À Bout | MOLLUSQUES. FAURE DU NYANZA OURERÈNE SMITHSONIAN LIBRARY SR ADO EE de D EU AE FAP RE LU PPT) LME HOMO ÿ e ; à d Pt m TENTE Ÿ=4 LA CRE TES so = #7 à L'e LAS R SN RE RE 4 à f % S | AAA Le SATA î |; AXE 1 Dall V LE V2 VAE : LAS EN PAS x fs mT PA.) RSNL4T BE eS ONCE H Sectional Library fi < Ô RU lam un ie 3 D © S = D res. © (cz .2 .A ne. LE) | € Ve, EC EUVANVA %s< AL ALL ONE à: A, # NET £ EE \ oc #0 V5 NN PrpTos LR PEUX VE VE TE CEUX 2 i \] - 4 ) WE les #17 À \ AE M 4 N Ne 4, KES & %, nor & L À. Nm 7» mr: es. | D j LE On ” Y re = == Le ES En EE TRES 7e o $ Cr a ll Fa D. LES 4 bd: x < 2/9 MOLLUSQUES FLUVIATILES CAEN ik | DU JANZA OUKÉRÉWÉ (VICTORIA-NYANZA), SUIVIS D'UNE NOTE SUR LES GENRES CAMERONIA ET BURTONIA DU TANGANIKA PAR _ M... R. BOURGUIGNAT. .» F4 PARIS IMPRIMERIE DE JULES TREMBLAY RUE DE L'ÉPERON, 0. AOÛT 1883 . Sete ch PRE og ETS MOLLUNQUES FLUVIATILES DU NYANZA OUKÉRÉWÉ (VICTORIA-NYANZA), SUIVIS D'UNE NOTE SUR LES GENRES CAMERONIA ET BURTONIA DU TANGANIKA PAR M: J. R. BOURGUIGNAT. PARIS IMPRIMERIE DE JULES TREMBLAY JE DE L'ÉPERON, D. AOÛT 1883 A. 127 } L'AL Chan EL + l | Ur il 4 1 M | 7 L ni: pl L Te E .. { ne il, TE OT Le à LR dk ! A À À CNY T ? | UN l | "+ LEE ER Pre Y LME Lo ' "1 Les espèces fluviales que je vais faire connaitre, sont les premières (1) qui proviennent du grand lac Oukéréwé, autrement dit Victoria-Nyanza. Ce lac s'étend sous l’équateur entre les 2° 81' de latitude sud et le premier degré de latitude nord ;ila la forme d’un parallélogramme allongé dans le sens du sud au nord, avec une légère inclinaison de l’ouest à l'est; il n'a pas moins, d’après Stanley, de 1,800 ki- lomètres de côtes, et son altitude est de 1,100 mètres environ. Ses eaux sont transparentes, douces et excellentes. Les espèces ont été recueillies sur les bords du lac, près de l'embouchure du Liwoumbou, qui prend sa source au sud, dans le pays d’Ourimi, etse jette dans (1) Sauf un Planorbe (sans nom) rapporté par Speke, et cité par Adams (Proceed. zool. Soc. Lond., 1866, p. 375). , — À — le lac, sous le nom de Chimayou, après un parcours d'à peu près 650 kilomètres. « Aucun cours d’eau, dit le géographe de Maunoir (1), ne peut disputer au Liwoumbou le titre de source du Nil. » La rivière Kitangoulé, découverte par Speke, en 1858, tribu- taire à l'est du Nyanza, que l’on croyait la plus importante , est moins considérable que le Liwoumbou. On peut donc affirmer que les espèces que je vais décrire, sont, pour ainsi dire, celles du Nil, puis- qu’elles ont été recueillies à l'extrémité du lac près de l’embouchure dela principale rivière regardée comme le véritable cours du grand fleuve africain. Elles ont été récoltées par le Père missionnaire Hauttecœur et envoyées à notre savant ami Grandidier par le Révérend Père Dupont, chef de la mission du Nyanza. # *k *# Ces espèces sont au nombre de 10, savoir : La MELANIA TUBERGULATA (?), coquille cosmopo- lite répandue dans toutes les eaux de l'Afrique orien- tale et même septentrionale ; La ViviPARA ABYSSINIGA (3), qui n'avait jusqu à présent été constatée que dans le lac Dembea, en Abyssinie; (1) Bull. Soc. géogr., 1876. (2) Bourguignat, Moll. orient., p. 65, 1853, et Malac. alg., II, 1864, p. 251, pl. xv, f. 1-12 (Nerita tuberculata, de Müller, 1774). (3) Jickeli, Moll. N.-0. Afr., p. 239, 1874 (Paludina abyssinica, Martens, 1866). = — 4) — La MUTELA SUBDIAPHANA (1), forme nouvelle du groupe des rostrala, gracilis, ete... dont je donne- rai les caractères dans ma Malacologie égyptienne, puisque cette espèce se retrouve dans tout le cours du Nil; Enfin, les 7 Uxios suivants, qui paraissent parti- culiers, à la région où ils ont été trouvés. UNIO HAUTTECŒURI (fig. 1-3). DORE ANA EP MEME Ha AE RE HAE NA NUS AIN ETATS LT), 92 Épaiss. max. ( à 10 dessommets, 13 d bord antérieur, 23 du rostre, 14 de l'angle‘ post.-dorsal, et 12 de la base de la perpendiculaire). . . .. 16 Cordeapico-rostrale MSIE rn 30 Dist. des sommets à l'angle. . . 15 — de l'angle au rostre. . . .. : . .. AIR 5 Haut. de la perpendiculaire. . ..... 2? Dist. de la perp. au bord antérieur. . . 11 — du même point de la perp.au rostre. ?5 — enfin, de la base de la perpend. à l'angle postéro-dorsal. . . . . .. M U24 Espèce de forme ovoide-subarrondie, relativement très ventrue pour sa longueur (convexité bien régu- lière, exactement répartie, dont le maximum se trouve accentué, néanmoins, assez près des sommets, et (1) Bourguignat, in sched, 1875. pt presque sur la ligne de la perpendiculaire). Bord su- périeur recto-déclive jusqu’à l'angle, qui est à égale distance des sommets et du rostre, puis fortement descendant sur le rostre en offrant un contour pres- que droit ou un tant soit peu concave. Région anté- rieure peu développée, exactement ronde. Bord infé- rieur bien convexe. Région postérieure dépassant un peu plus de deux fois l’étendue de l’antérieure, allant en s’atténuant en une partie rostrale très obtuse, subarrondie. Sommets (érosés) très antérieurs, gros, proémi- nents, obtus et fort ventrus. Arête dorsale confondue dans la convexité, offrant à sa partie supérieure une descente rapide sur la crête qui est très peu développée. Valves assez épaisses, intérieurement d’une belle nacre bleuacée, et extérieurement d’une teinte foncée uniforme d’un brun olivâtre, sur laquelle se détache en blanc (par suite d'usure) l’élégant dessin des nom- breuses rides, qui étendent leurs rugosités sur toute la surface, sauf vers les contours où l’on ne remarque seulement que de fines stries concentriques. Ces rides fortes, saillantes, bien espacées, sont, sur la région antérieure, recto-concentriques (sauf vers le haut de cette région, où elles paraissent remontantes); tandis que sur la région postérieure, elles affectent nette- ment la disposition fulgurante et donnent lieu à 5 li- gnes d’angles aigus, qui finissent, vers le bas, par s'entremêler. Cardinale comprimée, élevée, triangulaire. Latérale ges M a mince, très saillante à l’extréinité. Ligament posté- rieur court, peu saillant. Lunule filiforme, très allongée. UNIO GRANDIDIERI (fig. 4#-(). Épaiss. max (à 6 des sommets, 10 du bord antérieur, 13 du rostre, et 9 de l'angle post.-dorsal et de la base de la DéentL) NOR NÉE EE Er 11477 Corde apico-rostrale.". 2" L . 42. … De Dist. des sommets à l'angle. . . . . .. Sue — de lanele AU TOSITe. : 2. : à. . Le Haut. de la perpendiculaire. . . . . . .. 151/2 Dist. de la perpend. au bord antérieur. . 8 — du même point de la perp. aurostre. 15 — enfin, dela base dela perp. à l'angle Poster Oo dorsale CN nr. 16 Coquille presque ronde, relativement très ventrue (le maximum de la convexité égale la moitié de la longueur), à valves épaisses, d’une belle nacre saumo- née en dedans, et recouvertes par un épiderme mar- ron-olivâtre, sur lequel se montrent de nombreuses rides (ou rugosités) fulgurantes, qui se détachent en blanc (par suite d'usure) sur toute la surface. Le mode de fulguration est différentde celui de l'Hauttecœurt. Sur les sommets érosés, on remarque des rudiments de tubercules qui ont dû être fort saillants. 7 Bord supérieur légèrement arqué jusqu'à l'angle, puis descendant sur le rostre en se convexant fai- blement. Région antérieure ronde, moins haute que la postérieure. Bord inférieur exactement circulaire. Région postérieure, à peine deux fois plus étendue que l’antérieure, terminée par un contour rostral presque rond, par cela même des plus obtus. Sommets ventrus, assez proéminents. Arête dor- sale confondue dans la convexité. Crête exiguë. Car- dinale très comprimée, allongée, à sommet obtus, arrondi. Latérale courte, saillante seulement à son extrémité. Ligament postérieur médiocre. Lunule filiforme, allongée. Impressions musculaires pro- fondes. Chez cet Unio, la matière entière des valves (sauf l'enduit épidermique) est d’un rouge saumoné uni- forme. Extérieurement, dans les endroits érosés, cette coloration apparait semblable à celle de la nacre in- terne, excepté vers les sommets, où elle prend une teinte tirant un peu sur le ton topaze. UNIO DUPONTI (fig. 10-12). Cette espèce, voisine parsa forme et par sa taille de la précédente, diffère de celle-ci par sa nacre blanche ‘argentée, à peu près du même ton aussi bien à l’inté- rieur qu’à l'extérieur (dans les endroits érosés) ; par son épiderme jaunacé-subolivâtre clair, très élé- gamment orné de radiations divergentes d’un vert intense; par une convexité moins forte ; par des som- Sie mets moins gros, moins ventrus, même sensiblement comprimés; par une région antérieure plus dévelop- pée ; par ses valves moins épaisses; par sa cardinale exiguë, subtriangulaire, etc. De même que chez le Grandidieri, cet Unio est entièrement sillonné par des rugosités fulgurantes. Seulement ses rugosités ont un mode différent de fulguration. Ponte lou AuoTINt das 21 MURS re ein RS Tue Clust ps 15 Épaiss. max. (à 6 des sommets, 9 du bord antérieur, 13 du rostre, 9 de l’angle et de la base de la perpendiculaire . . ......... 8 Garde apieo-rostralet: lit touiehie 15 1/2 Dist. des sommets à l’angle. ......... 81/2 —,de l'angle au rostre... League len 81/2 Haut. de la perpendiculaire. . ....... 15 Dist. de la perpend. au bord antérieur. 9 — du même point de la perpend. au HO EE RP DEN OR DUT OP DU EEE TT 13 — enfin, de la base de la perpend. à Lane rn UT SE Rue ue AG | 15 D’après ces mensurations, le maximum de la con- vexité, situé sur la ligne de la perpendiculaire (chez le Grandidieri, il se trouve un peu en arrière), est à égale distance du bord antérieur, de l’angle et de la base de la perpendiculaire ; l'angle postéro-dorsal est également distant des sommets et du rostre ; enfin, les hauteurs perpendiculaire et maximum, ainsi que la corde apico-rostrale et la distance de la base de la * —10— perpendiculaire à l'angle postéro-dorsal sont, à un demi-millimèêtre près, de même étendue; d’où il résulte que le Duponti est plus exactement rond que le Grandidieri. Bord supérieur faiblement arqué jusqu’à l’angle, puis offrant un contour arrondi en descendant sur le rostre. Région antérieure bien ronde, plus développée en hauteur que celle du Gran- didieri. Bord inférieur bien sphérique. Région postérieure à peine une fois et demie plus étendue que l’antérieure, se terminant par une partie rostrale bien ronde. Cardinale exiguë, allongée, comprimée, peu élevée, subtriangulaire. Latérale saillante seule- ment à son extrémité, nulle ou presque nulle vers sa partie médiane. Ligament très court. Lunule très petite, subtriangulaire. UNIO RUELLANI (fig. 16-18) (1). Cet Acéphalé, auquel j’attribue le nom du Révérend Père missionnaire Ruellan, décédé au champ d’hon- neur à Tahra, entre Bagamoyo et le lac Tanganika, est une forme ovale-arrondie, très ventrue (convexité s’accentuant surtout sur la région ombonale), sillon- née par de fines stries concentriques, saillantes, ser- rées, bien régulières, et n’offrant aucune trace de (1) Cette espèce n'a pas été lithographiée dans les règles par le dessinateur, qui a oublié de donner aux sommets la prédominance sur tout le contour supérieur. Sen); ) Pod rugosités, sauf vers les sommets (toujours érosés), où l’on remarque des rudiments de larges rides fulgu- ‘rantes. LIT ENS ETES SEA ENEERE Ere EE ARC A PPS ER PNR on nanes Cm E fNT ES inde ir 02 Épaiss. max. (à 8 des sommets, 18 des bords antérieur et postérieur, ainsi que de la base de la perpendiculaire ; enfin, à 11 de l’angle jpostéro-dorsal) . . . . . . . . . 16 1/2 Corde amco-restrales 29. 4... 97 Dist. des sommets à l’angle.. . . . . . . 15 der lantiesauerostre. 4.4. ." , {4 Haut. de la perpendiculaire. . . . . . . . 93 Dist. de la perpendiculaire au bord La var — du même point de la perpend. au RO ne na Meta 202 — enfin, de la base de la perpend. à JE nS RR RP EN CERTES NRR Bord supérieur convexe. Région antérieure sphé- rique, néanmoins légèrement décurrente à sa base. Bord inférieur convexe. Région postérieure pas tout à fait deux fois plus longue que l’antérieure, ter- minée par un contour rostral bien rond. Sommets (érosés) gros, ventrus, obtus, proéminents, sur les- quels se montrent des vestiges de rides fulgurantes. Arête dorsale assez bien accentuée. Crête exiguë. Valves peu épaisses, d’une belle nacre blanche à l’inté- rieur, paraissant à l'extérieur (dans les endroits éro- sés) d'une nuance argentée, et recouvertes par un épiderme jaune-verdâtre, sillonné par une multitude = A0 es de très fines radiations d’un vert foncé. Cardinale assez épaisse, bien que comprimée, allongée, allant en augmentant insensiblement en hauteur jusqu’à son extrémité, où elle est taillée à pic. Latérale étroite, tranchante, peu saillante. Ligament postérieur très court, médiocre. Lunule fort petite, triangulaire. UNIO EDWARDSIANUS (fig. 7-9). Cet Unio, que j'inscris sous l'appellation d'Edward- sianus, en l'honneur de notre ami le professeur Alphonse Milne-Edwards, membre de l’Institut, est une belle espèce oblongue, dont les valves, à nacre d’une teinte aussi bien rosacée en dedans qu’en dehors (dans les endroits érosés), sont chargées de fortes rides fulgurantes, qui font sentir leurs sinuo- sités même à l’intérieur, par suite du peu d'épaisseur du test. Ces rides, qui sillonnent toute la surface externe, ont une disposition particulière : ainsi, elles ne deviennent fulgurantes que sur la région posté- rieure, tandis qu’elles se développent, en avant, en lignes obliquement descendantes, également es- pacées, de gauche à droite, sauf sur une faible portion tout à fait antérieure, où elles sont légère- ment tremblotées et irrégulières. Toutes ces rides ou rugosités, fort saïllantes, se détachent en rose (par suite de l'usure du test) sur un fond marron un tant soit peu verdâtre vers la base inféro-postérieure et sur la région entre l’arête dorsale et la crête. Re Done EM be id TAN GE os Net Hot ete HMEUAUIS ui D Bec x 14 Épaiss. max. (à 6 des sommets, 9 du bord antér., 16 du rostre, 11 de l'angle post.-dorsal, 8 de la base de la perpend.). 1? Corde/apicorostmale use : 07,4 20 Dist. des sommets à l’angle. . . .. EL — de dangle autrostre;:1),. Lil à: 10 Haut..de la perpendiculaire, 1", . 14 Dist. de la perpend. au bord ant. . .... 8 — du même point de la perp. aurostre. 17 — enfin, de la base de la perpend. à lanelet Ar tute ras RE M Er Anne KO Valves fortement bâillantes en avant. Bord supé- rieur rectiligne jusqu’à l'angle, puis descendant sur le rostre sous un contour très faiblement convexe. Région antérieure exiguë, arrondie. Bord inférieur médiocrement arqué. Région postérieure d’une forme oblongue, dépassant deux fois la longueur de l'anté- rieure, allant en s’atténuant en une partie rostrale obtuse, un tant soit peu subaiguë. Sommets très anté- rieurs, gros, ventrus, obtus, proéminents, bien re- courbés et fortement ridés dès la pointe des crochets. Arête dorsale accentuée, offrant sur sa ligne supé- rieure une descente presque à pic sur la crête, très faiblement comprimée à l’angle postéro-dorsal. Car- dinale géminée, pourvue de deux lamelles compri- mées aussi fortes l’une que l’autre, tandis que sur la valve gauche, où les denticulations sont habituelle- ment au nombre de deux, il n’y a qu’une seule dent simple, comprimée, obliquement triangulaire. Laté- As PASS rale tranchante, étroite, bien saillante. Ligament postérieur court. Lunule filiforme presque nulle. UNIO GRANTIANUS. Le Révérend Père missionnaire Hauttecæur n’a recueilli qu’une moitié de valve dextre de cette espèce. Néanmoins, cette moitié de valve est suffisante pour la connaissance des signes distinctifs de ce bel Unio, auquel j'attribue le nom du cap. Grant, le compa- gnon de Speke, lors de la découverte du Nyanza Oukéréwé. Le Grantianus est une coquille de la forme et à peu près de la taille de l'Edwardsianus ; ses rugosi- tés, qui couvrent également toute sa surface, offrent presque le même mode de sinuosité ; seulement, elles sont moins espacées, plus saillantes, comme ru- gueuses, et plus sensibles à l’intérieur que celles du précédent; enfin, elles arrivent d’une façon si accen- tuée jusqu'au bord des contours antérieur et infé- rieur, qu’elles donnent à la frange marginale une apparence crénelée. Cet Unio diffère encore de l’'Edwardsianus par sa matière nacrée, non rosacée, mais d’un beau blanc argenté ; par son épiderme d'un vert-olive pâle uni- forme ; par ses sommets peu proéminents, médiocre- ment renflés et comme écrasés; par sa convexité moins forte (8 millim.) et moins rapprochée des som- mets que celle du précédent ; par sa cardinale, non géminée, mais unique, comprimée, fort peu saillante, à sommet très obtus ; enfin, par une latérale si mince, ST si délicate, si peu haute, qu’elle est pour ainsi dire nulle. Je n'ai pas donné la représentation de cette forme, à cause de l’état de défectuosité de la seule valve que j'ai eue entre les mains. Plus tard, lorsque j'aurai reçu un nouvel envoi, j'espère retrouver cette espèce, que je ferai alors représenter. UNIO MONCETI (fig. 13-15). Cet Unio, que je dédie au Révérend Père Moncet, de la mission du Tanganika, est une jolie petite espèce allongée, à bords supérieur et inférieur presque parallèles, à arête dorsale très prononcée, et terminée par un rostre inférieur. Épaiss. max. (à 5 1/2 des sommets, 10 du bord antérieur, 12 du rostre, 7 de l'angle postéro-dorsal, 8 de la base de la pérpendiculaire)es tt Loulou 8 Cordé/apico-rostrale ur: tuile t MAL 18 Dist. des sommets à l’angle. . . . . .. 12 — de l'angle au rostre.. . . . . . .. 8 Haut. de la perpéndiculaire . . . . . . . 10 Dist. de la perpend. au bord antérieur. . o 1/2 — du même point de la perpend. au FOUT AU EL Le pd M0) st) ASE Dr 16 1/2 A6 Bord supérieur subrectiligne, puis s’arquant assez fortement à partir de l’angle. Région antérieure très exiguë, arrondie. Bord inférieur presque droit, remontant faiblement à son extrémité. Région posté- rieure allongée dans le sens horizontal, trois fois plus longue que l’antérieure, conservant la même hauteur jusqu’au niveau de l'angle, ensuite s’atténuant, sur- tout supérieurement, en une partie rostrale infé- rieure, assez aiguë. Sommets très antérieurs, ven- trus dans le sens de la longueur, très proéminents, et sillonnés par des rides fulgurantes (presque effa- cées par suite de l'érosion), qui ne s’étendent pas au delà de la région ombonale. Arête dorsale fortement accentuée, légèrement convexe, offrant supérieure- ment une descente presque à pic sur la crête. Nacre rougeâtre, aussi bien en dedans qu’en dehors, dans les endroits érosés. Épiderme d’un marron faible- ment verdâtre, avec quelques apparences de radia- tions plus vertes. Stries concentriques délicates et régulières, sauf sur la région ombonale où se trouvent des rugosités. Cardinale très haute, subquadrangu- laire, denticulée. Latérale mince, très longue, peu saillante. Ligament fort court. Lunule filiforme. x k x Lorsqu'on considère les signes distinctifs des 9 espèces du Nyanza-Oukéréwé, en exceptant, comme de juste, la Melania tuberculata, coquille cosmopo- lite, on reconnait : A ot 1° Que, sur ces 9 Mollusques, les Vivipara abys- sinica et Mutela subdiaphana sont exactement représentées, l’une dans le lac Dembea, en Abyssi- nie, l’autre dans le cours inférieur du Nil; 90 Que l'Unio Monceti a son analogue dans l’acu- minatus du Nyanza Mwoutan (lac Albert), et que le Ruellani, bien que très distinct, a quelques rapports de contours avec certaines formes de la série du niloticus ; 3° Qu’enfin les Unio Hauttecœuri, Grandidieri, Edwardsianus, Duponti et Grantianus sont des formes spéciales, qui ne peuvent être assimilées à aucunes d'Égypte, ni à aucunes des grands lacs afri- cains les plus voisins de l’Oukéréwé. On ne connait du lac Dembea (Abyssinie) que 4 Unios, les abyssinicus, æneus, Dembeæ et Jichelii (1). Les caractères de ces Mulettes n’ont aucun rapport avec ceux des espèces que je viens de décrire. Il n’en est pas de même d’un des Unios (2?) du Nyanza Mwoutan, l’acuminatus (3), coquille de la (1) Voir mon Histoire malacologique de l'Abyssinie (1 vol in-8, avec planches et cartes, Paris, 1883) pour la synonymie de ces espèces. (2) L'autre est le Bakeri. Get Unio ressemble, comme forme, à l'aferulus (Lea) du lac Nyassa ; seulement, il est plus mince, plus inéquilatéral; ses valves, comme celles de la plupart des Unios de l'Oukéréwé, sont fortement sillonnées de rides divariquées, qui passent sur les sommets à l'état de nodosités. (3) Adams, in : Proceed. zool. Soc., 1866, p. 376. Que série des teretiusculus, auquel appartient le petit Monceti.Cetacuminatusse distingue du Monceti par sa taille plus forte (long. 29, haut. 15, ép. 10 millim.); par sa forme moins allongée, par suite de sa hauteur relativement bien plus grande; par sa région posté- rieure acuminée en une partie rostrale non infé- rieure, comme celle du Monceti, mais presque médiane; par sa cardinale épaisse, moins haute et non subquadrangulaire. Parmi les Unios connus du Tanganika, tels que : le Burtoni (1),le Tanganikanus (2), l'Ujijiensis (3), l'Horei (4) etle Thomsoni (5), aucun (6) ne peut être confondu avec ceux de l’Oukéréwé. Tous sont striés concentriquement, sauf le T'homsoni, qui présente, en avant et en arrière des sommets, des rides granu- leuses rayonnantes, et le Burtoni, qui offre des rugosités délicates seulement sur sa région posté- rieure. Puisque je viens de citer quelques-unes des espèces (1) Woodwari, 1859. (2) Bourguignat, 1883 (Unio tanganyicensis, Smith, 1880). (3) Crosse, 1881. [Unio nyassaensis (non Lea) var. tanganyicensis, Smith, 1881. (4) Smith, 1880. (5) Smith, 1880. (6) Quant à l'espèce que Smith (in : Proceed. zool. Soc., 1880 et 1881) rapporte à l'Unio niloticus du Nil, je suis plus que con- vaincu que, sous cette appellation erronée, se cache non pas une, ere du lac Tanganika, je saisis l’occasion de dire quel- ques mots sur deux remarquables formes génériques d’'Acéphalés, découvertes dans cette grande mer inté- rieure. La première est celle que j'ai établie, en 1879, sous le nom de CameronrA (1), pour l’Iridina Spe- kei de Woodward (2), espèce que Smith (3) a fausse- ment classée parmi les Pliodon, ainsi qu'un de mes bons amis chez lequel la haine a oblitéré le jugement. Si ces deux personnes connaissaient un tant soit peu les diverses formes de Pliodon, elles sauraient que les espèces de ce genre sont des coquilles de forme subarrondie ou ovalaire; que le maximum de hauteur dépasse toujours (4) la moitié de la longueur ; que le bord inférieur est constamment convexe, et non rectiligne ou sinueux, comme chez les Mutela, Cameronia ou Chambardia; que les denticulations sont également réparties sur toute l'étendue de la charnière, depuis l'extrémité antérieure jusqu’à celle postérieure ; qu’enfin les ligaments sont multiples, un antérieur interne et un postérieur externe très saillant ; etc... — tandis que, chez le genre Camero- nia, la coquille est caractérisée par des valves très mais plusieurs formes nouvelles différentes du vrai nüloticus du Nil. (1) Bourguignat. Desc. Moll. Égypte, Abyss., Zanzibar, etc., et du centre de l'Afr., p. 42, 1879. (2) In : Proceed. zool. Soc., 1859, p. 348, pl. xzvir, fig. 2. (3) In : Proceed. zool. Soc., 1880, p. 350, et 1881, p. 296. (4) Mème chez l’elongatus, le plus allongé des Pliodon. Loge allongées, dont la hauteur est toujours moindre que la moitié de la longueur; par une charnière offrant antérieurement une dent lamelliforme, et posté- rieurement une série de denticulations; par un ligament simple, non postérieur, mais s'étendant depuis la lamelle cardinale jusqu'à la partie moyenne de la série postérieure des denticula- tions, qui font fonction de dents latérales. S'il existe, certes, une coupe générique bien carac- térisée, c’est bien celle-là. La seconde forme générique est celle que je pro- pose, sous l’appellation de BurTONIA, en l’honneur du célèbre voyageur qui, le premier, en 1858, a découvert ce grand lac, pour le Spatha tanganyi- censis de Smith (1). Ce Spatha, qui devra prendre dorénavant le nom de BURTONIA TANGANIKANA (2), est une forme qui ne possède pas les caractères spathiens. Les Spatha, en effet, sont des bivalves à coquille épaisse, pesante, de forme subarrondie, ovalaire ou médiocrement oblongue, toujours très haute pour leur longueur, à épiderme d’un foncé verdâtre, rou- geâtre, ou bien, le plus souvent, d’un noir intense, à nacre interne d’un violet vineux plus ou moins pro- noncé, sauf chez deux espèces, où la nacre est d’un beau blanc argenté. (1) In : Proceed. zool. Soc. Lond., 1880, p. 350, pl. xxxi, fig. 8. (2) On ne peut adopter le nom de fanganyicensis, proposé par ee Leur charnière subarquée, sinueuse, sans dents, offre seulement (chez quelques espèces), sur la valve sénestre, au niveau des crochets, une éminence tuberculeuse occasionnée par le développement, sou- vent exagéré, du ligament interne. Leur région laté- rale très courte, large, méplane, déclivesur l’intérieur, est sans aucune apparence de lamelle. Leurs ligaments sont multiples : 1° un postérieur, symphynoté à l'état de jeunesse, devenant, avec l'âge, externe, robuste et très saillant; 2 un anté- rieur interne, d’une nature lamelleuse, d’une grande puissance, s'étendant depuis l’extrémité antérieure jusqu'à moitié de la région latérale, en se prolon- geant en dessous du ligament externo-postérieur et en absorbant toute la région cardinale, et même sou- vent la moitié de la latérale. Les Spatha sont, à ma connaissance, au nombre d'une vingtaine. Je les possède presque toutes. Les BuRTONIA, au contraire, sont des coquilles subtrigones, très inéquilatérales, à région antérieure courte, exiguë, tandis que la postérieure, excessive- ment développée, dépasse plus de quatre fois la lon- gueur de l’antérieure. L’arête dorsale, singulièrement prononcée, est sensible des sommets au rostre. Les sommets sont petits, aigus, méplans, comme écrasés. La charnière est caractérisée par une région latérale Smith, d'abord par principe d'euphonie, ensuite parce que la dési- nence ensis ne peut s'appliquer, d'après les règles de la nomen- clature, qu'à des noms de villes ou de villages. LS OOUUE fort allongée, sillonnée par une lamelle (une sur chaque valve) se prolongeant des crochets à la lunule. La région cardinale simple est nulle. Le ligament antéro-interne, filiforme, se profile sur le contour du bord antéro-supérieur. Le ligament postérieur, très allongé, non saillant, est recouvert par le test. Ainsi, chez les Burtonia, la forme générale est tri- gonale-subelliptique ; chez les Spatha, elle est subar- rondie, ou plus ou moins ovalaire. L'arête dorsale est très prononcée ; elle est nulle chez les Spatha. Les sommets sont petits, comprimés, comme écrasés; chez les Spatha, ils sont gros, ventrus, proéminents. La région latérale de la charnière, très longue, est lamellée ; celle des Spatha est courte, large, déclive, sans trace de lamelles. Le ligament antéro-interne est filiforme; il est, au contraire, d’une puissance énorme chez les Spatha, puisqu'il absorbe toute la région cardinale et une partie de la latérale. Le liga- ment postérieur est allongé, tout en restant fluet et recouvert; celui des Spatha, gros, court, est très saillant. Tout enfin est dissemblable entre les Burtonia et les Spatha. M. Smith, en publiant (Proceed. zool. Soc. Lond., 1880, p. 350 et pl. xxx1) sa Spatha tanganyicensis, a donné (fig. 8) la représentation de la forme adulte de la Burtonia tanganikana, et (fig. 8°) celle d’un échantillon non adulte, qu'il considère comme le jeune de l'espèce de sa figure 8. Cet échantillon doit ARC EE être, au contraire, le jeuno de cette autre coquille que cet auteur vient de faire connaître également sous le même nom de Spatha tanganyicensis, dans les Pro- ceedings zoological Society of London (1881, p. 296, pl. xxx1v, fig. 32). Cette nouvelle forme, que je dis- tingue sous l'appellation de Burtonia Livingsto- niana, est remarquable par son extrémité rostrale, beaucoup plus acuminée, et par sa région postérieure moins développée en largeur que celle de la vraie tanganikana. Saint-Germain. Août 1883. JR VE PARIS. — IMP. J. TREMBLAY, RUE DE L'ÉPERON, 5. Imp.Becquet f Paris. Arnoul del ‘ » CMEMME / no Sd Nyanza Ouk $ i # , mes SARCELLES TL ". AT ne à | A À à | g. + UD L Mn PET 4 PSCATE UT RE) ee PE 07 EN à mnt me attene at ane me UK Ï NUE 141 h 1 A. À, Hg: kids: TARA PF Ar ALERT MEET LE RS anse “D LE] y % 1 £ v me ‘ À JS Ar a ACANRCEN 1810 eh nt 0 berrn y APE net Ua REP REe PS : DORPOTTEON ES en eshihgs pt pet QAR n ROC EE t… L ? 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