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CENTRE DE DOCUMENTATION DU MONDE ORIENTAL

GENEVE

]ean-François CHAMPOLLION

MONUMENTS DE L'EGYPTE ET DE LA NUBIE

VOL. I

(Réduction photographique de l'édition original e)

EDITIONS DE BELLES-LETTRES

GENEVE 20

INSTITUTS

Q]E EIHE ^«TS

CENTRE DE DOCUMENTATION DU MONDE ORIENTAL

GENEVE

Jean-François CHAMPOLLION

MONUMENTS DE L'EGYPTE ET DE LA NUBIE

VOL. I

(Réduction photographique de l'édition originale)

EDITIONS DE BELLES-LETTRES GENEVE 20

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OF FINE ARTS NE^H CA3T

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53-50

AVERTISSEMENT

La publication des Monuments de l'Egypte et de la Nubie Constitue probable- ment, avec celle des Denkmàler de Lepsius et des Monumenti de Rosellini, l'un des événements majeurs de l'égyptologie. Aujourd'hui encore, près d'un siècle et demi après, les planches de l'équipe de cinq dessinateurs dirigés par Jean-François Champollion pendant ses deux années de séjour en Egypte (1828-1830), et ses relevés hiéroglyphiques personnels, restent l'une des sources irremplaçables de notre connaissance des monuments et des inscriptions de l'Egypte ancienne: il est banal de rappeler que beaucoup des monuments que put copier l'égyptologue français ont soit disparu, soit subi si bien les outrages du temps et des hommes que certains textes originaux (pour nous borner à cet aspect) n'existent plus ou sont devenus illisibles.

Le tirage limité des Monuments, leur inaccessibilité souvent même dans les bibliothèques qui ont la chance de les posséder, mais qui hésitent à communiquer ces livres précieux à l'étudiant ou au chercheur rendent cependant aléatoire le recours à cette riche information.

La présente publication répond au regret fréquemment exprimé de ne pas dispo- ser d'une édition courante des quatre volumes de planches et des six livraisons des «Notices»; elle n'a pas d'autre ambition que de rééditer, dans un format plus commode que les in-folios originaux, un ouvrage précieux entre tous et qui, pour être tombé dans le domaine public, n'en demeure pas moins inabordable... Cette réédition est donc un ouvrage de travail, et non une oeuvre de collection bibliophi- lique. En ce sens, elle trahit volontairement l'original, en ne procédant pas à l'hommage esthétique du fac-similé, et en se bornant à fournir un document lisible, utilisable dans le travail quotidien de l'étudiant ou du chercheur.

Pour des raisons pratiques de consultation, on a maintenu la division originale de l'oeuvre, et bien entendu la numérotation des planches. Il ne s'agit par ailleurs pas d'une édition critique: tout au plus a-t-on pris soin de faire figurer à la fin du

dernier volume une Table des concordances entre les planches de ChampoUion et celles de Rosellini, et les références à la Topographical Bibliography de Porter & Moss.

Il n'est peut-être pas mauvais de rappeler le contexte de l'édition originale et les circonstances parfois curieuses qui entourèrent sa préparation et sa publication.

Comme on le sait, ChampoUion avait mis sur pied, avec des appuis divers (la dépense totale avait été devisée à 90.000 francs de l'époque), une expédition en Egypte destinée à rapporter une documentation aussi complète que possible sur les monuments encore visibles, pour servir de matériau d'étude sérieux à la nouvelle science égyptologique: précédemment, de 1824 à 1826, il avait parcouru l'Italie, visitant les collections, prenant des notes, enrichissant son bagage scientifique: c'est au cours de ce séjour, vraisemblablement, qu'il fit la connaissance de Rosellini qui allait être son compagnon fidèle durant les deux ans du séjour égyptien. En effet, l'expédition française était doublée d'une expédition toscane, dirigée par Rosellini, et financée par Léopold II, grand-duc de Toscane. L'expédition dura de juillet 1828 à mars 1830, et il semble bien que l'entente entre Français et Italiens ait été par- faite, et que l'oeuvre ait été envisagée dans un esprit de totale collaboration, les uns et les autres échangeant et consultant leurs documents. Dès le début, il avait été prévu une publication commune, franco-toscane; dans une lettre du 20 septembre 1830 ' ChampoUion le rappelle à Rosellini en lui disant en substance : «pas plus vous ne pouvez envisager une publication sans moi, pas plus je ne peux l'envisager sans vous». Mais au moment précis la lettre arrive à Pise, paraissait un grand prospectus annonçant l'édition italienne...

Que s'était-il passé ?

Tout d'abord, la France était en pleine révolution : elle vivait depuis mars 1830 des troubles qui culminèrent en juillet par les trois journées révolutionnaires qui mirent fin au règne de Charles X. Le grand-duc de Toscane peut avoir légitimement

' Cf. Hermine HARTLEBEN - ChampoUion. Sem Leben und sein Werk. Berlin 1906.

pensé qu'une telle situation, dont la durée était imprévisible, empêcherait la publi- cation d'une oeuvre qu'il avait largement financée. D'autre part, Léopold II consi- dérait Rosellini comme l'égal de Champollion; il estimait, en outre, être le pro- priétaire des dessins de l'expédition toscane, Rosellini n'en étant, en quelque sorte, que le dépositaire. Et il n'entendait pas laisser à la France le monopole d'une telle publication ni même, on le verra par le premier fascicule toscan de 1832, la priorité dans l'opération (le fascicule est dédié au Grand-Duc et non au roi de France, et le nom de Rosellini précède celui de Champollion). Enfin, les travaux de Rosellini étaient infiniment plus avancés que ceux de l'expédition française: il était en mesure de publier 320 planches et 8 à 12 volumes de texte explicatif, et prévoyait une durée de cinq ans, à partir de 1831, pour l'ensemble de cette publi- cation.

Entre-temps, la situation semble se stabiliser en France; le 1er avril 1831, Champollion propose à Rosellini de venir passer à Paris les mois de mai, de juin et de juillet, «s' il n'y a pas de guerre», pour définir le détail de la publication commune. Champollioii envisage la répartition suivante: il s'occupera des monu- ments historiques proprement dits, des dieux et déesses, des bas-reliefs astrono- miques et laissera à Rosellini les domaines des arts et métiers, des vêtements, coutumes, jeux, musique; des cérémonies religieuses, de l'embaumement, des tom- beaux, des outils, du mobilier, etc. On le voit: d'un point de vue purement historique, Champollion se réserve la part du lion.

Rosellini arrive à Paris le 14 juillet 1831; un accord assez aléatoire intervient (aléatoire, parce que le Grand-Duc de Toscane n'épouse pas nécessairement le point de vue des deux égyptologues). A la fin du mois de septembre 1831, Champollion reçoit le prospectus annonçant l'édition cçmmune franco-toscane, préparé par Cham- pollion-Figeac, son frère afné, et par Rosellini. Les deux hommes estiment qu'ils doivent recueillir 200 souscriptions avant de pouvoir passer à l'impression.

La maquette du premier fassicule de Rosellini (dédicacé comme on l'a dit au Grand-Duc et non au roi de France, et le nom de l'égyptologue toscan précède

celui de Champollion) coi'ncide avec la mort, le 4 mars 1832, de Champollion. Le frère afné de Champollion, Jean-Jacques (dit Champollion-Figeac) prend en mains la succession de son frère. A Rosellini qui connaissait tout le matériel de Cham- pollion, aussi bien grâce à l'étroite collaboration de l'expédition d'Egypte, que par son séjour parisien de 1831 et qui se considérait comme le seul qualifié pour publier l'oeuvre commune, Champollion-Figeac répondit qu'il n'en était pas question et que c'était à lui qu'appartenait le soin d'éditer l'oeuvre de son frère... Dès lors, la rup- ture est consommée: le 10 juillet 1832, Rosellini annonce à Champollion-Figeac que l'impression est bien avancée, que 300 planches sont par ailleurs terminées. De son côté, Champollion-Figeac a entrepris des démarches pour que le gouverne- ment rachète l'ensemble des manuscrits de son frère; Guizot accepte cette proposi- tion et la Chambre des Députés vote en avril 1833 l'achat pour une somme globale de 50.000 francs et une rente viagère à la veuve de Champollion de 5000 francs.

Une année après (3 juillet 1834) une commission de publication des fAonuments est constituée; elle se compose de Messieurs Sacy, Letronne, Champollion-Figeac, Lenormant, Clarac, Biot et Hayet; le premier volume paraftra en 1835 et le quatrième et dernier dix ans plus tard; les Notices descriptives paraftront entre 1844 et 1879 sous forme de deux volumes.

De son côté, Rosellini publie en 1832 ses Monumenti stonci et en 1834 ses Monumenti civili. Ainsi étaient nées deux publications séparées d'une oeuvre prévue pour être commune. Il est difficile de déterminer se trouvait le droit; il semble bien, qu'en France, on en soit resté au sentiment d'une sorte d'abus de confiance des Toscans: c'est la thèse de Champollion-Figeac. Mais, à distance, il est bien délicat de faire la part d'un nationalisme sourcilleux et celle de la légitimité en matière de propriété intellectuelle. 11 n'en demeure pas moins amusant de voir que, un siècle et demi après, les bibliographies égyptologiques françaises ignorent sim- plement les publications de Rosellini...

Robert HARl

MONUMENTS

DE LEGYPTE

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DE LA NUBIE,

D\l»RlvS LI^S DKSSIINS liXK(:UTF:S SLR LUS LIEl X

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KT LES UESCKIPTIONS AUTOGRAPHES Olil. EN A REOIGF.ES;

Pubttre 90U9 Iro ^lueptcre

PAR INE COMMISSION SPECIALE

fyM/umj.

7tc

Parts.

Rue Jacob, n* 34-

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PRÉFACE DE LÉDITEUR.

Les inatrriaiix originaux de cet oiivragr, dessins, ealqiies, et Noiiees <lesciiptives de la main de l'auteur, appartiennent a la France, et sont déposés à lu liihliotliètpie Hiiyale de Paris. Un jour, peut-être, les écrivains de l'histoire littéraire de notre temps chercheront la trace des circonstances qui ont fait d'un<> si pri'cieuse collection particulière une propriété piibli(|ue. Dans l'intention d'(par(;iier la peine de <<s ii-cherches à ces écrivains, et aussi dans la vue de rccommandei' il leur ((piite d honoralilis n solutions pnpaices par d'illustres auiis de l'aulenr de cet ouvrage, je rappellerai ici des faits et des dates ipii ni' sauraiiiil rlir iiiiciiv plads aillons.

(lliaiiipoilioii le ji'unc cvpira je ', mars iHii. Dés le i'S du même mois, uni' commission, iiimnnee par M. le comte d'Argout, aloi's minisire du commcice cl des ti'a\au\ pnhiics, avant ilans son dcparlement l'administration des établissements littéraires, lui rliar^'ce d'cvamincr les maniiscrils cl aiilrcs rollcctioiis s< iciili(if|tii's laisses par le savant français, et dont la ramille, exciter par le vieil |uil>lic, proposail rai-i|iiisitii)ii an (jonvernemenl.

Le 11) janvier i H i 5, lelle (omiiiissiiin de sept memlires, piisidce par M. le baron .Silveslre île Sacy, et dont MM. Et. Qnatremire cl l.rlrnnni' sni\iMnl siiils aujoiiiil biii. remit son rapport au niiiiislrc compétent. Les conclusions de ce rapport liaient fondées sur liililile jjiiiiialeminl leiomiiie, la convenance cl même la nécessite de conserver en France celte precieusi' eolleiiinii. cl d'ciiricliir la science île tout ce ipii serait en l'tal d'être publie.

Le i mars sui\aiii, M. (iiii/ol, iiiiiiistic de rinslriiciiiin piibliipie, proposa aux chambres un projet de loi qui devait réaliser les vues île la lommissinii lis paiolcs solennelles il'iiti liomiiie aussi eminent dans la science et dans l'Ktat doivent être reencillies. puisipi elles snllitaiml elles seules a lelo^i ihi sa\aiil qui les inspira.

" Le iiiiiii de M. (.Iianipulliiiii, ilisail \1. (iiii/.ol, son i iiln piise de iliehiflrcr les pages si longtemps muettes de ce

grand livre il histoire êciil sur 1rs iiiitiiiimciils de l'I'gvple, laiiilaie île si s piu sses, la graiideiir avouée de ses premiers

resullals, sou Mivage, son ri loin avec taiil île ihhim ,iii\ liesiirs,sa iiiori |ireiiialiMi'e au milieu île la joie de sa découverte, et pendanl qu'il en disposail les iii.ili ri.iiiv, loiil cela n'a pas besoin d'elle reilil ilevanl vous, messieurs les Députés, et \ons a vivemeril inlêtesses. comme le public éclairé de l'Europe.

La loi proposée iiest pas siiileiiiiiiliiiii liniiimage ii la science, mais un service, une précaution que la science réclame. M. Cbauqiollioii a Iravaille pour la gloire iialioii.ile; il a ilole noire eriiililion d'une iimiiorlelle ilieouverte; il a complète un des grands faits de iiolre bisloiie : il esl beau ipi'nu l'iaiieais ait reiroiive, ail enlendu la parole d'un peuple célèbre, et qu'il ait à lui seul ailie\é liriixie de toiile une expédition guerrière el sa\ante. »

Devant la cbaïubie des l'aus, M. le Minislie rappela ces nié s idées; il fut secondi' par M. I^tienne et par M. le baron

Thenaril, rapporleurs des ili ii\ eomiiiissions disignées poui' evamiiier le projet de loi, et la sanction royale, s'unissant aux rcsoliilions iinaiiimes des ili iiv chambres législatives, une loi fui pioniiilguee le 24 avril 1 8 H, conçue en ces termes :

LOI.

Ix>iii8-Philippe, Roi des français, à lous présoiiin cl à \cnir, salut. Les chambres oui aJopIê, nous avons orilonnt- el ordonnons re qui suit :

-ViiTicLt PREMiKH. Il csi Ouvert an ministre sciTciaire il'Liat au iJêpjricinent ilc l'instruction publique un crédit extraordinaire de 5oooo francs ilestinc à acquérir pour lu compte de l'ttal les manuscrits, dcs-iins et lixri-s annotés par feu Champullion le jeune. .Article II. Il est accordé sur les fond» généraux à madame Rose Illanc, sa \eu\c, une pension de 3,ooo francs. .\iitii:le m. Cette pension sera inscrite sur le livre des pensions du Trésor.

l'ail j Paru, ail {lalais di., Tiiilcrm , le ai' jour du mon datnl iH3l.

Louis-l'iiti.irPF..

P.-ii le rni K- niiijiftlrc srirclaire il l.t.it au di |i3rlciiii'ii[ tk- l insli-uitioii |iublii|ur

CUIIOT.

il PRÉFACE DE L'ÉDITEUR.

Par la solennité inaccoutumée de ce vote national, il était satisfait à ce qu'exigeaient b vie et la mort de Champollion le jeune, à l'intérêt universel qu'inspiraient sa veuve et sa fille (i); il ne restait plus qu'un devoir public à remplir, celui de préserver de tout dommage les droits et les espérances de la science.

Dès le mois de mai, trois commissaires, MM. Silvestre de Sacy, Ch. Lenormant et Hipp. Royer-Collard, furent chargés de recevoir au nom de l'État les manuscrits, les dessins et les livres acquis en vertu de celte loi, et sur l'inventaire qui en avait été préalablement remis par la famille. Cette formalité fut accomplie le 6 décembre i833.

Dans l'année suivante, un arrêté pris en commun, le i" juillet, par deux ministres, M. Thiers et M. Guizot, ordonna la publication immédiate, et confiée aux lumières de MM. Firmin Didot frères, des matériaux recueillis durant le voyage en Egypte; une souscription des deux ministères en assura les moyens; et le 3 juillet, une commission spéciale, présidée par M. le baron de Sacy, en son absence par M. Letronne(2), fut chargée de régler les détails d'exécution de ce grand ouvrage. M. Dubois, sous -conservateur des antiques du musée royal du Louvre, fut en même temps chargé de diriger la publication des planches; et après que la commission eut adopte la rédaction que je proposai du prospectus, qui fut publié peu de jours après, je fus délégué pour surveiller et activer la mise en lumière de l'ouvrage entier. Enfin, je m'engageai à publier en même temps la Grammaire et le Dictionnaire égyptien en écriture hiéroglyphique. Je dois être bref ici au sujet de ce que j'ai fait pour répondre aux vues du Gouvernement et à l'attente du monde savant : mais cette tâche difficile, je l'ai pieusement remplie.

D'après un plan que l'auteur avait longtemps médite, l'ouvrage qui était le fruit de son voyage en Egypte, devait être rédigé dans un ordre réglé par la diversité même des matières, état civil, monuments historiques, religion et culte public, sciences et arts, sujets astronomiques, etc.; il se proposait de composer ainsi un tableau régulier de l'état antique de la civilisation égyptienne, et de rétablir l'histoire de ri-',gyptc selon le témoignage irrécusable des monuments originaux contemporains des événements (3).

La mort inopinée de l'auteur porta le Gouvernement et les savants qui furent consultés, à abandonner un plan que celui qui l'avait conçu pouvait seul réaliser^ et on décida que les matériaux du voyage seraient publiés dans l'ordre même des localités, dans la direction du midi au nord, comprenant la Nubie et l'Egypte.

On possédait pour chacune de ces localités une notice descriptive, écrite de la main du voyageur, et en même temps les dessins exécutés sous sa direction, sous ses yeux, confrontés par lui-même avec les monuments. Chacun de ces dessins contenant des figures et des inscriptions en écriture sacrée, si les erreurs étaient presque impossibles dans la copie de figures caractérisées par plusieurs attributs, il n'en était pas de même des inscriptions hiéroglyphiques des omissions, des méprises pouvaient trop facilement s'introduire, et personne n'avait plus d'intérêt que le voyageur lui-même à en prévenir, à en redouter les suites; il s'astreignit donc, comme on le voit dans ses Lettres écrites d' Eg)pte (^If), à transcrire lui-même sur la plupart des dessins le texte des inscriptions égyptiennes, à insérer les plus étendîtes, les plus importantes dans le texte même de ses notices descriptives. En publiant ces inscriptions dans cet ouvrage, l'éditeur s'est donc fait un devoir de les conférer à la fois avec les dessins et avec les notices manuscrites : il y a ainsi dans notre publication une double garantie de fidélité.

On avait déterminé d'avance le format du papier destiné aux dessins à faire en Egypte; la plus grande dimension était d'une feuille entière exactement divisée en moitié et en quart de feuille: ce même format a été adopté pour la publication; il n'y a donc pas eu de dessin à terminer ou à refaire à loisir; les originaux mêmes ont été mis dans les mains des artistes : c'est le type lui-même, et non pas des copies qu'on retrouve sur nos planches.

Les légeruies ajoutées aux sujets de chaque planche sont courtes; mais elles sont suffisantes pour la classification géographique et topographique de ces planches.

Leur explication, placée en tête de chaque volume, est plus étendue, et je dois déclarer à ce sujet que chaque notice

(i) Dn le 9 raan i833, le Roi voulul bien me faire donner l'assurance de sa protection toute particulière pour la veuve et pour la fill.- ' e mon frvre : M. le duc de Oajxi et M. le comte de Montalivet s'intéressèrent vivement à en assurer les effets.

(a) Cette commission, uoininée par M. le Miuislre de l'instruction publique, fut composée de MM. Silvestre de Sacy, t^troDne,Champollion-Figeac,Ch. Lenormant, comte de Clarac, Biol et Huyot.

(3) Prospectus en français et eo italien, publié au idoîs de septembre i83i. Paria, Firmio Didot; vingt-buit pages io-8'.

(4) Paris, Firmio Didot, i833, in-8*

PREFACE DE L'EDITEUR. "■

est religieusement tirée des manuscrits de l'auteur de l'ouvrage. Cest sa science elle-même, sans mélange et sans nouveautés : le lecteur les rejetterait vraisemblablement

En toutes les parties de l'ouvrage, le zèle le plus dévoué, aidé de quelque pratique de la matière, s'est appliqué k réunir les avantages d'une sévère exécution à ceux de la fidélité aux documents originaux.

On voudrait, mais l'intérêt de la vérité ne le permet pas, s'abstenir de parler ici 'd'une publication analogue faite en Italie par la commission toscane, qui fut si généreusement associée à la commission française pour le voyage de recherches en Egypte, entrepris en l'année 1 828, sous la conduite de Champollion le jeune; on le voudrait surtout, puisque les efforts faits par les étrangers pour publier, sans le chef du voyage, les documents qui en avaient été le fruit, ont été impuissants, quoique renouvelés (1). L'ouvrage français est, en effet, terminé, et l'ouvrage entrepris en Italie ne l'est pas, quoique commencé près de deux années plus tôt. Il est à regretter que cet avantage de temps n'ait pas tourné au profit ni de l'exactitude nécessaire en toute matière archéologique, ni même de l'ensemble de l'ouvrage. On trouvera, en efïet, dans la collection française des sujets qui manquent à la collection italienne; et quant à la fidélité dans le texte des inscriptions hiéroglyphiques, nos lecteurs en jugeront par le rapprochement de celles îles planches qui sont semblables dans les deux ouvrages : par les seules planches numérotées XLVIII, L, LVIII, CXII et CXLVIII des monuments royaux (M. R.) de l'édition italienne, on jugt'ra du nombre d'additions et de corrections que les copies de la main de Champollion nous ont autorisé à introduire dans l'éilition française.

Le texte des Notices dans l'ouvrage français est borné à la description, par localité, de chaque monument, k la transcnp- tion d'un choix de sujets figurés et d'Inscriptions en écritures diverses : ce texte est ainsi un recueil de faits très-propres i favoriser les études même élémentaires sur l'Egypte ancienne, et il nous a paru préférable à de longs discours plus ou moins instructifs, à des Interprétations bien incertaines, quand elles ne sont pas tirées des manuscrits ou des paroles du maître : nous expliquerons notre opinion sur ce point dans la préface des Notices descriptives, dont l'impression sera terminée en quelques mois.

Et si nous jetons un regard attentif sur les années qui viennent de s'écouler, nous verrons que depuis la perte irréparable du créateur de la science inlerprétatlvr de lantiqulte égyptienne, et lorsque cet événement était si menaçant pour la science elle-même, les mesures prises par le gi)u\rrncni<iit français, le suffrage manifeste qui les accueillit unanimement dans l'Europe savante, et le concours éclairé et désintéressé de MM. Firmln Didot frères, ont permis d'assurer à cette science, encore nouvelle alors, toutes les ressources qui pouvaient affermir son existence et garantir son accroissement Les Lettres écrites dEg)pte, la Grammaire rg) piienne , le Dictionnaire cg)ptien en écriture hiéroglypliique, le Mémoire sur les signes employés par les anciens Egyptiens à la notation des divisions du temps, ont passé successivement de mes mains dans celles du public; les cinq cent vingt planches qui reproduisent les monuments de l'Egypte et de la Nubie, étudiés et reci^eillis sous la direction du savant français; ses Notices descriptives, dont l'Impression s'achève, et qu'il a rédigées en présence des ruines mêmes, si heureusement ravivées par ses explorations, telles sont ces ressources presque inespérées, et si éminemment propices à la science, qui la fondent à jamais, et assurent à la mémoire de l'auteur de tant d'admirables travaux, les hommages et la reconnaissance de tous les siècles seront en quelque honneur les plus utiles et les plus brillantes conquêtes de flntelllgence.

Il reste encore quelques ouvrages à publier : le tour de la Urammaire et du Dictionnaire de la langue copte ne peut tarder d'arriver. D'autres travaux non moins importants, et qui concernent des textes ou des sujets d'archéologie égyptienne, les mémoires et les matériaux relatifs à l'écriture hiératique et à l'écriture démotique, seront mis en état de voir le jour, et ces ouvrages inédits, par leurs résultats, porteront certainement la science, en quelques points, au delà de celui l'ont laissée les livres élémentaires composés par le maitre; ils épargneront ainsi à ses disciples le temps et la peine de recherches déjà faites et réalisées dans ses manuscrits.

(1) La commitaion toccane fut de retour en Europe Irois mois avant la commùfion française. Aussitôt des prospectus et des commis vo^ageure furent envojés en Allemagne et ailleurs pour proposer Pceuvre de cette commission; nuis FEurope savante demandait Touvrage de Champollion. Après cette infradueuac tentative, le chef de la commission toscane se rendit i Paris, et Champollion, par un contrat en bonne forme, Padmit i une publication en commun, et le prospectus fut publié au mois de septembre i83l . Six mois après , Champollion mourut, et les Toscaiu reprirent leur projet de publication , mais sur le plan tncè par le maitre. I4 sort a voulu que tant de léle de leur part n'aboutit qu'imparfaitement. Je m'abstiens de rappeler ici d«a paroles demeoréaa sans effet.

'^ PREFACE DE L'EDITEUR.

A mesure qu'ils seront livrés au monde savant, il y puisera des motifs nouveaux de gratitude pour l'auteur de tant de mémorables services, et il s'associera sans nul doute à l'hommage public et solennel que le Roi vient de décerner i M mémoire de ChampoUion le jeune, en ordonnant que son buste soit placé dans la salle des victoires de la pensée, au Panthéon national de Versailles.

Un savant illustre à bien des titres, Silvestre de Sacy, l'a dit, il y a plus de dix ans, et on peut le répéter aujourd'hui avec une sanction imposante, celle du temps : Depuis la renaissance des lettres, peu d'hommes ont rendu à l'érudition des services égaux à ceux qui consacrent à l'immortalité le nom de ChampoUion (i). - Par chacun de ses ouvrages, l'équité de ce jugement deviendra plus manifeste à tous; et de telles preuves, je les multiplierai avec un léle qui suffira, peut-être, à une telle mission, si le temps ne manque pas à mes résolutions.

J. J. CHAMPOLUON-FIGEAC.

(i) Noùte hutorùjue sur ia vu et les ouvrage* de ChampoUion U jeune; Mémoirei de l'Acadéraie des inacriptioas et M les-leltres , tome XJI. hiatoirt. pag. 337-

MONUMENTS

DE LÊGYPTE ET DE LA NUBIE,

D'APRÈS LES DESSINS EXÉCUTÉS SUR LES LIEUX

sous LA DIRECTION

DE CHAMPOLUON LE JEUNE.

EXPLICATION DES PLANCHES.

'SLonu prrmifr.

NUBIE.

PLAJfCHE I.

I. Stèle eopiore calcaira bUnchcdéoowrfrtc duu Inniuia du «oaument qui m au Hwl-ou(*t de Oiud>-Ual£a L>e dira Mandou itral aUacbte \t» di*tn pruplr* dr U coolrée, âgur^ par d«« pnaooDi«n à genoui, et livre au rm OaortatcD Le* hi cartda, autour de la Stèle, a, &, c, d, e,f, conlicnaent Ica noms de mi pruplea ■oumia. Ce précieui moDument rvmoair è U XVI' djioattie ei a plu« dr deui raille ai» avaot Fére chrélicnoe

3 Autre Stèle ea gréa, trouvée dâo* In mêmes ruiaca, à OumIi - Halfa Le rot Rbamaèa I' fait dea offrande» au dieu Uoraamou. Cette Siele , apportée par CtumpolUoo , r*l au Muaèe èf^yplien du Louvre

3 Rai-nlicf tiré dea excavatioD* de Maarbakbil Ud pcraoooage est rn adoration devant trou di*iiuiiÀ, au milieu deaquella eM aatii un roi dool U lêlc eat ornée de la partie lofèneure du pachrDt

4 Autre baa-relief, tiré du même lieu, rrpréaeoUoI une odrande de via laitc à hx dtviailèa. p«r uo roi, caaquè, debuul divaot uo autel.

PLANCHE II

I. BM-reUef du tpéoa de Djèbet-Addcb , reprèaeDUDt le roi Horua, enfaut, allaité par U décMe Aaoukè, eu préaeocc du dieu Cboouphu a léte de bélier.

1 Autre baa- relief du œèioe apéoa; le roi Honu enfant eai rooduilpar uoe divinité protectrice rert le dieu Honu. qui lui présente le •jfnbole de la «ie divine.

3. Pulie d'uD autre baa-relief du même lieu ; le dieu TbAlb Lunua , â tète d'ibia , c»t anivî de quatre figures d'Horua; on na reproduit que l'une de* qualrv

4. plan de* ruiaei le plus au midi . a OuadkHalfa , l

5. PUa du apéoa de Diébel-Addeh . | en Nub»e

6. Plan d'un autre édiBce ruiné, a Ouadj-Ualfa , |

7. Inat.TipiK>o (»piée uir le* pjflonea de cet édifice , portait les noms d'Atoénophia II

8. Plan duo petit édifice, le plus au nord du même lieu. ^ Autre plan de Ouadi-HaUk

PLANCHE 111. eohriit.

x. Buate de Sésostna, ou Rhamses U], en coMume mililAire; aon casque est orné mr le devant, d'un urzus en or émaillé. Cest la lète, de plus grande* proportiocia, de la figure du même roi, qui »e trouve sur une de no* planche* auivaom

1. Boale de la reioe NofrA-An, femme de Sésostru; elle est coffée la dépouille d'à» vautour, ornée de I urvus.

3. Fkgure, en pied, duoe phoceaae, fille de Sésostris, coiffée n> décaac Hathtïr, et fiiaant l'ofEraade duo bouquet de papyrua et de l'iDstruraeot rrlig>eoi , en or, nocnmé Pét

4. Tigore, en p*ed, de b même reioc Nofrè-An, dans un ncbe coatome; cUe eat coifTéc en déeaae UathAr, et tient dans ses nuioa dn tiges de paprTua.

PLAnCRE IV. »tèlci sculptée* laoléoienl sur les rochers dlbaanboul, dans U TOÏMMgvda tcaple d'Bathdr (Vèoua).

t. Un persoQoagr, costume civil , est en adoratton devant de* divuutè» , U figure casquée est celle d'un roi.

a. Un pnncc préaeote au roi Hbanues lU, Sésostru, de U XVUI' djraasUe, assis, lemblèmc de la victoire qu il élevé de*snt lui

3 SvfH tmpéneur. Le même roi Rhamaes III , soin d'une pnsccaac , Eut dea oSrandca de fleurs et de fruit* à trois divuutés assises sur nn tràoe.

Sujti inférieur. Offrandes s une reine assise, NoEré-An, fenne àt Sésoatria. 4. Un autre personnage est à genoux devant le prénoo royal du sêae roi Rhamaéa III, gkrdè par un épervier coilTé du pacbenl

PLANCHE V. I Le roi Rhamaès 111, debout, entre deux des priocipaln divinités de l'Egypte 3. Le même roi Dût des offrandes au dieu Phtha, assia dana un natu 3. La reine NoIr^An, femme du roi Rhamaès, vient d'être revêtue du cosIuiDe de

la déesse ïlatbiV, par deux divinités protectrices, Isis et Hsthôr.

4- Ia même reine fait l'oflrande de trou ûges de papyrus à la déesse Aooukê,

aasue sur son tnkie.

Ces quatre bas-rdiefa sont tirés du tpàu ou temple souterrain d'Hitbâr , creusé dans

le n>cber à Ibaaaboul-

PI ANCHE VI Les quatre sujets de cette planche soot tirés du même temple I- Rhamaes III, casqué, et sa femme Nofré-An, (ont des offivndea A la déoiM

Ualbdr

■X. La reuie Nofrê-Ah, debout devant un sutel, fait des oSnmdaa à la vache aacréa.

emblème ifHathàr.

3. Trois Horus, a tête d'êpervier, tnitrés et sasis.

4 Le roi Rhamaèa fait des offrandes à sa propre image et à oetla d* la reine divinisées.

PLANCHE VU. 1- La même mne, Nofré-An, oQre une bge de papynaa 4 la déene Hatkâr. 3. Bas-reUcfdu fond du sanctuaire du temple dUath^V. Ceat la grande vadw d'Hathdr vue de face, et coiffée comme U déesse; une statue de rn eat placée aur« ses jaiabas.

3. La raoe, NoCré-Ari, offre 1 encens à deux décaaes égyptiennes.

4. Stèle sculptée au sud de l'entrée du même spêo* d'Ibaamhoal, et portant U dala de l'an 3$ du règne de Rbamaé* UI , Séaostns.

PLANCHE Vin.

I. Ba»-relicf du même temple, rrprésenlanl le roi Rharnsèa qnï frappa de •• hadM d'armes un barbare asiatique abaUu à ses pieds. Le dien Homa peéicote «a roi la hMrpé des coaibat^

%. Autre bas-rdief faisant pendant su précédent et repréaentaot nn sujet sianiilaliU . la figure du barbare vaincu s les traiu de la race africaioc '. U dieu Abob^R* pvi' sente suasi la harpe au roi Rbamsês.

PLANCHE IX. I. Façade du tenpb d'Hathdr (de U déeaae Véoua), è Ibaunhoal, tuUé d

kradNT.

MONUMENTS DE L'EGYPTE ET DE LA NUBIE,

Les Doou de SéaoXria y lODt souvent répétés, aloti que ceui de ta iriae Norré-Ah. 1. Stèle tculptie tur les rocher* d'Ibsambout, de forme carrée, iiinnoDtéc d'une corniche oraie du globe ■oLnire ailé. Un chef mihuire e»t ioclioé devant le roi RhaiDMS III , aaaia , et dont la tête eat omée d'une coiffure divine

PLANCHE X

1. Image coloMale du dieu Phré (le «oleil) vu de face, aunoontée du dtaque et du BerpcnL Elle est sculptée aur la fai^ade du grand temple d'Ibaamboul.

3. Portrait du roi Rh-inués III d'après un des quatre colosses assis qui décorent cette r^tçade.

3, Détails tirés de diverses statues colossales- Ce» cartouches sont ccui de Sésoslris.

4. Rhamsés III, assis sur son trône, la tète catiquée et le sceptre dans la main droite, I>eua personnages élèvent près de lui rembléme de la victoire.

PLANCHE XI, coloriait

Le pharaon fthamsès III, le Grand, frappe de sa hache darmea un groupe de pnson- mers asiatiques. La scène se piis&e en prince du dieu Amun-Ra , qui présente au roi sa harpe, arme de combat- L'enseigne du roi est auprès de' lut, et au-desuis plane le vautour, symbole de la victoire.

Ce beau bas-relief est un de ceui qui ornent le grand temple d'Ibaamboul , en Nubie.

PLANCHE XII, eolonVe,

De» étranger», assiégés dans une forteresse construite sur une ni.inlagne, et criblés •le flèches, demandent grâce ; des flambeaui nllumès sont dans Icun* mains. Sur le haut de la forteresse, une femme élève son enfant dans ses bras, dans le dessein d'exciter la [iitié du vainqueur. Cette scène si- lie avec celle de h planche XIII, et fait partie du même bas-relief tiré du grand temple dlb&amboul en Nubie PLANCHE XIII, nùtnee.

Le pharaon Sésostns, monté sur son char de guerre, richement décoré, lance de» flèches contre le» défenseurs d'une citadelle qu'il attaque Le vautour, emblème de la viclouT, plane au-dessu- He la tète du roi. La suite de cette scène est sur ta planche XII

PLANCHE XIV, co/unec.

Complément du grand ba»-relief colorié d Ihsamhoul , dont le» deux autres portions soDt le sujet des planche» XII et XIII.

PLANCHES XV et XVI , colonies. Ce» deux planches reproduisent un bas- relief du grand spéos d'ibsamboul, avec les couleurs dont il est orné. Il représente le roi HhamsesIII, Sésoslris, sur son char de triomphe traîné par deux chevaux richement ca|Kira<;oniié3 ; le lion du roi marche a coté des chevaux; le char est précédé par un ofruicr du roi qui pousse devant lui deux groupe» de prisonnier» africains. {XVI' siècle avant l'ère chrétieuue.)

PLANCHE XVI bis, colonel Détails et grandeur de l'original des télea des captifs africains qui procèdent le char de Séaostns, daua le ba&-relief d Ihsamhoul, reproduit sur les planche» XV et XVI.

PLANCHE XVII, cohnf'e. Le rot Sésostris foule aux pieds un chef ennemi vaincu, et en perce un second de S.T lance. Celte belle composition est tirée du grand s|>éo» d'ibsamboul, en Nubie.

PLANCHES XVIII a XXV

Ce» planche», dan» leur ensemble et rapprochées de droite à gauche, reproduisent le registre supérieur d'un immense bas-relief Mulpté sur la paroi nord de la grande galène, ou vestibule, du grand apéos d'ibsamboul.

Ce bas-relief est aussi subdivisé eo plusieurs registres dans sa hauteur. Le plus bas est occupé par une file de chars de guerre en marche. Les Égyptiens qui les montent portent la moustache, sont armés de lances, et défendus par un bouclier. Ils courent a l'ennemi, qui est aussi monté sur des chars, armé d'un arc, et couvert d'un casque caractérisé par l'appendice qui s'en détache sur le derrière de la tète, La rencontre des deui armées eat figurée aur la planche XXII.

Ceal sur cette même planche et sur la suivante à gauche, la XXI*, que se trouve le centre de l'action représentée par ce grand ba&-relief. On y voit une place forte entourée d'eau, et défendue par des tours qui sont occu|>ées par des hommes armés; elle est assiégée de tous les cotés par les troupe» égyptiennes. Le roi, monté sur son char, planche XXV, entouré de corobatUnls, foulant les morts et lea vivants, lance des flèches contre la ville. Plusieurs chef» ennemis, fuyant ver» cette place, ont été atteinu et abattu».

De lautrt coté de la ville, planches XXII, XXI el XX, et sur le» deux rives de la rivière, indiquée par une ligne ondulée, les troupes égyptiennes de toute arme se dirigent ver» U place pour la cerner entièrement.

Une autre soéoe, qui est la suite des précédentes, occupe en partie la planche XX, et entièrement les planches XIX et XVIll.

Après le combat, le roi, armé en guerre, debout sur son char, et entouré doffi- cier», dont le» uns élèvent le JiabeUum , et d autres retiennent lea chevaux attelés au char, reçoit afTectueuaement les chef» de ton armée empressé» de lui offrir les trophées

de la victoire. Ceux qui sont en préteoce du roi comptent devant lui le» main» droite» coupées aux ennemi» luèa dan» l'action; derrière eux, le» soribe» royaux en enr«gi»trenl le nombre. D'autre» chef» viennent ensuite, conduisant des prisonnier» quiU ont diver- »ement liés, ou par groupe» ou séitaréaienl.

Daua ce vaste tableau, tout a laspect guerrier, el lea intervalles entre KCtie* pnncipales sont occupés par des détails analogues. Dans la planche XX , les bagages «ont ponéa aur de» àoes ayaut chacun leur i-onducteur De» boeuf», de»tiné» à lappro visioonemeot de l'année, marchent avec le* bagage». On doit remarquer, planche* XXII et XVIH, un homme courant a cheval; repréaentation aaaez rare, le» Egyptiens n'ayant pas eu de cavalerie proprement dite

II y a |>eu d inscriptions sur ces huit planches; celles de la planche XVIII aont conformes au texte de» dessins originaux; m.iis n'ayant rien trouvé, dan» lea Noiictt autographes de Cham|»ollion, de relatif a ce ha»-r«lief, il a été impo»»ible de conférer, comme on la fait pour les pijuches déjà publiée», le» inscriptions de» dessina avec celle» de» Notices. On fait la même obsenalion au sujet des trois colonnes de signes de la planche XXIII ; enfin, cesl pour ta même raison que lea coloone» de la planche XXIV sont eo blanc Si ces inscriptions sont retrouvées, on le» donnera dan» le texte de [ouvrage.

Il rii juste de rappeler que les sujel» de ces liuit planche», XVIII a XXV, ont été recueilli», avec de» peiiira infiiiie<i, a la lumière des flambeaux, dans un temple sou- terrain, ou 1 atmosphère stlèxe à près de 5o degrés, el permettait à peine chaque jour quelques heures de tra%ail

PLANCHE XXVI, coloriée. Partie d'un grand bas-relirf rcpK-M:ntant un combat en char»; tes char» égyptien» sont en ligne, et ceux de» ennemis en désordre. (Temple d'ibsamboul, en Nubie, )

PLANOItS XXVII, XXVIII et XXIX, coloriées.

Ce» Iroi» planche» com|>o-M'nt uu seul et même tableau; elles sont la copie d un baa-re- lirf qui oceu|»e une portion de la paroi nord de la grande lullc du grand temple d'ibsam- boul, en Nuhir.

I^ roi lihamses III, S^'sosiris, d.ms son costume militaire, est assis au milieu des (hrf^ de l'armée ; de!> offieiers lui ;iiiiioti<ent que les ennemis viennent l'attaquer. On pré- pare le (har du rni; ses servileurit mmleniit t anleur des chevaux ncliemcnt eoharna- chi's. Uue longue luuTipliuii 3ceuiii|i.igiie cette ^'randc sccne historique , elle porte la date de 1 ju \ du règne de St-Mi^tris, et, remonte ainsi vers l'an i565 avant 1ère chrétienne. On se fait, par ic tableau , uue idée de I rtat des aris en Egypte, a cette époque reculée.

On voit, dans le registre inférieur du bas^relief, des soUiats égyptiens diversement armés; un trompette est avec le groupe de droite; au centre , deux prisonniers ennemi», eo costume asiatique, sont b^itonnéa par quatre l'gvpiiens qui veulent te» obliger à par- ler. A gauche, est un autre char du roi ombragé par un dais richement décoré. Le vautour, symbole de la vuloire, el les rartoui lies, nom cl prénom du roi, sont fi^nirés sur ee dais.

PLANCHES XXX a XXXVII

Ces huit planches sont ta copie d'un grand has-relicf historique du grand spéos d Ibsamboul, et en conqilélent la reprodurlion ( voyez planches XI' /Il à XXf'\ elc ).

Vsï les étudiant dan» le sens même du riche tableau quelles reproduisent, de droite à gaurhe, on trouve, s-ur la plandie XXX, un édifice orné dune représeulation reli- gieuse, l'adoration du carlouelic du roi, et tout autour des scène» militaires Ires-vanéea ;

Sur la planche XXXI , 1 intérieur duo camp, ou l'on reconnaît divers détails des exercices, des occupations et drt devoirs mditaires; de» char» en marche occupent le regisire inférieur;

Sur la planche XXXII, d'autres char» en marche, et une grande tnscnption relative au sujet général de telle vasic com]>o»ition ;

Sur ta planche XXXllI , une pltalange diofanterie sous les armes, entourée de char» de guerre, sur ses derncrc» et sur ses flancs;

Sur la planche XXXIV colonre , le roi Rliamsès III, Sésostris, amène deux files de prisonniers devaut Pliré, le dieu Hhamaes son homonyme, et la déesse a léte de lion, 3»sis sur des trônes nihemcnt décorés;

Sur la pUnche XXXV calonee, le pharaon, en costume militaire, armé de son arc, offre aux trois divinités d'ibsamboul, des groupe» de prisonniers africain».

On voit aur ta planche XXXVI coloru-'e, le développement des tètes des prisonniers asiatiques qui sont figurés dans ce bas-relief;

Sur la planche XXXVII, un groupe de prisonniers asiatiques, un groupe de pri- sonniers africains, tires des sculptures qui décorent un trône royal.

PLANCHE XXXVm Inscription en l'honneur de Rliamsès le Grand, porLinl la date de l'an 35 de son règne, gravée entre le» deux colosses de gauche, dans I inléneur du grand temple d'ibsamboul. (Ce texte historique est publié [«ur la première fois complet el JidèU \

PLANCHE XXXVIII bit

I. Lïi déesse Hathôr présente à Sésostris le sceptre des panégyriea et te colUer.

a. Figure debout du dieu Chnouphis à tète de bélier, avec ta légende.

3. Une déesse a tète de lion, surmontée du disque Ces deux figure» aont tiréi-s des tableaux dolTrandes, sculptés dan» le grand temple dHalhdr, a lUamboul, en Nubie.

EXPUCATION DES PLANCHES.

PLANCHe XXXIX.

Lm dfliu wjct* àê wtta pliDche Mat tiré* d'an de» apén dTbriiD, du 4*t T*' ^^ le pfau «u DonL

I. PanM da gamcAe. \jt roi Aménopbis II (XVIII* dpiaitie), CMqoé, ofErant l'image 4'une DTTWDide, «t pr^Mfit^ pr If dieu Honu à plutieun dirtoitii; trou d'entre cUa», Chnoupbi*, StVé et Anouké, 1001 fi^ries «ur ootrc pUnchc.

». Po/TM* de droite. Ce même roi, d«iu l'inténeur duo èdifire iodiqoi ptr le* deux rokmoev, eM %m>» Hir md InSoc et tieat daat m nuiot le areptrc et U crois ao*ée; uQ ûabeliiftre tA derrière lui et remplit »q office; deui autre* peraonnage» pr*»entenl •u nW rcnblème de la victotre. ëq debora de I>di6c< c*t U déeaae Saté, debout, ■jraot dans aea matn» m* ioai^es divins.

PLANCHE XL I. PoTtioQ d'un baa-relief niataot dana lliinù^pAoa da Derri, en Nubie, et repré- aeatant une Tictoire de Rhaoués le GraoïL Lea Tatonu, mia en d^roatc, caporteot leur* bleaaéa et ae retirent vera une montagne dea berger* gardent le* troupeaux- Un de ce* bergers racoDte cet irtnemeat à une femme ei&ayte, qui a auprèa d'elle uo enfant

a. Suite du même baa-relief . trot* chef* miliUirea égyptiena ramènent lea priton nier* faiu, ▼raiaemblablement, dana le m^me combat (Le groupe du miUeu eat en dommage; il n'y a plus de *i*ible que lea télea dea pnionnier* et la figure du cbef qui le* conduit)

i. Tableau tiré du même moDuraent, contenant lea nom* et le* titre* de lept enfaoU mile* de Rbamaès le Grand; le* polonoe* «ont rangée* de droite à gauche; le» tigne» pointés aoni dei lacuar* de l'ongioai; U restitultoo e»t tirée de monumeota analoguea.

4. Tableau, en pendant du précédent, cootenaot le* noms de neuf 61te* du même Rbatu»è*. Les coloouet aont rangées de gauche à droite (Même obacrvation aur le* aigoe* pointés. ]

PLANCHE XU. Autres bai-reliefs du temple de Derri

I Le dieu Phré (le toleil), a tête d'épertier. ornée d'une riche coiffure, tenant dan* •a mam gauche le sceptre dr« dieux, et le signe de la *ie divine daoa la droite.

a. Le dieu homonyme de Rharose» le Grand , toUit gardten de jtuitce, qui est aussi •00 patron et celui de la plupart dcc Rhanues.

3. Ba*-retief du m^me monument Le roi Rhamac* le Grand, Sé«o*tna, rc^jit , dea jpain» de la déease Saf-ri , le «rptre des panégyne*. Le* cartouche*, nom et prénom du roi, sont gnvé* au-dessus de *■ tèie.

i. Le même roi, coiiTé en dieu Socharii, e*l conduit par Harwési et Aimou devant le dieu Phré assisté par la déesse qui porte on naos sur la têle. L'un de* deux pre- mier* dieux pré*enle au roi le aigoc de U vie divine

PLANCHE XLII

1. Le même roiSésostris, comme l'indique le nom inscrit dan* le cartou^^^i: placé au-dea*u* du globe ailé qui surmonte sa têle, est debout entre le* dieux Thûth-Lunus et Harsiéu, qui veracot sur lui deux jets de croii anaée* et de sceptres divins, en signe de ponficatioo-

1. La bari ou barque du dieu Phré est portée solennellement par douze prêtre* , le rai l'accompagne en costume militaire ; il est reconnjiM.ible à sa Liille plua élevée. (Jo Aabcllifère ferme b manhe

PLANCHE XUU

1, 3, 4, 5, et 7. Inacriptiona tirées du même temple.

6. Figure en pied du même roi Aménophia U {Cohnée.)

PLANCHE XLVI. I. LeroiMœm(ThouthmosisUI>. au-desaua duquel plane le vautour de U vidou*. et D compagnie de U dêesae Halbdr , préaente de* offrande* au dieu Phré , le aoleU . à têu dépervicr. Ce bas-relief a été copié dans le temple d'Amada

1. Cet autre bas-relief, tiré du même temple, représente le roi Aménophia "• de Mœns, fataant 1 offrande de quatre bœufs au dieu Phré hiénoocéphale et au dieu Amon-Ra- U coi, casqué, élève le Pat dune main, et tient dans l'autre le sceptre pur

PLANCHE XLVU

I. U même roi, Aminophi* 11, en présence du dieu Soleil, Oit * ce dieu de riche* offrande*. deux cartouche* contiennent deux fois le prénom royal de ce même prince , fils de Mœria.

1. U sujet de ce basrelief. tiré, comme lea Iroia précédent*, du temple d'Amada, e«t relatif i ce dernier roi Mœns, ou ThouthmoaU IH, coiffé de U partie inférieure du pschent, tenant le fouet de la mam droite; il s'avance avec empreaaemeot vers le dieu Phré et lui fait une offrande- Le cartouche, nom propre. TAouMmê* , «e trouve dan» l'inacnptioo verticale gravée derrière la figure du roi.

PLANCHE XLVIII.

I Cesl encore le roi Mœris qui figure dan» la ioène de ce bât-relief dAmidâ. U

I et la déesse Saf-n travaillent à la construction du temple.

î Le même roi Mœris. coiffé de la partie loférinire du pacheot. figure aTee le dieu Phré dans nne scène analogue à la précédente. Le» deui Œrtoaebes Mœiîa se retrouvent auuî dan* ce tableau.

PLANCHE XLIX.

I Tête du ro. ThouthmoaU IV ( de U XVIU' dynaabe \ coiffé en dieu Sochari», suine de sa légende royale.

1. Téle du roi Thouthmosi» 01 (le roi Maris, de U XV CD* dynastie), mine de ta légende royale.

3 Tête casquée du roi Améoàthph ou Aménophis H , de la même dynasbe.

4. Tête du même rot- Ce* 4 sujet* aont tiré* de* b**-r«liefa du temple de Phré, le aoleil , à Amada , en Nubie.

PLANCHE L

U aujel o- I de cette pUoche e*t tiré de l-hémi-spéo* de Chiadi-E**éb<ma; le nom de Rhajnsé* le Grand , Séaostn»,y est rappelé dana ton* lea ubleaui historique* ou religieux On le lit dan* relui-ci , oii ce roi est repréaenlê U tête ornée de U coiffure divine; il tient dans ses mains la chevelure de huit captifs debout Le roi le» menace de sa hache d armes, et «eroble vouloir le* immoler devao' le dieu Phré. L inscription qui est au^essu» de la 6gure du dieu est incomplète dans notre copie, parce quelle est mutilée sur le monument.

1. Une de» fille» de Séso»lrt*; coiffure «nguliere.

3 On reproduit , sou» ce numéro , un de* nombreua bat-rtliefa du temple de pakkê. Un roi coiffé en Arsénofrf fait une offrande Ce roi est Efgaméne , qui régna quelque temps en Ethiopie, du temps de» premier* Ptolémée».

I. Le même roi Rbamses. casqué, tenant dans sa main droite le fouet et le crmhrt , «at au milieu de l'arbre de la vie, en présence de Ptitbah et de la déesse Parbt Sur l'autre oàté de ce nche tableau, le dieu Tbôth marque l'époque de cette cérémonie religieuse sur le sceptre de» panégyrie»

a. Dans cet sutrc tableau, 000 moins nche de détails, le grand dieu Amon-Ra. accompâfiké par une déesse, est ass>* dans son naos ou petit temple, et le roi Rbamses. Séaoslna, re(;oit, a genoux, des maios de ce dieu, le scrptrc dea panégyrie*. Tb<Sib . Phré et Harsiési , qui assistent a cette scène , portent ce même sceptre dans leurs mains.

La sujets des planches XLII et XLIII sont clément tirés du monument de Dem, comnM cem de» deui plaocbes précédente*.

PLANCHE XUV.

I. On a représenté dana ce bas-relief, tiré du temple du Soleil, à Amada. un roi caaqné, tenant daiu »ca main* uo »ceptrc ou et le »igne de la vie divine, et qui est eubraasé par la déesse Isi*. Le cartouche qui se voit su-dessus de U tête du roi est celui de Tboathmosis III, Mœris, delà XVIII' dynastie.

1- Le même roi, dont le nom se lit dans le cartouche tracé au-de*su» de *a tèie dana cet autre has-relief d'Amada, e*l accueilli affectueusement par le dieu Amon-Ra aasiB sur aoo tràoe. Le vautour, symbole de la victoire, plane sur la tcte du roi.

3. Ce ubican, tiré du même temple, est néanmoina relatif à uo autre roi, ThouthmoaU IV, petit -fil* et second *ucrcaseur de Mceru. Le pruice, debout, U tcU couverte du ca*que, e*t présenté au dieu Phré par la déease Saté, qui tient dan» sa main le »ceptre des panêgyries.

PLANCHE XLV I . Le roi Amênophi* U , purifié par les dieax Borus et TUth. (T<nple d'Amada]

PLANCHE U

I et 1. Figure» singulière» tirée» du pronaos du même temple de DaLiê ; on Cyno- céphale porte dans se» mams un instrument en forme de balustre dont le chapiteau c«t i tête dHatbor surmontée d un nao* ; IHercule barbu joue de U harpe. Ce* deux sujets •ont du temps de la domination romaine en Egypte et en Ethiopie.

3 Ce tiwsième sujet de la planche U est auaw du temps du roi Ergamène On y voit uo Cynocépale élevant ses mams devant la déease Tafné sous la figure d une lionne dont U tête est ornée d un disque, et atMlesaua le vautour de la victoire.

PLANCHE UI.

I Ce bss^Iief est tiré, comme le» précédenU, du temple de Dakké. On y voit le roi Ptolémée Évergète II , coiffé do pschent de la Baase-Égypte , préwntanl en oftanda de* vflM» de punficatioo et un sceptre divin ; des lige* de papyrua pendent k ae* main*. U roi e»t suivi de la reine Cléopitre sa femme, Caïaant aussi une offrande de flexo*. U troisième figure est celle du Nil-Bas personnifié. La quatrième figure est celle de l'ÉgypCe ayant auprès d'elle un bœuf, et dans »e* main» des offrandes.

ï Le second tableau est le pendant du précédeoti ce sont le même roi, avec le psiheot de la Haute-EgypU, et la même reine. Csisant les mêmes o&aodcs; cert auaN le Nil, mais le Nil-Haut qui ta suit, et enfin l'ÉgypU peraonnifiée, portant en o&ande se* productions iofinimeot vsriée*.

PLANCHE LHI.

I. Ce nouveau *ujel e*t relatif au roi Ergamène , et il ae trouve an temple de DaUê. O toi o&e une image de Thmêî au dieu Tb6tb et à deux auirea dima. Lea troia divinité* aont aiwe*-

MONUMENTS DE L'EGYPTE ET DE LA NUBIE,

1. Ce baa-relief cat le pendant de «lui qui vient dèïre décrit, Ce»t Own» iuivi d'Uis, de Thôth-n-Ba« et de Tafné

PLANCHE un (AùJ

Deux iiucriptioDi lir*« du temple de DiUé, en Nubie; lune en caractères hiéro- (îlyphiquea et de 4 ligne* ; l aul« en caraclérea démoliquea et de 1 1 lignes i,<Uuiiu com- muniquéj à Champolùon U fetuu , avoM ton vojra^ «i A'uA'e)

PLANCHE LIV [coioriée), tirée du tempU de CahhtcKé, em AuAie. I 0»ini, i.Mouth, debout, 3 Mandouli.4 un Horu», aaaia, «Tec insigne» de leur rang;aculpturea poljchrômes.

PLANCHE LTV ta. I. Les dieui Chnouphis, et Phré à tële déperTier. tout ûice à face, pendant que le pharaon Aménophis II ofTire le tio a Areaphi suivi de Harphr*.

î. Lempcreur Auguste , U tète casquée, offre le vm au dieu Phr* à tête d'épervier et suivi de la déewc Hathôr.

PLANCHE LV I. Portion dun ba»-relief tiré du sanctuaire du temple de Dakié Ce bas-relief repré- sente deux divinité* -^gyplieones, Tbôth et Tafné.

î Un empereur romain offre a des dicui la figure d un épervier mitré Ce sujet eiiste en bas-relief au pronaos du temple de Kalabêché.

3. L'empereur Auguste brûle leucens et fait des libations sur un aulel cbargé de fruits, en Ihouneur dOsins et d Isis. Ce sujet e»t tiré du pronao. du temple de Déboud

PLANCHE LV bu I La déesse S.ité, s. les-dieux Tbôth , et 3 Moui assis; leur tète est ornée des coif- fures caraclérisliques,

4. Lempereur Auguste faisant une offrande de »in aux dieux Thôlh, Emphé , 5o- chans. et a une dée»e léontocéphalc- Le nom de lempereur, daoi les deux cartouches au-dessus de ses mains , signifie Vempertur César, toujours vivant , cfu-n de Phtha et d Isu

Ui sujeU de cette planche sont tirés du temple de Dakké, en Nubie

PLANCHE LVI.

I. Bas-relief représentant quatre divinités assises sur un xacmt thalamtu ^ au fond du sanctuaire du temple de Ghirsché.

1. Deux jeunes hommes qui portent, lun une gaielle, ("autre un jeune bœuf. (Pro- naos du temple de Dandour. )

l et 4 îiiscriptions gradées sur les colonnes de droite et de gauche du pronaos du temple de Tbôth, à Dakké, en Ibonneur de Ptoléméc tvergète et de Cléopâtre.

5. Dédicace de gauche, du même temple, portant le nom de U même reine

Géopàtre.

6. Inscription grecque placée au milieu de la fnse du même temple en I honneur du roi et de la reine Ptolémée Evergète.

7. Ibis accroupi et portant la coiffure du second Hermès. (Temple de Dakké)

PLANCHE LVII

Le» sujets numérotés 1, 3 et 4. wnt tirés du temple de GhirschésHassao. Le premier représente Sésostris (dont la figure est incomplète) adorant le dieu Rbamsès entre Pblbah et Pacht, dieux épooymes du temple.

a. Ce bas-relief est tir^ du temple de Ralabsché. Cest ta déesse Isis auprès dun au- tel, en face du dieu éponyme de Talmis, sous forme d Ame que le» Egyptien» figuraient par un oiseau.

3 Le roi Sésostris, casqué, brûle 1 encens devant le dieu Phré-Sochans , à son ho- monyme Rhamsès-Dieu , et à U déesse Thméi; ces trois divinité, sont assise» sur leur

trône.

4, Ce tableau est le pendant du précédent; le même Sésosths adore Rhamies-Dieu , If» déesses Néilh et Halbôr boucéphale, ou à tête de vache. Ces trois divinité» sont assises sur leur trône.

PLANCHE LVII bU.

I à 4. Un empereur romain (Auguste Traisemblablement , sou» les diverses personni- fication» dHorus fils disis et dOsiris) fait à ces deux divinité» diverse» offrande» . n" i, l'encens; n'i, des libation»; n* 3, de» fleura; n*4, une grenade.

Le» «ujeU de cette planche sont tir*« du Umple de Dandour en Nubie.

PLANCHE LVII ter.

I Le dieu Aribosnofré debout , et a. le même dieu assi» ( figure» de divinité» âvec les détails de leur costume et de leurs insignes), sont tirés du temple de Dakké, et le n* 3 de celui de Dandour, en Nubie.

4. Un roi fait une offrande au dieu Phtba; sujet tiré du temple de ce dieu à Ghir»- chê , en Nubie.

PLANCHE LVUI.

I Le dieu Horu» biéracocépbale , tenant le sceptre divin dans sa main gauche, of- fn une image de la déesse Tbméi {la Justice et la Vente) au dieu épooyme du lieu , qui ert accompagn* de deux autre» divinités.

a. Le même dieu éponyme est a»«s entre UU et Horu» . qui lui prt»entent , I un , ta partie inférieure, lautre, la partie BupéHeore du p«:hent. »ymbole»de son •"toril*.

3. Un empereur romain, coiffé en dieu Socbaris, fait une offrande de vin « Onm, Isi» et au dieu épooyme adulte.

Le» sujet» de cette planche sont tiré» des bas-reliefs du temple de &Aiibaché, en Nubie.

PLANCHE LVni hù. a4 têtes bumames, mâles, surmontée» d enseigne» sacrées.

Le» sujet» de cette planche sont tir*s du même temple de Kjlabsché, ea Nubie, I an- cienne Talmis des inscnptions grecques et latine».

PLANCHE LPt , coloriée en parût.

i. Bas-relief tiré du temple de Ralabscbé, en Nubie.

a et 3. Inscriptions en I honneur du pharaon Thouthmo«is IV, de b XVIII* djoattic, à Amada en Nubie.

4 Buste du roi éthiopien Atharbammon.

5 Buanduo autre roi éthiopien, Ergamêne; l'un et l'autre contemponùm des pre- miers Hcicinées Sujets tirés du temple de Déboud, en Nubie.

PLANCHE LX

1. Figure en pied d'Ergamèoe, roi éthiopien, en costume dvil; sa légende loyale est inscnte devant lui. (Tirée du temple de Tbôth, k Dakké, en Nubie).

a. Image du dieu Ghiru-Socbans, avec tous se» insignes divin». (Copiée dans le grand temple de Htiilx, en Egypte.)

3 Figure en pied du roi éthiopien nommé Atbarhammon ; sa té'tc est ornée d'une coiffure divine

4. Dao» «ette scène, le roi Ergamêne re^it des témoignage» de la protection de deux des principales divinités égyptiennes.

Les sujcu o** 3 et 4 sont tirés du temple de Déboud, en Nubie.

PLANQIE LXI

I. Le roi Rhamsos II, frère aioé de Sévnstna , enfant rt casqué, est allaité par la déesse Anouké. Les deux inscriptions contiennent les noms des deux personnages.

a. L* même roi est allaité par la déesse Uis. qui n'est caractérisée par aucun sym- bole ; son nom se trouve dans les inscriplinns hiéroglyphiques.

Ces deux sujet» sont tirés du temple de Beit-Oualli, en Nubie,

3. L'empereur Tiln-re offre une figure de Thméi au dieu Ammon et à une autre divinité léonlocépbate. (Tiré du temple de Déboud. j

PLANCHE LXU.

Le roi Rham&és II est assis dans son naos, tenant dan» ses main» lea insigne* de la royauté Un lion en repos est à ses pieds. En fac< de lui sont deux groupes de person- nages ; dans l'un, c'est un prince qui conduit au roi plusieurs prisonniers asiatiques ayant les maiiis liées, lautre groupe est composé de chefs militaires égyptiens qui se présen- tent respectueusement devant le roi Une grande inscription est relative au sujet de cette scène militaire. (Beit-Oually )

PLANCHE LXIII.

Le même roi, debout et casqué, menace de sa harpe un barbare renversé; on chien s élance sur le vaincu ; le vautour de la victoire plane au-dessus du béroa; divers person- nages agenouillés, ou le front contre terre, rendent leurs hommages au roi. Cette partie de la scène est détruite dans le bas-relief original. {Idem.)

PLANCHE LXIV. Le même roi Rbamsès II, coiffé de la partie inférieure du pschent, est sur son char attelé de deux chevaux nchement enharnachés et lancés au galop; il foule et frappe de sa harpe une troupe de barbar*^ asiatiques armés, qui fViieot devant lui. Lliucription relative au sujet de ce bas-relief y est en très-mauvais état (Idem.)

PLANCHE LXV.

Le roi Rhamses combat à pied et saisit aux cheveux un étranger dont l'arc eal biiaé. .Devant lui est une forteresse dont les murailles sont occupée» par plusieurs personnes à physionomie asiatique, et qui demandent grâce; une femme suspend par te bras un enfant au-dessus d'une porte qu'un officier égyptien va briser avec une bâche.

PLANCHE LXVI.

l*; même roi, debout, armé de sa hache, foule aux pieds deux barbares; il en saisit de sa main gauche trois autres par le» cheveux, et reçoit de» pri»ooDiers de la même nation , qui sont conduit» devant lui par un chef militaire égyptien.

PLANCHE LXVU.

Suite de la planche précédente La croix figurée au cou de ces priaonniert asiati- ques n'indique qu une ouverture de leur vêlement.

EXPLICATION DES PLANCHES.

PLAtfCHE LXVIII. Ce mteir roi, RhamK* II. ctt auii <l*na ud uot hcbemeot décoré, e( (leot djos u DUÎD puche dn iiuigao de too aulonlé KprH an victoim cd Afrique, un filt •iné (regutrc Nipéneur), uo-pnoce éthiopien c( dn cbeb miliUim ( r«gulrc mréarur), éu- IcDl dcTMt lui de nchea tribuU, drt chaine» d'aoneaui d'or, rt det peiui daoimaui raro

PLA>CHE LXIX *i LXX

La «uile de retle icèoe historiqu* e»t reproduite ftur ce» dem planche» qui en «ont le complément, et doivent te placer de droite à jjauche. On y remarque, au refaire 8upé- neui . de» meubles eo bot* précieui , de» »ac» rempli» de poudre d or, de* plume» et des œuf» daulruche , et au registre inférieur , de* pn»onnier» à phjnonomie africaine , et des animnuK d'espèce» vanée» provenant :iu*si, comme l autruche et la yirafe, de l'intérieur de 1 Afrique ; des taureaux dont 1rs corne» naturelles sont cependant façonnée» de main d'homme , au moyen du feu , dit<on. L'ensemble de ce tableau , qui remonte nu XVI* aiécle a*ant l'ère chrétienne, donne une idée des production» de l'Afrique, qui étaient alors recherchées par te commerce égyptien.

Tous ces bat-reliefs sont sculptés aur le» paroi» du spéo» de Bcil-Oualli, en Nubie.

PLANCHE LXXI. Le roi nhamsès II , monté »ur ton char lancé au galop , décoche de» 6cche« contre

une foule de nègres qai fuient en déwrdrc. Lecb-r du r«i ett suif i'par Inehande tes deux fils. (Basrelief de Beit-Oualli.)

PI ANCHE LXX IL Su«e de la planche précédente Les n^^re» en fuite »e dirigent Tel» dea marért^v oo de» forêts A la gauche, im "nègr^ est tottUnu par deux autre»; •■ femme et se» deux enfants s'aESigent auprès de lui. Tlus loin, une autre femme prépare la Dourritvc sous un arbre

PLANCHE LXXIII coloriét, tirée du temple BeitOuaUi, en Nubie

1^ pharaon Rhamsès II , frère aïoé et prédécesaeur de Sésottrù, fnppe de aa hache d armes un nègre éthiopien agenouillé. Le diaque du aoleil plane au-desaut de ta tète du mi en aigoe de protection.

PLANCHE LXX IV.

1. Un pnnce éthiopien, à genoux, levé sa maio droite «ers rîntMeur du tempW, eo signe dadoratioo. (Beit-Oualli )_ Voyez auaai Planche XCU, n' 4.

a. Le roi Ergamène, debout en préacooe d'une divinité locale. ^ Temple de nakké. J

3. Un lion accroupi devant un autel. (Sujet tiré du temple de Dandour. )

4. Tête du roi Rhamaé» II , tirée du aanduaire du tesiple d'Amnun , à Bett-Oialtt

5. Fwure de divinité, tirée du temple de Dandour; elle est de ré[^qi4# romaîue.

EGYPTE.

PLANCHE LXXV

I. Baa-relief sculpté sur un rocher dans l'ile de Béghë, voisine de Philz 3 Autre bas-rclicf tiré du même lieu. Un pnnce adore le canouche-prénom du Pha- raon Antèsophis III, ou Memooo.

i et 4 Drus figures de divinités, tirées de» nombreux bas-relief* du temple d Alhnr, a Philc, représentant les offrandes de lempereur Tibcr« aui divers dieux de l'Egypte

PLANCHE LXXVl

I. lait , allaitant Horus , est soutenue par Soven , l'IUlhya des Gr«c*. Eo regard de ces déesses, ('buouphis, également assis, leur présenlc un enfant debout sur un aulrl Tbàlh marque un nombre sur le sceptre de* paoégynes; il est suivi de deux femmes et de l'empereur Tibère, dont la télé e»t ornée d'une coiffure divine, et qui tient suspendu devant lui un grand pectoral

1. Scène analogue a la prèré<ieDle . Ista et Soven sont eo présence dAmnion, de ThAtfa ibiocéphale , de deua décaae» et du même empereur Tibère. Le» dieux et lcm[M'- rcur dotent l'enfant allaiié par lau ou lut font des prèseou. - Ces deui baa-relieft suul tii^ do grtikd temple de Phdv, auut que ceux des cinq planche* suivantes

PLANCHE LXXVII.

I. Le dieu Tem debout i Le dieo Sev debout. 3. La déc«se Nalphé del^iut 4 LIoe autre décaae. S. Inacnplioo gravée par l'anBèc fran4;aise; copie fidèle de l'original

PUANCHE LXXVni ccioriit

t à 4- Qtutre figures de divinité» , reproduites avec tontes les rouleiuv de la sculpturr originale , et liréea du grand Irmpl» d'Isia , fc Philc

PLANCHE LXXtX

Va déesse Isi», assise, sibite le jeune Horus D un téxk , le dieu AmiMa présente i l'cnbot l'emblème de la vie divine; de I autre, ThtSth a tèle dibi^t, soutient la déesse QuatiT autres dieux nu déesse» assistent a celle ac^ne, ijni ett sculptée tur le temple d AttMW, a Philx

1- Cet autre haMrlief, du mém'- temple, 'vpré.birntc l'eBpereur Auguste, coifTé du pacbent, faisant une offrande au dieu Chnouplu» et a la décaae Albdr.

PLANCHE I.XXX I Figure en pied et en ccatum*- d.«iii dure de» reines d'E^pte nommée» déopitre a Figure eo pied du rf>i NcriancUf. coiffé de la parUe inféncure du pscheol, ornée de luréu», symbole de la doounatioo our la batte E^plc

3 Figure en pwd de Plolèuiée-Philadelpbe

4 Figure en pied du même rot , U têu couverte du pacbent casip4ei.

PLINCHE LXXXI eolonét. Figures de divioilés avec leur» maigM», leur» légendes et W couleur* conaacrée» I Har-Uaffa. i Oiaoov-IU- 3 La déesse a Icle de lion 4 Chnouphis a lete hu-

Les sujets de cette planche sont tiré* du grand temple de l'Jlede Phitx PLANCHE LXXXII

I Quatre prêtre» porUnt sur leur» épaules une bari chargée d'un petit naos , devant lequel est uo roi en adoration.

a. L'empereur Tibire présente les emblème» de la puitaance supérieure et inférieure au dieu Horus Tu amèt.- du dieu est assise Uis qui lance le symbole de la vie divine.

3. Le cynoct-pliale d>i dieu Iaious , 3*»i* »ur un piédetul i degré* , est placé en regard de 1'liûlli debout.

PLANQIE LXXXIU

I Osin: debout entre Isis et Nephihys qui le couvrent de leur» ailes. Autour de ce groupe ioni placées les figures du Nil et de» quatre génies de l'amenthi. 1 Figures divines -tsaise*, distinguées par leurs coiffure» spéoales 3. Lempereur TiUre offrant le feu â Osiris , à Isis et a Horua, assis sur de* tn^ne» I 4. \jL- roi bvergèie II , accompagné de te» deux femme» du nom de Cléopitre, prétente à Ui» le symbole de l'Egypte.

PLANCHE LXXXI V

I. 1, 3, 4 Figure* divine», itoléca, tirée» de» bat-relief» du premier pylAoe et de I une des porte» du temple

PLANCHE LXXXV.

1 T-^ic de Pinlémée Éver^éU II , coiffé de la partie inférieure du pacbenC. 1 Tête du Pharaon Nectanèbe, porUot la même coiffure que le préoédeot. 3. Tète d ArMOOé-Pbiladelphe , coifTée en Hatbàr, 4 Tète de Plolémé&Philadelpbe portant b partit: tupérieuredu pacbeot

PLANCHE LXXXVI eolonét

I Figure en pied de ï»tol<^nite Evcrgète II, la tête ornée dune ooifliini divine, compagnêe du vautour, insigne -le b victoire ; le roi fait I of&ande du vin à une divinité.

a Figures du Nil haut et du Nil bat , eo pied et avec te* couleur» conucrtc». Cert le Ûeuve nourricier de I l^ple dan» se* divene* phase»

PLANCHE LXXXVII

I et a Bis-relief tiré de la chambre dite dOsiHs, an temple de Pbil» Un roi égyp- tien (OU un eropfreur romain! est debout en présence du dieu Phlha, représenté dans Inction di- fabr^uer le monde; ce dieu est assis devant un tour de poUer, qu'il met en mouvemciU avec son pied droit ; il est suivi du dieu Nil , qui apporte son eau pour cette œuvre divine; Boru*. Osîns , Isis. Néitb et plusteur* autre» divinités accompagnent le dieu Nil. Ao-deaaoïi» du registre le» figures des divinité* aoot rangée», un aati* re- gistre contient le» enangne» cooaaorée*.

PLANCHE LXXXVIII

i Le même roi eo présence d' Anmoo , et pré» d'eux une arène tirée du mythe d'Oairû. 1. Une Bonie k tête d'Horua repoae aor one barque vei» laquelle t'avanceal le» quatre

MONUMENTS DE L'EGYPTE ET DE LA NUBIE.

g«Diet de l Amfnth. [rrgùtn- supèfieur). ^ »uit« df cette scène funèbre occupe le regiitre inférieur de ce même ba»-r«li<f . tir* de U même chambre d 0»in« a Phil«

PLANCHE LXXXnC.

Ud souverain dont le nom ne»l pa» tracé dana le» cartouche», qui aonl auprèa de aa h^re en pird , fait des offrandes à un grand nombre de divinités. Des inscriptions et le» figures des enseignes Mirées coraplèlenl cette grande accnc, qui commence par le per- sonnage royal, debout devant un autel, a la droite de la portion inférieure du dessin.

PLANCHE XC.

Autr« acéoea variée» relalive» au culte et au m>lbe funéraire dOsiris, aui lamenta- tions d Isis, et aui devoirs quelle lui rend, assistée de plusieurs autres divinilés

Les sujets de ces deui planches sont tirés du temple de Phdat, de la salle nommée ihambrc dOsiris.

PLANCHE Xa

I L un de» rois grecs, Ptolémi-e Philadelphe, en scène avec dcu» divinités égyptiennes, Isis et Nephthys.

1. Ptolémée Philométor offrant a une déesse deux flèches et deui corbeille».

J. Le dieu Thôth est debout devant une table dolfrandes ver» laquelle le taureau sacré s'avance en courant.

4. Ptolémée Évergèlc 11, frappant d un trident un ennemi terras»^ . en présence du dieu Aroëris qui prend part à l action.

Les sujets de cette planche et ceui de la planche suivante sont tiréa de» monuments de 1 ile de Philx.

PLANCHE XCI bis.

I. La déesse Ritho a le dieu Horus adulte, assis sur leur tninc, tenant dans leurs mains , lun le sceptre des dieux , I autre le sceptre des décbSes, cl tous doui le ejnibole de la vie divine.

3. Ptolémée Philadelphe, suivi de dcu« prêtres. portant un naos, fait des offrandes ..

Isis et Harsiési-

PLANQÏE XCI ter

Figures de divinités avec les couleurs consacrées et le» sceptres d.Mns .. U déesse AnouWé, 1. Ammon-R.i. 3. Le dieu Tii6lh. \ Le dieu Moui, Ces sujets sont tiré» du grand temple de Philac-

PLANCHE XCII. 1, a. Portrait» du roi Ptolémée Philométor et de la reine Cléopàtre sa femme (du tem- ple d Athôr, a Philic).

3. La reine Arsinoé en costume de divinité ( temple disis. a Phil.Ti

4. Figure tir^e d un de» groupes des peuples étranger» vaincus par le pharaon Rham- sèi II C»p*« de Beit-Oualli, en Nubie).

PLANCHE XCin.

I. Scène religieuse: la déesse Isis à tète de vache puise de l'eau dans le Nil au pied de la montagne de la Cataracte, la verse dans un bassin entouré de plantes, au-dessus desquelles se voit lame dOsins.

1. Autre scène analogue (eolonee) , relative au mythe dlsis et dOsiris.

J Le roi Ménephtha I", auprès de son char de guerre, frappe dcu* pnsonmers asiatiques à genoux.

Le» sujeU de cette planche sont lir^-s de l ile de Philae.

PLANCHE XaV.

I. Scène du mythe d'Isis en rapport avec le dieu Thôth.

■2. Ptolémée Philométor frappe de la harpe un groupe d'étranger» asiatiques vaincus; imiution du même sujet , souvent reproduit dans le» bas-relief» relatifs aux victoires des plus illustres pharaons.

3. Figure royale portant le» insignes dOsiris Sockaris.

4. Ptolémée Philadelphe, a genoux , fait une offrande aux dieux du pays.

l<es sujet» de cette planche »ODt tiré» du graiMl temple de Phil«.

PLANCHE XCV

I . Baa-rehef repréaentjnt une adoration à Hotimmon , Saté et Mindou , pour le «dut du pharaon Népliérot de la xxfx* dynastie, et sculpté sur les rocher» de grioil de U nve droite du Nil en face de Philz.

- Un pnnce éthiopien rend »es hommage» au pharaon Aménophi» lU , de la xvui* dynastie, casqué, assis sur un tr6ne k côté de la reine ooifTée en Ammoo. Baa-relief sculpté sur les rocher», route de Phil» à Syène.

3. Un roi frappe de sa masse d arme» de» prisonnier» qui aonl a se» genoux.

4. Scène analogue ; au-Je»»ous, un personnage sans qualification adore le nom du pharaon Aménopbi» III.

PLANCHE XCVl.

Sujet mythologique; Horammon assi» entre deus déesse», qui lui prétentrat Ie« deux parties du pschent; deux autres divinités tiennent le sceptre de» panégyrie», et y marquent avec le style un nombre d'années.

1, Plusieurs divinité» naviguent dan» udc b;irque célcate; acéoe aatronomique.

PLANCHE XCVl iû.

Autres figures de divinité» avec les détails de leur coatume et de leurs inaigoe». I. Harsiési, enfant, a. I»ts. 3. Athôr. L'oiseau qui décore le aocle de U figure 4 ^^ considéré comme une représentation du phénix (ile de Philc, grand temple).

PLANCHE XCVM.

1. Ixr roi Ptolémée tvcrgele II, suivi de la reine Cléopàtre, présente a une divinité des offrande» variét-s, rt notamment des pains consacrés.

2. Lis même» Ptolémée et sa femme présentent la figure de Tbméi (U rérité el U juslur) a une autre divinité. Ce» deux personnages portent de» coifTurea di*iaea dan» Us dcuK tableaux.

3. Deux figures d'Afu/r de la nuit, tirées d'un tableau qui en représente plusieun.

4- L'Uranie égyptienne , fHJ personnification du ciel. Le nom de Ptolémée Philométor se lit dans linscription.

Ces '[ualre sujets sont tirés du temple dOmbos.

PLANCHES XCVIU et XCDC.

Les sujets de ces deux planches sont tirés de» sculptures du petit trmple d'Oraboa.

Lesn" 1, 1. 3 et 4 de la planche xcvin, cl les n" 1, a et 3 de la planche xctx, forment une wrie de sept tabU-aux , qui. avec cinq autre» qu'on n*a pu recueiUir, représentent le» douic mois du ciilcndncT sacré' égyptien, el les divmités auxquclle» chacun d'eux était consacré.

4 [ de la planche xcix ), Inscription dédicaloire , du coté droit du prooaos du grand temple dOmbos, au uom du roi Ptolémée Evcrgete II et de la reine Cléopàtre, sa strur et sa première femme. ( Celle inscription se lit de a en ^. )

5. Autre inscription dc'dicatoirc, au nom des mêmes souverains, gravée tur \t> coté gauche du même pronaos. ( Elle se lit de a en è.) /

PLANCHE C

Les quatre bas-reliefs figurés sur celte planche représentent le» dévotions de Ptolé- mée Lvcrgele II aux diverses divmilés adorées dans le grand temple d'Ombos, Arocna a tête d'épervier, Sevek-Ka à tête de «rocodile, suivi d Athôr et de Cboos, etc., etr.

PLANCHE CL

I et 3. Sujets tirés des tableaux du même temple , représenunt le» adorations de Pto- lémée rpipiijuc.

1. Tête du même Ptolémée.

4. Ptolémée Evergèle II , suivi de la reine Cléopàtre , offre une figure de Tliinéi ( la justice et la vérité ) au dieu Aroeris et a la déesse Athôr.

5. Le même dieu Aroens dans une barque céleste.

EXPLICATION DU FRONTISPICE.

Le bontafUx rtpriscDU l'enlrtt d un sancluair». Ce portique Ml loutcpu par deui colonne, donl le, ehapileaui Knl form*, de lotu, proiflra. Le centre de M>n entablemeiit e»t rempli par le globe ailé, l'un de, symbole, le« plu, ordinaire, du dieu PM; et ,ur le vrlum , qui maH]ue louvcrture de IWifice, e,t trac* le tilft de l'otiTraje.

La ba« du monument «t décorée d'une trist rtpréaenlant un Aiiatique et un Afncain lif, et agenouillé, devant un cartouche actximpagué dea emblème, de U victaire, a qui contient lun de» nom, ucré, de I Egypte Prè, de, Taincu, »nl groupée, quelque^uoe, de, production, particulière, a leur «1, ou qui indiquent léut plu, ou moina a.ancé de leur ci»iliaalion Le, partie, latérale, du champ Mint occupée, par deui atelei, dont le, inKnption, contiennent le, nom, de lonent el du midi (de lEg^e), pluaieun pharaon, entreprirent dea eipédilion, militaire, dont le Kjuvenir noua e,t conservé par le, ba,.rtlier> biatoiiquea qui ciialent encore, et par le témoignage it toute l'antiquité httéraire-

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SPÉOS dhathôr.

1 PAflOl o. EST 2 POND D.. SANCTUAIRE 3 P.VBOI SUD DU SANCTUAIRE i. STÈUÏ AU 9MD DE L'ERTRÉE DO SPÉOS.

T.l.

IBSAMBOUL.

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PL.vni.

1.FA.0I EST. A DKOITB DE LA PORTE- 2. PAROI EST. AGAUCHE

DE LA PORTE.

IBSAMBOUL

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PL. IX.

FAÇASF. DU SPEOS DHATHOR -/.GRANDE STELE SCULPTEE SUR LE ROCHER PRES OECE SPEOS .

T.l.

IBSAMBOUL.

PL.X.

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SCiOSTMS.Mf ME SPf os .

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PL. XIX.

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IBSAMBOUL.

PL. XXXII.

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OMBOS.

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i GRAND TEMPLÏ PREMIÈRE SALLE APRÈS LE PIIOHAOS.-2,H)«af, DESSUS DE LA PORTE AE POND DO PRONAOS- 5. n>H, ARCWTRAVE DC PHDRAOS-é' OWr EITim

LE SÉCOS ET LE PROXAOS. Â DROOT

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CENTRE Ï)K nOClIMENTATION DU MONDE OIUENTAE

GENEVE

l car,- François CHAMPOLLION

MONUMENTS DE L'EGYPTE ET DE LA NUBIE

VOL. Il

{Réduction photographique de l'édition originale)

EDITIONS DE BELLES-LETTRES GENEVE 20

INSTITUTE QE EliiE AKia

«L'EDITION DE CES OUVRAGES A ETE FACILITEE GRACE A L'APPUI FINANCIER DU FONDS RAPIN

'^ r -v

MONUMENTS

DE L EGYPTE

ET

DE LA NUBIE,

D'APRES LES DESSINS EXÉCUTÉS SUR LES LIEUX

^bcx m pol 1 ioi)-ic' = ok'iiiic' ,

ET I.KS DESCRIPTIONS AUTOGRAPHES OT TE EN A REDIGEES;

Publics sous les vluspicrs

y//tM,/n:, ,/• / -iuMmcli,.,, .i/U/y«r r/ Jr / J^,,/,,-

PAR l\K lOMMISSION Sl'Ei:! A l.K

'■^//{f/lcÂoi.

|J(»ris.

'//////rtmenf ef ,jMnune i/( ,^'irmi/i QluM y/'n>f6>,

Ruf Jiicob, n" 5f).

,,.tâ~irUTE OF FINE ARTS

N /3r

MONUMENTS

DE LEGYPTE

i-;r

DE L\ NUBIE

TOME DKI'XIKME.

JNSTITUTE OE EINE ARTS

MONUMENTS

DE LÉGYPTE ET DE LA NUBIE

DAPRÈS LES DESSINS EXÉCUTÉS SUR LES LIEUX

sous LA DIRECTION

DE CHAMPOLLION LE JEUNE.

EXPLICATION DES PLANCHES.

(Eomc ^cu«c^nf.

SUITE DE LÉGYPTE.

PLA^CHE CI

( l.ripllatlOO de «»* plUtbt M * I* Us d4 KIIH du lolH I" )

PLAxNQIE CI Am, Les sujeU des irois planches Cl bù, ter et qumcr, sont tiris du prand temple dOnibns Les figures numérol^cs i, a, 3, de la pbnclif CI ha, suril imis représentai lODS du dieu

Aroeris avec de* coitTuri'S dtfT^rcDtes; la 4' est le griffon consarri- nu même dieu, et loinï

du double pselieDl des deux n'fjiuDs de rEgjplc.

PLANCHE Cl tir.

N" I et ï Fi};urfs du dieu St^vek-Fla, ic piemier persoiiua^c de h première triade adorée :i Omîws, ft avci- le titre de neigoeur de ce lieu dont le nom est exprima par la corbeille Iraversêe par la jambe, et le groupe contrée; It- dieu est à tète de crocodile, ii deux coirTurcs diiTiierites . celle de Phré el erlle d'Amnioo.

N" 3. 1.^1 déesse Son^Dofr^- avec le lilre de dame du lieu, le sn-pirr et la rniix ansi^e

N* 4- ArotTÎs assis

PLANCHE Cl quater

N' I Imapc en pied de la déesse Halliôr

N* 1. Autre imaf;e de la m< me déesse aver une autre coiiTun'. nau^i les deux k-;;endcs la déesse porte le litre de Dnmc d'Ombos.

N' 3. Partie d'un ha»-relicf; trois divinités accroupies portent dans leur main droite le sceptre des dieux et la croix .insèc; c'est la si-coude tnnde d'Ombos, Aroêris , Sonéoofrè , et leur fils Pnevlho

N' 4 Ptoléméc Epipli.iDc offraul des fleurs a Hnnis el a (ihcins

PLANCHE ai,

M' I Slele sculptée sur un rocher ii Djébel-Selséléli. Le pliarann Méneplilliapli II, fils et successeur dcSésostris, de la xviii* dynastie, suivi d'un prêtre 'J'Ainmun-K.'), fait une offrande à cette divinité, c;irnctérisée par s.) coiffuie a longues plumes Le nom du pri-tre est plusieurs fois rappelé dans I ioscriptinn. En deliors de la stélc est seulptic une ligure, accompaf;née des nom* du pbaraon Aniênofdi 1", chef de \a xviii'djaaMic ,

H" a. Tableau lin'' de la chapelle de Rhai.iM-s 11, a Djebel -Selseleh. Çx pharaon. rcfi;ir- danl a droite, brûle l'encens devant les divnutis Auinioo-Ka, Mouth et Cliôus^ regardant vers la gauche, il Fait l'offrande du vin aux dieux Phré(le soleil), Phthn, seigneur de justice, et Hapi-Moou (le Nd, le père vivifiant de l'univers,

PLANCHE cm.

Les sujets des plam hesCIII a CXXH sont lirt-.sdes moDumenUdc Djébcl-Selséleh(Sdftitis).

Le sujet n" i de la planche Clll représente la reine Nofréti'-ri ou Nnfré-Atan, femme du rot Rhamses II. en costume dHathor, jouant du sistre en pn-seiice de ta déesse Ta djiïr a corps d hippopotame, de Tholh et Nctphé.et leur faisant des offrandes de fleura et d eau sur

N- 1 Offiaadc du feu faite |wr Sésoslris .i Sévek, suivi des trois déesses, Sot-Set, la t.'tc surmontée d'un roseau ou style pour écni-e {daus rpiel.iue» copies ou ajoute le *<gment de !.pht-rc, r, aux trois autres sigues de son nom, SSTj, Rilho cl Hiithor

N* 3, La reine Isénofré, seconde femme dr SésoMns. joue du (Sujet analogue a celui du n* i.)

N- 4 U pharaou Méncphlha H , faisant des offrandes à Osiris

sistre devant trois diviuité->, Isis et a Sésoslris. son iierr

Stclc copiée frande du vin a

PLANCHE CIV Il même lieu. \x roi Hham&és-Méianioi X dieux Ammon, Phré et Nil

chef de la xix' dynastie, f.iil luf-

PLANCHE CV Stèle sculptée .i même sur le rocher, représentant un roi casqué, suivi de deux petsoniia^t - inclinés, cl offrant une figure de la déeweThméi au dieu Ammoi)-IU, debout, la grande diii- niie de Thebe* Des inscriptions hiéroglyphiques encadrent cette scéne - c'est le phar.iou Méncphlha H. suivi de deux pnnces, caractérisés par Imsiguc ordinaire de ce rang, i[uds tiennent dans leur main gaudie . la droite étant élevée en signe d adoialion

PLANCHE CM Le roi Rhamses-Méiamoun offre l'image de la Vérité a Ammon-Ka, a Phré et » .Sévek Au-dessous de cette sceue étaient figurés deux scribes royaux, dont 1rs un âges et les légendo sont três-mutilées.

PLANCHE CVII. i; autre scène d'offrande d'une image de la dée

u di< ..

Stèle copiée au raénic li Phllia dans son naos, par Sésoslris, accompagné de la reine son épouse, Isénofrt . sa fille Batliianti, coiffée en servantr d Ammon; un jeune enfant, en custiime de Sem est devant le nu Derrière le naos de Plilha est un autre dieu, Athmou, debout, portant dan-- S.1 main droite un sceptre à double plume, et dans la gauche l.i croix ansée Deux ji ime" princes, en longue ealasins, sont en posture d'adoration

PLANCHE CVIM

N* I InscriplioD du ngne du roi Horus, de la xvtji' dynastie, (pu décore la [«rie prm- opale du grand sjiéos de Djébel-Selséléh, espéir de galerie historique a cauM- du grand nombre de stèles royales sculptées sur une de ses parois.

N' a et n* î. In5<:riptions des tableaux d'offrandes faites a diverses divinités par Khanise^^- Méiamoun; bas-reliefs sculptés aux Ac\x\ cnlés de la même porte, a l'inléneur du spéo»

N" 4- I*roi Horus faisant des offrandes de papyrus et de lotus au dieu Tholli ibio< éphal. el a la déesse Hathôr.

N" 5 et n" 6. Inscriptions tuées des tombeaux de Silsih»

PLANCHE CIX 1 Le r-u Horus adorant le dieu Phré a f.iee humaine, suivi de \.\ iléei^se Nabamatéo N' j I.t pharaon Siphtha, de la xviu' dynastie, offre l'image de Tliméi a Ammon-Ra

assis, et à Phtha dcbnul. Le sujet inférieur est ladoralion de deux .iiilre.% divinités, de

Pasrht et de son lïls. par un prince.

N* 3. La déesse Mouth allaite le roi Horus enfant, en présence du .heu Ammon-Ra, doni

l'inscription annonce la présence, f Le nnm de la déesse est incertain i

MONUMENTS DE L'EGYPTE ET DE LA NLBrE

rt-nm lie re |ili.inioD, er <\ iialais de <-c roi .l 'l'iubcs,

Pl.ANClIF. (A

Le nii Horus debout, In Iini-lir sur r<ip,iuli-, rcroit du dieu Amninn-U.') le symholi- de I.

vie di\iDc i-l If don de 3>u)>jii<;ut;r le uni il it k' midi de h\ Icm- l)<'s v^iiiiru» ^irrir.iins sont

fouliî soii' Icuri jiicds; d.iulres lendcnl li% lir;is; uue fi-mme (-«[inmc *00 dws|ioir- Un

AfncaÎD, c|iii jurait ttrc au scivici- du roi, li-ur iidrewc la parole

l'i.Aîsciii;:» fAi ei cxn.

Le roi llorus e§I porli- sur un jt.il.iuquiii par les clicfs militaires, suivi ri procédé de deux flal/fUifln-s i nn brûle retir<'H> drvjiil lui; des suidais coiidiiiseiit des pn si m mers .ifriLiiiK rt asiatiques: la trooi|Ktlc aiiintiirc martlie du roi; des pn'tre> cli»ntcut ses luuaiigcs, d'autn-s soldats portant de& bouiiiers furnieiit IVscnrtc; enfin, de» serviteurs préparent le cliemin que le roi doit pairoiirir Ces dcu» planriics n-prèsenleiU tin seul li.is-i-etief <pij r.-ip[ielle le Irioniplic du nu (loiusrn Asie el iii Afrique f Voyez les Lftlirs vrnieidf'^ptc , par Chan,|xdl.oi, le j. un. . |..i-e iS(, )

PLANCHE CXIII Suite du bas-relief prtci'-dent; prisonuiers de n.ilioiis diUrrcDle'i ennduit:. par des soldats du roi llorus. Les vaiueus iitiploreul le roi

PLANCHE CXIV. Le roi MéiieplillM 11, s.im de l.i reine Is^-norré loiffre d une manu le remarquable, et aceomiia^iu* par un elicf niilit-iire {Xirtaiil lenibleme de \.\ vKioin-. ]iréM-iile luna^e de la Vérité a Ammon-lla suivi de la déesse Moutli.

Ia- bas de h stvie était rempli par une légende de dix lignes, d.il<i Au ', in<Miri, l'an v du I r.qijiellr qu'on a tiré des i arneie-. Je SiImIÎs des pui i es pfiur l< t ji'iur les réparations du Itliame^M uni

PLANCilL C\V,

Stèle sans encadrement, repn'senlanl le pharaon Uliamses ]II (Sésostrisj cpii oHrcii Pbtli; dans son naos, el a Ainnuiii-lla tpii le suit, une iiiia£;e de lit déesse Tliniéi; le roi est suîv de M.n jeune (ils, cjui lail loifiande du vin aux uiéiiKs divinités. Le registre iiilV,..'iir es occu|>é par des loscripliuiis ipii rappellent i|uc les pauéj;vnes ni.t été célébrées dans le années 3o, .t4< ^7 '^^ ^o du ivyne de te n)i

PLANCHE CXVI.

Sujet aijalo<;uc 4 celui de la planclie j)réeédeiiie; le même roi, .suivi >!<' s<in (il> •|iii piê sente le feu, lait la même oirtaiule au dieu Plire et au dieu Setek a télé <le eioeo.lile Us insrripliùns eonlieunent une date de plus, relie de l'année 4 't du re^ne de .Sesostns PLANCIIL CX\n.

Dans eeite grande stèle, Irés-oruée, un plui'aon, du nom de Illianises, vraisemlilaldemcni Je la w' dynastie, ofTrc une iina^e de Tlunéi .lux dicu« AiiiuiOii, Clii'ms et Sévek.et .itec eux il la déesse Moiilli. L'encadre me iil perpendi^iiLiirc est oceupé par I eiisei-^ue de ee roi, qua lifie d'Ai'oeris puissant, rlnn de Tbiiiéi, qualification suivie de ws litres royaux, avee ^e deux cartouelies nom et prénoui.

PLANCHE rXVIH

Stèle seiilpl-e Mir le roel.er a Djeltel-Selsèt. h , I aneienne S.K.I.s Sésosiris ..(Tie une (i-un de Tliméi aux dninites Anmion-ha. Plue, Tliméi, Plillia, et a Se^k-lta, la grande dMir.ili du Nome Ombite. ou les tanières de Silsilis étaient situées \a- est eaiiqiié el peint d'un louge pourpre sur I orijijiiial; le dieu Amiiioii-lta est eoloiié de la même iui.mre Pli I lia a les ehairsruu;;es. Un prince- est agenouille, el fait I uiTvande de la slele ['u delioes du lahleau.d est lî^uré di' nouveau avee son nom et m s tilres, oITraiit leuieiis debout, l^s inscriptions verticales au-devMins des figures rappellmi les [laué^yrios «élélirées dans les années .lo, 3i, ^7 el 4 i du reync de Sésosiris.

PLANCHF, C\l\

Le sujet de erlle slcle r»! plus éiendii;eesl, loulefois, le même S.so'^lris f.i.sanl l.ifTiande de l'image de la <lées.se Tliméi, dont la (i-iire est auprès de lui, a ein<| ;,'iaiides divinités, a Ammim-lla.à Moutli. aCIié.ns, a Pliié ii a S< w-k. L insiiipiinn InuiMmlale porte la date de Inti ^Ti du re|;ue; l'inscription .i cnluiines perpendieidains se lapjiotle an elief agenouillé eu signe d adoration, el qui était venu célébrer la paué^-Mie dans ia i|u.uaiitc-< imjiiieine année du rt--;iie du roi.

PLANflHi; CXX

N' I. Un prince, filb de Sésosiris cl de la reine I»énofré,assisti- a une eéivmonie ivligicnse.

N- 1, Le roi Horus offre des (leurs au dieu Pliré le soleil; el a la déesse Hatlioi.assise der- rière ce dieu, el désignée par un de ses titres divins.

N- î. Le rm Hliam.sévMéiamouu, le rlief do la xin* dynastie, rdlre une un.i-e de Tlimei a Amniiiu, a Mnutli et n t1ié>ns

V4 Le idiaraoo Siplillia, suivi d un i-ime.-, „nVe un biiiuinei de (Unes a Ammmidta debout

l'i.ANc ni: CWI.

Stèle a deux n-RisIrcs, Au re;;istre stii«iietir, un roi. Méoeplilha U, ea.sqiié, offre l'iotagc de ïbméi a Aminon-Ka et au dieu Pbllia dans son naos. Ce roi est suivi de la reine Isi-nofré et <Ie deuK princes, dont 1 un , sou (ils, est roilTé, et l'autre a la tèlc rast'-e.

Au n-gislrc inférieur, le même roi, coiffé en Osiris, et suivi de plusieurs princes, dont le prcniicr est le fils du nti , f>frrc limage d un sphinx à Pbré el à Tliméî. L'inscription de cinq lignes, en signes biérnglypbiqiies, est três-endonnnagéc dans la srulptnre originale

PLANCHE f;XXU- Le pharaon Ménepliiba X\\ offre limage de Thniéi à Ammoii-I\a et a d antres divinités

L<5 insrii|ilii de slele

1 le

Klur.le

nignciisemeiit marlcléei I iiiléncur du rrand

peo»

le bns-rclii f (iriginal, seul|>lè en fonin I Djêbel-Selselel..

dieu son liomnnvme

PLANCHi: (JCXn Am

N- 1 OfTiandedn vm p.ir llliamses le Craod a Ammon-F (sujet tiré du temple dMssélioua, en Niilne >

N' 1. Offiande symboIiqueaOsiris'IiréeduleinpIe de Dandour en Nubie la^sdeux earlou- rlie.s annonnnl l'êpoqnr romaine, el le règne d'Auguste est celle ou ce temple fut 'Onstiuil

N" t U pbaraon nbamsi-s )| f.„i ,|,.s offrimbs d. viii el de Heurs a trois divinit.s d.bi.iil. portant le sirptre divin. Cl <pu sont i.mpl.è, Tapbné, et Sel) a fare liumaine ( . sujet est tirer de la rlia|Hlle de Rlinnises II, a SiMlis, pai-oi gaucbe de l' ultérieur.

N" 4- Le dieu Horus cl la déesse ILik. compagne d Aroenc , assi.s sur IcurlrOne; frag- ment li'une scine d'adoration tin'- du giand temple dOuilios )

PLWdll (.X\II li-r (/f/j,l,v.7.frrsorla pl.n.he^ Slele en I honneur du plMi.ioii Sevuieliis I", le Sellés. 11. .k de la Bllile. Ui déeue Mniitli présente rc nu .i Ammon-lï.i, suivi dr> <lieux Plue el Plillia Le roi csl suivi de son rojal fîls, seigneur des moiidis, roinmand.ml de I iurinlene. et qui se nomme Anion-Mai SHies- rliêik eoninic son père, sel.m 1 iiisi rqiliou ]ilacée aii-.lessus du jeune prince ipii fait l'oirmiidi- du l'eu a la suite du roi L'iiisi iiplinii en colonnes veitit-iKs eomnieine par la date de lan it du n-giie d< '.Sesoiiiliis: sou sujet ist r.l.itif .i revplnilation dis eaiiiêres .le Silsilin a celte même époque ' vers l.iu tj'io av.ml J C ,. pour lis . nuslnii lions que ee roi (il faire ii Kariiae ;riiebesj, ou elles sulisi^lciil encore.

PLANCHLS f.WHI .1 t.XWIH lï<ifou.i

(es -IV plancliciriprés.oi.nl dnu/c l.ivielii l's qui forment un seul sujet eu douze parties < .-( Ir I,::t du dieu H.ii'Hat ilroiMiiue pei^onnagc .le la tria.le adonc d.ius le grand temple d'I'dfon], la science et la lumière céleste per.soniiifiées.el dont le soleil est l'imnge dans le monde inaUTu-l.sou coiichfr.KX sùs/ornict symùolii/iti^s â chacune des doiiKe heures du jour, .,yt:c les n.im^ de ces lien.es

Dans les plan, lies CXXtlI, CXXIV, (:\X\. la figure du dieu .si leufenli.e dans un cercle; son nom y est inscrit

Dans l.s plaiielies CXXVI. CXXMI, CXX\III, le même nom du jeune dien. ir.iré aupr. s <lc sa tète, le iail .liNlinguer, malgré ses Iransformali.nis diversrs, narini les antres pecsonnagcs qui ligiii eut dans lis nn'iues seencs, ou d prend la tête ou la figure de plusieurs animaux sacrés.

Dans Ces dou/r lableaiis, on rocoiinaitra les heures , a cc& fî[;iires de femmes dont la léic est surmoulée d'un ilisque avee ou s;ins étoile, et dont l'inscription renferme toujours un des nombres i à xii.en elnUres > gvjilu us, iiidi.|uaut I oiilre sncee.wif des douxc heure.s du jour el de la coui-se du soleil

Ces douze bas-reliefs soiil tins il.- luiiêrieur du pmiiaos i\it grand temple d'Edfou. Ij- dieu Maudoii est a l arrière du la bari]ue dti dieu Har-IIat, qni est adoré par d'autres divi- nités, Thûtli, Isis, Neplitis; le dieu Pbré est a la pnHie; Ne ,i Horus. les esprits de lOrienl feu rynocépiial.s, plaiu lie CXXMI;, [diisieins autres divinités, et un roi lagide avec .«m nom. figurent successiveiiieut dans ces tableaux d'un Ires-grand intérêl.

PLANCHE CXXIX l.es deux |).'irtic& ne formant ipi'uu seul bas-i-elief icjirî'scutcnt la bari ou hart|ue d un dieu Li'ont.i. éplialc a cn>)s>.aiit, devant lequel Tliêtih, Isis, Horus Kint del>ont en acte d'.idoration. (À- table.iu cl le u' i de la plauclie CXXX fout partie de la série qui compose le mythe du du-u ll.ir-Hat el ses foruies diver»*» à chacune des dou7.e heures du joui.

PLANCHE CXXX

.N I l!u dis n.is Ptolèmées l.nt hmumage dune figure de la deesw Thm. .. ta ban San,, de H u II 11 Les d. iix ileess.s de |:i vue ri delonicsonlà la sililc de la ban

N' J. l!u roi. vraisemblalil.nient le même Plolém.'e. coiiïê de la partie supérieure du pli lient, syniliide .le la dominalion sur la it'gion supérieure, fait ses adorations a plusieurs div inilês, v ers lesquelles il êlev e ws ni.iiiis suppliantes. Parmi ces divinités, dans l'ordre de leur marche, sont, comme riiidiqueul l.iirs noms, les esprits de l'Orient devant le i-oi, Horu> enfant, ll.'qt-Hiooné a léie de chacal, Clums, Horus. Halhôr, Tlin dans son naoi, etc.

N" S. Partie d'un snjel anah.gne au piv. édeiil. Ici les divinités, alleniativenienl ;i télé dépervier cl d'uiêus. sonl assises; une lég.nde liiiroglypliique se rapjiortc à chacune d'elles.

PLANCHE f:XXX|.

■noiix, el l'oifTê eo Sokahs, reçoit ilu dien Phrx- le sceptre des

L'n Pluléi . I-T dêevse Hallinr est asviw aiipua de Pbré, et llarsoniho auprès du roi

N" a. La déesse Sareldmoue ma

s<-s,cclledela

iniérieiiiT. Sou eu de la rég

le sreptie des années. Deux autns 1 su|Hnenre. précèdent la première

PLWCHE CXXXil, Celle planche Cl la suivante, numérotée CXXXHI, soni lin-es du prand temple d'Edfou. Usujct n". de 1.1 planche CXXXII repnseule le roi Ptolêmée Alexandre, coiffé dnpschent entier, sjmbole de la .tominatioo sur la hante el la basse l^pte, recevant de phisieurs di- ilés, d Hai-sié>i, de Tliê)l]i deux fuis grand, la domination sur l'Egypte entière de nom- breuses panèj;)nes. Horus, Hathêir et son fils assistent le roi,

N" 1. Scène mythologique, dont la portion de gauelie nVtistc plus. O .sont tes espHis lie lOccidcnt en pn:-»enee d'Horus enfant, et des div iiiilé» HojvHiooué a léle de cliacjl.Thoth. Clions el Halhi'u.

L\PUG\TiON i)i:s I»LA^^;nKs.

HANCm CXWIM N- I. a ft 4 U r... Ptol^fii<^ot(..|.l..,i.e, .ircompa^uc |.ar h n-,nr (:i<o|.àtrc, rn arir a ,idornl.«n .Ifv.uU ws an<.-tr<-s, Plolém. es l'hil.ldel[3iic pi Arsii.or. Pliilrijiaior el Bi-ri- nicc, F.vi-rg.ii- 1" cl B<Jrtnirc

N' 3- H.inis, H.itli<tr ri U.irsoiillio, .i»ms du d.-liom pnur rccovuir .les oirnoflcs ' f't//ou )

PLANCHF. CXXXIV N" I, j. 1 et i Fi^ntrrs cfr divinit.^^ itoUc», .ivcr I.ur. :itlnl<iils r,ir:irlCnMi(|ucs, MouT- O^h.Ntilh.Phtlu.Tliori rt MaiuLui i AV/"u,.. A|.ollmop..l.s.M..nii.i.,

PI.ANCHl. (XXW IS" i, -j, 1 ri 4 Fipiircs «lautrcs divinilcs imiU-c8 Ucssiikcs in gr.mil, via fijjuri's sitvj- roHt di- types rt de dêvioppemcnl» |>our les sujets on iltc» buiil rfpnscnltVs djii» de plus pctilus proportii.ns Ct soni diuv l.',iilo..'|JM!(i, u'i Hi.iun cl Ctinoiipln-.,

i>i.AM:in- cxxxM

PorIr..ils -11- mi» l.i[;i.J.*

N- I. tliO(>..Ir.-, fcnim.- di- Plol.in..- S(.(. i IT

N- J Ptoli-m..- Soicr II

iN" 3. Plulùuiie Pli.lop.itoi.

K- 4. Htrtliiirc, fciimic du Ptol.'ni. .■ AI. sandre l"

IN- '.. Piol.in.v Al»».i.idrp 1"

0!.ntn|p(irliMils,<iiminc los b.ij-rcliil:, dt In planriic pncwleiilcsonl lirrs dos ■-< ulpliirrs du gvnnd temple dlidfou; \v uuiii de olueuii de .eh pcrsnnn.i;;cs rojiiui esl etiil diiiis l.i li-};L-ude rpii ao<-nm|Mgiic leur (t^-ure

PLANCHE CXXXMI

N r If ro, Pl..|r,ii.cl vei-êun.del.oiit,r.i.t des oflKi.i.l.s ,i.i m. l'tul, m.eit .. la reine Arsiiioé, ses .Tneclies.

N* j Piolpoiêe Alc\.-indre et la reine Bi-it-nicr, «[tii marelic apre^v lui, riml un jictr d'ndo- ratioii devjint pliuiciirs diviiiilés, Hai-Hat, père du j.-iiiu- A\<-u . Hatli.ir rt Olii, le eini|uieme Hurn5. et Uallirir

N- 3- Le mOnie Pt.dém.'e Alevandr.-. suim de l.i reme ( léop.Ure, ..ffiai.l un !i..i].|uel de fleui-s.

N' i- La il.fsse Niilli, -issise.tenanl daoN ses mains le scepirc el le s>riiliolc île l.i vie dixmc

pi.ANcnr. cxxxviii

Les (juaiic «tijels rcjiruduils sur cctle pinnelie sont lires du pclil Icmple d Fdroii, vul- ;;,iiremeul unuinié le Typhuitiitm. Il> font parliu d'une f-raiide eompoMtirtn(Ia même dans lotis les lemples de tel ordre, nommé» Mamiiii'si , lien d'aiiuiirlienient, jinr les F^gyplien»j. K r|u> ri.'|)iv%eii(ait Iriifanee el I êdue.'iiioii du jeune dieu membre de la triade adorée dans le grand temple ilu inênie lieu lei i esl le dieu Har-Sonl-Tha , présenté el aceuedli par Hntlioi, CIniepli, H.ir-Hat. Amiaon el TliullL;au jeune dieu est assoeie Ploleméc Everj-elell, dont, par (lalUne. on assimile I enfance .. relie du fils do la déesse liall.or. Dans le* M.jeU numérotés j et 1 , on %oit i iisemhle le jeune dieu el le jeune fui leur* noms, plaies an- dessus de l'iir léir ( celui de Plulétnie dans le« earlouelu'H acmiiplés ), les font distm^uei lun de lautiv.

PU^"CIll■: cxxxix

?t- I. \^* divinités Ainmon-Ka el llatlior dans uii<- seene relii^ieiise. ^- 3. Sujet Mmli<.li<|uc,Moui,^ous le nom de Kallil.et Hallioi

N'"3 et 4- DeiiK divinités as^is<'s. On rcmar<pie la diflerence «les sreplirs^ lelin i|ui est surmniilé d'une télé de cotieouplia esl le sceptre des dieu», el Inulrr nliii des déesses Sujets tirés des monument* d'Cdfou.

pi.ANciii' <:xxxi\ bh

N" 1 Jéle de l'ioléinec Soler 11

N" 1, î . I i li-ures de dinniles. a. i onipafjnéis de leur* l.'gen.l. s en .ara. leres Intro- j;h|dn.pies, W*Oil' a.lLuïOulIloadulle; 3. la déevse Sakel., i , It.n-H,.lli Ces iitialre sujels Wiit lires (lu }{i'aiid leiiiple d'Fdrou

l'I.\NCllF. rXXXI\ fer

V 1. F.-ure du dieu L.oiil<« < pl.ale, Moui , lire, du t.'m|.l< il. I)el..md, n, Nul,..

las Iiois aulM s Mijels de la même pla.ieh. sont lirév .K s las-reh. fs du -lan.l lemple dJall..n,enl.a..l. if;\|.le

\a »- 1 esl ....e fij;nie en |.icd du d,eu II..i-ll.i(l.. pen ,lr ll.irs.nilho

Le ir 3. la d.-ess. tl.illn.r, l.i \ énus é^nplieiine, . ouveile .1 Hue |..l..' Ii-ere

Le il' 4, le 11.1 Pl.il.in.i t|>i|diiiie d. Iiuiil , r.i^a.it de^. lilialioiis sur on autel, eu I honneur d'un de ses an.'. Ire=, l'hdeme.' Pti.l...leVli.-. ass.s .\ poêlant lo '

ilesd. I.u esl la .■■•...e A.sM.oe. f-iunie d.' Pluladelpl..', ,».r.,

ri.VM.IM (AI.

Les sujets 11- 1, a il 4, sont lires îles lunies iln le.nple .le S.uk . a I lellua

N- . Hl.ams,-.s le (i.a..d reeo.l le lla^ruin du dieu S, vek

N- , la- même KliamMS. arni.' du (la-n.m. e.iui I %ers le .lien, Iriiiianl ap.es so. .ii

jN- 3 Suj.l fauiili.ilirédun lo.nl.eaii

^■ 4 IVanspiirl de la mooi.e d'u.i i..ti...i.e sur un - liir fu.i. suj. t l..é d.l ..ie..,e I.nnl..ao .p.e le J... n dent, a I lel),>a

PLANCHi: tXI.I. s travaux de la ré.nlie des blés l.e grain ncltoyé.

i las de blé, et trnai

N' > On y voil le« iler Ii^in^porté, dans des nais, ou pi-enier; un scribe aecroupi s dan» ws mains la palcUe el le roseau ou ealam de sa proressnon ftémniguage »npOi.anl d«- l'iiMgc générât de récrilure dans loule» les el,i»ses d'Iiabilanlii de l'^j^ypic j ré|ioi|ue rerulee ou remonic ce baft-rrlief j; cr scribe inscrit le nombre dts mesures de blé nui siml apportées nu prcniep.

N' j. Deux barbues, marcbant à la voile ci a la rame, i\ttoa va elwrger, nn serilie prend des noies; auprès de lui son!, sur deui lablclles, des sacs de poudre dor el des anneaux «Ir métal pi'éeieuv, servant alors aux trans3i:tioos du commerce Sujtls tirés. des loinlH-auK d lUill.va.

PLVNCUKCXLII

K' t Sujet funéra.rc Ix- défiiol esl iud..|ué (i.ir la (leur qu il lient dans »a maiu el l'orm^ ment de sa léte; 1 inscriplion annonce 411 d étail de In caste de» seribes Un jeune li.mnm' (le sa famille, son fils, sans doute, lui pr.'-scnte un breuvage funéraire

N" a. Deux joueuses de harpe a (juatre et a sm cordes.

N- 3. Un intendant, en présence du maître .(ui tient une longue canne a la niaiu, de- mande au gaidieu des vadies et des veaux le compte de son Iroupcau, composé- de cent vmgl-deux b.i'ufs, cent moulons, dnu/.e eenis rhevres, seize i-enis pores, selon rius."n|)liou. .Sujets lires aus^t des tombeaux d'Llelliya

PLANCHL CXLIIL

N" 1 rranfiiinil d'une nioniie préeédéc et acompagnée par les parents du défunl.

N I Ué.ollc du blé. transport des é|>is el foulage par les bœuf» L'inscription au-dessus des iMeuls est une < haiison pour les cncour.iger au travail ; le bis moilcme y esl exj>rimé par lesign.' qui 1 >t un double eerele, traversé' par deux lignes diagonales (Toinùeauxil'lilfûijii '

pi.ANcia: cxLiv.

N' I (Jhar éjîypiien conduit par deux chevaux retenus par un serviteur Les lornies naturelles des chevaux indi.|uent la raee du Dtmgola, encore fort rslimée aujourd lun

Pi" a Intérieur .1 un cellier les anijiliores en grés sonl symèiricjuement rangées. Un lioiiime excite lair pour rafraîchir les lii]uides «j ne ces amphores cnnliennent. [Tombeaux ,lrl„vilU-<rÉleilna-)

PLANCHE CXLV

y I et 1 Oiïrandcs funéraires faiics a 1111 homme et à une femme assis et défunts

rV" 3 Musiciennes el el.anleuses, et oiliande semblable aux deuv qui pr.Vedent, et a !.. même femme i]ne la (îgur>- n' 1; elle se nommait Amensé-

K" 4- luscripliun dans la.pielle sonl rapportés les noms de plusieurs rois el reines des pnniiers temps île la xvjii* ilynastie, Améuophis i", Ahmés Nofré Atari, sa femme, Ame- nopliis H, la reme Ahmés. (.mme de ïlioullimosis I'.

PLANCIIC CXLV (bis). N" 1, a, 3 el 4, Scènes religieuses tir.es du temple de Chuouplus. .1 l_s.ieh Les légendes restées en blanc sonl délrnites sur le monumeni

PLANCHE CXEA ler

N* 1 I. empereur Domilicn casi|uè, a genou», fait loffraiidc du feu aux béliers divins Son nom el ses titres sont inscrits dans les deux tartnuclies placés aiipi-es de sa fi"ure.

N j. Lemperenr Sepl.me-Sevére, eo.ffé en Osiris Soccliaiisj.ul lolTrande dun champ a., d.ru Chooi.pl. -Ra .. lèlt de Iwlier. el a la dé-esse Tnéboué>, Dame du champ

N- t Leiujiere.ir Claude fait des offrandes au même dieu Chnouph-Ra et a la il.esse

Menbi Lt-onlneéphalc L;i fig.n pla.n he pK-cédente sonl lires du

de le

ipercur esl omii ind temple d'Esnéb

Ces iroi.

iijels

de

mbiemes des die ii:nes d.-s dées

■lie deuv Ixeuf-,

PLANCHt: (:\L\ j/uatcr .

Ni. L'empereur Antonio faisant une offrande d'ares et de flèches a la d.-es.se Néilh e( au dieu 5evek.-Ra, a tête de crocodile.

K" 1. Le roi Ptoléni^e Ljiipbane, coiffé de la partie inférieure du psclicnt. cl la reme Cléop.'.lre, coifTêe en déesse Halhêir, font des offrandes a la déesse Néilh. ass.slet dun jeune dieu.

K- 3. Le nu-me empereur Antonin, coilTe en dieu Socebans, fait loffrandc du un a ta de.-ssc Nê.tli soos la forme et avec le nom de Menhi, et au jeune Haké. sous la farine d'un cufaiit, .|ui, avec Chnoupbis. forment la triade adorée dans le temple .l'Ijneb.

N* 4. Partie d'un bas-relief d'iidoratiou, par nn autre \nlonin. eiii])ereur romain, du dieu Cnnnphiset Ac la il.'esse Néilh-Miiilii.

Cas quatre sujets soûl aussi tn-e-s ilu grand temple d Lsneh,

PLANCHE CXLV ' quinquies ,.

N' 1 Autre ollraride l.iile par l'empereur Seplimc-Sêverc au dieu Cliuoiipliis Crioeé- ph.ile et a la déesse Tnébono. co.iTée en llatl...e ave.- luréus,

^■ i. Figure du .l.eo ro..u-Mon.-Oéri, fils .le Néith, el dont la tête c*l ornée du dts.jue solaire entoure de luréus, portant d'une main le sceptre ordinaire des dieux, et de l'autre

N" 3 L'em|K'.-eur Septiine-Sévère, coiffé en Sorcliaris, fait l'ojfrande de bandelettes a 1.1 .lécsse Nc.ll. , la grande mère divine, tenant nn arc cl des fléehea, et accompagnée du peisiiunage divin ijni i-st le sujet du a, Tôoo-Moni-Oéri, llls de la déesse.

^■ 4 Le d..ii Sév.k n;;uré sous la forme du erocmlde, ammal qu. fut son sjmMe sa t. le e^( 01 'ICI du disi|ue el de luréus. les .jualrc derniers signes de la première colunnr

MONUMENTS DE L'EGYPTE ET DE LA NL'BIE,

1 SVK, la fi^UTc du crocodile (l.iiit lo signe Hiln

..n.air

d*IiÎCTt»gty|»hrs frirrornl son ( Grand temple UEsnrk.)

PLANCHE CXLV lexies.

N* I IjC dirii Clinouphis ol la déewc Tnt'liouo.sa compapiic, n'(;oivrnl diverses iifTrniides.

N* 1. Ptoli'méi* l'.vcrgt'Ie 1" et la reine Iti-rC-oice en présciire di: la déesse INVilli, portant Ir wepire i\ti antii'cs, un arc et des flcclies

Pi* 3. Partie d'une sccne reprt'xi-iitatit 1 .iccourhemcot dune déc*sc qui prend \r. nom de Tmauarirè, la raere du soleil. Sous le n* i (planche CXLV teptici), sont de* suivanles de In déeuie de l'acroucliPmcnl. Sous le n* i, le innmrat même de )a délivrance L'enfant est reçu par Tmetù> , racconclieuse dit me; la nouirice Tmani *a le prendre; elle douiit sa main gauclic .i une antre femme ^n' 3 de la planche CXLV jcx/f.t ' , ipii allaite un autre eaf-uit en préseme d Ammun-Ka et de la déesse Stiwan. Une rctiie iuil - li- earlotulic ne roulient pas Mtn nom Cette stcue cxl une allusion llatteUM' .i la n.iiMamedu fiU de cettc

l'LANCHE CXLV lepiics

Les sujets ti" 1 et 1 sont cxpliipii N* 3. Offrande du vm par i d'Esneh.

N' 4 I-i,;ures is..l.es de divi

les [l'Inès qui précèdent celle-n 1 des rois Ptnlt^nées au dieu llaké, meni

» Ch..eph-H.i et Tiialin

Teiiiplf ,

l'LASCIir: CXLV ocùa N' I. Crocodiles symliolinne"!, crrihlemes de S^vek-R;i. N* 1. Le d>eii M;indou à tète de taureau, riruée du disque solaire Sujets isolés, tirés du temple de Tnoud, laiiiienne Titplutmi. un (,njindilo]«ihs N' 3. Figure d'une dresse à disque M)l:iirc. H* 4- La déesse Trir la lniie\ avec la coifliire d Anmion \x% sujets n- 3 et n" \ sont liré> du temple d Ilennonrhi',

plam:hi-: cxlvi

N- I. In jeune enfant préseni.- pur u m- déesse an dieu Plire,i|ui lui donne la vie dïunr

N* a. Li (l.'-esse Ritho all.nl.ini ce mime tufaut, accom|iaj;née de la déesse H.illii.r cl de JSéilh l^-outocépSiile.

N' 3. Le même enfant prési'nlé p;ir Halliôr au dieu Moui, qui lui donne le crnclicr royal, siguc de se3 attribulioiii futures.

N' 4- Le dieu Phré reçoit l'eufant, sous la figure de Harplnv, sur le liord de son Irône; la reine Cleopàlre qui le présente tient dans ses mains le sislre et le sreptrc des panépjeies

PLANCJIi: CXLML

i. Le même enfant mystiquement exalté en présence du dieu Aiu

et d un

Ptoié

h* -i. Ilathôr le prt'sculc a Phtlia, qui lui remet divers insignes de la rnyauti-

N" 3. La même déesse présente l'enfant au dieu Sel», tliarfjé de veiller a la conservation du nom des défunts.

N* 4- Osiris roi remet le flagrum royal a l'enfiiiLt presciilé par la mt mr déesse ll.itlior, suivie d'un roi dont le li»m est en blanc d.ms lis carlouelics, et qui transiiiet .i l'iLifiuit le sceau royal.

Les sujels des deux planches CXLVI et CXLVII sont tirés du Mammisi, ou petite salle du temple d Hermontliis, ces seenes représentent la naissance et lédncaiiori reli>;ieiise de Cé'snrioii, (ils de la dernière Cléopàlre et de Jules Cisiir, assimilé au jeune dieu llarphré, fils de Mandon et de Hillio

PLANCUIi CXLVIIL

Les sujets de cette planelie et ecii\ des deux planches suivantes soni tirés des ruines lin temple d IlerMionthis. dt tnnt depuis peu d'années

N- . et 3. T.d.leau n présenliint la reine Cl.op.Mre, la dernière de^ reines d Lgypie, fai- s.ini une oiïiaude au nom de Ploléméc-t^ésarion, son fds, a sept divinités assises, sejit Ilorus, sa\oir : i", llorus, (ils aîné d'Animon; a*, Harmoui, fils aine de Mandou; 3*, Har' sonilio, fik dllatlior; 4". Har, fils du seigneur de la région de stabilité ^de Talho, Osîris}; V. U.ji. fiK dll.ithnr; (i', llake, filsdcPascht; ;', Har-Hagcn-Si La déesse Tméi fille du so- leil cotiipli te lelle seeiie rcli;'ieuse.

PLAKCIIE CXLVMI lis . Le dieu Mandou lient dans ses bras le jeune Hai

Plolcmée O-sarion

Wa. Ammnn et Sovan fi;;urcnt avec Sepl-Sopl, gardien du j. autre scène symbolique relative .m même (lersooiia^e

K' 3. Téic de Plolémée (J^snrîon.

N'° 4- Antre secne symbolique tirée de l'intérieur du temple

PLANCHE CXLVllI t^r iS* I et j. ( Un seul suj,-i. ) l.i déesse Ritho relevant de couches i Ij Lucine égyptienne, suivie delà déesse Tothounen, au» dieux a Phllia , Pasclil léoutocêphaIe,Buhaslts-?i'éilh. I^ reine Cléopâire, ui .1 cette scène , qui rappelle son accouchcmcnl du fils de Jules César

PLANCHE CXLIX, I\' t, Punfiejtion du pharaon Méncjihtha I" par Thotli Thôth ordonne, rt le grand prêtre Sam répand en quatre jet au-dessus et au delà du roi assis >ur son trône.

tu a la naissance de ^ Harpliré.dans un.

I présentée par Sovan, emblés Ammon, Phré. sistre à la maiu, assiste

N' 1 Le même roi Ménephllu I", en Osiri», esl assis dans un ii.iii-. en (iinipai;iiie dAinmon, Mouth. Pblhab et Pascht en leontocephale.

Avec cette planche coiumeuce la série des sujets Inslonques el relifjicux tirés des ad- mirables nionumenls de TheUs

Cette planche est tiré-c du magnifique palais de Kuurna. a Thibes.

PLANCHt-S CXLIX A/J ft CL, (Ajoulei au chiffre CXLIX d.- Ja planche. Ces deux planches représentent la plus grande partie dun bas-relief du grand temple ou itliamesséum de Kourna.ii Tliel.es, Ou y voit le pharnmi Rhamses le Grand. Sésoslii» 'planche CXLIX /i(i;, revêtu des insi^ms de la n.jaulé, debout, devant deux tlendnnJ» d'Ammon. Viennent après trois prêtres tenant le pàt et autres insignes; i|iia(rc oi.seaux volent dans les airs auprès d'une tablette, dont l'inscription en quatre lignes perpendieulain-o indique les quatre points eardiiiaut, le midi, le nord, le Iciant et le eoncliant Ln arrière de celle lableilc, un hierngraminate, Icnanl un rouleau de papyrus dans ■^a main gaurhc. baianf;ue le roi Au-<lessous est un autre preire , chacun d'eux esl -iiiivi d une file de eini] aulrcs pK-Ircv portant sur leui^ épaules 1 ima^e en pied d'un ancêlre du roi Itlunisès IIL Un eartouche royal précède chaque figure : ce sont les prédt'Tesjieurs de [Vbamsès. Celte curieuse et tres-impnrtanle liste s'ouvre par le premier c.irtouche ii gauche du r.ing su- pêiieur, et ce eartimclie est celui de Mrni-j . le fondateur de la monareliie égyptienne, cl dont le régne précéda la construction des pyramides, rpii remonlenl hisloeiquemenl â ciiiif mille ans ataiil l'ère vulgaire. Le cartouche suivant de gauche a droite appartient à un des riMs des plusaoeiennes dyna.slics, et dont il existe une .sielc à Turin, ai ce la date de l'an .^fi de srui rê-gne Viennent ensuite Amosts, de la XVIP dynaslic; Améiiopliis 1", chef de l.i \A Ml. cl ses successeurs rhouthmosisl". H'» lis, Khamsesr'.Mêiie|ththa Tel Rhamsés.111. Sêsiislns I„1 série de ces noms est eom|>téléc sur les planches suivantes, on le dernier ar- tnuclie esl celui de Tlmuthmosis 111, M'cris, devant lequel se Irouvent Ceux de Aménophislh Thouthmnsis IV, .^ménophis 111. Horus et un autre eff-icé.

Plus loin (pianelic CL), le même rpi, faisant une offrande religieuse, coupe de la faiicitle sacrée les épis d'une gerlie de blé I.1 rcioe Sofiê-Arî esl en avant du roi, assisté par deux pntres. et précède du bfrufsarré. dont ta tète est oruée des insignes d'Ainmon-lta

PLANCllK CL. {Ajoute/. A.)

N' I Le roi Uliamsi s le Grand, tenant un .itncbir de l.i main gaui lie, tend la droite vers Ammcni-Ka, assis, et suivi do la déesse Motitli et du roi Méncplitha I", son père.

K" 2. Offiande, par le même roi Rhamscs, de deux xases et de fleurs de loius nu même Ainmon-lla cl a la reine Ahmosis Nofrc Alart-

N" 3, |j^ même roi (dnut le nom subsiste encore dans le has-rclicf) fait des ofTrande.s au même dî.u Animon-lt.-i, à la nine Ahmosis Nofré Alan el au roi Améuophiep, vraisem- blahhincnt te chef de la XVIIP dynastie.

PLANCHE CL l'is bis de Riiurna, territoire de Thebes Des prêtres portcnl

jilc des sculptures tuées i une rêrêmomc publiqu

Inp

;, sur une ba

Il iians ou ch.ipelle couverte d'un , et au-dessus de l.iquclle se lit le nom de la (rois fois gracieuse divine reine Nofn"' ; c'est ie nom d'une des femmes de Ithamsés Sésostris Le prénom du roi cl le nom dî- ne Amos Piofré Alan sont inscrits dans les deux cartouches des inscriptions perpen-

prêtrcs porleiii d.ins une is <iu chapelle, couvert d un is rarionehis qui fout part eur dirige la marche- Tiré

PLANCHE CL ter. rérémonie religieuse la ban di

milieu de laquelle est le. Le nom de Khamsés III, le grand Sésosliit, occupe es inseriplions hiéroglyphiques, Un prêtre d'un ordir Itharue^cuni de Rnurna, à 'ITiêbes.

Le nn Méncphih.i I" fut

PLANCHE CLI une oiTraiide au n>i Khani

-cha

' I". son père. <

.iffé .

N' 1. Le roi Ménephlha !", coiffé en Succhnris, est assis dans un fauteuil, porLinl le* msignes des dieux; derrière lui esl une femme qui est la jjersnnnificaitou du palais même de Kourna, le Meneplitheum, édifié par ce prmce

K' 3, La même figure de la deineiiiv divine d'Ammon personnifiée, plu» développa.

N- 4 et 5. lieux légendes dédi.atoires qui encadrent le plafond de l.i gr.indc salle d<i palais de Kourna; elles sont faites au nom de Méneplilha I"

PLANCHE a,IL

W 1, divisé en deux tableaux : dans celui de droite [en face du lecieu en costume de prêtre, fait des offrandes au roi Khamses I", en Osins dam de gauche, même sujet. Le roi (Kirte, dans les deux tableaux, une roifTi

N* 3. KhamM-s le Grand fait des offrandes aux < Lunus; le roi flhamst-s I" est .i leur suite

N" 3 Ilbamscs 111 fait dej; offrandes de pain h I déesse Halhôr

^' 4 Le pharaon Siphtha reçoit des don.s du dieu Ammoii-Ha , et de ses ancêtres, la reine Nofié Atari cl les rois Ménephlha 1" el Rhamsè.s le Grand

PLANCHE CLin tombeaux crcust's dans le flanc de la montagne, vallée d'EI- s insiTiplions de la porte et de 1 encadrement les uoins du Je pjitocris, sa femme

un roi,SésosIns, :i naos; dans celui différente, Amuion-fta, Mouih et Ckôns-

Amosis NofW- AUin, coiffée en

N- I. Porte de 1 Assasif, a Thches. On ht dan roiPsamméiiclius II et de la

EXPIJC.VriON DES PIANCHES.

N* a. Porlran d<r la rciuc JValimoii« Noriv AUn , k-mmc «lu pli.iraun Ajn^iioithlcp, Itr pre- mier roi dr la XVIir d^iiaïlir.

N' 3. Un pn'-lrc fnii dus ofTraadcs de fruits, de fleurs et d'animau» purilîés.au mànc phariiou Améiiopliicp,«-l u iti»^ reine iissise nuprû de lui, et qui porte Ir nom d'Aiili*Olp e l'cocens, :

M* 4 OITrandcs H-mlilnble» mée A.ibmo»is fioiiè Alnri.

Ces trois derniers sujets sont tir^s d'un di

N- 3 Un

Un harpiste

Udc femme jnuniit de la guil.irc.

même pharaon c tomlicaui deKourr PLANCHE Cl.l\

t pe!

ô dai

Kourtui , Itrntaire dr Tlù-Us.)

PLANCHE CLV N" I, 1 el J. Diverses opérations de la fahricilinn dis bnq' N* 4. Travail dcsimM.im pnr It- feu, Im-i forme et la mise en

qo.-iblcs. [TombcAui de Kuurua.)

e lj;ila(ire. tPcintnres copiéei dans la mml—.tux de

lufllels sont rcmar-

PL\NCHE CLV bu.

. Fi^-urt- du

ti([uc et un Afnraiu i.-iptifs N' 3. Autres peintures

éirongcr .isiâtii[ue, qui fait partie ilu triomphe d'un pharaon

I reprt-M-nleut un

N* 1 Peintures qui ornent le dcssoui des sandales des rois, cl f]

ilogui

N* 1. ()|kTalioas analogues sur une st.ifur Mnililjlile, assise

N' 3. Mêmes oiK-rations sur la figure (i'uD sphini, rn pH-rre dure,

4 Polissure d'une rolimne

PLAh(.HE CLXM

N- i- Offraniies funéraires de fleurs et de fruits, par »a homme et une femme assis, a la ikcsse qui, du haut de larbre de vie, répand ses lnciifaila sur les défunts; le nom du pha- raon Sésusiris se lit dans l'iuscriptiuu qui accompagne telle scène religieuse. Le nom de la reine est effaeé,

N- a. Offraudes de liges de papyrus au roi Aménopln» I", assis, tenaut dune main le sceptre reeuiirbé. et de l'autre \i\ rroi» ansée, symbole de la vie divine. La figure qui I at- compagne est déaignée dans l'mseriplion comme celle de son royal (ils Amosis

PLANCHE CLXIII. Suite des arts et métiers d'après les peintures des hypogées de Kounia.iernioirr de Thebes. N* I. Prép.ir.-iliou de liquides par le feu, N* j. Opération de l'émailleur au clulumcau N- 3, Ineertaiu N' .^ fonte des mélaui par le feu, exiité par lies soufilcts mantcuvres avec les pied»

PLANCHE CLXIV, cohnee. Suite des arts ri métiers N- 1 Tailleur de pierre N" '1- Menuisiers travadiant sur un n

PLANCHE CI.VI.

N' 1. Grand vase d'or, dont le roiiveivlc est orné de la tète du bélier d'Amrnnii; il est )H)8é sur une table ou hulTet sacré, omhrai;é de deux ombrelles el de quatre tiges de papy- | rus. Une figure du Nil est sur le boi-d; une figure rnyjile est à genou* devant le vase, dont ' la panse est ornée des eartonehes du pharaon Aniénophis 1".

N" a. Meuble ilcslini' a iwiUr des candélabres, Le panneau de «levant est orné des rar- ^ louches royau» de Rh.inisés Oueni, le deinier roi de la XVIll' dynastie; des figures du Nil debout et une figure faisant l nflraiide du ^nt. ;illini<-ut avei- les landélahrcs

N' 3 Un roi assis dans son naos (Hirlaiif tn's-orné ei ombragé par une ombrelle |

O's trois sujets font jiarlie dun grand hjs-rchef des hypogées de Kourua, leiiitoirj Thél»cs, rcpréseutant une eéréniunic religieuse.

PLANCHE CLVII

N- I. Ir.srnplion des soldais levés pour l'armée, N" a. Un tniiibonr avec sa cai^e sur le dos

N' 3. Une inscription hiéroj^lyphique entre des enseignes, .-iuivie de neuf noms de pei étrangers vninens parTIionthmosis )V. N*4 Un musicien

N~ 1, Un peloton de jeunes soldats a sabou blanche. N* 6. Jeunes soldais conduits ann exercices gymnasliques, :' Tombeaux de Rnurnii

rages

ladrJer de ho

I veiné

des vases en bois ni manauvrésau

PLANCHE CLVIIL iffr.iniie au roi Tliouthmosis IV, ;inneaii\ dor et d'argent ,■ Liitcs par lin elii;t' éthiopien suivi

N- I Chef asuilique portant une plumes et des uuufs d'antriirhe, des

N- 1 (offrandes du même genre pins îles pe.iux de p:inliii re, du li enfuit» dans des paniers .ill.uliesa Kourna

PLANCHE

Tous k-:t «iijeK qui mnqxiscnl cette planche et les quatre pbuche^ suiia ment liKs des {K-intnres des tombeaux de Kouma, et se rapportenl a la * ()i\ ers arts et métiers connus des Igyp'icns.

N" i Plusieurs personnages auprès d'un p.inîer rempli de fruits.

N* ■>. V aitrcde maison assis de\ant une lorbcille de fruits, et servi par

N" î. Musiciennes cf clianleuses. Une des femmes fait des ge.sles de douki

N* 4 Siège eu bois orné de sujets grolesipies, n. /', c

coiidui

U.l\ et les qualre

les . .1 offre d. portant leurs lombraiix d<

lie», sont (gale

Il domestique

N- 3- Fabrique de petits N" 4 Mégisscuret eonlier

plan<;he clxv.

N" 1. Fabrique de graoïles Itriqnes séchée» au soleil ou a

N* a lAur transport

N- 3. Fnuille de l'argile à la biche, et son triinsport dans

N' 4 Fonlesdesmélaox; deux soufflets sont alternalivemi

PLANCHE CLXVl N" i. Pn-paration des peaux N" 1 Ouvrages en osier.

N* 1. Fahricalinn des sandales en cuîr ou en papyrus. N* 4 Antre opénitioii du tannage des peaux.

PLANCHE CLXVH N" I à 7- Oflertoires de formes très-vanécs, el généralement élégantes. Ces instrumeuts cligieux sont d'une espèce de bois i|ui reçoit un |ioti très-brillant Lis pièces n* .

, p.npl.

s le ]ioicls du service qui leur est

npo

N- i,a. 3,4 Vases p.

Leurs formes sont dti nnonecnt des déior.ilm ienne.et ont précède il

PLANCHE Cl.XVni, culonc^. s dans les tombeaux de Koiirna, territoire de Thèbes. us élégantes; les louvcrcles sont Irés-ornés; les diverses

iiail Ces dessins remontent an xv les belles piiidurtions de l'art s

iécle avant l'êrc ehré-

N- I jGdi. ,..ng su| formes diff. rentes, non N- fj Scène d oITraml- N'y. Un hotiinie iliai Tous les objets figun

PLANCHE CLXIX et n" I, a, 4 et fi du n ariées et non mouis éléga ineélres dcfunl>, représeï 1 fardeau rumluit en but

infèri

ilanclics .siun de>

■s tombeaux de K.ourna,lerril«ircdeTliibcs.et app.»

i:lxx

s par les. deux jM'r; es dapres les origi

Autres offertoires dt

lage'

et blai

c■lelll•^

al du lai

PLANCHE CLX

N" I, Des rlieCs asialii|ues, prosternés eonire lerre, font nu pliaraon Tlioullimosi» IV de iiches ofTiarides, cniiMslant en vases et métaux précieux. D'autres personnages étrangers, ilelwul, s'associent .1 ces riches ollraiidis. Les formes des vases sont des plus élégantes; elles icmoiilenl au X\ll' sici le avanl Icic .lin tienne. Les Grecs purent couuaîlre ces beaux modèles avant l.i lulle cpoipie de lart parmi eux

N- a. Figure île la renie, leinu.c du pharaon 'Minnthmosis 111 [MœrisJ, dans un naos; lirèe d une srene sculpU e <ians un t..ndieau de tV|«>que .1 Vinéno|dns 11.

N* 3 Lue feiniiie assise sur uti Iroiic. la imnrriee dnine, porlc sur ses genoux le jeune ,.|ué, ;i|.|..i\..i.t -rs |.i.d-Mir une esiabcMe composée de cinq nègres et de

PLANCHf 1 N* I. Un prêtre bride leneens devanl 1 image du nu f ! nasiie, et de la reine Aàbmos-Nofo-Atari, sa première f I C'est pourquoi elle est figurée noire. Les noms des d< {lisent au-dessus de leurs images

N' i. Scène funéniire syndiolique le dieu Anubis est auprès dune dessus de laquelle voltige l'âme portant des insignes consacrés. (Tombeau de Kiiurna,

PLANCHE CLXXl ( Jiasse, au 1 hun (mil ani et au lévrier, de diverses espèces de quadrupèdes et d'oii va"cs Un ji'unc liumnrc iieni un 1 liien courant eu laisse (Mêmes tombeaux)

■nophis 1". le chef de la \\ IH'd>- me, qui était de race éthiopienne, personnages royaux, défunts, se

e d'homme, aii-

Aménopliis EJ.c quatre Asi..I,.|u.

crunpi;

sp„

drs

„des

> les. mains du roi enfant.

N" I doulei

Sun.

*u)et de la jila

PLANCHE CLXXn. iche CLXX. n' a. 1-1 famille et les

i cxprii

lent lei

1'I,AM:11E CLXl.

Suite .le, t.il.leu.x repi.s.ntanl li s .irts et méti iN" I Sl.il.ic colossale en picire f. présentant 1 p.'iiitc Un écbalamlage a trois étages, nécess.l.r la Bt.itue, in.lique ses dinicnsious colossales.

To.« Il

S pratiqués par les anciens F^iyptten»- , po'

N" t. On emporte dans la bartjue supérieure quelques meubles préférés par le défunt, (loiii être déposés dans son totnhcau. l^i barque inférieure al>orde au rivage; les enfants et lei femmes ouvrent la marche. La premi.re femme jwrte un enfant dans son tablier ihe el! Les sujets des plainhes CLTH. CLVIII, CLX, CLXXl, Cl.XXll et CLXXIII. m inte- partics <le ressauts pour l'histoire des arts et des moriirs de l'Egypte, sont tirés des peinture» r|ui oineiit les antiques li\|iogées de Kourna, territoire de Thcbes

MONUMENTS DIO I. KrAPTK PT ni; I.A M lîll..

MANCHE n.XXUI I n ' /ïrl.-.l...i..r3i„.. , u,.„„i., .,„,.., ,ni..."|.ii.ii .. .. ........ .,,..,,.........■„

, , , ,, 1 il.,,,!,, ,„„n.„. \..,.li..»iil, l.-«.lii-r<.l.l.. Kliri-.!». .,...,.,».., VI,. I,., .„.. l..,,sM...O".u... i..~.i...~.r 1 r...i.|.r.> «..

IV..x.,.i.rsf.,isi...l |.;.rl..-.li-hn'pr..c..lal...ii<l...-....v...l.....l.r. •I...iii.im.i.. ^.|.l...ral.. . ,. ,, :. i i

' .il I iici» Il 1.1 ttu^in-i. ..■ .1111 il.inii.- tiii.- '....■ .1.- .lo.w. If ;;!..',

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N- I ll,ir.|...- |....l..iil II...' «. I. .I.a.nl.i-

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SinU-il., .111, fl i.Hl..t,

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. ,1.. .1.11 l.|.\\i III « I.WW

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|iliis1rrill'- jiisijll'.l Iciri- rilt.. Mi-llC fsl l

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J-uii .k'» loinli.-a.i» iK- ki.i.ni.i, a Tli. I.,,. .Il,- .-.1 ii.n- .1.-. [.I... iiil,.re,sai,li.-, |,..i.i IVlii. ilii, usa-,.., |„.,...».l..s I i:>|,li,Msil.-,la (.l.i- li.iiili- Iiia.

l'UMIII. ( I.XW

N' i Chaiiteiisi-s .-l ilaiisciiscs

N- , (Iri.i.iii- .k- iiuiMi-ii-iiin-,; .... |-iiiiai,|u. . |.aiiiii l.-s inJi

liar|.,-, ik- .li.c-.,.-, |.iiiii.->, a ..il-.-, .k' 3 i..,.|i...

iii.„.,|,.,li.|i,. UiK- .k-., II.UMI I. .....-, ..-"k- la ,i,.-,.ii-.- ai,.- se, .1.1,

^- 1 Auha- ï.-....|.r .!.■ iiiii,i.i.-..ii.-,, a>,.r .ll.'s un,. |..|iu.-,ki

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iiiii l>,..l.- ... ., lai ..l.j.l ,. .|iii I. u - /.... i.i.ili.it <k, .art,..irt,r, <k. pliaia.ni

It.iu.iau. ,1.1.,. I I., |.l.i,.ui. lau, I ,u .1. .- .1., .K ..a,!.., . a, | ..u.', la- ..' K .,1

I lal.l.. ..Iliaii.l. ,

l'I \\l III I l.\\\l\

lijill.-, .1 l,..iti.|...., a|.|i.Mlaiil .1.., I.ikiil, au nu .11 ->|U.- l -..luikui .1.- I ..n^iual .

l'UMIII I M

lui,,., . al.|.,... .1.. li^.i..., I -, ,l.,u, I. , a.i, .1.' K.u.ina l.a |U.'U,...,.' ,-M ,-.ll.'

I I,a..".-,. ,1 "....in.u.- .1 I.. I...i-ii.a... .1.., ,.|u„ii, ,.uU I. . „. .'....-UilUakk, !..

l'I.WIIII I.LXWIII

V 3 .S,.il.- de la ...la.io «n .,, n-^n ,.„i.„,i imm la . .a.aui.iu,- .inuu-ul l.a ..u,.-

.■,t suivi,- iki iiu'-nic r.u-li--i-,l<-l.-ii,iiu-s; api-. , . 11.,. ', l...iirs ,.„,t aiul.s.i un lr.iiii,-aii ,iir li'i|ui'l un ikiv.iit ti-au»pi,tl.-i la uiiiinn-,

^- 1 l,a ninu.u- ,lii ,1,-liiut i-.l |iai->.i„„- |ii-,-. Je l.i |«,il.- .I™ii-.a- .k- I U^,..,■^.c . ..-,.,.■ .I.u.,

la ii,niiiai;ii,-. Ij .l.k- luinrai..- .-,1 a.,|.n-, .k- I „,-; il.-.aul .-II,-, la ,.„..- as.-u..„,ll.a- ,

.Iniint an ik-luul ,..i, .l.-rni,-v ailu-n; 1.-, |.,ir,iil, lui Inul ,li,,-,„-,orii-.ui.l.-,

la-i M.ji-I, J,- l.-s Jeiii |,la.u lu-, sniit au„i lins ik-, m. ....-, I.uuli.a.i, il, K.iu, ..a

l'J.AMIItlXXXlX

N- I ,-t a lii„-riiiluiii, il,..li,-al,.n-,-, ,1.-, aia-lntnis,-s J.-, . ..I....... , .1. s..... lu- .1 ilu, ik

.\l,-n,-|.Utl.a 1". a li..nii,a. t,-i-rili,ii-,- ,1,- lit, l.,-si;raii,li.- salk-,1.- RI, „,.M, ,.u„„n... .lu .ul,

,1,. I a»,-. Cis iii»-ii|ilioii, |,..ik-i>t k- 1, k- i-.- .lirnu-i- |.l,araoii

,11.., II.

i'i.\X(-in:(:i,xxx

Suit.' .k-s .art, t-I niiMi.-ri, .^ ' 1 Srnlptcur un li^iir,-, N* j Ptintri- ,11 statu,-, ,\- 3 Autre M-..lpt,-,.. N" .i l.lu-u.stc Irasa.ll.,,,! .,

...l.l..

P!.\M m ( I.XXXI ^■ I Duvn.T, aii|iris il,- 1, m ii.il.li iL- lu. .uus.r..- !M" -i Vas.', sur li-ur ,.ipp.iil en lu.,, ^• 3 F.vrrci,-,- .le (jvnniasliqn,-. %• ,1 Naos nu , l,ap,lle <■„ l«ii, t,-a- ic ,l,us iii.-iini,i,-, ,

l'L\SaiK(.LXXXII |..iliri.al...ii .1.1 .-..il- .-1 .l,-.,-liaussnn-si Ctitijnr . (a- sujet lait pallie Je la nonil.reuse s ■le pl.uu lus re|iii'-s.-.. tant k-sai-Uet mètu-r,,

l'l,A^all. a.xxxiii

^- 1. Menuisier Iravailkant sur un eislïrc Je l,n,s

N* a. Un senlie [autnnl sa pnlctlu .laiis sa luaiii .Imite

.X* .1. ra,i,str,ietioii Jes liarqne,

PI.ANCIIF. Cl.XXXlV

N" I . lai ikesse .pu lialute t aïkie de la vie ték^le, Natliplié. en répaud les luenfaits sur divers [;ronpcs dhninines et de fenitnes fléliiutB ; larlnx' sëk-vc tout près d lui étany la; lot i-panfiui en orne les l.ords D'une niaiii la (liesse répand Icau divine, et de lautn, distribi les fruits

l'I \\i ii; t.xt:i

i" I liiln- N;;iiir ,1 un .'t i'a..sri' m lu lu.ait . ..,|.ini.

..,.-. \.i,.., .1. I.u lu.. In, a-Il- ..t tll,-,.ill..,. lue, J.-s uu'iii,., tf.n.li.-i.iis ili-

,: ., , ,u„,a-.., , l.sa..ls n.,.,n ut a,. s,|-,u,-le avant I, n ,l„-,-| uailie Dans l„,-i.

-,iial, il, ,1.111 ..il..n. ,.ii.uiail

ri.AM.lll I.Xll/,,.. \|.uil.-/ /«. .1 !.. pliiu lu- . P..k.ll,s .le sei.lie tnuiv, es ,l.iiis les tnuil.eain a ko... ua l-.ll. , porte.. t t,u.l,-s nn eai-tnitclie

.o)al .p.. lail , ailn- 1, ne epu.p.. . l.e ii- i . ilti n ^u. .k- M. .upl.lk.. 1 "; le „-' . . .1 .m \in,-

nuplii,: 11- ..-' t est i .luanpialil.. p.ir la .l.ll.u unie .le, ,isiie, ; k- n - .} ist ,ln iv^tw de Si-soslri, :

k ,1- J na I it .1. l.-ae.uk. la, ..ui,|,a, ,.t,. .■nh.r.ue .le .ait..u.l.e .,„ .le .a.. . indi-

.puiU l.-s ii.i.l. t, uu I. . , .1.. I. ui .1.11. a. nie ela.eut .l.-p..,..',

l'I.AXt 111. t Xlll

^- leiii- . lal.n.ationikn.n. , Loi,

.XM ta- |.li.u.i..n riiuutkinnsi, tll Mieris-, ,iiiv. Je ,.. ji-iiiu 1,11. Il, ..„ln . I...I l,.llranik

dn s... .1 iiued.v

X .'l llu,l. .l.-la lein. Alniu.,

X-5. l,ein.-;meroin,.u.lll„u.,., lll.lale,,,,. M..n..s

.,., l.llvlle.u.ln- l'l.VM-lll, IXI.III

X- I et n- I. P,.,i,.iii .1 ligure en p..-,l .1.- V..,.-...-,..l..- . «euu.l .u.,r, ,1e !.. n.ue A

in.-re .1.1 rot M.rii,, ne Jii pn„„. . iii.iii X- a. Jeune |uine,.,se. eiilaut .lu lo, M.. .,,

iX°.l,.tii"!i. leted, ■riioulliuu.sisll.iue r ni.iii ,1, l.i reine Anieusé.et per,- ,1e Mnei,,

Le, sujit, ,i,s,l. us ikruieres plaiiilies sont lires del-édilirc de .Muiis. ,. I-^l-Assassif

l'i.Axciii, cxriv.

N" 1 et i llusteii li^iin-eu pi.il.l. I., penieiss,. ll,.,i,iri-,-. lille,leTlioiitliiiiosisUli:Ma.ris N" ■}. et 4. llnste et ll-iiri- en pie,l .l.i nu ll.i. ..ris. ,ie la XXIX' .iyn.istie, la .Mend,-si,înne. Sujets lin'-s du niniiiiiiieut l.l-Assassil

l'HXdll cxi:\

eiail'Ie ,ai Osili,.| lie la terre av. r un luivau au, |ii.-ds .lu dl...

...lui uiari .k lar.aue \..U'..se . in,re .1. Miens. Lut 1 ..lliau.k du v.n

N- I Le roi «loj Ammon-Ua yi-neral

N- -a. Aniénenilie a Ammon-lla

IN*3 la- m, me nu Mirris. assis, a auprès de lin la reine nomnue iNkiierelii.

N"4 Leniêmeroi Aniéiienilié- fait .i Ammon-lla, t;éiieraleur, l'niïtaiidedn Icu

Ces 4 sujets sont tirés du (eniple de M.erts, à Médinet-Hakt.u i '1 keb,-.s 1.

I API.ICVilON I)i:s IMANCHKS.

^•LA^<.Hl (xcvi

s* I Le r«ii HccLiluiif, di- lii \W' «tyiiiislii', IV-ippf do >«> Imlie itu ^roii|tr <le |irisiiii- tiH'niastnlii[UCS \mit!u.iis. une divimli-, inifTnrc d'\m>niiii, condiiil |>iiM>titiii'rs !<'s fii'ii|d('S i(«f if rfti ;i \.iii)(i)K l^ui» noms ^ont iiiilsibti» le» Imurlicr» rKinli!. N* -i- Bush- dit i-Iunion T.ih.ii.ikv d.- I.i XXV dy.iaslK. I i;iln.i|.i. .im- N" i et 4, IIuMiin^igt^s i( offrandes piVsinlis |Mr iici fdi.ir.inn .lux divorM'sdivintlt-SiidoKi'i d.M.t 1.' i.'.„,>]r di' TI1..1I1 Mt'di.K'l-Haboii ,

PIAMHLCXC.VII

Ia- rni Taliarnkii , de l.i XXV' dynastie, mua.tce di> o liDcIic un f;roii|»- de prisonnien

nsiitliques arim-& di- poigniinls ti ijui limploreiil. I.e ilicn AninioriK:! 1 ondml devant le m

les peuple* ijrriinfîtrs dnnl l<-«, noms txmt indiipii'.s dans des i-aitcun lii-^ ou liourliPfscnneirs

(Mi:-dinrl-Hi>l.ou, ,

PLANCHE CXCVIII. I. Offrandes de pains, de (leurs el de fniils, faites nui divimlr» ndnn'i's d.ins le ii'iiipli d'Hallior(Vt'nus)etTiimii 1 la justice cl lu virile), ii Mi^ditict-HnlKni 1. Busli- d^ lii leine Aisinoi!'.

N" 3. Offmade

Ainiiinii, ui'nériilcur.

.pii

I roi pmti'-gé \Mv I.1 doiKse H;iliiiii'

Il du C.iu/ ^un'utrr V\.K\i\\\. (.XCIX

N" 3. orfr

.>,1,„ .h' II.

N" 3. Srii

e J ihUn.-,

S- Il Ixîn

.-me rc» H

yi<-nur !\tarcu3 Othon {Idem )

rAn.rii..nuned.sesrdle«

l>lA^cnl;(:(:

■' !"■'

i'dei

,lu pli;.r-ioii ltl,n.iiK<^^H.|Vl<-.i. 1 Aulre scèn.- analogue aut dnn pr.-i /deiilis '4, Va- nirrne rni jinunt .lui éi lii-is in fanullr ■s sr.nes domestiques sont .luLiiit de Ii'moi};nii{;rh de s d affci lion dans Us familles .-{îypiipiiiif» . l't d<- la' l„es ..nl.rieLiresnux premiers e«ais de lOer.doul

I,, dnuiour de» n nmrm.'Ml de la

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