Monomer verwandelt: das Destillat ist eine leicht bewegliche Flüssigkeit von charakteristischem Geruche, die beim Stehen sich all- mählich verdickt und schliesslich krystallisirt. Unter 36 mm. Druck siedet es aber bei 142°—145° (nur ein ganz unbedeutender Theïl geht unter 142° ab); das Destillat ist sehr dickfiüssig und krystallisirt allmäh- lich wieder. Unter vermindertem Drucke kann also dieses Polymer in Dampf übergehen, fast ohne sich dabei zu zersetzen. Hierdurch erklären sich, unserer Ansicht nach, die weiten Grenzen der Siedetemperatur des nicht vollkommen reinen Oxyaldehyds. Wir müssen noch hinzufügen, dass der a-Oxyiso- butyraldehyd unter, von uns noch nicht näher festge- stellten, Bedingungen, die Fähigkeit besitzt, sich mit Wasser unter Bildung eines Hydrates zu verbinden, das in prismatischen Krystallen erscheint, die in Aether fast unlôslich sind, zwischen 68°—76° schmelzen und darauf nicht mebr erstarren !”). Die Eigenschaften des a«-Oxyisobutyraldehyds nähern sich, wie zu ersehen, sehr denjenigen des Aldols von 17) Dieses Hydrat bildete sich beim Abkühlen in Schnee und Salz einer der niederen Fraktionen der Destillation des rohen Oxyal- dehyds unter vermindertem Drucke, Nach dem Auswaschen mit 16 239 Bulletin de l’Académie Impériale 240 Würtz, mit dem er isomer ist und das bis jetzt der einzige Vertreter dieser Classe von Verbindungen war. Das frisch überdestillirte Aldol ist, wie bekannt, eine farblose, bewegliche Flüssigkeit, welche beim Stehen dick wird und nach längerer oder kürzerer Zeit ein krystallinisches Polymer liefert. Dieses letztere schmilzt zwischen 80° und 90° und siedet unter vermindertem Drucke in weiten Temperaturgrenzen *), indem es hier- bei jedoch in das Monomer übergeht. Kehren wir jetzt wieder zum Produkte C,;,H,,0, zurück. Beim Einwirken von Essigsäure auf dasselbe erhält man, wie schon erwäbnt, einerseits den Isobutylessig- ester, andrerseits den Oxyaldehyd C,H,0,. Quantitative Versuche haben hierbei gezeigt, ie die zur Zersetzung erf li ge der Entstehung von zwei Molekülen des Essigesters entspricht. Die Verbindung C,,H,,0, ist folglich ein Aetherderivat dieses Aldehyds und lässt nur zwei Strukturformeln C;,.H,.0, zu: CH; OCH I Gx, > C(OH.CH é GR, und II De » COCH)CH € S. de Erstere entspricht dem Acetalderivat des &-Oxy- isobutyraldehyds, die zweite — dem Isobutylalkoholat desselben Aldehyds, dessen Hydroxylwasserstoff durch die Gruppe (OC,H,) ersetzt ist. Sogenannte Alkoholate d.h.Additionsprodukte der Alkohole zu den Aldehyden, sind für das Chloral, den Monochloraldehyd und andere Haloïdsubstitutionsprodukte der Aldehyde bekannt. Als charakteristische Eigenschaft dieser Verbindungen erscheint ihre Fähigkeit beim Erwärmen, oft schon bei derSiedetemperatur, in die Komponenten zu zerfallen!). Die Acetale, wenigstens die bis jetzt bekannten, sind dagegen sehr beständige Kôrper, die ohne Zersetzung und dabei bei verhältnissmässig hoher Temperatur sieden”). Zur Entscheidung der Frage, welcher von den angeführten Formeln die Struktur unserer Sub- Aether und dem Trocknen wurde die Substanz analysirt. 0,0897 gr. derselben gaben 0,1495 gr. CO, und 0,0742 gr. H,0. Gefunden in Procenten. Berechnet ps 1H,0,+H,0. cye 18) Würtz, C. R. 74. 1301; 76. 1165; 83, 205 und 1 19) Schäffer, Berl. Ber. I, 1871, De Lieben, Berl. Ber. III, 907; Pinner, Ann. Chem. Pharm. 179. 3 20) vgl. Würtz, Ann. chim. phys. ji (31. 1856, 371 und 376. stanz entspricht, haben wir ihr Verhalten beim Erhitzen uñtersucht, zu welchem Zwecke wir dieselbe der De-: stillation unter gewôhnlichem Drucke unterwarfen ?), Das Sieden begann schon bei 145°, zwischen 210°— 225° ging der grôsste Theil (der, wie es scheïnt, noch unveränderten Substanz) über, aber selbst bei 265° blieb immer noch ein geringer Theïl zurück. Bei wie- derholter Destillation wurde die Anfangssiedetempera- tur der untersten Fraktion immer niedriger, während die Fraktion selbst immer zunahm. Zuletzt erhielten wir einen ziemlich bedeutenden, konstant bei 106° — 108° siedenden, Antheil, der sich als Isobutylalkohol herausstellte. Analysen ergaben sodann, dass die hôhe- ren Fraktionen in der That ein Abspaltungsprodukt eines Moleküls Alkohol von einem Molekül der Ver- bindung C,,H,,0, seien. CH w #0 CH, > COC,H,) CE Oo CH = CH, » C(OC,H,)COH + C,H,,0. I. 0,2602 gr. bei 240°—265° überdestillirter Sub- stanz gaben 0,2594 gr. H,0 und 0,6325 gr. CO, IL. 0,2604 gr. des über 265° siedenden, nicht de- stillirten Rückstandes, gaben 0,2595 gr. H,0 und 0,6312 gr. CO.. Gefunden in Procenten. I Il C—66,28 66,11 66,66 H—11,08 11,07 {111 Die erhaltene Verbindung C,H,,0, haben wir nicht näher untersucht und wollen hier nur bemerken, dass dieselbe eine farblose, dicke Flüssigkeit war, die sich in Wasser nicht lôüste und-einen schwachen Geruch zeigte. Die hohe Siedetemperatur und deren weite Grenzen lassen sich, wie uns scheint, durch die Fähig- keit der Substanz leicht zu polymerisiren erklären, analog der Eigenschaft des freien Oxyaldehydes selbst. Auf Grund des Gesagten ziehen wir den Schluss, dass der Verbindung C,,H,,0, die zweite der oben an- geführten Strukturformeln zukommt, nach welcher sie als ein Isobutylalkoholat des Isobutyl-a-Oxy- isobutyraldehyds betrachtet werden muss. Was die hôhere, zwischen 135°—175° siedende Fraktion der ursprünglichen Destillation der neutralen Berechnet für C;H,802. 21) Wir benutzten hierbei die beim Einwirken von Jod auf das Isobutylat erhaltene Verbindung C,,H:603. 241 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 24? Produkte (s. oben) anbetrifft, so war dieselbe, allem Anscheine nach, ein complicirtes Gemisch, denn trotz wiederholter Destillation gelang es uns nicht irgend einen constant siedenden Antheil auszuscheiden. Das Gemisch ging unter Zurücklassung eines geringen Rück- standes bis zu 200° bei 37 mm. Druck über. Es muss jedoch bemerkt werden, dass hier kohlenstoffreichere Substanzen zugegen waren, denn schon der Antheil 144°—154° ergab bei der Analyse 68,03 Procent Kohlenstoff und 11,46 Procent Wasserstoff. Bei der Einwirkung von Jodoform auf Natriumiso- butylat (in Isobutylalkohol-Lüsung) bilden sich also fol- gende Verbindungen: Ameisen-, Isobutter-, Dime- thylakryl- und Isobutyl-a-oxyisobutter-säuren, Octolacton C;H,,0,, Methylisobutyl-CH,OCH, und Diisobutylmethylen-Aether CH(OC,H,), und Pi Sn cbr Rd de Eu D CH 22 CH, »c(OC, H,). CHOC, he 0%): Diese Reaktionsprodukte zerfallen ohne Zweifel in zwei Kategorien: die einen verdanken ihre Entstehung unbedingt dem Jodoform, nämlich: die Ameisen- und Dimethylakrylsäure und der Methylisobutyl- und Diisobutylmethylen-Aether; bei der Bildung der anderen hat die Kohlenstoffgruppe des Jodoforms, augenscheinlich, keinen Antheil genommen, da die- selben eine dem Isobutylalkohol gleiche oder multiple Anzahl von Kohlenstoffatomen enthalten; es gehüren hierher die Isobutter- und Isobutyl-æ-oxyiso- buttersäure, das Octolacton und das Produkt CO. Den Isobutylortl , der als Resul- tat der Umsetzung zwischen Jodoform und Isobutylat, nach der Gleichung: CHI, + 3C,H,ONa = CH(OC,H,), + 3Nad, hätte entstehen müssen, ist es uns nicht gelungen unter den Reaktionsprodukten ausfindig zu machen. Dieser normale Process der doppelten Umsetzung geht hier, augenscheinlich, nicht vor sich”), sondern es findet 4h 22) Unter diesen Verbindungen waren, bei den angegebenen Be- | dingungen: Isobuttersäure, near rc à und die Substanz Ciehas LA ee - die vorherrsche nden L! 4 vn à ‘ : TMS &L 2. [4 41 LE. PRES URE SS mag; Rd à unter den gegebenen Reaktionsbedingungen vor allem eine Reduktion des Jodoforms statt, zuerst zu Methy- lenjodid (das sowohl von A. Butlerow, als auch von uns erhalten worden ist (s. oben)), auf dessen Kosten auch der Diisobutylmethylenaether entsteht, und darauf zu Methyljodid *), das mit einem Überschuss des Alkoholats den Methylisobutylaether giebt. Dass das Methylenjodid unter solchen Reaktionsbedingungen in der That diese Umwandlung erleiden kann, beweisen die schon früher von uns ausgeführten direkten Ver- suche. Beim Einwirken von CH.J, auf das Isobutylat erhielten wir, zugleich mit dem Diisobutylmethy- lenaether, dem normalen Reaktionsprodukte, auch den Methylisobutylaether und ausserdem Isobutter- säure und Octolacton (Dimethylakrylsäure und die Verbindung C;,H,,0, waren hierbei nicht entstanden*”). Es ist augenscheinlich, dass der zur vor sich gehen- den Reduktion von CHJ, zu CH,J, und von CH,J, zu CH,J erforderliche Wasserstoff auf die eine oder an- dere Weise dem Alkohol (Alkoholat) entnommen wer- den muss. Da aber bei der Reaktion Isobuttersäure, das Oxydationsprodukt des Alkohols, entsteht, so liegt die Voraussetzung sehr nahe, dass der Wasserstoffver- erklärt sich die Bildung der von uns bemerkten Ameisensäure am leichtesten durch die Zer setzung dieses Aethers unter dem Einflusse eines Überschusses des rares Expire Bassett (Ann. Chem. 13? unter Bildung des rase de Ameisensüure. Es ist zu be- merken, dass auch bei Einwirkung von Chloroform auf Alkoholate die Ausbeute von Orthoaethern sebr gering ist: nach Ladenburg und Wichelhaus übersteigt dieselbe z.B. beim Serre nicht 109/, der Meur agé Menge (Ann. Chem. 1869, 152, 165). 24) De em Anscheine 1 nach ue dieser Reaktiousverlauf bei den Poly- beim Einwirken einer starken Lüsung von Kaliumsulft auf Chloro- form bei 180° — Methylchlorid, CH,S0,K, CH,(S0,K), und wahr- scheinlich CHCI,S0,K und CH,CLSO,K (Strecker, Ann. Chem. 1868, 48, 9 25) In der nage Mittheilung (1. c., p. 326) hatten wir schon darauf hingewiesen, dass der hochsiedende Rückstand des Säuregemisches ähnliche rebhatien besessen hat, wie die, bei der Einwirkung von Isobutylat auf Jodoform, entstehenden hochsiedenden sauren Pro- dukte. Der direkte re deniers uns davon, dass hier eben das Octolacton vorhanden war. Was den hochsiedenden Antheil (125°—130° bei ungefähr on ss Druck) der neutralen Produkte an- betrifft, so hat er schon den Eiïgenschaften nach sich, mit der, bei der Reaktion des Isobutylats auf Jodoform auftretenden Verbin- dung C;,H,g03, als nicht identisch erwiesen. Die Analyse ergab C = 70,80, H = 11,91, während die Formel C,,H,603 — C = 66,05 H = 11,92 verlangt. wähnt, dass in der in Rede stehenden Abhand- ung auf p. 821, Zeile 3 von unten und 5 von oben statt Dimethakryl- äure — Dimethylakrylsäure und auf p. 322, Zeile 1 von unten statt Isobutyljodid — tertiäres Butyljodid zu lesen ist, Bulletin de l’Académie Impériale 244 lust ursprünglich zur Bildung des dem Alkohole ent- sprechenden Aldehyds führen muss. Für diese An- nabhme spricht auch folgende von Bolas und Groves*) beobachtete Thatsache: beim Erwärmen von Tetra- bromkohlenstoff mit Aethylalkohol in zugeschmolzenem Rohre erhielten dieselben Bromoform, Aldehyd und Bromwasserstoff, entsprechend der Gleichung: CBr, + C,H,0 — CHBr, + C,H,0 +- HBr. Die Gegenwart von Alkalien in unseren Versuchen konnte einem solchen, durch folgende Gleichungen aus- gedrückten, Reaktionsverlaufe nur günstig sein: CHI, + C,HONa — CIHLJ, + C,H,0 + NaJ. CH,J, + C,HONa = CH,J +- C,H,0 + Nad. Diese Vorstellung über den Gang der Reaktion ist, unserer Ansicht nach, die einzige, durch welche fast alle von uns erhaltenen Verbindungen genetisch ver- knüpft werden künnen. (Der Umstand, dass der Alde- hyd selbst unter den Reaktionsprodukten nicht gefun- den wurde, kann einer solchen Annahme nicht wider- sprechen, da die ausserordentliche Leichtigkeit, mit der die Aldehyde unter dem Einfluss von Alkalien sich schon bei gewühnlicher Temperatur verändern, be- kannt ist ?°) In der That ist die Entstehung des Diisobutylme- thylen- und Methylisobutyl-aethers schon aus den soeben angeführten Gleichungen erklärlich. Was die Bildung von Isobuttersäure aus dem Isobutyraldehyd anbetrifft, so ist dieselbe beim Einwirken von alkoholi- scher Kalilauge bereits von Perkin (1. c.) und Fossek beobachtet worden (Monatsh. 1883. 3, 622). Wie ein direkter Versuch uns zeïigte, findet sie auch beim Er- wärmen des Isobutyraldehyds mit Isobutylat (und der darauf folgenden Behandlung der Reaktionsprodukte mit Wasser) statt. Aller Wahrscheinlichkeit nach er- leidet der Aldehyd zuerst eine Polymerisation unter Bildung des Isobutylisobutyresters, analog dem, wie, nach den kürzlich verôffentlichten Beobachtungen von Claisen*), der Benzaldehyd sich unter Einwirkung 26) Bolas und Groves, Ann. Chem. 1870, 156, 65 u. 1871, 160, 175. 27) Speciell den Isobutyraldehyd betreffend s. Urech, Berl. Ber. 1879. XIL. 191, 1744; 1880. XIII, 590. Fossek, Monatsh. f. Chem. 1882. 2, 614 und 3, 622 und Perkin jun. Chem. Soc. Journ. 1888. 91. 28) Claisen, Berl. Ber. 1887. XX, 646. Es ist wobl nicht unnütz darauf hinzuweisen , dass eine ähnliche Polymerisation schon früher des Alkoholats zu dem Benzylbenzoësäureester poly- merisirt : C,H,COH + HOC.C,H, = C;H..CH,O.OC.CH, . Ohne Schwierigkeit ist auch die Bildung des Octo- lactons zu verstehen, das als ein Derivat eines Condensationsprodukts des Aldehyds*’) erscheint. Von diesem Standpunkte aus sind für dasselbe folgende zwei Strukturfülle môglich: entweder giebt der Alde- hyd bei der Condensation den y-Oxyaldehyd: CH CH x, ee CH, / CH.COH + CH, ? CHCOH — — (CH,),CHCH(OH)CH,CH.COH CH, der sich unter dem Einflusse des Alkalis oxydirend, y-Oxoktylsäure giebt, welche beim Ausscheiden aus den Salzen in ein Lacton von folgender Struktur über- geht: CH x CH, / PR CCE | ( oder die Condensation geht folgendermaassen vor sich *?) : beobachtet worden ist und zwar bloss unter dem Einflusse erhôhter Temperatur: Würtz erhielt nämlich beim Erwärmen von Aldol (in zugeschmolzenen Rühren bei 180° und hüher) den Ester der 8-Oxy- buttersäure und des B-Butylenglykols (C. R. 1883. 97, 1529): ‘ CH. CH(OH)CH..COH + HOC.CH,.CH(ON).CH, — — CH,.CH(OH).CH,.C0.0H,C.CH,.CH(OH)CH.,. 29) Es erscheint uns nicht sq dertarrae Len das vorliegende Octolacton “Gedoch nicht rein) sch . in Händen gehabt hat (Chem m. Soc. Journ, 45, 91): ‘derselbe erhielt nälich beim Ein- wirken er Isobutter- sâure, noch ein saures Produkt das bei Dao 258 pese sich in te und, seiner Zusammen- setzung nach, sich der Formel C,H,402 its 30) Zu Gunsten dieser Ansicht sprechen die Versuche von Lieben und Zeisel über die Condensation der Aldehyde, nach welchen die Ausscheidung von Wasser in solchen Fällen immer auf osten des Sauerstoffs des einen Aldehyd-Moleküls und des Was- serstoffs des mit dem Carbonyl verbundenen Kohlenstofïs des ande- ren Moleküls vor sich geht (Monatsh. f. Chem. 1883. 10 und 1886. 53). Zweifellos muss aber dem Ausscheidungs-Processe des Wassers eine Aldol-Condensation vorhergehen, wie das bei der Bildung des Krotonaldehyds aus (Mich einer solchen Annahme ist es nicht nothwendig, dass die beiden sich in Form von Wasser ausscheidenden Wasserstoffatome dem am Car- bonyl liegenden Kohlenstoffatom angehüren. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 246 245 CH,CH CH … CH.COH + / CB; / ÉH.COH CH,CH, CH = CH, 7 CH.CH(OH).C.COH. Der hierbei entstehende Oxyaldehyd bildet nun, indem er Wasser seule und sich oxydirt *), die Säure CH,0, = Gr » C:CH.C(CH,).COOH. Das Lacton muss demnach +. das Produkt der Isomerisa- tion der Säure angesehen werden; diese Isomerisation konnte, unter dem Einflusse von HJ bei der Destillation der entstandenen Salze und des Natriumjodids mit Wein- säure, vor sich gegangen sein; die Struktur des Lactons müsste in diesem Falle durch folgende Forme] ausge- drückt pes H, de Ë, te Hubs is Als Beispiel einer leicht vor sich gehenden Isomeri- sation einer ungesättigten Säure in das entsprechende Lacton kann die Umwandlung der Pyroterebinsäure in das Isocaprolacton unter dem Einflusse von Mineral- säuren und sogar bei Destillationen dienen *). Es ist interessant, dass die vorausgesetzte Säure C.H,,0,, ibrer Struktur nach vollständig der Pyroterebinsäure entspricht, wenn man, nämlich, annimmt, dass dieser letztern die Formel Fr C:CH.CH,.COOH zu- kommt *). Was die Verbindung C,,H,,0, anbetrifft, so ist de- ren Bildung durch die Annahme unschwer zu erklären, dass in der Gruppe (CH)” des Isobutyraldehyds eine DAS des Wasserstoffs durch Jod stattfindet und 31) Einen ungesättigten Aldehyd C HO erhielt bereits Fossek beim Erwärmen von Isobutyraldehyd mit einer gesättigten Lüsung von Natriumacetat (Monatsh. 2, 614), ebenso auch Perkin jun. (1. c.) beim Einwirken von alkoholischem Alkali auf den Isobutyraldehyd. Freilich schreibt Perkin der von ihm erhaltenen Verbindung eine andere Zusammensetzung (C,,H,,0,) zu, aber für die Identität der- . selben spricht sowohl die vollständige Übereinstimmung der Eigen- schaften, als pe die Dampfdichte-Bestimmung (Urech. Berl. Ber. ee XII, 5 32) Über pe “Bildung von Krotonsäure beim Einwirken von trock- nem Aethylalkoholat auf gewôhnlichen Aldehyd findet man eine An- gabe bei Laatseh (Ann. Chem. 218, 31). 83) Fittig u. Bredt, Ann. Chem. 1881. 208, 55. 34) For Ann. Chem. 208. 1 an betrifft, so dass der entstandene Jodaldehyd sich darauf mit dem Alkohol verbindet (da ja die haloïdsubstituirten Alde- hyde eine ausgeprägte Eigenschaft besitzen solche Ver- bindung zu bilden) und sein Jod beim Einwirken des Isobutylats mit der Gruppe (OC,H,) vertauscht: as / ŒH (CH,),CJCOH + C,H,0H = (CH) CJ.CE € GG, und (CH), CJ.CH € 0H + NaOCH, — SOC, 4H CEE / OH san ei: A N OCE, Etwas schwieriger erscheint die Frage über den Mechanismus der Bildung des Jodaldehyds. Es ist môglich, dass die Ersetzung des Wasserstoffs durch Jod direkt auf Kosten des Jodoforms vor sich geht, welches hierbei in Methylenjodid übergeht. (Zu Gunsten einer solchen Voraussetzung kann die Beobachtung von Hofmann”) angeführt werden, laut welcher Jodo- form schon beim Erwärmen auf 150° Methylenjodid bildet, wobei also ein Austausch des Jods durch Wasserstoff stattfindet). Ebenso müglich ist es aber, dass das Jodoform, bei der hohen Temperatur, bei welcher die Éouttus verläuft, sich zersetzt und Jod ausscheidet; letzteres kann nun, bekanntlich, in Gegen- wart von Alkalien, direkt den Wasserstoff organischer Verbindungen ersetzen. (Wir erinnern an die Bildung von Jodoform aus Alkohol, selbst in Gegenwart von kohlensauren Alkalien, und an die direkte Ersetzung des Wasserstoffs durch Jod im Anilin). Diese letztere Interpretation bewog uns zur Unter- suchung der Einwirkung von freiem Jod auf das Iso- butylat (in einer Lüsung in Isobutylalkohol) zu schrei- ten. Auf Grund der über die Einwirkung der Halogene auf Alkoholate *) vorhandenen Daten war die Môglich-. #5 C(OCH,).CH + JNa. 35) Hofmann, A. W. Ann. Chem, 115. 267. 36) So erhielt Maly bei der Einwirkung von Chlor auf eine alko- holische Aethylalkoholat-Lôsung, unter anderen Produkten, den Acetaldehyd (Sitzungsb. d. Wien. Akad. 1868. 58, 407). Was nun die Bildung des Jodoforms (Butlerow, Ann. Chim. Phys. [3] 53, 3 neben Ameisensäure bei. der Einwirkon ng kann dadurch, dass zuerst J odal-CJ,CHO entsteht, das nachher unter dem Einflusse des Alkoholats in CHJ, und CH,0, zerfällt, was ganz anà- log der Zersetzung des Se CHO unter diesen Bedingungen würe, da letzteres nach Kekulé (Ann. Chem. (1861), 119, 188) beim ses wirken von Alkoholat in CHCI, und Ameisensäure zerfällt. Derselbe organg findet auch bei der Énckonk von Brom statt, indem ch hier, bei einem Überschuss des letztern, nach Sell und Salzmann (Berl. Ber. VIT, 496) Ameisen- und Essigsäure und, ausserdem, noch 247 Bulletin de l’Académie Impériale 248 keit der Bildung von Isobutyraldehyd in diesem Falle sehr wahrscheinlich und somit waren auch alle Bedin- gungen zur Bildung der Verbindung C,,H,,0, ”) gege- ben. Der Versuch bestätigte vollkommen unsere Vor- aussetzung, da die Substanz C.,,H,,0, das Hauptprodukt der Reaktion von Jod auf Isobutylat bildet. Gleich- zeitig wurden auch Isobuttersäure und Octolacton (und wahrscheïnlich auch Isobutyloxyisobuttersäure) erhalten, d. h. gerade dieselben sauren Produkte, die auch beim Einwirken von CHJ, und CH.J, entstehen. Letzterer Umstand führt zu der Folgerung, dass in allen drei Fällen, d. h. beim Einwirken von CH,J,, CHJ, und J auf das Isobutylat, identische Processe vor sich gehen und bestätigt, gewissermaassen, die aus- gesprochene Ansicht über den Verlauf der Bildung der hierbei entstehenden Produkte. Indem wir über die Entstehung der Dimethylakryl- säure am Schlusse dieser Abhandlung einige Andeu- tungen machen wollen, gehen wir jetzt zur ausführ- lichen Beschreibung der Versuche über die Einwirkung von J auf Isobutylat über. 2, Die Einwirkung von Jod auf Natrium- isobutylat. Beim Einwirken von Jod auf Natriumisobutylat wurde auf folgende Weise verfahren: 23 gr. Natrium wurden unter Erwärmen in 230 gr. käuflichen Isobutyl- alkohols (von Kahlbaum), der sich in einem geräumi- gen, weithalsigen Kolben mit Rückflusskühler befand, aufgelüst. In dem Pfropfen des Kolbens befand sich, ausser dem Vorstoss, noch ein weiter Trichter, der zum Eintragen des Jods diente und seinerseits wieder durch einen Pfropfen geschlossen werden konnte. Nach Auf- Jüsen des Natriums, was gewühnlich mehrere Stunden in Anspruch nahm, wurde der Kolben durch Wasser abgekühlt und darauf allmählich, unter Schütteln, das Jod eingetragen. Es tritt hierbei eine stürmische ein schweres Bromprodukt entsteht, das bei 150° siedet und bei 0° erstarrt, und daher ohne Zweifel, CHBr, ist, welches bei 151° siedet und bei +-2° erstarrt. (Sell und Salzmann halten übrigens dieses Produkt, auf Grund einer Brombestimmung, für die Verbindung C,H,Br,. Tetrabromaethane sieden aber unter Zersetzung über 200° und erstarren nicht bei 0°; der Gehalt an Brom in CHBr, und C,H,Br, ist ziemlich gleich: das erstere enthält 94,8, Br, das die tere 92,50/). _ 37) Es ist zu bemerken, dass der Serie en zu den Sub- stanzen gehôürt, die beim Einwirken von Jod und li kein Jodo- form geben (Lieben, Ann. Chem. Supplb. 7, 218). Reaktion, gleich wie bei der Einwirkung von Jodoform, ein: das beim Abkühlen erstarrte Alkoholat wird bald flüssig und der Kolbeninhalt geräth beim jedesmaligen Eintragen von Jod in ein lebhaftes Sieden und wird milchig, infolge des sich ausscheidenden Natriumjodids. Nachdem 50—60 gr. Jod eingetragen sind, wird die Reaktion jedoch weniger lebhaft, die Färbung vom Jod erhält sich verhältnissmässig länger und zuletzt tritt ein Moment ein, wo dieselbe schon nicht mehr verschwin- det; die Menge des zugeschütteten Jods beträgt dann 115—-116gr. Zur Überführung des ganzen, zur Reak- tion angewandten, Natriums in das Jodid sind 127 gr. Jod erforderlich. Im Ganzen haben wir auf diese Weise etwa 810 gr. Jod verarbeitet. Die weitere Behandlung der Reak- tionsprodukte war genau dieselbe, wie bei der Ein- wirkung von Isobutylat auf Jodoform. Zu der noch heissen Flüssigkeit wurde Wasser zugegossen und nach sorgfältigem Schütteln wurden die entstandenen Schich- ten mittelst eines Scheidetrichters getrennt. Die durchsichtige, braungefärbte, alkoholische Schichte wurde 2—3mal mit dem gleichen Volumen {heissen Wassers gewaschen, von der wässrigen Schichte getrennt und ohne vorhergehenes Trocknen der De- stillation unterworfen. Letztere wurde bei 130° unter- brochen, während der über 130° siedende Rückstand, welcher bei der jedesmaligen Behandlung 28—29 gr. betrug, zur Befreiung von harzigen Substanzen mit Wasserdämpfen überdestillirt wurde; der bedeutend grüssere Theil ging hierbei verhältnissmässig leicht über, indem im Destillat ein fast farbloses OI auf- schwamm, ein kleinerer Theil destillirte dagegen mit den Wasserdämpfen viel schwieriger und das jetzt ge- sondert aufgefangene Destillat war ein ziemlich dickes, braun gefärbtes OL. Im Kolben blieb eine schwarze, harzige Masse zurück. Die erhaltenen Destillate wur- den vom Wasser getrennt und unter vermindertem Drucke (von 38 mm.) durchfraktionirt. Nach Vertrei- bung des Wassers und Isobutylalkohols auf dem Wasser- bade (die überdestillirende Flüssigkeit besass einen leichten Geruch nach Isobutylisobuttersäureester) ging das mit den Wasserdämpfen flüchtigere OI bei der ersten Destillation (von etwa 140 gr.) fast vollständig zwi- schen 118°—128° über; während von dem schwer- flüchtigeren Ôle bis zu 130° (unter demselben Drucke) nur ein unbedeutender Theil überging und darauf das 249 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 250 Thermometer ohne irgendwo stehen zu bleiben bis auf 160° stieg. Den verhältnissmässig geringen, zwischen 130°—160° übergegangenen, Antheil, der schwach gelb gefärbt war, haben wir nicht genauer untersucht. Nach zwei systematischen Destillationen wurde aus der ersten Fraktion eine zwischen 118°—120° (bei 30—31 mm.) siedende Substanz isolirt. Dieselbe wurde, zur Entfernung des in ihr enthaltenen Jods, mehrere Stunden hindurch (unter vermindertem Drucke) mit molekularem Silber gekocht und dann über letzterem auch destillirt. Es gelang jedoch auf diese Weise nicht das Jod vollständig zu entfernen. (Erwärmen mit Silber bei hôherer Temperatur oder Kochen mit alkoholischer Kalilüsung konnten, wegen Eintreten der Zersetzung, nicht angewandt werden). Eine Verbrennung ergab folgende Resultate : 0,2493 gr. Substanz gaben O0, 2633 gr. H,0 und 0,6027 gr. CO.. Gefunden in Procenten. Berechnet für C,,H603. C— 65,93 66,05 kHss.il.72 11,92 Die Eigenschaften der erhaltenen Verbindung C,,H03 stimmen mit denjenigen der, bei der Reaktion des Jodoforms auf Isobutylat entstandenen Substanzen vollkommen überein. Die etwas niedrigere Siedetem- peratur (118°—120° anstatt 122°—125°) erklärt sich dadurch, dass, um Zersetzung zu vermeiden, wir unter niedrigerem Drucke (30 mm. statt 36 mm.) destillirt haben. Die so erhaltene Substanz scheint in der That reiner gewesen zu sein (d. h. weniger das Zersetzungs- produkt C,H,,0, enthalten zu haben); dafür spricht, abgesehen von den Daten der Analyse, auch das gerin- gere specifische Gewicht, das — 0,8992 war (oben war 0,9041 gefunden worden). Die wässrige Schichte wurde bis zu beginnendem Auskrystallisiren des Natriumjodids eingedampft (um den Alkohol zu verjagen) und darauf mit einem Über- schuss von Phosphorsäure versetzt. Die dabei freige- wordenen Säuren wurden durch mehrmaliges Behan- deln mit Aether ausgezogen, letzterer auf dem Wasser- bade abdestillirt und der Rückstand fraktionirt. Das bis zu 175° Übergegangene fing bei einer neuen De- | stillation bei etwa 100° zu sieden an, indem bis zu ‘110° zurückgebliebener Aether, Wasser und etwas Iso- buttersäure übergingen; darauf stieg das Thermometer schnell bis zu 150° und zwischen 155° und 159° ging die Hauptmenge der Flüssigkeit (ungefähr 20 gr.) über. Über 159° siedete nur ein sehr unbedeutender Theil. Schon die Siedetemperatur und der charakteristische Geruch liessen nicht daran zweifeln, dass Isobutter- säure vorlag. Es wurde dennoch aus der Fraktion 155°—159° mittelst Silbercarbonat das Silbersalz dar- gestellt, das in den für die Isobuttersäure charakte- ristischen Täfelchen krystallisirte. 0,2719 gr. des im Exsikkator über Schwefelsäure getrockneten Salzes hinterliessen beim Glühen 0,1500 gr. metallischen Silbers, was in Procenten = 55,17 Ag ausmacht. Die Formel C,H,0,Ag verlangt Ag = 55,38°/. Der über 175° siedende Rückstand von der ersten Destillation, der braun gefärbt war, wurde in trocknem Aether gelüst, um die vorhandenen anorganischen Bei- mengungen (wahrscheinlich Natriumjodid) zu entfer- nen; zugleich mit den letzteren schied sich auch eine geringe Menge von Harz aus. Aus der abfiltrirten Lü- sung wurde der Aether auf dem Wasserbade verjagt und der Rückstand unter einem Drucke von 37— 38 mm. destillirt. Hierbei wurden folgende Fraktionen erhalten: 1) bis zu 105° mit dem scharfen Geruch der Isobuttersäure, 2) 105°—128° (0,5 gr.) (eine Probe mit Brom zeigte das vollständige Fehlen von ungesättigten Säuren in dieser Fraktion), 3) 128°—150° (3,5 gr.) und im Rückstande eine harzige Substanz. Da die Fraktion 128°—150° den Geruch des oben beschriebenen Lac- tons (s. oben) besass, so wurde sie bei gewühnlicher Temperatur mit einer gesättigten Sodalüsung behan- delt. Hierbei schwamm eine unlôsliche Schichte auf. Dieselbe wurde in Aether aufgenommen und letzterer auf dem Wasserbade abdestillirt. Der im Exsikkator über Schwefelsäure getrocknete Rückstand siedete bei der Destillation unter 37—38 mm. Druck zwischen 130°—135°, während die Hauptmenge zwischen 132° —134° überging. Die Analyse dieser letzteren, ge- sondert aufgefangenen Fraktion führte zu folgenden Resultaten: 0,2198 gr. der Substanz gaben 0,1918 gr. HO und 0,5420 gr. CO,. ( Gefunden in Procenten. Berechnet für C,H,,0,. C = 67,25 = 67,60 H=—= 9,69 9,86. Das durch Erwärmen des Lactons mit einer Baryt- lüsung erhaltene Baryumsalz ergab nach dem Trocknen bei 80° bei der Analyse folgende Zahlen: mn 252 251 Bulletin de l'Académie Impériale 0,2549 gr. des Salzes gaben 0,1294 gr. BaSO,. CE «, CH COH + CHJ, — CE cy CH(OH).CJ, In Procenten erhalten. CH; / : CH; Le Berechnet für (C,H,,0;),Ba. mr Ba 29,89 Die koncentrirte Lüsung des Baryumsalzes gab mit einer Chlorcalciumlôsung im Niederschlage das schwer lôsliche Calciumsalz. Es unterliegt also keinem Zwei- fel, dass sowohl beim Einwirken von Jod, als auch bei dem Einwirken von Jodoform auf Isobutylat ein und dasselbe Octolacton entsteht. Beim Ansäuren der alkalischen Lôüsung, mit welcher die Fraktion 128°—150° zur Erhaltung des Lactons behandelt worden war, schied sich eine ülformige Säure aus, die, allem Anscheine nach, die Isobutyl-x-oxyisobuttersäure war. Leider war die Menge der Säure zur genaueren Untersuchung zu gering. Die Eïinwirkung des Jods auf Natriumisobutylat, stellt, wie zu ersehen ist, eine sehr bequeme Methode zur Gewinnung der Verbindung C,,H,,0, vor und er- môglicht folglich auch den «-Oxyisobutyraldehyd ohne Schwierigkeiten in verhältnissmässig bedeutenden Quantitäten darzustellen. Wir nehmen uns vor das Verhalten des Jods (und des Broms) zu Alkoholaten anderer einatomiger Alkohole zu untersuchen, da es vorauszusehen ist, dass aus einigen vollkommen analoge Verbindungen entstehen werden. Es bleibt uns noch die Frage über die Entstehung der Dimethylakrylsäure bei der Einwirkung von CHJ, auf das Isobutylat zu erôrtern. Die Hoffnung unter den Reaktionsprodukten irgend eine mit dieser Säure in genetischem Zusammenhange stehende Verbindung aufzufinden, die den Schlüssel zur Aufklärung der Syn- these hätte geben künnen, hat sich, wie aus dem Vor-. hergehenden zu ersehen ist, nicht bestätigt. Eine Er- klärung der Bildung dieser Säure unter der Einwirkung der Verbindungen, die wir erhalten haben, erscheint ziemlich schwierig. Man künnte vielleicht, auf Grund der Arbeiten von Willgerodt*) über die Addition des Chloroforms zum Aceton annehmen, dass der Isobutyr- aldehyd (dessen Bildung, wie wir zu beweïisen gesucht, aller Wahrscheinlichkeit nach stattfindet), sich mit CHJ, verbinde und das Jodanhydrid der Ortho-x-0xy- isovaleriansäure gebe: 88) Wiligerodt, Berl. Ber. (1881), XIV, 2451; 1883, XVI, 1585. doch die Entstehung der Dimethylakrylsäure aus dieser Verbindung würde allen bis jetzt vorhandenen Beobachtungen widersprechen, nach denen die &-Oxy- säuren (mit Ausnahme der tertiären ….oxalsäuren), nicht die Eigenschaft besitzen, unter Wasserabspaltung in ungesättigte Säuren überzugehen”). Dieselben Schwie- rigkeiten stellen sich der Annahme entgegen, dass die Dimethylakrylsäure (richtiger die Oxyisovaleriansäure) sich auf Kosten einer Condensation des Isobutyralde- hyds mit der Ameisensäure bilde: C,H,0 + CILO, = C;H,,0;; C;H,,03; — H,0 = C;H,0,. Die Môglichkeit einer Condensation des Oxymethy- lens (dessen Aethers) mit der Isobuttersäure (entspre- chend der Gleichung CH,0 + C,H,0,= C;H,0,+ H,0) ist ausgeschlossen, weil gerade bei der Einwirkung von CH,J, auf das Isobutylat nicht cinmal Spuren einer ungesättigten Säure erhalten worden sind. Wir ent- schliessen uns daher die folgende, freilich sehr hypo- thetische Erklärung über die bei der Einwirkung der Alkoholate auf CHJ, vor sich gehende Synthese der ungesättigten Säuren zu geben; dieselbe entspricht wenigstens den bis jetzt vorhandenen Daten besser als die vorhergehenden Spekulationen. Man kann sich näm- lich vorstellen, dass der gegenseitige Austausch von Jodoform und den Alkoholaten, welcher, wie bereits oben angegeben, allem Anscheine nach, nicht bis zu Ende geht, bei der Bildung eines unbeständigen Sub- stitutionsproduktes von zwei Jodatomen stehen bleibt. Im Falle des Aethylats würde dasselbe folgende Zu- sammensetzung haben: CHJ, + 20,H,0Na = CHJ 0 CE: 0H") KOCHL.CH, + 2Nad. 39) Selbst wenn man die Môglichkeit des Wasserverlustes aus den «-Oxysäuren unter den gegebenen Bedingungen zugiebt, so würde die Bildung der «-Aethylmilchsäure (bei der Einwirkung vom Aethy- lat auf CHJ;) unerklärlich bleiben, da dieselbe dann als ein Ad- ditionsprodukt der Alkohol-Elemente zu der Akrylsäure zu be- trachten wäre und zwar gerade in der entgegengesetzten Ordnung, in welcher sich die Elemente des Wassers (unter der Einwirkung von Alkalien) mit letztgenannter Säure verbinden. Nach Erlen- meyer (Ann. Chem. 1878, 191, 282), entsteht in diesem Falle, be- kanntlich, nur Hydrakrylsäure. 40) Es ist môglich, dass die Reduktion des Jodoforms auf Kosten der Zersetzung folgender Verbindungen vor sich geht: CHJ, + NaC,H,0 — CHJ,.0C,H3 + Nad; CHJ,.0C,H, = CH9, + C,H,0. 253 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 254 Giebt man nun zu, dass einer solchen Verbindung die Eigenschaft innewohnt, unter dem Einfluss von Alkoholat, die Elemente des Jodwasserstoffs zu ver- lieren, so müssen daraus die folgenden, eigenartigen Oxyde entstehen: CH,-CH, CH,-CH | " 0 — HJ — (0) L / CHJ-OCH, CH—OC,H; und CH, — CH, ré [e) né CH — OC.H,; welche durch Addition der Elemente des Alkohols Oxyaldehydderivate geben künnen: CH,-CH CH,-CH(OCH.- CH;) W O “+HO-CH-CH=— | ,on "4 CHK OCH, CH OC.H, und CH. CH, CH,.-CH,-(0CH,: CH;) 4 | 9 + HO-CH,-CH, — É 0H SOCH, CH — OC.H,; Wie die Bildung der Isobutylisobuttersäure auf Kosten von C,,H,,0, zeigt (s.oben), künnen solche Ver- bindungen unter den Versuchsbedingungen Säuren ge- ben, die, im gegebenen Falle, die Aethylmilchsäure CH;.CH(OCH,.CH;) und die Aethylhydrakrylsäure COOH CH,.CH,(OCH,.CH,) sein würden. doi. Die erstere ist in der That, wie bekannt, von Butle- row erhalten worden, was die zweite anbetrifft, so muss dieselbe, wie aus der Analogie mit der Hydrakrylsäure geschlossen werden kann, leicht die Elemente des Al- kohols verlieren kônnen und dabei Akrylsäure liefern: CH,.CH,(OC,H;) CH:CH, ——— mn er he COOH 00H Tome XXXII. welche gerade das zweite saure Reaktionsprodukt bei der Einwirkung des Alkoholats auf Jodoform bildet. Unter Anwendung auf das Isobutylat führt das ge- gebene Schema zu folgenden Gleichungen: CE op. CH, CH,-CH(CH,)-CH, *) CH,/ L | / # | 4 0 — HJ= | ( L De CHJ — OCH, 4 La CH—OC,H, CH,: CH(CH;)CH, CH,-CH(CH;)CH,(OC,H,) # | F4 | — cp 0H “ O + HOC,H, — CEK GG, H, m CES. E, Die letzterer Verbindung Atiechedes Säure kann, unter Verlust der Alkohol-Elemente, eine ungesättigte F CE,X Säure von der Struktur CH,Z > C—CH.,.COOH geben, die, indem sie eine Isomerisation erleidet, in die Säure übergehen muss, welche die der Dimethylakrylsäure allgemein zugeschriebene Struktur Css : à CH, ? C — CH.COOH besitzt ). 41) Wir beschränken uns auf diesen Fa weil a übrigen theo- retisch müglichen Fälle der reg uug von HJ zur Bildung von Isobutyloxyvaleriansäuren füh müssten, ru wir unter den Reaktionsprodukten nicht Stpetinilen haben 42) Es ist übrigens Grund zur Annahme ie dass der Di- methylakrylsäure in der That die erste Formel entsprechen künnte. Aus den Arbeiten von Érédde r ([naug.-Dissert. nice hen, 1877) und A.Hermann (Inaug.-Dissert. Zürich, 1883, Zürcher u. Furrer) folgt : folge des Zerfalls der Diaethoxalsäure beim Erhitzen entsteht: CH;.CEN, à : _# 0 = CB CH \ CH, SCHL > C(OH)COOH — H,0 = CH, CE, / C.CO0H; dieses neue Isomer geht beim Einwirken hoher ARE oder .starker Mineralsäuren in die sogen. Aethylkrotonsäure über. Hierauf À à er früheren Acthylkrotonsäure die CH. CH, / CH.COOH zu. Sind diese AL te woran übrigens kaum vezweifelt werden kann, so müssen tsprechend auch die Formeln anderer, zur Akrylsäurereihe res des Säuren umgeändert werden; s0 %. B. mûsste der Angelikasäure die jetzige Formel der Tiglinsäure gege- ben werden (was Hermann (I. c., pag. 62) auch bereits gethan hat, indem er Dane ankündigt, dass es ihm gelungen ist durch Abspalten 47 | fussend, schreibt Hermann einzig môgliche Strukturformel be Bulletin de l’Académie Impériale L 256 Zum Schluss.künnen wir nicht umhin auf den Para- lellismus hinzuweisen, der bei der soeben gegebenen Interpretation zwischen der Reaktion des Jodoforms auf Alkoholate und der bekannten Reaktion der Bil- dung aromatischer Oxyaldehyde beim Einwirken von Chloroform auf Phenolate “) zum Vorschein kommt: der Unterschied würde eben nur darin bestehen, dass die Oxyaldehyde (deren Derivate) der Fettreihe, als weniger stabile Verbindungen, unter den Reaktions- bedingungen eine weitere Veränderung erleiden und in die entsprechenden Säuren übergehen würden “). Inwieweit die gegebene Interpretation der Wirklich- keit entspricht, müssen weitere Versuche zeigen. Der grüsste Theil vorliegender Arbeit ist von uns noch zu Lebzeiten des verstorbenen Prof. Butlerow, in dessen Akademischem Laboratorium ausgeführt worden. Bericht über die auRgabe des Mi‘jâr i Jamâli, Von C. Salemann. (Lu le 17 novembre 1887.) Indem ich die ere habe der Historisch-philologischen Classe den ersten teil meiner aufgabe eines persischen reimlexicons ?) vor zu legen, laBe ich über entstehung und zwek diser arbeït einige bemerkungen folgen. Als herr prof. de Lagarde im jare 1884 seine «Persischen Studien» erscheinen lief ?), deren erster von Wasser, beim Erhitzen, aus der Aethmethoxalsäure die ec säure zu erhalten); der Tiglinsäure küme dann CH,:CH.CH(CH,)COOH zu; und es müsêten vielleicht auch die Formeln der flüssigen und festen Krotonsäure und der Dimethylakrylsäure verändert werden. Zur Entscheidung der Frage über die Struktur der letzteren sind bereits von einem von uns einige Versuche in Angriff genommen 43) Reimer u. Tiemann, Berl. Ber. 1876, IX, 824 u. 1268; Rei- mer, Berl, . IX, 428. 44) Ist die e Zusammenstellung richtig, so ist eine weitere Auf- , klärung einigef Se iten dieser Reaktion,vielleicht,von der Erforschung der Natur der beim Eïinwirken von "Chloroform auf die Phenolate entstehenden Nebenprodukte zu erwarten 1) Shams i Fachrii Ispahänensis tétons Persicum id est libri Mijàr :i Gamäli pars quarta quam ad fidem codicis Petropolitani _recognitam annotatione critica adhibitis ceterorum lexicographorum testimoniis instructam indicibus era auctam addito eius- dem ut videtur auctoris carmine Margbüb al Quiûb inscripto auspi- eïs Imperialis literarum universitatis Petropolitanae edidit Carolus Salemann ppogerst Fasc. prior: textum et indices continens. Casani 1887. 4°. 2) sm vel (Aus se XXXI B. d. Abbb, d. K. Ges. d Wiss.) | 4. pr. 6+ teil eine bibliographische übersicht der biBher in hand- schriften oder auch nur dem namen nach bekanten, von orientalen verfaBiten, würterbücher des Persischen enthält, glaubte ich kein überflüBiges werk zu tun, wenn ich den in den bibliotheken St.-Petersburgs vor- handenen handschriften diser art eine besprechung widmete *). Denn vile von inen waren in den schriften Dorn’s, des gewärsmannes von de Lagarde, noch nicht auf gefürt worden. Zu diser arbeïit musten die codices selbst nochmals einer genaueren durchsicht unterworfen werden, und dabei kam mir auch die nummer 477% des Asiatischen Museums in die hände, über welche nur zwei ungenügende notizen erschinen waren “) Die handschrift umfaBt 72 blatt kleinquart, und trägt von Dorn’s hand die aufschrift us (,s durch welche nur der inhalt an gegeben, titel und verfaBer aber unbestimt gelaBen werden. Sie ist eine im jare der flucht 1275 (1858) auf Chanykov’s ge- heiB her gestelte copie eines codex der bibliothek der heil. stäâtte des Imâm ‘Al Rizà zu Meëhed, und zeigt die bekanten unliebsamen eigenschaften moder- ner persischer abschreiber, nachläBigkeit und unver- stand. Alles diB in betracht gezogen, schin sie anfangs keiner besondern beachtung wert, um so mer als der ungenante autor ein gestandener mafen alle belegverse selbst verfaBt hatte. Aber ein glücklicher zufal lief mich auf ein par verse stoBen 5), die mir als dem Sams i Fachri zugehôürig bekant waren, dessen verse in so manchen lexicis als beläge für die lesung und bedeutung der würter an gefürt zu werden pflegen, wärend ich seinen namen in den mir zugänglichen tadkirahs bifher immer vergeblich gesucht hatte. Eine flüchtige vergleichung solcher im il) «# und LS. les Lo vor kommenden verse, die sich alle in der handschrift auf finden lieBen, erwis unumstüf- lich, daB dise das bifher für verloren geachtete werk ne Lao enthält, von welchem Hägéi Chalfa®) spricht; 3) Literaturblatt für orient. Philologie.. IH, 74 ff. 4) Mélanges asiatiques. IT, 495. 501. 18). 5) Wenn ich nicht irre, waren es die verse IV, 21 und 40. 6) V, 640 nr. 12440: ALP el x) 4 Lis gs) ol pull JL LU all ed) 6 5 : | SV du Er ol #2. Wie wir unten sehn werden, bedarf dise notiz einiger verbefiernngen. 257 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 259 es ist das drittälteste der auf uns gekommenen persi- schen lexica. Der wert unseres anfangs verachteten büchleins stig damit zu einer hôhe, welche die bear- beitung als ungemein wünschenswert erscheinen lief. Ich nam mir eine abschrift, und konte auch bald daran gehen, den text zum drucke vor zu bereiten. Denn troz aller mängel der vorlage boten die citate bei den übri- gen hier zugänglichen lexicographen — und zum glük sind das gerade solche, die den Fachri stark benuzt haben — eine genügend sichere kritische unterlage, ja gestatteten sogar lücken der handschrift auB zu füllen. So konte ich mit gutem gewiBen wünschen, meine arbeit gedrukt zu sehen, und mit géwonter liberalität gewärte mir die orientalische facultät un- serer universität die mittel dazu. Dank ir bin ich nach überstandenen nôten der druklegung so glüklich den freunden und kennern der persischen sprache den nach môglichkeit gereinigten text des interessanten denk- males einheimischer paioione der Perser vor legen zu kônnen. Allerdings hätte das buch an volständigkeit und correctheit nicht unerheblich gewonnen, wenn es mir früher bekant geworden wäre, daB unsere handschrift nicht die einzige ist. Herr mag. Oldenburg, dessen indische studien seiner neigung für Iràn keinen ab- bruch zu tun vermügen, schrib mir im frühjare aub Paris, er habe das volständige werk des Fachri im cataloge der Bibliothèque Nationale gefunden, und beglükte mich durch genauere nachrichten und auf- züge auB dem codex (Suppl. persan nr. 457), von welchen ich weiterhin gebrauch machen darf. Und in disen tagen erfreute mich herr oberbibliothekar Dr, Pertsch in Gotha durch die mitteilung, der vierte teil, eben das jezt edierte würterbuch, befinde sich auch noch in der Küniglichen Bibliothek zu Berlin (Petermann nr. 477 fol. 57—123). Da mein text aber schon fertig ab gedrukt war, und noch manche zeit vergehen kan, biB mir die vergleichung der neu auf getauchten handschriften ermüglicht wird, so ent- schlo ich mich die so weit ab geschloRene arbeit, so wie sie one die genanten hilfsmittel geworden ist, ans licht treten zu laBen, behalte mir aber vor in einem zweiten hefte die volständige collation und die nôtig werdenden verbefierungen nach zu liefern. = Samseddin Muhammad auB Ispahân, mit dem dich- ternamen Fachri, lebte am hofe des Saich Sah Jamäl- | eddin Abû Ishàk, welcher als einziger und lezter nachfolger seines vaters Mahmüd, des begründers der dynastie, von 742—754 (1341—1353) in Fârs und ‘Irâk herschte. Der junge fürst stand bei den dichtern und gelerten seiner zeit in hohem ansehen, er galt für einen günner der kunst und wiBenschaft, und seinen namen strebten sie alle zu verherlichen. So preist in . Chvâjà i Kirmäni am schluBe zweier seiner lergedichte (A. H. 743, 744 vel. Rieu Il, 621); so recitiert vor im der literarische gegner des genanten dichters, Hai- dar, eine satire auf seinen nebenbuler, die mit den worten begint (Rieu II, 623): Jupe Ole ji 5 HE >> CE dure Ulale LS7* sel 2 3) us y ge Der dieb auB Kâbul *), Chväjü, komt wol auB der stat Kirmän heran, — : der ämBe gleicht im dichten er, und komt zu Suleimän heran! So widmet Muhammad i Âmuli wol dem vezire des fürsten seine encyclopaedie pal) Qwls, aber erst, nachdem er in der vorrede disen selbst geprisen hat (Rieu Il, 435); und als Jamäleddin in ‘onmächtigem kampfe gegen den Muzaffariden gefallen ist, da ver- kündet kein geringerer unter seinen schüzlingen als Häfz den rum des milden fürsten noch in die folgenden jarhunderte hinauB: 05l st) La hrs ere 59 J-stiuse CA, dd Jus > Ur tes Fe" Le af A5, D23 ol ace obl eL Du hast ganz recht; das türkissigel des Bu-Ishak erglänzte hell, 7) Doch wol eine pin auf die Zigeuner, denn noch heutigen tages gibt es, wie Darmesteter berichtet (Afghan life in Afghan songs: Contemp. Rev. Gé. 1887), unter den Afghanen eine erbliche sängerzunft fremden (man dürfte meinen zigeunerischen) blutes, welche sich Dum nennt: Dom ist aber der name, den sich die Zi geuner in Persien bei legen, entsprechend dem Lom in Klein-Asien, Rom in Europa (Tarkanos®, srann. Cn6. 1887 p. 19). Wie mir vou befreundeter seite mit geteilt wurde, bilden im türkischen ge- biete blinde Armenier eben solch eine sängerkaste, S c genant. 2 Bulletin de l’Académie Impériale 260 allein die tage seines glückes entschwanden leider al zu schnell. O über dise qual und härte in diser nezumstrikten welt! o über jene huld und gnade, die seinem kreile nie gefelt! Sahst du, Hàfiz, das stolze rephun, wie es mit lautem schall gelacht und an des schiksalsfalken kralle der sorgen ledig nie gedacht? ) Im zu eren auch benante Fachri sein werk ,Lse Qôle-l pl plie, JLe «Aiche des Jamâl und SchlüBel des A bû Ishâk», und bestimte es zu einer art encyclopädie der poetik und rhetorik im weitesten sinne des wortes. Die schrift zerfällt in vier teile ( D «kunst» benannt): Lise Pl verslere oder metrik (im Pariser codex fol. 1v— 39v); IL. Al pe reimlere (fol. 40v—58v); HE 2e darstellungslere (fol. 58v— 104) *), und IV. £a) fe 107v—172v). Auf dise vierteilung weisen auch schon zwei verse des lezten teiles hin, —T, 30 Que pl 28 er ge Le LL ps gt ol gel und XXIL, 4: à D DE pr À us Das glossar ist nach den lezten buchstaben in 21 capitel geordnet (De, ; , #_J’als je ein buchstabe gerechnet, aber > und à et, und die würter in jedem capitel wider nach dem reime gruppiert; denn für jedes wort hat der verfaBer als beispil einen vers verfaBt, deren merere zusammen längere oder kürzere würterkunde oder lexicographie (fol. 8) Übersezt yon v. Rosenzweig-Schwannau I, 454. 9) In der einleitung zum lexicon f”, 14 sind die drei ersten teile D, EL Us JE D also IT «rhetorische fisu- ren»; das IL cap. wird citiert 94, 16. 19. Das selbe thema hat unser autor auch noch in einem besonderen werke behandelt, wie wir durch H. Ch. II 27 nr. 1710 erfaren: FLE al, » La) el 6 su] îÙ, wenn ich den titel recht deute. Eines dieser beiden werke wird wol Farahâni zu Anvari (cod. Mus. Asiat. 176 _ fol. 18?) un haben, wenn er sagt: all. ) JD LE ue #1] . ans A en (Kykosckiä, Jasepu p. 94 nr. 50). genant: gedichte bilden; und dise alle sind dem preise des fürsten gewidmet. In der einleitung heift es darüber (pag. #”, 9): «Vor disem haben meister der gedichte und brah- «manen der geschichten in disem fache (nämlich der «lexicographie) längere und kürzere werke verfaBt und «für jedes wort auB den schriften der alten autoren «ein zeugnis an gefürt. Aber auB disen zeugnissen «äBt sich nicht erkennen, ob jenes (wort) richtig oder «felerhaft sei, vermüge des umstandes, daB durch einen «bloBen vers, den sie zur bezeugung éines wortes ci- «tieren, nicht fest gestellt wird, auB welchen buchstaben «es bestehe und welchen von den drei vocalen es habe. «Wenn aber die verse vervilfacht und die reime ver- «doppelt werden, so wird die zweideutigkeit und ver- «schidene auffaBung in consonanten und vocalen ge- «hoben. Auf grund diser vorbemerkung, — als es an «die abfaBung dises sammelwerkes gieng, und in der «lere vom metrum, den reimen und den rhetorischen «figuren so vil unumgänglich nôtig war, unter der «glük spendenden herschaft dises fürsten u. s.w. (folgen «merere zeilen prächtiger beinamen), volbracht und «beendet war, — ersuchte mich ein freund auf der zal «der literaten, daB ich zur bestätigung des persischen «wortschatzes, von dessen zierrate die renner der ge- «lersamkeit meistens ledig sind, einige blat schreiben «müBe, auf daB dises sammelwerk ein solches buch «werde, daB alles, wessen die auBgezeichnetsten dichter «bedürftig sind, in disem sammelwerke enthalten sei, «und es in der tat für dichter und prosaiker ein gil- «tiges muster und ein unumgängliches hilfsmittel werde. «Dieweil nun der rum dises herschers und das welt- «erobernde schwert dises weltbeschützers über die «ganze erde sich verbreitet, so unterwarf ich, bei der «erfüllung der bitte jenes (freundes), mich viler mühe- «waltung, und stellte auB den gedichtsamlungen der «älteren dichter und den aufzeichnungen der forscher «dises compendium der persischen sprache zusammen. «Und da die älteren für jedes wort einen vers als «zeugnis an gefüit haben, so verfafite ich geringer «knecht alle jene preis- und singedichte, und schmükte «deren verse mit dem namen oder bei- oder zunamen «dises gnädigen fürsten und gebieters der siben kli- «mate, so daB es (d. h. mein buch) für die gelerten «und poeten ein notwendiges muster und ein zuver- «läBiges bezeugnis ist. Ich lebe der hofnung, dal es des Sciences de Saint-Pétersbourg. 26? «von den herren der beredtsamkeit eines wolwollenden «blickes gewirdigt werde, — so Gott wil.» Näher bezeichnet Fachri seine quellen leider nicht, nur hie und da werden verse früherer dichter an ge- 17. C2 4,5 fürt (Lsmo238 V, 20. Ls_poñc À, 2. HI, LD 3 LP À ee (sic) 4, 3. Loue V, 19 pe CJES «A, 17), oder dise bloB genant US, IA, 2,7. (cup) Vo, 15 und eben da der von lezterem RS so oft er- wänte Araber L& à a. Eine anspilung auf die poetik des Raëid i Vatvàt _yxssl) le ( (Flügel I, 205) sehe ich im verse I, 8: uirtee JF» ele, Le 5 vialus, 7e lue 0 A case rs in welchem Fachri sich rümt: «sein buch sei ein gar- ten voller gedankenblumen, die alle das lob des schâhs verkündigen; die «Zaubergärten» (so hatte Vatvât sein werk benant) und deren wunderdinge (oder tro- pen, denn wl.# heifit beides) künne man ruhig bei seite laBen». Ob er aber selbst seinen rat befolgt, oder im gegenteil das lerbuch seines vorgängers eifrig auB geschriben hat, das fest zu stellen muB der späteren untersuchung vor behalten bleiben. Auch auf die wal der äuBeren, zum teil poetischen, form, welche Fachri seinem Wôrterbuch gegeben, scheint Vatvat's beispil nicht ganz one einfluB gebliben zu sein"). Übrigens habe ich in den poetischen leistungen unseres autors, 10) Vel. I. Ch. HIT, 116 nr. 4643: dun )l5 de a y Je Ji Je ue Je cp Jef] oil Ji QI Gyure ue day né lovt à Je LILIL [sell (s yoall 9) 4] 8e LRRRe ee VA à D? ? 5), OL phil — wol kaum das bei Fi D Pers. Hdss. p. 117 nr. 309,b “est. nete werkchen., Dazu H. Ch. IV, 239 nr. net II, 800): ls?) Dgac ële 3 à 5 Lys (5) Æ de ee Lu JE Toul pue du ad) di Rs cpu, LILI us, ni Gui , Jest Louge Late sl) ES OL ol, ji dues ut bo ak: Ts] à — zweifellos das von Rieu Il, 507 beschriebene arabisch-persische wôürterbuch, der sich durch Flügel's falschen text mit der verfelten übersetzung hat irre leiten lafen. Ein an- deres äal)} «3 pd) ae nennt H. Ch. eben da nr. 8298. die zu seinem hohen selbstbewustsein freilich in um gekertem verhältnisse stehen, manche anklänge an früher gelesenes gefunden; se das ist ser erklärlich, hat er doch selbst, wie wir belert werden !), eine blumenlese auB verschidenen dichtern zusammen ge- stelt. Es hätte aber doch zu weit gefürt, wenn ich den hie und da, meistens noch in handschriften, ver- streuten vorbildern diser imitationen hätte nach spü- ren wollen. Solche détailforschung mag an der zeit sein, wenn unsere disciplin etwaB mer aufBgewachsen sein wird. Vil interessanter und fruchtbarer erschin es eine andere frage zu verfolgen, ich meine die, in welchem verhältnisse die späteren lexicographen zu disem irem vorgänger stehen müchten. Wir wiBen, daB seine verse, so schlecht und recht sie sind, einer erkleklichen anzal der späteren würtersamler zum belege irer er- klärungen dienen müBen: Halimi, ‘Aufi (LL A) às), Ni‘matullâh, Surûri (es . pi] ec) Injû (s le Los), Raï (ue Li) ‘Abdulkädir alBagdädi (4e >| unE, qu Lite, El Obs) Si Je, yo 31 lobes Jé Je > Os 4 (spas 17) Eine neue beschreiïbung diser hds. gebe ich in beilage IL Hr.. oberbibliothekar dr. Pertsch teilte mir freundlichst mit, daf der 10-te abschnit des von mir edierten methnevi (p. _. . auch in Berlin se vorhanden ist: Ms. orient. 4°. rande von fol. 4 18) Bulletin xx sn asiat. IX, 249, Vgl. dazu Bar. Ro- n San. Bocr. M. P. Apxeor. O6. II, 185. Auch im divân Mint s list man ges ab ere oft. a) Zu wortspilen benuzte termini technici habe ich überstrichen und wie in der aufigabe à von > unterschiden. 267 Bulletin de l’Académie Impériale Cable prie 5! 5 pos Jie af (olud) ee ol 3) lie, pe LD je é use a (5 je € 5; us Uyee cd JA) ei J Ji ae ct + «2 Dr er 6. su bel fx -0860 LS rec à » 0. , Ni, ARS | ous [4r] 1 # é - ro de 0 > , 1 -0 FAN Me sil D sn} © , RTS ro Dr. 0, Fi A A ns yes Pre ob Cs Gé Sljle Ye Le Je, Be BUS Jp + os ef DAS Ge 2yoie I, . 33e éeëll Ré ps Jie ébu),. Li 5] éme jy D minable LR Ge La pl 1e ee. Cole LL RENÉ ap Lx) LE ii Fe nl He Æ ce) Je. D RAR Les rs Ji io La PAR EI 1e o < Fe - À US b) Die mire à dises und der folgenden gere verse und asen verdanke ich der güte des hrn. phr prof. bar. Ro c) vers des Abû “Talib, vgl. Ibn Hisàm ed. Wiüstenfeld F- IV. R. Net, el dite ee Ré 5 JI Fee Ne es PA PA se ile wlsel, dl, &le a fe : pl Ole] | je | >Les Cola . Cas 5] uaë blu Je Lil pl Ro: Es AE) “ Le ge 3 Sub Lt ne PES Cafe je D Cu) axsL Dos pt : Cäib ouh, ché in dinde Cas ais OT de Lui (Ses (SP ère Caves Qi LE je L 9 » Le] ‘ 4 - Yo # 8 - EVTS Ja) Cu J— An Luis ces pe) Lee Les af éibl yhie, [fol. av] «55 Jo 51 Ciel (sbiles, ne ter a vd Size DU ;. 0-7 to rÉ 5 ie] 3 OL KG D eb JUS » eLal D slaïl ui Elo! ol G af un‘ Jile jh (sys, (of cyustue Pr D ET of JL LE Jile Salé Gil j, Ll5 ysiil De Ye il $ EL nuqu ol ha | n Cu Jéb, a je Jéls Ms ob, STE pal ke ls us, ge 39 Le Jo 5e ulslsl Jr uselt e jt Jile Je Las lait, Uh ee 51 übluile SAN ls pus pe Lu a ET A 593.15 9 Ho nd. d) Sur 28, 14. Le) Sur 17, 72, f) Sur. 40,66 — 64,3. g) Sur. 95,4. h) corr. auf LL, vel. die auBgabe V9,8 und nota. i)9 von mir hinzu gefügt. ne KT des Sciences de Saint-Pétersbourg. 270 ob L'55 GT ES qui ul ds cpl vies ol) JÉ REA 3} , 1 3 Le) Hu all «pli . AURER pr mi LT RS Sales je SY vip Ge p> aGT asie cp 5) Va 3) MERE gl 5» Cols ol, Li ole|'f Ji, JY OP wsbai, ls Qi és L'5,, ils di) L duups 55 us Le lis las ue ce Ji) cé) je Ole LEA HE e Jr JD (659 ‘ y Gh es) HS © Lu) JS (pH only Q Lil [5r] ose og» 67e L'obE Jon à kel, oil jpés Jens LI oui Giei es pue Ji le A ue dl , GI] Es) pol, Lil) 5 pai Ji, D plis y Ls Us aS] al. GI Cause Sy es pes JM « Luxe aGls ace il 5 Ge J5 dus er dus JL C5, Li, jé FE. ee jette ss IL as] ni :5 «in SE Joe AS cp pe af à db d0ye$ late «sai c#! » nf cb OÙ Uys Jyei cpl ns Jus OI Cale af C5, cpl y G° JS Al Lé :5 jl Ch mue Lee 5, Li) Sol 5! He 4 Lle ji lb! 5) SH, übl, el ME obus 5 nb jel fe 5h, 2 JW L ae vies af rh |. be Op, gent ele ve LU ie us >p jus els ë > de y Cabo Se Gps 36 Cyclue Eole lil Ce, Me ll 3 k) er regierte von 695(696)—730(733. 736) A. H. cf. Rieu II 812*. III 1094. Zu obigem stimt, wa$ H. Ch. V,641 nr. 12446 bei bringt: GE gril Je Glal, Co, all (3 sic Lei ybne 5 pai SL vin à «a ail Le gt È 0753 Lal ko JO Tome XXXII. Si, 35 (sos es jus 51 UT OT Geose dé is Daily is ge di LIL Gi ji >le of SLoioles. Ou LD gelé Qui cols, .pbl JLCE, el. PL 30 js PC] Cas [fol. 5w] “ee il ol Les. ST, Ji rl pi . Ai, oull üless. Hoi lili. EAN Obs " ee oÙ y Ciné, | ls oblsl, 5, ) gb 5]. Le, » E25 cb Los, ble OS Ga aie, nef lee lue l).s von mir zu gesetzt. 271 Bulletin de l’Académie Impériale 27? de 4 ea di. bel 2 ail] Lu, Jäs sas re rs Se “ LE 6: NS qe Me, FPT SEL ) »te es le sus 5}, 52 js 5! SL Es : pet Es L “RR CE Ce Sol da de CN, hall as au of Ces (lu LT, CUS Je co ti ge de cel ls Lei, Eu ylail er sl frais E dl sLue ee er Lie “ à JE shils, ulesie lai] ;) al jai É all, cl dé ol sh) yo p6 aS 49e Ce Je Cas Miss il JE pu g# de af, Dls Jo 0 pps cpl Cale Ce 48 Joel [fol. 6v] ess Al Jai is ES L5L ‘Lls de le 5 Jess) es cpl Je ,Ls), LR D + dis dl il 55 6e ile cel cu ne ia hs less Nachschrift vom 2411/7III. Der bogen 17 des Bulletins (53, 54 der Mélanges) war schon ab ge- zogen, als mir die oben erwänte Pariser handschrift _ hieher übersant wurde. Indem ich der verwaltung der Bibliothèque Nationale für dise unterstützung meiner arbeit den ergebensten dank auch an diser stelle ab zu statten mir erlaube, beeile ich mich eïnige ver- beBerungen mit zu teilen, welche sich auB der einsicht des originales ergeben. m) Sur. 28,68. n) sic! Bar. Rosen coniciert: “0 0 à "M A PA sn ee JS 3 J 0 4, 0) leo dif nd LS Pag. 259 zeile 17: der text begint fol. 3v. 3 ist ein versehen von , | mir; in der hds. fol. 59v (so ist zu lesen) steht tal) el geschriben. Danach ist es klar, daB mit der von H. Ch. und Farähânî genannten risâla kein besonderes werk gemeint sein kan, wie in der _anm. 9) — — » 18: { gesagt worden. Die seiten 105v—106v enthalten, mit eigener besmele, den anfang einer erklärung arabischer würter, welche mit allen drei vocalen gelesen werden, aber verschiedene bedeutung haben; das stük bricht mitten auf der seite ab. Pag. 261 z. 12: lis &». Pag. 262—4 wird der verfaBer der LS] äé von mir beständig ‘Aufi genant, anstat Obihi, waB mir der leser freundlichst verzeihen wolle: auch jetzt noch manchmal treibt die tückische Büûsjästa daregôgawa "| (Vend. 18,16) ihr wesen. Pag. 266 z. 4 des textes: streiche |, nach pb. Z. 7 ende ist j) > > zu lesen. é Pag. 267 z. 10: im codex steht deutlich dde wärend die auf genommene lesung metrisch falsch ist; viel- 69-02 Jeicht wäre aber doch 445 zu emendieren? Pag. 268 7. 8: lis Co, ab. Z. 12: lis Anm. à) ist zu streichen, da das , schon von der hds. geboten wird. Beilage II. Die Handschrift der Risâla i Mirzà. Mus. Asiat, Ne 477. 19,75 X 13 cm. 168 fol. 17 lin. à 7 cm. Die blätter 153 ff. sind am unteren inneren rande geflikt, so da ein viertel des textes auf jeder seite verloren ist. Fol. 1r. ist ganz von einer kaside ein genommen, welche beginnt: . MS CR ‘ Je 55 25 L'onbss ie, 95 Us Jbs onili 35 bis Cie ae Jaie Fol. 1v. begint one besmele mit den worten: Poe OS cul, ou DE GT e= SA Gb | "2 je él 273 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 274 Es ist das würterbuch LS Y) ä< (de Lagarde LC D: 27 n1: 3) x ee ganz in aller ordnung bi zum schluBe des : ADI &L fort läuft, fol. 8,13 mit den worten OlK pins É® vol schliefit; nur sind die beläge zum teil auB gelaBen. B. Unmittelbar hierauf folgt in der selben zeile (fol. 8,13) und von der selben alten hand, nach der roten über- schrift - all (3 [schwarz über der zeïle a Jes der text: Se) J> Fur «so$ 5 a Kb él F Fr à! 2] my Une, LRO wie alles folgende schon nicht mer der &< an gehôrt. Dises andere glossar ist eben so nach dem ersten und lezten buchstaben geordnet, und geht biB fol. 167v,6, wo es plüzlich ab bricht. Die [+ letzten He lauten : D'ART En Use éb- 5 L CE a 555 Éb, c° PEN Je 9 [ob Lsl5?] As)» 5b JS [lis jo] sil Mit zeile 7 beginnt ein inhaltsverzeichnis irgend éines buchs mit 2] J,] &b, von anderer cursiver hand. Da dises blat 167 das erste und 168 das lezte einer lage sind, welche in der hds. auB 6 oder 8 bl. bestehen, so kônnen dazwischen 4 oder 6 bl. verloren sein. Fol. 168 trägt die unterschrift in schônem nasta lik: JE asleus glhe 111r ae Lol Les gi il 2 36 op ges dll le il JS ol &f5 JL || ess il pli LL, Qol JE | JE ole, Jar dl LÉ,» oi A A COM il ul PO J=® be ;} LS 0 Il3pess Dsl Ces fl] Del D ge hs uëb mr RU à pi PE ra Le Ob aber die voran gehenden 167 bl. von disem schreiber stammen, das wird jeder bezweifeln, der die bequemen nasxîzüge der selben mit fol. 168 vergleicht. Später an den rand geschribene verse finden sich fol. 1v. 2 (von der hand des és 4 :» Je Ds 6145?) 6.29. 88. 70. 78. 86, éazelen fol, 17, 52, und eine kaside von ne 5 ja cl csrw fol, 120v— 121v, welche begint: pr » de 45 (55 Rte mé 51 (sé (sf Das hier one anfang und ende vor ligende glossar ist das von Surûri so oft als |; ex &L., oder le 43 citierte werk des : lune 2 081 plan: GlioY), welcher 414 ra (Sprenger 29 nr. 5%, vgl. 79,7), denn fol, 8v,1 lesen wir: sole ef, Ci 05 pe és pi Er und bei Surüri unter dem visa Pis La. S}, 05) sy J JS jee pe La Line Le) Fit Let und so stimmen fast alle übrigen citate im xl) c£ zu unserer handschrift, Zur bestimmung der zeit, wann Mirzà Ibrâhim ge- schriben hat, dient seine eigene angabe fol, 115 v: Ds ak Li, sil po n OÙ der Ge le y) Si js Ubu IN au af Ge, T 2 } Was den wert diser neuen quelle betrift, so genügt es hier zu bemerken, da sie in so hohem grade von Fârûkis aelis, abhängig ist, daB man în ir nur einen hie und da mit ein par neuen wôürtern vervol- ständigten auBzug auB dem genanten werke sehen kan. Es ist charakteristisch für Surûri, daB er dif nirgend an gemerkt hat, Beilage EIL Beschreibung des Codex Vindobonensis A. F. 358a (527). Da die beschreïbung dieser handschrift, — für deren in liberalster weise gewärte zusendung ich der ver- waltung der Hof- und Statsbibliothek meinen dank an diser stelle ab zu statten mich verbunden füle, — bei Flügel I, 526 nr. 529 nicht genügend volständig und auch durch einige drukfeler verunziert ist, so dürften die folgenden notizen nicht ganz one nutzen bleiben. Der codex enthält auf 41 bl. kl. 8° folgende stücke: I. fol. 2v—7r.: li) Lë,e l., ein methnevi mystischen inhaltes, verfaBt von ui À. H. 757. Die überschriften der capitel sehe man in meiner aufgabe des Mi'jâr i Jamäli p. 1££—10#, wo das ganze gedicht ab gedrukt ist. DaB die angabe der eben da mit ge- teilten überschrift, das werkchen sei von 65 Qt | verfaBt, falsch ist, hat schon Rieu II, 874 erwisen; 18* 275 Bulletin de l’Académie Impériale 276 nicht beBer steht es wol mit der glaubwirdigkeit der drei folgenden titel. — H. Ch. V, 495 nr. 11809. IT. fol. 7v—10r. Ein methnevi mit der überschrift: all op dl uns Le Cués &b ils Anfang: ‘ oo), is cts y) ls, Us JL = 5 Lin, EL 5 els cp pd) Cons ail Ut, ER rl «le SchluB fol. 10r.: on pi nes he Eu ol y EL Gb 5 Conan, Lie de] Cul aie os ss Gb 5 Jhe Lt ne use bi Je jp) Cul Ghn 5l Wer der verfaBer sei, kan ich nicht bestimmen. IIL. fol. 10v—12v. Eine kaside zum lobe des pro- pheten, überschrift : nl ie ni GX, Oyés Gil UT Anfang: ‘Obs JE Gb ue dt 0 it Ne pe Le mp m2 LEE JE de Hu eh Schlu fol. 12v: ‘Luuibas pe à lol an +) he Sl . ee J'Jy— ee [2 FR Re oh é y) dE Le ob » De ve Gl sel A US ue FRE oL£ EE IV. fol. 13v— 16r. er methnevi über die mystische liebe zu Gott, überschrift: ope yn5 Lse Copé el ice Anfang: y Qie Jol (var. Lx) cs D ès ‘del Coy= ge 0 Qe 5) Jet Gens sl és pi né Schlu8 fol. 16r: oh p£ à ere ve PL ; | Eee Y. fol. 16v—41v. Ein sat stédieh inhaltes, überschrift: ae du de, (op) LE Gal) gas OL, Über den verfaBer Halili weif ich nichts vor zu bringen; wenn L£ in den unten an zu fürenden versen wirklich der name des dichters ist, und nicht etwa ein- fach «mein freund» bedeuten sol. Anfang : g l, FL SPROREE RO J> o2 ui, Es finden sich folgende aufschriften: 1. Jsl ee 5e) Lu üls ss fol. 16v. 2 gui de ile ve » 17 3. plus pl sb Ole si 4. Cut) es Los > (gp » 18 5, Le ns 188 6. DE RER SU) PORN T. Os cp Ji » 19 8. ol; » 19. cf Cstei » 20v. 10. so) I, JE 5 Gls,s » 21v. 11. yasl y» Ubu ys » 22 277 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 278 12. JE Le} > opte » 22v.|46. op is Gb s « 30v 13. J| AE » 292v.| 47. Ds Los Jupe » 31 14—17. pr —ple-pu-pobhi » 23 |48. LR Ciluël Libui 55 2 Er 18—91. pis pur ils » 94 |49. LT JE ol » 32 2: Pan 24-190 Ps bob» » 32 23. NS DR ie us » 04 |01 EUL Oise Lis! Des » 32v na Ni a Di NS ia > Fr 04 Lo IP Ds 38 Li) pui» 33 24. Cl Al J 53. ŒUL Es po pui» 33 dy Je di Jets po Url J> » 24v D4, CE ŒUL. ob » ‘5 ca ps » 33 25: SIC So 95. ŒUL. Jus CES J? ple ps » 33V Jr 8Ÿ pyns pus pe 255 cils J> » 25 56. us us res? » 34 26. Cul dl (Je Jo) Les a Di es 36 | a pole Jr ple #5 Lit» 28 5107 is Jol, 24: A er 58. Ji Je) Gb 55 Jol sé » 35v De prb en peu 5 Ole » 25v 59. Jo Jesl ls po pui » 35v 28. ul à) 3 60. QùS Jol üL J? De pr » 36 af pi pus pi J5 érbu 5 3:58 61. Joe plsl Up » 36 29. Lil dl 4 2 62. re Jus ss üb J? » 36v ne 4 450 ps pis SS Ole ss » 26 [6 DE Jey ul » 36v 30. Po à dl pe ; Re Joy plsl ob 35» 40 à de OLS13 sl cie » 26Y 64. Jlas) Jess Ji) 32. Ji! eus » 26v | 65. Ole Jess Ole 5 pe ps » 37 329.28. ple — pus — ps pis » 27 !66. sie 5}5 Los HUE Der 37 36. phssl ls x 97 67. ee 72» ss UD D ple pr » 37 37. Lol, is Us » 27v 168. Li M sops dauel Cole 5.» 87 st (2 38. bp Di co ‘5 28 |69. Le, AS Ses Lduels Je :». 87T 39. ie? ge pe él, » 28 |70. LE s.8n 40, CS 2e JS pr & «sh » 28v 11: 209 JS ple ils 5» » 38 41. RER J? pe & ls » 29 ER ; Jus ple Où » 38 42, Hey 2 pes ol » 29v | 75. Cl gb) A A E-) üL ‘55 +» OÙr 43. 2e » pi ol, » 29v |74. An CA LE g— » 39 44. Ls 5 "ns h » 90 119. cel 5] ps é> » 39 45. spe “» 30v | T6. Ces sl pp pyi » 39v 279 Bulletin de l’Académie Impériale 280 TT els j] F7 Ca pl si » 39v Co Les gl Cuë 5 a Gi; 78. 90 9 Has À ee » 40 JS sl 55 y) Cuu2ge ns 49. ; PF RES ps “il, ah em J> » 41 DO 5 je Lu) us CU ris ste CN 0e ns cs po De je y 5 ré > ae in His ET dé a 1 à at ci Eute se L5 > ls SL y) ail; gt Ge gi ile Ge LE pl Jo) es 5 (oi LS ie pyrhie ze + A Re 5) p—— 5! 1 Gp Lab Êé— SH CURE | 20 a SE q pe ue PEN APE De ER EE pue Le ol ER Ur rl —i po 25 cite pi Re Obs vies 5 do ps f 80. Ge Se Us Ai pis p) css j) a Er : ee QE ge gui ail pl sr ps 57e ou es nR 1 so» > Lille JL lili ri) p}u) Hole À te a JE QU , Frac d 3 2 ps El us 0 41v ; Fe ts SF Er Lis pere J—? Dylan ‘pet PA NE Ju, LL ge gl ls Des Jim (Je y) Ur? dl nn p |odlall [Sy L opel also, | all, ae (Je ill, Auf der selben seite 41v steht noch die unterschrift des schreibers: | ü à) ax LS? 4 FF QG ous je Gall co SG l'os) Gobll Gb Cissss ail all dus De par due Beilage IV. Die handschrift der Risâla i Vafâi. Bibl. Nat. suppl. pers. Xe 1047. 28,5 X 17 em. 1+130-+-5 fol. 17 lin. à c Die bekantschaft mit diser handschrift verdanke ich gleichfals hrn. mag. $. Oldenburg. Seine freundlichen mitteilangen auB der selben erwekten so groBes inter- esse, daB ich sie mir hieher zu übersenden ersuchte, welcher bitte auch in der liberalsten weise gewilfart worden. Und ich hoffe meine erkentlichkeit am besten erweisen zu kônnen, indem ich hier eine genaue be- schreibung des wertvollen buches folgen laBe. Es ist ein quartband auB blauem papiere, in gold- gelbem orientalischen ledereinbande. Die fünf lezten ungezälten blätter sind nicht beschriben. Auf dem ebenfals nicht mit gezälten ersten blatte steht die chiffre «Suppl. persan 1047» links oben in der ecke, und im felde «Volume de 130 Feuillets || 20 Novembre 1884». Auf fol. 1r finden sich 6 zeilen in Guzerâti- schrift, welche ich leider nicht habe entziffern künnen, und darunter «A || Son Excellency || Count a dé Go- bineau || Ambassador de France Emperor», darunter der bibliotheksstempel, und rechts unten «R. 8551». des Sciences de Saint-Pétersbourg. Es ist diB also eines der in der Gobineau’schen samlung vorhanden gewesenen «six dictionnaires ou vocabulaires»: Mél. Asiat. IV, 404. Die handschrift enthält zweierlei: A. ls y AL, À Fol. 1v. begint ein persisches würterbuch mitten in dem artikel L£, mit den worten (das überstrichene rot): 1] au po, JS gb D ANS af EL) Le oi, 5 Cf L'usls af Cf, ol és, sl Ca af EE 6 ie, gilusl Jos > LI ass 5) JP> LL. cb) | LS üUbs > 3» «5 Loi esLs JS pi Sl ee 2] de » pl ps el ob of dl oh ose 5 Bel Cul Li Lis Ge 5 Jai Cul Fo Lu Dann finden sich noch die 11 folgenden fasl dises bâb, ferner fol. 3v Jai 05512 6 > > Eden Ge a, çy=s Cl. Darauf fol, 6 bâb III © in 20 fasi, mit 97 wôürtern » 10v » IV + 11-%: 08 » 13") V : » Dry ss 00 » OU À AUS VS A À : rs 1955 » » sm Ibtin VIE “6 na 22 15:97 » »p 2h: w VF 5 nr 21 «0 » » 25v » IX ; » 23 » . » 208 » » 87 » L 55. 209 0 » 05 » RC RE Re à CONTRE ESS LE are a à. » »: 43v » XII y ? 16, » :»: 49 » 46: -» : XII ur LIÉE 7 SD » » 51 XIV RS à 9 4 2 » Dr: +. IT ê ÿ 18 rb 0e. 41 » "DUT SV » 12°»: «232 » 5 DH "x “XVI Gi» 6» + :0 » » 55vy » XVIII S » 28 » » 139 » 09: «° AIX dE mt sc 71 » »69 5 AX J Lt ns :» 595 » » 14 » “XI 16 » + 07 » s 80v:»: XXI Cr)» 260» » 313 » 09 FER Ss 26 » :s: 90 » 19) Am ende dises capitels steht aber one überschrift ein wort auf L|7/ citierte a]L., oder | 5, eo. noch in keinem ee beschriben worden. Zur be- väv (fol, 93} JL. Fr 3h af JEL ses . Aber dises capitel bricht schon im dritten abschnit auf fol. 97v. ab; ich setze das stük ganz her. SL Gil ébs db, al Jëb KL 5 of 05 3] 5] a jus y Cois py> abs Jo] »3f> (ins so ue ww» Us Le a HS Cu of 5 LL ob 5, Cul JB de pl 5 5 ul, oise Cul list ob y © Cul op sic Us CS db JD 095 Cal ob of CT lb y es Lil DBŸs af au Liu oxél ar él 5 }, a ue fe Ca) ») Ja sic JL Cys Lis els Los cpl L* pl » >» Go Cu Jo) E 87 55 Le Lil obilét ul Css dk oyall, | pel al, 3 tt Ib Due _yé Q3 1Hvre au |] ué lé Dabei finden sich indessen, geringerer mängel zu geschweigen, noch andere defecte, welche zum teil schon in der vorlage da gewesen sein müfen, da der - l'abschreiber lücken läBit (fol. 2 — 5 zeilen, 3 — 6 zeilen) oder solche an merkt (fol. 84 zeile 4 zwischen den wôrtern :p_» und ob) G Go de 92 ME o>L) Lsul ul als eos Jei& ee5 Jess ie Zur bestimmung des werkes dient eine stelle, wo der verfaBer sich nennt, fol. 20v.: 97 gloss 5 il ge ges 2 ee aile; >5)S) no e reve af Q LS Lot ail pre RQ SLA , jf 1: + rl ge 2 ps ME Res € Hier ligt also die von Surûri und späteren so häufig &s vor, welche biBher stätigung dient die vergleichung der erwänten citate, Bulletin de l’Académie Impériale 281 wobei Surüri wider das meiste material liefert, wie man sich an den weïiter unten gegebenen auBzügen überzeugen kan. Wann Husain Vafài gelebt hat, kann ich nur an nähernd bestimmen, er scheint nach Sprenger Oudh Cat. 87 und 21, nr. 191 in die mitte des zehnten jar- hunderts der Higrah zu gehôren; der jüngste dichter, den er citiert, it [28 Ÿ 9FA Ich gebe im folgenden ein verzeichnis der von Vafài genanten dichter und anderen autoren. L. Dichter: (5,51 — aabl 3=*) pl pre il nl si pl — pl — ele 31 — ball 31 — ip call pl — us Gall 9 Gé — ssl 1 — ei pl — le) il — (ul — lil, — Lhe SD sel — (spi — sus) ones srl KE Digi p — sl » — tbe? — ele — céghe 53 — Leb— ob — cel — ob LE = Bb — GE gus — we? — 6 — JU — aus —| 2 opus pol — lou — (sopus — Ge — (as du na ge — a CL Ge — sole St — SSL — PE — (sg de cpull Li — JS pull qui Ulis — (5 ui — sui — LsBé — jbe — pl — üLL EE bob nel cn Un oué à le ba cn —— LSJOÉE — clé — (sis JS 9) Le ae oder Ji, Jes dl — sb: sic! — Li, ue 5 — Lobs sic! — (5) — Lei — Lu — D Jyl cool — QLks — pull En — œuf — 0 Jan) JUS ne) — ul — (onié Lie — De J£ — DLL us symue — (si syaue — ik | ue le ee de — y pus poli — els — ,b,: sich selbst citiert er unter den wôürtern: por : lg € Eh ° jo os ges ‘ge Je pl: rs OUEST Gas] ‘2,5 und ,L II. Lexicographen: .ç4) (K 3 in Beilage V). 2 ueei (M 9). ns POI Que (NM 44). ol ol) LS (M 8). Andere autoren: pyë y> 4e oil Lbs LU}, WE — aol, 5 JE cp) “june et), Wie Vafài seinen gegenstand behandelt, läfit sich am besten auB beispilen ersehen; darum habe ich als proben alle diejenigen paragraphen auB gewält, in welchen er eine seiner quellen citiert oder mundart- liche auBdrücke an fürt, und drucke sie hier in ge- befertem texte nebst den parallelen auB Surüri ab. Man wird den eindruk empfangen, daB das werk jeden fals eines der tüchtigsten auf diesem gebiete ist; hof- fentlich findet sich bald ein volständiges exemplar des selben. 10] _n cata As lé T cb ré mel (80v) auf af Duff dus 4e, à Ji as Li De Yb uEe Us) 3) Le LE aicle EL >? Re LSJ9J ar ris h Re Dis ne met LI: ol de qe op rx CPL ne LT su vergleiche man Surüri: sl, Che J - de Lu) se s' : ja Jeless ‘ui l ie ui aicle, SES Eur y 3, ÿle; G, u, at L (29 oi, Li ss ans Sa, nf L CB 20) rs nähere sehe man in der folgenden beilage zu den quellen des Surû a) b) mein zusaz, wie hinfort alles ein geklammerte c) meiner aufigabe XVIII, 81 nebst dem verse, wie weiter immer d) Cod. CEA 285 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 26 Die, Al CET UT d'os EL, GT QAR : ni Joe Ji Ji Je Css “| Fe ob Le 29 ès late oui sb 11] SUN TE Dee FT Men us Al (10v) js L JHEDTe aa (si 1er aa, re Ces SoaaT (69) Cul Joatue fJél GLS; ÿle > JU, y 137. Sig re sat SE Poil Je, 55 gl (51) CRIE Gran SL TA] Lis : un Jin ë Le 5 JO JEb (sje pl FE us Mo us D Je: NS 14] é a Gps Jil sp cylles (305 er (81v) af QUL sé le Oh és G be, au os pr?» sls pe ‘ yrhës cpl sb, ps > ul, [Vgl. Suràri s. v. ol: Us ee “ » oi SR IL gs Dés db Eu je Os dlese ss as çpb ls gs fes 5, as] 3 JS JS Jus Jus) pbs op Jil &b le Vgl. zu $ 46. 15] Ejl nie J;l >> is Je JE (635 JR cu a a El sl 3 ob QE AE af LLo ii, JE Eure sl Cape SI üb L; el cul Gb JE SUB pee EU 5 [as] te “fl ot iles el is ble, » pl a pb L ons 1 US cpl hs, els CT un ip of Jus (si Ge Fe CPE Cp pis Cl ) Cod. À ART f) sic ff) die lezte halbe zeile diser seite ist Pi gelaBen, doch scheint nichts zu felen g) XIII, 34 ) Cod. A ja Tome XXXII. NT | Dazu wolle man vergleichen, waB Surüri sagt: as ls op Le Li af ile ABRIS RCE Op F5) Hu 0 ‘sl L,s, sb (pri : jai H$ tel el aie (sl ME ob, cyuus EL “) J?s ‘Lol, P'ARRER AT «ls Lila its CRE <'aiee5 Las El à els CETD Qle JKil Ubs af 4 nr LS" 3e LOU gl so Ci af CEE Gel fes Ca) PA RP Xl, #) oh J or pb éL 2) rs gs Cul odelé ps Lil y je L'ue ui SUP A NE CRAN ro ro D AT Je" Bel Bus, pl SDS 5 Qi pbs yes Das selbe widerholt Su‘üri I, 114v.] 16] 5) Lie 0 del as one at Gin Ca) Jonme 5,99 17] es pi Je Up Sil é* pi) (74) SR L° Ode het Cu (oh El pi) SE Qu ‘ NA T 23) » Ysdil 5 3, Jéb ol pole > Sp Ge pr gris pl ES 5) uée 2» Jai Ji lue Cols 18] 6,bs n3 rs em] Jjl DE Qes > bi él) (55v) Sn tie ék) "GIE yes ALP L 19] r£ Jos 4, ok dub œb au al (95) ARR Gr A er : Ca af jbl nos Lui 5 L LS aie a) Se LES ‘pl XV,118 #) nach Su‘üri gehrt der vers dem | as 1) Cod. Çyleys m) XVII, 54 mn) XV, 74, wo zu corri- gieren. o) so schrib ich für ÇyLb;,, Cod. nach der ‘Lakhnauer lithographie des diväns p. 346 und Surüri 19 287 Bulletin de l’Académie Impériale 2ss Ob5baé, 3,5 Dre Poe j] CRBENS She L JEb OÙ awspb af 5 uilise vue aus Li M gl= Le) dl, [Dazu vergleiche man wiederum den Surüri: age cp C5 ve «sLs JIs pus Cofeu st Rs Dies laut UE, Et PA DR hs Ga ue $ Aus D ob Luis, JS Gluw, 5% EL r£ Ole JS à Ch Ge LA, cul is Dr lomelien dla. nf [UAS aus Up ef pl ube aS ose) Go es uen» # jab < CT ÉL (83) e= of JÜl, le J, üLE JS sS ol, sb Ph afro Er 21] r£ bout JS 555 use) 0r O6) dis ‘ À, # VU» Die) Vie LA es a on LÉ, ge pe Jéb le wub ps * él ob EL D ès pol) Qui Le L ob 35 cpl 59 ae) spé Dé pus ab : es 09 IS Le il ob» C6 ES dE OT Ci,‘ 5 Hg ob LES ose a af Le pile ii 2f Ho DRE a nr OBS af sil ru) et (11) : | ES 3,5) LT ob5les, HS Ce lp > ülw, sil. LÉ, 23] äbils, élisf pli Css Ce dll (96) ki, gui Le es à Cul of 1 (sb af LT Safe‘ ais LT ob5las, ne aile Hb 5135 p) ÇsJ> Cod. g) 75,u1 vers 54 r) add. | |, Cod. s) (s98 Sur.; solte die eine oder die andere lesart den dichter- #) VII, 2 ” namen des genanten autors bieten? +) vel. &5 «freudenruf» 24] Cu abôas fo à els» cb É® a (96) DES Cæ cpl li,» 2 Je) vhs » af Lx $ cols hoc. pl! ° 3} Lu RE à LEE F en v!) Uyrse LI ‘2,1 b", LE je à pe L 4 C9 de? S Cum > ad me A oi De 2 25] je : Cas aùf ep JE dif JL (27v) LU nn ne É k, : 5 $ &* obus si + Ce xs a Œ Exue af LE me Us FR dl |Dazu vergleiche man Surüri: er Je Cp des" (pui ne el LI de: ai fu ES ls ub »$ GE ge Jil 05] des > JE Ca JL CRE _. Yet 425 D] ul : jai LE | Ji nn JU os: waB Su‘üri I, 202 gibt, ist ganz confus.] 267 5» > sb volels Ji 5 é, éb el le de ho, 0 j9) J abie, os à % LS Uni M eh tés] a 5 la 59 405p ele (97) Caire 5] 3 plus, a: Je cp 5) Ur eo) ve Pr ub, as af an Ve Qui ali lus, Us? u) Cod. J£ uu) im Cod. eine lücke, ich entneme das wort dem Sur. und der lithogr. auBigabe des diväns, Teheran |[Pef”, fol. 52 w) sie, vgl. LS] BJ} bei Fachri XI,19 a) Cod. y) XV, 56 b) XX, 183 a) Das ordnungswort felt im Cod. 289 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 290 28] «bslse 5 Je pol] je pre) D Li etes (97) SL, Cuigl sl gen ele Ce PE D aJ} sy) ju 53b o5ls* af JS à [Danach heifit es bei Surüri: ue as °c 5) pollue pe Le JEb Las 5, pese Es jo eoleu Cu55b ; 3 QE os a 6553 > ACIER > Je AS p gr pire el Le culs cassé Ce cuil, st fs bises de nil est AS gi te es UE A ele à 0 Lisa 0 Sa ls LE Cysl ols® Fe ADR à Jupe Line ae 5 : ja eme Lu Eee BL LS & D, EL MSA branle td sliet vil à La ol ol La (bu cp le Ji lee dat Lis Juil diols pu (210 CIE je iv en Ur Ule ‘5 à old : Cu af, Cuylss &ole pe 4 0253) 3 ‘ 9] LU) 30] hab as a aber ss coll le (58) srËf Je Les € 2 5lys als Le sel € clé el sd oo be Sas 31] Hp Ds LS | er CR a (17v) os si, Us> : : Lun as (55 LE CLTE 29 ot Si] Eggs juil JL, is ulis as 327 a (open ele 85 ie 2p Cuës Sp (175) EL QU Ge a tb vil Jel Euéss à : Le Cunsles je Je astres Le Lit €) man lese mit Sur. Qu“ d) Elus Cod. dd) vgl. Ferh. Raë. I, 224,6 e) VII, 66 f) die leztere erklärung ist ka logisch richtig, vgl. aw. paitiwaca instr. ys. 21, 4 9) jh, Jp cos pl 33] gr Le y txt» pe >, le EL (6v) RER DUR il af, ob 5, Geo af À) 34] GI : Ce af lise 0 f 1, Joss él, (57) Ce 515 Lilo, Usb La GLS ob 851. 55 CA: os Ed & S le sle ob CE (7) J?s ab; SL ste 2 J29 ah; jers ce is re 36] 0» sil dé . im — (56%) bre Cu auf Elise JU Li » JL, Hp) «4, Sale Au ll ses NE Lie a nat ou dt ls Ole 5} af sb ob Ês ff ar Un pp A Ce af ll re us LU ETS tra 22 sd Us se Je 01 af Caulasq LR à Eu) lé: [Vgl. Surûrt: (ob Cie ob, 45 Le. as All 55,5) » G js QT 3 D 3 ddl ob QT S'&ss me vb de É Les ia SUR ER DIS AS GE gi 5 SD et 082 po> Cite PE ls us dope D JS Vo 92 3) sol Fm Fe Lee ie Ph sde tale us Ci fous 55 ste Jul cle so af alé, ass 37] lp RES da ro £, Ébs5 8 À lyepl Le, : si. h) XV, 54; auch der vers ist von Fachri, und daher im pr se Ji zu streichen, wie späterhin üfters : 80 Sur., J und Cod. k) XV, 2 1) sic ÿ) so Sur, p Cod. | 19* > L Ds a Les af D (54) : : k Bulletin de l’Académie Impériale oeb 51 af Jil Gett Gp af auf nb es "US ep 38] Lie ob 4Ls 58 Jil ale ca ste JS (65) JL a°* lis si D EE af Este DEL ef QUES D of be Li ue > Lusl © Gus Go se CS ON (ele Un is : Cu sb, ol ES et; ble Co Uel ss, pes af (snif JS UYee D ho ni J Le ut : HS se Cage JG : ce Loi Jéel, ol 9 IL ple* É D Lu #) al ebi üle [: Le] a pe HS le dur Uno 1e en pou 39] slbe Fe M # di DE es > (29) ni ne Fe Fe AR unis PAT Je "ls ple Gba PS or OL 5 Us ‘ Las ple AP PAT a eLe So} Fè > É Je" pP55l J3) ü}, CAE ré Cas}e vs p ol JLel, ob Le 5, Gioare ob B 3° id si Er de, J> LS Je Le ETS D ip je9 PSS Pis, 407 5, ile QT 3 C5 lue Cuuéye Je (70) Jlu ge ST: Cu af ele ue Tsluëils Li m) fast würtlich eben so XIV,7 n) d. h. der herbst 0) 5h, Cod. _ lis PP p) es ist wol 4, zu lesen pp) r Ferh. Gih. q) sic, das wort findet sich in keinem würterbuche; vgl. aber im ee Ule »,> (das citat verdanke ich hrn. mag. Zukovski): ne lé 5 € ru ‘Je >p$ ol) ESA Jre on JS JL oki 41] as "sr QU“ Jl, ds dis _ (7v) ee wife Us. : Lists su 42] père À] et as “ 5,)> us Je Ji (70v) : cs SS RS È ce ES A r& els Ne Se en 5 Je nu, ai oi 1 JL, HS a.xb) ge" » JL Ls, OB, ÿË 2) af 5 Lo Joe ALES PARENT 5) ,. cs Je : Une us He af D fee sms Se Lies : et eee Cd 43] ik ES Cole De pe her ES (670) D dif OULs js, Cul Eisf af oil af am A juil sil ST à Le af Gus if She ue Os (sys ab À ce où aDl oki Lie ei ges &l Le fes] af oelé ssl 35 AU, ss "ss one ‘gs ouil a Le, JS je fur ET db 2? Le af, pe Us 55 Eee Us où sf fs nf 55 JL al un Joy cp Jb auf an, nf élubis Ce a gb 7 Te F . LL … ie à - «lb, Ts LS 24Ep ere $ «sole "A 0 pcs af ul Ps Se “en MTL, EX PAS Vel. Fh. Gih. s. v.; Sur. schreibt allés, waB bei ByxaroBe «KyauxB» d. i. scolopax bedeutet. r) der sin des verses ist mir verborgen +7 t) lis beide male (LL auch schreibt die hds. das lezte wort w) XII, 40 s) III, 46 des verses Je des Sciences de Saint-Pétersbourg. 294 45] af (5 paie by Up Ji li Ji: (70v) Je, Ds À Sup ol D*70J) übbs p : Lu sul [Vel: Surüri 8. v. JL : oui Que rer 5... “af Des ue Of do Gui, dE js reel Qns pb Le JS QE, a xs aber: cpu fi 5 oJsse (sb Ok Le ce» Ke Les os lb ali 55, 467 pès 5) af JE Ge J5l 23l> Que de ue (77) » üls CT re 029 55 js 5 axif Ébisie DT be Like 92 02) vas » ‘ pbs ie af do jl ol da) af, DEL Je Re A ER 2 one, ? RE Ce af QUE, il a, Loges Jél el, ple: ul, rs "ns pls es bis Oh: ds à HER es Hil; ask, 029) 5) af" >) lee ps ee Ds b Ls Sri SR an A à af (5 puis JS Le, ‘ y ül [Der zweite paragraph scheint in der handschrift gekürzt zu sein, wenn wir a. s worten per schenken dürfen: sel Ji JD LR Car Œb, à ds >] 47] a Joe elésuis cpl Me Cul G x vis (48) Pa, pe JË Ji: ol Jo 53 Cu ANS C5 ne Ln> 42 Sol Ji Je JE" vel 25 ur a Ja) sus ee Jl ou Li > ol Jlel, 392, v) XVI, 18 wo ich auB den dort an gefürten gründen JE ge- drukt habe w) so schreibe ich für Ds Le Cod. mit Sur., welcher überdif Fe LS7 hat und das dritte und sechste . s] 2 3 weg läft; auBerdem gibt er die glosse: Ji À A JS }, se les LS ce38 DrhËs Pa vel. zu $ æ) sic ver) so! UE en “re 1 ci JI5 Ji > 4 ?] >» ab Le Lls fr ss sd Joss pe He Lo: ole Ga | DS Ce Ai ME pd “lis, 29 CRE Ua € A 9 sr ni 8 [Surüri sagt ganz richtig: Cisss ob, à Ds Candy jo 452 Ji, vel. unten $ 49.] 48]. > af 5 di... JB y pis ob (21) 33-60 Lé Lil; D SJ pre “Hs cles FA Sn Jet Je dl + ‘Jb y &b je 26 JL pere JL æb y af le L 5 & UT AT Ru Couits ‘pbes le :08 Den el L, ul Je ol Jssle LS JEb Se 5 > pl Y, Eu ee Ji Ge of fl L, Sec dlss dle 2 Cle ge H) OS Le Ji, JIs 9% JD Jëb JIs sb Ja, Jle ÿle Gé coulé Ds 5: Lu auf y) y Cod. 2 #0, cr Sur, aa) In seinem rock à), Une D» re JE (H. Ch. IT, 108 nr. 4614; hds. der Universitätsbibliothek nr. 86, fol. 68) komt Saraf addin (ï AOA) bei dem namen € 9} 5 auf den unterschid der beiden laute zu sprechen: PAIE) PR Cal JD UP» are ED agile Css Jesus Del ess JS D? ds du} a, (+ HA Sprenger 1743 vgl. 5,81) | yesb DE lai :) Q2% op Si > H. Ch) y U29J€ LS SH) of 5) Jess Ji: &sl J> L rl, SEPETET del OI oui & all, pl del el 55 af Lt, sable: ul 1) >yi 0) 45 fs LD) y) Su) Je Jl> œl gt € à 5! Jéle as] a 5» el PE ul AR pére JI | és >» JF: dus ie al) 3 cb ÉJE ‘Jh, Jl> y y) sr Dés Ce. ce us) mit der variante im lezten verse JIs des 80 Vafài hätte sich über den verfaBer diser verse genauer auB drücken sollen.. 295 Bulletin de l’Académie Impériale ie Lil 55,5) Gin: Case lil 235 Of af ue 5] JI5 de Gb a 3, vil Jh : SEL Qsee JP | mes *? 49] Ex Lin y Vip er vi (481) 00) ns ia ES ce ae JEU Te en, _ Tr De +, 51] 039, ou Ês re . re ke ee 52] Al» ie _ Pb he C5 (9) Clos Cioy a Cal Re 25 Us ei f pbel PR Gel) ,5 Le ! De» Gasels las Cuies 5, Fe El, : ee ee AREA ENT RS PSE EUR RAR Ÿ ne Sois" JS ge Ps fes Jai DI af 59 (yes me 5 Cs;, 3! op LE Gil SL, 2e (sms Éce2, 29 | de a Cégelo pe Uys Es y me > L CS Jynbe Ceby, Cf (jte Cf > Ve sb 5 Ge, 5 pb LI LL sl QU, J> als, del 3999 0 0% j | Se 5 Li at cs) ME a € 29 sd Du boot hs Jaies ss 2h af él L'Ue Lulif af Lo man Essen, Sos L as ue L'opeyis Cuilas; Mb ojste He Loue, SR se pe De à. rs or) Ve mb En e > L ol Je Lin 31 5 DLS code el, De cslyies Co); ee Rate ka ble he Je SS,) LG 5 Cam, Cul Li el a el 5 65, : del A Cal ca > D all P DES b) Y=* Cod. worte weiB ich nicht zu beBern c) lücke d) vgl, #b im lexicon e) IT, 42 dd) dise f) sic, vgl. Sur, [Dazu vgl. Surüri, dessen text etwaB ab weichts | Pb colo Bi cpl RE ae 55, un 3, (pus dE > a hlsps Gb vb Pull ae unis pal Col, és, Cul Re 05 GE Qui SE 52 JP cpds Cafe a jp af Co, ls Jés ‘di St: af, soc dl LS our éreiS s* en je, Col, Sù Ule t Gs [SL de jé Cas, Cas), Li af HS SL, 29 Gsm Goes ps Jui 5) » se Cons 29 Gpbles 2 FL ssl, 59 r£ gl Ji (sage PS JS D D ARR geo le U3> Uy>s 2 pl Hi DR cel et JE Jotie ee Jal PR of D EE JE. LS“ LAS lb ; > hs sa RE eruis) lus hip Jai ne PR A ce: as pe 6 spa Cab); José Llb ee (6, 5h, 2S° 'aa]le és 0 al Ce “15 DE) (55 JR sloëe ls D 358 «op lui se Of 37° ns af 4) so 919 oi lun ,5] sr cab Jel 2, Casilée Je A SR TER Cup dels af Obs ll D dt SEE R tn El 5 )) ms Cp slot Lines on nf es se Lsol U CH >p 5l Elo) FE peLal, 0292 lelsf y) a Juge 21 29 ue 6 que L'ULES, Cas, de al Cégusré 9) > Ci fe Ed UT) af 1; n° Lab AUS, 2p of Gluzs 5 CG of us JS > JU LS US 5 af Quwlele 2329 L, 59 Qu ge LAS of ol üle D, Cul Les of by Pi ue: Cu jp 3 La, 5 pi 7) ol Cod. h) djjf Cod JS 5 Cable ah À ae KL so ge, gel L pe ef of Al, Je. 296 297 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 29s In der Risäla i Mirzà lautet der artikel volständig auf fol. 78 (ich beBere offenbare schreibfeler): Hb oi mé 25 Sas Jlebus Get Ci uw Le? feel 3! 5 1 Les Dale 3 Cle | de als pb peLol, où ps PS Ulées is (62 o29) 42 28 cp D olé Lu Lif, av, | H$, Céqué 3l md ax fs nn #5 02 fre op uns ab 1 LS of Ulis 5 CR Kite OT Fess eble LS SI TA] a clele 33e, Les d};) 1,1 AS Us mis üle Ds ul L La] | akll, 2 pre = 5) LR Cale jl L pères HS Cul 23e (ya > je Lee ls vis Co Hüren wir noch den Farüki (Mus. As. nr. 473 fol. 102): 5h Gui rl, une pli le 4 het af 8) A ul el or |, pi peLl, >p ve are I) 53]: HF Cat-der, pa 1) Xl as 5) (84) dot Ut U e O OU Jis, apte > be sl af onsfe als LT DLSLeS JS 3) y) L£s : Lu auf 1 r& ne ob * y Ulis 5 “ob 54] ol al Se op Os és di ge Les (66) Se je il O5 pis éb Les af" Qi OP US émut DJS a je 1 (60) AS | jou Ji) ü! Je, és NS ATe hr É» Came Cod. sic À) 03% 9 075 Cod. D {3/,> Cod. m) XV, 135; leider hat auch Vafài den in meinen drei hds. felenden vers nicht an gefürt gs AN Late De ENST à Lu af axf el, vs ge JS pr : Ji 5,2) "OL clos ea FPE œb b UE CT PS DPI ET psy Can) Cu Gb Dydiat pole Rd us ER jme 5, as] Lu ul 5] RS RP g Les : Lo HS js | L'obe, Cul Qi pe: JL; à) Ule ce PAG J af sylme pylae Use UlsLl As A jo 5 vif anis Gé D ON Une di sl L: a ol Te) “ > LUG:; JS) Je) luble 4 Oil) ie L » cb sr Uÿ uk Lel, jF. RÉRT ER D op af, JL; DRE 3 Haba 56] és S Jb LS 5) 518, jne 43 515 (400) LE of af af 58 Qui Je Ge 5 ob] Sun F3) » culs HS: Ce af osent CU LES 515 ge O5 af us Le jrs *PULyS515 Que E 7] af 5 Jéb obus, ob Has e> ‘ ULs obfes af ose a Vi? Mb 515 (ou ‘ obiess Dis Lel 57] Si “cites af 6l “_$L JE à (18v) ULe ob p Je ‘JE, «015 jp in us aS Ji; el abiS sb AS Qen >, SÉ Gin ul buis 368% 5 Gb ul Uopes [Auf disen paragraphen bezieht sich Surüri, und Ce ci. dsl, nach im Raëid.] 58] LT, D je 2 295 af onf LT 85 (59) US Joe Jul 5Les y Le sil ait Gunuis n) Cod. beide male [y 0)X,3 ») lys Cod. q) Si 55L Cod. und Surüri II, 49vV #) al 5 Cod. sis a Ji, Su, 5) mia und y Cod. t) dise worte mülen zu dem artikel J ÿ gehôren, dessen anfang au gefallen, denn die über- schrift lautet Cu) € 2) 32 o) j js?» r° Je, wärend in der hds. nur ein $ bezeichnet ist 299 Bulletin de lFAcadémie Impériale gbi'y ae Li Ge EL Ab ol : Le af Nes _ nil «oui QG 59] pu D et 2e 2 a nf LT LES (84v) a 25 D $ PJ 5Leé ae OST sus, pe OR Ni te Short, Le: rer 60] Les Je es 2 J5l ub os» f b,L. (78) let Lo) obb: A QE Re | RAS SATÉ 5.) 3) pis cp) dbl, >Les gl Mr us y “ar ÿc ol ecbs Cle, Cu JY; 22 rl p> JD 9) P plan cn; cul ef ele HU OÿL ou De. pol LE À due, rnnl ER NU us ob La) [DiB ganze citat bietet auch Surüri, one den Vañfài zu nennen|. 617 Sa "5 je SEL oteyl 85 * (15) 62] : Cu af [jee Jéb ail AR JR (71) ré » ? bb 27) ss übs j]l o ah übs Jé > Ob5 51 (sumel Lise, cel 56 LS Ejars Ro he Obs 5 9 3) Ulusl ls Le: cu af 15 af af sis Je Ul : PEL CR LI Jus Cu cp) uk Eu es DE a ose. Ji. MS plséls Ls Jel,s ébs 5] : : Lu 09) pie for vnvile Jus bi 5 + Jeu Li sp] plis pel Mi 63] D Al LL js af F sl ot (52v) Lee >, S$ ie ob; Leë 5, ples o JUS Ge EL ae os ol: te as) sil 5 His Dre w) «waf hast du mit deinem verträglichen charakter an gefangen, waB ist mit dir geschehen ?» v) 1,95 Cod. w) sic æ) der das rs felt y} sic! 2) cf. Pertsch, Arab. III, 461 V, 41 b) so corrigiere ich nach Sur. für das verlesene I ne Le Cod. c) sic, Fe Sur, > cett. f) Sur., (El, Cod. 64] ,55 vil Res 815 op ob 13 se ‘Lis dé SJ Ce: [Surüri: ob pb Pb Dé Doit 3 JMS 5 +. Las D és, Sul us en DE Qui Le db cpées sb di (32 pes Las me AE ar sl ER Lists J> A ie af ce Ls},5 af de [Suräri: tel 5 po os (ob Car Qolis 45 0, gyees : Cu dif, Jilo plie 66] 55 p3> Canèye pl J5l 555 (jme ae LES (49) as LE pl sie Ch le 5] 2 Un PP Jbsës Oo ‘ob Toi Jls cbr dé a ortell gl 9 ès, is SEA os à‘ ls vis ité CE ae à ge dl Sp uit afaf Mo its: Din pdf [Surûri: *:"" Cum e rl PE ss 5, ....] 67] af à L pr 5) x SOLS pi pr pi (75 jues-Me Cha HS sb olebT ;5 LT JL Cas pu S ne je sp, RS pos Cu Je Cup pri ie 5Ub 68] CS pp: Co af Gp s0 bi sé 63) Fe ad Le V as di ee We ‘os, S?* Tr d) bol Cod., aber vorauf geht o ne Le e) VIII, 129 9) QU 8 y Cod. h) XII, 61 î) man beachte die altertümliche construction > für ph; da schon voran gegangen; der zweite haïbvers felt im Cod., k) so Cod., waB ich nicht verstehe, Sur. hat J& Cy n par, ; villeicht ist at zu lesen (?) ein er ist nach Sur. suppliert des Sciences de Saint-Pétersbourg. Hey Cap 5) 69] us, jh ES J3l 25 Lime 9 pl (78v) Den a es de ne se abelàs Jil FRERE à all] ets JD KP 4 Cum Qams j) dE 6 ,,lL, il aise ous 5) af oi él &le all Je 5 & eus Li: Ce paf us Eu) Qu ge Ci] 3) ur a LS J 99 LE p oe Fe So5,9 5 70] She cel lbs 4 gb Lie Li (67) Es CE D Hilo) JD Vu“ D a Rae Less pate a sde uses cb: as Le ie Ko Gene Hs Css Of Ju Hs L: V2 le ou at de Ge dauu APE RS ê! eus à5 : Ca Fil af, phil ds be balkl,brobz Has af Jéb aus C5, Buell 71] y ol à 4h oil Gus cui (6) LE ce] af fs nf Pour LT lil, rb oo ST GLS EC gs aber fus, 79 af S,, nf L Gb SEAL ? si PE Co >» ‘JL » “af Se Ce gs dl oi ee ol, AS af 6 5 ui sh se) à 7 sk, nt 73] 35e Jioge LL 555 do &owf5s (43) im) Su‘, welcher den vers dem ci |, aus (Halimi und Raëid LS2 jus) Zu schreibt, hat wie dise LS 32 n) XV, 121 p) haras lautgesezlich auB farasb q) zu lesen farsab! 1) sic o) sic r) der Cod. hat durchgängig , ER se vorauf geht JP 5,9 ( #8) s) -- gemefen anstat --* t) VII Tome XXXII He RAR ‘ 3] 74] GS Qui LI Cul ous Ejar seb (24) t 2) Dies : Lay dif, Cal alsan 5,45 df 75] af 5 5 pet 5p sb ef LS bé (13%) A one mb lille pot 05.1 767 "br CI Le, Ci, 5 . (33v) un oo pe fuit coulits Cl (ple ‘Dr D 15,8 Jel oil Le «is Jb Jp fe [Surüri: ks 51e pes ls PE ns és 5 S, K Causlo s C5 ,; danach auch Su‘üri. | 77] 2 LL ok x né se du a Le Fe de > de CD de ÿ* Fos Eye SL üB 5 ces lès CE FE 78] des ahüaw fs Cul,e, abiél Gb à LS (5x) Safe SL üles JUI (G5LE, sb [Surûri: uÿl,s L ë Us nil lue ét j5 JS ss Obs je Gb, Ep, dl 2 f 3 2 Ge 79P 1 Pia Lei pos (83) Eh œl ue es Sn à Le up ‘élr: Ce dif, on Less [Citiert von Surüri.] u) X,11 sonst el; v) Ks3 Cod, aber das einmal punktierte heilt hier w) VII, 26 æ)IV,13 y sic, lis La) zweite bedeutung felt in allen übrigen lexicis z) dise a) Yle Cod, villeïcht für ->= (5? b) VII, 122 20 … Bulletin de l’Académie Impériale 80] Oi* DJS 5 S syS L Léo CE Ja Jsie Ubiles LT, 35 Jeb Lui OLS ose ‘6 LOL sl, L'olS oe : Cas dif. (Dge nl GÉFR] JL DES Jilus 81] Dh 5509 ee sat day 591 ss (849) aÉ, js dimwe IT af pos DE y JS 2 “a LS92 : Cu ax, xeb oui Las sb LT Hub 827 58 D» vb EE A US (54V) DH a, uS bib; és a, JS ls dé, 5 al si LT oblicl pas, ils le Se PAT Un à Su alpes by: oeuf, “JS pH pl 83] Us Sul (xs Jjl >> (se s DNPR (88v) Uble, ne 5 Dé ul ab © LR ol ,5b5 &s ST Uose Obl js Luis bo où 25 ss ut Lun ul, af JL AR 3e 5 SC abäi,s ed Fer on ue, dsl Dal 5} a 5 & be dus: LB CS ln JS Que 5) aus LT, El sul 84] Lil jee op af élis db el 7 (80) Qball jf 535 lus Cul 585, oil af, is, xs D! P° ve JS 8515, Csisils ee : Le af Cle pe gril lue ue élis y élaf| dla à Cu af, oo pi le pr €) YU sl Cod., vgl. die genauere beschreibung bei Injûü, dessen die correctur bestätigt; bei Sur., der disen paragraphen vol- … ständig an fürt, ist das wort auf gelaBen d) w% Cod. e) VIII, 78 f) sic, PS Sur. g) sic, #b Sur.; leztere form ist richtig und noch jezt M (täpu)} #KykoBckiñ, Marepiazsi I, 90 (noch nicht erschin h) so schreibe ich zwei- felnd für 539> Cod. i) XVII, #. steht Des wie auch die beiden neuen hdss. lesen Æ) corr. auf Se denn vorauf geht ein l) den zweiïten halbvers verstehe ich nicht ganz | lis «die trockenen stücke»?), habe auch sonst wo den vers nicht finden kônnen »} XVII, 60 anderes 85] ie: d: JS sde bic JS (35) Si Clynus LT Us Bol js SE Jos D DS Cab 5 86] a (spl _S Jéb nb, vis el, LS (80) ess 5) D ‘br 2 Fan ay Gb ë : Ca Jentne 5 LPC ee PI DE ps 2 >B p js SR ce 87] & Jib Ebke, ls ds} ME ps Je ie (35) JR lue Qu : Ce af ele ce de tu Cunlals D 53 F2 is p 5 JS Less uLig : &)9 RÉ L5 dur 3 S Qgett Si Le pull LT a adsl als 0 », du ee al (ps JL Lol JE se 9 AU ob yep 4 Re Le] ©, Je) A pale ml A. sLs) 5 ke ol 4%) (SJS Us f RE pb of Jnf Lém 53 Se Lil Se fe ‘#4 FE e] #$ D pl Le led Ge le: Gr ps 25) rés OÙ Up ‘uso "Es ue sb EST JAP UE SA é” af SEL ui out Mile Glen ae sf ls Ub sv Fe 5 jf D mr À aS >) Fu en [Die lezte bedeutung citiert Surûrt unter 93 8. $ 85.] 60 « 887 Cul (55e dS olipsie cp Se is 00 pla ge Doll si Gps 5) vil «el Jé af (sus ass ob JF ie JéL J af >yüe pbs db © J> Gi L 5 SH 5 Q8 po : Ce n) waB mit disen schriftzügen, die ganz deutlich da stehn, zu beginnen ist, weiB ich nicht; sie werden doch wol kaum zu dem folgenden namen gehôren, welcher übrigens an Faonren stellen des Cod. mit 3 geschriben ist à Cl oJù Elyse Cod. corri- giert nach Sur. u a J> LU > à) cale né sic 305 des Sciences de Saint - Pétersbourg. üj Us> élis # 0 PO PER EU b prit Laë ss Lles jiy) (50) 00): nb fs El Re Te al (24) af se Re AE dal > [: Ce] a, HS js Lol 35b 35 4 >p 917 Do: Cu af (just JE Cf Ujése (90v) on Lei ul Uièse 41 Jire ‘oil 585 Le db LS 2) Caslus «5e a D fe sors Je 9) DH Qui Use, © Ujése …… lite if Cu ouf QE a D fe SE JS [Vgl. Surüri: huste: JA] UE Gb, Es p, GE sb és db LP: et Uë sic Ps Cu tab [él US » LS 92] ie rene ple lésle äyste (55) Pr te D Gestes De CE ab 2: Ce a ul : " * A AVE - à 9 , +) Q) 89] Ca Ne on EL, SE ‘aS 59 4 3 Lys ebG6)|. YA 39 Us Cu) db store a bites eo” af 55 522 ‘ él, Jo 7 uses ef es à Ce af ip Pair ëLe; 5L 5 94] Cal ju pre er. a Jo FE (43) pl Us ce LE Rs ME rl Cplie be fe Jr Lil he ?) XVIIE, 122 q) VIT r) diser vers gehôrt aber dem Sams i Fachri XVIII, 132, . müfen die beiden namen um ge- stellt werden; auferdem ist nach der angabe SurürŸs für die ersten beiden Ç(,y;Ë5,e zu lesen JE y (+), und für JŸ + um gekert C5 (8), so daB die lesart « dem Vafài gehôrt (das wort steht zwischen Us pe und Use) 6 dem Fachri, und Qlé Ce (7) dem Sams i Kaëmiri s)s0 t) as Le uw) wol és rossschweif oder federbusch an der fane » +) V, 34 [Surûri: Cuuxs 33 ab » » sw 5 ne # NE DE de ci 0 95] gs LT Obs à op AG Jeé (73) dia OEj, nf [oder &5?] 96] "255 S JE (aûge Ji 5315 (ins 5 35 (417) re» ef vbs LT ob, sel ais vbs DR ppE: Ce 6 QU y ses LD EN FT Gelée D pp pe ‘obe il nil x A dust 4 dont ds Lou 35)5 Hi [Dazu bemerkt Surûri: (aoge (as ls es Des Las ss LT af auf, el 35 ul af cis ls Cmdjie Jos EP 2 } LJ Sa 5 ls okÆ [oseLs Us L asus Éd | “ 35L 078 nes sos RUN «le * Pi (80) pp pi: Ce GS (spi sf ol LT 4, ES RU ob el si 98] cp ON De 5 pige Jai Cd Opens Gui (91) ‘(se cles ne.» il Ge lg : Ce auf Jo) Gris Je Lo, opus Jr ses fe ss nn 5 cs a le br Le Seurs d'a w) vel. XVI, 43, wo zu lesen Lol Ji] (set y 32 » Jl,s æ) ich müchte y) lesen y) dennoch hat Vafài recht, da das wort «baumschule» bedeute; one auf die analogie von > und ; L (lezteres auB *paradaiza = rapadercas On; nicht aw. pairidaëza: de Lagarde, Armen. Studien $ 1878) gewicht legen zu wollen, sehe ich im ersten elemente des wortes einen ver- wandten von €_aux” Pwufubh, im zweiten etwa von © 5 aêsma? | 2) sic, vel. XVII, 61 20* 307 Bulletin de l’Académie Impériale 308 Dre. se Ds ne: Ms PE tn de gl CUT PAS plie 021,5 5) Gel Ji 5,2 pp Je 15 (3) 0 sg JP DURS folgt eine lücke von sechs zeilen Ho pSes EL 35 Us Ho pe ps (919) as ne DS: dl ob ce Je op se: Sn à [Surüri: el 5 95 pu Car Cols du 5,....] 101] 5,2: En ee cire ENT su (68v) Lai 2] of» élit; JL, #b 205 pr 5,8 OSSI, aa is Je Le, Hs, — Lu [Beide werden von Surüri genant.| B. Fol. 98—130v enthalten ein geographisch-kosmo- graphisches werk one anfang und ende. AuB der ver- gleichung mit der von Rieu I, 421° erwänten hand- schrift des Asiatischen Museums (vgl. Mél. Asiat. IV, 54 nr. 8)” erweist sich, daB wir hier das selbe werk vor a) so ist der vers nicht zu scandieren, man lese mit Sur: S : L Élus lÉ #) Jo si] ; 3] & €) JP Cod. im C; 2 ; die ableitung von : ,xags steht fest 3, bec. 19 X 12,5. 229 fol. 14 lin, à 5,5 (biB fol. te und 7,175 (die frite fol. 86 das datum der abschrift |sr64., — beginnt mitten im satze ein änliches werk, welches ce gs 188y—229 in alphabetischer ordnung geographische namen erklärt. Der titel des selben findet sich fol. 188v: _— en A de E b) auch diser vers ist verdorben des {y © Vu she CAPE us #1 al Lebe sHlute b, uns haben, dessen verfaBer sich freilich nicht nennt, welches aber nach einer schon von Rieu benuzten notiz (cod. Mus. As. fol: 6v) im ae VrCA A (üley ol Gba Ds :) nl &le , ” le dj ) verfalit Aie Rides ein geteilt ist (M fol. 2v): und folgender J'Y FU 4 Jj di Jes > » sa di Lol olUb U2£9 Job CS j2e Oo) Celue (M fol. Re elr djjl Los a Le, JA Lis ETS SUIS ri Jes (fol. 9v) sic ad) , Jil est 55 pe Jsl des es is » Je ps OL (fol. 16) und so weiter IT (fol. 28v), IIL (fol. 35), IV (fol. 57), V (fol. D (fol. 75v) und En Cybe, Clg el pds! DS > pe Je lus ei, Dos Ye Je Cases JL 5) msll plel dl, JUN Jus Lbs y 51 Due LB, cul (fol. 78) Die Pariser handschrift (P) beginnt im 2-ten fasl des Il-ten bâb mit den worten (ich entneme M fol. 32 den anfang des satzes): Do) Ps El y Lu ne as NOË JiasslS el Le er É- af pl LS 99 ESS gl pôl, &l, 55%. Ur® Je pl 09] SL US Lys 56, LS ES Jle Ua jee Cul 533 Le 5, Lui, yue Ft a (slt cl 029? Qt ae ER pl UM ; | Se» ee pole L Uu ail, 5] Ce L oi Lil ef ob sie ete 5e à bai pb, 1e sb las Le dj 9 Ale > I. Ch. IV, 186. Surûri scheint das 7 | werk lou] L»ls° zu nennen: wenigstens findet sich seine notiz unter EL : Rate XL À LS ue ob» 9 ol ul nlse S durch die worte fol. 196v € pp JL Ju F3 Çs Jai ob Gb 3 aS bestätigt. Ein änlich be- titeltes werk hat «s mo) ee verfafit, 8. $ 17 der V. Beilage. — Die beiden handschriften bezeichne ich mit P und M. 309 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 102] &l ge, AE Or Cas ab > Go (cie) Lib, É Jiloste LS Lil ue, 5,15 É2 55 ds, ads, Jusfne [P fol. 98 ob OL, uogte Us le Obs L él ol UD DL DHiygste » se ie we Lil, wie vus 5 Lee (M 82v) Les 5, >p Je @ob > uote UM] L Die übrigen capitel finden sich: (3) fol. 99v., (4) fol. 110v., nur mit Jæ Le] ein geleitet, (5) fol. 120, (6) fol. 122v., (7) fol. 124. Der text bricht hier mit- ten im satze ab: (os) > af) J] ne 45 > cp] Le € ne pbs) Qi (P fol. 129 zeile 10 — M 85 vorlezte zeile), wobei der abschreiïber be- merkt >,/5 «>L3). Zeile 11 ist leer gelaBen. Es folgt auf der selben seite fol. 129,12 —129v ende, nach der notiz 3,/5 Us], ein stük über die stat Ql,& in Jemen auB dem 1-sten fasl des Il-ten bâb (M 26v—27v.,6), welches also ganz an den anfang gehôrt hätte; und auf fol. 130,1 (welche zeile mit 9 Hd , el be Eu yles 9, ils bi 9 Gel 4° 2p él L el SC ls), of 39 J>9 D 4) 97 ps H db af el il y Sol cas sl uk a) Jæ Le] M b) M scbreibt stäts cls 3 <)om.M {) 9 395 M dd)om.P à opb P sb M HSE mine: hom. P ÿæM j #9 ph Jus M HomP D» ») ét G Jels M o) om, P Jus P r) MSP n) 39 jé M q) 9e p) om. " P sil Bulletin de l’Académie Impériale 31? ts, DE his > Jys C0 )) U?? le) LD Obel, is; UE DS Cogë 48 oërs JL, PoiL, 5, *umsf | ous ©, vie, 45 51 am, oil (M 66» ‘» shf “a je és 2 ur du (9 sb LS, Seb, sb ls JE » "2 ul) ds QU, >ye 5 jé L ol 5, ol D LS ve, P16v es, Le, ex 99 #5 pi) Cul Lise oi Jsle je @,2 af so ls b:,s à LL n le Li A is, jp ou, y Sols, Élsislé Csuls CAT CS gilles a ce je cpl af Eu) Css MS DS CR a "ue 9 > Seb L las UJs k eue Jill JL ol Qhs us a Le, dibdig 4 Le 5 me r) Hi M s»9M 9 (3); MP, für il, w) add. sMafP Décor w) 4 M du P hat , né) Usll, > SE Lo Lo pl à >. Herr mag. 5. Olden- burghatte die groBe freundlichkeit dise in den beiden hand- schriften des British Museum (Add. 7704 fol. 66 (A) und Add. 23,545 fol. 70v (B) — vel. Rieu L c.) zu a Nach seiner angabe lesen dise: pale (A L,5)) Ji) (B pl.) go) mn - pi) JUL (A G Mb Pce (A ja Le p“>) r* pré ch Epbul, (B gi) ie (B Rae Lisbon (B ÿ! | L..s);: ich kan nur die folgenden worte entziffern: asem vohû vahiStem asti ustà (ys. 27,14) …jad …japà frjô frjài? ….vañhu- byô? dadad vâstärem (ys. 27,13? Bei diser gelegenheit wil ich be- merken, daB die von dj Je CP NN 4 werke Os] cils SES Schéfer Chrestom. persane I | 4,20) als anfang des von Zoroaster promulgierten buches an gefürte «phrase en Zend tirée du Zendavesta» als solche nicht an erkant werden darf. Sie erklärt sich einfach auf dem Pâzend (ich setze die von mir gebeGerten lesarten des originales in klammern _— De up (CP Es) 3 jus pe Ce (om. 1) © t. às),) Q Jui Li E d. i. awé . gumän . haë. pa . ristaxéz . u. pa . hasti .i. hôrmezd .u. amsâspeñdan. Die bei gegebene über- setzung ist richtig, ich kenne aber kein buch, das s0 an fängt, Dh Cés,,P omM do %3P - 1) ul P c)om. P dd) UælL P e) US LA M | in seinem La lgsl Le 2b y L oies SSI Lee: /|, ne 29) S je EL » CR JS a53 pe a > 5 JS ve bb 9 He aà> jl LS SI, Dos ls €” Guy F COUPE Jos Hp pe QG ‘& aés, JAP El UT, ne a Ji Cf de }» ob ‘L o2pes Jelytte lé cs D hope 5) a ss, 55 sb 8 de 67) af Jvfne oi mat PS Pa ESC, » p LL, il Jb tof sb € Cl U2» sol Ps Re Hi U3> 5 Nr oi) ur? IS oigste Qu ss 5, UxG €?! D EU les ol ert "bg *L all ARE RE pr pure Le af sl GP SA pbel a "ee Cid); a Hu fe é» | Le JL Ls COOP "obls Jus a 5 fe PEN En il css Lls pl ss JL sb, Cmlus j5> Li rte AS 5 ls nil auf 4, ee œle, La, sd, ji, 5 Cage Tu af ins @ “Oise lus Pois 5, tu is us gels Eur Li af gl , ul, ue lys les, Je y° # ny pl Hi Co à sn col Gi JF Ye: lun 2, (P117) til auf tee cpl L ge soin übEs 5} bus à Les le ds, JL af af is <= pe CA Obs : CS ue 5 Sites 25) HS OT y (M 679) Ce ge pe LG, del Îus gx Dl pl us Le ile Soil a , Dis, » 5 LéEL,, ps ge toy) 2 D) (555 pus el HE aa ss 2 pe js co CG Los 5 >L# Jelys » LP ÿ2)M M) Us$ M mm) S. D) RE 9 : Î) 42 025 M sic g)p M HaÈP Das/l5P Mom,eM Weil Biblische Legenden p. 71 ff. n) JS, bi 0) Jam M June ge lus re nusbP 94P #,)M des Sciences de Saint-Pétersbourg. 311 104] Ardeëîir (auB buch IT cap. 3: M40v). Us ils S ee 1, wub ul&L pi) Gps 26 jus ol&b io) “ssh PE Qsleslé, 5365 &l,Le Je, Ca Ge les 59 pue, GK Jile Jet cf bb 5! si Lit G'usuel, 1 Lie a Hs, JS ) Us CT EE OT Dos os JS ph Le af if LL Se Lol a we Le 5h XF Jul as les op Gpliol 31 als Cif CS ape Jds as ee cpl à 4 Sun LL DL él se > 5 sole se a posé us 5] Le M nc A «3 és 539) 595 ju oo, 535 3) US 5 EP ul Us>s Jéb file (M41) lb ls of Jëf Hyde Jl Lie 5) a 2 Cie pd PT Hilyue mél Ge QD) ue t'oxs, Juif JL LE Ce Clg Jell else JG ol ess L'Out Die prhes Jos eh af Canilqhé, JS ous af po) a$ fe p> Loos 215 sue, L JS), où Dès Cà) «gg» tp do Ce SIL af gs ob (ses or 6, sf Ge Lol gl Sc L 24 ST Cons Sëb, Gb JL és us L'oles Cf 54 CAM, Of UE» Le af ble 5, us ps ol Le Lis Qiei uleles le Gue co a Lei del ob pal 23 se Lol Cu) as LR Péasin 25 ibohe LlOL 2 02 sr bé Sonde Re us Sh ohe | pole Cal egl 5e Le Le Jobs 25, Jus Losm pis) 25 Cul pes ae dj) = uibe id ais il con) «je (M41v) el 03e af Cl as _»ÿ4) Unmittelbar darauf folgt das nächste stük. a) vgl. den widder bei Nôldeke in Bezz. Btr. IV, 45 b) sic €) vel. L ec. 56 den «herrn des wurmes» Haftänbôcht, wofür Nül- deke in seiner übersetzung des Tabari p. 10 zweifelnd Astowadh schreibt _d) vgl. Bull. XXXI, 488 (Mél. asiat. IX, 237) n. 41, wo dises wort, welches sich bei Dozy findet, und chald. 2792 (de Lagarde, Semitica I, 66) hâtten sollen an gefürt werden ske (P 130) 3 ue US | 105] Persepolis (M41v. P 130). US LT af JE Caëse ul jébel jo te LI id El alé de 1662" Ee sl spbe, Gb) és Cut gb a Qi bises re fe, S) 029 Jyise, sl, mil,* il %, Jülyée je Je LT pe, ‘ul al Je 3 ge pe 595 Cul, Cu al Jube lus mél es 55 De Et 25 W. Of PIDE D pi) pes € Le, 5,15 7 ne Lol ge LT af Cul le Je cpl Se al 020 pylee lges lai 4 Euo fes Les, “Jill Jilyste Ca 0 Lil, CoHils es Si) 029$ plus ob JES paye af ol, oil as OI à laxe* je ES UPS Cort 55 He sb; ai] Cu jgene af auf lb loue, mire pa Dhs Pole Jilse Us Qbss LIT, Myls Cages Job Gus o55lss Dé yré Sh Cuypé (M 42) jy érès Us Del le y Cul af oui phase pis ele SL EL, sé 5 Ces JL Jde JShel ul re ob ie JS 2LeT plsl, ll gises Col 2e &,5 Jo a Cuglise m us pe ll ST 9, L ELe ls LE fJigie >L Loge ol vuts Lil il, lb, Le LL 5, ul sl JL fs LL ce, ,5 Pol, sf Qls ds ol, oil él cel L, Sls Lé5b dl Sp ls) ol ob af ef 2, a) om. P b) add. 4 Pc) om. M. d) oje M jai; Ssr NnSleP 9 OU po P: ich erspare mir für dif mal alle nachforschungen nach der richtigen form der ortsnamen und gebe sie einfach so wie sie in den hdss. m) æége P n) jluyeP 0)3$P p)_# oder Las P g) beide male one JP r)add. ,P s)p»P t)om,P 315 Bulletin de l’Académie Impériale ls bp, J 28 Qsle me >)9) HIS LS 2 m7), 52 > Je (P130v) Lf 52 he af Louis af (5_per Jle Gé «os ‘one Lui Lucie 51, 5à ls 55 ol 27 #b ob» 05e dE ée PL L l$ ol "af of I Qi CAR LL blé ge be if 2,6 Lol, gui bé el Ji Jajee JL obs ve Lai, (M4) xx) Nachschrift vom 17/29 IV. Auch diser beilage mub ich einige worte nach senden. Sie war schon im satze, als ich durch die güte des verfaBers in den besiz des «Verzeichnisses der persischen Handschriften [der K. Bibliothek zu Berlin] von W. Pertsch» kam, in welchem unter Ÿ 119 ein volständiges exemplar des cols cpu JGe,s (Ms. orient. 8°, 313) beschriben ist. «Der verfaBer gibt an, daB er sein vor ligendes «in 24 capitel ein geteiltes] werk unter der regierung «des Laulsb I. j. 4## geschriben habe» — dise worte bestätigen und praccisieren meine zeitbestimmung p. 283. Ferner wil ich nicht unterlaBen an zu merken, daB die drei ersten abschnitte des p. 276 beschribenen ….... methnevis 3läal) ss sich auch in Berlin finden: X 85,1 p. 155 des «Verzeichnisses», und daB das in anm. 17) erwänte fragment der lil) &é,e 4 eben da unter N° 2,10 verzeichnet steht. Aber den meïsten vorteil habe ich auB dem reich- haltigen werke für die in der folgenden lezten beilage lage vor gelegte arbeït gezogen, welche‘dank dem neuen von Pertsch mit geteilten materiale nicht unerheblich vervolständigt werden konte, ja in einigen paragraphen ganz um gearbeitet werden muste. Das nonum pre- matur in annum hat sich hier wider bewärt, — ob zwar das für dif mal invita Musa geschebn ist. Le u) add. ,> P; die lesart von M, wenn sie sicher wäre, bôte w) J je P widerum ein beispil für die praep. 5L v) oyl y P x) add. ,P y) add. y). P Beilage V. Chronologisches verzeichnis der Farhange, Das folgende verzeichnis habe ich hauptsächlich nach de Lagarde (L), Rieu (R), und Blochmann (B), so wie nach den unten an irer stelle ab gedrukten listen Surûri’s (M), Injü’s (F) und Rizà Quii Chân’s (A) zusammen gestellt, und einige nachweïse über bif- her noch nicht erwänte handschriften hinzu gefügt, Die notizen auB dem Supplément persan der Biblio- thèque Nationale verdanke ich widerum der liebens- wirdigen mitwirkung des hrn. mag. S. Oldenburg, die auBzüge auB den handschriftlichen catalogen der Kgl. Bibliothek zu Berlin habe ich mir im sommer selbst genommen, jedoch deren nicht ganz zuverläBige angaben nachträglich nach dem «Verzeichnisse» von Pertsch (P) berichtigt und vervolständigt. Werke, von welchen bis jezt noch keine handschriften nach gewisen werden konten, sind durch ein sternchen auê gezeichnet; arabisch oder türkisch geschribene mit dem betreffen- den sigel versehen. Den beschluf machen aïphabetische register. 1 (M10.F1.A1.B1.) vor bee Für a]. schreibt F Jos. Nach dem sls-i] ou von ob JE Le, (lithogr. Teheran 140 fol.) I, 64 hieR der verfaBler [ose (sue fs (Uaë #1 und lebte im ersten jarhunderte: 6» (4,1 &le ,5. Im gehôürt fol- gendes werk bei H. Ch. an: III, 514 nr. 6700: Gr Soul] ay} ue LP JE ue ad )ll ay Sol és 3, A ll Co di sd aff à CL Eure bb opsèe, gel Le des (gxiiseulle LES ,he (arabisch geschriben, vorhanden in Wien: |Flügel I 402 nr. 415,1; die yllal) spl> betitelte persische übersetzung von einem ‘gewissen J* in Berlin: Pertsch nr. 1030); und villeicht auch VI, 71 nr. 12755: (3 semull 6] 095 (opel) Uais (pl dodie ol, Lx 2 2 (L8.) vOr Fo me È 317 des Sciences de Saint - Pétersbourg. Laut dem Lai c* I, 237 hieB Rüdagi nach an- deren dy} Je oder L£ y? pèse AW) Je pl, und ist in dem oben an gesezten jare gestorben. — H. Ch. II, 93 nr. 2055. — Ein eben so betiteltes werk über die arabischen infinitive verfaBte Baiïhaki (H. Ch. L. c. nr. 2054, s. Pertsch, Gotha Arab. I, 352), vgl. Zauzanïs yslal} QU (Rieu II, 505. Pertsch L c. 351) und das nach beiden bearbeïitete werk eines un- genanten äal} ,>Lae (Pertsch 1. c. 352); die lezteren beiden sind persisch ab gefaht,. 4, (M5 F2,42.B23 R1088.1928.) es H. Ch. — Quelle für X 15. £*, (F 11. A3.B15) um Koe [oil] àèl 3] els 2e GJéall (dl paie pl GLES n$ JL So heifit er im lei) L£ I, 466, aber auch LS dep und (55e,/, und starb Ko; eben dort wird im noch ein al, )5 betiteltes werk zu geschriben, und lob- gedichte auf seinen zeitgenoBen Lo 42e (T KP, nach dem ls) + 1, 543). H. Ch. IT, 327 nr. 3146, welchem ich den oben stehenden titel entneme, nennt in einfach (ce Nl QLb5 ,$; wo Churchill JRAS. n.s. XVIII (1886) p. 201 die ab weichenden namen gefunden hat, weiB ich nicht. Quelle für M 22. N. (A 4.) a) vgl. de Lagarde p. 40 über handschriften dises werkes. Tome XXXII. vor Ve Durch Churchill 1. c. bin ich auf folgendes citat gefürt worden: H. Ch. VI, 387 nr. 14008: aa) 1,5 Ci) @k&. Nach dem Lei] # I, 439 hieB der dichter > LP E y» pl , Starb K&}q (so), und hat ein werk & M) Qls 5 verfalt; vel. H. Ch. II, 277 nr. 2894: as per el) CéA) | os Mr GUS is | wliall; Raëid i Vatvât hat also schon einen vorgänger gehabt. Die PO sind aber môüglicher weise doch ein arabisch-persisches würterbuch. 6. A. (M9. A925. B27. R499°. L p.58.) vor 4qr? tell à Lol À Da dises werk arabisch geschriben ist, wie auB den auBzügen hervor geht, welche Surûri unter den wôr- tern sugi, Et 02, of Ln La, dus Ja, 2; JBls, ds, eh Hs gibt, so künte es in Leiden vorhanden sein, vgl. Dozy I, 76 nr. 131. 132, welche beiïde ï. j. 49r geschriben sind. Maidânis originalwerk ist 1P4o zu Teherän (?) lithographiert worden, pag. F—110 eines sammelbandes in 8°, welcher auferdem enthält: 4) ll Ses US Gb dl âss Saull hf pag. 14—11. à) Gb] ee + Sr ce a ire (3 Del cp 4 ci pue I4b—i90. d) à le 3 ol QU ©al] pag. b—110 am rande, mit einer 45L EM use, Wine pjli de Jai Je Jis RON Lile pag. 114—10p am rande. e) jlail Dom (455 pag. 10f°—14] am rande. f) syyilL à, pal) 505 oJ9 TOUTE ce 2% ue 2 pag. INP—IAVam rânde, nebst commentar. g) eine kaside des 3; ,5 pag. IAA—191 am rande. X) noch eine kaside nebst einleitung und com- mentar pag. |41—190 am rande. De aL EL ei ist bei H. Ch. III, 573 nr. 6995 nicht erwänt. 1 (M 29. F42. B61. R491° ff. L 43.) UM Vee as Css Qof3s De pie Con Life UYe Gb Injù nennt in (56 sua les Ghse, Su‘üri in ver- wechslung mit M 20 (ls peLel. H. Ch. IV, 419 21 Bulletin de l’Académie Impériale nr. 9044 setze ich ganz her, da der an zweiter stelle genante 5} (so ist zu lesen) autor von X 44 ist: 5 polel coll # ob ls as ‘sic JV ai cp us ai LI, sal Quelle für X 15. 20. 38. 44. 51. 63. 8. (A)T. vor V4 (M7. F36. B53. R499°. 515*. L 37. P p.189.) pole - D e à Dh) GE Que ei else op oe al So nennt sich der verfaBer selbst in seinem anderen werke #K] jy (H. Ch. II, 227 nr. 5074. Dozy E, 173. Flügel I, 235), welches Voq oder v4- ge- éhriben wurde. Der v#4 gestorbene u: ol] Le | Ji, welchem nach X 46 und 77 das werk ge- lue ist, war vezir des Ji UB pl Je » (Rieu I, 81° ff.). Der titel lautet in den meisten bei L auf gefürten handschriften und bei Pertsch, Berl. nr. 138—1 40 (nach welchem die erklärung der würter persisch gegeben wird) &.s*)) Le}, bei H. Ch. IV, 91 ur. 7712 und À 54 wie oben, wärend Halimi s. v. & sagt: us LS, ds) ll ce JS oléuis (s. Fachri p. Irr N). Es gibt zwei aufigaben, bekant als a po und HU, wie H. Ch. und die vorrede zu Nimatullâh leren; leztere auBigabe scheint im Gothaer codex und den zu im stimmenden vor zu ligen, doch vgl. Pertsch L ce. p. 189. Der bei Dozy I, 100 genante codex «Caes. Vindob. 12» ist bei Flügel nr. 119. — Vel. N 58. 102. Anordnung s. Pertsch Gotha Pers. p.37, : (M2. F59. A5. B58. R498. L58. P p.180) Feat #1 e Lie, eue Lao le) SE : ON Qi : Gb H. Ch. V, 640 nr. 12440. — Vorhanden volständig in Paris, der vierte teil in St. Petersburg, s. 0., und | Berlin: Pertsch nr. 43,12 (cod. Petermanni 474, wo- für oben p. 257 fälschlich 477 gedrukt ist), Das selbe buch wird villeicht auch unter dem von B p. 10 als quelle von À 51 an gefürten «Dictionary by Shaikh Muhammad Khaghri (25) zu verstehn sein?, Über die anordnung 5. 0. 10*, (IS BIT RIVE 23) JsbY) J 7 H. Ch. II, 225 nr. 5061. —F 12. M22.B p.10 (als quelle für N°51), R 493° (quelle für N 38) nennen, wie es scheint, das selbe werk einfach ,.. Doch ut ce) J] RUE | pol ol =) dyl JE 1, welcher «43 oder «9v starb, ein arabisches würterbuch unter dem titel äall] ,,2. verfaBt: Dozy I, 73. Quelle noch für M 15. 44. 1: (M23.F15:B19. R491! L31.) So wird der verfaBer in 51 genant (B p. 10). Auch (jlol5 cul) +] zum Anvari citiert das buch (#Ryko8ckiü, Jusepn p. 91 nr. 28), aber wol in- direct{), — H. Ch. III, 450 nr. 6394. Quelle für M 15. a. vor Ar+° VOr ArF VOr AFF etes (F 28. B40. R491°.) #92 9 Gb» Dhs Den zusaz 5,3, gibt bloB 15. Vgl. H. Ch.IV, 471 nr. 9237: Ur pl äa) 3 MER D) s, wo für die dingua Anüsh» (!) unbedenklich Qi) Zu lésen. 13. (M16. F32. B46. R491°. 494". L45.) vor AFF Laëll ou) H. Ch. V, 310 ar. 11095. Über den von Assemani beschribenen codex sehe man jezt Pizzi in den Cata- b) Doch gibts noch andere combinationen. Der von apart (Kykosckiñ, 9asepu 96,66) benuzte astronom po) press à LS JS ŸC. Ale, verfaler des A | AP D a (H. Ch. IT, 269), wird so geschriben nur in der hds. des As. Mus. 476% bis, fol. 38v; die andere 476*, fol. 29v. 49v. hat beide male KsJe5, wie auch die von Flügel an gegebene variante zu H. Ch. IT, 479 lautet. ge Xe 10—15 kônte für dise zal auch A} gesezt werden, nach und R. 4) fol. 38v: à po) il, “a 7 de, 00 Gen Ja },=e Cyiæs, Wozu Surûri 5. v. Zu vergleichen: < |all, 1 CUP as seu 5) 339 321 des Sciences de Saint -Pétersbourg. loghi dei codici orientali di alcune biblioteche d'Italia. Firenze 1878. p.311, der uns aber auch nicht weiter bringt. Quelle für N° 15. 19. 44. 51. 63. 14*, (F 20. B 29. R491°.) vor A+P le ol ti Lo ; Da diser gelerte nach Rieu lerer des verfaBers der folgenden À gewesen, so läBit sich die zeit an nähernd bestimmen. > H. Ch. 45. (M11. F4. B4; p.7,1. R491ff. Li.) eMail HE) Jules sl (ol ue js Uleels Gb Alle mir zugänglichen handschriften von M und F, auch Su‘üri, haben +. H. Ch. I, 215 nr. 323 mit varianten im namen. — Geordnet alphabetisch nach dem ersten und zweïiten buchstaben jedes wortes. — Vorhanden in Paris Suppl. persan nr. 426. Quelle für M 19, 44. 63. 16*, APP (Sarafnâma u. Kaëf allugät.) vor A44 ail) LL] Quelle für X 20 unter dem worte ©], und für M 51 (B p.10, wo cl ya) p}hel steht). Nach lo) 5 sil #) wird das werk von einigen dem ç ok ÉÀ zu geschriben (Kykogcriü, Jusepn p.91 nr. 25 = p.9,13 des textes). Âduri hieB nach den yes Q-Ls, lithogr. Teheran ibn, fol. 146 5 hi) de Je y de pull 15 QiæJl, nach dem Lail| c IT, 6 aber pull» ÉË cb Gionll EU Je 5 03, und starb 444. Von seinen werken nennt die zweite quelle auBer dem!) divän nur noch *) y ,-sl, (H. Ch. IT, 640 nr. 4265. Rieu 1,43) — )L y) ls (H. Ch. IV,186 nr. 8062. Dorn 471) — d'ores «Lab (Sprenger p. 316) — und )lia)} =. Nach der oyele &l;s bei Sprenger p. 316 bilden die nos. *) und ”) das 2-te und 4-te buch eines 2} ,< betitelten methnevi. Über den dichter- namen unseres autors lese man eine anekdote im Ferh. Jah. s. v. ji, au8 den alé) .Jl£: Rieu I, 351. e) vgl. oben die anm, 21. 17*, (M13. F16. B21. R493'f.) Looles LÉO Les So Injù, die übrigen sagen kurzweg L lb; 4. > H. Ch. Nach B müste das buch wol älter sein. Quelle für À 20. 38. 44. 63. 18*, vor AFF (F. 44. B64. R494°) Dal] Jilse > H. Ch. Solte der titel etwa mit bezug auf X 12 gewält sein? — Quelle für M 20. 44. 177 VOr AVe (B p.10.) VOr A+ Der verfaBer war ein zeitgenoBe des Fârûki, wie Beil. IV, 52 lert. Quelle für Ÿ 20. 51. >> H. Ch. ‘ um AVe (M1. F3.19. AG. B 3.28; p. 7,2. R492f. L 36.) | gore del &li,é ls rl mL) SL A nennt in fälschlich %».…, wol in verwechslung mit X 63. Das würterbuch selbst wird auch als &eLi5,i QneLel (63: R 496°) und eslsl Los (K 38 und F3. B 3) bezeichnet. H. Ch. IV, 44 nr. 7557. — Ge- ordnet nach dem ersten und lezten buchstaben, und dann streng alphabetisth; © E j J werden unter- schiden, nicht aber auf lautendes 5. — Vorhanden in Paris, Suppl. pers. nr. 420. 421. Quelle noch für Xe 44. 51. 7 3 PS à (R515", L2.) vor AVF pysl H. Ch.1, 386 nr. 1084 nennt ein äall} pl: Halimi citiert ôfters ein werk unter dem namen ml, s. den index zum Fachri, p. 140. — Ein geteilt und geordnet wie X 54, für welches es vorbild und quelle ist. 99,T. (M15. B45. R515°. L3—5.) Pre Der autor heilt snàll up (p) cp dj) Gh) Sell Gil und hat eigentlich drei lexicographische werke verfaft: 21* Bulletin de l’Académie Impériale 323 324 a) lai) + H. Ch. II, 19 nr. 1667. vor Avr“ |23*, (Churchill JRAS.n.s. XVIII, 203 N) vw 3e “1: b b) SU) LUS ibid. VI, 299 nr. 13576. avr Sal ne c) «els ibid. IV, 503 nr. 9364. qive welche erst Pertsch genauer geschiden hat. a) findet sich in Paris: Suppl. pers. nr. 453; D) in Berlin: Pertsch 143; c) eben da: 141. 142, fragmente 30,4. 137,2. Die beiden St. Petersburger handschriften (Dorn 496. As. Mus. 474) bieten die gleiche kürzere redaction, nämlich den ersten lexicalischen teil der acls. Ich setze den anfang nach der zweiten handschrift her: es a} Je Lolus a cl, éh Je cb SW HS ps ph 8 5) Cul sue sas e* af all; slls, ph CLR pis) Jo sul Lul yoni # 3 pal) ue éboe Je PL D pr olal) eo cull) Gel Le sb sel, ai cl Jbaif, Hs Jbauki RO AS Je Je it out ON SO JL Jo d/ Je, aclue djl + Cet Sp) co) CL? dl Gb] Ds et SbS Sn ob; bé y Up» ‘af aels A] D L 5 JS elibs pr oi "ells do y _p C4) Sox uns cle Joël bi 2e pl, ee Ji (sy JS 3 Ps Lol all es Jes, pr Ab ol] bi, Te JS 33jfe pie > po CR in Er mn vs en ph dy, © pl fs: cite de 5 ce ui Lip Cl Jo Sl Gle s Ji) 5 » Le, el ailes b SL» Quelle für Xe 54. a) vgl. anm. f b) Pertsch p. 207*) d) sec., die erste hand hatte QU] e—e) diB stük teilte de Lagarde 20 nach Tornberg 18 mit f) dise worte sollen nach Pertsch p. 206 bedeuten, daB Lutfulläh sein erstes werk in versen ab MP habe: lesen die Berliner hdd. etwa pi? g) add. 6) ibid. p. 206 blé >pS D: Le D: >,)5 J: «He JL Es ist dif der commentator des Anvari und des Chäkâni (Rieu IF, 556. 561); das werk selbst habe ich sonst nicht weiter erwänt gefunden. > H, Ch.. aber vel. VI, 27 nr. 12586 05 J5Lail) plie, und M 76? 94%, T. (R513°. L10.) plus kis So schreibe ich anstat Qu der früheren, weil leztere form nur der türkische accusativ ist, Vgl. in der einleitung des Sähidi (NX 39, mscr. der Univ.- Bibl. nr. 118) die verse: VOT AA°? Lil Url es as neben dem dative: Ë Cat as js pp pds dolus ais J,) af, 5 > H. Ch. — Vorbild und quelle für X 39. ls oV +4 95. T. (H. Ch. VI, 30 nr. 12605.) \44 EL aus pole FAR ne otre pire Das autograph in Wien (Flügel I, 124); act Me Münchner handschrift (Aumer, Türk. nr. 211) i. j. Ag verfaBt. Aber auch Dozy I, 53 nr. 98 hat das oben an gegebene jar. «Die alphabetische ordnung hängt von den anfangsbuchstaben ab». 26. (F 24. B34. R493. L51.) A9 HeiBt bei F und B | «ele E > H. Ch. — Nach den anfangs- und endbuchstaben RE 325 des Sciences de Saint-Pétersbourg. ET. (M°38. B26. R513. L35) OU) Jeli Auch && Jles) 5 Ca) genant. > H. Ch. — Nach den end- und anfangsbuchstaben geordnet. Quelle für À 54. HE um qe. (H. Ch. V, 308 nr. 11080.) sl à “el il, ele of5 ol & Ob mit türkischer erklärung? 2 VOT 9.f (H, Ch. VII, 874 ad p. 418.) vor q-#? TT CPE [Flügel coniciert al,] bu, Lolal ll äit) à oi) " dre #42 Pr le on 5 elal In unserem exemplar der äl.., (As. Mus. nr. 479) habe ich die beiden citate nicht taie 30. (R 515%, L 59. P102,1) Hell ysl d SEE TR H. Ch. VI, 441 nr. 14239; nach der note dazu get” VIL 930 “ das buch meist (s9o° ps ge- bélier. Rein alphabetische ordnung. Quelle für M 54. mis TL: (R 789. L 16.) um qi H. Ch. IE, 243 nr. 2693. — Vorhanden in London, Wien: Krafft nr. 13, Berlin: Pertsch nr. 149. Nach lezterem fast identisch mit der folgenden X. # PA Ne (L 29.) a) La) -uils OL, | H. Ch. V, 324. — Vorhanden in Berlin: Pertsch nr. 139,3 150. 151. — Rom, Bibl. Vittorio Ema- nuele: Pers. nr 1. 2 (Cataloghi p. 36). 33*, (F 14. B18. R493". L 25) cYaill Je > H. Ch.— Quelle für M 38. um 91! vor 914 34*. (F10. B16. ie vor 414 Qu» > H. Ch. — Quelle für À jé, — Vel. X 64. 35*. (F 23. B33. R493".) vor 414 es Jos > H. Ch. — Quelle für X 38. 36*. (F 26. B36. R 494.) vor 914 als Lo, Wenn hierunter das von H. Ch. IV, 185 nr. 8057 mit den worten [jy) 0,95 ul) 5, Led CSL erwänte werk zu verstehn ist — waB ich schon darum nicht vorauB setzen môchte, weil es dann unter die arabischen lexica gehürte —, so müste das datum um ein bedeutendes zurük gestellt werden, weil En) nach H. Ch. 4rF (I, 281. IV, 75) oder 4#- (IV, 248) ge- storben ist. Quelle für X 38. 37. (F 29. B41. R494°) Cab Res ss H. Ch. — Quelle für À 38. 38, (F 6. M 37. B6. 10. R493. L11) Je cpl be fi je 238 Gb slaull rs Bei X 63 Fa 5 leu)) &s (B 1. c.), bei F und Firista I, 346 (nach R I. c.) go ()) À genannt. se à Ch. Vorhanden in Paris: Suppl. pers nr. 427. Geordnet nach den anfangs- und endbuchstaben, die zusammen gesezten auBdrücke folgen in jedem der 22 L unmittelbar auf die einfachen würter als beson- derer Jes. Quelle für X 63, (Vgl. X 22, c.) (R 513. L13). > H.Ch.— Vorhanden in Berlin: Pertsch nr. 104.1. 144, 145. 145%, und «mit erleuternden randbemer- kungen» 146. Commentare und bearbeïtungen s. unter den X 40. 93. 107. 111. 112. 113. 116. 117. 119. 124. 125. 126. 133. 135. 146. 149. vor 414 qi qiv gp od. 9r1 39. T- 327 Bulletin de l’Académie Impériale 32s 40, T. (L p.31.) nach qr., vor — ? | 47, (M 3. F7. A 30. B9. R 494. L9.) q4 PE ER AGE Ie Leiden nr. 197 (Dozy I, 102), wo auch das jar des abschrift nicht an gegeben. 41. T. (Flügel I, 123 nr. 120,2.) Le li) Ein persisch-türkisches glossar, im an gegebenen jare ab geschriben. 49*. (M 28. F 27. B37 (35). R494".) he Je cle Lo; > H. Ch. Vel. X 70.— Quelle für M 44. 51. 4ë*. (F 30. B42. R494*.) ls aiels GG JUL axés Der verfaBer ist nur in M 44 genannt, und alle quellen auBer F lesen 4&és, waB ich für falsch halte. vor 9FF vor 9Fo vor 9ro . Ch. Quelle noch für X 51. 63. A4, (M8. F 435. B63; p. 9,3. R494. L49,) gro? > H. Ch. — Vorhanden in Paris: Suppl. persan nr. 419.944. Berlin: Pertsch nr. 171. AuBzüge fin- den sich am rande unseres codex des aeLs,i (As. Mus. ur. 473°), aber nur biB -,....s. Vel. zu 7. Nach den anfangs- und endbuchstaben geordnet, die arabischen, persischen und türkischen würter jedes mal getrennt. Quelle für X 63. ; A5. (M 35.) vor 4 ris Je pull Qui Se a, Das erste wort habe ich nach Vafàäi davor gesezt. > H. Ch. — Quelle für das folgende werk. A6. (M4. F9. B14. R498". P p.189.) œb pus a Fürs erste wort sezt F Los. Farähâni citiert die LL, AL, (cod. Mus. As. nr. 176° fol. 11) oder 4x5 lb (ibid. fol. 61), beide mal nach Surüri. > H. Ch. — Vorhanden in Berlin: Pertsch nr. 119, und Paris: s. die IV beiïlage. Nach den end- und anfangs- buchstaben geordnet, dann streng alphabetisch. nl > H. Ch. Nach den anfangs- und endbuchstaben geordnet. ’ 48. (R 514. L 27.) EH. Ch. I, 232 nr. 5110. — Vorhanden in Berlin: Pertsch nr. 176. 176". Bologna: Marsigli 3413 (— 444,2 von bar. Rosen’s catalog). Vgl. À 81.82. 49%. (B p. 10.) ball B Als quelle für M 51 an gefürt, aber zweifelhaft, ob lexicographisch. > H. Ch. | 50*. (B p.10.) wenn der titel recht gelesen; es gilt hier die selbe bemerkung, wie zu N° 49. 51. VOT qe 40° vor 90e (F 21. B30; p.9,4 R495. L 44.) um qo- LL, CU GES De del cp mel ee Gb Der autor wird in X 145 re? >) ue AS genannt. F nennt das buch Lo là sell de ÉË Lo ,5; H. Ch. | V, 214 nr. 10751 gibt ein falsches datum. Vorhanden in Paris: Suppl. pers. nr. 424. 495. Berlin: Pertsch nr. 170. Nach dem ersten, lezten und zweiten buch- staben geordnet. | 92". (F 34. A 39. B48.) um 40+? Ge ob Je Gb aol SU So nach A, ob aber F (#+) das selbe werk gemeint hat, bleibt fraglich. Rieu beschreibt II, 534 eine hand- schrift des asloli vom jahre 4x1 (Or. 1403), welche auf fol, 7*— 10° schon ein glossar der veralteten wôrter enthält. 53, T. (L14.) vor 40A nach Flügel I, 143. > H. Ch, 329 des Sciences de Saint-Pétersbourg. Der anfang lautet nach einer hrn. prof. bar. Rosen gehôürigen sammelhandschrift in 16°, fol. 224v, folgen- der maBen (ich laBe die meisten lesezeichen weg): ; Péta rer she pl dl Lol is : ei ne : CAL a) y) ri éb) KL? PS de ai ))5) LS éL) Li d pli ch Je de FE éblis) af Pois SL él Da Se. : 5h25) cat ue à 0 0 -0 Jos, A SEE ps adle dy) + cabe DER » Di Lo ] sir her FT ET Le de? pi » J Sel, JI _: ie D 93? Ko SR J ie à 538 colsel us. Ps Sul ee. us SA Pre a ge à Fa SEE ui me . DO ur2/ HS up eye) op bel EE eg ve: 4h is Got pen DAS Le Just”, Ha) 5b Ed ee » KL? Jours RÉ GËall äé (226) ds cpl Pb, PR el » » (5) He IE gel bé ve be ob où Gb pl » a),] » ail us” JB » » tr DR Es HAT A RAS Lr us Le) Es A Die abschrift dieses stückes ward laut der unter- schrift fol. 248v i. j. 1FFF beendet. Das werk gehürt nicht ganz hieher, da es kein lexikon, sondern «eine samlung persischer redensarten und gespräche mit tür- kischer interlinearübersetzung» ist. 94, T (A 32. R514. L 48.) vor 943 : és Cal 30) #, Lo (6 cp del à ed dl do AE H. Ch. VE, ee pr. ES — Vorhanden in Ber- lin: Pertsch nr. 135. 137,1. 136, die lezte mit ge- kürzter vorrede; Rom, Bibl. Vitt. Eman.: Pers. nr. 4 (Cataloghi p. 38). Die vorrede lautet nach den codd. nr. 475 (A) und Fonton 11 (B) des Asiat. Museums folgender mafen: as Jules élL DC abeb Les bip 0e 5L Lol ares L gars LÉ, lil en sr Ole oysll JL ) aL PME Il lé pen, E “? L oly el an tés le ob âop (sl æ a Le US, y us pou Cie at, 5 LE De ol & Los) les Olyles Cp IS Seal pn jnill pii loseye eds, Dis p 3] 395 els » Fab af Jus 5 U} ce Me bee Je Ge oee LL Lola, Les ol Ge oi, CE bus dl JA nil cu ss Ulbs Je ‘ Jap ps pe D sl ui ele e er ‘ve Ge pr Gb sl Le ol), LS JI 2 mueb 5,5, SUL übasss De Elle Os y» ue ‘ yaal pee Je dj) yes ? (55e J' Re ae, ps Fe Us =) pb Re EL a) 4} A b) Ceby A c) der vers felt in A d) JB PomA PJSlopA gai (sul h) 3,5 B A marg. Bulletin de l'Académie Impériale 332 pl US US qe Lil ob ol ba 5 Dé Dur af ul lil LL os ep5l “6 sol ile le ss af GE ge oil & ve poil es Oui vel y Ab D es fs ol b— ile. SL, «52 csbae + Le us aela) Hs soi D y) & $ ok pyi post L AU df 8, Y dif 8,4 YU L ele de pal SE will, 8, CLÉS JL Cols, JT sb Les clos Lau, oil dl af OÙ le ei = ps as ls) Pie 5! Dis 5 Lu Lo Cal, Ras nes Sh el, r He a ee Je do po °° ee etats nent Je Ci y Lui hu Sels OL “um, ons af Ps ] sole Jj] * rt dal ul OL “os, tps de se Uk cl Lars r pl ls y L, SI 9 ‘pl are, cyse LU mure LE messe Cl J;l ae Se sé OUT Je Ci il L'of PS € ab pense us D9 ‘Dpù pole te ta à à ie 53e bi hs Cu _fp dise gb dé cè8 2 is osé pylae (am ” . Ca jui ess Ga ue Bi] af Sp QU pl cle L'or gel de ce lee î) lea m) add. KA n) Cu A welcher disen absaz p. 202 mit teilt rr) Jle A! sols) B: 5 LS A o) om. À D 5LA mad , A D) pe À u. Bu (a és AT 'r) be A! t) om. A u) om. 4 À ù pa À, B var.; Pertsch hat einen zusaz w) add. ” A LA rer F B y) Jé À +) JEL A pps B, add. ak L P — doch läft sich auB den lesarten von B der selbe sin gewinnen ) Qs uit B ©) ei A a) JE Sul gp AFS ee L'u cl DP3 "Sigles onjee Ni) L'Oke éela cp fois js oo plus ee, fn je vel LD oixe *# 15) db, € poli Bearbeitungen s. X 55. 89. 109. 55. T (R 515. L p. 55. P nr. 134) dl des lil) Eine ab gekürzte recension des vorigen werkes, mit kurzer persischer vorrede, welche Pertsch ab drukt. Das datum ist unbekannt, doch scheint sie vom ver- faBer selbst her zu rüren. Geordnet wie das hauptwerk. 56*. (M12. F8. B11. R499°. 1088". 1088”. L19.) um qvo + H Ch. Vel. zu M 77. 97. D in I, 208 nr. 94.) vor 94 vor qvA Nach den anfangs- D endbuchstaben geordnet. 98", A? (R 790". L 38.) se nr. H. Ch. IV, 91 or. 777 13. Über den qAI verstorbe- nen verfaBer vgl. Flügel, passim. EtwaB anderes ist das buch ss) Lelj Laurent. 347, worüber man Pizzi in den Cataloghi p. 311 nr. 19 nach sehen mag. 99, (M6. F38. ds ann) > H. Ch. Chant Mus. nr. 477 (s. ie IL, BE Geordnet wie M 57. 60. T. vor 941 ad (L12.) drud) 5 ,d) au) ist d) Qlw ,i A g) sad. 4, qnA e) JDle,s A f)om. B QI] À _ 333: des Sciences de Saint-Pétersbourg. _ 334 H. Ch. IL, 229 nr. 2595, auch ais genant ibid. IT, 228 nr. 5080, oder rt Aumer, Pers. p 114, oder (> xl) äi ais Flügel I, 138 nr. 136 Nach den end- und LT geordnet. 61*. (B p.7. R496"*.) VOT lol (sic) Ls 255 Le | > H. Ch. — Quelle für X 63. 62*. (B p.7.) vor le! bail} Gi J Le, > H. Ch.:— Quelle für X 63. 63, (F 40. B 59; p. 10, 5. R496. L 55.) | JEUN lue | GES pus Jr Je 2 ue SEA) nr > H. Ch. Nach den anfangs- und endbuchstaben geordnet, darunter in drei abteilungen, arabisch, per- sisch und türkisch. 64*. (M 17.) VOT leoA jus JLel > H. Ch. Ob Sdentisch mit NX 34? 69*. A? (M 20.) VOT JeeA ARS | LG Villeicht eher ein arabisches wôrterbuch, vgl. H. Ch. I, 91 nr. 2041: sd] lue il la Ll l'eb np Lun di Le, sn si SU, rl) 66*. (M14) VOT |A 0 due de, (ol bee da > H. Ch; vgl. Albirünis Chronologie hgg. von Sachau p. xxxvij. Das werk ist hôchst warscheinlich älter, als ich es an setzen durite. 67. (F17. A7. B49; p. 12,6. R498. L50.) 1.4 . vil p# On Las Pl Ike sb p pbs 8 Gb H: Ch. V, 325 nr. 11147: A 5,2 à) Da ich ‘keine genaueren notizen habe, so füre ich die mir neuer- Tome X dings bekant gewordenen handschriften sämtlich unter diser ersten aufgabe auf: St. Petersburg: Univ. nr. 935 (die erste aufigabe, undatiert). Paris: Suppl. pers. nr. 431. 432. 433. Berlin: Pertsch nr. 122. 172,8. Die von de Lagarde p.56 nach H. Ch. ab Lreue liste der quellen ist nicht volständig, worauf schon | bar. Rosen, Collections scientif. de l’Institut III, 299 hin gewisen hat. Ich gebe sie-darum hier noch einmal nach der eben erwänten handschrift der Universitäts- bibliothek : Can) Qlisl Élu) Jai af ass Dole. (M 20) Bb ls molol lb seul tels Ji Œ 9) s# ui grHil le sl ps #0 nl BE Cle üé pe (K 46) Lolo cyuus 405 ple [M 3) Fu sel val ep Je dl rè gs el Lise cp melel ln dx pi He rer He Liu Je al, pe pa ge Gil Sul) se Lits (K 6) Ja UM Goelpé (Ë 1) | LS Use p) üle; pe Je (Go) okslb Gb Sal Si] PDA (M15) pbs (K 56) Lol Gil pb Cl) et pl, (17) L,Éb; &es Pa (66) Joue OL col Gite ke pale Ejue Gb Gp pe A GE &s 25 ra as Le L El . Last ol) poste Gelegentlich fürt Surûri noch folgende werke an: IV Qmss JL] —unter den würtern ülo$ j und ol (X 64). IA cb) Li) — unter HG. de). CuuEp - 6 es ist das (auch von F unter de, citierte) dE übèr die materia medica æ% lis) von :p; % | 335 Bulletin de l’Académie Impériale y) Rieu II, 469. 1q all 5] — unter als. Wie die vergleichung mit der ne von C1. Huart (Bibliothèque de l'École des hautes études, fasc. XXV. Paris 1875 p. 79) lert, ist das buch GLés)) Q=+] von cb coll 2 gemeint, vgl. Rieu IT, 814° or. x} und Pertsch Berl. Pers. nr. 35, 2; der erste teil der zulezt genanten handschrift enthält den commentar des selben verfaBers zu den lus | el}. betitelt lod) Le. pe el) gb — unter den würtern ;/,L . Ps 1 (X 65). PL Ae 9) Jde pe £eb sl —- unter dem worte olsu; warscheinlich das von Rieu II, 464 be- schribene werk des yyaie Œ JE vgl. oben p. 284. 289 $ 28. Fr ju — untér dem worte as 65) (M 10). ppm) al.,— unter den würtern (y; » (s. x 11 anm. ) und F3? (X LE, br dec pol) hs Hp'AI OME gi — unter dem - worte pl: vgl. Pertsch Gotha Arab. IT, 461 und oben p. 284. 299 $ 60. e ro UE € ae dem worte asot im Muaïjid (M 43) wird ein nicht näher zu bestimmender res e# als quelle genant. r4 Li] 5e CE — unter dem worte +5, unter be it es bloB LEY] le; ist nach Rieu II, 494° quelle für X 44. L #v QJuMI Cols — unter den wôrtern 1. Ji. ad: SL les . PL; vgl. anm. 21. FA Gole Los — unter dem worte F5 auf dem Muaijid. (M 42). pq os. JL; — unter dem worte aëS. und unter ol auB dem Muaijid (K 7). pe Qerels — unter den wôrtern ba. und ;},b,s. Pertsch, Gotha Arab. I, 348. Fi A antere dem motte LÉ, s. Rieu IT, 507. = — recht oft, z. b. unter oleb is al ht be tas. &Jes . H. CH. V, 625 nr. 12369. a Là (sy lail dl me Cole — unter dem worte asè+ über den verfaBer (5,9 +) s. Rieu I, 35. pre ball à9;5—unter dem worte J,L, s. Rieu [, 418. PO mn ue OI Gui Je unter den wôürtern als und os (NM 45). PA Lo à oft in der zweiten auBgabe, z. b. unter pus) RAT NX 77). Ebenso für die zweite auBigabe: By 5læul) 4 — nach Blochmann nr. 10 und hs If, 494*. 499; in meinen handschriften habe ich diB buch nicht citiert gefunden, waB auch vom Ip ehten gilt (NX 38). ai ve _— nach -Blochmann nr. 26 und Rieu 499’. 513° (M 27). Geordnet nach den anfangs- und endbuchstaben, innerhalb diser abteilaungen aber gauz wilkürlich. 68*. (B 51.) CU) 8+ ee Ile Jai 1 Sub . So heiBt das werk auch in der vorrede zu À 145. Über den berümten verfafer s. Blochmann, The Ain i Akbari transl. [. Calc. 1873 p. xxxj: er nennt das werk ll] eb hat es aber selbst nicht geschen. >»: H; Ch: Quelle für M 145. vor lell 0, (F 18. LE, vor 1+1V > H. Ch Ver Een 70. (F25. B35.) vor felV Qble Jos | Ob identisch mit M 42? > H. Ch. 4i*. (F5. B5).) vor ielV sp Lis dy} Je su ser > H. Ch. rie (F 35. B52.) vor Ie1V ui s ve ns 5 H. Ch. 72 ï 337 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 338 13*. .(F 22. B31) VOr leiV sole > Éé ss hi Ch: Vgl. À 104, 4" (F 37. B55.) VOr lelV pars Los > H. CIE 75*. (F 41. B60.) =vOr lelV : «53LaË yyare hs, Uber den 44 gestorbenen fruchtbaren schriftsteller ob gate pull SLe Le vel. H. Ch. VIT, 1077 die stellen, Rieu IT, 826", und die zu N° 16 genante lithographie der 1 cl fol. 169: aber keine diser quellen kennt ein lexicographisches werk von im, und so müBen wir wol zwei verschidene autoren an nemen. 76. (F 33. A 38. B47.) ALL Olys li) VOT le1V DH: OH: 77. (M36. A8. B12; p. 12,7. R496. L 40.) fev srle Jess | “p9)) LS op) ssl Yr> pol) Jla AE > H. Ch. Auch hier füre ich die handschriften unter der ersten auBgabe auf: St. Petersburg: Univ. Nr. 934 (mit vier appendices). Paris: Suppl. persan nr. 434. 435. 436. 487 (mit allen fünf appendices). 945. Berlin: Pertsch nr. 123; one die appendices nr. 124. 195. 197; gekürzt or. 126; die «lb allein nr. 128; im ms. or. fol. nr. 1275 findet sich Olshausens copie des IVten appendix (la) _p Lauliie : je »° LC, Ji5b, Ji) nach codd. Mus. Brit. Add. 5647 und 16750 (Rieu II, 497. 496). Auch Injà’s quellenverzeichnis noch einmal ab zu drucken scheint mir notwendig. Denn bei Hyde, Hi- storia relig. veterum Persarum. Oxon. 1700 p. 422 (H) ist die alphabetische ordnung gestôrt, Blochmann (B) hat eigene zusätze, und de Lagarde’ (L) hat der a) Inj®’s mémoiren finden sich in Berlin: Pertsch nr. 137 ._ b) Die anmerkung 23 p. 46 macht den leser etwaf stutzig. Hyde’ 8 worte lauten: «Cum his omnibus, ex {ndià accerseatur optimum Lexicon T SE ss FPharhängh Gjihänghôri (à nobis cita- tum Ph. Gj.), cujus priorem Tomum in folio eleganter st mendosè L schlechten lithographie folgen müBen; daher gibt er nur 43 titel, wärend es doch gleich nach der liste heiBt: »5 je, Je cpl usloss. Auch der jüngst von Pertsch (P) p. 195 gebotene abdruk ist nicht ganz felerfrei. Ich benutze die handschriften der Universität nr. 372 (U) und des Asiatischen Museums nr. 473-(A). (M 1) Je Jedi »! Je | (om. AH) :p Ja :p de syaill #) Jos ? (Œ 3) 3h (ç2el syere (M 20) geo Loi + Je obus Gus Jall Cl Los + 15) Jlslp &533all (s9l55 Le (50 UAH) (X 71) spl du ge su) Loi o (X 38) ténel Use 4 (K 47) 5) Lies Nr ar iles V (X 56) sil ils pybie Slilll gels Loi 1 (X 46) - ol pus Joss 3 (X 34) cs Jin Le (K 4) OLLs r& Le il (M 10) [felt bei L] ju Les ir (M 10) JL 2 Lo; (Les (X 33) ail ts Loi 1 (X 11) alu, cha Dés be Love, Lo Les 14 (X 17) col sus (ras (X 67) Ur SRE pré gpl ue ei cp Je Jos 11 De Gi és; el qu Us &ls 4 + aRE Cl çyuses Casri) art us 329 (Ÿ 69) Gel &b molb pie css Jal &li,s Jos 19 (X 20) (sic) 325L (X 14) be ol Jos + seriptum habemus». Er wuste jeden fals ser wol, daB « Angjou» der verfaBer des lexicons war (p. 422 z. 25 — 24 7. D v. ü,}, wünschte aber eine felerlose und volständige copie z zu erhalte ; (X 44) nu Sa Ji pe (X 18) lil [caett. use; 50 UAP] Je css Ke Man beachte, daB unter nr. #—19 (X 20) und 1r—1# (M 10), villeicht auch nr. 4o—+rv (MX 70—42), das selbe werk mit verschidenen namen verzeichnet ist; wenigstens je einmal also hat Injû ein nicht von Le gesehenes buch als quelle genant. Sein verhältnis zu .e) So UA, alle übrigen, auch Rieu, schreiben 43, aber vgl. Dozy 5. v. d) B 43.R 496, utile für die arabischen wôrter in X 63. > H. Ch. 339 Bulletin de l’Académie Impériale 340 den quellen überhaupt läfit sich auB der folgenden à pl 51) ste Fr DER es Le} zusammenstellung einiger mafien beurteilen. | (K 73) OCES € Les rr Ganz allein benuzt hat er die M 14 (re). 26 (bc). (X 35) nos Jess | 51 (pi). 52 (Ke). 63 (re). 67 (IV). 69 (1A). 70 (po)? à is 71 (o). 72 (Ho). 73 (pr). 74 (HV). 75 (ri). 76 (1H); k _ 7. ces se wenigstens läfit sich eine erwänung diser werke bei (X 70) ul Lo FO | den früheren lexicographen noch nicht nach weisen. _ (X 36) Al er »,5 +4 Die übrigen quellen benuzte Inj à zugleich mit oder ” F mi” über La 2 (sic) Ke Je Les HV — Adât (15): und zwar NX 12 (PA). ( 12) Jb» les Lo, PA] — Ad. Sarafnâma (20), Tuhfat alsa âdat (38), Muai- (M 37) JE 2 Je >, +q| jid (44), +. allugât (51), Madàr (63), | Surûri (X 43) [felt in U] ll) on. pr. LR ls à # PRET — Ad., Sar., Mu., K., Mad., Sur: die M 13 (bb). d * Lallens Losii E"A Ta, Mu. K. ST die X 10 (Ib und 1#). ) ob D (X 13) ail Ce PET Hs ue : FRAIS (X 76) JbE oülys Al Loir | Le Tu., Mu., Ma., Sur: die M 17 (14). 16 (rc). (X 52) aelsli Cl Lost | — bah Mu. Ma: Ge Æ it (ere). — Tu. M, e Ma., Sur.: X 20 (+ und 19). a L, Lo PAIE Je ps fi - Halimi (22, a er nicht nennt, den aber Sur. be- tar P] CN ue 4 t hat).: die À 4 (11) f pure olés CP P 19 nuz ) Fa k 8 F nu na ES al — Hal. oder Sur., Vafài (46): die K 8 (#4). | ; 2 Hope 7. a | fu die M 33 (ne). 84 (12). 85 (r). 86 (0). 87 ss REC PME OM. gs oli Le rolel Le Los PA|— Mu. K., Ma., (Sur.): die M 42 (hv). (x 59) ll — Mu., K., Ma: die À 43 (te). ie S — Vaf., Sur.: die À 9 (#9). (K 9) la lee Los pal K., Ma., Sur.: die X 44 (ch). (X 63) [felt i In U] LEA pu >l ul) Ye ia) Mel Ma., Sur: die x 38 (4). X 7 | Le; — Ma: die nr. #1, s. 0. die anm. m9 530" ee 8 TT Sur: 1 (1). 46 (9). 47 (v). 56 (4). 59 (HA). Dem zukünftigen herauBgeber des Lo »,s ligt es ob, die citate durch alle quellen zu verfolgen, und nachzu . weisen, welcher von inen sie entnommen, oder ob sie selbständig gesammelt sind. Mir genügt es, den glau- ben an unmittelbares quellenstudium Injû’s ein we- nig erschüttert zu haben; doch erfordert die gerechtig- keit zu sagen, daB Surôri unter den beiden wôürtern LL und ct 39, Wo er XX 56 citiert, keine verse auB dem selben an fürt, würend Injà dises_ üfters tut, und zwar mit den worten: ,L5 4e 9,5 LÆ 0) +1, Z. b. unter pol und pob. . Geordnet nach dem zweiten und ersten buchstaben, und weiter hin streng alphabetisch. Vgl. X 85. 88. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 34? ES TL. (Flügel I, 102 ur. 90,3.) liste | 87, (R 836.) |. Je] sl dub pus x JB ll) gli & RER Eh Je s] fe Es > H. Ch. Ein anderes wôürterbuch des gleichen Ein phraseologisches würterbuch. > H. Ch. Vor- titels s. unter X 99. handen auch in Berlin: Pertsch nr. 172,1; Leiden: 88 (R 509) VOr 1°bV Dozy I, 103 nr. 200, auch £l,. &L., genant. EtwaB he ie LE | anders lauten die namen des autors H. Ch. VIT, 1218 PP MER ARS nr. 8155. os 8 CH ele Le qi ob db «A large dictionary of the Arabic and Persian lan- 49. T. (L 47.) ‘vor Ier 7 | guages..…… In the case of the second ‘Unsur [IT. A QebIl syuus mel li] Persian dictionary] this introduction [welche jedem >: H. Ch. teile voran geschikt ist] is of considerable extent. It com- 80. (vgl. M 67. B p.168. R499) hs prises a list of sources and an account of the Persian So37e Vi)) les Die zweite auBigabe; vgl. X° 90. 81. T. (R514°. L27.) bull Lu oole Goal Got ll és ep val ob H. Ch. III, 233 nr. 5110. nach |°PA? 82. À. (R514. L18.) nach !-PA la) mÈPs EU) op > HO 83. (B24. R500°. 1089. L 34.) +9 | Sb al 5 Gb GUL | > H. Ch. — Quelle für X 92. 145. 84, (B 44; p. a, R590.L46.) vor 1+#+ _msS dy JE ol Su Me db Wôrterbuch zum Ls72e Lsye- Vorhanden in Paris: Suppl. pers. nr. 422. 85, (oben Xe 77.) ET | Hle Les Die zweite bearbeitung; vgl. K 88. 86, T | (L 24.) vor |. Lis Lube JB Joss H. Ch. TA 297 nr. 5069. Die nie handschrif- ten sind von Pertsch unter nr. 172,2 und 173 be- schriben. language and grammar, the whole of which is textually copied without any acknowledgment from the Farhang i Jahängiri, with the only difference that the word Ul> has been substituted for os in the headings of the twelve sections which it comprises.» Das gleiche verhältnis wird sich wol auch im lexicon selbst vor finden, und eben so im III. ‘Unsur: Metaphorical phrases, Zend and Pâzend words. with some Turki and Hindi words. — «The mscer. is endorsed eb dE cap. 89, T VOT 1-14 Im Asiat. dan nr. 476: kl. 4°. Die handschrift enthält auf 119 bI. folgende stücke: a) Der obige titel findet-sich auf der ersten seite in der stiftungsurkunde des _pgi)) peLal gb Me lei vom jare 114. Anfang: &b À] 4j J} aulee GT ŒUT se Of sul SIN. Die türki- schen bedeutungen sind mit roter tinte unter die per- sischen würter gesezt. Ende fol. 84v: OS) Ce AS œb]l dj U3® à sul] b) fol. 85—97v ns von anderer hand das lezte stük me Jâmis FU > ui schluB: els) Far: ©) Fes rande von SL 97. Y. der selbe tractat Jämi s, welchen Rieu II, 862°,v beschreibt, aber nur 20 kurze zeilchen, mit der carte OR) AE du (3 dde _ Jane pull as Là) 343 Bulletin de l’Académie Impériale 344 Su pr À J, 1) ee ré À | OEerg de 3 ps d à res d) fol. 98 #. Gedichte von +) T, , Qel; — 98 v: von [094 Ldge, (5), ne ue 106v, 108); vier kasiden von (6,91; — 105—106v eine kaside von dés T.; — 107—108 LS, LS jus, Les ke, von welchem RE ich nichts zu sagen weiB; anfang': œbexSl 3 LSD59 posé; — 107v mu‘ammä’s vom schreiber ail y el und JLS J 4) Jus Quest (sic). e) fol. rs von anderer haud je ein beit von :yuus }äs und Die stücke a) b) und c) sind von einer hand, ob auch d) bleibt mir zweifelhaft. 90. (B 50; p.18,9.) Jb SU ns DLaËl Cul ul di cd Plagiat der zweiten auBgabe von Surüri, M 80. > H. Ch. 91. 1°0F (A 41. R775.) |°04 : pe pk. GET Gael de Jet ep le Js Gb Collectanea in fünf Les, nebst einer aëls, worin ent- halten: «an alphabetical list of proper names of places and men, with fixation of their spelling, and short notices». >> H. Ch. — Vgl. Pertsch nr. 96 (one PÈRE -92, (A 11. B7: B7; p.18, ne L 6.) et ob» ob “ub,» Led us il 5h gl Je Je JG H. Ch. VI, 625 nr. 14924. — Vorhanden in Pa- ris: Suppl. pers. nr. 442. 445, 93. T. (Li p.31) SU) äis H. Ch. VI, 599 nr. 14815. Commentar zu Ÿ 39. l+4r 14h a) Unter seinen quellen fürt ob» auch an 4 » 5 X) = «sole Ye GG (B 32. R 8002) 297. T7 (B 22. L 32.) Lilete | Quelle für À 95; vel. B p. 21. Sonst ganz unbe- kant, eben so wie der «dichter» _iLL., dessen namen ich bei Pertsch p. 684 finde. 95. (A 10. B 20; p. 20,11. R500. L 41.) sy Lo, SF Qui and ll de ee Ji see all Vorhanden in Paris: Suppl. pers. nr. 980. Pertsch or. 129—131. Geordnet nach den ersten beiden buch- staben, die weitere reihenfolge ist mir in irem principe unverständlich gebliben. 96. T. (H. Ch. VI, 626 Ë 14995.) dal Ci EU Ans set Das datum 1-vV4 bei :H. Ch. ist falsch. Flügel I, 141 nennt das buch aelgi Ki Cola) und Su‘ûri nr. 32 aolgé © . Ein anderes werk dises gelerten, welcher nach H. Ch. IV, 521 nr. 9447 i. j. 1-4 starb, wird unter X 107 verzeichnet; vgl. auch X 111. 97*. (H. Ch. VI, 30) | SK ui) Als quelle für X 99 genant, villeicht auch für Su‘ürt (nr. 29). 98? T? VOr [4x 94*. Len 1e4V VOT |°4A? (H. Ch. VLS8 nr. 12543) Go} Lis he SA SH] Ji Cul ? ah CHEN al (3 Le für die folgende X. (H. Ch. VI, 30 nr. 12607.) . Lie et C5 CEOMCR Lil Ge, SD +2 9 ne a Jlsdl, Nach Hammer’s Geschichte d. Osman. Dichtkunst gab es zwei dichter dises namens; der eine lebte un- ter sultan Suleimân I (qP4—qvre, 1. c. II, 491 nr. 623), der andere ist |+4V gestorben (III, 429 nr. 1327). Das zweite datum glaubte ich hier vor ziehen zu dürfen. — Vgl. K 87. VOT |e4A ? vor |e41 2: 345 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 346 100%. T? (H. Ch. II, 230 nr. 2602.) , EP ba Gluell à das Im an gesezten jare starb Hâgi Chalifah. 101*. T. (L 21.) H. Ch. II, 561 nr. 3928. 102*. VOr |°4A VOr |°4A (E. Ch. IV,91 am schluf von nr. 7712.) vor 1-44 a Le LA nn, sel us. cé) JB 103*. (L 54 nach H. Ch. V, 468 nr. 11655.) vor 1-44 PARCS à Bt PE proies sl 3 ie 5 dsl tolie al SU Le le ve Le 104%. (Suüri nr. 1: üri nr. 15.) vor |+Vo y Le, : oder auch (395) , wie es unter den wôürtern pl und ph genant ist. Wol kaum identisch mit X 73 oder 142? >> H. Ch. (Su‘üri nr. 28.) 105". | vor {Vo Li NME He OK 106. T. (L 42.) IVO sopé Le H. Ch. VI, 555 nr. 14610: ou Jos Cal da 5 dl GB opel) GOT que pi pl ul La, pes nb RTE à Æ os De lit Cal &, et cp pole 6 Ab 4e, ‘ioes 3 oies WU LI Gaubl LL ae éle 55,1 all a—a) im drucke steht SI dj pal b) eben da dope c) eben da II, 450 lesen wir: : HI 5 Doris ds A) oi. SL) J DE éb I ets ee es Pre hs: (A) sie en JS SIG Ja uss — VI, 626 nr. 14928: LI > 48 ge Loyni es Ein anderes werk des selben gelerten findet sich wei- ter unten X 115. Ferner verfafite er: H. Ch. VI, 590 nr. 14777: (0) pus (oppnt ail (O5 Jlle ci ; lPo : du) Je (à all — VI, 533 nr. 14519: PIE LU spé Le hp als CU 3 & el el Jus E p|pée di Mode VA — VI, 563 or. on Ds Holos Jol LD, Je us Cosne dis aj;] *rjpe ul 1 seb ps fl lose 46 ES # JL al, yes doJie (Je 45), Die vorrede zu disem würterbuche findet sich hand- schriftlich in Berlin: ms. or. 8” nr. 128. (>Pertsch.) Fol. 2v—3r des I bandes der Constantinopler auf- gabe von 1100 werden die quellen auf gezält; ich setze das stük her... tés Gaule pes cd es Jo à oisIv a (1) DSL, àse Ci LS Laul,) Je co deep Gb |< 6e ns Oh | He ue JG CEA À ed “fe Gh 0210 ad (Fr) 3) gt sir di Jill be Jos LE) x Ne Sos ds (r) sRbbre pJielul Fr sue af jy) œbs gi Le Lo, Ge) Qmsl Bb Sd Re ic ous ol Line ce tes bus Loÿ, (0) (5912 Se sic y Oolels RP ne “ea Lo, (A) % Los, (v) LÉ, Les, (9 le Gil Le ENT et d) diser paragraph ist eine doublette des gleich darauf an zu fürenden, und in der auBgabe an dic falsche stelle geraten e) bezieht sich dises datum auf Mustafà Pà$à, oder wie oben auf Su‘üri selbst ? 1) bei mir Xe 77. 6) 15. 7)X 44. 2) 67. 347 4)M 46. 5) X 59. 8) X 56. 9) X 17. Bulletin de FAcadémie Impériale 347 348 les col Eure £a, (1) Laëll OU os, (+)! 07 T. : _ lv “ ee Je dé . " ‘srl OLES 6 Lai, (in) 5 palal Jon, Ci Ca V) Cal) Sn 0 om gl SOI pa A US 2e # | Flügel I, 141. > H. Ch. Vgl. oben M 96. p sil Jde og Dis sisle EE 108*. (Farähâni.) VOT |eAe QE he Ciel >) JS 3 * j>3923e odens 7 Lt ouiel Lol Giéme cuiaullle Lili oui) ps srËle ke Lo siske KIyb ré Hs, ( 5(10) 3596 el pelel o lb LS des ,i, (Ir) Ds Lo, (14) sa de Speo] 5e 4 (oo > (IA) sm so Æ pl, (1V) re 29H49 ll ae: ON ll NT à Li EF Lo, (r1) SU pe et es, (re) 7) âe'}al) lol as ui si be JLe jLs, (+r) à GÈS csbll (sd) Ja) cp dla &be eæliS$, (Pr) alall Le, yo (+4) dll äsi à, (ro) Æ Æ pile (br) Ta (9) Qi) indi, (va) sell) äle,, (PV) Cole LL ULS st ll ts, pe) KA DC, (b+) so 5l Jon A SU CUS, (11) dl, (pre) «sb, Lil Jeall 350 op JL, (##) agé cs bell ss J-Ul, es de js spl dsts® tj ob) » > és Jyée oubL, ps DES be as Uk] JJ5 de dus cles aKnl cup, dre 4bl Coyare Ê cn Gi d re PA) CAE Jen rLers Ce Jill: Geordnet wie M 54. — Vgl. auch X 134. 12)X7. 13) 4. 14) 20. 15) M 104. 16) 17) X 8. 18)X 6. 19)Rieu II, 505; über die türkische über- setzung dises werkes ©, 5] s. H. Ch. VI, 76 nr. 12758 und 558 nr. 14623: Flügel I, 96; Dozy I, 80 nennt noch andere tür- kische übersetzungen dès werkes. Auch die hds. der Universitäts- bibliothek nr. 176 (CXXI in Gottwald’s Onucanie), vom jare 44e und 444, enthält vile osttürkische glossen, deren bearbeïtung unser junger türkologe hr. Katanoff übernommen hat. wid r68? 21)M61, 229 28) X 3. 25) 54 26) 22,a * 27) 80. 28) X: 105. 10) X 18. 11) X 66. 24) Xe 21. 29) ob X 97? 20) villeicht | Die oben citierte stelle des Farähâni beruht weder auf eut noch all U Im commentar zu Anvari (cod, Mus. Asiat. 176° fol. 73v) lesen wir: L sas PRE Mae ce usé +. ah: 3) LssrqussS 4j, Le dus de >, His es Hèp. Hienach kônte es allerdings auch ein arabisches wôrterbuch sein. > H. Ch., doch nennt er V, 324,1 ein wôrterbuch ll} el one näheres mit zu teilen. 109, T Flügel I, 132 nr. 128,2) vor |°Al EI] Ganz kurzer aufBzug (von 56 seiten zu 15 zeilen) auB X 54. Anonym. | 110. (R 508, ij.) père Ube 5 a Qu Cal one JS Cuyll cpl vor l°AF So lautet der anfang eines kurzen alphabetisch ge- ordneten vocabulars: Brit. Mus. Add. 7443. 111, A. (L p. 32.) | Dictiert von dé oben unter Fo 96 und 107 geuan- ten Res ea Flügel I, 136 nr. 133. 1.9 > HEC À À cit M (L p.31.) {tel Je is sn il JC cite CP JL) Le dl sdb OH Commentar zu X 39.—H. Ch. VI, 598 nr. 14811. 30) M 48. 31) H. Ch. V, 560 nr. 12097 vgl. 9784. 32) M 96. 33) X 86. 34)X a) Cod. Mus. rés 477 steht s. v. bloB: auf Injü. 349 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 350 119”. T. (L p.31.) WUPITITST, (L p.31.) um | pli) LL J= «52 ll) Gus SP url ea cal ols all els] is ec He Gb sl melti Gb Ebenfals. H. Ch. VI, 598 nr. 14812. H. Ch. VI, 599 nr. 14813. Ein anderes werk hat der selbe autor nach ue 56 nr. 4479 1. j. 11#K be- 114, T? (Flügel 1,109 ur. 100.) Lun | endet. che ci 118". T (H. Ch.) vor |1#4 ol; Ch _meill solos) ssl y EE Joël Gles Ca) ie 5 * H. Ch. > 536 nr, 14612 fürt mach dem $ £a. à sh L, ab ca à) an: Pepe al 7 LORS ol eh es da p rl ur Hit wañ mit «de quibus in litera Shin dicetur» übersezt ist. Wie aber die anfangsworte im cataloge leren, bezieht sich diser nachsaz lediglich auf X 118: es ist daher quo zu beBern. Das erstere werk ist auBfürlicher beschriben VI, 610 ur. 14865: cpu adlÿl 5,61) Le, fs Li À SJ) dy Ji] d,| OS , Gui) Lis) JF aie cl) bi, Je pe sil GUL pe ps +. sk vais}, A Lo,e) Lu. Den sas s. NV 136. 115. (L 26 nach H. Ch. II, 227 nr. 5070.) ©, PS | 3 J7 ARE | ©},sU), É sslé 370 SIL, 1lPe SJ Steht nicht in allen handschriften. Vgl. ebenda VI, 626 nr. 14930: SL-YLl, &,,4ll, lai) Ca ll ul jus La rue al C5 Sp clail] Qt] RUE aSy, lile 5j ail) «som. War- scheinlich sinds zwei besondere werke, eines über den sprachgebrauch der persischen dichter, das andere über den der türkischen. 116* T. (L p.31.) he H. Fa VI, 599 nr. 14814. Die remet sind Xe 54 entlehut. Tome XXXIL. [IP Den titel habe ich gemacht; vgl. VI, 556 nr. 14612 (oben zu M 114) und 610 $ 14864: 5 pad) ill sal je sil 6 el at CE; au 3 dj) HE à 3 A] ANR SERRE A : ok ay + AR (H. Ch. VI, 560 nr. 14635.) ol Lai Le dé ol sous Gil all LS, Lee pylre Gyll, elle of 4le tabl nt Gall 6 sgh à) Die ls Jyie ie y> af 120. (B 62.) vor lire Se Los Quelle für die folgende X. 121. (B 23; p. 25,12. R 502*. L 33.) FIV ELA oies Le oil eb- EAIE Erster teil zum folgenden, welcher die sprache der älteren dichter behandelt. Vorhanden in Cambridge, King’s College nr. 125. (JRAS. n. s. IE, 115). Die werke des verfaBers werden bei Pertsch, Berl. p. 765 N auf gefürt. 122: (B13; p. 25,18. R501. L 22.) Le Cols gl Zweiter teil des eben polie werkes, von dem selben; behandelt die neuere sprache. Vorhanden ebenda nr. 125; ein fragment in Berlin: Pertsch nr. 120,1. 2. 351 Bulletin de l’Académie Impériale 352. 123. (Berlin: Pertsch nr. 121. 120,2.) vor |IKA Li Les Erklärung persischer und arabischer würter, eigen- namen und phrasen von unbekantem verfaBer, deren abschrift im an gegebenen jare beendet wurde; bucha- rische oder rohe indische hand. Ich habe den codex ‘nr. 121 im sommer flüchtig durch gesehn, kan das werk aber nicht für so alt halten, wie Pertsch mit einem «villeicht» an deutet. Anfang (mit allen felern): ee Gel és de deb a Eli des 35 pas Sol Los CS 3 D» if Geo LUS 5 db o>lyx Te Lo E* rl, JP5 us Let LU Ge JS SL ge, pull Le gssill pl Li ls Lis LS Ulis Ads AL 1 el 35 5 el Ende: ads Qi & » (6 4e >= LS L Sos QU ui Le ue LS Cole en 5 Re IV le Je tira pd] PE pe ol ee LE JS cle 5) Geordnet nach dem ersten und lezten buchstaben. A (H. VI, 638 nr. 14982.) 13) ue 4 ne) als] 151 is À 1 Lol Site dj] 1ren &uull GG el (pénis pal) Gp Lib] aus J,l use ua ES Je 5 of 2 sole td) Je was db # de Gb ME eS SIA (L p.31.) li sé » Gun Gus ob ol; ll [je où _pell (ends db Aumer, Pers. 116 nr. 308. => H. Ch. LIrCA 125. T. VOr [10e a) es ist aber noch von keinen büchern die rede gewesen: ob nicht der anfang der vorrede felt? vgl. den anfang in nr. 1202, welcher leider nicht mit geteilt ist. ' 126*. T2? (H. Ch. VI, 638 nr. 14983.) HLoY Lo el CA) ob 015, dos, /5b era! FE Lis) Jal é) Jsll als] = rl ail}, 1ov dl) 5,9 (3 af ns ÿf lu] “al (Sgial) Ji, 1] LL 116. (R 997. L 56.) |LoV ele pl sil Gb DE} Cie Anordnung — ? 128. (Flügel I, 108 nr. 99.) vor |14e pl de sple Gb Lil] il Ein nach den stoffen geordnetes synonymisches wôr- |terbuch. Zwei exemplare, das andere im an gegebenen jare geschriben, befinden sich auch in der Mullà Firüz Library zu Bombay: s. den Catalogue raisonnée... compild by E. Rehatsek. 1873 p. 47. 129. (Flügel I, 111 or. 102.) | 8), pëll ce os] À Le 5 ee el us) sal Lie Gb Ein alphabetisch an gcordnetes glossar zum Vassäf, vor |1AI bei H. Ch. VI, 555 nr. 14611: le, ab Ca) àa p JA al tit &ul Gi (D ds Le il sil ms, SE se LS Le pl Ce Ji cull di colin cu à LS M e äslau}, 3LJL | (D 130. (B p.30 nr. 14,4 R502) vor IF se ss Gb SL 1 Ein volständiges verzeichnis der persischen infinitive, 134. (B8; p. 28 nr. 14,1. R502. L 7.) 1" Ji JL pe DL Es gibt merere spätere auBgaben, zu der lezten ist auch X 137 auBgibig excerpiert worden. Anordnung —? 132. [14P (Berlin: Pertsch nr. 73,1.) ol) ec) Le, de , is, M LE LR Ru Ge Le Je es lb he pr oboy Ci Ji pen ms LI4Y 353 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 354 Für die lezten worte steht in der endschrift: 0 pp JS L AC ,> pr. «Œin in persischer sprache erklä- rendes würterbuch des Arabischen (soweit das selbe in das Persische auf genommen zu werden pflegt), des Osttürkischen und des Persischen.» Geordnet nach den anfangs- und endbuchstaben in Ù$ und &b, dann nach den sprachen (AT P) in Had. Das werk urifolt 631 bl. fol. 133". T? Lei Ve [f H. Ch. VI, 599 nr. 14816. Commentar zu À 39. 134. T (L 53.) soi Los Lil a H. Ch. VI, 628 nr. 14938 nennt das jar 1-4r, aber gleich der folgende paragraph, welcher des selben verfaBers all] bise jvais? i. j. 1104 geschriben sein lift, gibt die correctur an die hand. Su‘üri be- endete sein würterbuch ja erst 1-Vo. (L p.31.) |14P 135. T. Es D. sn vor 114A C3 (SJ Poele È ec Dorn nr. 495. > H. de 136. (L 52.) LIVRE 15 sé à ee a cran H: Ch VE 628 nr. 14935, vel. x 114. In der Münchener handschrift (Aumer, Pers. 119 nr. 312) ist von späterer hand der titel cles e* Uesb vo gesezt. (B 57; p. 30,15. R 503. L 57.) 137. [lAe | al, Gb lai) Glsthao Alphabetische anordnung. 138. Eine L61 À LAS A atuteche anor Tdnung. 114 139.T. (R 515. L 17. Zeuker I nr 30 fr.) 1194 nt: PT RS Us ds 140, (P nr. 174.) IP. De où] à, Jbse de ob Gb sl» volsil Œin lexicon persischer redensarten, ca figür- licher und übertragener auBdrücke», verfalit für Mr. Geo. Holyrood (?) Barlow. Eine als felt. 91 bl. 4. «Am ende wird das buch CL Le) &zw genant». {AA.T. (Dorn Mél. Asiat. V, 481.94, 508.145.) bb obx tes » sb ob ball pole sal sull Gb Vgl. Zenker I nr. 68. 69 und se Huart JAs. V (1885) p. 456 nr. 389. 47. jl yo, sic Las RL Iberc vor |[P°0 (Aumer Pers. nr. 298. P nr. 132. 133,1.) ESA Re E BAPE PA RG Da in der anderen Berliner hds. auBerdem noch das arabisch-persische würterbuch RS | Last ak folgt, welcher 1-64 verfaBt worden (Rieu II, 510), so künten die Del, auch älter sein — ob etwa gleich M 104? —, als hier nach dem datum der ab- schrift an gesezt worden. 143. (L 60.) EC Vgl. Wiener Jahrbücher 35—44, 125 (1826—28. 49), und Fr. Rückert Grammatik, Poetik u. Rhetorik der Perser. Neu hgg. von W. Pertsch. Gotha1874; dazu r | Fleischer ZDMG. XXXI,563-81.XXXII, 225—-70. um. À dir 144: (B 39.) vor [PK Quelle für die folgende X. 145. (B 38; p. ae 16. . L 39.) IP Le oo) Gé cp se Hs jo lé Je Gb Unter anderen nicht ré werken und ara- bischen wôrterbüchern fürt er als quellen an die Ÿ 44. 23* 355 Bulletin de l’Académie Impériale 356 51. 63. 67. 68. 77. 84. 92. 95, re Le 131.137. /autors, fl, l, re, gefertigten copie, welche diser 144, und die sb von 2e 5 (B p. 29,2. | selbst durch gebeBert hatte. Vel. Dorn, Mél. Asiat. R 502”). V, 520 n1125. Geordnet wie M 77. 146. T. (P nr. 147. 147°) vor |PKO a D US Jo Ci 95 p Ye db AuBfürlicher commentar zu X 39. 147. T. (Dorn, Mél. Asiat. V, 483.107) RO PA ol; Je. asybre Fe il Lu @ 5 ; LH Ç Gedrukt zu Constantinopel 1F4P. IPO° 148, (A 13.) ions Über des PAS it à mir pe mag. PAR IEl freundlichst folgendes mit. Wärend der autor sich am hofe des Muhammad Sàh, ehe diser noch den thron i. j. Iro- bestigen hatte, auf hielt, riet im der verfaBer der xs Sp, Bahman Mirzi“, er môge doch auch eine literarische arbeit dem prinzen dar bringen. Da der r el üb» und 85 bee JL an verschidenen mängeln leiden (s. die eigenen worte des autors zu NX: 152), so entschloB er sich ein neues wôürterbuch nach |Po+ zusammen zu stellen, und &base Cola E&* 029€ Le 4 Loi sol 5 sui, jet, Gaël Lilo) of ps CE J5 » J}, Lil » LUS, ail 33 sr$le JE Dis JE US dll Je af 4; nr of, &s | ST, ét 1 Jyies Eat Jens pe Es dl on Les, les db up EL 2 Ll. Das werk wurde erst nach der thron- besteigung des Muhammad Sâh beendet und dem selben vor gelegt. Lithographiert ists zu Tabriz 1+4-+, in einem foliobande von 228 bI., nach der von dem bruder des a) s. ae r, Relation de l'ambassade au Kharezm .... trad. Par. 1879 p. x 149. T. (L p.32.) cul) J je Ein reichhaltiger commentar zu À 39. Da das buch mir leider nicht zugänglich ist, so verweise ich auf L, und nach im auf Flügel 1, 137.142. Zenker IT nr. 61. 150, (A 47.) el oil Ge cel, Css ge QE JS Ab Lithographiert zu Teheran 1Pvr. 8°. 165 bl. Es ist eine reimlere, nach dem alphabete geordnet, mit lexi- calischer erleuterung der wichtigsten reimwôürter (wo- bei die vocale (5, =. und J$s* besonders berüksichtigt, und für die lezteren alle würter auf gefürt werden), und belägen auB den älteren dichtern, ôfters auch in eignen versen, welche mit pl da. y, ein gefürt werden. 151, IPOo [PA (A 32.) Less; Über dises werk weiB ich nichts bei zu bringen. vor PA 152, sel Dep) Lo IPAN Colup Cell LE HE LB SAdb Lithographiert zu Teherân 1rA4 fol. 6 pagg. und 17 bl. | Über den verfaBer uñd seine vilen schriften vgl. Ch. Schéfer, Relation de l'ambassade au Kharezm de Riza Qouly Khan traduite et annotée. Par. 1879 [Publ-s. de l’École des 11. orient. vivantes. 1° sér. IV] p. xvj ff. und $. Churchill, À modern contributor to Persian literature. Rizä Kuli Khän and his works. JRAS. n.s. XVIII (1886). p. 196—206. Beide haben die auf den ersten sechs seiten der auBgabe befindliche biographie des autors von Mänukji benuzt”®?), und geben auch den inhalt der vorrede kurz wider. Trozdem laBe ich hier 22) In der liste der werke felt: bei beiden das éagataisch-persische wôrterbuch mit grammatischer einleitung, welches wir leider nur in einem incomp:eten spi besitzen; Dorn Mél. asiat. V, 528 nr. 127: S$ li &s, ;. 357 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 358 das für unseren zwek wichtige stük über die ge- schichte und die quellen der persischen lexicographie im originale ab drucken. Es heifit fol. 2—3: + ble, Cal, Colg 5] ME CE Ls CL oÙ, obus ss 5) Us af Colup Yyeki] une 5), cl ÿlLl = Lie) ce Us «slasl, LS Lai sl &llle blé ee NE Uby3e AS él Loose af NL 5 K'asas, Cie LE Lasaoe ta ls by Len ste, Dre die «lab Dlail 5, as Cw jLs gra) les ec. nl ob, 55 GS D Eu 45 © ANR Un _p 9 pr 55 Le "ep pelal}, ambre se CODE AS Lu le as a Lulu st, gredite 5) jleël jus cpl B Zeb ao, les 1, En) ne Css‘ ls L moe 2e el Si 6 JM JU GS oi Es, Cor Le da ur Cl, oo pre als où dus bb, &fls Cul lil, 2 buis, Dre Cys? 5 JL Dé, lie Dos, LR Je on ÿ°b Don Ds ai JS all, ade 4j de he Sc, BTS co fie Cal Æ pl cd,» Las © pie ulss De alle “he ets Cal, ai AS sais) ‘s Ent Uryites QanJes 1 sed Lio je ais Oil bc Club obeb Fat UE ès Ge > ll gels, le sb el bai ne LS29 ue ue Le le cs} He ps cÀ > Jde al pie lai) As re Ris ul vop > e2® aïe) Mo ll | Gel jyaie pl, (2) ss Gin ee x) es (1) ri 7 jure CE (#f SRI 5 oLk 5, (3) “sb a) Nach Schéfer I. ec. p. xix ungedrukt b) lithogr. Teheran iP90. 2 vols. fol. pp. 20 + 4OV und pp. 8+ 4V4. Ethé in Mgid, Forschungen. Lpz. 1875 p. 36. d) oben X 1 e) X 3 is Jd culs 5 LT 5 af uxlé + Ces LU le » Bulls» Les, rl 65, als, gb] Ge“) ét LE pol Jle af cpl; | Us JL ue os As co pari sil Bb a ‘al » Su le Dg2 JE*ture ds ds Das Fi: a pol 4528 Que (6) aile ee Le (ul ni DE) EU Cal, a US 9 Ca bol, Lai jl of ps la le al Léo Gale ol > pe is ob 51 GUl Sr 5 pelle (6) EP Et GR poupe Hs me el Lol, JE ab pr B ue 17) des 5 QU ‘ ds yes ob Cal Fo Pa Lo sic os ges 1) EE PARA pl af ,L SJ Je Y=)l c axilf Jul ,5b j5 Of 45 02331 pl£b éle Gyie be PA E rl ai ele ws»b eliob ag JE oil ne re ile cosstl us cuil Jla x (8) class SU gt, Gas (les exe coul Se > Po Le) ds (ju ülef, 2 5] DA DS da 53e Ms le Us pri ns 0e os gps ab plis JL Le ue Uas Los; ol, 55 eye BL Ces, Fe ch ns Slelse cit pe de I cs JL ut > bis 5 Lo ox Lis née Le cul Si es, (10) 1)X 67 m)X 77 o) unter dem titel h) s. oben pag. 258 X9 AX18 ñ) Pertsch Die arab, Hdss. zu Gotha. I, 348 J Le Rieu II, 510 359 Bulletin de l’Académie Impériale 360 5 l&b JS] ül Cul 32e Pre Pséy Le us (A) : Cons le Ft, DE ne Qwill > $ Us Us Ji Sin Gb cp pm Gone, (ge af L Les vel,i &ils Gels os, as, be «65b li of dj ul La Fire ep A se OL + Le Ge ous L alé, rire ÿ) js LS ch eus sb 5 lib pitie sh LL, Dlob lue 5l, ul Age li] HAS Es) ebhil 3329 tb Ext DS pes POUR Ce ce Li, el > mb ile | © or) > L obbi ob L af ls; JHil,s el ol LI L 52 (12) aus Cu 39 (5e Gage 9 Je yygire CIE 7. obus Ghiles Ce cpl 5l JL osè de L vis, ülaue, nee übel &shsi 5) Ye LL, ol La L ton De LU 5} Je at Win eb6 vb» Ub» ll af Se, ep ail ge ve OÙ get al AT Cul asie (j J5 > JS y> Qi, asie po |* pe 5 25 ji OI 5 Ge of As, as le, fais ‘ et … ol &ele (13) ‘El pee, y) mi 1 Joli 5 JE Lol ebb ŒUL 5 dede ca L SU jl db +, al|er He, Ji, Ji, 5, le, Gb. 5 Jose jé — DA DPI à 0e. J> Lu 2 ss Dhys, cal pes Eris & pie ea Jhs ue b ue Se ca bee Us Hi] es Es gi $ Gas as af Gui nn p Syge Gel, CES de Lslasie EE D Li HE, Asa) ») X 95 X 145 qg) X 92 r)es sind wol die ls La gemcint, s) À 148 vgl. fol. 2 oben der lithographierten aufigabe æ) Pertseh Le él; (14) A çpl rés ‘df ile PCR À bd Le pl 5 pra celes L:5 1546 ES 5e D out ll Las Lu il Gb LL J> ire CS cpl JD9 of is Uby, Los bb olub af Lulu fu vols se 25 de Qsleeb 5l aisé jys a iles (one, CES 5] 2 ul >5 jp “ous, Dés, ob, où Jes 5 DEL oil, Len ji, Cal Qi ol, lil übub 3 oies JE ls Le a ons awll D) 5! be ob Gb Gé y dsl >pjfee lof Solé plie obel obèses let Obs cul Jéie ot ee. J?9 sel te obt | “à d& po LE J;b Élu, ee ee ol ylei 4° gues 2 me PS Cl LE fes “e ul», ce Cl (lus Copé ef a Es, «5 ob , als SA EN 1(15) le MC AU aallhe 3 aebe Ve sul go (19) “sas Le, (7) gryebs (16) Cste, (9) aa) 339, (29) all) 9, (21) axb] à ls, (20) tolell &b, L'on ghes (24) US, (23) all) Ole, as cg, (27) % LM ele, (26) ” ‘e coke ex il, (80) “SUU) &sl, (29) Sal dé, (31) la jLuo, (5) Gosse xl) dE (7) Lee Lo, (10) A Lo, (8) ael5,:, (6) Li) Lo, (32) gels gens (13) Ab gloss (11) pins ie IL, > (34) © y) ds Lo, (33) IG t) Vullers I, vi 7) u)RieuFf, 141 v) Zenker I nr. 22 2 zx)Rieu 11,507 y) H. Ch. V, 395 nr. 11453 2) H. Ch. V, 324,11 hat nur den namen &lÿ Re aa) vel. 67,31 b) M 141? c)Pertschl.c. 1,357 d)vgl.zu 2 e) vel. zu X 6 S) H. Ch. VI, 273 nr. 13459 g) ebenda V, 497 nr. 11817, riagel 1,118 À) EH. Ch. VI, 625 nr. 14993 M 46 4) M 151 D X 54 des Sciences de Saint-Pétersbourg. pos Je > 4 re Lis Je "Ole (85) ‘al Li 5 il fais JUL 5, pe US Vois cpl aipsls af jlésl sie Css; OL, HA AIQREE Us épi] JD Li. JE, wub L olb Lys, OL sic EsLl cl ls a 5,055 HD babe pre ape (36) ‘ AL Cl, Le F gb. Gb pis a) e£ es (87) * «ils pére ob ls Lise, ps) Gl 01 Co es 255 “$ CARE ARE ER PE | 6 CU CPR AE of, « Cas CLÉ Clé JHil, 5 AUS 5) af” a el 00 (88) cl Cul Dose LAS cpl 5 Ék Lo © si) C6) les Sul (89) ess ob OU, swbls pli jf o5b; (sole Éepb Use af Paelioli l, (40) ° GE ue pl oki D YU Fi ÿ} JL Dons ce Ji Ji 02% poire es Cl > lee a$ ass De Mal Ce JL ns “(41) Ps : ou F6 üs, (44) ol (44) OU) (43) EL 'rLyl, (42) ©], (47) ne CU, (46) "dsl Ca éb (45) ME ul el ae pr + buus y, er 1 ele m) die nrn. 33—36 sind in einem sammelbande enthalten, den Mänukÿi i. j. [Pq4 unter dem titel L: phieren laBen: 8° pp. dl + 4°o. Nach zwei von im selbst geschri- dus 4 hat lithogra- benen PAR CA p. |—r€ und p. o—+] folgen a) œbi,s JL, p. b—#i b) Lis) sie C5, OL, p. Pr—V4 — (die folgende seite ist unbeschriben und nicht mit gezält) — c) PTS Pa | ) >, Al p. VV—1rA à) Ce 6595 p. 14—IVV — (i- der eine ungezälte seite) — e) die von dem selben Mänukji verfalite als p. IVA—PF°O n) übersezt von West in den Sacred Books of the East XXIV — Pahlavi Texts III. Oxf. 1885 p. 253 f#. vgl. Rieu 1,49 0) 76 p) 52 g)unbekant r)M91 s) bei Surûri (67) nr. PF t) Rieu II, 477; über die türkische übersetzung } âié s. H. Ch. VI, 546 nr. 14576 u) Rieu I, 335 +) diser titel findet sich bei H. Ch. V, 324 one weitere angaben æ) oben anm. « der ersten alphabets. Ë. j a ne OUT (seb 2 f pe Giles Up Rein St geordnet. # Zum schluB füre ich noch einige werke auf, welche sich chronologisch gar nicht ein reihen liefien. 153, (Paris: Suppl. pers. nr. 451.) ? Jelaill = AU 8 ce el De peu ce pl se sdb Scheint zu den älteren werken zu gehôren, und ver- diente deshalb wol eine nähere untersuchung. > H. Ch. 154. (P nr. 85,2.) ? =] à) «Ein meist in persischer, biBweilen auch in arabi- scher sprache kurz erklärendes persisches wôürterbuch .. Die zu erklärenden würter sind in grüBere oder Élédére reihen zusammen gestellt und innerhalb der selben teils nach den anfangs- teils nach den endbuch- staben geordnet». Auf fol. 133—140 eines sammel- bandes in 4°, sol trozdem etwa 2800 würter erklären. AuB der beschreibung scheint hervor zu gehn, daB dises stük nicht von der selben alten hand geschriben ist, wie das folgende. > H. Ch. OT (L 20.) ? Dozy I, 100 nr. 185.5. a. > H. Ch. 156. T (P nr. 148.) S os w9B al Ein persisch-türkisches vocabular one titel, in zwei : hauptabschnitten ,>Lell und ,L.Y]; die weitere an- ordnung wie in X 54. (101 bl, 4°). 107, T (P nr. 152.) ? , mb Cal Ein kurzes persisch-türkisches würterbuch one titel, in zwei .M#5, wie oben, beide alphabetisch nach den anfangsbuchstaben geordnet. (140 bl. 12°.) “% 363 Bulletin de l’Académie Impériale 158, T (P nr. 153.) ? os «s7°9 ls Ca) Fragment eines verzeichnisses persischer und ara- bischer wôrter mit interlinear-erklärung; alphabetisch nach dem lezten und ersten buchstaben, auBerdem noch nach der anzal der selben im worte geordnet. “© Là 159. (Dorn Mél. asiat. V, 238 nr. 34.) | asUisli, LE Codex Khanykov der K. Off. Bibliothek, one autor und datum; nicht identisch mit Xe 96. [Nicht hieher gehôren: 160, (L15.) vor |+49 els US CI en il G élue Es ul bles À] eg cas Je Je D ae Pre H. Ch. IE, 233 nr. 2630. «Ein arabisch-persisches ....in versen ab gefalites vocabular»: Pertsch zur Berliner hds. pr. 158. 161. (L 30.) vor Vol” ? élarse de Cle, laps lus de, oil ol) Flügel I, 127 nr. 121,5. Ein SEADISC Re PraIOReR glossar von unbekantem Vos. a) B 65. Rieu II, 04a. Pertsch I. c. nr. 154ff.: quelle für unsere Xe 63. 77. 145. Im > Lo werden folgende commentare zu disem werke auf gefürt: “si, | GPL5 ei ») D l'Pae > ré Jr pl > Sep JP Gels > D sic «S VS LS32?: Der dritte commentar (vgl. H. Ch. VI, 346 ur. 13801) findet sich in Berlin: Pertsch ur. 156, wo auch unter or. 157,1 ein fünfter commentar von Je beschriben ist, b) H. Ch. VI, 350 nr. 13824, vgl. Flügel I, 118 N. Register. I. Titel°). 64, ua lal:— 152) 00e Te iii al — 106,6. 15 Haul) 5151 — 6718 un Cl — SLSYel — 108 SU LUI — 108 à) Li 106,19 n. y N} sas] — 21 ils —16 ml [pH] rsil— 106,24. 21 aa] is] — 54.21 se pis) — — 67,9 [3léal)] gris) Us) — 128 6) sil — 152,15 ps) 19 — 153 Jlaill js? — 106,26. 22,a Lol al y 152,47. 150 =) ele —p. 272; n.9) wlll 141: 92 es Ole, — IV,40 n. 152,13. 148 cb Qle» — 131 je le — 152,11. D 2 bis pli LB — 65 Le LL — 65 cel) EL ds — 141 pli CLS — 159,9» Qls — 152,5. ds — p. 272 II A. 152,31. 106,3. 47 QI Glen) às — 24 Le &é — n11) cad 39. 24 çuolé Gé — 60 ul) aix) — 38 (ok) |: — 100 (lsall dif — 147 Lu Lite (oi dif — — 93 SU äié — 160 (Dal ie — 53 slédll à + M9 je Be 10 M [use 4 A GS — 31 dsolyJ} ais) — 147. 139 Lu &S us — p. 315. IL, v Gléd) jis — 138 SL IL) — TU, ij ae ils — 148 olises 6 S55 — 89,d yes ne . 5 —— 5 M las — 82. 81 pull 55 14 le, Ab Cal des —106,0. 66 le, col dncsl FAN 104 =) il ass — 129. LS. Uasb—4 li 119 suwli Ca Lo y —106 — 136 Gle pi a) Die nicht näher bestimmten zalen dises und des folgenden . registers beziehen sich auf die paragraphen der V. Beïlage; die übri- gen beilagen sind durch rômische ice bezeichnet, die fort laufend gezälten anmerkungen durch n des Sciences de Saint-Pétersbourg. 366 RE PS Ë 101 (yà)l eb—155 ob) eb—49 eball eb 106,8. 56 polie es ge—106,20. 68 SU gel — Dplye — 152,56 Lui, Lie — 122 Elus se — dep IL she 148 Go ls To — 88 (> paie le — IV, 28. 67,21 abisl,s £ ls — 67,26 LE li — p. 261; 67,19 ,=ws)] lus Ch 86,8, Les il = 6770 lu __n, 10) Li, ms —IVysn. ; be JL —62 ç) mil — 152,34 Qliuss — 124 Pis — 16 opele &ls 3 159,14 55 — 152") Lol Gus — 32 ils Jens = 10: Jebs ll tes — 67,22. 10 js — QG up — 33 Jill js — 106,58. 86 Jai) 2 10 dl se Be Nil ns IS LL 18 pl) pli — 60 (Cl ail (3 od. A) ais Von. JUL Ulyss — 16,1 Le Uls> — 106,0. ë — IV,25n. ER Olp> — J 3 eut EL, — 152,1:1 Lutte cer pol dl, 46 ob, cynus 4, — 89,c lb dl, — 152. AL, — 82 jules OL, — 159,5 Qbiss DL, — — 159,35 Lil Lis, JL, — 152,56 >, ,4ul, 110 425: Cal Cône > dl: — 9 6,505 OL, — 161 fl laue Les alles — 89,b Lse > alle, — QL, 11 [à] moiïll ,; — 106,84. 78 ),.. al, — — 1 Qi gi, — 140 POLY) à, — 46 bi, — 152) ll ob, Tome XXXII. J « 1627) 255 la 4, 5-2 "152,865, 05 — 169,87 LL 5,5 — 159,56 5,095; > 17 L, Gb; # — 152,26. 65. 6 el 8 el) — 94 LL 121 SU Le — 6,4 Os] 7 — 69 ll; &b. 2 Que — 83 JUL deu — 88 jai àull) el — — 16,6 bal} YU “ Xp — 152,82. 01 le Joli — 27 SU) JL 147 yep lié ji — 111 Sue) ass] LE — 106 ,Le 40 sl Li — 106,18. 6 TE ele ei — — 117 8 5 poule gi — 146. 135.116. 111. 6,029) cp LS aes pt — IV,60. 67,24 SAME À 107 (çuli £epbre pi 67,25 PES ER ei — Jef] 405,5 — 160) quinquies lue] lei Ë— — 152,6. 106,14. 20 [ssl 8. Lo ie 8 nd —_ 99n. &,Y ,Lee — IV, 6; 159,17. 65 ge) ne ee — 102 .8 — 106,17. 54 ,=° ee 8 Gill pee — 58.8 est) gl — 58 nl Ames #)&) Jye — 152,18 cl) 4 102 59 joe — IVB L — 16,1 Lee Lab — 67,26 es le … C 2 n: 21). 67,27 laM} ul = 36 LAN SL FIV, 480. pub Quoi esse — 0. 21). 16,3 Liu] 5 lee 595 Us, 22 45 Le ef ul sy dl | — n. 10) bis pl, à) ic — II, iv ab ie ee — 145 ©lalll Gé — 1524. + Led) àcè 24 Bulletin de l’Académie Impériale 368 Le MO ha er, bc 55 TRUE: ha ic FOG. (7) glss pale) Je — 152,12 Let ou Lois à) ne me 71 Qoplès il ge sl] es — 182 Qu os — 19 les coll Qi vel es — Eos 22 05 Pen ons ee 100 ce et shlosl Qœbs gs Les — 152,8. 106,1. 85. 77 (sl Loi — 34 us Ji —p. 315; IV A. 106,1 46 1591 ,5ls Jos —: 159,5. 106, 13. 4 oLks Le 106,9.17 LL, es 159,10.95 sut, oi— | Los — 67 97 Los — 94 jee [Les] — Les — 38 GuUL les — 60 ei je ue 45 se Je cpl) Qui es 134.106 (5 ssù pol se = LS ; — 14 gi L ol; xt és Le gE Los —o0 be Je gi Les — 51 le M ne Ces 129 Je: uar7a se 36 Calee La, — 70, le os — 26 ele Les — Ur He sr Sel deu tas — 159,82. 151 Los Jos — 1594: 5 &5 Le Lo — 72 5 ep 8 Los — 37 pub els os 106,15. 104 (ç2n# Je, — 106,16. 8 oli, is cp Je QE «s5Lei pare os — 74 joie Lei — | #5 — II B; 59 Je Les — 120 jure RP de a Jos — 54 4j — 1492 Qle ps — 12 les ls — 12 Cle) — 118 5) Les Ÿ &els — 152,9. 16. 67,30 Qpelil — 50 LES &sb|s ce ones — 89,4 (sil Joles — 54. 22 JE pbs atroill — 89 1 dé us "Th Dal ol 77,8 OL) &us — 43 JU ds — 6,f sal — 4 ab, yes — AS vide 55 — 3 — 94 ju OU — IV, 108 n. bo LL ns Le QUT— 9 Li) US — 106,9 CA LUS LA 1008 QU GuS— 45 Le po cl Ces 159,21. 106,21. 51 Call) Cf — 106,55. 3 ab LL — 108. 67,51 CA) 3 — 133 (çuols + HI — J col e 10610 18 ar 08 te Les pee = 84 CHU) 106 Fr) les el 159 1 CLS OCPeE gs © — 152, 40. 52 aelioli Ci] — 152,59. 76 (JG 152,46 le y Di 96 aolgi AK Cl — 41 LL JR 99 db Cf 116 EI Cane — 96 aelgi Ca — 67 ose al — 30 Gill ape ae 1690. us — 158 5 Co ob Cal — 157. 156 F5, Cal— 54.97 (solesl5 Cal — p.256 ous us Cal di} den àx] — 89 dl ds Lite Cal — 57 optio CU al — 114 SL, Cal — 152,55. 106,26. 54 — 152,29 ie — 16. slés)) te 25H » ŸL Æ — es gel pt — 75. 16 5 — 152,7. 106,2. 80. 67 [sos] ei pt — 109 EL e# — 152. 16. 5/1 Lei) — 55 ail és CU me — 90 Gb La) 29 pile) ous — 68 LE sue — 26 pl JL. ne :166 Le, ail Li part — 104 (5 Les 134 (ul Gb jee = 184 es Go CA le — 103 do Cle — 159,4 à, 5e — lil sie — 127 LI Les — 63. Ji Je — 152,98 al} 5e — p. 315°; n.17). IL i —— 106,5. 159. 96 alioli CG — 149 Lidl SU — 106,81 ul LR — 97 ill LÂe b) So eben bemerke ich, daB auch die von Pertsch unter nr. 2,1 beschribenen fragmente zu disem gedichte gehüren; sie beginnen in fasl IV mit vs. 86, darauf folgen fasl V—IX, und ferner die faslT, If, III PA Ve Éaweder ist die handschrift verbaüden, oder es waren die blätter irer vorlage in unordnung geraten. 369 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 370 D 1003. dl: plat à 2 af las #0, Loi] 152,43. 67,32 YJU) pr — 187 Lai] Slbas 257; 152,5. 106,22. 9 (Jla jLiae — 89, d Lili — I n. &) (ep) (57e Er A 6).D. 972. Cie — 23. ll) 98 coll Lu — 99. 87 lal) ele — 25 äxll} plie — 23 Nail] yes Q) dans me 61.86 (sy ail 4 és Mie et up) He Tee 106,19. 65 sl TR — 1] so) 152,0. 142 [#] SU) Lite — 106,28. 105 — 106,7. 44 shall De — 18 will she — pes 152,27 LL ge UV CL) es — 67,54 lil) 9;5 — 22, D up LS — 17 LGL, &us — 46 (ob, (cyuus] es — 140 — n. 15). IB; 108. 106,5. 59 CLel] | le 4x Gps — 1606) cyLiil eovai — 1604). Yluall lai sol — p.258 Cl Colis — 126. 124 çueli … — 130 ps 515 — 5 all) 5h; — 78 JE — 159,20 al) &l — 152,20 n. & ls ; — 106,97. 54. 30. 29 sell) dl, ÿ gs — 159,46 5) Lis — 125 (s54l ÿ Jo — 152,12? 1438 pis Cas — 77,16. 17 II. VerfaBer”). | not) 161*)? 16 en] — 152,87 0,535) SE DT 15, Jos, T — 89,d ciel “+. 290; ss) pe bel — n, 15; p.264; II B. IV,52. 59 dE Bb polal — 136 Quisl ue molil — 134 Gi JS el — 6,f Joss cpl —7 sic ls pe La — 20 c) Mit auBschluf der IV,A als von Vafñi citiert auf gefürten namen, pl —IV,asn. cel —p. 267 plis cpl — 48 EL 45. 16. 11 (jll,5 cpudl 51 — 118. 114 ji, — 1 (55e) ue Uais »] — n.9). p. 272; 108. — 10 x 4} je 431 — p. 267) LIL I dl Je cp Jet QU nf — 68 ee Jai — n. 10) Jsl — 160) (pl pes »Ù — IV, 108 n. — 141 (ya) ele hs). 126 #b Es) Des) Janowl — p. 265; IV, 15. 02; 3 (ouul — 81 sole ol dl Gel — 63 sus, sul — 106, 51 (ss ül 127 jols ab Jül — 89,d 45e) — 88 LL sal 264. 262; n.14). 47 (85) — p.261; 89,4 sy5l — 149 sul) LI — p. 264; 83 Lsue,) — p.272. — p. 262; IV, son.; 85. 77 ssl e 58 £a — 146 CES pe ps Ye — p. 261 (5e ge — 36 Gyll — 138 ÉD — 92 ules — Loge — 66 Lis ull — 67,83 Lo9 ns — 148 |; — 2 jigll — 112 ol LL co D — 5 LÉ ES — 83 Loue] 5 — 61 Le | — 145. 131. 130 ,L, — 6,4 IL) È us ol Je — 6,b Gb) — 89,b.e.a (el — IV, 69. 65 (spodl — 134 ali] — 89,4 À 67. 51. 12 gebessert ak Lab — 113 db 2b = p. 279: n. 6). 9). 10). II"): 134 114. 106°). 24 7 es 47 ré LB — p. 258; 1524) LL — 371 Bulletin de l’Académie Impériale 262; n. 13. 12). IV,25; 125*, 22 de — 9n. LÉ 148 lb bel 2 p, 208 je me pHGD. Lois RE IE 9 n. LD — IV, 19 n. AEE — p.258 [jte (gels — TL, v Eds — p.261 2 — 15 Jlles — 152,35 ps luiss | a pol J 152, 10.9 95 (695 y — 30 ol] pe — 140 51, Le, — p.261; n.10). 5 LIL, ui, — p.269; IV, 57; — 89,4 US, — 148 J5lé, Le — 152.1 LE js 86. sus) eb, —p.261:2 5, J — 2 a) — 152,85 p55l0i; —106,10. 65 üse;l) — 67,18 jbball +55 C2b ou" 80. 67 coran = 103 SU) 2 — 192 1921 — 20 (599, — p.274. 264. 262; n. ae IV passim ; 69 (cp nes Cp Janus — 89,4 (gum. — 89, À Je. PE: de PS CR D en Le gi — 67,19 el cpull Gi — 39. 24 sel: 106 (syri — 118 (jh, ,i — IV,as op Le pull HE, 1 ei — p. 265. 262; IV,15.25. 76; 134. 115. IL, 5j Lp> Que — IL, i (opus Qui — p. 265; et & — IV,48n. (ju A Qué — p. 266: 38. 39. 41. 42. 46. 50. 52. 68. 911. 98. 101; Fe LP 84. 88. 90. 91n. 93; 9 (ox (jme — ÎV, 11. 21. 30. 87. 29. 32, 33. 46. 41. 44. 52, 54. 56. 65. 66. 70. 12-75. 79. 81. 88. p.256 #. 269/); n. 9). 11). IV, 10. 13. 15. 17. 18. 20. 25-—927. — 1V,5; 19 LS pol Qi — 8 dl us — — 14 jil ol ai — IV,2in. (ous S. (osé a …— IV,526; 67,21 2 A sde yue— 91 Le poil 5 — p. 274. 264; IV, 52; (8 ue ° — 39 _pud b — 37 ,y4b el È Je — 1597) (559 pe ele — 26 Cusne cuné pole gen ue — 71 sopliss aÿl ee — 67,35 Lai] dl — 51 [és] Do pp) Je — 93 (oui) y Jil) 107.96 (çoluë 55] ue — 152,9. 95 (6,5 ui ll ne Gb ve —128 (hi) 2 OI ue — p.262; 111. — 68 4e — 144 al elle — 84 ,S 4 He ep — p. 272 632 — p. 261 ,< x — 75 (55l4 jyaie Fe — 145 pull SLe S 7). 20 3,,L IV,s7n (Ms —9 Ge 7 ufss 5 — 8 Lise IV, 25 n.; 152, 4. 5 LE as sil pl vide ilelys — 99 Cjyus — 6,8 5] — p. 261 Less — p.261; jee) ès — 152" ) ll, mail — 89,d dés — — 124 op — 27 (cles — 43 Qlls ail — 15 class IV, 60; 67,24 aal] ol Qbs — 125 le) Le — 152,5. 4 ULbs — Ê EL JUS — p.261 Lau JUS 6,6 05 «y LS ci J * — p. 283 2e) — (106,7. 44). 7 (53 Ÿ. VI 5Ÿ cab} — 6,0 6 dyl Les ME TAT sl ue — 6,f jall — 22 de dl f 83 8-7 gp clé — 1526") Éte Mure 112 JAI je — p. 258 Li 373 des Sciences de Saint -Pétersbourg. Es og? #£ — 32. 51 Li le sp Je — 44 SU es us — 72 5 cn ue — 160) 5locu Jet — 8 oluir

Ji — n.7) CRE 255 — 47 ss — 96 Wir. Ulsals — 93 Kir. pas — 59 Sir. (vgl. J) :: — 49 (3,5 — 48. 47 (in pers. würtern) 5 J — 51 os + pos — 50 54, Le, — 57 — 53.5, — 55 Ji, — 58 ir. il, — 54 ‘$ Penn Res 59 ST PSE Hp}, — 57n. | LE pc — 60 Lu — 66 ui — 60 pl —22t gl 102 chor.: 63 ge — 62 Je — 1 Le — 61 se — 2 Le — 64 tüs. pbs — D ge à — 68 Li — 67 LE — 66 Li — 65 ë,L — 69 ar. 4e ;Lb P. pl G — A46n. ché — Blé GS re — Tous 73 j5 — 70 p. u. mâv. Lys — 7455 — 73 5579], 5 — 790. ,55—71n. — 103.52 À) Ci, — 77 p. u. mâv. À — 76 p. u. phl. K — 75 ELS peu. phl. JP — 78 LS — 79 po — 78 p. u. ir. LS Li 81 Le. 80 ski — 84 ,5f — 76 — 82 diall. alu Li. ui — 86 LS — 102 ar. a, GA — 83 :p9f — 82 n. aderb. 4,99. , JS — 85 ju — 83 nf di. — 85, 87 p. u. dial. 4Ÿ — 86 LS — 89 p. u. Sir. if — 58%r. US — 88 LA. 4 8 80 Sir. Jste — 91 Cyjè,e . Wlièse . «JE. ye — 90 ile — 92 Goste — Ü 965 — 95 Jef — 95 Mr. ? as — 04 5 — 93 AL + Qi — 97 pi — 104 n. pis — 9 > — — 94 Sir. LE — 94 55 — 99 [5 — 98 si — 101 JS — p.268n. L,5 — 100 Ô — 63n. Sir. Ke — 71 Gr. us — 63 Mir. ? Ks S — 35 él, — NB jy 0 e) im verse des Firdausi ist ie . zu lesen. Paru le 10 juin 1888, Bulletin de l'Acad. Jmp.des Se.XXXII. Salemann.Bericht. AH. a. 450 À | AA 145 ? LE plz (c [eôT0 /L ù Il 917 sl ca) 936 | él Cyr ne et ; a.966 AU} igs cux) | ous DE 1008 A) ee 1017 SE dla 1028 Le») _ 1029 lle Le 1062 eLG y 1064 Gus) Les à > 1067 ml cle Ses css 1075 Die verwantschaftsverhältnisse einiger persischen lexica graphisch dar gestelt. Anm. Die sèglen sind die in der œussqabe des Fachri cn gewanten,sind sie von einem Areisse umschlossen s0 wird Fachri in den betr werken citiert. MAPTOTF SAMAMADHFA CR de. 2 T. XXXIL, N° 3. | | sa BULLETIN DE L'ACADENIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST-PETERSBOURG. TOME XXXIL (Jeuilles 25—1/,31) CONTENT. 4 Page , À, Bonsdorff, Sur la détermination des constantes de l’ellipsoïde de la terre au moyen de mesures géo- SOBIEURR Luna ben tele DA SAR den) Lier se ve sat a best eg mou a ei voter nv ed 377—383 €. V. L, Charlier, Sur la formation des courants météoriques par la désaggrégation des comètes......... 383—402 M NSP De l'oDeEraUon (os DONS HER Suit, el nu lies denses ei sel uiaus cute à als 402—412 ; B. Hasselberg, Sur une méthode de déterminer avec une grande exactitude la distance focale d’un système de lentiles pour les divers LAYORS Qu In Iumibre 0 M LU Cane ei pe da vee see der 12—433 Æ, Nauck, Quelques remarques sur les fables de Phèdre....:..5,.:,,,....4., 4eme 434—464 W. Radloff, Rapport sur un ouvrage de M. le professeur Chwolson relatif aux inscriptions funéraires OU OUR À SO DR 2 NT TN Ras nas etai Di ni idee led enduro 64—465 £ A; Cotael Sur Facide phenyl-angéliqne., 5... sus diurne RE nee . 465—467 0, Backlund et B. Séraphimoff, Elémens et ephéméride approchés de la comète Encke pour 1888 ...... . 467—472 0, Lemm, Histoires de la princesse Bentrès et de l’empereur Zénon et ses deux filles.,..............., 473—476 \ Loic be: * . Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des sciences. a Juillet 1888. ——— C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12) # BULLETIN DE L'ACADÈMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST--PÉTERSBOURG. Zur Bestimmung der Constanten des Erdellipsoids aus Gradmessungen. Von À. Bonsdorff. (Lu le 26 Janvier 1888.) Eine Gradmessung führt man, wie bekannt, in der Weise aus, dass die lineare Länge und Richtung einer kürzesten Linie zwischen zwei Punkten, deren Lage auf der Erde durch astronomische Beobachtungen bestimmt ist, mit Hilfe einer Triangulirung gemessen wird. Die Gradmessungen kônnen für die Bestimmung der Con- stanten des Erdellipsoids in jeder zum Meridiane be- liebig gewählten Richtung ausgeführt werden; ist die Richtung der kürzesten Linie aber schief zum Meri- diane, so kann man die beïden Constanten, die grosse Halbaxe und die Excentricität aus einer einzigen Grad- messung bestimmen; wenn aber diese Linie mit dem Meridiane oder dem Parallelkreise nahe zusammen- fallt, so sind für die Bestimmung der beiden Constanten wenigstens zwei Gradmessungen erforderlich. Im Fol- genden werden wir zeigen, dass man die Excentricität oder die Abplattung ableiten kann, ohne die lineare Länge einer kürzesten Linie zu kennen, so dass nur die Bestimmung der grossen Halbaxe die Kenntniss dieser linearen Länge voraussetzt. Es wird sich näm- lich aus unseren Formeln ergeben, dass die Excentri- cität bestimmt werden kann, wenn man die geogra- phischen Breiten, den Längenunterschied und die astronomischen Azimuthe der Endpunkte der kür- zesten Linie kennt. Da aber die Lothablenkungen, sowie die Beobachtungsfehler nach dieser Methode viel stärker wirken müssen, als nach der gewühnlichen, d. h. mit Hilfe der gemessenen linearen Länge der kürzesten Linie, so giebt die Vergleichung der nach beiden Methoden gewonnenen Resultate eine sehr wichtige Controle für die Richtigkeit der Gradmessung selbst. Auf der Oberfläthe des Ellipsoids denken wir uns eine kürzeste Linie zwischen zwei Punkten gezogen und bezeichnen die grosse Halbaxe und die Excentri- cität des Ellipsoids durch a und e, die en Tome XXXII Breiten, den Längenunterschied und die astronomischen Azimuthe der Endpunkte der kürzesten Linie durch B', B”,à, t' und 180°-+”, die letzteren von Norden durch Westen gezählt. Die Vertikalebenen, durch welche die astronomischen Azimuthe bestimmt sind, schneiden die kleine Axe in zwei Punkten; mit diesen als Mittelpunkte denken wir uns zwei Kugeloberflächen beschrieben. Diese Kugeloberflächen werden von den Vertikal- und Meridianebenen, welche durch die End- punkte der kürzesten Linie gehen, in Bogen des grüssten Kreises geschnitten, welche zwei sphärische Dreiecke bilden. In dem einen Dreiecke sind zwei Winkel gleich à resp. + und die zwischenliegende Seite gleich =—P, in dem anderen sind diese Grüssen à, +” und + — B”. Die in beiden Dreiecken den Winkeln +’ und +” gegen- überliegenden Seiten bezeichnen wir durch + — L’ und + — F; die dritten Seiten sind die Vertikalschnitte der Oberflächen mit den zwei Vertikalebenen. Die sphärischen Dreiecke geben: _tg "= sin cotgr’ sec B° + cos Atg B’... (1) tg [= sin À cotg r”sec B°+- cos À tg B”. . . (2) Bezeichnet man die reducirten Breiten, welche den Breiten B° und B” entsprechen, durch 8’ und 8”, so hat man nach Hansen (Geod. Untersuchungen): sin $" }. , Br — TE ar ‘t88 w: sin $” , R/ tg {Vie + ——— es np - tgB, aus welchen man leicht erhält: tg 7” =(1—e#e se) EE sin g gl'={i—e+e RE). 8. Setzen wir’: : : sup” Fr ep” und + LE hf 2= ea) CE CT SIN (D : 379 Bulletin de l’Académie Impériale 380 so wird: p=l-À+ ex, Fa q=1—e+ à .— Eliminirt man aus den zwei letzten Gleichungen Œ;, so erhält man: a Le 2 ns brins (4 und auf Grund der Fa é sin (B!— I”), sin (B— (5) ets sin B’ cos 7”. sin(B"— PE Pas PET Die Breiten B’ und B”, sowie der Längenunter- schied À kônnen aus astronomischen Beobachtungen bestimmt werden, die astronomischen Azimuthe +’ und 180°—+" dagegen aus den Beobachtungen der Hori- zontalwinkel der Triangulirung und aus astronomi- schen Beobachtungen; berechnet man also mit Hilfe der Gleichung (1) und (2) L’ und L”’, so ergiebt sich €? aus der Gleichung (5) unabhängig von der linearen Länge der kürzesten Linie. . Es ist leicht zu bemerken, dass, wenn p>1, s0 muss notwendig g <1 und umgekehrt, dagegen ist immer 2—p—g<0. Der Zähler und der Nenner im Ausdrucke für e? sind also immer negative Grôs- sen. Setzt man B'— B", so wird ['—T"— B' und Den d ==]; dr Ausdruck für & wird also in diesem Falle unbestimmt. Wenn die kürzeste Linie mit dem Meridiane zusammenfällt, so hat man À = 0,7 —+7"— (0; die Ausdrücke für tg l’ und tg l” werden dann un- bestimmt. | Als Beispiel nehmen wir B'— 59° 550”, B'—38° 10, 1-58 il 29/54, [= 59° 52 8/06. Mit diesen Werten der Winkel B und FT erhält man: | log p= 0,0011682, log qg — 9,9991658, log (1—p»)—7,2830818, log (1—gq) — 7,4303106,, log (2—p—g)—6,8889822, und log —7,8244102. Die Gleichung (4) kann nach dem oben Gesagten nur dann angewandt werden, wenn die Gradmessung _ eine zum Meridiane schiefe Richtung hat. Für den Fall, dass zwei Gradmessungen von einem und dem- selben Punkte aus ausgeführt sind, kann man sich eine kürzeste Linie zwischen den Endpunkten der Grad- messungen denken, deren geographischen Breiten- und Längenunterschied wir daher als bekannt voraussetzen dürfen. Berechnet man die astronomischen Azimuthe der Endpunkte dieser kürzesten Linie, so kônnen wir. die Excentricität mit Hilfe der Gleichung (4) er- mitteln. Differentürt man die Gleichung (4), so erhält man: à 1 de — En) dp + 2) dy, oder wenn mañ X=—sin B' cos L” sin (B"—T')+sin B” at sin(B'-[") setzt: — de = ET (sin B” cos B’ al” — __ sin L’cos L' dB") + Den he. a Eu cos Bart — sin 2” cos AE ). Differentiirt man die Gleichung (1), so ergiebt sich: : M ar (cos À cotg +’ — sin Bsin À) dx. + cos? pi cos? B" sinAcos? I" , 7 cos B'sin? rt’ ” "? 4 (cos À + sin À sin B’ Cotg +’) dB — cos? TJ! 1: ; dl = pr (cos À cotg r'— sin B”sin À) dÀ +- cos? 7” * : + pr (cos À + sin à sin B’cotg +”) dB"— sin À cos? l'”/. dr" cos B”. sin? tr” ? . Substituirt man diese Ausdrücke für GE’ und d[°” in den Ausdruck für de?, und setzt: sin? (B'’— 1”) sin B' cos? 1” À j he 3 (cosA cotgT'—sin B'sinÀ)+ sin? (B'— J"/)sin B” cos? T”’ : : + ie (cos À res T'—sin LA sin À), sin2(B'— T”')sin B'’cos B” cos? Be ( Le sr m F (cos À +-sin À sin LP cotg T')— sin? (B'— 1") sin Tous PA X2 ; in?(B'— [') sin B’ ! cos? Me ( Rs de ee I pr(c08 à-+-sin À sin B’’cotgr”)— sin? ne T"”) sin si cos Gé X2 ; ’ sin? (B'— J"')sin B' sin À T'= — ne “he COR F7, TE. sin?(B''—T") sin B” . sin Dés X2 "sin? 1”. cos” 1”, so erhält man : — de = L. dd 4-BaR à B'dB"+- + Tr Tax’. | . (6) des Sciences de Saint-Pétersbourg. 38? Bezeichnet man durch B,, B,”, À,, 7, 180°—+", die beobachteten Grüssen nil sotzt B— B'+ AB, B'—B;'+ AB", =, + Aù, nn T'+-7; + Ar”, so sind AB”, AB”, Aù, Ar’, Ar” die Verbesse- rungen wegen Lothablenkungen und Beobachtungsfeh- ler. Man erhält also für die Verbesserungen, wenn man die Quadrate und hôheren Potenzen vernachläs- sigt, folgende Bedingungsgleichung : à — A — L,Ax+ B'AB'+ B"AB'+ + T'At + TA”, : (0) in welcher die Coefficienten Z,, B;', B,", T,, T/" aus LL B;:5:1; T1 ose Vertauschung der CLteso B!, P', À, v, T mit B, B”, À, T, +,’ eérhalten werden. u Es sei nun Ë die nürdliche und n die ôstliche Ab- “weichung des wahren Zeniths vom ellipsoidischen, weiter mügen SB', àB” u. s. w. Verbesserungen der beobachteten Grüssen (vergleiche Helmert, Loth- abweichungen, Heft I), X und À” die Längenunter- schiede der Endpunkte der kürzesten Linie, von eimem ersten Meridiane aus gezählt, bezeichnen; alsdann an man genähert setzen: AB—3B"—#, AB"— SB'— A = ON — 31 — 0 sec B” +1 ’sec B, AURA te B'undAr"— ÿr"— 1’ tg B”, wodurch die Gleichung (7) in die folgende übergeht: — A I, (SX — SX — 1” sec B'+ n sec B)) + + BOB—E)+ B' (B'— E”) + + T' (dt n'tg B) + T'(èr"—1'te B”). Ausser dieser Gleichung erhält man für die Bestim- mung der Lothabweïchungen noch drei Gleichungen ‘und die bekannte Laplace’sche Gleichung; diese vier Gleichungen findet man in der oben erwähnten Ab- handlung von Hrn. Professor Helmert abgeleitet. Nachdem €? bestimmt ist, berechnet man die redu- cirten Breiten 8 und 8” und die geodätischen Azimuthe der Endpunkte der kürzesten Linie; die rechtwin- keligen sphärischen Dreiecke, in welchen 5 —$ und _. — &" die Hypothenusen und die geodätischen Azi- muthe die Winkel sind, geben dann die Bogen 9’ und œ”, welche die Grenzen des Integrales im Ausdrucke für die Länge der kürzesten Linie sind, sowie die re- ducirte Breite 8, des Schnittpunktes dieser Linie und des zu derselben senkrechten Meridianes, aus welchen man weiter die geographische Breite B, dieses Punktes À (8) bestimmen kann. Berechnet man die Grüsse g nach Jacobis Formel SRE log . q = log + + Aë sin? B, + + _ Ae* sint B, + È Ae sin° B, + und bezeichnet die Amplitude der kürzesten Linie durch ©, so hat man: “me 2 $ Éof 7 ER à SERRE Je+ 4 rer | CAUTDRER 25 ‘— sin 29) , + 4° (sin 4o”— sin 49) Ée nd 3 (sin° 29”— sin 29°) nd | hi Re dent dues (10) Die Bestimmung der Amplitude & und folglich auch die der grossen Halbaxe mit Hilfe der Gleichungen (9), (10) ist also abhängig von e* und den beobachteten Breiten und Azimuthen. Wenn die Gradmessung eine schiefe Richtung zum Meridiane hat, und Azimuthe beobachtet Sind, so hat man nach Prof, Helmert (Hühere Geodäsie, Th. I) für die Bestimmung der Constanten des Erdellipsoids die Gleichungen: A se Br M Vie ain8 ‘0H. mr “+: (41) a P Ass 2 #0, 1. (12) wo M dep Abstand der Parallelen, P eine Funktion der linearen Länge der kürzesten Linie, welche dem Parallelbogen für die mittlere Breite B nahe gleich ist, ©, und 0, die Krümmungsradien im Meridiane und Perpendikel für die mittlere Breite B, und Aa die Differenz der Azimuthe, die letzten von Siden gezählf, bezeichnen. * Diese beiden Gleichungen geben: € — : wonach a am zweckmässigsten mittelst (11) abgeleitet wird. : Die Grüsse e? ergiebt sich also nach den Formeln (11) und (12) mit Hilfe der linearen Länge der kürze- sten Linie; aber der so erhaltene Werth kann sehr stark von demjenigen abweichen, welchen man mittelst der Gleichungen (1), (2) und (5) berechnet. Die grosse Om Halbaxe dagegen ergiebt sich aus den Gleichungen : 25* re 383 Bulletin de l’Académie Impériale 384 (9) und (10) nahe dieselbe, wie aus den Gleichungen (11) und (12), wenn man nicht Rücksicht auf e° nimmt. Die Gleichungen (9) und (10) kôünnen also keine neuen Bedingungsgleichungen für die Lothablenkungen ge- ben, während die Gleichung (8) eine neue nicht früher bekannte Bedingungsgleichung für die Lothablenkun- gen ist. Über die Bildung von Meteorstrômen durch Auflüsung der Kometen. I. Von Dr. C. V. L. Charlier. (Lu le 16 février 1888.) Von den vielen Hypothesen, die man zu verschiede- nen Zeiten über die Natur der Meteore aufgestellt hat, wird wohl jetzt nur eine als wahrscheinlich von den Astronomen angenommen, diejenige nämlich, nach der die Meteore nur die Reste eines zum Theïl oder voll- ständig aufgelôsten Kometen bilden, Die im Jahre 1866 erwiesene Identität der Bahn der Augustmeteore mit der des dritten Kometen 1862, und ein ähnliches Re- sultat in Bezug auf die Novembermeteore, sind die ersten und zwar wichtigsten Thatsachen, die jene Hy- pothese bestätigen. Die Trennung des Biela’schen Ko- meten im Jahre 1845 und sein ausser Zweifel gesetzter Zusammenhang mit dem schôünen Meteorregen in den Jahren 1872 und 1885 erhühen ihre Wahrscheinlich- keit bedeutend. Alle diese Thatsachen deuten darauf hin, dass die Kometen, abgesehen von einer gasartigen Umhüllung, aus Anhäufungen fein vertheilter Materie bestehen, deren Dichtigkeit und innere Attraktion eine äusserst geringe ist. Wie sich eine solche Sammlung von Kôürperchen, durch die auflüsende Einwirkung der Sonne und der Planeten, längs ihrer Bahn verbreiten und somit die Bildung eines Metcorstromes erzeugen kann, hat uns Schiaparelli in seinen klassischen Un- tersuchungen in grossen Zügen gezeigt. Indem er von einfachen mechanischen Voraussetzungen ausgeht, hât er bewiesen, dass die Annahme einer gewissen unteren Grenze der Dichtigkeit eines solchen Haufens zureicht, ‘ um diese Erzeugungsart der Meteorstrôme zu erklären. Da er aber bei diesen Untersuchungen nicht beab- sichtigte eine in’s Detail gehende Darstellung der Be- wvegungszustände zu geben, vielmehr zum Hauptzweck hatte, überhaupt die Môüglichkeit einer solchen Erklä- rung darzulegen, so bleibt noch übrig, eine analytische Untersuchung über den bei der Bildung eines Meteor- stromes vorsichgehenden Auflüsungsprozess anzustellen. : Das wichtigste Interesse, das sich an eine derartige Un- tersuchung knüpft, ist die Aussicht durch Beobachtung von getheilten Kometenkernen zu einer Bestimmung der Kometenmassen zu kommen, die durch alle bisher vorgenommenen Untersuchungen auch noch nicht an- nähernd hat erlangt werden künnen.. Eine nähere Betrachtung der Theïlung des Biela’- schen Kometen und der mit derselben in Zusammen- hang stehenden Erscheinungen wurde dem Verfasser Veranlassung, diese Bestimmung zu versuchen. Aus dem Jahre 1846, als der Komet zuerst doppelt beob- achtet wurde, sind eine grosse Menge von Beobach- tungen der bciden Kerne vorhanden; wogegen aus der zweiten und bis jetzt letzten Erscheinung des Kometen im Jahre 1852 nur eine sehr beschränkte Zahl von Beobachtungen vorliegt. Obgleich dieser Umstand, durch die Schwierigkeit, die Kerne im Jahre 1852 mit den entsprechenden bei der früheren Erscheinung des Doppelkometen zu identificiren, das Problem in hohem Grade komplicirt, so scheint es doch nicht unwahr- scheinlich, dass eine Bestimmung der Kometenmasse wirklich gelingen wird. Die Analyse zeigt nämlich, dass beï dieser Bestimmung die Ermittelung des Un- terschiedes zwischen den Elementen der beiden Ko- metenkerne das hauptsächlichsté Moment bildet, und zu diesem Zweck werden die Beobachtangen wahr- schemlich ein hinreichendes Material hefern kônnen. Bei der folgenden Untersuchung war daher mein Hauptzweck, einen Versuch zur Theorie der Theïlung eines Kometen in zwei andere zu geben. Da aber die Analyse in diesem Falle nicht leichter wird, sondern von derselben Natur ist als wenn es sich um die Ab- sonderung kleiner Bruchstücke oder einzelner Meteor- steine handelt, werden wir lieber diese allgemeinere Aufgabe untersuchen., Wir verstehen daher unter ein solches kleines Massentheilchen oder auch eine Sammlung von solchen, die als ein zusammenhängendes, und zwar durch die inneren Kräfte stabiles, Massen- system angeschen werden künnen. Den Kometen denken wir uns aus solchen kleinen Partikelchen oder Massensystemen gebildet, die um gewisse Zwischen- räume, Vorläufig beliebig grosse, von einander abstehen. Die Gesammtmasse, des Kometen wird durch die Summe Zu, ausgedrückt. Indem wir die Bewegung 385 des Sciences de Saint-Pétersbourg. einer dieser Massen À untersuchen wollen, erhalten wir zuerst folgende analytische Ausdrücke der Accele- rationen längs zwei in der augenblicklichen Bahn des Kometen ee gegen einander senkrechten Axen, d’x Tate Hi HG 9 dy W tE — Der Anfang der Écrinilés ist hier in die Sonne gelégt. Unter x, y sind die Koordinaten des zu unter- suchenden Kürpers verstanden. M ist die Masse der Sonne, #,, m”, etc. die der verschiedenen Planeten, deren Einfluss hier merkbar werden kann. Weiter ist + ns (x, me x) dé (Y; He y), ZX, und Fr; sind die Sn er der Wirkung der ‘stérenden Planeten, also a .3 .3 J à; Tj UM Y LE ENT ART J J wo. die Bedeutung von ë; » 1; , 7; und A; aus der obigen Definition von X; und Fr: unmittelbar klar ist. Die Koordinaten x und y in den obigen Gleichungen werden wir gegen andere vertauschen, die für die jetzige Untersuchung bequemer sind. Wir denken uns desswegen einen Pünkt (x,, 7,), dessen Bewegung so _ beschaffen ist, dass die Bahnen von g,, p., ete. immer oder wenigstens in demjenigen Theil der Bahn, den wir hier zu untersuchen brauchen, von der Bahn dieses Punktes nur um einen so kleinen Betrag abweichen, dass die hüheren Potenzen des Abstandes zwischen den Punkten (&;, y;) und (x, y), Wenigstens vorläufig, nicht berücksichtigt zu werden brauchen. Es ist diese An- nahme eine so plausiblere, als die verschwindend klei- nen Kometenmassen die Einwirkung des Kometen nur dann mit der der Sonne vergleichbar machen künnen, wenn der Abstand ein sehr geringer ist. Wann und wie lange diese Annahme berechtigt ist, wird sich übrigens bei einer thatsächlichen Anwendung der Me- thode von selbst herausstellen, Die Bahn des betref- fenden Punktes (x,, y,) werden wir im Folgenden kurz mit dem Namen Referenzkurve bezeichnen. Wir setzen 386 Z = +9 Y =Y+h Ti = Lo +4) h= Yo + ü. 8. W. und mit Vernachlässigung hüherer Potenzen von g und h, erhalten wir hieraus folgende Werthe für r und A "à er$ [1 + 26980] FA 2 (659 + njh — 209 + Yoh) À; AE A5 [1 et ER sde P. ya | wo wir unter 7, und A,; die Abstände bis zum längs der Rdltoucoits beweglichen Punkte verstehen, d. h. ) =149) À; Et (Ë; — To) + (n; Rene LE Aus den tue Werthen von r und à erhalten wir weiter SL _ af en mel = mal 1.67% CE KA mel und p, hat die = (9 — 9Ÿ + (, — Rÿ. Nach a dieser Werthe in (1), werden wir zur Bestimmung von g und k folgende Differential- gleichungen bekommen Fo? ro° dt? tr, — YNHWo — : p5 dr ne Res le (h; — “ Pi Shnar a y wo = X,+0() A (a), Le) AS) und mit dem Index Null angedeutet wird, dass # und y gegen x, und y, vertauscht werden sollen. Die Wahl einer Referenzkurve steht uns noch frei, und zwar giebt es unendlich viele Methoden um ge an eine solche gestellten Bedingungen zu erfüllen. Von diesen scheint diejenige die natürlichste zu sein, die als Referenzkurve eine Bahn annimmt, die von dem Schwerpunkte des Systemes beschrieben werden würde, wenn man nur den Einfluss der Sonne berücksichtigen wollte,-oder auch dieselbe Bahn unter Berücksichtigung 387 Bulletin de l’Académie Impériale der planetarischen Stôrungen. Im ersten Falle wäre also (x,, 7,) durch folgende Differentialgleichungen be- stimmt. Pro + Po D (' 128 2 G) Yo My 0 0: é 0 mr 0 und zur Bestimmung von g und À erhalten wir dann aus (2) es Le M 8 Nr 7 ae L cotrg-cv) _ Vu 9 _ x dh M % hj—h me ali Safe eo) — DE EE à Wollte man aber in der Bewegung von (x,, Y,) auch den Einfluss der planetarischen Stürungen berücksich- tigen, so erhalten wir statt (3) und (4) die folgenden | Gleichungen d?x, ee se a. RP rer, = Len. d? M. 4e ee ge 7 se F, und d M 8 CT pi (di — de + ra (9 To a. Y# pi(gi— 9) dx 2 = =1(S } al 23 à Œh ue, (4 no NL ARE a(2X —= F4 kse ( ze Die Glieder rechter Seite in den Gleichungen (4*) sind zwar im Allgemeïnen sehr klein, da dieselben nicht nur die kleinen Grüssen g und À sondern ausser- | dem die kleinen Planetenmassen als Faktoren enthalten. Es ist aber nicht immer erlaubt dieselben ganz zu ver- nachlässigen, da nämlich solche Füälle eintreten künnen, dass einer von den Planeten dem Kometen so nahe kommt, dass seine auflüsende Einwirkung, von der hier die Rede ist, mit derjenigen der Sonne Li map wird, dieselhé sogar übertreffen kann. Welches von diesen beiden Systemen (3) oder (3*) | gewählt wird, ist von theoretischem Gesichtspunkte aus eigentlich gleichgültig. Nur wenn die planetarischen Stürungen von solchem Betrage wären, dass die Bahn des Kometen während der in Betracht kommenden Zeit sehr von einer oskulirenden Ellipse abweicht, was wohl selten der Fall ist, müssen nothwendig die Gleichungen (3*) zur Anwendung kommen. Wenn man dagegen eine numerische Anwendung der Gleichungen beabsichtigt, und dabei nicht nur die relative Bahn der Kometen- theile zu einander, sondern auch ihre absolute Bahn erhalten will, ist die letztere Annahme über die Refe- renzkurve, also die Gleichungen (3*) und (4*), ent- schieden vorzuziehen. In dem vorliegenden Aufsatz kommt aber hauptsächlich die relative Bewegung der Kometentheile zur Untersuchung, und für diesen Zweck werden wir lieber von der Annahme (3) ausgehen, da dieselbe eine einfachere geometrische Form der Refe- renzkurve zulässt. Um überhaupt eine Diskussion der durch die Glei- chungen (4) definirten Bewegung vornehmen zu künnen, müssen wir jetzt vor Allem eine Annahme machen über die Konstitution und Form des Kometen. Wir haben bis jetzt nur angenommen, dass der Komet aus einer Anhäufung von Massentheilchen oder Massensystemen u., d etc. besteht und wir wollen die Bewegung eines : solchen Massentheilchens oder Massensystems À unter dem Einfluss von y,, x, etc., der Sonne und der Pla- neten untersuchen. Die.einfachste Hypothese, die wir nun über die Vertheilung und Beschaffenheit von 1, u, ete. aufstellen künnen, und die übrigens mit der beobachteten Form der meisten Kometen übereinstimmt, ist, dass die Gestalt des Kometen eine kugelformige ist, und dass die Massen p.,, u, etc. um den Mittel- punkt (und Schwerpunkt) dieser Kugel symmetrisch vertheilt sind. Wenn man dann mit B die Summe aller Massen p bezeichnet, kônnen wir schreiben JEU D 09 ; pi Re p3 ? Vin p 05° wo. g und k' die Koordinaten des Schwerpunktes be- zeichnen und = (9 —9ÿ + —Ÿ. Diese Formel hat auch dann Gültigkeit, wenn die Masse À innerhalb der Kometenmasse liegt, wenn man nur dann unter B nicht länger die Gesammtmasse des Kometen sondern die Masse einer Kugel versteht, deren halber Durchmesser gleich 9 genommen wird. Unter diesen Voraussetzungen erhält (4) die folgende Form B(# —h) Pg M (9 md not . O) _ LE + 2 ( __ %o rl 389 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 390 In derselben Weise, in der wir die Differential- gleichungen der Masse À erhalten haben, kônnen wir nun die Bewegungsgleichungen für den Schwerpunkt des übrigen Theils B des Kometen aufstellen, und zwar wird | es ee. au (y — 3 yet ns LE ES à (6) æh de wo X’ und y eine mit X und Y die Bedeutung haben. Im Falle, wo es sich nur um die Bewegung eines einzigen Meteors bandelt, kann man natürlich in die- ser Gleichung À — 0 setzen. Die Gleichungen (5) und (6) geben uns nun nach der Integration die relativen Koordinaten von À und B gegen den längs der Referenzkurve beweglichen Punkt. Zunächst ist es aber von grüsstem Interesse die relative Bahn von À und B gegen einander kennen zu lernen, und zwar werden auch die hierfür nôthigen Gleichungen analytisch einigermaassen leichter zu be- handeln. Wir setzen Ne j —g—=6@G h—h=H, und erhalten dann unmittelbar, wenn man die Glei- chungen (5) von (6) abzicht, zur Bestimmung von G und 7 folgende Differentialgleichungen: 7 a! 3% A a “+ À: A _— Lu To? À dG M 3 G H A+ B)G de ta (G 2e +! + ne (7) ar pad | + rs (E— Pat éen)) ARE = Y'— YF, und für X—X und Ÿ'—Y erhalten wir die Werthé xx GDS )+ A nos "es Yo) —7=GÙ'6 ie a (= He ) doj° ï. hif . Rue _ he Fu: welche Gleichungen wir unter der Form X'—X—1LG + MH FY'—Y—MG+ NH schreïiben werden. Hier bedeuten Z, M und N gewisse bekannte Funktionen der Zeit. Nach G und Æ umgeordnet nehmen jetzt die Glei- chungen (7) folgende Form an æG M 8%°\ . A+B 2. ( 380 — [et + M]H=0 0 F2 M 8 yo? * PÉE ETE 0 0 —[(t +0) = 0: Da hier in den Koefficienten von G und 4 alle Glie- der mate Fuuktionen der Zeit sind, mit Ausnahme von - 7 , So ist es klar, dass die obigen Gleichungen in lineare Difierentialgleichungen übergehen, wenn man einen (genäherten) Werth von 9 kennt. Wenn dies der Fall und ausserdem die betrachtete Bewegung Stabil wäre, so dass die beiden Kürper À und B im- mer nur um sehr kleine Grôüssen von einander ab- weichen, so lässt sich zwar das Integral dieser Glei- chungen finden, indem sich dann die Koordinaten in trigonometrische Reïhen entwickeln lassen, deren Ar- gumente lineare Funktionen der Zeit sind. Da wir aber hier gerade den Austritt der Masse À aus demjenigen Gebiet, innerhalb welches eine stabile Bewegung müg- lich ist, betrachten wollen, so kann die im vorigen Falle gegebene Lôsung hier nicht zur Anwendung . kommen, und auch wenn 9 eine bekannte Funktion der Zeit ist, bietet die Behandlung noch grosse Schwierig- keiten dar. Das Problem wird indessen viel vereinfacht, wenn wir statt der früher benutzten auf ein festes Sy- stem bezogenen Koordinaten, neue einführen, welche sich auf zwei in der Ebene der Bahn liegende, beweg- liche Axen beziehen, und die so bestimmt sind, dass die x-Koordinaten längs der Verlängerung des Radius- vektors von dem an der Referenzkurve beweglichen Punkte, die y-Koordinaten in einer dagegen senkrechten Richtung gezählt werden. Die auf dieses bewegliche System bezogenen Koordinaten werden wir U und V nennen, und sind dieselben also ihrer Definition nach durch die folgenden Formeln mit den alten verbunden T, 4 8) U— G + | H % V= — Fe G + A H. Bulletin de l’Académie Impériale Die positive Richtung von V wird hier so gezählt, dass das Koordinatensystem XF durch eine Drehung um den Punkt (x,, y) um einen veränderlichen Win- kel, dessen cosinus gleich ist, mit dem System UV zusammenfällt. Obgleich dies Verfahren immer mit grossem Vor- theil benutzt werden kann, werden wir doch hier noch die Bedingung aufstellen, dass die benutzte Referenz- kurve ein Kreïs ist. Dadurch werden in der That keine dem Problem eigenthümlichen Schwierigkeiten ver- schwinden, dagegen gewinnt man den grossen Vortheil, dass die Dbetsiché über den Gang der M nat cine viel leichtere wird. Wir setzen also To = T9 COS NÉ, Yo = ToSin nf, und nach der. Formel (3) wird dann Li de NW —= re Da jetzt weiter U— Gcosnit+ Hsinnt V = —Gsin nt + Hcosnt, - SO wird A Te COS né + TE Sin né + nV D — sin né + % cos nt —nU und | = 86 conte Pain née 2n + PT 20 jme PE oo8 at © 99 PV. * Wenn wir weiter beachten, dass die letzteren For- meln unter der folgenden Form geschrieben werden kôünnen . Œ@U W14 21 .T PG %o PH ae nn U " re de mn NV _. de Ur dé? s0 son wir leicht, indem die Werthe von ee und Le H hier aus den Gleichungen (7) eingesetzt werden, für die Bestimmung von U und Y folgendes übersicht- liche System von Differentialgleichungen Dan UT am + #5] (9) ae + on + V| = ]=Er, wo Fund F, nur von der Einwirkung der Planeten abhängen, Indem wir bemerken, dass nach (8) | bestimmt ist. 392 G=Ru—Ly | H=?U+®y, To To so ist es gleich ersichtlich, dàss Æ ad F\ lineare Funktionen von U und V id, die also kleine Korrec- tionsglieder in die Éosticienten von Uund Vin (9) ein- führen sollten. Da aber, wie schon bemerkt, diese Glie- der nur dann merkbar werden künnen, wenn der Komet einem Planeten sehr nahe kommt, so werden wir die- selben vorläufig ausser Acht Héèn und nur die auf- lüsende Emwirkung der Sonne in Betracht nehmen. Die Gleichungen, die wir jetzt zu untersuchen haben, sind daher von der folgenden Form ŒU av ANR Mat U( — +4 )=0 (10) , Fe PSS, A+ B F7 NE 2n + SA p° = 0, wo © durch é = U?+ V°. Obgleich das allgemeine Integral dieser Gleichungen schwerlich gefunden werden kann, lässt sich doch durch dieselben eine genäherte Diskussion der Bewegung aus- führen. Die Frage, die uns zunächst interessirt, betrifit die Stabilität des von À und B gebildeten Systemes. Unter welchen Bedingungen wird der Abstand zwischen den beiden Kôrpern für immer nur zwischen gewissen end- lichen Grenzen schwanken, und wann andererseits kann man efwarten, dass die stôrende Einwirkung der Sonne eine Auflüsung des gegenseitigen Bandes verursacht. Um dies zu untersuchen werden wir das Verhalten der {Integrale in der Umgebung eines gewissen ‘Werthes des Abstandes von e studiren, und also annehmen, dass in den obigen Differentialgleichungen während einer sebr kurzen Zeit p einen konstanten Werth hat. Die Glei- chungen gehen dann in Hneare Differentialgleichungen mit konstanten Koefficienten über und wir nehmen an, dass ein partikuläres Integral derselben die folgende orm hat (11) U=e", =" stimmung von & und A die zwei Relationen un 7 2m4+[—iw+Q1=0 - A + 2na + AQ : =0, $ Diese Werthe, in (10) eingesetzt, geben zur Be- des Sciences de Saint-Pétersbourg. Wo wir Q Le A+ B gesetzt haben. Aus der ersten bekommen wir für À den Werth _ — 3n° + Q (43) AT welcher in die zweite Gleichung (12) eingesetzt fol- gende Gleichung vierten Grades zur Bestimmung von « liefert (4) œ+(n + 2Q)a — Q(3n — Q)— 0, und von der Beschaffenheit der Wurzeln dieser hängt jetzt die Art der Bewegung hauptsächlich ab. In Be- zug auf «° aufgelôst ergiebt sich & = — ; (+ 2Q + Vn‘ + 16 Qn°). 2 Da wir Q als positiv angenommen haben, d. h. die Kräfte anziehend, muss &° immer reell sein. Da weiter ein Werth von &° negativ ist, so müssen immer zwei Werthe von « existiren, die imaginär sind, und die also in dem Ausdruck für U und VF periodische Glie- der erzeugen. Das untere Zeichen in der Gleichung von a? kann dagegen einen positiven Werth von «° ver- anlassen, und damit das Auftreten von Exponential- grôssen in U und V bewirken. Damit dies nicht ge- schehen kann, muss Q einen solchen Werth haben, dass (n° + 2QŸ > n° + 16 On”, welche Ungleichheit unter der einfachen Form (15) Q> 3n geschrieben werden kann. Es ist diese Ungleichheit, die Nacht die Bedin- gung der Stabilität des von den Kôrpern À und B ge- bildeten Systemes ausdrückt. Der Bedeutung von Q und * uns erinnernd, kônnen wir dieselbe in Worten so aussprechen, dass ein stabiles System nur dann be- stehen kann, wenn die beiden Kürper À und B unter alleiniger Wirkung der gegenzeitigen Attraktion drei- mal eine Rotation um den gemeinsamen Schwerpunkt ausfübren würden, während der Schwerpunkt selbst einmal einen Umlauf um die Sonne vollbringt. Natür- lich hängt aber die Natur der Bewegung nicht nur von dem Werth von @, während der hier betrachteten Zeit, ab, sondern auch von den in diesem Augenblicke vorhandenen Werthen der Integrationskonstanten. Wenn wir die imaginären Werthe von & mit # À,i und + Ài bezeichnen, hat das Integral die Form Tome XXXII. (16) U= f, cos À t + f, sin At + f, cos Àf + f, sin À V — 9, cos À,f + 9, sin Àf +- 9, COS À f + 9, Sin À,f und vier beliebige von den Grüssen f und g kôünnen hier als Integrationskonstanten betrachtet werden, wenn nur gleichzeitig folgende, mit Rücksicht auf den durch (13) bestimmten Werth von À erhaltene, Rela- lationen zwischen den betreffenden Grôssen befriedigt sind 93 — on À f nu On Le fs AE Q—\7—3n° FR Q — À2? — 3n°? A on À fi 1eme Ro “HUE fa Sofern aber die durch (15) ausgedrückte Bedingung nicht erfüllt ist, vorläufig von dem Falle abgesehen, dass zwei Wurzeln in (14) gleich werden, erhalten die Integrale statt (16) die folgende Form 47) U= ket+ ke + fcos)t + f,sin At V = Ah — Ake À + 9, cos At + 9, Sin À, wo Jetzt (18) A= Pis und 8 die aus der Gleichung (19) pr (Vn+ 16 Qn° — n+20) bestimmte, positive Grôsse bezeichnet. Es ist allerdings môglich, dass in (17) die Integra- tionskonstanten f, und f, so grosse Werthe haben kün- nen, dass obgleich in einem gewissen Momente Expo- nentialgrôüssen in den Ausdrücken für U und V zum Vorschein kommen, die Kôrper doch durch den Ein- fluss der periodischen Glieder wieder innerhalb der Grenzen des Stabilitätsgebietes zurückkehren. Indessen müssen dann sehr grosse Werthe dieser Koefficienten vorausgesetzt werden, da sonst, wie sich gleich heraus- stellen wird, die Exponentialglieder innerhalb weniger Tage die vollständige Auflôsung des Systems bewirken. Es braucht nämlich 9 nur einen Werth zu haben, der sich ein wenig ausserhalb des durch (15) begrenzten Stabilitätsgebietes entfernt, damit $ so viel wächst, dass das erste Glied in (17) den grôssten Einfluss auf die Bewegung bekommt. Nach Verlauf einiger Tage nach der Aufhôrung der Stabilität braucht man dann in U und V nur diese Glieder zu berücksichtigen und also zu setzen (20) U à kePt V = Ake — AU, 26 395 Bulletin de l’Académie Impériale wo wie früher 8 und À mittelst der Gleichungen (18) und (19) bestimmt sind, also nicht konstant, sondern wie Funktionen der Zeit betrachtet werden müssen. Um die grosse Geschwindigkeit, mit welcher beim wachsenden $ der Abstand zwischen den beiden Kür- pern zunimmt, besser beurtheilen zu kônnen, gebe ich unten eine Tafel für $, die aus der Formel (19) be- rechnet ist. Und zwar habe ich dabei sowohl Q wie in Vielfachen von »° ausgedrückt. Setzt man nämlich Q—= pr? so geht (19) in die Form QD #=S(T+ 16142) über. Hier lasse ich p von dem Werth 3 bis Null her- untergehen, und die Tafel giebt für jedes Hundertstel den entsprechenden Werth von £ an. Man sieht aus der Formel (20), dass 8° für p — 3 gleich Null ist, da weiter AN Re ) dp re L} so muss 8 mit abnehmendem » wachsen, bis das Maxi- mum für p — Ê — 0,9375 erreicht wird. Von da ab fängt 8 an abzunehmen und konvergirt mit verschwin- dendem » gegen Null. Um die Interpolation zu er- leichtern, sind die Zahlen unten in umgekehrter Ord- oung angegeben, indem p von Null bis 3 wächst. Die Berechnung ist mit vier Decimalen ausgeführt und die letzte Ziffer kann also nicht verbürgt werden. Tafel für 6/n. 0 = 2 ‘8 4 2332 .2798 .3167 4841 .4975 .5099 .5857e .5931 .6000 .6460 .6507 .6551 .6849 .6881 .6912 © e pd TAID 7187 1295, : .7410 . 7475 . .7498 . () 7157 1323 .7489 . 7446 . 1382. PA je d'A SFITO Li ma .7042 . .6885 . 6709 . 6511 0292 . [ie L2 L2 L] L2 L L2 . . L) + + boNmeS vom Bb oO Sono BB % Ne © 6051 5786 . 5490 . 5167 . 4807 . pré 5 6 7 8 9 D 3476 .3742 .3975 .4183 .4370 +171 0214 .5324 .5426 .5522 .5612 86 6066 .6130 .6191 .6149 .6304 D4 6593 .6633 .6673, .6711 .6748 30 6941 .6968 .6995 .7021 ’.7046 24 CUAVÉU CAES. 12E0 1099: 21200 16 .1336 .7349 .7360 .7371 .7382 10 .1434 .1441 .7448 .7454 .7460 6 1486 .7488 .7491 ,7493 .7495 + 2 1499 .7498 .7497 .7496 .7495 — 2 1480 .7475 .7471 .7467 .7462 | 1431 .7424 .7418 .7412 .7405 7 1007 19349 1941 1892 1323 10 41200 7229 7291 1220 .T214 12 1139 .7126 .7112 .7099 .7085 14 .6997 .6982 .6966 .6951 .6935 16 6835 .6817 .6800 .6782 .6764 18 6652 .6632 .6613 .6593 .6573 20 .-6448 ,6426 .6404 .6382 .6360. 22 6223 .6200 .6176 .6151 .6126 25 0973 .5947 .5921 .5894 .5867 27 2700 .5671 .5642 .5612 .5582 30 .D397 .5366 .5333 .5301 .5268 33 .D064 .5028 .4992 .4957 .4920 36 .4691 .4652 .4612 4531 41 4572. 397 des Sciences de Saïint-Pétersbourg. 39s ? 0 1 2 8 4 5 6 7 8 9 D 2.5 0.4490 .4448 .4405 .4361 .4317 .4273 .4299 .4182 .4136 .4089 47 .6 0.4042 .3995 .3945 .3895 .3844 .3794 .3742 .3688 .3633 .3578 56 1 0:3522 .3466 .3408 .3349 .3289 .3226 .3163 .3098 .3032 .2964 70 5 0,2894 2825: 27149 :92675:.2095 .270914" 2430 2345" 29202 3108 99 .9 -0.2059 .1954 .1843 .1723 .1598 .1459 .1306 .1132 .0925 .0654 —654 3.0 0.0000 Tafel für À p= à ? A BA p A BA p A BA p A 4 + 4. b4 3.0 000 — 0. 2.0 —0.514— 0.314 10 —0970— 0.719 0.10 —297 1.347 0.010 — 8.77 — LA481 : 29 —0.140—0.029 19 —0.551 — 0,349 0.9 —1.026—0.769 .09 — 3.11 1.369 .009 — 9.04 — 1.482 28 — 0200 —0.058 18 —0.588— 0.385 0.8 —1.100— 0.821 .08 — 3.28 1.372 ‘008 — 9.58 — 1.484 27 — 0.250 —0.088 17 —0.626— 0422 07 —1187— 0.877 .07 —348 L386 007 —10.25 — 1.486 2,6 — 0.293 —0.118 1.6 —0.666— 0.461 0.6 —1.288— 0.936 .06 — 83.74 1.400 —11.10 — 1.488 2.5 —0.332— 0.149 15 —0.707— 0.500 0.5 —1.415— 1.000 0.05 —407 1.415 0.005 —12.21 — 1.490 24 —0.370— 0.181 14 —0.754— 0.541 0.4 —1.578— 1.070 04 — 4,51 1.430 .004 —18.69 — 1.492 23 —0407—0.213 13 —0797-— 0.583 03 —1805—1.148 03 —5.17 1.446 .003 —15.74 — 1.494 29 — 0.448 —0.246 1.2 —0.847 — 0.626 0.2 —2.172 — 1.288 02 — 6.27 1463 .002 —19,43 — 1.496 21 —0.479— 0.279 L1 —0.901—0.672 0.1 —2.966— 1.347 O1 — 8.77 1.481 .001 —27.24 — 1 498 Ich habe die Tafel so ausgedehnt berechnet nicht nur um den Gang der Werthe von $ zu zeigen, sondern auch um sie für eine numerische Rechnung brauchbar zu machen. Die Tafel zeigt mit welcher Geschwindigkeit $ vom Anfangswerthe Null mit abnehmendem Q zunimmt, und da Q der dritten Potenz von 9 umgekehrt pro- portional ist, so ist es klar, dass eine sehr kleine Zu- nahme des Abstandes zureicht, um $ einen merklichen Werth zu geben. Da weiter während einer kurzen Zeit G wie konstant betrachtet werden kann, so wird der Zuwachs in U annähernd durch die Formel SU — BU, berechnet werden künnen. Im Anfang der Bewegung {von p = 3,0 ausgehend) wird die Veränderung von U sogar schneller vorsichgehen, da die obige Formel mit Rücksicht auf die. Veränderung von 8 eigentlich die Form SU— (8 +14) 0 hat, und ‘% % positiv ist. Gleichzeitig bekommen wir | V aus der ones Um zu zeigen wie À sich mit wachsendem Abstand zwischen den Kometenkernen verhält, geben wir auch ein Täfelchen für diese Grôsse, Die dritte Kolumne enthaltend 8A ist desswegen hier aufgenommen um zu zeigen, dass dies Produkt sich allmählig einer endlichen Grenze — in nähert, was übrigens schon aus der Formel für À leicht her- vorgeht. Der Weg,* den man verfolgen wird bei der Unter- suchung über die relative Bahn zweier Kometenkerne, ist nun der folgende. Der Einfachheit wegen nehmen | wir an, dass die Integrationskonstanten solche Werthe haben, dass U und VF auf ihre ersten Glieder reducirt ven Die Behandlungsweiïse in anderen Fällen ist analog. Wir setzen also ÜU = V — Ake! und ausgehend von der Grenze des Stabilitätsgebietes setzen wir : CE A. == 0, U,=k=6, ? also ni Faso Es bedeutet dies, dass wir uns-die beiden Kometen- kerne auf dem nach der Sonne gehenden Radiusvektor liegend denken. Durch Differentiation erhalten wir nun SU, — (8, +4 %) Uo V=AU, , U,—=U,+0, 26* ? Bulletin de l’Académie Impériale 400 dB ZU Ver- schaffen, kann man einfach dadurch vermeiden, dass man nicht gerade von dem Anfangswerth 6 — O0, son- dern gleich z. B. von 6 — 0,1 ausgeht, was in der That pur bedeutet, dass man nicht bei dem Abstand o, an- fängt, sondern bei einem um ein Tausendstel grüsseren. Darnach erhält man für das zweite Zeitintervall Die Schwierigkeit sich einen Werth von U,= (8, +6: “)U, D — U, + oU Fat Die 6 und À nimmt man direkt aus den früher ge- gebenen Tafeln, und gleichzeitig erhält man auch einen genäherten Werth von +. Die Zeitdifferenzen müssen sa so klein gewählt werden, cu Asowobhl wie — während einer Zeiteinheit als konstant betrachtet Fa kôün- nen. Der Übergang von einem Zeitmoment zum fol- |. genden geschieht dadurch, dass man aus den erhal- | tenen U und V zuerst einen Werth von p berechnet | (in p, ausgedrückt) — U? + V°; und dazu beachtet, dass Q — pr? — BE Q; = pr # ne also P __ {Po\ (21) En EN Hieraus künnen wir einen Werth von p und dann diejenigen Werthe von 5 und À erhalten, die für die Bewegung während des nächsten Zeitmoments zur Anwendung kommen. Die Zeitintervalle muss man im Allgemeinen sehr kurz wählen, da $ und À sich rasch verändern, Die Veränderung von U ist am schnellsten, wenn 6 seinen Maximalwerth hat (für p — 1). Yon diesem Moment an wächst V, und damit auch der Ab- stand, rasch, und z. B. für einen Kometen in der Ent- feroung Merkurs von der Sonne wird die gegenzeitige | Einwirkung der beiden Kometenkerne innerhalb sechs Tage auf ein Tausendstel des Anf: erthes reducirt. Es ist vor Allem die Veränderung von U, die für eine Bestimmung der Kometenmasse aus den Beob- achtungen von Wichtigkeit ist. Schon sehr kleine Ver- änderungen in dieser Koordinate müssen nämlich ver- hältnissmässig grosse Modifikationen der Elemente, besonders der mittleren Bewegung und der Excentrici- tät, hervorbringen, und durch die Verwerthung von dieser ist es daher môglich die Grüsse der Komieten- masse zu finden. Die obige Form von U und V gilt nicht, wenn in der Gleichung vierten Grades für & zwei Wurzeln gleich werden. Dies trifft ein, wenn entweder Q = 3»° oder Q — 0. Die entsprechenden Integrale sind nicht schwer zu finden. Wenn erstens Q — 3%° ist, so nehmen die Gleichun- gen folgende Form an 0 se +- 2n À — D + 3n° V— 0 Aus der ersten ue man D = OnV + Ci Dieser Werth in die zweite Gleichung eingesetzt giebt : “ cE LAS IV+2nC —0, ire . ist (22) und also TANT à Re ct + “ Für Q — 0 erhält man ähnliche Gleichungen, näm- lich eu f cos VTnt+ gsin V7 né 7 9 cos V7 nt +- æU av De GE 2n — Sn U—=0 ŒY au Und die Integrale dieser sind : : K ee f, cos nt + sin né + * "1 (23) 1 % V = — 2f, sin nt + 29, cos nt — 3K,t + K,. Es ist bemerkenswerth, dass während im vorigen Falle U säkulare Glieder enthält, V aber nur periodi- sche, das Verhältniss in den letzten Gleichungen gerade umgekehrt ist. In der That steht dies mit den früheren Resultaten in guter Übereinstimmung, da nach den- selben U anfangs sich rasch ändert, V aber sehr lang- sam, wogegen später allmählig U sich einem gewissen 401 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 407 Grenzwerthe nähert, gleichzeitig damit, dass V fort- während in derselben Richtung schnell wächst. Wenn die gegenseitige Einwirkung der beiden Ko- metenkerne auf einen sehr kleinen Werth reducirt worden ist, kann man den Verlauf der Bewegung vortheihaft mit Hülfe der für Q — 0 geltenden Inte- grale untersuchen. Man geht nämlich dann von der in (23) gegebenen Form der Integrale aus, daselbst die Integrationskonstanten X, und X, wie veränderlich betrachtend. Zur Bestimmung derselben erhält man sebr einfache Differentialgleichungen, die ohne Schwie- rigkeiten integrirt werden kônnen. Auf diese Frage hoffe ich aber später Gelegenheit zu haben zurückzu- kommen, wenn ich mit der Untersuchung über den Biela’schen Kometen fertig werde. In diesem Aufsatze wollte ich nur einen Versuch machen zu zeigen, wie man sich überhaupt eine Vorstellung von der Bewegung verschaffen kann. Eine andere Frage von grossem Interesse, die mit der jetzigen Untersuchung in engem Zusammenhang steht, ist die bezüglich der Bewegungsverhältnisse un- mittelbar vor der Auflüsung der Stabilität, Soweit es mir gelungen ist diese Frage zu untersuchen, muss dann die Verbindungslinie zwischen den beiden Kernen eine pendelartige Bewegung um den zur Sonne gehenden Radiusvektor ausführen, Bei dieser Betrachtung ist es am Besten die früher benutzten rechtwinkligen Koor- dinaten gegen Polarkoordinaten zu vertauschen. Jeden- falls werden solche Untersuchungen sehr schwer, 50 lange man nicht die genauen Integrale kennt. Zuletzt ein paar Worte über die Auflüsung der Ko- meten durch Absonderung einzelner Meteorsteine. Die früher definirte Stabilitätsgrenze ist hier unverändert und lautet jetzt (24) ma Die Betrachtungsweise wird einfacher, wenn man, mit Schiaparelli, statt o das mittlere Intervall 24 zwischen den einzelnen Meteoren einführt. Es wird ann 3 + #() und statt (24) bekommt man M welche Formel zeigt, dass die auflüsende Kraft der Sonne nur von der Grüsse der Meteorsteine und ihrem gegenseitigen Abstand abhängt, nicht aber von der Totalgrüsse der Kometenmasse, die Vertheilung der Meteore als gleichfôrmig angenommen. Bei einem mittleren Abstand zwischen den Meteoren von einem Meter wird nach der obigen Formel die Sonne schon in einer Entfernung gleich der der Erde die Auflüsung des Kometen verursachen, wenn die einzelnen Meteore nicht mindestens die Masse von 0,23 Gramm haben, und in der Entfernung Merkurs von der Sonne muss dieselbe wenigstens 4,0 Gramm sein. Es ist dabei die Masse der Sonne zu 200.10% Kilogramm angenom- men. Schiaparelli hat in seinem «Entwurf einer astronomischen Théorie der Sternschnuppen», p. 165 lität als die durch (25) definirte ethalten. : wie es auch bei den von ihm ge- machten Voraussetzungen nothwendig war. Man ver- gleiche in Bezug hierauf übrigens die Note p. 163 in derselben Arbeit. Die von einem Meteore beschriebene Bahn wird in derselben Weise berechnet, wie die relative Bahn zweier Kometenkerne zu einander. Die einzige Veränderung, die eintreten kann, betrifft den innerhalb des Kometen selbst liegenden Theil der Meteorbahn, da nämlich, einer früheren Bemerkung nach, für diesen die in den Differentialgleichungen vorkommende Kometenmasse als veränderlich betrachtet werden muss. Zur Aberration der Fixsterne. Von Magnus Nyrén. (Lu le 15 mars 1888). Bekanntlich geht man bei Bestimmung der Aberra- tionsconstante von der Voraussetzung aus, dass die Geschwindigkeit, mit welcher der Lichtstrahl den Welt- raum durchläuft, davon unabhängig sei, ob sich die Lichtquelle in Ruhe oder in Bewegung befindet. Die nahe übereinstimmenden Werthe dieser Constante, die man durch Beobachten von vielen Sternen und in ver- schiedenen Himmelsgegenden gefunden hat, gaben bis jetzt auch dieser hé ce CHPISEUS Be- rechtigung. Die vielen ] aber, worunter weit auseinander liegende Sterne beobachtet à werden müssen, machen die hierauf bezüglichen Schlüsse immerhin mehr oder weniger unsicher. Künnte man geeignete Sterne finden, die sich unter ganz gleichen 403 Bulletin de l’Académie Impériale 4104 Bedingungen beobachten liessen und bei welchen es den- noch mit einem hohen Grade von Wahrscheinlichkeit anzunehmen wäre, dass ihre eigenen Bewegungen in Bezug aüf die zu uns ausgesandten Lichtstrahlen, von einander verschieden seien, so müssten die Beobach- tungen solcher Sterne einen jedenfalls wichtigen Bei- trag zur Entscheidung der angeregten Frage liefern. Von den in Pulkowa ausgeführten Beobachtungs- reihen sind es besonders die zu verschiedenen Jahres- zeiten gefundenen Rectascensions-Differenzen Polaris — Comes, die sich für solche Untersuchungen eignen. Die Beobachtungen beider Sterne werden, was Instru- mentalfehler und atmosphärische Verhältnisse betrifit, unter so gleichartigen Bedingungen gemacht, dass aus solcher Ursache herrührende, systematische Abwei- chungen dieser Differenzen als ausgeschlossen betrach- tet werden müssen. Treten darin dennoch solche Ab- weichungen auf, so liegt jedenfalls die Vermuthung nahe, dass sie mit einem Unterschied der Aberration für die beiden Sterne in ursächlichen Zusammenhang gebracht werden sollten. Schon W. Struve hat hierauf bezügliche Untersu- - chungen angestellt. Mit Hülfe der in Dorpat beobach- teten Rectascensions-Differenzen der genannten Sterne hat er aus zwei an verschiedenen Instrumenten beob- achteten Reïhen zwei nahe übereinstimmende Werthe des Unterschiedes zwischen der aus & Ursae min. und der aus dem Begleiter folgenden Aberrationsconstante gefunden, und zwar aus der ersten Reiïhe, 55 Beobach- tungen, Unterschied: Comes — Polaris — — 07180 + 0/035 und aus der zweiten Reihe, 96 Beob.: Comes — Polaris — — 0,133 + 0/025. Auf Grund der nahen Übereinstimmung dieser bei- den Werthe sieht Struve sich zu folgendem Schlnsse berechtigt: «Apparet de exiguo inter utrinsque Stellae aberrationes discrimine dubium vix relinqui» (Mens. Microm., p. 247). Wir werden unten auf diese Unter- suchungen noch zurückkommen. Wahrscheinlich auf Veranlassung von W. Struve’s Versuch äusserte unser verstorbener College Wagner | kurz vor seinem Tode die, Absicht die hier am Passa- _geninstrumente beobachteten Rectascensions-Differen- zen der genannten Sterne für eine derartige Untersu- chung zu verwerthen. Es ist zu bedauern, dass er sein wW0.9, À, b B.: Vorhaben nicht mehr ausführen konnte, umsomehr da gerade seine Competenz in Fragen, die mit derartigen Beobachtungen zusammenhängen, als unübertroffen anerkannt werden muss. Beim Ordnen von Wagner’s nachgelassenen Papieren fand ich, auf diesen Gegenstand Bezügliches, nur die aus den schon gedruckten «Ob- servations» ausgeschriebenen Rectascensions - Diffe- renzen der genannten Sterne. Wenn also Wagner auch zu der schliesslichen Durchführung dér fraglichen Un- tersuchung, abgesehen von seinen vorzüglichen Beob- achtungen, nur wenig beigetragen hat, so muss er doch als der geistige Urheber derselben betrachtet werden, indem ich ohne seine Anregung schwerlich auf diesen Punkt aufmerksam geworden wäre. Fast alle Beobachter an unserem grossen Ertel'- schen Passageninstrument haben, gleichzeitig mit dem Polarstern, auch dessen Begleiter beobachtet, 50 Schweizer, Fuss, Lindhagen, Wagner. Da es mir aber bei einer Untersuchung der Art wie die in Rede stehende nicht rathsam erscheint, von verschie- denen Beobachtern gewonnené Data mit einander zu combiniren, so werde ich die von Fuss und Lindha- gen, als für selbständige Untersuchungen zu wenig zahlreich, hier ausser Acht lassen. Wir haben dann: von Schweizer 107 Beobachtungen, angestellt in den Jahren 1842—44; von Wagner in fast allen Jahren von 1851 bis 1884. Da aber Wagner, seitdem er 1862 für seine gewühnlichen Beobachtungen die Registrir- methode in Anwendung gebracht, die Polarsterné fast ausnahmslos sowohl nach Gehÿür wie nach der Regi- strirmethode beobachtete, so haben wir von ihm zwei getrennt zu behandelnde Beobachtungsreihen: nach Gehür—182 Beobachtungen, registrirte— 181; wobei noch 4 von der ersten und 3 von der zweiten Reihe ausgeschlossen sind, weil sie vom Beobachter selbst als zu unsicher bezeichnet waren. Die Beobachtungen von Schweizer sind in Vol. I der «Observations» gedruckt und schon auf den Jah- resanfang reducirt. Wagner’s Beobachtungen, so weit sie schon verôffentlicht sind, finden sich in gleicher Form in den Vol. IE, XI und XII. Für die Jahre 1857—58 und 1874—84 habe ich die Rectascen- sions Differenzen aus den Beobachtungsbüchern aus- geschrieben und mittelst der Differentialformel dr — du- À +- db. B + dc-C + 04.D, - . die bekannten Bedeutungen haben, 405 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 106 auf den betreffenden Jahresanfang reducirt. Die in @ . vorkommenden Grôüssen » und » wurden natürlich da- bei als unveränderlich betrachtet, Für die in den Quantitäten da, db--- vorkommenden & und à habe ich das jedesmalige Mittel der Rectascensionen resp. De- clinationen des Polarsterns und seines Begleiters ge- nommen. Als Unterschiede der Coordinaten wurde da- bei für 1850 angenommen: Polaris — Comes in &« — + 2420 » Ô — +- 15,65. Darauf sind alle Rectascensions-Differenzen in jeder Reïhe durch Anbringung der Präcession, dut, auf eine gemeinschaftliche Epoche reducirt, um sie so mit ein- ander vergleichbar zu machen. Obgleich nach den vorhandenen Micrometermes- sungen von Positionswinkel und Distanz der in Rede stehenden Sterne die scheinbare relative Eigenbewe- gung offenbar sehr unbedeutend sein musste, so schien es mir doch für die Untersuchung wünschenswerth den Betrag derselben, in Rectascensions-Differenz ausge- » » _ drückt, môglichst genau festzustellen. Ich habe dazu folgende Zusammenstellung gemacht: 2 Diff Beobachter. Epoche. dr ee Rd 7 HR un, 1815 24591 19 » 1819 24,00 36 » 1821 23,94 19 » | 1824 24,04 96 DORREMOr ET 1843 24,44 107 Fuss, Lindhagen, Wagner . 1850 24,15 37 Wagnér, Gehôr ....... 1862 24,20 54 » 1870 24,16 74 » 1881 24,10 44 » tegiatls ire 1864 24,19 61 ». » 1870 24,31 74 » » 1881 24,16 46 Hier zeigen die zu verschiedenen Epochen beobach- teten Rectascensions-Differenzen offenbar eine so nahe Übereinstimmung, dass wir, ohne der Genauigkeit un- seres Resultates irgendwie Abbruch zu thun, die rela- tive Eigenbewegung gleich Null setzen künnen. Da die Sicherheit der einzelnen Rectascensions- Differenzen innerhalb jeder Reïhe sehr verschieden sein musste, je nach dem Zustande der Bilder und der _ Zahl der beobachteten Fadenantritte, so mussten zu- erst die relativen Gewichte berechnet werden. Dabei wurde die von Wagner in der Einleitung zum Vol. XII, p. (44) gegebene Scala angenommen, um die Sicher- heit der beobachteten Rectascensionen beider Sterne zuerst festzustellen; aus diesen beiden Gewichten wurde dann das Gewicht der Differenz berechnet. Da aber die erwähnte Scala für absolute Rectascensions-Beobach- tungen berechnet ist, so kann offenbar ein solches Ver- fahren, strenge genommen, nicht als vollkommen cor- rect angesehen werden, indem der Zah] der beobach- teten Fadenantritte hierbei ein geringerer Einfluss zuertheilt wird als es bei reinen Differenz-Beobach- tungen geschehen müsste. Im Mittel werden aber diese kleinen Ungenauigkeiten sich vollständig aufheben. Um beim Vergleichen der Aberration der beiden Sterne nicht nôthig zu haben jede Beobachtung ein- zeln zu behandeln, wurden alle in derselben Hälfte eines Monats zu je einem Normalort vereinigt. Da kein Grund vorlag auch die Nutation als eine unbe- kannte Quantität hier in die Rechnung einzuführen, so ergab sich nun für jeden solchen Normalort eine Gleichung von der Form: ax + by+n= 0, worin a—=—— 1. b — Aberrationsfactor. n —= Beob. — Rechn. x — Corr. der angenom. ÆR-Differenz. y —= Corr. der aus den Beob. von à Urs. min. folgenden Aberrationsconstante. Wir lassen hier die jedem Normalorte entsprechen- den b und n mit dem dazu gehürenden Gewicht folgen. | Beobachtungen von Schweizer, Zahl der Beob. 107. Mittlere Epoche 1843. Angenommen: Polaris — Comes — 23:55. b n Gew. Jan. 2 40:99 7220/9050. ‘‘* 0:40 “591 0,941 -0)445 | 146 Febr. 21 — 1,64 +- 0,608 0,51 Mürz 7 D 0 4270248 1.08 » 20 90h 40277: : 494 April 8 Ra eee D 06 9e » 922 = 9,93 0,000 8,19. Mai 6 408 TE 405160: 7,07) 98 11,64 +0,259 407 Bulletin de l’Académie Impériale 4105 b n Gew. Hier bekommen wir die Endgleichungen: Popi re a Re As As 92.967+ 45,64y— 241—0 ÿ ir he 4 & + 448,43 y— 10,06 — 0 D F6 01 + 2,27 +- 0,140 4,50 |und die Werthe der Unbekannten: Nov. 3 4210 0108 110 x = + 05016 + 0024 » 18 + 1,80 — 0,173 0,75 y = +0,021 + 0,011. Dec. 5 + 1,35 + 0,129 0,85 W. F. einer Differenz mit dem Gewicht 1 ist » 18 + 0,85 + 0,079 1,65 = + 05221. Die hieraus nach der Methode der kleinsten Qua- drate gebildeten Endgleichungen werden: 59,35%+ 24,49y— 1587 — 0 24,49 x + 264,53y— 4,15 — 0, woraus man findet: æ = +-0;026 + 0031 y = + 0,013 + 0,015. W. F. einer Differenz mit dem Gewicht 1 ist 0235 [4 Beobachtungen von Wagner. a) Nach Gehôr. Zah]l der Beob. 182. Mittlere Epoche 1870. Angenommen: Polaris — Comes — 26:99. b n Gew. Jan. 6 +- 0,14 — 0;294 3,27 » : 26 — 0,76 + 0,036 1,92 Febr. 2. — 1,03 + 0,630 0,46 » 20 — 1,72 + 0,373 0,51 März 11 — 2,29 — 0,107 1,22 ».. 29 — 2,50 — 0,093 1,83 April 8 — 2,57 + 0,062 16,52 » 23 — 2,49 <+0,087 9,89 Mai 8 — 2,24 +0,122 13,99 » +16 — 2,00 — 0,015 5,97 Aug. 12 + 1,35 — 0,161 0,93 » ::.20 +- 1,64 — 0,258 1,59 Sept. 6 + 2,11 + 0,398 0,93 » 29 + 2,45 + 0,304 5,20 Oct 8 + 2,57 — 0,092 6,30 » «91 + 2,53 — 0,105 5,31 Nov. 9 + 2,26 — 0,292 3,87 2) + 1,82 — 0,086 4,63 Dec. ”8 +1,37. +0,083 4,20. 93 : 0,122 4,42 . Re 0,75 b) Registrirt. Zahl der Beobachtungen 181. Mittlere Epoche 1873. Angenommen: Polaris— Comes — 2751. b n Gew. ; Jan. 10 — 0,01 — 0007 2,75 n 18 — 0,38 +- 0,029 0,35 Febr. 5 — 1,17 + 0,735 2,00 mn: 21 — 1,77 — 0,842 0,38 Mäürz 9 — 2,24 + 0,168 2,03 25 — 2,51 — 0,069 1,75 April 8 — 2,58 — 0,026 15,87 », 22 — 2,51 + 0,066 13,28 Mai 9 — 2,23 — 0,068 13,03 p.19 — 2,02 +- 0,016 5,58 Aug. 14 +- 1,40 — 0,196 0,56 5. 20 + 1,61 — 0,023 1,33 Sept. 8 + 2,17 — 0,283 0,53 * 22 + 2,46 +- 0,216 5;93 OU 7 +- 2,58 — 0,029 6,89 24 + 2,52 + 0,297 8,41 Nov. 8 + 2,29 — 0,072 7,37 20 —+- 1,90 + 0,032 5,33 Dec: 8 + 1,35 +- 0,112 8,56 n 02 + 0,78 — 0,274 5,32 Unsere Endgleichungen werden hier: 107,25%+ 26,37 y — 3:46 — 0 26,37 + 521,41 y +6,72 —0 und die Unbekannten: x = + 0:036 + 0:022 y = — 0,015 + 0,010. W.F. einer Differenz mit dem Gewicht 1 = #+0;231. Die drei untersuchten Beobachtungsreihen geben also als Correction der aus den Polarstern-Beobach- tungen allein folgenden Aberrationsconstante: 409 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 410 Corr.— +-0,013 +0/015 » » Wagner: Gehôür. » —-+0,021 +0,011 registr, » — 0,015 +0,010 Mittel = +-0,004 + 0,007 Diese Correction kônnen wir gleich Null setzen und sind also zu dem Ergebniss gelangt, dass die zu uns kommenden Strahlen zweier Lichtquellen, welche hôchst wabrscheinlich in Bezug auf diese Strahlen verschiedene Bewegungen haben, in vollkommen glei- cher Weise von der Aberration afficirt werden. Da die discutirten Beobachtungen aus drei von einander so gut wie unabhängigen Reiïhen bestehen, ausserdem jede Beobachtung an und für sich die von W. Struve gemachten an Genauigkeit bedeutend übertrifft, so scheint es wohl kaum einem Zweifel unterworfen zu sein, dass das von Struve gefundene Resultat durch andere Ursachen als durch einen Unterschied der Aberration für verschiedene Sterne erklärt werden muss. Betrachten wir dann die Dorpater Beobachtungen etwas näher. In Vol. III der Observationes astron., p. LX VI sq. giebt Struve eine Zusammenstellung der in den Jahren 1818—21 beobachteten Rectascensions- Differenzen reducirt auf 1819:0. Ist die Ier Rec- tascension des Polaris für 1819-0 — 0*56" 46°, die scheinbare — B, die Declination — D, die Declina- tion des Begleiters — d, so giebt er, um die zur Zeit 1819 +4 beobachteten Difierenzen auf 1819. se CE reduciren, die Formel: [B —(0* 56 465 + 3514] (tang D — tang d) tang D ) Beob. von Schweizer... ... » » » = — oder wenn wir annehmen: — 88°21 0”. d —88 20 44, so wird: r = — 3 (B— 0" 56" 46°) + 0009 4. Nach dieser Formel meinte Struve die Reduction «quam proxime» berechnen zu kônnen. Es zeigt sich aber bei näherer Betrachtung, dass sie gar zu ungenau ist, indem man dadurch nicht einmal die Zehntel der Zeitsecunde richtig bekommt; bei der danach ausge- führten Reduction der erwähnten Beobachtungen auf eine gemeinschaftliche Epoche begeht man Fehler, “und zwar systematischer Natur, bis auf eine Viertel- . secunde. Die Ungenauigkeit der Formel liegt darir, : Tome XXXII. dass, wenn à die DRE des Comes bedeutet, n B ein Factor von tang d, sn 40 Zwei Stellen gleich Eins angenommen worden ist. Dass man in andern ae ebenso grossen Gliedern den Factor = — ] annimmt, ist hier dagegen ohne Bedeutung. Da man nun vermuthen konnte, dass die Dorpater Beobachtungen nach einer richtigen Berechnung ein etwas abweichendes Resultat gegen früher geben wür- den, so habe ich sie alle-nach der oben p.:3 gege- benen Formel neu reducirt. Unter Benutzung des von Struve jeder Beobachtung beigefügten Aberrations- factors bekam ich dann, indem die früher angewandte Bezeichnung beïbehalten und jeder Beobachtung das Gewicht Eins beigelegt wurde, folgende Endgleichun- gen, wofür die Differenz—20;55 für die Epoche 1820 angenommen worden ist: 55z+ 23,06y+ 641 = 0 23,06 x + 188,96 y + 35,10 — 0, Woraus x = — (0041 + 0073 y=— 01810039. , W. F. einer Beob. — Æ# 0527. Eiïigenthümlicherweise haben wir hier, trotz der er- heblichen Unterschiede in der Reduction der Beobach- tungen auf eine gemeinschaftliche Epoche, fast iden- tisch dieselbe Differenz wie Struve zwischen den aus den beiden fraglichen Sternen folgenden Aberrations- constanten gefunden. Es erklärt sich dieses durch den Umstand, dass die ungenügende Annäherung bei der früheren Reduction zwei Glieder berührt, das eine | säcular — das Präcessionsglied da. — das andere periodisch — das Aberrationsglied 0d-D. Von dem säcularen Gliede sollte ja eigentlich die Aberration ganz unberührt bleiben. Durch eine wenig günstige Gruppirung der Beobachtungen — der grüsste Theil der um das Maximum der Aberration gemachten Beob- achtungen liegt ganz am Anfang der Reïhe — ver- mischt sich hier aber doch der Einfluss der beiden Glieder auf das Resultat; andererseits ist auch ein Theil dieses Einflusses auf die Unbekannte x übergegangen; so dass y schliesslich davon ganz unberührt geblieben ist. Wie die Beobachtungen der zweiten Reihe 1822—26 auf die gemeinschaftliche Epoche reducirt sind, ist an der oben citirten Stelle nicht erwähnt; es ist nur ge- sagt, dass die Untersuchung von Senff ausgeführt. ist ; 27 de. A1 Bulletin de l’Académie Impériale 112 Von den erwähnten 96 Beobachtungen habe ich 93 aus den Dorpater Annalen ausgeschrieben und in der- selben Weise wie vorher auf 1824.0 gebracht. Unter Annahme einer Differenz von 21523 für diese Epoche und allen Beobachtungen gleiches Gewicht gebend, er- hielt ich daraus folgende Endgleichungen: 93z+ 26,18y— 0:23 —0 26,18 x + 339,44 y — 37,30 — 0. Woraus: , x = + 0,034 Æ 0055 y=—0,113 + 0,029. Auch hier stimmt der Werth von y recht gut mit dem von Struve gegebenen, — 0,133 überein. Da aber die Beobachtungen dieser Reïhe sich um die bei- den Amplituden, Maximum und Minimum der Aber- ration zweckmässiger gruppiren, so wird es hierdurch auch wahrscheinlich gemacht, dass sie diesmal richtig reducirt sind !). Es stimmen also die beiden von Struve ausge- führten Beobachtungsreihen in der That sebr gut darin überein, dass sie für den Begleiter éinen beträcht- lich kleineren Werth der Aberrationsconstante geben als der Polarstern ihn erfordert. Angesichts der bedeu- tend sichereren Resultate der Pulkowaer Beobach- tungen, die hiermit in Widerspruch stehen, ist es aber wohl nothwendig die Erklärung der Differenz in andern Gründen als die von Struve herangezogenen zu suchen. _ Da der Begleiter nur FR Nachts beobachtet wer- den kann, so ergiebt sich hieraus die Nothwendigkeit ihn beim Maxima der Aberration in der oberen, beim * Minimum in der unteren Culmination zu beobachten, | d. h. die eine Phàse bei der Bewegung der Sterne von links nach rechts, die andere von rechts nach links. Es ist daon wohl sehr leicht denkbar, dass bei Ster- _nen von so vérschiedener Helligkeit wie die des Polar- sterns und seines Begleiters, die persônlichen Glei- chungen des Beobachters, die ja so vielen Modifica- tionen unterworfen sein kônnen, sich auch mit der Bewegungsrichtung verschieden ändern; und damit Ex der Ras Unterschied aufgeklärt. Es liessen 1) Durch Auffinden: der sais hi von Senff in der Pulkowaer Bibliothek hat sich diese Vermuthung nachträglich béstà- He Die Beobachtungen haben darin ee Gewichte bek kom + daher der Unterschied der # sich vielleicht auch noch andere Erklärungen der Er-: scheinung finden als die hier gegebene; dem aus den Pulkowaer Beobachtungen gewonnenen Resultate ge- genüber dürfte aber die Annahme einer verschiedenen Aberration bei den beiden Sternen wohl kaum mebr in Betracht kommen. Über eine Methode die Brennweite eines Linsensystems für verschiedene Strahlen mit grosser Genauigkeit zu bestimmen von Dr. B. UN (Lu le 15. Mars 1888.) Bei der Achromatisirung eines Fernrohrobjectivs ist bekanntlich bis jetzt das Princip maassgebend ge- wesen, alle diejenigen Strahlen, welche für das Auge die grôsste Helligkeit besitzen, nach Môglichkeit in einem Punkt zu vereinigen. Die Leistungen der praktischen Optik in dieser Hinsicht dürfen, insofern die Fernrühre nur zu Augenbeobachtungen angewandt werden, im . Allgemeinen als befriedigend bezeichnet werden und sind in den neueren Exemplaren ohne Zweifel so weit ge- trieben, wie es unter Anwendung der bisherigen Glas- sorten überhaupt erwartet werden kann. Anders stellt sich indessen die Sache; wenn ein solches Fernrohr zu spectroskopischen oder oo yhicien Arbeiten an- gewandt werden soll. Im letzteren Falle namentlich sind alle Fernrôhre, auch die besten, als zum minde- :sten mangelhaft zu bezeichnen, unter Umständen ‘der- maassen, dass eine vortheilhafte Anwendung derselben zu dem besagten Zweck geradezu ausgeschlossen er- scheint. Bei grossen Brennweiten tritt dies besonders hervor, weil dann das sogenannte secundäre Spectrum eine absolut genommen so beträchtliche Ausdehnung erhält, dass von einem Focus in strengem Sinne kaum mehr die Rede sein kann, es sei denn, dass das Empfndlichkeitsgebiet der angewandten photographi- schen Schicht auf einen sehr kleinen Theil des Spec- trums reducirt wäre. In den in dieser Beziehung ausge- |prâgten Eigenschaften der nassen Collodionplatten liegt, wie es scheint, gerade die Erklärung des Um- standes, dass es z. B. Bond müglich war mit dem 15-zôl- ligen Réciototiee Harward-College-Sternwarte recht gute Sternaufnahmen zu erzielen, während mit dem ue gauz gleichen Instrument auf den jetzi- : gen, für einen grossen Theil des Spectrums empfind- 413 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 414 lichen Gelatinplatten überhaupt keine brauchbaren Sternaufnahmen môglich sind. Etwas günstiger stellen sich allerdings die Verhältnisse, wenn das Ferprohr zu spectroskopischen Beobachtungen angewandt wer- den soil, da man dabei nur nôthig hat den Spalt des Spectroskops jedesmal in die Brennebene derjenigen Strahlen zu bringen, welche dem zu beobachtenden Theil des Spectrums entsprechen, um diesen Theil, aber auch nur diesen, scharf zu sehen. In jedem Fall ist aber eine môüglichst genaue Kenntniss der Lage des Brennpunkts jeder Strahlengattung unbedingt Prior derlich. Um zu dieser Kenntniss zu gelangen, hat vor einiger Zeit H. C. Vogel ’) ein im Vergleich mit den von den Optikern benutzten Methoden ebenso einfaches als elegantes Verfahren angegeben, welches für ge- wôbnliche Zwecke vüllig ausreicht und ausserdem über die Art der. Achromatisirung einen guten Überblick _gewährt. Das Princip dieses Verfahrens lässt sich kurz folgendermaassemangeben. Bringt man vor dem Ocular eines auf einen Stern eingestellten Fernrohrs einen klei- nenPrismensatz mit gerader Durchsicht oder ein kleines Sternspectroskop an, so würde, falls das Objectiv voll- ständig achromatisch wäre, das Spectrum des Sterns als eine feine, fadenfôrmige Farbenlinie erscheinen. Da dies aber bei keinem Fernrobr der Fall ist, so er- streckt sich die linienfürmige Gestalt des Spectrums stets nur auf diejenigen Strahlengattungen desselben, auf deren Focus das Ocular gerade eingestellt ist. Für alle anderen Strahlen hat das Spectrum eine gewisse Breïte, deren Betrag mit dem Durchmesser des Ab- weichungskreises am Orte des Oculars übereinkommt. | . Verschiebt man nun das Ocular, so wird sich für jeden Strahl stets eine Lage desselben finden lassen, in der das Ocular gerade auf diesen Strahl eingestellt ist, und die entsprechende Stelle des Spectrums sich auf fadenfürmige Gestalt reducirt. Durch Bestimmung der Verschiebung, welche erforderlich ist, um diese Ein- schnürung des Spectrums von einem Punkt auf einen anderen zu bringen, erhält man, bis auf die sehr ge- ringen Grüssen, welche den Achromatisationsfehlern des Oculars und des Auges entsprechen, unmittelbar die Focusdifferenz der betreffenden Strahlen. Wendet man statt des kleinen Sternspectroskops einen Spec- © 4) Berlin. Mouatsberichte, April 1880. tralapparat von grüsserem Leistungsvermügen an, so ist ersichtlich, dass der Methode eine erheblich grôs- sere Schärfe verlichen werden kann, namentlich in Betreff der. Bestimmung der Wellenlängen der unter- suchten Strablen, die im ersten Falle natürlich nur durch Schätzung erhalten werden künnen. Man sieht, dass die Methode ein sehr bequemes Mittel giebt, um sich über die Beschaffenheit eines gegebenen Objectivs in chromatischer Hinsicht zu orientiren. — Da indessen in dieser Weise nur die Differenzen der Brennweiten der verschiedenen Strah- len nicht aber diese selbst erhalten werden, ‘und zwar mit einer Genauigkeit, welche wegen der nie fehlen- den Unruhe der Sternspectra nicht immer so gross ist wie es unter Umständen erwünscht sein künnte?), so dürfte es nicht ohne Interesse sein auf eine andere Methode hinzuweisen, welche nicht nur diese Differen- zen, sondern auch die absolute Brennweite jedes belie- bigen Strahls mit erheblich grôsserer Genauigkeit zu geben verspricht. Es scheint dieselbe besonders dann Beachtung zu verdienen, wenn es sich um eine Linsen- combination handelt, bei welcher die zu bestimmen- den Focusdifferenzen an sich klein sind, wie z. B. bei Fernrühren von kurzer Brennweite, oder bei Objec- tiven, welche aus den neuen, von der alten Silicat- reihe wesentlich verschiedenen Jenaer Glassorten her- gestellt' sind; bei denen bekanntlich das secundäre Spectrum in ganz überraschender Weise vermindert ist *). Ich erlaube mir daher im Folgenden die Haupt- züge nebst einigen Beispielen der pp hr dieser Methode kurz mitzutheilen. Es ist békannt, dass Bessel bei seinen Uutereu chungen über den Schraubenwerth des Künigsberger He- liometers *) zur Ermittelung der Brennweite des Ob- jectivs desselben eine Methode in Anwendung brachte, welche an Schärfe alle sonstigen Verfahren um ein Namhañftes übertrifft. Stellt man nämlich an den bei- den Endpunkten einer Basis, deren Länge die vier- fache Brennweite des zu untersuchenden Objectivs um ein wenig übertrifft, einen passenden Gegenstand, z.B. ein Fadenkreuz und ein positives Ocular und zwi- 2) Dies gilt ebenfalls in Bezug auf die von Young (Si. se ' . Vol. XIX, p. 454) ae Sterns der Sonnenrand benutzt wi 4) Buste, Astronom. Unters. Bd. I, p _ 8) Siebe Vogel, Vire. At, Ges. Bd. 22, 1 148. . . : AN X 408. ie Re Methode, bei welcher statt cines Do A5 Bulletin de l’Académie Impériale 416 schen denselben das Objectiv derart auf, dass die op- tische Axe desselben mit der Verbindungslinie des Kreuzes und des Oculars zusammenfällt, so lassen sich durch Verschiebung des Objectivs längs dieser Linie stets zwei Stellungen finden, bei denen im Ocular ein scharfes Bild des Fadenkreuzes erscheint. Nennt man diese Verschiebung e, den Abstand zwischen dem Fa- denkreuz und der Focalebene des Oculars Æ und die gesuchte Brennweite f, so ergiebt sich unter Vernach- lässigung der Linsendicke nach”bekannten Sätzen der elementaren Dioptrik zwischen diesen Grôssen die Re- lation: af=E<. Aus der Gleichung: df= + (1 + pe) 0B— 5 de ersieht man unmittelbar, da e/E eine kleine Grôsse ist, dass der Einfluss der Beobachtungsfehler auf das Re- sultat ein nur geringer ist, namentlich was die Grüsse e betrifft. Um daher den Bestimmungen absolut genom- men die volle Schärte, welche die Methode an sich ge- stattet, zu verleihen, ist bei definitiven Untersuchun- gen unbedingt die Linsendicke zu berücksichtigen. In seinen Dioptrischen Untersuchungen *) hat bekannt- lich Gauss die hierzu nôthigen Vorschriften gegeben und zwar wird strenge: * e? 4f—E—) — Sant wo À der Abstand zwischen den Hauptebenen des Ob- jectivs bedeutet und die Brennweite als der Abstand zwischen der dem Brennpunkt zugekehrten Hauptebene des Objectivs und diesem Punkt aufzufassen ist. Für eine einfache Linse wird, wenn mit à die Dicke, mit n r,r, resp. der nue und die beiden Krüm- mungsradien *) bezeichnet werden: n —1 d” re n e al, & n—1 wo indessen, da à im Verhältniss zu 7 —7, im 1 All- _ gemeinen klein ist, das zweite Glied anstandslos ver- es —. werden kann. Es wird somit einfach: Ad & À : É12 5) Gesammelte Werke Bd. V. 6) Positiv, wenn der Krümmungsmittelpuokt . auf derjenigen Seite der Linse betindet, nach welcher das Licht sich fortpflanzt. Für ein astronomisches Objectiv, bei dem die Lin- sen sich berühren oder sehr nahe an einander liegen, ist der zu benutzende à- Werth einfach der Summe der für die einzelnen Linsen geltenden Werthe gleich zu setzen. Es ist diese Methode, welche in Verbindung mit : einem stärkeren Spectroskop zur Bestimmung der Brennweiten einer Linsencombination für Strahlen ver- schiedener Brechbarkeit angewandt werden soll. Es ist ohne weiteres klar, dass statt des von Bessel be- nutzten Fadens ebensogut und sogar noch besser das scharfe objective Focalbild einer Spectrallinie im Brennpunkt des Fernrohres eines Spectroskops ange- wandt werden kann, und zwar erwächst daraus der Vortheil, dass man jedesmal nur mit Licht von vüllig bestimmter Wellenlänge zu thun hat, und die Brenn- weite des Objectivs gerade für diese Wellenlänge be- ommt. Um dies zu realisiren, habe ich an dem einen Endpunkt der Basislinie ein grüsseres Spectroskop der- art aufgestellt, dass die optische Axe des Beobach- tungsfernrohres desselben môglichst genau in einer Linie mit derjenigen des zu untersuchenden Objectivs und des positiven Beobachtungsoculars zu liegen kam, und in dieser Stellung das Spectroskopfernrohr befes- tigt. Ist der Abstand der Brennebene -des Letzteren vom Beobachtungsocular etwas grôsser als die 4-fache Brennweite des zu studirenden Objectivs, so wird man, nachdem das Ocular des Spectroskops entfernt wor- den ist, für dies Objectiv stets zwei Stellungen längs der Basislinie finden, in denen die gerade eingestellte Spectrallinie mit voller Schärfe im Beobachtungs- ocular erscheint. An derselben Skala, an welcher der Abstand zwi- schen diesen beiden Stellungen, also die Verschiebung e abgelesen wird, bestimmt sich ebenfalls die Länge Æ | der benutzten Basislinie, indem das Beobachtungsocu- lar von seiner bei der Beobachtung eingenommenen Stellung längs der Basislinie, oder vielmehr lings der gemeinschaftlichen optischen Axe des Systems, dem Spectroskopfernrohr so weit genäñhert wird, dass die Spectrallinie in demselben scharf erscheint, — Die Strecke, um welche das Ocular dadurch bewegt wird, ist dann offenbar genau dem Abstand zwischen der Brennebene der Spectrallinie im Spectroskopfernrohr und derjenigen des Otulars während der Beobachtung gleich. Indem man nun eine andere Spectrallinie, sei 417 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 418 es durch Drehung des Prismas oder des Collimators (das Fernrohr muss fest stehen) ins Gesichtsfeld hin- einbringt, lassen sich für dieselbe ähnliche Beobach- tungen ausführen u. s. w. Das für diese Bestimmungen am hoistèn geeignete Spectrum ist offenbar dasjenige der Sonne;—es lassen sich aber auch dazu mit Vortheil die Metallspectra un- ter gewissen Umständen benutzen, wobei man indessen bei der Auswahl der zu beobachtenden Linien darauf besonders zu achten hat, dass dieselben an sich scharf sind. Die in vielen Metallspectra vorkommenden, ver- schwommenen oder flammenden Linien sind desshalb nicht brauchbar, weil die Beurtheilung der grüssten Schärfe derselben mit erheblicher Unsicherheit be- haftet ist. Bei den unten folgenden Beobachtungen sind auch, hauptsächlich aus Mangel an Sonnenlicht, Metallspectra benutzt worden, welche mit Hülfe einer grossen Inductionsrolle in Verbindung mit einer Bat- terie von vier Leydener Flaschen erzeugt wurden. Der primäre Strom wurde von acht grossen Bunsen’schen Cellen geliefert. Es empfehlt sich die Intensität des Stroms môglichst weit zu steigern, um den Spectralli- nien so grosse Helligkeit zu geben wie müglich, weil von dem ursprünglichen Glanz derselben stets ein be- deutender Theil verloren geht. .. Wenn der Collimator und das Beobachtungsfernrohr des Spectroskops vollkommen achromatisch wären, so würde es genügen die Basislinie Æ ein für allemal für die ganze Reihe der zu beobachtenden Spectrallinien zu bestimmen. In diesem Falle würden sich die Diffe- renzen der Brennweiten des Objectivs für die ver- . Schiedenen Wellenlängen allein aus den Verschiebun- gen e ableiten lassen. Man hätte nämlich für zwei be- obachtete Linien resp.: Ar se meN he ke . und ts" 3 se ntéd es wäre nur eine genäherte te der Basislinie erforderlich um f, —f, mit grosser Schärfe zu erhal- ten. Dieser Fall würde eintreten, wenn als Collimator und Beobachtungsrohr beim Spectroskop Spiegeltele- skope benutzt werden. Im gegenwärtigen Fall aber, wo die secundären Spectra der Spectroskopfernrühre * eine gewisse messbare Grüsse besitzen, ist die Basislinie für jede benutzte Spectrallinie verschieden und daher auch, jedesmal besonders zu ermitteln. Die Genauig- keit, mit welcher die Differenzen der Brennweiten er- halten werden, ist desshalb, ebenso wie diejenige jeder einzelnen Brennweite, vornehmlich von der Schärfe abhängig, mit welcher die Grüssen Æ bestimmt wer- den künnen, während im Falle vülliger Achromasie der Spectroskopfernrühre dieselbe durch die Fehler in Æ wenig beeinflusst sein würde. Ehe zu den Beobachtungen übergegangen wird, dürfte es zweckmässig sein den benutzten Apparat näher zu beschreiben. Da das Beobachtungsfernrohr des Spectroskops unveränderlich fest stehen muss, so wurde zunächst aus disponiblen Theilen ein Spectro- skop aufgebaut, bei dem der Collimator und das Prisma beweglich waren. Es erwies sich aber diese Einrich- tung desshalb wenig zweckmässig, weil beim Übergang von der einen Spectrallinie zur anderen der Funken- halter sammt der zur Vermehrung der Helligkeit vor dem Spalt aufgestellten Concentrationslinse dem Collimator nachgeschoben werden musste und die ge- ringste Ungenauigkeit in der Centrirung dieser Theile auf die Schärfe der Spectrallinien einen schädlichen Einfluss ausübt. Statt des genannten Apparats wurde daher schliesslich ein Spectroskop in Anwendung ge- bracht, bei welchem Fernrohr und Collimator in un- veränderlicher Lage zu einander befestigt, die Pris- men aber beweglich sind. Dies von Prazmowski dem Laboratorium- vor einigen Jahren gelieferte Spectro- skop zeichnet sich durch recht bedeutende Dispersion und Feinheit der Bilder aus, hat aber andererseits den Übelstand, dass wegen der grossen Masse schweren Flintglases, welche das Licht pe muss, die brech- bareren Theiïle d ächterscheinen, dass schon vor G die Beobachtung sebr erschwert und über G hinaus vüllig unmôglich ist. Für die vorliegenden Versuche, welche nur den Zweck haben die Brauch- barkeit der Methode zu zeigen, hat dies weniger zu bedeuten; für mehr umfassende Untersuchungen aber würde die Anwendung eines Gitterspectroskops mit festen Fernrôhren und beweglichem Gitter am besten dem Zweck entsprechen. Da bis jetzt keine Veranlassung vorlag das erwähnte | Spectroskop näher zu beschreiben, so mag hier mit ” einigen Worten das Wesentliche der etwas eigen- 419 Ù Bulletin de l’Académie Impériale 420 artigen Construction desselben hervorgehoben werden. Auf einer festen Grundplatte AB CD (Fig. 1) ist der Pix: L:: ‘Collimator C und das Beobachtungsfernrohr F un- veränderlich und zwar rechtwinklig zu einander be- festigt, jedoch in'verschiedenem Niveau, so dass die aus dem Collimator austretenden Strahlen über das Prisma p° hinweg in die obere Hälfte der grossen Rutherfurd’schen Prismen P P, gelangen künnen. Nach der hier erfolgten Dispersion treten dieselben durch “das rechtwinklige Reflexionsprisma » rückwärts in die so dass durch Drehung der Trommel jede beliebige Spectrallinie ins Gesichtsféld des Fernrohrs gebracht werden kann. Die Fernrôhre C und F haben bei resp. 30 und 33 Brennweite eine Oeffnung von 34” und sind beide mit fein beweglichen Auszügen versehen. Die Spaltweite wird mit Hülfe der Mikrometerschraube o regulirt,. Dies Spectroskop wurde an dem einen Ende eines bhôülzernen Schienenweës BB (Fig 2) so aufgestellt, dass das Fernrohr F der Mittellinie desselben paral- lel steht. Auf diesem Schienenweg rollen zwei kleine metallene Wagen W und W,, von denen der eine W, das mittelst der Schrauben ss in Hôhe verstellbare Be- obachtungsocular o, der zweite W, das zu untersu- | chende ebenfalls in Hôhe verstellbare Objectiv O trägt. Beide Träger lassen auch eine seitliche, zur Richtung der Schienen senkrechte Justirung des Ooulers und Ob- jectivs zu, wodurch eine vollständige Centrirung aller Theile derart ermôglicht ist, dass die optischen Axen môglichst in die Linie of zu liegen kommen. Diese Cen- .trirung wird als befriedigend angesehen, wenn eine Spectrallinie beim Übergang des Objectivs O von der einen Stellung in die andere dieselbe Lage im Felde des Oculars o behält. ‘Um dies zu controliren und zugleich zufällige Verschiebungen des Oculars in seiner Hülse zu vermeiden, trägt dasselbe im Brenn-. punkte zwei feine Stahlspitzen, auf welche es beim Beginn der Beobachtungen scharf eingestellt wird. Zwischen den Schienen liegt, unveränderlich befes- tigt ein in 0,75" getheilter eiserner Maassstab, über dessen Theilung zwei an den Wagen fest ange- Fig, 2 [7 os Les Î | ñ te 0) | # É (8 ‘untere Hälfte der Prismen P, P und von dort durch das Reflexionsprisma p° in Fa Beobachtungsfernrohr. Das Prisma P ist fest, P, dagegen um den Punkt » ‘ : + d mittelst der in einen gezahnten Limbus eingreifenden Mikrometerschraube s und der Trommel 7 beweglich, brachte Stahlspitzen spielen. Der Apparat bildet einen Theil eines der geodätischen Instrumentensammlung der Sternwarte gehürenden Comparators und ist daher mit, grosser Sorgfalt gearbeitet, so dass die Bewegung . der Wagen mit grosser Feinheit von Statten geht. LI 421 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 42? Die Beobachtungen mit diesem Apparat werden nun in folgender Weise ausgeführt. Zunächst wird der Wagen W, in die Nähe des Fernrohres F (dessen Ocular ent- fernt ist) gebracht und durch vorsichtige Bewegung auf dem Schienenweg so eingestellt, dass die zu be- nutzende Spectrallinie im Ocular o scharf erscheint, Die Stellung des Index wird auf dem Maassstab abge- lesen und diese Beobachtung mehrmals wiederholt. Das Mittel dieser Ablesungen giebt die Lage des Brennpunkts des Fernrohrs F für die betreffende Linie, Durch Drehung der Trommel T wird die nächste zu beobachtende Linie ins Gesichtsfeld gebracht und für dieselbe eine ähnliche Bestimmung ausgeführt u, s. w. Nachdem in dieser Weise die Brernpunkte simmitlicher = Linien bestimmt sind, wird W, in seine anfängliche Stellung zurückgebracht und auf einen beliebigen Theilstrich der Skala eingestellt, der jedoch so ge- wählt sein muss, dass sein Abstand vom Focus f des Spectroskops für alle Linien etwas mehr als die vier- fache Brennweite des Objectivs © beträgt. . Dieser Überschuss darf nicht gar zu klein genommen werden, weil sonst die beiden Stellungen des Objectivs, in de- nen die Spectrallinie die grôsste Schärfe zeigt, unge- -_ nügend markirt werden. In dieser Lage verbleibt W, - während der nun folgenden ganzen Beobachtungsreihe. Die Differenzen zwischen dem willkürlich gewählten Theiïlstrich der Skala und den für die einzelnen Spec- trallinien vorher bestimmten Mitteln sind offenbar die später zu verwendenden Werthe der Basislänge ÆZ für dieselben Linien. Für jede von diesen werden nun durch langsame Bewegung des Wagens W, auf dem Schienenweg die beiden Stellungen aufgesucht, in de- nen die Linie im Ocular o scharf erscheint und daraus die Verschiebungen e durch mehrfache Wiederholung der Operation abgeleitet.. Nachdem in der Weise alle gewählten Linien durchbeobachtet sind, wird der Wa- gen W, von Neuem dem Fernrohre F genähert und eiue nochmalige Controle der Focallage der Spectral- linien ausgeführt. Aus den dadurch gewonnenen neuen E-Werthen und den anfänglichen hat man dann die Mittel zu nehmen und für die Rechnung anzuwenden. Durch diese Bcobachtungen ist eine Reihe vollen- det. Verstellt man nun den: Wagen W, um einige Millimeter, so kann in derselben Weise eine zweite Reihe erhalten werden u. s. w. Wie solche Reïhen unter einander stimmen, ersieht man aus den folgen- den für zwei kleine Objective versuchsweise ausgeführ- ten Beobachtungen: A. Kieines Fernrohrobjectiv von 40°” Oeffnung und 450" Brennweite. Benutzte Linien Reiïhel Reihe ll | À E e à E 1e “f Zn. 636.3 1837.15 255.0 450.44 1821.75 191.0 450.44 Zn. 589.4 37.80 259.5 | 450.78 22.60 | -185.0 450.86 Aër 567.7 38.60 207 450.90 23.40 188.4 450.94 Cu. D2T2 39.00 252.9 451.06 23.80 187.6 451.09 Fe. 492.0 39.25 250.0 451.32 24.05 183.5 451.36 Zn. 468.0 39.13 243.3 451.73 23.93 179.5 451.65 PB. Hinterer Meniskus eines Landschafts-Aplanaten von Steinheil. Benutzte Linien ReiheI Reihe Il ne $ Hit a f BR l.e 636.3 [171543| 2541 419.50/1702.05| 201.4 419.56 589.4 16.48! 261.0 419.20! 02.85, 207.2 419.41 561.5 | 17.41 2721 |418.58| 03.79) 219.3 | 418.90] 1698.98) 204.8 597.0 | 17.72| 278.4 418.15 ess 99.26] 211.2 492.0 | 18.00/ 272.0 | 418.73 : _. 99.54! 202.6 418.841 _ 468.0 17.91] 258.4 | 419.%| 99.48 | 195.6 | 419.22) a zeigen, 423 Bulletin de l'Académie Impériale 424 In diesen Tafeln enthält die erste Columne die che- mischen Zeichen der benutzten Metalle und die Wel- lenlänge der Linien, die zweite und dritte resp. die in mm. ausgedrückten Grüssen Æ und e und die letzte die daraus nach der Formel: . e abgeleiteten Brennweiten. In Betreff der Reïhe II des zweiten Linsensystems ist zu bemerken, dass dieselbe aus zwei Theilen besteht, weil während der Beobach- tungen eine unabsichtliche Verstellung des Spectro- skops erfolgte, welche zu einem anderen Basiswerth Veranlassung gab. Um den Anschluss zu vermitteln wurde nach Neubestimmung der Basislänge die Linie. À — 561,5 nochmals beobachtet. Wie man sieht, ist die Übereinstimmung der bei- den Reïhen eine sehr befriedigende. Da die wahrschein- lichen Febler der Grôssen Æ und e im Allgemeinen resp. 0,2” und 0,5” nicht übersteigen, so wird der wabrscheinliche Fehler einer Brennweite nur auf ei- nige Hundertstel Millimeter zu veranschlagen sein, Da die obigen Werthe ohne Berücksichtigung der Linsendicke berechnet sind, so stellen sie nicht die = wahren, absoluten Brennweiten dar, sondern man = hat, um diese zu bekommen, noch die Grôsse d + res à) binzuzufügen. Da mir jedoch weder die Brechungs- indices der benutzten Glassorten, noch die Dicken der Linsen bekannt sind, und die Letzteren aus dem Grunde sich nicht bestimmen lassen, weil die Linsen verkittet sind, so habe ich davon Abstand nehmen müssen, diese … Correction in aller Strenge zu ermitteln. Indessen kann man sich, falls die Genauigkeit nicht aufs Ausserste getrieben werden soll, einige Approximationen erlau- Li: ben: — Statt der genauen Brechungsindices der an- = gewandten Gläser lassen sich zunächst mittlere, für 0 gewübnliches Crown und Flint geltende Werthe be- nutzen, da die daraus entstehenden Fehler vüllig in- nerhalb der Greuzen der den Bestimmungen noth an- _ haftenden , Z. B. leich- Unsicherheït fallen. Nehmen wir, um dies beispielsweise. zwei an rochnder Kraft |: es Fit: von Guinaudund Fit von Mers, für welche | von Mascart *) und V. d. Willigen 7) die folgenden Brechungsindices gefunden worden sind: Flint Guinaud . Flint Merz, Hw = 106811 = 1:7409 ss .5826 .71434 D .5867 1915 E .2920 1623 F .b967 1123 G .6059 1922 : 2 CE39 — so wird bei einer einfachen Linse von 7e Dicke für die Linie D resp. ‘Af—=—0277" AM=0,39 also der Unterschied der Correctionen im einen und im anderen Falle nur 0,045", eine Grôsse, die von der Ordnung der aus den Beobachtungen folgenden wahrscheinlichen Fehler der resultirenden Brennweiten ist. Eine genaue Kenntniss der Brechungsverhältnisse der jedesmaligen Glassorten ist somit nicht nüthig. Aus demselben Grunde kann man auch, statt der für die einzelnen Linien des Spectrums geltenden Indices einen mittleren Werth für das ganze Spectrum ein- führen. Setzt man nämlich in die Formel: den — Ô dn an? dn = 0.03 = n';— n, (Flint Merz) nnñrs — 1.76 = 377, so wird hôüchstens d(Af) = — 0.007” eine vôllig zu vernachlässigende Grôsse. Für ein gewühnliches Objectiv kann man sogar noch weiter gehen und wenn nicht sebr grosse Schärfe er- forderlich ist für beide Linsen einen gemeinsamen Mittelwerth 10 annehmen, wodurch einfach Af—= — 0.09 D, wo D die Dicke des Objectivs ist. Unter solchen Vor- aussetzungen würden für die beiden obigen DE steme deren Dicken resp. "à 7) Lan dolt und Bôrnstein, Physikalisch-chemische Tabellen p. 214. 425 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 426 A D=38" BDP=62% die Correctionen der Brennweiten sein Af=—0.34"" Af= — 0.56", Für gewisse spectralphotographische Untersuchun- gen, welche gegenwärtig im hiesigen Laboratorium geführt werden, hat es sich als nôthig erwiesen auf einer und derselben Platte, ohne irgend welche Ver- stellung der Cassette Aufnahmen weit getrennter Theile des Sonnenspectrums neben einander gleichzeitig scharf herzustellen. Wegen der secundären Spectra des Col- limators und des Cameraobjectivs ist es nicht môglich, dieser Bedingung mit dem Spectrographen in seiner bisherigen Gestalt zu genügen. Es scheint nun als würde sich diese Schwierigkeit am einfachsten dadurch heben lassen, dass man die dioptrischen Fernrühre des Apparats durch Spiegelteleskope ersetzt; indessen ist das Anbringen derselben mit vielerlei Unbequem- lichkeiten verbunden und einige Versuche, welche ich | in dieser Absicht mit einem älteren Spiegelteleskop von Cuff anstellte, liessen in Bezug auf Reinheit des Spectrums zu viel zu wünschen übrig, als dass auf dies Mittel weiter zu reflectiren gewesen wäre. | Es war daher ein sebhr glücklicher Umstand, dass ge- rade in letzterer Zeit Objective aus den neuen Jeénaer Glassorten erhalten werden konnten, bei denen nach Vogel’s Untersuchungen das secundäre Spectrum der- art reducirt ist, dass dasselbe praktisch genommen so gut wie beseitigt angeschen werden kann. Durch Vertauschen der alten Objective gegen Objective letzt- genannter Art steht zu erwarten, dass der erwünschte Zweck sich realisiren lassen wird, und habe ich daber vor kurzem für das Laboratorium zwei solche Ob- jective von etwa 1,5 Meter Brennweiteund 56% Oeff- nung aus der Werkstatt von Bamberg in Berlin be- zogen. Wie weit dieselben ihrer Aufgabe in genügendem Maasse entsprechen werden, wird sich durch geeignete Versuche mit Hülfe der Photographie nächstens ent- scheiden; vorläufig bot es ein gewisses Interesse, deren Acbromatisationsverhältnisse nach der vorliegenden Methode so weit es die Mittel érlaubten etwas näher | zu studiren. Ich habe daher im Anschluss an die obi- gen Vorversuche die Methode auf das Eine dieser Objective angewandt und dabei auch das bis jetzt be- nutzte, aus gewühnlichen Silicatgläsern geschliffene Tome XXXII. Cameraobjectiv von ähnlichen Dimensionen zum Ver- gleich in den Kreis der Untersuchungen mit hinein- gezogen. Zu diesem Zweck musste die für die kleinen Objec- tive benutzte Basis etwas abgeändert werden, Die Länge derselben wurde zunächst durch Ansetzen zweier ähnlichen Schienenwege von genau derselben Spur- weite auf 7,4 Meter vergrüssert, und nachdem das Ganze fest verschraubt und nivellirt war, zwei Skalen A und B an den beiden Enden in passender Entfer- nung befestigt. Die Skala À aus Messing ist neben dem Spectroskop, B dagegen aus Glas unter dem Wagen W, derart angebracht, dass der Index des Letzteren, wenn er von B nach À gerollt wird, überall genau einspielt, — Zwischen beiden ist unter dem Wagen W, der Maassstab C von 1800 Theilen zur Bestim- mung der Verschiebungen e des Objectivs angebracht. Der Werth eines Theiles der Skala À ist nach mehr- fachen Ausmessungen auf der Theilmaschine: 1*—1.3346"” derjenige eines Theils des Maassstabs C nach den Be- stimmungen von W. Struve: 1%— 0.752492" —[9.87646] so dass die ganze Länge desselben: 1800 — 1354.36” beträgt. Die Skala B ist in Millimeter getheilt. Um nuu den Abstand zwischen dem Nullpunkt der Skalen A und B, welcher zusammen mit den Ablesungen auf den Letzteren die jedesmalige Basislänge Æ giebt, zu crhalten, wurden auf dem Schienenweg zwei zwischen- liegende Punkte & und b dadurch markirt, dass zwei Kupferscheibchen mit eingerissenen Strichen resp. zwischen dem Nullpunkt von À und von C und zwi- schen dem 1800-Punkt des Letzteren und dem Null- | punkt von B befestigt wurden und darauf mit Hülfe eines genauen Stangenzirkels die Abstände À, — 4, a — GC, Cp — Ÿ, und b — B, auf die Skala C über- getragen. Im Mittel aus je vier Übertragungen wurde in Theilen der Letzteren erhalten: A, —4a = 1228.06* + 0.03 a —C,—=1315.66 + 0.03 © Ci — 0. — 1480.10 + 0.03 b —#,—1507.54 +008 D Ce Ou Di D03136 2006 4161.00 76008 28 427 Bulletin de l'Académie Impériale 72] Fügt man hierzu noch die Länge des Maassstabs C, so folgt für den Abstand der Nullpunkte der beiden . Skalen À und B: v. M rs PB, === 551 696 Dieser Werth ist bei der Berechnung der unten folgenden Beobachtungen benutzt worden. Bei der recht constanten Temperatur deS Beobachtungssaales habe ich nicht für nothig er rachtet irgend welche Tem- peraturcorrectionen gen, denn unter Annahme eines Ausdehnungscoëfficienten für Fichtenholz !) 8 = 0.000005 und einer Maximalschwankung der Temperatur von + 3° würde daraus eine Correction der Basislänge von hôchstens = 0,09%% folgen, was innerhalb der Grenzen des wahrscheïnlichen Fehlers liegt, mit wel- chem die jedesmalige Basislänge ermittelt werden kann. Um die Verschiebung des Wagens W, mit dem dar- auf montirten Objectiv vom Beobachtungsocular aus bewerkstelligen zu kônnen, sind an demselben zwei Schnüre befestigt, welche zwischen den Schieren und an den Endpunkten des Schienenwegs über zwei Rollen laufen und dort mit zwei gleicheh Gewichten belastet sind. Ein leichtes Ziehen oder Nachlassen an der am Ocular befindlichen Schnur erlaubt dem Be- obachter, dem Wagen mit grosser Sicherheit die _ nôthigen Bewegungen zu ertheilen. Es wurde schon oben bemerkt, dass von der ur- sprünglichen Helligkeit der Spectrallinien beim Durch- gehen des Lichtes durch das ganze System ein namhafter Theil verloren geht. Es bietet dies nichts Auffallendes, wenn man erwägt, dass von dem Strahlenkegel, welcher das Spectroskopfernrohr verlässt, und welcher dessen Winkelôffnung entspricht, nur ein kleiner Theil von dem in der Entfernung seiner doppelten Brennweite stehenden Objectiv aufgefangen werden kann. Je grüsser _ diese Brennweite bei gleicher Oeffnung, um so schwä- + cher werden die Spectrallinien erscheinen. Bei dem | jetzt zur Untersuchung vorliegenden Bamberg’schen _ Objectiv würde unter der Voraussetzung, dass das ganze Objectiv des Spectroskopfernrohrs mit Licht gefüllt © wäre, nur etwa 3%, dieser Lichtmenge das Untersu- d chungsobjectiv passiren. In Wirklichkeit ist freilich | 1) Landolt und Bôrn stein, Physikalische Tabellen p. 72. das Missverhältniss zwischen der ursprünglichen Hel- ligkeit des Spectrums und der Helligkeit desselben im Beobachtungsocular nicht so gross, da man, um die môglichste Schärfe der Linien zu erzielen, sich nur der centralen Theile des Spectroskopobjectivs bedient. Immerhin ist aber die Helligkeit so weit herabge- setzt, dass nur unter Anwendung der hüchsten Inten- sität des Spectrums eine für die Beobachtung noch leidlich hinreichende Lichtmenge übrig bleibt. Die Metallspectra, welche bei den ersten Versuchen sich als sehr zweckmässig erwiesen, waren infolge dessen jetzt wenig geeignet, wesshalb für die folgenden Be- obachtungen stets das Sonnenspectrum benutzt wurde. Wegen der grossen Länge des Apparats ist die Cen- trirung der einzelnen Theiïle etwas umständlich und mag daher in Betreff der dazu benutzten Methode noch Folgendes Erwähnung finden. Nachdem das Spec- troskop dérart orientirt worden ist, dass das Fernrobr F angenähert der Mittellinie des Schienenwegs ent- spricht, werden zunächst die beiden Fernrühre des- selben mit Hülfe eines kleinen Niveaus und der Fuss- : schrauben des Spectroskops horizontal oder der Ebene der Schienen parallel gestellt und der Wagen W, in die Nähe von F gebracht. Die Correctionsvorrichtun- gen des Oculars gestatten jetzt dies so zu berichtigen, dass die optische Axe desselben annähernd derjenigen des Fernrobrs entspricht. Der Wagen W, wird jetzt wieder auf seinen Platz geführt, und auf das Ocular ein kleines Fernrohr, — dem das Ocular gehôürt, — aufgeschraubt und nachdem das Objectiv O wegge- nommen ist, damit nach dem Spectroskopfernrohr vi- sirt. Wenn die optischen Axen des Oculars und des Fernrohres F zusammenfallen, so wird man im Gesichts- feld des Ersteren ein symmetrisch liegendes Bild der kreisformigen Oeffnung des Letzteren erblicken, im entgegengesetzten Falle aber durch eine geringe Cor- rection am Ocularstativ dies bewirken künnen. Nach Entfernung des kleinen Hülfsfernrohres wird das Ob- jectiv O wieder auf seinen Ort gebracht und derart orientirt, dass man nach Ausziehen des Oculars o die ganze Fläche des Objectivs durch die von F ausge: henden Strahlen erleuchtet sieht. Die Justirung ist dann schon nahe richtig und wird sich ohne Schwierig- keit noch so weit verbessern lassen, dass eine auf die Mikrometerspitze des Oculars eingestellte Spectral- linie beim Bewegen des Wagens W, ihren Ort im Ge- 429 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 430 sichtsfelde des Oculars nicht ändert, in welchem Falle | die Berichtigung als genügend angesehen wird. Ebenso wie beim Benutzen der Metallspectra hat man auch hier bei der Anwendung des Sonnenlichtes sorgfältig darauf zu achten, dass das einfallende Strah- lenbündel môüglichst genau parallel der Axe des Colli- mators gerichtet ist, da sonst die Einstellungen auf der Skala À an Genauigkeit wesentlich verlieren. Als Beispiel mag eine vollständige Messung der Brennweite für die Linie D hier aufgeführt werden. Es wurde erhalten (# — Anzahl der Einstellungen): Am Anfang der Reihe A4—40.70 + 0.07 n —10 » Ende » » — 40.43 0.08 n— 10 A= 40.56 —54.12"". Der Ocularwagen wurde nun auf den Theilstrich 400 der Skala PB eingestellt, also E = 54.12 + 400 + 5516.26 — 5970.38". Aus 10 Beobachtungen der Verschiebung auf der Skala C ergab sich im Mittel: e = 540,9 + 1.0 — 407.0" + 0.7 woraus ' el. 27187" 4f — 5942.63 und f= 1485.66” erhalten wird. In dieser Weise gelangte ich zu den fol- genden in mm. ausgedrückten Resultaten: = Objectiv Bamberg I. (Oefinung 56" Brennweite 14857), ; E e 4 E e f E e f nee Linie # Fa tinie C Lisie D 22: | I | 5960.89 | 352.1 | 1485.02 | 5959.84 | 320.7 |: 1485.65 | 5949.80 | 194.5 F: 1485.86 Il 65.92 | 4024 84.69 64.89 | 354.2 85.96 51.24 | 241.8 | 85.36 II 73.92 | 456.0 84.78 69.65 | 402 85.63 59.77 | 322.6 | 85.58 IV 81.92 | 510.4 84.60 71.00 | 406 85.83 63.32 | 3548 | | 85.55 V es se se es ns _ 70.38 | 407.0 | | 85.66 1484.77 1485.77 1485.60 Linie b Linie F Linie À —467. 1 [5957.21 297.6 1485.50 | 5961.00 | 3084 | 1486.27 | 5968.96 | 414à | 1485.06 IL | 6138 3206) 85.%6| 68.00 | 3739. S615| 7346/4426) 85.2 III 64.86 | 3708! 85.4 | 74004162! SG2%5| 78.5 |4744| 85.55 IV 71.38 418.56. 85.51 81.00 | 467.0 86.13 81.13 | 481.0 85.61 : V 72.84 | 422.3 | 85.75 RE — 83.96 | 508.3! 85.20 1485.62 1486.20 1485.30 Die Abweichungen der einzelnen Reïhen von einan- der sind, wie man sieht, allerdings grüsser als man nach den wahrscheinlichen Fehlern der denselben zu Grunde liegenden Bestimmungsstücke erwarten würde, denn soweit es auf diese ankommt, würde der wahr- scheinliche Fehler einer Brennweite im Allgemeinen nicht 0,05 #" übersteigen. Es hat dies wohl haupt- sächlich in dem mangelnden Acbromatismus und dem veränderlichen Accomodirungsvermügen des Auges sei- nen Grund, indem dadurch die der grüssten Schürfe |. 98* 431 Bulletin de l’Académie Impériale 432 der Spectrallinien entsprechende Lage des Objectivs und demnach die Verschiebung e bei verschiedenen Gelegenheiten verschieden beurtheilt wird. Nichts- destoweniger darf die Übereinstimmung als eine sehr gute bezeichnet werden und ist jedenfalls genügend, um die zwischen den einzelnen Strahlen hervortreten- den Differenzen in den Schlussmitteln innerhalb enger Grenzen zu verbürgen. Für diese Mittel wird nämhch der wahrscheinliche Fehler sicher nicht 0,05” über- steigen. Die gefundenen Brennweiten bedürfen noch einer Correction wegen der Dicke der Linsen. Nach den Mittheilungen des Hrn. Bamberg haben die benutz- ten Gläser die folgenden Constanten. Jena-Glas: woraus für die fraglichen Correctionen die folgendeu Werthe sich berechnen: Für C Af= 24.345" » D 1.349 » F 1.359 » G 1.368 oder im Mittel Af=— ant Far? Die obigen Beobachtungen sind allerdings nicht genügend um über die Achromatisationsverhältnisse des Objectivs ein vôllig anschanliches Bild zu ge- winnen; zu diesem Zweck hätten sie weiter nach dem Violett hin ausgedehnt werden müssen. Leider gestat- tete das angewandte Spectroskop dies nicht infolge ie ot re der starken Absorption dieser Strahlen durch das Con 156236 n, —=11.55496 ù à ; schwere Flintglas der Prismen. Dass aber die Achro- D —. .06494 .55801 Pie : ë : : à matisirung eine wesentlich andere ist als bei dem F se: O0) .)6522 > is * ; e bisher angewandten aus Silicatgläsern geschliffenen G = ,,:01084 57100 Re ; : 4 j Fa Objectiv der Spectralcamera, zeigt der Vergleich mit Dicke der Crownlinse — 9 ; fé dé do den folgenden für dies Letztere gefundenen Werthen: » » Fhnt.:1 = Objectiv Steinheil No 10116. (Oeffnung: 5377? Brennweite: 1525727), LE e # E e f E e Pre Reihe — © ARE D Linie B Linie C Linie D | | I | 6121.27 339,7 | 1525.60 | 6122.50 | 369.9 | 1525.03 | 6125.96 | 417.1 | 1524.57 | Il 28.27 | 398.7) 25,58] 30.50! 433.5] 24.96| 34.964737.) 24,59 I | 3028/4101) 25.71 30%/4310| 2510! 35.6 |4867| 24.4 IV | 36.4 | 4577! 25.57] 38.50|4813| 2519| 41.56 | 516.8] 24.62 1525.62 1525.07 1524.48 Linie b Linie F Linie À — 467. | | UN LI |6125.56 | 423.0 | 1524.09 | 6125.35 | 428.2 | 1523.86 | 6123.46 | 400.4 | 1524.32 A à 33.98 | 488.7 23.60 32,35 | 467.2 | 24.19 30.54 | 445.1 24,55 || II 33.56 | 480.4 | 23.98 38.35 | 501.3 24.85 37.54 | 494.9 24.37 IV | 40.565253, 2390! 43.35 | 534. 2420 | 43.54, 533.5 24.30 1523.80 | 1524.15 1524.58 || 433 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 134 Die Corretion wegen der Linsendicke bei diesem J Objectiv lässt sich strenge nicht ermitteln, da mir weder die Brechungsverhältnisse noch die Diekcon der Linsen bekannt sind, Aus der Totaldicke des Objectivs D = 13" berechnet sich jedoch nach dem Obigen die angenäherte Correction Af— — 1,17, Die im Obigen mitgetheilten Resultate dürften ge- nügen, um über die Leistungsfähigkeit der Methode ein Urtheil zu gewinnen. Ich glaube nicht zu fehlen, wenn ich die durch dieselbe erreichbare Genauigkeit als wesentlich hôher bezeichne als diejenige, welche die sonst gebräuchlichen Methoden der Breniweiten- bestimmung zu gewähren im Stande sind, Freilich muss zugegeben werden, dass mit derselben eine un- ter Umständen nicht geringe Unbequemlichkeit inso- fern verknüpft ist, als die Errichtung einer Basis- linie von erforderlicher Länge nicht immer ohne Schwicrigkeit ausführbar sein dürfte, namentlich wenn es sich um Objective grüsserer Dimensionen handelt. Indessen fällt diese Bemerkung, — die einzige, welche gegen das Verfahren füglich gemacht werden kann, — angesichts der übrigen Vortheile desselben nicht sehr ins Gewicht. Für die in der optischen Technik gebräuch- lichen Methoden mit künstlichen Sternen von verschie- dener Farbe, die keineswegs bequem oder genau ge- nannt werden künnen, würde, wie mir scheint, die vorliegende Methode mit Vortheil sich substituiren lassen. Eine andere Frage, welche auf diesem Wege mit Erfolg sich würde lüsen lassen, ist diejenige nach der Ânderung der Brennweite mit der Temperatur. Die Ânderung der Focallänge eines Refractors, welche in dem Temperaturcoëfficienten der Mikrometerschraube sich kundgiebt und diesen Coëfficienten grôsstentheils bedingt, ist aus der ÂAnderung der Brennweite des Objectivs an sich und aus derjenigen des Rohres zu- sammengesetzt und die Trennung dieser beiden Glieder lässt sich ohne Weiteres nicht ausführen. Ist dies für die Praxis auch ohne Bedeutung, so kann es immerhin interessant sein zu erfahren wieviel von diesen Ânde- rungen der einen oder der anderen Ursache zur Last fall. Nachlese zu den Fabeln des Phaedrus. Von A. Nauck. (Lu le 22 Mars 1888.) Lucian Müller, der, wie wir aus der Schrift ‘Fr. Ritsch! p. 139 erfahren, der strengste Richter seiner Arbeiten ist, weiss über den Erfolg, mit dem er die Fabeln des Phaedrus in seiner Ausgabe vom J. 1877 hergestellt zu haben glaubt, Folgendes zu berichten p. XXXVI): «Multorum libri auctorum cum extent nostris curis perpoliti, nullus tamen est, in quo tam prope ad ipsa scriptoris verba accessisse me confidam quam in his quas manibus tenes fabulis Phaedri. Quod cum îta sit, apparet multum distare hanc recensionem a Lucilii satirarum, cuius longe aliae sunt virtutes». Im Gegensatz zu dieser Selbstverherrlichung meine ich, dass Müllers Ausgabe des Phaedrus weit davon entfernt ist die Kritik dieses Autors anch nur vorläufig abzuschliessen, schon darum weil sie einer ausreichen- den diplomatischen Grundlage ermangelt. , ie auf uns gekommenen Fabeln des Phaedrus Buch IV) beruhen im Wesentlichen auf zwei stark verdorbenen und in den auffallendsten Entstellungen mit einander übereinstimmenden Handschriften oder, wenn man will, Abschriften eines einzigen verloren gegangenen Codex. Eine dieser Handschriften (codex Remensis, verglichen von F. C. Vincent) ist im J. 1774 verbrannt, die andere noch jetzt vorhandene, die sich im Besitz des Marquis Lepelletier de Ro- sanbo in Paris befindet (codex Pithoeanus), bedarf a, ET nach den von J. Berger de Xivrey gegebenen Mit- theilungén durchaus einer abermaligen Vergleichung. Acht Fabeln des ersten Buches finden sich in cod. Vaticanus 1616 (bei Müller mit 2) bezeichnet), den L. Mendelssobn verglichen hat. Kinem codex Perotti, von dem zwei Abschriften, die eine in Neapel, die an-. dere in der Bibliothek des Vatican befindlich, erhalten sind, werden verdankt die 30 Fabeln der Appendix. Für die Zuverlässigkeit des von Müller mitgetheil- ten kritischen Apparates kann es kein günstiges Vor- urtheil erwecken, dass der Text seiner Ausgabe dureh eine verhältnissmässig grosse Zahl von Druckfehlern entstellt ist: vgl. kec (statt haec) IT, 8, 23. Noctu (statt Noctua) HE, 16, 17. solebat (statt solebant) IV, 1, 5 nausiant (statt nauseant) IV, 7, 25. procellum (statt porcellum) V, 5, 36. Phpitiom (statt Papilio) App. 29, Tr Lens cus tatt quercus) Fab. nov. 15, 7. partis 435 Bulletin de l’Académie Impériale 436 culum (statt particulam) Fab. nov. 20, 1. Falsche Bezeichnungen der Verse finden sich in den kriti- schen ARMÉE 1,2, 26, 28, 10:-II ep. 10. 520 App 1,5, 15,-8:30..5: et ER sind die A RIDE te A in den Anm. zu ILE, 1, 5. 10, 42, Im Commentar p. 108 hat sich eine Fan über Zeuxidem (V pr. 7) zu V, 1, 7 verirrt. In dem Verzeichniss der vom codex Perotti gebotenen Fabeln des Phaedrus (p. XXIII) berichtige man was über Nr. 17 gesagt wird: statt VI, 23, 24 sollte es heissen VI, 4, 23. 24. Storender als derartige Versehen ist das hinsicht- lich der Orthographie von Müller eingeschlagene Verfahren. Um nach der handschriftlichen Überliefe- rung orthographische Regeln aufzustellen, bedarf man genauerer Collationen als sie bis jetzt vorliegen: orthographica enim, sagt Eyssenhardt in seiner Aus- gabe (Berlin 1867) p. 5, neque ex Pithoeano Bergerius enotavit neque ex Remensi antiquiores. Müller hat sich von der überlieferten Orthographie vielfach eman- cipirt, wogegen nichts einzuwenden wäre, wenn nicht eine seltsame Inconsequenz uns überraschte. Das überlieferte penna hat Müller in der zweiten Ausgabe mehrentheils in pinna geändert. Vgl. I, 13,6: 0 qui tuarum, corve, pinnarumst nitor (pennarum PR). I, 31, 4: ef celeritate pinnae (pinnae M, pennae v) vitassent necem. IV, 7, 7: pinus bipinni (bipenni B; de R parum constat) concidisset Thessala. App. 30, 4: qua visa pinmis (pinnis M, pennis V) altius se sustulit. Unangefochten bleibt I, 3, 5: pennas nes as de- ciderant sustulit.. Wenn der Herausgeber neben futtiles (LV, 19,:33) auch futilem (V, 2,°10) duldet, so fragt man, warum IV, 16, 3 futtilis und nicht futilis statt des überlie- ferten fictilis vorgeschlagen wird. — Falls die Schrei- bungen neclegunt IT, 7, 9. neclegenter IV, 2, 13. nec- lecto IV, 5, 20 berechtigt sind, war es wohl nicht zu kühn App. 13, 30 neclegentiae zu schreiben, wo aus V negligentiae angemerkt wird; wie Il, 7, 9 meg- ae lagunt R und negligunt N bieten soll, und wie die zu IV, 5, 20 gegebene Notiz «nec lecto P, non R» uns zu de And berechtigt, dass in R neglecto gestanden habe: denn ob eine Handschrift nec lecto oder neclecto ee _ bietet, wird in den meisten Fällen unentschieden blei- ben und ist unter allen Umständen vollkommen gleich- Le . giltig , wie Müller für sein Schwanken zwischen quod si (IT ep. 8) und quodsi (TIT pr. 41. ITT, 10, 47. App. , 7) oder zwischen nescio quid (Hor. Sat. I, 9, 2) und »escioquid (Phaedr. Il, 5, 20), nescioquis (Prop. I, 11, 7. Phaedr. LIT, 9, 5) schwerlich die Autorität der Handschrifteu geltend machen wird. Mehrentheils druckt Müller numquam, wogegen I, 5, 1 nunquum und IV, 7, 6 unquam im Texte steht: in ähnlicher Weiïse wird II, 2, 1 wécunque bevorzugt im Gegensatz zu quicumque und quodcumque. An stärksten treten die Schwankungen in Müllers zweiter Ausgabe des Phaedrus hervor, da wo es sich um Assimilation oder Nichtassimilation der Präpositio- nen handelt. Er sagt p. XXX VII: «fenendum nos in scriptura verborum constituenda plerumque secutos esse |codices Pithoeanum ac Remensem. iam quia constat in eis plerumque assimilationem quam vocant praepositio= num omissam, de hac re hic monuisse satis erit, cum praesertim appareat nec Vincentium nec Bergerum in adnotandis minutiis talibus satis fuisse diligentes et constantes», Was hier in den Worten constat — omissam gesagtist, wird durch das nachfolgende cum praesertim appareat — constantes in Frage gestellt: man kann nicht füglich behaupten, es sei eine fest stehende That- sache, dass im Pithoeanus und Remensis die Assimila- tion der Präpositionen meistens unterblieben sei, wenn in den vorhandenen Collationen dieser Handschriften derartige Minutien weder genau noch vollständig an- gemerkt werden. Hôchst befremdlich sind die Worte de hac re hic monuisse satis erit. Was bedeutet de hac re? Entweder, wie mir scheint, de assimilatione prae- positionum oder de omisst praepositionum assimila- tione. In jedem Falle erfährt man nicht das was man zu hôüren wünschen musste und erwarten durfte, wel- ches Verfahren der Herausgeber hinsichtlich der Assi- milation der Präpositionen befolgt habe. Auch die später gegebene Notiz, in appendice Perottina eadem fere scriptura verborum qua in reliquis fabulis sum usus, ist nicht geeignet uns über Müllers Verfahren aufzu- kliren. Aus einer Vergleichung seines Textes mit älteren Ausgaben geht hervor, was ein geschickter Gedankenleser vielleicht sogar aus den oben ange- führten Worten ungefähr errathen konnte, dass er die überlieferte Assimilation der Präpositionen überaus häufig beseitigt hat durch Substitution der ursprüng- lichen, nicht assimilirten Formen. Inwieweit er hierbei dem Princip der grata neglegentia oder der delectans 487 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 13S varietas gehuldigt habe, môgen folgende Proben dar- thun. Er schreibt: adclamat V, 5, 34. — accrescat App. 10, 14. adfirmat TEL, 3, 9. adfirmant V, 7, 21. adfirmavit 1, 17, 5. — affirmaret App. 9, 8. adgravant TITI, 3, 13. adgressa IIL, 16, 10. — ag- geras IV, 21, 23. adlata IT, 10, 29. adluserit IT, 19, 12. — allicit IF, 3, 7. alligant IT, 7, 18. adpellatum App. 4, 21. — appellari App. 18, 4. adpetebat IV, 3, 2. adpeterem V, 4, 5. adpetit X, 4, 1. IV, 8, 1. — appetens IV pr. 4. adripuit V, 7, 2. 10, 5. — arripuit App. 23, 3. adtendere XX, 5, 6. — attende I pr. 14. adsequar TT, 9, 3. adsequi IV, 2, 11. — assecuta App. 13, 5. adspexit WI, 10, 29. — aspexit IV, 21, 5. aspicit IE, 7, 15. aspiciunt App. 14, 23. adtributum IV, 21, 12. — attribuisset App. 2, 3. conminuta IT, 6, 13. — commemoras IV, 25, 14. commendari IV ep. 8. commendat App. 4, 5. commen- datio XI pr. 13. commendatur IT pr. 7. commercium IV, 11, 11. commilito App. 8, 8. commiserts IT, 8, 7. commisisset App. 17, 7. commisit I, 14, 16. commissum EV, 19, 15. committi App. 8. 23. committit I, 31, 1. committo App. 30, 12. commodasse 1, 17, 3. commotus App. 15, 15. commutando I, 15, 1. conpesceret I, 2, 12. conpilarant App. 13, 6. con- pilavit IV, 11, 2. conponit App. 30, 2. conprensus IE, 5, 10. IV, 2, 14. conprimis App. 10, 13. conpro- barunt App. 14, 33. conpulsi I, 1, 2. conpungam II, 6, 3. — compererant NV, 5, 31. complere App. 9, 11. complevit IL, 4, 16. … conrodere IV, 8, 7.—corrigatur IT pr. 5. correptum I, 1, 13. correptus App. 13, 18. corripere I, 2, 25. corrumpas LIT, 8, 15. corrumperet IV, 26, 18. cor- rumpit IV, 12, 8. corrupisset App. 25, 2. corruptos H;8,21 inmisit IV, 9, 10.—immolasset V, 4, 1. immolatos IV, 6, 9. immolatur IV, 25, 6. inpendas LL pr. 11. énpensam IV, 21, 25. inpe- gerat XI, 5, 2. inpertiar App. 1, 5. inpetrant IV, 19, 21. inpetrassent IV, 17, 1. inpetravit I, 19, 5. IIL ep. 22, inpinge I, 5, 7. inponere IV, 19, 29: énpost- turum X, 15, 8.-inposuit IV, 10, 1. inportaret I, 28, 6. inpugnantur I, 10, 53. inputare I, 22, 8. — impleam LIL, 9, 7. émplet IV, 5, 13. impletur II, 7, 24. imyili- cuisset III, 10, 41. Auch bei dem negirenden in begegnen wir dem- selben Schwanken. Mehrentheils unterbleibt die Assi- milation (vgl. inpar inpius, inprobitas inprobus, inpru- dens inprudentia u. à.), doch wird geschrieben impu- dentine T, 14, 18 (trotz inpudentem II, 5, 9. inpudenti [, 3, 8. inpudentius I, 22, 12) und érritam App. 23, 6 (neben inritos I, 23, 2), wie durchgäüngig smpune (I 2:94 21,9. EV;4, 15. An. 25,5) Statt e oder ex hat Müller nicht selten ec dem ? Phaedrus aufgedrängt. Die von ihm p. 118 ausge- . sprochene Ansicht, Phaedrus'scheine vor Consonanten ausser € immer die Form ec gebraucht zu haben, grün- det sich auf den Umstand, dass statt der Präposition ex zuweilen eé oder est oder in oder de überliefert ist. Die für diese Frage in Betracht kommenden Stellen sind folgende. E, 2, 17: forte una tacite profert e stagno caput. I, 25, 3: bibere e (in PR, ex anon. Nil., « Rittersh.) Nilo flumine. TT, 1, 2: e (et PR) testa. HE, 9, 5: ex (est P, de R non constat) populo. HT, 19, 7: quidam e (est P) turba garrulus. IV, 2, 10: annis et senecta de- bilis. IV, 5, 47: conferent pecuniam ex (et P) pretio rerum. NV, 5, 36: profert ipsum porcellum e (de V) sinu. App. 8, 16: wnum e (de V) Romanis provocabat barbarus. App. 14, 7: e matris sinu. App. 18, 2: notus e vicinia. App. 19, 1: equum e quadriqa (et quu- drigam V) multis palmis nobilem abegit quidam. App. 26, 10: seque e conspectu abstulit. App. 29, 3: quorum ex reliquus animam nos accepimus. Für die beiden letzten Stellen hat Müller ec vorgeschlagen, an den voraufgehenden (zwôlf) Stellen eben diese Form in den Text gesetzt. Es liegt auf der Hand, dass die an- geführten Stellen ganz und gar nicht geeignet sind die Form ec für Phaedrus sicher zu stellen. Übrigens hat Müller dem Phaedrus ec nur als selbständiges Wort beigelegt, während in Zusammensetzungen For- men wie ebibere evellere, effodiens effugit, explerent ex- tollerent geduldet werden: umgekehrt und bei weitem e faucibus, e carcere, ex se, ex fluvio, andrerseits eccita, ecfari ecfatus ecferret (daneben allerdings auch enodari, wahrscheinlicher schreiïibt er bei Ennius einerseits efflantes effudit effugit, excido excruciat, expetit, ex. . tollere u. a.). Mit Recht schreibt Müller benficium (1, 22, 8 III, 15, 13. III ep. 18) statt beneficèwm: nicht aber 439 Bulletin de l’Académie Impériale 140 hat es für nôthig erachtet zu sagen dass für II, 15, 13, wo er in der ersten Ausgabe die überlieferte Lesart beibchielt, die Emendation benficium, durch die ein Proceleusmaticus im ersten Versfuss entfernt wird, von mir herrührt (vgl. Bulletin XIV p. 404 oder Mé- langes Gréco-Rom. IT p. 203 f.). Nach der Analogie von benficium hat Müller in der zweiten Ausgabe auch bei den Formen walefici malefico maleficus die gleiche Verkürzung vorgenommen und zwar an folgenden Stellen. 1, 17, 1: solent mendaces lueré poenas malefci. Il, 3, 2: dinctum cruore panem misit malefico. Il, 6, 2: si vero accessit consiliator maleficus. IV, 11, 20: novissime interdicit, ne cum malefico. App. 17, 5: suspectum officium repudiavit malefici. Keine dieser Stellen spricht gegen die vollere Form: darum war es nicht rathsam im Text eine Neuerung vorzunehmen, die hôchstens in der adnot. crit. als be- scheidene Vermuthung empfohlen werden durfte. Einen frappanten Gegensatz zu der Beanstandung des überlieferten maleficus bildet die Entschiedenheit, mit der behauptet wird, Phaedrus habe durchgängig validius gebraucht (p. 119). Überall wo bei Phaedrus validius gelesen wird, gestattet das Metrum die Form valdius. Vgl. 1, 19, 8: hoc quoque consumpto flagitari validius. I, 24, 9: novissime indignata dum vult validius. ILE, 11, 4: en, ait, hoc unum est cur laborem validius. ILE, 16, 6: rogata est ut taceret. multo validius. IV ep. 9: quanto poetae sumt molesti validius. App. 3, 13: 24 cum rideret forte merctrix validius. Ist maleficus am Schluss des Verses durch #malficus zu ersetzen, so wird auch das den Vers schliessende validius nicht frei von Bedenken sein: wer validius am Ende des Verses für zulässig erachtet, darf schwer- _ lich maleficus an derselben Stelle anfechten. Die Form nihil dufdet Müller nur am Schluss des Verses (IV, 5, 16: quae tulerint nihil. IV, 24, 4: ex- tricas nihil); sonst hat er durchgängig nil gesetzt. * Nothwendig scheint die einsilbige Form an etwa sechs - Stellen. I, 15, 2: nil (nihil PR) praeter domini nomen mutant pauperes. TL, 10, 31: sopita primo quae nil (nil NV, nihil PRg) somno senserat. III, 10, 51: nù (mil V, nihil PR) spernat auris, nec tamen Ms sta- dim. IV, 23, 13: fu ex opibus il (nihil P) sumis tuis. App. 5, 9: usus bonorum, sed nil possunt tangere. App. 18, 16: cum mali mil (nihil cod.) feceris. Unsicher ist Il, 8, 11: frondem bubulcus affert, nil ideo videt, wo nec ideo videt PR bieten, mil videt VN (sinngemäss wäre nec quidquam videt, môglich nil intus videt). Der unechte Vers V, 5, 31: sed in priore quia mil compererant (nilil compererat PR) latens, kommt so wenig in Betracht als der von Müller gedichtete App. 15, 15: Aesopus eius nil commotus vocibus. — Die Mehrzah1 der Stellen spricht für nihil. Vgl. IT, 5, 3 gratis anhelans, multa agendo nihil agens"). IX, 7, 12: nam nil (s0 P, quod nihil N) amisi nec sum laesus vul- nere.\IT. pr. 48: huic excusatum me velim nihilo minus. IT, 7, 17: wnde hoc, amice? mil est. dic, quaeso, tamen. HT, 10, 28: nihil respiciens dum (so V und in Folge einer Correctur R, nihil in respiciendum P und ursprünglich R, nl introspiciens, dum Müller) dolorem vindicet. IV, 2, 2: dum nihil habemus maius, calamo ludimus. IV, 13, 1: utilèus homini nihil est quam recte loqui. IV, 25, 9: laboro nilil atque optimis rebus fruor. IV, 25, 16: mil laboras, ideo, cum opus est, nihil hubes. Y, 5, 20: nil (so P, nil V) est repertum, mul- hs onerant laudibus. App. 26, 4: ne me indices, bu- bulce; nihil umquam mali. App. 30, 8: nihil est quod metuas, eg0 te multum diligo. Da Müller den Proce- leusmaticus im ersten Fusse dem Phaedrus zugesteht, hatte er kein Recht den Versanfang nihl agere quod non prosit (III, 17, 13 und IV, 25, 1) zu beanstanden. Auch die Behauptang: Pieds habe durchgängig vemens geschrieben (p. 119), steht auf schwachen Füssen. So viel ich weiss, hat Phaedrus das Adi. vehe- mens und das Adv. vehementer je einmal gebraucht. Vgl. IT, 5, 1: laceratus quidam morsu vehementi (so Bongars statt vehementis) canis. App. 7, 7: ego, inquit, quod te laudas vehementer probo. Für die von Lach- mann Lucr. p. 133 angeregte Frage, inwieweit vehe- mens durch das Metrum gesichert und somit berech- tigt sei, kommt Phaedrus nicht in Betracht, da an den beiden angeführten Stellen vehementi und vehementer eben so gut môglich ist als das von Müller gesetzte vementi und vementer. Dass es rathsamer war die überlieferte Schreibung beizubehalten, lehrt Quintil. 1) Allerdings ist hier nihil befremdlich, sofern im fünften Fusse ein Daktylus in der Regel nur da zugelassen wird, wo der Vers mit “rage Worte von mindestens vier Silben schliesst ; vgl. jedoch IV, aturum sine 6: ideo, cum opus est, nihil habes. V, 7, 89. prodi mora! pe 9, 6: quidquid dederis, satis erit. K 188 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 44? I, 5, 21: durat ad nos usque ‘vehementer” et ‘compre- hendere’ ct ‘mih. Nach diesen allgemeineren Bemerkungen wende ich mich zur Besprechung einzelner Stellen und zwar vor- zugsweise solcher, an denen ich für die Herstellung des äusserst verdorbenen Textes etwas thun zu künnen glaube. Vielleicht ist es eine Vermessenheit, wenn nach dem grossen ‘Kritiker’ L. Müller, der so gern von seinen ‘emheitlichen Leistungen’ redet, ein kleiner ‘Conjectator” den Text des Phaedrus zu emendiren unternimmt: da ich jedoch bereits vor acht Jahren diesen Frevel verübt habe (vgl. Bulletin XX VI p. 251—276 oder Mélanges Gréco-Rom. IV p. 666—702), so wird durch einen zweiten Versuch, zu dem mich A. Rieses im J. 1885 erschienene Ausgabe angeregt hat, meine Schuld nicht wesentlich gesteigert. Bei den Citaten aus Phacdrus benutze ich wie bisher Mül- lers grüssere Ausgabe (1877). I, 1, 1—3: Ad rivum eundem lupus et agnus venerant , siti compulsi: superior stabat lupus longeque inferior agnus. Da die Worte longe inferior agnus den voraufge- henden superior lupus gegenübergestellt werden, so erscheint que als befremdlich. Passender wäre «4 (vgl. III, 13, 14: apertum est quis non possit et quis fecerit) oder autem (vgl. V, 2, 2: unus profugit, alter autem restitit) oder endlich aé (vgl. IV, 5, 5: unam formosam et oculis venantem viros, at alteram lanificam frugi et rusticam). Mit entschiedencr Vorliebe aber gebrauchen die Lateinischen Schriftsteller in derartigen Gegen- sätzen das Asyndeton, wie wir és finden IV, 10: Peras imposuit Tuppiter nobis duas : propris repletam vitiis post terqum dedit, alienis ante pectus suspendit gravem. hac re videre nostra mala non possumus: alii simul delinquunt, censores sumus. Auch Zonge inferior ist unpassend: der Wolf und das Lamm künnen, da sie mit einander reden, nur durch einen mässigen Zwischenraum getrennt gedacht werden. Den beiden hervorgehobenen Übelständen dürfte zu begegnen sein mit der Schreibung «liquanto inferior agnus. Verwechslungen sinnverwandter, in den Schriftzügen unähnlicher Würter sind wie anderwärts so bei Phaedrus durchaus nicht selten: so werden ver- tauscht ovis und bidens. I, 17, 8. fero und tuli I, 21, 10. tutus und munitus IL, 6, 1. volumus und cupimus Tome XXXIL. künnen, der zwar daméve, II, 8, 17. éllegitimos und insitivos III, 3, 10. augent und adgravant IT, 3, 13. vadit und accedit III, 10, 26. Aesopus und sophus IT, 14, 9. fert und portat III, 15, 5 inquit und narrabit IT, 17, 8. castigate und cohibete App. 6, 13. Aesopus und Phryx sophus App. 11, 2. ait und #nquit App. 12, 4. Für die vorgeschlagene Besserung aliquanto inferior erinnere ich an IT, 5, 25, wo das handschriftliche multo maioris ein will- kürlicher Ersatz für aliquanto pluris zu sein scheint. L'A,pe-8: ‘eur’ inquit ‘turbulentam fecisti mihi aquam bibenti?” laniger contra timens: ‘qui possum, quaeso, facere quod quereris, lupe£ a te decurrit ad meos haustus liquor.. Der vorletzte dieser Verse ist nach Form und In- halt anstôüssig. Der Schüchternheit und Zaghaftigkeit des Lammes kommt es zu, der Anschuldigung des Wolfes nichts weiter als die zur Widerlegung dieser Anschuldigung ausreichende Thatsache entgegenzu- stellen. Das rhetorische quaeso, die Anrede lupe, das unpassende quereris (so Pithoeus statt des überlieferten queris), wo es sich nicht sowohl um eine Klage als um eine widersinnige Erfindung handelt, endlich die un- ruhigen Rhythmen —alles dies scheint dafür zu sprechen, dass der Vers nicht dem Phaedrus gehürt, sondern von einem Interpolator herrührt. Die Frôsche verlangen von Iuppiter einen Kônig: er schickt ihnen zuerst einen kleinen Holzbalken, dar- auf, als sie einen anderen Künig begehren, hydrum qui dente aspero corripere coepit singulas. Weïter heisst es I, 2, 25—28: rustra necem fugitant inertes, vocem praecludit metus. furtim igitur dant Mercurio mandata ad Iovem, adflictis ut succurrat. Schon früher habe ich erinrert, dass fugitant inermes | mit Marquard Gude herzustellen ist und dass die nach- folgenden Worte vocem praecludit metus der Situation wenig entsprechen, sofern die Früsche nicht hoffen konnten durch Jammern oder Parlamentiren bei der Schlange etwas auszurichten. Noch wunderlicher ie der folgende Vers, furtim igitur dant Mercurio man- data ad Iovem. Von Mercurius ist bisher keine Rede gewesen, eben so wenig wird nachher seiner gedacht: Fan man begreift somit nicht, wie die obenein vor Furcht stimmlosen Früsche diesem Gott Aufträge ertheilen Fe nicht aber Barpayov 29 : à sa : * + hin noch deutlicher zu Tage tritt, er zeigen, wie thôüricht das Volk handelte, 443 Bulletin de l’Académie Impériale 22) Aazos ist und wohl gelegentlich die Erde besucht, nicht aber in Sümpfen odér in der Nähe derselben einen stabilen Wohnsitz hat. Man würde nichts ver- missen, wenn es hiesse: frustra necem fugitant inermes. vocem tollunt ad Iovem, adflictis ut succurrat; aber eine wahrscheïinliche Erklärung der jetzigen Textes- gestalt zu geben vermag ich nicht. I, 14, 1—4: Dulus cum sutor inopia deperditus medicinam ignoto facere coepisset loco et venditaret falso antidotum nomine, verbosis adquisivit sibi famam strophis. Schon aus diesen Worten ersieht man, was weiter- dass der Schuster, der sich auf die Arzneïkunst legte, weil sein Handwerïk ihn nicht nährte, durch seine Ankündigungen Reclame zu machen verstand. Ein Charlatan aber pflegt die urtheilslose Masse zu täuschen durch Erwähnung der Wunderkuren, die er verrichtet zu haben vorgibt, er wirkt auf das Publikum nicht sowohl durch wortreiche als durch prahlerische Wendungen. Darum môchte ich vorziehen ventosis adquisivit sibi famam strophis. Unmittelbar darauf heisst es V. 5 ff: hic cum iaceret morbo confectus gravi 5 rex urbis cius experiendi gratia | scyphum poposcit: fusa dein simulans aqua miscere anhidoto sese illius toxicum » ebibere iussit ipsum posito praemio. timore mortis ille tum confessus est non artis ulla medicae se prudentia, verum stupore vulgi factum nobilem. Der erste dieser Verse enthält einen Gedanken, der zu der ganzen Erzählung in keiner Weise passt. Nicht œi Le) durch eine Krankheït wurde der Künig veranlasst den quacksalbernden Schuster zu citiren, vielmehr wollte indem es yon einem Betrüger sich ärztlich behandeln liess. Dass der Künig nicht bettlägerig, sondern vollkommen ge- sund war, als er den Schuster auf die Probe stellte, _ geht namentlich aus V. 13 ff. hervor, wo der Kônie dem versammelten Volk die thürichte Leichtgläubig- _ keit vorhält. Ohne Zweifel ist V. 5 eine spätere Zu- _ that. Wie ich nachträglich sehe, haben dies schon < _ andere erkannt (vgl. Schwabe I p. 540 f. ): 80- na- en metieh Lesnne (Simmtl. Schriften Bd. XI p. 109 der Lachmannschen Ausgabe), der auch V. 4 als un- echt bezeichnete. Um so mehr muss man sich wundern über das Schweigen der neusten Herausgeber. — Auch V.-14 und 16 halte ich für fehlerhaft: rez advocata concione haec edidit: quantac putatis esse vos dementiue, qui capita vestra non dubitatis credere 15 cui calceandos nemo commisit pedes£ Der heruntergekommene Schuster hat offenbar früher Leute gefunden, die im Interesse ihrer Fussbeklei- dung sich an ihn wendeten: sonst kônnte er nicht swtor genannt werden. Erst als es mit seinem Handwerk nicht mehr gehen wollte, hat er sich auf die Quack- salberei gelegt. Das unpassende Perfectum dürfte so- mit durch das Praesens committit (Heinsius wollte commmittat) zu ersetzen sein. Ganz wunderlich ist die Frage quantae putatis esse vos dementiae, Wie dumm glaubt ïhr zu sein? Leute welche ïhr Leben einem Quacksalber anvertrauen, der nicht einmal leidliche Schuhe herzustellen vermag, glauben nicht dumm zu sein, sondern sind dumm. Offenbar liegt der Fehler in putatis. Sinngemäss wWäre quantae necesse est esse vos dementiae. Vielleicht genügt putemus, obwohl man auch an probatis denken künnte. I, 5, 23 —25: dum sic iocata est tanti maiestas ducis: non multum egisti et opera nequiquam perit ; mullo maioris alapae mecum veneunt. Der letzte Vers, über. den ich bereits früher (Bul- letin XXVI p. 256 oder Mélanges Gréco-Rom. IV p. 673) gesprochen habe, dürfte so zu schreiben sem: aliquanto pluris ne alapae meae. Die derbe Abfertigung, welche dem allzu geschäfti- gen, auf ein kaiserliches Geschenk speculirenden Hüf- ling ertheilt wird, kann nicht wohl als ein Scherz be- zeichnet werden: iocata scheint entstellt zu sein aus locuta, wie längst Pithoeus vermuthet hat. IT, 8. Der Hirsch, der um den Nachstellungen der Jager Zu entgehen, den in einen Rinderstall geflüchtet bat und hier nach dem Eintritt der Nacht mehreren Dienstleuten verborgen geblieben ist, dankt den Be- wohnern des Stalles für die ihm gewährte Gastfreund- schaît, worauf einer ihm sagt: wir wünschen dir zwar | das Beste, aber wenn jener kommt, der hundert Augen hat, wird dein Leben sehr gefährdet sein. Auf diese Worte folgen die Verse: 445 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 446 haec inter ipse dominus a cena redit 20 plures habebit quos opponat Graeciae: el quia corruptos viderat nuper boves sè libor oblectare curam voluerit, 10 accedit ad praesepe: ‘cur frondis parum est? stramenta desunt. tollere haec aranea quantum est laboris?” dum scrutatur singula, cervi quoque alta conspicatur cornua, quem convocata iubet occidi familia. Der Dichter will zeigen, dass der Herr in seinen eigenen Angelegenheiten am schärfsten sieht. Mit die- sem Zweck verträgt sich ganz und gar nicht V. 21, wo gesagt wird, der Besitzer des Gehôftes sei an die Krippe herangetreten, qua corruptos viderat nuper boves. Der Hundertäugige besucht in später Stunde den Rinderstall, nicht weil er vor einiger Zeit bemerkt hat, dass das Vieh elend und verkommen war, sondern weil er als sorgsamer Wirth für seinen Viehstand sich lebhaft interessirt. Den unverständlichen Ausdruck corruptos boves will man erklären und rechtfertigen durch Caesar de bello civ. IT, 58, 5: corruptis equis macie. Mag diese Lesart richtig oder falsch sein (na- türlicher wäre confectis macie nach Verg. Aen. 3, 590 und Phaedr. IIT, 7, 2), in jedem Falle ist cor- ruptos boves ohne eine nähere Bestimmung befremdlich. Überhaupt aber passen die Worte corruptos viderat xuper boves nicht zu dem in der vorliegenden Fabel gezeichneten Bilde eines rührigen Landmannes, der sein Vieh überhaupt nicht verkommen lässt, weil er tagtäglich den Stall besucht und jede Nachlässigkeit seiner Untergebenen rügt. Ohne Zweifel ist V. 21 das [el ot . Machwerk eines Interpolator, der bei den Verba redit | und accedit eine Copula vermisste, während das Asyn- | y deton gerade sehr passend ist um das rasche und ent- schiedene Verfahren des Handelnden zu charakterisi- ren. Unrichtig ist auch das redit in V. 20. Der Herr ‘kehrt nach der Mahlzeit in den Stall zurück’ konnte nur gesagt werden, wenn er vor der Mahlzeit im Stall war: dann aber hâtte er schon früher den Hirsch be- merkt. Liegt also nicht eine stärkere Entstellang des Originales vor, so werden wir dominus à cena venit zu schreiben haben, wie es oben hiess sed lle, qui oculos centum habet, si venerit. Il ep. 10 f. Phaedrus, der in der Erzählung der Fabeln, wie er sagt, mit Aesopus gewetteifert hat, hofft dass sein Beispiel in Latium Nachahmer finden -werde: quod si labori faverit Latium meo, Jph. Taur. non tamen eripict laudis conscientiam. Dass im vorletzten Verse sin livor obtrectare zu schrei- ben ist, hat man längst erkannt: doch kann ich . nicht glauben, dass damit die Stelle in Ordnung ge- bracht sei. Der Ausdruck obtrectare curam leidet an Undeutlichkeit, und im folgenden Verse ist /audis con- scientiam schwerlich angemessen, wo gemeint war, wie Lallemant sagt, la persuasion que je merite quelques louanges. Vermuthlich beruht die jetzige Lesart auf der Vertauschung zweier, ungefähr dieselbe Stelle im Verse einnehmender Wôürter, einem Versehen, dem wir am häufigsten zu Anfang und zu Ende, bisweilen auch in der Mitte der Verse begegnen. Einen ganz evidenten Beleg für diese Gattung von Fehlern bietet Euripides 1933:£: abTi à émoÿe du’ tes tot Éevorv | ÉTTELYE YELOi, wo herzustellen ist abtn dt yeoci déc’ Eyousa voi Gévorv Eorey” Gruode, wie nach meinem Vorgang Kôchly, Weil und England jetzt schreiben. In gleicher Weise meine'ich, dass der Tragiker Moschion geschrie- ben hat nicht, was Stob. Flor. 125, 14 ihm beilegt, ri xépdoc OÙUXET dvTac ŒixIÇELV VEXOOÛS ; . Ti Tv ävaudov yaïav LBoiCerv mAëoV; sondern mi xéodoc obxér” dvrac UBotCerv vexooûc; ré tv vaudov yatay aixilerv mAËOV; mit unverkennbarer Beziehung auf IL Q 54: xognv yäo Ôn YAtav derxiles ueveaivov. Für die obigen Worte des Phaedrus môchte ich vorschlagen sin livor obtrectare laudi voluerit, non tamen eripiet rectam conscientiam. Damit vergleiche man einerseits Livius VIII, 36, 4: ut obtrectaretur laudibus ducis, andrerseits Cic. Epist. ad Att. XIIT, 20, 4: a recta conscientia traversum un- guem non oportet discedere. Der Hergang der stufen- weise fortschreitenden Entstellung dürfte folgender gewesen sein. Zunächst tauschten laudi und rectam die Plätze, so dass obtrectare laudi und eripiet rectam infolge eines Flüchtigkeitsfehlers in obfrectare rectam und eripict laudi überging. Sodann wurde in obtrectare reclam die Silbe re nur einmal geschrieben °). Endlich 2) Dass onde Silben von den Abschreibern nicht selten Fe : de ‘ ausgelassen, doppelt zu schreibende somit nur re geschricben a _ unstatthaft _ einem Begleiter des Pre liessen sich authentische Nachrichten ner Reise nicht heimgekehrten Künigs | ‘ ré und nur des Pre és des Laios redet Kreon V. 118. 447 Bulletin de l’Académie Impériale 448 wurde willkürlicher Weise céam in curam und laudi in Zaudis verwandelt. Meinen Herstellungsversuch werde ich gern aufgeben, sobald jemand mit einfache- ren Mitteln ein befriedigenderes Resultat zu erzielen weiss: in jedem Falle ist die eben besprochene Stelle durchaus geeignet jeden Urtheilsfähigen von der heil- losen Zerrüttung unseres Phaedrus-Textes zu über- zeugen. Zu dem Wort Mnemosyne III pr. 18 bemerkt Mül- ler unter dem Texte «ne Nemosyne P, Nemosyne Rg (male Vinc. refert in R esse Memosyne)», und im Commentar zu d. St. sagt er p. 104: «non ausus sum Phaedro adscribere illud Nemosyne, quod codices offe- runt. sane ea forma non infrequens in libris scripts; et nota vulgo Clytaemestra, Hypermestra». Wo sonsf die Schreibung Nemosyne vorkommt, vermag ich nicht zu sagen: leider hat Müller unterlassen die ihm be- kannten Beispiele anzuführen. Sicherlich aber ist die wurden, ist bekannt: doch wird es RE überflüssig sein auf einige aus derartigen Versehen hervorgegangene Textesentstellungen hin- zuweisen, wo. der Ausfall gewisser Silben falsche Ergänzungen her-, vorgerufen hat. Wir finden überliefert TÉxVa Trou E[ve]xe FxTOpEv statt Todd’ Exa(rt) TÉXTOEV Eur. fr. 362, 14. oùx edpe mAny yuvatxdc [ie AJehev Javeiy TpÔ xeivou statt ruvatnde (Go}rie fJeey Eur. 7. xpoVou _ pèv elvex” [où] padeïv”pue Det rode statt elvex’ (ouadsis né Oed. C. 22. rioèe yñs Léshrse nparele statt vhs (Ao)xsp xpureïs Oed. R. 54. Zotw à’ [ody] rw xai Got pihov statt Ecru D’ (6) rw Oed. C. 1205. rodc dyovrac [oonsp] otxétac Éyvwx’ Epautod statt Toùs dyovruc ! 14. praecanum solibus [apltum statt des a ur xexavuévas nehouotv) Hor. as 1, 20, 24 u. dgl. m PS Vers (fr. 838, œiat, Toù Non Jetov tac à atscheit bei Gregorins Pal. Prosop. animae et Era p. 16 in fol- gender Gestalt: at af, ro dn vor dervov avŸpwmox xaxov. Leider gibt die von A. Iahn veranstaltete Ausgabe dieser Schrift über die handschriftliche Lesart keine Auskunft. Wahrscheinlich ist to: eine falsche Ergänzung (ro dn deïov bietet Plut. de virtute morali c. 6 p. 446 A), Gervov dagegen eine hôchst ansprechende, neuerdings auch von F. W. Schmidt Krit. Stud. IL p. 460 empfohlene Emendation stat des überlieferten Jetov . ue wiederkehrender Silben rechne ich auch F br ei die häufig wiederkehrende Schreibung voudetixos statt mr pan (vgl. Tambl de vita 60 p. 41, 14 nebst V. Aesopi _p. 306, 12. 808, 12 Eberh.): denn +n bad +t fallen in Byzantinischer Aussprache zusammen. Hiernach ist zu beseitigen ein bisher gedul- deter Fehler bei Vas Oed. R. 116: ouÈ * Eyrekés ” ti oÙdÈ GUUTPAXTWE Sdaù raièev Grou Ti ÉXAVOV E ÉXPNGAT" &v; Vielmebr 008 rt ru (rh )de cuuroaxtop G0où HYYEÀ 8tw Tiç xti. Dass die Scheidung von Boten und Reisegefährten des Laios i ation wi Antwort: nur von e über den Tod des v Erwähnung der Namen Clytaemestra und Hypermestra hier durchaus ungehôrig. Denn MNemosyne ist ein gleichgiltiger Schreibfehler, KAvtaunotex und ‘Yreco- uhotox sind dagegen die allein richtigen Formen. Im J. 1885 hat Pappageorgios nachgewiesen, dass Kuta- wnotoa nicht nur durch die Lateinischen Schriftsteller empfohlen wird, sondern auch für das Griechische auf das beste bezeugt ist, namentlich durch Inschriften: vel. C. I. 6195 und 7701 vol. 3 p. 879 and vol. 4 p. 144, Robert Bild und Lied p. 154 (KAuteuvnotoa C. I. 8419 vol. 4 p. 232 beruht auf moderner Fälschung); aber auch die besseren Handschriften haben die rich- tige Form bewahrt, wie z. B. der codex Laur. A im Text wie in den Scholien des Aeschylus und Sophokles fast durchgängig (in Surama an 70 Stellen) KAvta- unorox bietet: nur einmal (Aesch. Eum. 116) findet sich, wie Wecklein anmerkt, KAvtauvnotoa. Dass man erst vor wenigen Jahren darüber belehrt worden ist, erklärt sich nur aus der kaum glaublichen Unzuver- lässigkeit der vorhandenen Collationen: eben darum lässt sich erwarten, dass aus sorgfältigeren Vergleich- ungen der ältesten und besten Handschriften sich wei- tere Belege der richtigen Form ergeben werden und -| dass die nach Vitelli (Berliner philol. Wochenschrift 1886 p. 955 f.) allerdings schon in Handschriften des zehnten Jahrhunderts vorkommende Schreibung KAv- rauvnoteæ allmählich aus unseren Texten schwinden wird. Auch ‘Yreouvnotox ist fehlerhaft: handschrift- liche Belege der richtigen Schreibung ‘Yrepuñnopa, die von den Herausgebern vielfach verdrängt worden ist, finden sich durchaus nicht selten: vgl. Pind. Nem. 10, 6. Antoninus Lib. c. 17 p. 217 f. Diod. Sic. IV, 68, 5: Paus. II, 19, 6. 21, 1. 2. 25, 4. X, 35, 1. Schol. Aesch. Sept. 569. Schol. Eur. Or. 872. Eust. Dionys. Per. 805. Hygin. fab. 70. 168. 170. Serv. Verg. A. 3,286. 8, 130. Selbst der Name des OAvurto- viens Iohuunotuwp ist in [lsAuuvnorwo verunstaltet worden bei Iohannes Antioch. fr. 1, 27 in Müllers Fragm. Hist. vol. 4 p. 540 wie in einer Baseler Hand- schrift des Solinus p. 26, 25 Momms., und Schoene hat sich durch Scaliger verleiten lassen diese falsche Form dem Eusebius Chron 1 p. 200 beizulegen, trotz des von Gutschmid erhobenen Zweifels. III pr. 20—23: quamrvis in ipsa paene natus sim “sétole curamque habendi penitus corde eraserim 449 des Sciences de Saint-Pétersbourg. et laude invita in hanc vitam incubuerim, fastidiose tamen in coetum recipior. Im vorletzten Verse bieten die neusten Ausgaben et laude invicta vitam in hanc incubuerim, wo énvicta von Desbillons, vitam in hanc von Prasch herrührt, Die Ânderung von Prasch halte ich für hôchst wahrscheinlich, wogegen das von Desbillons gesetzte invicta nach meinem Dafürhalten absolut unmôglich ist. Zu dem laude invicta seines Textes bringt Müller im Commentar die Notiz «IV epil. 5 P viturum pro victurum», womit bewiesen wird, was keines Beweises bedurfte, dass vita und victa leicht verwechselt werden konnten: nicht aber hater gezeigt, dass laus invicta môglich und hier am Platze sei. Mir scheint eine aus invicta genau so befremdlich als im Deutschen ein ‘unüberwindliches Lob”, und wollte man mit den Er- klärern verstehen ‘unübertroffenes Lob”, so wäre damit dem Zusammenhang schlecht gedient: Phaedrus be- klagt sich, dass man ihm die gebührende Anerkennung versage; unmôglich also kann er behaupten, er habe mit unübertroffenem Lobe sich der Poesie gewidmet. Sinngemäss ist was Wakefield Silv. crit. 1 p. 64 vor- schlug, et laudis avidus vitam in hanc incubuerim. Nur erscheint avidus als zu stark (es war dafür ein Begriff wie studiosus zu setzen), und die Ânderung ist um der Gewaltsamkeit willen unwahrscheinlich. Wie ich glaube, liegt hier dieselbe Entstellung vor wie bei Babrius 59, 17: reo@ TL notelv, Tov JCVOV ÊÈ HN XPIVELV, wo zu schreiben ist roy œJovoy à’ £a yœigerv. Eine beigeschriebene Erklärung " n PLVELY rôv oJévov Ô” Éx yæipetv, womit gemeint war tov pJ6voy dE un ëx xoivetv, Wurde falsch verstanden und verdrängte die ursprüngliche Lesart. So dürfte Phaedrus geschrieben haben et laude ductus vitam in hanc incubuerim. War ductus von einem Erklürer durch énvitatus glossirt in der Weise, dass über duc die Buchstaben invita gesetzt waren, so konnte laude ductus leicht zu laude invita verballhornt werden. Mit dem Ausdruck laude ductus vel. Cic. pro Archia poeta 11, 26: érahi- mur omnes laudis studio, et oplimus quisque maxime gloria ducitur. LIL, 2,8 f: videre agrestes: alii fustes congerun, alii onerant saxis, quidam contra miseriti —. Die Lateinischen Dichter haben fast alle Metra, deren sie sich bedienten, aus Hellas entlehnt. Indem sie die Griechische Literatur studirten, widerfuhr ihnen dasselbe, was uns auf Schritt und Tritt begegnet: sie liessen sich täuschen durch fehlerhafte, von den Alexandrinischen Grammatikern überkommene Texte. In der überaus umfangreichen epischen und elegischen Poesie der Griechen finden wir keinen einzigen Hexa- meter, von dem sich behaupten liesse dass er nur Spondeen enthielte; die Lateiner gestatteten sich Verse wie ol respondit rex Albai longai und introducuntur legati Minturnenses, nur darum Weil Alexandrinische Grammatiker eine Anzahl von zwôülfsilbigen Versen bei Homer entdeckt zu haben glaubten (vgl. E 500 und Bulletin XXII p. 28 oder Mélanges Gréco-Rom. IV p. 128 f.). Eben so gründet sich die in der Lateinischen Poesie keines- wegs seltene Elision der Schlusssilbe des daktylischen Hexameters auf die schwerlich berechtigte Annahme, dass an drei Stellen der Ilias Zfvx zu Ende des Verses elidirt sei. In gleicher Weïse mochten Verse wie OcoxAdUEvoy Gpoev’ eUbyEv} Te mapdévov, | wo OcoxAdpevoy (richtiger vielleicht OevxAduevoy) vier- silbig zu sprechen ist, die irrige Voraussetzung her- vorrufen, dass die Griechischen Dichter im iambischen Trimeter den Proceleusmaticus zugelassen hätten. Kein Grieche hat diese für jedes gebildete Ohr unerträg- liche Licenz jemals sich gestattet”): die Rômer schei- Neun Belege dieser Licenz pat Frais in der zweïiten Auf- + der te p. 328 nachweisen zu “2 D: 682: oÙTOs TIG Es 233 pret 7! SIYÈS; oux Épeîc; Auf den Tribrachys > AËYE Tr folgt de er Anapaest y0 *t s1-. Wie die fehlerhafte Stelle zu emendiren sei, habe ich schon früher gezeigt rar XXX p. 107 — Mélanges Gréco-Rom. 4 p. 216 A? ys. 1148: aüexiomes" GA 6 rpwxtôc dpurov &e xukéc. Die Arte “Verbindung von Tribrachys und Anapaest (4ôtxt- und ous AN) beruht auf einer Conjectur von Dindorf: die Hand- schriften bieten &èmxioùmss oder adtxopec: adrxeümues schreibt Mei- HE. Ar. Thesm. 285: 70 roravov, érwc ÀAuBoïox Jucw toïv Jecïv. Wiederum Tribrachys und Anapaest: natürlich ist +5 zu tilgen mit G. Hermann. + IV. Ar. 1283: oxuTaht Epépouv: vuvi à’ Urogtpé days av. Tribrachys und _Anapaest, éxurahtopépouvr vüy à schrieb Porson, ae ist Épépouv cxutaux vÜv d’ vorzuziehen. esp. 1169: wèt rpobus TOUPEPOV TL Sasrhaxen so, Tri- brachys ui Anapaest, dcatxwwcov Dindorf nach Rosychins und . D : L 451 Bulletin de l’Académie Impériale 452 nen wie sonst so auch in dieser Hinsicht weniger skru- pulôs gewesen zu sein. Gleichwohl halte ich den Vers- anfang ; alii onerant sais, wo auf den ersten Fuss nicht weniger als fünf Silben (zwei Kürzen, eine Länge und wieder zwei Kürzen) kommen, für absolut unmôglich. Es kann keinem Zweifel unterliegen, dass wir herzustellen haben, was ich im J. 1869 vorschlug, pars onerant saxis. Die Gegenüberstellung von ali und pars findet sich überaus häufig: ein Abschreiben mochte alii — ali für natür- licher halten. Bedenklich scheint mir auch die von Müller in der zweiten Ausgabe aufgenommene Lesart der Handschriften PR bei Phaedrus IV, 11, 12: ilaque hodie nec lucernam de flamma deum nec de lucerna fas est accendi sacrum. Das von Bongars vermuthete, ehemals von Müller ge- billigte a hodie bezeichnet dieser jetzt p. XI als vitiosum. Indess finden wir ia ganz eben so gebraucht IV, 16, 14: üa nunc libido pravo fruitur gaudio, und nicht anders in der von Müller gedichteten Fabel 10, 9: ia solus caecis noctibus semper volat. Zu Gunsten des handschriftlichen éaque hodie ({V, 11, 12) kann man sich aber berufen auf Seneca Tro. 945: vide ut animus ingens lactus audierit necem. III, 7, 2—4: Cani perpasto macie confectus lupus forte occurrit. dein salutantes invicem ut restiterunt: ‘unde sic, quaeso, nites?” Durchaus richtig hat Bentley forte occucurrit geschrie- ben. Über die Fassung der nächsten Worte dein salu- VI DE on 1356: ro yap vitdcov Tnoet jus, xdott dUcxokov. Zwei Anapaest VIL. Ne Eù 676: &yw D à xoplavv” ETotunv drodpapwv (0rEx". àpæuwv R). Ein sphère entsteht, falls UTEXÈPAAOY i m übrigen die bandschr iftliche Lesart drexdoauwv vermuthet ëyo > er td ROPIU VV” e. VII. Ar. fr. 124 D. (Com. 2 p. 1092) bei Erotian. p. 134, 4: RApÉTA xatérpuev iuana xärerrt rws. Tribrachys und Anapaëst. Dass æupéco (mit diesem Accent) sinnlos ist, braueht nicht gesagt zu werden. IX. C. I. 569 p. 493 (Corp. Inscr. Att. II 1355): SE Tôv Er!)ot- nov év Bio xp0vov xaXüc. Daktylus und Anapaest. {A tv érihorov _ vermuthete Meineke. Unter den neun v von Christ Son Stellen zeigt somit nur eine (VIT) die Licenz eines Pro smaticus, und an dieser einen Stelle peer die Lesart. Nicht. évrihn t hat Christ Ar. Vesp. 967: Fe durpôv’, Ekéer rodç TaAxTwpoUpE vous, wo © Oaiuoy, EXCer zu schreiben ist mit Bentley. tantes (so PR, salutati V) sind die Meinungen der Herausgeber getheilt. Gegen Bentleys Schreibung dein salutans invicem ist geltend zu machen, dass invicem weder mit salutans noch, wie Bentley wollte, mit resti- terunt verbunden werden kann: denkbar wäre wéerque restitit und ambo restiterunt, nicht aber restiterunt in- vicem. Orellis Eiïinfall dein salutatum invicem würde ich mit Stillschweigen übergehen, wenn nicht die neu- sten Herausgeber für dies todtgeborne Kind einge- treten Wären. Es genügt zu bemerken, dass das soge- nannte Supinum salutatum nur mit einem Verbum der Bewegung, nicht aber des Stehenbleibens verbunden werden kann, und dass auch ein grammatisch correcter Ausdruck, wie etwa salutandi causa (oder salutaturi) restiterunt hier befremdlich wäre, da man, um zu grüssen, nicht stehen zu bleiben braucht. Die über- flüssigen und stôrenden Worte dein — restiterunt sind hinzugefügt von einem Interpolator, der die fehler- hafte Schreibung forte occurrit bereits vorfand und zu diesem Fehler einen zweiten hinzufügte, indem er in saluto das a dehnte. Man bessere Cani perpasto macie confectus lupus forte occucurrit: ‘unde sic, quaeso, nites2? So ergibt sich ohne weiteres, dass der Wolf es ist, der mit den Worten unde sic, quaeso, nites? den Hund an- redet. Vgl. IT, 8, 22: haec inter ipse dominus «a cena redit. accedit ad praesepe: ‘eur frondis parum est?” V, 5, 38: at ile profert ipsum porcellum e Sinu [turpem- que aperto pignore errorem probans]: ‘en hic declarat quales sitis indices’ (wo der eingeklammerte Vers un- echt zu, sein scheint). App. 29, 2: Papilio vespam propter _—_—. viderat: ‘o sortem iniquam! dum vive- bant corpora — | In der onchfslpendin Erzählung (ILE, 7) sind vier Verse (21—24) an eine falsche Stelle verschlagen. Die Fabel wird etwa so zu schreiben sein: Quam dulcis sit libertas, breviter proloquar. Cani perpasto macie confectus lupus forte occucurrit. ‘unde sic, quaeso, nites aut quo cibo fecisti tantum corporis? eg0, qui sum longe fortior, perco fame’. canis simpliciter: «eadem est condicio tibi, praestare domino si par officium potes». ‘quod? inquit ille. «custos ut sis liminis, a furibus tucaris et noctu domum». ‘ego vero sum paratus, nune patior nives 8: 4 453 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 454 imbresque in silvis asperam vilam trahens’. «quanto est facilius mihi sub tecto vivere et otiosum largo satiari cibo. 14 afjertur ultro panis, de mensa sua dat ossa dominus, frusta ractat familia et quod fastidit quisque pulmentarium. sic sine labore venter impletur meus. vent ergo mecum». dum procedunt, adspicit 15 lupus à catena collum detritum canis. unde hoc, amice?? «nihil est». ‘dic, quaeso, tamen’. «quia videor acer, alligant me interdiu, luce ut quiescam cet vigilem, nox cum venerit: crepusculo solutus qua visum est vagor». ‘age, abire si quo est animus, est licentia?” «non plane est» inquit. ‘frucre quae laudas, canis: regnare nolo, liber ut-non sim mih?. Dass die Verse 21-—24 in der überlieferten Folge storend sind, erkannte auch A. Riese: nur irrte er, wenn er sie unmittelbar nach V. 5 stellen wollte. Auch durfte er nicht V. 13 und 14 zu der Rede des Wolfes zichen. III, 14. Aesopus spielt in einer Knabenschaar mit Nüssen und bemerkt, dass er von einem Athener des- halb verspottet wird. Darauf legt er mitten auf den Weg einen abgespannten Bogen und richtet an den Spütter die Worte ‘expedi quid fecerim, Das Volk läuft zusammen, ille se torquet diu nec quaestionis positae causam intellegit, , novissime succumbit. / Aesopus will wissen, was er mit dem Niederlegen des abgespannten Bogens habe sagen wollen. Darum môchte ich vorziehen nec quaestionis positue sensum intellegit, val. IV, 5, 19: postquam consumpta est temporis longi mora nec testamenti potuit sensus colligi. Freilich er- scheint auch quaestionis als anstüssig: vielleicht ist der überflüssige Vers zu tilgen mit V. IV pr. In der Widmung an Particulo heisst es: mihi parta laus est, quod tu, quod similes tui vestras in chartas verba transferetis mea d'ignumque longa iudicatis memoria. Den metrischen Fehler des mittleren Verses hat Pithoeus durch die Correctur #ransfertis gehoben. Über den Sinn des Verses sind verschiedene Ansichten ausgesprochen worden. Burmann meinte, Particulo habe die Fabeln . des Phaedrus nach dessen Vortrag niedergeschrieben. Die uns vorliegenden Worte besagen vielmehr, Parti- L Le [ea] ca [Le © | culo und andere ihm ähnliche Männer hätten in ihren Schriften Worte des Phaedrus gebraucht. Denn vestras in chartas kann nicht wohl anders verstanden werden als in dem Sinne von vestros in libros. So ist mea charta synonym mit meus liber bei Hor. Epist. 1, 13, 6. meue chartae — mea carmina Hor. Carm. 4, 9, 31. Socra- ticae chartae (philosophische Schriften) Hor. A. P. 310. Graecae chartae (Griechische Literatur) Hor. Epist. 2, 1, 161. Ebenso Phaedrus IV ep. 5 f.: Particulo, chartis nomen victurum meis, Latinis dum manebit pretium litteris. Aus dieser Stelle geht hervor, dass Particulo zwar ein Freund der Fabelpoesie war, nicht aber selbst mit literarischen Arbeiten sich beschäftigte: denn sein Name soll durch die Fabeln des Phaedrus, nicht durch eigene schriftstellerische Leistungen verewigt werden. Folglich kann bei den Worten quod vestras in chartas verba transfertis mea an eine Verwendung der Worte des Phaedrus für literarische Arbeiten nicht gedacht werden, d, h. diese Worte sind entweder so ungeschickt, dass ein Missverständniss als unvermeidlich erscheint, oder der uns vorliegende Text ist fehlerhaft. Für letz- tere Annahme spricht V. 20. Das Werk eines Schrift- stellers Zonga memoria dignum iudicare heiïsst es für würdig erachten der Nachwelt überliefert zu werden. Dem Andenken später Geschlechter werden aber die Fabeln des Phaedrus erhalten nicht dadurch, dass ein Freund des Dichters sie privatos in usus niederschreibt, ebensowenig dadurch, dass einzelne Worte oder Ge- danken des Dichters von irgend einem Literaten, der sich mit fremden Federn schmückt, entlehnt werden, sondern nur dadurch, dass sie eine Aufnahme finden in ôffentlichen Bibliotheken oder in den Sammlungen von Privatpersonen. Ein Herausgeber des Phaedrus, C. W. Nauck, bemerkt zu V..18: ‘ransfertis ist wohl nicht éransscribitis, sondern: euren Sammlungen (chartae) einverleibt; longa memoria V. 19 ïst dann ziemlich gleichbedeutend mit quae longum in aevum adserventur. Damit ist allerdings der hier erforder- liche Gedanke genau präcisirt; nur sehe ich nicht, wie dieser Gedanke in den uns vorliegenden Worten ent- halten sein kann: weder ist verba mea so viel als scripta mea, noch kann vestras in chartas bedeuten vestras in bibliothecas. Ausserdem ist in V. 20 noch ein Anstoss, den die Herausgeber, wie es scheint, nicht bemerkt haben: ich meine die Form dignum, die sich meinem À _ haben dûürfte haec mihi 4 die Richtigkeit meiner Vermuthung hat neuerdings A. Sonny Rhein. Mus. 41 p. 475 erbracht aus lustinus 17, 455 Bulletin de lAcadémie Impériale 456 Verständniss entzieht. Die obigen Verse dürften so berzustellen sein: mihi parta laus est, quod tu, quod similes tui vestras in capsas chartas transfertis meas dignasque longa iudicatis memoria. Denn capsae sind, wie Kiessling Hor. Sat. 1, 4, 22 sagt, die zur Aufnahme der Buchrollen bestimmten Kapseln. IV,22, 9. Phaedrus fürchtet, eine missgünstige Kritik werde das Gelungene in seinen Gedichten dem Aesopus zuschreiben, das weuiger Gefällige ïhm zur Last legen. Darum erklärt er, der Fabelstoff sei Eigenthum seines . Vorgängers, von ihm selbst rühre her die Bearbeitung (invenit ille, nostra perfecit manus). Darauf heisst es nach den Handschriften PR: sed exsequamur coeptum propositum ordinem. In der ersten Ausgabe schrieb Müller cocptum pro- positi ordinem mit Pithoeus; nicht für einleuchtend richtig, wohl aber für wahrscheinlicher halte ich das in der zweiten Ausgabe vorgezogene coepti propositum ordinem, das sich schon bei C. W. Nauck, dessen Be- arbeitung im J. 1855 erschien, im Texte findet. Ent- schieden unzulässig ist hier, wo es sich nicht um die Ausführung eines Vorhabens, sondern um die Fort- setzung des Begonnenen handelt ( pergamus in instituto, erklärt Schwabe) das Verbum exsequamur. Wie es heisst bei Livius 6, 33, 2: quo minus incepta perse- querentur, so kann hier nur persequamur stehen. IV, 23, 5. Simonides bereiste die berühmten Städte - Asiens, mercede accepta laudes victorum canens. In dem früheren Aufsatze habe ich mercede pacta vor- = geschlagen (Bulletin XXVI p. 266 oder Mélanges . Gréco-Rom. IV p. 687 f.), dabei aber übersehen, dass schon Heinsius pacta als nothwendig erkannt lâtie. Eine Bestätigung der an sich einleuchtenden Emen- = dation bietet Quintil. 11, 2, 11: (Simonides) cum pu- Fe. carmen — mercede Re conscripsisset *). ‘4 Bei Verg. Aen. 2, 97 bieten die Handschriften si Ausgaben: hinc mihi prima mali res bes, hine semper Utixe criminibus Dbrare tue Vor mehr als zwanzig Jahren (Bulletin XII p. 537 oder Mélanges Gréco-Rom. IIE p. 89) erin nerte ich, dass der Dichter geschrieben à labes. Den urkundlichen Beweis 1, 5: haec di prima mali labes, dns werden die Herausgeber der Aeneis hierduroh V, 5, 12. Ein renommirter Possenreisser macht be- kannt, er werde ein im Theater noch nie gesehenes Schauspiel zum Besten geben, und das Publikum strômt ihm zu: paulo ante vacua turbam deficiunt loca. Die von C. W. Nauck vorgetragene Erklärung, dass paulo ante bedeute ‘cum iam in eo esset ut proferretur spectaculum’, also ‘kurz vor dem Beginn der Vorstel- lung”, ist nach dem Zusammenhang schlechterdings unmôglich, da weder in dem angeführten noch in dem unmittelbar vorhergehenden Verse (dispersus Yumor civitatem concitat, Wo ich convocat vorziehen môchte) von der Vorstellung geredet wird. Offenbar besagt der uns vorliegende Text, dass die Plätze vorher leer waren und jetzt fehlen. Dies ist ein wunderlicher Gegensatz, wie er einem vernünftigen Menschen unmôglich zuge- traut werden kann: den leeren Plätzen waren die über- füllten, den fehlenden Plätzen die reichlich vorhan- denen gegenüberzustellen. Offenbar ist deficiunt ein recht unpassendes Glossem, das den echten Wortlaut verdrängt hat. Wie ich glaube, schrieb Phaedrus paulo ante vacua turbam vix capiunt loca. Entsprechend Terent. Heaut. 254: di boni, quid turbae est: aedes nostrae vix capient, scio. Am folgenden Tage findet ein Wettstreit statt zwi- schen dem Possenreisser und dem Bauer (V. 27 f.): scurra degrunnit prior movctque plausus et clamores suscitat. Angemessener dürfte sein clamores excitat. Das versammelte Publikum findet, der Possenreisser habe weit besser als der Bauer das Grunzen des Schwei- nes nachgeahmt (V. 34 f.): acclamat populus scurram multo similius imilatum et cogit rusticum trudi foras. Nicht acclamat war zu sagen, sondern succlamat. Vgl. V, 1, 4: vulgus certatim ruit ‘feliciter succlamans. Auch die Worte (populus) cogit rusticum trudi foras kann ich nicht für richtig halten, und zwar liegt, wie längst Tzschucke bemerkt hat, Fe Fehler in cogit. Dies Verbum wäre am Platze, wenn es hiesse populus cogit rusticum abire: dagegen populus cogit rusticum foras trudi ist ebenso undenkbar, wie im Deutschen ‘das Volk zwingt den Bauer hinausgeworfen zu werden’. sich bewogen sehen von einer des otébiehu hi Notiz zu nehmen, die sie bisher meines Wissens keiner Beachtung gewürdigt haben. 457 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 458 Die ursprüngliche Lesart dürfte sein poscit rusticum trudi foras. Waren in poscit die ersten Buchstaben verdunkelt, so konnte das nachgebliebene cit leicht in c[oglit verwandelt werden. V, 7, 13. Der Flôtenbläser Princeps hat infolge eines Beinbruches mehrere Monate hindurch das Zim- mer hüten müssen und ist deshalb vom Theaterpubli- kum vermisst worden: ut spectatorum mos est et lepidum genus, desiderari coepit. Dass statt "”0s ein Adiectivum verlangt wird, hat Müller richtig erkannt: ob jedoch seine Vermuthung mollest Billigung verdient, môchte ich bezweifeln. Ich ziehe vor ut spectatorum come est et lepidum genus. Eben diese Adiectiva verbindet Terent. Hecyr. 837: benigno et lepido et comi. V, 8 lautet in den Handschriften: Cursu volucri, pendens in novacula, - calvus comosa fronte, nudo corpore, quem si occuparis, teneas, elapsum semel non ipse possit Tuppiter reprehendere, occasionem rerum Significat brevem. effectus impediret ne segnis mora, finxere antiqui talem effigiem temporis. Das unmôügliche corpore V. 2 ist, wie Schwabe IT p. 390 anmerkt, in der editio Bipontina beseitigt worden durch die einleuchtende Emendation occipitio. Statt reprehendere hat Nevelet reprendere geschrieben. Dies ist meines Wissens alles was für die Emendation der obigen Worte bis jetzt geleistet worden ist: denn einige uurichtige Vermuthungen, zu denen auch Bentleys übereilter Einfall cursu ille volucri V. 1 gehôrt, künnen nicht in Betracht kommen. In dem mitgetheilten Texte aber sind noch manche und zwar recht augenfällige Fehler enthaltén, die zum Theil wenigstens, wie mir scheint, mit vollkommener Sicherheit gehoben werden kônnen, falls wir nicht die Mühe scheuen bei der Be- handlung des Phaedrus auch auf andere Autoren unser Augenmerk zu richten. … Phaedrus bezieht sich in der uns vorliegenden Stelle, wie längst bemerkt ist, auf eine berühmte Statue des Lysippus, über die wir genauer unterrichtet sind durch ein Epigramm des Posidippus Anthol. Plan. 275 wie durch Callistratus Descr. 6 und Himerius (Ecl. 14, 1) bei Photius Bibl. p. 371b 6, womit zu vergleichen Auso- nius _— 33 p. 323 f. Peip. und Photius Epist. XXXII. A 240 p. 549 Ba. Bekanntlich hatte Lysippus darge- stellt den Kaupos d. h. den rechten Augenblick, der rasch enteilt und, falls man ihn unbenutzt lässt, unwieder- bringlich verloren ist. Auf einem groben Missverständ- niss beruht es, wenn Georgius Cedrenus und Tzetzes behaupten, Lysippus habe den Xo6voc dargestellt *). Der ypovoc ist Luxoèc xävapiduntos, endlos und ewig, der Koœpcc dagegen kurz und flüchtig. Personificirt man beide Begriffe, so wird der Xoéves als Greis zu denken sein (vgl. yépwy yp0vos Nonn. Dion. 21, 160), wogegen der Katpé von Lysippus als Knabe oder Jüngling dargestellt wurde, wie Jon in einem Hymnus ihn nannte vewtatoy maiîwv Auôce (Paus. 5, 14, 9). Durchaus richtig wird Ka bei Phaedrus V. 5 wie bei Ausonius durch das Wort occasio wiedergegeben; unmôglich aber kann derselbe Phaedrus von einer effigies temporis geredet haben. Schon Bentley hat die in den Codices sich findende Überschrift unserer Fabel Tempus als unstatthaft beseitigt und dafür Occasio de- picta gesetzt: gleichwohl ist die Quelle dieser Über- schrift, das von einem Spätling hinzugefügte Epi- mythium, meines Wissens von niemand verdächtigt worden. Die Verse cffectus impediret ne segnis mora, finxere antiqui talem effigiem temporis verrathen sich als Fälschung theils durch das unge- hürige effigiem temporis, theïls durch die ungeschickte Ausdrucksweise des vorhergehenden Verses. Das Epi- mythium ist einfach zu tilgen. Statt calous comosa fronte, nudo occipitio V. 2 wäre angemessener puer comosa fronte, calvo occipitio, doch mag ich die überlieferte Lesart nicht unbedingt verwerfen, da nudo statt des genaueren calvo sich stützen lässt durch Himerius, mout raôa vo eldoc afpév, tv daxunv Epnéov, xouGvTa LÈv To Ex xpoTdapuv els jLE- TWTOV, YULLVOV ÔË TÔ Ocoy Éxetdev Èni Ta VOTE luepile- ra. Sicher dagegen scheint mir dass bei Phaedrus der letzte Vers eine falsche Stelle einnimmt. Man bessere: Cursu volucri, pendens in novacula, calvus comosa fronte, nudo occipitio, 2 5 occasionem rerum significat brevem, 5) Cedrenus vol. 1 p. 564, 16: xat ro roy XP6VOY HLOEVOV &yaua, Épyoy AuGirrov, SmodeEv pue v Pa IX PO, Eurposdey Bè x Tzetzes Chil. 8, 431: oùtos à Evwwv vLoG ê AUTE XOBDV, 10, Hu 30 mroc © TAGGTNS — TAVGÉQUE retient où ypovou Thv Elxéva, und es ähnlich Chil. e + ° 459 Bulletin de l’Académie Impériale 460 quam si occuparis teneas, elapsam semel 3 non ipse possit Luppiter reprehendere. App. 2. ‘Hätte die Natur nach meinem Dafürhalten das Menschengeschlecht gebildet, so würden uns alle Vortheile verliehen worden sein, die jetzt einzelnen Thieren zugefallen sind (e/ephanti vires, leonis impetus, cornicis aevum u. s. W.), und zugleich würde der Mensch über die ihm eigenthümlichen Gaben ver- fügen’. Wem diese Worte (V. 1—8) in den Mund ge- legt werden, erfahren wir nicht: vermuthlich sind zu nu einige Verse verloren gegangen. Darauf heisst , mit Vorbedacht habe Iuppiter der menschlichen N dur gewisse Schranken gezogen: nimirum in caelo secum ridet Tuppiter, haec qui negavit magno consilio hominis, 10 ne sceptrum mundi raperet nostra audacia. V. 10 schrieb Müller ehemals #agno haec consilio qui negavit hominibus, was er später mit Recht ver- worfen hat aus einem metrischen Grunde (vgl. p. IX f.). Gegen das neuerdings von ihm gesetzte magno haec consilio qui negavit muminis spricht der Sion: mir wenigstens ist nwminis durchaus unverständlich, wäh- rend ein Dativus (homini oder hominibus oder nobis) nicht wohl fehlen darf, und statt des befremdlichen magno wird ein Begriff wie prudenti oder sapienti er- wartet. Vielleicht ist zu schreiben haec qui negavit _ nobis consilio cato. Vgl. Plaut. Epid. 258: dederim vobis consilium catum. An die eben besprochene Stelle schliesst sich die Mahnung (V. 12—14): ergo contenti munere invicti Tovis fatalis annos decurramus temporis nec plus conemur quam sinit mortalitas. Der mittlere Vers besagt nichts anderes als vä#am de- gamus oder (nach IV, 1, 2) vitam decurramus. Wie wunderlich es ist, statt vifum zu sagen fatalis annos temporis, bedarf keines Nachweises: gerade der Haupt- us begriff via wird hier vermisst, und fatalis erscheint wo vitale tempus gesagt ist wie bei Plautus Poen. 1 187: als ungehürig, da man weder an den Tod noch an eine _ verhängnissvolle Bestimmung des Schicksals zu denken hat. Natürlich ist herzustellen vitalis annos decurramus temporis, luppiter, per quem vivimus vitalem aevom. — Einem J | | Interpolator gehôürt der Schlussvers, nec plus c conemur _—. snit __—. {schon Haupt bemerkt hat: V, 1—8 war gesagt, dem Menschen würde besser ge- dient sein, wenn er neben den Vorzügen seiner Natur die Vollkommenheiten gewisser Thiere besässe, die Kraft des Elephanten, das Ungestüm des Lüwen, das lange Lcben der Krähe u. dgl.; es handelte sich nicht um den Gegensatz zwischen den sterblichen Menschen und den unsterblichen Güttern, sondern nur um eine Steigerung der menschlichen Natur durch Beigabe der Virtuosität gewisser Thiere. Somit ist die Erwäh- vung der Sterblichkeit des Menschengeschlechtes hier widersinnig. Nicht minder verkehrt ist die Mahnung, ne plus conemur quam sinit mortalitas. Wenn Gott dafür gesorgt hat dass die Bäume nicht bis zum Him- mel empor wachsen, so sind eben dem Wachsthum der Bäume Schranken gesetzt, über die hinauszukom- men sie nicht vermügen, und wenn luppiter dem Men- schen die Kraft des Elephanten und das lange Leben der Krähe versagt hat, so ist und bleibt der Mensch schwächer als der Elephant und kurzlebiger als die Krähe. Die Mahnung, der Mensch môge nicht mebr versuchen als ihm gestattet sei, er solle nicht ver- _suchen so stark zu sein wie der Elephant, so lange zu leben wie die Krähe u. s. w., ist nicht nur überflüssig, sondern durchaus sinnlos. App. 9, 1—4: cum castitatem Luno laudaret suam, . tocunditatis causa non repellit Venus, nullamque ut affirmaret esse illi parem, interrogasse sic gallinam dicitur. V. 2 schreibt Müller iocunditatis causam non sprevit Venus. It die Ânderung non sprevit berechtigt, so wird statt causam mit Haupt Opusc. 3 p. 366 ansam herzustellen sein. Am Schlusse des dritten Verses bietet Müller ipsi inparem mit der Bemerkung dass schon Orelli émparem vermuthet habe. Allerdings ist ipsi nothwendig, inparem dagegen halte ich für absolat unstatthaft. Venus will beweisen, dass alle Frauen wollüstig seien oder, wie hier gesagt wird, dass keine Frau ihr (der Venus) gewachsen sei, sondern alle der Macht der Liebesgôttin unterliegen. Für diesen hier zu erwartenden Gedanken ist ämparem unmôglich, wie ‘ineptum est quod addit (Orelli) sententiam requirere videri esse sibi imparem’. Einen kleinen Febler enthält der Schlussvers: risisse Zuno dicitur Veneris ivcos, . quia per gallinam denotavit feminas. ‘ AG des Sciences de Saint-Pétersbourg. 462 Das unpassende quia ist aus quae entstanden. Erst durch die Herstellung des Pronomen wird klar dass zu denotavit, wofür ich mit Burmann denotarat vor- ziehen môchte, Venus als Subjekt zu denken ist. App. 10, 1—5: Paterfamilias saevum habebat filium. hic e conspectu cum patris recesserat, verberibus servos afficiebat plurimis et exercebat fervidam adolescentiam. Aesopus ergo narrat hoc breviter seni. 5 Dass der Vater des übermüthigen und gewaltthätigen Jünglings ein Greis war, wird V. 5 als bekannt vor- ausgesetzt, obwohl dieser Umstand mit keiner Silbe bezeichnet oder angedeutet war: statt sent wäre natür- licher patri. Aber auch ein derartiger Zusatz erscheint als wenig angemessen, sofern die an einen concreten Fall anknüpfenden Fabeln des Aesopus nicht sowohl für eine einzelne Person als für das gesammte Publi- kum bestimmt sind. Vel. I, 2, 9: cum trisiem servi- tutem flerent Attici— Aesopus talem tum fabellam ret- tulit. I, 6, 2: vicini furis celebres vidit aie Aeso- : cum de for- | * tunis quidam quereretur suis, pme si consolandi pus el one narrare incipit. IV, 18, gratia. Hiernach môchte ich glauben, dass in den obigen Worten seni auf einem namentlich zu Ende des Verses sehr erklärlichen Fehler beruht. Man sollte erwarten senex, eine bei Phaedrus nicht seltene Be- zeichnung des Aesopus. Vel. IlL-pr. 8: equidem omni cura morem servabo senis. TT, 3, 14: Aesopus ibi stans, naris emunctae senex. Entsprechend IIT, 14, Œ AO ENV, 18,2. App. 1.0 Aÿp. 11: Victorém forte gymnici certaminis iactantiorem cum vidisset Aesopus, interrogavit an plus adversarius valuisset eius. ille ‘ne istud dixeris, multo fuere vires maiores meae. quod, inquit, ergo, stulte, meruisti decus? ferendus esses, forte si te diceres . superasse qui esset melior viribus. V. 2 schreibt man cum vidasset Phryx sophus nach einer ansprechenden Vermuthung von Jannelli: nicht minder denkbar wäre Zhryx senex. V. 7 erscheint forte als anstüssig; ohne Zweifel ist mit Halbertsma Mnem. nov. 6 p. 107 zu schreiben arte si le diceres superasse, Lo | so dass ars und vires einander gegenübergestellt wer- | den. Im letzten Verse hat Müller die weder sichere noch wahrscheinliche Vermuthung melior qui fuisset viribus in den Text gesetzt: besser ist Studemunds Vorschlag ‘qui esset melior quûm tu viribus’; vielleicht genügt qui te melior esset. viribus. App. 12: Asinus iacentem vidit in prata lyram: accessit et temptavit chordas ungula. sonuere tactae. ‘bella res, sed me Hercules male cessil inquit, ‘artis quia sum nescius. si repperisset aliquis hanc prudentior, 5 divinis aures oblectasset cantibus’. An diesen scheinbar fehlerlosen Text schliesst sich die Nutzanwendung: sic saepe ingenia calamitate intercidunt. Mag dieses Epimythium vom ersten Erzähler her- rübren oder, was ich für wahrscheinlicher halte, eine spätere Zuthat sein, in jedem Falle bezog sich der Ver- fasser auf eine von dem gangbaren Text etwas ab- weichende Fassung der Verse 5 und*6. Es fragt sich, welches éngenium calamitate intercidens in unserer Fabel er vor Augen hatte. Unmôglich konnte er an den Esel denken, der die Laute findet, aber von Musik nichts versteht und darum den Fund nicht zu ver- werthen weiss; ebenso wenig kommen Musikverständige in Betracht, die zwar diese Laute nicht gefunden, aber anderweitig ihr musikalisches Talent ausgebildet haben. Somit ist bei dem durch ein Missgeschick verkomme- nen Talent zu denken an die Laute. Auf die Laute also bezog der Verfasser des Epimythium das oblec- tasset, zu welchem nach dem auf uns gekommenen Text nur aliquis als Subjekt ergänzt werdèn kann. Der Verfasser des Epimythium las also si repperisset aliquis te prudentior, divinis aures oblectasses cantibus. Diese Schreibung ist nicht nur älter, sondern auch besser als die jetzige Lesart. Ainliche Entstellungen (gratum esset statt grata esses und iucunda statt iucunda es) finden wir [, 22, APR IS ES Post aliquot annos quaedam dilectum virum _amisit et sarcophago corpus condidit : a quo revelli nullo cum posset modo — claram assecuta est famam castae mulieris. V. 3 müchte ich divelli, nachher raram Sainte Apps. 13, 20—23: 5 und App. 27, : a 463 Bulletin de l’Académie Impériale 464 sollers acumen mille causas invenit, per quas videre posset viduam saepius. quotidiana capta consuetudine paulatim facta est advenae submissior. V. 20 und 21 handeln von dem zur Bewachung der Leichen beorderten Soldaten, V. 22 und 23 von der Wittwe. Man vermisst ein den Wechsel des Subjektes bezeichnendes Pronomen. Darum müchte ich schreiben quotidiana haec capta consuetudine. ADR 21 ET: Quidam per agros devium carpens iter ‘ave’ exaudivit, et moratus paululum, adesse ut vidit neminem, cepit gradum. iterum salutat idem ex occulto sonus. voce hospitali confirmatus restitit, 5 ut, quisquis esset, par officium reciperet. Hôüchst befremdlich: ist die Redeweise -cepit gradum V.3, wo man erwarten sollte curpit viam. Ist diese oder eine ähnliche Ânderung berechtigt, so wird V. 1 devium faciens üter vorzuziehen sein. Auch per agros ist nicht frei von Bedenken: für. den hier erzählten Vorgang, für den Wanderer, der einen weiten Weg zurücklegt, wie für den Raben, der erst verborgen, dann hoch fliegend sein ave ruft, eignet sich ein Wald jedenfalls besser als Felder, Darum môchte ich fragen, ob es erlaubt sei statt per agros etwa peregre zu ver- muthen. Entschieden unrichtig ist confirmatus V. 5, da weder an eine Ermuthigung noch an das Bestärkt- werden in einem Entschluss oder in einer Meinung hier gedacht werden kann: vermuthlich ist zu schreïben | voce hospitali compellatus. Dem folgenden Verse wäre besser gedient, wenn es hiesse par officium redderet oder, falls eine so gewaltsame Ânderung zulässig sein sollte, par pari rependeret. App. 22: Pastor capellae cornu baculo fregerat: rogare coepit, ne se domino proderet. ‘quamwis indigne laesa recitebo tamen, . sed res clamabit ipsa quid deliqueris. Vielmehr quis deliquerit, da der Hirt die Ziege ge- beten hatte ne se proderet oder nach Babrius 3, 8 r& Geonétn, Jiuatoæ, un 1e unvoons. Eine Spur der rich- re Lesart findet sich im Vat., wo deliqueri steht ‘una post ri littera erasa”. App. 31: Hoc qualecunque est, musa quod ludit mea, nequilia pariter Luviié et frugalitas, sed haec simpliciter, illa tacite trascitur. Môgen diese Verse das Nachwort einer Fabel oder einer grüsseren Sammlung bilden, unter allen Umstän- den ist vorzuziehen musa quod lusit mea. Das vorstehende Spicilegium wird, obwohl es bei weitem nicht alle Schäden unseres Phaedrustextes be- spricht, doch ausreichen um darzuthun, dass wir eine den Anforderungen der Kritik genügende Ausgabe des Fabulisten bis jetzt nicht besitzen. Sollte ich bei meinen Vermuthungen hie und da die Prioritätsrechte anderer verletzt haben, so mag die Unzulänglichkeit der mir zu Gebote stehenden Hilfs- mittel mich einigermaassen entschuldigen. Der Bericht des Herrn Professor Chwolson über die in dem Gebiete von Semiretschie aufgefundenen syrischen Grabinschriften. Von Dr. W. Radloff. (Lu le 8 Mars 1888). Im Jahre 1886 hatte ich die Ehre, der Klasse einen kurzen Bericht des Herrn Professor Chwolson über syrische Grabsteine aus dem Gebiete von Semiretschije vorzulegen. Seit dieser Zeit hat Herr Professor Chwolson seine damals begonnene Untersuchung die- ser interessanten Denkmäler längst verschwundener christlicher Gemeinden, die die Nestorianer inmitten der nôrdlichén Türkstämme gegründet hatten, mit un- ermüdlichem Eïfer fortgesetzt und eine grosse Anzahl von Inschriften entziffert, welche ihm durch Vermitt- lung der Kaiserlichen Archäologischen Commission zur Verfügung gestellt worden sind, Das von Herrn Pro- fessor Chwolson untersuchte Material bilden 1) gegen 80 Grabsteine (unter diesen nur 15 undatirte), welche sich jetzt im Asiatischen Museum befinden. Diese Steine stammen mit Ausnahme von 6—7 Steinen alle aus dem Friedhof bei Pischpek; 2) gegen 200 Photo- graphien, die in der Stadt Wernyi angefertigt sind; 3) gegen 90 Papierabdrücke von datirten Inschriften und 4) 35 Papierabdrücke von undatirten Inschriften, davon 10 aus dem Friedhofe bei Tokmak. Nachdem Herr Professor Chwolson jetzt diese : seine Untersuchungen zum Abschlusse gebracht, hat er sie zu einer grôsseren Abhandlung verarbeitet und mir dieselbe übergeben, damit ich diese Frucht mehr- jähriger Forschung der Klasse vorstelle. 465 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 466 Die Arbeit des Herrn Professor Chwolson besteht aus einer Einleitung, welche die Auffindung und Ent- zifferung der Grabinschriften und die äussere und innere Beschaffenheit derselben und in ausführlicher Weise be- handelt und eine Auseinandersetzung über die in den Inschriften gebrauchten Daten enthält. Darauf folgt der Text, die Übersetzung und Erklärung von etwa 160 datirten Inschriften aus der Zeit von 1249—1356 n. Chr. Geb. und ausserdem von etwa 35 undatirten Inschriften. An diese Darstellung schliesst sich eine Reihe von Abhandlungen an, die den Schriftcharakter, die Spracheigenthümlichkeiten, kirchliche und andere Würdenamen, Eulogien, andere Angaben über die Ver- storbenen, historische Daten und die griechisch-rômi- schen, biblischen, syrischen und türkischen Eigennamen näher beleuchten. Indem ich mit Freuden dem Wunsche des Herrn Professor Chwoison nachkomme und diese wichtige Arbeit. der Klasse vorlege, erlaube ich mir, der Klasse vorzuschlagen, dieselbe in unseren Memoiren zum Ab- druck zu bringen. Die wissenschaftliche Tüchtigkeit des Verfassers und die Wichtigkeit des Gegenstandes selbst, die schon aus dem in unseren Memoiren ver- ôffentlichten Vorberichte zu ersehen ist, macht es hüchst wünschenswerth, dass die vorliegende Arbeit müglichst schleunig verôffentlicht werde und überhebt mich je- des näheren Eingehens auf die durch sie gewonnenen Resultate. An der Entzifferung der rein türkischen und der gemisehten türkisch-syrischen Inschriften habe ich selbst Antheil genommen und werde auf Wunsch des Verfassers am Schlusse der Arbeit eine kurze Über- sicht über die türkischen Elemente der Inschriften zu- sammenstellen. Über Phenylangelikasäure von A. von Gernet. (Lu le 29 Mars 1888.) Die neuen theoretischen Anschauungen von J, Wis- licenus haben das Studium der ungesättigten orga- nischen Verbindungen besonders interessant gemacht. Durch die Erkenntniss der Nothwendigkeit des Zu- rückgreifens auf räumliche Gestaltung der chemi- schen Formeln ist die Deutung der Konstitution iso- | merer Verbindungen in ein neues Stadium getreten. Als erstes Erforderniss stellt sich aber nunmehr ein | ganz eingehendes Erforschen der Eigenschaften isome- rer Kôrper dar. Von diesem Gesichtspunkt aus bot die Untersuchung der Phenylangelikasäuren ein einladen- des Material der Forschung dar. Durch Erhitzen von Benzaldehyd mit Butyrylchlorid auf 120—130° erhielten Fittig und Bieber'), bei geringer Ausbeute, eine Säure O,,H,,0,, die bei 81° schmolz, sich sehr schwer in kaltem Wasser lüste und deren (in kaltem Wasser ziemlich schwer lüsliches) Calcium- und Baryumsalz wasserfrei waren. Später stellte W. H. Perkin°) durch Erhitzen von 2 Thl. Benzaldehyd mit 1 Thl. Natriumbutyrat und 3 Thl. Buttersäureanhydrid eine Phenylangelikasäure dar, die bei 104° schmolz und sich wenig in kaltem Wasser und Ligroïn lüste, Das Amid dieser Säure schmolz bei 128”. Nach den bisherigen theoretischen Anschauungen müssten die nach beiden Methoden erhaltenen Säuren identisch sein. Der Unterschied in den Schmelzpunkten (81° und 104°) ist aber so gross, dass hier wohl ein Fall von Isomerie vorliegen konnte. Auf den Rath des Hrn. Prof. F. Beilstein unternahm ich deshalb eine vergleichende Untersuchung der beiden Säuren, die zum Ergebnisse führte, dass beide Säuren vollkommen identisch sind. 1) Säure dargestellt nach Fittig und Bieber. Die Darstellung erfolgte genau nach den Angaben . dieser Chemiker. Die Ausbeute ist eine sehr geringe. Die, nach den Angaben von F. und B. gereinigte Säure schmolz bei 89°, war aber offenbar unrein. Im Ligroïn fand ich ein treffliches Mittel zur Reindar- stellung der Phenylangelikasäure. Beim Umkrystalli- siren aus Ligroïn erhob sich der Schmelzpunkt rasch auf 103° und blieb dann, bei weiterem Umkrystallisiren aus Ligroïn, unverändert. Lôslichkeit. 100 Thl. Ligroïn lüsen bei 20° 1,56 Thle. Phenylangelikasäure, 2) Säure dargestellt nach Perkin. Die Ausbeute an Säure lässt nichts zu wünschen übrig und ist daher die- ses Verfahren das geeïgnetste zur Darstellung der Phenylangelikasäure. Die aus Ligroïn umkrystallisirte Säure schmolz bei 103°. Krystallform, Lôüslichkeit und 1) éndes der Chemie a Lise pig 158, 364. . 9) Jahresbericht der Chemie f. 1877, 5. 7! 467 Bulletin de l’Académie Impériale 468 allgemeines Verhalten war bei dieser Säure genau das gleiche, wie bei der nach Fittig und Bieber darge- stellten Säure. Lôüslichkeit. 100 Thl. Ligroïn lôsen bei 20° 1,57. Thle. Phenylangelikasäure. Es unterliegt also gar keinem Zweifel. dass die nach beiden Verfahren dargestellten Säuren identisch sind. Phenylangelikasaures Magnesium. Mg (C;,H,,0,) + H,0. 0,1695 g. Salz verloren bei 120° 0,0140 g. Wasser. Berechnet. 8,3%, Gefunden. à H,0 2 3/4 Bei der Einwirkung von Natrium auf Buttersäure- Benzylester erhielten Conrad und Hodgkinson (An. 193, 319), neben Benzylbuttersäure - Benzylester, Buttersäure und bei 82° schmelzende Phenylangelika- säure C;,H,,0,. Vielleicht ist dieselbe identisch mit der im Obigen beschriebenen Säure. Ich wiederholte den Versuch von Conrad und Hodgkinson, erhielt aber nur eine solche unbedeutende Menge der Säure CaH,0,, dass es mir unmôglich war, sie rein darzu- stellen. Nur bei Arbeiten in grossem Maassstabe wird sich eine zur Erforschung genügende Menge Material gewinnen lassen. Angenäherte Elemente und Ephemeride des Encke’- schen Cometen für das Jahr 1888 von 0. Back- lund und B. Seraphimoff, (Lu le 12 avril 1888.) Die Untersuchungen über den Encke’schen Cometen beziehen sich gegenwärtig auf eine müglichst genaue Bestimmung der Merkursmasse und der Beschleunigung der mittleren Bewegung; diese Untersuchungen sind aber noch nicht 80 weit gediehen, dass die Vorausberech- . nung der jetzt bevorstehenden Erscheinung in einheit- lichem Zusammenhange mit den Stürungsrechnungen, die für diese U t lig sind, ausgeführt Le} werden konnte. Es wurde deshalb auf eine strenge Be- rechnung der Ephemeride für 1888 verzichtet. Als Ausgangspunkt für unsere Rechnungen nahmen wir das Elementensystem: Epoche und Osculation 1884 Dec. 18,0 M. Z. Berl. in — 336°15 11,09 57 45 18,63 334 36 56,32 | 158 39 45,91 M. Aequ. 1885,0. “: 54 ë é: | rire Se a | D 8 d | L HW HU nes 053121 — 1,88 > ce. wo &' und’ die von den RSR Storungen un- abhängigen Veränderungen in & und @ während eines Ümlaufes bedeuten. Unter Berücksichtigung der Stô- rungen, welche der Comet durch die Planeten Venus, Erde, Mars und Saturn im Zeitraume 1884 Dec. 18,0 — 1885 Aug. 10,0 und durch Jupiter im Zeit- raume 1884 Dec. 18,0 — 1888 März 7,0 erlitten hat, ermittelten wir das folgende System: - Epoche und Osculation 1888 März 7,0 M. Z. Berl. M =,2261953,61 o— 57 43 20,15 8 = 354,36 51,39) 7 — 158 35 56,54 | M. Aequ. 1888,0. i— 1253 5,84 u — 1072/539695 Mit diesen Elementen ist die Ephemeride berechnet worden. Die Unsicherheit derselben wird, in Folge der vernachlässigten Stürungen, etwa 3° betragen; die Ge- nauigkeit ist also für das Auffinden und Beobachten des Cometen vollkommen genügend, besonders als er erst in der Umgebung des Perihels sichtbar wird. Überhaupt wird wohl der Comet nur auf der südli- chen Halbkugel zu beobachten sein und wir ersuchen daher die Herren Astronomen der südlichen Sternwar- ten môüglichst zahlreiche ne rs anstellen zu wollen. « 469. des Sciences de Saint-Pétersbourg. 470 Ephemeride, Log. Entfernung. 0" M. Z. Berl. RAY Diff, Decl. # Diff F4 v. © & v. ë 1888 Mai 12 244135 ae + 29°14/2 / 0,0311 F + 8 538 paf ua + 15,3 ? L Jén CIS. 182 CS des be 4 y +- 3 46 A ic 1D0 , t ; 2 15 2 55 19 HE qe te AR DT Pine 0,0111 0,3087 16 2 59 10 + 93 147 0,0041 ) 17 b 9.6 Maire: + 23 296 Here 9:9969 0:2965 18 8 7 7 + 93 444 où 9:9897 0:29 19 3 11 13 de 4- 23 59,0 + 14,6 9.9822 0:2891 20 3 15 24 Riu + 94 134 are 9,0745 02854 21 3 19 40 + 24 976 9:9666 02816 + 4 22 + 14,1 22 324 2 + 24 41,7 9,9586 0,2778 4 98 ; + 18,9 ; 93 98 30 pet + 94 55,6 9,9503 0,2739 on m38 4 ra OT mer 99419 0/2700 25 3 37 44 in 4 95 29,2 te 9,0332 0,2661 26 3 42 81 te + 95 35,0 re 9,9243 0,261 27 3 47 2 + 95 474 ’ 99151 0,2581 28 «. 3 52 98 eo PR AE ES Meweru 99057 0,2541 29 3 57 29 HE Èe + 96 10,7 Due 8960 ?: 941€ Fr de re m0 104 98760 0417 + 5 29 + 98 d Juni- 1 4 13 33 + 26 41,8 9,8653 0,2375 2 4 19 10 pti + 26 50,9 DR 9,8545 2333 3 4 94 55 ne fr + 26 59,1 ro 8435 0,2290 4 4 30 48 +97 65 4 9,8319 0/2247 5 4 36 49 SES + 97 181 me 9/8201 220 6 4 42 58 ar + 27 18,7 AR ;8080 0,2158 7 4 49 17 ad + 97 93,2 fra 9,7955 02113 8 4 55 45 dir + 27 26,4 REA CT __ 0,2068 ; 9 5 2 93 + 27 285 7 0,2022 10 5 9 10 Pt 4 97 294 0 9,7556 0,1975 | Le pos 9,7416 ),1928 1 5 16 5 + 27 98,8 0,1 12 5 923 RE + 97 963 #6 re 97273 : 0.1879 13 5 30 23 D + 27 220 av 9,7126 0,1830 14 5 37 46 Res + 27 15,8 RES 9,6976 0,1780 15 5 45 19 él loss mr “7. ’ 9,682 0,1729 + 7 42 — 10,0 16 5.53. 1 tes + 26 57,6 res 9,6671 0.1676 17 6 0 52 D one + 26 45,5 mire 9,6517 0,1622 HR Die pe SR Une don 19 6 16 5 | + “ 6210 2 ‘ 20 62% 7 né + 25 53,5 “a 9:6062 0.1448 + 8 17 — 922, 2 83 24 + 25 30.8 9,5920 0,1386 os G At dé 7 6 6 Te 9,5787 0,1321 23 6 50 11 ue de + 24 36,8 LT aTS 9,5 0,1252 24 6 58 40 arr + 24 58 mi ee 9,5561 0,1181 0 25 HT là en 00 + 23 30,9 à74 a 01106 26 7 15 41 . + 22 58,5 mé il 1 Mi Ta . + 22 18,6 os 9,5370 0,0947 28 7 32 26 re + M De 9,5352 0,0862 5 94 is 298 n de ? Ni 0,1 Rous 9,5469 0,0590 Jui 1 Po à + 191 A , 0 4 12 Re + 18 19,1 — 50 +: 96555. 0,0494 3 ae Re + 17 263 ne 9:5660 0,0396 th ? 3 4 8 19 24 z : 14 + 16 32,0 ce Sri 9,5777 0,0297 $ 8 26 51 ae 7 92 + 15 36,6 566 9,5911 0,0 : 6 8 34 13 24 nr + 14 40,0 sfr 9,6053 0,0099 7 8 41 30 ns + 13 425 Le à 9,6202 0, +711 +- 12 434 r 96353 99901 9 8 55 49 . + 11 43,0 étre 9,6508 9. 10 9 9 55 re + 10 41,6 à .9,6662 9,9708 + 7 6 471 | Bulletin de l’Académie Impériale 472 Log. Entfernung. h 0" M. Z. Berl. R# Diff. Decl. & 1888 Juli 11 9#10" 15 s % he Fu 1 he + 76 + 90°89/1 , 9,6817 : 12 917 7 .. + 8 354 re 926969 Sons 14 9 31 23 +7 9 #7 30,6 rs 9,719 9 0438 15 9 38 34 HAUT + 6 24,6 ghee 9,7266 99546 16 9 45 49 + 7 16 + 5 17,6 . 9,709 90202 17 953 8 + 7,19 #4 9,5 ne 9,7549 99180 19 10 8 3 + 7 30 + 1 49,9 ve 9,7819 sie 10 5 3 0 À 0384 71,5 dre 9,9059 . — 0 338 TR 9,8073 à ao … Ds T6 1 ae 5196 ni 2 0 31 à À 93 10 38 Pr + 7 50 — 2 659,3 Sue rs Éta 24 10 46 49 + 7 56 — 412,4 Fe 9,428 9°8729 25 10 54 51 +76 1 — 5 25,8 me 9.8540 de 25 10 He = 6994 . 48 st 27 11 11 F0 Éée — 73, 28 11 19 29 + 8 17 0-04 oo 9'8856 98563 2 11 27 50 + 8 21 — 10 19,6 Ne 9,8956 856) 2 I 27 50 hrs me IT UT 1,8 9 90 9,8561 mr 705 9 52 9,8545 RUE 11 44 43 No D ue a nu H Fa pe — 13 50,8 1 mn 55 15 on 14 582 — 67,4 ue 9,8531 2 12 1 45 DR 36 40 — 65,8 te 9,8532 4 2 18 50 + 8 32 — 17 8,2 ts 99498 9 8556 5 12 27 22 + 8 32 — 18 10,5 PE 90581 as 6 128562 + 5 30 19101 ES 9,9662 D'8508 7 12 44 20 es La 90 — 54,6 oise 9,8628 8 12 62 44 res _— 91 539 (re 9,9893 A . Le | | ee 996 9,8744 10 13 9 20 a _— 923 30,2 : 38 13 13 33 31 + 7 57 — 24 56,1 ous 0,017 98806 14 13 41 21 Rd Er M os nos 15 13 49 3 + 7 42 — 26 11,4 re 0,0508 99014 16 13 56 36 4.7 88 — 26 45,5 men 0,037 For 17 14 4 + 7 26 — 27 17,2 NE 435 0142 ; 18 14 11 21 + 7 19 — 27 46,6 Fe 00496 9 9208 19 14 12 30 +7 9 — 22 15,7 mine 0856 90278 me 5 — 95,0 0,0556 9,9275 20 14 25 28 ein 29 1,7 Re à La 3 Hs ; 14 3 “k + 6 41 — 29 22,7 re 00730 09487 23 14 45 30 + 6 81 2 4,9 BA 0,070 995 24 4 51 52 + 6 22 re 46e 0,083) 9 9638 RE OR ea — 30 15,4 ". 0.0898 9°6708 15 4,10 +6 5 7. 80-29,8 mo 0,005 27 15 10 6 +- 5 56 — 80 42,7 Le 0, 7 90857 15 15 54 + 5 48 0 54,4 té 04 99955 | ee cape — 109 0,1047 9,9933 0,1097 0,0009 473 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 474 Die Geschichte von der Prinzessin Bentres und die Ge- schichte von Kaiser Zeno und seinen zwei Tüch- tern. Von Dr. O0, v. Lemm. (Lu le 3 (15) Mai 1888.) Wie Amélineau bei Besprechung seiner vor Kurzem edierten koptischen Geschichte von Kaiser Zeno und seinen zwei Tüchtern’) gezeigt hat, hat sich in der kop- tischen Litteratur ein reicher Schatz von Erzählungen “und Märchen erhalten, von deren Kxistenz bis vor Kurzem sich Niemand hatte etwas träumen lassen. Die! Vorliebe der alten Aegypter für Märchen und phantas- tische Erzählungen vererbte sich auch auf ihre spä- teren Nachkommen und ging selbst dann nicht verloren, als die christliche Lehre bei ihnen Eingang gefunden hatte. Die aegyptischen Münche hatten «die Lust zu fabuliren» von ihren heïdnischen Vorfahren ererbt und pflegten dieselbe innerhalb ihrer Klostermauern. Es ist ja nicht zu leugnen, dass manche koptische Erzäblungen reine Phantasiegebilde der koptischen Münche enthalten, doch wird ebenso wenig zu leugnen sein, dass viele altaegyptische Märchen und Erzählungs- stoffe sich in der Tradition erhielten, wobei sie sich selbstverständlich im Laufe der Zeit hier und da ver- _äinderten und ein zeitgemässes Gewand annahmen, nach Einführung des Christenthums von den München in ihrer Denkweise und im Geiste der Zeit umgewandelt wurden und die altaegyptischen Erzählungen gleichsam die Münchskutte anzogen. An Stelle eines altaegypti- schen Künigs oder Prinzen musste je nach Umständen ein byzantinischer Kaiser oder sonst ein christlicher Prinz treten, an Stelle des küniglichen Hofes der kaiser- liche Hof oder gar ein Kloster. So glaube ich nun auch, dass wir in der von Amélineau mitgetheilten Erzählung von Kaiser Zeno und seinen zwei Tôchtern eine alt- aegyptische Erzählung im Münchsgewande vor uns haben, die natürlich im Laufe der Jahrhunderte starke Ânderungen erlitt, aus der sich aber immerhin noch der alte Kern herausschälen lässt. Ich meine, dass wir hier mutatis mutandis dieselbe Erzählung vor uns haben, welche schon längst aus der sogenannten Stele der Bentreë bekannt ist. 1) Histoire des deux filles de l’empereur Zénon, in den Proceed- ings of the Society of Biblical Archaeology. Vol. X, pagg. 181—206. Tome XXXII. | auch « Deutsche Der Inhalt derselben ist nun in kurzen Worten folgender ?). Der Künig von Aegypten heirathet die ältere von den zwei Tôchtern des Prinzen von Bechten. Nach einiger Zeit wird die jüngere Tochter desselben, Namens BentreS von einem Dämon besessen. Der Prinz schickt nun seinen Boten zum Künige von Aegypten um ihm sein Leid zu klagen und ihn um Hülfe zu bitten. Der Künig lässt seine Weisen kommen und als dieselben gegen den Dämon nichts auszurichten ver- môügen, wendet er sich an den Gott Chonsu, durch dessen Hülfe die vom Dämon Besessene schliesslich Heilung erlangt. Die koptische Erzählung weiss dagegen Folgendes zu berichten. Kaiser Zeno hat zwei Tôchter. Die ältere derselben, Namens Hilaria, will ein Gott wohlgefälliges Leben führen und entflieht ohne Wissen des Vaters in ein Kloster der Nitrischen Wüste, und zwar auf besonderes Anrathen in ein Münchskloster. Hier legt sie die Münchskutte an und ihr Geschlecht wird nicht ver- rathen. Sie erhält den Namen Hilarios. Nach einiger Zeit wird die jüngere Tochter des Kaisers von einem büsen Dämon besessen und er entschliesst sich auf Anrathen seiner Grossen sie nach dem Kloster zu schicken, wo bereits seine ältere Tochter ohne sein Wissen weilt. Die jüngere Tochter kommt nun ins Kloster und hier wird ihr gerathen mit einem Mônche in einer Zelle zusammen zu wohnen und mit demselben auf einer Bank zusammen zu schlafen. Das geschieht denn auch, wobei sich nun in Kurzem herausstellt, dass der betreffende Münch Niemand anderes ist als die verkleidete Schwester. Durch Gebet wird dann die Kranke von dem büsen Dämon befreit. Vergleichen wir nun die beiden Erzäbhlungen mit einander. Sowohl der Prinz von Bechten als auch der Kaiser Zeno haben je zwei Tôchter. In der altaegyptischen Erzählung verlässt die ältere Tochter das Elternhaus um sich mit dem Künige von Aegypten zu vermählen; in der koptischen Erzählung zieht sie sich in ein Klo- ster zurück, um dort gleichsam Gottes Braut zu ___— | ; 2) Eine vollständige Übersetzung der Bentre 3-Stele inde der . Leser in Brugsch, Geschichte Set pagg. 63 ergl. sters Rache ». 31 Revue» V, pag. 15 u. ff. die Erzählang re Pris … 475 Bulletin de l’Académie Empériale des Sciences de Saint-Pétersbourg. 476 Diese Umgestaltung der alten Erzählung entspricht ganz dem Geiste der Zeit. In beiden Erzählungen wird die jüngere Schwester von einem Dämon besessen und findet dann in der Nähe der älteren oder durch Ver- mittelung des Schwagers Heilung. Es wird auch sicher kein Zufall sein, dass die ältere Schwester in der kopti- schen Erzählung den Namen Hilaria, resp. Hilarios führt. Der Name bedeutet «Freude, Frühlichkeit», resp. «der Frühliche»; in der altaegyptischen Erzählung führt die jüngere Schwester den Namen Bent-reë, offenbar ein semitischer Name — 3-22 und be- deutet «Tochter des Hauptes»”). Wie jedoch die aegyp- de NS INA ] tische Schreibung des Namens = a el zeigt, war die ursprüngliche pe He FAUNE vergessen und der Name volksetymologisch als «T'ochter der Freude» verstanden worden. Vergl. kopt. paue gaudere, laetari; gaudium, laetitia. Wir hätten hier also genau denselben Namen wie Hilaria vor uns: 3) Vergl. den analog gebildeten Namen Bent-Anat. Lauth ver- gleicht dazu noch den Namen «Benfey» «Sohn des Mundes». (Sitzungs- bericht der philos.-philol. und histor. CI. der k. Bayer. Akademie d, Lx mais 1875. Band I, pag. 121. Dass in der koptischen Erzählung die ältere der Schwestern diesen Namen führt, dagegen in der alt- aegyptischen die jüngere, darf nicht auffallen, da der- artige Verwechselungen beim Wandern von Märchen nichts Ungewühnliches sind. Wenn in der koptischen Er- zählung noch ein wichtiges Moment enthalten ist, das in der altaegyptischen fehlt, nämlich die Verkleidung und Verheimlichung des Geschlechts der älteren Tochter, so schen wir klar, dass hier cben zwei verschiedene Erzählungen in einander geflossen sind. Die Ver- kleidung und Verheimlichung des Geschlechts ist ja ein in mittelalterlichen Sagen sehr verbreiteter und be- liebter Zug und findet sich in sehr vielen Sagen wieder, besonders in denen vom Geschlechtswechsel. Vergl zu diesen letzteren die lehrreiche Abhandlung von A. Wesselowski, Croissans-crescens und die mittel- alterlichen Legenden vom Geschlechtswechsel. Beilage # 4. zum 39. Bande der Zapiski der Kaiserl. Akad. . W. (Croissans-crescens n cperneBbKoBpiA xereHjpt 0 H010BOË MeTaMoPp03É. [puaioxkenie M 4. KB 39. roy SauncorB un. AKkax. Hayr?) und Liebrecht, Zur Volkskunde pagg. 362 und 507. Paru le 18 Juillet 1888, ÿ XXXEE, Î : 4 et dernier. ULLETIN | | | DE L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG TOME XXXIL. : | (Feuilles 32—1/,43.) | CONTENT. Page. | C, J, Maximowiez, Diagnoses des plantes nouvelles asiatiques. VIT. (Avec 4 planches.)... 477—629 0, Backlund, Sur les termes hyperélémentaires dans la théorie des perturbations. Première RO D en Leu de di ed à dame des lens lee due idee 629—648 Ci-joint le titre et les tables des matières du tome XXXII du Bulletin. “hibiié par ordre de l’Académie Impériale des sciences. ! _— C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel. E M Août 1888. ; Imprimerie de l'Académie RAT des sciences. (Vass.-Ostr., 9° ligne, Xe 12.) BULLETIN DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSROURG: Diagnoses plantarum novarum asiaticarum. VII, — Scrip- sit C. J. Maximowicz. (Lu le 1 Mars 1888.) Cum tabulis 4 lapidi incisis. Clematis Tashiroi. (Sect. Flammula DC. Div. 1 b. Ma- xim. in Mél. biol. IX, 581). Glabra longissime petiolis scandens, foliis chartaceis trisectis petiolo petiolulos duplo usque triplo superante his foliolo cordatoovato emarginato-obtuso v.obtusiusculo 5-nervi triplo brevi- oribus, pedunculis axillaribus nudis 1-floris folia flora- lia diminuta tripartita laciniis lanceolatis 2-—3"° exce- dentibus; sepalis patentibus linearioblongis extus dense cinnamomeotomentosis intus glabris atropurpureis quam stamina duplo longioribus, filamentis subulatis glabris antheram linearem eximie lineariapiculatam 2 — 3° superantibus, carpellis co lanceolatis compressis laevi- bus longe laxeque pilosis in caudam plumosam elonga- tam attenuatis. Archipelago Ya-yama inter insulas Liu-kiu et For- mosam sito (A. Tashiro 1886 f. c. fr.) Pedunculis 1-floris sépalisque atropurpureis a simi- libus quoad folia C!. Meyeniana W alp. et CI. oreophila Hance diversa, a reliquis hujus divisionis jam foliis ternatis distincta. Rami collecti bipedales. Foliola usque 60 : 35 mm. magna, petiolulis 20 mm. (terminali vix longiore), pe- tiolis 55 mm. longis. Flos diam. 4 em. sepalis 18 :5 mm. Carpella immatura 5:1,5 mm. caudis 35 mm. longis. Thalictrum integrilobum. (Sect. IL. Microgyna, longi- staminea, claviformia Lecoyer Monogr.) Fibris radi- calibus filiformibus, caule gracili pedali uti tota planta glabro, folio radicali caule breviore 2—3-ternatisecto, caulinis 2 — 3 consimilibus superioribus subsessilibus summo sessili trisecto, petiolis basi nec dilatatis nec stipulatis stipellisque nullis, foliolis omnibus lineari- oblongis integerrimis; corymbo terminali basi foliato paucifloro, filamentis clavatis anthera oblonga obtusa plus duplo latioribus, carpellis 3 — 4 stipitatis stipite duplo v. triplo breviore quam carpellum oblongolance- Tome XXXIL. 1 A x à d olatum ] mate gessili oblongo terminatum. Yezo: monte Pamani, med. Junio 1884 flor. legit K. Miyabe. Affine Th. tuberifero m., sed minus et gracilius. Fibrae radicales, fide collectoris (in litt.) haud tube- roso-incrassatae. Foliola 12 — 44 mm. longa, 3— 6 mm. lata, utrinque obtusa v. rotundata membranacea subtus subglaucescentia petiolulos suos pluries supe- rantia. Flores albi. 2e LCI YUSUUI US Adnot. Thalictrum alpinum L. in Nippon prov. Kai alpe Yatsuga-take spec. 1. legit Tschonoski 1887. sub nom. Sirokane-s0. Anemone Keiskeana T. Ito (in litt., nomen) Pilosius- cula, rhizomate horizontali crasso carnoso subaequali vaginarum basibus brevissimis remotiusculis quasi tu- berculato, foliis utrinque viridibus radicali 1 trisecto segmentis subsessilibus arcte contiguis partimque im- bricatis basi integra late cuneatis ceterum argute in- aequaliter serratis acutis terminali subdeltoideo-rhom- beo lateralibus oblique ovatis subminoribus extus ver- sus basin passim semel v. bis incisis; caule flaccido erecto folium radicale superante, foliis involucri 3 ses- silibus radicali duplo minoribus ovatis v. lanceolatis incisoserratis v. praeterea versus basin trifidis, pedun- culo involucrum vix excedente erecto solitario sericeo- piloso, sepalis numerosis basi extus sericeopilosis line- arioblongis albis patentibus, staminibus vix 30 exte- rioribus sensim pluries brevioribus, filamento filiformi anthera ovali, carpellis circa 15 gilvosericeis sub anthesi lanceolatis in stylum rectum glabrum duplo saltem bre- viorem intus stigmatosum sensim attenuatis. — ÆRuwri Itsige 1. Keiske. Nihon Shokubutsu Dsusetsu, I, fol. 34 (fig. optima). Nippon centrali (I. Keiske 1. c.), Sikoku: prov. Tosa (T. Makino! 1885. flor. sub eod. nom. indigeno). Ex affinitate À. #rifoliae L., cui multo similior quam À. Delavayi Franch.! in Bull. soc. bot. de Fr. XXXIII, 366., e Yunnan. #2 479 Bulletin de l’Académie Impériale 480 Caulis palmaris foliaque supra, praesertim versus. marginem, pilis parcis adspersa. Folium radicale ma- ximum visum 8 em. longum, 10 cm. latum, sed adsunt 3 em. lata et 2 cm. longa, involueralia varia longiora quam lata 25 : 18 mm., 30 : 10 mm., 15: 6 mm. Flos diametro 30 mm. Sepala 10—13 15—18 mm. longa, 2,5—5 mm. lata, obtusa. Stamina intima longiora car- pella duplo excedentia a sepalis plus duplo superata, extima carpellorum capitulo fere duplo breviora. An- therae 1 mm., carpella sub anthesi 2 mm. longa. Lilicium L. Species hucusque notae ita dignoscendae : Stamina supra carpella astyla acuta omnino conniventia et illa tegentia I. parviflorum Mich x. Stamina erecta v. patula ovaria haud tegentia et illis vulgo brevio Filamenta antheris Hors (in Z. cambodiano aequilata) 3. Filamenta antheris angustiora, flores longius- cule pedicellati. 3. Anthera eye flamento longior » ovata filamento brevior, flores lutes- ss. ses sers b e centes. 5. D AIO FOR MADHUN. 450 és de loose. + Mio Hook.f. Th. SU PE A MEME LE mbodianum H ce. Anthera ne Leg brevior, styli acutise RU SO PR D D DE CO nt I. Griffithii Hk. f. Th. Anthera filamento sesqui brevior, styli crassi recurvi. 6. Folia parva, carpella 8 axi conica libera . ..Z. anisatum L. Folia magna, carpella 12 odore debili, axis CORRE és sr b dre veus eme I. Tashiroi m. 7. Anthera oblonga filamentum dnplo superans.Z. Simonsii m. Anthera ovata filamento duplo brevior, flores profunde purpurei.... .., Si rats CRE RN A d: I. floridanum El. I. Tashiroi. Omnibus partibus usque in ovaria pune- tis pellucidis scatens aromate debili, folis oblongo- ellipticis utrinque attenuatis tenue coriaceis, floribus _1—2 pedicellatis nutantibus ex albo lutescentibus, pe- talis circiter 20 externis rotundatis ovatisve ciliatis se- quentibus numerosioribus ovatooblongis intimis brevi- oribus e basi lanceolata in acumen complicatum aequi- longum attenuatis, staminibus 18 subbiseriatis quam ovaria triente brevioribus, filamento lato utrinque vix attenuato antheram ovatam apiculatam sesqui supe- rante; carpellis 12 ovariis erectis arctissime sibi appli- _citis stylis ovario sesqui longioribus attenuatis leviter _recurvis, apice axeos toto cum ovariis Connato. Archipelago Ya-yama inter Liukiu et Formosa, ar- borea (A. Tashiro flor., 1886). _ Z amisatum L. (L religiosum Sieb. Zucc.), a quo JL. amisatum Lour. floriferum nondum notum quoad folia non, quoad fructum vix differt et praesertim virtute me- dica distinguitur, ab Z. Tashiroi discrepat foliis duplo minoribus, floribus sub anthesi intra perulas numerosas DObUAtS ageregatis, petalis intimis haud minoribus non ligulatoattenuatis, carpellis circiter 8 ab axeos apice obtuso conico liberis. Quoad folia et aroma si- millimum est Z. Griffithii et I. Simonsü, sed folia minus coriacea. Folia Z. Tashiroi 5—6,5 poll. longa petiolo */ poll., 1!/,—2 poll. lata. Flos campanulatoconnivens nec stel- latopatens, diam. 21 mm. Petala et sepala non discer- nepda, exteriora 7 — 11 mm. longa, 6 mm. lata, media 11:5 mm., intima 7 — 10 mm. longa, 4 mu. lata. Flores leviter odorati. Species duas proxime affines ita dignosco: I. Simonsiü. Petalis circiter 16 exterioribus rotunda- tis interioribus e latiore basi sensim oblongo-lineari- bus patentibus, staminibus circiter 20 ovaria totidem basi subconnata aequantibus erectis, anthera oblonga obtusa filamentum teretiusculum duplo angustius dimi- dio superante, stylo crasso acuminato recurvo ovario parum longiore, axi (excepto apice truncato convexo verrucoso) cum carpellis connata, floribus aggregatis sub anthesi subsessilibus tegmentis numerosis obvalla- tis, foliis oblongoellipticis utrinque acuminatis.—Fruc- tus ignoti. Assam (Simons! ex hb. Caleutt.). I. majus Hook. f. et Thoms., a me non visum, esse nequit, nam describitur filamento antherà latiore, petalis 16, interioribus late ovalibus, pedicellis 1 — 3 (sub anthesi igitur distinctis), foliis apice latioribus. I. cambodianum Hance in Journ bot. 1876, 240. Pierre FI. forest. de Cochinch. tab. 4., ex descr. et icone differt floribus duplo minoribus (diam. 1 cm.) al- bis v. roseo suffusis longe pedunculatis, staminibus 14 quam ovaria totidem triente brevioribus, anthera ob- longa filamentum aequilatum vix superante, stylo acu- tissime acuminato, omnibus para valde aromaticis. Folia I. Simonsii 4,5 — 5 poll. longa, 1,5 poll. lata, coriacea punctis pellucidis non visibilibus. Petala interiora 9:2 mm. magna, exteriora plus duplo bre- viora latiora ciliata, omnia pellucide punctata. Odor debilis amoenus, illi Z. Griffith et I. Tashiroi similis. TL. Griffithii Hook. f.et Thoms. FL Ind. 74. Hook. f. FI. Brit. Ind. I, 40. Floribus 1 — 3 pedicellatis, AS1 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 482 petalis crasse carnosis 18 — 24 exterioribus rotunda- tis interioribus ovatis acuminatis, staminibus 20 — 24 erectis quam ovaria libera 12 — 15 triente breviori- bus, filamento plano utrinque leviter acuminato anthe- ram apiculatam ovatam latitudine paulo longitudine duplo superante, carpellis in stylum subulatum duplo breviorém erectum apice incurvum attenuatis, axeos apice inter illa libero obtuse conico, carpellis maturis horizontaliter patentibus stylo valido acuminato ‘acu- mine basin deltoideam aequante subrecurvo. Zllicium. Griff. Itin. notes. 38. 80. Khasia (Griffith! n. 62 distrib. Kew.). Dicitur 10 — 15-pedale. Folia 2 — 4 poll. longa, 1— 2 poll. lata, subtus fuscolutea supra lucida cori- acea. Carpella a Griffith carnosobaccata albida di- euntur, stylo indurato rubro suffuso. Franchet (Bull. soc. bot. de Fr. XXXIII, 383. ejusdem speciei var. yunnanensem in prov. Yunnan detectam descripsit mihi ignotam. Silene Tanakae. (Sect. IIT. Botryosilene, ser. 9. Ita- licae, Rohrb. Monogr.). Suffruticosa bipedalis a basi ra- mosissima ramis omnibus longiuseulis, plerisque foliosis sterilibus, paucis elongatis floriferis, internodiis gla- bris, foliis minute puberulis cauliculorum sterilium cre- bris elliptico- fertilium remotis lanceolato-spathulatis omnibus in petiolum brevem basi ciliatum attenuatis, ramis inflorescentiae primariis trifloris pedicellis erec- tis calycem cylindricum basi umbilicatum aequantibus, terminali nudo lateralibus ipsa past cum bracteolis 2 lanceolatis, calyce puberulo 10-nervio dentibus ovatis villosociliatis, petalorum unguibus vix exsertis ciliatis linearicuneatis limbum purpureum cuneatum emargi- natum basi breve coronatum superantibus, filamentis glabris, ovario carpophorum aequante. E Japonia, fortasse ex insulis australibus v. gr. Liukiu, orta, ad expositionem Petropolitanam a, 1884] a D. Dante missa, horto botanico floruit init. Octo- bris 1887. - Omnium mihi notarum magis suffruticosa, habitu me- lius cum S. séruthioloidi À. Gray quam cum S. lan- ceolata À. Gray, utraque sandvicensi, conveniens, ad quam posteriorem tamen ex characteribus (calyce hu- jus brevi excepto) accedere videtur. Priori, a Rohr- bach ad nr relatae, quamvis in Rp tione Grayi calycis duri nulla mentio facta sit, nostra ob floris formam totumque habitum propior, sed fo- liorum magnitudo potius $. lanceolatae. Reliquae spe- cies hujus divisionis, fere omnes mediterraneae, rosu- | las saepius sessiles habent et habitu minus similes sunt. Trunci perennantes quidem, sed herbacei. Folia rosularum 25:5 usque 50:15 mm., caulis floriferi usque 60:13 mm. Flores in inflorescentia nune male evoluta tamen 19, terminales ad pedicellum reducti abortivi. Calyx 19 mm. longus. Limbus petali 9:3 mm. Stamina sub anthesi exserta, longiora ad medium limbum attingentia, breviora basi unguium adnata, antherae oblongae albocinereae. Styli 3 stamina su- perantes, papillis stigmaticis secus latera interiora ad medium v. ultra decurrentibus purpureïs. Adnot. S. Masimooicrions Rohrb. in Linnaea XXXVI, 680. ad exempla in hortis Yedo culta nana descripta, nunc spontanea prostat e Nippon prov. Kai monte Motoyama, ubi Septembri 87 fl. et defl. legit Tschonoski, formis duabus. Altera, japonice Biranzi, minor, etiam ad calycem pubescens, quam typica à me olim lecta tamen duplo major, altera, japonice oho biranzi i. e. b. magna, fere duplo altior, calyce glaberrimo, reliquis partibus glabrescentibus. Ex his exemplis patet, plantam in modum $. repentis Patr. basibus cauliculorum procumbentibus prorepere, ita quidem, ut in forma minore inter muscos vigente pars epigaea foliata interdum brevior sit quam hfpogaea: |illa 4 — 13 cm. longa, foliata 9 cm. alta. Folia 25 :7—9 mm. magna. Flores 1—2, pedicellis 2 cm., calyce 13 mm. longo. Petala pallide rosea unguibus parum exsertis laminam aequantibus. Filamenta parte inferiore parce pilosa. Specimen formae majoris sine radice lectum e cau- lis parte decumbente 2,5 mm. crassa cum ramis duo- bus 32 cm. altis constans. Folia 70:18 mm. Dicha- sium terminale pluriflorum peduneulis 25 mm. Calyx is 15 mm., petala 28 mm. longa. Structura floris identica. Arenaria merckioides. (Subgen. ÆEuthalia Fenzl) Per- ; ennis digitalis densifolia robusta, caule acute angu- lato pubescente, foliis coriaceis uninerviis imis ad squa- mas ovatas fuscescentes erectas reductis, caulinis pa- tentireflexis ellipticis subito breve acuminatis subtus |margineque parce puberulis, axillis haud fasciculige- . ris; floribus versus apicem ramorum ren air u 483 Bulletin de l’Académie Impériale is laribus pedicello arcuato tum horizontaliter patente brevioribus, calycis basi puberuli partitionibus oblon- goellipticis obtusis herbaceis, petalis late ellipticis bre- vissime unguiculatis calycem parum superantibus, fila- mentis subulatis petala subaequantibus, stylis 3 fili- formibus ovarium ovoideum superantibus, capsula ob- longoovata brevioribus, seminibus plurimis orbiculato- reniformibus late alatis compressis. Yezo: cacumine montis Meaken, 5000 p. s. m. (K. Fujita, Augusto 85 fi. fr. immat., misit K. Miyabe). Habitu Merckiae physodis vel speciminis nani den- sifolii Aren. peploidis latifoliae, quoad characteres proxima À. ciliolatae Edgew. (himalaicae), quae sepa- lis acutissimis ciliatis, petalis late obovatis pubeque atra hispida primo dat diftert. Vidi cauliculos 3: unum simplicem 1-florum, duo ramosos, ad primam bifurcationem 5,5 mm. alto Fo- lia squamiformia 3 mm. longa, caulina internodia duplo superantia 18 : 10 mm. magna. Rami duo 2— 3 cm. longi foliati. Pedicelli folia superantes firmi. Calyx sub anthesi 4 mm., defloratus 5 mm. longus. Petala 5,5 mm. longa. Glandulae disci vix expressae, po- tius discus incrassatus stamina ferens. Semina diam. 1,75 mm. : Cerastium schizopetalum. Perenne diffuse caespitosum basi ramosissimum, cauliculis bifariam viscidovillosis, foliis ad oras ciliatis linearilanceolatis, cyma viridibrac- teata pauciflora, pedicellis defloratis deflexis, calycis viscidovillosi laciniis lanceolatis acutis angustissime hyalino marginatis, petalis calyce fere duplo longiori- bus cuneatoobovatis antice ad trientem in lobos 4 lan- ceolatos acuminatos incisis ungue nudis, ovario globoso, stylis 5, seminibus (immaturis) obsolete tuberculatis. Nippon: pros: Kai alpe Kumaga-take, sub nom. ver- naculo } kusa Sept.’87 leg.Tschonoski, HICUMUENU Horn _ mis. rev. pat. Anatolius. - Fructu maturo ignoto ad quam sectionem pertineat _incertum est, sed ob ovarium breve verosimiliter ad _ Orthodontem ducendum erit. Unica quod sciam Cerast species petalis regulariter quadrilobis, illa Sfellariae radiantis in mentem vocans. Habitus C. alpini minoris. Pedale. Folia majora 15 :4 mm. Calyx 5 mm., pe- tal cawR. 9 mm, longa. Stamina 10, episepala glan- Fo Lep parum dimidiaque petala superantia. Ovarium 2 mm. altum, stylis plus duplo longioribus. Ovula rotundata. Elatine tetrandra. Caespitosa erecta, foliis oppositis linearilanceolatis acutiusculis, floribus alternis brevis- sime pedicellatis tetrameris, petalis ellipticis sepala del- toidea duplo superantibus, staminibus 4, seminibus ob- longis rectis longitudinaliter striatis non clathratis. — E. triandra Franch. Savat. Enuwm. pl. jap. I, 54 (cum ?) Per totam Japoniam: Yezo prov. Tokatshi, ripa li- mosa fl. Toberi (K. Miyabe), Nippon, in oryzetis inun- datis circa Yokoska (Savatier), Sikoku prov. Tosa (T. Makino, japonice Mizu hakobe). Flore 4-mero 4-andro, testa seminis non clathrata, ratione cotyledonum ad radiculam ab omnibus notis bene distincta. Habitus et partium magnitudo Æ. tri- andrae Schkuhr. Dehiscentia capsulae peculiaris. Ex Seubert (in Nov. act. Acad. Leop. Nat. cur. XXI, 1. p. 37) aliisque auctoribus capsulae valvae dehiscentes in ÆÉlatine loco intraflexionis secedunt et columellam centralem late alatam formant, in Bergia autem haud secedunt, sed capsulam rite septicidam in carpella sua divisam sistunt. In Æ. éetrandra dehiscentia Bergiae invenitur! Quum autem, fide Bentham et Hooker (OR pl I, 163) in nonnullis Bergiis capensibus et tia capsulae mox septifraga mox. septicida inveniatur, habitus autem speciei propositae Elatines sit, in hoc genere retinui. Corolla expansa diam. 2,5 mm. Sepala herbacea 1-nervia, petala membranacea enervia. Stamina sepalis opposita et duplo longiora, ovaria aequantia. Filamenta linearia, antherae orbiculatae. Ovaria 4 parallela ellip- UWOIUI VELO UUWO soidea stylo brevissimo stigmate punctiformi coronata. Semina in capsula examinata 22, vix 0,5 mm. longa, striis longitudinalibus 10—12 laevibus, vix passim tranverse quasi ruga una alterave instructis. Albumen nullum. Embryo conformis albus, cotyledonibus ra- diculam vix angustiorem subaequantibus erassis. Planta Savatieri foliis lanceolatis obtusis differt, sed nimis compressa, ut staminum numerus eruatur, calyx autem, corolla et ovarium tetramera atque se- mina valde immatura quae vidi pariter ut in nostra. Berchemia pauciflora. Petiolis foliisque subtus ad venas gilvopuberulis ceterum glabra, ramis gracilibus ramulis floriferis abbreviatis, stipulis scariosis in unicam bicu- 485 des Sciences de Saint-Pétersbourg. 486 spidatam connatis persistentibus, foliis tenue petiolatis membranaceis subconcoloribus ovatis v. late ellipticis obtusissimis cum apiculo obsoleto, paniculis terminali- bus fi tibus e cymulis 1 —5-flo- ris racemosis Compositis, pedicellis florem superantibus, calyeis laciniis deltoideoovatis obtusiusculis, petalis duplo brevioribus rotundatis stamina aequantibus, an- thera filamento vix breviore. Nippon: alpe Nikko (J. Matsumura). Simillima quidem B. racemosae $. Z., sed in hac petioli longiores, folia majora crassiora discolora, pa- niculae innovationes elongatas terminantes ditissimae, pedicelli florem vix aequantes, calycis laciniae elonga- todeltoideae petala obovata triente superantia, antherae ex petalo exsertae filamento pluries breviores et tota planta glabra. In flore vix aperto B. racemosae tamen autherae etiam filamentum vix superant ct loculi cum connectivo concolores sunt ac in nostra, qui in flore adulto B. racemosae discolores (connectivo atro) fiunt, ita ut haec de aetate floris pendere videantur. Inflores- centia plantae nostrae in mentem vocat illam B. volu- bilis DC., cujus petioli foliaque aeque tenues et aeque magna, sed in B. volubili folia acuta discolora et tota planta glabra. An species nostra incipiente anthesi lecta flores hermaphroditos v. polygamos habet, et qualis est drupa ejus, nondum constat. Acer Miyabei. (LV. Perigyna, 10. Platanoidea. Pax Monogr. in Engl. Bot. Jahrb. VI, 327, VII, 233). Fo- liis (sub anthesi) membranaceis superioribus lamina longius petiolatis petiolo basi ciliato ceterum villoso, Jamina latiore quam longa basi truncata 3-fida basique utrinque 1-loba 5-nervia superne parce ad costas utra- que pagina densius villosa ad angulos barbata, lobis obtuse acuminatis a medio obtuse sinuato-bi-tri-lobu- latis terminali passim iterum sinuatobidentato; corymbi brève peduneulati pauciflori glabri pedicellis filiformi- bus flore sulfureo 7 mm. lato pluries longioribus pilo- sulis, sepalis petalisque majoribus spathulato-linearibus longe ciliatis, staminibus crenis disei impositis longi- oribus petala subsuperantibus, antheris ovatis laevibus, stylo caduco stigmatibus revolutis subbreviore; samaris divaricatis ad loculos dimidiamque alam gilvotomen- tosis, ala loculum compressum angulatoretieulatum plus duplo superante. Yezo: prov. Hidaka, ad Niükappu, med. Junio flor., Augusto fructif. legit K. Mivabe. Japonice: Kurobi Itaya. Ex affinitate À. platanoidis L., sed folia minora tri- fida, lobi obtuse acuminati, corymbus laxus. À. laetum M. Bieb. et À. pictum Thunb. differunt jam lobis acu- tissime acuminatis integris corymboque densissimo, posterius etiam petalis obovatis. Adest similitudo cum A. Hilgendorfi Nathorst fossili, cujus folium unicum notum nostra minora bene referre videtur. Exempla tria missa habent ramulos fertiles et fo- lüferos brevissimos e ligne vetusto. Cortex rimosus lutescenticinereus. Tegmenta imbricata ovata fusca margine tomentella, exteriora 2, interiora 3 mm. longa, intima jam delapsa. Folia maxima 8 cm. longa, 9,5 cm, lata, Ovarium fecundatum 11 mm. latum, 4 mm. altum, alis basi lineam rectam efficientibus apice jam glabrescentibus, vix 2 mm. latis, loculo quam ala cir- citer duplo breviore. Samarae usque 5 cm. latae lo- culis cunctis 15 mm. latis, 11 mm. longis, transverse late ovalibus apice in apiculum latum productis, loculo singulo 7 mm. alto, 9 mm. lato, 3 mm. crasso, tomento denso molli. Margo alae inferior rectus, superior con- vexus, apex rotundatus, tota ala ab apice loculi mensa 20 : 10 mm. Photinia Wrightiana. Foliis apice obtusis plantae ju- venilis lanceolatolinearibus acute a basi inaequaliter: grandiserratis, plantae adultae oblongis v. ellipticoob- longis supra basin crenatis, calycis dentibus glandula. nigra apiculatis saepeque hinc 1 — 2-dentatis, petalo- rum ungue dense villoso, staminibus circiter 15, loculis vulgo 1-ovulatis, seminibus oblongis. Maxim. in adnot. sub Ph. arbutifolia, in Mél. biol. IX, 180. Ph. arbu- tifolia . Gray, On the bot. of Japan, 388. Miq. Proi: 3 . (Wright fr. fere mat.); Lébiu fru- tex 2 — 3-metralis (A. Tashiro, flor.). Staminibus in nunc descripta non 10, sed 13—18, Heteromeles, ad quam ex habitu ducenda esset, tantum corolla torta a Photinia diversa videtur, habitu eodem, si Pourthiaeas exeludis. — En diagnosis speciei con- fusae : Ph. arbutifolia Lindi. Bot. reg. t. 491. Foliis ob- longo-vel elliptico- lanceolatis utrinque acutis acute serratis, petalis glabris denticulatis, staminibus 10 an- theris oblongis, loculis 2-ovulatis, seminibus ovalibus. 487 Bulletin de l’Académie Impériale ss Torr. et Gray, FI. N. Am. I, 473. Heteromeles arbutifolia Roemer, Syn. III, 105. Decsne. Mém. Pomacées, in Arch. Mus. X, 144, tab. 9. Bot. of Calif. I, 188. H. Fremontiana Desne. 1. c.— Cali- fornia. Deutzia discolor. Foliis ovato- v. lanceolato-ellipticis sat longe acuminatis serrulatis scaberulis subtus in- canis: pilis minutis paginae superioris sparsis 5 —8-ra- diatis, inferioris continuis densis multiradiatis, cymis paniculatis cylindricis interrupte plurifloris, peduncu- lis 1— 3-floris, pedicellis calyce incano pl. m. aequi- longis, petalis erectopatulis oblongis acutiusculis ca- lyce quadruplo longioribus stamina filamentis eximie dentatis stylosque aequantibus, calycis dentibus acute deltoideis in capsula truncata 4 — 5-cocca deciduis, stylis 4—5 persistentibus. Sikoku: prov. Tosa ad Nanokawa, initio Maji °86 flor. (S. Watanabe), Novbri ’84 frf. (T. Makino), ja- ponice: Ura-siro-utsugi. Inter D. crenatam $. Z., cujus flores, et D. stami- neam R. Br., cujus folia habet, a priore insuper di- stincta stylis persistentibus stigmatibus minutis coc- cisque 4 — 5, posterior praeterea differt cymae den- sae radis 3 saepe aequilongis, calycis persistentis den- tibus acuminatis stylorumque basibus tantum in fructu superstitibus. Petioli 4 mm. longi, lamina inter 50: 10 et 33:16 mm. ludens. Calyx 2,5 mm. altus, petala 10 mm. longa, capsula 3 mm. is, 2 mm. dits. Sedum Makinoi. (III, Seda genuina Koch. ser. 2. japonica Maxim. in Mél. biol. XI, 762). Spithamae- um cauliculis procumbentibus e nodis fere omnibus radicantibus apice ascendentibus, foliis omnibus prae- ter floïalia oppositis caulium sterilium et fertilium subconsimilibus obovatis supra basin attenuatam affi- xis; cyma planiuscula iteratim dichotoma ad quandam dichotomiam folio singulo florem superante fulta, flo- ribus subsessilibus stellatis luteis, sepalis spathulatis quam petala linearilanceolata duplo brevioribus, sta- minibus petala spectantibus atque illa aequantibus ad 1, petali adnatis quam stamina sepalis opposita disco inserta paulo brevioribus, antheris oblongis; folliculis ad ?/, connatis oblique deltoideis patentibus stylo triplo breviore subulato continuo terminatis polyspermis, se- minibus linearioblongis laeviusculis. Sikoku: prov. Tosa, ad Sakawa (T. Makino fi. fr. fere mat., 1885). Ab Sie speciebus Haas seniel foliis omnibus i is facile distinguendum. Folia 14:6 mm. “magna. Flores diam. 7 mm. Squa- mae hypogynae petalis oppositae subaeque longae ac latae cuneatae breves. Q © A © — = > _. lp] 2 À 5 »] 2 Je Ophiorrhiza inflata, (Ser. 1. bracteolis nullis Hook. f. F1. Brit. Ind. INT, 77). Palmaris herbacea pluricaü- lis parce ramosa caulibus ascendentibus basi radican- tibus rufotomentellis, stipulis utrinque in 1 deltoideam connatis caducissimis, foliis petiolatis superne atrovi- ridibus parce pilosiuseulis subtus pallidis ad venas tomentellis lanceolato-oblongo- v. rite ellipticis acutis; cyma terminali semel dichotoma gilvotomentella plu- riflora bracteis bracteolisque nullis, floribus pedicel- latis pedicello calyce 2—3-lo longiore, calycis tomen- telli tubo depresse globoso laevi limbum deltoideo- dentatum pluries superante, corollae 7 mm. extus fur- furaceopuberulae tubo lato basi inflato sub limbo 4-lo breviore patente dilatato intus ad faucem dense longe albostrigoso, filamentis infra dimidium tubum insertis glabris, antheris linearibus basi bilobis totis exsertis, stylo sursum sensim incrassato hispido apice clavato stigmate breviter bilobo lobis rotundatis ad antheras attingente. Archipelago Ya-yama inter Liukiu et Formosa sito (A. Tashiro flor. 1886). O. trichocarpa BI. (0. hispidula W all.! 6234) huic quoad pubem staturam et folia similis, statim differt floribus sessilibus, tubo corollae minoris angusto, sti- pulis subulatis, inflorescentia terminali et laterali. — Quoad corollam basi inflatam accedit etiam ad speciem ineditam in prov. Kwantung ad Lo-Fau-Shan à cl. Ford lectam, quae tamen, inter alia, fasciculis fibra- rum brevium ad pedicellorum basin, calycis glabri tubo lacinias parum excedente Mipuliaqne amplis her- baceis rotundatis excellit. Folia occurrunt 70:22 mm. magna sensim in pe- tiolum circa 5 mm. augustata vel 55 : 20 mm. petiolo 5 mm. non cuneatim in laminam abeunte vel 55 : 14 mm. cum petiolo 4 mm. longo. Flos 6 — 7 mm. lon- gus in sicco ruber, limbo utrinque papilloso lobis 5 anguste deltoideis. Filamenti pars libera antherà fere sesqui longior. Discus bipartitus crassus inter lobos 489 des Sciences de Saint -Pétersbourg. 490 erectos stylum recipiens calycis limbo aequialtus. Ova- rii loculi multiovulati. Ophiorrhiza Tashiroi. (Ser. 2. Cyma bracteata et brac- teolata). Frutescens pedalis et ultra parce dichotome ramosa ramis diffusis passim radicantibus superne cy- misque rubiginoso-furfuraceis ceterum tota glabra, sti- pulis utrinque in 1 obtuse subulatam connatis cadu- cissimis, foliüs atroviridibus subtus rubentibus longius- cule petiolatis linearioblongis utrinque apice valde acuminatis; cyma terminali et ex axillis summis axil- lari longe pedunculata iteratim fastigiato-dichotoma pluri- v. multiflora, bracteis subulatis 1-nerviis, brac- teolis calycem subtendentibus, calycis furfuracei tubo subhemisphaerico dentes obtuse ovatos duplo supe- rante, corollae 18 mm. longae extus glabrae anguste tubuloso-infundibuliformis tubo dimidio superiore in- tus hirsuto limbi brevis erectopatuli lobis ovatis acu- tiusculis intus papillosis, filamentis medio tubo inser- tis glabris antheras oblongas inclusas aequantibus, stylo aequali parce longeque hispido, stigmatis ampli lobis ellipticis patulis. Archipelago Ya-yama in vallibus, praecipue ad rivu- los (A. Tashiro flor. 1886). Ex affinitate O. Roxburghianae Wight, O. grandi- florae Wight aliarumque, sed cum nulla e descriptis apte comparanda. Trunci pennam anserinam, rami filum emporeticum crassi. Petioli usque 25 mm., lamina 120:25 mm. Pedunculus 2—4 cm. Flores intra bracteolas sessiles, supra bracteas pedicello calycem semel saltem supe- _ rante suffulti. Antherae quadrante superiore tubi co- rollini inclusae, dorso supra basin insertae basi bilo- bae. Disci laminae 2 subquadratae crassae styli basi appressae dentes calycis aequantes. Ovarii loculi mul- tiovulati, placentis e basi ascendentibus. Scorzonera L. Species orientali-asiaticae. Monocephalae Sora passim 2-cephalae). 2 Pleiocephalae . Caulis foliatus dos cum foliis involucro- 1] que Dim PAMAUUS sn e ii. , Sc. capito m. Caulis nudus v. squamatus. 5. 3. Collum squamosum. 4. %" DINMODÉMENR .. ii enmhoesii ou Sc. austriaca W. 4. Radix subhorizontalis ramosa, capitula parva, radius involucrum parum superans ......... Sc.parviflora J ac q. Radix verticalis, capitula magna, radius in- : volucrum duplo superans ................. Sc. radiata Fisch. 5. Caulis solitarius elatus strictus, achaenia ro- Sc. albicaulis Bge. Caules plures, achaenia erostria. 6. 6. Folia carnosa recta linearioblonga, achaenia DT is les do eue seb de te Do 6e out Folia filiformia v. anguste linearia vulgo apice hamata. 7. Herbacea humilis oligocephala sut aus ne ve Suffruticosa ramosissima saepe elata, pleio- DONS TRI, Les PR RISQUE Sc. divaricata Tur cz. Sc. austriaca W. Sp. pL.ITT, 1798. Ledeb. FI. Ross. Il, 792. Turez. FI. Baic. Dah. I, 147 et Enum. Chin. n. 106. Maxim. FI. Amur. 177, 473, 483. Herder, PI. Radd. III n. 215. Rgl. et Herd. PI Semen. n. 639. Trautv. Enum. Song. n. 693. Boiss. FL or. IIT, 770. Franch. PI. David. I, 191. $. radiata Bge. Enum. Chin. n. 231, nec Fisch. Sibiria orientalis: a Jakutzk per regionem baicalen- sem usque ad Krasnojarsk ad Jeniseam, Transbaicalia et Dahuria: ad Ingodam in deserto et ad Schilkam (ipse, Maack), circa Nertschinsk et alibi, Kjachta ; Mongolia: jugo Han-hai ad fl. Schuryk et alibi, deserto et alpibus circa lacum Ubsa: valle lacus Urük-nor, prope trajectum Ulan-Daba, ad fl. Chatu prope jugum Sailughem, Altai australi: argillosis fl. Zizirin-gol et fauce Dsussylyk; Gobi boreali (Potanin, 1877, 79, 1886), parte australi: montibus circa Kalgan, jugis Suma-hada et Alaschan, desertis arenosolapidosis (Przewalski, 1871, 73); Kansu occidentali: ad fi. Hoangho superiorem, alt. 9500 p.s. m. in abruptis ripae limosis (Przew. 1880), ad fl. Karyn et Lantscha-Lunwa (Potanin, 1885); China boreali: ditione fl. Pekinensis c mongolica m. Fa. Sc. pusilla Pal]. circa urbem et prope Jehol (David!}, prov. Schansi et Kansu orientali ad fl. Tao-che (Potanin 1885). Tum in Songaria, Sibiria occidentali et usque in Rossiam australem, Helvetiam, Galliam et Belgium. Apud nos semper 1-cephala caule initio squamato tum excrescente spithamaeo basi 1-phyllo, glabra v. rarius a petiolorum pArpE EE Ligulae lu- teae, interiore P cte breviores. 8. linearifolia. DC. Sibiria orientali: Jakutzk, Transbaicalia, ic dis tin Dahuria, Mongolia: Gobi inter fl. Argun et Onon (Radde), ad tractum mercatorium (Kirilow), tum in Songaria, Altai, Ural australi usque in Austrian. 9, Sc. radiata Eisch. apud Ledeb. IL. c. 793. Turez. FI. Baic. Dah. II, 148. Trautv. et Mey. F1. Ochot. D. 205. Rgl. et Til. FL. Ajan. n. 177.. Maxi FE non absimilis, sed in hac pedunculi elongati, involucri __ angustioris Squamae pauciores interiores latiores, li- 491 Bulletin de l’Académie Impériale 492 Amur. 177, 483. Herder, PI Radd, UI n. 216. F. Schmidt, FL Amg. Bur. n 238. FI. Sachal. n. 269. Franch, PI. David. I, 191 (cum ?) Sibiria orientalis: a mari Ochotensi (Ajan, Ochotzk) per Jakutzk, Irkutzk, Wilui ad Jenisei et Sajan atque in regionem arcticam (fl. Olenek), Dahuria, Mandshu- ria: sinu S-ti Wladimiri, Amur inferiore, montibus Bu- reicis, Amur superiore, ins. Sachalin; Mongolia: ad tractum mercatorium orientalem: Kjachta, Gagza-Chu- duk, non procul à jugo Sailughem, et regione lacus Ubsa (Potanin, 1879); China boreali: ditionis Peki- nensis monte Po-hua-shan (Bretschneider). Glabra v. caule basique petiolorum parce lanuginosa. 3. Sc. parviflora Jacq. FI. Austr. IV.t.305. Ledeb. 1. c. II, 795. Trautv. Enum. pl. Song. n. 694. Mongolia: Gobi australi, pratis ad fl. Yedsin (Pota- nin, 1886). Tum in Songaria, Altai, deserto Kirghi- sico, Wolgensi (Sarepta) et Pontico (Odessa). 4. Sc.capito. Collo squamoso inter petiolos stupposo altius ad folia caulemque parce arachnoideolanata v. tum sabgiabrs, pabaaris glauca, foliis chartaceis ner- ti linearilanceolatis cau . toacuminatis margine “undulatocrispis : caulibus 1 — folia radicalia vix excedentibus ascendentibus phyllis, foliis caulinis e lata semiamplectente basi sen- sim attenuatis lanceolatolinearibus, capitulis solitariis multifloris sub anthesi aeque latis ac longis, involucri campanulati arachnoïideovillosi squamis numerosis sen- sim longioribus extimis ovatis intimis linearibus, ligulis. patentibus subaequilongis involuero sesquilongioribus luteis, achaenio apice parce lanato angulatocostato co- stis achaeniorum exteriorum echinatis tuberculatisve interiorum laevibus, pappo lacteo achaenium duplo in- volucrum vix superante setis interi ribus crassioribus scabris ad ?/, reliquis numerosioribns laevibus fere ad apicem plumosis. Mongolia: Ordos, valle fl. Hoangho, in limosis sparsa, fine Maji flor. (Przewalski, 1872), Gobi boreali: valle ad puteum Urdshüm, medio Augusto, et declivitate bo- reali planitiei elatae Baïn-Zagan, fine Augusti flor. specc. singula (Potanin, 1886). Exemplis parvis 1-cephalis lanatis Sc. hispanicae L. gulae longiores et angustiores, pappus rufescens invo- lucrum tota parte scabra superans. Radix verticalis. Folia radicalia basi in petiolum inferne vaginantem abeuntia cum hoc 140 :20 mm. magna subquintuplinervia. Folia caulina inferiora 90 :5 mm., superiora’15:3 mm. Pedunculi sub capitulo 2 mm. crassi. Involucrum sub anthesi 18 : 15, in fructu 25 : 22 mm., squamis circiter 40 apice purpurascenti- bus. Flosculi sine achaenio 17 mm. longi, tubo quam ligula breviore, hac genitalia subsuperante. Achaentum 7—9 mm. longum, 1 mm. crassum. 5. Sc. pusilla Pall. It. II. App. 744 n. 122. tab. L. Led. I. c. If, 791. Rgl. et Herd. PI. Semen. Suppl. n. 637,4. Boiss., FE or. II, 77 Mongolia: deserto Songarico montibus Kuku-Svrche ad fontem, parce (Przewalski, 1879). — Distrib. hinc per Songariam rossicam ad desertum Caspium et Belutschistan. A DC. Prodr. VII. 1. 118 corollae pallide purpu- reae dicuntur, verosimiliter ad sicceum, Pallas, qui speciem non ipse collegerat, ad siccum pallidas, Lede- bour item ad siceum flavas statuit, Boissier luteas describit et ita, obscurius striatae, videntur in nostra. 6. Sc. mongolica. Glauca glabra pluricaulis palmaris decumbens v. ultrapedalis erecta, foliis carnosis radi- calibus caule duplo brevioribus saepe longe petiolatis intra petiolos vaginantes floccosolanatis lanceolatoli- nearibus subito acuminatis acutis v. obtusinsculis obso- lete trinerviis; caulibus plurifoliis versus apicem 1—6- cephalis, foliis caulinis sessilibus late linearibus usque linearioblongis acutis v. rarius acuminatis superioribus interdum oppositis summis squamiformibus; capitulis fere sessilibus anguste cylindricis sub-15-floris, invo- lucri squamis paucis parce arachnoiïdeis v. glabratis. extimis ovatis intimis oblongolinearibus, ligulis luteis involucro parum longioribus erectiusculis; achaeniis angulatis apice parce villosis ceterum minutissime pu- berulis pappo 4-lo usque brevioribus, pappi ochroleuci setis apice ipso excepto plumosis. Mongolia australiore in salsis: valle deserta secus pedem borealem jugi Thian-Schan orientalis, Gobi au- strali secus fl. Yedsin (Potanin, 1877, 86) et oasi Ssa-Tscheu, tum oasi Nia ad pedem jugi Keria, 4200 p.s. m.; Zaidam (Przewalski, 1879, °84, ’85). 493 des Sciences de Saint - Pétersbourg. 494 Var. foliis distinctius trinerviis sensim acumi- natis minusque Carnosis. Gobi australi: ad fl. Yedsin (Potanin, 1886). Nulli e mihi notis propius accedit, nisi forte cum Sc. acuminata Boiss., a me non visa, comparanda. Planta secundum stationes admodum variabilis. Ra- dix verticalis collo saepe dense stupposo petiolis vetustis aufractis horrido. Folia radicalia’ sub anthesi mox nu- merosa mox pleraque evanida, quoad magnitudinem variantia inter 20 : 1 cm. (petiolo 8 cm.) et 7 : 4 cm. _(petiolo 15 mm.). Folia caulina multo minora. Invo- lucrum sub anthesi 12-—22 mm. longum, 4—5 mm. latum, fructiferum 2—3 cm. longum, 8—9 mm. la- tum, squamis circiter 10—12, extimis minutis caly- culiformibus. Flosculi 19 mm. longi tubo ligulam superante. Pappus sub anthesi ligula brevior, involucro aequilongus, tum involucro triente, achaenio 6 —7 mm. longo multo longior. 7. Sc. divaricata Turcz. in Bull. Soc. Mosc. V. 181. n. 23. Maxim. Ind. Mongol. in F1. Amur. 483. Franch. PI David. I, 189. Hook, f. FI. Brit. Ind. III, 418. Species haec in desertis Asiae centralis late distri- buta miro modo variabilis, formis extremis diver- sissimis, sed altera in alteram transeuntibus, in varie- tates quidem divellenda, sed nulla ex his varietatibus bene delimitanda est. Typica planta, a Turczaninow descripta, omnium formarum magis depauperata, pal- maris glabra, rhizomate brevi, caule a basi divaricato- ramosissimo, foliis filiformilinearibus apice hamatis, saepe minutissimis, capitulis 4—5-floris 13—17 mm. longis (ligulis inclusis, quae involucro sesquilongiores), achaeniis laevibus glabris striatis circiter 6 mm. longis. — Rarissime occurrunt folia caulina elongatolinearia (8 mm.:1,5—2 mm.). Mongoliae orientalis deserto Gobi: secus tractum mercatorium (Kirilow! 1831, mis. Turczan.), v. gr. ad Hak-lassutu, Gai-lin, cet. (Tatarinow), regione media: Kobden-ussu inter lacum Gaschiun-nor et jugum Tostu (Potanin, 1886), inter Hami et Ssatscheu (Prze- walski, °79), et australi: inter pedem jugi Nan-schan et vicum Schache (Potanin, ’86). Omnia haec specc. tam tenuia, ut species a cl. Franchet cum dubio annua habeatur, sed re vera suf- fruticosa sunt, uti docent individua evidenter vetus- Tome XXXII tissima, caudice subterraneo ramoso pleiocephalo, trun- cis vetustis aufractis et ramosis dealbatis, novellis typicis: Mongolia boreali: regione Ubsa, deserto sicco are- noso non procul a lacu Dseren-nor, rarissime (Po- tanin, 779). Var. intricatissima: glabra globum densissime ramosum et intricatum usque 27, pedem altum et latum efficiens, sed etiam palmaris obveniens, foliis plerisque ad squamas reductis, capitulo tomentello, involucro 10—13 mm. longo, ligulis circiter 5 luteis nervis aurantidcis vel praeterea dentibus v. subtus versus apicem pl. m, purpureis, achaeniis 8 mm. longis pallidis glabris costatis pappo rufescente pl. duplo bre- vioribus. Deserto Gobi, medio: secus fl. Yedsin pluribus locis, et boreali: valle circa _puteum Urdshüm (Potanin, 1886). Var. sublilacina: ut typica, sed à m. tomen- tella, capitulo 5—15-floro, ligulis lilacinosuffusis cum nervis Jilacinis, achaeniis apice villosulis laevibus 10 mm. longis pappo fere duplo brevioribus. Statura palmaris usque pedalis. China boreali, prov. Schansi, in deserto FRE nec non in siceis RATES sortes locis (Potanin, °84), ad limitem Mongoliae australem: jugo Muni-ula latere boreali, in agris Sinensium frequens (Przewalski, 1871), regione Amdo prov. Kansu: ad fl. Hoangho superiorem, 9000 p. s. m. (Przew. ’80). : Var. foliata: Spithamaea usque pedalis patulo- ramosissima glabra v. ad caulem foliaque sublanata, foliis ramealibus apice saepe rectis v. vix hamatis usque 5 cm.: 3 mm. magnis, Capitulo 8 —12-floro pl. m. tomentoso 20 mm. usque longo, ligulis luteis, achae- niis 6— 7 mm. longis in eodem capitulo glabris et laevibus vel minutissime villosulis ad costas nonnul- las tuberculatis vel apice distincte’ villosulis pappo 1°/, — 2-lo brevioribus. — Specimen 1 retinuit folia pauca radicalia ad 9 cm.: 6 mm. magna lanceolato- linearia acuminata in petiolum brevem attenuata. Mongolia boreali: regione lacustri deserta, circa lacus Baga-nor et Kirghiz-nor, nec non Altai australi: ad fl. Ssakssà et fauce Dsussylyk, Gobi boreali orien- tali: glareosis graniticis planitiei elatae Baïn-zagan, montibus Nemegetu, ad fl. Leg, nec non jugo Hanhai: ad fl. Tuin-gol (Potanin, 1877, 1879, 1886). 33 495 Bulletin de l’Académie Impériale 496 Var. virgata: Sesquipedalis fastigiatoramosis- sima tomentella v. saepius glabra, filifolia, capitulo 5—12-floro sub anthesi 15 mm., fructifero 20 — 24 mm. longo, ligulis Juteis, achaeniis glabris v. juven- tute apice villosis laevibus vel pl. m. muricellatis tuberculatisve 7 — 9 mm. longis nigroviridibus pappo apice rufescente parum v. fere duplo brevioribus. Mongolia centrali: Thian-schan, latere australi, ad Nan-schan-kou (Potanin, ’77), deserto limoso ad pe- dem jugi Keria, nec non Tübet borealiorientali: jugo Burchan-Budda, fauce fl. Nomochun-gol, in ripa limosa, 10,000 p.s. m. (Przewalski, 1884, ’85). Haec proxime accedit ad plantam hkimalaico-tibeti- cam: Kashmir (Royle!, Clarke!), Tibet occid. (Sto- liczka!, Kurz!, herb. Calcutt.!), quam A. Fran- chet (in Ann, sc. nat. 6 ser. XVI, 332) pro Sc. vir- gala DC. habet et a specie nostra diversam credit, quae vero a nostra var. virgata tantum differt capitulo florente longiore (25 — 30 mm., 12-floro) et achae- nio tenuiore longiore (13 mm., glabro laevi, vix ad costam unam vel alteram tuberculato pallido pappo rufescente sesquibreviore), Mihi etiam haec tantum varietas kimalaica speciei nostrae polymorphae videtur. Cum Sc. divaricata Turcz. comparandae sunt tan- tum S. fortuosissima Boiss. et Sc. ramosissima DC. Posterior habitu accedens quidem, sed pedunculis lon- gissimis et collo rufostupposo discrepans, ob achae- nium densissime lanatum ad aliam divisionem generis pertinet. Prior diversa est caulibus ramisque flexuoso- divaricatis crassioribus, capitulo sub anthesi vix 15 mm. fructifero 30 mm. quam pappus rufus fere duplo breviore, involucri squamis interioribus numerosiori- bus duplo angustioribus a ligulis parum superatis, achaenio graciliter attenuato ceterum variante tenuiore et crassiore 9— 12 mm. longo laevi v. ad costas pas- sim undulato-tuberculato, ochroleuco. + 8. Sc. albicaulis Bge. Enum. Chin. n. 230. DC. Prodr. VII, 1, 119. Sc. macrosperma Turez. in DC. L ce. 121. et FI. Baic. Dah, IL, 149. Ledeb. FI Ross. II, 795. Maxim. F1 Amur. 177. Rgl. F1. Us- sur. n. 104. Herd. PI. Radd. IIL. n. 217. Franch. PI. David. I, 190. © Sibiria baicalensi, cirea Irkutzk rarissime; Dahu- = ria: circa Nertschinskoi Sawod, ad fl. Argun et Schilka (Turez.); Mandshuria: ad Amur australem (ipse, Rad- Sy. #.:N. Am. l:2,32) de), fl. Sungari (ipse), Usuri et Ssungatsche (Maack), Suifun (Goldenstädt), sinu Possiet (ipse); Korea: portu Tschusan (Wilford), archipelago Koreano (O1d- ham); China boreali: prov. Tschili, circa Pekin (Ta- tarinow) ad radices montium borealium prope Lun- züan-ssy (Bunge), Gehol (David), Yin-shan, Tang-shan (Bretschneider), valle fl. Wan-yun, sinice yô-mamà; prov. Schansi: vico Peiho ad meridiem montium Din- ssin (Potanin, 1884). Radix respectu plantae parva cylindrica brunnescens, collo squamato. Caulis strictus simplex apice corym- bosopleiocephalus, rarius cum fasciculis foliorum steri- libus ex axillis superioribus, usque 4-pedalis. Involu- erum cylindricum 30—35 mm. longumi, ligulis sesqui- brevius, pappum fere aequans. Ligulae, fide Bunge pallide roseae, fide Bretschneider luteae, ex mea observatione in vivo ochraceoflavae subtus venis croceis lineatae, defloratae marcescentes venis approximatis rubrae videntur. Achaenia usque 22: 1 mm. magna opaca angulatosulcata striataque sub lente fortiore mi- nute pulvereopunctata, in rostrum 7 mm. longum sen- sim attenuata. Pappus rufescens circiter biseriatus 15 mm. longus serie externa fere usque ad apicem, interna oligotricha ultra medium plumosa apice exserto scabra. Inter plantam sibéricam et sinicam nullam differen- tiam invenire potui. Pubes plantae adultae saepe fere tota evanescit. Andromeda nikoënsis. ($ 4. Pieris ser. ** A. Gray, Ramis tenuibus teretibus vetustis glabris, foliis apice ramulorum per 5 — 7 ap: proximatis patentibus membranaceis supra ad costam pubescentibus subtus rufopilosis brevissime petiolatis ellipticis v. obovatis apiculatis crebre setaceoserrulatis serraturis incumbentibus (20: 11 ad 50:20 mm. mag- nis); floribus coaetaneis albis in racemum peduneculatum pluriflorum dispositis parvis. rhachi villosa, pedicellis basi cum bractea setacea caducissima glabris elongatis (rhachi duplo brevioribus) sursum incrassatis, calycis partitionibus membranaceis ovatis ciliatis setaceoacu- minatis corollà ovoidea 5-dentata pluries capsulà duplo brevioribus, filamentis medio densissime longissime hir- sutis, anthera glabra 2— 3-lo breviore obovata dorso ex apice loculorum biaristata aristis recurvis loculo 497 des Sciences de Saint - Pétersbourg. tota longitudine dehiscenti aequilongis, stylo columnari corollam aequante; capsula in pedicello recto erecta ovoidea valvis dorso sulcatis, seminibus (quodam loculo abortu singulis) oblongis testa laxa minute eleganter reticulata. Nippon: prov. Musaschi alpe Nikko (Savatier frf. admixta À. cernuae N° 2119, J. Matsumura sub nom. japon. Abura-tsutsusi, deflorescens fr. immat.). Flore excepto persimilis ÆEnkyantho Meisteriae (ob ducto a Bentham et Hoo- ker), qui olim Andromeda cernua Miq. et a nostra differt foliüis latioribus, racemis subsessilibus rhachi com- muni 20—25 mm. longa fasciculatis, pedicellis 5—15 mm. longis, flore majore (7 mm. longo, in À. nikoënsi 5 q. exc. mm.), corollae apice non constrictae dentibus la- ciniatotridentatis erectis nec reflexis, filamento anthera- que totis breve hispidis, capsula 5—6 mm. alta in pe- dicello infracta, alis seminum longitudinalibus crispis, una tota longitudine seminis, reliquis abbreviatis nume- rosis. Æ. japonicus Hook. f. quoad corollam similis, sed corolla basi eximie quinquegibba, differt calycis partitionibus subulatolanceolatis, floribus fasciculatis subpraecocibus, stylo ovarioque conicis sensim altero in alterum abeuntibus. semina alata ad nl Rhododendron ellipticum. (Sect. Azaleastrum PI.) Ar- boreum adultum glabrum, foliis coriaceis per 2 annos persistentibus longiuscule (13—20 mm.) petiolatis con- coloribus laeviusculis ellipticis subito apiculatis (60:22 usque 90:45 mm. magnis) ex gemma terminali linea- rilanceolata prodeuntibus; floribus in quavis gemma lanceolata imbriéatomultiperulata 1 —2 longe (25—30 mm.) pedicellatis amplis (diam. 6 em.) pallide roseis, sepalis depressohemisphaericis v. ad merum marginem reductis, corollae rotatae partitionibus obovatooblongis, staminibus 10 inclusis filamentis basi dense paleaceo- tomentosis, stylo stamina superante versus stigma ob- conico germineque conicolineari 5-loculari glabris. China australiore(Seniawin, flor.); archipelago Ya- _yama inter Liukiu et Formosam (Tashiro, 1886 flor.) Huic proximum est Æ2h. ovatum PI., pro quo olim plantam Seniawini perperam sumpseram, quod vero 5-andrum microphyllum, ad pedicellos glandulosopilo- sum est et florem duplo saltem minorem habet. Schizocodon rotundifolius. Caudice elongato fibroso, squamis subulatis membranaceis ad basin scapi paucis atque in ipso scapo a medio sursum 3 — 5 summa ca- lyei approximata, foliis longe petiolatis membranaceo- chartaceis opacis orbiculatis v. rotundatoovalibus basi brevissime secus petiolum decurrentibus v. intimis cu- neatoobovatis omnibus obsolete truncatis atque circum- circa apiculatosinuatis scapum debilem 1-florum supe- rantibus, sepalis oblongis acutis truncatisve conniven- tibus, corolla. .., germine globoso, stylo columnari ex- serto persistente. Archipelago Fa-yama (Formosae proximo) a. 1886 legit Tashiro fr. nond. mat. Ad hoc genus neque ad Shortiam retuli ob styli na- turam, ceterum Shortia uniflora foliis opacis tenuiori- bus et flore 1 magis congrua quam Schizocodones duo noti, qui floribus racemosis, foliis coriaceis lucidis squa- misque ovatis coriaceis valde distant. Folia maxima 73 mm. lata, 68 mm. longa, petiolus 90 mm. Scapus ascendens 8 cm. altus. Calyx 8 mm. longus. Androsace L. Species Asiae orientalis et centralis!). Annuae v. biennes, radice simplici tenui, ro- sula foliorum radicationr solitaria v. nulla. 2 Perennes. 10. Folia omnia caulina, umbellae axillares et rs Bis sors sit uns soso vides ete ie Rosula radicalis, scapi nudi umbella termi- nali. 3. 8. olia reniformicordata. elliptica PE y. linearilanceo- lata. 6. 4. Lamina foliorum lobata v. tas ibdinité iterum crenatis v. rs. pedicelli breves, calycis lobi in fructu A. rotundifolia Hardw. mr jrs eent pedicelli valgo elon- LD. CC 4-11 k ciniis lanceo- latis, corolla aie, rot press SE Calyx fructifer ris ms ri corolla caly ce vix lon saxifragaefolia Bge. . A. Gmelini Gaëertn. calyx fructifer auctu Involucrum pren PE tum vix v. non auctus. 7. 7. Folia coriacea dense ciliata spathulata cum piculo, scapi plures, umbellae multiflorae, pedicel ad flores carnei mé 5-lobo, ix A. Aizoon Duby. Folia iles radix annua. 8. 8. Calyx ad medium 5-fidus laciniis elongato- 1) Exclusis arcticis À. arctica et À. ochotensi, de quibus nil De habeo. : “ ve 4 Î \ à 33* 499 Bulletin de l'Académie Impériale 500 Calyx 5-dentatus dentibus deltoideis capsula brevior. ; Flores minuti, pue Loemesn . mem- branacea elliptica s Flores majusculi, folia pe hu t chartacea oblongolinearia parce visé Radix pluriceps capitibus sessilibus dense Net folia petiolata elongatolanceolato- linearia mucronata Er ds umbellae rare pedicellis elongati Caespitosae stoloniferae tin folie dense imbricatis plerumque minutis. . Folia villosa v. hifsuta » praeter merginem cartilagineociliatum glabra coriacea. 14. . Folia herbacea. patula majuscula v. magna, scapi exserti, 1 Folia cartilaginea appressa carinata minuta ovata obtusa, flores sr at limbo corollae quam tubus breviore ............ A. tapete m. . Stolones breves, folia ru ents laneeo- lata v. spathulata saepissime acuta, flores PALTUR AIDI Vi PORORS is éinener ee: A. villosa L. Stolones elongati nudi, folia laxa obovata v. spathulata obtusa y. obtusiuseula, scapi elon- Su) DONS ADR MUNE. L4.0 E ess A. flavescens m. . Folia majuscula linearilanceolata v. de mg Le] Fe filiformis Retz. ss... 4 septentrionalis L. en = .. À. longifolia Turez. bi [en — [ue es co ni mn en Eu k Au umbellati, limbus tubo corollae lon- RSS QU A A AA NME Ed AR RES sempervivoides J acqu em. Flores singoli, limbo quam tubus corollae DER did io eseuecpivisess .…...A. alaschanica m. 16. F1 bellati,foli tiaobt A.microphylla Hook. f. » singuli, folia sh “svesà À. squarrosula m. 1. À. erecta Maxim. in Mél. biol. XI, 262. Praeter Kansu occidentalem alte alpinam, ubi de- texit Przewalski, occurrit in ejusdem provinciae re- _ gione boreali: valle fl. Itel-gol, et orientali: valle fl. Pei-schui prope Kwan-tin, et ad fl. Hei-ho (Potanin, 785). 2. À. rotundifolia Hardw. in Asiat. research. VI, 350. Hook. f. F1. Brit. Ind. II, 496. Var. dissecta Franch. ined. YFunnan (Delavay!). — Typus: Tibet occidentali et Himalaya temperata a Kashmir ad Kumaon. 3. À. saxifragaefolia Bge. Enam. Chin. n. 297. Turcz. Enum. Chin. n. 167. Maxim. Ind. Pekin. 474. Franch, PI. David. I, 199. Bak. et Moore in Journ. linn. soc. XVII, 384. Franch. Catal. pl. Tchéfou, in Mem. soc. Cherb. XXIV, 233. Hook. f. F1. Brit. Ind. III, 496. À. patens Wright, in Mem. Amer. Acad. 2 ser, VI, 401. | Mandshuria australi: prov. Shin- king (Ross, ex. k Bak. et. sur ai Liuhiu (Wright); China: prov. Tschili: Tien-tsin, inter Pekiu et Tuntschu (Po- tanin, ‘84), Pekin (Bunge, alii), Lun-züan-ssy (Ta- tarinow), monte Po-hua-schan (Bretschneider), Shantung: Tschifu (Hancock), Schensi australi (Da- vid, ex Franch.), Hupeh: Ichang (Dr. Henry). — Distr. Bengalia! et in Himalayam. 4, À. Gmelini Gaertn. De fr. I, 232. Ledeb. FI. Ross. IIT, 21. Turez. FI. Baic. Dah. II, 234. Herd. PI. Radd. II. n. 88. in Acta h. Petrop. I, 407. Sibiria altaica et orientali, v. gr. Baïkal, Dahuria, Mandshuria occidentali: ad fl. Schilka infer. (ipse), China occidentali: Kansu: circa monaster. Dshoni, declivitate boreali m. Yalissan, Amdo (Tangut): valle ad fl. et pagum Ndami (Potanin, ’85), ad Hoangho superiorem non procul ab oppido Huidui, 9000 p.s. m. (Przewalski, 1880). 5. À. maxima L. Cod. 1144. Ledeb. FI. Ross. HE, 20. Turez. FE Baic. Dah.:1l, 235. Trautr Enum. pl. Songar. n. 742. Herd. PI. Semen. n. 691. PI. Radd. I. c. n. 86. Dahuria: ad fl. Schilka prope Stretensk (ipse), Mongolia boreali: jugo Han-haïi ad fontes fl. Urtu-Ta- mir (Potanin, 86), Altai orientali ad fortalitium chi- nense finitimum Kak-nor (Malewski, °69), Sibiria orientali: ad Angaram, nec alibi in ditione baicalensi (Turez.), Krasnojarsk (id.), Alai, Songaria et hinc in Turkestan, Persia, Asia minore, Syria, Caucaso, Ros- sia, Europa media. 6. À. elongata L. Cod. 1145. INT, 20. 8. nana Duby in DC. Prodr. VIIL 53. Franch. PI. David. I, 200. Mongolia: Sartchy, in arenosis (David), China: Amdo: Ssan-tschuan ad fl. Hoangho (Potanin, ’85). . Typica: Sibiria orientali: ad Irkutzk,-et altaica, Ural: cirea Orenburg, Caucaso, Rossia: Kasan et ditione australi, Europa media. Planta Potaniniana cinerascentipuberula, qualem passim inter specc. europaea videre contigit. 7. À. fiiformis Retz. Obs. II, 10. Ledeb. FI. Ross. IT, 21. Turez. FI. Baic. Dah. IL, 234. Trautv. et Mey. FI. Ochot. n. 233. Maxim. FI. Amur. 192. Rgl. FI. Ussur. n. 327. Herd. PI. Radd. n. 87. F. Ledeb. FI. Ross’ Schmidt F1. Amg. Bur. n. 277. Trautv. Enum. Lt 501 des Sciences de Saint -Pétersbourg. » 50? Song, n. 743. Herd. PI. Semen. n. 692. Baker et Moore in Journ. linn. soc. XVII, 584. Sibiria orientalis a terra Tschuktschorum et Kam- tschatka, a mari Ochotensi et Arctico usque ad Baikal et Angaram, Dahuria, Mandshuria: ad Amur fi. us- que ad ostium, fl. Usuri et Schilkam inferiorem, prov. a king (Ross ex Baker et Moore); Songaria, Al- , Ural, Rossia europaea usque ad gub. ous raie et Smolensk. 8. À. septentrionalis TI. Cod. 1146. Ledeb. FI. Ross. II, 19. Turcez. FI. Baic. Dah. II, 233. Ma- xim. FI. Amur. 192, 483. (ind. Mongol.). Herd. PI. Radd. n. 84. PI. Semen. n. 689. Trautv. Enum. Song. n. 741. Franch. PI. David. I, 200. Tota Sibiria, inclusis Kamtschatka et terra Tschuk- tschorum, Mandshuria, Mongolia: jugo Hanhai ad fi. Tui et alibi (Potanin, ’86), secus tractum mercato- rium (Ladyshinski), Altai orientali: Sailughem, Tschindagistai, fontes fl. Buchtorma (Malewski, °69) et australi: Taischir-ola (Potanin, 77), Alashan et montibus Muni-ula (Przewa]lski). — Tum in Songa- ria, Caucaso, Europa boreali et media atque America frigidiore. Var. lactiflora Trautv. Enum. Song. n. 741. Herd. PI. Radd. in Act. h. Petrop. I, 404. À. lacti- flora Pall. It. III, 244, 253. Ledeb. I. c. 18. Turez. F1. Baic. Dab. II, 232. Maxim. FI. Amur. 192. Sibiria orientali: a Jenisei (Krasnojarsk) ad Baiïka- lem et in Transbaiïcalia atque Dahuria, v. gr. ad fi. Schilka; Mandshuria: ad fl. Amur (ipse), Mongolia: ad lacum Kosogol (Radde), Songaria. 9. À. Aizoon Duby in DC. Prodr. VIIT, 50. Dene. in Jacquem. Voy. bot. 141 t. 145. Hook. f. FI. Brit. Ind. INT, 497. Var. integra: eglandulosa, foliis dense ciliatis, corollae majoris laciniis obovatis integris v. rarissime subtruncatis. China: Prov. Szetschuan parte boreali, ad fl. Ne- rechu et inferiorem partem fl. Atu-Lunwa (Potanin, 85). Et planta indica et nôstra mihi potius biennis quam perennis visa est. Ludit var. proposita fere pedalis et vix digitalis, corolla ex sicco rosea Himbo 8 mm. dia- metro tubum subaequante laciniis integris. Fornices ad faucem corollae, ex Duby et Hooker, nec non in icone Decaisnei 5 bifidi, jam in descriptione Decais- nei ad merum marginem crenulatum reducti dicuntur et ita sunt in var. integra. Antherae rotundatoobo- vatae filamentis brevissimis, illis pl. typicae simillimae. Ovarium, capsula et semina eadem. Planta indica (Falconer!, Dr. Giles! e Gilgit, Hen- derson! Yarkand exped.) folia parce breveque ciliata ceterum simillima, pubem inflorescentiae et scaporum subglandulosam, corollam minorem (in fig. citata diam. 4 mm., sed in pl. Hendersoni jam majorem), laci- nias limbi bilobas v. bifidas habet, sed ex Decaisne etiam emarginatae occurrunt. 10. À. longifolia Turez. in Bull. soc, Mosc. V, 25. Maxim. Ind. Mongol. 483. Mongolia orientali: ad tractum mercatorium in au- stralioribus (Kirilow! mis. Ave et australi: mon- tibus Alaschan (Przewalski, 772). Planta alaschanica specc. ane stirpis authenti- 120: 40 mn Magnis); re” _ ceptaculis axillaribus solitariis _aequantibus v. superantibus mollibus laevibus praeter achaenia pressione promuiqls, basi ve 3 deltoi- Tome XXXIL. : + deis fuscis minutis facile caducis, ore bracteis obtusis circa 5 fere clauso haud prominente, floribus 4 …, Q sessilibus perigonio vesiculoso apice vix 2—3-lobo integrove achaenium globosum laeve usque ad dimi- dium stylum obducente pellucido tenero decolore, stylo laterali elongato stigmate terminali oblongo vix cras- siore. Archipelago Ya-yama. in vico quodam (A. Tashiro, Rami et folia fere Æ. gibbosae BI1., sed pallidiora, ‘ perigonium et stylus tamen longe diversa. _ Betula Ermani Cham. in Linnaea, VI, 537 tab. 6 fig. D. Regel, Monogr. 62 et in DC. Prodr. XVI, 2, 176. Trautv. in Maxim. FI. Amur. 252. Rel. Ti F1. Ajan. 119. Trautv. et Mey. FI. Dchot. 83. Ledeb. F1. Ross. IIE, 658. a. typica Regel. Kuries: Iturup (vel jap. Etorofu) Julio 1884 frf. (K. Miyabe). à. nipponica: gemmis li glabris eglan dulosis, foliis basi cordatis late ovatis acuminatis exi- mie duplicato serratis dentibus acuminatis, strobilis breve pedunculatis nutantibus oblongocylindricis, squa- mis basi breve cuneatis brevissime ciliatis lobo ter- minali recurvo. = Nippon: alpe Nikko (J. Matsumura, fr. nond. mat.) Fere species! Folia subtus ad venas ni ser parce longe pilosa. Goodyera KR. Br. re er -sinenses. 4. RO TIELTS iles rostellum nie bifidum, flores magni, planta na Perigonium oblique oroiden phyllis ovatis lanceolatis v. oblongis. Spica densa multiflora, PA anguste lanceo- lata acuminata, sepala obtusa, rostellum bi- fidum. 3. . macrantha m. À. 5 4 L; FÉNPORRS ANSE EE ANR um. * Spica laxa secunda parum elongata. 4 è 3. Planta pr. spica infracta sec éunda. G. pendula m. M] ie spica rm continua cylin- i G _... at CN PE A 4, Folia violacea coëts este, suis ovata, petala obovata, labelli gibbus intus pilosus. 5. Folia viridia. 6- 3 abra, l duplo brevior, columna antherâ “uno rase ._triplo brevior, perigonium 12 Caulis et spica mg label I lamina où ‘obo- LG cmt ms doñnnn TOTIOY rostello paulo b procera Hook. + “ 26: bite BL. : Rs sa Bulletin de l’Académie Impériale 624 623 6. Rostellum bifidum. 7. » bidentatum, folia variegata....... G. repens R. Br. 7. Sepala obtusiuscula, saccus labelli parum co M mess IVe G. Selltendetinnn Rchb. f. Sepala acuminata............ + Net iff 1. Goodyera macrantha Maxim. in Regels Gartenfi. 1867,36, t. 533 fig. IL. Shusu ran, Soo bokf. X VIII, 85. In Japonia meridionali et archipelago Koreano. 2. Goodyera pendula. E truncis arborum dependens _spica rigide infracta sursum spectante, caule spithamaeo | polyphyllo sursum cum foliis bracteis floribusque pilis longiusculis articulatis pubescente, petiolis basi in va- ginam tubulosam dilatato ceterum lamina linearilan- ceolata acuminata 5-nervia reticulataque margine valde undulato triplo v. magis breviore, foliis a medio caule sursum recurvis linearibus summis membrana- ceis bracteiformibus, spica densa multiflora, bracteis e basi lata semiamplexicauli linearilanceolatis acumina- tis 1-nerviis ovarium ellipticum v. ovoideum superan- tibus, perigonio albo, sepalis dorso pilosis summo e lata basi lanceolato obtusiusculo cum petalis oblique lanceolatis obtusis coadunato, lateralibus oblique ova- tolanceolatis concavis omnibus 1-nerviis subaequilon- gis ac labellum sacco rotundato intus longitudinaliter tricostato ceterum glabro laminam ovalem planiuscu- Jam obtusam duplo superante, anthera late ovata api- culata brevi, rostelli bipartiti cruribus antheram haud excedentibus stigmati concavo marginato aequilongis caudicula ovata molli pollinia 4 ovoidea aequante. : Shusu ran. Soo bokf. XVIII, 86. Japonia: insulae Sikoku provincia Tosa (T. Ma- kino), Nippon prov. Ise (Inuma). Videtur valde affinis G. recurvae Lindi. in Journ, linn. soc. I, 183, e Khasia, quae tamen ex diagnosi autoris differre videtur foliis lanceolatis omnibus sub- _ consimilibus et parum inaequalibus, sepalis abrupte acuminatis, labelli lamina canaliculata oblonga saccum _ duplo superante. | _Spec. 1. ante oculos sine radice 12 cm. Radicis Jia in caule 21, e quibus 12 normalia reliqua recurva _ paulatim bracteiformia, priora in inferiore parte ma- | gis approximata patentia lamina 25 : 5 — 6 mm., om- nia etiam summa internodia (inferiora multo) supe- rantia. Folia bracteiformia ima lamina 20:3 mm. à ns cteae inferiores LA mn. Flos ae 11 mm. peri- __fibrae crassae paucae rufovillosae 3 cm. longae. Fo- |. ch 861. Walp. Ann. III, 597. Miq. Prol. 141. Fr. gonio ovarium aequante. Sepala et petala galeae 5 mm., lateralia cum labello 5,5 mm. Columna saccum labelli aequans, hic crassiusculus costis crassis subundulatis *|distinctissimis. Ovarium non tortum. — Specimen I. c. delineatum nostro simile, sed minus multiflorum et basi caule innovante foliato brevi auctum. 3. G. procera Hook. Exot. fl. t. 39. Lindl. Or- chid. 493. Rchb. f. in Bonpl. INT, 250. Neottia pro- cera Ker., Bot. reg. t. 639. China. (Parkes in hb. Kew, fide Forbes in litt.): Formosa prope Tamsuy (Oldham! n. 558 flor.), Liukiu (Wright in hb. Kew, ex Forbes), tum Java!, Ceylon! Decan!, Himalaya!. Vidi specimen hujus speciei in horto botanico To- kio cultum s. nom. japon. kin-gin-sô, quod spica brevi pubescente quadrare videtur in G. lancifoliam Fr. Sav. En. pl. jap. II, 520, à me authenticam non vi- sam, G. procerae Hook. et G. parviflorae BI. affinem dictam, à qua posteriore labello differre declaratur. Sed spica solito brevior et pl. m. puberula occurrit jam in typica G. procera, de aliis vero differentiis G. lancifoliae a G. procera autores silent. 4, G. velutina Maxim. in Rgl., Gartenfil. 1867. tab. 533. Van Houtte, F1. d. serres, AE 1779. Fr. Sav. En. IL, 38. : _Japonia Astral passim, v. gr. Nippon, prov. Awa (Kramer!) et saepe in hortis culta; introduxi in ÆEuropam a. 1864. 5. G. bifida BI. Orch. ind. et jap. 40 tab. 9 c. fig. 1— 11. Georchis bifida Rchb. in Bonplandia V, 35. Sikoku: prov. Tosa (T. Makino). Optime quadrat in descriptiones Blumei et Rei- chenbachii, nisi spica minus multiflora (in hoc exem- plo 4-flora). Plantam javanicam non vidi. Ob stigma cyathiforme, rostellum longissimum bi- partitum atque antheram acuminatissimam ad Geor- chin pertinet. $ 6. G. Schlechtendaliana Rchb. f. in Linnaea, XXI, Sav. En. II, 38. G. japonica BI. Orch. arch. Ind. I, 38, t. 9. fig. 1, t. 11 (analyt.). G. sémilis BI. L. c. 39, t. 9. f. 2, t. 11 fig. D. (foliis viridibus). Miyama ud- ; | aura, Kamome ran, Soo bokf. XVIII, 83 (typica). Japonia australi: circa Nagasaki sylvis montanis PR L 625 des Sciences de Saint-Pétersbourg. humidis muscosis ubique rara, Septembri fl. (ipse, Oldh.! sine M), promontorio Nomosaki ins. Kiusiu (Buerger! in hb. Lugd. Bat.), Nippon: Fudsi yama (Tschonoski! f.), circa Yokoska frequens (Savatier!), culta Tokio (ipse). Variegata et viridis occurrit. Blume quidem sepa- lorum forma et labello utramque distinguit, sed ex ipsius figuris identicae videntur. 7. G. secundiflora Griff. Not. IIT, 393. Ic. plant. asiat. t. 347. Lindl. in Journ. linn. soc. I, 182. Goo- dyera n. 6. Griff. I. c. 392. | China: sylvis prov. Chekiang (Fortune); Himalaya: Khasia, Assam (omnia ex Lindley). 8. G. repens R. Br. h. Kew. V, 197. Miq. Prol. 141. Fr. Sav. En. Il, 38, 520. Ledeb. FI. Ross. IV, 86. Turcz. FI Baic. Dah. III, 188. Maxim. F1. Amur. 270. F. Schmidt, FI. Sachal. n. 438. Nippon: jugo Hakone (Tschonoski!); China: prov. Kansu occidentali ad fl. Tetung in sylvis muscosis fre- quens, 7500 p.s. m. (Przewalski, 1880); Sachalin ubique (F. Schmidt), regione littorali boreali Man- dshuriae (ipse); Kamtschatka: Kljutschewskaja (Dr. Dybowski); ditione baicalensi (Turczan.); Songaria; tum in Æimalaya (Falconer!): Q Europa! Franchet et Savatier 1. c. 520. enumerant G. repentem omnino pl. europaeae congruam e Nippon, Sikkim; Caucaso!; unde verosimiliter e prov. Boshiou spec. 1. habuerunt. Mea specc. japonica vero flore majore et foliis conco- loribus differunt, sed ob rostellum bidentatum et sac- cum labelli aeque profundum non ad G. similem, sed huc pertinent, ubi lusum sistunt analogum G. simili in G. Schlechtendaliana. Tricyrtis macrantha. Caule foliorum basi nervisque subtus pilosulis, priore elato foliato, foliis lanceolato- oblongis longe acuminatis, infimis basi rotundata sessilibus, reliquis florigeris cordatoamplexicaulibus lobis sese tegentibus, pedunculis axillaribus patentibus = flore sesquilongioribus, perigoniüi ampli pulchre lutei _ concoloris phyllis conniventibus oblongis obtusis apice non revolutis sacco basali divergente ovoideo, stylo . stigmata semibifida crassiuscula duplo superante, oya- . rio glabro. … Sikoku: prov. Tosa monte Yokogura, in rupibus cal- careis, japonice: Kibana-no-hototogigu (T. Makino 1885 Habitus T7. macropodae Miq., perigonium T. flavae m., sed ultra 4 cm. longum. Folia in caule, basalibus frais emarcidis exclusis, 19, e quibus 8 sessilia reliqua florifera amplexicaulia, intoriats 10:4 cm., media 14:4 cm. summa minora. Pulchra species. Hierochloë japonica. (Sect. Ataxia Benth. in Benth. et Hook. Gen. plant. IT, 1139) Sesquipedalis gracilis, radice …, nodis laevibus e vagina striata exsertis, li- gula ovata v. oblonga, foliis vagina longioribus planis supra pilis longis tum evanidis pilosis linearibus longe acuminatis (14 cm.:5 mm.), panicula angusta subse- cunda lucida exserta radiisque plerumque binis laevibus, his apice pilosiusculis 2—3-spiculatis, spicula(4,5 mm.) 3-flora virescente terminali quam pedicellus breviore lateralibus pedicello longioribus, glumis omnibus ellip- ticis: imis parum inaequalibus carinatis majore obscure trinervia, sequentibus 2 carina et marginibus longe ciliatis triente minoribus vacuis ad medium bifidis àrista rectae sinu in tertia glumam triente superante, in quarta illam aequante, glumis quinta et sexta fertilibus 1-ner- vis obtusiusculis glabris stamina 3 ovariumque stylis ? | plumosis duplo superatum includentibus, rhachilla inter glumas distincta fructiferarum longiuscula. Nippon: prov. Senano alpe Haku-san, sub nom. Ja- ponico Haru gaya (Yatabe, 1881). Huic proxima est spec. indica inedita: La Hierochloë sikkimensis.… Statura nodi exserti vagina li- : ni gulaque praecedentis, folis vagina brevioribus anguste .| linearibus longe acuminatis margine involutis glabris, panicula longe exserta secunda racemiformi radiis sin- gulis 2—3-spiculatis, a basispiculigeris, spicula brun- nescente (5 mm.) terminali pedicellum parum laterali- bus illum pluries superantibus, glumis sterilibus mem- branaceis imis !/, inaequalibus ellipticis acutis minore 1- majore 3-nervia, sequentibus duabus parum brevio- ribus oblongis subquinquenerviis ultra medium bifidis U apice fimbriatodentatis carinaque et margine longe ci- liatis e sinu aristatis: arista inferioris glumam fere duplo, superioris parum superante, glumarum genitalia a includentium duplo breviorum inferiore cartilaginea fragili late ovata obsolete 3-nervi paleam fere aequi- longam linearioblongam bidentatam € enervem ina 627 Bulletin de l’Académie Impériale 6?2s tente, staminibus ……, caryopsi late oblonga laevi glumis paulo breviore libera, rhachilla obsoleta. Sikkcim (Ataxia 1. Hook. f. et Thomson). H. Horsfieldii (Ataxia Horsfieldii Kth. Agrost. syn. 39, Benn. PI. jav. rar. I, 8, tab. 3) utrâque robustior magis crassiculmis praeterea differt ligula brevi, rha- chilla inter glumas inferiores indistincta et glumis tertia et quarta paleam staminaque includentibus cum flore hermaphrodito structura diversis. — Java. Huic peraffinis est: Hierochloë Hooker. Gracilis, foliis linearibus longe acuminatis vagina striata brevioribus supra pilosis, ligula oblonga, paniculae angustae subsecundae laevis radis binis v. singulis 2—5-spiculatis, spicula vires- cente (6 mm.) terminali pedicellum aequante, latera- libus illum pluries superantibus, glumis 1—4 membra- naceis, imis /, inaequalibus oblongoellipticis breve acuminatis minore 1- majore elevato-3-costata, dua- _ bus sequentibus paleam linearem 2-dentatam enervem atque stamina 2—3 cassa v. ad filamenta reducta _stylumque cassum bifidum ineludentibus oblongis sub- _ quinquenerviis ds margineque Ing ciliatis, sn riore ad medi que e sinu aristata arista prioris glumam bis posterioris _ vix superante, glumis terminalibus breve stipitatis sta- mina 2 caryopsinque linearem amplectentibus parum | quam __—. ts et Laden minoribus 1-nerviis, in- feriore coriacea ica superiore minore mem- Atacia Hookeri Griseb. Nachr. at hhiiiccs tancelat _ Gütt. 1868, 7 Sikkim, is p.s. m. (Hooker fil. s. n. Afa- AD). Ob diagnosin breviorem Grisebachi hic fusius ex- ponendam putavi. Caryopsis in spec. ante oculos my- clio ete infestata et corrupta est. dalis stricta glabra, culmo scaberrimo sub panicula aeviusculo, foliis ] utrinque scabris late _exserta coarctata violascente elongata (16 : 2 cm.), ra- : düs semiverticillatis 4—6 scaberrimis supra basin jam roles x | ulis linearilanceolatis mucronato- ir se sales ge 75 sur paleam inferiorem | Ta ne dorsum arista Yatabei. (Sect. Deyeuxia). Ultra tripe- ibus, ligula brevi truncata integra, panicula parum | is, glanis à cost rulatis ceterum recta paleam aequante instructam triente superantibus, palea superiore bicuspidata quam inferior parum bre- viore, pilis calli paleam inferiorem, pilis rudimenti mi- nuti paleam superiorem subaequantibus. Nippon: montibus Hakone, japonice Yama awa (Ya- tabe, 1884). Proxima C. canadensis P. de B. differt culmo laevi, ligula lacera, foliis angustioribus, glumis latioribus acutis vaginisque inferioribus pubescentibus, Calamagrostis Matsumurae. (Sect. Deyeuxia). Vaginis culmoque erecto aequali scabriusculis, posteriore sub panicula scabro, foliis rigide erectis dimidio inferiore costa crassa percursis atque margine scabro late in- flexis, subtus laevibus glabris, supra dense puberulis, late linearibus (6 mm.) longissime acuminatis, summo paniculam parum exsertam aequante, ligula basi pu- berula elongata obtusa tum biloba; panicula fere spi- thamaea densiuscula radiïis quinis semiverticillatis sub anthesi erectopatulis multifloris, pedicellis spicula bre- vioribus, glumis parum inaequalibus (5,5 et 5 mm.) paleaque inferiore dense scaberulis pellucide pallide ochraceis 1-nérviis-acuminatolanceolatis, palea inferiore (4 mm.) superiorem paulo superante mutica ipso apice brevissime bidentata costa ad apicem haud extensa, pilis calli paleam dimidiam pilosque rudimenti subulati mi- nutissirhi aequantibus. Japonia: Aomori (J. Matsumura). C. tenella Lk. huic proxima aristae vulgo absentia, vaginarum culmique scabritie foliorumque pube, distat rudimento deficiente, omnibus partibus duplo minoribus, foliis flaccidis, gluma superiore et palea inferiore 3— 5-nerviis etc. — E nostratibus accedere videtur C. sachalinensi F. Schmidt (quae e Japonia nuper missa est: Fudsi-yama et prov. Senano, a prof. Yatabe lecta), sed haec habet folia plana glabra brevius acuminata, ligulam Se Dogs v. subnullam et paleam nn ne : aristatam. Diarrhena mandshurica. Bi-tripedalis vaginis foliisque n. lanceolatolinearibus acuminatissimis superne pilosis, erectis 2—3 semiverticillatis, spiculae 3-florae glumis valde inaequalibus dorso margineque scabriusculis 1= nerviis: superiore late ovata acutiuscula inferiorem i pa ovatam obt " J san on iré F ligula brevi truncata ad oram vaginae utrinque barbata, panicula angusta scabra exserta radiis semper stricte Lu le _ Octobre 1890. Tabulas IV, VI et VII ad Maximowicezii Diagnoses plantarum Asiaticarum, VIL, fasciculum a. 1888 publici juris factum, quas tune ob brevius temporis spatium in lucem edere non potui, sed cum Diagnoseon fasciculo VIII promulgare in mente habebam, jam nunc lectoribus tradere necesse habeo. Figuras in hisce tabulis delineatas jan omnes usque ad fig. 177 in textu fasciculi VIT suis locis citavi, quum vero in tabula VII spatium liberum sat magnum super- fuerit novas figuras addere idoneum duxi specierum quas illo tempore obtinere non potui vel quae recentiore tempore detectae sunt. De quibus omnibus sermo erit in fasciculo VIII, nunc vero tantum figurarum novarum explicationem brevem cum indicatione loci quem quae- vis species delineata in systemate ex sententia mea _ tenere debet proferre sufficiens erit. Tab. VIL fig. 178. Pedicularis robusta Hook. f. (ad Siphonanthas typicas m.). Vidi flores 2 ex herb. Calcuttensi. Affinis P. Przewalskii m. 179. P.strobilacea Franch. in Forbes et Hemsl. ÆEnum. Chin. I, 216. (Siphonanthae, 3. Polyphyllae m.) Yunnan. 180. P. macilenta Franch. 1. c. 212., ut praece- “e dens et ibidem. : 181. P. OliverianaPrain in Journ. As. soc. Ben- . à pi LVIN p. 2. pag. 257. (2. Longirostres Verticil- Jatae, 4. Tenuirostres m.); proxima P. gyrorhynchae Fr. Ex herb. Calcutt. 182. P. filicifolia Hemsl. in Forbes et Hemsl. L. c. 208. (eadem divisio. 5. Axillares m.) Prov. Hupeh. 183. P. contorta Benth., a me cum dubio inter II. Rhyncholophas, 11. Compactas enumerata, revera ad hujus divisionis seriem 6. Surrectas pertinet. Specimen amicitiae cl. S. Watson debeo. 184. P. Viali Franch. in Forbes et Hemsl. 1. Cc. IT. 219. Ut praecedens. Yunnan. Series 7. Excelsa, m. cum serie 6. Surrectis m. conjungenda videtur, subseries duas sistens: americanam foliis basi caulis aggregatis sursum cito decrescentibus, et asiaticam foliis mediis multo majoribus, ad quam posteriorem nunc P. excelsa Hook. f. et P. Vaiali Fr. ducendae essent. 185. P. Colletti Prain I. c. 278 (II. Rhyncholo- phae, 8. Resupinatae m.) Ex hb. Calcutt. Juxta P. resupinatam L. 186. P. corymbosa Prain 1. c. 277. (ut praece- dens). Proxima P. crenatae m. Ex hb. Calcutt. 187. P. flagellaris Benth. (ut praecedens). Par- ticulam exempli unici in hb. Calcutt. servati debeo am. cl. Prain. 188. P. vagans Hemsl. 1. c. 218. (ut praecedens). In Chinae prov. Szetshuan (herb. Kew). : 189. P. odontophora Prain 1. e. 275. (IL. Rhyn- -| cholophae, 10. Rostratae m.) — Ex hb. Calcutt. 190. P. asplenifolia Floerke (ut praecedens). Ana- lysin pl. europaeae dedi comparationis causa cum se- quente. 191. P. Wallichi Bge. (ut praecedens). Ex hb. Calcutt. de. 192. P. Canbyi À. Gray. (II. Rhyncholophae, 11. Compactae m.) — Summitatem exempli authen- tici misit el. S. Watson. 193. P. conifera Maxim. in Forbes et Hemsl. = Hi 1. c. 206. (III. Verticillatae, series nova: Conifera m. rostro elongato). Chinae prov. . sue Le 194. P. schizorhyncha Prain I. c. 260. (II. Ver- ticillatae, 12. Myriophyllae, characteri seriei adde: rostro rarissime apice laciniato). — Ex. hb. Calcutt. 195. P. collata Praïin 1. c. 266. (III. Verticillatae, series nova: Collata m., a proximis 14. Platyrrhynchis rostro nullo distincta, angulo frontali superiore obtu- sissimo, inferiore infra apicem bidentato, labio amplo). — Ex hb. Calcutt. 196. P. gibbera Prain (Eadem divisio, 16. Verti- cillatae). Affinis P. pygmacae m. et P. polygaloidi Hook. f. — Herb. Calcutt, 197. P. hirtella Franch. 1. c. 209. (IV. Biden- _ tatae, 23. Striatae m.) — Proxima P. Furbishiae S. Wats. — Yunnan (Mus. Paris.). Imprimé par ordre de l’Académie Impériale des Sciences. .… Decembre 1890. Imprimerie de l'Académie Im périale des Sciences. ass.-Ostr,, 9 ligne, X 12. 198. P. salviaeflora Franch. I. c. 215. (V. Ano- dontae, 24. Sceptra m.). — In serie nimis polymorpha typum proprium sistit a principali fortasse sejun- gendum, simili modo ac jam Acaules a Steiningero sejunctae sunt. — Yunnan (hb. Paris.) 199. P. Regeliana Prain I. e. 274. (V. Anodontae, 24° Acaules Stein.). Proxima P. Ariselaeri m. Hb. Calcutt. 200. P. tripinnata Mart. et Gal. (V. Anodontae, 25. Brevilabres m.) Fragmenta speciminis unici lecti et ejusdem figuram photographicam liberalissime com- municavit cl. Ed. Martens, professor Lovaniensis. Mexico. À. Strauch, Secrétaire perpétuel. l Tab. 8. Belle Hook. 5. Ochroleuca 1 ‘7. Vleway Hook. 8. Efwesii Benth. 4. Elephantoides Ê\ s a É 3 m 11. Bout NE Derbi ns Oxyearpa 19. À ü.Franchetian: 27. Pyramidata Royle. 4 illaris Fr. Ax in. Jnstar Pra 82. 5 + + :n anch. Fr Fr Savat Û Û | "Ig 24. Gyrorhyncha m. 33. Alopecuros Franc h. 37 Keiskei Semitorta Jntegrifolia Hook. 28 . kk. Excefsa KHook éensis Vive 49 L'Rirheie m 5 °g [ossa, 68. Trich Ô LE Attoïllens hysta chys Bge- 43 Brao 6 VE mater ne S /} + LA LE o cer )« a CM F7 ® ; ao £a > @ “Ch Sokl élabrata ' ; dé, / } V4 He Zen Le 18 es 2 I, Yillésa ti me _ ay. | à ee + RER | ET Ce RTE TS VE Se: on----"L. Lappon: ha Schr : | lernat L qe 17 89 Platyrhyne ilostachyam. 115. Amos na Ad. } is p di oular i Pe 08 $ 3 D ae 13. Mikrochila. Fr. Yertioillatae. var. o l .Chamissonis 2St7. Compto di 86 hi: r-iranc É énsispica.… - … 95.Globi fore Hook time. 83. Tatarinow <=S > | 1yx} Bée L s ALES Ait: 177 Versicolor W: sta en m\ Schis 118 on -M-var. alopecuroides. Trév. LEE - £ el Al eu : Ë 54 o > Hu à ==) . 187 Vacat. 1 Ses D des Sciences de Saint-Pétersbourg. 630 plus duplo breviore, floseulis infimo sessili excepto pe- dicello dimidium flosculum superante suffultis, omnibus teretibus lanceolatooblongis, palea inferiore (vi expli- cata) ovatooblonga obtusiuscula trinervi, nervis promi- nulis scabriuseulis, superiore subaequilonga conformi bicarinata acuta teneriore ad carinas hispidociliata, caryopsi paleis breviore. Gramen indeterm. Maxim. FI. Amur. 332. Gram. gen. nov., Rgl. FI. Ussur. n. 592. Mandshuria: ad Amur meridionalem, locis humidis sylvarum frondosarum passim frequens, v. gr. ad Njun- gja, Jekaterino-Nikolsk, faucibus bureicis (ipse, Radde), ad fl. Sungatsche (Maack) Wladiwostok, valleculis rivulorum umbrosis, Possiet, fructicetis umbrosis sat frequens (ipse). A sequente bene differt vaginis foliisque pilosis, flos- eulis longius pedicellatis fructiferis lanceolatooblongis (nec lanceolatoellipticis) majoribus (4 nec 3 mm.) ad __ nervos scabris neque laevibus caryopsique paleis bre- viore nec longiore. M Diarrhena japonica Fr. Say: Enum. pl. jap. II, 603. … Onoea japonica Fr. Sav. 1. c. II, 172. _ Japonia: circa Hakodate sylvis montanis, montibus Hakone in fruticetis ad rivulos (ipse), tractu alpino Nikko (Rein). Nostra paniculae radiis radiolisque, saltem in fructu, patentibus a descriptione autorum recedit. Étuendaudx ai baclcitht VE bruario 1886 edita, serius promulgata evadit quam Sp. bracteata Zabel in Gartenzeit. 1886, 20 c. fig. _ xylogr., Januario, quod nomen antiquius igitur prae- _ ferendum. Carum holopetalum m. 1. c. 466. errore typographico Carum hol opetalum impressum est. Allium monanthum m. 1. c. 554. Nomen fluminis est To- 548 nec Toychira. Bemorkung über das Auftreten von hyperelementären = Gliedern in der «Stürungstheorie». Erste Mitthei- lung. Von 0. Backlund. (Lu le 1 Mars 1888). Wen man in der Theorie der Bewegung der Him- melskürper Entwickelungen nach den Potenzen der _ Spiraea nipponica m. in Mél. biol. XII, 455, Fe- Zeit vermeiden will, so hat man vor allen Dingen dar- auf zu achten, dass sogenannte hyperelementäre Glie- der nicht erscheinen, d. h. solche Glieder, die mit den negativen Potenzen der Masse des «stürenden» Kôrpers multiplicirt sind. Es sind freilich Fälle denkbar, ja kommen sogar wirklich vor, wo Entwickelungen nach den negativen Potenzen der «stürenden» Masse zu einer Lüsung gewisser Aufgaben führen kôünnen; solche Fälle sind aber wohl als Ausnahmen zu betrachten, und in unserem Sonnensystem dürften die Verhältnisse so liegen, dass das Nichtauftreten von hyperelementären Gliedern im Allgemeinen als eine nothwendige Bedin- gung der Convergenz der successiven Annäherungen zu betrachten ist. In seinen «Undersokningar om theorien für himla- kropparnas rürelser» hat Gyldén gezeigt, dass in den von ihm gegebenen Ausdrücken Glieder von der er- wähnten Art nicht vorkommen, Ebenso hat Harzer in seiner Arbeit: «Untersuchungen über einen spe- ciellen Fall des Problems der drei Kürper» gezeigt, dass die von ihm gewählten Differentialgleichungen der Be- wegung, die den Gyldén’schen wesentlich ähnlich sind, keine hyperelementären Glieder veranlassen. Es ist von Wichtigkeit zu untersuchen, ob das Nichtauftreten dieser Glieder an eine gewisse Form der Differential- gleichungen der Bewegung gebunden ist. Von besonderem Interesse scheint mir die Unter- suchung, ob Glieder der erwähnten Art erscheinen, wenn man auf dem von Laplace im 6. Capitel des 2. Buches der Mécanique Céleste und in seiner Theorie der Jupitermonde eingeschlagenen Weg die polären Coordinaten ermitteln will. Zu dem Zwecke nehmen wir die Differentialgleichungen (Q) und (2) (Chap. 6, Livr. II, Méc. CéL.) als Ausgangspunkt. Schreiben wir in diesen Gleichungen — Q statt : und bezeichnen die Integrationsconstante mit + — +, wo a von der nullten und c von der ersten Or dnung der Masse m° ist, so wird: dr? M: 5) Es o {dw\2 dr \2 2: pe Setzen wir nun: r = ®(1 +0) Fours mr 42 Bulletin de l’Académie Impériale und nehmen an, dass op, oder, was auf dasselbe hinaus- kommt, die Excentricität hinreichend klein sei, damit nach den steigenden Potenzen dieser Grüssen entwickelt werden kann, so ia sich: (ie) 35 RAA 3 4 me +ne— n° Ne + à ne A + 2n%c + dan? | dQ + dar (1 +0 49 Et ere 1 do e do 9 p?/de 1 /det ti du (a) ET (2) aa) - 128 ni (à) 5“ (sf) indem wir hôhere Potenzen der Excentricität als die vierte und hôhere Potenzen der Masse »#’ als die erste nicht ausgeschrieben haben. Wir betrachten nur die Bewegung in der Bahn und setzen die Neigung — 0 voraus. Diese Gleichungen sind es, die wir unter- suchen wollen. Nehmen wir nun an, Q sei in eine trigonometrische Reïhe nach den Vielfachen der Zeit entwickelt, näm- lich: Q—ZA cos {(in—ÿn)t—(k: — k'$)t + P}, wo À, CR ” Constanten von der Ordnung der Masse m'; à, Ÿ, k und W ganze Zahlen und P ein constanter Winkel oder Von den Gliedern dieser Entwicke- lung künnen hôchstens diejenigen, welche die Form: _B cos {(ks —ke)t + Q} der Annahme à — + — 0 entsprechend, haben, hyper- a do = 1—p++ — 5e + _ elementäre Glieder verursachen. Das entsprechende Glied in | d Q wird sein: PET) Cos {Es — Ke} + Q) i - und ist also von de ersten Ordnung; durch Integration der ersten der Gleichungen À wird auch diese Ordnung behalten und erst im Integrale der zweiten _ Gleichung d. h. im Ausdrucke von » wird es von der aullten Ordnung also elementär, aber nicht hyperele- mentär. Von Q kônnen also elementäre, aber nicht hyperelementäre Glieder kommen. _ Die elementären Glieder von 9, wenn wir uns mit = der ersten Ordnung in Bezug auf die Excentricität LA Li kônnen im Ausdrucke: p——1 Cos (n— À 4 = np + pt — gi pt...) Wenn hier 9 mittelst (3) eingeführt wird, so schlies- sen wir wiederum, dass die constanten Glieder von der Form px” sich heben müssen, weil sonst die Bedeu- tung von »# mit der Gleichung n° 5 nicht ver- _ einbar wäre. Lassen wir nun die Annahme » —0 _ fallen, so haben wir: de Vo nine share JA — +67 — 9" pt Es ) 09 F +(1—prp.....)fS di... (5) wo n veränderlich gemäss 2 ist. In der ersten Zeile der rechten Seite heben sich die langperiodischen Glieder von der Form a, weil in der vorhergehenden Gleichung die Constanten von der Form pr sich heben. Da, wie schon bewiesen ist, = keine solche langperiodischen Glieder enthält, so enthält auch deren keine. Dieser Satz ist schon von Laplace gege- ben worden. Aus der zweiten Gleichung von (4) und (5) ergiebt sich ee a JA —e+e — 6 +pt....) LE () ) Bn2\dt} °°° wo für 9 natürlicherweise die elementären Glieder zu setzen sind. , Es erübrigt nun zu beweisen, dass die elementären Glieder von @ wirklich auf die Form (4) gebracht werden künnen. In einer zweiten Mittheilung werden wir den Beweis dafür liefern. CRC Bemerkung über das Auftreten von hyperelementären Gliedern in der Stürungstheorie. Zweiïte Mitthei- lung. Von 0, Backlund, (Lu le 10 mai 1888.) In einer früheren Mittheilung (Mäürz 1. (13.) 1888) habe ich nachgewiesen, dass sogenannte hyperelemen- täre Glieder in den Ausdrücken für Radius Vector und für die Länge sich heben d. h. dass sie in den endgültigen Ausdrücken überhaupt nicht vorkommen künnen. Dabei wurde aber vorausgesetzt, dass man den elementären Gliedern des Radius Vectors dieselbe Form geben kann, wie sie der von der Excentricität ab- hängige Theil des Radius Vectors in der rein eHipti- schen Bewegung hat. Zweck heutiger Mittheilung ist eben den Beweis zu liefern, dass die erwähnte Form in der That hergestellt werden kann. Wie in der vori- gen Mittheilung wird auch jetzt natürlicherweise die Zeit als unabhängige Variabele angenommen. Die Wahl der Zeit als unabhängige Variabele ist nicht nur des- halb von Interesse, weil Gyldén in seinen «Under- sôkningar etc.» die von ihm genannte intermediäre Länge, und Harzer in seinen «Untersuchungen über einen speciellen Fall etc.» die wahre Länge als unab- 635 Bulletin de l’Académie Impériale 636 hängige Variabele gewählt haben, sondern auch des- wegen, weil dadurch in vielen Füällen grüssere Ein- fachheit und mehr Symmetrie der Ausdrücke gewährt wird. 1. Wir beginnen mit der Bestimmung der Glieder, deren Perioden sich nur um Grôssen von der Ordnung der stôürenden Kräfte von der Umlaufszeit unter- scheiden, Wenn wir voraussetzen dürften, dass die Theorie des stôrenden Kürpers vüllig bekannt wäre, so würde unsere Aufgabe etwas einfacher sein; da aber die Bestimmung der Bewegung der Planeten ebenso wie die der Satelliten nur durch simultane Approxi- mationen geschehen kann, so wollen wir voraussetzen, dass es sich um zwei Planeten, die sich um die Sonne, oder um zwei Satelliten, die sich um ihren Planeten be- wegen, handele. Die Differentialgleichungen von 9 und * 9’ sind (Erste Mitth. 4), wenn wir noch #°vo und n°ve" auf beiden Seiten subtrahiren dæ a HR (1—V)p—=—" Er Re 8 5 y a 7" ç° 35 ,2 ,4 —- 64 n (9 TU SU Ale QUE Le de La FH PA f9 no En 9 0" ae +2 (1-v)e =" ve ++ n°0 de n°? mé RE Re A + 2n/°c'+ 4’ ne [do aan (89 00, | + Inc + 4 ar Reno ie 1h ep" } v und y sollen so bestimmt werden, dass keine der Zeit proportionalen Glieder auftreten; wie bekannt er- _ geben sie sich dann als die beiden Wire einer qua- dratischen Gleichung. _ Es wurde gesetzt = (140); r°= 4% (1 +6), und. ; v=n+y, V=ni+Y, “wo also 0, ©’, y und y von der Ordnung der Excentri- cität sind. Wir nehmen an, um die erste Approximation aus- zuführen a + 1 l) g= —x'Cos(n—< {+ AT) und folglich y —=Xx Sin(n—çsit+-A—T) y = x! Sin(n—ç + A'—T), wo x, x’ und Z Constanten sind. Die Constante v ist mit s durch die Formel (1) = (n—$ verbunden. Denken wir uns Q und Q, nach den Cos. und Sin. der Vielfachen von (» — n'}f + À — A’ und nach den Potenzen von 0, »’, y und y entwickelt; führen wir dann für die letzten Grüssen die eben angesetzten Ausdrücke in die rechten Seiten der Gleichungen (1) ein, so ergiebt sich, indem wir vorläufig v statt v in der zweiten Gleichung setzen und nur die Glieder in Cos (n—çt+ AT) resp. Cos (n —çct+ A —T) beibehalten : En (1—v)g=n® {(v—a)x—8x/! Cos(n—ct-A—T) A 2(1-v)0 = =n°{(v-«)x-8x} Cos(n- x’, wir (7 21 paies folgender Form schrei- ben künnen: Q=—=— x | Cos (n—< ç t+ — D+% Cos(n—<'# AT )| FE Cos(n—0, cyt+A—G. )+B; Cos(n—0c;'t +A—6,)]f 0) ue — x? LB, Cos(n—0.t+A—G,)+B, Cos(n—0c./t | + À — si wo die B von der nullten Ordnung sowohl in Bezug auf die Masse wie in Bezug auf die Excentricität sind, Es ist nun eine überaus wichtige Thatsache, dass _ die Argumente o die folgende und keine andere Zu- $ cet haben: Con — Nç—(n—1)6"; du. — né —(n—1)c. Aus der Theorie der grossen Planeten und der Sa- telliten ist bekannt, dass für diese Himmelskürper _ç und ç’ immer verschieden sind. Wenn nun z. B. gleich ç oder $’ sein soll, so muss #1 Gon—1 ie ne —(n—1)s —< oder _ sein, woraus folgt, dass ist, und dies ist nach der eben gemachten Bemerkung nicht müglich. Die c« künnen also nicht einmal ange- nähert die Gleichung (8) befriedigen, Wir haben hier- mit den wichtigen Satz gefunden, dass sämmtliche & sowoh] unter sich wie von 6 und £ verschieden sind. Dieser Satz kann auch so ausgesprochen werden: Bei der Entwickelung der Reihé (9) entstehen keine kleine Divisoren, die das Grosswerden eines oder mehrerer der Coefficienten B ver- ursachen. Aus der Zusammensetzung der & geht hervor, dass sie mit der Ordnungszahl wachsen; denn es ist c m1—= N(—c)+c, Con = —(n—1)(s—