^^^^^B. 1 - . THE UNIVERSITY OF ILLINOIS LIBRARY 595./ 0^ Btotocy Digitized by the Internet Archive in 2011 with funding from University of Illinois Urbana-Champaign http://www.archive.org/details/notesurlenonvomi310flou ANNALKS scii:ncivS natuiu:lij:s. « « /' 'I' K <» I !<» 1 1 : n F. !« !•: k ■ f.. /OOLOCIK. y \< \ ■ i pabis, — iMPRiMEniE m: i , martinrt, n.r J. !.. nu 165 NOTE SUR LK NON-VOMIbSEMENT DU CHEVAL; PAR m. FI.OURENS. Le Cheval ne vomit point, : c'est là ce que chacun sait. Mais pourquoi ne vomit-il point? c'est là ce que personne encore n'a expliqué , du moins d'une manière suflisammcnt précise. Plusieurs hommes habiles ont pourtant traité la question : La- morier, chirurgien de Montpellier, Bertin , membre de notre Académie des Sciences, Bourgelat, le célèbre et à jamais respec- table fondateur des Écoles vétérinaires en France, et d'autres. Lamorier attribue le non-vomissement du Cheval à la position reculée de l'estomac, et à une prétendue valvule qui se trouve- rait placée à l'orifice supérieur de cet organe (Ij. Or, en premier lieu , la position de l'estomac ne fait rien au phénomène : le phénomène lient à la structure seule de l'esto- mac ; en second lieu , la valvule supposée par Lamorier n'existe pas. Le premier soin de Bertin , écrivant après Lamorier , a été de réfuter l'errein- de celui-ci , et de démontrer la non cxistenci> de sa prétendue valvule. Bertin donne ensuite deux raisons, et toutes deux excellentes, du nonvomissenient du Cheval, savoir ; une espèce (le sphincter qu'il a découvert à l'orifice supérieur de l'esto- mac, et l'insertion très oblique de l'œsophage dans ce viscère (2). Ces deux raisons sont les vraies. Cependant Bourgelat n'eu a point été satisfait. Il en cherche d'autres, cl croit les trouver, d'une part , dans le pnqnet de fibres en cravate (|ui ceint l'orifice supérieur, et, de l'autre, dans les plis entassés do. la membrane muqueuse, (]ui semblent obstruer cet oi'ifice (3). [\) Mémoirr où ion donne Icx niixons; pourquoi /es Chevau.r ne voniiascnt point {.Wm. del'Acttd. des Se, ann. 1733, p. Sfl). (2) Mémoire suf la structure de l'estomac et sur les causes qui emin'chenl cet (inimnl de vomir {Mém. de l' Acad. des .Se, aiin. \ 746, [>, 23). (3) Recherches sur les causes de i impossibilité dans Imiuelle les Chevaux sont de vomir, 1771 ( Eléments de inrl vétérinaire. .1 éd., 1. Il, p. 387). 3' sérip '/«.ni. T. X (Seplenilirc I .Si8 ) -^ (0 1/l() ri.OI RKXS. — M II Ih >().\-\()MISSI.Mi;.\T Telles ont été les opinions successives de Lanjorier , de Berlin, de Bourgelat. Voyons maintenant leurs expériences, du moins celles de Bertin et de Bourgelat ; car, pour Lamosier, il n'en a fait qu'une ; encore est-il tombé sur un cas exceplionnel , et son expérience n'a-t-elle servi qu'à le tromper 1 1 i. Ayant introduit de l'eau dans l'estomac d'un Cheval , Lamorier compritna cet estomac sur V7i plan liorizontal , et l'eau sortit éga- lement par l'œsophage et par le pylore {^1). Sur plusde vingt expériences de ce genre , je n'ai trouvé qu'un seul estomac qui ait laissé sortir l'eau par rœso|)liage. C'était un tstomac malade, et dont la tunique muqueuseétail percée de trous profonds, tout remplis île Vers (3). , Je viens à Bertin et à Bourgelat. " J'ai |)oussé de l'air, dit Bertin , avec un soufflet dans la ca- )- vite (le l'estomac ; je l'ai distendu autant qu'il m'a été possible, » et malgré tous mes eiïorts, malgré des compressions faites de )i toutes façons , l'air n'a point forcé la résistance du sphincter. .. D'autres fois , aprèsavoir rempli l'estomac dair ou d'eau aller- »nalivement, et n'avoir lié (|ue rorillce inférieur, je l'ai mis •> sur un plan , après l'avoir recouvert d'une planche de bois ; "j'ai prié un spectateur de se placer sur la planche, de monter >' dessus , de la presser pai' secousses ; tout cela s'est exécuté sans » (|ue l'air ou l'eau soit sorti [h). » " Détachez l'estomac du corps, dit Boni-gelat, en conservant (me partie de l'intestin duodénum , et une certaine étendue de , l'œsophage ; introduisez le tuyau d'un sonfllet dans l'intestin ; (1) r.'esl-n-iiire qu a I éloijincr de la vraie cause qui réside dans l'esloniac seul. et il lui en faire clieiclior d autres, (|ui ne sonl pas vraies, telles que la pusiliuu reculée de iestantuc, la fiiiblesse du di(ii>Iirayme, etc. — Mém. cit., p. 515. (2) Mèm. cil . p. /il 4. ( l) Cet estomac el celui de l'expérience de Lamorier nous expliquent com- ment il arrive (lueliiuefois que des Chevaux vomissent. Tout Cheval qui vomit a le.slomac malade. — Vosez un Mémoire de Girard, intitulé : Sur le vamissemeul Conire nahd-i'drs Ifi'rbteoi rx diiincxliqiirs [Tridli- d :iniitniiiir vrlenuitiye. t. I, â la (in). (4^ Mnii ni , p 49, ■ ' m ciiiîVAi.. l/i7 » souincz même avec force ; te viscère se gontlera, et sera reni|)li » d'air, sans que l'air soufflé et introduit |)uisse, en aucune ma- » nière, s'éciiapper par l'orifice antérieur, qui. cependant, est «demeuré sans ligature et dans son élal naturel. » Liez, en second lieu, l'estouiac fortement, plus ou moins » près du pylore ; \ersez de l'eau par l'œsophage, jusqu'à ce (|uc » le ventricule soil |)lus ou moins rempli ; comprimez ce viscère «avec une presse , ou |)ar le poids du corps d'un homme ou de » deux, après l'avoir étendu à terre, et ["avoir recouvert d'une » |)lanclie , sur la([uelle ces hommes monteroiil ; jamais la com- » |)i'ession ne déterminera l'eau à sortir par l'orifice antérieur » que vous aurez néanmoins laissé libre , et elle occasionnera » plulôl la ruplm'e du viscère près de sa partie postérieure (1). » m. Voilà les expériences de Berlin et de Bourgelat. Je vais passer aux miennes; mais, avant d'en venir là, je crois nécessaire de jeter un coiq) d'ieil sur la structure musculaire de l'estomac. Trois couches musculaires, ou plutôt trois muscles, concourent à cette structure : un )>i()yen , im c.iirrne , et mi interne. Le nifli/cn ('2 I connnence avec l'orifice suiiérieur, el ne finit qu'avec l'inférieur, (l'est le plus grand muscle de l'estomac. Il se compose partout de fibres transverses ou circulaires. \,'(:rl('riie (o) est la continuation des fibres longitudinales de l'œsophage. Arrivées à l'estomac, ces fibres se partagent en quatre faisceaux : un supérieur, d'où les fibres longitudinales de la. pr- litr cowhnrc ; un inférieiu', d'oii les fibres longitiuh'nales de la grande courbure; et deux latéraux, qui se n'pandcnt de chaque côté de l'estomac, et vont se perdre dans les fibres transverses ou circulaires du muscle mri)/en, en s'y in.sérant. I^e muscle interne (II) est le plus remanpiable des trois , le plus singulier par sa forme, et, sous le rapport du [)hénomène qui nous occupe, le plus iniporlanl. (1) .U.-m. cil., p, :i!)l (2) l'Idii milDijeit, second plan ilc5 iuileiirs ("lui iiidnl pri-i't'ilo. (ii) /'iviH/ri- /i/((ii, ()/ii/i siiiin-jiciii (les aulcur.s. (i) Trnisiniic pinii, plan profond (It'S autOUl'à. 1/|8 FLOI'KKMS. — SI U l.V. >().\- VOMI.SSi;i\IE\T Faisons-iious-en une idrc exacte. Il forme d'abord un gi'os laisceau charmi , qui ceint la moitié supérieure de rorilice œsopliagien. Si ce gros faisceau se conti- nuait en anneai) , en cercle, s'il se fermait, s'il achevait de ceindre Forifice œsophagien , nous aurions là un sphincter ordi- naire ; mais il n'en est pas tout à fait ainsi. A partir de la moitié supérieure de l'orilice œsophagien, les deux branches du sphincter commencé marchent tout droit ou à peu [)rés, et donnent par là deux faisceaux latéraux, un de chaque côté. Suivons ces faisceaux , cl distinguons tout de suite , dans cha- cun, les libres externes des fibres internes , car elles se compor- tent très dinéreniment. l.Qi^ fibres ejL'Iorues se détachent, l'une après l'autre, de chaque faisceau latéral, et vont se perdre, à mesure, dans les fibres trans- verses ou circulaires du muscle moye/i, en s'y insérant (1); d'où il arrive que chaque faisceau , triss gros à son origine, diminue de plus en plus , et ne compte |)lus enfin que quelques fibres , ou même ([u'une seule, au moment oii il se termine avec la moitié œsoph;igienne de l'estomac ('2). Et même qu'une ï^eule. Kt cela d'autant |)lus (|uc , tandis que les fthres ciii'rnes vont toutes, l'une après l'autre, s'insérer, et se perdre dans les fibres circulaires du muscle moyen, les fibres iriternes vont toutes, se rendent toutes, l'une après l'autre , d'un faisceau à l'autre. Les fibres internes d'un faisceau, du faisceau droit par exemple, vont au faisceau gauche ; celles du gauche vont au droit ; et, au point où celles d'un faisceau touchent au faisceau opposé, les fibres de l'un passent sur celles de l'autre, d'où résulte un entre- lacement très curieux; enfin, ces fibres mten?(',î complètent , et complètent seules, autoin- de l'orifice œsophagien (3), le sphincter (I) ('.oniiiic nous l'iivoiis vu tout :i I liiMiri' pour les lilirei latérales du muscle exlcriie. (■2) J iipppllc mollir irsaiilidiiicnni' (le I l'sldiiiac colle (pil conserve la tunique mui|uouse de ritsopliiiiie ; laiilre moitié qui seule a la muipieuse veloutée des estomacs onlinaires, est la moiliè (jantriqur proprement dite (3) l^es demi-cercles des /i'^ccs i»fc/-n.»x se Irarisformenl en arcides de [iliis en plus étendues a mesure qu ils seloif^rienl de plus en plus de I orilice 1)1 ClIliVAI. 1/l9 commencé là-mèine par le faisceau priinilif, le faisceau total du muscle entier. Ce sphincter est le véritable obstacle au vomissement du Che- val. Il suffirait seul pour empêcher tout vomissement, et pour- tant il est soutenu, il est doublé partout, d'abord , par les libres circulaires du muscle moyen , puis par les fibres longitudinales du muscle externe, très épaisses en cet endroit ; et , à tout cela, il faut ajouter l'insertion obli(|ue , tn-s obli([ue de l'œsophage , genre d'insertion qui suOit seule ailleurs, dans la vessie par exemple , pour empè(;lier tout retour de l'urine de la vessie dans les uretères. IV. J'ai fait représenter dans la planche qui accompagne cette Note tous les détails de la structiu'e musculaire que je viens d'in- di(]uer. J.a figure 1 représente l'estoniac entier, vu par sa face externe, avec ses fibres longitudinales venant de l'œsophage, avec les fibres circulaires de son grand muscle, avec l'aponévrose qui, dans l'état naturel , le recouvre presque partout, et qui n'a été con- servée ici qu'en partie. I.a figure 2 représente le muscle interne , le paquet de fihres en cravate de Bourgelat (1 ) , le trousseau rharnu , placé en écliarpe, (le Bertin (2), le muscle qui donne le sphincter de l'orifice o-so- |)hagien ou supérieur de l'estomac. La figure 0 représente le sphincter proprement dit, et l'entre- lacement si curieux des fibres internes des deux faisceaux. On voit sur la figure li les plis entassés (?>) , les plis nombreux de la muqueuse de l'orifice supérieur; sur la figin'e 5 , les fibres longitudinales et les fibres circulaires de r(esophage ; la figure 3 est l'oritici! supérieur renversé, retourné comme un doigt de gant. V. J'arrive âmes expériences. Première expérience. — I, 'estomac étant rempli d'oau et le (1) .Mnn ni., p. .'iOfi (2) Mi'm. cit.. p. 38. (3j Co sont ces plis iiuupiiMix l'/idisse.» . cl li'i's .souvonl plu- t>iil,i>si'? d un cùle ipio fil' r.iulii' ipii' I.HriinniM ,iv,Hl pn- pour nno viilvulr. 150 ri.oi KK^s. — SI II II': n()n-\()missi;miat pylore lié, on amis reslomac sur une tal)le , et siii- l'estomac une planche; puis deux hommes sont montés sur celle planche; ils l'ont pressée par secousses; et pas une seule goutle d'eau n'est sortie par l'œsophage (1). Il était visible , dès celte première expérience , que tout l'ob- stacle à la sortie de l'eau par l'd'sophage se trouvait dans l'orifice supérieur de l'estomac Vne seconde expérience a rendu cela plus visible encore. Deuxième expérience. — 1,'eslomac élan! rempli d'eau, et le pylore lié , j'ai introduit (en le faisant passer par l'œsophage ) un tuyau de métal , de o centimètres à peu près de longueur, dans l'orilice supérieur. A peine le tuyau a-t-il élé placé dans l'orifice, que l'eau a coulé par l'œsophage. I/obslacle de l'orilice su|)érieur franchi , il ne s'en est plus trouvé d'autre dans l'a^sophage. li'œsophage , malgré son muscle circulaire si fort, n'est donc pour rien dans le phénomène ; et l'expérience qui suit le dé- montre bien plus évidemment encore. Troisième expérience. — 1/estomac étant rempli d'eau , et le pylore lié, j'ai retranché par |)orlions successives, en allant du pharynx vers l'estomac, tout, absolument tout l'œsophage. Il n'y avait plus d' oesophage; on a pressé l'estomac, et pas une goutte d'eau n'est sortie. I/œsophage enlevé, j'ai pu introduire mon doigt dans l'orifice supérimir ; et j'ai reconnu deux choses : la première , f[ue plus on pressait, plus on comprimait reslomac, plus iikhi doigt se sen- tait serré ; et la seconde , (|ue la direction ohliijuc de l'orifice su- périeur aidait beaucoup au phénomène ; car, dès que je rendais cet orifice droit , l'eau coulait. Bourgelat a cru que la cause principale du non-vomissement pouvait être dans les plis entassés de la mu(|ueuse de l'orifice supérieur. I.'cxpérience suivante montre que Bourgelat s'est trompé. ( I ) .l'ai ropoté plus de V]11<î1 fciis colle oxpérii-nce, coiiiiiii' je l'ai déjà dit, tantôt avec lie l'eau, tantôt avec de l'air, et (tiors le seul cas de l'estomac malade dont j'ai |i,irié (tlus haut) loujonrs le résultat a élé le même. À//// r/fJ Jr- '^Vi // A'tcoic^ ad '."[/;' ftei I \ i \ •ïih^fi ' Jh'nh. /// \ ^ r ' ■ . 1^ — .-^t^ - f vo b ^.V, vv Omcu Zool. T 10 Ff 10 il'/: ,lr ,.<-'-:r'\u 0/' 0 \ 'di. C licoaL 1)1, CHliVAI,. loi Quatrième expérience. — J'ai fait une grande incision sur un côté de l'estomac ; j'ai enlevé ensuite toute la muqueuse de l'ori- fice supérieur, el même toute celle de l'œsophage. J'ai recousu l'ouverture de l'incision ; j'ai rempli l'estomac d'eau; j'ai lié le pylore; on a recommencé la compression de l'estomac , et pas une goutte d'eau n'est sortie. La Iroisiinne expérience limite l'étendue de l'obstacle au vo- missement du côté de l'œsophage; en voici une qui la liinile du côté de l'est omac ; Cinquième expérience. — J'ai tait une grande incision sur un côté de l'estomac, et j'ai coupé les deux faisceaux latéraux du muscle interne, sans toucher aux fibres internes, qui sont pro- prement le sphincter. Puis l'estomac a été recousu et rempli d'eau; le pylore a été lié ; et l'on a recommencé les pressions : il n'est sorti aucune goutte d'eau par l'œsoijliage. VI. Toutes ces expériences sont univoques ; elles démonlrenl toutes : 1° que l'obstacle au vomissement du Cheval est dans l'o- rifice supérieur de l'estomac; '2° (^)u'il est dans cet orifice seul; El 3° que là , il tient d'abord à ce que cet orifice a un sphincter, et , en second lieu , à ce qu(! la direction de cet orifice est oblique. Berlin avait donc soupçonné juste : le sphincter de l'orilice su- périeur de l'estomac el la direction nl)liq\ie de ccl orifice soiil les deux causes du non-vomissement du Cheval. rXIM,l(;VTIO\ DKS FIGllIlKS l'I.A.NCIIK 10. Estotnac de Cheval. Fig 1. Rslomac insufflé, rcpréseiilé au Licr^ do sa grandour. (I, irsopliafro, I). duodénum. c, grand cul-de-sac de l'estomac, On a iMilové l'aporK-vinse rocouvraiilo (Ui l'cslnmac. d, pcdl ciil-ilp-^ac (le ri',,,tomar On a l.iissr rapom-vriisiv 152 FLOIREIMS. — SLII! I.IC .\0.\-VOMISSli.\l KM Dl CllliVAL. e, fibres circulaires du grand cul-de-sac. , ja e', fibres longiUidiiiales de l'œsopliage venant former le muscle exUrnr de l'esloniac. e'", fibres du muscle exlerne, allanl se perdre dans les fibres circulaires du muscle moyen. Fig 2. Estomac vu par sa face mterne, représenté à moitié de sa grandeur, a, œsophage. , ^, u', ouverture de l'œsophage dans l'estomac, ou orifice supérieur dereslomac. e,e,e, fibres circulaires du muscle moyen. f, gros faisceau primitif ou total du muscle iiilcrne ou muscle du .ip/uiicltr. I', fibres externes du faisceau latéral gauche du muscle inlenie , allanl s'insérer et se perdre dans les fibres circulaires du muscle moyen /", fibres internes du faisceau latéral gauche du musi'le inlenie, venant en- tourer l'œ.'iophage et former le npliincler de I orifice supérieur. f", fibres internes du muscle (/iIc/'ik;, disséquées et renversées pour laisser voir les fibres circulaires du muscle moyen, situées au-dessous. ■,,• Fig. 3. Orifice supérieur de l'estonac, renversé ou retourné comme un doigt de gant, a, œsophage renversé e, fibres internes Mémoire pour servir a la connaissance de l'organisation cl de la vie de la substance contractile chez les animaux les plus inférieurs ; par M. Ai.kx. ECKER i(')4 ANIMAUX VERTÉBRÉS. Observations sur les heures du réveil et du eliant de quelques Oiseaux diurnes pendant les mois de mai et de juin 18 46 : par M. Di:reau de la Malle 115 Sur les animaux vertébrés envisagés sous le double rapport d(^ la géofira- phie zoologicjue et de la domestication ; par M. Paul Gkuvais, . . . 202 AIVin.lLl!X AIV'ÎV'EEÉS. Études sur les types inférieurs de l'embranchement des Annelés. — Mé- moire sur la famille des Hermelliens {Hcnnellcu. Nob ) : par M. A. hk Quatrefages g Note sur quelques espèces nouvelles du genre l'aguic: par M. Milm: Edwards 59 Note sur les Coléoptères du genre Lurltiuux , de la famille des Curculio- iiiens ; par M. Emile Blanchahd 113 Études embryogéniques. — Mémoire sur I embryogénie des Annélides ; par M. A. de Quatrefages. ... i;;:i Recherches sur l'organisation des Vers (classe des Cestoides) ; par M. Emile lii.ANCiiAUD :i21 Résumé des observations faites en ISii sur les Gastéropodes Phlébenlé- rés; par M. A. de Quatrefages I2i ZOOPOl'TES. Recherches sur les polypiers. — Troisième Mémoire : Monographie dos Eupsammides par MM. MiLNE Edwards et Jules IIaime (j;; Recherches sur les polypiers. — Quatrième Mémoire : Monographie des Astréide» : par MM. MiLNE Edwards et Jlles IIaiue 22 TABLE DES MATIERES PAR .\OMS D'AUTEURS. Blanchauu (Kinile). — Noie sur les Coléoptères du genre lùuiiinus, de la famille des Curculioiiieiis. I 4 3 — Reclierclies sur l'ûrsanisalioii des Vers (classe des Cesloïdes). 321 DuREAi; LE LA Mali.e. — Observa- lions sur les heures du réveil et du cl'.ant de quelques Oiseaux diurnes pendant les mois de mai et de juin 1846 115 EcKEH (Alexandre) — Mémoire pour servir à la connaissance de l'organisation el de la vie de la substance chez les animaux les plus inférieurs . . . - . 31)4 EnwARns (Milne). — Sur quekpies espèces nouvelles du genre Pa- gure ■">!< — ■ et Hahie (Jules). — Recher- ches sur les polypiers. Troisième Mémoire : Monographie des Eupsanimides 05 — Recherches sur les polypiers. (Jualrieme Mémoire : Alonogra- phie des -\stréides .... 224 PYouiiKNs. — Sur le mm-vomis- semenl du Cheval . . 14-'; Gervais. — Sur les animaux ver- tébrés envisagés sous le rapport de la géographie zoologique et de la domestication .... 202 Haime. — Voyez Milne Edwards. QuATBEiAGEs (A. de). — Etudes sur I les types inférieurs de l'embran- cheinenl des Annelés. — .Mé- moire sur la famille des Her- melliens 5 — Résumé des observations faites en1iS44 sur les Gastéropodes riilébentérés 121 — Etudes embrvogéiiiques. — Mémoire sur l'embrvogénie des ■ Aiineli(les 2S3 TABLE DES PLANCHES RKF.ATIVKS AI!\ MKMOIltl'.S CdXTI-NlS DANS Ci; VOT.UMK. Hi ANCHES I . Sléphanophyllies. 2. Organisation des Hermelles. 3. Embryogénie des Hermelles. i. Embryogénie des Hermelles. 5. Eusmiliens. 6. Eusmiliens. 7. Eusmiliens et Astréens. 8. Astréens. 9. Astréens. 10. Estomac du Cheval. 1 1 , Organisation des Tœnias. 1 2. (.triiaiiisation des Cestoïdes. Fl\ tu DIMIMK VnirMK. .^^-^rrr D n uq c^^^/i^,^/''^ .i^ /^^C^.^.^''-'^^ ; , /^^?L^?^/^ / ''^ t - /'.//:" / _ LffiLjy^y '- < < /^ ■ ^ .M