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AR LE : “ \ à o Let den PRIOR TONI IONENCE ES RE jan PROTOCOLE Cet Eh gt D RATOOOO PCI: a ù Ie 48 pp sac fe AP #2 data nt 7 AAA TES LE ee ete À t È SODOOCR CRIE dés : { à + à 4 ; ; Ce sh À du 4x NIORT AC G À à + 4 1 jen 2 ROUE É ESS re En | | "3 ARR ATEUTS EE v4 PPT CRIE M ! à U4 à là 18-30 4 VO : HA A4 PRET k jé à " CANCER EAU, # * “ À He : d #4, pdd Von 90 14 CORTE ENCIE CO à à 4 dat 4 Ÿ “+ : ne ua , l { r ke Lu mu 04 ee NA 10 à #v Y r : ET A M MED ELN RS "t2 (ue. v ‘ rss nn PROICICE “ + ar 4 ti W Me 1ii s ‘ rev Lorie peti eng ph TU ICTE ‘ 4 n / # AE Ce 12 pr \ 1 8 ve dat / La prb bobine edge PRXIDOPUC OC 4: à + 44, » 8 vu de “à ce : a rer mr * CECI + . È # È A s A} S L 4: dx 4 pr = Fhaan8 Pr de Là à î COR COURENT Ci sas ke MEET vs 8 NIUE RARE EE CRAN Li £ ss 44 deb a à ‘ RE te net pe Den tes vil hi a à 114 v a+ ei : et are en ess ne ru Lu #4 VX “id à à À CRPTDICIONODNOEEE RCE CROCCIONIEE à  MR te Les CRUE AIO ENT E ROONUE ? ANTONIO CPP Ü # a+ 14 \ : D} / < bg rie À 9 die Na à dard té 8 à Wa aude 5 “ A UE UE 4 i ; nt À : A rrnae A: lei 34 078 à8-41À,0 44 y 164448 mt CUCHEI 4 à 4 4 Dai 444 à, À 3 pa LA Horde ton ARE ve CO re ‘ # or OCR EN ICENUIOREONE £. k Ve ei PRICES 1 + L és 4 Ir ne ee nier eo CEA pe lie LEE nLIL dura AE etaient dé bie hs à CROÉENE CICR OC AD À : CHADCAE 4 # d'anr are ar h * À HOPOLOCECTE EE né A AS D NT a drbda: él 4 Né artnet g en dre Lt de à, FAT - C ex ; pr CO LR TEE nement a du “ 4 + 44 LAN Let: “ lu LCA "à LCI paru Dre var Tee ed a réa € CEUX 4 à ” ‘ L' n tue Le EUX k ta Cr L + MT ER tt ae AIRe rer ee + 4 él Y ae ré hs retrriarseett TOO DDE Pr ré. Fr ‘ CORDES EC (TN a Arr arte sorties es Sete J alu e CAT AT] de Age Li art br . 44 be À 81 à de à à L " “ £ » à. RAA 8 hd | ere D ÿ ET - A ma 3 A A CCR IE L F Lors , PTE RE 22 RCE) gr dus Ar eut 4 ré da à + à A dde à NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE TROISIÈME SÉRIE LS *. 27 jus ral ji " . à | Te - Leg Ze de Ed + re ï u e AE _'AAl ET, D 1ja rdin Imp Wittmann Paris NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE PUBLIÉES PAR MM. LES PROFESSEURS-ADMINISTRATEURS DE CET ÉTABLISSEMENT TROISIÈME SÉRIE TOME QUATRIÈME PARIS G. MASSON, ÉDITEUR LIBRAIRE DE L'ACADÉMIE DE MÉDECINE 420, Boulevard Saint-Germain, en face de l'Ecole de Médecine 1892 PT NOMS DE MM. LES PROFESSEURS-ADMINISTRATEURS DU MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE DE QUATREFAGES. ..... CNIL ES RE En TAAVAIDEANT ere ALPH. MILNE-EDWARDS. DES CLOIZEAUX. ...... ss sous. ss. ses veres ou. PAR ORDRE D’ANCIENNETE PTOfeSSeUTIRONOAITE EEE EEE EE ECC LT Ce — Id. PE ons cuis e ne ce et ee — Professeur éAntbropologie er ere eee Cr — Id. de Physique végétale..................:.. — Id. de Zoologie (Insectes et Crustacés)........ — Id. CO PAÉONOIOEIE 066830566806 0066 50000000. — Id. de Botanique (Classifications et familles na- GurES)so0ccosc0ooc0c000006800000000 — Id. de Zoologie (Reptiles et Poissons)......... — Id. de Zoologie (Mammifères et Oiseaux)...... — Id. deMinéralosiereer cree eee CCE — Id. de Zoologie (Mollusques et Zoophytes)...... — Id. d’Anatomie et de Physiologie végétales. .... — Id. d’Anatomie comparée..................... —- Id. de Physiologie générale................... — Id. de Physiologie végétale appliquée à l’Agricul- HE soovo0vvcoocov0ovavooo0bdboe 060 00 — Id. Ce Cu sccoccoccosececosc ses oseseaco se — Id. de Pathologie comparée................... — 1d. de Chimie appliquée aux corps organiques.. — Id. de Physique appliquée à l’histoire naturelle. — Id. de Géologie "77-200. HÉSo nos Dodee — 1850 1861 1855 1857 1862 1872 1874 1875 1876 1876 1876 1879 1879 1879 1880 1884 1886 1890 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM TROISIÈME SÉRIE RECHERCHES SUR LE CACHALOT PAR G. POUCHET ET H. BEAUREGARD (Suite) (1). ANATOMIE. VI. — RÉGION FRONTALE. Une des régions les plus intéressantes du Cachalot au point de vue ana- tomique est, sans contredit, la région frontale avec son énorme développe- (1) Voir T. I de cette série des Archives du Muséum, p. 1, pl. I à VIII. — Depuis la publication de la première partie de ces Recherches, nous avons pu étudier un Cachalot mâle à peu près adulte, échoué à l'ile de Ré le 28 janvier 1890. Il était dans un état avancé de putréfaction, nous avons pu toutefois faire sur cette épave diverses observations qui seront relatées plus loin. Celles qui ont rapport au squelelte et aux dents, sujets qui avaient fait l’objet de la première partie de ces Recherches, sont consignées dans un mémoire spécial : Poucner et BEAUREGARD, Sur un Cachalot échoué à l'ile de Ré, Journal de l’Anat. et de la Physiolog., mars-avril 1891. Nous avons eu l'occasion également de publier les premières photographies vraiment scientifiques qui aient été faites du Cachalot : Poucner et Cnaves, Les formes extérieures du Cachalot; Journ. de l’Anat., mai-juin 1890. Nous renvoyons à ces deux publications qui forment un complément naturel à la première partie de ces Recherches. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3e série. — IV. À 2 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. ment. Elle présente à considérer essentiellement les narines aboutissant à l’évent, les muscles de la face et l'organe du blanc. Nous avons décrit l’aspect extérieur de cette région. Au moment même où la première partie de ces Recherches était sous presse, nous recevions, grâce aux soins toujours obligeants de M. S. W. Dabney, la tête d’un jeune mâle (voy. 1" part., p. 91) qui a été moulée et dont nous donnons mainte- nant la figure (PI. I, fig. 1 et 2). Elle confirme de tous points notre pre- mière description, sauf que le sillon latéral placé au-dessous de la lèvre gauche de l’évent (voy. 1" part., p. 13) et les deux sillons sous-maxillaires (voy. 1 part., p. 9) ne sont pas visibles (1). (1) Il convient de remarquer toutefois qu’au niveau à peu près du sillon avoisinant l’évent un trou avait été percé dans le museau pour y passer une amarre et faciliter la manipulation de la pièce. ILest probable aussi que chez l'individu jeune le sillon en question est moins accusé que chez l'adulte. On pourra consulter les photographies accompagnant le mémoire déjà signalé : G. Poucner et Caves, Les formes extérieures du Cachalot (Journ. de l’Anatomie, mai-juin 4890). — Les dimensions de cette tête sont les suivantes : Longueur (de l'extrémité du museau aux condyles de l’occipital). 1,47 Hauteur de la section totale de la tête au niveau des condyles... 0 ,90 —_ AU MUSEAU à SONIEXIRÉMIIÉ eee eee ee 0 ,50 Largeur de la section de la tête au niveau des condyles........ 0 ,72 Cette différence avec la hauteur est probablement le résultat d’une déformation cadavérique; nous avions noté sur l'individu observé par nous à Lagens la figure sensiblement circulaire de la section au niveau des condyles (voy. 1'e part., p. 11). Distance d'un œil à l’autre, en dessus..... re ie ae ie ae GA 12,40 — — EN TESSOUS ere mer nacre 4 ,60 Largeur de l’évent......... ee Do en lese co Se BDD RUES 0 ,16 Distance de l'extrémité de la lèvre supérieure à l’évent......... 0 ,68 — de l’évent à la ligne médiane supérieure de la tête .... O0 ,15 — de l'extrémité postérieure de l’évent à l'œil gauche.... 0 ,92 — de l’évent à l'œil droit par-dessus la ligne médiane .... 4 ,10 LParseurdenl'oriicespalpébral etre Perte ren ceee cet n e 0 ,037 Distance de l’œil à la commissure des lèvres ............,...... 0 ,33 — — A L'ORETe RAR no ee dei 0 ,09 — — à l'extrémité du museau..................... 4 45 Longueur delamäâchoireinférieure, dela commissure à l’extrémité 0 ,57 Les photographies que nous donnons (PI. I) reproduisent bien l'aspect extérieur de la tête du Cachalot adulte, avec cette différence que chez celui-ci la mâchoire inférieure est beaucoup plus allongée, moius conique. — Nous avons déjà décrit l'aspect de la gencive inférieure où les dents n’ont pas encore fait éruption (1'° part., p. 91). Le palais présente une sorte de crête ou de raphé saillant surtout dans la moitié antérieure, sur une longueur de 15 centimètres. La tète présente en haut et en avant une bosse au-dessous de laquelle est un méplat peu accusé, puis enfin du bas de ce méplat à la lèvre supérieure, l'étrave (voy. 1'° part., p. 11) qui paraît peut-être moins prononcée que chez l'adulte mais encore très sensible sur nos photographies (PI. I, fig. 4. c). Les deux lèvres de l'évent sont plus saillantes en arrière qu’en avant. La lèvre gauche dans RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 3 On peut dire que la région frontale du Cachalot et tout spécialement ses narines nous offrent la partie la plus typique de son organisation. L’accumulation de graisse dans la région frontale, conjointement à un développement particulier des os de la face, se retrouve chez d’autres Céto- dontes bien que n'ayant plus le même caractère que chez le Cachalot. De même, la disposition tout à fait anormale des narines parait essentiellement propre à ce dernier animal (et au Kogia sans doute). Elle vient exagérer chez lui à un point extraordinaire l’asymétrie de la face en rejetant l’évent (1) tout à fait sur le côté pendant qu’une des fosses nasales osseuses s’atrophie considérablement. A ne voir que le squelette, on pourrait supposer que la narine droite avorte. Il n’en est rien et elle est en fait plus développée que la gauche; mais ses fonctions nous restent complètement inconnues, car on na découvert jusqu'ici rien d’analogue chez les autres Cétacés et nous nous trouvons en face d’une énigme actuellement Insoluble. Sur le jeune Œ', le larynx paraït occuper seulement l’arrière-cavité des fosses nasales et ne pénètre pas dans la fosse nasale gauche, tandis que la fosse nasale droite, extrêmement rétrécie, ne laisse qu’un étroit passage par lequel la narine droite ne communique que virtuellement avec l’arrière- cavité des fosses nasales, mais elle est par contre en rapport beaucoup plus direct que la gauche avec la poche de l’évent unique que présente le Cachalot. Nous décrirons successivement le cartilage nasal, les narines et l’évent avec ses dépendances comme ces parties se sont montrées à nous sur le sa moitié postérieure se confond avec une sorte d’éminence arrondie, peu prononcée. Quant à la lèvre droite elle se continue directement par la saillie supérieure de la tête. Au voisinage de l'œil droit, à 3 centimètres environ au-dessous de la commissure antérieure des paupières, se voit une tache blanche, large comme la main. A 4 centimètres au-dessus de l’œil droit existent également une autre petite tache ovale de 1 centimètre de diamètre ainsi que des lignes blanches horizontales avoisinant les deux paupières. La conjonctive n’est pas pigmentée. Le méat auditif a le diamètre d’un tuyau de plume. (1) La disposition longitudinale de l’évent, bien accusée chez le Cachalot, est rare chez les Céto- dontes. On la retrouve toutefois chez le Plataniste. Joan Axpersow, 1878, p. 449, dit de l’évent de ce dernier animal : « In general appearance it differs materially from the blow-hole in other Ce- « tacea, inasmuch as the anteroposterior direction of the anterior orifice and the presence of the « great lateral crests of the maxillary bones suggest a restriction of the aperlure and passage. » La disposition longitudinale de l’évent chez le Cachalot montre qu'on ne peut pas considérer celle-ci comme forcément reliée à la présence de crêtes osseuses des maxillaires. Voyez à ce propos : G. Poucxer, De l’Asymétrie de la face chez les Cétodontes, 1885. -— Quant à la différence que nous avons signalée entre les deux extrémités de l’évent elle se retrouve même chez les Céto- dontes à évent transversal, ainsi que nous avons pu nous en assurer sur un Globiceps. 4 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. fætus de 1 m. 30 où leur disposition a pu être aisément suivie par une dis- section attentive. Nous décrirons ensuite les organes de la même région chez deux jeunes mâles, puis nous indiquerons les observations que nous avons pu faire sur l'adulte, soit à Lagens, soit à l’île de Ré, soit enfin d’après un certain nombre de pièces séparées provenant d’un individu adulte. FŒTUS DE 1",30. — Cartilage de la cloison. — Les deux narines, très asymétriques dans toute leur étendue, sont séparées d'une extrémité à l’autre par une lame cartilagineuse, plus large en arrière, plus étroite en avant et offrant elle-même une configuration en rapport avec l’asymétrie profonde des parties qu’elle sépare, c’est le cartilage de la cloison. Cette lame naît en arrière verticalement du cartilage vomérien dont elle n’est qu’une expansion. Elle a d’abord la forme d’une conque à concavité gauche, enveloppant l'extrémité postérieure de la narine gauche. Elle se recourbe ensuite en forme de faucille pour se diriger en avant. En même temps son bord postérieur devenu supérieur s’épaissit un peu. Dans son trajet en avant elle devient, par suite de l’asymétrie des parties, à peu près horizontale, la narine gauche se plaçant au-dessus d’elle, la narine droite au-dessous et un peu à droite. Cette lame ne mesure nulle part plus de 2 millimètres d'épaisseur. Large d’abord de 10 milli- mètres, elle atteint plus loin 20 millimètres (à 5 centimètres environ en arrière de l’évent) puis diminue progressivement et devient irrégulière, un peu noueuse, ou chiffonnée, vers son extrémité antérieure. (L'étude de l'embryon de 30 centimètres montre à ce niveau plusieurs nodules carti- lagineux.) Narine gauche. — La narine gauche ne présente rien de particulier que sa très grande longueur pour atteindre l’évent à l'extrémité de la tête. Elle a un peu moins que le diamètre du petit doigt, soit 10 millimètres dans sa région moyenne et 14 millimètres dans sa partie postérieure où elle est un peu renflée. La narine gauche, dans toute son étendue, à partir du point où elle sort de la fosse nasale osseuse, présente intérieurement un bour- relet saillant inséré d'abord sur la face antérieure, puis quand la narine a changé de direction, sur sa face inféro-externe, et enfin sur sa face externe au voisinage de l’évent. La narine gauche est tapissée d’un épithé- RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 6) hum noir, solide et résistant, depuis le coude qu'elle fait pour se diriger en avant, jusqu’à son extrémité. Narine droite. — La narine droite, quoique ne servant pas à la respira- tion normale et bien que s’ouvrant dans l’arrière-gorge par un orifice beaucoup plus étroit que la gauche, présente cependant un développement bien plus grand que la narine gauche. Elle envoie d’abord en haut un diverticule que nous pouvons désigner, en raison de son mode de dévelop- pement tel qu’il sera indiqué plus tard chez le fœtus de 30 centimètres de long, sous le nom de sinus. La narine elle-même se dilate ensuite en une large poche pour gagner le sac de l’évent, lequel paraït une dépendance de cette narine, bien plutôt que de la gauche. Le sinus, de configuration piriforme, large en haut, étroit en bas, s’ap- puie et semble se mouler sur le mur vertical de l’excavation crânienne, surtout à droite. C’est d’ailleurs la disposition générale des sinus chez les Cétacés (1). La paroi antérieure est appliquée contre la postérieure. Son plus grand diamètre, dirigé à peu près de bas en haut et de dehors en dedans, mesure 75 millimètres environ; son plus petit diamètre, 50 milli- mètres environ. Le sinus est tapissé dans toute son étendue d’un épithélium épais. Celui-ci est foncé sur la face postérieure, incolore sur la face anté- rieure (2). Cette face postérieure, que nous trouverons chez l’adulte modifiée en un véritable organe (3), doit fixer particulièrement notre attention. Déjà sur notre embryon, la paroi postérieure du sinus est plus mince que l’antérieure. Le passage d’une structure à l’autre se fait brusquement au pied d’un bourrelet représentant l'excès d'épaisseur de la face antérieure. La paroi antérieure épaisse de 2 à 3 millimètres est intimement unie au tissu fibreux ambiant. La paroi postérieure plus mince se laisse aussi plus aisément disséquer, détacher du périoste sous-jacent de l’excavation fron- tale. Dépouillée de son épithélium, elle laisse voir une sorte de surface aréolaire formée d’enfoncements ou cryptes beaucoup trop larges pour (1) En rapport sans doute avec leur mode de vie et la pression considérable qu'ils subissent quand ils plongent. (2) Cet épithélium s’est en partie dissocié et a fourni un liquide noir qu’on trouve dans la poche. (3) Nous proposons de désigner cet organe sous le nom d’organe d’ALberson qui l’a le premier décrit (voy. l'Historique). 6 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. qu’on puisse les confondre avec les orifices de conduits glandulaires. On les trouve jusqu'au niveau de l’orifice de communication du sinus avec la narine. Ils sont là isolés, mais un peu plus larges que les autres. En bas, le sinus communique par un orifice de la largeur du doigt avec la narine sur laquelle il semble comme greffé, formant avec elle un angle à peu près droit. La narine est cylindrique quand elle est distendue; mais ses bords sont normalement rapprochés de façon à offrir une paroi supérieure et une paroi inférieure. Elle est parallèle au plancher formé par l’étalement des maxillaires, et un peu à droite du plan médian. Sa longueur est de 190 millimètres. Elle est un peu courbée d’un bord à l’autre de façon que la convexité regarde en haut. Elle est un peu plus large en arrière (30 millimètres) qu’en avant (25 millimètres). Elle est tapissée du même épithélium noir que la plus grande partie du sinus vertical. Quand on en- lève cet épithélium, on voit la paroi de la narine, en avant et surtout en dehors, ponctuée de petits points noirs qui sont les orifices d’autant de glandes. Ce piqueté est plus dense en bas et devient de plus en plus rare vers le sommet de la cavité. Les parois de la narine sont plus épaisses aux deux extrémités qu’au milieu. L’extrémité postérieure est striée de plis longitudinaux et se prolonge par un conduit, né du point de jonction de la narine et du sinus, conduit qui s’enfonce dans la fosse nasale osseuse plus étroite de ce côté et va s’ouvrir avec l’autre narine dans l’arrière-gorge au-dessus du voile du palais. Ce canal sur notre fœtus est environ du calibre d’une plume d'oie. Il présente des plis irréguliers et à sa partie inférieure une sorte de bourrelet longitudinal sur sa face interne. Sac de l’évent (PI. VI, fig. 1). — La narine droite, transformée comme on vient de le voir, est en communication directe avec le sac unique en rapport avec l’évent qu’on trouve chez le Cachalot. Ce sac s'ouvre vers l'extrémité antérieure de l’évent par un orifice où l’on peut, chez l’adulte, passer la main. Il occupe tout le devant de la tête, sous la peau. Large- ment incisé chez notre fœtus il laisse voir sur sa paroi postérieure une longue fente transversale limitée par deux lèvres, qu’on ne peut mieux RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 1 comparer qu'à celles d'un jeune singe anthropomorphe avec leur saillie à peine marquée et leur sillon uniforme sur lequel tombent quelques plis perpendiculaires. La fente longue de 6 centimètres de cette espèce de « museau de singe », ainsi que nous l’avons appelé (1), est l’orifice même par lequel la narine droite s'ouvre dans le sac de l’évent. En effet, les parois de la poche horizontale que forme cette narine se sont rapprochées et épaissies, elles donnent ainsi un étroit conduit dont la paroi supérieure s’applique exactement sur l’inférieure tandis que lui-même s’élargit en s’éta- lant à droite et à gauche pour se terminer finalement entre les deux lèvres du museau de singe. Le sac de l’évent figure une poche à parois rapprochées, étalée au- dessous de la peau de toute l’extrémité antérieure de la tête. L’épaisseur des tissus formant la paroi antérieure du sac ne dépasse pas 2 à 3 milli- mètres. Le sac s'étend seulement à droite de l’évent sur une étendue de 65 millimètres, en haut jusqu'au niveau du milieu de l’évent, en bas jus- qu'au-dessous du museau de singe. Tout à fait en haut et à droite il semble, sur notre fœtus, que la déla- mination épithéliale d’où dérive ce sac ne soit pas encore complète. Les deux parois antérieure et postérieure demeurent soudées. La cavité, dans le reste de son étendue, est tapissée d’un épithélium gris noirâtre devenant plus foncé vers le bord des lèvres du museau de singe. L'interprétation de la disposition tout à fait anormale de la narine droite chez le Cachalot soulève, dans l’état actuel de nos connaissances, d’insur- montables difficultés. A la rigueur, le sinus vertical peut être comparé aux sinus aériens dépendant de la trompe d'Eustache que nous connaissons chez d’autres Cétodontes, qui ne pénètrent jamais dans les os et s’étalent à leur surface contrairement à la règle commune chez les Mammifères géo- thériens. Nous avons vu que ce sinus offre en outre un organe spécial, l’organe d’Alderson, dont l’homologie est également tout à fait incer- taine (2). Le développement exagéré de la narine droite avec son sinus a pour (1) Poucagr, Dissection d’un fœtus de Cachalot. Acad. d. se., 18 mai 1885. (2) Doit-on admettre que cette narine droite et son sinus puissent devenir un réservoir à parois élastiques où l’air se trouverait comprimé quand l'animal descend à de grandes profondeurs? C’est là une hypothèse fort peu vraisemblable et on ne voit pas bien en effet par quelle voie l’air 8 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. phénomène corrélatif l'existence d’un énorme faisceau de nerfs et de vais- seaux sortant par un canal que présente l'os incisif droit et qu’on ne retrouve pas à gauche (1). Quant aux muscles de la région frontale en relation avec les fosses nasales, nous les décrirons d’après nos jeunes mâles. Organe du blanc. — L’organe du blanc se trouve au-dessus de la narine droite telle que nous venons de la décrire, entre elle et la peau, à peu près sur la ligne médiane, longé du côté gauche par la narine gauche. C'est une masse surtout adipeuse s'étendant du sinus vertical à la lèvre supérieure du museau de singe. Sa substance est blan- che. C’est du tissu adipeux riche en fibres lamineuses très fines, ondulées. Sa consistance est molle, crémeuse. La section de l’organe du blanc au niveau de l’évent est ovaide, mesurant dans le sens transversal 30 milli- mètres et 15 à 16 seulement dans le sens vertical. Il est enveloppé par une couche nettement limitée, plus épaisse sur la ligne médiane où elle mesure au niveau du bord antérieur de l’évent 8 millimètres. En réalité cette couche enveloppante qui s’amincit sur les côtés de l’organe du blanc fait corps avec lui et passant en dessous le sépare de la narine droite. Hisrococie. — L'étude histologique des parties que nous venons de décrire nous arrétera peu. Le cartilage de la cloison, observé vers sa base, a tous les caractères du cartilage fætal, hyalin, avec des cellules rapprochées. La paroi de la narine gauche à 11 centimètres de l’évent est formée d’une couche épaisse de tissu lamineux parcourue par des vaisseaux qui s’avan- cent jusqu’au voisinage de l’épithélium. Cette couche lamineuse est d’é- paisseur uniforme, dépourvue de papilles. Elle donne insertion dans une partie de son étendue à un muscle. On ne voit, à ce niveau, aucune trace de glandes. des poumons pénétrerait dans cetle narine dont l’étendue considérable, le mode d’abouchement dans le sac de l'évent ne correspondent à rien de ce que nous connaissons et ne laissent point deviner leur fonctionnement. Ajoutons que d’une manière générale la fonction des sacs en rapport avec l’évent chez les Cétodontes reste fort obscure, en raison de l'extrême rigidité des parois cuta- nées de l'animal, qui ne semblent se prêter à aucune extension. On a beaucoup trop à la légère décrit des muscles dilatateurs et constricteurs de ces sacs. IL est probable que chez la plupart les parois restent appliquées l’une contre l’autre et la cavité virtuelle. (1) Voy. 1'° part., p. 44. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 9 En ce qui concerne la narine droite, les parois de la région moyenne étudiées sur les coupes sont essentiellement fibreuses, formées de trois plans de fibres, la couche interne et la couche externe à fibres transver- sales, la couche moyenne à fibres longitudinales. Cette disposition est des plus nettes; les faisceaux de la couche moyenne sont plus volumineux que ceux des deux autres couches. Le pointillé que l’on aperçoit à l’œil nu sur la paroi de la narine, quand on a enlevé l’épithélium noir, correspond à des orifices glandulaires dans lesquels pénètre cet épithélium pigmenté. Ces glandes appartiennent au type sébacé. Elles sont entièrement logées dans les couches superficielles de la trame fibreuse et ne pénètrent pas plus loin que le quart environ de son épaisseur, sans trace de tissu lamineux plus lâche autour d'elles. Quelquefois l’épithélium est noir jusque dans le fond des culs-de-sac. Ceux-ci s'étendent horizontalement. Ils sont remplis, sur notre sujet, de matière incolore fragmentée, qui ne paraît être autre que des cellules ayant les mêmes dimensions que celles du canal excréteur. On peut voir celui-ci, largement ouvert, inégal, irrégulier, tapissé d’épithélium noir, se continuant à angle droit avec un des culs-de-sac rempli d’épithélium incolore. La transition des deux épithéliums se fait en général graduelle- ment vers l’origine des culs-de-sac. Si on pratique une coupe parallèle à la surface on voit que ces glandes ont une forme à peu près circulaire ou ovoïde. Elles comptent en général 4 à 6 culs-de-sac séparés les uns des autres, courts, étalés horizontalement. On trouve des glandes analogues dans le sinus, près de l’orifice par lequel il communique avec la narine; mais le tissu fibreux ambiant y est beaucoup moins dense. Nous avons dit que la délamination des deux parois antérieure et posté- rieure du sac de l’évent n’était pas encore complète. Les coupes montrent en effet les deux parois accolées l’une à l’autre sur une étendue de près de 1 centimètre. L’épithélium des deux faces est intimement soudé à lui-même; on peut toutefois y voir des solutions de continuité. Ailleurs le milieu de la lame commune présente de larges cellules dont plusieurs paraissent vésiculeuses. Cet épithélium est foncé et même, par places, complètement noir jusque dans sa profondeur, du côté qui regarde la peau NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3€ série. — IV. 2 10 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. du front. De ce côté aussi le dermesous-jacent est fibreux, hérissé de erêtes saillantes ou sortes de papilles lamelleuses entre lesquelles s’enfonce l’épi- derme. On ne les retrouve pas, tout au moins aussi développées, sur la face postérieure. Le tissu lamineux des deux parois ne présente pas non plus tout à fait la même apparence : en avant, sa trame parait plus serrée, en arrière elle paraît formée de faisceaux se coupant dans deux sens per- pendiculaires. PREMIER JEUNE MALE. — Après avoir décrit les narines sur notre fœtus de 1”,30 pour en faire mieux comprendre la disposition, nous reprendrons d’une manière plus générale l’étude de la région faciale d’après la tête du jeune mâle dont nous avons donné les dimensions; nous décrirons en même temps les museles de la face et l'organe du blanc. La couche de lard au niveau de la section (voisinage de l'articulation occipito-atloïdienne) mesure sur le côté de la tête, 10 centimètres envi- ron. Elle n’a que 4 centimètres sur le sommet et cesse même au niveau de l’évent où elle faït place à un derme non adipeux. Elle diminue éga- lement sur les côtés, et dans la région de la joue ne mesure plus guère que 2 centimètres d'épaisseur. Mais au-dessous du lard existe à ce niveau une puissante couche fibreuse blanche, résistante au couteau, de 6 cen- timètres d'épaisseur. Elle commence au niveau du bord du maxillaire et se continue pour former la saillie tranchante de la lèvre supérieure. Museces DE LA FACE. — Les muscles de la face chez les Cétodontes peuvent se présenter sous deux aspects différents. Ou bien leur structure rappelle entièrement celle des autres muscles, ou bien ces muscles très puissants sont formés de faisceaux isolés les uns des autres d’une distance à peu près égale à leur diamètre. On peut désigner d’une manière générale ces muscles sous le nom de muscles dissociés. Le diamètre des faisceaux qui les composent varie avec les dimensions de l’animal. Ils sont gros comme de fortes aiguilles chez le Dauphin et gros comme le petit doigt chez le Cachalot. Leur substance paraît aussi quelque peu différente de celle des autres muscles. Ils sont moins rouges et après l’action de l'acide azotique, prennent une teinte grise particulière. Peaucier.— La face, sur le côté, est recouverte par le peaucier. Il se présente au niveau et au-dessus de l’orbite comme une masse charnue qu'il RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 1 faut détacher et replier en arrière pour voir le mwscle nasal. Les fibres qui le forment, venues de l’arrière, se dirigent en avant pour s’insérer à la face interne du lard au niveau du bord du maxillaire sur toute sa lon- gueur. Muscle nasal. — La disposition de l’évent reporté chez le Cachalot vers l'extrémité du museau entraine une modification corrélative de l'appareil musculaire considérable qu’on trouve chez tous les Cétodontes appliqué contre le crâne en arrière de l’évent et que Rapp paraît avoir désigné le premier sous le nom de #uscle nasal. Le muscle nasal du Cachalot est un complexe musculaire qu’on peut décrire comme organe unique en raison de l'intrication de ses fibres. Attachées en dehors à la crête osseuse continue formée par les bords du maxillaire, du frontal et des pariétaux, elles convergent toutes aux envi- rons de l’évent. Celui-ci reporté considérablement en avant de la tête donne au musele nasal une physionomie particulière. Et d’abord il semble, peut- être en raison de l’absence de sacs, que la division en faisceaux distincts affectant des orientations différentes ait ici disparu. Le muscle tout entier présente une direction à peu près horizontale. Notre description est faite d’après la seconde tête de jeune mâle parvenue en dernier lieu au Muséum (voy. plus loin, p. 17). Vers son insertion crânienne le muscle nasal est recouvert de chaque eôté par le peaucier ainsi que nous l'avons dit. À Gaucue le peaucier se termine par des faisceaux charnus qui viennent au-dessus et en avant de l’œil s’insérer à la face profonde du derme. Le muscle nasal gauche s’insère lui-même sur tout le bord de la crête frontale à partir de 18 centimètres environ de la ligne médiane et sur le bord du maxillaire où on le suit Jusqu'à 24 centimètres environ de son extrémité. Les fibres partant des différents points de cette longue ligne d'insertion convergent vers l’extrémité postérieure de l’évent, et se terminent à la peau par l'intermédiaire d’épaisses masses tendineuses. Le bord supérieur du muscle a une grande épaisseur, surtout en arrière où elle mesure jusqu’à 7 centimètres. Si on divise le muscle pour en rabattre les extrémités on voit qu'il repose immédiatement sur la narine gauche (voir PI. I, fig. 4, m). Il en est toutefois séparé par une aponévrose 12 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. où s'insère une partie de ses fibres profondes. Cette aponévrose, épaisse, parcourue par un réseau artériel très riche injecté sur notre pièce, se continue avec l’enveloppe de l’organe du blanc. À prorre le peaucier est réduit en avant à une lame aponévrotique renforcée de cordons fibreux parallèles. Le muscle nasal droit est plus considérable que le gauche et occupe toute la face latérale de la tête. Il s’insère en arrière sur le bord du maxillaire et sur la crête frontale comme à gauche, mais de plus sa partie supérieure prend aussi insertion sur une sorte de raphé fibreux médian semblant dépendre du « cheval blane » (voy. plus loin) et qui se perd à gauche sur le muscle gauche. Le musele nasal droit inséré à cette longue ligne en demi-cercle forme un plan épais, charnu, se dirigeant et convergeant vers l’extrémité supérieure du museau. Sur le côté il a jusqu'a 12 centimètres d'épaisseur. Par sa face profonde il reçoit un grand nombre de branches artérielles. Les fibres musculaires du nasal droit insérées sur le raphé fibreux mé- dian s’écartent bientôt du muscle gauche, laissant sur le milieu de la tête un espace comblé par une couche épaisse d’un tissu fibreux très dense qui est vraisemblablement la partie désignée par les pêcheurs sous le nom de « White Horse ». Au-dessous de cette couche fibreuse se trouve en tous cas l’organe du blanc. Buccinateur. — La dissection des muscles de la région faciale n’a pu être complètement faite en raison des difficultés inhérentes à la con- servation de la pièce. Nous devons toutefois signaler un muscle dissocié qui existe profondément à droite et dont les fibres sont mêlées au tissu adipeux étendu entre le muscle nasal en dehors, l'organe du blanc et la narine droite en dedans. Les faisceaux musculaires dissociés dans le tissu adipeux mesurent 2 à 3 millimètres d'épaisseur et sont très pâles. Ce muscle est très développé à droite mais on trouve également des fibres qui le représentent à gauche. C’est probablement une dépendance du buccinateur. ORGANE Du BLANC. — À la description des muscles de la tête nous devons joindre l'étude de l’organe méconnu jusqu’à ce jour et qui fournit le sper- maceti ou blanc de Baleine, dont nous avons les premiers fait connaitre la nature (voy. l’Historique). RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 13 Il existe chez les Cétacés comme chez la plupart des Mammifères plusieurs sortes de tissus adipeux très différents par leur constitution élémentaire et par suite par les propriétés qu'ils offrent. Chez l'Homme même le coussinet adipeux du fond de l’œil n’a pas la même constitution ni les mêmes caractères physiques que le tissu adipeux sous-cutané. On pourrait multiplier ces exemples chez les mammifères quadrupèdes. C'est ainsi que le tissu adipeux de la queue d’un Mouton à grosse queue a une composition absolument différente du tissu adipeux sous-cutané ou périviscéral. De même il existe chez le Cachalot plusieurs sortes de tissu adipeux : 1° Celui qu'on peut désigner d’une manière générale, en parlant des Cétacés, sous le nom de /ard et qui se trouve répandu en couche plus ou moins épaisse sous toute la peau; c’est lui qui constitue également la nageoire dorsale et la nageoire caudale ; il est remarquable par ses travées plus ou moins abondantes de fibres lamineuses rectilignes, ce qui lui donne une rigidité parfois considérable (1). 2° En beaucoup de parties du corps, au-dessous de la couche de lard, autour des intestins et en particulier du rectum (PI. VIII, fig. 4, L), existe une graisse friable se rapprochant des conditions ordinaires où se présente le tissu adipeux chez beaucoup de Mammifères. Elle est huileuse et ne se solidifie pas par le refroidissement. 3° Enfin une troisième espèce de tissu adipeux s'éloigne à la fois des deux précédentes; c’est celui qui forme l’organe du blanc et d’où est tiré le sperma ceti. Sur notre jeune mâle ce tissu adipeux forme un «organe premier » volumineux, allongé, cylindrique, occupant à peu près le faite de la région faciale (PI. [, fig. 3, sp). Cette masse adipeuse que nous avons pu, chez notre jeune mâle, isoler et enlever était parcourue dans son milieu par une arlère grosse comme une plume d’oie environ. C’est cette masse adipeuse que nous désignons sous le nom d’organe du blane. Nous le décrirons d’abord tel qu’il s’est offert à nous. D’une manière gé- nérale il est recouvert par les muscles nasaux. Quand on a sectionné le muscle nasal droit et relevé ses deux extrémités, on voit qu’il s’appuie (1) C’est le lard qui forme la bosse céphalique du Globiceps qui n’a par suite aucune homologie avec l'organe du blanc tel que nous allons le décrire chez le Cachalot, k 44 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. sur une masse cylindrique mesurant chez notre sujet 30 cent. de diamètre, nettement limitée par une enveloppe fibreuse sur laquelle s’insèrent un grand nombre de faisceaux profonds du muscle. Cette masse cylindrique occupe dans toute son étendue le sommet de la tête. Elle s’appuie en arrière contre le sinus vertical de la narine droite et se prolonge jusqu'au niveau de l’évent où elle se termine dans la lèvre supérieure du museau de singe immédiatement en avant (aspect sternal) de l’évent. À ce niveau la coupe de l’organe du blanc est ovalaire à grand diamètre mesurant 13 centimètres. La gaine aponévrotique qui l'enveloppe est épaisse de 21/2 à 3 centimètres; ses fibres affectent surtout la direction transver- sale. Cette aponévrose est la véritable limite de ce qu’on appelle chez l'adulte « la caisse ». A l’intérieur de cette aponévrose le tissu sperma- cétique se présente chez notre jeune animal (refroidi) comme une masse d'apparence cotonneuse d'aspect spécial, blanc-jaunâtre, et d’une remar- quable homogénéité. En plongeant la main au milieu de ce tissu on ne rencontre aucune résistance, comme si on l’entrait dans une sorte de beurre mou. L’organe du blane mesure sur notre jeune mäle 1",20 de long environ sur 30 centimètres de large vers le premier quart à partir de l'extrémité postérieure, et 20 centimètres vers Le troisième quart. La masse est limitée de tous côtés par l’aponévrose d’enveloppe. Celle-ci toutefois offre un ca- ractère très différent suivant qu’on l’examine en dessus ou en dessous. En dessus elle est épaisse de 2 à 3 centimètres, avons-nous dit, et la disposition de ses fibres circulaire. L'épaisseur de l’aponévrose semble augmenter sur le côté gauche pour former une sorte de cloison sépa- rant l’organe du blanc de la narine. En dessous au contraire l’aponévrose est mince, moins adhérente au tissu inclus qu’elle sépare iei de la narine droite ou plutôt d’une nouvelle couche de tissu adipeux blanc jaunâtre n'ayant plus la même constitution que celui de la caisse et qui enveloppe précisément la narine. On pourrait désigner cette masse énorme de graisse distincte de l'organe du blanc, étalée sur les maxillaires et les intermaxillaires, par le nom de dif adipeux. CARTILAGE DE LA CLoIsoN. — Le cartilage de la cloison, sur notre jeune mâle, enveloppe partiellement en arrière la narine gauche dans sa por- RECHERCHES SUR LE CGACHALOT. A5 tion verticale; puis quand elle s’incurve pour devenir horizontale, il l'enveloppe de même en dedans. Plus en avant il prend la forme d’une lame à peu près verticale haute de 7 centimètres environ. Elle est logée dans la cloison fibro-adipeuse qui sépare la narine gauche de l'organe du blanc, au-dessus de la couche adipeuse profonde très vascu- laire sur laquelle repose celui-ci et que nous désignons sous le nom de lit adipeux. Nous décrirons plus loin un autre cartilage, au contact immédiat de la narine gauche. NARINE GAUCHE. — La narine gauche est reportée fortement à gauche de la tête. Sortie de la fosse nasale osseuse elle se dirige d’abord verticalement en haut puis s’incurve presque à angle droit pour se diriger obliquement jusqu’à l’évent en conservant une position superficielle ; elle n’est recou- verte que par le lard, le peaucier et le muscle nasal gauche. Elle repose sur le lit adipeux. La coupe de la narine gauche représente un croissant. En arrière, dans la portion verticale, la concavité du croissant regarde en avant puis se déplace et regarde en dehors dans la longue partie horizontale du trajet de la narine. La portion convexe loge un muscle qui accompagne la narine dans toute son étendue. Le diamètre de celle-ci dans la partie verticale est seulement de 35 à 40 millimètres. Elle laisse à peine passer trois doigts. Ce diamètre augmente peu à peu dans la partie horizontale puis diminue. Au voisinage de l’évent il est de 6 à 7 centimètres. L’angle inférieur pré- sente par places des sortes de replis en forme de valvules, peu prononcés. La narine, dans sa partie verticale, offre sur sa paroi antérieure un aspect tomenteux (1), presque villeux, puis brusquement cette paroi devient lisse, plus mince. Dans la partie horizontale elle est tapissée d’un épithélium gris noirâtre ; elle montre à partir de 10 ou 12 centimètres de l’évent de fines stries longitudinales. Depuis le point où la narine devient horizontale, jusqu’à 2 ou 3 cent. de l’évent, elle est suspendue en quelque sorte à un cordon plat cartilagineux terminé en pointe à ses deux extrémités et mesurant environ 1 centimètre dans sa partie la plus (4) Nous ne saurions dire si cet aspect était dû ou non à une altération? 16 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. large sur 1 millimètre d'épaisseur. Ce cordon cartilagineux, qu’on ne con- fondra pas avec le cartilage de la cloison, suit en dessus la narine et reste en rapport immédiat avec sa muqueuse. NARINE DROITE. — La narine droite, au niveau de la fosse nasale laisse à peine pénétrer le doigt. L’orifice du sinus vertical continue sa direction. Cet orifice laisse passer environ trois doigts ; son bord droit correspond à la fois à ceux du sinus et de la narine, tandis que son bord gauche est sur la ligne médiane. On verra d’ailleurs, par la description qui va suivre, que la narine et le sinus tendent à déborder fortement à gauche. Le sinus (PI. IL, fig. 4, s) représente une cavité virtuelle, de forme cir- culaire, se prolongeant en bas par un col étroit, le passage de com- munication avec la narine (#7). La cavité est haute de 23 centimètres environ et large de 20 centimètres, plus reportée à gauche qu’à droite. Son bord droit est à 7 centimètres environ de la ligne médiane, et son bord gauche à 15 centimètres. Les deux parois antérieure et postérieure appli- quées l’une contre l’autre présentent ensemble une épaisseur de 2 centi- mètres environ. La paroi antérieure, que nous fendons sur la ligne mé- diane, paraît musculeuse. Elle est beaucoup plus épaisse en tous cas, comme nous l'avons indiqué déjà, que la postérieure et mesure environ 1 centimètre. Elle est lisse, tapissée d’un épithélium gris noirâtre. La paroi postérieure se moule sur l’excavation crânienne (/); elle pré- sente deux structures très différentes, l’une occupant le côté droit en bas, l’autre occupant le côté gauche et la partie supérieure du côté droit. À droite en bas la muqueuse de la paroi postérieure du sinus est lisse ; le reste est plein d’excavations irrégulières, presque circulaires, larges dans les endroits où elles sont le mieux accusées, de 2 à milli- mètres, profondes de ! millimètre environ. Au fond de ces excavations tapissées par l’épithélium il semble qu’on distingue un pertuis (1). Sur le bord du sinus, particulièrement en haut, la paroi antérieure plus épaisse se continue subitement avec la paroi postérieure plus mince, comme nous l’avons indiqué déjà sur Le fœtus de 1",30. (4) Aïnsi qu'on le verra plus loin cette apparence ne répond en aucune facon à ce qu’elle est chez l'adulte. Nous devions la décrire telle qu’elle se présentait à nous, comme nous l’avons déjà fait pour l'embryon de 12,30. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 17 Le lit adipeux formé, ainsi que nous l'avons dit, d’un tissu lâche, huileux, parcouru de petits faisceaux musculaires (1), sert en quelque sorte d’enveloppe, mais surtout de support à la narine droite. Celle-ci monte d’abord presque verticalement et s’incurve ensuite au milieu du tissu adipeux pour prendre sa direction horizontale en avant, faisant un angle avec le sinus vertical. Comme celui-ci elle représente simplement une cavité virtuelle par le rapprochement de ses parois, la section linéaire de la cavité étant transversale. Dans toute la partie montante elle garde le mème diamètre qui augmente ensuite. Dans la région incurvée sa paroi supérieure mesure À centimètre d’épaisseur environ, mais plus loin cet épaississement cesse subitement et la paroi ne mesure plus dans le reste de son étendue que 1 à 2 millimètres. En même temps sa section linéaire prend la figure d’un arc de cercle de grand rayon à convexité tournée en haut et dont la corde mesure 17 centimètres, soit 20 centimètres pour l'étendue transversale de la cavité. Au point où la poche se rétrécit le plus, avant de se dilater pour aboutir au museau de singe, elle ne mesure plus que 6 centimètres de large. Sa structure est partout la même; elle est tapissée d’un épithélium gris noirâtre tombé par places, laissant à découvert un chorion lisse et pâle. SECOND JEUNE MALE. — Le manuscrit du présent mémoire était remis à l'impression quand nous reçûmes des Açores une seconde tête de jeune Cachalot (2). Nous avons profité de l’arrivée inespérée de ce document que nous devions encore une fois à l’extrème obligeance de M. S. W. Dabney, pour pratiquer une coupe frontale de la tête. Cette coupe dessinée immédiatement est figurée PI. VI, fig. 2. Elle permet d’embrasser d’un coup d'œil les rapports des divers organes que nous venons de décrire d’après la première tête de jeune mäle que nous avions eue à notre disposition. La tête mesure 1°,30, du condyle occipital à l’extrémité du museau. Sa forme générale reproduit dans tous ses détails celle du jeune individu dont (1) Ces faisceaux musculaires, qui peuvent offrir des directions variées, sont certainement des dépendances du buccinateur. {2) Lab. d’Anat. comp., n°5 1890-4052. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3e série. — IV. 3 15 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. nous donnons la photographie PI. 1, fig. 1 et 2, et nous n'avons rien à ajouter à notre première description. L'extrémité de la mâchoire inférieure est à 0”,40 du bout du museau. C’est à ce niveau que nous avons pratiqué la coupe frontale. Cette coupe (PI. VI, fig. 2) donne une surface à peu près circulaire, un peu moins large toutefois que haute, sa largeur mesurant 57 centimètres et sa hauteur 63 centimètres. La hauteur se divise ainsi : Tissu fibreux de la voüle palatine sous-jacent aux o0s........ 3 centimètres. Hauteuridestosmallalres ere EE PRET EC TR Cr 6 — HauteuridutQlit adipex PEL PETER EE TEE 23 — Hauteurtde la rcaisse tree eee boGouaogbonovooec 21 — Epaisseur du lard à la partie supérieure de la tête......... 4 — 63 centimètres. Le lard qui limite la coupe en haut et sur les côtés a, partout, à peu près la mème épaisseur. En bas ïl se continue avec les lèvres supé- rieures écartées de 12 centimètres environ, dimension qui mesure la largeur des os maxillaires. Au-dessus de ceux-ci Le « lit adipeux » (0) appa- rait comme une masse énorme s'étendant sur près de la moitié inférieure de la coupe, le reste étant occupé par la « caisse » (a) ou organe du blanc. À gauche, du sommet de la tête au niveau du maxillaire, un vaste espace est occupé par la coupe du muscle nasal gauche. Celui-ci pénètre dans l'angle rentrant que forment de ce côté le lit adipeux et l’or- gane du blanc. L’organe du blanc, en y comprenant la narine gauche (9) appliquée en haut contre lui, offre une section à peu près trapézoïdale avec un petit côté à gauche, un grand côté à droite et deux côtés obliques, en haut et en bas. Le côté oblique supérieur est en rapport avec le bord du muscle nasal gauche et limité par les fibres obliques du muscle de la narine gauche. La section de cette narine a la forme d’un croissant regardant en dehors, mesurant d’une extrémité à l’autre 5 centimètres (corde d’arc). Immédiatement en dedans de la narine, se voit le cartilage de la cloi- son (k), haut de 6 centimètres, épais de 1 millimètre; il est distant de 4 millimètres de la convexité de la narine gauche et aussi de 4 millimètres environ du bord gauche de la narine droite. La section de la narine droite (PI. VI, fig. 2, d) s'étend comme une RECHERCHES SUR LE CACGHALOT. 19 ligne, du milieu du cartilage de la cloison à l’angle inférieur droit de la caisse, sur une longueur de 15 centimètres. Le cartilage de la cloison correspond ainsi à un plan oblique séparant en bas et à gauche un épaississement considérable de la paroi de l'organe du blanc, en haut et à droite l'organe lui-même. Celui-ci, sur sa section présente un contour piriforme mesurant 17 centimètres verticalement et 8 centimètres trans- versalement. A droite la paroi de l'organe du blanc mesure environ 3 centimètres d'épaisseur. Elle est presque immédiatement appliquée contre le lard dont la séparent en haut et en bas les fibres du muscle nasal droit (7). Le bord inférieur du musele occupe l’angle rentrant compris entre la caisse et le lit adipeux, mais il ne parait pas descendre entre le lit adipeux et la peau comme le muscle nasal gauche. Après avoir dessiné la section frontale que nous venons de décrire, nous avons fait une dissection de l'organe du blane pour déterminer les rela- tions de son extrémité postérieure. Nous avons vu qu’en arrière cet organe s’élargit et vient s'appuyer, sans enveloppe fibreuse spéciale sur le « sinus vertical »; c’est-à-dire qu'il a pour fond la paroi antérieure du sinus. L’enveloppe fibreuse de l’organe se continue d'autre part jusqu’au périoste de la région médiane de la crète frontale. L’organe du blanc reste donc nettement clos par son revêtement fibreux (cheval blanc) en dessus et latéralement; en bas, il repose sur la narine droite ainsi placée dans toute son étendue au-dessous de l’organe du blanc. À gauche, la paroi de l’organe est échancrée extérieurement et loge la narine gauche; à ce même niveau, on trouve dans son épaisseur le cartilage de la cloison. La narine droite est, en fait, isolée de l’organe du blanc seulement par une mince couche de tissu adipeux qui l’enveloppe immédiatement, tissu moins crémeux que celui du blanc. Le Blanc proprement dit est essentiel- lement limité à la partie supérieure de la « caisse » sous la portion très épaisse et fibreuse de sa paroi que les pêcheurs désignent chez l’adulte sous le nom de « Cheval blanc ». Sac DE L'ÉVENT (PI. IT, fig. 2). — Le sac de l’évent dont nous avons indiqué la disposition générale sur le fœtus de 1,30 occupe toute l'extrémité anté- 20 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. rieure et supérieure du museau. Il correspond à l’éminence que nous avons décrite comme séparée de l’étrave par un méplat. En ouvrant le sac par une incision cruciale on aperçoit sa paroi profonde formée par le mu- seau de singe (d). Toute la cavité du sac est tapissée d’un épithélium noir. L’épaisseur de sa paroi antérieure formée, comme on l’a vu, par la peau seule, est de 4 centimètres environ. En bas cette épaisseur est un peu augmentée par la présence d’une mince couche de lard. Le sac commence en haut un peu en arrière de l'extrémité antérieure de l’évent et descend jusqu’à 55 centimètres environ du bord de la lèvre, ayant ainsi, sur la ligne médiane, une étendue de 22 centimètres environ. Sa forme est irrégulière. On s’en rend bien compte en traçant, après l’avoir ouvert, ses contours à la surface de la peau. Ce contour est tangent à l'extrémité antérieure de l’évent avec lequel le sac est en communi- cation par un orifice où, sur notre jeune, l’on peut difficilement passer deux doigts (PI. II, fig. 2, e). Le sac s'étend plusloin à droite de la ligne médiane qu’à gauche. A gau- che, où il est tangent à l’évent, son contour est à peu près circulaire. A droite au contraire il présente deux larges culs-de-sac divergents ; l’inférieur (le sac occupant en somme un plan à peu près vertical) est beaucoup moins large et moins profond que le supérieur. Le diamètre transversal du sac au niveau du cul-de-sac inférieur est de 30 centimètres environ, et au niveau du cul-de-sac supérieur, de 39 centimètres. Le museau de singe (PI. II, fig. 2, d) est situé à 7 centimètres de l’ex- trémité antérieure de l’évent. Sa direction est légèrement oblique, l’ex- trémité droite étant plus en bas que la gauche. Sa longueur est de 16 à 17 cent., avec son milieu à 3 cent. environ à gauche de la ligne mé- diane. A droite il se termine un peu au-dessus de l’angle rentrant qui sépare les deux culs-de-sacs; à gauche un peu au-dessous de l’extrémité antérieure de l’évent. La lèvre supérieure vers le milieu de sa longueur présente quelques plis parallèles à l’orifice linéaire ajoutant encore à la ressemblance que nous avons signalée, en simulant une sorte de tubercule labial d’ailleurs très effacé. Les surfaces affrontées du museau de singe présentent un épaississement corné que nous décrirons chez l’adulte. Mais de plus, vers l'extrémité gau- RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 21 che, la face antérieure des deux lèvres est renforcée et offre un tissu plus dense qu’au milieu et vers l'extrémité droite. A la lèvre inférieure ce renforcement paraît simplement fibreux, mais à la lèvre supérieure, il semble constitué par une masse cartilagineuse mesurant 7 centimètres de haut sur autant de large. ADULTE. — I. ORGANE D’ALDERsON. — Nous n'avions pu faire à Lagens (voir [° partie, p. 6, note 1) qu’un petit nombre d'observations sur les par- ties que nous venons de décrire. La coupe de la narine gauche (large à laisser passer le bras environ) parait ovoïde; elle est tapissée par un épi- thélium noir qui en arrière fait subitement place à un épithélium incolore. L’épithélium de la narine droite est gris. Le sinus vertical nous a offert sa paroi antérieure incolore et lisse. Entre les deux parois rapprochées, on ne voit qu’une petite quantité d’une substance brun rougeûtre étalée contre la muqueuse et qui est probablement du sang altéré. La face postérieure, avec l’organe d’Alderson est mamelonnée, couverte d’éminences arrondies pouvant avoir la grosseur d’une noisette, séparées par des sillons peu pro- fonds (PI. II, fig. 1). Le centre ou sommet de ces éminences offre parfois, surtout chez les plus grandes, une sorte d'apparence aréolaire, en tous cas peu accusée, qui pourrait faire supposer au premier abord qu’on est en face d’un organe rappelant les amygdales. La surface sur laquelle s’éten- dent ces éminences est assez nettement délimitée, celles du bord étant toutefois un peu plus petites que les autres. Ces éminences répondent à des excavalions remplies d’un liquide transparent et dont la paroi vers le som- met des éminences a de 2 à 5 millimètres d'épaisseur. La paroi interne de ces kystes est lisse. Chacun est formé en général de plusieurs cavités arron- dies communiquant largement entre elles, mais formant des groupes indé- pendants les uns des autres. L’organe caverneux tout entier mesure 15 à 20 millimètres d'épaisseur. Sa face profonde correspond au périoste de la muraille frontale, dont la sépare une couche de tissu lamineux très lâche et paraissant riche en fibres élastiques (1). Histologie de l'organe d'Alderson. — L'étude histologique que nous (1) Nous avions recu antérieurement de M. Dabney un fragment étiqueté Roots of the Case com- prenant une épaisse masse fibreuse (périoste de l’excavation cranienne) portant appliqué contre elle l'organe d’Alderson. 22 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. avons pu faire de cet organe sur un fragment rapporté de Lagens dans la liqueur de Müller n’a point éclairé sa nature. Les kystes sont restés turgides. Leur contenu parait varier. Tantôt on en voit sortir seulement un liquide trouble, tantôt il est accompagné de fragments d’un coagulum rappelant l'aspect d’un dépôt de fibrine. Ailleurs, l'apparence se rapproche beaucoup de celle que présente, dans les mêmes circonstances, l’humeur vitrée. Soit à l’état de liberté dans le liquide, soit adhérents au coagulum, on trouve un grand nombre de corpuscules granuleux qu’on peut interpréter comme des leucocytes en dégénérescence graisseuse. Nous ne saurions toutefois affirmer que telle soit leur nature. En même temps se présentent dans ce liquide des lambeaux d’épithélium. Celui-ci est formé de cellules sur un seul rang dont le noyau parait avoir perdu la propriété de se colorer par le carmin, tout au moins ne se colore-t-il pas sur nos prépa- rations. Ces cellules sont très déprimées, tantôt polygonales à angles très nets, d’autres fois irrégulières, allongées, avec les angles émoussés. Dans ce dernier cas elles paraissent en même temps un peu plus épaisses. Par places, sur les lambeaux de l’épithélium détaché, il semble qu’une cellule soit tombée, donnant ainsi un aspect qui se rapproche assez de celui des « stomates » décrits dans certains épithéliums Iymphatiques. Les cavités kystiques sont creusées dans un derme extrêmement dense à la surface duquel on voit quelques noyaux saillants paraissant appartenir aux éléments lamineux de la paroi. Le tissu de celle-ei ne semble point modifié, tout au plus est-il sur nos préparations moins coloré par le picro- carmin que le tissu ambiant, et plus riche en fibres élastiques. La surface du sinus vertical au niveau des éminences formées par les kystes, offre un revêtement épidermique épais, à cellules superficielles lamel- leuses, à cellules profondes muqueuses avec tous les intermédiaires. Le derme, au-dessous de cet épithélium, présente des papilles saillantes trois fois hautes environ comme elles sont larges à la base (1). (4) Ces papilles nous ont offert cette particularité intéressante que la lame dermique anhyste supportant l’épithélium présente, sur nos préparations, une surface finement striée. Ces stries cor- respondent à un état inversement strié des cellules épithéliales sus-jacentes. RECHERCHES SUR LE GACHALOT. 23 Les coupes pratiquées en série, soit perpendiculairement, soit parallè- lement à la surface, n’ont montré aucune relation actuelle ou trace de relation ayant existé entre l'épithélium de la surface et celui qui tapisse les kystes. On ne découvre dans le derme aucun résidu épithélial. Le seul fait qu'on puisse noter est qu’au sommet des éminences déterminées par les kystes, les papilles dermiques sont moitié moins hautes que sur les côtés de ces éminences et dans les sillons qui les séparent. Ces détails montrent que le sinus vertical, jusque dans la partie dépourvue de toute pigmentation, appartient encore à la région dermique des fosses nasales. Quant à l’organe kystique pour lequel nous proposons le nom d’organe d’Alderson, et qui occupe la plus grande partie de la paroi postérieure du sinus, ses fonctions et sa signification demeurent jusqu'ici complè- tement inconnues. Nous ne trouvons, chez les autres Cétodontes, aucun organe similaire, même rudimentaire, qui nous permette de les pré- juger (1). IT. NaRNE DROITE. — Nous avons rapporté de Lagens un fragment de la na- rine droite pris dans le fond de l’excavation crânienne au point où la narine pénètre dans la fosse nasale osseuse. Ce fragment, long de {5 centimètres, présente à sa partie supérieure un orifice à parois appliquées l’une contre l’autre, dessinant une demi-circonférence à concavité tournée en avant, et mesurant entre ses deux extrémités 10 centimètres. La paroi postérieure convexe continuait la face postérieure du sinus vertical et on voit à ce niveau les derniers kystes saillants, gros comme des pois environ et un peu espacés les uns des autres. La concavité que dessine la face anté- rieure, est remplie par le muscle propre de la narine dont les faisceaux dissociés plongent dans la graisse. Ce muscle se termine en ce point même, (1) Il est peu probable en effet que ces cavités soient des réservoirs lymphatiques malgré le coagulum qu’on y peut trouver et peut-être les leucocytes dégénérés. Si l’on avait à faire à des réservoirs lymphatiques ils se seraient vidés dans le liquide de Müller au lieu de demeurer turgides. Enfin, l'aspect de l’épithélium qui les tapisse, bien que dispesé sur une seule couche, rappelle assez peu celui des cavités séreuses. Mais d'autre part, on a vu que nous n'avions trouvé aucun résidu épithélial dénoncant une ancienne communication avec l'extérieur et chez le fœtus de 12,30 nous n’avons pas trouvé davantage de glandes embryonnaires dans la région correspondante. Nous sommes donc ici en présence de conditions anatomiques particulières dont nous ne connaissons point d'exemple ailleurs et qui font de l'organe d’Alderson un appareil énigmatique dont nous ne pouvons même soupçconner la fonction. 24 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. s’insérant à la paroi de la narine. On peut supposer qu’en se contractant il contribue à ouvrir ou agrandir l’orifice postérieur de la narine droite. A l’autre extrémité de notre pièce, coupée à l'entrée même de la fosse nasale, les parois de la narine toujours appliquées l’une contre l’autre, sont fibreuses. Le diamètre de la cavité a beaucoup diminué et laisse à peine passer trois doigts. La section parait avoir intéressé un orifice placé un peu à droite et large du diamètre du doigt environ, mais qu’on ne saurait prendre, aussi haut, pour l’origine de la trompe d’Eus- tache. IT. Évenr (1). — Une pièce intéressante que nous devons, comme les précédentes déjà signalées, à l’obligeance de M. Dabney, est l’évent d’un mâle adulte (2). Le contournement de cet évent en S parait moins accusé que sur l'embryon de 1°,30 et que sur notre jeune mâle. La fente mesure 40 centimètres de long; elle s’efface progressivement en avant, tandis qu’en arrière sa paroi tombe verticalement dans la narine gauche, en même temps qu’elle finit au dehors sur un pli transversal, d’ailleurs peu accusé. La partie pleine enveloppée par la boucle postérieure de PS termine le bourrelet musculaire que présente dans toule sa longueur la narine gauche, en sorte que celle-ci s'ouvre en réalité à la surface même de la peau. La communication entre l’évent et le sac de l’évent est latérale et assez grande pour laisser passer la main. La paroi antérieure du sac, formée de la peau, d’une mince couche de lard et d’une aponévrose, a 6 à 8 centi- mètres d'épaisseur; la mesure est prise à 12 centimètres à droite et à 6 cen- timètres en avant de l'extrémité antérieure de l’évent. Un peu plus loin la couche de lard augmente d'épaisseur. L’épithélium du sac est gris noirâtre, excepté au niveau de l’orifice du museau de singe. Il est ex- trèmement épais. (4) Il est probable que le mécanisme de l'ouverture de l’évent est le même que chez le Dauphin. Chez ce dernier, l’évent s'ouvre pour l'expiration et l'inspiration qui la suit aussitôt, par l'abaisse- ment de toute la région de l’évent. En même temps l’orifice de celui-ci qui était linéaire devient irrégulièrement circulaire par l'abaissement et en quelque sorte la disparition sous les bords de l’orifice, du bourrelet cutané désigné quelquefois par le nom de soupape. L’évent du Dauphin lorsqu'il s'ouvre ainsi laisse voir une large cavité au-dessous de lui. (2) Un très bon moulage de cette pièce a été fait pour Le Cabinet d'anatomie, il porte le n° A 9157, RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 25 Dans la profondeur de la pièce, on trouve le cartilage de la cloison large comme la main el épais d’un demi-centimètre environ (1). L’extrémité antérieure sectionnée de la narine droite montre ses deux parois étroitement appliquées l’une contre l’autre. Elles sont tapissées d’un épithélium gris, mou, reposant sur une couche de tissu peu dense et élastique. La cavité s’épanouit en éventail sur une longueur de 13 cen- ümètres environ pour aboutir au museau de singe qui devient ici gigan- tesque, mais auquel nous conserverons néanmoins le nom qu'il méritait si bien sur l'embryon de 1°,30. Au niveau de cet élargissement l’épithélium change, devient lisse, noir, corné par places comme celui du sac de l’évent. Les deux lèvres du museau de singe sont arrondies et rugueuses, ou plutôt marquées de plis étroits, rapprochés, dessinés par l’épithélium corné. En dedans des lèvres, et par conséquent dans l'épanouissement horizontal de la cavité, il existe à la face supérieure et à la face inférieure une bande blanche où l’épithélium est encore plus épais que sur les parois du sac de l’évent. Cet épithélium blane, corné, rappelant la substance des fanons de baleine, mesure 3 millimètres d'épaisseur dans sa partie médiane, la bande qu'il dessine ayant d’autre part environ Î centimètre de large; cette bande va en s’atténuant vers les extrémités droite et gauche de la fente. Celle-ci se trouve ainsi fermée en réalité par le contact de deux surfaces dures (2). Sur la paroi antérieure du sac de l’évent, en face de l’orifice du museau de singe, l’épithélium est aussi plus épais et marqué d’une ligne blanche. [V. COUPE FRONTALE. — On ne peut guère douter que chez le Cachalot (1) Il est hyalin, à cellules largement espacées; toutefois sur ses deux faces peut-être présente-t-il une zone de fibro-cartilage. (2) L'examen histologique de la lame cornée existant en dedans de chacune des deux lèvres du museau de singe, nous a présenté les particularités suivantes. Traitée par le picro-carmin, elle se colore en jaune, sauf la partie la plus profonde; elle est formée d'un tissu très homogène se clivant en lamelles parallèles à la surface. La partie profonde, qui se colore en rose, recouvre les papilles dermiques et affecte la disposition de lames transversales relativement à la lame cornée. Ces lames transversales sont inclinées, plus ou moins inégales et peuvent se partager en deux vers leurs extrémités. Vers les bords de la lame cornée, celle-ci se colore, dans toute son épaisseur, en rose par le picro-carmin. Cette coloration dessine de fines trainées parallèles à la surface, et à peu près également réparties dans toute la hauteur de la couche épithéliale, peut- être plus foncée au milieu de sa hauteur. On constate en même temps la présence de petits dépôts de mélanine répondant à autant de cellules dont on ne distingue pas individuellement les con- tours. Par places, à la surface de la substance colorée en rose, on retrouve une mince couche complètement kératinisée et jaune comme le milieu de la lame, NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3° série. — [V. 4 26 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. adulte la caisse présente une vaste cavité plus ou moins anfractueuse, dans laquelle l'huile chargée de cétine liquide à la température du corps, est épanchée en grande abondance peut-être par disparition finale des éléments anatomiques où cette huile s’est formée. Les précautions prises par les baleiniers, la manière dont ils pratiquent l'extraction de l’huile ainsi accumulée ne peuvent laisser aucun doute sur l'existence d’un véritable dépôt. Nous avons vu d’ailleurs, nous-même, à Lagens, l'huile s’écouler d’une ouverture faite par inadvertance aux parois de la caisse, et en même temps saillir de l’orifice un lambeau de tissu lamineux rappelant grossièrement par son aspect celui d’une frange de synoviale. D’après ce qu’il est permis de conjecturer, le dépôt d’huile libre se formerait seulement chez l'adulte aux dépens et au milieu de l’organe du blanc, tel que nous l’avons décrit chez notre jeune mâle. J1 s’en faut toutefois, ainsi qu'on l’a vu par les détails anatomiques rela- tés plus haut, que l’organe du blanc et par suite la caisse chez l’adulte occupe toute ou même la plus grande partie de la masse frontale. A ce point de vue, nous ne pouvons faire mieux que de nous en référer à la coupe que nous avons pris soin nous-même de pratiquer sur la tête du Cachalot échoué à l’île de Ré en janvier 1890. Ce Cachalot, jeté à la côte dans un état de décomposition avancé, gisait sur le côté droit. La tête, peut-être un peu enfoncée dans la grève, formait une masse fortement déprimée, mais dont le point culminant correspondait à l'œil comme chez l’animal nouvellement tué (1). Nous faisons une coupe qui passe exactement à un mètre en arrière de l'extrémité des maxillaires, par conséquent à 1,50 au moins de l’extrémité du museau qui dé- passe de beaucoup le squelette de la tête. Le bord supérieur de la coupe présente une sorte de dépression séparant deux éminences. La plus haute (inférieure dans la position normale de l'animal), me- sure seulement 80 centimètres. La couche de lard est très peu épaisse, l'animal étant maigre et probablement mort de maladie. Les deux lèvres supérieures, tranchantes, saillantes de 5 centimètres, sont (1) La déformation ne devait pas en définitive être extrême, car chez le vivant, vers le milieu de la longueur de l’orifice buccal, la hauteur de la tête paraît être égale environ à deux fois sa largeur. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 27 écartées de 20 centimètres, largeur de la cavité buccale à ce niveau. Au moment où on pratique la section indiquée, il s’écoule plusieurs litres d'huile liquide, et on retire plus tard dans la même région, des masses de cétine concrète, dont quelques-unes ont deux fois le volume de la tète d'un homme. L’écoulement de ce liquide a dù nécessaire- ment altérer les rapports des organes environnants; nous ne pouvons les décrire ici que tels que nous les observons. La coupe montre d’abord au-dessous du lard, très peu abondant, les deux muscles nasaux inégaux, séparés par un large espace qui ne correspond pas à la ligne médiane, mais se trouve reporté du côté gauche, en sorte que le sommet de la tête est occupé par le muscle nasal droit. Le muscle nasal gauche présente vers le milieu de la joue gauche le renforcement prismatique dont nous avons parlé, faisant saillie dans la masse adipeuse sous-jacente aux narines (lit adipeux). Les deux narines, séparées par le cartilage de la cloison, sont fortement reportées à gauche. La droite est dans un plan inférieur (position normale de l’animal) à la gauche; elle présente la même courbure, et sa cavité paraît, à ce niveau, à peine plus considérable. Mais la position des deux organes est ici évidemment altérée dans une certaine mesure, par l’écoule- ment du spermaceti, qui a même laissé une cavité où pend une artère du volume du petit doigt, certainement l'artère centrale de l’organe du blanc. Celui-ci semble localisé au-dessus de la narine droite, n’occupant par conséquent dans la tête à ce niveau (un mètre en arrière de l’extré- mité des maxillaires) qu’un espace restreint; tandis que toute l'étendue com- prise entre les deux narines, et surtout entre la narine droite et la face supérieure des maxillaires, est occupée par l'énorme lit adipeux que nous avons décrit chez le jeune mâle et dont le volume proportionnel ne fait probablement que s’accroître avec l’âge. Sur notre sujet de l’île de Ré, ce tissu avait une consistance crémeuse, et offrait d’ailleurs, comme l’or- gane du blanc chez le jeune, une structure concentrique très marquée dans la partie située au-dessous de la crête rentrante du muscle nasal gauche. L’étendue de cette masse adipeuse considérable se voit très bien sur une 28 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. des photographies qu'a bien voulu nous communiquer M. A. Chaves (1), de Ponta Delgada. La caisse, c’est-à-dire toute la partie supérieure de la tête, a été détachée par une section parallèle à la colonne vertébrale pratiquée dans le lit adipeux. Une autre section parallèle a été pratiquée plus bas, et la masse du lit adipeux comprise entre les deux sections a été à son tour coupée transversalement. On peut juger, par la netteté de la coupe, de l’homogénéité du tissu sectionné, sur lequel la photographie laisse voir les coups de spade successifs. Nulle description ne pouvait faire mieux comprendre l’étendue et l’homogénéité de cette masse adipeuse considérable, reposant sur les maxillaires et les intermaxillaires, et au-dessus de laquelle se trouvent placés les deux narines, le cartilage de la cloison et l’organe du blanc. Historique. L'histoire de nos connaissances sur les fosses nasales du Cachalot mérite notre atten- tion spéciale en raison de la grande ignorance où l’on est resté longtemps à leur sujet, et d'une erreur dans laquelle nous sommes tombés nous-mêmes, en comparant les résultats d’une dissection irréprochable, avec les indications données par les auteurs. 1692. SiBBALD n’a pas peu contribué à propager certains doutes qui ont persisté chez les auteurs sur la question de savoir si l’'évent du Cachalot était simple ou double. On lit dans sa description de l’animal échoué en février 1689 à Lymkils (à l'embouchure du Forth) : « Parum supra rostri medium erat fistula quam incisores «the Lum » (hoc nobis laminam « significat) vocabant; fistula autem duo foramina sive duo meatus habebat, quæ uno « opereculo tegebantur quodilli vocabant fhe Flap.» Et en effet, on peut par l’évent commu- niquer comme nous l'avons montré dans deux cavités, une en arrière est la narine gauche, l’autre en avant et en bas est l'orifice du sac. SIBBALD, à propos du même Cachalot qu’on avait, il est vrai, très lentement dépecé signale l'écoulement du blanc par la bouche : « Quamwvis ex ore et ex vulneribus per plures dies magna olei quantitas defluxerit quæ « congelata in mari seri consistentiam obtinuit..… » 1783. ScawEDIAWER dans les Philos. Trans. pour 1783 marque la place et la direction exacte de l’évent. 1787. HuNTER (Observations on the Structure and OEconomy of Whales; Philos. Trans. traduct. de Richelot, 1841, t. IV, p.470) semble admettre que chez le Cachalot la fosse nasale osseuse gauche donne seule passage à l'air. Il signale assez imparfaitement le sac de l’évent et le cartilage de la cloison qu’il semble toutefois croire double, indiquant un cartilage de chaque côté de la narine. Par erreur sans doute il donne à l’orifice de l’évent une direction transversale comme chez la plupart des Cétodontes. 1797. G. Cuvier annonce l’absence de nerfs olfactifs chez le Cachalot. Dans ses Recher- (4) Cette photographie était comprise dans la série dont nous avons déjà publié une partie, Voy. G. Poucxer et Caves, Des formes extérieures du Cachalot, Journ. de l’Anat. et de la phy- siol., mai-juin 1890. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 29 ches sur les ossements fossiles il avait parlé de concamérations renfermant le blanc, mais sans s'expliquer sur leur nature ; on disait aussi ces cavités en communication par des canaux avec le corps de l'animal, en arrière de la tèle. Peut-être était-ce une allusion à l’orifice postérieur de la narine droite. 1825. La description d'ALDERSON (An Account ofa Whale of the Spermaceti Tribe, etc., in Transact. of the Cambridge Philos. Society, vol. IF, part. I, p. 258) est capitale. ALDERSON a presque bien vu les choses malgré les difficultés d’une dissection où on devait employer les chevaux pour déplacer les parties. La narine gauche mesurée par lui avait 20 pieds; mais l'erreur qu'il commet à propos de la narine droite a été le point de départ de la nôtre. Il a vu le sinus et l'organe innominé ainsi que la narine elle-même, etil a cru être en présence des cavités qui sécrétaient et où se collectionnait le spermaceti. « The inlerior of the head « (still exterior to the cranium) contained on the right side, a cavity or sac, or several sacs holding spermaceti... The most posterior part of this mass, filling up the large basin,.…. contained a large cavity, lined posteriorly with a membrane, in color yellowish white, and in structur cellular ; the convex surfaces of the cells being towards the cavity, and about aninch in diameter. On being cut into, all the cells appeared to com- municate with each other. The structure of the lining membrane of the anterior wall was very different ; it consisted of transverse folds, exactly similar to the lining membrane of the fourth stomach in sheep, in which the secretion of the gastric juice takes place. I traced the communication from this cavity forwards, towards the mouth, first passing on the left side of the head, under the breathing tube ; then crossing over to the right side of the head, and joining with the sac or sacs in which the spermaceti was found: here the lining membrane was altered in appearance; it was more that of a continued « mucous surface. … [am not convinced that there was not a communication betwen the « posterior nares, and the peculiar cavity before described; in which cavity, it is probable, « the secretion of the spermaceti takes place. » Et Arpersow conclut : « 1 am not however, « disposed to make any further conjectures on this point : dubia pro falsis adhibenda. » 1829. Woops suppose les deux narines réunies en une seule, et de plus admetdans la tête deux grandes poches qu'il croit parallèles, et qui, à cause de leur vaste étendue, ont pu, dit-il, être comparées à des cavernes (p. 200). Mais il croit aussi à des communications avec le reste du corps, dans le genre de celles des sacs aériens des Oiseaux. 1845-1847. Jacxson (Boston Journal p. 151) décrit d’après le capitaine Chase «the blow- « hole as a single, continuous tube, about as large as a man's arm, and without any lateral « cavities, such as are found in the Delphin; inner surface smooth and black; it extends « backwards near the top of the head as far as the eye, and then turns down to the throat », Nous avons tenu à reproduire ces citations parce qu'elles montrent à quel point était grande la confusion des opinions quand nous avons à notre tour abordé le sujet. Si l’on rapproche de la description d’Alderson l'écoulement de spermaceti, soit par l’évent, soit par la bouche, relaté à propos de divers échouages, si l’on se reporte aux pratiques des beleiniers qui après avoir ouvert la caisse y puisent à pleins seaux le blane, on comprendra qu'ayant eu à notre disposition des fragments de la paroiï, soit du sinus, soit de la narine droite au niveau où elle communique avec le sac de l’évent, nous ayons pu croire à l’exis- tence de vastes excavations dépendant de cette narine, sécrétant le spermaceti et lui servant de réservoir. Nous nous sommes, en conséquence, rangés tout d’abord à cette in- terprétation dans deux notes présentées à l’Académie des sciences (PouUcHET et BEAUREGARD, Sur la boite à spermaceti, in O. R. Ac. des Sc. 4 août 1882) et à la Société de biologie (Poucuer et BeaureGar», Note sur l'organe du spermaceli, in Bullet. de la Soc. de biologie, 30 mai 1885). A l’occasion de cette dernière communication M. RABUTEAU (Bull. de la Soc. de Biol., 6 juin 1885) fit précisément remarquer que la production d’une substance telle RS AA = SE SNS SCSI ES NS ES ESS = 30 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. que le spermaceti par une surface dermique, en dehors de toute glande proprement dite, ne soulevait aucune objection au point de vue physiologique. On pouvait en effet signaler le cebum du prépuce, la sécrétion du jabot des pigeons, sans aller jusqu’à la cire des abeilles. La dissection complète des organes sur le fœtus de 4,30, la découverte de la véritable structure de la narine droite, considérablement développée, loin d’avoir subi l’atrophie qu'on lui supposait, ne firent que nous confirmer dans notre première opinion (voy. G. Pou- cHET, Dissection d'un fœtus de Cachalot. Extrait, in C. R. Ac. des Sc. ; 18 mai 1885 ; in extenso dans Journ. de l'An. et de la Physiol., juillet-août 1885, p. 358). C’est en assistant sur le chantier de Lagens (île de Pico) à l'exploitation d’un Cachalot, que l’un de nous put se convaincre de l'erreur où nous étions tombés, et tout en contrôlant la parfaite exactitude de la description anatomique que nous avions donnée de la narine droite et de son sinus, reconnaitre que le spermaceti n’est point contenu dans ces cavités. Il s’'empressa de réparer l'erreur commise et justifiable par tant de raisons, dans une note adressée à la Société de biologie (G. Poucner, Communication à propos de l’anatomie du Cachalot; Bullet. de la Soc. de Biologie, 16 juillet 1887). VIT. — MUSCLES DU MEMBRE ANTÉRIEUR Nous ne décrirons pas le système musculaire entier du Cachalot. Un cer- tain nombre des organes premiers qui le composent ont trouvé ou trouve- ront leur description en même temps que les appareils qu’ils contribuent à former ou qu'ils avoisinent. Pour les autres, ils ne paraissent pas différer assez des mêmes organes chez les Cétodontes communs et souvent étudiés, pour nous faire regretter que les matériaux dont nous disposions ne nous aient pas permis de les décrire de nouveau. Nous nous bornerons ici à une indication sommaire de la distribution des muscles du membre antérieur tels qu’ils se sont offerts à nous sur notre fœtus de 1*,30 de long. Mais au préalable nous donnerons quelques indications sur la forme exacte du membre antérieur du Cachalot, d’après les membres du jeune mâle que nous avons reçus en même temps que la tête. Nous devions y trouver des muscles de l’avant-bras et de la main qui n’avaient jamais été signalés jusqu'ici sur aucune espèce de Cétodontes adultes, mais seulement chez leurs embryons par Lesouco. Le membre gauche de ce jeune mesure, depuis l’extrémité du condyle, 50 centimètres juste; dans sa partie la plus large, 21 centimètres, et cette partie la plus large est à 21 centimètres de l’extrémité. Le membre droit a perdu, certainement par traumatisme, environ 12 centimètres de sa longueur. La section RECHERCHES SUR LE CGACHALOT. 31 mesure environ 20 centimètres de long et est d’ailleurs entièrement cicatrisée. Ainsi que nous l’avons dit, nous décrivons et nous figurons les muscles du membre antérieur d’après notre fœtus de 1",30. Pour la direction des fibres ou des tendons nous supposerons, quand elle n’est pas suffisamment donnée par leurs attaches, l’animal dans sa position normale : la nageoire dans le plan de l’omoplate et formant avec l’axe de celui-ci un angle un peu ouvert. Face Externe (PI. VII, fig. 1). Le Delfoïde est volumineux, il prend ses insertions en haut à l’angle supérieur et antérieur de l’omoplate, à tout le bord antérieur de l’os et à l’acromion. Ses fibres, dirigées d’avant en arrière, convergent pour s'attacher à une large aponévrose qui descend s'insérer vers le milieu du corps de l’humérus en dehors. Quand on a sectionné transversalement le deltoïde et relevé sa moitié supérieure, on aperçoit au-dessous de lui un faisceau musculaire court, à peu près triangulaire, qui s’insère en haut au bord externe de la cavité glénoïde (1) ainsi qu'à une aponévrose qui le sépare du deltoïde. C’est le Sus-épineux (ep), sa direction est oblique de haut en bas et d’arrière en avant, il recouvre de ses fibres la capsule articulaire et vient s’at- tacher inférieurement sur toute la longueur de la grosse tubérosité de l’humérus. Le Sous-épineux (se) se présente comme un grand muscle qui s'attache à toute la moitié postérieure de la face externe de l’omoplate. avec ses fibres dirigées de haut en bas et d’arrière en avant. Elles se réunis- sent en un tendon qui s’insère à l’humérus un peu en arrière de la grosse tubérosité. Ses fibres, comme celles du muscle précédent, recou- vrent la capsule articulaire, le sus-épineux plus en avant, le sous-épineux plus en arrière. Le Muscle rond (r) est unique et s'insère en arrière du sous-épineux à l'angle postérieur de l’omoplate. Ses fibres dirigées de haut en bas et d’ar- rière en avant recouvrent le bord postérieur de l’os. Vers le milieu de son trajet le muscle s’épaissit, puis ses fibres s’étalent sur une aponévrose qui (1) On devra ne pas oublier que chezle Cachalot la fosse sus-épineuse n’a pour ainsi dire qu’une existence nominale. 32 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. s'insère à toute la longueur du bord cubital de l’humérus depuis la tête de l’os jusqu’au cartilage olécrânien. Il est en rapport en dedans avec le sous-scapulaire et les nerfs et vaisseaux axillaires. Nous signalerons seulement l’attache distale du Grand dorsal (g) au car- tilage olécrânien, où ses fibres se fusionnent avec le tendon du muscle rond; nous n’avons pu, vu l’état de la pièce, étudier davantage le grand dorsal, dont les fibres et l’insertion à l’humérus se confondent avec celles du peaucier (p). Il n’y a pas de museles du bras proprement dits. Muscles de l’avant-bras et de la main. — Ces muscles ne comprennent qu'un Extenseur commun des doigts (E, voy. fig.). Très aplati, il s’attache en avant sur l’aponévrose d'insertion du deltoide et confond même en ce point quelques-unes de ses fibres avec les siennes, en sorte que l’apo- névrose est en réalité commune aux deux muscles. Il se partage au niveau de l’extrémité distale du cubitus en ventres distincts que prolon- gent de longs tendons au nombre de 4 pour les 5°, 4, 3° et 2° doigts. Un 5° tendon se détache du plan musculaire à son bord radial, mais il n’atteint pas la phalange du pouce et se fixe simplement au 1° méta- carpien, au delà duquel nous ne le suivons plus. Ces tendons, d’abord élargis dans toute la région qui correspond au carpe, deviennent bientôt cylindriques et au niveau de l'extrémité distale de la 1” phalange se trifurquent, leurs deux branches latérales se fixant à ces phalanges et la branche médiane se continuant en s’amincissant graduellement jusqu’à l’avant-dernière phalange. Nous n’avons pu la suivre plus loin. Face INTERNE (PI. VII, fig. 2). — L'état de la pièce ne nous a pas permis de retrouver les traces d’un grand pectoral venant se fixer aux os de l'épaule ou à l’humérus. Nous ne découvrons pas davantage le masto- huméral. Nous considérons comme Pefif pectoral (p) un faisceau mus- culaire assez volumineux qui s'attache aux premières côtes d’une part et, d'autre part, par une aponévrose large à une petite partie du bord supérieur de l’apophyse coracoïde et à toute la face interne de l’acromion. Les muscles propres à l'épaule sont au nombre de 2 seulement : 1° Un Coraco-brachial (c) court et large qui s’insère par un tendon épais RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 33 à l’apophyse coracoïde; ses fibres, dirigées obliquement de haut en bas et d'avant en arrière, vont s'attacher à la tubérosité de l’'humérus. — 2° Un Sous-scapulaire (ss) volumineux. Il occupe toute la face interne de l’omo- plate. Ses fibres convergent vers une aponévrose qui s’attache à la face interne de l’humérus immédiatement après la tête. Les muscles de l’avant-bras sont tous sur un même plan, divisés en 3 faisceaux qu'on doit considérer comme constituant un F/échisseur : 1° Un faisceau cubital (F); il s’insère en avant, par un tendon très large, à la face interne de l'humérus, sur une ligne oblique s'étendant du carti- lage olécrânien à l'extrémité inférieure de la grosse tubérosité. Ses fibres s'étalent en une masse charnue aplatie qui recouvre toute la face interne du cubitus. Au niveau du carpe naissent 4 tendons pour les 5°, 4°, 3° et 2° doigts. Ces tendons sont cylindriques jusqu’au niveau de la 1” phalange où ils se trifurquent. Deux branches latérales s’attachent à cette première phalange et la branche moyenne continue son trajet sur les autres pha- langes où nous avons pu les suivre jusqu’à l’avant-dernière. 2° Un faisceau radial (f) représentant un fléchisseur propre du pouce. Il s’insère sur la portion la plus déclive de la forte aponévrose recouvrant la face interne de l’humérus. De là ses fibres vont, après que le muscle a rapidement diminué de volume, se perdre dans un tendon qui s'incline vers le pouce et va se fixer à la base du 1” métacarpien. Au niveau de l’ex- trémité du radius ce tendon envoie une branche rejoindre le tendon du fléchisseur appartenant en propre à l’index. 3° Enfin, dans l’espace interosseux séparant le cubitus du radius, existe un faisceau musculaire (2) qui s’attache à la face interne de l’humérus, et plus loin, au bord supérieur du radius. Il se termine par un court tendon qui va se confondre avec celui du fléchisseur commun, à côté du ren- forcement que celui-ci reçoit du fléchisseur du pouce. MusCLES INTEROSSEUX (). — Au-dessous des tendons du fléchisseur il existe, au niveau des métacarpiens, de minces plans musculaires qu’on peut considérer comme des rudiments d’interosseux. L'état de notre sujet ne nous permet pas d'en donner une description détaillée. D’après ce que nous pouvons voir, ces muscles occupent la face interne des métacarpiens, leurs fibres paraissant s’attacher à l'aponévrose qui recouvre l'articulation NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3€ série, — IV. 6) 34 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. métacarpo-phalangienne. Nous ne les avons pas vus s’insérer sur les pre- mières phalanges. NAGEOIRE GAUCHE DU JEUNE MALE. — Nous avons, pour contrôler la précé- dente description, disséqué la nageoïre gauche du jeune mâle, celle dont nous avons donné plus haut les mesures (p. 30). Cette dissection, comme le montrent les figures (PI. VIT, fig. 3 et 4) con- firme en tous points les indications précédentes. En particulier, nous re- trouvons la division très nette du fléchisseur commun dont le faisceau radial est renforcé par des fibres musculaires remplissant l’espace inter- osseux de l’avant-bras. Notons toutefois que le faisceau radial du fléchis- seur et surtout celui de l’extenseur ont presque complètement disparu, en même temps que le pouce a perdu l'indépendance complète par rapport au 2 doigt, qu'il manifestait chez le fœtus de 1”,30. Nous n'avons égale- ment plus retrouvé trace des petits faisceaux interosseux signalés chez notre fœtus de 1”,30 au niveau des métacarpiens. Historique. On avait assez généralement admis que sauf quelques exceptions, Hyperoodon (STru- THERS), Platanista (ANDERSON), les Cétodontes n'ont pas de muscles à l’avant-bras; LEBOUCO (La nageoiïire pectorale des Cétacés au point de vue physiologique, in Anat. Anzeiger, 1887, n° 7) a signalé des muscles à l’avant-bras de fœtus de divers Cétodontes qu’il a examinés, Delphinus delphis, Phocœna communis, Monodon monoceros, Beluga globicephalus. VIII. — APPAREIL DIGESTIF. Nous avions à notre disposition pour décrire l'appareil digestif : {° notre fœtus de 1,30; 2° diverses pièces isolées, les unes envoyées par M.S. W. Dabney, les autres prélevées par nous-mème sur l'individu que nous avions étudié à Lagens dans l’ile de Pico (voir 1" partie, p. 6); 3°, enfin une portion de l’estomac et de l'intestin prélevés en état suffisant de conserva- tion sur le Cachalot mâle échoué à l’île de Ré en janvier 1890 (voir ci- dessus, p. 1, note {). Nous aurons tour à tour recours à ces trois sources de documents en ‘ayant toujours soin d'indiquer celle qui nous servira. L'ordre que nous RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 39 suivrons est celui même des différentes régions du canal digestif et de ses annexes (foie, rate, etc.). Nous ajouterons quelques indications histolo- giques d’après les pièces entre nos mains. CRYPTE DE LA syMpayse. — Nous avons décrit l’apparence générale que présentent extérieurement la cavité buccale, les dents et la langue. Celle-ci, comme on l’a vu, reste confinée entre les branches divergentes de la mà- choire, dans ce qu’on pourrait appeler chez certains Cétodontes, la véri- table cavité buccale, laquelle est loin de correspondre à l’espace inter- dentaire. Nous devons signaler une sorte de crypte à l'extrémité de la mâchoire inférieure qu’on trouve au bout d’un sillon qui la parcourt dans toute sa longueur, en arrière des deux premières dents. IL se présente sous forme d’une excavation au fond de laquelle aboutit de chaque côté un canal qui peut avoir dans certains cas jusqu'à { centi- mètre de long. Ce canal plonge sans se ramifier au milieu du tissu lami- neux. Sur les coupes des pièces conservées dans le sel, puis dans l’alcool, il paraît comblé par une substance cornée jaunûâtre, ne différant pas sensible ment, au moins au premier aspect, de l’épithélium qui revêt la cavité buc- cale vers l'extrémité de la mandibule. Quand on traite cette substance par une solution de soude, on voit qu’elle est uniquement constituée par des cellules épithéliales polyédriques dont les contours s’accusent par des lignes très fines. [l y a des perles épidermiques. Dans certains cas on voit deux eryptes au lieu d’un. On les distingue sur la mächoire desséchée du Cachalot mâle des Acores dont nous avons dé- crit le squelette (1). La signification de cet organe reste incertaine. Faut-il y voir un dernier vestige de glande sous-maxillaire ? Nous nous sommes assurés qu'on ne découvrait aucun prolongement du crypte rappelant même de loin la structure glandulaire (2). Lançue (Voir ci-dessus, 1° partie, p. 14). — Parmi les pièces que nous devons à l’obligeance de M. Dabney se trouvait une portion de langue d’un mâle adulte. La section passait sur la partie postérieure (1) Cette région était détruite sur l'individu de l’île de Ré. (2) Nous ne retrouvons pas ce crypte, au moins apparent extérieurement,sur notre fœtus de 12,30 dont l’état de conservation laissait d’ailleurs à désirer. 36 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. du V lingual qui est légèrement entamé. De ce point à l'extrémité notre fragment mesure 53 centimètres de long et sa largeur au niveau du V est de 25 centimètres. L'organe va se rétrécissant jusqu'à sa pointe obtuse, qui parait libre seulement sur une longueur de 15 centimètres tout au plus. Au niveau de la section, la langue épaisse de 8 centimètres repose sur une portion élargie du frein. Une coupe pratiquée à 25 centi- mètres du bout de l’organe montre ce frein haut de 8 centimètres et large de 5 centimètres. À ce niveau le derme de la face dorsale de la langue mesure aux environs de la ligne médiane 7 millimètres d'épaisseur. De chaque côté de la langue règne un sillon profond qui commence à 15 centimètres du bout et s'étend de là en arrière. Il délimite à peu près la face supérieure et les faces latérales. Ce sillon existe au reste chez les Dauphins, mais tandis que chez eux le bord libre de la langue porte des papilles bien dessinées, il n'offre guère chez le Cachalot qu’une série de denticulations larges, espacées et irrégulières. Toute la surface de la langue est revêtue d’un épiderme épais à plis longitudinaux réunis çà et là les uns aux autres par des prolongements obliques. À la partie postérieure on observe une série de papilles calici- formes que l’état de la pièce ne nous permet pas de décrire avec plus de détails. L’une d'elles, bien qu'ayant dù subir une rétraction considérable, mesure encore 7 millimètres de diamètre. Nous avons rapporté de Lagens, dans le liquide de Müller, l'extrémité de la langue du Cachalot que nous avons observé (Voir 1” partie, page 6, note). Cette extrémité présente plusieurs particularités intéressantes. Les papilles sont épaisses, mousses à leur extrémité, hautes de 1,5 L'épithélium est très nettement divisé en deux couches, l’une allant de la profondeur des espaces interpapillaires à 170 y au delà de leur sommet et composée dans toute son étendue de cellules très semblables, nettement polyédriques ; l’autre épaisse de 110 à 120 & formée de cellules lamelleuses qui font subitement suite aux précédentes. Nous avons pu étudier, en place, la langue entière sur la tête de jeune mâle envoyée par M. Dabney. La langue (PI. Il et pl. XI, fig, 3) a la même forme générale que chez l’adulte et mesure 38 centimètres de long sur 15 centimètres de large vers son milieu. Son extrémité antérieure RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 37 reste à 30 centimètres environ de l'extrémité de la mandibule, et logée en très grande partie dans l’écartement des deux branches du maxillaire. C’est d’ailleurs au niveau où commence la symphyse que s’attache le frein. De ce point à son extrémité libre la langue ne mesure que 12 centimètres. Tout à l'extrémité de l’organe on voit une double incisure du bord, limi- tant un lambeau large de 1 centimètre environ. De Sanctis (loc. cit.) a beaucoup insisté sur cette sorte de lobe qu'il décrit et figure comme un organe spécial. Nous n’y voyons qu’une dentelure dont la présence n’est pas même constante; les incisures qui la limitent se répètent plus en arrière à gauche où l’une d’elles atteint même près de 3 centimètres de profondeur. Sur ce jeune individu la surface de la langue, irrégulière, dépourvue de pigment, ne présente pas de papilles nettement recon- naissables. Le V lingual n’est guère indiqué que par un changement dans la disposition des plis. On ne trouve aucune trace de papilles fo- liées. MuscLes DE LA LANGUE. — Nous ne décrirons que ceux qui s’insèrent sur des parties osseuses par une de leurs extrémités. En relevant le pharynx d’arrière en avant sur notre pièce fondamentale (le fœtus de 1,30), le premier musele qu’on aperçoit (par sa face supé- rieure) est le S#ylo-glosse. C’est un ruban musculaire qui prend insertion en arrière sur le tiers moyen de la face externe de la petite corne de l’hyoïde pour gagner de là les côtés de la langue. A quelque distance de la corne hyoïdienne ce muscle croise l'artère linguale qu'accompagne à ce mème niveau le nerf grand hypoglosse. L'Hyo-glosse comprend de chaque côté deux faisceaux bien distincts : — 4, l’un s’insère en arrière au bord antérieur de l’hyoïde et longe la ligne médiane; — b, l’autre est placé en dehors du précédent et s’insère en arrière, à la fois aux bords antérieurs du corps de l’os et de la petite corne. Il est plus grêle, d’abord aplati et à bords parallèles, puis arrivé au côté de la langue il s'étale en éventail, s’épaissit et confond quelques-uns de ses faisceaux avec le stylo-glosse en dedans duquel il est placé. Le Gémo-glosse épais, bordant de chaque côté la ligne médiane, s’in- sère en avant par un tendon très résistant à l’extrémité postérieure de la symphyse et s'enfonce dans la profondeur de la langue. 38 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. ARTÈRES ET NERFS DE LA LANGUE. — Sur la section de la tête de notre jeune mâle nous avons pu retrouver l’orifice de la carotide externe, coupée au niveau de l’origine de l’artère thyroïdienne. Elle mesure environ 15 millimètres de dia- mètre. Une injection colorée nous a permis de suivre l’artère linguale depuis son origine. Elle est placée d’abord au-dessus de la grande corne de l’hyoïde à quelques centimètres en dedans de la petite corne. Elle se dirige d’arrière en avant et un peu en dehors, à peu près parallèlement à la petite corne et elle est bientôt croisée par le muscle stylo-glosse. Son diamètre est d’en- viron 7 millimètres. De son origine à la base de la langue elle suit un très long parcours qui est d'environ 25 centimètres. Arrivée à la base de la langue l'artère linguale se place d’abord en dedans du stylo-glosse, puis s’inclinant plus encore en dedans elle s'enfonce dans l’épaisseur de l’or- gane. Vers le milieu de son trajet dans la langue elle se divise en deux branches : l’une externe occupe un plan inférieur (branche sublinguale), l’autre plus volumineuse pénètre profondément au milieu des muscles, et à 4 ou 5 centimètres de son point de départ donne naissance à une troi- sième branche qui accuse à peu près la même direction. L’artère lin- guale est peu sinueuse dans les diverses parties de son trajet, fait en rapport avec les mouvements indubitablement très limités de l'organe. Le nerf grand hypoglosse accompagne l'artère depuis son origine jusqu’à la base de la langue. Il est d’abord placé en dehors, puis passant au-dessous d’elle il vient se placer à côté, en dedans. Un peu avant d’arriver à la base de la langue, il abandonne l’artère et se distribue en grande partie dans le muscle génio-glosse. GLANDES SUBLINGUALES. — De chaque côté du frein de Ia langue, au niveau où il se continue avec le tégument de la symphyse, nous trouvons chez notre jeune mâle une cavité qu’on voit très bien en soulevant la langue (PI. XI, fig. 3). Elle est large de 15 millimètres environ, à peu près circulaire, limitée en avant par un repli arqué de la muqueuse. Cette cavité est un vaste crypte au fond duquel on trouve un orifice donnant dans un sac profond de 4 centimètres environ. Ce sac, de chaque côté, est appliqué contre la branche correspondante de la mandibule, et vu la très faible distance qui sépare à ce niveau les deux branches sur le point de se rejoindre, les sacs droit et gauche s’accolent l’un à l’autre sur la ligne RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 39 médiane. Leurs parois internes présentent des replis irréguliers plus abon- dants dans le fond. Une matière pulpeuse jaunâtre recouvre ces parois (1). En avant, sous le pli arqué de la muqueuse existe dans chaque crypte (fig. 3, 6) un orifice de 3 à 4 millimètres de diamètre qui donne dans un autre sac profond de 15 millimètres environ, placé au-dessus du grand sac cor- respondant. Enfin, à côté de l’orifice circulaire des deux cryptes, en dehors et en arrière, existent plusieurs autres orifices. L'un plus grand donne dans un sac profond de 2 centimètres environ, sphérique; d’autres plus petits se voient au voisinage, plus en dehors. A gauche ces derniers orifices sem- blent plus développés qu’à droite et donnent dans une cavité commune. On peut admettre que ces cryptes et les sacs qui les prolongent, repré- sentent des glandes sublinguales (2). Lançue pu Fosrus DE 1,30. — Sur celui-ci la langue mesure 13 centi- mètres de longueur et 43 millimètres de large. Sa partie libre en avant du frein a 35 millimètres de long. Son bord antérieur est un peu irrégu- lier, sans les profondes échancrures que nous venons de signaler chez le jeune mâle. Toutefois, à son extrémité, on observe un prolongement irrégulièrement conique, large de 2 millimètres environ. La surface est lisse. À 55 millimètres du bout, près du bord et de chaque côté, nous trouvons quatre ou cinq papilles blanchâtres, circulaires, mesurant cha- cune À millimètre de diamètre à peine. Elles sont plus saillantes à droite qu’à gauche. De chaque côté, à la base du frein de la langue, nous retrouvons les deux excavations accompagnées de eryptes plus petits, dont il a été ques- tion plus haut. Celle de droite conduit à un sac profond de 5 millimètres ; celle de gauche à un sac qui ne mesure que 4 millimètres. À l’angle antérieur et interne de chaque excavation se voit l’orifice du crypte que nous avons indiqué comme occupant cette place. De plus, en dehors et en arrière des excavations, on retrouve, comme chez notre jeune mäle, de moindres orifices; à gauche, l’un d’eux mesure 2 millimètres de dia- (1) L'état de la pièce n’a permis de retrouver, à l'examen microscopique de cette matière, que des globules de graisse et quelques débris membraneux indéterminables. (2) Nous n'avons trouvé rien de semblable chez deux Daupluns que nous avons étudiés spéciale- ment à ce point de vue. 40 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. mètre; à droite, se montrent également trois orifices semblables, moins larges, comme chez notre jeune mâle (1). ISTHME pu Goster. — Chez notre fœtus de 1°,30, l’isthme du gosier au niveau de l’hyoïde et de l’orifice postérieur des fosses nasales se rétrécit au point de laisser passer à peine deux doigts. Plus loin, au niveau du larynx, l’æsophage tout à coup se renfle beaucoup, en même temps qu’il est légè- rement reporté à droite (2), semblant ainsi décrire une courbe à concavité gauche. C’est la cavité œsophago-laryngienne, traversée de bas en haut par le larynx. Toute la muqueuse en est lisse et blanche (3). A la partie supérieure du renflement œæsophagien, se trouve l’orifice dans lequel s’en- gage le larynx pour pénétrer dans l’arrière-cavité des fosses nasales. Cet ori- fice a des dimensions correspondantes à celles du larynx. Il mesure environ 18 millimètres de large. Il est impossible d’en apprécier exactement la forme, qui doit se mouler sur le larynx et l’embrasser étroitement comme chez le Dauphin. Son bord postérieur est mince, tranchant ; son bord anté- rieur au contraire, épais, musculeux. Chez l’adulte, il n’est pas douteux que l’isthme du gosier puisse livrer passage à des proies volumineuses (4). Les témoignages des pêcheurs sont unanimes pour attester que quand le Cachalot est blessé, on le voit souvent vomir des morceaux de grands poulpes, gros comme le corps d’un homme. Esromac (5). — Nous le déerirons d’abord d’après notre fœtus de 1°,30. Nous ferons suivre notre description faite entièrement dans l’aspect sternal d'indications relatives à la constitution de l’organe chez l’adulle. L’estomac (PI. VIIT, fig. ! et 2), formé de plusieurs renflements, comme chez tous les Cétodontes, s'étend dans l’hypocondre gauche (6). On peut (1) Comme dans le cas sus-mentionné, le contenu de ces sacs glandulaires examiné au mi- croscope n’a permis aucune détermination. (2) Quand on insuffle l’æsophage à ce niveau, il soulève (aspect sternal) la région occupée par le plexus jugulaire droit en même temps que l'extrémité droite du cartilage thyroïde et les muscles qui s’y insèrent. Les muscles allant de la petite corne de l'hyoïde au cartilage thyroïde, aussi bien que ceux qui vont de la base du crâne au cartilage, s’insèrent en même temps sur la paroi œæsophagienne. (3) L’épithélium, sur notre sujet, était détaché; nous l’avons recueilli. (4) Voy. BEALE. (5) Nous avons déjà donné une description sommaire de l’estomac; voy. Poucner et BEAUREGARD, Sur l’estomac du Cachalot, Bull. de la Soc. de Biol., 9 févr. 1889. (6) Il convient de remarquer que le fœtus qui a servi à cette description avait été recueilli tar- divement et ouvert sur place avant d’être mis dansle sel, L’estomac était en très bon état, mais le RECHERCHES SUR LE CACHALOT. JA dire de l'estomac qu'il se présente en avant par sa portion pylorique (fig. 1). On distingue trois gibbosités. — 1° L’une (double renflement pylorique) est en continuité avec l'intestin et divisée extérieurement par un sillon transversal. Cette gibbosité correspond à deux poches (d, c), dont ce sillon indique la limite. La supérieure est en continuité avec l'intestin. Elle est débordée en bas et à gauche par la seconde poche qui la précède immé- diatement dans l’ordre physiologique. — 2° et 3° Les deux autres gibbo- sités (a et b) sont plus en arrière et plus volumineuses. L'une (b) (jabot), globuleuse, apparait au-dessous de la gibbosité antérieure et la rate est appliquée contre elle; l’autre (a) (estomac proprement dit), s'étend au- dessus et à gauche de la gibbosité antérieure et descend du côté gauche en forme de bourse, dépassant de 55 millimètres environ la gibbosité antérieure. Sur cette portion saillante en avant s’insère l’épiploon. L’estomac détaché et envisagé par la face postérieure (dorsale de l’ani- mal), présente deux renflements seulement (fig. 2), la gibbosité antérieure ou ventrale étant complètementmasquée. L’œsophage s'ouvre vers le milieu du renflement droit (jabot), globuleux, contre lequel est appliquée la rate. La dissection montre que les deux gibbosités postérieures appartiennent à une seule et vaste poche, offrant dans ses deux moitiés une structure absolument différente (1); l’une est un jabot, l’autre l’estomac proprement dit. Les deux régions de la même cavité nettement distinctes par leur structure et leurs fonctions, forment ensemble une poche considérable, transversale, arquée, plus dilatée à droite où elle est sphérique, se ter- minant à gauche par un cul-de-sac ayant la forme d’un cylindre obtus; elle mesure 11 centimètres de long et 45 millimètres de large. Comme l'indique déjà ce que nous venons de dire, la structure des parois de cette cavité unique permet de la diviser en deux régions, mais que ne sépare aucun étranglement. La seconde de ces régions est à son tour divisée par un repli très net en deux étages qui ont même structure. On foie avait presque entièrement disparu. Les rapports que nous donnons peuvent par suite être en- tachés de quelque inexactitude. (4) Il est à remarquer que chez le Cachalot les cavités stomacales, même alors qu’elles présentent un orifice de communication très étroit, comme les premier et deuxième renflements duodénaux, n'offrent pas de sphincters puissants, elil en est probablement de même à l’œsophage, ce qui expli- querait ces régurgitations de fragments volumineux de grands poulpes au moment de la mort de l'animal, dont nous parlons plus haut. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 30 série. — IV. 6 42 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. a donc en réalité à considérer trois étages : le premier est le jabot, les deux autres forment l’estomac proprement dit. Le Jabot (premier étage de la cavité commune) est globuleux, sphérique, situé à droite et en arrière. Là s’abouche l’œsophage. Comme celui-ci il est tapissé d’un épithélium pavimenteux (1). Celui-ci cesse subitement contre un léger relief de la muqueuse, qui prend à partir de là un aspect tomenteux. La présence de cet épithélium délimite naturellement la région œsophagienne, des dilatations stomacales et doit lui faire conserver le nom de jabot (2). Ce premier étage est lui-même à peu près divisé en deux régions : en haut un vestibule plus petit où débouche l’œsophage, et plus en arrière et en bas un sac globuleux, séparé du vestibule par un étranglement qu’ac- centue en avant un repli haut de 15 millimètres et qui semble appelé à fonctionner comme une vaste valvule. L’estomac proprement dit se divise, comme nous l'avons indiqué, en deux étages ayant la même structure apparente. L’étage inférieur répond au cul-de-sac formant la gibbosité gauche descendante. Ce cul-de-sac présente dans le fond une surface un peu irrégulière, gaufrée, annon- çant l’apparence qu’elle aura chez l'adulte. Cet étage n’est séparé du supé- rieur que par une crête ou bourrelet saillant de 2 à 3 millimètres, à droite duquel se trouve l’orifice pylorique, conduit musculeux et oblique, abou- tissant au premier renflement duodénal; cet orifice pylorique est complète- ment entouré de replis de la muqueuse, et mesure 3 à 4 millimètres de diamètre. Le conduit lui-même est dirigé d'avant en arrière et de droite à gauche, allant déboucher à l’extrémité gauche du premier renflement duo- dénal (voy. PI. VIIT, fig. 1). Celui-ci correspond à la portion profonde, en partie masquée, de la gibbosité antérieure, en arrière du sillon qu’on voit à sa surface. Une cloison interne correspondant à ce sillon exté- rieur sépare le premier renflement duodénal du second, que continue l’in- testin (voy. PI. VIIE, fig. 1 et 3). Cette cloison est percée d’un très petit orifice transversal de 4 millimètres de. diamètre, à bords amincis, sans (1) Sur notre sujet cet épithélium est détaché par places et plissé mais on le retrouve intact. (2) Voyez Boucarr et Pizuer, Note sur l'estomac du Dauphin, Journ. de l'Anat. et de la Phy- siol., sept.-oct., 1884. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 43 trace d’épaississement musculaire dans le voisinage et qui se montre comme une simple boutonnière (1). L'intérieur du premier renflement duodénal est lisse, de même l’intérieur du second, sauf dans une étendue de 25 millimètres autour de l’orifice en boutonnière, où ilprésente des replis à bords arqués. A l'extrémité droite du second renflement un second orifice de 6 millimètres environ marque le début du duodénum proprement dit (2). Duonénum. — La première portion du duodénum proprement dit a la forme d’une S allongée et placée transversalement, avec la première con- vexité regardant en avant (aspect sternal) et la deuxième en arrière. Au point où cette première portion se termine, l'intestin forme de nouveau une boucle plus serrée en même temps que sa paroi semble présenter un épaississement sensible. Toute cette portion du duodénum va en diminuant légèrement de dia- mètre. Celui-ci, au voisinage du second renflement, est d'environ 18 milli- mètres et plus loin il n’est plus que de 15 millimètres. A l’intérieur, les valvules conniventes sont élevées d’environ 3 millimètres, écartées de 4 millimètres à peu près et à direction circulaire ou un peu oblique. A partir de la boucle plus serrée et de l’épaississement dont nous venons de parler, la muqueuse présente les mêmes plis circulaires, mais moins hauts et plus serrés. (4) Sur la figure 1, pl. VIIT, après avoir ouvert au-dessous du sillon le premier renflement duo- dénal on a relevé et retourné en quelque sorte le lambeau supérieur afin de montrer sa paroi postérieure percée de l’orifice le faisant communiquer avec le second renflement intact sur la préparation représentée et que continue le duodénum proprement dit. (2) Nous ne croyons pas avoir besoin de justifier les dénominations que nous avons données aux diverses parties de l'estomac. Il suffit de se reporter à l'excellent travail de Bourarr et Pizuer (loc. cit.) pour les trouver en parfaite concordance avec leur description de l'estomac du Dauphin. Avec quelques modifications de forme et de situation on peut superposer les deux sché- mas. La superposition serait encore plus exacte, presque rigoureuse, avec la figure donnée par Joan ANDERsON(Zoolog. Results of the two Expeditions to Western Yunnam, Londres, 1878, pl. XX VII, fig. 5) de l’estomac du Plataniste. On ne saurait en réalité voir un pylore dans l’orifice en bou- tonnière qui fait communiquer les deux dilatations terminales, malgré une certaine différence de structure entre elles (voir plus loin); encore moins dans le large orifice par lequel l'intestin con- tinue la dernière. On verra plus loin que chez l’adulte, la structure intestinale avec ses valvules conniventes est déjà manifeste dans le second renflement. Nous devons donc nous borner à signaler comme particularité intéressante, l’absence d’étranglement entre le jabot et l'estomac proprement dit, et par contre l’étranglement considérable (sans sphincter apparent) entre les deux renfle- ments duodénaux. La cloison qui les sépare peut être assimilée à une valvule connivente d’un dé- veloppement exagéré. 44 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. Un peu plus loin, à 30 centimètres environ du second renflement duo- dénal, entre deux valvules conniventes et au niveau d’un très léger renfle- ment de l'intestin qui mesure ici 15 millimètres de diamètre (au lieu de 10 comme pour le reste de sa longueur) se trouve l’ampoule de Vater. C’est une saillie lenticulaire de 3 à 4 millimètres de diamètre, percée d’un orifice à son sommet. Le canal cholédoque, sur un trajet de 35 millimètres envi- ron, est placé dans l’épaisseur de la paroi intestinale et mesure à peu près 3 millimètres de diamètre. [njecté avec une masse solide il forme aussi bien en dedans qu’en dehors une saillie cylindrique. Nous n’avons pu le suivre dégagé de la paroi intestinale que dans un très court trajet (1). Intestin. — L'intestin dans toute sa longueur depuis l’estomac jusqu’au rectum mesure 16 mètres. Il forme une cinquantaine d’anses, les plus lon- gues ayant 22 centimètres, les plus courtes 5 à 6 centimètres seulement. Son diamètre est uniformément de 10 millimètres. Sa paroi interne porte les mêmes plis que le duodénum, sauf qu'ils sont peut-être un peu plus serrés et un peu moins saillants, modification qui s'opère d’ailleurs insen- siblement. Nous n’avons point trouvé de cæcum, mais on distingue assez bien le gros intestin à ce qu’au lieu de former des anses allongées, il n’offre plus que des replis festonnés. Son diamètre est un peu plus large ; enfin son contenu est fortement coloré en brun foncé ce que ne présente point l’in- testin grèle. Bectum. — À 25 centimètres de l’anus, l'intestin prend une direction rectiligne et est maintenant fixé par un étroit mésentère entre les deux reins. Sur 16 centimètres environ de ce parcours il est régulièrement cylin- drique sans augmentation de diamètre. Puis il se dilate brusquement et affecte vers sa terminaison la forme d’un sac allongé mesurant 11 à 12 centimètres de long sur 3 centimètres de large. Ses parois sont épaisses, (1) Nous n’avons trouvé, vu l’état de la pièce, ni le canal pancréatique, ni la glande elle- même, au moins d’une manière certaine. Nous notons seulement des trainées (glandulaires?) qui se voient de part et d'autre du repli mésentérique au niveau de la première anse du duodé- num. Une autre masse divisée en deux lobes épais d'environ 2 centimètres et longs de 3 centi- mètres existe également au même niveau; les deux lobes sont séparés par des ramifications volumineuses de la veine porte et l’un d’eux est traversé par le canal cholédoque. Leur struc- ture glandulaire n’est point d’ailleurs manifeste et l’état de la pièce ne nous a pas permis de la contrôler. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 45 la muqueuse est fortement pigmentée. A l’intérieur sont des masses bru- nes (méconium) comme dans le gros intestin (1). Rare. — La rate est appliquée en bas et un peu à droite contre le jabot (PI. VIII, fig. et 2, r), s'étendant sur la face antérieure et sur la face posté- rieure de celui-ci presque également. Elle est à peu près ovalaire, à grand diamètre transversal. Elle mesure 45 millimètres sur 20 et est épaisse de 8 millimètres environ. Sa couleur sur notre individu conservé dans l'alcool est grisätre, foncée. Sa surface est lisse, marquée d’enfoncements linéaires irréguliers, mais qui ne sont peut-être que le produit des réactions subies par l'organe (2). Hisrozoaie. — L'état des parties sur notre fœtus de 1°,30 ne permettait pas d’en faire une étude histologique complète. Nous nous bornerons aux indications suivantes. L'épithélium du jabot est un épithélium stratifié à cellules polyédriques ; sur les fragments enlevés on voit très bien que la surface du chorion qui supporte cet épithélium est vallonnée; la face profonde de l’épithélium pré- sente de légères saillies à base très large ; à sa face libre existe une couche probablement unique de grandes cellules plates, rappelant un peu l’appa- rence de l’épithélium vésical. La coupe des parois du jabot montre un chorion épais parcouru seulement par quelques gros faisceaux musculaires et en dehors deux cou- ches musculaires dont l’interne est la plus puissante. L'orientation des fragments soumis à la coupe n'ayant point été déterminée, il nous est impossible pour cette préparation et pour les suivantes d'indiquer la direction des fibres des diverses couches. L’estomac proprement dit présente sur la coupe : 1° une surface irrégu- (1) On distingue à l'examen microscopique des granules foncés, verdâtres. (2) La rate, sur l'individu de 16 pieds disséqué par Jackson (Dissection of a Spermaceti Whale, 4845, p. 144) était molle, d’un rouge foncé, quelque peu lobulée, de forme ovale, légèrement aplatie, mesurant environ 10 pouces de long. Il existait une seconde petite rate d'un pouce de diamètre, réunie à la première par des tractus fibreux, et peut-être même y en avait-il plusieurs, comme cela se présente souvent chez les Cétacés. — Sur le même animal, le foie était large, déprimé, régulier, divisé en deux lobes dont le gauche, contrairement à ce qui existe même chez les autres Cétacés, était bien certainement le plus large. Le droit mesurait 24 pouces, le gauche 25 et tout l'organe 34 pouces en largeur. L’organe était épais de 2 pouces, il n’y avait point de traces d’un troisième lobe. Point de vésicule biliaire, ce qui est la règle pour les Cétacés. Le canal cholédoque, dont la paroi interne était rétractée au voisinage du foie, mesurait 1 pouce et demi de diamètre. 46 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. lière (l’épithélium est tombé) ; 2° un chorion dans lequel les fibres muscu- laires forment deux couches. La première, la plus interne est à fibres dis- sociées, formant seulement dans la profondeur quelques faisceaux. La seconde couche, séparée de celle-là par une zone lamineuse, présente des faisceaux à direction perpendiculaire, plus volumineux, plus denses. Plus en dehors sont les deux musculaires proprement dites, l’interne plus développée, comme dans le jabot. Le premier renflement duodénal offre immédiatement à la sur- face du chorion une couche épaisse de fibres-cellules rapprochées, des- sinant une strate parfaitement limitée. La couche sous-jacente de fibres antagonistes ne renferme que de rares faisceaux épars dans le tissu la- mineux. Au-dessous se voient les deux musculaires largement séparées par du tissu lamineux; l’interne est beaucoup plus puissante que l’ex- terne. Le secondrenflement duodénal offre une structure très différente de celle du premier; nous n'avons pas cru toutefois trouver là une raison valable de modifier l'interprétation que nous avons donnée des différentes parties de l'estomac du Cachalot. Sur les coupes, la surface est villeuse. Au-dessous la musculaire muqueuse se présente en deux couches assez peu distinctes, caractère qui se retrouve également sur la musculeuse proprement dite. Il est possible que l’obliquité de nos coupes ait contribué à rendre la dis- tinction des couches moins apparente, mais il est bien certain que les deux couches musculaires ne sont pas séparées ici en leurs parties antago- nistes aussi nettement qu’elles le sont ailleurs. Cette fusion est surtout ac- cusée dans la musculeuse proprement dite. La coupe de l'intestin présente une structure très simple. Le chorion est peu épais, très peu musculaire. La couche interne de la musculeuse est extrèmement épaisse, formée de puissants faisceaux prismatiques aussi hauts que larges. La couche externe mesure à peine le tiers de l’épaisseur de la précédente. ADULTE. —Sur la carcasse de la femelle observée par l’un de nous à La-gens (Pico) le lendemain du travail de l'enlèvement du lard, les deux ren- flements duodénaux gros comme la panse dilatée d’un bœuf étaient gonflés de gaz et saillants par une vaste plaie faite à l'abdomen. Nous trouvons RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 47 leur paroi interne lisse, avec de petites arborisations brunûtres, figurant une sorte de dendrite confuse. La cavité est exclusivement remplie par des gaz et par un liquide opaque gris rosé. Le cul-de-sac stomacal saillant en avant et à gauche des renflements duodénaux, est gros presque comme le corps d’un homme. Il est plein de débris de Céphalopodes dont les becs adhérent à ses parois et de vers nématodes (1), sans liquide. L’intestin grêle est gros environ comme le bras, à parois extrèmement épaisses. Le contenu est jaune. On y trouve des becs de Céphalopodes et des fragments de plumes de Calmar à peu près dans le même état que dans l'estomac. Le contenu du rectum est vert (2); l’anus n’était point intact, ayant été entamé la veille par le travail d'enlèvement du lard plutôt que pour y cher- cher l’ambre, qu’on ne trouve pas en général sur les Cachalots tués aux Açores. Nous n’avons pu d’ailleurs nous rendre compte de la manière dont la section avait été faite. Nous pouvons compléter en partie les indications précédentes au moyen d’un certain nombre de pièces dont les unes nous avaientété envoyées par les soins infatigables de M. le consul Dabney (elles provenaient d’une femelle adulte) (3); et dont les autres ont été prélevées par nous-mêmes sur le Cachalot mâle échoué à l'ile de Ré le 28 janvier 1890. Le fond de l’estomac proprement dit (4) offre une plicature toute spéciale, à plis pressés, s’entre-croisanten tous sens et se développant par places en lames qui ont jusqu'à 5 centimètres de hauteur. Toutefois, la plupart (4) Nous trouvons dans cet estomac : 1° des becs de Céphalopodes de toute dimension, de très grands et de très petits ; 2° des cristallins de Céphalopodes à tous les états de digestion. Ils étaient tous d’une belle couleur rouge qui a disparu dans l'alcool; 3° un très grand nombre d’Ascarides mêlés aux becs et aux cristallins de Céphalopodes. Ils ont été triés à part et on en a ainsi recueilli plus d'un demi-litre; 4° un hamecon; 5° un Pyrosome; 6° des fragments nombreux de plumes de Calmar dont la substance parait avoir subi un commencement de digestion; 7° des fragments organiques indéterminés (provenant de Céphalopodes?). Nous reviendrons ailleurs sur ces résidus d'aliments et sur ces parasites. (2) Cette coloration verte était tellement accusée, que la voyant sur la carcasse au voisinage de l'anus, nous l’avions attribuée au contact d'herbes marines. (3) Elles avaient été prélevées et étiquetées sous le contrôle d’un docteur en médecine américain, mises fraiches dans le sel et plus tard conservées dans l’alcool. (4) La pièce qui nous a servi pour cette description provient de M. Dabney. Elle mesure 55 centimètres de long sur autant de large; sa paroi est épaisse de 6 millimètres environ. Elle figure au Cabinet d'anatomie sous Le n° A 6110. 48 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. n’ont que la moitié de cette dimension. Les aréoles qu’elles limitent sont très irrégulières de forme et de grandeur; les unes sont triangulaires, les autres rectangulaires; elles peuvent avoir jusqu’à 4 et 5 centimètres de large. Leur fond est lui-même occupé par des plis très bas délimitant de petites fossettes elliptiques mesurant environ 2 millimètres de dia- mètre (1). C’est dans ces plis que sont plus ou moins engagés des becs de Cépha- lopodes, quelques-uns même ont complètement perforé les plis. Sur notre Cachalot de l’île de Ré, qui était cependant en pleine putré- faction, nous avons retrouvé dans un état de conservation relatif les deux renflements duodénaux et le duodénum proprement dit jusqu’au delà de l’ampoule de Vater. Une ligature avait été malheureusement placée sur la communication de l'estomac et du premier renflement duodénal. Cette communication, garnie de plis comme le montre notre figure de l'embryon, nous a paru de diamètre à laisser passer la main. Le premier renflement duodénal se présente avec les dimensions et les caractères qui nous avaient frappés à Lagens. C’est une cavité consi- dérable, lisse à l’intérieur. Sa paroi est noirâtre, mais sans doute par l’effet de la putréfaction (2). Nous trouvons dans cette cavité une quantité de becs de Céphalopodes, roulés, broyés, mais dont la présence en aussi grand nombre à cette place est certainement accidentelle (3). Ils sont accompagnés d’un nombre considérable d’anneaux denticulés, paraissant, en raison de leur forme et de leur dimension, provenir des ventouses de Ommastrophes sagittatus, d'Orb. L’orifice de communication du premier avec le second renflement duo- (1) Nous devons à M. Prurles indications histologiques suivantes sur cet estomac: « Très larges glandes perpendiculaires à la muqueuse, plongeant au-dessous d’une couche de tissu conjonctif sous-épithélial et isolées les unes des autres par du tissu lamineux. La musculaire muqueuse manque (?). Grands espaces lymphatiques. Tunique musculaire propre peu développée. » Comparer la description histologique que nous avons donnée plus haut (p. 46) de la paroi du même estomac. M. Pizrer suppose aussi que les glandes de cette région n’offriraient, comme chez les Ichthyopsides, que des cellules bordantes, les cellules principales faisant défaut (Voir Prczrer : La structure du tube digestif de quelques poissons de mer (Bull. Soc. Zool. de France, t. X, 1885). (2) Comparer ce que nous disons plus haut des mêmes parties à propos du Cachalot observé par l’un de nous à Lagens. (3) IL semble que du sable ait pénétré jusque dans cet estomac et que e’est à lui que soit due l'usure des becs de Céphalopodes, tandis que ceux qu'on trouve plus loin dans les voies diges- tives sont intacts. RECHERCHES SUR LE GACHALOT. 49 dénal est en forme d’une boutonnière un peu allongée, à bords arrondis, située au centre d’un certain nombre de plis peu marqués d’ailleurs (PI. VIII, fig. 3); il est large à laisser passer le doigt. On ne sent à son niveau aucun renforcement musculaire (1). La paroi du second renflement duodénal est lisse comme celle du pre- mier. Toutefois on voit les plis commencer vers l’orifice de communication avec le duodénum proprement dit (2). L’orifice duodénal est large à laisser passer la main avec tous les doigts écartés, c’est-à-dire qu'il mesure de 15 à 18 centimètres. Il existe à ce niveau plusieurs replis très accusés; la muqueuse, tout au début du duodénum, est très noire, sans doute par suite de la putréfaction. Le duodénum, au delà, est très large; sa muqueuse étalée mesure 35 centi- mètres. Il est, jusqu’à l’ampoule de Vater, plusieurs fois recourbé sur lui- même, comme nous l’avons décrit chez le fætus, et dans certains endroits complètement replié à angle droit. On peut, en conséquence, après l'avoir ouvert et en raison des plis formés par ces changements de direc- tion, le diviser en plusieurs régions, bien qu’elles ne constituent pas des régions anatomiques distinctes, sauf en raison de leur direction. La 1" mesure 52 centimètres. — La 2°, 65 centimètres ; le duodénum diminue de diamètre au point que sa paroi étalée tombe à 18 centimètres de large, puis presque aussitôt (à 20 centimètres du repli) présente une nouvelle dilatation et sa paroi étalée mesure de nouveau 39 centimètres. Survient alors une seconde diminution de diamètre; en même temps le duodénum prend une teinte plus grise. Comme la précédente, cette région présente non pas des (1) Voy. plus haut, p. 43, note 2. (2) Cette disposition est également très visible sur une pièce qui nous avait été ‘adressée par M. Dabney, portant le n° VIIL, avec cette mention : « Estomac et intestin. » L'orifice de communica- tion sur cette pièce, qui provient d’une femelle, mesure 14 centimètres. Du côté du renflement duodénal se voient des plis très hauts (6 à 8 centimètres) et très minces, disposés à peu près paral- lèlement dans la région anguleuse voisine de l’orifice. D’autres, moins élevés, existent sur le début de la portion duodénale proprement dite. — Nous devons à M. Pirzxr les indications histologiques suivantes : « Villosités très développées et glandes qui paraissent diminuer et se réduire à me= sure que les villosités s’accroissent. Tissu conjonctif de la muqueuse épais; musculaire muqueuse très développée. Tunique musculaire propre à deux couches distinctes, l'interne plus développée que l’externe. Toutes deux offrent une disposition des fibres lisses qui rappelle celle des faisceaux de fibres striées. » Comparez la description histologique que nous avons donnée plus haut (voir p: 46) d’après notre fœtus de 1",30, chez lequel toutefois les deux zones de la musculaire n’é- taient pas bien distinctes. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3e série, — IV, 7 50 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. valvules conniventes, mais des plis minces, hauts de 10 à 15 millimètres et espacés de 2 à 4 centimètres. Un pli très accusé sépare cette région de la suivante. — La 3° région, mesure 50 centimètres. L'aspect de la mu- queuse reste le mème, toutefois les plis sont plus épais et progressivement prennent le caractère de valvules conniventes. La muqueuse étalée mesure 25 centimètres de large. — La 4° région, 35 centimètres. Mêmes carac- tères que la précédente; mais le diamètre de l'intestin diminue. Sa paroi étalée ne mesure que 18 centimètres. — La 5° région, 65 centimètres. Dans la seconde moitié de cette région la muqueuse, qui était grise plus haut, est devenue d’un jaune franc; les valvules conniventes sont plus rap- prochées; la muqueuse étalée ne mesure plus que 15 centimètres de large. À 60 centimètres au delà du pli par lequel se termine cette cinquième région, se trouve l’ampoule de Vater. Nous ne remarquons pas que la cavité de l'intestin, à ce niveau, soit plus large. L'ampoule de Vater (PI. IX, fig. 3, v) se présente sous la forme d’un doigt de gant coupé à l'extrémité et faisant une saillie de 2 centimètres environ dans l'intestin. Ses parois sont minces, molles et comme flottantes. L’orifice termine un canal de même diamètre. Quand on y fait pénétrer une injection, on le voit faire saillie sur la paroi de l'intestin dont les valvules conniventes s’effacent à son niveau. Il est logé dans la paroi même de l'intestin du côté de l’attache mésentérique, sur une longueur de 20 centimètres environ. En se reportant aux mesures données plus haut on voit que l’ampoule de Vater est à 3°,27 de l’orifice de sortie du second renflement duodénal. Notre pièce nous donne le canal cholédoque (PI. IX, fig. 1 à 3) sur une longueur de 30 centimètres environ, au delà des 20 centimètres dans la paroi de l'intestin. Au point où il est sectionné il devait faire un coude très accusé. Il se trouve au voisinage immédiat et presque en contact avec la portion élargie du duodénum faisant suite à la seconde dilatation duo- dénale. Il est plongé dans un tissu passablement dense mêlé de vaisseaux et de graisse, qui est certainement le pancréas. Ses parois, au point où il est seclionné, sont épaisses de 4 à 5 millimètres et lui-même mesure au moins à centimètres de diamètre. Mais celui-ci diminue progressivement RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 51 jusqu’au point où le canal s’enfonce dans les tuniques intestinales, et n’a plus, comme on l’a vu, que le diamètre d’un doigt de gant. La muqueuse du conduit est brune et présente une surface inégalement réticulée (1). A 15 centimètres environ au-dessus du point où il pénètre dans les tuni- ques intestinales, le canal cholédoque présente le principal abouchement des conduits pancréatiques (PI. IX, fig. 2). Celui-ci a la forme d’un large orifice à bords arrondis permettant aisément le passage du doigt. Il donne dans une excavation dont nous parlerons plus loin. Autour de cet orifice principal et considérable, au-dessus et au-dessous de lui, jusqu’à 10 cen- timètres de distance nous voyons six autres orifices de conduits pancréati- ques de différents diamètres, depuis celui d’une plume de corbeau jusqu’à celui du doigt d’un enfant nouveau-né. Ces orifices offrent toutefois ceci de particulier qu'ils s’ouvrent obliquement dans le canal cholédoque, ce qui n’est pas le cas pour l’orifice principal. Il semble parfois que les conduits pancréatiques qui aboutissent à ces orifices soient plus larges qu’eux. La cavité dans laquelle on pénètre par l’orifice pancréatique principal (a, fig. 2) a environ le volume d’une noix. Elle paraît tapissée par une muqueuse en tout semblable à celle du canal cholédoque. Elle recoit plu- sieurs conduits pancréatiques. Nous suivons le plus important sur une étendue de près de 20 centimètres. Ses parois sont résistantes, rappelant l'apparence des artères. Il a rapidement augmenté de diamètre à mesure qu'il reçoit d’autres conduits et prend finalement auprès de l’ampoule le volume du doigt. Il décrit des anses très accusées, mais une dernière surtout remarquable (voy. la fig. 1, b), car après avoir dépassé le niveau de l’ampoule il se replie complètement sur lui-même pour venir s’y abou- cher après un trajet rétrograde de 2 à 3 centimètres. Recruu er ANUS (PI. VIII, fig. 4). — Nous avons reçu des Açores par l’in- termédiaire obligeante de M. Dabney un anus et la partie annexe de l’in- testin, prélevés spécialement pour nous sur une femelle et qui nous sont arrivés en parfait état. La peau a été détachée autour de l’anus, l'intestin lié et le tout placé dans le sel. La saumure arrive colorée en noir foncé, (1) Quelques coupes pratiquées malgré l’état peu favorable de la pièce, montrent que les diver- ticules doivent y être très abondants et très ramifiés. 52 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. évidemment par le contenu liquide de l’intestin. La pièce a été photogra- phiée. Elle mesure, dans son entier, 55 centimètres de long. L’anus se présente sous l'apparence d’une sorte de rosace formée de tubereules un peu saillants ; l’ensemble mesure 12 centimètres de diamètre. La pièce comprend deux portions nettement distinctes de l'intestin que nous désignerons par les noms de rectale et d’anale. La paroi de la portion rectale fendue et étalée, mesure 32 centimètres, tandis que la portion anale, longue de 20 centimètres, n’a que le diamètre du bras d’un homme. La première est relevée de plis irréguliers qui se continuent avec 5 ou 6 plis parallèles gros comme le doigt sur la portion anale. Au niveau de la rosace le diamètre de l’ouverture anale paraït encore plus étroit et semble ne laisser passage qu’au doigt. Toute cette partie de l’intestin, la portion rectale comme la portion anale, présente une muqueuse dermoïde recouverte par un épiderme extrêmement épais qui s'exfolie en lamelles. Ces caractères sont surtout accusés dans la portion rectale, où cet épiderme mesure 1 millimètre d'épaisseur. Cette dernière partie de l'intestin présente dans toute sa hauteur un muscle annulaire (sphincter interne ?) qui mesure environ 2 à3 millimètres d'épaisseur. La lame musculaire qu'il forme, est à 1 centimètre au- dessous de la surface de la muqueuse. Dans les deux tiers inférieurs de son étendue cette lame musculaire est encore doublée extérieurement par un muscle à faisceaux dissociés (sphincter externe ?) qui augmentent de diamètre jusqu’à la marge de l'anus. On remarquera cette étendue considérable de la muqueuse dermoïde, qui remonte chez le Cachalot à une hauteur que la pièce ne nous permet pas de déterminer, mais qui dépasse certainement 95 centimètres (1). On doit supposer que l’ambre, lorsqu'il en existe, est arrêté dans cet (1) On sait que chez l'Homme c’est seulement à une hauteur de 5 à 8 millimètres de l'insertion des bourrelets formant la marge de l’anus que la peau fait place subitement à la muqueuse intes- tinale (voy. Rogin et Caprar, Sur la structure et les rapports des téguments au niveau de leur jonction dans les régions anale, vulvaire et du canal utérin : Journ. de l'Anat. et de la Physiol., nov.-déc. 1874). En ce qui concerne les Cétacés, Rarp (1837, Die Cetaceen) reconnaît dans le rectum des Dauphins un épithélium; Anperson (1878, Expeditions to Western Yunnan) décrit nettement la portion dermoïde du rectum chez Platanista gangetica : « Six inches from the vent, the character of the mucous membrane entirely and suddenly changes, the line of separation being clearly indicated in the different character of the two membranes, the rectal portion is coarse and more yellow in color... » RECHERCHES SUR LE CACHALOT. D3 élargissement constitué par l’avant-dernière portion du rectum, au-dessus de la dernière portion brusquement rétrécie. Les coupes microscopiques montrent dans toute cette région l’épiderme s’enfonçant entre des papilles obtuses plus courtes dans la portion élargie du rectum que dans la portion rétrécie. De plus, on constate sur les coupes de la région anale au-dessous de la muqueuse un plan irrégulier, formé de faisceaux de fibres élastiques (1). Histoire de nos connaissances sur l'appareil digestif. 1787. Hunter (Philosoph. Transact.) commet certainement une méprise en décrivant la langue de la Baleine spermaceti : « Almost like a feather bed », comparaison qui s’ap- plique au contraire très bien à la langue des Balénides. 1829. D'après Woops (Magaz. of Nat. Hist., p. 200), Gould qui était venu préparer le Ca- chalot échoué sur la côte de Kent aurait trouvé l'estomac « simple ». 1839. Selon BEaze (The Natural History of the Sperm Whale) l'isthme du gosier du Cachalot pourrait laisser passer le corps d'un homme. Beale ne parait pas se douter qu'il est divisé par le larynx en deux couloirs, droit et gauche. Beale décrit le rectum « glandular, covered by a soft cuticule ». 1842. J.-B.-S. Jackson (Dissect. of a Spermaceti Whale, Boston Journal of Natural History) donne sur le jeune individu long de 16 pieds, pris dans Vineyard Sund près de Nantucket le 29 mars 1842, la première description exacte de la langue et de l’ensemble du canal intestinal avec une figure suffisante de l'estomac d'après un dessin du D' J. Wyman. JACKSON compte à l’estomac trois cavités, la première (jabot) s'étend jusqu'au point où le chorion et l’épiderme œsophagien cessent abruptement ; là, dit-il, la seconde cavité (esto- mac) est censée commencer. La troisième cavité (premier renflement duodénal) commu- nique par un orifice extrêmement étroit avec une autre dilatation considérable (deu- xième renflement duodénal), «the two appearing not unlike one cavity divided by a septum, « through the centre of which a small cireular hole had been punched. » Jackson décrit aussi le rectum : «No mucous follicles mere seen here, nor indeed in any part of the intes- « tine, except a few very small ones in the rectum, and yet it was impossible not to regard « this as a glandular structure, analogous, perhaps, to the Peyerian; the mucous mem- « brane throughout the last 20 or 25 feet wass mooth. » 1889. Nous donnons (Bull. Soc. de biologie, 9 février) la description sommaire de l’es- tomac. IX. — APPAREIL DE LA RESPIRATION. Pour les organes respiratoires comme pour l'appareil digestif, nous prendrons comme point de départ de notre description le fœtus de 1,30. (1) Sur les coupes transversales, la disposition de ces faisceaux élastiques parallèles et com- plètement isolés les uns des autres, offre un aspect très particulier et qui pourrait facilement induire en erreur sur la nature du tissu examiné. 54 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. Nous la ferons suivre des particularités observées sur des pièces provenant d'animaux adultes. Rappelons que la description des narines et de l’évent a déjà été donnée (Voy. ci-dessus, p. 15 et suiv.). Fœtus de 1“,30. — Les deux poumons sont de forme ovoïde, non partagés en lobes (1). Ils paraissent fortement rejetés en arrière, leurs bords antérieurs dépassant à peine en avant les oreillettes. La trachée est déprimée, comme l’avait reconnu Jackson; ses anneaux sont complets. Inté- rieurement, la muqueuse qui la tapisse est plissée. Il y a deux bronches à droite, placées l’une au-dessus de l’autre (aspect stermal), et s’ouvrant dans la trachée par deux orifices distincts (2). L’inférieure (bronche prinei- pale) est la plus grosse et rigoureusement symétrique de la bronche gauche. La bronche accessoire (3) se rend au sommet même du poumon droit. Les mesures suivantes sont celles que nous relevons sur ce fœtus de 1°,30 : Diamètre de la trachée (aplatie sur elle-même)............... 0,026 Pongueuride la bronChetroitePERERERTERCE PERRET EEE EEE 0 ,046 — — COTON oconed oc vecoocomosocenoon 0 ,049 Largeur de la bronche droite principale ..................... 0 ,014 — — MACON cobcoodoosoco0ococos 0 ,010 — — CAUCHÉ EEE Ce Me ECC TT 0 ,016 Longueur dupoumon droit rer er eee eee E eee ee ee rec 0 ,143 Largeur — =. vS0b00000dooo0aodooooeboooonove 0 ,073 Longueur — FCO so soc osoodonoo dons oo do 0 ,120 Largeur — AV oocodemecceoenes oo dond00.00 0 ,076 ÉPAlSSEURITESDOUMONS AE EEE ee Environ 0 ,027 La région saillante du larynx engagée chez le vivant dans l’orifice pala- tin a la forme générale de celle des Cétodontes (4). Cette portion saillante mesure 29 millimètres de haut et autant de large. La glande thyroïde repose sur le cartilage ericoïde. C’est une masse (1) A la partie supérieure et antérieure (aspect sternal) du poumon gauche est attachée une sorte d’auricule mince, lamelleuse, longue de 4 centimètres environ sur 2, étroitement appliquée contre le poumon et d'autre part libre dans la plèvre. Il semble difficile d’y voir un lobe, l’état de la pièce ne permet pas d'ailleurs d’en apprécier au juste la signification. (2) Jackson, Dissection ofa Spermaceti Whale, 1842, décrit la bronche accessoire comme branche de la principale, commençant, dit-il « just at its origin rather than from the trachea ». (3) BeaurecarD et Bouzarr, Journ. de l’Anat. et de la Physiologie, t. XVIII, p. 623, la nomment «bronche supplémentaire ».—Max Weger, Studien über Saügethiere, 1886, propose la dénomination de « bronche trachéenne ». Nous adoptons le nom plus ancien de bronche accessoire donné par DE Sancris, loc. cit., 1881. (4) Le larynx nous a paru sur notre sujet un peu tordu sur lui-même mais peut-être n’élait-ce qu'une altération cadavérique. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. DD aplatie et lobée; ses lobes, un droit et un gauche, sont reliés sur la ligne médiane par une sorte de pont de tissu glandulaire contourné en S. Le lobe droit, bifide en haut, est le plus développé; le gauche est entier, à contour irrégulièrement circulaire. Sur notre sujet nous trouvons appliquées à droïte et à gauche sur la veine cave supérieure, des masses glandulaires irrégulièrement arrondies qui se touchent sur la ligne médiane, et que nous considérons comme le /ymus. La masse droite reçoit à la face antérieure (aspect ventral), une artère volumineuse, qui naït du point même où la carotide primitive se divise en ses deux branches interne et externe. Arrière-cavité des fosses nasales (PI. VI, fig. 3). — La longueur totale de l’arrière-cavité des fosses nasales, depuis le fond du cul-de-sac, en arrière du bord de l’orifice qui recoit le larynx, jusqu’à sa partie antérieure, mesure 13 centimètres. Sa paroi est lisse, mais l’aspect de la muqueuse permet d'y distinguer deux régions bien distinctes, leur limite correspon- dant exactement au niveau du bord postérieur des fosses nasales osseuses. Soit une région postérieure el une région antérieure. La région postérieure a des parois épaisses surtout à sa face inférieure, où elles mesurent sur la ligne médiane 5 millimètres. C’est sur cette paroi, autant que sur la paroi œsophagienne, que viennent se distribuer les fibres antérieures des muscles cérato-palatin et naso-thyroïdien. La région antérieure présente une muqueuse beaucoup plus lisse qu’en arrière. À la face supérieure s'ouvrent les deux fosses dont les orifices se continuent par des sortes de gouttières séparées elles-mêmes par une crête sous laquelle on sent les os du crâne. La narine droite mesure environ 5 millimètres de diamètre. La narine gauche, beaucoup plus large, ovale, ayant 20 millimètres de grand diamètre, s'enfonce obliquement en avant. Muscles de l'hyoïide (PI. XI, fig. 1). — Ils présentent la même dispo- sition générale que chez les Marsouins. Nous les décrivons dans l’aspect sternal. Ou trouve sous la peau de la région du cou, de chaque côté de la ligne médiane, un large et épais plan musculaire à fibres parallèles à l’axe du corps, c’est le serno-hyoidien. Il s’insère en bas au bord supérieur et à la 56 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. face antérieure du sternum ; en haut au bord supérieur et à la face anté- rieure de l’hyoïde. À ce même niveau, les extrémités inférieures des fibres du #ylo-hyoidien forment un plan contmuant le sterno-hyoïdien. En haut le mylo-hyoïdien vient se fixer de chaque côté au bord antérieur (aspect sternal) de la branche correspondante de la mandibule. L'insertion commence à 3 ou 4 centimè- tres au-delà du condyle, et se termine à 3 ou 4 centimètres également de la symphyse. IL est à remarquer que les deux sterno-hyoïdiens ainsi que les deux mylo-hyoïdiens se confondent presque complètement sur la ligne médiane, formant une large nappe musculaire, étalée devant toute la région du cou, comme l'avait déjà décrite Cuvrer sur le Marsouin. En arrière du sterno-hyoïdien, on dégage facilement un épais cordon musculaire fusiforme, dont les fibres dirigées obliquement de dedans en dehors, et de bas en haut, vont du sternum au voisinage de la bulle tympanique. C’est le séerno-mastoïdien. 11 complète en dehors le plan musculaire ventral de la région du cou. Quand on a divisé par le milieu les deux muscles qui précèdent et relevé leurs extrémités, on aperçoit une seconde couche musculaire que nous allons maintenant décrire. C’est d’abord le s{erno-thyroïidien, triangulaire, placé immédiatement en dedans du sterno-mastoïdien et sur un plan un peu plus profond ; il s’insère au bord supérieur du sternum, où ses Insertions se confondent avec celles du sterno-hyoïdien. Son sommet se prolonge en haut, par un tendon peu épais, venant se fixer, à l’aile du cartilage thyroïde. Ce muscle est continué en quelque sorte par le #hyro-hyoïidien, ruban musculaire peu épais, s’insérant en bas à toute la région externe de l’aile du cartilage thyroïde, immédiatement en avant de l'insertion du muscle précédent. En haut il s’attache à la face antérieure du corps de l’hyoïde, près de son bord inférieur. Les deux insertions des thyro-hyoïdiens sont séparées par la masse saillante et médiane du cartilage thyroïde. Le crico-thyroïidien très peu épais, parait moins développé que chez le Marsouin. Il forme une lame musculaire oblique de dedans en dehors et de bas en haut, insérée en bas à la face antérieure du ericoïde; en haut ses RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 57 fibres divergentes s’insèrent au bord inférieur du cartilage thyroïde et à tout le bord antérieur de sa corne. L’aryténo-hyoïdien est médian et situé sur un plan plus profond que les muscles précédents. C’est une lame musculaire, qui prend insertion en bas, sur l’extrémité inférieure des cartilages aryténoïdes et qui va en haut s’insérer à toute la face postérieure (aspect sternal) du corps de l’hyoïde (1). Quand on écarte les cornes postérieures de l’hyoïde des antérieures, on voit qu'elles sont unies l’une à l’autre par un plan de fibres muscu- laires. C’est le muscle séylo-hyoïdien. Il est court et large, ses fibres se portent en effet de tout le bord inférieur (aspect sternal) des petites cornes au bord inférieur des grandes cornes et aussi à leur face postérieure. Tout à fait au voisinage du musele précédent, mais n’appartenant plus à l’hyoïde, nous devons décrire un muscle triangulaire, à direction à peu près transversale, que nous appellerons masto-thyroïdien. Il s'insère d une part à la région mastoïde, au-dessus de l'extrémité supérieure du plexus jugulaire, immédiatement en arrière de la région de la bulle, sur laquelle repose le cartilage styloïde unissant la petite corne de l’hyoïde à la bulle. De là, ses fibres disposées en éventail vont pour une part s’in- sérer au bord externe de l’aile du cartilage thyroïde, en dehors des inser- tions combinées du sterno-thyroïdien et du thyro-hyoïdien, tandis que les plus inférieures se recourbent en bas pour descendre sur l’œsophage. La nappe musculaire allant au cartilage thyroïde, est traversée par un nerf émané du pneumogastrique, au moment où celui-ci croise les branches de la carotide enveloppées par le plexus jugulaire (PI. XI, fig. 1). La petite corne de l’hyoïde, outre le stylo-hyoïdien déjà décrit, donne insertion à deux muscles, le stylo-glosse et le stylo-pharyngien. Le séylo- glosse a été décrit avec la langue. Voy. p. 37. Nous décrivons sous le nom de s/ylo-pharyngien un muscle court et triangulaire, à direction oblique de haut en bas et de dehors en dedans, qui s’attache par une insertion très nette à l'extrémité inférieure de la petite corne, immédiatement en avant du point où elle se continue avec son pro- (1) Nous n’avons pas retrouvé ce muscle chez le Marsouin. Son existence est d’autant plus inté- ressante à noter que, suivant Cuvier (Anat. comp., 4° partie, p. 481, 1835), « le caractère principal « de l’hyoïde des Cétacés de tout régime est d’avoir peu de liaison et même pas du tout avec le « larynx... ». NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3e série. — IV. 8 ÿ8 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. longement cartilagineux. De là, les fibres un peu étalées en éventail vont tomber à cheval sur un large plan musculaire, que nous allons décrire sous le nom de pharyngo-staphylin. Nous donnons ce nom de pharyngo-staphylin à un muscle de la région pharyngienne qui s'étend, de chaque côté, de l’os ptérygoïde à l’æsophage, qu'il enveloppe latéralement pour venir s’insérer au bord supérieur de l’aile du cartilage thyroïde. Ce muscle nous parait avoir des auxiliaires, mais qu'il nous a été impossible d'étudier, vu l’état de la pièce. JEUNE MALE. — Nous avons pu étudier l’arrière-cavité des fosses nasales sur la tête de notre premier jeune (ÿ. Elle forme un conduit à peu près cylindrique, dont l’orifice inférieur, large de 5 centimètres environ, est nettement limité par un repli de la muqueuse en bourrelet. Ce bourrelet, haut de 25°” destiné, comme chez les Dauphins, à embrasser étroitement la portion du , offre une couche musculaire épaisse, formant un sphincter larynx qui pénètre dans l’arrière-cavité et à occlure hermétiquement celle-ci. La portion du larynx qui pénètre dans l’arrière-cavité des fosses nasales mesure 12 centimètres. La muqueuse de l’arrière-cavité est sillonnée de plis longitudinaux, pro- fonds et irréguliers. De chaque côté, à la face postérieure (aspect sternal) du conduit, se voit l’orifice de la trompe d’Eustache (voir plus loin) à une distance de 12 centimètres du sphincter. Au-dessus de ce point, la muqueuse des fosses nasales devient à peu près lisse. ADULTE. — Sur l'individu de l’île de Ré nous avons prélevé le larynx et la plus grande partie de la muqueuse de l’arrière-cavité des fosses nasales. Le sphincter, très puissant, correspond à un bourrelet haut de 4 centimètres. La largeur de l’arrière-cavité atteint 19 centimètres et les or1- fices des trompes d’'Eustache sont à 27 centimètres au-dessus du sphincter. La portion du larynx engagée dans l’arrière-cavité des fosses nasales ne mesure pas moins de 24 centimètres de long. Larynxæ (PI. IT, fig. 1). — Nous le décrirons d’après le larynx du Cachalot de l’île de Ré (1). La pièce est complète. Elle a été prélevée avec (1) Nous avons de plus en notre possession l'extrémité supérieure du larynx d’une femelle adulte et celle du larynx de notre premier jeune mâle, mais ces pièces sectionnées au niveau des carti- lages n’offrent aucune particularité qui puisse motiver une description spéciale. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 29 la muqueuse du pharynx et des arrière-narines de telle sorte qu'il est pos- sible de rétablir les rapports exacts de l’appareil. La partie du larynx qui traverse le pharynx et pénètre dans l’arrière-cavité des fosses nasales, représente une sorte de colonne conique haute de 25 à 30 centimètres. Elle partage le pharynx en deux couloirs : le gauche est beaucoup plus spacieux que le droit. La colonne laryngienne est comprimée latérale- ment. Ses faces latérales mesurent 19 centimètres de large dans leur région moyenne; ses faces antérieure et postérieure 8 centimètres seule- ment. À son extrémité, elle se dilate pour former les deux lèvres de la glotte. L’orifice de celle-ci mesure 13 centimètres. Il figure une ligne sinueuse présentant trois courbures successives. Les lèvres en sont formées : l’antérieure par l’épiglotte, la postérieure par les extrémités des aryté- noïdes. L'une et l’autre sont épaisses; l’antérieure ne dépasse pas sensi- blement la postérieure, toutefois elle offre en son milieu une forte saillie mesurant près de 3 centimètres de diamètre qui proémine dans l’orifice glottique et sert peut-être à l'occlusion. Cette saillie est l'extrémité d’une haute crête longitudinale qui s’étend dans le tube laryngien sur toute la longueur de sa paroi antérieure. De chaque côté de la saillie en question, la lèvre antérieure offre une profonde dépression. D'autre part, la lèvre postérieure présente en son milieu une concavité prononcée qui, lorsque les deux lèvres s'affrontent, embrasse exactement le tubercule de la lèvre antérieure. Deux épaississements latéraux répondent de même aux dépressions de la lèvre antérieure. Quand on a disséqué la muqueuse qui recouvre la colonne laryngienne, on trouve les cartilages qui la composent, enveloppés dans un épais péri- chondre fibreux d’une grande densité, qui après dissection laisse à nu un cartilage à surface rugueuse. Ces cartilages sont : antérieurement le car- tilage épiglottique, postérieurement les cartilages de Santorini. Nous pou- vons en conséquence dénommer la colonne laryngienne, colonne aryténo- épiglottique. 1° Le cartilage épiglottique est une pièce impaire, considérablement développée, mesurant 45 centimètres de long. Sa forme est très irré- gulière, rappelant une pyramide triangulaire. Son sommet répond au 60 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. tubercule de la lèvre antérieure de la glotte. Dans les deux tiers inférieurs du cartilage ses faces latérales élargies mesurent 15 à 16 centimètres, elles s'unissent à angle sur la ligne médiane. Toute cette région est profon- dément sillonnée d’excavations irrégulières, obliques ; on dirait des anneaux cartilagineux qui se seraient confondus en une pièce unique. Dans son tiers supérieur, le cartilage épiglottique est à peu près cylindrique et ne mesure plus que 6 à 7 centimètres de diamètre. C’est insensiblement que se fait le passage de la forme pyramidale de la base à la forme cylindrique du sommet. La face laryngienne est concave dans toute son étendue, mais relevée sur la ligne médiane, d’une crête haute de près de 3 centimètres, que termine l’épaississement médian de la lèvre épiglottique. Cette crête recouverte par la muqueuse du larynx, y détermine de chaque côté une profonde rainure du diamètre du pouce à peu près. Il nous reste à décrire comment se comporte le cartilage épiglottique pour former la lèvre antérieure de la glotte. On le voit à son extrémité s’étaler latéralement un peu à la façon du bord libre d’un pétale de fleur, puis il se replie en avant sur lui-même et ce repli, recouvert seulement par la muqueuse, se termine en un bord déchiqueté qu'une figure fera mieux connaître que toute description (PI. III, fig. 3). Entre ce repli et le corps du cartilage existe une épaisse couche de tissu fibreux; on pourrait comparer la lèvre épiglottique à une gouttière carülagineuse bourrée de tissu fibreux et recouverte par la muqueuse. La partie postérieure de la colonne aryténo-épiglottique est formée par les cartilages de Santorini (1), rapprochés jusqu’à se toucher sur la ligne médiane, au moins dans leurs deux tiers supérieurs. Ils mesurent 40 cen- timètres de long. Chacun d’eux constitue une épaisse lame très fortement bombée en arrière et excavée par sa face antérieure que tapisse la muqueuse du larynx. Nous leur considérerons, outre ces deux faces, deux bords, un externe et un interne. Le bord externe affronte, ou à peu près, le bord correspondant du cartilage épiglottique. Le bord interne, dans ses deux tiers supérieurs, s’applique exactement contre son correspondant de l’autre (1) Nous désignons ainsi les deux organes cartilagineux que nous allons décrire, parce qu'ils se trouvent à l'extrémité des aryténoïdes. On remarquera leurs grandes proportions relativement aux dimensions restreintes des aryténoïdes proprement dits. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 61 côté. Dans leur tiers inférieur les deux carlilages s’écartent, laissant entre eux un espace triangulaire en partie comblé par le cricoïde. L’extrémité supérieure du cartilage de Santorini s’élargit en cuiller et son bord libre mesure 1 centimètre environ d'épaisseur. En même temps ce bord se replie en arrière et forme sous la muqueuse une sorte d’auri- cule cartilagineux. Ce repli toutefois est beaucoup moins développé que celui du bord libre de l’épiglotte. L'extrémité inférieure du cartilage de Santorini est tronquée de haut en bas et d’arrière en avant; elle s'appuie directement sur le cartilage aryté- noïde auquel elle est rattachée par une forte couche de tissu fibreux. Les aryténoïdes forment de chaque côté, une courte pyramide tronquée, dont le sommet est en bas et s'articule sur le cricoïde, tandis que la base est en haut et supporte les énormes cartilages de Santorini que nous venons de décrire. Cette pyramide mesure 16 centimètres de haut; son sommet a 4 centimètres, sa base tournée en haut a 12 centimètres de large. Elle est épaisse de 3 à 4 centimètres. En avant (aspect sternal) le cartilage aryténoïde offre une surface articulaire demi-cylindrique, mesurant environ 9 centimètres de long sur 3 de large. Cette surface, lisse, correspond à une tête cartilagineuse convexe, que présente le cricoïide. Quant à l’extrémité inférieure de l’aryténoïde elle repose sur l’arceau latéral du cricoïde que nous décrirons dans un instant. Elle y est fixée par un épais ligament. Le cartilage cricoïde chez le Cachalot forme un anneau complet. Il se présente à la face postérieure du larynx sous la forme d’une masse rugueuse, épaisse de » centimètres environ, enchâssée entre les cartilages aryténoïdes et articulée avec eux comme on vient de le voir. Le bord inférieur de cette région centrale du cartilage, plus mince, se prolonge de chaque côté en une branche d’abord à peu près cylindrique mesu- rant 3 centimètres de diamètre. Mais à mesure qu'elle gagne la face antérieure du larynx, elle s’étale et s’élargit pour se confondre avec sa congénère en une plaque cartilagineuse losangique haute de 14 centimètres, épaisse de 1 centimètre environ. Sa face antérieure est convexe; ses bords inférieur et supérieur sont sinueux, chacun d’eux présentant sur la ligne médiane un angle saillant (beaucoup plus accusé au bord supérieur), de 62 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. chaque côté duquel se dessine une entaille. L'ensemble de l’anneau mesure 75 centimètres de circonférence. Le cartilage thyroïde est en forme de carène. Ses faces latérales très développées mesurent 29 centimètres de large et recouvrent complète- ment les aryténoïdes et le tiers inférieur des cartilages de Santorini et de l’épiglotte. La hauteur du cartilage thyroïde est de 42 centimètres au voisinage de ses bords latéraux. Sur la ligne médiane il mesure seulement 3o centimètres. Les bords latéraux sont sinueux, irrégulièrement épaissis. Le bord supérieur est à peu près droit, l’inférieur dessine une concavité prononcée dans laquelle est reçue la saillie du ericoïde dont il a été question plus haut. L’angle résultant de la jonction du bord inférieur et du bord latéral peut être considéré comme un vestige de la corne infé- rieure du cartilage thyroïde; d’ailleurs 1l s'articule par une surface cireu- laire, concave et lisse, large de 2 centimètres, avec la branche latérale du cricoïde où se voit une surface articulaire convexe de grandeur exactement correspondante. Cette articulation est noyée dans l’épaisse couche de tissu fibreux qui unit sur les côtés le cartilage thyroïde au ericoïde. Le cartilage thyroïde ne présente aucune trace de cornes supérieures. Quand on examine l’ensemble des pièces que nous venons de décrire, on voit que la face antérieure du cartilage thyroïde est sensiblement parallèle à la ligne ventrale du corps. Il ne participe point à la courbe que le car- tilage ericoïde commence à dessiner en se relevant pour laisser pénétrer dans les arrière-narines la colonne aryténo-épiglottique (1). (4) Le larynx du Dauphin que nous avons étudié spécialement pour le comparer à celui du Cachalot, nous a offert les quelques particularités suivantes : La colonne aryténo-épiglottique est formée par le cartilage épiglottique et par les aryténoïdes; mais ceux-ci, comme cela a déjà été décrit par les auteurs (voir SieBoLn et Srannius), ne sont pas formés de deux pièces comme chez le Cachalot. Un long cartilage unique s'étend de chaque côte, du cricoïde à l'ouverture glottique. D'autre part, le cartilage cricoïde envoie bien deux branches qui contournent le tube aérien et gagnent sa face antérieure, mais ces deux branches ne se rejoignent point par leurs extré- mités, et il n'y a rien de comparable à la grande plaque médiane antérieure que nous avons décrite chez le Cachalot. Le cartilage thyroïde présente en outre sur sa face interne une crête médiane mince et saillante dont nous ne trouvons aucune trace chez le Cachalot. Enfin, la forme du cartilage thyroïde est différente. Ce cartilage, chezle Dauphin, est plus bombé, presque sphé- rique en avant, et n'a pas la forme carénée qu'on observe chez le Cachalot. Ajoutons que le bord inférieur du cartilage thyroïde est profondément échancré, et qu'il forme en arrière, de chaque côté, une corne assez longue; nous avons vu que chez le Cachalot tout l’espace est comblé et la corne rudimentaire, RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 63 Remarques physiologiques. — On notera d’une manière générale le petit volume des poumons. Sur l'individu de 16 pieds disséqué par Jackson (1) 25 pouces sur 14. La respiration des Cétodontes et le poumon mesurait spécialement du Cachalot soulève un problème physiologique des plus intéressants. Il parait hors de doute que l’animal peut plonger à de grandes profondeurs. Quand il estblessé par le harpon, on le voit s’enfoncer avec une rapidité extrême et on peut juger à la direction de la ligne, qu’il plonge à pic. Les auteurs baleiniers parlent tous comme d’un fait ordinaire des circonstances où il est nécessaire d’attacher bout à bout les lignes de plu- sieurs embarcations alors qu’il est certain que l’animal ne s'éloigne pas. Le capitaine Posr dit expressément (2) qu’il faut dans certains cas mettre trois lignes et mème plus si on ne veut voir l’animal échapper. Or, chacune de ces lignes mesure généralement 225 brasses (1 fathom — 1",828), soit 411 mètres ; même en admettant que l’animal ne fonce pas à pic et décrive des cercles de façon à dérouler en quelque sorte la ligne contre l’eau, il n'en faut pas moins admettre qu'il est descendu à une grande profondeur. Posr ajoute d’ailleurs que quand il reparait à la surface il semble épuisé (exhausted). Pecuuez dans Linpeman (3) signale également cette descente à pie avec une extrème rapidité. Un Cachalot aurait ainsi enlevé 2100 pieds de ligne à une embarcation avant que les autres qui étaient à moins de 200 pieds aient pu arriver pour attacher leurs lignes à la première. Le mème auteur cite un cas où il a fallu donner ainsi à un Cachalot 3000 pieds de ligne. Que devient dans ces descentes à des profondeurs considérables l'air contenu dans les poumons ? IL doit être évidemment contraint de passer en très grande partie sinon en totalité dans le sang. Pour l’oxygène, iln°7y a aucune difficulté. On doit admettre que la capacilé respiratoire du sang est considérable chez le Cachalot comme nous savons qu’elle l’est chez le Dauphin. Mais que devient l'azote? N’est-on pas fondé à supposer que la décompression se produisant, des bulles de gaz circuleraient dans les vais- seaux et causeraient les accidents connus en pareille circonstance? IL est (1) Dissect. of a Spermaceti Whale, 1842. (2) Daus Maury, Explanations and Sailing Directions, etc., 1852, p. 240. (3) Die arctische u. s. w. Fischerei, Erganzungsheft n° 26, zu Pet’.s geogr. Mittheil., 1869, p. 95. d. 64 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. fort peu scientifique de conclure de ce qui se passe chez certaines espèces terrestres à ce qui peut avoir lieu chez les espèces essentiellement aquati- ques comme les Cétacés et encore plus particulièrement les Cétodontes qui hantent les mers profondes. Leur mécanique est essentiellement diffé- rente et peut présenter telles particularités qui leur permettent de sup- porter des conditions de milieu que nous sommes habitués à juger incom- patibles avec le maintien de la vie des animaux qui nous entourent. On peut se demander si le Cétacé, à mesure qu'il s'enfonce, ne laisse pas échapper l’air contenu dans ses poumons et ses bronches fortement com- primés (1). La cage thoracique étant en partie protégée par les côtes, cette compression doit résulter surtout de l’augmentation de voussure du diaphragme refoulé par les organes abdominaux, et encore plus de l’afflux du sang dans les gros vaisseaux. L'espace à combler est représenté par le volume d’air restant après une expiration complète. Or, nous savons que celui-ci doit être assez peu considérable en raison du peu de volume relatif des poumons. Cette façon d’expliquer les hautes pressions aux- quelles peuvent s’exposer les Cétacés et en particulier le Cachalot, nous semble à la fois la plus simple et la plus naturelle (2). Histoire de nos connaissances sur les poumons, la trachée et le larynx. 1845. Jacxson (Dissection of a Spermaceti Whale) décrit très bien ces diverses parties sur le Cachalot de 16 pieds échoué dans Vineyard Sound, et dont nous avons déjà parlé (voy. 1°° partie, page 83, et ci-dessus, p. 29 et 53). 1881. DE Sancris donne une figure du larynx, de la trachée et des bronches. 1884. BEAUREGARD, publie une Note sur le cœur et le larynx du Cachalot. Bull. de la Société de Biologie, 28 juin. X. — APPAREIL CIRCULATOIRE. Comme nous possédions un cœur de femelle adulte en parfait état de conservation, envoyé, avec les nombreuses pièces que nous avons déjà si- gnalées, par M. le Consul Dabney, nous commencerons par décrire l’or- (1) Chez les Dauphins qu’on peut facilement observer dans certaines circonstances, le poumon est toujours en état d'inspiration. L'animal, arrivant à la surface, fait une forte expiration suivie immédiatement d’une inspiration aussi rapide, et s'enfonce pour recommencer ensuite. (2) Nous n'avons pas besoin de faire remarquer que la pression se répartit également dans tous les organes et dans tous les tissus de l’animal qui se trouvent dès lors dans les conditions mêmes des tissus et des organes chez les animaux vivant aux grandes profondeurs. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 65 gane central de la circulation chez l’adulte. Nous décrirons ensuite l’ap- pareil circulatoire, dans son ensemble autant que nous avons pu l’injecter et le disséquer sur notre embryon de 1°30. ADULTE. — Cœur.— Sur le cœur de l’animal frais observé par nous à Lagens (voir I partie p. 6) nous avons été frappé par la coloration pâle et jaunâtre du muscle cardiaque, contrastant avec la couleur rouge-foncé de la plupart des muscles de la vie animale. Ce cœur est en plus remarquable par l’abondance extraordinaire des vaisseaux sanguins qui l’alimentent. Le cœur de Cachalot adulte © qui nous avait été adressé, arriva en très bon état. On avail seulement coupé une expansion graisseuse et la section par suite a intéressé certaines grosses branches de la coronaire. Malgré cela l'organe a pu être injecté convenablement avec l’aide d’un de nos assistants, M. Boulart. Un moulage en a été fait ensuite, puis la dissec- tion, après quoi la pièce a été séchée et préparée pour figurer à côté du moulage dans le Cabinet d’Anatomie comparée (1). L’organe se présente extérieurement sous la forme d’une masse ovoïde à grand axe transversal. Il n’est pas bifide. La base des ventricules est très chargée de graisse; celle-ci s’étend sur les bord droit, inférieur et gauche, logeant un très riche plexus vasculaire. Toute cette graisse est formée d’un tissu adipeux mou, transparent, n'ayant aucune analogie avec le lard compact sous-cutané, ni avec le lard qui remplit l’excavation crânienne. Nous relevons les dimensions suivantes : PS one lETENMEoE doc too on omepnenon 0,94 Hauteur au niveau de l’artère pulmonaire............. 0 ,48 Ventricule gauche, plus grande largeur............... 0 ,43 — — — hauteur ere 0 ,50 — droit, — HATRCUD RE res 0 ,45 — — — hauteurs. 0 ,48 Oreillette gauche, diamètre transversal............... 0 ,30 —= — — antéro-postérieur......... 0 ,20 — droite, — ÉLANSVERSAIEEE EEE EC 0 ,40 EE = = antéro-postérieur......... 0 ,26 Anterepulimonaire AIME Le EE ee 0 ,20 FDA SeUTdeRSA Dao EL 0 ,01 AODC MIA TERRE te cer ee nee 01512) Hhaisseutidets aipar oi ee PE eee 0 ,02 (1) Ces deux pièces portent respectivement les n°° A 9,158 et À 9,159. (2) Henri Woops (1829, p. 202) signale une section d’aorte de Cachalot existant à la Société zoolo- gique de Londres et mesurant 15 pouces de diamètre (— 38 centimètres). C'est l’aorte d'un ani- mal long de 62 pieds échoué en 1829 sur la côte du comté de Kent. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM, 3€ série. — IV. Ÿ 66 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. Comme l’indiquent les mesures que nous donnons, les deux ventricules ont à peu près la même longueur, bien que le droit soit cependant un peu plus court que le gauche, ce qui rapproche le cœur du Cachalot de celui du Dauphin. Chez le Cachalot, le cœur est globuleux et rappelle par là le cœur des Balænides (1). On peut dire que c’est un cœur de Ba- leine, très large, dont le ventricule droit, bien qu'inférieur en hauteur au gauche, descend un peu plus bas que ce dernier. Le Cachalot semble tenir sous ce rapport le milieu entre les autres Cétodontes et les Mysti- cètes. Comme chez ceux-ci la séparation entre les deux masses muscu- laires des ventricules remonte jusque vers la moitié de la hauteur du cœur. Quand on a enlevé le tissu adipeux où plongent les vaisseaux, on trouve les deux ventricules séparés par un sillon large, profond, nettement accusé surtout en avant où ses bords sont occupés par deux larges veines, origines de la branche droite de la veine coronaire. Les ventricules, d’inégale hauteur, comme on l’a vu par les mesures données, ont leurs bords arrondis. CONFORMATION INTÉRIEURE. — |° Ventricules. — La paroi des cavités ven- triculaires est remarquable par le volume des aréoles et des colonnes mus- culaires. Celles de ces colonnes qui donnent insertion aux cordes tendineu- ses des valvules, sont des masses musculaires épaisses comme la main, largement appliquées par une de leurs faces contre la paroi ventriculaire. Elles se présentent comme suit : a. Ventricule qauche. — 1] offre deux de ces masses musculaires, l’une appliquée contre sa paroi antérieure, l’autre contre sa paroi postérieure. L'antérieure est épaisse, irrégulièrement polygonale, large de 8 à 9 cen- timètres, adhérant à la paroi dans une grande partie de son étendue. De ses bords, partent en s’irradiant quatre colonnes volumineuses, également (41) Le Dauphin et le Marsouin, par la forme générale du cœur, se rapprochent assez des Mammi- fères terrestres. La pointe est bien nette, formée par le ventricule gauche qui se prolonge assez loin au-dessous du ventricule droit. Chez les Baleines au contraire (B. antipodum, fœtus) le ventricule droit, beaucoup plus large que le gauche, offre également une hauteur un peu plus grande. Le ventricule droit mesure 106 millimètres de large, tandis que le gauche n’a que 68 millimètres. La hauteur du ventricule droit est de 116 millimètres, celle du ventricule gauche seulement de 109 millimètres. C’est donc un cœur plus haut que large. Il ne présente pas de pointe et sa forme est à peu près globuleuse. Chez le Lamantin, les mèmes caractères se retrouvent et en plus la bifidité de la pointe. Enfin ici encore le ventricule droit l'emporte en largeur et en hau- teur sur le ventricule gauche. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 67 aplaties, qui rampent contre la paroi mais n’y adhèrent que par leur origine formée de plusieurs racines qui se confondent entre elles et avec les colonnes du fond du ventricule. Par sa face libre, la masse musculaire antérieure donne insertion à plusieurs tendons dont un en particulier plus large que les autres se rend au bord de la valvule. La masse musculaire postérieure offre à peu près les mêmes dimensions et la mème structure que l’antérieure. Valvule mitrale. — Elle est formée de quatre lobes très inégaux. L'un an- térieur et interne est de beaucoup le plus grand, puis par ordre de dimen- sion viennent : un lobe postérieur et externe ; un lobe antérieur et externe ; enfin un lobe postérieur et interne de beaucoup le plus petit, réduit à un lambeau triangulaire mesurant 4 centimètres de haut sur 6 centimètres de large environ. Les cordes tendineuses se distribuent de la manière sui- vante : celles des grands lobes prennent leur insertion mi-partie à la masse musculaire antérieure et mi-partie à la masse musculaire postérieure. Celles de chacun des petits lobes s’attachent à la colonne charnue de la face qui leur correspond. b. Ventricule droit. — Deux masses musculaires comparables à celles du ventricule gauche donnent insertion aux cordes tendineuses de la valvule tricuspide. Comme à gauche, il existe une masse antérieure et une posté- rieure. Toutefois, l'insertion des cordes tendineuses est un peu différente. C’est ainsi que la masse postérieure, vers son bord externe, se prolonge en une colonne libre, longue de 3 à 4 centimètres et large de 3 centimètres sur laquelle viennent s’insérer une partie des cordes tendineuses de la val- vule; d'autre part, la même masse charnue prolonge son bord interne en une colonne musculaire cylindrique volumineuse qui traverse le ventri- cule en restant libre dans toute son étendue et va s’insérer, après s’être ramifiée, à la paroi opposée ou interne. Cette remarquable colonne trans- versale mesure 9 centimètres de long sur 4 centimètres d'épaisseur environ. Elle est un peu arquée et vers son milieu reçoit perpendiculairement une partie des cordes tendineuses de la valvule. Valvule tricuspide. — La valvule tricuspide est formée de trois lam- beaux, un antérieur, un interne etun externe. Les cordes tendineuses pré- sentent les insertions suivantes : celles provenant de la moitié externe du 68 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. bord du lambeau antérieur et celles de la moitié externe du bord du lam- beau externe s’attachent à la colonne charnue. Les tendons partant des moitiés internes des lambeaux antérieur et interne se fixent au milieu de la colonne charnue transversale. Toutes les autres cordes tendineuses s’attachent à la masse musculaire antérieure. 2° Oreillettes. — Des deux oreillettes la droite est la plus volumineuse, elle mesure 40 centimètres transversalement et 26 centimètres d'avant en arrière. Les dimensions respectives de l'oreillette gauche sont 30 centimè- tres et 20 centimètres. Leur surface externe est marquée de bosselures inégales qui correspondent à des aréoles nombreuses limitées, d’ailleurs, à la région postérieure et aux auricules. La paroi des oreillettes dans le reste de son étendue est complètement lisse. a. Oreillette qauche. — L'état de la pièce ne nous a pas permis d'étudier la disposition des orifices des veines pulmonaires. Le trou de Botal n’a laissé comme trace qu'un repli vertical ouvert en arrière, assez grand pour abri- ter la moitié de l’ongle. b. Oreillette droite. — Les sections faites pour isoler le cœur parais- sent avoir respecté les orifices des deux veines caves qui seraient fort écar- tés sans se confondre en un sinus commun. Celui de la veine cave supé- rieure mesure 12 centimètres, celui de l’inférieure 19 centimètres. L’orifice de l’artère coronaire est placé immédiatement à la partie déclive de l’o- reillette, contre la cloison interauriculaire. On ne voit aucune trace du trou de Botal. 3° Aorte et artère pulmonaire. — Les orifices de ces vaisseaux ont les dimensions suivantes. Le diamètre de l’aorte mesure 15 centimètres et l’é- paisseur de sa paroi atteint environ 5"". Le diamètre de l’artère pulmo- naire est de 20 centimètres environ avec une paroi épaisse de 1 centimètre. Les valvules sigmoïdes, dépourvues de nodules comme chez les Balænop- tères, mesurent 10 centimètres de hauteur à l’aorte et 9 centimètres à l'artère pulmonaire. Vaisseaux DU COEUR (1) (PI. XI, fig. 4 et 5). — Le cœur du Cachalot est (1) Nous décrirons les artères et les veines en partant des troncs vers les divisions de ces troncs. Ce mode est évidemment irrationnel et antiphysiologique quand il s’agit des veines, mais il est en somme préférable au point de vue de la clarté d’une description purement anatomique. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 69 remarquable par le volume extraordinaire des troncs vasculaires qui l’alimentent. Ils sont plus volumineux que les troncs vasculaires qui distri- buent le sang à tout le corps d’un cheval ou d’un bœuf. Leur mode de répartition sur l'organe n’est pas moins intéressant. Tandis que les faces antérieure et postérieure des ventricules présentent simplement de gros troncs vasculaires espacés les uns des autres, tout le bord marginal de l'organe est occupé par un plexus de troncs veineux d’un volume consi- dérable — plusieurs sont plus gros que les veines caves de l’homme — au milieu desquels se répandent les branches artérielles. Ce plexus est logé dans le pannicule adipeux dont nous avons parlé. Les parois des oreillettes sont très peu vasculaires. Nous considérerons successivement l'artère coronaire gauche ou anté- rieure, la droite ou postérieure et la veine coronaire qui parait unique. Pour plus de facilité dans l’exposé de l'agencement de ces vaisseaux, nous commencerons par les veines. Veine coronaire (fig. 5, v). — La veine coronaire se montre à la face postérieure du cœur, au point de jonction du sillon longitudinal et des deux sillons auriculo-ventriculaires. Elle se divise immédiatement en trois troncs pour chacun d’eux, que nous appellerons coronaire gauche, c. droite, e. verticale. Le volume de ces veines est considérable. Les deux premières mesurent environ 3 centimètres et la dernière 5 centimètres de diamètre. a. Coronatre gauche (fig. 4, v). — C’est la plus volumineuse des trois branches. Elle se place en général, avec ses ramifications, au-dessous des divisions de l’artère coronaire correspondante. Elle contourne le bord du ventricule gauche, passant à la face antérieure; puis elle s’incurve dans le sillon interventriculaire en restant au-dessous et à gauche des branches de l'artère. Dans ce trajet, elle reçoit au niveau du bord externe du cœur : (a) la veine marginale gauche; cette veine a un volume qui dépasse celui de la veine cave de l’homme; elle se continue en un plexus de grosses branches qui occupe tout le bord du ventricule et se relie soit à des veines nées directement du tronc de la coronaire gauche, soit à des veines nées de la coronaire verticale ; (b) toute une série de larges veines qui rampent sous le péricarde à la face antérieure du ventricule gauche et (c) une veine 70 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. contournant l'insertion de l'artère pulmonaire au ventricule droit, appor- tant le sang de la partie supérieure et antérieure de ce ventricule. La coronaire gauche arrivée au milieu de la hauteur du sillon interven- triculaire, après avoir reçu encore (d) de grosses veines provenant de la face antérieure du ventricule droit, se divise en deux branches. Celles-ci accompagnent les branches de l’artère coronaire, descendent avec elles jusqu’à l’extrémité du sillon et viennent tomber dans de vastes dilatations veineuses qui servent en même temps d’aboutissant à la coronaire verticale logée dans le sillon postérieur. b. Coronaire droite. — Elle se place dans le sillon auriculo-ventri- culaire droit, d’abord au-dessus (fig. 5), puis en arrière de l’artère coro- naire correspondante. Arrivée au bord droit du cœur elle se continue par une veine marginale droite qui se perd dans un plexus à gros rameaux occupant le bord du ventricule, tout à fait comparable à celui qui occupe le bord gauche du cœur. Il se termine d’ailleurs comme lui et s’entremèle comme lui de branches artérielles. c. Coronaire verticale. — Elle descend dans le sillon longitudinal postérieur à côté de branches volumineuses de l’artère coronaire. Dans la première moitié de ce trajet elle ne diminue point de volume. Arrivée à l'extrémité du sillon elle se recourbe par un double coude subit en avant, pour se continuer en deux sinus marginaux occupant les extrémités des deux ventricules et se reliant d’autre part, comme nous l'avons dit, à la branche gauche et à la branche droite de la veine coronaire. Il ne nous reste plus qu’à décrire les branches sous-séreuses de la face postérieure du cœur qu’on peut considérer comme autant de voies de communication entre le plexus marginal de chaque côté et les trois troncs principaux de la veine. Cette communication a lieu par des troncs vari- queux, espacés, descendant verticalement des branches droite et gauche ou descendant obliquement de la branche verticale sur les deux plexus. Il existe en conséquence sur le cœur une distribution veineuse très caractéristique. Toute l'étendue des bords inférieur et latéraux de l'organe est occupée par de vastes sinus veineux, tandis que ses faces sont parcou- rues par des veines isolées et relativement peu nombreuses. Arière coronaire gauche ou antérieure (pl. XI, fig. 4). — Elle surgit entre RECHERCHES SUR LE CACHALOT. TL l'oreillette gauche et la base de l'artère pulmonaire. Elle mesure à son origine 4 à b centimètres de diamètre et se divise presque immédiatement en trois grosses branches dont deux suivront le sillon interventriculaire. a.— La première de ces trois branches (artère marginale gauche) s'étend dans le sillon auriculo-ventriculaire gauche, enveloppant de ses rameaux la veine coronaire correspondante. Ceux là passant au-dessous de celle-ci vont se répandre dans le ventricule en fournissant une série d’ar- tères qui deviennent bientôt récurrentes; on les voit en effet, après un trajet rectiligne assez long, se recourber subitement en même temps qu’elles se divisent. L’artère marginale gauche continue son trajet sur le bord du cœur, four- nissant des rameaux à toute la paroi. À ce niveau l’artère est placée en ar- rière de la veine marginale correspondante, par conséquent un peu reportée sur la face postérieure du ventricule où elle décrit des anses considérables. On suit ses derniers rameaux gros comme l’humérale de l’homme jusqu’à 15 centimètres environ du sillon médian, sur le bord inférieur du cœur. L'artère et toutes ses branches sont plongées dans une sorte de réseau admirable veineux à vaisseaux d’un calibre ne dépassant pas le volume d’une plume de corbeau et que nous avons dû partout sacrifier pour la dissection. betc. — Les deux autres branches nées de la trifurcation de l’artère coronaire gauche descendent l’une derrière l’autre dans le sillon interventri- culaire antérieur, au milieu du tissu adipeux qui le remplit. Chacune est grosse au moins comme l'aorte de l’homme. Elles se placent l’une devant l’autre à droite de la veine coronaire. L’antérieure décrivant une sinuosité considérable semble principalement destinée au ventricule gauche; du moins la voit-on enfoncer plusieurs de ses rameaux transversalement dans la paroi de celui-ci, tandis qu’un autre, croisant en arrière la veine coronaire, revient se mettre à gauche de celle-ci sur le bord même du sillon qu’elle longe jusqu’à l'extrémité. La branche antérieure s’inceurve finalement sur le bord inférieur du cœur, envoyant ses dernières ramifications à la rencontre de celles de l’artère marginale gauche. La branche postérieure placée d’abord en arrière de la précédente fournit un rameau grêle (gros comme l’iliaque de l’homme) qui contourne 72 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. l'insertion de l’artère pulmonaire, puis d’autres rameaux pour le ventricule droit; on la voit ensuite descendre sur le côté droit du sillon interventricu- laire à l'extrémité duquel elle s’incurve sur le bord du ventricule, éten- dant ses ramifications à la rencontre d’une branche de l’artère coronaire postérieure. Artère coronaire droite ou postérieure. — Elle se place immédiatement au-dessous du péricarde dans le sillon auriculo-ventriculaire, donnant tout d’abord des rameaux volumineux qui descendent sur la face antérieure du ventricule droit. Un autre rameau puissant accompagne le tronc principal. Parvenue au bord droit du cœur la coronaire postérieure donne une artère marginale droite. Celle-ci descend en décrivant des sinuosités considérables sur les bords droit et inférieur du cœur où on en suit les der- niers rameaux jusqu'à 20 centimètres environ du sillon interventricu- laire. Le tronc de l’artère coronaire postérieure continue son trajet à la face postérieure du cœur, placé d’abord au-dessus (aspect sternal),puis en avant, puis au-dessous de la veine coronaire droite. Au voisinage du sillon posté- rieur il se divise en plusieurs branches. La plus volumineuse, qui est en même temps la plus antérieure, pénètre directement entre les deux ventri- cules. Une seconde branche formant une anse considérable s'enfonce un peu plus loin également entre les deux ventricules. Du tronc même de l’artère dans son trajet horizontal et de la seconde de ses branches terminales partent des ramifications nombreuses, grosses en- viron comme la crurale de l’homme. Elles gardent en général une posi- tion superficielle et forment un riche réseau artériel à la surface posté- rieure du ventricule droit. FŒTUS DE 1°,30. — Pour la description des gros troncs vascu- laires, nous devons forcément nous reporter à notre fœtus de 1°,30. L’injec- tion poussée par l’aorte a assez bien réussi (PI. X). Les gros vaisseaux de la base du cœur sont injectés et bien visibles après l’enlèvement du thymus. Cœur. — Le cœur a été trop fortement injecté. Il convient, en consé- quence, de regarder la description que nous en donnons comme s’appli- quant à un organe dilaté presque outre mesure. Vue par devant, la portion ventriculaire se présente comme une masse RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 73 presque cylindrique placée transversalement. Le sillon vertical est peu marqué, et à sa partie supérieure la valvule sigmoïde de l'artère pulmo- naire s’accuse par une large ampoule (PI. X, s). La hauteur de la masse ventriculaire à ce niveau ne paraît pas dépasser 15 millimètres. L'oreillette droite (o) est extrêmement volumineuse, avançant jusqu’à la moitié du diamètre transversal du ventricule. Elle se présente comme une masse ovoide, à grand axe transversal. L’oreillette gauche (0°), beaucoup plus réduite, s'élève comme une pyramide à gauche du cœur, appliquée contre l’artère pulmonaire (p). Entre les deux oreillettes se montrent l’origine de l’artère pulmonaire, et un peu plus haut un tronc veineux transversal (v) (veine jugulaire gauche), cachant l’origine du canal artériel. Au-dessus de ce tronc veineux trans- versal, on voit naître de la crosse de l’aorte le tronc brachio-céphalique droit (b) et la carotide gauche (g). Sur la face postérieure du cœur, le sillon interventriculaire et les deux sillons auriculo-ventriculaires sont nettement accusés. Le sillon interven- triculaire est presque médian. Entre les deux oreïllettes on aperçoit les terminaisons des veines caves et des veines pulmonaires. Mesures prises sur le cœur et les gros vaisseaux : Diamètre transversal du cœur.............. ee ne . 02,126 Distance du bord gauche du cœur au milieu de l’artère DUROMARE s00000000000000006002008 600000 0006006 0 ,085 Diamètre transversal de l'oreillette droite (face anté- HEUMÉLooooceosocsodooodencocoduo000 000000 Soocbo 0 ,074 Hauteunidelameéememererereteeee eee Loc 0 ,055 Diamètre transversal de l'oreillette gauche .......... 0 ,030 Blantenr co IA MmÉMMELoevcoococoooocooooovcococoooc 0 ,060 L’artère pulmonaire, à 40 millimètres environ de son origine, donne le canal artériel long de 2 centimètres environ et large de 1 centimètre. En arrière du canal artériel, au-dessous de lui et de la crosse de l’aorte, l’ar- tère pulmonaire se divise. Sa branche gauche, très courte, contourne l’o- reillette et vient pénétrer dans le poumon gauche, en avant de la bronche (aspect sternal) et au-dessus de la veine. Sa branche droite est beaucoup plus longue ; elle mesure 12 millimètres de diamètre. Elle se place entre le tronc très court de la veine cave supérieure et la bronche principale. Elle est, comme à gauche, au-dessus de la veine. Elle se bifurque à 2 cen- NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3e série. — IV. 10 T4 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. timètres avant d’alteindre le poumon et son rameau supérieur pénètre dans l'organe immédiatement au-dessous de la bronche accessoire. L’aorte, à 4 centimètres environ de son origine, donne le tronc brachio- céphalique et la carotide gauche, qui s'écartent l’un de l’autre presque à angle droit. Le tronc brachio-céphalique est large de 12 millimètres et long de 20 millimètres environ jusqu’à sa bifurcation. À 4 centimètres plus loin, au sommet de la crosse et un peu à gauche, naît la sous-clavière gauche. C’est dans l'intervalle que l'aorte reçoit, un peu en arrière, le canal artériel. Les veines pulmonaires présentent une disposition très simple. De chaque poumon naît une veine, placée comme nous l’avons dit, au-dessous de l’ar- tère (aspect sternal) au-devant de la bronche. Leur direction est transver- sale. La gauche, plus courte, longue seulement de 20 millimètres, s'applique sur l'oreillette gauche ; la droite, plus longue, mesurant 40 millimètres, croise en dessus l’origine des veines caves. Les deux veines continuent de marcher transversalement à la rencontre l’une de l’autre, et s'unissent, sans s’incurver, pour donner naissance à un trone commun qui descend directement en bas (aspect sternal), entre l’origine des veines caves et l’oreil- lette gauche. Il n’y a point, à proprement parler, de veine cave inférieure. Au niveau mème du diaphragme trois troncs veineux considérables, gros comme le doigt, forment un confluent large de 35 millimètres au moins, dans lequel viennent encore s’aboucher à droite et à gauche deux veines diaphragma- tiques. Ce confluent, logé dans le sillon interventriculaire, se place à droite du sinus des veines pulmonaires, au-dessous de la bronche et des vaisseaux du poumon droit, en se réunissant à la veine cave supérieure. On peut, en effet, donner ce nom à un tronc très court (PI. X, k), formé principalement par la réunion de deux veines descendant de la partie supérieure, veine jugulaire et veine sous-clavière droites, et d’une troisième, que nous avons déjà signalée comme passant devant l’aorte, et qui est en réalité un #onc veineux brachio-céphalique gauche. Ge tronc, dans son trajet transversal, long de 60 à 70 millimètres, ne reçoit aucune branche veineuse. Le point où s’unissant aux deux autres veines il vient former la veine cave est situé immédiatement en avant et au-dessous de la bifurcation du tronc brachio- céphalique artériel. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 75 TroNG BRACHIO=-CÉPHALIQUE (PI. X, b). — Long de 2 centimètres environ, il passe obliquement au-devant du 2° et du 3° anneau de la trachée et se divise aussitôt pour fournir la sous-clavière droite et la carotide droite. De la sous-clavière naït une branche qui paraït être la mammaire interne. 1° La sous-clavière après un trajet de 6 centimètres environ se bi- furque. Des deux rameaux qu’elle fournit, l’antérieur s’engage entre le musele sterno-maxillaire en dessous, et un autre muscle en dessus. Il parait donner une humérale et une sous-scapulaire. 2 L'autre branche se dirige en bas et en dehors. Nous la désignons comme mammaire interne (PI. X, #). Elle donne plusieurs rameaux, et paraît descendre jusqu’à l’insertion du diaphragme. CAROTIDE PRIMITIVE DROITE (d).— Après un trajet de 2 centimètres environ, la carotide primitive droite se partage pour donner : 1° la caroñide in- terne ; 2’ la carofide externe ; 3° une petite branche très grêle pour le lobe droit du corps thyroïde. À partir de ce point, situé un peu en dehors de l'extrémité inférieure du cartilage thyroïde, les deux carotides disparaissent sous un grand plexus veineux (/) au niveau et au-dessous du renflement æsophagien. CAROTIDE PRIMITIVE GAUCHE (g). — Elle naît comme le tronc brachio-cépha- lique, de la convexité de la crosse de l’aorte. Après un trajet de 3 cen- timètres environ, elle se divise en un bouquet de branches nombreuses : 1° En arrière, la carotide externe ; 2° En avant, deux grosses artères paraissant répondre à la carotide in- terne (PL X 0); 3° En dehors, une petite artère qui se rend au lobe gauche du thymus ; 4 D'autres petites branches, dont une se joint aux deux grosses artères répondant à la carotide interne ; 9° En dedans, au même niveau, une petite artère (7) qui s’enfonce dans le tissu cellulaire séparant la bifurcation de la carotide primitive du car- tilage cricoïde (g). En avant de la carotide existe un plexus veineux, formé des vaisseaux qui se réunissent, comme nous l'avons indiqué, pour constituer la veine cave supérieure et qui paraissent pour une partie provenir de la région dorsale. 16 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. ARTÈRE SOUS-CLAVIÈRE GAUCHE. — Elle naît de l’aorte à 3 centimètres au delà de la carotide gauche. Elle est volumineuse et paraît se diriger vers la face interne de la première côte. Elle croise une grosse branche veineuse qui rejoint la veine jugulaire. ARTÈRE MAXILLAIRE INTERNE. — En suivant la carotide externe dans sa dis- tribution, on la voit donner au niveau du condyle de la mâchoire une branche volumineuse, qui semble la continuer et qui, passant en dedans de ce condyle, vient se placer entre les deux muscles ptérygoïdiens, en dehors des nerfs lingual et dentaire inférieur. Conservant son volume, elle finit par s'engager dans le canal sous-orbitaire, d’où on la voit ressortir pour former à la face l’artère sous-orbifaire (PI. XII, fig. 1, a). Chemin faisant, l’artère maxillaire interne, vraie branche terminale de la carotide externe, donne : 1° En dehors, un rameau pour le muscle temporal ; 2° Vers le milieu de son trajet, en dedans, deux branches. L’une va en arrière gagner la région postérieure du crâne, où nous la perdons de vue au niveau du rocher; l’autre, dirigée en avant, se distribue aux muscles ptérygoïdiens. ARTÈRE SOUS-ORBITAIRE GAUCHE (PI. XII, fig. 1). — A sa sortie du trou sous- orbitaire, l’artère est volumineuse et mesure près de 4 millimètres de dia- mètre. Elle est accompagnée de deux nerfs, terminaisons du nerf maxil- laire supérieur. À peine dégagée du trou sous-orbitaire elle donne : 1° Une branche externe volumineuse (b), qui se ramifie après un trajet de 6 mil- limètres en de nombreuses branches serrées pour la peau de la partie su- périeure de la tête. — 2° Quelques millimètres plus loin, une branche (c) qui se rend aussi dans la peau et, après un très long trajet en ligne droite, s’y distribue en nombreuses ramifications. —3° Un peu plus loin, une nouvelle branche (d, d) destinée également à la peau. — 4° En ce même point pren- nent naissance plusieurs rameaux grêles, dont cinq ou six se distribuent au côté interne du muscle de la narine gauche. Plus loin, en avant, l'artère sous-orbitaire plongeant dans le lit adipeux se divise bientôt en deux branches : 1° une interne plus superficielle, volumineuse, donnant deux rameaux qui se partagent à leur tour, de manière à former quatre artères parallèles cheminant jusqu’à l'extrémité RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 17 antérieure du museau ; — ?° une branche externe, se divisant bientôt en trois rameaux qui plongent profondément dans la masse adipeuse. Jucuzame proire (PI. X, 7). — Elle croise d'abord obliquement, de dedans en dehors l’artère sous-clavière droite. Aussitôt elle donne naissance en dedans à un bouquet vasculaire considérable, qui vient envelopper les deux carotides interne et externe à leur origine. Ce bouquet naît de la veine par de très gros troncs, sur une étendue de près de 5 centimètres. L’un de ces troncs, en ar- rière, esttrès volumineux et s’enfonce profondément dans la région dorsale. En dehors, au niveau des branches de ce plexus, naït un autre bouquet (r) de veines allant se jeter dans les muscles de l’aisselle, et d’autres encore, se faisant satellites des branches de l’artère sous-clavière. JuGuLAIRE GAUCHE (PI. X, y). — Elle suit un trajet presque horizontal (v) au-devant de l’aorte, au niveau de la naissance du tronc brachio-céphalique et de la carotide primitive gauche. Puis elle décrit une courbe à concavité antérieure, croise l’artère pulmonaire un peu au-dessus de son origine, et c'est seulement à ce niveau, entre l’artère pulmonaire et la carotide pri- mitive gauche, après un trajet de près de 7 centimètres, qu’elle donne une première branche qui s’enfonce en arrière et parait recevoir le sang des environs de la trachée. A partir de ce point la jugulaire gauche donne encore plusieurs branches dirigées en dehors, sur un seul plan, formant un plexus appliqué contre le péricarde ; et au même niveau une branche volumineuse dirigée en arrière, qui croise, comme nous l’avons dit, l'artère sous-clavière gauche. Deux centimètres plus loin environ, la jugulaire continuant son trajet oblique, donne en dedans plusieurs grosses branches, dont deux prinei- pales, qui vont constituer le plexus carotidien. Celui-ci est sensiblement différent du plexus de droite. IL est moins considérable, et ses branches n’enveloppent la carotide externe que sur une étendue de 25°”. Ce plexus, d’abord composé de gros vaisseaux, se résout bientôt comme le plexus carotidien de droite, en un grand nombre de petites branches longeant l'artère en avant et la séparant de la petite corne de l’hyoïde. — Une branche, naissant au même niveau, en dehors, et accompagnée de plus petites, correspond au bouquet de veines que nous avons décrit du côté droit, et va comme lui se jeter dans les muscles de l’aisselle, 78 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. À partir du point où la veine jugulaire a donné ces veines pour l’aisselle, elle ne fournit plus, jusqu’au moment où elle arrive au niveau de la face, qu’une dernière branche dirigée en dedans. XI. — CENTRES NERVEUX. Nous décrirons d’abord les centres nerveux d’après les pièces rapportées par l’un de nous de Lagens (voy. 1" partie, p. 6). Aïnsi que nous l’avons dit nous avons pu assister, grâce au zèle obligeant de M. Dabney, au dé- pècement d’une femelle de Cachalot adulte tuée la veille. Ses dimensions étaient les mêmes que celles de la femelle dont nous avons décrit plus haut le squelette (voy. 1” partie, p. 39). La tête ayant été séparée du tronc pour le travail nous avions pu couper dans le trou occipital un fragment de la moelle épinière de l'animal puis un autre plus rapproché du bulbe. Et tout d’abord nous avions été frappés de sa petite dimension, qui n’atteint pas, comme on le verra, celle de la moelle du cheval. Quelques instants plus tard, le cap. J.-F. Baptista (voy. 1" partie, p. 6), auquel appartenait la prise, nous demanda si nous ne désirions pas prendre le cerveau. Nous sa- vions par expérience, pour avoir enlevé un cerveau de Balænoptera Sib- baldii (1), ce qu'une telle opération présente de difficultés, quoiqu'elles dussent être ici bien moindres en raison du volume relativement bien moindre de l’animal, et des facilités qu'offrait la tête séparée du tronc et déjà dépouillée de son lard. La crête occipitale fut enlevée par deux traits de scie et le travail continué à la hache et à la scie. Le tissu osseux, sur la coupe pratiquée se montre graisseux à larges aréoles. Au contraire les condyles sont pleins de moelle rouge et à aréoles beaucoup plus petites. Le cerveau fut largement mis à découvert, mais pour l’enlever je me trouvai en présence de difficultés auxquelles ne m'avait point préparé l’enlèvement du cerveau des Baleines. Le cerveau du Cachalot ne repose pas, comme chez ces dernières, sur un épais coussin vasculaire. Quand le cerveau est enlevé la cavité crânienne présente cinq fosses nettement délimitées, deux en avant, trois en arrière. La plus grande largeur de la (1) Voy. BeaureGar», Recherches sur l’encéphale des Balænides (Journ. de l’anat., 1883 p. 481). RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 79 cavité crânienne mesure 36 centimètres. Les cinq fosses sont à pea près d’égale dimension. Les deux antérieures sont simplement séparées par une légère saillie osseuse, les trois autres au contraire sont séparées par deux lames de la tente du cervelet, hautes de 10 centimètres au moins. Les deux septa sont légèrement obliques d’avant en arrière et de dedans en dehors. Il fallut successivement enfoncer les mains dans ces trois fosses pour dégager le cerveau qui a été placé dans le bichromate de potasse. On l'a piqué par places avec une longue épingle et disposé dans un mou- choir permettant de le soulever et de le changer au besoin de vase sans risques. Il y est demeuré jusqu’à la fin de l'étude qu’en a faite l’un de nous. Un bout de la moelle resté adhérent au cerveau continue les deux frag- ments qui avaient été préalablement enlevés. Le transport de cette pièce anatomique précieuse ne fut pas sans offrir quelque difficulté. Elle fut placée dans un baquet plein de liquide conserva- teur, avec les fragments de moelle et d’autres parties intéressantes, et un homme transporta le tout sur sa tête, l’île de Pico n’ayant pas de routes carrossables dans la plus grande partie de son étendue. Il dut faire ainsi 20 milles par des chemins de montagnes, jusqu'à Magdalena d’où le cerveau fut embarqué sur l’Airondelle où je recevais l'hospitalité la plus généreuse du prince Albert de Monaco, et rapporté de là en France dans l'alcool (1). La forme générale de l’encéphale du Cachalot (PI. IV) rappelle abso- lument celle des Dauphins et des Marsouins. Il est globuleux et ses lobes frontaux ne s’atténuent pas à la facon de ce qui existe chez les Balæni- des (2). Le poids de l’encéphale, pris après durcissement dans l'alcool, est de 4,660. Bien que ce poids ne puisse être considéré que comme approxi- matif, puisque la pièce n’est pas fraiche, il est intéressant à connaïtre et peut être comparé au poids que l’un de nous a donné (3) de l’encéphale de Balænoptera Sibbaldi : celui-ci n’était que de 3 kilogrammes. L'état de la pièce ne nous permet de donner aucune indication sur les tubercules quadrijumeaux, non plus que sur la glande pinéale et l’hypo- (1) Laboratoire d'anatomie comparée, n° 1887-1248. (2) Voir BEAUREGARD, loc. cit. (3) Ibid. 80 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. physe; celle-ci est représentée seulement par son pédicule, courte colonne de 5”"” environ de diamètre transversal. Cerveau (PI. IV et V). — La face ventrale du cerveau présente une remarquable asymétrie. Celle-ci, fréquente d’ailleurs chez les Cétodontes, ne parait point seulement accidentelle. Le côté droit, principalement dans la région frontale est beaucoup plus développé que le gauche; le sillon qui sépare les deux lobes frontaux est fortement reporté à gauche. La x scissure de Sylvius est assez profonde. Très large à son extrémité interne elle se rétrécit rapidement, à mesure qu’elle gagne la face latérale du cerveau, elle est très fortement arquée, à concavité postérieure, remontant très peu sur la face latérale et ne présentant en tout, d’une extrémité à l’autre, que 8 centimètres de long. La face supérieure du cerveau, bien qu'altérée, laisse cependant re- connaitre encore l’asymétrie résultant du développement relativement moindre de la région temporale droite. La longueur des hémisphères est de 24 centimètres, leur largeur dans la région moyenne atteint 16 centimètres. En avantils sont arrondis et leur extrémité est obtuse. En arrière ils s’écartent et leurs extrémités postérieures coupées obliquement ménagent entre elles un espace triangulaire large de 14 centimètres, haut de 12 cen- timètres, qui est rempli par le cervelet. Le cervelet occupe donc la face postérieure des hémisphères et n’est pas recouvert par ceux-ci. La scissure de Sylvius atteignant à peine les faces latérales du cerveau, la face supé- rieure parait constituée d’une seule masse hémisphérique. Nous décrirons seulement les circonvolutions de la surface du cer- veau, nous avons cru en effet devoir ne pratiquer aucune coupe dans l'intérêt de la conservation de la pièce, même une coupe médiane. Nous nous servirons de la nomenclature créée par Broca, il sera ainsi plus facile de comparer notre description avec celle que l’un de nous a donnée du cerveau des Balænoptères (1). Nous considérerons suc- _cessivement le grand lobe limbique et les circonvolutions du manteau de l’hémisphère. Grand lobe limbique. — Le grand lobe limbique (nomenclature de (1) Voy. BraureGar», Recherches sur l’encéphale des Balænides (Journ. de l’anat. et de la phys., 1883, p. #81). RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 81 Broca) comprend, on le sait, le lobe olfactif, le lobe de l’hippocampe et le lobe du corps calleux. 1° Le lobe olfachif est complètement nul chez le Cachalot, au moins n’avons-nous retrouvé aucune trace de son existence, et malgré les soins que nous avons mis dans l’enlèvement des méninges, nous n'avons pu découvrir aucune fibre pouvant laisser croire à l’existence d’un nerf olfactif; l'hypothèse que FLower avait émise de la présence d’un petit nerf olfactif que semblait indiquer un orifice décrit par cet auteur dans le crâne, ne se trouve donc pas confirmée par l'étude de la pièce que nous possédons. 2° Le lobe de l'hippocampe (PI. XI, fig. 1) est relativement très petit ; il occupe le bord interne du lobe occipital à la limite postérieure de la seis- sure de Sylvius. Ce lobe comprend deux circonvolutions dirigées d’avant en arrière et placées l’une au-dessus de l’autre. La circonvolution inférieure est bifurquée à son extrémité antérieure et sa branche ventrale entre en communication (pôle temporal {) avec une des circonvolutions du manteau de l’hémisphère. Le lobe de l’hippocampe est à peu près complètement recouvert par le manteau : pour l’apercevoir, il faut soulever celui-ci un peu en dehors. En arrière il se continue avec le lobe du corps calleux, que nous ne pouvons décrire. Complètement limité dans toute son étendue par l’arc inférieur de la scissure limbique /, il ne communique done avec le manteau que par la partie antérieure. Ses dimensions sont restreintes. Il ne mesure en effet que 5 centimètres de long. Les caractères que nous donnons permettent de le rapprocher du lobe de l’hippocampe du Dau- phin, qui a complètement perdu son indépendance, et est très atrophié (1). Manteau de l'hémisphère. — 11 comprend le lobe frontal et le lobe occipito-pariétal que nous allons décrire successivement : 1° Lobe frontal (PL. IV, fig. 2, et PL V, fig. 3 et 4). — Le sillon de Rolando (R), qui sépare les circonvolutions frontales des circonvolutions dites pariétales, est assez difficile à délimiter. Suivant Broca, chez le Dauphin, c’est un sillon qui se détache de la scissure de Sylvius, un peu en dehors du niveau où le lobe de l’hippocampe communique avec les circonvolutions voisines (pôle tem- poral). Cette scissure se porte ensuite en avant et un peu en dedans et (4) Voy. Broca, Anatomie comparée des circonvolutions cérébrales, in Revue d’Anthropologie, 1878, page 454, fig. 27. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 32 série: — IV. 11 82 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. sépare le grand lobe pariétal du lobe frontal. Le lobe frontal ainsi délimité est assez large chez le Dauphin, mais n'occupe cependant qu'une partie de la face inférieure de la région frontale de l'hémisphère. En examinant des pièces de Dauphin que nous avons en certain nombre, nous retrouvons très facilement le sillon de Rolando tel que le décrit Broca, mais chez notre Cachalot, ce sillon n’est pas aussi nettement limité : il est inter- rompu par divers plis de passage entre les circonvolutions pariétales et les circonvolutions frontales. Il nous paraît cependant qu’on doit considérer comme sillon de Rolando un sillon qui, partant de la lèvre antérieure de la seissure de Sylvius, un peu en dedans du pôle temporal, limite nettement l'extrémité interne de la branche antérieure de la première circonvolution sylvienne. Ce sillon, par un trajet sinueux, gagne l’extrémité antérieure de l'hémisphère. Notre description s'applique au lobe frontal droit, qui est en meilleur état de conservation que le gauche. Ce qui en ressort, c’est que le lobe frontal n’a pas une indépendance absolue, particularité peut-être en rapport avec l'absence totale de nerf olfactif. Ainsi délimité le lobe frontal mesure à peu près 6 centimètres de large, c’est-à-dire qu'il n’occupe pas toute la face ventrale de la région frontale du cerveau. Dans la partie antérieure du lobe frontal, on compte trois circonvolutions principales, à direction antéro-postérieure, un peu obliques de dehors en dedans. Ces circonvo- lutions sont fortement contournées sur elles-mêmes; elles sont certaine- ment beaucoup plus développées, à proportion gardée, que chez le Dauphin. Tout à fait en arrière, dans le tiers environ de son étendue, le lobe frontal offre une surface complètement lisse séparée des circonvolutions de la région antérieure par un profond sillon obliquement dirigé de dehors en dedans et d’arrière en avant. Ce sillon toutefois ne s'étend pas jusqu’à la circonvolution frontale interne qui est par suite en communication directe avec la région lisse que nous déerivons. Cette région lisse (PI. IV, fig. 2, g) est celle que Broca a désignée sous le nom de lobule désert ou désert olfactif. Ce lobule désert passe insensiblement dans la vallée de Sylvius. 2° Lobe occipito-pariétal. — Nous désignons sous ce nom tout le reste de l'hémisphère. Il présente des circonvolutions très larges, bifurquées en gé- néral à leurs extrémités et fortement repliéessur elles-mêmes dans tout leur RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 83 trajet. On peut les considérer comme partant toutes du bord de la scissure limbique qui les sépare du lobe de l’hippocampe; elles ont tendance à con- verger vers l'extrémité antérieure de cette scissure. La circonvolution qui borde immédiatement la scissure de Sylvius, ou première circonvolution sylvienne (PI. IV et V, S'), est très fortement repliée sur elle-même à l’ex- trémité externe de la scissure. Elle commence un peu en dehors du pôle temporal dont elle est séparée par l’origine de l’une des circonvolutions pariétales. Avant d’atteindre l'extrémité de la scissure de Sylvius, elle donne une branche, racine d’une seconde circonvolution sylvienne (S°) qui s’élargit très rapidement et enveloppe la première. Cette seconde circon- volution sylvienne se bifurque en avant et à la face inférieure de la région frontale, sa branche postérieure s’unissant à la première circonvolution sylvienne tandis que sa branche antérieure tombe sur le sillon de Rolando qu’elle interrompt par un pli de passage étroit. Les autres circonvolutions du manteau de l'hémisphère (PI. IV et V; 1, Il, IT, IV) ont des extrémités postérieures assez grèles, qui s’élargissent bientôt et donnent successivement quatre circonvolutions pariétales. La première ou circonvolution interne occupe en arrière le bord interne de l'hémisphère et arrivée vers son milieu elle se confond avec la seconde circonvolution pariétale. Celle-ci, dirigée un peu obliquement d’arrière en avant et de dehors en dedans, se termine après s’être confondue avec la première pariétale, sur l'extrémité interne d’un sillon oblique que nous considérons comme la partie supérieure du sillon de Rolando. La troisième eirconvolution pariétale naït en arrière par deux racines et se continue en avant jusqu’à l’extrémité antérieure de l’hémisphère où elle se bifurque, sa branche interne donnant un pli de passage (Pl, V, fig. 2 et 4, p) qui interrompt largement la scissure de Rolando. Enfin la quatrième pariétale très large et bifurquée en arrière se bifurque également en avant et sa branche externe se continue dans le pli de passage que nous venons de signaler. Toutes les circonvolutions pariétales viennent donc aboutir à la partie supérieure du sillon de Rolando et l’interrompent sur une assez large élendue, puisque les troisième et quatrième pariétales fournissent un pli de passage qui les fait communiquer avec les circonvolutions frontales préci- sément au niveau où, d'autre part, la deuxième circonvolution sylvienne 84 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. interrompt également ce sillon par un autre pli de passage (PI. V, fig. 3, S°). CERvELET (P1. IV, fig. 2, c). — Sur notre pièce il est très altéré dans sa forme. Tel qu’il se présente il mesure 10 centimètres de haut sur 14 cen- timètres de large; le lobe médian très petit, n’a pas plus de 25 millimètres de diamètre. Les lobes latéraux offrent de nombreux sillons qu’il nous est impossible de décrire et qui offrent les caractères ordinaires chez les Cétacés. MOoëLLE ALLONGÉE. — La protubérance offre la forme ordinaire chez les Mammifères, et mesure environ 6 centimètres de diamètre transversal sur 45 millimètres de diamètre antéro-postérieur. Le bulbe est ici très déformé, probablement par défaut de conservation. L'origine des nerfs à ce niveau est exactement la même que chez le Dauphin. Nous signalerons le volume énorme de l’ensemble des nerfs facial et acoustique (é). Nous avons essayé une injection qui, vu l’état de la pièce, n’a pas donné des résultats complets. Nous distinguons de chaque côté de la carotide (a') dans la scissure sylvienne, une artère cérébrale moyenne (a) volumineuse qui donne bientôt quatre branches, dont l’une pénètre dans la masse cérébrale. En avant se détache la cérébrale antérieure (e) qui s’enfonce entre les deux lobes frontaux. En arrière la carotide donne une grosse branche qui plonge presque aussitôt dans la région de l’hippocampe, c’est l'artère cérébrale postérieure. Elle fournit en avant de la protubérance un certain nombre de branches qui accompagnent les principaux nerfs et en particulier une branche cérébelleuse (4). Enfin une artère médiane qui longe la protubé- rance, passe sur le bulbe et donne naissance à un réseau admirable arté- riel. Ce réseau s’étend sur la base du cervelet et sur l’origine de la moelle. Il offre une structure particulière étant formé de petites artérioles mesurant environ À millimètre de diamètre, pelotonnées les unes sur les autres. Mogczx (1). — La dure-mère est très dense. La moelle (PI. IV, fig. 1 et 2, M) n'est pas plus volumineuse que celle du bœuf, ce qui est fait pour étonner, si l’on compare les masses musculaires mises en action. En consi- dérant les nerfs moteurs comme de véritables nerfs trophiques, il faudrait admettre que la dépense nerveuse est peu considérable pour mouvoir (4) Voy. Poucuer, Sur la moelle épinière du Cachalot. C. R. Soc. de Biolog., 20 janvier 1891. RECHERCHES SUR LE CACHALOT. 89 l'énorme machine du Cachalot, qui trouverait dès lors principalement dans sa forme l'élément de sa puissance. Il est à remarquer d'autre part que si la moelle a un si petit volume, l’'encéphale semble en rapport de son côté avec la masse musculaire : il faut en conclure que la quantité d'énergie transmise de la périphérie au centre, est indépendante du nombre ou du volume des conducteurs. On doitsupposer que les conducteurs médullaires, chez le Cachalot, considérés isolément travaillent beaucoup plus que chez le bœuf; en d’autres termes, que ce qu’on appellera si l’on veut l’influx nerveux, s’y transmet à un état de tension beaucoup plus grand. Des deux fragments de moelle que nous avons coupés avant d’enlever le cerveau, l’un, malheureusement, au cours des vicissitudes du transport, a été un peu déformé, sans que cette déformation d’ailleurs nuise à l'étude de la constitution de l’organe. Les coupes pratiquées sur ces deux fragments nousont offert malgré leur voisinage, un aspect très différent. Toutefois leur dimension est sensible- ment la même, mesurant 15 millimètres de diamètre transversal sur 11 millimètres de diamètre antéro-postérieur. Sur les deux fragments on ne voit aucune trace de canal central, et il est difficile de supposer que les éléments de sa paroi, s’ils avaient subsisté, même dissociés, soient devenus méconnaissables, en particulier sur le frag- ment qui n'a pas subi de déformation. La couche grise périphérique est très inégale dans les points où elle existe, elle manque totalement dans des étendues considérables de la surface de la moelle. Le sillon postérieur est à peine distinct ou même tout à fait effacé. Le sillon antérieur est une simple fissure occupée par une mince lame de tissu lamineux contenant quelques rares vaisseaux. Par contre les deux subs- tances blanche et grise, cette dernière surtout, sontextrèmement vasculai- res. On peut voir vers l'extrémité des cornes, de gros capillaires gorgés de sang, mesurant jusqu'à 120 « de diamètre, avec une paroi épaisse de 6 y. Les cellules nerveuses des cornes antérieures ne dépassent pas 94 y, le noyau est ovoïde avec un nucléole sphérique. Elles présentent dans leur cytoplasme un amas compact de fines granulations brunes. Dans les cornes 86 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. postérieures, le diamètre des cellules ne paraït pas dépasser 18 y. Dans la substance blanchele volume des tubes nerveux et des cylindraxes ne dépasse pas ce qu'il est chez l’homme et les grands mammifères. Les deux fragments offrent sur la tranche, indépendamment de la défor- mation de l’un d’eux, une différence d’aspect très accusée. Nous commen- cerons par décrire le fragment le plus éloigné, c’est celui qui a subi une déformation sensible. Le sillon postérieur est totalement indistinet : les deux cornes antérieures fortement accusées, volumineuses, s'étendent presque transversalement, offrant des dentelures, origine de cloisons de substance grise qui s’avancent dans la substance blanche. Les cornes pos- térieures sont étroites, insérées presque perpendiculairement à la base des cornes antérieures, fusiformes, se prolongeant en quelque sorte jusqu’à la surface de la moelle. La substance grise s’y montre disposée par ilots entre lesquels pénètrent un grand nombre de tubes à myéline. On trouve des cellules nerveuses très loin, jusqu’au début de la partie la plus rétré- cie de la corne. Sur l’autre fragment plus rapproché du bulbe, on ne distingue point tout d’abord les cornes postérieures. Il semble qu'il n’y ait que deux cornes antérieures volumineuses, étalées transversalement. Cependant, avec plus d'attention, on voit ces larges cornes transversales présenter en arrière, dans leur moitié interne, une sorte d’avancée. Leur bord dans cette étendue est comme rejeté en arrière. À partir du point où cesse cette avancée, la corne se continue plus étroite. Ces deux avancées ne présentent point de grosses cellules motrices et sonten réalité les cornes postérieures très élargies, ac- colées aux antérieures, et émettant simplement, comme celles-ci, des eloi- sons rayonnantes multiples dans la substance blanche. EXPLICATION DES PLANCHES Nora. — Les planches I à V sont faites d’après des photographies des pièces décrites. PLANCHE I. Fig. 1. — Tête du jeune Cachalot mâle (Laborat. d’anat. comp. 1889-161), dressée et vue latéralement (réduction au 1/10 environ). Vers l'extrémité de la lèvre supérieure existe une déchirure produite par la chaine frappée pour trainer l’animal à terre. — a, œil; — b, orifice du conduit auditif externe. — c, Étrave. FiG. 2. — Tête du même individu, dressée et vue par sa face ventrale. FiG. 3. — Tête du même, dressée, vue par la face dorso-latérale droite. Elle est légèrement affaissée sur elle-même et à gauche, consécutivement à la dissection de la peau et des muscles, dont les lambeaux p, p sont rejetés de côté. — Sur la ligne médiane dorsale on voit l'organe du blanc sp sous la forme d’un cylindre, étranglé de place en place par des brides fibreuses, restes de l’enveloppe de l'organe partiellement ouverte avant qu’on en prit la photographie. Fic. 4. — Tête du même, dressée, vue par la face dorso-latérale gauche. La peau a été disséquée un peu en arrière de l’évent e et le muscle nasal gauche m divisé et rejeté de côté. On a ainsi découvert la narine gauche » se rendant à l’évent. Sur la préparation la narine est gonflée démesurément au moyen d’étoupe. — En p coupe de la peau; en sp bord gauche de l’organe du blanc. PLANCHE II. F1G. À. — Portion de l'organe d’Alderson, d'après une pièce rapportée de Lagens (Acores) par M. Pouchet. FiG. 2. — Extrémité de la tête du jeune mâle (Laborat. d’Anat. comp. 1889-161) vue par sa face dorso-latérale gauche. Un bout de sonde e montre la communication entre l’évent et le sinus vertical antérieur. Celui-ci a été ouvert par une incision cruciale de la peau. Dans son fond on apercoit le « museau de singe » d, dont l'orifice est limité par deux lèvres en forme de bourrelet. S, bord dorsal de la tête. V, bord ventral. Fc. 3. — Màchoire inférieure et langue /, du même individu. Les dents sont encore incluses dans la muqueuse ; 0, 0, branches de la mâchoire ; p, pharynx. FiG. 4. — Portion postérieure du crâne du même sujet vue en dessus : sur la face antérieure de la crête frontale /, est appliqué le sinus, s, qui a été ouvert pour montrer la muqueuse pigmentée de sa paroi postérieure, criblée de cryptes qui représentent l’organe d'Alderson au début de son développement. En n la narine droite. On la voit, au niveau où elle communique avec le sinus, plonger en bas dans la fosse nasale osseuse corres- pondante. 88 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. PLANCHE II. F16. 1. — Larynx du Cachalot de l’île de Ré, vu latéralement. — a, épiglotte; — db, lèvre aryténoïdienne ; — c, bord libre du cartilage thyroïde. Fig. 2. — Le même. Colonne aryténo-épiglottique vue par la face ventrale. Elle émerge dans la cavité pharyngienne. F16. 3. — Cartilages de la colonne aryténo-épiglottique vus latéralement. — a, cartilage épiglottique; — b, repli de ce cartilage formant la lèvre antérieure de l’orifice glottique; — c, bord du cartilage thyroïde; d, cartilage de Santorini. PLANCHE IV. Encéphale de Gachalot adulte, d’après les photographies d’une pièce rapportée de Lagens (Acores) par M. Pouchet. Les désignations suivantes ont été employées pour toutes les figures des planches IV et V: I, Il, IL, IV, première, deuxième, troisième et quatrième circonvolutions pariétales. C, cervelet; F, lobe frontal; M, moelle. R, sillon de Rolando. S1, première circonvolution sylvienne. S?, deuxième circonvolution sylvienne. F1G. 4. — Vue de la face supérieure de l’encéphale. La pièce a été déformée malgré les soins apportés à sa conservation. Fic. 2. — Vue de la face ventrale, les vaisseaux injectés. — a, artère cérébrale moyenne; — a, carotide interne ; —, bulbe; —c, cervelet; — d, artère cérébelleuse; —e, artère cé- rébrale antérieure ; —f, protubérance annulaire; —q, pôle temporal; — M, moelle; — 5, branche supérieure de la deuxième circonvolution sylvienne interrompant le sillon de Rolando; — é, faisceau nerveux acoustico-facial. PLANCHE V. F1G. 4. — Vue latérale et inférieure de l’encéphale. FiG. 2. — Vue latérale et supérieure. F16. 3. — Extrémité frontale du cerveau, la pièce reposant sur sa face dorsale. — p, pli de passage de la troisième circonvolulion pariétale. FiG. 4. -- Extrémité frontale du cerveau, la pièce reposant sur sa face ventrale. PLANCHE VI. Fig. 4. — Extrémité de la tête du fœtus de 1",30. La peau a été incisée au niveau du sac de l’évent, et les lambeaux rejetés de côté laissent voir les deux lèvres du museau de singe m. — Ene, l’évent. F1G. 2. — Coupe de la tête du second jeune mâle faite à 0,40 de l’extrémité antérieure. — a; espace occupé par le spermaceti; au centre, on voit la coupe d’une artère; — b, paroi fibreuse de la caisse; — c, enveloppe de graisse où est plongée la narine droite d; — g, narine gauche; — h, cartilage de la cloison; — m, faisceau du muscle nasal gauche; — n, muscle nasal gauche; — »”, muscle nasal droit; — 0, lit adipeux séparant la caisse des os maxillaire p et intermaxillaire p' ; — gq, cartilage vomérien ; — r, lard. EXPLICATION DES PLANCHES. 89 F1G. 3. — Arrière-narines; préparation faite sur le fœtus de 12,30. — d, fosse nasale droite; — g, fosse nasale gauche ; — pt, ptérygoïde ; — 4, orifice de la trompe d'Eustache droite. PLANCHE VII. FiG. 1. — Membre antérieur du fœtus de 4%,30; muscles de la face externe (grandeur naturelie). À, olécrâäne; — a, apophyse pisiforme; — b, cartilage terminal de l’acro- mion ; — d, deltoïde coupé et relevé; — E, extenseur commun des doigts; — e, exten- seur propre du pouce; — ep, muscle sus-épineux; — 9, faisceau du grand dorsal; — m, aponévrose commune au deltoïde et aux extenseurs ; — p, peaucier ; — 7, grand rond; —se, sous-épineux ; — I à V, doigts. Fi6. 2. — Membre antérieur, face interne. — c, coraco-brachial; — co, extrémité de l'apophyse coracoïde ; — d, bord du deltoïde; — F, fléchisseur commun des doigts; — f, fléchisseur propre du pouce; — g, bord du grand rond; — it, faisceau interosseux du fléchisseur commun; — p, petit pectoral sectionné et relevé ; — ss, sous-scapulaire; — t, rudiment des muscles interosseux des doigts; — I à V, doigts. F16. 3. — Membre gauche de jeune Cachalot G envoyé des Acores, vu par sa face interne. Cette figure, comme la suivante, est faite d’après une photographie. On y remarque que le pouce I est beaucoup moins libre que chez le fœtus; il se distingue à peine du deuxième doigt, à la base duquel il est solidement fixé par une enveloppe fibreuse. En même temps son fléchisseur propre, qui était très manifeste chez le fœtus, est réduit à quelques fibres f à peine apparentes à la surface du radius. F1G. 4. — Membre gauche du même, vu par sa face externe. Les mêmes observations s'appliquent à l’extenseur du pouce e, dont il n'existe que des traces. PLANCHE VIIL. Fi6. 1. — Estomac du fœtus de Cachalot de 12,30; face ventrale. — a, jabot; — b, estomac proprement dit; — c, première poche duodénale ouverte suivant sa largeur pour montrer, à droite, l’orifice qui conduit à l'estomac; au milieu, la boutonnière qui fait communiquer entre elles les deux poches duodénales ; — d, seconde poche duodé- nale; — f, diaphragme; — à, intestin; — 7, rate. Fig. 2. — Estomac du même, vu par la face dorsale. — æ, œsophage; — a, jabot ; — b, estomac proprement dit; — r, rate. F16. 3. — L'orifice en boutonnière qui fait communiquer les deux poches duodénales. Dessin en demi-grandeur d'après une pièce prélevée sur l'individu adulte de l’île de Ré. F16. 4. — Extrémité du rectum et anus d’un Cachalot adulte ©. D’après la photographie d’une pièce envoyée des Acores par M. S. W. Dabney (Laborat. d’Anat. comp. 1889-367). — l, couche de graisse revêtant le rectum. PLANCHE IX. D'APRÈS LE CACHALOT ADULTE DE LILE DE RÉ. FiG. À — Conduit hépatico-pancréatique k, vu par sa face externe pour montrer l’ampoule pancréatique a, à laquelle aboutissent deux canaux principaux b et c; d’autres canaux plus grêles, e, e, e, arrivent au canal commun soit sur l’ampoule soit à quelque distance. Fig. 2. — Conduit hépatico-pancréatique À, ouvert, vu par sa face interne ; — a, orifice de l’ampoule pancréatique ; — les autres lettres comme ci-dessus. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 30 série. — IV. 19 90 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. Fi6. 3. — Trajet du canal hépatico-pancréatique k, sous la muqueuse duodénale d, jusqu'à l'ampoule de Vater v. PLANCHE X. Cœur et vaisseaux de la région sous-hyoïdienne. Préparation faite sur le fœtus de Cachalot de 1",30. — b, tronc brachio-céphalique droit; — €, cœur; — d, carotide pri- milive droite; — g,g, carotide gauche ; — À, hyoïde ; — i, carotide interne; — 7, jugu- laire droite: — }', jugulaire gauche; — k, veine-cave supérieure; — /, plexus jugulaire enveloppant la carotide ; — », mammaire interne ; — n, branche artérielle ; — 0, oreillette droite; — 0’, oreillette gauche; — p, artère pulmonaire; — g, cartilage cricoïde; — r, bouquet veineux externe; — s, saillie des valvules sigmoïdes de l'artère pulmonaire; — t, cartilage thyroïde. PLANCHE XI. FiG. 1. — Bord interne de l'extrémité du lobe sphénoïdal du cerveau du Cachalot. — k, lobe de l’hippocampe ; — /, scissure Jimbique; — f, pôle temporal. F16. 2. — Muscles de la région hyoïdienne, chez le fœtus de 1%,30. — æ, œsophage; — 4, Stylo-pharyngien; — b, pharyngo-staphylin ; —c, masto-thyroïdien ; — d, sterno- thyroïdien; — e, thyro-hyoïdien ; — f, aryténo-hyoïdien ; — g, carotide recouverte par le plexus jugulaire ; elle est rejetée en dehors ; — h, hyoïde; — p, pneumo-gastrique ; — t, trachée. FiG. 3. — Face inférieure de la langue du jeune Cachalot mâle. Au niveau du frein de la langue on voit les orifices a des sacs glandulaires, et sur leur pourtour les orifices b des saccules; — /, lobule produit par des incisures de l'extrémité de la langue. F16. 4. — Cœur de Cachalot adulte ; injection artérielle et veineuse; vue de la face anté- rieure. — à, artère coronaire gauche; — b, terminaison de la veine coronaire gauche; — c, d, veines de la face antérieure des ventricules ; — f, veine marginale droite; — g, veine marginale gauche. Fig. 5. — Le même ; vue de la face postérieure. — a, artère coronaire gauche ; — b, aorte; — d, orifice des veines pulmonaires ; — e, artère coronaire droite ; — f, veine marginale droite; — g, veine marginale gauche ; — À, branche verticale de la veine coronaire ; — v, veine coronaire. PLANCHE XII. F16. 1. — Trajet et distribution de l'artère sous-orbitaire gauche, d’après une préparation sur le fœtus de 1,30. — a, artère et n, nerf sous-orbitaires traversant le trou sous- orbitaire; — b, c, d, trois branches artérielles principales se distribuant à la peau de la tête, tandis que le tronc se ramifie dans le tissu où se formera plus tard le « lit adi- peux »; — e, évent; — g, narine gauche ; — m, muscle nasal gauche; — m, portion ver- ticale de l'os maxillaire supérieur; — p, peau du dessus de la tête rejetée de côté. F6. 2. — Vaisseaux et nerfs au niveau de la région temporale chez le fœtus de 17,30. — b, bulle tympanique; — c, cartilage reliant l’hyoïde à la bulle; — d, artère auricu- laire postérieure ; — à, carotide interne; — 0, artère occipitale; — IX, X, XI, XII, les quatre dernières paires nerveuses crâniennes à leur sortie du crâne, en arrière de la bulle {ympanique ; — m, branche nerveuse pour le muscle sterno-mastoïdien. RECHERCHES ANATOMIQUES SUR LE PENTAPLATARTHRUS PAUSSOIDES COLÉOPTÈRE DE LA FAMILLE DES PAUSSIDES PAR A. RAFFRAY CONSUL DE FRANCE, CORRESPONDANT DU MUSÉUM. Dans la préface du mémoire sur les Coléoptères de la famille des Paus- sides, qui a déjà paru dans les Archives du Muséum (1), j’exprimais l'espoir de pouvoir un jour ou l’autre compléter ce travail par des recherches ana- tomiques sur ces curieux insectes. Je suis heureux de pouvoir aujourd’hui réaliser cette promesse. Non parce qu’il m’a été donné, comme je le pensais, de prendre moi-même encore des Paussus vivants, pour les étudier sur des individus frais, mais parce que M. L. Peringuey, entomologiste distmgué qui habite le Cap de Bonne-Espérance, a bien voulu recueillir et m'envoyer, dans l’alcool ab- solu, cinq exemplaires du Pentaplatarthrus paussordes. Bien que ces insectes ne soient pas des plus grands parmi les Paussides, ils sont d’une taille suffisante pour permettre de les disséquer et, quoi que leurs organes aient été rendus plus fragiles par une macération d'environ dix mois dans l’alcool, j'ai réussi à en faire l’anatomie d’une façon suffisante. C'est le résultat de ces recherches que je soumets, dans les pages qui vont suivre, à l’appréciation de nos maïtres, en faisant appel à leur indulgence. (1) Voir le précédent travail publié dans la 2° série de ce recueil, t. VII, p. 307; PI. XV à XIX et t. IX, p. 1. 92 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. Ce travail, sans prétention, aura atteint son but, s’il peut être de quel- que utilité et faire connaitre l’organisation interne d'insectes peu répandus et qui sont difficilement à la disposition des savants qui semblaient, bien mieux que moi, désignés pour de telles recherches. Système digestif. — Le système digestif présente la plus grande analogie avec celui des Carabiques et vient ainsi confirmer l'opinion que j'avais déjà émise, d’après l'examen des organes buccaux, à savoir que les Paussides sont des carnassiers. Le tube digestif se compose d'abord d’un jabot de grandes dimensions qui, très mince et très effilé, quand il sort de la bouche, commence à se ren- fler dans le thorax, pour devenir une poche volumineuse dans l’abdomen, dont il remplit la cavité presque jusqu'aux deux tiers. Sa forme générale est celle d’une poire très allongée. Ilest formé d’une membrane mince et délicate, d’un blanchâtre un peu opalin, plissée obliquement et transversalement, qui doit avoir une grande faculté d'extension. A l’intérieur, il est revêtu d’une membrane plus épaisse bien que mince encore, divisée en petites cellules généralement pentago- nales, d’un aspect granuleux, avec un nucléus central, rond et plus clair. Cette membrane est comparable à un épithélium pavimenteux. Vu en dessus, il est un peu échancré au côté gauche de sa partie postérieure et c'est au sommet de cette échancrure que le gésier prend naissance. Ce dernier organe est assez court, peu volumineux, tubulaire, terminé à chaque extrémité par un sphincter. Il est formé d’une membrane externe résistante et élastique, à fortes fibres transversales, qui lui donnent un certain air de ressemblance avec une grosse trachée. Par transparence on distingue nettement des lignes plus obscures, longitudinales, et si l’on ouvre cet organe on y trouve dix côtes longitudi- nales, légèrement chitineuses et saillantes. Ces côtes amincies aux deux extrémités, sont alternativement plus grosses et plus petites. Les grosses, qui sont plus de quatre fois plus larges que les petites, sont très finement ri- dées transversalement; les petites sont couvertes de petites dents dirigées en arrière, plus fortes au milieu, plus fines aux deux extrémités. Au gésier succède l’estomac ou ventricule chylifique, dont une partie RECHERCHES ANATOMIQUES SUR LE PENTAPLATARTHRUS. 93 seulement est visible, en dessus, quand les organes reposent intacts dans la cavité abdominale. La forme de la portion visible est oblongue, plus renflée près du gésier, alténuée à l’autre extrémité où il forme subitement un coude et se replie sur lui-même, pour se renfler encore un peu, avant sa jonction à l'intestin. Il est placé obliquement et un peu transversalement au jabot, le long duquel il s'applique du côté droit, et sous lequel il se replie. Déplié, sa longueur égale à peu près la moitié du jabot. Il est formé d’une membrane à tissu très lâche dont les fibres, en s’entre- croisant, forment des mailles à travers lesquelles passent une infinité de pe- tits cæcums assez courts, arrondis au sommet, plus longs que larges et qui lapissent extérieurement l'estomac tout entier. Ces cæcums sont remplis d’une matière granuleuse et la membrane qui les forme est extrèmement mince. A l'extrémité postéro-inférieure et avant sa jonction à l'intestin se trouve l'insertion des tubes de Malpighi. Ces tubes sont au nombre de deux de chaque côté, unis à leur extrémité dans un petit cul-de-sac plus large que le diamètre des tubes et de forme triangu- laire, tronqué au sommet; il n’y a donc en réalité, de chaque côté, qu’un seul tube revenant à son point de départ. Je n’ai pu dérouler en entier ces organes durceis par l'alcool et rendus très fragiles, mais ils m'ont semblé, dans leur circuit, devoir égaler trois fois la longueur du corps, alors que le tube digestif déroulé égale à peine une fois et demie la longueur du corps. L'intestin est de forme tubulaire, court, d’un petit diamètre égal par- tout et formant, avant le rectum, une circonvolution sur lui-même. Le rectum est très grand, court, presque sphérique, atténué cependant à son extrémité terminée en sphincter. À son sommet, autour de l’inser- tion de l'intestin, il présente six petites glandes rondes, en forme de len- tilles et peu proéminentes; ces glandes sont renfermées dans une sorte de calotte formée d’un tissu plus serré et plus dense que dans le reste de cet organe, sur toute la longueur duquel on voit, du sommet au sphincter, et passant entre chaque glande, six petites côtes plus foncées. Le tissu est formé de fibres transversales et longitudinales, les premières étant bien plus apparentes et plus fortes que les secondes. 94 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. Je n'ai pu découvrir aucun appareil de sécrétion spécial se déversant dans le rectum ou aboutissant dans l’anus; il existe cependant des appa- reils sécréteurs et détonants que je décrirai plus loin. Comme on le voit, le jabot, le gésier, l'estomac, l'intestin et le rectum sont identiques, dans leur structure générale et dans leur conformation à ceux des carabiques et, sur ce point, la similitude entre ces deux familles est aussi complète que possible. Les Paussides sont donc bien ei d’une façon indiscutable des carnassiers ; mais nous ne retrouverons pas partout, notamment dans le système ner- veux, les mêmes analogies. Organes sécréteurs et détonants. — Comme on le sait par l’observa- tion directe et répétée sur des Paussides vivants, ces insectes sont pourvus de la faculté de crépiter et de détoner. Je ne reviendrai pas sur les détails que j'ai déjà donnés à ce sujet. Il était donc impossible qu’il n’existât pas un organe spécial affecté à cette fonction. Après l’avoir beaucoup cherché, je l'ai découvert dans une situation assez anormale. | Cet appareil est double et situé de chaque côté du corps, à la partie pos- térieure, et au lieu de s'ouvrir dans l'anus, il a son orifice externe à l’an- oele supérieur latéral du pygidium. Dans la première partie (page 333) en traitant de la morphologie et spé- cialement des armures génitales, j'ai déjà parlé d’une poche chitineuse remplie d'un corps brun et s’ouvrant extérieurement par un pore situé de chaque côté, à la base du huitième segment dorsal ou pygidium. Cette po- che chitineuse fait partie de l'appareil sécréteur et détonant, et le pore déjà signalé n’est autre que l’orifice par lequel s’écoulent les sécrétions. Cet appareil est donc situé de chaque côté du corps, loin du rectum et de l'anus avec lesquels il n’a aucune connexion. De plusil est double et cha- cun, formant un organe complet, est indépendant de l’autre. Il se compose de trois parties distinctes : une poche chitineuse, une vessie membraneuse et un long vaisseau. La poche chitineuse, légèrement pyriforme, est placée transversalement au-dessus du tergite de l’armure génitale à laquelle elle est en partie sou- dée; la partie renflée se trouve à l’intérieur; l’autre extrémité, qui s’effile RECHERCHES ANATOMIQUES SUR LE PENTAPLATARTHRUS. 95 en col, aboutit à la jonction des derniers segments ventraux supérieur et inférieur et s'ouvre dans un pore qui est situé près du dernier stigmate, mais au-dessous de lui; ses parois sont renflées près del’orifice et sont mu- nies de deux apophyses, l’une courte en pointe obtuse, l’autre plus grande, triangulaire à son insertion sur les parois de la poche, puis amincie et forte- ment coudée ; toutes les deux sont munies de puissants faisceaux de muscles. Cette poche est de consistance semi-membraneuse, mais très élastique, et joue évidemment le rôle de sphincter. Elle est remplie de globules bruns de dimensions variables. Elle est fendue, sur le dessus, près de son ori- fice et dans sa partie amincie, et là s’insère, sur elle, un tube comprimé, membraneux mais à fibres transversales, spiroïdes et très élastiques, qui est une sorte de canal déférent. Ce tube est court et aboutit dans une grande vessie trilobée, dilatée en oreillettes de chaque côté, à tissu épais, formé de fibres robustes et entre-croisées. Au sommet de cette vessie et dans la sinuosité médiane formée par les lobes latéraux, s’insère un vaisseau unique, d’assez fort diamètre et en- roulé sur lui-même, d’une extrême fragilité et que, pour ce motif, je n’ai pu réussir à dérouler. Ce vaisseau, qui est l’appareil sécréteur proprement dit, est composé de deux tubes concentriques. Le tube externe est formé par une membrane mince, très transparente, très irrégulièrement et grossièrement réticulée. Ces réticules semblent indi- quer l'emplacement des glandes sécrétrices, dont d’ailleurs je n’ai pas aperçu la moindre trace ; aucune granulation ne laissant soupçonner leur existence. Le tube interne plus de trois fois moins gros que l’externe, beaucoup plus obscur que lui, est formé d’une membrane à fibres transversales et spi- roides qui lui donnent l’aspect d’une trachée. Ce vaisseau étant unique est forcément aveugle et n’aboutit à aucun fais- ceau de glandes; il est libre et immergé dans le tissu adipeux. Organes de la génération. — Organes Imdles. — J'ai déjà, dans la mor- phologie, décrit l’armure mâle, je n’ai rien à y ajouter. Tout en présentant certaines modifications importantes, les organes gé- nérateurs mâles du Pentaplatarthrus offrent, dans leur ensemble, une grande analogie avec ceux des Carabiques. Comme chez ces derniers, les 96 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. testicules sont simples, formés d’un long vaisseau assez mince, lâchement enroulé sur lui-même et hbre, c’est-à-dire non enfermé dans une mem- brane. Il y a ainsi deux testicules, un de chaque côté, parfaitement dis- tincts et séparés. Le canal déférent est subitement très renflé ct forme une grande vésicule qui s’atténue de nouveau, au sommet, pour redevenir un tube recourbé qui va s’insérer sur la vésicule séminale située de l’autre côté ct au milieu de sa face interne; de sorte que le testicule droit se dé- verse dans la vésicule séminale gauche et réciproquement. Il y a deux vésicules séminales qui sont formées par un tube à peine plus gros que la partie renflée du canal déférent, mais deux fois aussi long que lui, très recourbé, très légèrement renflé à son extrémité, qui est un peu acuminée, mais obtuse. Ces deux vésicules séminales se croisent l’une sur l’autre en forme de X, celle de gauche sc recourbant à droite et celle de droite à gauche. Elles diminuent de diamètre et, après une légère sinuo- sité, se réunissent, pour former le canal éjaculateur au moins trois fois moins gros que chacune d’elles et trois fois moins long. Il n’a aucune circonvo- lution et est simplement sinueux. On voit qu'à part le renflement du canal déférent, cet organe présente la plus complète analogie avec ceux des Carabiques. Organes femelles. — J'ai décrit (/oco citato) l’armure femelle et je n'ai rien à changer à cette description. Cependant j'ai indiqué le sternite comme étant complètement isolé à la partie médiane et interne de l’armure : c’est qu’en effet le sternite est accolé sur la face inférieure de la poche copu- latrice, qui est membraneuse et se prolonge, en dessous, plus loin qu’en dessus, où elle est recouverte par les épisternites. On peut considérer qu’à partir des épisternites, la poche copulatrice devient le vagin proprement dit et c'est à cet endroit où, sa membrane s’amincissant un peu, elle devient le vagin, qu'est inséré le sternite. Ce dernier du reste n’est nullement im- pair ; il est au contraire composé de deux parties unies par une membrane. Les organes générateurs femelles sont très grands chez le Pentaplatar- thrus. Is sont constitués d’abord par deux gaines ovigères, très longues, en forme de corne, très effilées et amincies à leur sommet qui s’insère sur le vaisseau dorsal, de chaque côté du tube digestif, dans la partie postérieure du prothorax. Elles sont accolées le long du jabot et disparaissent sous lui RECHERCHES ANATOMIQUES SUR LE PENTAPLATARTHRUS. 97 à son extrémité. Ces gaines ovigères renferment trois tubes également amincis à leur sommet et élargis à leur extrémité et dans lesquels les œufs sont disposés les uns au-dessus des autres, les moins avancés en gestation, vers le sommet, étant ronds, puis devenant ovoïdes et enfin oblongs. À chacune de ces gaines ovigères succède une poche {le calice) que je n’ai pu malheureusement avoir intacte; sa membrane, sans doute très mince, s'étant brisée, comprimée qu’elle était par le tube digestif et, sur les deux individus femelles que j'ai pu disséquer, ces poches étaient toujours réduites à un amas informe de matière granuleuse. À ces deux poches succèdent deux tubes courts, qui sont les trompes des ovaires et se réunissent presque immédiatement en un tube plus gros, qui est l’oviducte. Ce dernier un peu plus long que les trompes vient s’insérer en dessous de la poche copulatrice. Celle-ci est en forme de cloche et la partie supérieure de son sommet, au-dessus de l’oviducte, s’amincit subitement en un petit vaisseau sinueux, assez court qui se termine par une petite vésicule brièvement ovoide. C’est la vésicule spermatique et il n'existe pas d’autre vaisseau annexe. La membrane des gaines ovigères est très mince, très finement granu- leuse avec quelques fibres irrégulières qui forment un lacis très lâche, par- fois interrompu. Les œufs renfermés dans les tubes sont ovoides, de consistance granu- leuse, avee un nucléus très apparent, presque central. Aussi bien au-dessus qu'au-dessous de chaque œuf, se trouve un amas de globules généralement ronds ou brièvement ovoides, granulés, avec un nueléus plus obscur à gra- nulation plus grosse; ce sont vraisemblablement des œufs à l’état embryon- naire qui se trouvent mêlés à des œufs plus avancés. Système nerveux. — Si on ne considérait que les organes buceaux et le tube digestif qui leur fait suite, on serait porté à adopter l’opinion de M. Burmeister, que j'ai déjà signalée et qui considère les Paussides comme une famille dérivée des Carabiques. L'étude de l’anatomie externe m'avait déjà amené à ne pas partager en- tièrement cette opinion, et à considérer les Paussides comme un groupe anormal très tranché, ne pouvant être relié intimement à aucune famille et présentant avec les Carabiques plus d’analogies qu'avec aucune autre. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3° série. — IV. 13 98 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. L'étude de l'anatomie interne, loin de modifier mon opinion première ne fait que la corroborer : en effet, le système nerveux diffère beaucoup, chez les Paussides, de celui des Carabiques. Tandis que chez ces derniers (Cara- bus auratus) il y a 12 ganglions, dont 6 abdominaux, les Paussides n’en ont que 7, dont un seul abdominal. Ces 7 ganglions sont : 2 ganglions céphaliques; 2 ganglions prothoraciques; 2 ganglions mésothoraciques; 1 ganglion abdominal. Ganglions céphaliques. — Composés comme d'ordinaire des ganglions sus-et sous-æsophagiens. Le ganglion sus-æsophagien est grand, trapézoïdal, fortement bisinué en avant, et longitudinalement bisillonné en dessus; les nerfs optiques sont resserrés, à leur naissance, et élargis ensuite. Le ganglion sous-æsophagien est beaucoup plus petit, allongé; l’œso- phage étant très mince, l'intervalle entre les ganglions sus-et sous-æsopha- giens est très peu considérable et forme une espèce de trou rond. Les pi- liers ou connectifs qui unissent ces deux ganglions sont très gros, forte- ment prolongés en avant en une pointe, à leur insertion antérieure avec le sus-æsophagien, et deviennent les nerfs antennaires. Il en résulte que ces derniers, émanant des piliers, appartiennent aux deux ganglions. C’est sur la face antéro-interne des piliers et encore à leur jonction avec le sus-æsophagien, que naissent les deux filets qui se réuniront pour for- mer le tubercule frontal, lequel est assez petit, en triangle très transversal, dont le sommet émet le nerf sus-intestinal. 1l m'a été impossible de suivre ce dernier et aussi d'isoler pour pouvoir les décrire et les dessiner, les ganglions angéiens, bien que ces derniers, en- fouis dans le tissu latéral du tube digestif, m'aient semblé être composés de deux petits ganglions superposés, de chaque côté. A l'extrémité du ganglion sous-æsophagien, j'ai constaté la présence de deux petits filets nerveux. Les connectifs qui unissent le ganglion sous-æsophagien au premier ganglion prothoracique, sont forts, bien distincts et asser courts. Ils émettent chacun, vers leur milieu, un filet assez fort qui se bifurque etse ramifie très rapidement. RECHERCHES ANATOMIQUES SUR LE PENTAPLATARTHRUS. 99 Ganglions prothoraciques. — Ils sont au nombre de deux, le premier si- tué tout près de la tête, et le second presque sur le bord postérieur de ce segment du corps. Le premier, en carré très transversal, émet, à chacun de ses angles, un fort filet dont je n’ai pu constater que la racine; il est relié au second par deux connectifs forts, assez longs et très distincts. Le second est également transversal, mais d’une façon moins prononcée que le premier et un peu cordiforme; il émet de chaque côté, quatre filets nerveux : un assez fort qui part de son angle supérieur, se recourbe un peu et ne tarde pas à se ramifier, deux autres très minces, insérés légèrement sur la face supérieure, l’un au-dessous de l’angle supérieur, l’autre un peu après le milieu, enfin le quatrième placé à l’angle postérieur et près des connectifs est presque aussi gros que le premier. Je n'ai pu voir ces trois derniers filets nerveux qu'à leur racine. | Les connectifs qui unissent le deuxième ganglion prothoracique au pre- mier mésothoracique sont moins forts, très distincts et très courts. Ganglions mésothoraciques. — Il y en a deux presque soudés ensemble et situés à la partie antérieure du mésothorax. Le premier de ces ganglions est gros, ovoïde, très convexe et renflé en dessus, en sorte que les connectifs s’insèrent à sa face inférieure. Le second est beaucoup plus petit, presque oblong et relié au premier par deux connectifs épais, très courts, peu distincts, en sorte que le second ganglion semble être placé presque au-dessous du premier. Le premier ganglion émet cinq paires de nerfs : La première paire plus forte est insérée au sommet, en dessus, tout près des connectifs. La seconde très ténue, est insérée au-dessous et tout près de la première, elle se bifurque presque de suite. Ces deux paires de nerfs se dirigent en avant et la première pénètre dans le prothorax. La troisième paire, aussi grosse que la première, prend racine un peu après le milieu, sur la partie supérieure et convexe du ganglion; elle émet rapidement à sa partie inférieure, des ramifications délicates; elle se dirige obliquement, sur le côté, vers l’arrière et se rend probablement aux pattes intermédiaires. Les deux autres paires sont de minces filets nerveux qui prennent nais- sance sur les côtés du ganglion et se dirigent en arrière, dans la cavité métathoracique. 100 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. Le second ganglion n’émet qu’une seule paire de nerfs située vers sa partie postérieure, sur le côté; c’est un filet nerveux assez mince, portant deux ramifications qui se dirigent latéralement dans la cavité métathora- cique, tandis que lui-même continue presque parallèlement aux connectifs et pénètre dans l’abdomen. Les connectifs qui réunissent les ganglions mé- sothoraciques au ganglion abdominal sont longs, grèles, et presque soudés ensemble. Ganglion abdominal. — L'unique ganglion abdominal plus volumineux que les autres (à l'exception cependant du sus-æsophagien) est situé dans le premier segment abdominal inférieur, et est presque bilobé. En effet, dès leur entrée dans l'abdomen, les connectifs s’épaississent et forment un renflement qui se rétrécit légèrement ensuite pour se dilater de nouveau en un très gros ganglion pyriforme, qui émet six paires de nerfs. Les trois premières paires sont un peu plus minces et se dirigent un peu obliquement en arrière; elles sont insérées sur les côtés. La quatrième est plus forte, très longue et j'ai pu la suivre jusqu'aux appareils détonants, qu’elle va innerver de chaque côté; elle ne présente aucune ramificalion. La cinquième est la plus forte de toutes et présente plusieurs petites ra- mifications. La sixième plus courte et plus grêle est munie jusqu’à sa base d’un long rameau interne. Ces deux dernières paires et leurs rameaux innervent les organes et les armures de la génération. Quant au système respiratoire, j'ai déjà décrit et figuré le stigmate mé- tathoracique. Je ne disposais pas d’un nombre suffisant d'individus, pour pouvoir isoler les troncs principaux des trachées que l’état de macération de ces insectes avait rendues d’ailleurs d’une très grande fragilité; mais j'ai pu constater qu’il n’y avait nulle part de ces ampoules trachéennes que l’on observe chez les Mélolonthides. Tels sont, dans leurs grandes lignes, les organes internes du Pentapla- târthrus paussoïides, W. EXPLICATION DE LA PLANCHE XIII F16. 1. — Position des organes chez le Pentaplatarthrus paussoides Q, Westw. (les tégu- ments supérieurs étant enlevés). . Ganglion sus-æsophagien. . Insertion du vaisseau dorsal et probablement ganglions angéiens enveloppés dans une membrane dont ils n'ont pu être isolés. . OEsophage. . Insertion des ovaires de chaque côté de l'appareil digestif. . Gaines ovigères. Jabot. Gésier. . Ventricule chylifique. Tubes de Malpighi. . Appareils détonants. . Intestin. . Rectum. . Pygidium (en partie enlevé). D > SPHRSTrEemumue Fiç. 2. Système nerveux. Mâle. . Ganglion sus-æsophagien. . Canglion sous-æsophagien. . Ganglion frontal. . Nerfs antennaires. Nerfs optiques. . Premier ganglion prothoracique. . Deuxième ganglion prothoracique. . Premier ganglion mésothoracique. . Deuxième ganglion mésothoracique. . Ganglion abdominal. . Filets nerveux desservant les appareils détonants. . Filets desservant les organes de la génération. ROHAN SSH> | FiG. 3. Système digestif déroulé. . OEsophage. . Jabot. . Gésier. . Ventricule chylifique. Sowx> | 102 Fi. 4. Fig. 5. Fic. 6. Fig. 7. F1G. 8. FiG. 9. FiG. 10. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. E. Tubes de Malpighi. F. Intestin. G. Rectum. a. Glandes du rectum. — Membrane interne du jabot. — Portion de la face externe du ventricule chylifique montrant les cæcums. — Gésier très grossi. — Cinq des lamelles internes et chitineuses du gésier. — Organes de la génération. Femelle, A. Gaines ovigères et B. Ovaires. C. Calices des ovaires (brisés). D. Oviducte. E. Vésicule séminale. F. Poche copulatrice. G. Muscles moteurs de l’armure. H. Armure. (Episternites). — Organes de la génération. Mâle. A. Testicule enroulé. B. Canal déférent. C. Vésicule séminale. D. Canal éjaculateur. E. Armure. — Appareil détonant (côté droit). A. Vaisseau sécréteur. B. Vessie. C. Canal déférent. D. Vésicule chitineuse faisant fonctions de sphincter. E.E. Apophyses chilineuses motrices du sphincter et munies de faisceaux de F1G. 11. muscles. F. Opercule. — Portion du tube sécréteur (très grossie). A. Tube interne. B. Tube externe. C. Reticulation indiquant probablement l'emplacement de cellules glandulaires. LICHENES EXOTICOS A PROFESSORE W. NYLANDER DESCRIPTOS VEL RECOGNITOS ET IN HERBARIO MUSEI PARISIENSIS PRO MAXIMA PARTE ASSERVATOS IN ORDINE SYSTEMATICO DISPOSUIT A. M. HUE ROTHOMAGENSIS SACERDOS. Suite et fin (1). Series IX. — PYRENODEI. TRIB. XXXI. — PYRENOCARPEI. Subtrib. I. — Eupyrenocarpei. Seclio I. — GENERA QUORUM THALLUS EST GONIMICUS, Nyl. in Flora 1885, p. 449. J. — Corei. Gen. CXIX. — Cora Fr. 3186. CG. Pavonia Fr., Nyl. Syn. Il, p. 49 et tab. IX, fig. 35, Addit. FI. chil. p. 151, Lich. And. Boliv. p. 382 et Prodr. FI. N. Gran. ed. 2° p. 113, ubi detinitur; £num. Lich. p. 110. — Thelephora Pavonia Web. — Cora gyrolophia Fr., Nyl. Addit. F1. chil. p- 182, nam omnes Coras ad unam speciem jungere fas est, sicut dicilur in Æssai d'une nouv. Classif. des Lich. (2° Mém. 1855) p. 176 in notula. — In America tropica (Nova Granata, Prodr. F1. N. Gran. ed. 1: p. 73 et ed. 2 p. 113 ; Bolivia, ubi fertilis lecta fuit ; Peruvia, Lich. exot. p. 218). — In Oceania (ins. Taïti, Lich. exot. p. 240). II, — Dichonemei. Gen. CXX. — DicaonemA Nees. 3187. D. sericeum Nyl. Syn. Il, p. 51, tab. IX, fig. 36, et Syn. Lich. N. Caled. p. 83, ubi definitur ; Ænum. Lich. p. 110. — Thelephora sericea Sw. — Diclyonema sericeum Berk. — In Africa orientali (ins. Borbonia, Lich. exot. p. 257). — In America tropica (1) Voir t. II, p. 209 et t. IT, p. 33 de la 3° série de ce recueil. 104 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. (Nova Granata, Prodr. FI. N. Gran. ed. 4° p. 73 in notula eted. 2 p. 113; Peruvia, Flora 1855, p. 674, et Lich. exot. p. 218). — In Oceania (ins. Taïti, Lich. exot. p. 240; Nova Caledonia, £xposit. Lich. N. Caled. p. 4% et Flora 1867, p. 196). 3188. Dichonema irpicinum Nyl. Syn. I, p. 51, ubi definitur; D. sericeum var irpi- cinum Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 83, ubi etiam definitur. — Dictyonema irpicinum Mont. Syllog. p.179. — In Oceania (ins. Java, Flora 1866, p. 131; ins. Taïti, Lich. exot. p. 240, ubi definitur ; Nova Caledonia Flora 1867, p. 196). Sectio II. — GENERA QUORUM THALLUS EST GONIDICUS VEL GONIDIMICUS. Gen. CXXI. — Tnecocarron Nyl. 3189. Th. majusculum Nyl. in Ælora 1885, p. 300, ubi definitur,. — In America boreali (Illinois). Gen. CXXII. — Tnerococcum Nyl. in #lora 1873, p. 289, et 1885, p. 45. 3190. Th. albidum Nyl. ; Zhelocarpon albidum Nyl. Lich. algeriens. p.317, Lich. Algér. p- 338, Prodr. Lich. Gall. p.173 et Pyrenoc. p. 9, ubi definitur ; £num. Lich. p. 135. — In Africa boreali (Algeria). Gen. CXXIII. — NormanpiNA Nyl. 3191. N.pulchella Nyl. Lich. And. Boliv. p. 382. — Verrucaria pulchella Borr. — Lenormandia Jungermanniæ Del.— Normandina Jungermanniæ Nyl. Pyrenoc.p. 10, Prodr. Lich. Gall. p. 173 et Addit. F1. chil.p. 151, ubi definitur ; Znum. Lich. p. 135. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 88). — In Africa boreali(Algeria, Lich. And. Boliv. p. 367 in notula) et meridionali (Portu Natali, Lich. Port Natal p.14). — In America tropica (Mexico, Flora 1858, p. 381, et Mexic. Plant. p. 6; ins. Guadalupa, Lich. Antill. p. 22; Nova Granata, Flora 1864, p. 618, sed in Prodr. FI. N. Gran. ed. 1° p. 73 in notula et ed. 2 p. 113 indicatur non in hac regione, sed in Mexico et in Bolivia; Bolivia, Lich. And. Boliv. p. 382). — In Oceania (Nova Zelandia, Lich. N. Zeland. 1888, p. 127). — Etiam in Europa. 3192. N. viridis Nyl. Pyrenoc. p. 11 et Prodr. Lich. Gall. p. 174, ubi definitur, Znum. Lich. p.135. — Endocarpon viride Ach. Syn. Lich. p. 100. — In Asia orientali (China, prov. Yun-nan, NV. Davidis Hue Lich. Yunn. Il, p. 43, specimen quod cel. Nylander pri- mum novam speciem habuerat et quod in Lich. Jap. p. 88 in notula ad MN. viridem Nyl. relulit). — In America boreali. — Etiam in Europa. Gen. CXXIV. — Ennocarron Hedw. Pars 1. — Species quarum sporæ sunt simplices et incolores. A. — Thallus peltatus et in plurimis umbilicato-adfixus. 3193. E. miniatum Ach. Syn. Lich. p. 101, Nyl. Pyrenoc. p. 11 et Lich. Scand. p. 264, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 135. — In Africa boreali (Algeria, Lich. Algér. p. 316 et Prodr. Lich. Gall. p.174) et in aliïis regionibus. — In America boreali. — Etiam in Europa. — Var. complicatum Nyl. Pyrenoc. et Lich. Scand. locis citat., ubi definitur; Znum. Lich. p.135. —=In Africa boreali (Algeria, Ælora 1878, p. 345). — Etiam in Europa. LICHENES EXOTICI. 105 3194. * Endocarpon Muehlenbergii Ach. Syn. Lich. p. 101, Nyl. Pyrenoc. p.19, uhi definitur; ÆZnum. Lich. p. 135. — In America boreali. 3195. ** E. solstitiale Hochst., Nyl. Pyrenoc. p. 12, vix a præcedente differt. — In Africa orientali (Abyssinia). 3196. “* E. Manitense Tuck., Nyl. Pyrenoc. p. 12, ubi definitur. — In America boreali. 3197. E. fluviatile DC. F1. fr. II, p. 413, Nyl. Pyrenoc. p. 12 et Lich. Scand. p. 265, ubi definitur; Ænum. Lich. p.135. — In America boreali. — In Oceania (Nova Zelandia, Lich. N. Zeland:. 1888, p. 126). — Etiam in Europa. 3198. E. Moulinsii Mont. Syllog. p. 359, Nyl. Pyrenoc. p. 13 et Prodr. Lich. Gall. p. 175, ubi definitur ; Ænum. Lich. p. 135. — In Asia (mont. Himalaya). — In America . septentrionali (Texas). — Etiam in Europa (Gallia). 3199. E. corniculatum Nyl. Pyrenoc. p. 13, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 135. = In Africa (Abyssinia). 3200. E.? fragile Tayl., Nyl. Pyrenoc. p. 14, ubi definitur ; £num. Lich. p. 135. = In Oceania (Tasmania). B. — Thallus minor, plerumque totus adnatus vel saltem non umbilicato-adfixus. 3201. E. Tuckermani Ravenel, Nyl. Pyrenoc. p. 14, ubi definitur; £num. Lich. p. 135. = In America septentrionali (Carolina meridionali et Texas). 3202. E. rufescens Ach. Syn. Lich. p.100, Nyl. Pyrenoc. p. 14 et Lich. Scand. p. 265, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 135. — In Africa boreali (Algeria, Lich. Algér. p. 316et Prodr. Lich. Gall. p.175 ; Ægypto, Lich. Ægypt. p. 15). — In America boreali, et forsan Æ. arboreum Tuck.e Nova Anglia, ad hanc speciem pro una parte est referendum, et pro altera parte ad præcedentem pertinet. — Etiam in Europa. 3203. E. hepaticum Ach. Lichenogr. univers. p. 298, Nyl. Pyrenoc. p. 15, Lich. Scand. p. 265 et Syn. I, tab. I, fig. 7, ubi definitur; Æ£num. Lich. p. 135. — In Asia boreali (Konyambay, Lich. Fr. Behr. p. 25). — In Africa boreali (Algeria, Lich. Algér. p. 316, Prodr. Lich. Gall. p. 176, etibi etiam definitur, #lora 1878, p. 34 ; Ægypto, Lich. Ægypt. p. 7) et meridionali (promont. Bonæ Spei). — In America boreali. — In Oceania (Nova Zelandia, Lich. N. Zeland. 1888, p. 127). — Etiam in Europa. — Var. 1. albatum Nÿl. Pyrenoc. p. 15; Æ. albatum Ach. Syn. Lich. p. 98. Est £. he- paticum in locis umbrosis pallidum evadens. = In Asia Minori (Syria). — Var.2. lachneum Nyÿl.in #lora 1878, p. 343 ; E’. lachneum Ach. Syn. Lich. p. 99, Ny1. Pyrenoc. p. 15, ubi cum Z. hepatico Ach. jungitur, et in Flora 1860, p. 546, ad £. rufescen- tem Ach. refertur. — In Africa boreali (Algeria). — Etiam in Europa. 3204. E. contumescens Nyl. in #lora 1878, p. 341, ubi definitur. — In Africa boreali (Algeria). 3205. E. rufo-pallens Nyl. in Flora 1878, p. 343, ubi definitur. — In Africa boreali (Algeria). 3206. E. imbricatum Nyl. Pyrenoc. p. 15 et Prodr. Lich. Gall. p. 176, ubi definitur; Enum. Lich. p. 136.— In Africa boreali (Algeria). — Etiam in Europa (Gallia meridionali). 3207. E. botularium Nyl. in /lora 1862, p. 83, ubi definitur. — In America boreali (Groenlandia). 3208. E. tenellum Nyl. Lich. algeriens. p. 316, Lich. Algér. p. 339, Prodr. Lich. Gall. p- 176 et Pyrenoc. p. 16, ubi definitur; £num. Lich. p.136. — In Africa boreali (Algeria). 3209. E. peltatum Tayl., Nyl. Pyrenoc. p. 16, ubi definitur; £num. Lich. p. 136. —In Africa meridionali (promont. Bonæ Spei). NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 39 série. — IV. 14 106 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 3210. Endocarpon tephroides Ach. Syn. Lich. p.98. — Verrucaria tepluroides Nyl. Pyrenoc. p. 17 et Lich. Scand. p. 267, ubi definitur ; £num. Lich. p. 136. — In Asia boreali (Kony-ambay, Lich. Fr. Behr., p. 25). — In America boreali. — Etiam in Europa. 3211. E. perumbratum Nyl. — Verrucaria perumbrata Nyl. in Flora 1878, p. 343, ubi definitur. — In Africa boreali (Algeria). 3212. E. subcrustosum Nyl.; Z. cinerascens var. subcrustosum Nyl. Lich. Algér. p. 340, ubi definitur. — Verrucaria subcrustosa Ny1. Pyrenoc. p.18 et Prodr. Lich. Gall. p. 178, ubi etiam definitur; £num. Lich. p.136. — In Africa boreali (Algeria) et occidentali (ins. Canaris). 3213. E. dædaleum Krempelh. — Verrucaria dædalea Nyl. Lich. Fr. Behr. p. 95. — In Asia boreali (Konyambay). — Etiam in Europa. | Pars II.— Species quarum sporæ, 1-2 in thecis, sunt fuscæ vel fuscescentes et murali-divisæ ; spermatia recta arthrosterigmatibus infixa. 4. — Stirps £ndocarpi pallidi Nyl. 3214. E. pallidum Ach. Syn. Lich. p. 100, Nyl. Lich. Algér. p. 339, ubi definitur; in Flora 1878, p. 341. — Verrucaria pallida Nyl. Lich. Scand. p. 268, Prodr. Lich. Gall. p. 178 et Pyrenoc. p. 20, ubi defimtur; Ænum. Lich. p. 136. — In Africa boreali (Algeria). — In America boreali (Nova Anglia)et tropica (Brasilia, Lich. And. Boliv. p. 382). — In Oceania (Nova Zelandia, Lich. N. Zeland. 1861, p. 259, et 1888, p. 127, ubi sporæ definiun- tur). — Etiam in Europa. 3215. E. Garovaglii Schær. £num. Lich. europ. p. 234. — Verrucaria Garovagli Mont. Syllog. p. 367, Nyl. Pyrenoc. p. 20 et Lich. Angol. p. 519, ubi definitur; Æ£num. Lich. p. 136. — In Africa occidentali (ins. Angola). — Etiam in Europa. 3216. E. pallidulum Nyl. — Verrucaria pallidula Nyl. in Flora 1874, p. 73 et Lich. Jap. p. 88, ubi definitur. — In Asia orientali (Japonia). — In America tropica (Peruvia). 3217. E. petrolepideum Nyl. — Verrucaria petrolepidea Nyl. Lich. Jap. p. 88, ubi definitur. — In Asia orientali (Japonia). 2. — Pyrenothamnia Tuck. 3218. E. Spraguei Nyl. — Pyrenothamnia Spraguei Tuck. Syn. North Americ. Lich. 1], p. 138. — Verrucaria Spraguei Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 151, ubi definitur. — In America boreali (Washington territorio). Gen. CXXV. — VERRUCARIA Pers. Subgen. [. — Verrucaria proprie dicta. Apothecia pyrenio denigrata, saltem superne vel in ostiolo, raro tota pallida, adhuc rarius pyrenio modo superne rufescente; sporæ variæ. Spermatia sterigmatibus vulgo simplicibus adfixa. 1. — Species potissime saxicolæ vel terrestres. 4. — Stirps Verrucariæ umbrinæ Wahlenb. Sporæ 4-2 in thecis, fuscescentes vel incolores, murali-divisæ ; adsunt gonidimia hyme- nialia; paraphyses nullæ. 3219. V. umbrina Wahlenb., Nyl. Pyrenoc. p. 21 et Lich, Scand. p. 269, ubi definitur,; LICHENES EXOTICI. 107 Enum. Lich. p.136. = In Asia (mont. Himalaya). — In America boreali. — In Oceania (Nova Zelandia ?, Lich. N. Zeland. 1888, p.134). — Etiam in Europa. — Var. monospora Nyl. Addit. Fl. chil. p. 175, ubi definitur; Pyrenoc. p. A; Enum. Lich. p.136. — In America meridionali (Chili). 3220. Verrucaria discedens Nyl. in /Æ/ora 1885, p. 602, et Lich. Fr. Behr. p. TA, ubi definitur. — In America boreali (Port-Clarence). 3221. V. subumbrina Nyl. Z4ch. Scand. p. 269, ubi definitur. — In America boreali (Alaska, Lich. Fr. Behr. p. 89, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa. 3222. V. theleodes Nyl. Lich. Fr. Behr, p. 71, ubi sporæ definiuntur ; Lich. Scand. p. 292. — Sporodictyon theleodes Sommerf. = In America boreali (Port-Clarence). — Etiam in Europa. 3293. V. ditfusilis Nyl. in Flora 1884, p. 217, et Lich. Fr. Behr. p. A, ubi definitur. = In Asia boreali (Konyambay). 2. — Stirps Verrucariæ intercedentis Nyl, Sporæ 82e, incolores vel fuscæ, murali-divisæ ; gonidimia hymenialia in apotheciis quarumdam specierum conspiciuntur ; paraphyses nullæ. 3224. V. obtenta Nyl. in #lora 1885, p. 602, et Lich. Fr. Behr. p. T1, ubi definitur. — In America boreali (Port-Clarence). 3295. V. intercedens Nyl. Pyrenoc. p. 33, Lich. Scand. p. 276 et Lich. Fr. Behr. pp. 72 et 89, ubi definitur; Znum. Lich. p. 137. — In America boreali (Port-Clarence et Alaska). — Etiam in Europa. — F. 1. fusco-argillacea Nyl. Lich. Fr. Behr. p. 42, ubi sporæ definiuntur ; V. fusco- argillacea Anzi Lich. rarior. Langob. n° 368. — Polyblastia fusco-argillacea Anzi Symb. Lich. rarior. Ital. superior. p. 26. — In Asia boreali (Konyambay). — Etiam in Europa. — F,. 2. integrascens Nyl. Lich. Fr. Behr. p. 42, ubi definitur. — In Asia boreali (Konyambay). 32926. *V. intermedia Nyl. Lich. Fr. Behr. p. 89, ubi sporæ definiuntur. — Polyblastia intermedia Th. Fr. Polyblast. scandinav. p. 24. = In America boreali (Alaska). — Etiam in Europa boreali. 3227. V. interversa Nyl. in Flora 1884, p. 217, et Lich. Fr. Behr. p. 40, ubi definitur. — In Asia boreali (Konyambay). 3228. V. exalbida Nyl. in /lora 1885, p. 603, et Lich. Fr. Behr. p.12, ubi definitur. — In America boreali (Port-Clarence). 3229. V. bryophila Nyl. Lich. Scand. p. 292.— Polyblastia bryophila Lœnnr. in Flora 1858, p. 631. — In America boreali (Port-Clarence, Lich. Fr. Behr. p. 67, ubi definitur pro parte). — Etiam in Europa boreali. 3230. V. lactea Ach. Lichenogr. univers. p. 277 ; Nyl. Lich. ins. Guin. p. 51, ubi sporæ definiuntur, = In America septentrionali calida (Florida) et tropica (India occidentali). 3231. V. elactescens Nyl., Nyl. et Cromb. Zach. East. Asia p. 60, ubi definitur. = In Asia orientali (Malacca). 3232. V. augescens Nyl., Nyl et Cromb. Lich. East. Asia p. 60 et Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. (4) p. %5, ubi definitur. = In Asia orientali (Singapour). 3233. V. nigrata Nyl. Prodr.!Lich. Gall. p. 184 atque Pyrenoc. p. 34 et Lich. Fr. Behr. p. 67, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 137; V. gelatinosa Nyl. Collectan. lichenol. in (4) Sertum Lichenææ tropicæ e Labuan et Singapore conscripsit W. Nylander. Accedunt Observa- tiones. Parisiis 1891. 108 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. Gall. merid. et Pyren. p. 16, non Ach.—In America boreali (Port-Clarence). — Etiam in Europa. 3234. Verrucaria pernigrata Nyl. in #lora 1885, p. 604, et Lich. Fr. Behr. p.67, ubi definitur. — In America boreali (Port-Clarence). 3235. V. hymenogonia Nyl. Pyrenoc. p. 32 et in Flora 1881, p. 540, ubi definitur ; Enum. Lich. p. 137.=— In America boreali (Port-Clarence, Lich. Fr. Behr. p. 72), — Etiam in Europa. 3236. V. subareolata Nyl. in #lora 1884, p. 217, et Lich. Fr. Behr. p. 41, ubi definitur. — In Asia boreali (Konyambay). 3237. V. extabescens Nyl. in }lora 1878, p. 344, ubi definitur. — In Africa boreali (Algeria). 3238. V. diffractella Nyl. Pyrenoc. p. 33, ubi detinitur; £num. Lich. Supplém. p. 337. — In America septentrionali (Nova Anglia). 3239. V. Sendtneri Nyl. Pyrenoc. p. 33, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 137. — Poly- blastia Sendtneri Krempelh. in Ælora 1855, p. 67. = In Asia boreali (Konyambay, Lich. Fr. Behr. p. 25). — Etiamin Europa. 3. — Stirps Verrucariæ pyrenophoræ Ach. Sporæ 8e, incolores, 1-5 septatæ ; paraphyses nullæ. 3240. V. pyrenophora Ach. Syn. Lich. p. 94, Nyl. Pyrenoc. p. 26 et Lich. Scand. p- 273, ubi definitur ; Enum. Lich. p. 137. — In America boreali (Port-Clarence, Lich. Fr. Behr. p. 72, ubi definitur pro parte). — Etiam in Europa. 3241. V. Sprucei Ch. Bab., Leight. Angiocarp. Lich. p. 5%, tab. XXIIL, fig. 4-6; V. pyrenophora var. Sprucei Nyl. Pyrenoc. p. 27 et Lich. Scand. p. 273, ubi definitur ; Znun. Lich. p.137. = In Africa orientali (Abyssinia). — In America septentrionali. — Etiam in Europa. 3242. V. Auruntii Mass. Geneac. Lich. p. 221, Nyl. Lich. Fr. Behr. p. 72, ubi definitur ; V. incavata Nyl. Lich. Scand. p. 273, ubi definitur. = In America boreali (Port-Clarence). — Etiam in Europa. 3243. V. pertusura Nyl. in #lora 1884, p. 218, et Lich. Fr. Behr. p. M, ubi definitur. — In Asia boreali (Konyambay). 3244. V. prævalescens Nyl. apud Cromb. Æerguel. land p. 192, ubi definitur. — In Africa australi (ins. Kerguelen). 3245. V. calcicola Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 127, ubi definitur. — In Oceania (Nova Zelandia). 4. — Stirps Verrucariæ nigrescentis Pers. Sporæ 8 »®, incolores, simplices ; paraphyses nullæ. 3246. V. amphibola Nyl. Zich. algeriens. p. 315, Lich. Algér. p.340, Prodr. Lich. Gall. p- 180 et Pyrenoc. p. 22, ubi definitur ; £Znum. Lich. p. 136. = In Africa boreali (Algeria). — Etiam in Europa. 3247. V. virens Nyl. Pyrenoc. p. 24 et Lich. Scand. p. 270, ubi definitur. = In Europa. — F. Novæ Angliæ Nyl. Pyrenoc. p.24, ubi definitur. —Sagedia Novæ-Angliæ Tuck. — In America septentrionali. 3248. V. tessellatula Nyi. apud Cromb. Xerquel. land. p. 191, ubi definitur. = In Africa australi (ins. Kerguelen). 3249. V. glaucina Ach. Syn. Lich. p.94, Nyl. in Flora 1881, p. 189, ubi sporæ defi- LICHENES EXOTICI. 109 niuntur. — In Asia orientali (China, Nyl. et Cromb. Lich. East, Asia p. 66). — Etiam in Europa. 3250. Verrucaria fuscella Ach. Lichenogr. univers. p. 289, Nyl.in Flora 1881, p. 189 et apud Hue Addend. Lichenogr. europ. p.279, ubi definitur, atque Lich. Scand. p.271 ; Hepp Lich. europ. n° 90. — ZLichen fuscellus Turn. — Verrucaria glebulosa Nyl. Prodr. Lich. Gall. p. 180 et Pyrenoc. p. 23, ubi definitur, atque Lich. parisiens. n° 147. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 88). — Etiam in Europa. — Var nigricans Nyl. in Flora 1881, p. 189, ubi definitur. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 88, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa. 3251. V. glaucinodes Nyl. Lich. Jap. p. 89, ubi definitur. — In Asia orientali (Ja- ponia). 3252. V. viridula Ach. Zichenogr. univ. p. 675, Nyl. Pyrenoc. p. 23, Lich. Scand. p.271 et Prodr. Lich. Gall. p. 181, ubi definitur; ÆZnum. Lich. p. 137; V. nigrescens var. viridula Nyl. Lich. Algér. p. 3M, ubi definitur. —In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 89, ubi sporæ definiuntur). — In Africa boreali (Algeria). — In America boreali (Ohio), — Etiam in Europa. 3253. V. subfuscella Nyl. Lich. Scand.p. 271, ubi definitur ; V. fuscella Schær. Enum. Lich. europ. p. 215, Nyl. Pyrenoc. p. 93 et Prodr. Lich. Gall. p. 184, ubi definitur ; V. ni- grescens var. fuscella Nyl. Lich. Algér. p. 34, ubi definitur. — In Africa boreali (Algeria). — Etiam in Europa. 3254. V. nigrescens Pers., Nyl. Pyrenoc. p. 23 et Lich. Scand. p. 271, ubi definitur ; Enum. Lich. p. 137. = In Africa boreali (Algeria, Lich. Algér. p. 316 et Prodr. Lich. Gall. p- 180, V. conspurcans Dur. et Mont., Nyl. Lich. Algér. p. 342 in notula). — In America boreali. — Etiam in Europa. — Var. devians Nyl., Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 65, ubi definitur. — In Asia orientali (China). 3255. “V. subnigrescens Nyl. in litt. ad Stizenb. et apud Stizenb. Zich. helv. p. 234, atque apud Lamy Catal. Lich. Caut. et Lourdes p. 103. In hoc posteriore opere ponitur errore ut synonymon V. fusca Pers. Nyl. Lich. Pyren.-Orient. p. 60, nam in hac regione celeb. Nylander veram V. fuscam Pers. collegit ut affirmat in pagina 86 operis, desinente anno 4891, editi, cui titulus : Zichenes Pyrenæorum-Orientalium, proindeque mensura sporarum in Lamy opere citato est erronea, nam ad W. fuscam Pers. pertinet:in W. subni- grescenti Nyl. sporæ sunt longit. 0,014-15 et crassit. 0,007 millim. — In Asia boreali (Ko- nyambay, Lich. Fr. Behr. p. 42, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa. 3256. “*V. fusca Pers., Nyl. Lich. Scand. p.271, ubi definitur ; Lich. Pyren.-Orient. p. 60 et Lich. N. Zeland. 1888, p. 127, atque apud Hue Addend. Lichenogr. europ. p. 276, ubi sporæ definiuntur. — In Oceania (Nova Zelandia). — Etiam in Europa. 3251. V. obnigrescens Nyl.in Ælora 1875, p. 362, et Lich. Fr. Behr. p.72, ubi definitur. — In Asia boreali (Konyambay, Lich. Fr. Behr. p.42). — In America boreali (Port-Cla- rence). — Etiam in Europa. 3258. V. obfuscata Nyl. apud Cromb. Æerquel. land p. 191, ubi definitur. — In Africa australi (ins. Kerguelen). 3259. V. mauroides Schær. £num. Lich. europ. p. 215, Nyl. in Flora 1881, p. 459, uhi pro parte definitur ; V. margaceaf. mauroides Nyl. Lich. Lapp. orient. p. 169. — In Europa. — F.conizodes Nyl. Lich. Fr. Behr. p. 89, ubi definitur. — In America boreali (Alaska). 3260. V. fuscula Nyl. Pyrenoc. p. 22, ubi definitur ; Ænum. Lich. p. 136. — Fndocar- pon areolatum Nyl. Lich. algeriens. p. 316, ubi definitur. — Verrucaria areolata Nyl. Lich. Algér. p. 340 et Prodr. Lich. Gall. p. 180, ubi definitur. — In Africa boreali (Algeria, Flora 18178, p. 344, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa. 110 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 3261. Verrucaria spodopsara Nyl. Quelg. Lich. Algér. p. 217 et Lich. Ægypt. p. 8, ubi definitur. — In Africa boreali (Algeria). 3262. V. scotinopsara Nyl. Quelqg. Lich. Algér. p. 27 et Lich. Ægypt. p. 8, ubi defi- nitur. — In Africa boreali (Algeria). 3263. V. microspora Nyl. Pyrenoc. p. 29 et in Flora 1860, p. 83, ubi definitur; £num. Lich. p.137. — In America boreali (Groenlandia). — Var. ecrustacea Nyl. Addit. FT. chil. p. 175, ubi definitur. — In America meridio- nali (Chili). 3264. V. halophila Nyl. Lich. Jap. p. 89, ubi sporæ definiuntur; V. microspora f. halo- phila Nyl. Prodr. Lich. Gall. p. 185, ubi definitur. — In Asia orientali (Japonia). — Etiam in Europa (Gallia occidentali). 3265. V. submicrospora Nyl. Lich. Jap. p. 90, ubi definitur. — In Asia orientali (Japonia). 3266. V. minima Mass. ex Arn. in Museo parisiensi, Nyl. Pyrenoc. p. 25 et Lich. Jap. p. 90, ubi definitur; £num. Lich. p. 137. — In Asia orientali (Japonia). — Etiam in Europa (Franconia). 3267. V. mucosa Ach. Syn. Lich. p. 93, Nyl. Pyrenoc. p. 28 et Lich. Scand. p. 275, ubi definitur ; Znum. Lich. Supplém. p. 337. — In Asia boreali (Lawrencebay, Lich. Fr. Behr. p.16). — Etiam in Europa. | : 3268. V. ceuthocarpa Wahlenb. Flora lappon. p. 467, Nyl. Lich. Scand. p. 274, ubi definitur. — In Asia boreali (Lawrence ins., Lich. Fr. Behr. p.16). — Etiam in Eu- ropa. 3269. V. dermoplaca Nyl. Lich. Fueg. p.19 et apud Cromb. Falkl. isl. p. 234, ubi defi- nitur. — In America ausirali (ins. Maclovianis). 3270. V. maura Wahlenb. Flora lappon. p. 466, Nyl. Pyrenoc. p. 28 et Lich. Scand. p. 273, ubi definitur; Znum. Lich. p. 137. — In Asia boreali (Lawrence ins., etc., Lich. Fr. Behr. pp. 16, 42 et 51), orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 89, ubi sporæ definiuntur) et meridionali (India). — In Africa boreali (Algeria, Lich. Algér. p. 316, et Prodr. Lich. Gall. p. 185). — In America australi (Fuegia, Lich. Fueg. p. 19, ubi sporæ denuo definiuntur). — In Oceania (Nova Zelandia?, Lich. N. Zeland. 1888, p. 134). — Etiam in Europa. 5. — Stirps Verrucariæ rupestris Schrad. 3271. V. rupestris Schrad. Spic. FI. German. p. 109, tab. IT, fig. 7, Nyl. Pyrenoc. p- 30 et Lich. Scand. p. 275, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 137. — In Africa boreali (Alge- ria, Lich. Algér. p. 316, Prodr. Lich. Gall. p. 183, in Flora 1878, pp. 341 et 344, atque in hoc posteriore loco sporæ definiuntur). — In America boreali. — Etiam in Europa. 3272. V. devergescens Nyl. in /lora 1877, p. 462, et Lich. Fr. Behr. p. 42, ubi defini- tur. = In Asia boreali (Konyambay). — Etiam in Europa. 3273. V. margacea Wahlenb. Flora lappon. p. 465, Nyl. Pyrenoc. p. 25 et Lich. Scand. p. 272, ubi definitur; £num. Lich. p. 137. — In Africa orientali (Abyssinia). — Etiam in Europa. 3214. V. latebrosa Koerber Syst. Lich. Germ. p. 349 ; Nyl. Lich. Jap. p. 89, ubi sporæ definiuntur. = In Asia orientali (Japonia). — Etiam in Europa. 3275. V. æthiobola Wahlenb. in Ach. Lichenogr. univ. p. 292, Nyl. apud Hue Addend. Lichenogr. europ. p. 281, ubi definitur; V. margacea var. æthiobola Wahlenb. F1. lappon. p. 465, Nyl. Prodr. Lich. Gall. p. 181 et Lich. Scand. p. 272, ubi definitur; Pyrenoc. p. 25 et Enum. Lich. p.137; V. papillosa Koerb. Syst. Lich. German. p. 350.—In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 89, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa. LICHENES EXOTICI. Aut 3276. Verrucaria æthioboliza Nyl. Lich. St Pauli p.7 et in Flora 1886, p. 329, ubi definitur. — In Africa orientali antarctica (ins. Sancti Pauli). 3277. V. prævia Nyl. Lich. Jap. p. 89, ubi definitur. — In Asia orientali (Japonia). 3278. V. acrotella Ach. Method. Lich. p. 1925, Nyl. Lich. Scand. p. 293, ubi definitur. — In Asia boreali (Lawrence insula, Lich. Fr. Behr. p.51). — Etiam in Europa. 3279. V. riparia Nyl. Lich. Fr. Behr. pp. 16 et 42, ubi sporæ definiuntur; V. margacea var. riparia Nyl. Lich. Lapp. orient. p.170, ubi definitur. — In Asia boreali (Lawrence insula, etc.). — Etiam in Europa. 3280. V. Iævata Ach. Syn. Lich. p. 94, Nyl. Pyrenoc. p. 26 et Lich. Fr. Behr. p.5, ubi definitur. = In Asia boreali (Lawrence insula). — Etiam in Europa. 3281. V. prominula Nyl. Lich. Armor. et Delphin. p. A et Lich. Fr. Behr. p. 72, ubi definitur. — In America boreali (Port-Clarence). — Etiam in Europa. 3282. V. integra Nyl. Lich. Scand. p. 216, ubi definitur; V. rupestris var. integra Nyl. Pyrenoc. p. 34, ubi etiam definitur ; Enum. Lich. p.137. — In Asia boreali (Konyambay, Lich. Fr. Behr. p. 28). — In America boreali (Port-Clarence, Lich. Fr. Behr. p. 72). — Etiam in Europa. — F. sublimitans Nyl. inlitt.; V. ntegraf. limitans Nyl. Lich. Ægypt. p. 7, ubi defini- tur; nomen illud jam usurpatum mutari debuit, cfr. infra n° 3439. — In Africa boreali (Ægypto). 3283. * V. mortarii Arn. apud Lamy Catal. Lich. Mont-Dore p. 162; V. integra f. mor- tari Nyl. in Flora 1878, p. 344, ubi definitur. — In Africa boreali (Algeria). — Etiam in Europa. 3284. V. ruderella Nyl. apud Cromb. Challeng. Exped. p. 217, ubi definitur. = In America septentrionali (Illinois, haud procul a Chicago, Lich. Jap. p. 109; ins. Ber- mudis). 3285. V. muralis Ach. Syn. Lich. p. 95, Nyl. Pyrenoc. p. 32 et Lich. Scand. p. 275, ubi definitur ; £num. Lich. p. 137. — In Asia boreali (Konyambay, Lich. Fr. Behr. p. 42). — In America boreali (Port-Clarence, Lich. Fr. Behr. p.72). — Etiam in Europa. — F. dolosula Nyl. Lich. Fr. Behr. p. 72, ubi definitur. — In America boreali (Port- Clarence). 3286. V. subjunctiva Nyl. in Flora 1884, p. 218, et Lich. Fr. Behr. p. 42, ubi defini- tur. — In Asia boreali (Konyambay). 3287. V. peloclita Nyl. in #lora 4877, p. 461, et Lich. Fr. Behr. p. 43, ubi definitur. — In Asia boreali (Konyambay). — Etiam in Europa. 6. — Stirps Verrucariæ epigææ Ach. Sporæ 8°*, incolores, simplices ; paraphyses distinctæ, graciles. 3288. V. epigæa Ach. Syn. Lich. p. 96, Nyl. Pyrenoc. p. 35 et Lich. Scand. p. 276, ubi definitur, — In America septentrionali, — Etiam in Europa. II. — Species potissime corticolæ, paucæ saxicolæ. 7. — Porinula Nyl. Sporæ 8%, incolores, vulgo fusiformes et pluri-septatæ ; paraphyses graciles. 3289. V. chlorotica Ach. Syn. Lich. p. 94, Nyl. Pyrenoc. p. 36 et Lich. Scand. p. 271, ubi definitur; £num. Lich. p. 138. — In Asia boreali (Konyambay, etc., Lich. Fr. Behr., pp- 43 et 51) et orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 90, ubi pr. p. definitur). — In America tro- 112 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. pica (Peruvia, Lich. exot. p. 232). — In Oceania (ins. Nukahiva, Lich. exot., p. 247). — Etiam in Europa. 3290. * Verrucaria carpinea Pers., Ach. Syn. Lich. p. 88, Nyl. Lich. Scand. p. 278, ubi definitur. — In Oceania (ins. Nukahiva, Lich. exot. p. 247 et Lich. iles Marquis. p. 302). — Etiam in Europa. 3291. ** V. cinerea Pers. in Uster’s Annal. bot. 4 St. p. 98, tab. III, fig. 6 À, Nyl. Pyre- noc. p. 37, ubi definitur; £num. Lich. p.138. — In Asia meridionali (India). — In America boreali (Terra Nova, ubi lecta fuit a Despréaux ex herb. Bory de St-Vincent). — Eliam in Europa. 3292. V. subcinerea Nyl. Pyrenoc. p. 37, ubi definitur. — In America septentrionali (Texas). 3293. V. subchlorotica Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 85, ubi definitur ; in Flora 1867, p- 196. — In Oceania (Nova Caledonia). 3294. V. grandicula Nyl. Lich. Jap. p. 90, ubi definitur. — In Asia orientali (Japonia). 3295. V. quintaria Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. % p. 115 in notula et Lich. Jap. p.91, ubi delinitur. — In Asia orientali (Japonia). 3296. V. pariata Nyl., Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 66 et Lich. Jap. p. 90, ubi definitur. — In Asia orientali (Japonia ; China). 3297. V. rhaphispora Knight, Nyl. in #lora 1886, p. 327, ubi definitur. — In Oceania (Australia). 3298. V. leptalea Nyl. in Ælora 1874, p. 15, ubi definitur; V. lectissima var. leptalea Nyl. Pyrenoc. p. 38, Prodr. Lich. Gall. p. 187 et Enum. Lich. p. 138. — Biatora vernalis var. leptalea Dur. et Mont., Nyl. Zich. Algér. p. 313. — In Africa boreali (Algeria). — In Europa (in Helvetia saltem, Stizenb. Lich. helvet. p. 251). 3299. V. leptaleoides Nyl. in #lora 1874, p. 15, ubi definitur. — In Asia boreali (Lawrence ins., Lich. Fr. Behr. p. 51) et orientali (Japonia, Lich. Jap. p, 90, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa boreali (Finlandia). 3300. V. leptaleina Nyl. Zach. N. Zeland. 1888, p. 130, ubi definitur. — In Oceania (Nova Zelandia). 3301. V. sublectissima Nyl. in Flora 1885, p. 441, et Lich. Fr. Behr. p. 51, ubi defini- tur. — In Asia boreali (Lawrence insula). 3302. V. heteropsis Nyl. Prodr. F{. N. Gran. ed. 4° p.74 et ed. 2° p. 115 in notulis, ubi definitur. — In America tropica (Mexico). 3303. V. albicascens Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 199, ubi definitur. — In Oceania (Nova Zelandia). 3304. V. indutula Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 129, ubi definitur. — In Oceania (Nova Zelandia). 3305. V. emiscens Nyl. Zich. N. Zeland. 1888, p. 129, ubi definitur. — In Oceania (Nova Zelandia). 3306. V. subsimplicans Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 130, ubi definitur. — In Ocea- nia (Nova Zelandia). — F. albens Nyl. Zich. N. Zeland. loc. citat., ubi definitur. — In éadem regione. 3307. V. epiphylla Nyl. Pyrenoc. p. 38, ubi definitur. — Porina epiphylla Fée Essai Supplém. p.16. — In Africa orientali (ins. Madagascar). — In America tropica. — In Ocea- nia (ins. Java; ins. Taïti, Lich. exot. p. 247) et in aliis locis tropicis. 3308. V. præstans Nyl. Zich. Angol. p. 520, ubi definitur. = In Asia meridionali (ins. Andaman, Lich. Andam. p. 19, ubi sporæ definiuntur). — In Africa occidentali (Angola). 3309. V. nana Nyl. Pyrenoc. p. 38, ubi definitur. — Porina nana Fée Essai Supplém. p- 75, tab. XXXVI, fig. 12. — In America tropica. LICHENES EXOTICI. 113 3310. Verrucaria distermina Nyl. Zich. ins. Guin. p. 37, ubi definilur. = In Africa occidentali (ins. Principis). 3311. V. astuta Nyl. Lich. ins. Guin. p. 37, ubi definitur. — In Africa occidental (ins. Principis). 3312. V. mastoidea Nyl. Pyrenoc. p. 38, Lich. Andam. p. 19 et Syn. Lich. N. Caled. p. 84, ubi definitur ; £num. Lich. p. 138. — Pyrenula mastoidea Ach. Syn.-Lich. p. 122. — Porina mastoidea Fée Essai p. 82 et Supplém. p, 14; P. americana Fée Essai p. 83, tab. XX, fig. 4, et Supplém. p. T4, tab. XXXVI, fig. 11, et XLI, fig. 2; P. viridi-olivacea Fée Fssai Supplém. p. 14; P. marginata Fée Essai p. 82, tab. XXI, fig. 5, et Supplém. p. 74, et tab. XLI, fig. 4. — In omnibus terris lropicis. In Asia orientali (Malacca, Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 59). — In Africa occidentali (ins. San Thomé, Lich. ins. Guin. p. 37). — In America tropica (Nova Granata, Prodr. F1. N. Gran. ed. 4° p. 74 et 2% p. 113; Peruvia, Lich. exot.p. 232). — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 15, ubi sporæ definiuntur ; Nova Caledonia, Zxposit. Lich. N. Caled. p. 52 et Flora 1867, p. 196; ins. Nukahiva, Lich. exot. p.247, Porina americana Fée, Nyl. Lich. îles Marq. p. 302). — Var. pertusarioides Nyl. Znum. Lich. p. 138. — In America tropica (Guyana gallica). 3313. ‘ V. internigrans Nyl. Lich. Andam. p. 18, ubi sporæ definiuntur; V. mastoidea var. internigrans Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 84, ubi definitur. — In Asia meridionali (ins. Andaman). — In Oceania (Nova Caledonia). 3314. V. firmula Nyl. in Flora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3315. V. nonaria Nyl. in #lora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3316. V. mastoidiza Nyl. in #lora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3317. V. mastoidestera Nyl. in Ælora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). V V 4 3318. V. comparatula Nyl. in Flora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3319. V. Tetraceræ Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. % p. 114, ubi sporæ definiuntur. — Pyrenula Tetraceræ Ach. Syn. Lich. p. 125; V. mastoidea var. Tetraceræ Nyl., Pyrenoc. p. 39, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 138. — In Africa meridionali (Portu Natali, Lich. Port Natal p. 14, ubi definitur pr. p.). — In America tropica (Mexico, Flora 1858, p.381 ; Guyana gallica ; Nicaragua) et meridionali (Argentinia, Lich. Fueg. p. 19, ubi sporæ definiuntur). 3320. V. dissipans Nyl. in /lora 1866, p. 294, ubi definitur. — In Africa meridionali (Portu Natali, Lich. Port Natal p. 14, ubi sporæ definiuntur). — In America tropica (ins. Cuba). 3321. V. interstes Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 84, ubi definitur; in #lora 1867, p. 196. — In Asia meridionali (ins. Andaman, Lich. Andam. p. 19, ubi sporæ definiuntur). — In Oceania (Nova Caledonia). 3322. V. subinterstes Nyl. Lich. Andam. p. 19, ubi definitur. = In Asia meridionali (ins. Andaman). 3323. V. chlorotera Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 85, ubi definitur; in Flora 1867, p. 196. — In Oceania (Nova Caledonia). 3324. V. mastoidella Nyl. in Ælora 1867, p. 8, ubi definitur. — In Asia meridionali (Calcutta). 3325. V. globosa Tayl., Nyl. in Flora 1883, p. 534, et Lich. ins. Guin. p. 38, ubi defini- tur. = In Africa occidentali (ins. Principis). — Etiam in Europa (Hibernia). 3326. V. innata Nyl. Pyrenoc. p. 39, ubi definitur; £num. Lich. p. 138. — In Africa orientali (ins. Borbonia, Lich. exot. p. 261). 3327. V. desquamescens Nyl. Pyrenoc. p. 39, ubi definitur; £num. Lich. p. 138. — Porina desquamescens Fée Essai Supplém. pp. 75, 155 et 157, tab. XLI, fig. 5 et 9. — In America tropica (Peruvia, Lich. exot. p. 232). NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3° série. — IV. 15 114 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 3328. Verrucaria nucula Nyl. Pyrenoc. p. 40, Syn. Lich. N. Caled. p.85 et Lich. Antill. p.22, ubidefinitur; £num. Lich. p.138. — Porina nucula Ach. Syn. Lich. p.112. = In omnibus regionibus tropicis. In Africa occidentali (ins. San Thomé, Flora 1886, p. 178, et Contrib. da FT. d’Afrie. p. 14 et Lich. ins. Guin. p. 37, ubi sporæ definiuntur ; Guinea). — In America tropica (ins. Guadalupa; Nova Granata, Prodr. FI. N. Gran. ed. 1* p. 74 et ed. 2? p. 114, ubi sporæ definiuntur). — In Oceania (ins. Java; Nova Caledonia, lora 1867, p. 196). — Var. 1. endochrysea Nyl. Lich. Antill. p. 22. — Porina endochrysa Mont. Syllog. p. 360. — In America tropica (ins. Cuba, Ælora 1866, p.294, V. endochrysea Ny1. ; Guyana; Nova Granata, Prodr. FI. N. Gran. ed. 1* p. 74 et ed. % p. 114, ubi, æque ac in præce- dente loco, sporæ definiuntur). —- Var. 2. granulatula Nyl. Lich. Antill. p. 22, ubi definitur. — In America septen- trionali (Carolina). 3329. * V. rudiuscula Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 85, ubi definitur, in Flora 1867, p. 196. — In Oceania (Nova Caledonia). 3330. V. dolichophora Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. 1e p. 74 et ed. 2 p. 114, ubi definitur. — In America tropica (Nova Granata). 3331. * V. belonospora Nyl. Prodr. F1. N. Gran. ed. % p. 114, ubi definitur. = In America tropica (Nova Granata). 3332. V. catapasta Nyl. Prodr. FL. N. Gran. ed. 1? p. 74, ed. 2 p. 115, ubi definitur, et Addit. p. 576. — In America tropica (Nova Granata). 3333. V. sulfurea Nyl. — Zyssophyton sulfureum Mont. Syllog. p. 357, Nyl. Lich. exot. p. 247, Enum. Lich. p. 140 in notula. — In Oceania (ins. Taïti). 3334. V. punctillata Nyl. in #lora 1884, p. 223, et Lich. Fr. Behr. p. %5, ubi defini- tur. — In Asia boreali (Konyambay). 8. — Stirps Verrucariæ insuelæ Nyl. Sporæ 8%, incolores et 3-septatæ; paraphyses mediocres. 3335. V. insueta Nyl. apud Cromb. Xerquel. land p. 192, ubi definitur. — In Africa australi (ins. Kerguelen). 9. — Stirps Verrucariæ muscicolæ Ach. Sporæ 2-8°%*, incolores et murali-divisæ; paraphyses graciles. 3336. V. muscicola Ach. in herb., Nyl. Pyrenoc. p. 40, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 138. — In Asia boreali (Konyambay, Lich. Fr. Behr. p. 26, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa. 3337. V. heterospora Nyl. in #lora 18176, p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). 3338. V. geminella Nyl. Pyrenoc. p. 40 et in Flora 1858, p. 381, ubi definitur, £num. Lich. p. 138. — In America tropica (Mexico). 3339. V. thelostomoides Nyl. Pyrenoc. p. A, ubi definitur; £nur:. Lich, p. 138. — In Asia meridionali (India). 3340. V. modestula Nyl. in }lora 1876, p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). 3341. V. kerguelana Nyl. apud Cromb, Xerqguel. land p. 192, ubi definitur. = In Africa australi (ins. Kerguelen). 3342. V. luridella Nyl. Pyrenoc. p. 41, ubi definitur; Znum. Lich. p.138. — In Ame- rica tropica (Bolivia, Lich. exot. p. 239), 3343. V. eminentior Nyl. Syn, Lich, N. Caled, p. 86, ubi definitur ; Z'helenella eminen- LICHENES EXOTICI. 115 tior Nyl. Exposit. Lich. N. Caled. p. 54, ubi definitur ; in #lora 1867, p. 196. — In America tropica (Brasilia, Ælora 1869, p. 125, ubi sporæ definiuntur). — In Oceania (Nova Cale- donia). 3344. Verrucaria exocha Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 127 et fig. 2, atque in Flora 4869, p.195, ubi definitur. — In Oceania (Nova Zelandia). 3345. V. perfragilis Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 195, ubi definitur. — Porina endo- chrysa Bab. Lich. New Zeal. p. 42, tab. CXXVIII D. Hæc in Nyl. Pyrenoc. p. 40 cum Ver- rucaria nucula Nyl. jungitur. Arnold Æxsice. 1203; Lojka Lich. univ. n. 146. — In Oceania (Nova Zelandia). 3346. V. albo-linita Nyl. Zich. ins. Guin. p.38, ubi definitur. — In Africa occidentali (ins. Principis). 3347. V. viridata Nyl. Lich. ins. Guin. p. 38, ubi definitur. — In Africa occidentali (ins. Principis). 3348. V. proponens Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 91, ubi definitur; in #lora 1867, p. 196 ; sporæ murali-divisæ, attamen hæc species forte potius pertineat ad stirpem VW. epi- dermidis Ach. — In Oceania (Nova Caledonia). 10. — Stirps Verrucariæ porinopseos Nyl. Sporæ 8"*, incolores, simplices et magnæ; paraphyses graciles. 3349. V. porinopsis Nyl., Nyl. et Cromb. Lich. Fast. Asia p. 68 et Nyl. Zach. Jap. p. 91, ubi definitur. — In Asia orientali (Japonia). 11. — Stirps Verrucariæ variolosæ Pers. Sporæ2-8"”inthecis, fuscæ,raro incolores, magnæ et murali-divisæ; paraphyses graciles. 3350. V. variolosa Nyl. Pyrenoc. p. 41, ubi definitur; Znum. Lich. p. 138. — Pyrenula variolosa Pers. in Gaudich. Uran. Bot. p. 181. — In Africa tropica. — In America tropica (Mexico, Flora 1858, p. 381 ; ins. Cuba, Mont. Syllog. p. 368). — In Oceania (ins. Marianis, Lich. exot. p. 247). S — F. pyrinoica Nyl. Pyrenoc. p.42, ubi definitur; V. pyrinoica Ach. Syn. Lich. DOI — In Africa occidentali (Guinea). 3351. V. ascidioides Nyl. Lich. N. Caled. Exposit. p.53 et Syn. p. 90, ubi definitur ; in Flora 1861, p.196. — In Oceania (Nova Caledonia). 3332. V. lugescens Nyl. in Flora 1886, p. 177, Contrib. da FI. d'Afric. p. 13 et Lich. ins. Guin. p. 35, ubi définitur. = In Africa occidentali (ins. San Thomé). 3353. V. borbonica Nyl. Pyrenoc. p. 42, ubi definitur ; Znum. Lich. p. 138. — In Africa orientali (ins. Borbonia, Lich. exot. p. 261). 3304. V. guineensis Nyl. Lich. ins. Guin. p. 36, ubi definitur. — In Africa occidentali (ins. Principis). 3355. V. andamanica Nyl. Lich. Andam. p. 19, ubi definitur. — In Asia meridionali (ins. Andaman). 3356. V. papillifera Nyl. Pyrenoc, p. 42, ubi definitur ; Znum. Lich. p.138. — In Ame- rica tropica (Guyana gallica). 3357. V. epapillata Nyl. Pyrenoc. p. 43 et Prodr. FI. N. Gran. Addt. p. 576, ubi definitur ; £num. Lich. p. 138. — In Asia orientali (Malacca, Nyl. et Cromb. Lich. East- Asia p. 59) et meridionali (ins. Geylonia). 3358. V. chilensis Nyl. — Pyrenastrum chilense Mont., Nyl. Addit. F1. chil. DMOT— In America meridionali (Chili). 116 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 3399. Verrucaria operta Nyl. Prodr. FI. N. Gran. Addit. p. 576, ubi definitur ; in Flora 1864, p. 618; sporæ incolores et binæ in thecis. — In America tropica (Nova Granata). 3360. V. intrusa Nyl. Pyrenoc. p. 43, ubi definitur; £num. Lich. p. 138; sporæ incolo- res et thecæ plerumque monosporæ. — In America tropica (Nova Granata, Prodr. FI. AN. Gran. ed. 1° p. 75 et ed. 2° p. 116; Bolivia, Lich. exot. p. 232). 3361. V. euthelia Nyl. in #/ora 1886, p. 177, Contrib. da F1. d'Afric. p.13 et Lich. ins. Guin. p. 35, ubi definitur; sporæ 8" incolores. — In Africa occidentali (ins. San Thomé). 3362. V. interponens Nyl. Zich. Andam. p. 20, ubi definitur ; sporæ 8% incolores, sub- murali-divisæ. — In Asia meridionali (ins. Andaman). 3363. V. pyrenuloides Nyl. Pyrenoc. p. 44, Prodr. FT. N. Gran. ed. 4° p. 74 et ed. 2 p.-115et Syn. Lich. N. Caled. p. 86, ubi definitur; £num. Lich. p. 138. — Trypethelium pyrenuloides Mont. Syllog. p.371. Animadvertendum est hance speciem et V. libricolam Fée, quæ in Ææxpositione synoptica Pyrenocarpeorum sub hac stürpe ponuntur, in opere huic posteriore cui titulus : Lichenes insularum Guineensium ad stirpem V. nitidæ Schrad. referri. Nihilominus illæ ambæ species earumque affines ob sporas murali-vel saltem submurali- divisas in stirpe V. variolosæ Pers. hic disponendæ videntur. = In Africa orientali (ins. Madagascar), meridionali (Portu Natali, Lich. Port Natal p. 14, ubi definitur pr. p.) et occidentali (ins. San Thomé, Æ/ora 1886, p. 177, Contrib. da FI. d'Afric. p.13 et Lich. ins. Guin. p. 35, ubi sporæ definiuntur). — In America septentrionali (Carolina, ubi forma quæ- dam in Pyrenoc. p. 44 definitur) et tropica (ins. Sancü-Thomæ Antillarum, Flora 1880, p. 198; Nova Granata ; Peruvia, Lich. exot. p.232). — In Oceania fins. Sandwich; ins. Taïti, Lich. exot. p. 247; Nova Caledonia, Flora 1867, p. 196; ins. Amirauté). 3364. V. duplicans Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. 4° p. 75 eted. 2 p. 416, ubi definitur, atque Addit. p.516. — In America tropica (ins. Guadalupa, Lich. Antill. p.22, ubi definitur forma sporis 2-8"; Nova Granata; Nicaragua). 3365. V. duplicascens Nyl. Lich. Andam. p. 19, ubi definitur ; sporæ binæ in thecis et incolores. — In Asia meridionali (ins. Andaman). 3366. V. libricola Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 87, ubi definitur. — Pyrenula libricola Fée Essai Supplém. p. 82; Pyr. aspistea Fée ibid. p. 83, tab. XXX VII, fig. 2. — Verrucaria aspistea Nyl. Pyrenoc. p.43, ubi definitur ; £num. Lich. p. 138; V. analepta var. americana Ach. Syn. Lich. p. 88. — Pyrenula leucostoma Ach. Syn. Lich. p.124, Nyl. Pyrenoc. p.43 in notula. — In omnibus regionibus tropicis. In Asia meridionali (Calcutta, Flora 1867, p.8; ins. Ceylonia, ex herb. Hooker). — In Africa orientali (ins. Borbonia, Lich. exot. p. 261). — In America tropica (India occidentali; Peruvia, Lich. exot. p. 232). — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 16, ubi sporæ definiuntur; ins. Taïti et Sandwich, Lich. exot. p. 247; Nova Caledonia, #lora 1867, p. 196). — Var. Cinchonarum Nyl.; V. aspistea var. Cinchonarum Nyl. Lich. exot. p. 232. — Parmentaria Cinchonarum Fée Essai Supplém. p. 68.— In America tropica (Peruvia). 3367. V. astroidea Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 132, ubi definitur; V. aspistea var. astroidea Nyl. Pyrenoc. p. 44%, ubi pr. p. definitur. — Parmentaria astroidea Fée Essai p- 70, tab. XX. fig. 1, et Supplém. p. 67. — Pyrenastrum americanum Spreng. Syst. Veg. IV, p. 248; P. gemmeum Tuck. Supplém. I, p. 249. = In America tropica (Nova Gra- nata, Prodr. FI. N. Gran. ed. 1* p. 75 et ed. et 2° p. 116, ubi sporæ definiuntur). — In Oceania (ins. Taïti, Lich. exot. p. 247; Nova Zelandia). 3368. V. paramera Nyl. apud Cromb. Challeng. Exped. p. 227, ubi definitur; accedit ad V. libricolam Nyl., sed illius sporæ sunt minores atque simpliciores. = In Oceania (Po- lynesia). 3369. V. congestula Stirton, Nyl. apud Cromb. Challeng. Exped. p. 221, ubi definitur ; est forsan Sphæria quædam. — In Africa australi (ins. Kerguelen). LICHENES EXOTICI. 117 49. — Stirps Verrucariæ nitidæ Schrad. Sporæ 8%, fuscæ, raro incolores, mediocres et plerumquæ 4-loculares; paraphyses graciles. 3370. Verrucaria aggregata Fée Zssai p. 9, Nyl. Pyrenoc. p. 44, ubi definitur; Enum. Lich. p. 138. — Pyrenula aggregata Fée Essai Supplém. p. 80. — 7rypethelium nudum Fée ibid. p. 61. — Verrucaria thelena Mont. in Annal. Sc. nat. 2%° sér. tom. XIX, p- 54. — In Asia meridionali (Singapoure, Sert. Lich. trop. Lab. et Singap. p. 25, ubi sporæ definiuntur). — In America tropica (Nicaragua, etc., Prodr. FT. N. Gran. ed. 2% p. 120 in notula, ubi definitur forma peculiaris; Peruvia, Lich. exot. p. 232, ubi forma alia defi- nitur). — In Oceania (ins. Labuan, Lich. Jap. p. 115 et Sert. Lich. trop. Lab. et Singap. p. 15, ubi sporæ definiuntur). — F. 1. heteroclita Nyl. Prodr. FT N. Gran. ed. 1° p. 76 et ed. 2% p. 119 in notulis. — Pyrenula heteroclita Ach. Syn. Lich. p. 127. — In Africa occidentali (Guinea). — F.2. segregata Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 89, ubi definitur. = In Oceania (Nova Caledonia). 33171. V. congregans Nyl. in Flora 1876, p. 364. = In America tropica (ins. Cuba). 3372. V. mamillana Ach. Syn. Lich. p. 92, Nyl. Lich. Antill. p. 23, ubi sporæ def- niuntur; V. marginata Nyl. Pyrenoc. p. 45, ubi definitur; VW. complanata Mont. Syllog. p. 370, Nyl. ÆEnum. Lich. p. 138; V. Æunthi Fée Essai p. 88, tab. XNAXIV, fig. 4; V. Santensis Tuck. Syn. North Americ. Lich. I, p. 140, Nyl. Pyrenoc. p. 45 in notula et Lich. N. Zeland. 1888, p. 131, ubi definitur. — Pyrenula marginata Hook. in Kunth Syn. PI. æquin. Orb. nov. p. 20; P. Kunthü Fée Essai Supplém. p. 80. — In Asia orientali (Malacca et China, Nyl.et Cromb. Lich. East. Asia pp. 60 et 65).— In Africa orientali (ins. Borbonia et Madagascar, Lich. exot. p.261) et occidentali (Guinea; ins. San Thomé, Flora 1886, p. 177, Contrib. da FT. d'Afric. p. 13 et Lich. ins. Guin. p. 34, ubi sporæ defi- niuntur). — In America tropica (ins. Guadalupa; Guyana; Nova Granata, Prodr. FI. N. Gran. ed. 1° p. 75 et ed. 2 p. 117, ubi sporæ definiuntur sub duplici nomine : V. ma- millana Ach. et V. Santensi Tuck.; Peruvia, Lich. exot. p. 232). — In Oceania (ins. Labuan, Lich. Jap. p. 115 et Sert. Lich. trop. Lab. et Singap. p. 15, ubi sporæ definiun- tur; ins. Java, Flora 1866, p. 134, ubi sporæ adhuc definiuntur; ins. Sandwich, Lich. exot. p. 247; Nova Caledonia, Flora 1867, p. 196 et Syn. Lich. N. Caled. p. 88 pro parte tantum, nam V. Santensis Tuck. in hoc posteriore loco definita est saltem pro parte W. subglabrata Nyl., cfr. Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 15; Nova Zelandia). — Var. diminuens Nyl. Prodr. F1. N. Gran. ed. 2 p. 117, ubi definitur. — In Asia orientali (China). 3313" V. convexa Nyl. Lich. Antill. p. 923, ubi sporæ definiuntur; V. marginala var. convexa Nyl. Prodr. Fl. N. Gran. ed. 1° p. 75 et ed. 2* p. 117, ubi definitur. — In America tropica (ins. Guadalupa; Nova Granata). 3374. V. cireumrubens Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 89, ubi definitur; in Ælora 1867, p. 196. — In Oceania (Nova Caledonia). 3315. V. nitida Schrad., Ach. Lichenogr. univ. p. 279, Nyl. Pyrenoc. p. 45, Lich. Scand. p. 219 et Syn. Lich. N. Caled. p. 87, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 138; V. Cinchonæ Fée Essai p. 87; V. nitens Fée £ssai p. 88, tab. XX, fig. 5. — Pyrenula copalchiana Fée Essai Supplém. p. 79; Pyr. oleagina Fée ibid., sed hæc ponitur etiam in Nyl. Enum. Lich. p. 141 ut varietas Zrypethelü annularis Mont., cfr. infra n° 3529; Pyr. Cinchonæ Fèe ibid. p.80; Pyr. nitens Fée ibid. = Fere cosmopolita, sed deest in regionibus antarcticis. In Asia orientali (China et Japonia, Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia pp. 66 et 118 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 69 et Lich. Jap. p. 91) et meridionali (Calcutta, Flora 1867, p. 8; ins. Andaman, Lich. An- dam.p.20). — In Africa boreali (Algeria, Lich. Algér. p.316 et Prodr. Lich. Gall. p. 187), orientali (ins. Borbonia, Lich. exot. p. 261), meridionali (Portu Natali, Lich. Port Natal p. 44, ubi sporæ definiuntur) et occidentali (ins. San Thomé, flora 1886, p. 177, Contrib. da F1. d'Afric. p.13 et Lich. ins. Guin. p. 34). — In America tropica (Mexico, Flora 1858, p. 381 ; ins. Cuba, llora 1866, p. 294, ubi sporæ definiuntur æque ac in duobus locis sequen- tibus; ins. Guadalupa, Lich. Antill. p.22; Nova Granata, Prodr. FI. N. Gran.ed. 1° p.76 et ed. 2 p. 118; Peruvia et Bolivia, Lich. exot. p. 233; Chili, Addit. FT. Chil. p. 187). — In Oceania (ins. Java, Flora 1866, p. 134, ubi sporæ et forma peculiaris definiuntur ; ins. Taïti, Lich. exot. p. 247 et Lich. îles Marquis. p. 302; Nova Caledonia, £xposit. Lich. N. Caled. p- 52 et Flora 1867, p. 196; Nova Zelandia, Lich.N. Zeland. 1861, p. 259, et 1888, p. 130, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa. — F. 1. quassiæcola Nyl. Pyrenoc. p. 46, ubi definitur; VW. quassiæcola Fée Essai p. 449. — Pyrenula brunnea Fée Essai Supplém. p. 81. — In America tropica (ins. Jamaica). — F.92. pinguis Nyl. Pyrenoc. p. 46 in notula, ubi definitur; V. pinquis Fr. Lichenogr. europ. reform. p. 443. — Pyrenula pinguis Cheval. FT. envir. Paris 1, p. 518, Schær. Enum. Lich. europ. p. 213. — In America tropica (Mexico, #lora 1858, p. 381). — Etiam in Europa. — Var. phæospila Nyl. in /lora 1866, p. 294, ubi definitur. — In America tropica (ins. Cuba). 33176.“ Verrucaria nitidella Floerke, Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 130; V. nitida var. nitidella Nyl. Pyrenoc. p.46, Prodr. FI. N. Gran. Addit. p.577 et Syn. Lich. N. Caled. p. 81, ubi definitur; £num. Lich. p. 138. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p.91) et meridio- nali (ins. Ceylonia). — In Africa orientali (ins. Borbonia, Lich. exot. p. 261) et occidentali (Guinea). — In America tropica (Nova Granata; Bolivia et Peruvia, Lich. exot. p. 233). — In Oceania (Nova Caledonia, Ææposit. Lich. N. Caled. p. 52 et Flora 1867, p. 296; Nova Zelandia). — Etiam in Europa. 3371. “* V. vitrea Eschw. #1. brasil. p. 130, Nyl. Exposit. Lich. N. Caled. p. 52 in notula, ubi definitur; V. Guayaci Fée Essai Supplém. p. 85. — Pyrenula Bonplandiæ Fée Essai p. 74, tab. XXI, fig. 3 et Supplém. p. 78; hæ in Nyl. Pyrenoc. p. 46 sub VW. nitida Schrad. ponuntur. — In America tropica (Brasilia). 33178. V. mastophora Nyl. Lich. N. Caled. Exposit. p.52 et Syn. p.88, Lich. Andam. p. 20 et Prodr. F1. N. Gran.ed. 1* p. 75 et ed. 2% p. 116, ubi definitur, Addit. p. 576. — In Asia meridionali (ins. Andaman). — In America tropica (Nova Granata). — In Oceania (Nova Caledonia, Flora 1867, p. 196). 3379. V. mastophoriza Nyl. Zich. Andam. p. 20, ubi definitur. — In Asia meridionali (ins. Andaman). 3380. V. mastophoroides Nyl. Prodr. FT. N. Gran. ed. 1° p. 76 et ed. 2° p. 118, ubi definitur. — In America tropica (Nova Granata). — Var. flavicans Nyl. Prodr. FT. N. Gran. locis citat., ubi definilur. — In eadem regione. 3381. V. aspistea Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 88 et Lich. N. Zeland. 1888, p.131, ubi definitur. — Pyrenula aspistea Ach. Syn. Lich. p.193, Nyl. Pyrenoc, p. 146. — Verrucaria dermatodes Borr. — In Asia meridionali (ins. Ceylonia ; ins. Andaman, Lich. Andam. p.21). — In Africa meridionali (Portu Natali, Lich. Port Natal p. 14, ubi sporæ definiuntur) et occidentali (Guinea). — In America tropica (ins. Guadalupa, Lich. Antill. p. 24, ubi sporæ denuo definiuntur æque ac in sequenti loco citato; Neva Gronata, Prodr. FI, N. Gran.ed. 4+ p. 76 et ed. 2*p. 118). — In Oceania (Nova Caledcnia, Flera 1867, p. 196; Nova Zelandia, LICHENES EXOTICI. 119 Lich. N. Zeland. 1861, p. 259, ubi datur sub nomine erroneo VW. nifida var. nitidella Floerk.; cfr. Syn. Lich. N. Caled. p. 88 in notula). 3382. * Verrucaria porinoides Nyl. Prodr. FT. N. Gran. ed. 1* p. 76 et ed. 2° p. 118 in notulis, ubi definitur. — Pyrenula porinoides Ach. Syn. Lich. p. 128. — In America tropica. 3383. V. pleiomeroides Nyl. in }lora 1876, p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). 3384. V. subnitida Nyl. in Flora 1876, p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). 3385. V. pleiomerella Nyl. in Ælora 1876, p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). 3386. V. subducta Nvl. Prodr. F1. N. Gran. ed. 1® p. 75, tab. IT, tig. 52, et ed. 2 p. 416, atque Lich. Antill. p. 23 ac Lich. Port Natal p. 14, ubi definitur. = In Africa meridionali (Portu Natali). — In America tropica (ins. Guadalupa ; Nova Granata). — Var. retracta Nyl. Prodr. ET. N. Gran. Addit. p. 5176, ubi definitur. — In America tropica (Nova Granata). 3387. V. interducta Nyl. in /lora 1866, p. 134, ubi definitur. = In Oceania (ins. Java). 3388. V. punctella Nyl. Pyrenoc. p. 46 et Prodr. F1. N. Gran. ed. 4° p. 76 et ed. 2* p. 119, ubi definitur. = In America septentrionali (Carolina) et tropica (Nova (Granata). — Var. 1. exstans Nyl. Prodr. FT. N. Gran. locis citat., ubi definitur. — In America tropica (Nova Granata). — Var. 2. adacta Nyl. Prodr. FI. N. Gran. Addit. p. 577, ubi definitur. — Pyrenula adacta Fée Essai p. 74 et Supplém. p. 79, Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. 2 p. 117, ubi sporæ definiuntur; in Nyl. Pyrenoc. p. 46 in notula cum V. pingui Fr. jungitur. — In America meridionali (Nova Granata, etc.). 3389. V. cerina Nyl. Prodr. FT. N. Gran. ed. 1° p. 76 et ed. 2 p. 419 in notulis, ubi definitur. — Pyrenula cerina Eschw. FT. brasil. p. 133. — In America tropica (Brasilia). 3390. V. subpunctella Nyl. Zich. N. Zeland. 1888, p. 131, ubi definitur. — In Oceania (Nova Zelandia). 3391. V. cryptostoma Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. % p. 119, ubi definitur. — In Ame- rica tropica (Nova Granata). 3392. V. sexlocularis Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. 4° p. 76 et ed. 2 p. 118 in notulis atque Syn. Lich. N. Caled, p. 87, ubi definitur. — In Asia orientali (Malacca, Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 60). — In Oceania (ins. Labuan, Lich. Jap. p. 115 et Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 15, ubi sporæ definiuntur; Nova Caledonia, Flora 1867, p. 196). 3393. V. hypophyta Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. 2 p. 119, ubi definitur. — In Ame- rica tropica (Nova Granata). 3394. V. subnitidella Nyl. Lich. Andam. p. 20, ubi definitur. = In Asia meridionali (ins. Andaman). 3395. V. subtrahens Nyl. in Flora 1866, p. 135, ubi definitur. — In Oceania (ins. Java). 3396. V. infida Nyl. in Ælora 1866, p. 295, ubi definitur. — In America tropica (ins. Cuba). 3397. V. glabrata Ach. Syn. Lich. p. 91, Nyl. Pyrenoc, p 1er Syn. Lich. N. Caled. p. 89, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 138. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. M, ubi sporæ definiuntur; Birmania et Malacca, Nyl. et Cromb. Lich. Fast. Asia pp. 49 et 60). — In Africa occidentali (ins. San Thomé, Flora 1886, p. 177, Contrib. da F1. d’Afric. p. 13 et Lich. ins. Guin. p. 34). — In America septentrionali. — In Oceania (Nova Caledonia, Lich. N, Caled, Prodr. p. 283 et £xposit, p. 53, ubi sporæ definiuntur; Flora 1867, p.196; 120 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. Nova Zelandia, Lich. N. Zeland. 1861, p. 259, ubi sporæ definiuntur, et 1888, p. 131). — Etiam in Europa. — F. grisea Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 89, ubi definitur et in #/ora 1867, p. 196. — In Oceania (Nova Caledonia). 3398. * Verrucaria Coryli Nyl. Pyrenoc. p. 47 et Addit. FT. chil. p. 174, ubi definitur; Enum. Lich. p. 138. — Pyrenula Coryli Mass. Ric. Lichen. crost. p. 164, fig. 325. = In America meridionali (Chili). — Etiam in Europa. 3399. V.imitans Ny]. in #lora 1866, p.295, ubi definitur.— In America tropica (ins. Cuba). 3400. V. subglabrata Nyl., Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 60, ubi definitur. = In Asia orientali (Malacca). — In America tropica (ins. Cuba, Flora 1876, p. 365). — In Oceania (Nova Caledonia, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 15 et est saltem pro parte V. Santensis Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 88). 3401. V. obtusior Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 15, ubi definitur. = In Oceania (ins. Labuan). 3402. V. glabriuscula Nyl. in Ælora 1886, p. 177, Contrib. da F1. d’Afric. p. 13 et Lich. ins. Guin. p. 35, ubi definitur. — In Africa occidentali (ins. San Thomé). 3403. V. falklandica Nyl. Lich. l'ueg. p. 22, ubi definitur; thallus K —. — In America australi (ins. Falkland, ubi est corticola). ; 3404. V. pleiomera Nyl. Prodr. FI. N. Gran. Addit. p. 576, ubi definitur; in #lora 1864, p. 618 ; sporæ 6-8 loculares. — In America tropica (Nova Granata). 3405. V. farrea Ach. Syn. Lich. p. 96 (quoad specim. corticol.), Nyl. Pyrenoc. p.47 et Lich. Scand. p. 279, ubi definitur; Znum. Lich. p.138. — In Oceania (Nukahiva, Lich. exot. p. 247 et Lich. îles Marquis. p. 302). — Etiam in Europa. 3406. V.hyalospora Nyl. Pyrenoc.p. 48, ubi definitur; £num. Lich. Supplém. p. 331; sporæ incolores. — In America boreali (Nova Anglia). 3407. V. aurantiaca Nyl. Pyrenoc. p. 48, ubi definitur ; £num. Lich. p. 138. — Pyre- nula aurantiaca Fée Essai Supplém. p. 82, tab. XXXVII, fig. 1; sporæ incolores vel fuscæ. — In America tropica. — In Oceania (ins. Nukahiva, Lich. exot. p. 247 et Lich. îles Mar- quis. p. 302). 3408. V. micromma Mont. Cryptog. quyan. p. 48 et Syllog. p.368, Nyl. Pyrenoc. p. 49 et Lich. N. Zeland. 1888, p. 131, ubi definitur; £'num. Lich. p. 139. = In America tropica (Guyana gallica, Addit. F1, chil. p. 174, ubi sporæ definiuntur). — In Oceania (Nova Ze- landia). — F.leucomma Nyl. Addit. Fi. chil. p. 174, ubi definitur ; in Pyrenoc. p. 49 similiter definitur, sed sine nomine. — In America meridionali (Chili). 3109. V. confinis Nyl. Pyrenoc.p. 49, Addit. FT. chil. p.174 et Lich. N. Caled. Exposit. p- 52 et Syn. p. 90, ubi definitur; £Enum. Lich. p. 139. — In America meridionali (Guyana gallica; Chili). — In Oceania (Nova Caledonia, Flora 1867, p. 196). 3410. V. denudata Nyl. Pyrenoc. p. 49 et Syn. Lich. N. Caled. p. 90, ubi definitur; Enum. Lich. p. 139; thallus K —. — In Asia orientali (Malacca, Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 60) et meridionali (ins. Ceylonia; ins. Andaman, Lich. Andam. p. 21, ubi sporæ definiuntur). — In Africa orientali (ins. Borbonia, Lich. exot. p. 261). — In America tro- pica. — In Oceania (ins. Labuan, Zäch. Jap. p. 15 et Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 15, ubi sporæ definiuntur; ins. Nukahiva, Lich. exot. p.247 et Lich. îles Marquis. p.302; Nova Caledonia, £xposit. Lich. N.Caled. p. 53 etin Ælora 1867, p. 196). — F. ochrotropa Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 90, ubi definitur. = In Oceania (Nova Caiedonia). 3411. V. albescens Nyl. Pyrenoc. p. 50, ubi definitur; £num. Lich. p. 139. — In Ame- rica tropica (Guyana britannica). LICHENES EXOTICI. 121 —F. subochracea Nyl. apub Cromb. Challeng. Exped. p. 227, ubi definitur. = In Oceania (Polynesia, ins. Amirauté). 3412. Verrucaria ochraceo-flava Nyl. Pyrenoc. p. 50, ubi definitur ; £num. Lich. p. 439. — In America tropica (Mexico ; Nova Granata, Prodr. FI. N. Gran. ed. 1° p. 77 et ed. 2 p. 120, ubi sporæ definiuntur). — In Oceania (ins. Labuan, Lich. Jap. p.115 et Sert. Lichen. trop. Lab. el Singap. p.15). — F. nudior Nyl., Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 60, ubi definitur. = In Asia orien- tali (Malacca, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 16). 3413. *V. ochraceo-flavens Nyl. Prodr. FT. N. Gran. ed. 1° p. 77 et ed. 2® p. 120 in notulis, ubi definitur. — In America tropica. 3414. V. sinapisperma Fée Zssa p. 86 et Supplém. p. 86, Nyl. Pyrenoc. p.50, ubi defi- nitur, Ænum. Lich. p. 139. — In America tropica (Peruvia, Lich. exot. p. 233). 3415. V. Canellæ-albæ Nyl. Pyrenoc. p.51, ubi definitur; £num. Lich. p.139. — Py- renula Canellæ-albæ Fée Essai Supplém.p. 157, tab. XLIIT, fig. 4. — In America tropica. 3416. V. pupula Nyl. Pyrenoc. p. 52 in notula. — Pyrenula pupula Ach. Syn. Lich. p- 123, Monogr. p. 19, tab. XI, fig. 17, Fée Essai p. 73, tab. XXI, fig. 1, et Supplém. p. T1. — Verrucaria porinoides Mont. Cryptog. guyan. p. 51, Nyl. Pyrenoc. p. 51, ubi definitur; Enum. Lich. p.138. — Pyrenula porinoides Ach. Syn. Lich. p. 128; Pyr. cartilaginea Fée Essai p.71, tab. XXII, fig. 3 et Supplém. p.71; Pyr. discolor Ach. Syn. Lich. p.118, Fée Essai p. TLet Supplém. p. 11; Pyr. myriocarpa Fée Essai p.74, tab. XXI, fig. 2 et Sup- plém. p.78; sporæ incolores. — [n America tropica (Nova Granata, Prodr. FI, N. Gran. Addit. p. 577, ubi forma quædam definitur ; Peruvia, Lich. exot. p.233). — In Oceania (ins. Java, Flora 1866, p. 135). 3417. V. papulosa Nyl. Prodr. F1. N. Gran. Addit. p. 5717, ubi definitur ; in Flora 1864, p. 618; sporæ incolores.— In America tropica (Nova Granata). 3418. V. concatervans Nyl. Lich. Jap. p. 109, ubi definitur; sporæ fuscescentes, 6-loculares. Hæc species et V. catervaria Fée accedunt ad 7rypethelium ochroleucum Nyl. infra n° 3519. — In America septentrionali calida (Florida). 3419. V. catervaria Fée £'ssai p.90, tab. XXII, fig. 1, Nyl. Pyrenoc. p.52, ubi defini- tur;, £num. Lich. p. 129; sporæ incolores. — In America tropica (ins. Cuba, Flora 1866, p. 295 ; Nova Granata, Prodr. FI. N. Gran. Addit. p.577, ubi sporæ definiuntur). 3420. * V. diffluens Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. 1*p. 71 et ed. 2 p.121, ubi definitur ; sporæ incolores. — In America tropica (Nova Granata). 3421. V. nitidiuscula Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. 1° p.717 et ed. 2 p. 121, ubi defi- nitur; sporæ incolores. — In America tropica (Nova Granata). 3422. V. ceratina Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. 1° p. 77 et ed. 2* p. 121. — Pyrenula ceratina Fée Essai Supplém. p. 77. Huic speciei jungendæ videntur V. diffluens Nyl. et V. nitidiuscula Nyl., nam ab illa vix nisi ostiolis differunt. Antea ea V. ceratina (Fée) sub V. pupula (Ach.) disposita fuerat, Pyrenoc.p. 52 in notula. — In America tropica. 3423. V. concatervata Nyl., Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 68 et Nyl. Lich. Jap. p.91, ubi definitur; sporæ incolores. — In Asia orientali (Japonia). 3424. V. trypethelizans Nyl., Nyl. et Cromb. Lich. East Asia. p. 60, ubi definitur ; sporæ incolores. — In Asia meridionali (Malacca, Lich. Jap. p. 91 in notula). 3425. V. myriomma Nyl. Prodr. FI. N. Gran. Addit. p. 5178, ubi definitur; in #lora 1864, p. 618; sporæ incolores. = In America tropica (Nova Granata). 3426. V. thelotremoides Nyl. Prodr. F1. N. Gran. Addit. p. 578 et Lich. Antill. p.224, ubi definitur ; in #/ora 1864, p. 618; sporæ incolores. = In America tropica(Nova Granata). 3427. V. heterochroa Mont, Syllog. p. 370, Nyl. Pyrenoc. p. 52, ubi definitur; £num. Lich. p. 139; sporæ incolores. — In Asia orientali (Malacca, Nyl. et Cromb. Lich. East. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 32 série. — IV. 16 122 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. Asia p. 60). — In America tropica (Guyana; Nova Granata, Prodr. FI. N. Gran. Addit. p.578 et Flora 1864, p. 618; Brasilia). 13.— Stirps Verrucariæ dilutæ Fée. Sporæ 82æ, incolores et 3-septatæ ; paraphyses gràciles, plus minusve confertæ. 3428. Verrucaria obvoluta Nyl. Prodr. F1. N. Gran. ed. 1° p. 77 et 2 p. 122, ubi definitur. — In America tropica (Nova Granata). 3429. V. subvelata Nyl. Pyrenoc. p. 56, ubi definitur. — In Asia meridionali (India). 3430. V. diluta Fée £ssai Supplém. p.85, Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p.91, ubi definitur; V. Cinchonæ non Ach. quæ est infra n° 3461, sed Nvl. Pyrenoc. p. 57, ubi definitur; £num. Lich.p. 139; V. pyrenuloides Fée Essai Supplém. p.86. — Pyrenula verrucaroides Fée Essai p. 76. — In Asia meridionali (Calcutta, Flora 1867, p. 8, ubi definitur forma peculiaris). — In America tropica (ins. Cuba, Ælora 1866, p. 295; Nova Granata, Prodr. FI. N. Gran. Addit. p. 578, ubi sporæ definiuntur, Flora 1864, p. 618; Peruvia, Lich. exot. p. 233; Bra- silia, Flora 1869, p. 125). — In Oceania (ins. Labuan, Lich. Jap. p. 115 et Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p.15; ins. Nukahiva, Lich. exot. p.247 et Lich. îles Marquis. p. 302; Nova Caledonia, Flora 1867, p. 196). 3431. * V. dirempta Nyl. Prodr. F1. N. Gran. ed. 1* p. 78 et ed. 2 p. 122, ubi definitur, Addit. p. 578. — In America tropica (Nova Granata). 3432. V. illota Nyl. in lora 1876, p. 364; V. diluta Nyl. Lich. Antill. p. 24, ubi defi- nitur. = In America tropica (ins. Martinica et Cuba). 3433. V. infossa Nyl. in Ælora 1886, p. 178, Contrib. da FT. d'Afric. p. 14et Lich. ins. Guin. p.36, ubi definitur.—In Africa occidentali (ins. San Thomé). 3434. V. suffusa Knight, Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 433, ubi definitur. = In Ocea- nia (Nova Zelandia). 3435. V. tropica Ach. Syn. Lich. p. 91, Nyl. Pyrenoc. p. 57, ubi definitur pro parte; Enum. Lich. p.139; V. Gaudichaldii Fée Essai p. 87, tab. XXII, fig. 4; V. Gaudichaudii Fée Essai Supplém. p.86. — In omnibus fere regionibus tropicis. In Asia orientali (Malacca et Singapoure, Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p.60 et Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Sin- gap. p. 25) et meridionali (Calcutta, Flora 1867, p. 8, ubi sporæ definiuntur). — In Africa occidentali (ins. San Thomé, Flora 1886, p.178, Contrib. da FI. d'Afric. p 14, et Lich. ins. Guin. p.36, ubi sporæ definiuntur). — In Oceania (ins. Java, Flora 1866, p. 135; ins. La- buan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 15, ubi sporæ definiuntur). 3436, V. contendens Nyl. Prodr. F1. N. Gran. ed. 1° p. 78 et ed. 2* p. 129, ubi definitur. — In America tropica (Nova Granata). 14. — Stirps Vérrucariæ gemmatæ Ach. Sporæ 82e, incolores et 1-septatæ; paraphyses graciles. 3437. V. gemmata Ach. Syn. Lich. p. 90, Nyl. Pyrenoc. p. 53 et Lich. Scand. p. 280, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 139. — In Africa boreali (Algeria, Lich. Algér. p. 316 et Prodr. Lich. Gall. p. 188, ubi etiam definitur). — In Africa orientali (ins. Borbonia, Lich. exot. p. 261). — In America boreali. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p.14, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa. 3438. *V. conoidea Fr., Nyl. Pyrenoc. p. 53 et Lich. Scand. p. 280, ubi definitur; Enum. Lich. p.139. — In Africa boreali (Algeria, V. epipolæa Nyl. Lich. Algér. p.316). — Etiam in Europa. LICHENES EXOTICI. 1923 3439. Verrucaria limitans Nyl. in Ælora 1866,p. 295, et Lich. Antill. p. 24, ubi defi- nitur. — In America tropica (ins. Cuba et Guadalupa). 3440. *V. glaucescens Nyl. in Ælora 1876, p.364. — In America tropica (ins. Cuba). 3441. V. subnexa Nyl. Lich. Andam. p. 22, ubi definitur. = In Asia mericionali (ins. Andaman). 3442, V. subnectenda Nyl., Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 61, ubi definitur. — In Asia orientali (Malacca). 3443. V.anisomera Nyl. in #lora 1876. p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). 3444. V. cinefaciens Nyl. Zich. Andam. p. 21, ubi definitur. = In Asia meridionali (ins. Andaman). 3445. V. biformis Borr.in ÆZngl. Bol. Supplém. tab. 2617, fig. 1, Nyl. Pyrenoc. p.54, ubi definitur. — In America. — Etiam in Europa. 3446. * V. albo-atra Krempelh. in herb., Nyl. in Flora 1867, p. 8, ubi definitur.— In Asia meridionali (Calcutta). — Var. detergens Nyl.in Ælora 1869, p. 195, ubi definitur. = In America tropica (Bra- silia). 3447. V. conformis Nyl. in Ælora 1864, p. 357, et Zach. N. Zeland. 1888, p. 132, ubi definitur. — In Oceania (Nova Zelandia). — Etiam in Europa (Gallia, Æ#lora 1864, p. 357). 3448. V. uniformis Nyl. in Æ/lora 1866, p. 295, ubi definitur. = In America tropica (ins. Cuba). 3449. V. consobrina Nyl. Lich. N. Caled. Exposit. p. 53 et Syn. p. 92, ubi definilur; in #lora 1867, p.196. — In Oceania (Nova Caledonia). — Var. subglaucescens Nyl. in litt.; V. consobrina var. glaucescens Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 92, ubi definitur. Nomen mutatur, quia jam datum fuit, supra n° 3440. — In Oceania {Nova Caledonia). 3450. V. holopolia Nyl. Syn. Lich. N. Caled.p. 92, ubi definitur, in Flora 1867, p. 196. — In Oceania (Nova Caledonia). 15. — Stirps Verrucariæ vagæ Nyl. Sporæ 8°*,incolores, oblongæ vel fusiformes, raro ovoideæ, 1-septatæ ; paraphyses graciles. 3451. V. vaga Nyl. Pyrenoc. p. 55 et Syn. Lich. N. Caled. p. 93, ubi definitur; in Prodr. Lich. N. Caled. p. 283 et Exposit. p. 54 sporæ tantum definiuntur; Ænum. Lich. p- 139; in Âlora 1867, p.196. — In Africa orientali (ins. Mayotte prope Madagascar). — In Oceania (Nova Caledonia). 3452. V. Tamarindi Fée £ssai Supplém. p. 85, Nyl. Pyrenoc. p. 56, ubi definitur. = In America tropica (Antillis). 3453. V. albido-atra Nyl. in #lora 1886, p. 178, Contrib. da FI. d’Afric. p. 14 et Lich. ins. Guin. p. 39, ubi definitur. — In Africa occidentali (ins. San Thomé). 3454. V. bermudana Tuck.in manuscript., Nyl. Sert. Lich. trop. Lab. et Singap. p.43, ubi definitur. — In America septentrionali (ins. Bermudis). 3455. V. terminata Nyl. Lich. Andam. p. 21, ubi defiuitur. —In Asia meridionali (ins. Andaman). 3456. V. interspersa Nyl. Lich. Andam.p. 22, ubi definitur. — In Asia meridionali (ins. Andaman). 3457. V. viridiseda Nyl. Pyrenoc. p. 55, ubi definitur; £'num. Lich. p. 139. — In Ame- rica tropica (Guyana gallica). — F. albiseda Nyl. Lich. Jap. p. 108, ubi definitur. — In America septentrionali calida (Florida). 124 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 3458. Verrucaria subprostans Nyl. Pyrenoc. p. 56 et Prodr. Fl. N. Gran. ed. 4° p. 77 et ed. 2 p. 121, ubi definitur ; Znum. Lich. Supplém. p.337. — In America septentrionali (Carolina et Texas) et tropica (Nova Granata). 3459. V. phæa Ach. Syn. Lich. p. 88, Nyl. Lich. exot. p. 233 in notula, ubi definitur. — In America tropica (India occidentali). 3460. V. insulata Fée Zssai Supplém. p. 158, tab. XLIIL, fig. 3, Nyl. Pyrenoc. p. 56 et Prodr. F1. N. Gran. ed. 2° p. 121, ubi definitur ; £num. Lich. p. 139. = In Asia orientali (China). — In America tropica. 3461. V. Cinchonæ Ach. Syn. Lich. p. 90, Nyl. Prodr. F1. N. Gran. ed. 2% p. 122 in notula ; V. prostans Mont. Cryptog. quyan.p. 47 et Syllog. p. 365, Nyl. Pyrenoc. p. 57, ubi definitur ; £num. Lich. p.139 ; paraphyses graciles. — In Africa meridionali (promont. Bonæ Spei). — In America tropica (Peruvia, Lich. exot. p. 233). — In Oceania (ins. Nuka- hiva, Lich. îles Marquis. p. 302). 3462. V. planorbis Ach. Syn. Lich. p.92, Nyl. Pyrenoc. p. 58, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 139. — In America tropica. 3463. V. planiuscula Nyl. in herb. Fée, Pyrenoc. p. 58, ubi definitur; £num. Lich. p. 139; paraphyses confertæ. — In America tropica. 3464. V. excellens Nyl. in Flora 1876, p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). 3465. V. subantecellens Nyl. in Ælora 1876, p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). 3466. V. cineriseda Nyl. in #lora 1876, p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). 3467. V. planorbiculata Nyl. in Flora 1876, p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). 46. — Leiophlæa Ach., Nyl. in Flora 1878, p. 453 in notula. 1°. — Sporæ 8°, incolores, 1-septatæ ; paraphyses ordinarie desunt. 3468. V. epidermidis Ach. Syn. Lich. p. 89, Nyl. Pyrenoc. p.58, Lich. Scand. p. 281, in Ælora 1876, p. 233, et Syn. I, tab. IL, fig. 16, ubi definitur; £num Lich. p. 139. — Cos- mopolita. In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 92; ins. Bonin, Prodr. FI. N. Gran. ed. 2 p. 124 in notula, ubi definitur forma peculiaris). — In Africa boreali (Algeria, Zach. Algér. p. 316 et Prodr. Lich. Gall. p. 190). — In America tropica (Mexico, Flora 1858, p. 381). — Etiam in Europa. — Var. lactea Mont., Nyl. Addit. FI. chil. p. 187. — In America meridionali (Chili). 3169. V. magnifica Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p.132 et fig. 5, ubi definitur. = In Oceania (Nova Zelandia). 3470. V. fallax Nyl. in #lora 18179, p. 363, ubi definitur ; V. epidermidis var. fallax Nyl. Pyrenoc. p. 59, ubi definitur pr. p.; Æ£num. Lich. p. 139. = In Asia boreali (Konyam- bay, etc., Lich. Fr. Behr. pp. 17 et 48). — In America boreali (Port-Clarence, Lich. Fr. Behr. p. 68) et tropica (Mexico, Flora 1858, p. 381). — In Oceania, (Australia, Flora 1886, p. 327). — Etiam in Europa. 3471. V. fallacior Nyl. in Flora 1876, p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). 3472. V. subfallens Nyl. in #lora 1876, p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). 3473. V. fallaciuscula Nyl. Lich. Jap. p.92, ubi definitur. = In Asia orientali (Japo- nia). —- In America tropica (ins. Cuba, /lora 1876, p. 364). 3474. V. gemellipara Knight, Nyl. Lich. N. Zeland. 1888,p. 132, ubi definitur. — In Oceania (Nova Zelandia). 3475. V. circumpressa Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 132, ubi definitur. — In Oceania (Nova Zelandia). 3476. V. analepta Ach. Syn. Lich. p. 88, Nyl. Lich. Pyren.-Orient. p. 42, ubi defini- LICHENES EXOTICI. 125 tur; V. epidermidis var. analepta Nyl. Pyrenoc. p. 59 et Lich. Scand. p. 281 ; Enum. Lich. p- 439. — In America meridionali (Chili, Addit. F1. chl. p. 187). — Etiam in Europa. 3477. Verrucaria consequella Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. el Singap. p. 43. ubi de- finitur; vix nisi var. V. consequentis Nyl. in Flora 1864, p. 357. — In America septentrionali (Massachusetts, ubi est saxicola). 3478. V. ceyloniensis Nyl. Lich. East. Asia p. 64, ubi pro p. definitur. — Dactylobla- sius ceyloniensis Mass. Æsame comparat. di ale. gen. di Lich.p. 46. = In Asia meridionali (ins. Ceylonia). 3479. V. malaccitula Nyl., Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 61, ubi definitur. = In Asia orientali (Malacca). 3480. V. punctiformis Ach. Syn. Lich. p. 87, Nyl. Lich. Pyren.-Orient. p. 66 et Lich. N. Zeland. 1861, p. 259, atque 1888, p. 133, ubi definitur. — In America boreali (Port- Clarence, Lich. Fr. Behr. pp. 67et 68 in notula) etseptentrionali calida (Florida, Lich. ins. Guin. p. 51). — In Oceania (Nova Zelandia). — Etiam in Europa. 3481. V. subatomaria Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 134, et Lich. Andam. p. 22, ubi definitur. = In Oceania (Nova Zelandia). 3482. V. planorbella Nyl. Lich. Andam. p. 22, ubi definitur. — In Asia meridionali (ins. Andaman). 3483. V. bryospila Nyl. in Ælora 1864, p.357, et Lich. Fr. Behr. p. 67, ubi definitur. = In America boreali (Port-Clarence). — Etiam in Europa boreali (Norvegia). 3484. V. prospersella Nyl. Lich. Jap. p. 108, ubi definitur ; species saxicola accedens ad Arthopyreniam inconspicuam Lahm Westfalen Flechten p. 149. = In America septen- trionali (Illinois). 3485. V. gemmatella Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 16, ubi definitur ; est forsan Fungillus. = In Oceania ins. Labuan). 2°. — Sporæ 8", incolores, ovoideæ et simplices. 3486. V. microphora Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. 2 p. 124, ubi definitur. = In Ame- rica tropica (Nova Granata). 3°. — Sporæ 8°”, incolores, ter vel pluri-septatæ. 3487. V. subpunctiformis Nyl. Lich. ins. Guin. p. 51, ubi definitur. — In America septentrionali calida (Florida). 3488. V. majuscula Nyl. Prodr. F1. N. Gran. ed. 1° p. 122 in notula et Lich. Jap. p- 92 atque in Alora 1867, p. 9, ubi definitur. — In Asia orientali (ins. Ogassawara, olim Bonin, prope Japoniam) et meridionali (Calcutta). 3489. V. maurospila Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 134, ubi definitur. — In Oceania (Nova Zelandia). 3490. V. subfallax Nyl. Lich. Fueg. p. 19 ubi definitur. — In America australi (Fuegia). 3491. V. rhyponta Nyl. Pyrenoc. p. 60 et Lich. Scand. p. 981, ubi definitur; £num. Lich. p.139. = In Africa boreali (Algeria, Lich. Algér. p. 316). — Etiam in Europa. 3492. V. Cerasi Schrad.,Ach. Syn. Lich. p.89, Nyl. Lich. Pyren.-Orient. p. M ; V. epi- dermidis var. Cerasi Nyl. Lich. Scand. p.281, ubi definitur; Pyrenoc. p. 59. — In Ame- rica tropica (Nova Granata, Prodr. F1. N. Gran. ed.1° p. 78 et ed. 2 p. 123, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa. 3493. V. quinque-septata Nyl. Pyrenoc. p. 58, ubi definitur ; £Znum. Lich. p. 139. — 126 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. In Asia orientali (Singapoure, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 26, ubi sporæ definiun- tur). — In America septentrionali (Carolina). 3494. Verrucaria quinque-septatula Nyl. apud Cromb. Zns. Rodrig. p. 444, ubi definitur. — In Africa orientali (ins. Rodriguez). 3495. V. zosta Knight, Nyl. in Flora 1886, p. 327, ubi definitur. — In Oceania (Aus- tralia). 17. — Stirps Verrucariæ thelenæ Ach. Sporæ 8°, fuscæ et 1-septatæ. 3496, V. thelena Ach Syn. Lich. p 92, Nyl. Pyrenoc. p. 60, ubi definitur; £Enum. Lich. p.139. — In America tropica (Nova Granata, Prodr. FI. N. Gran. ed. 1° p. 78 et ed. 2 p. 193, ubi forma peculiaris et sporæ definiuntur). — F. albidior Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. % p.193, ubi definitur. — In Asia orientali (China). — In America tropica (Nicaragua). 3497. V. hymnothora Ach. Syn. Lich. p. 92, Nyl. Lich. exot. p. 233, ubi definitur in notula. — In America meridionali (Chili, Addit. F1. chil. p. 187). 3498. V. apposita Nyl. Prodr. F1. N. Gran. ed. 1° p. 78 et ed. 2 p. 193, ubi definitur. — In America tropica (Nova Granata). 3499. V. conothelena Nyl. Lich. Andam. p. 2, ubi definitur. — In Asia meridionali (ins. Andaman). — Var. errans Nyl. Lich. Andam. p. A, ubi definitur. — In eadem insula. 3500. V. cinerella Flot., Nyl. Pyrenoc. p. 60 et Addit. FT. chil. p. 174, ubidefinitur , Enum. Lich. p. 139. — In America tropica (Nova Granata, Prodr. F1. N. Gran. ed. 1* p.78 et ed. 2 p. 193, ubi sporæ definiuntur ; Bolivia, Lich. exot. p. 232) et meridionali (Chili). 3501. V. thelenula Nyl. in }lora 1876, p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). 3502. V. microthelena Nyl. in #lora 1876, p.364. — In America tropica (ins. Cuba). 3503. V. miculiformis Nyl. in Flora 1876, p. 364. — In America tropica (ins. Cuba). — Var. distincta Nyl. in /lora 1876, p. 364. — In eadem regione. 3504. V. abditula Nyl. in litt. — In America tropica (ins. Cuba, legit Wright, n° 521). 48. — Stirps Verrucariæ oxysporæ Nyl. Sporæ 8, incolores et aciculares. 3505. V. raphidiophora Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 93, ubi definitur ; in llora 1867, p- 196. — In Oceania (Nova Caledonia). Incertæ sedis. 3506. V. evanidula Nyl. in /lora 1887, p.136, ubi definitur. — In Asia orientali (China). — In Africa australi (ins. Kerguelen). Subgen. IT. — 7rypethelium Ach., Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 94. Sectio À. — APOTHECIA SUBSOLITARIA. 3507. T. uberinum Nyl. Pyrenoc. p. 72 et Syn. I, tab. I, fig. 20, ubi definitur ; Enum. Lich. p. AM. — Pyrenula uberina Fée Essai p. 83, tab. XX, fig. 3, et Supplém. p. 84. = In America tropica (Peruvia, Lich, exot. p. 233). LICHENES EXOTICI. 127 3508. Trypethelium uberinoides Nyl. Pyrenoc. p. 72, ubi definitur; in Ælora 1858, p. 381. — In America tropica (Mexico). 3509. T. melanophthalmum Nyl. Pyrenoc. p.72 et Syn. I, tab. [, fig. 21, ubi defni- tur ; Znum. Lich. p. AM. — Verrucaria melanophthalma Mont. Syllog. p. 365 (ex speci- mine auctoris, sed non ex indicatione sporarum). :— In America tropica (Guyana). — F. arcte-cinctum Nyl. Pyrenoc. p. 13, ubi definitur. — Pyrenula arcte-cincta Fée Essai Supplém. p.84. — In America tropica. 3510. T. megaspermum Mont. Cryptog. guyan. p. 52 et Syllog. p. 371, Nyl. Enum. Lich. p. 141. — Verrucaria globifera Eschw. FT. brasil. p. 131, Nyl. in Flora 1866, p. 295, ubi errore legitur V. globulifera. = In America tropica (ins. Cuba; Guyana; Brasilia). Sectio B. — APOTHECIA PLURA CONNATA. a. — Sporæ pauciloculares, typice quadriloculares. 3511. T. anomalum Ach. Syn. Lich. p. 105 pr. p., hoc est quoad specimen in Indiis lectum, nam exemplar e Guinea proveniens ad aliam speciem attinet, Nyl. in Flora 1865, p- 429. — Melanotheca Achariana Fée Essai Supplém. p. 71, tab. XXXVI, fig. 10, in tab. XLI fig. À sporæ juveniles tantum 1-septalæ indicantur; Nyl. Pyrenoc. p. 69, ubi defini- tur; Enum. Lich.p. 140, et Syn. Arthon. p. 88 in notula. — Mycoporum Acharii Meyer in Spreng. Syst. IV, p. 242. — Porodothion Acharii Mont. Cub. p. 153. — In Africa tropica (Guinea). — In America tropica (Antillis, Guyana, etc.). 3512. T. cruentum Mont. Cryptog. quyan. p. 53 et Syllog. 372; Nyl. Pyrenoc. p. 73, ubi definitur ; Enum. Lich. p. 141. = In Asia orientali (ins. Bonin seu Ogassawara, Ver- rucaria erythrothelia Nyl. in herb. Tuck., Nyl. Lich. Jap. p. 93). — In America tropica (Guyana). — F. subdecolor Nyl. Lich. Jap. p. 93, ubi definitur; materia « cruenta » chrysopha- nica K violaceo-dissolvitur. — In Asia orientali (ins. Bonin). 3513. T. cruentatum Nyl. in /lora 1816, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3514. T. cruentulum Nyl. apud Cromb. Zns. Rodrig.p. 445, ubi definitur. — In Africa orientali (ins. Rodriguez). 3515. T. subincruentum Nyl. Lich. Jap.p. 109, ubi definitur; materia cruenta K vio- laceo-dissolvitur. = In America septentrionali calida (Florida). 3516. T. Scoria Fée Æssai p. 69 et Supplém. p. 61, Monogr. Trypeth. p.37, tab. XV, fig. 2, Nyl. Pyrenoc. p. 74, ubi definitur; Æ£num. Lich. p. 14 ; Tr. phlyctæna Fée Essai p. 68, tab. XIX, fig. 3, et Supplém. p. 61 (non 77. phlyctenula ut errore scripsit d' Ny- lander) ; 7». Feei Meissner, Fée Monogr. Trypeth. p. 33, tab. XIV fig. 2, et Æssai Supplém. p- 60; 77. carolinanum Tuck. Syn. North Americ. Lich. Il, p. 139, ubi cum 7”. Scoria Nyl. sub 77. mastoideo Ach. ponitur. — In America septentrionali (Carolina) et tropica (Mexico, Flora 1858, p. 381; Nova Granata, Prodr. F1. N. Gran. Addit. p. 579; etc.). — F. endochraceum Nyl. Lich. Jap. p. 115, et Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 16, ubi spermatia definiuntur. — In Oceania (ins. Labuan). — Var. 1. convexumNyl. Pyrenoc. p. 74, ubi definitur. — In America tropica. — Var. 2. sordidius Nyl. in Ælora 1869, p. 126, ubi definitur. — In America tropica (Brasilia). 3517. “ T. Leprieurii Mont. Cryptog. quyan. p.52 et Syllog. p. 372, Nyl. Pyrenoc. p. 74, ubi definitur ; £num. Lich. p. 141. — In America tropica (Guyana gallica). 3518. T. phæothelium Nyl. Prodr. FI. N. Gran. Addit. p. 579, ubi definitur; in Flora 1864, p. 618. — In America tropica (Nova Granata). 3519. T. ochroleucum Nyl. in #/ora 1869, p. 126, ubi sporæ et spermatia definiuntur, 128 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Verrucaria ochroleuca Eschw. F1. brasil. p. 135, quæ in Nyl. £num. Lich. p. 139 sub nomine erroneo V. ochrochlora scribitur. — Trypethelium pallescens Fée Monogr. Trypeth. p- 31, tab. XIII, fig. 3, et Zssai Supplém. p. 60 ; Nyl. Pyrenoc. p. 74, ubi definitur ; Enum. Lich. p. 141; Tr. erubescens Kunz., Fée Monogr. Trypeth. p. 32, tab. XIV, fig. 1 et 'ssai Supplém. p. 60; Tr. KunzeiFée Essai Supplém. p. 61; Tr. quassiæcola Fée Monogr. Try- peth. p. 39, tab. XV, fig. 2, et Æssai Supplém. p. 62, nec differre videtur Verrucaria tessella Pers. Variat sporis 6-locularibus. — In Asia orientali (Singapoure, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 26, ubi pr. p. definitur) et meridionali (Calcutta, Flora 1867, p. 9, ubi sporæ definiuntur). — In America tropica (Nova Granata, Prodr. FI, N. Gran. ed. 1°, p. 79, ed. 2% p. 127 et Addit. p. 579, ubi sporæ definiuntur ; Brasilia). — In Oceania (ins. Marianis). — Var. subdissocians Nyl. in Æ/ora 1864, p. 618. — In America tropica (Nova Granata). 3520. Trypethelium straminicolor Nyl. Lich. Jap. p. 115 et Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 15, ubi definitur. = In Asia orientali (Singapoure, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 26). — In Oceania (ins. Labuan). 3521. T. exocanthum Tuck. Syn. North Americ. Lich. If, p. 440, Nyl. Prodr. FI, AN. Gran. ed. 2 p. 127, ubi definitur, et Lich. Jap. p. 109, ubi sporæ definiuntur. = In America septentrionali (Alabama et Louisiana). 3522. T. erumpens Fée Monogr. Trypeth. p. 27, tab. XIIT, fig. 4, et Æssai Supplém. p. 58, Nyl. Pysenoc. p. 75, ubi definitur ; Enum. Lich. p. 141. — In America tropica (Pe- ruvia, Lich. exot. p. 233). 3323. T. pulcherrimum Fée Monogr. Trypeth. p. 41, tab. XI, fig. 2, et £ssai Supplém. p-63, Nyl. Pyrenoc. p.75, ubi definitur ; £num. Lich. p. 141; T. porosum Fée Essai Sup- plém. p. 69, tab. XIX, fig. 2. — In America tropica (Antillis). 3524. T. duplex Fée Monogr. Trypeth. p. 28, tab. XIIT, fig. 4, et Lssai Supplém. p. 58, Nyl. Pyrenoc. p. 75, ubi definitur ; Enum. Lich. p. 1A1. — In America tropica (Antillis). 3525. T. triplex Nyl. in #lora 1869, p. 125, ubi definitur. — In America tropica (Brasilia). 3526. T. inconspicuum Meissner, Fée Monogr. Trypeth.p. 40, tab. XVI, fig. 3, et Æssai Supplém. p. 63, Nyl. Pyrenoc. p. 76, ubi definitur; £num. Lich. p. 141; Tr. crassum Fée Monogr. Trypeth. p. 43, tab. XVI, fig. 5, £ssai p. 66, tab. XIX, fig. 5. — Pyrenodium crassum Fée Essai Supplém. p.69. — In America tropica (Peruvia, Lich. exot. p. 233). 3527. T. nigritulum Nyl. Prodr. FT. N. Gran.ed.1* p. 79, ed. 2 p.127 et Addit. p. 519, ubi definitur. — In Asia orientali (Malacca, Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 61). — In America tropica {Nova Granata). — In Oceania (ins. Labuan, Lich. Jap. p.116 et Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 17). 3528. T. leucotrypum Nyl. in #lora 1867, p. 9, ubi definitur. — In Asia meridionali (Calcutta). 3529. T. annulare Mont. Cryptog. guyan. p. 53 et Syllog. p. 372, Nyl. Pyrenoc. p. 76, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 141. — Pyrenula annularis Fée Essai p.73, tab. XXI, fig. 4, et Supplém. p. 71. — In America tropica (ins. Guadalupa, Lich. Antill. p. 24; Nova Granata, Prodr. FI. N. Gran. ed. 1* p. 80 et ed. 2* p. 127, ubi sporæ definiuntur; Bolivia, Zach. exot. p. 233; Brasilia, ubi viget forma peculiaris cujus sporæ definiuntur in Ælora 1869, p. 126). — F.meiophorum Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 93, ubi definitur. Definitur etiam sine nomine in ÆZrposit. Lich. N. Caledon. p. 54 et typus citatur in Flora 1867, p. 196. = In Oceania (Nova Caledonia). — Var. subdepressum Nyl. Pyrenoc. p. 76, ubi definitur ; Lich. exot. p. 233; T. an- LICHENES EXOTICI. 129 nulare var. oleagineum Nyl. Ænum. Lich. p. 141. — Pyrenula oleagina Fée Essai Sup- plém. p.19. — In America tropica (Bolivia). 3530. Trypethelium ochrothelium Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. 1* p. 80 et ed. 2° p. 128, ubi definitur. — In America tropica (Nova Granata). 3531. T. ochrothelizum Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 26, ubi definitur. — In Asia orientali (Singapoure). — In America tropica (ins. Cuba, Flora 1876, p. 365). 3532. T. sulbalbens Nyl. in /lora 1886, p. 178, Contrib. da FI. d'Afric. p. 1% et Lich. ins. Guin. p. 39, ubi definitur. — In Africa occidentali (ins. San Thomé). 3533. T. scorizum Nyl. in #lora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3534. T. acrophæum Nyl.in Ælora 1876, p. 365. Ad stirpem peculiarem pertinet. — In America tropica (ins. Cuba). 3535. T. columbianum Nyl. Prodr. F1. N. Gran. Addit. p. 5179, ubi definitur; in Flora 1864, p. 618. Tangit 77. uberinum Nvl. supra n° 3507. — In America tropica (Nova Granata). 3536. T. Sprengelii Ach. Syn Lich. p. 104%, Nyl. Pyrenoc. p. 17 et Prodr. ET. N. Gran. ed. 2 p.198, ubi sporæ definiuntur ; Zum Lich. p. 141; Fée Essai p. 65, tab. I, fig. 48, et XIX, fig. 1, Supplém. p. 56; Mont. Cryptog. quyan. p. 53. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 93; Malacca et Japonia, Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia pp. 61 et 69) et me- ridionali (Calcutta, Ælora 1867, p.9, ubi sporæ definiuntur). —In America tropica (Antillis ; Guyana, Prodr. FI. N. Gran. ed. * p.198, ubi sporæ definiuntur ; Nova Granata, ibid. et ed. 1* p. 80 ; Peruvia, Lich. exot. p. 233). — In Oceania (ins. Java, Flora 1866, p. 135). — F. inæquale Nyl. Pyrenoc. p. TT in notula, ubi definitur; 77. inæquale Fée Monogr. Trypeth. p. 30, tab. XIIT, fig. 2, et Essai Supplém. p.59. — In America tropica (Peruvia). — Var. 1. Anacardii Nyl. Pyrenoc. p. 71 in notula; Ænum. Lich. p. 141; Tr. Ana- card Fée Monogr. Trypeth. p. 21, tab. XI, fig. 3, £'ssai Supplém. p. 57, tab. XL Trypeth. fig. 2. —=In America tropica (ins. Guadalupa). — Var. 2. papillosum Nyl. Pyrenoc. p.71, ubi definitur; 77. papillosum Ach. Syn. Lich. p. 104. — In Africa occidentali (Guinea). 3531. T. platystomum Mont. Syllog. p. 372, Nyl. Pyrenoc. p. 77, ubi definitur; Enum. Lich. p.141.= In Asia orientali(Singapoure, Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 61). — In America tropica (Guyana gallica). — F. leucostomum Nyl. in Ælora 1886, p. 178, Contrib. da F.d'’Afric. p. 14et Lich. ins. Guin. p. 39, ubi definitur. — In Africa occidentali (ins. San Thomé). 3538. T. virens Tuck. Syn. North Americ. Lich. Il, p.139, Nyl. Prodr. F1. N. Gran. ed. 2* p.128 in notula; 77. Sprengelii var. vürens Nyl. Pyrenoc. p.77, ubi definitur. = In Asia orientali (Malacca, Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 61). — In America tropica. 3939. T. scorites Tuck. Syn. North Americ. Lich. II, p. 139, Nyl. ?rodr. FT. N. Gran. ed. 2*p. 1928 in notula, ubi definitur. — Verrucaria scorites Tuck. = In America septentrio- nali (Misissipi). 3540. T. epileucodes Nyl. Lich. Jap. p. 116 et Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 16, ubi definitur. — In Oceania (ins. Labuan). b. — Sporæ murali-divisæ. 3541. T. meristoporum Mont. et v. d. Bosch Plant. Junghuhn. p. 487, Mont. Syllog. p.373, Nyl. Pyrenoc. p. 71, ubi definitur ; Znum. Lich. p. 141. — In Oceania (ins. Java). 3542. T. varium Nyl. Pyrenoc. p. 78, ubi definitur, Ænum. Lich. p. 141. — Meissneria varia Fée Essai supplém. p.66. — In America tropica (Brasilia). 3543. T. variatulum Nyl. in Flora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 8° série. — IV. 17 130 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 3544. Trypethelium variatum Nyl. Prodr. F1. N. Gran. Addit. p. 579, ubi definitur; in Flora 1854, p. 618. — In America tropica (Nova Granata). 3545. T. subvariatum Nyl. in #lora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3546. T. madreporiforme Eschw. Ÿ{. brasil. p.156, Nyl. Pyrenoc. p. 78, Prodr. FI. N. Gran. ed. 1° p. 80 et ed. 2° p. 198 et in Flora 1869, p. 73, ubi definitur; £num. Lich. p- 141 ; 77. marginatum Fée Monogr. Trypeth. p. 24, tab. XII, fig. 2, £'ssai supplém. p. 57. — In Asia meridionali (Bengalia). — In Africa tropica, — In America tropica.— In Oceania (Nova Zelandia, Lich. N. Zeland. 1888, p. 134). 3547. T. phæomelodes Nyl. in Flora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3548. T. infuscatulum Nyl. in /lora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3549. T. Cumingii Mont. Syllog. p. 373, Nyl. Pyrenoc. p. 78, ubi definitur; £num. Lich. p. 141. — In Oceania (ins. Philippinis). 3550. T. sphærioides Mont. Cryptog. huyan. p. 53 et Syllog. p. 373, Nyl. Pyrenoc. p- 79, ubi definitur; £num. Lich. p. 141. — In Africa tropica (Guinea). — In America tro- pica (Guyana). 3551. T. porosum Ach. Syn. Lich. p. 106, Nyl. Pyrenoc. p. 79, ubi definitur; £num. Lich. p. 141. = In America tropica (India occidentali). — F. endoleucum Nyl. Pyrenoc. p. 79, ubi definitur. — Pyrenula endoleuca Fée Essai p. 79 et Supplém. p. 83. — In America tropica (Antillis). 3552. T. connivens Nyl. Pyrenoc. p. 79, ubi definitur; Lich. exot. p. 233 et Enum. Lich. p. 141. = In America tropica (Peruvia).. 3553. T. subdiscretum Nyl. in Flora 1869, p. 73, ubi definitur. — In Asia meridionali (Bengalia). Gen. CXXVI. — PARATHELIUM Nyl. 3554. P. polysemum Nyl. in Pot. Zeit. 1862, p. 279, Prodr. FL. N. Gran. ed. 1° p. 78, tab. Il, fig. 53, et ed. 2* p. 126, ubi definitur. — In America tropica (Nova Granata). 3555. P. indutum Nyl. in Bot, Zeit. 1862, p. 279, Prodr. FI. N. Gran. ed. 1° p. 79, tab. IT, fig. 54, et ed. 2 p. 126, ubi definitur. — In America tropica (Nova Granata). 3556. P. emergescens Nyl. in Flora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). Gen. CXXVII. — TneLorsis Nyl. Pyrenoc. p. 65. 3557. T. inordinata Nyl. in Ælora 1867, p. 9, ubi definitur. — In Asia meridionali (Calcutta). 3558. T. melathelia Nyl. in Ælora 1864, p. 258, ubi definitur. — In Asia boreali (Ko- nyambay, Lich. Fr. Behr. p. 26). — Etiam in Kuropa (Scotia). Gen. CXX VII. — STRIGULA Fr. 3559. S. complanata Mont. Cuba p. 140, tab. VIT, fig. 3, et Syllog. p. 375, Nyl. Pyrenoc. p. 65 et Syn. Lich. N. Caled. p. 96, ubi definitur ; Ænum. Lich. p. 140. — Phyllocharis complanata Fée Essai p. XCIX, tab. IL, fig. 3. — Séigmatidium phyllochare Spreng. Stat. Veget. 4, p. 243. — Strigqula orbicularis Fr. Ecl. Fung. p. 549. — Phyllocharis elegans Fée Essai p. C, tab. IT, fig. 7. — Craspedon concretum Kée ibid. tab. IL, fig. 1. — Séigmati- dium elegans et St. concretum Spreng. loc. citat. — Verrucaria epiphylla Eschw. F1. brasil. p. 141. — Striqula Feei Mont. Cuba p. 135, tab. VII, fig. 1, et Syllog. p. 375. Specimina pyenidifera sistunt Sérèqulam melanophthalmam Mont. Syllog. p. 376, Melanophthalmum Antillarum Fée Essai p. G, tab. IL, fig. 2. = In omnibus fere regionibus tropicis. In Africa LICHENES EXOTICI. 131 occidentali (ins. San Thomé, Contrib. da FT. d'Afric. p.15 et Lich. ins. Guin. p. 39, et m hoc posteriore loco sporæ definiuntur). — In America tropica (ins. Cuba; Nova Granata, Prodr. FI. N. Gran. ed. 1° p. 78 et ed. 2% p. 195). — In Oceania (ins. Java; Nova Caledo- nia, Zæposit. Lich. N. Caled. p. 5% et Flora 1867, p. 196). — Var. 1. virescens Nyl. Pyrenoc. p. 67, ubi definitur ; £num. Lich. p. 140. — Cepha- leuros virescens Kunz. = Obvenit cum typo. In Oceania (Polynesia, Lich. exot. p. 247). — Var. 2. major Nyl. in Museo Berolinensi, Prodr. FI, N. Gran. Addit. p.578. — In America tropica (Caraccas). 3560. Strigula Nemathora Mont. Cuba p. 143 et Syllog. p. 375, Nyl. Pyrenoc. p. 67 et Syn. Lich. N. Caled. p. 96, ubi definitur; £num. Lich. p. 140. — Nemathora argentea Fée Essai p. XCIV, tab. IT, fig. 4 et 8. — In omnibus fere regionibus tropicis. In America tropica (ins. Cuba). — In Oceania (Nova Caledonia, Æzxposit. Lich. N. Caled. p. 54 et Flora 1867, p. 196). 3561. S. actinoplaca Nyl. Pyrenoc. p. 67 et Sert. Lichen. trop. Lab. el Singag. p. 27, ubi definitur; Znum. Lich. p. 140. — In Asia orientali (Singapoure, legit Almquist). — In America tropica (Mexico). 3562. S. nitidula Mont. Cuba p. 139, tab. VIT, fig. 2, et Syllog. p. 375, Nyl. Pyrenoc. p- 68, ubi definitur ; Znum. Lich. p.140. — In America tropica (ins. Cuba). 3563. S. hypothelia Nyl. Zich. Angol. p. 520, ubi definitur. — In Africa meridionali (Angola). 3564. S. Microthyrium Mont. Syllog. p. 376, Nyl. Lich. exot. p. 247. — In Oceania (ins. Taïti). 3565. S. ciliata Mont. Syllog. p. 376, Nyl. Lich. exot. p. 247 et Pyrenoc. p. 68 in no- tula. — In Oceania (ins. Taïli). Gen. CXXIX. — SarcoPyrEeniA Nyl. 3566. S. gibba Nyl. Pyrenoc. p. 69, ubi definitur; Æ£num. Lich. Supplém. p. 337. — Verrucaria gibba Nyl. Lich. algeriens. p. 315, Lich. Algér. p. 342 et Prodr. Lich. Gall. p- 185, ubi definitur; £'num. Lich. p.137. — In Africa boreali (Algeria). — Etiam in Europa. Gen. CXXX. — MELANOTHECA Fée. 35617. M. crotonicola Nyl. in Ælora 1865, p. 429. « Thallus macula alba subfarinosa indicatus ; sporæ 8°, 3-septatæ, longit. 0,016-22 et crass. 0,007-8 millim. » — In America tropica. 3568. M. brasiliensis Nyl. in Æ’lora 1865, p. 429. « Thallus macula albida vel pallida, nigricanti-limitata indicatus. Apothecia nigra maculari-difformia, latit. 1-2 millim. et non- nihil latiora, convexula; sporæ 8", incolores, 1-septatæ, longit. 0,024-36 et crass. 0,011- 43 millim. » — In America tropica (Brasilia, legit Martius). * 3569. M. arthoniella Nyl. Pyrenoc. p. 10, ubi definitur ; Znum. Lich. p. 140 et in Flora 1865, p. 429. — In America tropica (Brasilia). 3510. M. indica Nyl. in Flora 1867, p.9, ubi definitur. — In Asia meridionali (Calcutta). — Var. vaga Nyl. in #lora 1867, p. 9 in notula, ubi definitur. — In Asia meridionali (Calcutta). 3571. M. gelatinosa Nyl. Pyrenoc. p.10, ubi definitur ; in Æora 1865, p. 429 ; Enum. Lich. p. 140. — Arthonia gelatinosa Chev. FT. envir. Paris T, p. 543. = In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 93, ubi sporæ definiuntur). — In Oceania (Australia, Ælora 1886, p. 327, ubi sporæ adhuc definiuntur). — Etiam in Europa. 132 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. 3572. Melanotheca aciculifera Nyl. Pyrenoc. p. 71 et Prodr. FI. N. Gran. ed. 1° p.79 eted.2* p. 126, ubi definitur; £'num. Lich. etin Flora 1865 locis citat. = In America tropica (Guyana gallica ; Nova Granata). 3973. M. agminella Nyl. in Ælora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3514. M. opegraphella Nyl. Syn. Arthon. p. 88 in notula. — In America tropica (Guyana gallica, in Museo parisiensi). Gen. CXXXI. — ASTROTHELIUM Eschw. Sectio À. — SPORÆ TRISEPTATÆ VEL 4-LOCULARES. " 3575. À. pyrenastræum Nyl. Lich. Jap. p. 109, ubi definitur. — In America septen- trionali calida (Florida). 3576. A. conicum Eschw. F1. Brasil. p.163, Nyl. Pyrenoc. p. 80, ubi definitur; £num. Lich. p. 141. — Pyrenastrum cinnamomeum Eschw. — In America tropica meridionali. 3571. À. leucoconicum Nyl. in #/ora 1869, p. 126, ubi definitur. — In America tro- pica (Brasilia). 3578. À. sulphureum Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. 2 p. 129 et Addit. p. 580, ubi sporæ definiuntur. — Pyrenastrum sulphureum Eschw. FI. brasil, p.144.— Pyrenodium hypoxylon Fée £ssai Supplém. p. 69; Astrothelium hypoxylon Nyl. Pyrenoc. p. 80, ubi definitur; Enum. Lich. p. 141. Melius forsan ad 7rypethelia referatur, Prodr. Fl. N. Gran. ed. 2° p- 128. — In America tropica (NovaGranata, Prodr. FI. N. Gran. ed. 12 p. 80 ; Peruvia, Lich. exot. p. 233). — Var.1.macrocarponNyl. Pyrenoc. p.80, ubi definitur ; Znum. Lich. p, 140. — Porina macrocarpa Fée Essai p. 81. — Pyrenodium macrocarpon Fée Essai supplém. p. 69. = In America tropica meridionali. — Var.2. subpallescens Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 94, ubi definitur; in #lora 1867, p. 196. — In Oceania (Nova Caledonia). 3579. À. clandestinum Nyl. Pyrenoc. p. 81, ubi definitur; Ænum. Lich. p. AM. — Trypethelium clandestinum Fée Essai p. 68, tab. XVIII, fig. 4. — Pyrenodium clandestinum Fée Essai Supplém. p. 68. — In America tropica (Peruvia, Lich. exot. p. 233). 3580. À. leucothelium Nyl. Prodr. F1. N. Gran. Addit. p. 580, ubi definitur. = In America tropica (Nova Granata). 3581. “A. scorioides Nyl. Prodr. FI. N. Gran. Addit. p. 580, ubi definitur ; in Flora 1864, p. 618. — In America tropica (Nova Granata). 3982. À. cubanum Nyl. in #lora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3583, À. cryptothelium Nyl. in Flora 18176, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). Seclio B. — SPORÆ PLURILOCULARES, 6-18 SEPTATÆ VEL MURALI-DIVISÆ. 3584. À. ochrocleistum Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 135, ubi definitur. — In Oceania (Nova Zelandia). 3585. A. diplocarpum Nyl. Prodr. FI. N. Gran. ed. 2° p. 199 in notula et Addit. p. 580, ubi definitur ; in #lora 1864, p. 618. —In America tropica (Nova Granata). 3586. À. diplocarpoides Nyl. in Ælora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3587. À. subæquans Nyl. in Flora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3588. À. homothelium Nyl. in #/ora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). 3589. À. pyrenastroides Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 135 et fig. 4, ubi definitur,; LICHENES EXOTICI. 133 Lojka Lich. univ. n° 149. — Verrucaria pyrenastroides Knight. — In America tropica (ins. Cuba, Flora 1876, p. 365). — In Oceania (Nova Zelandia). 3590. Astrothelium sepultum Mont. Cryptog. quyan. p. 53 et Syllog. p.374, Nyl. Py- renoc. p. 81,ubi definitur; Znum. Lich. p. 141. — In America meridionali tropica (Guyana ; Peruvia, Lich. exot. p. 233). 3591. À. heterophorum Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 94, ubi definitur ; in Flora 1867, p- 196. — In Oceania (Nova Caledonia). 3592. A. interlatens Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 95, ubi definitur; À. entercalans Nyl.in Ælora 1867, p. 196 ; Trypethelium megaspermum Mont. Cryptog. quyan. p. 52 et Syllog. p. 371; Nyl. Exposit. Lich. N. Caled. p. 54, ubi sporæ definiuntur. Sporæ binæ in thecis et fuscæ. — In America tropica (Guyana). — In Oceania (Nova Caledonia). — Var. nudatum Nyl. Lich. N. Caled. p. 95, ubi definitur; À infercalans var. denuda- tum Nyl.in Ælora 1867, p. 196. — In Oceania (Nova Caledonia). Subtrib. II. — Peridiei. Gen. CXXXII. — Mycororum Flot, Sectio A. — SPORÆ 1-SEPTATÆ. 3593. M. marmoratum Schl., Nyl. in Flora 1878, p.344. — In Africa boreali (Algeria). — Etiam in Europa. 3594. M. sparsellum Nyl. Prodr. FI. N. Granat. Addit. p. 575, ubi definitur ; in Flora 1864, p. 618. — In America tropica (Nova Granata). 3595. M. melaspileoides Nyl. Syn. Lich. N.Caledon. p. 65, ubi definitur. — In Oceania (Nova Caledonia, Flora 1867, p. 196). 3596. M. perminimum Nyl. in #/ora 1878, p. 341, ubi definitur. — In Africa boreali (Algeria). 3597. M. abrothalloides Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 66, ubi definitur. = In Oceania (Nova Caledonia, /lora 1867, p. 196). 3598. M. melatylum Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 17, ubi definitur. = In Oceania (ins. Labuan). | 3599. M. melatyloides Nyl, Sert. Lichen. trop. Lab.et Singap. p. 17, ubi definitur. = In Oceania (ins. Labuan). Sectio B. — SPORÆ MURALI-DIVISÆ. 3600. M. pycnocarpum Nyl. in Ælora 1858, p. 381, et Prodr. F1. N. Gran. ed. 1° p.73 et ed. > p. 111, ubi definitur, et Addit. p. 516; Enum. Lich. p. 135. — In America tropica (Mexico ; Nova Granata). — Var. ohiense Nyl. Ænum. Lich. p. 135. — In America septentrionali (Ohio). 3601. M. consimillimum Nyl. in #lora 1886, p.177, Contrib. da Fl. d'Afric. p. 12 et Lich. ins. Guin. p. 34, ubi definitur ; thallus K + flavet. Affinis est illa species M. fusco- cinereo Nyl. apud Zwackh Lich. Heidelb. p. 719, Arthoniæ fusco-cinereæ Zwackh £xsicc. n° 311. — In Africa occidentali (ins. San Thomé). 3602. M. deflexulum Nyl. in #lora 1876, p. 365. — In America tropica (ins. Cuba). Gen. CXXXIIT. — Enpococcus Nyl. 3603. E. erraticus Nyl. Pyrenoc. p. 64, Lich. Scand. p. 283 et Prodr. FI. N. Gran. ed. 134 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 2° p. 12%, ubi definitur ; Znum. Lich. p. 140. — Tichotecium erralicum Mass. Symmict. Lich. nov. p. 94. — Microthelia ventosicola Mudd. Brit. Lich. p. 307, Æxsicce. n° 300. — In Asia boreali (Konyambay, Lich. Fr. Behr. p. 43). — In Africa boreali (Algeria, Quelq. Lich. Algér. p. 217, ubi sporæ definiuntur). — In America tropica (Nova Granata). — Eliam in Europa. 3604. Endococcus exocarpellus Nyl., Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 61, ubi defi- nitur. = In Asia orientali (Singapoure). 3605. E.Thalamita Nyl. apud Cromb. Challeng. Expedit. p. 217, ubi definitur. = In America septentrionali (ins. Bermudis). 3606. E. gemmifer Nyl. Pyrenoc. p. 64, ubi definitur et errore scribitur Z. gemmiferus Nyl. — Verrucaria gemmifera Tayl. — In Asia boreali (Konyambay, Lich. Fr. Behr. p. 25). — Etiam in Europa. Gen. CXXXIV. — LerrarIA Ach. I. — Thallus gonimicus. 3607. Dendriscocaulon bolacinum Nyl. apud Hue Addend. Lichenogr. europ. p. 315. — Collema atro-cœæruleum var. bolacinum Schær. Ænum. Lich. europ. p. 249. — Supra thallum Aicasoliæ glomuliferæ de Notar., Nyl. Syn. I, p. 369. 3608. Dendriscocaulon filicinellum Nyl. Lich. N. Zeland. 1888, p. 10, ubi defi- nitur. — Leptogqium dendroides Nyl. in Flora 1867, p. 438, ubi definitur. = In Oceania (Nova Zelandia). IL. — J'hallus gonidicus. 3609. Leprocaulon nanum Nyl. apud Hue Addend. Lichenogr. europ. p. 316. — Stereocaulon nanum Ach., Nyl. Syn. I, p. 253, ubi definitur; Znum. Lich. p. 97 ; thallus K flavet, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 43 in notula. = In Africa boreali (Algeria, Lich. Algér. p. 308 et Prodr. Lich. Gall. p. 42). — Etiam in Europa. 3610. Leprocaulon tenellum Nyl. Lich. Jap. p. 19. — Siereocaulon tenellum Tuck. in Bot. Wilkes Voyag. p. 193, tab. IL, fig. 2; thallus K vix lutescit. = In Asia orientali (Japonia). — In America tropica (Peruvia). 3611. Leprocaulon Arbuscula Nyl. Lich. ins. Guin. p. 8. — Stereocaulon Arbuscula Nvl. Syn. I, p. 253, ubi definitur; Ænum. Lich. p. 97. — In Asia (mont. Himalaya). — In Africa occidentali (ins. San Thomé). — In America tropica (ins. Cuba, Prodr. FI, N\. Gran.ed: 2: p.12). His tribus speciebus addendum est ZLeprocaulon albicans Nyl., Stereocaulon albicans Th. Fr. pr. p., Nyl. supra n° 268. Huic speciei immerito jungitur a cl. Tuckerman Syn. North Americ. Lich. 1, p. 234 Stereocaulon tenellum Tuck., quod a cel. Nylander propria habetur species, supra n° 3610. 3612. Leproloma lanuginosum Nyl. in Ælora 1883, p. 107. — ZLichen lanuginosus Ach. Prodr, Lich. p. 465. — Amphiloma lanuginosum Nyl. Syn. Li, p. 52, ubi definitur et datur ut mere europæum. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 88). — In Africa orientali (ins. Socotora, Slizenb. ZLichen. African. p. 87, ubi indicatur etiam uterque sequens locus. — In America tropica (Brasilia). — In Occania (Nova Zelandia). — Etiam in Europa. 3613. Lepraria flava Ach. ZLichenogr. univ. p. 663; Nyl. Lich. Jap. p. 116. = In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lich. trop. Lab, et Singap. p. 17). — Etiam in Europa. 3614. Lepraria latebrarum Ach. Lichenogr. univ. p. 665; Nyl. Lich. N. Zeland, 1888, p. 136. — In Oceania (Nova Zelandia). — Etiam in Europa. LICHENES EXOTICI. 135 3615. Lepraria farinosa Ach. Lichenogr. univ. p. 666; Nyl. Lich. Jap. p. 93. — In Asia orientali (Japonia). — Etiam in Europa. In notula p. 21 Serti Lichen. trop. Lab. et Singap. poscit cel. Nvlander Chroolepa (Trentepohlias), quæ Lichenes imperfectos et plerumque normaliter steriles complectuntur, sub tribu Cænogonieorum, tanquam appendicem, poni. Inter hos Lichenes numerantur Leprariæ, quæ thallos late diffusos sæpius offerunt et raro genere determinari valent. APPENDIX Quum pars quædam hujus operis jam prelo mandata fuisset, cel. Nylander, mense octobri, anno 1890, Lichenes Japoniæ in lucem edidit. Hi Lichenes a cl. Almquist tum in Japonia, tum in ins. Labuan, illustrissimo Nordenskiæld expeditionem navis « Vega » ducente, anno 1879 collecti fuerunt. Insuper illis plures species americanas adjunxit prof. Nylander. Omnes hi Lichenes, incipiente genere Physcia n° 925 in nostro opere loco suo positi fuerunt. Convenit aulem species quæ ad genera genus Physciam præcedentia attinent, nunc enumerare.Quapropter speciebus novis seunondum indicatis novus dabitur numerus ; reliquas vero jam nobis cognitas cum suo numero proprio resumemus. Insuper, mense Augusto anni 1891, novum edidit opus cel. Nylander, scilicet Sertum Lichenææ tropicæ e Labuan et Singapore, complectens Lichenes a cl. Almquist in eodem itinere ad oram Asiæ orientalis collectos et etiam nonnullas species, ex insula Labuan, quæ in priore libello omissæ fuerunt. Pyrenocær'pei hujus posterioris operis tantum in nostro opere enumerati sunt; quapropter reliquas species simul ac Lichenes japonicos infra reperire est. I. — Species novæ vel quæ in hoc opere nondum enumeratæ fuerunt. 3616. Sirosiphon pulvinatus de Bréb. in Kuetzing Spec. Algar. p. 317, Nyl. Lich. Jap. p.13. — In Asia orientali (Japonia). — Etiam in Europa. 3617. Pyrenopsis conturbatula Nyl. Zich. Jap. p. 13, ubi definitur. — In Asia orientali (Japonia). 3618. Pyrenopsis compacta Willey, Nyl. Lich. Jap. p. 102, ubi definitur. = In America septentrionali (New Bedford). 3619. Pyrenopsis phæococca Tuck. Syn. North Americ. Lich. I, p. 136, Nyl. Lich. Jap. p. 103, ubi pro parte definitur. — In America septentrionali (Carolina septentrionali, Massachusetts et New Hampshire). 3620. Pyrenopsis subareolata Nyl. in Ælora 1884, p. 391, ubi definitur; Zich. Scand. p. 27. — In America septentrionali (montibus Albis). — Etiam in Europa (Gallia). 3621. Pyrenopsis hæmaleella Nyl. in /#/ora 1882, p. 455, ubi definitur; £uopsis hæmaleella Nyl. in Flora 1877, p. 457, ubi definitur. — In America septentrionali (New Bedford, Lich. Jap. p. 103, ubi sporæ defniunlur). — In Europa boreali (Fin- landia). 3622. Pyrenopsis subfuliginea Nyl. in Flora 1867, p. 369, ubi definitur. = In America seplentrionali (New Bedford, Lich.Jap. p. 103, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa boreali (Finlandia). 3623. Amphopsis phylliscina Nyl. Zich. Jap. p. 101, ubi definitur. — Pyrenopsis phylliscina Tuck. Syn. North Americ. Lich. T, p. 137. Hæc species ob spermogonia sper- LICHENES EXOTICI. 137 mogoniis Phylliscè similia, a genere Pyrenopsi removelur et novo subgeneri adscri- bitur. — In America septentrionali (New Bedford). 3624. Cladopsis melambola Nyl. Zach. Jap. p. 102, ubi definitur. — Pyrenopsis melambola Tuck. Syn. North Americ. Lich. T, p. 136. — In America septentrionali (Alabama). 3625. Magmopsis pertenella Nyl. in Ælora 1875, p. 102, ubi definitur. — In America septentrionali (New Bedford, Lich. Jap. p. 102, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa (Fennia). 3626. Collemopsis furfurella Nyl. in Ælora 1881, p. 453. — Collema furfurellum Nyl. Lich. Scand. p. 98, ubi definitur. — Pyrenopsis corallina Willey, Tuck. Syn. North Americ. Lich. 1, p. 137, Nyl. Lich. Jap. p. 102. = In America septentrionali (Massa- chusetts). — Etiam in Europa boreali. 3627. Collemopsis intervagans Nyl. Lich. Jap. p. 15, ubi definitur. — In Asia orientali (Japonia). 3628. Leptogidium Moorei Nyl. Lich. Jap. p. 14, ubi definitur. — ZLeptogium Moorei Hepp. Notandum est hoc genus a cel. Nylander hic in ZLichineis et non in Collemeis collocari. = In Asia orientali (Japonia). — Etiam in Europa (Anglia). 3629. Leptogium pichneoïides Nyl. Lich. Jap. p. 15, ubi definitur. — In Asia orientali (Japonia). 3630. Leptogium microscopicum Nyl. Syn. I, p. 122, tab. IV, fig. 17, et Prodr. Lich. Gall. p.26, ubi definitur; £Znum. Lich. p. 90 et Supplém. p. 333. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 15). — Etiam in Europa. 3631. Stenocyhbe euspora Nyl. Lich. Jap. p. 16, ubi sporæ definiuntur. — Calicium eusporum Nyl. Syn. I, p. 160, tab. V, fig. 28, et Prodr. Lich. Gall. p. 32; Enum. Lich. p. 92; Lich. montdorienses exsice. n° 2; Zwackh Æ£æxsice. n° 71. — In Asia orientali (Japonia). — Etiam in Europa. 3632. Coniocybe gracilenta Ach., Nyl. Syn. I, p. 162, tab. V, fig. 43, ubi definitur; Enum. Lich. p. 93. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 16, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa. 3633. Trachylia Sancti-Jacobi Nyl. Lich. Jap. p. 103, ubi definitur. — Acolium Sancti-Jacobi Tuck. Syn. North Americ. Lich. p. W, p. 137. — In America septentrionali (California). 3634. Stereocaulon curtatum (Lecanocaulon) Nyl. Lich. Jap. p. 18, ubi definitur; thalli fibrillæ K —, vel obsolete flavescunt. — In Asia orientali (Japonia). 3635. Stereocaulon exutum Nyl. Lich. Jap. p. 18, ubi definitur; thalli axis K —. Comparari potest cum S£. coralloide Fr. — In Asia orientali (Japonia). 3636. Pilophoron clavatum Nyl. Lich. Jap. p. 17, ubi definitur, thallus K flavescit. — In Asia orientali (Japonia). 3631. Cladonia corymbosa Nyl. Lich. Jap. p. 20; C{. furcala var. corymbosa Nyl. Syn. I, p. 207, et Lich. Scand. p. 56, ubi definitur. — Cenomyce allotropa var. corymbosa Ach. Lichenogr. univ. p. 556. — In Asia orientali (Japonia). — Etiam in Europa. — F. foliosa Nyl. Lich. Jap. p. 20; CT. racemosa f. foliosa Delise apud Duby Bot. Gall. I, p.623; Norrlin Æerb. Lich. Fenn. n° 435. — In Asia orientali (Japonia). — Eliam in Europa. 3638. Schizopelte californica Th. Fr. in Flora 1875, p. 143, Tuck. Syn. North Americ. Lich. X, p. 46, Nyl. Lich. Jap. p. 103, ubi definitur ; thallus CaCl extus intusque bene erythrinose reagit. Hoc genus ad tribum Aoccelleorum vel ad propriam accedentem pertinet, atque Disposilioni systematicæ Lichenum in principio hujus operis positæ addendum est. — In America septentrionali (California). NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3€ série. — IV. 18 138 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 3639. Alectoria prolixa Ach., Nyl. Lich. Jap. p. 23 ; A. jubata var. prolixa Nyl. Syn. I, p. 280, et Lich. Scand. p. 72, ubi definitur; in Ælora 1869, p. 444 datur thalli reactio erronea; vera reperitur apud Hue Addend. Lichenogr. europ. p. 38, thallus K =, Ca- Cl =. = In Asia orientali (Japonia). — Eliam in Europa. 3640. Alectoria lactinea Nyl. Zich, Jap. p. 23, ubi definitur; comparari potest cum A: prolixa Ach., sed thallus K (CaCl) fugaciter extus violacee reagit, et intus —. = In Asia orientali (Japonia). 3641. Alectoria oregana Tuck., Nyl. Lich. Jap. p. 104, ubi definitur; thallus basi pallescens K (CaC]l) —. Subsimilis est A. prolixæ f. lanestri Ach. = In America septen- trionali (Oregon). 3642. Parmelia præsorediosa Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 18, ubi definitur. Pertinet ad stirpem ?. perlatæ Ach. et est sat similis P. perlalæ var. sorediatæ Schær. = In Asia orientali (Singapoure). 3643. Parmelia irrugans Nyl. Lich. Jap. p. 26, ubi definitur; thallus K +. Pertinet ad stirpem ?. perlatæ Ach. — In Asia orientali (Japonia). 3644 Parmelia suberinita Nyl. Lich. Jap. p. 26, ubi definitur. Pertinet ad stirpem P. perlatæ Ach , sed ejus speciei medulla thalli 2. crinitæ Ach., supra n° 600, similis, K e flavo ferrugineo-sanguinea evadit. = In Asia orientali (Japonia). 3645. Parmelia leucotyliza Nyl. Lich. Jap. p. 26, ubi definitur; thallus K # et medulla CaCl —. E stirpe P. tiliaceæ Ach. est hæc species. — In Asia orientali (Japonia). 3646. Parmelia lævior Nyl. Lich. Jap. p. 28, ubi definitur; thallus K flavet et medulla e flavo rubescit. Stirpi P. saxatilis Ach. adscribenda est hæc species. — In Asia orientali (Japonia). 3647. Parmelia adaugescens Nyl. Zich. Jap. p. 28, ubi definitur ; affinis P. sulcatæ Tayl. supra n° 595, quacum reactione convenit. — In Asia orientali (Japonia). 3648. Parmelia marmariza Nyl. Lich. Jap. p. 28, ubi definitur; hæc species ad stirpem P: saxatilis Ach. etiam adtinet, sed forsan affinior est ?. sinuosæ Ach., supra n° 667; thallus exlus K —, intus autem e flavo rubricosus evadit. — In Asia orientali (Japonia). 3649. Parmelia exasperata de Notar., Nyl. Syn. I, p. 396 et Lich. Scand. p. 102, ubi definitur; /. olivacea var. exasperata Nyl. Enum. Lich. p. 105. — Collema exasperatum Ach. Lichenogr. univ. p. 645. — Parmelia olivacea var. aspidota Ach. Lichenogr. univ. p. 403; medulla thalli CaCl —.— In Asia orientali (Japonia). — Etiam in Europa. 3650. Parmelia japonica Tuck. Syn. North Americ. Lich. Il, p. 142, Nyl. Lich. Jap. p. 30. Subgeneri Anziæ Parmeliarum, supra n° 753-759, annumeranda est bæc species. = In Asia orientali (Japonia). 3601. Sticta insinuans Nyl. Zich. Jap. p. 30, ubi definitur, tballus K — et medulla K (CaCl) sat erythrinose reagit. Hæc species prope S. damæcormem var. sinuosam Nyl. supra n° 817, locanda est. — In Asia orientali (Japonia). 3652. Ricasolia adscripturiens Nyl. Lich. Jap. p. 31, ubi definitur; vix nisi sub- species À. adscriptæ Ny1., supra n° 876 ; medulla K (CaCl) erythrinose reagit. = In Asia orientali (Japonia). 3653. Nephromium murayamanum Nyl. Lich. Jap. p. 32, ubi definitur ; medulla K —.—= In Asia orientali (Japonia). 3604. Physcia dissidens Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 36, ubi definitur. Ea species, cujus thallus K —, generis novi vel subgeneris, fere Lecanora videtur; accedit quodam modo ad Ph. balaninam Nyl., supra n° 989. — In America septentrionali calida (Mexico). LICHENES EXOTICI. 139 3655. Coccocarpia imbricascens Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p.19 in notula, ubi definitur. Species comparanda cum C. blepharophora Nyl., Lecidea blepha- rophora Nyl., supra n° 1901 ; thallus K vage ferruginascit. — In herbario Schimper sine loco indicato. 3656. Lecanora castaniza Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 36, ubi defi- nitur ; thallus K —. Pertinet hæc species ad stirpem Z. circinalæ Ach., supra n° 1343. — In America septentrionali calida (Mexico). 3657. Lecanora japonica Tuck., Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 35, uhi definitur ; thallus K flavet et epithecium CaCl —. Accedit ad Z. albellam Ach., supra n° 1380, vel ad Z. cæsio-rubellam Ach.,n° 1382. — In Asia orientali (Japonia). 3658. Lecanora thelococcoides Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 37, ubi definitur. Hæc species videtur ad stirpem Z. cervinæ Ach., supra n° 1513, perlinere. — In America septentrionali (California). 3659. Ascidium interponendum Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 20, ubi definitur ; subsimile est A. domingensi Fée, supra n° 1795, et illius thallus K lutescit atque iodo sporæ colorantur. — In Asia orientali (Singapoure). 3660. Crocynia pyxinoides Nvl. Sert, Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 37, ubi deti- nitur. (Genus Crocynia ponitur supra n° 1848). — In America tropica (ins. Cuba, legit Wright n° 145). 3661. Lecidea subbreviuseula Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 40, ubi definitur : comparanda est hæc species cum ZL. Fendleri Tuck., supra n° 1885. — In Ame- rica tropica (ins. Cuba, legit Wright n° 120). 3662. Lecidea glabriuscula Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 40, ubi defi- nitur. Subsimilis dicitur L. breviusculæ Nyl., supra n° 1887. — In America tropica (ins. Cuba, legit Wright, ni 726 et 727). 3663. Lecidea pelomela Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 38, ubi defi- nitur. Subsimilis est sequenti speciei. — In America tropica (ins. Cuba, legit Wright, n° 138 a). 3664. Lecidea subfurfurosa Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 38, ubi definitur. Species illa accedit ad stirpem ZL. hypomelæ Nyl., supra n° 1919. — In America tropica (ins. Cuba, legit Wright, n° 198 ; Nyl. in litt.). 3665. Lecidea gyalizella Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 38, ubi definitur. Ea species videtur e stirpe Biatoræ adpressæ Hepp flecht. ewrop. n° 271. — In America septentrionali (New Bedford). 3666. Lecidea lividula Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 39, ubi definitur. Hujus speciei thallus K flavet. — In America septentrionali calida (Florida). 3667. Lecidea insimilans Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 38, ubi definitur. Pertinet hæc species ad stirpem Z. sphæroidis Sommerf. supra n° 2050. — In America tropica (ins. Cuba. legit Wright, n° 139). 3668. Lecidea rubello-virens Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 21, ubi definitur. Ea species est ex eadem stirpe ac præcedens et facie fere L. comparandæ Nyl., supra n° 2081. — In Asia orientali (Singapoure). 3669. Lecidea subspadicea Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 39, ubi defi- nitur. Non est forsan nisi subspecies L. spadiceæ Tuck., supra n° 213%. — In America septentrionali calida (Florida). 3670. Lecidea subpar Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 39, ubi definitur. Affinis est hæc species L. hostheleoidi Nyl., supra n° 2161. — In America tropica (ins. Cuba, legit Wright, n° 114). 3671. Lecidea incomptula Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p.40, ubi definitur. 140 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. Est eliam hæc species e stirpe Z. luteolæ Ach. =. In America tropica (ins. Cuba, legit Wright, n° 113). 3672. Lecidea combinans Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 40, ubi definitur. Prope L. ischnosporam Nyl., supra n° 2184; locum tenet hæc species. — In America tropica (ins. Cuba legit Wright, n° 101.) 3673. Lecidea leptoclinella Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 8, ubi definitur. Ea species L. nigritulæ Nyl. supra n° 2423, subsimilis dicitur. = In Oceania (ins. Labuan). 3674. Lecidea destituta Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. Ai, ubi definitur. Hæc species est incertæ sedis et forsan ad vicinitatem Lecanoræ conioptæ Nyl. in Flora 1873, p. 19 pertinet. — In America septentrionali (Illinois). 3675. Lecidea cohibilis Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 42, ubi definitur. Est subspecies ZL. atro-albæ Flot., supra n° 2506, a qua thallo K flavente et non dein rubescente differl; medulla iodo tingitur. — In America septentrionali (dilione Tennessee). 3676. Lecidea interposita Nyl. in litt.; L. interponens Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p.42, ubi definitur. Posterius illud nomen mutandum erat utpote jam adhibitum, ut videre est supra n° 2158. Illius thallus K — et medulla I —, atque est subspecies Z£. lavatæ Ach., supra n° 2516. — In America septentrionali f(ditione Tennessee). 3617. Graphis singaporina Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 23, ubi definitur. Facie Gr. dissidentis Nyl. supra n° 2593, tangit hæc species Gr. assimilem Nyl. et Gr. anguilliformen Tayl. n° 2572 et 2610 — In Asia orientali (Singapoure). 3678. Lecanactis flexans Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 23, ubi defi- nilur. Subsimilis dicitur hæc species Graphidi flexuosæ Nyl., supra n° 2639, atque obser- vandum est hæc vox generica Lecanactis a celeb. Nylander recentius derelicta, ut videre est supra n° 2802, ab illo nunc frequenter usurpari ad designandas species quæ pro maxima parte ad stirpem Graphidis dendriticæ Ach. attinent. = In Asia orientali (Singapoure). 3679. Graphis leucolyta Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 24 in notula, ubi definitur. In stirpe Gr. frumentariæ Fée locum habet hæc species. — In Asia orientali (Malacea). L 3680. Graphis syngraphizans Wright Cub. in herbario. Sic descripta fuit hæc species à celeb. Nylander in litt. «(Thallus macula glaucescenti-pallida indicatus. Apothecia erumpentia, lanceolata, albo-suffusa, latit. 0,5 millim., forma thallodeo-marginata ; sporæ fuscæ, ellipsoideæ, oblongæ, 6-loculares, longit. 0,018-22 et crassit. 0,010 millim., iodo obscuriores. In stirpe Gr. frumentariæ Fée locum tenet hæc species sed ejus nomea non bonum, nam in hac nihil syngraphizans inest. » — In Asia orientali (insulis Bonin, nune Ogassawara nunecupalis, ubi est corticola et lecta fuit a Wright in U. S. North. Pacific ÆExpedition under Ringgold and Rodgers in annis 1853-1856). Hoc specimen in Museo parisiensi asservalur æque ac alia Graphis ex eodem loco et eadem expeditione proveniens cui à Wright nomen Graphis leurocordia impositum fuit. In hac posteriore Graphidem Chrysenteron Mont., supra n° 2703, sporis destitutam, celeb. Nylander recognovit. 3681. Arthonia aleurella Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 22, ubi definitur. Affinis est illa nova species À. aleurocarpæ Nyl., supra n° 3019. Iodo thallus et apothecia colorantur, atque sporæ fulvo-rubescunt. — In Asia orientali (Singapoure). 3682. Arthonia subbessalis Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 23, ubi definitur. Affinis dicitur ea nova species À. fusco-nigræ Nyl. et A. bessali Nyÿl., supra n° 3087 et 3088. — In Asia orientali (Singapoure). 3683. Glyphis duodenaria Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. %5, ubi def- LICHENES EXOTICI. 14 nilur. Subsimilis est illa nova species Gl. heteroclitæ Mont. vel G{. lubuanæ Nyl., supra nis 3142 et 3143. — In Asia orientali (Singapoure). 3684. Verrucaria fusco-nigricans Nyl.inherb. Tuck.«Thallus fuscus vel cervino-brun- neus, vel brunneo-nigrescens, sal tenuis, areolato-rimosus, subopacus vel opacus, areolis con- tiguis plauis (lateribus contiguis ethypothallo nigris). Apothecia immersa, pallida, pyrenio integre fuscescente vel pallido, extus parum vel vix visibilia ; sporæ ellipsoideæ, longit. 0,041-13 et crassit. 0,006-7 millim.; gelatina hymenialis iodo vinose rubescente. Thallus crassitie fere 0,25 millim. ; facie sicut in VW. fuscula Nyl. vel in V. viridula Ach. ». Est e stirpe V. nigrescentis Pers. — In America septentrionali calida (Texas, supra saxa calcarea, Tuckerman). 3685. Verrucaria micula Flot. in litt. ad Koerb., Nyl. apud Hue Addend. Lichenogr. europ. p. 300, ubi sporæ definiuntur, et apud Norrlin Tavastl. Flora p. 195, ubi datur ut subspecies V. cinerellæ Flot., supra n° 3500; Stizenb. Zichen. African. p. 229. — In Africa orientali (ins. Socotora et Madagascar). — In America septentrionali et meridionali (Paraguay). — Eliam in Europa. 3686. V. stenobola Nyl. in litt. « Thallus macula albida indicatus ; apothecia pyrenio dimidiatim nigro (lat. circit. 0,3 millim.) ; sporæ 8°®* tenuiter aciculares (obsolete vel vix septatulæ, subrectæ, longit. 0,070 et crass. 0,002 millim. ; gelatina hymenialis iodo non tingitur vel lutescit. Accedit hæc species ad V. raphidiophoram Ny1., supra n° 3505 », = ]n Asia meridionali (ins. Ceylonia, ubi est corticola et lecta fuit a cl. Almquist). 3687. In secundæ Familiæ sexta Tribu cui nomen Collemei, tria addenda sunt genera quæ singula singulam mere europæam speciem continent, scilicet: 1° SynazissiNA Nyl.in Flora 1883, p. 134, et apud Hue Addend. Lichenogr. europ. p. 13, cujus unica species, S. intri- cata Nyl., Omphalaria intricata Arnold Exsiccat. 399, in Tyrolia atque in Scotia collecta fuit. 2° Synauissopsis Nyl. apud Stizenb. Lich. helvet. p. 5, genus cui attribuitur S. picina Nyl., Collema picinum Nyl. Prodr. Lich. Gall. p. 19 et Syn. I, p. 96, ubi definitur, et Enum. Lich. p. 88, C. pulposum var. diffracto-areolatum Schær. Enum. Lich. europ. p. 259, in Gallia (Neustria) et in Helvetia vigens. Illius thallus tenuis, effusus; apothecia endo- carpea et thecæ polysporæ. 3° Psoropsis Nyl. apud Zwackh Zich. Heidelb. p. 4. Hoc genus a Collemopsi differt sicut Cladopsis a Pyrenopsi, id est thallo papilloso (Nyl. in. litt.); ejus unica species, Ps. Rehmica Nyl., Psorotichia Rehmica Mass. Miscell. p. 23, Zw. Lich exsice. n° 250 et Anzi Lich. rarior. Veneti n° 16, ex Italia et Germania provenit. Proinde que gener a in hac sexta Tribu sequenti ordine disponenda sunt : Synalissina Nyl. Synalissa Dur. Synalissopsis Nyl. Paulia Fée. Omphalaria Dur. et Mont. Collemopsis Nyl. Psoropsis Nyl. Anema Nyl., etc. Inde patet quinque genera Dispositionti systematicæ Lichenum qu in initio hujus operis ponitur addenda esse, nempe tria modo enumerata et insuper Crocyniam Ach. et Schizo- pelten Th. Fr., supra n° 1848 et 3638. Insuper secundæ tribui addendum est novum sub- genus Amphopsis de quo agitur supra n° 3623. II. — Species in hoc opere jam indicatæ. 1. Sirosiphon saxicola Næg. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 13). 142 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 20°. Pyrenopsis polycocca Nvl. Lich. Jap. p. 102, ubi sporæ definiuntur ; hæec species in Nyl. Syn. I, p. 96 et in Hue Zich. exot. supra n° 20, sub genere Synalissa ponitur. 4%, Collema flaccidum Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 14); et meri- dionali (Singapoure, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 17). 45. Collema subconveniens Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 14, uhi sporæ definiuntur). 61* Collema nigrescens Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 14, ubi sporæ definiuntur). 71°. Collema thysanæum Ach.— In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 14, ubi sporæ definiuntur). 80. Dichodium byrsinum Nyl. — In Asia meridionali (Singapoure, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p.18). 100. Leptogium tremelloides Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 15). — Var. pichneum Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 15). 101. Leptogium azureum Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 15). 115. Leptogium Menziesii Mont. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 14). 130. Leptogium muscicola Fr. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 15, ubi sporæ definiuntur). 149%. Calicium hyperelloides Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 16). — Eliam in Europa (Lusitania). 155”. Calicium ceurtum Borr. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 16). 179. Sphærophoron compressum Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. D'A6) 182. Sphærophoron coralloides forma meiophorum Nyl. Zich. Jap. p. 16, uhi definitur ; thalli medulla I —. — In Asia orientali (Japonia). 188. Bæomyces rufus var. subsquamulosus Nyl. in #lora 1877, p. 463; thallus K flavescit. = In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 16). — Etiam in Europa. 195. Bæomyces roseus Pers. — In Asia orientali (Japonia, Zich. Jap. p. 16). 232. Stereocaulon ramulosum Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 17). 231. Stereocaulon proximum Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 18). 240?. Stereocaulon mixtum Nyl. — In Asia oriental! (Japonia, Lich. Jap. p. 18). 248. Stereocaulon paschale Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 18). 256. Stereocaulon japonicum Th. Fr., Nyl. Lich. Jap. p. 18. — In Asia orientali (Japonia). — In Oceania (ins. Java). 251. Stereocaulon denudatum Floerke. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p'A18); 278. Cladonia pyxidata f. 2. chlorophæa Floerke. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 19). 281”. Cladonia decorticata Floerke. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p-620) 284°. Cladonia cariosa Floerke. — [n Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 20). 285?. Cladonia subcariosa Nyl. Lich. Jap. p. 20; thallus et præsertim podetia K e flavo ferrugmaseunt. Vix differt C{. glaucina Coem., quæ est sterilis. == In Asia orientali (Japonia). 287. Cladonia fimbriata Hoffm. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 19). 288. Cladonia ochrochlora Floerke. = In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p'#19)° — F. 2. ceratodes Floerke, Coemans Cladon. Belg. n° 81. — In Asia orientali (Japo- nia, Lich. Jap. p. 19). LICHENES EXOTICI. 143 — F.3. phyllostrata Floerke, Zwackh Æxsiccat. n° 563. — In eadem regione, Lich. Jap. p. 19). 293+. Cladonia gracilis f. 6. phyllophora Floerke; C7. anthocephala Del. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 19). 294, Cladonia chordalis Floerke; Cl. gracilis f. chordalis Nyl. Lich. Jap. p. 19; ihallus K —. — In Asia orientali (Japonia). 295?, Cladonia verticillata Hoffm., Nyl. Lich. Jap. p. 20; thallus K flavet. Est subspecies C{. cervicornis Schær., et ab ea distinguenda est Cl. subverticillata Nyl. adtinens ad analogam C/. soboliferam Nyl,, cujus thallus K —. — In Asia orientali (Japonia). 296. Cladonia sobolifera Nyl.— In Asia oriental (Japonia, Lich. Jap. p. 20). 299 Cladonia cervicornis Schær. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 19). 315. Cladonia furcata Hoffm — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 20). 316?. Cladonia racemosa Hoffm — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 20). 317. Cladonia adspersa Floerke. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 20). 322. Cladonia scabriuscula Del. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 20. 329%. Cladonia squamosa Hoffm. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 21. 331. Cladonia delicata Floerke. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 21). 340?. Cladonia cornucopioides Fr. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 21). 390?. Cladonia bacillaris Nyl. — In Asia boreali (Japonia, Lich. Jap. p. 21). 363. Cladina rangiferina Nyl. Zich. Jap. p. 21 ; thallus K flavet. — In Asia orientali (Japonia). — F.3. dealbata Coem. Cladon. Belg. n° 138, Nyl. Lich. Jap. p. 21. — In Asia orientali (Japonia). — Etiam in Europa. 364. Cladina sylvatica Nyl. Lich. Jap. p. 21: thallus K —. — In Asia orientali (Japonia). — F. subspumosa Coem. Cladon Belg. n° 163, Nyl. Lich. Jap. p. 2: thallus K —. — In Asia orientali (Japonia). — Etiam in Europa. 319. Cladina uncialis Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 21). 382. Cladia aggregata Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 21). 426?. Ramalina calicaris Fr. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 21). 427. Ramalina farinacea Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 22). 4158. Ramalina cuspidata Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 22). 461. Ramalina pusilla Le Prév. — Etiam in Europa (in Gallia occidentali et meri- dionali ; in ins. Noirmoutier lecta fuit a doctore Viaud-Grandmarais et edita in exsiccatis Arnold n° 968 et Zwackh n° 1140). 462. Ramalina geniculata Hook. et Tayl. = In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. D:22): 492. Usnea florida Hoffm. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 22 501. Usnea articulata Hoffm. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 22). 503. Usnea ceratina — Ach. In Asia orientali (Japonia Lich. Jap. p. 22). Habitatio in Chili referenda est ad priorem varielatem hujus speciei. 506”. Usnea longissima Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 22). 513. Neuropogon melaxanthus Nyl. f. sulphurea Nyl. scribi debet f. sulphu- reus Nyl. 518. Cetraria crispa var. 2. subtubulosa Fr. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p.22): 531”. Platysma collatum Nyl. Lich. Jap. p. 23, ubi denuo definitur. — In Asia orien- tali Japonia). 144 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. 539. Platysma nephromoides Nyl. Lich. Jap. p. 24; Hook. et Thoms. /nd. ortent 2020; thallus K —, K (CaCl) +. — In Asia orientali (Japonia). 542. Platysma ciliare Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 24). 544. Platysma sæpincola Hoffm. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 25 545. Platysma ulophyllum Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 95). 547. Platysma Fahlunense forma insolitum Nyl. Lich. Jap. p. 25, ubi definitur ; medulla thalli K —. — In Asia orientali (Japonia). 551». Platysma Pinastri Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 23). 553? Platysma glaucum Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 24). 554. Platysma lacunosum Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 24}. 555. Platysma septentrionale Nyl. Lich. Jap. p. 24; thallus K flavet, medulla K (CaCl) leviter vel vix erythrinose reagit. — In Asia orientali (Japonia). 563?. Alectoria chalybeiformis Ach.; À. prolixa var. chalybeiformis Nyl. Lich. Jap. p- 23. — In Asia orientali (Japonia). 565». Alectoria sulcata Nyl. = In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 23, ubi sporæ definiuntur). 566?, Alectoria ochroleuca Nvyl. Lich. Jap. p. 23; thallus K (CaCl) extus flavet. — In Asia orientali (Japonia). 567. Alectoria osteina Nyl. Lich. Jap. p. 22; thalli medulla K (CaCl) erythrinose teagit. — In Asia orientali (Japonia). 568. Alectoria sarmentosa Ach., Nyl. Lich. Jap. p. 23; medulla K (Cal) leviter erythrinose reagit. — In Asia orientali (Japonia). 571. Evernia thamnodes Flot.; Æ. mesomorpha Nyl. Lich. Jap. p. 25; thallus K (CaC) extus nonnihil flavescit. — In Asia orientali (Japonia). 580?. Parmelia caperata Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 25). 591. Parmelia subaurulenta Nyl. Lich. Jap.'p. 25, ubi sporæ definiuntur., = In Asia orientali (Japonia et China). 595. Parmelia perforata Ach.=— In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p.26) et meri- dionali (Singapoure, Sert. Lichen. trop Lab.et Singap. p. 18). 599. Parmelia perlata Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 26). — Var.4. platysmoides Nyl.in herb. Soc.bot. France et apud Stizenb. Lich. ins. Maderæ p. 7. et Lichen African. p. 53. — In Africa occidentali (ins. Teneriffa et Madera). 602. Parmelia cetrarioides Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 26). 606". Parmelia tinctorum Despr. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 26) et meridionali (Singapoure, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 18). 615. Parmelia martinicana Nyl. In exemplaribus hujus operis seorsim impressis hæc species nomine erroneo P. martinica Nyl. vocatur. 638. Parmelia adducta Nyl. Lich. Jap. p. 27; thallus K =. — In Asia orientali (Japonia, sed ibi sterilis, proindeque incerta). 641. Parmelia sublævigata Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 27). 652, Parmelia scortella Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 27, ubi definitur). 653”. Parmelia lævigata Ach., Nyl. Lich. Jap. p. 27; Lichen lœvigatus Sm.; thalli medulla K {CaCl) nonnihil erythrinose reagit. = In Asia orientali (Japonia). 671 Parmelia lævigatula Nyl. Lich. Jap. p. 27; thallus K supra flavet, medulla autem CaCl erytrinose et K (CaCl) magis intensive erythrinose tingitur. [bi sterilis ideoque incerla. — In Asia orientali (Japonia). 694. Parmelia saxatilis forma divaricata Del., Nyl., Lich. Jap. p. 27, ubi defi- itur. = In Asia orientali (Asia). LIGHENES EXOTICI. 145 696». Parmelia fraudans Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 28). 702?. Parmelia conspersa Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 29). 104. Parmelia subconspersa Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 29). 108». Parmelia Mougeotii Schær. — In Asia orientali (Japonia, Zich. Jap. p. 29). 7121». Parmelia olivacea Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 29). 727. Parmelia stygia Ach. — In Asia orientali {(Japonia, Lich. Jap. p. 29). 730%. Parmelia lanata Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Zich. Jap. p. 29). 737. Parmelia arizonica Nyl. Lich. Jup. p. 10%, ubi definitur; thallus K flavescit et medulla K ferrugineo-tingitur. — Omphalodium arizonicum Tuck. = In America septen- trionali (Arizona et non in Brasilia, ut errore scripsi sub numero 7137 hujus operis). 738. Parmelia physodes Ach. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 29). 139. Parmelia vittata Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 29). 748. Parmelia pertusa Schær., Nyl. Zich. Jap. p. 30; thallus K flaveseit. — In Asia orientali (Japonia). —F. subimpertusa Nyl. Lich. Jap. p. 30, ubi definitur. —In Asia orientali (Japonia). 151}. Parmelia hypotrypa Nyl. — In Asia orientati (Japonia, Lich. Jap. p. 30). 167. Lobarina retigera Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 31). 781°. Stictina Mougeotiana Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 31). 844, Sticta aurata Ach. — In Asia orientali (Japonia, Z2ch. Jap. p. 30). 864. Ricasolia Wrightii Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 31). 876. Ricasolia adscripta Nyl. Lich. Jap. p. 31, ubi sporæ definiuntur; thallus K (CaCl) —. = In Asia orientali (Japonia). 889. Nephromium tomentosum f. rameum Nyl. Syn. I, p. 319, ubi definitur. — MNephroma resupinalum var. ramewn Schær. num. Lich. europ. p. 148. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 32, ubi sporæ definiuntur). — Etiam in Europa. 889. Nephromium helveticum Nyl. Lich. Jap. p. 32, — Nephroma helvetica Ach. Lichenogr. univ. p. 523. = In Asia orientali (Japonia). 890. Nephromium lævigatum Nyl. Lich. Jap. p. 32. — Nephroma lævigata Ach. Syn. Lich. p. 242. = In Asià orientali (Japonia). 891». Nephromium parile Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 32). 901°. Peltigera rufescens Hoffm. — In Asia orientali (Japonia, L/ch. Jap. p. 32). 907». Peltigera dolichorrhiza Nyl. — In Asia orientali (Japonia, Lich. Jap. p. 32). 960?. Physcia crispa Nyl. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Sngap. p. 4). 1004. Physcia picta Nyl. Locis in Asia meridionali citatis addendum est nomen Singapoure et delendum Malacca, quod ad formam sequentem pertinet. — F. 1. foliicola Cromb., Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 52. — In Asia meridionali (Malacca). —F.2 sorediata Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p.18 ; thallusK =. — In Asia meridionali (Singapoure). 1007. Physcia cæsio-picta Nyl. Ad hanc speciem e China pertinet ut synonymon Ph. picta f. soredüfera Ny1., Nyl. et Cromb. Lich. East. Asia p. 62. 1056?. Pannaria pannosa Del. — In Asia meridionali (Singapoure, Sert. Lich. trop. Lab. et Singap. p. 19). 1098. Coccocarpia ciliolata Mont. — In Asia meridionali (Singapoure, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 18, ubi pro parte definitur. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lich. trop. Lab. et Singap. p. 4). 1132. Psoroma discernens Nyl. Sert. Lichen. trop. et Singap. p. 4, ubi definitur. — In Oceania (ins. Labuan). NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3€ série. — IV. 19 146 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 1271. Lecanora xanthophæa Nyl. — In America septentrionali (ditione Tennessee, Sert, Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 35, ubi sporæ definiuntur). 1279. Lecanora sophodes Ach. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. el Singap. p. 4, ubi sporæ definiuntur). 1352?, Lecanora suberenulata Nyl. — In Oceania (ins. Java et ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 4, ubi pro parte definitur). 1420. Lecanora lutescens Nyl. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 4, ubi definitur). 1546. Lecanora punicea Ach. — In Asia meridionali (Singapoure, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 19). 1606. Pertusaria marginata Nyl. Ab hac specie non differunt P. propinqua Muell. et P. laqueata Muell., Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 35. 1622?. Pertusaria Wulfenii f. 2. rupicola Nyl. Post hæc verba : In Asia orientali Japonia, addendum est : Lich. Jap. p. 55). 1624? Pertusaria achroiza Nyl. Addendum est in hac specie sporas variare 4% in thecis, Prodr. FI. N. Gran. ed. 2° p. 195. 1693. Thelotrema cavatum Ach., Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. pp. 5 et 49, ubi sporæ definiuntur. = In Asia meridionali (Singapoure). — In Oceania (ins. Labuan). 169%. Thelotrema dolichosporum Nyl. = In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 5, ubi pro parte definitur). 1725°. Thelotrema pycnophragmium Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 5, ubi definilur. — In Oceania (ins. Labuan). 1726. Thelotrema terebratum Ach., Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 19. = In Asia meridionali (Singapourel. — In America tropica (ins. Cuba). — F. subeminescens Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 5, ubi definitur. = In Asia meridionali (Singapoure). — In America tropica (ins. Cuba). 1734. Thelotrema dolichotatum Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 19, ubi definitur. — In Asia meridionali (Singapoure). 1758». Thelotrema subgeminum Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 5, ubi sporæ definiuntur ; 7. monosporum var. subgeminum Nyl. Syn. Lich. N. Caled. p. 38. = In Oceania (ins. Labuan). 1796. Ascidium xanthostroma Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 20, ubi definitur ; À. rhodostroma var. xanthostroma Nyÿl. = In America tropica (ins. Cuba, legit Wright, n° 33). 1797. Ascidium majorinum Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 30, ubi definitur ; thallus K sublutescit. — In Asia meridionali (Singapoure). — F. longius Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 20, ubi definitur. — In Asia meridionali (Singapoure). 1798. Ascidium xanthostromizum Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 20, ubi definilur. — In Asia meridionali (Singapoure). 1799. Ascidium Cinchonarum Fée, — In Oceania {ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 5, sed hæc species ibi est dubia utpote sporis destituta). 180%. Ascidium depressum Nyl. — 7'helutrema depressum Mont. Cryptog. quyan. p. 5 et n° 240 necnon Syllog. p. 362, proindeque addenda est sub hac specie habitatio : In Guyana gallica, et delendumest T'helotrema depressum Nyl. Enum. Lich. p. 118, quod supra n° 1745 ponitur. 1805. Ascidium monobactrium Nyl. var. meizobactrium Nyl. et var. subgranu- latum Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 6, ubi definiuntur. = In Oceania (ins. Labuan). LICHENES EXOTICI. 147 1806». Gyrostomum scyphuliferum Nyl. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lich. trop. Lab. et Singap. p. 6). 184%. Cœnogonium confervoides Nyl. — In Asia meridionali (Singapoure, Sert. Li- chen. trop. Lab. et Singap. p. 21, ubi pro parte definitur). 185%. Byssocaulon filamentosum Nyl. Addendum est : In America tropica (Guyana). 1857. Lecidea cupularis Ach. Syn. Lich. p.46, Nyl. etc. Nomen Acharii omissum fuit in n° 1857. 1866». Lecidea lutea Schær. — Gyalecta lutea Nyÿl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. pp- 6 et 21, et in posteriore loco sporæ definiuntur. = In Asia meridionali (Singapoure). — In Oceania (ins. Labuan.. 186. Lecidea (Gyalecta) proboscidina Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 22 in notula, ubi hujus speciei accuratior defintio datur. 1886v. Lecidea glabella Nyl. Sert. Lichen trop. Lab. et Singap. p. 37, ubi denuo definitur 1901». Lecidea blepharophora Nyl. in Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. generi Coccocarpiæ adseribitur, atque ab hac C. biepharophora forsan non specie differre C. azu- rellam Nyl. supra n° 1096, dicitur. 1938. Lecidea decoloranda Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 6, ubi defi- nitur; thallus K sublutescit. = In Oceania (ins. Labuan). 1961. Lecidea meiocarpa Nyl. vix differt a L. sylvana Th. Fr. Zichenogr. scand. p. 430, Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 35. 2066. L. sabuletorum Flærke. — Addendum est in Africa (Algeria), nam Z. vernalis var. Muscorum Nyl. Prodr. Lich. Gall. p.107, ubi definitur, Lich. Algér. p. 313 et Enum. Lich. p. 191, Z. sphæroides var. Muscorum Schær. Enum. Lich. europ. p. 140, syno- nymon habetur Lecideæ sabuletorum Flærke apud Stüizenberger Lecid. sabulet, p. 29. 2072. Lecidea triseptulans Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 6, ubi defi- nitur. = In Oceania (ins. Labuan). 2091». Lecidea connexula Nyl. Hæc species in Lich. Jap. p. 111 sürpi Z. sphæroidis = Sommerf. potius tribuitur, sed in Sert. Lich. trop. Lab. et Singap. p. 7, ubi etiam definitur, ad stirpem Z. luteolæ Ach. certe pertinere affirmatur. — In Oceania (ins. Labuan). 2114. Lecidea sophodina Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 21, ubi defi- nitur ; thallus K —. — In Asia meridionali (Singapoure). 2193. Lecidea microlepta Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p.7, ubi definitur. Forsan L. chloroticulæ Nyl. in Flora 1877, p. 564, et apud Hue Addend. Lichenogr. europ. p. 167, proxima est illa species. = In Oceania (ins. Labuan). 2243r. Lecidea parasema Ach. var. À elæochroma Nyl. forma Hartungiana (Hepp. in herb.) Nyl. in Jitt. ad Stüzenb. et apud Stizenb. Zichen. African. p. 16%, ubi definitur, et Lich. ins. Maderæ p. 10; thallus K flavet et K (CaCl) aurantiacus evadit. — In Africa occidentali (ins. Porto Santo prope Maderam). 2257. Lecidea granulosula Nyl. Errore sériptum fuit : L. granulosa Nyl. 2280. Lecidea Armstrongiæ Jones. Species quæ in hac stirpe L.improvisæ Nyl. Lich. Scand. p. 213 remanere debent sunt : 2280 Z. Armstrongiæ Jones; 2281 Z. denotata Nyl.; 2282 L. improvisula Nyl.; 2283 L. olobulispora Nyl. et 2284 L. prænotata Nyl. cæteræ ad finem Biatorarum sub stirpe Lecideæ fossarum Duf. sunt referendæ. 2321.r. Lecidea hebescens Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. A1, ubi defi- nitur. Sat similis est hæc species L. albocærulescenti Ach., supra n° 2320, proindeque ad stirpem Z. contiqux Fr. referri debet; illius thallus K extus intusque flavet. = In America septentrionali (ditione Tennessee). 148 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 2335. Lecidea tennessensis Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. M, ubi defi- nilur ; thallus K flavet. — In America septentrionali (ditione Tennessee). 2343. Lecidea plana Jahm. f. subsparsula Nyl. in litt.; L. plana f. subsparsa Nyi. quod nomen mutatum fuit, quia jam usurpatum fuerat, supra n° 2297. 2400. Lecidea premnea Ach. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. T7, ubi sporæ definiuntur). 2403. Lecidea plurilocularis Nyl. = In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. T, ubi pro parte definitur). 2443. Lecidea insidians Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. Ai, ubi definitur. Ad stirpem Z. stellulatæ Tayl., supra n° 2439, attinet hæc species et illius thallus K flavet. — In America septentrionali (ditione Tennessee). 2449. Lecidea melaxanthiza Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 7, ubi deü- nilur. K erythrinosus vel aurantiace ertyhrinosus evadit thallus hujus speciei, quæ affi- nisest L. melaxanthellæ Nyl., supra n° 2448. — In Oceania (ins. Labuan). 2557. Graphis secripta Ach., Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. pp. 10 et 23. = In Asia meridionali (Singapoure). —- In Oceania (ins. Labuan). 2563. Graphis tenella Ach. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p.10, ubi sporæ definiuntur). 2572. Graphis assimilis Nyl. — In Asia meridionali (Singapoure, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 3, ubi sporæ definiuntur). 2580. Graphis sophistica Nyl. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 10). 2586. Graphis tortuosa Ach. — In Oceania (ins. Labuan, Serf. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 10, ubi sporæ definiuntur). 2587. Graphis analoga Nyl.Varietatem subradiatam Nyl. hujus speciei sislunt Gr. atro- fusca Muell. et Gr. polycarpa Muell., Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab.et Singap. p. 42 in notula. 2600. Graphis subrigida Nyl. — Zecanactis subrigida Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 24, ubi sporæ definiuntur. — In Asia meridionali (Singapoure). 2613. Graphis Afzelii Ach., Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 23, ubi sporæ definiuntur, et p. 36. — In Asia orientali (Japonia) et meridionali (Singapoure). — In America sepetntrionali (ins. Bermudis). 2619. Graphis subelegans Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 42, ubi deli- nitur. — In America septentrionali calida (Mexico). 2620". Graphis striatula Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. pp. 10 et 23. — In Asia meridionali (Singapoure). — In Oceania (ins. Labuan). 2631. Graphis diversa Nyl. — Zecanactis diversa Nyl. Sert. Lichen. trop. La. et Singap. p. 11, ubi apothecia et sporæ definiuntur. — In Oceania (ins. Labuan). — F. glyphidioidea Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 24. — In Asia meri- dionali (Singapoure). Lecanactis cohibens Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 24 in notula, ubi definitur. — Graphis diversa f. cohibens Nyl. — In Asia meridionali (Malacca). 2634. Graphis diversula Nyl. — Lecanactis diversula Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 11, ubi apothecia et sporæ definiuntur. — In Oceania (ins. Labuan). 2635. Graphis serpentosa Nyl. — ZLecanactis serpentosa Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 11, ubi definitur, et p. 24. — In Asia meridionali (Singapoure). — In Oceania {ins. Labuan). 2639. Graphis flexuosa Nyl. — Lecanactis fleruosa Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 12, ubi definitur, et p. 25. — In Asia meridionali (Singapoure). — In Oceania (ins. Labuan). LICHENES EXOTICI. 149 2640%. Graphis heterocarpa Nyl. — Lecanactis heterocarpa Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 12, ubi definitur. Ab hac Graphide vix specie differt Gr. adtenuans Nyl., supra n° 2641. — In Oceania (ins. Labuan). 9643, Graphis subinusta Nyl. — Zecanactis subinusta Nyÿl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 11, ubi definitur. = In Oceania (ins. Labuan). 2672, Graphis confluens Nyl. — In Asia meridionali (Singapoure, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 24, ubi sporæ definiuntur). 9680P. Graphis adscribens Nyl. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 10, ubi sporæ definiuntur). 26862. Graphis Balbisina Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 42, ubi definitur. — In America septentrionali calida (Mexico). 26932. Graphis peralbida Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 42, ubi definitur. Subsimilis dicitur hæc species Gr. chlorocarpæ Fée supra n° 2700; thallus K —. — In America septentrionali calida (Mexico). 2101. Graphis excellens Nyl. Ah hac forsan specie non distinguitur Gr. chlorocarpoi- des Nyl., supra n° 2702. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p- 44, ubi definitur). 2703. Gravhis Chrysentheron Mont.; Gr. chrysentera Nyl. — In Oceania (ins. Labuan. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 11, ubi sporæ definiuntur). 2729. Graphis Poitæoides Nyl. ex ins. Cuba, Wright n° 77, thallo K croceo-ferrugi- nascente et sporis iodo non tinctis prædita est, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 42. 2757. Graphis tachygrapha Nyl. — Fissurina tachygrapha Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p.13, ubi sporæ definiuntur. Hæc non specie forsan differt a Gr. Dumasti Nyl., supra n° 2755. — In Oceania (ins. Labuan). 2758. Graphis lactinella Nyl. — /issurina lactinella Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 13, ubi definitur. — In Oceania (ins. Labuan). 2764. Graphis instabilis Nyl. — Fissurina instabilis Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 36. ubi definitur. = In Asia orientali (ins. Ogassawara, olim Bonin, prope Japoniam). 2771. Graphis egena Nyl. — lissurina egena Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 43, ubi sporæ definiuntur. = In Oceania (ins. Labuan). 2712. Graphis cæsio-hians Nyl.— Fissurina cæsio-hians Nyl. Sert. Lichen. Lab. et Singap. p. 13, ubi definitur. — In Oceania (ins. Labuan). 2789. Graphis tricosa Nyl. — Medusula tricosa Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. pp. 13 et 25. — In Asia meridionali (Singapoure). — In Oceania (ins. Labuan). 2807». Lecanactis obfirmata Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. el Singap. p. 12, ubi definitur. = In Oceania (ins. Labuan). — F. incolorata Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 12, ubi definitur. = In Oceania (ins. Labuan). 2840°. Opegrapha mesophlebia Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 42, ubi definitur. — In America septentrionali calida (Mexico). 2853”. Opegrapha assidens Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 8, ubi definitur. = In Oceania (ins. Labuan). 2861. Opegrapha adtinens Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 8, ubi defi- nitur. —In Oceania (ins. Labuan). 2867. Opegrapha phyllobia Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 22, ubi spermatia definiunlur. = In Asia meridionali (Singapoure). 2868». Opegrapha prosodea Ach. — In Oceania (ins. Labuan, Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 8, ubi sporæ definiuntur). NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3° série. — IV 20 150 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 2886?. Opegrapha interalbescens Nyl. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 8, ubi sporæ deliniuntur). 2888". Opegrapha subsimilata Nyl. Sert. Lichen trop. Lab. et Singap. p, 35, ubi definitur. — In Asia orientali (ins. Ogassawara, olim Bonin, prope Japoniam). 2963. Arthonia adspersa Nyl. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 9, ubi sporæ definiuntur). 2987». Arthonia varia Nyl. —In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 9, ubi sporæ definiuntur). 2990». Arthonia Antillarum Nyl. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. el Singap. p. 9, ubi sporæ delniuntur). 3040. Arthonia spectabilis Flot. —In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 9, ubi sporæ definiuntur). 3061”. Arthonia complanata Fée. — In Asia meridionali (Singapoure, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 22, ubi sporæ definiuntur). 3064. Arthonia complanatula Nyl. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 9, ubi sporæ definiuntur). 3097. Arthonia extenuescens Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 9, ubi definitur. = In Oceania (ins. Labuan). 3112". Arthonia floridana Willey Syn. Arthon. p. 3 eadem est species ac À. ochro- discodes Nyl., quæ supra sub hoc numero ponitur proindeque prius nomen priorilate gau- dens servandum, poslerius autem delendum est; Will. in litt. ad Nyl. mense octobri 1891. 3117. Arthonia biseptella Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 35, ubi delinitur. = In Asia orientali (ins. Ogassawara, olim Bonin, prope Japoniam). 3131». Melaspilea gemella Nyl. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 10, ubi sporæ definiuntur). 3141°. Glyphis torquescens Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 13, ubi def- ditur ; thallus K vix lutescit. — In Asia meridionali (Singapoure). 3142. Glyphis heteroclita Mont. — In Oceania (ins. Labuan, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 14, ubi spermalia definiuntur). 3143. Glyphis labuana Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 14, ubi definitur. = In Oceania (ins. Labuan). 3144. Glyphis labyrinthica Ach., Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. pp. 14 et 25, etin hoc posteriore loco, sporæ definiuntur. = In Asia meridionali (Singapoure). — In Oceania (ins. Labuan). 3147. Glyphis cicatricosa Ach., Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 14, ubi sporæ definiuntur, et p. 25. = In Asia meridionali (Malacca et Singapoure). — In Oceania (ins. Labuan). 3149. Glyphis confluens Mont. — In Oceania (ins. Labuan, Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. L4, ubi sporæ definiuntur). 3152». Glyphis circumflexa Nyl. Errore scriptum fuit : Gr. circumplexa Nyl. = In Asia meridionali (Singapoure, Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 25, ubi definitur). 3177. Chiodecton seriale Ach. forma lineolare Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 10, ubi definitur. = In Asia meridionali (Singapoure). 3178. Chiodecton dendrizans Nyl. Sert. Lichen. trop. Lab. et Singap. p. 23, ubi définilur. Subspecies videltur Chiodecti serialis Ach. — In Asia meridionali (Singapoure). CORRIGENDA 58. Post hunc numerum legitur : n° 58 Collema coccophylloides Nyl., et ponendus est n°5 59. 76. Post hunc numerum legitur : n 79 Collema conglomeratum Hoffm., et ponen- dus est n° 77. 288. In ullima linea legitur : CZ. adspersam, infra n° 316, et ponendus sst n°° 347. 308. Post hunc numerum legitur : n° 390 Cladonia mitrula Tuck., et ponendus est nn S09: 335. In pænultima linea legitur : C. muscigene Eschw., et ponenda est C. muscigena Eschw. 340. Post hunc numerum legitur : n® 343 Cladonia corallifera Kunze, et ponendus est n°° 341. 405. In tertia linea legitur : jamaicense, et ponendum est : jamaicensi. 442. In pænultima linea legitur : 4 membranacea Nyl., et ponenda est F. 3. 519. In sexta linea ni 519 legitur : Lech. Fr. Behr., et ponendum est : Lich. Fr. Behr. 653. In pænultima linea delenda est Parmelia hispidula Ach., quæ pertinet ad nume- rum 998. 609 et 664. In prima linea legitur : Parmelia microcarpa Pers., et ponenda est P. macrocarpa Pers. 781. In tertia linea delenda est Sticta xœanthosticta Pers., quæ revera ad n°" 796 pertinet. 800. In secunda linea legitur : Lichen limbalus, et legendum est : Lichen limbatus Sm. 998. In ultima linea post hæc verba : Italia et, legendum est : Lusitania. Ille error in voluminibus seorsim impressis tantum invenitur. 1004. In tertia linea delenda est : Purmelia minor Fée, quæ recte ponitur in n° 4001. 1009. In secunda linea legitur : /’yxine Cocoës Sw., et ponendus est ZLichen Cocoës Sw. 1050. In prima linea legitur Lichen polyrrhzus, et addendum est : L. polyrrhizus L. 1092. Post hunc numerum legitur : n° 1893 Coccocarpia periptera Nyl., et ponendus est n°° 1093. 1124. Legitur F. deaurata Ach., et ponenda est F. deauratum Ach. 1154. In septima linea legitur Lichen obliteratus, et addendum est : L. obliteratus Pers. 1306. Post hunc numerum legitur : n° 1207 Lecanora homobola Nyl., et ponendus est n° 1307. 1352. Post hunc numerum legitur n°1573 Thelotrema lecanodeum Nyl. et ponendus est n° 1753. 1807. Legitur Tremotylum Nyl. et ponendum est Tremotylium Nyl. 2065. Post hunc numerum legitur : n° 2666 Lecidea sabuletorum Flærke, et ponen- dus est n°° 2066. 152 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 2938. Post hunc numerum legitur : n° 2339 Lecidea subaromatica Nvyl., et ponen- dus est n°° 2239. 2631. In tertia linea delenda est Arthonia divergens Fée quæ ad numerum 2803 perlinet. 2803. In prima linea legitur : Lich. exot. p.331, et ponendum est p. 231. 2828. In prima linea legitur : in Flora 1864, p. 388, et ponendum est p. 488. Huic operi jam perfecto quatuor novæ species addendæ sunt, nempe : 3688. Cladonia sobolescens Nyl. forsan subspecies C/. cariosæ; huc Coem. CL. Belg. 19. — In America septentrionali (ditione Tennessee, legit Calkins). 3689. Cladonia pileolata Nyl. species peculiaris propriæ stirpis, apotheciis testaceis bæomycoideis epiphyllis. = In America septentrionali (ditione Tennessee, legit Calkins). 3690. Pycnothelia cladinoides Nyl. — In America septentrionali (ditione Tennessee, legit Calkins). 3691. Lecidea (Gyalecta) cubana Nyl. — In America tropica (ins. Cuba). Inde patet 3689 Lichenum species in hoc volumine enumerari, nam numerus 1745 deleri debet sicut dictum fuit sub numero 1804 b, et sub numero 3687 nulla ponitur species. INDEX GENERUM ET SPECIERUM Omnia Lichenum exoticorum sive generica sive specifica nomina quæ in Archives du Muséum, gme série, Vol. If, 1890, pp. 211-322, nis 41-1007, Vol. IT, 1891, pp. 33-192, nis 1008-3185, el vol IV, 1892, pp. 103-156, n!s 3186-3691 et 12-3178, vel in volumine seorsim impresso enumerata fuerunt, litterarum ordinein hoc indice digeruntur, atque, paginarum ratione omissa, illis servatur numerus qui eis in hujus operis cursu tributus fuit. Sed notandum est genera vel subgenera litteris majoribus, specierum autem synonyma cur- sivis litteris designari. Quoad specifica nomina, quando, genere mutato, in eamdem tamen litte- ram desinunt, semeltantum et sub genere a cel. Nylander electo ponuntur. Illæ autem specierum voces, quæ ex uno genere in aliud translatæ aliter cadunt, toties quoties eorum exitus variat, iterantur. Quum in eodem genere idem nomen specificum a cel. Nylander pluries usurpatum est, nomini huic quo species nunc designatur primus numerus adscribitur. Tandem cujusvis speciei formæ seu varietates velut specierum nomina enumerantur. acenvulata NyIPLecid. ce e A Acetabulum Dub. Parm...... 0000006008 720 Achariana Fée Melanoth............... 3511 abapha Nyl. Graph.................... 2726 | Acharii Fée Graph................,.... 2598 abaphoides Nyl. Graph................. 2721 | Acharii Mey. Mycop................... 3511 abbreviata Fée Opegr............... 2870 |" Acharii Fée Pertus.......:. "#20 1656 AGE NTL VE vococceeccsccocoe 3504 | achroa Nyl. Lecan..............,...... 1365 abducens Nyl. Graph... .........,.... 2577 | achroella Nyl. Lecan................... 1366 abducens Nyl Bec RER EE CRETE CCC 217 achroiza Nyl. Pertus .......... 1624 et 1624 P abductansENyl APE PEER ET EE CE 2175 | achroopholis Nyl. Lecid................ 2218 abnormis Nyl. Arthon.................. 3043 | aciculare Tuck. Piloph... ............ 271 HADNUENS NY TPANMEEE EEE EEE 623 | acicularis Ach. Cenom................. 271 apolescensENYIEALECON eee eee 1279 | aciculifera Nyl. Melanoth.............. 3572 ADORVA PACA ICT TON CET EE CENT 287 | acromela Nyl. Physc................... 928 abrothallina Nyl. Aréhon............... 3106 | acrophæum Nyl. Trypeth .............. 3534 abrothalloides Nyl. Mycop............. 3597 | Acroscyphus Lév...................... 187 ADSITAINVI OPEN EEE RER A EEUIN 2854 | acrotella Ach. Verruc.................. 3278 absolutus Tuck. Bæomyc..........,.... 194 | actinobola Nyl. Glyph.................. 3145 abysSinica Nyl PORN EP eee 611 | actinoplaca Nyl. Sérig................. 3561 abyssinica Nyl. Ramal................. 473 | actinoptychum Nyl. Collem........... . 62 aCan the la AChACE PEER ERP PEER 521 | actinostoma Pers. Urceol............... 1831 ACCETENSIN VI LECITE eee n 2227 | actinotum Tuck. Thelotr............... 1685 aculeata Fr. Cetr.......... Réel ne ete 521 154 acuminata Nyl. Cladon................. 324 Acunhana Nyl. Lecid.................. 2438 acuta Nyl. Cladon..................... 291 adacta Fée Verruc..................... 3388 adaugescens Nyl. Parm................ 3647 adducta Nyl. Parm............. 638 et 638 » adglutinata Nyl. Physc................. 1001 adhærens Nyl. Parm.......,........... 710 adjectum Nyl. Thelotr................. 1708 admixta Nyl. Lecid.................... 2119 adpressum Nyl. Leptog................. 123 Adscensionis Ach. Parm................ 1006 adscribens Nyl. Graph......... 2680 et 2680 ? adscripta Nyl. Ricasol............ 876 et 876? adscripturiens Nyl. Graph............. 2780 adscripturiens Nyl. Ricasol.............. 3652 adspersa Nyl. Arthon.......... 2963 et 2963 adspersa Floerke Cladon......... 317 et 317 D adspersa Mont. Cladon................. 329 adtenuans Nyl. Graph.…........ 2641 et 2640 ? adtinens Nyl. Opegr........... 2861 et 2861 P adumbrans Nyl. Lecid................. 1957 adumbrata Nyl. Lecid................. 1957 advena Nyl. Lecid..................... 2350 adveniens Nyl. Arthon................. 3037 adveniens Nyl. Pertus.................. 1619 adventans Nyl. Pertus................. 1620 adversaiNyl A EeCid Pret eccreereet 2133 ægialita Nyl. Physe.................... 1006 æquabilis Nyl. Graph.................. 2683 æqualis Nyl. Lecan .................... 1300 æquata Ach. Lecan.................... 1299 æruginascens Nyl. Lecid............... 2454 æruginosa Nyl. Lecan ................. 1393 æruginosa Nyl. Lecid........... 2255 et 2256 æthiobola Wahlenb. Verrue ........... 3275 æthioboliza Nyl. Verruc................ 3276 afferens Nyl. Lecid..................... 2021 ANNE EITeooucooooonovodouoo0o 149% affinis Schær. Lecid.................... 2382 affinissima Nyl. Graph................. 2713 MEN II MPEG los osocccocccccececooce 995 Afzelii Ach. Graph............ 2613 et 2613 ? GATE NEC (DiAPooouesccoaoococoocoooc 2836 agelæa Wallr PRyCE 1821 agelæoides Nyl. Opegr................. 2826 aggregans Nyl. Graph.................. 2659 aggregata Nyl. Cladia.......... 382 et 382 ? aggregata Del. Lobar.................. 812 aucrecata FéeMVenUC. te -reecereree 3370 aggregatum Nyl. Collem................ 69 HORS Sein oovoocoocovouoocco 382 aglæa Sommerf. Lecid................. 2360 HET e bec ooopocovpoace 2361 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. agminalis Nyl. Graph.................. 2721 agminella Nyl. Melanoth................ 2573 Agyrium Nyl. .........,.............. 255% Agyrophora Nyl....................... 1022 aipolia Nyl. Physc...................., 973 alaskensis Nyl. Lecid .................. 2179 alba Nyl. Physe.................:..... 950 albariella Nyl. Lecan.................. 1533 albata Nyl Arthon ee 3018 albatum Nyl. Endocarp ................ 3203 albella AChLECan eee enr 1380 albellus Pers. Lich..................... 1380 albensINVlMVeRTUC ER EEE EEE EEE Tee 3306 albescens Nyl. Verruc................. 3411 albicans Nyl. Cladon................... 348 albicans Nyl. Graphe." Men 2601 albicans Ny1 Lecan "nn ere 1239 albicans Nyl-Lecid "eee 1984 albicans Th. Fr. Sfereocaul....... 268 et 3611 albicascens Nyl. Verrue................ 3303 HIDLENNNMEN ITS a cecocoetosoccenee 1322 albidella Nyl. Pertus................... 1592 albidiforme Leight. Thelotr............. 1691 albidior Nyl. Verruc................... 3496 albido-atra Nyl. Verruc................ 3453 albido-fusca Nyl. Lecan................ 1223 albido-lutea Nyl. Lecid................ 2190 albido-pallens Nyl. Lecan..:........... 1224 albido-pallens Nyl. Pertus.............. 1598 albido-pallens Nyl. Thelotr............. 1703 albidulum Nyl. Thelotr................. 1729 albidum Nyl. Thelococc ................ 3190 albidum Nyl. Thelotr................... 1719 albilabra Nyl. Lecid.................... 1875 albinea Nyl: PAysc.. SR. 968 albineum Nyl. Sligmat................. 2958 albiseda Nyl. Platygr.................. 2907 albiseda Nyl. Verruc.................. 3457 albo-ater Hoffm. Lich.................. 2492 albo-atra Schær. Lecid................. 2492 albo-atra Nyl. Upegr................... 2881 albo-atra Krempelh. Verruc............ 3446 albo-atrata Nyl. Lecan................. 1540 albo-atrior Nyl. Lecid.................. 249% albo-cæsia Nyl. Lecan.................. 1530 albo-cærulescens Ach. Lecid............ 2320 albo-cœrulescens Fr. Lecid.............. 2340 albo-ciliata Nyl. Physe................. 943 albo-cincta Nyl. Plutygr............... 2906 albo-cyphellata Nyl. Séictina....... 780 et 781 albo-hyalina Nyl. Lecid................ 1962 albo-linita Nyl. Verruc................ 3346 albo-maculans Nyl. Lecid.............. 2166 albo-nigricans Nyl. Lecid.............. 2151 INDEX GENERUM ET SPECIERUM. ab NIeUMAIUC RACE EEE Er EEE 158 albo-notata Nyl. Graph................. 2706 albo-plumbea Nyl. Physc............... 969 albo-prætexta Nyl. Lecid............... 1936 albo-pulverea Nyl. Arthon.............. 3093 albo-punctata Nyl. Usnea............... 500 albo-rosella Nyl. Graph. ............... 2774 albo-rufella Nyl. Arthon................ 3005 albo-russula Nyl. Lecid................ 2155 albo-thallina Nyl. Lecid................ 2446 albo-virens Nyl. Arthon................ 3026 albo-virescens Nyl. Arthon............. 3044 albuginosa Nyl. Lecid.................. 2331 CNET EN CAT EEE 2244 et 2245 AlbUIUMENVIST RE lo ET EEE EE PETER 1680 album Nyl. Thelotr............. 1675 et 1758 alcicornis Floerke Cladon............... 274 Alectoria Ach......... 556-069 et 3639-3641 aleianta Nyl. Pertus................... 1599 aleurella Nyl. Aréhon.................. 3681 aleurina Nyl. Arfhon.................:. 3021 aleurites Nyl. Parmeliops............... 763 aleurocarpa Nyl AT{hON. "0 3019 AlEUrOLES ENVI ATIRON EEE EE EEE RECENT 3023 alexandrina Nyl. Arthon............... 3120 algeriensis Mont. Myxopunt............. 129 ANEnANMLMIARGRe Se S0oeococcocvecoss 2496 Allarthonia Nyl.................. 3115-3124 ainite Nb Laisse :seccceceoccccocce 20:7 Alodium NyIe ES CE C2 162 allophana Ach. Lecan.................. 1354 allorrhiza Nyl. Lecan.................. 1135 allorrhizum Nvl. Psorom............... 1135 allosporella Nyl. Graph................ 2668 allosporizum Nyl. Thelotr.............. 1763 allosporoides Nyl. Thelolr.............. 1762 allosporum Nyl. Thelotr............... 1761 ANOTOPAINYIELECIT ER EC EE EEE NE 2062 alludens Nyl. Ramal.................. 425 alpestre Flot. S{ereocaul............... 251 alpestris Nyl. Cladina.................. 369 alpestris Sommerf. Lecid............... 2306 alphoplaca Nyl. Lecan................. 1342 alniede Nil Hecisoosescoéceseoctese 2528 ACoe Uno Me Mrmmeocteocsetesocccoe 747 alpina Sommerf. Lecan................ 1491 alpine NL Ie ocooccasoocceovgvesoe 241% alpinum Laur. Stereocaul.............., 253 alpinum Nyl. Stereocaul.......... 251 et 253 AMATANVIMPERUS Eee creer Ce. 1566 amaurocræa Nyl. Cladina.............. 378 amazonica Nyl. Parm......,........... 045 Ambavillaria Nyl. Sfictina............. 799 Ambavillarius Bory Lichen....,........ 199 155 ambigens Nyl. Pertus................. 1650 Goes Ceres sacs obe couocoo 549 Hi ECC Écoocecooccocsenbuboc 2351 ambigua Nyl. Purmeliops.............. 762 ambigua Mont. Ramal.... ............ 443 ambiguella Nyl. Arfhon..............,. 3036 ambiguum Nyl. Plalysm............... 549 AMPIQUUSANIUIPMLICREE EEE PERRET 762 americana Nyl. Parm.................. 692 americana Fée Porina.................. 3312 american AC NeErrUC Eee. 3366 americanum Spreng. Pyrenastr......... 3367 americanus Nyl. Pyrgill............... A71 Gi, NEToo coco 6boe0oac 2617 inconior NL IQ e So se6 cocon de 2025 amphibela Nyl. Pannular.............. 1082 amphibola Nyl. Verruc... ............ 3246 Amphidium Nyl....................... 133 Amphiloma Nyl....................... 1559 Amphinomium Nyl.................... 89 amphisticta Knight Sticta.............. 862 amphitropa Nyl. Lecid................. 2234 amphiurum Nyl. Dichod............... 81 AMPROPSISENVIEE EEE EE ET EE CCE 3623 amphorella Nyl. Lecan........,....,... 1496 ampliata Knight et Mitt. Arthon........ 303% amplificans Nyl. Lecid................. 2098 amplissima Schær. Parm............... 872 amplissimus Scop. Lich................. 872 amplius Nyl. Thelotr.................. 1693 Anacardü Nyl. Trypeth................ 3536 anactina Nyl. Urceol................... 1832 anæmica Nyl. Clad.................... 338 analepta Ach. Verruc.................. 3476 croco NL CRE c06608000000a00 2587 analoga Nyl. Glyph.................... 3149 analogella Nyl. Arthon................. 3069 analogicum Nyl. Nephroma............. 917 anamorpha Nyl. Thelotr................ 1738 anamorphoides Nyl. Thelotr............ 1731 anamorphum Nyl. Thelotr.............. 1738 anastomosans Nyl. Arthon...... 3041 et 3043 anastomosans Nyl. Leptog............. 110 ane Nik NEC o0060200000000000000 409 anceps Knight Lecid................... 2206 anceps Nyl. Ramal.................... 397 andamanica Nyl. Verruc............... 3309 andamanicum Nyl. Thelutr............. 1779 andensis Nyl. Phlyctel................. 1811 andensis Nyl. Séictina................. 801 andesita Nyl. Lecid.................... 2082 andicola Del. Cenomyce................ 224 andinum Karst. Cœnogon............... 1839 andinum Nyl. Rhytidoc................ 487 156 andita Nyl. Lecid........... See 2082 ONE NI Sesoceoocesocceoconcosoune 32-33 anfractuosa Eschw. Graph............. 2571 angelæoides Nyl. Opegr... ............ 2826 anglica NylASDNCMNEE EEE CL CCC 139 angolense Nyl. Tremotyl............... 1807 anguillæformis Tayl. Graph............ 2610 anguilliformis Nyl. Graph.............. 2610 anguina Nyl. Graph............ 2654 et 2580 anguinellum Nyl. Stigmat.............. 2941 angulata Fée Arthon............ ..... 3046 ant N TAG YO DES ERA AT 1030 angulata AChAUSNnel ER Le rene tree 512 EnAlLEe AC IATDevesseuccaodoeseoce 1381 An SUTOS ANIME lTSPEE EEE EE CRETE 3127 angulosa Laur. Ramal................. 402 GNQUIOSAENVIARAMaAlER EEE EEE EEEE 399 anousta NylNC TA TON EEE EEE ERIEE 340 angustata Nyle Clan EE Creer cer 358 angustata Eschw. Graph............... 2567 angustatatPers "Parme eee 753 angustata Nyl. Parm....... .......... 761 angustata Nyl PAUSC ee eERe ere eee 983 aneustatanNylIES CEE RER EEE EEE EE 84% angustatus Hoffm. Lichen......... .... 983 angustifolia Mont. Parm...... ......... 689 angustifolia Nyl. Physc................ 944 angustiloba Mont. Séicta.... .......... 839 angustior Nyl. Parmeliops.............. 761 anisomera Nyl. Verruc................ 3443 annulare Mont. Trypeth....1........... 3529 annulansFÉeMPynenul Er EEE TEE CCE 3529 ANnOMAlA NY AGADIR Ce Ce cer 2556 GRO AMIE EEE Eee 0000000000 1997 anomalum Ach. Trypeth............... 3511 anoMuEA ACh AC IATON eee eee Le 301 Anomomorpha Nyl.................... 2801 antarclica Muell. Lecan................ 1463 antarctica Cromb. Lichina............. 13 antarcticum Nyl. Nephroma............ 913 antarcticus Jacq-wLichen...."."...."1 913 antaxia NI MP ATICUAERPER CEE EEE CCC 1810 anteposita NylMLeCId EE rte r Creer 1949 anthocephala Del. Cladon.......,........ 293» anthraspis Nyl. Sliclina................ 115 Antillarum Nyl. Arthon....... 2990 el 2990 » Antillarum Fée Melanoph.............. 3559 EE NME Doondoconcossoncoec 608 Anzia StizenDeer ec … 153-759 et 3650 apalachense Nyl. Collemod............. 86 aphanocarpa Nyl. Aréhon.............. 3006 aphanotripta Nyl. Lecan............... 1199 aphoristicanNyl Ope TEE LEE Cr 2893 aphthosa Ach. Pellideu................. DHt9) NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. aphthosus L. Lichen........,....... .. 949 aphylla Nyl. Cladon................... 301 apocalypticum Nyl. Stereocaul.......... 226 GpochrŒG ANZINTeCAN cree 1430 apochræela NY Lecid EEE TEE 1982 apochræiza Nyl. Lecid.................. 1983 apopetræa Nyl. Lecid.............:.... 2518 apostaticaiNyleLecans ME Tee 1257 appendiculata Fée Parm............... 621 applanata Fée Parme eee eee ee 100% apposita NY PET AU EE een 3498 approxæimala Krempelh. Lecid.......... 2457 Guam) NO EMTODEescosespouocooccoos 1038 aptata Krempelh. Parm..............,.. 639 IE 1e 7 EDocoooccovoscoocooo00co 988 aquilonia Krempelh. Lecid............. 1953 GQUUUS PAC ALIChEN RER REP ATEN NEEE 988 ATAbDUMENTILPRAMA EEE EEE CCC 399 araneosa Bab. Parm.................. URSS araneosum Nyl. Psorom................ 1128 arboreum Tuck. Endocarp.............. 3202 arborum Nyl. Cœnog......... ........ 1844 Arbuscula Nyl. Leprocaul.............. 3641 arceutina Nyl. Lecid............ 2138 el 2139 arceutinoides Nyl. Lecid...........,... 2139 arcte-cincta Fée Pyrenul............... 3509 arcte-cinctum Nyl. Trypeth............ 3509 AECPCANNVI DAC EYE RE EEE 571 arctica Ach. Gyroph..... De ee 1040 arctica Sommerf. Lecid................ 2305 arcticum Fr. Nephroma................ 912 COS LMIDONENÉC 0066 260000600069000 942 RME ES 000 oocogeoeccoa 2289 arenivasaiNyl Heppia ere crrce 4115 areolata Nyl. Cladon...-.....". "4. 357 areolata Nyl. Urceol................... 1830 GRINONNIEN ON AIGcocecoucooceccouoc 3260 areolatum Nyl. Endocarp............... 3260 arsentata AChe LDecanterrereteeecreree 1350 arsenteaiNyl-Pecide rene terre 2121 argentea Fée Nemath.................. 3560 arsillaceanNyl-PDecan rer CET ETC 1320 argodes Nyl. Séereocaul................ 236 VO OA Bo coococoocococodocodo 269 Argus Hook. et Tayl. Stereocaul........ 236 argyracea Nyl. Sficéina................. 768 argyraceus Bory Lichen..... l866oc00000 768 argyromela Nyl. Lecid................. 2417 arizonica Nyl. Parm............ 131Ne M3 arizonicum Tuck. Omphalod..... 737 et 737? armeniaca Schær. Lecid............... 2363 armeniacum DC. Rhizocarp..…............ 2363 Armstrongiæ Jon. Lecid....... 2280 et 2280 b aromatica Ach. Lecid.......,.......... 2231 INDEX GENERUM ET SPECIERUM. Arthonia Ach........... 2962-3124 et 3681-2 | atro-albens Nyl. Lecid arthoniaria Nyl. Pertus................ 1671 | atro-albescens Nyl. Lecid arthoniella Nyl., Melanoth.............. 3569 | atro-albicans Nyl. Alect arthonioidea Nyl. Opegr............... 2813 | atro-albicans Nyl. Lecid arthonioides Nyl. Chiodect.............. 3176 | atro-albida Nyl. Lecan arthonioides Nyl. Melaspil............. 3129 | atro-brunnea Schær. Lecid arthonioides Nyl. Thelotr.............. 4744 | atro-brunnescens Nyl. Lecid articulata Ach. Usnea........... 5014 et 501 | atro-brunneum Ram. Rhizocarp ECS NIMES ES 000028580600 2080 | atro-cæsia Nyl. Lecan asbolodes Nyl. Lecid................... 2303 | atro-cæsia Nyl. Lecid ascidioides Nvl. Verruc................ 3351 | atro-cinerea Hepp Lecan Ascidium Fée............ 4795-1805 et 3659 | atro-flavella Nyl. Lecid Ascociscana Tuck. Lecan.............. 1288 | atro-fusca Muell. Graph aspera Floerke Cladon................. 293 | atro-fusca Hepp Lecid asperella Hampe Lecan......... ...... 4131 | atropa Nyl. Phlyctel asperella Nyl: Pannar................. 1070 | atro-pruinosa Nyl. Agyroph asperellum Nyl. Psorom................ 4131 | atro-rimalis Nyl. Opegr asperellum Nyl. Péeryg................ 45 | atro-rimata Nyl. Lecan aspidota Ach. Lecan................... 3649 | atro-rubricans Nyl. Lecid acte NL GR oc ooso0ooecoveooc 3381 | atro-rufa Ach. Lecid aspistea Fée et Nyl. Verruc............ 3366 | atro-sanguinea Hepp Biator assentiens Nyl. Lecid.................. 2264 | atro-sanguinea Nyl. Lecid assidens Nyl. Opegr.......... 2853 et 2853P | atro-setiger Broter. Lichen assimilans Nyl. Pertus................. 1610 | atro-sulphurea Ach. Lecan sb NL Im conoesconcce ne 2310 | atro-sulphureus Wahlenb. Lichen assimile Nyl. Sfereocaul................ 241 | atro-violacea Flot. Lecan assimilis Nyl. Graph.......... 2572 et 2572 b | atro-virens Schær. Lecid associata Th. Fr. Lecid................ 2535 | atrynea Nyl. Lecan asterella Nyl. Pannular................ 1086 | attenuata Nyl. Schizogr asterellum Nyl. Pteryg................. 45 | attenuatum Nyl. Mycop asterizans Nyl. Graph................. 2623 | Auberianum Mont. Thelotr ASC. Nb SHARE oovocoocecpoccoceo 863 | Auberianoides Nyl. Thelotr astictina Nyl. Sficlina................ 184 | augescens Nyl. Verruc astomoides Nyl. Pertus................ 1579 | aurantiaca Nyl. Coccocarp ASE NY ECO Re et ce 2810 | aurantiaca Nyl. Lecan astroidea Ach. Aréhon. ........ 3076 et 3065 | aurantiaca Nyl. Verruc Soie 1% pos code obocaocsobsoac 978 | aurantiacus Lightf. Lichen BSRoicIeR IN VOTRE 20086 060000600c 3367 | aurantiella Nyl. Lecan Astrothelium Eschw......... ..... 3515-3592 | aurata Mont. Biat asie, NL VEPUBE0c oaoocodocccococooo 3311 | aurata Ach. Parmosticta aterrimum Stirt. Endocarpisc........... 1118 | auratum Pers. Nephroma note Nb momo cseccccecseenoocce 311 | auratus Nyl. Bæomyc athroodes Nyl. Lecan.................. 1536 | aurea Nyl. Lecan atlanticum Tuck. Platysm.............. 554 | aurea Goeb. Teleph aire, AG TéGtoccoonccoodooocoovococe 1446 | aureola Nyl. Lecan aire, GR Oiffeccoccocoocooovccaccen 2834 | aureola Nyl. Physc Graio ES Éradicosooococo0o000c00000 2985 | aurescens Tuck. Platysm atratatum Nyl. Gymnotr................ 1806 | auriculata Th. Fr. Lecid CIRAVAIUMANÉCRENElONr EEE EEE Pre 1806 | aurigera Fée Lecid CADET EP ATMEE EE CCC Ce 998 | aurigera Nyl. Stictina AUHICHENAIN VI PGM ee ee 651 | aurora Nyl. Sticta atrichoides Nyl. Parm................. 636 | aurulenta Tuck. Parm AlFO= ADAM BIO Led eee cer ee 2506 | Auruntii Nyl. Verruc atro-albella Nyl. Lecid......... 2432 et 2439 | austerodes Nyl. Parm NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3° série. — [V. nos doo0agooaoovoc 844 158 Austini Will. Arthon.................. 3109 australe A. Rich. Nephroma............ 915 australe Laur. Sphæroph.............. 180 australiensis Cromb. Parm............. 114 australiensis Fr. Ramal................ 409 australis Nyl. Urceol................... 1833 australissima Nyl. Lecid............... 2418 autographum Nyl. Séigmat............. 2942 aversum Nyl. Glossod.................. 205 avertens Nyl. Thelotr.................. 1709 azoreum Schær. Stereocaul............. 250 azurella Nyl. Coccoarp......... 1996 et 1901? azureum Nyl. Leptog............ 101 et 1012 LUREUS SW LIChEN EPP PETER ER CEE 101 B Babingtonii Nyl. Graph................ 2763 Babingtonii Nyl. Lecan................ 1549 bacillaris Nyl. Cladon............ 350 et 350? bacillifera Nyl. Lecid........... 2163 et 2162 baculifera Nyl. Lecid.................. 2131 badia Ach. Lecan..............:.. 0. 1311 badiella Nyl. Lecid.................... 248% Bæomyces Pers.................... 188-204 bahiana Nyl. Parm..................... 659 bahianum Nyl° Phelotr MERE 1776 balanina Nyl. Physe................... 989 balaninus Wahlenb. Lichen............ 989 Balbisii Fée Graph..................... 2684 Balbisina Nyl. Graph......... 2686 et 2686 » Balfourii Cromb. Cladon............... 283 balteata Nyl. Parm.................... 751 barbala Er: AUSNeU ee RER RER een. 491 barbifera Nyl. Physe................... 949 Beauvoisii Nyl. Stictina................ 19% Beckhausii Koerb. Bacid................ 2163 BehringiiNyIeNLECAR TER EEE REC EC EREE 1444 Belangeri Mont. Biat................... 1901 bella Nyl. Lecan..............::....... 1506 bellidiflora Schær. Cladon.............. 343 belonioides Nyl. Lecan................. 1523 belonophorum Nyl. Collem............. 65 belonospora Nyl. Verruc............... 3331 bengaliense Nyl. Pyrgid............... 175 benguellensis Nyl. Lecan............... 1196 Berengeriana Nyl. Lecid............... 1987 bermudana Tuck. Verruc.............. 3454 bermudensis Nyl. Lecan................ 1438 Berteroana Nyl. Ricasol................ 819 Berteroanum Mont. Heteroth............ 2106 bessalis Nyl. Arthon................... 3088 betulina SMmAOpesr EEE ere 2825 PBiatora Per CEE CT eee 1869-2215 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. Diatoramde NotariSticta ere PEER 806 DiatorinamNviIMLec an. Nr 1200 Liatorina Mont. Parm.................. . 1849 biatoriza Nyl. Lecan..:.:2.. 5 1312 DicavatumiNVI The lo PRE EEE Re 1696 bicincta Ram. Lecan. UC Re 1387 bicinctulum Nyl. Thelotr............... 1714 DICO NI AA EC EPP EEE EE 559 EROONTE TENR Rebe oc soon és ac 2129 LEONE TERMetoonccocouocoddgonoc 952 BLTORMIS NIET EC EREE e 1426 DORMAISIRC EN CITE RER RER 1866 Dior mISMB OR AVE NRUC RCE EEE 3445 bifurca Nyl. Melaspil.................. 3126 bilabiata Nyl. Graph................... 2705 Billardieri Del: Stficia. "Rene 852 Billardieri Mont. Cetr.................. 744 bimarginata Nyl. Platygr.............. 2895 Bischoffii Nyl. Lecan.- "2 1301 biseptella Nyl. Aréhon........ 3117 et 31179 DISDOra MN y Le cIT RE EEE EE TERRE 2129 bisporum Nyl. Thelotr................. 179% bistorta Nyl. Ramal.................... 440 MEN INA EMITES oo ooocooccasseoce 1394 blandior Nyl. Lecan............ 1460 et 1463 blepharophora Nyl. Lecid.. 1901,1901 Let 3655 blepharophorum Bél. Collem............ 14901 bogotana Nyl. Lecan................... 1351 bogotensis Nyl. Ramal................. 41% bolacinum Nyl. Dendriscoc.............. 3607 Bolanderi Tuck. Endocarpisc........... RER boliviana NY SPArMnee CRE 656 boliviana Nyl. Sficta................... 822 boliviensis Nyl. Phlyctid................ 1809 Bonplandi Fée Opegr.................. 2869 Bonplandiæ Nyl. Opegr................ 2869 Bonplandiæ Fée Pyrenula.............. 3377 borbonica Nyl. Cladon................. 334 borbonica Nyl. Verrue................. 3353 bormiensis Nyl. Lecan................. 1437 Homme Mteooposcobcocanesooc 673 Borreroides Nyl. Parm................ 677 Boryana Del. Cenom................... 334 BoryanaNylaS ic a eee rer ERP ET ETEEE 833 Boryanum Ach. Collem..:.............. 80 Boschiana Nyl. Sfictina................ 805 botrytis Hoffm. Cladon................. 308 botularium Nyl. Endocarp............. 3207 Bourgæana Mont. Ramal............... 450 brachyspora Th. Fr. Lecid............. 2356 bracteata Nyl. Lecan................... 417 bracteatum Nyl. Placod................. 1170 brasiliana Nyl. Parm.................. 655 brasihensiSINyACIa Ton EEE PEER TE 310 INDEX GENERUM ET SPECIERUM. brasiliensis Nyl. Melanoth.............. 3568 brasiliensis Nyl. Phlyctel............... 1813 brasiliensis Del. Sticta... "Mn 796 Brebissonii Nyl. Lecan................. 124% MONNIER CRD e eo cd ocbono one 2512 IMÉMOPN LINE 6600500000 00o0on 931 breviuscula Nyl. Lecid................. 1887 DrOCCha Nyl ML eCGN: nn RE 1450 brunnea Mass. Pannar................. 1066 brunnea Fée Pyrenula.................. 3379 brunneolum Nyl. Calic................. 161 DRUNREUSISWALICHENS EE TEE CC CCC 1066 bryontha Nyl. Perfus. .................. 1560 DaVOPRII ENV IEMVENTUC EEE RP PERCÉE 3229 bryophiloides Nyl. Urceol............... 1829 INONIE NI ER co coocccoccocooe 3483 Buchanani Nyl. Psorom................ 1140 bullata Mey. et Flot. Lecid.............. 2228 Dole nn NN oS ee coco cccoucous 120 RTS AOENLEMEMS Sc oocoococccoccoc 120 bumamma Nyl. Lecid.................. 2230 Burgessii Mont. Leptog................ 127 byrsinum Nyl. Dichod............. 80 et 80p byssiplaca Fée Lecan........... 1356 et 1393 DMSSISELAN VIE L EC Re ee 1884 Byssocaulon Mont................ 1851-1853 byssomorpha Nyl. Lecid............... 2056 G cabbalistica Nyl. Graph................ 2800 cacuminum Th. Fr. Lecan.............. 1291 CSI MP USC ER ee ce ee co e 981 cæsio-alba Nyl. Pertus................. 1601 cæsio-cinerea Nyl. Lecan............... A4T4 cæsio-crocata Nyl. Physc............... 955 cæsio-hians Nyl. Graph........ 2172 et 27129 cæsio-pallens Nyl. Lecid............... 2025 cæsio-pallida Nyl. Lecid................ 2224 cæsio-picta Nyl. Physc................. 1007 cæsio-pruinosa Fée Arthon.............. 2649 cæsio-pruinosa Nyl. Lecid............... 2455 cæsio-pruinosa Nyl. Pyœine............ 1009 cæsio-rubella Ach. Lecan.............. 1382 cæsio-rufa Nyl. Lecan.................. 1227 cæsio-rufella Nyl. Lecan............... 1229 cæsio-rufescens Nyl. Lecan............. 1183 CHE INTIMES Sc o0oonoocoocouoooc 982 cæsium Nyl. Ghiodect.................. 3157 cæsius Hoffm. Lichen.................. 981 cæspitellum Nyl. Leptog................ 129 cæspititia Floerke Cladon.............. 330 cæspitosa Nyl. Omphal................ 24 calcarea Sommerf, Lecan............. . 1477 calcarea NY PEREUS EEE eee 1626 CAICICOl A NY MVEUC EEE EEE ECC Ce 3245 calicariformis Nyl. Ramal.............. 430 calicaris Fr. Ramal.............. 426 et 426 D CONCARSANVISRAMAIEE EEE NE ERE 439 Calcium AGREE Ce r-cce ce 145-162 californica Tuck. Cefr.............,... D24 californica Nyl. Chlorea............... 485 californica Nyl. Platygr................ 2905 californica Th. Fr. Schizop............ 3638 CAS PORN YIELE CITE EE 2469 callithamnia Tuck. Sticta............... 106 callithamnion Nyl. Leptog.............. 106 callopisma Ach. Lecan................. 1159 callopismum Nyl. Placod............... 1159 callopizodes Nyl. Lecan................ 1267 colles FIL Ms ococcoe2e0606080 976 core Nb Res coco eoccoococodoe 1212 calvescens Nvl. Gyroph................ 1029 calvescens Nyl. Lecan.................. 1412 calvescens Fée Thelotr................. 1715 CHOUSDICKSABIChEN EP RE eee rer 1212 Calycantha Del Ton EEE TEE EEE 217 campbelliana Nyl. Lecid................ 2387 campestris Schær. Lecan.............. 1350 camptidia Tuck. Lecan................. 1234 camplospora Nyl. Ramal............... 408 canalicularis Nyl. Ramal............... 417 canaliculata Tayl. Ramal............... 422 canaliculata Fr. Ramal................. 426 canariensis Nyl. Chlorea................ 486 canariensis Nyl. Sticta................. 817 canariensis Schær. Sticta............... 855 Candelabrum Nyl. Cladina............. 313 Candelaria Nyl................... 1259-1267 candelaria Nyl. Physc.................. 1265 candida Anzi Lecan.................... 1464 candida Ach. Lecid.................... 2223 candidata Nyl. Graph.................. 2611 candidissima Nyl. Glyphol............. 1552 candidus Web. Lichen................. 2223 Canellæ-albæ Nyl. Verruc.............. 3415 canescens Ach. Lecid...........:...... 2416 canina Hoffm. Peltig................... 898 canina Mont. Peltig.................... 901 CONVUSAIEMIACREN ER EEE EEE Re ee re 898 cano-rubella Nyl. Lecid................ 1902 capense Mass. Placod................... 1174 capensis Fée Dirina................... 1555 CapensisN VI PANNE eee ec 662 CAPENSISENVIENP AUSCANM EEE EEE PEER T 935 capensis Nyl. Ramal................... 411 caperata Ach. Parm............ 580 et 580 P 826 160 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. caperatula Nyl. Parm.................. 585 | ceracea Nyl. Graph.................... 2649 caperatus L. Lichen................... 580 | ceranoïides Borr. Collem................ 43 capitata Ach. Ramal................... 447 | cerasentera Nyl. Lecid................. 2210 capitellata Nyl. Cladina................ 318NCerasi Schrad Vernuc er ere Crete 3492 caraccensis Nyl. Parm................. 689 | ceratina Ach. Usnea............. 503 et 503 P carcata Ach. Cladon................... 348 | ceratina Fée Verruc................... 3422 caribæa Nyl. Arthon............ 2971 et 2980 | ceratites Nyl. Siph.................... 208 caribæum Fée Coniocarp............... 3054 | ceratodes Floerke Cladon............. 288 ? cariosa Floerke Cladon.......... 284 et 284b | ceratophylla Eschw. Cladon............ 275 cariosa Laur. Ramal................... 448 | ceratophyllina Nyl. Cladon............. 301 carnella Nyl. Lecan.................... 4195 | ceratophyllus Sw. Lichen............... 275 carneo-albens Nyl. Lecid............... 1943 | cerebriforme Mont. Chiodect............ 3153 carneo-fusca Nyl. Lecan................ 1236 | cerebrinella Nyl. Lecid................. 2453 carneola Fr. Cladon.... ............... 305 | cereolinum Ach. Sfereocaul............. 263 carneola Ach. Lecid................... 1861 | cerina Ach. Lecan..................... 4191 carneo-lutea NylRLecid Rene ee crer ere 18590 Ncerina NY AVENTURE RENE REEEER 3389 carneo-lutescens Nyl. Lecan........... 1349 | cerinella Nyl. Lecan................... 1194 carneo-pallescens Nyl. Cladon.......... 280 | cerinus Ehrh. Lichen.................. 1191 carneo-pallida Nyl. Cladon............. PA RO ES NID IORADe os Senacoccc000odoe 1208 carneo-pallida Nyl. Pertus............. 1665 | ceruchis de Notar. Ramal.............. 389 carnulenta Nyl. Lecan................. 4405 | cervicornis Schær. Cladon........ 299 et 299b caroliniana Nyl. Cladina............... 377 | cervicornis Tuck. Parm................ 689 caroliniana Nyl. Parm................., 661 | cervicornis Nyl. Sfictina............... 714 carolinianum Tuck. Trypeth............ AO CORNE CS ess sooccooococoboc 278 Carpinea ACh-Verruc et. -ree---cee 3290 | cervina:Ach. Lecan...:....... 1513 carpoloma Nyl. Stictina................ 780 | cervina Nyl. Lecan..................... 1514 carpoloma Rich. Sticta................. 851 | cervino-fusca Nyl. Lecid............... 2009 carpolomoides Nyl. Sticta.............. 814 | cervinus Pers. Lichen.................. 1513 carporrhizans Tayl. Parm.............. GES INÉCERME) ANSE 05808 76d000000000c 517-524 cartilaginea Ach. Lecan................ 1335 | cetrariæformis Del. Cladon............. 318 cartilaginea Fée Verruc................ 3416 | cetrarioides Schw. Cladon.............. 359 caryophyllata Fée Lecid...........,..... 1933 | cetrarioides Nyl. Parm........... 602 et 602 » Casarettiana Nyl. Ricasol............... 884 | cetrariza Nyl. Alect................... 560 Cascarillæ Nyl. Arthon.......,......... 2065 IMcetrata NI PORN ER Ce CCC 195 Cascarillæ Fée Graph.................. 2570 | ceuthocarpa Wahlenb. Verruc.......... 3268 castanea Schær. Lecan............... . 1513 | ceyloniensis Nyl. Verruc............... 3478 castanea Hepp Biatora................. 1543 | chalybeïa Borr. Lecid.................. 2390 castanella NI RLeC On Eee eee 1543 | chalybeiza Nyl. Lecid.................. 2380 castaniza Nyl. Lecan.................... 3656 | chalybeiformis Ach. Alect....... 563 et 563P catapasta Nyl. Verruc.................. 3332 | cheileum Ach. Collem.................. 55 catawbensis Nyl. Lecid................ 2490 | chilena Nyl. Dirina.................... 1558 catenatula Nyl. Arthon................ A ONE INT Joe co cococo0cocoococoo 660 catervariaFée Verruc.................. 3419 | chilena Mont. Ramal.................. 448 cathomelizans Nyl. Thelotr............. 1743 | chilense Mont. Erioderma.............. 1106 caudata Nyl. Lecid..................... 2292 | chilense Mont. Pyrenastr............... 3308 cavatum Ach. Thelotr......... 1693 et 1693 | chilensis Nyl. Bæomyc................. 188 Cedrina NY AUION RER EEE Ce eee 2553 | chilensis Bert. Ramal.................. 415 cellulifera Tayl. Sticta................. 852 | chilensis Nyl. Verruc................. 3358 cellulosa Ach. Peltid................... 894 | chiodectella Nyl. Aréhon................ 3029 cellulosum Nyl. Nephroma............. 894 | chidectoides Nyl. Arthon............... 3030 CENISCAEACh Lean RACE Tee 1368 | Ghiodecton Ach.................. 3153-3185 CONSEILS 6 560080000060000000 1368 | chiodectonoides Nyl. Pertus............ 1654 cenotea Schær. Cladon................. 328 | chionea Norm. Lecid.........,...,...... 2499 Gb ER AN JTAbo 00 6 © ovogo0ooooco 718 | chionographa Nyl. Opegr............... 2831 INDEX GENERUM ET SPECIERUM. chionostomum Nyl. Thelotr............. 1723 chlarodes Nyl. Lecan.................. 1357 chlarona Nyl. Lecan............ 1356 et 1360 chlaronella Nyl. Lecan................. 1359 chlarotera Nyl. Lecan.................. 1360 chlaroterodes Nyl. Lecan............... 1358 GA Nb ooooooueesa6000obe0ee0ce 484-490 CHIOTS SNUCkE LECTURE RER EEE 2098 chlorocarpa Fée Graph................. 2700 chlorocarpoides Nyl. Graph... 2702 et 2701 ? chloroconia Tuck. Lecid............... 2408 chlorographa Nyl. Opegr............... 2862 chlorographiza Nyl. Opegr.............. 2846 chloroleuca Nyl. Lecan................. 1192 chloroleuca Hook. et Tayl. Slicla........ 833 chloromeloides Nyl. Leptog............. 119 chloromelum Nyl. Leptog.............. 118 chloromelus Sw. Lichen................. 118 chlorophæa Floerke Cladon..... 218 et 278? chlorophæata Nyl. Lecid.............. 2205 chlorophana Ach. Lecan............... 1505 chloroplaca Fée Lecid.................. 2061 chlorotera Nyl. Verrue................. 3323 chlorotica Ach. Lecid.................. 2187 chlorotica Ach. Verruc................ 3289 chloroticoides Nyl. Lecid............... 2083 Chondropsis Nyl...................... 765 chordalis Floerke Cladon........ 29% et 294 Cros ASéccoococcoecooosvoc00evo 3615 chrysentera Nyl. Graph........ 2703 et 2703 » Chrysenteron Mont. Graph............ 2703 chrysantha Tuck. Cetr................. 255 chrysanthum Nyl. Platys............... 555 chrysocarpa Eschw. Graph............. 2602 chrysocephalum Ach. Calic............. 145 chrysochroa Nyl. Lecan................ 1158 chrysochroum Nyl. Placod.............. 1158 chrysoleuca Nyl. Lecan................ 1330 chrysoleucus Sm. Lichen.... ......... 1330 chrysophthalma DC. Physe............. 935 chrysophthalmus L. Lichen............. 935 CRIYSOPSDUCKAEeCAN EE CRETE Tee 1506 chrysosticta Tayl. Lecid............... 2106 cicatricosa Ach. Glyphis........ 3147 et 3147 D ciliare Nyl. Platysm............. 542 et 542 D CUITS AN DER EE ES Eorobonosono does 542 CET OI) PES ee 00000000 6000000 941 ciliaris Nyl. Sfictina................... 809 ciliala Ach. Lecan..................... 1125 GE D) CNED SE 80060000006 008 599 dllale NL PTE ee 66000000666000000 295 CiMAtaMONt ES TT Eee rer ce 3965 ciliatum Nyl. Leptog................... 108 ciliatum Nyl. Psoroma................. 1125 161 CHTALUS ENVIE ENEUTOD eee ere re 51% ciliolata Mont. Coccocarp...... 1098 et 1098 P cimiciodorum Mass. Leplog............. 100 CinchoneiDel SEC ARRET 79% Cinchonæ Ach. Verruc................ 3461 Cinchonæ Fée Verruc.................. 3375 CNCROTEAN TN ELRUC ARE EE CCEES 3430 Cinchonarum Fée Ascid....... 1799 et 1799 Cinchonarum Fée Lecid................. 245% Cinchonarum Nyl. Verruc.............. 3366 Cincinnata Er Alec UP TRES 568 cincinnata Ach. Parm................. 749 cinefaciens Nyl. Verruc................ 344% Cineraria Nyl. Pertus. Ne 1669 cinerascens Nyl. Arthon............... 3037 cinerascens Nyl. Lecan................ 1311 cinerascens Nyl. Lecid................. 2922 cinerascens Nyl. Pannar............... 1057 cinerascens Nyl. Parm................. 711 cinerascens Nyl. Physc................. 950 cinerea Sommerf. Lecan............... 1465 Core NÉS Cradnss 64086 606060000000 2612 Cinerea Pers MVERTUC Eee eee Ce 3291 cinerella Flot. Verruc. 3500 cinereo-cæsia Sw. Urceol............... 1825 cinereo-fusca Fée Lecid................. 1942 cinereo-glauca Tayl. Sticta............. 835 cinereo-glauca Hampe Sticta............ 850 cinereo-lulescens Nyl. Lecid............ 1963 cinereo-pruinosa Schær. Arthon........ 3012 cinereo-rufescens Nyl. Lecan........... 1489 cinereo-virens Eschw. Lecan........... 1497 cinereo-virens Schær. Lecid............ 2236 CINEREUSRANTAIC RENE EEE EEE ECC Le 1465 cineriseda Nyl. Verruc................. 3466 CNET ACER ARMEER EE EEE Tec 1559 cineritium Nyl. Amphil................ 1559 cinnabarina Wallr. Arthon............. 2962 cinnabarina Fée Graph................ 2795 cinnabarina Ach. Lecan................ 117% cinnabarina Sommerf. Lecid............ 1923 cinnabarinum Nyl. Placod............. 1174 cinnabariza Nyl. Lecan................ 1175 cinnabarodes Nyl. Graph............... 2796 cinnabarodes Nyl. Lecid............... 1924 cinnamomea Th. Fr. Lecan............. 1228 cinnamomea Ach. Sticta................ 771 cinnamomeum Eschw. Pyrenastr........ 3916 circinarivides Fée Solorina............. 1091 circinata ACh. LeCaN nec 1343 CUicinaumINYIeBIACOTEE EEE PER ER 1343 circinalus Pers. Lichen................ 1343 circumalbicans Nyl. Arthon............ 3095 circumalbicans Nyl. Lecid......,....... 2001 162 circumdiluens Nyl. Lecid............... 2256 circumducta Nyl. Opegr................ 2858 circumflexa Nyl. Glyphis............. 3152 D circumflexa Nyl. Lecid................. 2291 circummunita Nyl. Lecan.............. 1478 circumnodata Nyl. Parm............... 685 circumpallescens Nyl. Lecid............ 2020 circeumpleæa Nyl. Glyphis....... 3152 et 3152? circumplumescens Nyl. Lecan.......... 1350 circumpressa Nyl. Verruc.............. 3475 circumpurpurans Nyl. Lecid............ 1912 circumradians Nyl. Graph............. 2175 circumrubens Nyl. Verruc............. 3374 circumserpens Nyl. Melasp............. 3138 circumtincta Nyl. Lecid............... 1933 CIFLOCHEOAPACNE LeCANe MERE EE re 1157 cirrochroum Nyl. Placod....:........... 1157 GE NM Ia ooncoccoouaoooodocce 2246 CiininaiTaylACetr PERTE EEE EE CEE Ce 534 Giérina PACA NLeCAN ee ere rec nerr 1178 CitrinaScheæer decider ect 2414 CUMRINAMBETS AS EICIA EE ere ec 718 Citrinela AGCh Dec Re TETE ee 241% CurinelaMEr Parme ere ere ree 1214 citrinum Flot. Placod.................. 1178 citrinum Tayl. Platysm................. 534 GLada NY PRE Een ee 381-383 Gladina Nyse Re ee. 363-380 cladinodes Nvyl. Pycnothel.............. 3688 cladodes Nyl. Lecan................... 1167 Gladonia Hoffm............. 273-362 et 3637 GladonaMuekAELERN ER EEE Eee 974 CLAdOPSIS NIET EEE Eee 3624 cladonioïica Nyl. Lecid................. 2379 cladonioides Nyl. Chloreu.............. 489 clandestinum Nyl. Astrothel............ 3519 clandestinum Fée Thelotr.............. 1687 clathrata de Notar. Sticta.............. 844 clavata NY Clone 348 clavatum Nyl. Piloph................... 363 claviceps Th. Fr. Sfereocaul............ 235 cleistoblephara Nyl. Graph............. 2605 cleistomma Nyl. Graph................ 260% ClUOPSRÉe Graphe Eee ce er 2604 coaddita Nyl. Lecid.. he 2049 coarctata Ach. Lecan.................. 1502 Coccliena NI MP YTIne CP ER EREE EE Tee 4015 Coccocaripa Pers.......... 1088-1099 et 3655 coccocarpioides Nyl. Lcid............. 2216 coccocarpiopsis Nyl. Lecan............. 1341 coccocarpum Nyl. Gymnod............. 1143 COCCOUeSBÉLEML EC R PEA TEE TER ES 2102 coccophora Nyl. Pertus................ 1670 coccophorum Nyl. Thelocarp..,,...,.... 1670 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. coccophylloides Nyl. Collem............ 59 coccophyllum Nyl. Collem.............. 58 COCOESNTIEMPU TEINTE EEE PE ENT 1009 Cocoës\ Fée Circinar...""# "Mec .. 1091 CGœnogonium Ehrenb............. 1836-1847 cœrulescens Nyl. Leplog................ 421 cœrulescens de Notar. Sticta............. 806 cœrulescens Nyl. Sticlina.............. At CON ALAIN TIELEC IT SEE EE EEE ETC 2194 cohibens Nyl. Graph.......... 2631 et 2631 D COMPDINSENVIESLE CT CREER EEE T EE 3675 coilocarpa Ach. Lecan................. 1373 GolensoiNYI LeCit PEER EEE TRE E 1880 Colensoi Bab. Stereocaul................ 221 ColensoiNyl MS ticte eEEEECE 842 collatum Nyl. Platysm............ 531 et 531? Collema PACE EEE EEE CEE 34-79 Gollemodium Nyl..................... 85-88 Collemopsis Nyl............ 30-31 et 3626-27 colliculosa Nyl. Graph................. 2681 colliculosum Mont. Scleroph............ 2681 COUAENS ENVI ELEC EEE EEE 2503 colobicum Nyl. Thelotr................. 1751 colobina Ach. Lecan................... 1286 colobina Tuck. Pertus.................. 1641 colobinoides Nyl. Lecan................ 1287 colpodes Ach. Parm................... 754 colubrosa Nyl. Graph.................. 2657 columbiana Nyl. Graph................ 2715 columbianum Nyl. Trypeth............. 3535 columellatum Nyl. Thelotr.............. 1775 COMALANVI SIDA CCR CPR 211 Gombea de Notar...................... 474 combeoides Nyl. Ramal................ 390 combinans Nyl. Lecid.................. 3672 Cometid FÉCIG ADR EE EEE CEE EETE 2708 cometia Nyle Sfictina en Re eee 185 Comma Nyl. Graph.................... 2560 Comma Eschw. Graph.................. 2885 Comma Nyl. Melasp................... 3132 commatella Nyl. Graph................ 2592 commatodes Nyl. Melasp............... 3133 communis DC. Pertus................. 1575 communis Nyl. Pertus................. 1576 commutans Nyl. Lecan................. 1219 COMOSA NV PAYSC ECC CREER C EEE 948 COMOSA A Ch AUSnEL eee LE CL EC 499 comosus Bory Lichen.................. 943 compacta Arn. Lecan.................. 1144 compacta Nyl. Lecid.......,........:.. 1876 COMpacta Nyl "PAYSC-PENR EEE PEER EEE 990 compacta Will. Pyrenops..,............ 3618 compactum Cromb. Leplog............ 118 compactum Cromb. Sphæroph,..... el INDEX GENERUM ET SPECIERUM. COMPANY ES CAN PEER EEE EEE CCE CT 716 comparanda Nyl. Lecid................ 20S1 comparata Nyl Parme en eee 601 comparatula Nyl. Verruc................ 3318 comparilis Nyl. Graph.................. 2751 compendiosa Nyl. Lecan................ 1346 compensata Nyl. Aréhon............... 2974 compensata Nyl. Lecan................: 1304 compensatula Nyl. Arfhon.............. 2975 complanata Fée Arfhon........ 3061 et 3061 » complanata Koerb. Lecan............... 1492 complanata Fée Lecid.................. 3116 complanata Nyl. Ramal................ LA complanata Fée Sérig.................. 3509 complanata Nyl. Verruc................ 3372 complanatula Nyl. Arthon..... 3064 et 3064? complanatus Sw. Lichen............... 418 COMplexum Nyl CO ENROG AE NS 1841 complicata Laur. Cetrar................ b32 complicatula Nyl.Leptogiops............ 136 complicatum Ach. Endocarp........... 3193 complicatum Nyl. Platysm............. 532 componens Nyl. Graph................. 2606 compressa Nyl. Gruph................. 2869 compressum Ach. Sphæroph..... 179 et 179P compressum Nyl. Séereocaul...... 232 et 237 compressum Bab. Sfereocuul............ 234 compuncta Ach. Porina................. 1781 compuncta Mont. Sagedia............... 2944 compuncta Ach. Urceol................. 1772 compunctellum Nyl. Thelotr............ 1760 compunctulum Nyl. Séigmat............ 2946 compunctum Nyl. Stigmut............. 2944 compunctum Nyl. Thelotr.............. 1772 compunctus Sm. Lichen................ 1712 concatenata Tuck. Lecid............... 2003 concalervans Nyl. Verruc.............. 3418 concatervata Nyl. Verrue............... 3123 CONCRAAINACIATON EEE EEE EEE 303 concilians Nyl. Lecan.................. 1402 concolor Nyl. Graph................... 2737 concolor Dicks. Lichen................. 1265 concordans Nyl. Lecid.......... 2402 et 2386 COncordata Nyl ec... 2386 CONCTELAINVIE RER US PRE EEE ETES 1590 CONCRELAINVIEAUSTN ET EEE EEE d03 concretum Fée Crasped................. 3559 concrelum Fée Thelotr................. 170% Condaminea Nyl. Graph................ 2596 Conduminea Fée Lecid.................. 1922 condensatum Hoffm. Stereocaul......... 262 CONMETLAINVIE PATRON. eee. 2993 conferta (Dub.) Lecan.................. 1436 contente hEAGEAphE rer er 257% contentulaiN VI MOpDegneere er eee 2884 confertum Fée Coniocarp............... 2993 confertum Nyl. Thelotr................ 1693 confervoides Nyl.' Cœnog. 1844, 1843 et 1844 D confervoides Nyl. Lecid................ 2521 configurans Nyl. Lecid................. 1935 Confins NY Verre rer 3409 confirmata Nyl. Ramal................. 432 conflectens Nyl. Lecan................. 1384 conflectens Nyl. Dec ne a ere 2274 confluens Nyl. Arthon.................. 2971 confluens Mont. Glyph......... 3149 et 3149b confluens Nyl. Graph.......... 2672 et 2672? confluens Ach. Lecid................... 2329 ConfIUens Er Parme rer. 1006 confluescens Nyl. Parm................ 663 conforme Fée Thelotr.................. 1700 CONOrMISANYIAVEREUC EEE ere ce cee 3447 confragosa Nyl. Lecan.................. 1289 confragosula Nyl. Lecan................ 1302 confundens Nyl. Pertus................ 1637 confusum Nyl. Chiodect................ 3162 congerens Nyl. Platygr................. 2921 congestula Stirt. Verruc................ 3369 congestulum Nvl. Chiodect.............. 3172 congestum Nyl. Sfereocaul.............. 266 conglomerata Nyl Graph "CR 0e rRr 2609 conglomeratum Hoffm. Collem.......... 71 congregans Nyl. Verruc................ 3371 congregata Nyl. Heppia................ 1116 congregatum Nyl. Endocarpisc.......... 1116 congruens Ach. Parm.................. 712 conicum Eschw. Astroth................ 3516 coniochlora Mont. Lecid................ 2401 coniocræa Nyl. Cladon................. 288 coniocræa Floerke Cladon .............. 298 Coniocybe Ach.............. 163-164 et 3632 coniops Wahlenb. Lecid................ 2425 coniops Nyl. Lecid..................... 2244 conioptoides Nyl. Lecid................ 2427 conista Ach. Cladon.................... 281 conistizum Nyl. Collem................. 68 conizæa Nyl. Lecan.................... 1410 conizodes Nyl. Verruc.................. 3209 conizopta Nyl. Lecan................... ail conjuncta Nyl. Lecid.................... 2097 conjungens Nyl. Lecan................. 1189 ConnataNyI Graph rer eererceereece cet 2573 connatum Eschw. Oxystom.............. 2573 connexula Nyl. Lecid.......... 2091 et 2091? connivens Nyl. Trypeth................ 3552 conoidea Fr. Verruc................... 3438 conoplea Nyl. Pannar.................. 1057 conothelena Nyl. Verruc............... 3499 164 consentanea Nyl. Graph............... 2152 consentiens Nyl. Lecid.................. 2348 consequella Nyl. Verrue................ 3477 consimillima Nyl. Opegr................ 2843 consimillimum Nyl. Mycop............. 3601 consobrina Nyl. Verrue................ 3349 consocians Nyl. Graph...............:. 2685 CONSOPSINVI PARMI EEE CEE ET CCE CE Ce 664 conspersa Fée Lecid................... 2285 conspersa Ach. Parm............ 702 et 702 conspersula Nyl. Parm................. 707 conspersus rmlbichen- terre ce cr 702 conspicua Nyl. Aréhon................. 300% conspicua Del. Cladon................. 314 conspirans Nyl. Lecid.................. 2458 conspondens Nyl. Lecid................ 2133 CONSpURCANS DU. VELLUE cree 3254 constans Nyl. Lecan.................... 1445 constipans Nyl. Lecan.................. 1173 constrictans Nyl. Parm................. 703 contendensiNyl AVernuc Re E rer ere 3436 Contex ta NI GARE TERRE eee 2153 COCHANT AA scedesetsescporcooo 2317 ContinensuNyl ect re eee creer 2433 contingens Nyl. Lerid.................. 2475 CONLORtANN TI ECUN PETER PER CCC CCC CE 1477 CONTORAN VI EPAEMEEC REC ECC CCC CE 00 contractula Nyl. Lecan................. 1337 controversum Pers. Cœnog............. 1836 contumescens Nyl. Endocarp........... 3204 conturbata Nyl. Aréhon...........,.... 2979 conturbatula Nyl. Pyrenops............. 3617 convarians Nyl. Lecid.................. 1855 conveniens Nyl. Thelotr............... AT46 convexaNy IVe rTUC CREER CE CEE Crcir 3373 convexum Nyl. Trypeth................ 3516 copalchiana Fée Pyrenula.............. 3375 Copelandi Nyl. Lecid.................. 2505 Cora ET SR RE ee en cue 3186 Cobone ACL sooccacsocococcoe 2497 corallifera Kunze Cladon............... 341 CNT NMLMANACS Se sc0000do0doogo Cbil coralliphora Nyl. Physe................ 951 corallinalEschwe Decitre enter eee 1893 corallina Will. Pyrenops............... 3626 corallinum Nyl. Sfereocaul............. 261 coralloidea Wahlenb. Getr.............. 553 CHANOLEMIN ALIAS ooocoooocooovooc 2103 CoralloidesN VIEN TeC An EE EEE PEER 1166 coralloides Pers. Sphæroph............. 182 coralloides Fr. Sfereocaul.............. 247 coralloideum Nyl. Platysm............. 053 coralloideum Nyl. Psoroma............. 1127 Corallophora AN PMP AUSC PERRET Eee 951 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. Coriacea NyI PRICASO Re REC REC 865 Corte NÉ De 208 500000000000 216 COPMICUTANSEN VIE GTME EE EEE eee 610 corniculata Nyl. Pertus................ 1618 corniculatum Nyl. Endocarp............ 3199 cornucopioides Fr. Cladon....... 340 et 340? cornu damæ Hoffm. Platysm............ 817 cornuta Ach. Cenom................... 287 CORDUTANERACIATON ARE EEE ENNENRS 298 COANENOES ERA aacoooococoacodoco 504 cornutula Nyl. Cladon.... 350 coronata (Muell.) Lecan................ 1375 CORAN MERE soooooocuvo0ocoaoc 680 CORON TAN YIMRICASO PRET EE APE 878 coronulans Nyl. Lecan.......... 1396 et 1400 Coronulata NI Le An RE 1400 CORROS A IN VIERRICOS IEEE 880 corrugata Nyl Lecan. 1386 corrugatulum Nyl. Leptog.............. 125 corticatulum Nyl. Stereocaul ........... 245 CORCOLUENNIMLEE CAN EP APE 1460 CONICUMENVI ELEC EE CERTA ERRTE 2163 CONTI EE 06 soc00000000000000c 3398 corymbescens Nyl. Cladon............. 325 COPYMPOSAENyI AC IA TON eee ere re re 3637 corymbosula Nyl. Cladon............... 282 Corynophoron Nyl..................... 227 costaricensis Nyl. Parm................ 666 costata Floerke Cladon................. 279 CHENE TEMPe So aaccoooccoooocovao 1502 GARE AOL doccecococccoscocce 1327 CLASSAIN VI PROMO EEE EEE CCC 458 CTASSIUSEN y DEPOT REC CE CCC 118 crassulum Nyl. Thelotr................. 1673 crassum Nyl. Sphæroph................ 179 CrassuMDUb ST TMAL Eee ERP Tee Tree 2952 CRASSUIMARÉe FUBVPEURE EEE ET EEE TEE 3526 cHassus HUudS. LiChen etre cree cree re 1327 GREEN IIOo ss so0co000oco-cc0os 1259 COMME NN M AUDE co doscococvoococecc 715 crenata Nyl SHC CEE CRE CEE RER 768 crenatellum Tuck. Leptog.............. 104 crenatum Nyl. Homod.................. 431 crenulans Nyl. Pannar................. 1066 Crenulata NY Lecant Eee Eee Eee Ce 1260 crenulata Eschw. Parm................. 878 crenulata Nyl. Ricasol................. 883 crenulatus Hepp. Bæom................ 190 cribellans Nyl: Lecan...."".""""#nn. 1326 CRAN EME Se 00e 00000000 152 CHINAMSENVIPAUEC EEE EE EE CEE ECO 568 GoiNe ON (AAocoocoodovocooaadoooe 600 CHE, AGE CAPoossoseoooacoccongoooou 518 crispa Nyl. Physe............... 960 et 960 ?» INDEX GENERUM ET SPECIERUM. 165 Crispata ACh- Clone 318 | cuspidans Nyl. Arthon................. 2962 crispatellum Nyl. Leptog............... 103 | cuspidata Ach. Ramal............ 458 et 4582 crispatula Nyl. Cladina................ 3691|NGuticula Fée Decid Reel 24112 crispatula Nyl. Heppia................. 1142 |} cyanescens Nyl: Lecan................. 1436 crispatula Despr. Ramal............... 453 | cyanescens Nyl. Leptog................. 124 CHISPALUSPACRERB ECM EE ET 318 | cyanipes Nyl. Cladon.................. 306 crispellum Nyl. Psorom................ = 14331 | cyanizum Nyl. Leptog.................. 124 Castiale, NL lPTbecsedocceccecoccece.e 620 | cyanocentra Nyl. Lecid................. 2013 cristatella Tuck. Cladon................ 360 | cyathicarpa Del. Sticta................. 189 cristatum Schær. Collem............... 0 | cyathicarpa Nyl. Sticta................. 788 CROICRO ME Ab THB occccocococchocc 60% | cylindrica Ach. Gyroph................ 1041 CHER AG IAE Dee cobenc 75% | cylindrica Mont. Physc................ 933 EnUER Niyik Jémmnsecosocoeccocoaccosce 1490 | cylindricus L. Lichen.................. 1041 CROCAN EN ANNE AR RE EE 1188 | cylindriphora Tayl. Parm............... 1130 crocata NylSficlina.. "nn 718 | cylindriphorum Nyl. Psorom........... 1130 CHOCAUUSRL EE ICHEN EEE 718 | cymbalifera Tuck. Physe............... 932 CrOCe A PACNEP UC PRET ER Co Ce 925 | cymbegrapha Nyl. Lecanact............ 2805 CHOC EACH ES OIORNA EE 921 | cymosa Nyl. Cladina................... 263 CHOCO ANRT CA PEER RE CE 1996 | cymosum Cromb. Sfereocaul............ 249 CHOCCUSAIERIAICRENEE ER EEE EE 921 | cyphalea Nyl. Lecid.................... 2288 crocoides Nyl Solorinina............. 910 | cyphelliformis Cromb. Lecan........... 1203 Crocynia Ach............. 1848-1850 et 3660 | cypria Koerb. Lecan................... 1446 CHOMAANVINCOCEOCATDE EE Ce 1091 ScyrtelloidesNyIERLECId EEE CEE CRC 2055 crossophylla Nyl. Pannul.............. 1087 | cyrtodes Nyl. Arthon.................. 3051 crotonicola Nyl. Melanoth.............. 3567 | cyrtospora Nyl. Lithogr................ 2548 cruentatum Nyl: Trypeth............... 30439. cyttarina Nyl: Lecid. "nn 2116 enuentulurm Nyl ÆypetR eee 3014 cruentum Mont. Trypeth............... 3512 D crustulata Nyl. Lecid.. 1... 2324 cnustulata Floerke Lecid.....""""". 2243 | Dactylina Nyl....................... .. 571 crustulosa Ach. Gyroph....."........... 1032 | dactylina Nyl. Pertus.................. 1562 cryptocarpa Nyl. Pertus................ 1657 | dactylinum Tuck. Leplog.............. 96 cryptostoma Nyl. Verruc.............. 3391 | dactylinus Ach. Lichen................. 1562 cryptothelium Nyl. Astrothel..........… 589 dactylizaNYIEPRUSC EE EEE EE TELE ECC EE 950 GRypto rem aNTENT EE ID LE ERP Ho Ndactyliza NYSE ER EPP EEE EP TEE CET EC 221 crystallifera Tayl. Lecid................ 2233 | dactyloideum Nyl. Leptog.............. 120 GUDAN A NV ELEC IT ER re ee 3689 | dactylopholis Nyl. Lecan............... 1542 CUbanUMENYIE AS EOEREL EE RCE CCE 3582, |Mdactylota Duck. Cladon "nr nn 307 CUDANUMANNCkSETPElO RE eee eee 1764 | dædalea Nyl. Verruc................... 3213 CUDANUSINVIE PP URQU IEEE REPAS 173 | dædaleum Krempelh. Endocarp......... 3213 CUDENSISENVI EP TIMe EU CE CELL 643 | dædaleum Nyl. Leptog................. 121 cucullatum Hoffm. Platysm............. 527 | dædaleus Flot. Stephan................. 121 cuCUIla us BelIATE Chen FERRER Eee 521 | damæcormis Ach. Séicta............... 817 CUGUr DIU MONT PER EUS EP RERER EEE 1639 | dasycera Nyl. Usnea................... 492 CUMANCNSIS SEE RAMALER CCE CCC 439 | dasypoga Tuck. Ramal................. 400 Cumingii Mont. Trypeth................ 3549 | dasypoga Fr. Usnea................... 497 Cunninghami Cromb. Parm............ 699 | dasypogoides Nyl. Usnea............... 498 cuprea Sommerf. Lecid................ 1986 | Davidis Hue Norm.................... 3192 cupularis Ach. Lecid......... . 1857 et 1857b | dealbata Coem. Cladina .......,....... 363? cupularis Knight Pertus................ 1631 | dealbata Nyl. Graph........... ....... 2607 GHDUILÉCRA ANIME EC de Per ee 08 | 'denlate NL tee ne ncceoesorsooccoc 1507 curtatum Nyl. Séereocaul............... 3634 | dealbata NyLl. Perfus................... 1572 CUGHSUMQUCLANC UTC EEE EEE SERRE 160 | dealbatus Ach. Lichen................. 1572 curtum Borr. Calic.............. 155 et 155P | deaurata Ach. Psorom................. 1124 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3 série. — JV. 166 debile Turn. et Borr. Calic.............. 156 decedensileightLecid- REIN EREEEREE 2478 deceptoria Nyl. Lecid. 7:22 0000" 1875 decinerascens Nyl. Lecid............... 2501 deécipiens ACh-eLecid ACER PRET 2217 decipiens Mont. Ramal................. 456 declinandae Nyl Decitre EEE 1913 deClinans ENVIE EEE TEE TENTE 2334 dechinatieNYI EE CIE SERRE EEE 2333 Cao No ER So sboogagonensecde 1913 decoloranda Nyl. Lecid....... 1938 et 1938b decolorans Floerke Lecid.............. 1939 decolorascens Nyl. Graph.............. 2791 decolorascens Nyl. Platygr............. 2929 decorticata Floerke Cladon...... 281 et 281? decrenata Nyl:Mecans ee e 1261 d'ecumbens IN ylASTDL CESSE EEE 217 decussans Nyl. Chiodect. :::..::....:... 3158 deducens Nyl. Lecanact....:.........2. 2802 deductaNyIMIEecanac tee ee eee 2802 deétlexa NIET RER EEE ET 2208 deflexulum Nyl. Mycop:::.........::.. 3602 deformis Hoffm. Cladon..............:. 34% defornnis NI MEGA SpE EEE CEE 3128 degenerans Floerke Cladon............. 301 degenerans Mont. Cladon............... 293 déNISCENSENVIET AE TOUTES ERP EE RER 1686 dejunsens NyI MECS EEE re PE CEE 2477 delæyata Nyl Eee PEER EEE 2472 DOVE TONNES TE 0 ocvoubcomcso 116 DOTE MONA PIS ee soso sooboao 746 delicala Floerke Cladon......... 331 et 3312 DENSeR RÉ RSR ASE ete 812 Delisea Fée; Bab Sticta PEN 859 DOS LINE PS Sec ccecooucecsudont 519 DA NME Ctiroosancoocccsdgoondt 376 Des NY AGUODIA RE EEE ES 1041 IDE NME AT TLsocccososoocconcooue 724 d'eluS ANT IEELE CI PER EREe 2201 Demangeonii Moug. et Mont. Fhy.lisc... 10 deminuens Nyl M LeCiT Eee 2400 déMULANSENYI ES LeCITER EEE REERENTE 1980 Dendriscocaulon Nyl................ 3607-8 dendriscoides Nyl. Ramal....:......... 396 dendriscum Nyl. Leptog.........:...... 134 dendritella Nyl. Arfhon......::::12,1. 3067 CÉnCnee A\TMONERTNCe osooooscogebouue 2645 den ATEN TI PANNE EE CET 122 dendriticoides Nyl. Graph.......1..::.. 2646 dendrizans Nyl. Chiodect....... 3178 et 3178? d'en LocnISENVPMEE CURE EEE RE 2345 dendrogramma Nyl. Graph:.....:...... 2566 dendroidea Leight. Graph.............. 2626 dendroidella Nyl. Ramal............... 466 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. dendroides Nyl. Graph................. 2626 dendroides Nyl. Leptog................. 3608 dendroides Del PRAMAL EEE EC CENTRE 395 denotanda Nyl. Pertus................. 1587 denotata Nyl. Lecid........... 2281 et 2280b d'ensatasNYI AC IATON EEE EEE EEE CEE 329 densirostra Tayl. Usnea..........:..... 492 denticulAtasNyIENR AMAR EEE REC EEEEE 417 denticulatum Nyl. Leptog.............. 105 dénu dal NI PATERON EEE EAP 3008 denudata Nyl GO DR EPP EEE 2610 CONCRNNIENTNEe 366 éoscsocccccoc 935 denudata Nyl. Sticta................... 821 Ne TMS ss odsoovobocecoce 877 denudata NylSSAcRna ET EEr EEE CRE 182 denudatasNyl A VeRRUCEE RE EEE re 3410 denudatum Nyl. Astrothel.............. 3592 denudatum Floerke Sfereocaul.... 257 et 257% denudatum Pers. Stereocaul............ 240 deplanata Nyl. Graph.................. 2798 deplanata Nyl. Ricasol........ 00. 881 CÉDoR IN ILMAÉSocacoscupecooocboc 2076 Depreaultii Del. Séerevcuul............. 261 depressa Fée Porina................... 1603 depressulum Nyl. Chiodect............. 3181 depressum Mont. Ascid....... 1894 et 1804D depressum Fée Chiodect........,........ 3176 depressum Nyl. Chiodect............... 3181 depressum Mont. Thelotr....... 1745 et 1804 dérelictamN VIRE ect EEE EEE 1942 derelicta Mass. Niorma................. 934 DermatiscumENyIEr ER EEE EEE CEE 1052 dermatodes Nyl. Pertus................ 1658 dermatodes Borr. Verruc............... 3381 d'ermoplaca Nyl AVErnUC EEE CEE EE 3269 derocata NM Per Eus eee 1668 descendens Nyl. Psoromar.............. 1141 deserti (Ehrenb.) Lecan................ 1329 Desfontainii Nyl. Stictina............... 780 DespreaurunDel Parme Eee etre 667 desquamescens Fée Lecan............... 2125 desquamescens Nyl. Verruc............ 3327 destilutaNy rec dE EEE EEE CE 3074 destricta Nyl. Cladina.................. 319 TORTONMLERZdoooog000000v00oodn one 2641 detergens Nyl. Stereacaul.............. 246 detergens Nyl'Verruc EMA ER RENE 3446 ESA NN EM HESa0cocdonoococcovdon 986 detinens Nyl. Lecid.......:...44 2520 detonsa Nyl. Physc.....:.:.,4:1.22.... 987 deusta Stenh. Lecid............... nee) deusta Tuck. Omphal. "Anne 27 deusta Er. Umbilice. FR RNRR nn 1048 deuteria Nyl. Urceol........ Do 00000008 1834 INDEX GENERUM dexelans Nyl. Graph..." 2629 develatula Nyl. Graph.................. 2178 develatum Nyl-Theloir- 2" 1783 devergescens Nyl. Verruc.............. 3212 deversa NY PEDEnR 576 devestiens Nyl. Graph................. 2559 reve Kniant Oaagres sons 0606 606086 2889 dEMANSENVIAUE TRUC CEE ce Ce 3254 rénauos Nil ILES Ses rec 1828 HACAPSISENCHAUTCE OI TEE EEE REC EE 1828 diacapsis Schær. Urceol................ 1828 MACHINE Eee eee ee ee 1948 diacnapha NY SOpegNee ee CRC 2871 diagraphoides Nyl. Opegr............... 2824 dialep{tum NylCæn0g....... 1840 D'AMOON TIMES PEER 60 1200000 2464 AMAR ON ELEC AN CEE EEE EE CEE EECCE 1489 diamartoides Nyl..Lecan.. "°°" 1481 diaphanum Mont. Leptog............... 102 diaphanus Sw. Lichen.-".""" 102 daphon en Creer ee 2820 AphOnzAINVIMONDE EEE EEE EEE EEE 2821 diasemoides Nyl. Lecid................. 2258 dichænella Nyl. Opegr................. 2890 Dichodium Nyl....................... 80-83 DichonemaNees en ee rer 3187-8 dichotoma Del Stietg. "rene 829 HCROLOMAINYIMSTICIA EEE EEE ECC Le 834 dichotoma Mont. Sticta............ 849 et 855 dichotomoides Nyl. Sticta.............. 816 dichroa Nyl. Gyroph................... 1027 diChroa NY RICUSOL ECC EEE RER ER EEE CE 871 DiCKSONNHANVIE EC AN EEE CE ECO CCC 1487 Dicksonïii Nyl: Lecid........... 2349 ICIZAANVIEAUNIUUL EE EEE EEE TE CCE 1020 DICÉUONEMAPA EEE EEE EE ECC CCE CCC EE 3187 incl NOR cesscocoodouocberee 1239 MATCITORNVIAODETE EE EEE ET EEE ECC 284% diffdens NY PETEUS EE EEE EEE ET SERRE 1588 DSSANVIAGULODNE EE EC EEE EEE EEE 1043 diffluensINVIEELECUT EEE EEE EEE CET 2412 diffluens Nyl. Verruc........... 3420 et 3122 difformISIN VIDE ICE EEE CEE CRC 2545 diffracta NV GUIODREEEEEE EEE EEE 1030 diffractella Nyl. Verruc................ 3238 diffracto-areolatum Schær. Collem....... 3687 AUS AIN VIA TN ONE CEE RE EEE EEE ECTS 3011 USINE RUTODR EEE EEE EE EEEERE 1043 AUSIISEN I ALECONEEE EEE ELEC ET ECC CCE 1448 AUSSI AVENUE PE EEE RCE CCC Cr 3223 diffusum Nyl. Séigm................... 2947 disitataHofim(Cladon EECrRR EE CE REEEC 345 dilatatoiRÉe ATERON FE EEE EE EEE 3055 dilatata Nyl. Platygr.......,........... 2896 ET SPECIERUM. 167 HAT TAN VI EPAUSC EC e-c 962 Rae NL SEE cc 0ccec0 000 822 ef 824 HATATA NAS TICUNAE NE EEE 791 Dillentana NY Claden "0 276 Dillen'anaPACheETecTE ee 2398 DiNenTANVIAGYRODRE EEE CEE EE 1030 CHE CENTRES ES 00000 820 elle TER M TANRES See co nooco code 3430 dimidiata Nul Lesid. "1... 2054 imInuens NVEVE TU EE EEE ER 3372 dimorpha Nyl. Graph.................. 2658 dimorphiza Nyl. Graph................. 2176 dimorphodes Nyl. Graph............... 2787 chioniste Nb ecsees 2 Heccoo0nc 2424 NAS AINVIEEPECAN REP CE RECETTE 1233 diphasium Tuck: Placod...:..:........ 1233 diphyella Nyl. Lecan................... 1255 APIAC APACHE AL ECO EE ECC EEE CCC EC 1242 diplasiospora Nyl. Üpegr............... 2882 pMENTANNYIEMLEC ANS EEE EEE ce CC te 1306 diplocarpoides Nyl. Astroth............. 3586 diplocarpum Nyl. Aséroth.............. 3585 diploiza NV IEEE EEE EEE CC LEE CE 2088 diplosporum Nyl. Chiodect............. 3184 diplotrema Nyl.Thelotn. "ms 1690 diplotyNumNYIETYIODRE EEE EEE 178 Po paNTIAC IA TON EE PET 326 IREMPLANNVEMVCINUC EEE EE RENE EEE CCE 2431 DiTin a Fr eee cocccdhebee 1554-1558 RNANAANVIMOPEST APE ARE TE CEE 2814 chaines NL TM AEPooconsouseseooosces 2926 ANOUTESANYIMOPEER PEER Eee CEE Eee 1558 diScedens NylAVErTUC REP REREEMERERRE 3220 disSCeprans IN VIA LECAN PEER EE TERRES 1308 discernens Nyl. Psorom........ 1134 et 1134P disciformis Er Decitre 245% discifonmis Nyl: Lecid......"...... 2473 JISCOIONN VIA CITE EE EN ET EEE 1800 SCOR TeC AN EE EEE ET ECC Cr 1446 discolomHeppilecideeteerce-c---- 1. 1276 discolom AGCh=APyrenula Peer 3416 SCOLORENYIEMRICASO PEER EEE TEE 867 discolorans/Nyle Lecan en ne 1276 CAC, INVITER Se 4660 0000000 1521 discretum Nyl PSOTOmM en. 1134 disculiformis Nyl: Lecid..:.. 1... 2466 diSCULTeNS AN YI GRAPRE EC LARCRETERRE 2558 disjectans Nyl Graphe" e etre 2190 disjuncia RÉeLEeCid. Ce 1180 disjunctum Nyl. Cœnog.......:........ 1842 disjungenda Nyl. Lecid................ 2261 diSpans a NV PPAUSC PRE CE Cie 956 diSpAn IS ENYIMPATM EEE ECC CCC 629 dispartibilis Nyl. Arthon............... 3058 168 NOUVELLES dispartita Nyl. Pannar. ................ 1057 dispersa Duf. Arthon................... 3041 dispersa Nyl. Arthon................... 3107 dispersa Nyl. Lecan..........:......... 1345 dispersula Nyl. Arthon......... DE 3109 dispersus Pers. Lichen................. 1345 dispora Nyl. Parm..................:.. 750 disrupta Nyl. Ramal.............:..... 391 dissecta Nyl. Ricasol............... uso OT dissecta Sw. Sticta ............:..:.1... 880 dissectum Hoffm. Platysm.............. 880 dissectus Sw. Lichen........:.....2.... 880 disserpens Nyl. Graph................. 2582 dissidens Nyl. Graph................... 2593 dissidens Nyl. Physe................... 3654 dissimilis Nyl. Lecid................... 2485 dissimilis Nyl. Graph.................. 2649 dissimilis Nyl. Stictina................. 172 dissimulabilis Nyl. Lecid............... 2181 dissimulans Nyl. Lecid................. 2385 dissimulata Nyl. Sticta................. 849 dissipans Nyl. Verruc.................. 3320 dissoluta Nyl. Lecan................... 1376 dissoluta Nyl. Siph.................... 218 distans Nyl. Lecan..................... 1442 distendens Nyl. Aréhon................ 3052 distermina Nyl. Verruc................. 3310 distincta Nyl. Parm.................... 717 distinctaNyl Venu EEE PER ee CCC 3503 distinctum Nyl. Thelotr................. 1782 distrata Nyl Decitre EEE 2436 divaricata Nyl. Cladina................. 374 divaricata Nyl. Evern.................. 573 divaricata Del. Parm................. 694b divaricatus L. Lichen.................. 573 divergens Nyl. Alect.......... 557, 096 et 561 divergens Fée Arthon.................. 2631 divergens Nyl. Lecanact................ 2803 divergescens Nyl. Alect................ 558 diversa Nyl. Graph............ 2631 et 2631? diversula Nyl. Graph.......... 2634 et 2634 dividens Nyl. Graph................... 2673 dividens Nyl. Séictina.................. 801 divisum Nyl. Dichod................... 80 vols NTIC AMONT ER RE EEE 297 dodecamerum Nyl. Ascid.............. 1800 dolichographa Nyl. Graph.............. 2581 dolichophora Nyl. Verruc.............. 3330 doli:hocchiza Nvl. Peltig........ 907 et 907b dolichospora Nyl. Lecid............... 2093 dolichosporum Nyl. Thelotr.... 169% et 1694» dolichotatum Nyl. Thelotr...... 1734 et 1734 doloSula NY A Verruc EPP PEAR EEE 3285 domingsense Nyl Ascide. "0. 1795 ARCHIVES DU MUSÉUM. domingensis Ach. Lecan............... 1249 domingensis Ach. Physc............... 953 domingensis Mont. Parm............... 960 dovrensis Nyl. Lecid................... 2308 Dozyana Nyl. Stictina.................. 710 Dregeana Hamp. Parm................. 733 Drummondii Nyl. Lecan............... 1171 Dufourei Del. Sticta.................... 804 Dufouria Ach......................... 510 Dufour MER PALM eee eee 1327 Dufourii Nyl. Stictina.................. 804 Dumastii Nyl. Graph.......... 2155 et 2157 duodenaria Nyl. Glyphis............... 3683 duplex /RÉe rypeth Prec rceeee 3024 duplicans Nyl. Verruc.................. 3364 duplicascens Nyl. Verruc.............. 3365 duplicata Ach. Graph.................. 2620 duplicata Ach. Parm................... 739 Duriæi Mont. Opegr................... 2871 d'Urvillei Del., Bab. Sticta.............. 842 E Eatoni Cromb. Lecid................... 2353 ecilataNyl Porn EE EEE CEE EEE 619 Eckloni Mont. Ramal.................. 415 Eckloni Nyl. Ramal............... 438 et 442 ECRICNASPRANS PIC LAR EE EEE RER EECRERRETEE 119 ecmocyna Ach. Cladon................. 300 ecoronata Nyl. Parm................... 681 ecrustaca Nyl. Lecid................... 2454 ecrustacea Nyl. Verruc................. 3263 ectanea Nyl. Physc..................... 936 efferens Nyl. Lecid.................... 2022 effusum Fée Chiodect.................. 3161 egena Nyl. Graph............. 2711 et 2771 egentior NylPhlyctel ee Re 1817 egranulosa Nyl. Lecan.................. 1399 elacisia Nyl. Lecan.................... 1502 elactescens Nyl. Verruc................ 3231 elæina Nyl. Pannar.................... 1071 elæocarpa Nyl. Platygr................ 2920 elæochroma Nyl. Lecid................ 2243 elæophæa Nyl. Lecan.................. 1310 elapheïa Nyl PhysC Re Re Re ee ee 993 elaphocera Nyl. lticasol................. 866 elegans Ach. Graph.................... 2618 elegans Ach. Lecan...............:.... 1144 elegans Fée Phylloch.................. 3599 elegans Nyl. Sfigmat................... 2948 elegans Nyl. Thamn................:... 223 elegantissima Nyl. Lecan .............. 1147 elegantulum Nyl. Séigmat.............. 2949 elevata Nyl. Opegr..................... 2816 INDEX GENERUM Die noie IAiloscoococcecovoovoscoe 2450 eloncataPAChO lon EPP EEE EEE EEE 293 elongata Eschw. Graph................. 2563 elongata Nyl Graph 2620 emaciata Nyl. Pertus................... 160% embolima Nyl. Solorina................ 924 ementiens Nyl. Lecid.................. 196% emergescens Nyl. Parathel............. 3556 eIMINention NYI M MENTUC. 3343 emiscens Nyl. Verruc.................. 3305 emplecta Ach. Ramal.................. 447 enantia Nyl. Cladon................... 286 Encephalarti Krempelh. Lecan.......... 1497 endecamera Nyl. Phlyctis.............. 1812 endiviæfolia Fr. Cladon................ 273 endiviella Nyl. Cladon.................. 320 endocarpa Fée Graph.................. 2788 endocarpea Nyl. Lecan................ 1510 endocarpoides Nyl. Phyllisc............ 11 Endocarpon Hedw................ 3193-3218 Endocena Cromb...................... 225 endochlora Tayl. Lecid................ 2219 endochraceum Nyl. Trypeth............ 3516 endochroma Nyl. Lecid................ 2027 endochroma Fée Opegr................. 2599 endochromoides Nyl. Lecid............ 2047 endochrysa Bab. Porina................ 3345 endochrysa Mont. Porina............... 3328 endochrysa Nyl. Sticta................. 839 endochrysa Hook. Sticta................ 842 endochrysea Nyl. Physc........... 997 et 996 endochrysea Del. Sficta................ 839 endochysea Nyl. Verruc................ 3328 endochrysina Nyl. Pyxine.............. 1011 endochrysodes Nyl. Lecan.............. 1297 endococcina Nyl. Physc................. 996 Endococcus Nyl.................. 3603-3606 endocrocea Pers. Parm................. 670 endoleuca Nyl. Lecid................... 2140 endoleuca Née Pyrenees 3551 endoleucoides Nyl° Lecid "trie nr 2142 endoleucotera Nyl. Lecid............... 2133 endoleucula Nyl. Lecid................ 214% endoleucum Nyl. Trypeth............... 3591 endomiltodes Nyl. Parm............... 706 endophæa Nyl. Lecan.................. 1403 endophæoides Hue Lecan............... 1403 endoxantha Nyl. Graph................ 2624 enteroleuca Nyl. Graph................ 2596 enteroleuca Ach. Lecid................. 2252 enteroleucella Nyl. Lecid............... 2253 enteroleucoides Nyl. Lecid..:.......... 2460 enteromorpha Ach. Parm.............. 143 Gene Nb Goes ec 00 2600860860 ET SPECIERUM. 169 Gphelee, NL MSc cooodooodogeegace 933 EDREDEMERE EE Are een een 6-9 EDHElOUESENYI PAT EAON EEE 2996 Gmione, AG lle oceoocoouococcodouc 1374 CDIORYON PACA ECAN ER EEE RENE 137% Guides AR VER 0008 doc oo0ec 3468 CPI HAINE TEA EEE PAT PRERRNE 2417 Gin Ar ARS ovavoccoegosseocou 3288 epiglauca Nyl. Lecid..." 2046 epiglypla Norrl. Lecan................. 1466 epigraphellaNyl 0pegn Pere EEE 2887 Gotiouze Nyl, Taies cotoc6oooce 2293 GER NI RSS otooceec cou oboonos 1643 epileptum Nyl. Thelotr................. 1773 cpilene NM MTIP eee ccecooobe 2900 epileucodes Nyl. Plaligr............... 2911 epileucodes Nyl. Trypeth.............. 3540 EPIMARTA NYIAMLECIUT EEE EEE 2454 Emoes Ni 2m ss o0dcooccoobosoac 3096 GB UE ILE éecocococdaoaode 2241 CHE INA 6 60ococccavao dan 1959 epiphorella Nyl. Cetr....,............. 522 epiphylla Nyl. Verruc................. 3307 épiphylla Eschw. Verruc.........,...... 3559 epiplacodia Cromb. Lecid.............. 2241 CDIDOLETENVINIETEUC EEE EEE TEA CC CE 3438 epipolia Nyl. Lecid.................... 2492 episemoides Nyl. Lecid..............., 2540 CSC INT ÉEGocoscssoccobtocee oe 861 epitripta Nyl. Coccocarp................ 1097 epitrypum Nyl Thelotr A en 1787 epixantha Nyl. Lecan...........,...... 1263 eradicata Nyl. Parm................... 703 Ceuns IN Pos csocoosveodouesooose 624 erinacea NI PAYSC Rennes ceee 942 Erioderma Fée................... 1101-1106 erminea Nyl. Graph.................. . 2576 ELOSAPA CRE GUTOD EEE EE er EL 104% erosa Nyl. Ricasol............... 884 et 878 erosa Eschw. Ricasol.................. 878 CTOSUIA ANIME AUS E rer Ceres 977 EROSUSANeDATICheN PP RENE ETC 104% Crons NI occooacaoocccoccoeo 3499 erraticus Nyl. Endococ..:............. 3603 erraticun Mass. Tichothec............. 3603 erubescens Nyl. Pertus................ 1660 erubescens Kunz. Trypeth.............. 3519 erumpens Nyl. Arfhon................. 2962 erumpens Nyl. Graph.................. 2648 erumpens Fée Trypeth................. 3322 erumpescens Nyl. Perlus............ .. 1635 erupta Nyl. Arfthon.................... 2972 HrEioe NILHIBMonsvoocgbocsoesoscovo 1532 erysibopsis Nyl. Lecan................ 1534 > 170 erysiphæaNyl. Lecan. Le" Æretiecree 1295 erythrantha Tuck. Lecan............... 1487 erythrella Mont. Biat................... 200 erythrella Nyl. Lecan.................. 1181 erythrellus Nyl. Bæom................. 200 erythrinosa Nyl. Lecan................. 1452 erythrocarpa Nyl. Coccocarp............ 1099 erythrocarpia (Pers.) Lecan...... ...... 1162 erythroleuca Nyl. Lecan....... ....... 1245 erythroleucoides Nyl. Lecan... ........ 1246 erythromma Nyl. Lecan................ 1544 erythrophæa Floerke Lecid....... ..... 1968 erythroscypha Tayl. Sticta.............. 779 erythrothelia Nyl. Verruc............... 3512 esculenta Eversm. Lecan............ oo 10 esculentus Pall. Lichen................. 149% Esenbeckiana Nyl. Melanoth............ 3125 ÉtesiæelNyl Leconte ce. 1168 eucheila Nyl Decitre nee nee 2028 CUSVTANNVIE LE CON EE RE EEE SERRE 1163 eugyrum Tuck. Placod..........,....... 1163 EUDDSIS NV A ee UE M NRC 2-3 eupetræoides Nyl. Lecid...,,........... 2507 euphorea NylACladon eee ere" PEErereee 301 euphorea Floerke Lecid................ 2250 eUphoren Er ME eCId en ne Cee LC. 2270 euphoriza/Nyl. Lecid RC Rec Eee ee 2251 euphoroides Nyl. Lecid.................. 2270 euphyllumiNyl Psorom. 2er .e 1122 euploca Tuck. Physe................... 940 euspora Nyl. Stenocybe................. 3631 eusporum Nyl. Calic................... 3631 euthelia Nyl. Verruc................... 3361 evanescens Nyl. Lecan................. 1154 evanescens Nyl. Platygr................ 2932 evanidula Nyl. Verruc ................. 3506 Evernia ACER re eee Ce UC 512-5717 everniellum Nyl. Platysm .............. 548 evernioides Nyl. Ramal................ 451 EvVerniopsis NY PR RE ECC cree 518 evolutior Nyl. Platygr.................. 2929 exalbata Nyl. Graph ................... 2133 exalbida Nyl. Cludon................... 318 exalbida Nyl. Verruc .................. 3228 exalbidum Nyl. Stereocaul.............. 238 exaltata Mont. Lecanact................ 2631 exasperata de Notar. Parm............ 3649 exasperatum Ach. Collem............... 3649 excedens Nyl. Arfhon.................. 3062 excellens Nyl. Graph.......... 2701 et 2701? excellens /NylMVeruc rte ecee ce 3464 exCentricaiNyle Decitre CRC ECCr 2522 HAN NE re Go aéoctocccoboococ 2410 excludens Nyl. Collem................. 69 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. excrescens Arn. Parm.............:,.., 599 EXIEUAINVINLEC ANRT PRE EEE 1281 EXIBUANGRAUD Decitre ce ee 2245 ETINSURÉCIGEAPhE EC EC CAT CEE 2586 CIS PMICR PAUSE ere CCE 926 STUDENT EME oc dooonogsc ones 1866 exocanthum Tuck, Trypeth............. 3521 exocarpellus Nyl. Endococ.............. 3604 CXOCHAIN VI MVC ARUC PE RE Ce DE Ce 3344 expallens Ach. Lecan .................. 1420 expallescens Dh Ar Mec ERP re 2502 expallescens Nyl. Lecid................. 2033 expallescens Nyl D helo PEER E EE 1712 expallidescens Nyl. Lecid............... 2033 expallidum Nyl. Nephroma............. 916 EXPANSAIN VIE CONTE EC ER EN ET 1350 ExPIAnatANYI AT EAON EE EEE EEE 2984 EXPOSItA NYI RL eCON NRC 1502 EXSECTAINYI AT CASOT PER PE EN RRE CRE 872 exsePla NY Graph Ne RER Rene 2603 CÉONE NM EN as obonocooonouons 2480 exstans NylVerruc te Re tr 3388 extabescens Nyl-AVErrUc eee ere re ce 3237 extenuans Nyl Sfigmat................ 2938 exlenuaia NY INPIatyEr EPP NP PEER 2937 extenuatum Nyl. Stigmat............... 2937 extenuescens Nyl. Arthon...... 3097 et 3097 extrita Nyl. Lecan................ ose 1536 exutumiNyl Sfeneocaul. "certe. 3635 F Fahlunense Nyl. Platysm....,.......... 547 Fühlunensisibe Dichens- PE PE 547 falklandica Nyl. Verruc ................ 3403 FNAC ON TIME TTUC CRE EEE EE 3471 fallaciuseula Nyl. Verruc............... 3473 fallax Ach. Platysm.............. NON EE NES NI GOBosoe coco occ0000copoc 3470 fiallens NyIAClAuS are PEER En 1564 familiaris Nyl. Lecid................... 1897 farinacea Fée Lecant "nn, 1382 faminaceuRÉelOPES TEE EEE EC 2560 farinacea Nyl. Ramal............ 427 et 427 D farinaceum Fée Chiodect................ 3157 farinaceum Mont. Chiodect............. 3166 farinaceus L. Lichen.....,............. 427 farinosa Nyle Lecan en 1479 farinosa AC Leprar Ne ere 3615 farinosa Nyl. Ramal................... 427 Farlowi Nyl. Lecid... "ne 1856 MOMIE cos 0006000006000c 2560 farrea PA Ch Er EUC PER ER EEE CLONE 3405 fusciuta Eschw. Ustal.................. 2656 INDEX GENERUM fastigiata Nyl. Cebr..................... 519 fastigiata Ach. Ramal .................. 431 fastigiata Nyl. Siphul.................. 215 fastigiatulum Nyl. Sphæroph............ 185 fastigiatus Pers. Lichen................ 431 faveolata Nyl. Stictina................. 774 favulosa Ach. Glyph................... 3148 TeCURATANUCRAMLeC AN EE EC CCE Ce 3007 SECUNTAMN VIENT EEE EEE EC EC 210% fecundum Th. Fr. Lopad............... 210% 16 DA Sete do EEE NT Eee RE 839 RAC Monts ÉAGadoooccccobesonoccesuoe 3559 HeeMeISSU STE "pe CRE EEE eee 3516 Fendleri Tuck. Parm.................. 546 Fendleri Mont. Sticta.................. 878 Femclent Nik assoc o00ooe 1885 Fendlerii Nyl. Platysm................. 546 Rance NL aber eee ee 878 ferax Dur. et Mont. Collem............. 56 Kernandezii Cromb. Lecid. 2541 Fernandezii Clem. Polystr.............. 1808 one, NL Goes esoBcoccoccepscocse 221 ferruginea Nyl. Lecan .......... 1216 et 1217 FéFEUSIDe A NY LeCAR EE ee ee 1218 ferrugineus Huds. Lichen............... 1216 ferruginosa Nyl. Lecid................. 2447 UNS NK1b 1Bleoosccoccococcococcce 2452 HOAUNTErA NyI LECIA e 1883 HDROSAANYIER EE CANE ESS PASS PEER 1266 EAN Clio eee doobcooooeceo 289 RIbula TU CK PUOpOR RENE 212 filamentosa Mont. Parm................. 1852 filamentosum Nyl. Byssoc...... 1852 et 1852 D octee Aone Séeooccooococose0000000c 836 HOTo NL See oecscsoobocooue 806 filicina Mont. et v. d. Bosch Sticta...... 814 MONQIE NL anees 06800 eee 808 filicinellum Nyl. Dendrise.............. 3608 Hong ne Clmiioesco vo cccs con 348 Pex NI Soc osoosoboocogoc 836 et 806 fimbriata Hoffm. Cladon......... 287 et 287? name NL Ton eecoccerocdecoe 1919 ane NVlb Goes see téeseobcsoveese 274 iaone, Nylb UGS cso005o000000000020000 509 Drnnor NL Go cocoooo0c6ccocc0000e 43% MEDAUTAEN VIP USCE RCE RE EC CE 957 ane NL GEO Ec 0000000000 c0000o000 3314 Mn NAIL AMAR ce oc ccocoododee 1768 ÉISSUNINARRÉS RE ne 2741-2786 fissurinea Nyl. Arthon ................. 3028 HSSUEMETAINVIPATETON EEE CEE PRET 3027 HSSURDOITELNVE GTA EE EE Te ere 2724 sas Nil AS oser eos 692 flabellata Mont. Sticta........ ooocooo0c Al ET SPECIERUM. flaccessens Nyl. Ramal................. 393 flaccidissima Nyl. Ramal............... 446 flaccidum Ach. Collem.......... . 4k et 445 HaMmmMeANYI PP RUSSE EEE NE 938 HAmMeUSALMPICHENT EC ee ee Ce 938 flammula Eschw. Ustal.................. 2197 ave AG LOMREPoS cos ouest bocon 3613 ENG NL AAEBoooovosoccoeseceucos 1621 ilavescensiN y PAM Ce rer 597 flavescens Nyl. Platygr................. 2908 flavescens Nyl. Stictina............... 768 HAVICANSANVIAPER US EEE ERA 1622 TAVICANSEDOMPNUSC EEE ET 925 NavicansENTIMS ici rer eee 842 NENCANS NL EME ocbcoooenceocene 3380 Au AN TL lame sscoosooocooccso 2317 flavido-atra Nyl. Lecid................. 2395 flavido-pallens Nyl. Lecan............. 1418 flavido-rufa Hue Lecan................. 1403 HavIdUla NL ELEC ANR EE EEE CEE 1250 flaviseda Nyl. Platygr................. 2901 flavisedella Nyl. Platygr............... 2903 flavo-alba Nyl. Lecid................... 2286 flavo-areolata Nyl. Lecid............... 2462 flavo-crocea Nvl. Lecan................ 1252 flavo-pallescens Nyl. Lecan............. 1415 flavo-rubens Nyl. Lecan...........:.... 1148 flavo-rufa Nyl. Lecid................... 1929 flavo-virens Fée Lecan................. 1393 flavo-virescens Leight. Umbilic.......... 1052 ENS NL LGrEoosoccreceessoecee 3678 Tex A NN EAUIONE EEE EEE RE EEE 2552 flexuosa Nyl. Chlereg.........2........ 488 flexuosa Nyl. Graph........... 2639 et 2639 P ESA ININ Tone choses opte doc 1941 Flindersii Cromb. Lecid............... 1940 Floerkeana Fr. Cladon................. 351 flocculosa Turn. et Borr. Gyruph........ 1048 flocculosus Wulf. Lichen................ 1048 HOAARRAUSNEU EEE CET e 492 et 492 » floridana Will. Arthon................ 3112 D floridanamMuCk- Lean eee 1240 MOHIAENSIS NY MEET ER RE ERP EE 2325 OP IEMEMocosoceucousoodocsose 492 Flotowiana Nyl. Collemops.............. 31 Flotowiana Laur. Sticta................. 851 fluviatile DC. Endocarp................. 3197 foliicola Cromb. Physe................ 1004 D IONER NL CURDococccocepgcadcoocce 3637 LONOSUMANTI STE IC OCAUL EEE EEE EP EREE 244 fontana Russ. Hydroth................. 137 IOIMINIL ATP Sn essesosroccse 1702 formosa Fée Parm..............,..... . 966 formosum AChACONem Eee . Dd31 172 fossarum Duf. Lecid..…......... 2279 et 2280 b fossulata Duf. Sticta................... 851 foveolaris Nyl. Lecid 1860 foveolatumeNyl Le OT PE REEECEREEE ‘00 98 fragile Tuck. Endocarp................. 3200 fragile Pers. Sphæroph................. 184 fragillima Nyl. Sticta................... 771 fraudans Nyl. Parm............. 696 et 696 ? fraxineA ACER EMA PERRET 430 LADINEUSATACREN RER EPP ETEE EEE 430 Fremontii Tuck. Alect................. 56% EreyeinetiiDe MS CORRE ERP ECC 859 AGE AO I MIDo cocon 1455 TROLAUSISWE M EIChEN RE EEE EE 1455 frumentaria Fée Graph......... 2697 et 2604 fruticulosa Eversm. Lecan.............. 1495 fRUSLUIOSA PA Che BLeCAN EPA CET CEE 1406 frustulosus Dicks. Lichen............... 1406 fuciformis Ach. Roccel................. 461 TUCSIENSISENVI ELEC A ERP EEE 1932 ÉUISEN SPA CHENE UN REC CCE CET 1169 fulgescens Nyl. Lecan.................. 118% MENTALE ee ecccucaondeceton 2150 MATAENÉS (ERTdtoo sec ocouboccccoce 2568 fuliginea ACh. Decid.. "en cce 1973 fuhsinellumENVERCOINEMEPETEEEECCEEEE 34 fUligINnoSaNyI ASC EN eee EE CCE 802 fuliginosus Dicks. Lichen............... 802 PE Nb TU ooooodocoocoooeoocooc 1180 fulvescens Nyl. Graph................. 2708 fulvescens Nyl: Pannar................ 1058 fulvo-cinerea Mont. Sticta.............. £60 fulvo-lutea Nyl. Lecan.................. 1202 UNAAAN TI EXO EEE CEE CEE CCE 2549 fungoides Ach. Bzom.................. 196 fungoides Hepp Sticta.................. 810 furcata Hoffm. Cladon........... 315 et 315 ? furcatula Nyl. Cladon.................. 354 furcatum Fr. Sfereocaul................ 259 RCE, 1e CÜiibsovocoococooeccocoe 328 furcellata Mont. Evern.................. 405 fUPIUTAG A A CAC OMOC eee 163 RTE NET JMAAToascocoocccoacavo 574 furfuracea Deieht Graph ere PRE EE ETES 2748 TUPIUTACEA PERS MPEG T EEE ET 1905 funurace NA NTIERLE CT PE EEE 1907 HUPURACEUSIEMIACNEN CAE EEE EEE TER 574 furfurella .Nyl/Collemops. 3626 furfurellum Nyl. Collem............... 3626 DMUIREENN ID I ATosoccnccoodoonoocue 1918 ÉURUROSUIAINVIPPEE CT TERRE E RER 1945 AA ANS (CONETecooncosooocacsocose 46 IEC OS CHMBooccocooascvoogocccod 3256 RÉNMIENORMCesoosaccocoosoccoocve 3255 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. fuscata Nyl Leconte ec CLR CE 1522 fuscata Schær. Opegr.................. 2872 fuscatus Schrad. Lichen................ 1522 fuscella Ach. Verruc....... Done bo bois 0 3250 fusceNaN y EVerrue re rer ee PAS 3253 fuscella Schær. Merruc...........".. 3250 fuscellus Turn. Lichen................. 3250 fuscescens Nyl. Lecan.................. 1404 fUSCESCenS IN ESDRINCE ER ere eee 140 SUSCLUSENVI BP IA LUSME EPP EEE EEE REEEE 544 fusciuscula Nvl. Lecid................. 2202 fusco-albella Nyl. Arthon............... 3001 fusco-argillacea Anzi Verruc........... 3225 fusco-atra Ach. Lecid........... 2365 et 2366 fusco-atrula Nyl. Lecid................. 2366 fusco-brunnea Nyl. Lecan.............. 1311 fusco-cinerea Zwackh Arthon............ 3601 fusco-cinereum Nyl. Mycop.............. 3601 fusco-coccinea Nyl. Lecan.............. 1371 fusco-lutea Ach. Lecid................. 2105 fusco-lulea Nyl. Lecan.................. 1202 fusco-luteus Dicks. Lichen............. 2405 fusco-maculans Nyl. Opegr............. 2829 fusco-nigra Nyl. Aréhon................ 3087 fusco-nigrescens Nyl. Lecid............ 2145 fusco-nigricans Nyl. Verruc............ 3684 fusco-pallens Nyl. Arthon.............. 2992 fusco-rubella Nyl. Lecid................ 2133 fusco-rubens Nyl. Lecid................ 1976 fusco-rubescens Nyl. Lecid...... 1977 et 1978 fusco-rubida Nyl. Lecid................ 1979 fusco-rufa Nyl. Lecid............ 2372 fusco-spurcans Nyl. Opegr............. 2847 fuscula Nyl. Lecid.............. 2481 et 2202 RTSOUEINNIE Leo aocpecococccocgcoo 3260 fusisporella Nyl. Graph................ 2747 G galactina AChPECCan rer -ceercecer 1344 galactiniza Nyl. Lecan.................. 1348 galactodes Nyl. Graph.................. 2689 galactophylla Nyl. Physc............... 961 Galbina AC PAM EEE EEE CCC 633 Be NTIOIUsec co cocoaceceocesouo 2526 gangalea Ach. Lecan........... 0..." 1369 gangaleoides Nyl. Lecan............... 1370 gangalizodes Nyl. Lecan................ 1372 Garovaglii Nyl. Lecan.................. 1338 Garovaglii Schær. Endocurp............ 3215 Gaudichaldii Fée Verruc................ 3435 Gaudichaudii Nyl. Stictina.............. 795 Gaudichaudii Fée Verruc............... 3435 Gayana Nyl. Coccocarp.................. 1088 INDEX GENERUM Gayana Mont. Roccel................... 477 gelatinosa Chev. Melasp................ 3571 gelatinosa Nyl. Verruc.............. Grou Sole 00. HEéTeooocooevoccoococoscoc 1316 0 IDE HERcooooovooodsoonhoovouc 1316 gemella Nyl. Melüsp.......... 3131 et 3131? gemellipara Knight Verruc............. 3474 geminata Flot. Lecid................... 2524 geminella Nyl. Verruc................. 3338 gemmascens Nyl. Pannar...... ÉRe 1054 cemmata AChMVErnUC eee eee 3437 gemmatella Nyl. Verruc............... 3485 gemmeum Tuck. Pyrenastr............. 3367 gemmifer Nyl. Endococ......:.......... 3606 gemmifera Tayl. Verruc................ 3606 gemmiferus Nyl. Endococ............... 3606 geniculata Hook. et Tayl. Ramal.. 464 et 464? geoleuca NyYI Lei Re 2229 georgiana Tuck. Cladon................. 371 geographica Schær. Leeid............... 2531 geographicus L. Lichen................ 2531 Aloe NN SRETON IR cocecccoucccccecoc 3566 Shea NL pe Eee 2680 00600 1528 gibberosula Nyl. Pertus................ 1659 GIDDOSAINYI PP EC AN ELEC EEE EEE 1471 MINE NL SIENS ee aocoocadeeton 779 GIMOIR INTER sec cococcoodooooc 1207 gilvo-rufella Nyl. Lecid................. 2192 gtlvus Thunb. Lichen.................. 779 Girardii Dur. et Mont. Omphal.......... 22 glabella Nyl. Lecid............ 1886 et 1886? glaberrima Krempelh. Parm............ 604 glaberrimanNyl ES iciA REC EPT EEE ER 833 glaberrima de Notar. Ricasol........... 869 done NL ame esse eee ee eine coc 1350 glabra Ach. Gyroph.................... 1049 glabra Hook. et Tayl. Sticta............ 859 glabrata AchPecan-- "1"... 1350 glabrata PACHEMVCRAUC ARRETE Eee 3397 glabrescens Nyl. Cladon................ 343 SlabrescensIN y LECiT EEE ERRE ERP 2384 BlADRIONENVIEMPAUS CPE CEE ECC 990 glabriuscula Nyl. Lecid................ 3662 SADLIUSCUIAENTIEVErRTUC PEER PEER 3402 glandulifera Fée Parm................. 680 glauca Floerke Cladon................ 328 glaucescens Nyl. Arthon............... 3014 glaucescens Nyl. Bæom................. 199 LlaUCESCenS RC GRADE EEE CE EE CEE 2675 glaucescens Nyl. Lecid.......... 2044 el 2126 glaucescens Nyl. Physe................. 984 glaucescens Nyl. Thelotr............... 1119 glaucescens Nyl. Verruc........ 3440 el 3449 glaucina Coem. Cladon................. 285P NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3e série. — IV. ET SPECIERUM. ClAUCIDA PA CRE VENU EE Eee ete 3249 glaucinodes Nyl. Verruc............... 3251 glaucocarpa Ach. Lecan............... 1515 glaucocarpoides Nyl. Lecan..........., 1529 glaucocarpum Nyl. Collem............. 61 glaucocarpus Wahl. Lichen............. 1515 glaucodea Nyl. Lecan..............,... 1392 glaucoderma Nyl. Graphr............,.. 2183 glauco-fuscula Nyl. Lecan............., 1198 glaucoleucum Nyl. Chiodect............ 3159 glauco-livescens Nyl. Lecan............ 1309 glauco-lurida Nyl. Parmosticta.......,.. 847 glaucoma Ach. Lecan.................. 1386 glaucomaria Nyl. Arthon............... 310% glaucomaria Nyl. Lecid................ 2538 glaucomela Nyl. Pertus................ 1663 glaucomodes Nyl. Lecan............... 138% glaucomoides Nyl. Platygr............. 2915 glaucomopsis Nyl. Pertus.............. 4571 glauco-nigrans Nyl. Lecid.............. 2212 glauco-pallens Nyl. Thelotr............. AA glaucophæodes Nyl. Lecid.............. 2110 glaucophthalmum Nyl. Collem.......... 63 glaucotheca Fée Lecid................. 245% glauco-virescens Nyl. Physe............ 982 glauco-virescens Nyl. Stigmat........... 2948 glauculum Nyl. Thelotr................ 1682 glaucum Nyl. Platysm........... 553 et 553" glaucusAL AICheN EE EC EC Ce 553 glebulosa Nyl. Verruc.................. 3250 globifera ACh-eLecid EPP eRerr EC rte tee 1872 globifera Eschw. Verruc................ 3510 HOLD 6 co0c0oocoouc 2556 globosa Tayl. Verruc.................. 3325 globulans Nyl. Platysm................ 540 globulare Tuck. Thelotr................ 1684 SODUIATISMNVIPPeR CUS EEE PRE PE EE ECE 1666 globulifera Nyl. Pertus................. 1574 globulifera Nyl. Verruc................. 3510 globulifica Nyl Graphe re tREet 2761 globulificans Nyl. Lecan..............., 1243 globulispora Nyl. Lecid........ 2283 et 2280 ? globulosa Floerke Lecid ...........,.., 1997 globulosella NylLecid "er" rnRent 2183 glomerata Schær. Pertus.........,..... 1618 glomerulosa Nyl. Lecid................, 2245 glomulifera de Notar. Ricasol.......... 872 glomuliferus Lightf. Lichen............. 872 slomuligera Nyl Sticta. RER E ELEC EE 818 Glossodium Nyl......................., 205 glyphicumeNyl TR Elo (re ET 1765 glyphidioidea Nyl. Graph............. 2631 ? Glyphis Ach.............. 3141-3152 et 3683 glynhisoides Fée Arthon............... 3176 174 GLYDRIZA NAME API EEE 2674 Glypholecia Nyl.................. 1552-1553 gomphilloides Nyl. Sphinctr............ 143 gonatodesMACHELECAN EIRE MERE 1455 gongoncaNyIEC IAA E EEE PER 371 gossypina Nyl. Crocynia.............., 1848 gossypina Mont. Parm................. 1559 gossypinum Nyl. Amphil............... 1848 Jossypinus SW. HICheNr FE MERe re ee 1848 gracilenta (Ach.)Cladon................ 343 gracilentasQuck (Can ERA EN. 347 gracilenta Nyl. Cladon................. 288 gracilenta Ach. Coniocyb............... 3632 BLaCIlEN ta PA CHER GNU LPÉEEREEPA EEE 405 gracilentior Nyl. Cladon................ 298 gracilescens Floerke Cladon............ 301 gracilescens Nyl. Stereocaul............ 267 SAC OTENMEMODETEE EEE EE EC CCE CTe 2857 gracilis Hoffin. Cladon........... 293 et 293? SRGINENIMENIT I oser 2060000 00 2794 gracilis Nyl. Ramal............... 401 et 395 DRAC SPA CREUSE PEER ET ETC Le 505 graminosum Schær. Stereocaul.......... 260 grammitica Nyl. Graph................ 2679 grammitis Fée Graph.................. 2678 grammitis Eschw. Diorygm............. 2750 granatensis Nyl. Parm................. 649 EMAENOS NO e So ocosocovogac 824 granatina Nyl. Euops.........:........ 2 grandescens NyLl. Cladon............... 315 STAN TIC ENVIE RANTCEE ER 329% CTAN TS NNY I ÉLECITE PT CRR PPT NARR ES 2042 granifera AChe Lecan. NPC 1396 STAN OS TUCkKEM EE EEE EEE 2238 granosum Wulf. Collem................ 42 ANNE NINNIS Too cs ésoccccccoeuss 1375 granulata Bab. Parmosticla............. 846 granulata Eschw. Pertus............... 1575 granulata Mont. Saged................. 2945 granulata Mont. Sticta................. 710 granulatula Nyl. Verrue............... 3328 granulatum Nyl. Thelotr............... 1698 granulatum Nyl. Sligmat.............. 2945 granulifera Nyl. Physe................ 952 granuliferum Nyl. Thelotr.............. 1693 Sranul OS a NYI LE CAN EE AE RE 1149 granulosaiNVI Le CARE RP ERP 2251 granulosula Nyl. Lecid........ 2257 et 2257 D granulosum J. Muell. Amphil........... 1149 granulosum Tuck. Thelotr............. 1689 SAphiCA KMIEDEIRENUS PME PAPER ERP 1634 graphicum Nyl. Stigmat............... 2952 graphidioides Cromb. Stigmat.......... 2961 ONMEDA Pos o000 0000000000 2864 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. Graphis Ach........... 2555-2800 et 3677-80 gregaria Kærb. Arthon................ 2962 CRÉCANME ER Tec dococeecoccocncooc 2740 GASMIN TL VARBooododesoooceccpoccso 3397 griseo-coccinea Nyl. Lecid............. 1903 griseo-fuscescens Nyl. Lecid............ 2008 griseo-pallens Nyl. Lecid............... 1944 griseo-pallescens Nyl. Lecid............ 1945 ROSE JOUE sécooosocvoouvooeo oc 2393 grumulosa Duf. Opegr........ ........ 2812 grumulosa Hepp Lauriella.............. 1593 GUAyac RÉ eMERRUC PETER TERRE SON Guüepini Nyl HEppia ait Guillemini Mont. Sticta................ 183 Guilleminii Nyl. Parmostietinr.. . ..... 783 guineensis NY PeUC ere re rec 3354 GyalectalPAChE EEE ER EEE 1854-1868 aValeCHna NY MECS 1462 gyalizella NyL. Lecid......... ........…. 3665 gyalocarpa Nyl. Sfictina................ 188 gyalocarpa Leight. Sticta............... 189 gymnocarpum Nyl. Thelolr............. 1724 gymnocheila Nyl. Pannular............. 1083 Gymnoderma Nyl..................... 1143 gymnoloma Nyl. Stictina............... 169 gymnophora Nyl. Platygr.... ......... 2931 gypsacea Nyl. Lecan................... 1328 gypsacea Ach. Urceol......... ........ 1828 QUpSaceus SmALICheNT Eee ere ce 1328 gyrantha Nyl. Pannar...............,.. 1061 CYDINAUNYI I GUTODREE EEE CCC ENT 1031 gyrocarpa Nyl. Opegr.................. 2875 gyrolophia Fr. Gora............ ocre 3186 Gyrophora Ach................... 1023-1051 gUIOSG FIOI SEICtA een 780 Gyrostomum Fr....................... 1806 H hæmalea Nyl. Euops................., 3 hæmaleella Nyl. Pyrenops.............. 3621 hæmatites Fée Graph................. So. AT hæmatites Chaub. Lecan............... 1193 hæmatomma Ach. Lecan..........,.... 1518 hæmographa Nyl. Graph............... 2799 hæmophæa Nyl. Lecid............. ... 189% hæmotropus Leight. Bæom............. 192 Hageni Ach. Lecan.................... 1#40 RENNES oc c0060006000800080 1890 Halei Tuck. Thelotr.... ............ 1720 halonia#AGCh recu REP PEETEREREE CCE CC 2456 halophila Nyl. Verruc.................. 3264 Hamamelidis Nyl. Arthon............., 3081 hamatum Nyl. CROQUER EN 183 INDEX GENERUM hapaliza Nyl. Aréhon.."".""" 3089 haplocarpa Nyl. Gyroph......... ..... 1025 haplotea Ach. Cladon.................. 301 Hartungiana Nyl. Lecid............... 2243 D hebescens Nyl. Cladon................. 324 hebescens Nyl. Lecid..... 221100 23210 Heeri HeppLecid.. "re". c-.-cereree 2035 Helminthocarpon Fée................. 2809 helvetica Ach. Nephroma............... 889 helveticum Nyl. Nephromium... 889 et 889? hemitropa Nyl. Lecid.......1.."..... 2030 hepaticum Ach. Endocarp............. 3203 HENNEMNENTE ESS EC tons ronce 1107-1119 herbacea de Notar. Ricasol............. 875 herbaceus Huds. Lichen................ 875 herbarum Hepp Lecid................ 2170 herpetica Ach. Opegr.................. 2872 Hesseana Mey. Sticla.................. 169 HéterinaN lee 0 eee ecole 1121 heterobola Cromb. Lecid............... 2182 heterocarpa Fée Graph....... 2640 et 2640? heterocarpoides Nyl. Graph............. 2642 heterochroa Mont. Verruc..... eee 3427 heteroclita Mont. Glyph....... 3142 et 3142 D heteroclita Nyl. Verruc................ 3370 HeferodeaiNyl re ee etre eco 385-386 heteromorphus Nyl. Bæom............. 193 heterophorum Nyl. Astroth............. 3591 heteropsis Nyl. Verruc................. 3302 heterospora Nyl. Graph................ 2741 heterospora Nyl. Lecid................. 2118 heterospora Nyl. Verruc............... 3337 heterotropoides Nvl. Chiodect........... 3171 heterotropum Nyl. Chiodect............. 3170 hiascens Nyl. Graph.................... 2599 hibernica Nyl. Arthon................. 3105 hilarescens Nyl. Lecid................. 1952 Hildenbrandii Nyl. Leptog.............. 114 himalayana Nyl. Usnea................ 499 himalayensis Nyl. Parm.......... bat 583 himalayensis Nyl. Phlyctel............. 1819 hiroshimita Nyl. Lecid................. 2338 hirsuta Ach. Gyroph................... 1036 hirsuta Nyl. Slietina............ ...... 782 hirsutulum Nyl. Psorom............... 1126 nrfe NV SO ATo vooocaocosopooecoeos 188 INnte Lire UE acosccocvacoocovoeoooc 495 RAR USMPSTEICHEN EEE EE EE CEE CCC oécoobo 495 ludo re IDnÿé@ecacootdocogouecoovve 967 hispidula Ach. Parm........ Hg nié 998 et 653 hispidulum Nyl. Psurom... ..,........ . 4129 noce NL Gites ancoocococvboedac 1318 holochracea Nyl. Lecan................ 1177 hologlauca Nyl. Graph, .,,,,.,...,,.... 2718 ET SPECIERUM. 175 hololepis Flærke Cladon............... 280 hololeucasMon tra ph ee eee 2710 hololeucoides Nyl. Graph.............. 2711 RolopheatN VESTE An EEE EEE 1268 holosole NOV Semen 0 6e 3450 holospoda Nyl. Pannar................ 1065 Doloxantha NY IEP AUS EE RER ere 939 homalantha Nyl. Coccocarp..... ....... 1089 homale a ACHEAR MALE EEE ES REC 301 Rome Mont eRaAnaAlrERee PRE 389 homalodes Nyl. Lecid........ ......…. 2346 homalodes Nyl. Nephroma.............. 914 homaloplaca Nyl. Lecan................ 1385 homalotera Nyl Lecid.................. 2345 homobola Nyl. Lecan .................. 1307 Homodium Nyl..................... 131-132 homæochroa Nyl. Lecid................ 2268 homæoides Nyl. Platygr ............... 2899 homæophana Nyl. Aréhon.............. 3042 homæophylla Nyl. Séicta............... 856 homogena Nyl. Graph.................. 2692 homogenes Nyl Parm "#1". 993 homographa Nyl. Graph................ 2709 homographiza Nyl. Graph.............. 2723 homolosaNYIEAEEC AE ERA EE EE EEE 1248 homopastum Nyl. Thelotr.............. 1692 homothelium Nyl. Astroth.............. 3588 homotoma Nyl. Parm.................. 665 Hooker TU ACTA TONn EEE EC EEE EEE 343 Hookeri Nyl. Séictina.................. 113 Hookeri Berk. et Mont. Thysanoth...... 206 ROTIS CAIN YIELEC TEE EEER ET EEE NECTECE 2177 None ANT ossceode ecodcooncooo 1355 hortae NOR LETANEC c000000000 00000000 1286 horizontalis Hoffm. Peltig.............. 908 hostheleoides Nyl. Lecid................ 2161 hottentotta AC PANMIe Re te CCC ect 135 hottentottus Thunb. Lichen ............ 135 Humboldtii Nyl. Séictina................ 786 Huegelii Nyl. Aréhon................... 3039 nie An /radeococcoocoocoboocot 448 humistrata Nyl. Lecid.:................ 2516 humosum Nyl. Leplog.................. 90 hyaliniza Nyl. Leeid.................... 2053 hyalinum Nyl. Thysanoth............... 207 hyalinus Tayl. Bæom................... 207 hyalospora Nyl. Verruc...... 3406 hybrida Ach. Cladon................... 293 Hydrothyria Russ..................... 137 hymenogonia Nyl. Verruc.............. 3235 hymnothora Ach. Verruc............... 3497 hyperbolizans Nyl. Graph.............. 2601 hyperborea Ach. Gyroph............... 10#7 hyperborea Nyl. Lecan............ socos 1460 176 hyperelloides Nyl. Calic.......... 149 et 149% hyperellum Ach. Calic.................. 148 Hypnorum Fr. Psorom.................. 1124 hypochniza Nyl. Arthon................ 2970 hypochnoides Nyl. Chiodect............. 3169 hypoclysta Nyl. Parm.................. 702 hypocrocina Nyl. Lecan................ 1367 hypodectodes Nyl. Ramal............... 449 hypoglauca Nyl. Physc................. 934 hypographa Nyl. Graph................ 2179 HypogymnIaINyl EE EEE TERRE RACE 138-752 hypolela/Nyl Parme Er EEE cer 715 hypolepta Nyl. Graph.................. 2732 hypoleptella Nyl. Graph................ 2663 hypoleptelloides Nyl. Graph............ 266% hypoleuca Nyl. Physc.................. 952 hypoleucites Nyl. Parm................ 676 hypoleucodes Nyl. Lecid............... 2483 hypoleucum Nyl. Chiodect.............. 3155 hypomecha Nyl. Roccel................. 4TG HypomelarNyl Lecid "rer Eee 1919 hypomela Del. Lobaria................. 812 hypomelæna Nyl. Gyroph............... 1029 hypomelænum Nyl. Dichod............. 80 hypomelænum Nyl. Erioderm........... 1104 hypomilta Fée Parm................... 581 hypophytasN VIA Verruc PP RER CEE re 3393 hypopodia Nyl. Lecid.................. 2371 NYPOPSHANTIMS CITE Ce eee 815 hypopsiloides Nyl. Sficta............... 834 hypotartarea Nyl. Lecan................ 1463 hypothelaNyIEMS Tage ere Enr reeere 3563 RUDOURTINTIMPALMERPEE EEE EEE CEE CCE 635 bypotrachyna Nyl. Purm............... 159 HYPOTOPA NTI PGM EEE EEE PTE CCE 596 hypotrypa Nyl. Parm........... 151 et 751? hypotrypodes Nyl. Parm................ 740 hypoxantha Fée Lecid.................. 1865 hypoxylon Fée Pyrendd................ 3578 I icmadophilus Nyl. Bæom............... 203 IAONAUINNIG IIIe cococcococosobecocee 1870 ignea Krempelh. Graph................ 2602 CINENANYIPAT A ON CEE EEE REC E CEE 2969 illinita Eschw. Graph.................. 2739 DE Nb Es oc cost aooconesocevbgoe 2301 MONT VAR os ooocsosocouogooe sos 3432 imbricascens Nyl. Coccocarp............ 3655 iMmbricataNYIPRANNAR EEE EC RCE rec 1063 imbricatula Nyl. Cladon................ 309 IMDrICALUIAENYINS IC A ECC ee 839 imbricatum Nyl. Endocarp ............. 3206 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. imbricatus Hook. Bæom................ 199 imitans Nyl. Lecid. "Me 2064 imifans IN MVerTUC en EEE eee Ce Tree 3399 immarginata Nyl. Lecid................ 1950 immarginatus R. Br. Lichen............. 1950 immiscens Nyl. Purm.................. 589 immixta Nyl. Pannar.................. 1061 immutans Nyl. Lecid................... 243% impallens Nyl. Aréhon ................. 2989 impallescens Nyl. Pertus............... 1655 implectens Nyl. Ramal................. 403 impleæa Nyl. Ramal ................... 399 impleæa Ach. Usnea.................... 497 implexum Nyl. Cœænog................. 1846 implexum Nyl. Stereocaul .............. 232 implicatum Nyl. Collem................ 64 impolitaiBorr Arthon-rr rec cere-ectcre 3007 impolitella Nyl. Arthon................ 3013 impolitus Ehrh. Lichen................. 3007 impressa Tayl. Sticta.............. 851 et 853 impressula Nyl. Séictina ............... 793 improvisula Nyl. Lecid........ 2282 et 2280 ? inæquale Nyl. Trypeth................. 3536 inæqualis Fée Opegr................... 2852 inæquans Nyl. Opegr................... 2865 inæquata Nyl. Lecan................... 1458 inæquatula Nyl. Lecan................. 1459 inalbescens Nyl. Thelotr............... 1785 inanis Mont. Rumal.................... 388 incavata Nyl. Verruc................... 3242 MMOEE NID I Re see socovcoc0coco0oos 2476 INCINCEULANVIL EC Id RE CCC 2359 incisa Pers. Coccocarp.................. 1092 INCOlOTANYIENPeCAN. EEE C CCE RCE CEE 1525 incolorata Nyl. Leeanact .............. 2807 ? incolorella Nyl. Lecan.................. 1482 incompta Borr. Lecid.................. 2164 incomptula Nyl. Lecid................. 3671 incondita Nyl. Graph................... 2765 incongrua Nyl. Lecid.................. 2259 inconsequens Nyl. Lecid............... 1934 inconspicua Fée Graph.................. 2637 inconspicuum Nyl. Chiodect............. 3163 inconspicuum Bab. Myriang............. 3004 inconspicuum Fée Trypeth............. 3526 inconveniens Nyl. Lecid................ 2168 incrassata Nyl. Ramal.................. 455 incrustans Nyl. Graph................. 2766 incuriosa Nyl. Lecid................... 2435 incurva Fr. Parm...................... 719 indica Nyl. Melanoth................... 3570 indistincta Nyl. Arthon................ 3091 inductella Nyl. Lecid.................. 1988 indutula Nyl. Verruc.......... D000000:0 3304 INDEX GENERUM ET SPECIERUM. ROOMS IA 0 So subqoes sources 3555 NOTION IL (ro ocuacaooooccogeeseoe 518 inexplicati NY REECHE RE eee erte 1249 inferiuscula Nyl. Arthon............... 2971 NOTE Nik LaHhococonecosete dec 2504 nice Nil VamMcouecsstoececcocseoe 3396 inflata Hook. et Tayl. Ramal........... 463 nie NL Todtiossseseoscbceobee 126 in‘ormis Cromb. Endocena............. 225 DCE, Niyis VERTE eccbosdcocoecnocec 3433 TDAUSCATAANYI LE CU eee nee 1290 IDIUSCA ASTHME LE ee 2310 infuscatulum Nyl. Trypeth............. 3548 noie, Nil VéMBosoccooosoacoonuooce 3326 DO DIMIIENY IP PEC IT er eee 1989 D OPS STE ANR eL ECTS ae 2337 inordinata Nyle Thelops. "000 3557 INSCAÏDENS ENVI STRElOEN ee Eee 1748 inscriptum Nyl. Stigmat............... 2950 INSCUIDIARMONCABISSUL Eee eee 2763 JDSGUIDIAENYIM GRADE EE Tee ee 2762 insculptum Eschw. Diorygm............ 2762 IDSELPERSINYI TG RAD eee ee 2621 insidians Nyl. Lecid........... 2443 et 2443D asie Nil Erjpneooocsocococbeoocce 2651 INSISRIODANVI DEC eee ec: Lee 2405 insigmis Nyl1CIadon. ee 339 et 340 SION ENVI RÉ EC UT Re ee nr con ce e 245% siens NL Om cossccoot6ceeccao 340 IDSIMUIANS ENVI LE CITEER FECEE Ce EECe 3667 IS IQUAN SENTIMENT ee 646 INSIDUANSENYIS CT EEE Tee 3651 IN SNUALA NTI P ANNE ee re 669 InSOlitumNyl. PlGtysm. 547? IHSDETADINS NYSE ECTS EE RCE ee 1981 InSperata NYSE Re CCE Ce 2422 instabilis Nyl. Graph.......... 2764 et 2764? anse NL VOOR meer 3335 inaulain MES VEARCecosocoodectstootoe 3460 ANSUTAEUIAN VIP EC EEE EEE CC CCC 2300 integre Nil VGHRoco0ocoocgoovcocoeue 3282 naiegratn NL EG c000000d000008c600 963 intesrascensiNyI A enTUC REC T-e 3225 IEnSaNTIL PEAU oeccodocscocoocvode 575 interalbata Nyl. Opegr................. 2860 interalbescens Nyl. Opegr...... 2886 et 2886? interalbicans Nyl. Opegr............... 2885 intercalans Nyl. Astroth................ 3092 intercedens Nyl. Verruc............... 3225 intercludens Nyl. Graph............... ANA interducensaNyl Graphe eee EE etre 2596 interducta Nyl. Arthon................. 2988 interducta Nyl. Verruc................. 3387 INTERAUCEUIAIN VI MODE ere ceee 2848 faste NL 00 oO Reccoobconoos 1076 interfulgens Nyl. Lecan................ 1179 interfuscata Nyl. Phlyctel.............. 1820 interhiascens Nyl. Cludina............. 368 Monte Nil Aro osceton see tone 1910 intenatensENTIEPASETOM A ERE ECC eee 3592 intenmeuDelAGen OMR CEE ere 334 intermedia Bab. Lichina............... 12 intermedia Del. Ramal................. 468 intermedia Nyl. Ricasol................ 873 intermedia Th. Fr. Verruc............. 3226 intermedielaNyl rec ne 1889 intermedUmMNyl ASC eee 1799 intermiscens Nyl. Lecid................ 2016 intermissum Nyl. Chiodect.............. 3182 nORNbR NL IIRHTeeoemserescocococe 2013 JNterneCtEnSENyI LECIdE ee rer rene 1969 internectens Nyl. Séicta................ 828 IMPR nexAINVI SEINE ER ECC 618 iniernieransiNyl A VenUC cer rer 3313 internigricans Nyl. Graph.............. 2704 interplexum Nyl. Cœnog............... 1845 interponendum Nyl. Ascid............. 3659 interponens Nyl. Lecid......... 2158 et 3676 interponens Nyl RUMA eee RER eee 0e 437 interponensENVl Venu ee eee ter ee 3362 INFERPOSIEANYI Dec ee eee ce 3676 INTETDOSIEUMANVI A ASCIT Re EEE eee 1803 interpositum Nyl. Cænog.............. 18%: ONÉerTUDIARRÉe GRADE EEE CEE ECC CET 2936 interrupta Ehrenb. Lecan.......,...... 1518 rie IAE ER 66066006 0060008 2936 interruptum Nyl. Stigmat.............. 2936 nier Nil IAE 000 0000000000660v. 2265 INTERSpELS AN YIEMVErIUCR Eee eee eee 3456 intenses Nyl VEMBescooogooccoocooce 3321 NS NEED 600006004800 2463 Std ONE VAToococcesocococooc 686 intervagans Nyl. Collemops............. 3627 intervallatum Nyl. Thelotr............. 1716 interveniens Nyl. Aréhon............... 3033 intenvone NL ÉRoccsocooscoevoccoe 2768 NON ORO NL Jos cococscaeccoeuce 1946 interversa Nyl. Verruc................. 3227 interversans Nyl. Ricasol............... 886 intervertens Nyl. Lecid....... 1947 intestiniformis Ach. Usnea.......,..... 501 ee NL Ciaiooocecsooocgonceccee 2677 IDÉTICANSEN I GTA DR EEE EC Ce CCS 2792 ED One (RAD Losccouooccooccooe 2627 ares NÉE (Eraminosse os occocecoocooe 2572 Mince, NyiL Meme sssooocesecoeccec 1429 INÉRICATARSCNE MP LUSCE EEE Ce CCE 933 intricata Mont. Roccel........... coop o 479 ARCHIVES DU MUSÉUM. 178 NOUVELLES intricata Nyl. Séictina.................. 769 intricata Nyl. Synalissina.............. 3687 intricatulum Nyl. Leptog.............. 135 intricatum Del. Stereocaul.............. 247 intricatus Desf. Lichen................. 933 intricatus Schrad. Lichen............... 1429 MEN IBM Oo accopeccceuoscceces 1285 NOR NI VEMTCeonococconendoccas :. 3360 inus ta AC GrTDN RER E Eee REC CU 2637 CONNUE oo eooccanasooeococaccse 2203 iodomma Nyl. Lecid.................., 2048 irpicinum Nyl. Dichon................. 3188 irradiata Nyl. Graph................... 2656 irregularis Nyl. Graph................. 2786 AOL NN IE TIETaececencoccccocouoce 4211 irrugans Nyl. Parm.................... 3643 ischnospora Nyl. Lecid................ 2184 ES AVAL) Dosoococooccccococoon 702 isidiiforme Nyl. Psorom................ 11437 isidiocera Nyl. Parm................... 594 isidioloma Nyl. Sficta................. 859 isidiophora Nyl. Physe...... 950, 953 et 1004 isidiophora Nyl. Sfictina............... 768 isidiopsis Njl. Pannar................. 1064 SION YIEMP AUS RTE Ce CCE 965 isidiosulum Nyl. Leptog................ 126 isidiosum Nyl. Leptog................. 121 NCA TMBooucoes oucootoccocccoce 668 ISlandica AChACE ME CET PERRET EEE 517 islandicus L. Lichen......."..""... 517 isographa Nyl. Graph.................. 2665 J jamaicensis Ach. Usnea................ 509 Jamesoni Mont. Sticta................., 79% OMR AN EE 6er ocbocogoonae 567 japonica luck Lecan ee rec ce 3657 japonica Tuck-Lecid "mere. 2467 Japonica uk PAM ETC CRE 3650 japonicum Th. Fr. Stereocaul..... 256 et 256? javanica Schær. Lecid............,..... 1879 javanica NY RAME EEE E 470 JavanicaiN VIS tree Tree cree 826 JAvaniCoN VISA EE REC 172 javanicum Mont. Calic.........,........ 172 javanicus Nyl. Pyrgill................, 172 javanicus Mont. Stephanoph............ 122 jemtlandica Nyl. Lecid.....,,,.,...... 2498 Jobstiana Fée Arthon.................. 2649 jubata Ach. Alect....... D EM SO 562 HUDALUSAEMIEChEN TE PE TEE 562 Jungermanniæ Nyl. Lecan.............. 1202 Jungermanniæ Del, Lenorm..,,.,...,.... 3191 Junghuhnii Mont. Ustal................ 2737 juniperioum Nyl. Leptog............... 100 juniperinum Nyl. Platysm.............. 550 Jussufii Link. Chlorang................ 1494 K kamtschadalis Eschw. Parm............ 692 kerguelena Nyl. Verruc................ 3341 kergueliensis Nyl. Lecan............... 1347 LKobeanaiNylESLECAn EEE ee 1155 konyamensis Nyl. Lecid................ 1958 ALMA SM o 0 aocoooocagovooovoc 882 KunthENyl ASC ANA TRE ER EEE EEE 789 Kunthii Fée Trypeth................... 3519 HOTLOMMÉENIENEe Ueo0odcouooooo 3372 KURZHANYIMEE CAN PRE ENCRES 1256 PANNES TEMPO cooocococoooooccoc 2934 L Labillardierii Nyl. Sticta............... 852 labrosa MA Ch SPAM TRE ER 738 labuana Nyl. Glyphis.......... 3143 et 3143 labyrinthica Ach. Glyph....... 3144 et 3144 Jacera tu EN YIMP TNA ER RRRPERERTE 701 Jaceratulum Nyl. Leptog................ 109 lacerum Er LeDIONEe ee Re CRUE 92 lachnæum Nyl. Endocarp.............. 3203 JaciniataiN VIE GNT RRES 599 laciniata ACRMSficÉa RNA ie 821 laciniatum Nyl. Collem................. 74 laciniatum Nyl. Platysm............... 554 laciniatus Sw. Lichen.................. 821 laciniosa Nyl. Lecan................... 1265 lac te aiN VIA TL ONE 3099 lacteaN VIEN Graph ER EEE ER Re 2769 lactea Floerke/Lecid. "0. 2351 Jac tea PAChE VE rHIU CERN 3230 lactea Mon EVE TRUC RER AR 3468 lacteum Fée Chiodect.................. 3099 lacteum Krempelh. Thelotr............. 1695 lactineenuNile ANS o0accccocoovooc 3640 lactinella Nyl. Graph.......... 2758 et 2758? lactucæfolia Nyl. Sticta..........,..... 860 lacunosa NA CIN EEE 376 Jacunosa Wild. Usnea.................. 511 lacunosum Nyl. Platysm......... 554 et 554b J'ACUSÉTISINVI MALE ANR EEE EEE ECC 1482 RAA IACONNICUIEE EE PEER 567 læte-virens Lightf. Lichen.............. 875 GONE ses Sc c00c0occoccccavoso 2005 ENORME IOERoc ss ce asoccsovecacose 1464 lævata AchVerruc An 3280 INDEX GENERUM læviganda Nyl. Pertus................. 161% lævigans Nyl. Thelotr.................. 1709 lævigata Nyl. Lecan................... 1283 lævigata Ach. Parm............. 653 et 653? lævigata Sommerf. Peltid.............. 890 lævigata Nyl. Pertus................... 1639 lævigatula Nyl. Parm............ 671 et 671? lævigatum Ach. Nephromium..... 899 et 8902 lævigatus Sm. Lichen.................. 653? JÆMOP NVI ECG RER ER NT 1332 lesmior NL AIococbcoop ones 00ooncc 3646 lævior Nyl. Pertus..................... 1639 Jævis Knight Peréus... MAR ne 1607 Iævis Nyl. Sficlina..................... 190 avis Nylk Uéngoaacoocecossdoecocsenc 510 DEVIUSINVIE EE DIOUR Re eee ee Cet 118 Iæviuscula Nyl. Lecan................. 1281 læviuscula Nyl. Sficta.................. 821 læviuscula Del. Slicta.................. 880 Iæviusculum Nyl. Thelotr.............. 1780 Dalle NY REC An EEE EEE ER EEE CE 1162 BomariiNVIAC Ia lon CRE EEE 323 lamelligera Tayl. Physc................ 952 lamprocheila Nyl. Lecan............... 1226 lamprospora Nyl. Lecid................ 1854 lamafa NL Pme ee soc ae 730 et 730? lotus IL ilienencL es e%eccace06e000e0ce 730 lanceolata Nyl. Ramal................. 444 lanestris Ach. Alect................... 563 lanuginosum Nyl. Leprolom..... 3612 et 1559 lanuginosus Ach. Lichen............... 3612 Tlapierde, Pr Jéaaoooooccovoconvoovpcoo 2332 laqueata Muell. Pertus................ 1606 » le RAMNACONMENESSE6 6066006006 567 Jatebrarum Ach. Lepr.................. 3614 latebrosa Koerb. Verruc................ 327% lateritia Nyl. Lecan.................... 1316 lateritium Eschw. Leiogram............ 2649 latifolia Nyl. Physc.................... 945 lion lot SEE 6660 50020000000000 860 lation Riou ie est 838 latilabrum Tuck. Thelotr............... 1733 ion mL ss ssueeccenetee 442 latissima Fée Parm.................... 604 latissima Krempelh. Parm.............. 614 latissima Nyl. Parm.................... 616 latissima Nyl. Stictina................. 806 laiyoes An JiGéitleos cesodccooocvosocec 2244 lunes Nyilk Lemitiéaccoutoboodceodoss ce 2248 line Nil TG ocodbosoosooessocce 2248 Laubertiana Fée Graph................. 2565 Laurentiana Nyl. Lecid................. 2323 Lauri-Cassiæ Fée Lecid................. 2457 Lauro-Cerasi Nyl. Lecit....,., ... 2140 et 2141 ET SPECIERUM. lavata A CR Plein er een. 2516 JM AMQUCLE PP AUSC RE EEE EE CARE ARE CUET 959 Decanactis NY eee eee ce 2802-2807 lecanocarpoides Nyl. Gyroph........... 102% Lecanocaulon Nyl.................. 228-230 lecanodeum Nyl. Thelotr............... 1753 lecanographa Nyl. Graph............... 2647 Lecanora Ach........... 1144-1551 et 3656-8 lecanorella Nyl. Lecid.................. 2113 lecanoreum Nyl. Sfereocaul............. 228 lecanorina Nyl. Pertus.................. 1653 lecanoroidea Nyl. Lecid................. 2381 lecanoroides Nyl. Platygr.............. 2923 Lechleri Flot. Sticta.................... 839 Lechlerii Nyl. Lecid.................... 2200 Lecidea Ach.......... 1854-2546 et 3661-3676 lecideella Nyl. Aréhon.................. 3100 lo de NPA AMAR CE EEE CEE EE 438 DeiodermanNyl re rercceeecerccerecect 1100 leiogramma Nyl. Graph................ 2625 Leiophlæa Ach.......:........... 3468-3495 leioplaca Schær. Pertus................ 1603 leioplacella NyL. Pertus................. 1612 leioplacoides Nyl. Thelotr.....:......... 1755 leiostictum Nyl. Stigmat................ 2943 Lenormandi v. d. Bosch Sticla.......... 790 Lenormandii Nyl. Stictina. ............. 790 lenticulare Ach. Calic.................. 153 lenticularis Ach. Lecid.................. 2388 lentigera Ach. Leeun................... 1329 lentigerus Web. Lichen................, 1329 lentiginosa Leight. Opegr.............., 2883 leonora Spr. Parm..................... 713 lepadinoides Nyl. Thelotr............... 1741 lepadinum Ach. Thelotr................ 1740 lepadodes Tuck. Thelotr................ 1742 lac NL TR 6 abs eeeees 5530000 2489 lepidella Nyl. Opegr.................... 2891 lepideum Nyl. Collem.................. 39 lepidoplaca Nyl. Lecan................. 1156 lepidota Nyl. Cladon................... 302 lepidota Tuck. Cladon................., 310 leporina Fr. Cladon.................... 361 aan Adibocoooocoododouooouoc 3607-3615 leprariella Nyl. Arthon................. 3032 Le Prevostii Fée Helmin................ 2809 Leprieurii Nyl. Cœnog................., 1836 Leprieurii Mont. Glyphis............... 3142 Leprieurii Nyl. Graph.................. 2793 Leprieurii Mont. Lecid................. 2406 Leprieurii Mont. Ozoclad............... 1808 Leprieurii Mont. Sporopod.............. 2122 Leprieurii Mont. Trypeth............ .. 3517 Leprieurioides Nyl. Lecid,...., 0606000 0 AU 180— leprobolum Nyl. Chiodect.....,......... 3185 leprocarpa Nyl.Graph.................. 2731 Leprocaulon Nyl.................. 3609-3611 LeprolomaNyIP EEE RER EE EEE 3612 leprolomu Nyl. Psorom................. 1133 leprolomum Nyl. Psorom............... 1133 Jeprolyta Nyl:Lecan. Re ner 1251 Mob INTER SSL oooossocoooccce 1922 leproS AR ÉeILeCAN TEE EEE CEE TEA NET 1382 LeDTOS AIN VIA E CAN PE 1456 leptaleaiD CAPAUySCERREREEREEERERATES 967 le ptaleasNy I MVerHIUC CES EERERRE 3298 leptaleina Nyl. Verruc................. 3300 leptaleoides Nyl. Verruc................ 3299 leptaleum Tuck. Collem................ 70 leptaleum Nyl.Stereocaul............... 26% leptobola Nyl. Lecid................... 2314 leptobola Flot. Ramal.................. 446 leptoboliza NY ELec EEE EC EEE 2391 leplocarpa Nyl Lecid Re 2358 leptocheilasuckMecid' EEE EEE e 2028 leptocheilodes Nyl. Lecid............... 2031 leptoclinelasNy Irene 3673 leptoclinis lot eLecide ere etre Eee 247 leptoconia Nyl. Trachyl................ 169 leptoderma Nyl. Peltig................. 905 Leptogidium Nyl........... 134-135 et 3628 Leptogiopsis Nyl.....................: 136 Leptogium Fr.............. 90-130 et 3629-30 leptogramma Nyl. Graph............... 2625 leptographa Nyl. Opegr................ 2845 leptographa Nyl. Platygr............... 2927 leptophora Nyl. Pertus................. 164% leptopisma Nyl. Lecan.................. 1160 leptopismodes Nyl. Lecan.............. 1339 leptopoda Nyl. Cladon.................. 396 Jeptoporum Nyl. Thelotr............... 1681 leptosperma Nyl. Ramal................ 42% leptostictum Nyl. Stigmat.............. 2939 Entorce AMIS SE Se cccoococ se 2398 leptotera NV AODET REPARER EEE TEE 2873 leptozona Nyl. Lecan.................. 1232 en niN Ib ÉRTMConoseosoceccocseoace 2578 Lesquereuxi Born. Epheb............... 8 leucampyx Tuck. Trachyl............... 170 leucerythrella Nyl. Lecan............... 1183 Jeucobates Nyl. Parm................., 797 leucobatoides Nyl. Parm............... 758 leucoblephara Nyl. Lecid............... 2058 leucoblepharis Nyl. Stictinu............. 791 leucocarpa Nyl. Graph................. 2687 leucocarpa Knight Lecid......,......... 2191 leucocarpodes Nyl. Graph.............. 2688 leucocarpoides Nyl. Thelotr............. 1777 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. leucocarpum Tayl. Collem....,..,...... 66 leucocarpum Nyl. Thelotr.............. 1784 leucocelis Nyl. Lecid.................. 2492 leucocheila Nyl. Graph................. 2656 leucocheila Tuck. Lecid................ 2059 leucocheiloides Nyl. Lecid............ .. 2060 leucochlora Nyl. Lecid................. 1954 leucochlora Tuck. Parm............... 588 leucochlorum Tuck. Calic.............. 150 leucoconicum Nyl. Astroth.............. 3571 leuCOdeSANVIEMPEREUS PERRET ET EE 1638 Leucographa Nyl...................... 2810 leucographella Nvl. Arthon............. 2983 leucolyta Nyl. Graph... 3679 leucolytum Nyl. Stigmat............... 2954 leucomasNyIE Le AN RER EEE EE ERCEETT 1395 leucomela Mich. Physc................. 943 leucomelanum Nyl. Thelotr............ 1743 leucomelas L'Lichene eee" eee entr 943 JeucommaNyl Ver EEE ERERCSEESEErr 3408 leuconephela Nyl. Graph............... 2770 leucophæa Floerke Lecil............... 2266 leucophæa Tuck. Roccel................ 480 leucophila Nyl. Opegr................. 2856 leucophlebia Nyl. Peltid............... 919 leucophora Nyl. Lecanact............... 2806 leucophthalmum Nyl. Thelotr........... 1749 leucophyllina Nyl. Lecid............... 2199 leucopoda Nyl. Sphinctr..........,..... 142 leucopodoides Nyl. Sphnctr............ 141 leucopsara Nyl. Platygr................ 291% leucopsepha Nyl. Lecid................. 2529 leucorodia Wright Graph............... 3680 leucosoroides Nyl. Pertus............... 1574 leucospilodea Nyl. Usnea............... 508 leucosticta Nyl. Pannar......... 1064 et 1065 leucosticta NyL Phlyctel............... 1814 leucosticta Nyl. Stictina................ T1 leucostictica Hampe Sticla.............. 794 leucostigma Lèv. Getr.................. 038 leucostigmeum Nvl. Platysm ........... 538 leucostoma Ach. Pyrenula.....,........ 3366 leucostomum Nyl. Trypeth............. 3537 leucothalamia Nyl. Lecid .............. 2146 leucothelium Nyl. Astroth.............. 3580 leucothrix Nyl. Physe.................. 100% leucotrema Nyl. Thelotr................ 1721 leucotripta Nyl. Lecid.................. 2457 leucotropa Nyl. Lecan.................. 1396 leucotylium Nyl. Thelotr............... 1732 leucotyliza Nyl. Parm.................. 3645 leucotrypum Nyl. Trypeth.............. 3528 leucoxantha Spr. Lecid.....,........... 2125 levicula Nyl. Lecid................. on INDEX GENERUM ET SPECIERUM. INaconNriL VER c0ocoovo0uocegeoovs 3366 lichenophila Dur. Synalis............... 16 1ONE AS oo00000oac000o002000060000 12-13 lichinoidea Nyl. Parm.................. 732 ligulata Ach. Ramal 0 447 ligulata Koerb. Physc..........".."..".".… 936 lilacina Mont. Arthon.................. 3010 Minnie, Lane JAfmDococodbobeeec ect 683 limbata Nyl.Solorinina................. 909 limbata Sommerf. Solorina............ 923 LmbaATAINYIES EC ENAR EE RER EE 800 IMMbATUMINMIE ER OT RER EEE EEE CE 1105 RRbAUSASMENIChENE EE cr 800 limitans Nyl. Verruc............ 3439 et 3282 MCALANNNIE PAT ERON RER ee eee Ce 3009 DMIALAINYEMDINN AE EEE EEE EEE CPE E EE 1556 none Ad IE her eo oocdouocce 2309 limosum Ach. Collem.................. 54 linear ol aANTISEICIA ER RP E EEE Eee 833 lineariloba Nyl. Sticta................. 815 lineariloba Mont. Sticta................. 806 laure Sri ones scéocooooodcscossoo 405 nacre Ad Remnalses ee e 680080000000 422 linearis Nyl. Ramal. 423 et 422 rares Monts QUE 060606 a00600000000 816 lines Nil Sigoeeso-coccoco0coo00o 851 leo on Érapnessscsc0eo0ccceccoocve 2563 lineolare Nyl. Chiodect................. 3177 MineolataiNVIEMBTATUGE RER EEE RER RE CNE 2930 initie IMC TRooconsoccococno cac 813 Linkii Ehrenb. Cœnog........... 1838 et 1836 DID AN TIME ANR RER PE Ce 1327 lirellæforme Tuck. Thelotr............. 1767 liellansSEMMAPATEDON EPP EEE EEE 3038 MOREL NPD EE 000600000000 1551 Lithographa Nyl................. 2547-2549 MÉROPRUIAMA CRE L EC NE EEE 2340 linotnes din MPEG 60o000co000oc 994 linyre AN OP ocoocsercocecco cos 2841 RMdaN ER PEC TE CPE RE TE eEee nee 2544 vice, Ney occocococoooco000000 642 livido-fusca Nyl. Lecid,................. 2085 livido-fuscescens Nyl. Lecid............ 2086 livido-nigricans Nyl. Lecid.............. 2090 CITE Nb TaGocosesooosecocoococod 3666 Eoandensis Nyl Opegn ren nn, 2866 DODATIAUN VIRE eme once 812-813 ÉODAFIMANNTIER EE TER Cr 766-767 lobata Eschw. Lecanact................ 2670 lobulata Sommerf. Lecun............... 1151 locuiaio NN LESmeecoceocoocooccoupod 1340 lobulata Nyl. Melasp................... 3139 lobulatum Nyl. Leptog................. 93 JOPUIOS ENVIE EE CAN EEE EEE EE 1340 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3° série. — IV. 485 lonQUICr ANT IMPlAN Er eee ee 1816 longissima Ach. Usneu.......... 506 et 506 » lon IUSANVIEAS CITE Re 1797 longiuscula Nyl. Lecid................. 1888 Joneula NO DETTE RE EC EEE RE 2859 lophæum Nyl. Leptog.…................ 92 lophocarpa Koerb. Pertus.............. 1609 lon NTSC oo coboooouoonc 906 loire Adi Jde gaedcoccocoosvovoo 152 LoxenSiSNVEATEC PER Re Crete 556 lncens NME Eee once one oc 1145 Inecle Ada ae ee és ecocccoodcocoe 1930 JUBESCENS ENNEMI EEE EEE EE 3352 lnEnoaloe ND IEEE Sec peccodococce 2299 IS UDTISENTIRLE CIE EE 2296 IUBUDTIS ETS RPM EC Re rec 742 lourde, Adi, AAORocacecocooacccoeccoo 3003 ITR AG Te eo oobteccooe a 1869 nice NID TP 00 coccoovdocoouoccoe 1053 luridatula NylLecan. "17... 14441 luridellä Nyl. Lecan.................... 1532 und e MA INVIVErTUCAR EEE EEE PETER 3342 luridescens Nyl. Lecid................. 1914 luridonieraiNVIERLeCI RE EEE RE EE TEE 2242 Ju Al aAN TIENNE ER EEE CT 1062 luridum Mont. Collem.................. 1053 Inc Nils Haièocedooccoccocccocovuve 1473 Jutea Schæn- Decitre 1866 et 1866P Intel Adi ILEe occoonnoococcovvcoc 2133 lutescens Nyl. Lecan .......... 1420 et 14205 IuteSCensIN VIS TC NA ER NE 796 lutescens Krempelh. Stictina............ 771 luteuSIDickKSMICheNF EEE cr. 1866 Ie NL asset coco oecoce 2243 Lyallii Nyl. Nephromium................ 895 Ionmes Nil 16so0o00secosooecovoue 937 lonodermaNyileecettéococouccanccoce 132 bis Kéonme NN ese Rose eee eee 2354 lygotropa NylPEeCIT EEE EE ECC 229% lynceodes Nyl. Graph.................. 2638 M maciformis Nyl. Ramal............ 452 et 451 macilenta Hoffm. Cladon............... 348 Mackenziei Jones Pyrenops............. 5 macrocarpa Nyl. Lecid................. 2094 macrocarpa Pers. Parm........... 609 et 664 macrocarpoides Nyl. Stereocaul......... 239 macrocarpon Nyl. Astroth............ 3078 macrocarpum Nyl. Leptog......... 100 et 121 macrocarpum Nyl. Stereocaul........... 239 macrocarpum Rich. Sfereocaul.......... 234 macroceras Nyl. Cladon................ 300 186 macrophthalma Nyl. Lecan............. 1323 macrophylla Schær. Sticta......,....... 817 macrophylla Hook. Sticta......... 817 et 798 macrophylla Hepp Sticta............... 868 macrophylla Nyl. Stictina............... 798 macrophylliza Nyl. Cladon.............. 311 macrotheca Fée ArtRON.. rene 3049 madagascarea Nyl. Heterod............. 386 madagascareum Nyl. Sphæroph......... 186 maderensis Nyl Led eee ee ee 2099 madreporiforme Eschw. Trypeth........ 3546 magellanica Mont. Evern............... 487 magellanicum Th. Fr. Stereocaul........ 252 MAGMOPSIS ENVIES EPP 3625 MAS ACAUNVI A VErRUC SEE 3469 Maingayensis Gromb. Lecid............. 1900 MED IN MES 6e é6opcosocoooococc 965 MAJOMMONEAS ENT EE Re ne ne 3559 majorinum Nyl. Ascid......... 1797 et 1797P MAJUSCULA NIMES 3488 majusculum Nyl. Thelocarp............. 3189 HMalACCENSISEN TI Leci EEREE EREEN 2180 MAlACCENSISEN IMPACT 687 malaccitula Nyl. Verruc. -............ 3479 MAC Mr, PAS oo00000000000000800 896 MalACOLESNYIAG AGDE ERA 2676 MATE NIORT So0o800ocoaccoscece 2690 Mallotium Flot................... 112 et 117 mamillana Schær. Verruc.............. 3372 MAMILlaArIS DU LeCT En 2220 MAMMALAINVI PEREUS ARE 1651 mammosum Tuck. Pemphid............ 1804 mammulata Nyl. Gyroph............... 1031 Manitense Tuck. Endocarp...,.......... 3196 marcescens NylAGHApDhe elec 256% MATCIdULA NI LeCIO RER ER EE 2419 marsacea Wah Verruc tre ere ee 3273 margarodes Nyl. Lecan................. 1313 marginalis Bory Sticta.................. 810 MARTUMALANEÉ PATINONC EE EEE EEE 2649 TMATCINAAIN IMPORT AE ES 2572 marginata Nyl. Pertus......... 1606 et 1606 P marginata Fée Porina.:................ 3312 marginata Hook. Pyrenula.............. 3372 marnginataiNyIAVeTEUC ere re 3372 marginatula Nyl. Lecid................. 2083 marginatum Fée Trypeth:.............. 3546 marginellum Nyl. Leptog............... 100 ManginelUSISWATAICHENL EEE MP EEE 100 marginifera Nyl. Sfictina.......... 807 et 814 marginiflexa Tayl. Lecid ............... 2043 MAMANAMEÉ Ce IGRADRER EEE EEE EEE EE 2640 marianum NV MLED OT RE 100 MmarnitimaBa sl Dei ET er CC CCE 2445 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. marmariza Nyl. Parme eET 3648 marmoratum Schl. Mycop.............. 3593 martinicana Nyl. Parm........... 615 et 615? Marti Nyl Opegn, : "200 nee, 2811 mascarena Nyl. Cladon................ 313 mastoidea Nyl. Verruc................. 3312 mastoidella Nyl. Verruc................ 3324 mastoidestera Nyl. Verruc.............. 3317 mastoidiza Nyl. Verruc................ 3316 mastophora Nyl. Verruc................ 3378 mastophoriza Nyl. Verruc.............. 3379 mastophoroides Nyl. Verruc........... 3380 ANR AN EIN El PT Goc sec coonooncoovooc 3270 mauritianaayl Meier TEEN ee 1929 mauroides Schær. Verruc............... 3259 maurospila Nyl. Verruc................ 3489 medialisMuck recide eee rc 2171 mediella Nyl. Arthon........... 4... 3115 mediocricula Nyl. Lecid................ 1990 medioxima Nyl STD. rer 219 medusina Nyl. Clading.... "4" "0" 380 MmeduSinusBONVELIChENEE EE EEE PTE 380 Medusula Eschw ................. 2787-2800 medusula Nyl. Graph.................. 2645 medusuliformis Nyl. Graph............. 2637 medusulina Nyl. Glyph................ 3146 medusuliza Nyl. Opegr................. 2832 mesacanpaiNyleNLec id EEE Aer eee 2041 MAINTIEN TDecoooococcoccouocoe 530 megaleium Nyl. Platysm.......... 530 et 604 megalospora Th. Fr. Argops............ 269 megaspermum Mont. Trypeth........... 3510 megaspermum Nyl. Trypeth............. 3592 MeEIObOlA NIET EE ONE rENE 2068 meiocarpa Nyl. Lecid.......... 1961 et 1961 melocarpumeNyl#Entodterrcere-cectre 1102 meiolepis Cromb. Heppia............... 1118 MÉTOPhOTAINYIEMPUTN EEE TEE EE CREER 631 meiophorum Nyl. Sphæroph............. 182? meiophorum Nyl. Trypeth.............. 3529 meiophragmia Nyl. Lecid.............. 2215 meiosperma Nyl. Lecid................. 2459 meiosporaiNylLecideeerererereerte Ce 2322 meiosporum Nyl. Thelotr............... 1786 Meissnerii Tuck. Pyœine............... 1008 MON TN ec occooceoccooc 1013 Meissnerina Nyl. Pytine...... "M" #""# 1013 meizobactrium Nyl. Ascid............. 1805 ? meizomorpha Nyl. Arfhon.............. 3056 MeIZOSPOrA Nyl Par NEA ee 644 melacarpa Nyl: Lecan. "NM 1368 melacarpina Nyl. Coëcocarp............ 1088 melacarpiza Nyl. Lecan................. 1368 melacheila Nyl Tec eee 2204 INDEX GENERUM ET SPECIERUM. 2146 2039 melachroa Nyl: Lecid...".... inelacinaiNVIETEC TER Er EEE EE CT maine NN Htlascossouocccocosocses 2075 melænella Nyl: Lecid............... 2006 melænum Ach. Collem................. 49 melaleucasluCReNLeC TERRE eee Creer 2014 MmeldieucRi Dub PER EUS EE EEE Ce CCC 1583 melaloma NI EC ONE EE EE CCC 1327 melalomum Nyl. Platysm............... 228 Dalanto HÉCODASR oc 000060280650 0 2834 MelambOlaNVIMO TAUPE EN EEE 3624 melancheima Tuck. Lecid.............. 2270 MOTANEITAMAChEATEC EEE ER EE PE PET EE Te 559 MElANOCALPAMNyYI DEC ID. 2101 melanocoma ACHA Belge EE RC CEE 906 melanodes INyINC/adon eereee ec eterr ee 337 melanophæumr AChACalice Me RREe EEE 161 melanophthalma Duf. Arthon.... 3065 et 3076 melanophthalma Nyl. Lecan............ 1331 melanophthalma Mont. Strig............. 3509 melanophthalma Mont. Verruc........... 3909 melanophthalmum Nyl. Trypeth........ 3509 melanopis Sommerf. Lecan............. 1483 melanospora Nyl. Pertus............... 1625 melanosticta Nyl. Arthon............... 3076 Melanotheca Fée................. 3567-3574 melanothrix Laur. Ramal.............. 394 MElANOÉTOpPAINYI LECTURE RE E ECC 2029 mabnins NL ATOS C0ec6 00000000 1241 MELAPSEpha Nyl Led. 2377 MOBRATOUNIANPES SE SEP Eee 2400 IMelASeManNVI ELEC EEE EEE EEE ECC 2209 Melaspilea Nyl................... 3125-3139 melaspileoides Nyl. Mycop............. 3595 melastesiaiNyl ect EE Eee Re 2040 melastigma Nyl. Séigmat............... 2933 EM ElASILOMANN VIT EC R EE ETES 2352 DANONE NET TyMenes 000660600008 3558 melatyloidesNyI EE MyCOp EPP EC REC ee 3299 Mel ENYIEMMUCOPE EE CRC 3598 melaxantellaNyl Sec ere eee Eee ere 2448 melaxanthiza Nyl. Lecid ....... 2449 et 2449 b melaxanthus Nyl. Neuropog............. 513 melinasKrempelhe DECITRE Pre 2383 MANS NL TES eco dc oocavoccopoce 975 male NL Tables soasocococoovoouod 2347 membranacea NI Peltige--erre-eCeeee 899 membranacea Nyl. Ramal.............. 442 membranacea Laur. Umbil.............. 1018 MENTAxINYI GTA EEE E EE EEE EEE 2742 Menziesii Ach. Leptog............ 115 et 115 Menreon Tidk, Marais oscccocccoococc 436 MENZIES ENVIES TICIA REC CEE RC EE 838 METAL RÉCICMOEC D CRETE CE EE CCE 3175 187 meristosporum Mont. Trypeth.......... 3541 IMÉSOPENES AIN PAT MERE EEE eee 617 mesographa Nyl. Graph................ 2661 mesographiza Nyl. Graph............... 2711 MeESOleUCAaIN VIE PATEON EEE CRC 3050 mesoleucodesINyl Graphe rer. 264% mesoleucodes Nyl Decit-""".".. 2040 mesomorpha Nyl. Evern........... 517 et 577? IMESOPHEÆAMNYI DECITRE eee ee 2087 mesophlebia Nyl. Opegr........ 2840 et 2840b IMESOSPOTAIN VI GADR RE eee re 2735 MESOROPIZAIN VIDER EEE en 2362 mesoxantha Nyl LeCAN eee een ere 1401 IMELADOIANVIEMMElUSDEC EE Eee CCR ece ee 3137 Me tale DIN YIMC LAON EEE EEE EE EEE 342 metaphoricum Nyl. Thelotr............ 1788 MefzlesHeppICO En EE EEE EEE 55 mecicanumiNyl Erioderm----" "°° 1105 Heron ide lltiocscocecoocouo 2068 MACNOCATPOINVISÉeC AN EEE 1508 MACTOCARPAIPELS PAM... 609 et 664 HAICTOCARDAPA CHE PEL EC Ter 906 HMCROCALDAINVINPEREUS EEE PER CE CCC 1602 MICTOCATPANRErRS AUSNEL Eee Ce 493 microcarpoides Nyl. Thelotr............ 1704 MICROCYCNA LUC OPEN EL EEE cree 2878 MICLOTAC OI AIN VI DEC. rec ee 1895 mMICrodactylaiNyl Peltig. RFF EEE EEE 900 micrographum Nyl. Stigmat............ 2960 microlepta Nyl. Lecid......... 2193 et 2193? mieromMmMaMONt A VerrTUC er rer eee 3408 microphlebeia Nyl. Opegr.............. 2838 microphleboides Nyl. Opegr............ 2839 MICrOPhOra NY VerUC eee ec Ce 3486 microphthalma Mass. Rinod............. 2447 microphylla Nyl. Pannul............... 1074 micropnylidiSchær Sticta ner eee ce 817 microphyllina Tuck. pr. p. Lecid........ 2196 microphylliniza Nyl. Lecid.............. 2197 microphyllizans Nyl. Psorom............ 1133 microphyllodes Nyl. Pannul............. 1075 microphyllum Nyl. Collem.............. 60 microphyllus Sw. Lichen................ 1074 microporellum Nyl. Thelotr............ 1706 microporoides Nyl. Thelotr.............. 170% microporum Mont. Thelotr.............. 167% microscopicum Nyl. Leptog............. 3630 microsema NV OEM eee ere cee ce 2830 microsperma Nyl. Arthon.............. 3116 microsperma Nyl. Lecid......... 1928 et 2459 microspermoides Nyl. Arthon........... 3074 microspilota Nyl. Melasp............... 3136 MAICHOSDONAIN VI EC AN Er EE ce 1315 | microspora Nyl: Verruc.... 3263 188 microsporum Nyl. Calic................ 152 microsticta Nyl. Varicell............... 1672 microstictica Nyl. Opegr............... 2880 microthelena Nyl. Verruc.............. 3502 Microthyrium Mont. Strig.............. 3564 CE MO V'ARBocsosdcccosocnoucce 3685 miculiformis Nyl..Verruc.. "0. 3503 nulesranaiNyl REC RC PEE EEE EE EE 2145 Me RIN LI EAMDoosococococodoscnoce 1282 EME IN LA Soocccoococdonbacdouc 2070 miltina de Notar. Lecan................ 1343 VIN NAME CAN EE CE CCE 1291 OUEN IN AE AM Tao oooccococosoocooone 1154 miniatum Ach. Endocarp............... 3193 miniatus Hoffm. Lichen................ 1154 MINIMAMMASS VERTUC re cce rec cer 3266 MOINS EURE oTouvoocas one cos 1016 mine NO ET oScococcennoocoocouode 1859 MINOTMIFÉe) PAM Eee L eee eee 1001 et 1004 MINOPAN TIM PERTUS EEE eee ere 1603 MANOIR PAUSCE RE CCE COLLECTE 1001 MANOPINVE ROMA E EEE Ce 458 MUNIE EE occocusouno cooooooc 877 MANUSCULAINYIAPARME EEE CE ECC 731 MINUSCUAINYISROMA EEE TPE ECC 466 MINUSCULAINYI M SYNANS EEE CRAN 19 minutaiNylMecidér PETER ER e 1961 NUS END JAMDaonoccoooocoovooo 1432 minutula Nyl. Arthon.................. 2107 IDUL NN ELEC EE PER EEEE 2446 DAINQULUIAINNIE PR EMAIL RENE EE CEE 427 mmiscescensiNyl:Lecid eee ere LCR 1955 IMISCRUIAINYI PATRON ET PETER EC 3072 MERUIA MU Ck-(CIAON RACE EEE 309 MOINE ETS See Roc ooccocous 1997 CINE Ole ce 0ccpoccscco0000c00e 3129 mixtum Nyl. Stereocaul.......... 240 et 240? MNIATCA PAC LEGER ere ce 1273 MNIATEIZA UNI Le AN eee eee 1274 moderatum Nyl. Tyloph................ 177 modestula Nyl. Verruc................. 3340 Molkenbæri Mont. Sticta................ 719 MATE TE TPE oaccoccodooooc0000po 1849 MollerinHenriqeeLect di ERA re 2128 mollescens Nyl Crocynia.. "0 1850 IMOUESCENSIN IMPR YSC PEER EEE ETC CCE 953 MOILSINYIENC TOC YNIAEE EEE CREER 1849 OS ML IEEE oosccsggaccoenooooode 2290 molliuscula Fée Lecid.................. 1848 molliusCula A Ch PAT ERP 713 molliusculum Ny1. Byssoc............... 1848 MOILUSCAINYINCOMPbE EE PREEENREEE EAU 474 molybdæa Pers. Coccocarp............. 1091 molybdina Ach, Lecan,.,,., p6n0v0opono 1512 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. molybdiza Nyl. Parm.................. molybdoplacum Nyl. Amphid........... moniliforme Tuck. Cænog.............. moniliformis Fée Arthon.............. montiliformis Bab. Parme..." monobactrium Nyl. Ascid...... MONCPhor ENVINGrAPR ee Tee ceeree monospora Nyl. Graph.......... 1805 et 1805 ? 2587 2784 et 2601 monospora Nyl. Verruc................ 3219 monosporum Nyl. Thelotr.............. 1758 monosporoides Nyl. Thelotr............ 1759 monosticton Fée Ghiodect............... 2936 Montagnei Nyl. Lecanact............... 2802 Montagnei Flot. Lecid................. 2525 Montagnei Nyl. Ricasol................. 887 Montagnei de Notar. Ramal............ 406 Montagnei Bél. Roccel.................. 482 MooreiNylE Le D OUR ER E EE CRE 3628 MONTE EH Eeoscccccescccocvovo 3283 Moseleyi Cromb. Lecid................. 2409 Mougeotiana Nyl. Stictina....... 781 et 7831P Mougeotii Schær. Parm......... 708 et 708? Mougeotina Nyl. Parm................. 709 Moulinsii Mont. Endocarp.............. 3198 mourayamana Nyl. Lecid............... 2468 mourayamanum Nyl. Nephromium...... 3653 INOZiana Nyl- Lecan-recereeccc-c-ccrr 1278 MUCOSA A Ch VErUC ere eereeeercee 3267 Muehlenbergii Ach. Endocarp........... 3194 Muehlenbergii Ach. Gyroph............. 1042 Muelleri Hampe Sticta................. 385 Muellerii Nyl. Heterod.................. 385 multiiera Nvl-MDecan tree eee 1315 multifidaslaur A Stcia rer ere eee 850 multiformis Nyl. Platygr............... 2926 multipuncta Nyl. Pertus............... 1568 multipunctus Sm. Lichen............... 1568 mundata NY PPArRMECEEAERTE ECC CONTE 745 muralis ACh. Verruc. NRA 3285 muralisiNyiMbecan ere cr eee Cecr 1344 murorum Ach. Lecan.................. 1154 muscicola Nyl. Lecan.................. 1446 muscicola Sommerf. Lecid............. 2103 muscicola Fr. Leptog............. 130 et 130? muscicola Ach. Verruc................. 3336 muscigena Eschw. Cladon.............. 353 muscigena Nyl. Physc.................. 984 muscigenus Wahl. Lichen............... 984 muscivaga Nyl. Parm.................. 718 Muscorum Nyl. Lecid.................. 2169 Muscorum Nyl. Pannul................. 1084 Muscorum Schær. Lecid............... 2066 mutabilis Nyl. Lecan................... 1475 mutabilis Fée Lecid......,............. 1925 INDEX GENERUM mutabilis Tayl. Parm.................. 693 mutata Nyl: Lecid. 2207 Mycoporum Flot................. 3593-3602 myochroum Nyl. Leptog................ 112 myochrous Ehrh. Lichen................ 112 myriadea Nyl. Arthon.................. 3118 myriadella Nyl. Lecid.................. 1863 myriadeum Fée Coniocarp.............. 3118 myriocarpa Nyl. Graph................. 2574 myriocarpa Nyl. Lecid................. 2419 myriocarpa Tuck. Opegr................ 2878 myriocarpa Fée Pyrenula............... 3416 myriocarpella Nyl. Lecid............... 2442 myriocarpoides Nyl. Lecid.............. 1992 myriocarpoides Nyl. Séereocaul......... 254 myriocarpum Fée Thelotr.............. 4707 myriocarpum Th. Fr. Stereocaul........ 251 myriococcum Ach. Collem.............. 36 myriococcum Mont. Collem.............. 71 myriomma Nyl. Verruc................ 3425 myrioporellum Nyl. Thelotr............ 1677 myriostigma Nyl. Melasp............... 3135 MUMOUMEMAAINVIMTNelOLEEE RENE SEE TETE 1675 myriotremoides Nyl. Thelotr............ 1679 penis NL Donc ces eee eos 1343 N nasasakensiSINVI Lecid ee CEE Ce 1995 nagasakensis Nyl. Pertus............... 1630 none NL ERA oooogoocoosoocoococco 2562 nan AMI GB 666666 00006006000000 3309 HANOJeSUCL SÉEREOCAUL EEE ee 264 nanum Nyl. Leprocaul................. 3609 natalensisINyl Bec CE ee 1978 natalense Nyl. Chiodect................ 3174 HONOR NID ATP 66660 00000000000 1069 TOC NN ID pes booter 679 Nemathora Mont. Sfrig................ 3560 nematodes Nyl. Ramal................. 455 nemoxyna Ach. Cladon................ 290 neo-caledonica Nyl. Parm.............. 616 neo-caledonica Nyl. Pertus............. 1575 neo-hollandica Nyl. Parm.............. 654 neo-hollandicum Nyl. Chiodect...... O0) neo-zelandica Nyl. Phlyctel............. 1815 nephelinaNVIAGÉRON EEE EEE CEE 3017 NEPRTOMALACHE EEE EEE EEE TETE 912-918 Nephromium Nyl............ 888-895 et 3653 nephromoides Nyl. Platysm...... 035 et 5356 nesæum Nyl. Stereocaul..............., 243 Neuropogon Nees et Flot............ 513-516 Newtonia Henriqg. Lecan................ 1531 niger Huds. Lichen. ee 1078 ET SPECIERUM. nee, NL oobecceccocccc- noce 1078 NRA NL Goo cecegooccccovctoc 3233 nigrescens Ach. Collem............. 61 et 61r nigrescens Pers. Verruc................ 3254 METICANS NY AAlEC A RE ee 561 MANICAN SAN VIA EEE EC CCE 520 MeTICANSTUCKE DEC EEE CEE 1246 DIÉTICAN SIN VIE VENUC Ce ee CL 3250 momie INT Cdt co ooue co 2751 HIOREULAINYI ELEC EEE NET 2423 nigritulum Nyl. Trypeth................ 3527 nigro-cincta Nyl. Pannul............... 1079 nigro-cinctum Mont. Chiodect.......... 3165 nigro-cinerea Nyl. Lecid................ 2369 nigro-cinerea Nyl. Pannul.............. 1081 nigro-clavata Nyl. Lecid ne 2389 RO ENIC EN ADN AT RERO SE SRE 2225 nilshercensiSNyIPEeCITEe PER ERCREEECE 2043 nilgherrensis Nyl. Parm............... 613 DIMPOSAMNVI LECAN EE EEE CCC RUE 1272 HIPONICAIN VI EDINA REC PEC EEEE EEE 0er 1557 nTLENSRRÉeNERTUC ee ee. 3375 nibda MONS GTEDR ET EEE CC ee 2742 PCR Tail SUGooovoococacoadeosocoo 841 nitida Schrad-Verruc errrnree eee. 3319 nitidella Floerke Verruc............... 3376 nie laiNYIVeTEUC Re ec eCOee 3381 nitidescens Nyl. Graph................ 2745 nitidiuscula Nyl. Lecan.:.............. 1327 nitidiuscula Nyl. Verruc......... 3421 et 3422 NON NL I Eee ac00onocoecchanoc 2243 mibdula MONt SRE Creer 3562 nitidum Eschw. Diorygma.............. 2742 NIVAle NY MPIATYSMeeR- ec erceee 525 baies Lo IGOMEMocosooooobeccoocessoce 525 nivea Eschw. Graph... 2613 NIVEUMMONTBYSSOC. Lente ie 1851 nodulifera Nyl. Physe.................. 929 noli-tangere Nyl. Arthon.............. 3015 NONATIAINYI VErRUC ER RAR eee Ce 3315 Normandina Nyl................. 3191-3192 none Nb OM Poconacoosocoebe0ocovos 2817 Novæ-Angliæ Nyl. Verruc.............. 3247 Novæ-Zelandiæ Knight Bæom........... 189 nue NE VEMoo000000006600u0000e 3328 nudatum Nyl. Astroth.................. 3592 NUDOPAINVIENCIA TON EE EEE RCE EC Ce 333 neo Nils VOGeooccoooopovovopvoon 3412 non 66 FM IGooooacocccsoconoouc 3370 nudum Del. Stereocaul................. 240 numidella Nyl. Collemops............... 30 nummularia Dur. Omphal.............. 24 nummularioides Nyl. Omphal........... 25 nummularium Nyl. Anema............. 32 190 O Oakesianum Tuck. Platysm............. 133 obducensiNyl MPenEuUs EE ER EEE 1580 obducta NylISpRINCU. RER ER PEN E 144 ORNE PT EBonoocdococdboocooscooc 955 obfirmata Nyl. Lecanact...... 2807 et 2807 ? obiuscata NI VÆrTUC EEE ARTE 3258 ObliquansINYIMPECAN PEER EEE Ce 1258 obliterans Nyl Pannul FE 1080 obliterascens NY Lecan Re e 1344 obliteratalN VI PLEINE EC eee re 1154 obhiteratus Pers ALIChen RE Eee 1154 obloncaN VE Open EEE EE cer 2849 obludens NY LeCIT TE CEE RIRE CC 2017 oblutescens Nyl. Lecan................ 4421 obnigrescens Nyl. Verruc............... 3257 obpallens Nyl. Lecan................... 1541 DPSCUTA NET AP AUSCE Eee CRT CETTE 990 obscurascens Nyl. Physc................ 1000 ObSCURALT IA CNE PATMER EE CE CC 741 obSCurata NI PP YSCA EEE EEE ET 954 obscuratula Nyl. Heppia............... 4143 OPSCUFORINVI PE CANCER RER 1435 ObSCUFONINYIEPUNNANE ELEC CCC 1068 ObSCUTIORNVINS PCA EEE Ce rec 769 obscuriuscula Nyl. Physc............... 991 obscurum Spreng. Stigmat.............. 2952 obscurnus Ehrh-Alichen tree rer ere 990 obsessa Nyl. Parmeliops................ 761 ODSESSAINYI PAUSE EEE PR ER EEE 979 obsolescensiINyI M PeErREUS PRE 1615 ObtECAIN VIN GTA DRE EEE REA EEE 2715 obtenta NylVEnTuUc EEE EEE RTE CET 3224 ODRAMRÉE PATRON EEE EEE CEE ES 2631 obturascens INyl D helotr. CAEN PRES 1776 obiuratumiNy I Te lo TEE ER 1693 ODEUSANRÉC ARINONPE EEE EEE Ce 2631 obtusata NY ACIA in A EEE 315 ObEUSALA FACE ACTION 571 obtusatus Wahlenb. Lichen............. 1664 ODÉUSTORANVIGTA DRE EEE EEE EEE 2756 ODEUSIOTEN VI VE TUCE EE RETENIR 3401 ODEUSUISANTIATÉLON ER ERP ER EEE 3035 obumbrata Nyl Lecide RE RER 2302 ODVELA LAINE PPERTUS EE EEE PRE EEE 1565 Obvoluta ACHAS CITE EEE RECU 848 obvolutaHook. STiCIa ER EEE 188 ODVOIULTINYIRSEICIAR EEE EE CPR PER EE CES 782 obvoluta NV ESTCNAE EEE ER ENE 802 ODYOLUTA NTI ERTUC EE ERP ERA 3428 occlusum Nyle Tel ere 1752 occulta Knight et Mitt. Platygr......... 2929 ocellata Nyl A LEeCan TPE ere Cr cre 1279 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. ocellata Floerke Lecid................. 2447 HQE INA PP 006 000000000000 2916 OCellata DOMAUrCEO LEE Er EEE CCE CEE 1823 Clos NA 1Bnems % 090000000000 00 1823 ocelliieraNyI ELEC EE TETE EEE ET 2254 OCHEACCAMHEPPAANADRT ee rec err 2738 ochraceaiNylerLecans eee rec rrcere 1182 CONS NMIENMUTEe soc aoococcsoocevon 1971 OCHEACeA NY RTE EE EC Te 2340 ochraceella. Nyl: A7fhon. 00 2982 ochraceo-flava Nyl:Verruc. "Re ene 3412 ochraceo-flavens Nyl. Verruc.......... 3413 ochraceumaNvleMBySSOC RER RER ET Ce 1853 ochrocarparNyl Dec EC EEE eee Ce 2425 ochrochlora Floerke Cladon..... 288 et 288? OCHIOCRION TN VIE ANIETEUCR EEE RE ETC Te 3519 ochro-cincta Nyl. Aréhon.............. 3000 ochrocleistum Nyl. Astroth............ 3084 ochrodela Nyl Pecid eee re ce 2500 OCHrOdeS IN PATRON EEE REP RER EEE 2966 ochrodiscodes Nyl. Arthon.... 3112 et 3112 ochroleuca Nyl. Alect........... 566 et 566 ? OCRROIEUCARPETS AGTAPR EE RE TE EEE 2640 ochroleucarNyl-"Loba ra ee Creer 813 ochroleuca Eschw. Ustal.....""..."".. 2637 ochroleuca Eschw. Verruc.............. 3519 ochroleucodes Nyl. Graph............. 2596 ochroleucum Nyl. Trypeth............. 3519 ochioleucus Ehrh- Lichen-- "#7". 566 ochro-lutea Nyl. Arthon............... 2999 ochromelasNyI Tec EEE PERRET EN 2334 OCHEONNCTAINVI LE ARE EEE CE TEE 1500 OCHTOPhEAMQUCkE EE CAN PE ETC ECC 1550 ochrophana /NyleMLecan RL eee CEE EEE 1509 ochroplaca Nyl. Graph................. 2557 OCHTOSPILAAINVI ANR ONE EEE EEE 2977 ochrothelium Nyl. Trypeth............. 3530 ochrotheliza Nyl. Pertus............... 1636 ochrothelizum Nyl. Trypeth............ 3531 OCHROLTOPA NY I M VErIUC EE Eee ERE Ce 3410 ochroxantha Nyl-Lecid er. -"Ærertn. 1881 OCÉOPHOrAINYI M GTADR EEE EEE CEE CCE 2734 OCLOSpOr AIN VI MPER USER EE REC ee 1603 OCUANS ENVI MLECTARAERE PEER PESERET 1967 COURANT ARS 0 20 500000d000000000 1664 OCUIQIUSIDICKSEMAIChEN EE ER EEE EEE CEE EEE 1664 odontella AChACET EEE EEE CE TEEN 523 OhenSeNTIEMMYCOD EEE RCE CCC 3600 OA ATElR LEGS 00080 00000000000 2496 oleagina Fée Pyrenula.......... 3929 et 3375 oleagineum Nyl.. Trypeth............... 3529 olivacea Nyle Graphe CREER EE ET 2789 Olive NMENEsS600000000000000000 2243 olivacea Ach. Parm.. 124 et 124 INDEX GENERUM ET SPECIERUM. olivaceum Fée Myriotr............... 1675 olivaceum Mont. Thelotr............... 1743 ONDACEUS AE ALIChENS EEE ETS C Lee 721 olivetorum Nyl. Parm............ 603 et 606 Omphalaria Dur. et Mont.............. 22-29 omphaliza Nyl. Heppia................. 1119 omphalodes Ach. Parm................ 697 Omphalodium Mey. et Flot.......... 735-737 ONCROPROTTIN I OpPeSRr er eeere-eceree 2855 QNChOSPOrAIN VI OPEN eee eee 2855 cnac® Ath: JARooococooccocccvcccooc 1330 OPEGrAPha PACE PE PRE CE 2811-2893 opegraphella Nyl. Melanoth............ 3574 opegraphella Nyl. Xylograph........... 2551 opecraphina Nyl PlGfygn.ee CR reet 2912 opegraphoides DC. Lecan.............. 1477 opegraphoides Nyl. Melasp............. 3130 onerte No VGA S000000000s00000000 3309 opulentum Mont. Collem............... 38 ORDALUMENVIE PIE TYSM eee ec 543 ORDICUATISENVIES CNT ER EE EEE 810 GROCNITRS MP SRE S ooconécecccouce 3559 CR IeRe ANG cb0o0sc0e 5560000 3641 ORCSANn a TUE LEON EEE CCE 1408 ORCINAPA CREME AN EEE re Pere 1269 OrEMOUES NIUE Re 268360456008 2351 ORZADANANNYEES CITE EE CEE re Ce 825 OPnAASOMMERT ECO EE e - C 1503 OBDONÆAMN VITE ER ER EEE Te ET 1916 COMENT oc 0potoooo one 2543 OMYEMEÆAPA CHERS CIT EE ET 843 OJOMEUMDEIPSTIC EAP EEE EE EEE TEE CEE ET 842 oryemæoides Nyl. Sficta. "ue 842 orygmæum Del. Endocarp.............. 2543 OPyYZRIOrMIS FÉENGFA PR... ne ee 2699 onyzoides Leicht- (Graph 2 2614 oSteina NUIEPATEC ERP E RER Ce rer 567 et 167? OSTEOIEUCAINVIEMP ON EEE EEE EEE EE 716 OFASENSISANVI M MeCIT EE RER EEE EEE EEE 2211 OVAlSSTAy I PREMIER CEE CEE CCC EE 443 vas Nyil GI Lo os 0055 36600000000000 2561 OXYSPOrA NN YIE DEC EEE EE CERCLE 2533 OTUSDORUSSQUL ADO EEE EC EEE CCE 2533 ee NO ANNE 080 00000000000c 3059 Dada MoOntssososouécococc00o0osac 1808 P nadinen Ad EMRorvoocoscscoosocace 1273 HachnoeSEÉelGTAphEe EE EEE EEE 2586 PaChyCaAr pa DU MLec ITR EE EEE EEE CEE 2092 pachycheilasTuck = Lecie eee EEEP EU 2096 pachysrapha Nyl. Graph............... 2730 pachypholiS Nyl Decane. "#0. 1447 191 DAChyPIACANVIPEPET USER Re 1577 PDACRYDUSEIN TI BEM ere. 201 pachysporum Nyl. Thelotr............. 1699 pachystomoides Nyl. Thelotr............ 1684 pachystomum Nyl. Thelotr............. 1684 PACRYERAT A ENVIE Eee ee eee 735 Dalamea AC A CIAON SERRE RE 315 adecco rs PAM soocoooovocodooucouc 1125 paleaceumNyI NPSOnomereeer ere cer 1125 pallens NylNephroma..:.- "0. 915 DANS ENVIES CL EEE cree 84% DAleSCenS AG DEC ANR 1457 pallescens Nyl. Platysm........... 534 et 537 pallescens RÉée rypeth.- "ce PCR re 3519 DA TENCONOC TER RER eee 164 Rois ns elles seboctooccodocecs 2308 Dolce Ni anses Soc do oco0eee 882 Role NL NORMES 00000 0000ebccee 3214 Dal dela NYIEPTECT ere EE ere eee: 2051 Pal della NV ME TG EUIMER CARE FERRER CE 2897 Hallchior NrleIaumeossss eee 1235 pallido=atra NylEPLeCid ere eee eee 2367 pallido-cerina Nyl. Lecan.............. 141% pallido-cinerea Floerke Lecid.......... 2340 pallido-flavu Fée Lecan................. 1382 pallido-nigra Hampe Lecid............. 2225 Pal du ENTIER TTC PER EEE EEE EEE 1817 alone NL VEHAES csca000cc0080v0cec 3216 pallidulum Nyl. Endocarp.............. 3216 Dal um PACh PEN TOCNpEE EEE RECETTE 3214 pollen Nil TRI eco 0e. 1138 palmataiBoryACladon. FCPEEEE EEE ET 334 palmatulum Nyl. Leptog............... 108 palmatum Mont. Leptoy................ 107 DalmatusAU ds ACER EEE RE EP Pr EEE CE 107 PAlMICOlAINYIEPATEALON EEE CC EEE EE 3066 palmulata Mich. Physe................. 987 palumbina Nyl. Coccocarp.............. 1092 DAMPALASNVIPS EC EEE EAP EE EEE EEE 2313 Danaole An TOM ooobcceuovccsavace 2359 Prockane Nil AVAinOmescoceoocesocecacoc 3114 pandanicola Nyl. Arthon.............. 3114 Panizzei de Notar. Ramal.............. 472 entra IDalioooocococovcooeuoe 1053-1072 pannariiformis Nyl. Parm.............. .122 pannarioides Nyl. Lecid............... 1898 pannarium Nyl. Amphinom............ 89 panniformis Nyl. Parm................. 122 pannosa Del. Pannar.......... 1056 et 1056 ? DANNoOSUSISWe ICE EE ere rer ce 1056 Pannularia NV EEE PEEE ec 1073-1087 Den Nil JAM 00e coccocdoouoc 1561 PaDillar a DU PYCNOIN EEE EE EETEEECE 384 DApUlIaiSADelEODATIA EEE EEE TE EEE CE 812 192 papillata Ach. Porina.....:.""".."#"""""" 1603 papillifera Nyl. Verruc................ 3356 papillosa Nyl. Gyroph................. 1033 papillosa Koerb. Verruc............... 3275 papillosum Nyl. Trypeth............... 3536 papillulata Nyl. Pertus................. 1623 papulosa Mont. Parm.................. 955 papulosa Nyl. Umbilic................. 1017 papulosa Nyl. Verruc.................. 3417 papyracea Bab. Sticta.................. 827 papyraceum Ach. Nephrom............ 891 Papyria A CHE AGURODRe Re Eee ere ere 1036 papyrina Nyl. Sfictina................. 799 papyrinea Fée Parm................... 667 parabolaiNyIE Eee ER 21 30 paradoxzum Fée Chiodect............... 2926 paradoœum Ach. Trypeth.............. 3177 paralia Nyl. Arthon................... 3075 parallela Fr. Xylogr,.................. 2550 paramera Nvl A VerruC ere Er ec rec 3368 parapetræa Nyl Lecid.................. 2514 paraphana Nyl. Lecid................. 2375 paraphanella Nyl. Lecid............... 2376 parasema Ach. Lecid.................. 2243 parasemiza Nyl. Lecid................. 2247 parasemoides Nyl. Arthon.............. 3104 parasemopsis Nyl. Lecid............... 2428 parasitica Floerke Lecid............... 2542 parasitica Fée Parm................... 754 parastataiNyIEELecCid EEE EN 2394 ParatheliumiNyl 22" CP creer 3054-3556 parculum Nyl. Leptog................. 132 parella AGCh ec an ET ER EN EER re Cree 1460 parellina Nyl. Lecan............ 1324 et 1325 parelluslEMEiCchen Te ee ere ee 1460 HN ENOIN AE ER Coooceccocccodsoeos 3296 parietina de Notar. Physc.............. 936 parietinum ACh Cole tree cer 157 panielinus LE MEIChen ere 936 parile Nyl. Nephromium......... 891 et 891 Darntlis A Ch ADBiChen terre nero 891 parisiensis Nyle Lecan.- Cr ee 0. 1355 parmata NvIPeParme EEE ER ECC e 596 Parmelia Ach.......... 579-759 et 3642-3650 Parmeliarum Sommerf. Lecid.......... 2539 parmelioides Hook. Coccocarp.......... 1091 Parmeliopsis Nyl: 2... 160-763 Parmosticta Nyl.................... 844-848 Parmostictina Nyl.................. 182-784 particeps Nyl Graph Ce PETER EC re 2716 PARVIACAINY EN GTR EEE ETC 2736 parvifoha Pers Lecid ere Cet CAR 1883 parvifoliella Nyl. Lecid................ 1891 DONNE EC) Fee ee cocccccococce 2850 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. DAMON MCE ooconconocvecocacoc 837 paschale Ach. Stereocaul......... 248 et 248 D paschale Nyl. Stereocaul............... 252 DASCRANSIEAMEICRENT eee ET CCE 248 patellarinaN VIOLE TEE Re 2213 patellarioides Nyl. Lecid.............. 2212 patellula RÉENC TA DR RER EP EEE REP 2670 patellula Fée ecid. "Fee en nee 1866 patellula ta NyIEPARTRON PRE ER EREENe 3119 HATENDO LS PE ETE 0 66 0000 0020080000c00 823 Data IMONtEMStICtA EEE REC Ee 826 ARRET UPS 665 0 0060000000 0 1758 HEUITENREÉC on endonsoonadococosdondosce 21 PROMO RMI eo0ecocoooocv es ue 2419 pauperaflh Nr Le ERP EEE TETE 2355 paupercula Nyl. Lecan................. 1305 paupercula Th Er EeC TP ERP EEE 2368 pauperius Nyl. Thelotr................ 1710 ENVOIE ose soeeecosooaccodoosc 3186 PGLONAENTIMGTADRE EEE TEE EEE 2555 Pavoniana Fée Graph..." 2555 pelidnocarpa Mont. Lecan.............. 1393 pelinumENT AC ROUE RE EPENREEEREE 3156 peliostoma Nyl. Pertus................ 1611 DONNE TEE sé oocoonecoodecoooco 1921 AlOMMÉERMEococcocoooooooccoe 2590 PET IN INC OCCOCATD AE REC 1092 pelochroa Nyl. Lecid..........,....... 1911 DeloCHtA INTIME TTUC EE RER EE PERTE 3287 DElDIEUCAIN TER LeC AR ER ECTE EE TETE 1296 DOMAINE Tes es éaoscocccoceoe 3663 pelophæaNyle Lei eE ER RrEREEETETeE 2267 peltasta Nyl. Cladina. "nn, 369 peltastica Nyl. Cladina. ee ne 370 peltataNylenLecan CCE RER ERTE 1332 peltatum Tuck. Endocarp.............. 3209 OGC IN A6 o0onoocoooocosocceco 919-920 Peltigera Hoffm.................... 896-908 DeltiqenaiD el MS TIC TA PE EEE CEE 877 peltigerella Nyl. Stictina.............. 806 PeRuia NY ere 1120 DORE RS TDEMTbovoo0000ba00c00co00c 572 pendulina Ach. Ramal................. 427 Pen Chra INVITE CI EEE 2496 pennsylvanica Hoffm. Umbilie........... 1019 RON Lo A oooc000doccc00000 1804 peraffinis Nyl. Arthon................. 3057 peralbata NI PER USE PTE EEE 156% peralbida Nyl. Graph.......... 2693 et 2693 ? peranceps Nyl. Ramal.................. 398 percæna NylLecan nn 4215 percænoides Nyl. Lecan................ 1517 percænum Nyl. Placod.................. 1215 percrassata Nyl. Cladon................ 352 INDEX GENERUM ET SPECIERUM. 193 perdiffracta Nyl Percus "nn" 1564 perecenaiN y RP LUC GERS CE RTEE 1818 DEC NE PERS oc oovo0veccdescoono 1662 DenlavidanNyI LEGER ER EEE EEE 1417 perforafa Ach. Parny... 595 et 595? perforata. Mont. PARDI A Nnn. 530 nenordie Nyil PORM codboocoscseceecette 606 perforatum Leight. Thelotr............ 1705 Derforatus Jacq LiChen 595 nédiaals NP ECoonec octo oouebone 3340 peribyssiza Nyl. Lecid.............. 2111 PenCarpaiN EST eNna eee eeree Ce Ce 192 pondre Nil M aamPeo ss ee c 6e ococece 2925 pointer Nil Coop eee soc 1093 peripterodes Nyl. Lecan...............… 1474 DELISITIOSANYI PARMI e ee ec Tee 705 DETÉMOIES IN YIEMPEC AN. CREER EEE 136% penitrona Nik Jeans oooocecosaesoccec 1428 pedaie Aën JAtososecsacccce. 599 et 599 D Darlloin NON PErmMecodoaooocoscocceece 614 DerlQus Lo IMONEMscacocooceoocossbodoe 599 PÉLIULESCENSINYI LE CONTE EE EEE CEE ES 1422 perminiata Nyl. Lecan................. 1174 PERMIDIMANN VIE CI EEE EC ECC EEE CNT 2002 perminimum Nyl. Mycop............... 3596 permutans Nyl. Platygn................ 2913 Dernier ratasNYIEMMErTIUCE REC ERP P EEE 3234 pernigratum Nyl. Homod............. 132 bis DerpallensINYIPATERONPEEEET EC ECC ENCE 2991 PÉSDAITAAIN TIME CTP EEE 2120 perplexum Nyl. Chiodect........ 3156 et 3157 perradiata Nyl Lecan. en nee 1469 perrimosa Nyl. Pertus........... 1632 et 1633 perce NME PRO cceedoesscedeoe 723 DeRRUGOSAN VISE CAN EEE CE 1321 persanguinaria Nyl. Lecid.............. 2381 Darsisions NT EEE es c006006ce 50000 2318 naspore Nylb Tage cceccesceccecee 1389 DELSA tu NIAGARA" 2622 persulphurata Nyl. Parm............... 590 perlabescens Nyl. Arfhon............... 3102 pertenella Nyl. Magmops............... 3625 pertenuescens Nyl. Lecan.............. 1153 portede NL ss ocoéoco00o0o00c0c00 2195 pertusa Schær. Parm............ 748 et 748? BerEusana DORE Er er 1560-1671 pertusarioidea Nyl. Lecan.............. 1455 pertusarioides Nyl. Thelotr.............. 1712 pertusarioides Nyl. Verruc. 3312 DERUSURAANYIAVERRUC EE ee CEE 3243 pertusus Schrank. Lichen.............. 748 peruensis Nyl. Physc......... Ce on ce 930 Reno NENeRMCS oo recodooccocc 3211 perumbratum Nyl. Endocarp........... 3211 perte Nik ads sosoocceeebdastone 2415 Para NÉS Doetrooscenootono dede 2560 noniane NV d ADI ee 2660000000 657 peruviana ACER GMA I EEE NET 421 peruviana Nyle SHCtinG. nn 794 DELVARAN SN TENDUE EEE EE EEE 2653 Palesi N IEEE be ocsoocoonooocc 14 petræa Nyl. Graph 2595 potren NO Jatidiisescocecobecsccccvac 2513 potes NL Eos +2 see costa 2547 petoides Nik ee eee sc eee cr 2351 DÉCRCOAENVIEMP TEL NE PEER EEE CC CCC 1010 nevine NL Jelossoccescc ee eocvece 2370 petrophyes Knight Pertus.............. 1652 DetiolepidcamNyIeVELEUC ARE R ET EE EC 3247 petrolepideum Nyl. Endocarp........... 3247 pezizoide da PA Che GA DR ARTE PRET 2630 PEZIZOITe APACHE EGP E PEER EP EE CEEREEe 2103 pen luck Jaibonsocooebceteesoeéee 1238 pee Niyilk Camomies se cobecoobooooccocee 1046 pren, Mon OC, c000000002000p00000 3499 pPheaChroa NTI EECAN PEER ERA E TE CET 1365 DHEA UNAINYIELE CONTE EP EEE EEE CEE 1220 pheocenne NPC ec cc c6cccaccoo 964 phæocarpodes Nyl: Lecan.............. 1230 phæocephalum Borr. Calic............. 146 phæococca Tuck. Pyrenops............. 3619 pheomelaENTIEEECARENEEREREREEEEETE 2000 phæomelodes Nyl: Trypeth nn 3047 phone, NL Hagiocoosscodoncccocte 2107 phæonephela Nyl. Arfhon.............. 3071 phæophthalma Nyl. Lecan.............. 1353 DREOSOIAN IL ERPABS és eco accooccoce 3315 phæosporellum Nyl. Stigm............. 2957 Sono se phæosporum Nyl. Thelotr 1793 DhELOomeNHEMIETE ec o0ccoopcoonoc 2263 phæothelium Nyl. Trypeth.............. 3518 phalerata AC ERAMAl EEE EEE RE 427 phlæoleucaNyl Lecan ere Etre Ce 1460 plogue Nb Team cececoocovooovovoc 1214 Polnctene Née been es00cccoccoooco 3516 ones Nb AE 6806 06600000 1666 phiyctænula Nyl. Trypeth............... 3516 PRICE AEN IEEE EEE ES 1811-1820 Honeolle Ni Brereccesccoeco00c0do 1811 phlyctideumiNyIEDRelOGE RER ERREUR 1735 Meta IN iLeSoo0coocogeocoednc 1809-1810 NES Nes 00000000 dee ane 1809-1822 PLONTOTAN TI EPANTARCREERE EEE CCC 1060 pholidotoides Nyl. Psorom.............. 1136 PHVCOPSIS FA CHE PROC ENTER ere 4718 phylliscina Nyl. Amphops .............. 3623 PRVINSCUMINY LEE RER PEER PERS . 10-11 PHYINSCUMENVEMLEC AN EEE ERA . 41511 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3e série. — IV. 25 194 phyllobia Nyl. Opegr.......... 2867 et 2867? phyllocarpum Nyl. Leptog.............. 124 phyllocarpus Pers. Lichen.............. 121 phyllochare Spreng. Stigmat............ 3509 phyllocharis Mont. Lecid............... 2123 DRyIlOICANVIE AM ENON EEE ERP EEE 3084 phyllophora Floerke Cladon............ 293? phyllosema Nyl. Platygr ............... 2918 phyllostrata Floerke Cladon............ 288? PhyscialSchrebe "nee" 925-1007 et 3654 physcioides Nyl. Parme" nine 691 physciospora Nyl. Sticta................ 853 physodes Ach. Parm............. 738 et 738? pichneoides INVIE Len og eee CEE 3629 pichneum Ach. Leptog........... 100 et100P Dicina NY SUR NSSOpS EEE Ce CCC 3687 picinumaNvIAColEeMEENEE EEE ER 3687 DICIAMESCRW PESTE EE TEE EC REC ECE 2836 DICTAINVIE MP RUSSE ER ECC 1004 et 1004b DICLUSISWALIChEN PEL CEE CC D 100% PiatiNHeppelecid ee Eee CCC CCC 2316 pileata Mon EACladon er eee 335 pileolata Nyl Cladon.-- "rene 3689 Pilophoron UCk ere e ee 270-272 et 3636 POSE INHES EC NA EE R EEE E 789 miuieraPershrecan tee tree ec RCE 1564 piluliferum Fr. Stereocaul.............. 242 PinastiN y PRISE EEE 551 et551P PinebPAGh elec EEE EE RCE ET ECC ET 1865 DIN SUIS IN AVR UCE CEE ER EAER EE MEETE 3375 pinguiscula Del Lecan. 2 "" 1535 DONS Speo cvoocoucusdooucoocooc 1933 Pisacomense Mey. et Flot. Omphalod..... 136 PisacomensiS ENVI MP ANNEE CE CAE CEE 736 pibireasloe kel don EEE EEE 280 DER NTI PES do sascooacoagoocoue 983 Forces Ad IDietEmE sc ass odoodescauce 983 pityrizans Nyl. Stereocaul............... 230 pityrophylla Nvyl. Cladon ............... 336 placenta Ehrenb-Lecan "en e 1519 placodinaNyIELECI TERRE 2275 placodiopsis Nyl. Pannar............... 1067 Placodium DO PEACE TETE Cr 1144-1173 placodizans Nyl. Lecan................. 1260 placophyllus Ach. Bæom................ 107 PlacOPSIS NV EE RE e rer 1316-1326 placorodaNylE Parme ce rer ee 160 placorodioides Nyl. Parm............... 74% placynthium Dur. Collem............... 39 DIdocapaRÉeMGTAPhR EE EEE T CRE 2556 DOM LAN oavocooono00000000c 2343 NE (EiDios ac doovodeoouaooooc 2637 DENON EEE So 0oscc 000000000600 1998 planescensINV PHeDDa SERRE RER 1108 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. planetocarpa Leight. Graph..........:... 2574 DeMneN TL IMPR ob o6o0ocsococco 1693 planiuscula Nyl. Graph................. 2632 DIANIUSCUIIN y Ie CARE CREER ONE 1975 planiuscula Nyl. Verruc................ 3463 planorbella NylAVerruc. ee Rte 3482 planorbiculata Nyl. Verruc............. 3467 DIAN OL DIS PACE VENUE ER CREER 3462 platycarpa Ach. Lecid. "00 2317 platycarpaiN y IMOpE ET EE ATEN 281% platycarpoides Nyl. Thelotr............. 1771 platycarpum Dur. et Mont. Collem....... 55 platycarpum Tuck. Thelotr ... 1770 PIAtYGTAPhAINYIL EEE TEE EEE ET 2894-2931 platygraphella Nyl. Arthon ............. 3094 platygraphidea Nyl. Arthon............. 3047 platygraphoides Nyl. Lecan............. 1537 platyleucaNyIAGAG DR EEE 2725 Dlatyloba NTI ERICAS OP RERRES EE ERrE 870 DAGMENTIE CP os Sboovooocosoooavvoc 517 DA NIE TGS ss00000000000006000 430 platyphylla Ach. Parm................. 138 Dlatyph ya NVTIASUC AR Er e RE EEree 831 platyphylloides Nyl. Séicta ............. 832 PlatySMa HOME EEE EE CETTE 025-555 platysmoides Nyl. Parm................ 599 platyspilea Nyl. Arthon ................ 2995 platystomum Mont. Thelotr............ 1722 platystomum Mont. Trypeth............ 3537 TAAROTOMNNÉS SES coccocodéocouovoc 812 pleiomeraN I AVenRUc RE EEE EEE 3404 pleiomerella Nyl. Verruc............... 3385 pleiomeroides Nyl. Verruc.............. 3383 pleiophoroides Nyl. Lecid.............. 2488 pleistophragmia Nyl. Lecid............. 2152 pleistophragmoides Nyl. Lecid.......... 2214 pleole pisPACRAC TON EEE PEEEREERENETE 301 pleunocanpa Ah NStIctar EE PETER 812 pleurota Floerke Cladon........... ne 340 DA IN AE IP oeoeccacangococcoc 2899 plicataomAAUsne TEE EEE EECET 499 plicatienNyIMOONEeMMEEEEREEREERErE 85 plicatissimum Nyl. Anema.............. 33 pin EhizaNVIEMPAUSC ER EEE CCC 1003 plumbea Nyl. Coccocarp................ 1090 plumbhea DelStictare ere R Eee nEeRr 830 plumbeum Mont. Nephrom ............. 893 plumbeus Lightf. Lichen................ 1090 HAN IEPEEmeéS08a0000000000000 100% plurifarium Nyl. Thelotr................ 1678 plurifera Nyl. Graph................... 2649 plurifera Nyl. Lecid.................... 2129 pluriformis Nyl. Parm................. 627 plurilocularis Nyl. Lecid........ 2403 et 2403? INDEX GENERUM ET SPECIERUM. Pocillum NY Clalon RE E RER ERTT 278 podocarpa Nyl. Physc..::..:.......... 946 podocarpoides NylPAysc. 947 Poeppigii Nyl: Chlorea ............... 487 poetarumide Notar MOpPeSn "nn nee 3139 Poitent RÉe Calc oovoadoctoccescobvcse 2128 Poitæoides Nyl. Graph ......... 20e (2720 PONOena NI TECANE EEE 1222 pollinaria Ach. Ramal.................. 448 pollinariella Nyl. Ramal................ 467 DoUinamUSAPMPICNENNEEEE CEE ECC ECO 448 DOVE DIN VI TE CITE EEE EEE EC E EEE 1920 polycarpa Muell. Graph............... 2581? polycarnpaiRloerke Decitre rer EEE 2336 pPolycanpaNayI Par EEE EE EEE ECC 700 polycarpa Nyle Physc......... 936 et 937 polycarpa Mont. Ramal................ 435 polycarpum Fée Erioderm.............. 110% polycarpum Tuck. Piloph.............. 270 polycarpus Ehrh. Lichen................ 936 polycocca Nyl. Pyrenops. ............... 20» POlYCOC CAN VIAS YA EE RER Re RE EEE 20 polydactyla Floerke Cladon.....,....... 348 polydactyla Hoffm. Peltig............... 906 polydactyloides Nyl. Cladon............ 346 polydactyloides Nyl. Peltig............. 897 polydactylus Neck. Lichen ............. 906 polyglossa Nyl. Omphal................. 28 polygramma Nyl. Arthon............... 3008 polymorpha Ach. Arthon............... 3055 polymorpha Eschw. Arthon............. 3046 polymorpha Nyl. Arthon................ 3056 polymorpha Ach. Ramal................ 447 polymorpha Nyl. Thelogr............... 2808 polymorphoides Nyl. Arthon ........... 3060 PORTER ACIER ES 0606666656 1239 polyphragmia Nyl. Platyer.............. 1819 polyphylla Mont. Cladon ............... 334 polyphylla Nyl. Coccocarp .............. 1091 polyphylla Turn. et Borr. Gyroph....... 1049 polyphyllus L. Lichen.................. 1049 POLECIZAIN I GUTOPR RER EE RE REC ECE 1050 DOWMRIZLUSIAIIChEN APE EEE EE ECC EEE 1050 polyschides Nyl. Collem................ 79 polysemum Nyl. Parathel .............. 3054 DOlUSPORAMAUCRÉAHÉDDIAR EEE EC CE Cr 4115 Polystroma Glen..." ..... 1808 POLÉROPA IN VIRE CAN EEE EEE EEE ECTE 1427 polviropellaiNyl recentrer ererecer 1427 polytropus Ehrh. Lichen............... 1427 porcellaneum Nyl. Dermat.............. 2490 DOMMONAINNIEMPER CUS REC EEE CEREENCE 1593 porinoides Mont. Thelotr............... 1691 porinoides Mont. Verruc................ 3416 195 DOPMOTIES IN VIL CFE 000000 000000be 3382 DORNOPSISIN VIE ErAUC EEE CEE Te Creer 3319 Ponte Niylédoocceccomeoececcecc 3289-3334 DOLOSUMEPACDEET A) DUR REA EE TEEN 3591 porosunn PÉC TPE So 6coocopco0ccev0e 3523 porphyritis Tuck. Biatora.............. 209% DORA NP ERIC SEE 0000 0 2182 POSthabItaN IEEE PE EE EEE ETC 2479 postpositum Nyl. Ascid......... 1802 et 1758 DOS uMANVIP REC TER EE AE CEE 2523 DiBbadtaNVISEeC TEEN EE 2508 præcedens /Nyl Calc en ne 159 priolose Nil LEGO eee 1453 prælenendaiNy IEEE Cane CEE en 1362 DES MOANN IAE AN EEE EEE EEE EEE CE 1303 prægranifera Nyl. Lecan............... 1398 prenicansiNylelecan terre. etre 4225 prænotata Nyl. Lecid.......... 2284 et 2280 b præpallens Nyl. Sfigmat............... 2935 præperlata Nyl. Parm.................. 607 Presienis AN VIEParMereree eee cc... 626 præsorediosa Nyl. Parm................ 3642 præspersa Nyl. Lecid................... 2249 præstans Nyl. Verruc.................. 3308 prævalescens Nyl. Verruc.............. 3244 DÆMBINTIL VGHA@cocococoocoooosoccoc 3277 prasino-rubella Nyl. Lecid............. 2089 premnea Ach. Lecid...... 2400, 2400b et 2403 mremnedMontnlecideer ere rer recerr 2476 Prevostianum Mont. Thelotr............ 1792 Evo Nik Lens c00080c0000000000 1499 prima NL 0) Poovoocoooccoocovcoco 2823 Panaleitiuek 1aéocosococcocopouvoo 2218 proboscidea Ach. Gyroph............... 1039 proboscidina Nyl. Lecid........ 1867 et 1867? Poires NTI A/S 0 0obRe once 2023 DOM INENMHT IPod cc cocoooooc 1059 prolificans Nyl. Sticta................. 858 note Ac /WEacooaccacocccoboocooc 3639 DrobrA on TATMDoooocooudacsocedgcevoc 722 Done NM o0cer see 13% prominula Nyl. Platygr................ 2922 prominula Nyl. Verruc................. 3281 promiscens Nyl. Lecid................. 2337 propaginea Tayl. Sticta................. 833 propinqua Nyl. Arthon................. 3068 propinqua Muell. Pertus................ 1606 propinquella Nyl. Lecid................ 2172 Droioe IN AILNMTTeos code deeootoc toc 1254 proponens Nyl. Verruc................. 3348 proposita Nyl. Lecid.................... 2141 prosecha Ach. Lecan................... 1350 prosechoïdiza Nyl. Lecan............... 1443 proserpens Nyl. Lecan.................. 1470 195 HOUR IEC DDERo og cco0doooeseco 2596 prosodea ACh-\Opegr.." 2853 et 28682 HrOoUes Mon Ones oc oc entagoooue 2836 DrOSDORaN IL Oo oc 5656 20625400000 2437 DroSpersela NTIC ER EEE EC 348% Hiostans Mont AVerUC PER EEE ECC. 3461 DrotensSaN VAR AMAIEEEE CERN EE TEE 428 paotrudens IN ME lO DER ER RE CERTA 176 Droinins NME eco sececcocaccece 2399 DOMAINE oc ebsscceoccccoo 2404 proximum Nyl. Sfereocaul....... 23e 23702 DRUNOSAPACN PA ÉRONE EEE EEE TEEN 3007 PEUINOS AIN YIAGTAD AE EEE EE 2652 Prun Os a NVIRLEC AN ERA EEE ENT 1526 pruinosa Krempelh. Pertus............. 1601 pruinosa Mont. Nephroma.............. 918 PRUIROSUTA NI PATRON PE ER Re EC ATE 3073 pruinosum Eschw. Leiogram............ 2652 HRUINOSUS SMAIA CENTER PEN REC 1526 PrunastriMAGhE MED eee ce 572 psammophila Nyl. Heppia.............. 1114 pSaroleucaiNy EPICERIE 290% DSAroMElT IN YIEMEE CAN EEE EE EEE PCT 1314 HUE nee TM ovoccocodconcove 958 DSepPhOtA SUCRE CI PRET EEE 2319 pseudophana Nyl. Lecid................ 2188 pseudophlyctis Nyl. Graph.............. 2122 DSCUTOSTCLAIÉ CIS IC A EE CL ne 859 ÉD MEMINTIL Te onecnpdoncocecos oc 2156 HSONOLEUCAIN VI BIAC RASE EEE EEE 2904 ESOROMaAN VIE PRET ee Tec COL 1122-1140 BSOTOMATIAINVI ERP EEE EEE EEE EEE 1141-1142 PSOTOMOPSISINVIE PE E P EEE EEE EC EE CES 76% SOIR NI éé4occconcococcocoacoeos 3687 pterophorum Nyl. Chiodect............. 3160 prerulina NYSE Can EEE EEE EEE 1455 HENIQUES NL Édéoosooccooeccceccoe 210 OA MNIN Los sescsecseconococceec 14-15 ptychophora Nyl. Gyroph.............. 1028 punar No PPEBooscocoovnouaocoevaoc 935 pubescens ER" EphebCr rer crc er 6 DUbESCenSINT ESS EC ARE ER ET 839 PENSE N INA dos choc aogoosccoo 2109 pulchela SC ACTION EEE 349 Pulche la NTI ENOManT tee 0e 3191 pulchellum Nyl. Leptog................. 97 pulcherrimum Fée Trypeth............ 3023 meme NMNEatiooooubosoosocoscosesre 186% DULICATISENVINOPENME EEE CELA 2819 pulicosa Nyl. Arfhon........... DJoooee 3002 DU TAMRÉ EP PAUL AREAS 21 pulmonacea NylLobaria ere ee 812 DUIMONARUSAE A LICREN TERRE NE RE 812 PUIROSUuM A Cho TENTE RES 51 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. pulposulum Nyl. Collem................ 52 PulvenciB or re CITE ARRETE EEE 2140 pulverulenta AChA Graph E NE REEETERENEE 2537 DUILERUeNTANSIAGTAPhE PEER EERREEE 2620 pulverulenta Leisht Graph -"°"2ree "6 2580 pulverulenta Tayl. Peltig............... 903 DulverulentanNYTIAPelTIE REPAS APCE PEER 904 pulvenulentaiRr PUS CARPE PPT 983 pulverulentus Schreb. Lichen........... 983 pultinataN IMOMPRA EEE 23 ouai NL PPT sec el ooocecoaogoce 689 pulvinatumINyIMC Ole METRE RER eee 52 pulvinatum Schær. Collem.............. 23 pulvinaltumPAChEMEeD One E Re RER 92 pulvinatum Mont. Leptog............... 100 pulvinatum Nyl. Sfereocaul............. 258 pulvinatus de Brebiss. Süosiph......... 3616 DUMICICOAINTINEC CANCER EEE EEE 1350 OO N AL DANSE 00000000000000800c 366 DUMITIAIMONTERAMA ICE RCE TETE CCE 469 punctataNyl EP er USER EE CRE EEE EEE 1584 PUDCIENAENTIMPER USER RCE REP EEE SEE 1564 punctella NylAVernUc RER 3388 punctiformis Ach. Arthon.............. 3101 punCHformIS NI Graphe RERO 2628 punctiformis Nyl. Lecid................ 2419 PUNCHIORMISPA CNE ENIUC REA ECEEEEES 3480 DUO IN AL GRO 086 080000000000 3334 DÜN ELU ALAN IS ICE RER EEE 855 punctulatum Nyl. Leptog............... 111 punctulatum Nyl. Thelotr............... 1781 punctuliformis Nyl. Lecid.............. 2392 Pine NM CRT secereasanoococooe 2789 punsens NyIACIG ON EEE RE EEE EEE 321 punicea ACh. Lecan.........…… 1546 et 1546 D PUPUTANTIEMVE EURE EE CEE CCC 3416 DUADAN ME EHoocoooccoccosococeccec 2447 purpurissata Nyl Aron EAN EEE 3031 pusilla Le Prév. Ramal..... 461 et 461b pusilla Mess n A Sticid eee Crr ec ce 810 pusillum lo erke Ca ic Pere RENE 156 puStulata NH PE TS EEE EP ER EP E EEE EE 1583 pustulata Hoffm. Umbilic............... 1016 pustulatum Nyl. Collem................ 48 DUSIUIAEUSMIPMBICHENEERE CE CCR CCE 1016 pycnocarpa Nyl. Pertus................ 1603 pycnocarpum Nyl. Collem.............. 73 pycnocarpum Nyl. Mycop............ 3600 pycnoclada Nyl. Cladina .......... 366 et 367 pycnophora Nyl. Pertus..... 1649 pycnophorum Nyl. Leioderm............ 1100 pycnophragmium Nyl. Thelotr.. 1725 et1725? pycnoporellum Nyl. Thelotr............ 1718 pycnosema Nyl-"Lecid ee RTE EE ETC" INDEX GENERUM MONET ID Ge So coboocoovoocc 384 et 3690 pycnotheli a Nyle Pen Eus ee 159% pycnotheliza Nyl BEGIN Nr 2537 pygmæa Ag. Lichina................... 12 DUOMÆMINVISRPDYSCERRERE EEE ECC 937 pygmæa de Notar. Roccel............... 478 DHraGe NV EEE ARRETE eee 1200 pyrenastræum Nyl. Astrothel........... 3975 pyrenastroides Nyl. Astroth............ 3589 pyreniospora Nyl. Lecan............... 4305 pyrenoides NylOmpAAL. 29 PYÉENOPhORA AC AVErnUCE EEE EE EEE 3240 PyYrenopsiSANyIPEE EEE Er 4-5 et 3617-3622 renRoRe NUCKSFoooccosccoboctoo 3218 DYLeNUloIdesINyYI VEN RUCE CREER EEE 3363 Foreralones ÉE VEAICooe o0ee660s0c0e 3430 AOC Ern Nils oogeobetoaccmoecoccteee 175 BYEOIIUSINYI EEE ere ten 171-174 Dyenoice NEA Greece copeccoccoecoc 3300 DRÉATOMAINTIELEC AN EEE EEE EE EEE CE 1200 pyrophthalma Mont. Biat............... 1866 pyrophthalma Nyle Lecid............... 2010 Drop NL nee eee eee 1210 pyrrhomelæna Tuck. Biat.............. 1912 DYBGRUIAENTIPATÉLON EEE EEE REC CE N 2967 Pen z ANA LON EPP EEE EEE 2968 nyadlaie Me Cladoneosestercoccrorsoeee 218 BVXINeRN TR Noos 1008-1015 DOCS NME RDS Se 666000080000 3660 DARMOTESINIINAORORTES ER Eee 0006000 1123 Q quadrilocularis Nyl. Lecan.............. 1247 CRIE, NL Grédioneseeooceecsss eee 2650 QUAdrU plan SENTIER EEE CE CET EC EEE 1501 QUARANSANVIERPE CUS EEE CEE CCE ECC 1617 QUASSIRINVIEMREREUS EEE OR TE 1608 quassiæcola Fée Trypeth........... 3519 ŒUASSIECOLANTIENVERRUCAE EEE EE PE ECETE 3375 quassiæcola Nyl. Sfigmal............... 2953 quassticolum Nyl. Stigmat.............. 2953 quaternellanNylOpEgR ere tee ce 2833 res lol SUIEBo000c0c ee ceccocoe 855 ŒUETCINUMEPErS ACGUCE ER ee ee 152 CHELCIZANSINIMS CNET EEE 19% Guennes Ac Tauikesesseseeccoccococ 1931 quinque-septata Nyl. Verruc............ 3493 quinque-septatula Nyl. Verruc.......... 3494 Ouimfana Henri Dec An CERN ER Ee 1277 ŒUINTAL AN YI AT ÉRON EEE 3079 ET SPECIERUM. GA INA CPP OR C0 6 00007000 3295 quitoënselé ee lol EEE EEE ARE ce 1778 R racemosa Hoffm. Cladon.......... 316 et 3162 racdlate Ain, rime ceceec cesse 0os 3076 ractoe Nr, Claeigescoscssaeeescosaseooc 281 rachats NvlL Grands eseecesococcocccsec 2750 raciete, NL IP assoc soso cent 1057 rachOte ACM MECS ee 6800e00to000000 966 ACNCAnS INVIETARocccccsceesesotecocc 1507 RACALAANYIMBCTEUIA ERP EEE CEE EEE 1120 Pace IEC es oc oceeoscecccooooc 2546 RAMAlE ANVIR EEE Ce cie 387 RamalimabACh EE EE tree ceci 388-473 ramalinellus Nyl. Bæom................ 191 ramalinoides Nyl. Siph.............. Al RamalodiumeNyI EP rE PEER EE rence 84 RAMEANSINVIMEGEMEE EEE CEE CC 580 rameum Nyl. Nephromium............. 888? HO NMLAUECRoncoeccvocecoccocooc 301 TAMOSANVIMANADR EE A EEE cr r 2671 TAMOSUIa Nyl AFRO. NN eee te 3086 AMUIOS A HO PDU OUTRE CCC E Ce 570 Re Mine ln Jamie es 08e500000000 1965 ramulosum Ach. Sfereocaul...... 232 et 232? RAMAUOSUSSWALICHENP AE EEE REC E EEE 240 rangiferina Nyl. Cladina.......... 363 et 363D rangiiemnusleMLICheN rer ce rer 363 ROVER ELUINYIMRICASOIE A EEE CE Ce 884 Rayene Heu TRE lo TER ERRERREE CEE 1790 RÉCETIENS NL IAGLessoeceocooocovoooe 2374 neCipiendaiNyl Parmereecee Creer 598 reclusum Krempelh. Thelotr............ 1750 recie Nil Om 0e006600000000 2551 et 2572 rectangularis Nyl. Ramal............... 410 ReCHUSCUIAANYIAGrRAPRE EE ER ER ER EE EEE CEE 2572 retiens NA HHBe0ecL000000000000000 690 TEUCEAINVINGAZDRE EE EEE TEE TEE CEE 2153 redundans Nyl. Collem................. 78 RNCCEINVILNIEETDobo sc ovbocooconocosec 1217 reflectens NI DiCROT- ER RCE eee CE 82 rONCnE Me JAMLoscooodooccoccocounoc 680 ONE MElE NIET 000000 cbo0o0 000 682 romanes Ne MAO oeaceocacoococoe 1687 renionmiIS Née rA ph Re ec eee cree 2724 TODOnce NAIL MAGesnoe so oceodooccoe 155% Hoouls NL Eros cocoboccoocooseocc 2591 resupinans Nyl. Leptog..... "22% 417 resupinatum Ach. Nephroma............ 888 198 reticulata Nyl. Gyroph................, 1023 reticulata Nyl. Heppia................. 1109 reticulata Nees Parm....... ........... 715 reticulata Nyl RAM NE ENT 413 reticulatum Duf. Endocarp............. 1109 reticulatum Mont. Leptog............... 99 reticulatus Noehd. Lichen.............. 413 retiformis Menz. Ramal................. 413 retigera Nyl. Lobarina........... 767 et 767? retipora Nyl. Cladig............ 383 retirugella Nyl. Pyœine................. 1014 retractaiN VI VE TAUC EEE TT CC CCE 3386 reveniens Nyl. Lecid. Men 2122 HVOITIE NM TA Mooccooccocccendocene 670 revolutellarNyYIMEGrENECEEERE EEE ET 671 rhabdosporum Nyl. Ascid.............. 1801 rhabdotis Fée Graph................... 2620 rhæHCA HEPp eCan Re. CEE 1488 rhagadiosa Nyl. Glyphol................ 1553 rhagadoplaca Nyl. Pertus.............. 1578 rhaphidiophora Nyl. Verruc............. 3505 raphispora Knight Verruc.............. 3297 Rhemica Nyl. Psorops.:................ 3687 rhexoblephara Nyl. Lecid............... 2397 rhexostoma Nyl. Pertus................ 1600 rhizocola Fée Graph................... 2572 rhodizaINyVI PER USE EEE REC ECC ECCE 1605 rhodocarpa Nyl. Lecan............:.... 1319 Ehodoleuca sh ER PERS ARRETE ET ET 1645 rhodomma Nyl. Lecan......:.... 1320 ThOdOpISINVI DEC AN RER EE EEE EEE CE EETCT 1483 TROOPISEQUCKEABIA EE EE EEE EEE ECO 1933 TNOLOPIZA IN VIE CON RCE EEE EEE EEE 1486 rhodostoma Mont. Ascid................ 1796 PhOdOStOMANTIMPENEUSE RER EEE EE CE 1628 home. INVIL JLAGUPoo 35000 0e0000d00000 1543 FOYPATODOl ANNEE EEE EEE EE 2071 ThyPONtATPAChE ACTU ACTE Er 3491 rhytidocarpa Mont. Cetrar.............. 229 rhytidocarpum Nyl. Platysm............ 529 Ricasolia NY eee rer cree 864-887 et 3652 HAOOLES NL ATDaS So ooobocecco oo 630 RichardiiNVI MSC TITRE REC EE EEE 81 Richard BabaStictarerererrrerrreereee 851 MichardiMont Sci etre reEc er 849 et 851 Richardson HO ACeLTAr eee Mer EN 541 Richardsonïi Nyl. Platysm.............. 541 TISENSINYI M COUEMOT TE RCE EEE TEE" 88 Ce TEE Cirblonosssecoosesceocceconc 332 HACRINNIE OUT Banotsocccocco0vvovogo 348 MALE ANNE CRHoSSsoonosooo0000voo0vvc 2596 ACER oo oc couvovocoococvcoo0 395 MAC AUCUNE sosoodcooovvonosc 768 TADITUSAPERS MPICRNENE SEE PE EE E TEE EE TL 395 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. HEIN TO TA Poocononvououeuocovcas 2928 rimatumanlotASChIS Ta EEE EEEEERRE 2928 ENERGIES o0c coco 00020 2441 rUnuIosaMoONEMGLAphe ee EEE re Cr CCE re 2620 ninouineniM ass ABUS APP REEC ES EEE 2447 rinodinoides Anzi Buellia........"""""#°" 2446 BIDATAMNVIEMMEREUCEE SEE RCE CCC 3219 Rooms DT EE ooscsocoucoceccecoc 1284 robuste UMaNTIACTIICAEEEEREE EC EEE 147 RODUS LUIAENYIENO DETTE EEE ET E 2876 ROUUSEUMANVIMPITO PRÉ ERMEETEES 270 robustus Th. Fr. Pilophorus............. 210 HOCCALAMDE os soocoocccocconcoosoe 475-483 roccellæformis Nyl. Siph.. "0 220 roccelloides Th. Fr Stereocaul. "7" 240 Rodriguesii Cromb. Heppia............. 1117 OPA INT EURE sSo 00e 000000000808 2519 roridulum Th. Fr. Rhizocarp........... 2519 MHÉENA ACNS A eco ose cesouocco 2132 ROSCNAMNYIEMPNTUSCE REPARER EE CCS 960 rosello-carnea Nyl. Lecid....... 2437 rosello-pallida Nyl. Lecid............... 2189 CoSellO=tInCtAINYIPDECIT EE RER ERRNE 245% FROM PERL IENERL 00 668000000000000 2132 TOSCUS Pers. DOM ere ere: 195 et 195? ROUE ACCES anveseocecsccooc 966 ROMANE AETPS EE 0060000 2917 BUDONAINVIEPATERON PRE PER EERE EEE 2974 rubella Hook. et Tayl. Sficta............ 845 rubello-virens Nyl. Lecid.............. 3668 ANAIEE, NO IAE 285600000000000000 2160 RUDICOACTOUANMLE CT EEE EEE SEECE 203% ROGUE NI Lo TLC so 5800000000000000 2281 BUDONENIS MANIERE EEE 1873 rubiginascens Nyl. Pannul. "A 1073 BUDISINOSAMDelPAUNNTNPE EC ECC CCE 1057 RUDITNOS ENVIE MPANNAR EEE 1058 BUDISINOSAAPerS UMOUIC- ere TEE CEE 1021 RUuDigiNosSaMoOntMUSNEA CET FEES 506 rubiginosum Pers. Stereocaul........... 240 RubiginosusMbunb AicheN rer 1057 Ur AO JEMDe oo cbanaooosooeooooce 1541 rubro-cinctum Nvyl. Chiodect........... 3164 rubro-cinctus Ehrenb. Lichen........... 316% QUE CtA A CNE PUMA CE EEE CE ELEC 674 PUdere AN VIEVERIUCR EEE EEE EEE 3284 HULL EEE 0 o600000600096000 2589 CON I A iToocscossoecooccsoocode 625 RUUSCUIA INTIME EE CRE EEE CCE 3329 RE IN ÉCToo000000000%000000000000 817 ES SH ESocoovcoooogosoosoo0000g 2554 RON AOC SES co00000v0080008e 2971 MUTESCENS A CNE MEN AOCOND EEE EEE CC 3202 HUÉSCONSINNIL EGP oocoaccocoeccacevo 1524 INDEX GENERUM rufescens Hoffm. Peltig.......... 901 et 9,01 ? rufidula Fée Lecan.................... 1547 rufo-fuscella Nyl. Lecid................ 1956 rufo-nigra Tuck. Lecid................. 1877 rufo-pallens Nyl. Endocarp............. 3205 rufo-pallens Nyl. Lecan................. 1546 auitile, Mont. Crwdéconcccosoocooncodes 2695 ruftumninie, Z\GMioooccocvoosovovoooebcoce 2554 rufum Nyl. Nephromium............. love ED) auitus Ain FPE c00co0000000000000000 188 rugatulum Nyl. Thelotr................. 1747 rugifera Nyl. Gyroph................... 1026 ruginosum Duf. Collem................. 118 rugosa Fée Arthon................... 3049 FUSOSA A CR DECO ere Ce 1361 rugosula Nyl. Lecan................... 116% rugosulum Nyl. Placod................. 116% TUJOSUS PERS AIChEN Re --- cree 1361 rugulosum Nyl. Leptog................. 100 Ruizana RÉCUPÉRER ELEC CEE EE 2556 TUPESUIS NyIe LeCAN "Are 1200 rupestris Schrad. Verruc............... 3214 rupicola Nyl. Pertus........... 1622:et 46222 jou Ne AMAGRes Eccoococvpopoocec 1776 JEU MUR am e6eooocoodcuococ 1053 QUSSCOAMN IE EC ONE EEE EEE CCC 1190 Focpuile cn, James se ocbeoonocoagocec 1922 meolen NAS 60 66pb00oooocooboo 726 S sabuletorum Floerke Lecid..... 2066 et 2066 P ccocae Adi Étlorinmese 363666 608086000 922 Socconlloe da reMAzmoeecec cesse 614 Saone il IHOnEMsscococcocecovsococec 922 SÆDINCOIA AGREE EC AN EEE EE CEE CCC 1413 sæpincola Hoffm. Platysm........ d44 et 544b SPDINCOLUMANVIMPIAITSMERE EE CEE ECC. D4% salazinum Bory Sfereocaul.............. 229 SazMmannENyIAO laine CEE CE CEE 312 Sancti-Jacobi Nyl. Trachyl............. 3633 SCO PERS Pas os occ0cco0voe 1056 SAN CUINAR APACHE DECITRE EEE 2381 sanguinariella Nyl. Lecid............... 2471 SanouinedN EPA TERON EEE Te CE 3016 SANEUTNEASEUC RICA TON ee ec ee 338 sanguineo-ater Waulf. Lichen............ 1974 sanguineo-atra Nyl. Lecid.............. 1974 SANLensISSRUCL AO ATON eee ECC 312 Sonensis MuclkTlAdities soeccooccccccooc 1892 SUNTENSISQUCRANIETEUC EEE 3372 ET SPEGIERUM. 199 Sans NN ERANCES 6665 c000b00o00c 3400 SARCOGYNONNSE EEE CCE LEE CCC 1526-1530 corcons Nr li@estecsecauocoacoosce 1433 cool NUS oeE0ce6 0060000 1434 SATCOPYGENAINVI EEE rc 3566 sarmentosa Ach. Alect........... 568 et 568b SafUnniNUMINyIEE Len Or e re ee eee 113 SauroidenlelshtAGraphe ere E REC CEST 2571 cable An Agimeesseoscoepoocvocece 69% SAXICOLAENCHEN DEC AN ER EEE ECC CE COS 133 Sanicole NL M Ebosees sos 060000 941 saxicola Næg. Sirosiph.......,..... Let 1? scabriuseula Del. Cladon......... 322 et 322 cchlorosn Ac. LE oosc0ee6005b0000c 2527 cine ‘in, Ie Plgoocooccooseccssec 90 scale ACn, UE ooeccoconcvccuoros 503 scalpturata Ach. Graph................ 2649 SCaphelloNYIEAGAGDR EEE EEE REC EE RCE ee 2597 Mamalinrée Érannebesseesé60cc0eoc . 2612 SCREreMMON ESC IAE EEE rec Cee 868 SCRÆLeLTENVIRICASOI EEE EEE EEE Ce 868 SGhismatopis Nyl Lean Eee eee 148% schizocarpum Nyl. Nephroma........... 918 SCRIZOJRAPRAENYIER EEE EEE EEE 3140 Schizopelte Th. Fr....... PR ei 3638 schizophyilliza Nyl. Séictina............. 794 SCDIZOPOrAIN VIEN CIAAE ER EE EEE ERCE ee 381 SCIZOSCOMANNYIMPETTUSS EE EEE RENTE 1583 Sehletehan Nb IAemtoSscouesoocvecoue 1507 Sonde NL Témage es oscocecedeccooc 128 SCIAS TAN USC AE REE EEE CE CCE EC 994 SClerOphylla Nyl GyrODR EAN 1051 sclerophylla Nyl: Sfictina............ 7180 SGEN RÉe POINA EEE EE CL 1603 SCODULATISEN VIRE CAN EE SEE TEE CE CCE 1150 SCOPUIORUMPNCH ER AMALET EC EEE CCE Ce 455 SCO LÉ TPTAiICoreocooscccoecesetes 3516 Soomaone NL IR doses sacccotec 1165 SCOROIdeS NI ASE TOUR eee eee eee ce . 3581 Contes NL MiTo oscooccecoodec 3539 SCORIZUMENYINENUDELRE ER CCC 3533 cotes Ac EMDosoococscoccoaococcocc 634 Lot Nil AAMTocoo--ccoceeeo 652 et 652? SCOHNOITES IN LED ONE eee 100 SCObNMOpPSArAAN VIA VerTUC ee ECC CCC 3262 SCONUMELTEMLEDION EEE ETC LE CC 94 Soon Ne ahes eo cocccdocovece 2411 SCHDINaNns IN IGNAPDR EE PT ER 2719 SCHIDITeNAMNVI AT ÉRON Ce --e + 3020 SCRIDIA A CH IGTTDI EEE 2551 et 2557 GRO Lau Cane sse cc éoosacsetoce 2580 scrobiculala Nyl. Lobarina.............. 766 SCRODICUIALAANVIEERICAS OI EE RER 881 scrobiculatus Scop. Lichen............. + 166 200 1826 et 1825 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. scruposa Ach. Urceol............ Snnosr/onnTAMosooe severe gecoce 667 scruposula Nyl. Urceol................. OT So ER bons soocecoee 680 scyphulifera Ach. Lecid................ TS0OMIMSITuosaANTIASTICIA eee ere Creer E ce 817 scyphuliferum Nyl. Gyrost..... A806retHS0C M ES nuosamBab Sticta PCT EE 827 SOYLDICAINYI PT ECUN EEE EEE TE EEE 1333 NsinuosusiSmichen se rrteeer-c---rrrere 667 secundana Nyl. Cladon RARE et ere 02 STONES Doaooooccoosocogesococce 208-221 Seductnix Ne Ca TONER EEE PER E AE 348 1MSITOSIPRONERULZ CCE PEER ETAT 1 et 361 seurecataNyl VerrUC ERP cer 3310 | smaragdescens Nyl. Lecid.............. 2162 Semipalli da iN y NDECUIE EEE RREEEE EE EEE 2011 | smaragdina Pers. Coccocarp............ 1095 semiteres Mont. Parm.................. 10 ESmarasdula NY MECCAn CCE EEE 150 semiviridis Nyl. Chondrops............ 765 | smaragdulum Wahl. Endocarp........... 1520 SemobulaiN VI Le CIRE EEE EP ECC ER ol SN A On 6e osdococoveoo 2539 Sendtneri Nyl. Verruc................. 3239 SSmineIBNtAGTAphe EEE CE ECC CE 2637 separandu Nyl. Graph.................. 2610 | sobolescens Nyl. Cladon................ 3688 separatum Nyl. Chiodect................ 3179 | sobolifera Nyl. Cladon........... 296 et 296? sepeacea Pers. Physc................... 446 |INSoccatumeNyIePSOTOMA EEE EEE 0e 1132 sepiacea Nyl. Ramal................... HOMME ANS NEA Uonasccsgsecoocceueco 174 septentrionale Nyl. Platysm...... Sole) MS OTeITOMENTIMC TOR ER EEE TE CEE RTC 490 SOptiSeptaN I ATOME TEE EC ETC 2986 | solenarium Tuck. Collem............... 75 septiseptella Nyl. Arthon............... J010m Soda Born tEDRete ER EEE CR eee re 7 septosior Nyl. Lecid................. DAS IN SOIOTINAPACIE EEE EEE ONCE CELLES 921-924 sepultum Mont. Asfroth................ S000MMSOIOEININANNYIEEE SERRE CETTE CEE 909-911 seriale ACh. Codec CREER Lee eee AHMIRSolorinordes IN VIEMeCAN EEE EEE LT ECC 1109 SERICC MN SOLUCE EEE CCR CC CET 3150 | solstitiale Hochst. Endocarp............ 3195 SeniceariSsweslele ph eE CREER ET EN 181 IRSOoMMer elETENTIMPEUS EE ER EEE EEE 1648 sericeum Nyl. Dichon.................. 3187 | sophistica Nyl. Graph......... 2580 et 2580b sericeum Eschv. Leiogr................ 3150 | sophisticascens Nyl. Graph.......... 208 seragrapta Nyl. Graph.............. .. 2662 | sophisticodes Nyl. Graph............... 2584 serpentina Nyl. Graph........ ........ 2591 | sophisticula Nyl. Graph................ 2585 serpentinella Nvl. Graph........ ...... 2660 | sophodella Nyl. Lecid.................. 2063 serpentinoides Nyl. Graph............... 2588 | sophodes Ach. Lecan.......... 1279 et 4279 D serpentosa Nyl. Graph......... 2635 et 26352 | sophodina Nyl. Lecil.......... 2114 et 2114P SOIN ET Too oc occococobovocooe SSI ASordidellanNyIEeC IT ER PER CRE CECE 1999 setosa Nyl. Physc...................... 998 | sordidescens Fée Thelotr............... 1730 sexlocularis Nyl. Verruc............... 33021 M sordidius Nyl Type ARR RENE 3516 sibiriensis Will. Lecid................. 2052 |" sordidula Nyl Lecid.. 2312 et 1999 signata Ach. Opegr..................... 2820 S0redians Nr AO lA lon ere EPA EEErEr 29% signifera Nyl. Parm................... 698" \Msorediantha Nyl RAMAl RE 44 silacea Nyl. Lecid...................... 23321 S5rediata SCRET. PAM nee 599 simensis Nyl. SOlOTIM EEE ee CEE 909 sorediala Nyl. PAT PRES RNA 60% similans Nyl Thelotr.................. ON MDN oc cobbcococsabo 1004 D simodensis Tuck. Lecil.... APN e0redale re MEME dbovcoocoaccoac 1012 simplex Nyl. Lecan.................... 1527 | sorediatum Nyl. Stereocaul........ 237 et 240 simplex Nyl. Siph..................... 200 ES oredicaiNVTIE MP TM REE TEE CRETE CEE 582 simplicior Nyl. Opegr............,..... Ab PS OO EAN ebeccocceeccococ 1396 simplicius Nyl. Thelotr................. IST | SSorediferaiNVIMRPE TT EEE RECETTE 901 sinapisperma DOG. Lecun............... 1204 | soredüfera Nyl. Physc............... 1007? sinapisperma Fée Verruc.....,......... 3414 | sorediifera Nyl. Ramal................ 446 sincerula NyleLecid ere ec ceer 2349 | sorediifera Nyl. Solorinina.............. 911 sinensigrapha Fée Arthon.............. 2645 | sorediifera Nyl. Stictina............... 768 SENTE NME bonocooooudocecousosc 483 | sororiella Nyl. Lecid................... 2079 singaporina Nyl. Graph...........,...... 3671 | spadicea Leight. Arthon................ 3003 SinuatumiNyl PLepiOTRe re Eee Ce Creer 95 | spadicea Ach, Cladon.................. 315 sinuatus Huds. Lichen...... 00060000000 DSMIPSpadiceasnuce Le dE EEE CC nee 2134 INDEX spadicomma Nyl. Lecid.... 2328 spadochroa Nyl. Umbilic............... 1031 spadochrous Ehrh. Lichen..... ets role 1031 SDATODONORNYIAUPES EEE EEE EEE TETE EEE 2827 SDATSARNYIEM PI USCE EEE RECETTE Ce 999 SPAS IUuMENVIEEMUCODEE Fee CPR DO SpeCiosa DelMOIATON- Re 329 SDECIOS ORNE RP LUS EEE 950 speciosa Eschw. Ustal............ Mon 2797 SDECIOSUSAMUIEAPIGNEN TE ARRETE 950 spectabilis Fée Arthon......... 3040 et 3040 cpoiree Nil Haies cccoceccoseooocccoc 2330 speirocarpa Nyl. Sbictina............... 198 SpeITOCOCcaN TI Pecide te C e Ce 2304 Sphærale ACh-Chiodect. 3166 sphærioides Mont. Trypeth............. 3590 sphæroides Sommerf. Lecid............ 2050 sphærophoroides Lév. Acrose........... 187 sphærophoroides Nyl. Stereocaul........ 234 Sphærophoron Pers................ . 179-186 sphærospora Nyl. Parm...,............ 579 sphærospora Nyl. Synalis.............. 17 sphærosporella Nyl. Graph............. 2667 SHentee NME 66088000 354 sphalera Nyl Graph..." 2703 Snininanina Miroocoooooocoseodoocook 138-144 sphinctrina Mont. Parm................ 1133 sphinctrinellum Nyl. Thelotr.......... 1683 sphinctrinum Nyl. Leptog.............. 122 SpoInChAnUnMeNTIMPSOTOMNE RE e -- 1133 Goes NL Lesith co00000cc00c000v000apc 2417 spilomatoides Nyl. Arthon.......... .. 3053 splendidula Nyl. Parm..... 006600000000 584 spodochroa Ach. Gyroph............... 1031 spodophana Nyl. Lecid........,......... 2019 SDOUOPIACA INVITE NEC EE Ce 1231 spodopolia Nyl. Opegr...,.............. 2827 spodopsara Nyl. Verruc................ 3261 spondaicum Nyl. Thelotr............... 1757 spongiosa Nyl. Solorina...........,.... 923 spongiosus Sm. Lichen................. 923 Spraguei Nyl. Endocarp................ 3218 SO EONTOR TeMboe een ccocconeoe 126% Sprengelii Nyl. Melasp................. 3129 Sprengelii Ach. Trypeth...........,.... 3536 Joel NM EH /oobecéeoecaconesacso 1868 Steel ILeIQue, OR ere eco 00000 3241 spumescens Nyl. Graph................ 2781 spumosa Nyl. Cladina....... adocavocoso 364 SPUPIAISCHEÆR LECIT- ee ee ere eee 2431 cours IDC Possceccscctococooccoca 902 SDUMUS PACE IChENE eee CCC reree 902 squalescens Nyl. Lecid................. 2222 SQUANA APACHE EC EE EEE RE 2225 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM 3° série — IV GENERUM ET SPECIERUM. 201 SŒUAMANI AND EEE EEE ECC CC 1327-1341 SQUAMANALARNMEMPONIMNEEEr EEE Ce. 711 squamarioides Nyl. Bzom.............. 204 squamosa Hoffm. Cladon........ 329ket 3291 squamulosa Nyl. Lecan......... 133% et 1513 uanuie Noos oonocccsesee 2149 SquUamaulosus Sm.Lichen "1... 1513 stalactinum Nyl. Chiodect.............. 3154 Staphylea ACC la don ere ere creer 278 stellaris Fr. Physe........... 966, 973 et 974 SEAT MONt EVENE EEE CCC Ce 925 SHÉATAENVISRANNULEREREE RER EE EEE 1085 sollaia (ladk) ME oc cccc6occevoocec 1266 SLOATUMANUCLACONENTER ARRETE 76 Sole RÉCCrEDN esse eco ueceecce 2956 stellulefa TL ocooccccoaccoc0000 2439 Sellniaie No ILemils 2556006620084600ec 2432 stellulatum Nyl Sfigmat. "0. 2956 stenobola Nyl. Sfictina................. 806 StEnODOl AN VIA ERTUC EE ee rer eee ce 3686 SONDE INIle se 6 cococcococbacoococee 3631 stenogramma Nyl. Platygr.............. 2898 stenographella Nyl. Arthon............. 2987 SENOPRyIANyIACIAUON ER PER EC EREECCE 304 StEnOpDhyLITMENVIACOTEMEE CREER TEE TRES 47 SEnOSpOrd AN y LeCiT EEPeS NE CCE 2178 stenospora Nyl. Ricasol................, 884 STENOLETANN VA PECITE EEE CCE CCR 2307 stephanella Nyl. Lecid, .:.............. 2115 stephanodes Stirt. Lecid................ 2327 Stephanophorus Flot............... 118-127 stereocauloides Nyl. Sphæroph.......... 183 Stereocaulon Schreb....... 227-268 et 3634-5 Stereocaulorum Th. Fr. Lecid.......... 2032 StenecocladiumiNYEe ee eee cr re 226 SEGA AGsooooooaccegocococ 814-863 et 3651 stictæformis Schær. Sticta...........,.. 868 SUCAR AIN VIA PA ER ON EE CCE Ce 3121 SÉICIATUMENUIACE TT EEEEEEE EE ETES 812 Sbicnee Nyib AAC vococcoeceoccccodeo 3048 Shictice Ac Os sovcovscussooccoovce 2879 seen lock, DoeSPecaoccodovococouovo 2551 SHCHCAIR OCR DEAUTCEOPÉPE EE Ee Ce CC 1833 STICEINMALD Eee dm eee 768-811 Sion NTI ss eco sc sPoococcec 1858 stictoides Desmaz. Arthon.............. 3098 stigmatea Nyl. Lecid................... 1299 stigmatica Krempelh. Platygr........... 2938 StIgmMatiuMIMEy Eee re eee 2935-2961 stigmodes Nyl: Stigmat..........,..... 29:9 SHOMOUES ENTIER ODESTÉEE EE EE Eee er 2939 StieonelarFr ETAT REEECE CREER TEE 168 SUIAIR Nils To sseccococoococcocoe 2026 { stillicidiorum Nyl. Lecan.............. 3192 26 202 Stracheyi Nyl. Platysm straminea Ach. Lecan straminea Ach. Ramal SRE NÉS SHICAs coodocosocodcoovcvoo straminicolor Nyl. Trypeth SÉreblocarpaNyINGT TDR EEE EEE strepsodina Nyle Decan. ee 1527 striatula Nyl. Graph........... 2620 et 2620 D Elaicn NA Clatttiococoocceovcoconogoc 327 SÉACLUlAIN VIS EC Ina METEO 797 sÉrictum NY See OCaUt ee er 242 COTON iRoocoocooseocposcoce 1516 Suaieoe Ao UÉoodeooscocoococcdee 492 SÉPIQUIAMRÉ CEE EEE CCC LE C ec 3559-3565 StaoulinaNyIEPP TETE ee ere cc. 2919 ronmoaNAI Ars 00000000 2919 SUR HAMPe DEC EE eee ere ce 2313 Ho Mb EMAIL bosse bosseconccec 1037 stygia Ach. Parm............... net Ter ao es NIGER ooovoncooousesesee 728 StyeloplacamNyl Tecan ere ee 1476 Gros il IDGHEMLosso0gogonocucoccoace 121 suaveolensANyl Lecane. 1485 subabbrevians Nyl. Lecid............... 2174 SUDACU TAN VIAGIO DRAP EEE EE EEE ESA 25719 subæquans Nyl. Astroth ............... 3587 subæquans Nyl. Parm................. . 678 subæruginosa Nyl. Lecan............... 1397 Subalbens NY IESTAUDE RE EEEETE 3532 subalbicans Nyl Lecid. "nn 1985 SUbalbIdA NL LECAN EE EE RTE ER SET 1280 subalbo-atra Nyl. Lecid................ 2493 SUDAIDUIA ENVIES LECTURE EEE PRES EE 2445 SUDAlINItAINyl ALecid ER Er 2078 subalpicola NylLecid ec re EEE e 2530 subamericana Nyl. Parm............... 692 subampliata Nyl. Ramal............... 426 SUPANCEPSIN VIA EAN MERE APE 1298 SUDANCEPSANVI PRIMO EEE EEE 412 subangulosa Nyl. Lecan................. 1350 subantecellens Nyl. Verruc............. 3465 subareolata Nyl. Pyrenops.............. 3620 Subareolata NI PErNUC A PEREERE NC RERE 3236 subärgyracea Nyl. Stictina............. 769 SUDATOMANCA IN LEE Re Eee ere 2239 SUbASpera tt iN I RAMA EEE CRC 420 subassentiens Nyl. Lecid.............. 2262 subassimilata Nyl Dec ere ER 371 subastroideanNyl Amon ee tre 2080 SUDas(roidella Nvl ATARI). 3078 subatomaria Nyl. Verruc.............. 3481 subattingens Nyl. Platygr.............. 2902 subaurulenta Nyl. Parm......... subbacillifera Nyl. Lecid tés. 592 et 592? 2167 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. SUDDa CU ER ANVI ELEC PEER EEE 1951 SUDDESS AS ANYI AT TAN RARES 2682 subhreviusSculaN y ect reee rer 3661 SUEDE NTIC REED e ce cococooacicoce 2551 NES ON MOMIE RSR Re 00e 1533 SubCæS MENT TRE. en 1688 subculicaris Nyl. Ramal. .............. 433 subcalyescens Nyl: Thclotr.. 1747 subcanaliculata Nyl. Ramal............ 43% subcandida Nyl. Graph... 2666 SubcaperataENVI ES TIC AR ERREUR 827 subcaperatula NylPurn nn ne 586 subcariosa Nyl. Cladon.......... 285 et 285b SUDCARNE INA ELEC AN PETER ET EEE EEE 1390 SUDCOPNEUSISW- AE hEN 1390 Subcastanea NY MLECAN TERRE EC 1514 SUDCAVAIUMENTI TREND PEER 1697 subcentotueaiN YO De Tee R CRE 2837 Subceraia Stizenb.Lecan- "++" 1208 SUPCERMAINVIMLEC AN Er EEE 1245 el 1208 CANON sc occoboouoocecod 2486 SUDERIONOTICAIN VIA VER A UC CEE ETES 3293 subcincinnata Nyl. Pannar............. 1055 subcinctula Nyl. Lecan................… 1431 subcinerascens Nyl. Arfhon............. 3045 subcinerascens Nyl. Lecid.............ù 2531 SHONeRCE NTE VERS cosecoovooaos 3292 SUDCINERUMANVIEC OC EPP EAREEES 15% subcommunis Nyl. Pertus.............. 1576 SUDCOMOSA Nyl = PA YSC. 945 / subcomplanata Nyl. Rumal............. 429 subcompunctum Nyl. Thelotr.......,... 177% SUPCONIUENSEANZI LETTRES RERREr 2333 SUDCONOEMENNYI MT ACIO NES 1701 subconfragosa Nyl. Lecan..........,.... 1292 subconspersa Nyl. Parm......... 104 et 704b Subeontex(aN y NEA RER EPAREEE 2160 SUDCONTEUAINVIE ELEC IT PERRET CCE 2513 SON N TEE oo 000000000000 0 2271 subconveniens Nyl. Arfhon............. 3122 subconveniens Nyl. Collem......... 45 et 45b SMbCOrAIIN AIN VIP PET US PRE EEE ARIANE 1591 SUPCONAC AIN VIS ACTA CRE ET 857 SUPCORNULENNAOTAAONPE EEE EEE EEE 287 snbcorrosa Nyl. Ricasol................ 874 suberenulata Nyl. Lecan....... 1352 et 1352b SOON INT AAPITae see e00000c00c 064% SUPCTISPUMINYI AC O EME EEE EEE Er 53 SULCrRUS OS TINTIN ER EEE EC 3212 subcrustosum Nyl. Endocarp............ 3212 SUPCUpPreaeNYIAUrCCOPEREE ER EEE REC 1835 SubcutanearA\ch APOrNAEE EE ere Cr 1603 subcyphellata Nyl. Séicta............... 851 subdactylina Nyl. Pertus..,:.....,.. ... 1568 INDEX GENERUM subdealbata Nyle PenEUS ee RRr EC ET subdecipiens Nyl. Lecid................ subdecolor NylTrypE RS - subdepressa Nyl. Lecan................ subdepressum Nyl. Trypeth............. subdescendens Nyl. Psoromar........... SubdIaphoraNVIMODENT LEE RC RR EEE SUPAACIISANVIMODENNEE EE CRETE eee subdigitata Nyl. Cladon................ SUDONULTAINYIMS CITE EEE CE EEE ET CE subdiscedensiNyl LECLERC subdisciformis Leight. Lecid........... SDS CTUNMASENVIERTe CITE EEE EEE subdiscretum Nyl. Trypeth............. subdispersa Nyl: Arfhon........"". SUPHISPERSANN VIE LECIT ET EEE CCE Ce subdispersula Nyl. Arthon SUDUISSECLaINyI PANNE EEE TER EC TEE SUDAISSE CAIN IEMRICUSO IEEE EEE EEE subdissentiens Nyl. Lecan.............. subdisserpens Nyl. Graph.............. subdissocians Nyl. Trypeth............. SUDOIVERS AIN VI GRADE EEE subducens Nyl. Graph subducta Nyl. Verruc SUDAUPIELENYIENDEC EC ERE CEE CEE CE subeffigurans Nyl. Opegr Guetiuse, NL AM cessooncocsocceee subelegans Nyl. Graph......... subelegans Nyl. Lecan SUDELEVALANYI OPEN PME EEE CEE TE subeminescens Nyl. Thelotr subeminula Nyl. Arthon subepulotica Nyl. Lecan................ subexcedens Nyl. Arthon SUDEXISENVIEMETYSC PEER EE EEE EEE EE sul Nik armee cooRoococcoceoc SUDIAENSENVIEAVERAUC EEE EEE EEE subfarinacea Nyl. Graph subfarinosa Nyl. Lecid................. subfastigiata Nyl. Ramal............... subferruginea Nyl. Lecan............... subfibrosum Nyl. Chiodect ne Tode becs ccosecoceatee subflavicans Nyl. Lecan Subflavida Nyl. Séicting.. Subiraxinea NY MRAMAl RE EE ECC er subfulgescens Nyl. Lecan subiuleurata Nyl Gap = RCeCe Ce Cee. subfuliginea Nyl. Pyrenops subfurfurosa Nyl. Lecid subfusca Ach. Lecan CCC CCC CCE ns ss ss... uns 1433 ET SPECIERUM. 203 SUDIUSCAAINYIENLEC LT EE Eee rer 2015 SUDRUSCeANYIEMVErUC EE ER E CEE EE 3253 SUDIUSCeSCeN SN VI BTE Re CCC 647 SUDIUSCUANN NIET EC EEE EEE CEE ECC EE 2165 SubaancalizaNvIMECCun- eee ererec 1371 SUP ENAAN TIME ANA EE EEE CCE ce 1317 subgeminum Nyl. Thelotr...... 1758 et 1758P subgeniculata Nyl. Ramal............... 471 subglabrata Nyl. Verruc......... 3400 et 3372 subglaucescens Nyl. Lecid.............. 2126 subglaucescens Nyl. Verruc............… 3449 SUDÉTODOS AIN VIE EC EEE PER EE EC 2154 subglobulifera Nyl. Pertus.............. 1631 subgracilescens Nyl. Cladon............. 301 subgranulata Nyl. Lecan.............. 1363 subgranulatum Nyl. Ascid............. 1805? subgranulosa Nyl. Physe............... 936 SUD AYLOS ANNE ATÉRON EE EEE ECC EC EE 3085 subherbacea Nyl. Ricasol............... 884 subhirsululum Nyl. Collem............. 46 subhispidulum Nyl. Psorom............. A3 subhumosum Nyl. Collem............... 41 Suns Nil PRES eccesouooee 148» SubincolorelaNylALecIA Re RER CPE ee 1862 SUDINCOMPIANVIE PE CITE ERP EEE EC EEE 2173 subincruentum Nyl. Trypeth........... 3515 SUbDINqUINANS NyI LEUR 2534 SubinferstesiNyl Veruc- cer ce 3322 SUDINCICALAINYIEeCAN EEE Creer 1430 subinusta Nyl. Graph.......... 2643 et 2643? SUD)UNCIANINVIESEECTT EEE EEE ER CEE CEE 2461 SUPJUunC VAN AVErTUC Eee EC Er Ce 3286 subkamtschadalis Nyl. Parm........... 692 SUDIÆVALAINYIEMPENEUS EE RTE ECC 1564 sublævigata Nyl. Parm........... 641 et 641P subleævigata Nyl. Ramal................ 450 sublævigatum Nyl. Nephromium......... 892 SUDIEVISINVIEIGRAPRE RECRÉER EEE CEE CCE 2620 sublævis Nyl:/RicasO!. ee 885 sublecanorina Nyl. Plalygr.…..........…. 292% sublectissima Nyl. Verruc.............. 3301 sublimhataiNylP Parme er ereeceereet 684 sublimitans Nyl. Verruc................ 3282 SUDIMOSANYINLEC IT RE ELA EE Enr ee 2311 sublinearis Nyl. Ramal...............…. 442 Sema EE osceccodouccacobce 2018 SEINE TAReS 2e 0000anooaco0 1383 sublobulata Nyl. Lecan..…........... 1152 sublobulatum Nyl. Placod............... 1152 Gore NVIL Letitlesscéscccvasovpovooo 1268 SUublURIdaN y PannaAr een cire 83 subluridum Nyl: Dichod. "2" ur 83 SubluteclanNyl ELEC RTEEE EE eee 2148 sublutescens Nyl. Lecan,............... 1423 204 sublutescens Nyl. Slictina.............. 171 SUDIUTIOTNYI CCE ER EE CE CCC 1443 submarginalis Mich. Parm............. 609 submarginata Nyl. Per£us... 00 1613 SUbMETANVLAUE LEE EP EE 519 submicrospora Nyl. Verruc............. 3265 subminutissima Nyl. Arlhon........... 3123 subminutula Nyl. Arthon............... 3108 submollescens Nyl. Séereocaul.......... 233 submoniliforme Nyl. Chiodect….......... 3168 submonospora Nyl. Graph.............. 2601 submultipuncta Nyl.Pertus............. 1569 submutatum Nyl. Thelotr............... 1693 SUbneLANS ENVIE IEEE PEER CCE 2221 subnectenda Nyl. Verruc............... 3342 SUbDREXAANVI EC CITE ER RER 2465 SHME ANT A GAS suc desooocoeocooo 3441 Submierescens NY VerrUuR eee PEUT 3255 SUN ENS EN A GRADE CREER EEE UE 2767 SUB NN TEE RP Docs coovoooccsdac 2143 SUD NI AVENEUC EEE PEER CCS 338% SUDNIITeNAMNYI VENU RE EEE CRETE 339% SUDNIIAUAINTIMGAADR ER ECC 2746 subnivescens Nyl. Graph............... 2785 Subnothe LAN IMODET PTE EENREERRRE 2818 subobducens Nyl. Pertus............... 1581 SUPObduC Fans NTI PERS PEER EEE 1582 subobscura Nyl. Physe........... 971 et 1000 SUDODLEC TANIA GADR TE ET E EP EPEE 277 SubocellataiNyl Unceol. "PRE EE NE 1824 subochracea Nyl. Verruc............... 3411 subordinatum Nyl. Chiodect............. 3167 subpallescess Nyl. Atséroth............. 3578 subpallidiuscula Nyl. Arthon........... 3119 subpapillosa Nyl. Ramal............... 426 SUD AN AT R oc cococecocasccoodooc 3670 subparellina Nyl. Lecan................ 1325 SUDPARSENVIAGRADRA EP EPE EEE EEE CC 2159 subpectinata Nyl. Ramal............... 422 subperlutum Nyl. Platysm.............. 530 subperrimosa/Nyls Pertus. "ee 1633 SUDPICTAINYISPAUSC PET RE NE NEEERRE 1005 SUDDIAN AIN VIE EE CA PRE RER CRT 2344 SUDPICANS ENVI MPENTUS CR ER ER EEE 1646 SUbpliCAtA NY I ELEC EEE RE EEE 2426 subpollinaria Nyl. Ramul............... 416 subpolymorpha Nyl. Arthon............ 299% Subprivien a Nyl EC ER R EEONE 2396 subpromiscua Nyl. Lecid............... 2269 Subprostans Nyl-AVernuc se PEAU 3458 Subpruinosa NV LeCidre EPA PES 2455 subpruinosum Nyl. Collem............. 71 subpruinosum Nyl. Psoroma............ 1128 subpulverulenta Nyl. Graph. ........... 2620 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. subpunctella Nyl. Verruc.............. 3390 subpunctiformis Nyl. Verruc........... 3487 SUDpUSUIA NY RAM SERRE EE 465 subpustulata Nyl. Pertus............... 1586 subpyracea Nyl. Lecan................. 1201 subradians Nyl. Lecan................. 1467 subradiascens Nyl. Lecan.............. 1468 subradiata Nyl. Graph........ 2587 et 2587? Subradios a NyIMPECAN EE EE Eee re 1388 subrangiferina Nyl. Cladina............ 371 Bulnce No GATatoscsoaogescobosococc 2587 subrigida Nyl. Graph.......... 2600 et 2600? subrimulosa Nyl. Opegr................ 2863 subrosella NyleMDecid PER EEE CRETE 2447 SubrotundatRée ATthOn Tee Er neeEe Ce 3061 SUPRUDENAMNVIPAN THON EE CEA EC CCE CCE 2978 SUDRUDEIAMNYIEMTECU PEER E EEE EEE 2135 SubrubescensiNyl MLECITEE RCE EC CPATE 1927 subrubiformis Nyl. Lecid............... 1874 SubrudectanNYIEMPAMERER CEE EEE ECC CES 675 SUDEUISIN IEEE EEE ECC 207% Sue NL Ie sc secobooceosecouo 1909 subrugata Nyl. Parm.................. 612 SUbrUSOSA NyI Per CUS LEE rer 1589 subruginosum Nyl. Leplog............. 118 Suite nb TRES 608008 00800000000 688 SUbSCIDIlANS ANT AGE CPE EEE EEE ET EEE 2720 subscrobiculata Nyl. Slictu............. 817 subsculptella Nyl. Lecid................ 2334 SUbPSeTUC LIANT MP eC ARE REC RTE EE CEE 1498 subsequestra Nyl. Lecan..:............ 1243 Subseriale INYIMS IMAC EEE 2951 subseriatum Nyl. Chiodect.............. 3167 subserpentina Nyl. Graph.............. 2588 subsiderella Nyl 0pegnee ne etre 2874 SUbSIMNaNns NI MLeCIT EEE EEE RECETTE 2136 subsimilata Nyl. Opegr........ 2888 et 2888 D subsimillima Nyl. Arthon.............. 3022 SUDSIMIIS NY LeCIT ERR CCEEETE 1906 subsimplicans Nyl. Verruc............. 3306 SUDSINUOSAINVIEMP NME RE ETC TE CCE 648 SUDSINUOS ANUS ICO ETAPE EE CNT 819 subsophodes Nyl. Lecan................ 1294 sUbSpadicea /Nyle Leciq eee re 3669 subsparsa Nyl. Lecid..... 2297, 2343 et 2343D subsparsula Nyl. Lecid................ 2343 D subsphærale Nyl. Chiodect.............. 3173 subspumosa Coem. Cladinn............ 364? SUDSPUTI AIN MPE UNIT PC RARE TENTE 906 subsquamosa Nyl. Claden.............. 333 subsquamulosus Nyl. Bæom............ 188? substellaris Ach. Lecan................ 1265 substellata Nyl. Aréhon................ 2985 substellata Nyk. Lecan.:.:............. 1265 INDEX GENERUM substellulata Nyl. Lecid................ substraminea Nyl. Cladon.............. substriata Nyl. Graph.................. substrialula Nyl. Graph................ subsubulata Nyl. Cladon............... subsulphurata Nyl. Lecan.............. subsumpta Nyl. Parm................. subtabularis Nyl: Siph................ subtartarea Nyl. Lecan......... subtenebrosa Nyl. Lecid................ subterebrans Nyl. Thelotr.............. subterebratum Nyl. Thelolr............ utenmole NÉ TARTSSE68606 00 0000000 subtessellata Nyl. Lecid................ SUDEIERBERSACAIIC ER EE EEE Ce Subbllaces Nr Bresse ocre cococeee subtilissimum Nyl. Stigmut............ subtorquens Nyl. Graph................ cales NL CRC ec subtubulosa Fr. Cetr............ SUDUIATAMER AC IAUON- RECETTE subulata Mont. Ramal................. subumbrina Nyl. Verruc............... subunicolor Nyl. Lecan................ subvaginata Nyl. Pertus................ subvaria Nyl. Arfhon.................. subvariabilis Nyl. Sficta............... subvariatum Nyl. Trypeth.............. SUDVElATAANYIAT RON EE REC EEE T CEE subvelata Nyl. Verruc......... subvellea Ny1. Gyroph.................. subvellerea Nyl. Gyroph................ subventosa Nyl. Lecan................. subvernalis Tuck. Lecid,............... subverrucosa Nyl. Pertus.............. subverticillata Nyl. Cladon............. SUDVITPInANS ENT GT er eee ee subvirginea Nyl. Graph................ subvirescens Nyl. Cænog............... subvirescens Nyl. Lecid................ subvulgata Nyl. Opegr................ subvulpina Nyl. Lecid.................. subwebbiana Nyl. Ramal........... ... succedanea Nyl. Lecan................. succedensiNyl eLecideeer ect succulentum (R. Brow.) Ramalod....... suffusa Knight Verruc................. suICata Nyl Alec 565 et 940 310 2621 2621 319 1423 628 213 1435 2260 1769 1728 2036 2339 156 153 1714 640 2940 2669 2615 3395 2229 2295 2696 5182 345 123 3221 1185 1567 2997 854 3545 3083 3429 1029 1029 1407 2004 1573 295b 2713 2557 1837 1882 2854 2127 ST 1446 3434 5652 ET SPECIERUM. 205 SUITE P AN eee ne 695 SULCAEUIA ENV EMR AM EE ee ee er 445 sulphurata Nees et Flot. Parm.......... 587 sulphurea Nyl. Lecanact............... 2803 Sulphurea-Ach. Lecan.... "ms 142% sulphurea Nyl:Neuropog............... 513 sulphurea Lœnnr. Rinodea............. 2447 SUIDIUNEMSChERASUCIAMEE TES EC 849 SUIDRUrESAN VIE NUC Re ee rene 3333 sulphureo-atra Nyl. Lecan.............. 1378 sulphureo-fusca Fée Lecan........... 1538 sulphureo-rufa Nyl. Lecan............. 1539 sulphurescens Nyl. Platyyr............. 2909 sulphureum Mont. Byssoph............. 3333 SUIPRUTEUMANVI AS ENOIRP ESC PETER 3578 sulphureus Nyl. Neuropog.............. 513b SUPETORINVI PANNE EEE ee ere 1072 SUPDER]CCLAANYI LECLERC RER 2536 Supenne Nb Es s0occcccooouconoc 2153 supposita Nyl. Graph.................. 2649 Swartziana Ach. Arthon................ 3076 Syagroderma Nyl GyLOpHE ee RER CR 1038 sylvatica Nyl. Cladina........... 364 et 364 SYIVALICAENVEES EC EEE EEE 803 SUDdACUSMEMEIChEN ee 364 et 803 Sitesbes Nb TSbeooabcocoocooovcoc 1350 SYVICOlE AN INT EC EE 2378 SyYMphorea NylSUnal ER PRE EE 16 symphoreum DG. Collem............... 16 SYMphonza NYC ATOM ER ONENE 359 symplecta Nyl. Graph................. 2616 SYMMICLANNYL DEAR EEE EEE CEE CEE 1413 Symimictera Nyle Lecan- "Fe EC CEE 1412 symmictoides Nyl. Lecun.............. 1416 ÉAMA UE IDiieccoococoaoocoocecocouc 16-20 SYDALISSINANNYIE SE ee Ce CCE 3687 Synalissopsis Nyl..................... 3687 Sneolla ne me Ses 000e6boce 1002 syncomista Floerke Lecid.............. 2069 syngraphizans Wright Graph........... 3680 synotheoides Nyl. Lecid................ 2012 4 tabacina Schær. Lecid. "Re 2231 fabacina Mont Parme EEE 605 fabidella Nyl Lecan ere RER CEE 1237 tabulare Ach. Stereocaul.............. 212 CADUIATRISANVIEES ED LEE EEE EC EP EPP EEE EEE 212 tachygrapha Nyl. Graph........ 2191 et 2157? tædescens Nyl. Arfhon................. 3113 tædiosa Nyl. Arthon.....:.. free 00006 3038 206 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. tædiosula Nyl. Arfhon................. 3103 | tessellata Floerke Lecid....:......... 2342 tenue, INSIDE ssoos a ccovccoocoece 1560 |Mtessellatula NylVernruc nee ee TEE CRT 3248 tæniæformis Ach. Ramal............... 290) | ESACER AC IE SEE 00boo da 0000 1878 taîtense Mont. Heteroth................ 2042 | testudinaria Nyl. Ramal................ 392 TON NULS 080000000000 atec APOMMORRACORS NIV OTRCEeonacvocoaccoonc 3319 tditensiS NY MRAMAlLE CEE ENCLE 407 |. tetraphora Nyl. Graph..." 2707 takashimanaiN VI ere ERP EEE CEE MO nIe IN TIGE dass occesescovous 2470 TamanndiiNyI VE RRUC EE EEE EE CCE 3452 LM tetraspora Nyl.Lecan. 0... nee 1205 tantarea AChPPeCAn ere CCC CC LE 1455 |Mtetrastichella NylDecidi "nr 2487 COR In LIENS 6 6600000000000c000 1455 | tetrathalamia Nyl. Pertus.............. 160% tasmanica Cromb. Ephebe.............. 9 | tetrathalamium Fée Trypeth............ 160% tasmanica Nyl. Pyrenops............... PTE ENENUICR AMD ooocccococoosonas 658 tasmanica Nyl-ARGMA TEEN CEE 462 | Teysmanni Mont. Platysm.............. 534 TAVlonN TI ENEUROPOT Eee ee Ce 516 | thæcdes Mass. Acarosp.................. 1506 teicholyta A Che ELEC An ere CEE ee CO ANGAM M ThalamitamNyl M EndOCOCe eee PETER 3605 teichotytum DC. Placod................. 11614 | thamnodes Klot. Evern.......... 511 et 571? teichophila NY ELEC TE RE CRE CNT 1293 TRaMmnolAPAChE EEE ER PRET ET 222-224 telephoroïdesih Pr eDecan terne 1255) AthelenarAChEMVORMUC PER CEE ERA 3496 EME Avon CoODecsscococesécon000uco NUE NOR VEATSSS045 060000000900 3370 tenebricosa Nyl. Lecid.................. 1966 | thelenelloides Nyl. Perlus.............. 1603 tenebrosa lot Peciie etE eee PR ENT ENTIER co00006odo0p000bo0 3501 tenella AC AGHADRE EE CRE EC 2563ke 1256328 Mtheleodes Nr enue re CEE re err 3222 tenellaNyI PAUSE PE CE JrOketA72 2 NtheloplacaNyIAPER USER EEE TE 1640 tenelumiNyACu ic "Arc rer encre re 459 | thelocarpoides Nyl. Pertus.............. 1595 tenellum Nyl. Endocarp................ SAONE LEON Ne 68e 500000000000 3189 tenellum Nyl. Leprocaul..... "0... 3610 | thelococcoides Nyl. Lecan.............. 3658 lenellUSiSCOpAPICheN EEE RE EEE. CT 970 | Thelococcum Nyl...................... 3190 teneraiN A Cladon EEE Perte 2089) SThel0TrApDhIS NI EEE EEE EEE ENT E ET 2808 teneriffensis Nyl. Lecan "2" M nn 1430 TRE lOPSIS IN PER EEE NEE 3597-3558 tenenoriNvlAUSReU Rene CCC 502 | thelostomoides Nyl. Verruc............. 3339 tenerum Laur. Sphæroph............... 1S1M)RThelotremarACNEr rer E re EE 1673-1794 tennesseensis Nyl. Lecid....... 2335 et 23352 | thelotremoides Nyl. Lecan............. 1504 tenuciNviePlacod ee CRE EE Ce cer 1144 | thelotremoides Nyl. Verruc............. 3426 lenuenNyl Nephromarrr ee ere nee ee ON EN OlENCANN AE A EMEPeUe Sete 6000000000 2910 FeDUATANTIEPAEMEC EEE EE CELA CE THON UN OMAN TE EMTDoosecoonacboscocec 1270 tenuiorNyl COCCOCAr pee RENTE Er OEM UN ATARI 86 865 saoococovot 1646 tennoR NE Eos cdoao000000bo 000000 4255 Mthomensis NylLecid cr eee erecri 2100 tenuirimis Tayl. Parm................. 624, MThouarsiNyl AS Te na RER EEE 769 tennis ACH-ALecan rer ree ere cer etre 1444 \Mthrausta Nyl RUMA LEARN 40% Lenuissimum Nyl. Leptog............... TES Nnoine AVEC 6 o000000d000000 561 tenuissimus Dicks. Lichen.............. 91 | Thunbergii Nyl. Dermat.... 1052 tephroides Ach. Endocarp.............. 3210, || thyrsifera Nyl: Clading. "nr 367 terebrans Nyl. Thelotr................. 1727 | thysanæoides Nyl. Collem......... 67 et 72 Lerebrata Nyl. Ramul.................. 446 | thysanæum Ach. Collem......... 71 et 71? terebratulum Nyl. Thelotr.............. 1616 | thysaniza -Nyl.-Lecide "nr .. 1896 terebratum Acb. Thelotr....... 1726 et 17262 || thysanizum Nyl: Collem 72 terminata Nyl. Verruc................. 3455 | thysanota Nyl. Lecid...............,... 2057 ternarianNylEEeCtT rer ere cer 2073 | Thysanothecium Berk. et Mont..... 206-207 terrenaiNyI elec Peer EC 2326 \Mtigillaris Er. Trarhyl.n enr eenerrerer 166 terrestris Nyl. Lecan...... 1606 M2 Ne DEMI acer A ChEPUNMN RER P EEE CETTE 632 CeRPICOLAANYIERLEC AN RER EC OETECEETE 1211, KiliaceaTQuck: Parmi." Re er 641 ternigenasWnlleA RON ERREPE PER EE CERE 3124 \ETilesi Nyl Plats Re, 526 ORNE oooccooocovcoceuvo0avo 1508 | timidula Nyl. Graph................... 2749 tessella: Pers. Merruc.". "nn enenr 3519 | tinctoria Nyl. Graph... booba b oo ou CU INDEX GENERUM ET SPECIERUM. 207 MAO ENICS JA evo accccubbocddooc AM RipodesNYIACO EN EEE PER EEE 37 tinctorium EsCchw. DIOryg.... An 2e Minipto pRUILAANTIEMPANNUl EE RER EEE EEE" 1077 tinctorum Despr. Pœrm........ GCOGACIAGOGLN Nip iophyLlINaNYIET ect eee 2198 Tingitana Salzm. Ramal................ 460 | triptophylloides Nyl. Collemod.......... 87 HiRunCUulaNTIMONMD UTP E EEE 26 || triptophylloides Nyl. Lecid............. 1908 tomentella Nyl. Séictina.......... 1811e6 7186 || (nseneta Nil ésiloooeooroceet dec 2070 lonenose loin, POINESeC6 e6666666 000 888 | triseptulans Nyl.Lecid......... 2072%et 20722 fomentos te MEYASUCIA Eee eee 142. || Griste Nil Play 00 00 00 a000000o008 de 129 fomentosa Nyl SHCina 101 | mets Nik Tamaooeooocosnceeospe ct 212% tomentosum Nyl. Nephromium.......... 6 | tratie Nr its eco 06e 04866066 0 129 tomentosum Fr. Stereocaul............. DH EtTIS us Cul NTIETEC IT EEE RCE EC 2430 et 2295 ÉOMENTOSUSASWENTICNENT ER EE RES 101 || tatiece Nfie Cranoscsoe serre 269% tomobnas NL Elo o0ccooooccocos : 1002 | Gritula Nyl Lee esse 0e 0e eee 1991 torquescens Nyl. Glyphis....... JALEL 121 | Groemsces Nom ITS Loc o0 ce 1647 ion AC: (EMRyTCeU Sec oucocccococcoc 1029 0| fropica Ace VARICES to ee 3435 TORTUOSAPACRE NOTA PRE EE EE EEE POSORC PSS 0 IEQUAEINVIMEDENONS EC ER CE CCE Ce 578 Lortuose Fée Craplnsss6eooocsovo0beodce 2071 | tulle NybUÉMEZeonco0000 coco 49% LORUOSAANVE MER EE EEE rer Ter 1 | Ganencodes NME 6666656666 1791 LOnUIOSARRÉ PAT IONEE CE Eee CC 3090 | trypetheliiformis Nyl. Pertus........... 1603 MonnIose Nils Gale 286302 002000000000 LOS SP EypethelIUMENChEE EEE EEE CETTE 3507-3553 done Nil Sinrosccsse6esec 000 eo 2 Ntaypelhelzan SENTIER EE CEE EEE EE 3424 CORUlOSUSMNUNbEAMICNEN TEE EEE EEE ETES 24% | tubæformis Hoffm. Cladon............. 287 éiabinellaNhesE PATRON EEE EE CE CCC. JAN MiuberculiierdiN IMPR IUS CEE PEEE EEE 1627 trachelinuim ACh OGC Pere RE CERN MS TUDERCUIOSaMRÉ ELEC TEE EE EEE EEE NT 209% AGAIN VIS S5000000000000c0000000 3633 | Tuckermani Raven. Endocarp.......... 3201 HA CROES NY RE lTO TERRE ERP Vo inninie NÉ (GRIS see 00 00e 2612 HrachonanNy I ECIT Ee Eee Ce re 20898) MUMIAUTAMNVIEER AMIE EE EEE EE EEE 389 trachonoïdes Nyl. Lecid................ AUS Gaule NE Cross eee ces ce 2714 {raGhOnOpsis Nyl Lecid. "ne 20828 M turbalul a EN TIEPATT RON EEE PER TT 3082 trachycarpus Stirt. Neuropog........... D161 ||, fente le, SH or ovoccsocoacedoe 138 trachyna ACh CITRON 301 | turbulenta Nyl. Amomorph............. 2801 IAB AIME NMiPe os 6000coov0oce 1650 SES MturfaceaN y PLecan REP ee 1275 trachypoda Nyl Clatlon- "1... SOU ET AC EUSAN ADI ICHED EEE EE EEE EEE 1275 ÉTACRYPUS NyL BON ne 202 SunSenS ENTER EEE ECO EE CORTE 2341 transversa Nyl Lecan "ne 1260 |'ivraescens Nylon ee ces 375 tremelloides Fr. Leptog......... 100 etM00b | turgescens Nyl: Lecisle "un 2451 et 2341 Tremotylium Nyl...................... 1807 | turgescens Nyl. Sfereocaul.............. 260 HAACE, NL IP EBoooocccccccoooococde JT ce one OL oo ccovopocane 314 MHACOLIES NME PERS RE 600002800000 JE || HumSide INTIS HG Bo oc ocooceostoococ de 1110 HADUIO SAINTE ER EMI EEE EE EE C EEE JO | ane le ASE ebe0 ce pose ce 1993 trionele An Callesssocccostococvoasoe TS Eur SONIA IAiIn EEE EEE 371 trichodea ACh Use ge DOME 00 turardumiAche Endocanpe eee CeRELe 1110 GRICROSPORAIN IT ECIT EEE CREER EEE EEE 21860) Mtnmmen lent Dares eeseecoc0cecec 2825 Haicarce, NL Too coccocoo00o6b000ac 200 ETTIOPROTONINVE EE LS 176-178 Grolor Monts BBboccoboocoocovoccooooo 2125 | lobes NL Ge acecccccooceccoc 1642 DCS NV GAP ere ere 2189) et 2789? | tylorrhiza Nyl. Gyroph................. 1034 tricosula Nyl. Glyph.,................ HT | éonnanolla Me Hradoeeses3e6636 600 167 inilisse Nul Cirad eoe0o00b00c00c0000e 2751 ÉRIPhOr AIN GRADE EEE EEE 2698 et 2697 triphoroides Nyl. Graph." ne 2691 Ériphra ni aNN VIE PE EEE ET EEE EEE" 2457 U triplex Nyl. Trypeth. ....... Jo6t Deco 3525 ÉRIDIICANS ENVIE TECITE EEE EE EEE EE CEE 06 RUbeNUMENTL Type EE PRE ERCEEECE 3507 tripoda Cromb. Cladon..........,...... AD | orne MÉe I mREMvooNSoceroococccde do ODA 208 uberinoides Nyl. Trypeth............... 3508 uberiorn Nyl A Lecid eee rec 1896 UDEROSUIAINVIEMATERON EEE TEE EEE 2976 UIODRYIIAENVIMPGEMEREE EC ETES EEE CECCE 673 ulophyllum Ach. Platysm........ 545 et 545 ulotrichoides Nyl. Physc............... 990 MOUNNIL PME accocacococvovoovoc 992 Umbella NY ACOEMS PEER 40 Umbellula Nyl. Omphal................ 40 Umbilicaria Hoffm................ 1016-1021 umbilicariiformis Nyl. Sticlina..... 800 et 801 UMOIQAMFÉCAOPEST EEE CEE TE EE CET EC 2596 UMPECOLOLINYI LEA EEE EEE CCC 2298 UMDANAINVINGTAPR CEE Te CCE Ce 2651 umbrinanNylemLeCan Cr eee cer ere ce 1436 umbrina Wahl.AVenruce EE Eee 3219 umbrinum Eschw. Leiogr............... 2651 umbrinus\Ehrh-slichen "ee rer 1436 uncialis Nyl. Cladina............ 375 et 375 ? undenaria Nyl. Arthon................. 3025 undulata MontParmieercrre eee 2896 undulataNvle Player eee Eee terre 2894 undulata Nyl. Thamn.................. 224 unguigerum Nyl.Eriod................. 1101 unguigerus Bory Lichen................ 1101 uniformis Nyl. Verruc................. 3448 uniseptata Nyl. Lecid................. 2032 upsaliensis Nyl. Lecan................. 1461 Urceolaria AGREE cc Eee 1823-1835 urceolare Ach. Thelotr................. 1782 urceolare Mont. Thelotr................ 1704 urceolata Kr. Lecanact................. 3129 urceolata AChLecidieeerereetetreeree 2413 urceolata Eschw. Parm................. 622 urceolatum Tuck. Conotr............... 2413 UrvilleiD elES TIC ANR ERP RENE EEE EEE 842 LÉ otitbooococconcooooedocdooco 491-512 usneoidella Nyl. Ramal................ 411 usneoides Fr. Ramal................... 411 usneoides Mont. Ramal................ 399 ustulata Nyl. Cladon................... 287 V vacillans NV Mec EEE EC EEE TEE CE 2050 Vaccina Mont MSC rer CC 840 vaga Nyl. Melanoth.................... 3570 vaga Nyl. Verruc...................... 3451 vagansiNyl Parme erecreccec--ceere 713 vaginata Nyl. Pertus............ 1564 et 1567 CE NME oococomooveccaocouconc 2065 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. varia Nyl. Arthon............. 2987 et 2987b vaine, An THBHdecooooccocodooovooouoe 1409 MPOMES MERSSMéscooccosooocoooodouooo 3542 VOOR iiocouooooooopcooopoooc 2815 VAR ADUCENYIEMPIACO EE EEE Pre Ee 1215 VeRelUNS Ad TA 0 cooonoooccovogoe 1215 VATIADIIS PA Ch Sie eee ee 833 VEREMENNAD AMD 0 cooocoo0coscgosuc 310% OR EMEA LOT soooocosogocvosoc 2804 VOIE NNTIL LAB s sovooococccoococ 1926 variatulum Nyl. Trypeth............... 3543 MARIA UMUNUIEETUDE TL EEE ETC CENTS 354% VATICOLTATT AIN VIENS ES 1672 VOROIE NE A0 covooo0goccasocosc 2998 VATITIONMISNyl AT RON ee re ee 3092 OO NE IN AL PES 6 oovoo000ocdccoc 1570 MATIOIOSANPETS AVC TUE CURE EURO 3390 VAN EMA Loooocvoococoogouuce 3042 Velata ENTIER EnEUS PE REE PEER 1564 et 1565 AIO STI NENCe éoooooccocaacaoooc 1564 Do an ÉONSocoovoovoooaocouvoc 1030 vellerea NYEAGUTODI EEE EEE CEE CCE LE 1030 vellerigerumiNyl Ernod ere 1103 Del TERUMAQUCRMER OA EEE EEE Tee 1103 venosaiMont MEMDIRE EEE EEE EE CEE 27153 VEMOE, Nb Croooacgococovocoucooo 2754 DT On, (DNA Se cesse coacocovooc 2955 VOICE En JPA 50 dooacoscoooadovac 920 VEMONINTAL ÉUe 660 secccoccoccaoc 2782 DENOSUSALADICHEN ER EE Eee eee 920 ONCE, ANS TAB oococconco000000000 1545 ventosicola Mudd Microth............... 3603 One NID Me os occacocsecoococce 985 VOIE NES 6 bo vcoccdeoavvec 1661 vermicularis Ach. Thamn.............. 222 vermiformis Eschw. Graph............. 2608 VERS An TR coco doocco0oavonvouc 1960 VONEONEMUCe He osooocococcocec 2442 VOOR TADEeeS oo0eccccovococe 2601 verruciforme Nyl. Collem.............. 57 verruciferum Nyl. Slereocaul........... 259 Verrucaria Pers........ 3219-3507 et 3684-86 verrucarioides Fée Pyrenula............. 3430 verrucarioides Fée Trypeth............. 2947 verrucosa Mudd Buell.................. 2447 yerrucosa Laur Lecan--re-c-er-rre-ce 1493 verrucosa Nyl. Lecid............. oodcoo. 2 verrucosa Hoffm. Lobaria......... ec C00 verrucosa Bab. Parm................. . 1573 verrucosa Ach. Peltid.........,.. Souco … CH) verrucosa Nyl. Pertus......." .. 1629 verrucosum Mass. Thalloiïd....... dooove + 2232 verrucosum Fée Trypeth........ oc 029 verrucosus Web. Lichen.. ............. 919 INDEX GENERUM ET SPECIERUM. 209 verruculifera Nyl. Parm................ D | Vila ER ee re Ce 257 Verruculosa SChEær.LeCiA...".".. 26 | leone NTIE Ram os coco omonv oc 449 DERTUCUIOSUS BOL AICNENEEEEE ENTREE 2261 | vuletaAon Made s-ccocooovococcor 2851 ORNE LES AA SS000 00000000 LE0RE ALT | oral OMESR, 2-0 c0o000000c00000c 2854 verticillaris Mont. Cladon............... 216. | tune NTI CRE 000, 20806 0000 48% verticillata Flærke Cladon........ 26 ND | volotne Tek EAAGe oo 0ccccococ00b00c 2426 VeSICUlARIS EN CNE LEGER CE CCE. 220 OUI UQUMARUCRAHETER OUR EP ERREEEE 2126 reste Mont HA ee eucdebotpecoone ec 1933 veste Nik Lee saucpcoogococonosoce 2186 DESIRE CS ATOUT EC ee 2789 vesuvianum Pers. Sfereocaul......2..... 257 molles ND amis soaoocccococcococos 2038 w Volarsoe Aou ILEcamerscocecccccccoeeoe 1823 Flo Duo Tigres eco eeepc eooee SAN ie an aa lESEICtA re RE Er rEnE 539 MIMINEUMANVTIEASIereLCAul eee reere tee 2321MWallichianumeNyl Plafysn. 539 ineeoune NV e0e 18918 Wa ro Mules CUutUlAR ere re 2035 VIOTAGC A RERS PATULON ECC RENE RC 2964 |NWawreanoides Nyl. Pertus............. 1596 molaras Nil Wrceolss céssoccocccooooce 1825 |" Webbiana Mont. Ramal................ 45% violascens Flot. Arfhon................ AUS || Webon Monts anis sseetesere care 454 VOA Tres Talons osococoococouse 1087 | Wégao Non Sneleoocococcoccoocccocs 79% role NL JnÉesssoscecagcesc06estoe CON ES TAN OTANVIPeREUS EEE EE EEE CCE 1590 curaUrs Aoû IBEMEN 0262006 0co80gec0ve 000 WIR ETANI Tele REE ECC RE EE EC EUE ET 1789 irons ayib AG os c000000000000600008 SOOMAWTIden OV IENVI ASC RE EEE REP RREE 802 VIENS UIUClS 1FMLES CS 6600806 oc 00e de GMA neR Emme ec So0ococobo0o0oe 1435 virens Nyl VF ccooboocccoccooatee DT NT TANT CCE 5608600000 1822 VIreSCen SIN y HEpPit eee eee AO NT SEMAINE 0660068000 1585 VITESCen SIN VIS Rec r ce 660 |. Waghnütt Nylo JP 0000000060 0000000. 1105 vaginalis NL Crdèocsocbecoonooorec 2744 | Wrightii Nyl. Psoromops............... 764 VITRO IN VIN GTA DR Re eee ce 2708 | Wrightii Nyl. Ricasol............ 864 et 864P CURE MONA GLEN CEE EEE CCC CE 21 | aan Ne SRI es 265656000000 226 virginellauNyl Graph ee 26 | Venbn NL Sas 006000000000 18 virgineum Eschw. Leiogr............... 2080 AW ShENNRUCRE TRE lO TEE RER EEE EEE 1739 outre Jr CHGcocovcogooceuboogocencoe EAU ON C MPERCUSS ER EEE EEE EE CE 1622 drole An Hindoeasocsoocouoooccocee 3192 Vide NL TEMoodoceococcoccocosoc 550 Halens NL Amos ooce0000000e 2973 VIRdICANnsENyI Mel p rer rec ec 3134 Medal, Nb PM 0 soc eccv0ocecosecoe 3347 + Mind atra lo bETecid ee eee Ce 2532 viridi-olivacea Fée Porina.............. 3312 | xanthocarpa Nyl. Arfhon............... 3024 ours Soir CEBRSS6600000000000000000 550 | xantholoma Del. Nyl. Stictina.......... 781 inole Nil NU e So oecoodococcocos 3192 | xanthomelanum Nyl. Psorom........... 1139 dns Mont PATMesoooc0ooconosoovcoe JOOMÉTantiomyelTEN I MP ATMEEEE EEE EEE EEE 601 Vire NL EE Re occoctoaocccoc 3457 | xanthophæa Nyl. Lecan....... 4271 et 12712 PCA rose ee ace 0er 165 | xanthophana Nyl. Lecan............... 1506 RCE An VE sc ouccoosceococca 3252 | xanthopoga Nyl. Usnea................. 496 alias, Adi GER: coce0000coccccoooc 1262 | æœanthosticta Pers. Slicta........... 781 et 796 Ditellina NÉE SOlorina Re Eee ne 109% | xanthostroma Nyl. Ascid...... 1796 et 1796» MESA NTM 060 500000000000 1209 | xanthostromizum Nyl. Ascid... 1798 et 1798b vitellinula Nyl. Lecan......... rene 106 | HOTTENINA MR E6Ec0 000060006000 2550-2553 rire HEC CM ocoooncovoncooce 3371mxylographella Nyl Decitre 2482 Hate NL Im eee ceccooco 739 et 739» | xylographica Nyl. Arthon.............. 3077 to NL TJ raAb 6obococovcooovuavod 459 Vriesiana Mont. Usnea,....... o00oa0 co0 EU NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3° série. — ÎV. 21 210 Y YemensiSIN y RAIMAL EAE CL ELEC ECC 442 youmotoensis Nyl. Lecid............... 1994 yuannana Nyl. Gyroph................. 1035 yunnanense Nyl. Platysm.............. 537 yunnense Nyl. Platysm................. 5937 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. Z zabotica NY SLeCT Re cer eee n cel 2495 zaboticum Koerb. Diplotomm........... 2295 ZeihenderNotaraStictasee rer e--rreree 7179 ZOUinTenPHePPPARMAE EE ECC Cet 614 zosta Knight Verruc................... 3495 NOTICE SUR QUELQUES ESPÈCES NOUVELLES OU PEU CONNUES DE LA COLLECTION ORNITHOLOGIQUE DU MUSÉUM D'HISTOIRE NATURELLE PAR MAEAOUSTAPEN I. — Halcyon (Cyanalcyon) quadricolor. (BI XIV) Il y a douze ans j'ai donné, dans le journal le Waturaliste (1880, n° #1, p. 323), une description assez détaillée de cette espèce, description qui a été mentionnée ou reproduite dans divers ouvrages (Reichenow et Schalow, Journal f. Ornithologie, 1880, p. 83, Salvadori, Afti R. Acad. Se Torino ASS EC XVI -p. 022; 77. Mus. Cio Gen., 1882, + XNIIT, p. 420, n° 7, et Ornith. della Papuasia, 1882, t. III, p. 524, sp. 986), mais, à mon grand regret, depuis 1880 jusqu’à ce jour, des circonstances indépendantes de ma volonté m'ont empêché de compléter, par une figure coloriée, ma description originale, alors que mon collègue et ami R. B. Sharpe, plus heureux que moi, pouvait faire représenter le Cyanalcyon quadricolor, d’après le type même de l'espèce (Birds of New Guinea, 1882, part. XIII, pl. 7). Ce long retard a eu, du moins, l’avantage de me mettre à mème, grâce à l’acquisition par le Muséum d’un second exem-— plaire, presque identique au premier, d'établir absolument la validité de l'espèce que M. T. Salvadori avait cru d’abord pouvoir contester en sup- 212 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. posant que j'avais pu avoir sous les yeux un jeune de l’'Halcyon (Cyanal- CYOn) nigrocyaneu. Loin d’être des jeunes, les deux spécimens que possède actuellement le Muséum offrent tous les caractères d'individus bien adultes et, s’ils présen- tent sur l’abdomen une teinte rougeâtre, cette teinte cannelle très foncée, nettement tranchée en avant et lünitée par une bande d'un blanc pur, ne peut être comparée avec la teinte fauve ou rousse qui s'étend, parait-il, sur le ventre et sur la gorge du jeune de l’ÆAalcyon nigrocyanea et dessine une sorte d’écharpe sur sa poitrine. En outre les deux spécimens que j'ai étudiés et qui ont été acquis successivement de M. L. Laglaize en 1880 et 1881, offrent, comme je le disais tout à l'heure, la plus grande ressem- blance, et ne diffèrent l’un de l’autre que sous le rapport de la longueur du bec et de la nuance des côtés du vertex, de la partie antérieure des ailes et de l’écharpe, les couleurs étant du reste les mêmes et distribuées de la mème façon. Or un de ces spécimens est indiqué comme mâle et l’autre comme femelle : il n’y a donc pas, chez l’Aalcyon quadricolor, cette dissemblance de livrée entre les deux sexes, cette sorte de dimorphisme que l’on observe chez l'Halcyon nigrocyanea (Wallace, Proceed Zool. Soc. Lond., 1862, p. 165 et pl. 19; R. B. Sharpe, Monogr. Alcedinid., 1868- 1871, p. 201 et pl. 75), où le mâle a l’abdomen d’un bleu d’outremer, tandis que la femelle a le ventre d’un blanc pur. Voici du reste la description de l’Æalcyon quadricolor que je erois né- cessaire de reproduire en la complétant et en l’accompagnant d’une figure coloriée : Halcyon (Cyanalcyon) quadricolor Oust. (Naturaliste, 1880, p. 323), H. nigrocyaneæ affinis, sed abdomine in femina sicut in mare cœruleo distinquenda. Mens. in mare : long. tot. 0",230; long. alæ 0,100; long. caudæ 0,072; tarsi 0,018; rostre (culm.) 0,054. Mens. in femina : long. tot. 0,205; long. alæ 0,100; caudæ 0,070; rostri (culn.) 0,046. Le mâle a le bec noir, avec une marque triangulaire blanche ou plutôt jaunâtre s'étendant sur la face inférieure de la mandibule inférieure, de- puis la base jusqu'au delà de la moitié de cette mandibule, les pattes noires, le dessus de la tête d’un bleu foncé passant au bleu d’outremer sur la nu- que et vers les sourcils et contrastant avec une teinte noire qui s'étend à ESPÈCES D'OISEAUX NOUVELLES OU PEU GONNUES. 21 travers les joues, sur la nuque et le milieu du dos, les ailes d’un bleu d’outremer avec le bout des rémiges noir, les sous-alaires noires, avec du bleu vers le pli de l'aile et une bande transversale blanche mal définie, la queue d’un bleu foncé en dessus, noire en dessous, les sus-caudales d’ur bleu de cobalt pur et brillant, les sous-caudales noires, un peu nuan- cées de bleu ; le menton et la gorge sont d’un blanc pur, la poitrine est traversée par une large écharpe d’un bleu d’outremer, passant au noir sur les côtés, près des ailes, nettement découpée du côté de la gorge et séparée en arrière par une bande blanche, large de 0,005 environ, d’une teinte roux cannelle très intense qui couvre toute la région abdominale, à l'exception des flancs, dont la couleur noire rejoint d’une part celle des côtés de la poitrine et de l’autre celle des couvertures inférieures de la queue. En d’autres termes les couleurs sont presque les mêmes que chez le mâle de l’Aalcyon nigrocyanea, à cela près que l’abdomen est d’un roux vif, tirant au rougeàtre, au lieu d’être d’un bleu d’outremer. La femelle présente la même distribution de couleurs que le mâle et a l’abdomen coloré de la même facon, le collier pectoral aussi nettement défini et séparé également de la teinte rousse sur une bande transversale blanche ; mais chez elle les sourcils et les côtes du vertex sont d’un bleu d’outremer un peu moins foncé, tirant davantage au bleu de cobalt ; la partie anté- rieure des ailes est également d’un bleu plus vif et la ceinture thoracique offre des tons d’un bleu d’indigo mélangés à des tons d’un bleu d’outremer. C’est une femelle qui a servi de type à ma description originale, publiée dans le Vafuraliste. Cette femelle provenait d’un point de la côte septen- trionale de la Nouvelle-Guinée compris entre 13631” et 137° de long. Est. Le mâle a été capturé dans la même région, entre 136° 1/2 et 137. L’aire d'habitat de l’Aalcyon quadricolor est donc très voisine de celle de PA. ni- grocyanea dont le type a été trouvé dans la péninsule N.-0. de la Nou- velle-Guinée. Il. — Ampelis Maesi. Il y a peu de temps un de mes amis, M. Albert Maës, m’a remis pour le Muséum d'histoire naturelle, auquel il avait déjà fait présent du type d’une espèce inédite, un Jaseur de Bohème qu'il croit originaire du Japon et qui me parait assez différent de ceux que l’on connaît jusqu’à ce jour 214 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. pour mériter de constituer le type d’une espèce nouvelle. Par son sys- tème de coloration cet oiseau ressemble extrêmement à l’Ampelis japo- nica (Bombycivora japonica Siebold, Mist. Nat. Jap. St. n° 2, 1824; Férussac, Bull. de Se. nat., 1825, 2° sect. IV, p. 87, — Bombycilla phœni- coptera Temminck, P{. Col., 1828, t. II, pi. 450, Temminck et Schlegel Faun jap. Aves, 1850, pl. XLIV, — Ampelis phœnicoptera, Bonaparte, Consp. av., 1850, t. [, p. 336; David et Oustalet, Oiseaux de la Chine, 1877, p. 132, — Ampelis japonicus, R. B. Sharpe, Cat. B. Brit. Mus., 1885, t. X. p. 217). Il a, comme ce dernier, les parties supérieures du corps d'un gris brunâtre passant au gris tourterelle sur la région sus-cau- dale et au roux vineux sur la nuque, cette dernière teinte se fondant à son tour dans une teinte roux marron qui s'étend sur le front et se retrouve sur les côtés de la tête. La partie antérieure de ses ailes est, comme chez l’Ampelis japonica, à peu près de la même teinte que le dos, sauf à l’ex- trémité des couvertures médianes qui est lavée de rouge, de même que le bord des grandes couvertures. Ses rémiges et ses pennes secondaires sont également noirâtres avec une large bordure grise en dehors et les premiè- res de ces pennes offrent aussi des marques blanches à l'extrémité. La tête est comme chez l'Ampelis japonica, ornée d’une petite huppe dont les dernières plumes sont colorées en noir; cette teinte rejoignant de chaque côté un trait noir qui se prolonge jusqu’au bord postérieur de l'œil et se continue entre l’œil et le bec, jusque sur le bord du front. Une sorte de rabat noir couvre le menton; la poitrine est également d’un gris brun, lé- gèrement nuancé de roux vineux, le milieu de l’abdomen d’un jaune sou- fre, la région sous-caudale d'un rouge sale en avant, d’un rouge vif en arrière, la queue grise, avec une bande terminale d’un rouge carmin pré- cédé d’une bande noire, la face inférieure de l’aile d’un gris perle tirant au gris blanchâtre vers la région axillaire, le bec d’un noir uniforme, de même que les pattes. Toutefois, en y regardant de près, on découvre des différences entre les deux espèces : ainsi le manteau est un peu lavé de verdâtre chez l’Ampelis Maesi : les pennes secondaires sont plus fortement teintées de noir dans leur portion terminale où manque, en général, la petite tache rose qui se montre sur le bout de chacune de ces plumes chez l'Ampelis japonica ; les pennes primaires de leur côté, au lieu de la ESPÈCES D’OISEAUX NOUVELLES OU PEU CONNUES. 215 marque longitudinale blanche, nettement définie, en forme de gouttelette qui décore l'extrémité des rémiges sur les barbes externes seulement, présentent un liséré terminal blanc disposé transversalement sur toute la largeur de la plume; en outre, à l'extrême pointe, et du côlé externe, trois de ces rémiges, les pennes 5, 6, 7 et 8, offrent chacune une petite tache rose tout à fait semblable à celle que l'on observe à la pointe des pennes secondaires de l'Ampelis japonica, cette tache toutefois étant à peine visible sur la 5° penne. Enfin chez l’Ampelis Maesi le liséré frontal noir est un peu plus large et les dimensions des ailes ne sont pas tout à fait les mêmes que chez l’Ampelis japonica. Les caractères essentiels de la nouvelle espèce peuvent être résumés dans la courte diagnose suivante : Ampelis Maesi n. sp. Amp. japonicæ affinis, sed remigibus omnibus vitta alba terminal transversa et quibusdam macula rosea adornatis distinquenda. Long. tot. 0,175; long. alæ 0°,110 ; caudæ 0°,060 ; éarsi 0°,019 ; rostri(culm.) 0*,010. L'oiseau qui a servi de type à ma description a été trouvé par M. Maës chez un marchand naturaliste au milieu d’une collection qui renfermait beaucoup d'oiseaux du Japon. Il est, du reste, préparé avec les pattes un peu rentrées et attachées comme beaucoup de spécimens originaires de cette dernière contrée. Je n’avais donc guère de doutes sur sa provenance ; mais toute incertitude à cet égard se trouve désormais dissipée, car le Muséum d'histoire naturelle vient de recevoir de M. le comte Berlepsch deux autres exemplaires, un mâle et une femelle, de la mème espèce, pris au Japon. Le mâle est presque identique à l’individu que je viens de décrire ; il présente seulement quelques petites taches rouges à l’extrémité des dernières pennes secondaires, mais ces taches sont plus petites et moins allongées que chez le mâle de l’Ampelis phænicoptera. Elles font entièrement défaut chez la femelle, où l’on n’observe même aucune trace des gouttelettes sanguines que j'ai signalées sur quelques-unes des rémiges du spécimen donné au Muséum par M. Maës. Chez la femelle d’ailleurs, les lisérés blancs des pennes primaires sont disposés exactement comme chez le mâle, c’est-à-dire transversalement à l’extrémité de la plume, sur les barbes externes aussi bien que sur les barbes internes. Les différences 216 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. que j'ai indiquées par rapport à l'Ampelis phænicoptera sont donc parfaite- ment constantes. Quant aux dimensions elles ne s’écartent point de celles que j'ai relevées sur le type de ma description. III. — Elminia Schwebischi. En 1884, MM. Schwebisch et Thollon ont rapporté du Congo un petit Muscicapidé se rapportant évidemment au genre £/minia de Bonaparte, mais différant un peu des trois espèces de ce groupe actuellement connues. Chez cet oiseau, en effet, les rectrices externes sont d’une teinte noirâtre sur les barbes internes, avec un liséré un peu plus pâle, et d’une teinte bleuâtre sur les barbes externes, comme chez l'£lmninia longicauda (Mya- gra longicauda Swainson, WMonogr. Flyc., p. 210 et pl. 25, — Elminia longicauda Bonaparte, C. R. Acad. Se., t. XXVIIE, p. 652; Hartlaub, Orn. W. Afr., p. 93; Sharpe, Cat. B. Brit. Mus., 1879, t. IV, p. 363); mais les lores sont presque noirs au lieu d’être blanes comme dans cette dernière espèce et l’abdomen tire fortement au blane. Par ces caractères l’£/minia que je signale ici se rapproche de l’'£lminia teresita (Antinori, Cat. Descr. Un., p. 90, — Elmainia longicauda minor, Heuglin, Orn. N. 0. Afr., p. 446 ct pl. 15, — Elininia teresita, Sharpe, Cat. B. Brit. Mus., t. IV, p. 364) de l'Afrique orientale et de l'£minia albicauda (Barboza du Bocage, Jorn. Ac. Sc. Lisb., 1877, p. 18, Ornith. d'Angola, 1881, t. II, p. 546, n° 586) du Benguela ; mais elle diffère de celles-ci par la couleur de ses pennes caudales qui ne sont ni blanches ni distinctement terminées de blanc. Je crois done pouvoir prendre l’£lminia rapportée par MM. Schwebiseh et Thollon comme type d’une espèce nouvelle que j'appellerai Æ£/mania Schwebischi et que je caractériscrai en ces termes : Etminia Schwebischi, n. sp., E. longicaudeæ loris nigris, E. teresitæ et E, albicaudaæ rectricibus lateralibus nigris et cœruleis nec albo maculatis absimilis. — Long. tot. 0,140; long. alæ 0,064; caudæ 0,077 ; tarsi 0,015; rostri (culm.) 0,007. La tête et les parties supérieures du corps sont d’un bleu elair (cendre bleue) avec quelques raies plus brillantes sur le vertex ; les ailes et la queue ont leurs grandes pennes d’un gris noirâtre glacées de bleu en dehors; la gorge est d’un bleu pâle, de même que les flanes ; le milieu de l'abdomen ESPÈCES D'OISEAUX NOUVELLES OU PEU CONNUES. 217 noirâtre ; la face inférieure de la queue grise avec un liséré blanchâtre peu distinct sur le bord interne des pennes; la face inférieure de l'aile d’un gris fer, avec des lisérés blanchâtres au bord interne des pennes, un peu de bleu sur le pli de l'aile et du blane grisâtre sur les plumes axillaires. Le bec et les pattes sont entièrement noirs. La tête est garnie en dessus de plumes effilées, retombant en forme de huppe; le dos est revètu d’un plumage souple, floconneux, un peu décomposé, surtout en arrière, et les deux pennes médianes de la queue sont notablement plus longues que les autres. L'oiseau qui a servi de type à cette description et qui, malheureusement, ne porte aucune indication de sexe, a été tué à Franceville. Tout récem- ment, le Muséum vient de recevoir un second exemplaire, exactement semblable au premier, pris beaucoup plus au nord, dans la région du Haut- Kemo, le 12 mars 1892, par M. J. Dybowski. L'espèce remonte donc dans l’intérieur, du côté de l’équateur; elle remplace, dans cette partie de l'Afrique, l’'Elminia albicauda du Benguela, et l'£lminia longicauda des bords de la rivière Volta et du Fanti, et représente, à l’ouest, l’E/minia teresita de l’intérieur de l’Afrique orientale. IV. — Anæretes Sclateri. En faisant la révision des Tyrannidés du Muséum d'histoire naturelle, j'ai trouvé un petit oiseau, acquis en 1837 et ne portant aucune étiquette, aucune autre indication que celle-ci « Chili ». Cet oiseau doit évidemment être attribué au genre Anæretes ( Anairetes Reichenbach, Av. Syst. Nat., 1850, t. LXVI), mais ne se rapporte à aucune des espèces mention- nées dans le catalogue récent de M. le D' Ph. L. Sclater. Il y a quelque temps, d’ailleurs, j’ai eu l’occasion de le faire voir au savant Secrétaire de la Société zoologique de Londres, et ce dernier n'a pu l'identifier avec aucun des représentants de la faune américaine dans la connaissance de laquelle il est si particulièrement versé. Je me crois donc autorisé à consi- dérer l’oiseau en question comme le type d’une espèce nouvelle, Anæretes Sclateri, bien distincte, par son mode de coloration, de l’Anæretes parulus Kittl. de la République Argentine, du Chili, de la Bolivie, du Pérou et des Andes de l’Équateur, de l’A. fernandezianus Philippi de l’île Juan Fer- nandez, de l'A. albocristatus Vig. du Pérou, de l'A. lavirostris Sel. et Salv. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 30 série. — IV. 28 218 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. de la Bolivie et du nord de la République Argentine, et de l’A. agilis Sclat. de la Colombie. C’est ce qui ressort, d’ailleurs, de la diagnose suivante : Ancæretes Sclateri n. sp., crista infuscata, olivacers lineis virgata, pallio olivaceo, corporis partibus inferioribus nitide flavis. Long. tot. 0,110; long. alæ 0,047; caudæ 0,053; tarsi 0,016; rostre (culm.) 0,008. La tête est ornée d’une huppe formée, comme chez les autres Anæretes, de plumes effilées qui vont en s’allongeant à partir du front; mais ces plumes, au lieu d’être noires avec des lisérés blanes, sont d’un brun foncé avec des lisérés d’un jaune verdâtre; le dos qui, dans les autres espèces, est d’un gris cendré tirant plus ou moins au brunâtre, ou d’un brun oli- vâtre parfois strié de noir, est ici d’un vert olive foncé, rayé de noir d’une façon à peine distincte, et passant au jaunâtre du côté des reins ; la queue est brune avec des lisérés olive au bord des pennes, les aiïles sont brunes également avec des lisérés et des bordures d’un blanc sale au bord des pennes primaires et secondaires, et des bordures plus larges sur les couver- tures, ces bordures dessinant une double bande transversale claire; les côtés de la tête, depuis les lores jusqu’en arrière des yeux, sont d’un brun noirâtre, et sur toutes les parties inférieures du corps, qui sont, dans les espèces précédemment décrites, d’un blanc plus ou moins lavé de jaune et rayé de noir, s'étend, depuis le menton jusqu’à la région sous-caudale, une teinte jaune serin, très éclatante et parfaitement uniforme, sauf sur les flancs, où l’on distingue quelques flammèches verdâtres. Le bec et les pieds sont de couleur foncée, tirant au noir. Enfin, j’ajouterai que dans cette espèce nouvelle, comme chez l’Anæretes agihs, la queue est allongée et légèrement étagée avec les pennes un peu taillées en pointe à l’extrémité. V. — Craspedophora Mantoui. (BY) M. Mantou, négociant à Paris, ayant trouvé, dans un lot d'oiseaux de parures, un Paradisier qui lui parut différent du Paradisier proméfil (P#lo- rhis où Craspedophora magnifica N.), s’empressa de mettre de côté ce spé- cimen, et l’offrit généreusement au Muséum d'histoire naturelle. J’en fis immédiatement l’étude, et m’étant convaincu que l'oiseau ne pouvait être ESPÈCES D'OISEAUX NOUVELLES OU PEU CONNUES. 219 rapporté ni au Proméfil, ni aux autres espèces connues du genre Pélorhis, j'en publiai une description dans le journal /e Naturaliste (13° année, n° 112, 1° novembre 1891, p. 260), en proposant de désigner l’espèce sous le nom de Craspedophora Mantoui. Cette espèce nouvelle se rattache à la subdivision des Craspedophora, qui comprenait jusqu'ici les formes suivantes : 1° P#lorhis magnifica Viellot du nord de la Nouvelle-Guinée; 2° Pt. intercedens Sharpe du nord-est du mème continent; 3° P£. Albert Elliot du cap York et de quelques localités du nord-ouest de l’Australie. Chez le Paradisier de M. Mantou, comme dans les espèces précitées, le plastron métallique est, en effet, beaucoup plus étendu que chez le P/ilorhs paradisca Sw. du sud-est de l'Australie etchezles autres vrais PAlorhis ; mais ce plastron n'offre pas du tout le même aspect que chez les Craspedophora magnifica, Alberti et intercedens. Xei, en effet, le menton, de même que le vertex, les côtés de la tête, la base du front et la région des narines, est revêtu de plumes courtes, veloutées, d’un rouge pourpre foncé, auxquelles succèdent, sur la gorge et la poitrine, des plumes un peu élargies en arrière, légèrement soulevées, et complètement différentes par leur nature des plumes régulièrement appliquées et disposées en écailles du Proméfil ou Craspedophora magnifica. Ces plumes sont d’un vert métallique, à reflets bleuâtres quand on les regarde d’avant en arrière, et entièrement pourprées quand on les regarde latéralement. Les reflets pourprés s’accu- sent de plus en plus du côté de la poitrine, où les plumes prennent un aspect velouté et ressemblent aux plumes qui couvrent la région dorsale. Vers le bas, le plastron, qui rappelle un peu celui de certains Manucodes, se trouve limité par une ceinture étroite, ou plutôt par un liséré d’un brun pourpré en avant, d’une teinte olive dorée en arrière, liséré qui est formé en réalité par les bords des dernières plumes pectorales. En arrière, ce liséré se confond un peu avec la teinte pourprée de la région inférieure de la poi- trine et de l’abdomen. De chaque côté de la poitrine, au-dessus de la cein- ture, on aperçoit des rudiments de parements, consistant en huit ou neuf (1) plumes arrondies, ornées d’un liséré vert bleuâtre à reflets métalliques très intenses. Les panaches latéraux, formés par de longues plumes décomposées (1) J'avais dit à tort trois ou quatre dans ma première description, rédigée avant le montage du spécimen. 220 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. qui partent des flancs, sont beaucoup plus développés et plus fournis que chez les Craspedophora ordinaires, et dépassent l'extrémité de la queue. Sur la partie antérieure du vertex, entre les yeux, on remarque une plaque triangulaire formée de petites plumes vertes, arrondies et disposées en écailles, et représentant seule la calotte métallique qui couvre le sommet de la tête des Craspedophora ordinaires. En arrière de cette plaque on ne trouve plus que des plumes veloutées qui, comme je l’ai dit, par leur nature et leur mode de coloration, établissent la transition vers les plumes du manteau. Celui-ei est d'un noir de velours, à reflets pourprés, très accusés sous un certain jour, lorsqu'on regarde l'oiseau en dessus et d'avant en arrière. Les couvertures supérieures des ailes sont de la même couleur que le dos, mais les couvertures supérieures de la queue offrent des reflets pourpres peut-être encore plus accentués, et quelques-unes de ces der- nières plumes sont même d’un beau violet à l’extrémité. Les rectrices laté- rales sont d’un noir pourpré, les rectrices médianes d’un vert métallique quand on les regarde d'avant en arrière, et d’un rouge pourpre foncé quand on les considère en sens inverse. La même chose s’observe sur les grandes pennes alaires. La dépouille qui a été donnée au Muséum par M. Mantou avait malheu- reusement été préparée par des Papous, qui, suivant leur déplorable habi- tude, avaient coupé les pattes de l’oiseau. On peut supposer, cependant, qu’elles étaient de couleur noire, comme le bec qui, lui, est parfaitement intact, et qui offre une forme un peu différente de celle du bec des Craspe- dophora ordinaires. Les mandibules sont, en effet, plus étroites et plus allon- gées, et la supérieure est plus fortement carénée à la base, la carène s’en- fonçant profondément dans la masse des plumes frontales qui s’avancent en pointe de chaque côté el recouvrent les narines. La longueur totale de l'oiseau est de 0",310, du bout du bec à l'extrémité de la queue ; l'aile mesure 0",192; la queue 0",120 etle bec (culmen) 0",065. La localité précise d’où provient ce spécimen n'a pu m'être indiquée : je sais seulement qu’il se trouvait dans un lot comprenant des oiseaux de la Nouvelle-Guinée. Tout récemment j'ai appris qu'un second exemplaire, semblable au précédent, avait été pendant quelque temps entre les mains d’un marchand de Paris; mais j'ignore ce qu'il est devenu. RECHERCHES BIOLOGIQUES FAITES A LA MÉNAGERIE DES REPTILES (PREMIER ARTICLE) CONTRIBUTION À L'ÉTUDE DE L'ALIMENTATION CHEZ LES OPHIDIENS PAR M. LÉON VAILLANT (1). L'étude de l'alimentation chez les Reptiles offre certaines difficultés, auxquelles il faut attribuer sans doute le peu de renseignements qué nous possédons à cet égard. On ne trouve guère à citer en effet, comme données réellement scientifiques, que le tableau publié dans le tome VI de l’Erpé- tologie générale de Duméril et Bibron, sur l'élevage de jeunes Pythons nés au Muséum d'Histoire naturelle, tableau accompagné d'observations fort intéressantes sur le développement de ces Ophidiens (2), et quelques remarques consignées dans les différentes notices d’Auguste Duméril sur la Ménagerie (3). Pour avoir des observations suivies il est en effet nécessaire de s'adresser à des sujets maintenus en captivité, ce qui tout d’abord cause des mé- (1) Mémoire lu à l’Académie des sciences dans la séance du {tr août 1892. (2) Duxmériz et Biron, Erpétologie générale, t. VI, p. 172, 1844. (3) Consulter en particulier la Première (Archives du Muséum d'Histoire naturelle, t. VII, 1854- 1855). Les trois suivantes ont paru dans le même recueil en 1861, 1865 et 1869. 222 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. comptes, car dans ces conditions artificielles beaucoup d'individus refusent toute nourriture, quelquefois peut-être parce qu’on n’arrive pas, malgré des essais multipliés, à trouver l'aliment à leur goût, plus souvent, je crois, parce qu'il est impossible de réaliser un milieu convenable pour qu'ils possèdent toute leur activité vitale, entre autres les conditions de lumière, de chaleur, d’humidité, habituelles dans leur pays d'ori- gine. D'autre part il est souvent difficile de conserver ces animaux pendant un laps de temps suflisant, chose d’autant plus nécessaire pour ces études, que beaucoup d'espèces, et très intéressantes sous ce rapport, les Serpents en particulier, ne mangent qu’à d’assez rares intervalles. La longévité des Reptiles, qui à l’état de nature doit ètre prodigieuse, si nous en Jugeons par quelques faits observés sur des espèces d’une con- servation facile en demi-domesticité, comme certaines Tortues terrestres, — on a un exemple authentique d’un de ces Chéloniens ayant atteint l’âge de 179 ans (1), — parait singulièrement abrégée dans nos Ménageries. Il y a cependant sous ce rapport certaines distinctions à faire. Ainsi, semble-t-il en règle générale, les espèces aquatiques offrent plus de résistance que les espèces terrestres, les espèces carnivores que les espèces herbivores. Pour justifier cette assertion on peut citer les Chélo- niens; les Tortues terrestres, qui de préférence mangent des substances végétales, sont d’une conservation beaucoup plus difficile que les Tortues d’eau douce et, parmi ces dernières, celles que nous avons vues vivre le plus longtemps avaient un régime carnassier. De tous les Reptiles, comme exemple de longévité à l’état captif dans nos pays, le Caïman à museau de brochet, de l'Amérique du Nord, mérite une mention particulière ; plu- sieurs de ces Crocodiliens vivent maintenant à la Ménagerie depuis plus de quarante ans, nous n’avons vu périr que les individus expérimentale- ment placés dans des conditions anormales pour des recherches sur leur résistance à l’asphyxie, au froid, etc. Afin au reste de donner une idée de la durée de la vie des Reptiles et des Batraciens dans ces conditions, on trouvera ci-joint quelques chiffres (1) A. Dunériz : Deuxième notice sur la Ménagerie des Reptiles. — Archives du Muséum d'Histoire haturelle, t. X, p. 448, 1861. DE L'ALIMENTATION CHEZ LES OPHIDIENS. 223 relevés parmi les plus marquants sur les registres de la Ménagerie (1). Dans ce tableau se trouvent indiquées, après le nom spécifique, l’année d’arrivée de l'individu et la durée du séjour. ENTRÉE. DURÉE DU SÉJOUR. CHÉLONIENS. Hestudonelonqata DIM EEE EEE EC CE 1874 | 11 ans; 1 mois; 20 jours. CiSludotorbiculants LNMNE RER EEE ASAOMINO TE ARTE EAU S PR CEUES LA GTANSE EEE CE ER ER CEE 1863 | 23 — ; 6 — ; 2 — Staurotypus odoratus, Schweigger ........... It 1e ss Te LACERTILIENS. TOUS COR IAE do 0 eee ce dos 4845 | 12 — ; 11 — ; 16 — Egernia Cunninghami, Gray . . ............. 1864 | 19 — ; 11 — ; 4 — OPHIDIENS. PuVonmMOIURUSSEINnÉE) EEE EE EEE SAMI MO — — Sebæ, Duméril et Bibron . . . . . . . . . ... 1876 | 12 — ; — ; 6 — OU TCLICUIQIUS, SCRNEITER- re ASSA NN NOUL — 2A 0 Elaphis quadrivittatus, Holbrook. ........... 1842 |14 — ; — ; — Trigonocephalus piscivorus, Lacépède . ........ 1842 | 21 — — ; — BATRACIENS. HCænuIe ANNE PRE ET RERO CC 1SATRIMIO MORE OT Pleurodeles Waltlii, Michahels. ............. 1864 | 19 — : 6 — : 46 — Il ne faut pas négliger de citer également, outre les Caïmans dont il vient d'être question, quelques sujets, non moins remarquables sous ce rapport, lesquels, existant encore aujourd’hui, n’ont point été portés sur ce tableau : Testudo elephantina, Duméril et Bibron.. Entrée le 24 mai 1878 (14 ans). Chelydra serpentina, Linné..,......... — 17 novembre 1874 (18 ans). Megalobatrachus maximus, Schlegel (3) .. — 11 — 1859 (33 ans). De ces observations on serait amené à conclure que la durée de la vie (1) Plusieurs de ces animaux se trouvent déjà cités par A. Dumériz : Énuméralion des Reptiles, qui ont le plus longtemps vécu à la Ménagerie du Muséum d'Histoire naturelle; Deuxième notice sur la ménagerie des Reptiles, — Archives du Muséum, t. X, p. 442, 1861. (2) Individu né à la Ménagerie. (3) Cette espèce, la Grande Salamandre du Japon, peut fournir des exemples d'une longévité remarquable. L'individu rapporté par Siebold en 1829 à Amsterdam, d’après les renseignements que m'a obligeamment fournis M. van Lidth de Jeude, y a vécu jusqu’au 3 juin 1881, c'est-à-dire cinquante-deux ans. 224 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. chez les Batraciens, animaux aquatiques et carnivores, est longue; on s'étonne de voir des espèces de petite taille, le Pleurodèle de Waltl, la Rai- nette bleue de la Nouvelle-Hollande, vivre dix-neuf et seize ans; encore faut-ilremarquer que la mort, pour cette dernière, fut accidentelle, un autre Batracien Anoure, un Pyxicéphale, l’ayant avalée (1). Parmi les Tortues, trois espèces d’eau douce, la Cistude d'Europe, avec près de vingt-huit ans d'existence, l’'Émyde de Reeves, le Staurotype musqué, vingt-trois et vingt-deux ans passés, montrent une grande résistance, tandis que pour les espèces terrestres on cite comme fait exceptionnel une Tortue allongée ayant atteint plus de onze ans; on peut y joindre, il est vrai, notre Tortue éléphantine, aujourd'hui finissant sa quatorzième année. Bien que les Lacertiliens et les Ophidiens aient généralement en captivité une existence plus courte, nous avons pu, comme le montre cette énumé- ration, trouver quelques exemples de longévité assez notable pouvant aller jusqu’à vingt et un ans : Python réticulé, Trigonocéphale piscivore. Dans des questions biologiques de cet ordre, les facteurs à faire entrer en ligne de compte sont au reste si divers et d’une appréciation si délicate, qu'on ne saurait apporter trop de réserve dans les déductions générales à tirer des faits recueillis. Il n’est pas rare, par exemple, de voir à Paris, dans des habitations privées, des Tortues Mauritaniques (7'estudo ibera, Pallas) vivre, sans qu’on s’en occupe aucunement, pendant nombre d’années, tandis qu’à la Ménagerie il est exceptionnel de conserver des individus de cette espèce plus d’un an, quelque moyen qu’on ait employé, ce qu'il faut attribuer sans doute à ce que dans le premier cas ces animaux jouissent d’une plus grande liberté d’allure et choisissent plus à leur guise les endroits que l'instinct leur indique comme convenables pour l’hibernation (2). Les Ophidiens, bien que leur vie à l’état de captivité soit plutôt courte, sont toutefois parmi les Reptiles ceux dont l'alimentation peut être le plus facilement étudiée. Leur nourriture, qui consiste en des proies plus ou moins volumineuses englouties en totalité d’un seul coup, l'intervalle rela- (4) A. Duériz : Troisième notice sur la Ménagerie des Reptiles. — Nouv. Arch. Muséum, t. I; Bulletin, p. 43, 1865. (2) Ce qui peut porter à penser qu'il en est ainsi, c’est que nous sommes parvenus cette année à faire passer l'hiver, bien qu'il ait été assez dur, à plusieurs individus de cette espèce, abandonnés librement dans un des parcs extérieurs. C’est un point sur lequel j'espère plus tard pouvoir revenir. DE L'ALIMENTATION CHEZ LES OPHIDIENS. 2925 tivement long qui sépare toujours leurs repas, la solennité, si on peut dire, qui accompagne ceux-ci, pour les gros individus au moins, offrent autant de conditions favorables à l’observateur. Ce sont donc ces animaux que j'aurai ici en vue plus particulièrement. J'ai étudié ailleurs (1) les phénomènes qui accompagnent les premiers actes du travail digestif chez les Serpents, la préhension des aliments et la déglutition, aussi laisserai-je de côté ces points spéciaux pour m'occuper exclusivement de la nature de l'alimentation. La plupart des Ophidiens se nourrissent de proies vivantes ; si l’on peut faire accepter, particulièrement aux espèces venimeuses, des proies mortes, pour les Serpents constricteurs la chose est à peu près impossible, à moins de les tromper en agitant devant eux l’animal qu’on veut leur faire saisir, lequelÆoit, en tous cas, avoir été tué récemment. C’est un artifice qu'on est obligé d'employer pour leur donner certains Rongeurs, les Rats entre autres, qu'il serait dangereux d'introduire vivants dans leur cage, car ces animaux ne craindraient pas d'attaquer le Serpent et de lui faire des blessures souvent mortelles. Nous avons eu l'exemple d’une Vipère commune (Pelias berus, Linné), tuée par un Mulot dans ces circonstances. Au mois de juillet 1885, c’est-à-dire il va y avoir sept ans, on fit l’ac- quisition à M. William Cross d’un Serpent du Brésil, un Anacondo (£unectes murinus, Linné), d’une taille exceptionnelle, mesurant environ six mètres et du poids de 74 kilogr. Contrairement à ce qui avait eu lieu d'ordinaire pour les individus de cette même espèce reçus précédemment, celui-ci accepta très vite la nourriture qu’on lui offrit, car il faisait un premier repas au mois d'août peu de jours après son arrivée. Depuis cette époque, il n’a cessé de manger à des intervalles variables, mais, étant données les habitudes des Ophidiens, d’une manière régulière. Pour chacun des repas à partir de ce moment, il a été soigneusement pris note de l’époque aussi bien que de la proie (toujours offerte vivante), quant à sa nature (2) et à son poids (3). Ces renseignements sont consi- (1) Mémoires publiés par la Société philomathique de Paris à l’occasion du Centenaire de sa fondation. Sciences naturelles, p. 31, 1888. (2) On a désigné dans cette énumération, sous le nom de Bouc ou de Chèvre, les individus adultes de la variété naine, et sous celui de Chevreau les individus jeunes des variétés domes- tiques ordinaires. (3) Pour deux des repas, les septième et huitième, cette dernière indication a été égarée. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3e série. — IV. 29 226 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. gré dans le tableau ci-joint; à la quatrième colonne se trouve le nombre de jours qui sépare chacun des repas du suivant, et dans la dernière, les indications qu'on a pu recueillir parfois sur la durée approximative du travail digestif, estimée d’après le jour auquel ont été rendus les débris de la proie. pen NATURE ET POIDS INTERVALLE DURÉE DE L’ALIMENT. “ se LES REPAS.| DIGESTION. 1ASBS Sont Pr Bouc (nain du Sénégal). . ... 12 16 jours.| 13 jours. 2 DS 0CLObrE Chevreau. AE RNA 71,5| 39 — |19 — : ee Re LR | SE Re ee TINTIN — D — & : PIC CE JAPAN SUR RIRE 6 | 23 — |21 — 0) AÉMArS A EAEEE CR M ln 10 Goo 7 43 — 138 — 6 AE 2686 00 0 ChÉVIE UE RNA 3 [204 — » dl Snovembre ”#-ICheVreau PTE EE » | 97 — » SMLSS TMS ÉvriIen DIE AN RAS » 53 — |14 — 9 D EAU os 00000 CRENCE RENE DOS » . nas AA ANRE LITRES FAR SMS ANR Pre 5,5| 32 — » FE ie * eee LE Le ee Pate 6 | 42 — |10 — ee “ 5010 a0 0 0e ChEVLEAUE CR Re SMIC » 4 octobre. ..... BOUCS MINEURES 11,5| 46 — » 14 29/noyembrer Chevreau er ER Cr BAIE NON 2 15 |1888. 14 janvier . . .... DOUCE EEE CET EEE CE EE ua » 16 DANÉVrIeN 0e ÉAPIN RS TERRE EE 5 | 39 — » 17 JAIIMATS EE ee Id ERP ET See res 5,61 77 — |16 — 18 uns boot Idée RS EN A 35 30 — » 19 ACAUIIC EEE Chevreauts OR Tee 6 103 — = 20 2IINOCtOPrer ee LOS RAI ES DRE ne 8 | 80 — 195 — 2111889, M5ranviens. 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L'irrégularité est encore plus notable pour les intervalles. Si on calcule la moyenne en partant du nombre total des jours, on trouverait pour cet espace 69 jours. Or dans un cas cela s’abaisse à 23 et monte, comme chiffre maximum, à 204 jours. Si, pour fixer les idées, nous relevons par groupes ces intervalles, on obtient le résultat suivant : 2 7 fois l’intervalie a été de. ...... 93 Se DEAN eu : A0 Eh Ne NT ee 60 80 — SR 80 à 100 — RS roue 100 à 120 — Er RE RU 4190 à 128 — AL Mel ra 204 — 40 jours. 60 — Fæ RO Co © oc a o Différentes causes peuvent amener ces variations. En premier lieu, pour offrir la nourriture, on doit avoir égard aux dispositions manifestées par l'animal, car c’est lui-même, peut-on dire, qui règle ses repas. Lorsqu'il s’est débarrassé des résidus provenant d’une proie précédente, il est seulement temps alors de le surveiller pour savoir s’il serait à propos de lui offrir quelque aliment. En général les personnes habituellement chargées de leur donner des soins s’aperçoivent que l'animal est plus inquiet, dressant la tète lorsqu'on ouvre la cage, en un mot moins apathique qu’à l'ordinaire. Si dans ce cas quelques jours se passent avant qu’on puisse se procurer une proie convenable, le Serpent entre parfois en mue et il est prudent d'attendre que cette opération soit terminée. Au vingt et unième repas, le 15 janvier 1889, la déglutition, particulièrement longue et pénible, ne dura pas moins de 4 heures 10 minutes ; ce résultat fut attribué à ce que l’Eunecte était en pleine mue. Des causes variées, il est vrai, peuvent modifier la rapidité de l’englou- tissement de la proie. Aïnsi pour le premier repas du mois d'août 1885, quoique le Chevreau füt de forte taille, pesant 12 kilogr., cette opération ne demanda guère plus de dix minutes; le Serpent se trouvant dans son bain, 228 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. où la proie fut entrainée, la déglutition de celle-ci parut singulièrement facilitée par l’eau dans laquelle elle plongeait. Parfois aussi, sans qu’on puisse en deviner la cause, l’animal s’obstine à refuser ce qui lui est offert. Pendant cet intervalle exceptionnel de 204 jours, qui sépare les sixième et septième repas, à deux reprises des proies furent présentées sans succès, le 26 mai d’abord, puis le 29 juin. Les Ophidiens nous offrent au reste des faits remarquables en ce qui concerne les abstinences, souvent fort longues, qu’ils peuvent supporter (1). Un Pélophile de Madagascar (Pelophilus Madagascariensis, Duménil et Bibron), encore aujourd’hui vivant, refusa toute nourriture pendant près de vingt-trois mois. Un exemple plus étonnant nous a été fourni par un Python de Seba (Python, Sebæ, Duméril et Bibron), de l'Afrique tropicale, lequel, entré le 2 août 1885, ne se décida à manger que le 24 janvier 1888, c'est-à-dire au bout de vingt-neuf mois passés, et comme le donateur, M. le D° Morin, l'avait lui-même conservé quatre autres mois également à Jeun, on arrive à un total de près de deux ans et demi. Ce serpent mourut au mois de juin, après avoir mangé quatre fois à la Ménagerie. I arrive aussi que le serpent tue la proie et ne fait ensuile aucune ten- tative pour la déglutir. Ceci a été noté chez l’Anacondo, dont il est iei plus particulièrement question, le 12 mai 1888 pour un Chevreau et le 15 juin 1891 pour un petit Mouton du poids de 9“°# 500. Dans certains cas la chose est attribuable à des circonstances accidentelles, dépendant des conditions dans lesquelles se font ces repas à la Ménagerie. Les assistants souvent nombreux, peuvent distraire l’animal et détourner son attention; il est arrivé qu'après avoir tué sa proie, avoir mème cherché à l’avaler, le Serpent l’abandonne, si l’on se meut auprès de lui, puis, lorsqu'il est seul, la reprend et l’engloutit. Les préférences de certains individus pour un aliment donné s’observent assez fréquemment. Notre Eunecte accepte évidemment plus volontiers les Ruminants du genre Chèvre, que tout autre animal. Dans les Pythons de Séba, espèce que l’on reçoit fréquemment, tel sujet montrera une prédi- lection marquée pour les bêtes à poil, tel autre pour les Oiseaux. Une (4) Voir également A. Duuériz : Première notice sur la Ménagerie des Reptiles. — Archives du Muséum, t. VIT, p. 233, 1854-1855, DE L'ALIMENTATION CHEZ LES OPHIDIENS. 229 observation due à M. Desguez, commis de la Ménagerie, observation rela- tive aux Vipères de nos pays, rentre dans le mème ordre de considérations; on peut facilement leur faire accepter les Mulots, mais elles répugnent à manger la Souris domestique (1). Pour notre gros Eunecte, après le Bouc du premier repas on essaya de lui présenter d’autres proies, des Lapins et même un Agouti, animal des régions qu'il habite et dont, au dire des voyageurs, il se nourrit volontiers ; ce fut en vain; au repas suivant du mois d'octobre il mangeait un Che- vreau. Citons encore comme exemple de son goût capricieux, son refus le 29 janvier 1887 d’une Oie, puis d’un Lapin, ce dernier tenu en réserve dans l’idée qu'il ne voudrait pas d’une bête à plume, alors qu'il acceplait cette même Oie le 8 février suivant. Souvent aussi il semble que ce soit le premier repas, si on osait dire, la mise en train, qu'on ait le,plus de mal à obtenir. Le Pélophile de Mada- gascar, dont il a été question plus haut, après avoir refusé pendant de longs mois tout ce qui lui était offert, prit enfin un Sansonnet, présenté en déses- poir de cause; il mangca ensuite quelques autres Oiseaux et depuis accepte sans difficulté les Rats, qu’il avait dédaignés si longtemps. Le volume de la proie qu’un Serpent peut engloutir est parfois de nature à surprendre. Des accidents étant à craindre pendant la digestion, si de grandes variations de température venaient à se produire (2), pour l’Ana- condo, et en général pour les sujets de prix, on est dans l'habitude de leur donner des animaux de taille relativement médiocre. Ainsi la proie la plus volumineuse pesait seulement 12 kilogr., soit le sixième environ de son propre poids; il ne parait guère douteux qu’à l’état de (1) Cette difficulté de nourrir nos Vipères indigènes en captivité a été notée par A. Dumérir : Première notice sur la Ménagerie des Reptiles. — Archives du Muséum, t. VII, p. 272, 1854-1855. (2) Il faut, je crois, attribuer à cette cause les accidents que plusieurs fois nous avons observés sur des Reptiles voyageant en hiver pendant les gelées. Les animaux à jeun arrivent engourdis, inertes, mais en les réchauffant avec précaution, on les ramène généralement à la vie. Ceux qui sont au contraire expédiés en état de digestion, meurent; de grosses Tortues des Galapagos et des Crocodiles, en ont été des exemples frappants. On se demande si, dans cet état de mort apparente que cause l’abaissement de la température, les manifestations vitales ne s'arrêtent pas au point de permettre la digestion de l’estomac, comme le fait se produit sur le cadavre des personnes succombant à une mort violente en pleine digestion. L'examen nécroscopique de ces animaux parlerait d’ailleurs en faveur de cette manière de voir, on ne pourra toutefois se prononcer qu'après des expériences comparatives que je n’ai pu encore instituer. 230 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. liberté, dans les conditions de température, de lumière, ete., de son pays d’origine, un individu de cette taille ne puisse avaler des proies au moins deux ou trois fois plus considérables. Le hasard au reste nous a rendu plus d’une fois témoin de faits très significatifs sous ce rapport. Le nombre restreint des cages dont on dispose, oblige trop souvent de réunir dans une d’entre elles des animaux d’espèces différentes. En choi- sissant les sujets à peu près de même taille et se rapprochant comme groupe zoologique, on compte éviter les aceidents, mais cela n’est pas tou- jours une garantie suffisante. Ainsi, on fut forcé d'introduire un jour dans la cage d’un Céraste d'Egypte, Ophidien bien connu sous le nom de Vipère à cornes, une Vipère de France. Après s'être attaqués mutuellement au dé- but, ces Reptiles parurent, au bout de quelques heures, s’accoutumer l’un à l’autre et devoir vivre en bonne intelligence. Cette entente ne fut que pas- sagère, car le lendemain on ne trouvait plus qu’un des Serpents, le Céraste avait englouti sa compagne de captivité, et comme le volume de celle-ci était au moins égal au sien, son corps avait dû s’augmenter dans des proportions inouïes au niveau de l'estomac, en sorte que, sur sa peau distendue, les rangées d’écailles, au lieu d’être en contact, ou même de chevaucher un peu latéralement l’une sur l’autre, comme à l’état normal, ‘taient écartées d’un espace de tégument nu plus grand que leur lar- geur. On peut rapprocher de cette observation un autre fait, moins étonnant sans doute en ce qui est des volumes réciproques, mais plus bizarre eu égard aux acteurs du drame. Au mois de mai 1885 un petit Crocodilien, un Caïman à museau de brochet (A//igator mississipensis, Daudin), fut donné à la Ménagerie ; sa taille était celle de ces animaux peu après la sortie de l'œuf. Comme il paraissait faible, que dans un aquarium placé sur la plage de la grande salle, d’autres individus de même espèce, de même grosseur, mais beaucoup plus vifs et plus turbulents, ne lui laissaient pas suffisamment de repos, il fut décidé qu’on le mettrait dans une des grandes cages du pourtour plus chaude et mieux ensoleillée. Ses nouveaux compagnons paraissaient d'humeur très douce; c’étaient des Scincoïdiens de la Nouvelle- Hollande, connus sous le nom de Cyclodus, sortes de Lézards munis de dents mousses (le nom générique fait allusion à cette particularité), et dont DE L'ALIMENTATION CHEZ LES OPHIDIENS. 231 le régime est presque aussi bien végétal que carnivore ; de fait, en captivité, on leur donne une alimentation mixte, dont ils s’accommodent fort bien. Malgré ces présomptions favorables, le Crocodilien, une belle nuit, devint la proie d’un des Cyclodes, qui trahissait sa gloutonnerie par la grosseur exagérée de son abdomen et en donna peu de jours après la preuve sans réplique, les écailles avec quelques os du malheureux Caïman ayant été retrouvés dans ses déjections. Ici le Lacertien était, il est vrai, pas mal plus grand que sa victime, la proie toutefois était encore proportionnelle- ment forte, surtout pour un animal, qui ne passe pas, comme les Serpents, pour un mangeur de gros morceaux; le Cyclode pesait environ 500 grammes et un Alligator, à peu près du volume de l'individu avalé, en pèserait 50. La digestion fut rapide, car l'événement ayant eu lieu le 30 mai, c’est le o juin que furent rendues les premières écailles. Quant à la durée de la digestion chez les Ophidiens, on peut s’en faire quelque idée par le temps qui s'écoule entre l’ingestion de l'aliment et l’époque à laquelle les résidus sont évacués. Il s’agit, bien entendu, des déjections intestinales, c’est-à-dire renfermant les débris de la proie, et non des déjections rénales, constituées presque entièrement d’acide urique, lesquelles sont expulsées à des intervalles irréguliers, tandis que les pre- mières le sont en une seule fois et correspondent à chaque repas. Cette concordance, admise par les auteurs et qu’on constate en effet dans la grande majorité des cas, souffre cependant quelques exceptions, car on peut prouver que parfois il y a empiètement sous ce rapport, d'un repas sur l'autre. Ainsi chez le grand Eunecte, après le repas du 2 avril 1887, une Chèvre ayant été prise à cette époque, avec les poils rendus dans les déjections recueillies le 16 du même mois, se trouvaient quelques plumes, provenant sans aucun doute de l’Oie engloutie le 8 février: précédent. Quoi qu'il en soit il a paru utile de consigner dans la dernière colonne du tableau ci-dessus, les dates qu'on a pu recueillir relativement à ces faits, elles n’ont pas été par malheur relevées avec une régularité suffisante pour que des conclusions générales puissent être posées ici à ce sujet, elles permettent toutefois de présenter quelques remarques de nature à fixer au moins l’attention sur certains points spéciaux. Le temps qui sépare l’ingestion de l’aliment de l’expulsion des résidus 232 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. inutiles, présente, par exemple, de grandes variations, sans qu'il paraïisse possible, jusqu'ici, d'en déterminer les causes, et, d’après les faits observés peut aller du simple au quadruple, 9 jours ayant été le chiffre minimum, 38 le chiffre maximum. On comprend, au reste, que des causes multiples puissent modifier très diversement cet acte physiologique. En tous cas la chose n’est pas rapport avec le poids de l'animal ingéré, qui était de 6 kilog. pour le premier de ces repas, 5 kilogr. pour le second. Elle n’est pas non plus influencée par la nature de la proie ; avec une Chèvre remar- quablement petite pesant 3“°%",5 (neuvième repas) la durée de la digestion a été de 14 jours, elle a été de 16 jours avec un Lapin de même poids (dix-huitième repas). On ne saisit non plus aucune relation entre la durée du phénomène ct la saison. Celle-ci, en ce qui concerne la fréquenee des repas, ne semble point avoir d'importance appréciable, contrairement à ce qu'on aurait volon- tiers cru @ priori, car si les moyens de chauffage arüficiel peuvent remédier à l’abaissement de la température dans la mauvaise saison, la brièveté des jours et l’action amoiadrie du soleil à cette époque, paraï- traient devoir ralentir l’activité vitale de ces Vertébrés à sang froid. Or, en partageant l’année en deux périodes, l’une d’hiver, s'étendant de septembre à février, l’autre d'été, de mars au mois d’août, on trouve que l’'Eunecte a mangé 16 fois dans la première et 18 fois dans la seconde, différence insignifiante. Chez les Ophidiens, c’est un fait bien connu, la digestion est très com- plète et l'absorption des tissus de la proie a lieu en totalité, sauf pour les parties épidermiques, poils, cornes, ongles, etc., avec lesquelles se trou- vent parfois des débris d'organes particulièrement résistants, tels que la partie dure du temporal ou rocher, l'émail de certaines dents, celui des incisives des Rongeurs par exemple, quant au reste du squelette il dis- parait entièrement. Pour donner une idée du phénomène la masse pileuse rendue à la suite du deuxième repas, pesait à la sortie du corps du Ser- pent, c’est-à-dire non sèche, 1%"%#,500, le poids du Chevreau, comme l'indique le tableau, étant de 7° 500. Cependant le résultat final de l'alimentation chez notre Anacondo a été des plus médiocres, car il pèse 76 kilogr. à la fin de 1891 et n'aurait donc DE L'ALIMENTATION CHEZ LES OPHIDIENS. 253 augmenté que de quatre livres sur le poids initial. Si on ajoute que, pour un animal en somme peu maniable, ces pesées ne sont pas sans offrir certaines difficultés, que le Serpent doit être placé dans une caisse, dont la tare, faite ultérieurement, augmente les chances d'erreurs, on ne peut regarder comme absolument hors de doute la réalité mème de cette petite augmentation (1). Il faut remarquer, il est vrai, que cet individu paraît avoir atteint la taille maximum de l'espèce, au moins ne possédons-nous dans les collec- tions aucune pièce pouvant faire penser qu'il s’en rencontre de plus gigantesque (2), c’est peut-être une des raisons de cet état stationnaire. Le mode suivant lequel se nourrissent les Ophidiens et la marche des phénomènes digestifs chez ces animaux présentent donc, en somme, des particularités qui paraissent de nature à faciliter sur certains points l’étude générale de la nutrition; le présent travail, qui, vu le long temps nécessaire pour poursuivre de semblables recherches, ne peut être considéré que comme un premier aperçu de la question, a pour but avant tout d’attirer sur ce point l'attention des biologistes. Muséum d'Histoire naturelle, mai 1892. (1) Il n’en est pas de même pour tous les Reptiles, je citerai ici, comme exemple, notre Tortue éléphantine, laquelle, pesant à son arrivée, en 1878, 40 kilogr., atteignait 153 kilogr. au mois de septembre dernier, lors de sa rentrée dans la Ménagerie pour la saison d'hiver. (2) A. Dumériz, dans le travail souvent cité ici, rappelle, au sujet de la taille des Serpents, quelques chiffres auxquels je me borne à renvoyer le lecteur : Deuxième notice sur la Ménagerie des Reptiles. — Archives du Muséum, t. X, p. 454, 1861, NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3e série, — IV. 30 NOTE COMPLÉMENTAIRE Depuis l’époque à laquelle a été écrit ce travail l’£unectes murinus, Linné, qui en fait l'objet, est mort le 8 juillet, ayant vécu, à quelques jours près, sept ans à la Ménagerie (la date exacte de l'entrée est : 22 juillet 1885). | Voici les renseignements que nous pouvons donner pour compléter l’histoire de son alimentation : 35° repas. 18 février 1892, une Chèvre du poids de 9*lr,5, Intervalle séparant du repas précédent, 103 jours. 36° repas. 14 mai 1892, un Chevreau du poids de 2 kilogr. Intervalle séparant du repas précédent, 86 jours. Le 29 juin, bien que l'animal ne parüûüt pas en bonne santé depuis un certain temps, on tenta de lui faire prendre une Chèvre, puis un Lapin, mais il refusa toute nourriture. A partir de cette époque il s’affaiblit visiblement de jour en jour, son corps se déforma par l’'épanchement d’un liquide dans la cavité viscérale. Il perdit, dans les derniers jours avant sa mort, une grande quantité de sérosité mélangée de glaires et d'acide urique provenant de l'urine. C’est à cette cause, et à son dépérissement depuis plusieurs mois, qu'il faut sans doute attribuer la déperdition du poids, tombé à ce moment à 62“ileær 500. Mesuré après la mort, la longueur de cet Ophidien a été trouvée de 5,50. BULLETIN DES. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM D'HISTOIRE NATURELLE TROISIÈME SÉRIE TOME QUATRIÈME LE à ë » Li ï [l hi 4 = = 3 \ DER TPT UM Sn: Le ci 1 = ‘ 1 À j | NEA RTE NT : Pal Len " x : bé + l ND, À RETAES * c 1 î ù 1 LS À & (TL : { ui 7 D: ü È L É À SL | : u À hs L re) 1 FA L LA Lure SE 7 6 i \ e ï Tes # . f Ï : r 5 ï ie: HD: 1 \ - ll 4 1 ; 1 4 5 k M d } EL x. TRE F Û : ï 5 di ' 42 d jus ei H LT L 0 HN d L î [ ï D | © è e 3 Ï " Fe É À [ 15 i 4." % z v” û ï , 2 RAR # 7 / ; . ù D 2 1 ù Gt £ 1 Not p 1 : ; 3 2 ÿ > J F Fe, L 4! ? TARA ï " ‘ x 1 ë g ARS : + a EN NL ETUONE VS L AL De 730 à S t È . : s 5 à ? .. 1 k 1e nul AN ‘ : À … QUE, + Ÿ 7 cer ; + : ï t i (! [) 2 L PESQU ñ ï 4 x nn fl mn . jt 1 F L F Ü A ET \ N | F f ï vou LT 1 4 11 ï fl L 1e nn ; di û 1 ; pit : î 7 Ï sé “ ' a # : b Ÿ 1) ë " in r 7 L à Len pt 1 1 4 4 f.4 . ; Ü Û TAC ü L r 1 Ê ÿ tn ASUS ï , PT it l mr re R LISTE DES OUVRAGES ET MÉMOIRES PUBLIÈS DE 1822 À 1891 ARMAND DE QUATREFAGES DE BRÉAU MEMBRE DE L'ACADÉMIE DES SCIENCES DE L'INSTITUT DE FRANCE, PROFESSEUR ADMINISTRATEUR AU MUSÉUM D'HISTOIRE NATURELLE (1). 1822. — De l’extroversion de la vessie, in-#, 46 pages, 4 pl. Strasbourg, 1822. Mémoires Acad. Toulouse, t. V, 1839, p. 16-17. 1829. — Théorie d’un coup de canon. Thèse de mécanique présentée à la Faculté des sciences de Strasbourg et soutenue le 19 novembre 1829 pour obtenir le grade de docteur ès sciences. Strasbourg, in-4°, 23 pages. 14830. — Du mouvement des aérolithes considérés comme des masses disséminées 4 dans l’espace par l’impulsion des volcans lunaires. Thèse d'astronomie présentée à la Faculté des sciences de Strasbourg et soutenue le jeudi 23 décembre 1830 pour obtenir le grade de docteur ès sciences. Strasbourg, in-4, 19 pages. — Choix raisonné de formules avec observations à l'appui. — Opiat anti- blennorrhagique; décoction de pomme de terre; potion pour la grippe; pommade antipsorique; potion ammoniacale contre l'ivresse; pilules de protoiodure dé mercure, etc. Journal de méd. et de chirurgie de Toulouse, impr. Malavit (tiré à part, 8 pages). (1) Cette liste est due aux soins obligeants de M. A.-Eug. Malard, sous-directeur du laboratoire maritime du Muséum. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3e série. — IV. a 1834. 1835. 1836. 1837. 1839. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Mémoire sur plusieurs cas de lithotritie. (En collaboration avec M. Dieu- lafoy.) Journal de méd. et de chirurgie de Toulouse (tiré à part 12 pages). — Mémoire sur l’embryogénie des Planorbes et des Lymnées. Ann. sc. nat., 2 série, t. IT,p. 107, 4 pl. (pl. TI, B°C.) (tiré part 12 pages): — Œuf humain développé dans les trompes de Fallope. Congrès méridional des sciences médicales, 1835, Toulouse, Guirail, p. AA. — Mœurs des Lézards, observations recueillies sur un lézard vert qui a vécu dix-huit mois en captivité. Mémoires Acad. Toulouse, 1835. — Vie interbranchiale des Anodontes Mémoire présenté à l’Académie des sciences de Paris, et Rapport de M. de Blainville sur ce travail. Comptes rendus Acad. sc. Paris A1 mai el 2 novembre 1835, t. IV, p. 283 et 294-300. Journal l’Institut, n° CVITI, t. LIL, p. 175-176, 27 mai 1835. — Mémoire sur la vie interbranchiale des Anodontes. Ann. sc. nat., %série, juin 1836, t. V, p. 321-336, pl XII (tiré à part), 16 pages, 1 pl. — Les funérailles de la Taupe. Journal de l'instruction primaire pour l'arrondissement de Toulouse et des Académies voisines, D° livraison, et Journal politique et littéraire de Toulouse et de la Haute- Garonne, numéro du samedi 19 mars 1836. — Mœurs et instinct des Lézards. Mémoires Acad. Toulouse, t. IV, p. 204-208, 1837. — De la cautérisation par le nitrate d'argent dans le croup. (En collabo- ration avec M. Dieulafoy.) Latrait du Journal de méd. et de chirurgie de Toulouse, octobre 183T (tiré à part 15 pages). — Action de la foudre sur les êtres organisés. Mémoires Acad. Toulouse, 1837, t. IV, p. 197-200, et Journal de méd. et de chirurgie, 1840. — De quelques phénomènes physiologiques et pathologiques considérés comme cause de superstition. Mémoires Acad. Toulouse, 1839, 1. V, p. 123-198. — Mémoire sur quelques peintures du quinzième siècle. Toulouse, La Vergne, rue Saint-Rome, 1839. Mémoire extrait de la Soc. archéol. du Midi de la France, 33 pages gr. in-4, 8 pl. — Mémoire sur un pigeon monstrueux du genre déradelphe. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 21 octobre 1839, €. IX, p. 507. — Journal l’Ins- htut, n° 305, {, VIT, p. 380, 31 octobre 1839. 1840. 1841. 1842. BULLETIN. nl — Mémoire sur les caractères zoologiques des Rongeurs et sur leur denti- tion en parliculier, in-4. Paris, 1840 (26 pages). — Mémoire sur les Rongeurs fossiles, in-8. Paris, 1840 (26 pages). — Sur les capillaires sanguins. (En collaboration avec M. Doyère.) Bull. Soc. philom., Paris, p. 17, séance du 20 février A841. — Journal l’Institut, n° 3175, t. IX, p. 13, 4 mars 1841. — Observations sur une note de M. le docteur Brewster relative à une méthode dite nouvelle pour l'éclairage des objets observés au micro- scope. Pr. verb. Soc. philom., Paris, 45 mai 1841, p. 53. — Sur un compresseur pour le microscope. Bull. Soc. Philom., Paris, p. 52,séance du 8 mai 1841. — Journal l'Institut, n° 386, t. IX, p. 111, 20 mai 1841. — Note sur quelques faits géologiques observés aux iles Chausey. Bull. Soc. philom. Paris, 21 novembre 1841, p. 119. — Journal l'Institut, n° 416, t. IX, p. 426, 16 décembre 1841. — Études zoologiques faites sur les bords de la Manche sur des Zoophytes et des Annélides nouveaux (Némertes, ete.). Pr. verb. Soc. philom. Paris, 1841, p. 120-122. — Journal l'Institut, n° AG, €. IX, p. 427, 16 décembre 1841. — Mémoire sur le Synapte de Duvernoy (Synapta Duvernea (de Quatrefages). Ann. sc. nat., 2° série, 1849, 1. XVII, p. 19-93, pl. 2 à 5 (tiré à part). Comptes rendus Acad. sc. Paris, 22 novembre 1841, t. XIIT, p. 980-983. — Journal l'Institut, n° 413, t. IX, p. 398, 25 novembre 1841. — Froriep Notizen, XXI, 1849, col. 165-166. — Rapport de Milne-Edwards sur ce travail. Comptes rendus Acad. se. Paris, 1842, t. XIV, p. 263-266. Pr. verb. Soc. philom., 1842, p. 45-46. — Mémoire sur les Edwardsies, nouveau genre de la famille des Actinies. Ann. sc. nat., 2° série, 1842, t. XVIIT, p. 65-109, pl. Jet IT (tiré à part). — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 3 mai 1842, t{. XIV, p. 630-632. — Journal l'Institut, n° 416, £. IX, p. 421, 16 décembre 1841, et n° 436, t. X, p. 1517, 1 mai 1822. — Sur un nouveau mode de décrépitation et sur les pierres qui produisent ce phénomène (pierres fulminantes de Dourgnes). Ann. des mines, t. 1, 1842, p. 603-612. — Journal l’Institut, n° 437, t. X, p. 171, 15 mai1842. — Pr. verb. Soc. philom., 1842, p. 42-45.— Poggendorf, Ann.,t. VIIT, 1849, p. 345-350. — Mémoire sur les embryons de Syngnathes (Syngnathus ophidion). Ann. sc. nat., 2° série, 18492, t. XVIII, p. 193-219, pl. 6 bis et 1. 1843. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 30 mai 1849, t. XIV, p. 194-1796. — Pr. verb. Soc. philom. Paris, 1842, p. 52-53. — Journal l’Institut, n° 447, {, X, p.958, 21 guillet 1812. — Froriep Notizen, XXIII, 1849, col. 81-83. — Mémoire sur l’'Eleutherie dichotome, nouveau genre de Rayonnés, voisin des ydres: Ann. se. nat., 2 série, 1842, {. XVIII, p. 210-9388, pl. 8 (tiré à part). — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 25 juillet 1842, t. XV, p. 168-170. — Froriep Notixen, XX V, 1843, col. 295-931 et 241 à 950. — Tendances nouvelles de la chimie. Physique générale du globe. Revue des Deux Mondes, 1° août 1822. — Annélides lithophages. Bull. Soc. philom. Paris, 1842, p. 42. — Observation relative à la présence d'une membrane caduque dans un cas de grossesse tubaire. Journal l’Institut, n° 452, €. X, p. 300, 25 août 1842, — Pr. verb. Soc. philom., 1849, n° 76. — Lettre sur quelques faits relatifs à l’histoire des animaux invertébrés. (La petite Ophiure grisâtre est vivipare.) Comptes rendus Acad. sc. Paris, 28 octobre 1842, t. XV, p. 198-800. (Communication faite par M. Edwards.) — Description de quelques espèces nouvelles d’Annélides errantes recueillies sur les côtes de la Manche: Phyllodoce saxicola, Eunice Zonata, Lom- brinereis pectinifera, Malacoceros vulgaris, M. Girardi, M. Longirostris. Magaz. de Zool., 1843, p. 1-16, pl. 1, 2, 3. — Sur un nouveau Rongeur. Mémoires Acad. Toulouse, t. VI, 1843, p. 16. — Description de deux jeunes Hémiones (Equus Hemionus, Pallas) nées à la ménagerie du Jardin des Plantes. Bull. Soc. philom. Paris, p. 11-13, 14 janvier 1843. — Journal l’Institut, n° 474, t. A1, p. 30-31, 26 janvier 1843. — Résultat de quelques recherches relatives à divers animaux invertébrés, faites à Saint-Vaast-la-Hougue. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 2 janvier 1843, t. XVI, p. 31-33. — Froriep Notizen, NA V1, 1843, col. 98-100. — La Floride : voyages anciens et modernes; description physique; popu- lation ; races. Revue des Deux Mondes, 1% mars 1843. BULLETIN. 11 — Mémoire sur l'Éolidine paradoxale (Eolidina paradoxum). Ann. se. nat., 2° série, t. XIX, p. 214-312, pl. XI (tiré à part). — Comptes rendus Acad sc. Paris, 22 mai 1843, €. XVI, p. 1123-1124. — Journal l’Institut, n° A9, t. XI, p. 169, 25 mai 1843, et n° 493, p. 191, 8 juin 1843. — Observations diverses sur les Mollusques. Journal l’Institut, n° 503, {. ÀT, p. 274, 17 août 1843. — Observations sur l’Aonie foliacée (Aud. et Edw.). Magaz. de Zool., 1843, p. 14 à 15, pl. 2 (22 août 1842). — Nouvelles observations relatives à divers animaux invertébrés, obser- vations relatives aux jeunes Blennies. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 14 août 1843, t. XVII, p. 319-320. — Sur la distinction des sexes dans divers Annélides. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 28 août 1843, t. XVII, p. 423-424. — Sur quelques points de l'anatomie et de la physiologie des Annélides. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 30 octobre 1843, t. XVII, p. 961-963. — Rapport sur un mémoire de M. Duces sur la destruction de la Pyrale de la Vigne. Mémoires Acad. Toulouse, t. VI, 1843, p. 15. — Observations diverses sur des Annélides. Journal l'Institut, n° 505, t. XI, p. 292, 31 août 1843, et n° 514, t. XI, p. 370, 2 novembre 1843. — Sur le système nerveux des Annélides. Bull. Soc. philom. Paris, 1843, p. 131-133. — Journal l'Institut, n° 3923, t. XII, p. 4, 3 janvier 1844. — Mémoire sur la Synhydre parasite, nouveau genre de Polypes voisins des Hydres. Ann. sc. nat., 2° série, 1843, t. XX, p. 230-248, pl. 8 et 9. — Du venin des Serpents. Mémoires Acad. Toulouse, t. VT, 1843, p. 20. — Sur un mode nouveau de phosphorescence observé chez quelques Annélides et Ophiures. Ann. se. nat., 2 série, 1843,t. XIX, p. 183-192 (tiréà part). — Edinburgh-New. phil. Journal, XXXV, 1843, p. 104-112. — Froriep Notizen, {XX VIT, 1843, col. 209-217. 1844. — Note sur la nature et sur l’organisation des Infusoires, insérée dans l’article Ixrusoires de M. Dujardin (Dictionnaire universel d'histoire naturelle). VI NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Ofthe sex in Holothuria, Asterias and Planaria. Translated. Ann. nat. hist., 1844, t. XIV, p. 227. — Sur le système nerveux des Annélides : système nerveux de l’Eunice sanguine (Sav.), de la Néreis de Beaucoudray (Aud. et Edw.;), de la Glycère de Meckel, de la Phyllodoce transparente (de Quatr.), de la P. mégarème, de l’Aricinelle. Ann. sc. nat., 3° séme, t. II, p. 81 à 104, pl. 1 et 2. — moire sur les Gastéropodes phlébentérés, ordre nouveau de la classe Mé les Gast des phlébentérés, ord le La cl des Gastéropodes, proposé d'après l'examen anatomique et physiolo- gique des genres Zéphyrine, Actéon, Actéonie, Amphorine, Pavois, Chalidé. Ann. sc. nat., 3 série, 1844, €. 1, p. 129-183, pl. 3 à 6. — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 8 janvier 1844, t. XVIII, p. 12 à 18. — Monographies de l’'Eunice sanguine, de la Dujardinia rotifera et de la Doyerina fallax, 1844. — Lettre et réponse aux observations de M. Souleyet sur mes travaux relatifs aux Phlébentérés. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 14 et 21 octobre 1844, t. XTX, pp. 115 et 806 à 818, et 20 janvier 1845, t. XX, p. 152-156. — Phlébentérés : caractères et division de cet ordre nouveau proposé pour la classe des Gastéropodes. Journal l’Institut, n° 524, t. XIT, p. 9, 10 janvier 1844; n° 551, {. XII, p. 243, 17 juillet 1844. — Rapport de M. Milne-E dwards sur ce travail, id., n° 529, t. XI, p. 55, 14 février 1844. — Réponse aux critiques de M. Gervais, id.,n° 526, t. XII, p. 33, 24 janvier 1844. — Pr. verb. Soc. philom. Paris, 1844, p. 2, 3, 117, 18, — Venilia mucronifera (Alder et Hancock), son identité avec la Zéphyrine. Journal l'Institut, n° 546, {. XIT, p. 208, 12 juin 1844. — Sur les Mollusques Gastéropodes. | Comptes rendus Acad. se. Paris, A5 juillet 1844, t. XIX, p. 190-193. — Froriep Notizen, XXXII, 18%4, col. 241-244 (Messine, 25 juin 1844). — Note sur divers points de l'anatomie et de la physiologie des animaux sans vertèbres. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 15 juillet 184%, t. XIX, p. 193-196. — Froriep Notizen, A XXI, 1844, col. 215-217 (Cappe di Milazzo, 13 juin). — Recherches sur l'anatomie des Pycnogonides. Comptes rendus Acad. se. Paris, 25 novembre 1844, t. XIX, p. 1150-1157. — Bull. Soc. philom. Paris, T décembre 1844, p. 86-88. — Journal l’Institut, n° 573, 1. AIT, p. 424, 18 décembre 1844. BULLETIN. VIl 4845. — A propos d’une note de MM. Gervais et Gratiolet sur la structure de l'appareil circulatoire de la Raïe. Bull. Soc. philom. Paris, 1845, p. 32-35. — Résumé de plusieurs faits relatifs à la circulation par lacunes. Pr. verb. Soc. philom., 15 mars 1845. — Journal l’Institut, n° 587, t. XIII, p. 116, 26 mars 1845. — Lettre à M. Van Beneden en réponse à ses observations critiques sur les genres Éleuthérie et Synhydre. Bull. Acad. roy. belg., T janvier 1845, n° 2, {. XII, p. 116-199, et Extrait (tiré à part). — Journal l'Institut, n° 592, t. XIII, p. 162, 30 avril 1845. — L'Académie des sciences et ses travaux. Revue des Deux Mondes, 1 juin 1845. — Notice sur les infusoires. Paris, 1845. Extrait du Dict. des sc. nat. — L’Altaï, son histoire naturelle, ses habitants et le gouvernement russe, d’après l'ouvrage de M. de Tchihatchef. Revue des Deux Mondes, 15 juillet 1845. — Sur la circulation et la composition du sang de certaines larves aqua- tiques d'insectes. Bull. Soc. philom. Paris, 23 août 1845, p. 97-98. — Journal l’Institut, n° 608, t. XIII, p. 305, 27 août 1845. — Note annexée au rapport de M. Edwards sur les recherches zoologiques faites pendant un voyage sur les côtes de Sicile. Ann. sc. nat., 3° série, 1845, t. III, p. 142-145. — Recherches anatomiques et zoologiques faites pendant un voyage en Sicile par MM. Milne-Edward’s, de Quatrefages et Blanchard (chacun des voyageurs a publié un volume à part), 1 vol. in-4, 30 pl. — Mémoire sur l’organisation des Pyenogonidés. Ann. sc. nat., 3° série, 1845, t. IV, p. 69-82, pl. 1 et 2. — (Armothoé, Pycnogonide et Phoxichide épineux). — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 25 novembre 1844, t. XIX, p. 1150 1157. — Note sur le Phlébentérisme. Ann. sc. nat., 3 série, 1845, t. IV, p. 83-94. — Mémoire sur quelques Planaires marines appartenant aux genres Tricelis (Ehr.), Polycelis (Ehr.), Prosthiostomus (de Quatr.), Proceros (de Quatr.), Eolidiceros (de Quatr.), Stylochus (Ehr.). Ann. sc. nat., 3° série, 1845, t. IV, p. 129-144. — Mémoire sur le système nerveux et sur l’histologie du Branchiostome ou Amphioxus. Ann. sc. nat., 3 série, 1845, t, IV, p. 197-245, pl. 10 à 13. VIII 1846. 1841. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Observations sur le système nerveux et sur l’histologie du Branchiostome (Costa), Amphioxus ( Yarrell). Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1% septembre 1845, €. AXIT, p. 519-522. — Froriep Notizen, XXA VII, 1846, col. 429-132. — Journal l’Institut, n° 609, {. XIII, p. 309, 3 septembre 1845. — Note sur le sang des Annélides. Ann. sc. nat., 3 série, 1846, t. V, p. 379-381. — Froriep Notizen, T, 1847, col. 85-88. — Note sur la coloration en rouge du sang chez le Planorbis imbricatus. Journal l’Institut, n° 627, €. XIV, p. À, T janvier 1846. — Pr. verb. Soc. philom., 3 janvier 1846, p. 1. — Ann. nat. hist., 1846, t. XVII, p. 434. — Empreinte d'Annélides fossiles : Sur les Némertiens fossiles des roches de Solenhoffen. Bull. Soc. philom. Paris, 11 avril 1846, p. 52-53. — Journal l’Institut, n° 644, t. XIV, p. 154, 6 mai 1846. — Alex. de Humboldt (Cosmos). Revue des Deux Mondes, 1% juin 1846. — Note sur un genre d'Anguillules marines pourvues de soies (Hémipsile). Ann. sc. nat., 3 série, 1846, {. VI, p. 131-132. — Mémoire sur la famille des Némertiens. Ann. sc. nat., 3° série, 1846, €. VI, p. 173-303, pl. VIIT à XIV. — Froriep Notizen, XXXIX, 1846, col. 276-277, II, 1847, coll. 81-87 et 97-103. — Comptes rendus Acad. se. Paris, 24 août 1846, t. AXJIT, p. 402-407. — Journal l'Institut, n° 660, t. XIV, p. 286, 26 août 1846. — Sur la composition et les fonctions du song et du liquide de la cavité générale du corps chez les Invertébrés en général. Journal l’Institut, n° 682, t. XIV, p. 134-135, 21 nov. 1846. — Mémoire sur l’Échiure de Gæœrtner (= E. Pallasii). Ann. sc. nat., 3 série, 1847, {. VII, p. 307-344, pl. 6. — Comptes rendus Acad. se. Paris, 5 mai 1847, t. XAIV, p. 116-7179. — Froriep Notizen, IV, 1847, col. 37 à A0. — Souvenirs d’un naturaliste. 1° L'archipel de Chausey. Revue des Deux Mondes, 1 mai 1842. 2 L'ile de Bréhat. Le phare des Héaux (Bretagne), id., 15 février 1844. 3° Les côtes de Sicile: la grotte de San Ciro, la Torre dell Isola, id., 15 déc. 1845. 4 Le golfe de Castellamare, Santo Vito, id., 15 février 1846. 5° Les îles Favignana, id., 15 octobre 1846. 6° Stromboli, id., 1® janvier 1847. 1° L’Eina, id., 1°* juillet 1541. 8 La baie de Biscaye, Saint-Sébastien et les Basques, id., 15 janvier et 15 mars 1850. 1848. BULLETIN. IX 9 Les côtes de Saintonge. La Rochelle, id., 45 avril 1853. 40° Chatelaillon. Esnandes et les Termites, id., 15 mai 1853. — Souvenirs d'un naturaliste, 2 vol. in-12 (1056 p.). Paris, V. Masson, 1854. — Trad. en anglais. The Rambles of à naturalist. 2 vol. (130 p.). Trans- lated by E.-C. Otté. London, Longmann Brown, etc., 1857. — Note sur l'anatomie des Sangsues et des Lombrics. Ann. se. nat., 3 série, 1847, t. VIII, p. 36. — Bull. Soc. philom. Paris, 34 juillet 1847, p. 85-86. — Journal l'Institut, n° 709, t. XV, 1847. — Note sur l’embryologie des Annélides. Ann. sc. nat., 3° série, 1841. t. VIII, p. 99-102. — {Travail signalé par M. Milne- Edwards.) Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1847, t. XX V, p. 487. — Note sur les Annélides saxicaves ou lithophages du genre Sabella. Journal l'Institut, n° 755, t. XVI, p. 190, 21 juin 1848. — Pr. verb. Soc. philom., 3 juin 1848, p. 42-43. — Note sur un moyen de mettre les approvisionnements de bois de la marine à l'abri de la piqûre des Tarets. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 17 janvier 1848, t. XX VI, p. 113-114. — Note sur le développement de l'œuf et de l'embryon chez les Tarets. Ann. sc. nat., 3° série, 1848, t. IX, p. 33-36. — Froriep Notizen, VII, 1848, coll. 51-53. — Pr. verb. Soc. philom., 16 mai 1848, p. 36-38 et 43-44, — Mémoire sur la famille des Ierméliens. Ann. sc. nat., 3° série, 1848, t. X, p. 5-58, pl. 2, double (tiré à part). — Froriep Notizen, X, 1849, col. 246-250. — Résumé des observations faites en 1841 sur les Gastéropodes phlé- bentérés. Ann. sc. nat., 3° série, 1848, t. X, p. 121-143. — (Rapport sur ce travail par M. G. Saint-Hilaire.) Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1851, t. XXXII, p. 33-16. — Mémoire sur l’embryologie des Annélides. Ann. sc. nat., 3° série, 1848, {. À, p. 153-201, pl. 3 et A (tiré à part). — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1848, t. XX VII, p. 229-232. — Pr. verb. Soc. philom., 1848, p. 63-67, 26 août. — Journal l’Institut, n° 770, t. XVI, p. 303, 4 oct. 1848. — Note sur l'extraction de l'huile de Harengs et sur la préparation du Tangrum, engrais considéré comme propre à remplacer le guano. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 11 décembre 1848, t. XXVII, p. 604-606. — Journal l'Institut, n° 780, t. XVI, p. 382, 13 décembre 1848. — Des fécondations artificielles appliquées à l’élève des Poissons. Journal d'agriculture pratique, décembre 1848, p. 1 à 3. — Comptes rendus Acad. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 39 série. — IV. b 1849. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. sc. Paris, 23 octobre 1848, t. XX VII, p. 413-416. — Journal l’Institut, n° 775, t. XVI, p. 342, 27 octobre et 8 novembre 1848. — Les pierres précieuses. Revue des Deux Mondes, 15 août 1848. —- Réforme de l’enseignement scientifique en France. Les Facultés. Revue des Deux Mondes, 15 mai 1848. — Planches du Règne animal illustré, avec le texte explicatif. —- Note sur la propagation des huîtres et sur les fécondations artificielles. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 26 février 1849, t. XX VIT, p. 291-293, — Mémoire sur le genre Taret. Ann. sc. nat., 3° série, 1849, €. XT, p. 19-73, pl. 1 et 2 (double). — Mémoire sur l’'embryogénie des Tarets. Ann. sc. nat., 3° série, 1849, €. AT, p. 202-290, pl. IX (tiré à part avec le précédent). — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 2 avril 1849, t. XXVIIT, p. 430-433. — Note sur la multiplicité normale des Vitellus dans les œufs de certains mollusques. Comptes rendus et Mém. Soc. biol., juin 1849, p. 89. — Segmentation du jaune sans fécondation. 5 Comptes rendus et Mém. Soc. biol. juillet, p. 101. — Note sur les œufs et la reproduction des Unios. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 13 juillet 1849, t. XXIX, p. 82-86. — Bull. Soc. philom. Paris, T juillet 1849, p. 73. — Journal l’Institut, n° 81, t. XVII. — Sur les embryons de Poissons qui se développent dans les branchies des Unios. Comptes rendus et Mém. Soc. biol. Paris, juillet 1849, p. 102. — Note sur la Scolicia Prisca (Annélide fossile de la craie). Ann. sc. nat., 3° série, 1849, {. AIT, p. 265-266. — Ann. nat. hist., t. V, 1850, p. 309-510. — Mémoire sur la famille des Chlorémiens. Ann. se. nat., 3 série, 1849, {. XIT, p. 277-306, pl. 9-11. — Comptes rendus et Mém. Soc. biol. Paris, novembre 1819, p. 183-184. — Pr. verb Soc. philom., 11 août 1849, p. T6. — Observations anatomiques sur divers Annelés et classification de ces animaux. 1° Anatomie des Chlorema. 2 Cavilé générale du corps des Aphlebines et des Siponcles. 3° Sur la classification des Annélides. 1850. BULLETIN. XI Pr. verb. Soc. philom. Paris, 11 août 1849, p. 76-78. — Journal l’Institut, n° 816, t. XVII. — Ueber die Uebereinstimmung der Entwickelung der Anneliden und Säugethiere. Traduction. Froriep Notizen, XI, 1849, col. 259-256 (24-246). — Sur l'anatomie de l'Ammocète (Am. branchialis Dum.). Pr. verb. Soc. philom. Paris, 1849, p. 64-65. — Journal l'Institut, n° 810, €. XVIT, 30 juin 1849, — Note sur un Helminthe du genre Distome vivant dans la cavité crânienne de l’'Ammocète (A. branchialis. Dum.). Comptes rendus et Mém. Soc. biol. Paris, mai 1849, p. 83-84. — Les animaux utiles. Le Hareng. Revue des Deux Mondes, 1° janvier 1849. — Mémoire sur les organes des sens des Annélides. Ann. sc. nat., 3° série, 1850, t. XIII, p. 25-41, pl. 2 parlim. — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1849, t. XXIX, p. 193-797. — Les sexes sont séparés chez les Huiîtres. Pr. verb. Soc. philom. Paris, 1849, p. 24. — Sur le système nerveux des Annélides. Pr, verb. Soc. philom. Paris, 2% juillet 1849, p. 73-75. — Note sur les résultats d’une excursion zoologique en Sicile, par A. de Quatrefages. Arch. miss. scient. et lité., t. 1, p. 89-93. — Près de 90 espèces d'animaux ont fait le sujet des études dont M. de Quatrefages indique quelques résultats; toutes ont été peintes sur le vivant, les dessins représentant les détails de leur organisation sont au nombre de plus de 600. — Expériences physiologiques faites sur l'Eunice sanguine. Comptes rendus et mém. Soc. biol. Paris, juillet 1850, p. 99-101. — Mémoire sur la famille des Polyophthalmiens. Ann. sc. nat., 3 série, 1850, t. XIII, p. 5-24, pl. 2 (partim). — Mémoire sur le système nerveux des Annélides. Ann. sc. nat., 3° sémie, 1850, t. XIII, p. M-46, t. XIV, p. 329-398, pl. 6 à 10. — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1850, {. XXX, p. 515-517, et t. XXXT, p. 113-711. — Recherches expérimentales sur les spermatozoïdes des Hermelles et des Tarets. Ann. sc. nat., & série, 1850, t. XIII, p. 111-126. — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 24 juin 1850, t. XXX, p. 813-819. XI 18 NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Expériences sur la fécondation artificielle des œufs de Hermelles et de Tarets. Ann. sc. nal., 3° série, 1850, t. XJIT, p. 196-140. — Observations sur les Noctiluques. Ann. sc. nat., 3 série, 1850, €. XIV, p. 296-235, pl. 5 (partim). Mémoire sur la phosphorescence de quelques animaux invertébrés marins. Ann. sc. nat., 3° série, 1850, t. XIV, p. 236-281, pl. 5 (partim). — Ann. nat. hist., 1. XII, 1853, p. 15-27 et 180-188. — Silliman journal, t. XV, 1853, p. 193-204, et1. XVI, p. 69-T6. — Mémoire sur la phosphorescence du port de Boulogne et sur les animaux qui produisent ce phénomène (Noctiluques). Comptes rendus Acad. se. Paris, 16 septembre 1850, {. XXXTI, p. 428 et G18-621. — Comptes rendus et mém. Soc. biol. Paris, 1851, p. 160-161. — The phosphorescence of the sea (translated). Popular scient. Rev., I, 1862, p. 275-298. — Sur la circulation des Annélides. Ann. sc. nat., 3° série, 1850, t. XIV, p. 281-289, pl. 5 (partim). Sur la respiration des Annélides. Ann. sc. nat., 3° série, 1850, €. XIV, p. 290-301, pl. 5 (partim). — Ann. nat. hist., t. IX, 1852, p. 154-155. — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 28 juillet 1851, t. XAXITI, p. 11-80. — Bibl, univ. arch. XVIIT, 1851, p. 73-74. — Mémoire sur la cavité générale du corps des Invertébrés. Ann. se. nat., 3° série, 1850, €. XIV, p. 302-320, pl. 5 (partim), tiré à part. — Ann. nat. hist., €. IX, 1852, p. 157-158. — Bibl. univ. arch. XVIIT, 1857, p. 12-73. — Mémoire sur le système nerveux des Annélides proprement dites. Système nerveux de Nereis regia. — Cirrhatulus fuscescens (Johnst.). — Clymene truncata (A. de Quatref.). — Johnstonia proligera (A. de Quatref.). — Aphro- dita aculeata (Baster). — Polynoe squamata (Sav.). — ANephtys bono- nensis (A. de Quatref.). — Glycera albicans (A. de Quatref.). — Phyllodoce clavigera (Aud. et ÆEdiw.). — Lysidice torquata (A. de Quatref.). — Arenicola piscatorum (Lamk.), — Sipunculus communis (BL). — Malacoceros Girardi (A. de Quatref.). — Aonia foliacea (Aud. et Edw.). — Sabella flabellata (Suv.). — Tere- bella conchilega (Sav.). — Serpula contortuplicata (Linn.). — Vermilia triquetra (Lamk.). PI. 6-10 (doubles). Ann. sc. nat., 3° série, 1850, 1. XIV, p. 329-398. — Mémoires sur les organes et les fonctions de la respiration chez les Annélides proprement dites. Comptes rendus Acad. se. Paris, 1851, {. XXXIII, p. 71-80. 1852. BULLETIN. xIIt — Sur la reproduction artificielle des Poissons. Journal de pharmacie, t. XX, 1851, p. 282-286. — Sur quelques-unes des questions d'histoire naturelle qui pourraient attirer plus particulièrement l'attention des sociétés savantes des provinces. Ann. Inst. des Provinces, 1851, p. 122-132. — Études sur les maladies actuelles des Vérs à soie (4 vol. in-4, 6 pl.). Mémoires Acad. sc. Paris, t. XX, 1851, 382 p. — Lettre à M. V. Beneden au sujet de son Dinophilus, nouveau Némertien de la côte d'Ostende. Bull. Acad. sc. belg., T mai 1851, t. XVIII, p. 369-372. — Journal l’Institut, n° 995, p. 306. — Notice sur les travaux zoologiques et anatomiques de M. de Quatrefages. Paris, 1851, Martinet, et id., 1852. — Paris, rive gauche, XIT° arrondissement. Publications de la commission centrale des propriétaires et habitants du XIE arrondissement (rue des Écoles, 3). Rapport fait par M. de Quatrefages, 1851. — Bureau de la Revue municipale. Extrait, 23 pages. — Réponse de M. Quatrefages à M. Boniface à propos de l'ouverture de la rue des Ecoles. Paris, imprim. Lebon, 4 pages in-4, 1851. — Mémoire sur le système nerveux, les affinités et les analogies des Lombrics et des Sangsues. Ann. sc. nat, 3° série, 1852, {. XVIII, p. 167-179. — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1852, t. XXXIV, p. 468-472. — Mémoire sur le Branchellion de d'Orbigny. Ann. sc. nat., 3° série, 1859, t. XVIII, p. 279-398, pl. 6 a 8. — Sur le Branchellio Torpedinis (Sav.). Comptes rendus Acad. se. Paris, 1852, t. XXXV, p. 809-815. — Note sur le système nerveux et sur quelques autres points de l'anatomie des Albiones. ; Ann. sc. nat., 3° série, 1859, t. XVIII, p. 328-336, pl. 9 (tiré à part). — Élevage des Poissons. Extrait du journal l'Agriculture pratique, 5 juin 1852, 12 pages in-12. Paris, Dusacq. — Discours prononcé le 13 août 1852 à la distribution des prix du lycée Napoléon. De l’enseignement des sciences dans les études scolaires, et du rôle des sciences et des lettres. Paris, J.-B. Gros, 1852. XIV 1853. 1854. 1855. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Recherches sur la vitalité des spermatozoïdes de quelques Poissons d’eau douce. Ann. sc. nat., 3° série, 1853, t. XIX, p. 341-369 (tiré à part). — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1853, t. XXXV/, p. 936-943. — Mémoire sur la destruction des Termites au moyen d’injections gazeuses. Ann. sc. nat., 3 série, 1853, t. XX, p. 5-15. — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1853, &. XXXVI, p. 556-562. — Note sur les Termites de la Rochelle. Ann. sc. nat., 3 série, 1853, t. XX, p. 16-21 (tiré à part). — Rapport sur un mémoire de MM. Lacaze-Duthiers et Riche intitulé : Recherches sur l'alimentation des Insectes gallicoles et la production de la graisse. Ann. se. nat., 3° série, 1853, t. XX, p. 115-120. — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1853, &. XXXVIT, p. 394-398. — Rapport sur le grand prix des sciences physiques, 1853 : Du développe- ment et du mode de propagation des Vers intestinaux. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1854, t. XXX VIII, p. 166-193. — Ann. sc. nat., 4 série, 1854, t. I, p. 5-37. — Mémoires sur l’organisation des Physalies (Physalia Ehlersii, de Quatref.). Ann. sc. nat., 4° série, 1854, €. IT, p. 107-142, pl. 3 et 4, partim (tiré à part). — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1854, t. XXXIX, p. 2-1. — Sur la génération alternante des Syllis. Ann. sc. nat., 4 série, 1854, t. IT, p. 143-151 (pl. 4, partim) (tiré à part.) — Note sur le développement des spermatozoïdes chez la Torrea Vitrea. Ann. sc. nat., 4° série, 1854, €. IT, p. 152-154 (pl. 4, partim). — J'ourn. micr. science, t. IV, 1856, p. 76-178. — Formation des monstres doubles chez les Poissons. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1855, t. XL, p. 626-629. — Ann. nat. hst., XVI, 1855, p. 47-51. — Observations sur le mémoire de M. Coste relatif à l’origine de la mons- truosité double chez les Poissons osseux. Comptes rendus Acad. se. Paris, 1855, t. XL, p. 924-930. — Rapport sur un mémoire de Ch. Lespès intitulé : Des spermatophores des Grillons. Comptes rendus Acad. se. Paris, 1855, t. XLI, p. 381-382. — Rapport sur les demandes d'affiliation adressées à la Société zoologique 1856. 41857. BULLETIN. XV d'acclimatation par la Société zoologique d'acclimatation pour la région des Alpes et par le comice agricole de Toulon. Séance du 2 février 1855. Extrait du numéro de mars 1855, tiré à part, 8 pages. — Questionnaire relatif à l'élevage des Sangsues. Séance du 2 février 1855. Bull. Soc. z0ol. accl., 1, p. 84-89, tiré à part, 8 pages. — Réponses rédigées par M. de Quatrefages. Bull. Soc. acclim., IV, 1857, p. 271-282. — Les métamorphoses : 4° Des transformations de l'animal dans l’œuf et hors de l'œuf. Revue des Deux Mondes, 1° avril 1855. 2° Les métamorphoses des Papillons, des Insectes, des Reptiles batraciens, des Myria- podes, des Crustacés et des Annélides, des Mollusques gastéropodes et acéphales. Revue des Deux Mondes, 15 avril 1855. 3° Les métamorphoses de la généagénèse. Revue des Deux Mondes, 1° et 15 juin et 1% juillet 1856. — Rapport sur un mémoire de M. Jacquart intitulé : De la mensuration de l'angle facial, des goniomètres faciaux et d'un nouveau goniomitre facial inventé par l'auteur. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1856, t. XLIIT, p. 522-529. — Journal l’Institut, XX, t. IV, p. 321-329. — Cours du Muséum. 4° Lecon d'ouverture, 17 et 29 juin 1856. Historique de la chaire, p. 404-407. 2° Question de l'espèce et des races, 13 juillet 1856, p. 23-27. 3 Les races naturelles et les races artificielles, 3 août 1856, p. 69-76. Ces lecons ont été recueillies par M. F. Delaborde. — Revue des cours publics publiée sous la direction Odysse Barrot. Paris, t. IT, 1856. — Questions sur l’étisie. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1857, {. XLIV, pp. 1078-1092 (tiré à part, in-8, 24 pages). — Note sur quelques expériences relatives à l'emploi des Sangsues algé- riennes et à la conservation des Sangsues en général. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1857, t. XLV, p. 619-687. — Rapport sur l'ouvrage de M. A. Maury intitulé : La terre et l’homme. Bull. Soc. de géogr., 1857, 4 série, t. XTIT, p. 96-128. — Rapport sur l'ouvrage de M. de Gobineau intitulé : Essai sur l'inégalité des races humaines. Bull. Soc. de géogr., mars 1857, 4° série, t. XIII, p. 195-241. XVI 1858. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Notice surles Yacks et les Chèvres d’Angora importés en France depuis la fondation de la Société. Conférence à la séance publique annuelle. Bull. Soc. zool, accl., 1857, {. IV, p. 1 et 60. — Du croisement des races humaines. Revue des Deux Mondes, 1° mars 1857. — Tendances nouvelles de la zoologie; la zoologie physiologique. Revue des Deux Mondes, 15 décembre 1857. — Lettre concernant la continuation de ses recherches sur la maladie des Vers à soie. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1858, t. XLVT, p. 16. — Sur la maladie des Vers à soie. Comptes rendus Acad. se. Paris, 1858, t. XLVI, p. 140-144. — Rapport sur la question concernant la reproduction des Infusoires. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1858, t. XLVI, p. 274-279. — Observations sur les notes relatives à la maladie des Vers à soie de MM. Champoiseau, Hardy et Nadal. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1858, t. XLVI, p. 522-593. — Réponse aux observations adressées par M. Ciccone à l’occasion de cette communication. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1858, t. XLVI, p. 529-531. — Remarques au sujet d'un passage du mémoire sur les maladies des Vers à soie lu par M. Joly dans la séance du 30 septembre. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1858, t. XLVI, p. 573-575. — M. de Quatrefages communique des extraits d’une lettre de M. Méjean sur l'extension en Italie du mal qui frappe l’industrie séricicole, et de deux lettres de M. Champoiseau sur l’état sanitaire des Vers à soie dans la province de Philippopolis. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1858, t. XLVT, p. 864-865. — Rapport sur la statue, représentant un homme écorché, exécutée par M. Lamy. Comptes rendus Acad. se. Paris, 1858, t. XLVI, p. 714. — Réponse à des remarques faites à l'occasion de ce rapport par M. J. Cloquet. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1858, t. XL VI, p. 719. — Note sur l'angle pariétal et sur un goniomètre destiné à le mesurer. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1858, t. XLVI, p. 191-793 et 991-993. — Journal l'Institut, t. XXVI, 1858, p. 441. 1859. 1860. BULLETIN. XVII — Observations sur la question des générations spontanées. (En collabo- ration avec Bernard, Dumas et Payen). Ann. se. nat., 4° série, 1858, {. IX, p. 360-366. — Remarques concernant la question des générations spontanées, pré- sentées à l’occasion d’une communication de M. Milne Edwards. Comptes rendus Acad. se. Paris, 3 janvier 1859, t. XLVIIT, p. 30. — Rapport fait au nom de la sous-commission chargée par l’Académie d'étudier la maladie des Vers à soie dans le Midi de la France. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 21 mars 1859, t. XLVIIT, p. 552. — Éducation des Vers à soie. Formule pour une petite éducation destinée au grainage. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 28 mars 1859, t. XLVIIT, p. 610. — M. de Quatrefages transmet une note de M. Thamaron sur des Vers à soie élevés en plein air et dans un appartement non chauffé. Comptes rendus Acad. se. Paris, 11 juillet 1859, €. XLIX, p. 45. — Lettre accompagnant l'envoi d’une note de M. Charvet sur l'hygiène des Vers à soie. Comptes rendus Acad. se. Paris, 11 juillet 1859, €. XLIX, p. 62. — Nouvelles recherches sur la maladie des Vers à soie (dépôt du manuscrit). Comptes rendus Acad. sc. Paris, 21 novembre 1859, t. XLIN, p. 181. — Notice sur l’acclimatation de quelques Oiseaux. Conférence à la séance publique annuelle du 12 février 1859. Bull. Soc. zoo. accl., 1859, €. VI, p. zxr-1xiv (liré à part, 16 pages). — Les animaux utiles. Le Ver à soie. Revue des Deux Mondes, 1% mars 1860. — Essai sur l’histoire de la sériciculture et sur la maladie actuelle des Vers à soie. Brochure in-18. Paris, Masson, 1860, in-12, 70 pages. Réimprimé à la Revue des Deux Mondes en y ajoutant quelques notes, 1* mars 1860. — I Bachi da Seta. Revue des Deux Mondes, 1% mars 1860, trad. italienne, lvrea, Curbis, 1860, in-8, 52 pages. 5 _— Sur la maladie actuelle des Vers à soie : note accompagnant la présen- tation du volume où sont exposées les recherches faites en vertu de la mission que lui a confiée l'Académie en 1858. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 9 janvier 1860, {. L, p. 61-68. NOUVELLES ARGHIVES DU MUSEUM, 30 série — IV, C + XVIII NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Etudes sur les maladies actuelles des Vers à soie. Mém. Acad. sc. Paris, t. XX, p. 3-38 et 521-638 (tiré à part, 129 pages gr. in-À). — Présentation de cet ouvrage. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 23 avril 1860, t. L, p. 767. — Remarques à l'occasion d'une note de M. B.-J. Dufour sur la culture du Mûrier sauvageon en Turquie. Comptes rendus Acad. se. Paris, 19 mars 1860, {. L, p. 604. — Sur la couleur des cicatrices chez les hommes de race blanche dans les régions tropicales de l'Afrique et de l'Amérique; remarque à l’occasion d’un rapport fait par M. J. Cloquet. Comptes rendus Acad. se. Paris, A1 juin 1860, t. L, p. 1079. — Maladie des Vers à soie, note sur une éducation faite à Milan par M. le maréchal Vaillant en 1860. Comptes rendus Acad. se. Paris, 6 août 1860, €. LT, p. 186. — Sur le croisement des races humaines. Bull. Soc. anthr., 1860, t. TZ, p. 190-199 et 207-210. — Sur le dépérissement des races indigènes de l'Océanie et de la Guyane. Bull. Soc. anthr., 1860, t. I, p. 280-285-287-295-331-347. — Flèche en silex adhérente à une côte fossile d'Aurochs. Bull. Soc. anthr., 1860, t. Z, p. 303. — Sur un crâne brachycéphale de Pompét. Bull. Soc. anthr., 1860, {. I, p. 307. — Sur les Néo-Calédoniens. Bull, Soc. anthr., 1860, €. 7, p. 403-415. — Unité de l'espèce humaine. 1° Le règne humain. Revue des Deux Mondes, 15 décembre 1860. 2° L'espèce, la variété et la race. Revue des Deux Mondes, 1* janvier 1861. 3° Races végétales et animales. Revue des Deux Mondes, 15 janvier 1861. 4° Des variations dans les êtres organisés. Revue des Deux Mondes, 1° février 1861. 5° Origine des variétés et formalion des races dans les êtres organisés. Revue des Deux Mondes, 15 février 1861. 6° Du croisement dans les êtres organisés. Revue des Deux Mondes, 1 mars 1861. 1° Les théories polygénistes, le croisement des groupes humains. Revue des Deux Mondes, 15 mars 1861. 8° Les théories de M. Agassiz. Revue des Deux Mondes, 1* avril 1861. 1861. — Unité de l'espèce humaine. Paris, 1861, in-18 jésus de 420 pages. Paris, Hachette, trad, en russe: BULLETIN. XIX — KATPPASK A. EAUHCTBO POAA UEAOB'BUECKATO. (Edinstvo Roda Tchelovietcheskago.) Mockba, 1864, in-8, 244 pages. — Discours d'ouverture du cours d'anthropologie rédigé par M. I. Jac- quart, aide-naturaliste. 1°° lecon de la 2° partie. Gazette médicale. Paris, 1861 (tiré à part, 14 pages). — Note sur l'origine artificielle des amas de coquillages connus sous le nom de buttes de Saint-Michel-en-l'Herm, Vendée. Bull. Soc. géol. Paris, t. XIX, 1861-1862, p. 933-946. — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 21 avril 1862, { LIV, p. 816. — Discussion sur l’hérédité des caractères accidentels. Bull. Soc. anthr., 1861, p. 36-38. — Discussion sur les croisements de Retour. DulESoc ad antheAS GITE per — Discussion sur le volume et la forme du cerveau. Bull. Soc. anthr., 1861, €. IT, p. 207. — Discussion sur l’ethnologie de la France; sur les Juifs blonds; croise- ment des Juifs. Bull. Soc. anthr., 1861, €. IT, p. 406-407 et 417. — Sur les pierres à bassin. Bull. Soc. anthr., 1861, {. IT, p. 601. — De l'amélioration de l'espèce chevaline en France, par MM. de Quatre- fages et l'Herbette. Bull. Soc. zool. accl., juin et juillet 1861, 38 pages (tiré à part). — Funérailles de M. Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire. Discours de M. de Quatrefages au nom du Muséum, novembre 1861, Didot. 1862. — Éloge historique de M. Isidore Geoffroy-Saint-Hilaire, 25 avril 1862. Bull. Soc. zool. accl., 1862, {. IX, p. 251-278 (tiré à part, 22 pages). — Cours d'anthropologie du Muséum; Nègres asiatiques et Mélanésiens (première leçon rédigée par M. H. Jacquart, aide-naturaliste). Extrait de la Gazette médicale de Paris, année 1862, in-8, 15 pages. — Sculptures anthropologiques. Bull. Soc. anthr., 1869, t. III, p. 61. — Discussion sur les causes de la couleur de la peau. Bull. Soc. anthr., 1862, t. III, p. 184-135-137, et t. IV, 1863, p. 102-104 et 127. XX 1863. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. — Fouilles dans la forêt de Hagueneau. Bull. Soc. anthr., 1862, . LIT, p. 506. — Sur un monument dit Camp de César. Bull. Soc. anthr., 1869, t. LIT, p. 568-573. — Fertilité et culture de l’eau (conférence de la séance publique annuelle). Bull. Soc. zool. accl,, 1862, €. IX, p. xux (tiré à part, 32 pages). — Résultats d’une exploration faites dans les buttes de St-Michel-en-l'Herm. Bull. Soc. anthr., 1862, {. LIT, p. 188-190. — Métamorphoses de l’homme et des animaux. Paris, J.-B. Baillière, 1862, 4 vol. in-12, 326 pages. (Articles parus dans la Revue des Deux Mondes, 1855-1866). — Traduit en russe. — METAMOPHOSBI UEAOBKA 1 KRBO- THBIXE RATPHASRA. Metamorfosy tchelovieka à jivotnykh. Mockba, 1864, in-8, 220 payes. — Traduit en anglais. — Metamorphoses of Man and the Lower animals. Translated by H. Lawson Hardwicke. London, 1864, in-8, 284 pages. — Rapport sur un opuscule de M. Ferdinand de Luca : « Quelques idées sur la science de l’acclimatation. » Bull. Soc. géogr., 1862, 5° série, 1. IV, p. 387-389. — Note accompagnant la présentation d’un travail de M. Duhousset sur les races humaines de la Perse. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 16 mars 1863, t. LVI, p. 487-488. — Remarques accompagnant la présentation d’une note de M. Dufour sur la maladie des Vers à soie, d’après des observations faites en Orient. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 13 avril 1863, t. LVI, p. 691. — Note accompagnant la présentation d'un mémoire de M. Boucher de Perthes sur une mâchoire humaine découverte à Abbeville dans un terrain non remanié. | Comptes rendus Acad. sc. Paris, 20 avril 1863, t. LVI, p. 182-788 ; 27 avril 1863, Lt. LVI, p. 809-816; 4 mai 1863, €. LVT, p. 851-860 (tiré à part, avec une planche). — Observations au sujet des remarques de M. Élie de Beaumont sur la pièce en question. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 18 mai 1863, €. LVI, p. 933-935 et 938-939. — Observations à propos d’un mémoire de M. Pruner-Bey et de la note consignée par M. Élie de Beaumont dans le compte rendu de la précé- dente séance, concernant les fossiles de Moulin-Quignon. Comptes rendus Acad. se. Paris, 25 mai 1863, t. LVI, p. 1003-1004. 1864. BULLETIN. XXI — Sur les causes d'erreur contre lesquelles il faut se prémunir dans les recherches sur la question des générations spontanées, remarque à l'occasion d’une communication de MM. Joly et Musset. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1863, {. LVIT, p. 846. — Allocution en prenant le fauteuil de la présidence de la Société d’an- thropologie. Bull. Soc. anthr., 1863, t. IV, p. 98. — Discussion sur les crânes basques. Bull. Soc. d'anthr., 1863, t. IV, p. 70. — Sur l’action des milieux. Bull. Soc. d’anthr., 1863, t. IV, p. 139, 152, 158, 209-223, 242-244, 271-274, 350- 399, 315-318, 381-382. — Découverte d'une mâchoire humaine fossile dans le diluvium de Moulin- Quignon, près Abbeville. Bull. Soc. d'anthr., 1863, t. IV, p. 207-208. — Homme fossile, mâchoire d'Abbeville. Bull. Soc. d'anthr., 1863, t. IV, p. 298-300-3017. — Sur le non-cosmopolitisme de l’homme. Bull. Soc. anthr., 1863, t. IV, p. 368-371. — Crânes mérovingiens déformés. Bull. Soc. anthr., t. IV, p. 587. — Sépultures de l’âge de pierre. Bull. d’anthr., 1863, t. IV, p. 651. — Discours d'ouverture prononcé à l'Exposition universelle des races canines au Jardin d’acclimatation le 11 mai 1863 (tiré à part, 11 pages). — Rapport sur un ouvrage de M. J. Duval intitulé : Histoire de l’émigration européenne, asiatique et africaine au xix° siècle. Bull. Soc. de géogr., 1863, 5° série, €. V, p. 189-207 (tiré à part, 19 pages). — Remarques à propos d'une communication de M. de Khanikoff sur les crânes des Perses. Bull. Soc. de géogr., 1863, 5° série, t. VI, p. 453 à AT1. — Les races blanches, caractères généraux. Cours d'anthropologie au Muséum d'hist. nat. (AT et 24 sept. 1864). — Revue des cours scientifiques, 1864, t. I, p. 593-596 et 616-619. XXII NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Remarques à l’occasion d'une communication de M. Pinson sur les Bombyx Yama-Maï affectés de pébrine. Comptes rendus Acad. se. Paris, 23 mai 1864, t. LVIII, p. 970-971. — Silex laillés recueillis sur les bords de la mer, à Boulogne-sur-Mer, par M. Bouchard-Chantereaux. Comptes rendus Acad. se. Paris, 6 juin 186%, t. LVIIT, p. 1052. — Note relative à de nouveaux ossements humains découverts à Moulin- Quignon, par M. Boucher de Perthes. Comptes rendus Acad. sc. Paris, A1 juillet 186%, t. LIX, p. 107-111. — Sur la distribution géographique des Annélides. Comptes rendus Acad. se. Paris, 25 juillet 1864, t. LIX, p. 170-174. — Ann. mag. nat. hist., t. XIV, 1864, p. 239-240. — Élevage des Vers à soie, influence heureuse de la feuille de Mürier non greffé constatée par madame de Lapeyrouse. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 26 décembre 1864, t. LIN, p. 1064. — Monsieur de Quatrefages accompagne de quelques remarques une note de M. Van Beneden sur la découverte d'ossements humains enfouis avec des ossements d'animaux qui n’habitent plus le pays (renne, ours, glouton, castor). Comptes rendus Acad. se. Paris, 26 décembre 1864, t. LIX, p. 1089. — Sur l'anthropologie de la Sicile. Bull. Soc. anthr., 1864, t. V, p. 52. — Instruction pour le littoral de la mer Rouge. Bull. Soc. d’anthr., 1864, {. V, p. 186. — Incertitude des mesures prises sur les crânes moulés en plâtre. Bull. Soc, anthr., 1864, €. V, p. 437. — Traditions des Tigues au sujet de l'arbre des Mexicains. Bull, Soc. anthrop., 1864, €. V, p. 438-443. — Sur l’acclimatement. Bull: Soc. anthr., 1864, €. V, p. 958-959-960. — Les Polynésiens et leurs migrations : 1° Caractères physiques el moraux des Polynésiens. Revue des Deux Mondes, 1° février 1864. 2° Origine et migrations des Polynésiens. Revue des Deux Mondes, 15 février 1864. — Discours prononcé à l'inauguration de la statue de Daubenton. Bull. Soc. zool. accl., 1864, t. I, p. 647-675. BULLETIN. XXIIL 4865. — Discours aux funérailles de M. Valenciennes au nom du Muséum (samedi 15 avril 1865, in-4). — Discours d'ouverture prononcé à l'Exposition universelle des races canines au Jardin d’acclimatation le 17 mai 1865 (liré à part, 8 pages). Bull. Soc. zool. accl., 1865, t. IT, p. 647-675. — Discours présidentiel, lu dans la séance du 4 juin 1863, de la Société d'anthropologie de Paris. Mém. Soc. anthr., 1865, t. II, p. 1 à vr. — Remarques à l’occasion d’une communication de M. Lioy sur les habitants des cavernes et des cités lacustres. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 9 janvier 1865, t{. LX, p. 86. — Sur les silex taillés du Grand Pressigny, observations à propos d'une brochure de M. de Mortillet. Comptes rendus Acad. se. Paris, 15 mai 1865, t. LX, p. 1001. Matériaux hist. prim. et nat. de l'homme, 1865, t. 1, p. 429-431. — Rapport sur le concours de l’année 1865 pour le grand prix des sciences physiques, sur le travail ostéologique qui aurait le plus contribué à l'avancement de la paléontologie française. Travail de M. A. Milne- Edward's intitulé : Recherches sur l'anatomie comparée et la paléon- tologie pour servir à l’histoire de la faune ornithologique française aux époques tertiaires et quaternaires. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1865, t. LXIT, p. 506. — Note à propos de l'ouvrage de M. Martino intitulé : Du Spitzherg au Sahara. Comptes rendus Acad. se. Paris, 20 novembre 1865, 1. LAT, p. 895. — Mémoire sur la distribution géographique des Annélides, Nouv. Arch. Mus. hist. nat. Paris, 1865, £. TZ, p. 1 à 14. — Coup d'œil sur la famille des Syllidiens. Angers, Ann. Soc. Linn., 1865, t{. VIT, p. 145-153, — Note sur la classification des Annélides en réponse aux observations de M. Claparède. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1865, €. LX, p. 586-600. — Journal l’Institut, n° 816. — Ann. sc. nat., 5° série, 1865, €. LIT, p. 253-296. — Ann. mag. nat. hist., 1866, t. XVII, p. 1-21 et 107-118. — Cours d'anthropologie au Muséum d'histoire naturelle, 1865 (rédigé par M. L. Hallez). Revue des cours scientifiques, t. IT, 1865. 1° Unité de l'espèce humaine (lecon d'ouverture), p. 538-5141, XXIV NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 2 Examen de la théorie d'Agassiz, p. 581-584. 3° Critique de la doctrine d'Agassiz, p. 601-605. 4° Examen de la théorie d’Agassiz. — Cantonnement primitif et lieu d'habitation de l’homme, p. 618-621. 3°-6° De l’homme anté-historique, p. 649-653; 666-668. 1° Migrations par terre, p. 668-671. 8° Migrations par mer. Physique générale du globe, p. 695-696. 9° Migrations polynésiennes, p. 105-709. 10° Peuplement de la Nouvelle-Zélande, de Tahiti et des Sandwich, p. 724-727. 11° Peuplement des Kingsmill. Époques des migrations polynésiennes, p. 130-733. 12 Peuplement de l'Amérique. Races américaines, p. 133-736. 13° Peuplement de l'Amérique. Rapports avec l'Asie, p. 671-TI0. 1% Relations entre le Nouveau Monde et l'Europe, antérieurement aux découvertes de Christophe Colomb, p. T10-713. 15° De l’acclimatation, p. 711-780. 16° Colonisation de l'Algérie, p. 180-783. 17 Considérations générales sur l'acclimatation, p. 804-806. 18° De l’homme primitif, p. 812-816. 1866. — Discussion sur la théorie de Darwin. Bull. Soc. anthr., 1865, t. VI, p. 18-19. — Histoire naturelle des Annélides et des Géphyriens. 2 vol. in-8, atlas de 20 pl. en trois tomes. Paris, Roret, 1865. Suites à Buffon. — Programme d'une histoire générale des races humaines. Brochure in-8, s. d., 18 pages. Paris, imp. J. Claye. — Discussion sur le règne humain. Bull. Soc. anthr., 2 série, 1866, t. T, p. 166-168, 229, 270-273, 277. — Sur trois têtes d'Esthoniens et sur le prognathisme chez les Français. Bull. Soc. anthr., 1866, t. 7, p. 284-290. — Discussion sur l’homme et les animaux. Bull. Soc. anthr., 1866, €. J, p. 291-299, 294, 295, 306, 307. — Sur le Gorille. Bull. Soc. anthr., 1866, t, Z, p. 648-649. — Sur les Polynésiens, ouvrage présenté avec notes. Bull, Soc. anthr., 1866, t. Z, p. 649-651. — Discussion sur l'espèce et la race. Bull. Soc. anthr., 1866, t. 7, p. 657-659, 661-662. — Les Polynésiens et leurs migrations, 1 vol. in-4, avec 4 cartes, 200 pages. Paris, Arthur Bertrand, 1866. 1'° partie. Caractères généraux de la race polynésienne, p. 1 à 79. 1867. BULLETIN. XV 2° parte. Origine et migrations des Polynésiens, p. 19-179. Appendice, p. 179-200. — Note relative aux Polynésiens et à quelques races blanches allophyles. Bull. Soc. géogr., 1866, 5° série, t. XIT, p. 476-482 (En présentant à la Société son ouvrage : Les Polynésiens et leurs migrations). — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 12 novembre 1866, {. LATIT, p. 146, 813-816. — Matériaux hist. prim. et nat. de l'homme, 1867, t. III, p. 86-91. — Carte des migrations océaniennes exposée au congrès des sciences géographiques (gravé par Erhard). — Note accompagnant la présentation d’un ouvrage intitulé : Histoire naturelle des Annélides et des Géphiriens. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1866, t. LXII, p 506, et t. LXIIT, p. 146. — Conférences populaires faites à l'asile impérial de Vincennes. Le ver à soie et la sériciculture. Paris, Hachette, 1866, 51 pages in-18. — Discours prononcé dans un banquet à la viande de cheval. Bull. Soc. zool. accl., 1866, €. IT, p. 456, 457. — M. de Quatrefages, en faisant hommage à l'Académie, au nom de M. Vost O te) nl Lo)) d’un ouvrage ayant pour titre « Mémoire sur les microcéphales ou (e) . hommes singes », présente quelques réflexions à propos des idées émises par l’auteur. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 17 juin 1867, t. LXIV, p. 12%. — Histoire de l'homme. Conférences populaires faites à l'asile impérial de Vincennes. 1° Unité de l'espèce humaine, 50 pages, 1867. 2° Questions générales, 51 pages, 1868. 3° Origine de l’homme, 51 pages, 1868. 4 Caractères physiques des races humaines, 51 pages. ° Caractères intellectuels, moraux et religieux des races humaines, 52 pages. Paris, Hachette, 1867-1868. Trad. en italien, hollandais, suédois el anglais (Amérique). © — Storia dell” Uomo per A. di Quatrefages. Traduzione del canonico Gaetano Righi, Firenze, 1869-1870, 115 pages in-8 — Elk Wat Wils. Geschiedenis Van den Mensch, Naar heet franseh Van A. de Quatrefages. Door G. H. Rissik, Zutphen Wansleven, 1868, 180 pages. — Menniskans historia, del menskliga slägtets ursprung ôch utveckling af A. de Quatrefages. Stockholm, Bergh, 1873, in-12, 147 pages. — Natural history of the man by A. de Quatrefages, Boston. — Formation des races humaines mixtes (Extrait du rapport). 1° Croisement des races dans le Nouveau Monde. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM 30 série. — IV. XXVI NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 2° Origines européennes. 3° Moyen àge. Revue des cours scientifiques, 3 août 1867, {. IV, p. 561-567. — Mode de cassure des ossements des cavernes. Bull. Soc. anthr., 1867, t. IT, p. 290-293-294. 1868. — Rapport sur les progrès de l'anthropologie en France. 1 vol. gr. in-8. 510 pages. Paris, impr. impériale. Bull. Soc. anthr., 1867, €. IIT, p. 6-1. — Sériciculture. Rapport de l'Exposition universelle de 1867 (Tirage à part, in-8, 24 pages). — Aliocution prononcée à l’occasion de la nomination de M. V. A. Malte- Brun comme secrétaire général honoraire de la Société de géographie. Bull. Soc. géogr., 1867, 5° série, t. XIII, p. 443-446. — Emigration du Renne. Congrès d’anthrop. préhist., 1868. Comptes rendus de la 2 session. Paris, p. 61. — Importance des études ethnographiques, id., p. 237. — Sur un gisement du bronze, id., p. 248. — Discussion sur une question anthropologique, id., p. 362-417. — Cours d'anthropologie au Muséum d'histoire naturelle, 1868. Rédigé par M. A. Anglivel. 1° Indication de la méthode suivie par l'auteur, p. 366-361. 2° et 3° Distinction des règnes de la nature. — Règne humain, p. 431-438. 4° Génération spontanée, p. 450-452. 5° filiation. — Individu. — Etres composés. — (Généagénèse. — Famille. — Défini- lions diverses de l'espèce, p. 452-455. 6° De l'espèce en général, p. 495-499. 7 Faits invoqués par les partisans de l’invariabilité des espèces, p. 199-503. 8° Variabilité de l'individu. — Variabilité de l'espèce. — Variété. — Race, p. 510-513, 9° Races domestiques végétales, p. 513-518. 10° aces domestiques chez les Oiseaux (Pigeons, Cogs), p. 528-539. 11° Jaces animales domestiques (Lapins, Anes, Chevaux), p. 532-336. 12° Races animales domestiques (Chiens), p. 541-550. 13° Jèaces animales domestiques (Pores, Chèvres, Bœufs), p. 559-564. 1% Zaces végétales et animales libres, p. 579-584. 15° Jiaces libres. — Application à l'histoire de l'Homme, p. 592-596. 16° Règne végétal et animal. — Nature des variations, p. 596-600. à 17 et 18° Races végétales, animales, humaines. — Observations générales. — Etendue des variations, p. 621-630. 19 Z£tndue comparative des variations des caractères internes dans les races animales el humaines, p. 655-660. 20° Causes générales de l'apparition des variétés et de la formation des races. — Innéité. — Hérédilé. — Action des milieux, p. 660-664. 21° Hérdité. — Son double rôle conservateur et modificateur, p. 685-688. 22° «1 23°, Le milieu. — Ses actions directes et indirectes, p. 689-693. BULLETIN. XXVII 24° Centres de création. — Formation des races sauvages. — Influence de l'homme, p. 693-696. 25° Formation des races domestiques, p. 707-712. 26° Formation des races humaines. — Influence du milieu. — Coloration de la peau, p. 120-795. — Rapport sur les progrès de l'anthropologie. Bull. Soc. anthr., 1868, t. III, p. 6-7. — Observations sur une brochure de M. À. de Claparède intitulée : De la structure des Annélides. Comptes rendus Acad. se. Paris, 20 janvier 1868, t. LA VI, p. 113-191. — Observations relatives à la possibilité d'obtenir des savants hollandais des documents sur les chances de beau temps que peut présenter l'archipel indien pour l'observation de l’éclipse. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 3 février 1868, t. LXVI, p. 227. -— Remarques sur l’analogie qu'on peut observer entre les résultats de la dilution du vaccin et ceux qu’entraine la dilution du liquide fécondant. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 17 février 1868, t. LAVI, p. 322. — Observation à propos d’un ouvrage que vient de publier M. O0. Schmidt sous le titre : Spongiaires de la côte d'Algérie. Comptes rendus Acad. se. Paris, 21 juillet 1868, p. 1AL. — M. de Quatrefages entretient l’Académie des résultats contenus dans l'ouvrage de M. Sven Nilsson intitulé : Les habitants primitifs de la Scandinavie. Comptes rendus Acad. se. Paris, 21 décembre 1868, t. LAVIT, p. 1212. — Sur les caractères crâniens selon les âges. Bull Soc anthr, 1868; IT, p20,22,.23 24, — Sur les types basques. Bull. Soc. anthr., 1868, t. III, p. 103-107. — Anomalies dentaires. Bull. Soc. anthr., 1868, t. III, p. 179. — Discussion sur les habitants de l'Aveyron. Bull. Soc. anthr., 1868, {. III, p. 197-200. — Sur des mouvements de terram constituant des travaux de défense aux environs du camp de César, près Cambo. Bull. Soc. anthr., 1868, t. III, p. 206-211. — Matémaux hist. prim. et nat. de l’homme, 1868, t, IV, p. 398, XXVIIL NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. 1869. — Discussion sur l'anthropologie. Quatrième congrès d'anthropologie de Copenhague, p. 8%, 1869. — Discussion sur les antiquités de la Roumanie. Quatrième congrès de Copenhague, 1869, p. 193. — Un faux Kjokkenmôdding en France. Quatrième congrès de Copenhaque, 1869, p. 183. — Discussion sur les microcéphales et sur l’origine de l'homme. Quatrième congrès de Copenhaque, 1869, p. 235-240. — Le camp de César, près Cambo (Basses-Pyrénées). Quatrième congrès de Copenhaque, 1869, p. 265. — Rapport sur le concours pour le prix Godard, 1868-1869. Bull. Soc. anthr., 1869, p. 502-598 (tiré à part, 1870, 28 pages). — Revue des cours scientifiques, 1869, €. VI, p. 583-590. — Matériaux hist. prim. et nat. de l’homme, 1869 MSNM — Observations relatives à un ouvrage de M. Claparède intitulé : Les Annélides chétopodes du golfe de Naples et réponse à ses critiques. Con pie rendus Acad. se. Paris, 25 janvier 1869, 1. LXVIIT, p. 161-171. — Note sur la disposition des couches musculaires chez les Annélides. Ann. sc. nat, 5° série, 1869, t. XT, p. 309-323, 1 pl. (pl. 5). — Note sur les systèmes musculaire, vasculaire et nerveux et sur l'organe auditif de la trompe chez la marphyse sanguine. Ann. sc. nat., 5° série, 1869, 1. XI, p. 323-326, pl: Get \T. — Sur les Abyssins. Bull. Soc. anthr., 1869, t{. IV, p. 64-65. — Phénomène d’hérédité et d’atavisme. PBulleSoctanthr ASC MEANS — L'homme de l’âge de l'ours. Bull. Soc. anthr., 1869, €. IV, p. 184-185. — Sur les Bœufs Niata et Tihota. Bull. Soc. anthr., 1869, f. IV, p. 184-185. — The formation of the mixed human races. Transl. anthrop. Review, 1869, t. VIT, p. 22-40. — Réponse à une lettre de M. Devaillé. Revue des cours scientifiques, t. VI, p. 240-241, 1870. BULLETIN. XXIX — Discours sur les animaux domestiques. Bull. Soc. zool. accl., février 1869, €. VI, p. xxv1 à xxxIv (tiré à part, 9 pages). — Origine des espèces animales et végétales : 1° Les Précurseurs francais de Darwin. Revue des Deux Mondes, 15 décembre 1868. 2 La théorie de Darwin. Revue des Deux Mondes, 1°" janvier 1869. 3° Discussion des théories transformistes. Revue des Deux Mondes, 1°" mars 1869. % Darwin et les théories transformistes. L'espèce et la race. Revue des Deux Mondes, 15 mars 1869. ° Théorie de la transformation progressive et de la transformation brusque. Origine ancienne de l’homme. Revue des Deux Mondes, 1° avril 1869. e O7 — Charles Darwin et ses précurseurs français. Étude sur le transformisme. Paris, G. Baillière, 1870, 1 vol. in-8, 378 pages. Reproduction des articles de la Revue des Deux Mondes, 1868-1869, avec quelques modifications. — L'homme et les théories transformistes. Matériaux hist. prim. et nat. de l’homme, 1870, t. VI, p. 383 (Extrait du volume Ch. Darwin et ses précurseurs français). — L'acclhimatation des races humaines. Revue des Deux Mondes, 15 décembre 1870. — Le Congrès international d'archéologie préhistorique, session de Copenhague. 1° Les musées antéhistoriques de Copenhaque. Revue des Deux Mondes, 15 avril 1870. 2 Origine de la civilisation scandinave. Revue des Deux Mondes, 15 mai 1870. — Histoire naturelle générale, origine des espèces. — Contribution to theory of natural selection. AÀ series of Essays by Alfred Russel Wallace (London, 1870). Journal des savants, t. LV. ® article, septembre, p. 529-543. — % article, octobre, p. 608-622. — 3° article, déc., p. 760-770, 1870. — 4° article, janv., p. 15-32, 1870-1871. — Obsèques d’Auguste Duméril. Discours prononcé au nom de la Société d’acclimatation. Bull. Soc. z0ol., 1870, t. VII, p. 625-626. — Discussion sur l’art de faire du feu. Bull. Soc. anthr., 1870, t. V, p. 73-75-85. — Muscles de la face d’un négrillon. Bull. Soc. anthr., 4870, t. V, p. 116. — Le transformisme. Bull. Soc. anthr., 1870, t. V, p. 156-157, 239-312. XXX 1871. 1872. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Communication faite à la suite de ja lecture de M. H. Sainte-Claire Deville sur l'intervention de l’Académie dans les questions générales de l'organisation scientifique en France. Comptes rendus Acad. se. Paris, 13 mars 1871, {. LXXIT, p. 264-368. — Revue des cours scientifiques, 1870, €. VIT, p. 805-807. — Discussion sur les origines de la civilisation. Bull. Soc. anthr., 1871, 2 série, t. VI, p. 84-86. — Sur le peu d'importance des caractères histologiques pour la spécifi- cation. Note dans une discussion. Bull. Soc. anthr., 16 novembre 1871, 2 série, {. VI, p. 360-364. — Sur les anciennes populations d'Europe. Paris, 10 novembre 1871. Lettre de M. de Quatrefages. Cinquième congrès de Bologne, 18, p. 519-5922. — La caractéristique de l'espèce. Bull. Soc. anthr., 2 décembre 1871, 2 série, t. VI, p. 436-439. — Sur les origines anthropologiques des populations européennes. Lettre à M. Cartailhac, 8 pages (tiré à part, 29 novembre 1871). — L'acclimatation des races humaines. Bull. Soc. z0ol. accl., 1871, t. VIII, p. 254-269. — Discours prononcé aux funérailles de M. G. Lambert. Bull. Soc. de géogr., lundi 30 janvier ASTE, 6° série, €, I, p. 134-136. — La race prussienne. Revue des Deux Mondes, 15 février 1871. — Revue scientifique, 1873, t, IV, p. 989-1000. — La race prussienne. Paris, Hachette, in-12, 1871, 110 pages, 1 plan du Muséum (traduit en anglais). — The prussian Race translated by Isabella Innes. Virtue et C°. London, 1872, 87 pages, crown, in-8. — Présentation à la Société d'anthropologie de l'ouvrage sur la race prussienne. Bull. Soc. anthr., 21 septembre 1874, 2 série, t. VI, p. 182-185. — Articles sur : Histoire naturelle de l’homme. Précis de paléontologie humaine, par le D'E.-T. Hamy. Paris, 1870. Journal des savants, t. LVI, 1% article, février A8T1, p. 13-87. 2° article, avril, mai, juin, p. 194-226. x — L'association pour l'avancement des sciences à Bordeaux, du 5 au 11 septembre 1872 (notice de 12 pages). BULLETIN. XXXL — Articles sur : The native races of the indian archipelago Papuans, by George Windsor Earl. M. R. A. S. London, 1853. Journal des savants, t. LVII, 1872, 1" article, octobre, p. 611-636. 2% article, décembre, p. 180-193. — Article sur : The Malay archipelago a narrative of Travels With studies of man and nature by A. Russell Wallace, ch. xz. — Les races humaines dans l'archipel malais. Journal des savants, février 1872, t. LVII, p. 96-110. — M. de Quatrefages appelle l’attention de l’Académie sur les résultats fournis par un ouvrage récent de M. Chantre intitulé : Les Palafittes constructions lacustres du lac Paladru. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 15 janvier 1872, {. LXXIV, p. 204. — Observations à propos de la communication du P. Secchi, sur les lueurs phosphorescentes de divers corps organisés. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 5 août, 1872, t. LXXV, p. 322. — Races nègres : Étude sur les Mincopies et sur la race négrito en général. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 5 août 1872, t. LXXV, p. 309-314. — Revue anthr., 1872, t. VI, p. 31-18 et 193-249, 4 figures et 1 planche. — Association scien- tifique de France, 8 septembre 1872 : Bull. hebd., n° 253. — Les Négritos. Bull. Soc. de géogr., 1872, G° série, t. III, p. 306-310. — Note sur quelques animaux invertébrés du bassin d'Arcachon. Association française pour l’avancement des sciences, Comptes rendus, t. 1, 1872, p. 652-656. — Remarque sur un crâne humain découvert en Californie dans un terrain considéré comme tertiaire. Sixième congrès anthropologique, session de Bruxelles, 1872, p. 107. — Remarque sur les haches en néphrite et en jadeite. (Remarque sur une communication de M. Desor.) Sixième congrès anthropologique, session de Bruxelles, 1872, p. 355-356. — Remarque sur la race qui a élevé les dolmens. Sixième congrès anthropologique, session de Bruxelles, 1872, p. 423. — Note relative aux deux types de crânes du dolmen de Borreby. Sixième congrès anthropologique, session de Bruxelles, 1872, p. 425-430. — Sur les races humaines de l’Europe. Sixième congrès anthropologique, session de Bruxelles, 1872, p. 580. XXXII NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — emarques sur les migrations. Sixième congrès anthropologique, session de Bruxelles, 1872, p. 598. — Sur le développement rétrograde ou récurrent. Bull. Soc. anthr., 1872, 2° série, t. VII, p. ASG. — Observations sur les Koloches. Bull. Soc. anthr., T novembre 1872, 2° série, t. VIT, p. 810-811. — Observations à propos de la thèse de M. Brulfert sur les migrations des Polynésiens. Bull. Soc. anthr., 21 novembre 1872, 9° série, t. VII, p. 822-830. — De l’unité de la race humaine. Congrès se. géogr. Anvers, 1872, t. IT, p. 366-384. — Note sur la pomme de terre (Early-Rose). Bull. Soc. zool. accl., 1872, t. IX, p. 20-21. — M. de Quatrefages rend compte, en son nom et au nom de M. Edmond Becquerel, de la mission qui leur a été donnée pour assister à la solennité du centième anniversaire de la fondation de l’Académie de Belgique. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 3 juin 1872, t. LXXIV, p. 1433. 1873. — Articles sur : Transactions and Proceedings of the New Zealand institut, 1869-1871. — Notes et mémoires relatifs à l’histoire des races humaines locales. Journal des savants, 1% article, t. LVIITI, 1873, janvier, p. 5-19 : 2° article, mars, p. 150-167. — Articles sur : À phrenologist among the Todas, on the Study of a pri- mitive tribe in south India history, character, customs, religion, infanticide, polyandry, language, by William, E. Marshall, lieutenant- colonel, of her majesty's Bengal Staff corps. London, 1873. Journal des savants, 1° article, décembre 1873, t. LVIIT, p. 729-745 : 2 article, janvier 1874, t. LIN, p. 5-29 : 3° article, février 1874, t. LIN, p. 96-106 : 4° article, janvier 1875, {. LA, p. 30-22. — Discours d'ouverture, au congrès de Lyon, de l'association française pour l'avancement des sciences, 1873, p. 1 à 14 (tirage à part). « Le siècle de la science et l’enseignement scientifique. » Revue scientifique, 1873, t. XII, p. 169-172. — Plan horizontal de la tête. Bull. Soc. anthr., 2 janvier 1873, t. VIII, p. 95. 1874. BULLETIN. XXXIII — Sur les populations du bassin de l'Amour. Bull. Soc. anthr., 10 janvier 1873, t. VIIT, p. 117-118. — Question sur les métis. Bull. Soc. anthr., 20 février 1873, t. VIIT, p. 222. — Sur les Celtes. Bull. Soc. anthr., 20 mars 1873, t. VIIT, p. 251. — Sur les Léporides. Bull. Soc. anthr., 1873, t. VIIT, p. 279-280, 288-292. — Observations sur un mobilier préhistorique en Sibérie (civilisation ancienne du Haut Nord). Bull. Soc. anthr., 1° mai 1873, t. VIII, p. 449-450. — L'homme chien et son fils. Bull. Soc. anthr., 16 octobre 1873, t. VIII, p. 145-746. — Anneau de Solutré. Bull. Soc. anthr., 6 novembre 1873, t. VIII, p. 802-805, 814-815. — Les dolmens de l'Afrique. Bull. Soc. anthr., 10 janvier 1873, t. VIII, p. 120-1921. — Crania Ethnica, 1" liv. Races humaines fossiles. Race de Canstadt. (En collaboration avec E.-Th. Hamy, Paris), présentation du 1° fascicule. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 2 juin 1873, t. LXXVI, p. 1313-1317. — Revue anthr., 1873, t. II, p. 321-333, 5 figures. — Crania Ethnica, (En collaboration avec E.-Th. Hamy.) La race de Cro-Magnon dans l’espace et dans le temps (présentation du 2° fasci- cule). Comptes rendus Acad. sc. Paris, 3 mars 1874, {. LXXVIIT, p. 861-867. — Revue anthr., 1874, t. LIT, p. 526-528. — Bull. Soc. anthr., 1874, t. IX, p. 260-266. — Observations relatives à une communication de MM. L. Lartet et Chaplain Duparc, sur une sépulture des anciens troglodytes. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 27 avril 1874, t. LXXVIIT, p. 1936. — Observations sur les races naines africaines, à propos de photographies d’Akkas envoyées par M. le professeur Panceri. . Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1% juin 1874, t. LXX VIII, p. 1518-1593. — Sur l’âge de la pierre polie en Suède. - Septième congrès anthropologique, session de Stockholm, 1874, p. 148. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM, 3e série. — IV. e XXXIV NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Sur l’anthropologie et sur les souvenirs de l’âge de pierre dans les pays du Nord. Septième congrès anthropologique, session de Stockholm, 1874, p. 210-217, 225-297. — Sur une ancienne sépulture des anciens Troglodytes des Pyrénées. Septième congrès anthropologique, session de Stockholm, 1874, discussion, p. 321-398. — Discussion sur les monstres doubles. Monstres doubles dans la classe des poissons. Bull. Soc. anthr., 22 avril 1874, 2 série, t. IX, p. 318-320. — Examen de deux nègres pygmées de la tribu des Akkas. Bull. Soc. anthr., 18 juin 1874, 3° série, t. IX, p. 257, 500 et 506. — Article Akkas ou Tikki-Tikkis (Encyclopédie?), p. 29-30. S. L. N. D. — Société d'enseignement professionnel du Rhône, distribution des récom- penses. Discours de M. de Quatrefages, prononcé le 28 juin 1874. Lyon, Storck., 1874, in-4, 8 pages. Revue scientifique, 1874, t. XIV, p. 58-64. — Races, article du Dict. des sciences médicales de Dechambre, 3° série, t. I, p. 360-376. Paris, 1874. — Races humaines, id., p. 376-391. — Sur les races Moriori (îles Chatham) et Maori (Nouvelle Zélande). Revue anthr., 1874, t. IIT, p. 95-108. , — Les habitants de la Nouvelle-Zélande. Revue scientifique, 6 juin 1874, t. XIIT, p. 1149-1158. — Article sur : À serie of six lectures by prof. Agassiz (the New-York tribune extra numero 30 décembre 1873). Recollections of Agassiz by Theodore Lyman (Reprinted from Atlantic Monthly), february 1874. Journal des savants, avril 1874, €. LIX, p. 246-264. 4875. — Reliquiæ Aquitanicæ de Lartet et Christy. London, 1865-75. — Remarks on the human remains from the cave at Cro-Magnon, p. 123-125. — Articles sur: Jottings during the Cruise of H. M. S. Curaçaoa among the south sea Island in 1869 by Julius L. Brenchley, M. A. F. R. G. S. With numerousillustrations and natural history notices. London, 1873. The cruise of the Rosario amongs the New Hebrides and Santa Cruz Islands. Exposing the recent atrocities connected with the kindnaping of natives in the south seas, by Albert Hasting Markham, commander royal navy, with map and illustrations. London, 1873. Journal des savants, 1° article, mai 1875, p. 299-310 : 2° article, décembre 1875, p. 134-751 : 3° et dernier article, avril 1876, 204-218. — Crania Ethnica. (En collaboration avec E.-Th. Hamy.) Races humaines 1876. BULLETIN. XXXV fossiles, mésaticéphales et brachycéphales (présentation du 3° fasci- cule.) Comptes rendus Acad. sc. Paris, 11 janvier 1875, {. LXXX, p. 73. — Bull. Soc. anthr., 1875, 2° série, t. VIII, p. 819-8926. — Revue anthr., 1875, t. IV, p. 325-329. — Matériaux hist. prim. et nat. de l’homme, 1875, t. X, p. 8-58. — Phosphorescence des invertébrés marins. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 25 janvier 1875, t. LXXX, p. 229-330. — Assoc. scient. franc., Bull. hebd., n° 384, 14 mars 1875, p. 381. — Observations relatives à une note de M. Barrois intitulé : « Des phéno- mènes généraux de l'embryogénie des Némertiens. » Comptes rendus Acad. sc. Paris, 25 janvier 1875, t. LXXN, p. 273. — Note accompagnant la présentation, au nom de la Commission exécutive du congrès international de géographie, d’une brochure où sont réunis les divers documents relatifs à ce congrès. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 17 mai 1875, t. LXXX, p 19263. — Discussion sur la scaphocéphalie. Bull. Soc. anthr., 7 janvier 1875, t. À, p. 25-926. — Discussion sur les microcéphales. Bull. Soc. anthr., 21 janvier 1875, t. X, p. 69, 77-78. — Discussion sur les populations des îles Wallis. Bull. Soc. anthr., 1* avril 1875, t. X, p. 210-211. — Discussion sur les métis australiens. Bull. Soc. anthr., 1% avril 1875, t. À, p. 237-239. — Crania Ethnica. (En collaboration avec M. E.-Th. Hamy.) Têtes osseuses de races humaines, fossiles et actuelles. — Histoire de la craniologie ethnique. — Race négrito (présentation du 4° fasc.). Comptes rendus Acad. sc. Paris, lundi 3 janvier 1876, €. LXXXII, p. 56-61. — Revue anthr., 1876, {. V, p. 326-329. — M. de Quatrefages donne quelques détails sur la découverte faite par M. Capellini, de divers ossements de cétacés portant des empreintes, regardées comme des entailles faites par un instrument tranchant. Comptes rendus Acad. se. Paris, 31 janvier 1876, t. LXXXII, p. 348. — Remarques à propos d’un travail de M. Capellini portant pour titre : « L'homme pliocène en Toscane. » Comptes rendus Acad. sc. Paris, 10 juillet 1876, t. LXXXIII, p. 122. — Sur l’angle pariétal de M. de Quatrefages. Bull, Soc. anthr.;, 20 janvier 1876, t. XI, p. 31-32. XXXVI 1871. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Sur le dolmen de l’Aumède. Bull. Soc. anthr., 16 mars 1876, t. X1, p. 156-157. — Sur la conchyliologie des cavernes. Bull. Soc. anthr., 6 avril 1876, t. XI, p. 185-186. — Sur l’ethnologie et l’ethnographie. Bull. Soc. anthr., 20 avril 1876, t. XI, p. 224, 225, 227, 298. — Sur l'anthropologie de la province d'Oran. Bull. Soc. anthr., 19 octobre 1876, t. XI, p. 467. — Sur un crâne ancien trouvé dans le port de Saint-Nazaire. Bull. Soc. anthr., 1876, t. XI, p. 472. — Théories transformistes et évolutionistes. — Considérations philoso- phiques sur l'espèce et sur la variété, par M. Naudin, membre de l’Institut (Rev. hort., 1852). — Les espèces affines et la théorie de l’évolution, par le même. (Bull. Soc. bot. de France, 1874.) Journal des savants, 1° article, février 1877, t. LXI, p. 96-106 : 2° article, mars 1871, p. 157-172. — Les races humaines fossiles. La race de Canstadt, 3 février 1877. Extrait de l’ouvrage : « L'espèce humaine. » Revue des cours scientifiques, 1871, t. XIX, p. 150-1751. — Sur un pigeon monstrueux du genre déradelphe (synanencéphale). Assoc. scient. franc., congrès du Havre, 25 août 1877, p. 1 à 14, 1 pl., t. VI, pl. XII (tiré à part). — Remarque sur un mémoire de M. Fol, relatif au développement d’une étoile de mer (similitude avec les œufs non fécondés des hermelles). Comptes rendus Acad. sc. Paris, 19 février 1871, t. LXXXAIV, p. 360. — Crania Ethnica. (En collaboration avec M. E.-Th. Hamy.) Craniologie des races négrito et négrito-papoue (présentation du 5° fasc.). Comptes rendus Acad. sc. Paris, 22 janvier 1871, t. LXXXIV, p. 139. — Revue anthr., 1877, t. VI, p. 295-300. — L'espèce humaine, 1 vol. in-8, 368 pages, 9° édition, G. Baillière, 1877, 10° édition, Paris, Alcan, 1890. Bibliothèque internationale sous la direction de E. Alglave, publié en français, anglais, allemand et italien. — The human species, crown in-8. London, Paul Kegan, 1879. — Das menschengeschlecht. Von A. de Quatrefages. Leipzig, F. A. Brock- haus, 1878, 2 vol. in-8. — La specie Umana. Milano. Fratelli Dumolard, 1877, in-8, 599 pages. 1878. 1879. BULLETIN. XXXVII — Présentation d'un volume publié sous le titre : « L’espèce humaine. » Comptes rendus Acad. sc. Paris, 19 février 1877, t. LXXXIV, p. 317-393. — Les migrations et l’acclimatation en Polynésie (conférence, 9 juin 1877). Bull. Soc. zool. d’accl., 1877, t. IV, pp. xxxiV-Lvi, 1 carte (tiré à part, 20 pages). — Revue scientifique, 18717, t. XIX, p. 1180-1186. — Sur la religiosité. Bull. Soc. anthr., 18 janvier 1877, t. XIT, p. 69-72. — Crania Ethnica. (En collaboration avec M. E.-Th. Hamy.) Craniologie de la race tasmanienne. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 25 mars 1878, t. LXXXVI, p. 739-745. (Présen- tation du 6° fascicule). — Revue anthr., 18178, t. I, p. 685-687. — Sur la race tasmanienne. (En collaboration avec M. E.-Th. Hamy.) Extrait de la note à l’Académie. Bull. hebd. Assoc. scient. de France, T avril 1878, t. XXII, p. 9. — Article sur : L'origine de la Tasmanie. — Daily life and origine of the Tasmanians by James Bonwick author of the Last of the Tasmanians. London, 1878. Journal des savants, 1% article, avril 1878, p. 219-235 : 2° article, mai 1878, p. 276- 291 : 3° article, août 1878, p. 452-467. — Crania Ethnica. (En collaboration avec M. E.-Th. Hamy.) Craniologie de la race Papoua. Comptes rendus Acad. sc. Paris (présentation du T° fascicule), 23 décembre 1878, t. LXXXVII, p. 1014-1019. — Observations relatives à une note de M. Geddes, sur la fonction de la chlorophylle chez les planaires vertes. (Sur une algue rouge charnue de Saint-Vaast décomposant l’acide carbonique.) Comptes rendus Acad. sc. Paris, 30 décembre 1878, t. LXXX VII, p. 1096. — Article anthropologie. Encyclopédie, 1878. — Allocution prononcée à la séance de rentrée de la Société de géographie, le 16 octobre 1878. Bull. Soc. de géogr., 1878, 6° série, t. VI, p. 573-576. — Congrès anthropologique de Moscou, 1879 (notice biographique). — Note en présentant l’ouvrage de S. John Lubbock (4° édition). Pre- historic times. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 28 avril 1879, t. LXXXVIIT, p. 874-875. — Crania Ethnica. (En collaboration avec M. E.-Th. Hamy.) Craniologie des races australiennes (présentation du 8° fascicule). Comptes rendus Acad. sc. Paris, lundi 15 décembre 1879, t. LXXXIX, p. 1017-1022. — Revue anthr., 1880, t. III, p. 129-133. XXX VIII NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Rapport sur le voyage d'exploration fait par le D° Harmand dans les provinces de Mulu-Prey, Toulé-Repay et Campong-Soaiï sur la rive droite du Mé-Kong. Arch. miss. scient. et litt., 1879, 3e série, vol. V, p. 9 à 19. — Rapport sur l'exposition, faite au Muséum, des objets d'histoire naturelle recueillis par MM. de l'Isle et Filhol naturalistes attachés aux expé- ditions envoyées aux îles Saint-Paul et Campbell pour observer le passage de Vénus en 1875. Arch. miss. scient. et litt., 1879, 3° série, vol. V, p. 19-929. — Note sur deux rapports du D' Verneau envoyé en mission scientifique aux îles Canaries. Arch. miss. scient. et litt., 1879, 3° série, vol. V, p. 29-32. : — Observations sur la race Papoua. Bull. hebd. de l’assoc. franc., 26 janvier 1879, n° 586, t. XXJIT, p. 2M. — Les derniers Tasmaniens. — The Last of the tasmanians, or the black War of Van Diemen’s Land, by James Bonwick; formerly an inspector of schools. Victoria-London. Journal des savants, 1% article, janvier 1879, p. 53-59 : 2e article, février 1879, p. 65-81 : 3° article, mars 1879, p. 148-159. — Discours prononcé à la 22° séance publique annuelle de la Société d’ac- climatation. Bull. Soc. accl., 1879, t. VI, p. xxxvu-xxxvur (tiré à part, 4 pages). — Article : Métissage humain. Encyclopédie médicale publiée sous la direc- tion du D° J. Rochard. Paris, Ch. Lamotte, 1879, p. 326-338. 1880. — Crania Ethnica. (En collaboration avec M. E.-Th. Hamy.) Craniologie des races nègres africaines. — Races dolichocéphales. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 14 juin 1880, €. XC, p. 1520-1526 (présentation du % fascicule). — Races non dolichocéphales. Comptes rendus Acad. se. Paris, 28 juin, 1880, t. XC, p. 1390-1396. — Les voyages arctiques de Nordenskiold (banquet offert par la Société de géographie). Journal: La Nature, 1% mai 1880, 8° année, n° 361, p. 338-339. — Le croisement des races humaines. À propos d’un mémoire intitulé : « Some american illustrations of the evolution of new varieties ot man, by Daniel Wilson. » (Jowrnal anthrop. instit. of Great Britain and Ireland, may 1879.) Revue des cours scientifiques, 14 février 1880, t. XXV, p. 765-710. 1881. BULLETIN. XXXIX — Les crânes Finnois, avec quelques études d'histoire naturelle relatives à l'anthropologie Finnoise, analyse de l'ouvrage de G. Retzius, pro- fesseur à l'institut Carolin. — Finska kranier, jamte nâgra natur-üch literatur-studier inom andra omräden af finsk anthropologi. Journal des savants, 1880, t{. LXIV, 1% article, mai, p. 288-301 : 2° article, Juin, p. 345-361 : 3° article, juillet, p. 393-A11. — Observations à propos de la publication des œuvres du D' Guérin (livraisons 1 à 3). Comptes rendus Acad. sc. Paris, 15 novembre 1880, t. XCI, p. 794. — Observations à propos du livre de M. le marquis de Nadaiïllac intitulé : « Les premiers hommes et les temps préhistoriques ». Comptes rendus Acad. sc. Paris, 15 novembre 1880, t. XCI, p. 793. — Discours prononcé à la 23° séance publique annuelle de la Société d’acclimatation. Bull. Soc. accl., 1880, t. VIT, p. xv-xvrr. — Crania Ethnica. (En collaboration avec M. E.-Th. Hamy.) Craniologie des races mongoliques et blanches. Comptes rendus Acad. se. Paris, t. XCVI, p. 20-95. (En présentant le 10° fascicule.) — Crania Ethnica. 1 vol. in-, 528 pages, 482 figures dans le texte, atlas de 100 planches lithographiées. — Les Pygmées d'Homère, d’Aristote, de Pline d’après les découvertes modernes au cœur de l'Afrique, 1868-71, par Schweinfurth, trad. par M. EL. Loreau, 1875. — Les Akkas, par M. le comte Miniscalchi Errizo, 1878. — Essai de coordination des matériaux récemment recueillis sur l’ethnologie des Négrilles ou Pygmées de l'Afrique équa- toriale, par le D' E. Hamy, 1879. Mémoires et notes de divers savants. Journal des savants, 1° article, février 1881, {. LXV, p. 94, 107 : 2 article, juin 1882, p. 345-363 (négritos) : 3° article, août 1882, p. 457-478 : 4° article, t. LXVT, 1882, p. 694-712. — L'archéologie préhistorique par M. le baron J. de Baye. Paris, 1880. Journal des savants, 1* article, décembre 1881, p. 744-761 : 2 article, mars 1889, p. 147-158 : 3° article, avril 1882, p. 224-237. — L'homme fossile de Lagoa-Santa, au Brésil, et ses descendants actuels. Bull. Soc. amis des sc. nat. de Moscou (Congrès anthr., 1879). Moscou 1881, t. III, p. 1 à AT, gr. in-4. — L'homme fossile de Lagoa-Santa, au Brésil, et ses ascendants actuels. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 28 novembre 1881, t. XCIIT, p. 882-884. XL NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Allocution en présentant à l’Académie un exemplaire de la médaille de M. Milne-Edwards. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 4 avril 1881, t. XCIT, p. 807-808. — Ossements trouvés dans le Diluvium de Nice; détermination de la race. Comptes rendus Acad. sc., 21 mars 1881, €. XCII, p. 150. — Assoc. scient. franc. Alger, 1881, t. X, p. 154. — Sur les Berbères blonds. Assoc. scient. franc., 1881, {. X, p. 710-711. — Études sur les Savoyards. Assoc. scient. franc., 1881, t. X, p. 131. — Sur les Bochimans. Bull. Soc. anthr., 19 mai 1881, t. IV, p. 436-437. — Sur la caverne préhistorique dans la province de Ségovie (Espagne). Bull. Soc. anthr., 2 juin 1881, t. IV, p. 419-480. — Sur les origines Japonaises. Bull. Soc. anthr., 3 novembre 1881, t. IV, p. 128-733. — Sur Balthazar Zimmerman, dit le prince Balthazar, véritable nam microcéphale. Bull. Soc. anthr., 1881, t{. IV, p. 702-708. — De Quatrefages : Observation sur une note du D' Maget relative aux races japonaises. Bull. Soc. anthr., 3 novembre 1881, 3° série, t. VI, p. 651-657. — Les voyages de Moncatch-Apé. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1% août 1881, t. XCIIT, p. 246-250. — Les voyages de Moncatch-Apé, annotés par A. de Quatrefages. Revue anthr., 1881, 2° série, t. IV, p. 593-634. — De Montévidéo aux Canaries dans une barque. Bull. Soc. de géogr. Paris, 1881, T° série, t. I, p. 210-271. — De Quatrefages (en collaboration avec M. Maunoir). Rapport sur diverses communications faites par M. D. Charnay, relativement à sa mission au Mexique. Arch. miss. scient. et litt., 1881, 8 série, vol. VIT, p. A5. — Rapport sur le travail de M. Cauvin, médecin de la marine, intitulé : « Rapport sur les mensurations et les caractères SONORE d’une série de crânes australiens. » Arch. miss. scient. et litt., 1881, 3° série, vol. VII, p. 185-190... 1882. 1883. BULLETIN. XL — Discours prononcé aux funérailles de Drouyn de Lhuys. Bull. Soc. accl.. 1881, {. VIII, p. vu-vur. — Note sur le permanganate de potasse considéré comme antidote du venin des serpents à propos d’une publication de M. J.-B. de Lacerda. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 30 décembre 1878, t. LXXX VIT, p. 1095, et 20 fév. 1889, t. XCIV, p. 488-A90. — Note sur Charles Darwin. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1% mai 1882, t. XCIV, p. 1216-1222, et XCV, p. 1261. — Discussion sur les Chaucha de la collection Bouchut. Bull. Soc. anthr., 20 avril 1882, t. V, p. 345. — Lettre sur les silex, roulés par la mer, réputés taillés. Bull. Soc. anthr., 1882, p. 399-400. — Nouvelles études sur la distribution géographique des Négritos et sur leur identification avec les Pigmées asiatiques de Ctésias et de Pline. Revue d’ethnographie, t. 1, p. 177-295, 7 fiqures. (Extrait tiré à part, 50 pages.) — Sur l’hybridité, 1882. Bull. Soc. accl., LX, 18892, p. 119-120. — Cinquantenaire du D' Renard. Comptes rendus séance Soc. de géogr., 18892, t. I, p. 160-161. — Sur le musée d’ethnographie du Trocadéro. Comptes rendus Soc. de géogr., t. I, 1889, p. 156-157. — Note sur l’état des sciences naturelles et de l’anthropologie au Brésil. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 29 janvier 1883, t. XC VI, p. 308-313. — Remarques et observations à propos du Traité d'anatomie comparée pratique de M. C. Vogt et E. Yung. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 2 juillet 1883, t. XC VIT, p. 23-27. — Étude sur quelques monuments et constructions préhistoriques à propos d’un monument mégalithique de l’île de Tonga-Tabon. Revue d’ethnographie, 1883, t. IT, p. 97-136, 9 fiqures. — Revue anthr., 1885, t. VIII, p. 524-592; — Les Moas et les chasseurs de Moas (New Zealand its physical geography, geology and natural history, by F. Van Hochstetter, 1867. — Mémoires divers publiés dans les Transactions and proceedings of the New Zealand institut, 1868-1881). Journal des savants, 1883, t. LXVII, 1® article, juin p. 319-335 : 2 article, juillet 370-386. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3 série. — IV. j XLIT NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Les Moas et les chasseurs de Moas. Ann. sc. nat., 1883, 6° séme, t. XVI, art. n° 4. — Observations sur une note du D' Maget relative aux races japonaises, par M. de Quatrefages. Bull. Soc. anthr., 19 juillet 1883, 3° série, t. VI, p. 651-657. — Note sur les caractères de la tête des Todas. Bull. Soc. anthr., 1% mars, 1883, 3° série, t. VI, 1883, p. 180-184. — Les premiers essais de navigation à vapeur faits par l’abbé d’Arval. Comptes rendus séanc. Soc. géogr., 1883, t. IT, p. 83-84. — La prière de Képler. Magasin pittoresque, 15 mars 1883, 51° année, 2 série, t. I, p. 10-71. — Notice sur les travaux scientifiques et les titres académiques, etc. Paris, Motteroz, br. in-4, 1883. — Caractères intellectuels, moraux et religieux des Mincopies, d’après les derniers documents. Journal des savants, 1% article, 612-625, novembre 1884, t. LXVIIT : ® article, janvier 1885, p. 23-36 : 3° article, février 1885, p. 95-110, t. LXIX. — Obser- vations on the man's collection of andamense and nicobarense objets by major général A. Lane Fox (the Journal anthrop.inst. VII, 1878). — On the andamense and nico- barense objets presented by to major gen. Pitt Rivers by E.-H. Man (Idem XT, 1882). — On the aboriginal inhabitants of the andaman islands by E.-H. Man(ldem, XIT, 1882-1883). 4884. — The Pigmies of Homer, Herodotus, Aristotle, Pliny, etc. The asiatic Pigmies, or negritos, the negrillos or african Pigmies, by A. de Quatre- fages, translated by J. Errigton de la Croix, First published in the journals of straigts Branch of the Royal asiatic Society. Singapore, impr. Gov, 1884, 86 pages. — Remarques sur une note de M. Testut relative à la dissection d’un Boschiman. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 7 juillet 1884, t. XCIX, p. 50-51. — Sur l’homme tertiaire. Neuvième congrès d’anthropologie. Session de Lisbonne, 1884, p. 114. — Sur les origines de l’homme. Neuvième congrès anthropologique. Session de Lisbonne, 1884, p. 148-149. — Note sur les dernières découvertes effectuées par M. Prunières dans la Lozère. Neuvième congrès anthropologique. Session de Lisbonne, 1884, p. 203-205. 1885. BULLETIN. XLIIL — Sur les crânes portugais rapprochés des crânes de la race de Cro-Magnon à propos d’une note de MM. F. de Paula et Oliviera. MNeuvième congrès anthropologique. Session de Lisbonne, p. 304. — Observations à propos d’un passage d’une lettre de M. Paul Lévy, relatif à l’action exercée par le milieu américain sur les races de l’ancien Continent. Bull. Soc. anthr., 17 juillet 1884, 3° série, t. VIT, p. 579-582. — Présentation de l'ouvrage du prince Roland Bonaparte sur la colonie de Surinam. Comptes rendus séanc. Soc. géogr., 1884, t. III, p. 612-616. — Détails ethnographiques sur diverses peuplades indiennes. Comptes rendus séanc. Soc. géogr., 1884, t. LIT, p. 612-616. — Hommes fossiles et hommes sauvages (Études anthropologiques), 1 vol. gr. in-8, 64% pages, 209 figures dans le texte et 1 carte. Paris, J.-B. Baillière, 1884 (Présentation à l’Institut, octobre 1883). Comptes rendus Acad. sc. Paris, 29 octobre 1883, t. XC VIT, p. 935. — Analysé par l’auteur. Revue scientifique, 12 avril 1884, t. XXXTIT, p. 468-472. — Nains et microcéphales. Un vrai nain très intelligent, 2 pages gr. in-fol. Centenaire du D' Lœmans. — L'homme tertiaire de Thenay et des îles Andamans. Matériaux hist. prim. et nat. de l’homme, 1885, 3° série, t. IT, p. 97-107 (tiré à part, in-8, 11 pages). — L'homme tertiaire et sa survivance. Matériaux hist. prim. et nat. de l’homme, mai 1885, 3° série, t. IT, p. 331-3M (tiré à part, 5 pages). — Croyances religieuses des Hottentots et des Boschimans. (Tsuni-Goam the suprême being of the khoï khoï, by Th. Hahn. Cytodian of the Grey collection of cap town, 1881.— Description du cap de Bonne-Espérance tiré des mémoires de Pierre Kolbe, maître ès-arts. Amsterdam, 1742. Voyages divers.) Journal des savants, 1885, t. LXIX. 1* article, juillet, 399-A : 2° article, décembre 121-734 : 3° article, mai 1886, {. LXX, p. 280-295. — Sur la prétendue disparition des Peaux Rouges et sur le métissage aux Etats-Unis. Comptes rendus Soc. de géogr. Paris, 1885, t. IV, p. 331-335-338. — Discours prononcé aux funérailles de H. Milne-Edwards, vendredi, 31 juillet 1885. Paris, Firmin Didot, in-4. Comptes rendus Acad. sc. Paris, t. CT, n° 5, p. 333-344. — Revue scientifique 1885, 3° série, t. XXXVI, n° 6, p. 161-166. XLIV 1886. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Recherches sur les populations actuelles et préhistoriques du Brésil. (Archives du musée national de Rio de Janeiro.) Comptes rendus Acad. sc. Paris, 17 août 1885, t. CI, p. 467-470. — Discours prononcé aux funérailles de M. Bouley, novembre 1885. Bull. Soc. accl., 1885, t. IT, p. r-vi. — Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1885, CI, p. 1089-1092. — Sur les métis de Sangliers et de Porcs. Bull. Soc. accl., 1885, t. IT, p. 383-384. — Lettre à M. Bouley sur le retour des hybrides au type pur. Bull. Soc. accl., 1885, t. IT, p. 180-181. — Note sur l’état actuel des Maoris restés indépendants. Revue d’ethnographie, 1885, t. IV, p. 97-119 3 figures (tiré à part, 23 pages). — Des travaux anthropologiques de M. Lund. Comptes rendus séanc. Soc. géogr., 1885, t. IV, p. 22. — Introduction à l'étude des races humaines; questions générales (Hist. gén. des races humaines, t. I, 1" partie. Paris, Hennuyer, 1887, 1 vol. gr. in-8, 225 figures, 4 planches et 2 cartes. (Présentation de cet ouvrage à l’Académie.) Comptes rendus Acad. sc. Paris, 28 octobre 1886, t. CIIT, p. 721-726. — Les âges préhistoriques de l'Espagne et du Portugal, par M. Carthaillac, préface, gr. in-8. Paris, 1886. (Présentation de cet ouvrage.) Comptes rendus Soc. géogr. Paris, 1886, t, V, p. 405. — Les premiers habitants de l'Amérique. Comptes rendus séanc. Soc. géogr. Paris, 1886, t. V, p. 407-409 et 410-414. — Les Polynésiens et leurs migrations. 1 vol. in-4, 1886, avec 4 cartes. — Introduction à l'étude des races. Comptes rendus séanc. Soc. géogr., 1886, t. V, p. 485. — Causes et conséquences des migrations des peuples. Comptes rendus séanc. Soc. de géogr. Paris, 1886, t.. V, p. 486-188 et 582-583. — Remise de la médaille de M. Chevreul au nom du Comité de la jeunesse française. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 29 novembre 1886, {. CIIT, p. 1049-1050. — Présentation, au nom du Comité de la jeunesse française, d'un volume intitulé : « Œuvres scientifiques de Michel-Eugène Chevreul. » Comptes rendus Acad. sc. Paris, 11 juillet 1887, t. CV, p. 101-102. 1887. BULLETIN. XLV — Observation à propos des recherches sur l’ethnographie et l’anthro- pologie des Somalis, des Gallas et des Hararis de M. Philippe Paulitzchke. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 22 novembre 1886, t. CIIT, p. 1235-1236. — Dictionnaire encyclopédique des sciences médicales de Dechambre, 4887, article Espèce (1°° série), t. XXXVI, p. 1-44. Espèce humaine, p. 44-85. — Réflexions à propos de l'histoire de l’île Pitcairn. Comptes rendus séanc. Soc. de géogr., 1886, p. 526-529. -— Allocution prononcée à la 29° séance publique annuelle de la Société d’acclimatation. 1 Bull. Soc. zool. accl., 1886, €. ZIT, p. xxix-xxxn (tiré à part, 4 pages). — Signification du mot acclimatation. Bull. Soc. zool. accl., 1886, t. IIT, p. 111-112. — Les Pygmées des anciens, d’après la science moderne. Paris, J.-B. Baillière, in-16, 31 figures, 350 pages. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 13 juin 1887, {. CIV, p. 1671-1675. — Tératologie et tératogénie. — Recherches sur la production artificielle des monstruosités ou Essais de tératogénie expérimentale, par M. Camille Dareste. Paris, 1879, et Mémoires sur le même sujet du même auteur, de [.-G. Saint-Hilaire et de E.-G. Saint-Hilaire. Journal des savants, 1° april 1887, p. 217-229; 2 juin, p. 351-365, 3 juillet, p. 430-444 (tiré à part). — Les races humaines, 22 octobre 1887. Revue scientifique, 22 octobre 1887, t. XL, p. 524-531. — Leçon d'ouverture du cours d'anthropologie du Muséum d'histoire naturelle : « L'espèce humaine, » 21 mai 1887. Revue scientifique, t. XXXIX, p. 642-648. — Influence de la domestication. Bull. Soc. zool. accl., 1887, t. IV, p. 58-59. — Installation du nouveau bureau, 1887. Bull. Soc. zool. accl., 1887, t. IV, p. 129-130. — Rapport sur les résultats anthropologiques de la mission de M. le D' Verneau dans l'archipel des Canaries. Arch. miss. scient. et litt., 1887, 3 série, vol. XIII, p. 557. XLVI 1888. 1889. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM. — Rapport sur l'ouvrage de M. E. Chantre intitulée : « Recherches anthro- pologiques dans le Caucase. » Arch. miss. scient. et litt., 1888, 1. XIV, p. 391-408, et Revue d’ethnographie, 1887, t. VIT, p. 471-489 (7 figures dans le texte). — Le transformisme, la philosophie et le dogme. Lecon d'ouverture du cours d'anthropologie du Muséum d'histoire naturelle, 19 mai 1888. Revue scientifique, t. ALI, p. 609-616. — Mémoire sur la monstruosité double chez les poissons. Mémoire publié au centenaire de la fondation de la Société philomatique, 1888, 34 pages, 2 planches. — Note accompagnant l'hommage, fait à l’Académie, du volume publié par la Société philomatique à l’occasion de son centenaire. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 26 novembre 1888, t. CVIT, p. 854-855. — Observations relatives à une communication sur une sculpture en bois de renne de l'époque magdalénienne représentant deux phallus réunis par la base. Comptes rendus Acad. sc. Paris, 17 décembre 1888, t. CVIT, p. 1098. — Discussion sur les fouilles de Collorgues. Assoc. soient. franc. Paris, 18 session, 1889, p. 393. — Présentation de la deuxième partie de son ouvrage : Introduction à l'étude des races humaines (analyse sommaire). Comptes rendus Acad. sc. Paris, 1889, €. CIX, p. 245-951. — Histoire générale des races humaines : Introduction à l'étude des races humaines, 618 pages, 441 gravures dans le texte, 6 planches et 7 cartes. Paris, Hennuyer, 2° partie, 1889. — Présentation des « Races humaines » à la Société de géographie. Comptes rendus séanc. Soc. de géogr., 1889, p. 333-363-3170. — Article sur les théories transformistes de M. Romanes « Sélection physiologique ». — Physiological selection an additional suggestion on the origin of species by G.-S. Romanes. Linnean Society’s journal, IX, 1886. Journal des savants, 1889, {. LXXIII, 1% article, avril 1889, p. 223-236 : 2° article, mai 1889, p. 288-302. — Article sur les théories transformistes. — Lecons sur l’homme, sa place dans la création et dans l’histoire de la terre, par C. Vogt, 1865. — L'origine de l’homme, par le même (Revue scientifique, 1877). — Quelques hérésies darwinistes. par le même (Revue scientifique, 1886). 1890. BULLETIN. XLVII — Notes diverses, par le même. — Traité d'anatomie comparée pratique, par C. Vogt et Yung, 1883. Journal des savants, 1889, t. LXXIII, 1% article, août 1889, p. 486-495 : 2 article, septembre, p. 545-557. — Théories transformistes : Histoire de la création des êtres organisés, par E. Hæckel, trad. par le D' Letourneau. — Anthropogénie ou Histoire de l'évolution de l’homme, par E. Hoæckel, trad. par le D'Letourneau. — Les preuves du transformisme, réponse à Virchow, par le même, trad. par J. Soury. Journal des savants, 1889, 1° article, février, p. 83-96 : 2° article, mars, p. 176-188 : 3° article, avril, p. 220-233. — Nouvelle preuve de l'extinction récente des Moas. Journal « Le Naturaliste », 15 mai 1889, 11° année, ® série, n° 53, p. 117-118. — Les théories transformistes : Variation et transmutation. — L'homme et la nature. — Espèces intermédiaires (Cours d'anthropologie du Muséum d'histoire naturelle). Revue scientifique, 20 juillet 1889, t. XLIV, p. 65-71. — Mélanges d'anthropologie, ch. 1. — Encyclopédie d'hygiène et de médecine publique. — Introduction anthropologique, par M. A. de Quatrefages, « Races » p. 19 à 118. (Résumé d’anthropologie générale.) Paris, 1889. — Sur les sépultures de Collorgues. Assoc. scient. franc. Paris, 10 août 1889, t. XVJIT, p. 323-324, 1"° partie. — Classification et migrations des races humaines. Bull. Soc. de géogr., 1889. — Discours prononcé à l'ouverture de la conférence du 26 février 1890. Bull. Soc. zool. accl. 1890, t. XXXVII, p. 233-236. — Théories transformistes de Huxley, 1° et 2° article : Critiques and addresses, by Thomas Henry Huxley, L. L. D. S. R. R.S., 1873, (1865-1871), Lay sermons, addresses and reviews, par le même, 1887, — (1854-1870), De la place de l’homme dans la nature, par Th. H. Huxley, traduit, annoté et précédé d’une introduction par le D: Dailly, 1868. Journal des savants, 1890, 1% a ticle, octobre, p. 637-649 : 2% article, novembre, p. 108-719. — Les théories transformistes d'Owen et de Mivart : Les successeurs de Darwin (cours d'anthropologie au Muséum). Lecon rédigée par M. le D' Verneau. Revue cours scient., 12 juillet 1890, t. XLVI, p. 33. XLVIIT 1891. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM. — Théorie de A. Russel Wallace sur les origines de l’homme (leçon de clôture du cours d'anthropologie du Muséum). Revue scientifique, 23 août 1890, €. XLVI, p. 225-233. — Cantonnement et migrations, peuplement de l'Amérique (discours au congrès des américanistes, 8° section). Revue des cours scientifiques, 18 octobre 1898, t. XLVI, p. 481-486. — Le rôle des Sociétés d’acclimatation (allocution à l'ouverture des confé- rences de la Société d’acclimatation pour l’année 1890), 29 mars 1890. Revue des cours scientifiques, 29 mars 1890, {. XLV, p. 393-394. — Discours prononcé à l'ouverture de l'assemblée générale de la Société de géographie. Comptes rendus Soc. de géogr. Paris, 19 décembre 1890, n° 16 et 17, p. 510-571 (tiré à part, 8 pages). — Théories transformistes : On the anatomy of vertebrates mammals general conclusions, 1868, by R. Owen. — On the Genesis of species, by S'G. Mivart, 2° édit., 1871. — Lessons from nature as manifested in mind and matter, 1876, by S' G. Mivart. Journal des savants, 1891, 1% article, janvier, p. 54-65 : 2e article, février, p. 100-410. — Préface de l'ouvrage de A.-E. Brehm: « Merveilles de la nature. » — Les races humaines, par le D' R. Verneau. Paris, J.-B. Baillière, in-4, p. v-xu, 1891. — Théories de Gübler et de Külliker : Préface d’une réforme des espèces fondée sur le principe de la variabilité restreinte des types organiques en rapport avec leur faculté d'adaptation aux milieux, par A. Gübler (Bull. Soc. bot. France). — Ueber die Darwinische Schôpfungstheorie, Kôlliker, Zeich. für Wiss. Zool., XIV. — Sur la théorie de Darwin, 1864 (article anonyme attribué à A. Claparède). Arch. sc. phys. et nat. Genève. — Criticism on the origin of species, par Huxley. Lay sermons and reviews, 1887, mai 1891. Journal des savants, 1891, p. 286-301. — Le passé et l'avenir de la Société de géographie de Paris. Revue scientifique, 17 avril 1891, €. XLVII, p. 515-518, — Congrès scientifique : Les travaux de la Société de géographie de Paris. Revue scientifique, 10 janvier 1891, XL VIT, p. T1-75. — Discours de réception de G. Bonvalot et du prince Henri d'Orléans. Bull. Soc. de géogr., 1891, p. 61 (n° 3-4). Séance extraordinaire du 31 janvier 1891, p. 63-66. — Discours de réception de M. Cattat. Bull. Soc. de géogr. Séance extraordinaire du 23 mars 1891, p. 214-218. Sans BULLETIN. XLIX — Société de géographie (historique de la Société), 2° discours, p. 248-256. Assemblée générale de 1891. Comptes rendus séanc. Soc. géogr. Paris, 17 avril 1891 (publié in exlenso dans le n° 11 du 16 mai 1891 de la « Science francaise ». — Allocution prononcée à la réception de M. Henri Coudreau. (Séance extraordinaire de la Société de géographie du 15 juin 1891). Bull. Soc. de géogr., p. 362-364, 387-389. date. — Le règne animal distribué d’après son organisation. Revue de Puris. p. 11. — Histoire naturelle des Helminthes, par Dujardin. Revue de Paris, p. 61-64. — Note sur l'état actuel des Maoris restés indépendants, p. 23. An- gers, Burdin. — Note sur la présence de l'acide hydrosulfurique dans l’eau de mer où vivent un grand nombre d'animaux marins. (Ann. de phys.et de chim., 3° série, t. XVII.) — Recherches sur la composition des gaz que l’eau de mer tient en dissolution, par M. B. Lewy. — Sur le rapport des éléments anthropologiques avec les faits historiques, et sur l’antiquité préhistorique des peuples finnois. (Lettre de M. Paul Hunfalvy, et Notes de M. de Quatrefages, 16 pages.) Matériaux hist. prim. et nat. de l'homme t. VII (t. III de la 2° série) (1872), p. 153-168. NOUVELLES ARCHIVES DU MUSÉUM, 3° série. — [IV 4 : À ” ïk 7e ‘ re À là (l nt È 22 :! x MAUR ê 1 3 D ; \ k { = À \ 14 h d > LE ,» 7 x Li % à +) l 0" il \ A L W' à k 7 t [ 7 | A 5) he { . ÿ \ ; Ï fi 1 \ # ñ h fu 4 L ; " Wan Li = ‘ DAV 1 é 1 Û ML ( fi u Le . rl £ $ te 8 ji 1: Ê Û $ ’ 4 ï £ î \ (ar. ; » ! à ! \ ; ‘00 e 1 L°UL = x f 1 AE Û c CORTE 4 ï ic Es ol 1 | l _ \ 1 13 . TABLE DES MATIÈRES CONTENUES DANS LE PRÉSENT VOLUME. Recherches sur le Cachalot, par MM. G. Pouchet et H. Beauregard (suite). Recherches anatomiques sur le Pentaplatarthrus paussoides, ne de la nulle des PaussITeS pan ME AS ANTEAY S — Lichenes exoticos a professore W. Nvlander descriptos vel recognitos ch in Had Musei parisiensis pro maxima parte asservatos in ordine systemalico disposuit D MEUNIER) RE PT D NN EE MEN Notice sur quelques espèces nouvelles ou peu connues & la collection ornitholo- gique du Muséum d’Hisloire naturelle-par M. E. Oustalet. . . . . . . . . . . Recherches biologiques faites à la Ménagerie des Reptiles (Premier article). — Con- tribution à l'étude de l'alimentation chez les Ophidiens, par M. Léon Vaillant. . BULLETIN Liste des ouvrages et mémoires publiés de 1822 à 1891 par À. de Quatrefages de LRÉNUS Pepe de Be IS AN NES EEE CES SR EE 91 103 211 221 IX. X. XI. XIE. XIIL. XIV. XV. 5 TABLE DES PLANCHES Portrait d'A. de Quatrefages de Bréau. | Anatomie du Cachalot. | — Anatomie du Pentaplatarthrus paussoides, Westw. — Halcyon (Cyanalcyon) quadricolor, Oust. — Craspedophora Mantoui, Oust. Nouvelles Archives du Museum .37° Série Memoires.T.IV. PI 1 H. BeaurecAno . Phot. BernrhAuo.F'£./mp PHYSETER MACROCEPHALUS Jeune mâle _ Tête Narines et organe du Blanc GC. Masson . Editeur ET A er LE TEEAT Mie EU L'n ARS : perte _ Nouvelles Archives du Muséum , 37° Série Mémoires ,T IV.PL.IL. Mig." HA. BenurecarD . Phot. Berrnauo. FE, Jmp PHYSETER MACROCEPHALUS Jeune mâle Organe d'Alderson_ Narines et Langue. C. Masson . Editer: - Nouvelles Archives du Muséum ,3%%° Série Mémotres APN APIAITIe D #- Beaurecano. Phoë. BErrnauDp, F'£. Imp . CACHALOT DE L'ÎLE DERÉ. Larynx. G. Masson. Editeurs. du) ‘;; 4 aNvH1y39 Al Id AT I SSTToueN PRE PRES TP "HONJIRT UOSSUW D a1InpE,P ereudeoux SN1VHdII0HIVN HALISAHd 704 © GYVIIYNVIT ‘H OR ET bn CARRE ET 4 0} eympe,p o[eydeou SN1VHdIIOYIVN H111S4Hd : du ;34 anvhiy3g 10Y DAVITYNNI H A'Td'AL L' Seuouon OU9S x UWNOSNN NP SOAIJOAY SOJJSANON . Mémoires, T.IV. PI. 6. Crenélerræetucde tReIte Jétme male. G Masson Editeur. e ee PL ÿ 3 Ye Le a FE _ - FQ Z. Le) El À =) ; Fe) Û EJ Ê | = = | : 5 L F œ +— e T qe) es) D (=) Q°) “ —1 à (D) & © - - 5 (dp] 0 = u? © : O - - : co EF. - © CB) a o 2 _ = TD - c) næ) à = (B} = : 2 = £ = 5 = | : F ; me É Fe = S, D D £ Ë = a 7 ps) EE : Nouvelles rie du Museum. 3° Série. . Mémoires, T. IV. PL. 8. Imp. Edouard Bry, Paris. cu | Physeter macrocephalus Appareil digestif. G Masson Editeur ‘SnJeuyd9904J98U 4919SAU 4 stueq ‘Âag paenopa du] UN © 18P JOIN ‘6:14 AT'L'S941T0m)] A NP SEAIUOAIY SOJJOANON _— à ” ë mn —— = - Se : A è Le = n À F | © £ a 0 D D 4 1e CO =, re à DU © © nn _ Co | d 5 Fee CA ETS, EU to) eu ] x un -- De Q © co Se © . on. (à = 5 à = d El œ un D à ; a 2) : + (ob) E = (S) I < EU oo) We) = ss © ® : A FE tr Nouvelles Archives du Muséum. 3° Série. Mémoires T. IV PI 11. Fig. 2 El, Beauregard, del. Imp Ed Bry, Paris. Millot, lith. Mnyscrer macrocephalus. SMAIN PAIE émoire M erie. 2 D e Nouvelles Archives du Muséum. 3 APR te pren pu me PT Am amer à re Maillot, lith. Imp.Ed. Bry, Paris. 10) 1 Cachalot_Fœtus de 1 LAIT L ATEN | ‘ A TETE Tr EE Do Mémoires. Tome IV. PI. 13. Sr Serle. Nouvelles Archives du Muséum. Mod LILI SERRE $ Me Helio & BP Du ardin + Anatomie du Pentaplatarthrus paussoides NOUVELLES ARCHIVES DU MUSEUM PUBLIÉES PAR MM. LES PROFESSEURS-ADMINISTRATEURS DE CET ÉTABLISSEMENT TROISIÈME SÉRIE TOME QUATRIÈME RECHERCHES SUR LE CACHALOT PAR MM. G. POUCHET ET H. BEAUREGARD RECHERCHES ANATOMIQUES SUR LE PENTAPLATARTHRUS PAUSSOIDES, PAR M. A. RAFFRAY LICHENES EXOTICI PAR M. L'ABBÉ HUE ESPÈCES NOUVELLES OU PEU CONNUESiDE LA COLLECTION ORNITHOLOGIQUE DU MUSEUM, PAR M. E. OUSTALET. ÉTUDE DE L'ALIMENTATION CHEZ LES OPHIDIENS PAR M. LÉON VAILLANT. BULLETIN LISTE DES OUVRAGES ET MÉMOIRES PUBLIÉS PAR À. DE QUATREFAGES DE BREAU = PARIS G. MASSON, ÉDITEUR LIBRAIRE DE LACADÉMIE DE MÉDECINE 420, Boulerard Saint-Germain, en face” de l'École de Médecine 1892 Eee A EH TI ere DM de PP RAETETE à her RG ALARME On < PES ms ere crrateenieen ali a NN on nd ae EEE 3 br + 24% : | ee \ < fe a ce OR EME ES 0 RU Ne en ER U o es ; DEP Te TEE TE LE Fe s * En ace NE RE TS A Ve ET Sd Le, Em ï L = de > | | : ; = : G. MASSON., Éditeur, 120, boulevard Saint-Germain, Paris NOUVELLES ARCHIVES MUSÉUM D'HISTOIRE NATURELLE PAR MM. LES PROFESSEURS-ADMINISTRATEURS DE CET ÉTABLISSEMENT DEUXIÈME SÉRIE Cette série aujourd’hui complète comprend 10 volumes dont le prix est de 40 fr. DÉTAIL DES MATIÈRES CONTENUES DANS CHAQUE VOLUME Tome I. — Études sur la répartition géographique des Astérides, par M. Ed. PerREr. — Description des Poissons nouveaux ou imparfaitement connus de la collection du Muséum, par M. H.-E. SAuvacE. — Des- cription d'une uouvelle espèce de Midas et observations sur l’Ateles variegatus, par Alph. Mirne-Enwarps. — Observations sur le groupe des Ibis et description de deux espèces nouvelles, par M. OusraLer. — Obser- vations sur les affinités zoologiques du genre Pholidus et description d’un nouveau genre de Rapaces nocturnes, par M. Alph. Mixe-Epwarps. — Revision des Tellinidées du Muséum d'histoire naturelle, par M. Victor BERTIN. Tome II. — Monographie des genres Ligustrum et Syringa, par M. J. Decaisne. — Note sur le croisement des diverses espèces du genre Cheval, et description d’un hybride d’Hémione et de Dauw, par M. Huer. — Catalogue méthodique des Oiseaux recueillis par M. M4arcHE dans son voyage sur l’Ogôoué, avec description d'espèces nouvelles. — Note sur une petite collection d’Oiseaux provenant des îles Loos (Afrique occidentale), par M. Ousrazer. — Observations de température faites au Muséum d'histoire naturelle pendant les années 1875-1877, par MM. Becouerez et Edmond Becouerez. — Etude sur un squelette d’Aéta, des environs de Binangonan, nord-est de Lucon (Iles Philippines), par M. le docteur E.-T. Hawy. — Structure comparée de quelques tiges de la flore carbonifère, par M. B. RenauLr. Re Tome III. — Étude sur la faune ichthyologique de l'Ogôoué, par M. H.-E. SauvAGE. — Revision des Garridées * du Muséum d'histoire naturelle, par M. Victor Bert. — Recherches sur les Ecureuils africains, par M. Huer, ! — Recherches d’ostéologie comparée sur une race de bœufs domestiques observée en Sénégambie, par M.le Dr A.-T. ne RocHeBruns. — Recherches sur la maturation de quelques plantes herbacées, par MM. P.-P. DEHÉRAIN et E. BRÉAL. — Quelques remarques au sujet des Plaqueminiers (Diospyros) cultivés à l'air libre dans les jardins de l’Europe, par M. Ch. Naunin. — Recherches stratigraphiques et paléontologiques sur les sables marins de Pierrefite, près d'Etampes (Seine-et-Oise), par MM. Stanislas Meunier et L. LAMBERT. — Revision des Ophidiens fossiles du Muséum d'histoire naturelle, par M. le D? A.-T. pe ROCHEBRUNE. — Observa- tions de température faites au Muséum d'histoire naturelle pendant les années météorologiques 1878-1870;; . par MM. Edmond Bescourrez et Henri BECQUEREL. ; Tome IV. — L’anatomie des tissus appliquée à la classification des plantes, par M. Julien Vesques. — Revision des Donacidées du Muséum d'histoire naturelle, par M. Victor Berri. — Recherches sur la faune ichthyolo- gique de l’Asie, et description d'espèces nouvelles de l'Indo-Chine, par M. H.-E. Sauvace. — Revision des Clématites du groupe des Tubuleuses cullivées au Muséum, par M. A.-J. DEcaisne. — Matériaux pour la flore de l’Archipel des îles du Cap-Vert, par M. le D' A.-T. de RocxEeBRuNE. — Etude sur les documents anthropo- logiques recueillis par Delgorgue en Cafrerie, par M. E.-T. Hay. — Observations de température faites au Muséum d'histoire naturelle pendant les années météorologiques 1879-1880, avec les thermomètres électriques, par MM. Edmond Becousrez et Henri BECQUEREL. G. MASSON., Editeur, 120, boulevard Saïnt-Germaïin., Paris UE 7 PRES ORNE Tome V. — Note sur les Carnassiers du genre Bassaricyon, par M. Huer. — Revision des Murex du Muséum, par M. J. Pointer. — Enumération des plantes recueillies par le docteur Gurarb dans le Sahara, par le docteur Ed. Bonner. — Plantæ Davidianæ ex Sinarum imperio, par M. A. FrANCHET. — Notice sur la grande Salamandre du Japon, par le D' A.-J.-C. Gxerts. — L’anatomie des tissus appliquée à la classi- fication des plantes, par M. Julien Vesques. — Observations de température faites au Muséum d'histoire naturelle pendant l’année météorologique 1880-1881, avec les thermomètres électriques, par MM. Edmond Becouerez et Henri BECQUEREL. : Tome VI. — Plantæ Davidianæ ex Sinarum imperio, par M. A. Francuer. — Mémoires sur les Étoiles de mer recueillies dans la mer des Antilles et le golfe du Mexique durant les expéditions de dragage faites sous la direction de M. Acassrz, par M. Edmond Perrier. — Observations sur le genre Anomalurus et sur les espèces de la collection du Muséum d'histoire naturelle, par M. Huer. — Observations de température faites au Muséum d'histoire naturelle pendant l'année météorologique 1881-1882, avec les thermomètres électriques, par MM Edmond Becouerez et Henri BECQUEREL. Tome VII. — Notice sur la faune ichthyologique de l’ouest de l'Asie, et plus particulièrement sur les Poissons recueillis par M. Canrre pendant son voyage dans cette région, par M. H.-E. Sauvace. — Documents pour servir à l’'Anthropologie de la Babylonie, par M. E.-T. Hamy. — Plantæ Davidianæ ex Sinarum imperio, par M. A.Francxer. — Matériaux pour la faune malacologique des îles Canaries, par M. J. Maginze. — Contribu- tion à l’anatomie des races nègres; dissection d’un Boschiman, par M. L. Tesrur. Tome VIII. — Note sur une espèce nouvelle de Chrysochlore de la côte de Guinée, par M: Huer. — Matériaux pour une faune malacolosique des iles Canaries, par M. J. MaBizze. — Plantæ Davidianæ ex Sinarum imperio, par M. A. FrAncHEr. — Espèces nouvelles ou peu connues de la collection ornithologique du Muséum, par M. E. Oustazer. — Coléoptères de la famille des Paussides, par M. A. RArFRAY. — Température de l’air et du sol au Muséum en 1883 et 1884, par MM. Edmond Becouerez et Henri BECQUEREL. Tome IX. — Coléoptères de la famille des Paussides, par M. A. Rarrray (Fin). — Mémoire sur l’orga- nisation et le développement de la Comatule de la Méditerranée (Antedon rosacea, Linck), par M. Edmond PERRIER. Tome X. — L’Actinodon, par M. A. Gaupry. — Plantæ Davidianæ ex Sinarum imperio (deuxième partie), pär M. A. FrancueT (Fin). — Sur une nouvelle espèce de Mégaptère provenant du golfe Persique, par M. H.-P: GERvAIS. — Etudes surles Mammifères et les Oiseaux desîles Comores, par MM. A. Mrzne-Epwanps et E. OusTArET. Le tome X contient les tables des Archives et des Nouvelles Archives du Muséum (1839 à 1888). TROISIÈME SÉRIE COMMENCÉE EN 1889 Le tome If‘ contient les Mémoires suivants : Recherches sur le cachalot, par MM. G. Poucuer et H. BsAurREGARD. — Recherches sur les Insectes de Pata- gonie, par MM. Ed. LeBrun, L. FaïrmaImRE et P. Magicze. — Description d’une Tortue terrestre d'espèce nouvelle, par M. Léon Varzranr. — Mémoire sur l’organisation et le développement de la Comatule, par M. Edmond PerRier (Fin). : Le tome II contient les Mémoires suivants : Mémoire sur l’organisation et le développement de la Comatule, par M. Edmond PERRIER. — Monographie du genre Chrysosplenium, par M. Francner. — Sur la faune herpétologique de Bornéo et de Palawan, par M. F. Mocouarp. — Crustacés du genre Pelocarcinus, par M. Mrxe-Eowarps. — Insectes recueillis dans l’Indo-Chine, par M. Pavr (1 article). Coléoptères et Diptères, par MM. J. Bourcgors, Ed. Lerèvre et J. Bicor. — Lichenes exotici, par M. l'abbé Hue. Le tome III contient les Mémoires suivants: Monographie du genre Chrysosplenium, par M. A. Francmer. — Lichenes exotici par M. l'abbé Hue (Suite). — Monographie du genre Palophus, par M. Cx. BRONGNIART. — Insectes recueillis dans l’Indo-Chine, par M. Pavie (2° article). Coléoptères et Lepidoptères, par MM. Aurivicius, LesNe, ALLARD, BRONGNIART et PousaDE. — Monographie du genre Eumegalodon, par M. Cu. BRONGNIART. 855-914 — Corse. Imprimerie Créré. ALL LS DL AT ak , Lo RARE _ Dm 3 9088 008