|)ji."",!(ii;l %,„/ lORA^ — "'"■ama&iyi'^^^^i^ Digitized by the Internet Archive in 2011 with funding from Open Knowledge Gommons and Harvard Médical School http://www.archive.org/details/nouveaumanuelcomOOduja NOUVEAU MANUEL COMPLET ATLAS, PARIS. — IMPRIMERIE DE FAIN ET THUNOT, IMPaiMEURS DE l'uNIVERSITÉ ROYALE DE FRANCE, rue Racine , 88, près de l'Odéon. NOUVEAU MANUEL COMPLET L'OBSERVATEUR AU MICROSCOPE. Par m. du jardin , DOYEN DE LA FACOtTÉ DES SCIENCES DE RSMNE». ATLAS Reufermant 30 planches gravées sur acier. PAHÎS. X et ne s'aperçoit que difîicilement par une ombre légère qu'on fait naître en modifiant l'éclairage. Cette enveloppe est sur le point de disparaître pour laisser le nucléus isolé: — f mv corpuscule sau-^ 8 EXPLICATION Fig. g'Mm contracté par l'effet de la concentration du liquide ; grossi 750 fois : — g et h deux corpuscules sanguins observés après 22 heures de séjour entre les lames de verre, et plissés régulièrement par suite de l'évaporation lente et de la concentration du liquide: — ■«-/ deux autres corpuscules après 23 heures, i est plus déformé par l'action du liquide , j montre un commencement de vacuole : — k~l corpuscules diversement altérés après 22 heures. 6. a-b Corpuscule sanguin du Crapaud ou grossissement de 654 dia- mètres. — a vu en rapprochant l'objectif, — 6 vu en éloignant l'ob- jectif. 10. Surface interne du gros intestin du Crapaud, grossie 700 fois. 11. Fibre du cristallin du Crapaud, grossie 1200 fois. Largeur réelle de 0,011 à 0,01Zi3 mill. ; épaisseur 0,002. 12. a-b Faisceau musculaire de la langue du Crapaud , comprimé un peu obliquement, ce qui rend les stries sinueuses. — a grossi 325 fois, — b grossi 800 fois. — Les stries transverses, y compris l'in- tervalle qui les sépare, sont larges de 0,0025 mill. Les fibres élé- mentaires ont un millième de millimètre , soit 0,001. 13. Corpuscules sanguins de Grenouille. 1!i. Faisceau musculaire de Salamandre, grossi 300 fois. 15. a Portion de la membrane muqueuse de la bouche de Grenouille avec des cils vibratiles en mouvement, grossie 300 fois, — b un globule sarcodique garni de cils, isolé par la compression. 16. Spermatozoaires de Saïam&ndve aquatique (Triton palmipes), grossi 325 fois. On reconnaît bien que le filament accessoire tourné en hélice et agité d'un mouvement ondulatoire continuel est indépen- dant du filament principal , et n'est pas l'extrémité repliée de ce filament. Les petites flèches indiquent le sens suivant lequel se pro- page le mouvement ondulatoire de ce filarnent. La longueur totale est de 0,55 à 0,60 mili. ; la partie antérieure simple est épaisse de 0,0013 ; le filament accessoire est épais de 0,00008 mill. 17. Spermatozoaires de Grenouille, grossis 325 fois. Leur longueur réelle est de 0,052. 18. Spermatozoaires de Crapaud , grossis 400 fois. Longueur totale 0,07. Épaisseur de 0,00123 à 0,00153. 19. Spermatozoaire de Crapaud, contracté. PLANCHE 5. 1, Globules de sarcode, substance glutineuse diaphane, exsudée du corps d'un Distome ( Distoma hepaticum ) , placé vivant entre des lames de verre. — a-b grossis 100 fois, — c, d, e, grossis 200 fois. — ■ En b une vacuole s'est considérablement agrandie , — en c plusieurs vacuoles commencent à se creuser spontanément près de la surface DES PLANCHES. 9 l'ig. par le contact de l'eau , — en d les vacuoles plus nombreuses se sont formées dans toute l'épaisseur du globule sarcodique sur divers plans , — en e les vacuoles , en continuant à se dilater, ont réduit le globule sarcodique à n'être plus qu'une sorte de cage à jour. 2. Globule sarcodique provenant d'une larve de diptère ( Chironome ) , et présentant à la fois une vacuole et de nombreux globules huileux. 3. Globule sarcodique provenant d'un embryon de Limace, grossi 300 fois. — Les vacuoles sont sur plusieurs plans. h' Expansion sarcodique du Scolex polymorphiis , montrant des va- cuoles qui tendent à se confondre, et des molécules agitées du mou- vement brownien , grossie 250 fois. 5, 6, 7. Sarcode provenant des testicules du Lombric avant le temps de l'accouplement, grossi 230 fois. S. Sarcode provenant du Lombric , et spontanément creusé de vacuoles après avoir été étalé sur la plaque de verre. 9. Substance sarcodique destinée à devenir les viscères dans une jeune larve de diptère. 10. Embryon de Limace {Limax cinereus), commençant au bout de qua- rante-huit heures à manifester les phénomènes vitaux par le mouve- ment des expansions diaphanes qui se produisent sur son contour , analogues à celles des Amibes; grossi 325 fois. — Il est formé de lobes globuleux irrégulièrement groupés , parsemés de globules graisseux , et se creusant de vacuoles par suite du contact de l'eau. 11. a-b-c Diverses portions du contour de l'embryon de Limace , mon- trant des expansions variables et mobiles d'une substance glutineuse diaphane sortant de la masse qui est parsemée de globules graisseux et ci'eusée de vacuoles. — 6-c une même portion du contour vue à 20 minutes d'intervalle , grossie 300 fois. 12. CEuf de Tœnia serrata, grossis 300 fois. — a vu en éloignant assez l'objectif pour distinguer seulement les aréoles de la coque, — i vu en rapprochant l'objectif pour bien distinguer l'embryon avec ses trois paires de crochets mobiles, — c les diverses positions que pren- nent successivement les crochets mobiles. 13. Œufs de Tœnia cucumerina. — a groupe d'œufs réunis dans une masse de substance gélatineuse, grossi 180 fois, — b deux œufs seu- lement grossis 360 fois , — c un œuf vu isolément de manière à bien distinguer l'embryon mobile et contractile avec ses trois paires de crochets, — d les mêmes crochets grossis 800 fois. 15. Œuf de Distoma cygnoides laissant voir l'embryon contractile et ' revêtu de cils vibratiles, grossi 300 fois. 15. iSpermatozoairesàM Lombric non m.ûrs et encore fixés avec leur ren- llement glutineux sur un gros globule central : — grossis 3ZiO fois. 15. Les mêîBes Sperm^tozoiiires ayant atteiut le terme de leur développe' 10 EXPL!CAT[ON Fia- ment et commençant à se détacher tlu globule central pour s'agiter librement dans le liquide , — a grossis 500 fois, — b grossis 900 fois. — Leur longueur totale est de 0,055. PLANCHE 6. 1 . a-j poil de Souris vu en différents points de sa longueur , grossi 285 fois: — a pointe du poil: — b partie plus épaisse contenant une seule rangée de cellules aérifères, en approchant de la pohite: — c-d parties plus renflées du poil contenant trois séries de cellules aérifères d'où l'air a été chassé par l'ébullition dans du sirop de sucre, — e partie également renflée d'où l'air n'a pas été chassé; — f, g', '«, parties plus minces et contenant une seule série de cellules , en ap- prochant de la racine: — h etj base du poil près de la peau. 2. a-/" poil de Cochon d'Inde très-jeune , vu en différents points de sa longueur, et grossi 285 fois, — {b grossi 570 fois) , — a pointe du poil , — b partie plus épaisse vers l'extrémité du poil, sans cellules aérifères , grossie 570 fois ; — e portion du poil près de l'extrémité avec une série de cellules aérifères irrégulières et communiquant entre elles , — d portion plus renflée avec les cellules plus complexes et cloisonnées , — e et f portion du même poil près de la racine , — en /l'air des cellules aérifères a été expulsé par l'ébullition. — (Voir i\ la planche lli une coupe transverse du poil du Cochon d'Inde. ) 3. a - b. Spermatozoaires de Souris. — a cordon blanc chassé par compression de l'épididyme de la Souris , et formé de Spermato- zoaires, tous rangés dans le même sens, grossis 150 fois; — b Spermatozoaires de Souris grossis 600 fois, — leur longueur totale est de 0,09 à 0,10 mill. h Spermatozoaires de Cochon d'Inde, — a grossis 300 fois. Ils sont encore empilés comme dans les testicules. — Leur longueur réelle est de 0,10 à 0,11 mill. — b grossis 600 fois et montrant bien l'en- veloppe muqueuse dont leur disque est revêtu , — c un Spermato- zoaire dont le disque est dénudé , — d Spermatozoaire dont l'enve- loppe est en partie détachée. 5. Produits accessoires de l'appareil génital mâle du Cochon d'Inde. — a b substance mucilagineuse de la vésicule accessoire modifiée par l'eau , — c-d substance glutineuse ou sarcodc provenant , par ex- pression , des tubes séminifères d'un Cochon d'Inde adulte et déjà creusée de vacuoles ou diversement modifiée par le contact de l'eau, — e deux globules de sarcode exprimés de la vésicule accessoire. 6. Corpuscules sanguins de Souris diversement modifiés par la con- centration du liquide sanguin ou par l'addition d'eau , grossis 1000 fois. — leur diamètre réel est de 0,0060 à 0,0063. — a commençant à se contracter et à se créneler au bord , — b devenu tuberculeux » DKS PLANCHES. 11 Flg. — c complètement crispé et lobé , — d gonflé et dissous en partie par une addition d'eau. 7. Corpuscules sanguins de Coclion d'Inde diversement modifiés, grossis 800 fois, leur diamètre réel est de 0,0070 à 0,0072. — a gon- flés par une addition d'eau et vus obliquement, — b devenus crénelés au bord par suite de l'évaporation du liquide , — c vus un peu obli- quement quand ils commencent à se creuser irrégulièrement au centre par suite de l'action de l'eau, — (Zvude champ, — e dentelé au bord quand le liquide est devenu plus concentré. 8. Un des tubes élémentaires dont se compose le rein du Cochon d'Inde, grossi 310 fois. — Il est formé d'une substance glutineuse qui , par l'ac- tion de l'eau, se creuse de vacuoles c ayant à leur centre un des disques granuleux dont toute la surface est parsemée. — b un des disques paraissant plus sombre quand on éloigne , et plus clair quand on rapproche l'objectif. — Observé le 28 janvier, 12 heures après la mort. 9. a Autre tube élémentaire du rein d'un autre Cochon d'Inde , grossi 310 fois, et laissant voir son canal central à travers la surface aréo- lée, — b une des aréoles, grossie 700 fois. 10. {a-f) Faisceau musculaire de Bœuf bouilli. — a faisceau grossi 300 fois; large de 0,648 , montrant des stries transverses écartées de 0,0033, suivant lesquelles il se rompt facilement, — b faisceau grossi Z|50 fois, montrant bien ses stries transverses, et aussi des stries longitudinales beaucoup plus fines indiquant les fibres élé- mentaires qui sont épaisses de 0,0012 à 0,0013 mill., ■ — c et d fais- ceaux grossis 375 fois , — • e faisceau que la pression a décomposé en ses fibres élémentaires , mais dans lequel on ne peut admettre l'existence d'une enveloppe commune , — g une fibre élémentaire grossie 250 fois, — h la même fibre grossie 1250 fois. PLANCHE 7. 1. Ecaille de Papillon (Satyrus Janira). — a vue dans l'eau et grossie 300 fois, — b une portion de la même écaille grossie 600 fois. 2. a Ecaille de Papillon blanc (Pieris napi) , provenant de la tache noire de l'aile supérieure , vue dans l'eau gommée pour augmenter sa transparence, et grossie 320 fois , — b portion de la même écaille grossie 800 fois , pour montrer la disposition des renflements qui correspondent à des intervalles remplis d'air entre les deux lames de l'écaillé. S. a Une des écailles en cœur ou plumules de Pieris rapœ vue à sec et grossie 400 fois. — b portion de la même grossie^J,1000 fois, — e 12 EXPLICATION J'ig. portion de la même, grossie 850 fois, et dessinée avec un autre mode d'éclairage. k. Portion de l'aile du Papillon blanc ( Pleris rapœ)^ montrant les inser- tions des écailles ordinaires sur les rangées supérieures n pour la face supérieure, et sur les rangées inférieures n; pour l'autre face, et des écailles en cœur ou plumules par rangées intermédiaires m , grossie 90 fois. 5. a i?co tVZe de Polyommate argiolus, grossie 600 fois. — En partie rendue plus transparente par l'eau qui a expulsé l'air contenu entre ses deux lames, — b portion de la même , humectée et vue en rap- prochant l'objectif. 6. Poil follet de l'homme avec sa racine, grossi 325 fois. 7. a b Portion d'un autre poil follet, grossi 325 fois. — a vu en éloi- gnant, — b vu en rapprochant l'objectif. S. Poil de Roussette ( Pteropus vulgaris) , grossi 325 fois. 9. Poil de Dasyure (. Dasyurits Maugei), grossi 325 fois, montrant à sa surface des aspérités disposées régulièrement. 10. Autre poil de Dasyure ayant à l'intérieur une série de cellules aéri- fères. il- Poil de Fourmillier tamandua ( 3Iyrmecophagus tamandua), grossi 325 fois, et montrant sur un des côtés une plaque écailleuse saillante et fortement colorée. 12. Autre poil de Fourmillier tamandua, grossi 325 fois, et montrant ea avant une plaque écailleuse noire , épaisse. PLANCHE 8. 1. Ecaille d'Anguille. — a grossie 30 fois, — b portion de la même écaille , grossie 200 fois , montrant chacun de ses petits disques in- crusté de carbonate de clîaux, et plus ou moins fêlé ou fracturé par les frottements qu'a subis la peau , — c portion de la même écaille après que les disques calcaires ont été dissous par un acide affaibli , — grossie 250 fois. 2 Ecaille de Tanche ( Cyprinus tinca). — a grossie 25 fois, — b por- tion de la même écaille , grossie 200 fois, pour montrer que les stries concentriques un peu sinueuses sont produites par des épaississe- ments successifs, et que les stries ou canaux partant du centre sont des lacunes superficielles, provenant d'une interruption des épaissis- sements circulaires. 3. Écaille de Scorpène (Scorpcena porcus ). — a grossie 25 fois, — b portion du bord interne, grossie 300 fois, montrant bien que les stries parallèles au bord sont des renflements noduleux, — c portion du bord externe ou denté, grossi 200 fois, montrant que ces dents sont des prolongements de la substance cornée de l'écailie, suscep- DES PLANCHES. 13 fig. tibies de s'écraser par la pression , à la manière des poils et des autres productions cornées. !i- Ecailles on paillettes de V épithélium delà membrane muqueuse de lal)ouche de l'iîonmie , grossies 300 ibis. — Ces paillettes se voient toujours dans la salive. 5. Diverses tranches de cheveu de l'homme , grossies 300 fois. — a tron- çon vu de côté , montrant les rangées longitudinales de points colo- rés, et la couche externe plus transparente , — 6, c, d lames min- ces obtenues en coupant transversalement un faisceau de cheveux agglutinés dans une rainure d'une tige de bois tendre. — Les points noirs, plus ou moins rapprochés selon le degré de coloration des che- veiîx, indiquent autant de séries longitudinales de petits dépôts de sub- stance huileuse ; la couche externe est manifestement plus claire et dépourvue de points huileux. — En b on voit un canal central qui n'existe pas dans tous les cheveux. PLANCHE 9. 1. Poils de Musaraigne , grossis 360 fois. — a avec une série de cel- lules aérifères égales , — b portion du poil près de l'extrémité avec les écailles externes plus saillantes, — c autre portion dont les cel- lules aérifères sont presque oblitérées. 2. Poils de Chauve-souris pipistrelle, grossis 350 fols. — a vu dans l'eau et présentant ses écailles bien saillantes , — b le. même vu dans l'huile , — c extrémité d'un autre poil avec les écailles îrès- rapprochées, — d portion d'un poil dont les écailles paraissent im- briquées. 3 et û. Poils de Lemiir murinus ( Microcebus ) , grossis ÛOO fois. 5. Poil d'Araignée (Lycosa saccata) , grossi 300 fois. 6. Poils hispides de la larve d'Anthrène , grossis 300 fois. — a poil en- tièrement velu , — 6 portion d'un poil plus volumineux dont la sur- face est hérissée d'aspérités peu saillantes. 7 Poils articulés et sagittés de la larve d'Anthrène, grossis 310 fois. — a-b portion de la tige de ces poils montrant autour de chaque renflement quatre saillies symétriques , anguleuses , — c, d , e ex- trémité de trois poils terminés par une masse en fer de flèche à quatre ailes. S Ecailles de la larve du Dermeste des fourrures {Attagenuspellio). — a grossie 320 fois, — b portion de la même écaille, grossie 700 fois , — c autre écaille , grossie 320 fois , — d portion de la même écaille, grossie 960 fois, et montrant bien les plissements obliques et symétriques de l'une des membranes dont se compose l'écaillc. y. Ecailles cf'ù?sec«e coléoptère ( Clytus arcuatus), grossies ZjOO fois. 1 4 EXPLICATION Fig. — a-b écailles striées delà partie noire del'élylre, — c, d écailles pointillées des bandes jaunes de l'élytre. 10. Écailles d'insecte coléoptère ( CalUchroma alpina), grossies 3(?0 fois. 11. Écailles lacinices d'insecte coléoptère ( Hylesinus varius ) , gros- sies 350 fois. 12. Écailles d'insecte coléoptère ( Hypera variabilis), grossies 300 fois. PLANCHE 10. 1. Cristallin de Bruant (Emberiza citrinella }. Sommet ou milieu de la partie antérieure du cristailin comprimé pour désagréger les fibres qui montrent des rides transverses , indice de leur contractl- lité, grossi 285 fois. — Leur épaisseur est de 0,012 à 0,016. 2. Portion du môme cristallin , grossi 310 fois , et montrant les rides ou stries transverses plus nombreuses et plus régulières. 3. Cristallin de Souris , grossi 800 fois. — Plusieurs fibres ou lames contiguës montrant les stries transverses également espacées et alter- nant d'une fibre à l'autre, d'où résultent, sur la ligne de jonction, des dentelures qui s'engrènent, — La largeur de ces fibres est de 0,mhli mill. Û. a-b Deux fibres contiguës du même cristallin, prises près du sommet et grossies 1000 fois, 5. a-b Portion du cristallin de la Carpe montrant ses fibres ou lamelles vues par la tranche , grossi 310 fois. — Leur épaisseur est de 0,0016 mill. 6. a Portion de la surface du cristallin de la Carpe près du sommet , grossi 310 fois. — Les rides transverses étant plus écartées divisent les lamelles en hexagones presque réguliers , — 6 un des hexagones de la surface , grossi 1200 fois. 7. Fibres noduleuses ou variqueuses observées dans une tranche mince du cerveau de Moineau ( Fringilla domestica ) placée depuis une heure entre des lames de verre avec de l'eau , grossie 310 fois ; cet oiseau était mort depuis 5 heures , le li février. 8. Fibres de la même tranche du cerveau n'ayant pas encore été mo- difiées par l'eau. — Ces fibres, disposées en faisceaux parallèles dans le cerveau , paraissent d'abord être seulement épaisses de 0,0008 mill. , puis gonflées par le contact de l'eau, elles ont 0,0013 mill. de grosseur réelle. 9. a Portion du nerf optiqtie du Cochon d'Inde, grossi 300 fois ; le nerf a été déchiré et comprimé entre des lames de verre avec de l'eau , d'où résulte le gonflement des fibres nerveuses à l'extrémité et leur transformation en disques à double rebord. DES PLANCHES. 15 Fig- 9. b, c d Substance nerveuse de la moelle épinière du Chardonneret, avec disques et portions renflées par le contact de l'eau ; grossie 310 fois. — L'oiseau était mort depuis 18 heures. 10. Portion de la rétine du Cochon d'Inde comprimée entre des lames de verre, avec le liquide de l'œil , mais sans addition d'eau , grossie 300 fois. — Les fibres courtes serrées les unes contre les autres et perpendiculaires à la surface sont épaisses de 0,001(3 mill. environ; elles se gonflent et se déforment au contact de l'eau , paraissent alors visqueuses et susceptibles de s'étirer, comme on le voit à la droite de la figure , puis finissent par se changer en disques à double bord comme celui qui est figuré en b, il. Portion de la rétine de la Grenouille comprimée obliquement entre des lames de verre pour faire voir comment elle est formée de fibres courtes parallèles, grossie 300 fois. — L'épaisseur des fibres est de 0,004; en m, on voit un peu de pigment de la choroïde. 12. Substance nerveuse du cerveau d'un Moineau tué depuis 2/1 heures le 5 février. — Une tranche mince du cerveau, placée entre des lames de verre et humectée avec de l'eau, montre sur une couche de fibres simples parallèles, des disques nombreux et des renflements discoïdes qui provieiment de l'action de l'eau sur les fibres, 13. Portion du nerf ophthalmique d'une Souris , légèrement comprimé entre deux lames de verre avec de l'eau, 6 heures après la mort de l'ani- mal ; grossie 325 fois. — Les fibres nerveuses épaisses de 0,0046 mill. se sont gonflées à l'extrémité par l'action de l'eau , et ont formé des expansions discoïdes à double et triple rebord. ■Ih. Disques et expansions diverses, provenant de l'action de l'eau sur la substance nerveuse de la Carpe; grossis 310 fois. 15. Fibres du mésentère de la Souris^ grossies 310 fois. PLANCHE 11. 1. Ecailles d'insecte coîéoptère {Crypîorhynchus lapathi), gi'ossies 250 fois. — a-b écailles des taches blanches, ^^ c écailles de la partie noire des élytres. 2. Ecailles d'insecte coîéoptère (Hoplia farinosa) , grossies 250 fois. • — Elles se composent d'une double membrane en forme de sac pédi- cellé et renferment de l'air, qui , dans les écailles ici figurées , a été expulsé par l'eau. Les séries de renflements sont difllciles à bien voir. — En a l'écaillé a été rompue à sa base. 3. Ecailles d'insecte coîéoptère ( Hoplia squamosa ou argentea) , grossies 260 fois. — Elles sont aussi en forme de sac membraneux , mais plus renflées et hérissées de petits poils tubuleux. — a écaille vue en face , — b écaille vue de côté. i 6 EXPLÏCATIOIV Fig. lu Écailles d'insecte coléoptère {Anthrenus mttsœorum) , grossies 310 fois. 5. Écailles d'insecte coléoptère ( Polydrusus flavipes ) , grossies 300 fois. 6. Écailles de crusîacé décapode {Mata squinado ) , grossies 130 fois. — a vue en dessous, — b vue en dessus. 7. Ecailles d'insecte coléoptère { ylnthribus albirostris)^ grossies 260 fois. 8. Écailles d'insecte coléoptère ( curciilionite exotique), grossies 250 fois. 9. Ecailles d'insecte coléoptère ( Cionus scrophulariœ ) ,, grossies 260 fois. — a écaille de la tache noire , — à-d écailles des taches blan- châtres. 10. Ecailles d'insecte coléoptère (Cetonia mono ), grossies 380 fois. Elles sont très-fragiles , et la figure en représente seulement l'extré- mité rompue. 11. Écailles d'insecte coléoptère (Sièinia venusta)^ grossies 260 fois. 12 . Ecailles d'insecte coléoptère ( Sitona canina ) , grossies 360 fois. — Elles présentent des nuances irisées très-brillantes. 13. Écailles d'insecte coléoptère {Polydrusus smaragdinus), grossies 300 fois. Ifi. Poils et poussière du Lixus Ascanvi. lli {bis). Figure à droite de la précédente. — Poils de Lepiura viridis, grossis 360 fois. 15. Poil articulé de l'antenne moyenne d'un Crabe (Cancer mœnas). 16. Portion d'une grosse trachée du Blaps mucronata grossie 300 fois. 17. Autre trachée plus petite , du même Insecte , grossie 330 fois. — Elle est enveloppée d'une couche glutincuse diaphane , dans l'épaisseur de laquelle ont lieu les phénomènes de nutrition. 18. a Spermatozoaires de Cigale {Tettigonia plebeia), grossis 230 fois. — Ils sont longs de 0,083 , épais de 0,00025 à la base et beaucoup plus minces à l'extrémité qui s'agite sans cesse d'un mouvement ondulatoire , en produisant l'apparence d'un nœud ou renflement qu'on voit s'avancer uniformément vers la pointe. Ces Spermato- zoaires sont fixés obliquement par leur base sur de longs cordons blancs contenus dans le testicule , et qui s'agitent longtemps dans l'eau en se contournant comme des vers. 18. b Une portion du cordon portant les Spermatozoaires crispés tortillés par l'action de l'acide nitrique faible. 19. Spermatozoaires du Sphodrus terricola (insecte coléoptère) réunis par leur base sur de longs cordons blancs qui s'agitent et se con- tournent comme des vers ; grossis 190 fois. — Les cordons sont longs de 1.25 miilimclrc au moins. — Observé le 22 février. DES PLANCHES. , 17 Fig. 20. Une des lames respiratoires ou feuillet pulmonaire de l'Araignée domestique, grossie 230 fois. — Une partie de la surface est à nu et montre des points saillants, le reste est encore couvert d'un ré- seau muqueux dans l'épaisseur duquel s'effectue la fonction respi- ratoire. PLANCHE 12. 1. Spermatosoaires du Chien. — a grossis 300 fois, — è grossis 600 fois; leur longueur totale est de 0,062. Le renflement discoïde , nommé la tète des animalcules, a 0,0062 de longueur et 0,005 de largeur. Ces Spermatozoaires sont fréquemment enroulés autour d'un globule muqueux c qui a dû jouer un rôle important dans leur développe- ment ; à la base du filament on observe souvent plusieurs nodosités. 2. Spermatozoaires de l'Ane. — a grossis 300 fois, — b grossis 800 fois. — Leur longueur totale est de 0,055 à 0,066 mill. ; le renflement discoïde est long de 0,0066 et large de 0,0033 ; ils montrent à la base du filament des nodosités que le graveur a trop multipliées et rendues beaucoup trop distinctes. — Observés le 23 avril , ils s'agitaient encore au bout de 12 heures. 3. Spermatozoaires du Lapin grossis ZiOO fois.— Leur longueur totale est de 0,07 mill. h. Globules graisseux de lait grossis 300 fois avec quelques globules muqueux. Observés à Paris pendant que les vaches avaient presque toutes été atteintes de la maladie nommée la cocotte. Les plus petits globules du lait sont manifestement agités du mouvement brownien , les plus gros ne présentent absolument aucune trace d'organisation ; ils s'écrasent et se soudent entre eux par la pression et se fondent par la chaleur comme des globules de graisse demi-solide ; leur dia- mètre est de 0,0015 à 0,0090. En les observant entre des lames de verre pendant le froid , on voit quelques globules b écrasés par la pression et gercés sur le bord. 5. Pus d'un abcès, sur une vache, grossi 325 fois. — Les corpuscules sont irrégulièrement arrondis , floconneux , larges de 0,0085 à 0,010 mill. 6. Dent de Keau, — a tranche très-mince, parallèle à la surface de la dent, montrant les orifices des canaux irréguliers qui traversent toute la substance dentaire ; — b tranche très-mince prise suivant un plan perpendiculaire à la surface extérieure , et passant par l'axe de la dent ; les mêmes canaux s'y voient suivant leur longueur, grossis 500 fois. — Ces canaux , larges de 0,0024 mill., sont séparés par une substance en apparence homogène ; les intervalles étaient de 0,006 environ. 1. Cristallin de Mouton soumis à une forte gelée le 20 janvier 1838, -« 2 18 EXPLICATION Fig. a fibres ou lamelles élémentaires vues de face , grossies 310 fois, — è et d! lamelies dont les dentelures sont plus prononcées, — c autre portion du cristallin , grossie ûOO fois , — e po tion du cristallin mon- trant les lamelles de côté ou dans le sens de leur épaisseur qui est de 0,00226 milL, grossie 310 fois. 8. Lamelles du cristallin du Barbeau {Cyprinus barbus). — a extrémité d'une lamelle près du centre de la face extérieure du cristallin, gros- sie 800 fois, — b lamelle au milieu de sa longueur, grossie 600 fois, — Sa largeur est de 0,014 à 0,0053 mill. et son épaisseur de 0,0018 niill. 9. Lamelle du cristallin de la Perche ( Perça fluviatilis ) , grossie 600 fois. — Sa largeur totale est de 0,03 mill. ; son épaisseur est de 0,0016. 10. Faisceau nuisculaire de Balane ( Ealanus ). — a grossi 200 fois , — -. b portion du même grossie 300 fois. - Les renflements transverses sont éloignés de 0,005 ; les stries longitudinales indiquant la lar- geur des fibres élémentaires sont écartées de 0,00166 à 0,0020 mill. 11 et 12. Faisceaux musculaires d'insecte liyménoptère ( Cryptus irro- rator ) , grossis 325 fois. 13. Faisceau musculaire d'une larve d'insecte coléoptère ( Scolyîus de- structor ) ; grossi Zil5 fois. lû. Faisceau musculaire d'insecte coléoptère ( Brachinus sclopeta ) ; grossi Ztl5 fois. 15. Portion de l'organe sécréteur de la substance explosive du Brachinus sclopeta,, grossie 415 fois. Î6. Faisceau musculaire de Mouche , grossi 400 fois. 17. Ecaille de Forbicine ( Lepisma sacchari ) , grossie 300 fois. 18. Pygidium ou bouclier anal de la Puce commune , avec les parties en- vironnantes. — p les poils qui hérissent le bouclier, — t les trachées qui viennent s'ouvrir sous le bouclier , — g les deux pièces articulées représentant les soies caudales; grossi 156 fois. 19. Portion du bouclier anal (Je la Puce , grossi 360 fois. 20. Antenne du Psoc ( Psocus pulsatorius ) , grossie 310 fois. 21. Écailles d'insecte coléoptère ( Cleonis sulcata ) , grossies 360 fois. 22 (et 19 au bas de la planche ). Spermatozoaires d'insecte coléoptère {Brachinus sclopeta) , grossis 360 fois. PLANCHE 13. î. Poîî de îa barbe de î'homme , grossi 180 fois, — Son épaisseur est de 0,133 mill. : il montre un canal central. 2. Cheveu de jeune fille blonde , grossi 320 fois. — a vu dans l'huile , — ■ 6 vu dans l'eau. — Son épaisseur est de 0,06 mill. Sj £ame de diverses qualités. — a laine commune grossie 320 fois. — Son épaisseur est de 0,031 mill,,-— 5 laine'flne neuve grossie 316 fois. DES PLANCHES. 19 Fig. — Son épaisseur est de 0,020 à 0,024, — c laine fine usée et écrasée , grossie 316 fois. — Les écailles de sa surface ont en partie disparu, et par l'écrasement elle s'est désagrégée en fibres irrégulières. û. Soie décreusée et teinte, grossie 350 fois. — Les fils produits par le ver à soie sont irrégulièrement aplatis , et leur épaisseur varie entre 0,007 et 0,015 mill. 5. Filaments simples de coton , grossis 350 fois, — Leur largeur est de 0,015 à 0,023 mill. Ce sont des tubes membraneux comprimés , et montrant dans leurs parois des stries obliques , peu marquées. 6. Poil multiple de platane enlevé parie vent aux feuilles de cet arbre; il est fréquemment déposé sur le porte-objet du microscope quand on observe dans le voisinage ; grossi 140 fois. 7. Liège. — a tranche mince prise verticalement, — b tranche mince prise horizontalement , grossie 310 fois. — Observé dans l'huile. 8. Moelle blanche de la plume d'oie. — Tranche mince observée dans l'huile et contenant encore quelques bulles d'air a , a, dont la paroi liquide réfracte très-puissamment la lumière à la manière d'une len- tille concave : — grossie 300 fois. PLANCHE IZj. 1. ah Tranches minces de poil du Cochon d'Inde, grossies 32 5 fois ; elles montrent bien la couche extérieure plus compacte et les cloisons irrégulières séparant les cellules aérifères du centre. 2. a-j Diverses parties delà plume et du duvet d'un Bruant iEmberiza citrinellaj^f grossi 1000 ,/ grossi 600 fois ; toutes les autres figures grossies 285 fois. — En a, la tige de la plume contient des cellules aérifères, et les barbes sont garnies de pointes verticales. — En 6, la tige , dépourvue de cellules aérifères , montre des stries obfiques très-fines dans la direction des barbes qui sont noueuses ; — c et g représentent la base de deux barbes d'une plume plus grande ; — e est l'extrémité d'une barbe du duvet avec des pointes régulièrement verticillées à chaque renflement; — /et /"représentent une autre barbe de duvet sans pointe , grossie 285 et 1000 fois; — h est un du- vet dont les utricules ou cellules aérifères sont renflées et forment une série moniliforme ; ses barbes sont absolument simples et parais- sent partir de chaque côté du sommet d'une utricule aérifère ; mais beaucoup de ces barbes ont été détachées par le frottement. 3. Épiderme de Dauphin ( Delphinus delphis ) , grossi 270 fois. — Il se compose de plaques hexagones un peu renflées et pointillées au centre ; larges de 0,066 mill. ô. Tentacule d'Âlcyonelle garni de ses cils vibratiles , grossi 135 fois. 5. Portion d'un tentacule delà i^ZifSfra/bh'Gcca garnie de cils vibratiles, grossie 230 fois. 20 EXPLICATION Fig. 6. Extrémité d'un tentacule du même animal dont les cils ont été crispés par l'action d'un peu d'acide nitrique faillie. 7. Cils vibratiles de la branciiie de Moule commune { Mytilus eduUs ). . — a portion d'une des rangées de cils , grossie 330 fois , — b quel- ques cils grossis 570 fois. — Leur longueur est de 0,021 et leur épais- seur de 0,0007 à 0,0008. 8. CEil et antenne de la Puce de l'homme , grossis 300 fois. 9. Une des lames dentelées de la boucha de la Puce , grossie 300 fois. 10. Lame impaire ( languette ) de la Puce , grossie 3 00 fois. 41. Partie antérieure de la Puce de la Chauve-Souris pipistrelle , grossie 200 fois. — En r est l'Insertion de l'antenne, — et en m la lame triangulaire qui porte le palpe et qui par conséquent est l'analogue de la mâchoire chez les autres insectes. PLANCHE 15. Puce de l'homme, grossie 60 fois. — a antenne, — b gaîne articulée ren- fermant les lames qui servent à faire la blessure dont la Puce suce le sang (cette gaîne paraît représenter les palpes labiaux), — c-c palpes maxillaires, — d d deux lames dentelées en scie sur quatre arêtes, représentant peut-être les mandibules , — l lame impaire à dentelu- res plus écartées , représentant probablement la languette , — m, m deux pièces écailleuses triangulaires portant les palpes maxillaires et par conséquent pouvant être nommées maxilles ou mâchoires , — o oeil , — p bouclier anal servant à recouvrir et à préserver de l'humidité les orifices de la dernière paire de trachées, — q deux stylets articulés représentant les deux filets de la queue des ortho- ptères et névroptères, ainsi que des stapJiylins, — s-s stigmates ou orifices latéraux des diverses paires de trachées, — t^t sacs aéri- fères ou renflements des trachées dans les jambes et les tarses. PLANCHE 16. Acarus de la gaie du Cheval, grossi 260 fois, vu en dessous, — La der- nière paire de pattes n'est pas encore développée et ne se montre que sous la forme de deux appendices courts, coniques, articulés. — En m est un crochet accessoire , bifide , inséré à côté du tarse. — Il est observé dans le sirop de sucre. PLANCHE 17. 1. Acarus delà gale du Cheval, grossi 150 fois. — La dernière paire de pattes est déjà beaucoup plus développée que dans la figure précé- dente , mais elle n'est pas encore complète. 2. Un des deux disques situés près du bord postérieur et paraissant ser- vir de ventouses, grossi 500 fois. DES PLANCHES- 21 Fig. 3. Tête du même Acarus du Cheval vue en dessous , grossie 260 fols, b. La même, vue en dessus, grossie 250 fois. 5. Orifice génital du même Acarus, grossi ûOO fois. 6. Une des pattes antérieures du même , grossie 300 fois. 7. Extrémité d'une des pattes de la deuxième paire du même Acarus , — grossie 300 fois. 8. Trois tarses du même Acarus , vus séparément pour montrer com- ment le dernier article est terminé par une membrane molle , sus- ceptible de s'étaler et de se plisser , avec un ^crochet simple au-des- sous ; — grossis 300 fois. 9. Une des pattes postérieures incomplètement développées d'un Aca- rus du Cheval, grossie 300 fois. 10. a Tête de V Acarus des figues sèches, vue par-dessous, grossie 300 fois. — b une des pinces ou mandibules détachée de la tête. 11. Partie antérieure de V Acarus du fromage , un peu comprimée pour montrer les deux pinces ou mandibules bien étalées , grossie 300 fois. — a, c les deux pinces comprimées , — 6 la lame inférieure formée par le rapprochement des maxilles ou mâchoires membraneuses, au bord extérieur desquelles sont soudés les palpes maxillaires dont les articulations sont bien distinctes. 12. Une des maxilles avec son palpe soudé au bord externe. 13. Deux tarses de Y Acarus domesticus vus dans l'huile. — Ils sont terminés par une membrane molle , lobée , et par un long crochet simple. PLANCHE 18. 1. a-e Grains de fécule de pomme de terre vus dans la lumière pola- risée et grossis 350 fois. — Les figures a, b, d doivent être sur un champ noir, car elles sont vues lorsque les tourmalines étant croi- sées , la lumière polarisée par le premier appareil se trouve com- plètement iiUerceptée par !e second, sinon dans les parties du grain de fécule ayant dépolarisé plus ou moins les rayons qui les tra- versent. — Les figures c et e , au contraire , sont vues sur un champ lumineux, parce que les tourmalines étant tournées dans le même sens , la lumière polarisée par la première traverse la seconde dans toute l'étendue du champ et dans toutes les parties de chaque grain de fécule où elle n'a pas éprouvé de dépolarisation au passage. — La croix noire des trois premières figures a constamment ses bran- ches dirigées suivant les axes des deux tourmalines ou dans les plans de polarisation, de sorte que si l'on fait tourner le porte-objet les croix restent dirigées de même; dans les deux dernières figures la croix noire a été remplacée par des bandes claires et les espaces clairs dans les premières figures sont devenus obscurs ou diverse- 22 EXPLICATION Fig. ment colorés, si la lumière est assez vive et surtout si au lieu de tour- malines on a employé des prismes de Nicol. A mesure qu'on fait tourner l'appareil polarisant supérieur, la croix noire des premières figures tourne en même temps et paraît se transporter sur les espaces ombrés des dernières. Ainsi la figure 1 b devient 1 c, et la figure 1 d devient 1 e, et réciproquement si l'on continue à faire tourner l'appareil polarisant. 2. ab Deux grains de fécule de pomme de terre dans l'état normal, ils sont aplatis et formés de couches superposées obliquement , le grain a est grossi 660 fois et le grain b 450 fois ; — sa longueur réelle est de 0,0i. 3. a-b Grains de fécule de pomme de terre chauffés sur une lame de verre à 120° environ , puis refroidis et vus dans l'eau , grossis 330 fois. — En a un seul hile creusé par l'eau , — en 6 avec deux hiles. — c-d les mêmes grains colorés par l'iode , puis chauffés dans l'eau, grossis 330 fois; — leur diamètre est devenu trois ou quatre fois aussi grand. û. a-b Grains de fécule de pomme de terre desséchés fortement et com- primés entre des lames de verre et vus dans l'eau , grossis 330 fois. — Le grain a s'est fendu et déchiré irrégulièrement, le grain 6 plus sec et plus cassant s'est fendu régulièrement suivant des lignes rayonnantes, ce qui fait voir l'homogénéité de la substance inté- rieure , en même temps aussi l'eau environnante n'a rien dissous de cette substance. 5. a-k Divers grains de fécule de pomme de terre chauffés dans un tube de verre jusqu'à ce qu'ils soient légèrement colorés en jaune rous- sâtre, à 220° environ, puis refroidis et mis dans l'eau froide, grossis 330 fois , excepté la figure 5 h qui est grossie 560 fois. — a grain très-aplati dont le hile s'est considérablement dilaté , — b grain avec deux hiles correspondant à chacune des faces , — c grain très-aplati dont le hiie de la face supérieure est encore clos et étoile , et dont celui de la face inférieure est placé plus près du bord et dilaté , — d grain brisé par la dessiccation et dont la face supé- rieure présente une grande lacune triangulaire , — e grain dont la face supérieure présente ses zones régulières , et dont la face infé- rieure a une longue fente irrégulière , — f grain de fécule dont le hile , largement excavé , présente deux zones concentriques , — h le même grain grossi 560 fois , — k portion d'un grain de fécule converti , par l'action successive de la chaleur à sec et de l'eau froide, en une lame présentant , sur le même plan, toutes les couches ou zones concentriques dont il est formé. 6. Autres grains de fécule de pomme de terre écrasés ou brisés et chauffés à 200", puis refroidis et immergés daus l'eau , grossis 325 DES PLANCHES. 23 Fig. fois. — En a on croit voir le résultat d'une dissolution partielle da l'enveloppe externe , mais c'est un effet de la dilatation du hile. — En 6 et c un même grain vu en rapprocliant et en éloignant l'ob- jectif, montre une décliirure irrégulière qui traverse toute la masse et dans laquelle l'eau ne paraît point dissoudre la substance interne. 7. a Grain de fécule de haricot grossi Zi20 fois. — Sa longueur réelle est de 0,04; près du contour on distingue la trace de nombreuses cou- ches concentriques ; au milieu se voient des déchirures profondes et rayonnantes qui proviennent du retrait que subit la substance intérieure en se desséchant ; — b deux petits grains de fécule de ha- ricot, grossis Û20 fois et montrant déjà les fentes rayonnantes pro- venant de la dessiccation. 8. a-b Deux grains de fécule de fève , grossis 500 et 600 fois; ils ont au milieu des déchirures ordinairement longitudinales provenant de la dessiccation, et près du bord ils laissent voir de nombreuses couches concentriques. g. Fécule de froment, grossie 320 fois. — 'La plupart de ses grains sont notablement déprimés ; les plus gros seulement , a , 6 , c , montrent des couches concentriques , et un hile ou des fentes rayonnantes. — Le diamètre moyen est de 0,012 à 0,016 , le maximum est de 0,033 et le minimum descend au-dessous de 0,004. 10 et 11. Deux fragments de fibre textile de lin ou de chanvre provenant d'une toile usée , grossis 300 fois. — Ces filaments sont eux-mêmes par le frottement amenés à une forme presque cylindrique et suscep- tibles alors de se réduire en un faisceau de fibres très-fines , épaisses de 0,002. Les cassures n, n produites parla flexion déterminent l'é- cartement des fibres composantes , d'où résulte l'apparence de nœuds, PLANCHE 19. 1. Portion d'une lame mince d'un rameau de vigne , coupé transversale- ment, grossie 150 fois. — a rayons médullaires formés par quatre à cinq séries de cellules prismatiques rectangulaires remplies de fécule, et dont les parois paraissent percées de pores qui les font communi- quer entre elles, — b tissu ligneux formé de cellules allongées fusi- formes dont les parois sont épaissies par des couches concentriques qui en rétrécissent peu à peu la cavité intérieure , et que l'on voit ici sur une coupe transverse, — c vaisseaux tubuleux et vaisseaux ponc- tués et striés, ou fausses trachées , vus par une section transverse, — à utricules molles, et imparfaites encore , de la nouvelle couche ligneuse qu'on nomme V aubier. Celles de ces utricules qui sont dans le prolongement des rayons médullaires deviendront semblables à celles dç ces rayons qui gç prolongent jusque 4ftns J'écorce 5 le« autres 24. EXPLICATION Fiçj. deviendront des cellules ligneuses en s'épaississant peu à peu ; quel- ques-unes d'entre elles seront des vaisseaux (c) , — e couche interne de l'écorce ou liber ^ dans laquelle on voit des faisceaux ligneux dans l'intervalle des rayons médullaires prolongés, — /parenchyme cortical externe. 2. Portion de la couche ligneuse de la même tranche d'un rameau de vigne , grossie 300 fois. — a rayons médullaires , — b fibres ligneuses coupées transversalement , — c vaisseaux. 3. Portion du parenchyme médullaire encore rempli de fécule dans une coupe transverse d'un jeune rameau, grossie 150 fois. Ix. Portion d'une coupe transverse des fibres ligneuses , grossie 300 fois pour bien montrer les couches concentriques qui épaississent la pa- roi de ces fibres. 5 et 6. Portion d'une coupe transverse des rayons médullaires d'une branche de vigne plus âgée ; les cellules alors étant presque toutes vides , et contenant seulement quelques graines de fécule m. Les cloisons ho- rizontales montrent des pores que par analogie on pourrait supposer totalement ouverts ; en effet , les cloisons latérales ont de nombreux pores de communication p,p, qui paraissent bien réellement ouverts : — grossie 300 fois. 7. Portion d'une coupe des rayons médullaires faite verticalement sui- vant la direction de ces rayons en passant par l'axe du rameau. Les pores de communication p, p, sont bien distincts : les grains de fécule des cellules se voient par transparence à travers la cloison verticale : — grossie 300 fois. PLANCHE 20. 1. Portion d'une coupe longitudinale du bois de vigne , parallèlement à l'écorce , grossie 300 fois. — a cellules des rayons médullaires , ayant leurs parois épaisses et percées de pores, — b cellules du prosen- chyme et du pleurenchyme composant le tissu ligneux ; leurs parois sont épaisses et perforées, — c vaisseau strié formé de cellules allon- gées et réunies par leurs extrémités amincies, — d vaisseau ponctué, coupé en travers , et montrant à gauche et au milieu sa paroi in- tenie , et à droite une portion de sa paroi externe qui se trouve en avant de l'autre ; dans ce même vaisseau , en m , on voit une cloison double formée par la membrane des deux cellules contiguës. 2. Autre portion de la même coupe du bois de vigne montrant, en rf, un gros vaisseau ponctué dont les pores ovales sont disposés à la fois en rangées verticales et suivant des hgnes obliques comme les fibres spirales. — End', un autre gros vaisseau ponctué, rendu prismatique par le contact des vaisseaux plus petits qui l'entouraient. — End", les débris d'un autre gros vaisseau rayé et ponctué. DES PLANCHES- 25 Fig. 3. Autre portion de la même coupe du bois de vigne montrant en b des cellules du prosencliyme avec des pores allongés , obliques suivant le sens des fibres spirales. — Eii d, un vaisseau strié, — En /", une large lacune dans la paroi d'un vaisseau qui présente au-dessus et au-dessous plusieurs fentes diversement inclinées , ce qui prouve bien que les parois ou cloisons peuvem avoir de vraies perforations. — En e , des cellules finement ponctuées et évidemment perforées. û. Deux poils en navette des feuilles de giroflée ( Cheiranthus cheiri) , grossis 190 fois. — En a, un poil vu perpendiculairement au-dessus de son point d'attache m autour duquel les cellules de l'épiderme sont disposées en rayons. — En 6 , un poil vu de côté pour montrer son pédoncule court. 5. Portion d'une coupe transverse de la feuille de giroflée , grossie 125 fois pour montrer la disposition des cellules du mésophyle a, séparées par de nombreux méats aérlfères , et que recouvre extérieurement une couche de cellules e à parois épaisses qui constituent l'épiderme. — En p, on voit l'insertion d'un poil en navette coupé transversale- ment. 6. Portion d'une coupe transverse de la couche ligneuse externe et de l'épiderme siliceux du Rotang (Calamus rotang \, grossie 300 fois. — En a, se voient des cellules du pleurenchyme ou du tissu ligneux, coupées en travers , dont la cavité est presque entièrement remplie par les couches incrustantes qui s'y sont déposées. — En 6 , se voit l'épiderme formé d'une couche de cellules dont la paroi s'épais- sit de plus en plus par l'augmentation de la matière siliceuse, tandis qu'elles se prolongent en manière de col de flacon, ouvert à l'exté- rieur c. 7. Autre portion de l'épiderme du Rotang vue dans une coupe longitu- dinale passant par l'axe , grossie 300 fois. — On voit comment la ma- tière siliceuse s'est surtout accumulée en dehors. 8. Deux cellules du même, grossies 500 fois. 9. Fragments de l'épiderme du Rotang vus dans une coupe longitudi- nale , et montrant les cellules lobées et comme ramifiées vers l'in- térieur , rétrécies en col de flacon vers l'extérieur, où elles restent ouvertes en c, 10. Une des faces internes d'une cellule polyédrique du parenchyme rem- pli de fécule , dans les cotylédons du haricot sec ; — grossie 270 fois. On voit comment la substance mucilagineuse incrustante s'est dé- posée en laissant à nu des points qui paraissent être des pores , quoique fermés encore par la membrane de la cellule. 26 EXPLICATION fL ANCHE 21. Bois de conifères. ■Fig. 1. Portion d'une coupe longitudinale suivant l'axe du bois de Taxodium distichum, vue dans Teau et grossie 300 fois. — Les cellules du prosenchyme ou fibres ligneuses ( ou mieux tubes ligneux ) , qu'en raison de leur longueur on a pu prendre pour des vaisseaux , sont striées obliquement comme si elles étaient formées de fibres nom- breuses roulées en spirale lâche. C'est par hasard qu'elles sont tout à fait dépourvues de disques ou pores en cet endroit. Les cellules des rayons médullaires m , ou du parenchyme murlforme , sont rec- tangulaires , et quatre fois plus longues que larges ; elles sont striées en sens inverse des fibres ligneuses et présentent quelques pores ou disques latéraux disposés alternativement sur deux ou trois rangs. JVota. La lame soumise à l'observation était tellement mince que les fibres ligneuses , au lieu de rester droites , se sont un peu courbées en haut. 2. Autre portion de la même coupe longitudinale du bois de Taxodium , dans laquelle les cellules du prosenchyme ou fibres ligneuses sont à la fois striées et pourvues de disques p, p, p, correspondant à autant de pores de communication à travers les cloisons communes. Les cellules des rayons médullaires ont aussi des disques du même genre , mais un peu plus petits sur deux ou trois rangs alternes , pour communiquer avec les cellules du prosenchyme. Plusieurs des cel- lules du rayon médullaire sont encore remplies de fécule comme dans le bois vivant. 3. Portion d'une lame mince du bois de Taxodium dans le sens des rayons médullaires, montrant deux cellules ou tubes ligneux coupés obliquement de manière qu'un des côtés de la paroi externe se voit sur chacun d'eux en avant de la paroi interne ; on reconnaît bien alors que ces tubes sont formés de fibres obliques très-minces , tour- nant de gauche à droite , et que les ouvertures correspondant aux disques sont primitivement des fentes dans le sens des fibres. 4. Portion de la paroi interne d'un tube ligneux de Taxodium coupé longitudinalement en enlevant une tranche mince dans le sens des rayons médullaires. — a vue de près ou en rapprochant l'objectif, — b vue en éloignant l'objectif pour montrer qu'à la surface in- terne est seulement une fente oblique suivant les fibres spirales, et qu'à la face externe , entre les deux parois contiguës des tubes voi- sins, se trouve la cavité qui produit l'eiTet d'un disque ou d'une glande , si on m sait pas bien aualysçr l'effet optique» DES PLANCHES. 0 Fig. 5. Coupe longitudinale du bois de Taxodlum parallèlement à î'écorce , montrant en m , îk, les rayons médullaires coupés transversalement, et en js, p, les pores de communication ou disques latéraux des tubes ligneux ou cellules tubuleuses du prosenchyme. — Chacun des disques latéraux p se compose d'une lacune de forme lenticu- laire , entre les parois soudées des tubes contigus , et d'un ou de deux orifices centraux faisant communiquer cette lacune intermé- diaire avec l'un des deux tubes , ou plus ordinairement avec les deux. Quand cette lacune est remplie d'air , comme il arrive sou- vent, on croirait y voir un petit noyau; la gravure pourrait même ici donner une telle idée. On doit remarquer avec quelle inégalité les pores de communication sont distribués entre les tubes ligneux. Les cellules des rayons médullaires m contiennent des grains de fé- cule, et communiquent, comme on le voit, par des pores latéraux, avec les tubes ligneux contigus. 6. Coupe horizontale ou transverse du bois de Taxodium , grossie 300 fois. — Montrant en a les tubes ligneux à paroi plus épaisse à me- sure qu'on se rapproche de la surface externe d'une couche an- nuelle , — en 6 les tubes ligneux de la même couche annuelle ayant les parois plus minces en allant vers l'intérieur , — en m un rayon médullaire composé d'une seule série de cellules allongées rectan- gulaires , contenant des grains de fécule. 7. Coupe longitudinale du bois de Cèdre , grossie 200 fois , prise dans le sens des rayons médullaires m qu'on voit formés de cellules rectan- gulaires remplies de grains de fécule. — En p sont des cellules ou tubes hgneux ayant une seule rangée de disques latéraux ; on voit au-dessous de la lettre p la jonction de deux tubes ligneux séparés par une cloison oblique très-mince , et faisant suite l'un à l'autre. Plusieurs tubes ligneux sont sans disques ou perforations; d'autres en p' , vers la droite de la figure , montrent des fentes obliques sur leur paroi externe suivant le sens des fibres spirales qui constituent cette paroi même que l'on voit par dehors, 8. Coupe horizontale de bois de Cèdre ^ grossie 325 fois. — Les tubes Ugneux sont peu épaissis ; les rayons médullaires m sont rendus opaques par les substances contenues dans leurs cellules. PLANCHE 22. 1. Bois silicifié de conifère fossile, grossi 300 fois. — Le morceau de bois fossile, provenant du terrain crétacé des environs de Tours, pré- sente à sa surface des fibres désagrégées ressemblant à des filaments d'amiante comme si le bois avait été en partie décomposé par la pu- tréfaction avant d'être silicifié. Il en résulte que ces fibres montrent à la fois, avec Isi plus complète évidéucê ; 1** comment les tubes 28 EXPLICATION Fig. ligneux des conifères sont des cellules allongées fusiformes terminées ea pointe mousse c, d, f, g^ et se joignant comme on le voit en c })ar leur extrémité amincie ; 2° comment la substance incrustante n'ayant pas été remplacée, ainsi que la membrane do la cellule, par le silex, et ayant laissé sa place vide entre le moule siliceux de la cavité interne et la membrane changée en silex ( fig. 1 , c, d, /") , il faut en conclure que cette substance incrustante se comportait diffé- remment pendant la fossilisation ; 3° comment , avant même que cette substance incrustante , plus décomposable que la membrane même de la cellule , n'eût déjà disparu , le silex qui se moulait dans la cavité des tubes ligneux pouvait se répandre librement par les pores latéraux dans les lacunes intermédiaires , où il a pris la forme d'un petit disque lenticulaire { fig. 1 , a, 6, c, d, e, A 5') » tenant par un pédoncule central de chaque côté aux moules intérieurs des tubes ligneux contigus ou à l'un d'eux seulement. — La figure d montre que la substance incrustante s'amincit en approchant de l'orifice des disques. On conçoit d'ailleurs comment ces disques de silex doivent ressembler à de petits champignons pédicellés. 2. a , 6 deux fragments du même bois silicifié montrant la paroi laté- rale des tubes ligneux avec les disques amincis et perforés au mi- lieu. — Dans la figure b les larges fentes obliques , suivant le sens des fibres spirales, sont bien évidemment perforées; quant aux dis- ques circulaires, il est bien visible aussi que ce sont des amincisse- ments de la membrane de la cellule : le trou central paraît quelque- fois bien nettement aussi. h. Portion d'une lame mince d'une graine de Canna indica coupée perpendiculairement à sa surface, grossie 325 fois. — f périsperme blanc formé de cellules allongées, perpendiculaires à la surface, et remplies de grains de fécule, que l'on voit séparément au-dessous du chiifre 4. — Le périsperme est entouré par une couche cellu- îeuse colorée , en dehors de laquelle se trouve une autre couche l ( le Spermoderme ) formée de cellules ovoïdes déprimées à parois très-épaisses , et que recouvre enfin une couche e ( épiderme ) très- dure , cornée , en apparence homogène, mais résultant de la sécré- tion successive d'un grand nombre de lames par chacune des cel- lules globuleuses qui la séparent de la couche l. Le produit de cha- cune de ces cellules globuleuses est un petit prisme hexagonal soudé avec les petits prismes sécrétés de même par les cellules contiguës ; de sorte que la couche totale e est en même temps un assemblage de petits prismes contigus comme ceux d'une coulée basaltique ou comme les fibres calcaires de l'émail, et un assemblage de couches parallèles superposées. 5, b surface de la graine de Canna indica , — b tranche mince prise DES PLANCHES. 29 Fig. à la surface de la graine de Canna indica , montrant comment la couche externe est formée de petits prismes hexagones contigus. 6 et 7. Lame mince prise dans une coupe transverse d'une tige de Po- lystichum aculeatum ^ grossie 325 fols. — Fig 6. Parenchyme mé- dullaire , comprenant : 1° de grandes cellules globuleuses à parois minces, ponctuées «, et avec quelques granules de matière verte e; 2° des cellules c allongées, prismatiques, à parois plus épaisses, et avec des pores latéraux de communication p^ p. — Entre ces cel- lules , qui font le passage au tissu ligneux , se voient des méats intercellulaires. 7. Segment d'un faisceau fibro-vasculaire dans le prolongement de la même lame que la figure précédente. — Des vaisseaux occupant l'axe du faisceau sont entourés par une épaisse couche de prosen- chyme ou de cellules allongées , ligneuses , à parois très-épaisses et soudées entre elles. Le faisceau se trouve logé au milieu d'un tissu cellulaire lâche , ou parenchyme médullaire. 8. Trois vaisseaux spiraux ou trachées de la même Fougère { Polysti- chum aculeatum) , grossis 300 fois. — Ils sont revêtus de leur membrane primordiale, ou plutôt ils se composent essentiellement de cette membrane mince, diaphane, à l'intérieur de laquelle s'est produit le filament spiral par un épaississement régulier. — Dans l'un de ces vaisseaux, en d , la spirale s'est interrompue, et chacun de ses tours est devenu un anneau régulier ; ainsi le même vaisseau est une trachée dans la partie supérieure, et un vaisseau annelé vers le bas. PLANCHE 23. i. Épiderme des jeunes tiges de Groseillier avec des stomates a, a, grossi 200 fois. 2. Épiderme de la Groseille rouge et cellides de son parenchyme aqueux, grossis 300 fois. — L'épiderme est formé par une couche de cellules déprimées a, a, a, à cloisons épaisses, tapissées par un enduit irréguiier mucilagineux coloré, et qui contiennent ordinairement un nucléus 6, 6, ou amas globuleux d'une substance pulpeuse, demi-transparente. — Les cellules du parenchyme c, c sont ovoïdes ou polyédriques à angles arrondis , et laissent entre elles des méats intercellulaires bien visibles; leur diamètre peut aller à 0,20 ou un cinquième de millimètre. 3. Graine avortée dans la Groseille, et dont l'enveloppe ou tesla s'est développée en une large lame , légèrement concave , de substance ligneuse, sèche et cassante, d'une structure fort remarquable; — grossie 50 fois. — En 6 est le funicule ou cordon ombilical, û. Portion de la lame ligneuse développée sur la graine avortée, grossie 30 EXPLICATION Fig. 300 fois. — Elle est formée de cellules trés-allongées , à parois épais- sies , disposées en rangées parallèles dans diverses directions , de telle sorte que chaque rangée agissant d'une manière différente sur la lumière suivant la direction des rayons incidents , la lame paraît moirée ou marquetée , les cellules communiquent entre elles par de nombreux pores ou canaux traversant leurs cloisons latérales contiguës. 5. Autre portion de la même lame ligneuse montrant des cellules rayées sur les faces planes, grossie 300 fois, — Les rayures ou fentes de ces cellules forment deux ou plusieurs rangées qui se trouvent con- fondues dans la gravure. On voit que les pores latéraux représentent seulement de chaque côté une de ces rangées. 6. Portion de l'éplderme de la face supérieure brune et veloutée d'une ligule de Coreopsis tinctoria , grossie 300 fois. — Chacune des cellules presque quadrangulaires de cet épiderme est remplie d'un liquide coloré ainsi que son prolongement en forme d'une papille conoïde finement striée du sommet à sa base. 1, Épiderme de la face inférieure de la même ligule , grossi 300 fois. — Il est formé de cellules plates , sinueuses et lobées , remplies d'un liquide jaune et tapissées de petits granules de chlorophylle ou chro- mule jaune. Un faisceau ligneux se voit sous cet épiderme avec une trachée t. PLANCHE 25. 1. Grain de pollen de Pourpier [Portulaca oleracea) ayant enfoncé son boyau pollinique c entre les cellules h du stigmate ; — grossi 360 fois. — Sa grosseur réelle est de 0,08. 2 et û. 6 pollen de Liseron (Convolvuîus arvensis) dans le sirop de sucre , grossi ZiOO fois. — Il est ovoïde, avec trois plis longitudinaux dans lesquels la membrane est plus mince et presque hsse , tandis que sur le reste de la surface cette membrane est épaisse et couverte de granulations assez régulières. 3. Cellules fibreuses de l'intérieur de l'anthère du Centranthus ruber. Elles se composent d'une plaque épaisse d'où partent en rayonnant dix à douze fibres isolées , roides et élastiques , qui sont des épais- sissements de la paroi , restés seuls après la destruction de la partie intermédiaire , mince et membraneuse , qui les unissait; — grossies SOO fois. a. a Pollen de Valériane rouge { Centranthus ruber) dans le sirop de sucre ; — grosi ûOO fois. — Sa grosseur réelle est de 0,068 : il est ovoïde avec trois plis longitudinaux, renfermant une membrane hérissée de pointes. &. b Pollen de Liseron {Convolvuîus arvensis), grossi 400 fois. — Sa DES PLANCHES. 31 Fig. grosseur réelle est de 0,075. — b grain de pollen vu obliquement ej laissant sortir la fovilla sans enveloppe et par conséquent sans for- mer de boyau pollinique. ^i. c utricule de la couche interne de l'anthère du Centranthus ruher ., montrant des épaississements suivant des lignes qui partent du sommet ; la membrane intermédiaire très-déliée n'est pas encore détruite ou dissoute. (Voyez fig. 3, les utricules plus sèches.) 5, Pollen de Belle de Nuit ( Mirabilis Jalapa) dans le sirop de sucre , grossi 360 fois ; sa grosseur réelle est de 0,13. — a sa surface toute parsemée de petits granules, présente environ 120 oscules en saillies formés par des disques munis d'un double rebord concentrique et répartis assez uniformément. 6. Pollen de Rose trémière ( AUhœa rosea ) { dans le sirop de sucre ) , grossi ûOO fois ; sa grosseur réelle est de 0,10. — Sa surface , fine- ment pointillée, est hérissée de papilles, aiguës, longues de 0,005 environ , et dont le nombre est de 300 environ ; entre ces papilles se trouvent de petits oscules au nombre de 200 environ, largesde 0,003. 1. Pollen de Cobœa scandens (dans le sirop de sucre), grossi 360 fois, sa grosseur réelle est de 0,109. — Sa surface est divisée en 96 aréoles hexagones , séparées par des rangées de petites colonnes contiguës que surmonte une crête membraneuse. De ces 96 aréoles un tiers seulement , ou 32, présentent des oscules larges de 0.008 et laissant bien voir la double membrane du grain de pollen. Ainsi chacune des aréoles à oscule est entourée par six aréoles sans trou. 8. Pollen de Citrouille [Cucurbita pepo) (dans le sirop de sucre ) , grossi 360 fois; sa grosseur réelle est de 0,125. — Sa surface, finement et irrégulièrement granulée , est hérissée de papilles longues de 0,003. Elle présente six oscules symétriquement placés , larges de 0,02 et pourvus chacun d'une petite porte m , qui se détache circulairement et se trouve déjetée latéralement ou repoussée parallèlement par une expansion mucilagineuse transparente, après laquelle vient plus tard le boyau pollinique. 9. Pollen de Statice Hmonium (dans le sirop de sucre) , grossi 360 fois; sa grosseur réelle est de 0,050 à 0,05/j. — Il présente trois larges dépressions latérales où la membrane plus mince peut se rompre pour livrer passage au boyau pollinique. Sa surface est ornée d'un réseau saillant g, dont les côtes granuleuses circonscrivent des mailles ou aréoles irrégulièrement polygonales, ao. Pollen de Bourrache grossi ZiOO fois. — a , ô , «? vu dans l'huile, — b vu dans le sirop de sucre. — Sa longueur réelle est de 0,04 ; il est d'abord cylindroïde , étranglé ou rétréci au milieu de sa longueur , puis en se gonflant il devient presque ovoïde. Il a huit plis longitu- dinaux qui s'ouvrent pendant le gonflement et présentent un bord 32 EXPLICATIOiV Fig. bien distinct , comme s'ils étaient eux-mêmes les oscules ;^. on les voit retenir un peu d'air vers leurs extrémités dans la figure c. 11. a Pollen de Plantain {Plantago lanceolata) (dans le sirop) , grossi /lOO fois; sa grosseur réelle est de 0,022. — Sa surface, finement pointillée , présente huit oscules ; l'épaisseur de sa membrane ex- terne est bien visible. 11. b Cellules fibreuses de la couche interne de l'anthère de Plantain; chacune de ses cellules présente six fibres transverses provenant des épaississements symétriques de la membrane même qui est restée mince ou s'est détruite dans les intervalles. 12. Pollen de Laitron {Sonchus oleraceus)^ grossi û20 fois ; sa grosseur réelle est de 0,037. — Il est polyédrique et présente , comme celui de V Hypochœris (fig. Î5 ) et de la plupart des chicoracées , quinze facettes polygonales inégales, bordées par une côte épaisse , renflée et garnie de pointes qui forment les arêtes du polyèdre. La facette du centre de la figure 12 est hexagone et munie d'un oscule , les six facettes qui l'entourent sont pentagonales. 13. Cellules fibreuses tapissant l'intérieur de l'anthère du Liseron {Con- volvulus arvensis) , grossies ZiOO l'ois. — Elles n'ont conservé de leur paroi membraneuse que les épaississements en forme d'arc parallèles. 1I\. Pollen de Betterave {Beta vulgaris) , grossi ^lOO fois; sa grosseur réelle est de 0,020. — a vu dans le sirop de sucre où il se gonfle un peu et montre l'épaisseur de la membrane et ses oscules à bord épais qui sont au nombre de 24 ; — 6 vu dans l'huile où il paraît comme un polyèdre à 2Zi côtés, dont chaque face serait creusée en alvéole peu profonde , correspondant à un oscule. Î5. Pollen d' Hypochœris radïcaïa ( dans l'huile ), grossi 400 fois ; soo diamètre est de 0,035 à 0,040. — Sa forme générale est celle d'ua polyèdre à quatorze faces inégales ; les unes en hexagone régulier avec un oscule , les autres en pentagone irrégulier san^ oscule. Toutes ces faces sont bordées par un épais cordon présentant plu- sieurs rangées assez uniformes de pointes ou de papilles aiguës. 16. Pollen de Lathyrus latifolius , grossi 400 fols ; sa grosseur réelle est de 0,052. — Vu de côté, il est oblong ou ovoïde; vu parle sommet , il est à trois lobes arrondis. Les intervalles des lobes sont trois sillons plus ou moins prononcés , ayant au milieu de leur lon- gueur un oscule arrondi formé par un disque proéminent. — Cette figure représente le grain de pollen vu dans du sirop de sucre et par conséquent déjà gonflé. PLANCHE 25. 1. Pollen ûcPeiargonium inquinans (dans du sirop de sucre ), grossi DES PLANCHES. 33 Fig. 360 fois. — Sa grosseur réelle est de 0,075 ; il est presque globuleux avec trois fentes ou dépressions latérales au milieu de chacune des- quelles se trouve un oscule : sa surface est également réticulée. — a grain de pollen vu de côté pour montrer une de ses trois ouvertures latérales , — b grain vu perpendiculairement et montrant à la fois les trois dépressions latérales qui le font paraître trilobé. Les nœuds du réseau de la surface sont plus saillants , et forment des papille» près du sommet. 2 et 3. Pollen de Gomphrena globosa ( dans le sirop de sucre ) , grossi 600 fois. — Sa grosseur réelle est de 0,020 à 0,022 ; sa surface est divisée en 40 ou 50 aréoles polygonales presque régulières séparées pai" des côtes membraneuses saillantes , épaissies et un peu nodu^ leuses à leur base, û. Pollen d'Onoporde ( Onopordum aeanthoïdes ) (dans le sirop de sucre), grossi iOO fois. — Sa longueur réelle est de 0,05 ; sa surface est parsemée de granules assez réguliers , et en outre garnie de bos- selures ou renflements élargis , qui , vus de côté , paraissent être des expansions membraneuses , en raison de leur épaisseur et de l'épais- seur de la membrane externe ; le grain de pollen est ovoïde avec trois fentes ou dépressions longitudinales au milieu de chacune des- quelles est un oscule rond , fermé seulement par la membrane in- terne , qui est repoussée en dehors pour former le boyau poUinique dans la figure 4-a. — a grain de pollen vu perpendiculairement ou par le sommet , et montrant un commencement de boyau pollinique à chacune des trois ouvertures latérales, — 6-cdeux grains de pollen vus de côté , et montrant une de leurs dépressions latérales et l'ouverture ronde qui est au milieu ( voyez fig. 12 ). 5. Pollen de Gilia capitata ( dans le sirop de sucre ) , grossi 3Zi0 fois. — Sa largeur réelle est de 0,OZi ; sa surface est couverte de stries fines parallèles entre elles , mais infléchies en diverses directions ; il a six oscules ronds fermés par la membrane interne seule. 6. Pollen de Passiflora cœrulea ( dans le sirop de sucre ), grossi iOO fois. Sa grosseur réelle est de 0,066 ; il est sphérique , irrégulièrement réticulé à sa surface , et présente latéralement trois grands anneaux ovales symétriques , formés par une membrane fisse et simple , circonscrivant une plaque de la membrane réticulée , et suivant les- quels se produisent les déchirures qui donnent issue au contenu du grain de pollen. — a grain de pollen vu par le sommet et montrant à la fois un arc de chacun des anneaux latéraux , — b grain vu de côté et montrant un des anneaux tout entier. 7. Pollen d'Ipomœa purpurea ( dans le sirop de sucre ) , grossi 300 fois, — Son diamètre réel est de 0,12; il est sphérique ; sa surface est divisée en aréoles polygonales régulières par des rangées de granules 3 34 EXPLICATION l''i v;' *i — • -^^ n et ^arcode. Œuf», Zoospeime JIiLrûi/rap/ii£ /'/ Û f 4^ [ ,•= t ' \^>1 '^\ l I / 1 t J/' IZa, ^■^ f=-^ \ K r-4 I \ ;Dc i 7 k k f^. lA j'^ ^f Jû / 20 V ^i s\ n wr--^ >i I r^,J PojIs de Soims de Cochon dinde. Zoospernies de Souris, de Cochon dinde. Fibre museulaire du Bœuf. 2 a^ ... J $1 Tly-. illilflljlfs^fj. Za,. % 3. $$f^ 3 ce. 5 .' . '^ ' ^ 4 'fH^ 23 M ! V> J r' ■' Je. .9- m îh f:V lO. \ l \ '/ ^ 22. ^, p Ecailles de Papillon, poils de Mamraifères JfÙTûçnip/ut Je 2i. Pl.cr -x\^^^ ^^^\M/ %^y >// O 4- 0 J3. ■A X ^-^ \ :■ ' âè. Ecailles de Poissons, clieveii. Poils de Chauve- souris, deMusaraio-ne, d'Anthrene (lane) Ecailles do di\eis ectes. Mic' •ograi'fiie. n. 10. 3 4^! l i l m m ■Â-4 -H 7- 'l 1 / ^ x / ^a % ^^ s. ir^ if (fi p/yf //y > -y // ^/^ k ® ' i3. d % ;^ /i: ., -^.-.., x>< '^t ^r ^"^ ,/o' ^ ^ti' j^O i ^4. 'C) ■->' •Sy Cri.stallin . Fitre nerveuse . JficroçnipÂit . '/ ' ^ 'V ?IÉ 2 a.. FI. IJ. Jl ■^^^■ Ecailles, Tracliees.et Zoospermes d'msectes Jficroqrtip/tiL'. [ ) \ \ ^^^ ^-z ^/. /Y.^. 'J'y jj, if ^'^ ^a 7i Je. 7-^ ^4 ^/,v:. . . 3/â. //i Tïï \"i) â ^^^â^--\ é \ / r^ 6 ^i Fibre musculaire. Ecaiilosd'niscctes. Zoospermcs, l\i<, l.;ui, ('î'isfallîii, Denis, fie. .l/îavt/rapAie J /> />/ (Jioveux, Laine, Soie, Coton, Lie^x', l*!uiiit>. Jficrû//rapkie FI. j4- Poils, plumes, dis vibratiles, tête depuce. - V/rroj/raii/ià- /'I.JJ. ^ f ;s uce. J/icrûi/ra^/n'fi: fl. Jô\ f^^-w Acaru.s delao-ale rlu clieval Jficrûif'rapÂie- F/.j: JJ c 'C^À \ ■^ \\ / C-^ ^J. Acarus du cheval, Acainis douie.sliqiie &.c. Amidon ou Fécule. / d>^^^i^. ■ i\ pi.itj. p '1 I] >' -i r I . ^ o^^ 3 '^.J 1 7^ y 1- '.. 1 1 f' 1- 1 i. ( i^ t, c 1 iï ^ i "i'r^-^y- 'ir^^0^ 'm^B&^v:. M. ys^s0i Boi.s de la viq^ne. Jfrcrpi/mpÂie. B. 20. K:P^. Pi "il Oï " *i tn w m m<5^ ^ ! I -, l'ïi ~> : . ;n: - 4 ^y^- J^^} )\ Coupes Terticale s de 1» ois (leviq;iie. Epi derme de Rotaiio;. JficroçrapAïe . /'/. 2J. Ç> ^.. O • 0 :^- ::''::pift3^S:tfr-'^' "• ' ' 2. P MiO I te v\ 1 <1. !!l II U-à. /I^ If \^ 6. 7j Bois de Taxcdium et de (edre. lh( r nt/nw/ue- /'/. :i: 2 a ii"> io>-'>iIe oi une d( ( ,iiiiia tioo (Il 1* ou o ère Jfïcroifnip/iie . fl 23. .yjH'M^m 3'. i^lJP::^''%'^ i^- ^<-^'--rr--^^^ 'ï|^^ ^.fr.. 1^: - ■'■ v- ^ • 'icir V:-: 1 %%\ ^' -' 4- ■f^. r-/ I à.. t /'ff%^ à". ■■Viff^ %:# Tissus des fruits et des fleui-i J/icroi/rap/ue. n. 34. ' -1.1 . '1 / ^ -//' îÇî ,u'<2ï5* '\ ' -7 7 ^^ ' . ^ ' ^^: - i .> r-''^' V '^ > - ^^, Pollen de Co!>œa,dp ^vctacpo,<^e Cource, deMalvacee. .Vii-/vi-/n//>/uc . ^^^P" -^ • ^r- /*-'V^r;\/\_ ■^'^'^ 3. ".^^/^ ■^" 4'» 4c .i^, ^V. 7' -y^^M.^,^ >t42£i^i'* ^ -? â'i ^ m ^> - /^ ^ < '^.*-V~,^*"' Jv L' 2J a. 7^^. V J ,-^.i^fy ^, -5 ^vA-H- % ■'-iy %. î ^■^. Pollen de Pelariroiiiuni, d Ipomœa, de Passiilora, de Plumbaq-o, ft'c. Mifrûçraphie. 4. PI. zô'. 1:1 1 I ^'^' ^1' ^ ! _. ^^. 4 'y r ^^^ •, %// JÛ. t.-.,jg>- Orcranes et tissus des véo-étanx. JÂcroz/ni^/ii PL 3: y 'J\, ^ "^ I, ... %A.c l y^ 6\ 11/ i ^/ V, ni ^kJ)i>^^-' C^^^'^^Kic^ \f. !U' >f>N ^ t. -J/ -•-=^^ # 1r^ %^v ./ ( \^; /, y^j •y /, L ^'<$. 1^ À ^4. i V 4i /"' # ) ^A Je 4. 1^ # JF7Lf W^l Tfœe, feuilles et crraines de Spliacriiuns. Y Ma.. H3i;, J2. "1 ZYçrnêmes et OsciU aires. I/icrot/r/ii)Âù ^â^ \ vf ,^ «CÎ> V Cl} 1 i^JS À v\ t I'' ^1 }n /n :^ if .*/ /r ^c v^i ./^^ 7 ■v^ 1^ - 4 f: 7' >r V I t i^-" Hi Se. '■^-^^<;^'^i^ ^,5 Ss'ÊS * /s -Wfc Ba-ssus, Moisi -usures, Yostoc (le JIicroçra/>ÂiJi Diatomées, ^ciM cul o>, GaillorK'llo.s, P>a< illaiips^ Frino]]?,, (Iniiisoin-siiissil,-.- iiiiiii; '■li! 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