TEE « CO ei SEL. (ER CC ” CC y SEAT CCE -«e 4 EE ES<- CE Meet & ne 2 0 "À “ 7Z Ex libris = AU ne £ F P Æ \ ta : <| . 1. 7 où ce V7 \IERVamIr e 1 ur \ à =. AAA ANT AA | Ü NN wù AN PU N AAAAAAA 1 AAA AAAANAAA RE @ 7 enr. GE == « >= s — YA PS Fr Fr « ‘ ART CAT | à | A | à | . AAAAA f N'A'AAP AAAP A AANA AA AA AAA A PA A A A NI j + {A |! | Le + Fais HR: GE < «re ee € suce FŒ RCE té Le CCC ER AOC CC CECCRE { ca S CŒS Æ ‘ CE & Pis CCE ps ; AE es AA 4 La Z EN AURA LS PA FN \/ \ EE < CE CT EL: Pt de à LE Cr < CR CCC RE es. Frs +=. LE de D AP LS NO Le |) L i ‘| 0 >) NL qi ù FO PPS AE ES | | ‘4 " CRE Ai) L | ne b DU: AL L L EN r r2 Au T au PL TT L LR : | | ETS OT OI Nr VOTRE . PRET N- : : : 9 n s M 7 ‘0 RUE NS h EN NOIR l | pa 2 = : ER MIRE M : { } | » AIN Pa : à 11420084 L “ Qi (PTS Wie Us Ne 1 "0 _ D Tu CE 1 Tree : l y ; PT, l L h + TL 2 PANE SPA 7 M Dre | * SNS D UAALEE : Ar a SC x ' "ui 1 Le (0 dr ( laid Dh | ARTE D. L ur Pr or D CAVE 1 NUE de CON : L ll | y ŒUVRES SCIENTIFIQUES DE M. J.-R. BOURGUIGNAT ŒUVRES SCIENTIFIQUES DE M.J.R. BOURGUIGNAT OFFICIER D'ACADÉMIE CHEVALIER DE LA LÉGION D'HONNEUR SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DE LA SOCIÉTÉ MALACOLOGIQUE DE FRANCE MEMBRE HONORAIRE OU CORRESPONDANT DE NOMBREUSES SOCIÉTÉS SAVANTES OU ACADÉMIQUES DE FRANCE ET DE L'ÉTRANGER, ETC. Diision of Mot æ Uusk R uakre PRÉCÉDÉES D'UNE PRÉFACE BIOGRAPHIQUE PAST Le D' GEORGES SERVAIN Président de la Société malacologique de France PARIS IMPRIMERIE D. DUMOULIN ET C* 5, RUE DES GRANDS-AUGUSTINS, D DÉCEMBRE 1891 Sectional Library- Dept. of M2. U.S. N. M. Lea Collection. Parmi les Malacologistes, il existe peu de savants dont les idées scientifiques aient soulevé d'aussi violentes inimitiés que celles dont s’ho- nore notre Collègue, inimitiés inhérentes à son rôle d’innovateur. Si, d’une part, les colères de ceux dont il à troublé la quiétude ne lui manquent pas, il a su, d’autre part, par son inaltérable affabilité, con- quérir l'amitié de tous ceux qui l’approchent. Il est quelqu'un. Né à Brienne-Napoléon (Aube), le 29 août 1829, après ses humanités passées à Troyes, en Cham- pagne, notre Collègue vint à Paris, en 1850, dans l'intention de s’adonner aux études du Droit; mais poussé invinciblement vers celles des Sciences Naturelles, il abandonna bientôt les premières pour se livrer entièrement aux secon- des. Dès 1852, il publiait une des parties scien- tifiques du voyage en Orient de M. F. de Saulcy, de l’Institut, et dès 1853, lors de la création de la Chaire de Paléontologie, il était appelé par le célèbre Alcide d'Orbigny à la place de Prépa- rateur de ce cours au Muséum de Paris, place qu'il conserva jusqu’à la mort de ce savant illustre, dont il était devenu Paide et l’ami. En À partir de cette époque, poussé par l’'ardeur du travail, notre Collègue s’adonna sans réserve aux études scientifiques; chaque année, il fit paraître de nombreux Mémoires sur l’'Archéo- logie, l'Épigraphie, la Botanique, la Géologie, l'Ostéologie, la Paléontologie et la Malacologie. C’est surtout cette dernière, sa science favorite, qui servit de thème à ses multiples ouvrages, et c’est au point de vue malacologique qu'il est intéressant d'étudier cet auteur et de montrer les évolutions scientifiques que l’étude, la ré- flexion et le travailont apportées dans la série de ses travaux sur cette matière. La Science malacologique, à l'époque où notre ami commencases publications, était une science encore mal assise; à peine datait-elle, du reste, d’une cinquantaine d’années. On avait alors l'habitude d'envisager les formes spécifiques sous un aspect tout particulier. On s’imaginait faire preuve de savoir et de coup d'œil en agglo- mérant sous un nom des séries entières de formes la plupart du temps très différentes les unes des autres, et en allongeant, sous ce nom, des kyrielles de citations synonymiques ordi- nairement inexactes. Chacun, du reste, com- prenait l’Espèce à sa fantaisie. Il n’y avait à ce sujet ni règles ni méthode. Pour les uns, les formes spécifiques consistaient en une réunion se d’une ou de plusieurs variétés; pour les autres, enune agglomération plus considérable. Chacune des Espèces, amalgame parfois insensé de formes distinctes, était, de plus, tantôt scindée en sous- espèce, tantôt démembrée, et les démembre- ments passaient alors sur Îles congénères vor- sines. En un mot, un vrai chaos. Les premiers travaux de notre Collègue, encore sous l’empire des idées qui avaient cours à cette époque, portent le cachet de cette manière spé- cifique ; mais, peu à peu, au fur et à mesure que l’étude et la réflexion lui montrèrent l’insanité de ce mode, ses travaux se modifièrent et finirent par changer complètement de facture. Pour notre Collègue, l'£spèce malacologique n'existe pas. En Malacologie, à son sens, tout n’est que modifications, par cela même que parmi les ani- maux, les Mollusques sont, de tous les êtres, les plus aptes à subir les influences des milieux, parce qu'ils ne peuvent s’y soustraire. En pré- sence de ces modifications, il a donc pensé qu'il fallait considérer l’£spèce malacologique comme une chose abstraite, et élever néanmoins au niveau spécifique, pour le besoin zoologique, toute forme caractérisée par trois signes distinc- ufs nets et constants. Cette Méthode nouvelle, qui, au grand mérite — NN — de supprimer l’arbitraire, en ajoute encoreun plus grand, celui d'attribuer aux spécifications une allure mathématique, donne à cette Science une netteté, une clarté, une précision qui lui était jusqu'alors inconnue. Les formes spécifiques comprises de cette fa- con, c'est-à-dire envisagées commeles résultantes des influences vitales et climatologiques, ont con- duit notre Collègue à des découvertes inattendues. Avec les formes sur lesquelles, à force de patience et d'étude, il est parvenu à lire les signes résultants du froid, de la chaleur, de la sécheresse où de lhumidité, il est parvenu, disons-nous, en remontant des effets aux causes, à rétablir les anciennes climatologies, comme celles du bassin de la Seine aux époques pré- , à chiffrer les dates des dépôts, historiques ainsi qu'il l’a fait pour les dépôts inférieurs des dolmens de lAlgérie *, et même à recomposer la topographie d’un pays, comme il a si heureu- sement réussi pour la colline de Sansan de l'époque Miocène , etc. 1. Voir Mollusques terrestres et fluviatiles des environs de Paris à l'époque quaternaire. In-4. Paris, 1869. 2. Histoire des monuments mégalithiques de Roknia. In-4. Paris, 1869, 3. Histoire de la colline de Sansan, précédée d'une Notice géologique, et suivie d’un apercu climatologique et topogra- phique de Sansan à l’époque des dépôts de cette colline. In-8. Paris, 1881. —— Avec l’ancien Système, ce n’étaient que des- criptions plus ou moins réussies, que classifi- cations plus ou moins naturelles, souvent même antinaturelles, sans déductions, sans aperçus nouveaux, sans ce quelque chose, enfin, qui donne à une science un but et une portée intel- ligente. Avec la nouvelle Méthode, lhorizon se développe, le champ des investigations s’agrandit, la subordination des caractères rend logiques les classifications, la spécification de- vient mathématique et les formes actuelles, sans compter leur importance zoologique, se trans- forment, entre les mains de ceux qui savent les comprendre, en médailles de la nature, avec lesquelles l’on peut rétablir la climatologie, reproduire les paysages des régions disparues et chiffrer les dates des temps à jamais passés. Cette Méthode de notre ami, cause de si fortes et de si nombreuses inimitiés, est un des grands services qu’il aura rendus à la Science malaco- logique. Si les personnes attachées aux vieilles idées, inféodées à l’ancienne école, se sont constituées naturellement ses détracteurs, d’autres, amies du progrès, ont reconnu en lui le chercheur, le savant zélé et infatigable, en un mot, l’homme de science. L'État l’a récompensé par la croix de la Légion d'honneur, le Ministère de l’Instruction publique UV par les Palmes académiques; la Société malaco- logique de France la nommé son secrétaire général à vie; l’'Academia panormitana scien- tiarum, l’Institut égyptien, la Société de climato- logie algérienne, la Conchological Society of Great Britain and Ireland, l'Academy of natural Sciences of United-States, siégeant à Philadel- phie,ete..., ont tenu à honneur del’admettredans leur sein; enfin, un grand nombre de Sociétés savantes ou académiques de Paris et des dépar- tements le comptent parmi leurs membres, Les travaux de notre Collègue sont nombreux: ils atteignent le chiffre de cent quinze. Eh bien! ces ouvrages forment à peine la moitié de ce qu'il a fait paraître ou en volumes séparés, ou dans des recueils scientifiques, ou des Revues, voire même dans des journaux, soit sous le nom de ses amis, soit sous des pseudonymes, soit sous des astérisques. L’énumération serait longue s'il fallait mentionner toutes ces productions. Du reste, nous ne les connaissons pas toutes, et nous sommes persuadés que l’auteur lui-même a perdu le souvenir d’un grand nombre. Doué d'une grande facilité de travail, d’un coup d'œil remarquable, d’une rare rectitude de jugement et surtout d’une mémoire prodigieuse, notre Collègue a semé son savoir, fruit de persé- vérantes études, sur presque toutes les branches ii — scientifiques, et cela, sans compter, en prodigue, sans songer que, sous l'effort constant de si multiples productions, il finirait un jour par dépasser ses forces physiques, et par être obligé, sous le poids des souffrances, de discontinuer cette vie de bénédictin à laquelle il s’est con- damné depuis si longtemps. Mais espérons que notre ami reprendra bientôt assez de force pour mener à bonne fin son Manuel de malacologie du Système européen et sa grande Histoire des temps quaternaires, à laquelle il travaille depuis nombre d’années. Puisse la Providence accorder encore une longue existence à celui qui est l'âme de la Société malacologique de France, à notre cher Secrétaire général. Angers, août 1891, D' G. SERVAIN Président de la Société malacologique de France, SOMMAIRE ; Pages III. Épigraphie, archéologie, . . . . . . . . . AT 1 IV-VI, Mégalithologie, anthropologie. . . . . . . . . : 5 NII-XIII. Ostéologie, paléthérologie,, : . . . . . . . - 11 XIV-XXIV. Géologie, paléontologie, . . . . . . . . . .. 25 XXV-XXX. Malacologie (ouvrages périodiques). . . . . . 38 XXXI-CX. Malacologie (ouvrages séparés)... . . . . . . 74 CXI-CXIIT. Malaco-stratigraphie. . . . . . . . . . A (7 CV HTéTAIO lois COMME LE AM rt 20e 179 CV ADidaxolDele. à ame re 0 EME ete 180 Index des Genres nouveaux. . . . . . . . . . . … +. 401 Index des Espèces nouvelles. . . . . . . . . . . . . . 193 ŒUVRES SCIENTIFIQUES DE MR OUR: GER CNE TE ÉPIGRAPHIE, ARCHÉOLOGIE I. — Inscriptions romaines de Vence {Alpes- Maritimes). Paris, 1869, impr. Bouchard-Huzard. 1 vol. in-8, avec 5 planches teintées. Les inscriptions de la ville de Vence, toutes du troisième siècle, sont votives, honorifiques, funéraires ou milhaires. Les potives sont dédiées à la « Matri idææ » et à « Marti vintio », c’est-à-dire à Cybèle et au dieu Mars de Vence. Une, entre autres, fait mention du sacrifice du taurobole, Les honorifiques, décrétées par l’ordre des décu- rions de Vence, « ordo vintiensium », sont en l’hon- neur des empereurs : Marcus Aurelius Antoninus (Heliogabale, 218-222), de Marcus Antoninus Gor- dianus (Gordien, 11, 238-244), de Cneius Messius Quintus Trajanus Decius (Dèce, 249-251); enfin, d’un « Princeps juventutis », Publius Cornelius Licinius Valerianus, fils et petit-fils des empereurs Valérien et Galien. Parmi les funéraires, qui sont nombreuses, une, plus que toutes les autres, a une importance majeure, parce qu’à propos de la mention d’un « Collegium juvenum », elle enseigne le véritable nom des an- 1 RC rt ciennes peuplades ligures qui vivaient autrefois sur le territoire de Vence, celui de MVemesü, au lieu de Nerusii, sous lequel elles avaient été, jusqu’à présent, faussement désignées. Lorsque l’empereur Auguste fit construire le mo- nument de la Turbie, il y fit graver les noms de toutes les peuplades vaincues des Alpes-Maritimes. À l'invasion des Barbares, il n’est pas resté, sauf deux/ou trois mots, trace des noms qui y avaient été gravés. Un seul auteur, Pline l’ancien ou le naturaliste, a transmis l'inscription de la Turbie. On ne connaît donc les noms des anciennes peuplades ligures que par la reproduction manuscrite de Pline. Or, dans le texte de Pline, copié et recopié, Dieu sait combien de fois, 1l s’est trouvé l'appellation « Nerusii » que les géographes ont appliquée au peuple du territoire de Vence. Ce mot « Nerusii », cité d’après un seul auteur, est donc un mot estropié. Le vrai nom, comme l'indique l'inscription du « Col- legium juvenum », est celui de Nemesii. Les inscriptions rilliaires sont également des plus intéressantes ; elles révèlent l’existence d’une nou- velle « via romana » de Vence à Salinium (Castellane). Cette voie, dont la restauration (pontes viamque vetus- tate collabsas) fut exécutée sous les empereurs Mar- cus Aurelius Antoninus (Caracalla, 211-217) et Caius Julius Verus Maximinus (Maximin, 235-238), se diri- geait du sud au nord, contrairement aux deux seules voies connues à cette époque, la « via Aurelia », qui traversait la contrée des « Alpium Maritimarum » de l'est à l’ouest, d’Albintimilio (Ventimiglia) à Forum Julii (Fréjus), et la « via Julia Augusta », qui de Treb- bia, dans le Milanais, venait aboutir à Cemeneleum TRE PE (Cimiez), en longeant, depuis la Turbie, la « via Au- relia ». II. — Description de la grande caverne du Djebel Thaya et des inscriptions dédiées à la Divinité topique de ce vaste souter- rain (Province de Constantine). Paris, 1870, imp. Bouchard-Huzard, 1 vol. in-4, avec cartes et figures intercalées dans le texte. Cette caverne, connue sous le nom de « Caverne de la Mosquée » (R’ar el Djema), est un effroyable précipice d’une profondeur verticale de près de 300 mètres, d’après les constatations du général Faidherbe, du capitaine Rouvière et celles de l’au- teur. Les inscriptions, découvertes dans une des galeries de cette caverne, sont au nombre de 64, 53 sur la paroi gauche, 8 sur celle de droite, 3 enfin au sommet de la voûte. Ces inscriptions, des deuxième et troisième siècles, la plupart dédiées au dieu Bacax [Bacaei augusto sa- crum}], sont votives; quelques-unes, funéraires, sont consacrées à la mémoire des malheureux perdus dans cet insondable souterrain. D'après les inscriptions votives, chaque année, au printemps, les édiles, ou magistrats, des « Aquæ thi- bilitanæ », petite ville romaine dont les ruines sont proches d’Hammam Meskhoutin, les fameux bains maudits des Arabes, venaient, en grande pompe, offrir un sacrifice au dieu de cette caverne. Pour accomplir ce sacrifice, les édiles, précédés d’un « magister sacrorum », descendaient l’effrayante inclinaison (100 mètres) de la grande salle, parvenaient à la galerie du balcon, où, du haut de cette galerie, re ils apercevaient, au milieu de la profonde salle de la Djema, l'autel du dieu. Ce dieu topique, d’origine phénicienne, puis car- thaginoise, était une divinité du creux et de l’épou- vantement. Cette caverne lui avait été consacrée, parce qu’elle était un repaire d’ursidés, d’où ces hôtes terribles avaient, par leur férocité, répandu au loin la crainte et la terreur. III. — Notice sur une pierre tombale conser- vée en l’église Notre-Dame de la Ville-au- Bois. Bar-sur-Aube, 1855, impr. Jardeaux-Ray. 1 vol. in-4, avec titre et planches chromolitho- graphiés. Cet ouvrage, tiré à 100 exemplaires numérotés, imprimé avec le plus grand luxe, avec des en-tètes de chapitre chromolithographiés rappelant ceux des anciens manuscrits, est consacré à la mémoire de deux seigneurs de la Terre, Nicolas de Rochetaillée, chevalier du Saint-Sépulcre, décédé le 23 mai 1500, et de noble dame Jehanne d’Amoncourt, sa femme, décédée le 23 mai 1496. Le récit de la vie de ces deux personnages, leur généalogie, ainsi que la description de leurs armes héraldiques, n’ont qu’un intérêt purement local. Cet ouvrage, qui n’a jamais été mis dans le com- merce, est depuis longtemps devenu une rareté recher- chée par les amateurs de beaux livres. MÉGALITHOLOGIE, ANTHROPOLOGIE IV. — Monuments symboliques de l'Algérie. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1868. In-4, avec 3 pl. n. lithogr. Description des monuments de l'Homme, du Scor- pion, etce., et du grand Serpent du Kef-ir’oud, décou- verts en Algérie. Comparaison de ces monuments avec ceux de l'Amérique du Nord et du grand Ser- pent d’Abury, en Angleterre. Constatation d’une identité parfaite entre ces gigan- tesques symboles funéraires (long. de l'Homme, 174 mètres; du Scorpion, 75 mètres; du Serpent, 3 500 à 4 000 mètres), tant au point de vue de la forme, du mode de construction, qu’au point de vue de la conception religieuse, qui ont présidé à leur érection. Ces monuments symboliques ont tous une origine commune. Ce sont des monuments particuliers à une race éteinte, à la race atlante, qui, aux époques préhistoriques, avait étendu sa domination aussi bien sur l'Amérique septentrionale que sur la partie occi- dentale de l’Europe etle Nord de l'Afrique {. V. — Histoire des monuments mégalithiques de Roknia, près d’'Hammam Meskhoutin, en Algérie. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1868. Un vol. in-4, avec fig. intercalées dans le 1. Voir Histoire des Clausilies vivantes et fossiles de France (in : Annales sciences naturelles de Paris, 1876), au sujet des Nénies atlantiques acclimatées par cette race dans le départe- ment des Basses-Pyrénées. GE texte, 2 cartes coloriées et 9 planches teintées, dont 3 de dolmens, 1 de bijoux, 2 de poteries et 3 de crânes. Aspect de l'immense champ mortuaire de Roknia. Fouilles exécutées dans vingt-huit dolmens, donnant la preuve : 1° Que ces monuments étaient d’antiques tumulus ne possédant plus que la partie solide, la chambre sépulcrale, en un mot le dolmen; 2° Que tous les dolmens, à l'exception d’un seul, étaient obliquement orientés du sud-ouest au sud-est ; 3° Qu'enfin, ils étaient tous remplis d’ossements, d’humus et de débris de coquilles. L'examen de l’humus, des coquilles et des osse- ments à montré : 1° Que l’humus était, en partie, le produit du dé- blayement des tumulus, en partie celui du transport de terres étrangères par le vent, par la pluie ou par toute autre circonstance ; 2° Que les coquilles étaient les dépouilles de Mol- lusques réfugiés dans les chambres sépulcrales, dans le but de s’y mettre à l’abri du froid, de la chaleur ou de la sécheresse ; 3° Que les ossements étaient les restes de cadavres ensevelis, en l'honneur desquels les monuments funé- raires avaient été construits. D’après les savantes études craniologiques du D' Pruner-Bey, ces ossements ayant appartenu : 1° à des Arias; 2° à des Berbères ou Kabvyles:; 3° à des ; Y ; Nècres: 4° à une femme égvptienne de la 17° ou gres; 8YI 18° dynastie; 5° enfin, à des métis de Nègres et de Berbères, 1l est constaté : 7 22 1° Que les cadavres étaient couchés sur le dos, les jambes repliées et les bras croisés ; 2° Qu'ils étaient indifféremment placés, regardant tantôt le sud-ouest, tantôt le nord-est ; 3° Qu’à côté de chaque tête d'homme (et non de femme) se trouvaient un et quelquelois deux vases; 4° Que ces vases, non cuits, faits à La main, fort grossiers, rappelaient les poteries de nos dolmens; 5° Que les bijoux affectaient les formes de prédilec- tion des bijoux de l’époque du bronze en Danemark, en Angleterre, en Étrurie : 6° Que ces bijoux de bronze, à l’exception de deux en argent doré, présentaient à l’analyse chimique les proportions des bronzes antiques, bien qu'il s’y trouvàt quelques parcelles de fer; 7° Que Les plus grandes sépultures renfermaient un ou deux cadavres, tandis que /es petites en contenaient un plus grand nombre ; 8° Que presque tous les crânes des grandes sépul- tures étaient des crânes de type dolicho-pentagonal de race arias; lorsque ceux des petits dolmens apparte- naient soit à des nègres, des métis, soit, pour la plus grande partie, à des Berbères ou Kabyles; 9 Enfin, que les Arias, paraissant, d’après leurs sépultures, les plus riches, les plus puissants, devaient étre les dominateurs des tribus berbères de Roknia. Tels sont les faits qui découlent d’un examen appro- fondi de ces monuments. La seconde partie de cet ouvrage est consacrée à la recherche de l'age de ces sépultures. D’après les études géologiques et minéralogiques du sol et des pierres des dolmens, constatation : 0 AS LRREG CM . 1° Qu'à l’origine le sol de Roknia était un gigan- RCE tesque Hammam, un colossal cratère d'eaux chaudes et minérales ; 2° Que cet Hammam s’est éteint peu à peu, après avoir donné naissance aux immenses dépôts qui for- ment actuellement le sol du pays; 3° Que les tribus environnantes, pour se mettre sous la protection d’une divinité qui manifestait sa puis- sance par d'aussi étonnants phénomènes, avaient affecté ce lieu à un champ de sépultures ; 4° Que les ensevelissements eurent lieu dès l’ori- gine du refroidissement, puisqu'il existe des dolmens où les ossements sont calcinés sous l’influence d’un feu intérieur mal éteint; 5° Que ce foyer de chaleur était refroidi bien avant l’arrivée des peuples historiques, qui n’en eurent nulle connaissance et qui n’y établirent aucune cons- truction ; 6° Enfin, par conséquent, que ces sépultures sont antérieures aux périodes romaine, numide et cartha- ginoise. Grâce à la science malacologique, preuves : 1° Qu'il existait, entre les coquilles d’une même Espèce enfouies dans les couches inférieures en contact avec les ossements et celles des couches supérieures, de GRANDES DIFFÉRENCES de forme ; 29 Que ces différences étaient la conséquence d’un changement lent, continu, dans le climat de Roknia, depuis l’époque des ensevelissements jusqu'à nos jours ; 3° Qu’autrefois, d’après les coquilles des couches inférieures, la moyenne climatologique de Roknia devait être de 10° et de cent cinquante jours de pluie, sans compter les jours couverts et brumeux ; A0) 4° Qu’actuellement, la moyenne est de 17° 50° avec cinquante jours de pluie ; 5° Que, lors des ensevelissements, le climat de Roknia, gravé encaractères ineffacables sur les coquilles, était donc plus froid et deux fois plus humide, puisque les différences thermométriques et climatologiques sont de 10° à 47° 50’, et que les jours pluvieux sont de cent cinquante à cinquante ; 6° Que, pour retrouver une climatologie actuelle analogue à celle de l’époque des sépultures, il faut remonter vers le pôle de 12° 50, jusqu’au 49° de lati- tude nord ; 7° Que ces changements dans le climat ne sont les conséquences ni du déboisement ni d’une perturba- tion géologique, mais qu'ils proviennent des résul- tantes des grandes lois cosmiques : À, de la variation de l’excentricité de l'orbite de la terre; B, de la varia- tion de l’obliquité de lécliptique ; C, de la précession des équinoxes, combinée avec le mouvement des apsides ; & Que, d’après ces lois et en appliquant à leurs données les lois météorologiques, une température moyenne de 10° et de cent cinquante jours de pluie devait nécessairement avoir existé à Roknia, entre les 36 et 37° de latitude nord, vers l’an 2200 avant notre ère; par conséquent, que ces sépultures dolméniques remontent à cette époque. C'est la première fois que la DATE D'UNE ÉPOQUE SUR LAQUELLE IL N'EXISTE AUCUNE TRADITION à été nettement chiffrée. Le but de ce travail a été de montrer l'immense parti que l'on pouvait tirer de la science malacolo- gique, lorsqu'elle était bien comprise, pour arriver à =; (Dr la connaissance de la chronologie des temps préhis- toriques. VI. — Monuments mégalithiques de Saint- Cézaire, près de Grasse (Alpes-Maritimes), Cannes, impr. H. Vidal, 1876. In-8, avec 3 pl. n. Hithogr. Découverte de huit monuments dolméniques aux environs de Saint-Cézaire, et description du dolmen des Puades, sur le Maulvans, à 4 kilomètres à droite de la route de Saint-Vallier. D'après la succession des couches de ce dolmen, l’examen des ossements, des instruments, etc., consta- tation que ce monument a été primitivement érigé pour la sépulture d’un homme de race ligure; qu’à la longue, par suite de l’intempérie des saisons, la chambre mortuaire ayant été mise à découvert, elle servit de demeure ; puis qu’elle redevint plus tard le lieu d’une sépulture d’un homme de race celte, et qu'enfin, après un long temps, elle fut encore utilisée pour l’ensevelissement d’un homme de race ligure. Ces trois ensevelissements successifs sont fort re- marquables. Les Mollusques, recueillis dans les diffé- rentes couches de l’humus, dénotent un monument relativement récent, élevé quelques siècles seulement avant notre ère. —_— 11 OSTÉOLOGIE, PALÉTHÉROLOGIE VII. — Notice sur un Ursus nouveau décou- vert dans la grande caverne du Thaya (pro- vince de Constantine). Paris, impr. M"° V° Bou- chard-Huzard, 1867. Br. in-8. Ce Mémoire, consacré à la connaissance d’un Ursus nouveau, l’Ursus Faidherkianus, contient : 1° Ia des- cription de la mâchoire de cet Ursus ; 2° une histoire des Ursidæ du Nord de l'Afrique, depuis Pline jusqu’à nos jours ; 93° enfin, un résumé paléthérologique constatant l'existence, dans les régions alsériennes et marocaines, de trois Ursidæ : un Ursus Crowtheri (Schinz), au Maroc; un grand Ursus fossile, in- nommé, découvert par M. Milne-Edwards dans une brèche ossifère, entre Oran et Mers-el-Kebir; enfin, l’'Ursus Faidherbianus, de la province de Constan- tine. VIII. — Notice prodromique sur quelques Ursidæ d'Algérie. Paris, impr. M°° V° Bou- chard-Huzard, 1868. Br. in-8. Description très succincte de quatre Espèces d'Ur- sidæ : les Ursus Lartetianus (spec. nov.), ARouvieri (spec. nov.), Letourneuxianus (spec. nov.) et Faidher- bianus. Ces Ursus sont séparés en deux séries : 1° en Es- pèces offrant dans la fosse olécranienne de l’humérus une grande perforation (Urs. Lartetianus et Rou- vieri); 2° en Espèces n’offrant jamais de perforation olécranienne (Urs. Letourneuxianus et Faidherbia- De nus). Dans chacune de ces séries se trouvent une grande et une petite Espèce. IX. — Note complémentaire sur diverses Espèces de Mollusques et de Mammifères découvertes dans une caverne près de Vence, &« propos d'une communication faite à l'Institut, à la séance du 15 juillet 1868, par M. Mrre-Enwarps. Paris, impr. M°° V° Bou- chard-Huzard, 1868. Br. in-8. Vingt Espèces sont signalées de la caverne Mars, de Vence (Alpes-Maritimes), notamment les Helix Euzierriana (spec. nov.) du groupe des Helix figulina et albescens d'Orient; Helix Binetiana (spec. nov.), forme ancestrale de la Miciensis actuelle ; Helix Mau- reliana (spec. nov.), sorte de Campylée, rappelant les formes spéciales au plateau asiatique et notam- ment l’Helix Middendorfi, de la région de l'Amour, enfin nombre d'échantillons, incomplètement neémo- ralisés, de l’Helix nemoralis (Linneus), ayant con- servé encore quelques traits de leurs ancêtres de forme, les Helix atrolabiata, Pallasi, repanda, ete. Parmi les mammifères, le Felis Edwardsiana (spec. nov.), regardé depuis comme un Tigris; un autre Felis, décrit plus tard sous le nom de Leopardus Fil- holianus (spec. nov.); un Canis, de la série des Lupus, publié depuis sous le nom de ZLycorus Nemesianus (spec. nov.); le Cuon europeus (spec. nov.), canidé nouveau voisin du Cuon primævpus de l’'Indoustan ; l’'Ursus Bourguignati, décrit en 1867 par le professeur Ed. Lartet!, Espèce de grand Ours marin, allongé ? Ï O 2 Fe ont 4, Note sur deux têtes de carnassiers fossiles, in : Ann, sc. nat. (9e série), VIII, 1867. EU — très haut sur jambes et ayant des traits de ressem- blance avec l’Ursus ferox de l'Amérique du Nord; un Ursus Pomelianus (spec. nov.), Espèce de petite taille, pourvue de canines excessivement comprimées laté- ralement et offrant une grande perforation olécra- mienne à l’humérus ; un Ahinoceros Mercki (Kaup), animal très distinct du Ain. tichorhinus; un Sus pri- mœpus (spec. nov.), Espèce de grand Sanglier pourvu d'une tête proportionnellement énorme, terminée par un museau très allongé, acuminé, bombé en dessus, comprimé latéralement au-dessus des molaires, et se distinguant, en outre, de la tête du Sus serofa d’A- frique, par la grande dilatation du frontal en forme de losange, par plus de rapprochement des crêtes tem- porales au voisinage de l’occiput, par la crête qui limite une fosse plus profonde au devant de l'orbite, par plus de simplicité dans les tubercules de la deuxième et de la troisième prémolaire supérieure, par une plus grande largeur du palais, etc. Enfin, sont encore signalées de cette caverne plu- sieurs Espèces de Bos, Musimon, Cervus et Lepus. Tous ces Animaux, de l’origine de la période qua- ternaire, offrent un grand intérêt, parce que la plu- part d’entre eux, ayant conservé des réminiscences ataviques, confirment l’opinion émise par l’auteur, qu’en France, 1l n’y a pas de faune propre et spéciale au pays, mais une faune d'emprunt, une faune d’ac- climatation. D’après les données fournies par l'étude de la mala- cologie, l’auteur avait démontré, en effet, qu’au com- mencement de l’'Époque quaternaire, les Animaux avaient peu à peu envahi, d'Orient en Occident, les pays montueux qui s'étendent du grand plateau cen- tral de l'Asie jusqu'à l'extrémité des Pyrénées ; 1l avait Zi également prouvé qu’à la longue, par suite des chan- gements de milieu, les Animaux s’étaient insensible- ment modifiés, sans cependant perdre complètement leur forme atavique, mais s'étaient modifiés suflisam- ment pour présenter des caractères assez stables et assez distincts pour qu’on ait pu les considérer comme Espèces. Les Mollusques et les Mammifères de la ca- verne Mars prouvent cette théorie, puisque, parmi eux, comme les Cuons de l'Himalaya, par exemple, 1l s’en trouve qui n'avaient pas encore dévié du type primitif, et d’autres qui commencçaient à perdre leurs formes ataviques pour s’assimiler des caractères plus appropriés aux nouveaux milieux dans lesquels ils étaient forcés de vivre, témoin ces Helix nemoralis, incomplétement némoralisées, qui avaient conservé encore quelques ressemblances de leurs ancêtres de forme. Il résulte de ces faits que : l’Espece est relative sous la double influence du temps et des milieux. X. — Histoire du Djebel-Thaya et des osse- ments fossiles recueillis dans la grande ca- verne de la Mosquée. Paris, imp. M°° V°Bou- chard-Huzard, 1870. Un vol. in-4 avec 13 pl. d’ossements fossiles, 10 cartes coloriées et ins- criptions intercalées dans le texte. Description de la montagne du Thaya; topographie, étendue et immense profondeur verticale (300 mètres) de la caverne de la Mosquée; récit des explorations et histoire détaillée des Ursidæ du Nord de l'Afrique. Les fouiiles exécutées dans cet immense souterrain ont donné 1000 à 1200 ossements appartenant à vingtet une Espèces de Mammifères, sur lesquelles onze Espè — 15 — ces encore actuellement vivantes et dix éteintes. Les Espèces vivantes sont le Pithecus inuus, ou le Magot commun; le Lupulus aureus, ou le Chacal; le Vulpes atlanticus, où le Renard d'Algérie; le Felis leo, ou le Lion; le Felis pardus, où la Panthère; le Sus scrofa, ou le Sanglier; l'Æquus caballus, ou le Cheval; l'Ais- trix cristata, où le Porc-épic; le Musimon tragelaphus, ou le Mouflon à manchettes ; le Musimon corsicuS, OÙ le Mouflon de Corse, et une Espèce de Bos, sorte de Bœuf de très grande taille, dont le petit nombre d’ossements recueillis n’a pas permis une exacte dé- termination. Les Espèces éteintes se décomposent en 4 Carnas- siers de la famille des Ursidæ et 6 Ruminants de la famille des Antilopidæ (2 Antilopes, Gazelle) et de celle des Ovidæ (3 Musimons). Lorsque l’on considère séparément chacun des quatre Ursus (Lartetianus, Letourneuxianus, Rouviert et Faidherbianus), on remarque entre leurs ossements des caractères spécifiques fort tranchés, qui déno- tent des formes distinctes et qui impliquent des mœurs et des habitudes de vie fort différentes chez chacun de ces Ursus. Ainsi, d’après le volume, la longueur et l'épaisseur des os, l’'Ursus Lartetianus atteignait la taille d'un moyen Ursus spelœus, c’est-à-dire près de deux mètres du museau à la queue, etau moins un mètre en hauteur. Sa tête, à en juger par l'écartement angulaire du jugal, devait être analogue à celle du spelœus, si ce n’est plus large et relativement un tant soit peu plus courte. Ses membres antérieurs étaient également aussi longs et aussi robustes; mais, par contre, ses membres postérieurs, moins volumineux, offraient un fémur plus court et un tibia plus long et plus délicat. 10 — Cette différence de force et de puissance entre les membres de devant et le train de derrière indique les mœurs et la manière de vivre de cet animal. Cet Ours, d’après ces caractères, était peu apte à la course, mais il devait, au contraire, exceller, grâce à la puissance de ses membres antérieurs, à monter sur les arbres; par conséquent, il était frugivore. Ce qui démontre encore que cet Ursus ne devait chercher sa nourri- ture que sur les arbres, c’est cette perforation olécra- nienne caractéristique de la fosse humérale, qui ne peut être que le résultat de l’extrème pression qu'a dû subir si souvent la paroi osseuse de cette fosse, lorsque l'olécrâne, sous le poids de l’animal, venait s’arcbou- ter sur elle. L'Ursus Letourneuxianus, moins robuste que le Lartetianus, mais relativement plus trapu, plus ra- masssé sur lui-même, possédait des membres parfai- tement proportionnés en force et en puissance, Aussi, sans être un excellent coureur, il devait être plus agile que le Lartetianus, et assez alerte, lorsque la Pr le poussait, pour pouvoir chasser et saisir une proie. Bien que les Ursus soient, de leur nature, essen- tiellement frugivores, cet animal devait indifféremment, pour apaiser sa faim, se nourrir de chair et de fruits. C’est ce qu'indiquent ses dents, qui sont toutes très usées et fortement polies. Cet Ursus possédait une tête d’une forme toute particulière. D’après le maxil- laire gauche, la tête de cet animal devait être, grâce au faible écartement de l’areade zygomatique, oblon- gue, peu dilatée à sa partie moyenne et terminée, vu le peu de développement de la partie dentaire et l’in- clinaison presque droite de l’arête nasale, par un mu- seau gros et écourté. L’ Ursus Rouvieri, au contraire, possédait une tête effi- Te lée et un museau étroit et fort allongé. De tous les Ours du Thaya c'était le plus agile. Cette Espèce devait être aussi apte à chercher sa nourriture sur les arbres, comme l'indique la perforation olécranienne de son humérus, que propre à poursuivre une proie et à la dévorer, ainsi que le dénote l’usure de ses dents. Cet animal, fluet, élancé, devait atteindre la taille de l’Ours des Pyrénées. Quant à l’Ursus Faidherbianus, d’après le peu de débris que l’on en connaît, c’était le plus petit de tous; à peine plus gros qu’un fort Renard, il devait, d’après sa dentition, être simplement frugivore. Ces quatre Ursus n’ont pas été contemporains les uns des autres. Le plus ancien est le Lartetianus, puis le Letourneuxianus, ensuite le Rouvieri et le Faidher- bianus. Les deux Antilopes, la Faidherbi et la Rouvteri, d'après le petit nombre de débris extraits de la ca- verne, débris qui n’ont pu être assimilés aux osse- ments d'aucune des Espèces d’Antilopes africaines, étaient des animaux plus forts, plus robustes que pas une de leurs congénères actuellement vivantes du Sahara, de Nubie ou du Sénégal. Ces deux Espèces sont éteintes depuis bien des siècles, puisque leurs ossements ont été trouvés dans la couche la plus infé- rieure, dans celle où gisaient ceux de l’Ursus Larte- tianus, le plus ancien des Ursus du Thaya. La Gazella atlantica de la caverne de la Mosquée est également une Espèce perdue, qui n’a pu être assi- milée aux Gazella dorcas et corinna, qui parcourent actuellement, en troupes, les plaines sahariennes du Sudalgérien, parce que ces animaux sont non seulement d’une taille moitié moindre, mais encore parce qu'ils sont caractérisés par le canon des jambes de devant 2 ET Te presque un quart plus court que celui de derrière. Chez l’atlantica, sans compter une taille double, les métacarpes sont presque aussi longs que les méta- tarses, ce qui indique un animal bien différent. Enfin, quant aux trois Musimons (Lartetianus, Fai- dherbi et Rouvieri), d’après leurs ossements qui ont été reconnus très distincts de leurs similaires, ces Espèces ont été considérées comme des formes spé- ciales inassimilables aux autres Musimons actuelle- ment connus. XI. — Recherches sur les ossements de Ca- nidæ constatés en France à l'état fossile pendant la période quaternaire. Paris, impr. Martinet, 1875. In-4, avec 3 pl. n. lithogr. (Même ouvrage format in-8, extrait des Annales des Sciences géologiques, 1875.) Cet ouvrage comprend deux parties. Dans la pre- mière se trouve la description du Cuon europæus, des Alpes-Maritimes, précédée d’une notice sur le Cuon primævus de l'Himalaya. La seconde partie est consacrée à la description d’un nouveau genre de Loup, le Lycorus nemesianus de la caverne Mars, et à l’histoire de tous les Canidæ qua- ternaires de France. Les Canidæ fossiles de France ( Belgique comprise ) sont : 1° Le Canis ferus (spec. nov.), Espèce de Chien sauvawe, type des nombreuses races de Chiens do- mestiques. C’est à tort que l’on croit que le Chien domestique descend d’une race de Loup. Les osse- ments du Canis ferus et du Lupus diffèrent d’une facon sensible les uns des autres; 410. — 20 Le Lupus spelœus, Espèce de Loup de grande taille, plus robuste que le Loup ordinaire, et en diffe- rant par une élévation plus grande de la crête sagit- tale, qui, en même temps, s’abaisse plus vers sa partie postérieure; par le bord antérieur des prémolaires plus inclinées en arrière, par un écartement plus grand entre les dents, ete., enfin, par une étendue plus considérable des arrière-narines ; 3° Le Lupus Neschersensis, Espèce de petit Loup de la taille d'un Renard; 4 Le Lycorus nemesianus (nov. gen. etspec. nov. ), établi pour un Canidæ de grande taille, possédant un museau plus effilé, une tête moins large et plus allon- gée que celle des Zupus et n'ayant à la mâchoire infé- rieure que 3 prémolaires au lieu de 4, 1 forte carnas- sière et 2 tuberculeuses, dont une fort petite, comme embryonnaire. 5° Le Cuon europæus (spec. nov.), sorte de Ca- nidæ ne possédant à la mâchoire inférieure qu'une seule tuberculeuse, et, à la troisième arête postérieure de la dent carnassière, une sommité unique subtrian- gulaire. Cet animal, d’après sa mâchoire, devait avoir une taille égalant celle du Loup et dépasser sensible- ment celle du Cuon primævus de l'Himalaya; 1l de- vait également être plus féroce et plus carnassier que le primæœvus; ses dents plus volumineuses, à dente- lures plus nombreuses, plus aiguës, dénotent, en effet, un naturel plus sauvage. C’est dans la caverne Mars de Vence que les ossements du Cuon europæus ont été découverts. G° Le Cuon Edwardsianus (spec. nov.). Espèce établie d’après une mâchoire inférieure trouvée dans la caverne de Lunel-Viel, près de Montpellier, mà- choire considérée à tort, par les inventeurs, comme 0) = étant celle d’un Chien domestique. La dentition de cette mâchoire est celle d’un Cuon; toutes ses dents ressemblent à celles du Cuon primæpvus de l'Himalaya, à l'exception de la dent carnassière, chez laquelle on remarque sur le talon postérieur deux éminences au lieu d'une. Malgré cette différence, cette mächoire est bien celle d’une Espèce de Cuon; 7° Le Vulpes vulgaris, ou le Renard ordinaire. Les débris de cet animal se rencontrent dans presque toutes les cavernes ; ils appartiennent à deux races de taille différente, races qu'il est impossible de distin- guer ostéologiquement, l’une est la race pulgar’s, l’autre la #ajor de Schmerling. 8° Le Vulpes minor. Espèce créée pour un animal plus petit, moins élancé, plus trapu et plus bas sur jambes que le Renard ordinaire. Les ossements de ce Vulpes, moins longs que ceux du vulgaris, sont (pro- portion gardée), au contraire, plus gros et plus épais. Ces divers Canidæ n’ont pas tous vécu en même temps. Voici l’ordre dans lequel ces animaux se sont succédé depuis le commencement de notre période quaternaire. À la phase la plus ancienne (phase éozoïque), se montrent les Cuon europæus et Edwardsianus, et le Lycorus nemesianus. Dans la seconde phase (dizoïque }, le Lycorus ne- mesianus et le Cuon europæus n'existent plus; seul, le Cuon Edwardsianis apparaît encore, puis surgis- sent le Canis ferus (une ou deux races ou variétés), le grand Lupus spelœus, le Lupus vulgaris et le Vulpes vulgaris. À la troisième phase (trizoïque), le Cuon Edward- sianus disparaît à son tour; les Chiens sauvages de. viennent plus nombreux et commencent à se domes- OÙ tiquer. On y constate le Canis ferus avec un certain nombre d'Espèces ou de races classées par les au- teurs sous le nom de familiaris, puis les Lupus spe- lœus, vulgaris et Neschersensis, enfin les Vulpes vul- gartis et minor. Les Lupus spelœus, Neschersensis et le Vulpes mi- nor s’éteignent dans cette phase; de sorte que dans la quatrième (ontozoïque ), dans celle où nous nous trouvons, il n’existe plus que le Loup ordinaire Lupus vulgaris, et le Renard ( Vulpes pulgaris)et de nom- breuses races de Chiens domestiques, que les uns font descendre, à tort, du Loup ou du Renard, les autres d’un seul ou de deux ou trois types de Canis ferus. XII. — Histoire des Felidæ fossiles constatés en France dans les dépôts de la période quaternaire. Paris, impr. Jules Tremblay, 1879. 1 vol. gr. in-4 avec 1 pl. double. Les Felidæ quaternaires, découverts dans nos ca- vernes ou les alluvions de nos fleuves et de nos rivières (Belgique comprise) sont au nombre de vingt, répartis dans les genres Leo, Tigris, Leopardus, Felis, Lyncus et Machairodus. Le genre Leo est représenté par le Lion ordinaire (Leo nobilis) et par le grand Chat des cavernes ( Leo spelœus ), sur lequel on a tant discouru. Le genre Tigris est également représenté par deux Espèces, le Tigris Edwardsiana (spec. nov) des Alpes- Maritimes, et par le Tigris europæa ( spec. nov.), très grand carnassier dont on n’a découvert que quelques ossements aux environs de Liège. Les Leopardus sont au nombre de sept, ou plutôt au nombre de cinq seulement, attendu que les Leo- pardus antiquus et Laurillardi sont plus que problé- matiques. Les cinq Léopards dont on peut être cer- tain sont les Leopardus Filholianus (spec. nov.) et presbyterus (novum nomen pro Felis prisca de Schmer- ling), dont les ossements ont quelques rapports de forme avec ceux du Couguar (Felis concolor) de VA- mérique du Sud; le Zeopardus Larteti ( spec. nov. ), Espèce qui offre quelques ressemblances avec le Léo- pard du Cap; le Leopardus pardus, qui paraît analogue aux Panthères du Nord de l'Afrique; enfin, le Leopar- dus brachystoma (spee. nov.), caractérisé par une large tête à museau très écourté. Les Felis sont au nombre de six; les Felis Engiho- liensis et Servaloides appartiennent au groupe du Serval; les quatre autres, les Felis magna, fera, catus et minuta, à celui des Chats ou des prais Felis. Le genre Lyncus comprend deux Espèces, le Zyn- coides et le Lynx, qui seul se perpétue encore de nos jours dans les Alpes; enfin, on ne connaît du genre Machairodus que le latidens, dont on n’a trouvé que quelques débris dentaires. Si tous ces carnassiers avaient vécu en même temps, le sol de notre pays aurait été inhabitable, mais heu- reusement ils se sont ainsi succédé. Dans la première phase quaternaire (éozoïque), à laquelle appartiennent les brèches de Nice, d’An- tibes, de la caverne Mars de Vence, etc., on voit apparaître le Tigris Edwardsiana, puis les Leopardus antiquus, Filholianus, Lartett et brachystoma. Dans la seconde (dizoïque), dans laquelle il con- vient de placer les dépôts marins du Midi, ceux de la caverne de Lunel-Viel et de diverses grottes de Pro- vence, on constate les Leo spelœus et nobilis, le Leopardus pardus et les Felis servaloides et fera. a — 23 — 2 Dans la troisième phase {trizoïque), contemporaine des dépôts de Saint-Acheul, près d'Amiens, et de ceux connus sous le nom de hauts-niveaux, de tous nos fleuves, ainsi que de ceux d’une infinité de grottes et de cavernes, on constate également les Leopardus pardus, le Felis fera, les Leo nobilis et spelœus, qui atteint son maximum de vitalité, puis, en outre, le Tigris europæa, le Leopardus presbyterus, les Felis engiholiensis et magna, le Lyncus lyncoides et Ma- chairodus latidens. Dans la quatrième phase (ontozoïque), qui com- prend les assises supérieures des cavernes, les dépôts des bas-niveaux, des marais tourbeux, etc., enfin toutes les alluvions récentes ou actuelles, on ne remarque plus que les Felis fera, minula et catus, et le Lyncus lynx. Les Felidæ de la première phase se sont éteints dans cette phase. Ceux de la seconde, à l’exception du Zeop. serva- loides, se sont tous éteints dans la troisième. En cette troisième, qui semble être la grande épo- que des carnassiers, se trouvaient les plus grands représentants de la famille des Felidæ. C’est alors que nos contrées étaient parcourues par le grand Lion des cavernes, par le gigantesque Tigre d'Europe, et par toute une série de Panthères, de Lynx, de Servals et de Chats sauvages ; enfin, à la quatrième, c’est-à-dire à la phase actuelle, la plupart de ces animaux n’exis- tent plus; on ne constate que quelques Espèces et encore des plus petites. Les Felidæ tendent à dispa- raître. C’est au tour de l’homme à atteindre son maxi- mum de développement. PP) ue XIII. — Description des ossements d'un grand Felis (Tigris Edwardsiana), découvert à l'état fossile dans la caverne Mars de Vence. Saint-Germain, impr. Bardin, 1879. L vol. gr. in-4 avec 12 pl. doubles lith. et une vue de la vallée des Grabelles et le plan du sou- terrain. (En cours de publication.) Cet important travail ostéologique est consacré à la description des ossements de la tête, du tronc, des membres antérieur et postérieur, ainsi que ceux des pieds de devant et de derrière du Tégris Edwardsiana, avec comparaison de ces ossements avec ceux du Tigre actuel, du Lion de l'Algérie et du grand Lion des cavernes, le Leo spelœus. La comparaison des ossements de tous ces carnassiers montre que le Tigre de la caverne Mars de Vence est une Espèce spéciale et différente de toutes celles connues. Ce carnassier, depuis le bout du museau jusqu’à l'extrémité de la queue, avait 2 mètres 837 millimètres. Cette grande longueur se décompose ainsi : 320 mil- limètres pour la longueur de la tête, du bout du mu- seau à ses condyles; 1 mètre 255 nullimètres, de ja tête à la naissance de la queue, et 965 millimètres de l’origine de la queue à son extrémité. Ce grand déve- loppement de la queue (presque un tiers de la lon- gueur) est un caractère qui, chez les Felis actuelle- ment vivants, ne s’observe que chez les Tigres et les Panthères. Les Lions, au contraire, ont la queue relativement courte et bien moins développée. Ce caractère indique bien que l’Edwardsiana est un Tigre. Je GÉOLOGIE, PALÉONTOLOGIE XIV. — Paléontologie des Mollusques terres- tres et fluviatiles de l'Algérie. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1862. 1 vol. in-8 avec 6 pl. n. lithogr. Les Mollusques fossiles, décrits dans cet ouvrage, sont au nombre de quatre-vingt-quatorze, dont soixante-trois terrestres et trente-deux fluviatiles. Ces quatre-vingt-quatorze fossiles ont été recueillis : 4° Par M. Joba fils, sous-intendant adjoint à Cons- tantine, en 1861 et 1862, dans la tranchée que le gouvernement a fait exécuter sur la colline de Cou- diat-Aty près de Constantine ; 2 Par M. Paul Marès, docteur-médecin, pendant ses explorations de 1856, 1857, 1858 et 1860, dans les oasis du Sud des provinces d'Oran, d'Alger et de Constantine ; 3° Enfin, par le savant M. Deshayes, en 1840, 1841 et 1842, sur les côtes du littoral, lors de l’expédition scientifique envoyée en Algérie sous la direction de Bory-Saint-Vincent. Ces quatre-vingt-quatorze fossiles appartiennent à trois époques distinctes, au miocène et à deux phases du quaternaire. Sucanra Pfeifferi, debilis, ochracea, oblonga, Maresi (spec. nov.); Zoxires Semperianus, candidis- simus, Otthianus; Hezix aspersa, pachya, melanos- toma, lactea, punetata, Dumortieriana, subsenilis (spec. nov.), vermiculata, Desoudiniana, Jobæ, soluta, Vanvinequiana, subcantiana, pulchella, costata, roseo- fois tincta, psammæcia (spec. nov.); syrioxia (spec. nov.), explanata, depressula, globuloidea, subrostrata, Ter- veri, Pisana, Koleensis (spec. nov.), cespitum, varia- bilis, submaritima, lineata, Rozeti, rechodia (spec. nov.), Geryvillensis (spec. nov.), Durieui, Berlieri, modica, pyramidata, trochlea, conoidea, barbara, acuta; Burimus decollatus, Jobæ, pupa; GLanpina Jobæ (spec. nov.); FErussaciA atava, subeylindrica; Pura amblya (spec. nov.), ectina (spec. nov.), mus- corum, granum ; VerriGo discheilia (spec. nov.), Maresi (spec. nov.); Carvenium Nouleti; PLanorsis Jobæ {spec. nov.); Paysa contorta, Brocchii, truncata, Maresi (spec. nov.), Raymondiana; Limxœa canalis, limosa, Peraudieriana (spec. nov.), peregra, Maresi (spec. nov.), palustris, truncatula ; AxcyLus Peraudiert; Cyecosroma sulcatum; Hyprosra Peraudieri, phoxia, (spec. nov.), Brondeli, arenaria, plagioxia (spec. nov.), dolichia (spec. nov.); Byrminia similis, luteola, Dupo- tetiana, Jobæ (spec. nov.); MeLaxra tuberculata ; MELA- NOPSIS præmorsa, maroccana, Maresi; Pisinium niti- dum, pusillum, Casertanum; Unio Cirtanus (spec. nov. ). XV. — Études géologique et paléontologique des hauts plateaux de l'Atlas entre Boghar et Tiharet. Paris. impr. Bouchard-Huzard, 1868. In-4 avec 3 pl. lith. et avec coupes géolo- giques tirées sur chine, coloriées et intercalées dans le texte. Description géologique des hauts plateaux du Ser- sou, depuis Sebaïn Aiïoun, à quatre heures à l’est de Tiharet, jusqu'au douar des Doui Hasseni, à cinq heures de Boghar. Constatation de couches de marnes et de grès pliocènes, s’alternant, plongeant dans la — 97 — direction du sud, et recouvertes par des assises horizon- tales de quaternaires, et description de seize Espèces dont six pliocènes : les CreonorafMaresi (spec. nov.); Cresris Letourneuxi (spee. nov.), Dussertiana (spec. nov.); Neœra Maresi (spec. nov.); Lena subnicoba- rica et Pecrex cristatus; et dix quaternaires : les Heux euthygyra (spec. nov.), catostoma (spec. nov.), stomatoloxa (spec. nov.), palæa (spec. nov.), geralæa (spec. nov.), archæa (spec. nov.), eustrongyla (spec. nov.), eusphæridia (spec. nov.), sustellostoma (spec. nov.), et Burimus decollatus. Preuves)tirées de la constance du plongement des couches pliocènes vers le !sud let de la persistance horizontale des assises quaternaires, qu'un des der- niers soulèvements de la chaîne de l'Atlas, ex cette partie de l'Afrique, date de la fin de l’époque plio- cène. XVI. — Catalogue des Mollusques terrestres et fluviatiles des environs de Paris à l’épo- que quaternaire. Paris, Imprimerie impériale, 1869. In-4 avec 3 pl. n. lithogr. Cet ouvrage, annexe du grand travail publié par l'ingénieur E. Belgrand, inspecteur général des Ponts et Chaussées, directeur des eaux et des égouts de la Ville de Paris, sur Le Bassin parisien aux ages préhis- toriques (3 vol. in-4°, dont 1 de planches et 1 de cartes), renferme les descriptions de soixante-seize Espèces fossiles recueillies dans les couches des hauts niveaux de la Seine (phase trizoïque). Ces soixante-seize Espèces fossiles, sur lesquelles trente terrestres et quarante-six fluviatiles, sont: les Vrrrixa antediluviana (spec. nov.); SuccineA putris, italica, Joinvillensis (spec. nov.); Zonrres Elephantium 09e (spec. nov.); Hecix nemoralis, arbustorum, lapicida, pulchella, costata, celtica (spec. nov.), Boucheriana, Lutetiana (spec. nov.), Belgrandi (spec. nov.), Du- mesniliana (spec. nov.), Ruchetiana (spec. nov.), dilu- vi, Radigueli {spec. nov.); Burimus montanus, Raya- nus, tridens; Ferussacra subeylindrica, CLausirra Joimvillensis (spec. nov.); Pura muscorum, palæa (spec. nov.); Carycnium tridentatum, PLaxorBis com- planatus, dubius, albus, Radigueli (spec. nov.); Lim- NÆA auricularia, Roujoui (spec. nov.); AncyLus simplex, gibbosus, antediluvianus (spec. nov.), Desnoyersi (spec. nov.); Cyccosroma elegans, subelegans (spec. nov.), Lutetianum (spec. nov.); Pomarras primœvus (spec. nov.); Byrinia tentaculata, archæa (spec. nov.); AmnicoLa primæva (spec. nov.), Radigueli (spec. nov.); BELGranDia (nov. gen.), Joinvillensis (spec. nov.), Des- noyersi (spec. nov.), Lartetiana {spec. nov.), archæa (spec. nov.), Deshayesiana (spec. nov.), Edwardsiana (spec. nov.), Dumesniliana (spec. nov.); Larteria (nov. gen.), Belgrandi (spec. nov.), Joinvillensis (spec. nov.), Radigueli (spec. nov.), Roujout (spec. nov.), Mabilli (spec. nov.), Sequanica (spec. nov.), Nouletiana (spec. nov.); Vazvara obtusa, piscinalis, Gaudryana, spiror- bis, minuta, planorbulina; Spaærium corneum; Pisr- pium amnicum, Casertanum, Vionianum (spec. nov.), pusillum, nitidum, Henslowianum, conicum, obtusale ; Uxio rhomboidens, Joinvillensis (spec. nov.), et Hip- potami (spec. nov.). D’après l'examen approfondi des caractères de ces fossiles, on reconnaît : 1° Que les couches où ont été recueillis ces fossiles ne sont pas des terrains de transport dus à de vio- lents courants, mais tout simplement des dépôts natu- rels d’un grand cours d’eau ; Re 2° Que le climat parisien était, à cette époque, d’une excessive humidité (300 jours au moins de temps cou- vert, humide ou pluvieux); 3 Que le froid et la chaleur n'étaient pas d’une grande intensité; que l'écart des températures estivale et hivernale était à peu près nul; que l’année devait s'écouler dans de longues alternatives de brouillards, de temps couvert ou de pluies fines et continues ; 4° Que les eaux de la Seine n'étaient pas torren- tielles ou fangeuses, mais que ce fleuve coulait assez limpide, à pleins bords, avec une vitesse moyenne peu supérieure à celle du fleuve actuel lors des crues hi- vernales ; 5° Que les rives du fleuve n'étaient pas boisées, mais dénudées, avec des plages et des coteaux pier- reux assez maigres en gazons, parsemés seulement çà et là de quelques buissons. Il existe une seconde édition de cet ouvrage publiée quelques années après la guerre franco-allemande, édition bien inférieure à la première, à celle qui, bien que datée de 1869, n’a, en réalité, paru qu’en 1870, peu de temps seulement avant le siège de Paris, et qui a été brûlée, lors de l’incendie de l'hôtel de ville de Paris, en mai 1871. Dans cette seconde édition, les planches de la partie malacologique, planches si soignées et si exactes dans l'édition originale, ont été complètement manquées. Confiées à un artiste sans talent, sans coup d'œil, ces planches sont une honte pour l'ouvrage. Les malaco- logistes sont priés de ne pas imputer à l’auteur la facture d'aussi mauvaises planches, que l’on a fait exécuter sans son autorisation. = re XVII. — Mollusques recueillis dans les mar- nes bleues des berges de la Saône, in : Md- connais préhistorique, par H. pe Ferry. Mâcon, impr. Protat, 1870. 1 vol. in-4 avec pl. Les Espèces des marnes bleues proviennent de l’af- fleurement supérieur des berges. SucciNEA putris, oblonga; Zoxires septentrionalis ; PLanorsis contor- tus, complanatus, vortex, Arcelini (spec. nov.), Cros- seanus, cristatus ; Limnœa Hartmanni, peregra, palus- tris ; Axcyzus lacustris ; Byrminra tentaculata; VaLvarTa piscinalis, obtusa, Arcelini (spec. nov.), spirorbis, minuta, planorbulina; NeririxA fluviatilis ; SpnæriuM corneum; Pisiprum Henslowianum, Casertanum, pu- sillum et nitidum. Les caractères de ces fossiles dénotent, pour l’é- poque où vivaient ces petites Espèces, une tempéra- ture assez froide, analogue à celle qui, de nos jours, règne en Suisse, dans la vallée d'Ander-Matt, au Saint-Gothard. XVIII. — Mollusques découverts dans une grotte près de Bagnères-de-Bigorre, in Note sur une grotte renfermant des restes hu- mains, par M. Émilien Frossarn. Bagnères-de- Bigorre, 1870. In-8 avec 1 pl. Les Espèces recueillies dans l’humus de cette grotte, en contact avec des débris humains et de nombreux ossements de Mammifères, accusent un climat plus humide et un peu plus froid que celui qui règne actuellement dans le pays. Ces Espèces sont les : Hecix nemoralis, hortensis; Zonires olivetorum: Cx- cLosroma elegans; Pomarias crassilabris et Frossardi (spec. nov.). ere XIX. — Coquilles fossiles terrestres et flu- viales trouvées dans les dépôts de phos- phorites du département du Tarn-et- Garonne, in : Mémoires des Sciences physiques et naturelles de Toulouse, 1874. Toulouse, impr. Douladoure, 1874. Br. in-8 avec 1 pl. Les dépôts de phosphate de chaux, connus sous le nom de phosphorites, du département du Tarn-et- Garonne, s'ils sont riches en ossements de Mammi- fères, sont, au contraire, d’une grande pauvreté en coquilles fossiles. C’est dans le dépôt de la Mandine que les quatre premières Espèces ont été découvertes. Ces espèces se composent de deux formes fluviatiles déjà connues, les Pranorsis cornu et Limnæœa ore- longo, et de deux formes terrestres inédites, une Hezrx Filholi (spec. nov.) et un grand Cyclostomidæ servant de type à un genre nouveau, le genre {schurostoma, dont les Espèces sont : Iscaurosroma Filholi (spec. nov.), formosum et Aquense. Ces Mollusques fossiles indiquent que le dépôt de la Mandine doit être rangé sur le même horizon que les calcaires de Villeneuve-la-Comtal et de Mas- Saintes-Puelles, dans l'Aude, calcaires que la plupart des paléontologistes placent à la partie supérieure du terrain éocène. XX. — Mollusques recueillis dans le tumulus du Plan de Nôve, in : Mémoire sur un tumulus de l’âge du bronze, situé au Plan de Nôve, près Vence. Cannes, impr. Vidal, 1874. Br. in-8. Les Espèces de Mollusques terrestres, découvertes dans le tumulus du Plan de Nôve, sont : TesraceLLA bisulcata ; Zonrres septentrionalis, Blauneri, Macea- — JD nus, stilpnus ({ spec. nov.), pseudohydatinus, dia- phanus; Herix nemoralis, Delacourti (spec. nov.), Nemesiana (spec. nov.), rotundata, obvoluta, rugo- siuscula; FEerussacia Bugesi; Pura quinquedentata, Blanci (spec. nov.), Ferrari; CæciL1ANELLA aciculoides ; Pomarrias patulus; Cycrosroma elegans et Lutetianum. Tous ces Mollusques sont des Espèces de la phase actuelle (ontozoïque), dont l’ensevelissement des plus anciens ne doit pas remonter au delà de douze cents à quinze cents ans avant Jésus-Christ. Le lieu où vivaient ces Mollusques n’a pas, depuis cetteépoque, subi de modifications au point de vue de l'aspect et du relief des collines ; 1l n’en a subi qu’une, c’est qu'au lieu d’être totalement dénudé, comme il l’est actuellement, 1l devait autrefois ressembler à un maquis, sans pour cela être bien ombragé. C’est ce qu'indique le mode de vie des Espèces trouvées dans le tumulus. XXI. — Description d’un genre nouveau de la craie chloritée de Vence, in : Mémorres de la Société des Sciences naturelles et historiques de Cannes et de l'arrondissement de Grasse. Cannes, impr. Vidal, 1876. Br. in-8 avec 1 pl. n. lithogr. Ce nouveau genre, établi sous le nom de Blancia, en l'honneur de M. Blanc, de Vence, appartient à la famille des Acteonidæ, d’Alcide d'Orbigny. L’Espèce décrite est la BLaxcra Maceana (spec. nov.). XXII. — Étude sur les fossiles tertiaires et quaternaires de la vallée de la Cettina en Dalmatie. Saint-Germain, impr. D. Bardin, 1880. 1 vol. in-8. ER Les nombreux fossiles de la vallée de la Cettina proviennent des grands ravins dénudés qui avoisinent, à l’ouest, la ville de Sin}, et des bords d’une source au fond d’un vallon, près de Ribaric. Ces fossiles appartiennent à deux niveaux géologiques différents : 1° à un niveau quaternaire relativement récent; 2° à un autre niveau pliocène. Les fossiles du premier niveau (Herix vulgarissima ; Buzmus detritus; CxcLosroma elegans et Lutetianum) sont terrestres; les autres du second niveau sont /lu- viatiles-operculés de l’ordre des Branchifères. Vivipara Neumayri, Pauloviciana (spec. nov.), Baja- montiana (spec. nov.); Byrminra Tripaloi (spec. nov), Farezi (spec. nov.), leptostoma (spec. nov.); Nema- TURELLA Sandriana (spec. nov.), lamellata (spec. nov.), Stossichiana (spec. nov.), Letourneuxi (spec. nov.) Aristidis (spec. nov.), Tripaloi (spec. nov.), com- munis (spec. nov.), Klecakiana, (spec. nov.), syrmica, producta (spec. nov.), Paulovici (spec. nov.) obesa (spec. nov.), pygmæa (spec. nov.) ; KzLEcakia (nov. gen.) Letourneuxi (spec. nov.); FossaruLus Letour- neuxi (spec. nov.), præclarus (spec. nov.), Brusinæ (spec. nov.), Tripaloi (spec. nov.), globulus (spec. nov }, Stachei, diadematus (spec. nov.); PROSOSTHENIA Tournoueri, Drobraciana ; PauLovicia (nov. gen.) Bourguignati (spec. nov.); Mecaxoprycnia Panciciana, dalmatina, acanthica, acanthicula (spee. nov.), pleu- roplagia (spec. nov.), lyrata, misera, inconstans, camptogramma, Lanzeana, pterochila, Mojsisoviesi (spec. nov.); Mecaxorsis Tripaloi (spec. nov.), Kleca- kiana (spec. nov.), Paulovici (spec. nov.); BurGErs- TEiNtA (nov. gen.), Neumayri; Garrcarporta Tripaloi 3 ONE (spec. nov.), Paulovici (spec. nov.), Calvertiana (spec. nov.), perobtusa (spec. nov.); CaLverrTia (nov. gen.) Letourneuxi (spec. nov.), Klecakiana (spec. nov.), Brusiniana (spec. nov.); PerrerriniA (nov. gen.) Le- tourneuxi (spec. nov.) ; SAINT-SIMONIA (nov. gen.) Le- tourneuxi (spec. nov.), birimata (spec. nov.); Tripa- LOIA (nov. gen.) Sinjana, platystoma et Letourneuxi (spec. nov.). D’après l’ensemble des caractères de ces fossiles, on reconnait qu'il devait exister autrefois un grand lac d’eau salée, ou du moins d’eau saumâtre, dans la partie supérieure de la vallée de la Cettina. XXIII — Monographie du nouveau genre Filholia. Saint-Germain, impr. Bardin, 1881. In-8 avec 1 pl. n. lithogr. Ce genre, dédié aux savants paléontologistes de Tou- louse, MM. Filhol père et fils, a été établi ! pour une grande coquille des calcaires éocènes de Villeneuve et de Mas-Saintes-Puelles, dans l’Aude. Cette coquille se- nestre de forme allongée, à tours serrés, très nombreux, à suture linéaire, à péristome continu et détaché, est caractérisée, en outre, par une columelle z#zunie d'une lamelle saillante qui se poursuit à l’intérieur jusqu’au sommet de l’axe; par un bord columellaire pourvu extérieurement, en regard de la fente ombilicale, d'un gros tubercule CONTOURNÉ EN TIRE-BOUCHON et formant saillie; par un bord pariétal (ou calus) détaché et s’infléchissant en forme de V, à la partie supérieure de l'ouverture. Deux Espèces connues, les FiLHoLra lævo-longa et subeylindrica. 1. Nominativement en 1877 (in : Bourguignat, Claus. viv. et foss. France [art. 2], p. 65. AC XXIV. — Histoire malacologique de la col- line de Sansan, précédée d’une notice géo- logique et suivie d'un aperçu climatolo- gique et topographique de Sansan, à l'époque des dépôts de cette colline. Paris, impr. Martinet, 1881. 1 vol. in-8 avec 2 cartes col. et 8 pl. n. lithogr. La colline de Sansan, qui renferme dans ses couches le plus riche dépôt d’ossements fossiles de France, se trouve située sur les bords du Gers, à 10 kilomètres au sud de la ville d'Auch. Les Mollusques fossilesde cette colline, au nombre de cent sept, sont les : Saxsaxra (nov. gen.) Larteti; TEsra- ceuLa Larteti, Nouleti (spec. nov.); Zoxites Ludovic, apneus (spec. nov.); Hezix atopa (spec. nov.), Ra- mondi, Ornezanensis, entela (spec. nov.), semna (spec. nov.), catagonia (spec. nov.), sterra (spec. nov.), polypleura (spec. nov.), euglypholena (spec. nov.) Leymeriana, Campanea (spec. nov.), eutrapela (spec. nov.), Larteti, Sansaniensis, Seissanica (spec. noy.), exæreta (spec. nov.), exochia (spec. nov.), sthenara (spec. nov.) strongillostoma (spec. nov. }, Lucharde- zensis, philoscia (spec. nov.), votiophila (spec. nov. É sciamoica (spec. nov.), Dicroceri (spec. nov.), Ambido- tina (spec. nov.) Laurillardiana, pleuradra (spec. nov.) dasypleura (spec. nov.), subpulchella, Barrer1i (spec. nov.), asthena(spec.nov.); Miixe-Enwarpsia Deshayesi (spec. nov.), Larteti, Barreri (spec. nov.); Purira Jratiana; Verrico Blainvilleana, Larteti, Nouletiana, Ludoviei (spec. nov.), Barreri (spec nov.), chydæa (spec. nov.), eucrina (spec. nov. ), tapeina (spec. nov.), necra (spec. nov.), cyclophora (spec. nov.), diver- sidens, Campanea (spec. nov.), Sansanica (spec. 5e nov.), læœmodonta (spec. nov.), callostoma (spec. nov.), codiolena (spec. nov.), Milne-Edwardsi (spec. nov.), bothriocheila (spec. nov.), ragia (spec. nov.), triodonta (spec. nov.), rhynchostoma (spec. nov.), onixiodon (spec. nov.), micronixia (spec. nov.); Cary- caium Nouleti, Milne-Edwardsi (spec. nov.), Larteti (spec. nov.), coloratum (spec. nov.); LimNæa terpna (spec. nov.), pachygaster, dilatata, sphærogyra (spec. nov.), Barreri (spec. nov.), combsella (spec. nov.), Larteti, Armaniacensis, turrita, Dupuyana, eumicra (spec. nov.), Secmenrina declivis, Milne-Edwardsi (spec. nov.), Larteti, Barreri (spec. nov.); PLanorsis goniobasis, solidus, telæus (spec. nov.), Sansaniensis, anabænus (spec. nov.), epagogus (spec. nov.), Du- puyanus, Rousianus, leptogyrus (spec. nov.), omalus (spec. nov.) gyreligmus (spec. nov.), Campaneus (spee. nov.), Goussardianus, Emyduum (spec. nov.), microstatus (spec. nov.), sphæriolænus (spec. nov.), lenapalus (spec. nov.), callistus (spec. nov. ); Cxcros- roma subpyrenaicum, Campaneum (spec. nov.) ; Me- LANIA aquitanica, Sansaniensis; Mecanopsis Kleini; Vazvara Larteti (spec. nov.); Unio Larteti. D'après les caractères spécifiques des fossiles ter- restres des dépôts de Sansan, dépôts que les géo- logues placent au milieu de la période miocène, la température moyenne du pays, à l’époque où vivaient ces Mollusques, dont les analogues ne se rencontrent plus que dans les pays chauds à climat sec, devait atteindre 20 à 21 degrés. De plus, d’après leur mode vital, les Espèces fluviales prouvent qu'il y avait, à cette époque, un lac peu profond (30 mètres au plus) à Sansan ; que ce lac était alimenté au moins par deux cours d’eau : une source aux eaux chargées de calcaire — 37 — et une rivière assez importante qui coulait là où se trouve actuellement la colline d’Ambidot; les bords du lac étaient marécageux, et de vastes prairies, basses, très herbacées, s’étendaient aux alentours ; dans le lointain, le sol était recouvert par des bois de Micocouliers (Celtis)!. 1. Les débris fossiles de ce végétal sont très nombreux dans les dépôts de Sansan. che. COTES MALACOLOGIE A.— OUVRAGES PÉRIODIQUES XXV. — Aménités malacologiques. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1853-1860. 2 vol. in-8, avec 45 pl. lith. Ces deux volumes, publiés par livraisons du mois d'août 1853 au mois d'avril 1860, renferment une série de quatre-vingt-cinq notices, dont un grand nombre sont de véritables Mémoires monographiques sur des genres nouveaux ou sur des groupes d'Espèces iné- dites. 1. Du cer Spaærium (Août 1853). — Le nom géné- rique de Sphærium, établi, en 1777, par Scopoli, était complètement oublié par les malacologistes, qui, à sa place, avaient adopté le nom inacceptable de Cyclas. C’est à partir de cette note rectificative que les savants rejetèrent l'appellation de Cyclas pour la remplacer par celle de Sphærium. IT. Nore sur LES SPHÉRIES FRANCAISES (Août 1853). — Note rectificative au sujet des dix Espèces de Sphé- ries de France publiées par M. l'abbé Dupuy, sous le nom de Cyclas. La Cyclas calyculata de l'ouvrage de l'abbé Dupuy est celle que Müller a fait connaitre, en 1774, sous l'appellation de Tellina lacustris. Or la Cyclas lacustris de Draparnaud (1805), qui est une Espèce différente, ne peut donc plus conserver ce nom de lacustris, parce que ce nom serait en double emploi. Cette Espèce devra prendre dorénavant le nom de Sphærium Deshayesianum. — 39 — III. Ixpex ou cenvre Senærium (Août 1853). — Liste de 216 appellations d'Espèces sous le nom de Cyclas, sur lesquelles 109 doivent être appliquées à des Sphærium, 51 à des Pisidium et 56 à des Corbicula, EÉricina, Mactra, etc. IV. Axcvzus Cnrrryi (Août 1853). — L'Espèce de la Jamaïque, désignée et figurée dans le Journal de con- chyliologie (1853, 1p: 175; pl. IV, f. 10), sous le nom d'Ancylus Petitianus, doit prendre dorénavant le nom d'Ancylus Chittyi (Adams). Y. Axcyzus Verreauxr (Août 1853). — Description d’un Ancyle nouveau du Cap de Bonne-Espérance, l'Ancylus Verreauxt, de la série des Ancylastrum. VI. Simee No (Août 1853). — Cette note, relative aux règles qui président à la nomenclature des noms spécifiques, enseigne les conditions dans lesquelles un nom propre doit être adjectivé ou doit être placé au génitif. VII. Meraxia Securi (Janvier 1854). — Sous le nom de Melania Seguri, description d’un Lithoglyphus du Danube, aux environs de Belgrade (Serbie). VIII. Herix BARGESIANA (Janvier 1854). — Des- cription de l’Helix Bargesiana, Espèce syrienne de la série des Xérophiliennes. IX. Du cexre Pisiprum (Janvier 1854). — Les carac- tères d’après lesquels les auteurs français ont établi leurs Pisidies, ne valent rien, parce qu'ils sont essentiellement protéiques; ainsi l'on ne peut se baser, pour la distinction des Espèces, pas plus sur l’'obliquité du sommet que sur la stabilité de la forme du tube siphonaire. Le seul caractère stable est celui de la charnière. T1) X. Pera er Eurera (Janvier 1854). — Les Pisidies peuvent être classées en deux grandes séries : 1° en Espèces possédant le ligament sur le plus petit côté ; 2° en Espèces l’offrant sur le plus grand. À la première série est appliquée la désignation de Pera, à la seconde celle d'Eupera. Cette seconde série a été depuis élevée au rang générique. XI. SimPze NoTe sur LE Mor Pisum (Janvier 1854). — Le mot Pisum, de Még. von Mühlfeldt, ne peut être appliqué aux Pisidium, mais doit passer en synonymie du genre Sphærium. XII, Des Pisinres Françaises (Février 1854). — His- torique, classification (en deux séries) et synonymie complète des Pisidies françaises au nombre de sept : Pisinrum amnicum, Casertanum, Recluzianum, niti- dum, pusillum et Henslowianum. XIII. Inpex pu Genre Pisipruu (Février 1854). — Liste de 127 appellations, sur lesquelles 55 sous le nom générique de Pisidium, et 72 sous les noms erronés de Cardium, Cordula, Cycelas, ete. XIV. Pura Gaupryi (Décembre 1854). — Descrip- tion du Pupa Gaudryi, Espèce nouvelle de liîle de Chypre, qui doit être classée dans le genre Chondrus. XV. Buzimus Rayraxus (Décembre 1854). — Des- cription, sous le nom de Bulimus KRayianus, d'une Espèce fossile des dépôts quaternaires de Canonville, près Vincennes, de la série du Chondrus tridens. XVI. Heuix 1naz1æ (Décembre 1854). — Hélice nou- velle de l’île de Chypre, de la série des trochlea. XVII. Nore sur LA NeriTa BouRGUIGNATI DE RECLUZ (Décembre 1854). — Les Nérites françaises, d’après Recluz, sont: deux marines { Nerrra viridis et Mato- niana ) et sept fluviales (Nerira fluviatilis, Mittreana, 1 — Prevostiana, thermalis, Bourouignati, Bœtica, Zebri- D ) le) Oo ? 2 na). Actuellement, les deux marines appartiennent au genre Smaragdia, les sept fluviales au genre Theodoxia. La Nerita Bourguignati, d'après les caractères re- ONE ? Ï connus par Recluz, est très distincte de la fluotatilis ; elle provient de plusieurs rivières de la Mayenne. XVIII. Espèce NOUVELLE pu GENRE Pisipirum (Décem- bre 1854). — Cette Espèce est le Pisidium Moquinia- num de l'Amérique méridionale, Espèce devenue le type du genre Eupera. XIX. NOUVELLE DISTRIBUTION DES SPHÉRIES FRANCAISES (Décembre 1854). — Les Espèces françaises, d’après leurs caractères, forment deux groupes bien distincts, celui des Cyrenastrum, qui a pour type le Sph. soli- dum, et celui des Sphæriastrum qui a pour repré- sentants toutes les autres Espèces. Ce dernier groupe lui-même se divise en Espèces à ligament apparent ou non apparent, et chacune de ces deux divisions se subdivise encore en Espèces à sommets arrondis ou caliculés, et à charnière à dents cardinales en V ren- versé ou non renversé. Les formes du groupe des Sphæriastrum sont les Spxærium rivicola, Scaldianum, Ryckholtn, Terverianum, Brochonianum, corneum, ovale ( olim Deshayesianum) et lacustre. XX. Sur LES GENRES CYRENA, SPHÆRIUM ET Pisipium (Décembre 1854). — Les genres Cyrena (nune Cor- bicula), Sphærium et Pisidium se divisent, d’après leurs caractères longuement définis dans le Mémoire, . chacun en deux groupes : les Cyrena, en Cyanocyclas et Pseudocyrena; les Sphærium, en Cyrenastrum et Sphæriastrum; les Pisidium, en Pera et Eupera. XXI. Du Genre GunpLacuia (Janvier 1855 ). — Ce genre singulier découvert dans les eaux vaseuses de En, l’île de Cuba, par le D' Gundlach, à qui il a été dédié, en 1849, par L. Pfeiffer, comprend une Espèce, la Gundlachia ancyliformis, caractérisée par une coquille ayant la forme d’un fourreau et offrant à son ouver- ture une dilatation ancyloïde s’épanouissant de tous côtés en éventail. XXIT. Du Genre Laria (Janvier 1855 ). — Le genre Latia a été établi, en 1849, par Gray, pour une petite coquille de la Nouvelle-Zélande possédant un test crépiduliforme, à sommet spiral dextre tout-à-fait pos- térieur, et caractérisée par une large ouverture, obstruée en arrière par une lamelle septiforme se prolongeant en avant, du côté dextre, en une lan- guette libre et contournée. XXIII. Du GENRE VALENCIENNIA (Janvier 1855). — Le genre Valenciennia, créé par Rousseau, en 1842, pour une très grande coquille fossile des couches ter- tiaires de Crimée, la Valenciennia annulata, a l’appa- rence d’un très grand Ancyle caractérisé postérieure- ment par un très fort sillon siphonarioïde. XXIV. RÉFLEXIONS SUR LES GENRES GUNDLACHIA, LATIA, VALENCIENNIA, SUIVIES DE LA DESCRIPTION DE L'AN- cyLus CuminGranus (Janvier 1855). — Les genres Gundlachia, Latia et Valenciennia doivent être considérés comme des genres Linmnéens et classés dans la famille des Ancylidæ. L'Ancylus Cumingianus (spec. nov.) de la Nouvelle-Hollande peut servir de trait d'union entre les Ancylus et les Espèces de ces genres. XXV. Moxocrapnie Du GENRE Daupsparpra (Juillet 1855). — Historique, critique et description du genre Daudebardia, qui doit être considéré comme faisant partie de la famille des Testacellidæ. Diagnoses et —— 3 — synonymies des DauneBarDra rufa, brevipes, Langi, Gaillardoti (spec. nov.) et Sauleyi. Depuis on a créé pour ces deux dernières Espèces le nouveau genre Libania (Bourg. 1867 ). XXVI. CrausicrA cyzinprELLIFoRMIS (Juillet 1855): — Description de cette belle Clausilie nouvelle de la chaîne du Liban. XXVII Uno Husri (Juillet 1855). Diagnose de l’'Unio Hueti (spec. nov. ), découvert en Arménie, dans les cours d’eau du haut Euphrate. XXVIII. Cycecosroma Gaizzarpori (Juillet 1855). — Cette Espèce, regardée à tort comme un Cyclostome, a été reconnue depuis pour être une Cleopatra buli- moides. XXIX. CarazoGuE DE COQUILLES RECUEILLIES EN Crimée er pans L'Empire orromax (Décembre 1855). — Les Espèces mentionnées ou décrites dans ce Mé- moire sont celles qui ont été recueillies en Crimée, pendant le siège de Sébastopol, ainsi qu'aux environs de Constantinople, de Gallipoli, ete., ou dans quel- ques îles de l’Archipel, par les chirurgiens militaires, les D" L. Raymond et Eugène Vesco. Herix lucorum, taurica, ligata, grisea, vulgaris, albescens, figulina, Vindobonensis, fruticum, fruti- cola, Erdeli, Corcyrensis, setosa, denudata, pellita, Nicosiana, consona, lanuginosa, carascalioides ( spec. nov.), ovularis, (spec. nov.), musicola (spec. nov. ), Olivieri, Rothi, syriaca, subobstructa (spec. nov.), Cruzyi (spec. nov.), carthusiana, turbinata, pisana, virgata. Cretica, lauta, maritima, ericetorum, Krynic- ki, neglecta, arenosa, instabilis, filimargo, Roseti, pyramidata, acuta; Burimus tauricus, detritus, subde- tritus (spec. nov.), pupa, obseurus, tridens, Tourne- ee fortianus, Levaillantianus { spec. nov.), microtragus, Raymondi (spec. nov.), gibber, seductilis, quatridens, bidens, subtilis et Raynevalianus (spec. nov.). XXX. Descriprions pes Succinea /ÉGypriaNA ET Ray- MONDI, SUIVIES DU RECENSEMENT DES ÂAMBRETTES DU CONTI- NENT AFRICAIN (Janvier 1856). — Descriptions des Succinea Æoyptiana d'Egypte et Raymondi (spec. nov.) de l'Algérie, suivies d’une liste diagnostique et synonymique des SucGINEA striata, exarata, patentis- sima, Delalandeï, africana (spec. nov.) du Cap et de Natal, et des Sucainea spurca de Libérie, concisa et helicoidea du Gabon, et des Sanctæ-Hlelenæ et picta de l'ile Sainte-Hélène, XXXI. Succixea Baupoxi (Janvier 1856). — Des- cription d’une petite Espèce suceinéenne du dépar- tement de l'Oise, sous le nom de Succinea Baudoni. XXXII. NOTE RELATIVE A LA SUCCINEA ELEGANS DE Risso (Janvier 1856). — La Succinée des Alpes-Mari- times, que M. l’abbé Dupuy, dans son Histoire des Mollusques de France, avait assimilée à la Succinea longiscata du Portugal, n’est pas cette Espèce, mais est la Succinea elesans de Risso (1826), Espèce à la- quelle Shuttleworth, en 1843, a appliqué, à tort, le nouveau nom de Corsica. XXXIIT. Hezrx Bronpezr (Janvier 1856). — Des- cription d’une nouvelle Hélice des environs de Mosta- ganem (Algérie). XXXIV. Gzanpina BronDezr (Janvier 1856). — Cette Glandina Brondeli (spec. nov.), des environs de Mostaganem, est une Espèce qui a été, depuis, clas- sée dans le genre Cœcilianella. XXXV. Limnœa NuBIGENA (Janvier 1856). — Des- cription d’une nouvelle Limnée du Mont Viso. nn — XXXVI. Paysa Fiscaerrana (Janvier 1856). — Dia- gnose d’une nouvelle Physe de l'Abyssinie. XXXVIT. Byrminia Gaizzarpori (Janvier 1856). XXXVIIT. Byrninia LonGiscara (Janvier 1856). XXXIX. Byrminia Moquinrana (Janvier 1856). XL. Byrminra Puronrana (Janvier 1856). Ces quatre Paludinidées nouvelles de Syrie et de Palestine ont, depuis, été classées dans les genres Bythinella, Amnicola et Paludestrina. XLI. Gzaxnixa Vescor (Janvier 1856). — Descrip- tion, sous le nom générique de Glandina, d’une nou- velle Espèce de Ferussacia. XLIT. MoxoGRraPHiEs DES ACÉPHALES FLUVIATILES DE L'Empire orromax (Février 1856), — Les Acéphales connus de l’Empire ottoman sont : Pisinrum Caserta- num ; SPHÆRIUM lacustre ; CyrENA fluminalis, crassula ; Axononra cygnæa, cellensis, oblonga, anatina, pisci- nalis, fuscata, rostrata; Unio Opperti (spec. nov.), Euphraticus, Sauleyi, Tripolitanus, Michonu, Hueti, Tigridis, Bagdadensis, Delesserti, batavus, Bruguie- rianus, Vescoi (spec. nov.), Schwerzenbachii (spec. nov.), Moquinianus, decipiens, decurvatus, Prusti (spec. nov.), pictorum, terminalis, littoralis; Dreis- SENA fluviatilis. XLIIT. NorE RELATIVE A L'HISTOIRE DE LA DREISSENA FLUVIATILIS (Février 1856). — Sous le nom de Mytilus polymorphus marinus et fluviatilis, Pallas a confondu, incontestablement, deux Espèces : une marine de la mer Caspienne, et une fluviale du Volga. En consé- quence, l’on doit attribuer à l’'Espèce marine le nom de Mytilus marinus, et à l’Espèce fluviale celui de Dreissena fluviatilis. L’appellation polymorphus doit être supprimée. 2 LEE XLIV. SuPPLÉMENT AUX ACÉPHALES FLUVIATILES DE L'Empire orroman (Mai 1856). — Descriptions de trois Unios nouveaux : les Uxio Grelloisianus, Lunulifer et Jordanicus. XLV. MoxoGraPiE DES PHYS$SES DU CONTINENT AFRI- caIN (Mai 1856). — Les Physes africaines sont : les Puysa Sauleyi (spec. nov.), Hemprichii, Brocchu, contorta, truncata (spec. nov.), Guerini, Raymon- diana (spec nov.), acuta, subopaca, Brondeli (spec. nov.), Canariensis (spec. nov.), Forskali, lamellosa, diaphana, tropica, Verreauxi (spec. nov.), Natalensis, cyrtonota (spec. nov.), Senegalensis, Schmidti, sca- laris, Fischeriana, Ludoviciana, Wahlbergi et Puys- opsis africana. XLVI. Descriprions DE DEUX BYTHINIES NOUVELLES, SUIVIES DU CATALOGUE DES PERISTOMACÉS DES RÉGIONS ORIENTO-MÉDITERRANÉENNES (Mai 1856). — Descriptions des Bythinia Verreauxiana (spec. nov.) de l'Égypte et Hebraica (spec. nov.) de Syrie; la première doit être classée dans le genre Cleopatra, la seconde dans le genre Bythinella. Les Péristomacés suivants sont ceux de l'Égypte et de l’Empire ottoman : Vivipara mamillata, unicolor; Byrminia badiella, bulimoides, Bizanthina, cyclosto- moides, elata, Gaillardoti, Goryi, Hawadieriana, lac- tea, longiscata, Moquiniana, natolica, Putoniana, rubens, Sauleyi et Sennaariensis. D’après les récentes classifications adoptées, ces Péristomacés doivent être répartis dans les genres Vivipara, Bythinia, Digy- reidum, Cleopatra, Bythinella, Amnicola et Palus- destrina. XLVIL Hezix crapnicorera (Mai 1856). — Descrip- tion d’une nouvelle Hélice de l’île de Milo. 7 — XLVIII. ZontrEes DE LA SECTION DEs CRYSTALLINES (Juin 1856). — Descriptions des Zoxires hydatinus, eudedalæus (spec. nov.), pseudohydatinus (spec. nov.), latebricola (spec. nov.), crystallinus, subterraneus (spec. nov.), Botteri et diaphanus. XLIX. MoxocraPHie DES FÉRUSSACIES ALGÉRIENNES (Juin 1856). — Le nom générique de Ferussacia, établi par Risso, en 1826, doit être adopté pour dis- tinguer toutes les petites Espèces g/andiniformes d'Eu- rope. Ces Espèces sont, pour l'Algérie, les Ferussacra procerula, eremiophila (spee. nov.), lamellifera, scia- phila (spec. nov.), ennychia (spee. nov.), Vescoi, For- besi (spec. nov.), debilis, scaptobia (spec. nov.), Ter- veri (spec. nov.), et subcylindrica. L. MonocraPHiE DU NOUVEAU GENRE CÆCILIANELLA (Juillet 1856). — MM. Férussac (père et fils) n’ont jamais connu, ni même soupçonné, ce genre. Il est impossible, dans leurs ouvrages, de trouver les mots cæcilioides, où cæcilia, cités une seule fois. MM. Fagot! et Berthier? ont publié d'excellents Mémoires critiques et historiques au sujet de la créa- tion de ce genre, Mémoires auxquels il est bon de se rapporter pour avoir l’exacte vérité sur l’établissement de cette coupe générique que de malveillants auteurs ont essayé de disputer au véritable inventeur, à l’au- teur des Aménités malacologiques. Ce genre, établi pour de très petits Mollusques aveugles, nocturnes, vivant sous terre, pourvus d'une coquille allongée, cylindrique, d’une délicatesse, d’une 1. Historique du genre Cæcilianella, in : Bull. Soc. malac. Fr:,.1V; 1857; p249° 2. À quel auteur attribuer la paternité du genre Cæcilianella, in : Bull. Soc. malac. Fr., IV, 1887,p. 59. — 498 = transparence, d’un poli remarquables, comprend les Espèces suivantes : CæciLiaxezLa Hohenwarthi{, aci- cula, anglica (spec. nov.), Liesvillei (spec. nov.), ra- phidia (spec. nov.), tumulorum (spec. nov.), Brondeli, subsaxana {spec. nov.), nanodea {spec. nov.), acicu- loides, miliaris, syriaca {spec. nov.), cylichna, nycte- lia (spec. nov.), producta, Grateloupi (spec. nov.). LT. MoxoGRAPHIE DU NOUVEAU GENRE ZospEuM (No- vembre 1856). — Ce nouveau genre, créé pour de petits Mollusques aveugles, vivant dans l’intérieur des cavernes et possédant un test pertigoide où cary- chioïde, a pour Espèces les formes suivantes : Zospeum spelæum, lautum, aglenum (spec. nov.), obesum, nyc- teum (spec. nov.), Schmidti, pulchellum, costatum, alpestre, nyctozoilum (spec. nov.), Frauenfeldi, amæ- num et Freyeri. LIT. Érune CRITIQUE SUR L'HELIX CODRINGTONI DE GRAY ET SUR QUELQUES Espèces voisines (Janvier 1857). — Historique, diagnose et synonymie de l'Herix Co- dringtoni de Grèce, suivis des descriptions des Hezix parnassia, eucineta {spec. nov.), eupæcilia (spec. nov.) et euchromia (spec. nov.), également de Grèce. LIIT. Hezix spnæriosroma (Janvier 1857). LIV. Heuix GrezLoist (Janvier 1857). — Descrip- tions de deux Hélices nouvelles : la sphæriostoma, du golfe de Volo (Thessalie); la Grelloisi, des îles de l’Archipel. LV. Zoxrres prizus (Janvier 1857). — Diagnose d’une Hyalinie (olim Zonites) des environs de Sébas- topol. LVI. Burimus Erisomus (Janvier 1857). 1. Cette Espèce sert maintenant de type au nouveau genre Hohenwarthia. — AD — LVITI. Burimus pseuporpisomus (Janvier 1857). Descriptions de deux Bulimes nouveaux de Pales- tine. LVIITL. Burumus Humserri (Janvier 1857).— Espèce nouvelle des environs de Sébastopol, du groupe Buli- mus obscurus. LIX. Pomarias Rayanus (Janvier 1857). — Descrip- tions d’une nouvelle Espèce de Pomatias du départe- ment de l’Aube, remarquable par la grande obliquité de son ouverture et par son dernier tour subcaréné. LX. Des CÆCILIANELLA ACICULOIDES ET AGLENA (Jan- vier 1857). — Descriptions des Cæcilianella acicu- loides du Nord de l'Italie, et de l’'aglena, forme nou- velle du département de l'Aube. LXI. Axcyzus Sazrer (Janvier 1857). — Diagnose d’un Ancyle nouveau de l'État de Vera-Cruz, au Mexique. LXIT. Uxio Gonrieri (Janvier 1857). — Caractères d’une forme nouvelle d'Unio provenant de la Tcher- naïa, en Crimée. LXIIT. Deuxième supPLÉMENT Aux Bivazves pe L'Eu- PIRE OTTOMAN (Janvier 1857). — Descriptions des Axoponra Vescoiana (spec. nov.), Uxio Churchillianus (spec. nov.), eucyphus (spec. nov.) et eucirrus (spec. nov. ). LXIV. MoxoGRAPHIE DU GENRE CarycHiuM (Mai 1857). — Historique, caractère du genre et descriptions des Carycemium minimum, tridentatum, striolatum (spec. nov.), gracile, Rayanum (spec. nov.), indicum, exi- guum, existelium (spec. nov.), euphœum (spec. nov.), minus, eumicrum (spec. nov.), nanodeum {spec. nov.), antiquum, episomum (spec. nov.), Nouleti (spec. nov,), vuloare. St — LXV. Heuix pscaurrensis pe Dusois (Décembre 1857). LXVT. Hezix comepnora (Décembre 1857). Descriptions d’une Hélice inédite d'Arménie, la Dschulfensis (Dubois, mss.), et d’une Hélice nouvelle de Grèce, la comephora. LXVII. MoxoGraPpHie DU GENRE BaLiA (Décembre 1857). — Historique, caractères génériques et des- criptions des Baria perversa, Pyrenaica (spec. nov.) Rayana (spec. nov.), Sarsit, Deshayesiana (spec. nov.), lucifuga (spec. nov.), Fischeriana (spec. nov.), Tris- tensis et ventricosa. LXVIIT. MoxocraPnie Du GENRE ÂAzeca (Décembre 1858). — Historique, caractères génériques et divi- sion des Espèces en quatre coupes sous-génériques : Azecastrum (type Az. tridens d'Europe), Alsobia (type Az. Paroliniana des Canaries), Agraulina (type Az. triticea des îles Madère) et Hypnophila (type Az. pupæformis des régions méditerranéennes). Les Espèces du genre Azeca sont les : Azeca tri- dens, Nouletiana, Paroliniana, triticea, oryza, tuber- culata, tornatellina, melampoides, mitriformis, pupæ- formis, Zacinthia, Emiliana (spec. nov.), cylindracea, incerta (spec. nov.), psathyrolena (spec. nov.). Depuis cette monographie, les coupes sous-géné- riques (Alsobia, Agraulina et Hypnophila) ont été élevées au rang générique. LXIX. Buuimes sÉNesrres pe Crimée (Janvier 1859). — Descriptions et synonymies des Burimus Cherso- nesicus, gibber, candelaris et phorcus (spec. nov.). LXX. NoTE MONOGRAPHIQUE SUR LE Burimus PsaARo- LENUS DES ENVIRONS DE Nice (Janvier 1859). — L’Es- pèce de Saorgio (Alpes-Maritimes), à laquelle on a attribué le nom de Bulimus cinereus, doit prendre 51 — Pappellation de psarolenus. Description de cette Espèce. On a reconnu depuis que ce Bulimus était un Pupa du groupe du Farinest. LXXI. Succrnea MEGaLOoNIxIA (Janvier 1859). — Description, sous ce nom, d’une Succinée nouvelle de Sicile. LXXII. SuPPLÉMENT A LA MONOGRAPHIE DU GENRE Carycaiu (Janvier 1859). — Descriptions des Cary- cHium d'Orbignyanum (spec. nov.), Deshayesianum (spec. nov.), et observations nouvelles sur quelques Espèces mentionnées dans la Monographie. LXXIII. Érupes sur LES PLANORBES EUROPÉENS vor- SINS DU COoRNEUS (Décembre 1859). — Descriptions des Praxorgis corneus, etrusceus, elophilus (spec. nov.), Nordenskioldi (spec. nov.), anthracius (spec. nov.), banaticus {spec. nov.) et adelosius (spec. nov.). LXXIV. PLanorBEs EUROPÉENS pu GRouPE pu Durouri (Décembre 1859). — Descriptions des PLaxorsis Me- tidjensis, Dufouri et aclopus (spec. nov... LXXV. Hezix armorniza (Décembre 1859). — Es- pèce nouvelle des montagnes des Abruzzes (Italie). Les Helix Tchihatchefi et aimophilopsis, des environs de Brousse (Anatolie), sont des formes voisines de celle des Abruzzes !. LXXVI. Hezix copra ( Décembre 1859). — Descrip- tion d’une Hélice nouvelle du Portugal. LXXVII. Norte RELATIVE AUX PARMACELLA VALENCIENNI ET Moquini (Décembre 1859). La Parmacelle des environs d'Arles, en Provence, que l’on avait assimilée à la Parm. Valencienni du Portugal, n’est pas cette 1. Villeserre, Esp. du gr. de l’Helix Aimophila, in : Bull. Soc. malac. Fr. II, 1885, p. 13. ANTON Espèce. Celle d'Arles diffère de celle du Portugal par de nombreux signes distinctifs différents; en consé- quence, cette soi-disant Parm. Valencienni française doit prendre le nom de Parmacella Moquini. LXXVIII. Limaces Des 11Es Manère ET TÉNÉRIFFE (Décembre 1859). — Sur les sept limaciens signalés dans ces îles, sous les dénominations d’Arion empiri- corum, de Limax antiquorum, variegatus, canariensis, carinatus, gagates et agrestris, quatre doivent perdre leur nom pour prendre des appellations différentes; ainsi le Limax antiquorum doit s'appeler abrostolus (spec. nov.); le variegatus, calendymus (spec. nov.); le carinatus, polyptielus (spec. nov.), et l’agrestis, drymonius (spec. nov.). LXXIX. ZoniTEs NOUVEAU DE LA SECTION DES CALcA- RINA (Décembre 1859). — Description du Zonites amphicyrtus (spec. nov.) de Syrie. LXXX. CATALOGUE DES ZONITES DE LA SECTION DES CaccariNa (Décembre 1859). — Liste synonymique de vingt-quatre Espèces, dont quelques-unes ont été, par erreur, comprises dans la série des Calcarina (Leucochroa de Beck). Les seules vraies Calcarines sont les Zonires Boissieri, candidissimus, propheta- rum, fimbriatus, beticus, Mayrani, argius (spec. nov.), Otthianus, piestus (spec. nov.), chionodiseus, cario- sulus, cariosus et amphicyrtus. LXXXTI. LETTRE AU DIRECTEUR pu MAGASIN DE z00- LOGIE AU SUJET D'UNE SINGULIÈRE APPRÉCIATION SCIENTI- rIQUE DE M. H. Drourr (Décembre 1859). — Recti- fication au sujet d’une ânerie de M. Drouet, de Troyes, qui avait pris une enveloppe de larve de Nevroptère pour une coquille du genre Valvata. 1. Nom de section proposé par Moquin-Tandon. D de LXXXII. Espèces pu croure DE L'HELIX ASPERSA (Février 1860). — Synonymie et descriptions des Herix Mazzulii et Quincayensis. LXXXIIT. Espèces EUROPÉENNES pu GROUPE Des Hezrx POMATIA, LIGATA, etc. (Février 1860). — Ces Espèces sont les Herix pomatia, onixiomicra (spec. nov.), tau- rica, Buchü, Schlæfli, lucorum, straminea, mahome- tana (spec. nov.), ligata, asemnis (spee. nov,), albes- dens, grisea, obtusalis, vulgaris, Pollini, Gussoneana, lutescens, Nordmanni, pathetica, philibensis, Engad- censis, pachya (spec. nov.), figulina, cavata, pycnia (spec. nov.), pomacella, cyrtolena (spec. nov.), mela- nostoma et nucula. LXXXIV. LImNœaA RAPHIDrA (Mars 1860). — Descrip- tion, sous ce nom, d’une Limnée nouvelle de Dalmatie de la série de la staonalis. LXXXV. SurpLémMENT AU GENRE Azeca (Mars 1860). — Descriptions des Azeca integra de Céphalonie (îles [oniennes) et Boissyi des Pyrénées francaises, Espèces de la section des Hypnophila. XXVI. — Spicilèges malacologiques. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1860-1862. 1 vol. in-8 avec 15 pl. lith. n. ou color. Ce volume, complément des Aménités malacologi- ques, publié par livraisons, de décembre 1860 à mars 1862, renferme les quinze Mémoires suivants, qui en faisant suite à ceux des Aménités, complètent la cen- turie. LXXXVI. MonocraPniE pu GENRE CHOANOMPHALUS (Décembre 1860). — Historique du genre. Descrip- tions des CHoanompnazus Maacki, amauronius ( spec. EEE nov.), et aorus (spec. nov.). Ce genre du lac Baïkal (Sibérie) doit être classé près du genre Planorbis. LXXXVII MoLrLusquEs DE LA FAMILLE DES PALUDINI- DÉES RECUEILLIS, JUSQU'A CE JOUR, EN SIBÉRIE ET SUR LE TERRITOIRE DE L'Amour (Décembre 1860). — Les Paludinidées de ces régions sont les Vivipara Ussu- riensis, prærosa, pachya (spec. nov.), elophila (spec, nov. }, chloantha (spec. nov.), Baicalensis; Byræinra Manchourica (spec. nov. ), striata, tentaculata, similis, Leachi, Angarensis, raphidia (spec. nov.) et aploa (spec:Mnov.'). LXXXVIII. Nores sur Divers LIMACIENS NOUVEAUX ou peu connus (Juin 1861). — Observations sur les Arioxs ater, rufus, albus; Limax cinereo-niger, ga- gates, Sowerbyi, marginatus, et descriptions des Limax nubigenus {spec.nov.), callichrous (spec. nov.), Doriæ (spec. nov.), Da Campi, psarus (spec. nov. ), Veranyanus (spec. nov.) etpycnoblennius (spec. nov.). LXXXIX. Limaces ALGÉRIENNES (Juillet 1861). — Historique critique des Limaciens signalés en Algérie par les auteurs et descriptions des Limax Deshayesi (spec. nov. ), Brondelianus (spec. nov.), eremiophilus (spec. nov.), Raymondianus (spec. nov.), gagates, nyctelius (spec. nov.), subsaxanus (spec. nov.) et scap- tobius (spec. nov. ). XC. MoNoOGRAPHIE DE LA PARMACELLA DEsHAYESst (Sep- tembre 1861). — Historique, synonymie, description de cette Parmacelle algérienne et anatomie de ses organes. XCI. NoricE MONOGRAPHIQUE SUR LES ESPÈCES VIVANTES ET FOSSILES DU GENRE TESTACELLA ( Décembre 1861 ). — Les Testacelles vivantes sont les TesracezLa Maugei, Companyoi, drymonia (spec. nov.), Fischeriana (spec Does nov.), bisulcata, Pecchioli (spec. nov.), scutulum, episcia, haliotidea, Brondeli ( spec. nov. ); les Espèces fossiles sont les TesraceczLa Deshayesi, asinina, Brun- toniana, Larteti, auriculata et haliotidea. XCIT. MoxoGrAPniE DU GENRE PyrGuLa ({ Décembre 1861). — Historique, caractères génériques et des- criptions des Pyreura helvetica, bicarinata et pyre- naica (spec. nov. ). XCIII. NoricE MONOGRAPHIQUE SUR LE GENRE GUNDLA- cniA (Janvier 1862). — Caractères du genre et descriptions des Guxpracura ancyliformis, Poeyi (spec. nov.) et adelosia ( spec. nov.). Ce genre, spécial à l’île de Cuba, appartient à la famille des Ancylidæ. XCIV. NoricE MONOGRAPHIQUE SUR LE NOUVEAU GENRE Pogyia (Janvier 1862). — Ce nouveau genre, égale- ment de l’île de Cuba, caractérisé par un test gundla- chiforme en dessus, ancyliforme en dessous, par un sommet excentrique, postérieur, dextre, aplati, comme écrasé, sans sommité appréciable et sans dépression apicale, ressemblant à un nucléus obtus de Gundla- chia, auquel manquerait la lamelle inférieure, par une ouverture occupant tout le développement infe- rieur de la coquille, par ses bords marginaux simples, aigus et moyennement évasés, etc., appartient à la famille des Ancylidæ. Une seule ‘Espèce connue, la Poeyia gundlachioïdes (spec. nov. ). XCV. NoTicE MONOGRAPHIQUE SUR LE NOUVEAU GENRE BronpeLtA ( Janvier 1862). — Les Espèces de ce nou- veau genre, découvert dans la forêt de l'Edough, près de Bône, en Algérie, ressemblent à des Ancylus, tout en s’en distinguant par leur sommet rétréci, mame- lonné, atrophié, intérieurement rempli, sans dépres- sion apicale, appliqué sur la partie postérieure du NE — test et muni d’une spire latérale sénestre. Les deux Brondelies connues {Brondelia Drouetiana et gibbosa (spec. nov.) sont des Mollusques qui vivent hors de l’eau, sur les rochers humides au voisinage des sour- ces; ils appartiennent également à la famille des An- cylidæ. XCVI. Limnée D'EuroPE DU GROUPE DE LA LIMNŒA sraGnaLis (Février 1862). — Ces Limnées sont les Liunæa stasnalis, borealis (spec. nov.). elophila (spec. nov.), raphidia, colpodia (spec. nov.) Doriana (spec. nov.), psilia (spec. nov.) et Tommaselln. XCVII. Norice SUR LES PALUDINIDÉES DE L'ALGÉRIE (Mars 1862). — Historique des Espèces, plus ou moins bien déterminées, signalées dans cette partie du Nord de l'Afrique, et descriptions des Hynroëra Peraudieri (spec. nov.), acerosa (spec. nov.), Bron- deli (spec. nov.), arenaria (spec. nov.), sordida, elachista ( spec. nov.), nana; Byrminia Leachi, similis, luteola, idria, Dupotetiana, pyenocheilia {spec. nov.), perforata (spec. nov.), desertorum (spec. nov. ), pyc- nolena (spec. nov. ), Letourneuxiana (spec. nov.) et seminium, XCVIIT. Norice sur Les Vivipara D’Europe (Mars 1862 ). — Historique critique des Paludinidées citées par les auteurs, et descriptions des Vivipara contecta, fasciata, pyramidalis, mamillata et acerosa (spec. nov. ). XCIX. ViviparA STELMAPHORA ET BYTHINIA CODIA (Mars 1862). — Descriptions de la Vivipara stelma- phora (spee. nov.) de Chine et de la Bythinia codia (spec. nov.) d'Italie. C. ÉTUDE sYNONYMIQUE SUR LE GENRE AncyLus (Mars 1862). — Cette étude est une véritable monographie, — 0) 7/0 la plus complète qui ait jamais été publiée sur ce b P J I genre si difficile. Elle comprend un historique eri- tique du genre, une exposition des caractères géné- Si $ ’ l 5 riques, une division raisonnée des Ancylus en Ancy- lastrum et en Velletia, un exposé des caractères dis- tinctifs des Espèces, une distribution géographique des formes, enfin la synonymie et la description de tous les Ancyles connus par ordre gécogra- phique. AncyLasrrum. | Europe] AxcyLus simplex (avec ses variétés : B, meridionalis, C, costatus, D, radiolatus, E, striatus, F, obtusus, G, compressus, H, fluviatilis, I, margaritaceus, J, rupicola, K, Fabræi, L, labrosus, M, albus, N, sinuosus, O, Frayssianus, et P, bire- exus), Deshayesianus, strigatus, riparius, Jani, cos- 0 J ) 5 » l'IP ) » tulatus, strictus, Tiberianus (spec. nov.), striatus, pileolus, Tinei, Benoitianus (spec. nov.), gibbosus Le (spec. nov.), obtusus, Moreleti, vitraceus, Cyclostoma, deperditus, Orbignyanus, marginatus, compressus, Brauni, Mattiacus, latus; — | Afrique | Axcyzus caffer ? } ? I ? Verreauxi, aduncus, Raymondi, Peraudieri ( spec. 1 ? à: ? P nov.), caliculatus (spec. nov.), platylenus (spec. nov.), Brondeli (spec. nov.), epipedus (spec. nov. ); — [Asie] Axcyzus sibericus, Baconi, verruca, tenuis; y ? ,} ) — [Océanie] Axcyzus Cumingianus; — [Amérique] Axcyzus concentricus, Barilensis, culicoides, plæarius (spec. nov.), Moricaudi, aorus (spec. nov.), Charpen- tierianus, plagioxus (spec. nov.), Sauleyanus, obli- ? D Ï ) 3 ) quus, Chittyi, radiatus, pallidus, irroratus, Havanen- nis, adelinus {spec. nov.) radiatilis, Pfeifferi ( spec. nov.), Beaui, parasitans, Sallei, complanatus { spec. 2 1 2 Ï P nov.), patelloides, Newberryi, rivularis, elatior, filo- sus, fuscus, crassus, tardus, Nuttali, obseurus, calca- rius, Haldemani, parallelus, diaphanus. = Verzeria. — [| Europe]. Axcyrus lacustris, Moqui- nianus, elegans, decussatus, Matheront et depressus. XXVII. — Mollusques nouveaux, litigieux ou peu connus. Paris, impr. Bouchard-Huzard. Première centurie. 1 vol. in-8 avec 45 pl. lith.,n. ou color. etavec fig. anatomiques intercalées dans le texte, publiée en 10 livraisons ou décades de mars 1863 à décembre 1868. Deuxième centurie (inachevée). Décades x1 et x11 seulement (jan- vier 1870) avec 4 pl. n. lith. / Les décades xx, XIV, xv et xvi1 avec 12 pl. n. lithogr. qui devaient paraitre en novembre-décembre 1870 et janvier 1871 ont été détruites pendant les luttes de la Commune en mat 1871.) Ces nouveaux Mémoires, qui font suite aux Aménités et aux Spicilèges, se composent de douze décades. Ces décades ont été suspendues à l’époque où l’auteur prit la résolution de quitter la capitale, afin de mettre, autant que possible, ses collections, sa bibliothèque et ce qui lui restait de ses publications échappées à l'incendie, hors de la portée des luttes d’une nouvelle Commune. Les douze décades, les seules parues, puisque les autres n’ont jamais été rééditées, contiennent les descriptions de plus de cent vingt Espèces nouvelles ou litigieuses et plusieurs Mémoires fort étendus sur l'histoire, la classification, la répartition ou l’anatomie de différents groupes d'Espèces. j PREMIÈRE DÉCADE (mars 1863). In-8, 4 pl. n. lith. 1. Helix embia (spec. nov.). Algérie. 2. — Burini (spec. nov.). Algérie. 3. — Dastuguei (spec. nov.). Alwérie. Ut . Helix Bonduelliana {spec. nov.). Algérie. astela (spec. nov.). Espagne. Aucapitainiana (spec. nov.). Alzérie. nilotica (spec. nov.). Egypte. Genezarethana (Mousson, 1861). Syrie. . Clausilia cedretorum (spec. nov.). Syrie. Raymondi {spec. nov.). Syrie. v “ DEUXIÈME DÉCADE (mai 4863). In-8, 3 pl. lith, n. color. 11. Limax Companyoi {spec. nov.). France, 12. Helix pygmæa (Draparnaud, 1801). France. 185 14, 15° 16° 19: Massoti (spec. nov.). France. micropleuros (Paget, 1854). France. elachia (spec. nov.). France. Espèce suivie de la liste des formes du groupe de l’Helix pygmæa, réparties en deux séries, en Es- pèces à test lisse (H. Debeauxiana, pyg- mæa, Aucapitainiana et Massoti) ou en Espèces à test lamellé (H. #icropleuros, elachia et Poupilliert). Berytensis (Ferussac, 1821), Espèce de Syrie qu'il ne faut pas confondre avec l’Helix rachioidia (spec. nov.), forme de Carie, nommée par erreur H. granulata par Roth, 1839 /(non H. granulata Quoy et Gaimard, 1832). Fourousi (spec. nov.). Syrie. Forme dis- tincte, du même groupe que les deux précédentes. Arrouxi (spec. nov.). Syrie. Colliniana (spec. nov.). Suède. 20. Pupa Raymondi (spec. nov.). Syrie. — (000 TROISIÈME DÉCADE (décembre 1863). In-8, 4 pl. n. lith. 21. 22. 23. 24. 25. 26. 27: 28. 29. 20: Zonites Lawleyanus (spec. nov.). Italie. Helix Lavandulæ (spec. nov.). France. — — Mogadorensis (spec. nov.). Maroc. tuberculosa (Conrad, 1825). Syrie. philammia (spec. nov.). Égypte. ptychodia (spec. nov.). Égypte. Ledereri (Pfeiffer, 1856). Syrie, Egypte. Davidiana (spec. nov.). Syrie. Pupa eudolicha (spec. nov.). France. Ampullaria Raymondi (spec. nov.). Espèce égyp- tienne, suivie d’une liste synonymique et critique des Ampullaria Wernei, Kordo- fana, ovata, lucida, nilotica et Bolteniana. QUATRIÈME DÉCADE (mai 1864). In-8, 8 pl. n. lith. 31. Helix chilembia (spec. nov.). Égypte. 32; D. 34. 55: 36. — Kurdistana (spec. nov.). Kurdistan. Michoniana (spec. nov.). Kurdistan et Diarbékir. guttata (Olivier, 1804). Diarbékir. Cæsareana (Bossier, 1847 ). Syrie, avec ses variétés : »ana, carinata, albidula, glo- bulosa, convexa. spiriplana (Olivier, 1801), Syrie, avec ses variétés : Maxima, carinata, globulosa, lithophaga de Conrad, suivies d’une Étude historique et critique de toutes les Hélices de ce groupe, réparties en deux séries : en Espèces dont les tours supérieurs sont convexes et non carénés (H. Kur- distana, Dschulfensis, Michoniana, gut- tata, Escheriana[Mousson; Espèce décrite 2. Qh 2 à nouveau | et Bellardii | Mousson |) et en Espèces dont les tours supérieurs sont toujours fortement carénés (M. Cæsareana et spiriplana) 37. Ferussacia Rothi (spec. nov.). Palestine. 38. — Moussoniana {spec. nov.). Palestine. 39. — Saulcyi (spec. nov.). Palestine. 40. — Michoniana {spec. nov.). Palestine. L'ensemble des Ferussacies syriennes connues à cette époque est dehuit Espèces (Fer. Hierosolymarum, Rothi, Moussoniana, Sauleyi, syriaca, Michoniana, Berytensis et Judaica). Sur ces huit Espèces les cinq premières composent actuellement le nouveau genre Calaxis (Bourg., 1882) et les trois dernières sont clas- sées dans le genre Hohenwarthia ( Bourg., 1884). Cet apercu sur l’ensemble des Férussacies syriennes est suivi d’un historique du genre, d’un exposé des caractères génériques et d’un index synonymique de toutes les formes, réparties en deux grandes sections : en Zua (4 Espèces) et en £uferussacia; cette seconde section est subdivisée en Folliculiana (14 Espèces), en Proceruliana (23 Espèces) et en Aohenwarthiana (10 Espèces). Ce dernier nom a été depuis élevé au rang générique. Les Espèces de l’index sont les Ferussacra subeylin- drica, Maderensis, azorica, exigua, folliculus, regu- laris, amauronia, nitidissima, Forbesi, terebella, am- blya, Gronoviana, Vescoi, proechia, gracilis, vitrea, aphelina (spec. nov.), abromia {spec. nov.), Webbi, eremophila, carnea, agræcia, lamellifera, Hierosoly- marum, Charopia, Rothi, Moussoniana, Saulcyi, sy- riaca, Tandoniana, ovuliformis, Leacociana, sciaphila, celosia, ennychia, debilis, scaptobia, gracilenta, Ter- veri, abia, Hohenwarthi, psilia (spec. nov.), Micho- niana, Berytensis}(spec. nov.), Judaica, Biondina, Rizzeana, eucharista, Bourguignatiana, thamnophila. CINQUIÈME DÉCADE (novembre 1865). 1In-8,9 pl. lith.n.etcolor. 41. 42. 43. 44. 45. 46. 47. 48. 49. 50. Unio Rothi {spec. nov.). Syrie. — umbonatus (Rossmæssler, 1854). Espagne. subreniformis (spec. nov.). Espagne. Penchinatianus (spec. nov.). Espagne. Valentinus (Rossmæssler, 1854). Espagne. Hispanus(Moquin-Tandon, 1844). Espagne. Graellsianus (spec. nov.). Espagne. Courquinianus (spec. nov.). Espagne. Aleroni (CompanyoetMassot, 1845). France et Espagne. Anodonta melinia (spec. nov.). Espagne. Les Acéphales connus du centre hispanique, qui comprend les régions du Nord de l'Afrique, sont les Uxio sinuatus, umbonatus, rhomboideus, subreni- formis, Penchinatianus, batavus, Durieui, Letour- neuxi, Graellsianus, Hispanus, valentinus, tristis !, dactylus, mucidus, pictorum, Requieni, Ravoisiert, Moreleti, Courquinianus, Aleroni; Marcarirana mar- garitifera; Anoponra cygnæa, embia, Lucasi, regularis, macilenta, anatina, Tunizana, Lusitana, piscinalis, melinia, Ranarum, numidica, Letourneuxi. Quant à l'Unio Wolwichi (Morelet), décrite comme Espèce 2 2 .} pen portugaise, c’est une forme de l'Amérique du Sud. SIXIÈME DÉCADE (janvier 4866). In-8, 3 pl. lith. n. et color. 51. Arion Mabillianus (spec. nov.). France. 52. tenellus (Drouët, 1855). France. anthracius (spec. nov.). France. 1. Cette Espèce est une Margaritana. 54. 10: 56. 02: 58. DE 60. The Helix Paladilhi (spec. nov.). France. Ferussacia Moitessieri (spec. nov.). France. — Bugesi (spec. nov.). France. — Paladilhi (spec. nov.). France. Hydrobia Moitessieri (spec. nov.). France. Paladilhia Masclaryana (spec. nov.). France. Anodonta elachista (spec. nov.). France. SEPTIÈME DÉCADE ( février 1866). In-8, 3 pl. lith. n. ou color. 61. 62. 65: 64. 65. 66. 67. 68. 69. 70. Letourneuxia numidica (spec. nov.), Algérie, suivie des caractères du nouveau genre Letourneuxia. Limax xanthius (spec. nov.). Allemagne. Krynickillus eustrictus (spec. nov.). Syrie. Milax baripus (spec. nov.). Syrie. Daudebardia Letourneuxi (spec. nov.). Aloérie. Zonites Pazi (spec. nov.). Espagne. Ancylus Isseli (spec. nov.). Egypte. Pomatias Letourneuxi (spec. nov.). Algérie. Hydrobia Reboudi (spec. nov.). Algérie. Unio Maccarthyanus (spec. nov.). Algérie. HUITIÈME DÉCADE (décembre 1867). In-8, avec fig. anatom. SA 72: 213% 74. 75, 76. intercalées dans le texte et 4 pl. n. lith. Zonites eurabdotus (spec. nov.). Algérie. — Blidahensis (spec. nov.). Algérie. — Pomelianus (spec. nov.). Algérie. Helix apalolena (spec. nov.), France et Espagne, suivie de la description des appareils reproducteurs des Helix apalolena, lactea et punctata. — Jourdaniana (spec. nov.). Algérie. — thayaca(spec. nov.). Algérie. (Cette Espèce est une Leucochroa.) to — I 7 78. — Dussertiana (spec nov.). Alcérie. . Helix Rokniaca (spec. nov.). Algérie. 79. — Vatonniana (spec. nov.). Algérie. 80. Ferussacia cirtana (spec. nov.). Alwérie. NEUVIÈME DÉCADE (septembre 1868). In-8, # pl. n. lith. 81. Zonites Isserieus (spec. nov.). Alverie. 82. Helix Faidherbiana (spec. nov.). Algérie. 83. — Djebbarica (spec. nov.). Algérie. 84. — ‘Tlemcenensis (spec. nov.). Algérie. 85. Ferussacia Oranensis (spec. nov.). Algérie. 86. — diodonta (spec. nov.). Algérie. 87. Clausilia Davidiana (spec. nov.). Syrie. 88. — prophetarum (spec.nov.). Syrie. Les Clausi- lies syriennes peuvent être réparties en cinqséries : (C/ausiliæ carinatæ), CLAUSILIA bicarinata, bitorquata, cedretorum, Mely- cotti, galeata; (C/. cærulescentes) Bois- sieri, birugata, cylindrelliformis, flumna, Zelebori; (CL. vesicantes) Colbeauiana, Delesserti, Gaudryi(spec.nov.), vesicalis, fauciata, Bargesi (spec. nov.) ; (CL. striatæ) Albersi, judaica (spec. nov.), Dutaillyana (spec. nov.), phæniciaca (spec. nov.), Genezarethana, porrecta, Raymondi, He- denborgi, strangulata, sancta(spec.nov.), Davidiana, prophetarum; (C7. denticu- latæ) oxystoma, mæsla, Hierosolymitana (spec. nov.), Sauleyi et corpulenta; enfin une espèce douteuse, la Clausilia tuba- paradis. 89, Pomatias atlanticus (spec. nov.). Alvérie. 90. Melanopsis Penchinati (spec. nov.). Espagne. 65 DIXIÈME DÉCADE (décembre 1868). In-8, 4 pl. n. lith. 91. Helix Paretiana (Issel, 1867), Espèce fossile et 96. — 97. — sub-fossile des dépôts modernes de la Ligurie et des Alpes-Maritimes. Brocardiana (Dutailly, 1867). Corse. Cyrniaca (Dutailly, 1867). Corse. Barcinensis (spec. nov.). Espagne. Penchinati (spec. nov.). Espagne. Rouviertana (spec. nov.). Alvérie. spiroxia (spec. nov.). Syrie. 98. Ferussacia microxia (spec. nov.). Algérie. 99. Cyrena Saulcyi (spec. nov.). Syrie. v 100. Unio mauritanicus (spec. nov.). Algérie. ONZIÈME DÉCADE (janvier 1870). In-8, 2 pl. n. lith. 101. Daudebardia nubigena {spec. nov.). Algérie. 1027 — atlantica (spec. nov.). Algérie. 103. Zonites septentrionalis (spec. nov.). France. 104. — 105. — Farinesianus (spec. nov.). France et Es- pagne. navarricus (spec. nov. ). France et Espagne. 106. Helix schlærotricha (spec. nov.). Algérie. 107. — 108. — 109. — Simoniana (spec. nov.). France, suivie de la liste synonymique des Hélices pyg- méennes; Herix micropleuros, elachia, Poupillieri, Servaini (spec. nov.), De- beauxiana, pygmæa, Aucapitainiana, Massoti, Letessieriana (spec. nov.) et Simoniana. Martorelli (spec. nov.). Espagne. Tenietensis (spec. nov.). Algérie. 110. Planorbis Mabilli {spce. nov.). France. Te ve DOUZIÈME DÉCADE (février 1870 ). In-8, 2 pl. n. lith. 111. 112: 119, 114. 115 116. 117: 118. LES, 120. Zonites catoleius (spec. nov). Egypte. / OV Durandoïanus (spec. nov.). Algérie. pictonicus (spec. nov.). France. Courquini (spec. nov.). Espagne. Jacetanicus (spec. nov.). Espagne. Helix Laurent: (spec. nov.). Espagne. Henoniana (spec. nov. ). Algérie. Ç Limnæa Martorelli (spec. nov.). Espagne. Valvata Coronadoi (spec. nov.). Espagne. Sphærium Hispanicum (spec. nov.). Espagne. XXVIII. — Species novissimæ molluscorumin Europæo systemati detectæ, notis diagnos- ticis succinctis breviter descriptæ. Lutetiæ. exc. Bouchard-Huzard, vidua, in-8. Première centurie, juillet 1876; deuxième cen- turie, juillet 1878. Ces Species, qui font suite aux douze décades des Mollusques nouveaux, litigieux ou peu connus, publiées à petit nombre (25 exemplaires), dans le seul but de prendre date, comprennent les diagnoses de deux cents Espèces nouvelles, parmi lesquelles se trouvent repro- duites celles des Formes qui avaient été décrites dans les décades XIII, XIV, XV et XVI, décades détruites sous la Commune en mai 1871. IE d. L, 1. Bulimus spirectinus, Sy- rie. . Bulimus thaumastus, Sy- rie, Bulimus exochus, Syrie. Bulimus Lamprostatus, Syrie, . Bulimus exacastoma, Sy- rie. . Bulimus therinus, Syrie. . Bulimus Courtieri, id. . Bulimus Fourousi, id, Bulimus dispistus, id. Bulimus Calverti,Rhodes, 11 . 14. 49; 30. 51. : Te Bulimus rembus, Cri- mée. Bulimns petrophius, Cri- mée, Bulimus Cruzyi, Crimée. Bulimus lenomphalus, Crimée. Bulimus theodosianus, Crimée. Bulimus leptolenus, Cri- mée, Bulimus bulgaricus, Bul- garie. Bulimus bæoticus, Grèce. Bulimus cadmeanus, id. Bulimus Heliconus, id. Bulimus tetragonostoma, Bulgarie. Bulimus subcarneolus, Bosphore. Bulimus euryomphalus 1, Algérie. Bulimus chareius, Algé- rie, Bulimus Lhotellerii, Al- gérie. Bulimus Sabæanus, Ara- bie. Bulimus Ducoureti, Ara- bie, Bulimus Soleilleti, Sa- hara. Bulimus, Maharasicus, Arabie. Bulimus euphraticus, Mé- sopotamie. Bulimus Marebicensis, Arabie, 32. Bulimus Kursiensis, Ara- bie, 33. Bulimus Reboudi, Algé- rie. 34. Clausilia Perinni, Algé- rie. 25. Clausilia Hispanica, Es- pagne. 36. Clausilia Lusitanica, Por- tugal. 37. Clausilia Courquiniana, Espagne, 38. Clausilia Penchinati, Es- pagne et France, 39, Carychium melanostoma, Algérie, 40, Férussacia Letourneuxi, Algérie. 41, Ferussacia eulissa, Al- gérie, 42, Ferussacia subgracilen- ta, Algérie. Helix Gallandi, Rhodes, Clausilia Gallandi, id. Vitrina striata, France, Vitrina Penchinati, Py- rénées, Helix Andorrica, Pyré- nées. 48. 49, Helix Doumeti, Tunisie. Helix hyperconica, Al- gérie. 90. Helix tellica, Algérie. 1. — chthamatolena, id, 2. Helix syrosina, pel (Syra). 53. Helix melosina, Archipel ( Milo }, ç nm. D 5 Archi- Melius callomphalus, Bourguignat (non, Bul. euryompha- lus, de Jonas,184:, Espèce du Vénézuéla. , P OX O1 Or Où ex D 1 Où sie [A mr Helix pleurischura, Sicile. Helix chonomphala, id. Helix Soleilleti, Sahara. Helix Hierica, Sicile. Helix Hariotiana , Ba- léares, Helix eugoniostoma, Ar- chipel ( Syra ). Helix Darolli, Algérie. id, Helix Hellenica, Grèce. Helix Guimeti, Égypte. Helix Arménie. Helix straminiformis, Ita- Helix Djarica, Schahbulakensis, lie. Helix equitum, Rhodes. Helix Luynesiana, Sy- rie. Helix dichromolena, Ita- lie. Helix Interamnensis, Ita- lie, Helix Giuliæ, Malte. Helix melanonixia, Al- gérie. Peringia helvetica, Suis- se. Peringia Letourneuxi, France. Peringia pyramidalis, Al- gérie. Peringia Mabilli, Algérie. Peringia cyclolabris, id. Peringia Reboudi, id. Peringia Nansoutyana, France. Peringia Perrieriana, France. Peringia microstoma , France. 81. 86. 87. 88. 97e 98. DRE 100. 101. 102. Peringia micropleuros, France. Peringia tumida, Algérie. Paludestrina Mabilli, France. Paludestrina Saint-Simo=- niana, France, Milne-Ed- wardsiana, France. Paludestrina Paludestrina eucyphogy- ra, France. Paludestrina acutalis , France. Paludestrina Sancti-Coul- bani, France. Paludestrina paludinelli- formis, France. Paludestrina aciculina, France. Paludestrina elegantis- sima, Algérie. Paludestrina gracillima, France, Paludestrina Moitessieri, France. Paludestrina spiroxia, France. Paludestrina soluta, France. Paludestrina euryompha- lus, France. Paludestrina arenarum France. Paludestrina Narbonen- sis, France, Paludestrina leneumi- cra, France. Helix catharolena, Algé- rie. Helix Toukriana, Algérie. id, Helix catodonta. 103. 104. 105. 105. 107: 108 109. 110. 111. 112, 413. 11%, 115. 116. 117: 118. 119: 120: 121, 122. 123. 124. 125. 126. 127. 128. 129. 130. — O0 Helix Lucetumensis, Es- pagne, Algérie. Helix acanonica. Algérie, Helix Berthieri, id, Helix axia, Algérie, Ma- roc, Espagne, Helix galena, Espagne. Helix eugastora, Algérie, Espagne. Helix sphæromorpha, Al- gérie, Maroc. Helix Margucrittei, Al- gérie. Helix pagne, Algérie, simocheilia, Es- Helix Baudotiana, Alwé- rie. Helix heliophila, Algérie. Helix chydopsis, Maroc, Helix mea, Algérie. Helix romalea, Sahara, Algérie. Helix surrodonta, Saha- ra, Algérie. Helix stereodonta, Saha- ra, Algérie. Helix Seignettei, Sahara, Algérie. Helix Mattarica, Maroc. Helix nitefacta, Tunisie, Algérie. Helix takredica, Helixlamprimathia, id. Helix sticta, id. Helix azorella, id, Maroc. Helixeustrapa, Baléares. Helix Raymondopsis, Ma- roc. Maroc. Helix Graellopsis, id, Helix plæsia, Helixmenobana,Espagne. 1510 132: 133. 134. 195% 156. 37. 155. 139. 140. + => OUR EEE D æ © © OO 1] EE _ Qt & CO D > 153. . Helix Separica, . Acme Adamii, . Sphyradium Adamii, id. . Chondrus Helix Mosellica, France. Helix Aubianiana, id. Helix Lemonica, id. Helix Dumorum, id. Helix Lycina, Syrie. Ielix chersonesica, Cri- mée, Helix Phygaliæ, Grèce. Helix Mehadiæ, Banat. Helixlepidophora,France Helix Rusinica, France, Espagne. France. . Helix Nemetuna, id. . Helix Buxetorum, id. . Pomatias Pinianus, Italie. Sicile, Eupleurus, — mégotius, id. — Monterosati, id. babiolenus, id. Aradasi, id. Italie. . Orcula scyphoiïdæa, Ana- tolie. Orcula turcica, Archipel { Santorin }). Orcula hellenica, Grèce. Mabilliana, id. Syrie. — rapala, — desertorum, id. — pyrgula, id, — helvetica, Suisse. Chondrus mauritanicus, Alcérie. Chondrus Lhoteilerii, Egypte. Innesianus, Egypte. Chondrus Letourneuxi, Egypte. Chondrus Egypte. 165. Chondrus Anatolie. 16%. subtricuspis, Olympicus , 166. Chondrus Prusaensis, Anatolie. 167, Chondrus oresigenus, Syrie. 168. Chondrus sphæroideus, Syrie. 169. Chondrusanisodus, Syrie 170, acheilus, id. 171. — prionotus,Anatolie. 172. — chrestus, Syrie, 1473. — Gauthieri, id. 174. — mesus, id. 175. — Bargesi. id. 116. — adrus, id. 177. — prostoma, id, 178, — compsus, id. 179. — lenichnus, id. 180. Planorbula ægyptiaca, Égypte. 181, Planorbula Egypte. calliodon , 152. Planorbulaodontostoma, Egypte. . Planorbula chauliodon; Égypte. . Planorbula Letourneuxi, Egypte. . Planorbula microstoma, Égypte. Planorbula diodonta , Égypte. Planorbula Tanousi , Égypte. . Planorbula Chambardia- na, Egypte. Planorbula Calvertiana, Égypte. Planorbula Cleopatræ , Égypte. Valvata syriaca, Syrie. — judaica, id, 1 hothi, Egypte, — Letourneuxi, id. — ægyptiaca, id, — callista, id. — planulata, id. Melanopsis Letourneuxi, Egypte. Chondrus erithus, Syrie. psammæcius, id. La plupart de ces Espèces ont été, depuis, publiées «in extenso » dans les travaux de MM. Letourneux, Pechaud, Walter Innes, etc. XXIX. — Nouveautés malacologiques. In-8. N° 1. Unionidæ et Iridinidæ du lac Tanganika. Paris, impr. M"° V° Tremblay, avril 1886. 1 vol, in-8. La première partie des « NOouUvEAUTÉS MALACOLOGI- ques », seule, est parue jusqu’à présent. Cette partie (71 — a été reproduite dans la Cronica cientifica de Bar- celone (septembre 1886), sous le titre d'Unionidos é Iridinidos del lago Tanganika; elle renferme les descriptions détaillées des Espèces nouvelles recueil- lies par le capitaine L. Joubert et par les RR. PP Missionnaires, dans cette grande mer intérieure de l'Afrique équatoriale. Ces Espèces sont : les Uxro Jou- berti, Charbonnieri, Moineti, Coulboisi, Bridouxi, Lavigerianus, Guillemeti, Dromauxi, Vinckeiï, Josseti, Menardi, Vysseri, Randabeli; Murera Bridouxi, Lavi- geriana, Moineti, Jouberti, Monceti, Vysseri; Bur- roniA Moineti, elongata, subtriangularis, Lavigeriana, Bridouxi, Bourguignati, contorta, Jouberti, magni- fica, Grandidieriana; Brazzæa ventrosa, Randabeli, Moineti, Jouberti, Coulboisi, elongata, Charbonnieri, Lavigeriana, Bridouxi, Newcombiana, eximia, Bour- guignati; Moxceria Lavigeriana, Moineti, Rochebru- niana, Jouberti, Bridouxi; CamEroNIA gigantea, admi- rabilis, Bridouxi, Guillemeti, pulchella, Landeaui, obtusa, complanata, Coulboisi, Locardiana, Revoi- liana, Vynchei, Josseti, Charbonnieri, Dromauxt, La- vigeriana, Mabilliana, Jouberti, Moineti, Randabeli et paradoxa. XXX.— Lettres malacologiques. Paris, impr. Bouchard-Huzard et Tremblay. 5 lettres in-8 de 1867 à 1882, avec 1 pl. n. lithogr. (1'° 1867, 2° 1869, 3°, 4° et 5° 1882). Ces lettres, œuvres de polémique, n’ont qu'une im- portance relative au point de vue de la science mala- cologique. La cinquième seule, à l'adresse d’un sieur Brusina, est intéressante et importante parce qu'elle appelle les caractères de plusieurs genres contestés, : po tels que ceux des Zhotelleria, Jolya, Colletopterum, Tripaloia, Calvertia, Petrettinia et Saint-Simonia ; ensuite parce que, chez elle, se trouvent exposés les principes de la nouvelle École relatifs à la compré- hension des formes spécifiques. « Il existe, dans le monde malacologique, deux Écoles ennemies, l’ancienne et la nouvelle, c’est-à-dire l'École transformiste, celle qui ne croit pas à l’invaria- bilité des Espèces, celle qui nie la fixité des carac- tères, et qui n’admet l’Æspece, ou ce qu'on est censé appeler Espèce, que comme RELATIVE sous la double influence du temps et des milieux. C’est l'École des Geoffroy Saint-Hilaire, des Lamarck et autres pen- seurs. La nouvelle École, ainsi qu’on la nomme, bien qu’elle date de loin, ne reconnait, lorsqu'il s'agit d'une diagnose, ni Esrèce ni Race; elle spécifie et elle carac- térise toutes les formes que la nature a suffisamment distinguées, sans se préoccuper si ces distinctions sont le résultat des milieux, du temps ou de toute autre cause... « La nouvelle École distingue donc, sous un nom spécial, toute forme ayant des caracteres constants, pourvu que ces caractères soient au nombre de trots. Au-dessous de ce nombre, elle rejette les formes au rang de variétés ; au-dessus, elle les classe dans celui des Espèces, ou de ce que l’on est convenu d’appeler Espèce, puisque, d’après elle, l’Espèce est relative. « Par ces principes, la nouvelle École & poulu soustraire les formes à l'arbitraire des spécifica- teurs. « Pour certains de l’ancienne École, l'Espèce est une depuis l’origine ; pour d’autres, elle est irvariable avec des pariélés constantes ; pour ceux-ci, elle n’est constituée que de races fixes sorties d'un type primitif LÉ Ton — inconnu ; enfin, pour ceux-là, elle est variable jusqu'à un certain degré, avec des sous-vartètés plus ou moins constantes qui viennent rayonner autour d'elle. « En un mot, dans l’ancienne École, autant d’opi- nions que d'auteurs. Personne ne s'entend. Ce ne sont que discussions sur l’Espèce, sur les races cons- tantes ou pas constantes, sur les variétés, les sous- variétés, ete. Le zoologiste le plus érudit ne peut dire où finit l’'Espèce, où commence la race, où s’accentue la variété. Chacun, selon son tempérament, a son opi- nion faite et bien arrêtée à ce sujet. Pour les uns, il faut une masse de signes différentiels pour la création d’une Espèce; pour d’autres, il en faut moins; pour d’autres encore, elle n’est pas possible sans une série de variétés ou de sous-variétés. « La nouvelle École supprime toutes les discus- sions : l'Espèce, pour elle, n’existant pas en réalité, elle accepte toutes les formes à caracteres fixes, pourvu que ces caractères sotent au nombre de trois et sufji- samment prononcés. La spécification, comprise dans ce sens, devient une seience pour ainsi dire mathé- matique, parce qu’elle laisse aussi peu de prise que possible à l'appréciation des malacologistes. « C’est justement de cette appréciation, souvent fantaisiste, dont elle a voulu se garer dans cette science, une des plus difficiles des connaissances na- turelles, précisément parce que ses animaux, ne pou- vant se soustraire aux milieux où ils se trouvent, sont forcés de subir non seulement les conséquences du mode de nourriture, mais encore les influences du froid, de la chaleur, de la sécheresse ou de l’humi- dité. » = Un MALACOLOGIE B. — OUVRAGES SÉPARÉS XXXI. — Testacea novissima quæ Cl de Saulcy in itinere per Orientem annis 1850 et 1851 collegit. Lutetiæ, excud. E. Thunot et Socii. In-8, 1852. Cet ouvrage, prodrome du Catalogue raisonné des Mollusques terrestres et fluviatiles recueillis par M. F. de Saulcy, pendant son voyage en Orient, est consacré aux diagnoses de trente-trois Espèces nouvelles, sur lesquelles dix-sept terrestres et seize d’eau douce : Limax phœniciacus, Berytensis ; — TesracezLa Saul- cyi; — Herix Engaddensis, fimbriata, prophetarum, Hierosolymitana, camelina, solitudinis, sancta, nite- ina; — Burimus Delesserti, Sauleyi; — GLanpina De- lesserti; — Pura Sauleyi; — CLausizia Albersi, Bour- guignati; — PLanorgis atticus, piscinarum, hebraicus ; — Hyprosia tritonum; — Neririxa Michoni, Saulecyi, syriaca ; — Unio Sauleyi, Michoni, Tripolitana, Euphra- tica, orientalis, Delesserti, Bagdadensis, Tigridis et terminalis. Toutes ces Espèces ont été découvertes en Grèce, dans les iles de l’Archipel, en Syrie et en Pales- tine. XXXII. — Description d'une nouvelle Espèce de Pisidium. (Journal de Conchyliologie, I, 1852.) Paris, 1852. In-8 avec fig. Cette description est celle d’une nouvelle Espèce de Pisidie, le Pisidium sinuatum, caractérisée par une très forte sinuosité à la partie inférieure de son bord palléal, et découverte dans le ruisseau d’Amance (Aube). XXXIII. — Description d'un Pidisium nou veau. (Journ. Conch., II, 1852.) Paris, 1852. In-8 avec fig. Cette autre description s'applique à une Espèce différente, également nouvelle, le Prsidium Recluzia- num, provenant d’un petit cours d’eau des environs de Boulogne-sur-Mer (Pas-de-Calais ). XXXIV. — Description de quelques coquilles provenant de Syrie./{Journ. Conch., IV, 1853.) Paris, 1853. In-8 avec fig. Ce Mémoire donne la connaissance des caractères de cinq Espèces de Palestine : les Zonires fimbria- tus, prophetarum, nitelinus; Burimus Sauleyi et Unro terminalis. XXXV. — Monographie &@e l'Ancylus jani. (Revue et Magasin de Zoologie, 1853.) Paris, 1853. In-8. Mémoire critique sur l’ancien Ancylus capuloides de Porro, au point de vue de ses caractères et de sa dénomination contraire aux règles de la nomencla- ture. XXXVI.— Notice surle genre Ancylus, suivie d'un catalogue synonymique des Espèces de ce genre. (Journ. Conch., IV, 1853.) Paris, 1853. In-8 avec fig. Après avoir fait connaître les caractères génériques HS des Ancylus, divisés en Ancylastrum et en Velletia, et après avoir appelé l'attention sur les caractères spécifiques sur lesquels il convient de se baser pour la création d’un Ancylus, l’auteur donne une liste syno- nymique des cinquante-trois Espèces suivantes, sur lesquelles treize sont présentées comme nouvelles : Axcyzus Cumingianus (spec. nov.), concentricus, Ba- rilensis, Petitianus (spec. nov.), obliquus, Charpen- tierianus (spec. nov.), Saulcyanus (spec. nov.), culi- coides, Moricandi, radiatus, irroratus, Beau (spec. nov.), Havanensis, rivularis, Drouetianus (spec. nov.), filosus, radiatilis, fuscus, crassus, tardus, obscurus, calcarius, Haldemanni, parallelus, diaphanus, Baconi (spec. nov.), caffer, Raymondi (spec. nov.), aduncus, Deshayesianus (spec. nov.), striatus, Jani, pileolus, gibbosus, deperditus, simplex, costulatus, riparius, strictus, obtusus, Moreleti {spec. nov.), strigatus (spec. nov.), vitraceus, cyclostoma (spec. nov.), Orbignyanus, marginatus, coInpressus, elegans, decussatus, Mathe- roni, depressus, Moquinianus (spec. nov.) et lacus- tris. XXXVII. — Catalogue raisonné des Mollus- ques terrestres et fluviatiles recueillis par M. F. de Saulcy pendant son voyage en Orient. Paris, impr. Claye et C°, 1853. 1 vol. in-4 avec pl. n. lith. Cet ouvrage, sans compter un exposé chronologique des expéditions scientifiques envoyées en Orient par les souvernements européens, ou dues à des initia- le) 2 tives privées, contient un résumé des recherches ma- Ï ) lacolociques des savants voyageurs Forskal, Niebuhr O I à, le) , +) Olivier, Bruguière, Savigny, Hemprich, Ehrenberg , 5 ) guy; P , 0? Erdl, Roth et Boissier. LE Le résultat des recherches malacologiques de M. F. de Sauley se chiffre par 139 Espèces, savoir : 2 Limax, 1 Testacella, 1 Succinea, 11 Zonites, 53 Helix, 12 Bu- limus, 2 Glandina, 18 Clausilia, 5 Pupa, 3 Planorbis, 2 Limnæa, 2 Cyclostoma, 1 Pomatias, 4 Bythinia, 4 Melania, 3 Melanopsis, 2 Valvata, 5 Neritina, 9 Unio, 1 Cyrena et 1 Pisidium. Sur ces 139 Mollusques orientaux, les Hezix Lan- gloisiana; CLAUSILIA Delesserti, Sauleyi; Pura Michont, Delesserti; Byrminta Sauleyi, Hawaderiana; MELANOP- sis Sauleyi et VaLvarTaA Sauleyi, qui n'avaient pas été décrits dans le prodrome des « Testacea novissima », sont caractérisés et figurés sur les quatre planches où sont représentées toutes les formes nouvelles décou- vertes par M. de Saulcy. XXXVIII. — Descriptions d'Ancyles nouveaux de la collection de M. Cuming, précédées d'une courte notice sur le genre Ancylus et d'un catalogue complet des Espèces qui le composent. {Proceedings of the zoological Society of London, XXI, 1853.) London, 1853. In-8 avec 1 pl. lith. Ce travail est consacré : 1° à l'historique du genre { 5 Ancylus; 2° à la description du genre ; 3° à sa division en Ancylastrum et en Yelletia ; 4° aux caractères dis- tinctifs des Espeéces; 5° à la distribution géogra- phique ; 6° au Catalogue synonymique des Ancyles de la collection Cuming; 7° enfin, aux diagnoses des Axcyzus Cumingianus, Baconi, Drouetianus et Saul- cyanus. XXXIX. — Monographie des Espèces fran- çaisesdu genre Sphærium, suivie d'un cata- Re logque synonymique des Sphéries consta- tées en France, à l'état fossile. / Mémoires de la Société des Sciences physiques et naturelles de Bordeaux, 1, 1854.) Bordeaux, 1854. [n-8 avec 4 pl. n. lith. 1° Historique critique du genre Sphærium ; 2° clas- sification nouvelle des Sphéries en Cyrenastrum (type Sph. solidum), et en Sphæriastrum (type Sph. ripi- cola); 3° description, avec leur synonymie complète, des Spaærium solidum, rivicola, Scaldianum, Rick- holti, Terverianum, Brochonianum (spec. nov.), cor- neum, ovale et lacustre; 4° catalogue raisonné et synonymique des Sphéries fossiles classées par ordre de terrains : Espèces tertiaires, Srnærium Verneuili, unguiforme, concinnum, Gardanense, pisum, Aquæ- Sextiæ, gibbosum, numismale, Coquandianum; Æs- pèces quaternaires : SPHÆrIUM seminulum, prominu- lum, rivicola, corneum et lacustre; 7° enfin, réparti- tion dans les genres Cyrena et Pisidium de trente Espèces fossiles, publiées sous le nom de Cyclas, qui ne peuvent être considérées comme des Sphærium. XL. — Malacologie terrestre de l’île du Chô- teau d'Ilf, près de Marseille. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1860. 1 vol. in-8 avec 2 pl. n. lith. L'île du château d’If se trouve située à environ 4 kilomètres en avant du port de Marseille, non loin des îlots de la Quarantaine. Cette île, ou plutôt ce rocher, n’est qu'un amas de fortifications, avec bas- tions et contrebastions, dont la base des constructions plonge jusqu’à la mer. Il n’y a qu’un seul endroit sur cet îlot, vers le sud-ouest, où les murailles, par suite — 79 — d’un retrait, laissent à découvert quelques dizaines de mètres carrés de rochers, où croissent quelques gra- minées et quelques Choux maritimes. C'est sur ce petit coin de rocher qu'ont été recueil- lies et découvertes les Espèces suivantes : ZoniTes lucidus, Blauneri; Hezix melanostoma, vermiculata, pisana, catocyphia (spec. nov.), apicina, neglecta, pseudenhalia (spec. nov.), numidica (forme nouvelle pour la France), conoidea ; Burimus decollatus; FErus- sacra Gronoviana ; CLausizia solida; Pura quinque- dentata, amicta (forme nouvelle pour la France ), gra- num et umbilicata. Total, deux Espèces inédites et deux nouvelles pour la faune. Dans l'intention de faire comprendre les signes distinctifs de la Ferussacia Gronoviana, Vau- teur a donné, comme terme de comparaison avec cette Espèce, les figures, jusqu’à ce Jour inédites, des Ferrussacia folliculus, regularis, Vescoi, amauronla, amblya et Forbesi. XLI. — Malacologie terrestre et fluviatile de la Bretagne. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1860. 1 vol. in-8 avec 2 pl. n. lith. Examen critique des ouvrages publiés de 1830 à 1859 par MM. Collard des Cherres, de Fréminville, Duval de Rennes, Daniel de Dinan et Fouquet de Vannes, sur la malacologie de la Bretagne. Exposé du résultat des recherches de l’auteur pen- dant le cours d’un voyage circulaire (1859), commencé à Saint-Nazaire, à l'embouchure de la Loire, et pour- suivi jusqu’à Dol, limite de la basse Normandie : I. Lorre-Ixrérieure (de Saint-Nazaire à Herbignac, par le Croisie et Guéran de).—Arion rufus, hortensis ; — 190 — Limax agrestis ; Tesracezca haliotidea ; Virrina major; SUCCINEA putris; Zonires lucidus; Hezix as- persa, nemoralis, hortensis, arbustorum, carthusiana, hispida, occidentalis, rotundata, pisana, variabilis, submaritama, Jineata, acuta; CLausiriA nigricans, obtusa ; Pupa umbilicata ; Praxorgis rotundatus ; Limx æA limosa. IT. Morgimax (de la Roche-Bernard à Lorient, par Muzillac, Vannes, Auray, Carnac et Port-Louis, et de Vannes et Ploermel par Elven et Malestroit). — ArioN rufus, hortensis; Limax cinereus, agrestis, gagates Sowerbyt (Espèce nouvelle pour la faune française); TesracezLa Maugei, haliotidea, bisuleata; Virrina major; SUCCINEA Pfeiffer: ; Zoxrres lucidus, subglaber (spec. nov.), cellarius, nitidulus, radiatulus, niti- dosus; Herix aspersa, nemoralis, hortensis, Quimpe- riana, lapicida, pulchella, costata, sericea, hispida, oceidentalis, ptilota (spec. nov.), rotundata, inter- secta, cespitum, sphærita (Espèce nouvelle pour la faune française), ericetorum, arenosa ! (Espèce nou- velle pour la faune française), pisana, variabilis, sub- maritima, lineata, acuta; Burimus obscurus; Ferus- sacra subeylindrica ; CrausiLia nigricans, obtusa; Barra perversa; Pupa umbilicata, Loroisiana {spec. nov.); VerriGo muscorum; PLanoBris corneus, contortus, carinatus,rotundatus, vortex, nitidus ; Paysafontinalis, Taslei(spec.nov.); Limnæastagnalis,limosa,intermedia, peregra, palustris, glabra, truncatula ; AxcyLus sim- plex, strictus (Espèce nouvelle pour la faune fran- case), lacustris; Cycrosroma elegans; Axoponra cy- gnea, arenaria, Rossmæssleriana, anatina; Unro rhom- 1. Non H, arenosa de Dupuy, qui est l'H. enhalia, Bour guignat, ro, = boideus, pictorum; Sruærium rivale, Terverianum ; Pisipium amnieum, Casertanum, pusillum. IL. Fixisrère (de Quimperlé à Morlaix par Quimper, Châteaulin, Brestet Landerneau). — Arrox rufus ; Limax variegatus, cinereus, agrestis; Trsracerra Maugei, haliotidea, bisulcata ; VrrriNa major; SuccinEA putris, Pfeifferi; Zoxrres lucidus, subglaber, cellarius, allia- rius, nitens, nitidulus, nitidus, radiatulus, erystallinus, fulvus ; Herix aspersa, nemoralis, hortensis, Quim- periana, lapicida, pulchella, costata, psaturochæta (spec. nov.), aculeata, rufescens, hispida, rotundata, caperata, intersecta, ericetorum, Danieli (spec. nov.), submaritima, lineata, acuta; Ferussacra subcylindrica; CLausiLiA nigricans, druiditica (spec. nov.); Bazra Deshayesiana, lucifuga ( Espèce nouvelle pour la faune française; Pura umbilicata; PLanorsis complanatus, rotundatus, Perezii, vortex, compressus, albus ; Pays subopaca; Limxæa limosa, palustris, truncatula; Ax- cyLus cyclostoma, simplex, gibbosus, strictus, lacus- tris; Cyccosroma elegans; Nerrrina fluviatilis; Axo- ponTA anatina ; MarGariTaxa maroaritifera ; Uxio rhomboideus; Srnærium rivale; Pisinium Caserta- num, pusillum, obtusale. IV. Côres-pu-xorp (de Plounévez-Moëdec à Dinan, par Guingamp, Saint-Brieuc et Lamballe). — Ariox rufus; Limaxcinereus,agrestis; VrrriNa major; SUCCINEA putris, Pfeiffer: ; Zonrres lucidus, subglaber, cellarius, alliarius, nitens; HeLrx aspersa, nemoralis, hortensis, lapicida, pulchella, costata, rufescens, hispida, rotun- data, intersecta, submaritima, lineata, acuta; Burimus obseurus ; Ferussacia subeylindrica ; CrausiLiA armo- ricana (spec. nov.), nigricans, druiditica; Pura umbili cata; PLaNorBis corneus, complanatus, rotundatus, 6 oo Perezii, imbricatus, cristatus, albus, stelmachætius (spec. nov.), fontanus; Puaysa fontinalis; Limnæs limosa, palustris, truncatala; Axcyzus simplex ; By- rHiNtA tentaculata, Leachi ; Uxio rhomboideus ; Senærium rivale; Pisiprum amnicum. V. Izce-gr-Visaixe (de Dinard à Dol par Saint-Malo et Cancale), — Ariox rufus, subfuseus, hortensis ; Limax cinereus, agrestis; SuccinEa Pleifferi; Zoxrres lucidus; Herix aspersa, nemoralis, occidentalis, his- pida, rotundata, umbilicata, caperata, intersecta, pisana, submaritima, lineata, acuta; Burimus obscu- rus; Ferussacia subcylindrica; CæcirranezLa Lies- villei, enhalia (spec. nov.); CrausizrA obtusa, nigri- cans; BaLia perversa; Pura umbilicata, muscorum ; PLaxorsis complanatus, rotundatus, albus; Limxxa limosa, palustris, truncatula; AxcyLus simplex; Cx- cLosromA elegans; VaLvara piscinalis; SPHÆRIUM cor- neum ; PPpsipium casertanum et pusillum. XLII. — Étude synonymique sur les Mollus- ques des Alpes-Maritimes publiés par A. Risso en 1826. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1861. 1 vol. in-8 avec 1 pl. n lith. Aperçu critique des ouvrages de Risso et revue rec- tificative, tant au point de vue synonymique qu’au point de vue diagnostique, de tous les Mollusques ter- restres et fluviatiles, au nombre de 125, signalés par Risso dans son Histoire naturelle des principales pro- ductions de l'Europe méridionale et particulièrement de celles des environs de Nice et des Alpes-Maritimes. (1 vol. in-8 av. pl., 1826.) Sur ces 125 Mollusques, 10 seulement sont nou- veaux : Limax carinatus; Succixea elegans; Herix —— 99 — [Theba] cemenelea, rubella ; Ferrussacra Gronoviana ; CzæciLranezLa [acicula] eburnea; Carycmium |sara- phia] tridentatum ; CLausiLia crenulata ; Ferussacra [Pegea] carnea et Cnoxprus [Jaminia] niso. Les 115 autres sont ou mal nommés ou faussement appré- : PI clés. A ces 10 Mollusques nouveaux des Alpes-Maritimes, l’auteur a ajouté la diagnose d’une Espèce inédite, la Testacella episcia, qu'il a reconnue dans la collection de Risso, confondue avec la Testacella bisulcata. r) XLIII. — Malacologie du lac des Quatre-Can- tons et de ses environs. Paris, impr. Bou- chard-Huzard, 1862. 1 vol. in-8 avec 4 pl. n. lithogr. Description du lac des Quatre-Cantons, ainsi appelé des quatre cantons d'Uri, d'Unterwalden, de Schvwitz ct de Lucerne ; indication des endroits du lac et des localités circonvoisines où ont été recueillies les 126 Espèces suivantes qui composent la population malacologique de cette partie de la Suisse. Arion rufus, subfuseus, hortensis; Limax cinereus, cinereo-niger, helveticus (spec. nov.), sylvaticus, agrestis ; Mizax marginatus ; VirriNa an nularis, major, diaphana ; Sucainea putris, Charpentieri, Pfeiileri, oblonga; Zonires lucidus, subglaber, glaber, cella- rius, Pilaticus (spec. nov.), nitidulus, nitens, nitidus, nitidosus, radiatulus, viridulus, Rigiacus (spec. nov.), crystallinus, diaphanus, fulvus; Hrerix pomatia, syl- vatica, nemoralis, hortensis, arbustorum, fruticum, strigella, incarnata, villosa, circinnata, cœlata, mon- tana, sericea, hispida, cobresiana, depilata, lapicida, obvoluta, diodonstoma, isognomostoma, costata, pul- = SU —— chella, aculeata, rupestris, ruderata, rotundata ; Bu- LIMUs montanus, obscurus ; Ferrussacra subcylindrica ; Bazra Deshayesiana; CrausiLra laminata, ventricosa, lineolata, helvetica {spec. nov.), plicata, plicatula, dubia, perversa, nigricans, obtusa, gracilis, parvula ; Pupa secale, frumentum, avenacea, dolium, musco- rum ; VERTIGO muscorum, eumicra (spec.nov.); Cary- cHium tridentatum, minimum ; PLanorBis contortus, albus, Crosseanus (spec. nov.), complanatus, dubius, carinatus, rotundatus, imbricatus, cristatus, fontanus, nitidus ; Paysa Hypnorum ; Limxæa elophila, auricu- laria, limosa, peregra, palustris, truncatula ; AxcyLus Jani, riparius, simplex ; Pomarias septemspiralis ; Byruixra tentaculata, Leachi ; Vazvara contorta, pisci- palis; SPHxrium corneum, lacustre ; Pisipium amni- cum, Casertanum, pusillum, nitidum ; Unio batavus, Sanderi, proechus (spec. nov.), actephilus (spec. nov.); Axoponra arenaria, oblonga, anatina, Rayi, psammita (spec. nov.), idrina, helvetica (spec. nov.), rostrata. XLIV. — Mollusques de San-Julia de Loria. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1863. 1 vol. in-8 avec 2 pl. n. lith. Les Mollusques signalés ou décrits dans cet ou- vrage, la plupart nouveaux, rares ou peu connus, pro- viennent d’une étroite gorge de montagne, où mugit l'Embalyre, sur le versant sud des Pyrénées, entre Andorre et San-Julia-de-Loria, dernier village au midi de la petite République andorréenne avant d’ar- river à la Séo-d’'Urgel, en Catalogne. VirriNA pyrenaica; SuccinEA putris; Hezix pyre- naica, Desmoulinsi, rupestris ; Pura Farinest, Jumillen- Latoes sis, Massotiana (spec. nov.), Penchinatiana (spec. nov.), cereana, secale, Boileausiana, goniostoma, Moquiniana, Andorrensis (spec. nov.), polyodon, Vergniesiana ; LiIMNæÆA truncatula ; Axcyzus ani. Due le but de compléter l’histoire descriptive de l'Helix Desmoulinsi, l'auteur a donné l'anatomie com- plète des organes digestifs et de la reproduction de cet animal. XLV. — Monographie du nouveau genre français Moitessieria. Paris, impr. Bouchard- Huzard, 1863. 1 vol. in-8, avec 2 pl. n. lith. Histoire d’une petite Espèce microscopique que les malacologistes avaient regardée à tort, soit comme une Paludina, une Bythinia ou une ao soit comme une Acicula, un AÂcme ou une Pupula. Cette petite Espèce est, au contraire, le type d’un genre nouveau, le genre Moitessieria. Exposé des caractères de ce genre et description des Morressierra Rolandiana, Gerv vaisiana, Massoti et Simoniana, Espèces des cours d’eau du Midi de la France. XLVI.— Malacologie d’Aix-les-Bains. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 186%. 1 vol. in-8 avec 3 pl. n. lith. Le lac du Bourget et les environs de la petite ville d’Aix-les-Bains, près de Chambéry, en Savoie, pos- sèdent la population malacologique suivante : ArroN rufus, hortensis; Limax cinereus, sylvatieus, agrestis; Mirax marginatus; VirRiNA major; SUCCINEA putris, Pfeifleri, oblonga; ZoniTes glaber, lucidus, cellarius, Pilatieus (Esp. nouv. pour iÉune française), — 86 — nitens, nitidulus, nitidus, nitidosus, Dumontianus (spec. nov.), radiatulus, subterraneus, diaphanus, fulvus; HeLzix pomatia, sylvatica, nemoralis, arbusto- rum, fruticum, strigella, villosa, carthusiana, Juriniana (spec. nov.), depilata, Lavandulæ, plebeïa, sericea, hispida, lapicida, obvoluta, isognomostoma, pulchella, costata, aculeata, rupestris, rotundata, unifasciata, ericetorum; Burimus detritus, montanus, obseurus, tridens, quatridens; Ferussacra subcylindrica; Bazra Deshayesiana; CrausicrA laminata, ventricosa, lineo- lata, dubia, plicatula, parvula; Pura multidentata, Sabaudina (spec. nov.), secale, Bourgetica!{spec. nov.), sublævigata (spec. nov), avenacea, dolium, doliolum, umbilicata, muscorum, triplicata; Verrico pygmæa ; CæciriaxeLLa Liesvillei, uniplicata; Carycaivu triden- tatum; PLaxorgis contortus, albus, Crosseanus, com- planatus, dubius; Limnæa stagnalis, auricularia, limosa, peregra, palustris, truncatula; Ancyrus [ani, simplex; CycLosroma elegans; Pomarias Sabaudinus (spec. nov.), aprieus, septemspiralis; Byrninia tenta- culata ; Vazvara contorta, obtusa, piscinalis, alpestris (Esp. nouvelle pour la faune française); Nerrrina flu- viatilis; Spnæriuu corneum ; Pisipium amnicum, Caser- tanum, nitidum, pusillum, Henslowianum; Uxio rhom- boideus, batavus, maneus, nanus, amnicus, ater, Sanderi, Requieni, Turtoni, platyrhynchoideus; Axo- ponTA arenaria, oblonga et anatina. XLVII. — Malacologie de la Grande-Char- treuse. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1864. 1 vol. in-8 avec 25 pl. n. ou color., dont 9 pay- sages. 1° Description de la route, de Fourvoirie, du cou- vent et du « Désert », comme renseignements utiles ON et nécessaires à la partie scientifique, dans le but de faire connaître les localités et les sites où ont été recueillis les Mollusques. 2° Examen critique des ouvrages de MM. Michaud, Albin Gras, Dumont, Dupuy, David, Auguste Bourne, etc., ayant trait aux Espèces de la Grande-Chartreuse. 3° Constatation et description des Mollusques sui- vants: ArIoN rufus, hortensis, Dupuyanus (spec. nov.); Limax cinereo-niger, cinereus, erythrus (spec. nov.), eubalius (spec. nov.), sylvaticus, agrestis; Mirax marginatus; VirriNa major, pellucida ; Succinea Pfeiffer; Zonrres glaber, lucidus, cellarius, nitidulus, nitens, nitidus, nitidosus, Dumontianus, radiatulus, crystallinus, diaphanus, fulvus; Herix pomatia, syl- vatica, nemoralis, hortensis, arbustorum, fruticum, strigella, incarnata, villosa, phorochætia (spec. nov.), plebeia, Bourniana (spec. nov.), sericea, hispida, circinnata, depilata, lapicida, obvoluta, isognomos- toma, pulchella, costata, alpina, Fontenilli, aculeata, rupestris, rotundata, unifasciata, ericetorum ; Buzimus detritus, montanus, obscurus, tridens; FErussacra subcylindrica; Baria Deshayesiana; CrausiLralaminata, ventricosa, lineolata, Rolphii, dubia, plicatula, parvula ; Pupa secale, avenacea, Farinesi, dolium, doliolum, triplicata; VerriGo pygmæa; Carycæiun tridentatum ; Linxæa truncatula ; Axcyzus [ani; CycLosroma elegans ; Pomarias apricus, septemspiralis; Ace lineata. 4° Anatomie des organes reproducteurs des Æelix alpina, Fontenilli et depilata et exposé d’une rouvelle théorie de l'acte de la reproduction chez les Gastéro- podes androgynes, théorie que l’on peut ainsi résu- mer. « Les Hélices ne se fécondent pas mutuellement. Dans l'acte de l’accouplement, une Hélice tantôt — 100 — joue le rôle de mâle, tantôt subit le rôle de femelle. Elle peut même agir comme mâle dans plusieurs accou- plements successifs, de même qu’elle peut remplir plusieurs fois de suite le rôle de femelle. Il se trouve donc, dans l'acte de Ja fécondation, un mâle et une femelle, et non pas deux mâles et deux femelles, comme on l’a cru jusqu'à présent. Chaque follicule {ou cœcum) de la glande herma- phrodite est composé d’une poche dans laquelle se trouve une seule membrane génitifère, par excellence, forte, résistante, dont {a partie externe produit les opules, et la partie interne les rudiments des sperma- tozoides. Or, dans l'acte de la fécondation, lorsqu'un individu agit comme mâle, la partie interne ou testiculaire de cette membrane sécrète les spermatozoïdes, tandis que sa partie externe où ovarique est comme annulée et atrophiée. C’est l'inverse si l'individu remplit le rôle de femelle. Le canal excréteur est double, il n’y a pas mélange, comme on l’a cru, des ovules et des spermatozoïdes. Les ovules et les spermatozoïdes ne se rencontrent jamais en mème temps dans le canal excréteur, par la raison bien simple que, le Mollusque n’agissant que comme mâle ou que comme femelle, la membrane génilifere des cœcums ne peut fournir séparément que des spermatozoïdes ou des ovules. Lorsque le Mollusque a joué le rôle de mäle, le canal paraît filiforme, aplati, peu gonflé vers les courbes, et le conduit interne ou testiculaire, assez développé, devient visible à un grossissement de dix à vingt lois; si l'animal a rempli, au contraire, le rôle de femelle, ce même canal devient boursouflé vers les courbes, comme tuméfé, et son conduit interne est —199r— tellement contracté, resserré, qu'il est pour ainsi dire inperceptible au microscope. Le conduit interne correspond directement avec /a prostate déférente; la partie externe ou ovarique avec la glande albuminipare. Chaque cœæeum ou follicule de la glande hermaphro- dite d’un individu fécondé comme femelle peut fournir un, deux ou trois ovules, le plus ordinairement deux. Or, comme il existe chez certaines Hélices une trentaine de groupes de follicules, composés chacun d’une dizaine de cœcums, les ovules, ou rudiments d’ovules, qui descendent de la glande hermaphrodite doivent être au nombre de cinq à six cents. Les ovules ne descendent pas immédiatement après la fécondation, dans le canal excréteur; ils ne com- mencent à affluer dans ce conduit que vers le deuxième ou le troisième jour, suivant les Espèces. Lorsqu'ils sont en trop grande abondance üls s’écrasent et se troublent dans les cellules de la paroi ovarique, sur- tout à leur arrivée vers le talon du canal excréteur. Alorsilss’écoulent par la matrice, l’oviducte et le vagin, sous l’apparence d’un liquide jaunacé plus ou moins verdâtre. Ce faitexplique le petit nombre d'œufs pon- dus par un mollusque fécondé, en comparaison des quantités d’ovules qui descendent de la glande herma- phrodite. La glande copulatrice est le réservoir des sperma- tozoïdes. Chez un Mollusque qui a subi le rôle de femelle, cette poche est gonflée et d’un assez gros volume; elleest, au contraire, déconflée, flasque, à contours souvent indécis, chez un individu qui a agi comme mäle. Si, chez ce dernier, 1l se trouve encore quelques spermatozoïdes, le fait est un indice certain que le = 00 == Mollusque, au dernier accouplement, a été fécondé comme femelle. Le vagin est le conduit qui recoit l’organe mâle. Chez les Hélices, comme l’a/pina par exemple, le vagin commence immédiatement au-dessus de l’ouver- ture de la verge et se poursuit sous la forme d’un long conduit fermé à son extrémité supérieure. Ce conduit, auquel on doit attribuer le nom de sac pa- ginal, est cet organe que les anatomistes ont jusqu’à présent envisagé comme une annexe de la poche copu- latrice. Dans l'acte de la fécondation, la verge pénètre dans le vagin, ainsi que dans le sac vaginal, jusqu’à ce que l'ouverture de la gouttière séminale soit Juste au ni- veau de lorifice du canal de la poche copulatrice ; alors, la poche à dard, dont l’orifice est situé à la base du vagin, se contracte, et le dard pient fixer la verge, afin que celle-ei ne puisse, en pénétrant trop avant, rendre la fécondation nulle ou incomplète. Le sac vaginal fait alors l'office de contrefrein. Chezles Hélices où le sac vaginal fait défaut, comme chez la depilata, il existe deux poches à dard toujours opposées l’une à l’autre, afin que la verge soit prise et fixée comme dans un étau, lorsqu'elle est parvenue à une position convenable à une bonne fécondation. Le dard n’est pas, ainsi qu’on la dit jusqu’à cc jour, un instrument de prélude, un organe excitateur de la copulation, il fait l’oflice de frein. XLVIII. — Malacologie de l'Algérie ou his- toire naturelle des animaux Mollusques terrestres et fluviatiles recueillis jusqu’à ce jour dans nos possessions du Nord de l'Afrique. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1864. 2 2 vol. grand in-4 avec 58 pl. n. ou color. et 5 cartes. Ce magnifique ouvrage, édité avec le plus grand luxe, dans le format grand in-4 de l'Exploration scientifique de l'Algérie, comprend deux volumes, où sont traités : 1° la bibliographie algérienne; 2° Ja classification méthodique des classes, ordres, familles et genres de Mollusques du Nord de l'Afrique ; 3° les descriptions de 335 Espèces ; 4° la stratigraphie ma- lacologique du Nord de l'Afrique ; d° les rapports entre les formes algériennes et celles de Sicile, d'Es- pagne, de Tunisie, du Maroc et des îles Madère et Canaries. C’est dans cet ouvrage que l’auteur a com- mencé à émettre son opinion sur la répartition des Êtres. Les Mollusaues décrits et représentés sur les 58 planches, au nombre de 1 658 figures, sont : Arron rufus; Limax Deshayesi (spec. nov.), Ray- mondianus (spec. nov.), nyctelius (spec. nov.) ; Krx- nickizLus Brondelianus (spec. nov.), subsaxanus (spec. nov.); Mirax gagates, eremiophilus (spec. nov.), scaptobius (spec. nov.) ; ParmMacrLLA Deshayesi ; Tesracezca bisculeata, Fischeriana, Brondeli ; Succr- NEA Raymondi, Maresi, Pfeifferi, debilis ; ZoniTEs Mandralisei, chelius (spec. nov.), achlyophilus (spec. nov.), Djurjurensis, psaturus (spec. nov.), hemipso- ricus, eustilbus (spec. nov.), apalistus (spec. nov. ); chionodiseus, Otthianus, piestius, argius, candidissi- mus, bœtieus, cariosulus ; HEcix aperta, melanostoma, nucula, pachya, aspersa, Raymondi, Massylæa, punica, vermiculata, Constantinæ, Bonduelliana, punctata, Zapharina, lactea, calendyma (spec. nov.), Lucasi, Juilleti, hieroglyphicula, soluta, pycnocheilia (spec. 10) — nov.), abrolena, xanthodon, odopachya, (spec. nov.) embia, Tigriana, Burini, Dastuguei, onychina, Mon- grandiana, lanuginosa, roseo-tincta, Baccueti (spec. nov.), Moquiniana, Fradiniana {spec. nov.), acleochroa (spec. nov.), psammæcia, revelata, sericea, hispida, flavida, cedretorum, alsia (spec. nov.), pulchella, costata, Gougeti, lenticula, abietina (spec. nov.), Poupillieri (spec. nov.), Aucapitainiana, Debeauxiana (spec. nov.), rupestris, aculeata, sordulenta, lastia (spec. nov.), chnoodia (spec. nov.), Locheana (spec. nov.), psara (spec. nov.), conspurcata, Letourneuxiana (spec. nov.), eustricta, apicina, subcostulata (spec. nov.), agrioica (spec. nov.), Geryvillensis, Rozeti, psammoica, Durieui, Berlieri, lacertarum {spec. nov.), rufolabris, Lallemantiana (spec. nov.), Reboudiana (spec. nov.), submeridionalis, acompsia (spec. nov.), lineata, lauta, variabilis, mæsta, kabyliana, cretica, euphorca (spec. nov.), Pisana, arenarum (spec. nov.), subrostrata, choreta (spec. nov.), Oranensis, Colo- mesiana (spec. nov.), sphærita, stiparum, Terveri, 1lli- bata, cespitum, protea, ericetorum, arenosa, neplecta, pyramidata, numidica, Duveyrieriana (spec. nov.), amanda, Brondeli, calopsis (spec. nov.), depressula, explanata, tetragona, mograbina, terrestris, trochlea, trochoïides, conoidea, barbara, acuta ; Burimus decol- latus, Milevianus, Letourneuxi (spec. nov.), Jeannoti, Cirtanus, todillus, numidicus (spec. nov.), Bronde- lianus (spec. nov.), pupa; Azeca psathyrolena; Ferus- sacIA subeylindrica, amauronia, Forbesi, amblya, Vescoi, proechia (spec. nov.), abromia (spec. nov.), procerula, eremiophila, carnea, agræcia (spec. nov. ), lamellifera, charopia (spec. nov.), sciaphila, celosia (spec. nov.), ennychia, debilis, scaptobia, gracilenta, Terveri, abia {spec. nov.), eucharista (spec. nov.), pe Bourguignatiana, thamnophila {spec. nov.) ; CLausrLra Tristami, bidens, Letourneuxi (spec. nov.), Pupa Po- lyodon, Letourneuxi (spec. nov.), Lallemantiana (spec. nov.), Brauni, goniostoma, granum, Michaudi, Bron- deli (spec. nov.), Poupillieri (spec. nov.), umbilicata, Aucapitainiana (spec. nov.), muscorum ; VerriGo Du- poteti, muscorum, numidica, aprica (spec. nov.), codia (spec. nov.), microlena (spec. nov.), discheilia, Maresi; CæciLIANELLA nanodea, Letourneuxi (spec. nov.), Brondeli, raphidia ; GLanpina dilatata, algira ; Carycmium minimum, tridentatum ; ÂLExrA myosotis, Micheli, algerica (spec. nov.), Firmini; PLanorsis Metidjensis, Dufouri, aclopus, euchelius (spec. nov.) complanatus, subangulatus, spirorbis, rotundatus, lævis, agraulus (spec. nov.), numidicus (spec. nov.), Brondeli, imbricatus, cristatus, euphæus (spec. nov.), diaphanellus (spec. nov.), Raymondi (spec. nov.); Puysa acuta, subopaca, contorta, Raymondiana, Bro- chui, truncata, Brondeli ; Limxxa auricularia, limosa, palustris, glabra, truncatula ; Axcyrus simplex, stria- tus, costulatus, caliculatus, s1bbosus, Raymondi, pla- tylenus, Brondeli, epipedus, strictus, Peraudieri ; BroxpeLta Drouetiana, gibbosa ; Cycrosroma sulca- tum, mamillare, ferrugineum ; Acue Lallemanti (spec. nov.), Letourneuxi {spec. nov.) ; Byrminia tentaculata, numidica (spec. nov.) ; Hyprosia Peraudieri, acerosa, Brondeli, arenaria, sordida, elachista, nana, doli- chia; Auxicoca similis, luteola, desertorum, pycno- cheilia, pyenolena, Dupotetiana, perforata, Letour- neuxiana, seminium ; MeLaxra tuberculata; MELanopsis maroCcCana, præmorsa, Maresi; NerrriNa fluviatilis, numidica, Maresi (spec. nov.); Spnærium Ddingoli, ovale ; Pisipium amnicum, Casertanum, pusillum, nitidum ; Uxio rhomboideus, batavus, Durieui, Le- O0 tourneuxi {spec.nov.), Ravoisieri, pictorum, Moreleti; AxoponrTa Lucasi, embia (spec. nov.), numidica (spec. nov.), Letourneuxt1 (spec. nov.). — Espèces supplé- mentaires : Limax Companyoi; VirriNa Letourneuxi (spec. nov.) ; Zonrres subplicatulus (spec. nov.), pseudohydatinus ; Herix splendida, Challamelliana (spec. nov.), Bastidiana {spec. nov.), pygmæa, Cottyi, ablennia (spec. nov.), Setubalensis ; Burimus obscu- rus ; CLausiLrA plicata; VErriGo briobia (spec. nov.); HyproBia Challameliana (spec. nov.) ; Axoponra tuni- zana. En outre de toutes ces Espèces algériennes, cet ouvrage contient les monographies de genres peu connus, telles que celles des genres Milax, Krynickil- lus, Azeca, Ferussacia, Cæcilianella, Glandina, Cary- chium, Alexia et Acme. XLIX. — Monographie du nouveau genre français Paladilhia. Paris, impr. Bouchard- Huzard, 1865. In-8 avec 1 pl. n. lith. Ce nouveau genre a été établi pour de très petits Mollusques fluviatiles recueillis dans les alluvions du Lez et de la Mosson, près de Montpellier (Hérault). Ces Mollusques sont surtout remarquables par l’éva- sement de leur ouverture et par la présence d’une fente pleurotomoïdale au sommet du bord externe. Trois Espèces nouvelles, les Paladilhia pleurotoma, Moitessieri et Gervaisiana. L. — Mollusques terrestres et fluviatiles re- cueillis par M. Henri Duveyrier dans le Sahara (supplément au « Touareg du Nord », par M. H. Duveyrier). Paris, impr. Claye, 1865. In-8 avec 3 pl. n. lith. — 95 — Les Espèces signalées, au nombre de trente vivantes et de six fossiles, proviennent du Sahara, où elles ont été recueillies par l’intrépide voyageur Duveyrier dans ses explorations du grand désert. Les Espèces vivantes sont : ZoniTEs candidissimus ; Herix aperta, Warnieriana (spec. nov.), agrioiCa, Reboudiana, rufolabris, lineata, lauta, pisana, Terveri, ericetorum, pyramidata, Duveyrieriana, acuta; Burr- mus decollatus; FerussaciA charopia; Pupa granum; Linxœa truncatula; Hyprogra Peraudieri, Brondeli, arenaria, Duveyrieri (spec. nov.); Bvrminia similis, Dupotetiana, pyenocheilia, seminium; Mreraxra tuber- culata; Mecaxopsis maroccana, præmorsa, Maresi. Les Espèces fossiles sont : PLaxorris Aucapitainia- nus (spec. nov.), Duveyrieri (spec. nov.), Maresianus (spec. nov.); Paysa contorta, Brocchii et truncata. LI. — Histoire malacologique de la Régence de Tunis. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1868. 1 vol. in-4 avec 1 pl. n.. lith. Les explorations scientifiques exécutées par l’auteur dans les environs de Tunis, au mois de mai 1867, ont donné les résultats suivants : Mirax gagates; Zonires subplicatulus, eustilbus, Otthianus, candidissimus ; Herix aperta, melanostoma, nucula, pachya, aspersa, vermiculata, Constantinæ, Fleurati (spec. nov.), roseo- tincta, rupestris, Malaspinæ (spec. nov.), conspurcata, mendicaria, lenticula, Warnieriana, psammoica, Gery- villensis, Bardoensis (spec. nov.), rufolabris, lineata, lauta, variabilis, cretica, euphorca, Pisana, arenarum, cespitum, pyramidata, numidica, Arianensis (spec. nov.), Tunetana, Tristami, terrestris, trochlea, bar- bara, acuta; Bucimus decollatus, pupa; Ferussacra abromia, procerula, eremiophila, carnea; CLausrcra De bidens, Tristami, punica (spec. nov.); Pura granum, umbilicata; Puysa Brocchii; Liuxæa Vatonni (spec. nov.), truncatula; CycLosroma suleatum; Hypropra Duveyrieri; AuxicoLa Dupotetiana; MeLania tubercu- lata; Mecaxopsis maroccana et Maresi. D’après ces Espèces, la Régence de Tunis possède une faune semblable à celle de l'Algérie. LIT. — Description d'Espèces nouvelles de Mollusques terrestres du département des Alpes - Maritimes. Cannes, impr. Maccary, Vidal, successeur, 1869. In-8. Les Espèces nouvelles des Alpes-Maritimes sont : les Limax Martinianus; Krynickizzus Maurelianus ; SUCCINEA Valcourtiana; Zoxrres Blondianus, Maceanus; Herix Guevarriana; Frrussacra Macei; CLausiLra Euzierriana, Maceana, Aubiniana ; CæciLrANELLA Mau- riania, Merimeana; Pomarias Macei, Simonianus et Isselianus. LIII. — Aperçu sur la faune malacologique du bas Danube Annales de Malacologie, 1, 1870). Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1870. In-8 avec 24pl. n.dlith. C’est aux environs de Brahilov, ou mieux Ibraïla, en Valachie, dans les alluvions du bas Danube, qu'ont été recueillies les intéressantes Espèces, la plupart nouvelles, qui font le thème de ce Mémoire. PLanorBis megistus (spec. nov.), etruscus, Penchi- nati (spec. nov.), complanatus, subangulatus, vortex, piscinarum ; Limxæa limosa, stagnalis, Berlani (spec. nov.); Vivipara contecta, acerosa, mamillata, Penchi- nati (spec. nov.), subfasciata (spec. nov.), Duboisiana, — 97 — danubialis (spec. nov.), amblya (spec. nov.), micro- lena (spec. nov.); Byrainia tentaculata; Amxicoza Penchinati (spec. nov.); Lirnocrypaus Penchinati (spec. nov.); Meraxra Holandri, Esperi; Mrraxorsis acicularis, potomactebia (spec. nov.); NerrriNA danu- bialis, stragulata ; Uxio ponderosus, proechistus (spec. nov.), graniger, tumidus, crassus, batavus ; ALasMo- ponra Penchinati (spec. nov.), Berlani (spec. nov.); ANODONTA Complatana. D’après l’ensemble de ces Espèces, cétte faune flu- viatile des environs de Brahilov est une faune tau- rique. Dans le but de faire comprendre la position rela- tive que doivent occuper ces formes nouvelles, l’au- teur a complété ce travail par un apercu synonymique et critique des groupes du Planorbis corneus, de la Limnœa stagnalis, des Vivipara, des Lithoglyphus d'Europe et des Alasmodonta (mieux Pseudodon) d'Asie, et a signalé incidemment pour la première fois les Vivipara occidentalis de France et le Litho- glyphus Servainianus, de la Save, en Croatie. LIV.— Monografia del nuovo genere siciliano Allerya {Ati dell’Accademia di Scienze, lettere ed arti di Palermo, IV, 1876). Palermo, 1876. In-4 con fig. interc. Ce nouveau genre sicilien tient des Daudebardies, des Vitrines et des Hélices ; des Daudebardies, notam- ment du genre Pseudolibania de Stefani, par son large ombilic subelliptique; des Vitrines, par sa coquille à moitié recouverte par les plis du mantean; des Hélices, par l’apparence héliciforme du test. Ce test, en effet, qui ressemble à celui d’une hélice paucispirale pourvue d’un large ombilic subel- 7 LOT liptique, est formé d’une partie lisse (ou vitrinoïde) et d’une autre partie striée formant le dernier tour. Trois Espèces connues de ce singulier genre, les Arcerya Monterosati (spec. nov.), Brocchii et Cupanii, LV. — Histoire des Clausilies de France vivantes et fossiles [Annales des Sciences naturelles de Paris, 1876-77). Paris, 1876 et 1877. In-8. Cet important travail, qui jette un jour tout nouveau sur les Clausilies françaises, d’une étude si difficile et si ardue, comprend, sans compter une explication descriptive des denticulations aperturales, trois parties: une, consacrée aux Venia, une aux Clausilia vivantes, dont l’auteur sépare les Temesa et les Garnieria de Cochinchine {nouvelle coupe générique créée pour la CT. Mouhoti), et une troisième aux Clausilies fossiles et au nouveau genre Milne-Edwardsia. 1° Les Espèces du genre Nexia sont divisées en Neniastrum pour les formes américaines, au nombre de dix-huit, pourvues d’un péristome épais, bien évasé, et d’une pariétale inférieure divergente de la supérieure à la périphérie, et en Neniatlanta pour les deux Espèces francaises, caractérisées par un pé- ristome obtus, faiblement évasé, et par la pariétale inférieure parallele et non divergente. Les deux Espèces de cette série, les Nenia Pault et Mabilli (spec. nov.), sont des formes importées dans les temps préhistoriques et acclimatées dans le dépar- tement des Basses-Pyrénées. 2° Les Clausilies vivantes, constatées en France, sont au nombre de 87, sans compter une cinquantaine de variétés, réparties en 14 séries, savoir: A. CLausrLra Mongermonti (spec. nov.); B. CLausinta herculæa 100) (spec. nov.), bidens, virgata, solida, Marioniana (spec. nov.), arcæensis ‘(spec. nov.), enhalia (spec. nov.), Sancti-Honorati (spec. nov.); C. Crausiria plagio- stoma (spec. nov.); Silanica (spec. nov.), sequa- nica (spec. nov.), laminata, fimbriata, emeria (spec. nov.); D. CLausiria punctata, Veranyi (spec. nov.), viriata (spec. nov.); E. CLausiLraA ventricosa, micro- pleuros (spec. nov.), earina (spec. nov.), armoricana, carthusiana (spec. nov.), onixiomicra (spec. nov.), Rolphi, digonostoma (spec. nov.); F. Crausizra Milne- Edwardsi (spec. nov.), matronica (spec. nov.), Sa- baudina (spec. nov.), lineolata, mucida, plicatula, Euzieriana, leia (spec. nov.); G. Crausicra gibbosa (spec. nov.), plicata, plagia (spec. nov.), biplicata, alasthena (spec. nov.); H. Crausirra Fagotiana (spec. nov.), Saint-Simonis (spec. nov.), Buxorum (spec. nov.), Bertronica (spec. nov.), albietina, Capellarum (spec. nov.), Fuxumica (spec. nov.), mamillata (spec. nov.), perexilis (spec. nov.), pyrenaica, Aurigerana, druidica, pumicata ; I. Crausicra ylora (spec. nov.); J. Crausicra dubia, Dupuyana (spec. nov.), gallica (spec. nov.), Farinesiana (spec. nov.), Nansoutyana (spec. nov.), ennychia (spec. nov.), obtusa, Reboudi; K. CLausiLrA cruciata, micratracta (spec. nov.), gra- cilis, nigricans, rugosa, Velaviana (spec. nov.); L. CLausizrA pleurasthena (spec. nov.), arrosta (spec. nov.), Nantuacina (spec. nov.); M. Crausicra crenu- lata, Moitessieri (spec. nov.), Isseli, Maceana, Aubi- niana, Penchinati (spec. nov.), belonidea {spec. nov.); N. Crausicia atrosuturalis (spec. nov.), dilophia (spec. nov.), girathroa (spec. nov.), parvula, corynodes, Tettelbachiana, Companyoi (spec. nov.), eumicra (spec. nov.), microlena (spec. nov.); — Espèces sup- plémentaires. CLausiLra hispanica et Lamalouensis. — 100 — 3° Les formes clausiliennes fossiles sont les CLausira contorta, Joncheryensis, Edmondi et Novigentiensis de l'éocène ; CLausiLra articulata, bulimoides, bulimi= formis et archæa, du miocène; Crausizra Loryi, Bau- doni, Michelotti et Fischeri du pliocène; Crausiria Gaduelliana (spec. nov.), Bizarellina (spec. nov.) et Joinvillensis du quaternaire. Enfin, ce long travail est terminé par la monogra- phie du nouveau genre Milne-Edwardsia, créé pour de grandes Espèces sénestres des terrains miocène et pliocène, regardées à tort comme des Clausilies et dont la columelle est ornée de deux plis égaux, paralleles, s’enroulant jusqu’au sommet de l'axe. Les Espèces de ce genre sont les Mirxe-Enwarpsra Terveri, maxima, Deshayesi (spec. nov.), sinistrorsa, Larteti et Barreri (spec. nov.). LVI. — Aperçu sur les Espèces françaises du genre Succinea.Paris,impr. Bouchard-Huzard, 1877. In-8. Les Succinées de France, sans compter les variétés, sont au nombre de 30 Espèces bien distinctes, répar- ties en 6 séries. À. Sucaixea Milne-Edwardsi (spec. nov.), xanthelea (spec. nov.), Charpentieri, acrambleïa, parvula, Bau- doni, Morleti ; B. Sucainea olivula, putris, hordeacea, pyrenaica (spec. nov.), Mortilleti, Pfeifferi, elegans ; C. Succixea debilis, Dupuyana (spec. nov.), longiscata, sublongiscata (spec. nov.), Bourguignati (spec. nov.); D. Succnea haliolidea (spec. nov.); E. Sucacrnra Fagotiana (spec. nov.), agonostoma, oblonga, Lute- tiana, Valcourtiana, Saint- Simonis (spec. nov.) ; F. Succixea chroabsinthina (spec. nov.), arenaria, humilis et brachya (spec. nov. ). — 101 — LVII. — Descriptions de deux nouveaux genres algériens, suivies d'une classifica- tion des familles et des genres de Mollus- ques terrestres et fluviatiles du système européen. Toulouse, impr. L. et J.-M. Doula- doure, 1877. 1 vol, in-8. Les deux genres nouveaux ont été établis : l’un, sous le nom de Zhotelleria, pour de petites Espèces fluviales, truncatuliformes, caractérisées par une ou- verture pourvue, sur le côté columellaire, d’un bord péristomal lacunoide, et à la base, d’une dilatation canaliforme ou rostriforme ; l’autre, sous le nom de Jolya, pour une bivalve iridiniforme, recouverte par un tissu épidermique dépassant les bords et analogue à celui des Solens, enfin, possédant une charnière réduite à une simple ligne sur laquelle on remarque en arrière (à la place de la dent latérale) un filament blanchâtre, opaque, rectiligne, très allongé, et en avant (à la place de la cardinale), une lame mince, fluette, faiblement arquée et lamelliforme. Trois Espèces nouvelles dans le premier genre, les LuorezceriA Letourneuxi, lævigata et ornata ; une Espèce unique dans le second, la Jorya Letourneuxi. Les Mollusques vivants du Système européen, ré- partis en 26 familles, appartiennent aux 100 genres suivants : Arion, Baudonia, Geomalaeus, Letourneuxia, Palizzolia (nov. gen.), Limax, Mabillia (nov. gen.), Krynickillus, Milax, Parmacella, Testacella, Libania (nov. gen.), Daudebardia, Isselia (nov. gen.), Helixa- rion, Vitrina, Succinea, Allerya, Zonites, Leucochroa, Drepanostoma, Helix, Bulimus, Chondrus, Limico- laria, Stenogyra, Azeca, Ferussacia, Cœlestele, Nenia, Clausilia, Temesa, Balia, Pupa, Orcula, Ennea, Pu- — 102 — pilla, Zospeum, Vertigo, Isthmia, Cæcilianella, Glan- dina, Carychium, Alexia, Otina, Brondelia, Ancylus, Limnæa, Amphipeplea, Physa, Choanomphalus, Seg- mentina, Planorbula, Planorbis, Cyclostoma, Poma- tias, Acme, Hydrocena, Assiminia, Truncatella, Vivi- para, Bythinia, Amnicola, Paludinella, Belgrandia, Maresia (nov. gen.), Hydrobia, Paludestrina, Perin- gia, Melania, Melanella, Melanopsis, Lithoglyphus, Emmericia, Pyrgula, Paladilhia, Lartetia, Moitessieria, Lhotelleria, Ampullaria, Valvata, Telskia (nov. gen.), Theodoxia, Gaillardotia (nov. gen.), Corbicula, Sphæ- rium, Pisidium, Eupera, Unio, Margaritana, Legu- minaia, Pseudodon, Anodonta, Mutela, Jolya, Spatha, Pliodon, Ætheria et Dreissensia. L'ensemble des Espèces, y compris les variétés, atteint le chiffre de 24 à 25 000. LVIII. — Hélices françaises du groupe de la Telonensis. Fontainebleau, impr. E. Bourges, 1877. In-8. Les Hélices de ce groupe, au nombre de huit [ Hezix Telonensis, Druentiana (spec. nov.), Moutoni, Lavan- dulæ, diæga (spec. nov.), gelida (spec. nov.), con- creta (spec. nov.) et crimoda {spec. nov.) ] vivent dans les climats les plus disparates des départements du Sud-Est de la France, puisque quelques-uns habitent la région des Orangers, tandis que d’autres prospè- rent sur les plateaux alpestres, rocailleux et glacés pendant les trois quarts de l’année. L'examen attentif des caractères de ces Hélices montre : 1° Que les Espèces des localités sèches et chaudes sont très déprimées, subanguleuses, avec une ouver- — 103 — ture très oblique et une grande déflexion à l’inser- tion du bord externe ; 2° Que les Espèces des régions moyennes, comme la diæga, qui habite la Clus de Saint-Auban, localité froide et humide, présentent un accroissement spiral plus rapide, un dernier tour plus développé, une ou- verture plus ample, moins oblongue, presque arrondie, enfin une déflexion nulle ou presque nulle à l’inser- tion du bord externe ; 3° Que celles qui vivent dans les hautes régions où les neiges persistent sept à huit mois, offrent une ouverture plus ou moins arrondie, des tours moins anguleux, tandis que leur croissance spirale redevient plus lente, plus régulière; leur dernier tour moins grand, avec une déflexion nulle ou presque nulle. Il résulte de c2t examen que ces Espèces, lorsqu'on les rencontre à l’état fossile, dans les dépôts quater- naires, peuvent servir d'excellents points de repère pour reconstruire la température préhistorique des régions du Sud-Est de la France. LIX. — Description de diverses Espèces ter- restres et fluviatiles et de différents genres de Mollusques de l'Égypte, de l'Abyssinie, de Zanzibar, du Sénégal et du centre de l'Afrique. Paris, impr. Tremblay, 1879. 1 vol. in-8. Ce volume contient seize chapitres consacrés : 1° Aux Espèces suivantes : Succnea Adowensis (spec. nov.) ; Burimus Cameroni (spec. nov.) et Spekii (spec. nov.); Acarina zanzibarica (spec. nov.), Lho- telleri (spec. nov.), Letourneuxi (spec. nov.) et pan- thera; Susuzixa Lhotellerii (spec. nov.); PLaxorsis — 104 — Adowensis (spec. nov.) ; Ampurraria Letourneuxi (spee. nov.) et Welwitschi (spec. nov.). 2° Aux Espèces des genres : Physopsis (Paysopsis africana, abyssinaca, eximia (spec. nov.), Stanleyana (spec. nov.), præclara (spec. nov.), globosa, ovoidea (spec. nov.), Letourneuxi (spec. nov.) et Lhotellerni (spec. nov.). Cleopatra (CLreoparra Letourneuxi (spec. nov.), Kynganica (spec. nov.), Cameroni (spec. nov.), buli- moides, Raymondi (spec. nov.), Laurenti {(spec. nov.), mareotica (spec. nov.), Lhotellerii (spec. nov.), Verreauxiana et cyclostomoides, Spekia, nouveau genre du lac Tanganika, établi pour l'ancien Lüthoglyphus zonatus de Woodward. Meladomus (Mecanomus ambiguus, procerus, ellip- ticus, elatior, olivaceus, purpureus, ovum, pyramidalis (spec. nov.). Pfeifferi (spec. nov.), holostoma, Ber- nardianus, Hibycus, sinistrorsus, intortus, Nyassanus, Guinaicus, subearinatus, niloticus, Boltenianus et Letourneuxi (spec. nov.). Cameronia, nouveau genre du lac TFanganika, établi pour la Cameronia Speki, anciennement /ridina spekii de Woodward. Et Pliodon (Priopon pachyodon (spec. nov.), Dio- libanus (spec. nov.). elongatus {spec. nov.) et Letour- neuxianus (spec. nov.). LX. — Description de quelques Espèces nouvelles de Mollusques terrestres et flu- viatiles des environs de Saint-Martin-de- Lantosque (Alpes-Maritimes). Cannes, impr. H: Vidal, 1880. Br. in-8. Espèces des hautes Alpes de la vallée de la Vésu- bie : Hezix subaustriaca (spec. nov.), Clairi (spec. — 105 — nov.), Millieri (spec, nov.); Limxæa nivalis (spec. nov.) et Langsdorffi (spec. nov.). LXI. — Description de diverses Espèces de Cœlestele et de Paladilhia découvertes en Espagne par le D' G. Servain. Angers, impr. Lachaise et Dolbeau, 1880. Br. in-8. Ce mémoire, divisé en deux parties, est consacré aux genres Cœælestele et Paladilhia. 1° Historique critique, caractères et distribution géographique des Espèces du genre Cœlestele, dont on ne connaissait les stations que dans l'Inde, en Arabie et sur différents points des côtes de la mer Rouge. Découverte par le D' G. Servain de sept Cœlesteles nouvelles à Séville, dans les alluvions du Guadal- quivir. On ne peut expliquer la présence d'Espèces de ce genre asiatique en Espagne, que par le fait d’une acclimatation accidentelle due à des transports de plantes et d’arbustes de l’Inde ou de l'Arabie, à l’épo- que florissante du règne des rois Maures dans le Sud de la péninsule hispanique. Douze Espèces, dont sept espagnoles, divisées en trois groupes, en lævigatæ, striatæ et lamellosæ, sa- voir : CŒLESTELE scalaris, africana (spec. nov.), ægyp- tiaca (spec. nov.), lævigata (spec. nov.), Castrotana (spec. nov.), hispanica (spec. nov.), arabica (spec. nov.), Isseli (spec. nov.), Servaini (spec. nov.), tumi- dula (spec. nov.), Letourneuxiana (spec. nov.) et raphidia (spec. nov.). Depuis ce Mémoire, le D° Jous- seaume! a fait connaître encore deux Espèces nou- 1. Bull. Soc. malac. Fr. VII, 1890. — 106 — velles des environs d’Aden, les Cœlestele Bourgui- gnati et stenostoma. 2° Description d’une nouvelle Paladilhie, la Pala- dilhia Servaini (spee. nov.), de l'Ébre, près de Sara- gosse. Avant la découverte de cette forme hispanique les Espèces de ce genre si intéressant, au nombre de sept | Paranicmia pleufotoma, Moitessieri, Mascla- ryana, Gervaisiana, Bourguignati, coniea et sequanica (spec. nov.),] n'étaient connues que de France. LXII. — Recensement des Vivipara du sys- tème européen. Paris, impr. Tremblay, 1880. 1 vol. in-8. Quarante Espèces de Vivipares, réparties en sept groupes, composent l’ensemble des formes vivipa- riennes du Système européen, savoir : Vivipara con- tecta, carniolica (spec. nov.), brachya (spec. nov.), crystallina (spec. nov.), lacustris, communis (spec. nov.), Seghersi, taurica (spec. nov.), paludosa (spec. nov.), zebra, Gallandi (spec. nov.), mamillata, occi- dentalis (spec. nov.), Penchinati, acerosa, laninensis, Isseli (spec. nov.), Letourneuxi (spec. nov.), Taciti (spec. nov.), unicolor, Aristidis (spec. nov.), Tanousi (spec. nov.), pyramidalis, subfasciata, Costæ, fasciata, hellenica, Blanci (spec. nov.), Forbesi, mnelius Nevilli (spec. nov.)!, atra, Duboisiana, amblya, microlena, fluviorum, danubialis, sphæridia (spec. nov.), Thies- seana (spec. nov.) et strongyla (spec. nov.). LXIII. — Description du nouveau genre Gal- landia. Saint-Germain, impr. Bardin, 1880. Br. in-8. 1. Voir la note rectificative à la fin du volume. — 107 — Les Gallandia sont des Espèces vitrinoïdes pour- vues d’un test pouvant contenir l'animal dans son entier, et caractérisées, en outre, par une coquille perforée, ayant une spire élevée, plus ou moins coni- que, des tours assez nombreux et un dernier tour subanguleux ou caréné. Les Espèces de ce nouveau genre (Gallandia conoi- dea, subconica et Lederi) paraissent spéciales aux ré- gions asiatiques qui s'étendent de l’Hellespont au Turkestan. Maloré que cette Monographie ait été publiée au mois d'août 1880, date vraie de sa publication, les auteurs allemands, par un esprit étroit de nationa- lisme, ont rejeté ce nom générique francais pour adopter injustement celui de Trochopitrina, fabriqué par Schacko, nom postérieur de deux mois, puisqu'il n’a paru qu'au mois d'octobre 1880, dans le quatrième fascicule des Jahrbücher des Deutsch. malakoz. Ge- sellsch. (p. 379), de Francfort. LXIV.— Aperçu monographique des Zonites crystalliniens et fulviens d'Europe et des- criptions d’'Espèces espagnoles, in : Études sur les Mollusques recueillis en Espagne et en Portugal, par le D'G. SEervaix. Saint-Germain, impr. Bardin, 1880. 1 vol. in-8. 1° Les Zonites crystalliniens sont divisés en Hydati- niens, Pseudohydatiniens et Crystalliniens propre- ment dits. À. Les Hydatiniens sont : ZOoNITES hydatinus et eudedalæus. B. Les Pseudohydatiniens sont : ZoxiTes pseudohy- datinus, 1llautus (spec. nov.), umbraticus (spec nov.), — 108 — zancleus_(spec. nov.), sedentarius {spec. nov.), noc- tuabundus (spec. nov.), latebricola et Mentonicus. C. Les Crystalliniens, répartis en trois groupes, sont : Zonires crystallinus, humulicola, subterraneus, secretus (spec. nov.), contractus, Botteri, Dubreuili, subcarinatus, Narbonensis, Jickelii, subrimatus, litto- ralis, Walderdorffi {spec. nov.), vitreolus {spec. nov.), subvitreolus (spec. nov.), eustilbus, permodestus (spec. nov.), diaugus (spec. nov.), apalistus, diapha- nus, tenebrarius, Erjaveci, transylvanicus, parthe- nicus (spec. nov.), acænus (spec. nov.), achidæus (spec. nov.), tardus (spec. nov.) et crystalliformis (spec. nov.). 2° Les Zonites de la série des fulvus sont les ZoxiTes fulvus, callopisticus (spec. nov.), vesperalis (spec. nov.), Mandralisci, improperus (spec. nov.), cavaticus (spec.nov.) et Mortoni. 3° Les Espèces nouvelles d'Espagne sont : Succixra strepholena (spec. nov.) et Servaini (spec nov.) ; Zoxires gyrocurtus (spec. nov.); Hezix Lucentumensis (spec. nov.), Pelopica (spec. nov.), axia (spec. nov.), Partschi (spec. nov.), Pechaudi (spec. nov.), Augus- tiniana (spec. nov.), Marsiana (spec. nov.), Valcour- tiana (spec. nov.), acentromphala {spec. nov.), Tari- fensis (spec. nov.), specialis (spec. nov.), Granno- nensis (spec. nov.), mauritanica (spec. nov.) et astata (spec. nov.). LXV.— Monographie du genre Emmericia. Angers, impr. Lachèse et Dolbeau, 1880. 1 vol. in-8. Les Emmericia sont de petites Espèces Bythinoïdes caractérisées par un sommet s’enroulant sur un plan — 109 — planorbique, et par un dernier tour offrant une g1bbo- sité toute spéciale qui, comme un bourrelet, entoure le bord externe de l'ouverture. Les Espèces de ce genre se rencontrent depuis la Vénétie, le Frioul et l’Istrie, en suivant les côtes dal- mates, jusqu’au lac de Scutari, au nord de l’Albanie. Elles sont réparties en trois grandes séries, en Brusi- niana, patuliana et Tacitiana, séries qui se subdivi- sent elles-mêmes en plusieurs groupes. Les ÆEmmericia, au nombre de soixante et onze, sont toutes nouvelles, sauf deux vivantes (Æmmericia patula et expansilabris) et quatre fossiles (Æmme- ricia candida, slobulus, Jenkiana et canaliculata). Les formes éinedites sont les : ExmericiA Bourguignati, Stossichiana, Stefaniana, Brusinæ, Letourneuxi, Mabiliana, Fagotiana, obesa, præclara, soluta, Narentana, Monfalconensis, Bruma- tiana, catorhyneus, Piniana, obseura, producta, Blan- ciana, trochilus, communis, ponderosa, perforata, Sandriana, Pauloviciana, lacunosa, secernenda, cal- lostoma, Doriana, crassa, Klecaki, Isseliana, Kusteri, labrosa, ininquinata, albocineta, violacea, Dalmatina, minima, megalostoma, sphæroidæaà, bulimiformis, Aristidis, pulchella, cinerea, regularis, viridis, Almis- sana, Tiberiana, fragilis, acutimargo, stagnalis, Mon- terosati, Cornaliæ, eximia, enhalia, pseudenhalia, microstoma, Adamii, mierocheila, Taciti, Servainiana, Montenegrina, elongata, Tanousi et ovoidæa. LXVI. — Matériaux pour servir à l'Histoire des Mollusques acéphales du système euro- péen. Poissy, impr. Lejay et C°, 1880-81. 1 vol. in-8 avec 1 pl. grav. — 110 — Ce grand ouvrage, qui doit comprendre quatre volumes avec un atlas, est destiné à faire connaître les Acéphales fluviatiles du Système européen. Le premier volume, le seul paru jusqu'à présent, est consacré : 1° À une nouvelle méthode de mensuration des Ace- phales, méthode appelée à rendre les plus grands services, puisqu'elle remplace avantageusement les planches et les figures en donnant la représentation géométriquement exacte d’un Acéphale. 2° À une monographie du nouveau genre Pseudano- donta. Les Espèces de ce genre, divisées en quatre sé- ries, sont: les PsEupanoponra præclara (spec. nov.), Letourneuxi (spec. nov.), danubialis (spec. nov.), Pen- chinati, mecyna (spec. nov.), complanata, Gratelou- piana (spec. nov.), Normandi, Pancici (spec. nov.), scrupæa, Berlani (spec. nov.), Rossmæssleri (spec. nov.), ellipsiformis (spec. nov.), Nordenskioldi (spec. nov.), Tanousi (spec. nov.), Rayi (spec. nov.), Klettii (spec. nov.), elongata et Ligerica {spec. nov.). 3° A un apercu monographique du genre ÆEtheria, dont les Espèces, au nombre de onze, sont réparties, d’après une nouvelle méthode basée sur la forme des talons, des ligaments et des contours, en quatre séries. Ces Espèces sont: Ærneria Caillaudi, tu- bifera, nilotica (spec. nov.), elliptica, senegalica (spec. nov.), Chambardi (spec. nov.), Petrettinn (spec. nov.), Letourneuxi (spec. nov.), semilunata, transversa et Carteroni. Six de ces Espèces ont été constatées en Égypte. 4 À la description du nouveau genre Colletopterum, genre créé pour des Espèces du bassin danubien, ayant le bord supérieur soudé d’un bout à l’autre et — 111 — projetant, en arrière des sommets, un aileron mince très aplati et très saillant, et caractérisées, en outre, à l'intérieur, par un rudiment de charniere. Les formes décrites de ce genre sont les Correrorrerum Letour- neuxi, præclarum, eximium et Tanousi, toutes les quatre nouvelles. 5° À une revue critique des Anodontes de l’ Asie occi- dentale, au nombre de huit sur lesquelles quatre mal dénommées, deux seulement bien déterminées (Ano- donta Vescoiana et Schlæflii), et à la description de trois formes inédites, les Anodonta taurica, Apollo- nica et Gallandi. Enfin 6°, à la monographie des Anodontes d'Europe. Cette monographie, véritable mémoire ex professo, où toutes les vieilles données et idées de l’ancienne École ont été changées, modifiées et mises à néant, appréciations des formes, classification, groupement, description, mensuration, etc..., comprend un nou- veau mode de compréhension de l’Espèce et une his- toire des Anodontes européennes. Ces Anodontes, au nombre de plus de deux cents, reparties en vingt-huit groupes, sont les : Axonoxra pammegala (spec. nov.), eucypha (spec. nov.), stag- nalis, gravida, eumorphia (spec. nov.), Thiessæ (spec. nov.), callidæa (spec. nov.), ventricosa, cordata, For- chammeri, gallica (spec. nov.), Locardi (spec. nov.), Charpyi (spec. nov.), lirata, fragillima, acyrta (spec. nov.), stataria (spec.nov.), regularis, Livronica (spec. nov.), cyrtoptychia (spee. nov.), gastroda (spec. nov.), arenaria, cygnæa, anserirostris, Saint-Simo- niana (spec. nov.), Fagoti (spec. nov.), oblonga, Con- datina (spec. nov.), cariosa, Nansoutyana (spec. nov.), Moulinsiana, Ranarum, Rhodani (spec. nov.), Arver- nica (spec. nov.), ellipsopsis (spec. nov.), Ressmanni (spec. nov.), siliqua, Tritonum (spec. nov.), antorida (spec. nov.), glyca (spec. nov.), Doëi (spec. nov.), lacuum (spec. nov.), Gallandi, mahometana (spec. nov.), Tchernaica (spec. nov.), crimeana (spec. nov.), ectina (spec. nov.), macilenta, submacilenta, Penchinati (spec. nov.), Martorelli (spec. nov.), vi- riata, melinia, Castroi (spec. nov.), castropsis (spec. nov.), Adamii (spec. uov.), de Bettana, Loppionica (spec. nov.), Mabilli (spec. nov.), ponderosa, Ruma- nica (spec. nov.), subponderosa, Dupuyi, Gougetana, Gueretini (spec. nov.), Coutagnei (spec. nov.), Ross- mæssleriana, luxata, inornata, Sondermanni, Nilssoni, Broti (spec. nov.), tumida, Humberti (spec. nov.), Charpentieri, plattenica, Balatonica, tihanyea, Tissoti, hydatina, aquatica, depressa, Browni (spec. nov.), Sturmi (spec. nov.), Lutetiana {spec. nov.), rostrata, diminuta, capitata, Sedakowi, Sebinensis, limpida, Blancei (spec. nov.), helvetica, lacustrina, Jourdheuili (spec nov.), Scaldiana, Serbica (spec. nov.), Loroisi (spec. nov.), Krapinensis (spec. nov.) œæchmopsis (spec. nov.), Pilariana {spec. nov.), Rayi (spec. nov.), danica, anatina, palustris, lusitana, Bourguignati (spec. nov.), ruvida (spec. nov.), glabra, idrina, sub- luxata, nycterina (spec. nov.), Westerlundi (spec. nov.), Ogerieni (spec. nov.) Ervica {spec. nov.), Cari- siana (spec. nov.), Potiezi (spec. nov.), Klecaki, exul- cerata, acallia {spec. nov.), illota (spec.nov.), arealis, subarealis (spec. nov.), Kusteri (spec. nov.), Mor- chiana, maculata, Arelatensis, Benacensis, Clessini (spec. nov.), parvula, pœdica (spec. nov.), codiella (spec. nov.), Racketti (spec. nov.), Carotæ (spec. nov.), eunotaia (spec. nov.), abbreviata, illuviosa (spec. nov.), fallax, psammita, callosa, Briandiana, — 113 — Renoufi, truncata, colloba (spec. nov.), incrassata, Avonica, Desori (spec. nov.), Trasymenica, meretrix (spec. nov. ), intermedia, sedentaria {spec. nov.), Spen- gleri (spec. nov.), Pfeifferi (spec. nov.), Servaini (spec. nov.), Hazayana, minima, tricassina (spec. nov.), Picardi (spec. nov.), Journei {spec. nov.), Du- breili, Monterosati (spec. nov.), Maritzana(spec. nov.), piscinalis, opalina, savica, Kickxi, ilysæca (spec. nov.), scaphidella (spec. nov.), resima (spec. nov.), faleata, Aristidis (spec. nov.), Ramburi (spec. nov.), Spiridionis (spec. nov.), Brusinæ (spec. nov.), Picte- tiana, exocha (spec. nov.), subcircularis, interogatio- nis, Milleti, episema (spec. nov.), subrhombea, Dan- tessantyi (spec. nov.), et elachista. — Anodontes fossiles) antiqua, aquensis, Bronni, Cordieri, Gar- danensis, Heeri, Lavateri, prædemissa, viridis, tener ct tenuissima. Cette longue histoire des Anodontes européennes est complétée par une liste des formes manuscrites inconnues et par quelques réflexions critiques sur l’'Anod. contorta de Brown et les Anod. dorsuosa, cymbalica et mæsica du S' Drouet, Espèces bêtement décrites. LXVII. — Mollusques terrestres et fluviatiles recueillis en Afrique dans le pays des Ço- malis Medjourtin. Saint-Germain, impr. Bardin, 1881. Br. in-8. Les Espèces du pays des Comalis Medjourtin, les premières connues de cette contrée inexplorée de l'Afrique, ont été recueillies par le célèbre voyageur Georges Revoil. Ces Espèces, au nombre de dix seule- ment, de sept genres différents, sur lesquels deux nou- veaux (Rochebrunia et Revoilia), sont les Herix pisa- 8 — 4 1lA4T— niformis (spec. nov.); Buzimus labiosus; Oropoma Perrieri (spec. nov.), Poirier: (spec. nov.); Rocne- BRUNIA obtusa ; Revorrta Milne-Edwardsi (spec. nov. ); Liumœa Perrier: (spec. nov.), Poirieri (spec. nov.), Revoili (spec. nov.), et MeLaxra tuberculata, LXVIII. — Aperçu monographique des Stri- gelles d'Europe, in: Histoire malacologique du lac Balaton, en Hongrie, par le D G. SEervaIN. Poissy, impr. Lejay et C°, 1881. 1 vol. in-8. Les différentes Espèces d’'Hélices du groupe de la strigella, au nombre de seize, réparties en trois séries, d’après la forme de la spire, des tours et de la perfo- ration ombilicale, sont les Herix strigella, Colliniana, lepidophora, Rusinica, Vellavorum (spec. nov.), Se- parica, sylvestris, Ceyssoni (spec. nov.), Briandi, Gue- retini, Dubreili, Buxetorum, Nemetuna, Cussetiensis, Mehadiæ et agapeta (spec. nov.). LXIX.— Cataloque des Limnées d'Europe, in: Histoire malacologique du lac Balaton. Poissy, impr. Lejay et Ce, 1881. 1 vol. in-8. Les nombreuses Espèces limnéennes d'Europe l I appartiennent aux genres Limnæa et Tanousia. Les Limnœæa, réparties en vingt séries, sont, sans ) 2 » Al \ ,’ compter plus d’une centaine d'Espèces portées en synonymies, les Limxœa Tomasellit, thaumasta {spec. nov.), debilis (spec. nov.), fragilis, bottnica, vulgata, anglica, turgida, elophila, colpodia, borealis, raphi- dia, stagnalis, slavonica (spec. nov.), lacustris, Kar- pinskü, Doriana, Bodamica, helvetica, cyphidæa, Ba- derseensis, mueronata, rubella, fontinalis, acutespira (spec. nov.), biformis, acutalis, Benoiti (spec. nov.), — 115 — Aradasi (spec. nov.), Foreli, profunda, attica, Bar- tholomæa, Vagoritana (spec. nov.), Bulgarica (spec. nov.), Pilariana (spec. nov.), psilia, Moitessieri (speec. nov.), diaphanella, effusa, ampulla, Monnardi, ampla, Hartmanni, tumida, acronica, costellata, auricularia, Trenquelleoni, canalis, multizonata, decussata, danu- bialis, contracta, albescens, Crimeana (spec. nov.), Heldi, Britannica (spec. nov.), obtusa, Martorelli (spec. nov.), microcephalus, doliolum, hemisphærica, alpes- tris, crassa (spec. nov.) Andersoni, Sandri, Sandri- formis (spec. nov.), lacustrina, Rochi, rosea, Delaunayi, intermedia, vulgaris, limosa, thermalis, marginata, suc- einea, baltica, Janoviensis, Bouchardiana (spec. nov.), exigua (spec. nov.), ampullacea, subampullacea (spec. nov.), lineata, Nouletiana, iberica (spec. nov.), mamillata (spec. nov.), glacialis, apalista (spec. nov.), membranacea, oarium (spec. nov.), Thorshavnensis (spec. nov.), nubigena, nivalis, Langsdorffi, pornæ (spec. nov.), virens, virescens (spec. nov.), africana (spec. nov.), plagiostoma (spec. nov.), Cyrniaca, abyssicola, Blauneri, cænisia, hydroriga, crimophila, crymæca, elongatissima, Planinæ (spec. nov.), solida, frigida, Isseli (spec. nov.), attenuata, Maureliana (spec. nov.), peregra, Reynesi, Raiblensis, Putoni (spec. nov.), Gibilmannica, Plaskiensis (spec. nov.), stenostoma (spec. nov.), Alleryi (spec. nov.), sicula, Carotæ (spec. nov.), Ligerica (spec. nov.), Renoufi, Varnensis (spec. nov.), corvus, Gueretiniana, Hel- dreichii (spec. nov.), Moscovica (spec. nov.), badia, phœacina (spec. nov.), præclara (spec. nov.), Berlani, contorta, palustris, fusca, limbata, opisthostoma (spec. nov.), Vosgesiaca, Mandraliscæ (spec. nov.), muria- trica (spec. nov.), Fenziana (spec. nov.), disjuncta, Postdami, maritima, glabra, Cantalica (spec. nov.), — 116 — Lavedanica (spec. nov.), gingivata, Brumatit (spec. nov.), œnostoma (spec. nov.), Nabresina {spec. nov.), subulata et truncatula. Les Espèces du nouveau genre Tanousia sont les Taxousra Zrmanjæ, Letourneuxi (spec. nov.), Marche- settiana (spec. nov.) et Stossichiana (spec. nov.) de Dalmatie. LXX.— Notice monographique sur les Espè- ces du genre Segmentine, in : //istoire mala- cologique du lac Balaton. Poissy, impr. Lejay et C°, 1881. 1 vol. in-8. Les Segmentines vivantes du Système européen, au nombre de six, sont les SEGMENTINA Servaini (spec. nov.), angusta, nitida, Clessini, microcephala (spec. nov.), et Montgazoniana (spec. nov.). Le D' Westerlund, dans son grand ouvrage sur les « Binnenconchylien der palæarctischen region... » (fase. v., 1885), en a mentionné trois de plus : les Seg- mentina zr7olytes, ælandica et cuprea. LXXI.— Monographies des genres Pechaudia et Hagenmulleria, découverts en Algérie par M. J. Pechaud, suivies de la descrip- tion d'ure nouvelle Lhotelleria et d’une notice sur ce genre. Paris, impr. Tremblay, 1881. Br. in-8. La Pechaudia Letourneuxiana, la seule Espèce connue pour laquelle le genre Pechaudia à été établi, ressemble à une Physopside dextre, caractérisée par une columelle lamellée, tordue, tronquée et pourvue, à la base, d’un sinus mélanopsidien; enfin, par un bord externe sinué et échancré au sommet. — 117 — Les deux Hagenmülleria connues, les Pechaudi et Letourneuxi, pour lesquelles ce genre a été établi, sont de très petites coquilles operculées terrestres vivant sur le bord des ruisseaux, et ayant à peu près le même mode vital que celui des Hydrocena de Dalmatie. Les Espèces de ce genre, qui appartient à la famille des Diplommatidæ, possèdent une ouverture tout à fait sphérique, entourée d’un fort bourrelet péristomal continu. La nouvelle Zhotelleria (la Pechaudi), découverte dans les eaux de la Macta, est la plus grande du genre. Les formes de cette coupe générique sont les Laorez- LERIA Letourneuxi, apocrypha, lævigata, ornata, Pe- chaudi (spec. nov.), Saint-Simonis (spec. nov.) ct ægyptiaca (spec. nov.). LXXII. — Bythiospeum, ou description d'un nouveau genre de Mollusques aveugles. Poissy, impr. Lejay et C°, 1882. Br. in-8. Ce nouveau genre « Bythiospeum » est établi pour de petites coquilles paludestriformes que l’on ne ren- contre que dans les courants des cavernes, ou dans la nappe d’eau souterraine qui alimente les puits de la ville de Munich, en Bavière. D’après les études ana- tomiques des docteurs Wiedersheim et de Rougemont, il y aurait chez les Bythiospés un manque complet d'organes visuels, et par contre, pour suppléer à la vue, un grand développement des sens de l’ouie et du toucher. Les Espèces de ce genre sont les Byrnios- pEUM Quenstedti, Purkhaueri, pellueidum, vitreum, turritum, Tschapecki, Letourneuxi (spee. nov.) et afri- canum (spec. nov.). Ce Mémoire, traduit en espagnol par M. le D' Bo- fill y Poch, à paru dans la « Cronica cientifica, revista — 118 — international de cienceias » (n°% 105 et 106, avril et mai 1882), sous le titre de « Descripcion de un nuevo genero de Moluscos ciegos ». LXXIII. — Paulia, ou description d'un nouveau groupe générique de Mollusques habitant la nappe d’eau des puits de la ville d’Avi- gnon. Poissy, impr. Lejay et C°, 1882. Br. in-8. Les Espèces de cette nouvelle coupe générique dif- fèrent de celle des Bythiospés par un test allongé- cylindriforme, à spire à peine atténuée et à sommet obtus, par un dernier tour à peine plus développé que l'avant-dernier et par un opercule lisse, sans trace de spirales. Chez les Bythiospés, la spire est acuminée, le der nier tour est relativement énorme et en disproportion de taille et de grosseur avec les autres, enfin, l’oper- cule est spirescent. Les Paulies des puits de la ville d'Avignon sont les Pauzra Berenguieri (spec. nov.) et Locardiana (spec. nov.). Depuis (1883), le savant malacologiste, M. A. Locard, de Lyon, a fait connaître une nouvelle Paulia (la Paulia Bourguignati), découverte dans la nappe d’eau du puits de Courtenot, près Bar-sur-Seine (Aube). Ce Mémoire sur les Paulies a donné lieu à un plagiat scientifique de la part d’un amateur ignorant d’Avi- gnon, qui a cru faire preuve d'équité et de savoir, en changeant le nom de Paulia en celui d’Avenonia, et en copiant, sans discernement, les caractères des deux Espèces pour leur attribuer des appellations différentes. — 119 — LXXIV. — Mollusques terrestres et fluvia- tiles de la mission G. Revoil au pays Comalis. Paris, imp. J. Tremblay, 1882. 1 vol. in-8, avec 6 pl. lith., dont 2 d'anatomie. La mission de l’'intrépide voyageur, M. G. Revoil au pays Comalis a donné pour résultat un ensemble de trente-sept Espèces, sur lesquelles quatre seulement fluviatiles. Ces Espèces sont les Herix çomaliana (spee. nov.), Tiani (spec. nov.), Tohenica (spec. nov.), pisanifor- mis, desertella; Burimus Revoili (spec. nov.), candi- dus, Maunoirianus {spec. nov.), Duveyrierianus (spee. nov.), labiosus, macropleurus (spec. nov.), Bertrandi (spec. nov.), Tiani (spec. nov.), Georgi (spec. nov.), Pauli (spec. nov.), Delagenieri (spec. nov.); Limrco- LarIA Revoili (spec. nov.), Gilbertæ (spec. nov.), Ro- chebruni (spec nov.), Armandi {spec. nov.), Perrie- riana (spec. nov.), Maunoiriana (spec. nov.), Milne- Edwardsiana (spec. nov.), Leontinæ (spec. nov.), Rabaudi (spec. nov.); Limnœa Perrieri, Poirieri, Revoili; GeorGia naticopsis (spec. nov.), Guillaini (spec. nov.), Perrieri, Poirieri, Revoili (spec. nov.); RocnesruniA obtusa, Revoili (spec. nov.); Revoirra Milne-Edwardsi; Mrcanra tuberculata, Dans le but de rendre plus complète la connais sance des Espèces appartenant aux genres Bulimus (groupe des Petreus), Otopoma, Georgia et Roche- brunia, Vauteur a fait précéder les descriptions des formes découvertes par M. G. Revoil, d’une revue critique de toutes les autres des mêmes genres pu- bliées et signalées par les malacologistes. Ainsi, les Bulimus, du groupe des Petreus, sur lesquels porte l'examen critique, sont les Burimus fragosus, Forskali, — 120 — candidus, micraulaxus (spec. nov.), prochilus (spec. nov.), latireflexus, Ilemenieus, labiosus, Sabæanus, Hedjazieus (spec. nov.) et Bruguieri (spec. nov.). Les Otopoma, Georgia et Rochebrunia sont les Oropoua foliaceum, Balfouri, complanatum, elathratum et So- cotranum; GEORGIA naticoides, Austeni (spec. nov.), Guillaini, clausa et yemenica {spec. nov.); Rocne- BRUNIA Philippiana, Coquandiana, vitellina, polita, Guillainopsis (spec. nov.), Grandidieri, tricolor, co- nica et turbinata. Enfin, cette faune est complétée par l’anatomie des organes digestifs et génitaux des Bulimus et Limico- laria Revoili. Il résulte des caractères des Espèces comaliennes que les Helix dérivent du type tauro-européen Pisana, les Bulimus dela série des Petreus, de Syrie et d’Ara- bie, les Cyclostomidés (Georgia, Rochebrunia et Re- voilia) de plusieurs formes similaires du Centre mal- gache, enfin que seules, les Limicolaria et les Limnæa sont des Espèces du Centre zoologique africain. La population malacologique des contrées explorées par M. G. Revoil proviendrait donc de trois Centres : du Centre taurique, du Centre malgache et du Centre africain. LXXV. — Sphéries européennes du groupe du Sphærium rivicola, in : Histoire des Mol- lusques Acéphales des environs de Francfort. Poissy, impr. Lejay et C°, 1882. 1 vol. in-8. Les Sphéries de ce groupe, au nombre de neuf, sur lesquelles six nouvelles, sont réparties en deux séries : en Espèces à sommet très bombé-ventru et à valves bien convexes, Spaæriun Loiræ (spec. nov.), AIR Letourneuxi (spec. nov.), gallicum (spec. nov.) et Morini; et en Espèces à sommet émoussé, non sail- lant, et à valves peu convexes, SPxærIum rivicola, Bourguignati (spec. nov.), Servaint (spec. nov.), Alpecanum (spec. nov.) et Boetgerianum. LXXVI. — Descriptions d'Espèces nouvelles de France, in : Prodrome de Malacologie fran- caise, par M. D. Locarp. Lyon, impr. Pitrat, 1882. L vol. in-8. Les Espèces inédites de France sont les : Hyazinia chersa (spec. nov.), Stæœchadica (spec. nov.); Hezix korægælia (spec. nov.), promæca (spec. nov.), pyrgia (spec. nov.), pachypleuros (spec. nov.), Fagoti (spec. nov.), Mosellica (spec. nov.), Aubiniana {spec. nov.), Lemonia (spec. nov.), Dumorum (spec. nov.), Separica (spec. nov.), Vellanorum (spec. nov.), lepidophora (spec. nov.), Buxetorum (spec. nov.), Nemetuna (spec. nov.), Cussetiensis (spec. nov.), Rusinica (spec. nov.), Ceyssoni (spec. nov.), iadola (spec. nov.), Langsdorffi (spec. nov.), cotinophila (spec. nov.), veprium (spec. nov.), Silanica (spec. nov.), odæca (spec. nov.), Hylo- nomia {spec. nov.), sublimbata {spec. nov.), innoxia (spec. nov.), leptomphala (spec. nov.), Venetorum (spec. nov.), villula (spec. nov.), subbadiella (spec. nov.), Vendoperanensis (spec. nov.), hypsellina (spec. nov.), chonomphala (spec. nov.), microgyra (spec. nov.), Cularensis (spec. nov.), Crombezi (spec. nov.), chiophila (spec. nov.), Lautaretina, Pelvouxiana (spec. nov.), amathia (spec. nov.) virgultorum (spec. nov.), Morbihana (spec. nov.), Tardyi (spec. nov.), talepora (spec. nov.), acosmeta (spec. nov.), Dantei (spec. nov.), Velaviana (spec. nov.), triphera (spec. nov.). Pisanorum (spec. nov.), Armoricana (spec. nov.), Marioniana (spec. nov.), Bertini (spec. nov.), Hono- rati (spec. nov.), Cithariensis (spec. nov.), Vicianica (spec. nov.), Hypæana (spec. nov.), Deferiana (spec. nov.), scrupæa (spec. nov.), Groboni (spec. nov.), Contagnei (spec. nov.), nomephila (spec. nov.), Mau- riana (spec. nov.), Jeanbernati (spec. nov.), acosmia (spec. nov.), Frayssiana (spec. nov.), Mouqueroni (spec. nov.), erema (spec. nov.), subintersecta (spec. nov.), Pictonum {spec. nov.), Lirouxiana (spec. nov.), limara(spec. nov.), lathræa (spec. nov.), misara (spec. nov.), Sitifiensis (spec. nov.), Naudieri (spec. nov. ); Pnysa Taciti {spec. nov.); acutespira (spec. nov.); Anonoxra Sequanica (spec. nov.), Georgei (spec. nov.) ; Unio rathymus (spec. nov.), septentrionalis (spec. nov.), Alpecanus (spec. nov.), Socardianus (spec. nov.), crassatellus (spec. nov.), Brevierei (spec. nov.), Locardianus (spec nov.), Milne-Ed- wardsi (spec. nov.), Riciacensis (spec. nov.), Hau- terivianus (spec. nov.), Matronicus (spec. nov.), Ligericus (spec. nov.), arenarum (spec. nov.), pota- mius (spec. nov.), Berthelini (spec. nov.), Bourgeticus (spec. nov.), Lagnisicus (spec. nov.), Rayi(spec. nov.), Piloti (spec. nov.), macrorhynchus (spec. nov.), Be- renguieri (spec. nov.), Corbini (spec. nov.), Fagoti (spec. nov. ), Pinciacus (spec. nov.), fabæformis (spec. nov.), Jousseaumei {spec. nov.), pornæ (spec. nov.), meretricis (spec. nov.), falsus (spec. nov.), Gobionum (spec. nov.), Cancrorum (spec. nov.), Gestroianus (spec. nov.), gallicus (spec. nov.), rostratellus (spec. nov.), mucidulus (spec. nov.), Dolfusianus (spec. nov.), edyus (spec. nov.), Fourneli (spec. nov.) et Dreissexsia Belgrandi (spec. nov.). Total cent vingt Espèces nouvelles pour la faune française. AD — LXXVII — Miscellanées italo-malacologi- ques, in : Naturalista siciliano, giornale di cienze naturali. Palermo, tipogr. Virzi. 1°" fasc. 1882 ; 2° fasc. 1883. Gr. in-8. Le premier fascicule (1882) est consacré à une étude sur les Anodontes italiennes, au nombre de vingt et un, savoir : les Axopoxra frastillima, cygnæa, oblonga, del Pretei (spec. nov.), Adam, de Bettana, Loppionica, depressa, Sebinensis, Blanci, glabra, Idrina, exulcerata, subarealis, Benacensis, leprosa, Carotæ, meretrix, Trasymenica, Monterosati et Rai- mondoi (spec. nov.). Le second fascicule (1883) comprend: {° un Mé- moire sur des Hélices nouvelles du groupe de la Gobanzi, les Heuix sigela (spec. nov.), Ccompso- pleura (spec. nov.) et perfecta (spec. nov.); 2° un travail critique et descriptif sur les Espèces italo-po- matiennes de la série des ligata et lucorum, les HELix ligata, Gussoneana, straminea, lucorum, yleobia (spec. nov.), virago (spec. nov.), rypara (spec. nov. ); nigrozonata (spec. nov.) et atrolabiata (spec. nov.). LXXVIII — Histoire malacologique de l’A- byssinie. Paris, impr. de la Société anonyme des Imprimeries-Réunies, 1883. 1 vol. in-8 avec & pl. lith., 1 carte géog. et planche double chromolithogr. Cette œuvre est le travail le plus important qui ait jamais été publié sur l’'Abyssinie. Il embrasse : 1° une description géographique du pays et celle de tous les Mollusques abyssins recueillis par M. A. Raffray; 92 une liste complète de toutes les Espèces connues — 124 — de l’Abyssinie; 3° une étude malaco-stratigraphique abyssine, et 4° un aperçu sur la répartition de ces animaux à la surface du continent africain. Dans cette œuvre, qui renferme un grand nombre d'Espèces inédites, se trouvent établis les nouveaux genres Abbadia, Raffraya, Beccaria, Caillaudia et une nouvelle classification des familles d’après les principes de la subordination des caractères. Les Espèces abyssines, au nombre de 167, sont: Limax Jickelii; Hertxarion lymphæus, pallens, Raf- frayi (spec. nov.); Taapsia Abyssinica, Vesti, oleosa, euryomphala (spec. nov.); Srrara Raffrayi (spec. nov.), Steudneri; Trocaomorpna Mozambica; VrrriNa hians, Ruppelliana, Jickelii, abyssinica, semirugata, Isseli, Caillaudi, Riepiana, conquisita, mamillata, helicoidea, Milne-Edwardsiana (spec. nov.), Raffrayi (spec. nov.), Herbini (spec. nov.), rugulosa, Poirie- riana (spec. nov.) Adowensis, limicola, æthiopiea (spec. nov.); Hezix pilifera, Combesiana (spec. nov.), Fer- retiana (spec. nov.), Herbini (spec. nov.), Galinie- riana (spec. nov.), Beccarii, Abbadiana (spee. nov.), Brucei, cryophila, abyssinica, Raffrayi melius pera- canthoda! (spec. nov.), Isseli, Lejeantana (spec. nov.), Achilli (spec. nov.), Darnaudi, Heuglini, Hama- cenica (spec. nov.), subnivellina (spec. nov.) ; Buur- mus Raffrayi (spec. nov.), Herbini (spec. nov.), Simo- nis (spec. nov.), Achilli (spec. nov.), Tamisierianus (spec. nov.), Olivieri, Abbadianus (spec. nov.), Jic- kelianus, abyssinicus, Galinierianus (spec. nov.) Lejeanianus (spec. nov.), Hemprichi, Sennaaricus, æthiopieus (spec. nov.), subeminulus (spec. nov.), 1. Voir la note rectificative publiée en juillet 1883 ( Paris, impr. Tremblay, in-8). — 125 — macroconus (spec. nov.), insularis ; Rarrraya Milne- Edwardsi (spec. nov.) ; ABBapra æthiopica (spec. nov.); Orcuca imbricata, PuPiLLa Bruguierei, Raffrayi (spec. nov.), globulosa; Verrico Klunzingeri, Pleimesi; Isramia Ha ggenmachert, Reinhardti, Abyssinica, lar- dea, Schilleri. Blandfordi, similis; CLausILIA sennaa- rica, dystherata; ENNEA denticulata, Raffrayi (spec. nov.), PacHNODUS Rochebrunianus (spec. nov.); Limi- coLariA Ruppelliana, sennaarica, Heuglini; OPEas gracilis; BEcCaRIA Isseli (spec. nov.); GLESSULA mOn- tana; CœLesrece Paladilhiana ; SuBULINA Cyanostoma, vemicosa, Antinorti, Perrieriana (spec. nov.), variabi- lis, Lhotellerii (spec. nov. ) Jickeli (spec. nov. ), lens angustata, subulata, Munzigert, Mabilliana (spec. nov.); CœairrANELLA Isseli; Auricuza subula; Maeramrus Massauensis, Siamensis, Ehrenbergianus; LœŒMoDONTA granum, Bronu, oblonga, amplcata, affinis ; PLECOTREMA rapax ; Caseimoranuélens; labrella ; Axcyzus Hamacenicus (spec. nov. ), abyssinicus ; Limnæa Caillaudi (spec. nov.), exserta, acroxa (spec. nov. ), alexandrina (spec. nov. ), Raffrayi (spec. nov ss æthiopica (spec. nov.), africana (spec. nov. ), trunca- tula; Puaysa natalica, sericina, Schackoi, contorta. Fischeriana, Forskali (spec. nov.); Pæysopsis abyssi- nica, eximIa ; PLANORBIS Ruppelli, Herbini (spec. nov.) Adowensis, Abyssinieus, Æthiopicus (spec. nov. 1e CarzLaupra angulata (spec. nov.), Letourneuxi (spec. nov.), angusta; TRUNCATELLA teres, semicostulata; ViviPARA unicolor, Abyssinica; CLEOPATRA bulimoides ; Dicyreum Sennaaricum; MELanta tuberculata; An- puzLarta Kordofana; MELADOMUS Boltenianus; THEo- poxta africana ; CORBICULA consobrina; SeHæriuM sub- capense (spec. nov.); EUPERA parasitica, Jickelu (spec, nov.). Letourneuxi (spec. nov.); Uxio abyssinicus, = 196 — æneus, Dembeæ, Jickelii (spec. nov.); Murera nilotica, angustata ; Sparna Caillaudi; Æruerra Caillaudi, tubi- fera et nilotica. La faune malacologique de l'Abyssinie est celle du grand Centre africain, et si, parmi ses Espèces, on en rencontre un certain nombre dont l'aspect, à première vue, semble dénoter une origine étrangère, cette faune n’en reste pas moins essentiellement africaine, parce que ces espèces pseudo-étrangeres ne sont que le ré- sultat de l’action d’une climatologie qui leur a im- primé le cachet de celles qui vivent dans les #1êmes conditions en Europe, en Asie et en Amérique. La partie malaco-stratisraphique de cet ouvrage a été reproduite par le D'Bofill y Poch, dans la Cro- nica cientifica du D' Roig y Torres de Barcelone (1883). LXXIX. — Aperçu sur les Unionidæ de la Péninsule italique. Paris, impr. Tremblay, 1883. 1 vol. in-8. Cette œuvre est plus qu’un aperçu, c'est une his- toire critique et descriptive, aussi complète que pos- sible, de tous les Acéphales de la péninsule italique des genres Unio, Leguminaiïa et Anodonta. Les Unios sont au nombre de 53, répartis en 20 groupes, les Leguminaia au nombre de 9, et les Anodontes au nombre de 40, de 18 groupes différents. Uxio sinuatus, latinus (spec. nov.) opisadartos, Sebinensis (spec. nov.), Oriliensis, Stephann, corro- sus, campsus (spec. nov.), Verbanicus (spec. nov.) glaucinus (spec. nov.), brachyrhynchus, Gurkensis (spec nov.), Delpretei(spec. nov.), potamius, Benoiti (spee. nov.),Uziellni (spec. nov.) Vittorioi {(spec. nov.), Pisanus (spec. nov.), proechus, Cumanus, Villæ, Veil- — 127 — lanicus, Spinelli, arca, Lawleyianus, Gentiluomoi (spec. nov.), Laderelianus, Pecchiolii (spec. nov.) Moltenii, umbricus, Monterosati (spec. nov.) Gar- gottæ, Aradasi, Bivonianus (spec. nov.), Blanet (spec. nov.), romanus, Campanus (spec. nov.), Isseli (spec. nov.), eucallistellus (spec. nov.), callichrous (spec. nov.), Gestroianus, pornæ, meretrix, d'Anconæ (spec. nov.), Blauner1, Caficianus (spec. nov.) vulgaris, Pada- nus (spec. nov.), falsus, Strobeli (spec. nov.), graniger, Pedemontanus {spec. nov.), rhynchetinus ; LEGUMINATA Bonellii, Servaini (spec. nov.), Moreleti, squamosa, depressa, Doriæ (spec. nov.), crassula, curvata, Ges- troi (spec. nov.); ANODONTA Doriana {spec. nov.), atro- virens, attenuata, fragillima, cygnæa, Saint-Simoniana, oblonga, Del Pretet, Isseli (spec. nov.), Antinoriana (spec. nov.), Adamii, de Bettana Loppionica, mere- trix, Trasimenica, Monterosati, eporediana (spec. nov.), Gestroi (spec. nov.), depressa, limpida, Sebi- nensis, Blanci, æchmopsis, anatina, palustris, glabra, idrina, nycterina, exulcerata, arealis, subarealis, Be- nacensis, Beccariana (spec. nov.), leprosa, Carotæ, Raimondoi, Tricassina, Arturi (spec. nov.), anatinella et Arnouldi (spec. nov.). Cette œuvre, publiée en juillet 1885, a été livrée au publie savant au mois d'août 1883. Ce fait mérite d’être signalé, parce qu'un auteur indélicat a fait pa- raître, sous le titre d’Unionidæ d'Italie, sous la fausse date de 1883, un travail, sorte de plagiat, sur le même sujet, où nombre d'Espèces nouvelles des Unionidæ de la péninsule italique ont été dénaturées, comme à plaisir, sous des appellations différentes. L'ouvrage de cet auteur indélicat, faussement daté de 1883, n’a paru qu'en janvier 1884, et le Journal de Conchy- liologie (numéro de juillet), dans lequel se trouve un — 128 — compte rendu de cet ouvrage, a été publié le 15 fé- vrier 1884. L'antériorité des formes spécifiques appartient donc incontestablement à l’Apercu sur les Unionidæ de la péninsule italique. LXXX — Mollusques fluviatiles du Nyanza- Oukéréwé (Victoria Nyanza), suivis d’une note sur les genres Cameronia et Burtonia du Tanganika. Paris, impr. Tremblay, 1883. Br. in-8 avec 1 pl. n. lithogr. Les Espèces décrites et signalées dans ce travail, les premières connues de cette grande mer intérieure, sont les Merania tuberculata ; Vivipara abyssinica ; MureLa subdiaphana et les sept Unios suivants, tous nouveaux, les Uxio Hauttecœuri, Grandidieri, Du- ponti, Ruellani, Edwardsianus, Grantianus et Monceti. Ces descriptions sont suivies par un exposé des ca- ractères du genre Cameronia et de la diagnose du genre Burtonia, nouveau genre établi pour la Spatha Tanganyicensis de Smith, Espèce qu'il convient de diviser en Burronia tanganikana et Livingstoniana (spec. nov. ). LXXXI. — Nouvelle Espèce de Letourneuxia, notice sur ce genre et classification des Arionidæ, in : Excursions malacologiques dans le Nord de l'Afrique, de la Calle à Alger et d'Alger à Tanger, par M. J. Pecnaup. Paris, impr. Tremblay, 1883. L vol. in-8. Le genre Letourneuxia a été établi pour un lima- cien algérien possédant un manteau très antérieur, échancré sur son bord antéro-dextre par l’orifice pul- — 129 — monaire ; un orifice génital un tant soit peu en avant du trou pulmonaire; une glande mucipare à l’extré- mité postérieure dorsale très dilatée et se rabattant sur le plan locomoteur, qui est fortement séparé de la partie dorsale ; une mâchoire sans rosire médian et une limacelle forte, épaisse, sans lignes concentri- ques, ressemblant à une grosse granulation. La nouvelle Letourneuxia décrite, l’At/antica, grande Espèce rougeûtre ornée de deux zones noirâtres bi- parties de chaque côté des flancs, portent à trois les Espèces de ce genre qui appartient à la famille des Arionidæ. Cette famille comprend les genres Arion (Ferussae, 1821), Arionculus (Lessona, 1881), Geomalacus (All- man, 1846), Baudonia (Mabille, 1868) et Letour- neuxia (Bourguignat, 1866). LXXXII — Revue critique des Hyalinies constatées dans le Nord de l'Afrique, in : Excursions malacologiques dans le Nord de l'Afrique, de la Calle à Alger et d'Alger à Tanger. Paris, impr. Tremblay, 1883. 1 vol. in-8. Cette revue, sorte d’étude monographique sur les Hyalinies algériennes, comprend, sans compter les Conulus, 35 Espèces, réparties en 9 séries. HyaLinia Tetuanensis, ignari (spec. nov.), Bouthyana, Pome- liana, eurabdota, Hagenmülleri, Isserica, Djurju- rensis, suballiaria (spec. nov.), Navarrica, gyraploa (spec. nov.), raterana, gyrocurta, lenopsilia, Blida- hensis, psatura, chelia, cheliella, bradypa (spec. nov.), achlyophila, subplicatula, Durandoiana, hemi- psorica, perspectivula, pseudohydatina, eustilba, vi- treola, subvitreola, permodesta {spec. nov.), diauga 9 — 130 — (spec. nov.), parthenica (spec. nov.), achidæa (spec. nov.), acæna (spec. nov.), opalista et diaphana. LXXXIII. — Recensement critique et des- criptif des Helix du groupe de la lactea, in : Excursions malacologiques dans le Nord de l'Afrique, de la Calle à Alger et d'Alger à Tanger. Paris, impr. Tremblay, 1883. 1 vol. in-8. Ce Mémoire, précédé d’une juste critique des Héli- ces représentées et décrites dans les suites à l’Icono- graphie de Rossmæssler, est consacré à la connais- sance des caractères des Herix lactea, Ezquerriana (spec. nov.), apalolena, Maura (spec. nov.), myris- tigmæa (spec. nov.), Ibrahimi (spec. nov.), axia, galena, eugastora, Baudotiana, Malacensis (spec. nov.), simocheila, Ahmarina (spec. nov.), Bleicheri, aglena (spec. nov.), sphæromorpha, plesiasteia (spec. nov.) et astela. LXXXIV.— Étude sur les Hélices bidentées du Nord de l'Afrique, in : Æxursions mala- cologiques dans le Nord de l'Afrique. Paris, impr. Tremblay, 1883. 1 vol. in-8. Le groupe des Hélices bidentées est un des plus intéressants du Nord de l’Afrique. Lorsqu'on examine avec attention les bidentées, on reconnaît qu’elles n’appartiennent pas à un seul et même groupe, mais qu’elles constituent un ensemble de formes différen- tes, toutes distinctes les unes des autres, ayant les plus grandes affinités avec des Espèces des séries des Zaphariniana, Lucasiana, Jourdaniana et Abrole- niana. Il résulte de ces affinités que les lamelles apertu- — 151 — rales des bidentées ne doivent être que le résultat d’un cas pathologique, dû à certaines influences cli- matologiques ou produit par une cause accidentelle jusqu’à présent restée inconnue. Les Hélices bidentées, au nombre de douze, de quatre séries différentes, sont : 1° (oroupe des Zaphariniana) les Hezix anoterodon, Burini et surredonta ; 2° (sroupe des Lucasiana) l’Hezix Dastuguei; 3° (oroupe des Jourdaniana) l’Heuix alabastra ; enfin 4° (oroupe des Abroleniana) les Hezix romalæa, brocha (spec. nov.), tigriana, discallodon, stereodonta, Seignetti et Mat- tarica. LXXXV.— Examen critique des Hélices de la série des Rerayana et de celle des Balea- rica, in : Excursions malacologiques dans le Nord de l'Afrique. Paris, impr. Tremblay, 1883. 1 vol. in-8. La série des Helix Rerayana s'étend sur toute la chaîne méridionale de l'Atlas, depuis la Tunisie jus- qu'au Maroc. Elle comprend les Espèces suivantes : Hezix punica, nitefacta, Massylæa, Rerayana, lampri- mathia, Takredica, aleyone, prædisposita, sticta et azorella. La série des Helix Balearica parait spéciale à l'Es- pagne, aux îles Baléares et au Maroc. Quelques-unes de ses Espèces se sont propagées dans quelques con- trées du Sud de la France. Les Hélices de cette série hispanique sont : Hezix Ramisi (spec. nov.), Balearica, Valdemusana {spec. nov.), eustrapa, Companyot, Pal- mana (spec. nov. ), Cantæ (spec. nov.), chorista (spec. nov.), Tiranoi {spec. nov.), Sampoli ( spec. nov.), mi- norica, marmorata, menobana, atlasica, Parschi, Car- thaginensis, Alcarazana, splendida et Cossoni. — 132 — LXXXVI. — Mollusques de Miranda-de-Ebro, in : Anales de Historica natur. España, XUI, 1883. Madrid, 1883. Les Mollusques de Miranda-de-Ebro, entre Vitoria et Burgos, recueillis dans une exploration exécutée en août 1883, par le savant entomologiste E. Simon, sont des formes françaises (Hezix rotundata ; Buzimus obs- curus ; Cuonprus quatridens ; Pura Brauni, Bigorrien- sis, umbilicata; CLausiLra Saint-Simonis ; Zua lubri- ca), qui dénotent que l'influence malacologique des Pyrénées s'étend jusqu’à ce pays. LXXX VII. — Description du nouveau genre Sesteria, in : Bulletins Société malacologique de France. Paris, impr. Tremblay, 1884. Br. in-8 avec fig. Ce nouveau genre, établi pour une Espèce ressem- blant à une Clausilie dextre de la série des funiculum de Trébizonde, est caractérisé par un axe columellaire tubulaire dans toute sa longueur, prenant, à partir de l’avant-dernier tour, une torsion si forte et si accen- tuée, qu'il imite un tire-bouchon à circonvolutions très excentriques. Cet axe, en prenant cette torsion, se gonfle de telle sorte qu’il devient semblable à un gros bourrelet et se déroule, en conservant sa tubularité, jusqu’à la moitié de l’ouverture pour venir s'ouvrir en arrière du bord columellaire, dans la cavité ombuli- cale. Une seule Espèce connue, la Sesteria Gallandi : (spec. nov.), découverte sur la rive droite du Tigre, entre Mardin et Djézireh, le long de la route de Diar- bekir à Mossoul (Diarbekir). LXXXVIII — Nouvelle Vivipare française et liste des Espèces constatées en France dans le genre Vivipara, in : Pulletins Société mala- cologique de France, 1. Paris, impr. Tremblay, 1884. Br. in-8 avec fig. La nouvelle Vivipare, Vivipara imperialis (spec. nov.), de la série des Duboisiana, découverte dans la Seine, à Port-Marly, porte à onze, de six séries diffé- rentes, les formes vivipariennes connues de notre pays, savoir : les Vivipara contecta, brachya, lacustris, com- munis, paludosa, occidentalis, Bourguignati, subfas- Le Le ciata, fasciata, penthica et imperialis, LXXXIX. — Hélice nouvelle des montagnes de l'Ariège, in : Bulletins Société malacolo- gique de France, L. Paris, impr. Tremblay, 1854. Br. in-8. Cette Espèce, Helix Tassyi(spec. nov.), découverte sur le pic de Montcalm, dans la vallée de Vicdessos, appartient à la série des Helix limbata. Cette nouvelle Espèce est remarquable par son test fragile, délicat, transparent comme celui d’une Vitrine. XC. — Histoire des Mélaniens du système européen. Paris, impr. Tremblay, 1884. 1 vol. in-8. Les Mélaniens du système européen appartiennent aux genres Melania, Melanella, Bugesia, Fagotia (nov. gen.), Microcolpia (nov. gen.) et Melanopsis. Les Melania, au nombre de deux, sont les MeLanrA judaica et tubereulata, sous le nom de laquelle il con- vient de rapporter les variétés : maxima, costata, fas- ARS ciolata, r'ubro-punctata, pyramis, sulcata, thermalis et Rothiana. Les Melanella, divisées en Espèces cerclées sonate, de deux séries différentes, et en Espèces lisses, læpi- gatæ, de quatre séries distinctes, sont au nombre de vingt-sept, savoir : Meraxerra divina (spec. nov.), coronata (spec. nov.), Holandri, eximia (spec. nov.), agnata, agnatella {spec. nov.), elegans, Pilariana (spec. nov.), crassilabris (spec, nov.), parvula, Fagotiana (spec. nov.), Krapinensis (spec. nov.), gigantea (spec. nov.), raphidia, lævigata, afra, Berlani (spec. nov.), ovoidea {spec. nov.), crassa, ponderosa, amblya (spec. nov.), Letourneuxi (spec. nov.), Bourguignati (spec. nov.), castanea {spec. nov.), codiella {spec. nov.), gla- brata et speciosa (spec. nov.). La seule Bugésie connue est la Bucesia Bourgui- gnati. Les Fagotia (nov. gen.), caractérisées par une colu- melle sans troncature à la base, présentant néanmoins, lorsqu'on regarde obliquement dans l'ouverture, un axe subtordu venant s'évanouir à la base sous l'appa- rence d'une fausse troncature, et par un test toujours maculé de plusieurs séries de taches vineuses ou mar- ron, sont au nombre de vingt-deux, de quatre groupes différents : Facoria Esperi, decussata, Rossmæssleri (spec. nov.), Berlani (spec. nov.), danubialis (spec. nov.), Pfeifferi (spec. nov.), Anceyana (spec. nov.), pusilla (spec. nov.), Audebardi, Locardiana (spec. nov.), Ascanica (spec. nov.), gravida {spec. nov.), Gal- landi (spec. nov.), stenostoma {spec. nov.), anatolica (spec. nov.), Servainiana {spec. nov.), nocturna (spec. nov.), Letourneuxi (spec. nov.),Pilariana (spec. nov.), Saint-Simoniana (spec. nov.), acroxia (spec. nov.), et Bourguignati (spec. nov.). — 135 — Les Microcolpia (nov. gen. olim Hemisinus de Brot, non Swainson), au nombre de dix-neuf, appartiennent à six séries distinctes : Microcozpra acicularis, acicu- lella, Glinaica, præclara (spec. nov.), Servaini (spec. pov.), Coutagniana (spec. nov.), Hagenmulleriana (spec. nov.), Rochebruniana (spec. nov.), Villeserria- na (spec. nov.) Mabilliana (spec. nov.), Gallandi (spec. nov.), pyramidalis (spec. nov.), canaliculata (spec. nov.), cornea, peracuta (spec. nov.), Stossichia- na (spec. nov.), Letourneuxi (spec. nov.), potamacte- bia et pachystoma (spec. nov.). Les Melanopsis, réparties en vingt-quatre séries, sont les quatre-vingt-quinze Espèces suivantes : ME- LANOPsIs saharica, sphæroidæa (spec. nov.), præmorsa, Wagneri, microcolpia (spec. nov.), prophetarum (spec. nov.), lævigata, buccinoidæa, episema (spec. nov.), Mzabica (spec. nov.) eremita, variabilis, calli- chroa (spec. nov.), minutula (spec. nov.), myosotidæa (spec. nov.), coupha (spec. nov.) Salomonis (spec. nov.), Mingrelica, Ascania (spec. nov.), Doriæ, ammo- nis, Olivieri (spec. nov.), Ferussaci, maroccana, bre- vis, obesa (spec. nov.), Bofilliana (spec. nov.), mauri- tanica (spec. nov.), Seignetti (spec. nov.), etrusca, pleurotomoidæa (spec. nov.), Lorcana, Penchinati, Bleicheri, scalaris, subscalaris (spec. nov.), Guiraoi (spec. nov.), Hammamensis, Mohammedi (spec. nov.) belonidæa (spec. nov.), Cossoni (spec. nov.), Dufou- ri, subgraellsiana (spec. nov.), acutespira (spec. nov.), Isseli (spec. nov.), Graellsi, Letourneuxi, callista (spec. nov.), Sesteri (spec. nov.), Alepi (spec. nov.) stephanota (spec. nov.), hiera (spec. nov.), Chantrei, insignis, vespertina (spec. nov.) Kotschyi, Charpen- tieri, jebusitiea (spec. nov.), Sauleyi, aterrima (spec. nov.),fasciolaria, sancta (spec. nov.), cerithiopsis (spec. — 136 — nov.), hebraica (spec. nov.), lampra (spec. nov.), phæ- niciaca (spec. nov.), Belusi (spec. nov.), desertorum (spec. nov.), Lortetiana, turcica, subcostata, Tanousi (spec. nov.), obliqua (spec. nov.), costata, jordaniea, infracineta, ovum (spec. nov.), nodosa, Feliciani (spec. nov.), eumorphia (spec. nov.), egregia (spec. nov.), Parreyssi, cariosa, magnifica (spec. nov.), Sevillensis, costellata, pleuroplagia (spec. nov.), macrostoma (spec. nov.), Rossmæssleri {spec. nov.), microstoma (spee. nov.), Pechaudi (spec. nov.), heliophila (spec. nov.), ovula (spec. nov.), turrita et Maresi. XCI. — Hélixarionidées des régions orien- tales {Abyssinie, Gallas, Comalis, Zanguebar et Mozambique) de l'Afrique. Paris, impr. Trem- blay, 1885. Br. in-8. | La famille des Hélixarionidées africaines, dont l’ex- trémité du pied, nettement tronquée, est pourvue d’un large pore muqueux, comprend sept genres, dont les Espèces sont : Tnapsia abyssinica, Vesti, oleosa, euryomphala, Buchholzi (spec. nov.}, cala- mechroa ; SiraLa Raffrayi, submembranacea; TrocHo- NaniNa Mozambicensis, Ibuensis, tumidula, percari- nata, plicatula, Jenynsi, Anceyi (spec. nov.); Zinais radiolata; Hamya (nov. gen.) Revoili (spec. nov.); LepouLxia (nov. gen.) albopicta, pyramidæa, Alfieria- ua (spec. nov.), formosa (spec. nov.), megastoma (spec. nov.), insignis (spec, nov.), unizonata (spec. nov.); GuiLLAINIA (nov. gen. [nom changé depuis en celui de Bloyetia]) Revoili (spec. nov.), magnifica (spec. nov.), cærulans (spec. nov.), compressa (spec. nov.), Georgi {spec. nov.), Rochebruniana (spec. nov.) et Mabilliana (spec. nov.). — 137 — XCII. — Monographie d'un nouveau genre d'Acéphales du lac Tanganika, in : Bulletins Société malacologique de France, I. 1885. Paris, impr. Tremblay. Br. in-8 avec 1 pl. n. lith. Ce nouveau genre, auquel a été attribué le nom de Grandidieria, a été établi pour distinguer de petites bivalves que les auteurs avaient prises pour des Unios, tandis qu’au lieu d’appartenir à la famille des Unio- nidæ, ces Acéphales, d’après les caractères de leur charnière, sont des Sphæridæ. Les Grandidieries décrites et connues à cette époque sont les Granpiprerta Servainiana (spec. nov.), Horei, Burtoni, Smithi (spec. nov.), Tanganikana, Thomsoni, ujijentis (spec. nov.), gravida (spec. nov.), cyrenopsis (spec. nov.) et rostrata (spec. nov.). XCIII. — Notice prodromique sur les Mollus- ques terrestres et fluviatiles recueillis par M. Victor Giraud, dans la région méridio- nale du lac Tanganika. Paris, impr. Tremblay, 1885. 1 vol. in-8. Les Mollusques recueillis par lintrépide voya- geur M. V. Giraud, sont au nombre de 93 Espèces : 12 terrestres et 81 fluviatiles. Ces 93 Espèces, dont 75 nouvelles, appartiennent à 22 genres, sur lesquels 9 nouveaux. Burimus Giraudi (spec. nov.), Reymondi (spec. nov.); ANCEYA (nov. gen.) Giraudi (spec. nov.); Syr- NoLopsis lacustris, Hamyana (spec. nov.), Grandidie- riana (spec. nov.), Anceyana (spec. nov.), Giraudi (spec. nov.), minuta (spec. nov.); CLausiria Giraudi (spec. nov.); Limrcocarta rectistrigata, Giraudi (spec. — 138 — nov.), Spekiana ; Neornauma Tanganikanum, Bri- douxianum, Servainianum, Giraudi (spec. nov.), bica- rinatum; Bripouxta (nov. gen.) Giraudi (spec. nov.), Villeserriana (spec. nov.), costata {spec. nov.), Rey- mondi (spec. nov.); Baizea (nov. gen.) Giraudi (spec. nov.); SPEkiA Giraudi {spec. nov.), zonata, Duveyrie- riana (spec. nov.), Hamyana (spec. nov.), Reymondi (spec. nov.), Grandidierana {spec. nov.); TANGANIKIA Fagotiana {spec. nov.), Giraudi (spec. nov.), Maunoi- riana (spec. nov.), ovoidea (spec. nov.), globosa (spec. nov.); HAuTTECœŒuRIA (nov. gen.) Hamyana {spec. nov.), Giraudi (spec. nov.), Milne-Edwardsiana (spec. nov.), soluta (spec. nov.), singularis (spec. nov.), Duveyrie- riana (spec. nov.), Reymondi (spec. nov.), Maunoi- riana (spec. nov.), eximia (spec. nov.), Cambieri (spec. nov.), minuta (spec. nov.); Limxorrocaus Thom- soni, Giraudi (spec. nov.), cyclostoma (spec. nov.); Giraupra (nov. gen.) præclara (spec. nov.), Grandi- dieriana {spec. nov.); Reymonpra (nov. gen.) Horei (spec. nov.), Giraudi (spec. nov.); BourGuIGnarTia im- perialis; PARAMELANIA grandis, paucicostata, callopleu- ros (spec. nov.), Grandidieriana (spec. nov.), Hamyana (spec. nov.), Reymondi {spec. nov.), Bourguignati (spec. nov.), Baizeana {spec. nov.), Stanleyana (spec. nov.), spinulosa (spec. nov.), nassa, Milne-Edward- siana (spec. nov.), Lessepsiana (spec. nov.), Duvey- rieriana (spec. nov.), Cameroniana (spec. nov.), Le- doulxiana (spec. nov.), egregia (spec. nov.), Giraudi (spec. nov.), Locardiana (spec. nov.), Servainiana (spec. nov.), crassilabris (spec. nov.), Livingstoniana (spec. nov.), pulchella (spec. nov.); SranLEya (nov. gen.) Giraudi (spec. nov.), Smithiana (spec. nov.); RumeLzLa (nov. gen.) Giraudi (spec. nov.), Milne-Ed- wardsiana (spec. nov.); GraNpipierIA elongata (spec. — 139 — nov.), Giraudi (spec. nov.), mira (spec. nov.), rotun- data (spec. nov.), Burtoni, Thomsoni, corbicula (spec. nov.), incarnata (spec. nov.), tanganikana, granulosa (spec. nov.), rostrata ; CorBicuLa tanganikana (spec. nov.); Pisinium Giraudi (spec. nov.); CamEroNIA Gi- raudi (spec. nov.), Revoiliana (spec. nov.). Cet ouvrage, consacré aux découvertes du voyageur V. Giraud, a été reproduit d’une façon succincte dans les Bulletins de la Cronica cientifica de Barcelone (n° 104, 1886), sous le titre : « Moluscos terrestres y {luviatiles recogidos por M. Victor Giraud en la region meridional del lago Tanganika, por M. J.-R. Bour- guignat. » XCIV. — Espèces nouvelles et genres nou- veaux, découverts par les Rév. Pères mis- sionnaires dans les grands lacs africains Oukéréwé et Tanganika. Paris, impr. Trem- blay, 1885. Br. in-8. Les Espèces nouvelles du Nyanza-Oukéréwé sont les CLeoparra Guillemei, la Murera Bourguignati et la SparHa Bourguignati, dont les genres doivent être dorénavant, d’après leurs caractères, divisés, savoir : les Mutela, en Mutela, Mutelina et Calliscapha ; les Spatha, en Spatha, Spathella et Aspatharia. Le genre Iridina, de Lamarck, doit être respecté, parce qu'il est distinct du genre Mutela, avec lequel les auteurs contemporains le confondent. Les Espèees inédites du lac Tanganika sont : 1° les GranpipiEriA Anceyi, insignis, Hauttecœuri et Locar- diana, Espèces qui portent à vingt et une les formes con- nues de ce genre; 2° l’'Uxio calathus; 3° la Mureca sole- niformis ; 4° les Cameronra Bourguignati, Marioniana et Anceyi; enfin, 5° les Brazzæa et Moxceria Anceyi, — (1/10 Espèces servant de types à deux nouveaux genres tanganikiens des mieux caractérisés. En somme, la famille des Iridinidées est représentée dans le lac Tanganika par les genres Mutela, Burtonia, Brazzæa, Moncetia et Cameronia. XCV. — Mollusques terrestres et fluviatiles recueillis par M. Paul Soleillet dans son voyage au Choa (Éthiopie méridionale). Paris, imp. Tremblay, 1885. 1 vol. in-8, avec pin lib Les Espèces recueillies par le voyageur Paul So- leillet, depuis la baie de Tadjourah, sur la mer Rouge, jusqu’au Choa, sont au nombre de 44, dont 22 terres- tres et 22 fluviatiles. Lepourxia pyramidæa, Alfieriana ; Succixea Mene- liki (spec. nov.), Chefneuxi (spec. nov.), Soleilleti (spec. nov.); Hezix d’Hericourtiana {spec. nov.); Bu- Limus [lqi (spec. nov.), Chefneuxi (spec. nov.), Lyca- nianus, Soleilleti (spec. nov.), Maharasicus; Limicora- RIA d’Hericourtiana (spec. nov.), Heuglini, choana (spec. nov.), pyramidalis (spec. nov.), Chefneuxi (spec. nov.), glandinopsis (spec. nov.), Caillaudi, flammata, Soleilleti (spec. nov.); Rumina insularis; Cæœcirra- NELLA Soleilleti (spec. nov.); Limxæa Gravieri (spec. nov.), Soleilleti (spec. nov.); Puysopsis Soleilleti (spec. nov.), Meneliki (spec. nov.), abyssinica ; Crro- paATRA Pauli (spec. nov.), Soleilleti (spec. nov.), per- carinata (spec. nov.); Byrminia subbadiella (spec. nov.); Dicyreinum sennaaricum; MeEcania tubercu- lata; SoreiLreria (nov. gen.) Abbadiana (spec. nov.), Hamyana (spec. nov.); Cormicuza Soleilleti (spec. nov.), callipyga (spec. nov.), Gravieriana (spec. nov.); Uxio Dembea, Soleilleti (spec. nov.), Ilqi (spec. nov.), SUP Meneliki (spec. nov.), Hamyanus (spec. nov.), Alfie- rianus (spec. nov.). D’après l’ensemble des caractères de ces Mollus- ques, on reconnait que presque tous possèdent les signes distinctifs des formes abyssiniennes. XCVI. — Melanopsis de España y las Ba- leares, in : Cronica cientifica, Revista inter- national de ciencias. Barcelona, impr. José Miret. Gr. in-8, n° 201 à 205, 1886. Les Mélanidées espagnoles et baléariennes sont les vingt-cinq Espèces suivantes : MeLaNopsis præmorsa, myosotidæa (spec. nov.), maroccana, obesa, Bofilliana (spec. nov.), etrusca, pleurotomoidæa (spec. nov.) Lorcana, Penchinati, Bleicheri, Guiraoi (spec. nov.), Cossoni (spec. nov.), Dufouri, subgraellsiana (speec, nov.), acutespira (spec. nov.), Graellsi, vespertina (spec. nov.), cariosa, Sevillensis, costellata, pleuro- plagia (spec. nov.), macrostoma (spec. nov.), Ross- massleri (spec. nov.), ovula (spec. nov.), et tur- rita. XCVII. — Des Tiphobies du lac Tanganika, in : Bulletins de la Société malacologique de France, 111, 1886. Paris, impr. Tremblay. Br. in-954v al pen tth: Ces singuliers Mollusques ont un aspect tout à fait thalassoïde. Par leur carène armée d’épines tubu- liformes et par Le prolongement du rostre aperturo- columellaire, ils rappellent le Murex brandaris de la Méditerranée ou certaines formes des genres Pyrula ou Ficula. Ces Espèces sont les Tirnosra Horeï, lon- girostris (spec. nov.), Jouberti (spec. nov.) et Bour- guignati (spec. nov. ). = 110, © XCVIII — Prodrome de la malacologie ter- restre et fluviatile de la Tunisie. Paris, Impr. nationale, 1887. 1 vol. in-8. Cet ouvrage, bien qu’il porte sur le titre, conjoin-. tement avec celui de l’auteur, le nom du conseiller Letourneux, n’est pas l’œuvre de ce dernier. Le nom du conseiller a été placé en tête de ce Prodrome, parce que c’est à M. Letourneux que l’on doit la récolte de la plupart des Espèces mentionnées et décrites dans ce travail. Les Espèces de la Tunisie sont au nombre de 473, sur lesquelles 256 sont présentées comme nouvelles. Mirax gagates ; Hyazinia Pomeliana, psatura, che- liella, subplicatula, Cossoni (spec. nov.), perspectiva, eustilba, subvitreola, diauga; Leucocnroa Otthiana, candidissima, bœtica; Hezix aperta, Kalaritana, as- persa, pachya, melanostoma, melanonixia, Uticensis, nucula, vermiculata, æcouria (spec. nov.), Constan- tinæ, Fleurati, Bonduelliana, Toukriana, punica, nite- facta, Rusicadensis, Chefliana (spec. nov.), acorta (spec. nov.), roseotincta, lanuginosa, mendicaria, sordulenta, glischra (spec. nov.), chnoodia, persor- dida (spec. nov.), rypa (spec. nov.), Zaritosi (spec. nov.), lasia, rupestris, lenticula, pulchella, Taucho- niana (spec. nov.), cespitum, arenarum, cœælestis (spec. nov.), meteora (spec. nov.), Barattei (spec. nov.), Slouguina (spec. nov.), artara (spec. nov.), burella {spec. nov.), Khanguetina (spec. nov.), Bou- driesina (spec. nov.), Zitanica (spec. nov.), lotopha- gorum (spec. nov.), Meninxiea (spec. nov.), Mesem- brica (spec. nov.), ammaderana (spec. nov.), haïdrana (spec. nov.), birta (spec. nov.), Fratisiana (spec. nov.), Tafermica {spec. nov.), mezanarica (spec. nov.), Bar- — 143 — doensis, axiotheata (spec. nov.), eucalia (spec. nov.), Geryvillensis, saharica, ischurostoma, brædybœna (spec. nov.), terricola (spec. nov.), galeomma (spec. nov.), æglia (spec. nov.), argoderma (spec. nov.), briaræa (spec. nov.), aggarica (spec. nov.), eucoræa (spec. nov.), amicula (spec. nov.), amphibola (spec. nov.), ambloxa (spec. nov.), anasia (spec. nov.), go- niogyra (spec. nov.), concholeuca (spec. nov.), vVi- vida (spec. nov.), dexia (spec. nov.), Neftana (spec. nov.), candiota, psammathæa (spec. nov.), Durieui, ? psammoica, psammæcella (spec. nov.), conspureata, Malaspinæ, Honorati, Duveyrieriana, agrioica, crisla (spec. nov.), subapicina, istera (spec. nov.), Re- quieni, apicina, Mahdiana (spec. nov.), Marsiana, incolumis (spec. nov.), Lecouffei (spec. nov.), spe- cialis, Warnieriana, irrita (spec. nov.), Rozetopsis (spec. nov.), hola (spec. nov.), micromphalus, mi- sara, diloricata (spec. nov.), vafella (spec. nov.), halia (spec. nov.), salivosa (spec. nov.), Lalleman- tiana, Cretica, astata, Menzelensis (spec. nov.), talepora, Membronica (spec. nov.), artonilla (spec. nov.), astonara (spec. nov), noctuella (spec. nov. ), pleurabdota (spec. nov.), cacista (spec. nov.), Vaga- nensis (spec. nov.), syntela (spec. nov.), perlutosa (spec. nov.), parthenia (spec. nov.), submeridio- nalis, isæa (spec. nov.), irana (spec. nov.), mau- ritanica, taria (spec. nov.), variabilis, privata (spec. nov.), salentina, Zerguana (spec. nov.), messapia (spec. nov.), herbatica, Kerizensis (spec. nov.), Men- dranoi, Canovasiana, Solanot, alluvionum , tremata (spee. nov.), Tritonidis (spec. nov. ), fera (spec. nov.), Casertana (spec. nov.), Mendozæ, Ogiaca, Tacapica (spec. nov.), Tabarkana (spec. nov.), una (spec. nov. ), Tebourbana (spec. nov.), therella (spec. nov.), Gran- — 144 — nonensis, thera (spec. nov.), fœdata, agna, Feria- nica (spec. nov.), Sitifiensis, oreta (spec. nov.). ane- phela (spec. nov.), pediana (spec. nov.), pedianopsis (spec. nov.), carta (spec. nov.), caudefacta (spec. nov.), leucophora (spec. nov.), ingenua (spec. nov.), acela (spec. nov.), monerea (spec. nov.), chioidea (spec. nov.), plæbeia (spec. nov.), Spilmenti (spec. nov.), catarota (spec. nov.), catarotella (spec. nov.), cana (spec. nov.), leucestha (spec. nov.), Latastei (spec. nov.), latasteopsis (spec. nov.), madarina (spec. nov.), nya (spec.nov.), œstuosa (spec. nov.), acompsia, etæma (spec. nov.), amoma (spec. nov.), panurga (spec. nov.), euphorca, euphorcella (spec. nov.), es- norca (spec. nov.), meticulosa (spec. nov.), euphor- copsis, hadrumetorum (spec. nov.), urbanara (spec. nov.), eucana (spec. nov.), mierospila (spec. nov.), maxulana (spec. nov.), Mayeti(spec. nov.), Valeryana (spec. nov.), eumona (spec. nov.), pachestha (spec. nov.), Charmesiana (spec. nov.), Billotiana (spec. nov.), entara (spec. nov.), eucestella (spec. nov.), occonella (spec. nov.), stereolena (spec. nov.), adi- sana (spec. nov.), blossura (spec. nov.), elithia (spec. nov.), arbana (spec. nov.), ionstoma (spec. nov.), ianthinostoma (spec. nov.), amethysta {spec. nov.), pisana, Byrsæ (spec. nov.), Chambardi (spec. nov.), Donatii (spec. nov.), pisanella (spec. nov.), Leves- quei (spec. nov.), Salemensis (spec. nov.), Gergi- sensis (spec. nov.), subpisana (spec. nov.), Dermoi (spec. nov.), Radesiana (spec. nov.), Carpiensis (spec. nov.), hamadanica (spec. nov.), djerbanica (spec. nov.), Zitanensis (spec. nov.), Doumeti, enica (spec. nov.), idia (spec. nov.), Sageti (spec. nov.), chola (spec. nov.), tineiformis (spec. nov.), Tristami, Tissotiana (spec. nov.), Zengitana (spec. nov.), Aria- — 145 — nensis (spec. nov.), callistoderma (spec. nov.), Enfi- dana (spec. nov.), Morini (spec. nov.), chthamato- lena, amanda, tunetana, hyperplatæa, conicula (spec. nov.), newskopsis (spec. nov.), eupyramis (spec. nov.), Tisemsinica (spec. nov.), Zitoumica (spec. nov.), Ma- dana (spec. nov.), Capuana (spec. nov.), tarentina, galactina (spec. nov.), Dyrrachiensis (spec. nov.) Veneriana (spec. nov.), numidica, anombra (spec. nov. pyramidata, spaella (spec. nov.), spaellina spec. nov.), Mactanica (spec. nov.), Kolibiana (spec. nov.), seitula, terrestris, trochlea, trochoides, conoidæa, Belluc- ciana (spec. nov.), barbara, acuta; Burimus pupa, Poupillierianus, Micelli, Letourneuxi, punicus (spec. nov.), Milevianus, Berthieri (spec. nov.), Jeannoti, cirtanus, charieius; Pupa punica (spec. nov.), Barat- tei (spec. nov.), granum; Pupizra bigranata ; VERTIGO discheilia, Latasteana (spec. nov.); [srnmia musco- rum, Doumeti (spec. nov.); CLausrzra Bonneti (spec. nov.), Tristami, philora(spec. nov.), Perinnet, Zaghoua- nica (spec. nov.), Cossoni (spec. nov.), punica, vir- gata, bidens; Ferrussacra folliculus, regularis, Vescoi, Forbesi, proechia, abromia, splendens (spec. nov.), obesa (spec. nov.), lamellata (spec. nov), procerula, littoralis (spec. nov.), eulissa, nympharum (spec. nov.), Hagenmulleri (spec. nov,), eremiophila, mon- tana (spec. nov.), carnea, stenostoma (spec. nov.), gibbosa (spec. nov.), punica (spec. nov.), polyodon (spec. nov.), Maresi (spec. nov), Doumeti (spec. nov.), dactylophila, charopia, Barattei (spec. nov.), Lallemanti (spec. nov.), abia, Berthieri (spec. nov.), celosia, ennychia, Cossoni (spec. nov.); Homexwar- rmia tunetana (spec. nov.), Pechaudi (spec. nov.), Hagenmulleri (spec. nov.); Rumixa decollata; Cœcr- LIANELLA raphidia, nanodea, Letourneux1; GLANDINA 10 — 146 — dilatata, algira; Carycnium minimum; Larmoponra Firmini; ALexta enhalia (spec. nov.), Micheli, myo- sotis, algerica, balearica, Cossoni (spec. nov.), dubia, terrestris (spec. nov.), globulus (spec. nov.), Bivonæ, Letourneuxti (spec. nov.), Pechaudi (spec. nov.); Ax- cyLus strigatus, Peraudieri; Limxæa Vatonni, trunca- tula; Puysa Brondeli, truncata, Brocchui, Raymon- diana, contorta; PLaxorBis marmoratus, submargina- tus, subangulatus, agraulus, numidicus; CycLosroma sulcatum; Pomarias Belloiri (spec. nov.), Latasteanus (spec. nov.), Letourneuxi, tunetanus (spec. nov.), Henoni (spec. nov.), euristoma (spec. nov.), cyclo- nixius (spec. nov.), Rogeri (spec. nov.), euneus (spec. nov.), monticola (spec. nov.), Doumeti (spec. nov.), punicus (spec. nov.); Acue Letourneuxi, Benoiti; AsseminiA littorina; Byrninia Hagenmulleri (spec. nov.), punica (spec. nov.); AmxicorA singularis (spec. nov.), Oudrefica (spec. nov.), paradoxa (spec. nov.), Latasteana ( spec. nov.), subscalaris (spec. nov.}, by- thinopsis (spec. nov.), cyrniaca, saharica, luteola, Maceana, similis, pyenocheilia, Pomariensis, Dupote- tiana, sterea (spec. nov.), globulina (spec. nov.), Doumeti (spec. nov.), pycnolena, Letourneuxiana, Barattei (spec. nov.), perforata, ragia (spec. nov.); ByrminezLa limnopsis (spec. nov.), mauritanica (spec. nov.), microcochlia (spec. nov.), punica (spec. nov.) nana; PaLupEsrRINA Peraudieri, arenaria, Lhospitali, eucyphogyra, acerosa, meca (spec. nov.), Cossoni (spec. nov.), mecyna (spec. nov.), oxitata (spec. nov.), procerula, acuta, Duveyrieri, Coutagnei, gracillima, vitracea (spec. nov.), pachygaster, viridescens, arena- rum, minoriciensis, leneumicra ; PerINGIA punica(spec. nov.), paradoxa {spec. nov.), tumida, solitaria (spec. nov.), admirabilis {spec. nov.); MeLania tuberculata; AU Mecanopsis olivula (spec. nov.), Doumeti (spec. nov.), saharica, præmorsa, lævisata, episema, Latastei (spec. nov.), Mzabica, minutula, coupha, maroccana, Sei- gnettei, belonidea, Cossoni, Dufouri, tunetana, ves- pertina, Duveyrieri (spec. nov.), Sevillensis, pleuro- plagia, Maresi ; Tsopoxra numidica, fluviatilis, bœ- tica; SmaraGpiAa viridis:; Pisiprum pusillum ; Uxio De- levieleusæ (spec. nov.), Doumeti (spec. nov.), Zenati- cus (spec. nov.), Durieui et Rouirei (spec. nov.). / C’est dans cet ouvrage que les sous-genres Æypno- phila, Calaxis et Hohenwarthia ont été considérés comme genres A2Ooupeaux de la famille des Ferussa- cidæ. XCIX. — Étude sur les noms génériques des petites Paludinidées à opercule spires- cent, suivie de la description du nouveau genre Horatia. Paris, impr. Tremblay, 1887. 1 vol. in-8, av. 1 pl. n. lith. Cet ouvrage renferme un historique critique com- plet de tous les genres de petites Paludinidées euro- péennes publiées de 1821 à 1887. D'après cet historique critique ; quatre genres ( Ay- drobia, de Hartmann, 1821; Leachia, de Russo, 1826; Paludinella, de Rossmæssler, 1850; Vitrella, de Cles- sin, 1877) doivent être supprimés pour cause de dou- ble emploi ; Huit autres doivent passer en synonymie pour cause de défaut d’antériorité (Paludinella, de Pfeiffer, 1841; Littorinella, de Braun, 1842; Lütoridina, d'Ey- doux et Souleyet, 1852; Microna, de Ziégler, 1852; Thermydrobia, 1778; Pseudamnicola, 1878 ; Frauen- feldia, de Clessin, 1878 ; Apenionia, de Nicolas, 1882. — 148 — Enfin, les genres qui doivent être adoptés sont les dix suivants : 1° PazupesrriNa, d’Alcide d'Orbigny, 1839, pour les petites Paludinidées marines, saumâtres ou fluviales, à spire allongée et aiguë, classées par les auteurs sous les noms d’Hydrobia, Littorinella, Littoridina et Thermhydrobia | pars]; 2° Aunicoa, d’'Haldemann, 1840 (Pseudamnicola de quelques auteurs), pour les petites formes d’eau douce, globuleuses, à spire courte et obtuse ; 3° Byrinezza de Moquin-Tandon, 1851 (Microna, Frauenfeldia), pour toutes les petites Espèces fluvia- iles, ovalaires ou oblongues, à sommet plus ou moins obtus ; 4° BeLGranpia, Bourguisnat, 1869 (Thermhydrobia [altera pars |), pour de très petites coquilles pourvues de gibbosites ; 5° PerinGia, de Paladilhe, 1874, pour des séries d'Espèces paludestrinoïdes à coquille conoide, suban- guleuse, à test relativement assez épais, caractérisées, en outre, par des tours plans, à suture linéaire, et une ouverture legerement auriculée à la base columel- laire ; 6° MaresrA, Bourguignat, 1877, pour des Paludi- nidées excessivement fluettes, dont l'axe est courbe, par suite de la projection en avant de la base du der- nier tour ; 7° Tracuysma, de Sars, 1878, pour des Espèces amnicoliformes d'une extrême ténuité, répandues dans les eaux saumâtres des estuaires du nord de l’Alle- magne ; 8° Byraiospeum, Bourguignat, 1882 (Vitrella de — 149 — Clessin), pour la série des Espèces aveugles à test conique et püracé ; 9 PauLra, Bourguignat, mai 1882 (Avenonia [pars], Nicolas, juillet 1882), pour de petites coquilles Bythi- nelloïdes, à opercule lisse, non spirescent ; Enfin, 10° Horaria, Bourguignat, 1887, pour des Paludinidées presque microscopiques, amnicoliformes, à test lythoghyphoide, dont l’opercule est caractérisé par trois ou quatre spirales & croissance révulière. Les Espèces de ce nouveau genre paraissent spéciales à la Dalmatie, à l’Albanie septentrionale et à une partie de la Bosnie. Elles sont au nombre de dix : Horaria (nov. gen.) Klecakiana (spec. nov.), obtusa (spec. nov.), fontinalis (spec. nov.), albanica (spec. nov.), Servaini (spec. nov.), palustris (spec. nov.), Verlikana (spec. nov.), obliqua (spec. nov.), præclara (spec. nov.) et Letourneuxi (spec. nov.). Ce travail sur les petites Paludinidées a paru en espa- gnol dans les fascicules 233, 234 et 235 (1887) de la Chronique scientifique de Barcelone, sous le titre de : Estudio sobre los nombres genéricos de los pequeños Paludinidos de opéreulo espirescente, se- guido de la descripeion del nuovo genere Horatia, por M. J.-R. Bourguignat, etc. C. — Mollusques nouveaux de la région du Nyanza-Oukéréwé (Victoria Nyanza), in Bulletins Société malacologique de France, IV, 1887. Paris, impr. Dumoulin. In-8. Description de quatre Espèces inédites les : LimNæa Debaizei ; Rocnersrunra Deimaresi ; Letourneuxi, et Uxrio Lourdeli. CI. — Histoire des Hélices campyléennes du groupe des Dinariques (olim Helix Pou- zolzi), in : Bulletins Société malacologique de France, V, 1888. Paris, impr. Dumoulin. Br. in-8, avec 3 pl. n. lith. Les Campylées dinariques sont des formes spé- ciales à la Dalmatie, à la Bosnie, au Monténégro ct même à l’Albanie et aux îles Iloniennes. Autrefois ces Espèces, confondues les unes dans les autres, n'étaient connues que sous quelques noms erronés ; actuellement elles composent un groupe de dix-huit Hélices dis- tinctes, réparti en trois séries : Herix dinarica (spec. nov.), Kuzmici (spec. nov.), Pancici, Pellanica (spec. nov.), montenegrina (spec. nov.), serbica, adriatica (spec. nov.), Bosnica, Varronis, Tehernagorica {spec. nov.), Diocletiana (spec. nov.), Soccaliana (spec. nov.), Sabljari (spec. nov.), Horatii (spec. nov. ), Biagioi (spec. nov.), Brenoica (spec. nov.), Daniloi (spec. nov.) et Cantrainei {spec. nov.). CII. — Iconographie malacologique des ani- maux mollusques fluviatiles du lac Tan- ganika. Corbeil, impr. Crété, 1888. 1 vol. in-8, avec 35 pl. n. lith. Cet ouvrage iconographique, destiné à répondre aux désirs souvent exprimés par les missionnaires et les voyageurs africains, qui, pour la plupart étrangers aux études zoologiques, éprouvaient le besoin de pos- séder, en un livre de peu d'épaisseur, un ensemble malacologique qui, en frappant les yeux, püût les aider dans les recherches et la connaissance des Es- pèces, renferme sur 35 planches la représentation de 212 Mollusques en 481 figures. — 151 — Une courte notice descriptive est consacrée à cha- eun des genres, notamment aux genres nouveaux. CIII. — Mélanidées du lac Nyassa suivies d'un aperçu comparatif sur la faune mala- cologique de ce lac avec celle du grand lac Tanganika. Paris, impr. Dumoulin, 1889. In-8, avec 2 pl. La première partie de cet ouvrage, dans lequel se trouvent réunies les connaissances que l’on possède sur la faune malacologique de ce lac, est consacrée aux Mélanidées ; la seconde à l’ensemble des Espèces connues, Les Mélanidées sont les : Mecania tuberculata ; Nyassra (nov. sen.) nodocincta, Simonsi, polymorpha [e] 4 ) 1 D hermosa (spec. nov.), rivularis (spec. nov.), lacunosa (spec. nov.), nodulosa (spec. nov.), acutalis (spec. nov.), lacustris (spec. nov.), thaumasta {spec. nov.), pupæformis, callista (spec. nov.), Nyassana, Edgari (spec. nov.), paradoxa (spec. nov.), elegans (spec. nov.), Giraudi (spec. nov.), idia (spec. nov.), magni- fica (spec. nov.) ; NyaseLLa (nov. gen.) Smithi (spec. nov.), pulchra (spec. nov.), arenaria (spec. nov.), formosa (spec. nov.), episema {spec. nov.), acuminata (spec. nov.), Tayloriana (spec. nov.); Micronyassra (nov. gen.) turritospira, Smithi (spec. nov.), egregia, eximia (spec. nov.), Giraudi (spec. nov.), singularis gen.) leia O (spec. nov.) ; NyassoMELANIA (nov. ( nov.), truncatelliformis {spec. nov.) et lævigata (spec. spec. nov. ). Les Espèces connues du Nyassa atteignent le chiffre de 64, en y comprenant les 36 Mélanidées qui vien- nent d’être énumérées. Ces Espèces sont : Limnæa — 152 — natalensis ; Paysa nyassana, succinoides; Puaysorsis africana ; Vivipara polita, Jeffreysi, capillata, Ro- bertsoni, Simonsi (spec. nov.), Smithi (spec. nov.); Auxicoza Stanleyi (spec. nov.), nyassana (spec. nov.); AupucLaria gradata ; Mecanomus affinis, ovum, pur- pureus, solidus, nyassanus ; CorsicuLa nyassana (spec. nov.), astartina, astartinella (spec. nov.), Giraudi (spec. nov.); Unio nyassanus (spec. nov.), Kirki, aferulus, hermosus (spec. nov.); SPATHELLA nyassana (spec. nov.); Burronia alata. CIV.—Descriptions de Margaritana et d'Unio de France, in : Revision des Espèces fran- çaises appartenant aux genres Margaritana et Unio, par M. Arnould Locard. Lyon, impr. Pitrat, 1889. 1 vol. in-8. Les Espèces nouvelles, au nombre de trente et une, sont les : MarcarirTana pyrenaica ; Unio Pacomei, catalaunicus, Andeliacus, Valliericus, diptychus, Ingrandiensis, Surraulti, Besnardianus, Caumonti, Seneauxi, Lemotheuxi, adonus, Hattemani, ignari, ignariformis, Albanorum, Frayssianus, Meyranicus, Ararisianus, Salmarensis, Mariæ, Caroliensis, Passa- vanti, mucidellus, talus, campylus, arcuatulus, Lugdunicus, Oberthurianus et Triffoiricus. CV. — Mollusques de l'Afrique équatoriale de Moguedouchou à Bagamoyo et de Baga- moyo au Tanganika. Paris, impr. Dumoulin, 1889. 1 vol. in-8, avec 8 pl. n. lith. Cet ouvrage, qui peut être considéré comme le travail le plus complet qui ait été jusqu’à présent pu- blié sur la faune malacologique de l'Afrique équato- — 153 — riale, est divisé en vingt-sept chapitres, ou plutôt en vingt-sept parties, qui méritent toutes, à cause des genres nouveaux, des Espèces nouvelles ou des nom- breuses rectifications qu’elles contiennent, une ana- lyse particulière. I. Herixarioninx. — Les Hélixarionidées de ces contrées africaines sont les : Tmapsia Leroyi; Moarra Chaperiana (spec. nov.); TrocHonanina Nyassana, Smithi (spec. nov.), Mozambicensis, Ibuensis, Leroyi (spec. nov.), Jenynsi, percarinata, Anceyi (spec. nov.), Bloyeti (spec. nov.); ZinGis radiolata; Hamya Revoili; Lepourxra albopicta, pyramidæa, formosa, megastoma, insignis, unizonata; BLoyEria (nov. gen.) Revoili, magnifica, cœrulans, compressa, Georgi, Ro- chebruniana, Mabilliana et Leroyi (spec. nov.). IT. Arremoninæ. — Les Artémonidées comprennent les Espèces non turbiniformes, à axe non dévié, jadis regardées à tort comme des Streptaxidæ, et appar- tiennent à dix coupes génériques, sur lesquelles trois seulement (Gibbonsia, Tayloria et Colpanostoma) sont africaines, et sept (en y comprenant le nouveau genre Ernstia, dernièrement publié par le D' Jousseaume) sont américaines. Gissonsia (nov. gen.) gigas ; TayLorra (nov. gen.) ventrosa, Jouberti (spec. nov.); Happra (nov. gen.) vitrina, Cuzcana, flora, Moyobambensis, omalomor- pha, orbicula, trochilioides; Scoronpoxra Semperi, ammonoceras, Argentina, Thomasi, spirorbis, chalico- phila, skiophila, mutata, Bounobæna, hylephila, achte- phila; DrePAxOsTOMELLA (nov. gen.) ammonitiformis; Corpanosroma ( nov. gen.) Leroyi { spec. nov. ); $ Ï Ù v ARTEMON candidus, intermedius, uberiformis, Wa- gneri, costulosus; Discarremox discus, crythodon, de Crassei; Arcipra (nov. gen.) cypsele, aperta, alveus, Paivana, IT. Burimes pu GRouPE pe L’aByssinicus. — Les Bu- limes abyssiniques, au nombre de onze, de trois séries distinctes, sont les Burimus abyssinicus, Galinieria- nus, Lejeantanus, Ilqi, Chefneuxi, Hemprichi, Lour- deli (spec. nov.), Kirki, Boivini, Bridouxi (spec. nov.) et Gibbonsi. IV. Racnis. — Les Rachis sont des Espèces spé- ciales à l'Afrique, de forme conoïde à spire acuminée, dont Le dernier tour subanguleux n’égale pas la moitié de la hauteur. Racnis pallens, Cameroni, Rochebru- nianus, Vescoi, Spekei, subconicus, Braunsi, Hilde- brandti, rhodotænia, picturatus, stictus, catenatus, Bloyeti (spec. nov.), Jouberti (spec. nov.), pachys- toma (spec. nov.) et elongatulus (spec. nov.). V. Pacanopus. — Les Pachnodus sont des Espèces également africaines, ressemblant à des Rachis, tout en s’en distinguant par une spire courte, coni- que, un dernier tour ventru, plus grand, égalant ou dépassant la longueur de la spire. Pacaxopus spadi- ceus, Natalensis, Leroyi (spec. nov.) et Sesamorum (spec. nov.). VI. Racmiserzus (nov. gen.). — Les Rachiselles, au lieu d’être inférieurement ventrues avec une spire allongée-conoïde plus longue que le dernier tour (Rachis), ou, au lieu d'offrir une spire conoïde plus courte (Pachnodus), sont caractérisées par un test oblong-allongé, pourvu d’un dernier tour, ni gros ni ventru, mais atténué à la base, ce qui lui donne un aspect fusiforme. RacnisezLus punctatus, Burtoi (spec. nov.), variolosus, Ferrussaci et Ledoulxi (spec. nov.). — 155 — VI. Acnarmwa. — Ce genre essentiellement africain, sans compter les nombreux démembrements (Pseuda- chatina, Perideris, ete.) qu'il a déjà subis, doit encore subir ceux des Tripacmariva (nov. gen.), type Achatina Vignoniana ; ParacaariNa (nov. gen.), types Achatina Thomsoni, Dorniana et Welwitschi; Senpæa (nov. gen.), type Achatina Hortensiæ. Ainsi démembré, ce genre ne renferme plus que des formes possédant les carac- tères de l'Espèce type, la variegata, pour laquelle Lamarck a établi cette coupe générique. Les véritables Achatines sont : À. Série de la variegata. — AcnarTina variegata, Marioni, immaculata, Layardi, monetaria, Schwein- furthi, panthera, zanzibarica, Lhotellerii, Hamillei, Craveni, fulica, zebra, varicosa, Rodatzi, purpurea, porphyrostoma, iostoma, glutinosa, Bandeirana, Pai- væana, perfecta, suturalis, Petersi, balteata, fulva, si- nistrorsa, etc. B. Série de la Letourneuxi. — Acuarina Letour- neuxi, Milne-Edwardsi, reticulata, Planti, Bloyeti (spec. nov.); C. Série de l'arctespirata, — ACHATINA arctespirata (spec. nov.), specularis ; D. Série de la Randabeli. — Acnarina Randabeli (spec. nov.), semisculpta, ustulata ; E. Série de la Pfeifferi (an potius novum genus « Pixroa » ? les achatines de cette série ressemblent à des Limicolaires). —Acæarina Pfeifferi, semidecussata, Capelloi, zebriola, polychroa, colubrina. VIII. Serpæa (nov. gen.). — Les Serpæa, caracté- risées par une forme écourtée, ovoiïde-ventrue ou presque sphérique, à test mince et transparent, sont — 156 — les Serpxa Hortensiæ, Dammarensis, Knori, varicosa, obesa et Pintoi (spec. nov.) IX. Burroa (nov. gen.). — Cette nouvelle coupe générique, composée d’Espèces classées jusqu’à présent parmi les Bulimes et les Limicolaires, com- prend des formes Limicolairoïdes ventrues, ovoïdes à spire courte, ordinairement obtuse, pourvues d’un test assez mince, décussé, sur la partie supérieure des derniers tours, par des sillons transversaux et spiraux, et recouvert par un tissu épidermique fugace, d’un ton marron accentué; enfin, offrant un axe columel- laire fortement dilaté sous la forme d’une réflexion triangulaire très allongée, recouvrant plus ou moins la perforation et descendant tantôt rectilignement jusqu’à la base de l’axe, tantôt s’arrêtant un peu au- dessus en donnant lieu alors à un retrait achatini- forme. Les huit Burtoies connues, de deux séries dis- tinctes, sont les Burroa nilotica, Bourguignati, Rey- mondi, Bridouxiana (spec. nov.), sebasmia (spec. nov.), Kraussi, Pethericki (spec. nov.) et Lavigeriana (spec. nov.). X. Burropsis (nov. gen.). — Les Burtopsides, bien que proches voisines des Burtoies, sont des Espèces ayant l'apparence de Bulimes, grâce à leur test épais, opaque, et surtout à leur bord péristomal obtus, épaissi et patulescent, mais, par contre, en différant par leur axe columellaire présentant en avant, à leur partie supérieure, une large concavité subeanaliforme, et offrant, vers leur base interne, un léger soupcon de retrait subachatiniforme. Deux Espèces connues, les Burropsis Giraudi, et Jouberti (spec. nov.). XI. Limicorarra. — Les Espèces de ce genre, constatées dans les contrées centrales de l'Afrique, sont les Limicozarra Charbonnieri (spec. nov.), Spe- kiana, megalæa (spec. nov.), Coulboisi (spec. nov.), Dromauxi (spec. nov.), sepulcralis (spec. nov.), rectis- trigata, Burtoniana, Bridouxi, Martensiana, Giraudi et lamellosa (spec. nov.). XII. Srexocyra. — Description de deux Sténogyres ousaghariennes, les STENOGYRA Leroyi (spec. nov.) et Grandidieriana (spec. nov.). XIII. Susurina. — Les Subulines des contrées équatoriales sont les Susurixa Mabilliana, lenta, inter- media, eylindracea (spec. nov.) et Jouberti (spec. nov. ). XIV. CLausizra. — Note au sujet de la CLausirra Giraudi du centre de l'Afrique. XV. Axceya. — Description des deux superbes Espèces, les Axceya Giraudi et admirabilis (spec. nov.). XVI. Exxeinx. — Les Espèces de cette famille, dont il faut distraire les genres Ædentulina, Elma, Passamaella et Adjua, appartiennent aux trois genres : Ennea, Ptycotrema et Enneastrum. Les Enxra, dont on ne connaît que trois formes, les bicolor, Pirriei et ceylanica, sont étrangers à l'Afrique. Les Prycorrema, qui jusqu'à présent n’ont été trouvés que sur les côtes du Gabon et de Guinée, sont les Prycorrema Guinaicus, cyanostoma, ringens, mu- cronatum, Elimense, Assinicum et Treichi. Les Exxrasrrum, dans lesquels il faut confondre les Uniplicaria, Gulella et Huttonella de Pfeiffer, sont répandus, en grand nombre, dans toutes les régions du Centre africain et du Centre natalique. XVII. Srrepraxinæ. — Les nombreuses formes de cette famille appartiennent aux quatre genres — 128 — Streptaxis, Gonaxis; Marconia (nov. gen.) et Eden- tulina. Les vrais S{reptaxis sont spéciaux à l'Amérique du Sud. Ce n’est qu'avec doute que l’on peut rapporter à ce genre les Srrepraxis nobilis, Blandingiana, ri- mata et Monrovia des côtes de Guinée. C'est dans le genre Gonaxis, établi par Taylor (1877), que l’on doit ranger toutes les formes strepta- xoïdes de l’Afrique et notamment les deux de l'Ousa- ghara, les Goxaxis Craveni et Bloyeti (spec. noy.). Le nouveau genre Marconia comprend les Espèces de forme orculoïde, à ouverture bulimoïde ou plutôt édentuloïde sans denticulations, et caractérisées par un dernier tour offrant, au-dessus de l’ouverture, un aplatissement similaire à celui des Hypocystis, s’obli- quant de droite à gauche et précédé d’une grbbosité, ou gonflement anfractural, souvent très accentué, Marconra lata, vitrea, enneoides, gibbosa (spec. nov.) et recta (spec. nov.). Les ÆEdentulina sont des Espèces ovoïdes plus ou moins oblongues, ayant un aspect pupoiïde, tout en possédant une apparence bulimoïde. EbeNruzina ovoi- dea, insignis, tumida, intermedia, obesa, bulimifor- mis, minor, anodon, Liberiana, arenicola et Grandi- dieri (spec. nov.). XVIIL. Cycrosrommzx. — Les Cyclostomidés des régions équatoriales sont : GEorGia naticopsis, Guil- lani, Perrieri, Poirieri et Revoili; Rocnesrunia Guil- lainopsis, Delmaresi, insularis, Zanguebarica et ob- tusa; MaizaniaA (nov. gen.) olivacea (spec. nov.) CycLosroma Cambieri (spec. nov.) anceps, lineatum, Letourneuxi et Leroyi (spec.nov.) XIX. Limvæinx. — Les Espèces de cette famille = 1459 — appartiennent aux genres Limnæa et Physopsis. Les Limnées, constatées dans les régions équatoriales, sont : Limnæa africana, Desbaizei (spec. nov.), trun- catula, Cameroni (spec. nov.), Kynganiea (spec. nov.), et Zanzibarica (spec. nov... Les Physopsis de ces mêmes régions sont : Paysopsis Stanleyana, præclara, ovoidæa, Soleilleti, Leroyi et Bloyeti {spec. nov.). XX. Paludinidæ. — Les Paludinidées sont : ViviPara capillata, Robertsoni et Jeffreysi; CLeoparra Letour- neuxi, Cameroni, Kynganica, africana, exarata, Zan- guebarica, Pauli, Ajanensis et Guillemeti. XXI. AupurLarinæ. — Sur les vingt-deux Espèces d'Ampullaria connues en Afrique, les six suivantes ont été constatées dans les régions équatoriales. AmPur- LarIA Dumesniliana, gradata, Letourneuxi, Revoili, Ruchetiana et speciosa. Les Meladomus, au nombre detrente, sont répartis en cinq groupes. Sur ces trente, seize ont été rencon- trés dans ces mêmes régions : Merapomus purpureus, Bloyeti (spec. nov.), pyramidalis, nitidissimus (spec. nov.), procerus, elatior, ovum, Jouberti (spec. nov.) sinistrorsus, affinis, solidus. Deguerryanus (spec. nov.), ciliatus, Alexandri (spec. nov.), Boltenianus et Duveyrierianus; enfin les Leroyes sont représentés par les Leroxa Bourguignati et Charmetanti. XXII MeLcaninx. — MeLania tuberculata; Trara crenularis, var. B. Tiara Vouanica (spec. nov.); PLoria Leroyi (spec. nov.) et Bloyeti (spec. nov.). XXIIT. Vazvarinæ. — Les Valvées africaines sont au nombre de dix-huit en y comprenant la nouvelle Espèce, la Vazvara Revoili. XXIV. Srxærinæ. — Les Sphéridés ne sont repré- sentés que par trois Espèces de Corbicules, les Corr- — 160 — cuLA ægyptiaca (spec. nov.), Degousei (spec. nov.) et subtruncatula (spec. nov.) XXV. Uxioninæ. — Le genre Pharaonia (nov. gen.) existe dans l'Ousaghara. Les Mulettes sont les Uxro ratidotus, Dumesnilianus, Billotianus, euphymus et Ledoulxianus. XXVI. Irinixinæ. — Les Espèces de cette famille sont seulement représentées parles SPATHELLA Petersi, Bourguignati, Bloyeti (spec. nov.) et spathuliformis (spec. nov.). XXVII. Résumé mÉraopique pes Espèces signalées de Moguedouchou à Bagamoyo et de Bagamoyo au æ O O l'anganika. 185 Espèces de 47 genres différents. CVI. — Historia de las Helices campileas del grupo de las Dinaricas, in : Cronica cien- tifica, Revista internacional de ciencias, XIIT, n° 297, marzo 1890. Barcelona, imprenta de Redondo y Xumetra. Gr. in-8. Mémoire spécialement consacré à l'examen critique des différentes formes hélicéennes publiées par les auteurs sous le nom erroné de Pouzolzi, à la rectifica- tion de ces formes et à leur classification méthodique. CVII. — Chambardia, nouveau genre égyp- tien de la famille des Iridinées, in : Bulletins Société malacologique de France, VII, 1590. Paris, impr. Dumoulin. Br. in-8, avec 1 pl. n. Hith. Les Chambardies, bivalves ressemblant extérieure- ment à de petites Margaritanes, sont des Iridinidées à valves épaisses, à charnière édentule, caractérisées be par une valve droite sensiblement moins forte, moins volumineuse et notablement moins bombée que la ralve gauche, notamment au niveau des sommets. Ces bivalves trouvées à l’état subfossile dans le lit d’une antique branche nilotique, immédiatement en des- sous et presque en contact avec de nombreux sarco- phages en pierre renfermant les momies des anciens habitants de Ramsès, sont, maloré tout, des formes contemporaines, bien qu’elles n'aient pas été retrou- vées dans les cours d’eau actuels de la Basse-Égypte. Cinq Espèces : les Cnamparpra Letourneuxi(spec. nov.), rhynchoidea (spec. nov.), Locardiana (spec. nov.), pharaënum (spec. nov.) et Bourguignati (spec. nov.). CVIII. — Des formes européennes trocho- hyalinoïdes classées jusqu'à présent sous le nom générique de Gonulus, in : Bulletins Société malacologique de France, VII, 1890. Paris, impr. Dumoulin. Br. in-8, avec 1 pl. n. lith. Il existe sur tous les continents des formes trocho- hyalinoïdes ressemblant à nos Conulus de France. Celles d'Asie et d'Afrique doivent être classées dans la famille des Helixarionidæ, dans les genres Kaliella, Sitala Moaria; celles de l'Amérique du Sud, dans la famille des Artemonidæ, sous le nom générique d’Ernstia; enfin, celles d'Europe, dans la famille des Zonitidæ, sous le nouveau nom d’ArxouLpra, en l’hon- neur du malacologiste Arnould Locard, parce que l’ancien nom de Conulus, sous lequel elles étaient jadis classées, ne peut plus être employé par suite de double emploi. Huit Espèces décrites et figurées, les Arnout- pra fulva (an melius gallica (spec. nov.), callopislica, 11 — 162 — vesperalis, impropera, Mandralisci, cavatica, Mortoni et Bourguignati. CIX.— Descriptions de Pseudanodontes fran- çaises, in : Revision des Espèces françaises appartenant aux genres Pseudanodonta et Ano- donta, par M. Arnould Locard. Lyon, impr. Pitrat, 1890. 1 vol. in-8. Treize Espèces nouvelles, les Pseuxaxonoxra Nan- telica (spec. nov.), Pechaudi (spec. nov.), Arnouldi (spec. nov.), imperialis (spec. nov.), [sariana (spec. nov.), Mongazonæ (spec. nov.), lacustris (spec. nov.), rivalis (spec. nov.), aploa (spec. nov.), Cazioti (spec. nov.), Pacomei (spec. nov.), Euthymei (spec. nov.), et Trivurtina (spec. nov.). CX. — Histoire malacologique du lac Tanga- aika (Afriqueéquatoriale). Corbeil, impr. Crété, 2 vol. in-8, avec 37 pl. n. lith. Tome I°' (1890 ), 1 vol. in-8, avec 17 planch. Tome Il° (en cours de publication), 1 vol. in-8, avec 20 pl. Le lac Tanganika, dont la superficie totale est éva- luée à 39000 kilomètres carrés, occupe à une altitude de 830 mètres, entre les 27° et 29° de longitude est et les 3° et 9° de latitude sud, une immense dépression s'étendant sur une longueur de plus de 600 kilomètres. Situé, à vol d'oiseau, à 1 000 kilomètres des côtes de l'Océan Indien, ce lac appartient au bassin du Congo, par le Loukouga, vaste cours d’eau intermittent, qui le met en communication avec le Loualaba, ou Congo supérieur. Ce lac, aux merveilles malacologiques, possède la faune suivante : Limxæa Jouberti (spec. nov.), Lau- — 163 — renti (spec. nov.), Alexandrina, Lavigeriana (spec. nov.), africana, Debaizei; Puysa Randabeli (spec. nov.), Coulboisi (spec. nov.); PLaxorsis sudanicus, Tanganikanus (spec.nov.), Adowensis, Monceti(spee. nov.), Lavigerianus (spec. nov.), Bridouxianus (spec. nov.); PLanorsura Tanganikana; Neornauma Tanga- nikanum, Bridouxianum, Giraudi, Servainianum, bica- rinatum, Pelseneeri (spec. nov.), Jouberti (spec. nov.), euryomphalus (spec. nov.), Vysseri (spec. nov.); Vivipara Brincatiana (spec. nov.), Bridouxiana (spec. nov.); CLeoparra Guillemeti, Jouberti (spec. nov.); Byrninia multisulcata (spec. nov.); Bripouxia Giraudi, Villeserriana, costata, Reymondi;, Barzea Giraudi; SPEKkIA Zonata, Duveyrieriana, Grandidieriana, Came- roni (spec. nov.), Giraudi, Hamyana, Reymondi; AmpurLaria Bridouxi (spec. nov.), ovata; Mecanomus Jouberti (spec. nov.), sinistrorsus; Leroya Bourgui- gnati; TanGanikiA Fagotiana, opalina (spec. nov. Giraudi; Camsrerra (nov. gen.)rufofilosa, Maunoiriana, ovoidea, Jouberti(spec. nov.); Haurrecœuria Hamyana, Burtoni (spec. nov.), Moineti (spec. nov.), macros- toma (spec. nov.), Giraudi, Milne-Edwardsiana, Char- metanti (spec. nov.), soluta, Brincatiana (spec. nov.), singularis, Jouberti (spec. nov.), Duveyrieriana, Rey- mondi, Maunoiriana, Levesquiana ( spec. nov.), Locar- diana (spec. nov.), Lavigeriana ( spec. nov.), Servai- niana (spec. nov.), Cameroni (spec. nov.), pusilla (spec. nov.), eximia, Cambieri, Bridouxiana (spec. nov.), minuta; Hyracanrua Horei, longirostris, Jou- berti, Bourguignati; Limxorrocuus Kirki, Thomsoni, Giraudi, cyclostoma; SxrvoLopsis lacustris, Hamyana, Grandidieriana, Anceyana, Giraudi, minuta; Giraupra præclara, Grandidieriana, Lavigeriana; Reymonpra Horei, Giraudi, Jouberti (spec. nov.), Monceti (spec. — 164 — nov.), Bridouxiana (spec. nov.), pyramidalis (spec. nov.); Horea (nov. gen.), tanganikana (spec. nov.); Meranra tuberculata, admirabilis ; BourcuiGnariA Bri- doux1 (spec. nov.), Jouberti (spec. nov.), imperialis ; RaxpaBeLra catoxia (spec. nov.), Hamyana; Jouserria (nov. gen.) Baizeana, spinulosa, Stanleyana ; Lavicerra (nov. gen.) diademata (spec. nov.), coronata (spec. nov.), grandis, callista (spec. nov.), Jouberti (spec. nov.), pereximia (spec. nov.), combsa ({spec. nov.), Ruellaniana (spec. nov.); Encarta (nov. gen.) pauei- costata, callopleuros, Monceti (spec. nov.), littoralis (spec. nov.); ParamELaxia Damoni, crassigranulata, infralirata (spec. nov.), egregia, obtusa (spec. nov.) Duveyrieriana, Ledoulxiana, formosa (spec. nov.), Cameroniana, singularis (spec. nov.), Bourguignati, Reymondi, timida {spec. nov.), Milne-Edwardsiana, Lessepsiana, palustris (spec. nov.), Grandidieriana, nassatella (spec. nov.), lacunosa (spec. nov.), Randa- belt (spec. nov.), nassa, Smithi (spec. nov.), venusta (spee. nov.), Mabilliana (spee. nov.), Livingstoniana, nassatiformis (spec. nov.), limnæa (spec. nov.), pul- chella, elongata (spec. nov.), Giraudi, Locardiana, crassilabris, bythiniformis (spec. nov.), Servainiana, arenarum(spec. nov.); STANLEYA neritoides ; COULBoIsIA (nov. gen.) Giraudi, Smithiana; RumeLca globosa (spee. nov.), callifera (spec. nov.), Milne-Edwardsiana, Giraudi, Jouberti(spec. nov.), Lavigeriana(spec.nov ). Graxpireria elongata, Giraudi, mira, callista (spec. nov.), rhynchonella (spec. nov.), Servainiana, Horei, insignis, rotundata, Burtoni, Smithi, Anceyi, cyre- nopsis, Hauttecœuri, singularis (spec. nov.), Thom- soni, Ujijensis, corbicula, incarnata, granulosa, Bour- guignati (spec. nov.), tanganikana, Locardiana, gravi- dæ, rostrata ; Corsicuzatanganikana ; Pisrorum Giraudi, — 165 — hermosum (spec. nov.); Uxio calathus, Jouberti, Char- bonnieri, Moineti, Coulboisi, Bridouxi, Lavigerianus, Guillemeti, Dromauxi, Vynckei, Josseti, Menardi, Vysseri, Randabeli; Murera Bridouxi, Lavigeriana, soleniformis, Moineti, Jouberti, Monceti, Vysseri; Burroxia Tanganikana, Livingstoniana, Moineti, elon- gata, subtriangularis, Lavigeriana, Bridouxi, Bour- guignati, contorta, Jouberti, magnifica, Grandidie- riana ; BrazzæA ventrosa, Anceyi, Randabeli, Moineti, Jouberti, Coulboisi, elongata, Charbonnieri, Lavige- riana, Bridouxi, Newcombiana, eximia, Bourgui- gnati; Moxceria Anceyi, Lavigeriana, Moineti, Roche- bruniana, Jouberti, Bridouxi; CameroNIA gigantea, admirabilis, Bridouxi, Guillemeti, pulchella, Landeaui, obtusa, complanata, Bourguignati, Coulboisi, Locar- diana, Revoiliana, Vynchei, Josseti, Charbonnieri, Spekei, Giraudi, Dromauxi, Lavigeriana, Mabilliana, Jouberti, Marioniana, Moineti, Anceyi, Randabeli et paradoxa; Ærnerra tanganikana (spec. nov.). Espèces supplémentaires. — Hyracaxrna Anceyi ! (spec. nov.); Reymonpra minor, tanganikana; Poxsox- ByA leucoraphe *; Coopea (nov. gen.) Ponsonbyi Ÿ, et STORMSIA (nov. gen.) Carinifera À. Cette faune de 280 Espèces, sur lesquelles 173 uni- valves et 107 bivalves, est celle du grand Centre afri- ain, Si, parmi ces Espèces, on en remarque un grand nombre qui portent le cachet thalassoïque, elles doivent 1. Tiphobia Horei de Sowerby (non Smith) list shells tang., fig. 1: 2. Ancey, in Bull. Soc. mal, Fr., VII, 1890. 3. Rissoa (Horea) Ponsonbyi de Smith, 1889; non Horea, Bourg'., 1888. &. Syrnolopsis carinifera de Smith, 1889, — 166 — ce cachet aux influences des eaux du lac, qui, bien que considérées pures et potables, ne sont pas moins souvent troublées et dénaturées, de temps à autre, par de forts dégagements gazeux chargés de matière miné rale, dégagements provenant du fond de l'immense faille à laquelle est due cette mer intérieure. Ces influences sont encore dues aux eaux de son affluent le plus considérable, le Malagarazi, dont le cours tra- verse de vastes territoires salifères, où le sel est presque à l’état de pureté. — 1607 — MALACO-STRATIGRAPHIE CXI. — Recherches sur la distribution géo- graphique des Mollusques terrestres et fluviatiles en Europe, en Algérie et dans les régions circonvoisines (Annales des Sciences naturelles, V, 1866). Paris, 1866. 1 vol. in-8, avec 2 cartes. Travail d’une grande importance en raison des théories nouvelles qui y sont émises et des questions qui y sont traitées, questions relatives à la répartition des Espèces européennes. Entre le 35° et le 4AG° degré de latitude nord, cons- tatation d’une zone de création ou plutôt de types spécifiques, et coïncidence de cette zone avec une série de chaînes de montagnes s'étendant de l'océan Atlantique à la mer Caspienne, en Asie; de plus, preuves que toutes les Espèces répandues au nord de cette zone proviennent d'elle, et preuves également que les Espèces, au midi de cette zone, se trouvent localisées et demeurent invariables dans leur habitat et leur mode d'existence. Division de cette longue zone de types spécifiques en trois Centres : Un Hispanique, s'étendant des Pyrénées au sud du Maroc, de l'Algérie et de la Tunisie ; Un autre A/pique, partant des Alpes françaises, se prolongeant, en suivant les chaines de montagnes, à l'est jusqu’au Bosphore et à la mer Noire, au sud jus- qu'aux extrémités des péninsules italique et hellé- nique ; — 168 — Enfin, un dernier Taurique, se poursuivant des côtes occidentales de l’Anatolie jusqu’à la mer Cas- pienne et la Perse, se projetant, au nord, jusqu’au Caucase et en Crimée; au sud, jusqu'aux îles de Crète et de Chypre et aux derniers contreforts du Liban, en Palestine. Constatation, en outre, d’un fait singulier : absence de faune spéciale au midi de ces trois Centres euro- péens, dans les vastes régions du Sahara, de l'Égypte, de PArabie Pétrée et de la Mésopotamie, qui s’éten- dent, vides d'Espèces à type particulier, comme une immense ligne de démarcation entre les Centres euro- péens et le grand Centre africain. Ainsi : trois grands Centres se succédant depuis l’océan Atlantique jusqu’à la mer Caspienne; au sud, sur une ligne presque également parallèle, une série de contrées sans faune propre, s’étendant de l’Atlan- tique au plateau central de l'Asie; enfin, au nord, une suite de vastes régions plates ou montueuses, de l'Océan à l’ouest, à l’Oural à l’est, et, au nord, jusqu’à l'extrême pointe de la Norvège, où tous les Mollus- ques sont des Espèces acclimatées descendues des hautes chaînes de la zone de création. Il résulte de ces faits que toute l’Europe, de l’ouest à l’est, des Pyrénées à l’Oural, du midi à partir de la zone de création jusqu'aux mers boréales, ze possede pas de faune propre, mais une faune accidentelle, faune d'acclimatation provenant des hautes chaînes de mon- tagnes qui, sauf quelques interruptions et quelques sinuosités, partagent notre continent de l'Atlantique à la Caspienne. En un mot, pour caractériser le mode Malaco-stra- tigraphique du Système européen : au nord de la zone, rayonnement du midi au nord; au midi de la même — 169 — zone, faune spéciale, Espèces en place, rayonnement nul, où s’il arrive que quelques êtres, par des causes accidentelles, viennent à être déplacés, acclimatation en sens inverse, c'est-à-dire du nord au midi. Après cette exposition de la distribution des Etres, l’on peut formuler ainsi les principes Malaco-strati- graphiques : 1° Le Centre de création de chaque Espèce est simple et non multiple. 2° Les Espèces du Système européen ont leur Centre de création dans les pays montueux et non dans les plaines ou les régions basses. 3° Il existe en Europe, sans compter quelques petits Centres, trois Centres de création : les Centres Hispa- nique, Alpique et Taurique. 4 Les Espèces répandues dans tout le Système européen proviennent de ces trois Centres, 5° Chaque Centre possède une faune particulière tout à fait spéciale, et offre des séries de types qui lui sont propres. 6° Au nord de ces Centres, l’aréa des Espèces est immense; au midi, il est excessivement restreint. Le rapport différentiel des aréas du midi et du nord est dans les proportions de 1 à 200. 7° Au nord des Centres, l’acclimatation ou plutôt le rayonnement s'est effectué du midi au nord. 8° Le rayonnement du Centre Alpique a embrassé presque toute l’Europe; celui du Centre Hispanique a été très faible; celui du Centre Taurique a été nul. 9° Au midi des Centres, au contraire, l'Espèce se trouve toujours localisée ; de plus, elle est spéciale. 10° L’Espèce est tellement spéciale à un Centre =. 40e qu’elle ne peut se rencontrer dans un autre, à moins qu’elle n’ait été soumise à l'influence marine ou à une acclimatation accidentelle, 11° L'influence marine est nulle dans les régions au nord des Centres!. 12° Au midi des Centres, au contraire, l'influence marine se fait sentir avee une telle énergie sur cer- taines Espèces, qu’elles sont devenues des témoins irrécusables d’un littoral au sud des Centres. 13° Les Espèces transportées accidentellement, à l'exeption toutefois des Espèces soumises à l'influence marine, ne peuvent être acclimatées : 1° que du nord au midi; 2° que d’orient en occident, en raison inverse de la rotation de la terre. 14° La population conchyliologique des grands Centres est toujours relativement moins nombreuse que celle des Centres insulaires. 15° Toute île, quelque peu considérable qu’elle soit, séparée, dès l’origine, d’un continent, possède des Espèces qui lui sont propres. 16 Toute île unie anciennement à un continent et séparée à une époque plus récente, garde naturelle- ment la même faune qu’elle possédait à l’origine. 17° Dans une mème ile, l’on trouve quelques types de forme, et une foule de modifications de ces types. 18° L’aréa des Espèces insulaires est encore infini- ment plus restreint que celui des Æspèces placées au midi des grands Centres de création. D’après ces principes, en les appliquant aux régions 1. A l'exception des côtes françaises de Biarritz aux Iles Bri- tanniques, par suite de l'influence du gulf-stream. rie du nord de l'Afrique, notamment à l'Algérie, on re- connait : 1° Que le nord de l'Afrique, ne possédant pas de types particuliers de forme, mais seulement des Es- pèces ou des modifications de types de Mollusques espagnols, dépend par conséquent du Centre Hispa- nique. 2 Que le nord de l'Afrique n’a jamais formé une île à l’origine, puisque sa population conchyliologique est en inférieure à celle des Centres insulaires, mais qu'elle est au contraire dans les proportions réelles d’une faune continentale. 3° Que les Espèces soumises à l'influence marine, en se retrouvant sur tout le littoral méditerranéen et à la limite septentrionale du Sahara, au sud de la grand massif de l'Atlas, sont des témoins irrécusables d’un littoral et démontrent, d’une ma- chaîne du nière irréfragable, que le nord de l'Afrique formait une presqu’ile de l'Espagne. Enfin, 4° que le grand désert du Sahara, ne possé- dant pas de faune NT mais seulement des ins ces acclimatées accidentellement, est une pAeUTe qu’ à l'origine de la période actuelle ces vastes régions étaient recouvertes par les eaux. Il résulte de ces données qu’au commencement de la période actuelle, le nord de l'Afrique (Tunisie, Al- gérie, Maroc) était une presqu'ile de l'Espagne, qu'à cette époque le détroit de Gibraltar n'existait pas et que la Méditerranée communiquait à l'Océan par le grand désert du Sahara, qui était alors une vaste mer. CXII. — Stratigraphie malacologique des Es- pèces du département de l'Hérault, in : Histoire malacologique du département de l'Hé- rault, par M. P. A. Moitessier. Paris, impr. Bou- chard-Huzard, 1868. 1 vol. in-8, avec pl. n. lith. À l’origine de l’époque quaternaire, aucune des Espèces qui vivent actuellement en Europe n'existait alors. L'Europe, à cette époque, n'avait pas la confi- guration de nos jours. La presque totalité du conti- nent, surtout sa partie septentrionale, était sous les eaux ou commençait à s’émerger; mais, en revanche, une longue série de montagnes s'étendant de l'Asie à l'Atlantique formait une puissante arête, presque con- tinue. Or, il arriva que cette puissante arête devint le chemin des Espèces, la ligne d'acclimatation que sui- vtrent peu à peu les Étres à la suite des siècles. Parties des montagnes ouest du grand plateau cen- tral de l'Asie, les Espèces s’avancèrent et se propa- gerent petit à petit, d'Orient en Occident, en suivant la grande ligne montueuse. Au fur et à mesure que les Espèces avançaient, lais- sant sur leur passage des témoins de leur acclimata- tion, elles finirent par se modifier peu à peu, suivant la climatologie du pays, suivant l'influence des milieux nouveaux dans lesquels elles étaient forcées de vivre. Ce fut ainsi que, de modifications en modifications, l'Espèce finit par présenter une quantité d’autres formes, possédant, 1l est vrai, toujours leurs carac- tères ataviques, mais offrant des signes distinctifs dif- férents; de telle sorte que, depuis l'extrémité des Py- rénées jusqu'aux hautes montagnes de l’Asie, on peut ANS EE suivre la dégradation d’un type, et reconstituer la filière de ses acclimatations successives. Mais lorsque, à la suite des siècles, des ruptures, comme par exemple, celle des Dardanelles, eurent lieu, amenant des solutions de continuité dans cette puis- sante arête montueuse, il advint que les Espèces, arrêtées dans leur marche incessante d'Orient en Ocei- dent, demeurèrent, par ces causes majeures, locali- sées, ou si on aime mieux, internées, dans certaines parties de cette chaîne de montagnes. Les Espèces forcément localisées prirent donc, à la suite des siè- cles, les caractères nécessaires à leur genre de vie, et finirent par acquérir des signes distinctifs tout spé- ciaux à leur nouvelle patrie. De là, trois grands Centres de création, correspon- dant à la Chaîne anatolique du Taurus, à la Chaine alpique, enfin à la Chaîne hispanique ; Centres formés d'une portion de la grande ligne de l'acclimatation primitive. En dehors de ces Centres, quelques autres petits existaient encore, témoin le Centre gallique pour le massif de l'Auvergne et des Cévennes; mais, comme les Espèces de ce Centre, ou celles des autres, ont été détruites ou presque entièrement anéanties, ces petits Centres restent tout à fait secondaires. Chez chacun de ces grands Centres, les Espèces se propagèrent de tous côtés, se modifiant suivant les milieux, se sélectant les caractères les plus appropriés à leur existence; au nord, elles s’étendirent jusqu'aux parties les plus septentrionales de l’Europe; au sud, jusqu'aux dernières ramifications montueuses de la Chaîne d’acclimatation. Mais il advint que les Espèces qui s’étaient propa- gées au nord de ces Centres ne purent s'y perpétuer indéfiniment. Plusieurs fois obligées de reculer de- vant l’envahissement des glaces aux phases glaciaires, maintes fois encore elles furent détruites par de grands courants, alors que, par suite du défaut d'équilibre entre les glacières boréale et australe, une partie de la masse liquide, sollicitée par les lois de Pattraction, se projeta d’un hémisphère à l’autre. Ces grands courants, résultats d’une débâcle boréale, balayèrent toutes les contrées basses, surmontèrent tous les petits obstacles, anéantissant tous les êtres, et ne s’arrêtèrent que contre la grande Chaine de montagnes, dont ils ne purent surmonter les puis- santes sommités. Toutes les Espèces acclimatées au nord de cette grande ligne montueuse furent détruites, tandis que les autres, au sud, protégées par les montagnes, furent préservées. De là, l’uniformité de la faune septentrio- nale; de là, la cause de la constante variation des Espèces méridionales. Au nord, en effet, les Espèces, périodiquement détruites par les grandes débâcles, et se réacclimatant toujours, lorsque le calme renaissait, n'avaient pas un assez long laps de temps, entre cha- que extinction, pour se modifier de localité en loca- lité. Au sud, au contraire, les Espèces, à l'abri des débâcles boréales, acclimatées dès l’origine, eurent le temps de se modifier et de prendre des caractères plus nets et plus tranchés. Ainsi, au nord, les Helix incarnata, fruticum, par exemple, existent avec les mêmes signes distinetifs des Alpes jusqu’en Laponie ; elles occupent un aréa immense. Âu sud, au contraire, chaque Hélice est lo- calisée dans une vallée, dans un canton ou une pro- vince. Les caractères de chacune des Hélices se sont tellement appropriés, à la suite des temps, aux mi- lieux, que ces coquilles semblent être des formes spé- ciales au pays, bien qu’elles ne soient qu’acclimatées. Tel est le mode général de la répartition des Mol- lusques européens, mode qui est également celui des Espèces françaises et notamment celui des formes du département de l'Hérault. En France, les Espèces qui s'étaient propagées peu à peu du grand Centre asiatique jusqu'à notre pays, s'étaient également répandues dans nos vallées, sur nos collines et sur nos montagnes. Mais lorsqu’arriva un de ces déluges d'équilibre (on en compte quatre depuis le commencement de la période quaternaire) entre les glacières des deux pôles, les eaux balayè- rent toute la surface de la France. Les hauteurs, comme celles des Alpes et des Pyrénées, furent seules épargnées, le niveau des eaux n'ayant pu atteindre leurs sommités. Ce fut donc seulement sur ces deux chaînes de montagnes que restèrent les Espèces, tandis que partout ailleurs elles furent anéanties. Or, il advint que chaque fois que la cause pertur- batrice était passée, les Espèces de ces deux chaînes descendaient peu à peu, se propageatent insensible- meni de localité en localité, puis, à la longue, finis- saient par repeupler toutes les contrées. La Chaïne alpique à fait sentir son influence sur la plus grande partie de la France. La Chaine hispano- pyrénéenne n'a rayonné que sur les départements du Midi, à peu près jusqu'à la Garonne, mais dans l'Ouest, sous l'influence maritime, les Espèces hispa- niques ont remonté jusqu’en Bretagne. Ainsi, en France, à l'exception de quelques Espèces de l’ancien Centre gallique, 1l n’y a pas d'Espèces spéciales au sol, il n’y en a pas de propres au pays, il n'y a qu’une faune d'emprunt, qu'une faune d’aceli- matation. Cette faune d'emprunt, cette faune d’acclimatation provient des deux grands Centres alpique et hispa- nique. C’est ce qu'on reconnait lorsqu'on examine l’en- semble de la faune malacologique du département de l'Hérault, On reconnait, en effet, qu'à l'exception de douze Espèces de l’ancien petit Centre gallique, toutes les autres sont étrangères au sol du département, que le Centre de création qui a fourni le plus de formes (110 sur 196) est le Centre alpique, ensuite, après celui-ci, le Centre hispanique (41). CXIII. -- Reparticion de los moluscos en el continente africano, in : Cronica cientifica, Revista internacional de Ciencias, n° 141, oct. 1883. Barcelona, impr. Tapias. Gr. in-8. Le continent africain, au point de vue de la distri- bution des formes spécifiques, se divise en quatre ré- LION. 1° Celle du nord, ou méditerranéenne, qui s’étend du Maroc à la presqu’ile du Sinaï ; 2° Celle des déserts du Sahara, qui, de PAtlantique jusqu’au Nil, se développe sur une étendue de près de 800 lieues sur une profondeur moyenne de 400 du nord au midi ; 3° Celle du centre, qui comprend toute la surface médiane du continent, du Sahara aux contrées aus- trales du Cap ; 4 Enfin, celle du Cap ou de Natal, qui occupe l'extrémité du continent. — 177 — Ces régions, en exceptant celle du Sahara, qui ne possède pas de faune, correspondent aux grandes divisions zoologiques de l'Afrique. Or, toute la partie nord du continent africain n’est peuplée que d’Espèces du Système européen, appar- tenant en grande partie aux Centres hispanique et tau- rique et aux Espèces littorales méditerranéennes. Dans le Maroc, l’Alsérie et la Tunisie dominent les séries de type hispanique. Quelques formes alpiques apparaissent néanmoins dans la province de Cons- tantine et dans la Régence. À partir de la Tunisie, règnent les formes littorales, sur toute la côte, jusqu’au delta du Nil. En Égypte se montrent les formes tauriques. Toute la faune terrestre de ce pays provient, en eflet, des contrées syriennes. Cette influence taurique se fait sentir, à l’intérieur, à peu près jusqu'en Nubie, où elle disparait, tandis que sur le bord des côtes elle descend le long du lit- toral de la Mer Rouge et du golfe d’Aden jusqu’à l'extrémité du cap Gardafui. Les grands déserts du Sahara ne possèdent pas de faune propre. Ses oasis sont peuplées de quelques Espèces accidentellement importées qui proviennent, pour celles du nord, du Maroc, de l'Algérie ou de la Tunisie, et, pour celles du sud, du grand Centre z00- logique africain. Le point de jonction des deux faunes a lieu au niveau de l’oasis d'Insalah, vers la partie médiane du Sahara. C’est au sud de cette immense région désertique que commence vraiment l'Afrique zoolovique et que se montre le grand Centre de création de ce con- tinent. Ce Centre, caractérisé par tous ces genres et par 12 ces Espèces que les malacologistes connaissent, se dé- veloppe, de l’Atlantique à l'Océan Indien, sur toute la surface du continent jusqu'aux terres australes de Na- tal et du Cap, englobant dans son étendue la région des grands lacs et projetant ses Espèces, par le cours du Nil, jusqu'à la Méditerranée. L'Égypte a donc}une faune fluviale essentiellement africaine. Vers l'extrémité sud de PAfrique, apparaît un autre Centre zoologique, le Centre natalique, peu accusé, il est vrai, maloré tout suffisamment caractérisé pour qu'on ne puisse pas le confondre avec le Centre afri- cain, Enfin, le long des côtes orientales du continent, on constate la présence de nombreuses formes d’une faune étrangère, celles du Centre malgache, qui, de- puis la latitude de Madagascar, se sont propagées par voie d’acclimatation jusque dans le pays des Comalis. — 179 — TÉRATOLOGIE CXIV. — De la sinistrorsité chez l'Espèce malacologique, in : Histoire malacologique du département de l'Hérault. Paris, impr. Bouchard- Huzard, 1868. 1 vol. in-8, avec pl. On croyait autrefois que la sinistrorsité était le ré- sultat d’un coup, d’une {blessure ou d’un accident; la cause de la sinistrorsité est tout autre. Pour qu'une Espèce sénestre puisse se produire, il faut une réunion instantanée de circonstances ; il faut : 1° un sol bon conducteur de l'électricité, ou facilement décomposable par induction, comme, par exemple, une localité possédant des couches de minerais ou des fi- lons métalliques; 2° un temps assez orageux pour agir par influence sur l'électricité latente des couches de cette localité; 3° une réunion subite des électricités du nuage et du sol, pour produire dans les filons mé- tallifères de la localité, dont l’électricité latente a été décomposée par induction, une réunion électro-magné- tique instantanée; 4° cette réunion électro-magné- tique doit coïncider {c’est là le point important) avec le moment où, chez le germe, commencent les doubles mouvements de rotation et de giration, avec le moment, en un mot, où se manifestent les premiers indices de la vitalité; 5° enfin, cette réunion doit avoir lieu en sens inverse du mouvement de rotation. Toutes ces circonstances sont nécessaires pour ar- river à la création d’une Espèce sénestre. C’est sans doute à cause de la difficulté de réunir toutes ces con- ditions, que la sinistrorsité chez les Mollusques est si peu commune. — 180 — DIDAXOLOGIE CXV. — Filum ariadneum, methodus con- chyliologica denominationis,sinequochaos. Paris, impr. Bouchard-Huzard, 1860. 1 vol. in-8. La science malacologique repose sur une double base : la disposition et la dénomination. La dénomination a pour objet les appellations scien- tifiques. Les règles de la dénomination qui servent de thème à cet ouvrage didactique ont toutes été réunies, ex- posées et commentées dans les chapitres suivants : 1° sur les noms de Classe et d’'Ordre; 2° sur les noms de Famille; 3° sur les noms génériques ; 4° sur les noms spécifiques ; 5° sur les noms de fausses localités ; 6° sur les noms mal latinisés; 7° sur les désinences ella, ina, ilia, ana, ete..…., terminant un nom générique ou spécifique; 8° sur les mots pseudo ou sub précédant un nom spécifique; % sur la désinence oides; 10° sur les noms de variété; 11° sur les noms de section et de groupe ; 12° sur les doubles emplois de noms. Enfin, comme corollaire, l'ouvrage est complété par deux chapitres relatifs aux règles de l’antériorite et de la synonymie. INDEX DES GENRES NOUVEAUX Pages. AgBanra. Genre abyssin, de la famille des Buliminidæ, voisin des Balia d'Europe, créé en 1883, en l'honneur d'Antoine Abbadie, célèbre explorateur de l’Abyssinie, AGRAULINA (%yoavhos, rustique, qui vit dans les champs), établi primitivement, en 1858, comme coupe sous- générique pour des Azecas des îles Madère, ce nom a été depuis regardé comme celui d’un genre madérien de la famille des Ferussacidæ. (Lowea de Watson, Le) SR RE PE ALcipia (prénom du célèbre savant Alcide d’Orbigny), genre de la famille des Artemonidæ, établi en 1889 pour des Espèces de l'Amérique du Sud . . . . . . ALLERYA (en l'honneur du malacologiste Allery, marquis de Monterosato). Créé en 1876 pour des Espèces sici- liennes classées primitivement parmi les Helicidæ, ce genre doit plutôt appartenir à la famille des Helixario- DUB CR cho ne 0 cn AzsoBra (ähsos, forêt, fBuos, vie, qui vit dans les lieux boi- sés). D'abord établie en 1858, en qualité de coupe sous- générique pour des Azecas des iles Canaries, cette coupe a été depuis élevée au rang de genre. . . . . . AxceyA (en l'honneur du malacologiste C.-Félix Ancey ). Genre créé en 1885 pour des Espèces de l’Afrique équa- toriale, vraisemblablement de la famille des Streptoste- LdB tente, RTE RE ER set ARTHURIA (prénom du savant zoologiste Arthur Issel, de Gênes). Primitivement établi, en 1874, puis en 1877, pour une petite Espèce de l’île de Sardaigne, sous l'ap- pellation d'Isselia, de la famille des Helixarionidæ, ce genre a pris depuis, en 1880, le nouveau nom d’Arthu- ria (Bourg.), pour éviter le double emploi de ce nom [sselia, que le zoologiste Semper avait créé, quelque 12 00 98 00 =D — Pages. temps antérieurement, pour des Espèces marines de la famille des Planaxidæ, (Voir le nom Isselia.)., . . . . ARNOULDIA (prénom du savant malacologiste français Ar- nould Locard). Genre établi, en 1890, pour des Espèces européennes, de la famille des Zonitidæ, connues jadis sous Ie nom)de Conulus. 4450, re AsparTHARIA (&@ privatif, Spatha, nom de genre. Nom ser- vant à désigner des Espèces qui ne sont pas des Spatha). Genre établi, en 1885, pour des Espèces du Centre afri- cain de la famille des Iridinidæ, et regardées à tort comme de vraies Spatha . , . . . . dunes. Barzea (en l'honneur de l'explorateur l’abbé de Baïze, décédé en vue du lac Tanganika). Genre de la fa- mille des Paludinidæ, établi pour des Espèces du lac Tanganika. & +% er se BeccariA (en l'honneur du voyageur italien Beccari). Genre abyssin (1883) de la famille des Achatinidæ., . BeLGRanDiA (en l'honneur du célèbre ingénieur E. Bel- grand, inspecteur des Ponts et Chaussées, directeur des Eaux et des Égouts de la ville de Paris), Genre de la fa- mille des Bythinellidæ, établi en 1869, pour de petites Espèces quaternaires de France. . . . . . . . . “ BLancra (en l’honneur de l’épigraphiste Edmond Blanc, de Vence [Alpes-Maritimes |). Genre dela famille des Ac- teonidæ, créé en 1876, pour une Espèce fossile des Alpes=-MarilimEes, « , 5 . ss 6.0 RCE BcoyeriA (en l'honneur du capitaine Bloyet, fondateur de la station de Kondoa, dans l'Ousaghara). Genre &e la famille des Helixarionidæ, établi primitivement, en 1885, sous l'appellation de Guillainia (voir ce nom), puis sous le nom de Bloyetia, en 1889, pour des Espè- ces de l’Afrique équatoriale, . , . . . . ‘ à BrazzæA (en l’honneur du célèbre voyageur Savorgnan de Brazza, gouverneur du Congo français). Genre de la famille des Iridinidæ, créé, en 1885, pour des bivalves du lac Tanganika . . . . . . . . . Bripouxra (en l'honneur du Révérend Père Bridoux, su- périeur général des Missionnaires d'Afrique, vicaire 101 161 139 138 124 28 32 139 — 183 — Pages. apostolique des missions du Tanganika). Genre de la famille des Paludinidæ, établi en 1885 pour des Espèces du TAnRaNLA ERP ser te BronpeLtA (en l'honneur d’Auguste Brondel, officier d’ad- ministration de l’Intendance militaire à Alger). Genre de la famille des Ancylidæ, établi en 1862, pour des Espèces ancyloïdes de l'Algérie . : . . + . : .- . … - BurGERsTEINIA (en l’honneur du paléontologiste Burgers- tein). Genre dela famille des Néritidæ, établi en 1880, pour une Espèce fossile de Macédoine . . . . . Burroa (en l’honneur d’Eugène Burto, explorateur du Centre de l'Afrique). Genre de la famille des Achati- nidæ, établi en 1889 pour des Espèces de l'Afrique équatoriale... ren. 0 PROMO UM NE ON à Burrorsis (Burto, nom propre, Wu, apparence, aspect, c'est-à-dire genre dont les Espèces ont une ressem- blance avec celles des Burtoa). Genre de la famille des Achatinidæ, établi en 1889 pour des Espèces de l’Afri- que équatoriale . . : : . . . . « : . OEM BurronrA (en l'honneur du célèbre voyageur anglais le capitaine Burton). Genre de la famille des Iridinidæ, créé en 1883, pour des bivalves du lac Tanganika , . Byrarospeu (BVôtos, &, ov, qui vit au fond de l’eau, et de oxéos caverne, c’est-à-dire (sous-entendu wov), animal qui vit au fond des eaux souterraines). Genre de la fa- mille des Bythinellidæ, établi en 1882, pour des Espè- ces aveugles des nappes d’eau souterraines de la Ba- vière, du Wurtemberg et de la Carniole . . . CæcILIANELLA (diminutif de cæcilia, aveugle,). Genre de la famille des Cæcilianellidæ, établi en 1856 pour de petites Espèces aveugles du Système européen. . . Caizcaupra (en l'honneur du célèbre voyageur en Égypte et en Nubie, Frédéric Caillaud, de Nantes). Genre de la famille des Planorbidæ, créé en 1883 pour des Espèces 1 1110) (| RME MREAS CS E DER RER SR er CaLaxis (xa)65, n, ov, beau, &wv, axe, columelle). Genre de la famille des Ferussacidæ, établi en 1882, puis en 1887, pour des Espèces syriennes. . . . 138 ©t [214 33 156 156 128 11 0yt 47 147 — 184 — Pages. CazverTiA (en l'honneur de Henry Calvert, ancien con- sul anglais à Alexandrie [| Egypte ]). Nouveau genre de la famille des Neritidæ, établi en 1880 pour des Es- pèces fossiles de la Dalmatie . . . . . . . CawBieriA (en l'honneur du capitaine en 4 Pan zibar). Genre de la famille des Hauttecœuridæ, établi en 1885, puis en 1880, pour des EUR du lac Tan- ganikai ous 2% ; ; strates CamEroNIA (en l’ hénuete do r Hire voyageur ee ney- Hovett Cameron, qui, le premier, a traversé le con- tinent africain, de Bagamoyo, sur l'Océan Indien, à Benguela, sur l'Atlantique). Genre dela famille des Iri- dinidæ, établi en 1879, pour des bivalves du lac Tan- 163 PE NC SP RP A IT ss. + + . «+ 104-128 CHamBarpiA (en l’honneur du Dr Chambard, attaché aux travaux de l’isthme de Suez}. Genre de la famille des Iridinidæ, établi en 1880, puis en 1890, pour des Acé- phales subfossiles du delta du Nil. . . . . . . . . ; CoLLeToprERUM (49Aketov, soudé, ttepov, aile). Genre de la famille des Unionidæ, établi en 1880 pour des bivalves CUTOPDÉENS 40 CE, Dee M ne SEAT COLPANOSTOMA (X0ÀT06, aHfénceente sinuosité, &vw, en haut, otouu, bouche, ouverture, c'est-à-dire sinuosité à la partie supérieure de l’ouverture). Genre de la famille des Artemonidæ, établi en 1889 pour une Espèce de l'Afrique Équalorale à we she CRI OR Te Coopea (en l'honneur de E. Coode Hore, missionnaire an- glais au Tanganika). Genre de la famille des Littori- nidæ, établi en 1890 pour une Espèce du lac Tanganika. CouLgorsia (en l'honneur du Révérend Père missionnaire Coulbois). Genre de la famille des Neritidæ, établi en 1890 pour des Espèces du lac Tanganika. . CyrenastTRuM (de Cyrena, nom générique créé par La- marck ). Établi d'abord, en 1854, comme appellation sous- générique pour les Sphærium ayant l'apparence de Cor- bicula ( olim Cyrena), ce nom doit être maintenu comme nom générique de la famille des Sphæridæ pour toutes les Espèces vivantes et quaternaires d'Europe ayant une ressemblance avec les Corbicules du Nilet de l'Asie. . 160 111 165 165 41-78 — 185 — Pages. DREPANOSTOMELLA (diminutif du genre italien Drepanos- toma de Carlo Porro. De Soéravov, faux, faucille, tôpa, bouche, ouverture ressemblant à la courbe d’une fau- cille). Genre de la famille des Artemonidæ, établi en 1889 pour une Espèce de l'Amérique du Sud. . Encaria (en l’honneur du malacologiste anglais Edgar Smith). Genre de la famille des Melanidæ, établi en 1890 pour des Mélaniens du lac Tanganika. . , . + . . . . EurerA (de «b, bien, et du radical Pera, nom de genre créé par Leach). Établi d’abord en 1854 pour désigner une coupe sous-générique des Pisidium, ce nom a été adopté, en 1877, en qualité de nom générique pour distinguer des petites bivalves américaines et africaines de la fa- mille des Sphæridæ.e . ..1,1. 0". us 21" FacoriA (en l'honneur du malacologiste français Paul Fagot, de Villefranche-Lauraguais). Genre de la famille des Melanidæ, établi en 1884 pour des Mélaniens d’Eu- DODOR VAE Larmes et bee s'e FizaoLrA (en l'honneur du savant paléontologiste français Henri Filhol). Genre d’une famille spéciale, celle des Filholidæ, établi en 1881 pour des Espèces fossiles écténes deFrancb us ue ut ed É . GaizLarporTiA (en l'honneur du D° Gaillardot, chirurgien en chef à l'hôpital d'Alexandrie [Égypte ]). Geure de la famille des Neritidæ, établi en 1877 pour de petites Espèces néritiformes du Système européen, et qui doit être supprimé, parce qu'il fait double emploi avec le genre Smaragdia d'Issel, créé en 1869. . . . . . . . GazcannA (en l'honneur du zoologiste Jules Galland, in- génieur en chef des Ponts et Chaussées de l’Empire ottoman). Genre de la famille des Vitrinidæ, établi en 1879 pour de petites Espèces vitrinoïdes de l’Asie OCCIdentales .2 + 2e PS eee e esse se GarniertA (en l'honneur du voyageur Garnier, explora- teur de la Cochinchine). Genre de la famille des Clau- silidæ, établi en 4876 pour des Espèces clausilioïdes du Cambodae nt RP CR es ee he 16% 40 134 107 98 — 186 — Pages, G£onçrA (en l'honneur de l'intrépide explorateur du pays Gomalis, Georges Revoil). Genre de la famille des Cyclostomidæ, établi en 1882 pour des Espèces çoma- HennEST ET DÉCLIN UT GiBBowsiA (en l'honneur du voyageur anglais J. S. Gib- bons, de Souhampton). Genre de la famille des Artemo- nidæ, établi en 1889 pour des Espèces de l’Afrique équatoriale. Me. 7): Math se eue lite se GirauiA (en l'honneur du célèbre et intrépide voyageur en Afrique, le lieutenant de marine Victor Giraud). Genre de la famille des Giraudidæ, établi en 1885 pour de petites Espèces du lac Tanganika. . . . . nr GranoinrERIA (en l'honneur du savant explorateur de Madagascar, Alfred Grandidier, membre de l'Institut). Genre de la famille des Sphæridæ, établi en 1885 pour des bivalvés du lac Tangatika. . . . . . . . . . . à Guiczainta (en l'honneur du commandant Guillain, un des premiers explorateurs des côtes orientales de l'Afrique). Nom créé en 1885 pour des Hélixarionidées africaines. Ce nom de genre a été changé en celui de Bloyetia. {Voir ce nom et les Mollusques de l'Afrique équatoriale [1889], p.28, pour connaitre les motifs de ce changement: ).e à 4 8 4 eve moe td 04060 HacenuuLuerrA (en l'honneur du D' Paul Hagenmüller, de Bône}). Genre de la famille des Diplommatidæ, éta- bli en 1881 pour de petites Espèces algériennes. . . . Hauya (en l'honneur du savant anthropologiste le Dr E. Hamy ). Genre de la famille des Helixarionidæ, établi en 1885 pour une Espèce fossile de l'Afriqueéquatoriale. HappiaA (en l'honneur d'Édouard Happe, voyageur français dans l'Amérique méridionale). Genre de la famille des Artemonidæ, établi en 1889 pour des Espèces de l’'Amé- rique du Sud, 2 ee ee ue de CU HaurrecœuriA (en l'honneur du Révérend Père mission- naire Hauttecœur, décédé à Tabora). Genre de la fa- mile des Hauttecœuridæ, établi en 1885 pour les Espè- ces-du lacWTanganika ete role 138 137 136 117 136 — 187 — Pages, HonexwanTaiA (en l'honneur du zoologiste allemand Ho- henwarth). Genre de la famille des Ferussacidæ, éta- bli d'abord comme coupe sous-générique en 1864, puis comme genre en 1887, pour des Espèces du Système GUTODOENA AN NT MR ER 2 LD ORNE HorariA ( en l’honneur du conseiller Horace-Aristide Le- tourneux). Genre de la famille des Paludinidæ, éta- bli en 1887 pour de petites Espèces de Dalmatie et de Bosnie pets fu Fee est SEL GR OMR CNE i, Horea (en l'honneur du missionnaire anglais Coode Hore). Genre de la famille des Melanidæ, établi en 1888 et 1890 pour un Mélanien du lac Tanganika. . . . . . . HypnopiLa (de Ünvov, mousse œihos, ami, qui aime à vivre dans les mousses). Genre établi d’abord en 1858 comme coupe sous-générique des Azecas, puis comme genre spécial de la famille des Ferussacidæ, en 1887, pour des Espèces des régions méditerranéennes. 147 149 (G: Gryptazeca de Folin, 1877) 0.7." 50 4 à à 50-147 IezsxrA (en l'honneur du Dr Ielski, conservateur du musée d'Histoire naturelle de Kieff, en Russie). Genre de la famille des Valvatidæ, établi en 1877 pour une Espèce fluvianlende RUSSIE A SR M à eus Iscaurosroua (isyvpôs, fort, robuste, croux bouche ; ou- verture à péristome robuste et épais). Genre de la fa- mille des Cyclostomidæ, établi en 1874 pour des Espèces fossiles de Rrance RS Ne ere D DEN ET-tS IssezrA (en l'honneur du te Artitut Issel, de Gênes). Nom de genre qui a été changé en cein d'Arthuria {voir ce nom) 051.0 2060: 00.20h ‘ Jozya (en l'honneur de Joly, amateur de malacologie à Alger). Genre d’une famille spéciale, celle des Jolydæ, établi en 1877 pour une bivalve algérienne. . . . . JougerTiA (en l'honneur du capitaine Léopold Joubert, commandant des Forces tanganikiennes). Genre de la famille des Melanidæ, établi en 1890 pour des Espèces du lac Tanaka 1 M 2. KzecakiA (en l'honneur du zoologiste dalmate Biagio Ké- cak). Genre de la famille des Bythinellidæ, établi en 1880 pour une Espèce fossile de Dalmatie . . . . . . 102 31 101 101 — 188 — Pages. LarreriA (en l'honneur du savant paléontologiste Édouard Lartet, de Sansan). Genre de la famille des Paludestri- nidæ, établi en 1869 pour ‘des Espèces quaternaires de Frances, A ete rte tds. he 28 LaviGerra (en l'honneur de Son Éminence le cardinal La- vigerie). Genre de [a famille des Melanidæ, établi en 1890 pour des Espèces du lac Tanganika, . . . . . . 164 LevouzxrA (en l’honneur du consul francais de Zanzibar, M. Ledoulx). Genre de la famille des Helixarionidæ, établi en 1885 pour des Espèces de l’Afrique équatoriale, 136 LETOURNEUXIA (en l'honneur du conseiller H.-A, Letour- neux, d'Alger). Genre de la famille des Arionidæ, établi en 1866 pour des Limaciens algériens. . . . . . « 63-128 LHoTELLERIA (en l'honneur de M. Juba de Lhotellerie ; amateur deconchyliologie). Genre dela famille des Palu- destrinidæ, établi en 1877 pour des Espèces fluviales des régions méditerranéennes. . . . . . . . . . + . . . 101 LrBANIA (Liban, chaine de montagnes, — Espèces de la chaine du Liban). Genre de la famille des Testacellidæ, établi en 1867, puis en 1870, pour des Espèces syriennes. (Olim Moussonia), Bourg., mss. 1866, non Moussonia DÉPOT A sie aus Sete rmbe con 101 Lycorus (}üxos, Loup, 0005, montagne, Loup de monta- gne). Genre de Mammifères fossiles quaternaires de la famille des Canidæ, établi en 1875 pour une Espèce des Alpes-Maritimes... . , © . . : . | « TT MagiLuiA (en l'honneur du malacologiste Jules Mabille }. Genre de la famille des Limacidæ , établi en 1872 et 1877 pour deslimaciens de Syrie. (Olim Mesaspis, Bourg., MSA 2 a Rime AVES NE nt . 401 MarzaniA (en l'honneur de l'enseigne de vaisseau Maizan, assassiné en 1845 dans l'Ousaghara). Genre de la fa- mille des Cyelostomidæ, établi en 1889 pour une Espèce de l'Afrique Equalornién. Ati Jim te 158 MarcoxiA (en l'honneur du voyageur français Ernest Mar- con). Genre de la famille des Streptaxidæ établi en 1889 pour des Espèces de l'Afrique équatoriale . . . . . . 158 — 189 — Pages. Maresia (en l'honneur du D" Paul Marès d'Alger). Genre de la famille des Bythinellidæ, établi en 1872 et 1877 pour de petites Espèces Algériennes. . . . . + «+ + : MicrocoLpia (mxpos, petit, xoAnos, pli, creux. Espèces of- frant un petit pli creux à la base de la columelle). Genre de la famille des Melanidæ, établi en 4884 pour des Mé- ladiens européens. net PP Rene eee MicronvassiA (ttxpos, petit, nyassia, de Nyassa, nom d’un lac africain )}. Genre de la famille des Melanidæ, établi en 1889 pour de petites formes mélaniennes du lac Nyse NA NAS SU. LC: DID COMOLE Mizne-Enwarpsia (en l'honneur du professeur Alphonse Milne-Edwards, membre de l'Institut). Genre de la famille des Clausilidæ, établi en 1877 pour des Espèces fossiles de France des périodes miocène et pliocène. . MorressierIA (en l'honneur du malacologiste Prosper An- toine Moitessier, de Montpellier). Genre d’une famille spéciale, celle des Moitessieridæ, établi en 4863 pour de petites Espèces du Midi de la France . . . + + + + : Monceria (en l'honneur du Révérend Père missionnaire Moncet). Genre de la famille destridinidæ, établi en 1885 pour des bivalves du lac Tanganika. . . + + . . + : Mureuina (diminutif du nom de genre Mutela). Genre de la famille deslridinidæ, établien 1885 pour des bivalves AÉCICAINSS -P re he ee che ele Nos eue NeniarcanTA (de Nenia, nom générique, et de Atlantis, Atlantique, nom géographique). Coupe sous-générique établie en 4876 pour les Nénias des Basses-Pyrénées, qui forment un groupe différent des vraies Nénias améri- caines, Espèces de la famille des Clausilidæ. . . . . . NyassELLA (diminutif du nom de genre Nyassia). Genre de la famille des Melanidæ, établi en 1889 pour des Mélaniens du lac Nyassa. . . . . Ve See aies Nyassia (Nyassa, nom géographique. Grand lac africain de plus de500 kilom. de long dans la région du Mozam- bique). Genre de la famille des Melanidæ, établi en 1889 pour des Espèces du lac Nyassa, , . . . . + + . 139 151 100 85 139 139 98 151 — 190 — Pages. NyYassoMELANIA (Nyassa, nom géographique, Melania, nom générique). Genre de la famille des Melanidæ, établi en 1889 pour des Espèces du lac Nyassa . . . + . . . PaLaniLutA (en l'honneur du Dr Paladilhe, malacologiste de Montpellier), Genre de la famille des Paludestrinidæ, établi en 1865 pour des Espèces françaises. . . . . . PazuzzoLia (en l’honneur de Palizzolo Gravina, baron de Ramione, de Palerme). Genre de la famille des Lima- cidæ, établi en 1877 pour une Espèce sicilienne. PARACHATINA (xaoù, près, voisin, Achatina, nom géné- rique). Genre de la famille des Achatinidæ, établi en 1889 pour des Espèces du Centre africain. . . . . Pauzra (en l'honneur du malacologiste nimois Paul Bé- renguier}. Genre de la famille des Bythinellidæ, établi en 1882 pour de petites Espèces aveugles de la nappe d’eau souterraine des puits d'Avignon. . . . . re PecHaupiA (en l'honneur du malacologiste Jean Pechaud). Genre de la famille des Limnæidæ, établi en 1881 pour une Bspoce dlséribnné. 5 «4 4 4 aus s vo. se PerreTriniA (en l'honneur de l'ingénieur Petrettini, d’A- lexandrie). Genre de la famille des Neritidæ, établi en 1880 pour une Espèce fossile pliocène de la Dalma- tie: de, PHaRaoNIA (nom des anciens monarques de l'Égypte). Genre de la famille des Unionidæ, établi en 1880, puis en 1888 et 1889, pour des bivalves de ns de et du Centre dfneauns 67276 2.8 0 0 , PiNroa (en l’honneur du célèbre voyageur ue Serpa Pinto). Genrede la famille des Achatinidæ, établi en 1889 pour des Espèces de l’Afrique équatoriale. . . PoryiaA (en l'honneur du savant zoologiste Poey, de la Havane). Genre de la famille des Ancylidæ, établi en 1862 pour une petite Espèce ancyloïde de l’île de Cuba, dans les Antilles. , de se fie al see a @Ueilis 22} Ce en re 12 RacmisezLus (diminutif de Rachis, nom générique). Genre de la famille des Achatinidæ, établi en 1889 pour des Espèces de l'Afrique équatoriale. . . . . . . + 151 9% 101 118 116 34 160 155 6 Es) — 191 — Pages. RarrrayaA (en l’honneur du naturaliste A, Raffray, ancien consul à Massaouah, surlaMer Rouge). Ce genre, classé d’abord dans la famille des Helicidæ, doit plutôt être rangé dans celle des Streptostelidæ ; il à été établi en 1883 pour une Espèce de l’Abyssinie, , . . , + . . RanpaBeLtA (en l'honneur du Révérend Père missionnaire Randabel). Genre de la famille des Melanidæ, établi en 1890 pour des Espèces du lac Tanganika. , . . Revorcta (en l'honneur de l’intrépide explorateur des régions çomaliennes, Georges Revoil). Genre de la fa- mille des Cyclostomidæ, établi en 1881 pour une Espèce du cap Gardafui (Afrique orientale), , . . . . . M: Reywonpia (en l’honneur de Ferdinand Reymond, savant géologue du département de l'Isère). Genre de la fa- mille des Giraudidæ, établi en 1885 pour des Espèces du AC Tanganikas "sd elle le ataletalr RoceBrunia (enl’honneur du malacologiste Tremeau de Rochebrune}). Genre de la famille des Cyclostomidæ, établi en 1881 pour des Espèces du pays Çomalis et du sud.de l'Arabie: 270 an EUR à RumeLLa (diminutif du mot Ruma, nom générique). Genre de la famille des Naticidæ, établi en 1885 pour des'Espèces du'lac Tanganika, VOLE. à SainT-Simonia (en l'honneur du malacologiste français Alfred de Saint-Simon). Genre de la familie des Neriti- dæ, établi en 1880 pour des Espèces fossiles pliocènes de Dalmate RAS En Ua ne ee SLÉARRE ER SANsANIA (nom géographique, Sansan, dans le départe- ment du Gers), Genre de la famille des Limacidæ, éta- bli en 1881 pour une Limacelle fossile miocène de UE TOR PSE A ENT RE ee ee SerPÆA (en l'honneur du voyageur portugais Serpa Pinto). Genre de la famille des Achatinidæ, établi en 1889 pour des Espèces de l'Afrique équatoriale. . . . . . . . , £esTeniA (en l'honneur de l'ingénieur du vilayet de Diar- bekir, Sester). Genre de la famille des Bulimidæ, établi en 1884 pour une Espèce de la Turquie d'Asie. . , . . 16% 113 138 113 138 34 3ù 132 — 192 — Pages. SozeiLcertA (en l'honneur de l’intrépide voyageur afri- cain, Paul Soleillet). Genre de la famille des Galatidæ, établi en 1885 pour de petites bivalves du Choa. . . . SPATHELLA (diminutif de Spatha, nom générique). Genre de la famille desIridinidæ établi en 1885 pour des bi- valves de l'Afrique équatoriale . . . . . PORC AE TL SrexlA (en l'honneur du célèbre voyageur africain Speke). Genre de la famille des Paludinidæ, établi en 1879 pour des Espèces du lac Tanganika. . . . . SU Lalla co de SranLeyA (en l’honneur de l'intrépide voyageur Stanley). Genre de la famille des Neritidæ, établi en 1885, pour des Espèces du lac Tanganika. . . . . . . . . . ue SrormsiA (en l'honneur du capitaine belge Storms, le fon- dateur de la station de Karéma, sur le Tanganika ). Genre de la famille des Paludestrinidæ, établi en 1890 pour une Espèce tanganikienne . . . . . . . . . . Tanousia (en l'honneur de Tanous Farez, le compagnon du conseiller Letourneux dans ses explorations). Genre de la famille des Limneidæ établi en 1881 pour des Es- pèces de Dalmatie . . . . . . . RL TayLoriA (en l'honneur du malacologiste anglais John W. Taylor, de Leeds). Genre de la famille des Artemo- nidæ, établi en 1889 pour des Espèces de l'Afrique Cquuondien es Lomme Rte RSR Tee TripacHaTINA (teûra, trou, Achatina, nom générique; Achatine perforée}. Genre de la famille des Achatinidæ, établi en 1889 pour des Espèces de l'Afrique équato- DAlE See eee Eee RS CRE NE ee . TripaLora (en l'honneur du podestat de Sinj, en Dalmätie, le Dr Tripalo ). Genre de la famille des Neritidæ, établi en 1880 pour des fossiles pliocènes de Dalmatie. . . . Zospeum (de Üüov, animal, oxéos, caverne; animal de caverne). Genre de la famille des Pupidæ établi en 1856 pour de petites Espèces aveugles qui vivent dans les cavernes de la Carniole. . . .. . . SU Se dors à 140 138 116 34 INDEX DES ESPÈCES NOUVELLES Abbadia æthiopica, Abyssinie. Achatina acutespirata, Afriq. équat. —— Bloyeti, id. Pages, — Dhcielenn, Zanzibar . . — Letourneuxi, id. — Randabeli, ie Bent è — Zanzibarica, Zanzibar. Acme Adamii, Italie, — Lallemanti, Algérie . — Letourneuxi id. : Ætheria Chambardi, Egy 7 ; — Letourneuxi, 4. — nilotica, id. — Petrettini, id. — senegalica, Sénégal . Cter — tanganikana, Tanganika . Alasmodonta Berlani, Valachie. — Penchinati, id. Alexia algerica, Algérie . . — Cossoni, Tunisie . — enhalia, id. — globulus, id. — Letourneuxi, id. . . — Pechaudi, td. — terrestris, id. Allerya Brocchii, Sicile. — Cupanii, td. - Monterosati, id. Amnicola Barattei, Tunisie . —- bythinopsis, td. — Doumeti, id, — globulina, id. — Latasteana, id. sipholtiers ste 43 125 155 155 103 103 155 103 69 93 93 110 110 110 110 110 165 97 97 93 146 146 146 146 146 146 98 98 98 146 155 146 146 146 — 194 — Pages. Ammicola nyassana, Nyassa (Afriq.) . 152 — Oudrefica, Tunisie . + .:... 146 — paradoxa id. toi 146 — Penchinati, Vide METRE 97 = primæva, foss. quat. France . 28 — Radigueli, id. 28 = ragia, Tunisie. . . . . 146 — singularis, td. ; 146 — Stanleya, Nyassa Fe LE T 152 — Sterea, Tumisie 2 400 à 146 — subséalans, 14" SE MAMAN EEE 146 Ampullaria Bridouxi, Tanganika Cid Ï 163 — Letourneuxi, Afrige équat » . + - . +: . : 104 — Raymondi, Égypte . 60 — Welwitschi, Afriq. occid. 10% Anceya admirabilis, Afrig. équat. . 157 — Giraudi, id. 137 Ancylus adelinus, Cuba. . : » . 4 110 . : 57 — antediluvianus, foss. quat. France. . . . . . . 28 — ‘aôrus, Amérig- mérid... 4 « «+ 57 — Baconi, Indoustan . . 76 — Beaui, Guadeloupe, ‘ 76 — Benoitianus, Sicile. . . . . De 57 — Brondeli, Algérie . : . & + » + : - 57 = MUCANEUIAEUS, 72 0 le NU EN NOES gl — Charpentierianus, Chili. 76 — complanatus, Cuba . . . . ; Re! — Cumingianus, Nouvelle- Hollande ; 42, 76 —.Cyclostoma; Francé + 4 Se M RER 76 — Deshayesianus, Europe. . 76 — Desnoyersi, foss. quat. France. . . . . . . .. 28 — …Drouetianus, Algéries 52, Lee M EPS no. 76 — epipedus, id . . 3. "97 — gibbosus, France. . à À 97, 76 — Hamacenicus, Abyssinie + à + 4 «ua 4 à à 125 lan Italie, IErance 1 MERS RE LNNE 75 — Isseh, “Egypte 2:01... 3 63 — Moquinianus, France. - . - . . 76 — Moreleti, Portugal. . . . . . = CR 76 — Orbignyanus, foss. plioc., Allemagne, SR sue 76 — 195 — Pages Ancylus Peraudieri, Algérie . . . . . . . . . . . « . 57 = e Petitianus, Jamaïque. 40% 000 een 76 — “P'oiterner Cuba. EAN IEEE 2 07 —" Mplasioxus Brésil EN EE IN M Penn 0 — platylenus, Algérie. . . . . + «+ . PAST —+ “plŒarius Brésil | NES EM. 7e 57 — Raymondi, Algérie . . . . . RAS 5. NM — 1, Salleï, "Mexique eme + SL MNEUR EMEA 49 — Saulcyanus, Venezuela. . . . . . . . . . 0010 — d Sirigatus) Sicile. A NAN PIRE NE 76 =: MDOTIANUS. FA en MSIE INR EE 57 — ‘ Verreauxianus, Afrique: mérid. "x 0, «0 39 Anodonts acallia, Frances ee CPI MEME : 4112 — acyrta, France, Italie - : . . + + . +. . » 144 — Adamiis LHalie. "ee ten OT ee 5 112 —— æchmopsis, France, Croatie. . . . . . . . . 112 — ADO IEAlLE Se RME TS ANSE ete 127 — antorida, France. 4.40 re tt 0 112 — Apollonica, Anatolie . . . . . . . . . . . . 111 — Aristidis, Valachie, Croatie, . . . . . . . . 113 — Arnouldi, Italie, France, Suisse . . . . . . 127 —- ATtUrR LÉaltes Sn EN ne LP 03 127 — Arvernicd, France... ONE Ati — Beccariana, Italie. 7. 202 SMS 137€ 127 — Blancis Savoie: 0-00 eme 1:10 CU — BOL SUISSE MR PENSE : alt — Browni, Angleterre. "7. MMM. 112 — Brusinæ, Grodtie Mine RS ISRER els 27 113 — CAE AR IT PE MEN NEMERS PERS à AN — carisiana, France. "-MORCNEMePPRIEr eue |; 192 — Carotte IAE ee ENT ARMEt An QUE SCAN — Castroi, Portugal 2. OMR NS UE — castropsis, France... . . . . . . . . RE — Charpyi, France.. . . . . . . . . + + . . . 111 — Clessini, Mecklembourg, Suisse. . . . . . . . 112 _— codiella, France. .7.:: ©0000) SENTE 112 — CoNODA ON Re LISTEN es CREER ENT EL MAS — Condatina, Françer, 1.1 1-00. One 111 — Coutagner, MA STRESS 112 — Crimeana, Russie. . . « . . . . : He ss A2 — 196 — Anodonta cyrtoptychia, Allemagne, France. . . Dantessantyi, France. Delpretei, Italie. Pate Desori, Suisse. . Doëi, France. . Doriana, Italie. ectina, Turquie. elachista, France. ellipsopsis, Suisse, Frénte. embia, Algérie. . episema, France . eporediana, Italie. . ervica, France, eucypha, Allemagne, France. eumorphia, Slavonie.. eunotaia, France, Suisse, . exocha, France. . Fagoti, France. Gallandi, Turquie. . Gallica, France. . DASETO A; MU, Ash it pete tee, Georgei, dd. . .. Gestroi, Italie... Sue glyca, TARDE 20. 1 Guéretini MN in helvetica, Suisse... Humberti, id. illota, France. . illuviosa, Suisse, Eice. ilyseca, Vol. ; Isseli, Italie. . Jourdheuili, France. . Journéi, id. Krapinensis, Croatie. . Kusteri, Wurtemberg. . lacuum, Suisse. . Letourneuxi, Algérie... Livronica, France... . Locardi, id, . Loppionica, Italie. . — 197 — Anodonta Loroisi, France., lutetiana, id, Mabillei, id. ‘ mahometana, De Maritzana, id. Humélies. Martorelli, Espagne. . melinia, Espagne. , . meretrix, ftalie.. Monterosati, id. Nansoutyana, France. numidica, Algérie.. . nycterina, France. Ogerieni, id. pœdica, id. pammegala, id. Pfeifferi, Allemagne. Penchinati, France, Picardi, France. . Pilariana, Croatie, . Potiezi, France. psammita, Suisse. . , . Racketti, Angleterre, Han Raimondoi, Italie. . Ramburi, France. . resima, Valachie. Ressmanni, Carynthie. . Rhodani, France. Rumanica, Valachie. . ruvida, Suisse. : Saint-Simoniana, Din scaphidella, Croatie. sedentaria, France, Danomart sequanica, France.. . . serbica, Serbie, Croatie, Sc Allemagne 25: Spengleri, Allemagne, Dance: Spiridionis, Croatie. stétania, Krance Mer Lt Sturmi, Bavière, France, Danemark... subarealis, France, . Pages, 442 112 112 112 113 112 62 113 113 141 94 112 112 112 111 113 112 113 112 112 84 112 123 113 113 112 111 112 112 111 113 119 122 1412 113 113 113 11% 112 L12 — 198 — Pages Anodonta ‘taurica; -Anatohes Me Eu TM ER 111 — Tohéevnaica, Russie ere: RL PAEAOL eT 112 — Tblessæz GTR ME Us LE RIRE SX 111 — Tricassind, Erancente PR RME et 113 —— Tritonum, Ie Mec a à Gites 112 — Vescoiana, Mésopotamie + . . . . . . . . . 49 — Westerlundi, France, Suède . . . . . . a LC Antilope Faidherbi, Mamm, foss, quat. Algérie , . . . . 17 — Rouvieri id. “sens s 047 Arion anthracius, Frances . . « + «rc D vus cts. (02 — Dupuyanus, A PRET St Éd à 0 87 — Mabillianus, D NT Se de MÉCSva rs à D ODS Arnouldia gallica, id. à Rats data . SRI Azeca-Emiliana, Sicile 2. 0. RTS | 50 — incerta id Det le 80 8 AIR ANS 50 — psathyrolena, Algérie. 50 Baea Giraudi, Afrigéquat. 5.22 6m 0 138 Balia Deshayesiana, France, Italie. . . , . . . . . . . 50 — Fischeriana, France, Piémont . . . . . .. » - 50 = Juciusa, Angleterre M ee. à 50 — pyrenaica, France . : : . . . : . . : + « . + 50 — Rayana, M TS es N'atsetr se, 50 Belgrandia archæa, foss. quat. France . . . . . . . . . 28 — Dehayesiana, (0 PER EE 28 — Desnoyersi, id. SÉÉNUE TES 28 —DNINESNIIANS, mL 7 7. ne sue NIRS — Edwardsiana, ID RME NES ee 2 8 — Joinvillensis, 1e, | STE 1/20 — Lartetiana, AAA TER en 28 Blancia Maceana, foss. cénoman, France. . . . . . . 32 Bloyetia Leroyi, Afriq, équat.. . . . . . . . . . . . . 153 Bourguignatia Bridouxi, Tanganika (Afrique équat.) . . 164 _ Jouberti, Ads P Are SEEN re 164 Brazzæa Anceyi, 10,0 00 "ALARME Le 00100 — Bridouxi, TUSNQe TE EEmI TEE 14 — Charbonnieri, A ON ED 0 ARR UE 71 — Coulboisi, id. RL UV 71 — elongata, id. ù ACX NOT ler Ch d — eximia, id. hs NE ORNE 71 Brazzæa Jouberti, Tanganika — Lavigeriana, id. — Moineti, id. — Newcombiana, id. — Randabeli, id. — ventrosa, id. Bridouxia costata, id, — Giraudi, id. _- Reymondi, id. — Villeserriana, id. Brondelia Drouetiana, Algérie . . — gibbosa, id. TT Bulimus Abbadianus, Abyssinie . . . . — Achillei, id. — æthiopicus, id. — Berthieri, Tunisie. . . . . — 199 — Bertrandi, Comalis Ve he Bæœoticus, Grèce. Bridouxi, Afrique Ces. Brondelianus, Algérie . Bruguierianus, Arabie . . . . bulgaricus, Bulgarie. . Cadmeanus, Grèce. . . . callomphalus, Algérie . . . . Calverti, Rhodes. . Cameroni, Afriq. équat. . chareius, Algérie . Chefneuxi, Choa (Afriq.). . . Chotauxi ! id. Courtieri, Syrie . Cruzyi, Russie. Delagenieri, Comalis Mit ) Delesserti, Syra (Archipel) dispistus, Syrie . . Ducoureti, Arabie . arente 1. Nouveau nom pour remplacer celui de Soleilleti (p. 140), formant double emploi; nom donné à tort à un Bulimus du Choa (non Bul. Soleilleti, Espèce différente du Sahara, publiée en 1876 ). Bulimus — 200 — Duveyrierianus, Comalis (Afriq.) . episomus, Syrie. de euphraticus, Mésopotamie. . euryomphalus, Algérie. exacostoma, Syrie exochus, id. Fourousi, id. Galinierianus, Abyssinie , Georgi, Comalis (Afriq.) . Giraudi, Afriq. équat . Hedjazicus, Arabie . Heliconus, Grèce . Herbini, Abyssinie. . Humberti, Russie . Igi, Choa (Afriq.) . Kursiensis, Arabie. Lamprostatus, Syrie . Lejeanianus, Abyssinie, lenomphalus, Russie. leptolenus, id. Letourneuxi, Algérie. . Levaillantianus, Bosphore . Lhotellerii, Algérie . tte Lourdeli, Afrique équat , . macroconus, Abyssinie. “haute macropleurus, Comalis (Afriq.). . . . Mabharasicus, Arabie. Marebiensis, id. . Maunoirianus, Comalis (Afrique.). . . . . micraulaxus, Arabie , numidicus, Algérie . Pauli, Comalis (Afriq.). petrophius, Russie . . phorcus, (1 PRE SR AE ENT prochilus, Arabie . psarolenus, France . pseudoepisomus, Syrie. punicus, Tunisie. LA: Raffrayi, Abyssinie. . . . . . Rayanus, foss. quat. France. . Pages. 119 — 201 — Pages Bulimus Raymondi, Bosphore . 4% — Raynevalianus, id. 44 — Reboudi, Algérie. 67 — rembus, Russie . se DuETAURS DRM 67 — Revoili, Gomalis (Afriq)2:" 0000 119 — Reymondi, Afriqg. équat. . 137 — Sabæanus, Arabie. 67 _ Sauleyi, Syrie. 74 — Simonis, Abyssinie . 124 — Solleilleti, Sahara. . : nn C7 — Spekei, Afriq. équat . . . . 103 — spirectinus, Syrie . . . . . PCT 66 —- subcarneolus, Bosphore . 67 — subdetritus, Turquie. 2.0 RE : 43 — subeminulus, Abyssinie . . . . . . 124 — + Tamisierianus, TONER SRE LE 124 — tetragonostoma, Bulgarie . . . . . 67 — thaumastus, "Syrie. Rire 66 — Thecdosianus, Russies : 10010 0e 200 07 — therinus; Syrie. : L» 0m 66 — Tiani, Comalis (Afriq.) . . . 119 Burtoa Bridouxiana, Afriq. équat. . 156 — Lavigeriana, id. 156 — Pethericki, id, 156 — sebasmia, RQ EN ATE APTE 156 Burtonia Bridouxi, Tanganika (Afriq. équat.), . . . . 71 — contorta, id. OM 71 — elongata, id. 71 — Grandidieriana, id. 71 — Jouberti, id. A — Lavigeriana, id. 71 — Livingstoniana, id, 128 — magnifica, id. + — Moineti, id. 71 — subtriangularis, id. 74 — tanganikana, id. 128 Burtopsis Jouberti, Afriq. équat. 156 Bythinella limnopsis, Tunisie. 146 — MAURITANICA, - 24, ie Lula PAS En 146 — microcochlia, td. 146 — 202 — Pages Bythinella punica, TUNISIE. A US CRE RER 146 Bythinia 4ploa, SIbÉTES SR CRE EME NQUE 54 ==archæs, MOSS. quat. (France. in rc 000 =2NNCOda, tale. ce HAN. sat eEO0 — desertorums AlSérIBsR UE I, MS EG — Farezi, foss. plioc. Dalmatié, 2.2.0 32, 33 —, NGaillafdohl, Syrie su Pin NT AT Es NES = L'Hapenmullent, Tunisien" 2/0 ER. 06 — … Havwadieriana, Syrie . 1. le PR EN S 2o00S HONT — hebraica, es ah doi nl AE EE |: — : Jobæ,; foss. mioc. Algérie. «12. 0. 26 — Jeptostoma, foss. plioc. Dalmatie. . . .. … 33 = N'iEetourneuxt, Algérie. che » . à "050 — “longiscata, (Syrie nt te 2 00 . .… + 45 — ‘'Manchourica, Manthourie, 04 — + Moquiniana, Syrie. Je. ee MN 45 — multisulcata, Tanganika (ati os 2 . 163 — numidica, Algérie, . . .. : : HS Ur 0 — PeTIOLA(A, QU | à +00 eue Pi se site à 56 == puit, FUIISIG S Eee 2 8 à cote ee 146 0 PUIONIANE, STE. SRE ee ue 45 — pycnocheilia, Algérie. . . . . . . - Riel > 4006 — pycnolena, RE 2 56 rapid; MIDÉTIE 4 ee ee ee 07. 54 — M SAUICYI DONTIO. sl Ne PU: 77 — Tripaloi, foss. plioc. Dalmatie . . . . . . . + 419 — NET TEAUXIANA, PEBYDIE.. . M... 46 Bythiospeum africanum, Algérie . . . . . . . . . . . 117 — Letourneuxi, Carniole . 1.4.0, s + AT Cæcilianella aciculoides, Italie. . . . . . . . . , . . . 49 — aglena, France: 10 14m pe RS — anglica, Angleterre..." 7.7 sd CAS — énhalia, France: 07 NES 02 — Grateloupi, foss. plioc. France... 5... : + 48 — Letourneuxi, Algérie," : SMS 12 93 — Lriesvillei vErances#, mener, Pare 48 _ Mauriana, ti ste on re dr 8000 — Mérimeana, #44: enr sat NT ner QUES, 96 — nanodea, Algérie en MINES. 48 — 203 — Cæcilianella nyctelia, Madère, . . . . . . . . . . . . 48 — raphidia, Algérie. , . . . 48 — Soleilleti, Choa (Afriq.). . . 140 — subsaxana 1Grecet V2: Cas) AIO 48 — SyrIaca, SYTI6:. re 0e RIRE Eee 48 — tumuloram:eGrèce,n.mhn tn 20 48 Caillaudia angulata, Abyssinie. . . 125 — Letourneuxi, id. AE NPD NE 2 125 Calvertia, Brusiniana, foss. plioc. Dalmatie. . . . . . . 34 — Klecakiana, id. 34 — Letourneuxi, id. SERGE Ve 34 Cambieria Jouberti, Tanganika (Afr. équat.). . . . . . 163 Cameronia admirabilis, id. De 71 — Anceyi, CE hat AM Fr ee 139 —— Bridouxi, C0 SN EE TT gl — Charbonieri. 118 Vues STE = complanata. id. T1 -- Coulboïisi, 0 SO A TA 71 - Dromauxi, RAM Re SET 52 71 _ gigantea, (1 SIT PTE CURE 71 — Giraudi, US M APR ont 139 — Guillemeti, id. 71 — Josseti, id. : 71 — Jouberti, EN De ITR 71 — Landeaui, WT, VS Rs 5 4 — Lavigeriana. OT NT RE 71 — Locardiana, Un tal CURE 71 — Mabilliana, id Men nt ee 71 —- Marioniana, id. 139 — Moineti, id. 71 — obtusa, SAN LT Tee 71 _ paradoxa, OR RC 21 — pulchella, USSR at MOTS LU 71 — Randabeli, 10 SN MIT CE 71 — Revoiliana, (1 NN FETE LUN 71 — Vynckei, RL I TR RENE 71 Canis ferus, Mamm. foss. quat. France. . . . . . . . 16 Carychium coloratum, foss. mioc, France. . . . . , . 36 — Deshayesianum, foss. quat. Angleterre. . . . 51 — episomum, foss. quat. Wurtemberg. . . . . 49 — 204 — Carychium eumicrum, foss. quat. Allemagne. — euphæum, Amériq. sept. . — existelium, -- Larteti, foss. mioc. France. _ melanostoma, Algérie. . OP UETE — Milne-Edwardsi, foss. mioc. France. . — nanodeum, foss. quat. Allemagne. — Nouleti, foss. mioc. France: ANR #5 — d'Orbignyanum, foss. quat. Angleterre. — Rayanum, France. . . — striolatum, France. . . Chambardia Letourneuxi, Égypte . . — Locardiana, — Pharaonum, id. id. id. — rhynchoidea, id. D STeoS ete Choanomphalus amauronius, Sibérie. . . — aorus, Chondrus acheïlus, Syrie . — adrus, — anisodus, —- Bargesi, — chrestus, — compsus, — erithus, — Gauthieri, id. id. id. id. id. ; — innesianus, Égypte... id. — JOnICRQUS, SNTIPs. eue, 4 + 52 — Letourneuxi, Égypte. . — Lhotellerii, id. — mauritanicus, Algérie. — mesus, Syrie.. . : — Olympicus, Anatolie, . — oresigenus, Syrie.. , . — prionotus, Anatolie.. -— prostoma, Syrie, . — Prusaensis, Anatolie, . — psammæcius, Syrie.. . . — sphæroideus;-Syrier; 6 0 Sans — subtricuspis, Égypte. . Clausilia alasthena, France. . Pages. 49 49 49 36 67 36 49 .. 49 o1 45 49 161 161 161 161 HE) 54 70 70 70 70 70 70 70 70 69 70 69 69 69 70 70 70 70 70 70 70 70 70 99 — 205 — Clausilia Albersi, Syrie, . . . . Eh. 1.0.0 74 Arcxensis, France. = uen ne 99 armoricana, td. RE PO Ve Na arrosta, id. AT a atrosuturalis, id. TN nt) Aubiniana, id. SAME RENE RE M TTC Bargest, Sy Re S AR te ar M Er Le Ue 6% belonidæa, "France, .) - 1.0. 99 Bertronica, id. RE EU Bizarellina, foss. quat. He PT A LT) Bonueti, Tunisie. RMS | MEN 145 Buxorum. 0 Frances "Cle 2 99 Capellarum, id. PP ES EL carthusiana, id. Re tee RE 7 Companyoi, : 4 ... - . ..- . . + . - 99 Cossonielunisies + 48e Cote) Cho 0e 145 Courquiniana, Espagne.. . . . «+ . . + + « : 67 cylindrelliformis, Syrie. . . . + . . + + + + 43 Davidiana, AC ARS SENS SRPIPGE Delesserti, RL PT (PE Curl digonostoma, France. . . . + . . . - . +. 99 dilophia, F1 PR OP CRT MT EP D druiditica, 1 RU Dupuyana, CT RE M Te RL.) Dutaillyana, Syrie... . . . . + . . + + + . . 6% earina, Érancer eee ME. 06,299 emeria, id. Ne Ro RTS RL enhalia, id. RE ER RP eo e ennychia, id. MORALE ee A8 0 eumicra, id. PR M Re L Euzierriana, France. . 1-0 1-7 96 Fagotiana, id. a NT RO Farinesiana, td. EN RO cr Fuxumica, id. te Gadueliana, foss. ne France. LS 101e 2e LOU Gallandi, Rhodes. . + + . +: . .. - + +: 67 gallica, Erances. 0.09 CN EN 99 Gaudryi, Syiie. Ce re e SAUE Genezarethana. M0. 412 ONE CN 50 gibhosa, Frances s EE Gta: 2000 — 206 — Pages Clausilia "girathroa, France, CORNE ARR 99 _ Giraudr, Afriq'équas Sr OERNSTE, 137 — helvetica Suisse; 4%. 2 mes AUS Sn RS — Herculæa, France." 4% 40e NISSAN US — Hiérosolymitana, Syrie. 402: sn SPL OS —- Hispanicaÿ Espagne SA 4:22 MT EeNENne 67 — Joinvillensis, foss. quat. France. . . . . . . . 28 —+ _ judaica, Syrie, - + 54 = 4 Me UE ous 64 — léld France. + 4 6 eee Mb seau em700 — Letourneuxi, Algérie. . . . . . ls 2 5 098 — Bemanieon: Pormeal.. <> Je LIGUE, 67 — Maceana, Frances 01%, PA SV "006 _ mammillata, id. D M EP re 99 — Marioniana, D RES Rs: Le09 — Matronica, (1 os ET Re LE 99 — micratracta, id. DUT UNTRE 99 — microlena, id. Para ER se 100 — micropleuros, id. nes Ste Male: 99 — Milne-Edwardsi, id. de se = CM — Moitessieri, id. De AU Sir A 99 — Mongermonti, id. ANNEES IS 98 — Nansoutyana, id. De ou ere MON — Nantuacina, id. Mn ati ee DOS — onixiomicra, France . . . . . tre ee OU — Penchinati, Espagne, France. . . . . . . 67, 99 — pérexilis France 0 Ce LORS 99 — Pernni, AIÏBérIE "5. 40 ou RU ce 61 — DPRPMICIACA CISYIIE ER Fe 0 ne + ut. à 6% _ DAUOPA, UMISIE S + 0 26 00m 147 — plagia, France Le SR ent RAR 99 — placiostomea; #14, ue tu eee, 99 — pleurasthena, at 2.5 2eme +. 50000 — Prophetardm. SyTies «22 à AMP re De 6% — panica Tunisie s + +: 2% it oURe +. 1596 -- HRaymondis "Syrie. ste 1 10e PS ENS M0 — Sabaudina, Franees Mr tee ne 99 — Saint-Simonis, 1e eee (8 aa de — SANCIdS DYMO AR il ee 64 —— Sancti=Honorals Eranbe tee 0 99 — SAUICYL SYIIS. » 25e NON LS, Le re 11 — 207 — Pages. Clausilia sequanica, France . . 99 — Silanica, DFE TEE 99 — Velaviana, AS TES) CS MERE 99 — Veranyi, (1 DEEE RTE RENTE CT RS 99 — viriata, CAES ER CARRE RE 99 — | ylora, DU ME RARE ES ‘28 99 — Zaghouanica, Tunisie. . . . . . . 145 Cleodora Maresi, foss. plioc. Algérie. . . . . . 27 Cleopatra Camieroni, Afriqg. équat. . . . . . . . .. 104 — Guillemeti, id. ER LT 139 — Jouberti, Tanganika. . . ÿ 163 — Kynganica ;"AfriqrÉquats SPRL. ne 104 == Laurent "Eovpier 294 OIL, Le 104 — Letourneuxi, Afrigq. équat . . . . . 104 — Lhoteleni Egypte. UNE se 104 — mareotica, QUE. ER RER NUS TE 104 —— Pauli, CHOSE Late De RS PR en Perte A 140 — pércarmala \2dà 4%. .1 44,04. 140 — Raymond, Egypte ile me 104 — Sulellet honor. AMEN, io CR ie 140 Cœælestele africana, Afriq. (Côtes abyssin.). . . 105 — ægyptiaca, Egypte, . . . ….… . . 105 —- arabicd Arabie. Ne 0e Pet LAURENT Ga 105 — Castroiana, Espagne. . 105 —— IS A CAO (ee SL 105 — hispanica ESDagner ee eee li he 105 — lævigata, tds hi UMR EE. 105 — Letourneuriana,-1'ide 0m S NN RS Late 105 — raphidia (US I RMS RIRE SL 105 —— Servaini, HÉMIPEURE EU 105 — tumidula, (0 CARRE ES EEE 105 Colletopterum eximium, Serbie (Danube). . . . 111 — Letourneuxi, id. 111 — præclarum, id. 111 — Tanousi, id. D TRUE 111 Colpanostoma Peroyl, AfFIqAéqual. Ph 0e CU 153 Coodea Ponsombyi, Tanganika. . . . . . . .. 165 Corbicula ægyptiaca, Egypte, Afriq. équat. . . 160 — astartinella, Nyassa (Afriq.). . . . 152 caluipygar CROSS SE SR — 208 — Pages. Corbicula Degousei, Egypte, Afriqg. équat . . . . . . 160 —— Giraudi, Nyassa, Afrique 2m 102 000102 — Gravieriana Cho ee CR UN O0 — Nyassana, Nyassa (Afrig) 2 + 2.620,80? — Soleilleti, Choa. . . . Me out AA D _ subtruncatula, Afriq. cet TE RD — tanganikana, Tanganika . . . . . . . . . . 139 Creseis Dussertiana, foss. plioc. Algérie. . . . . . . . 27 — Letourneuxi, id. Re ete Dal Cuon Edwardsianus, Mamm. foss. cuele Évance ren 19 —- europæus, id. ss, 12, 19 Gyelostoma Cambieri,. Afrigréquats. 6 4. 1. 158 — Campanum, foss. mioc. France . . , . . 36 — Leroyr, AT EqUuat 2 00160 — Lutetianum, foss. quat. France. . . . . . 28 — subelegans, id. Ha ES Cyrena Sauleyi Syrie, 4... cut + 0 00 NS Daudebardia atlantica, Algérie . . . . . , . . . . . . 65 — Gallardoti Syrie L'on el. 4e 49 — Leétourneuxi, Algérie... 5 2 ru 00 — nubigena, id. TR Dressensia Belgrandi, France . . . . . . . . . . . . 122 Edentulina Grandidieriana, Afriq. équat . . . . . . . 158 Edgaria littoralis, Tanganika . . . . . . . . . . . . 164 — Monceti id. NS re ot ee LOU Emmericia acutimargo, Daliatie. us ee > le LU? —— Adamii, En OUle AT Nb Re oies © 2 US —— albocincta, Dalmalié, 220 044010 22109 — Almissana, Albanie, Dalmatie . . . . . . . 109 — Anstidis MDAlnaties. sr es: ee, 100) — Blanciana. id. M né tiei so Ce ee IUT — Brumatiaua, Frioul, Dalmatie. . . . . . . 109 — Brusinæ, Dalmatie. Mn. 100 — bulimiformis, id. RE nr ne ll) _ callostoma, Frioul, Dalmatie . . . . . . . 109 — catoraynenuss Damnation" 2.ne 20... 0). 210) — cinérea, Frioul, Dalmatie. 5-4, 2 5.409 — communis, id. ohne CU) — 209 — Pages. Emmericia Cornaliæs EPrioul:," 1497411010 an 109 — crassd, Erioul Dalmalle #1 0e 109 — dalmatina, Dalmatie, Albanie, 100 — Dorrana mm ETioutes. "etcERA e 109 — elongata, Dalmatie. 109 — enhalia, Frioul, Dalmatie. 109 — éxinnaefÉTIOUL EN 4 0 CS NU/E 109 — Fagotiana, Dalmatie . 109 _ fragilis, id. Pts a TE 109 — ininquinata, id. RÉ TOT 4 RE int 109 — Issehana "Eroulr4 20"... 109 — Klecaki, Dalmatie, Frioul. 109 — Kusteri, id. 109 — labrosa, id. ne 109 — lacunosa,-! Dalmatie.. & «100350 109 — Letourneuxi, id. pts cet é RAION — Mabiliana, TO UE Se ol y EN 291 0e 109 _ meralostoma, id CEA) Lee 109 _ minima, Te I TE 109 — microcheila, Frioul, Dalmatie. 109 — microstoma, Erioul et. 0e 109 — Monfalconensis, Dalmatie, Frioul. 109 _ montenegrina, Monténégro . . 109 — Monterosati, Frioul seu) 1e rsitehe 109 — Narentana, Dalmatie, RE 109 — obesa, Dalmatie . . . . . . RTE 109 _ obscura, Frioul, Dalmatie. . ': + . . . . . 109 -- ovoidæa, Dalmatie , . 109 _ Pauloviciana, td. 109 — perforata, id. ne 109 — Piniana, Albanie, Mon are) DIRAIT : 109 —- ponderosa, Dalmatie . . 109 — præclara, Frioul . 109 — produeta, Dalmatie. one 109 — pseudenhalia, Frioul, Dalmatie, a 109 — pulchella, id. 109 resularis Dalmaties" 61%" has CN 109 — See id. : 109 — de A Enonl ; 109 = Servainiana, Dalmatie . 109 14 — 210 — Pages. Emmericia soluta, Frioul. .. 20100." 109 - sphæroïidæa, Dalmatie . . 109 — stagnalis 14 SALE SCAN EE TT OCR OSE 109 — Stefaniana, id. 109 — Stossichiana, CHAUDE SR GENRE 109 — Taciti, au MMA 7 OM NU SAT 109 — Tanousi, C1 ARRET ERREURS 109 — Tiberiana, Cu RECETTE SUR 109 — trochilus, id. M RE TS 109 -- violacea, Frioul, Dalmatie . 109 — viridis, AMIENS ARE UE ARE 109 Ennea Raffrayi, Abyssinie . . . . . . . . 125 Eupera Jickelii, Egypte, Abyssinie . 125 — Letourneuxi, id . 125 Fagotia acroxia, Croatie. . … . & ... : , 134 —"-anatolica Anatole. 4.82: 041. 134 — , Anceéyana, Croatie, Anätolie /.",:-, 41. 0 … . 134 = MASCHICA, L'ATALONE, 2 000 MN ie 134 — )Berlanr, Valachie; {Croatie + 1:10 100: 134 — Danubialis, € ARLON PRET ER RER T R 134 — Gallandi, Anatole; AM... 00 à 134 — gravida, id, CR RE 134 — MnDetourneuxi, Croatie. DE CUS 134 — Locardiana,‘Anatolies 50.0 Un 0 134 — nocturna,- Croatie + Valachie 01.74 nn 134 —— Piéitier, Carniole, Croate. #1. ne 0... 13% — Pilariana, Croatie, Slavonie. : 1: - .: + ..« 134 —- pusilla, Slavonie . . .…. . ... : 13% — Rossmæssleriana, Croatie, . . . . 134 — Saint-Simoniana, Croatie. . 134 — Servainiana (1: PRET ARCORRE ARRTCT ECES 134 —, . 415 = OtSsele Tale té MAS MN NES CE 115 =: N'Houberti, Tang Ee -NA see Le . 162 — , Kynganika, Afriqueséquat, "40,000 M0 OMS —… Langsdorfi, France, 2% 0 LE RSR. 410 = + ILavédamens. ue SEE MS En 4116 =" Laurent, Tansanika A4 M ELON EI 62, 165 — Lavigeriana, id. FU, Sade I ieNEr.. 168 = dLigerica. Frances". 21000800 es CAN. 119 —Pimanmilatas ARR CN PR FIN D. Ads ==", Mandraliscæ, FSICUe 0 CPR ARNO AS = eMaresi,doss. quat-LAlSÉTIeS, 2 0er USE. 026 — YMartorellis Espagne: ss 6 HS er 66 M1 = C'Maurelana, France. a ON PTT CR le — Moitessieri, France . . . . . SIN PR OUEN TEE Lt = Montana; Frances Lune Ein EVER AID 1 multizonata, France Pac GUERRE es — “ Moscoyita, 1RUSS16,..2 Mer MU NES) LSS CAE Limnæa — 233 — Muriatica, France . Nabresina, Frioul , nivalis, France. . nubigena, td. oarium, Italie. . ænostoma, Corfou . opisthostoma, France . , , . Peraudieriana, foss, quat. FE ; Perrieri, Gomalis (Afrique). Pheacina, Corfou..." TE Pilariana, Croatie, Italie . plagiostoma, France, . Planinæ, Carniole , . Plaskiensis, Croatie Poirieri, Çomalis . . Pornæ, lialie. 5207. præclara, Serbie psilia, France, Italie, Putoni Frances. Dem ; Raffrayi, Abyssinie. . . . ,. : raphidia, Dalmatie, Slavonie . Revoili, Comalis, Roujoui, foss. quat. Foto, sandriformis, France. slavonica, Slavonie, Bavière. Soleillett,-CHoa eu. 7e) sphærogyra, foss. mioc. France. . . .. stenostoma, France. . terpna, foss. mioe. France . thaumasta, Valachie . Thorshavnensis, iles Feroë . . Vagoritana, France . . Varnensis, Bulgarie . . Vatonni, Sahara. virescens, Andorre. . . . . . . . zanzibarica, Afrique équat. . . . . . . . Limnotrochus cyclostoma, Tanganika , Girvaudi id. Lithoglyphus Penchinati, Valachie. subanpullacea, Angleterre, France. . — 234 — Lithoglyphus Servainianus, Croatie. , . . . , . . . . 97 Lycorus Nemesianus, Mamm. foss. quat. France. : , 12, 19 Maïzania olivacea, Afrique équat. , . . . . Mo ie ES Marconia gibbosa, id. RS NE PS bent. OR? — recta, id. eee Mn 1.0 11e Margaritana pyrenaica, France, . . . . . . , av 402 Meladomus Alexandri, Afrique équat, . , , , . : , . . 159 _ Bloyeti, id. CCC 159 _- Deguerryanus, td. se LORD ee 159 — Jouberti, id. ' 159, 163 = Letourneuxi, Éevpte CR ele 104 — nitidissimus, Afrique équat, : . . . 4 . .. 159 — Pfeifferi, Haute-Guinée:.14 17:74 « .. 104 — pyramidalis, Afrique équat, . . . , . . . . 104 Melanella agnatella, Bosnie. . . . . , à 4 « « « . 134 — amblya, Slavonie 4/2 0 Manuwaien 134 — Berlani, Valachie 6e RE nt ete 134 — crassilabris, Croatie. . . . s14 « + 6 à se ASE — Castanea, Croatie. 2 heu. til 1-50 FA9E — codiella, Frioul. &. 40402 4006047 00 HV es CASE _ coronata, Croatie, Dalmatie . : , . . . . VASE — divina, Dalmatieus a à à ils mat cle 7e, 134 — eximia, Croatie, Slavonie . . . . « 4 « .« . . 134 — Fagotiana, Croatie . « « : 4 « « « à del tie GLOE — gigantea, Carniole, Croatie ; . . , : + . . . 134 — Krapinensis, Croatie « : . . . : CT TR RE — Letourneuxi, Croatie, Bosnie. . : 4 : + « . . 134 ovoidea, Bulgarie: tai tt ina 19% — Pilariana, Croatie, Bosnie , 4 , 4 4 « » s « 134 — speciosa, Croatie.. . . « + : : . CT EE 134 Melania Seguri, Serbie (Danube) , , . . .: . . . . . . 39 Melanopsis acutespira, Espagne. . , . : . . 435, 441 — Alepi, Syrie Al ent: de este 135 - Ascania, 1e PP TON LE TO EE C0 — aterrima , A, ES El eh TN HD — belonidæa, Algérie, Tunisie, . ; , : « « . . 135 — Belusi, Syrie. NUM OT aa er 1» 136 — Bofilliana , Espagne . . . . « « « . . . 135, 141 — callichroa, Syrie , He CRETE LA RTC 135 Pages. Melanopsis callista; "Syrie. © 04/2009 37000 135 COIOMIOPSIS IQ na en et 6 Re “10435 Cossoni, Espagne , 4 4 à tn 4 à à 6 à 135, 441 coupha, Tunisie . . 4 4 . : v l 135 desertorum, Anatolie, Syrie, ,; , . 136 Doumeti; Tunisie: {sa ete 100 QU 147 Duveyrieri, id. ' 147 egregid, SYELOS Ferre et M Il DE VE 136 episema, Algérie, Maroc . OR AE UE 135 eumorphia, Sy, - . 0 et, 00 UE 136 Feliciani, id. ON Er PI PTIRE: . + 136 Guiraoi,, Espagne CS MN PR N 135, 141 H6braiCA M SNTION EE NE io ee 136 Heliophila, Sahara; Maroc, . Los #40 |” 136 hiéras Syrie RER LT MON ler 135 Isseli, Italie, Syrie, Algérie. ' 135 jebusitica, Syrie. 0.070 : 135 Klecakiana, foss. plioc. Danillis TUE 1 99 Jampra, Syrie: 0. beats 0 SN ET RARE 136 Éatasteis Tunisie. 624120 nt ee TN 147 Letourneuxi, Algérie, Maroë , , , . . . . 10 macrostoma, Espagne. « à; 4 4 « , : 136, 141 magnifica, Maroc. . . : ’ 136 Maresi, foss. quat. Algérie 6 , 136 mauriiamied, MArGC:e EE tn 2 RE 135 microcolpia, Syrie 05 4 60000 s:: 10 ASS microstoma, Algérie 0 RME S. . 136 minutula, Syrie, Algérie. . 135 Mohammedi, Maroc u,} 2,0," ST RU Ion myosotidæa , Espagne, . . . « , . je 35 14 Mzabica, Sahdrd, 479400 num 135 obesa, Espagne, Algérie , , , , , , . . .. 135 obliqua, Syrie MM mn ere 136 Olivieri, Syrie, Bosphore : , . , , . 135 olivula, Tunisie, \4 04 5 4 5 4 « s 0 147 ovula, Espagne . . . , . COCTAE DR RE A 136, 141 OV), SYMPA T CE 136 Paulovici, foss. plioc. Dalmatie.. . , . . . . 33 Pechaudi, Algérie, Maroc. . . , , . . . . . 136 Penchinati, Espaghie. . . . . : + .. 64 — 236 — Pages. Melanopsis phæniciaca, Syrie . . . . . . . USE ER M6 — pleuroplagia, Espagne. . . . . . ; 136, 141 =? L' pleurotomoidæa, Talie FERRER 135 — potamactebia, Valachie, Croatie. . . . . . . 97 — Prophetarum ; Syrie USED eu M AD = Rossmassierr, Espagne, 2%: 00e, 36, 141 — saharica MAÏSÉTEN MMS, Le MER ARS 135 _ Salomonis, Syrie... 435 — SANCLA A0 ser le Met RS DE NEMRI ee 135 — SAUT YIS PAU CR Pre RTE: Net Lee Ce il — Seignetti, "Algérie, Maroc. .,.0:m2menE À 135 — Sesteri, Syrie. 135 — sphæroidæa, id. SARaEE M 135 —- stephanota,2 MALUS, ENERN. ENS CM . 135 — subgraellsiana, Espagne. 135, 41 — subscalaris, Maroc. . . 135 — Tanousi Syrie. 0 © 136 _ Tripaloi, foss. plioc. Damas. 033 — vespertina, Espagne, Maroc. 135-141 Melanoptychia acanthinula, foss. plioc., Dalmatie. . , . 35 — Mojsisovicsi, id. 33 — pleuroplagia, id. 33 Microcolpia canaliculata, Valachie. 135 —- Coutagniana, Anatolie. . 135 — Gallandi, id. A dé 189 _ Hagenmulleriana, Hongrie. . 135 — Letourneuxi, Croatie, . 4135 — Mabilliana, Anatolie.. 135 —— pachistoma, Croatie 135 —— peracuta, id. 135 — præclara, Croatie, Soie ee 135 — pyramidalis, Hongrie, Valachie. 135 _ Rochebruniana, Anatolie . . 135 — Servaini, Slavonie, Bosnie. . 135 — Stossichiana, Carniole. 139 — Villeserriana, Anatolie . . . 135 Micronyassia eximia, lac Nyassa (Afrique). 150 _ Giraudi, id. 151 — singularis, id. 151 = Smithi, id. 151 Pages. Milax Dampns Sven er US: 004 count 10:08 — eremiophilus, Algérie. . . 91 — scaptobius, (1 A ER ETE ; 01 Milne-Edwardsia Barreri, foss. mioc. France. . . 35, 100 — Deshayesi, — 35, 100 Moiteissieria Gervaisiana, France . 85 — Massoti, AN RAT COR 85 — Rolandiana, id. 85 -- Simoniana id . ... 85 Moncetia Anceyi, Tanganika. . . 139 — Bridouxi, id. 71 — Jouberti, AP Re 71 — Lavigeriana, id. : 71 — Moineti, AR RSS € 71 — RoOcChebrunmiana, 24/00... ur Met mA Musimon Faidherbi, Mamm. foss. quat., Algérie . . 18 — Lartelianus, id. 18 — Rouvieri, id. 18 Mutela Bridouxi, Tanganika . . . . . . . 71 — Jouberti, id. act: 71 0h Lavigenand,, 44.1: Ven 5. 1Ule lee 71 — Moineti, id. Re ua la 71 — Monceti, id. 71 —— S0l6MIOTMIS, Wu... 71 — Vysseri, id. NOR MCE 71 Neæra Maresi, foss. plioc. Algérie. . . . . . ne 27 Nematurella Aristidis, foss. plioc. Dalmatie. . 33 -- communis, id. 33 _ Klecakiana, id. 33 — lamellata, id. 33 -- Letourneuxi, id. 3 — obesa, id. 33 — Paulovici, id. 33 — producta, id. 33 — pygmæa, id. 33 — Sandriana, id. 33 — Stossichiana, id. 33 — Tripaloi, id. 33 Nenia Mabilli, France . . . . . 98 — 238 — Pages. Neothauma euryomphalus, Tanganika. . . . . . : 163 _ Giraudi, id. attire 138 — Jouberti, id. 5 tr 163 — Pelseneeri, AA CN SAN pale er 163 —— Vysseri, id. . . 163 Neritina Maresi, Algérie. . . . . . . j : St R == RMiChon SYTiB ee 7 el EN me ne 74 —"ISatnlcyi, Grèce, NC NT CIE Mers 2 74 —— Syriaca, SYTIe Le UNS pe dpe it re 74 Nyassella acuminata, lac Nyassa (Afrique). . . . . . . 151 — arenaria, LA j 151 —- episema, AU hS AORESRMRIEENS NX 151 — formosa, id. 151 — _ pulchra, hat Ne due 4151 — Smithi, ANT Motonet 451 — Tayloriana, LENS 1 LÉ SLR 151 Nyassia acutalis, id. 151 — callista, id. ‘ 151 — Edgari, CU PONT E EPA LR 151 — elegans, 0 SAT RE EEE PS 151 — Giraudi, id. ARE RSR 151 — hermosa, 6 RC TRE UE de 151 _ lacunosa, (13 RER STE DORE VENTRE 151 — lacustris, id. 151 — nodulosa, 1 ES PURE à 151 — magnifica, ln AN Ce 151 — paradoxa, de. en EP UE à 151 — rivularis, HN CN RONER E NT 151 — thaumasta, id. 151 Nyassomelania lævigata, 11 PANDA E CRE PETER 151 — leia IE RENRE LRMPR TÈTE 151 — troncatelliformis,. 24.110 RRQ], 020 151 OpeasissehAbyssinie MR Se er CAR CT 125 Orcula desertorum Syrie: 40 LOU . 69 — rhellenien Gr CPR SUN Enr. 69 —< CMabiliand td. Mie: variA Ma 69 =. IPDYTEUIA US YO SN NAS MERE 69 — ropala, id. . PL de rt er 69 =. ,scyphoidéa Anatole" 15, Meter CR. 69 — 239 — Pages Orcula turcica Archipel (Santorin) . ,,,....,,. 69 Otopoma Perrier COmMals 02 Ni AVR Le 114 — Poirieri, RÉ RRS e c t ou nr 114 Pachnodus Leroyi, Afrique équatoriale. . . , . . . . . 154 — Rochebrunianus, Abyssinie. . , , , . . . . 125 — Sesamorum, Afrique équatoriale, , . . . . 154 Paladilhia Gervaisiana, France, . . . , , TEE CE 9% — Masclaryana pd : N° AMENER" 0209 — Moitessieri, TS CPU PORTE ste ac JE — pleurotoma, RE PET ON Er 94 — sequanica, AR NON CERN 106 — Servaini, ESDABNE RP ste ec 106 Paludestrina aciculina, France . , … , , , ,. 20 68 — acutalis, 10 AAA FERRER 68 — ATENAEUM 1 MP A RAM NON 68 —— Gossont Tunisie, VAE UMR LES RARE 146 — elegantissima Algérie. 4040-00 RÉ — éucyphozyra, France Her el 68 — CUrYOMPRAlUS), AR MEN NR eu. 100 — gracillima, AA PONS EU er 68 — leneumicra, COR 2e PET RLI UT CORRE 68 — Mabilli, (1 Co AU CERTES 0 68 — Mec, Or: TUDIME ee UNS TRES: D 72 146 — MOCYO0S SCT en do PRE LE — Milne-Edwardsiana, France. . . . . . . 68 — MOiTeSSIEET A ETANCe 7 O0 0 2 RCE — Narbonensis, AAA PT UN RCE 68 — Oxitata TUNISI0 257 2 LP ES . 146 — paludinelliformis, France. . , . . . .. 3 168 — Saint-Simoniana,, 4. . , ,, , , . |. . 68 — Sanch-Coulbant, de SILUURANr ne 68 — soluta, ON Dre LE NON EME 68 — spiroxia, (LR NN EE LIT 68 — viLPdCeR STUDIES QU En Lier 1 MUMAIEG Paramelania arenarum, Tanganika.r (008 + eu 'A0E — Baizeana, id. SPACE RES ei 0 — bythiniformis, id. Ph SUINAINR ES 164 — callopleuros, KA UN EU: LI EEE 138 — Cameroniana id. ROLE : : . 438 — 240 — Paramelania crassilabris, Tanganika ste #4 138 — Duveyrieriana, id. uk GRIP INE 138 — egregia, id. NE 138 _ elongata, (1; PORN CRIS TRE 164 — formosa, (Ts PTIT RER SEE 164 — Giraudi, id. 138 —- Grandidieriana, AY UNE EEE TS 138 — Hamyana, TR MEME UE 138 — infralirata, id. MR MEET 12 16% —- lacunosa, CUS ANT UE ARNE 164 — Ledoulxiana, id. 138 — Lessepsiana, NT PONS DRE CE 138 _ limnæa, id. 164 — Livingstoniana, id. RS EE CRE 138 — Locardiana, Ce T 138 _ Mabilliana, id. : 164 —- Milne-Edwardstana 24.106 CU En. 138 — nassatella, (16 TONER LEE 16% —— nassatiformis, id. 164 — obtusa, id. OMR TA LONEEE 164 — palustris, (1 DFA ARE ES CET 16% = pulchella, id. ET EEE — Randabeli, Pres D MEN: 164 — Reymondi, id. MR CUT 138 -- singularis, id. sa 164 — Servainiand, OU ÉMPAREEN ETRLLER 0ee ee 138 — Smithi, id. SA UE M: 164 — spinulosa, id. d 138 —- Stanleyana, 1 PORTE 0 138 — timida, id. 164 — venusta, ((e ARE PTE PER à 16% Parmacella Moquini, France: eme ne 51 Paulia Berenguieri, (ARR CERN ET 118 — Locardiana, CU AN ENT PT ET 118 Pechaudia Letourneuxiana, Algérie. . . . . tante 116 Peringis admirabilis, Tunisie © Det Le ADI 146 — cyclolabris, Algérie. . . . 68 —. Ahelvetica (Suisse. Et. rs eee SNA à 68 — -“Letourneuxi France... ue ent 68 —, Mabilli Algérie Lu Crete re ROC 68 — 241 — Pages. Péringia micropleuros, France 1: ., 1, ,0 EME 68 — _ microstoma, (1: PRES SERRE SR EUR o 68 — NaNsoutyanRs 29,140... LUN A 68 — paradoxa, Tunisie . 146 = PELTHENANANETANCE . : à : + AO 68 NN DUMICA THIS 0: + 121,14 tan 146 = pyramidalis, Algérie, : 20 1 PDA 68 — Reboudi, DE as ANRT UP SEMAINES 68 — solitaria, Tunisie : 146 NN LUMIUN AIALIES. 20.07 020 M AR 68 Petrettinia Letourneuxi, foss. plioc. Dalmatie. . +. 34 Physa acutespira, France . . . . . 122 — Brondeli, Algérie. . Die . 46 —- Canariensis, îles Canaries , . . . . . 46 — Coulboisi, Tanganika . . Sr 163 — cyrtonota, Afrique méridionale. . . . .. : 46 — Fischeriana, Abyssinie . 45 — Forskali, id. AU san UT NE 125 — Maresi,.foss..quat. Algérics 2. . 2, 10e à 26 — Randabeli, Tanganika. . 163 — Raymondiana, Algérie. . . 46 — Saulcyi, Égypte. . . . . . 46 — 1 Racitl AFFANCe 0. 0, Nr, OR ei 122 -— Taslei, id. : UE ARE CE (T9 MIRE 80 — truncata, Égypte . . . . . 1 48 AO OS 46 -- Verreauxi, Afriq. mérid.. . 46 Physopsis Bloyeti, Afriq. équat. 158 —" eximia, ADyssinie 2-10 MN 104 — Letourneuxi, Egypte. 104 _— Lhotellerii, OS RER chere ER Ra 10% — Meneliki Cho ©. 7007. Er MAIRES 140 — ovoidea, Afriq. équat. . . . 104 — præclara, CE ER RCE ET ARR ES EE 104 -- Rolle CODE ROME CNE 140 — Stanleyana, Afriq. équat.. . . . . 10% Pisidium; Giraudi, "Tanganikar" 0: Ne 139 — hermosum, Re PPT et SU 165 — Moquinianum, Amériqg. mérid. . 41 — Recluzianum, France . . . . . 75 — sinuatum, CL SN RE ee 74 no Pages. Pisidium Vionianum, foss. quat. France. . . . . . . . 28 Planorbis aclopus, Algérie 00 mie MN CL Pi _ adelosius, Italie, RP NT ER LE ET D) — Adowensis A Dyssinios © ele nt 2: MD -- æthiopicus, OS Te de 125 — apraulus, AISÉTIES ea SORTE EMOS -- anabænus, foss. mioc. France . . . . : 36 -— anthracius, Valachie ein M me 1 — Arcelini, 108s."quat France nn else . 00 — athicus N GTÈCE RM PL AMONT TE — Aucapitainianus, foss. quat. Sahara . . . . . 95 ——- Banaticus Autriche, . coaster Ses rl — Bridouxianus, Tanganika. :: + 15 2H 2 M6ÿ —— callistus, fosse. mioc. France 4 14 40 out 135136 — Campaneus, (ds se: NO rte LATE 6 — Crosséanus, Suisse 5% 41 0 2 PORTO — diapbanellus, AlSérnies us LME crCrR eee 000 = Duveyrieri, foss.'quat., Sahara .. . Hoi 0 0095 — elopliilus;-Transylvamie Æ.1.rs 2 Gi — Emyduum, foss. mioc. France." <4181e . 036 … epagogus, id. PR OU A LE EL — euchelius Algérie. 720. AE PUS M0 — euphæus, td. AC Re — gyreligmus, foss. mioc. France. .:. . .°. : . 36 — hebraious Syrie. QUE L'OMS OPE RSEn De AE — Herbtn, ADyssinie® 40e CE 7 MO AE — Jobte; foss: tnmocAlgérie. A OR. Vase — Laviserianus, Tanganika:, 15" #1 "0M00 — lenapalus, ‘foss: mioc:t France ele." 0000 — leptogyrus, id. HUE he RG —— Mabili: "France..." #4 CANIN eu6s — Maresianus, foss. quat. Sahara. 2400, 2. 95 — megisius, 1 Valachie SUR Te nn ler 06 . microstatus, foss. mioc. France. . . . . O0 — Monceti ans anikane "RO OP CEA ee 160 —— Nordenskioldr® Russie tam et it sen — numidicus, Algérie. 45 ARENA IERRRL ES. 2209 — ornalus, foss:mioc:; l'Erance Me Need. ob — Penchinati, Valachie OP CRE 00 _— DisCinarum; Syrie. ee RNA RETZ HU — Pages. Planorbis Radigueli, foss. quat. France . . . .. 28 — Raymondi, Algérie ... . ' 93 — sphæriolenus, foss. mioc. France. , , . . 36 = stelmachætius, France. . . . . . . . , . . 79 — tanganikanus, Tanganika . . . 163 _— tel&us, 058. \mioc. Arance 2 36 Planorbula ealliodon, ÉRYDP SR EN EE AV 70 -- Chambardiana, id. : : 40 — Cleopatræ, id. ; 70 — diodonta, ME te Er es 70 — Ægyptiaca, MR M he ee 70 — Letourneuxi, id. 70 — microstoma, (1 PAR TT 70 — odontostoma, SN Es 7 — Tanousi, CT PCR 70 Pliodon Diolibanus, Niger. 10% — elongatulus, id. its 104 — ÉELOUPNCUTIANUSE M A en 0 . 104 — pachyodon, | CARTES NP 104 PlotiaBloyeli,-Afriq..équat. ou à: 159 — Leroyi, id ARR Te MAUTUS che . 159 Poeyia gundlachioides, Cuba (Antilles) . 55 Pomatias AradasbiSicile 202.0, 0 0. ‘ 69 — atlanticus, Algérie + . 40: :.. 64 — baliolenus, Sicile . . . AS ete 69 — Belloiri, Tunisie. AR Der ere 146 — CYClOn US ANT moe 00 146 - Doumeti, PO TT 146 — euneus, VE ie) MEN ME SA 146 — eupleurus, Sicle L 2,511... Pa eee à 69 — euristoma, Tunisie . NOTA Un 146 —- Frossardi, foss. quat. France. . . . . . . .. 30 - HenontTUNISIen ES SC nie ati 146 -- Issehanus France... 24, : 96 — Éatasteanus, «Tunisiens 52 8 2 1: 146 — Letourneuxi, Algérie. . . . . HUE 63 — MaceiErancen MES R NN An à 96 = MeRoUus, SIENB:2 4:06 nt ee 4 69 — Monterosati, #4; 5). 2 . lee 2 69 — monticola, Tunisie . Pomatias Pinianus, Sicile. -— primævus, foss. — 244 — quat. France . -- punicus, Tunisie . — Rayanus, France , -- Rogeri, Tunisie, — Sabaudinus, France. . — Simonianus, 4. . — Tunetanus, Tunisie . Pseudanodonta aploa, — Arnouldi, France . . id. — Berlani, Valachie. , -- Cazioti, France . — Danubialis, Valachie . — ellipsiformis, id. — Euthymei, France. — Grateloupiana, td. — imperialis, id. — Isariana, id. _ Klettii, Danemark, He —- lacustris, France, . . — Letourneuxi, Valachie . — Ligerica, France. — mecyna, Valachie . — Mongazonæ, France . — Nantelica, id. — Nordenskioldi, id. — Pacomei, id. — Pancici, Serbie, Volachie. — Pechaudi, France . e præclara, Valachie -- Rayi, France . -— rivalis, — Rossmassleri, Sbie, lache ue id. — scrupœæa, Valachie. — Tanousi -— Trivurtina, Pupa amblya, foss. quat. C1 A EE Hrancer##æn Algérie . — Andorrensis, Andorre (Pyrénées) . , . — Aucapitainiana, Algérie . — Barattei, Tunisie , . — 245 — : Pages. Pupa Blanci,.foss: quais France. 1: 4. 0200 0082 — Bourgetica, France. . . . . . MOI PRE RTE OD + (BONE AIMÉLIER MS à: 200 0er 000 08 —-MDelesseri Ses nn. is Ac 24 OM TE NT — ectina, foss. quat. Me UT LR Re ot 2 D — eudolicha, France . . . . . DE TOMATE RERO) —_ Gaudeyi, CRYPIE A NE nie, LL ERRNeS S AN —" Lallemantiana, Algérie. - .. …… + ... . …. 95 — Letourneuxi, id. RME CouANt Gen OS — Loroisiana, France. . . . EU NS EN OÙ) — Massotiana, An rl NE ler SOS ES 0 = MICHONT SVPIOE Pr es en ue à etrrioteieh ee QiiT — palæa, foss. quat. Pance RL Loir ae) UD — Penchinatiana, Andorre (Py rénées) Her 1e 20 a ÎE Dale VOD —+ POUPUNEEP AISÉTI RE AE ne M5 —— DUNICA T UNION ES MAL NUE tester ne rames «tee 140 — Raymondi, Syrie. . . . . Tes 0) — Sabaudind, FTANCE, VE NRNAUNLE UE. AiT E 1r86 NS AUOT SEC © 40e ere Malte Lacie SL SEM = OuDIevigatd;: France. MMM RE SL + UC UE Pupilla Raffrayi, Abyssinie . . . . . .'. . . ME EU Pvreula pyrendica Pranco PR. het st à 09 Rachis Bloyeti, Alriqueréquatoriale, .".4,:1.%:1 1.154 — elongatulus, id. FR ET RL — Jouberti, id. NN 2 tre oh AE — pachystoma, id. D Ne. t ER IDE Rachisellus Burtoi, id. RE TS Eu — Ledoulxi, id. RE RE PR LL: Raffraya Milne-Edwardsi, Abyssinie . . , . . . . . . . 125 Randabelia catoxia, Tanganitd ei nee ic - CAIUE Reymondia Bridouxiana, Ur dr CE RC IDE —- Giraudi, AN Re SE AT 100 _ Horei, M le AT ad 4936 — Jouberti, RE ST 169 = Monceti, {14 ART TRE RU SEEN TE ER NOR Ki — pyramidalis, RE DE ra LO Revoilia Milne-Edwardsi, ÇGomalis . . . . . . . . . . 114 Rochebrunia Deimaresi, Afrique équatoriale . . . . . . 149 — GHIAMOPAS EEE CES DA re rl es, / LU — 246 — Pages Rochebrunia Letourneuxi, Afrique équatoriale . . . . . 149 _ Revoil; Comalis "OUEN ARE) Rumella callifera, TangantkA NUE Fe . + 164 — Giraudi, id. DORE LE SR ES 138 — Jouberti, IS NO PEN RSR NES 164 — Lavigeriana, id, RAS RUE 16% —.*)Milne-Edwardsiana #44 0 7 COM 138 Saint-Simonia birimata, foss. plioc. Dalmatie. . . . 34 — Letourneuxi, id. DUT NTOE Sansania Larteti, - foss,.mioc. France." 7 JC 0 39 Segmentina Barreri, AT Ie 90 — Larteti, id. NN RU de 36 — microcephala, France , . . . . . . Mens à 110 — Milne-Edwardsi, foss. mioc. France. . . . . 36 — Montgazoniana, France . . . . . . . . . . 116 = Servaini, Hongrie, Croatie. , . . . . . . . 116 SérPÆ GP INMOL Ari ÉQUAL 2. Re ANNEE 156 Sestéria Gallandi, Diarbekir.", 20,0," CR Rite 132 Sitala Raffrayi, Abyssinie, . , . . . . . 124 Soleilletia Abbadiana {Choû.s: 225 Pr LC, 140 — Ha Van US NS A un 2 Se eee 140 Spathella Bloyeti, Afrique équatoriale , . . . . . . . . 160 — Nyassana, lac Nyassa (Afrique). . . . . . . . 152 — spathuliformis, Afrique équatoriale, . . . . . 160 Spekia Cameroni, Tanganika à -.... Las ee 108 — Duveyrieriana, id. PE EN DE nt Ve 0 — Giraudi, 0 OL PET 138 — Grandidieriana, 4 ....... 138 — Hamyana, AO RE ST A e 138 — Reymondi, 1 AN QE GER DA RER SOUS a 138 Sphærium Alpecanum, France . . . . . . . . Dose lei — Bogtigerianum, Pologne. , … .. + . . : + +. 121 — Drophonianum, France . : 4... +... 78 -- Deshayesianum, id. : . : . . : + .. * sd 00 — gallicum, id. Sois moe ce 121 —- hispanicum, Espagne ::. . : « +, ; ere D 00 — Lelburneux Valicme ent tr: 121 _—- LOL PÉTANCEONP RE NE Pt PL SC 120 = Selvalni, FTaDCes. 0.0. 4e 1. 121 — 247 — Pages. Sphærium subcapense, Abyssinie . . . . . . . . . . . 14925 Sphyradium Adam, Italie. 2/0. 4 4 SON 5 69 Stanleya, Giraudi, Tanganika . . . . . . . . . . . . 138 — Smithiana, id. DO EE 0.114139 Stenogyra Grandidieriana, Afrique Squatoriale RS ne Le — Leroyi, id. MESA OU (O7 Subulina cylindracea, id. ARE ENT NTDE, — Jickelii, Abyssinie, . . . RER ESS RE 10215 — Jouberti, Afrique échatoriale. ABC 157 —- MA iEere Abyssinie, Afrique nl 103, 125 — Mabilliana, "ADyssinie. #11. 0 0:90 1195 — Pernernanes TRE MER AIR 195 Succinea Adowensis, LÉ, LEO AN OADA — africana, Afrique méridionale . . . . . . . . 44 —- brachya France en hi AR er AO0 _ Chefneux Cho a een AR Le 17/10) — chroabsinthina Frances 0"... 04h50 "400 _ Dupuyana, ee AE AO 0 -- Fagotiana, CO EE CUT: 2 AU 10 — haliotidea, RE ne QU À CAL O — Joinvillensis, foss, quat. France . . . . . . . 27 -- Marests@foss qua rAlgenIe CC LE. OS — mesalonidia, SICLE 22200 NCIS RNB — Meneliki, Choa . . . . . nan nee nn (10) — Milne-Edwardsi, France... . . . . . . . . . 100 — pyrenaica, MÉTNEN RE SRE FUN PATIO - Raymond AIRIS ECO, Re rE — Saint-Stmonis, France. 11-4400, . 0100 . Servant ESparne en OUEN 1. 108 — Soletlet Cho AN CT ART NA 0 —- strepholena, Espagne | ne ID — sublongiscata, France. . . . . . . . . . . . 400 — Valcourtiana, td. Le, —- xanthelæa, id. te CUS A00 Sus primævus, Mae, foss. quat. ae DEEE Me LS Syrnolopsis Anceyana, Tanpanika +0 + Fr UT — Giraudi, id. CR ee LT — Grandidieriana, id. nt ee A7 -- Hamyana, id. sb 4 US EU, AO — minuta, id. ROME SA PR C7 — 248 — Tanganikia Fagotiana, Tanganika . 138 — Giraudi, tte QC CORNE ue 138 — globosa, id. 138 -— Maunoiriana, ire . AR" AMENER 138 — opalina, id. 163 — ovoidea, 7 A RS CA PS PR 138 Tanousia Letourneuxi, Dalmatie , . . . . . . 116 — Marcheseltana, PS im mee 116 - Stossichiana, id. MON PE 116 Tayloria Jouberti, Afrique équatoriale . . . ., . . . . . 153 Testacella Brondeli Algérie. sm Sen e 55 — drymonia, Italie (Capri): Mis: LACS, . D4 — epistid, France ne 2 M ere 207 Re. 83 — Fischeriana, Algérie sr "6, me 54 _- Nouleti, foss. mioc. France . . . . . . . . . 39 -- Pecemolhr, tale 01:05 6 SR mOe Le 05 _ SaulCyl, SYTIS: «+ 5e 60e CN 74 Thapsia Buchholzi, Afrique équatoriale , . 136 — Chaperiana, 2e, Dao M RUE 153 — euryomphala, Abyssinie . . . . . . . . . . . 12 Tiara Vouanica, Afrique équatoriale: 2 CAR ne, 159 Tigris europæa, Marmm. foss. quat. Belgique . "221 TLiphobia Jouberti, 2 Tanganika.050. es Eu ne 141 —— longirostris, il Por Cie bu: 141 Tripaloïa Letourneuxi, foss. plioc. Dalmatie . . . . . . 34 Trochonanina Anceyi, Afrique équatoriale . . . . 136, 153 — Bloyeti, id. 153 — Leroyi, id. . 153 _ Smithi, id. 153 Unio-actephilus; Suisse, ©: Cite Unies 84 — adonus, HPAUCE». Lt Te I M Re 152 — Albanorum, id. 152 —"Altierianus, Cho: 2 22. Le EME E 141 — Alpecanus, France. 122 25 AndelIACUS,. MU AN EMR Na Eh 152 —. JArarisianus, de. 4 LR med 152 — arcuatulus, (En der dERe BAR ESe LE 152 — arenarum, M Psliens De ART 122 — Bagdadensis, Mésopotamie. . . . . . . . . . . . 74 — 249 — Pages. Unio Benoïiti, Sicile . . LS 126 — Berenguieri, France. . . . . 122 — Berthelini, id. . 122 — "'ROSRATAANUS I UE, le « en. 152 —— "BIVORIANUS SICILE... + es le 127 Blanc Ile enr 1257 — Bourgeticus, France. 122 — Brevieri, RUE RER Run Re 122 — PBridouxi, Tanganikat. 1.2... Hi = Cañelanus rico MN Er RM IL CRE Se 127 — calathus, Tanganika . 139 — callichrous, Italie. . . . . tie 127 +" CAMpPANUS, 0244-00 0 Me ru 127 — campsus, CT BRENT UE ES CERTES 126 — Campylus 1ÉDANCe PR UU ee Sehen| 152 — Cancrorum, ‘d. 122 — Caroliensis, id. 152 — Catalaunicus, 44. 0 7. 152 — Caumonti, CU ÉRRETR TES 00e OO CROSS 152 — Charbonnieri, Tanganika . . . . 71 — Churchillianus, Mésopotamie. . . . . 49 — Cirtanus, foss. mioc. Algérie + . . . . . . . . 26 = COLDINIIETANCe PR PRE. 00e 122 — *Coulboisi, Tanganika:… 1... 1 T1 — Courquinianus, Espagne. . . 62 — crassatellus, France. . . 122 — d’Anconæ, Italie . 127 — Delesserti, Syrie . : 74 = DDeleyelleusæ TUDISIe PT Re 0 ET =— 1 Delpretel, ltale EN RN OS RS Ne 120 — diptychus, France. . . . . he 152 =" DolfUSIAQUS UT CC CE 122 — “Dourmell, Tunisie RE Te HA — Dromauxi, Tanganika. ... . 0: A — Duponti, Nyanza-Oukéréwé. . 128 — Edwardsianus, id. 128 — edyus, France - 0: 21. RU LL. 122 = eucallistelits Italie RCE CC 127 = NEUCITTUS, SYEIO 0e: 2 io diese: Cucbe e 49 == eucyphus, Anatole 0." 1057. C0 49 Unio euphraticus, Mésopotamie fabæformis, France. . . . . . Fagoti, id. falsus, id. Fournei, id. Frayssianus, id. .. gallicus, 14. - . Gentiluomoi, Italie . . . . Gestroianus, France, Italie. glaucinus, Italie . . . Gobionum, France Gonthieri, Russie . DE Graellsianus, Espagne. . . . . Grandidieri, Nyanza-Oukéréwé. Grantianus, id. 4 Grelloisianus, Syrie. . . Guillemeti, Tanganika. . Gurkensis, Italie . . . . . . Hamyanus, Choa . . . .. Hattemani, France. . HAuterivianus, 22.0 Hauttecœuri, Nyanza-Oukéréwé. Hermosus, lac Nyassa (Afrique ). Hippopotami, foss. quat. France. ignari, France "44 lenariformiIs, PU EU Nor GChodss. Ingrandiensis, Dire. Isseli, Italie . . Jdickelii, Abyssinie. Joinvillensis, foss. quat. France. Joräanicus, Syrie . Josseti, Tanganika. Jouberti, 11 ARLES PE" Jousseaumei, France. Lagnisicus, id. . latinus, Italie , Lavigerianus, Tonaniba Lemotheuxi, France, . Letourneuxi, Algérie . . . a®) C 02 ®œ nn | © D © & D D 19 be pds de En he En etre [er] © & N à © NN © ND D © © © © 1 — 251 — Pages. Ligerieus, France . . 122 Locardianus, id. AE 122 Lourdeli, Nyanza- Duke. 149 lugdunicus, France. . . 152 lunulifer, Syrie, . . . , 46 Maccarthyanus, Algérie. 63 macrorhynchus, France. 122 Mariæ, id. 152 Matronicus, IN 122 mauritanicus, Algérie, . , , 65 Menardi, Tanganika. . 71 Meneliki, Choa. , 141 meretricis, Italie, France., 122 Meyranicus, France. . 152 Michoni, Syrie. . 74 Milne-Edwardsi, France. , 122 Moineti, Tanganika. 1. 71 Monceti, Nyanza-Oukéréwé, . 128 Monterosati, Sicile., . 127 mucidellus, France, , 152 mucidulus, id. 122 nyassanus, lac Nyassa (Aftid. . 152 Oberthurianus, France... 152 Opperti, Mésopotamie. orientalis, id. . 74 Pacomei, France. . 152 padanus, Italie. . See 21 Passavanti, France. 152 Pecchiolii, Italie. 127 Pedemontanus, id. ï 127 Penchinatianus, Eden 62 Piloti, France. . 122 PINCIACUS, 17 0. NU ete 122 pisanusiitaliess #60 20 NE NA Pornæ, ltalie, France . . : 10. N'En .0122 potamius, France. . . 1. . . te 122 proechistus, Valachie. . . . . . . . . . . + . . 97 proechus, Suisse. 84 Prusii, Anatolie. . . . 45 Randabeli, Tanganika. . — 252 — Pages. Unio “ratbhymus, France. ne ec a CR In — Rayi, don ess bal GNOME ED —; Riciacensis + Rd nn RAR TEL PERS ——.-rostratelins, atid." Prune 0 — ROtHI Syrie... - bou sed VOD NET Ut — Rouïirei, Tunisie... . . SRE SN T A RACE ET )7 — ‘Ruellani, Nyanza-Oukéréwé.s. 1.10. m0ait 498 — Salmarensis, France... . . . . . EE LE — Saulcyi, Syrie.. . , ss Mar EU, Lee — Schwerzenbachi, D Roc R eee tte ES — 2Sebinensis; Italie. Ven. Lee D O6 — Seneauxi, Erances 4%. AE (OUI ne — septentrionalis, ARTE ME EME CR A — Socardianus, (1 TRE SRE A AT AE te — MSoleIlle ACNRON Les res, EE ADI AT 20 —SU0bDelailtalie en en eo ent 497 — 1 subreniformis, Espagne... 11e NL Lio NZ — ASurraultl, France RM Re ee 52, — falus, TU EUR LS EURE NRE 59 — terminalis, Syrie. . . . . . ARRET MSN AE —— Misridis MÉSOPOLAINIE 4 ue Nb unt. | STE —1 ‘Iritioiricus, France. Su MP. me % À Luis es MAD? = ICIPONtAnUS, IS YFIBLe AN 20e Us D au ouate RTE —. Uzlells Dale AUS RE Lotus, ete CAE — Nalliericus, Frapte. 0". Lula La ist 202 = Verhanious, aliens 20 us mor 126 — NesCol, TUFQUIE EM 4 ie ce rene 140 —"\Winckèi, Tanganika. 46 cie Sols che 071 —: Vibtorioi, 1falie. 5 "is 0 to teur 6106 — Vysseri, Tanganika. . s GE Etes trPEr — Zenaticus, Algérie, Dr VE CRE Ursus Faidherbianus, Mammifère vivant et n. . ANFÉTIE Len ee 2 CS OUT — Lartetianus, Mamm. foss. quat. see Cet AS — Letourneuxianus, id. Loup A 116 — Pomelianus, Mamm. foss. quat. France. . . . . . 13 — Rouvicri, Mamm. foss. quat. Algérie. . , , . 11, 16 Valvata .:ægyptiaca, Egypte. . 1. 2 hi aire Ed — Arcelini, foss- Quat. Francé ei a ON) — 253 — Nalvata callista, Égypte. . . … . . . . . Coronadoi, Espagne. . judaica, Syrie. : Larteti, foss, mioc. Hrenie es Lire Égypte. . planulata, au rs NEA Revoili, Afriq. équat. . Rothi, Égypte.. . . . . Saulcyi, Syrie.. . syriaca, Syrie.. . . . aprica, AIBÉTICS 2 MN RON Barreri, foss. mioc. France. . . bothriocheila, id. brobrarAlgérie::vene 2 C0 callostoma, foss. mioc. France. . Campanea, id. chydæa, id. codia, Algérie... ANA codiolena, foss. mioc. France. . cyclophora, id. discheilia, foss. quat. Algérie. . eucrina, foss. {mioc. France. . éumicra, SUISSE... #0. “nerve læmodonta, foss. mioc. France. . Latasteana, Tunisie. Ludovici, foss. mioc. ee Maresi, foss. quat. Algérie. microlena, Algérie. . . micronixia, foss. mioc. France. Milne-Edwardsi, id. necra, id. onixiodon, id. ragia, id. rhynchostoma, id. tapeina, id. triodonta, id. Vitrina æthiopica, Abyssinie, . . . . — antediluviana, foss. quat. no. Herbini, Abyssinie. US Letourneuxi, Algérie. . . . . . . — 254 — Vitrina Milne-Edwardsiana, Abyssinie. — Penchinati, France... . — Poirieriana, Abyssinie. — Raffrayi, id. — striata, France. 4 . . Vivipara acerosa, Valachie, Sais, déroute — amblya, Valachie. — Aristidis, Serbie. — Blanci, Grèce... . . : — brachya, Croatie, Gfhiole, Frioul.. — Bridouxiana, Tanganika. — Brincatiana, id. — carniolica, Carniole. — cloantha, Manchourie. — communis, France, Atéttagne. — crystallina, Angleterre... . . — danubialis, Valachie.. — elophila, Manchourie. — Gallandi, Turquie... . — imperialis, France. . — Isseli, Italié.,. . .: 3 . . — Letourneuxi, Valachie. — microlena, Valachie.. — Nevilli, Anglelerre.. . — occidentalis, France. . — pachya, Manchourie. . — _ paludosa, Danemark... — Pauloviciana, foss. plioc. Date — Penchinati, Valachie, — Simonsi, lac Nyassa (Afrique.). . —— Smithi, id. — sphæridia, Valachie. — stelmaphora, Chine. ‘ — strongyla, Valachie, ne ce — Bajamontiana, foss. plioc. Dalmatie. . lei s'ils ue CHR — subfasciata, Anatolie, Europe en honale! è =- Taciti, Valachie.. . — Tanousi, Serbie. . — taurica, Russie. se — Thiesseana, Valachie.. CDÉRRCOUN TOUTES CE ON NES ART Ua à eo Mon gd le) 02 some lien de) se Zonites acænus, ATÉOETE., den oi/. Gre1 20e — achidæus, id. — “achlyophilus, 4 CET MINE —+. amphicyrius, Syrie. 0. APN IE apalistus, Algérie, LT apneus, foss, mioc. France. . . , . argius, Algérie. Blidahensis, id. Blondianus, France. callopisticus, id. catoleius, Égypte. cavaticus, Algérie. chelius. . Courquini, Espagne. crystalliformis, Dalmatie. . deilus, Russie, - diaugus, Algérie, Te Dumontianus, France... Durandoianus, Algérie. . . AT Elephantium, foss. quat. Hcance Noel le eudedalæus, Grèce. , . eurabdotus, Algérie. eustilbus, id. : Farinesianus, France, Espagne. gyrocurtus, Espagne. . illautus, France. . . improperus, Algérie. . Issericus, Algérie. Jacetanicus, Espagne. . latebricola, Grèce. . . Lawleyanus, Italie. Maceanus, France. NE Navarricus, France, Don Re és noctuabundus, nee. parthenicus, Algérie. Pazi, Espagne. . permodestus, Algérie. . Pictonicus, France. piestius, Algérie. Pilaticus, Suisse. . Pages. 108 108 108 108 108 Zonites Pomelianus, Algérie. . . . . . — psaturus, (PMR — pseudohydatinus, France, Italie. . I VAISIACUS SUISSE. 207 2UN 7, Re —..