ER 2 #4 TE res É À JA 6 © AR CNT ON S J e À ? Ÿ D À AS o * = (3 @ Se (Te lee À LAPS: C7 ER A) LA Pé- Ko DS à è N ja RSA LR 6 > de RS rat Ô 7 2 à ss AS RE 1 à RON D HA 2 nn ze È 2 ù Ÿ: : ° £ RP PE D { ; " = À £, de lie. L 2 f. ( 2 Lee 3 5 ju à A CE De, Ne L Ÿ À 1" enr \ D nt f' Q Ÿ mt 4 ; T4 3 \ ”, ” : s & 4 al AS à Sr: “ER, 7 nt 9 à ï à & »5 > (1 a r fe a Dei & 4 EX ' k . e a . 2 F r > à LIN, 7 NS ;. E +. 1, Ag {a pd c & + . N SNA SERRES R à — S tt. à: ÿ - OO, K 2 FN AE Dr Hbaioe, DIVISION OF FISHES TT ue 7\ OEUVRES U COMTE L \ DE LACEPEDE. TABLE DES MATIÈRES. PARIS,— IMPRIMERIE D'AD. MOESSARD, RUE DE FURSTEMBERG, N° S BIS. OEUVRES DU COMTE DE LACÉPÉDE. 22 $—————————— TABLE GÉNÉRALE ET PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. AVEC INDICATION POUR LE PLACEMENT DES GRAVURE S rremenern ann ce Eee PAR F. D. PILLOT, PAU à f en É ; LB NSRT SUIVIE DE L'ÉLOGE HISTORIQUE} -… ut DO COMTE DE LACÉPÈDE f** Ë PAR 4 M. LE BARON CUVIER.. . À PARIS, CHEZ F. D. PILLOT, ÉDITEUR, RUE DE SEINE-SAINT-GERMAIN, N° 49. 18353. deteyo \ # 1 di $ a à Le ik LE à : 1 va 6 É > | | L UTC LANARE NT A ER HET @ EPA à ÿ y fi PA TA NP UL ES A Qi (LR à ) w : ! | j : NETVES MORAE. Li DOI D ET DER EDIT SE BEE-B EL EEE EEE OS EE ED ELhEM EE EE OO EEE OÙ EUES DE AE OS ED DOS CES EE AVERTISSEMENT. Encouragé par l'accueil flatteur fait aux Tables alphabétiques des Œuvres de Buffon, et du Supplé- ment de M. Cuvier , je viens offrir à mes nombreux souscripteurs une Table générale non moins impor- tante, celle des OEuvres du comte de Lacépède. L’utilité bien reconnue des premières en avait fait sentir tout le besoin, eton laregrettait, principalement pour l’histoire des Poissons si nombreux en variétés : demandée d’une voix unanime , j'ai dû m'empresser de remplir une tâche que tant de bienveillance m’a- vait en quelque sorte imposée. On a pu remarquer, soit dans l’histoire des quadru- pèdes ovipares, soit dans celle des poissons, que le même sujet était diversement dénommé, selon les contrées ou il se trouvait, et quelquefois même dans des localités peu distantes les unes des autres : il im- portait dès lors de reproduireles différens noms sous lesquels chaque espèce est connue et principalement le lieu ou ce nom lui est attribué. Une autre remarque, plus importante encore, que 6 AVERTISSEMENT. chacun aura faite, c'est que les poissons, ajoutant presque tous aux noms vulgaires sous lesquels ils sont le plus généralement connus, les noms par les- quels la science les désigne, et les tables particulières indiquant d’abord ceux-ci, il eut été difficile de trou- ver les premiers sans d’assez grandes recherches ; je citerai pour exemple le Brochet qui est un Ésoce et la Carpe qui est un Cyprin , noms à peu près inconnus ou du moins que l'on cite rarement : il fallait done également indiquer la seconde comme la première de ces dénominations. De plus, parmi les serpents, les quadrupèdes ovi- pares et les poissons, plusieurs portent le même nom, et il était encore nécessaire de faire connaître de suite à qu'elle espèce se rapportait le genre indiqué; c'est ce que j'ai fait en caractères italiques à la suite de cha- que sujet, qui présentant une similitude, pouvait nécessiter une double recherche. Enfin j'ai complété cette table, par une indication spéciale pour le placement des planches de Lacépède: ce dernier travail était indispensable , et lèvera toutes les difficultés que présentent ordinairement à la reliure les ouvrages renfermant des gravures. Une Notice historique sur le comte de Lacépède devait naturellement trouver sa place à la suite de AVERTISSEMENT. ; cette édition de ses œuvres : mais parmi celles qui ont été consacrées à la mémoire de ce savant, il fallait en choisir une qui se recommandât à lafois, et par le talent de son auteur , et par la véracité des faits, qui fut digne en un mot de celui qui en était l’objet. Jai cru avoir rempli cebuten donnantl'Éloge de Lacépède prononcé à l’Académie française par son collègue et ami le célèbre Cuvier, qui ayant pu l’apprécier à tant de titres, pouvait mieux que tout autre, élever à sa gloire ce monument plus durable que le marbre ou l’airain. Le nom seul de cet illustre naturaliste, dont les sciences déplorent aujourd’hui la perte , sanctionnera, je ne puis en douter, le choix que j'ai fait d’une notice si remarquableet si pleine d’intéret sous tous les rapports. Je ne terminerai point ces lignes sans réitérer à mes souscripteurs toute ma gratitude pour la confiance qu'ils n’ont cessé de me témoigner. Malgré les évé- nements qui ontmarqué dans le cours de cette sous- cription, j'ai pu la terminer honorablement ; de grands sacrifices, il est vrai, m'ont été imposés , mais l’estime et la bienveillance de mes souscripteurs en ont adouci amertume : qu’ils recoivent donc ici l’expression de ma vive et sincère reconnaissance ! FDP. 2 ANS à iv UNE É 4 nd k sil me nel hop ‘AS qe Défis A Vo tete AE. À F à ti ; Al bg y: 1 nitro HR Se Mau NÉ La 1% ; NS TATENE AT ES 4 Lt AL NE NOTE APE ANE à » "| * x A ET EG LE i PAP LU : 12 TT ï À L2 itiai hs Vire EL E PP bé à PH} REC AAFONTIE Ë 1 NA £: à FD J ER La at Fa JAERE An ONU LE; LETTRES re 2 s y { “ È Tr Yu. € k As; MOINE F9 RCTATE £ 7 1 MG OU LMP ET j (EURE LE RTIS. (A LEA .” ss m. et 4n0 MAO De: 4! D ONL. LÉERT UMR FENTE à u': ais ‘a F d É 4 F4 Pad die si 4 É To p *4 MON + L' TONI E GTA FA j3 FF 144 14: Fr je HET CE É . L k î . d ñ »1 . AE “ ft ann PENSE BEN RME SR Te D OLIS Los an Hi ME PH 4 t * hot ht rule Hpaee où à . | À A - "+ : L ! 4 eu L Jus PEUT 4 FT Re AE ROUR OR MARNE EEE METEO ARPENTN EN RAP EUES ebitdathnroutérsihtten tip ieERS ‘à E * A } Hlot}ip has 110 HS MNIORES pes: TABLE GÉNÉRALE ET PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. RARE VAL LA VU ULWIAA AAA VE LA MMA MA AAA A UMA MMA MA AAA AAA VA AUEA LUE TABLE GÉNÉRALE ET PAR ORDRE ALPHABÉTIQUE DES MATIÈRES. À. ABLE, voyez Gyprin able. ABLETTE, nom donné au Cyprin able. AcaDÉMIE ( Rapport fait à |’) sur l'ou- vrage des Quadrupèdes ovipares du cormteide Pacépède.. 0.2.0 AGANTHINIONS (Les). . . e 8 AGANCHINION bleu. 1.0.1, one > — — — orbiculaire. . . - à , .. — — — — rhomboïde.. . . . AcanraoPopes: (Les hist. sante ACANTHOPODE argenté. 0.4. 404 — — — — Boddaert . . . . . . .. RORNTHURES LES AM SAT AGANTHURE chirurgien. . . . . . . Tome. XII 12 TABLE GÉNÉRALE ÂAcANTHURE noiraud.. . . see er x 356 — — — rayé . ee ODA O0 = =" — theutis. . 2: SUN SM DS 60) — ——— Voilier. à . 4) 4e ON EMIp, — — — sébres 5. . 0 . 0. Ne OMS. AGÉRINE , variété de l’Anguille. . . . . . VIE 119 ACHTRES (Les), 1e 1e 2 NU > 0 AS AGHERE barbu, MN PES RTE — — deux-lignes. . . . . . . . .. be ES ASC RU Abe MALO IR dar te ID NS marbre, 4 ee da Co 20 ENG — 1 pavonien.. + à. 1106. Me AND ON) EUR Orne: 2 DIE MERE 1b. 79 ACIPENSÈRES (iles }2524,,1.2.04, DE, Mein AA 0 AGPENSÈRE esturgeon.. ib 4e — — —— étoilé. . . . . . . . . . . ib. 2181 == —— huso.. . . . . : : 2). Gb —— —— strelet. . . . . . . . . . . be AcrocnonDes (Les }. : : + .Me40pmRe IV 404 ACROCHORDE de Java: . : M0 ib. 1b. ADIPOGIRE , substance improprement nommée Blanc de baleine, qui se trouve dans la tête du Cachalot.. . . (204 I ue AGAME. UE, 5400 CEE il 260 DES MATIÈRES, AGEÉNÉIOSES (LHes }j use Le, are: Vel de dual ve noie er 4e désarme. 4e élan CIRE. NA ra ere ER AGuILLo, nom donné à l’Ésoce bélone... AGuIo, ae TEE Ve AIGLE DE MER, nom donné au Cheïto- cupière able. Ni enNRene ee, A\GUILLE DE MER, nom donné à l’'Ésoce. Lélone RE A NES LE RE — — — tachetée, nom donné à l’Au- lostome:chinois. 424 ti Tu AUTRE D GTR EM es Le at le Sen pE te RD RPM UD AL e dE AU Un do ÂLLIGATOR, nom donné au Crocodile ordinaire , principalement en Âfrique. ArosE , voyez Clupée alose. ALouzE, nom donné à la Clupée alose dans plusieurs dép. méridionaux. . . ALTAVELLE, variété de la raie Pastena- que Ar re NU out Ausre blanc, nom donné à l’Adipocire enplusieurs/pays/aMalt: AU. énieit AuBRE gris, substance produite par Île Cachalot macrocéphale.. . . Tome. XI ib. ib. IV XI 1b. IX XI XII IE IV IT XII 1b. [PA 21 1/ TABLE GÉNÉRALE ARMES ee She ia LU D SC U NS Done Wed ce OU AMIE chauve: tance NAS Aumonvres (es) 0) Re ere AMmobyre (Serpent) sr MEL mas — — — appat (Poisson). . . . .. ANTPHISBÈNES (Hes)}à Lie Nerde sr. ANABLEES (LOS )as se à à 4 ALU te — — — Surinam... . . .... . .. ANARHIQUES (1es,)s + 4 4 44 0 ANARHIQUE karrak ! Late ire loupe, dr rt ipanthérin., .4..40s ft Se de io te dite ut ANarNars (Less cs ele ANARNACK groenlandais.. . . . . . . Ancuois, voyez Clupée anchois. Axe (Tête d’) nom donné au Cotte Chabot, dansplusieurs départements méridionaux de la France.. . . . . ANGuILLE, voyez Murène anguille. ANGUIELE. chien: MN ans — — — de haies, nom donné par quelques naturalistes à la Couleuvre à collier. . . . . VIII VII LA4 Q1 Le) s] 121 oc DES MATIÈRES. ANGUILLE DE MER, voyez Murène con- gre. — —— — DE SABLE, nom donné dans plusieurspaysàl’Ammodyte appat. es Ançeuis (Les). . . ANGUPEUSE: |.) AINNELÉES Le cu Axous, lézard de Aopons (Les). . . AODON cornu. . . = #kumalk:l.!. — — MASSASA. » ° Surinam. ° AourADE, nom donné au Spare dorade dans plusieurs provinces de France. APACHYGOATL, nom donné au Mexique à la Pétalairet. . . APoGons (Les). . APoGon rouge.. . APTÉRONOTES (Les). APTÉRONOTE passan. (1) Les mots : Tome, VII IV ib. ib. IL VI 1b. ib. ib. IX 19 Page nom donné, devant se reproduire très souvent dans le cours de cette Table jeles remplacerai à l'avenir parles lettres : n. d.: il en sera de même de quelques autres mets tels qne Département , Lézard , Poisson, etc. , qui seront mis par abréviation et que le lecteur comprendra facilement. 16 TABLE GÉNÉRALE ARGENTINES (Les)}4 4e eee ARGENTINE bonuk.. . x . . . 2 = (Caroline Lee re — — — Machnate.. . . me — — — Sphyrène.. ARGUS M emo LAN RE QUE en ARGYRÉIOSES (Les}).. . . . . . ARGYRÉIOSENOMEN. see HU ARNAk, variété de la raie Pastenaque. ARONDELLE, n. d. au Dactyloptère dans plusieurs départements du midi. Arpuye, n. d. à l’Ésoce bélone. . . . ArrÈTEz-bœuf, n. d, à l’'Échenéis rémora. ASTATIQUES à RE Lire le bu AS UE tr ddhe SE ages — — n. d, à tort par les anciens à la Vipere d'Égypte. Te — — Cornu, n.d. dans quelques con- trées à l'Ammodyte ( Serpent ). ASPIDOPHORES ( Les).2, 2%. .4012 ASPIDOPHORE armée — — — — Lizise. ASPIDOPHOROIDES (Les). :. .:. .. AsPIDOPHOROIDE tranquebar. ASPISURES. | Des). 00. re LS Tome. VIII . - DES MATIÈRES. ASsPISURRESOhar ait 28) ere ae en, ATHÉRINES (Les)... . . . ÂTHÉRINE grasdeau. . — — — Joël, . . .. — — — Ménidia.. . . . . . . .. — — — Sihama.. . : .. . . . .. ÂTHON, n. d. au Scombre thon dans quelques départements méridionaux. EROCRM SNL Un le penRAl DRO POSE de tar cutenter re AULOSTOMES’ (Les). ....,:2aut lin ÂULOSTOME chinois. . . . . . AurADO, n. d. au Spare dorade dans plusieurs départements. . . . . . . Aurioz, n. d. au Maquereau sur plu- sieurs côtes méridionales de France. UP ORAN SUR FU Re AVERTISSEMENT du comte de Lacépède relatif aux Cétacés. . — — — relatif aux quadrupèdes Ovipares. "2 Le — — — — relatif aux Serpents. . AvEUGLE, n. d. au Pétromyzon rouge. Azuré (Lézard). . . .. AzuRÉE (Couleuvre). . . . . . . . VIII A 1b. XII ib. IX VIII IV QT Page. 363 14/4 18 TABLE GÉNÉRALE Tome. Page. DALRINES (Des)... à. 14e 1 4a BaALeINE blanche , nom autrefois don- né au Delphinaptère béluga. ib. 269 = — 25 bossue. à du SN Na NS _ib. 141 =) franches: 25 LOUP 1b5 0xfa ——— japonaise. . . . . . . . . . ib. 550 — — — lunulée du Japon. . . . .. ib. ib. ——— nordcaper. . . . . . . . + ib. 134 ——— moueuse: : 2200 01800 ib. 142 ——— (Blanc de) voyez Adipocire. ——— (Pêche de la); à qu'elle époque elle paraît avoir com- MeNCEN AU UNE ib. 109 — — — comment elle a lieu.. . . . ib: Nas BaLgINoPTÈREs {Les}. . : . : . . . ib. 145 BALEINOPTÈRE bleuñâtre. . . . . . . . ib. 350 — — — — gibbar.. . . . . . .. 1b. 10770 — — — — jubarte. . . .. PES ib. 151 — — — — mouchetée . . . . . ib. 3550 — — — — museau pointu, . . . 1b.-0un05 — — — — nome, . . . . . . A ib. 350 DES MATIÈRES. BALEINOPTÈRE rorqual. . . . . . . . 1 — —.— — tachetée.. . . . . . . ib- LAN Ge à PR PAT MAS LS NAN IV Darisres (Les) ie, An, VI BALISTE américaine. 400 mu ib. NE, arme. Aa OU ENAMEUn ib. TR ASSAST NUE ARE 1b. = MDOourse.. 2 NUS 1b. = —Hbrides ge is JEU AMENER 1b. DIV AS es et IN LV A er QU 1b. 1 =çaprisque.. + à - à + à à à à 1b. iPicendrésars ES LUE LUS tout 1b. rt —ichimoiss#s à à LL La de ib. ——\icurassaviens; :.-, 7, + :xic0A 1b. — — double aiguillon. . . . . . . ib. Lt feécharpes 2147.16 0,0 ib. — — ecrit, variété du Baliste mono- CÉSAR RTE Mn ib. — 1 épineux lea ds a 1b. te etoile dy ABLE ARTE ES ib. —)1—Vgrande tache. : 2\éns ln Li ib. 0 hérisson Ve AN DAV ib. rt klemien. id unueu te ib. = —/mamelonneé.u :J LhaLoti Lois ib. = rs monocéros, # + o s1 ts Meier Pelle 1b. 20 TABLE GÉNÉRALE Tome. Page. Bausre Mungo-Parck.. . . . . . . . VI 192 D MOÏT Se on de 0 «4 dote CONEERS ib. 128 Re Ve TI Me IE ee ib. 132 De —-Mponciué. LU Le ee ib. 105 — — porte-vergette, nom donné par Commerson au Baliste HÉRISS EU Re NE Nr 1b MS ed MPralih Lu Lieu 10: AU — — queue fourchue. . . . . . .. ie 25 = RINIONne..: 22 2 eu Jul ib. 119 Pr —itacheté.ss #1 2 LE du 1b.. 1142 en de VIGUEUR MI US ib. 110 h—_Iverdaire.s à 2e. Hoi lo 0129 = —Mverruqueux. . . . ... AN ib. 119 + —Auieille. .! M4 000, SOMMES ib. 90 BANDEMOILES. 0 AE CS EU UE RE IV 125 BanDpoOuLiÈrE, n. d. à plusieurs chéto- HOTONE Sn PACS SAN EUR AR RE X 279 Bar, nom donné au Centropome loup sur les côtes de France, voisines de la Loire et de la Garonne. . . . . . 1b. 89 BarBaARiN, n. d. au Mulle Surmulet, . IX TS BarBEAU, voyez Cyprin barbeau. Barges, n. d. aux fanons de la baleine. NT SU Barget, n. d. au Mulle rouget dans plu- DES MATIÈRES. sieurs contrées de la France... . . . Barsor ( Petit ) n. d. au Cobite loche. BarBOTTE, n. d. au Gade lote dans quelques départements. . . . . . . BARBOTTEAU, n. d. au Cyprin jesse. . BarBuE, n. d. dans plusieurs départe- ments au Pleuronecte carrelet.. . ——— n. d. parles matelots français, au Pimélode barbu.. . . . . D'ASELIC A LOU ONE OU ÈRE BarrAcHoiDEs (Les ). . . . . . BaTrAcHOIDE blennioide. — — — — au. Bauprote, voyez Lophie baudroie. BAvEusE , 0. d. au Blennie pholis dans quelques départements du midi de HRBrAncenMEnE. Lee Peters BécarD, n. d. au Saumon mâle par quelques naturalistes. . . . . . BÉCASSE DE MER, n. d. par plusieurs auteurs à l’'Istiophore porte-glaive. . BécueT, n. d. au Brochet dans plu- sieurs départements. BEcQuer, n. d. au Saumon mâle par quelques naturalistes, . . . . . Tome. IX XI VII XII XI ib. XI XI 1b. 22 TABLE GÉNÉRALE BÉLICANT, n. d. dans plusieurs pro- vinces de France, à la Trigle gurnau. BÉLONE tachetée, n. d. à l’Aulostome chinois, .:. .4., . + 2RINSoE BéLuGa, voyez Delphinaptère béluga. BéLuco , ou Étincelle, n. d. dans le midi à la Trigle milan. . . BÉQuer, n. d. au Brochet dans plusieurs départements. . . .. BERGFORELLE, voyez Salmone bergfo- nee Par BErnaner, n. d. au Squale humantin dans plusieurs dép. du midi, BERTONNEAU, 0. d. au Turbot sur quel- ques côtes nord-ouest de la France. Bicue, n. d. au Caranx glauque dans plusieurs départements. . Brmacuré (Lez.). . . . BLANCHATRE. BLANCHE. . ET BRUNE. cu de PTANCHET:S ce RU SMART PEBNNIES (Les)... ce Prennisdbelette.s : 514 - 0. 4 ——— bosquien. . . . . .. Tome. IX XTI 1x XI VI XI VIII Il IV ib. ib. ib. VII ib. ib. Page. DES MATIÈRES. BLENNIE coquillade. . . . . . . . .. ee COL QU.) à CE A Gen n er mHdsCe. de 4 8 Moi pat Dee mr gattOTuSineE MN UNE deu mm AE RENE Lo pu a qe Se Ie Vre MAN. il, a À Pet —) lumipene sh... 0. Au ——— méditerrannéen. . . Der AAMlOVOVIVIPATE. 4 5 da LL ne mmiphyCis, di ONE LAN tE ee rt PROS RE 05 Aus hat eee DIN AU. 4 4 SL ta aus à Pie oi pointilés. 0700 Late ile nr Sauter. di Aime ue nr ml ITA CLy les MAS AUENR Rd BLEUATRE (Couleuv.). . . . . . . REDET Serpent) M, LL Au: RO Re ut Rite 214 BoprAN BoETEN, TABLE GÉNÉRALE apue. argenté. . aya. . bœnak. Bloch... cyclostome. . décacanthe. . de Fischer. CLONE Ver ee OL grosse-tète. biatuler 2e Ris n Jacob-Evertsen. . jaguar. lentjan. . louti. . lunaire. . macrolépidote. mélanoleuque.. oeillère. . DOpAA salt MAR six raies. tacheté.…. tetracanthe. . vivanet. . couleuvre décrite par Forskal. Tome. X he bi ‘b. 1 . 1. b: ib: . Pl hs hs L: 1: 1 hi 1h: hi I il he ib. + IV Page. 121 112 119 12 113 117 1b. 116 122 117 121 119 111 117 111 118 112 119 109 118 123 115 129 116 19 DES MATIÈRES. BOAMP ACT BOIQUIRA. « . +, UNIT AL UNE à ROIOBENL Le ici us ve VON SRE BonpeLte, variété du Corégone lava- MERS den vel oh laits PES Le leds cat ete N Retz, Bonne, n. d. au Gyprin able. Bostrrycues (Les). : +. . . . . BOSTRYGHE chinois. + + +: : MN CHAN RTS PER tacheté. e e ° e ® e . e Ê Bosrrycnoines (Les).. . BosTRYCHOIDE œillé. . . . . . . .-. . BourEau, n. d. à la Tryglelyre sur les rivages voisins des Pyrenées occi- dénless ui cles re BouviÈère, voyez Cyprin bouvière. DRASIÉIENNE: 0 0. le to 2 BrÈèmE, voyez Cyprin brème et Spare brème. — — DE MER, n. d. au Spare brème sur plusieurs côtes de France, BRETEAU, variété de l’Anguille. . BRIGNE, n. d. au Centropome loup; voyez Bar. — — bâtarde, n. d. à Bordeaux au Cyprin dobule. . . . .. VIII IX IV 1x VII XIT 29 63 O1 Q1 © 20 TABLE GÉNÉRALE Brocuer, voyez Ésoce brochet.. . . Brocuer deterre, n. d. par Rochefort, au Lézard doré.. : — — — perche, n. d. au Gentropome Sandals ee Me de —— — volant, n. d. par plusieurs auteurs à l’Istiophore por- te-glaive. . à ! BRODEREEL (Serpent), -, .:4) : à, NS Buros (Les). . PUR IDEUNe 020 een Burskorr, voy. Hypéroodon butskopf. Buryrixs (Les). Buryrin banané.. . . Tome. IT IX IV XII ib. XI 1b. Page. DES MATIÈRES. 7 C. Tome. Page. CapiczauD, n. d. à la Morue dans plu- sieurs contrées de France... . L VII 230 Cagor, n. d. au Muge céphale. . . . XII 158 — — (Petit) noir, n. d. au Cotte HOT on aide den AA AU 0) as VIII 920 CABOTE, n. d. à la Trigle hirondelle. . x 100 CABROLE, n. d. au Caranx glauque dans plusieurs départements. Fee VIL 149 CReTABOrSE (Les) eux se ne [ +99 GacrArorblanchätre.. ., + … .. ib. 2/44 — — — macrocéphale. . . . . . . 1b.51:105 — — — svineval. . . . . . . i1b:# 12/9 — — — trumpo. RATE ib.4 109350 CAGARELLE, n. d. au Spare mendole dans quelques départements méri- dionaux de la France... SN IX 291 CacnorT, n. d. au Squale milandre dans les mêmes dép.. . . v 387 — —— blanc, n. d. au Squale glau- que dans les mêmes lieux. ib. 3566 CanugaAu, n. d. dans la Seine inférieure 28 TABLE GÉNÉRALE au mâle de la Clupée feinte. . . . . CALLICHTE, voyez Cataphracte callichte. CALLIOMORES (Les): Le. ane CAGHIOMORE mdien. : 20200) et Carcionvmes (Les)... 440 1 CALLIONYME dragonneau.. . . . . . . = — flèche... siRde)s SoBbr — — — — japonais. . . . + . . pr — JT. 2 eee — — — — pointillé. . . . . .. .. CALMARS. . . ouest 2e Lie, à CAMÉLEON. 000 0 HU à ne AE MR A An UE CANINERER cire tes ct eu dela ee 0e 2 Rte CanTÉ, n. d. au Spare sparaillon dans quelques. départ. mérid. .... 4 CAODANE SL EN AGE UE Carnos (Les. ).alnlsrs ame — — sanglier... . . . . CarAmassou, n. d. au Cotte scorpion à l'embouchure de la Seine. . . . . Garanx (Les)... .. 44 entree amie. Hem ENS CR UNE nn _=#blanc.: He Meet 20e — —— Caranguesem IE QUES NE CAN Tome. XII VIII ib. ib. 1b. ib. Page. 220 205 206 192 198 DES MATIÈRES. | 20 Tome. Page. Cananx chloris. à M0. 4200 fe VII 147 — — cruménophthalme. . . . .. ib. ib. 2 —#Daubenton. :. 10402822 MANU ib. 155 Sas. MERE SMÉROUMRE ER À ib. 147 Er —Herdau. |. re... 48h ib. 159 — — filamenteux.. . . . .‘. . .. ib. 154 = UIDAESSE. à à cie st OU ib. 159 mn -Higlauque. ...1.:,,. Mio ib. 149 1 ——pKlein..,. ..ritnieres, ASS ne —#HKoraDi ns .s che: 6 Lan al ib. 159 a —HMDIUMIEr. nn, OMAN LD ASS Un queue jaune. 1.1. .#..h. an, 1b: 140 ei) queue rouge. 7. "et. 4. TER AUDI en FEOUDE etre de dt, SAR ib. 162 M NS ANSUN PS DRE 1, APT 10: OO — ‘— trachure. . . . . . . : ib. 141 tres Deaus. "tar et LUE ib. 156 Caranxomores { Les}... . ... . : ib. 167 CARANXOMORE pélagique.. . . . . . . ib. 168 — — — — pilitschei. . . . . : .. ib. 170 — — — — plumiérien. . . . . .. ib. 169 -æ— — — — sacrestin. .._. ,. . ib. 171 CARDINE, variété du Pleuronecte sole. x1' AE CARENDENS PSP EN Rte iv 169 MBA 27e NID eee 20 UNIS IL 10 pr Carre, voyez Cyprin carpe. 30 TABLE GÉNÉRALE CarREAU , n. d. au Brochet lorsqu'il a à peu près atteint sa grosseur. . . . CARRELET , voyez Pleuronecte carrelet. CATAPHRACTES (Les ). . . CATAPHRACTE américain. . — — — — callichte. — — — — ponctué. CAM A él Le Céciries} (Les )......... CéciciE brandérienne. e CEINTURE d’argent ou argentée, n. d. au Trichiure lepture. CEncuris ( Serpent). . Cexcurus ( Couleuv. ). CENGOSRE LUE CT ei CenDrée ( Couleur. ). . CEnTrANoDoNs (Les).. CENTRANODON japonais. CENTRISQUES ( Les).. . CENTRISQUE bécasse.. — — — cuirassé.. — — — sumpii. . CENTROGASTÈRES ( Les). . CENTROGASTÈRE argenté. . Tome. XIE 1b. Page. DES MATIÈRES. Tome CENTROGASTÈRE brunâtre.. . . . . . . VIEIL Genrroropxes (Les)... 46100 CENTROLOPHE nègre. bo ib. CENTRONOTES ( Les}... 2,:....14.410% VIII CENTRONOTE. acanthias. :... :. 2.4 ib. — — —— argenté. . ... ... ... . 1b. =) — carolinin.... :. 411)YA4, 0: 1b. — — — — Éperon. . . « + . + . . . 1b. — — — — gardénien. . . . . hi rs ib. — — —— glaycos.. . . . . . . . . 1b. ———— Îyzan. . . . . .... 0 1b. A ee DOOT Ce Lee terasse tr dore et 1b. Ovale... +, + ent tAit 1. ———— pilote... . . .. ..... 1b. — ——— vadigo.. . . . . . . . . . 1b. Genrrorones:( Les)... ...,.#lmae. ib. CENTROPODE rhomboïdal.. . . . . ... ib. CENrTrOPoMEs ( Les).,...,... man x CENTROPOME alburne. .. ..... à. iD. | ammbasse. . A0 ib. — — — — arabique. . . . . . . . ib. a — deroche., 7 terre 1b. ONE 2.100 AA 1b. nn — fascoie tube HO Ur ib. 2e 4 hober. ib. 52 TABLE GÉNÉRALE CENTROPOME lophar. . — — — — loup. . . =— — — — macrodon.. . —=——— mulet. . — — — — nilotique.. —— — — œillé. . . — — — — onze rayons. — — — — perchot. — — — — Plumier. — — — — rayé. . . — — — — rouge. — — — — safga. . — — — — sandat. . — — — — six rales.. . CÉPHALACANTHES (Les }.. CÉPHALACANTHE spinarelle. . Gérores( Les ).. . . CÉPOLE serpentiforme... — — tœnia.. — — trachyptère. . CÉRASTE. Céracés ( Des)... — — (Vue générale des).. . — — (Tableau des genres, ordres et espèces de).. Tome. X ib. ib. ib. 1b. ib. ib. ib. ib. ib. ib. 1b. ib. ib. IX ib. vil ib. ib. ib. Page. 87 101 DES MATIÈRES. Céracés (Note sur les) des mers voi- sines du)Japon..!,. 2,408 — — (Supplément au tableau des). CaBoissEau , n. d. au Cyprin jesse. CHABRONTÈRE, v0y. Péristédion cha- brontére. sheet Siren Cane Serpent)... 4e, … … sous Cnarr devipère desséchée, voyez Sel de Hipére. 0. LS MORE CHABCIDE- 0 amont ann LE Cnarus, n. d. au Muge céphale dans plusieurs départements méridionaux. CHanos{ Les). 5 esse de — — arabique. . . . . . . . .. CHapeser (couleur Eitab. dh r à Cranaeins (Les) run Lila hls GHanAein à bandes... hum pré AN OSLOME. 05 0 ES — — — bossu. . . . .. — — — carpeau. . . . 0 . . . . el. curimate..i .. 41 4 oo à — — — denté. . ....... — — — double mouche. . . .. — — — frédéric. . . . . ,. ES 1 méelanure: Tome, IV III 1b. 34 TABLE GÉNÉRALE CHARAGIN mouche. . . . . . .. — — — nefasch. . . . . — — — nilotique.. . . . . . . ie OO. LM HN MALE — — — piabuque. . . . . . . .. — — — puivérulent. .. — — — sans tache. . . . Cuass£ur , surnom donné dans le Para- guay au Serpent devin. . . . CHaTizroN, n. d. au Petromyzon lam- proyon dans plusieurs dép. mérid. CHAT marin, n. d. au Squale roussette dans plusieurs provinces. . . . . CHATOYANTE , (couleur. ). Cnauve-Souris, n. d. dans plusieurs départements du midi de la France au Dactyloptère pirapède. . CHAYQUE. Cueizines (Les). CHEILINE scare. . . = = trilobe. CGaerrions [Les)...1. 1. CHkiriont brun: . . Or. 0 20. VOIS I TIRE GberropAGTyEEs, (Les)... M Tome. EXT ib. ib. ib. ib. ib. ib. EV ib. IV Page. 335 336 ib. 341 333 336 ib. DES MATIÈRES. CHEILODACTYLE fascé. . CuriropiprÈres (Les). CHEILODIPTÈRE aigle. . — —— — — — acoupa. Se Ie (D PANNE PEAR boops. PNUD 2 DL" SERA chrysoptère. NU Ace URL à nd cyanoptère. n'ont LV PE. PRESSE heptacanthe. Mo ae macrolépidote. / — — — — — maurice. ———— — rayé. —— — —— — tacheté. Cuaéropipréres (Les). . CnéroprprÈre Plumier. Cæéropons (Les). . . . Cuéropon à bandes. . — — — allongé. — — — argus. . . — — — bengali. . — — — bordé. . . — — — bimaculé. — — — bridé . .. — — — cannelé. . — — — chili. . . = PChMOIS den Û Tome. XI 35 Page. 85 200 209 206 1b. 56 TABLE GÉNÉRALE Caéropon cocher. = "collier: COQUE UE eee — — — Couagga. . . . . — — — curacao. . . = = tfaucheur:. . : — — — forgeron. — — — galline. — — — grande-écaille. — — — hadjan. . ee huit bandes: se Klein. AE Reaurice: — — — museau allongé. me Preillé: Ed vE"orhe. — — — peint. . — —- — pentacanthe. . — — — pointu ... — — — queue blanche. ef 4 "rondelle: — — — sargoide. . RE Souillet. 4.04 —— — — surale. .… . . Me = tache noire. . ‘Fome. x 1b. i1D. DES MATIÈRES. 37 Tome. | Page. CHÉTODON tacheté: nain.) Sao non x 28/4 = dteirail UM Si CO HpIeTe ib. 304 — — — tétracanthe. . . . . . . . ib. 268 — — — trois bandes. . . . . . . ibi#1507 — — — vagabond. . . . . . . .. ib. 292 — — — vespertilion, . . . . . .. ib. 302 jé zebres Liane. Le hr 1biHAOI CHEvaz marin, n. d. par plusieurs na- turalistes aux Singnathes. . . . . . VI 204 GHevarrenst (Les\ine sh 480 Lime x’ 256 CHEVALIER américain. .: .: 4 4, 1, 1... 1b#l0257 CHEVANNE, nom donné au Cyprin. ESS MMS A ai ne A ee URUE XIL 340 CHEVENNE NN Mad Toide eue 1De 1e Cuicnarou, n. d. au Caranx trachure sur plusieurs côtes voisines de l’em- bouchure de la Garonne et de la Gharenten Leu 8 ee à, 20 om VIII 14 CHIEN DE MER nom généralement donné aux grands Squales ; voyez ces articles. — — feuille, voyez Polyodore feuille. Cmmenes n(Des)i 4e 4. que à je VI 199 CHIMÈRE antarctique. . . . . . + 40. ib. 147 ee smiarctique. ter LU ib. 140 38 TABLE GÉNÉRALE Tome. CHIMÈRE monstrueuse, voyez Chimère ARÉATCUIQUE: 1. ANNE Canysonosesu(Les)., . ., : «60e XI CaRvsonoss-lune: .… .: .: 51. Mme ib. CarysostRomEs (Les). . . . . . .. VII CarysosTROME fiatoloïide. . . . . ... ib. Ginpaines Mes}. 4 Aie er xI Cirruitetacheté::.rsusentr se be CLAVELADE, nom donné à la raie bou- clée dans plusieurs Dép. du midi dela rance Ha LE He Y GEvpanonons (Les). rte aot : xIT CLDPANODONLAFTICAIR , 4.4 ee ib. — — — — cailleu-tassart. . . . . . ib. — — — — chinois... 4) &L ib. —— — — Jussieu. tou sos ab 1. — — — —nasique. . . . +. . . . ib. — — — — pilchard. . . . . . . .. ib. Crupées (Des)otre-umaehæn., AUS ib. Crurérratbandettsé hat re. ib. =, —Jalosemn.!.) LS ARE ir ib. 2. anchoiswhi on arabe TE 1b. ——— apalike. . . . . . . . . .. ib. np hathérinoide..... Ne LME ib. EURE AE TS 1 6 NT ME 0 1b. DES MATIÈRES. | 99 Tome. Page. Wrueée/chrysoptère.,.:.13b/tMauMx 20 XII 250 ——— des tropiques. . . . . . .. AT dora D 420 li etes Len dd ft ib/02209 ele AD NON een Le ib. 220 hareng 4... 1h ib. 197 a Mala Dar ee 0 PRO ib. 229 — — — macrocéphale. . . . . . .. ib. 231 SEA RON CSC NE ONE LE ib. 221 —— — raie, d'argent). arip4nire ib. 228 Corne a MARS LOIS NÉE IV 232 Conrrest (Les) ner aarerer eur nt onu, ki 7,86 Corsreuloche:;An0b nt 0 HO ENR à ip: 1787 EL NI ve re 4 +. ve Len 1b} 40h: trois) barbillons?. 010 AE bit :“ib: 4 Cocnox DE MER, n. d. à l’Ostracion LHIDONE HER MAO RNAIEUR HR vi 1207 Cowcnes(Les)sohatire anne tetes IV 598 Cosion(les)uny. 0 M Le Le VIII 179 — \—1azuror.d's"4ie8t NITIMENUL AIRE, ib. 174 poulain ete + Le 1210. AG 1ba4 197 Cosromones( Lesi}-04n,.t"t 265} 20 0,6% ib. 179 Cœsiomoprrbaillon. ,414044m00 44 ou ib. 180 tdi DlOCh.... 1, + MAO ib. 181 Cocuorcs, variété du maquereau. . . VIIL 124 Cora, n. d. à la Clupée alose dans 40 TABLE GÉNÉRALE plusieurs dép. méridion. . . . . COLLIBRANCHE, n. d. au Spagebrange MUSCAU DOME...) AN HONE COBTBRINC, Sa 2 St rar GoruBriNes (Les): . . 7... à ÉOMUBRINE chinoise... .- j-, -... .) dé CoaéPnores (Les). ...:1...1,: teinte CGonrPaorr baikal. ... 4 24,001e Conpucreur des Callarias, OEglefins et morues, surnom donné au Gade Capelani eh eue res a ee. des saumons, n. d. à l'Es- turgetns he saules elite CoQ, n. d. au Zée forgeron sur quel- ques côtes françaises de l'Océan. . — DE MER n. d. en France au Gal Vendredi ete een ta CORATETNR. Ne 20e CorBEau, n. d. dans plusieurs dép. à la Sciène umbre. . . . . . . , CORBEAU DE MER, n. d, par les anciens naturalistes grecs et romains, à la Hagléthirondelle. 62020%:1,/48 CorDYEE ul te SAME EI. CoréGones (Les). . . . . Tome. Page. XII 219 XII 401 IV 379 RE ANIO ib. 119 VII 172 ib. 100 ib. 270 VI 164 x) 11004 ib. 391 iv 56 Xe LOU IX 108 U 29/4 X IAE 2 DES CorÉGoNE able.. . Coris — autumnal.. — clupéoide.. — large.. . — Javaret.. — leucichthe.. — marène. — marénule. — Muller. . . — nez. — ombre. . . — oxyrhinque. — peled. . . . — pidschian. . — rouge. . . . — schokur. . . — Thymalle. . — vimbe. . . — voyageur. — Wartmann. (esh 0,2. — — aigrette. — — anguieux.. MATIÈRES. Corn£ D'or ou d’abondance, donné au Thon près du surnom Cap de Tome. VIII 2 TABLE GÉNÉRALE Dysances MONNIER SO IENTRE CORNT (RS Ep) MAT OS NE EEEE — — voyez Lézard cornu. Corr, n. d. dans plusieurs dép. à la Scienerumbre. :: #2, #14. 07.2. Li Corvporks (Les ). +. %.4:..1. 0.244000 — — — Geoffroy. . . . . . . . . Corvruënes (Les).: : 1 42 < 940 CORYPHÈRE bleu. :. : : 0 HR LE camus.. nn — — — casqué. .« . . +. . . —1— — chinois. :.:..... 0 — — — chrysurus. . . . . . . . . Per ONE loradonse ee 4 ui NUE RE — perroquet PEN T R EE A Là RE Plummiers- tt at en ESRI rayé. NET re SM EE scombeéroide ii PER — — —— Vert MA EU LORIE Page. DES MATIÈRES. Tome. CoryPpnÉnoine Houttuynien.. . . . . VIII Bornes Les ):0.,1. 1 Lu. ns ib. Corrrkaustrales, :. ., 32,408) ua ib. — — brodame, variété présumée de l’Aspidophore armé.. . . . . . ib. PP PO 0 0 PR ET ib. nr BL OBIANt. 410 an ES NE 1b. — —\nsidiateur.. :.. 440.40 0e ib. ut sinadéegassel sh ina u, ib. = — Doir:. Matlaer saluer MUR ib. — — quatre cornes. . . . . . . . . ib. 1 —1rabotteux. ...:.,. 1.1, SH ib. Ei SCOMDION. 1, 2, cie, eue cu ovie « ib. Courac, n. d. à Bordeaux à la Clupée ADS ERA EU Nr AT LA re a XII Coureuvees ( Des}... .:,.,.,... 4" HI Coureuvre ( Grande }, surnom donné au Serpent devin sur les rivages de la Guianet res LUE ar IV = —d—.à coller." it ib. td A) ZONES BA LA PE de dut ib. — — — commune, voyez Couleuvre verte et jaune. — — — (Exemple frappant de l’atta- chement d'une}. 4,414 ib. 44 TABLE GÉNÉRALE CouLeuvre de Minerve. . . . . . . . — — — des dames. . . .. — — — verte et jaune.. . . . — — — vulgaire, n. d. à la Suisse (couleuvre).. Liver: COULEUVRES ovipares. . . . . . . . . COuRESSE. CMP TA ere ARE CragBe de Biarilz, n. d. à la Scorpène EUGENE à LE init let et too CrapEau. n. d. à la Clupée sardine dans quelques dép. du nord-est. . Crarauss (Des)... 101 2,202 (ChAPAUDraguas. +. M A Le —— — — bossu PAQUET IE ASC PES Dr. Mi se de done es ve DE HE (Calamite ++ ve 0 ce «soc CRE = — — communs. LUN Le — — — COIMU.. + « . . — — — couleur de feu. ——— criard. . . . . . . — — — de mer, n. d. à la Raie aigle. — — — des marais, nom quelque- fois donné à la Grenouille sonnante.. . . — — — goîtreux. ..... LH VIII III III Page. 144 116" 142 166 179 107 DES MATIÈRES. Tome. GRAPATDpimarbre., 2... vost III — — — marin, n, d. au Diodon.. . VI Or DIDA Ne... ubeis AE {II — — — pustuleux.. . . . . . . . . ib. = —— rayon vert. . . +... es ib. ND eu oureu ce dei ue: do) voue VERRE ib. CrRaPAuDINE, n. d. àl’Anarhique loup. VII Créac, n. d. à l’Acipensère esturgeon dans le midi de la France. . . . . vI — — de Busc, n. d. au Squale ange aux environs de Bordeaux. . 1b. GRocopites ( Les }.....,.,.....,2,.., Il Crocopise à machoires allongées, voyez Gavial. — — — à museau éfflé, voy. Fouette- queue. OI E e de nets he nt 6 ci 1b. — — — proprement dit.. . . . . . ib. — — — terrestre, nom impropre donné au Scinque. . . . ib. Crocobices d'Amérique. . . . . .. ib. CurrasséE ( Couleuvre ).. . . . . .. IV Grcrorsères (Les). à VI CrcrLorteRE) bimaculé:. 0000 ib. ———— denté. . ,....,.. ib, 219 16 TABLE GÉNÉRALE CyczorrÈre double épine. . ———— épineux.. — — — — gélatineux. . ———— liparis. ———— lompe. Pre 1. Menu, —— —— rayé. SOURIS: — —— — spatule... . —— — — ventru. Cyprins (Les)... . . Cyprin able.. . — — à cuir. ser. — — américain... . — — Anne Caroline. — — aphie.. . .. — — argenté. — — aspe. — — barbeau. — — binny. — — bossu.. — — bouvière. —\ — brème. . . — — buggenhagen. . . — — bulatmay... e Tome. VII ib. DES MATIÈRES. Tome. Page. PMPRINNCAPOELI Le sue a selle e XII 300 = MGADDES he de ee Weobe ve de pe pe de Le ib. 267 t —/(Gatostome, ,. . 0, ee jte ib. 360 RC AUCUS a ea. is 1... 324 nt —NCEphaless peus Gue cn ue à ib. 310 1 —Nchalcoiders ue 2 hemeneine te ib. 326 ee, FE 0 AN 1b.…. 359 tr=—clupéoide.. » + 4 4e ee ee ib.…. 3 — — Commersonnien.. . . . . . . ib. 361 D eDuULeaUu se Lo Jet ei 1h. 354 SR Hobules ssl us ne. ib. 35356 ER NUOEC. Le dos eite les ME ib. 312 n relé. Le sue lue Lee die ib. 355 A laucille,s sr un ib. 3560 nt MIMANOE ses ee, ee ion 157 Mb. me UP AllAN. , + be men ip. 329 nn AIDele sis, Toto lets one 1b... 32% et =goléian. us, ib. 3525 x —({gonorhinque., . & . + + ske tb. 350 nn IP OUjOn... ee ein à ib. 295 D ét OS-YEUX.:, à eee 0 110.310 + —hNamburse..... suis. le ib. 3508 7 =thide: is sue te eSSer a NS Na er La ib. 340 Es = hjule. à »2.20 48 RD TnU (q 1b. 324 48 TABLE GÉNÉRALE Tome. Page. OPRINTRDÉO. ATEN LENS ONES xII 925 SAS ürge, Le 2 us mete es ib.….1556 — — leptocéphale. . . . . . . .. ib. 325 ES = MAICRUSN EE ere LU MERE EN 1b..#52% EU HNOPAOTES à» de ei eo Loac ie et ns ib. 306 EU morelle à rates ve des tenseruer ct ib. 360 Ébe—-MnUurSes à ln ne een leve ib. 292 22 6) SN + CE IN PERDRE ANR PSI À ib. 347 290 —(ndotique.: . .....:..R4mions 0ib-4530 EP MOnphes. ere tele vue rat ib.— 321 ONE ARR SEE LA RCE ib.-#3561 — — quatre lobes. . . , . . . .. 1b. 3519 1 MrOlenples te nt nn, RE, 1D 900 2% rouge, bruns .:::2.0..408 ib. 292 2 houredires st. 10:24 4 1b:— 336 — — royal. . . PAR N EN dE dE 1b. 921 PEU IRope. :: 0: 28444 the run ib. 359 = — Soyeux. - . . ste ib. 511 2Æ+ —"spéculaire.: + + + + «+ . AMRUE ib. 289 RS —2Mépirhine: + 212 2e Ar AR me ib. 348 MC = Kucet. .: 7:12 eo ib. 361 SC, Eanche.. + «+ 0 Re ib. 295 EN AMANCNOL.-2 MS nee ib. 301 He, —Hélescope. à + + à … - ib. 319 De "APAudOises Le te il LU ME INA 1b. 3355 CyPriN verditre. = "vérONn.- + DES MATIÈRES. — vert-violet.. A re EN — voncondre. , — zéelt. e Ê] Cyprinonons ( Les ). CYPRINODON varié.. Tome. en | 50 TABLE GÉNÉRALE 0806080800 2986 60605 98050 56H00 BE 060 DO BE Po o D0 PB 0 206 ÈS OW Ed DE 19 5-0 Ho Po aa D. Tome. Page. DABOMR 28 Ju ue RP IV 103 Dicrréoerenes (Les }. #4 405 44150 IX DAcTYLoPTÈRE Japonais. . . . . . . og ct — — — —pirapède. . . . . . .. 1b. 19 Daixe , n. d. à la Perséque umbre dans plusieurs départements. . . . . . . x 0227 Damo, n. d. au Caranx glauque dans plusieurs provinces de France. . . . VILL 149 DAro. MCOWeUDa) RS" RRERONUES IV 2958 Daverins(ibes Di ELA ae et 100200 Daupuin à deux dents, voyez Dauphin diodon. 2 22e Commerson 4 CIE 1b, 10930 de Duhamel tee, Rues 1b.03539 le PéTON. LU) CIS EUR RIRES ib- 9557 = "dodon, 2 tr, SIREN ib. 529 FETES, RO A PRE 1b:00529 — — — gladiateur. . . . + . . . . . 1b:02525 = marsouin. MEN CNRC ES ib. 509 — — — nésarnack. . . . . . . : . . ib 062 = — — noir du Japon. . . . . . . . 1b-00952 DES MATIÈRES. DAUPHIN orque. . . . . . - ——— ventru . . — — — vulgaire. . . . . . DécoLorÉE (Couleuvre). . . . . .. Dépicace à Anne Caroline Lacépède. DerpainarTÈREs (Les). . . . . . . . DezPaiNaAPTÈRE Béluga. . . . . . — — — — sénédette.. Deui-corcier (Serpent). . . . . .. DENTÉ, n. d. au Cheiline scare dans quelques dép. du midi de la France. DerBio, n. d. au Caranx glauque dans plusieurs départements. . . . . . . DENTS er pe JE RREMEUNBENReNE Fr DAAR AM AE O AL de ae ee ONE Drasce D£ MER, n. d. à la Lophie bau- ATOTCS 2 RL ER EURRNE ARENA — —n. d. par les marins à la Raie Banksienne: 7. "APM Diopow, voyez Dauphin diodon. Diopons (Les }?7."451 AE HFOUNS AUE DioDON'atinga. Neo RENE — — holocanthe.. . . . . . — | — mole.. “2MOMEMMAUAELE er cs al orbe. e ° e ° ° ° ° s ° CE Tome. U ib. ib. IX VIII IV ib. VI 1b. 51 Page. 319 391 29 52 TABLE GÉNÉRALE Drobpon Plumier:tis eu mn — TRES tacheté. o° 0 e » CR ® oo ° e Ê DIDONE MUC El Su ARR EP PEER Dress ee ne Der FES ES SEE Dirréropons (Les). |. Butor DibréRobon apron, …... . . « ait — — hexacanthe.. : : paul noté... nie Lou Res Plumier.:.1. eo queue jaunes ets zingek as ta. da Discours sur la durée des espèces. . la nature des poissons. . la nature des quadrupèdes GvIpareS Ne ere) sir la pêche, la connaissance des poissons fossiles, et sur quelques attributs gé- néraux des poissons. . . . sur la nature des serpents. sur les effets de l’art de Fhomme sur les poissons. Douesrique ( Couleuv.). . . . . x DouBLEs-MARCHEURS, v0y. Amphisbènes. DougLe-RAIE ( Couleuv. ). . . . . . Tome. 1] XII 1IE XII IV ib. 227 DES MATIÈRES. Dousre-RAIE (Lézard ).. . . . DougLr-TAcHE (Couleuvre). DoranE, n. d. au Coryphène hippurus — — — voyez Spare dorade. — —— de la Chine, n. d. au Cyprin d'ores ee pan in DOASes) ii enter se tar = CATÉNE. à nue ete atelier leu den de = cotes ul RE He Donsiflez 5. ue Dorfe n. d. au Zée forgeron. . . . Doruicciouse, n. d. à Marseille à la Ratertorpillesis heu. 0 ute le 4 Donsuarnes (Les): mise. DORSUAIRE noirâtre. ua à à Dracon f'Eczard ). slot vlan DraGonnE (Crocodile). . . . .. DrezienY, n. d. au Centropome loup dans plusieurs départements mérid. detasbrance. "ns an DAMINAS Are nn ter as es Dürpo, n. d. dans plusieurs dép. à la Selène umbre::.#402 Clin 1) à Durée des espèces. ( Discours sur la ). DIURISSUS NEA VEN Ten Es Tome, IT IV VIIT IV IV 55 Page. 54 TABLE GÉNÉRALE Depot pee LTD POPOBICOSEOoTar DPI eporepHerDoToBeICOBHMES OT CAO OS ED EE CDS E. ÉcHÉNEIS ( Les }. 121: — — — naucrate.:. . . . nee LAYÉ Ne ae one — — — rémora. . . . . PT ÉCRIVAIN, n. d. au Cyprinnase. . . . Errets de l’art sur les poissons. . . . Ecurcterre, n. d. à l'Ésoce bélone aux environs de Brest.. . . . ÉLoce de Buffon. . . . .. Ésoretbes is are ÉnoPeisaune. Me ete ÉmissoE , voyez Squale émissole. EuPEREUR, surnom donné au Serpent devin par les habitants du Mexique. Enrumé ( Serpenti)stt MANN EN AVDR ES NEC ANSE Rene ÉNOPLOSES (Les) rem RER ÉNorLose Wite.ilf. ét AMANEMRRr ES Epée de mer, n. d. au Squale scie. . ÉPERLAN , voyez Osmère éperlan. Rd. EN ET UN PAT AUN u Ue ee ue AR Tome. Viii XI Page. 254 248 252 255 o41 7 DES MATIÈRES. ÉPINARDE , n. d. au Gastérostée épino- che dans plusieurs dép. mérid. de la RAGE De et MUR Se IR que ÉPinocuE, voyez Gastérostée épinoche. A a IN NC AA pr ErPÉtTON , n. d. par Lacépède à un nouveau genre de serpents. . . . . HS ob (les he a Au ÉsocE américain. . . . « . . . « — — argenté. . ee -HDClOnes ie 1 EE — —'hrochet.. . . . — — espadon.. . . — — gambarur.. . . . . .. EsPanow, n. d. au Squale scie. EsrourGroN, n. d. à l’Acipensère estur- geon dansle midi de la France. EsrurGEoN, v0y. Acipensère esturgeon. Éroire, variété du Squale émissole. . ÉvENTs, canaux qui partant du fond de la bouche de la Baleine, aboutis- sent vers le milieu de la partie supé- rieure de la tête. Exocets (Les). Exocer Commersonnien. . . . . . . Tome, VIIX IV XII 56 TABLE GÉNÉRALE Tome. Page. ExocEr métorien. + . « + + + + + + + mL NO Jr. cauteurt où Bean MB EMRUE 1b. 1b. ER =: volants + etepentutie ba DES MATIÈRES. F. FaISAN d’eau ou de mer, n. d. au Turbobr: ts anale diner a FaiTan, n. d. au Pleuronecte flétan dans quelques dép: stoustentahe Fanons, lames qui garnissent le dessous de la mâchoire supérieure de la Baleine franche. sine t Faucon dela Mer, n. d. au Dactyloptère pPirapede 3 Æncueue d lee: FER A GHEVAL (couleuv.). . . . . . . Férès, voyez Dauphin férès. . . . . . FErRAT n. d. au Corégone lavaret sur les bords du lac Léman... . . . . . Fire (serpent). centhine Fizar, n. d. à l’Anguille de mer sur les côtes mérid. de France. . . . . . Frcencuz, n. d. à la Fistulaire pétimbe Fixsacx (Baleine) ou à nageoire sur le dos nu FINE, n. d. dans le midi de la France à l’Anguille femelle. . . . . . . Tome. XI IX IV XI IV VII Page. 62 20 58 TABLE GÉNÉRALE Frsrucaires (Les). . FisTuLaiRE pétimbe. . . . . .. FLÉTAN, voyez Pleuronecte flétan. FLez, voyez Pleuronecte flez. FLonpre ou Flondre d’eau douce ou de rivière, n. d. au Pleuronecte flez aux embouchures de la Seine. FLOTANT, n. d. au Pleuronecte plye à Bordeaux: HMMENUUE FrutTE, n. d. à la Fistulaire pétimbe FLUVIATILE, n. d. par quelques natu- raliste au Petromyzon pricka. . FouLTTE-QUEUE, crocodile à museau AllGnpÉ.. 84 nt ANR FRANQUISE, variété du Pleuronecte plye. FRAYÈRE, n. d. dans quelques départ. à la fosse ou cavité creusée par la femelle du Saumon et dans laquelle elle dépose ses œufs. . . . . Fonvures (Les). :. 2... 1.00 FuNDUrE Japonais. . 2 Muotishis tbe) Tome. XII ib. XI II XI Page. 12/ 125 220 DES MATIÈRES. Fr 29 SO EPS O0 E-280 IDE I BED LE do PC DO 95 0 LOL B0 GO PO Poe O0 eo PO FUEL SA TOYOBX PO EC SIES G., GAnes:(Les). . cuits Gap æplefin. ss 4 —— bib. . . . .. — — blennioide. . . . . 2—— brosme...1:. = —icallariasss ur ie — — capelan. . . .. —— cimbre, . . . … . — — colin . . . . . . Danois 45: 0 —— long, n. d. au Gade molve. A OT TE LE —— Jubb. .. —— merlan. . . . . . —— merlus. —— molve. . —— morue. . . . . —— mustelle. . — — nègre. . — — pollack. . . Tee rouge. viin'erile ele . Tome. VII Page. 226 255 260 262 304 265 ib. 206 274 288 289 291 271 281 200 288 290 206 271 274 271 6o TABLE GÉNÉRALE GADE saida. —— sey. . 2 \tacaud. nat GALANGA, n. d. dans plusieurs pro- vinces mérid. de France à la Lophie baudroie. its 40410 80e GADÉOPR 20 00e 0 LA AU CRD GaALLiINE, n. d. à la Trigle hirondelle. — — — id. . . id. ..id. . . grondin dans plusieurs dép.. . . GazriNeTTe, n. d. à la Trigle hiron- delle. GALONNÉ (Lez.).. GALONNÉE (Grenouille). . Gars (Les). Gaz verdâtre. GARBOTTIN, n. d. au Cyprin Jesse. GASscANET, n. d. au Caranx trachure dans plusieurs dép. du midi. . GASCONS fd2 2 LUE Aid Va GNU: GASTÉROSTÉES (Les). . GASTÉROSTÉE épinoche. — — — — épinochette. . — — — — spinachie. GAsrROBRANCHES (Les). . Tome. VIIT Page. 262 265 DES MATIÈRES. Gi GASTROBRANCHE aveugle. . . . . . . Vins — — — — Dombey. . . . . .. ib. 180 Gaviaz ou Crocodile à mâchoires allon- DORE ae en ee paNRE | AU LA ON SN GEGROMM 0 a te ere 1b..-352 CÉCRORDES A HV SU Un ET en ib. 383 GERMON, voyez Scombre germon. GiBBAR, voyez Baleinoptère gibbar. . GLADIATEUR, voyez Dauphin gladiateur. GLossoPèTres ou Langues pétrifiées, n. d. aux dents fossiles du Squale ROUSSE LLC ee one are NE v 381 Giyrmisopons (Les). ... ..... . : . x 949 GLyPpHisopon kakaitsel. . . . . . . . ib. 552 et \mouchara:(i,.1/ 0 LME ib. 350 Gopresh(lies), oui, su Lis VII 585 Gosredaphie. 130. eueratRist ib. 593 = —Marabique. 5 nu sie tetes VIH 14 EL AW AO Le 3 4 e4 entres A ONICEEBE 1: 195 bleu. init, 4,100 omubpr ib. 17 = —HDoddaert:! 20 dit RQ VIL 3589 BOSC. he dau ro vendre VIII 13 = —#hboulérot is 2 L Lpelgaue ib. 10 = —wWeyprinoides, + 1.12 tuant 1b. 27 Must éléotre. *. ° ° ° ° e ° . ° . e 1b. 24 62 TABLE GÉNÉRALE GoBiE ensanglanté. — — Jozo. . . . , — — lagocéphale. . — — Jancéolé. — — menu. — — nébuleux. . . . a NOITs 5 +000 2 CRE 1 noir-brunt — — Paganel.. . . .. — — pectinirostre. . . — — Plumier. — — Schlosser. . . — — Thunberg. Gogiésoces (Les). . . . GOBIÉSOCE testar. . Gogioipes (Les). . . . . GoB101DE anguilliforme. — — — Broussonnet. — — — queue noire. — — — Smyrnéen. Gogiomores (Les). . . GoBiomMorE dormeur. . ———— gronovien. . = Kœheuter.. PRE LA 1DOAN EE ° e Tome. VIIL ib. DES MATIÈRES. Gogromoroibes (Les). . . . . . . .. GOBIOMOROIPE pison. . . . . . . . . Gorrreux (Lez). . . . . Gompnoses (Les). + … 4" Gouexose bleu... .. . . . 4 Varie ee M ane Gousow, voyez Cyprin goujon. — — — blanc, n.d. auGobie Paganel. — — — demer, voyez Gobie Paganel. — — — noir, n. d. au Boulerot. GourNEAU, n. d. dans plusieurs pro- vinces de France à la Trigle gurneau GRAVANGHE, variété du Corégone lava- ROMA 2 eut, LE de 67 0 GREMILLE, n. d. à l’Holocentre post sur les bords de la Moselle. . . . . GREMILLET, n. d. au même par les pé- cheurs de la Seine-inférieure. . . . GRENOUILLES (Des). . . . . . .. GRENOUILLE bordée. . . . . . . . GRENOUILLE changeante, variété pré- sumée du Crapaud rayon vert. . — — — — commune. . . — — — — de mer, n. d. à la Lophie baudroïier: #24 un Tome. VIII ib. Il VIII ib. ib. ib. ib. IX XI VI 65 Page, 47 48 364 187 100 191 10 64 TABLE GÉNÉRALE GRENOUILLE de Virginie, variété de la Galonnée. 04 ee eee = — écalleuse nt, LEE — — — — épaule armée. . . . . . — — — — galonnée. . . . — — — — jackie. . . . . . . . — — — — marine, n. d. par plusieurs naturalistes à la Gre- nouille épaule armée. . — — —— mugissante . . . . . . — — — — patte d’oie. . . . . . .. — — — — pécheuse, n. d. à la Lophie baudroie. . — — — — perlée. . ........ — ——— pluviale. . . .. — — — — réticulaire. . . . . . . . — — — — rieuse, n. d. par Pallas au Crapaud brun. . — — — — rousse. . « «+ + ee ———— sonnante. . . . . ... — — — — taureau, n. d. au Crapaud brun... Sudan ste GRIMPEUR , n. d. par quelques natura- listes à l’Ahanarique loup. Grison ( Lézard).. . .. Tome. II Page. 112 113 110 70 117 106 109 163 101 107 DES MATIÈRES. 63 Tome. Page, CGRISONT (SERPENT) EEE, IV 1950 RONDE PR ET Re CPE Es ib. 322 GRoNAU, n. d. à la Trygle lyre dans plusieurs departements.. . . . . . 1x 1/29 GronDiw, voyez Trigle grondin. — —n. d. à la Trigle hirondelle. . 1b:10::36 DHOSSESTÈTE. 44e ve due tes eue at IV 220 Gros-reux ( Poisson)... ... .. Xi 105 GuisEAU, variété de l’Anguille.. . . . YIIL 120 Grunèrres (Lessons risk ie x 6e GyunÈètTRe Hawken. . . . . . . . . 15.» :61 GymnonurÈènes (Les}).. . . . . . .. XIU 594 GYMNOMURÈNE cerclée:s 1. 41m ib. 595 a al Dre ee - 1.0 ib. 396 GYMNOTES | Les} 5 usuels vVH 14 Gyanonr blanc... SUN DTA ba} 043 7. Carape. +. + 4. dune ibl 44 — — — électrique. . : + . sus 1b: 15 = fierasferss 4. :, Le LULU ib., 44 — — — long museau. . . . . . . . 1b./\\ 1h. = — = putaok! duos 4 ip: |. 42 D On —— 66 TABLE GÉNÉRALE 6#%099608080%080#38089$0 80e fee Bodo posoboso Ho HopoposcHo- pop se HabpogopoposoposoHape HI. HÆMACHADES SL 20 0100 qu bent Hacoso, n. d. près de Marseille à l'Ésoce bélone..., ln et LE ANSE DR DA ARR PAU En RE Haracura, n. d. à la Clupée alose.. Haxnarcu Æsuœd, couleuvre décrite par FOrsKalm.,:2,4 VU RUE H arene , voyez Clupée hareng. — — d’eau douce, n. d. au Corégone clupéoide.. 4,117:4e4NRitie Harexcs ( Roi des) n. d. au Régalec glesne et à la Chimère du nord. . . see "la bourses — d'automne, 7 7m délé, Dénominations — — — du printemps, employées pour CR RE TICIN déterminer les © . ivers étais __ _—_ — marchais, divers états du à Hareng. — — — pleins, vides, — — — vierges; Tome. IV XI IV XII IV XI VIT XII in Page. 203 204 PES MATIÈRES. HarenGs pecs ou pekels.. . . . . . . HarANGuET, n. d. à la Clupée sardine dans quelques dép. du nord-est de la Éraneess à ie au HaRbEs (Les): uen us Harpé bleu doré. . . . . ÉÉBRAIQUE. 1 LUN Le aitu Hécarte , n. d. par Dampier à la Tortue térrapène. | +4). Reine Hécroscorr, n. d. par Pallas à un lézard qui parait être le Plissé.. HÉMIPTÉRONOTES ( Les). . . — — — — cinq taches. . . . . — — — — Gmelin. . . . .. H£RIssON DE MER, n. d. au Diodon ta- chere "7 HexAcoNE ( Lezardi)..… . 0 HrAtubss (Des). 1244 1 ane HYATULE gardénienne. ... + 4100: ÉRÉPNABES 0 ete Rent HiroNDELLE marine, n. d. au Dactylop- téreupirapède. : : s3% —— — DE MER, n. d. à l’'Éxocet sau- LICE D GR LPC EEE SP AN PR NT HoracAntTeEs (Ees)}s4:7, - ; Ms IV Il ib. VIII ib. ib. vI Il VII ib. IV IX XII 68 TABLE GÉNÉRALE HorAcANTHE anneau. . . . — — — — aruselt. . . . — — — — alaja.. . . . — — — — hicolor. . . . — — —— cilier. . . . — — — — deux piquants. ———— duc. . .. — — — — empereur. . . — — — — géométrique. . — — — — jaune et noir.. — — — — Lamarck.. . . — — — — mulat. . . .. — — — — tricolore. . Horocentres (Les). . HoLocenTRE à bandes. . . — — — — acanthops.. . = — acérine., : — — — — africain. . . . — — — — argenté. . o — — — — bande blanche. ——. — = — bengali. e (2 e 5 — blancet brun! PRET AU blanc-rouge. | ) bordé. e eo e œ Le Dose: : e © HoLocENTRE DES MATIÈRES. 6e, vottye/ qe Vietleie re etie) fu » e1 (oft'otiellre où ‘or 01 ‘e/0je else }te cinq Tales enr E crénélé. sie}. \l'er t'en y el tiens 2 celte ei eil 1e 1e lret ei Ferlie a, ie, ee) LeMrs fl'eir's gymnOSE. . . +. . © Forskael eo 1 et et en ot fe er ‘e\ ‘07 où Tax sr 2 er? lo tel. enter ettoitsierle ejo Lie." et: el VentNe iietiire Tome. X ib. 69 Page. 180 199 166 189 174 168 186 107 109 198 172 168 70 HoLGcENTRE — TABLE GÉNÉRALE norwégien. . océanique. Ê ongo... panthérin. philadelphien. pira-pixanga. ; points bleus. . post. . quatre-raies. . queue rayée. . raba)i. . radjaban.… rosmare. . rouge. . rouge-brun. saldado. . salmoïide. schraitser. . sogo.. Sonnerat. Surinam... . tauvin. . tétard. . tétracanthe. Thunberg. . DES MATIÈRES. | 71 Tome. Page. ÉOTOGENTRE tigrése ennuis shfentne X 175 trac antenne ib. 191 — — — — tripétale. . . . , . . .. ib. 186 — — — — verdâtre.. . . . . . .. ES on Horocgymnoses (Les)... . . . . .. IX} 216 HOLOGYMNOSE fascé. :,.,., . L. ., 1b. 7210 Hosrerk, couleuvre décrite par Forskal. IV 11213 Huwcriem, n. d. dans le nord de la France à la Trigle grondin. . . . . IX Ai Hÿprancines (Les) fanth sum XII 150 — — — — SWamMpPine. . + + + + +» ib. 151 ÉD RE ME ils dev ne LOS IV 178 Hyrpéroopons (Les). . . . . . . : . DS HyPéroopon butskopf.. . . . . . . . 10410 HivPOSTOMESADes).. 4... 21.0 xt | 210 HYPOSTOME guacari.. . . : + 1h: 217 m2 TABLE GÉNÉRALE 20 69 2 B1F0-F9 00 0% F0 MP 08 F SD 3 Po Po 0 F9 EG HO POSDBE TYPES 0 0 POELE SP NT OP F0 B0 OU EE BOO j. Tome. Page. BAR DEE Sn ile, ed tas iv 398 RE AA 4 dede eau L'Ae ib. 265 TRIBOCA 31680 NAME PERS RENE CEE Ib La Taxarucu, variété de la Dragonne.. . IL 229 IGDANELS Late eee fl ONT AE arr 1b. 244 ILLANKEN , voyez Salmone illanken. j\ ISTIOPHORES (HeS)) s144 1.0 tn IX Gen [=>] ISTIOPHORE porte-glaive. . . . . . . . ib. sn a —————— DES MATIÈRES. no J. Tome. Page. Jaune et bleue (Couleuvre)... . . .. iv 189 — — — brun ( Serpent)... . . . .. ib. 378 Jouriue (Couleuvre). . ... . . 1. ib. 119 JuBaRTE, voyez Baleinoptère jubarte. . 10 74 TABLE GÉNÉRALE K. Tome. Page. KokurA, n. d. par les habitants du Japon au Serpent demi collier. . . . . . . ÉVPT KRAKEN, n. d. par des pêcheurs à un cétacé d’une grosseurextraordinaire, mais dont l’existence doit être révo- ŒUÉCrEnITOULe AMEN MOREL TE 1149 RARES ALES) tre LORS ren vii 362 Kéeretblochiens Vs. que à une 1h. 503 KsPaosestfiles)fes, 35 Re VIII 200 — — | couble-bosse. 0: 20 RE ib. 201 se DES MATIÈRES. | 75 Tome. Page. Pannes ULes)S 21e ele eur de IX 100 LaBrE à demi-rouge. . . . . . . . . iD 147 Sp oouttes. . . . 4.0. 4 uk ib. 1975 AGIR Le La de ce sde ee ib. 179 ne —.anpuleux. ile eueuane et ib. 144 a annees ee he ee hate ee ln ts ib. 188 li AHPONTÉ, ne, se ba ne de tee ne MOU 1B:137 IS oh de mage de Ne de VAE 15: 190 ne AE ie rive ue as lee, Voihe ie Ne Da 197 UE NL A ue No D: 7193 = -Dallane sh. Le oc. +100 UNE D: 7105 = — bergsnyltre. . ...,.,.,:. 41 10 Pa mio Déteyit lin sal au e à 16: "195 a DITAVÉ- pire Leo eee ve M 1:17 10; = ;— blanches-raies.. ....... 29511 D CITE EN CE PP CL 12 2 Le ib ib Doha EN LE Le Arete ib. 132 DOS en, à DE bordée 440 44 4 AMG ib, 199 DE DOsUa ni Ce du LL 208 1b: #1 39 TABLE GÉNÉRALE Tome, Page. brbini.csseraersconumenepenenmentnnates x DT CAlOpSA FE CE re CPR D T0S CARUE 150 01 Le LA ACL ID Gabbana 0 DU e ON SEE 1b 0099 Déntare ie, ue 1b.2201t;9 cendrée Ts ee LS ibe A5 CerGle UN cn Et ib. us céylan.. 2.02 2er e Let ei to Chapelets tel mec oe ib. 1359 CHINOIS Eater or e e ib. 167 CHE ÉDINES.. ter use jb. 41h: chiqitaches Se EL Nbr 19 COCA AUS ART dite ib. 91959 0e ib. 186 COMMErSONNIEN. « + «+ + « + « ib. 144 CE 1b. - 159 ÉROISSANE, A4 2 21 eh) Ie ID. r-199 combre. . . cornubien: 2 2: démMÉdISQUES ei ee iD, “2710 deux-bandes., . . ...… hits in. "Up deux-croissants. :.:.: /: 3.4 iD.. °HLO8 ane. LES SERRES re ib. 185 dicramme.: "RSS ib. "279 double-tache.. 6. 6 eu ib. 167 échiquier. 12. 10e SR ib. 16% éhnéacanthe.. /2 .1.-00a0" ib. -148 DES MATIÈRES. gl Tome. Page. PAsrepensanglanté. : + : 4 à: 4. 4 4 IX 166 = aucheur. 4.4 Hinluu ur à 1h, 133 ri aUVe. ie js mi doive de ds ib. 140 2 flamenteux.s. +. 1.1... 4. ip 144 ei —-MOurChe. 2e Lie, te ss 1De ‘”"ib: = Muligineux.. : + :. 1... :.1108 D. "101 ne IE nr... tr, nn ib. 162 nr — BOUAN.. ?. +. 4m nt ib. 148 — — grandes écailles. . . . . . . . ip "195 A NéniSAire. te à 6 UN Hu nee ib. 156 nr MRiSON ue à x 0 ME 1h: "199 = OUT one en Lil ib. 165 = NAasSckRe 4 un nue à be 150 merdique... nr, de sie Lu 1b:: :106 mi Nopale) + 4 sus ds ee be "195 NE TISSE, de PU uni nn à ib. 141 — — hololépidote.. . . : . . . . . ib. 179 et — AUiE-rales. {27 np ate qua ip. 147 ne NS pen Ut Aa tue bi "107 nt JAPONAIS hu in en à Lit 1b: 107 a jJdunAatre.+ #64 4 7: SPORE ib 1155 en — Rruts 5 Lu rot en üib. 179 NN asmirais) 2 448 1 Lin ib. 149 nu Nesle: res nn ib. 186 — — large-queue.. . . . . . . .. ib. 161 78 LABRE TABLE GÉNÉRALE large-raie. . léopard. . lépisme. . linéaire. lisse... long-museau.. louche... . lunulé.. macrocéphale. . macrodonte. . macrogastère. macroptère. maillé. : malaptère. , malaptéronote. , marbré. LA mélagastre. mêlé. LA mélops. merle.. microlépidote. . moucheté. « . nébuleux. . . neustrien. nil. Tome. IX ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. Page. 188 179 132 171 144 139 153 170 148 185 144 ib. 171 141 179 161 141 155 ib. 199 179 14/4 156 186 199 DES MATIÈRES. MOIS RUN debit ŒiIeS LÉ EN le onite. . . operculé. ossifage ou ossiphage. Gyénes à» Le NSuSTeNUE paOn. 1-0... parotique. . . ........... parterre... . «+ + . . . perroquet. . ed ea tient perruche. SAONE AE DR Plumiérienstaung"k Jin, ponctuésf 1 .054 quinze-épines. . . . TAVÉS A NEHOMEN DEN Tone. A HO MMOITANE rouges-raies.. » rouillé. . sagittaire. salmoide. . . . . six-bandes.. sparoide 29100 #7 LA MO NAT TR PANE" HANCOIAE, PRE AND a Le téte-bler1mimn Tome. IX ib. 1b. pa 198 19595 165 192 165 132 150 163 179 166 80 TABLE GÉNÉRALE TAsrer:étracanthe. . . . .... +—, Thunbers..).,.1./.,/.10ene + —{tmnioure "mures — — tourd. . re rilobé: 2 01: MGR: pa triple-tache. à IN IMACULES 2, 208 En ° 7 AIO ee ANR PDU) AM NA AE) E CP SLR EN ERNEST EN FES ne Ciarlle.. LAcTÉ ( Serpent. )]. . .. LAMPRILLON , n. d. au Pétromyzon lamproyon dans plusieurs dép. de la France. LAMPROIE, voyez Pétromyzon lamproie. LamPROYON , voyez Pétromyzon lam- proyon. LANCERON , n. d. au Brochet , lors- qu'il est très jeune. . LANCONA. 0 ed ete — — — n. d. à l'Ammodyte appat, ( Poisson ) sur plusieurs côtes de Pranee 2 Leu ee H'aANGABA es): 2050. et — — — de Madagascar. . . Tome. Page. IX ib. ib. ib. ib.. ib. ib. ib. ib. ib. IV XI ib. VII IV 141 197 DE) 165 188 155 133 132 180 199 5/ {oi DES MATIÈRES. BAPHIMEI. . . LarGE-DG1Gr (Lézard). . . LaRGE-TÈTE (Couleuvre). . . Lau, voyez ce qui est dit au mot Coq. LavAnDiÈRE , n. d. au Callionyme lyre sur quelques côtes francaises de ÉOcéanr Mau tnt s Lavarer , voyez Corégone lavaret. Léperis (Couleuvre). . 2... DÉBETEN (4) AVIS Stein e « 5 Léroenaraes (Les)........ .omaik LÉIOGNATHE argenté.. . . . Lriostomes (Les)... .:.. Loir LÉIOSTOME queue-jaune. . . LENDOrA, n. d. à l’Ésoce sauteur dans plusieurs dép. mérid. LENTILLADE. n. d. à la Raie oxyrinque sur les côtes de la Méditerranée. LenTicraT, variété du Squale émisole. LÉépapocaAsrÈREs (Les). . . LÉPADOGASTÈRE gouan. . . . . Lépivopes (Les) . . LÉPIDOPE gouanien.. . . . . . LépisACANTUES ( Les ) LÉpPISAGANTHE Japonais. Tome. 11 IV IL IV VII XIT VII IX ib. 81 Page. 239 240 280 82 TABLE GÉNÉRALE LéPisosTées (Les}).. . . . LÉPISOSTÉE, gavial. .: .: :.. :. Ca =: —%— robolo: . . {ave — — — spatule. . .. Lyprocépnares (Les)... LEPTOCÉPHALE Morisien. . . . Lézarps (Des). . . . LEézArD cornu..lsisutl. SRoug0i). & — — des marais, n. d. par Linnée à la Salamandre à queue plate ou aquatique. . — — du Japon, variété de la Sala- mandre terrestre. . — — ensanglanté, variété del’Aloire, selon Pallas.. . — — gris. . — — Quetz-paléo. . . . .. #—}vert. LicORNE marine , n. d. à la Lophie vespertilion. Lien. , SAT Lièvre de mer , n. d. au Cyclopière lompe. 24e — — marin, n. d. au Blennie lièvre. LimanDe, voyez Pleuronecte limande. VII TIT VI IV VI VII DES MATIÈRES. MONS.) net on à Liserte , n. d. au Stromatée fiatole sur quelques rivages de l’Adriatique. . Lisse (Couleuvre). . . Locue , voyez Cobite loche. — — DE MER, n. d. au Gobie aphie. — — D'ÉTANG, n, d. à la Clupée alose, et au Misgurne fossile. . Boncaures, (Lesi}er sue 0. LonNcHuRE dianème. . . . LouBric. DONCENEZ ANNEE LUE 0 ee Lopuies (Les).. . . . Lopuie baudroie. . . — — chironecte. . . .. — — Commerson.. . . — — double-bosse. . 1 Faujas rauyib anab:lanean — — Ferguson. . . — — histrion.. — — vespertilion.. Loricarres (Les). . LORIGAIRE sétifère.. — — — tachetée.. . . ., LoTE, voyez Gade lote, Tome. Il VII IV 83 Page. 3502 8/4 TABLE GÉNÉRALE Lorte DE HONGRIE, n. d. au Silure glanis aux environs de Strasbourg. . LOUBINE, voyez ce qui est dit au mot Bar. Loupe, par abréviation, pour Centro- pome loup, voyez ces derniers mots. LoupPasson, voyez ce qui est dit au mot Dreligny. Lou-saucLeT, n. d. à l’Athérine joël, dans plusieurs dép. méridionaux. . Lou-rEsrun, n. d. au Muge céphale dans le dép. du Var. . . . . Lupin ou Lupin, voyez ce qui est dit au mot Dreligny. Lucs, n. d. au Brochet dans plusieurs départéments.., 1... 1:48 Lune. voyez Coq de mer. Lupuse. n. d. au Brochet dans divers départements. Ge Lien Luna iontue).eh, ue eue LUTTANSI( LES), es LOUE ENS Duran adriatique. .. ,.,.:/2 4,2 NE CR PR TR REP à do — — Aarauna 0... + + + © 14 larserite.:4.4.M cs LACR Tome. XI XIT ib. XI Page. 134 DES MATIÈRES. 89 Tome. Page. LurtyaAn argenté. violet. . . . . . . . LTAS — RÉSNE JA DONNER SEX lb.» OE =) —4blanc-ok }. à: le een ib. 65 PIC eu. An une br 199 a —HDOSSUR D Lin ia de en ee 1b 47 =) (BTunnICh.. 44 he 4 + de ib. 49 nl AUAVENTE: à Le fus eihe lee ib. 69 — — chétodonoïde.. . . . . . .. ib. 1h. Et —-AOHINOIS: ke aus 2e je de OUR 1b.- 54 — — chrysoptère. . . . . . . .. ib.=— 55 = HCTOISSANE, «ee jolie te 0 he OUR bye. 0 — — décacanthe.. . . . . . . . . ib. 46 — — de l’ascension.. . . . . . . . db 33 — — deux-dents.. . , . . . . .. ib. 56 — ——(diacanthe. :. :, ..,:.,14 ib. 69 + diagramme. . . , . +. . 4 D: 199 écriture: à + 4 4 L4 ib."" 57 1, —wécureuil 4: 4 44 suite 1b. 7 95 ni #elliptique.s + 2: + : Lis x AD: AT \i==Uoalon-d'or. ..: «4: «+ ib. 43 Eh Agrimpeur.. ++ ae tt le ib. - 66 RO han ent etée re +. nie Mb: 159 — — gymnocéphale. . . . . . . . ba = tUhamrur.. 0/00 ib: 7,56 — —#hexagone. ke nue Ib 42 56 LUTIAN TABLE GÉNÉRALE Japonais. . jaune it; jaunellipse. John... . jourdin.. . lapine. . . linkeï ex macrophthalme... magnifique. . pa IRarqué.. marseillais. . . . méditérranéen. microstome. nageoires rouges. MOI EU SUR norwégien. . : œil-d’or. . rl: 4. 2 olivâtre. . orange.. . oriental. . paupière. . peint. s pentagramme. es perchot, DES MATIÈRES. LuTyAN pique. — — polymne... ..... — — Plumier... — — rameux.. . . — — rayé. — — Scine. . — — selle. — — serran.. — — stigmate. . — — strié. . . . — — surinam. — — tacheté. — — tortue. . — — triangle. . . . .. — — trident. . . . — — trilobé... . — — verdâtre. . mi VETTAL =. —wirginien.. . — — Vosmaer. . Lurrix.. Lyre, voyez Callionyme ivre. 113 88 TABLE GÉNÉRALE 8-89 #0 80 080 Co Fo #00 .P0#0-H9Po Doro #00 #0 pa Bo Pope 50H06 50H06 5080 L0B0EODIBO oBobodo pa M. Tome. Page. MS BODMA NME SO RE AS Il 343 Macrocnatnes (Les). . . .. ... . . . VIL 239 MAcROGNATHE aiguillonné. . . . . . . ib. 140 — — — — armé. « soso ib. 142 MacroPrÉRONOTES (Les ).. ..... xr 156 MAcROPTÉRONOTE brun. . * .. . ... ib. 160 CAN LATE SE Charmuth...:....18 ib.-+ 157 _— — — — — srenouiller. 1.1 ib.# 1b: — — — — — hexacicinne.:..., ib. 160 MacrorbDes (Les) Au. Une IX 000 MacroPope vert-doré.. . . . . . . . ib. 94 MacroramPnoses (Les). . . . .. .. XI 208 MAcRORAMPHOSE Cornu. . . . . . . . ib. 209 MacrORHINQUES (Les). . . . . . .. VI 328 MAcRORHINQUE argenté. . . . . . . . ib.1 529 Macroumes/ (Les) 1 401 at vin 254 Macroure berglax..…. .:. se 2 ib.41W1255 Maxarras (Les). .: . st. anse adihe VII 155 ni noiratre. 4/25 nou ib. 156 MALAPTÉRURES (Les)... 0.0 XI O2 MararTÉRURE électrique. . . . . . . ib: 10 205 DES MATIÈRES. MaLarmAT, v0y. Péristédion malarmat. MALPOLE... MN | 04e Eure Marporow, nom donné dans plusieurs contrées de l’Inde à la Couleuvre ASIAIQUE.. + 4 <'e à 2,80 MANGEUR DE CHENILLES, n. d. à l’Agile. MaqQuEREAu ,voy. Scombre maquereau. ET HE batard,.-nidauCaranx trachure dans plusieurs départements: "1. NARBRE (DZ jérer sua. es 2 +090 Marcuais, variété du Maquereau. . . MarGaïenow, n. d. à l’Anguille mâle dans plusieurs dép. du midi.. . . . Maron, n. d. au Muge céphale. . . . Marsouin, voy. Dauphin marsouin. MarTiN-PÈCHEUR , n. d. à la Lophie bau- droté.- à; 4 pu) db RE SE Maure (Couleuvre). . + + 4 1... MécarôPes (Les)... .. ......./: PR CArOPE tlament.: .....: 1: 6 MIÉFANES. - . ub aririt.ss ani Mémoire sur deux espèces de quadru- pèdes ovipares non encore décrits ane dep te be he Tome. IV VHI Il VITX VIT XII TIT 12 sg Page. 155 107 128 i91 00 TABLE GÉNÉRALE MÉMoIRE sur une espèce de quadru- pède ovipare non encore décrite AP Ménés (Les). . émane alé ba MéÉné Anne-Caroline. MErLan, voyez Gade merlan. Mercucne, n. d. à la Morue sèche... MEcviLce, 0. d. au Muge céphale. . . MEXIGAINE. . . 2200 anse boite Micrors, voyez Physétère microps. Mrcrorrères (Les)... Microprère Dolomieu.. . . . . . Mieuec.. . . . PSP APTE NÉTEIAIRE «+ à creoc.s. ! MREU MER de MaLeme . aise ogs MINIME... - . . . Aro MIRaALET où Miraillet, n. d. à la Raie miralet dans le midi de la France. Mrrorr (Petit), n. d. à la même. . MiscuRnes (Les): .: .....:.:... MriseurNe fossile. :.4. 1:22, 22.024 More, n. d. au Blennie phicis dans quelques dép. du midi. . . . . . Mozze , n. d. au Tétrodon lune... . Morus, n. d. au Gade morue dans plu- Tome. EI XII VII XII Page. 201 245 / 247 158 245 DES MATIÈRES. sieurs contrées de la France... . . MoeuRe ul el. 0aiae aisé MONODAGTYLES (Les). …... .. .. ,.,. 1 MonopacTyLe calciforme. . . Monoerères|(Les). . 4, .,, MonoprTÈRE javanais.. . . . . MorauEz, n. d. au Gade morue dans plusieurs pays du nord de l’Europe. Moruyres (Les).. . . . .. MoruyrEe bané. . . . . . — — — bébé.. . . — — — cyprinoïide. . . . . . . . — — — dendera. — — — Hasselquist. é— —hhersés, . . 4 200 lue t — — — kannumé.. — — — oxyrhinque.. — — — salahié. . MorruDE, n. d. dans plusieurs dép. à la Trigle grondin. . Morrue, voyez Gade morue. Moreze, n. d. au Gade lote dans quel- ques provinces de France... Moucuetée { Serpent). . . Mucusan, variété du Corégone pids- Tome. VII IV VIII ib. VII ib. IX VII 91 Page. 230 197 218 210 7 8 92 TABLE GÉNÉRALE Tome. Ghianet sn es RIRE ONE XE Muéco , n. d. au Muge céphale. . . . XII Muer (iSérpent ).. 4 "eu Li ee iv MuGes (Les }, + + + +14 « «Home XH Mucr'albulé. 440 à Hs eee ib. En géphales «544 4. 0408 1b. =: crénilabe ten. SE Aa ib. = Plumier. 240.0 rues tb. 2 Hache-bleu..… :.: 277 21015008 ib. ne MAD: nee ns ce ie lee à à ib. Éi ranquebar. D 20e: à 40e ib. — — volant, n. d. à l’Éxocet sauteur. ib. MUGiLonpEs (Les): LL"... ib. MwerLoiBe «chi "0e < : 7. RasPAILLON , n. d. au Spare spacaillon dans quelques provinces mérid. de Érance tire e 0 . C) ° ° « Tome. V 1X 119 Page. 228 275 303 28/4 232 269 316 114 TABLE GÉNÉRALE RasPEcON, n. d. à l'Uranoscope rat dans les mêmes provinces. 14... RAT AQUATIQUE, n. d. à la Tortue bour- Desert re tiae e RUR DURE RAT MARIN, n. d. par plusieurs auteurs aux Goques de raies. æ - 1e RATEPENADE, n. d. dans le midi de la France ou Dactyloptère pirapède. RATILLON , n. d. sur plusieurs côtes de France à la Raie bouclée encore jeune. … . cotosto sl RATIVORE ( SCRDENT ee Ravisseur, n. d. à l’Anarhique par plusieurs observateurs. . . . . . RANMEE (QCOUIENDrE ). eus. à leds teetée Rayon, n. d. sur plusieurs côtes de France à la Raie bouclée encore UNE + «Venise NE RégArecs (Les)... RéGaLEe 9glesne, …, .. ..-. ..MM/M009: — — — lancéolé bleus tons RÉGINEUS . 00 ee ANA NES RéuéLiGo, n. d. à l’Echénéis rémora. RENARD MARIN, n. d. au Squale renard. NEPTILES bipédes:. 1... .0- e e Tome. VII UT IX IV = VII 1b. ib. IV VIII vI IIT Page. 209 DES MATIÈRES. Requin, voyez Squale requin. RÉSEAU... RÉTICULAIRE. Roms, n. d. au Turbot dans plusieurs provinces de France:}"7.4141; 08 Ruowges (Les). . RuousE alépidote... RHOMBOIDALE.. Ronpera, n. d. dans plusieurs dép. à la Trigle grondin. . Ronpoze , n. d. dans plusieurs provin- ces mérid. de France au Dactylop- tère pirapède. Roquer ( Lézard ). Rorquar voyez Baleinoptère rorqual. Roserer, n. d. à l’Athérine joël.. AOSE Road ent Rouce (Serpent ).. . . RouGE-GoRGE ( Couleuvre \. — — — — (Lézard). ROUGEATRE ( Tortue). . . Roucer, voyez Mulle rouget. ——— n.d, à la Trigle Iyre dans plu- sieurs départements. . ee np. d'.dans divers dép. à la Tome. IV ib. XI VIT 1b. EV IX ib. ET XII ib. iv ib. Il ib. IX 115 Page. 116 TABLE GÉNÉRALE Trigle grondin. . . — — — barbé, n. d. au Mulle sur- mulet.i à) Re ue dax — — — grondin, n. d. à la Trigle SLONCIN 4: Hide RouLEAU. . . Rousse ( Couleuvre |. Royan, n. d. à Bordeaux à la Clupée sardine.. ht ndiante srl RüuBANNÉE ( Couleuvre ).. RUDE TA, Je Tome. IX ib. ib. IV ib. XII IV ib. Page. DES MATIÈRES. 929-4040 3940-10 49.85-040 4-0$-0.50-$-240-#0:5-0460940.40 4. G S. SACCARAILLE BLANC, Variété présumée detaflrachinemvive. 04.00 Fuite SALAMANDRE, n. d. au Lézard doré. — — — — aquatique, n. d. à la Sa- lamandre à queue plate. ——— — à queue plate. . . . : — — — — terrestre . . . . . . SALIONES (Les }:...:.,.:...,.:..... SALMONE arctique. — — — Bergforelle. . . . . . = — — blanc. . .... .:, — — — carpion. — — — Camberland: rues 0, = — — ér1ox: — — — gadoide. . — — — gæden. . : . . .. = = — huchi4 une 440 AUR — — — ICImMe. . . . — — — illanken. . , . . . . er "hundscha AE MEnoks > Lt: 117 Tome. Page. VIT 22/4 I1 990 111 Be ib. 51 1D.-# 04 XF 0210/h ib. 280 ib. 268 ib. 284 1b.++ 205 ib. 290 ib. 254 ib. 289 ib. 274 1B. ND. IbHH562 ib. 249 ib. 262 ib. 261 118 SALMONE — — SALUT, n. TABLE GÉNÉRALE lépeckin-sesrmeme lodde. nelmas.. 2, 22m omble-chevalier. . . . reiduriétr4buu SPLIT rené.. . iles iueak Hana nes rouse tit. salvelinella miracis oonts saumon". 10e Schieffermuller. . . . .. SIP SU 350 PAU LATE TELE NET Lai LE 00 (LE à d truite saumonée. . varié. d. à une espèce de Salmone décrite par Decandole et que l’on croit être le Salmone huch. . . SALVELINE , voyez Salmone salveline. SAME , n. d. au Mulle céphale dans plu- sieurs départements du midi. SARDINE , voyez Clupée sardine. SARROCR EM Lau GUN LUI SATURNINE. Tome, ib. XII III IV Page. 289 281 202 158 70 1608 DES MATIÈRES, Tome. SAUMON , voyez Salmone saumon. SAUMONEAU, n. d. au Saumon avant qu'il ait atteint l’âge de deux ans. . XI SAURE, voyez Osmère saure. SAUREL, n. d. au Caranxtrachure dans plusieurs provinces mérid. de France. VITE SAR EE ele dal ie ain de Lalie AU iv SAUTEUR, voyez Scombéroide sauteur. SAUVE-GARDE OU SAUVEUR, n. d. au Tupinambis par quelques natura- IRRICES Ce II SHARESAeS en. ae A, (ne IX SeAREIDRIBE es de LE Car ib. nt ALES DV ue sie at 1b. nt NA: ,. + lee « + céSthtsiitib: en — denticnlé. 2. 24e Le ARE 1b. 2 énneacanthe:: 14 /-1Lbleu 1b. PUS" CE ONE eee M NE EURE LP ib. ni ÉECTUSINÈUX:, -, +, 0, ele. 0,0, 0 fs ib. = — horckael. lin, Le ib. Me TODDANA 5. ei LR ib. a AE de LL di fax ib. er — /KakatoG: |. ah rtene: ib. mi iperroquet, ie. 14. à 0 Soi ib. mi —XPOUrDrÉ. le nel 1h. 120 SCARE rouge... — es schlosser. sidjan.. . tacheté. trilobé. vert. 50% SCHOCARI. . ScayPA, variété de l’Esturgeon.. . ScrèNEs (Les). ScIÈNE abusamf. . —— chromis. ciliée. Coro. croker. . cylindrique. heptacanthe. pentadactyle. . rayé. . sammara. umbre. SCINQUE. . . à SCOMBÉROIDES (Les). . . e o Ca TABLE GÉNÉRALE ScomMBÉROIDE Commersonnien. — — — — Noël. . — — — — sauteur. ° Tome. IX Page. 235 236 225 238 DES MATIÈRES. 121 Tome. Page. ScomBÉRoMoREs (Les). . . ..... vi 364 ScomBÉrRomorE Plumier. . . . . . . ib. 365 SCOoMBRES | (Les}:,:) remit pt 53 Scomperi alatunoa, 11.4, 000 JR ib. 1053 et albacores.:4.1:, 4 1." alt ib. 128 5 DE ON RE ib. 105 — — — bonite. . . . ... . .... 1D: 2:05 RE CHINOIS. Lee ib. 104 te —-CommMerson. sc) 18000 1b. 55 es OT CARRE TURN EL Vente ib. 126 — —|germon. . .... . . . ..: tb: — 8% ni — -garesussfrule aumb bi et ib. 58 — — — Japonais. . . . . . . . .. 1b.4%p25 — — — maquereau . . . . . . . . 1b:111Y06 ne — ee sardestaninahe Ni ib. 102 — — — thazard. . . . . . . . . .. 16. :1091 A CAO NA. 24 TS Cou Alan ib. 99 SCOMBRÉSOCES (Les). . . . XF 120 SCOMBRÉSOGE Campérien. . . . . . . ib. 121 SCORPÈNES (Les): = .… ..h. 1! ù VIITL 333 SEORPÈNE africaine. 4:13. bd ib. 3359 — — — aiguillonée. . . . . . .. De 3/1 — — — américaine. , . . . . . . . 15118359 — — — antennéehpM)u es LL Ho ab 1b:11:558 nn — 7 barbue. qi mm ib. 3546 16 122 TABLE GÉNÉRALE SCORPÈNE Drachion, : . . . YU — — — didactyle. . . . . . . .. "double Hlament. +1 — — — épineuse. . . . . . . . . ND OEIDIE. acte D NES INANE a D AN =" narselldise 421542 Te PIGmIEr ETUI RE Arras Cassen. Melle est RSR ETUIS ee en 6e de NN. PIN DR 2 — volante. :: 4 "41e set RE SCORPION DE MER, n. d. dans plusieurs dép.au Cotte scorpions. .: 4 SONTADEM SE 7 ren tr SNA) | ARE her AAT AR ET PRRS AP ON 07 SÉGE, n. d. à Bordeaux au Cvyprin ODA Er TC SEL DE VIPÈRE, préparation pharmaceu- tique de la Vipère d'Égypte. ; SÉVENESMQUES). . RME SÉLÈNE grgentée, = 0 (Net — — quadrangulaire. . SénéDETrE voyez Delphinaptère séné- dette. XII TIT 1SS DES MATIÈRES. SEPT-œŒIL, n. d. au Pétromyzon lam- proyon dans plusieurs dépsdumnoerd rh": — — — rouge, n. d. au Pétromyzon rouges ls ru, SERPES (Les). SERPE argentée. . SERPENTS (Des) AMEL A MU NU SERPENT à chaperon, n. d. au Naja. — — — à lunettes des Indes orien- tales ou Naja.. = du Brésil. — — — — — — du Pérou. — — — aveugle, n. d. à l'Enfumé et généralement aux Anguis. —— — couronné, n. d. au Naja.. — — — de bled, n. d. à la Couleuvre tachetée dans la Virginie et la Caroline. . — — — de corail, n. d. au Rouge par les habitants de la Guiane. —— — de feu, surnom donné dans la Nouvelle-Espagne à plu- sieurs Serpents du genre des Boa. Tome. ib. ib. ib 129 Page. + + Qt OO OQ 124 TABLE GÉNÉRALE SERPENT d’eau, n. d. par plusieurs na- turalistes à la Couleuvre à collier ainsi qu'aux Con- gres, Anguilles et Murènes. — —— de mer, n. d. à la Muréno- phis hélène. . — —— deMinerve , n. d. par Linnée à la Couleuvre de Minerve. — — — d'Esculape. . . . . . . . . — — — d’Esculape, n. d. à la Bande- noire (Couleuvre) par quel- ques naturalistes. — — — de verre, n. d. par quelques naturalistes à l’'Orvet et au Jaune - et - brun. ——— des champs de riz, n. d. à Java à la Couleuvre jaune-et-bleue.. . . . . :=—-“td'oreille,.n. d..audombric dans les grandes Indes. — —— marin,u. d. aux Ophisures. — — — nageur, n. d. à la Couleu- vre à collier. — — — ordinaire de France, nom quelque fois donné à la Tome. IV ib. ib. ib. IV VII IV Page. v DES MATIÈRES. Couleuvre commune. . SERPENT tigré, n. quelque fois donné à l’Aspic.. . SERPENTS à sonnette. — — — monstrueux. . . . . + . SERPENTINEN LU. «4... US AJROIOENÉ SÉRRASALMES) (Les). ..". . . (84) SERRASALME rhomboïde. . SHELTOPUSIR A 0 no + 50e {SNA SEBON AE 4 SICUREL , n. d. au Caranx trachure dans plusieurs départements méri- dionaux... Hu, aise oi SÉEUREE) 20:02 090 sotdivong td: SILLONNÉ (Lézard). . SILURES (Les). SILURE asote. — — asprède, — — chinois. — — cotyléphore.. . . = —(deux-taches.. .. ,.. … à 0 40 — — fossile. — — glanis. . — — hexadactyle. . ET MS ehiides ti ra LA F 129 Tome. Page. IV VIII 87 126 TABLE GÉNÉRALE Tome. SILURE cun décimal. Um UNE XI —<)-— verruqueux gi el EME dr 1b. SIPÉDESE 2) Lu eut ES Re 1V SIRTA DER ue de Aoceee IE er CURE ON nES 1b. SITULENUM, chetines ce US CON ib. SOLE , voyez Pleuronecte sole. DOLÉNOSTOMES (Les)... 4 tal XII SOLÉNOSTOME paradoxal. . . . . . . .. ib. SouBREU Couleutre). + à tire iv SOURCIL D'OR n. d. au Coryphène pompile: seen Nan HE UE VIII SOURCILLE GX, (LE) np. me Il SourD, n. d. au Lézardtèête plate, et dans quelques provinces de France à la Salamandre terrestre. . . . . . II SEnRES Les jihthaumihe Du 10400 IX SPARE. abildgaardé +. She AA ib. a — ana. fn Rom Een 21 BTE ib. Us — ancre le des ce ONU RE 1b. rt — rpenté.u. He A TP NEO: ib. —— latlantique.s.. à -R2 VU ib. = Aberdasvs. a CURE ib. 1 Disarrés re, NON EURE 1b. — bilobée us une et ib. nt dBogaravéo-ssie El Mme 1b. Page, 148 145 247 254 199 135 136 167 281 239 DES SparE bogue.. — — brachion. . brême.. breton. . . bridé: 2.2: brurâtre.. bufonite. . . canthère.. cardinal. . carudse. castagnole. . catesby. + + : CHI EUEE chinois. . . chloroptére. — — chrysomélane. clavière. . . cuning. cynodon. s demi-lune.…. déntérsci. Desfontaines. dorade. . LA LA élevé. . éperonné. û MATIÈRES. SPARE fascé. . . — — — nyphon. . .. — faucille. . — galiléen.. — palonné g TS — grand-œil, . — gros-œil.. k — haffara . me harak 0 — hémisphère. TABLE GÉNÉRALE ° — hoïiogyanose.…. = thurta "40: — Japonais. — jub... — lépisure.. . . —_\jmahsénat !. — marron. — marseillais. . — méaco. = fmclanote...*. — mendole. . =lmorme:… — mylio. . — mylostome. . — nhoquunda. . . 1b. DES MATIÈRES. SPARE noir. . « — — oblade. orphe. . osbeck. pagel. pagre. panthérin. paon. perroquet. . plombé. pointillé. . porgy. - porte-épine. queue-d’or. queue-rouge. queue-verte. . . . . . . ramak. . rayé. . rayé-d'or. rayonné. . rhomboide. ROMP SO Ce Use salin. sangsuinolent, 0.0, sarbe. Tome. IX ib. 1b. ib. ib. ib. ib. ib. ib. 1b. ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. 150 SPARE sargue. — saupe. . . . — sauteur. . . — smaris. — sparaillon. == Surinam... — strié. . . — synagre. . — tétracanthe. — trompeur. — venimeux. — vertor. — Zanthure. . Ê TABLE GÉNÉRALE ° e e e e ——/Æonéphore.. 2.142: SPASE, n. d. au Cépole tœnia. SPHAGÉBRANCHES (Les). . . . . . SPHAGÉBRANCHE Museau-pointu. . . SPHÉROIDES ( Les). . . . SPHÉROIDE tuberculé. SPHIRÈNES (Les). . . SPHIRÈNE aiguille. . ==" bécune: — — chinoise. — — orverd. = spet. 279 102 107 ib. 106 107 10/4 SPUTATEUR SquaLes (Les) SQUALE aiguillat — DES MATILRES. Tome, 192 TABLE GÉNÉRALE Tome SUBALENENATA:.. : es US RON 0e MINE NTeQUIN.. Med ee v Nr OCHICR UE NN PNEU 1b. = mOusSsette. : 2041 NS MERE 1b. me ——dsagreé. . : |. LS UME vI SCIE: 2 à aan Er de 2e 1b. Le AUIDEÉ: Le Lee 0 je Rrir 0oe 1b. ee, —> #irés-crand. . NL. +. 40e 0e Y SQUATINE, n. d. au Squaie ange par plusieurs naturalistes. ... . . «4 1b. DDBULION (620740): Lie Lisa ee 1b. — — — n. d. à un Lézard d'Afrique par quelques naturalistes. 1b. SrenNoPryx (Les). 2 .@ ee + à XII Ve R"Eermann/c LL 1b. DIOLÉPHORES (LES). +2 10 LE ib. STOLÉPHORE Comimersonnien. . . . . ib. — — — — Japonais... . . . . . .. 1b. SRRTE (MC Zurd}1. 50 NERO II DTRIÉE M GOULEUDTE)=. & = M2 CURE IV SEROMATÉES (Les): 24: .7. 2028 VII STROMATÉE argenté . . . « . : 4e ib. RE — HatOlCs MAN COR 1b. nt — fé OniS ee eee ce je et PR: RS On Ne Lu LU NAN 1b. DES MATIÈRES, SEROMADÉE Dan... 20. 0 à... STURIUM, nom donné à l’Acipensère esturgeon dans plusieurs provinces de Brances + 212: #2, SIVEÉPHORES (Les ).. .°. . . . STYLÉPHORE argenté.. SUCET, voyez Pétromyzon sucet. — — nom donné à l’'Echénéis ré- NO ME EAN Suisse (Couleuv. ). .. . .. SURMULET voyez Mulle surmulet. SvINEVAL. voyez Cachalot Svineval. SYMBRANCHE, 20yez Unibranchaper- ture marbrée SYMÉTRIQUE (Couleur). . 1: SYNGNATHES (Les). +... 4 . +. — — — — barbe.. . . . . .. — —— — deux-piquants. . . — — — — hypocampe. . .. — — — — ophidion. . . . — — — — pipe. PR NE e a trompette. Sertue me CUVau Li SYNODES (Les). . SYNODES CHINOIS: 2120 T 0 IS VAR Tome. VII VI XII ib. VIII IV 1b. VI ib. ib. ib. ib. ib. ib. ib. XIE 1b. 139 Page. 175 157 194 TABLE GÉNÉRALE SYNODEHASCÉ. |. 2 2 0 LU — — macrocéphale. . . . . . . 1 malabars stone En renard.) 20 4 au XII O9 ib. 100 ib. 101 ib. 100. DES MATIÈRES. 195 Poe 20 50 PPS DIE LE BED D DORE 20 9-DapaBUDSS DEEE SE TO) SEE BAD 6 00 ED CPAM OLDOÉ BBA PS6 T: TABLE méthodique des Serpents.. . Tagres méthodiques des poissons. . . TaBreau méthodique des Raies. . . TAGcHETÉ, n. d. au Diodon. . . . TAcHETÉE (Couleuv ).. . . . .. Tacaysures ( Les). . . 1.1 TacxysurE chinois. . . . .. . . Tacon, n. d. au Saumon avant qu'il ait atteint sa troisième année, . . Pantanores (Lesi). ins un TÆNIANOTE large-raie. . . . . . . . — — — triacanthe. . . . .. .. Tzænoipes (Les). . . .. TzænoinE hermanien. SRE TALETEC , n. d. à l’Améiva en divers pays. MAMAcORIN- ul, td. id... Hide Tancue, voyez Cyprin tanche. DapAvE di nan RE Tapécon , n. d. à l’Uranoscope rat dans plusieurs provinces méridio- nales de France. Tome. III v ib. VI IV XI VII Page. 227 159 102 273 273 222 223 229 12/4 125 F27 309 381 298 ib. 209 136 TABLE GÉNÉRALE Tome. TaréroNDE, n. d. à la Raie pastenaque aupres de Bordeaux. 15/0 V TAUREAU MARIN, n. d. à l’Ostracion uadrangulaire. 127 140 VI PÉGUIXIN 0 5 SE MNONON SENAE II Témapara, n. d. à l’Améiva en divers PAYS. + +. pe RE SON A ib. ÉRRAPÈNE. 0 0 0 OM ROUE ib. TEsrAR, voyez Gobiésoce testar. — — n.d. au Cyprin jesse. . . , . XIE Tère-DE-Lièvre , voyez Gobie lagocé- phaie. TÊTE-rourcHUE (Léz.). . . ... . .. Il De MOINE. ne (oo dote CEA BE IV ee plate (Lez)... . tes HIT + roûge.(éd.)........, 008 Il —— triangulaire. . . . . . . . . . IV Téreonons. (Les). : . . . . . «4 VI Térmmonon allongéas san fn rt ib. A \#— croissant. 4 + 0e. ne 1b. — — — électrique. . . . - . - . . ib. EE étoilé. «0. plu Rue 1b. — — — grosse-tête. . . . . . . . . ib. — —\ = hérisson ib. 2} _ HElhonckénien:. 14: : 29% ib. Page. 260 211 366 125 TÉTRODON Ton, Ticrée (Wipère). …. ….. TockAIE, n. d. DES MATIÈRES. lagocéphale. . lane:sasu mal-armé. L. | & e méléagris. moucheté. museau-allongé. . . . . . perroquet. ES pointilié. . —— rayé. . en voyez Scombre thon. sans-tache. . spenglérien. e ° = » au Gecko e royaume de Siam. . . . . Tortues (Les). . . . TorTue à boîte. . . . bombée. . . bourbeuse. . chagrinée.. ee courte-queue. : dentelée. . e de terre commune, lortue grec-que. écaille verte. e 0 0] dans le voyez + + e Ê Tome. D VI ib. IV ib. 94 138 TABLE GÉNÉRALE TVorrurtfranche.! 2 4 4 6er M ONLES. DD 0 able MT ae 4 \asicorne, {use eo dus“ Wmoiratres, HN hé —-araboteuse :; . LL Lionel dira0e UE = à — HOUSSAITE 4 ent tie. je — — SCOFPION. . « . + « « . : — — terrapène. . . . . . . serions OR nu EE Tonrurs d’eau douce et de terre. ——— de mer. . . .. tt Toux, n. d. au Scombre thon aux en- virons de Marseille. . . . . DrAcHINES (Bes)....., TRACHINE osbeck, . — — — IVe . «+ à Traces (Les)... TRACHINOTE faucheur. . . TRan(Serpent): Aer eme es Trémoise n. d. à Bordeaux à la Raie torpille. VIII DES MATIÈRES. TRÈS-BLANCHE ( Wipère). . . . RIANGLE (Couleur. ) à: … à … …. HRIANGULAIRE (Lez. ) . 9 ‘ere, Marerse (Les). 0.141.408 Bierstasiatique. :.:...,., (40 caroline Eu 0.01 RC AVION: + suce noce — — grondin. . . ....... 2% — gurnau. : (HIER — —-"hirondellél ti 4 MAS, —— — Jastoviza.: . . .… . …. ne À TE LA E UE meme. 47: MEOMERMU milan. 4 + "NME er PI. 2 0e 4 NT — lo IPONCIUÉÉ. Le 7 HRICHIURES (Les). Rue Prichiure électrique. -- 4 — — — lepture. . .. . . . MrichoPones (Les): - . 41.1. TRICHOPODE mentonnier. . . . . — — — — trichoptére. . da TRIPLE-RANG (Couleuv.) TripréRonoTes (Les). . . . . . TRIPTÉRONOTE hautin. . . . ! , . Tome, IV 140 TABLE GÉNÉRALE MRISC ARE DNS Lx TONNES RTUR ESP (LES AE. nee tot Terure Bousainvillers... ... 2% Trois-porers (Salam. ).. . . . . . . Trois-RAIES (Couleuvre). . . . . .. TROMPETTE-DE-MER, n. d. au Lépisostée DAVIS NE Tate de AR RE Trourre, n. d. au Zée forgeron dans quelques dép. méridionnaux. . . . TrouriLxe, n. d. à Marseille à la Raïe LORD EAU EE nn ee TRuIE , voyez Scorpène truie. — — n. d. au Zée forgeron. . . . . Truite voyez Salmone truite. — — blanche, — —-brune, Variétés du — — de mousse, s Salmone — — depetiterivière, . à truite. HE RnoIre, — — rouge, — — Saumonée ayez Salmone truite saumonée. — — — — — nu. d. dans quelques pays au Salmone huch.. Trumeo, voyez Cachalot trumpo. Fome. Page. iv #07 vil 64 ïb. 65 EIE 73 IV 192 XI£ 110 x 3584 y 232 X 9ôg xi 266 1h05 DES MATIÈRES. | 141 Tome. Page. TüpiNAMBIS.. . II 230 Types. . Due IV 122 VRAIES : SENTE 1b, 200 142 TABLE GÉNÉRALE 0-& 1229.80 3010 8% 40 {po Po 80 F6 50 508010308080 #09 6260#50.D9-60.08409 50101040 #09 500 POELE PAT ELO IS Ü. Uarnak, variété de la Raie pastenaque UMBRES NAN TL RSR ETAT UniBrANCHAPERTURES (Les). . UNIBRANCHAPERTURE cendrée. . . RE immaculées CSI PRE NERO AS A a BAL ARE LE imarbrée.t 00e — — — — — rayée . . . .. Uranoscopes ( Les }).. . . . . . Uranoscorz houttuyn.. . . . . . BU PE A OR DE A A Pt 1 PE PE Tome. DES MATIÈRES. 149 &282 #0 #9-70# 29-#0 8089 SP 9400 EPP BE HOT Bo WO SP E PO PO 6 EVE SO HO POP Em CB AT Or MO 0 PoL-c 1p5 PO N. VAMPUM: :. -100.5.019s Vaupoise , voyez Cyprin vaudoise. VENT DU SAUMON, n. d. en plusieurs pays au vent qui règne ordinairement à l’époque ou les Saumons quittent la mer pour remonter dans les fleu- MOST 0. sie piallhe: die re Re VENTRE-NOIR , n. d. au Cyprin nase.. VERDATRE ( Couleuvre). . . . VERGADELLE, n. d. au Spare saupe lorsqu'il est jeune, dans quelques provinces mérid. de France. . . . VEerco, n. d. dans plusieurs dép. à la Sciène umbre. . VERNHE variété du Véron. Lo VÉRON voyez Cyprin véron. VerraT, n. d. au Maquereau sur plu- sieurs côtes méridionales de France. Vert (Couleuvre). 2 1,12 M8) VERTE-ET-BLEUE (id. ). . . . Niocerre (id. ). | e e e Tome. Page. IV 290 XI 299 XI 1241 iv 256 1x” 300 x 75/1 VIIL 106 VI 258 1b. 2/8 144 TABLE* GÉNÉRALE (l MIPÈRE Chers een VibÈRe commune. ti 2070 — — d'eau, Serpent de Sardaigne qui parait appartenir à l’es- pèce de la Couleuvre à col- ler... 0h. cri) Vice d'Éeyptesuighp. nn de me _— — — — — parait être celle qui donna la mort à Cléopâtre. . — — de l'Ile St.-Eustache, n. d. à la tête triangulaire. . . . . —) — fer-de-lance. … . 1, à — — jaune de la Martinique, n. d. par quelques voyageurs à la précédentes vents s6fr4t Sr noire. à. 0 0 meet SU RE VasouEux.L'. 0844 Ab sue de Viveze, n. d. par les pècheurs au Squale scies » sheet le Viver, n. d. à la Trachine vive sur plusieurs côtes de l'Océan. . . . . VoiLiEer, n. d. par plusieurs auteurs à l'Istiophore porte-glaive. . . . . . Tome. Page. III 394 1b. 356 IV 99 ib. 19 1b. 17 ib-20vt 1b. 65 iD-- D. ib. 10 ib. 100 I 101 vVIL 210 Ixyre 20 DES MATIÈRES. 149 ED PEPEDETSS PIE IPEHOP DEEE TEE PES EEE 6 DEEE 6 BE PE PET 6-07 ED DE SE ET 6 6% X. Tome. Page. MMbATAS ( Les}. Lames Le vil 144 mn CO CN eue ee SU Male à ib. 152 A = ESpadon, 20004 ON MRNe 1. 149 Aisnenes ( Les). Re rs XII 290 MÉSTÉRE DEAN... Le 2... ib, 1251 Tome. Page. Zées (Les). . .. RASE 1107) PE Ionserons ee 0 EN ANUS ib. 304 — lOnsS-Cheveux.. 50 1." 1b. 379 NAT RME Le EEE NOR SRE PERS RS ib. 381 FIN DE LA TABLE DES MATIÈRES. 4\ 1] dant “OM YA DU à LORD DONS ERL CU DS Da 5 { . STE Emai ÉEST su) _ LA à L à cé X RE SR PAR TRE RE NET PET pit à ter pos DB : APT Four u AN . | se Agul CTI à Pa La £ è : ‘ . . + + Le V % À on FAAE ‘di NL EE @ w dt + Vin De CRT N7 *: y 3 FA ÿ AT di à à = n . L T'é$ no Ne : Es? . 1 , ANRT EL 7 % | L ” à te F | | | tilus LR AMMML MAT LR, ASS nr: UE ts VB AOSTS vi née Li RL ELE TABLEAU INDICATIF DES GRAVURES DE LACÉPÉDE. ECHO PEHIDMOTBEBREOTAHEBOPEDHEDIE EHEBDSD Heo POP OE Mo DeoDe abs EEE SE EE EEE ES TABLEAU PAR ORDRE NUMÉRIQUE DES GRAVUÜRES ; d \ DE LACEPEDE, AVECG INDICATION DES VOLUMES ET PAGES OU ELLES DOIVENT ÊTRE PLACÉES. Planch. Fig. Tome, Page, Le Portrait de Lacépède en tête de l’ouvrage. 1 » La Baleine franche. . . . . . I 4 2 Wii Le Rorqual....…,..:,.: 0414 É ‘149 3; Le Gibbar... ..... 0h44 1b. 1h: 5 1 La Baleinoptère rorqual. . . D 07 2 Le Narwal vulgaire. . . . . lb. 194 k 1 La Baleinoptère jubarte . . D 2 Le Cachalot macrocéphäle. . ib. 195 190 Planch. 5 10 12 TABLEAU INDICATIF Fig. 1 Le Cachalot trumpo. 2 Le bélipa rer 1 Le Physale cylindrique. . . 2 Le Dauphin ventru.. . . . . 1 Le Dauphin vulgaire. . . .. 2 Le Dauphin marsouin.. . . 1 Le Dauphin nésarnack.. . . 2 Le Dauphin à deux dents. . 1 La Tortue! 41 ir Spain 2 La Tortue caouane.. . . . . Due Eh SP ie pr i o Na molles 242 HPUIOPRMMUE 5 1 La Tortue grecque... ... . 2 La Tortue raboteuse. , . « Tome. Page, 238 DES GRAVURES DE LACÉPÈDE. Planch. Fig. 14 15 17 18 19 20 1 La Tortue chagrinée. . . . . 9 La Roussâtre. : : :.:,:. 400) S:La Noirâtre.’ 2 20902 jai Le Crocodile d'Égypte. . . 2 (Le Gaval..... 1 La Dragonne. . 2 Le Tupinambis. . . l'blguane. 200 he 2 Le Galéote. . . . . . ° 1 Le Lézard vert. . . . . .. Le Lézard gris. +... , 4: L’Améiva. Le dessous de latête de l’A- O1 1Le Mabouya : 10: .. 2 orbe Dore: TEE a Lie 3 Le Caméléon. bei LeScinquenetuee un. 2 Le Marbré. . . . . . . .. 5 Le Roquet.”"#. Heu" men Tome. 152 TABLEAU INDICATIF Planch. Fig. Tome. Page. 21 1Le Sputateur Ni e- UT RE 11 °Sgh 2 Le "Gecko. 5.140 10 577 S\La Tète-plate. Ven TII 7 22 AEMSÉDS ee cote à cie on 1 en 2'ALe Cannele Noa UnE ib. 184 5.1be "Chaleide Lee nn 1b. 23 h Le pied du Cannelé. , . | “b: 487% 5 Le pied de devant du Chal- Cides OLIS ASUS 1D 00095 23 » Hé lDrason..: sul". UT MES 24 1 Le Lézard monodactyle. . II 194 2 Le Protée ou Salamandre té- tradactylen) 9/1 5? A4 GrOses ib. 204 3 La Salamandre terrestre. . ip: 0057 25 1 La Trois-doigts.: 120 IE 79 2 La Salamandre abdominale. ip. 7 5 La Salamandre ponctuée. . 1b. LNOE 26 1; La Sonnanter + .'. LME Tir 107 2VLa Mugissante. © 1 Wen 10: 1009 DES GRAVURES DE LACÉPÈDE. Planch. Fig. 2 28 29 31 1 2 La Rainette ou Raine verte. La Rainette à tapirer ou Ja Rotge.t.n0u st. SAP Le Crapaud bossu. . . _Le Crapaud pipa. . . . . . La Vipère commune. Le Céraste trs Se L'aspic. Dabissen 2e an Le Naja ou Serpent à lunettes. L'hœmachate. . : . . . La Brasilienne. . . . . . La Nasique. GARE ES RU AE TA EN Pa La Vipère fer-de-lance. . La Tête triangulaire. . . La Couleuvre à collier. . . La Couleuvre verte-et-jaune La Quatre-raies.. Tome. 20 III ib. III III IV IV ib. IV 1b. IV 1b. IV 153 Page. 125 f 41 Fin O1 Fig 2 Le) TABLLIAU INDICATIF La Couleuvre d’Esculape... Ea Miolette tea a aouer Le Demi-collier. . . . Le Molure; .....#40r La double-raie.. . Le Boigas 1. 2.44 40 Lei: me La Trois-Raies. . Le Daboie. La Grosse-tête. La Couresse. Le Devin. L'Hipnale.. , Ve. Le Bojobi.. . La Broderie. LeDurissus.. :. . . Le Mallette, .#408 Tome. IV IV ib. IV IV. ib. Page. 10/ Planch. Fig. Tome. hh N L'Orvea Un 0 UMR eNRnE IV MLerRouse: :/:4101 starter ib. 45 1 L'Enfumé. "PS9 DR IV # Le Visqueux.e PMP. Pr 1b. 46 LA RUbrares 02/0 Te IV 2, Le: Blanchet." 2e ib. 47 1 Le Langaha de Madagascar. IV 2 L’Acrochorde de Java. . . ib. 48 he Eombric::,:.: 4 0. IV 49 DES GRAVURES DE LACÉPÈDE. 2 Le Serpent monstrueux à deuxiiétess L'art sue 2 1b. 1 Le Pétromyzon lamproie V 2 Ouverture de sa bouche... . ib. 3 Le Pétromyzon lamproyon. ib. 1 Le Pétromyzon pricka.. . . V 2 Le Pétromyzon rouge... . . 1b. 3 Le Pétromyzon sucet. . . . ib. 4 Le Pétromyzon noir. . . . ib. 156 Planch. 51 52 53 54 56 97 90 TAPBLEAU INDICATIF Fig. dla Rae batis. © EUMNENE SE 2 La Raie chardon. . j 2 et QI La Raie ronce mâle. . . . La Rae blanche: Ke La Raie aigle. . La Raietorpille à cinq taches. La Raiïe pastenaque. . La Raie Iymme..s 0/7: La Raie Églantier. x La Raie tuberculée. La Rate chinoise. |. . ". . : La Rae bouclée. :. 1°: La Raie'Cuüvier.#.0: 0,770 La Raie aptéronote. . . . . La Raemmegre. 101." La Raie mosaique. . . . . La Raie croisée. . La Rae ondulée. . . . . . Tome. Planch. 99 6o 61 62 64 66 DES GRAVURES DE LAGÉPÈDE. Fig. 1 La Raie fabronienne. 2 Tête dela même. . . . . . 5 La Raiemanatia tira 1 La Raïie (TANT 2 La Raie torpille marbrée. . 3 La Raie Banksienne. 1 Le Squale requin. . 2 Le Squale très-grand. . . 1 Le Squale pointillé. . . .. 2 Le Squale glauque. . . . . 1 Le Squale long-nez. . 2 Le Squale boucle. 1 Le Squale pantoullier. 2 Tête du même vue en des- SOUS HS EMEA RME 1 LelSqualesscie ana 2 Le Squale roussette. 1 Le Squale rochier. . . . . Tome. VI VI 197 Page. 20 158 Planch. 66 67 69 70 72 ©Q1 TABLEAU INDICATIF Le Squale humantin. Le Squale liche. Le Squale aiguillat. Le Squale dentelé. . Le Squale ange. La Lophie vespertilion. La Lophie histrion. La Lophie chironecte. Le Baliste vieille. 2 Le Baliste Buniva. 3 Le Baliste écharpe. 4 Le Baliste étoilé. . Le Baliste épineux. Le Baliste bourse. Le Baliste monocéros. Le Baliste hérissé. Le Polyodon feuille. Tête du même vue en des- SOUS. Tome. VI VI ib. Page. 36 CY C1 102 11 125 194 136 191 1h. Planch. 7 2 SJ [s} je SI Ot LS | SJ] DES GRAVURES DE LACÉPÈDE. Fig. Tome. 3 L’Acipensère esturgeon. . . VI 1 L'Ostracion museau-allongé. VI 2 Le Tétrodon moucheté. . . 1h. 5 Le Singnathe aiguille. . . . 1b. 4 Le Singnathe hippocampe. . ib. 1 Le Cycloptère lipars. 00, VI 2 Le Lépadogastère gouan. . ib. 3 Le Pégase. dragon: . +. ib. A Le Centrisque cuirassé. . . 1b. 5 Le Centrisque bécasse.. . . ib. 1 Le Leptocéphale morrisien. VII 2 L’Ophisure ophis. . . . .. 1b. 3 L’Aptéronote passan.. . . . 1b. L'Odontognatheaiguillonné. ib. La Murène myre....50110 ut VII 2 L’Ammodyte appât. . . . . ib. 5 L'Ophidie barbu. . . . . . 1b. 4 Le Macrognathe aiguillonné. ib. 1 Le Trichiure lepture. APTE VII 2 Le Xiphias espadon.. . . . ib. 160 Planch. Fig. Tome. To 3 L’Anarhique loup.. . . . . VII 4 Le Stromatée paru. . . . . ib. 78 1 Le Callionyme lyre. . . . . VII 2 L'Uranoscope rat.. . . .. ib. {la Trachineïvivests £a ib. Le Gade morue 2707 ib. 79 1! Le Batrachoide taus:62218 VII 2 Le Blennie Bosquien. . . . ib. 3e Blenniersunnel.4sp4ste ib. 4 Le Blennie pointillé.. . . . ib. S0 1 Le Gade mustelle.. . . . . VII 2 Le Kurte Blochien. . . . . ib. 5 Le Tænioide hermannien.. ib. h Le Gobie lancéolé. . . . . ib. 81 1 Le‘Gobie Bosc. 84e VIII 21Le Gobie Plumier...21:t.4 ib. 5 Le Gobioïde Broussonnet. . ib. 4 Le Gobiomore Koelreuter. . ib. 82 1 Le Gobiesoce testar.. . . . VIII 2 Le Scombre bonite. . . . . ib. TABLLAU INDICATIF 51 99 DES GRAVURES DE LACÉPÈDE. Planch. Fig. Tome, 82 5 Le Scombéroïide Commer- sonnien. ete M4 sil VIII 4 Le Scomhéroïide sauteur. . ib. 83 1 Le Caranx très-beau. . . . VIIL 2 Le Cœsiomore baillon.. . . ib. 35 Le Cœsiomore Bloch... . . 1b. 4 Le Gomphose varié. . . . ib. 84 1 Le Nason licornet.. .: . . . VIII 2 Le Kiphose double-bosse. . 1b. 5 Le Trichopode trichoptère. 1b. 4 Le Monodactyle falciforme. ib. 85 1 Le Pogonias fascé.. . . . . VIII 2 Le Bostryche chinois. . . . 1b. 3 L'Échénéis rémora. . . . . ib. 4 Le Coryphène chrysurus. . 1b. 86 1 Le Coryphène doradon. . . VITI 2 Le Cotte madégasse.. . . . ib. 3 La Scorpène truie.. . . . . ib. 87 viLa Trigle:pnwrbwiChos ds IX 2 Le Péristédion malarmat. . 1b. 21 162 TABLEAU INDICATIF Planch. Fig. Tome. 87 5 Le Mulle eyclostome.. . . . IX 4 Le Mulle trois bandes. . .. 1b. 88 1 Le Labre unimaculé. . . . IX 2 Le Labre chapelet.. . . .. 1b. 3tLe Labre hssé/uau 51041006 1b. 89 1 Le Labre fuligineux.. . . . IX 9 Le Labre marbre. 22. 2: 1b. 3 Le Labre large-queue.. . . * ib. 90 1 Le Labre digramme.. . .. IX 2 Le Labre hololépidote. . . 1b. 3 Le Labre parterre. 0.0 id. 4 Le Labre tœnioure. . . . . 1b. 91 1 Le Labre ceinture.. . . . . 1x 2 Le Eabre Sparoïide.. . . . . 1b. 5 Le Labre malaptéronote.. . 1b. & Le Labre Saimoïde. . . . . ib. 02 1 Le Labre léopard. . . . . . IX 21 Le Labre inst es 1b. 4 Le Labre Driane..….-.#44. 0008 ib. 4 Le Labre ensanglanté. . . . ib. Planch. 99 94 99 O8 DES GRAVURES DE LACÉPÈDE. Fig. Tome. 1 Le Cheiline trilobé. . . . , IX 2 Le Cheilodiptère rayé.. . . 1b. 5 Le Cheilodiptère aigle. . . 1b. 1 Le Scare denticulé. . . . . IX a -Le Scare-bridé, . © 2e 0 ib. 3 Le Scare tacheté. . . . . . ib. 4 Le Spare demi-lune. . . . . ib. 1 Le Lutjan gymnocéphale. . x 2 Le Lutjan blanc-or. . . . . ib. 5 Le Bodian œillère.. . . . . 1b. 1 Le Bodian vivanet.,. . . . . x 2 Le Bodian grosse-tête. . . . 1b. 5 Le Tænianote large-raie.. . 1b. 1 La Sciène croker. . . . . . x 2 L’Holocentre jarbua.. . . . ib. 5 L'Holocentre diadème.. . . 1b. 1 L’Holocentre panthérin. . . x 2 L'Holocentre océanique. . . ib. 3 L'Holocentre salmoide., . . 1b. 109 11) 117 125 133 102 189 202 104 Planch. 99 100 101 102 D] TABLEAU INDICATIF Fig. Tome. 1 Le Harpé bleu doré... . . . X 2 Le Piméleptère Bosquien. . 1b. 5 Le Centrolophe nègre.. . . 1b. 1 Le Chétodon allongé. . . . x 2 Le Chétodon grande-écaille. 1b. 35 Le Chétodon zèbre. . . . . 1b. 1 Le Chétodon vespertilion. . x > L’Holacanthe empereur. . . ib. 35 L’Holacanthe géométrique. ib. 1 L'Holacanthe jaune et noir. x 2 L'Acanthure zèbre.. . . . . 1b. 35 L’Argyréiose vomer. . . . : 1b. 1 Le Pleuronecte sole... ”*. XI 2 Le Pleuronecte turbot.. . . ib. 5 Le Pleuronecte carrelet.. . 1b. 1 Le Silureasprède. 2.2: xI 2 Le Pimélode bagre.…. : . . 1b. 35 Le Pimélode ascite. . . . . 1b. 4 Le Pimélode cous.. . . . . ib. 1 L'Hypostome guacari. . . . XI 2 Le Salmone Saumon. . . . 1b. ‘DES GRAVURES DE LACÉPÈDE. 105 Planch. Fig. Tome. Page. 105 3 Le Salmonetruite saumonée. x1 269 Le Salmone salveline. . . . ib. 7 106 1 L'Osmére/éperlan./ .!.;.). XI 2095 2 Le Corégone lavaret.. . . . 1.00 306 3 L'Ésoce brochet. . . . .. ib. 356 107 1 Le Solénostome paradoxal. . XF 0190 2 Le Polynème pentadactyle. ib. 183 3 La Clupée sardine.. . . .. ib. 212 108 1 La Clupée hareng.. . . . . XII , 107 2 Ta Clupée alose.: : . |. 1D>, ‘515 5 La Clupée anchois.. . . . . 1D+ 2929 4 La Clupée bélame. . . .. ib. 229 109 1e CyYprin carpe. ee eu: XIE 1207 2 Le Cyprin goujon. . . . .. ib: 4209 3 Le Cyprin tTanche, 2 20400 10: 1): 110 001 : Le Cyprin dore) 07m XI 312 2} Le’ Gyprin :véron.w. 71 100 ID 10331 3 Le Cyprin bouvière, . . . . bel 349 Re Cyprin brème. . 4.1... 1D:1 352 FIN DE LA TABLE DES GRAVURES. 3 x so VE ï #: "Hi hs 4 te aa s1$ = JL ie di WMA 0 | alu di LAS A se Fc ROLE sie ve £ at L'Actu rStoNS 5 saquid ai LE fi L'Atepehiose vomathd sans N Ë x MS Pere nes aiiqr) 1 À age Qi ee A Loco AdEOS siq0 | be “4 0e FrnenRE ratée “ai hat + War | x te TON CR EUCR : ant 4 di D 8e TE te Pile HSE mi La ni Ed ee. Lu Peut RER. | ei f 4 L Aix on Cr'E Sa à { FAER Mg Mg os eitee Ent me 1 sataciter set 150 Planch. 2 6 10 11 12 TABLEAU INDICATIF Fig. 2) Le Bélusd MRC AUX 1 Le Physale cylindrique.. . . 2 Le Dauphin ventru.. 1 Le Dauphin vulgaire. . 2 Le Dauphin marsouin.. 1 Le Dauphin nésarnack.. . 2 Le Dauphin à deux dents. . Sale Luth:. :! ® ee © er » ke 1: Le Caret:.: =: 2 La Tortue bourbeuse. 1 La Tortue jaune. © + + js re 2 EarRonde. 92/4020" 1 2 \Eaimolles :.:/7 74,0) 01 = e) 1 La Tortue étTecque.. .1> 2 La Tortue raboteuse. . ° a Tome. I IT IT ib. Page, SBEPES MP ECODIESDEES EOPOFEDSDAE GEO EDET ES PEBETES TABLEAU PAR ORDRE NUMÉRIQUE DES GRAVURES DE LACÉPÈDE, AVEC INDICATION DES VOLUMES ET PAGES cretesebots$seged OU ELLES DOIVENT ÊTRE PLACÉES. Planch. Fig. Tome. Page. Le Portrait de Lacépède en tête de l'ouvrage. 1 » La Baleine franche... . . . 1 Ga 2 Eee Rorqual. Le 1 449 20e Gibbar. "0000 000 ib. ib. 5 1 La Baleinoptère rorqual. . . LU pr 2 Le Narwal vulgaire. . . . . ib: (né 4 1 La Baleinoptère jubarte . . I 2 Le Cachalot macrocéphale. . 1b. 195 5 1 Le Cachalot tr'urmipo eee 1959 ÉLOGE HISTORIQUE DU COMTE DE LACÉPEDE. 22 Erin gum à RAA LA VE LULU VU MU MAUUU LE LU LAUU VUE, PULL MU EU VU AU LU LU U LUE L LE UV ÉLOGE HISTORIQUE DU COMTE DE LACÉPÉDE. LU DANS LA SÉANCE PUBLIQUE DE L'ACADÉMIE ROYALE DES SCIENCES, LE D Juin 1826. PAR M. LE BARON CUVIER". CuarGés de consigner dans les annales des sciences les services qu'elles ont reçues de nos confrères et les principaux traits de la vie de tant d'hommes célèbres, nous nous acquittons d’un devoir sihonorable avec le zèle d'amis et de disciples pleins de respect pour leur mémoire ; mais le temps qui nous est départi dans ces solennités littéraires, ne nous permet ni de Îles pré- senter tous à la reconnaissance du public, ni même de lire en entier des biographies déja si courtes pour tout * Get Éloge, extrait de l'ouvrage intitulé : Recueil des Éloges his- ioriques de M. le Baron Cuvier, publié par M. F. G. Levrault, a été réimprimé sur l'autorisation que ce dernier m'en a donnée avec une obligeance toute particulière que je me plais à consigner tel. HD PR: 170 ÉLOGE HISTORIQUE ce qu’elles devraient faire connaître. C’est en tête de l'éloge d’un savant et d’un homme d'État, dont la vie a été si longue et si pleine, et qui se recommande par tant de bonnes actions ettant de beaux ouvrages, qu'il nous a surtout paru nécessaire de rappeler ces circon- stances. Heureusement c’est aussi dans un pareil éloge qu'il y a le moins d’inconvénient à se restreindre : le souvenir d’un homme tel que M. de Lacépède est dans tous les cœurs, et il n’est aucun de mes auditeurs qui ne puisse suppléer à ce que la brièveté du temps me forcera d’omettre. Bernarn-Germain-ÉrrEnxe DELAVILLE ; Siconnu dans le monde et dans les sciences sous le titre de Comte de LACÉPÈDE, naquit à Agen le 26 décembre 1706, de Jranx-Josepu-Mébarr DELAVILLE, Lieute- nant-général de la Sénéchaussée, et de MARIE DE LAFOND. Sa famille était considérée dans sa province et y avait contracté des alliances distinguées; mais M. de Lacépède trouva dans les papiers qu’elle conservait des traces d’une origine beaucoup plus illustre qu'on ne pouvait la lui supposer. Il crut y découvrir que c'était une branche d’une maison connue en Lorraine dès le onzième siècle, et qui prenait son nom du bourg de V'ille-sur-Ilon. dansle diocèse de Verdun, maison qui DU COMTE DE LACÉPÈDE. a fourni un régent à la Lorraine , et qui s’est alliée aux princes de Bourgogne , de Lorraine et de Bade, ainsi qu’à beaucoup de familles de notre première noblesse. M. de Lacépède s’y rattachait par Arnaud de Ville, sei- sneur de Domp-Julien, que le roi Charles VIIT, pen- dant sa possession éphémère du royaume de Naples, avait fait duc de Monte-San-Giovanni, etqui, étant de- venu gouverneur de Montélimart, se rendit célèbre en Histoire Naturelle , pour avoir escaladé le premier le mont Aiguille, ce rocher inaccessible qui passait pour l’une des sept merveilles du Dauphiné. Nous avons même vu un arbre généalogique dressé en Alle- magne où notre académicien prenait le titre de Due de Mont-Saint-Jean, et où il écartelait les armes de Ville de celles de Lorraine et de Bourgogne ancien. Mais, quoi qu'il en soit d’ane filiation qui ne paraît pas avoir été constatée dans les formes reçues en France , nous devons dire que cette recherche ne fut pour M. de Lacépède qu'une affaire de curiosité , et que, loin de s'en prévaloir , même, comme le disait un homme d’une haute extraction, contre la vanité des autres, il entra dans le monde bien résolu à ne marquer sa naissance que par une politesse exquise. Chacun peut se souvenir que c’est une résolution à laquelle il n'a jamais manqué ; quelques-uns ont pu “ 172 ÉLOGE HISTORIQUE trouver même qu'il mettait à la remplir une sorte de superstition; et il est très-vrai qu'il ne passait pas volontairement le premier à une porte, qu'il rendait toujours le dernier salut , et qu'il n'y avait point d’au- teur, si vain qu'il fût, qui, lui présentant un ouvrage, ne s'étonnât lui-même des éloges qu'il en recevait; mais ce qui n’est pas moins vrai, c’est que ces démons- trations n'avaient rien de calculé ni de factice , et qu'elles prenaient leur source dans un sentiment pro- fond de bienveillance et de bonne opinion des autres: aussi était-il encore plus obligeant que poli ; et ren- dait il plus de services , répandait-il plus de bienfaits qu'il ne donnait d’éloges. Ces dispositions affectueuses qui l'ont animé si long-temps et qu'il a portées plus loin peut-être qu'aucun autre homme, avaient été profondément imprimées dans son cœur par sa pre- mière éducation. M. Delaville, son père, veuf de bonne heure, l'élevait sous ses yeux avec une ten- dresse d’autant plus vive qu'il retrouvait en lui l’image d’une épouse qu'il avait fort aimée. Îl exigeait des maîtres qu'il lui donnait autant de douceur que de lumières, et ne lui laissait voir que des enfants dont les sentiments répondissent à ceux qu'il désirait lui inspirer ; M. de Chabannes, évêque d'Agen, et ami de M. Delaville, le secondait dans ces attentions re- DU COMTE DE LACÉPÈDE. 179 cherchées ; il recevait le jeune Lacépède, l’encoura- geait dans ses études, et lui permettait de se servir de sa bibliothèque ; mais tout en ayant l’air de ne pas le gèner dans le choix de seslectures, M. de Chabannes et M. Delaville s’arrangeaient pour qu'ilne mît la main que sur des livres excellents. C’est ainsi que pendant toute sa jeunesse il n’avait eu occasion de se faire l’idée ni d’un méchant homme, ni d’un mauvais auteur. À douze et treize ans, selon ce qu'il dit lui-même dans des Mémoires que nous avons sous les yeux, il se figurait encore que tous les poètes ressemblaient à Corneille ou à Racine , tous les historiens à Bossuet , tous les moralistes à Fénelon ; et sans doute il imagi- nait aussi que l'ambition et le désir de la gloire ne produisent pas sur les hommes d’autres effets que ceux que l’émulation avait fait naître parmises jeunes camarades. Les occasions de se désabuser ne lui manquèrent probablement pas pendant sa longue vie et dans ses diverses carrières, mais elles ne parvinrent point à effacer tout-à-fait les douces illusions de son enfance. Son premier mouvement a toujours été celui d’un optimiste qui ne pouvait croire ni à de mauvais sen- timents ni à de mauvaises intentions ; à peine se per- mettait-il de supposer que lon pût se tromper ; et ces 174 ÉLOGE HISTORIQUE préventions d’un genre si rare l’ont dirigé dans ses actions et dans ses écrits, non moins que dans ses habitudes de société. Plus d’une fois dans ses ouvra- ges il lui est échappé quelque erreur, pour n’avoir pas voulu révoquer en doute le témoignage d’un autre écrivain, et dans les affaires if était toujours le pre- mier à chercher des excuses pour ceux qui le contra- riaient. Un homme d'esprit a dit de lui qu’il ne savait pas trouver de tort à un autre, etcela était vrai même de ses ennemis ou de ses détracteurs. Buffon était du nombre des auteurs que de bonne heure on lui avait laissé lire , il le portait avec lui dans ses promenades ; c'était au milieu du plus beau pays du monde, sur les bords de cette vallée si féconde de la Garonne , en face de ces collines si riches, de cette vue que les cimes des Pyrénées terminent si majestu- eusement, qu'il se pénétrait des tableaux éloquents de ce grand écrivain ; sa passion pour les beautés de la nature naquit donc en même temps que son admira- tion pour le grand peintre à qui il devait d'en avoir plus vivement éprouvé les jouissances, et ces deux sentiments demeurèrent toujours unis dans son âme. Il prit Buffon pour maître et pour modèle ; il le lut et le relut au point de le savoir par cœur, et dans la suite il en porta limitation jusqu’à calquer la coupe et la DU COMTE DE LACÉPÈDE. à7D disposition générale de ses écrits sur celles de l'His- ioire Naturelle. Cependant les circonstances avaient encore éveillé en lui un autre goût qui ne convenait pas moins à une imagination jeune et méridionale : celui de la musique. Son père, son précepteur, presque tous ses parents étaient musiciens; ils se réunissaient souvent pour exé- cuter des concerts. Le jeune Lacépède les écoutait avec un plaisir inexprimable, et bientôt la musique devint pour lui une seconde langue qu'il écrivit et qu'il parla avec une égale facilité. On aimait à chanter ses airs, à l'entendre toucher du piano ou de l'orgue. La ville entière d'Agen applaudit à un motet qu'on l'avait prié de composer pour une cérémonie ecclésiastique , et de succès en succès il avait été conduit jusqu’au projet hardi de remettre Armide en musique, lorsqu'il apprit par les journaux que Gluck travaillait aussi à cet opéra. Cette nouvelle le fit renoncer à son entre- prise, mais il ne put résister à la tentation de com- muniquer ses essais à ce grand compositeur, et il en reçut le compliment qui pouvait le toucher le plus: Gluck trouva que le jeune amateur s'était plus d’une fois rencontré avec lui dans ses idées. Pendant le même temps, M. de Lacépède s’adon- nait avec ardeur à la physique. Dès l’âge de douze ou 2 29 a 17 ÉLOGE HISTORIQUE treize ans, et sous les auspices de M. de Chabannes, il avait formé avec les jeunes camarades que la pré- voyante sagesse de son père lui avait choisis, une es- pèce d'académie dont plusieurs membres sont deve- nus ensuite membres ou correspondants de l’Institut. Leurs occupations d'abord conformes à leur âge de- vinrent par degrés plus sérieuses : ils faisaient ensem- ble des expérienees sur l'électricité, sur l’aimant et sur les autres sujets qui occupaient le plus alors les physiciens; et M. de Lacépède ayant conclu de ces expériences quelques propositions qui lui semblèrent nouvelles, le choix de celui à qui il devait les sou- mettre ne fut pas douteux : il les adressa au grand na- turaliste dont il admirait tant le génie, et il en reçut une réponse non moins flatteuse que celle du grand musicien. Buflon le cita même en termes honorables dans quelques endroits de ses suppléments. C'était, on le croira volontiers, plus d’encourage- ments qu'il n’en fallait pour exalter un homme de vingt ans. Plein d’espérance et de feu , il accourt à Paris avec ses partitions et ses registres d'expériences; il y arrive dans la nuit, et le matin de bonne heure il est au Jardin du Roi. Buffon, le voyant si jeune, fait sem- blant de croire qu'il est le fils de celui qui lui avait écrit, et le comble d’éloges. Une heure après chez DU COMTE DE LACÉPÈDE. 1797 Gluck, il en est embrassé avec tendresse. Il s'entend dire qu'il a mieux réussi que Gluck lui-même dans le récitatif: [/ esi enfin dans ma puissance , que Jean- Jacques Rousseau a rendu si célèbre. Le mème jour, M. de Montazet, archevèque de Lyon, son parent, membre de l’Académie française, le garde à un diner où se devait trouver l'élite des académiciens. On y lit des morceaux de poésie et d’éloquence: il y prend part à une de ces conversations vives et nourries , si rares ailleurs que dans une grande capitale. Enfin il passe le soir dans la loge de Gluck à entendre une représentation d’Alceste. Cetle journée ressembla à un enchantement continuel; il était transporté, et ce fut au milieu de ce bonheur qu'il fit le vœu de se consacrer désormais à la double carrière de la science et de l’art musical. Ses plans étaient bien ceux d’un jeune homme qui ne connait encore de la vie que ses douceurs, et du monde que ce qu'il a d’attrayant. Rendre à l’art mu- sical, par une expression plus vive et plus variée, ‘ce pouvoir qu'il exerçait sur les anciens, et dont les récits nous étonnent encore ; porter dans la physique cette élévation de vues et ces tableaux éloquents par lesquels Histoire Naturelle de Buffon avait acquis tant de célé- brité ; voilà ce qu'il se proposait , ce que déja dans 158 ÉLOGE HISTORIQUE son idée il se représentait comme à moitié obtenu. On conçoit que ni lun ni l’autre de ces projets ne pouvait se présenter sousle même jour à de graves ma- gistrats ou à de vieux officiers tels qu’étaient presque tous ses parents. Non pas qu'ils pensassent comme ce frère de Descartes, conseiller dans un parlement de province, qui croyait sa famille déshonorée, parce qu'elle avait produit un auteur ; les esprits étaient plus éclairés à Agen vers la fin du dix-huitième siècle , qu’en Bretagne dans le commencement du dix-septième ; mais des hommes expérimentés pouvaient craindre qu'un jeune homme ne présumât trop de ses forces , et qu’un vain espoir de gloire n’eüût pour lui d’autre effet que de lui faire manquer sa fortune. D’après ses liaisons et ses alliances il pouvait espérer un sort éga- lement honorable dans la robe , dans l’armée ou dans la diplomatie : on lui laissait le choix d’un état, mais on le pressait d’en prendre un; et sa tendresse pour ses parents l'aurait peut-être emporté sur ses projets, s'il ne se fûl présenté à lui un moyen inattendu de sortir d’embarras. Un Prince allemand dont il avait fait la connaissance à Paris , se chargea de lui procurer un brevet de colonel au service des Cercles , service peu pénible comme on sait, ou plutôt qui n'en était pas un ; car nous apprenons de M. de Lacépède, dans DU COMTE DE LACÉPÈDE. 179 ses Mémoires, que, bien qu'il ait fait vers ce temps-là deux voyages en Allemagne , il n’a jamais vu son régi- ment. Mais enfin , tel qu'il était, ce service donnait un titre, un uniforme et des épaulettes ; la famille s’en contenta, et le jeune coloneleut désormaisla permission de se livrer à ses goûts. Ce qu'il y eut de plus plaisant , c'est que, bien autrement persuasif que Descartes, il détermina son père lui-même à quitter la robe , à accepter le titre de conseiller d'épée du Landgrave de Hesse-Hombourg, et à paraître dansle monde, vêtu en cavalier. Ce bon vieillard se proposait de venir s'établir à Paris avec son fils, lorsque la mort l’enleva après une maladie douloureuse en 1785. Dans le double plan de vie que M. de Lacépède s'était tracé, il y avait une moitié, celle de la science, où le succès ne dépendait que de lui-même ; mais il en était une autre où il ne pouvait l’espérer que du concours d’une multitude de volontés que l’on sait assez ne pas se mettre aisément d'accord. Sur une invitation de Gluck, et en partie avec les avis de ce grand maître , il avait composé la musique d'un opéra (1). Après deux ou trois ans de travail et de sollicitations, il en avaitobtenu une première répéti- (1) L'opéra d'Omphale. I'avait travaillé sur celui d’Aleyone. Il doune ünue idée de ces composilions dans sa Poétique de la musique. i 80 ÉLOGE HISTORIQUE tion ; deux ans encore après on en fitla répétition géné- rale ; les acteurs, l'orchestre et les assistants lui présa- geaient un grand succès, lorsque l’humeur subite d’une actrice fit tout suspendre. M. de Lacépède supporta cette contrariété conformément à son carac- tère, avec douceur et politesse ; mais il jura à part lui qu'on ne l’y prendrait plus, et il se décida à ne faire désormais de musique que pour ses amis. On aurait regret à cette résolution, si de la théorie que se fait un artiste on pouvait conclure quelque chose touchant le mérite de ses œuvres. La Poétique de la musique que M. de Lacépède publia en 1785 : (2), annonce un homme rempli du sentiment de son art, et peut-être un homme qui accorde trop à sa puis- sance; elle se fonde essentiellementsur le principe de limitation : la musique , selon l’auteur, n’est que le langage ordinaire dont on a ôté toutes lesarticulations, et dont on a soutenu tous lestons en les élevant aussi haut ou en les portant aussi bas que l'ont souffert les voix qui devaient les former et l'oreille qui devait les saisir, et en leur donnant par ces deux moyens une expression plus forte, puisqu'elle est à la fois plus durable , plus étendue et plus variée. Elle exprime plus vivement nos passions et le désordre de nos agi- (1) Deux volumes iu-8°. DU COMTE DE LACÉPÈDE. 181 tations intérieures, en franchissant de plus grands intervalles de l’échelle musicale et en les franchissant plus rapidement ; elle recueille les cris que la passion arrache , ceux de la douleur, ceux de la joie, tous les tons enfin que la nature a destinés à accompagner etpar conséquent à caractériser les effets que la musique veut peindre. De l'identité du langage , de celle des sentiments qu'ils ont à exprimer, résultent , pour le musicien, les mêmes devoirs que pour le poète. Toute pièce de musique, qu’elle soit ou non jointe à des paroles , est un poëme ; mêmes précautions dans l’exposition , mêmes règles dans la marche , même succession dans les passions , tous les mouvements en doivent être semblables; il n’est point de caractère, point de situa- tion que le musicien ne doive et ne puisse rendre par les signes qui lui sont propres. L'auteur jugeait même possible de rappeler à l'esprit les choses inani- mées , par l'imitation des sons qui les accompagnent d'ordinaire , ou même par des combinaisons de sons propres à réveiller des idées analogues. Cet ouvrage , écrit avec feu et plein de cette éloquence naturelle à un jeune homme passionné pour son sujet , fut accueilli avec faveur, surtout par l’un des deux partis qui divisaient alors les ama- 182 ÉLOGE HISTORIQUE teurs de musique , celui des gluckistes , qui y recon- nurent les principes de leur chef exprimés avec plus de netteté et d'élégance que ce chef ne l'aurait pu faire. Le grand roi de Prusse Frédéric IT, lui-même comme on sait musicien et poète, et dont les com- pliments n’était pas du style de chancellerie, lui écrivit une lettre flatteuse ; et ce qui lui fit peut-être encore plus de plaisir , le célèbre Sacchini lui marqua sa satis- faction dans les termes les plus vifs. M. de Lacépède , nous devons l'avouer, ne fut pas aussi heureux dans ses ouvrages de physique, son Essai sur l’'Électricité (1) et sa Physique générale et particulière (2). Buflon, qui, sur les sens, sur l’ins- tinct, sur la génération des animaux, sur l’origine des mondes, n'avait à traiter que de phénomènes qui échappent encore à l'intelligence , pouvait, en se bor- nant à les peindre , mériter le titre qui lui est si légi- timementacquis de l’un denos plus éloquents écrivains; il le pouvait encore lorsqu'il n'avait à offrir que les grandes scènes de la nature ou les rapports multipliés de ses productions , ou les variétés infinies du specta- cle qu’elles nous présentent ; mais aussitôt qu'il veut remonter aux causes et les découvrir par les simples (1) Deux volumes in-19 ; Paris, 1781. (2) Deux volumesin-12; Paris , 1785. DU COMTE DE LACÉPÈDE. 199 combinaisons de lesprit ou plutôt par les efforts de l'imagination , sans démonstration et sans analyse, le vice de sa méthode se fait sentir aux plus prévenus. Chacun voit que ce n’est qu’en se faisant illusion par l'emploi d’un langage figuré qu'il a pu attribuer à des molécules organiques la formation des cristaux ; trou- ver quelque chose d’intelligible dans ce moule inté- rieur , cause efliciente, selon lui, de la reproduction des êtres organisés ; croire expliquer les mouvements volontaires des animaux et tout ce qui chez eux ap- proche de notre intelligence, par une simple réaction mécanique de la sensibilité ; semer, en un mot, un ouvrage, dont presque partout le fonds et la forme sont également admirables , d’une foule de ces hypothèses vagues , de ces systèmes fantastiques qui ne servent qu’à le déparer. À plus forte raison , un pareil langage ne pouvait-il être reçu avec approbation dans les ma- tières telles que la physique, où déjà le calcul et Pex- périence étaient depuis long-temps reconnus comme les seules pierres de touche de la vérité. Ce n’est pas l'orsqu'un esprit juste a été éclairé de ces vives lumiè- res qu'il préfère une période compassée à une obser- vation positive, ou une métaphore à des nombres pré- cis. Ainsi, avec quelque talent que M. de Lacépède ait soutenu ses hypothèses, les physiciens.se refusè- 2/ 104 ÉLOGE HISTORIQUE rent à les admettre , et il ne put faire prévaloir ni son opinion que l'électricité est une combinaison du feu avec l'humidité de l’intérieur de la terre , ni celle que la rotation des corps célestes n’est qu'une modification de lattraction, ni d’autres sysièmes que rien n’ap- puyait et que rien n’a confirmés. Mais, si la vérité nous oblige de rappeler ces erreurs de sa jeunesse, elle nous oblige de déclarer aussi qu'il se garda d'y persister. Îl n'acheva point sa Physique, et dans la suite il retira autant qu'il put les exemplaires de ces deux ouvrages, qui en conséquence sont devenus au- jourd’hui assez rares. Heureusement pour sa gloire, Buffon , qui ne pou- vait avoir sur cette méthode les mêmes idées que son siècle, et qui peut-être, avec cette faiblesse trop na- turelle aux vieillards, trouvait dans les aberrations mêmes que nous venons de signaler un motif de plus de s'attacher à son jeune disciple, lui rendit le service de lui ouvrir une voie où il pourrait exercer son talent sans contrevenir aux lois impérieuses de la science. Il lui proposa de continuer la partie de son His- Loire Naturelle qui traite des animaux; et pour qu'il püt se livrer plus constamment aux études qu’exigeait un pareil travail , il lui offrit la place de garde et sous- démonstrateur du Cabinet du Roi, dont Daubenton DU COMTE DE LACÉPÈDE. 189 le jeune venait de se démettre (:}: L'héritage était trop beau pour que M. de Lacépède ne l’acceptât pas avec une vive reconnaissance, et avec toutes ses char- ges, car cette place en était une et une grande. Fort assujettissante et un peu subalterne, elle correspon- dait mal à sa fortune et au rang qu'il s'était donné dans le monde, et toutefois il lui suffit de l’avoir acceptée pour en remplir les devoirs avec autant de ponctualilé qu'aurait pu le faire le moindre gagiste. Tout le temps qu'elle resta sur le même pied, il se tenait les jours publics dans les galeries, prêt à répondre avec sa po- litesse accoutumée à toutes les questions des curieux, et ne montrant pas moins d'égards aux pauvres per- sonnes du peuple, qu'aux hommes les plus considé- rables ou aux savants les plus distingués. C'était ce que bien peu d'hommes dans sa position auraient voulu faire ; mais il le faisait pour plaire à un maître chéri, pour se rendre digne de lui succéder , et cette idée ennoblissait tout à ses yeux. Dés 1788, quelques mois encore avant la mort de Buffon, il publia le premier volume de son Histoire des Reptiles, qui comprend les quadrupèdes ovipares ; (1) En 1785. 186 ÉLOGE HISTORIQUE et, l’année suivante, il donna le secand, qui traite des serpents (1). Cet ouvrage, par l'élégance du style, par l'intérêt des faits qui y sont recueillis, fut jugé digne du livre immortel auquel il faisait suite , et on lui trouva même, relativement à lascience, des avantages incontestables. Il marque les progrès qu'avaient faits les idées depuis quarante ans que l'Histoire Naturelle avait commencé à paraître , progrès qui avaient été préparés par les tra- vaux même de l’homme qui s'était le plus eflorcé de les combattre; mais en le considérant sous un autre point de vue, il peut servir aussi de témoin des pro- grès que la science a faits pendant les quarante ans écoulés depuis qu’il a paru. On n’y voit plus rien de cette antipathie pour les méthodes et pour une nomenclature précise dont Buffon a répété si souvent les expressions. M. de La- cépède établit des classes, des ordres, des genres; il caractérise nettement ces subdivisions ; il énumère et nomme avec soin les espèces qui doivent se ranger sous chacune d'elles; mais s’il est aussi méthodique que Linnæus, il ne l'est pas plus philosophiquement. Ses ordres, ses genres, ses divisions de genres, sont (2) Histoire naturelle, générale et particulière des Quadrupèdes ovi- pares ; 1 vol. in-4°, 1788.— Des Serpents : 1 vol. in-4°, 1789. DU COMTE DE LACÉPÈDE. 187 les mêmes, fondés sur des caractères bien apparents, mais souvent peu d'accord avec les rapports naturels. Il s'inquiète peu de l’organisation intérieure. Les gre- nouilles, par exemple, y demeurent dans le même ordre que les lézards et que les tortues, parce qu'elles ont quatre pieds; les reptiles bipèdes en sont séparés, parce qu'ils n’en ont que deux; Îles salamandres ne sont pas mêmes distinguées des autres lézards par le genre. Quant au nombre des espèces, cet ouvrage rend l’augmentation actuelle de nos richesses encore bien plus sensible que les perfectionnements de nos méthodes. M. de Lacépède, quoique peut-être le plus favorisé des naturalistes de son temps, puisqu'il avait à sa disposition le cabinet que l’on regardait généra- lement comme le plus considérable , n’en compta que 285, dont au moins quatre-vingts n'étaient pas alors au Muséum et avaient été prises dans d’autres auteurs ; et le cabinet, sans avoir à beaucoup près encore tout ce qui est connu , en possède maintenant plus de 900. Remarquons cependant que M. de Lacépède, à l’exem- ple de Buffon et de Linnæus, était trop enclin à ré- unir beaucoup d'espèces, comme si elles n’en for- maient qu'une seule, et que c’est ainsi qu'il n’a admis qu'un crocodile et qu'un monitor , au lieu de dix ou de quinze de ces reptiles qui existent réellement, 188 ÉLOGE HISTORIQUE d’où il est arrivé qu'il a placé lemême animal dans les deuxcontinents forsquesouventonnele trouverait que dans un canton assez borné de l’un ou de l’autre ; mais ces erreurs étaient inévitables à une époque où l'on n'avait pas comme aujourd’hui des individus authen- tiques apportés de chaque contrée par des voyageurs connus et instruits. Buffon venait de mourir. Ce deuxième volume est terminé par un éloge de ce grand homme, ou plu- tôt par un hymne à sa mémoire, par un dithyrambe cloquent que l’auteur suppose chanté dans la réunion des naturalistes, «en l'honneur de celui qui a plané au- dessus du globe et de ses âges, qui a vu la terre sor- tant des eaux, et les abîmes de la mer peuplés d'êtres dont les débris formeront un jour de nouvelles terres; de celui qui a gravé sur un monument plus durable que le bronze les traits augustes du roi dela création, et qui a assigné aux divers animaux leur forme, leur physionomie , leur caractère, leur payset leur nom.» Telles sont les expressions pompeuses et magnifiques dans lesquelles s’exhalent les sentiments qui remplis- sent le cœur de M. de Lacépède. Ils y sont portés jusquà l'enthousiasme le plus vif; mais c’est un Buffon qui l'inspire, et il l’inspire à son ami, à sou jeune élève, à celui qu'il a voulu faire héritier de son nom DU COMTE DE LACÉPÈDE. 109 et de sa gloire. Sans doute le bonheur est grand des hommes qui après eux peuvent laisser de telles im- pressions ; mais c'en est un aussi, et peut-être un plus vrand , de les éprouver à ce degré 5 , P ê sre. À cette époque, un changement se préparait dans l'existence jusque-là si douce de notre naturaliste. Des évènements aussi grands que peu prévus venaient de changer tout en France. Le pouvoir n'était plus que le produit journalier de la faveur populaire, et chaque mois voyait tomber à l’essai quelque grande réputation , ou s'élever du sein de l'obscurité quelque personnage jusque-là inaperçu. Tout ce que la France avait d'hommes de quelque célébrité furent succes- sivement invités ou entrainés à prendre part à cette grande et dangereuse loterie; et M. de Lacépède, que son existence, sa réputation littéraire, et une popularité acquise également par l’aménité et par la bienfaisance, désignaient à toutes les sortes de suffra- ges, eut moins de facilité qu’un autre à se soustraire au torrent. On le vit successivement président de sa section, commandant de garde nationale, député extraordinaire de la ville d'Agen près de l’Assemblée constituante, membre du Conseil-général du dépar- tement de Paris, président des électeurs, député à la 100 ÉLOGE HISTORIQUE première législature (1), et président de cette assem- blée (2). Plus d’une fois placé dans les positions les plus délicates , il y porta ces sentiments bienveillants qui faisaient le fonds de son caractère, et ces formes agréables qui en embellissaient l'expression ; mais à une pareille époque ce n'étaient pas ces qualités qui pouvaient donner de la prépondérance ; elles ne tou- chaient guère ni les furieux qui assaillaient autour de l'assemblée ceux qui ne votaient pas à leur gré, ni les lâches qui les insultaient dans les journaux; ou plu- tÔt ces attaques, ces injures, n'étaient plus qu'un mouvement imprimé et machinal qui emportait tout lemonde;elles ne conservaient de significations ni pour ceux qui croyaient diriger, ni pour ceux dontils faisaient leursvictimes. Un jour M. de Lacépède vit dans un jour- nal son nom en lête d’un article intitulé : Liste des scélérats qui votent contre le peuple, et le journaliste était un homme qui venait souvent diner chez lui : il y vint après sa liste comme auparavant. — Vous m'’a- vez traité bien durement, lui dit avec douceur son hôte — Eh! comment cela, monsieur? — Vous m’a- vez appelé scélérat! — Oh! ce n’est rien : scélérat est (1) En septembre 1791. (2) Le 29 novembre, même année. DU COMTE DE LACÉPÈDE. 191 seulement un terme pour dire qu'on ne pense pas comme nous. Cependant ce langage produisit à la fin son effet sur une multitude qui n'avait pas encore su se faire un double dictionnaire , et ceux qui ne le parlaient pas se virent obligés de céder la place. M. de Lacépède fut des derniers à croire à cette nécessité. La bonne opinion qu'il avait des hommes était trop enracinée pour qu'il ne se persuadât pas que bientôt la vérité et la justice l’emporteraient ; mais en attendant leur victoire, ses amis qui ne la croyaient pas si prochaine, l'emmenèrent à la campagne et presque de force. Il voulait même de temps en temps revenir dans ce ca- binet où le rappelaient ses études, et dans sa bonne foi rien ne lui sembla plus simple que d’en faire de- mander la permission à Robespierre. Heureusement le monstre eut ce jour-là un instant d'humanité. «1! est à la campagne ? dites-lui qu'il ÿ reste. » Telle fut sa réponse , et elle fut prononcée d’un ton à ne pas se faire répéter la demande. il est certain qu’une heure deséjour dans la capitale eût été l’arrêt de mort de M. de Lacépède; des hommes qui souvent avaient reçu ses bienfaits à sa porte, et quine pouvaient juger de ses sentiments que par ce qu'ils avaient entendu dire à ses domestiques, étaient devenus les arbitres 25 4 LJ 102 ÉLOGE HISTORIQUE du sort de leurs concitoyens : ils en avaient assez appris pour Connaître sa modération, et à leurs yeux elle était un crime ; sa bienfaisance en était encore un plus grand , parce que le souvenir en blessait leur orgueil. Déja plus d’une fois ils avaient cherché à connaître sa retraite , et il se crut enfin obligé, pour ne laisser aucun prétexte aux persécutions, de donner sa démission de sa place au Muséum. Ce ne fut qu'a- près le 9 thermidor qu'il put rentrer à Paris. Il y revint avec un titre singulier pour un homme de quarante ans, déja connu par tant d'ouvrages : celui d'élève de l’école Normale. La Convention , abjurant enfin ses fureurs , avait cru pouvoir créer aussi rapidement qu'elle avait détruit; et pour rétablir linstruction publique, elle avait ima- giné de former des professeurs en faisant assister des hommes déjà munis de quelque instruction aux leçons de savants célèbres qui n'auraient à leur montrer que les meilleurs méthodes d'enseigner. Quinze-cents indi- vidus furent envoyés à cet eflet à Paris , choisis dans tous les départements , mais comme on pouvoit choi- sir alors: quelques-uns à peine dignes de présider à une école primaire ; d’autres égaux pour le moins à leurs maîtres par l’âge et la célébrité. M. de Lacépède s’y trouvait sur les bancs avec M. de Bougainville, sep- DU COMTE DE LACÉPÉDE. 1099 tuagénaire , oflicier-général de terre et de mer, écri- vain et géomètreeégalement fameux; avec le grammai- rien de Wailly, non moins âgé, etauteur devenu clas- sique depuis quarante ans ; avec notre savant collègue. M. Fourier. M. de La Place lui-même, c’est tout dire, y parut d’abord comme élève; et aux côtés de pareils hommes siégeaient des villageois qui à peine savaient lire correctement. Enfin, pour compléter l’idée qué l’on doit se faire de cette réunion hétérogène , l’art d'enseigner y devait être montré par des hommes très illustres sans doute , mais qui ne l'avaient jamais pratiqué : les Volney, les Berthollet, les Bernardin- de-Saint-Pierre. Cependant, qui le croirait? cette conception informe produisit un grand bien ; mais tout différent de celui qu'on avait eu en vue. Les hom- mes éclairés que la terreur avait dispersés et isolés, se retrouvèrent ; ils reformèrent une masse respectable, et s’enhardirent à exprüner leurs sentiments , bien opposés à ceux qui dirigeaient la multitude et ses chefs. Ceux d’entre eux qui s'étaient cachés dans les provinces étaient accueillis comme des hommes qui viendraient d'échapper à un naufrage : la considé- ration, les prévenances les entouraient, et M. de La- cépède , outre sa part dans l'intérêt commun, avait encore celle qui lui était due, comme savant distin- 194 ÉLOGE HISTORIQUE oué, comme écrivain habile, et comme amiet familier de ce que le régime précédent avait eu de plus res- pectable. Depuis sa démission , il n'était plus légalement mem- bre de l'établissement du Jardin du Roi, et il n’avait pas été compris dans l’organisation que l’on en avait faite pendant son absence ; mais à peine fut-il permis de prononcer son nom sans danger pour lui, que ses collègues s’empressèrent de l'y faire rentrer. On créa à cet effet une chaire nouvelle effectée à l’'His- toire des reptiles et des poissons, en sorte qu'on lui fit un devoir spécial précisément de l'étude que de- puis si long-temps il avait choisie par goût. Ses leçons obtinrent le plus grand succès ; on y voyait accourir en foule une jeunesse privée depuis trois ou quatre ans de tout enseignement , et qui en était, en quel- que sorte, affamée. La politesse du professeur, l’élé- gance de son langage , la variété des idées et des connaissances qu'il exposait , tout après cet intervalle de barbarie qui avait paru si long , rappelait pour ainsi dire un autre siècle. Ce fut alors, surtout , qu'il prit dans l'opinion le rang du véritable successeur de Buflon ; et en effet on en retrouvait en lui les manières distinguées ; il montrait le même art d'intéresser aux détails les plus arides ; et de plus, à cette époque où DU COMTE DE LACÉPÈDE. 199 Daubenton touchait au terme de sa carrière , M. de Lacépède restait seul de cette grande association qui avait travaillé à l'Histoire Naturelle. C’est à ce titre qu'il fat hautement appelé à faire partie du noyau de l'Institut, et qu'il se trouva ainsi l’un de ceux qui fu- rent chargés de renouveler l’Académie des Sciences, cette académie dont , quelques années auparavant , le souvenir de ses ouvrages de physique lui aurait peut- être rendu l'entrée assez difficile. Il s'agissait d'y rap- peler plusieurs de ceux qui l'avaient repoussé , et pour tout autre cette position aurait pu être délicate ; mais, nous l'avons déja vu, il était incapable de se souvenir d’un tort, et les hommes dont nous parlons ne furent pas ceux dont il s’empressa le moins d'accueillir les sollicitations. IL a été l’un de nos premierssecrétaires, et son bel éloge historique de Dolomieu fera toujours regretter qu'il ait été enlevé par de plus hautes digni- tés à un poste qu'il aurait rempli mieux que personne. Déjà dans sa première jeunesse il avait célébré avec la chaleur de son âge le dévouement du prince Léo- pold de Brunswick, mort en essayant de sauver des malheureux victimes d’un grande inondation. Il paraît cependant qu’au milieu de cescauses nom- breuses de célébrité, son nom n’arriva pas à tous les membres de ladministration du temps ; et l’on n’a pas 190 ÉLOGE HISTORIQUE oublié le conte de ce ministre du Directoire, qui, re- venant de faire sa visite officielle au Muséum , et inter- rogé par quelqu'un s'il avait vu Lacépède , répondit qu'on ne lui avait montré que la girafe, et se fâcha beaucoup de ce qu'on ne lui eût par fait tout voir. Nous rappelons cette anecdote burlesque, parce qu'elle peint l'époque. De toutes les occupations auxquelles il avait été contraint de se livrer , les sciences seules, comme c’est leur ordinaire, lui avaient été fidèles à l’époque du malheur, et c'était avec elles qu'il s'était consolé dans sa retraite. Reprenant les habitudes de sa jeu- nesse, passant les journées au milieu des bois ou au bord des eaux, il y avait tracé le plan de son Histoire des Poissons , le plusimportant de ses ouvrages. Aussi- tôt après son retour, il s’occupa de la rédiger, et au bout de deux ans, en 1798, il se viten état de faire pa- raître le premier volume ; il y en a eu successivement cinq, dont le dernier est de 1803. Cette classe nombreuse d'animaux, peut-être la plus utile pourl’homme après les quadrupèdes domestiques, est la moins connue de toutes : c’est aussi celle qui se prête le moins à des développements intéressants : froids et muets, passant une grande partie de leur vie dans des abimes inaccessibles, exempts de ces mouve- DU COMTE DE LACÉPÉDE. 197 ments passionnés qui rapprochent tant les quadru- pèdes de nous, ne montrant rien de cette tendresse conjugale , de cette sollicitude paternelle qu’on admire dans les oiseaux, ni de ces industries si variées, si ingénieuses qui rendent l'étude des insectes aussi im- portante pour la philosophie générale que pour l’his- toire naturelle, les poissons n’ont presque à offrir à la curiosité que des configurations et des couleurs dont les descriptions rentrentnécessairement danslesmêèmes formes, et impriment aux ouvrages qui en traitent une monotonie inévitable. M. de Lacépède a fait de grands efforts pour vaincre cette difficulté, et il y est souvent parvenu ; tout ce qu'il a pu recueillir sur l’or- ganisation de ces animaux, sur leurs habitudes, sur les guerres que les hommes leur livrent, sur le parti qu'ils en tirent, il l’a exposé dans un style élégant et pur; il asu même répandre du charme dans leurs des- criptions toutes les fois que les beautés qui leur ont aussi été départies dans un si haut degré permettaient de les offrir à l’admiration des naturalistes ; et n’est-ce pas en effet un grand sujet d’admiration que ces cou- leurs brillantes, cet éclat de l'or, de l’acier, du rubis, de l’émeraude versées à profusion sur des êtres que naturellement l’homme ne doit presque pas rencon- trer, qui se voient à peine entre eux dans les sombres 195 ÉLOGE HISTORIQUE profondeurs où ils sont retenus! mais encore, les pa- roles ne peuvent avoir ni la même variété, ni lemême éclat; la peinture même serait impuissante pour en reproduire la magnificence. Toutefois les difficultés dont nous parlions ne sont relatives qu’à la forme et ne naissent que du désir si naturel à un auteur qui succède à Buffon de se faire lire par les gens du monde. Il en est qui tiennent de plus près au fond du sujet, et dont les hommes du métier peuvent seuls se faire une idée. Avant d'écrire sa première page sur une classe quelconque d'êtres, le naturaliste qui veut mériter ce nom doit avoir re- cueilli autant d'espèces qu'il lui est possible, les avoir comparées à l’intérieur et à l'extérieur , les avoir grou- pées d’après l’ensemble de leurs caractères, avoir dé- mêlé dans les articles confus. incomplets, souvent contradictoires de ses prédécesseurs, ce qui concerne chacune d'elles, y avoir rapporté les observations souvent encore plus confuses, plus obscures , de voya- geurs la plupart ignorants ou superstitieux, et cepen- dant les seuls témoins qui aient vu ces êtres dans leur climat natal, et qui aient pu parler de leurs habitu- des, des avantages qu'ils procurent, des dommages qu'ils occasionnent. Pour apprécier ces témoignages , il faut qu'il connaisse toutes les circonstances où les DU COMTE DE LACÉPÈDE. | 199 auteurs qu'il consulte se sont trouvés, leur caractère moral, leur degré d'instruction ; il devrait presque lire toutes les langues: l'historien de la nature, en un mot, ne peut se passer d'aucune des ressources de la critique , de cet art de reconnaître la vérité, si nécessaire à l’historien des hommes, et il doit y Join- dre encore une multitude d’autres talents. M. de Lacépède, lorsqu'il composa son ouvrage sur les poissons , ne se trouvait pas dans des circonstances où les ressources dont nous parlons fussent toutes à sa disposition. Üne guerre générale avait établi une barrière presque infranchissable entre la France et les autres pays; elle nous fermait les mers et nous sépa- rait de nos colonies. Ainsi leslivres étrangers ne nous parvenaient point; les voyageurs ne nous apportaient point ces collections si nombreuses et si riches, qui nous sont arrivées aussitôt que la mer a été libre; Péron même, qui avait voyagé pendant la guerre, n’arriva que lorsque l'ouvrage fut terminé. L'auteur ne put donc prendre pour sujets de ses observations que les individus recueillis au Cabinet du Roi avant la guerre, et ceux que lui offrit le Cabinet du Stathouder, qui avait été apporté à Paris lors de la conquête de la Hollande. Parmi les naturalistes qui l'avaient précédé, il choisit Gmelin et Bloch pour ses principaux guides, 26 200 ÉLOGE HISTORIQUE et peüt-être les suivit-il trop fidèlement, constant comme il était à observer avec les écrivains la même politesse que dans la société. Les dessins et les des- criptions manuscrites de Commerson , ét des peintares faites autrefois par Aubriet sur des dessins de Plumier, farent à-peu-près les seules sources inédites où il lui fut possible de puiser ; et néanmoins, avec des maté- riaux si peu abondants, il réussit à porter à plus de 1500 les poissons dont il traça l’histoire ; et en esti- inant au plus haut le nombre des doubles emplois, presque inévitables dans un écrit pareil , et qu’en effet il n’a pas toujours évités, il lui restera de 12 à 1300 espèces certaines et distinctes. Gmelin n’en avait alors qu'environ 800,etBloch, dans son grand ouvrage, ne passe pas 450 ; il n’en a pas plus de 1/00 dans son Systema, qui a paru après les premiers volumes de M. de Lacépède, et qui a été rédigé dans des circons- tances bien plus favorables. Ces nombres paraîtront encore assez faibles à ceux qui sauront qu'aujourd'hui le seul Cabinet du Roi pos- sède plus de 5000 espèces de poissons ; mais telle a été dans le monde entier, depuis la paix maritime, l’activité scientifique , que toutes les collections ont doublé et triplé , et qu'une ère entièrement nouvelle a commencé pour l’histoire de la nature. Cette circons- DU COMTE DE LACÉPÈDE. 201 tance n'ôte rien au mérite de l'écrivain qui a fait tout ce qui était possible à l’époque où il travaillait ; et tel a été M. de Lacépède. Encore aujourd'hui il n'ex- iste sur l’histoire des poissons aucun ouvrage supé- rieur au sien : c’est lui que l’on cite dans tous les écrits particuliers sur cette matière. Celui du naturaliste anglais George Shaw n’en est guère qu'un extrait rangé d’après le système de Linnæus. Lors même qu'on aura réuni dans un autre ouvrage les immenses matériaux qui ont été accumulés dans ces dernières années, on ne fera point oublier les morceaux brillants de coloris et pleins desensibilité, et d’unehaute philosophie, dont M. de Lacépède a enrichi le sien. La science , par sa nature , fait des progrès chaque jour; il n’est point d’observateur qui ne puisse renchérir sur ses prédé- cesseurs pour les faits, ni de naturaliste qui ne puisse perfectionner leurs méthodes ; mais les grands écri- vains n’en demeurent pas moins immortels. L'Histoire naturelle des Poissons fut suivie, en 1804, de celle des Cétacés, qui termine le grand en- semble des animaux vertébrés. M. de Lacépède la re- gardait comme le plus achevé de ses ouvrages ; et en effet il y a mieux fondu que dans aucun autre la partie descriptive et historique , celle de l’organisation, et les caractères méthodiques. Son style s’y est élevé em: 202 ÉLOGE HISTORIQUE quelque sorte à proportion de la grandeur des objets : il augmente à-peu-près d’un tiers le nombre des espèces enregistrées avant lui dans le grand catalogue des êtres; mais dès-lors cette partie de la science a fait aussi ses progrès. L'ouvrage posthume de Pierre Camper, et ceux de quelques autres naturalistes, en ont beaucoup éclairé l’ostéologie. Quant à l’histoire des espèces, elle présentera toujours de grandes diffi- cultés, parce que leur taille ne permet pas de les ras- sembler en grand nombre dans les collections, ni d'en faire une comparaison immédiate: et il faut le redire sans cesse, sans la comparaison immédiate, il n’est point de certitude en histoire naturelle. C'était peut-être pour soustraire enfin le sort de ses travaux à cette influence de l’aagmentation pro- sressive et inévitable des connaissances, que M. de Lacépède, dans les derniers temps, les avait dirigés sur des sujets plus philosophiques, plus susceptibles de prendre une forme arrêtée, ou du moins de ne pas vieillir à chaque agrandissement de nos collections. Il méditait une histoire des âges de la nature, dans laquelle il comprenait celle de l’homme considéré dans ses développements individuels et dans ceux de son espèce. L'article de l’homme, dans le Dictionnaire des Sciences naturelles, est une sorte de programme , DU GOMTE DE LACÉPÈDE, 209 un tableau raccourci et élégant de ce qu'il avait en vue pour cette dernière partie. Beaucoup de maté- riaux étaient rassemblés, quelques chapitres étaient esquissés ; mais dans cette étude des progrès de lhu- manité en général, ceux de l’organisation sociale l’at- tachèrent particulièrement. Le naturaliste se changea par degrés en historien, et il se trouva insensiblement avoir composé seulement la dernière période de ses âges de la nature, celle qui embrasse les établisse- ments politiques et religieux des siècles écoulés depuis la chute de l'empire d'Occident. On l’a trouvé com- plète dans ses papiers, et il en a déjà été publié quel- ques volumes. Les lecteurs de cet ouvrage ont dû être frappés de fa grandeur du plan , et de la hardiesse avec laquelle il présente de front des évènements arrivés à chaque époque sur le vaste théâtre de l’Europe. Ils ont dû y reconnaître aussi le caractère constant de l’auteur : l’étonnement mèlé d'horreur que lui causent les crimes ; la disposition à croire à la pureté des inten- tions; l’espérance de voir enfin améliorer l’état géné- ral de l'humanité. Si cette histoire n’a pas l'intérêt dramatique de celles qui se restreignent à un pays particulier et qui peuvent faire ressortir d’une manière plus saillante leurs personnages de prédilection , elle 204 ÉLOGE HISTORIQUE n'en est pas moins remarquable par l'élégance conti- nue du style et par la clarté avec laquelle s’y dévelop- pent des événements si nombreux et si compliqués; mais On ne pourra en porter un jugement définitif que lorsque le public la possédera dans son entier. M. de Lacépède était destiné à une perpétuelle alternative d'activité littéraire et d'activité politique. Un gouvernement nouveau, qui avait besoin d'appui dans l'opinion, s'empressa de rechercher un homme également aimé et estimé des gens de lettres et des hommes du monde. On le revit donc, bientôt après le 16 brumaire , dans les places éminentes : sénateur en 1709; président du sénat en 1801; grañd-chan- celier de la Légion-d'Honneur en 1805; titulaire de la sénatorerie de Paris en 1804; ministre d'état la même année ; et rien ne prouve mieux à quel point le gouver- nement avait été bien inspiré, que ce qui fut avoué par plusieurs des émigrés rentrés à cette époque ; c’est qu'à la vue du nom de Lacépède sur la liste du sénat, ils s'étaient crus rassurés contre le retour des violences et des crimes. C'était aussi dans cette persuasion qu'il acceptait ces honneurs, et sans doute il ne prévoyait alors ni les événements sans exemple qui succédèrent, ni la part qu'il se vit obligé d'y prendre. On s’en souvient DU COMTE DE LACÉPÉDE. 205 trop pour que nous ayons besoin d'en parler en détail; mais nous ne croyons pas avoir non plus besoin de l’en justifier. Déjà l’on n’est pas soi-même quand on parle au nom d’un corps qui vous dicte les senti- ments que vous devez exprimer et les termes dont vous devez vous servir ; et lorsque ce corps n’est libre dans le choix ni des uns ni des autres, tout vestige de personnalité a disparu. Mais ceux qui, en de telles circonstances, ont eu le bonheur de conserver leur obscurité, devraient penser qu'il y a quelque chose d’injuste à reprocher à l'organe d’une compagnie les paroles et les actes que la compagnie lui impose; et peut-être même à vouloir qu'une compagnie ait conservé quelque liberté devant celui qui n’en laissait à aucun souverain. Si elle répétait ces paroles de l'Évangile : Que celui qui est sans péché jette la première pierre, quels seraient , dans l’Europe conti. nentale, les princes ou les hommes en pouvoir qui oseraient se lever? Toutefois encore, dans ces discours obligés , avec quelle énergie l'amour de la paix, le besoin de la paix, se montrent à chaque phrase! et combien , au milieu de ce qui peu paraître flatterie , on essaie de donner des leçons! C’est qu’en effet c'était la seule forme sous laquelle des leçons pussent être écoutées; mais elles 206 ÉLOGE HISTORIQUE furent inutiles : elles ne pouvaient arrêter le cours des destinées. Pour juger l’homme public dans M. de Lacépède, c’est dans l’administration de la Légion- d'Honneur qu'il faut le voir. Cette inslitution lui avait apparu sous l’aspeci le plus grand et le plus noble , destinée (ce sont ses termes) à rétablir le culte du véritable honneur, et à faire revivre sous de nouveaux emblè- mes l’ancienne chevalerie, épurée des taches que lui avaient impriméesles siècles d’ignorance, et embellie de tout ce qu’elle pouvait tenir des siècles de lumière. Il travaillait avec une constance infatigable à l’établir sur la base solide de la propriété. Déjà les revenus de ses domaines s'étaient accrus à un très-haut degré ; de savants agronomes s’occupaient d’en faire des modèles de culture, et ils pouvaient devenir aussi utiles à l’in- dustrie, que l'institution mème au développement moral de la nation , lorsque le fondateur, effrayé comme il le fut toujours de ses propres créations , les fit vendre et remplacer par des rentes sur le trésor. D'autres plans alors furent conçus. Une forte somme devait être employée chaque année à mettre en valeur les terrains incultes que le domaine possédait dans toute la France : l'emploi devait en être dirigé par les hommes les plus expérimentés. L'Etat pouvait s’en- DU COMTE DE LACÉPÈDE. 207 richir ainsi, sans conquêtes, de propriétés produc- tives égales en étendue à plus d’un département. Les événements arrêtèrent ces nouvelles vues, mais rier n’empèêchera de les reprendre, aujourd’hui que tant d'expériences ont montré ce que peuvent des avances avec jugement et des projets suivis avec persévé- rance. Chacun se souvient avec quelle affabilité M. de Lacépède recevait tous les légionnaires ; comment il savait renvoyer contents ceux-là même qu'il était con- traint de refuser: mais ce que peut-être on sait moins , c’est le zèle avec lequel il prenait leurs intérêts et les défendait dans l’occasion. Je n’en citerai qu’un exem- ple. Des croix avaient été accordées après une cam- pagne ; le maître apprend que le major-général en a fait donner par faveur à quelques officiers qui n’avaient pas le temps nécessaire : il commande au grand-chan- celier de les leur faire reprendre. En vain celui-ci représente la douleur qu'éprouveront des hommes déja salués comme légionnaires. Rien ne touchait un chef irrité. « Eh bien! dit M. de Lacépède, je vous demande pour eux ce que je voudrais obtenir si j'étais à leur place, c’est d'envoyer aussi l’ordre de les fusiller.» Les croix leur restèrent. Ce qu'il avait le plus à cœur, c’étaient les établisse- 2" 74 208 ÉLOGE HISTORIQUE ments d'éducation destinés aux orphelines dela Légion. Il avait aussi conçu le plan de ces asiles du malheur avec grandeur et générosité : 1400 places y furent fondées ou projetées ; de grands monuments furent restaurés et embellis. Écouen , lun des restes les plus magnifiques du seizième siècle , échappa ainsi à la destruction ; plus de 500 élèves y ont été réunies. À Saint-Denis on en a vu plus de 500. On a applaudi également à la beauté des dispositions matérielles, à la sagesse des réglements, à l'excellent choix des dames chargées de la direction et de l’enseignement. Son aménité , les soins attentifs qu'il se donnait pour le bien-être de toutes ces jeunes personnes , l’en fai- saient chérir comme un père; et beaucoup d’entre elles , établies et mères de famille , lui ont donné jus- qu'à ses derniers moments des marques de leur re- connaissance. On en cite une qui, mourante , lui fit demander pour dernière grace de Îe voir encore un instant , afin de lui exprimer ce sentiment. M. de Lacépède conduisait des affaires si multipliées avec une facilité qui étonnait les plus habiles. Une ou deux heures par jour lui suffisaient pour tout décider et en pleine connaissance de cause. Cette rapidité surprenait le chef du gouvernement, lui-même cepen- dant assez célèbre aussi dans ce genre. Un jour il Jui DU COMTE DE LAGÉPÈDE. 20) demanda son secret; M. de Lacépède répondit en riant : « C'est que j'emploielaméthode des naturalis- tes; » mot qui, sous l'apparence d’une plaisanterie , a plus de vérité qu'on ne le croirait : des matières bien classées sont bien près d’être approfondies ; et la méthode des naturalistes n’est autre chose que l'habitude de distribuer , dès le premier coup d'œil, toutes les parties d’un sujet, jusqu'aux plus petits détails, selon leurs rapports essentiels. Une chose qui devait frapper encore plus un maître que l’on n’y avait pas accoutumé, c'était l'extrême désintéressement de M. de Lacépède. Il n'avait voulu d’abord accepter aucun salaire ; mais comme sa bien- faisance allait de pair avec son désintéressement , il vit bientôt son patrimoine se fondre, et une masse de dettes se former, qui aurait pu excéder ses facultés ; et ce fut alors que le chef du gouvernement le con- traignit de recevoir un traitement, et même l’arriéré. Le seul avantage qui en résulta pour lui fut de pouvoir étendre ses libéralités. Il se croyait comptable envers le public de tout ce qu'il en recevait, et dans ce compte c'était toujours contre lui-même que por- taient les erreurs de calcul. Chaque jour il avait occa- sion de voir des légionnaires pauvres, des veuves laissées sans moyens d'existence. Son ingénieuse cha- 210 ÉLOGE HISTORIQUE | rité les devinait même avant toute demande. Souvent il leur laissait croire queses bienfaits venaient de fonds publics qui avaient cette destination. Lorsque l’erreur n’eût pas été possible, il trouvait moyen de cacher la main qui donnait. Un fonctionnaire public d’un ordre supérieur, placé à sa recommandation, ayant été ruiné par de fausses spéculations, et obligé d’aban- donner sa famille , M. de Lacépède fit tenir réguliè- rement à sa femme 500 francs par mois, jusqu’à ce que son fils fût assez âgé pour obtenir une place, et cette dame a toujours cru qu'elle recevait cet argent de son mari. Ce n’est que par l’homme de confiance employé à cette bonne œuvre, qu’on en a appris le secrek. Un de ses employés dépérissait à vue d'œil ; il soup- conne que le mal vient de quelque chagrin, et il charge son médecin d’en découvrir le sujet : il apprend que ce jeune homme éprouve un embarras d'argent insurmontable , et aussitôt il lui envoie 10,000 francs. L’employé accourt les larmes aux yeux, et le prie de lui fixer les termes du remboursement. « Mon ami, je ne prête jamais. » Telle fut la seule réponse qu'il put obtenir. Je n’ai pas besoin de dire qu'avec de tels sentiments il n’était accessible à rien d'étranger à ses devoirs. Le DU COMTE DE LACÉPÈDE. 211 chef du gouvernement l'avait chargé, à Paris, d’une né- ociation importante , à laquelle le favori trop fameux d’un roi voisin prenait un grand intérêt. Cet homme, pour l'essayer en quelque sorte , lui envoya en présent de riches productions minérales, et entre autres une pépite d’or venue récemment du Pérou et de la plus srande beauté. M. de Lacépède s’empressa de le re- mercier, mais au nom du Muséum d'Histoire Naturelle, où il avait pensé , disait-il, que s’adressaient ces mar- ques de la générosité du donateur. On ne fit point de seconde tentative. Ce qui rendait ce désintéressement conciliable avec sa grande libéralité, c’est qu’il n'avait aucun besoin personnel. Hors ce que la représentation de ses places exigeait , il ne faisait aucune dépense. Il ne possédait qu’un habit à-la-fois, et on le taillait dans la même pièce de drap tant qu'elle durait. Il mettait cet habit en se levant et ne faisait jamais deux toilettes. Dans sa dernière maladie même, il n’a pas eu d’autre vèête- ment. Sa nourriture n’était pas moins simple que sa mise. Depuis l’âge de dix-sept ans, il n’avait pas bu de vin; un seul repas et assez léger lui suffisait. Mais ce qu'il avait de plus surprenant, c'était son peu de som- meil : il ne dormait que deux ou trois heures : le reste de la nuit était employé à composer. Sa mémoire re- 212 ÉLOGE HISTORIQUE tenait fidèlement toutes les phrases, tous les mots; ils étaient comme écrits dans son cerveau, et, vers le matin, il les dictait à un secrétaire. Il nous a assuré qu'il pouvait retenir ainsi des volumes entiers , y chan- ver dans sa tête ce qu'il jugeait à propos, et se sou- venir du texte ainsi corrigé , tout aussi exactement que du texte primitif. C’est ainsi que le jour il était libre pour les affaires et pour les devoirs de ses places ou. de la société, et surtout pour se livrer à ses affections de famille, car une vie extérieure si éclatante n’était rien pour lui auprès du bonheur domestique; c’est dans son intérieur qu'il cherchait le dédommagement de toutes ses fatigues, mais c’est là aussi qu'il trouva les peines les plus cruelles. Sa femme (1), qu'il adorait, passa les dix-huit derniers mois de sa vie dans des souffrances non interrompues ; il ne quitta pas le côté de son lit, la consolant, la soignant jusqu’au dernier moment : il a écrit auprès d'elle une partie de son His- toire &es Poissons, et sa douleur s’exhale en plusieurs endroits de cet ouvrage dans les termes les plus touchants. Un fils qu’elle avait d’un premier mariage, et que M. de Lacépède avait adopté ; une belle-fille (1) Anne Caroline Jubé, veuve en premières noces de M. Gau- thier homme de lettres estimable , et sœur de deux officiers généraux distingués. DU COMTE DE LACÉPÈDE. 219 pleine de talents et de grâces, formaient encore pour lui une société douce; cette jeune femme périt d’une mort subite. Au milieu de ces nouvelles douleurs M. de Lacépède fut frappé delapetite-vérole, dont une longue expérience lui avait fait croire qu'il était exempt. Dans cette dernière maladie , presque la seule qu'il ait eue pendant une vie de soixante-dix ans, il a montré mieux que jamais combien cette douceur, cette poli- tesse inaltérable qui le caractérisaient , tenaient essen- tiellement à sa nature. Rien ne changea dans ses habitudes : ni ses vêtements , ni l'heure de son lever ou de son coucher; pas un mot ne lui échappa qui pût laisser apercevoir à ceux qui l’entouraient un danger qu’il connut cependant dès le premier moment. «Je vais rejoindre Buflon,» dit-il; mais il ne le dit qu'à son médecin. C’est à ses funérailles surtout, dans ce concours de malheureux qui venaient pleurer sur sa tombe, que l’on put apprendre à quel degré il portait sa bienfaisance; on l’apprendra encore mieux lorsqu'on saura qu'après avoir occupé des places si éminentes , après avoir joui pendant dix ans de la faveur de l’ar- bitre de l'Europe, il ne laisse pas à beaucoup près une fortune aussi considérable que celle qu'il avait héritée de ses pères. M. de Lacépède est mort le 6 octobre 1825. Il a été 214 ÉLOGE HISTORIQUE remplacé, à l’Académie des Sciences par M. de Blain- ville, et sa chaire du Muséum a été remplie par M. Duméril, qui l'y suppléait depuis plus de vingt ans, FIN. NS AT Lei fe SIC HER ie 4 Ps ÿ M Rs SMITHSONIAN METTUTION LIBRARIE HT int À 9086 ul 8 EL