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HAROLD WILMERDING BELL (Class of 1907)

OF CAMBRIDGE

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REVUE SUISSE

DE

NUMISMATIQUE

IMPRIMERIE L. JARRYS ET FILS, RUR DE LA TREILLE, GENRVE

REVUE SUISSE NUMISMATIQUE

PUBLIÉE PAR LE COMITÉ DE LA

SOCIÉTÉ SUISSE DE NUMISMATIQUE

SOUS LA

DIRECTION DE PAUL-CH. STRŒHLIN

TOME XIII

GENEVE AU SIÈGE DE LA SOCIÉTÉ, RUE DU COMMERCE, 5 1905

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LES MONNAIES

DES

PRINCES-EVEQUES DE BALE

NOTICE HISTORIQUE

ET DESCRIPTION DE 234 PIECES, ACCOMPAGNEES DE FIGURES DANS LE TEXTE ET DE PLANCHES REPRESENTANT 133 MONNAIES

Avant-propos.

Notre intention était d’abord de ne publier qu’un cata- logue descriptif des monnaies des princes-évéques de Bale, mais nous avons jugé indispensable ensuite de le faire précéder d’une notice historique dans laquelle nous résumons tout ce qui, à notre connaissance, a été dit sur le monnavage de ces princes. Ce modeste travail ne jettera donc pas plus de lumière sur cette question; sur certains points seulement, nous avons tenu à faire valoir notre manière de voir, mais nous ne l'avons fait qu'avec la réserve que nous impose le manque de documents. Nous laissons aux auteurs consultés, et dont la liste des publications figure ci-après, la responsabilité de leurs affirmations; nous leur avons emprunté quelques cita- tions, mais d'une manière générale nous n'avons fait que résumer leurs écrits, auxquels nous renvoyons le lecteur.

Concernant l’histoire monétaire de l’ancien évêché de Bâle, la période du moyen âge est peu documentée.

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Quelques actes confirmant aux évéques leur droit de monnayage et des monnaies laissant voir ou seulement supposer le nom de l’atelier monétaire de Bäle et ceux d’évéques à partir du siècle, sont les seuls témoins de cette époque.

Pour la période plus récente, qui commence a la Reformation et pendant laquelle le siege épiscopal fut a Porrentruy, on pourrait, en consultant les archives de Pévéché qui sont actuellement à Berne, obtenir encore bien des renseignements inédits. Elles renferment plusieurs liasses de comptes, correspondances, mande- ments, etc., la plupart en langue allemande, ainsi que plusieurs registres de Münzrechnen qui, pour étre consultés avec fruit, exigeraient non seulement beaucoup de temps, mais aussi la connaissance de lallemand au point de vue du style et de l'orthographe de l’époque, indispensable pour dechiffrer ces pieces. L’historien qui pourra un jour se charger de ce travail rendra certai- nement des services a l’histoire de ce pays.

Pour ce qui a trait à la nomenclature descriptive des monnaies épiscopales bäloises, nous avons fait notre pos- sible pour étre complet, du moins en ce qui concerne les types ; pour les variétés nous mentionnons toutes celles que nous avons pu rencontrer; pour les bractéates nous n’avons indique que les types, sans égard aux différences de coins qui peuvent varier à l'infini.

Nous avons jugé inutile de faire des descriptions trés détaillées, chaque type de monnaie étant represente dans les planches qui accompagnent la publication et que nous avons tenu a dessiner nous-méme. Si les dessins ne sont pas parfaits, nous les croyons quand méme suffisamment exacts et fidéles pour qu’on puisse recon- naitre sans hésiter les monnaies qu'ils représentent.

Nous devons faire observer aux collectionneurs qui se servent de l'ouvrage de M. Ed. Jenner, Die Münzen der Schweiz, qu'il contient plusieurs erreurs et qu’ils ne

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doivent pas s’etonner si certaines pièces qui y figurent ne sont pas mentionnées dans notre nomenclature. D'après la correspondance que nous avons eue avec M. Jenner et certaines constatations que nous avons faites, nous pouvons relever les erreurs suivantes conte- nues dans la publication en question :

Le ducat de 1642 n'existe pas, Jean-Henri d’Ostein, évêque à cette époque, n'ayant pas frappé monnaie. Le dicken de 1623 n’est autre chose que le quart-de-thaler de la même année. La pièce de vingt-kreuzer de 1742 n'existe pas non plus; on ne sache pas que Jacques- Sigismond de Reinach (1737 à 1743) ait émis des mon- naies. La pièce de quinze-kreuzer ou huitième-de-thaler de 1717 que M. Jenner nous dit exister dans la collection Imhoof-Blumer, aujourd’hui au Musée de Winterthour, ne s’y trouve pas et nous est tout à fait inconnue; de meme pour le double-groschen de 1598. Les plapparts sans date qu’il nous dit avoir trouvés au Musée historique de Berne sont des plapparts de la ville de Bale, qui en effet ont été classés par erreur avec les monnaies de l'évêché. Les demi-batzen de 1623, 1624 et 1716 sont des schilling; ceux de 1654 à 1663 sont des batzen et doivent être classés parmi ceux-ci. Le kreuzer de 1623 est un | vierer a notre avis. Les pièces mentionnées sous les rubriques vierer et rappen font double emploi. A part cela, nous n’avons pas trouvé plusieurs millésimes indi- qués par cet auteur, ce qui ne veut pas dire naturel- lement qu'ils n’existent pas. Plusieurs de ces erreurs s’expliquent par le fait que M. Jenner s’est servi, pour établir ses listes, de catalogues de ventes dans lesquels les indications de valeur des monnaies ne sont pas tou- jours exactes.

A part les nombreuses collections particulieres que nous avons eu l'occasion de visiter, nous avons pu con- sulter a loisir celle du Musée national a Zurich, riche surtout en bractéates et demi-bracteates, celle du

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Musée de Winterthour, la plus complète pour les grosses pieces et le nombre des variétés, et celle du Musée historique de Berne, remarquable aussi, surtout par les pieces d’or. Nous saisissons l’occasion pour adresser à MM. D' Imhoof-Blumer à Winterthour, Hahn, conser- vateur des collections numismatiques au Musée national à Zurich, et Dr Thormann, conservateur au Musée his- torique à Berne, l’expression de notre reconnaissance pour l’empressement avec lequel ils nous ont facilité l'examen de ces collections. Nous devons également des remerciements à MM. Dr Geigy et Dr Bernouilli à Bäle, P.-Ch. Stroehlin et Th. Grossmann à Genève, L. Le Roy à Berne, A. Droz-Farny, professeur à Porrentruy, Dannen- berg à Berlin, G. Gallet à la Chaux-de-Fonds, soit pour les conseils et les renseignements qu’ils ont bien voulu nous donner, soit pour la complaisance qu’ils ont mise a nous soumettre leurs collections. C’est grace au con- cours de tous que nous avons pu terminer cette mono- graphie. Nous savons que nous sommes loin d’avoir épuisé le sujet; nous avons aussi probablement commis des erreurs et des omissions et nous serons reconnais- sant aux lecteurs qui voudront bien nous faire part de leurs observations, pour en tenir compte si possible dans un supplément nous nous occuperons aussi des medailles qui concernent l’ancien évéché de Bäle.

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La Chaux-de-Fonds, avril 1905.

Alb. MICHAUD, Essayeur-jure.

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Liste des publications consultees et mentionnees dans le present travail:

J. TROUILLAT. Monuments de (histoire de l'ancien évéché de Bale. Porrentruy, 1852-1867.

Ch.-Ferd. MoreL. Abrégé de l'histoire et de la statistique du ci-devant évéché de Bale. Strasbourg, 1813.

A. Quiquerez. Histoire des institutions politiques, constitutionnelles et juridiques de l'évêché de Bale. Delémont, 1877.

Mr Vautrey. Histoire des évêques de Bâle. Einsiedeln, 1886.

G. HaLLER. Schweiserisches Müns- und Medaillenkabinet. Bern, 1780.

Dr. H. Meyer. Die Bracteaten der Schweiz. Zürich, 1845.

Die Denare und Bracteaten der Schweiz. Zürich, 1858.

‘Freiherr von BERSTETT. Die Miinegeschichte des Zähringen-Badischen

Fürstenhauses. 1846.

A. MorEL-FATIO. Monnaies suisses de la trouvaille de Saint-Paul. [Revue numismatique francaise, année 1849.]

Ed. Jenner. Die Münzen der Schweiz. Berne, 1879 et 1901.

Dr. Alfred Gricy. Gedruckte schweizer. Miinzmandate. Bale, 1896.

DANS LE « BULLETIN DE LA SOCIÉTÉ SUISSE DE NUMISMATIQUE » :

Le Roy. Du droit de monnayage des princes-évéques de Bale et de Pexercice de ce droit. 1°° année, 1882, p. 97.

Alb. SartLer. Zur Bracteatenkunde von Basel. année, 1883, p. 73.

Dr, A. Gricy. Aus schweizerischen Archiven; Claude Bourberaux, Miinegraveur. année, 1889, p. 68.

Dr. A. BurcKaRDT. Bracteatenfund von St. Johann in Basel. 1** année, 1882, p. 105.

DANS LA « REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE » :

Edits et mandements concernant les monnaies étrangères en circu- lation dans l’ancienne principauté-évêché de Bale, recueillis et publiés par L* Le Roy. 1" année, 1891, p. 136.

Mandements et ordonnances d'évêques de Bale concernant l'évaluation de certaines monnaies et les essuis auxquels elles ont été soumises, recueillis et publiés par L' LE Roy. année, 1892, p. 119.

H. Dannenserc. Die Münzen der deutschen Schweiz zur Zeit der sächsischen und fränkischen Kaiser. 1903, p. 337.

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Notice historique.

Le territoire de l’ancien évéché de Bale se trouvait situé dans le pays connu autrefois sous le nom de Rau- acie, dont les habitants, au nombre de vingt-trois mille, se joignirent aux Helvétiens, après avoir brùlé leurs habitations, pour pénétrer dans les Gaules. Battus, comme on le sait, par Jules César, les Rauraciens ou Rauraques, réduits à un petit nombre, rentrèrent dans leur pays et durent y reconstruire leurs habitations. Une colonie romaine, sous les ordres de Munatius Plancus, vint s’etablir dans le pays et, sur les ruines de l’ancienne capitale, on rebàtit la nouvelle qui recut le nom d’Augusta Rauracorum. |

La Rauracie fit alors partie de la Gaule celtique et fut comprise dans la Province séquanoise, Maxima Sequa- norum, dont le chef-lieu était Bisance (Besançon).

La ville de Bale n'existait pas encore; ce ne fut que vers 374 que l’empereur Valentinien fit construire sur l'emplacement actuel de ce lieu un fort qui devait servir à la défense du pays contre les attaques des peuples d'outre-Rhin. Ce fort, avec les habitations qui avec le temps se groupèrent alentour, fut l’origine de la ville de Bale. Apres la destruction d’Augusta Rauracorum par Atlila, les habitants se portèrent probalement vers Bâle et cet événement contribua sans doute à son développe- ment.

l'époque à laquelle le christianisme s’implanta dans ce pays ne peut pas être précisée, mais il y avait des évéques dans les Gaules déjà au re siècle. Augusta Rauracorum fut aussi le siège de plusieurs évêques, entre

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autres de Juslinien, qui signa comme évêque de la Rau- racie au synode de Cologne en 346; saint Pantale fut aussi d’après la tradition un des premiers évêques ; saint Ragna- chaire (618) est qualifié d’eveque d’Augst et de Bâle. Les interruptions que l’on constate dans cette série sont dues probablement aux invasions des peuples païens, les Goths, les Vandales, etc., qui arrétèrent à plusieurs reprises l’essor du christianisme. Après la destruction d’Augusta Rauracorum, le siège fut transporté à Bâle. Les évêques dépendaient de l'archevêque de Besan- con; la circonscription ecclésiastique était la même que la division territoriale de la province séquanoise.

Après l'invasion germanique, le pays fit partie du pre- mier royaume de Bourgogne, puis fut soumis à l'empire des Francs et incorporé ensuite en partie au royaume de la Bourgogne transjurane et en partie au duché d'Allemagne. Enfin Rodolphe III, roi de Bourgogne, ayant choisi pour son héritier l’empereur Conrad le Salique, l’eveche de Bale passa à l’empire d’Allemagne.

Il est très probable que ce fut sous le règne de Char- lemagne que les évéques de Bale furent investis de la puis- sance temporelle. En tous cas, ses successeurs, Louis le Débonnaire (818) et Charles le Chauve (876), confir- merent aux évéques l’administration de leur diocèse et leur conférèrent une autorité plus grande. Les évêques profiterent probablement du désarroi qui accompagna le partage des Etats de Charlemagne pour accroitre leur autorité. Le besoin que les princes avaient du clergé dut leur faciliter l’acquisition de domaines et l’extension de leur indépendance.

Les premiers documents qui font mention des domaines des évéques de Bäle datent de la fin du ixe siècle et le premier acte qui leur confère des droits de souveraineté est celui de l’an 999, par lequel Rodol- phe III, roi de Bourgogne, donne à l’évêque Adalbéro l’abbaye de Moutiers-Grandval.

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Le droit de battre monnaie fut certainement une des plus anciennes prérogatives temporelles des princes- évéques de Bale. Le premier acte qui en fasse mention date de 1146. Déjà en 1141, dans un diplöme de l’empereur Conrad III, figure comme témoin de l’évêque son mone- taire ou officier préposé & la monnaie, Hugo. Mais on posséde des monnaies portant les noms d’évéques ayant régné antérieurement a cette date et qui établissent d’une manière certaine l’exercice du droit monétaire à la fin du xe siècle ou au commencement du xt siècle. Une quan- tité considérable de ces piéces, auxquelles on a donné le nom de demi-bractéates, a été découverte en 1843 par des ouvriers occupés à démolir l’ancienne basilique de Saint-Paul à Rome; elles étaient frappées sur de minces flans d’argent martelés régulièrement sur les bords afin de refouler le métal au centre et de donner a celui-ci plus d’épaisseur. Il en résulte que le plus souvent le centre seul de la piéce a recu l’empreinte du coin et que les bords ne portent que les marques de la tranche du mar- teau. Aussi, souvent les légendes sont-elles incomplétes et ce n’est que par l’examen de plusieurs mêmes pièces qu’on arrive a les reconstituer. Elles portent généra- lement d’un côté le nom de l'évêque, de l’autre le mot BASILEA ; les lettres de ces mots sont souvent disposées en forme de croix. L’argent employé est d’un titre assez élevé, environ 0,750, et le poids en moyenne de 097,54 pour les grandes et de 09,23 pour les petites.

Un savant italien, M. de San Quintino, a publié la des- cription des monnaies de la trouvaille de Saint-Paul, qui appartiennent aux Ix°, xe et xıe siècles. Parmi elles se trouvaient plusieurs pièces frappées par les évéques de Bäle, Adalbéro II ou III (999-1025), Udalric (1025-1040), Théodoric (1041-1055), Bérenger (1057-1072) et Rodolphe (1107-1122). Dans un travail remarquable publié dans la Revue numismatique francaise en 1849, M. Morel-Fatio les a decrites et a cherché à quel évéque, faute de documents,

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on pouvait logiquement attribuer le premier exercice du droit monétaire. Nous citerons ici ce passage qui, quoi- que n’émettant qu'une hypothèse, se termine par des conclusions très admissibles :

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« A défaut de documents précis sur l’origine même, il me semble qu’antérieurement aux monnaies que nous avons decrites, il s’est trouvé vers la fin du

« xe siècle, ou tout au moins au commencement du xi,

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une occasion dont les évéques de Bäle ont pu facile- ment profiter pour obtenir, ou peut-étre seulement

« usurper, la régale monétaire, s’ils ne la possédaient

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déjà.

« C’était pendant la vieillesse de Rodolphe, ce der- nier roi de la Bourgogne transjurane, dont les vastes Etats devaient, à défaut d'héritier mâle et légitime, échoir à l’empereur Conrad le Salique, qui avait épousé une des nièces de Rodolphe. On admettra facilement que ce prince, privé de descendance directe, n’ait pas été le gardien bien jaloux de ses droits, et que vers la fin de ses jours, il ait toléré l’usurpation, surtout de la part d’un de ces puissants évêques qui pouvaient lui promettre en l’autre monde les riches compensations de ses magnificences en celui-ci.

« L'histoire nous apprend aussi que l’évêque Udalric ou Ulric fut gratifié en 1028, par l’empereur Conrad II, des mines d'argent situées dans le Brisgau (acte daté de Pollingen en 1028) et, bien que l'exploitation des mines ne soit pas absolument liée à l’idée d’une fabrication monétaire, c’est au moins une présomption qui nest pas sans valeur. En gratifiant ainsi Udalric, Conrad ne faisait en quelque sorte que suivre l'exemple de son prédécesseur Henri II, qui avait comblé de biens la ville de Bâle et son évêque Adalbéron. On sait que l'empereur, parmi ses nombreux bienfaits, fit rebâtir la cathédrale détruite jadis par les Hongrois et qu’il assista en 1010 à sa dédicace au milieu d’un concours

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immense de grands personnages, tant laiques que sécu- liers.

a L’évéque Adalbéron est à mes yeux celui auquel on peut, avec quelque certitude, faire remonter l'exer- cice du droit monétaire 4 Bale; car indépendamment de la munificence et de l’amitié personnelle de l’empe- reur Henri II, il reçut de Rodolphe III de Bourgogne, en toute propriété, la célébre et considérable abbaye de Moutiers-Grandval, avec les droits qu’avaient exercés sur elle ses prédécesseurs les rois de Bourgogne.

« Ces droits régaliens comprenaient évidemment le droit de monnaie dans l’immense étendue des posses- sions de l’abbave et il résulte que si nous ne pouvons « affirmer qu’Adalberon soit le premier évéque de Bale « qui ait battu monnaie, du moins nous avons a peu prés « la certitude que la monnaie épiscopale a déja fonc- « tionner de son temps. »

La grande compétence de M. Morel-Fatio dans les ques- tions monétaires et le désir de jeter le plus de lumière possible sur ce point capital nous engagent à repro- duire encore la lettre que ce savant adressait le 16 dé- cernbre 1875 à M. Quiquerez et que celui-ci a publiée dans son Histoire des institutions de l'évêché de Bale : « Bâle a eu sa monnaie dès l’époque mérovingienne, et « comme ailleurs elle se divisait en racio fisci, racio « ecclesiae, c'est-à-dire part de l'Etat et part du domaine « ecclésiastique. Les temps mérovingiens, constamment « troublés, ont plus que tout autre favorisé les idées « d’empietement et d’usurpation. Aussi les monnaies « essentiellement royales d'abord et ne mentionnant que « le nom du prince ou de ses officiers monétaires, ont « fini par laisser apparaître des noms épiscopaux. Nous « constatons ces noms d’évéques vers l’an 650, sur les « deniers d’argent de Clermont en Auvergne. Dès qu’un « évêque a pu en agir de la sorte à Clermont en Auvergne, « il est vraisemblable que tous faisaient de même et que

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« S'ils ne mettaient pas leur nom sur la monnaie, ils en

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avaient l'exercice utile, au moins pour une portion.

« Bâle à cette époque a éprouver les mêmes eflets de cette usurpation cléricale. Nous ne connaissons pas de triens ou deniers balois portant un nom d’évéque, mais le régime devait y être le même que dans les autres civilates ou diocèses. Voilà à quelle époque il faut remonter pour trouver, sinon le droit, du moins l'exercice de la monnaie épiscopale de Bale. Toutes les prétendues concessions des âges postérieurs ne sont que des confirmations et voici d’où vient probablement usage de ces confirmations.

« À la fin des Mérovingiens une évolution monétaire se préparait qui allait substituer l'usage absolu de l'argent à la monnaie d’or. Une période de transition fut le prélude de ce grand acte, qui souleva bien des discussions et produisit des hypothèses variées.

« Cette période se trouve placée entre les années 700 à 741 environ, et nous offre une grande abondance de monnaies qui, de plus en plus, admettent des noms de dignitaires ecclésiastiques et laïques. Mais à ce débor- dement monétaire succéda une réforme rigoureuse, établie et maintenue par Pepin le Bref et Charlemagne. Ces princes rendent à la monnaie son caractère roval, réduisent à un fort petit nombre les ateliers moné- aires, en un mot anéantissent toutes les usurpalions et ne permettent plus que le nom royal et l'indication du lieu sur la monnaie.

a Les évêques cédaient et subissaient ce qu'ils ne pou- vaient empêcher, se promettant bien de reprendre la fabrication dès que l’occasion se présenterait. L'Eglise ne connaît pas de prescriptions à ses droits et elle a toujours droit à tout. Cette occasion se présenta natu- rellement alors que les successeurs de Charlemagne laissérent amoindrir l'autorité royale, au milieu du démembrement territorial. De toutes parts les entre-

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« prises se manifestèrent et si, à ce moment, les sei- « gneurs laïques obtinrent des concessions nouvelles, le « clergé qui réva et révera toujours la domination tempo- « relle, n’accepta que la confirmation d’un droit dont il « avait joui dès 650, peut-être même auparavant, mais « qu'il lui convenait de faire dater de toujours.

« L’eveque de Bâle a donc repris la fabrication de la « monnaie, dès qu'il a cru le moment favorable et, je le « crois, vers le milieu du xe siècle. Ce qui est certain, « C'est que, avec ou sans confirmation, un Adalbéron, « évêque de Bâle, battait monnaie à son nom entre 961 « et 1025, car il y a eu deux évêques de Bale de ce nom « à cette époque. »

Sortant maintenant du champ des suppositions, nous mentionnerons dans l’ordre chronologique les différents documents qui confirment aux évêques de Bâle leur droit monétaire et qui sont tous tirés des Monuments de l'histoire de l'ancien évéché de Bale, par J. Trouillat.

C'est en premier lieu une bulle du pape Eugène III, datée du 15 mai 1146, qui confirme à Ortlieb, comte de Froburg, évêque de Bâle, les divers privilèges dont jouissait son Eglise, entre autres celui de frapper monnaie dans la ville de Bâle et dans tout l'évêché, ainsi que cette Eglise, depuis sa fondation à ce jour, en a reçu le droit des rois et empereurs (Trouillat, I, 295).

Le der juin 1149, l’empereur Conrad III confirma ce droit au même Ortlieb, en lui donnant l'autorisation de frapper monnaie avec une effigie particulière qu'il défen- dit d'imiter dans tout l’évéché sous peine d’une amende de 100 livres d’or (Trouillat, I, 313).

Ceci n’empécha pas les empereurs d’octroyer ce droit à d’autres villes comprises dans le diocèse de Bâle, Colmar, Thann, Murbach, Mulhouse, ainsi qu'aux seigneurs de Franquemont et aux comtes de Montjoie; il leur interdisait seulement l'emploi de la même effigie que l'évêque.

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Nous ferons remarquer ici qu’à la même époque, les empereurs d’Allemagne frappaient monnaie à Bâle con- curremment avec les princes-évêques. Les pièces impé- riales portaient d’un côté le nom du souverain et de l'autre les mots BASILEA CIVITA. H. Meyer a décrit et représenté plusieurs de ces pièces, pl. II, nes 97 à 104, et pl. IV, ns 1 à 4. Il ne faut pas les confondre avec celles se rattachant à l'évêché.

Plusieurs auteurs parlent aussi de monnaies nortan! sur l’une des faces le nom de l’empereur et sur l’autre le nom de l’évêque. Nous n’avons trouvé la description de pareilles piéces nulle part, sinon dans H. Meyer, Die Denare und Bracteaten der Schweiz, page 54, qui donne la descrip- tion d’une demi-bractéate d’apres Köhne, laquelle porterait à ravers : + HENRICVS REX et au revers DEODERICVS EPS. Meyer dit qu'il ne voudrait pas se prononcer d’une maniere definitive sur l’origine de cette piece et il fait remarquer qu'elle diflere de celles de l’évêque bälois Théodoric en ce que le nom est écrit differemment et que l’endroit de l’atelier n’est pas indique. En effet, les autres monnaies de Théodoric (voir figures 10 à 27) portent toutes le nom écrit avec un T et non avec un D et au revers le mot BASILEA. Un autre numismatiste, M. Dannenberg, à Berlin, l’attribue plutöt à Metz, ce qui est fort possible, plusieurs évéques de Metz ayant porté le nom de Thierry ou Deodericus. Pour ces motifs nous ne l’avons pas admise au nombre des pièces épiscopales baloises.

En 1154, l’empereur Frédéric Ier déclare que les mon- naies de Bâle ayant été altérées dans leur poids, alliage et module, il statue, sur la demande de l’évêque Ortlieb, des princes et du peuple, que ces monnaies devront être rétablies dans toute leur intégrité et qu’à l'avenir le dit évêque et ses successeurs ne devront pas les altérer de nouveau (Trouillat, I, 323).

D’autres confirmations du droit monétaire furent don-

REVUE NUM, T. XIII. 2

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nées en 1220 par Frédéric Ier et le 20 décembre 1347 par Charles IV.

A cette époque les demi-bractéates dont nous avons parlé, et qui caractérisent la première période monétaire, étaient remplacées par les bractéates, petites monnaies d’argent frappées d’un seul còté sur des flans 4 peu pres carrés, de sorte que l’empreinte est en relief d’un côté et en creux de l’autre. Elles portent la tête mitrée de l’évêque accompagnée de différents attributs, étoiles, anneaux, roses, lis, calices, livre, bâton épiscopal, globes, tours, elc.

Ces monnaies sont presque toujours anépigraphes ; quelques-unes portent des lettres indicatrices de noms d’évéques comme P-E (Peter), 1-0 (Johann), H-S (Hen- ricus), d'autres B-A (Basilea) ou B-R (Brissach) lieux de la frappe. Un seul nom d’évéque figure en toutes lettres, celui de Lutold. Un cercle en relief, en forme de bour- relet, le plus souvent uni, entoure le tout.

Ces bractéates, nommées plus souvent deniers, ou pfennig, ou mönchskappen a cause de la tete mitrée, etaient la monnaie courante. La monnaie de compte était la livre qui se divisait en 20 schilling () ou sols et le schilling en 12 pfennig (9) ou deniers, mais on ne frappait livres, ni schilling, seulement des pfennig ou bractéates. Il existe une grande variété de ces pièces.

Il est probable que la plupart des évéques, depuis la fin du xmne siècle jusqu’à Jean de Vienne, c'est-à-dire jusqu'au milieu du xrve siècle, usèrent de leur droit de monnayage, mais il n’est pas possible de classer avec certitude ces bractéates a tel ou tel regne. Certains auteurs ont quand même rapproché certains signes qui accompagnent le type principal, lequel est toujours une tete mitree d’évéque, des armoiries des princes qui ont régné a cette epoque et en ont tiré des conclusions qui paraissent de prime abord admissibles.

C’est ainsi que les bractéates qui portent une étoile au

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dessus ou à côté de l'effigie font supposer qu'elles se rapportent à Henri de Thoune (1215-1238), dont les armes étaient de gueules à la bande d'argent chargée d'une étoile de sable. Celles figure un anneau pourraient être attribuées à Pierre IT d’Aspelt (1297-1305), lequel blason- nait de gueules à deux vires (ou anneaux concentriques) d'argent.

Ce n'est pas l'opinion de Coraggioni (Münzgeschichte der Schweiz, p. 13), qui dit que comme on devait souvent retirer les bractéates à cause de leur facile détérioration, on frappait sur les nouvelles certains signes, croissants, étoiles, croix, roses, fleurs de lis ou anneaux pour les distinguer des anciennes. Nous devons dire que certains de ces signes se retrouvent sur d’autres bractéates que celles de l'évêché de Bâle, ce qui confirmerait cette dernière version. H. Meyer (Die Denare und Bracteaten der Schweiz, p. 60) dit que Leitzmann lui a aussi fait obser- ver que si ces signes devaient figurer les armoiries des évêques, on les aurait placées ailleurs et représentées différemment. Il est évident qu'on ne peut rien affirmer à ce sujet; quoi qu'il en soit, il est évident que ce ne sont pas des ornements quelconques qu’on puisse attri- buer à la fantaisie des graveurs des coins et qu’ils ont leur signification.

C'est pourquoi dans la description que nous donnons des bractéates, nous avons groupé ensemble celles qui portent le même signe.

Les pièces qui ont des abréviations de noms, comme I-O, P-E, H-S, peuvent se rapporter à plusieurs évêques ayant porté le même nom. Celles figurent deux tours avec les lettres S-N sont attribuées 4 Berthold de Ferrette (1249 à 1262), qui fit construire l'église de Saint- Nicolas au Petit-Bâle en 1250.

Enfin, celles qui portent les lettres B-R doivent avoir été frappées à Brissach. Les évêques de Bâle eurent en effet pendant un certain temps un atelier monétaire dans

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cette localité simultanément avec celui de Bale, car il est. fait mention (Quiquerez, p. 76) dans les actes de 1303 à 1309, à plusieurs reprises, d’un nomme Dietrich, maitre des monnaies, lequel était vassal du grand-échanson de l'évêque; on le nomme aussi monétaire à Brissach, alors qu’en 1308, le maître des monnaies de Bâle se nommait Verner, ce qui prouve suffisamment l'existence de deux ateliers, à cette époque du moins. Il est probable que la direction de la Monnaie de Bâle appartenait au grand- maréchal de l’évêque, lequel avait parmi ses prérogatives celles, lorsqu'on frappait de la nouvelle monnaie à Bale, d'en prendre une livre pesant ou autant qu'il pouvait en tenir dans sa main, tandis que le grand-échanson avait la direction de la Monnaie de Brissach. Quiquerez ajoute : « le maitre monnaveur était un personnage important « ayant sous lui tout un personnel qui constituait une « espèce de corporation jouissant de certains privilèges « et l’hôtel des monnaies avait droit d'asile. »

En vertu d'un accord de 1262 et reproduit dans les Monuments de Trouillat, sous 81, t. II, les bourgeois de Bâle exercaient sur le monnayage de l’évêque un droit de contrôle.

Il y est dit que « lorsque l'évêque voulait en opérer « l'essai, ce qu'il pouvait faire en tout temps, le prévot « civil, accompagné de deux ou trois citoyens probes, se « rendait à l’improviste chez le monétaire. Là, en présence « de l'évêque ou d’autres personnes honnêtes, il devait « puiser une poignée de pfennig et les porter à la balance « en allongeant le bras. S'il ne fallait ajouter que quatre « pfennig et au dessous, au nombre légal de pièces pour « faire le marc, c'était sans conséquence pour l'honneur « de la personne du monétaire, mais s’il en fallait plus « de quatre, c'était un cas de faux, dont il devait encou- a rir les suites pénales. Les pfennig devaient aussi subir « l'essai de la balance et si l’on trouvait un pfennig trop « léger du poids de deux grains d'orge, le monétaire

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« n'avait rien à redouter, mais si le poids en était léger « d’une quantité plus forte, la monnaie était considérée « comme fausse ». En 1362, les bourgeois de Bâle éta- blirent une commission spéciale composée du prévôt civil et de trois bourgeois, gens d’honneur, pour con- trôler les monnaies.

Quiquerez nous apprend que 10 grains d’orge de petite espèce pèsent 50 centigrammes; donc 2 pèsent 10 centi- grammes. D'autre part, les bractéates que nous avons eu l’occasion de peser (nous parlons de pièces en bon état et qui paraissent entières) varient entre 24 et 44 centi- grammes. Si nous admettons comme moyenne 32, la tolérance de poids accordée au monnayeur aurait été énorme puisqu'elle était d’environ un tiers. En tous cas des moyens aussi primitifs de compter le nombre de pieces au marc ou d’évaluer leur poids laissait une belle marge aux monnayeurs, qui ne se firent sans doute pas faute d’en tirer profit et, comme d’un autre coté, les évéques altérérent 4 plusieurs reprises le titre de leurs deniers, il ne faut pas s’étonner de l’ordonnance de l'empereur Frédéric Ier en 1154 déjà citée, ni du discrédit dans lequel tombèrent les monnaies épiscopales.

L'évéque Jean Senn de Munsingen fit frapper de nou- velles monnaies, lesquelles n’étaient pas en rapport avec l'ancien système admis. Du marc d’argent on ne tirait plus que 3 livres et 5 schilling, et 2 schilling nouveaux équivalaient à 5 anciens. De nombreux inconvénients en resulterent, qui engagèrent les pays voisins ot la mon- naie de l’évéché de Bale avait cours, a faire un accord, pour la repousser.

Son successeur, Jean de Vienne, altéra tellement la valeur de ses monnaies qu’elles furent completement discréditées, ce qui engagea l’empereur Charles IV, en 1376, à autoriser la ville de Colmar à frapper des pfennig d’argent.

Il est probable qu’en déterminant le titre de l’argent

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des bractéates épiscopales on pourrait avec raison les classer chronologiquement, celles dont le titre est le plus fin devant être les plus anciennes.

Les évêques de Bâle, dans leurs embarras financiers, durent à maintes reprises engager et même aliéner cer- tains de leurs revenus temporels. En 1373, Jean de Vienne se vit dans la nécessité de réunir son chapitre avec le consentement duquel il engagea son droit de monnaie aux bourgeois et à la commune de Bâle pour la somme de 4000 florins d’or. Cette cession temporaire avec droit de rachat comprenait le droit exclusif de battre monnaie et l'impôt sur la frappe payé par le monétaire. Les citoyens de Brissach devaient recevoir leurs coins de ceux de Bâle et tenir leurs espèces dans un rapport de poids tel, qu'elles fussent plus pesantes de 4 pfennig au marc que celles des Bälois. Ceux-ci ne jouissaient point de l’impôt monétaire à Brissach.

En 1376, l’évêque engagea le droit de monnaie dans la ville de Brissach, de même que l’impöt monétaire a Bourkard Sporer d’Eptingen pour les services rendus à l'Eglise. Cette cession était rachetable pour 100 marcs d'argent.

Le droit engagé à la ville de Bâle fut racheté, mais en 1385 l’évêque Imier de Ramstein l’engagea de nouveau pour la somme de 1000 florins, puis il fut racheté une seconde fois et aliéné définitivement dans le cours du xve siècle, ou même plus tôt, à la ville, qui dés lors le conserva exclusivement.

Wurstiesen dans sa chronique dit que, depuis 1373 la ville de Bâle a commencé à frapper des monnaies à la crosse de Bale (Baselstab). Le D' H. Meyer, interprétant mal ce passage, croit qu'il faut attribuer à la ville toutes les bractéates qui, à coté de la tele d'évèque, portent une ou deux crosses, ou les lettres B-A. M. Alb. Sattler, dans un article publié dans le Bullelin de la Société suisse de numismalique, Ile année, page 71, et intitulé Zur

un a rn oe III

4

Bracteatenkunde von Basel, combat avec raison cette interprétation et n’admet comme bractéates de la ville que celles la tele d’évéque est remplacée par une crosse de Bâle avec ou sans les lettres B-A, qui sont représen-

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tées dans l’ouvrage de Meyer sous nos 141, 142, 145, 146, 147 et 148, pl. II, et qui recurent le nom de stäbleı- pfennig (deniers à la crosse). Sattler s’exprime ainsi : « ||

« «

A A A A RRR RR RA A A

A A A A A A A AA AA A

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y a d'ailleurs d’autres raisons qui font admettre comme monnaies de la ville seulement celles qui por- tent la crosse de Bale. Si nous considérons la suite des monnaies épiscopales, nous trouvons comme tvpe persistant la téte d’évéque avec les initiales ou dil- férents ornements, lis, étoiles, anneaux, etc., ainsi que les baselstab. La tête d’évéque est toujours le sujet prin- cipal des monnaies, qu’on appelait d’ailleurs mönchs- kappen ; les ornements, même les crosses, n’y figuren! que comme accessoires. Je ne comprendrais donc pas que Bâle qui, comme les autres villes, devait être tres fière de ses prérogatives, ait maintenu, une fois en possession du droit de monnayage, la tête d’évéque comme figure principale de la pièce, tandis que l'emblème de la ville aurait occupé une place secon- daire. On ne pourrait comprendre cela que si les mönchskappen avaient été de la monnaie de bon aloi, bien reçue partout et que pour cette raison on n'ail pas voulu en changer le type principal; mais c’est le contraire qui avait lieu : les monnaies des évêques, surtout sous Jean de Vienne, étaient tombées en gran! discrédit à cause de l’abaissement de leur titre ©! étaient même refusées en certains pays. Une fois en possession de son droit, la ville s'empressa d'élever lc titre de sa monnaie et vraisemblablement en change: le type pour la faire plus facilement accepter par le: Etats voisins. A qui faut-il donc attribuer ces bractealvs qui portent avec la tele d’eveque, la crosse de Bâle? | ville possédait depuis longtemps, en tous cas depui:

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« 1344, un droit de contrôle sur la monnaie de l'évêque. « J’attribue donc ces pièces, ainsi que celles qui portent « les lettres B-A, à cette période la ville exercait ce « contrôle ».

Nous sommes d’accord avec M. Sattler d'envisager la crosse de Bale à côté de la tête d’évéque comme un signe de contrôle de la ville et, dans la description que nous avons faite des bractéates épiscopales, nous avons groupé ensemble celles qui portent ce signe. Par contre, nous n’admettons pas qu’il en soit de même pour celles qui portent les lettres B-A, pour les motifs suivants. D'abord, il n’est pas probable que la ville ait adopté deux signes différents pour marquer son contrôle, un seul devait lui suffire. Ensuite, le mot BASILEA en entier ou en abrégé indique le lieu de l’atelier et les évêques l'ont fait figurer, non seulement sur certaines bractéates, mais déjà sur les demi-bractéates du et du xıe siècle. Il n’est donc pas admissible que la ville, voulant inscul- per un signe à elle, ait choisi le mot BASILEA dont les évêques eux-mêmes avaient fait auparavant un si fré- quent emploi. Il en est autrement de la crosse de Bale qui remplace ici la crosse d'évêque, avec laquelle il ne faut pas faire de confusion. Du moment que la ville, aussitôt en possession du droit de frappe, marqua ses monnaies d'un baselstab (c’est-à-dire d’une crosse terminée par trois pointes dont les deux extérieures sont un peu rele- vées en dehors, pareillement à celles de la fleur de lis), il est tout à fait logique de supposer que le même signe sur les bractéates épiscopales représente aussi son con- tröle.

M. L. Le Roy, dans son article intitulé Du droit de mon- nayage des princes-évêques de Bale et de l'exercice de ce droit, publié dans le Bullelin de la Société suisse de numisma- tique, année 1882, page 97, donne, à ce sujet, une expli- cation un peu différente de celle de M. Sattler. Il pense que les pièces en question furent frappées par la ville,

ne

au nom des évêques, dans les périodes de temps ceux-ci lui cédèrent leur droit. Il leur donne pour ce motif le nom de semi-prelatales. Quoi qu’il en soit, il est probable que la presence de la crosse de Bäle sur ces pieces a une signification et les explications des deux auteurs précités sont admissibles toutes deux, sauf, à notre avis, en ce qui concerne les lettres B-A, pour les motifs déjà indiqués.

Les bractéates dont nous venons de parler caracté- risent la deuxième période monétaire épiscopale.

La réforme religieuse fut introduite à Bale sous le règne de l’évêque Philippe de Gundelsheim, lequel aban- donna le siège de Bâle pour fixer sa résidence ordinaire à Porrentruy, ses successeurs reprirent la frappe des monnaies qui dura jusqu’à la fin du xvIne siècle et qui constitue la troisième et dernière période.

En 1585, l’évêque Jacques-Christophe de Blarer avait, par l’entremise de députés de plusieurs cantons suisses, cédé à la ville de Bâle, pour la somme de 200,000 florins monnaie bâloise, certains droits et domaines, y compris le monnayage dans ce lieu. Il ne renonçait donc pas à son droit monétaire, qu’il comptait exercer ailleurs dans son évéché et, en effet, l’année suivante, soit en 1586, il émettait ses premières monnaies frappées à Delémont ou à Saint-Ursanne. Il est vrai qu’il s’agit d’un groschen mentionné par M. Ed. Jenner, mais que nous n'avons trouvé dans aucune des collections que nous avons visi- tées. La plus ancienne pièce datée de cette époque que nous ayons rencontrée est un groschen de 1595.

Un passage du Journal de Petermann Cuenin dit : « Ressuscitant un droit qui avait été accordé aux évêques « de Bâle par les empereurs et qui était tombé en désué- « tude, il (Jacques-Christophe) fit battre de nouveau mon- « naie. Quinze ouvriers appelés par lui de l'étranger s’éta- « blirent à Delémont et frappèrent des pièces de quinze « et de six-deniers. » Les pièces de six-deniers sont des

%

demi-schilling ; quant aux pièces de quinze-deniers, soit un quart-d’écu, elles sont inconnues et le chroniqueur doit avoir fait erreur.

D’un autre cöte, M. le Dr Geigy a extrait des archives de l’évéché et publié dans le Bulletin de la Société suisse de numismatique, année 1889, page 68, une lettre de Claude Bourbeaux (il est nommé Claude Bourberain dans le Manuel du Conseil d’Etat aux archives de la chan- cellerie de Neuchatel) maitre graveur de Dijon et a Neuchatel en Suisse, adressée à l'évêque de Bale et par laquelle il lui réclame une somme de 18 écus sols 1 batz, pour avoir gravé et fabriqué les coins des pièces de trois cruches soulz de basle et de demy-soulz au buste de sainct orsonne suivant la commande qui lui avait été donnée le 3 septembre 1595, pour la monnaie de Saint- Ursanne, ainsi que les coins du taller selon les portraits qu'il Len avoit fait et la commande qu’il en avait reçue le dernier jour d'octobre 1595. Il expose à l’évêque que, n'ayant pu obtenir le paiement de cette somme du chätelain de Saint-Ursanne, il a recours à lui et men- tionne ses peines et débours, entre autres qu’il a du prendre un cheval pour aller avec son fils de Neuchâtel à Saint-Ursanne y porter les coins.

Il en résulte que l'évêque ouvrit deux ateliers none taires, l’un à Delémont, l’autre à Saint-Ursanne, ce qui peut paraître invraisemblable au premier abord. Toute- fois, nous avons trouvé aux archives de l’ancien évéché, aujourd'hui à Berne, des comptes de monnayage qui éta- blissent d’une manière certaine l'existence simultanée de ces deux ateliers. Haller dit, page 298, que Georg Vogel et Léopold Trager étaient alors monnayeurs.

Les monnaies de Jacques-Christophe portent toutes à lavers ses armes écartelées ou parti avec celles de l'évéché. (Les armoiries de l'évêché sont d'argent à la crosse de Bale de queules tournée à senestre. Cette dispo- sition n’a pas toujours été observée.et nous trouvons

= 07.

sur plusieurs monnaies et médailles la crosse tournée à dextre.) Au revers, les thaler et groschen représentent l'aigle impériale et le nom de l’empereur Rodolphe II; sur les batzen on voit la Vierge Marie tenant l'enfant Jésus et sur les schilling saint Ursanne tenant un livre et trois fleurs de lis. Cet évêque déploya une grande activité pendant un règne de trente-trois ans et fut sur- nommé le Restaurateur de l’évéché.

Son successeur, Guillaume Rinck de Baldenstein, fut, d'après une note. de Mg Vautrey, le premier évêque qui frappa monnaie à Porrentruy. Il conserva pour ses batzen et schilling les types précédents, mais sur les thaler et demi-thaler, il fit représenter Henri II, empereur d'Allemagne, autrement dit saint Henri, bien- faiteur de l'évêché, lequel rebätit la cathédrale de Bale détruite par les Hongrois et inaugurée en 1010 en pré- sence de l’empereur. C’est la raison pour laquelle on le voit sur ces pièces tenant dans la main une maquette de l’église. Au revers, l’aigle impériale et comme légende le nom de l’empereur Ferdinand II.

En ce qui concerne les monnaies qui, à côté du nume- raire spécial de l’évéque, avaient alors cours dans ses Etats, on peut consulter les édits et mandements ainsi que les listes de monnaies ayant été l’objet d’essais, tirés des archives et publiés par M. L. Le Roy dans la Revue suisse de numismatique, 1891, pages 136 à 151, et 1892, pages 119 à 127. On sera frappé de la multitude des espèces qui circulaient dans ce petit pays obligé de recevoir les monnaies de tous les Etats qui l’entouraient et incapable, probablement par suite du manque de metal, de frapper pour son commerce intérieur le numé- raire suffisant. Un mandement du 28 septembre 1623 mentionne a lui seul douze espéces d’or et vingt et une espèces d’argent. Dans ce même mandement, Guillaume Rinck se plaint « du grand et insupportable désordre « qui s’est glissé dans les monnaies, accru par l’insa-

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« tiable avarice et cupidité de certains trafiqueurs qui « font profession d’enlever en cachette les bonnes espèces « pour les transporter au dehors et rapporter d’autres « plus faibles de poids et aloi. »

Cet état de choses obligea l’évêque à établir un bureau de change, ainsi qu’on le voit par un mandement du 29 octobre 1623, lequel « ordonne que les demi-testons « ou pièces de trois-batz frappées au coin de Murbach « ou de Fribourg, faibles de poids et aloi, devront étre « portées à la banque de change établie en la ville de « Porrentruy, elles seront changées contre 6 rappes « ou 1 sol; chacun est d’ailleurs autorisé 4 les accepter « pour cette valeur, de méme que les pièces d’un-batz « frappées aux coins des cantons suisses, ceux-ci pour « la valeur de 4 rappen 8 deniers, jusqu’à ce qu’il en « soit ordonné autrement et ce en considération que « jusqu’a présent il n’a pu être battu de la petite monnaie « en suffisance. » Le monnayeur du prince-évéque à Por- rentruy était alors Nicolas Haas.

Jean-Francois de Schònau, qui n’occupa le siège que pendant cing ans, soit de 1651 à 1656, frappa des thaler et des pièces de un-batz d’un type analogue à celles de son prédécesseur et, en outre, des ducats de 1654 et des bracteates rondes à ses armes, de bas aloi, nommees schwarzpfennig, telles que plusieurs Etats en frapperent encore au xvrie siècle. Un coin de l’avers du thaler se trouve dans les archives de la bourgeoisie de Porrentruy.

Jean-Conrad Ie de Roggenbach émit aussi des ducats de 1602, des batzen a la Vierge et un schwarzpfennig a ses armes. Ces monnaies, surtout les batzen, sont d’une frappe très defectucuse.

Après une interruption d'un demi-siècle, Jean-

Conrad II de Reinach-Hirzbach reprit la frappe des mon- naies dont le besoin se faisait de plus en plus sentir. Il fit frapper des monnaies d’or, d’argent et de cuivre

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et défendit de sortir ces metaux du pays. Il obligea de les vendre à son hôtel monétaire et toléra que les favo- risés de la cour portassent 4 la Monnaie leur vieux cuivre pour le convertir en batzen et demi-batzen, ce qui multi- plia le billon et procura aux privilégiés un bénéfice de 25 à 30°. (Quiquerez, Histoire des troubles dans l’évéché de Bâle en 1740, page 24. Mandement du fer janvier 4717 : Verbot des Verkaufes von Bruchsilber und Kupfer an andere Personen, als die vom Fürstbischofe bestimmten. Verbot des Aufwechsels von Silber, etc.)

Les procédés de l’évêque pour obtenir le métal néces- saire à cette frappe sont encore confirmés par la chro- nique d’un auteur inconnu et publiée par le Courrier du Jura, 8 février 1859, qui dit : « Il est à noter que toutes a les vieilles pièces ont été fondues et beaucoup de gens « ont vendu leur argenterie aussi bien que leurs chau- « dieres de cuivre. » Cette mise au creuset des anciennes monnaies explique la grande rareté des thaler et autres monnaies des prédécesseurs de Jean-Conrad.

L’évéque chargea successivement de la frappe des. monnaies Braun de Lucerne, l’orfèvre Münch, puis Guil- laume Krauer (ou Grauer, ou Crauer), directeur des mon- naies de la ville de Sion. Celui-ci avait alors comme éléve Jean-Charles Hedlinger, de Schwytz, qui devint plus tard le cel&bre graveur de la cour de Suede. Krauer vint en 1710 s’&tablir comme graveur et orfèvre à Lucerne, il obtint la direction de la Monnaie, puis à Montbéliard et à Porrentruy. Hedlinger le suivit partout et, grace a son talent, fut chargé par son maitre de la gravure des coins de ces différents ateliers. On peut lui attribuer, parmi les monnaies de Jean-Conrad II, les coins du double-ducat, du ducat et du thaler de 1716; le premier seul porte la marque du graveur, H. D’autres monnaies, les pièces de douze et de six-kreuzer de 1725 et 1726 portent également la lettre H, mais elles ne peuvent avoir été gravées par lui, puisqu'à ce moment il était

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absent du pays; elles sont d’ailleurs d’un travail plus grossier que les premières. On pourrait les attribuer à son frère aîné, Joseph-Antoine, qui, d’après la biogra- phie du ınedailleur Jean-Charles Hedlinger, par Jean Amberg, travailla également avec Krauer et fut appele en 1725 à’ Porrentruy comme maitre de la Monnaie. (Bulletin de la Société suisse de numismatique, 1885, page 11.)

L’atelier monétaire était install& au Chateau ; il fut res- tauré en 1787, mais il a depuis été rasé. (Quiquerez, Ville et château de Porrentruy, page 217.)

Jean-Conrad est le premier évéque qui émit des mon- naies à effigie. Disons tout de suite que son portrait varie tellement d’une pièce à l’autre qu'on dirait autant de souverains différents. Il paraît avoir eu l'intention de faire une monnaie équivalente à la monnaie de compte, soit la livre; ce qui en témoigne, c’est la pièce décrite et représentée sous 176, qui est généralement envisagée comme vingt-schilling. Nous n'en avons vu qu’un seul exemplaire, au Musée de Winterthour; sa bonne conser- vation nous fait supposer que la pièce n’a pas circulé et qu'il s’agit seulement d’un essai; nous ignorons s’il existe de ces monnaies dans d’autres collections. (Voir la note qui accompagne le 176.)

Jean-Conrad émit aussi des groschen, dont on n'avait plus frappé depuis Christophe de Blarer. Ils ont avec les pièces de vingt-schilling cette analogie qu'ils sont de la même année, 1718, qu'ils portent au revers le nom de l'empereur Charles VI et que les pièces sont un peu ovales.

A part les valeurs déjà indiquées, il frappa encore des quarts-de-thaler, des pièces de vingt, douze, six et un-kreuzer à son effigie, des batzen et demi-batzen, de nombreux schilling au type de Saint-Ursanne et des rappen nommés aussi souvent vierer.

Les dernières monnaies qu'il frappa furent des batzen

4

et demi-batzen de 1733 qui se distinguent de ceux de la série de 1717 4 1719 en ce qu’ils sont plus petits et sont faits de bon billon, contenant méme approximativement moitié d’argent, ainsi que nous avons pu le constater, tandis que les premiers sont en cuivre. Leur petit module et leur caractère different des précédents (voir nes 195 et 204) eurent probablement pour effet d’en rendre l’accep- _ tation difficile dans le commerce, car le 15 janvier 1735, le prince publie un placard « avec figure d’une nouvelle « pièce épiscopale de 10 rappen de 1733 afin que les « sujets la recoivent à sa valeur réelle. » |

La monnaie de Jean-Conrad était de bon aloi et bien recue partout. Jl en fut fait une frappe considérable. Une bonne partie des cöins existent encore à Porrentruy aux archives de la bourgeoisie, mais, faute de soins, ils ont été complètement détériorés par la ronille. On y trouve entre autres ceux du demi-thaler de 1717 (avers), quart-de- thaler 1747, vingt-schilling 1718 (avers), groschen 1718 (avers), ainsi que ceux des pièces de vingt, douze, six et un-kreuzer, schilling et rappen, en tout cinquante coins. Quiquerez dit (Histoire des institutions, etc., page 85) : « une quarantaine de coins gravés alors a par d’habiles artistes, tels que MM. Münch, orfevre « a Lucerne, Graun (Krauer) de la méme ville, Jos. « Ethinger (Hedlinger) de Schwytz, existent encore « aux archives de la ville de Porrentruy, nous les «a avons nettoyés et graissés, après en avoir pris l’em- « preinte. Nous avons méme obtenu la permission de e faire frapper quelques pièces à la Monnaie a Berne. « Mais les plus grands coins, destinés à des écus, n’ont « pu étre usagés, parce que la partie gravee est demi- « cylindrique et qu’il faudrait des appareils spéciaux « pour les emplover. »

Une cinquantaine d’années plus tard, Joseph-Sigismond de Roggenbach reprit le monnayage. Par un mandement daté du 9 avril 1787, il interdit « l’agiotage et le change

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« fait pour sortir de ses Etats les menues monnaies « y coursables jusque-là. » Il annonce également qu'il a fait fabriquer des monnaies à l’etranger et qu'il a ordonné l'érection d’un hôtel dans ses Etats. D’après le témoignage du P. jésuite Voisard, les premières pièces furent frappées à Soleure et elles arrivèrent a Porrentruy vers la fin de décembre 1786. C'était des

pièces de vingt-quatre-kreuzer du poids de 4 gr. !/s et .

de douze-kreuzer pesant 2 gr. '/s. Les frappes ultérieures durent quand même être faites à Porrentruy, car en date du 30 juillet 1787 l’évêque annonce le prochain réta- blissement de l'hôtel des monnaies, il fait défense aux Juifs d'acheter de l'argent et du cuivre dans les Etats de la principauté de Bâle et il invite ses sujets à livrer l'argenterie et le cuivre qu'ils désirent vendre au directeur de la Monnaie, qui leur paiera la marchandise à juste valeur. Le directeur de la Monnaie était Joseph-Antoine Kohler, lequel portait le titre de directeur d'économie et des monnaies. C'était le grand-père de M. Xavier Kohler et l'arrière grand-père de M. Adrien Kohler à Porrentruy, possesseur actuel d’une partie des coins qui ont servi à la frappe des pièces de vingt-quatre et douze-kreuzer et de un et demi-batz. Les autres sont au Musée de l’école cantonale de Porrentruy.

Une medaille octogonale en argent, signée Traiteur, consacre le souvenir de cette réorganisation de la mon- naie de l’évéché; elle porte comme légende : REM NVMARIAM RESTITVIT ANNO MDCCLXXXVIII. Les monnaies de Joseph de Roggenbach étaient de bon aloi; elles furent trés recherchées dans tous les pays voisins et surtout en France elles circulérent librement. Ce furent les derniéres frappées par les princes-évéques de Bale (Vautrey).

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Liste des princes-evéques de Bale, d’apres Trouillat.

Les évéques dont le nom est marqué d’une astérique* sont ceux dont on a des monnaies; le signe ? indique ceux auxquels on attribue aussi des monnaies, mais sans certitude.

Periode gallo-romaine. 1. Justinianus, 346. 2. Saint Pantale, 453.

Periode franque.

3. Ragnachaire, 618. 8. Udalric, 823. 4. Valan, 731. 9. Fredebert, 859. 5. Baldebert, 751. 10. Adalvin, 876. 6. Waldon. 11. Rodolphe, 884. 7. Hatton ou Otto I, 802-822.

Periode burgonde.

12. Iringue ou Fringus, 895. 15. Landelaus, 961. 13. Adalbero I, 916. *16. Adalbéro II, 999. 14. Wichardus, 948. 17. Adalbéro III, 1004.

Période germanique.

*18. Udalric II, 1025-1040. *19. Théodoric ou Thierry, 1041-1055. *20. Bérenger, 1057-1072. 21. Bourkard d’Asuel (Hasenburg), 1072-1107. ° *22. Rodolphe II de Homburg, 1107-1122. 23. Berthold de Neuchätel, 1122-1134. 24. Adalbéro IV de Froburg, 1134-1137. 25. Ortlieb de Froburg, 1137-1164.

REVUE NUM. T. XIII. 3

da

. Louis de Froburg, 1164-1176.

. Hugues d’Asuel, 1176-1177.

. Louis de Froburg (réintégré), 1178-1179.

. Henri I de Horburg, 1180-1189.

. Lutold I de Röteln, 1191-1213.

. Walter de Röteln, 1213-1215.

. Henri II de Thoune, 1215-1238.

. Lutold II d’Arberg, 1238-1249.

. Berthold II de Ferrette (Pfirdt), 1249-1262. . Henri III de Neuchâtel, 1262-1274.

. Henri IV d’Isny (Gurtelknopf), 1275-1286.

. Pierre I de Reichenstein, 1286-1296.

. Pierre II d’Aspelt, 1297-1305.

. Othon de Grandson, 1306-1309.

. Lutold III de Röteln, 1309.

. Gérard de Wuippens (Wippingen), 1310-1325. . Hartung Münch, 1325.

. Jean I de Chalons, 1327-1335.

. Jean II Senn de Munsingen, 1335-1365.

. Jean III de Vienne, 1366-1382.

. Imier de Ramstein, 1382-1391.

. Frédéric de Blankenheim, 1391-1393.

. Conrad Munch, 1393-1395.

. Humbert de Neuchatel, 1395-1418.

. Hartmann Münch, 1418-1423.

. Jean IV de Fleckenstein, 1423-1436.

. Frederic II Ze Rhein, 1437-1451.

. Arnold de Rothberg, 1451-1458.

. Jean V de Venningen, 1458-1478.

. Gaspard Ze Rhein, 1479-1502.

. Christophe d'Utenheim, 1502-1527.

. Philippe de Gundelsheim, 1527-1554.

. Melchior de Lichtenfels, 1554-1575.

. Jacques-Christophe de Blarer de Wartensee, 1575-1608. . Guillaume Rinck de Baldenstein, 1608-1628. . Jean-Henri d’Ostein, 1628-1646.

. Béat-Albert de Ramstein, 1645-1651.

. Jean-Francois de Schönau, 1651-1656.

. Jean-Conrad I de Roggenbach, 1656-1693.

3

65. Guillaume-Jacques Rinck de Baldenstein, 1693-1705. *66. Jean-Conrad II de Reinach-Hirzbach, 1705-1737.

67. Jacques-Sigismond de Reinach-Steinbrunnen, 1737-1743.

68. Joseph-Guillaume Rinck de Baldenstein, 1744-1762.

69. Simon-Nicolas de Montjoie, 1762-1775.

70. Frédéric de Wangen, 1775-1782. *71. Joseph-Sigismond de Roggenbach, 1782-1793.

72. Francois-Xavier de Neveu, 1794-1815.

73. Jos.-Antoine Salzmann, 1828-1854.

Abreviations et explications.

Dannenberg. = Die Münzen der deutschen Schweiz zur Zeit der sächsischen und fränkischen Kaiser, dans la Revue suisse de numis- matique, année 1903.

Bull. s. num. = Bulletin de la Société suisse de numismatique.

Rev. s. num. = Revue suisse de numismatique.

Meyer, B. = Die Bracteaten der Schweiz.

Meyer, D. u. B. = Die Denare und Bracteaten der Schweiz.

Morel-Fatio. Monnaies suisses de la trouvaille de Saint-Paul.

M. nat. = Collection numismatique du Musée national suisse à Zurich.

M. Wint. = Collection numismatique du Musée de Winterthour.

M. Ch.-d.-F. = Musée de La Chaux-de-Fonds.

Coll. A. M. = Collection de l’auteur.

Les prix sont ceux des catalogues de vente ou des ventes aux enchéres depuis 1900 et concernent des exemplaires bien conservés.

36

Monnaies des princes-évêques de Bâle.

*

DEMI-BRACTEATES

Adalbéro II ou III (999-1025).

1. Demi-bractéate. Argent.

A. ADAL....EP Dans un cercle perlé, une croix can- tonnée de quatre points.

À. BAWILE...G Dans un cercle perlé, un dessin repré- sentant peut-être un temple.

Dannenberg, Revue suisse de numismatique, 1903, p. 349.

2. Demi-bracléate. Argent.

À. + ADE...P Dans un cercle perlé, une croix enca- drée de quatre arcs de cercle.

8. Un temple avec l'inscription BAS—LEA en deux lignes.

Dannenberg, p. 350.

er

3. Demi-bracteate. Argent.

À. ....OCPw Dans un cercle perlé, une croix can- tonnée de quatre anneaux.

R. BSA... Dans un cercle, un carré avec des anneaux aux angles et au milieu. Dannenberg, p. 351.

4. Demi-bractéate. Argent.

4. A. Inscription illisible ; croix dans un cercle perle. BR. ...0€... Dans un cercle perlé, un triangle avec

des anneaux aux angles et au milieu. Dannenberg, p. 352.

Adalric ou Udalric (1025-1040).

5. Demi-bracléale. Argent.

dia

A. + ADELRIC.... Une croix cantonnée de quatre points dans un cercle perle.

R. + BASIL...... AS Portique a toit pointu dans un cercle perle.

Dannenberg, p. 352.

6. Demi-bractéate. Argent.

À. ...ICVS ® Une croix dans un cercle perle. À. BA....IVIT Dessin représentant peut-être un temple dans un cercle perle.

Dannenberg, p. 353.

7. Demi-bractéate. Argent.

À. ....€ + Une croix cantonnée de quatre points dans un double cercle perle.

À. ...SILEA CIVI Dessin analogue à celui du 6, dont il n’est problablement qu’une variété, quoique le nom de l’évêque ne soit pas lisible.

Dannenberg, p. 353. Morel-Fatio, p. 385 et pl. XII, 35. Meyer, pl. IV, 17.

085,53.

= >

8. Demi-bractéate. Argent.

À. ...DELPICVS EP Dans un cercle perlé, une croix avec des dessins en forme d'Y dans les angles.

R. + BAS.LEA C....S Dans un cercle perlé, un temple.

Dannenberg, p. 353.

9. Demi-bractéate. Argent.

A. M®DAL...S Une croix dans un cercle perle. R. + BAS...IVIT Dans un cercle perle, un temple.

Dannenberg, p. 353.

Théodoric (1041-1055).

Les monnaies de Théodoric, dont la plupart ont été trouvées à Rome en 1843, en démolissant l’ancienne basilique de Saint-Paul, sont les plus nombreuses. Elles portent généralement a l’avers le nom de THEODERICVS disposé en croix avec de petites croix dans les angles ; au revers se trouve le mot BASILEA également en croix avec de petits temples dans les angles. La description

i

de ces pièces est difficile a donner ; nous nous bornons a les reproduire d’apres H. Meyer, Die Denare und Brac- teaten der Schweiz, et Morel-Fatio, Trouvaille de St-Paul, Revue numismatique francaise, 1849.

Le Musée national à Zurich possède cinq variétés de ces pièces, dont le poids varie de 097,38 à Ogr,68.

10. Demi-bractéate. Argent.

D’aprés Meyer, D. u. B., pl. IV, 5. Dannenberg, p. 354.

11. Demi-bracteate. Argent.

D’aprés Meyer, D. u. B., pl. IV, 6.

12. Demi-bractéate. Argent.

D’après Meyer, D. u. B., pl. IV, 7.

4

13. Demi-bracteate. Argent.

D'après Meyer, D. u. B., pl. IV, 8.

14. Demi-bractéate. Argent.

D'après Meyer, D. u. B., pl. IV, 9.

15. Demi-bractéate. Argent.

D'après Meyer, D. u. B., pl. IV, 10. Dannenberg, p. 355.

16. Demi-bractéate. Argent.

D'après Meyer, D. u. B., pl. IV, 11.

sa ha

17. Demi-bractéate. Argent.

D'après Morel-Fatio, pl. X, 2.

18. Demi-bractéate. Argent.

D'après Morel-Fatio, pl. X, 3.

19. Demi-bractéate. Argent.

D'après Morel-Fatio, pl. X, 6.

20. Demi-bractéate. Argent.

N) by di,

yh Vu i

D’apres Morel-Fatio, pl. X, 7.

N. ee

21. Demi-bractéate. Argent.

D’aprés Morel-Fatio, pl. X, 8.

22. Demi-bracléale. Argent.

D’après Morel-Fatio, pl. X, 9.

23. Demi-bractéate. Argent.

SUITE) ie Mint MASSE 5 \ NV NU DE è

D’aprés Morel-Fatio, pl. X, 10.

24. Demi-bractéate. Argent.

N D Ò

SUN OO

SAAN NS

NN

D'après Morel-Fatio, pl. X, 11.

25. Demi-bractéate.

Morel-Fatio, p. 383 et pl. XI, 21.

26. Demi-bractéate.

Morel-Fatio, p. 383 et pl. XI, 22. Dannenberg, p. 411.

27. Demi-bractéate. Argent.

Morel-Fatio, p. 385 et pl. XI, 23. Dannenberg, p. 410.

Bérenger (1057-1072).

28. Demi-bractéate. Argent.

45

A. BERE Dans le champ deux petites croix.

R. Un temple.

Morel-Fatio, pl. X, 13. Meyer, D. u. B., pl. IV, 12. Dannenberg, p. 356.

087,52.

29. Demi-bractéate. Argent.

A. B...EN Une croix cantonnée de quatre points et entourée de quatre demi-cercles; le tout dans un

cercle perlé. A. Dans un encadrement en forme d’écusson, BAS_EA

en deux lignes. Morel-Fatio, pl. XI, 14, et pp. 386 et 387. Meyer, B., pl. II, 106. Dannenberg, p. 356.

30. Demi-bractéate. Argent.

A. EP... Une croix cantonnée de quatre points et entourée de quatre demi-cercles; le tout dans un cercle perlé.

AR. BAS_LEA en deux lignes.

Meyer, B., pl. II, 105. La description qu’il donne sous 24, p. 59, D. u. B., paraît se rapporter à une variété de cette piece. Morel-Fatio, pp. 386 et 387.

ss Aa

Rodolphe de Homburg (1107-1122).

31. Demi-bractéale. Argent.

D) ì = a

è

a | os = SNS ° na = = Ve 'S à = on t ni = à Ve 4 Ì

7 ha 7 4 È 4 =

oS AAAS

A. BASILEA # Inscription en cercle; au milieu dans un cercle perlé, R

R. Un temple ?

Morel-Fatio, pl. XI, 16. Meyer, D. u. B., p. 58. -- Meyer, B., pl. II, 107. Dannenberg, p. 357.

Certaines de ces piéces n’ont, parait-il, pas de revers; celle décrite par Meyer est dans ce cas, c’est pourquoi Morel-Fatio, p. 387, à tort selon nous, la dénomme bractéate au lieu de demi- bractéate.

M. Wint., 3 var. M. nat., 4 var., 087,46 à 085,53.

Pièces avec le mot BASILEA mais sans nom d’évêque.

Les demi-bractéates suivantes ne portent pas de nom d’évéque; il n’est donc pas possible de les attribuer. La plupart laissent voir le mot BASILEA plus ou moins distinctement et divers dessins, qui ont été envisagés comme des temples ou des fragments d’édifices par les auleurs qui ont decrit ces monnaies. Nous renoncons a en donner la description; elles sont reproduites d’aprés Morel-Fatio.

—_ 47

32. Demi-bractéate. Argent,

Morel-Fatio, p. 385 et pl. XII, 36.

33. Demi-bractéate. -- Argent.

Morel-Fatio, p. 383 et pl. XI, 20. Dannenberg, p. 358.

34. Demi-bracléale. Argent.

Meyer, D. «. B., pl. IV, 15. Dannenberg, p. 359.

La pièce suivante, qui se trouve au Musée historique de Berne, nous parait, par son caractère, pouvoir être classée avec certitude parmi celles de l'évêché de Bale. Elle est frappée des deux côtés, ce qui nous oblige a l'admettre parmi les demi-bractéates, quoique par son diametre et son type, elle se rapproche un peu des

cl AD ce bractéates pures. Elle porte des traces de martelage

comme les demi-bractéates. La piéce a bougé pendant la frappe et l’empreinte est double.

35. Demi-bractéate. Argent.

A. Une tête d’eveque mitrée de face; à gauche, une crosse.

R. B.

Musée de Berne, 085,30.

Pièces attribuées à l’évêché de Bale, mais douteuses.

Pour les pièces suivantes, nous indiquons seulement les auteurs qui les ont signalées et es nous renvoyons le lecteur.

36. Demi-bractéate. Argent.

Meyer, D. «. B., pl. VI, 129.

ul

49

37. Demi-bractéate. Argent.

Meyer, D. u. B., pl. IV, 13. Morel-Fatio, pl. XI, 17. Dannenberg, p. 409.

38. Demi-bractéate. Argent. 2 73% fi

te

Meyer, D. u. B., pl. IV, 14. Morel-Fatio, pl. XI, 18. Dannenberg, p. 410.

39. Demi-bractéate. Argent.

Meyer, D. u. B., pl. VI, 127. Dannenberg, p. 411. M. nat., 087,52.

REVUE NUM. T. XIII. 4

40. Demi-bractéate. Argent.

Meyer, D. «. B., pl. VI, 130. Dannenberg, p. 412.

Il se trouve en outre au Musée national, à Zurich, une série de demi-bractéates qui ont été classées par M. le Dr H. Zeller-Werdmiiller parmi celles de l’évéché de hale. Elles représentent, d’après lui, soit un camp fortifié, soit une ville ou un bourg, soit un édifice; elles portent des traces d'inscriptions, mais qui ne permettent pas de reconstituer des noms. Nous n’en avons trouvé la description dans aucun auteur et nous ignorons pourquoi M. Zeller-Werdmüller les a classées ; celles marquées + À proviennent de la collection des Archives fédérales, celles marquées A. G. de la collection de l’Antiquarische Gesellschaft de Zurich.

M. Dannenberg, à Berlin, à qui nous avons commu- niqué les descriptions et des dessins de ces pièces, a bien voulu nous répondre qu’à son point de vue, elles sont éminemment d'origine et de fabrication suisse, toutefois qu'on ne peut pas les admettre avec certitude pour bäloises ; elles pourraient aussi concerner Zurich. Sur son conseil, nous les mentionnons et figurons sous nos 41 à oÙ, mais comme douteuses.

En tous cas, nous n'avons pas hésité à en éliminer celles marquées A. G. 514, 522, 523 et 524, sur lesquelles M. Zeller-Werdmiller a cru voir d'un côté un édifice et de l’autre une croix fleurdelisée (?) ainsi que T'bV qui pourrait alors très bien signifier Thuregum. Pourquoi ne pas les attribuer plutôt à Zurich ?

Les nos À. G. 510 et 518, sur lesquels on peut assez

m 5]

bien lire QI et HI, nous paraissent devoir aussi être mis de côté, ces lettres, comme qu'on les complete, ne pouvant pas fournir ni BASILEA ni un nom d’évéque de l'époque.

Il reste ainsi les dix numeros suivants, dont le type principal est une enceinte avec portes surmontées d’un fronton triangulaire ; quelques-unes laissent voir à gauche et à droite des tours ou colonnes se terminant en forme de fleurs de lis. Les trois premieres sont bifaces et portent à l’avers les lettres B, V, C, 1(?) A (?) dont da signification nous échappe. Elles ont beaucoup d’analogie avec la demi-bractéate représentée par Meyer, pl. VI, 127. Les autres nous paraissent unifaces, c’est-à-dire que nous croyons voir au revers le dessin en creux de avers. M. Zeller-Werdmüller, au contraire, dans la description qu'il en donne dans le catalogue du Musée national, v voit un revers différent de l’avers.

41. Demi-bractéate. Argent.

M. nat. + A. 1892, 087,55.

42. Demi-bracléate. Argent.

5

43. Demi-bractéate. Argent.

M. nat. A. G. 511, 085,38.

44. Demi-bractéate. Argent.

M. nat. A. G. 506, 087,244,

45. Demi-bractéate. Argent.

M. nat. A. G. 507, Oer,52.

46. Demi-bractéate. Argent.

M. nat. A. G. 508, 087,52.

u a

47. Demi-bractéate. Argent.

M. nat. A. G. 509.

48. Demi-bractéate. Argent. |

M. nat. A. G. 512, 087,38,

49. Demi-bractéate. Argent.

M. nat. A. G. 527, 087,52.

54 BRACTEATES

Nous avons classé les bractéates dans l’ordre suivant :

1. Celles qui ont été, à raison ou à tort, attribuées à certains évéques, 51 à 72. Voir texte, p. 18.

2. Celles qui ne portent ni lettres, ni signes, permettant de les attribuer, ns 73 a 85.

3. Celles qui portent une ou deux crosses de Bäle, indi- quant peut-étre le contröle de la ville, ns 86 a 89. Voir texte, p. 24.

4. Celles portant les lettres B—R, frappées à Brissach, nos 90 et 91.

5. Une incertaine, 92.

51. Bractéate. Argent.

Téte mitrée d’évéque, de face et entre deux calices.

H. Meyer, B., pl. II, 120, dit qu’elle est mentionnée dans le catalogue de von Wellenheim, Vienne, 1844, comme étant de l’évéque Henri de Horburg. ea

M. nat., trouvaille de Wolzen, 1869, 5 var., 085,28 à 087,35. M. Wint., 2 var. M. Ch.-d.-F. Fr. 6.—

52. Bractéate. Argent.

LVTOLD Tcte mitrée de face. HI. Meyer, B., pl. II, 108. M. nat., 08°,36.

NE A

Il y a eu trois évéques de ce nom.: Lutold I de

Röteln (1191-1213); Lutold If d’Arberg (1238-1249) et Lutold III de Röteln (1309).

53. Bractéate. Argent.

Variété de la précédente. H. Meyer, B., pl. II, 109. C’est probablement la möme qui est représentée dans Berstett, pl. XX, 3. M. nat., 087,34.

54. Braciéale. Argent.

Tête mitrée, tournée à gauche et surmontée d’une étoile. La mitre est ornée devant et derrière de trois perles superposées qui représentent les houppes de la mitre; de chaque côté, B—A (Basilea).

H. Meyer, B., pl. II, 125. Attribuée à Henri de Thoune à cause de l'étoile qui figure dans ses armoiries ; il en est de même pour les suivantes. La famille de Thoune blasonnait de gueules à la bande d'argent chargée d'une étoile de sable.

M. nat., 4 var. Coll. A. M., 087,36. Fr. 1.80

55. Bractéate. Argent. Téte d’eveque, à droite une étoile, B—A Mentionnée par H. Meyer, B., sous 15, p. 53.

ui e

56. Bractéate. Argent. Tête d’évéque entre deux étoiles, B—A Mentionnée par H. Meyer, B., sous 16, p. 53.

57. Bractéate. Argent.

J 7.

Tête d’eveque mitrée, tournée à gauche; de la mitre pendent deux rubans à droite; à gauche, devant la figure, une étoile.

M. nat., 2 var., 08",40 et 085,30. . Fr. 5.—

58. Bractéate. Argent.

Téte mitrée d’eveque, de face et entre deux tours; au dessus, une croix entre 2—N (Sanctus Nicolaus). Le tout dans un cercle perle.

H. Meyer, B., pl. II, 113.

Cette bractéate, ainsi que les suivantes, peuvent étre attribuées à l’évêque Berthold de Ferrette, lequel fit bâtir en 1250 l’église de Saint-Nicolas, au Petit-Bäle.

M. nat., 08,41. M. Wint. Helbing, vente 1898. Mk. 7.—

59. Bractéate. Argent.

==

Variete de la précédente; les deux tours semblent reliées par un portail sous lequel se trouve la téte de l'évêque. |

H. Meyer, B., pl. II, 114.

M. nat., 08r,41. M. Wint.

60. Bractéale. Argent.

Variété des précédentes ; N—2 au lieu de 2—N H. Meyer, B., pl. II, 115.

61. Bractéate. Argent.

A 67.

Tête d’eveque mitrée, de face avec la main droite

levée pour benir; à droite, une croix.

H. Meyer, B., pl. II, 130. Falkeisen attribue cette bractéate a l’évêque Henri de Neuchatel, sans dire pourquoi. Fr. 10.—

62. Bractéate. Argent.

Buste d’eveque de face, portant la mitre et tenant de la main droite une crosse et de la gauche un livre.

a

H. Meyer, B., pl. II, 131. D. «. B., pl. IV, 133. Falkeisen

l’attribue à l’évêque Henri d’Isny, sans dire pourquoi. M. nat., 3 var., 085,31 à 085,36. BM. Wint. Coll. A. M., 08,36. Cahn, vente 1904. Mk. 9.50

63. Bractéate. Argent.

Tête mitrée d’évéque à gauche; de chaque côté P—@ (Petrus); entre les pointes de la mitre, une perle.

H. Meyer, B., pl. II, 132. M. nat., 2 var., 087,33. M. Went.

Il y a eu deux évéques de ce nom : Pierre I de Reichenstein (1286-1296) et Pierre II d’Aspelt (1297-1305).

64. Bractéate. Argent.

Tête mitrée d’évéque tournée à gauche entre les lettres B—A ; entre les pointes de la mitre, un anneau. H. Meyer, B., pl. II, 126. Cette bractéate a été attribuée par Falkeisen à Pierre d’Aspelt à cause de ses armoiries qui portaient : de gueules à deux vires

(anneaux concentriques) d'argent ; il en est de même des sui- vantes.

M. nat., 8 var. Coll. A. M., 085,32. Fr. 1.50 à 2.—

59

65. Bractéate. Argent.

Variete de la précédente, des points au dessus des lettres Bet A Coll. A. M., 08°,30. Fr. 1.50 à 2.—

66. Bractéate. Argent.

Téte mitrée d’évéque tournée a gauche; derriére la tete, un anneau.

H. Meyer, B., pl. II, 128. M. nat., 087,16.

67. Bractéate. Argent.

Téte mitrée d’évéque de face et entre deux fleurs de lisi 000 H. Meyer, B., pl. II, 124.

A cause des fleurs de lis, cette bractéate a été attribuée à Jean de Chalons, qui fut également évéque de Langres; comme tel son sceau portait les armoiries de la ville de Langres : d’asur au sautoir de gueules et semé de fleurs de lis d'or.

60

68. Bracléate. Argent.

Tête mitrée d’eveque à gauche, de chaque côté I—O (Joannus); entre les pointes de la mitre, une perle.

H. Meyer, B., pl. II, 133. M. nat., 4 var., 08,28 à 087,35. Coll. A. M., 085,35. Fr. 2.—

Il ya eu trois évéques de ce nom : Jean I de Chalons (1327-1335), Jean II Senn (1335-1365) et Jean III de Vienne (1366-1382).

69. Bractéate. Argent.

Tête mitrée d’évéque de face; de chaque côté I-0 Trachsel, Unedierte Bracteaten, pl. IV, 27. Rare. Fr. 25.—

70. Bractéate. Argent.

Téte mitree d’évéque de face et entre deux roses. H. Meyer, B., pl. II, 121.

64

Wurstiesen l’attribue à Jean Senn à cause des roses qui d’après lui figurent dans les armoiries de cet évéque, ce qui n’est pas exact; ses armes étaient de gueules au chef et au pal d’argent.

M. nat., 2 var., 087,32 à 087,34. Fr. 2.—

71. Bracleate. -- Argent.

Variete de la précédente. H. Meyer, B., pl. II, 122.

72. Bractéate. Argent.

Variété des précédentes.

H. Meyer, B., pl. II, 123. M. nat., 087,24.

73. Bractéate. Argent.

Téte mitrée d’évéque tournée A gauche entre les lettres B—A La mitre est ornée devant et derriere de trois perles superposées.

H. Meyer, B., pl. II, 116.

M. nat., 4 var. Coll. A. M., 087,37. Fr. 1.50 à 2.—

74. Bractéale. Argent.

E p “7 .

Variété de la précédente; les lettres B—A sont pas- sablement plus petites. Coll. A. M., 08,34. Fr. 1.50 à 2.—

75. Bractéate. Argent.

Variété des précédentes; il n’y a de perles qu'aux pointes de la mitre.

H. Meyer, 2., pl. II, 117. M. nat., 2 var.

76. Bracléate. Argent.

Tete d’eveque mitrée de face entre les lettres B—A IL. Meyer, B., pl. II, 129.

77. Bractéate. Argent.

63

Deux tours surmontées de boules et reliées par des arcs de cercle surmontés d’une croix; entre deux une téte d’évéque mitrée de face. Le tout dans un cercle perlé. Type rappelant celui du 58, mais dessin different et pas de lettres S—N

Coraggioni, pl. XXVII, 32. Dr A. Burckardt, Bracteatenfund von St. Johann in Basel, Bull. s. num., année, p. 106, pl. VI, 1.

Musée de Bale, 087,36. Fr. 5.—

78. Bracteate. Argent.

Tete d’evöque mitrée, de face, entre deux crosses. H. Meyer, B., pl. II, 112. M. nat., trouvaille de Wolzen, 1869, 087,33.

79. Bracléate. Argent.

Téte mitrée d’évéque a droite; entre les pointes de la mitre, une perle; à droite, une crosse d’évéque. Certains auteurs ont vu, à gauche, une seconde crosse dont la volute serait cachée derrière la tête ; à notre avis, il faut plutôt voir dans ce dessin un peu confus des rubans qui pendent du haut de la mitre, tels qu’on les remarque distinctement sur les pièces nes 57 et 81. H. Meyer, B., pl. II, 136. Fr. 1.50 & 2.—

Ber a 80. Bractéate. -- Argent.

do.

Comme la précédente, mais retournée ; téte à gauche. H. Meyer, B., pl. II, 137.

M. nat., 14 var., 085,15 à 087,23. Coll. A. M., 087,24. Fr. 1.50 à 2.—

- 81. Bractéate. Argent.

Tête d’évéque tournée à droite; des rubans pendent

de la mitre à gauche; à droite, une crosse. Le tout dans un cercle perlé.

H. Meyer, D. u. B., pl. IV, 22. M. nat., trouvaille de Wolzen, 1869, 7 var. M. Wint.

82. Bracteale. Argent.

Tête mitrée d’eveque de face entre une crosse a gauche et une palme à droite. H. Meyer, B., pl. II, 138.

2:05 i

83. Bracteate. Argent.

Téte mitrée d’évéque à gauche entre deux croix.

H. Meyer, B., pl. II, 139. M. nat., trouvaille de Wolzen, 5 var., 085,15 à 085,34. Coll. A. M., 087,33. Fr. 1.50 à 2.—

84. Bracléate. Argent.

Téte d’évéque mitrée de face, entourée de cing arcs de cercle perles.

H. Meyer, B., pl. II, 140. M. nat., trouvaille de Wolzen, 4 var., 081,33 à 087,36.

85. Bractéate. Argent.

Buste d’évéque mitré de face, tenant dans chaque main un globe impérial ; au dessus, une ligne ondulée.

M. nat., trouvaille de Wolzen, 087,37.

REVUE NUM. T. XIII. 5

= =

86. Bractéate. Argent.

Téte d’eveque mitrée tournée à gauche entre une crosse de Bale à gauche et la lettre B à droite.

H. Meyer, B., pl. II, 110. Fr. 1.50 à 2.—

87. Bractéate. Argent.

Variété de la précédente. | H. Meyer, B., pl. II, 111. Fr. 2.50 à 3.—

88. Bractéate. Argent.

Tête d'évêque mitrée à gauche entre deux crosses de Bale.

H. Meyer, B., pl. II, 134, qui l’attribue faussement à la ville de Bale.

M. nat., 4 var., 087,18 à 087,25. Coll. A. M., 08,80. Fr. 1.50

= ye

89. Bractéate. Argent.

Comme la précédente; un anneau entre les pointes de la mitre.

H. Meyer, D. u. B., pl. IV, 21. M. nat., 08',25. Fr. 1.50

90. Bractéate. Argent.

Téte d’évéque mitrée a gauche entre les lettres B—R (atelier monétaire de Brissach); entre les pointes de la mitre un anneau; le tout dans un cercle perlé.

H. Meyer, B., pl. II, 118.

91. Bractéate. Argent.

Téte d’évéque mitrée a gauche entre les lettres B—R

H. Meyer, B., pl. II, 119. M. nat., 087,16.

68

92. Bractéate. Argent.

Tête d’eveque mitrée à gauche entre les lettres h—S (Henricus ou Henricus Sanctus); entre les pointes de la mitre un anneau ; le tout dans un cercle perlé.

H. Meyer, qui la représente pl. II, 135, dit qu'on ne peut pas l’attribuer avec certitude à l’evöche de Bâle, à cause de son type different des autres bractéates ; pourtant elle s’est rencontrée avec beaucoup d’autres bractéates de l'évêché de Bâle dans la trouvaille de Wolzen, en 1869.

M. nat., 0,835.

Monnaies de Jacques-Christophe de Blarer de Wartensee (1575-1608).

Armoiries : D'argent au coq hardi el chantant de gueules portant sur la créle et sur la barbe une petite croix d’or.

69 93. Thaler 1596. Argent.

>}

<a" ©

À. + 1ACOB + CHRIS + D + G + EPS + BASILIENSIS + Les armoiries écartelées de l'évêché et du prince, surmontées de la mitre accostée à dextre de la crosse ; de la mitre pendent à gauche et à droite de l’ecusson deux rubans. En haut, 15—96.

à. - RVDOLPHI + II + IMP + AVGVS + P + F + DE CRETO - L’aigle impériale surmontée d’une cou- ronne coupant la légende.

Berstett, pl. XX, 12.

O. Helbing & Munich, vente de novembre 1898, 2430, frappé en double-thaler, pl. V. Mk. 3350.—

94. Batz 1598. Billon.

À. IA + CHR + D + G + EPS + BASILIENS + Armoi- ries : parti de l’évéché et du prince; de chaque cote de l’'écusson, une croix et, au dessus, - 98 -

70

À. + AVE + MARIA - GRATIA - PLE - La Vierge Marie debout tenant l'enfant Jésus, sur un fond rayonnant; a ses pieds, un croissant.

Coraggioni, 29, pl. XI. M. Wint., frappe en argent.

95. Groschen s. d. Argent. À. IA - CHR-D- G- EPS - BASILIENSIS Les armoi- ries écartelées de l’öveche et du prince. $. : RVDO + IT + IMP + AVG +P+F: D: L'aigle impériale portant sur la poitrine le chiffre 3 (kreuzer). Coll. A. M., 181,90. Fr. 15.—

96. Groschen s. d. Argent.

Semblable au 95.

À. + IA +: CHR - D - G - EPS - BASILIENS :

À. + RVDO + II + IMPE + AVG +P+F+0D +

Coll. A. M., 187,94. Fr. 15.—

97. Groschen s. d. Argent. Semblable au 95. À. IA +: CHR - D - G - EPS - BASILIENS RB. RVDO + Il + IMPE + AVG+ P+ F. D Coll. G. Gallet, 2er 02. Fr. 15.—

98. Groschen 1586.

Mentionne par Ed. Jenner.

ae) RER

99. Groschen 1595. argent Semblable au 95. À. +: IA: CHR: D: G: EPS: BASILIENSIS - 2 - De chaque côté de l’écusson, 9—5 8. + RVDOL + II + IMPE + SEMP + AVG +

Coll. Th. Grossmann, 185,90. Rare avec ce millésime.

100. Groschen 1596. Argent. Semblable au 9. A. + IA + CHR + D + G + EPS + BASILIENSIS De chaque côté de l’écusson, 9—6 À. RVDO + II + IMP+ AVG+P+F+DE+ Berstett, pl. XX, 13. M. nat., 3 var., 187,76, 1,80, 1,78. M. Wint., 3 var. Fr. 15.—

101. Groschen 1596. Argent. Semblable au 100. RVDO + II + IMP + AVG + P+ F + DE

Coll. A. M., 187,85. Fr. 15.—

102. Groschen 1596. Argent. Semblable au 100. + RVDO + II + IMP + AVG+P+F+9F

Coll. A. M., 185,70. Fr. 15.—

103. Groschen 1596. Argent. Semblable au 100. + RVDO + II + IMPE + AVG+P+F+9F:

Coll. Th. Grossmann, 287,05. Fr. 15.—

104. Groschen 1596. Argent. Semblable au 100. : RVDO + II + IMP + AVG + P+F + DE:

Coll. A. M., 181,93. Fr. 15.—

SR e RR E E die o VITE TIVO ei

72

105. Groschen 1596. Argent. Semblable au 100. + RVDO + II + IMPE + AVG + P+ F + DE Coll. A. M. 287,00. Fr. 15.—

106. Groschen 1596. Argent. Semblable au 100. RVDOL + II + IMPE + SEMP + AVG Coll. A. M., 28°,14. Fr. 15.—

107. Groschen 1596. Argent. Semblable au 100. RVDO + II + IMPE + AVG+P+F+DE + A Pavers, BASILIENSIS : Coll. A. M., 185,92. Fr. 15.—-

108. Groschen 1599. Semblable au 95, sauf 9—9 pour la date. M. Wint., frappe uniface de l’avers.

109. Schilling s. d. —.Billon.

: Schilling | 1. JS À Sd 4

À. + IA - CHR - D: G- EPS - BASILIENS Armoiries : parti de l'évêché et du prince; la partie supérieure de l’écusson est relevée en pointe au milieu et en forme de boucle de chaque côté.

À. + SANCTV VRSICINV - Le saint debout, tenant un livre ouvert dans la main gauche et trois fleurs de lis dans la main droite.

Coll. A. M., 18r,04. Fr. 10.— à 12.—

a (3 SS

110. Schilling s. d. Billon. Semblable au 109. SANCTVS VRSICINVS

Berstett, pl. XX, 14a. M. nat., 185,04. Fr. 10.— à 12.—

111. Schilling s. d. Billon. Semblable au 109. SANCTV : VRSICINVS

Coll. Th. Grossmann, 087,94. Fr. 10.— à 12.—

112. Schilling 1596. Billon.

A. Semblable au 109, mais au dessus de l’écusson, 9—-6 (1596) et BASILIEN À. Semblable au 109, SANCTVS VRSICINVS

M. Wint., 3 var.

113. Schilling 1596. Billon. Semblable au 112. + IA + CHR + D + G + EPS + BASILIE + SANCTVS VRSICINVS M. nat., 18,15.

114. Schilling 1599. Billon. Semblable au 109, mais au dessus de l’ecusson, 9—9 (1599). + SANCTV VRSICINVS

Coll. Th. Grossmann, 085,95. Rare avec ce millésime.

nn, 1e

115. Demi-schilling = Trois-rappen s. d. Billon.

À. IA - CHR: D-G - EPS - BASILIE + Armoiries : parti de ’évéché ct du prince; la partie supérieure de l’écusson est entièrement horizontale.

8. » SANCTV VRSICINV Le saint comme au 109.

Empreinte en cire au Musée de Porrentruy. Rare.

Mention de ces pièces est faite sous le nom de Pruntrautische 3 Rappener dans la liste des « Monnaies ayant été l’objet d’essai en 1624», extraite des archives de l’ancien évéché de Bale a Porrentruy et publiée par L. Le Roy dans la Revue suisse de numismatique, 1892, p. 123, 11. Comme il en fallait 214 au marc,

le poids d’une pièce était donc de 185,14.

Monnaies de Guillaume Rinck de Baldenstein. (1608-1628).

Armoiries : D'argent à la tour renversée de sable. Ces armes, qui ont été modifiées, portaient antérieurement, au lieu de la tour, un ardillon de boucle (en allemand, ring), la pointe, percée d’un trou oblong, tournée en bas. C'est ainsi qu'elles figurent sur toutes les monnaies frappces par l’évèque Guillaume.

ER 116. Thaler 1624. Argent.

A. - MON: NO: WILHELMI : EPIS : BASILIEN : L’empereur Henri II, couronné et nimbé, vétu du manteau impérial, tient de la main gauche le sceptre et dans la main droite une maquette de la cathédrale de Bale; devant lui, les armoiries écartelées de l’évéché et du prince; de chaque côté, - S- - H- (Sanctus Henricus).

À. - FERDINAN : II : ROM: IMP: SEMP: AVG: 4624 L’aigle impériale couronnée.

M. Wint., 2887,40.

117. Thaler 1624. Argent. Variete du 116 ; pas de point de chaque còté des lettres S—H. M. Wint., 2887,20.

118. Thaler 1625. Argent.

Semblable au 116, sauf la date 1625.

Haller, 2125. Madai, 783. Berstett, 16a, pl. XX. Coraggioni, 24, pl. XI. Haller dit que la pièce a aussi été frappée de l'épaisseur d’un double-thaler, ainsi que sur flan carré.

M. nat., 278,20. M. Wint., 288r,35. M. Berne, 288,00.

Vente des doublets du Musée historique de Berne, 1898, Fr. 2825.

TO ik 119. Demi-thaler 1625. Argent.

% Shaler a 7625 ds

719

A. MON: NO: WILHELMI : EPIS : BASILIEN & L'empereur Henri II, couronné et nimbé, vêtu du manteau imperial, tient de la main gauche le sceptre et dans la main droite la maquette de la cathédrale de Bale ; devant lui, les armoiries écartelées de l’évéché et du prince; de chaque côté, - S- - H -

R. & FERDINAN : II: ROM : IMP: SEMP : AVG : 1625 ® L’aigle impériale couronnée.

Haller, 2126. Berstett, 165, pl. XX.

M. Berne, 148',50.

120. Quart-de-thaler 1623. Argent.

“A. + MON: NOVA: WILHEL : EPISCO : BASILIENSIS Dans un écusson ovale et décoré, les armoiries écar- telées de l’éveché et du prince.

= 77 =

R. @ FERDINAN : II : ROM : IMP: SEMP : AVG : 1625 @ L’aigle impériale couronnée.

Berstett, 18, pl. XX.

M. Berne, ‘165,20.

121. Quart-de-thaler 1623. Argent. Variété du 120; au commencement et à la fin de la legende du revers, des points au lieu de rosaces. M. Wini.

122. Deux-batzen 1621. Billon.

À. WILHEL - D-G - EPIS - BASILIEN : 1621 Les armoiries écartelées de l’évéché et du prince; au dessus, dans un ovale coupant la légende, le chiffre 2 (batzen).

8. @ AVE - MARIA - - GRATIA - PLE & La Vierge Marie debout tenant l'enfant Jésus, sur un fond rayonnant ; à ses pieds un croissant.

M. Wint.

123. Deux-batzen 1624. Billon. Semblable au 122. À. WILHEL - D-G + EPIS : BASILIEN : 1624 Le chiffre 2 dans l’ovale est indiqué par un Z À. & AVE: MARIA : : GRATIA : PLE & Berstett, 19, pl. XX. Coll. A. M., 28r,25.

124. Deux-balzen 1624. Billon. Variete du 123. A. WILHEL - D G - EPIS - BASILIEN : 1624 A. & AVE: MARIA - - GRATIA - PLE & M. nat., 28,50. Coll. G. Gallet, 387,16.

125. Deux-batzen 1625. Billon. Semblable au 122.

78

À. : WILHEL - D : G - EPIS - BASILIEN - 1625 À. @ AVE: MARIA - - GRATIA : PLE & La valeur est indiquée par la lettre Z

M. nat., 3 var., 28°,68, 3,10, 3,20. M. Wint., 3 var.

126. Deux-batzen 1625. Billon. Variété du 117; l’écusson est plus étroit ; la valeur est indiquée par le chiffre 2 À. WILHEL: D : G : EPIS : BASILIEN : 1625 À. @ AVE - MARIA - - GRATIA - PLE &

127. Deux-batzen 1625. Billon.

Variété du 126 ; après la date, une petite rosace. Coll. Th. Grossmann, 2,80,

128. Balz 1623.

Mentionné par Ed. Jenner.

129. Batz 1624. Billon.

À. + WILHEL - DG- EPIS - BASILI 1624 Les armoi- ries écartelées de l'évêché et du prince; au dessus, dans un ovale coupant la légende, 1 (1 batz).

79

À. & AVE - MARIA - GRATIA - PLE: La Vierge Marie debout tenant l'enfant Jésus, sur un fond rayonnant, à ses pieds un croissant.

Coll. A. M., 187,15.

130. Batz 1624. Billon. Variété du 129 ; la bordure de l’&cusson est un peu différente ; un point après 1624. M. Ch.-d.-F., 181,55.

131. Schilling 1614.

Mentionné par Ed. Jenner.

132. Schilling 1622. Billon.

À. WIL - EPISCO : BASILIE : 1622 Les armoiries écartelées de l’évéché et du prince.

A. SANCTV & VRSICINVS & Le saint debout, tenant un livre ouvert dans la main gauche et trois fleurs de lis dans la droite.

M. Wint. Coll. A. Droz, 187,12. Fr. 6.— à 8.—

133. Schilling 1622. Billon.

Semblable au 132. BASILI Berstett, p. 77.

134. Schilling 1623. Billon. Semblable au 132. A. WIL - EPISCO - BASILIEN - 1623 A. SANCTVS - VRSICINVS - Coll. A. M., 08,91. Coll. A. Droz, 085,85. Fr. 6.— à 8.—

135. Schilling 1623. Billon.

890

Semblable au no 132.

À. WIL - EPISCO - BASILIE - 1625 &

R. SANCTV & VRSICINVS &

Berstett, 20, pl. XX.

Coll. A. M., 085,85. Fr. 6.— à 8.—

136. Schilling 1623. Billon. Semblable au 132. A. WIL: EPISCO : BASILIE : 1623 R. « SANCTV & VRSICINVS M. nat., 087,92. Fr. 6.— à 8.—

137. Schilling 1624. Billon. Semblable au ne 132. A. WIL - EPISCO - BASILIEN - 1624 R. SANCTVS - VRSICINVS M. nat., 3 var., 187,01. Fr. 12.—

138. Schilling 1624. Billon. Variété du 137. BASILIE M. Ch.-d.-F. Fr. 12.-—

139. Demi-schilling = Trois-rappen 1622. fa dehiling _

A. WIL: EPISCO : BASILI : 1622 & Armoiries : parti de l’evöche et du prince. BR. SANCTV VRSICINVS Le saint comme au 132. M. Wint., 18r,14. Rare. Mention de ces pièces est faite sous le nom de Pruntrautische 3 Räppener dans la liste des « Monnaies ayant été l’objet d'essai

en 1624 », extraite des archives de l'ancien évéché de Bâle à . Porrentruy et publiée par L. Le Roy dans la Revue suisse de numismatique, 1892, p. 123, 11.

140. Vierer 1623. Billon.

À. WILHEL : E P BAS - I - 1623: Armoiries : parti de l’évéché et du prince.

À. @ FIRMA : MEV: NOM: DNI - {Firmamentum meum nomen domini). Croix pattée.

Berstett, 21, pl. XX, l’indique comme kreuzer. M. Wint. (classé sous le nom de kreuzer). Rare.

Mention de la piéce est faite sous le nom de Brunndrauter neuen Fierer and 623 gebrägt den 8. tag February, dans la liste des « Monnaies ayant été l’objet d’essai le 9 février 1623 », extraite des archives de l’ancien évéché de Bale a Porrentruy et publiee par L. Le Roy dans la Revue suisse de numismatique, 1892, p. 121, 9.

Monnaies de Jean-Francois de Schénau (1651-1656).

Armoiries : D’aprés le Calendrier monumental de

REVUE NUM. T. XIII. 6

_ 89

l'évêque de Bdle, Jos. Huber, inv.; Jos. Hartmann, pinxit; Fratres Klauber, chalcographi, 1779. Coupé : au 1 de sable à deux anneaux d’or; au 2 d'or à un anneau de sable. |

D'après l’Armorial manuscrit de Quiquerez à la biblio- thèque de l’Université de Bâle. Coupé : au 1 de queules à deux anneaux d'argent; au 2 d'or à un anneau de sable.

D'après Vautrey, J.-F. de Schönau portait dans ses armes : les trois anneaux de Schönau, deux sur champ de sable et un sur hermine.

141. Ducat 1 654. Or.

A. Dans un encadrement en forme d’écusson, surmonté d’une mitre, d’une crosse et d’une épée, l’inscription en cing lignes, IOHA - | FRAN - D: G | EPIS - BASI | LIEN | SIS A gauche et à droite, les armoi- ries de l’évéché et du prince; au dessous, la date 16.°.54.

À. SANC - HENRI - ROM - IMPER L’empereur Henri avec armure, manteau impérial et couronne, tient de la main gauche le sceptre et de la droite la maquette de la cathédrale.

Haller, 2127. Berstett, 22, pl. XX. M. Berne, 387,50.

83

142. Thaler 1654. Argent. Shaler

=! "i di.

IE <=

DIE: :

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14%.

A. IOH - FRANCIS - D : G - EPISCOP : BASILIEN : L’empereur Henri II couronné et nimbé, vêtu du manteau imperial, tient de la main gauche le sceptre et de la droite la maquette de la cathédrale ; devant lui, les armoiries écartelées de l’évéché et du prince; de chaque côté, S—H

R. + FERDINAN : III - ROM: IMP: SEMPER - AVGVS : 1654 L’aigle impériale couronnée.

Haller, 2128. Berstett, 23. Coraggioni, 25, pl. XI.

M. Berne, 298,00. M. Wint., 288r,75.

Vente des doublets du Musée de Berne, 1898, t.b.c. Fr. 4650,

143. Deux-batzen 1654. Billon.

A. IO - FRAN : D : G + EPIS - BASILIEN - 1654 Les armoiries écartelées de l’évéché et du prince; au dessus, dans un ovale, 2 (batzen).

=

À. & AVE - MARIA - GRATIA - PLE : La Vicrge Marie debout dans un ovale d’où rayonnent des flammes; elle tient l’enfant Jésus sur son bras droit ; à ses pieds, un croissant.

M. Wint.

144. Batz 1654. Billon.

armoiries écartelées de l’évéché et du prince;. au dessus, dans un ovale, I (batz).

R. AVE - MARIA - GRATIA - PLEN La Vierge Marie tenant l’enfant Jésus dans un ovale entouré de flammes.

Berstett, 24a, pl. XX. Coll. A. M., 187,64.

145. Batz 1654. Billon. Variete de la precedente. 3: AVE - MARIA - GRATA - PLEN M. nat., 185,72.

146. Batz 1655. Billon. Semblable au 144, sauf la date 1655. M. nat., 18°,52. Coll. G. Gallet, 185,71. Coll. A. M., 185,13.

147. Pfennig s. d.

——

. Q ells 20

85

Bractéate, appelée aussi schwarzpfennig; dans un

cercle perlé, les armoiries : parti de l’évéché et du prince.

Berstett, 246, pl. XXI, dit que c’est une de ces monnaies de

_ bas aloi telles que plusieurs Etats en firent encore frapper au xvIi° siècle.

Monnaies de Jean-Conrad I” de Roggenbach

i

(1656-1693).

Armoiries : Coupé : au 1 parti de gueules et de sable; au 2 d'argent plein.

148. Ducat 1662. Or.

A. Dans un encadrement en forme d’écusson, surmonte d’une mitre, d’une crosse et d'une épée, l'inscription en cinq lignes, IOH - | CONRAR (sic) | D : G :

—_ 8

| EPIS |- BASIL | IEN A gauche et à droite, les armoiries de l'évêché et du prince; au dessous, la date 16 + 6Z.

R. SANC - HENRI - ROM - IMPER L’empereur Henri avec armure, manteau imperial et couronne, tient de la main gauche le sceptre et de la droite la maquette de la cathédrale.

Haller, 2129. Berstett, 26.

M. Berne, 385,50. Vente Gutheil 1885, Fr. 650.—

149. Batz 1655 (sic). Billon.

A. 10: CONRA - D + G - EPIS - BASIL - 1655 Les armoiries écartelées de l'évêché et du prince. (Le graveur a représenté par des lignes obliques le quartier des armes du prince qui doit étre de sable ; il en est de méme pour les pièces suivantes sauf indication contraire). Au dessus, dans un ovale coupant la légende, I (batz).

R. @ AVE - MARIA - GRATIA - PLE - La Vierge Marie debout, entourée de flammes, tient sur son bras droit l'enfant Jésus, lequel tient dans la main droite le globe royal.

M. Berne.

C’est par une erreur du graveur que ce batz porte la date de 1655; Jean-Conrad Ie a été élu prince- évéque le 22 décembre 1656.

150. Batz 1657. Billon. Semblable au 149, sauf la date 1657.

Vente Cahn 1904, Fr. 27.50

151. Batz 1658. Billon. Semblable au 149, saufla date, qui parait étre 1658, soit un 8 sur un 5.

M. Ch.-d.-F., 185,70. | Fr. 25.—

sig a

152. Batz 1659. Billon. Semblable au 149, sauf la date 1659. A. IO - CONRA - D - G - EPIS - BASILI 1659 A. AVE - MARIA - - GRATIA - PLE M. Berne. M. Wint., 4 var.

153. Batz 1659. Billon. Variété du 152. . A. 10: CONRA : D- G : EPIS - BASIL - 1659 À. x AVE - MARIA - GRATIA - PLE M. nai., 187,18.

154. Batz 1659. Billon.

Variete du 152. A. 10: CONRA : D : G - EPIS - BASIL - 1659. À. AVE - MARIA : - GRATIA - PLE - Le graveur a représenté ici par un pointillé le quar- tier des armoiries du prince qui doit étre de sable. M. Berne. M. Saint-Imier.

155. Batz 1660. Billon. Semblable au 149, sauf la date 1660. A. IO: CONRA : D: G- EPIS BASI - 1660 À. AVE - MARIA - - GRATIA - PLE - M. nat., 18,45. M. Wint., 2 var. M. Porrentruy.

156. Batz 1660. Billon. Variété du 155. A. 10: CONRA - D - G - EPIS - BASI : 1660

88

À. AVE . MARIA - - GRATIA - PL M. nat., 18°,62. M. Winl.

157. Batz 1660. Billon. Variete du 155.

A. 10: CO: NRA: D: G: EPIS : BASIL : 1660

R. AVE MARIA - GRATIA - PLE Berstett, 256, pl. XXI.

158. Batz 1661. Billon. Semblable au 149, sauf la date 1661. _ BASI M. nat., 181,26. M. Wint., 2 var.

159. Batz 1661. Billon. Variete de la précédente. BASILIE M. nat., 187,40.

160. Batz 1662. Billon. Semblable au 149, sauf la date 1662. A. 10: CONRA : D : G : EPIS - BASIL - 166Z À. AVE - MARIA - GRATIA - PLE Coll. A. M., 185,31.

161. Batz 1603. Semblable au 149, sauf la date 1663. À. IO - CONRA - D - G - EPIS - BASI - 1663 R. AVE - MARIA - GRATIA - PLE M. Berne. M. Wint. M. Ch.-d.-F., 187,19.

162. Balz 1663. —- Billon.

89

A. IO - CONRA : D - G - EPI - BASI Armoiries écar- telées de l’évèché et du prince surmontées de la mitre, de la crosse et de l’épée.

A. Semblable au 149.

M. Wint. Rare.

163. Pfennig s. d. Yennung -

u 160 Bractéate, appelée aussi schwarzpfennig; dans un cercle perlé, les armoiries : parti de l’évéché et du prince. Berstett, 25c, pl. XXI. Möme remarque que pour le 139.

Monnaies de Jean-Conrad II de Reinach-Hirzbach (1705 - 1737).

Armoiries : Ecartelé au 1 et 4 d'or au lion de gueules encapuchonné d'azur; au 2 et 3 bandé d'or et de gueules de quatre pièces. Sur le tout un écusson d'argent d une épée d'argent et un sceptre d’or posés en sautoir, accom- pagnés à dextre d'un bar d'argent et à senestre d’un faucon de sable.

90

Les armoiries complètes ne figurent que sur la pièce de vingt-schilling de 1718 et sur les batzen de 1718 et 1733. Sur les autres monnaies elles sont plus ou moins simplifiées.

164 Double-ducat 1716. Or.

2 Jucals 1716.

A. DVCATVS + IO + CONRADI + D + G + Son buste à droite; au bas, * H (Hedlinger, graveur).

À. + EPIS x BAS a S x R x I x PRINC : 17—16 L’aigle impériale couronnée, portant sur la poitrine les armoi- ries écartelées de l’évéché et du prince.

Berstett, 31 a, pl. XXI.

165. Double-ducat 1724.

Mentionné par Ed. Jenner (?).

166. Ducat 1716. Or.

À. - # DVCATVS + IO Y CONRADI DI G - Son buste a droite.

N

À. $ EPIS Y BAS # S 4 R $ TS PRINC $ 17--16 L’aigle impériale couronnée, portant sur la poitrine les armoiries écartelées de l'évêché et du prince.

Haller, 2131. Berstett, 31 d, pl. XXI.

M. nat., 38,42. M. Berne, 38",50. M. Wini., frappe en argent de l’avers seulement. |

Un exemplaire du poids de 78,00, soit d’un double-ducat, existe au South Kensington Museum à Londres.

167. Ducat 1718. Ed. Jenner mentionne deux variétés de ce millésime, dont une serait uniface.

168. Thaler 1716. Argent. Shaler

1776.

168.

A. * IOANNES * CONRADVS * D * G* Son buste à droite.

À. * EPIS : * BASILEENSIS »S: * R:*I:*PRING: * 17—16 L'aigle impériale couronnée, portant sur la poitrine les armoiries écartelées de l’évéché et du prince.

Sur la tranche, l’inscription GLORIA IN EXCELSIS DEO ET IN TERRA

Haller, 2132.

M. nat., 2881,66. M. Berne, 298,00.

_-9

Les coins de cette variété de thaler ont été retrouvés par M. Emile Dreyfus, à Genève, qui en a fait frapper quelques exemplaires pour des amateurs. M. Bodmer è Zurich est actuel- lement propriétaire de ces coins.

169. Thaler 1716. Argent. Semblable au 168. A. & IOANNES 8 CONRADVS ®@ D 8 G & R. ® EPIS & BASILEENSIS & S & RS I & PRINC & 47—16. M. Berne, 29er,00. M. Wint., 288°,43.

Dans le dessin que donne Berstett, 33, pl. XXI, il y a BASILIENSIS. Dans la description de Madai, 3300, il y a BASILENSIS. Si ces auteurs n’ont pas fait d’erreur, il s'agirait donc de deux autres variétés.

Quiquerez (Histoire des institutions de l'évêché de Bâle) dit, p. 85 et p. 87, 7, qu'il y a plusieurs coins pareils; quoique non signés, ils sont probablement, comme ceux des ducats, du graveur Hedlinger.

170. Demi-thaler 1717. Argent. Mentionné par Haller, Supplément 2133 6.

171. Quart-de-thaler 1717. Argent.

A. IOANNES - CONRADVS - DEI - GRAT * Son buste à droite.

A. EPIS - BASILEENS S - R - I - PRINCEPS + 1717 + Dans un écusson ovale orné en forme de cartouche, les armoiries de l’évéché : d'argent à la crosse de Bale de gueules, la volute tournée à dextre. (Les héraldistes sont généralement d’accord que la volute de la crosse doit étre tournée à senestre tandis que pour la ville de Bale elle est tournée à dextre.) Au bas de l’&cusson, dans un petit ovale, la valeur 1 Tranche cordonnée. 7

Haller, 2123. Berstett, 34, pl. XXI.

M, nat., 4 var., 687,36, 6,55, 6,65, 6,70. M. Wint. Coll. A. M., Ger,81. Fr. 75.—

Len. i

99:45 172. Quart-de-thaler 1717. Argent. = ti Shaler =

Semblable au 174. Un point après BASILEENS - M. Wint.

173. Quart-de-thaler 1717. Argent. Semblable au 171. Le chiffre + est encadré diffé- remment ; le bas du 1 est fourché.

M. Wini.

174. Quart-de-thaler 1717. Argent. Semblable au 173. Un point après BASILEENS : M. Wint.

175. Quart-de-thaler 1717. Argent. Semblable au 171. PRINCEPS ce Dans l'indication de la valeur le graveur a tourné les

chiffres à rebours +

M. Porreniruy, empreinte en cire.

176. Vingt-schilling 1718. Argent. 20 Schilling =

=

À. IOAN’ES - CONRA : D - G - EPIS - BASIL - S - R - I- PRINCEPS + Dans un cartouche ovale, très orné, les armoiries complètes des Reinach-Hirzbach écartelées avec celles de l'évêché.

R.CAR-VI-D-G-R-I-S-(XX)-A-G-H-H- & - Bo - REX -17—18- L’aigle impériale couronnée tenant le sceptre et le globe. Pièce légèrement ovale.

M. Wint., 48,85. Rarissime.

L'opinion de M. Le Roy à Berne est qu'il s’agit d’une pièce de vingt-kreuzer. Toutefois son type complètement différent des pièces de vingt-kreuzer et son poids supérieur sont pour nous des motifs suffisants pour lui conserver le nom de vingt-schilling, sous lequel elle est généralement connue. C’est probablement un essai de frappe auquel il n'a pas été donné suite. Sa valeur correspondrait donc à 1 livre de Bale.

177. Vingt-kreuzer 1716. Argent.

À. IOANNES - CONRADVS - D - G- Son buste a droite. |

À. EPIS - BASILEENSIS -S- R - I - PRIN - 17—16 - L’aigle impériale couronnée, portant sur la poitrine

dans un ovale le chiffre 20 (kreuzer). Tranche cordonnéc.

M. nat., 5 var., 487,48, 4,55, 4,68, 4,72, 4,75. M. Wint., 5 var. Coll. A. M., 487,45. Fr. 7.—

Il nous est impossible de donner la description de toutes les variétés de pièces de vingt-kreuzer. Elles

rem

different par des details insignifiants qui ne se laissent pas décrire. C’est à la forme et aux détails de la queue de l'aigle qu’on constatera le plus facilement les différences de coins.

178. Vingt-kreuzer 1716. Argent. Semblable au 177, à l’avers D - G ee Coll. A. Droz, 487,35. Fr. 7.—

179. Vingt-kreuzer 1717. Argent. Semblable au 177, sauf la date 1717. M. nat., 481,58. M. Wint., 4 var. Coll. A. M., 48,31. Fr. 7.—

180. Vingt-kreuzer 1718. Argent. Semblable au 177, sauf la date 1718. Mentionné par Ed. Jenner. | Fr. 7.—

181. Vingt-kreuzer 1723. Argent. Semblable au 177, sauf la date 1723. M. nat., 2 var., 48r,68, 3,90. Coll. À. M., 485,00. Fr. 7.—

182. Vingt-kreuzer 1724. Argent.

Semblable au 177, sauf la date 1724.

Au revers, la patte gauche de l'aigle touche presque VA et 1’S de BASILEENSIS; pas de point après 1724.

M. nat., 2 var., 48r,20, 3,78. Coll. A. M., 485,29. Fr. 7.—

183. Vingt-kreuzer 1724. Argent. Semblable au 182. La patte gauche de l'aigle touche l’S de BASILEENSIS ; un point après 1724. M. Ch.-d.-F., 48°,35. Fr. 7.—

184. Vingt-kreuzer 1725. Argent.

- Semblable au 177, sauf la date 1725.

= 00

Berstett, pl. XXI, 30. M. nat., 5 var., 387,91, 4,30, 4,35, 4,56, 4,95. M. Wint. 9 var. Coll. A. M., 4 var., 485,05, 4,12, 4,26, 4,70. Fe 7 Les nombreuses variétés de ce millésime ne se prêtent pas facilement à la description. Nous engageons les amateurs à porter leur attention sur les détails de l’aigle, notamment la forme de la queue, pour constater les différences de coins.

185. Vingt-kreuzer 1725. Argent.

Celte variété se distingue des autres en ce que la tête

de l’évêque est plus grande et surtout plus large.

186. Vingt-kreuzer 1726. Argent. Seinblable au 177, sauf la date 1726. M. Porrentruy. |

187. Douze-kreuzer 1725. Argent.

A. IOANNES - CONRADVS - D - G- Son buste a droite ; sous l’épaule, H (Hedlinger, graveur).

À. EPIS - BASIL-S-R-I- PRIN - 17—25 « L/aigle impériale couronnée portant sur la poitrine le chiffre 12 (kreuzer). Tranche cordonnée.

Coll. A. M., 28,48. Rare avec ce millésime.

188. Douze-kreuzer 1726. Argent. Semblable au 187, sauf la date 1726.

Berstett, pl. XXI, 39. Coll. A. M., 287,57. Fr. 6.—

ee. Greene a TS 9 rE =

189. Douze-kreuzer 1726. Argent. Variete de la précédente; avant et après la date i ya des points au lieu de pelites rosaces. Coll. A. M., zer 57. | ° Fr. 6.—

190. Douze-kreuzer 1733. Argent. _ Semblable au 187, sauf la date 1733. La signature H manque; avant et après la date des points. Pr Coll. A. M., 287,62, Fr. 6.— .

191. Six-kreuzer 1726. Argent. 6 Hreulzer.

À. IOANNES - CONRADVS : D - G + Son buste a droite; sous l’épaule, H (Hedlinger, graveur).

À. EPIS - BASIL-S-R-I- PRIN + 17—26 + L’aigle impériale couronnée portant sur la poitrine le chiffre 6 (kreuzer).

Berstett, pl. XXI, 40. Coll. A. M., 187,36. Fr. 7.50

192. Six-kreuzer 1727. Argent. Semblable au 191, sauf la date 1727.

M. Porreniruy, empreinte en cire.

193. Batz 1718. Cuivre.

REVUE NUM, T. Xill. 7

98

A. IOAN - CONR - D - G + MONETA - NOVA Les

_armoiries complètes de la famille Reinach-Hirzbach écartelées avec celles de l’évéché. A l’exergue - 1748 -

À. EPIS - BASILEENSIS - S - R - I + PRINCEPS 848 L’aigle imperiale.

Berstett, pl. XXI, 35a, &crit BASILIENSIS et 17 - 18. Si la

description est exacte, ce serait une seconde variété. Coll., A. M., 28°30. Fr. 5.—

194. Batz 1733. Billon.

A. IOANNES CONRADVS - D - G- dY Les armoiries complètes de la famille Reinach-Hirzbach écartelées avec celles de l’eveche et surmontées d’un casque mitré, de l’épée et de la crosse.

À. EPIS - BASIL-S-R-1I- PRIN -17—3 - L/aigle impériale couronnée portant sur la poitrine le chiffre 4 (kreuzer). Tranche cordonnée.

M. nat., 2 var., 285,18, 1,60. Coll. A. M., 185,70.

195. Batz 1733. Billon.

Variété de la précédente : le signe DT après D - G: manque. Coll. A. M., 187,80.

196. Batz 1733. Billon. Variété de la précédente : ’I de IOANNES touche presque l’écusson.

M. Ch.-d.-F., 18,76.

09 197. Groschen 1718. Billon.

Groschen

1937

À. IOA - CON - D - G - EP - BASILEENSIS - S - R : I- PR- Son buste à droite; dans lépaule, dans un encadrement en forme d’écusson, le chiffre 3 (kreuzer).

8. CAR - VI-D-G-R-I-S-A-.-G-H-H-&- BO - REX - 17—18 - L’aigle impériale couronnée.

Piece légèrement ovale.

Coll. A. M., 18,39. Rare. Fr. 50.—

198. Groschen 1718.

Variété de la précédente : IOA - CON - D : G - EP : BASIL -S-R-I- PRIN- Cercle perlé entre la légende et le buste.

M. Wint., frappe uniface de l’avers, en argent.

199. Demi-batz 1717. Cuivre. A. MONETA - NOVA - IOAN - CONR - D - G - 1717 Une croix fourchée portant au centre les armoiries de l’évéché et du prince; entre les bras de la croix de petits ornements. À. + EPIS - BASILEENSIS - S- R - I - PRINCEPS L’aigle imperiale.

C'est d’après les lettres qui se trouvent sur le prolongement de la queue de l’aigle qu'on dis- tinguera le plus facilement les différentes varietes.

Berstett, pl. XXI, 355. M. Wint., 7 var. M. nat., 6 var., 187,06, 1,44, 1,64, 1,78, 1,80, 1,82. Coll. A. M., 2 var., 185,53, 2,02. Fr. 4.—

100

200. Demi-batz 1717. Cuivre.

Variété de la précédente : PRINCIPIS au lieu de PRINCEPS Coll. A. M., 187,67. Fr. 4.—

201. Demi-balz 1718. -— Cuivre. Semblable au 199, sauf +1718+ et PRINCIPIS x

M. Wint., 3 var. Coll. A. M., 18,80. Fr. 4.—

202. Demi-batz 1718. Cuivre. Variete de la précédente, PRINCIPIS ¢

Coll. A. Drog, 18°58. Fr. 4.—

203. Demi-batz 1719. Cuivre. Semblable au 199, sauf la date 1719.

M. nat., 185,50. M. Wint.,3 var. . Fr. 4.—-

204. Demi-batz 1733. Cuivre.

complètes de la famille Reinach-Hirzbach écartelées avec celles de l'évêché et surmontées d’un casque initré, de l'épée et de la crosse.

40

À. EPIS - BASIL - S- R- I. PRIN - 17-55 L’aigle impériale couronnée portant sur la poitrine le chiffre 2 (kreuzer).

M. Wint., frappe en argent. Rarissime.

205. Schilling 1716. Cuivre.

A. SANCTVS + VRSICINVS +9 Le saint debout, nimbé, en habits sacerdotaux, tient de la main droite la maquette d’une église et de la gauche une branche à trois fleurs de lis.

À. MON - NOVA —I-C- EP - BAS- Liaigle impé- riale couronnée; à l’exergue, les armoiries de l'évêché et de chaque côté 17—16 L’S de BAS ne touche pas le trait qui marque l’exergue.

Coll. A. M., 187,05. Fr. 5.—

206. Schilling 1716. Cuivre.

chilling ADS 116° 62

Variété du 205; IS de BAS touche le trait de l’exergue.

Coll. A. M., 187,20. Fr. 5.—

207. —- Schilling 1716. Cuivre. Variete du 205. NOV au licu de NOVA Coll. A. M., 1er, 11. Fr. 5.—

208. Schilling 1717. Cuivre. Semblable au 205, sauf la date 1747. SANCTVS - VRSICINVS 97 |

AR

Berstett, pl. XXI, 32a.

M. nat., 5 var., 18",12.— M. Wint., 6 var. Coll. J.-J. Künsgler,

5 var. Coll. A. M. 18,11. Fr.

209. Schilling 1717. Cuivre. Variété du 208; SANCTVS + VRSICINVS 42

Coll. A. M., 185,11. | Fr.

210. Schilling 1717. Cuivre. Variété du 208; SANCTVS + VRSICINVS «9

M. Ch.-d.-F., 181,15. Fr.

211. Schilling 1718. Cuivre. Semblable au 205, sauf la date 1748.

M. nat., 2 var., 185,23. Coll. A. Droz, 185,00. Fr.

212. Schilling 1719. Cuivre. Semblable au 205, sauf la date 1719. SANCTVS - VRSICINVS 97

M. nat., 3 var., 18,06, 1,14, 1,21. Coll. A. M., 085,96. Fr.

213. Schilling 1719. Cuivre. Variete du 212; SANCTVS - VRSICINVS «2

Coll. A. Droz, 187,21. Fr.

214. Schilling 1722. Cuivre. Semblable au 205, sauf la date 1722.

M. nat., 3 var., 067,89, 1,40, 1,44. Fr.

215. Schilling 1723. Cuivre. Semblable au 205, sauf la date 1723. Berstett, pl. XXI, 320.

M. nat., 3 var., 187,10, 1,16, 1,21. M. Wint., 2 var. Fr.

5.—

5.

103

216. Schilling 1724. Cuivre. Semblable au 205, sauf la date 1724.

M. nat., 2 var., 18",00, 1,20. M. Wint., 2 var. - Fr. 5.—

217. Schilling 1727. Cuivre. Semblable au 205, sauf la date 1727.

M. nat., 2 var., 085,96, 1,00. Fr. 5.—

218. Kreuzer 1721. Billon. A. IOA - CO - DG - EP - BAS-S -R-I-PR- Son buste a droite. | À. MONETA - NOVA - A - 1721 & L/aigle impériale portant sur la poitrine le chiffre 1 (kreuzer). | Coll. A. Droz, 081,60. Fr. 5.—

219. Kreuzer 1726. Billon. Semblable au 218, sauf 1726.

Coll, A. M., 081,68. | Fr. 5.—

220. Kreuzer 1727. Billon. Areuzer n

1727

> 220 Semblable au 218, sauf 1727. Coll. A. M., 081,68. M. Wint., frappe en argent. Fr. 5.—

221. Vierer ou Rappen 1718. Cuivre. À. IOA - CO - D- G- EP -BAS:S-R- I - PR: Les armoiries : parti de l’évéché et du prince. À. + MONETA | - NOVA - | - 1748. dans une cou- ronne faite d’une palme et d’une branche de laurier.

M. Wint., 2 var., et frappe en argent. Coll. A. M., 087,35. Fr. 8.—

104

222. Vierer ou Rappen 1718. —. Cuivre. Variété du n°.221 ; pas de point avant NOVA - - Coll. A. Droz, 081,46. oo. | Fr. 8.—

223. Vierer ou Rappen 1719. Cuivre.

Semblable au 221, sauf la date 1749.

Berstett, pl. XXI, 37. M. nat., 2 var., 08,42. Coll. A. M., 081,35. Fr. 8.—

Monnaies de Joseph-Sigismond de Roggenbach (1782-1793).

Armoiries : Coupé : au 1 parti de gueules et de sable; au 2 d’argent plein. |

224. Vingt-quatre-kreuzer 1788. Argent. A. IOSEPHUS - D- C - EPISCOP - BASILEENSIS * . Son buste à gauche.

105

8. SAC - ROMAN - IMPER - PRINCEPS : 1788 L’aigle impériale portant sur la poitrine le chiffre 24 (kreuzer).

Berstett, pl. XXII, 47. M, nat., 3 var., 4,64, 487,86. Coll. A. M., 48,74. Fr. T.—

225. Vingt-quatre-kreuzer 1788. Argent.

26 Kreutzer

Variete du 224; entre autres, au revers, les points qui séparent les mots de la légende sont places au pied des lettres, tandis que pour la précédente ils sont a mi-hauteur des lettres.

Coll. A. M., 481,83. Fr. 7.—

226. Douze-kreuzer 1786. Argent. A. IOSEPHUS - D : G+ EPISCOP : BASILEENSIS * Son buste à gauche. À. SAC - ROMAN : IMPER - PRINCEPS e 1786 - L’aigle impériale portant sur la poitrine le chiffre 12 (kreuzer).

Coll. A. M., 287,50. Fr. 5.—

227. Douze-kreuzer 1786. Argent. Variete du 226; pas de point après 1786.

Coll. A M., 281,86. Fr. 5.—

228. Douze-kreuzer 1787. Argent. Semblable au 226, sauf la date 1787. Les points

106

qui separent les mots, au revers, sont à mi-hauteur des lettres.

M. nat., 2 var., 2,33, 281,45. Coll. A. M., 287,38. Fr. 5.—

229. Douze-kreuzer 1787. Argent. Variété du 228; les points qui séparent les mots sont au pied des lettres. i

Coll. A. Droz, 28,35. Fr. 5.—

230. Douze-kreuzer 1788. Argent.

12 Kreutzer.

Semblable au 226, sauf la date 1788.

Berstett, pl. XXII, 48. M. nat., 4 var., 281,32, 2,38, 2,40. Coll. A. M., 4 var. Les variétés sont si peu différentes que nous renongons à les décrire. Fr. 5.—

931. Batz 1787. Billon.

A. IOSEPHUS D : G - EPIS : BASIL S * R - I PRINCX Armoiries écartelées de l’évéché et du prince cou-

ronnées et posées sur la crosse et l’&pee.

À. Dans une couronne de laurier, en trois lignes, 1 | BATZEN | 1787

407 Berstett, pl. XXII, 44.

M. Wint., 2 var. Coll. A. M., 18,90. Coll. J.-J. Kiineler, frappe en argent, tranche cannelée, 28,45.

232. Demi-batz 1787. Billon.

À. IOSEPHUS D » G - EPIS - BASIL: S-R-I- PRINC %x Armoiries parti de l’évéché et du prince, couronnées et posées sur la crosse et l'épée. La pointe de l’épée est dirigée entre les lettres S et I de BASIL et le bout de la crosse contre l’S de EPIS

R. Dans une couronne de lauriers, en trois lignes,

+ | BATZEN | 1787

Berstett, pl. XXII, 45. M. nat., 3 var., 185,60, 1,62. Coll. A. M., 18,66.

233. Demi-batz 1787. Billon. Variété du 232; PRINC - Coll. A. Droz, 185,59.

234. Demi-batz 1787. Billon. Variété du 232; la pointe de l’épée est dirigée contre l’S de BASIL et le bout de la crosse entre I et VS de EPIS. Coll. A. M., 18",60.

Pour faciliter la lecture de ce mémoire, les dessins figurant dans le texte ont été réunis en planches a la fin de ce fascicule. On y a ajouté le tableau des émissions (voir pl. II-XVI). ( Red.)

UN DOUBLE-GROS

DE

FREDERIC DE BLANKENHEIM, EVEQUE D'UTRECHT

(1393 $1423)

Hasselt. Dans un épicycloide formé de neuf arcs de cercle, ouvert dans le haut, un écu penché et heaumé aux armes de la famille de Blankenheim, divisant ce cartouche en deux parties inégales par le coté gauche de l’écu et par le lion du cimier.

Legende, entre deux grènetis, FRADAERIA : DAI : GRA: EPA : TRAIGOTERS :

À. De champ, l’aigle d’Empire, ayant en cœur un petit écusson aux armes de Blankenheim; au dessous, l’ecu de l'évêché d’Utrecht.

Légende intérieure, entre deux grènetis, MOPATT © D|& & bXSSELE % entre deux cercles de fines perles.

109

Légende extérieure, BARADIAT: QUI: Vani | Tr: IT: ROMIRA : DONI E Grénetis extérieur.

AR. Poids : 397,403. Mod. : 09,032.

Van der Chijs, Utrecht, pl. XIV, 14, et page 160-161'.

Frederic de Blankenheim, dont la famille appartenait a l’electorat de Cologne, a aussi sa place dans lhistoire de l’antique évéché de Bäle. Il est au nombre de ceux des évéques et des administrateurs de ce diocèse qui ont été l’objet de transfert à d’autres sièges; en voici l’énonciation : Ragnacaire, appelé a l’évéché d’Autun au vire siècle ; Henri d’Isny, à Varchevéché de Mayence en 1286; Pierre d’Asphelt, au même siège de Mayence en 1306; Jean de Chalons, à l'évêché de Langres en 1328; Frédéric de Blankenheim, à l'évêché d’Utrecht en 1393.

Imier de Ramstein occupait le siege épiscopal de Bäle depuis 1382. Voyant que l’évéché, obéré de dettes, mar-

chait a sa ruine, il s’adjoignit en 1391 un coadjuteur en la

personne de Frédéric II, comte de Blankenheim, évêque de Strasbourg, avec le titre d’administrateur de l'évêché de Bdle.

Reconnu par le chapitre cathédral et confirmé par le pape Boniface IX qui avait relevé l’évêque Imier de sa

charge pastorale, Frédéric de Blankenheim, entre les

mains duquel l’évêque avait résigné tous ses pouvoirs, gouverna l'Eglise de Bale jusqu’en 1393.

' P.-O. van der Chijs, De Munten der Bisschoppen van de Heerlijheil en de Stad Utrecht van de vroegste tijden tot aan de pacificatie van Gend. Harlem, Bohn, 1859, (extr. de Rylers Genootschap, part. 2, Gend).

? Schepflin (Alsatia illustrata, 11° vol., pl. I, fig. 4) mentionne une bractéate (denier, pfennig) d’un évêque de Strasbourg, administrateur de l’évéché de Bale. Etant donné que le dessin soit une reproduction fidèle de la pièce, celle-ci ne saurait être attribude qu’à Frédéric de Blankenheim. La tête mitrde y est accostée de la fleur de lis strasbourgeoise et de la « crosse de Bâle » caractéristique, et Frédéric de Blankenheim est le seul prélat qui ait rempli simultanément les fonctions d’évéque de Strasbourg et d’administrateur de l'évêché de Bâle. Le simple bâton pastoral n’est qu'un emblème générique du numéraire prélatal. Quant à l'attribution nominale de ces petits deniers muets, on sait quelles difficultés elle rencontre et combien peu de points de repère présente l’examen des sceaux des prélats balois du xım au xv° siècle, Au surplus, nombre de nos évêques n’ont pas frappé monnaie, à raison notam- ment des fréquents engagements, rachats et réengagements qui affectaient ce droit régalien.

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Devenu impopulaire dans le diocèse, Frédéric de Blan- kenheim en quitta l'administration et en même temps son évéché de Strasbourg, il avait succédé en 1375 a Lambert de Briinn, promu au siège épiscopal de Bam- berg, et passa en 1393 à l'évêché d’Utrecht ensuite de permutation avec Guillaume II, comte de Diesch.

Les circonstances dans lesquelles eut lieu l’abandon du siege de Strasbourg sont relatées dans une notice historique de M. Ern. Lehr, sur les Gomtes de la Petile- Pierre en Basse-Alsace, publiée en 1874 dans la Revue d’Alsace. Nous laissons la parole au distingué auteur alsacien :

« L’évéque Frédéric de Blankenheim, dégoùté de son « diocése de Strasbourg par la lutte sanglante 4 laquelle il avait pris une part active', entama vers la méme époque, des négociations secrètes pour une permuta- tion avec Guillaume de Diesch, évéque d’Utrecht. L’ar- rangement conclu, il s’embarqua sur le Rhin, dans la nuit du 20 juillet 1393, et quitta furtivement Stras- bourg. Le chapitre, justement irrité de ce procédé, ne -tint pas compte de la désignation faite par l’évêque fugitif et procéda immédiatement à une nouvelle élec- tion. Ses suffrages se portèrent sur l’abbé d’Einsiedeln, « Louis de Thierstein, mais ce dignitaire mourut en route. « Les chanoines élurent alors a sa place leur prévot, a Bourcard de la Petite-Pierre, qui prit possession de « son siege. De ce moment, une lutte ardente et meur- « trière commenca entre les deux compétiteurs. Guil- « laume de Diesch, soutenu par la ville de Strasbourg et a les comtes de Bitsche, se mit a ravager les terres de « Lutzelstein et de ses alliés, les seigneurs d’Andlau et « de Rathsamhausen ; bientôt il obtint de plus un appui

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Ce prélat était entré dans une ligue de nombreux seigneurs contre la ville de Strasbourg qui avait été mise au ban de l’empire pour s’ötre refusée de déférer a l’ordre impérial de rendre la liberté à un chevalier anglais nommé Harleston, cmpri- sonné en 1391 à la requête de Bruno de Rappolstein, bourgeois de Strasbourg, victime de brigandages commis sur ses terres par ce chevalier.

111

« tout autrement efficace que celui des milices strasbour- « geoises : la cour de Rome se prononca pour lui, et, « devant l'arrêt du Vatican, l’élu du chapitre dut plier. « Bourcard reprit son simple rang de prévôt et accepta, «en compensation de la mitre épiscopale, un droit « d’usufruit viager sur le Mundat de Rouffach. Guillaume « de Diesch fit son entree solennelle à Strasbourg le « 14 décembre 1393 » !.

C’est ce même évêque Guillaume qui, en 1422, conver- tit en vente définitive la cession de la monnaie épisco- pale strasbourgeoise qui avait été faite et renouvelée a différentes époques en faveur de la ville de Strasbourg.

Le double-gros, reproduit d’apres notre exemplaire, est de Frederic de Blankenheim comme évéque d’Utrecht. On connait de ce prelat des florins d’or au type rhenan frappés à Deventer et à Rhenen, des doubles-gros, gros, demi-gros et quarts-de-gros frappés dans les ateliers de Deventer, Utrecht, Rhenen et Hasselt, et finalement des pièces de un-kromsteart, le kromsteart et le double-gros, de tiers-de-kromsteart et huitiéme-de-kromsteart imités des pièces de Renold IV, duc de Gueldre, au type

flamand. Toutes ces monnaies sont décrites dans l’ouvrage de

P.-O. van der Chijs.

! Une lutte du même genre eut lieu dans l’évéché de Bale, entre les deux compé- titeurs au siége épiscopal devenu vacant par la mort de Gérard de Wuippens, arrivée en 1325. Le chapitre cathédral, malgré qu’il se trouvait privé du droit d’election depuis le pontificat de Clément V, fit choix de son archidiacre Hartung Münch, de Bale, comme successeur du prélat défunt. En apprenant ces faits, le pape Jean XXII annula la décision du chapitre et désigna le nouvel évéque de BAle en la personne de Jean de Chalons, doyen du chapitre de Langres. Les deux élus entrerent aussitöt en fonctions et c'est alors que commença entre eux cette guerre scandaleuse qui ne prit fin qu’en 1328, année Jean de Chalons fut appelé a remplacer Pierre de Rochefort sur le siège de Langres et fit son entrée dans sa ville épiscopale le 8 décembre. Hartung Münch, ne se sentant plus de force à continuer la lutte avec son puissant adversaire, se soumit; il obtint la conservation de ses prébendes et de son titre d’archidiacre et il en jouit jusqu’a sa mort, survenue en 1332. Jean de Chalons reparut plusieurs fois dans le diocese de Bale, dont il fut l’administrateur pendant dix ans. Il mourut a Langres en 1335; cinq ans auparavant, il avait été admis au nombre des bourgeois de Berne. Son sceau, de forme oblongue, est l’objet d’un vidimus de 1388 conservé aux archives de l’ancien évéché de Bäle; il porte ces mots : S’ Johis Epi Lingonen ac administratoris Basil. On ne connalt de ce prélat aucune espèce de monnaie bäloise ou langroise.

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Le privilège conféré aux évêques d’Utrecht de frapper monnaie remonte à une époque très reculée. Toutefois, il est à remarquer à ce sujet qu’on considère comme la première monnaie indépendante celle de l’évêque Ber- nulf (1027-1054). Un denier que nous avons de ce prélat contemporain des évêques de Bâle Udalrich II (1025- 4040) et Théodoric (1041-1057), dont la ınonnaie revêt le méme caractère d’indépendance, serait ainsi un des pre- miers monuments de l'émancipation du numéraire episcopal d’Utrecht sous le regne des deux premiers empereurs de la maison de Franconie, Conrad II le Salique et son fils Henri III. Le poids de ce denier est de 097,797 (= 15 grains), soit un poids un peu plus élevé que celui des deniers (demi-bractéates) de Théo- doric, que G. de San Quintino a trouvé étre de 13 grains (= Os',691) en moyenne.

Berne, avril 1904. L. Le Roy.

SOURCES :

Sudan. Basilea sacra.

Trouillat. Monuments.

Vautrey. Histoire des évéques de Bale.

Baquol. Alsace ancienne et moderne (Edition de 1851).

Siebmacher. Wappenbuch (eite par Kissel, Wappenbuch des deutschen Episcopates).

Lelewel. Numismatique du moyen äge.

San Quintino. Monete del decimo, etc.

Régnier. Chronique d’ Einsiedien.

Lehr. Les Comtes de la Petite-Pierre.

ree -

UNE MEDAILLE DE RENE

COMTE DE CHALLANT ET SEIGNEUR SOUVERAIN

DE VALANGIN EN SUISSE

Par suite d’un heureux hasard, nous avons trouv& dans le Recueil de medailles allemandes du Tresor de numis- matique et de glyptique par Lenormant!, une pièce intéres- sante, non seulement au point de vue de l’iconographie neuchäteloise, mais aussi pour notre histoire suisse. En effet, les traits du comte Rene de Challant, petit-fils du comte Claude d’Arberg, seigneur de Valangin, n’ont pas été jusqu'ici, du moins a notre connaissance, reproduits dans aucun de nos ouvrages historiques ou numisma- tiques suisses.

La medaille en question que nous avons le plaisir de reproduire dans cette revue, grace 4 l’obligeance du comité de rédaction du Musée Neuchdtelois, porte au droit :

* RENE:CO:A:CHALAN:Z:VALENGIN : SVPR:D: C'est à dire : René comte de Challant et seigneur sou- veraif de Valangin. Buste de René, la tête nue.

! Lenormant, Tresor de numismatique et de glyptique. Choix de médailles exécutées en Allemagne aux XVI° et XVII siècles, pl. XXVI, fig. 10.

REVUE NUM. T. XIII. 8

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À. BRO: D- BOFFR - MONT : Z : MAVILE - ET -D- CASTS - 2: VERRECY : C -

C'est à dire : Baron de Boffremont et de Maville, etc., seigneur de Chatillon et de Verres.

Diamétre : 0,051 (voir pl. I).

Les armes contre-écartelées de René, Surmontäes d’une couronne de comte et supportées à gauche par un griffon, à droite par un lion. Les émaux ne sont pas indiques.

Ces armes se lisent comme suit : Ecartelé : au 1 contre-écartelé de la vicomté d’Aoste, qui est d’or a l’aigle éployée de sable, couronnée, membrée et becquée de gueules, et de Challant, qui est d’argent au chef de gueules à la bande de sable brochant sur le tout; aux 2 et 3 contre-écartelé de Valangin, qui est de gueules au pal d’or, chargé de trois chevrons de gueules, et de Beauffremont, qui est vairé d’or et de gueules; au 4 contre-écartelé de la vicomté d’Aoste et d’un écu a trois bandes qui est de... La devise des Challant était : Tout est è (monde) et è nest rien.

Ces armes ainsi représentées sur notre medaille donnent lieu à trois remarques. En premier lieu il est curieux qu’au premier quartier nous ayons, au lieu de écartelé de Challant et de la vicomté d’Aoste, ces der- nieres armes au 1 et 4 ct celles de Challant en second rang, soit aux 2 et 3.

Secondement, dans les armes de Challant on remarque à dextre du chef un chevron, ce qui est completement inusité : les Challant n’ont jamais eu cette brisure. Voici celles que présentent les différentes branches de la maison : Fenis (branche ainée) conserve les armes pri- mitives de la maison; Cly, trois croissants renvers@® d’or posés sur la bande de sable, l'un au chef, le second en fasce, le troisième en pointe; Chatillon (premiere bran- che) un annelet d’or posé en chef sur la bande de sable ;

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Chätillon (seconde branche) une palme d’or posée de méme; Graines, Montjovet et Challant, écartelé de Chal- lant et de la vicomté d’Aoste sans brisure ; Ussel et Saint- Marcel, une étoile d’or posée en chef sur la bande de sable; Aymaville, une colombe d’argent, posée de même; Varey et Retourtour, une moucheture d’hermine, posée de même. Enfin les 2 et 3 du quatrième quartier donnent lieu à contestation.

Lenormant, qui dans l’explication de ce blason erre évidemment en supposant que les armes à l’aigle indi- quent d’une part la maison de Vienne qui portait de gueules à l’aigle d’or, d'autre part celle de Rougemont qui portait d’or à l’aigle de gueules, becquée et mem- brée d’azur, Lenormant dit : « Le dernier quartier, « bandé, est très probablement celui de l’illustre maison « de Miolans en Savoie, qui portait bandé d’or et de « gueules. » René (Amédée) de Challant, trisaieul de notre René, avait épousé Louise de Miolans.

M. le chanoine Frutaz, qui nous a fourni de précieux renseignements héraldiques concernant les armes des Challant, nous a écrit à ce sujet : « Cette méme brisure « se voit dans les armes d’Isabelle, fille de René, épouse « Madruzzo, qui la portait contre-écartelée aux 2 et 3 « avec les armes de Challant, celles de Madruzzo bro- « chant sur le tout. Philiberte de Tornielli de Challant « n’avait pas cette brisure. On la voit aussi dans les armes « du cardinal Madruzzo et elle apparaît pour la dernière « fois dans le blason de Charlotte-Christine-Eléonore « de Madruzzo, fille de Ferdinand de Madruzzo, comte « d’Avia et baron de Beauffremont, deuxième fils de Jean- « Frédéric Madruzzo et d’Isabelle de Challant. Après son « mariage avec le marquis Charles de Lenoncourt, Char- « lotte-Christine-Eléonore portait encore dans son blason: « écartelé aux 2 et 3 d’argent à trois bandes d’azur avec « les armes Madruzzo et Challant brochées sur le tout. « C'est peut-être l’arme des comtes d’Avia (Madruzzo);

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« dans ce cas la médaille de René de Challant aurait été « frappée apres sa mort. »

Nous avouons ne pas bien comprendre cet effet retro- actif, méme post morlem, et nous inclinerions plutòt à croire que ces armes peuvent en effet étre attribuées aux de Miolans, d’abord parce que Louise de Miolans fut la mere de Jacques, second comte de Challant, mais le premier comte de sa famille, et de plus parce que, par acte passé à Chambéry en 1528, René se porta héritier de la maison de Miolans. (Archives du Prince (Neuchatel), L. 19/9; C.)

(Juelques mots maintenant sur la vie du personnage représenté sur cette medaille. Il était fils de Philibert, comte de Challant, et de Louise d’Arberg, fille unique de Claude d’Arberg, seigneur de Valangin, et de Guille- mette de Vergy. René de Challant fut le seul rejeton de l'union de Philibert et de Louise. M. le chanoine Frutaz, d'Aoste, a publié une excellente monographie sur la famille de Challant et de René en particulier. Nous nous permettrons d’en extraire brièvement ce qui suit : « La « maison de Challant descend des anciens vicomtes « d'Aoste, dont le premier connu est Boson, qui apparaît « Pan 1100 dans une donation faite par le comte de « Savoie, Humbert II, de l'église de Chambave à l’abbaye « de Fructuaire. Son petit-fils fut investi en 1200, par le « comte Thomas Ie du fief de Challant, dont la famille « porta ensuite le nom. Le titre héréditaire de comte fut « conféré par Amédée VIII à Francois, fils d’Iblet, par « diplôme du 19 février 1424. Philibert, quatrième comte « de Challant, était fils du comte Louis et de Marguerite « de La Chambre. Apres la mort de Jacques, son frère « aîné, il fut investi du comté de Challant en 1490. Il fut « chambellan du duc de Savoie en 1487, chevalier de « PAnnonciade, puis bailli et lieutenant general du « duché d’Aoste de 1509 à 1517. L’historien Georges- « Auguste Matile nous raconte que Claude d’Arberg avait

117

« fait la connaissanee de Philibert de Challant en passant

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par la vallée d’Aoste à son retour de Rome. Challant l’accompagna à Valangin il passa quelques semaines et s’eprit de la jeune comtesse Louise, qui devint sa femme deux ans plus tard. Par acte du 12 février 1503, Louise fut en outre déclarée héritière de tous les biens et fiefs de Claude d’Arberg, dans le cas il vint à mourir sans autre postérité. Claude d’Arberg, seigneur de Valangin, baron de Boffremont, conseiller et chambellan du roi de France, avait donc épousé Guillemette de Vergy, dame de Blessencourt, de Rozières et de Corcelle en Bourgogne, fille de Jean de Vergy, seigneur de Champvent et de Montricher. Ce fut à l’occasion de ce mariage que Jean d’Arberg donna à son fils la terre de Boffremont.

« A la suite de son mariage, Philibert de Challant, qui était capitaine des soixante gardes nobles du palais ducal, recut de Charles III, en 1504, un don de 600 florins sur la chancellerie du vicariat de Turin et sur celle d’Avigliana. Le comte Philibert conduisit sa nouvelle épouse dans la vallée d’Aoste et ce fut au chàteau de Chatillon ou à celui d’Aymaville que naquit leur fils René, vers la fin de 1503 probablement. Philibert, àgé d’environ trente-cinq ans, mourut, après quinze ans de mariage, en juin 1517. La ville de Berne écrivit le 22 juin une lettre de condoléances à Claude d’Arberg, qui ne survécut pas longtemps, car il mourut en 1518. L'année suivante, Louise suivit son pére et son mari dans le tombeau, laissant à son jeune fils la baronnie de Boffremont et la principauté de Valangin, qui alors comprenait à peu près les trois districts du Val-de-Ruz, de La Chaux-de-Fonds et du Locle. Après la mort de ses parents, René fut sous la tutelle de son oncle

« Charles de Challant, prieur de la collégiale de Saint-

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Ours, et ses deux aïeules Guillemette de Vergy et Mar-

« guerite de La Chambre prirent soin de son education.

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113

« A peine agé de quinze ans, René recut le collier de l’Annonciade en 1518, et, la même année, le duc de Savole le nommait son conseiller et chambellan. En 1527, il fut élevé à la plus haute charge de l'Etat, celle de maréchal de Savoie. Il fut le seizième et dernier maréchal de Savoie. En 1528, Challant assista au baptéme du prince Emmanuel-Philibert, dont il négocia plus tard le mariage et au nom duquel il eut le bonheur de reprendre possession des Etats de Savoie après le traité de Cateau-Cambrésis.

« A partir de l’an 1527, le comte de Challant fut mêlé à toutes les vicissitudes politiques et militaires de la maison de Savoie. Le traité de combourgeoisie stipulé le 4 juillet 1513 entre Genève et Fribourg commenca cette longue série de conflits entre le duc de Savoie, Genève, Berne et Fribourg, qui finirent par la perte de Genève et du canton de Vaud et par la réforme

« protestante dans ces deux cantons. En avril 1529, le « maréchal de Savoie fut à Berne à la tête d’une ambas-

sade ayant pour but de détacher Berne de la combour- geoisie de Genève. René assista aussi aux deux dietes de Payerne avec les représentants de Berne et de Fribourg. Il venait d’être nommé licutenant-général au delà des Alpes et il dirigeait alors toutes les questions

« diplomatiques si compliquées avec les cantons suisses.

« Les difficultés religieuses commencaient à se compli- quer avec les questions diplomatiques ; la propagande luthérienne, au commencement de 1532, faisait des

« progres aux environs de la Savoie pénétraient furti-

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vement de nombreux émissaires. Vers la mi-novembre de 1532, Challant se rendit de nouveau à Berne pour obtenir un sursis au paiement de 7000 écus d’or aux- quels le duc de Savoie avait été condamné par la diète de Paverne; puis il rentra à Aoste l'inquiétaient les mouvements de la Réforme. La diète de Thonon, en novembre 1534, n'eut comme résultat que de compli-

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119

quer et d’augmenter les difficultes entre le duc, Genève, Berne et Fribourg. La Réforme gagnait du terrain; le 10 aoüt 1535, le Conseil de Genève défendit la célébration de la messe. Sur les murs de l’escalier d’Issogne, qui était alors la demeure habituelle de René, on lit encore cette note mélancolique en carac- teres de l’epoque: le 28 doctobre 1535 la messe a resté da dire a Geneve.

« Ensuite de la conférence de Berne, qui eut lieu les 28 et 29 octobre 1535, Charles III chargea René de Challant de faire évacuer le chàteau de Peney, dans lequel Genève vovait une menace continuelle. Alors Berne, fatiguée de la combourgeoisie de Genève, décida d’envoyer des ambassadeurs au duc de Savoie et on choisit la ville d’Aoste pour siège d’une nouvelle diete. Elle échoua par suite de la demande des Bernois au duc s’il était disposé à reconnaître aux Genevois la liberté de culte dont ils jouissaient déjà. Charles III s’etonna d’une pareille demande et répondit n'avoir jamais donné à ses ministres la faculté d'accepter une telle condition. A cette réponse les Bernois partirent sans autre et la diète fut dissoute.

a La guerre entre Berne et le duc de Savoie finit par éclater le 16 janvier 1536. Challant fut nommé généra- lissime et avait à ses ordres le marquis Jean-Jacques Medici et le marquis de Lullin. René n'avait certaine- ment pas le talent et la valeur militaire de ses ancêtres Iblet et Boniface de Challant. Sans préparation, sans ressources et avec des troupes mal disciplinées, il ne put arrêter l'invasion des Bernois qui, dans le mois de janvier, occupèrent tout le pays de Vaud et entrerent à Genève le 2 février, tandis que les Valaisans, contrai- rement à leurs promesses, occupèrent une partie du Chablais. Dans ces tristes conjonctures, le maréchal de Savoie s’adressa encore inutilement à Boisrigaut, ambassadeur français auprès des Ligues suisses.

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« A la fin de février 1536, le duc de Savoie avait déjà perdu la moitié de ses Etats et Francois [er se disposait à envahir le Piémont. Ge doit être en ce moment que Calvin chercha à soulever la vallée d'Aoste. Challant ne pouvant plus rien dans le pays de Vaud et dans la Savoie envahis, pensa à sauver Aoste il fit réunir d'urgence les Trois-Etats. De 1536 à 1552, René passa +2 « au sein de sa famille, dans ses châteaux d’Issogne, | « Chatillon et Aymaville, les rares loisirs que lui lais- = « saient sa charge de gouverneur du jeune prince Emma- « nuel-Philibert, les négociations diplomatiques et les Es | « visites à ses nombreux fiefs, notamment à celui de = « Valangin. En 1538, nous le vovons prendre part aux ae « conférences des députés de France et d’Espagne a « Barcelone. De 1538 à 1540, il se rendit plusieurs fois « auprès de Charles-Quint et il fut chargé de nombreuses « ambassades 4 Milan en 1543, à la cour de Vienne de « 1545 à 1547 et à celle de France en 1556. Une grande «

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suite l’accompagnait toujours dans tous ses voyages ou il promenait son faste avec un train princier. €, « Nous ne pouvons suivre ici toutes les péripéties de à « l’invasion française en Piemont et la part active qu'a « prise le maréchal de Savoie pour la défense de son “E « prince. Challant gouvernait Verceil après la mort de a « Charles III ; il y fut surpris le 18 novembre par les « Francais qui le conduisirent prisonnier a Turin, ou « le maréchal de Brissac le fit enfermer au chateau du « Valentin. Lors de sa capture a Verceil, les Francais « prirent a Challant quarante chevaux qu'il conduisait « ordinairement à sa suite, ses vêtements, des chaînes « dor, l’argenterie de table et une quantité de meubles « précieux, le tout évalué à 40,000 écus d’or. Challant ne « fut rendu à la liberté que moyennant une somme de « 30,000 écus d'or déboursés à Brissac dans le courant « de juin 1555. 1] subit ainsi vingt-trois mois de détention. « Pour se procurer cette somme, il dut engager plusieurs

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« de ses fiefs, entre autres Valangin aux Bernois pour « 9970 écus d’or sol. En 1525, Challant, qui recevait du roi « de France une pension annuelle de 3000 florins d’or, avait pris part à la bataille de Pavie il commandait un escadron. Il y fut fait prisonnier par les Espagnols et dut payer pour sa rancon 3000 écus d’or, pour les- quels il engagea la seigneurie de Boffremont. Ceci ajouté à l’enorme somme payée à Brissac fut le commence- ment des désarrois financiers du comte de Challant. « Après une existence si agitée et tant de malheurs, René eut enfin la consolation de voir le prince Emma- nuel-Philibert remonter sur le trône de ses ancetres. Il eut une part active aux préliminaires du traité de Cateau-Cambrésis, puis, avec ses anciens titres de maréchal de Savoie et de lieutenant-général, il assistait, le 27 juin 1559, au palais royal de Paris, à la stipulation du traité de mariage entre le duc de Savoie et Marguerite de France. Ce fut encore lui qui, le 10 juillet, fit benir les époux par le cardinal de Lor- raine aux pieds du lit du roi moribond. Emmanuel- Philibert lui conféra, le 8 juillet, pleins pouvoirs pour prendre en son nom possession de la Maurienne, de la Tarentaise, de la Bresse et du Bugey et recevoir des sujets le serment de fidélité. Le 12 aoùt, il établit a Chambéry le souverain Senat de Savoie et, en novem- bre de la méme année, il ordonna des réparations aux chàteaux de Chambéry, de Montmelian, de Miolans et « du Bourget. Derniers beaux jours qui consolèrent sa « vieillesse! »

Après avoir accompagné les nouveaux époux dans leur capitale, René put enfin se retirer des affaires actives. Malheureusement les dissensions survenues entre ses deux filles attristèrent ses derniers jours. Avec une hoirie obérée de dettes, il mourut abreuvé d’ennuis et de chagrins à Ambromay en Bresse le 11 juillet 1565 ; à l’âge de soixante-deux ans.

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499

Le comte René fut marié quatre fois. Il n’eut d’enfants que de sa dguxième femme : Marie de Portugal, fille de Denis de Portugal, comte de Lemos. Ce sont deux filles qu’il nomme dans son testament du mois de février 1546. Philiberte, l’ainée, fut déshéritée par son père, et épousa Joseph, comte de Tornielli en Milanais ; la seconde, Isa- beau ou Isabelle, héritière de Challant et de Valangin, épousa Frédéric Madruccy, comte d’Avy, marquis de Suriana et neveu du célèbre cardinal Madrucci. Après de longs démélés entre les deux soeurs Philiberte et Isabelle, la seigneurie de Valangin fut rachetée et définitivement réunie à la maison de Neuchätel par Marie de Bourbon en 1592. Une somme de 70,000 écus d’or sol et de 27 batzen et demi la pièce fut donc payée a Frederic de Wurtem- berg, comte de Montbéliard; ce dernier ayant racheté les droits sur Valangin des comtes d’Avy et de Tourniel.

Comme nous venons de le voir, René de Challant a joué un role important dans les démélés des ducs de Savoie avec les Confédérés. Nous espérons conséquem- ment n’avoir pas abusé de la patience des lecteurs de la Revue en nous étendant peut-étre un peu longuement sur la vie d’un homme qui ne fut pas le premier venu dans ce xvie siècle si mouvementé.

Lenormant a oublié de nous dire oti il a vu cette medaille et, malgré toutes nos recherches, il nous a été impossible de découvrir dans quel musée ou collection elle pouvait se trouver. Nous ne sommes pas mieux ren- seigné sur son auteur, l’artiste n'ayant pas signé son œuvre. Lenormant nous dit bien qu’elle a être faite a Valangin (?) mais ceci nous semble trés problématique : Valangin, bien qu’ayant possédé une fonderie de canons, n'a jamais joué le rôle d’un centre artistique! Etant donné le procédé Collas et la reproduction empâtée que le Trésor de numismatique nous donne, il est fort diffi- cile de se rendre compte du degré artistique de la pièce.

123

Nous trouvions sa facture plutòt allemande, mais en étu- diant la chose de plus près, nous avons change d’avis et l’attribuons maintenant à un artiste italien ou francais. Lequel? Ceci est des plus compliqués à répondre. Cepen- dant, étant donné que cette médaille a fort probablement été exécutée après la mort de René, nous croyons pou- voir l’attribuer peut-être a Pastorino. Cet artiste signait generalement ses ceuvres d’un P suivi de la date (sur la face laissée par le bras coupé touchant au grénetis), mais impossible de rien distinguer dans la médiocre reproduc- tion de la medaille de Challant. La plupart des medailles de cet artiste étaient sans revers, il s’en trouve cependant quelques-unes qui en ont un, mais alors nous devons avouer que nous n’en avons trouvé aucune dans le grand ouvrage de Heiss (Florence et fa Toscane) avec un revers armorié. Ces revers sont en général des allégories dans le gout de la fin du xvie siècle. Pastorino, de Sienne, en 1508, mort en 1592, a été pendant sa longue car- rière l'artiste à la mode de la plupart des princes et importants personnages italiens du milieu et de la fin du xvie siècle; c’est ceci qui nous autorise à supposer qu'il fut aussi l’auteur de la médaille de Challant. Nous avons dit aussi que le médailleur en question pouvait étre francais? En effet, plusieurs medailles non signées de cette époque et dont les auteurs sont supposés étre francais, ont des revers armoriés presque semblables à celui de Challant (par exemple les médailles d’An- toine de Bourbon, de Jeanne d’Albret, etc.). Il est vrai que parmi les artistes de la cour des rois de France de celte époque, il S'en trouvait beaucoup d’origine italienne. Il se peut donc, Challant avant séjourné à maintes reprises en France, que sa médaille fut exé- cutée à Paris, par un élève de Pastorino établi dans cette ville? Le droit de cette pièce, nous le répétons, rappelle en tous cas beaucoup le style et le procédé d’exécution de Pastorino.

1%

OUVRAGES CONSULTES :

Chancelier DE MONTMOLLIN. Mémoires sur le comté de Neuchatel en Suisse. Neuchâtel, 1831.

Frédéric DE CHAMBRIER. Histoire de Neuchatel et Valangin. Neu- chàtel, 1840.

George-Auguste MatiLE. Musée historique de Neuchatel et Valangin. Neuchatel, 1843.

Jonas Boyve. Annales historiques du comté de Neuchatel et Valangin. Berne et Neuchàtel, 1854-1855.

Alois Heiss. Les Médailleurs de la Renaissance, Florence et la Toscane. Paris, 1892.

F.-G. Fruraz. Notes sur René de Challant (Musée neuchälelois, novembre-décembre 1904).

La Chaux-de-Fonds, 29 janvier 1905.

Georges GALLET.

Etude sur la Monnaie a Fribourg’.

4. Peu de temps aprés la fondation de Fribourg, un

acte dont nous n’avons pas l’original, mais qui est

reproduit en copie, un acte, dis-je, de l’année 1214, mentionne déja des livres de Fribourg. On sait que la livre n’est qu’une monnaie de compte. Mais il est cependant curieux de constater que, si peu apres sa naissance, notre ville ait acquis assez d’importance pour que l’on comptät par livre de Fribourg. Nobiliare altaripanum, vol. II, p. 5. Lenzbourg, Collectio episcopalis Laus., p. 88. |

2. La Handfeste de 1249, soit la Charte de nos fran- chises, ne nous octrovait pas, comme à Berne, le droit de battre monnaie. Elle se borne 4 fixer à 12 deniers la contribution annuelle due au seigneur par chaque emplacement de maison. Comme M. Ernest Lehr, le commentateur de cette charte, attribue au denier de cette époque la valeur de 11,7 centimes de notre monnaie et le pouvoir de 0 fr. 30, il s’en suivrait que nous devions payer à celte époque un impôt de 1 fr. 40 dont le pou- voir s’élevait 4 3 fr. 60. Vous voyez que, depuis lors, nous avons fait du chemin en matiére de contributions publiques. E. Lehr, Handfeste, p. 48, 11.

3. En 1296, les Fribourgeois prétent au chevalier Nicolas d’Englisberg 300 livres en écus blancs pour acheter le chateau d’Arconciel. Recueil dipl., I, p. 172.

4. En septembre 1334, la ville de Fribourg vend le

! Lecture faite à l’assemblée de la Société suisse de numismatique, le 4 septembre 1904, par J. Schneuwly, archiviste d'Etat de Fribourg.

126

château de Guminen à Jean Hygilli, l'un de ses bour- geois, pour le prix de 300 livres bonnes blanches, monnaie usitée à Berne. Rec. dipl., II, p. 139. Font. Rer. Bern., V1, p. 145.

5. Cest du 14 novembre 1375 que date notre plus ancienne ordonnance monélaire connue. Par cet acte, lavoyer, Petit et Grand Conseil de Fribourg défendent d’accepter la nouvelle monnaie que fait battre l’évéque de Lausanne et d’effectuer des paiements avec cette monnaie, le tout sous l’amende de 60 sols, soit de 3 #, et sous la menace du bannissement d’un mois, non seule- ment hors de la ville, mais encore de la seigneurie de Fribourg. De plus, celui qui ferait commerce de cette monnaie, qui en vendrait, en achéterait ou en expor- terait, serait passible d’une amende de 20 @ laus. et du bannissement d'un an hors de notre seigneurie. Par contre on ne peut refuser un florin qui serait de bon or et de bon poids. Rec. dipl., IV, p. 104.

Ce décri de la monnaie lausannoise est remarquable, puisque la ville et seigneurie de Fribourg était située dans le diocése de ce nom et que nous comptions le plus souvent en livres, sols et deniers lausannois.

6. Quelques années plus tard, soit le 16 août 1390, nouvelle ordonnance monétaire. L’avoyer et Grand Conseil de Fribourg décrétent de maintenir toujours la meilleure monnaie coursable a Fribourg. Dans ce but ils interdisent aux habitants de la ville et seigneurie, s'ils ne sont pas billonneurs ou ouvriers de billonneurs, de billonner de la monnaie, cela sous l’amende de 40 livres et sous la menace du bannissement d’une année. Ils interdisent encore, sous les mêmes peines, de fondre de la monnaie et renouvellent la défense d’en exporter, d’en acheler ou d’en vendre a des monnayeurs pour la réimporter à Fribourg. Rec. dipl., V, p. 63.

Tout cela nous prouve qu'il existait à cette époque reculée bien des abus. Ainsi des particuliers se permet-

RN Te Su Ze I

127

taient de battre et de fondre de la monnaie, c’est-a-dire d’exercer un droit que la ville n’avait pas encore elle- meme.

7. Le 3 novembre de la méme année 13%, les am- brosaines, monnaie milanaise, furent taxées 10 deniers et reconnues monnaie légale.

8. Trois années après (1393), le trésorier de Fribourg, nommé Perrod Morsel, fit deux recettes importantes. D’abord il encaissa 540 écus 5 sols payés par Jaquet Barguin, banneret de cette ville, pour 100 livres 35 sols de « krützer », qui ont pesé 108 marcs 2 onces, vendus à raison de 5 écus le marc. Puis, il encaissa encore 248 écus 12 sols pour 48 livres 10 sols 4 deniers berlin que l’on a fondus et qui ont pesé en argent 45 marcs 2 onces ou quart ou witkin, vendus à raison de 6 francs de roi et 2 sols, soit pour 279 francs 12 sols, c’est-a-dire les 248 écus 12 sols ci-haut. Le plus ancien livre de compte de notre trésorier d’Etat, la, p. 103 verso.

Je suis à me demander si nous sommes ici en présence d’une fonte et d’une vente de vieux cruches ou d’une frappe de nouveaux cruches faite par la ville avant d’en avoir obtenu la concession? En outre, je ne savais pas les cruches étre si anciens. Le premier volume de nos recés fédéraux, commence en l’année 1245 et finissant en 1420, ne les mentionne pas avant 1411.

9. En avril 1401, l’avoyer, Conseil, Soixante et Deux- Cents de la ville de Fribourg, pour mettre fin au préju- dice cause en fait de monnaie, font la quatrième ordon- nance suivante: Toute personne qui pèsera de la monnaie ou billonnera, pour la revendre & des monnayeurs ou billonneurs, ou qui achètera ou vendra pour la fondre et la porter « à billons » est amendable de 10 livres et sera banni pendant un an de la ville et de la seigneurie. Une exception est faite en faveur des marchands de notre ville qui pourront acheter des pièces de monnaie pour aller à l’etranger et y empletter des marchandises, mais

498

non pour « billonner » ou pour les revendre. Rec. dipl., VI, p. 9.

Ces lois si souvent répétées prouvent qu'il y avait à Fribourg une activité très intense dans le commerce de la monnaie.

10. Dans la cinquième ordonnance, datée du 18 mai 1403, les autorités fribourgeoises décrient les mailles neuves qui sont en circulation et qui sont frappées au coin de la « molette d’éperons ». Il en faudra trois au lieu de deux pour valoir 1 denier. Personne ne doit plus apporter de ces mailles du dehors pour les changer ou pour les débiter, le tout sous l’amende de 60 sols. Rec. dipl., VI, p. 41.

11. Dix années plus tard, soit le 28 mai 1413, les mêmes autorités renouvellent dans une sixième ordonnance la défense d'acheter de la monnaie pour la billonner ou pour l'exporter hors de la ville et du territoire de Fri- bourg au préjudice de la monnaie de Lausanne et aussi de celle de Savoie. Cette interdiction fut faite sous peine de la perte du quart de la monnaie, objet de cette con- travention. La même peine était infligée à celui qui se permettrait d'acheter, même en dehors de la ville et seigneurie de Fribourg, des valeurs métalliques pour les céder à des monnayeurs étrangers dans le but de les fondre et porterait ainsi préjudice à la monnaie de Lausanne. Rec. dipl., VII, p. 35.

12. Selon une septième ordonnance du 4 décembre 1414, les orfèvres, à qui l’on apporterait des pièces d’or pour les éprouver ou les examiner, furent autorisés à les couper sans autre en deux, si de leur examen il résultait la preuve qu'elles étaient fausses. Rec. dipl., VII, p. 246.

43. Moyennant une somme de 14 livres lausannoises pavées d'avance, Guillaume Boulez de Riez s’engage le 29 septembre 1416 de livrer à Guillaume Rono de Fri- bourg trois muids de vin de la prochaine vendange, avec la condition que si ce vin valait davantage après la ven-

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dange, la différence serait compensée par l’acquereur | avec de la monnaie de Fribourg au lieu de la nouvelle monnaie de Lausanne. Reg. notarial de Fulistorf, 9, p. 117. Cet acte semble nous faire voir que Fribourg avait déja battu monnaie et que cette monnaie était préférée a l'ancienne de Lausanne par les vignerons de Riez.

44. Rolet Willie de Fribourg, serviteur de Guerrard, maitre des monnaies de Cuserie, déclare le 3 janvier 1419 (n. st.), avoir regu pour le compte de son maitre Cuanod Rota, bourgeois de Fribourg, 250 marcs d’argent en monnaie soit en gros de Bohéme en paiement et en acompte de 1000 écus d’or que lui devait le dit Cuanod en vertu d’une cédule ou d’une police. Reg. not. 2, de Manot, soit 22, p. 191.

15. Enfin, selon une huitième ordonnance du 12 avril 1420, les Conseils, Soixante et Deux-Cents de la ville de Fribourg, considérant les abus que commettent les peseurs de monnaie qui donnent à fondre et 4 convertir en d’autres monnaies la meilleure et la plus pesante, qui laissent dans la circulation la moindre et la plus legere et qui de cette manière malhonnéte s’enrichissent aux dépens du public, défendent à tous et à chacun de la ville et seigneurie de Fribourg de billonner soit battre monnaie, d’amoindrir le poids des bonnes pièces, de les porter au billon ou à la monnaie, de les faire fondre en quel lieu et pays que ce soit, de diminuer la valeur des monnaies de Lausanne et de Savoie et de tous autres pays, coursables à Fribourg et dans la seigneurie. Dans le but donc de relever la valeur des pièces neuves qui seront frappées à Lausanne et en Savoie sur le pied de 16 sols par écu, il est statué une amende de 20 livres de Lausanne contre tous ceux qui enfreindraient la présente ordon- nance et la confiscation de toute la monnaie qui aura été confectionnée. De plus, tous ceux qui accepteraient ou déli- vreraient de la nouvelle monnaie de Lausanne ou de Savoie pour un prix plus élevé que celui de 16 sols par

REVUE NUM. T. XIII. 9

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écu, soit au dessus du prix de l’ancienne monnaie, seraient condainnés à l'amende de 100 sols laus. En outre, toute personne qui a l’avenir changerait, exporterait des pieces d’or, sans faire partie des changeurs officiels établis par la ville, encourrait une amende aussi de 100 sols. Enfin il est réservé que le produit du change des monnaies appartient a la ville. Rec. dipl., VII, p. 84.

Il parait que cette dernière loi n'eut pas plus d'effet que les précédentes et que notre ville se vit obligée de demander à l’empereur et au pape le droit de frapper elle-même au moins des monnaies d'argent. C'est ce qui lui fut gracieusement accordé par diplôme de l’empereur Sigismond, daté de Nuremberg le 28 août 1422, et par le pape Martin V qui confirma le diplôme impérial, par bulle datée de Rome le 29 décembre de la même année 1422. On sait que la concession de battre des monnaies d'or ne fut faite qu'un siècle plus tard par bref du pape Jules II, daté de Rome le 15 février 1509. |

Ce droit fut exercé par la ville, pour le canton de Fri- bourg pendant trois siècles et demi, soit jusqu’au moment la constitution fédérale de 1848 enleva ce privilège et cette ressource aux cantons pour les transmettre à la Confédération.

Jos. SCHNEUWLY.

m

DECOUVERTE A ANNONAY (ARDECHE)

DE

MONNAIES FEODALES, ROYALES ET ETRANGERES

Le 12 mai 1904, des travaux de demolition, exécutés dans un vieux quartier de la ville d’Annonay (Ardeche), ont amené la découverte, à l’intérieur d'un mur d'une maison ayant façade sur l'ancienne Grand’Rue et sur la rue de la Réforme, d'un certain nombre de pièces. La moitié environ a été recueillie par l’adjudicataire de la construction de la nouvelle église, dont l'emplacement est préparé par le rasement de divers immeubles !; le reste a été dispersé.

M. Emmanuel Nicod, si versé dans l’histoire du Vivarais, a bien voulu me communiquer cette portion que lui a offerte l'entrepreneur, M. Desroziers, et qui sera remise au futur musée de la ville. Cette circons- tance m'a déterminé à reprendre le cours de mes études de numismatique,.abandonnées depuis plusieurs années, lorsque j’eus à subir la plus cruelle épreuve qu’ait à supporter le cœur d’un père.

Ce numéraire, comprenant uniquement trente-une basses monnaies, a peu de valeur intrinsèque. Si la deuxième part présente une composition analogue, il est peu probable que l’on ait rencontré un «trésor de pauvre ». La période du règne de Louis XII (1498-1515)

! Journal d’Annonay, du 17 décembre 1904.

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compte en effet parmi les plus heureuses que la France ait traversées ! et c’est alors que la cachette a été prati- quée. Une personne peu aisée, un ouvrier, un cultivateur, ne conservent pas d’ailleurs ordinairement par devers eux leur « magot », intégralement en menue monnaie, à cause de sa dépréciation possible. Le citoyen riche a toujours, au contraire, à sa disposition quelque quantité d'espèces de billon ou de cuivre pour lui permettre de verser l’appoint de ses paiements, séance tenante, sans avoir recours à l’operation ennuyeuse du change. Dans l'hypothèse l’autre moitié contiendrait une ou plusieurs « grosses » piéces on pourrait conclure a la trouvaille de la bien modeste fortune d’un « pauvre diable ».

La présence de monnaies des cantons de Berne ou de Soleure et d’espéces rappelant deux personnages im- portants, Philippe de Hochberg et l’antipape Robert de Genéve, m’ont fait penser que les lecteurs de la Revue suisse de numismatique pourront trouver quelque intérét à l’etude de ce dépôt. Le nom du dernier de ces sou- verains indique suffisamment à quelle famille illustre il appartenait. Quant au premier, devenu prince intéri- maire d’Orange par la volonté du roi de France, il était fils de Rodolphe IV, margrave d’Hochberg-Sansenberg, d'une branche cadette des margraves de Bade; il épousa Marie de Savoie, fille d’Amédée IX. Le château de Hochberg était voisin de Fribourg.

l. Avignon. Clément VII (1378-1394).

Une seule pièce provient du monnayage pontifical d’Avignon. Le regretté Laugier, conservateur du Cabinet

‘Ma notice : Du taux de Vintérét à Valence sous Charles VIII et sous Louis NII (1483-1515).

1433

des médailles de Marseille, a déjà publié une monnaie semblable ! dont celle-ci est une variété.

Le nom du pape Clemens est encore illisible, moins le initial qui est gothique également. Le surplus de la légende est identique à tous égards, sauf que l’adjectif septimus est représenté par la forme déjà connue SETHS? avec un signe abreviatif à la suite de la barre trans- versale de I’M. Cet érudit provençal estimait que la rose a quatre feuilles qu’il croyait apercevoir entre les fanons de la mitre papale, placée dans le champ, pourrait bien étre une croisette à branches arrondies. Cette hypothese est parfaitement fondée. C’est une croix de cette nature qui est gravée, contrefacon de la rose reproduite sur l’espèce similaire de Grégoire XI (1370-1378) ®.

Le revers de cette pièce inédite n’offre rien de bien special. Sanctus est inscrit toutefois à la place de Santus et In, le C, les v et l'E de ce mot ou de Petrus sont rigoureusement gothiques‘. Enfin les bras de la croix, celui du milieu et celui de droite, sont accompagnés d'un point clos touchant chacun d’eux.

Poids : 097,71.

La difference du style avec celui de la plupart des monnaies faisant partie de la trouvaille prouve que ce sous-multiple du gros, de cuivre rouge à peine blanchi, c'est-à-dire de très bas billon, n’a pas été battu au x ve siècle mais pendant le règne de Robert de Genève, l'antipape Clément VII (1378-1394). Son aspect, d’ailleurs vénérable, autorise tout de suite à lui décerner le titre de doyen de la découverte. Ce vestige d’un autre äge a circulé bien longtemps, plus de cent ans.

La profusion des lettres gothiques au revers n’a rien

* Monnaies inédites ou peu connues de papes et léguts d’Acignon, ete., p. 15. 3 Poey d'Avant, Monnaies féodales de France, t. II, n°° 4196 et 1199.

3 Vallier, Petit supplément à la numismatique papale d'Avignon, p. 4.

4 L'état du V de Petrus ne permet pas cependant d'être bien affirmatif à son sujet.

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de surprenant; on constate pareil fait sur d’autres pièces du successeur de Grégoire XI'.

Généralement les petits meubles insérés en un point quelconque du numéraire des papes ont une signification précise. Ils furent empruntés d’abord à l’écu du souverain régnant, ultérieurement aux armoiries du légat ou du vice-légat d'Avignon. Laugier a déjà constaté que l'objet qui nous intéresse «n’est autre chose qu'un remplissage « n'ayant aucun rapport avec les armes de » * l’antipape. L'attribution de cette monnaie à l'atelier avignonais du pape Clément VIT (Médicis) ne permettrait même pas de trouver une autre solution. Les armes de cette maison sont en effet bien connues. Clément VII présida aux destinées de l'Eglise de 1523 à 1534. Durant ce laps de temps le légat fut Francois de Clermont (1513-1541); la vice-légation fut confiée à Jean Nicolai ou de Nicolai (1524-1527), l'évêque d’Apt*. Le chef du blason de l’un est d’hermine®; on voit une levrette dans celui de l’autre’. Le legat Pierre de Foix (1433-1464) fut le premier qui ait osé inscrire son écu sur les espèces papales d’Avignon, celles au nom de Calixte II (1455- 1458) 5. Les vice-légats instituèrent l’usage de rappeler leurs armes sur les espèces à la fin du xvie siècle ?.

Clément VII a battu monnaie à Avignon; j'ai été assez heureux pour retrouver à la fois des textes écrits et un petit denier inédits !°. M. Luneau a depuis lors décrit une

1 Vallier, Op. eit., p. 5.

3 Op. cit., p. 15.

3 D'or à cing tourteau.r de gueules surmontés d’un sivieme d’asur charge de trois fleurs de lis d'or, après la modification concédée par Louis XI.

4 Ma notice: Notes sur la chronologie des vice-legats d'Avignon au XVI siècle,

p. 2. 5 Ibid., p. 2 et 16. 6 Ma notice : Numismatique avignonaise du pape Clement VII (1523-1534),

ae

7 Pithon-Curt, Histoire de la noblesse du Comté-Venaissin, ete., t. 1, p. 270.

8 Ma notice : Un sequin avignonais inedit du pape Calirte III (1455-1458).

9 Ma notice : Les monnaies frappees à Atignon durant la vice-légation de Mazarin, p. 7.

10 Numismatique avignonaise du pape Clément VII (1523-1534),

re ree Tu e. TE =

Fe Te u i, Te eee ET 2 * =

435

piece analogue, classée à l’antipape Clément VII !. Mon mémoire est demeuré inconnu de lui, ce qui n’a rien d’étonnant, étant donné le nombre de revues ou de bulletins consacrés à la numismatique. La monnaie qu’il possède constitue une variété incontestable de la mienne, mais elle a bien été ouvrée au xvie siècle, nullement au xIve. Ce petit denier ou obole renferme en effet, au troisième canton de la croix du revers, une hermine et non une tiare. L’hermine est empruntée à l’écu du légat Francois de Clermont à.

II. Dauphiné. Louis II (1440-1456).

La numismatique du Dauphine est representee par trois mailles ou oboles.

Deux d’entre elles sont semblables et pèsent res- pectivement 09,82 et 097,79. J'ai établi que toutes les espèces le titre de fils aîné du roi de France ne figure pas devaient être attribuées à Louis II (1440-1456) et pas du tout à Louis Ier®. Ces deux mailles rentrent dans ce cas. Elles ont été battues à Romans, d’après le point clos existant sous la deuxième lettre de la légende du revers. Les légendes relevées jusqu’a present sur les mémes produits de cet atelier sont, comme sur ceux de l’officine de Montélimar, uniformément au droit * LVDOVIAVS et au revers va DALPbIRVS. Un dauphin en pal orne le champ de l’avers; une croix se voit dans celui du côté opposé. Eh bien! je lis pour une fois ces deux mots privés de l’S. Cette difference méritait d’être

1 Quelques pieces inédites (Bulletin de numismatique, 1902, p. 73-4).

3 Ma même notice, p. 7. :

3 De la détermination des monnaies du dauphin Louis I" (1410-1415). 4 Ibid., p. 19 et 20-22.

136

signalée, car elle témoigne de l’activité de la Monnaie de Romans.

La troisième maille appartient de même à Louis II. D'un poids de Os',79, elle offre les légendes complètes, bien connues. Au type de la fleur de lis', elle a été forgée à Romans ?,

III. Orange. fo Philippe de Hochberg (1478-1482).

La trouvaille comprend trois pièces d’un méme type, au nom de Philippe de Hochberg, souverain intérimaire d’Orange (1478-1482). Il y a intérét à rappeler ces deux dates, d’ailleurs relatées au cours de la notice sommaire consacrée par Poey d'Avant à ce prince *. Cet auteur et l’erudit M. Caron‘ se sont bornés, en effet, à inscrire celle de 1478 en téte de leurs articles.

La légende du droit et celle du revers sont respective- ment uniformes et conformes a celles déjà lues :

RK PhS : DE : HOGhBERG : entre deux grénetis. Le €, les @, le Get les p sont gothiques. Dans le champ, et sur deux lignes, les lettres P R et @ S. Un trait

1 Ibid., p. 19 et 20-22.

2 Ibid., p. 18.

3 Op. cit., p. 101-402. Ch. La Pise, Tableau de l'histoire des princes et prin- eipaute d'Orange, ete, p. 140-141. La date de 1477 donnée par M. Blanchet est inexacte (Nouceau manuel de numismatique, ete., p. 355). C'est seulement en 1478 que Philippe de Hochberg se vit attribuer la principauté,

4 Monnaies foodales françaises, p. 24),

137

horizontal est figure entre le P et IR et au dessus d’eux. Un gros point clos est gravé au centre du carré formé par ces quatre lettres.

À. k DEI | - GRA | - PRS- | AVR - entre deux grénetis. Croix pattée coupant la légende et cantonnée d’un cornet aux 2% et 3e cantons. L’& et le G sont gothiques ; les 77 sont surmontés d’une barre.

Le dessin fourni par Poey d’Avant est inexact, car la legende du revers debute verticalement et non au milieu et à gauche. En outre la croix précédant cette légende et une partie de la ponctuation ont été omises. Au droit un @ a été gravé avant le troisième ER pour un d . Une nouvelle représentation était indispensable. La descrip- tion elle-même est fautive en ce qu'elle renferme le nom bO€A BERG pour hOGhBERG et qu'elle ne signale pas la croix placée avant la légende du revers. Des erreurs de cette nature sont inévitables dans un ouvrage de longue haleine, consacré à l’étude d’une numismatique aussi complexe que celle du moyen age.

Les poids respectifs de chacune de ces trois pieces sont 097,71, Ogr,83 et 49°,00, ce qui donnerait une moyenne de 095,847. L’essai pratiqué postérieurement a la découverte, sur la seconde piéce, a fait disparaitre un léger fragment qu'on peut évaluer a Osr,003 ou Ogr,004. Cette circonstance fortuite n’a pas d'influence sensible sur ce poids moyen. Mais la monnaie la plus légère offre une apparence bizarre. Notamment, l’I de DEI est minuscule par rapport à D et à & et a été gravé au dessous d’eux. Je la considère comme fausse ; elle est l’œuvre d’un faux-monnaveur contemporain.

La moyenne de 09,847 par pièce est done ramenée à 095,915, sans tenir compte de l’altération causée par l'essai. L’indication de Osr,70 fournie par Poey d'Avant n’est guère admissible si l’exemplaire visé était beau et s’il provenait d'une émission légale.

Le type du groupe de quatre lettres ornant le champ

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du droit ou celui du revers des espèces d'Orange est commun. En l'état actuel de nos connaissances il se subdivise en deux séries. |

La première créée, dit-on, par le dernier prince de la maison de Baux, Raymond VI (1340-1393)! disparut à la mort de ce souverain. Les rares produits de ce mon- nayage montrent constamment a l’avers une croix pattée dont les bras, limités au champ de la pièce, sont accom- pagnés chacun d’un cornet intercalé dans la légende. C'est une imitation servile des doubles deniers pro- vencaux de Robert (1309-1343), de Jeanne ou de l’un des deux derniers Louis (1384-1417 et 1417-1434). Si l'on remarque que, sur les doubles de Robert, la croix du revers est cantonnée ordinairement aux 1 et 4°, accidentellement aux 2 et 3%, et si l’on considère que les cantons 2 et 3 de la croix de ceux de Jeanne sont vides, tandis que les mémes cantons de la croix des doubles de Louis II ou de Louis III sont ornés, on est amené à admettre que Raymond a copié uniquement la monnaie de ces Louis ou celle de Robert, quoique cette dernière soit rare et n’ait par conséquent été ouvrée que durant un court laps de temps et en petit nombre.

Le double de Robert, appartenant à la première caté- gorie, n'a jamais été reproduit. Cette lacune peut être comblée grace a l’obligeance de M. Martin, le très aimable

' Caron, op. cit., p, 246.

2 Poev d'Avant, op. cif., 4002.

3 Caron, op. cit., 357. Le texte de M. Caron mentionne, comme celui de Poey d'Avant, un lis aux 1 et 4. Le dessin, pl. XV, 12, attribue ce meuble anx cantons 2 ct 3. Comme les reproductions dues à la plume habile et exercée de M. Joseph Roman sont toujours exactes, on doit admettre l’existence de ces deux variétés.

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conservateur du Cabinet des médailles de la ville de Marseille. La vignette nous révéle une variété inédite, car le mode de ponctuation observé n’est pas conforme aux descriptions données jusqu’à maintenant et, d’autre part, le nom de Sicilie est figuré au revers par Sle,

comme sur le double singulier, décrit par Poey d’Avant,

sous le 4000.

L’abreviation normale de princeps est le groupe PRS surmonté d’un trait. Les lettres disposées sur l’ordre de Raymond étaient PRIN; la légende correspondante contenait la fin du titre CEPRS pour CEPS!. Cette monnaie est un double denier; c’est à tort qu’elle a été qualifiée denier. De même, la légende d’un gros de Bertrand III contient ce titre princeps, scindé en deux parties égales par deux flanchis superposés *. La même qualité est encore maltraitée à ce point sur un denier d’Orange, fac-similé du denier anonyme de Clermont*®.

Il n’est peut-étre pas très aisé de découvrir le proto- type imité par Raymond. Un premier examen des legendes de la monnaie de ce prince prouve que les E sont tous angulaires et que les X sont uniformément du tvpe essentiellement gothique. Il est facile de constater que l’emploi des E de cette nature et que l’usage des lunaires ne furent pas spéciaux à des époques diffé- rentes. Si l’on recherche au contraire les produits du monnayage des princes d’Orange, offrant la particularite de l’adoption de cet 7% gothique, on s’apercoit sans peine que cette circonstance n'existe completement que sur un petit nombre des pieces publiées par Poey d'Avant, nos 4483 (Bertrand III), 4484, 4488, 4489, 4502, 4503, 4513 à 4518, 4530 à 4032, 4035 et 4038, sauf vérifi-

1 Caron, op. cit., 422. Le texte ne reléve pas cette partienlarite.— Les Adhémar, seigneurs de Montélimar, lancèrent de leur côté, au xiv® si¢cle, un numéraire à légende bilinéaire.

3 Poey d'Avant, op. cit., 4182.

3 Ibid., 4481,

140

cation sur les originaux. Les legendes d’une seule des espèces étudiées par M. Caron rentrent dans le méme cas, 425.

Les nos 4484, 4488, 4489, 4502 et 4503 rappellent res- pectivement le numéraire provencal de Charles II d'Anjou (1285-1309)! ou celui de Robert (1309-1343) ?. Les nos 4513 à 4518 sont des copies d’une monnaie de la reine Jeanne *. Le 4530 continue un type adopté par Bertrand III (1282-1335). Selon Poey d’Avant le n°4535 serait une reproduction d’un denier de Mahaut II, duchesse de Nevers (1257-1267) *. Il est exact que cette souveraine a émis des deniers ornés d’une fasce accom- pagnée d’un lis et de deux étoiles. Mais comme Robert a contrefait cette dernière piece, il est préférable d’ad- mettre que Raymond d’Orange a, à son tour, adopté ce type ä la fasce, modifié notamment par l’insertion d'un cornet dans le 2% canton de la croix du revers, canton demeuré vide sur la monnaie de Robert. Le 4538 imite un gros d’Etienne de la Garde, archevéque d'Arles (1350-1359) ®. Le 425, publié par M. Caron, est le dérivé direct d’une espèce du pape Innocent VI (1342- 1352)". Il y a lieu d’ajouter que si le 4490, auquel Poey d’Avant attribue uniquement des 7% de forme gothique, ne figure pas dans l’énumération faite ci- dessus, cela tient uniquement a ce que le dessin révéle un autre état de chacune de ces lettres 8. Ce ne 4490 est certainement une subdivision des nos 4488-4489; il peut fort bien être leur contemporain d’une manière relative, c'est-à-dire avoir été battu quelques années plus tard.

1 Ibid., 3960.

3 Ibid., n°* 4007 et 3991.

3 Ibid., n°° 4020-4021.

4 Ibidl., 2141-2112. Adrien de Longpérier estime que ce denier si commun doit être donné à Mahaut I, grand’mere de Mahaut Il (Fler. num., 1859, p. 159. -- Caron, op. cit., p. 107). Je n’admets pas cette hvpothése.

> Ibid., 4008. Un lambel a été substitué a la fasce.

6 Ibid., 4105.

141

Quoi qu’il en soit, un nouvel examen de cette monnaie s'impose. La même solution doit être adoptée, semble- t-il, à l'égard des espèces décrites par Poey d’Avant, sous les nos 4492, 4493 et 4507, qui n'ont jamais été dessinées. Quant au 4494, la légende du revers renfer- merait seule des X à forme gothique. Enfin cet auteur spécifie que le florin, ayant pour différent une étoile, montrerait au droit cette spécialité'. L’étude de mon exemplaire démontre que ce renseignement est inexact. D'autre part un # serait isolément identique, au revers du splendide florin émis tardivement par Raymond IV * et sur deux ou trois autres pièces.

Les divers rapprochements que je viens d’opérer prouvent que l’usage absolu des # essentiellement gothiques est antérieur à 1359 environ sur le numéraire des princes d’Orange. Il se perdit par la suite et l’on rencontre, jusqu’à leur disparition complete, ces A em- ployés concurremment avec les "x surmontés d’une barre. Le double denier, donné à Raymond IV, aurait donc pour origine celui du roi Robert et aurait été ouvré dès le début de son gouvernement. La détermination des espèces de ce prince et de celles de son prédéces- seur, Raymond III (1335-1340), présentera toujours un certain aléa. Des documents écrits pourront seuls faire admettre des propositions définitives. A mon sens, le double denier étudié ci-dessus pourrait à la rigueur appartenir à Raymond III.

Quant au double au nom d'un Louis, il est soit à Louis II, soit à Louis III. Il serait en tout cas postérieur a la proclamation de la majorité du premier de ces rois (1398). Jusque il n’aurait été battu que des francs, des écus et des sols couronnats 4. L’ensemble de nos

1 Ibid., 4520.

? Caron, op. cit., n°419.

3 Par suite d’une inadvertance du compositeur, les A du texte ne sont pas conformes a ceux de la vignette dans ma notice : Un double denier inédit de Louis le Bon, prince d’Orange (1418-1463), p. 2.

4 Les monnaies de Louis I" d'Anjou, frappées à Avignon (1382), p. 22.

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connaissances ne permet pas d’autres conclusions pour le moment.

Poev d’Avant attribue le poids de 19,25 au double de Louis. Les trois exemplaires de ma collection pesent respectivement 49°,2f, 19",11 et 497,10. Le double de René que je possède est équilibré par 097,89. Ce double denier ou patac, créé en 1455, vingt-un ans apres l'avènement de ce souverain, correspondait à une taille de 224 au marc de la cour romaine, soit d’après les calculs du regretté M. Blancard, à un peu moins de 197,00! Cette donnée établit, à mon avis, que les doubles légers de Louis ne furent pas frappés extrème- ment longtemps avant cette date, si d'autres pesées aboutissent également à une moyenne de 419,10. En ce cas on divisera peut-être un jour les doubles au nom d'un Louis en deux catégories. La première, corres- pondant à un poids de 19,2% environ, appartiendrait a Louis II; la seconde serait due à un nouvel affaiblisse- ment ordonné durant le règne de Louis III. Quoi qu'il en soit, la découverte de nouveaux textes pourra seule conduire à la séparation définitive du monnayage de Louis II de celui de Louis III.

Le pape Martin V (1417-1431) fit fabriquer, par l’atelier d’Avignon, une contrefacon des doubles deniers en modifiant légèrement l’aspect du prototype. Le nom du souverain fut inscrit au droit de la piéce; la croix du champ du revers devint pattée et coupa la légende. Ce type se maintint uniforme jusqu’à l’aurore du xvie siècle, car il figure sur le numeraire d’Alexandre VI (1492-1503). Les lacunes correspondant aux régnes d’Eugene IV, de Pie II, de Paul II et de Sixte IV seront probablement comblées plus tard*.

1 Sur les monnaies du roi René, p. 8-9.

2 Laugier, op. cit, p. 16. Vallier, op. cit., p. 6-7. Poey d'Avant, op. cit., passim. Ma note : Signification de lu légende bilinéaire de quelques doubles deniers pontificaux, frappés à Avignon.

ee (in En Di Sir :

443

Louis le Bon, prince d’Orange (1418-1463), se hata d'imiter à son tour cette nouvelle espèce, mais il conserva son nom du côté de la croix. Comme il ne pouvait insérer dans le champ du còté opposé la légende

bilinéaire A r essentiellement pontificale, il fit composer

le groupe i a Le p étant surmonte d’un trait horizontal,

ce groupe se résout aisément en prinseps pour princeps !. Ce numeraire des princes d’Orange fut special a la maison de Chalon; il disparut avec elle (1530). Quoique le poids de ces produits ait été généralement omis par les auteurs on doit les considérer comme étant des doubles deniers. L’espoir de constater l’émission de pieces similaires par le premier membre de la famille de Chalon, Jean Ier (1393-1418), est probablement chimé- rique, ainsi que je l’ai démontré ?.

La signification précise de la légende bilinéaire ne tarda pas à être oubliée. Un rarissime double denier de

Guillaume (1463-1475) renferme déjà le groupe i i 5 absolument dépourvu de sens. Cette lecture peut étre tenue pour correcte, jusqu’a plus ample informé, malgré la facilité extrême avec laquelle on peut être amené a confondre un R gothique avec un R.

Avec Jean II de Chalon (1475-1478 et 1482-1502) le groupe est altéré de nouveau, pour devenir (] i Le nom

du souverain cesse de figurer du còté de la croix et la formule : Dei gracia princeps Auraice, négligée jusqu'alors pour ce type, apparait enfin. On constate de tels errements sur le monnayage de Philippe de Hochberg (1478-1482). Il y aurait intérêt à essayer de déterminer

1 Un double denier inédlit de Louis le Bon, ete. Ce prince mourut le 13 décembre 1463 et non au cours de l'année 1462. (Cf. U. Chevalier, Répertoire, ete., v. Louis d'Orange.)

2 Ibid., p. 5-6.

3 Caron, op. cit., 430.

Sas SI ae

quel est celui de ces deux princes qui a apporté de pareilles modifications 4 un type jouissant d’une grande vogue. Il est, semble-t-il, hors de doute que Philippe de Hochberg, prince imposé par le roi de France, Louis XI, ne songea guére a créer des innovations sur les espèces à émettre. Il est certain que l'on se borna, durant son règne éphémère, à reproduire au moins trois des types adoptés par Jean II!. Cette opinion, déjà avancée par Poey d’Avant, est indiscutable, d’autant plus que ce dernier souverain aurait certainement pres- crit, par amour-propre, l’abandon de la frappe d'un numéraire créé par son rival. Sous Jean II de Chalon, une nouvelle légende bilinéaire fut imaginée au hasard, pendant la première partie de son règne, c’est-ä-dire de 1475 à 1478.

Poey d’Avant décrit, d’après Cartier ?, deux doubles deniers au nom de Philibert de Chalon (1502-1530) et un troisième, faisant partie de la collection Charvet*. Ces trois variétés répondraient a deux types. L’un d’eux est la reproduction conforme du type institué par Guil- laume, au triple point de vue de la légende bilineaire

oS de la place occupée par le nom du prince et de

l'insertion du terme Civitas substitué au mot Moneta, f i ; ; o a :

qu'avait adopté Louis le Bon. Le second serait identique

au précédent, sauf en ce qui concerne la substitution

de 6 = Le troisieme reproduirait sensiblement le double

denier de Jean II. Un autre examen de la seconde varicte est peut-étre indispensable.

Une nouvelle étude sommaire des formes successives de la légende bilinéaire des doubles deniers des princes

1 Poey d’Avant. op. eit., p. 400-101, et Caron, op. cit., p. 249-250.

2 Cartier, Num. de l’ancien Comtat-Venaissin et de la principauté d'Orange, p. 18. Ce tirage a part de la Revue numismatique (1839) contient ordinairement deux fois la pl. I, d’ailleurs non numérotée. L’exemplaire offert par l’auteur a mon bisaleul, Edouard de Laplane, est dans ce cas.

è 4562 à 4564.

45

d’Orange était utile pour completer et pour rectifier les observations que j’avais déjà présentées a leur égard !.

Si l’on applique les constatations développées ci- dessus au monnayage des archevéques d’Arles, on s’apercoit aisement que les graveurs des coins des doubles deniers, dénommés à tort deniers, d’Eustache de Levis (1475-1489) * et de Nicolas Cibo (1489-1499), ont copié effrontément les espéces d’Orange, sans essayer de pénétrer le sens de leur légende bilinéaire, telle qu’elle fut composée le plus souvent à partir de Jean II. On relévera d’autre part facilement l’erreur du graveur employé par Poey d’Avant, au sujet de la piece d’Eustache de Lévis ‘4; son dessin a été penché à gauche a tort, car la legende du revers commence en haut et les cantons ornés de la croix sont bien le 2% et le 38. Jean II de Chalon, ayant occupé le tröne d’Orange tout d’abord de 1475 à 1478 et ayant créé, durant cette période, les nouveaux doubles dont Philippe de Hoch- berg adopta le type, de 1478 a 1482, on doit en conclure que l’archevéque d’Arles, Eustache de Levis, installé en 4476, commenga a faire émettre, pendant la premiére moitié de son épiscopat, des doubles deniers, car on a toujours imité les espéces les plus récentes d’un prince étranger de préférence aux plus anciennes. Le monnayage successif d’un méme Etat peut comprendre au contraire des monnaies d’un méme type a diverses époques. Ainsi Philibert de Chalon (1502-1530) eut recours un instant au modèle suivi sous Guillaume de Chalon (1462-1475) ° au moins vingt-sept ans avant.

1 Un double denier inedit de Louis le Bon, etc.

? Poey d'Avant, 4117.

3 Ibid., n°* 4122 et 4126. -- Le nom de ce prélat est orthographié avec un S sur ses monnaies. Il y a lieu de se conformer à l'orthographe Cibo, acceptée par M. Ulysse Chevalier, dans son remarquable Répertoire des sources historiques du moyen age.

4 Op. cit., pl. XCIII, 11. |

5 Poey d'Avant, op. cit., p. 403. Caron, op. cit., 430.

REVUR NUM. T. XIII. 10

446

Passons, si l’on veut, à un double denier anonyme !. L’E de la légende bilinéaire présente une forme insolite, que l’on retrouve à peu près, précisément sur le double denier de René, comte de Provence (1434-1480) et uni- quement sur celui-là. On remarquera en outre que ce « bon roi » fit transposer les lis de la croix du revers de telle sorte qu'ils occupèrent désormais les 1er et 4e cantons, conformément à ce que l'on constate notam- ment sur le double denier de la reine Jeanne. Or les mêmes cantons de la croix de la monnaie similaire d'Arles renferment chacun une mitre, car il y a lieu de redresser à droite le dessin donné par Poey d'Avant. On doit par conséquent considérer cette dernière pièce comme contemporaine d’une partie du règne du roi René, car, à partir de l’épiscopat d’Eustache de Lévis, le monnayage cessa d'être anonyme. Elle a été forgée entre 1430 et 1476 et, pour préciser davantage, de 1455 à 1476, puisque le patac, prototype, a été battu en vertu d’une ordonnance de 1455 à.

20 Jean II de Chalon (1475-1478 et 1482-1502).

Poey d’Avant a édité deux monnaies qu’il attribue à Jean Ter de Chalon. La première d’entre elles était déjà connue par le mémoire d’E. Cartier‘. On en trouve assez souvent des exemplaires. Avant remarqué que la frappe en fut hâtive et singulièrement négligée, j'ai toujours pensé qu’elle devait être rapportée à Jean II, dont les besoins d'argent furent extrêmes, à raison de la lutte qu'il engagea contre le roi de France, Louis XI. L'autre pièce, d’un style plus pur et d’une meilleure fabrication, ne pourra pas, semble-t-il, être maintenue à

1 Poey d’Avant. op. cét., 4095. ? Blancard, op. cit., p. 9.

3 Op. cit., n°* 4539 et 4541.

4 Op. cil, 28 et 29.

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Jean Ier. Nous en retrouverons le type, à peine modifié, sous Philibert de Chalon (1502-1530). Or, le petit denier analogue de Guillaume de Chalon (1462-1475) nous offre le nom du souverain du còté de la eroix. La regle inverse fut adoptée pour les mémes pièces au nom de Jean, de Philippe de Hochberg et de Philibert de Chalon. Quoi de plus naturel des lors que de classer à Jean II une espece imitée sans restriction par son successeur interimaire et par son fils? Le rapprochement des deux dessins dus à Poey d’Avant, de la pièce de Guillaume de Chalon et de celle de Jean, conduit aux mémes résultats à raison de la dégénérescence du tvpe facile à observer !. Un écart de cinquante-sept ans sépare d’ail- leurs le régne de Jean Ier de celui de Jean II.

La piece mise au jour à Annonay, à ce type du cornet, pèse Osr,60. Les légendes n'offrent pas de grandes différences avec celles déchiffrées à ce jour. Un point clos accoste à gauche le cornet de la même manière qu’un point identique est inséré dans le 4er canton de la croix du revers. D’autre part, le nom propre CABILL est divisé en deux parties par deux points places après l'A ; au revers on distingue GRA au lieu de G.

IV. Dombes. Jean II (1459-1482).

Les monnaies de l’Etat des Dombes jouissaient d’une vogue relative en France à cause de la tolérance des rois et des fleurs de lis qu'on apercevait sur la plupart d’entre elles. En voici quatre, dont deux ont été decrites avec exactitude.

1 Op. cit., pl. XCVIII, 16 et 21.

1448

4. Deux doubles deniers au nom de Jean II (1459- 1482) correspondent respectivement à 497,15 et 19r,43. L’un d’eux, d’une frappe soignée, ne porte qu’une vague trace de la brisure du champ et nous montre, à la suite des annelets qui suivent le D, un objet de forme indé- terminée, mais qui n’est pas une étoile. Les annelets sont remplacés au revers par des points clos et l’orne- ment placé aprés les points accompagnant VOBIS est fruste. L’autre double est identique au précédent. Il a été émis sans soin et, si la brisure est cette fois nette- ment caractérisée, les légendes sont mal venues. Man- tellier et Poey d’Avant ont étudié ce type !.

2. Le denier suivant parait étre inédit; il est dans tous les cas demeuré inconnu à Mantellier, à Sirand, & Poey d’Avant et à M. Caron.

i Ib@S': DVX : BORBONI : T. L’p et l’E seuls sont gothiques. La dernière lettre est l’initiale de Trevolci; la qualité de dominus est sous-entendue. Dans le champ, deux lis séparés par la brisure des arines de Jean II, de la maison de Bourbon; ils. sont entourés par une double rosace de trois lobes ou cintres.

À. & DANARIVM : TREVOAI : .... Les a et le a sont gothiques. Au centre d’une double rosace quatri- lobée, une croix pattée.

Chaque légende est entre deux grénetis. Poids : 095,90.

La seule espèce de ce duc, citée par Poey d’Avant,

! Mantellier, Notice sur la monnaie de Trécoux et des Dombes, p. 24-25. Poey d'Avant, op. cit., 5070-5071. Jean II mourut en 1488, mais, des 1482, il avait donné à son frère Pierre II le pays des Dombes.

2 Op. cit., passim. Sirand, Monnaies inédites des Dombes.

= er

149

d’après Sirand, avec indication de la valeur d’un denier, n’est pas conforme à celle que je viens de publier. Il est possible que Sirand n’ait pas édité son denier avec toute l’exactitude désirable !.

3. Une obole terminera cette nomenclature. Elle est belle malgré la defectuosite de la fabrication. Je lis d’une part : K IDENS * ° DVS © BO....... e(S gothiques), et d’autre part: .... BOLVS - TRA....... Il valieu de rétablir ces deux derniers mots par: Obolus Trevolci avec cette orthographe ou une forme approximative du nom latin de Trévoux. On apercoit ensuite deux ou trois lettres indéchiffrables. Les descriptions données par Sirand et par Poey d’Avant seront de cette facon complétées ou rectifiées à l’égard de cette rare obole®.

Poids : 097,80. .

Ces quatre pièces semblent toutes, à première vue, avoir « roulé » pendant un temps de courte durée. Elles sont beaucoup moins usées que les mailles du dauphin Louis II. Actuellement les espèces des Dombes au nom d’un duc Jean sont considérées comme dues à Jean II‘. L'état des quatre, provenant de la trouvaille d’Annonay, permet de justifier complétement cette proposition en ce qui les concerne. La présence habituelle de points clos aux lobes des rosaces des doubles deniers de Jean II, copiés sur ceux de Louis XI, ne démontre pas que les doubles royaux 4 rosaces analogues remontent tous au régne de ce roi. Les points clos persistent en effet sur le méme numeraire du duc Pierre (1482-1503), contemporain de Louis XII.

Ibid., 5086.

3 Cette abréviation bizarre de Johannes se retrouve sur le numéraire du duc Jean II (Poey d'Avant, ibid., passim).

3 Ibid., 5087 et pl. I, 3.

§ Caron, op. cit., p. 310-311.

450

V. France.

Louis XI (1461-1483), Charles VIII (1483-1498) et Louis XII (1498-1515.)

Les produits du monnayage royal francais prédominent comme de raison. Je compte trois doubles tournois et cinq deniers tournois, tous au nom de Ludovicus, plus quatre mémes deniers de Charles VIII.

Deux des doubles tournois ont circulé beaucoup plus longtemps que le troisiéme. Ils offrent au revers la mention de leur valeur et correspondent au type classé par Hoffmann à Louis XI (1461-1483)! Leurs rosaces sont dépourvues d’annelets; cependant je leur maintiens cette attribution 4 raison de leur aspect général. Le point secret est effacé sur chaque exemplaire. Le mieux conservé nous montre FRANCOR au lieu de FRANCORV avant une molette et la forme FRACIE precedant la rosace du revers. Les lettres, ordinairement gothiques, ont été gravées de la sorte. Le dernier double tournois, en meilleur état, frappé à Romans, appartient bien à Louis XII (1498-1515). L’s de Ludovicus est retourné. Ce nom est suivi de FRANCOR à la place de FRANCORV. La légende du revers est précédée par une croix, elle est terminée par BENED *. L'observation formulée plus haut, au sujet de la nature des lettres, trouve ici la méme application et les rosaces sont revétues de points clos.

Delombardy n’avait rattaché au régne de Louis XI qu’un double orné de trois fleurs de lis, mais portant au revers l’indication ordinaire du simple denier tour- nois de ce roi; c’est le produit d’une fabrication irrégulière *. Tout en spécifiant que ce prince a prescrit,

1 Les monnaies royales de France, etc., pl XXXVII, 29. ? Ibid., pl. XLV, 41. 3 Cat. des monnaies françaises de la coll. de M. Rignault, p. 8 et 196.

454

au mois de septembre 1476, l’emission de doubles tournois et que Louis XII avait ordonné également la fabrication de la méme espece (1498), cet érudit rap- portait à ce dernier souverain le double reporté avec succès par Hoffmann a Louis XI".

Selon Delombardy, Louis XI et Louis XII décidèrent la création de deniers tournois, respectivement en 1476 et en 1498. Il considére les pièces de cette categorie, dont les légendes suivent une croix, comme appartenant à Louis XI, tandis que celles l’on voit un lis avant chaque légende seraient sorties des ateliers de son successeur À,

Hoffmann passe sous silence la première série, tandis qu'il partage le second groupe entre ces deux rois, selon que la rosace du droit renferme ou non des annelets °.

La découverte d’Annonay nous offre quatre deniers à rosaces doubles et ornées, sur lesquels une croix pré- cède chaque légende.

4. La rosace de l’avers a trois annelets et celle du revers quatre points clos (1 ex.). Un point clos est situé entre les deux lis, un autre au dessous.

2. Les rosaces ont régulièrement trois points clos du côté du droit, quatre du côté opposé (3 ex.). Un point clos se trouve toujours au dessous des lis; un exem- plaire en porte un autre au milieu d'eux. Leur style m’autorise à donner ces deniers à Louis XI. Les points secrets sont devenus indéchiffrables.

Quatre deniers appartiennent à Charles VIII. Les légendes suivent une couronnelle à une exception près et sur deux d'entre eux les rosaces sont doubles. Ces dernières sont toutes dépourvues de points ouverts ou clos.

! Ibid., p. 28 et 32, 230. 2 Ibid., p. 28 et 32, n°* 197-198 et 231. 3 Op. cit., pl XXXVII, 33, et pl. XLV, 45.

Face Te | AR TT

Les deux deniers à rosaces simples sortent de la Monnaie de Toulouse. Leurs legendes n’offrent rien de saillant. L’un des deux autres, emis a Montpellier, présente bien au droit une couronnelle, mais il porte au revers un lis 4 la place de cette derniére. Sur le qua- trieme denier on lit FRAROOR au revers.

Le neuviéme denier peut étre rattaché au monnayage de Louis XII, a raison de son style.

Xx LVDOVICVS © FRANC © REX - Dans une rosace double, deux lis; un point clos au dessus, entre et au dessous d’eux.

À. E TVRONVS (CIVIS : FRAN)CO...... Croix pattée dans une rosace de méme nature que la précédente.

Aucun point secret n’est visible. Les lettres d'habitude gothiques ont été gravées dans ces conditions.

VI. Savoie. Louis (1440-1465) et Charles Ier (1482-1489).

Je trouve cinq spécimens du numéraire de Savoie, tous déjà publiés.

Le premier est un fort à Louis (1439-1465) et battu à Cornavin à cause de la présence d’une rosace, par le maitre Jacques Philippe, entre le mois de décembre 1457 et la fin du régne de ce duc!.

Les quatre suivants se subdivisent en deux quarts et en deux forts, tous au nom du prince Charles Ier (1482- 1489).

Les deux quarts sont identiques à celui étudié par M. Lade, frappé à Cornavin ?. Cet habile numismatiste a

1 Promis, Monete dei reali di Savoia, pl. VIII, 7. A. Perrin, Cat. du médaillier de Savoie (Chambéry), p. 162. 2 Contribution à la numismatique des ducs de Savoie, p. 131-132.

LAS W

rectifié la lecture de Promis '; un G et non un O précède réellement le titre de dux. L’une de ces pieces est a peu pres a fleur de coin.

Les deux forts ont été ouvrés à Chambéry. Ils sont semblables sous cette réserve que sur le second, Karolus est remplacé par Carolus, et qu’après l’S et le B, le sur- plus de la légende est fruste. Cette difference d’ortho- graphe est sans valeur *.

La lettre unique G démontre que les deux quarts ont été forgés de 1483 à 1485. La marque double P C, com- posée de l’initiale du prénom du maitre, Pierre Balligny, et de l’initiale de l'atelier, Chambéry, dont les forts sont revétus, est l’indice de leur émission durant la période de 1485 à 14904.

Voilà donc deux quarts ouvrés, sinon simultanément tout au moins dans un laps de temps de deux ans au maximum, dans la méme Monnaie, dont le degré de conservation est complétement different. Voila deux forts &mis posterieurement aux pièces précédentes et dont l’état est inférieur au leur. Ces forts sont eux- mémes moins beaux que celui de Louis. Tant il est vrai qu'une prudence extréme est de rigueur dans la deter- mination de la date de la frappe des espéces, antérieu- rement a l’adoption de l’usage de l’inscription de leur date, lors même que l’on est appelé à examiner une trouvaille importante. C’est une des raisons qui s'opposent à ce que l’on essaie de séparer les deniers tournois de Louis XI de ceux de Louis XII en se basant sur leur rapport numérique de quatre à un. Le plus petit nombre ne saurait être rattaché au monnayage de Louis XII, sous prétexte que la cachette d’Annonay a été pratiquée sous son règne, peut-être au commence-

' Op. cit., pl. XI, 10.

1A. Perrin, op. cit., p. 187, 209. I Ladé, op. cit., p. 133.

+ Ibid., p. 125 et 142.

154

ment, et qu’& ce moment-la il n’existait dans la circu- lation qu’une quantité minime de ces deniers. La plus grosse part ne pourrait étre maintenue parmi le numé- raire de ce roi en invoquant son total, que l’on compa- rerait à la proportion entre les cing pièces de Charles Ier de Savoie et la piéce unique de Louis, mort dix-sept ans avant l’avenement de Charles.

Trois des quatre monnaies de ce dernier souverain ont « couru » dans le commerce pendant un certain temps.

Vil. Suisse. Cantons de Berne et de Soleure.

Les deux pièces, d’origine suisse, qu'il me reste a signaler peuvent étre facilement déterminées. La legende du revers de l’une rappelle le nom du saint patron, saint Vincent; celle de la pile de l’autre invoque saint Ours. La première monnaie a été fabriquée par le canton de

Berne; la seconde est due au canton de Soleure. Leur

examen n’offre rien de special, sauf que les E et les S sont retournés dans Moneta Bernensis. Ce sont des fünfer datant de la deuxiéme moitie du xve siecle.

La circulation des monnaies de cette méme provenance fut restreinte au Dauphiné, au xvie siècle, malgré les ordonnances autorisant l’usage de certaines d’entre elles jusqu’en 1572. A partir de 1577 elles furent toutes pro- hibées, sauf dans la partie nord-est de cette province. Au xvire et au xvilie siècle il n’en fut plus de même. Les mêmes constatations s'imposent pour le Vivarais, limitrophe de cette contrée.

' Mes notices : De la circulation des monnaies suisses en Dauphiné au XVI siècle. Les doubles tournois et les deniers tournois, frappés à Villeneuce-les-A vignon, pendant le règne de Louis XIII (1610-1643).

“485:

Des données précises font défaut jusqu’à present pour le xve siècle sur la vogue ou sur le refus des a monnoyes » étrangères dans ces régions. Toutefois, si Charles VII n’autorisa pas le libre cours du numéraire suisse, tout en admettant les gros du pape (Avignon) et ceux de Provence (1456) ', Louis XI fut partisan d’une tolérance plus large vis-a-vis des espéces étrangéres les plus . diverses et accorda à ses sujets l’usage des blancs de Lausanne (1470) °.

Si les trouvailles à venir témoignent d’une proportion semblable à celle constatée dans la découverte d’Anno- nay, de deux pièces sur un total de trente-une monnaies, on pourra admettre que, pour des raisons difficiles a préciser de nos jours, les nombreux produits du mon- nayage helvétique eurent peu de succès dans le sud-est de la France antérieurement à l’avénement de Louis XIII. L’ordonnance de Henri III (1577) n’avait toléré que les écus de Genéve et cette faveur subsistait encore en 1615°.

La diffusion de ce monnayage eüt étre plus impor- tante dès le règne de Louis XII, à raison de l’incorpo- ration dans les armées francaises de nombreuses com- pagnies de Suisses, devenues la premiere infanterie de l’Europe.

Une statistique sommaire permettra de rechercher approximativement la date de la constitution de ce dépôt :

Clément VII (1378-1394)......................... 1 Louis II (1440-1456) ............................ 3 Philippe de Hochberg (1478-1482) ............... 3 Jean II de Chalon (1475-1478 et 1482-1502) ....... 1 Jean II de Bourbon (1459-1482) ................. 4

' Le Blanc, Traité hist. des monnoyes de France, p. 248. 2 Ibid., p. 252. 3 De la circulation des monnaies suisses en Dauphiné au XVI° siècle, p. 25.

Louis XI-(1401-149); ea en 6 Charles VIII (1483-1498) ........................ 4 Louis XII (1498-1515)........................... 2 Louis de Savoie (1440-1465) ..................... 1 Charles Ier de Savoie (1482-1489) ................ 4

Canton de Soleure (deuxieme moitié du xve siècle) 1 Canton de Berne (deuxieme moitié du xve siècle) 1

Le rapprochement des dates démontre que la cachette a été pratiquée au début du xvie siècle. L’étude des pieces éparpillées et 1a ne contredira probablement pas ces conclusions, jamais les détenteurs du surplus d'un curieux « trésor » se décident à en enrichir les vitrines du Musée d’Annonay, dont tous les érudits locaux souhaitent ardemment la constitution définitive.

Les sages mesures prises par Louis XII développèrent les heureux résultats obtenus par le gouvernement réparateur de Charles VIII. De 1482 aux tristes guerres de religion, aucuns troubles ne vinrent arrêter l’essor du commerce ou enrayer les progrès de l’agriculture dans le Haut-Vivarais!. La prospérité de la ville la plus im- portante de cette partie du Languedoc atteignit pour ainsi dire son apogée à l’aurore du xvie siècle. Cette circonstance prouve à l'évidence que la crainte des voleurs ordinaires détermina seule un Annonéen à mettre à l’abri des regards indiscrets une partie de son avoir. La prudence dont il fit preuve lui vaudra les éloges reconnaissants des numismatistes; elle lui mérite en tous cas les remerciements de l’auteur de ce mémoire. Soit un oubli, soit sa mort, survenue subitement ou arrivée loin de son domicile, auront empêché cet infime Crésus de livrer son secret à ses héritiers.

R. VALLENTIN DU CHEYLARD.

Oe —r2rum-=rm==x

1 Poncer, Mémoires hist. sur Annonay et le Haut-Vivarais.

Numismatique de la Croix-Rouge.

I.

La Convention de Genève, pour l’amelioration du sort des militaires blessés dans les armées en campagne, a été conclue à Genève le 22 aoüt 1864 et ne cesse de prendre une extension toujours plus considérable. Cette œuvre internationale, due a l'initiative d'un Genevois, le docteur Henri Dunant, mérite de faire l’objet d'une œuvre descriptive au point de vue numismatique et ne peut qu'intéresser les collectionneurs suisses. Il est étonnant qu'aucun membre de la Société suisse de numismatique n'ait encore eu l’idée de rédiger ce cata- logue. Nous désirons combler cette lacune en notant au fur et à mesure dans les pages suivantes les médailles concernant cette institution, lorsqu'elles nous passeront par les mains. Ce recueil de documents pourra plus tard être utile, car beaucoup des médailles et jetons sont frappés à petit nombre et deviendront des raretés. Pour être complet, nous décrirons non seulement les Médailles concernant la Société internationale de la Croix-Rouge, mais toutes les pièces émises par des ins-

titutions analogues, portant ses armoiries ou se rappor-

tant à son activité. Nos amis et correspondants nous obligeront en nous communiquant les médailles qu'ils possèdent pour en donner la description.

4. Société suisse de secours pendant la guerre 1870-71 à Lyon (France).

Lég. de gauche à droite, * SOCIÉTÉ SUISSE DE SECOURS PENDANT LA GUERRE + En sens inverse, LYON 1870-71. Dans le champ, une couronne ouverte

ER

formée de deux branches de laurier et d’olivier fruités, nouées au bas par un ruban. Le tout limité par une double moulure.

f. Les armoiries de la’ Confédération suisse dans un ecu francais sur un cartouche timbré de deux mains unies, sommées d’une gloire rayonnante ayant au centre ins Sur une banderole accrochée à deux thyrses posés sous la partie supérieure de l’&cu et le contournant, on lit la devise UN POUR TOUS TOUS POUR UN Au bas, deux palmes en sautoir passant sous les volutes du car- touche. Sign& contre la bordure, en une ligne recourbee, L. SCHMITT FECIT Le tout entouré d’une double moulure.

Cuivre bronzé. Mod.: 0,039. Ma collection.

Medaille de récompense de cette société, gravée par L. Schmitt, graveur à Lyon.

2. Compagnie humanitaire italienne, créée pendant le siege de Paris en 1870-1871.

Dans le champ, en neuf lignes, A LA | COMPAGNIE HUMANITAIRE | ITALIENNE | TEMOIGNAGE | DE RECONNAISSANCE | POUR SON DEVOUEMENT | PENDANT | LE SIEGE DE PARIS | 1870-1871

À. Leg. entre une moulure extérieure et un grènetis intérieur, ... UNION .:. en sens inverse, CHARITE .'. TRAVAIL ... COURAGE Dans le champ, la croix rouge.

Cuivre bronzé avec bélière et ruban italien, vert-blanc-rouge. Mod. : 0,0362. Ma collection.

Médaille-portative pour services rendus, décernée en 1872. Graveur parisien anonyme.

3. Association des dames frangaises, 1879.

Leg. de gauche à droite e 1879 e En sens inverse, ASSOCIATION DES DAMES FRANCAISES Dans le champ, la croix rouge.

Revers uni.

| IT LULU

|

159

Tranche poinconnée (corne d’abondance) areznt

Argent. Béliére, ruban tissé, soie blanche avec croix rouge. Mod. : 0,0235. Ma collection.

Médaille de membre de cette société, non signée, frappée & la Mon- naie de Paris.

4. Comité évangélique auxiliaire de secours pendant le siége de Paris en 1870-1871.

Leg. de gauche a droite, # COMITE EVANGELIQUE AUXILIAIRE DE SECOURS AUX SOLDATS BLESSES OU MALADES Dans le champ et dans une couronne murale à huit portes, l'inscription frappée en trois lignes A | TEMOIGNAGE DE | RECONNAISSANCE Entre la première et

la deuxiéme ligne, un espace libre pour l’inscription du

nom du titulaire. Notre exemplaire porte en trois lignes gravées au burin M* | F. G. HUTTON | —— Le tout entouré d’une triple moulure.

8. Leg. de gauche à droite, SOUVENIR DU SIEGE DE PARIS En sens inverse, 1870-1871 Dans le champ, entouré d’une branche de lierre, un trophée formé d’une ancre, d’une hache, d’un sabre, de deux canons et d’une : cuirasse au dessous de deux drapeaux de France et de la Croix-Rouge en sautoir, le tout entouré d’un grènetis et d’une double moulure. Tranche unie, poinçonnée (abeille) CUIVRE

Cuivre bronzé. Mod.: 0,041. Ma collection.

Médaille de récompense, non signée, frappée à la Monnaie de Paris, décernée vers 1873.

5. Ambulance de l’église de Rosny (Paris) en. 1870.

Lég. de gauche à droite entre une double moulure extérieure et un grènetis intérieur, MONUMENTS DE LA VILLE DE PARIS TRANSFORMÉS EN AMBULANCES MiL"® En sens inverse, # [870 » Dans le champ, le drapeau de la Croix-Rouge flottant à droite.

160

A. Leg. de gauche à droite, * SECOURS AUX BLESSES PENDANT ET APRES LA GUERRE Dans le champ, sur un disque entouré d’un serpent se mordant la queue et en cinq lignes, ÉGLISE | DE ROSNY | AMBULANCE | PROVISOIRE | 28 X°* 1870 Signé au bas sous le serpent, er Le tout limité par une triple moulure.

Bronze jaune. Mod. : 0,0325. Ma collection.

Medaille commémorative, gravée par F. Trotin et frappée & Paris.

6. Ambulances élablies à Paris par les citoyens en 1870-1871.

Semblable au ne 5.

A. Leg. de gauche à droite, e AMBULANCES MILITAIRES ETABLIS (sic!) DANS LES 20 ARRTS PAR DES CITOYENS Leg. intérieure de gauche à droite, entre un grenetis exterieur forme de points et de rectangles et un cercle intérieur, SOUVENIR PERSONNEL En sens contraire, se 1870-71 se Dans le champ, le drapeau de la Croix- Rouge flottant a droite. Le tout limité par une bordure plate.

Bronze jaune. Mod.: 0,0325. Ma collection.

Médaille commémorative, gravée par F. Trotin et frappée a Paris.

7. Union des Femmes de France. Sans date.

En forme d’écusson irrégulier avec fleuron en haut et en bas. Bordure blanche, au centre écusson blanc avec croix rouge, entouré d’une bordure bleue sur laquelle est la légende de gauche à droite x UNION DES FEM MES DE FRANCE

Revers uni.

Hauteur: 0,027, largeur: 0,017. Bélière. Ruban bleu-blanc-rouge, liseré blanc. Cuivre argenté. Ma collection.

Médaillon-insigne de cette société. Graveur anonyme.

Septembre 1905. Paul-Ch. STRŒHLIN.

(A suivre.)

REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE Tor XIII PL.$I

Medaille de René, comte de Challant, seigneur souverain de Valanginen Suisse = OOQ1C

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REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE Tome XIII PL. II

Demi-bractéates d’Adalbéro II ou III (999-1025).

A. Michaud del,

MONNAIES DES PRINCES-EVEQUES DE BALE

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REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE Towe XIII PL. II

Demi-bractéates de Théodoric (1041-1055).

A. Michaud del,

MONNAIES DES PRINCES-EVEQUES DE BALE

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REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE Tove XIII PL. IV

Demi-bractéates de Théodoric (1041-1055). Suite.

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MONNAIES DES PRINCES-EVEQUES DE BALE

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REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE Tome XIII

Demi-bractéates sans nom d’évéque.

A. Michuud del.

MONNAIES DES PRINCES-EVEQUES DE BALE

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REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE Tome XIII PL. VIII

Bractéates. Suite.

A. Michaud clel.

MONNAIES DES PRINCES-EVEQUES DE BALE

REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE Tome XIII PL. 1X

Monnaies de Jacques-Christophe de Blarer de Wartensee (1575-1608).

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A. Michaud del, MONNAIES DES PRINCES-EVEQUES DE BALE

REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE Tome XIII PL. X

Monnaies de Guillaume Rinck de Baldenstein (1608-1628).

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A. Michaud del.

MONNAIES DES PRINCES-EVEQUES DE BALE

REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE ome XIII PL. XI

Monnaies de Guillaume Rink de Baldenstein (1608-1628). Suite.

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A. Michaud del.

MONNAIES DES PRINCES-ÉVÊQUES DE BALE

REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE Tome XIII PL. XI

Monnaies de Jean-Francois de Schönau (1651-1656). Suite.

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0.7

A. Michaud del. MONNAIES DES PRINCES-ÉVÊQUES DE BALE

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REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE Tome XIII PL. XIII

Monnaies de Jean-Conrad II de Reinach-Hirzbach (1705-1737).

1716.

168.

A. Michaud del.

MONNAIES DES PRINCES-EVEQUES DE BALE

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REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE Tome XIII PL. XIV

Monnaies de Jean-Conrad II de Reinach-Hirzbach (1705-1737). Suite.

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A. Michaad del.

MONNAIES DES PRINCES-EVEQUES DE BALE (|. INA, Oo AS

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REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE Tome XIII PL. XV

Monnaies de Jean-Conrad II de Reinach-Hirzbach (1705-1737). Suite.

Monnaies de Joseph-Sigismond de Roggenbach (1782-1793).

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A. Michaud del,

MONNAIES DES PRINCES-EVEQUES DE BALE

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ZUR GRIECHISCHEN UND RÖMISCHEN MÜNZKUNDE

I. Provinz Asia

Kaiserliche Münzen des Cistophorensystems

Wie die Cistophoren vor der Kaiserzeit sind die Silber- münzen gleichen Systems mit Kaiserbildnissen und lateinischer Schrift Prägungen aus den Landschaften, die seit 133 v. Chr. die römische Provinz Asia bildeten ?.

Mit den alten gemeinsamen Cistophorentypen prägten in Mysien Pergamon und Adramytion, in Tonien Ephesos, Smyrna und Phokaia’, in Lydien Thyateira, Stratonikeia am Kaikos*, Apollonis®, Sardeis, Tralleis und Nysa, in Phrygien Apameia, Laodikeia und Synnada®. Ausserhalb der Provinz Asia ist blos Krefa bekannt, wo einmal, um die Mitte des 1. Jahrhunderts v. Chr., der Kretarch Kvdas Cistophoren prägen liess”,

! Da eine Ausgabe dieser Artikelserie in Buchform mit anschliessenden Registern in Aussicht genommen ist, wird hier neben der Pagination der Zeitschrift eine zweite, in Text und Tafeln mit Ziffer 1 beginnende, eingeführt. Auf diese allein wird jeweilen im Texte und in den Registern Bezug genommen.

? Pinder, Ueber die Cistophoren und die kaiserl. Silbermedaillons der rom. Prov. Asia ; Imhoof-Blumer, Die Münzen der Dynastie von Pergamon 17, 28 ff., Taf. IV; Bunburv, Nem. Chron. 1883, 181 tf. Taf. X; Bahelon, Ine. Waddington Nr. 6955-7031.

3 Caland, Z. f. N. XIII 112 f. |

Imhoof-Blumer, Griech. Münzen 1890, 249 f.; Lyd. Stadtmünzen 2 f.

* Imhoof-Blumer, Griech. Münzen 250.

6 Rev. num. 1892, 87 Taf. III 6; Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 291.

7 Imhoof-Blumer, Monn. yr. 210; Svoronos, Monn. de la Crète 334, 1 Taf. XXXII 1.

REVUE NUM. T. XIII. 41

(2) 162

Die bisher, trotz Pinder’s Berichtigung, in der Regel Parion zugetheilten Cistophoren mit X sind von Apameia!, ebenso der angebliche von Tabai?; nach Ephesos gehört das falschlich Philomelion zugetheilte Stück ?, und unbe- stimmt ist noch das folgende :

S. 29. Cistophor älteren Stils, mit den gewöhnlichen Typen, auf der Rs. links KOP und darunter in einer Schlangenwindung AP; rechts F und Fisch linkshin.

Gr. 12,40. M. S. Tafel V Nr. 1.

An der Stelle, wo hier KOP steht, pflegt der Name des Prägeortes angegeben zu sein. Ein passender Ortsname für diese Initialen ist aber in der Provinz Asia nicht zu finden‘, und doch scheinen sie nicht für einen Beamten- namen zu stehen, da auf einen solchen wohl die Buch- staben AP zu beziehen sind.

Auch das Symbol der Münze, der Fisch, vermag einstweilen nicht zu einem Vorschlage zu führen.

Ueber die sich an diese Cistophoren unmittelbar anschliessende kaiserliche Silberprägung mit lateinischer Schrift haben Pinder und Mommsen® gehandelt. Sie dauerte, mit Unterbrechungen, von Augustus bis Hadrian, und ist nochmals von Sept. Severus mit den Bildnissen dieses Kaisers, der Julia Domna und des jugendlichen Caracalla aufgenommen worden. Die Prigung bestand beinahe ausschliesslich aus Stücken von zuerst 12, später von etwa 11 bis 10 Gr. Gewicht, Stücke, die zugleich vier rodische oder asiatische Drachmen, oder aber drei römische Denare darstellten, und daher ebensowohl

1 Imhoof-Blumer, Kleines. Münzen 1 29, 205 f.

4 A. a. O. 159, 206.

3 Borrell, Num. Chron, VIII 32.

4 Namen unbedeutender Ortschaften, wie 2. B. Korvphantis bei Adramytioo (Athen. Mitth. XXIX 1901, 261 f.) können hier nicht in Betracht kommen.

> Rom. Münzwesen 701 f., trad. de Blacas II 302 f. Durch die Vermehrung unserer Kenntnisse seit fünfzig Jahren sind Mommsen’s Ansichten ther die Cisto- phoren in mehreren Punkten hinfällig geworden.

163 (3)

Tetradrachmen als Dreidenarstücke genannt werden kònnen!. Drittelstücke oder Denare mit lateinischer Schrift wurden blos in Ephesos von Vespasian mit seinem und seiner Söhne Bildnissen geprägt”. Auch ephesische Aurei des Vespasian® und des Titus vor seinem Regierungs- antritte* sind bekannt. Zu erwähnen ist schliesslich noch als vielleicht hierher gehörig der Halbdenar des Augustus mit ASIA RECEPTA*.

Mit Bezeichnungen des Prägeortes kennen wir bloss die ephesischen Aurei und Denare mit EPÆ oder x-* und ein Dreidenarstück von Sardeis mit SARD?. Unerklärt bleibt das Zeichen G auf Domitianmünzen mit dem perga- menischen Tempel der Roma und des Augustus® und den drei Feldzeichen®. Der grossen Masse der Dreidenar- stücke fehlt also jede Ortsbezeichnung, dagegen gestatten die Typen ihrer Rückseiten, vornehmlich die Darstel- lungen griechischer Cultbilder, den Prägeort mancher Stücke zu sichern. Aus der Zusammenstellung dieser Münzbilder ergibt sich ferner, dass sie sich beinahe insgesammt auf mysische, ionische, karische, lydische und phrygische Göttertypen und Monumente, also auf solche der Städte der Provinz Asia beziehen. Ausnahmen scheinen blos einige Münzen der Kaiser Nerva und Traian mit der DIANA PERG(dea) und diejenigen Hadrian’s mit COM(mune) BIT(hyniae) zu bilden !°, von denen diese sicher in Nikomedia, die ersteren vielleicht in Perga geprägt sind. Der Tempel mit dem Cultbilde der Pergaier ist indes auch einer der Typen der Reichssilber-

1 Mommsen, Z. f. N. XIV 41.

3 Pinder a. a. O. 577 Anm. 2.

3 Pinder a. a. O., von Cohen nicht erwähnt ; ferner Cohen 1? 3%, 294.

Cohen 1? 432, 38, Kat. Ponton d’Amécourt Taf. VI 157.

5 Pinder a. a. O. 579, 3 Taf. II 3. Ein Exemplar meiner Sammlung wiegt 1 Gr. 75.

Pinder a. a. O. 577 Anm. 2.

7 Pinder a. a. O. 596, 77 Taf. VIII 4; Cohen II? 128, 280. .

® Pinder a. a. O. 585, 25 Taf. IV 6; 614 Anm. 2; J. de Foville, Rec. num. 1903, 43, versucht G auf den Namen des Proconsuls M. Fulvius Gillo zu beziehen.

® Pinder a. a. O. 586, 30 Taf. VI 13a.

10 Pinder a. a. O. 615 f., 619 f.

(4) 164

münzen Traian’s mit griechischer Schrift, die man dem kappadokischen Kaisareia zuzutheilen pflegt'. Sicher sind die beiden Münzgattungen, ungleich in Schrift und Fabrik, an verschiedenen Orten geprägt; ist aber die eine nicht pergäisch, so braucht es auch die andere nicht zu sein. Als Münzbild konnte sich das Idol von Perga über Pamphylien und Pisidien hinaus verbreitet haben, wie die Artemis Ephesia sogar über Kleinasien hinaus, das Tempelbild von Paphos nach Pergamon und Sardeis?, u. Ss. W.

Man hat jüngst den Versuch gemacht, auch Amisos und dem kilikischen Aigeai einige der Hadriansmünzen zuzutheilen®. Allein abgesehen davon, dass sich die Wahl dieser Orte als weit ausserhalb des Kreises der CGistophorenprägung liegende nicht empfiehlt und auch die herangezogenen Typen Athena und Dionvsos für die vorgeschlagenen Zutheilungen nicht genügend charakte- ristisch sind, ist sie aus dem ferneren Grunde abzu- weisen, weil gerade zu Hadrian’s Zeit beide Städte nach anderen Systemen und mit griechischer Schrift Silbergeld prägten* und diesem gewiss kein zweiter Silbercourant zur Seite stand.

Mit sicheren Localtypen findet man vornehmlich die Hadriansmünzen ausgestattet. Pinder a. a. O. 625 ff. hat sie meist richtig erkannt. Als Berichtigungen sind etwa nachzutragen zu

S. 990, 51 u. 627 Taf. VIT 4 (Cohen II? 127, 274), dass dieser Zeus Stratios oder Areios identisch ist mit dem Bilde einer Bronzemünze von Mylasa aus CRA Zeit des Pius®. Vergl. Tafel I Nr. 1 u. 2.

Kat. Brit. Mus. Galatia, ete., 55, 74 Taf. IX 19.

3 Kat. Brit. Mus. Cyprus S. CXXIX § 94 Taf. XXVI 7-12

3 Dicudonné, Rev. num. 1903, 234 f.

4 Imhoof-Blumer, Griech. Münzen 49 (Amisos); Kleinas. Münzen 482 (kilikische Städte). :

3 Fox, Greek coins Il Taf. V 106.

165 (5)

S. 595, 72 u. 621 Taf. V 9 (Cohen II? 133, 317). Diese Diana mit Kalathos, langem Gewand, Schale, Bogen und Hirsch ist die Artemis von Milet, auf Münzen aus der Zeit des Nero bis Hadrian im Profil!, später von vorn? dargestellt. Vgl. Tafel I Nr. 3 u. 4, letztere nach dem Pariserexemplar mit Hadrian.

S. 597, 84 u. 629 Taf. VIII 12 (cohen II? 130, 288). Der Gott in langem Gewande, mit Rabe und Lorbeer- zweige ist der Apollontypus von Alabanda®.

Auf Apameia bezog mit Recht J. de Foville, Rev. num. 1903, 47 Abb., den Flussgott Marsyas einer Hadrians- münze.

Es folgen nun die Beschreibungen mehrerer Stücke, die entweder neue Typen oder Varianten zeigen, oder zu Bemerkungen und Berichtigungen Anlass geben.

1. G. 19. IMP CAESAR VESPAS AVG COS II TRPPP. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

À. CONCORDIA L., AVG r., :8- i. A. Thronende Göttin (Ceres) linkshin, in der Rechten zwei Aehren und Mohn- stengel, im linken Arm Füllhorn.

Gr. 7,30. Berlin. Pinder a. a. O. 577 Anm. 2. Hier Tafel I Nr. 5.

Diesen Aureus hat Cohen in sein Werk nicht aufge- nommen. Er kannte Pinder’s Abhandlung, fand aber Gefallen darin, sie in der Regel zu ignorieren, wie er es bekanntlich auch liebte, Mittheilungen und Abgüsse von Inedita, die ihm aus dem Ausland zugingen, bloss aus- nahmsweise zu berücksichtigen.

Mit der Rückseite dieses Stückes ist identisch die des oben S. 3, Anm. 4 erwähnten wohl gleichzeitigen

' Nour. Gal. myth. Taf. XLVII 17; Kat. Brit. Mus. Tonia Taf. XXII 11.

* Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen I 89, 27 mit Severus und Caracalla, 29 mit Balbinus. ‘3 Kat. Brit. Mus. Karia Tat. 11 6. Auch Apollonia am Salbake führte kurze Zeit diesen Typus a. a. O. Taf. IX 6

(6) 166

Aureus des Titus, mit dem Unterschiede dass auf diesem EPE statt 6 Steht und die Ceres verschleiert ist'. Es scheint auch, dass die ephesischen Denare Vespasian’s aller Typen je zum Theil mit dem lateinischen, zum Theil mit dem unerklärten griechischen Monogramme geprägt wurden, wie z. B. die beiden folgenden :

2. S. 17. -— IMP CAESAR VESPAS AVG COS Ill TRP PP. Kopf ebenso. A. PACI ORB /., TERR AVG ». Brustbild der Roma mit creneliertem Diadem und Gewand rechtshin, darunter EPE. Gr. 3,00.M. 8. | Vgl. Cohen 1? 390, 293, mit Kopf der Rs. linkshin.

3. S. 18. Ebenso, mit # unter dem Brustbilde der Roma. Gr. 3,15. M. S. Vgl.Cohen I? 390, 292, mit Kopf linkshin und &- darunter.

Das Brustbild, von Cohen für Pax gehalten, stellt ohne Zweifel die Roma dar, die auf anderen ephesischen Münzen, aus Nero’s Zeit, ebenfalls mit der Thurmkrone geschmückt erscheint ?.

4. S. 18. IMP [CAESAR VJESPASIANVS AVG P. Kopf ebenso.

À. LIBERI - IMP - L., AVG - oben, VESPAS r., © unten. Die zwei sich zugekehrten Köpfe des Titus rechtshin und des Domitianus linkshin.

Gr. 2,55. M. S. Vgl. Cohen I? 424,10, ohne P(ontifer) auf Vs., auf Rs. ©.

' Die Ausstattung der Göttin ist gleich der der Demeter Horia auf Münzen von Smyrna, vergl. Kat. Brit. Mus. Ionia Taf. XXVIIL 5, XXIX 4. Vergl. ferner unten Nr. 34 u. 35. Auf bithynischen Münzen aus der Zeit Domitian’s (Mionnet VI 686, 495-498 und unten « bith. Kupfermünzen », Nr. 3 u. 4) sieht man gleichzeitige Darstellungen der Demeter mit Schleier, Aehren, Fackel und Schlange und der Eirene mit Oelzweig und Füllhorn, beide mit der Umschrift OMONOIA ZEBAZTH.

3 Mionnet, Suppl. VI 129, 339; Imhoof-Blumer, Griech. Münzen 115, 286.

a ee | *

| 167 (7) |

9, S, 19. DOMITIANVS CAESAR AVG F. Brustbild | des Gaesars mit Panzer und Gewand an der linken Schulter rechtshin; darüber Gegenstempel mit M: NES. RW. AVG und darunter in kleiner Schrift EPE (so) in | einem Lorbeerkranze. | Gr, 2,85. M. S. aus Sammlung Gréau, Nr. 1762. Tafel I Nr, 6, | Cohen I? 471, 22, ohne Gegenstempel.

Es ist dies, wie aus den Titeln Domitian’s und dem | Gegenstempel hervorgeht, ein unter Vespasian gepragler | und eingestempelter ephesischer Denar. Mit ähnlichen | Stempeln Vespasian’s findet man häufig Denare der | römischen Republik versehen', aber auch kaiserliche Denare und einige asiatische Dreidenarstucke des Claudius?. |

Es scheint ein Versuch Vespasian’s gewesen zu sein,

im Osten des Reiches, zu Ephesos, eine Prägestätte für römische Aurei, Denare und sogar Bronzemünzen (s. Nr. 34 u. 35) einzurichten. Ihre Thätigkeit war indes von kurzer Dauer, denn keine ihrer Prägungen geht über das Todesjahr des Kaisers hinaus.

Von dem Dreidenarstücke der Julia, Tochter des Titus, waren bis jetzt zwei Varietäten mit dem Bilde der sitzenden Vesta bekannt.

a). mil IVLIA AVGVSTA DIVI TITI F. |

Pinder 584, 23 Taf. VI 6. Cohen 467, 15 mit Abb. eines schlecht erhaltenen Exemplares.

b} mit IVLIA AVGVSTA TITI DIVI F. Sammlung Bachofen von Echt, Römische Münzen Taf. XVI 982. Vgl. Pinder nach Borrell, mit AVGSTA.

Kine dritte Varietät zeigt andere Versehen des der latei- nischen Sprache offenbar unkundigen Stempelschneiders.

LA Bahefeldt, 4. f N. I 954 m, XIV 67 ft, | ® De Saulev, Mel, de num. I (1874), Wy Mabefaldt a a ©, 454 Am, À

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=i

(8) 168

od. S. 28. IVLIA AVGVSTA DIVI TITI L. Brustbild der Julia rechtshin.

8. VENVS im Abschnitt. Sitzende Vesta mit Schleier linkshin, Palladium auf der Rechten, in der Linken das Scepter schräg haltend.

Gr. 11,20. M. S. Tafel V Nr. 2.

Hier steht also auf der Vs. L statt F/ilia)', auf der Rs. VENVS in Verwechselung mit VESTA.

Das beinahe stempelfrische Exemplar stammt aus einem kürzlich in der Nähe von Antiocheia am Mäander gemachten grösseren Funde trefflich erhaltener Silber- inùnzen der drei flavischen Kaiser, der Julia und der Domitia, wobei sich einige weniger frische Denare der Kaiser Nero, Otho und Vittellius befanden.

6. S. 27. CAES DIVI F r., DOMITIANVS COS VII 1. Kopf des Domilianus mit Lorbeer rechtshin.

À. PRINC J., IVVENTVT r. Der Caesar zu Pferd im Galop linkshin, die Rechte erhebend, Speer in der Linken.

Gr. 9,95. M. S. Tafel I Nr. 7.

Vgl. Pinder a. a. O. 586 u. Cohen 503, 373, beide nach ungenauen Beschreibungen aus Vaillant.

7.5. 26. Vs. gleichen Slempels. À. DIVO È., VESP r. Consecrationsaltar. Gr. 10,85. M. S. Pinder a. a. O. 585, 24 Taf. VI 8; 625. Cohen I? 479, 95.

Da beide Stücke mit dem gleichen Kopfstempel

geprägt sind, ist auf eine gemeinsame Prägstätte zu

' Auf einem anderen Exemplare meiner Sammlung Typus «) erscheint der auf DIVI TITI folgende Buchstabe ebenfalls missrathen : aus dem ursprünglichen unrich- tigen L wurde nämlich durch Ansätze im Stempel ein F hergestellt, das durch seine Grösse von der übrigen Schrift absticht.

169 (9)

schliessen, die Ephesos oder Pergamon gewesen sein könnte. Aus den Titeln des Caesars und dem Altar geht hervor, dass die Münzen vom Jahre 80 datiren, als Domitian das 7. Consulat annalım, also nicht wie Pinder meinte, nach dem Regierungsantritte des Kaisers.

8. S. 26. IMP CAES L., DOMITIANVS r. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

À. AVG | GERM Büschel von sechs Aehren.

Gr. 9,65. M. S. Tafel I Nr. 8.

Vermuthlich von Apaneia, wo auf städtischen Kupfer der Aehrentypus besonders häufig vorkommt.

9. S. 30. HADRIANVS /., AVGVSTVS P P r. Schmuck- loser Kopf des Kaisers rechtshin.

À. DIA | NA im Felde, EPHESIA im Abschnitt. Tempel- front mit vier Säulen und dem Cultbilde der Diana in der Mitte.

Gr. 9,62. M. S. Ueberprägung eines Cistophoren.

Vgl. Pinder a. a. O. 594, 70 Taf. V 7, mit verschie- dener Aufschrift der Vs.

Cohen II* 151, 536, ebenso und Tempelfront mit angeb- lich zwei Säulen.

10. S. 29. Ebenso.

R. COS Il im Abschnitt. Silzender Jupiler mit nacktem Oberkörper linkshin, auf der Rechten das Cultbild der Diana Ephesia, die Linke am Scepter, zu Füssen Adler.

Gr. 10,55. M. S. Ueberprigung eines Cistophoren des M. Antonius.

Tafel INr. 9. Vgl. Cohen II* 127, 272, Jupiter mit angeblich Victoria.

11. S. 27. HADRIANVS /., AVG COS Hi P Pr. Kopf ebenso.

À. IOVI| S O L., LYMPIVS vr. Jupiter ebenso, ohne Adler zu Füssen.

(10) 170

Gr. 9,60. M. 8. Tafel I Nr. 10. Vgl. Cohen II? 178, 865, mit IOVIS | OLYMPIVS, schlechte Abbildung.

Ephesische Stadtmünzen zeigen das nämliche Zeusbild mit der Beischrift ZEVC OAVMITIOC z. B. Kat. Allier Tafel XIV 20 mit Hadrian; Kat. Brit. Mus. Ionia 75, 215 mit Domitian; 93, 313 Tafel XIV 7 mit Sev. Alexander.

12. S. 26. IMP CAES TRA È., HADRIANO AVG P Pr. Brustbild des Kaisers mit Lorbeer und Panzer rechts- hin. |

À. COM BIT im Abschnitt, SP | QR im Felde, ROM AVG am Friese einer Tempelfront mit acht Säulen, Schild im Giebel, Palmetten an den Akroterien und zwei Stufen.

Gr. 10,67. M. 8. Tafel I Nr. 11.

Dieses Dreidenarstück von Nikomedia weicht von den bekannten, bei Pinder a. a. O. 599, 95 ff., Tafel IV, 42-16, und Cohen II? 124, 240, 245 f., hauptsächlich darin ab, dass es statt der Initialen S P oder SPR die vollständige Formel SPQR zeigt. Somit bestätigt sich was Pinder a. a. O. 611 und 617 über jene gesagt hatte, und wovon Cohen a. a. O. Anm. 1 keine Notiz zu nehmen geruhte.

13. S. 27. HADRIANVS L., AVGVSTVS r. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin, Gewandfalte an der linken Schulter.

À. COS | III quer im Felde. Stehende Juno in Doppel- chiton und Schleier linkshin, Schale in der Rechten, die Linke aın Scepter; vorn zu Füssen Schiffsprora.

Sammlung Bachofen von Echt, Taf. 16, 1191. Hier Tafel I Nr. 12.

Vgl. A. de Belfort, Annuaire de la Soc. frane. de num. VIII (1884),

245, 14.

Vermuthlich ein Herabild von Samos.

174 (11)

14. S. 28.— HADRIANVS L., AVGVSTVS PP ». Schmuck- loser Kopf des Kaisers rechtshin.

È. COS L., Ill r. Stehende Gotti: in Chiton und Schleier rechtshin, die Rechte über die Brust gelegt, in der Linken das Scepter schräg haltend.

Gr. 9,85. M. 8. Tafel I Nr. 13.

Das gleiche Bild, als Bo erklärt, zeigen Münzen von Maionia ', Sardeis?, Tiberiopolis®, u. a. Da auf kaiser- lichen Münzen eine Darstellung der Bou ausgeschlossen ist, so wird es sich hier um eine solche der Juno handeln. Damit wird auch die bisherige Deutung des Typus von Maionia und Sardeis in Frage gestellt, an welch’ letzterem Orte unser Dreidenarstück geprägt sein könnte. In ähnlicher Gewandung, mit dem Scepter als einzigem Attribut und der Beischrift HPA erscheint die Göttin auf Münzen von Antiocheia am Mäander* und von Dioshieron *.

15. S. 28. Ebenso.

À. COS !., ill r. Stehende Minerva linkshin, Schale in der vorgestreckten Rechten, die gesenkte Linke an Schild und Speer.

Gr. 9,95. M. 8. Tafel I Nr. 15.

Varietät zu Pinder a. a. O. 596, 78 Taf. VIII 5 und 629; Cohen II? 131, 294, und Dieudonné, Rev. num. 1903, 204 (s. oben 8. 3).

16. S. 30. Ebenso.

R. COS L., Ill r. Minerva linkshin auf einem Stuhle sitzend, die ihr zugekehrte Victoria auf der Rechten, die Linke am Speer.

Gr. 10,56. M. S. Tafel I Nr. 16.

* Imhoof-Blumer, Lydische Stadtmtnsen 93, 5.

? A. a. O. 136, 6-8; 139, 12 Taf. V 21 und 22. Hier Tafel I Nr. 14. 3 Jmhoof-Blumer, Kleinas. Münzen I 300, 4.

“A.a. O. 111, 20 Taf. IV 9.

3 Ino. Waddington Nr. 4962 Taf. XIV 10.

(12) 172

Minervabilder wie die hier dargestellten waren zu sehr verbreitet um auf einen bestimmten Prägeort zu führen.

17. S. 29. Ebenso, Kopf mit Lorbeer.

A. COS !., ill r. Sitzende behelmte Roma, auf der Rechten die ihr zugekehrte Victoria, die Linke am Speer. An den Sitz sind Panzer und Schild gelehnt.

Gr. 10,13. M. S. Tafel I Nr. 17.

Vgl. Pinder a. a. O. 598, 86.

18. S. 28. Ebenso, Kopf ohne Lorbeer.

À. COS L., Ill ». Stehender nackter Apollo Tyrimnaeus von vorn, Kopf mit Lorbeer linkshin, Doppelbeil in der vorgestreckten Rechten, in der gesenkten Linken Lor- beerzweig.

Gr. 10,55. M. S. Tafel II Nr. 1.

Lydische Stadtmünzen 152, 14, Taf. VI 10, wies ich dieses Stück der Stadt Thyateira zu. Der nackte Gott, ohne jede Gewandspur, das Doppelbeil in der Rechten vor sich hin haltend, ist aber der constante Apollotypus von Hypaipa!.

49. S. 27. Ebenso das Brustbild mit Mantel rechtshin. À. COS !., Ill ». Stehender Apollo Citharistes mit Lorbeer bekränzt, in langem umgiirtetem Chiton und Mantel rechtshin, Plectrum in der gesenkten Rechten, im linken Arm Lyra. Gr. 10,32. M. S. Tafel II Nr. 3. Ueberprägung eines Dreidenar- stückes des Augustus mit Triumphbogen und SPR | SIGNIS | RECEPTIS in der Wölbung. (Pinder a. a. O. Taf. IV 1 und 2.) Pinder a. a. O. 592, 61 Taf. VII 14; 628. Cohen II? 129, 285, ohne Angabe von P. P. auf Vs.

Dieser Apollotvpus kommt am nächsten dem von

* Imhoof-Blumer, Lydische Stadtmanzen Tat. IV 5 u. 11; Kleinas. Münzen | 173 f. Taf. IV 5. Hier Tafel Il Nr. 2.

173 (13)

Hierapolis, wie ihn z. B. die Bronze dieser Stadt aus hadrianischer Zeit, Imhoof-Blumer, Griech. Münzen Taf. XII 22, und hier Tafel II Nr. 4 zeigen. Auch Apollon Aulaeites von Magnesia ! könnte zum Vergleich und zur Attribution in Vorschlag kommen; doch scheint mir die Annahme des phrygischen Prägeortes den Vorzug zu verdienen.

20. S. 28. HADRIANVS Î., AVGVSTVS PP r. Kopf des Kaisers rechtshin.

À. COS /., Ill », Stehender nackter Bacchus von vorn, rechtshin geneigt, aber Kopf linkshin, Cantharus in der gesenkten Rechten, die Linke an dem mit Tänien geschmücklen Thyrsus. Links zu Füssen Vordertheil eines gefleckten Panthers linkshin, den Kopf aufwärts dem Gotte zuwendend.

Gr. 10,55. M. S. Tafel II Nr. 5.

21. S. 30. Ebenso, aber Bacchus mit nacktem Ober- körper linkshin gewendet und der Panther in ganzer Gestalt linkshin schreitend.

Gr. 10,21. M. S. Tufel II Nr. 6.

Vgl. Cohen II? 134, 323, Mercure oder Bacchus, nach Kat. de Moustier Taf. II Nr. 1058; Dieudonné, Rev. num. 1903, 235, Abb. mit nacktem Gotte.

Wie oben S. 4 bemerkt, ist Dieudonné’s Zutheilung der Bacchusmiinze an Amisos eine durchaus irrige; der Prägeort war eine Stadt der Provinz Asia, vielleicht Teos.

22. S. 27. Ebenso, das Brustbild mit Mantelstreifen an der linken Schulter.

À. COS L., Htr. Stehender nackter bärtiger Hercules (-Farnese) rechtshin, die Rechte am Rücken, die Linke mit Löwenfell an der auf einen Fels geslützten Keule.

Gr. 9,10. M. S. Tafel II Nr. 7.

t Imboof-Blumer, Kleinas. Münzen 1 79, 25 Taf. Ill 3.

(14) 174

Dieser Herculestypus gehört nicht zu den häufigen Münzbildern der Provinz Asia; man trifft ihn spät, auf Münzen von Germe, Akmonia, Kibyra, von welchen Städten sich als Prägstätte keine besonders eınpfieblt.

23. S. 27. HADRIANV2 !., AVGV2TV2 P Pr. Kopf ebenso.

A. CO2 !., [III] ». Stehende geflügelte Nemesis linkshin, mit der Rechten den Saum des Chiton von der Schulter wegziehend, in der gesenkten Linken Zügel und vor den Füssen Rad.

Gr. 10,10. M. S. Ueberprägung eines Dreidenarstückes des Augustus

mit Capricornus. Vgl. Cohen II? 134, 325, mit S statt è und Nemesis mit angeblich Börse nach Kat. de Moustier Taf. II 1061.

Dieser ziemlich verbreitete Nemesistypus Kommt auch, ausser der Gruppe der zwei flügellosen Nemesis, auf Kupfermünzen von Smyrna vor!. Ob unser Stück eben- falls dahin gehört, ist indes nicht sicher.

24. S. 28. AVGVSTVS !., HADRIANVS P P ». Kopf ebenso.

À. FORTVNA I., AVGVST r. Stehende Fortuna mit Modius auf dem Haupte, Steuerruder und Füllhorn linkshin. |

Gr. 9,76. M. S. Tafel II Nr. 8.

Vgl. Cohen II? 172, 177, mit FORTVN[A] EPHESIA.

25. S. 29. Ebenso, Kopf mit Lorbeer. R. PM TRP L., COS Ill vr. Fortuna ebenso. Gr. 10,67. M. 8.

Auf beiden Münzen sind Name und Titel des Kaisers verstellt, welcher Umstand auf einen gemeinsamen

t Kat. Brit. Museum Ionia Taf. XXVII 3 u. a.

175 (15)

Prägeort schliessen lässt. Ob dieser Ephesos war, wie der des Stückes mit FORTVNA EPHESIA, ist wohl möglich.

26. S. 29. HADRIANVS L., AVGVSTVS P Pr. Brust- bild des Kaisers mit Lorbeer und Panzer rechtshin. À. COS L., Ir. Hadrian zu Pferde im Galop rechtshin, in der erhobenen Rechten den Speer schwingend. Gr. 10,00. M. S. Vgl. Pinder a. a. O. 601 oben. Varietàt zu Cohen II* 141, 413, mit der befremdlichen Bemerkung « frappé en Asie ou & Constantinople ».

27. S. 29. HADRIANVS |. AVG COS Ill PP. r. Kopf des Kaisers rechtshin. À. COS !., Ill r. Adler von vorn, die Flügel schlagend, Kopf rechtshin. Gr. 8,40. M. S. Varietät zu Pinder a. a. O. 591, 56 Taf. VII 9; Cohen II? 142, 427.

28. S. 29. HADRIANVS L., AVGVSTVS PP r. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin. H. COS | Hi quer im Felde. Triumphbogen, darauf zwei auseinander schreitende zurückblickende Pferde. Gr. 10,70. M. 8. Tafel II Nr. 9. Vgl. Cohen II? 145, 474, ohne P.P.

29. S. 27. Ebenso, Kopf mit Lorbeer linkshin. À. COS | Hi quer im Felde. Legionsadler zwischen zwei Signa mit Händen.

Gr. 11,00. M. 8. Tafel II Nr. 10. Cohen II? 144, 452.

30. S. 28. Ebenso, linkshin. È. COS L., Ill vr. Bündel von sechs Aehren. Gr. 10,60. M. 8.

(16) 176

Varietät zu Pinder a. a. O. 598, 86 ff. Tafel III 9-11; Cohen II*, 143, 439 ff.

Wahrscheinlich, wie Nr. 8 mit Domitian, in Apameia geprägt.

Nach Hadrian scheint die kaiserliche Silberprägung in Kleinasien nur noch einmal wieder aufgenommen worden zu sein, und zwar blos für kurze Zeit unter Septimius Severus. Da sich in dieser Gruppe Stücke seines Sohnes und Mitregenten Caracalla befinden, die ein jugendliches Portrait und die Titel tmperator, augustus und COS II zeigen, so stammen wenigstens diese aus dem Jahre 205 oder den nächstfolgenden. Von diesen Dreidenarstücken sind bis jetzt bekannt :

4. Mit dem Bildnisse des Severus :

Cohen IV* 9, 55: AVGVSTORVM. Legionsadler zwischen zwei Signa. Cohen IV? 26, 215: IMPE C L SEP SEVERVS P AVG in

Lorbeerkranz.

Cohen IV* 64, 613 : ROMAE VRB. Sitzende Roma (Pinder a. a. O. 601, 105 Taf. VIII 16).

Cohen IV? 73, 705 u. 706 : VICTORIA AVGVSTI. Victoria. Cohen IV? 73, 709: VICTORIAE AVG. Victoria und Schild. 2. Mit dem der Julia Domna :

Cohen IV? 116, 130: MATRI CASTR. Aehrenbiindel.

3. Mit dem des Caracalla :

Pinder a. a. O. 601, 106 Taf. VI 19 : COS Il. Legionsadler zwischen zwei Signa, von Cohen wiederum ignoriert.

Cohen IV? 208, 618 u. 621 : VICTORIA AVGVSTI. Victoria.

Diesem sind beizufügen :

31. S. 27. IVLIA /., DOMNA AVG ». Brusthild der Domna rechtshin.

177 (17)

À. IO | M quer imFelde, TRI im Abschnitt. Tempelfront des Capitoliums mit vier Säulen; zwischen diesen die Göttertrias thronender Jupiter in der Mitte, stehende Juno rechts, Minerva links. Schmückung des Giebels und der Akroterien undeutlich.

Gr. 8,88 (durchlocht). A. Löbbecke. Tafel II Nr. 11.

Das nämliche Bild, mit der Beischrift CAPIT RESTIT, ist aus Münzen Domitian’s bekannt!. Hier stehen die Initialen IOM für Jupiter oplimus maximus im Nomi- nativ oder Dativ; die Silbe TRI, die doch nicht für einen Ortsnamen (Tripolis) stehen kann, trotzt aber einstweilen jedem Ergänzungsversuche, dessen Form Anspruch auf Wahrscheinlichkeit machen könnte.

32. S. 26. IM C M AVR : ANÎ., TONINVS AVG. r. Kopf des jugendlichen Caracalla mit Lorbeer rechtshin. BR. IMP CAES | M AVREL | ANTONINVS | AVG auf vier Zeilen in einem Lorbeerkranze. Gr. 9,32. Sammlung Bachofen von Echt, Taf. XVI 1669. Hier Tafel II Nr. 12.

33. S. 26. Gleichen Stempels. À. VICTORIA “., AVGVSTI 7. Schwebende Victoria linkshin, mit beiden [länden ein Kranzgewinde haltend ; vor ihr ovaler Schild auf Postament.

Gr. 10,80. A. a. O. Taf. XVI 1724. Hier Tafel II Nr. 13.

Die vier Münztypen Caracalla’s sind die gleichen wie die des Severus, was für die Gleichzeitigkeit dieser Prägungen spricht; für den Prägeort aber geben sie keinen Anhaltspunkt.

t Pinder a. a. O. 585, 26 Taf. VI 7; Cohen 1? 171, 23,

REVUE NUM. T. XIII. 12

(18) 178

34. Br. 29. IMP - CAESAR - VESPASIAN - AVGVSTVS. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

À. PONT - MAX - T|R- POT /., P- P- COS: VIII - CENS - r., im Felde S | C. Stehende Annona (?) linkshin, zwei Aehren in der Rechten, im linken Arm Füllhorn und Mantel.

M.S. Tafel II Nr. 14.

35. Br. 28. Ebenso. A. Ebenso, die Göttin mit Modius auf dem Haupte, in der.Rechten die Aehren zwischen zwei Mohnköpfen.

M. S. Tafel II Nr. 15.

Diese unedierten Mittelbronzen sind in Cohen I? 396, zwischen Nr. 383 und 384 einzuschieben. Sie kamen mir zusammen aus Smvrna zu und fallen dadurch auf, dass ihre Schrift weniger markig ist als die des römischen Kupfers Vespasian’s zu sein pflegt, und dass die Göttin auf dem Exemplar Nr. 35 einen Kopfschmuck trägt, der, so viel mir bekannt, ähnlichen Personifica- tionen der in Rom geprägten Münzen nicht eigen ist. Da phesos zur Zeit Vespasian’s eine Prägeslätte kaiserlichen Goldes und Silbers war, scheint es wohl möglich zu sein, dass dort zu gleicher Zeit auch Kupfer mit S C geprägt wurde, wie z. B. in Anlochia am Orontes!, später auch in Emisa und Philippopolis. Auf unseren Bronzen ist zudem die stehende Göttin gleich der sitzenden des oben beschriebenen Aureus Nr. 1.

' Mionnet V 191 ff., 335-469, von Augustus bis Alexander ohne, später bis Valerianus mit Nennung des Prageortes.

179 (19)

II. Bithynische Kupfermünzen aus der Zeit Domitian’s und Traian’s

1. Br. 35. AVT AOMITIANOZ L., KAIZAP ZEB EP r. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

A. Im Felde J. AK, r. TP. Schreitender behelmter Ares mit wallendem Mantel rechtshin, in der Rechten den Speer schräg haltend, in der Linken ein geschultertes Tropaion.

Im Handel.

2. Br. 34. Ebenso, mit [AVT] AOMITIANOZ KA È., IZAP X[EB FEP ?] r.

À. Ebenso, mit Ne /., TP vr.

M. S. Tafel III Nr. 1.

3. Br. 35. Ebenso, mit AVT AOMITIANOZ KAIZAP ZEBAZTOZ TEPM.

R. OMONOIA !., ZEBAZTH r.; im Felde I. TP, r. TH. Stehende Homonoia oder Eirene mit Zweig in der Rechten, Füllhorn in der Linken, linkshin.

Imhoof - Blumer, Griechische Münzen 246, 813.

4. Br. 28. Ebenso, mit AVT AOMITIANOZ KAIZAP ZEBAZTO2Z.

A. Aufschrift und Monogramme ebenso; stehende Demeter mit Schleier linkshin, zwei Aehren in der Rechten, die Linke an der Fackel.

Berlin (m. S.).

Die Griech. Münzen 246 ausgesprochene Vermuthung, die beiden Monogramme der Münzen Nrn. 3 und 4 möchten für MPoüs« roù YNNI® stehen, scheint durch das Vor- kommen der wohlbekannten anderen städtischen Mono- gramme für NIKAIA (Nr. 1) und NIKOuydea (Nr. 2) ihre

(20) 180

Bestätigung zu finden; das diesen beigegebene Zeichen steht wohl für den Titel Paty. Der Arestypus ist genau dem des Mars Victor nachgebildet, der auf Münzen des Vitellius noch mit geschultertem Legionsadler, von Vespasian an mit dem Tropaion erscheint. |

Dieser eigenartigen Serie bithynischer Kupfermünzen mit dem Bildnisse Domitian’s ist eine Anzahl gleichartiger Stücke mit Demeter- und Eirenetypen und der Aufschrift OMONOIA CEBACTH, aber ohne Monogramme, anzu- reihen. Bei Mionnet VI 686, 495-498 stehen sie unter den Unbestimmten. Hill, Journ. of hell. stud. XVII 84, 8u. 9 Taf. II 19 fasste sie wohl richtig als bithynische Provincial- prägung auf, die dann wiederum mit römischen Typen unter Traian (vgl. Mionnet VI 695, 550 bis 552) fortgeführt wurde.

Bithynisch sind wohl auch Mionnet a. a. O. Nr. 553 mit EIPHNH ZEBAZTH und das folgende Stück :

5. Br. 27. AVT AOMITIANOZ /., KAIZAP ZEB TEPM. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

À. -KAMETOAION /., ZEBAZTON *. Tempelfront mit vier Säulen.

Löbbecke.

Ein Cistophor des Jahres 82 n. Chr. stellt den von Domitian vollendeten Neubau des CAPITolium RESTIT utum in Rom dar’. Dieses, nicht eine Nachahmung desselben in Kleinasien, wird auch auf der Kupfermünze gemeint sein; denn so häufig Nachahmungen des Capitols in der westlichen Reichshälfte vorkamen, so selten ist eine im Osten ‚nachzuweisen? Bild und Aufschrift scheinen hier bloss dem Ruhme des Kaisers als Wieder- hersteller des römischen Tempels zu dienen.

1 Pinder, Cistophoren 585, 26 u. 625 Taf. VI 7; Cohen 1? 471, 23. 3 Wissowa, Pauly's Real-Ene, 111 1538 f.

181 (21)

6. Br. 19. AOMITIANOZ Î., KAIZAP ZEBAZTOX r. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

À. AOMITI !., ANOY ZEBA r. und unten, im Felde AP „E BE. die Rechte aın Scepter oder Speer, die Linke mit Gewand an der Seite.

M. 8.

Stehende Arete in kurzem Chiton linkshin,

Ein anderes Beispiel der personificierten ’Apery ist bis jetzt auf Münzen nicht bekannt. Die Aufschrift der Rückseite entspricht der römischen « Virtus Domitiani Augusti ». Der nicht genannte Prägeort könnte eine der bithynischen Städte sein.

ill. Lykische Provincialmunzen

1.5818, eee KAAVAIOC KAICAP CEBA[CTOC]. Kopf des Claudius mit Lorbeer rechtshin.

À. TEPMANIKOC /., AVTOKPATWP r., im Felde A | Y. Lyra. Paris. Mionnet III 430, 1 u. Suppl. VII 2, 3. Gr. 2,27. Brit. Museum Kat. Lykia 38, 5 Taf. IX 10.

2. S. 18. Ebenso, mit [TIBEP]IOC KAAVAIOC u. S. W.

À. Ebenso, ohne AY.

Gr. 2,95. Mauromichalis, Journ. int. de num. VI 1903, 187 Nr. 73 Taf. XI 14.

3. S. 20. TIBEPIOC KAAVAIOC KAICAP CEBA|CTOC]. Kopf ebenso.

(22) 182

R. Aufschrift ebenso. Stehender Apollon mit entblòsster rechter Schulter linkshin, Lorbeerzweig in der vorge- streckten Rechten, die gesenkte Linke am Gewand.

Gr. 2,42. Mauromichalis a. a. O. Nr. 72 Taf. XI 13.

4. S. 18. Ebenso; die Figur scheint hier völlig bekleidet zu sein, mit der Linken das Gewand zu heben und daher Elpis darzustellen.

Mionnet VI 676, 435; Svoronos, Monnaies de la Crète 336, 12 Taf. XXXII 10.

Vgl.fernerdie unzuverlässigen Beschreibungen Sestini’s, Lett. num. cont. III 83, 1 : « Göttin mit zwei Aehren in der Rechten und Stäbchen in der gesenkten Linken », und Mus. Hedervar. IT 248, 2 : « Stehender Kaiser in Toga linkshin, die Rechte erhoben, in der gesenkten Linken Lituus und daneben AY ».

5. S. 18. Ebenso.

8. Aufschrift ebenso. Stehende Arlemis in kurzem Doppelchiton von vorn, die Rechte gesenkt, die Linke an der Fackel.

Gr. 2,10 (Loch). Berlin (m. S.). Svoronos a. a. O. 336, 10 Taf. XXXII 9.

6. S. 18. Ebenso.

R. Aufschrift ebenso. Schreitende Artemis rechtshin, Pfeil (?) in der gesenkten Rechten, in der vorgestreckten Linken Bogen.

Gr. 2,40. Svoronos a. a. O. 336, 11, beide Seiten ungenau beschrieben.

Nach Webster, Num. Chron. 1861, 219 Lycia 1 und | Kat. O. Borrell 1861 Nr. 67 soll es eine Kupfermünze von der Grösse und mit dem Kopfe und den Aufschriften

183 (23)

der vorstehenden Silbermünzen geben, auf deren Rück- seite der reitende Kaiser dargestellt ist. Vielleicht eine subaerate Prägung.

7. Br. 31. TIBEPIOZ KAAVAIOX KAIZAP ZEBAZTOZ. | Kopf des Claudius linkshin.

À. FEPMANIKOZ AVTOKPATOP TIATHP TIATPIAOZ. Stehender Apollon in langem Gewand linkshin, Zweig (?) in der vorgestreckten Rechten, Bogen in der gesenkten Linken.

Gr. 15,23. Brit. Mus. Hill, Num. Chron. 1903, 401 Abb.

8. Br. 24. Ebenso. Gr. 8,70. Berlin (m. S.). Svoronos, Monnaies de la Crete 337, 15 Taf. XXXII 16.

Von diesen Münzen weichen die folgenden bloss durch die Typen der Rückseïten ab.

9. Br. 30. Ebenso mit stehender Artemis in kurzem Doppelchiton von vorn, Kopf rechtshin, Handfackel in der Rechten, Nike linkshin auf der Linken; zur linken Seite der Göttin stehender Hirsch rechtshin, den Kopf zurück- wendend.

Gr. 14,90. M. 8. Taf. III Nr. 2.

10. Br. 24. Ebenso.

Gr. 7,15. Berlin (m. S.). Svoronos a. a. O. 336, 14 Taf. XXXII 15. Num. Chron. 1861, 219 Lycia 2; Kat. O. Borrell 1851 Nr. 67.

11. Br. 34. Ebenso. Tempelfront mit zwei Säulen, Akroterienschmuck, Adler im Giebelfelde und Stufen zum Eingang; zwischen den Säulen das Cultbild der Göttin von Myra von vorn und das Symbol in Form O links zu seinen Füssen.

Gr. 15,80. Brit. Mus. Hill, Num. Chron. 1903, 400 Abb.

(24) 184

42. Br. 24. Ebenso.

Paris. Svoronos a. a. O. 337, 17 (angeblich Artemis Ephesia) Taf. XXXII 18.

13. Br. 31. Ebenso. Stehende Eleutheria rechtshin, Gewandfalten und Mütze in der Rechten, die Linke vorgestreckt.

Gr. 15,80. Berlin (m. 8.).

14. Br. 26-24. Ebenso. Wien. Eckhel, D. n. v. VI 246; Svoronos a. a. O. 337, 16 Taf. XXXII 17. Gr. 8,10. Berlin, Pinder und Friedländer, Beiträge 1851, 84, 50. Leake, Num. Hell. As. Gr. 133 mit angebl. TEPMH.... statt FEPMA... » 6,05. Brit. Mus. Hill, Num. Chron. 1903, 402. Mauromichalis, Journ. int. 'de num. VI 1903, 180, 14 (Kreta).

15. Br. 25-23. Ebenso. Behelmter und gepanzerter Reiter im Galop rechtshin, den Speer in der Rechten zückend, Schild am linken Arm; dahinter auf einem Postament Statue, bekränzt (mit Strahlen *) in kurzen Chiton oder Panzer, in der erhobenen Rechten Waffe, in der Linken Schale (°).

Paris; vgl. Mionnet VI 676, 436. Svoronos a. a. O. 337, 18 Taf. XXXII 19.

Gr. 7,27. Brit. Mus. Hill a. a. O. 403.

Mauromichalis a. a. O. 180, 15 Taf. XI 3 (Kreta). » 8,55. Mus. Winterthur. Vgl. Webster, Num. Chron. 1861, 219 Lycia 3.

16. Br. 16. TIBEPIOZ KAAVAIOZ.... Dreifuss.

R. AY unlen. Zwei verschlungene Hände, darüber Mohnstengel zwischen zwei Aehren.

Inv. Waddington n. 3011.

185 (25)

Die Zusammengehörigkeit der hier beschriebenen, bisher in ihrer Mehrzahl Kreta zugetheilten Silber- und Kupfermünzen geht aus der Gleichförmigkeit ihrer Auf- schriften, ihre lykische Herkunft aus der Bezeichnung AY der Drachme Nr. 4 und dem kürzlich von Hill erkannten myreischen Cultbild der Bronzen Nr. 11 u. 12 hervor’, Auch Apollon, die Lyra und der Reiter sind als lykische Münzbilder bekannt. Den Darstellungen der Eleutheria und der Elpis dagegen haben als Vorbilder die römischen Kupferprägungen des Claudius aus dem Beginne seiner Regierung (44 n. Chr.) gedient®. Diese Anlehnung an Rom und der epigraphische Charakter der Claudius- münzen lassen diese als kaiserliche Prägung erkennen, die nach der Auflösung des Ivkischen Bundes im J. 43 und der gleichzeitigen Einrichtung der Provinz Lykien Pamphvlien stattfinden konnte. Sie scheint von kurzer Dauer gewesen und nur noch einmal am Ausgange des ersten Jahrhunderts während weniger Jahre (95-99) aufge- nommen worden zu sein. Denn die lykischen Münzen der Kaiser Domitian, Nerva und Traian führen wie die des Claudius und wie die Mehrzahl der Reichsmünzen von Kaisareia und der syrischen Provinzen als Auf- schriften bloss die auf Vorder- und Rückseite vertheilten Namen und Titel der Kaiser, niemals Stadtnamen. Auch die Bezeichnung AY kommt nur ausnalımsweise vor, auf einer oder zwei Münzen des Claudius und einer des Nerva.

Die Iykischen Prägungen mit Kaiserbildnissen unter- scheiden sich demnach in:

1. Bundesmünzen mit dem Kopfe des Augustus (Kragos, Kvaneai, Masikytes, Tlos).

2. Provincialmünzen des Claudius vom J. 43 an, des Domitian vom J. 95 (ETOVC IA VITATOV IZ), des Nerva

1 Num. Chron. 1903, 400. 3 Cohen I? 254, 47; 257, 85.

(26) 16

vom J. 97 (VATOY TPITOY) und des Traian von den J. 98 u. 99 (VITAT. B).

3. Stadimünzen der drei im Norden des Landes gelegenen Städte Termessos bei Oinoanda mit Augustus und Tiberius, Bubon mit Augustus und Balbura mit Caligula; ferner von zwanzig verschiedenen lykischen Städten mit den Bildnissen Gordian’s und der Tranquillina (241-244).

Den Münzen aus der Periode von Traian bis Gordian, die man bisher lykischen Städten zutheilte, ist ausnahmslos mit Mistrauen zu begegnen. Die von Myra mit Pius und Plautilla® sind nirgends nachzuweisen, die mit Caracalla und angeblich MHTPOTIOAENC MYPENN ist von Isaura?, und die Aufschrift der angeblichen Münze von Araxa mit Hadrian ist gefälscht *.

Bei dieser Gelegenheit sei auch Mionnet Suppl. VII 11, 41 mit EMI ONHCIMOV | AIMYPENN berichtigt ; das Stück ist nämlich kilikisch und der Einwohnername CEAEY KENN zu lesen®,

Während der Drucklegung der vorstehenden Berich- tigungen erscheint Zeitschr. f. Num. XXV, 45 ff. Regling’s treffliche Notiz über den gleichen Gegenstand, deren Resultat mit dem hier erzielten übereinstimmt. S. 46 III ist ein mir noch unbekannter Typus der Kupfermünze des Claudius verzeichnet, Leto mit den Kindern.

' Akalissos, Antiphellos, Aperlai, Arykanda, Balbura, Choma, Gagai, Kandyba, Korydalla, Kyaneai, Limyra, Myra, Olympos, Patara, Phaselis, Phellos, Podalia, Rodiapolis, Tlos, Trebenna.

? Mionnet III 438, 44 u. 45 (nach Vaillant).

3 Sabatier, Rec. belge 186) Taf. IV 4.

‘Z.f. Num. XV, 45 (aus Kat. Whittal 1884 n. 1175). Auch die autonome Mionnet VII 6, 18, auf der nur A nicht APA zu lesen ist, gehört nicht hierher. Von Araxa scheinen also keine Münzen bekannt zu sein.

> Vgl. ähnliche gleichzeitige Stücke Imhoof-Blumer Monn. grecques 363, 45 und Inc. Waddington Nr. 4147.

187 (27)

IV. Griechische Stadt- und Königsmünzen Asia

Chersonesos Taurike

1. Br. 23. Springender Greif linkshin.

f. XEP im Abschnitt, KPA links. Knieende Artemis rechtshin, in der vorgestreckten Linken Bogen, in der zum Boden gesenkten Rechten Pfeil.

Gr. 8,71. M. 8. Tafel III Nr. 3.

Dieses Exemplar einer bekannten Varietät zeigt besonders deutlich die Armspangen und die Jagdstiefel (évôpouides) der Göttin. Die folgenden Stücke sind wegen neuer Beamtennamen der Erwähnung werth.

2. Br. 22. Artemis wie auf der Rs. Nr. 1. À. Alt oben, XEP unten. Springender Greif linkshin. Gr. 7,42. M. $. Ä

3. Br. 20. Ebenso, mit Al&XI. Gr. 6,40. Mus. Winterthur.

Nach Mus. Kotschubey 1132, 2 ist der Name Aisyivas zu ergänzen.

4. Br. 20. Ebenso, mit OEO.. Gr. 7,05. Mus. Winterthur.

5. Br. 21. Ebenso, mit I$TIEI[OY|. Gr. 5,50. M. 8.

6. Br. 22. Ebenso, mit OIAISTI. Gr. 6,95. M. 8.

7. Br. 19. Kopf der Athena rechtshin.

t

(28) 188

À. XEP oben, HPAKAEIOY im Abschnitt. Greif rechtshin schreitend. Gr. 3,15. M. S.

Vgl. Mus. Kotschubey I 161, 73 mit angeblich HPA KAEITOY.

Pontos

Amisos

4. Br. 22. Kopf einer Amazone (?) mit Wolfsfell rechtshin.

R. AMI | ZOY. Schreitende Nike rechtshin mit geschul- tertem Palmzweig in der Linken und Kranz in der Rechten; im Felde links Stern über Mondsichel.

Gr. 6,70. M. 8.

Von den bisher publicierten Exemplaren dieser Münze! unterscheidet sich das vorliegende durch das Symbol im Felde der Rs., Mondsichel und Stern, das auf die mithradatische Zeit hinweist.

Komana

1. Br. 26. Aufschrift zerstört. Kopf des Caligula mit Lorbeer rechtshin.

R. ETOVC | À l., ...... r. Brustbild der Ma oder Enyo mit Strahlenkrone und Gewand rechtshin, davor Keule.

Im Handel. Tafel III Nr. 4.

Die Deutung des Bildes der Rs. auf die Göttin von Komana geht aus Imhoof-Blumer Z. f. N. XX 261 f. Taf. IX 11 u. 12 hervor.

' Imhoof-Blumer, Griech. Münzen 46, 29 Taf. HI 20; Babelon-Reinach, Recueil general des monnaies grecques d'Asie mineure I 56, 38 Taf. VII 30.

189 (29)

Die Aera der Stadt beginnt mit Herbst 34 n. Chr. |; die Jahreszahl 4 entspricht demnach Herbst 37/38 unserer Zeitrechnung.

Laodikeia

4. Br. 14. Kopf des Perseus mit geflügeltem Helm rechtshin.

À. AAOAI | KE[IAZ]. Harpe, mit Flügeln am Griff; rechts unten vielleicht Monogramm.

Im Handel.

Mit den nämlichen Tvpen haben gleichzeitig Amisos ? und Sinope® geprägt.

Neokaisareia

1. Br. 27. AV K TIO AIK OYAAEPIANOC. Brustbild des Kaisers mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin.

À. MH | NEO L., KECAPIAC r., ET PHB (J. 192) i. A. Zwei Tempelfronten mit je vier Säulen; zwischen den Giebeln Preiskrone mit zwei Palmzweigen.

M. 8.

Sebastopolis Herakleopolis

1. Br. 28. AV KAI A CETTTI L., MI CEOVHPOC AY *. Brustbild des Kaisers mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin.

R. CEBACT /., [H]PAKAE im Abschnitt, im Felde !. [fr], r. HL (J. 208). Nackter Herakles rechtshin ausschreitend, in der erhobenen Rechten die Keule, mit der Linken nach der gegen ihn einstürmenden /1ydra greifend.

M. 8.

' Anderson, Num. Chron. 1904, 101 f. ? Kat. Brit. Mus. Pontos 19, 68 Taf. IV 1. 3 Fekhel, Num. vet. 172 Taf. XI 6 (ungenau).

Zu den bisher bekannten Darstellungen von Herakles- thaten auf Münzen von Sebastopolis tritt die mit der Hydra als sechste hinzu!.

Paphlagonia Germanikopolis

4. Br. 24. IOVAIA L., AOMNA CEB r. Brustbild der Domna rechtshin.

IT A. FEPMANIK /., OTTOAENC r., im Felde C | (Jahr 215). I

Stehende Tyche mit Kalathos, Steuerruder und Füllhorn linkshin. M.S.

2. Br. 31. IOVAIA !., AOMNA CE r. Brustbild der Domna rechtshin.

R. AP TT (‘Apyadzorts IapXayovirc) FEPMA L., [NI] | ECTIA 6€EN() r., E | T im Felde, cel im Abschnitt. Tropaion zwischen zwei am Boden sitzenden gefesselten Gefangenen.

M. S. (Auct. Hirsch XIII Taf. XXX VI 3237).

Da die Münze vom J. 209/10 n. Chr. datiert, so ist das Tropaion etwa auf die Siege des Sept. Severus in Britannien zu beziehen. Vgl. die römischen Münzen Cohen IV? 76, 726-790.

Bithynia 1. Br. 18. AOMITIANOZ KAIZAP ZEBAZ VI. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin. fà. Im Kreise ETTI M ZAAOYIAHNOY AZTIPHNA, in der Mitte ANOY | TIATOV. M.S.

1 Imhoof - Blumer, Aleinas. Münzen TE S. 500, 1.

191 (31) Colonie Apamea

1. Br. 19. Kopf des Mercur mit geflügeltem Petasos rechtshin. Pkr. À. [C]ICA !.,DD r. Victoria mit Kranz und Palmzweig linkshin auf Globus. Pkr. Gr. 3,65. M. S. Journ. internat. de num. VII (1904) 375, 182 Taf. XV 10 gehört nicht nach Apamea, sondern nach Sicilien, s. Kat. Brit. Museum Sicily 129, 23.

2. Br. 24. IMP VESPASI...... Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin. A. APOLLO l., ...... r., D |] D unten. Stehender Apollo

in langem Gewand rechtshin, Plektron in der gesenkten Rechten, Lyra im linken Arm. Mus. Winterthur.

3. Br. 20. [IMP] VESPASIANVS AVG.... Kopf ebenso. A. Ebenso. München.

Auf beiden Exemplaren ist gerade die Stelle verrieben, wo die Schrift die Zutheilung der Münzen sichern sollte. Als ihr Prägeort ist Apamea höchst wahrscheinlich; denn auf Münzen der Stadt Mvrlea und der Colonie Apamea erscheint Apollon mit dem Beinamen Klarios, nackt und mit Bogen und Schale als Attribute '.

4, Br. 24. IMP CAES P LI !., GALLIENVS P F AV r. Brustbild des Kaisers mit Strahlenkrone, Panzer und Mantel rechtshin.

À. COL IVL CO /., NC AVG APA r., D | D im Felde. Stehender Bacchus mit weiblicher Frisur, umgürtetem Chiton und Mantel linkshin, in der gesenkten Rechten

! Ino. Waddington Nr. 225 mit KAAPIOC ATTOAAQN. Nr. 228 n. Sestini Descr. 245 Taf. V 16 mit APOLLINI CLAR.

(32) 192

Kantharos, die Linke an den Hinterkopf erhoben; zu Füssen des Gottes links Panther linkshin, den Kopf erhebend.

M.S.

Herakleia am Pontos

4. S. 18. Kopf des jugendlichen Dionysos mit Epheu rechtshin.

È. HPAKAENI[TAN] ». Sitzender jugendlicher Dionysos mit nacktem Oberkörper linkshin, Kantharos in der Rechten, die Linke am Thyrsos und Fussbank unter den Füssen ; vor ihm Weintraube und A, unter dem Sessel AA.

Gr. 4,12. M. S. (Auct. Hirsch XIII Taf. XXX VI 3260).

Diese Drachme attischen Systems ist wohl gleichzeitig mit den seltenen Tetradrachmen von Herakleia im Beginne des dritten Jahrhunderts vor Chr. geprägt". Diese Münzen scheinen auf die Staterserie mit dem gleichen Rückseitebilde gefolgt zu sein, dessen Gewichte von höchstens Gr. 9,80 mit denen der Statere der Königin und der Stadt Amastris übereinstimmen.

2. Br. 21. Kopf des jugendlichen Herakles mit Eichenlaub linkshin.

È. HPAKA[E] 7., QTAN «., OP J. Stehende Nike mit Kranz und Palmzweig linkshin. |

Gr. 5,94. Mus. Winterthur.

Nach dieser Beschreibung ist vermuthlich Imhoof- Blumer Griech. Münzen 76, 20, ein durch den Gegen- stempel etwas beschädigtes Stück, zu berichtigen.

. Juliopolis

4. Br. 28. AV A CETITI /., CEVHPOC TI ». Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

1 Six, Neon. Chron. 1885, 61.

193 (33)

À. IO | VAI L, OTTOAEITON r. Reitender Men mit Mondsichel an den Schultern im Schritt rechtshin, den Kopf zurùckwendend, die Rechte mit stabähnlichem Attribut linkshin streckend.

M. 8.

Kaisareia Germanike

i. Br. 28. ZABEINA /., ZEBAITH r. Brustbild der Sabina rechtshin.

R. KAIZAPEIAZ J., TEPMANIKHIZ (so) r. Stehende Tyche, ohne Kopfschmuck, linkshin, die Rechte am Steuer- ruder, im linken Arm Füllhorn.

Sir Herm. Weber.

Nikaia

1. Br. 23.— AVT KAI M AVPH L., ANTONEIN r., OC unten. Kopf des bärtigen Marcaurel rechtshin.

À. NIK Z., AIEQN r. Kopf des bärtigen Herakles rechts- hin, mit Epheu bekränzt.

2. Br. 31. AVT KAIC A AVPH L., OVHP APME TI[AP] 7. Brustbild des L. Verus mit Gewand rechtshin. Im runden Gegenstempel bärtiges Brustbild (Marcaurels ?) rechtshin.

R. POMAIO | N NIKH | N | NIKAIEIC. Stehende Nike mit erhobenen Flügeln von vorn, Kopf rechtshin. Die gesenkte Rechte an einem schräg gestellten Schild, im linken Arm Tropaion.

München.

Vgl. Mionnet, Suppl. V 100, 534 mit Nike auf einen Schild

schreibend.

3. Br. 30. AV - K- A : AVPHÎ., OVHPOC CE r. Brust- bild des L. Verus mit Panzer linkshin. À. NI | KAI 2., EQN r. Stehender nackter Apollon links-

REVUE NUM. T. XII. 13

(34) 194

hin, Lorbeerzweig in der vorgestreckten Rechten, den linken Arm auf dem hinter dem Gotte aufgestellten Dreifuss, um den sich eine Schlange rechtshin windet.

Gr. 16,20. M. 8.

4. Br. 18. AVT -K - A - AVP - OVHPO. Kopf des L. Verus rechtshin.

À. NIKAIE | N, è. A. N. Das nackte Dionysoskind in einer Wiege linkshin sitzend, beide Aermchen empor- streckend; an seiner rechten Seite schräg gestellter Thyrsos mit Tänien.

M. 8.

Aehnliche Darstellungen des Dionysos Awvirye habe ich im Jahrbuch des arch. Inst. II 288 und Griech. Miinzen 78 bekannt gegeben. Der Typus kommt auch auf Münzen des ionischen Magnesia vor.

9. Br. 28. AVT K A CENTI L., CEVHPOC TI r. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

A. NIKAI J., EQN r. Stehende Tyche mit Kalathos linkshin, in der Rechten das Füllhorn vor sich hin haltend, die Linke am Steuerruder.

M. 8. Tafel III Nr. 5.

Die Handhabung der Tvcheattribute ist eine ausser- gewöhnliche.

6. Br. 25. TTOVB AIK EFN TAAAIHNOE AVE. Brust- bild des Kaisers mit Strahlenkrone und Panzer rechtshin.

À. NIK | A Z., IEON r., ITTRPX i. A. Sitzender Hipparchos mit nacktem Oberkörper linkshin, mit der Rechten einen Globus über eine Stele haltend, die Linke auf den Stuhl stùtzend.

M. 8.

195 (35) Prusa am Olympos

1. Br. 29. AVT- K : TI» EABIOC - ., - TTEPTINAI ceB r. Kopf des Pertinax mit Lorbeer rechtshin.

À. TIPOV L., CAEWN r. Die Gruppe der Chariten, die mittlere von hinten gesehen, die äusseren je eine Frucht oder Aehren haltend.

M. S. Tafel III Nr. 6. Berlin.

Der Stempel der Vs. ist identisch mit dem der Münzen Imhoof-Blumer Kleinas. Münzen 503, 1 Taf. XX 5 und Kat. Brit. Mus. Pontos n. 1%, 14.

2. Br. 21. AAEZANAPOC A[V]. Kopf des Sev. Alexander mit Lorbeer rechtshin. a. MP [O]V Du ea 3 Säulen; zwischen diesen in der Mitte e Mus. Winterthur.

i. A. ENN. Tempelfront mit sechs

3. Br. 25. M - IOVAIOC $IAITITTOC AV“. Brustbild des Kaisers mit Strahlenkrone, Panzer und Mantel rechtshin.

À. TIPOVC L., AEON r. Brustbild eines bartlosen Kriegers mit Helm und Panzer linkshin.

Mus. Winterthur.

Inv. Waddington n. 518 ist ein ähnliches Stück mit Athenakopf verzeichnet. Das Bild der Rs. stellt aber wohl einen Heros oder den Gründer der Stadt dar.

Teion

4. Br. 3. TEIOC r. Brustbild des Teios mit Binde und Gewand rechtshin.

À. TIA L., N oben, ON r. Stehende Bow mit Thurm- krone oder Kalathos, Chiton und Mantel rechtshin, in

(36) 1%

der Linken das Scepter schräg haltend, die Rechte dem gegenüber stehenden Demos reichend ; dieser in langem Gewand, die Linke am Scepter; zwischen den Beiden flammender Altar. Sir Herm. Weber. Vgl. die Darstellung der BovA7, und des Demos auf einer Münze von Nikaia, Imhoof-Blumer Griech. Münzen 19, 132 Taf. VI 11.

2. Br. 20. AVT - KAIC-Al., ...... r. Kopf des Severus mit Lorbeer rechtshin.

R. TIA l., NON r. Schlange auf einer mit Guirlanden geschmückten Basis.

MS. Prusias II

4. Br. 20. Kopf des Zeus, ohne Schmuck linkshin. Pkr.

R. BAZIAENZ r. TIPoYZioY |. Tropaion linkshin; zwischen diesem und dem Namen @ N.

Mysia Adramytion

4. Br. 18. Kopf der Kore mit Aehren rechtshin. R. AAPAMY oben, THNNN unlen. Kalathos, von einer Aehre gekreuzt.

Kat. Auct. Hirsch XII Taf. XXXVII 3280, unrichtig beschrieben.

2. Br. 20. AHMHTPA !., EAE unten, VCINIA r. Sitzende Demeter Eleusinia mit Schleier linkshin auf Thron mit hoher Rücklehne, Aehren (und Mohnkopf?) in der Rechten, im linken Arm das Scepter schräg haltend ; im Felde links fp.

197 (37)

À. .....EPN.. AOV- KA.... von rechts unten nach links. Stehender Dionysos im kurzen Chiton linkshin, Kantlıaros in der Rechten, die Linke am Thyrsos, der mit Tänien geschmückt ist.

Gr. 11,35. Mus. Winterthur.

Bei der grossen Aehnlichkeit der thronenden Demeter mit der der ephesischen Aurei der Flavier!, und da Ephesos als Cultstätte der Demeter Eleusinia bekannt ist*, lag der Gedanke nahe, den Versuch zu machen die Münze Ephesos zuzutheilen. Dafür fehlt aber jeder Hinweis durch die Aufschrift der Rs., die blos einen Beamtennamen, etwa EM IEPONYMOY KA.... (9) zu enthalten scheint. Dagegen leitet das auf der Vs. befind- liche Monogramm, das ich glaube richtig wiedergegeben zu haben, auf die Fährte. Dieses ist in der Form AP aus den Cistophoren® und den Kupfermünzen von Adramytion aus der Zeit des Augustus bekannt; und da zudem ein häufiger Typus der Münzen dieser Stadt die sitzende Demeter mit Früchten und schräg gehaltenem Scepter ist, auch Dionysos kommt vor, so ist die vorge- schlagene Zutheilung wohl als gesichert zu betrachten.

Der späten Form Ajuyntpx begegnet man auch auf einer Sebaste zugeschriebenen Münze mit Traian®.

3. Br. 35 AV[T KAIC A] CETTTIMI L., CEOYHPOC TIEPT r. Brustbild des Kaisers mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin.

À. ETTI CTPA AOVK | IO | VB TOV dIPMO, im Abschnitt AAPAMVTH | NON. Stehende Frau im langen Chiton und Mantel von vorn, Kopf linkshin, die Rechte an einem

! Cohen I? 432, 38; Kat. Ponton d’Amécourt Taf. VI 157; hier Taf. I Nr. 5.

? Strabon 633; Pauly-Wissowa, Real Encycl. IV 2745, 8.

3 Pinder, Ueber die Cistophoren Taf 1 2.

4 ]mhoof - Blumer, Griech. Münzen 84, 153.

* Berl. Blätter 1 140 Taf. V 6, berichtigt von Imhoof-Blumer Monn. grecques 464, 29, Griech. Münzen 63.

(38) 198

langen Stabe mit Knoten und Büschel an der Spitze, in der Linken eine Falte des Mantels ausbreitend, vor ihr Gefäss mit Mohn und Aehren auf einer Stele.

M. 8. Tafel V Nr. 3.

Die nämliche Darstellung findet man auf Münzen mit dem Bildnisse Caracalla’s Mionnet Suppl. V 281, 29 u. 30, 282, 34 und Kat. Brit. Mus. Mysia 5, 19 Taf. 110, welcher Abbildung indes ein sehr abgegriffenes Exemplar zu Grunde lag.

Da der Gegenstand, den die Frau in der Rechten hält, keine Fackel, sondern ein Stab mit Aehrenbüschel zu sein scheint, und der Gestus der Gewandhebung einer Göttin wie Demeter oder Kora nicht wohl zukommt, so ist die Figur vielleicht für eine Priesterin zu halten, die einen Festakt zu Ehren der Demeter Eleusinia begeht.

Sehr befremdlich ist es, dass dieser adramytenische Typus gleichzeitig auch auf einem Stücke gleicher Grösse und Stils von Stllyon vorkommen soll, s. Dieudonné Rev. num. 1902, 346, 85 Taf X 5. Ohne Zweifel handelt es sich hier um eine Verlesung oder Veränderung der Aufschrift.

4. Br. 25. AAPAMVT L., HNQON r. Brustbild der Athena mit Helm und Aegis linkshin.

À. CTP I ATIOAINAP L., [I]OV VOV ACIAP r. Stehender Zeus im langen Gewand linkshin, Adler auf der Rechten, Scepter in der gesenkten Linken.

Gr. 9,70. M. S.

9. Br. 26. Ebenso, gleichen Stempels. À. ETTI C - A - IOV - ATTO L., AINAPIOVIVIOV A r., im

AP’ mit Kalathos, Schale und Füllhorn linkshin. Inv. Waddington n. 614 mit unvollständiger Aufschrift der Rs.

X Felde links Cl ». O. Stehende Tyche oder Euthenia V

199 (39)

Wahrscheinlich ist auch Imhoof-Blumer Kleinas. Münzen I 12, 9 nach dem Strategennameny OY zu ergänzen.

Die fehlerhafte Schreibung VOY statt viov kommt auch auf anderen Münzen vor, z. B. auf einer von Silandos aus der Zeit des Sev. Alexander, wo VOV APXIEPENC zu lesen ist.

Hadrianeia

1. Br. 28. AVT K M AVP !., KOMMOAOC r. Kopf des bärtigen Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

À. ETT ATIOAANNIOV Î., A APX AAPIA r., NEON 7. A. Sitzende Kybele mit Kalathos, Schale und Tympanon linkshin; zur rechten Seite der Göttin sitzender Löwe linkshin.

M.S.

Hadrianoi

1. Br. 25. CABEINA !., CEBACTH r. Brustbild der Sabina rechtshin.

À. AAPIANON /., TIPOC OAVMITA r. Stehender nackter Dionysos von vorn, Kopf linkshin, Kantharos in der Rechten, die Linke am Thyrsos; links zu Füssen Panther.

M. 8.

Auf einer anderen Münze mit dem Bildnisse der Sabina, die ich Kleinas. Münzen If 505, 2 mit TTOAVAP beschrieb, ist dieser Name in NOAVAI - zu berichtigen.

2. Br. 31. AVT - K : TO - AIK - OVA È., AEPIANOC - CEB -. Brustbild des Kaisers mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin.

R. ETTI - ANT : AAEIAN /., APOV - APX - TIP-T-AAPI r., ANON links im Felde. Stehende Tyche mit Kalathos, Steuerruder und Füllhorn linkshin.

M.S.

T - vor ‘Adpavéy steht vermuthlich für av.

(40) 200 Hadrianotherai

1. Br. 20. IEPA !., C | VNKAHTOC r. Brustbild des jugendlichen Senats mit Gewand rechtshin.

À. AAPIANO |., GHPITON & r. Stehender Asklepios von vorn, Kopf linkshin, die Rechte am Schlangenstab, die verhüllte Linke an der Seite.

M.S.

Vgl. Mionnet II 435, 138, Kat. Brit. Mus. Mysia 75, 1; Inv.

Waddington n. 847, alle ohne das seltsame Monogramm oder Symbol.

2. Br. 29. AV KAI TPAIANOC /., AAPIANOC AVIO r. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

À. ETTI CT[PA?]O P$ MHNOMANTOV AAPIANOOHPITON. Der Kaiser zu Pferd im Galop rechtshin, in der Rechten den Speer gegen einen rechtshin laufenden Bären zückend.

N.S. Vgl. Ramus, Mus. reg. Danie I 201, 1 Taf. IV 20.

Kisthene (?)

Br. 17. NEP.. 7. KAIZAP !., Kopf des Caesars Nero rechtshin. . |

A. EAVAOY Î., KI..HNA r., N unten. Stehender Adler von vorn, die Flügel schlagend, Kopf rechtshin. Das Ganze in Lorbeerkranz.

M. 8.

Man ist versucht die Aufschrift der Rs. in KIZ@HNAN oder, wenn die Spitze des vorletzten Buchstabens bloss einem Zufall zuzuschreiben ist, KIZOHNNN zu ergänzen. Strabon schildert die Stadt als verödet; doch zur Zeit des Claudius da das Stück geprägt worden ist, hebt sie Pomp. Mela unter den kleinen Küstenstädten der Aiolis als « clarissima » hervor, und später erwähnten sie noch

201 (41)

Plinius und Stephanos Byz. Autonome Minzen von Kisthene sind aus dem 4. und 2. Jahrhundert vor Chr. bekannt!. Der Name ’EAud%; scheint neu zu sein.

Kyzikos

1. S. 7. Kopf des Hermes rechtshin, Flügel am Petasos. Pkr.

13. KY oben, It unten. Thunfisch rechtshin. Vertieftes Quadrat.

Gr. 0,28. M. 8. Tafel III Nr. 7.

2. Br. 14. Kopf der Kore mit Sphendone, Schleier und zwei Aehren rechtshin.

R. Thyrsos mit Tanie in Kranz von Eichenlaub.

Gr. 2,40. M. 8.

Ein häufiger Typus kyzikenischer Münzen, der, wie es scheint, zum erstenmal zur Zeit Hadrian’s auftritt, ist ein zwischen zwei monumentalen Fackeln stehendes Gebäude, das bald für einen Altar, bald und wohl richtiger für einen Rundbau, innert dem ein Altar errichtet sein mochte, gehalten wird.

Die Erwerbung zweier noch unbekannter Münzen dieser Art mit dem Bildnisse des Lucius Verus veran- lasst mich, mitihrer Beschreibung die verschiedener ähn- licher Stücke in chronologischer Folge zu verbinden und an diese Darstellungen einige Bemerkungen zu knüpfen.

3. Br. 33. AVT KAIC TPAI L., AAPIANOC OAYMTIIOC r. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

R. KVXIKHNON im Abschnitt. Zwischen zwei aufge- pflanzten flammenden Fackeln, die von je einer Schlange umringelt sind, ein gemauerter Rundbau auf zwei Stufen, mit geschlossenem Thor und Fries; auf dem Kranz-

1 Imhoof-Blumer, Griech. Münzen 89, 166, Taf. VI 27; Kat. Brit. Mus. Mysia 17, 1-3 Taf. III 7.

(42) _ 202

gesimse drei Demeterstatuen in langem Chiton und Ueber- wurf, die mittlere von vorn, in jeder Hand eine Fackel erhebend, die anderen je eine Fackel mit beiden Händen, die linke linkshin, die andere rechtshin haltend. Mionnet II 539, 173, abgebildet Lajard, Recherches sur le culte de Venus Taf. XV 10 8. 133 und Wieseler, Denkmäler der alten - Kunst II (3) Taf. IX 102. Wien. Tafel III Nr. 8. Studniczka, Jahreshefte des asterr. arch. Inst. VI 125 Fig. 70 wo der Rundbau richtig als grösseres Bauwerk erkannt ist.

4. Br. 41. KOPH CATEIPA !., KVZIKHNON r. Brust- bild der Kore mit Aehrenkranz, Halskette und Gewand rechtshin. Stempel der Sammlung Este.

À. KVZI !., KHNON 7., NEOKOPON im Abschnitt. Dar- stellung ebenso.

Brera. Tafel III Nr. 9.

Paris. Mionnet II 541, 190.

Aus der Zeit des Pius u. M. Aurelius Caesar.

5. Br. 35. AV KAI A AVPH L., AOC OVHPOC r. Brustbild des Lucius Verus mit Panzer und Mantel rechtshin.

A. KVIIKHN | NEQK im Abschnitt. Darstellung ebenso. M. S.

6. Br. 35. Vs. ebenso. |

À. Ebenso mit KVII !., KHNNN 7., NENKOP im Abschnitt.

M. 8. Tafel III Nr. 10.

7. Br. 30. KV L., ZIKOC r. Kopf des jugendlichen Kyzikos mit Diadem rechtshin. À. KVZIKHNN 1., N NEO oben, KOPON r. Ebenso. Paris. Mionnet II 534, 137. Hier Tafel III Nr. 11. Donaldson, Architectura numismatica 156, 43, mit falscher Beschreibung der Vs.

203 | (43)

8. Br. 30. Ebenso, mit KVZIKHN | ON N | EOKOPNN, alle drei Figuren von vorn, die mittlere mit Schleier und zwei Fackeln, die anderen in der einen Hand eine Fackel hoch haltend und den der meee zugewandten Arm mit leerer Hand senkend.

Paris.

9. Br. 30. AV K A AVPH L., KOMOAOC r. Brustbild des jugendlichen Kaisers mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin. |

R. KVZIKH /., NON NE oben, OKOPON r. Ebenso, aber die Mittelfigur mit Schleier über dem Kopfe von vorn, die Seitenfiguren mit je einer Fackel in erhobener und je einer in gesenkter Hand, diese der Mittelfigur zuge- wandt.

Paris. Mionnet II 544, 207 Tafel III Nr. 12.

O. Rubensohn, Die Mysterienheiligtümer in Eleusis a. Samothrake, Berlin 1892. 8. 169 Abb.

10. Br. 33. KV !., ZIKOC r. Kopf des Kyzikos mit Diadem rechtshin.

À. KVZIKHNOQ !., NN oben, EOKOPON r. Kleiner flam- mender Allar zwischen den zwei Schlangenfackeln.

Brit. Mus. Kat. Mysia 42, 185 Taf. XI 8; hier Tafel III Nr. 13.

41. Br. 24. AV K M A L., ANTONEI ». Kopf des bär- tigen Marcus rechtshin.

À. KVZI L., KHNON r. Auf einer viereckigen Basis auf- gestellte Schlangenfackel, oben mit Mohn bekränzt.

Stift St. Florian. Rubensohn a. a. O. 179 Abb. Hier Tafel III Nr. 14.

42. Br. 23. AV K A AV L., KOMOAOC r. Prustbild des jugendlichen Kaisers mit Lorbeer, Panzer und Mangel rechtshin.

(44) 204

R. KVZIKHI., NON. Ebenso, mit Mohn oben und Aehren unten. Arolsen. Tafel III Nr. 15. Vgl. Kat. Brit. Mus. Mysia 50, 234 Taf. XIII 6, und, mit Mohn und Aehren oben a. a. O. 40, 169 Taf. X 10.

Fast unverändert, doch in zunehmend roherer Aus- führung, wiederholen sich diese Typen bis an’s Ende der griechischen Prägung in Kyzikos; nur zur Zeit der Kaiser Caracalla und Macrinus kommt vorübergehend, wie die folgenden Münzen zeigen, Variation in die Typen durch Erweiterung der Darstellungen.

13. Br. 35. AVT K M AVPHAI ANTNNINOC AVP. Brustbild des bärtigen Caracalla mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin.

À. AVP ANTONEINIANON KVZIKHNON, im Abschnitt AIC NEOKOP | ON. Der mit den drei Statuen geschmückte Rundbau zwischen zwei Schlangenfackeln ; links daneben Tempelfront gleicher Höhe mit neun Säulen und Giebel.

Paris. Mionnet II 546, 220.

München. Tafel III Nr. 16.

14. Br. 36. AV KAI M OTIEAA CEOVHP MAKPEINOC C. Brustbild des Kaisers mit Lorbeer und Schuppen- panzer rechtshin. |

À. [ETTI CTPA]OVAPI POIBOY I. und oben, KVZIKHNON NE | OKOPON im Abschnitt. Ebenso, ohne die Tempel- front; rechts vom Rundbau wegeilend eine Figur mit Schild am Arm und eine zweile nackte mit erhobener linker Hand (beide Figuren schlecht erhalten).

Löbbecke. Tafel III Nr. 17.

15. Br. 34. Vs. ebenso, mit OTIEA und CE.

À. ETTI CTPA OVAP OIBOY KVZIKH..., im Abschnitt NGOKOPON. Links die zwei grossen Schlangenfackeln ; vor diesen vier nackte Läufer rechtshin, wie es scheint

205 (45)

behelmt, mit Schild am rechten Arm und die Linke erhoben; über diesen, im Hintergrund, zwei Reiter im Galop rechtshin.

Brit. Mus. Kat. Mysia 54, 259 Taf. XIV 5; hier Tafel III Nr. 18.

Die vielfachen Erklärungsversuche des Bauwerkes und seines figürlichen Schmuckes, z. B. als Altar der drei Eileithyien!, der drei Horen, als Hekatesion mit Hekate Epipyrgidia*, als Schaualtar mit Statuen oder Altar, auf dessen Platform lebende Wesen ein mimisches Spiel aufführen’, als Heiligthum der Kybele in drei Gestalten u. a. bedürfen keiner eingehenden Widerlegung. Denn aus den hier gegebenen Beschreibungen und Abbildungen lässt sich sofort erkennen, dass das Bauwerk nicht einen Altar, sondern einen Rundbau darstellt, an dessen Thor- seite das Kranzgesimse mit drei Statuen geschmückt ist und zu dessen Seiten säulenartig zwei monumentale von Schlangen umwundene Fackeln aufgestellt sind. Dieses Fackelnpaar bildet auf kyzikenischen Münzen sehr oft den Haupttypus, und da in diesem Falle der Raum zur Anbringung des Rundbaues fehlt, so tritt an der letzteren Stelle regelmässig der offenbar in seinem Innern errichtete Altar. Wie das Bauwerk inwendig geschmückt war und ob etwa für Mysterienfeiern eingerichtet, wissen wir nicht; dass es aber von ansehnlicher Dimension war, scheint die daneben dargestellte vielseitige Tempelfront auf der Münze Nr. 13 zu beweisen.

Die Bestimmung des Rundbaues als Heiligthum der Demeter ergiebt sich sodann aus dessen äusserlichen Schmückung. Die drei Gewandstatuen, von denen die eine mitunter verschleiert vorkommt, stellen nämlich jede die ihre Tochter suchende Demeter dar, also eine

1 Panofka, Annali dell’ Inst. 1833, 283.

3 G. Rathgeber, Ann. dell’ Inst. 1840, 68, 5. Zu der Annahme eines Hekatesions berechtigt auch nicht ein in Kyzikos gefundenes Basrelief, das ein Hekatebild mit zwei Fackeln darstellt, Perrot und Guillaume, Gelatie I 81, II Taf. IV.

3 F. Wieseler a. a. O. S. 66.

4 O. Rubensohn a. a. O. S. 174.

(46) 206

Verdreifachung der Gottheit, wofür Usener in seiner schönen Untersuchung « Dreiheit »! so manches Zeugnis angeführt hat. Völlige Gewissheit für diese Deutung bringen schliesslich die Fackeln. Nicht nur bildet bekannt- lich die von einer Schlange umwundene Fackel eines der Attribute der Demeter?, sondern da wo eine dieser kyzikenischen Riesenfackeln als einziges Münzbild erscheint (s. Nrn. 11 u. 12), ist sie oft mit anderen unver- kennbaren Demetersymbolen geschmückt, nämlich mit Aehren und Mohn?. Diese Bekränzung deutet auf Fest- feiern hin, und solche findet man in der That in den Darstellungen der Münzen Nr. 14 u. 15 veranschaulicht. Der an und für sich unklaren Andeutung von Wettläufen auf Nr. 14 folgte das erweiterte Bild von Nr. 15, auf den wegen Raummangels das Heiligthum bloss durch die zwei Fackelnkolosse repräsentirt erscheint. Diese Fest- spiele zu Ehren der Göttin scheinen also in Wettläufen bewaffneter Jünglinge und Wettrennen zu Pferde bestanden zu haben.

16. Br. 35. AY KAI TI AI AAPI !., ANTONEINOC r. Kopf des Pius mit Lorbeer rechtshin.

R. KVIIKHNON unten, NEOKOPON oben. Galeere mit sechs Ruderern linkshin ; über der Prora Triton linkshin, in eine Muschel blasend; auf dem Hintertheil zwischen zwei Legionsadlern Hütte, in der der Kedeusrrg sitzt, mit beiden Händen den Ruderern den Rythmus angebend; dahinter zwei Stangen.

M. S. Tafel IV Nr. 1.

1 Rhein. Mus. LVIII (1903), 1 ff., 205 ff., 322 ff.

2 Demeter mit Schlangenfackel auf Münzen von Nikopolis, Tomis, Pautalia, Serdike s. Pick, Die ant. Mänsen Nordgriechenlands I Taf XIV, 11, 17, 19. Oft kriecht die Schlange vor der fackeltragenden Demeter, z. B. auf Münzen von Flavio- polis in Bithynien, Hierapolis, Etenna, Denaren des Memmius u. a. Flammende Fackeln ohne Schlange noch Schmuck kommen neben dem Altar der Hekate auf Münzen von Stratonikeia vor z. B. Kat. Brit. Mus. Karta Taf. XXIV, 2 und neben dem Aphroditetempel von Paphos, Kat. Brit. Mus. Kypros Taf. XV 4, XXVI 3 ff.

3 Die Zachel mit Schlange, Mohnkopf und Aehren ist auch der Typus einer Münze von Nihaia aus der Zeit des Caracalla, Journ. internat. de num. I 28, 35, wo der Durchmesser des Stückes von 33 in 23 mm. zu berichtigen ist.

207 (47)

Aehnlich, aber 26 mm. messend, Kat. Brit. Mus. Mysia 48, 220 Taf. XII 16, und mit Commodus, in einem besonders schönen Exemplare mit variierter Darstellung, Babelon, Revue num. 189, 27 Taf. IV 1.

47. Br. 34. AV KAI M AVPH I. AIOC OVHPOC r. | Brustbild des Marcus mit kurzem Bart und Mantel rechtshin.

8. ETTI KA ECTIAIOV NENKOPOV KVXI und è. A. KHNON. Reiterbild des Kaisers im Schritt rechtshin, die Rechte erhoben.

M.S.

Th. Prowe, aus dessen Sammlung dieses Stück stammt, bezog aus Versehen das Portrait auf L. Verus und las Namen und Titel der Rs. unrichtig KA - ECTPATOV NENKOPON!. Kl. Hestiaios, aus anderen Münzen als Strategos, Archon und Hipparch bekannt‘, erscheint hier mit dem weiteren Titel vewxégos. Als solcher wird er auch auf einer anderen Münze mit dem Bilde eines Tempels bezeichnet*; beide Typen, Tempel und Kaiser- statue beziehen sich auf den Kaisercultus und die Neokorie*.

Lampsakos

1. S. 18. Jugendlicher Doppelkopf mit Binde. Pkr. À. Archaischer Kopf der Athena linkshin; !. oben M. Vertieftes Quadrat.

Gr. 4,61. M. 8. Tafel IV Nr. 2.

Die Haare der Köpfe beider Seiten sind durch punk- tierte Linien dargestellt.

1 Abh. der Num. Gesellsch. Moskau HI 1903, 153. 8 Taf. III 7; Auctions Katalog Prowe 1904, Nr. 1233.

2 Imhoof- Blumer, Kleinas. Münzen 1 25 f.

3 Spink's Num. Circular I 78, 4 ungenau beschrieben.

4 Ueber die Neokoren 3. Beurlier, le Culte impérial 254 1.

(48) 208

2. S. 10. Ebenso, ohne Monogramm; am Helm- kessel Rad mit vier Speichen.

Gr: 0,90. M. 8. Tafel IV Nr. 3.

Gr. 0,72. Brit. Mus. Kat. 80, 21.

Eigenthümlich ist der Wechsel der Helmverzierungen der lampsakenischen Athena : Rad, Löwenkopf, Schlange, Oelblatt, Oelkranz, Hippokamp, u. a.!

3. Br. 18. AVT AN Ì., TONE! AV r. Kopf des Marcaurel’s mit kurzem Bart rechtshin.

R. DAVCTI A l., VF AAMY r. Brustbild der jüngeren Faustine rechtshin.

M. 8.

4. Br. 25. AVT-K-TT-AI- OVAAEPIANOC. Brustbild des Kaisers mit Lorbeer, Panzer und Mantel, r.

R. ETTI DIPMO | V r., AANYAKH | NN. Statue des Priapos l., Kantharos in der Rechten, Thyrsos mit Tänien in der Linken; vor ihr flammender Allar.

M. 8. Tafel IV Nr. 4. Miletopolis

1. Br. 15. Helm mit Busch rechtshin. À. MIAHTONO I. Stehender Stier rechtshin.

Gr. 2,37. M. 8.

2. Br. 22. O AHMOC l., A..OXON r. Männlicher Portrailkopf ohne Bart rechtshin ; davor in zwei runden Gegenstempeln Doppeleule von vorn und stehende Eule rechtshin.

À. [MIAHTOTIOJAITON. Brustbild der Athena mit Aigis rechtshin.

Im Handel. Vs. Tafel V Nr. 4.

Löbbecke, ohne Gegenstempel.

1 Imhoof-Blumer, Monnaies yrecques 248, 97-101; Kat. Brit. Mus. 80, 19; 82, 32.

209 (49)

Der Name Atvoyog, ’AËloyos oder “Avroyo¢ scheint einen Mann zu bezeichnen, der sich um die Stadt verdient gemacht hatte und dem der Demos Ehrungen erwies.

Parion

4. Br. 13. Stierkopf mit Hals rechtshin, Kopf von vorn.

À. TI a [P] Pflug, darüber Aehre.

Gr. 2,63. M. 8.

Mit Pflug und Aehre prägten auch die Aedilen der Colonie Parium Anicius und Matuinus, s. Imhoof- Blumer, Monnaies grecques 251, 124, nach Sestini,

dessen Beschreibung durch ein Exemplar bestätigt wird, das jüngst im Handel vorkam.

2. Br. 19. Brustbild des Apollon mit Lorbeer und Gewand rechtshin. Pkr.

À. = und im Felde !. unten EN Füllhorn mit Binden geschmückt. Gr. 3,05. M. 8.

Ein anderes Exemplar dieser Münze, aber unrichtig beschrieben und abgebildet, machte Harwood, Sel. num. greca 59 Taf. VII 20 bekannt.

Colonie Parium

1. Br. 23. [IMP | CAJE TRAIANO AVG GER DA. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin. Am Halse runder Gegenstempel mit dem Kopfe der Plotina (?) rechtshin.

A. OPTIMO PRINCIPI C GIP D D. Capricornus mit Füllhorn rechtshin; darunter Globus mit Stern verziert.

M. S.

Vgl. Mionnet II 580, 434; Inv. Waddington Nr. 932.

REYUE NUM. T. XIII. 14

(A) zer 210 ee Hierher gehört vermuthlich auch die folgende Münze:

2. Br. 21. IMP unlen, CAES N[ERVA TRAIJAN AVG GERM. Kopf ebenso.

FR. COS L., I r., im Felde unten D|D. Auf einer Schiffsprora der stehende Aaiser in kurzer Tunica links- hin, die Rechte vorstreckend, die Linke am Schwert.

MS.

Auf einem anderen Exemplare las Sestini Descr. 2%, 3 angeblich C.1.C.A. statt COS Ill, und theilte die Münze Apamea zu.

Pergamon

1. S. 18. Viertel Cistophor, mit te 1. & oben, Schlangenthyrsos r. Gr. 2,92. M. 8.

2. Br. 15. TIE[P] !., [FJAMH ». Brustbild der Athena rechtshin.

KR. TIEPFA !., MH | NN r. Stehender nackter Knabe von vorn, die Rechte erhoben, auf der vorgestreckten Linken Vogel (?).

Gr. 2,00. Mus. Winterthur. Tafel IV Nr. 5.

Berlin (M. S.).

Als Sestini, Mus. Fontana II 40 Taf. VI 10 ein Exemplar dieser Münze bekannt machte, um frühere

Beschreibungen derselben angeblich zu berichtigen, liess -

er in der Abbildung das Kind mit langen Haaren erscheinen und erklärte das Bild als das einer Aphro- dite. Der Typus ist indes identisch mit dem der Münzen des Strategen J. Pollio zu Traian’s Zeit!, und ebenso mit der Knabengestalt neben Asklepios auf einer Bronze mit Lucius Verus*. Vermuthlich stellt er einen Heilgott

1 Kut. Brit. Mus. Mysia 136, 227 Taf. XXVIII 2: M.S. Tafel IV Nr. 6. 3 A. a. O. 148, 292 Taf. XXIX 7: Wroth, Num. Chron. 1882, 38 Taf. 11 4 Vgl. ferner die Gruppe der Münzen von Serdike, Mionnet Suppl. II 490, 1691.

21 (51)

aus dem Kreise der Asklepioskinder (Telesphoros, Euamerion, Akesis, u. a.) dar, über deren Darstel- lungen, ausser der des Telesphoros, nichts Näheres bekannt ist. Auch aus statuarischen Werken, wie z. B. Clarac Taf. 878, 2236 und Rev. archéol. 1899 II 207 Taf. XIX, wo, wie auf den Münzen, das Kind mit der Rechten ausholt, gleichsam um den Vogel in der Linken zu decken und am Wegfliegen zu hindern, ist keine Belehrung zu ziehen.

Prokonnesos

1. S. 14. Kopf einer Nymphe mit Ohrgehäng und Halskette /., das Haar in einem mit Bändern und Perlen verzierten Sakkos.

À. FPO r., KON I. Einhenkeliger Arug mit der Oeff- nung linkshin. Vorstehender Rand.

Gr. 2,56. M. 8. Tafel IV Nr. 7. Gr. 2,50. München.

Von anderen ähnlichen Stücken ! unterscheidet sich das obige durch den zierlichen Kopfschmuck und die Stellung der Aufschrift.

Die Kupfermünzen mit Zeuskopf und Blitz und der angeblichen Lesung TIPOKON | APONNH ? scheinen keine Berücksichtigung zu verdienen. Das Exemplar der Pariser Sammlung findet sich nicht mehr vor und Sestini, Classes générales 1821, 75 ging über seine frühere Notiz still- schweigend hinweg.

Troas Abydos

4. S. 30. Brustbild der Artemis mit Stephane, Gewand, Köcher und Bogen rechtshin. Pkr. 1 Kat. Brit. Mus. Mysia 178, 3 Taf. XXXV 11; Ino. Waddington Nr. 1010; Kat.

Hirsch, Mai 1901, Taf. VI 323. ? Pellerin HI, Taf. CVI 10; Sestini, Lett. IV 109; Mionnet Il 630, 735/6.

(52) 219

À. ABY | AH | NON oben, MHNIAOC è. A. Adler rechts- hin, die Flügel schlagend; vor ihm Schlangenstab des Asklepios. Das Ganze von einem Lorbeerkranz umgeben.

Gr. 16,35. M. 8.

Der Schlangenstab erscheint auch auf Tetradrachmen mit den Namen ATIOAAOPANOY und APIANOOY.

Die Prägung dieser meist hässlichen Münzen war eine überaus reichliche; bis jetzt notierte ich über vierzig Varietäten.

2. B. 28. AV-K-M-AV: 1, ANTONEINOC r. Brust- bild des jugendlichen Caracalla mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin.

À. ETTI ATIPO !., N-A-TIP *., ABV i. A. Segelschiff rechtshin.

M. 8.

ATIPON steht vielleicht fehlerhaft für ’Axpévos A-TIP für Kpywv TPTOG.

Colonie Alexandria Troas

1. B. 23. IMP - C - VIBI - AFINI - OLVSSIANV. Brust- bild des Volusianus mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin.

H. COL - AV Ì., TROAD r. Victoria von vorn auf Globus stehend, in den erhobenen Händen einen Schild über den Kopf haltend.

M. 8. Tafel IV Nr. 8. Diesen Victoriatypus verwendete auch die Colonie

Parium auf Münzen mit Gallienus. Anlandros

1. Br. 15. AIA XAIPEMANOV[C]. Kopf des Apollon linkshin ; davor Lorbeerzweig.

213 (53)

À. AN[TA] /., ..... r. Stehende Ziege rechtshin. Gr. 2,80. M. S.

2. Br. 17. Ebenso, gleichen Stempels. RB. ANTANAP oben u. r., IN è. A., NJ. Stehende Ziege linkshin.

Sir Herm. Weber. Tafel IV Nr. 9.

Auf einer ähnlichen Münze scheint Apollon CXIZAIOC genannt zu sein'. Die Präposition dix war bis jetzt bloss aus phrygischen und karischen Münzen bekannt?.

Dardanos

1. Br. 23. AVT KAI CEBA L., TPAIANOC AAPIANOC 7.

. Brustbild des Kaisers mit Lorbeer und Panzer rechtshin.

BR. AAPAAN!., EGON oben. Schwebender nackter Gany- medes linkshin, rücklings vom Adler erfasst. Ganymedes mit zurùckgelegtem Kopfe, Mütze und Chlamys über dem Rücken, hält in der Rechten den Hirtenstab.

M. S. Tafel IV Nr. 10.

Naturalistischer als in anderen Darstellungen der Ent- führung des Ganymedes durch Zeus? erscheint in der

. hier vorgeführten Gruppe der erotische Charakter des

Verhältnisses der Beiden. Denn das tiefe Zurücklegen des Kopfes des Ganymedes drückt nicht das Emporblicken, sondern unverkennbar die völlige Hingabe des Jünglings an Zeus aus.

Ich füge hier die Beschreibung einer ganz gleichzeitigen ilischen Prägung bei, theils zur Vergleichung der Darstel- lungen der Entführungsscene, theils als neues Beispiel von Stempelgleichheit auf Münzen verschiedener Stadte‘.

1 Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 507, 2.

* Kat. Brit. Mus. Karia S. XLI f.; Ramsay, Phrygia I 166.

3 Vgl. von Fritze in Dorpfeld's Troja und Ilion II 484 f. Nr. 35, 36, 54, 76, 77; 521 f.

4 Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 1 48, 280, 296; Z. f. N. XXIII 201 Anm.; XXIV 288 f.

(54) 214

2. Br. 22. Gleichen Stempels.

$. IA | I im Felde. Nackter Ganymedes mit Mütze und Chlamys am Rücken, von vorn stehend, Kopf rechtshin, die Rechte an der Seite, die Linke seitwärts vorgestreckt ; von hinten wird er vom Adler erfasst.

Berlin (aus m. S.). Tafe? IV Nr. 11.

Auf dieser Münze erscheint Ganymedes in gleichsam theatralischer Stellung.

Gargara

1. Br. 15. Kopf des Apollon mit Lorbeer rechtshin. Pkr. Runder Gegenstempel mit Stierkopf von vorn.

À. FAP und Weintraube über einem schreitenden Pferde linkshin.

Gr. 4,10. M. 8.

2. Br. 18. Ebenso, ohne Gegenstempel. A. Ebenso.

Sir H. Weber.

Der Stierkopf ist als Münzbild der beiden Gargara benachbarten Städte Assos und Lamponeia bekannt; von einem dieser Orte mag der Gegenstempel unserer Münze herrühren.

Hamaxitos

1. Br. 11. Kopf des Apollon mit Lorbeer und langem Haar rechtshin.

R. AMA=[1] !., r. Stehender Apollon Smintheus in langem Gewand rechtshin, Köcher über die linke Schulter, in der vorgestreckten Rechten Schale, in der Linken Bogen und Pfeil. Concav.

Gr. 1,10. M. 8. Die bisher bekannten ähnlichen Kupfermünzen sind

| 215 (55)

elwas grösser (15 mm.) und mit einem anderen Mono- gramm bezeichnet '.

Pionta 1. Br. 29, AVTO TPAIA ?., AAPIANOC r. Kopf des Kaisers mit Lörbeer rechtshin. À. ETTI CTP NIKOMAXOV TTIONITON. Der Kaiser zu Pferd im Schritt rechtshin. | Im Handel. 2. Br, 25. MAVCTEI /., CEBACTH r. Brustbild der jüngeren Faustina rechtshin. I. CTPA POVPOV TIIONEITON. Auf altarformiger Basis eine emporgeringelte Schlange linkshin. M. DS. 3. Br. 28. IOVAIA AO /., MNA CEBAC r. Brustbild der Domna rechtshin, À. CTP AV BACCOY TIONITON. Wie Nr. 1; vor dem Reiter Baum um den sich eine Schlange windet, Kopf | linkshin abwärts. | Im Handel. | | Skepsis

1. Br, 15. CKH r., YINN unten, Capricornus links- hin, Kugel zwischen den Beinen. Pkr. | fü. CKH /., Yır, Baum mit fünf belaubten Aesten, Pkr. Gr. 1,60, M. 8.

| | Aehnlich, mit Adler unter dem Baum, Imhoof-Blumer, | Kleinas, Münzen I 46, 5 Taf. Il 6.

| Vel. Archaul Zeitung 1844, Tat, XXI 6, Millingen, Swi Taf. 11 40, Kat, Brit, Mus, alti, i Tal, Al 2,

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(56) 26 Aiolis Aigai

4. Br. 16. Brustbild der Amazone mit Thurmkrone und Gewand linkshin, in der Rechten die geschulterte Bipennis. Pkr.

A. AITA L., EQN r. Stehender nackter Zeus von vorn, Kopf linkshin, Adler auf der Rechten, die Linke am Scepter. Pkr.

Gr. 2,20. M. 8.

2. Br. 25. IEPA CYN L., KAHTOC r. Brustbild des jugendlichen Senates mit Gewand rechtshin.

R. ENI CTE ACKAH L., THAAOV AIFAE r., [AIN im Felde. Stehender Asklepios von vorn, Kopf linkshin, die Rechte am Schlangenstab, die Linke im Gewand.

Mus. Winterthur.

Elaia

1. Br. 18. EAAI L., TON r. Kopf der Kore mit Aehren rechtshin.

À. ET | I AM r., MIOY !. Korb mit Mohnstengel zwischen zwei Aehren.

Gr. 2,70. M. 8.

Auf einem unvollkommenen Exemplare dieser Münze, Kleinas. Münzen 46, 1, las ich den Beamtennamen AA | [EJOV statt AMMIOV.

2. Br. 17. NEPON r., KAIZAP J. Kopf des Caesars linkshin.

R. ETTI ZHNOAOTOY EAA. Korb mit Mohnkopf zwischen vier Aehren.

M. S.

AT (57)

3. Br. 32. AVTKPA MAPKOC A Î., NTONEINOC r. Brustbild des bärtigen Caracalla mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin.

À. EMI CTP È., [N?]VM oben, BEOANPO r., Bi. F., EAAEITNN è. A. Stehende Demeter in Doppelchiton und Mantel rechtshin, zwei Aehren in der Rechten, die Linke an der flammenden Fackel; gegenüber die linkshin stehende Kore im Doppelchiton, zwei Aehren (?) in- der Rechten, in der Linken Aehre und Mohnstengel.

M. 8. Kyme

1. Br. 15. -— KVMAI r. Kopf der Athena mit attischem Helm rechtshin. Pkr.

À. ETTI IEP !., QNVMOV r. Stehender Telesphoros von vorn. Pkr.

Gr. 2,30. M. 8.

Mit dem gleichen Kopfstempel wurden Stücke mit Schwan und Adler geprägt, Kat. Brit. Museum Troas etc. Nr. 114, 101 u. 102 Taf. XXII 8 u. 9. Sie stammen aus der Zeit des Hadrian’s oder des Pius.

Myrina

1. Br. 18. Kopf des Apollon mit Lorbeer rechtshin. Pkr.

À. MYPINAIGON oben. Dreifuss mit darüber liegendem Lorbeerzweig ; links am Boden Omphalos.

Gr. 5,25. M. 8.

Temnos

1. Br. 26. AOMITIA »., CEBACTH J. Brustbild der Domitia rechtshin. | À. ETTI ZOIAOV VIOV r.,TIOA 2. A. EAC THMNITON !.

(58) 218

im Felde rechts CTPATHFOV. Stehende Athena linkshin, auf der Rechten die ihr abgewandte Nike, die Linke an Schild und Speer. | M. S. Vgl. Kat. Brit. Mus. Troas etc. Nr. 147, 30 mit unvollständigen Aufschriften.

Lesbos

Inv. Waddington Nr. 1435 Taf III 18 ist einer Hekte mit « tête de femme de face » erwähnt, die einer genaueren Beschreibung bedarf.

1. El. 42. Weiblicher Kopf mit kurzen Rindsohren und kurzen Hörnern von vorn, etwas rechtshin geneigt.

R. Rindskopf mit Hals rechtshin in Linienquadrat und leicht vertieftem Viereck.

Gr. 2,50. Paris. Tafel IV Nr. 12.

Da auf den lesbischen Hektai sehr häufig Dionysos, Pan, Silen, Nymphen und Mainaden dargestellt sind, so könnte der Typus einer Panin nicht befremden. Dazu müssten aber Hörner und Ohren die einer Ziege sein, was auf dem Bilde der Parisermünze nicht der Fall ist. Dieses stellt daher vermuthlich Jo dar, worauf auch der Stier der Rückseite zu deuten scheint!.

Antissa

1. Br. 10. Stehender Stier rechtshin, den Kopf zurückwendend. À. A | N Keule. Runde Vertiefung.

Gr. 1,05. M. 8.

Num. Chronicle III 96 und VI 147, 3 sind kleine Bronzen beschrieben, die neben dem Vordertheil eines Stieres

1 Vgl. Engelmann, Die Jo-Saye, Jahrb, d. arch. Inst. XVIII 1903, 55 f. u. 32 f.

219 (59)

die Aufschrift ANTA zeigen sollen. Da keines dieser Stücke, von denen das eine als in der in’s Prit. Museum übergegangenen Bank-Collection befindlich angegeben war, sich wieder gefunden hat! und andere Exemplare mir nicht vorgekommen sind, so ist wohl anzunehmen, dass die Lesung eine irrige war, um so mehr, als das Stierbild auf den Prägungen von Antandros nicht vorzu- kommen pflegt.

Dagegen weisen Stier und Keule auf die lesbische Stadt Antissa?, und dieser möchte ich vorschlagen, nicht nur die oben beschriebene, sondern auch die folgenden Münzchen, die Wroth mit Recht Bedenken trug denen von Antandros beizulegen, zuzutheilen.

2. Br. 14. Kopf des jugendlichen (?) Herakles mit Löwenfell rechtshin.

R. A| N Keule.

Soutzo, Rev. num. 1869, 181 Taf. VII 35.

Kat. Brit. Mus. S. XXXVI (= Num. Chron. II 96). Inv. Waddington Nr. 635 (Antandros)?.

3. Br. 9. Ebenso. À. Ebenso, mit Dreizack neben Keule.

Inv. Waddington Nr. 634.

4. Br. 10. Ebenso. A. Ebenso, mit Epheublatt.

Kat. O. Borrell 1862 Nr. 108.

Den Wechsel der Beizeichen zeigen auch die grösseren Bronzen von Antissa mit dem Dionysoskopf.

! Wroth, Kat. Brit. Mus. Troas etc. S. XXXVI Anm. 3.

? Imhoof-Blumer, Monn. grecques 276, 244; Kat. Brit. Mus. 175, 8, 9 Taf. XXXV 14.

3 Vgl. M. Bahrfeldt, Die römisch-sicilischen Münzen, Genf 1904, 96.

(60) 220

Eresos

1. Br. 20. A. AIAIOC L., KAICAP r. Kopf des Lucius Aelius rechtshin.

RB. EPECI r., ON J. Kopf des Hermes mit Petasos rechtshin.

Mytilene

4. S. 15. Kopf des Apollon mit langem Haar und Lorbeer rechtshin. À. [MYT] vermuthlich zwischen den auf diesem Stücke

A nicht ausgeprägten Armen einer Lyra, links I rechts H M (IAHNA bustrophedon). Das Ganze in einem Linien- und

vertieften Quadrat. Gr. 3,62. M. 8.

2. S. 13. Ebenso. À. MYTI !. Kopf einer Nymphe mit schmaler Binde und Ohrring rechtshin ; dahinter Rose.

Gr. 1,35. M. 8. Mytilene und Pergamon

1. Br. 34. [AVTO] KAI : A : L., + AVPH- KOMO... r. Brustbild des jugendlichen Kaisers mit Lorbeer und Mantel rechtshin. Runder Gegenstempel.

À. ETTI CTP[A]POV J., EPMO oben, AAOV KOI - MV r., [TI - KAI TIEPFA] im Abschnitt. Stehende Stadtgéttin von Mytilene mit Kalathos linkshin, im linken Arm die Dionysosherme, die Rechte mit Schale dem vor ihr stehenden Cultbilde der Artemis oder Hekate hinstreckend. Dieses ist von vorn, mit Chiton, Diplois und Schleier über dem Kalathos dargestellt, die Hände je an einem

221 (61)

in regelmässige Knoten gedrechseltem Stabe, - jeder mit verschiedenem flammenähnlichem Aufsatz.

M. S. Tafel IV Nr. 13.

Ein anderes Exemplar dieser Münze beschrieb Wroth, Kat. Brit. Mus. Troas etc. 215, 235 Taf. XLIII 4, in der Wiedergabe einiger Buchstaben nicht ganz genau und das Cultbild irrig auf Artemis Pergaia beziehend. Mit dieser hat das Bild nichts gemein; es ist dagegen identisch mit dem der pergamenischen Münze, Imhoof- Blumer, Griech. Münzen 94, 184 Taf. VII 11, und ähnlich den Typen von Maionia, Imhoof-Blumer, Kleinasiat. Münzen 176, 1 Taf. VI 7, und von Philadelpheia, Imhoof- Blumer, Lydische Stadtmünzen 122, 30 Taf. V 13 und Klein- asiat. Münzen 181, 6 Taf. VI 11. Auf der letzten Münze steht das Cultbild zwischen zwei Löwen, die Zugthiere der Hekate einer anderen lydischen Stadt, Thyateira, Imhoof- Blumer, Monn. grecques 390, 37.

Aus dieser Zusammenstellung der lydischen Cultbilder und des pergamenischen scheint hervorzugehen, dass die Attribute des letzteren auch als Fackeln aufzufassen sind und das Bild Hekate darstellt. Vollkommen sicher ist aber diese Deutung nicht.

Sestini, Mus. Hedervar. II 153, 35 beschrieb eine Münze des gleichen Strategen mit Tyche und Kaiser und MYTI - KAI TIEPFTAM(rvöv) auf der Rückseite; aus dieser geht ebenfalls die Allianz von Mytilene mit Pergamon, nicht Perga, hervor.

Hekatonnesoi Poroselene

4. Br. 20. 8 | EA PWMH TIUPO !., CEAHNITOON 7. Brustbild der Roma mit Thurmkrone und Gewand rechtshin.

(62) 222

R. ETTI HBEWNOC oben. Delphin rechtshin; darüber Mondsichel, darunter Palmzweig.

Gr. 3,10. M. 8. Tafel IV Nr. 14.

Mionnet, Suppl. V 491, 1245 citiert nach Mus. Arigoni II Tafel 30 Nr. 198, eine Münze von Poroselene aus der Zeit der jüngeren Faustina, auf der sich unter dem Delphin ein Angelhacken befinden soll!; der Gegen- stand ist aber in Wirklichkeit ein Palmzweig. Die Mond- sichel ist wohl mit dem im Ortsnamen enthaltenen sein in Beziehung zu bringen.

Der Delphin mit Palmzweig darunter ist auch eines der Münzbilder der benachbarten Insel Nesos ?.

Ionia

Ephesos 4. S. 24. Tetradrachmen mit den bekannten Typen und OINNO? r. auf der Rückseite. Gr. 15,30. M. S.

2. S. 24. Ebenso mit NANAION auf der Rückseite. Gr. 14,85. M. 8. |

Hiernach ist PANAItws Head, Coin. of Ephesos 36 zu berichtigen.

3. S. 23. Ebenso mit FYPON auf der Rückseite. Sammlung Kopf. Kat. Hirsch XII Taf. VII 245.

3. S. 24. Ebenso mit APISTAINHTOS. Gr. 14,87. M. 8.

1 Vgl. Brit. Mus. Troas etc. S. LXXXII. 3 A. a. O. Taf. XLIII 8.

223 (63)

4. Br. 15. E | © Biene. I. PEPAIOS /. Liegender Hirsch mit zurückgewandtem Kopf linkshin; darüber Astragalos.

Gr, 2,02, M. 8.

o. Br. 10. Ebenso. À. Ebenso, mit [g]YPAKOSIO]$]. Gr. 1,12,M. 8.

6. S. 17. E) © Biene, Pkr, A. EKATOKAHZ ». Stehender Mirseh rechishin; im Hintergrund Palme.

Gr. 4,12. M. 8.

6%. Br. 17. Ebenso. À. EPÆEYZ ». Stehender /irsch rechtshin, darüber Köcher.

Gr. 4.25. M. 8. Vgl. Mionnet III 90, 224 mit EP. . CY.

7. Br. 12, E | d und Biene in Lorbeerkranz.

RW. XAPITON +. Stehender Hirsch rechtshin, Kopf zurückwendend; darüber Köcher mit Riemen,

Gr. 1,97. M. 8.

Gehört wahrscheinlich zu Head, Coin. of Ephesos, Addenda 8, 10, Period XIII,

S. Br. 15, Kopf der Artemis mit Stephane und Gewand am Halse rechtshin; über der Schulter Bogen und Köcher. A. E|$ im Felde, ATTOAAGONIAOY links und unten. : Vordertheil eines Hirsches rechtshin, Kopf zurückge- wendet; im Felde r. oben, Biene.

Gr. 4,40. M. 8.

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(64) WA

9. Br. 17. Ebenso, mit EFKAIPIOZ |. Gr. 3,20. M. 8.

40. Br. 24. Köpfe des Augustus mit Lorbeer und der Livia rechtshin.

À. EB |E , PI] AQN , KNKAZ auf drei Zeilen. Vorder- theil eines liegenden Hirsches rechtshin, Kopf zurück- gewendet; dahinter flammende Fackel.

M. S.

Vgl. Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 55 f. u. 58 die Serie des

‘Pihov Nr. 48-52, in die sich Köxaz als fünfter Name fügt.

11. Br. 20. Ebenso. À. u 2 Stehender Hirsch rechtshin; darüber

Köcher mit Riemen. M.S.

12. Br. 29. OYEZTIAZIANOZ KAIZAP [ZEBAZTOZ] Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

À. EE L., SION r. Cultbild der Artemis Ephesia mit Tänien von vorn in der Mitte einer Tempelfront mit vier Säulen und vier Stufen.

M. 8.

43. Br. 24. AV-KAI-TPA L., AAPIANOC CE r. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

À. APTEMIC È!., EMECIA r. Cultbild der Artemis mit Kalathos und Tänien von vorn.

M. 8.

14. Br. 31. AAPIANOC KAI r., CAP OAYMMIOC I. Kopf ebenso. A. Ebenso, das Cultbild zwischen Hirschen.

M. 8.

225 (65)

Eine ähnliche Münze, aber 35 mm., bei Mionnet III 96, 273.

15. Br. 24. AVT K A CE L., CEOVHPOC r. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

À. HPAKAEITOC L., | PECION r. Stehender Hera- kleitos mit nacktem Oberkérper linkshin, die Rechte vor dem Munde, im linken Arm Keule und Mantel.

M. 8.

Dieses Stiick und eines mit Saloninus (s. unten Nr. 18) ergänzen die Liste der Münzen mit dem Bilde des Ilera- kleitos, die H. Diels, Herakleilos von Ephesos, Berlin 1901, S. XI und XII, gegeben hat.

16. Br. 32. AVT K M ONE CEO Ì., MAKPEINOC r. Brustbild des Kaisers mit Lorbeer und Panzer rechtshin.

À. EDECIN | N L., TTANINNIOC r. Stehende Artemis in kurzem Doppelchiton, Mantel und Stiefeln von vorn, Kopf linkshin, in der vorgestreckten Rechten Zweig mit Beeren, in der gesenkten Linken Bogen. Links zu Füssen Schiffsprora.

M.S.

Eine genaue Wiederholung dieses Bildes der Artemis Tlaviwviog findet sich auf ephesischen Münzen mit Sev. Alexander’, eine ältere Darstellung auf Münzen von Smyrna À.

47. Br. 22. AVT - K: M : AVP AN L., TONEINOC CEB r. Brustbild des Elagabal mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin. |

È. EPECION !., - ANENKOP r., O|N è. F. Schrei- tende Nike rechtshin, mit der Rechten den Chiton über

1 Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 61, 73 Taf. II, 22; Regling, 7. f. N. Nr. XXIII 192. ı Kat. Brit. Mus. 254, 156 Taf. XXVII 2,

REVUE NUM. T. XIII, 15

(66) 2%

das rechte Knie aufschürzend, in der vorgestreckten Linken kurzer Stab oder Fackel.

M.S. Tafel IV Nr. 15. , Vgl. Mionnet Suppl. VI 172, 611 u. 612.

Die Aufstreifung des Kleides, ein Ausdruck der Eile, kommt in Nikedarstellungen auf Münzen selten vor. Ein weiteres Beispiel davon gibt die Kupfermünze von Syrakus, Monn. grecques 33, 37, von der ich hier Tafel IV Nr. 16 eine Abbildung nach dem Exemplare in Palermo gebe.

18. Br. 20. KOP : OVAAEPIANOC KAI. Brustbild des Saloninus mit Lorbeer und Mantel rechtshin.

A. EPECION H /., PAKAEITOC 7. Der stehende Hera- kleitos mit entblösstem Oberkörper linkshin, die Rechte zum Munde erhoben, in der Linken Keule.

M.S.

Erythrai

1. S. 20. Kopf des jugendlichen Herakles mit Löwen- fell rechtshin.

BR. EPY über, AIOPEIOHE unter einer Keule, darunter verzierter Bogenbehäller mit Riemen. Ucber EPY stehende Eule linkshin.

Gr. 14,75. M. 8. Tafel IV Nr. 11.

Eurydikeia !

1. Br. 18. Kopf der Eurydike mit Schleier rechtshin. R. EYPYAIKENN links. Dreifuss, mit gekreuzten Stäben zwischen den Henkelringen. Gr. 4,05. M. 8. Paris. Mionnet II 202, 4 (Elis); Suppl. III 78, 475 (Makedonia).

! Diese Notiz, ohne das Verzeichnis der Varietäten der eurvdikeischen Münzen, erschien zuerst in Jahreshefte des oesterr. archael. Institutes VIII (1905) 229 f.

227 (67)

Cambridge. Leake, Num. Hell. Eur. Gr. 53 (Kassandreia).

Berlin. A. v. Sallet, Beschreib. d. ant. Münsen Il 88, 1-3 (Ephesos).

Brit. Mus. Kat. Ionia 56, 75 u. 76 Taf, X 7 (Ephesos).

2. Br. 15. Ebenso.

Paris. Mionnet Suppl. III 78, 476. Cambridge. Leake a. a. O. Tafel V Nr. 5, Brit. Mus. a. a. O. 77.

3. Br. 14. Ebenso, mit Biene rechts neben dem Dreifuss. Berlin a. a. O. 4 Abb.

4. Br. 8. Ebenso, ohne Beizeichen. Gr. 0,65. Im Handel.

Die Frage nach der Stadt, die im Beginne des dritten Jahrhunderts v. Chr. den Namen Eurydikeia erhielt, ist als eine noclı ungelöste zu betrachten, Mit einem Scheine von Walırscheinlichkeit wurde dafür Kassandreia vorge- schlagen, dann in neuerer Zeit, auf Grund des bei Ephesos gefundenen Stückes Nr. 3 mit der Biene die letztere Stadt oder ein in ihrer Nähe gelegener Ort.

Wegen der ionischen Herkunft der Münzen von Eurv- dikeia fällt Kassandreia ausser Betracht. Aber auch Ephesos ist keine einleuchtende Zutheilung, weil erstens es nicht wahrscheinlich ist, dass diese Stadt kurz nach- einander die Namensänderungen Eurydikeia und Arsi- noeia!, oder umgekehrt, erfahren habe, ferner der Dreifuss kein ephesisches Münzbild ist, und schliesslich das Beizeichen Biene nur in dem Falle für die Zutheilung nach Ephesos massgebend wäre, wenn es regelmässig als Syınbol vorkäme, nicht aber wie hier bloss aus- nahmsweise auf einem der vielen Exemplare. Wir müssen

Apsıvösız in der Inschr. Athen, Mitrh. XXV (1900) 100 M.

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(68) 228

uns daher nach einer anderen ionischen Stadt umsehen und diese ist, wie ich glaube, in Smyrna zu finden.

Zu den ersten Münzen, die in dern wieder erbauten Smyrna geprägt wurden, Kupfermünzen die zeitlich den “Owrpeıx vorangingen und in die Zeit des Lysimachos hinaufreichen, gehören nämlich die mit dem Dreifusse !, wovon hier eines der ältesten Beispiele :

5. Br. 18. Kopf des Apollon mit Lorbeer rechtshin.

R. ZMYPNAINN links, APIAEIKH[Z] rechts. Dreifuss, ebenfalls mit den Kreuzstäben.

Berlin (m. S.). Tafel V Nr. 6.

Auf einigen der zahlreichen etwas jüngeren Varietäten kommt als Beizeichen zufällig auch die Biene vor?; diese ist wie auf der Münze von Eurvdikeia als Zeichen des Münzbeamten aufzufassen.

Die Verwandtschaft dieser smyrnäischen Münzen mit. denen von Eurvdikeia ist so augenscheinlich, dass daraus unbedenklich auf die Gleichung Smyrna Eurydikeia geschlossen werden darf. Diese liegt auch deshalb nahe, weil wir wissen, dass Lysimachos in Asien nicht nur Ephesos ausgezeichnet, sondern auch der von Antigonos neu gegründeten Stadt Smyrna durch Erweiterung und Verschönerung besondere Gunst erwiesen hatte. Und wie er Ephesos den Namen seiner Gemahlin Arsinoé gab, so scheint Lysimachos Smyrna nach seiner Tochter Eurydike umgenannt zu haben. Diese Namensänderung musste dann, wie manche andere der Diadochen- und Epigonenzeit?, bald wieder dem alten Stadtnamen

4 Mionnet III 200, 1016-1055; 204, 1092-1095; Suppl. VI 318, 1481-1485; 311, 1498- 1514; Kat. Brit. Mus. Ionia 238, 9-13, 16-19; Inv. Waddington Nr. 1942/3, 1946; Macdonald, Mus. Hunter II 363, 58-67.

2 Inv. Waddington Nr. 1942; Macdonald a. a. O. 63. Als Münztypen erscheint die Biene auf Prägungen des 1ten Jahrhunderts n. Chr. Kat. Brit. Mus. 219, 130; 252, 141 Taf. XXVI 6 u. 13.

37. B. Kebren Antiocheia, Alabanda Antiocheia, Tralleis Seleukcia, Lebedos Ptolemals.

229 (69)

weichen, vermuthlich gleich nach dem Tode des Königs. Bekannt ist Eurydikeia nur durch die hier erwähnte kleine Gruppe Kupferminzen!.

Herakleia 1. Br. 15. Kopf des Dionysos mit Epheu rechtshin.

T A

N À. [HPAKAE] oben, di !., > r. Weintraube. M

Gr. 3,52. M. S.

Die Zeichen d1 M kommen auf einer anderen herakle- stischen Münze vor? so dass es ausser Zweifel steht, dass im Stempel über der Weintraube HPAKAE gestanden hat.

Klazomenai

4. Br. 17. Kopf der Athena mit rundem Helm linkshin. À. [TJAPMIZ über liegendem Widder rechtshin.

Gr. 2,60. M. 8. Vgl. Mionnet III 67, 45.

2. Br. 13. Kopf der Athena mit korinthischem Helm und Halskette rechtshin.

À. AEloXoX über Vordertheil eines liegenden Widders linkshin.

Gr. 1,83. M. 8.

3. Br. 23. - AV: K- A CE - CE L., OVHPOC MEP ». Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

A. CTP NEIK r., O » A| AE : KAA !. Stehende Demeter in Cbiton und Mantel linkshin, zwei Aehren in der Rechten, die Linke an der flammenden Fackel.

M. 8.

' Vielleicht gehören hieher anch die Lysimachosmünzen mit Dreifuss. L. Müller Die Münzen des thrak. Königs Lysimachus Nr. 333-336. 2 Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen I 61, 2.

(70) 230 Kolophon

1. S. 7. Kopf des Apollon mit Lorbeer und kurzem Haar rechtshin. A. P in vertieftem Quadrat.

Gr. 0,28. M. S. Tafel IV Nr. 19. Gr. 0,28. Paris. Troizen zugetheilt.

Das Münzchen gehört zu der Gruppe der Hemiobolien und Tetartemorien die ich Num. Chron. 1895, 279 ff. 1-15 Taf. X 10-20 Kolophon zutheilen konnte. Das Werth- zeichen steht vermuthlich für TPlmureraprnuépuov. Das Gewicht des etwas beschädigten Stückes kann sehr wohl ungefähr Gr. 0,36 betragen haben, was der vorge- schlagenen Benennung der Münze entspricht.

2. S. 6. Ebenso. | À. E, im Felde links, Storch rechtshin. Vertieftes Quadrat.

Gr. 0,20. M. 8. Tafel IV Nr. 18. Andere Tetartemorien zeigen ein Getreidekorn oder

eine Cikade neben dem Monogramme, Num. Chron. a. a. O. Taf. X 18 u. 19.

3. S. 15. Kopf des Apollon mit Lorbeer rechtshin. R. KOAOON r., TAAYKOX I. Lyra. Gr. 3,05. M. 8.

4. Br. 10. Kopf des Apollon mit Lorbeer rechtshin. À. KOA |. oben, ATAMH... unten. Vordertheil eines springenden Pferdes rechtshin.

Gr. 0,90. Mus. Winterthur.

Lebedos

4. Br. 19. Kopf der Athena von vorn, linkshin geneigt, Lorbeerkranz am Helm, Perlenband am Hals.

91 (71)

i. AE über Schiffsprora linkshin.

Gr. 5,20. M. S. Tafel IV Nr. 20. Vgl. (12 mm.) Kat, Brit. Mus. Ionia 154, 6 Taf. XVII 9.

2. Br. 23. OYECMHCIANOC r., KAICAP /. Kopf des Kaisers mil Lorbeer rechtshin, I. - E AITAIANOY OEAN CYNKAHTON, im Felde rechts AEBEAINN. (Die beiden letzten Buchstaben gedrängt und in etwas kleinerer Schrift als die übrigen). Brustbild des Senates mit Lorbeer und Gewand am Halsabschnitt rechtshin. M. S. Tafel IV Nr. 21:

Nach diesem Exemplar ist ohne Zweifel die Beschrei- bung Kal. Brit. Mus. 156, 17 zu ergänzen und was den | Kopfschmuck betrifft, zu berichtigen. |

Magnesia

1. Br. 18, Behelmter Reiter mil eingelegtem Speer | in der Rechten rechtshin sprengend. | it. MATN oben, ZOZIITPA | TATE im Abschnill, Slos- sender Zebu linkshin, Mäandereinfassung.

Gr. 3,10. M, 5.

2. Br. 23, Brustbild der Artemis mit Stephane und Gewandstreifen am Hals rechtshin; am Rücken Köcher und Bogen. Das Ganze von einem Lorbeerkranz umgeben, |

it. MATN | HT[ON] »., rn oe I. Cultbild der Artemis Leukophryene mit Strahlenkrone, Kalathos und | darüber gezogenen langen Schleier von vorn; an den seitwirts gestreckten Händen hängen Tänien.

Gr. 9,00, M. 8,

Vgl. Kat. Brit. Mus. Ionia 163, 42 Taf. XIX 4, wo die Lesung unrichtig TIYPPAZ lautet.

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(72) 2

3. Br. 28. AVT MAVKT., OM ANTNNINOC J. Brust- bild des Commodus mit Strahlenkrone, Panzer und Mantel rechtshin. |

R. A®PO | NHAEIA L., M | ATNHTON 7. Stehende Aphrodite in langem Gewand linkshin, Granatapfel (?) in der vorgestreckten Rechten, die Linke am Scepter; hinter der Göttin schreitender Eros linkshin, die Arme vorgestreckt.

Im Handel.

Aehnlich, mit Aphrodite und Eros rechtshin und rück- läufiger Aufschrift, Imhoof-Blumer, Monnaies grecques 292, 91, berichtigt Griech. Münzen 119 f.; Löbbecke, Z. f. N. XII 318, 1 Taf. XIII 6".

4. Br. 23. - M- IOVA - L., ®IAIMTTOC r. Brustbild des Kaisers mit Lorbeer und Panzer rechtshin.

R. MI ATNZ., HTON r. Stehender Apollon mit Strahlen- krone und langem Gewand linkshin, Schale in der Rechten, im linken Arm Lyra.

M. 8.

D. Br. 36. AVIT K MJAVP.CEV !., HP AAEZANAPOC r. Brustbild des Kaisers mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin.

R. MATNHTON ET Î., | TIP AVPITVXIKOV r. Stehender Asklepios von vorn, Kopf linkshin, die Rechte am Schlangenstab; hinter dem Gotte eine andere rechtshin emporgeringelte Schlange.

M.S. Tafel V Nr. 7.

Das Bild des Asklepios mit einer zweiten Schlange zur Seite ist ungewöhnlich. Auf einem Bronzemedaillon des

Auf die Anfrage des Herrn Wace (British School in Rom), ob nicht NHAEIA statt MHAEIA zu lesen sci, war eine bejahende Antwort zu ertheilen. Somit fallen die nahezu barbarischen Münzen mit Commodus und dem Bilde der Aphrodite Neleia den thessalis-hen Magneten zu, von denen andere Münzen aus der Kaiser- zeit, mit Augustus, Nero und Domitia bekannt sind.

233 (73)

Marcaurel im Berliner Museum und aufrömischen Münzen des Sept. Severus und seiner Söhne! erscheint ein jugend- licher nackter Gott mit dem Schlangenstab und je eine Schlange links und rechts.

6. Br. 30. MAP NTA- l., CEVHPA r. Brustbild der Otacilia mit Diadem reclitshin. |

À. Ef P TVXIKOV : L., B N(@reou)MA | FNHTO r., N i. A. Stehender jugendlicher Dionysos von vorn, Kopf rechtshin, Hüfte und Schenkel mit Gewand bedeckt, den rechten Arın auf den Kopf legend, den linken auf Pan stützend, der, menschlich geformt, rechtshin aus- schreitet, den (gehörnten ?) Kopf zu dem Gotte zurück- wendet, diesen mit der Rechten unter dem Arme fasst, und in der Linken den Thyrsos hält. Links zu Füssen des Dionysos, sitzender Panther linkshin.

Mus. Winterthur.

Die auch in Marmorwerken melrfach vorkommende -

Gruppe des etwas weinseligen Dionysos mit auf dem Haupte ruhendem Arıne und des ihn leitenden Pan erscheint ferner auf Münzen von Tralleis mit Pius, Aizanis mit Commodus, Seleukeia in Pisidien mit Glaudius II, Bervtos mit Gordian und vielleicht anderen.

Metropolis

4. Br. 12. Kopf der Kybele mit Thurmkrone rechts- hin. À. MHTPO | MO r. u. unten, AITOON I. Thyrsosspitze.

Gr. 2,26. M. S.

1 Babelon, Revue num. 1901, 267 fig. 1. Als Ashlepios zwischen zwei aufge- richteten Schlangen, erklärt Babelon S. 273 ferner das Münzhild von Nikomedeia Mionnet Suppl. V 200, 1183 (nach einer unklaren Beschreibung Vaillant’s) und S. 268 fig. 2 eine andere ohne Schlangenstab von Berytos.

(74) 234

Aehnlich, mit dem Stadtnamen in Monogramm und AIOTE Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 82, 3. Mit diesem Magistratsnamen ist als bisher unbekannt folgendes Münzchen zu verzeichnen:

2. Br. 11. Behelmter Kopf eines jugendlichen Heros rechtshin. | À. Pr L., AIOE r. Stierkopf von vorn.

Gr. 1,20. M. 8.

3. Br. 25. AV KAl... r., NEPBA TPAIANOC J. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin. Gegenstempel mit AAKI.

R. [MH]T ?., POTTOAEITON EN IONIA r. Brustbild der Athena rechtshin.

Mus. Winterthur.

4. Br. 37. + AV-K-A-CEl., CEOVIHP]OC r. Brust- bild des Kaisers mit Lorbeer, Panzer und Mantel ~ rechtshin.

R. [MATP]OTTOAEI !., T | NN TON ENI r., QNIA i. A. Sitzender Zeus mit nacktem Oberkörper linkshin, Adler auf der Rechten, die Linke am Scepter.

Mus. Winterthur.

9. Br. 37. - AVT-K-TF-IOVA-Ì., - OVH - MAZIMEI NOC - r. Brustbild des Kaisers mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin.

R. ENT CTP - A L., VP TIAVAEINOV oben, - APTEMIAN | POV r., MHTPOTIOAEI | TON è. A. Der stehende gepan- zerte Kaiser von vorn, Kopf rechtshin, die Rechte am Speer, am linken Arm kleiner Schild. Links und rechts Je ein stehender bartloser Krieger in kurzem Doppelchiton von vorn, den Kopf dem Kaiser zugewendet, die eine Hand am Speer, am anderen Arm kleiner Schild.

M. 8.

25 (75)

Der Name des Strategen Paulinus ist, ohne Patronv- mikon, aus einer anderen Münze derselben Zeit bekannt, die Gruppe der Rückseite aus Leake 82 (Severus, 8. drei Krieger mit Speeren), Rev. num. 1884, 33, 40 Taf. II 18 (Severus, A. drei Krieger mit Speer und Schild) und Inv. Waddington Nr. 1765 (Marcaurel, &. Ares zwischen Dioskuren). Die Mittelfigur stellt ohne Zweifel den Kaiser dar, die Seitenfiguren sind nicht sicher zu benennen. Als Dioskuren dürfen sie nicht aufgefasst werden, da diese auf Münzen in der Regel nackt, mit der sie charak- terisierenden Kopfbedeckung und ohne Schild erschei- nen°®. Wahrscheinlich sind es Stadtheroen. Ein solcher erscheint, mit Bou zusammengestellt, oft auf Münzen von Metropolis?®.

Miletos

4. El. 13. Löwe linkshin, den Kopf zurückwendend und die rechte Vordertatze erhebend. 8. Vertieftes unregelmässiges Quadrat.

Gr. 4,68. M. S.

Diese Trite scheint zu der von Head, Kat. Brit. Mus. Ionia 183, 1 f. Taf. III 4-7 frageweise Milet zugewiesenen Gruppe ionischer Elektronprägungen zu gehören.

2. S. 21. Kopf des Apollon mit Lorbeer linkshin.

à. M L., TIMOOEOZ è. A. Stehender Löwe linkshin, den Kopf nach einem Stern mit acht Strahlen zurück- wendend.

Gr. 6,50. M. 8.

3. Br. 17. CE l., BACTOC r. Brustbild des Hadrian mit Lorbeer und Panzer rechtshin.

! Mionnet IV 337, 822.

3 Einzig das kämpfende Dioskurenpaar der phokäischen Münzen erscheint mit Schilden bewaffnet.

3 Imhoof-Blumer, Kleinas. Münsen 84 Taf. III 9.

(76) 236

R. EM unten, OA 1, ZO r. Stehender Löwe rechtshin, den Kopf nach einem Stern umwendend.

Mus. Winterthur.

Vgl. Imhoof-Blumer, Griech. Münzen mit ® - ZO MIAH-®A steht ohne Zweifel für Adonos, wie auf anderen milesischen Münzen Inv. Waddington Nr. 1859, 1862, 1864.

4. Br. 15. ANTON r., IAM I. Kopf des Pius rechtshin. À. H L., AIM oben. Stehender Löwe linkshin, den Kopf zurückwendend.

Mus. Winterthur.

0. Br. 26. .... TOI. NEINOC TIEIOC r. Brusthild des jugendlichen Caracalla mit Lorbeer linkshin, Aigis an der linken Schulter.

À. ETTI MAPONO L., C MEIAHCI r., ON è. A. Nackter Apollon linkshin auf einem Felsen sitzend, die rechte Hand über den zurückgewandten Kopf gelegt, die Linke mit Bogen auf einen Altar oder Cippus gestützt.

M. 8.

Phokaia

1. Br. 13. Kopf einer Nymphe mit Ohrring und Sphendone linkshin. à. N | H. Greifenkopf mit Hals linkshin.

Gr. 1,85. M. 8. 2. Br. 11. Ebenso. HR. Ebenso, mit P | Y. Gr. 1,03. Berlin (m. $.). Vgl. Kut. Brit. Mus. Ionia 216, 91 f.

3. Br. 15. Kopf der Athena mit rundem Helm linkshin.

u

237 (77)

À. AHMH unter Greifenkopf linkshin. Gr. 2,26. M. 8.

4. Br. 24. Kopf des Hermes mit Petasos linkshin..

À . $ oben, ANAZIKP unlen. Vordertheil eines geflügelten Greifen linkshin zwischen zwei Dioskurenmützen mit Sternen.

Gr. 5,50. M. S. Smyrna S. oben, Seite 66, Eurydikeia.

Teos

1. S. 18. Sitzender Greif rechtshin, die Flügel an der Brust mit Punkten, darüber mit zwei Reihen Federn bezeichnet.

R. Unförmlicher vertiefter Einschlag.

Gr. 5,67, M. 8.

2. S. 43. Ebenso. R. Ebenso.

Gr. 2,65. M. 8.

Von den bisher bekannten Halb- und Viertelstateren von Teos! unterscheiden sich die hier beschriebenen durch etwas höhcres Altar und dadurch, dass der Greif ruhig sitzt, ohne eine der Vordertatzen zu heben.

3. S. 10. Sitzender Greif mit spitzen Flügeln rechts- hin, die linke Vordertatze erhoben. |

a, API | :T[O] " AIK | Ofs| tieften Quadrates.

Gr. 1,00. M. S.

in den vier Feldern eines leicht ver-

Z. B. Imhoof-Blumer, Griech. Münsen 127, 355 u. 356.

(78) 238

4. Br. 19. Kopf des Apollon mit Lorbeer und Köcher rechtshin. A. THI | ON unlen. Lyra mit drei Saiten.

Gr. 4,45. Mus. Winterthur.

5. Br. 12. Sitzender Greif rechtshin, die linke Vordertatze erhebend. À. TH | I oben, MPOMH !., OEYZ r. Weintraube.

Gr. 1,21.M. 8.

6. Br. 13. Sitzender Gref mit erhobener linker Vordertatze rechtshin.

À. à A oben, BSEOANPOC im Bogen unten. Wein-

Iraube. Gr. 1,05. M. 8.

7. Br. 16. Brustbild des Dionysos mit Epheu von vorn, die Brust von der Chlamys bedeckt, über der linken Schulter Thyrsos mit Tanien.

È. THI oben, ON i. A. Pantherweibchen rechtshin, die linke Vordertatze ùber einen Kantharos schlagend.

Gr. 2,15. M. S. Tafel IV Nr. 22.

Die Rückseite ist gleichen Stempels wie Kleinas. Münzen 100 22 Taf. III 27.

8. Br. 32. AVTOK È., ANTONEINOC ». Brustbild des Pius mit Diadem, Panzer und Aigis rechtshin.

RB. CTP ACKAH /., THAAOV r., THION è. A. Stehender Dionysos mit nacktem Oberkörper linkshin, in der Rechten Schale über Panther linkshin, die Linke am Thyrsos und dahinter Stele.

N. 8.

Das Diadem als Kopfschmuck des Kaisers ist unge- wöhnlich. Da es Schleifen zeigt, ist es nicht zu ver-

fi

239 (79)

wechseln mit der Demiurgenbinde, welche die Kaiser- büsten kilikischer Münzen schmückt!.

9. Br. 29. AVPH OVHPOC r., KAICAP /. Kopf des Caesars M. Aurel rechtshin.

It. CTP AC /., KAH r., THAAOV r., [TJHINN 7. A. Die stehenden nackten Dioskuren mit Mützen von vorn, die Köpfe sich zugewandt, die Arme auswärts am Speer, die einwärts, mit der Ghlamys umwunden, gesenkt. Zwischen den Köpfen, wie es scheint, ein Stern, in der Mitte des Feldes Punkt.

M. 8.

10. Br. 22. @AVCT|EINA] »., CEBACTH /. Brustbild der Jungeren Faustina linkshin.

ee , KOVNAOV /., im Felde links in kleinerer Schrift HAL Jugendlicher Heros im kurzen umgür- teten Chiton rechtshin, den Kopf zurückwendend, den linken Fuss auf eine Schiffsprora selzend, die Rechte gesenkt, in der Linken den Speer schräg haltend.

MS.

Vermuthlich stellt der Heros den Gründer der Stadt, Alhamas, dar, nach dem Teos die Athamantische venannt wurde,

Chios

S. 22, Sitzende Sphinx linkshin, davor Amphora (und Weintraube darüber).

iù. EOPYNOMOg auf einem der sich kreuzenden Streifen, die das vertiefte Quadral in vier gestreifte Vierecke theilen,

Gr, 15,05. Im Handel.

‘Hill, Kat. Beit. Mus, Lykaonia ote. 5. XOVII, Anazarbos $4, Ne 19, 20 (Elngnbal), Tarsos 191 Nr, 168, 170 Tafel XXXY 1 (Commodus), 199 1. Ne, 177, 182, 183, 185, 187, 188, 191 Tat. XXXV S, 194, 197 {Comwalln} 202, Nr, 201 L (Sev,

Aletunder), ? Stenbon (44.

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(80) 240 . Neues Beispiel eines Namens in ionischer Dialektform.

2. S. 18. Sitzende Sphinx mit Kalathos linkshin ; davor Weintraube. Pkr.

R. XIOX !., KOPNNOZ 7. neben Amphora. Pkr.

Gr. 3,50. M. 8.

Prokesch-Osten, Inedita 1854 verzeichnet den Namen KONNNOZ, wahrscheinlich eine Verlesung.

Karia Alabanda

1. Br. 19. Kopf des Apollon mit langem Haar rechtshin. À. AAABAN r., AEON /. Lyra, darunter Fr.

Gr. 5,88. M. 8.

Ein anderes ähnliches Stück Inv. Waddington Nr. 2096 zeigt B statt fF. Es scheinen dies Zahlzeichen zu sein.

Alinda

1. Br. 20. Kopf des jugendlichen Herakles mit Löwenfell rechtshin. À. AAINAE J. Keule; rechts Thyrsosstab mit Tänien. Das Ganze von einem Eichenkranz umgeben. Gr. 3,97. M. 8. Vgl. Mionnet, Suppl. IV 444, 48.

2. Br. 15. Kopf des jugendlichen Dionysos mit Epheu rechtshin. Pkr. À. AAIN r., AEON |. Sistrum. Pkr.

Gr. 2,25. M. 8.

Ein ähnliches Stück verzeichnete Waddington, Rev. num. 1851, 234 (= Inv. Nr. 2130), den undeutlichen Kopf wohl irrthümlich auf Traian deutend.

24 (81) Antiocheia (Alabanda)

1. S. 17. Kopf des Apollon mit Lorbeer linkshin. À. ANTIOXE über fliegendem Pegasos linkshin ; darunter Pf.

Gr. 4,03. M. 8.

Antiocheia am Mäander

1. Br. 19. Kopf des Apollon mit Lorbeer linkshin. A. ANTIO oben, XENN i. A. Stossender Zebustier rechts- hin; zwischen dessen Hinterbeinen kleiner Dreifuss.

Gr. 3,47. M. S.

2. Br. 14. Ebenso. À. ANTIO oben, XENN unten. Vordertheil eines Zebu rechtshin.

Gr. 1,65. M. 8.

3. Br. 9. Kopf eines Stieres von vorn. À. ANTIO r., XEQN I. Aehre.

Gr. 0,82. M. 8.

4. Br. 18. ANTIOXEQN r., ZEBAZTOZ {. Kopf des Augustus mit Lorbeer rechtshin.

À. IA | ZONOZ | ZVNAP | XIA auf vier Zeilen in einem Lorbeerkranz.

M. 8.

Auf Münzen wird des Beamtenkollegiums swvapyia einzig in Antiocheia, und zwar nur in der Zeit des Augustus bis Glaudius, erwähnt!.

* Mionnet III 316, 76, 78, Suppl. VI 450, 83; Kat. Brit. Mus, Karia 18, 27, 28; Inv. Waddington Nr. 2165; Imhoof-Blumer, A/cinas. Münzen 1 110, 14.

REVUR NUM, T. XII. i 16

(82) 242 Aphrodisias

1. Br. 23. AH /., MOC r. Brustbild des jugendlichen Demos mit Lorbeer und Gewand rechtshin.

BR. [ADPOAE] !., ICIENN r. Sitzende Tyche mit Thurm- krone, Chiton und Mantel linkshin, Kopf von vorn, die Rechte vorgestreckt, die Linke auf den felsigen Sitz gestützt. Zu ihren Füssen ein schwimmender Flussgott (Morsynos oder Timeles) linkshin.

München.

Das Bild der Rückseite ist eine der im westlichen Kleinasien nicht seltenen Nachbildungen der Tvche des Eutychides.

2. Br. 26. IEPA EVN r., KAHTOL. Jugendliches Brustbild des Senates mit Gewand rechtshin.

R. a de A quer im Felde; TKX | HAO !., C ANE| OHK r. Stehende Aphrodite in Doppelchiton und Mantel rechtshin, die Rechte am Scepter, auf der Linken ein ihr zugewendetes Kind (Eros), die Aermchen der Göttin zustreckend.

Gr. 8,32. M. S.

Aehnlich, mit der Göttin linkshin, Imhoof-Blumer, Griech. Münzen 140, 416 Taf. IX 24.

3. Br. 31. IOVAIA AO È., MNA CEBACT r., H unter. Brustbild der Domna rechtshin.

R. TI K SHNON APXI APXINE B ANEOHK, in der Mitte des Feldes A@PO | A€ICI | EQN. Zwei sich gegenüber stehende geflügelte Erolen, jeder mit beiden Händen eine flammende Fackel schräg vor sich haltend ; im Abschnitt flammender Altar zwischen zwei Kränzen.

M. 8. Tafel IV Nr. 23.

243 (83)

Das Bild der Rückseite stellt wohl Eros und Anteros nach ihrem Fackelwettlauf und die ihnen geweihten Kränze und Altar dar.

Auf ungefähr gleichzeitigen kleinen Kupfermünzen der Stadt kommen fackeltragende Eroten einzeln vor, und da könnte man ebenfalls Eros und Anteros unterscheiden, etwa nach ihrer Richtung rechts- und linkshin. Ein Beispiel durch Abbildungen wird den Vorschlag am besten erläutern :

4. Br. 20. I€PA l., BOVAH r. Brustbild der Bou mit Schleier rechtshin.

À. APPOA 1., ICIEQN r. Stehender nackter geflügelter Eros rechtshin, mit beiden Händen eine flammende Fackel schräg vor sich haltend.

Gr. 3,55. M. 8. Tafel IV Nr. 24. Kat. Brit. Mus. Karia 32, 40 Taf. VI 1.

9. Br. 20. Ebenso.

R. APPOAE L., ICIENN r. Stehender Anteros mit erho- benen kurzen Flügeln und flatterndem Gewand um die Arme linkshin, mit beiden Händen eine flammende Fackel vor sich hin haltend.

Berlin (m. 8.). Tafel IV Nr. 25. Vgl. Kat. Brit. Mus. 31, 37.

Wegen ungewöhnlicher Grösse und Gewicht sei hier angereiht :

6. Br. 25. EIEPA !., BOVAH r. Ebenso. À. ADPOA /., EICIENN r. Eros wie auf Nr. 4, aber mit erhobenen kurzen Flügeln.

Gr. 7,92. M. 8.

7. Br. 20. IEPA l., BOVAH r. Brustbild der BovX} mit Schleier rechtshin.

(84) 244

R. APPOAEICI !., ENN 7. Stehende nackte Aphrodite mit Stephane rechtshin, der Oberkörper nach vorn geneigt, mit der gesenkten Rechten die Sandale aın linken Fusse befestigend, wozu ihr ein kleiner linkshin stehender Eros behilflich ist; die Linke mit Spiegel stützt die Götlin auf eine Stele.

Gr. 4,50. M. S. Tafel IV Nr. 26. 8. Br. 23. Ebenso.

R. Ebenso, mit APPOAE | ICIENN. Gr. 5,45. M. 8. Haym, Thes. Brit. II 111, 2 Taf. XI 7; Pellerin, Rec. II Tafel LXVI 22; Paris. Mionnet III 322, 109; Berlin. Friedländer, Arch. Zeit. 1869, 97, Taf. XXIII 5; London. Kat. Brit. Mus. Karia 31, 36 Taf. V 14; Inv. Waddington Nr. 2187.

Die bisherigen Beschreibungen des Aphroditetypus sind entweder ungenau oder unvollständig. Das Attribut der linken Hand stellt ohne Zweifel einen Spiegel, nicht Kranz dar. Aehnliche statuarische Darstellungen sind nicht selten s. S. Reinach, Réperloire de la stat. gr. et rom. 1327, 5; 331, 1; 11 347 fl.

Apollonia Salbake

1. Br. 17. ATIOAAQNI r., ATON/so) I. Brustbild des Helios mit Strahlenkrone und Gewand rechtshin. Pkr.

À. TTATTIAC KAA 7., AINNOY |. Stehender Asklepios von vorn, Kopf linkshin, die Rechte am Schlangenstab. Pkr.

Kal. Mauromichalis 1903 Nr. 449 Taf. XIV 16, mit den irrthümlichen Lesungen AT@N auf der Vorderseite und KAA | VAIANOV auf der Rückseite und falsch der pisi- dischen Stadt Apollonia zugetheilt. Vgl. Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 120, 6.

25 (85)

2. Br. 25. AV KAI M AVP L., KOMMOAOC r. Brust- bild des jugendlichen Commodus mit Lorbeer und Mantel rechtshin.

BR. ATTOAAN L., NIATON r. Stehender Genius in Chlamys, die bis unter die Kniee reicht, linkshin, die Rechte am Steuerruder, im linken Arm Füllhorn.

Mus. Winterthur.

Diesen Geniustypus machte ich bereits auf einer Münze mit Gordian, Z. f. N. XIII 132, 11 Taf. IV 5 bekannt.

3. Br. 23. ANTONINOC l., AVTOVCTOC r. Kopf des jugendlichen Caracalla mit Lorbeer rechtshin.

À. ATIOAANNI !., ATON r. Stehender Genius mit nacktem Oberkörper linkshin, die Rechte am Steuer- ruder, im linken Arm Füllhorn.

M. S.

Wahrscheinlich identisch mit Mionnet Suppl. VI 473, 187 und Kat. Brit. Mus. Karia 58, 54 mit angeblicher Tyche.

Von der grossen Bronzemünze mit den Bildern der Mamaea und des sitzenden Zeus, der ein Kind auf dem Arme hält!, gelangte kürzlich ein zweites Exemplar in meine Sammlung. Die Vorderseiten der beiden Stücke sind gleichen, die Rückseiten verschiedenen Stempels, aber mit derselben deutlichen Aufschrift ToVIH im Abschnitte. Sestini’s Behauptung, die des Florentiner- exemplares sei gefälscht, geschah also nicht aus Ueber- zeugung, sondern bloss deswegen, weil er sich ToVIH, das er überdies willkürlich in TOV In änderte, nicht zu deuten vermochte. Auch heute gibt es dafür noch keine sichere Erklärung. Sollte das zweite, tief gesetzte Zeichen o, dessen Form mit denen des Omikron in der Umschrift der Münze nicht übereinstimmt, einen Punkt

1 Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 1 122, 11 Taf. IV 25.

(86) 246

darstellen, so wäre T.VIH zu lesen. Hieraus etwa auf Tiyn dx zu schliessen, weil in dem Münzbilde vielleicht, wie ich a. a. O. 122 andeutete, Zeus mit seiner Tochter Tyche zu erkennen sei, geht indes nicht an, weil der Name der Göttin nicht durch die blosse Initiale ausge- drückt stehen kann, ü aber, obwohl weibliche Bildung von dés, kein griechisches Wort ist. Man wird also doch od ‘I, als Lesung annehmen müssen, womit ohne Zweifel das Patronymikon des Strategen Agatheinos, "Tnxarys, ’lfrns O. a., gemeint ist.

4. Br. 38. AV KAI TIO Al L., FAAAIHNO r. Brustbild des Kaisers mit Strahlenkrone, Panzer und Mantel rechtshin ; hinten B.

À. CTPA MENANAPOV TIHA, im Abschnitt ATOAAW | NIATW | N. In einer Biga, deren Pferde auseinander springen, der stehende Kaiser mit Strahlenkrone von vorn, Kopf linkshin, die Rechte erhoben, auf der Linken die ihn bekränzende, auf dem Globus stehende Nike.

M.S.

5. Br. 38. Gleichen Stempels. À. CTPA MENANAPOV TIHAA, über der Abschnitts-

linie V | NO (?), darunter en Der Kaiser ebenso,

aber in Quadriga. Löbbecke.

Eine andere Varietät von unglaublich verwildertem Typus ist Revue num. 1892, 87, 60 Taf. HI 9 publiciert.

Attuda

1. Br. 11. Kopf des Apollon mit langem Haar und Lorbeer rechtshin. À. ATTOYA !., AEON r. Köcher, links daneben Bogen.

Gr. 0,92. M. $.

247 (87)

2. Br. 26. B8EON CVN r., KAHTON I. Jugendliches Brustbild des Senates mit Gewand rechtshin.

À. ETTI CTEM OVATTI r., [A]C KAAVAIANHC L., im Felde r. ATTOV, L. AEON. Stehende Aphrodite (?) mit Stephane, Chiton und Mantel linkshin, die Rechte mit A pfel vorge- streckt, die gesenkte Linke am Gewand.

M. 8. |

3. Br. 25. IEPA !., CVNKAHTOC 7. Kopf ebenso, mit Binde und Gewand rechtshin.

À. OV - K - KAAVA J., IANH ANEOH r., im Felde I. ATTOV, r. AENN. Derselbe Typus.

N. 8.

Vgl. Inv. Waddington Nr. 2261, wo Apollon dargestellt sein soll.

‚Aus Mionnet Suppl. VII 522, 206 geht hervor, dass die Münzen Nr. 2 u. 3 zur Zeit Geta’s geprägt wurden. Den Initialen OVArix) stellte Mionnet, den Namen Julia voraussetzend, willkürlich | voran.

Mit dem Amte eines stepavapdcos, das. Ulpia Carminia Claudiana übernommen hatte, pflegten beträchtliche Ausgaben verbunden zu sein ; zu diesen zählten auch ihre Widmungsmünzen.

In gewissen Familien waren Öflentliche Würden, vor- nehmlich priesterliche, erblich und gingen auch auf Frauen über'. So war Claudiana Enkelin oder Urenkelin des zur Zeit der Kaiser Pius, Marcus und Lucius in Inschriften und Münzen erwähnten M. Ulpius Carminius Claudianus, der verschiedene weltliche und sacrale Functionen, darunter die eines lebenslänglichen Stepha- nephoros ausübte und ansehnliche Prägungen auf seine Kosten tibernahin?.

Frauen als Priesterinen finden sich auf Münzen oft genannt, in Byzantion, Pergamon, Smyrna, Attuda,

1 W. Liebenam, Städteverwaltung im rom. Reiche 283 1., 349.

3 Clerc, Bull. de corr. hell. XI 348 f.; Prosopogr. imp. rom. 1 304 f. Nr. 360/5 ; Reo. num. 1884, 29, 27; Inv. Waildinyton Nr. 2268, 7048, 7049 Taf. XX 2.

(88) 248

Akmonia, Eukarpeia, Eumeneia, Prymnessos, Siblia, etc., als zpöüraw; in Pergamon’.

Euromos

1. Br. 20. CEBAC r. [TOC] !. Kopf des Hadrian mit Lorbeer rechtshin.

À. EYP r., N i. A., MENN !. Stehender Hirsch rechts- hin.

Mus. Winterthur.

Journal intern. de num. VII (1904) 381, 220 Taf. XVI 14 wird Euromos eine Münze mit | Y Keule, Rs. Kranz, zugetheilt, die von Erythrai ist. Durch Beschädigung ist auf diesem Stücke der Buchstabe P ausgefallen.

Halikarnassos

4. Br. 13. AAI oben. Stehender Löwe linkshin. À. Stern mit acht Strahlen.

Gr. 2.25. M. 8. Tafel IV Nr. 27.

Dieses Stück scheint aus der Zeit der letzten karischen Satrapen zu stammen. Während diese in Halikarnassos Gold und Silber prägten, besass die Stadt wahrscheinlich nur das Münzrecht für Kupfer. Der Stern war einer der Münztypen des Idrieus ?. :

Vielleicht gehört hieher, in Anbetracht ihres Stiles und der attischen Währung, aber in die Zeit Alexander’s oder eine spätere, folgende anepigraphe Hemidrachme.

2. S. 1%. Kopf des Helios mit Strahlendiadem rechtshin. A. Stehender Lowe rechtshin; darüber Stern mit sechs Strahlen. Gr. 1,97. Sir Herm. Weber. Tafel IV Nr. 28. » 1,90. M. S.

1 Imhoof-Blumer, Monn. grecques 257, 142. ? Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 164.

49 (89)

Der Löwe ist nicht der milesische, der stets mit zurückgewendetem Kopfe dargestellt wurde. |

3. S. 14. Kopf des Apollon mit Lorbeer rechtshin. À. AAIKAP r., NAZZENN I. Lyra; darüber, zwischen den Armen, Al oder Al.

Gr. 2,16. M. 8.

4. Br. 20. Kopf des Poseidon mit Binde rechtshin.

À. [AJAIKAP L., ANTITTA r. Stehende Göttin mit Schleier von vorn, in der Rechten Schale (?), im linken Arm undeutliches Attribut. Pkr.

Gr. 7,95. M. S.

Aehnliche Münzen sind mit dem Namen ATIOAAO, APICTO, AIOAQ, EEHKE (Tafel IV Nr. 29), IEPO, MENEK, MOCXI, NEON! bezeichnet. Sestini, Lett. num cont. IV 79, und VIII 62 Taf. II 4, beschreibt das Bild der Rück- seite einmal als Demeter mit Aehren und Fackel, das andere Mal als Göttin mit Schale und Kind auf dem linken Arm, und als Beischrift des Kopfes gibt er vor, TIOCIAION zu lesen. Mionnet Suppl. VI 495, 297 hielt das stehende Bild für Men mit Schale und Granatapfel, und das zweite in MENE für eine Mondsichel.

Der barbarische Stil der Münzen lässt die Attribute der Göttin nicht sicher erkennen. Die Schale in der Rechten ist wahrscheinlich. Statt des Füllhornes in der Linken glaubt man indes, auf dem vorliegenden und anderen Exemplaren, den aufwärts gebogenen Unterarm mit einem kugelförmigen Gegenstand in der Hand zu sehen. Vielleicht sind aber die vermeintlichen Attribute bloss roh geformte leere Hände, und in diesem Falle hätte die Figur Aehnlichkeit mit Cultbildern, wie z. B. dem von Kidramos, Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen S. 139,

1 Leake, Suppl. 57; Kat. Brit. Mus. Karia 109 Nr. 75-79 ; Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 130, Nr. 14 u. 15.

(90) 950

4 ff. Taf. V 14. Leider findet man auf den halikarnassischen Mùnzen der Kaiserzeit keine Wiederholungen des Typus.

Herakleia Salbake

1. Br. 27. KAICAP !., CEBACTH oben. Die sich zugekehrten Brustbilder Hadrian's mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin und der Sabina linkshin.

R. HPA r., KAE è. A., ATON !, Bild der Artemis Ephesia von vorn in der Mitte einer Tempelfront mit vier Säulen, drei Stufen und Schild im Giebel.

M. S. Hydisos

1. Br. 18. Kopf des Zeus mit Lorbeer rechtshin.

R. APAK[ON] r., YAIZE[ON] J. Stehende Athena rechts- hin, in der erhobenen Rechten den Speer zückend, am linken Arme Schild.

Gr. 5,80. M. S. Tafel IV Nr. 30.

Vgl. Wroth, Num. Chron. 1898, 114, 28.

2. Br. 18. Kopf des Zeus Areios mit Helm rechts- hin. Pkr. À. YA | | oben, SEAN unten. Fliegender Pegasos rechts- hin, darunter Heroldstab. Gr. 3,06. M. 8. Variante von Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen I 134, 1 Taf. V 7.

3. Br. 26. AOMETIANOC KAICAP CEBAC | TOC. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

À. YAICEWN r. Stehender Zeus Areios in kurzem Kleid, Mantel und Helm rechtshin, in der erhobenen Rechten den Speer zückend, am linken Arme runder Schild, rechts zu Füssen stehender Adler rechtshin, Kopf zurückwendend.

M.S. Tafel IV Nr. 31.

251 (91)

Den nämlichen Zeustvpus, mit der Beischrift ZEYC APEIOC zeigt eine bisher Jasos zugetheilte Münze mit Hadrian, auf der aber YAICEWN zu lesen ist! Das bärtige behelmte Brustbild auf andern Münzen dieser Stadt? ist ebenfalls auf Zeus Areios zu beziehen.

4. Br. 25. AV KAI TPAIANOC AAP[IANOC CEBACTOC?] Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

R. YAIC | ENN quer im Felde. Stehende Göttin in Chiton und Ueberwurf rechtshin, die Rechte erhoben, die Linke vorgestreckt. In einem Gegenstempel Tempelfront mit vier Säulen.

M. 8. Tafel IV Nr. 33.

Die Haltung der Göttin ist die der jagenden Artemis.

Iasos

1. S. 21. Kopf des Apollon mit Lorbeer rechtshin. à. M oben, AIODANTO[X] unten. Hermias neben Delphin rechtshin schwimmend.

Gr. 5,25. Sir H. Weber.

2. Br. 18. Wie Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 137, 6 mit Artemis und Apolton ; die Figur der Artemis ist von einem Lorbeerkranze umgeben, auf der Rück- seite ist Tox ? in Nox! | TT zu ergänzen.

. Sir H. Weber.

Der Name Tlosirrrg ist aus der kyzikenischen Epigraphik bekannt. Athen. Mitth. VI 1881 S. 45, Beil. Nr. 2, Vorders. a. 26.

1 Sestini, Descr. 374; Lett. num. cont. IX Taf. TEL 11 mit der Lesung IACCEWN, Mionnet III 353, 291 mit angeblich IACEGON: Fr. Streber, Num. non. gr. 1833, 232 ff. Taf. IV 5 mit [AICEGON; Overbeck, Zeus, 209 Taf. III 11. Hier Tafel IV

Nr. 32. ? Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 134, 1 u. 2.

(92) 252 ni Idyma

4. S. 9. Kopf des gehörnten jugendlichen Pan von vorn.

R.ITA|Y|[M]|]I[O]N]. Feigenblatt.

Gr. 0,91. M. S.

Keramos

1. Br. 29. NEPON !., ZEBAZTOZ r. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin. |

À. APIAZ EYANAPOZ !., KEPA[MIHTO]N r. Kopf des Zeus mit steifen Locken und Lorbeer rechtshin.

M. 8.

Inv. Waddington Nr. 2296, ohne Angabe von &ptac.

Euandros scheint, wie Hermophantos und Themis- tokles, ein in Keramos häufig vorkommender Name gewesen zu sein. In einer Inschrift augusteischer Zeit findet man einen Edavdgos Osuoroxdtous!. Die Aufschrift einer Münze mit Hadrian ...TITON APIAC EVAIMOC....? ist vermuthlich in [KEPAM]IHTON APIAC EVANAPOC... zu berichtigen. Ein späterer Euandros erscheint auf der Löbbeck’schen Münze Nr. 5.

2. Br. 25. AVTOK KAIC L., AN[TONINON ?| r., CEB - EVCEB unten. Brustbild des Pius mit Lorbeer und Gewand rechtshin.

À. AIAI | BEMIC | TOKAHC | MPOTOAE | API: KE | PAMI in sechs Zeilen in einem Lorbeerkranze.

Im Handel.

3. Br. 25. Ebenso, mit API KEPA | [MI]. Sir Herm. Weber.

! Hicks, Journ. of hell. st. XI (1890) 120 Nr. 4. ? Mus. Sanclementi II 197 Taf. XIX 130.

23 (93)

4. Br. 33 mit Caracalla Z. f. N. VII 1880, 26. Die Auf- schrift ist wie folgt zu berichtigen : KAAAICTPATOC ATIOAAQNIA : API, HATHIMAS3Y.

5. Br. 35. AY - KAI : M - AVP - L., ANTONEINOC - r. Brustbild des jugendlichen Caracalla mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin.

R. M - AV + EVANAPOC : Î., B - O APXIAT - APL: r., KEPAMIH | TON im Abschnitt. In der Mitte einer Tempel- front mit vier Säulen stehender karischer Zeus in kurzem Chiton zwischen zwei stehenden Löwen rechtshin.

Löbbecke. Tafel V Nr. 8.

O ist der Artikel zu &pyarpés. Andere Fälle der seltenen Anwendung des Artikels in Münzaufschriften werden unten, s. Eumeneia, verzeichnet.

Ein späterer Stadtarzt von Keramos, Polites, war zur Zeit des Traian Decius zugleich mo@rtos Apyav 6 *. Sonst kommt auf Münzen der Titel &pyarpée bis jetzt bloss noch in ebenfalls karischen Städten, Harpasa und Herakleia vor?.

Seltsam erscheint auf den Münzen von Keramos die constante Anwendung des Participiums aoristi &pta5* während der Zeit von Nero bis Caracalla‘. Hienach wären also während anderthalb Jahrhunderten aus- schliesslich Ex-Archonten Münzbeamte gewesen oder hätten es sein dürfen. Vielleicht lag in Karien dem Worte eine andere Auffassung bei.

Bis auf eine Ausnahme stehen die keramietischen Beamtennamen im Nominativ.

' Hicks a. a. O. 127 Nr. 11.

? [mhoof- Blumer, Kleinas. Münzen 1 132 f.

3 Auf anderen als keramietischen Münzen ist der Gebrauch dieses Particips nicht bekannt. In attischen Inschriften kommt es vor C. I. Gr. 380, 402, 423. Die Lesung TOWTOV &pEas, Kat. Brit. Mus. Karia 38, 7 scheint eine irrthdmliche zu sein, statt TTIPQTONE (0YTOS) s. oben Nr. 2 u. 3.

4Z./. N. WAL f.; Babelon, Inc. Waddington Nr. 2298/9, wo irrthümlich APX statt API angegeben ist; Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen | 139, 4.

> Kat, Brit. Mus. Karia 78, 8 Taf. XII 13.

(94) : 294 Kidramos

4. Br. 17. KIAPA È., MHNON 7. Brustbild des Helios mit Strahlenkranz und Gewand rechtshin. À. TTAM-I-IAOC r., CEAEVKOV I. Stehender nackter Hermes mit Petasos, Börse und Heroldstab linkshin. Gr. 3,47. M. 8. Aus der Zeit Vespasian’s.

Dieudonné, Rev. num. 1902, 75, 64 Taf. IV 3 beschreibt eine kidramenische Münze mit dem Bildnisse des Pius, die auf der Rückseite die ganz unwahrscheinliche Auf- schrift ETOVC C ACVAOV tragen soll. Statt dieser ist, wie aus der Abbildung ersichtlich, [TOAEMNNOC] B TOV CEAEVKOV zu lesen'. Dieser Polemon, dessen Vater und Grossvater Seleukos hiessen, ist vielleicht der nämliche, der bereits zur Zeit Iladrian’s prägte, vergl. Imhoof- Blumer, Aleinas. Münzen 1 141. |

2. Br. 31. AVK M A |., ANTANEI r., NOC CE unter. Brustbild des Elagabalus mit Lorbeer, Panzer und Mantel rechtshin.

R. KIASA | M !., HI NON r. Stehende Göttin (Aphro- dite?) in Chiton und Peplos von vorn, Kopf rechtshin, den rechten Arm linkshin streckend, die Linke mit Apfel (?) vor das Gesicht haltend. Links im Felde springender oder schwebender Eros rechtshin, in der gesenkten Rechten eine Fackel haltend.

M. S. Tafel V Nr. 9.

Nach diesem Exemplare ist das aus identischen Stempeln hervorgegangene, aber durch Oxydation ver- dorbene Kat. Brit. Mus. Karia 82, 7 Taf. XITI zu berich- tigen.

! Diese Berichtigung wurde inzwischen .von Dieudonné, Rev. num. 1905, 450, anerkannt.

259 (95)

Knidos

1. S. 14. Kopf der Artemis mit Stephane, Köcher und Gewand am Halse.

À. KNIAINN 7., ATIOAANN | IAAZ 1. Dreifuss. Gr. 2,20. Mus. Winterthur.

2. S. 12. Ebenso. À. Ebenso, mit AIOKAHE |. Gr. 2,05. Mus. Winterthur. Vgl. Inv. Waddigton Nr. 2321 mit ..AOKAHZ.

3. S. 13. Ebenso. à. Ebenso, mit ETITONOZ |. Gr. 2,45. M. 8.

4. S. 14. Ebenso. A. Ebenso, mit ELAKEX(r7¢) 1. Gr. 2,45. Sir H. Weber. Vgl. Inv. Waddington Nr. 2320 mit ...AKEZ, Gr. 1,93.

9. Br. 34. AV K- 1., M- AVP > ANTNNEIN oben und rechis, [POVABIA TIAAVTIAAA?] unten. Die sich zuge- wendeten Brustbilder des jugendlichen Caracalla mit Lorbeer und Panzer rechtshin und der Plautilla linkshin.

À. KNI Z., AION r. Stehende Göttin mit Thurmkrone linkshin, in der Rechten Schale über flammendem Altar, im linken Arm Füllhorn haltend.

M. 8.

Vgl. Mionnet III 343, 241.

Orthosia

1. Br. 13. Kopf des Zeus mit Lorbeer rechtshin. Pkr. A. OPE oben, NIZI] r., [EJON !. Doppelbeil zwischen A|H.

Gr. 1,83. M. 8.

(96) 956

2. Br. 29. AOVKIOC AVPH L., KOMOAOC r. Brust- bild des bärtigen Kaisers mit Lorbeer und Mantel rechtshin.

À. OPEN !., CIENN r. Stehende Tyche mit Kalathos, Steuerruder und Füllhorn linkshin.

M. 8. Sebastopolis

1. Br. 17. CEBACTOTT r., OAITON unten und rechts. Brustbild des Zeus mit Lorbeer und Gewand rechtshin. Pkr.

À. NE | TTATTIAC 7., ATIOAAQ | NIOV I. Keule. Pkr.

Im Handel.

Aehnlich, mit Thyrsos statt Keule, Kat. Brit. Mus. Karia 146, 1 Taf. XXIII 8; Inv. Waddington Nr. 2542.

2. Br. 24. AOMITIANO r., C KAICAP J. Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin.

À. CEBACTOTTO r., AEITON |. Sitzender Zeus linkshin, Schale (?) in der Rechten, die Linke am Scepter.

Mus. Winterthur. Stralonikeia

1.8.12. Kopf des Zeus mit Lorbeer rechtshin.

R. APICTAN | AP oben, C|T im Felde. Adler, die Flügel schlagend, auf einer flammenden Fackel rechtshin stehend. Vertieftes Quadrat.

Gr. 0,90. Mus. Winterthur.

2. S. 13. Ebenso.

À. AIONYCIOC oben, im Felde C | T und rechts Wein- fraube.

Gr. 1,18. M. 8.

Der Name Apistavdoos fehlt in dem Verzeichnisse Imhoof- Blumer, Kleinas. Münzen 153 f.; ebenso der der folgen- den Münze Kappeiz.

957 (97)

3. S. 16. Mit Kopf der Hekate und Nike wie Imhoof- Blumer, Kleinas. Münzen 153, 5 ff. Hinter dem Kopfe AEUN.

À. KAPPEIC oben, i. F. È di Gr. 1.53. Mus. Winterthur.

4. S. 15. Ebenso, ohne Namen. À. Ebenso, mit APTEMIA oben, WPOC r., C| Ti. F. Gr. 2,16. M. 8.

5. S. 16. Ebenso, mit MENE /., AAoL r. R. ti Nike mit Kranz und Palınzweig rechtshin.

Vertieftes Quadrat. Im Handel.

6. Br. 13. Kopf des bärtigen Herakles mit Binde rechtshin. Pkr.

À. CTPATO L., NIKEWN r. Keule, vom l,öwenfell über- hangen.

Gr. 1,73.M. 8.

7. Br. 35. AVT KAI TI AIA ANTONINOC [OYHPOC? | KAICAP. Die sich zugekehrten Brustbilder des Pius mit Lorbeer und Gewand rechtshin und des Caesars Marcus mit Gewand linkshin.

À. ETTI ABHNOKAEOYCTPATONEIKENN. Birtiger Reiter in Chiton und Mantel rechtshin im Schritt, in der Linken ein Scepter schulternd, vor ihm flammender Altar.

Gr. 29,80. M.S. 8. Br. 34. AV.K.A. CETT. CE Ì., BHPOC TIEPTINAI.

Kopf des Kaisers mit Lorbeer rechtshin. À. ETTI KA APICTEOV !., CTPATONEIKEWN 7. Thronen-

REVUE NUM. T. XIII. 17,

(98) | 958

der Zeus mit nacktem Oberkörper linkshin, auf der Rechten Nike linkshin, die Linke am Scepter.

M. S.

9. Br. 29. IoYAIA Ao !., MNA AVFoY r. Brustbild der Julia Domna rechtshin. |

À. TIPV ZOCIMOV Î., CTPATONEIKENN 7. Stehende Hekate in Chiton und Mantel von vorn, Kopf mit Mond- sichel linkshin, in der Rechten Schale über flammendem Altar, im linken Arm flammende Fackel.

M. 8.

Tabai

4. Br. 15. Kopf eines Heros rechtshin, Helm mit Busch und herabgeklappten Backenstücken, Gewand am Hals und Speer an der linken Schulter.

À. TABHNON oben, IM unten. Aehre im Abschnitt. Stossender Zebu rechtshin; zwischen den Hinterbeinen Kugel.

Gr. 3,30. M. 8.

Vgl. Kat. Brit. Mus. Karia 161, 14 Taf. XXV 4 mit ®(?)IM im Abschnitt; Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 158, 7 a mit A(?)M, in IM zu berichtigen.

2. Br. 17. Kopf des Zeus mit Lorbeer rechtshin.

A. MAPEY[C] 7., ZHNON J., AP oben, IEPNIN] | KAA in der Mitte, TABHNON unten. Die bekränzten Dioskuren- mittzen, je von einem Stern überragt.

Gr. 4,40. M. 8.

Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 160, 14 ist eine Münze mit Dionysostypen und MAPEV.. .NEMEKO beschrieben.

Trapezopolis

1. Br. 26. AH | MOC !., TPATTEZOTTO ?. Jugendlicher Kopf der Demos mit Lorbeer rechtshin.

259 (99)

À. ETTI APX - AI /., ATIOAAN r. Stehende Kybele von vorn, Kopf linkshin, beide Hände auf die zu beiden Seiten sitzenden Löwen gesenkt.

Sir H. Weber, Tymnessos

1. Br. 10. Kopf des Zeus mit Lorbeer (?) rechtshin. Pkr.

Iî. TVMNIH] !., CEON r. Portraitkopf linkshin, bartlos, mit diekem Hals, dem Kaiser Vespasian etwas ähnlich.

Gr. 0,90. M. 8. Tafel V Nr. 10,

Touviocés, auch Tuuvasös, wird einzig von Stephanos yz. als karische Stadt erwähnt!. Seine Quelle, Alexan- dros Polvhistor's Avzızzz, lässt die Vermuthung zu, dass der Ort im karisch-Iykischen Grenzgebiete lag.

Kos

1. Br. 25. KL, Q oben, INN r. Kopf des bärtigen Herakles rechtshin, Keule über der linken Schulter. Pkr,

R. ITTTTO /., KPATHC ». Sitzender Hippokrates, bärtig und mit Gewand rechtshin, die Rechte etwas erhebend. Pkr.

Gr, 6,70, M.S.

2. Br. 18. AVT KAICAP L., ANTWNEINOC r. Kopf des Pius mil Lorbeer rechtshin.

&. KWIQN r. Stehende /Hygieia linkshin, Zweig in der gesenkten Linken, in der Rechten die Schale einer Schlange hinhaltend, die sich an einem Altar empor- richtet, den Kopf der Göttin zuwendend.

M.S. 7

' Steph, Byz. s. v. und à, 'Ayosnaög.

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(100) 260 Karische Satrapen

1. S. 24. Stehender Zeus Labrandeus in langem Gewande rechtshin, das Doppelbeil in der Rechten schul- ternd, die Linke am Scepter. Vertieftes, unvollkommen ausgeprägtes Quadrat.

R. EKATOM oben. Ein sich zum Sprunge stellender Löwe rechtshin.

Gr. 15,17. Berlin. Waddington, Rev. num. 1856, 60 Taf. III 3. Kon. Miinzkabinet 1877, Nr. 227 '. Hier Tafel V Nr. 10.

» 15,15. Paris, Inv. Waddington Nr. 2693 Taf. V 10.

» 14,32 (gering erhalten). Kat. Brit. Mus. Karia 180, 1 Taf. XXVIII 1.

Der Prägeort dieser Tetradrachmen war Mylasa, der Sitz der karischen Dvnasten bis ihn des Hekatomnos’ Sohn, Maussollos, etwa 367 v. Chr.? nach Halikarnassos verlegte. Der Zeustvpus stellt den Zeus Stratios dar, dessen berühmtes Heiligthum, wo die Landesfürsten jährliche feierliche Opfer vollzogen *, in dem zum myla- sischen Gebiete gehörenden Orte Labranda lag. Mit diesem Bilde fuhren die Nachfolger des Hekatomnos fort zu prägen, auch als sie nach Halikarnassos über- gesiedelt waren. Dem anderen Münzbilde, dem zum Sprunge bereiten Löwen, ist bis anhin besondere Beach- tung nicht geschenkt worden, obwohl er dazu eigentlich herausforderte. Denn dieser mvlasische Löwe, der entweder als Wahrzeichen der Stadt oder als Emblem des Fürsten, oder auch als Symbol des karischen Zeus aufgefasst werden kann, unterscheidet sich wesentlich von dem milesischen, der in ruhender Stellung den Kopf nach einem Stern zurückwendet. Dies ist des-

' Aus Brandis, Münswesen in Vorderasien 338, Anm. 5, geht hervor, dass ein Theil des Randes dieses Exemplares beschädigt ist. Vielleicht fehlt deshalb jede Spur des vertieften Viereckes.

IW. Judeich, Kleinasiatische Studien (1892) 236.

dA. n.0. 245.

4 S. oben Keramos, S. 93 Nr. 5.

2601 (101)

halb hervorzuheben, weil etwas später mit EKA und MA bezeichnete Münzen, die auf der einen Seite einen Löwenkopf, auf der anderen einen mehr oder weniger verzierten Stern als Typen führen, zu der Annahme verleiteten, diese Münzen seien entweder Prägungen, die Hekatomnos und Maussollos in Milet vorgenommen !, oder mylasische Nachahmungen milesischer Münzen ?. Gegen die erste Ansicht spricht die gänzliche Unwahr- scheinlichkeit, dass die beiden Satrapen jemals Herren Milet’s gewesen, gegen die andere der besondere Löwen- typus des oben beschriebenen karischen Tetradrachmons. Der Stern in seinen verschiedenen Gestaltungen aber war nicht nur ein milesisches, sondern ein auch sonst verbreitetes Münzbild ®, das später noch die Brüder und Nachfolger des Maussollos, Idrieus et Pixodaros, zu Halikarnassos auf ihre Münzen setzten, und zwar nicht in Verbindung mit einem Lòwentypus* Wenn ferner Waddington, der sich mit Recht gegen die Annahme sträubte, die karischen Satrapen hätten in Milet geprägt, vorschlug, die Münzen mit EKA und MA dieser Stadt zu belassen und die Initialen als die milesischer Magistrats- namen, z. B. für Hekataios und Mandrokles, zu erklären‘, so ist dagegen einzuwenden dass, da die Prägung der Drachmen mit EKA, die den Uebergang vom vertieften Quadrat zur flachen Rückseite zeigen (s. Nr. 2-4), eine Periode von mehreren Jahren bedingt, ein Wechsel dieses angeblichen Reamtennamens hätte stattfinden müssen, was nicht der Fall ist.

Der einzige Umstand, der auf das Vorbild des mile- sischen Löwen schliessen lassen dürfte ist der, dass

1 Brandis a. a. O. 460 f.; Kat. Brit. Mus. Ionia 185 f., Nr. 14-43; Inv. Waddington Nr. 1785-1796.

2 Six, Num. Chron. 1890, 229 f., Nr. 15-23.

3 Vgl. Percy Gardner, Floral patterns on archaic greek coins, Num Chron. pr sh Mus. Karia 183, 7 u. 185, 15 Taf. XXVIII 8 u. 15; Inc. Waddington Nr. 2701; Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen 1 161, 1. Mit den Typen Löwe und Stern

gab es indes städtische Pragungen von Halikarnassos s. oben S. 88, 1 u. 2. 5 Reo. num. 1856, 62.

(102) 262

unter dem Löwenkopfe der Drachmen und Diobolen des Hekatomnos und des Staters des Maussollos ein Vorder- bein des Thieres in entgegengesetzter Richtung des Kopfes erscheint. Daraus hat man gefolgert dass es sich um den Vordertheil des den Kopf zurückwendenden Löwen handele. Alle diese Münzen zeigen indes blos den Kopf des Löwen ohne Hals oder Körperansatz und von diesem complet abgesondert das Bein'. Sollte trotzdem daran festgehalten werden, dass des verkehrt gestellten Beines wegen ein zurückblickender Löwe gemeint sei, so wäre diese Annahme allein nicht im Stande, die Frage nach dem Prägeort zu Gunsten Milct’s zu entscheiden.

Als in Mylasa geprägt lassen sich nun folgende Münzen zu einer Gruppe vcreinigen :

2. S. 14. EKA links über einem Löwenkopfe linkshin, darunter ein Vorderbein des LOwen rechtshin. à. Verzierter Stern in vertieftem Quadrat.

Gr. 4,23. Berlin. Tafel V Nr. 11. » 4,25. Kat. Brit. Mus. Ionia 187, 36 Taf. XXI 5. » 4,23. Waddington, Rev. num. 1856, 60, 2 Taf. I 6. Andere Exemplare Six, Num. Chron. 1890, 229, 15.

3. S. 16. Ebenso, der Stern in vertieftem Kreis.

Gr. 4,26-4,11. Paris. Babelon, Achéménides 59, 391/5 Taf. X 1 u. 2. » 4,25-3,98. Brit. Mus. a. a. O. 187, 37-41. Andere Exemplare Six a. a. O. Nr. 17 u. 18.

4. S. 16. Ebenso, ohne Vertiefung der Rückseite. Gr. 4,20. Waddington a. a. O. 3 Taf. I 7.

5. S. 9. Vorderseite ebenso, mit E. A. Verzierter Stern in vertieftem Quadrat.

Gr. 0,97. Berlin (m. S.) Six a. a. O. 229, 16. Hier Taf. V Nr. 12.

1 Kat. Brit. Mus. lonia 185 f. Nr. 14-36 Taf. XXI 4-6.

#3 (108)

6. S. 9. Ebenso, ohne E,

Gr. 1,25-0,97. Brit. Mus. Kat. Toni 185, 14, 33 Taf. XXI 4. Hier Tafel V Nr. 13.

7.8. 9. Ebenso, mit Löwenkopf rechtshin und Bein linkshin.

Gr. 1,20. Brit, Mus. a. a. O. 186, 34. » 0,94. Brit. Mus. a. a. O, 186, 35 (barbarisch). » 0,73. Six a, a. O. 228, 14 (barbarisch).

8. S. 14. Löwe, zum Sprunge heranschleichend, rechtslin. i. Ebenso,

Gr. 2,10. Brit. Mus. a. a. O. 185, 12 Taf, XXI 3. » 2,10. Inv, Waddington, Milet Nr. 1797, » 2,08. M. 8. Tafel V Nr. 14,

Die Münzen Nr. 2-8 sind leichte Drachmen, Hemi- drachmen und Diobolen euböischen Systems. Ob ihnen auch die anepigraphen Obolen (Gr. 0,70) und Hemiobolien (Gr. 0,35) mit Löwenkopf von vorn und Stern in ver- tieftem Quadrate beizuzählen sind, ist nicht sicher, Nach Six sollen hierher Hemiobolien mit Löwenkopf linkshin und einem Vogel in vertieflem Vierecke gehören!. Dieser Vogel kann ein Rebhuhn, ein Frankolinhuhn oder eine Wachtel sein, die alle in Kleinasien heimisch waren‘. Diese Münzchen sind theils anepigraphe, theils sollen neben dem Vogel die Buchstaben MA(?) und Q | O zu lesen sein, was ich nicht prüfen konnte. Man fühlt sich nicht gerade von vornherein geneigt, dieser Zulheilung beizupflichten. Doch ist zu constatieren dass der Löwen- kopf dieser Hemiobolien genau übereinstimmt mit dem der Münzen Nr. 2-7; er zeigt dieselbe lange wurm-

* Nam. Chron. 1877, 87 und 1890, 230, 23-25. | * 5. Abblidung Imhoof und Keller, Tier- und Plansenbiledler Tal. V 48,

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(104) 264

formige Zunge und unten das abgesonderte Vorderbein rechtshin, und dieser Typus ist sonst nirgends zu finden.

Die befremdende Thatsache, dass neben Tetradrachmen des bis zu Alexander’s Zeit vorherrschenden kleinasia- tischen oder rodischen Fusses von 15 Gr. Gewicht und darüber die kleinen Münzsorten nach euböischem System geprägt wurden, ist vielleicht durch den regen Verkehr der Karer mit Kos und Rodos! zu erklären, deren Münz- system um die Wende des 5. zum 4. Jahrhundert v. Chr. ausnahmsweise das euböische war?.

Ebenso seltsam ist das Gewicht des folgenden zu Mylasa geprägten Staters des Maussollos :

9. S. 23. MA links über dem Kopfe eines Löwen linkshin ; darunter ein Vorderbein rechtshin.

R. Stern mit vier Strahlen, zwischen diesen je ein Griffel. Vertiefter Kreis.

Gr. 13,07. Paris. Babelon a. a. O. 59, 396 Taf. X 3. Hier Tafel V Nr. 15. » 12,80. Inv. Waddington Nr. 1796. » 12,69. Kat. Brit. Mus. Ionia 188, 43 Taf. XXI 6. » 12,80. (Subaerat) Klagenfurt. N. Z. XVI (1884) 274, 107. Sammlung E. P. Warren (subaerat aus anderen Stempeln).

10. S. 12. Vordertheil eines Löwen mit vorgestreckten Beinen rechtshin. À. Stern und Vertiefung ebenso.

Gr. 1,37. Löbbecke. Six a. a. O. 229, 21. Hier Tafel V Nr. 16.

Der Löwentypus dieser Münze gliedert sich denen der Nr. 1 und 8 an, nicht dem milesischen.

1 Beide Inseln brachte später Maussollos unter seine Abhängigkeit und unterhielt dort Besetzungen. Judeich a. a. O. 244 u. 246 Anm. |.

> Vgl. Kos, Imhoof-Blumer, Monnaies grecques 318 f. Nr. 97-102, Nr. 97 mit Gr. 17,88 zu schwer angebracht, die anderen Gr. 16,67-16,40 ; Rodos, Imhoof-Blumer, Z. Sf. N. VII 27, 5 Gr. 16,80; Monatsber. d. preuss. Akademie 1879, 333 Abb. Gr. 16,87; Kat. Brit. Mus. Karia 230, 1 Gr. 16,77 Taf. XXXVI I,

265 (105)

Das Gewichtssystem des Staters Nr. 9 scheint das samische zu sein!. Dieses war aber zu Maussollos’ Zeit bereits vorübergehend dem euböischen? und dann dem rodischen Fusse* gewichen. Sonderbarerweise ging auch Maussollos bei seinen ersten Prägungen mit den neuen Typen Apollonkopf und Zeus Stratios zuerst zum redu- zierten euböischen* und dann zum rodischen von durch- schnittlich 15 Gr. über, den seine Nachfolger beibehielten. Aber gleichzeitig waren diese Wandelungen nicht, und ein Zusammengehen von Mylasa und Samos wäre überdies nicht erklärlich. Bedenklich ist schliesslich auch die Bezeichnung Tridrachmon, da dieses ein eubö- isches Tetradrachmen von voll Gr. 17,45 bedingen würde. Wäre nur ein Exemplar der Münze Nr. 9 vor- handen, könnte man etwa auf einen Schrötling mit Fehlgewicht schliessen. Da aber mehrere gleichen Gewichtes bekannt sind’, muss die Frage nach der Veranlassung zu dem Münzfusse dieser Stater eine offene bleiben.

Zu der Annahme, dass Hekatomnos auch Münzen mit Satrapentypen geprägt habe und seine Nachfolger ihm darin gefolgt seien, führt die folgende neue Erwerbung des Pariserkabinets :

41. S. 25. Der bärtige Perserkönig mit gezackter Kidaris und kurzem umgürtetem Chiton rechtshin schreitend, im Begriffe einen Pfeil abzuschiessen.

À. Stehender Zeus Labrandeus wie auf Nr. 1.

Gr. 15,05. J. de Foville, Revue num. 1905, 286 Abb. Hier Tufel V Nr. 17.

1 Kat. Brit. Mus. Tonia 351 f. 19-22, 28-41, 82-99.

? A. a. O. 361, 126.

3 A. a. O. 362, 130-135.

+ Gr. 16,13, Babelon a. a. O. 60, 397 Taf. X 4; 15,91, Inc. Waddington Nr. 2694.

5 Diese Staterprägung scheint eine nicht unerhebliche gewesen zu sein, da sie, wie die subaeraten Exemplare beweisen, von gleichzeitigen Fälschungen begleitet war.

(106) 26

Mit Recht folgert der gelehrte Ilerausgeber, dass dieses Tetradrachmon eine Prägung des Satrapen Hekatomnos zu Mylasa sei. Obwohl Hekatomnos schon im Jahre 390 als Satrap von Karien erwähnt wird!, datiert de Foville - die Münze nicht vor die Zeit des Antalkidasfriedens ; und in der That scheint sie etwas jüngern Datums zu sein als Nr. 1, so dass es wohl möglich ist, dass dieser neue Typus erst nach der Machtvergrösserung des Satrapen im Jahre 386 entstand.

Die Darstellung des Grosskönigs als stehender Bogen- schütze in kurzem Kleide ist eine ungewöhnliche; in der Regel erscheint er im archaischen Laufschema, den wallenden Kandys über das vorgestreckte Knie gestreift, oft mit Köcher, Scepter und Speer oder Schwert ausge- rüstet. Das stehende Bild des persischen Bogenschützen ist sonst nur, mit Satrapenmitze statt Zackenkrone, aus Bronzemünzen eines Ariarathes bekannt?. Der Typus blieb auch in Karien vereinzelt; an dessen Stelle trat der gewöhnliche Idealtypus des Perserkönigs.

42. S. 25. Der bärtige Grosskönig mit gezackter Kidaris und Kandys im archaischen Laufschema rechts- hin, in der Rechten den Speer schräg haltend, in der vorgestreckten Linken Bogen. Bodenlinie. |

R. 4 oder 4 links. Persischer Satrap mit Tiara, um- gürtetem Gewand und Bcinkleidern rechtshin reitend im Galop, an der linken Seite der befranzten Satteldecke Bogen, in der erhobenen Rechten den gezückten Speer. Der Schweif des Pferdes ist mit einer Binde geziert.

Gr. 14,95. M. S. Kleinas. Münzen IT 518, 1 Taf. XIX 23.

13. S. 11. Ebenso. Pkr.

1 Judeich a. a. O. 233. ? Merzbacher, N. Z. 1871, 428 Abb.; Six, Num. Chron. 1885, 30; Babelon a. a. O. S. LXXXI fig. 39; Inc. Waddington Nr. 6827 Taf. XIX 16.

267 (107)

à. Kopf des Satrapen mit der gleichen Tiara rechtshin. Linienkreis. Gr. 0,58. Brit. Mus. Lykaonia, ete. 100, 25 (Mallos) Taf. XVII 6. Hier Tafel V Nr. 18.

14.8. 95. rl, 5 r. Der Grosskônig mit gezackter Kidaris, Kandys und gefülltem Köcher über der linken Schulter im archaischen Laufschema rechtshin, mit beiden Händen den gespannten Bogen haltend. Boden- linie und Pkr.

%. Reitender Satrap wie auf Nr. 12, aber ohne Bogen am Sattel; im Felde rechts oben Stern mit acht Strahlen. Pkr.

Gr. 15,02. München. Imhoof-Blumer a. a. O. 519, 2, abgebildet Six,

Num. Chron. 1877, 82, 2 Taf. II 2.

» 15,00. Paris. Babelon, Achemenides S. CXXIV und 92, 623 Taf. XVII 16.

15. S. 24. Ebenso, ohne Schriftzeichen. À. Ebenso; hinter dem Reiter O, unter dem Pferde Delphin rechtshin.

Gr. 14,85. Paris. Babelon a. a. O. 91, 621 Taf. XVII 15; Stempel- varietäten a. a. O. Nr. 620 und 622 Taf. XVII 14 und Six a. a. O. 82, 5.

16. S. 22. Ebenso; hinter dem Könige 4(?) und Löwenkopf rechtshin. R. Ebenso ; unter dem Reiter Vogel (Adler?) rechtshin.

Gr. 14,52. Berlin (m. S.) Six a. a. O. 83, 8 Taf. III 5.

17. S. 24. Ebenso, ohne Zeichen noch Symbol. R. Ebenso, hinter dem Reiter Adlerkopf rechtshin.

Gr. 14,51. Brit. Mus. Six a. a. O. 83, 7.

18. S. 23. Ebenso, vor dem Könige Blitz.

(108) 268

Gr. 14,90. Berlin, Das k. Miinzkabinet 1877, Nr. 808. » 14,31. M. 8.

19. S. 24. Ebenso, ohne jedes Zeichen.

Gr. 15,33. München. Ueberprägt, der frühere Typus ist leider nicht zu erkennen. Auf diesem Exemplare fehlt auch der Köcher des Königs. Andere Exemplare, Six a. a. O. 83, 9.

20. S. 24. Ebenso, hinter dem Reiter Kopf des bärtigen Herakles mit Löwenfell rechtshin.

Gr. 14,80. Berlin (M. S.). Head, Coins of Lydia and Persia 46, 12 Taf. III 15. » 14,70. Brit. Mus. Six a. a. O. 82, 1 Taf. III, 1.

21. S. 22. Ebenso, BA hinter dem Könige. #. Ebenso, mit Herakleskopf.

Gr. 15,03. Sir H. Weber. Imhoof-Blumer, Kleinas. Münzen II 519, 3 Taf. XIX 24, |

22. S. 23. Ebenso, BA im Abschnitt, im Felde !. P. À. Ebenso, mit Herakleskopf.

Gr. 15,10. Verkaufskatalog, London, 2. Mai 1905, Taf. I 28. Hier Tafel V Nr. 19.

Das letzte Stück, das mir 1898 zum Kaufe angeboten wurde, stammt wie alle anderen meiner Sammlung aus Kleinasien, und zwar stets aus Partien ionischer, lydischer und karischer Münzen, niemals zusammen mit kyprischen oder phönizischen.

Zu dieser Gruppe ist auch eine kleine Kupfermünze mit gleichen Typen zu zählen !. Die Obolen, Babelon a. a. O. Nr. 624-626 Taf. XVII 17 u. 18, dagegen sind kvprisch.

1 Six a. a. O. 83, 10 Taf. 111 7.

269 (109)

Die Thatsache, dass der Stater Nr. 11 mit dem Bilde des Grosskönigs eine Prägung des Hekatomnos dar- stellt, führt sofort zu der Vermuthung, dass diese Prägung nicht die einzige ihrer Art geblieben sei, und folglich zurück zu dem Vorschlage den J.-P. Six, Num. Chronicle 1877, S. 81 ff. gemacht und begründet hat, dass nämlich die Münzgruppe Nr. 12-22 den Hekatom- niden zuzuschreiben sei. Gegen Babelon’s Zutheilung derselben an Euagoras II, als dieser vom Jahre 351/50 bis 349 persischer Satrap über Kypros war, fand ich bereits Gelegenheit mich Kleinasiatische Münzen II 529 auszusprechen und seither trat Hill in seiner schönen Einleitung zum Kataloge der griechischen Münzen von Kypros S. CIX auf meine Seite, sich insofern freilich täuschend dass er aus der Fabrik der Tetradrachmen auf phönizischen Ursprung schliesst. Denn dieser ist ausgeschlossen durch den kleinasiatischen Münzfuss, durch das den phönizischen Münzen fremde Beisetzen griechischer Symbole, durch das Vorkommen der griechi- schen Aufschrift BAsdsds und schliesslich durch den meist scharfen Randschnitt der Schrötlinge, der über- einsimmt mit dem der Hekatomnidenmünzen von Halikarnassos und der für ionisch gehaltenen Satrapen- statere. Auch der Schnitt der Typen weist nicht auf gleichzeitige phönizische Gepràge; neben vernachläs- sigten Stempeln findet man auch solche von feiner Ausführung, z. B. die von Nr. 22.

Zur Abweisung der Zutheilung der Gruppe an Euagoras oder eine der Gegenden der kleinasiatischen Südküste ist früher Gesagtes zu wiederholen. Weder in diesen noch auf Kypros wurden jemals Tetradrachmen klein- asiatischen oder rodischen Systems geprägt, und was die Stücke der Phönizien zugekehrten Städte Salamis und Amathos von 6,50 bis 7,00 Gr. betrifft, entspricht ihr Gewicht besser dem der gleichzeitigen phönizischen Prägungen als einem bereits reduzierten rodischen von

(110) 270

43 bis 14 Gr. Sollte aber auch rodisches System ange- nommen werden, so wäre dies für unsere Frage deshalb nicht von Belang, weil während der kaum zwei Jahre, da Euagoras zurn Satrapen über Kypros eingesetzt war, von diesem niemals eine Prägung vorausgesetzt werden kann, die sich, nach der Zahl und dem verschiedenen Style der Stempelvarietäten ‘zu urtheilen, auf Jahrzehnte erstreckt haben musste.

Nachdem somit Phönizien, Syrien, Kvpros und die Satrapien von Kilikien bis Lvkien als Ursprungsgebiete unserer Satrapenstatere beseitigt sind, Können dafür nur noch Karien und Ionien in Betracht kommen. Für die karische Satrapie spricht von vornherein nicht nur die Composition des grossen Münzfundes auf Kalymna* und die seitdem constaticrte Provenienz der in Frage stehenden Statere®, sondern auch der Umstand, dass diese eine Gruppe bilden, die sich von der als ionische Satrapenprägung betrachteten wesentlich unterscheidet * und dass ferner eine sichere Satrapenprägung des Hekatomnos (Nr. 11) bereits bekannt ist. Von letzterer weichen die jüngeren Statere Nr. 12-22 darin ab, dass die ganz vereinzelt stehende Darstellung des Grosskönigs als stehender Bogenschütze durch die in den Satrapien allgemein vorbildliche der Dareiken, der mylasische Zeus- typus aber durch das Reiterbild des Satrapen und Dynasten selbst ersetzt wurden. Das erste der neuen Königsbilder (Nr. 12), eine genaue Nachahmung der ionischen Statere, von denen einer mit der Beischrift PYOATOPHs bezeichnet ist, kann noch in die Zeit des Hekatomnos gehören; das andere, wo der König schiessend erscheint, führte

! Den hier beschriebenen bis jetzt bekannten zehn Tetradrachmen sind mindestens chenso viele blosse Stempelvarietäten beizuzahlon.

2 Borrell, Num. Chron. TX 165 ff.; ausser persischen Siglen bloss Silber von Rodos, Kalymna, Kos, Knidos, der Satrapen Maussollos, Idrieus und Pixodaros, sowie einige der hier beschriebenen Satrapenstatere Nr. 14-22.

35. oben die Bemerkung zu Nr. 22.

‘Vel. Babelon a. a. O. 56, 381 ff.; Taf. IX 17 u. 18; Kat. Brit. Mus. Ionia

Taf. XXXI 1-3 Ueber die Provenienz der Kupfermünzen mit gleichen Typen, s. Imhoof-Blumer, Kleinus. Münzen 115%, 4.

271 (111)

wahrscheinlich Maussollos ein. Den grössten Theil der Münzen könnte, wie schon Six bemerkte, Pixodaros geprägt haben, der einzige Hekatomnide, von dem sonst keine Tetradrachmen bekannt sind. Ob Mylasa die Prägestätte der Satrapenmünzen geblieben war, ist schon deswegen nicht wahrscheinlich, weil Maussollos diese Stadt unbefestigt gelassen hatte!; man wird daher, wenn nicht einen anderen festen Ort, Halikarnassos dafür vorzu- schlagen haben, wo demnach simultan für die hellenische Bevölkerung und, zum Ausdrucke der Anerkennung des persischen Oberherrn, für dessen Truppen geprägt worden wäre. Dass auf den Satrapenmünzen aramäische Schriftzeichen stehen, darf nicht befremden; auf die Namen der karischen Dynasten sind sie jedoch nicht zu beziehen, so wenig als das griechische Zeichen P? (Nr. 22) oder die Zeichen B, E, I, M, ME, O, P der gleichzeitigen Münzen mit Apollonkopf und Zeus. Auch deuten die Beizeichen Stern, Delphin, Löwenkopf, Adler, Adlerkopf, Blitz, Herakleskopf, vorwiegend rein griechischer Art, nicht etwa auf eine Verschiedenheit der Münzstätten ; wie anderswo stehen sie einfach für Beamtensymbole.

Aus dem Gesagten geht hervor, dass die Tetradrachmen kleinasiatischen Systems mit den Typen Grosskönig und reitender Satrap sicher aus dem vordern Kleinasien stammen, und die Six’sche Zutheilung derselben an die Hekatomniden ihre volle Berechtigung hatte.

Zum Schlusse sei hier noch eine Varietät der für ionisch gehaltenen Satrapentetradrachmen verzeichnet.

23. S. 23. Der Grosskönig wie auf Nr. 12, im Felde links A.

1 Judeich a. a. O. 240.

? Der mir gemachte Vorschlag, P als Initiale des Namens Orontopates auf Münzen POONTOPATO geschrieben -- zu erklären, ist als blosser Einfall zu betrachten. Bei Nennung dieses letzten der karischen Satrapen ist zu bemerken, dass dieser während seiner anscheinend kurzen Herrschaft eine verhältnismässig bedeutende Prägung von Tetradrachmen vornehmen konnte, von der bis jetzt fünf oder sechs Stempelvarietäten bekannt sind.

(112) 272 -

À. Granulierter Einschlag. Gr. 14,97. M. S. Abgebildet Kut. Th. Prowe 1904 Taf. IX 1337.

Ausser den anepigraphen Stateren dieser Gattung waren bis jetzt nur zwei mit Schrift bekannt, die mit AH und PYOATOPHE'; an diese reiht sich nun dieser dritte mit AT.

Berichtigung.

Der S. 8 erwähnte Fund römischer Silbermünzen stammt nicht aus dem karischen Antiocheia, sondern aus der römischen Colonie Antiochia in Pisidien, dem heutigen Yalovad).

F. IMHOOF-BLUMER.

(Fortsetzung folgt.)

1 Kat. Brit. Mus. Ionia Taf. XXXI 1 u. 2. In einem so eben erschienenen inte- ressanten Artikel über griechische Prägungen in Baktrien und Indien (Num. Chronicle 1906, 6) versucht Head diese Statere für die Sogdiane zu beanspruchen. Diesem Vorschlage vermag ich mich aus mehrfachen Gründen nicht anzuschliessen. Es sei hier bloss hervorgehoben was ich Kleinas. Münzen N 520, 4 constatierte, dass nämlich die Fundstellen der gleichtypigen Kupfermünzen kleinasiatische sind. Aus der Provenienz kleiner Kupfermünzen ist bekanntlich sicherer auf ein Präge- gebiet zu schliessen, als aus der Herkunft seltener Gold- und Silberstücke, die sich weithin verbreiten konnten. Wie die auf S. 108 erwähnte Bronzemünze zweifellos zu der Statergruppe mit dem reitenden Satrapen gehört, so ist auch das Silber mit Grosskönig und granuliertem Einschlag nicht von den in der Regel in Kleinasien gefundenen Kupfermünzen mit den gleichen Typen zu trennen.

MELANGES

La Gazette numismatique (belge) a terminé, il y a quelque temps déjà, sa neuviéme année d’existence. Dans le dernier numéro de 1904-1905, son fondateur, notre honorable collègue, M. Ch. Dupriez, annonce à ses lecteurs que ses occupations commerciales toujours plus absorbantes l’obligent à céder la place à un autre. Pendant les neuf ans qu'il dirigea ce modeste périodique, M. Dupriez l’a fait marcher de progrès en progrès et a su s'attacher des collaborateurs de talent; il a été assez heureux pour que l’un d’eux, dont le renom scientifique a dès longtemps franchi les frontières de son pays, voulût bien continuer la tâche entreprise:

Nous avons nommé M. Fred. Alvin, conasrvatalià du Cabinet des médailles de Bruxelles. Ce nom est une garantie de succès.

Avec l’année 1905, le Klub der Münz- und Medaillen- freunde a modifié son nom. Cette société s’appelle dorénavant Oesterreichische Gesellschaft für Münz- und Medaillenkunde. En plus des Mittheilungen, qui continueront à paraître et qui sont destinés plus spécialement aux courtes informations, elle édite une Zeilschrifi für Münz- und Medaillenkunde contenant les articles d’une certaine étendue. Ce nouveau périodique est dirigé par un comité de rédaction composé actuellement de MM. Blaschek, von Hôfken, Renner ct von Zambaur. Elle publie encore une Bibliotheca nummaria austriaca dont l’auteur est M. R. von Hôfken. Ce travail est imprimé d’un seul côté de la page, de façon que les différents titres dont il se compose puissent être découpés et collés sur du carton pour en faire des fiches. Les nouveaux ouvrages peuvent être ainsi catalogués et intercalés en tout temps. Pour ceux qui désireront garder ce volume en feuilles il sera publié de temps en temps des tables qui faciliteront les recherches.

Jusqu'ici M. von Höfken a publié les noms de deux cent septante- quatre ouvrages se rapportant tous à la numismatique de l'Autriche.

H. C.

La loi italienne sur l’exportation des objets d’art et

des monnaies anciennes. Pendant une longue période de

REVUE NUM. T. XIII. 18

974

temps l'Italie a été volens nolens le fournisseur attitr& de tous les grands musées d’antiquites et d’art de l’Europe. Bien souvent elle ne jouait ce rôle qu’à son corps défendant et ses trésors lui étaient enlevés par les conquérants qui se croyaient autorisés à la déposséder pour lui apprendre ce qu’il en coûte d’être le plus faible. Une partie du patri- moine artistique ravi enrichissait ainsi sans bourse délier les dépôts étrangers.

Après les conquérants sont venus les milliardaires américains qui à coups de banknotes et de dollars ont obtenu le même résultat que les premiers, si bien que cette nation chez qui vont tous ceux qui désirent parfaire leur éducation artistique a édicter une loi destinée à défendre les objets d’art qui lui restent en en prohibant la sortie de son terri- toire.

Dernièrement, oubliant que dépasser le but c’est manquer la chose, les Conseils de la nation ont étendu les effets de la loi aux monnaies antiques, aux monnaies, médailles et jetons du moyen âge et de la Renaissance, de telle façon qu'il ne pourra plus y avoir dorénavant de relations régulières entre numismates italiens et étrangers, sans compter que le commerce des monnaies devient impossible avec la Péninsule; en particulier, il ne faut pas que les marchands italiens songent à faire des envois à choix au dehors ou vice-versa.

Aussi si nous comprenons, tout en faisant certaines réserves, les raisons qui ont pu dicter la loi au sujet des objets d’art qui sont la plupart du temps uniques, nous ne comprenons pas son application aux monnaies. Si parmi celles-ci il en est d’uniques ou de très rares il en est aussi d’excessivement communes; or, avec la loi on empêche les possesseurs de ces dernières d’en tirer parti. Pour le profit de qui? C’est à se le demander.

En outre, si le possesseur d’une pièce très précieuse pour la numis- matique italienne, füt-elle unique, estime de son intérêt de la vendre à l'étranger, ce n’est pas la loi qui l’inquiétera beaucoup, l’objet étant, de par sa dimension restreinte, des plus faciles à dissimuler, même aux yeux du douanier le plus fin et le plus habile.

Plus que toute autre, cette loi incite à la fraude. Nous avons peine à croire que ce soit le résultat qu'en attendaient les législateurs ; aussi ne sommes-nous pas étonnés en apprenant que la Société italienne de numismatique s'efforce de faire rapporter ce qu’elle considère comme une erreur.

Nous lui souhaitons bon courage et bonne chance. H. C.

275

Enquéte monétaire suisse de 1905. Résultats prin- cipaux. Afin d’obtenir un tableau aussi exact que possible de notre circulation monetaire, le Departement des finances, autorisé par le Conseil fédéral, a fait procéder, le 23 janvier dernier, avec l’aide d’établissements financiers du pays, à un recensement des billets de banque et des monnaies. Les principaux résultats viennent d’en étre publiés sous la forme suivante:

TOTAL GENERAL DES SOMMES RECENSEES

I. Billets de banque..................... Fr. 62,379,376 99 II. Monnaies d'or ....................... » 22,528,126 08 III. Grosses monnaies d’argent............. a 17,953,248 54 IV. Monnaies divisionnaires d’argent........ » 3,262,976 78 V. Monnaies de nickel et de euivre ........ » 876,627 15

Fr. 107,000,355 54

En 1892, l’enquöte monétaire n'avait porté que sur les grosses

monnaies d'argent et les monnaies divisionnaires d'argent; il avait été recensé :

Grosses monnaies d’argent................. Fr. 23,036,835 Monnaies divisionnaires d'argent ........... » 1,619,751

Fr. 24,656,586 I. BILLETS DE BANQUE

Billets suisses .,.......................... Fr. 60,001,150 Billets français ................,......... » 109,359 90 Billets allemands......................... » 962,606 02 Billets d’autres Etats .........,....... cu. DD 706,261 07

Fr. 62,379,376 99

Pièces suisses, ........,................., Fr. 6,042,140 Pièces françaises ......................... » 13,690,740 Pièces italiennes ......................... » 849,640 -— Pièces belges........................,... » 930,980 Pièces grecques.......................... n 25,490 —-

Total de l’Union monétaire latine Fr. 21,538,990 Piéces autrichiennes de 8 et de 4 florins ..... 314,210 Pièces allemandes ........................ » 471,126 74 Pièces d’autres Etats ..................... » 203,799 34

Fr. 22,528,126 08

270

III. GROSSES MONNAIES D'ARGENT

Pièces de cing-francs de l'Union monétaire latine.

1892 1905

Pièces suisses......... 3 °/ Fr. 1,190,420 = 1 °/o Pièces francaises ...... 24 Jo » 6,580,695 = 36 °/ Pièces italiennes....... 63 ‘Jo » 6,588,715 = 37’ Pièces belges ......... 9 Jo » 3,371,830 = 19% Pièces grecques ....... » 206,940 = 1 fo

Total Fr. 17,938,600 = 100 °/

Autres grosses pièces d'argent.

Pièces allemandes ............. Fr. 11,141 34 Pièces d’autres Etats........... » 3,507 20

Total Fr. 17,953,248 54

IV. MONNAIES DIVISIONNAIRES D’ARGENT

1892 1905

Pièces suisses... ....... 34 °f Fr. 2,082,909 = 65 Vo Pièces francaises ...... 13 ‘Jo » 857,235 = 27 °/ Pieces belges ......... 3% » 233,531 = 7 ‘Jo Pièces grecques ....... 1% » 40,271 50 = 1 °) Pièces italiennes. ..,... 49 %o » 7,582 50 = (0,02 °/o) Total de l'Union monétaire latine. 100 °/ Fr. 3,221,529 = 100 %

Pièces allemandes ,,........... » 36,128 71

Pièces d'autres Etats ........... » 5,319 07

Total Fr. 3,262,976 78

V. MONNAIES DE NICKEL ET DE CUIVRE

BillOn swsse: runs Fr. 870,861 52 Dillon franeais. Sauna Li Lente nes » 623 94 Billon italien: 420804000 an » 2,311 36 Billon allemand: usa se a ae » 2,830 33 Fr. 876,627 15

Berne, le 7 juin 1905. Departement fédéral des Finances ct des Douanes. Distinctions. Notre collègue M. Fernand Mazerolle, l’auteur érudit de Vouvrage sur les Médailleurs francais, du xv* siècle au

277

milieu du xvu°, a été élu membre résidant de la Société nationale des antiquaires de France.

D’autre part, dans sa séance du 4 mars dernier, la Société francaise de numismatique a appelé & sa presidence M. Paul Bordeaux, notre aimable collègue, bien connu de ceux qui assistent à nos assemblees annuelles.

Toutes nos félicitations.

Nous avons appris également, avec un vif plaisir, que MM. Huguenin freres, du Locle, les seuls graveurs-ciseleurs suisses ayant exposé a Liège, avaient obtenu le grand prix d’honneur.

M. le professeur Arnold Luschin von Ebengreuth, membre honoraire de notre Société, vient d'être nommé, par S. M. Francois-Joseph I", membre de la Chambre des seigneurs d’Autriche.

M. Georges-A. Werner, à Leipzig, également membre de notre Société, possesseur du célébre comptoir de numismatique Zschiesche et Kœder, a fêté le 1°" septembre 1905 le cinquantiéme jubilé de fondation de cet établissement. |

Portraits sur des monnaies. Si l’on en croit un article, publié par M. L. Forrer dans la Frankfurter Numismatische Zeitung, la Britannia qui se trouve sur les farthings anglais de 1655 serait le portrait de la duchesse de Richmond, surnommée par le chevalier de Grammont : « la plus jolie fille du monde ».

De méme le buste qui se voit sur les sous de l’an III de la première République reproduirait les traits de M™* Récamier, coiffée du bonnet phrygien.

Nécrologie. Alphée Dubois, le célèbre graveur en médailles et en pierres fines, est décédé le 6 septembre dernier & Clamart. a Paris en 1831, il était chevalier de la légion d’honneur. On se rappelle que ce fut lui qui fut chargé, par le Conseil fédéral, de graver la medaille officielle du sixième centenaire de la fondation de la Confe- deration. Cette œuvre, qui ne rallia pas tous les suffrages, fut même séverement critiquée par plusieurs, en particulier dans notre Bulletin de 1891.

Comptes rendus et notes bibliographiques. Traité de numismatique du moyen age, par Arthur ENGEL, ancien membre des Ecoles frangaises de Rome et d’Athénes, et Raymond SERRURE, expert; 3 vol. in-8 d’ensemble, 1459 p. avec 1968 fig. Paris, Ernest Leroux, t. I 1891, t. II 1894, t. III 1905.

Tous les amateurs de numismatique connaissent déjà depuis

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plusieurs années les précieux manuels, à la fois historiques et numis- matiques, consacrés par MM. Engel et Serrure à l’étude de toutes les monnaies émises dans les divers Etats de l’Europe, depuis la chute de l'empire romain d'Occident jusqu’à nos jours. Les auteurs les ont subdivisés en deux parties principales et leur ont donné deux titres différents; leur Traité de numismatique du moyen äge s'étend de la chute de l'empire romain jusqu'au xv° siècle; le Traité de numisma- tique moderne et contemporaine, en deux volumes d’inegale étendue, part de l'apparition des monnaies d'argent à flan épais et ne s'arrête qu’au commencement du xx° siècle. Mais les deux ouvrages forment un tout et se continuent sans nulle interruption ni changement de plan.

Les deux premiers volumes de la numismatique du moyen âge comprenant, l’un, toute la période barbare (Vandales, Burgondes, Wisigoths, etc.) et carolingienne, l’autre, toutes les monnaies des siècles suivants antérieures à l'apparition du gros d'argent, ont déjà vu le jour il y a une douzaine d’années, en 1891 et 1894, et avaient été suivis des deux volumes de numismatique moderne. Il existait donc, dans le grand tableau que MM. Engel et Serrure se proposaient de tracer, une lacune vivement regrettée, car elle portait sur la période si riche et si intéressante des xin°, xrv° et xv° siècles. La mort préma- turée de l’un des auteurs, M. Serrure, a certainement été la cause du long retard subi par la publication de cet indispensable complément de l’œuvre. Nous sommes heureux de pouvoir annoncer aujourd’hui que M. Engel a terminé l'œuvre commune et que le tome III de la Numismatique du moyen âge est digne de ses devanciers du moyen âge et des temps modernes. i

Le travail qui a été ainsi mené à bonne fin représente une somme colossale de recherches et d’efforts; il a exigé une extröme sagacité, des connaissances encyclopédiques, une expérience merveilleuse des monnaies et de leur lecture souvent si difficile au moyen äge.

Les collectionneurs trouveront tout dans ces précieux volumes : les elements de la bibliographie numismatique, la chronologie des person- nages au nom ou à l’effigie desquels sont les monnaies, les explications nécessaires sur le système monétaire et les modes de fabrication, sur les abreviations usitées dans les légendes, sur les imitations de types connus, etc. La longue Introduction par laquelle débute le tome premier est, à cet égard, un véritable vade mecum, non pas seulement pour les novices, mais encore pour les spécialistes. Puis, pour chaque pays, toutes les monnaies réellement intéressantes et typiques sont

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décrites avec soin, avec d’excellentes figures à l’appui. Partout la géographie historique marche de pair avec l’histoire monctaire.

Nous ne pouvons songer à donner ici un tableau, möme succinct, de ce que contiennent les trois volumes du moyen äge. Il faudrait transcrire les Tables des mutières, qui sont fort détaillées, et il ne nous semble pas qu’il y ait intérêt à le faire. Les auteurs passent en revue succes- sivement chacun des grands Etats ou des grandes régions politiques en lesquelles l’Europe a été partagée dans le cours des siècles; puis, dans chacune de ces grandes régions, ils étudient la numismatique des diverses petites souverainetés (principautés, villes, abbayes), qui avaient le droit de battre monnaie, en fournissant tous les renseigne- ments historiques nécessaires, tant sur ce droit en lui-méme que sur les personnages qui l’ont exercé. Ainsi, pour ne citer qu'un exemple pouvant spécialement intéresser les lecteurs suisses, dans le très long chapitre consacré à l’Allemagne de l’époque saxonne et franconienne, ils réservent un paragraphe spécial à la Souabe et à la Suisse, com- mencent par étudier les monnaies sorties des ateliers impériaux de Zurich et de Coire, puis passent en revue celles des évêchés de Bâle, de Constance et de Coire, des abbayes de Reichenau, Stein et Zurich; les bractéates carrées de Zofingue, de Berne, de Saint-Gall, etc. Dans la période suivante, du xım“ au xv* siècle, nous trouvons des para- graphes consacrés à l’évéché de Bâle, aux villes de Bâle, Soleure, Berne, Burgdorf, Fribourg, Lucerne, Saint-Gall, Zurich, Schaff- house, etc. Nous ajouterons, en passant, que le tome III renferme, à la fin, un très curieux chapitre sur les monnaies internationales (esterlin, gros tournois, florin d’or de Florence, mouton d’or de Jean le Bon, etc.), ainsi que sur les imitations et contrefaçons si fréquentes au moyen âge.

MM. Engel et Serrure ont rendu, par la publication de cette œuvre magistrale, à la science numismatique et à ses nombreux adeptes un service dont on ne saurait leur être assez reconnaissant.

Ernest LEHR.

Nicolò Paraporoui. Nicolò Tron e le sue monete (1471-1473). Milano, 1901, br. in-8 de 18 p. avec fig. dans le texte. (Extr. de la Rivista italiana di numismatica, 1901.)

En 1893, M. le comte Papadopoli a publié un premier volume sur le Monete di Venezia allant des origines du monnayage vénitien a Christophe Moro. Depuis lors, il travaille à la suite de cette histoire, dont on nous annonce la prochaine impression.

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La présente brochure en est un des chapitres parus dans la Rivista pour la plus grande satisfaction de ses lecteurs.

Comme tout ce qui sort de la plume de son auteur, la partie des- criptive, qui ne comprend ici que vingt-huit pièces, est précédée d’une notice historique marquée au coin de la plus süre erudition.

Si Nicolö Tron n’a pas frappé de nombreuses especes, son court passage & la téte des affaires publiques de sa patrie a eu une heureuse influence au point de vue économique; ce fut lui en effet qui réprima les désordres monétaires qui s'étaient introduits dans la puissante république, non sans en profiter cependant, car il fit figurer son propre portrait sur les monnaies, alors que cela était interdit par la loi.

Un autre chapitre inédit de cette même histoire monétaire est:

Nicolö Papadopoli, Sebastiano Venier e le sue monete(1577-1578), br. petit in-4 de 23 p. avec fig. dans le texte et couverture illustrée de deux blasons. |

Ce charmant opuscule est une publication de circonstance dédiée à la cousine de l’auteur, M”° Sophie Persico, à l’occasion de son mariage avec M. le comte Sébastien Venier, descendant du doge du même nom. Ce distingué magistrat mourut avant d’avoir achevé la dernière année de son règne à la suite du chagrin que lui causa un terrible incendie du palais des Doges, fléau qui amena la destruction de nombreux mémoires précieux et de trésors historiques et artistiques.

Le nombre des pièces de ce prince s’élève à soixante-huit. H.C.

Vicomte Baudoin de JonGuE. Sceau-matrice de Robert de Bavay, abbé de Villers (1761-1782). Bruxelles, 1904, br. in-8 de 9 p. avec fig. dans le texte. (Extr. des Annales de l Académie royale d'archéologie de Bruxelles.) |

Parmi les nombreuses notices consacrées par M. de Jonghe & la numismatique, il s’en trouve six faisant connaitre des sceaux rares ou ignorés; celle que nous analysons est de ce nombre.

L’ancienne abbaye de Villers fut bätie, en 1147, sur les bords de la Thil par S. Bernard, le célèbre fondateur de l'ordre des Cisterciens; elle exista jusqu’à la fin troublée du xvi siècle, époque elle partagea le sort que subirent de nombreux établissements religieux. Elle fut saccagée et brûlée par invasion française puis finalement abandonnée.

L'abbaye reconnaissait au temporel l'autorité du duc de Brabant; elle était sous la direction d'un abbé mitre et crossè choisi par le gouvernement des Pays-Bas parmi trois candidats présentés par les religieux.

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Robert de Bavay fut elu le 12 décembre 1764 en depit des propo- sitions faites; il fut titulaire de sa charge, remplie & la satisfaction de tous, pendant dix-sept ans.

Ce prelat se servait & l’ordinaire de deux sceaux; un troisiéme, celui dont on nous donne la description, était inconnu; il porte au centre un écu ovale trés ornementé aux armes blasonnées, posé sur deux crosses tournées en dehors et sommé de la mitre épiscopale.

I. R.

Nicolò PapapopoLi. Monete trovate nelle rovine del campanile di S. Marco. Milano, 1904, br. in-8 de 8 p. avec fig. dans le texte. (Extr. du Bollettino di numismatica, octobre 1904.)

Chargé d’examiner les monnaies trouvées dans les ruines du Cam- panile de Saint-Marc, & Venise, M. Papadopoli a écrit la présente note il consigne le résultat de ses observations.

Les pièces qui n’offraient aucune rareté étaient dispersées dans les diverses parties de l’édifice, elles avaient été égarées par les visi- teurs. On ne saurait admettre qu’elles fissent partie du méme trésor. Ce sont des pfennig de Henri IV de Bavière (1394-1450), des pfennig de Ferdinand I pour l’Autriche supérieure, pour la Carinthie et pour la Bohöme, des pfennig de Salzbourg et enfin de petites monnaies vénitiennes. Chose curieuse à constater, toutes ces pièces appartiennent au xv° et à la première moitié du xvi° siècle.

Si, regardées une à une, elles ne retiennent pas l'attention, le fait d'être réunies nous renseigne grâce à la science de l'honorable président de la Société italienne de numismatique sur une partie de l’histoire monétaire de Venise.

Sous le doge Fr. Foscari, la Monnaie de Venise frappa du billon en si minime quantité qu'on dut recourir à celui des pays voisins, spécia- lement à certains deniers de forme irrégulière, plutôt carrée que ronde, provenant d'Allemagne, d'Autriche et de Carinthie. Ce numé- raire circula à Venise pendant tout le xv° siècle.

Un décret du Conseil des Dix, rendu le 16 septembre 1497 et confirmé le 31 août 1499, décria ces monnaies appelées dezzi et ordonna la frappe de sous et de demi-sous d'argent.

M. Papadopoli croit que l’origine du mot dezzo doit être cherchée dans le batzen allemand, correspondant à bees en slave, ce qui signifie une petite monnuie.

Malgré sa consonnance exotique le mot be::0 se maintint dans la langue italienne et figure dans le Dictionnaire de la Crusca avec la

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signification d'argent monnayé. Encore aujourd’hui, dans le dialecte vénitien, beszo désigne une pièce de monnaie quelconque.

Par ces quelques extraits on voit combien la plus modeste trouvaille donne souvent lieu à d’interessantes digressions. H. C.

A. pe Wirrs. Un patagon de Charles II, roi d'Espagne, frappé à Tournai en 1667. Bruxelles, 1904, br. in-8 de 5 p. avec fig. dans le texte. (Extr. de lu Gazette numismatique, 1903-1904.)

Dans cette courte note, M. de Witte décrit un patagon inédit de Charles II, dont le type est bien connu, mais dont l'intérêt réside dans le millésime. Jusqu'ici, en effet, on admettait que l'atelier de Tournai avait cessé de fonctionner en 1665; or la pièce signalée recule de deux ans cette date. Elle prouve que cet atelier ferma ses portes l’année même les troupes du roi de France Louis XIV s’emparérent de la ville.

Ce précieux document se trouve dans les cartons de M. Ch. Dupriez, à Bruxelles. I. R.

A. DE Wirre. Une médaille de suinte Wivine, abbesse de Grand- Bigard. Bruxelles, 1904, br. in-8 de 5 p. avec fig. dans le texte. (Extr. de la Gazette numismatique, 1903-1904.)

Publication d'une de ces nombreuses médailles de sainteté qu'on rencontre dans les pays catholiques. Fabriquée au xvin° siècle, cette pièce se rapporte à sainte Wivine, qui fut fondatrice et première _ abbesse du couvent de Grand-Bigard; elle mourut à la fin de 1170. Le couvent était situé à une licue et demie au N.-O. de Bruxelles et fut supprimé en 1796. I. R.

Rudolf von Hörken. Numismatische Denkmäler auf den Protes- tantesmus in Oesterreich. Wien, 1904, br. in-8 de 35 p. avec 3 pl. et fig. dans le texte. (Extr. du Jahrbuch der Gesellschaft für die Geschichte des Protestuntismus in Oesterreich, XXV. Jahrgang.)

Les amateurs de pièces se rapportant à la Reformation n’ont, pour les guider dans le classement de leurs collections, que des ouvrages qui, pour n’étre pas sans valeur, datent de loin déjà. Tels sont ceux de Christian Junckler, de Christian Schlegel et de Heinrich Gottlieb Kreussler. Encore ces travaux traitent-ils plus spécialement des médailles relatives à Luther.

Si, pour ce domaine spécial de la numismatique, un livre est encore à faire, en revanche il a été écrit plusieurs notices sur quelques parties de ce vaste sujet; elles sont autant de contributions apportées à l’édi- fice qui doit s'élever un jour ou l’autre.

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De ce nombre est la brochure que nous signalons avec plaisir et qui se rapporte aux médailles réformées autrichiennes. Celles-ci ne sauraient être bien nombreuses, car chacun sait que l'Autriche est très attachée à la religion catholique et que les protestants n'y for- ment qu’une fort petite minorité. Des soixante dix-sept pièces décrites, quelques-unes ont un caractère historique et général, mais la plupart sont des prix des écoles de Styrie, de Carinthie, ete., ou des médailles des consistoires de Bohème, Moravie et Silésie. On n’y trouve pas de médailles à portraits; c’est ainsi qu'il n’y est question d'aucune piece à l'effigie de Jérôme de Prague ou à celle de Jean Huss, précurseurs lun et l’autre de la Réforme en Bohème, et qui furent brûlés vifs sur une place publique de Constance pour crime d’hérésie. L'auteur ne mentionne nous ne savons pourquoi aucune médaille des émi- grants de Salzbourg, au nombre d’une douzaine environ. Ce fait histo- rique, comparable à la Revocation de l’Edit de Nantes, est cependant assez important, puisque plusieurs milliers de personnes quittèrent leur patrie pour pouvoir rester fidèle à leur foi. H. C.

Lucien NaviLLe. Monnaies inédites de l Empire romain. Milano, 1904-1905, 2 br. in-8 de 8 et 22 p. avec 2 pl. (Extr. de la Rivista italiana di numismatica.)

La numismatique ancienne n'est certainement pas pratiquée en Suisse comme il serait a desirer. Rares en sont les amateurs parmi nous; aussi faut-il feliciter notre collégue de s’en étre épris et d’avoir rassemblé quelques belles series d’imperiales romaines, au nombre desquelles se trouvent plusieurs inédites. Dans le but d’ötre agréable à ses confrères il vient d’en faire connaître environ une soixantaine. Il en est parmi elles de totalement ignorées et d’autres qui ne se diffe- rencient de celles publiées précédemment que par de menus détails.

La plupart ne donne lieu qu’à une simple description, il y en existe, en revanche, d’autres qui retiennent davantage l'attention et soulèvent des questions difficiles à résoudre, tel l’aureus de Gallien frappé à Siscia (n° 6 de la brochure de 1904), avec un revers entièrement nou- veau, mais dont l’avers a fait couler pas mal d’encre. De toutes les explications tentées jusqu'ici pour justifier la présence d’une couronne d’epis ornant la tête de l’empereur, celle imaginée par Eckhel est peut-être la plus vraisemblable. Ce numismate supposait que Gallien avait voulu se faire représenter en Cérès. Notre collègue adopte cette explication mais substitue Proserpine à Cérès pour deux raisons que, pour notre part, nous estimons assez probantes.

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Nous voulons espérer que notre collégue réservera & notre Revue quelques observations au sujet des inédites que sa collection possède encore certainement. H. C.

Solone AmBrosoLI. Atlantino di monete papali moderne a sus- sidio del Cinagli. Milano, 1905, in-18 de XII et 131 pp. avec 200 fig. et 1 portrait (prix : 2 fr. 50).

L’ouvrage classique pour l’&tude des monnaies papales est: celui de Cinagli, paru en 1848. La pauvreté de son illustration en est un des points faibles.

Le conservateur actuel du cabinet numismatique du Vatican, M. le chevalier Camille Serafini, prépare un Catalogo delle monete e bolle pontificie del medagliere Vaticano, qui sera richement illustré. En attendant cette publication M. Ambrosoli a estimé faire ceuvre utile en éditant, avec le concours de M. U. Hoepli, le libraire bien connu de Milan, le petit atlas que nous annoncons. Destiné a servir de complément & l’ouvrage de Cinagli, il contient deux cents figures reproduisant les principaux types monétaires d’Urbain VIII (Barberini de Florence, 1623-1644) à Pie IX (Mastai Ferretti de Sinigaglia, 1846-1878).

Chacune de ces figures est accompagnée d’une courte description et de la valeur numismatique actuelle de la pièce qu’elle représente.

Ce petit volume, qui se termine par une table des légendes, renvoyant aux monnaies elles se lisent, sera certainement le bienvenu auprès des collectionneurs qui désirent aborder l’étude des monnaies papales. En mettant de côté le point de vue historique qui est considérable, elle procure à celui qui s’y livre une grande jouissance csthétique car, ainsi que nul ne l’ignore, les graveurs les plus renommés de la chrétienté ont travaillé pour les pontifes romains et ont, en maintes fois, produit de véritables chefs-d’ouvre. H. C.

Eugen Baron d'ALBon. Die Affuire Marschall. Wien, 1905, in-4 de 60 p. avec 4 pl.

La personnalité dont il est ici question est le réputé sculpteur viennois Rodolphe Marschall, qui a succédé à Tautenhayn dans la chaire de médaillistique près la cour impériale d’Autriche et qui vient d’étre nommé professeur de gravure à l’Académie des beaux-arts.

Cet artiste, jeune encore, a eu un très rapide avancement, ce que les évincés et les jaloux n’y en a-t-il pas? lui reprochent vivement.

On est allé jusqu’à l’accuser de s'être servi, pour le revers d’une de

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ses médailles, d’un dessin d’un autre et le signant de son propre nom, autrement dit d’être un vulgaire plagiaire.

M. d’Albon prend dans ces pages la défense de l'artiste attaqué.

H. C.

Vicomte Baudoin de Jonaue. Un denier noir frappé à Ypres, par Gui de Dampierre, comte de Flandre. Bruxelles, 1905, br. in-8 de 8 p. avec fig. dans le texte. (Extr. de la Revue belge de numis- matique, 1905.)

La ville d’Ypres, dont l’origine ne semble pas devoir être recher- chée plus avant que la seconde moitié du siècle, a atteint sa plus grande prospérité pendant les xn° et xin° siècles. Elle comptait alors deux cent mille habitants et possédait sept églises paroissiales et quatre mille métiers à tisser la laine. Ce fut en 1247 que se construi- sirent ces fameuses halles qui sont encore aujourd’hui tout son orgueil et que connaissent, au moins de réputation, ceux qui admirent les chefs-d’ceuvre de l’art sous quelle forme que ce soit.

Ypres à l'apogée de sa puissance était sous la domination de Gui de Dampierre, le seul des comtes de Flandre qui ait frappé, dans cette localité, monnaie à son nom. La preuve de ce monnayage se trouve dans deux documents et un gros à l'aigle, publiés tous trois par V. Gaillard dans son ouvrage sur les monnaies des comtes de Flandre.

Jusqu'à ces derniers temps on ne connaissait que cette unique pièce; précieux reste d’une activité monétaire qui doit avoir été assez consi- dérable ainsi que semblent l’attester les documents preeites. Il était réservé à M. de Jonghe d’en découvrir et d’en publier un nouveau témoin qui consiste en un petit denier noir ct qui constitue l’un des fleurons de la numismatique flamande. I. R.

Vicomte Baudoin de Jonane. Les monnaies de Guillaume de Bronckhorst, baron de Gronsveld (1559-1563). Bruxelles, 1905, br. in-8 de 8 p. avec fig. dans le texte. (Extr. de la Revue beige de numis- matique, 1905.)

Après quelques developpements historiques destines à nous ins- truire sur le comté de Gronsveld et à nous renseigner sur la per- sonne de Guillaume de Bronckhorst, titulaire de cette seigneurie pendant quatre ans, on nous fait la description d’un réjder d'or et d’un quart-d’écu d’argent au nom de ce dynaste. Ces deux rares monnaies n'étaient pas complètement inédites. Le savant auteur hol- landais van der Chijs les avait déjà décrites, mais ne les ayant pas vues en nature, il l'avait fait d'après d'anciens tarifs à l'usage des

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changeurs. Ces quelques pages qui attirent de nouveau l’attention sur elles ne sont certainement pas inutiles. I. R.

Alphonse pe WirtE. Monnaie de Bruxelles. Exposition univer- selle et internationale de Liège, 1905. La médaille en Belgique au xıx° siècle. Bruxelles, 1905, br. in-8 de 40 p. avec 2 pl.

Comme toutes les entreprises similaires, l’exposition universelle de Liege a fait gémir les presses typographiques. Elle nous a valu, en tout cas, ce bref apercu sur l’histoire de la médaille en Belgique au cours du siècle dernier. Il est venu à son heure puisque de tous cötes des efforts sont faits pour rénover et encourager l’art du médailleur.

Pour cela, ce qui s’impose des l’abord c’est la connaissance, au moins sommaire, des artistes qui nous ont précédés. M. de Witte, en ce qui concerne son pays, nous aide de toutes ses forces à nous la faire acquerir.

Charge par le gouvernement belge du classement des médailles exposées à Liege par la Monnaie de Bruxelles, grâce aussi à ses études antérieures, nul plus que lui n’était capable de mener à bien ce travail qui devrait ètre imité ailleurs.

L’auteur y resume d’une facon aussi breve que claire et instructive l’histoire de la gravure en médailles en Belgique depuis le départ de Théodore van Berckhel en 1794, c’est-a-dire du moment la Repu- blique francaise annexa ce pays, jusqu'à nos jours.

Apres la chute du régime autrichien il n’y eut plus dans les pro- vinces belges aucun médailleur digne de ce nom; résultat en partie aux lois françaises qui interdisaient aux particuliers la frappe au balancier. Pour les pieces dont on avait besoin, on s’adressait à Paris, ou elles étaient gravées au trait par les artistes du pays. Parmi eux plusieurs n'étaient pas sans talent.

Lorsque la puissance napoléonienne eut été anéantie, ce furent encore des artistes français qui travaillèrent à la cour des Pays-Bas. Il faut arriver à Jean-Henri Simon pour être en présence d’un graveur du pays.

La Révolution de 1830 sépara la Belgique de la Hollande, en en faisant une nation indépendante; ce fut alors Joseph Braemt qui grava de 1832 à 1864 les monnaies du nouveau royaume. A côté de lui, de nombreux artistes s’occupérent de la gravure en médailles. Les plus connus de l'étranger sont certainement les trois frères Wiener.

Actuellement, la Belgique compte toute une pléiade de burins distingués, parmi lesquels quelques-uns ont atteint une renommée européenne.

"OT ==

Le plus remarquable de ceux-ci est sans contredit Godefroid Devreese, à qui M. de Witte a consacré autre part une Biographie avec catalogue de son œuvre !. On peut juger de la maîtrise de cet artiste, en jetant un coup d'œil, soit sur la médaille de l'exposition internationale des beaux-arts de Liège, soit sur les deux planches qui accompagnent le Catalogue et qui reproduisent un certain nombre de ses chefs-d’ceuvre. |

L'auteur qui, au début de son travail, avait indiqué les diverses manières de faire une médaille, termine par une liste biographique des médailleurs belges du x1x° siècle cités au cours de sa brochure.

H. C.

A. DE Wirtr. Deux monnaies liégeoises inédites de la collection de S. A. S. le duc @ Arenberg. Bruxelles, 1905, br. in-8 de 8 p. avec fig. dans le texte. (Extr. de la Revue belge de numismatique, 1905.)

Des deux monnaies décrites ici pour la première fois, l’une est un double patard de Guillaume de la Marck, troisième fils de Jean, sire d’Arenberg et de Sedan; c’est une pièce capitale pour l’histoire moné- taire de l'évêché de Liège et que M. le baron de Chestret, dans sa Numismatique de la principauté de Liège, pourtant si complète, déclarait n'avoir jamais rencontré. L'autre est une pièce d’or d’une valeur probable de 21 aidants. (L’aidant 24 sous de Liège), frappée par le frère du précédent, Everard de la Marck (1488-1489).

Ces deux petits monuments monétaires font partie de la collection de S. A. S. le duc d’Arenberg, laquelle comprend deux mille monnaies, jetons et médailles se rapportant à sa famille. H. C.

A. Droz-Farny. Notice historique sur une méduille jurassienne. Porrentruy, 1905, br. in-8 de 12 p. avec 1 pl.

La médaille dont il est ici question est celle qu’offrit en 1838, la Société géologique de France à cinq petites villes suisses du Jura en souvenir de la réception qui lui fut faite dans ces localités.

Bien que cette belle pièce, due au burin de B. Andrieu, soit très rare, elle n’est cependant pas inconnue; l’intérét de la notice que lui consacre M. Droz-Farny ne réside done pas dans la description qu'il en fait, mais bien dans les documents qu’il a retrouvés et qui concernent soit la réunion de cette association scientifique, soit la médaille elle- même. I. R.

Karl Anporrer. Schiller-Medaillen. Wien, 1905, br. in-8 de

1 Gasette numismatique française, t. IX, 1903, p. 337-353 avec pl.

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30 p. avec fig. dans le texte. Travail écrit à l'occasion du centième anniversaire de la mort de Schiller, et donné en supplement du pre- mier volume de la Zeitschrift für Münz- und Medaillenkunde.

(Juatre vingt-treize médailles à l’effigie du sublime poete y sont décrites ; de ce nombre, soixante et onze étaient visibles à l’exposition Schiller, organisée, en mai 1905, au Musée impérial et royal d’art et d'industrie, et vingt-deux autres ont été frappees, en divers lieux, pour commémorer le centenaire. L’auteur ne parait toutefois pas avoir eu connaissance des médailles gravées en Suisse, car il ne mentionne pas les pieces dues au talent de Hans Frei et de Jean Kaufmann. S'il

ne les connaît pas, nous nous permettons de les lui signaler pour son

Nachtrag,

Notre pays ne pouvait cependant pas rester en arriére pour honorer la mémoire du plus grand écrivain qui a le mieux décrit sa nature grandiose, de celui à qui nous sommes redevables du drame qui célébre le plus légendaire et le plus connu de nos héros et que nous considérons, de ce fait, un peu comme l’un des nôtres. H. C.

- Du Croce, H.-G. Kalalogus munt en penningverzameling van het kon. ned. Genootschap voor munt en penningkunde. Amsterdam, J. Müller, 1901.

Notre confrère M. H.-G. Ducrocq, conservateur des collections de la bibliothèque de la Société néerlandaise de numismatique, vient de publier le catalogue de la collection de la société. Celle-ci renferme déjà 1586 numeros en monnaies et medailles de tous genres, mais surtout hollandaises. La collection n’a pas de budget spécial mais s'enrichit seulement des dons des membres et des envois de medailles modernes que les éditeurs adressent a la Revue hollandaise pour qu'il en soit rendu compte. Naturellement ce n’est pas encore bien brillant, mais la publication de ce catalogue amenera certainement d’autres donations et invitera les membres de la société à faire un choix dans leurs doublets pour augmenter cette intéressante collection.

Tout en recommandant cette genereuse initiative, nous rappelons è nos membres que la Société suisse de numismatique a aussi une petite collection qui commence à s’enrichir, et que les envois seront aussi les bienvenus à l’adresse de M. Henri Cailler, 56, rue du Rhône, à Genève. Le nombre des donateurs de la collection de la Société hollandaise s’eleve a 105. Nous sommes heureux d’y rencontrer les noms de nombreux membres de la Société suisse de numismatique. Le catalogue, très sommaire, est classé d’apres les descriptions des

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ouvrages de Van Mieris, Van Loon, Dugniolle, Verkade et Stephanik pour ce qui concerne la partie hollandaise et belge. P.-Ch. S.

STORER, Horatio-R. The medals of Benjamin Rush, obstetrician. Chicago, 1889, in-12. Boston medical Library, Report 36, 37, 38. Boston, 1899 —1901, 3 livr. in-8. The medals, jetons and tokens illustrative to obstetrics and gynecology. Newport, 1897. (Ext. de New England Medical Monthly. American Journal of numismatics, 1906, livr. de janvier).

Le savant médecin americain continue dans ces diverses publica- tions l’inventaire si complet commencé il y a bien des années dans le journal américain de numismatique, donnant de courtes descriptions de toutes les médailles ayant rapport aux médecins et à l’hygiène. Ce travail, très consciencieux et tenu constamment & jour, forme un excellent répertoire pour les amateurs de cette spécialité.

Il serait desirable que l’auteur puisse reimprimer en le coordonnant ce long répertoire; son utilité y gagnerait. Un de nos regrettés col- lègues, le D" Brettauer, de Trieste, qui possédait l’une des plus belles collections de monnaies et médailles médicales, a légué ses trésors à l’Université de Vienne. Il avait fait un répertoire manuscrit très com- plet, qu'il transportait continuellement avec lui et il inscrivait non seulement les pièces qu’il possédait, mais toutes celles qui se trou- vaient décrites dans les auteurs ou qu'il observait dans les collections visitées par lui.

L’Université de Vienne est sans doute en possession de cet intéres- sant manuscrit. Le meilleur témoignage de reconnaissance qu'elle pourrait donner à la mémoire de feu Joseph Brettauer serait de publier en un volume cette compilation, fruit de plus de quarante années passées & lire, noter et collectionner tout ce qui rentre dans cette spécialité.

Avec le travail de M. Horatio Storer et le livre de Joseph Brettauer, nous aurions un inventaire certainement aussi complet que possible.

P.-Ch. 8.

BARRFELDT, D" Emil. Zur Anhaltischen Münzgeschichte. (Extr. de Wiener Numism. Zeitschrift, 1905.)

Ce travail interessant complète l’ouvrage du D" Théodore Elze, retrouvé dans sa succession et publié par le Luschin von Eben- greuth. Il contient de nombreux compléments et des rectifications qui seront d’une grande utilité pour les spécialistes. Il donne en même temps une bibliographie complète du sujet. P.-Ch. 8.

REVUE NUM. T. XII. 19

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F. Lenzi et G. Giuccrarpini. Un ripostiglio di quattrini a Monte San Savino. (Extr. de Rassegna numismatica, 2, Marzo 1906).

Trouvaille de petites piéces de cuivre italiennes contenant de nom- breuses varietes nouvelles. Encore une contribution au futur Corpus nummorum italorum.

Dompierre DE CHAUFEPIE, D' H. J. pe. Koninklijk Kabinet van munten, penningen en gesneden steenen ’s Gravenhage. Catalogus der Nederlandsche en op Nederland beirekking hebbende gedenkpen- ningen. T. II, 1703-1813. ’s Gravenhage 1906.

Le premier volume de cet important catalogue a paru il y a quel- ques années et rend de trés grands services aux amateurs de medailles des Pays-Bas. Il coordonne dans l’ordre chronologique toutes les descriptions des ouvrages précédents et des grands catalogues de vente, tout en donnant l’inventaire du plus important cabinet hollan- dais, celui du musee royal de La Haye. A chacune des descriptions sommaires de cet inventaire sont jointes les indications sur le graveur et les citations bibliographiques. Ce second volume termine l’ouvrage et va jusqu'à la date de 1813; le nombre des pièces décrites est de 3961; il est accompagné de plarches en phototypie reproduisant les pièces les plus curieuses. Un index détaillé des noms des personnages, graveurs, localités et faits historiques permet de retrouver très promp- tement ce qui intéresse le collectionneur ne recherchant que des groupements secondaires. Les personnes s’interessant sp&cialement è la Suisse trouveront dans cet inventaire une foule de notices utiles sur les pièces gravées par nos compatriotes et de nombreuses medailles se rapportant & des personnages ou des événements relatifs a la Suisse et surtout à la réformation et au protestantisme. Le prix modi- que de cet ouvrage le met & la portée de tous, ce qui est aussi un mérite en numismatique.

Tous nos remerciements à notre savant et très actif collègue, qui continue à publier son admirable recueil de médailles des graveurs contemporains chez l'éditeur Kleinmann, à Harlem. P.-Ch. S.

Dépouillement des périodiques.

Amer. journ. of. num. = American journal of numismatic.

Anz. für schweiz. Alt. = Anzeiger für schweizerische Altertumskunde. Arch. für Bract. —= Archiv für Bracteatenkunde.

Arch. her. suisses = Archives héraldiques suisses.

Berl. Münzbl. = Berliner Münzblätter.

BI. f. Münzfr. = Blätter für Münzfreunde.

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Boll. di num. = Bollettino di numismatica.

Bull. num. S. = Bulletin de numismatique (Serrure). Gaz. num. D. = La Gazette numismatique (Dupriez). Gaz. num. franc. = Gazette numismatique francaise. Giorn. arald. == Giornale araldico-genealogico-diplomatico . Journ. coll. = Journal des Collectionneurs.

Mitth. der bayer. num. Ges. = Mittheilungen der bayerischen numismatischen Gesellschaft.

Mitth. des Klubs der Münz- u. Medaillenfr. in W. = Mittheilungen des Klubs der Münz- und Medaillenfreunde in Wien.

Mitth. der cest. Ges. f. Münz. u. Medaillenk. = Mittheilungen der cesterreichischen Gesellschaft für Münz- und Medaillenkunde.

Monatsbl. der k. k. her. Ges. Adler = Monatsblatt der k. k. heraldischen Gesell- schaft « Adler ».

Monatsbl. der num. Ges. in W. = Monatsblatt der numismatischen Gesellschaft in Wien.

Month. num. Circ. = Monthly numismatic Circular.

Num. Chron. = Numismatic Chronicle.

Num. Közlöny = Numizmatikai Közlöny.

Num. Zeitschr. = Numismatische Zeitschrift.

Rass. num. = Rassegna numismatica.

Rev. belge = Revue belge de numismatique.

Rev. frane. = Revue numismatique.

Riv. ital. Rivista italiana di numismatica.

Tijd. van het Ned. Gen. = Tijdschrift van het koninklijk Nederlandsch Genoot- schap voor munt en penningkunde.

Vjesnik = Vjesnik hrvatskoga arheoloskoga drustva.

Wiadomosci = Wiadomosei numizmatyezno-archeologiezne.

Zeitschr. f. Münz- u. Medaillenk. = Zeitschrift für Münz- und Medaillenkunde.

Zeitschr. für Num. Zeitschrift für Numismatik.

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999

1905, p. 119). Serafino Ricci. Medaglistica. La medaglia-ricordo del traforo del Sempione, avec fig. (Boll. di num., 1905, p. 58). Arnold Roger. La seigneurie de Franquemont, partie, avec fig. (Month.num. Cire., 1905, col. 8632, 8700). P.-Ch. StreEnLiın. Medaille soleuroise inédite, avec fig. (Journ. collect., 1904-1905, p. 54 Médaille en argent coulé de la fin du xvn° siècle). P.-Ch. S[trRERLIN]. Médaille de Schiller, gravée par J. Kaufmann l'occasion du Fritschizug lucernois de 1905], avec fig. (Zbid., p. 114). P.-Ch. S[TRŒHLIN]. Médaillons de M"° Fulpius, avec fig. (Ibid., p. 143. Plaquette de la Fête des vignerons. M"° Noémie Dide. Auguste Dide, auteur de la Fin des religions). F.-A. ZETTER-Coruın. Die alte Münze in Solothurn. (Anz. für schweis. Alt., 1904-1905, p. 165). Voir aussi: Moyen age, R. von HOFKEN.

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293

Medaille fietive de Troie au type du porc et fabriquee probablement dans les pays slaves danubiens). Rev. A. Hanps. Common greek coins, avec fig. (Month. num. Circ., 1905, col. 8057, 8121, 8251, 8322, 8377, 8449, 8513, 8569, 8625, 8697, 8762). Henry H. Howorru. Some notes on coins attributed to Parthia (Num Chron., 1905, p. 209, avec pl. X). R. Jameson. Quelques pièces de la série des Séleucides (Rev. franc., 1905, p. 1, avec pl. I). [?] La monnaie de fer des Spartiates (Gaz. num. D., 1904-1905, p. 66; extr. de la Revue beige des sciences ct de leurs applications, année, 17). Caruso Lanza. Spiegazione storica delle monete di Agrigento (suite et fin) (Riv. ital., 1904, p. 431). E. J. Rapson. Ancient silver coins from Baluchistan (Num. Chron., 1904, p. 311, avec pl. XVII). K. Reauınc. Zur griechischen Münzkunde. IV. (Thera Bithynium Lycia) (Zeitschr. f. Num., t. XXV, p. 39). K. RegLIna. Ein Tri- drachmon von Byzantion (Ibid.,p. 207, avec pl. VIT).— Salomon Rernacu. A stele from Abonuteichos (Num. Chron., 1905, p. 113). Frank Benson SHERMAN. Ancient greek coins (suite) (Amer. journ. of num., t. XXXIX, pp. 29, 93, avec 1 pl.; t. XL, p. 29, avec 1 pl.) Barone Alberto Simonetti. Numismatica della Magna Grecia (suite) (Boll. di num., 1905, pp. 5, 53, 101). R. Wai. Das Münzmonopol Athens im ersten attischen Seebund, av. fig. (Zeitschr. für Num.,t. XXV, p- 52). Warwick Wrorn. Greek coins acquired by the British Museum in 1903 (Num. Chron., 1904, p. 289, avec pl. XV-XVI). Warwick Wrorn. The earliest parthian coins : a reply to sir Henry Howorth (Ibid., 1905, p. 317). Warwick Wrorn. Select greek coins in the British Museum (Zbid., p. 324, avec pl. XIV-XV).

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994

in peso dell’ asse romano e l’usura in Roma nel ıv° e secolo av. G. C. (suite) (Ziass. num., 1905, pp. 3, 17).— L. Forrer. Un sou d’or de Maxime (Magnus Maximus) frappé à Londres, avec fig. (Bull. num. S., 1905, p- 33). Fr. Gxeccur. Appunti di numismatica romana. LXIV. I medaglioni ex-Vaticani (iv. ital, 1905, p. 11 avec pl. D. LXV. Gabinetto Vaticano, medaglioni romani inediti o varianti (Ib:d., p. 149). LXVI. Scavi di Roma nel 1904 (Ibid., p. 161.) LXVII. L'ultima delle monete Postume (Ibid., p. 164). LXVIII. Le monete di Stagno (Ibid., p. 167). LXIX. Le monete argentate (Ibid., p. 171, avec pl. IV-VD.— LXX. Le personificazioni allegoriche sulle monete imperiali (Ibid., p. 349, avec pl. XII-XVII. Mémoire lu au Congrès international des sciences historiques de Rome, avril 1903). LXXI. I medaglioni unilaterali (Idid., p. 421). LXXII. Un nuovo (?) medaglione d’Albino, avec pl. XIX. LXXIII. Unico e nuovo (?) medaglione di Pertinace, avec fig. (Ibéd., p. 465). Ödön Gout. Maximianus Herc. arany medaillonja, avec fig. [Publication d’un médaillon d’or de Maximien Hercules trouvé a Szar (Hongrie) et pesant 26 gr. 55] (Num. Közlony, 1905, p. 85.— Dr. jur. E.-J. HzserLın. Zum Corpus numorum aeris gravis. Die Systematik des ältesten römischen Münzwesens (Berl. Münzbl., 1905, pp. 107, 141, 165, 206). L. L. Contributi al Corpus delle falsificazioni, avec fig. (Boll. di num., 1905, p. 29). Andreas Mark. Weder Mediolanum, noch Ticinum sondern Tarraco (fin) (Monatsbl. der num. Ges. in W., 1905, p. 285). Andreas MargL. Schlussbemerkung zur Frage, ob Mediolanum, Ticinum oder Tarraco (Ibid., pp. 339, 351). Andreas Markt. Die Reichsmünzstätte in Serdica (Num. Zeitschr., t. XXXVI, p. 35). J. Maurice. L’iconographie par les médailles des empereurs romains de la fin du et 1v° siècles (Rev. franç., 1904, p. 473, avec pl. IX- XI; 1905, pp. 177, 470, avec pl. IV-VII, X-XI et fig. dans le texte). J. Maurice. L’atelier monétaire d’Arles pendant la période constan- tinienne, de 313 à 337 (Riv. ital., 1905, p. 43, avec pl. II). Jules Maurice. L'atelier monétaire d'Héraclée de Thrace pendant la période constantinienne À. D. 305-337 (Num. Chron., 1905, p. 120, avec pl. VI). Jules Maurice. L'atelier monétaire de Cyzique pendant la période constantinienne (Zeitschr. für Num., t. XXV, p. 129, avec pl. V-VI). J. G. Minne. Roman coin moulds from Egypt (Num. Chron., 1905, p. 342). P. Monti, Lod. Larrrancui. Non « Tarraco » ma sempre « Ticinum e Mediolanum » (Boll. di num., 1905, p. 7). P. Mont, Lod. Larrranchı. La data di coniazione delle monete di Elena nella

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zecca di Antiochia, avec fig. (Ibid., p. 55). P. Monti, Lod. LAFFRANCHI. Per concludere interno alla zecca di « Ticinum ». Ris- posta definitiva al Signor Markl (Idid., p. 95). P. Monrı, Lod. LarrrancHi. Le ultime monete degli imperatori Diocleziano e Massimiano, avec fig. (Zbid., p. 125). P. Monti, Lod. LAFFRANCHI. Costantino II Augusto (Riv. ital, 1905, p. 389). Lucien NAVILLE. Monnaies inédites de l’empire romain (Ibid., 1904, p. 457, avec pl. XV et fig. dans le texte; 1905, pp. 178, 480, avec pl. VIII et fig. dans le texte). Georges N. OLcorr. Notes on roman coins (suite) (Amer. journ. of num., t. XXXIX, p. 61; XL, p. 37). Giovanni Pansa. Due meda- glioni cerchiati e a tipo unilaterale, avec fig. (Riv. ital., 1905, p. 415). M. Piccione. Un aureo di Pompeo, avec fig. (Rass. num., 1904, p. 113; 1905, p. 22). Matteo Piccione. Per l’aureo di 8. Pompeo di Firenze, avec fig. (Ibid., 1905, p. 55). Kurt. Rearing. Ein Medaillon des Honorius, avec fig. (Berl. Münzbl., 1905, p. 71). Gyula Rus. Szarmata érem a Veszprém-varmegyei muzeumban, avec fig. (Num. Közlöny, 1905, p. 67. [Amulette sarmate du musée de Veszprem, Hongrie]. P. Srerriner. I ritratti degli imperator romani sulle monete, avec fig. (Riv. ital., 1905, p. 175). P.-Ch. S{tREeHLIN]. Les marques d’ateliers sur les monnaies impériales romaines et byzantines (Journ. coll., 1904-1905, p. 83). H. Wiers. Italische Bronze- barren aus der letzten Zeit des Rohkupfergeldes, avec fig. (Num. Zeitschr., t. XXXVI, p. 1).

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29%

avec fig. (Riv. ital., 1904, p. 475). [?] Anfertigung der Münzstempel für Bistum Verden in Hildesheim (Bl. f. Münzfr., 1905, col. 3278). Emil BaÒreeLpr. Zur Münzgeschichte der Reichsstadt Worms im Mittelalter (Berl. Münzbl., 1905, pp. 1, 21, 119, 137, avec pl. VIII). Emil Baurreuor. Zwei Bracteaten der Grafen von Wettin, avec fig. (Zbid., p. 37). Emil BaHRrELDT. Ein unbekannter Stal der Stadt Teschen, avec fig. (Zbid., p. 183). A. Barrerrı. Grossi di Nicolò Maltraversi nella zecca di Reggio dell’ Emilia (Rass. num., 1905, p. 58). A. de BartHéLEMy. Numismatique elunisienne (Rev. franç., 1905, p. 14). Ed. Bernays. Un timbez de Guillaume II, comte de Namur (1391-1418) émis en exécution de l’ordonnance du 12 décembre 1417, avec fig. (Rev. beige, 1905, p. 165). Gerolamo Biscaro. Un docu- mento del secolo xır sulla zecca pavese (Riv. ital, 1905, p. 277). Emile Bonnet. Des variations de valeur de la monnaie melgorienne (Bull. num. S., 1905, pp. 46, 73). Dr Josef Brunsmin. A legregibb horvat penzek (Num. Közlöny, 1905, p. 1. L’auteur restitue è la Croatie quelques monnaies qu’on attribuait jusqu’ici & la Hongrie ou à la Dalmatie. Ces pièces furent frappées par André, roi de Hongrie, lorsqu’il n’etait encore que prince heritier et qu'il portait seulement le titre de duc de Croatie; selon l’auteur, elles sont antérieures à 1203). H. BucHenau. Eine in Erfurt gefundene Bracteatenbüchse (Arch. für Bract., t. IV, p. 240, avec fig. 18-19 de la pl. 59). H. Bucuenauv. Ein Magdeburger Bracteat des Kaisers Friedrich II. (Ibrd., p. 243, avec fig. 23-25 de la pl. 59). H. Buctenau. Aeltere Hohlmünzen der Grafen von Hoya, avec fig. (Zbid., p. 248). IL. B[ucHENAU]. Zwei Mittelaltermünzen von Quedlinburg und Iserlohn (Gfsch. Mark) (BI. f. Münzfr., 1905, col. 3277, avec fig. 4 de la pl. 158). H. B[ucHENAU]. Ueber zwei friesische Denare des x1. Jahrhunderts, avec fig. (Ibid., col. 3287). H. B[ucHENnAU]. Brakteaten der Herren von Schlotheim. (Ibid., col. 3324, avec fig. 31-35 de la pl. 159). H. B[ucnenav]. Brakteat des Grafen Ludolf II. von Hallermund, avec fig. (Ibid., col. 3358). II. B|uchexau]. Denar von llofgeismar (Ibid., col 3358, avec fig. 38 de la pl. 160). H. B[ucuenau]. Notiz über Dornburg und andere Münzstätten im mittleren Saalegebiet, avec fig. (Ibid., col. 3368, 3380, 3394). H. Blucuenau]. Geldern oder Gerdringen ? (Ibid., col. 3377. Question soulevée à propos d'un denier parisis trouve à Amiens et dont MM. Collombier et P. Bordeaux donnent la des- cription Rev. frang. 1905, pp. 219-230). H. Bucnenav. Vermutlich hessischer llohlpfennig (Ibid., col. 3420, avec fig. 17 de la pl. 161).

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P. W. P. Carzyon-Brirron. Edward the Confessor and his coins (Num. Chron., 1905, p. 178, avec pl. VII-VIII). —. Comte de CasTELLANE. Le gros tournois de Charles d’Anjou et le gros tournois du roi de France au chatel fleurdelisé, avec fig. (Rev. frunc., 1904, p- 533). Comte de CastELLANE. Denier inédit des comtes de Saint- Pol, avec fig. (Ibid., 1905, p. 499). Baron de CHESTREST DE HANEFFE. Monnaies inédites du xi° et du xır siècle découvertes la plupart à Maestricht en 1856 (Rev. belge, 1905, p. 437, avec pl. XI). F. Cor- LOMBIER et P. BorpEAux. Deniers parisis inédits de Jean le Bon, roi de France, et de Charles IV, roi des Romains, avec fig. (Rev. franc., 1905, p. 218). H. DannenBerg. Nachträge zu Dannenbergs « Die deutschen Münzen der sächsischen und fränkischen Kaiserzeit », Band I bis III (suite) (Berl. Münzbl., 1905, pp. 115, 162, 188, 202). H. DAnNENBERG. Die ältesten Münzen Ostsachsens (Num. Zeitschr., t. XXXVI, p. 123, avec pl. H-HI). Eug. Demore. La zecca dei conti del genevese ad Annecy (1356-1391). Documenti (suite) (Riv. etal., 1904, p. 479). [?] Drei thüringische Reiterbrakteaten (Bi. f. Münzfr., 1905, col. 3378, avec fig. 2-4 de la pl. 161). [?] Ein unbe- stimmter mittelrheinischer ? Denar (um 1110-1150) avec fig. (Bi. f. Münzfr., 1905, col. 3291). [?] Ein Sterling des Grafen Walram von Spanheim (1337-1380), avec fig. (Ibid., col. 3292). [?] Ein säch- sisches Münzmandat von 1435 über die Groschen- (und Pfennig-) münzen zu Gotha, Schmalkalden und Schleusingen (Ibid., col. 3293). [?} Ein Brakteat des Kaisers Friedrich I. (Barbarossa) und seiner Gemahlin Beatrix von Burgund, avec fig. (Ibid., col. 3323). Dr W. ExngeLs. Ein neuer Stempel der Wewelinghöfer Wilhelms von 's Heerenberg (1354-87) (Ibid., 3366, avec fig. 36 de la pl. 160). D. FiascHi. Spigolature d’archivio (ass. num., 1905, pp. 25, 40, 63). F. Friepenssure. Neue Studien zur schlesischen Bracteaten- kunde (Arch. für Bruct., t. IV, p. 225 avec fig. 20-22 de la pl. 59). Dott. Giuseppe GiorceLLI. Una zecca piemontese medioevale sco- nosciuta (Boll. di num., 1905, p. 19). Antonino Grassi-GRASssI. Intorno alle presunte monete dei Chiaramonte, avec réponse de M. Serafino Ricci (Boll. di num., 1905, p. 38). Guglielmo GRILLo. Un genovino d’oro sconosciuto, avec fig. (Ibid., p. 117). E. Heuser. Die frühesten Prägungen der Stadt Worms (Arch. für Bract., t. IV, p. 278, avec fig. 1-5 de la pl. 60). R. von llörken. Zur Bracteaten- kunde Süddeutschlands. XIX. Ein Bracteat Abt Ulrichs VII. von St. Gallen, avec fig. 16 de la pl. 59.— XX. Die Lindauer Bracteaten-

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typen, avec fig. 14 et 19 de la pl. 3; 1 de la pl. 5; 23 de la pl. 17; 17 de la pl. 22; 32 de la pl. 36; 10 de la pl. 57; 8-15 de la pl. 59. XXI. Weingarten, avec fig. (Ibid., p. 253). R. von HOrken. Vorder- österreichische Pfennige (Ibid., p. 294). [?] Hohlpfennig, vermutlich aus der honsteinischen Münzstätte Greussen (Bl. f. Münzfr., 1905, col. 3417, avec fig. 20 de la pl. 161). A. HoLLEsTELLE. Afleiding en verbinding. Het pond groot f. 63.00 en enkele andere (suite) II. Het pond groot van f. 42.00 (Tijd. van het Ned. Gen., 1905, p. 233). Th. KrrscH. Betrachtungen über Münztypen und einzelne Münzen der Grafschaft Mark (Berl. Münzbl., 1905, pp. 159, 186). Walery KostrzBesKi. O denarach stowian zwanych wendyjskimi (suite) ( Wia- domosci, 1904, col. 139, 181, avec pl. II-III_; 1905, col. 223, 293, 323 avec fig.) Edouard Kovärs. Istvan arany penze (Num. Közlöny, 1905, p. 33. L'auteur publie une notice contenant la mention d’une monnaie d’or du roi Etienne IV de Hongrie). L. A. LAWRENCE. The coinage of Henry IV (Num. Chron., 1905, p. 83, avec pl. V). L. D. Notice sur quelques deniers mérovingiens provenant de la trou- vaille de Bais (Ille-et-Vilaine) et de quelques autres trouvailles, avec fig. (Bull. num. S., 1905, p. 107). M. Hewlett LioxecL. Anglo-gallic coins (Num. Chron., 1905, p. 364, avec pl. XVI-XVII. A. Lasını. Un denaro della contessa Richilda, avec fig. (Rass. num., 1904, p. 117). A. Lisini. Ancora la moneta della contessa Richilda, avec fig. (Ibid., 1905, p. 67). M. de M[ax]. Monogramletters op denarii van Pepijn den Korte (Tijd. van het Ned. Gen., 1905; p. 298). K. Marrinori. Provisino inedito di Bonifacio IX papa (1389-1404), avec fig. (Riv. <tal., 1905, p. 89).— [?] Merowinger Triens des « Theu- denus Monetarius » (Bl. f. Münzfr., 1905, col. 3416). Theodor Meyer. Drei seltene hessische Münzen des 15. Jahrhunderts (Ibid., col. 3391). ([?] Nachricht über den Münzmeister Bertold zu Lutterode und Nordhausen (Ibid., col. 3360). [?] Nachricht über Geld und Münze in Kiel im 14. Jahrhundert (Ibid., col. 3397). R. NibrowsKi. Gemeinschaftsmünzen, avec fig. (Month. num. Circ., 1905, col. 8205). Philip NeLson. Plumbago mould for the fabrica- tion of coins of Henry VII (Num. Chron., 1905, p. 205, avec pl. IX). Alfred Noss. Ein Gulden des Erzbischofs Walram von Köln (1332- 1349), avec fig. (Berl. Münzbl., 1905, p. 103). Nicolò Parapopoti. Un denaro della contessa Richlide ? (Rev. ital, 1905, p. 111. Réponse à un article de la Rass. num., 1904, p. 117). Francis P£ror. Les monetaires mérovingiens restitués au Bourbonnais (Bull. num. S.,

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! Du moyen âge a la fin du xvir* siècle,

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(Ibid., p. 18. Œuvres de Carl Gerl, Hongrie). Odin Gon. Magyar szabadsägharci erdemkereszt, avec fig. (Ibid., p. 42. Croix de mérite en or faite à l’occasion de la guerre de l'indépendance hongroise, 1848-1849). R. von Hörken. Numismatische Denkmale auf den Protestantismus in Oesterreich, avec fig. (Zeitschr. f. Münz- u. Medaillenk., 1905, p. 21). Furio Lenzi. L’arte e le opere di . Benedetto Pistrucci (Rass. num., 1904, p. 125, avec pl. U-VD. L. v. L. Zur Schiller-Feier am 9. Mai 1905 (Berl. Münsbl., 1905, pp. 74, 91, avec fig. 1-3 de la pl. IX et un portr.). M. A medal for commander Peary (Amer. journ. of num., t. XXXIX, p. 52). M[arvin]. The medals of Giuseppe Verdi, avec fig. (Ibid., t. XL, p. 1). M[arvin]. Jetons and medals of the french mines (Zbid., p. 11). E. Marroi. Placchetta triestina. Medaglia commemorativa del decennio del Touring-Club italiano (Boll. di num., 1905, p. 14, avec fig 1-2 de la pl.) HE. Marroi. Una rarissima medaglia a Gaetano Donizetti, avec fig. (Ibid., 1905, p. 74). Edoardo Martoî. Una rarissima medaglia milanese a Fanny Elssler, avec fig. (Riv. ital., 1905, p. 142). F. MazeRoLLE. 8. E. Vernier. Catalogue de son œuvre (2° supplément) (Gaze. num. frane., 1904, p. 207). M. E. Placchetta commemorativa del X Congresso internazionale di navigazione (Boll. di num., 1905, p. 147, avec pl. III). [?] Medal of the new Hamspire society of the Cincinnati (Amer. journ. of num., t. XL, p. 42). Rob. Mowar. Medaille francaise du Risorgimento italien ? (Rev. frang., 1905, p. 502). C. P. NicHoLs. Medals of the Grand army (Amer. journ. of num., t. XXXIX, pp. 48, 67, 110; XL. p. 18). Renner. Die Medaille in der Kunstausstellung des Albrecht Dürer-Vereines, 11. November 1905 bis 6. Jänner 1906 (Mitth. der est. Ges. f. Münz- u. Medaillenk., 1905, p. 95). 8. R[icci]. La medaglia della Banca commerciale italiana, avec fig. (Riv. ital., 1904, p. 600). Serafino Ricci. Medaglistica. La medaglia del Circolo artistico di Trieste al prof. Lorenzoni. La medaglia d’oro dell’ esposi- zione di Venezia, etc. (Boll. di num., 1905, p. 60). L. Rızzouı jun. Ono- ranze padovane a Francesco Petrarca nel sesto centenario della sua nascita. Medaglietta commemorativa (19-20 giugno 1904), avec fig. (Rass. num., 1904, p. 130). [?] Roosevelt inauguration medal by St. Gaudens (Amer. journ. of num., t. XL, p. 26). Vittorio SALVARO. Placchetta per gli studenti italiani d’Innsbruck. (Boll. di num., 1905, p. 13, avec fig. 3 de la pl. D. [?] Schillermedaille von Rudolf Mayer, avec fig. (Bl. f. Münzfr., 1905, col. 3280).

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Senex. Recent Washington medals (Amer journ. of num., t. XXXIX, p. 36). Arturo Spicarpi. Medaglistica. Onoranze a Carlo Angeloni, avec fig. (Boll. di num., 1905, p. 120). Frederick Starr. The corn- planter medal, avec fig. (Amer. journ. of num., t. XL, p. 10). P. STETTINER. Una medaglia in onore di Guglielmo Marconi, avec fig. (Rass. num., 1905, p. 44). Dr Horatio Storer. The medals, jetons and tokens illustrative of the science of medicine (suite) (Amer. journ. of num., t. XXXIX, pp. 42, 73, 113; t. XL, pp. 21, 45). P.-Ch. STRŒHLIN. Numismatique. Philippe le Généreux, landgrave de Hesse, avec fig. (Journ..coll., 1904-1905, p. 53. Plaquette commémo- rative du 400° anniversaire de naissance de ce souverain). Paul- Ch. StreHLIN. Les médailles artistiques de Schrobenhausen, avec fig. (Zbid., 1905-1906, p. 153). TurLıo peL Corno. Medaglistica, avec fig. Medaglia della Banca popolare. Medaglia annuale verdiana (Boll. di num., 1905, p. 25). E. Zfay]. Inedited coins. LXXII. Numismatique américaine, Santa Marta (Colombie), Buenos-Ayres (Argentine), avec fig. (Month. num. Circ., 1905, col. 8613). W. K. F. Zwierzina. Nederlandsche penningen, 1864-1898. Deel II, 1879-1890 (774. van het Ned. Gen., 1905, pp. 85, 179, avec pl. IV-V).

C. Jetons. P. Borpeaux. Jeton franco-allemand de la première République et möreaux mayengais contremarqués, de 1792 & 1814 (suite) avec fig. (Rev. beige, 1905, p. 193). [?] Hard times tokens (Amer. journ. of num., t. XXXIX, p. 64). L. Some undescribed Boston tokens (Zbid.,t. XL, p.27).— Ed. Peny. Jetons et mereaux de char- bonnages (suite) (Rev. beige, 1905, p. 201, avec pl. VI-VIII). Dr Janos PETRIKOVICH et Alajos Jeszenszkv. Felsömagyarorszagi vallàsos targyu emlékérmek, avec fig. (Num. Köslöny, 1905, p. 94. Jetons religieux de la Hongrie septentrionale, en partie avec légendes slovaques.) S. SyDENHAM. Bath tokens of the 19th century and their issuers, avec fig. (Month. num. Circ., 1905, col. 8185, 8268; 8395). [?] The copper currency of canadian banks (Amer. journ. of num., t. XXXIX, p. 37). C. O. Tromprivar and Howland Woop. Sutler’s checks used in the federal army during the civil war (suite) (Ibid., p. 47). W. A. A. Millions for defence, not one cent for tribute (Ibid., t. XL, p. 26).

D. Documents. [?] Confederate paper money and how it was printed (Amer. journ. of num., t. XXXIX, p. 84). [?] Das neue mexikanische Münzsystem (Bl. f. Münzfr., 1905, col. 3265). [?] Die

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Tätigkeit der englischen Münzen und die Weltmünzung des Jahres 1904, nach dem Bericht der kgl. Münze in London (Ibid., col. 3407). H. The erown on Canadian half dimes (Amer. journ. of num., t. XL, p. 20). Frhr. von HELFERT. Oesterreichische Münzen und Geld- zeichen, Medaillen und Jetons von den Jahren 1848 und 1849 (Zeitschr. f. Müne.- u. Medaillenk., t. 1, p. 78). J.S. R. How the gold of the con- federate treasury was token south (Amer. journ. of num., t. XXXIX, p.80).—[?] Les opérations effectuées à l'hôtel des monnaies de Bruxelles en 1904, avec fig. (Rev. belge, 1905, p. 238). Ludovic Nauprau. La lutte du rouble et du dollar en Mandchourie (Bull. num. S., 1905, p. 36. Reproduit du Journal). [?] The Philippine coinage (Amer. Journ. of num., t. XXXIX, p. 66). The royal Mint (Month. num. Circ., 1905, col. 8529. Extr. du Times, 5 juillet 1905). [?] The trial of the Pyx (Ibid., col. 8530. Extr. du Times, 7 juillet 1905). [?] Were St Louis exposition medals sold ? (Amer. journ. of num., t. XXXIX, p. 89).

Varia. Karl Anporrer et Richard Ersrein. Musiker-Medaillen. Zweite Serie der Nachträge. Ergänzungen und Berichtigungen (suite et fin) (Mitth. der est Ges. f. Münz- u. Medaillenk., 1905, p. 131). E. BAurreuor. Die Münzen- und Medaillensammlung in der Marienburg (Berl. Miinzbl., 1905, p. 213). BLascHEK. Die Schiller Ausstellung (Mitth. der ast. Ges. f. Münz- u. Medaillenk., 1905, p. 69). BLAscHEK. Die selbständige Graveur- und Medaillenschule in Wien (Ibid., p. 70). Paul Borpeaux. Lettres de la fin du xvur* siècle relatives à la collection de l’abbé Ghesquiére (Rev. belge, 1905, - p. 457). C. B. Le Musée national bulgare (Bull. num. S., 1905, p- 65). [?] Central and south american numismatics (Amer. journ. of num., t. XXXIX, p. 86). [?] Correlation between postage stamps and coins (Ibid., t. XL, p. 43). D. C. P. The oldest known coin (Ibid., t. XXXIX, p.35.— A propos d’un article d’un journal quotidien faisant remonter le monnayage à un roi des Araméens quelques siècles avant J.-C. alors que, jusqu'ici, on considérait les Lydiens comme les inventeurs de la monnaie). Giovanni Donati, Dizionario dei motti e leggende delle monete italiane (Boll. di num., 1905, pp. 130, 143; 1906, pp. 59, 22, 29). C. von Ernst. Von Heckenmünzen und Münz- verschlechterungen (Monatsbl. der num. Ges. in W., 1905, p. 375). John Evans. A numismatic question raised by Shakespeare (Num. Chron., 1905, p. 307). F. What is a mereau? (Amer. journ. of num., t. XL, p- 28). Josef Fiscmuor. Medaillen auf Astronomen und Astronomie

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vom 13. Jahrhundert bis zur Gegenwart (suite) (Mitth. des Klubs der Münz- u. Medaillenfr., in W., 1904, p. 130; Mitth. der «st. Ges. f. Münz- u. Medaillenk., 1905, pp. 5, 19, 30, 45, 54, 64, 67, 87, 96, 107). L. F[orrer]. Biographical notices of medallists coin, gem and seal engravers, ancient and modern, with references to their works (suite), avec nombr. fig. (Month. num. Circ., 1905, col. 8073, 8129, 8191, 8257, 8328, 8383, 8455, 8518, 8575, 8644, 8706, 8768). À. FRIEDENS- BURG. Das Berliner königliche Münzkabinet im neuen Heim (Berl. Miinzbl., 1905, p. 87). Ercole GweccHI. Cronaca delle falsificazioni (Riv. ital., 1905, p. 237). Fr. GxeccHI. Divagazioni estive di numis- matica romana (Boll. di num., 1905, p. 103). Ödön Gonr. Hazai éremhamisitvanyok (Num. Köslöny, 1905, p. 6. L’auteur publie la liste des monnaies et médailles falsifiées, grecques, romaines et hongroises, principalement de la Transylvanie, qu'il a vues et exa- minées pendant les dix dernières années. Ces falsifications ont été exécutées en Hongrie). M. Gumowskı. Sztuka Ludowa a numis- matyka (Wiadomosci, 1905, col. 287). Dr. H. Hammesricx. Ueber die Konservierung von Silber- und Kupfermünzen und Medaillen (Berl. Münzbl., 1905, p. 59). Haussner. Berechnet Büchlein von MDXXX (Ibid., p. 214). '— Emil Jurxovicu. Heister Szigbert maré- chal mint éremgyüjto (Num. Köslöny, 1905, p. 41. Histoire du maröchal Heister, collectionneur de mödailles, à qui le Senat de Besztercebänya fit don, en 1709, d’une grande médaille d'or de François Rakoczi Il). Franz Kaiser. Die Gesellschaft zur Förderung der Medaillenkunst in Frankreich, Holland, Belgien und Oesterreich (Mitih. der «st. Ges. f. Miine- u. Medaillenk., 1905, p. 59). D' Feliks Kopera. Materyaty do inwentaryzacyi Zabytköw sztuki i kultury w. Polsce ( Wiadomosci, 1904, col. 189; 1905, col. 231, 281, 301, avec 2 pl. et fig. dans le texte). [?] La corporation des monnayeurs parisiens en 1794 (Rev. franç., 1905, p. 505). D* LeBLOND. Le traité de monnaies gauloises de M. Adrien Blanchet. Etude analytique (Bull num. S., 1905, p. 97). F. L[enzi]. I risultati nel nostro « Referendum » sull’ ordinamento delle collezioni di monete italiane (Russ. num., 1904, pp. 37, 62, 92, 106). Furio Lenzi. Monete, medaglie e sigilli alla mostra senese (Ibid., p. 123). [?] Les médailles à l’exposition universelle de Liege (Gas. num. D., 1904, 1905, p. 99. Extr. du Liège-Erposition, janvier 1905). [?] List of mint-masters of the Madras mint from 1800 to 1869 (Month. num. Circ., 1905, col. 8471). W. T. R. Marvin. Masonic medals

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(suite) (Amer. journ. of num., t. XXXIX, p. 53; t. XL, p. 51). [?] Medallic portraits of Jesus Christ (Ibid., t. XXXIX, p. 118). D. Arthur MouLLın. Kimmeridge coal money, avec fig. (Month. num. Circ., 1905, col. 8588. Reproduit du Country Life). R. Mowar. D'un recueil général des monnaies antiques (Rev. frang., 1905, p. 72). Josef Mutter. Die Münzen- und Medaillen-Stempel- sammlung des k. k. Hauptmiinzamtes (Monaisbl. der num. Ges. in W., 1905, p. 363). N. E. G. Sentiment and medals (Amer. journ. of num., t. XXXIX, p. 71). G. Pıertronı. La numismatica nell’ inse- gnamento secondario (Boll. di num., 1905, p. 77). G.'M. Porter. List of mint-masters of the Calcutta mint from 1792 to date (Month. num. Circ., 1905, col. 8273). Renner. Die Medaille in den Wiener Kunstaustellungen, Frühjahr 1905 (Künstlerhaus, XXXII. Jahres- ausstellung; Hagenbund, XV. Ausstellung (Meitih. der «st. Ges. f. Münz- u. Medaillenk., 1905, p. 32). Rexner. Wilhelm Hejda in der XVII. Ausstellung des Hagenbundes (Zbid., p. 100). Serafino Ricci. Il grave problema della circolazione internazionale della monete antiche (Boll. di num., 1905, p. 26). Serafino Ricci. L’argentura delle monete antiche (Ibid., p. 65). Arturo SpigarpDI. Medaglie enigmatiche, avec fig. (Rass. num., 1905, p. 129).— P.-Ch. S{TREALIN]. Le cabinet numismatique du Musée de Berlin (Journ. coll., 1904-1905, p. 145). [?] The italian medallists and their works (Amer. journ. of num., t. XXXIX, p. 51).— Z. Iets over nederlandsche munt- en bank- billeten (Tijd. van het Ned. Gen., 1905, p. 72).

Héraldique et sigillographie.— Fred. ALvin. Contributions à la sigillo- graphie nationale (belge) Premier article (Rev. belge, 1905, p. 215 avec pl. IX et fig. dans le texte). Aug. BurckHARDT. Die Ahnentafeln des Bürgermeisters Adelberg Meyer zum Pfeil und dessen dritter Ehefrau Catharina Bischoff von Hiltelingen (Arch. her. suisses, 1904, p. 112, avec pl. XI et fig. dans le texte). Aug. BurckHarpt. Scheibenriss mit Ahnentafel des Jakob Christof Menzinger von Basel (Zbid., 1905, p. 147, avec pl. XV). Adam CÒmiet. Materyaly sfragistyczne. Piedzecie Zydowskie (suite), avec fig. (Wiadomosci, 1904, col. 159). Gampiero Corti, Carlo Marozzi, E. del Torso. Armoriale italiano (Giorn. arald., 1905, p. 102). G. di CroLLaLanza. L'esprit et la bêtise (Ibid., p. 29). Max de DirsBacH. Les armes des sires de Montagny (Arch. her. suisses, 1905, p. 49, avec pl. V). Th.-Fréd. Dugots. Les armoiries de Mgr Joseph Déruaz, avec fig. (Ibid., 1904, p. 98).— Fréd.-Th. Dusois. Les armes du bailliage de Vaud, avec fig.

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(Ibid., 1905, p. 127). Robert Durrer. Das Wappen von Unter- walden (Zbid., p. 3, avec pl. I-IV et fig. dans le texte). Robert Durrer. Das Schwyzer Panner und sein Eckquartier (Ibid., p. 121). [?] Einige genealogische Auszüge aus zwischen 1566 und 1775 publizierten, derzeit im Index des Magistrates verzeichneten und im Archive des k. k. Landesgerichtes Wien befindlichen Testamenten (suite et fin) (Monatsbl. der k. k. her. Ges. Adler, 1905, pp. 340, 353, 366, 371, 381, 385, 395, 416). E. R. Sigillo segreto di Carlo il Temerario ultimo duca di Borgogna, avec fig. (Rass. num., 1905, p. 68). [?] Fragments héraldiques genevois, avec fig. (Arch. her. suisses, 1905, p. 148). [?] Fronton aux armes de Diesbach et Graffen- ried à Moudon, avec fig. (Ibid., p. 150). Paul Ganz. Die Abzeichen der Ritterorden, avec fig. (Ibid., pp. 28, 53, 134, avec pl. VI, VO et XIV). Jean GreLLET. Bonbonnière aux armes des Muralt, avec fig. (Ibid., 1904, p. 96). F. du Grosrizz. Les armoiries de la maison du Diable à Sion (Idid., 1905, p. 129). Frank C. Hıcams. Sketches of european continental history and heraldry for the use of numisma- tists, avec fig. (suite) (Month. num. Circ., 1905, col. 8063).— Heinrich Horr.inaer. Persönliche Wappen im 17. Jahrhundert (Monatsbl. der k. k. her. Ges. Adler, 1905, p. 350). Carlo Kunz. Due sigilli vescovili di Nona del museo civico di antichità di Trieste (Riv. ital., 1905, pp. 243, 565, avec pl. IX et XXV). [?] Les armoiries et l’art populaire (Arch. her. suisses, 1904, p. 107). [?] Les armes de Pie X, avec fig. (Ibid., 1905, p. 1). [?] Les cachets de Calvin, avec fig. (Ibid., p. 2). [?] Les cachets de Farel, avec fig. (Ibid., p. 72). A. LiENHARD-Riva. Quelques armoiries tessinoises, avec fig. (Ibid., p. 67). Edm. LomBaeRTSs. Le sceau de M.-F. van Camp, évêque nommé de Bois-le-Duc, avec fig. (Rev. beige, 1905, p. 332). Edm. LomBaERTS. Le sceau-matrice de Guillaume Uten-Lieminghen, avec fig. (Ibid., p. 455). E. Masor. Das Siegel des Basler Goldschmieds Balthasar Hützschin, avec fig. (Arch. her. suisses, 1904, p. 89). Walther Merz. Ein schottisches Stadtsiegel, avec fig. (Ibid., p. 106). A. Prüss. Eine Wappenschenkung des 14. Jahr- hunderts, avec fig. (Ibid., p. 93). Max Prier. Un sceau italien de Jean de Vienne, capitaine de Calais, avec fig. (Rev. franc., 1905, p. 359). J. Th. de Raapr. Eine Pariser heraldische Offizin (Monatsbl. der k. k. her. Ges. Adler., t. V, p. 369). Maxime Revmonp. Quatre sceaux ecclésiastiques, avec fig. (Arch. her. suisses, 1905, p. 141). Charles Rucuer. Les armoiries du canton de Vaud,

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avec fig. (Ibid., p. 37). Gustave SCHLUMBERGER. Sceaux byzantins inedits (5° serie) avec fig. (Rev. franc., 1905, p. 321). Gustave SCHLUMBERGER. Melanges de numismatique et de sigillographie medie- vales, avec fig. I. Monnaie d’argent inédite & la légende latine du roi Léon (ou Livon) II d’Arménie. II. Sceau du roi des Longobards Liutprand (712-744). III. Sceau a déterminer. IV. Besant du roi Guy de Lusignan, roi de Chypre (Ibid., p. 355). Theodor Scuon. Nach- träge zum Artikel: Das Krainer Adelgeschlecht von Snoilsky (Monatsbi. der k. k. her. Ges. Adler., t. V, p. 378). Theodor Schön. Nachträge zum Artikel: Das Kärtner Geschlecht Moser in Württemberg (Ibid., p. 378). Theodor Schön. Ueber ein Geschlecht v. Hasselstein in Oberösterreich (Ibid., p. 379). Roberto Scrorro-Pinror. La nobiltà in Sardegna (Giorn. arald., 1905, p. 41). G. SrRroHL. Das neue Wappen von Island, avec fig. (Arch. hér. suisses, 1905, p. 145). P.-O. TREMBLAY. Décorations pontificales (Month. num. Circ., 1905, col. 8143. Reproduit dans le Bull. num. S., 1905, p. 13, avec fig.). H. TUruer. Eine Wappenskulptur der Familie von Erlach, avec fig. (Arch. her. suisses, 1904, p. 102). [?] Wappen der ausgestorbenen geschlechter Luzerns (Zbid., 1905, p. 73, avec pl. VIII-XIII). Prof. A. von WRETScHko. Zur Frage der Adels- und Wappenbriefe der Wiener philosophischen Fakultät (Monatsbl. der k. k. her. Ges. Adler, t. V, p. 380). A. ZesıGER. Das Wappen der Stadt Yverdon, avec fig. (Arch. her. suisses, 1904, p. 103).

Trouvailles. Emil Bankre_pt. Nachlese zum Hacksilberfunde von Alexanderhof (Beri. Münzbl., 1905, p. 28). J. BERANGER. Une trouvaille de monnaies anglo-normandes, avec fig. (Bull. num. S., 1905, p. 67). Ad. BLancHeT. Les trésors de monnaies romaines de Combourg et de Vannes (Rev. franç., 1905, p. 231). Dr. Jos. Brunsmip. Nekoliko nasasca novaca na skupu u hrvatskoj i slavoniji avec fig. (Vjestnik, 1905, p. 176. Quelques trouvailles de monnaies en Croatie et en Slavonie). H. B[uchenau]. Ein hessischer Pfennig- fund aus der Zeit der Kaiser Heinrich V. und Lothars des Sachsen

(suite) (Bl. f. Münzfr., 1905, col. 3261, avec fig. 16-21 de la pl. 157 |

et 1-2 de la pl. 158). H. B[ucnenau]. Der Groschenfund in Dorn- dorf bei Jena (Ibid., col. 3271, avec fig. 6-20 de la pl. 158. Trou- vaille de quatre cents gros du temps de Frédéric le Sage de Saxe, 1486-1525). H. B[ucnenau]. Nachtrag zum Funde von Niederkauf- ungen, avec fig. (Ibid., col. 3278). H. B[ucnenau]. Der Brakteaten- fund von Effelder (1876) (Ibid., col. 3304, avec fig. 1-30 de la pl. 159).

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H. B[ucHexau]. Zu den Brakteatenfunden von Kaufungen, Effelder und Rockstedt, avec fig. (Ibid., col. 3418). H. DANNENBERG. Der Denarfund von Polna (Zeitschr. für Num., t. XXV, p. 63. Monnaies allemandes du xi° siècle). H. Dannensera. Noch drei esthnische Denarfunde, avec fig. (Ibid., p. 68. Trouvailles de Kunda, d’Oden- päch, d’Allatzkiwwi). E.-D.-J. Dura. Une trouvaille de cent nonante-une monnaies d’or byzantines et d’une pièce en argent, avec fig. (Rev. belge, 1905, p. 155). Dt Epps. Ce que contenait le trésor d'Aboukir (Rass. num., 1905, p. 33). Dott. Epp&. Les trou- vailles des trésors monétaires en Egypte (Boll. di num., 1905, pp. 128, 140). Dr. W. Exczcs. Der Fund von Liesborn in Westf., avec fig. (Zeitschr. f. Num., t. XXV, p. 227. Deniers des x1° et xm° siècles de Soest, Herford, Goslar, Bamberg, Cologne, Deventer, Zütphen, des . Flandres, etc.). Dr. W. Enerrs. Nachlese zum Münzfund von Evers- winkel (1859), mit Nachträgen zur Paderborner, Osnabrücker und Wer- dener Münzkunde (Bi. f. Münzfr., 1905, col. 3343, 3356, avec fig. 37 de la pl. 160). Ödön Gout. A Mocsolädi eremlelet (Num. Közlöny, 1905, p. 75. Trouvaille de Mocsolàd; mille trois cents deniers romains de la République, de Marc Antoine; deniers impériaux de Néron AL. Verus). H. A. GruesEr. A find of coins of Stephen and Henry II at Awbridge near Romsey (Num. Chron., 1905, p. 354). Marian Gunowskı. A magyar pénz szereplése Lengyelorszägban a XI. sz4zadban (Num Kôzlôny, 1905, p. 86. Trouvailles en Pologne de monnaies hongroises enfouies au xı° siècle. Bien que les relations entre la Pologne et la Hongrie eussent été multiples avant le xr° siècle les monnaies de l’un de ces pays se rencontrent rarement chez l’autre. En revanche, à partir de la scconde moitié du xr° siècle les trésors polo- nais contiennent une grande quantité de monnaies hongroises, ce qui est attribuable au fait que les marchands hongrois allaient en Pologne pour s’y approvisionner d’ambre, de froment et de fourrures et non pour y vendre leurs marchandises). M. Gumowskı. Wykopalisko pod Bochnia (Wiadomosci, 1905, col. 327). G. F. Hiri. Roman coin from Croydon (Num. Chron., 1905, p. 36). R. v. Hörken. Fund bei Dauba, avec fig. (Arch. für Bract., t. IV, p. 275, avec fig. 6-7 de la pl. 60. Trouvaille de cent quarante bractéates de la premiere moitié du xin° siècle). von Hörken. Fund bei Dauba, in Böhmen, avec fig. (Zeitschr. f. Münz- u. Medaillenk., 1905, p. 4). R. LI. Kenyon. A find of coins at Oswestry (Num. Chron., 1905, p. 100. Quatre cent- une pieces d’argent et quatre en or. Pièces anglaises de Henry VIII,

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Edouard VI, de Marie, Philippe et Marie, Elisabeth, James I, Charles I). Th. KirscH. Der Münzfund zu Schalke. Beitrag zur mittelalter- lichen Münzkunde der Grafschaft Mark (Zeüschr. für Num., t. XXV, p. 77, avec pl. IV. Tournois de Louis IX (1226-1270), de Philippe IV (1285-1314), Jean III de Brabant (1312-1355), de Walram de Cologne (1333-1349), de Cuno (1367-1370), ete., de Guillaume II (1361-1393), de Guillaume III (1393-1402), de Berg et Julich. Cent quarante-deux monnaies anglaises du comté de Mark). E. de Kovacs. A sölyomköi éremlelet, avec fig. (Num. Közlöny, 1905, p. 12. Trouvaille de Sölyomkö (Transylvanie) contenant cent onze pièces des xm° et xiv° siècles, pour le plupart du Robert, Charles d’Anjou, roi de Hongrie, et des monnaies bohémes et serbes). Furio Lenzi. Un ripostiglio di monete consolari e la località del Porto Cosano (Rass. num., 1905, p. 49). George Macponacp. A recent find of roman coins in Scotland (Num. Chron., 1905, p. 10). George Macponap. A hoard of Edward pennies found at Lochmaben (Ibid., p. 63, avec pl. IV). M. de M[ax]. Denarius van Pepijn den Korte, geslagen te Verdun, te Domburg gevonden (Td. van het Ned. Gen., 1905, p. 158). P. J. Meme. Bremer Münzfund (um 1200) (Bi. f. Münzfr., 1905, col. 3335, avec fig. 1-34 de la pl. 160. Bractéates de l’archevéché de Bréme; deniers du duché de Brunschwig, du margraviat de Brandenbourg, ete., etc.). [?] Mittelalter- Fund in Riedenburg bei Kelheim (Bi. f. Münfr., 1905, col. 3377). Prof. Dr. L. MùLLER. Zur Zeitbestimmung des Bergbieten-Tränheimer Fundes (Berl. Münzbl., 1905, p. 177). [?] Münzfunde (Mitih. der est. Ges. f. Münz- u. Medaillenk., 1905, p. 100). Q. Perini. Il ripostiglio di Carribollo, avec fig. (Boll. di num., 1905, pp. 34, 46. Trouvaille d’un millier de pièces d’argent de Venise, Meran, Mantoue). Dr. Janos Prrrikovicu. Külônfélék. 1. A szakolcai kalapos céh barcAja. 2. Cserépbärcäk, avec fig. (Num. Közlöny, 1905, p. 73. Série de tessères en argile trouvées en Hongrie). Gyula Rus. Adatok a Kilitin lebt Szent Laszlo-féle éremlelethez (Ibid., p. 71. Deniers hongrois de Ladislas I de la trouvaille de Kiliti). Horace Sanpars. Note sur un dépòt de monnaies romaines découvert en Espagne (province de Jaen) en 1903 (Rev. frang., 1905, p. 396. Plusieurs centaines de deniers de la République enfermés dans deux enveloppes de plomb. Les plus anciens sont anonymes et datent du mi° siècle, les plus récents sont signés du monétaire C. Sulpicius C. f. (89 av. J.-C.). C. Scuwarsacu. Neuzeitlicher Fund mit seltenen Münzen von

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Lauenburg und Solms (Bl. f. Münefr., 1905, col. 3375, avec fig. 14 de la pl. 161). Dr. Z. Zakrzewskı. Monety Sredniowieczne wykopane w Ostrowie nad Goptem ( Wiadomosci, 1904, col. 169).

Biographies et nécrologies!. Jos. C. Apam. Eduard Foest + (Mitth. des Klubs der Münz- u. Medaillenfr. in W., 1904, p. 127). Fred. ALvin. Victor Lemaire, graveur en médailles (Gaz. num. D., 1904- 1905, p. 78 avec portr.). S. A[msrosorı]. A. de Barthélemy (Riv. ital., 1904, p. 533, avec portr.). E. BaBeLON. Marcel de Marchéville (1840-1904). Biographie et bibliographie numismatique (Gaz. num. frang., 1904, p. 113, avec portr.). Emil BanzreLDT. Hermann Dannen- berg (Berl. Münzbi., 1905, p. 135, avec portr.). Adrien BLANcHET. Hermann Dannenberg (Rev. franc., 1905, p. 413). --- BLASCHEK. Franz Trau. (Mitth. der est. Ges. f. Münz. u. Medaillenk., 1905, p. 13). Buascuex. Dr Josef Brettauer f (Ibid., p. 72). Aldo di CroLLa- LANZA. Il cav. G. di Crollalanza (Giorn. arald., t. XIX, 1905, p. 1). A. D[isuponné]. Henry Morin-Pons (Rev. frang., 1905, p. 249). A. D[1euponné]. Jules Gauthier (Zbid., p. 517). Dr. Domania. Ein neunentdeckter Medailleur : Rutilio Caci (Monatsbl. der num. Ges. in W., 1905, p. 342). Dr Karl Domania. Josef Tautenhayn senior k. und k. Kammermedailleur (Num. Zeitschr., t. XXXVI, p. 160, avec pl. V-XIV, un portr. et fig. dans le texte). [?] Frederic William Madden (Amer. journ. of num., t. XXXIX, p. 119). [?] Hermann Dannenberg (Monatsbl. der num. Ges. in W., 1905, p. 347). [?] Hermann Dannen- berg ( Wiadomosci, 1905, col. 335). v. H[òrKEN]. Hermann Dannen- berg j (Mitih. der est. Ges. f. Münz- u. Medaillenk., 1905, p. 57). J. F. Alphee Dusors (Rev. frane., 1905, p. 518). Jean Justice. Le gra- veur P.-J.-J. Tiberghien, sa vie et son œuvre (Gaz. num. D., 1904-1905, pp. 123, 161). L. Edward Groh (Amer. journ. of num., t. XXXIX, p. 91). D' A. Lacronıqur. Médecins medailleurs. Le docteur Paul Richer et ses précurseurs (Gaz. num. frang., 1905, p. 1, avec pl. I-IIl et portr.). M. Henry Cook (Amer. journ. of. num., t. XXXIX, p. 90). M. Anatole de Barthélemy (Zbid., p. 91): M. Charles P. Nichols (Ibid., t. XL, p. 54). F. MazeroLLE. F. de Vernon. Cata- logue sur son œuvre (supplément) (Gaz. num. frane., 1905, p. 411, avec pl. VII-XII). J. Menaprer. Hermann Dannenberg, avec portr. et bibliographie (Zeitschr. für Num., t. XXV, p. 191). Rob. Mowat. E.-D.-J. Dutilh (Rev. frang., 1905, p. 413). V. de Munrer.

‘Nous ne mentionnons que les plus importantes.

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Gerard-Edouard van Even (Rev. beige, 1905, p. 235). [?] Neu nach- gewiesene Medailleure: F. Fecher, R. Caci (Bl. f. Münzfr., 1905, col. 3359. F. Fecher, médailleur bâlois. Voir aussi Anz. für schweiz. Alt., 1904-1905, 2). N. H. Julien Dillens (Gaz. num. D., 1904-1905, p. 105). N. H. Edouard van Even (Ibid., p. 150). Renner. Konrad Widter (Nachlass-Ausstellung im Hagenbund, Februar 1905) (Mitth. der ost. Ges. f. Münz- u. Medaillenk., 1905, p. 20). Serafino Ricci. Bartolomeo Borghesi (Riv. ilal., 1904, p. 593, avec fig. Inauguration de son buste & Saint-Marin). Arnold Rogerr. Johann-Friedrich Huber, avec fig. (Month. num. Circ., 1905, col. 8584). Th. Roupe. Eduard Foest {, 11. Dezember 1904 (Monatsbl. der Num. Ges. in W., 1905, p. 295). S. D' Joseph Brettauer (Amer. journ. of num., t. XL, p. 55). Dr. Josef Scnouz. Franz Traut (Num. Zeitschr., t. XXXVI, p. 185, avec portr.). Alphonse de Witte. Le graveur Théodore-Victor van Berckel. Essai d'un cata- logue de son œuvre (suite) (Gaz. num. D., 1904-1905, p. 59, 107, 168, avec pl. I-III). A. de W[rrrE]. Augusto Carlos Teixeira de Aragao (Rev. belge, 1905, p. 234). A. de Wrrre. Henry Morin-Pons (Ibid., p- 235). A. de Wirte. Joh.-W. Stephanik (Ibid., p. 352). Alphonse de Wrrre. Hermann Dannenberg (Zbid., p. 469). W. W. Wiırrve. Ludwik Pinezewski ( Wiadomosci, 1904, col. 202). Z. In memoriam. Mr J. A. van der Chijs (Tid. van het Ned. Gen., 1905, p. 156). Z. In memoriam. Fred. Caland (Ibid., p. 249). W.K.F. ZWIERZINA. In memoriam Joh. W. Stephanik (Ibid., p. 245, avec portr.). H. C. Trouvailles. Aiseau (Belgique). La Société archéologique de Charleroi a entrepris des fouilles intéressantes dans des grottes situées dans le parc de Preslas, qui se trouve lui-méme sur le terri- toire d’Aiseau. Les fouilles, habilement conduites, ont permis jusqu'ici de mettre au jour soixante-une monnaies aux effigies de divers empe- reurs romains ; un bracelet de jais monté sur or, sur lequel se remarque un médaillon d’Antonin le Pieux, croit-on; quatorze épingles à cheveux en os; un radius d’adulte ainsi que d’autres ossements humains qui permettront de fixer l’époque à laquelle la grotte servait d'habitation. Enfin dix-neuf mille tessons de poteries datant des temps préhisto- riques à la Renaissance. (Le National bruxellois.) Ambohimanga (province d’Imerina, Madagascar).— Découverte d’un trésor composé de nombreuses piastres de Charles III et Charles IV d'Espagne, datées de 1772 à 1806, et de deux chaines d'argent massif, pesant chacune 16 kilogrammes. (Revue numismatique.)

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Arendonck (Belgique). On a découvert, il y a quelques mois, a Arendonck, un petit trésor comprenant cent vingt piéces d’argent et de billon, pour la plupart frappées au xvı* siècle dans les provinces des anciens Pays-Bas. Sont à remarquer un demi et deux quarts-de- robustus des États de Brabant, un demi-daldre des Etats de Hainaut, et un daldre de Guillaume IV de Berg. (Revue belge.)

Arty, près Venteuil (Marne). En 1904, on a trouvé, dans un cellier appartenant a M. Vatel-Coutelas, un pot de grés contenant vingt-sept écus aux palmes et aux insignes de Louis XIV, trente-deux demi-écus, deux cent soixante divisions et dix louis d’or.

(Revue numismatique.)

Banoncouri (Meuse). Dans les travaux qu’exécute, 4 Banoncourt, la Compagnie des chemins de fer de l’Est, des terrassiers ont trouvé, au pied d’un arbre, près de trois cents pièces d’or et d’argent ainsi que plusieurs bijoux du temps de HenriIV. (Journal des Arts.)

Baranyavaron (Hongrie). Trouvaille de onze deniers et deux cent vingt-six bronzes de Trajan, Plotine, Hadrien, Ælius, Antonin, Faustine, Sabine, Marc-Aurèle. .

(Revue numismatique, d'après Numizmatikai Köslöny.)

Basenthin (près Gollnow). D'après les Stettiner N. Nachrichten du 13 avril 1905, on a découvert, à Basenthin, des monnaies de l’époque de la guerre de Trente-Ans, parmi lesquelles plusieurs doubles-schillings de Poméranie.

Beni-Hasan (Égypte). Au cours des fouilles faites à Beni-Hasan, pendant l’hiver 1903-1904, sous les auspices de l’Institut archéologique de l’université de Liverpool, on trouva un petit vase contenant des monnaies et des lingots d’argent, deux bagues et un grain de collier. Parmi les monnaies, il y avait cinquante-quatre tétradrachmes et un drachme d’Athènes, des séries attribuées à la dernière partie du v* siècle av. J.-C., en excellent état de conservation. Les vingt et une autres pièces étaient des monnaies phéniciennes.

Ce depöt mérite d’étre comparé avec les trésors de monnaies grecques archaiques trouvés en Égypte, & Mitrahenneh, & Naucratis, dans le Delta, à Sakha qui paraissaient plus anciens et contenaient des pièces de la plupart des villes grecques des côtes et des îles de la mer Egée, excepte d’Athönes (sauf dans le tresor de Naucratis). Dans le dépòt de Beni-Hasan, sur quinze pièces phéniciennes trois seule- ment n’avaient pas été entaillées ; les tétradrachmes d’Athénes n'avaient pas subi cette operation, faite evidemment dans le but de s’assurer

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que les pièces n’étaient pas fourrées. Comme le trösor renfermait aussi quelques pièces en partie fondues et des lingots, on suppose qu'il s’agit de la cachette d'un orfèvre. (Revue numismatique.)

Bruéres (Cher). En mars 1904, trouvaille à Bruéres, près de la route de Saint-Amand, d’un trésor composé de trois cents pièces environ, dont quatre-vingt-dix-huit deniers et soixante-dix-neuf oboles de Lothaire au monogramme pour Bourges; trente-sept deniers au type de Louis IV pour Nevers; six au type odonique pour Limoges; un denier du Mans. (Revue numismatique.)

Camargue (Midi de la France). Un correspondant de Marseille adresse au Bulletin de numismatique la lettre suivante ! :

Mai 1905. Dans une de mes propriétés en Camargue, à 9 kilo- mètres d'Arles, propriété située sur un ancien cimetière je viens de découvrir une tombe qui contenait un petit trésor de mon- naies du xv* siècle, dont voici la composition :

Un kreutzer de Soleure, MONET : SOLODORENS, écu accosté des lettres S—O et surmonté de l'aigle; À. SANCTVS VRSVS, croix ouvragée. Quatorze quarts savoyards de Charles I, CAROLVS DVX SABAVD..., au centre, FERT; À}. croix, PRINCEPS IN ITA LIA. Treize quarts du même probablement, KAROLUS DVX, etc.; écu de Savoie entre quatre annelets; À). K gothique au centre entre quatre annelets.

Deux ou trois de ces pièces étaient bien conservées, les autres étaient en très mauvais état; l’alliage en est fort médiocre et la valeur à peu près nulle. Je ne sais à quoi attribuer la présence de ces mon- naies en Camargue.

Cantù (près de Côme, Italie). En juillet 1904, on a trouvé à Cantù, soixante-cing monnaies d’or: six sequins du doge de Venise, Marco Cornaro; quatre florins de Galéas II et de Bernabò Visconti, pour Milan; vingt-deux florins de Florence; trente-trois genovini du doge de Gênes, Antoniotto I Adorno. Toutes ces pièces ont été frappées entre 1365 et 1398. (Revue numismatique.)

Carbonara (près Bari, Italie). Trouvaille de quatre cent cinquante deniers et quinaires dont quatre cent vingt-six sont ontrés au Musée archéologique de Tarente. Les monnaies les plus récentes sont celles de C. Vibius. (Revue numismatique.)

Carmona (Espagne). Un collectionneur de Carmona vient de

ı Nous avons rectifié les appellations des pièces qui étaient fautives. (Réd. )

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découvrir, au fond d’une carrière, un pot contenant cent cinq réaux d’argent de Pierre le Cruel; dix-neuf demi-réaux et sept cent septante- six pièces de billon. (Revue numismatique.)

Cazères (Haute-Garonne). En 1904, on a trouvé à Cazères un vase qui a été brisé et qui contenait un millier de douzains de Charles VIII, Louis XI et Louis XII; des testons de Francois I°, d’Henri II, de Charles IX et d’Henri III, la plupart frappés à Toulouse; quelques pièces du Comtat-Venaissin (Grégoire XIII) et des monnaies de Cas- tille au nom de Ferdinand et d’Isabelle. (Revue numismatique.)

Chatby (Egypte). En décembre 1904, on a découvert un vase de terre cuite à goulot large et haut contenant cent quatre-vingt-onze monnaies d'or et une d’argent des empereurs Constance II, Valentinien, Valens, Gratien, Justin I°, Justinien I°, Justin II, Tibère II, Cons- tantin, Maurice Tibère, Focas et Heraclius. Ces monnaies appartiennent donc & deux périodes, 323-383 et 518-641 ap. J.-C. Elles sont entrées au Musée gréco-romain d’Alexandrie. (Revue numismatique.)

Constance. D'après la Nouvelle Gazette de Zurich du 18 juin 1905, on a trouvé, dans les fondations d’une ancienne maison située à la Rosgartenstrasse, à Constance, trois cent quatre-vingt-quatorze pièces d’or du xiv° siècle. Elles sont bien conservées et se répartissent comme suit : Hongrie 135, Venise 127, Florence 54, Génes 33, Bohème 22, Metz 6, Milan 4, Orange 3, Rome 2, Bologne 1, France 2, Autriche 1, Palatinat 1 et les Flandres 1.

Courtrai (Belgique). Un petit trésor a été trouvé près de Courtrai. Une partie soumise à la rédaction du Bulletin de numismatique con- sistait en trente nobles d’Edouard III, roi d'Angleterre, dont dix-huit pour l’Aquitaine, et vingt-sept lions d’or de Louis le Mâle pour la Flandre; au total cinquante-sept pièces dont la conservation est en général belle; quelques lions méritent la qualification de très beaux. Parlant du même trésor, la Gazette numismatique dit qu'il renfermait quelques variétés rares des monnaies anglaises susdites et que les pièces, au nombre de deux cents, étaient de très bonne conservation.

Délos. M. Holleaux, directeur de l’Ecole française d'archéologie, vient de découvrir, à Délos, trois grands vases de plomb remplis de monnaies antiques. Le plus grand contenait plus de trois cents pièces de quatre drachmes, frappées à Athènes du temps des Archontes, dans un tel état de conservation qu'il ya tout lieu de penser qu’elles ne furent jamais mises en circulation. La découverte de M. Holleaux constitue d’ailleurs dans son ensemble un nouveau succès pour les fouilles que

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l’École française poursuit depuis trois ans à Délos, et qui promettent d’ögaler en éclat les fouilles de Delphes, dont l'honneur revient à cette même école. (Le Journal.)

D'après la Revue numismatique, les mêmes fouilles auraient amené la découverte, dans les substructions d'une maison, de six cent cinquante deniers de Marc-Antoine, bien conservés.

Eleusis (prés d’Athénes). Il y a environ deux ou trois ans qu’on fit 4 Eleusis une trouvaille importante de monnaies athéniennes de bronze du temps de l’empire. Ces pièces étaient d’une très belle conservation.

Les journaux d'alors annoncèrent l’èvénement comme suit : « À quelques mètres du mur occidental du grand temple consacré aux déesses d’Eleusis se trouve un petit café. Il y a une année à peu près que le propriétaire, Georges-B. Adam, creusant dans son jardin y attenant, découvrit un buste romain en marbre et un grand nombre de monnaies ; il porta le buste et neuf cent soixante-douze monnaies au Musée central d'Athènes, qui en acheta deux cent quatre- vingt- une des meilleures. Le reste fut acquis par M. Romanos, ministre des affaires étrangères pour sa collection particulière. »

« Mais le brave cafetier, comme c’est en Grèce ordinairement le cas, n'avait tout au plus montré que la moitié de sa trouvaille, car dernièrement le British Museum a acheté une masse considérable de monnaies semblables. En outre, un particulier de Megara, en possédait également une centaine sans compter les pièces isolées qui se trouvaient dans les mains de diverses marchands d'Athènes. » On est donc en présence d’une trouvaille excessivement importante.

Pour de plus amples renseignements sur cette trouvaille et son contenu on peut consulter le Journal international de numismatique, 1904, pp. 109-142 ; la Numismatic Chronicle, 1903, pp. 322-329 et les Rapports officiels des collections royales d'art prussiennes, 1904, p. LXXIX. (Berliner Münzblätier.)

Essey (Meurthe-et-Moselle). Au mois d’aoùt 1904 le propriétaire d’une maison sise au lieu dit « Le Fort », commune d’Essey, a, en creusant le sol, mis au jour un petit trésor composé de pièces d'or et d’argent appartenant aux régnes de Louis XV et de Louis XVI. Les pièces d’or, au nombre de quarante, sortant de quatorze ateliers, sont toutes à l’effigie de Louis XVI, au type de l’émission de 1785; elles sont d’une très belle conservation. Les pièces d’argent, des écus, en general en très mauvaise condition, se decomposaient de la fagon sui-

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vante, cent soixante-huit de Louis XV et septante-deux de Louis XVI.

Le plus récent millésime relevé étant 1792, l’enfouissement de cette

petite fortune semble remonter peu avant les troubles revolutionnaires. (Bulletin de numismatigue.)

Gérocourt (canton et arr. de Pontoise, Seine-et-Oise). Le 9 mai dernier, en démolissant l’église Saint-Pierre, & Gérocourt, on a trouvé un vase en grès, contenant un écu d’or de Charles IX, daté de 1570, et onze pièces d’argent de 1575, 1580, 1586 et 1589. Ces monnaies ont été déposées à la mairie de Görocourt. (Revue numismatique.)

Huriel (Allier). A la fin de novembre 1904, un vigneron, nommé Gorce, a trouvé un vase de terre grise contenant plus de neuf cents monnaies carolingiennes de Charles le Chauve et de Charles le Gros, frappées à Bourges et à Nevers; la trouvaille comprenait aussi quel- ques oboles frappées à Clermont.

Des pièces de cette trouvaille importante ont été apportées à Paris, mais comme il arrive bien souvent en pareil cas, on ne pourra pas connaître la composition exacte de ce dépôt monétaire. Une étude sérieuse du trésor d’Huriel, dans lequel d’autres ateliers étaient peut être représentés, eût sans doute permis d'établir avec certitude le classement des pièces que Charles le Chauve et Charles le Gros ont frappées à Bourges et à Nevers.

Le 15 décembre suivant, le même personnage aurait fait une seconde trouvaille de six cents deniers analogues aux premiers.

(Revue numismatique.)

Jublains (Mayenne). En juin 1905, à la Cruchère, dans les environs de Jublains, un laboureur a trouvé un vase de bronze, orné de chasseurs, d’un sanglier et d’un lion et décoré d’incrustations en argent. Il contenait huit cents pièces de billon, dont plusieurs seraient de Gordien III. Le vase et plusieurs monnaies ont été envoyés à Paris.

(Revue numismatique.)

Kamene (Saxe). On a trouvé, à Kamenz, un vase en terre con- tenant quelques pièces d’or et un millier de monnaies d'argent, dont la plupart sont des gros de Misnie du XIV° siècle.

(Blatter für Münsfreunde.)

Karajenön (près Pesth, Hongrie). —- Trouvaille de soixante-dix- huit deniers de Trajan, Antonin, Faustine mere et fille, M. Auréle, L. Verus, Lucille, Commode et Septime Sévère.

(Revue numismatique, d'après Numizmatikai Körlöny.)

Kecskemét. Trouvaille d’une petite cruche de cuivre avec deux

REVUE NUM. T. XIII. 21

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cent dix monnaies d’or de différents modules appartenant au xvu° siècle. (Blatter für Münzfreunde.)

Köngsö (près de Brytup, Danemark). On a découvert dans des fouilles pratiquées dans un coteau, situé à Köngsö, environ sept cents très anciennes monnaies d'argent danoises, des bagues et une auge en chêne. Le Musée national de Copenhague est entré en possession de la trouvaille. (Blatter für Minsfreunde.)

Labeaume (près Largentière, Ardeche). En extrayant un bloc de pierre d’une carrière située sur ‘le territoire de la commune de Labeaume, on a découvert une urne renfermant une grande quantité de monnaies carolingiennes d’argent. (Bulletin de numismatique.)

Liesborn (pres de Lippstadt, Westphalie). Pendant l’automne 1905, on a fait, & Liesborn, une importante trouvaille de soixante pièces, au nombre desquelles on remarque des deniers d’Ethelred II d’Angleterre, de Robert I le Frison pour la Flandre (deniers d’Arras), de Robert II, comte de Jerusalem (pièce nouvelle avec ce titre dans la légende), un denier d’Ypres de la möme époque, du möme Robert II de plus grands deniers, avec une figure armée du glaive et de la lance, enfin des deniers d’Emden, Soest, Goslar (Henri IV et Hermann, plusieurs pièces), Herford, Bamberg. (Blätter für Münsfreunde.)

Mende (Lozère). En fouillant un terrain vague situé entre Mende et Chateauneuf-de-Randon, à proximité du plateau dit « Le Palais du roi », un paysan a mis au jour une vieille ruine d’habitation, sous le dallage du rez-de-chaussée de laquelle il a trouvé une boîte en argent contenant une collection de monnaies remontant au in° siècle. Ce sont des deniers d’argent parmi lesquels plusieurs Maximin, un Claude, un Trajan, un Alexandre Sévére, et une imperatrice Julia. Il n’est pas facile, des l’abord, de déterminer les autres.

Quant à l’habitation, c’est A n’en pas douter une construetion romaine. Elle denote un certain luxe soit par le soigne du travail, soit par son aspect artistique, soit par les peintures dont on voit encore des traces sur les parois intérieures. Le dallage du rez-de-chaussée, moitié ciment, moitié brique, est fort riche et bien conservé.

L’examen du terrain ayant permis de constater les traces d’un certain nombre d’habitations, une cinquantaine environ, autour de la ruine explorée, l’on se trouve certainement en présence d'une bourgade romaine. L'emplacement des maisons est nettement accusé par le relief du gazon.

Des fouilles vont être faites et l’on s'attend que d’autres decou-

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vertes viennent révéler le nom de cette localité romaine disparue et la nature du cataclysme qui l’an&antit. En ce qui concerne ce point spécial il y a lieu de croire que l’agent dévastateur fut le feu, car le pavé de la demeure mise au jour est recouvert d’une épaisse couche de cendre et de charbon et des traces d’incendie se voient en maints endroits. (Le Temps, 24 avril 1905.) Montreal (Yonne). --- Les fouilles pratiquées près de Montréal, l’on vient de découvrir un établissement de bains gallo-romain se poursuivent avec activité. La construction, longue de 28 mètres, n’a pu être encore complètement déblayée. On a recueilli au cours des travaux des amphores, des statuettes en bronze représentant des empereurs romains ainsi que de nombreuses monnaies aux effigies d’Antonin, Marc Aurèle, Commode, Aurélien, Domitien, etc. (Bulletin de numismatique.) Neuviller (entre Bouxviller et Saverne, Alsace), En avril 1905 on a fait, à Neuviller, une trouvaille de monnaies d'or. Rodolphe II, Mathias, Léopold, Frédéric-Guillaume de Saxe (1641) sont représentés dans ce dépôt, de même que les villes ou Etats de Francfort, Cologne, Zwolle, Camper, Provinces-Unies. On remarque aussi quelques espagnoles, parmi lesquelles une quadruple pistole de Philippe II et des louis de 1642 à 1668. Il est possible que ce trésor ait été enfoui lors de l’envahissement de l’Alsace par les imperiaux en 1672. (Revue numismatique.) Niederschwedeldorf (Silésie) Un cordonnier a trouvé dans sa propriété un pot contenant des monnaies d'argent d’un poids total de 625 grammes. Ce sont des pièces autrichiennes, hongroises ou bien portant les armes du prince-évêque de Breslau. Elles sont de différents modules jusqu’à celui d’un thaler et remontent aux années 1664-1694. (Blätter für Münzfreunde.) Paris. Dans des fouilles pratiquées à Paris, place du Panthéon, à l’angle de la rue d’Ulm, M. Ch. Magne a découvert un petit vase en bronze contenant environ soixante pieces romaines dont une de Quintille. (Journal des Arts.) Portogruaro (près Aquilée, Italie). Une trouvaille de trois mille neuf cents deniers de la République romaine a été faite récemment par des paysans è Portogruaro. (La Gazette numismatique.) Quaregna (près d’Arona). En procédant & des travaux agricoles quelques ouvriers mirent au jour un récipient de terre cuite contenant des monnaies imperiales romaines, dont plusieurs en or. A citer une

3%

pièce rare de l’impératrice Faustine. L'information n'indique pas laquelle des deux. (Bollettino di numismatica.)

Saint-Genix-sur-Guier (Savoie). On lit dans le Bulletin de numis- matique l'information suivante :

En déplaçant du gravier pour la réfection de la route de Novalaise à Saint-Genix-sur-Guier, des cantonniers ont laisse glisser dans un précipice un vase en terre qui contenait de nombreuses de monnaies gauloises et mérovingiennes; les cantonniers n'ont pu, malgré leurs recherches et leurs efforts, retrouver que deux pieces, qui nous ont été envoyées. L’une est une imitation gauloise des deniers de la République romaine; l’autre, un tiers de sol d’or d’un monétaire mérovingien indéterminé de Moutiers-en-Tarentaise.

Sylt. Dans le mois de janvier 1905, on a trouvé, a Sylt (Westerland), en creusant une fosse, un récipient de bois fermé d’un couvercle de metal et contenant soixante-dix monnaies d’argent du temps de l’empereur Othon III (983-1002) et du roi Knud de Danemark (1014-1035). La trouvaille est déposée au musöe de Kiel.

(Kieler Zeitung.)

Tardinghen (pres du cap Gris-Nez, Pas-de-Calais). Sur le terri- toire de la commune de Tardinghen, on a trouvé un magnifique aureus de Diocletien, dont voici la description : VIRTVS DIOCLE TIANI AVG., buste lauré et cuirassé, à droite, la main droite levée tient une lance; la main gauche tient un bouclier et deux javelots. À. TOVI CONSERVAT AUGG., Jupiter debout de face, la tête à gauche, tenant le foudre dans sa main droite et appuyant la main gauche sur un sceptre. A l’exergue, PR., dans le champ à droite, un graffite qui paraît renfermer les lettres INANDI, sans doute le nom d’un des possesseurs temporaires de la monnaie. Cohen a décrit ce rare aureus d’après l’exemplaire du Cabinet de France, qui est moins beau que celui trouvé 4 Tardinghen. L’auteur de la Description a omis d’indiquer la marque de l’atelier de Rome. (2° éd., t. VI, p. 43, 223). (Revue numismatique.)

Trèves. Vers la fin de septembre 1904 on a trouvé, en creusant une cave située à Trèves dans la Kochstrasse, un vase en terre conte- nant cent trente-quatre deniers de Trèves et de Lorraine du xm° siècle et un denier du comte Henri VI de Luxembourg (1281-1288). Une pièce pareille, alors unique, a été publiée par M. de Jonghe dans la Revue belge de numismatique, 1903, p. 22. (Rev. belge.)

Vailly-sur-Aisne (Aisne).— Au mois de juillet 1905 on a découvert,

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a Vailly-sur-Aisne, un petit trésor composé de moutons d’or de Jean le Bon, roi de France, de Louis le Mäle, comte de Flandre, de Jeanne et Wenceslas, ducs de Brabant, et de francs & cheval de Jean le Bon et de Louis le Mäle. (Bulletin de numismatique.)

Vosselaer (Belgique). En démolissant une vieille ferme & Vos- selaer, les ouvriers ont trouvé, enfoui sous le pav& de la cave, un pot de terre renfermant une certaine quantité d’anciennes monnaies d’argent. La plupart des pièces sont bien conservées, elles datent de 1638, de 1658, de 1672 et de 1681 et portent les effigies d’Albert et d’Isabelle, de Charles-Quint, de Louis XIV, etc. Les unes ont le module d’une pièce de cing francs les autres celui des pièces de deux francs. (Le National bruxellois.)

W'interthour. Pendant l’automne 1904, on a trouvé, en labourant . un jardin situé dans la rue de Zurich à Winterthour, un aureus à fleur de coin de l’empereur Vespasien daté de l’an 70 après J.-C. La pièce, jusqu’iei inedite, montre & l’avers la töte laurée de l’empereur tournée à droite avec l’inscription IMP. CAESAR VESPASIANVS AVG, et au revers la déesse de la paix assise & gauche et tenant de la main droite une branche d'olivier et de la gauche un caducée; legende: COS ITER TR. POT.

La pièce est entrée au musée de Winterthour.

(Anzeiger f. schweis. Altertumskunde.)

SOCIETE SUISSE DE NUMISMATIQUE

Extraits des proces-verbaux du Comité et de l’Assemblée générale.

Assemblée générale du 23 septembre. 1905. MM. A. BABUT, capi- taine adjudant major, vice-président de la Société francaise de numis- matique, à Paris (présenté par MM. P. Bordeaux et Strehlin); Otto Brunner, D" méd. à Sempach (présenté par MM. Strochlin et Jarrys); Siegmund Risary, à Meggen, Lucerne (présenté par MM. Haas et

Roellin), et Albert Nær, archéologue cantonal à Lausanne (présenté :

par MM. Stroehlin et Jarrys), sont admis au nombre des membres actifs de la Société.

Séance du 29 novembre 1905. M. Gottfried Hexzi, à Burgdorf (présenté par MM. Grossmann et Strochlin), est recu membre actif.

Assemblée generale du 22 septembre 1906. MM. ESTERMANN, chantre à Münster, Lucerne (présenté par MM. Streehlin et Engel, de Thoune), et KOHLER, president de Ja Société d’emulation à Porrentruy (présenté par MM. Strehlin et Michaud) sont admis en qualité de membres actifs.

COMMUNIQUÉ

du Comité de la Société suisse de numismatique à Messieurs les membres de la Société et de la Rédaction de la « Revue suisse de numismatique » à ses collaborateurs et aux abonnés et correspondants.

Messieurs et honorés confrères et collègues,

Depuis longtemps notre rédaction recoit des réclamations sur l’irré- gularité de nos publications. La principale cause de ces retards est l'état précaire des finances de la Société. Chaque année les publications absorbent complètement nos ressources. Nous en avons même distribué quelquefois dont le coût était plus élevé que la cotisation payée par les membres.

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Aussi à l’assemblée de Berne, en septembre 1906, et sur la propo- sition des verificateurs des comptes, les mesures suivantes ont été prises :

Conserver pour l’année 1906 la cotisation à fr. 10.—, mais la fixer a fr. 15.—, a partir de l’année 1907. Ce chiffre n’a rien d'exagére.

Afin de pouvoir publier rapidement le volume, actuellement en préparation, et qui doit contenir divers travaux dont les illustrations sont en grande partie terminées, demander aux membres actifs de la Société de bien vouloir souscrire une cotisation supplémentaire pour 1906 seulement. Pour permettre de terminer les travaux commencés et d’atténuer, dans une large mesure, le déficit existant, il faudrait trouver promptement une somme de 2500 à 3000 franes. Le Comité a déjà recu, à la suite de l’assemblée générale et de la circulaire envoyée aux membres de la Société, plusieurs dons, variant de 10 à 200 francs.’

Les principaux travaux en préparation et qui paraitront dans le plus court délai possible sont : La suite des variétés des monnaies de Genève; La partie descriptive de la numismatique du Vallais; Une description des monnaies de Montfort; La suite du memoire de numismatique grecque de M. le D" Imhoof-Blumer ; La description des monnaies de la ville de Saint-Gall; Les rapports des trois dernières années; Les comptes rendus bibliographiques en retard.

Pour éviter le retour d’une situation semblable restreindre au strict nécessaire le petit texte de chaque livraison. C’est ainsi que l'inventaire général des trouvailles cessera de paraître et la rédaction ne signalera plus que ce qui intéresse directement la Suisse. Il en sera de même des petites notices, soit Mélanges.

La bibliographie des périodiques sera aussi limitée à ce qui intéresse la Suisse. Cependant les notices scientifiques concernant ou l’antiquitité ou l'étranger seront signalées, dorénavant, suivant leur importance. Les auteurs qui ont l’amabilité de faire des envois à la Revue voudront bien excuser la brièveté des comptes rendus, jusqu’à ce que le budget de la Société soit plus prospère.

1 Le trésorier de la Société remercie les collègues dont les noms suivent et qui ont bien voulu s'inscrire pour le versement d'une cotisation supplémentaire auprès de lui. Dans la prochaine livraison de la Zfevue nous publierons la suite de cette liste. Ce sont MM. de Witte, de Jonghe, Imhoof-Blumer, van Muyden, Jarrys. Grossmann, Cahorn, Strehlin, Demole, Ikle, Gallet, A. Bally-Herzog, de Molin, Bordeaux et Perrochet.

328

Enfin, la suite de l’histoire de la Société, ainsi que le catalogue des médailles nouvelles interessant la Suisse sont ajournes à des temps meilleurs.

Par ees diverses réductions et suppressions la Revue diminuera de volume, mais les membres n’y perdront rien, toutes les ressources étant consacrées à l'impression et à l'illustration de mémoires originaux.

Le nombre des membres a peu varié, malgré quelques décès et démissions, mais le recrutement reste très laborieux. Il est vrai que des plaintes semblables se font entendre parmi les sociétés dont le but est uniquement littéraire ou scientifique, car la jeunesse s’adonne surtout aux sports, partout à la mode, et néglige l'étude du passé. Espérons en un avenir meilleur.

Nos collègues sont priés de faire une propagande active auprès de leurs relations et surtout auprès des directeurs de musées et de biblio- thèques qui devraient faire partie de notre association. Nous invitons aussi nos confrères de l'étranger à adhérer à notre compagnie, les publications que nous leur offrons étant certainement de nature à les intéresser.

Le Comité a fait imprimer une notice avec les conditions d'adhésion à la Société qu'il tient à la disposition de ceux de nos collègues prêts à faire de la propagande pour nous.

Le Comité et la Rédaction, tout en regrettant de devoir faire ces communications, espèrent que chacun en comprendra l’urgente néces- sité, l'existence même de la Société étant en jeu.

Ils profitent de cette occasion pour remercier tous ceux qui, par leur appui scientifique ou financier, ont permis à la Revue suisse de numismatique de prendre le rang qu’elle occupe dans la presse numismatique.

Genève, 30 octobre 1906.

Pour le Comité et la Redaction de la Société suisse de numismatique,

Paul-Ch. STREHLIN, président.

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Bibliotheque. Ouvrages reçus de janvier 1905 à fin mai 1906.

PERIODIQUES ALLEMAGNE. Berliner Münzblätter, neue Folge, 1905, n°5 37—48; 1906, nos 49—53. Blätter für Münzfreunde, 1905 ; 1906, n°8 1—4. Mittheilungen der bayer. numismatischen Gesellschaft, XXIV® année, 1905, in-8 de XV et 95 p. avec 6 pl. Numismatisches Literatur Blatt, n°8 142—148. Sitzungsberichte der numismatischen Gesellschaft zu Berlin, 1904—1905. Berlin, 1904—1905, 2 br. in-8. Extr. de la Zeitschrift für Numismatik, t. XXV. Zeitschrift für Numismatik, t. XXV, liv. 1-3. (M. Paul-Ch. Stroehlin.) ANGLETERRE. Monthly numtsmatic Circular, t. XIII, 1900, liv. 147—156; t. XIV, 1906, liv. 157—162. Numismatic Chronicle (the), 1904, liv. 4; 1905; 1906, liv. 1. AUTRICHE. Archiv für Bracteatenkunde, t. IV, Bogen 15 —19. Friedl’s illustrirtes Briefmarken-Offertenblatt, n°5 34—35. (M. P.-Ch. Streehlin.) Mittheslungen des Klubs der Münz- und Medatllenfreunde in Wien, 1904, 175. Mittheilungen der oesterr. Gesellschaft für Münz- und Medaillenkunde, 1905 ; 1906, n°5 1-4. Monatsblatt der k. k. heraldischen Gesellschaft « Adler » in Wien, t. V, n°8 49—60; t. VI, 1—5. Monatsblatt der numismatischen Gesellschaft in Wien, t. VI, n°5 25—36; t. VII, n°5 1-4. Numismatische Zeitschrift, t. XXXVI, 1904, in-8 de XV et 255 p. avec 14 pl. Numizmatikai Közlöny, a magyar numizmatikai tirsulat meghizasabol, 1905 ; 1906, n°s 1—2. Vjestnik hrvatskoga arheoloskoga drustva, nouv. série, t. VIII, 1908. Wiadomosci numizmatyceno archeologiczne, 1904, liv. 4; 1905. Zeitschrift für Münz- und Medaulenkunde, t. I, liv. 1—2. BELGIQUE. Gazette numismatique (la), année, 1904—1905, liv. 5—10. (M. Ch. Dupriez.) Revue beige de numismatique, 1905, liv. 2—4; 1906, liv. 1—2. Erats-Unis D’AMERIQUE. American Journal of numismatics and Bulletin of american numismatic and archaeological Societies, t. XXXIX, liv. 3—4; XL, liv. 1—3.

1 Les envois doivent étre adressés au local, rue du Commerce, 5, a Geneve.

330

Proceedings of the american numismatic and archaeological Society, of New- York, 1905, br. in-8 de 28 p. avec 1 portr.

France. Administration des monnaies et médailles. Rapport au ministre des finances. Dixieme année, 1905. Paris, 1905, in-8 de XXXVIII et 397 p. avec 10 pl. et 2 diagrammes. (L'administration de la Monnaie.)

Bulletin de numismatique, t. XI, 1904, liv. 5—8; t. XII, 1905; t. XIII, 1906, liv. 1-2.

Correspondance historique et archéologique (la), XI® année, 1904, liv. 132; XII année, 1905; XIII* année, 1906, liv. 144-147.

Gazette numismatique francaise, 1904, liv. 2—4; 1906, liv. 1—2.

Itevue numismatique, serie, t. VIII, 1904. liv. 4; t IX, 1905; t. X. 1906, liv. 1.

Rerue suvoisienne, 1892, liv. 4 (échange), 1904, liv. 3—4; 1905, liv. 1-3.

HoLLaxnne. Tijdschrift van het koninklijk Nederlandsch Genootschap coor mund- en penningkunde, XIIT® année, 1905, liv. 2—4 ; XIV® année, 1906, liv. 1-2.

IraLie. Bollettino di numismatica e di arte della medaglia, année, 1905 ; année, 1906, liv. 1-4.

Giornale araldico-genealogico-diplomatico, nouv. série, t, X, 1905, liv. 1-5.

l'assegna numismatica. 17° année, 1904, liv. 5-6; année, 1905, liv. 15.

kirista italiana di numismatica, XVII année, 1904, liv. 4; XVIII année, 1905; XIX° année, 1906, liv. 1.

Archiv des kistorichen Vereins des Kantons Bern, t. XVIII, liv. 1.

Suisse. Anzeiger für schweizerische Altertumskunde (Indscateur d’antiquités suisses) ; neue Folge, t. VI. 1904—1%5, liv. 2-4; t VII. 1905 —1906. Archives heraldiques suisses, XVIII année, 1904, liv. 4; XIX® année. 1905.

Argovia, t. XXXI, in-8 de XVIII et 112 p. avec 9 pl. et une carte.

Bulletin de l’Institut national genevois, t. XXXVI, Genève, 1905, in-8 de 566 p.

Compte rendu de l'administration municipale de la Ville de Genève pendant l'année 1904, Genève 1905, in-8 de 346 p. avec 4 tableaux graphiques. (M. A. Cahorn.)

Globe (le), journal géographique, organe de la Société de géographie de Genève, t. XLIV, Genève, 1905. in-8 de 210 et 81 p. avec 3 pl. et 1 portrait. (M. P.-Ch. Streehlin.)

Jahrbuch für schweizerische Geschichte, t. XXX, 1905.

Jahresbericht der histor.-antiquar. Gesellschaft von Graubünden, XXXIV. Jahrgang, 1904, Chur 1905, in-8.

Journal des collectionneurs, organe mensuel consacré à l'étude des collec- tions historiques, documentaires et artistiques, année, 1904-1905, liv. à—12; année, 1905-1906, liv. 13 —19.

331

Mémoires et documents publiés par la Société d'histoire et d'archéologie de Genève, tt. XXIX et XXX, Genève 1906, 2 vol. in-8, série in-4, t. III, Genève 1906, in-4 de 135 p. avec XXVI pl.

Musée national suisse à Zurich. XIIIe Rapport annuel présenté au Département fédéral de UV Interieur et rédigé au nom de la Commission par le directeur [M. H. Lehmann], 1904. Zurich 1905, in-8 de 89 p. avec 4 pl. (Direction du Musée.)

Musée neuchatelois, XLII® année, mars-décembre 1905; XLIIIS année, janvier-juin 1906.

Quellen zur schweizer. Geschichte, herausgegeben von der allgemeinen Greschichtsforschenden Gesellschaft der Schweiz, t. XXIV. Basel, 1905, in-8 de LXXIV et 740 p.

Revue suisse de numismatique, t. XII, liv. 2; t. XIII, liv. 1.

Schweizer. Briefmarken-Zeitung, XVIIe année, 1904, 10—11; XVIII année, 1905, n®® 1—2, 5,9. (M. P.-Ch. Streehlin.)

Société auxiliaire du Musée de Genève. Compte rendu de la marche de la Société pendant les années 1899 à 1904. Genève, 1900—1905, six br. in-8 avec fig. (M. H. Jarrys.)

Taschenbuch der historischen Gesellschaft des Kantons Aargau für das Jahr 1904, Aarau 1904, br. in-16 de 164 p.

OUVRAGES NON PERIODIQUES

Albon, Eugen, baron d’. Die Affaire Marschall. Wien, 1905, in-4 de 60 p. avec 4 pl. (L’auteur.)

Ambrosoli, Solone. Atlantino di monete papali moderne a sussidio del Cinagli. Milano, 1905, in-16 de XI et 131 p. avec fig. dans le texte et un portr. (M. U. Hcepli, éditeur 4 Milan.)

Andorfer, Karl. Schiller-Medaillen. Zur Feier des 100. Todestages des Dichterfürsten. Wien, 1905, br. in-8 de 30 p. avec fig. dans le texte. Publication de la Oesterreichische Gesellschaft für Münz- und Medaillen- kunde. (La Société.)

Bahrfeldt, Max. Die ròmisch-sicilischen Münzen aus der Zeit der Republik. Genf, 1904, in-8 de 120 p. avec 5 pl. et fig. dans le texte, extr. de la Revue suisse de numismatique, t. XII.

Bordeaux, Paul. Les jetons et les épreuves de monnaies frappés à Paris de 1553 à 1561, pour Marie Stuart. Chälon-sur-Saöne, 1906, br. in-8 de 46 p. avec 1 pl., extr. de la Gazette numismatique française, 1905. (L’auteur.)

Campos, Manoel-Joaquim de. Contos para contar. Exemplares ineditos. Lisboa, 1906, br. in-8 de 20 p. avec 1 pl. et fig. dans le texte, extr. de O archeologo Portugues, t. X, 1905. (M. Julius Meili, à Zurich.)

Cinquantieme anniversaire (le) de la fondation de l'Institut genevois des sciences, des lettres, des beaux-arts, de l’industrie et de l’agriculture. Compte-rendu de la séance publique à V Aula de l'Université, le 30 avril,

332

et du banquet du 2 mai 1903. Genève, 1904, br. in-8 de 38 p., extr. du Bulletin de l’Institut, t. XXXVII. (L'Institut national genevois.)

Demole, Eugenio. La zecca det conti del genevese ad Annecy (1356-1391). Milano, 1904, br. in-8 de 109 p. et 2 pl., extr. de la Rivista italiana di numismatica, t. XVII. Traduit du travail paru dans les Af. D. @., t. XXII. (L’auteur.)

D[emole], E. et S[troehlin], P.-Ch. Notice sur le Musée suisse de photographies documentaires à Genève, suivie du plan de classement. Genève, 1906, br. in-8 de 32 p. (M. P.-Ch. Strehlin.)

Dompierre de Chaufepié, H.-J. de. Koninklijk Kabinet van munten, penningen en gesneden steenen. Catalogus de nederlandsche en op Nederland betrekking hebbende gedenkpenningen, II (1703-1813). 's Gravenhage, 1906, in-8 de II et 308 p. avec pl. XXIV-XXXIV. (L’auteur.)

Droz-Farny, A. Notice historique sur une medaille jurassienne. Porrentruy, 1905, br. in-8 de 12 p. avec 1 pl. (L’auteur.)

Engel, Arthur, et Serrure, Raymond. Traite de numismatique du moyen age, t. III. Paris, 1905, in-8 avec nombr. fig. dans le texte. (L'auteur.) Festgahe zur LX. Jahresversammlung (Bern. 45 September 1905). Der allgemeinen Geschichtsforschenden Gesellschaft der Schweiz dargeboten vom Historischen Verein des Kantons Bern. Bern, 1905, in-8 de 382 p. avec

5 pl. (Historischer Verein des Kantons Bern.)

Feuardent, F. Collection Feuardent. Jetons et méreaux La Louis IX jusqu'à la fin du consulat de Bonaparte, t. 1 et atlas. Paris 1905, in-8 de XVI et 503 p. avec atlas de 22 pl. (L’auteur.)

Forrer, L. Une médaille suisse rare de la collection Townshend conservée au British Museum. Genève, 1904, br. in-8 de 8 p. avec fig. dans le texte. extr. de la Revue suisse de numismatique, t. XII.

Gallet, Georges. Une médaille de Rene, comte de Challant et seigneur- souverain de Valangin en Suisse. Genève, 1905, br. in-8 de 12 p. avec 1 pl., extr. de la Revue suisse de numismatique, t. XIII.

Gelli, Jacopo. Il raccoglitore di oggetti minuti e curiosi. Milano. 1904, in-16 de XI et 344 p. avec fig. dans le texte. (M. U. Hoepli, éditeur à Milan.) Gnecchi, Francesco. Appunti di numismatica romana, I-VI, VIII-XIV, L-LII. Milano, 1888-1890, 1900, 10 br. in-8, extr. de la Rivista italiana

di numismatica. (M. L. Naville, à Genève.)

Appunti di numismatica romana, LXXII-LXXIV. Milano, 1905, 2 br. in-8 avec pl., extr. de la Rivista italiana di numismatica, 1905. (L’auteur.)

Gohl, Odin. Budapest ujabb emlékérmei. Budapest, 1905, in-4 de VIII et 4 p. avec 6 pl. (L’auteur.)

Hamburgische Zirkel-Correspondenz. Abbildungen freimaurerischer Denk- miinzen und Medaillen mit Beschreibung und erläuterndem Text histori- schen und biographischen Inhalts, t. VII. Hamburg, 1905, in-4 de 55 p. avec 20 pl. (La Grande Loge de Hambourg.)

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Heierli, J., und Oechsli, W. Urgeschichte Graubündens mit Einschluss der kömerzeit. Zurich, 1903, br. in-8 de 80 p. avec 5 pl. et 1 carte, extr. des Mittheilungen der antiquarischen Gesellschaft, t. XXVI. (M. P. Stroeblin.)

Höfken, Rudolf von. Numismatische Denkmale auf den Protestantismus in Oesterreich. Wien, 1904, br. in-8 de 35 p. avec 3 pl. et fig. dans le texte, extr. du Jahrbuch der Gesellschaft für die Geschichte des Protestantismus in Oesterreich, XXV. Jahrgang. (L'auteur.)

Bibliotheca nummaria austriaca. Im Auftrage der oesterreichischen Gesellschaft für Münz- und Medaillenkunde, Wien [1905], in-8.

Jonghe, vic. Baudoin de. Un denier noir frappé à Ypres par Gui de Dam- pierre, comte de Flandre. Bruxelles, 1905, br. in-8 de 8 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Revue beige de numismatique, 1906. (L’auteur.)

Les monnaies de Guillaume de Bronckhorst, baron de Gronsveld (1559- 1563). Bruxelles, 1905, br. in-8 de 8 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Revue belge de numismatique, 1905. (L’auteur.)

Louis de Luxembourg, connétable de France, a-t-il frappé monnaie? Bruxelles, 1906, br. in-8 de 10 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Revue belge de numismatique, 1906. (L’auteur.)

Lenzi, Furio. La moneta nazionale. Orbetello, 1904, br. in-16 de 7 p., extr. de la Rassegna numismatica, marzo 1904. (L’auteur.)

L’artee le opere di Benedetto Pistrucci. Orbetello, 1904, br. in-8 de 4 p., extr. de la Rassegna numismatica, sett.-ottobre 1904. (L’auteur.)

Un ripostiglio di monete consolari e la località di Porto Cosano. Orbetello, 1905, br. in-8 de 3 p., extr. de la Rassegna numismatica, luglio- sett. 1905. (L’auteur.)

Le Roy, L. Un double gros de Frédéric de Blankenheim, évéque d’ Utrecht (1393-71423). [Genève, 1905] br. in-8 de 7 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Revue suisse de numismatique, t. XIII.

Loi du 6 juillet 1799 prohibant les petites monnaies étrangères. Placard 23,5 x 39 (M. M. de Palézieux-du Pan).

Loi du 2 octobre 1799 fixant la valeur des pièces d’ Empire de 20 kreutzers à 5 batz et 5 rappes de Suisse. Placard 23,5 x 39. (M. M. de Palézieux-du Pan.)

Mandat souverain concernant les monnaies étrangères qui auront cours et celles qui sont rabatssées ou entièrement défendues avec l’évaluation des espèces d’or et d'argent compilé en 1777. Berne, 1777, in-8 carré de 16 p. (M. M. de Palézieux-du Pan.)

Meili, Julius. Das brasilianische Geldwesen, II. Theil. Die Münzen des unabhängigen Brasilien 1822 bis 1900. Zürich, 1905, in-4 de LVIII et 377 p. avec 58 pl. (L’auteur.)

Michaud, Albert. Les monnaies des princes-évéques de Bale. Notice histo- rique et descriptive de 234 pieces. La Chaux-de-Fonds, 1905, in-8 de 103 p. avec 1 tableau et 14 pl., extr. de la Revue suisse de numismatique, t. XIII.

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Moyaux, Aug. Catalogue des médailles de chemins de fer de tous pays. Bruxelles, 1905, in-4 de 174 p. avec fig. dans le texte, extr. des Chemins de fer autrefois et aujourd’hui et leurs médailles commémoratires, du méme. (L'auteur.)

Naville, Lucien. Monnaies inédites de l'Empire romain. Milano, 1904-1905, 3 br. avec pl., extr. de la Rivista italiana di numismatica, 1904-1905. (L'auteur.)

Papadopoli, Nicolò. Monete trovate nelle rovine del campanile di S. Marco. Milano, 1904, br. in-8 de 8 p. avec fig. dans le texte, extr. du Bollettino di numismatica, ottobre 1904. (L'auteur.)

La tariffa veneta del 1543. Milano, 1904, br. in-8 de 8 p. avec 1 pl., extr. de la Rivista italiana di numismatica, 1904. (L’auteur.)

ln denaro della contessa Richilda (2). Milano, 1905, br. in-8 de 4 p.. extr. de la Rirista italiana di numismatica, 1905. (L'auteur.)

Sehastiano Venier e le sue monete (1577-1578). Venezia, 1905, br. in-8 de 25 p. avec fig. dans le texte. (L’auteur.)

Perini, Quintilio. Die Münzen, Medaillen und Orden der Republik San Marino. Dresden, 1901, in-16 de 22 p. avec fig. dans le texte, extr. des Blätter für Münzfreunde, 1901. (L’auteur.)

Note di terminologia e chronologia monetaria. Milano, 1903, br. in-16 de 4 p., extr. du Bollettino di numismatica, luglio 1903. (L'auteur.)

Il congresso internazionale di scienze storiche in Roma. Rovereto, 1903, br. in-8 de 10 p., extr. des Atti dell’ I. R. Accademia di scienze, lettere ed arti degli Agiati in Rovereto, série III, t. IX. (L'auteur.)

Le monete di Francoforte s M. descritte ed illustrate da P. Joseph e E. Fellner. Articolo bibliografico. Milano, 1903, br. in-8 de 4 p., extr. de la Rivista italiana di numismatica, 1903. (L’auteur.)

Di alcune ripostigli di monete medioevali. Milano, 1904, br. in-8 de 4 p. avec tig. dans le texte, extr. du Bollettino di numismatica e di arte della medaglia, 1904. (L’auteur.)

A proposito della Repubblica romana del 1849 e sue monete. Rettifica. Rovereto, 1904, br. in-8 de 4 p., extr. du Bollettino di numismatica e di arte della medaglia, 1904. (L’auteur.)

Le medaglie commemorative del terzo centenario del Concilio di Trento, 1545-1563. Rovereto, 1905, br. in-8 de 9 p., extr. des Atti dell’ I. R. Accademia di scienze, lettere ed arti degli Agiati di Rovereto, série III, t. XI. L'auteur.)

- Spigoluture d’archivio. Rovereto, 1905, br. in-8 de 9 p., extr. des Atti del? I R. Accademia di scienze, lettere ed arti degli Agiate di Rovereto, série III, t. XI. (L’auteur.)

Famighe nobili trentine. VI. La fumiglia Frizzi di Rovereto. Rovereto, 1905, br. in-8 de 16 p. avec 1 pl. et 1 tableau généalogique, extr. des Atti del? I. R. Accademia di scienze, lettere ed arti degli Agiati di Itovereto, serie III, t. XI. (L’auteur.)

- 335

Perini Quintilio. Famiglie nobili trentine. VII. La famiglia Costioli di Rovereto. Rove- reto, 1905, br. in-8 de 5 p. avec 1 pl. et un tableau généalogique, extr. des Atti dell’ I. R. Accademia di scienze, lettere ed arti degli Agiati di Rovereto, série III, t. XI. (L'auteur.)

Nelle zecche d’Italia. I. Modena. Londra, 1905, br. in-8 de 6 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Monthly numismatic Circular. (L’auteur.)

Il ripostiglio di Carribollo. Milano, 1905, br. in-8 de 7 p. avec fig. dans le texte, extr. du Bollettino di numismatica e di arte della medaglia, 1905, (L’auteur.)

Francesco Edoardo Betta.) Biografia. Rovereto, 1905, br. in-8 de 7 p. (L’auteur.)

Famighe nobili trentine. VIII. La famiglia Saibante di Verona e Rovereto. Rovereto, 1906, br. in-8 de 38 p. avec 1 blason et 2 tableaux généalogiques. (L’auteur.)

Le monete di Gazoldo degli Ippoliti. Rovereto, 1906, in-8 de 47 p. avec 2 pl. et un tableau généalogique. (L’auteur.)

Robert, A. La seigneurie de Franquemont, partie. Londres, 1905, in-8 de 31 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Monthly numismatic Circular, 1905. (L’auteur.)

Schneuwly, Jos. Etude sur la monnaie à Fribourg. [Genève, 1905] br. in-8 de 8 p., extr. de la Revue suisse de numismatique, t. XIII.

Soutzo, M.-C. Nouvelles recherches sur le système monétaire de Ptolémée Soter. Paris, 1904, br. in-8 de 24 p., extr. de la Revue numismatique, 1904. (L’auteur.)

Statuten der oesterreichischen Gesellschaft für Münz- und Medaillenkunde. {Wien, 1905] 3 p. in 8. (La Société.)

Stephanik, Jos.-W., et Zwierzina, W.-K.-F. Beschrijring van de gedenk- stroi- prijs- en draag-penningen, gedenk- en penningplaten, draagteekens, enz vervaardigd naar aanleiding van de inhuldiging van H. M. Wilhel- mina Koningin der Nederlanden. [Amsterdam] 1899, in-4 de 102 et XXIII p. avec 1 portr. et fig. dans le texte. (L’auteur.) REN

Strehlin, P.-Ch. L'éducation en Suisse. Annuaire des écoles, universités, pensionnats, etc., etc. année, 1905-1906. Genève [1905], in-8 de 724 p. avec 1 portr. et nombr. vignettes. (L’auteur.)

Répertoire de médaillistique, Fiches 1101-1500. (L'auteur.)

Vallentin-du Cheylard, Roger. Découverte à Annonay (Ardèche) de monnaies feodales, royales et étrangères. Genève, 1905, br. in-8 de 28 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Revue suisse de numismatique, t. XIII.

Villaret, E. de. Numismatique japonaise, in-8 de 95 p. avec 33 pl., extr. de la Revue numismatique 1905 (MM. Rollin et Feuardent, éditeurs à Paris.)

Voetter, Otto. Macrianus Caesar. [Wien, 1904] br. in-8 de 3 p. avec fig. dans le texte, extr. du Monatsblatt der numismatischen Gesellschaft in Wien. (M. L. Naville.)

30 --

Witte, A. de. Le jeton dans les comptes des maitres de monnates du duché de Brabant aux XVII® et XVIII® siècles. Amsterdam, 1898, in-8 de 152 p. avec fig. dans le texte, extr. du Tijdschrift ran het nederlandsch Genootschap roor munt- en penningkunde, 1898. (L'auteur.)

Godefroid Devreese, médailleur. Biographie et catalogue de son aurre. Paris, 1903, br. in-8 de 17 p. avec 2 pl.. extr. de la Gazette numismatique francaise 1903. (L’auteur.)

La médaille des statues de neige. Anvers 1772. Anvers, 1903, br. in-8 de 10 p. avec fig. dans le texte, extr. des Annales de l’Académie royale d’archéologie de Belgique. (L’auteur.)

Medaille religieuse de Saint-Vincent de Soignies, Bruxelles, 1904, br. in-8 de 5 p. avec 1 pl, extr. de la Rerue belge de numismatique, 1904. (L'auteur.)

Un patagon de Charles II, roi d’Espagne, frappé à Tournai en 1667. Bruxelles, 1904, br. in-8 de 5 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Gazette numismatique 1903-1904. (L'auteur.)

Une médaille de Sainte- Wivine, abbesse de Grand-Bigard. Bruxelles, 1904, br. in-8 de 5 p. avec fig. dans le texte. extr. de la Gazette numisma- tique, 1903-1904. (L'auteur.)

Deux monnates liegeoises inedites de la collection de S. A. S. le duc @ Arenberg. Bruxelles, 1905, br. in-8 de 8 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Revue belge de numismatique, 1905. (L’auteur.)

Monnaie de Bruxelles. Exposition universelle et internationale de Liege, 1905. La médaille en Belgique au XIX® siècle. Bruxelles, 1905, br. in-8 de 40 p. avec 2 pl. (L’auteur.)

Zemp, J. Le tombeau du Christ au couvent de la Maigrauge. Le Christ du tombeau au couvent de la Maigrauge. (Fribourg, 1904], 3 p. in-f avec 2 pl., extr. du Fribourg artistique. (M. l'abbé F. Ducrest.)

MÉDAILLIER

Medaille de la Société des arts de Genève (écu genevois), copie. (M. H. Cailler, à Genève.)

Pièce de 2 francs, 1904, de la République française, par Roty [pièce fausse]. (M. H. Jarrys, à Genève.)

Jeton de présence aux assemblées de la Société royale belge de numisma- tique, 1904 et 1905. (La Société belge de numismatique.)

Médaille bronze commémorative du bi-centenaire du château de Ramezay. (La Société de numismatique de Montréal.)

Jeton de présence à l'assemblée de la Société suisse de numismatique, Fribourg, 1904. Divers métaux. |

ALBUM PHOTOGRAPHIQUE

Photographie de Hugues Bovy. (Mme veuve H. Bovy.)

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REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE

PL. XVIII

Tome XIII

KAISERLICHE PRÄGUNGEN TAF.I.

KLEINASIEN.

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KLE INASIEN T AF. IV.

Rin unedierter Münzstempel des Gegenpapstes Felix V.

Unter den Münzstempeln des Münzkabinets im histo- rischen Museum zu Basel befindet sich ein Stück, das sowohl für die Numismatik wie auch für die baslerische Geschichte besonderes Interesse bietet. Es ist dies ein Münzstempel von Felix V., dem Gegenpapst von Eugen IV., von welchem bis jetzt keine Münzen bekannt sind!.

Dieser der erste Herzog aus savoyischem Hause zog sich 1433 beim Tode seiner Gattin in das von ihm gegründete Kloster Ripaille bei Thonon am Genfersee zurück, die Regierung seinem ältern Sohne Ludwig überlassend, wo ihn 1439 die mittlerweile vom Basler Concil an ihn abgegangene Gesandtschaft mit der Kunde seiner Ernennung zum Papst erreichte. Am 23. Juni 1440 hielt er dann auch seinen feierlichen Einzug in Basel und wurde bald darauf, am 24. Juli, im Münster zum Papst gekrönt.

Der Basler Stadtschreiber Christian Wurstisen nun erwähnt in seiner « Basler Chronik » bei Anlass der Beschreibung des Krönungszuges der « Tresorier » «so vnder das Volck Gelt auswarffen». |

An einer andern Stelle berichtet er « Mornderigs (25. Juli 1440) besamlet sich mengklich daselbst zur Mess nach welcher | auch etlich anderen noch uberigen Ceremonien | einem jeden

* Herr Professor E. A. Stückelberg machte mich in liebenswürdiger Weise auf dieses Stück aufmerksam und verweise ich noch auf dessen in den „Basler Nachrichten‘ erschienene Publikation.

REVUE NUM. T. Xi. 22

_ 938

Prelaten so dabey gewesen | zwen Silberin vnnd ein Guldiner Schauwpfenning verehret ward».

Es ist nun mit aller Wahrscheinlichkeit anzunehmen, dass wir es hier mit dem Aversstempel der ausge- worfenen Münzen zu thun haben, da der frisch installierte Papst auch durch Ausübung des Münzrechts seine Souveränität bekunden wollte.

Der Typus jener erwähnten Silbermünze kann es auf keinen Fall sein, dies ist zweifellos. Dass aber wirklich von diesem Stempel Münzen zur Ausprägung gelangten, geht zur Evidenz aus der starken Abnutzung des Stempels hervor,

Der bezügliche Eisenstempel zeigt über dem Rund- schild mit dem savoyischen Wappen die gekreuzten Schlüssel mit der dreifachen Tiara, von der zwischen zwei Perlkreisen und in gothischen Majuskeln gehaltenen Legende

FEL[IX] * PP x x QVIRTVS

umgeben. Die paläographische Vergleichung der Buch- staben mit denjenigen auf den Goldgulden Albrechts II. (Ewig, Catalog 43) ergab eine auffallende Aehnlichkeit und sind auch die kleinen Sternchen in den Interstizien gleich gebildet wie auf den Goldgulden seines Vorgängers, Sigismunds (Ewig, Catalog 41), welche beide Prägungen in dieselbe Zeit fallen. Es besteht sonach die Wahrschein- lichkeit dass der Stempel in der königlichen Münze zu Basel geschnitten wurde.

339

Die Prägefläche desselben misst 22 Millimeter im Durchmesser und beträgt die Stempelhöhe 72 Millimeter.

Vielleicht will es ein gültiges Geschick, dass die Zukunft mehr Licht über das kulturgeschichtlich interessante Stück bringe, sei es durch eine Originalmünze, durch eine zuverlässliche litterarische Quelle oder gar durch die Entdeckung des dazu gehörigen Stempels falls er noch vorhanden ist.

Basel, Januar 1%7.

M. A. RUEGG.

MEDAILLES NOUVELLES

Repertoire alphabétique de toutes les medailles, médaillons, plaquettes et jetons postérieurs au 31 décembre 1880 concernant la Suisse ou graves par des artistes suisses, dont la description a été donnée dans les publications de la Societe suisse de numismatique depuis leur

origine (1882-1906).

Le nombre des pieces decrites dans nos publications est devenu trop considerable pour que les amateurs puissent retrouver facilement ces notes disseminees dans les onze volumes du Bulletin et les treize tomes de la Revue, d’autant plus qu’aucun de ces volumes ne possède d’index des matières et que les tables ne mentionnent généralement pas les descriptions isolées.

J'ai done pensé fournir à nos lecteurs un moyen commode d'utiliser les nombreux renseignements disséminés dans nos publications. La plupart de ces descriptions sont faites sur les pièces originales et au moment même de leur parution. Elles sont suivies d'indications sur les métaux, les graveurs, le tirage et souvent de renseignements histori- ques. Cette liste sera aussi sommaire que possible avec les reports nécessaires pour répondre à toutes les nécessités d’une consultation rapide. J'y ai intercalé des rubriques par matières et sous les noms des graveurs qui ont signé leurs pièces, de sorte qu'il sera facile de se rendre compte immédiatement de l’œuvre actucl de chaque auteur ou de la spécialité que l'on recherche. Le premier Bulletin de la Société a paru au commencement de 1882 et contient plusieurs descriptions de pièces émises en 1881; j'ai donc pris la date du 1‘ janvier 1881 comme base de ce travail, qui comprend toutes les descriptions de pièces nouvelles depuis cette date, soit dans les chroniques spéciales soit dans les différents mémoires publiés. Cette liste contient non seu- lement les médailles et jetons suisses mais encore les médailles étran- gères gravées par des Suisses et les pièces d’autres pays mentionnant la Suisse ou ayant rapport à des événements intéressant notre pays. Mon intention est de continuer, si nos ressources le permettent, de faire paraître de temps à autre des fascicules complémentaires de la Revue à partir du tome XII, contenant les descriptions des médailles du même genre non encore décrites dans la Revue et postéricures au 31 décembre 1880, ainsi que toutes les pièces nouvelles à paraître.

341

En publiant ce travail, je tiens 4 constater l’essor qu’a pris la création des médailles et le nombre croissant d’artistes ou d’industriels qui contribuent à enrichir les series suisses, depuis la création de notre Société. C’est un des beaux résultats de notre activité. Pour la suite de ce travail, je renouvelle les appels incessants que je ne cesse de faire depuis vingt-sept ans, auprés de tous les collectionneurs, des artistes et des éditeurs, pour être immédiatement renseigné sur l’édi- tion des médailles nouvelles. Malgré tout, de nombreuses piéces ont échappé à mes recherches. Ce travail est indispensable pour écrire la chronique numismatique de notre pays et éviter & nos descendants les recherches souvent vaines et toujours coùteuses en temps et en argent que nous devons encore faire pour reconstituer notre histoire métal- lique suisse. J’espére donc qu'à l’avenir chacun de mes confrères voudra bien continuer à me soutenir dans cette œuvre ardue et con- tribuer, par ses envois et correspondances, à compléter mon travail. Toutes les fois que la chose sera possible, je désire que l’on m'envoie un exemplaire original pour faire mes descriptions ou, tout au moins, une empreinte convenable.

Afin de faciliter les citations, j'ai numéroté à la suite, par ordre alphabétique, toutes les pièces de cette liste et continuerai à l'avenir cette numérotation pour les descriptions qui suivront. Toutes les indi- cations relatives aux pièces se trouvant dans les descriptions, je n’ai indiqué sur ce répertoire que ce qui était indispensable pour éviter des confusions.

L’indication suivant chaque titre indique d’abord le tome, puis la page du volume se trouve la description. Je n'indique pas les figures

reproduites dans le texte et ne mentionne que les planches principales.

On trouvera quelques différences entre le texte du Bulletin et de la Revue avec ce répertoire. Elles proviennent de renseignements com- plémentaires et de rectifications que j'ai notées au fur et à mesure de la publication des livraisons. Malgré l’absence de répertoires détaillés, une seule pièce, dans nos vingt-quatre volumes, a été décrite deux fois, dans les chroniques de nouveautés.

B Bulletin de la Société suisse de numismatique ; R = Revue suisse de numismatique;

S. d. = sans date;

N. s. = non signé (par le graveur).

Les modules, si cela est nécessaire sont indiqués en mètres. Genève, décembre 1906. Paul-Ch. STREHLIN.

_ 342

1. Aarau (Argovie), s. d., loge maconnique « Zur Brudertreue », insigne de membre, n. s., variété. R, I 275

2. s.d., même loge, même insigne n. s., var. R, I 275 3. 1882, 50° annivers. de la société fédérale de gymnast. et fête federale de gymnast., par Hunziker et Durussel. R, I 272 pl. XV

4. 1882, möme föte, par Theiler. R, 1273 5. 1889, fête fédérale des cadets, n. s., 0,0227. R, I 274 pl. XV 6. même fête, n. s., 0,028. R, 1274 7. même fête, n. s., 0,033, type. R, I 274 pl. XV 8. même fête, n. s., 0,033, type. R, I 275 9. méme fête, n. s., 0,033, type. R, I 275 10. 1896, tir du 300° anniversaire de la société de tir, par Hom- berg, 0,033. . R, VI 331

11. 1896, méme féte, par le méme, 0,038. R, VI 331 12. même fête, par O. et M. 2. R, VI 331 13. 1900, fête fédérale de musique, n. s. R, XI 447 14. 1901, fête cantonale de gymnastique, n. s. R, XI 462

15. 16.

17.

18. 19.

20. 21. 22. 23. 24. 25, 26. 27. 28. 29. 50. 31. 32.

Abstinence, voir Temperance.

Accidents, 297.

Aeppli et Duerrich, édit. de medail. à Zurich, 938, 939, 1104, 1312. Afrique, 1364, 1365, 1366.

Aigle (Vaud), 1890, föte cantonale de secours mutuels, n.s. B, X 159 1895, fete cantonale des musiques, par Vieuxmaire. R. V 102 Albis (Tunnel de I’), 1175.

Allemagne, 73, 74, 75, 76, 320, 874.

Allemandi, fondation à Soleure, 1158.

Alpinisme, 191, 606, 1077, 1195, 1196, 1214, 1275.

Altdorf (Uri), s. d., scierie mécanique Arnold, jeton par Hantz,

5 centimes. R, X 350 8, d., même pièce, 10 centimes. R, X 350 1895, inauguration du monument de Tell, par Homberg,

0,050. R, V 257 1895, même fête, par le même, 0,038. R, V 257. même fête, par Kauffmann. R, V 258 même fête, par Wilhelm et Mayer, 0,033. R, V 259 —- même fête, par les mêmes, 0,054. R, V 259 même fête, par les mêmes, plaquette, 1°" type. R, V 259 même fête, par les mêmes, plaquette, type. R, V 259 même fête, par les mêmes, plaquette, type. R, V 259 même fête, par les mêmes, plaquette, type. R, V 259 -- même fête, par Vieuxmaire. R, V 259 même fête, n. s., 0,033, type. R, V 258

--- même fête, n. s., 0,033, type. R, V 258

8. d. (1897), tir cantonal uranais, par Homberg. R, VII 206

1899, representation du Guillaume Tell de Schiller, par Wilhelm et Mayer. R, IX 332

Amérique, 39, 40, 41, 42, 43, 155, 157, 158, 159, 278, 300, 301, 853, 1052, 1053, 1054, 1088.

33.

34. 35.

36. 37.

39. 40. 41.

42. 43. -

44.

45. 46. 47. 48, 49. 50.

51.

_ 343

Amrisweil (Thurgovie), 1900, tir cantonal thurgovien, par Hom- berg. R, X 365

Amulettes, talismans, +73.

Angrand, L., 352.

Animaux (Protection =): 354, 1171, 1252.

Annemasse (France), s. d. (1902), société coopérative Espérance,

jeton de consommation, 1 frane, n. s. (Furet). R, XI 474 --- même soc., jeton, 50 centimes, n. s. (Furet). R, XI 474 même soc., jeton, 10 centimes, n. s. (Furet). R, XI 474 même soc., jeton, 5 centimes, n. 8. (Furet). R, XI 474

Anniversaires historiques, voir Fêtes historiques.

Appenzell (Rh.-Ext.), 1160, 1244.

Apples (Vaud), 145.

Argentine (Amérique), s. d. (1902), saint Hubert, par Lamunière.

R, XI 471

s.d. (1902), sainte Cécile, par le même. R, XI 471

8.d. (1902), sainte Vierge et Jésus, par le même. R, XI 471

8. d. (1902), annonciation à la Vierge, par le même. R, XI 471

s. d. (1902), souvenir de baptème, par le méme. R, XI 471

Argovie (Canton), 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, 11, 12, 13, 14, 51, 153, 154, 156, 107, 875, 1045, 1100, 1233, 1336, 1337, 1367, 1368, 1369, 1370, 1371.

Armée suisse, 5, 6, 7, 8, 9, 136, 141, 142, 143, 144, 146, 147, 241, 242, 248, 272, 273, 274, 275, 285, 286, 287, 288, 361, 362, 699, 707, 724, 736, 938, 939, 1178, 1179, 1180, 1181, 1182, 1183, 1184, 1185, 1190, 1191, 1192, 1199, 1205, 1206, 1207, 1208, 1209, 1210, 1211, 1212, 1213, 1248.

Art industriel, 366, 369, 403, 408, 455.

Asie, 279, 280, 281, 843.

Assurances, voir Secours mutuels.

Attenhofer, musicien zuricois, 1430.

Aubonne (Vaud), 1901, féte cantonale des musiques, n. s. (Vieux- maire). R, XI 462

Audeoud, Ed., numismate de Genève, 612.

August -Victoria, impératrice d’Allemagne, 795, 796, 797, 798.

Autricht, s. d. (1898), ordre d’Elisabeth, grande croix, n. 8.

R, VII 351

8, d. (1898), ordre d’Elisabeth, 1"° classe, n. 8. R, VIII 351

s.d. (1898), ordre d’Elisabeth, classe,n.s. NR, VIII 351

8. d. (1898), ordre d’Elisabeth, médaille des affiliés à l’ordre, n. 8. R, VII 351

Voir aussi 283, 297.

Avenches (Vaud), 1898, assemblée générale de la société suisse de

numismatique, par Huguenin freres. R, VIII 348 Bachelin, A., s. d. (1895), médaille à portrait, par Huguenin fréres. R, V 247

Baden (Argovie), 1896, tircantonal argovien, par Homberg. R, VI 176 Bale (Campagne), 148, 1152.

52. 53. 54. 55. 56. 57.

58. 59. 60. 61. 62. 63. 64.

65. 66.

67.

—_ VA

Bâle (Ville), s. d. nouveau cercle, jeton, 30 centimes, n. 8. R, XI 432 1893, fête fédérale de chant, par Homberg. R, III 346 fête fédérale de chant, par Jœrgum et Trefz. R, VII 196 féte fédérale de chant, par Wilhelm et Mayer. R, III 206

fête fédérale de chant, par Schwerdt. R, III 206 festspiel de la réunion des deux Bale, par Wilhelm et Mayer. R, III 195 1895, monument du Secours à Strasbourg en 1870, par Wilhelm et Mayer. R, VI 171 1895, même monum., n. 8. R, V 384

Voir aussi 149, 150, 345, 709, 1047, 1086, 1167. Bâle (Canton), (1896) 1806, coin imitant la pièce de 5 batzen, n. s.

R, VII 196 1901, 400° anniversaire de l'entrée dans la Confédération, plaquette grand module, par Frei. R, X 366

1901, möme anniv., plaquette petit module, par Frei. R, XI 457 1901, même anniv., par Wilhelm et Mayer, 0,033. R, XI 457 1901, méme anniv., par Wilhelm et Mayer, 0,0505. R, XI 457 1901, exposition cantonale industrielle, par Frei. R, XI 258 Balland, Emile, 1899, 40° anniversaire de ses ateliers à Genève,

par H. Bovy. R, X 354

Balmat, 191. Balmer, Jean, s. d. (1896), médaille à portrait, par Kauffmann. R, VI 333

Bateaux à vapeur, voir Chemins de fer. Bätiments et constructions, voir Monuments historiques. Bauen (Uri), 1333. eer, graveur à Utrecht, 701. Belgique (Royaume), 487.

68. Bellinzone (Tessin), 1882, tir cantonal tessinois, par Durussel.

B, I 120 69. 1895, tir cantonal tessinois, par Carmine et Johnson, 1°" type.

R, V 261 70. même tir, par les mêmes, type. R, V 261 71. 1900, tir franc de la ville, par Johnson. R, XI 257 72. 1901, tir cantonal tessinois au revolver, par Johnson. R, XI 255

Benzenschwyl (Argovie), 1045.

. Berlin (Allemagne), 1890, congres international de médecine, par

Oertel, type. B, X 94 pl. I

. 1890, méme congrés, par le méme, type. B, X 96 . 1890, möme congrès, par le méme, type. B. X 96 . 1890, conference ouvriere internationale, par le méme. B, IX 169

. Berne (Ville), (1892) 1697, imitation d’un XVI* Pfennig, par

Homberg. R, III 218 (1892) 1795, imitation d'un thaler, par le même. R, III 218 1881, société francaise philanthropique, féte du 14 juillet, par

Durussel. B, 11

e RO

ra

80. Berne (Ville), 1885, tir fédéral, medaille, par le méme, 0,030, I type. B, IV 109 81. tir fédéral, médaille, par le méme, 0,030, type. B, IV 109

82. tir fédéral, écu de 5 francs, par le même, 0,037. B, IV 91 pl. IV et R, I 311 83. tir fédéral, méd., par le même, 0,040. B, IV 107 pl. V 84. tir fédéral, médaille, par le même, 0,047. B, IV 108 85. tir fédéral, médaille, par Hartwig. B, IV 111 86. tir fédéral, médaille, par Wilhelm et Mayer. B, IV 110 87. tir fédéral, médaille, n. s., 0,033, type. B, IV 111 88. tir fédéral, médaille, n. s., 0,033, type. B, IV 111 89. 1890, expos. fédérale des beaux-arts, p. Homberg. B, X 160 90. 1891, 700° anniversaire de fondation, par Jæckle-Schneider. B, X 243 91. 700° anniversaire de fondation, par Homberg, grand module. ‘B, X 160 92. même anniv., par le même, petit module. B X 161 93. 1891, 700° anniversaire de fondation, par Schwerdt. B, X 162 94. 700° anniversaire de fondation, bouclier commémoratif, par Widmer, médaillon par Wilhelm et Mayer. B, X 252 95. 1891, 700° anniversaire de fondation, n. s., 0,028. B, X 162 96. 700° anniversaire de fondation, n. 8., 0,031. B,X 162 97. 700° anniv. de fondation, n. s., 0,033, type. B, X 161 98. 700° anniv. de fondation, n. s., 0,033, type. B, X 162 99. 1895, achèvement de la cathédrale, par Homberg, grand module. R, V 99 100. 1895, achèvement de la cathédrale, par le même, petit module. R, V 99 101. 1895, exposition suisse d’agriculture, Defailly, édit. R, V 382 102. exposition suisse d’agriculture, par Lauer, 1er type. R, V 382 103. même expos., par le même, type. R, V 382 104. même expos., par Vieuxmaire. R, V 382 105. tir franc au revolver, n. s. R, VI 328 106. 1897, inauguration du monument de Bubenberg, par Frei. R, VII 193 et 405 107. méme événement, par Homberg. R, VII 193 108. 1897, tir cantonal bernois, par Homberg. R, VII 191 109. tir cantonal bernois, par Jergum et Trefz. R, VII 192 110. même tir, par Vieuxmaire, grand module. R, VII 192 111. même tir, par le même, petit module. R, VII 192 112. 1899, exposition ornithologique, par Homberg. R,IX 335 113. fête fédérale de chant, Defailly, éditeur. R, IX 331 114. fête fédérale de chant, par Vieuxmaire. R, IX 331 115. -— fête fédérale de chant, n. s., 0,0335, type. R, IX 331 116. fête fédérale de chant, n. 8. "0, 0335, type. R, IX 331 117. fète fédérale de chant, n. 5%, 0 ‚039. R, 1X 331

118.

119. 120. 121. 122.

123. 124.

125. 126. 127. 128. 129. 130. 131. 132. 133. 134. 135. 136. 137. 138.

139.

140. 141.

142. 143. 144. 145. 146. 147.

148.

_ 346 Berne (Ville), 1899, féte fédérale de la Croix-Bleue, n. s., 0,024, 1°" type. R, IX 330 même fête, n. s., 0,024, type. R, IX 330

1901, fin du xix° siècle, par Homberg, médaillon. R, X 363

fin duxix° siècle, par Homberg, médaille. R,X 363

1902, inauguration du palais du Parlement, par Homberg.

R, XI 483 pl. XVII

Berne (Canton), 130, 131, 132, 133, 134, 135, 136, 137, 138, 139, 140, 161, 162, 163, 164, 165, 166, 310, 708, 720, 721, 722, 723, 1036, 1041, 1042, 1043, 1044, 1080, 1081, 1082, 1083, 1084, 1085, 1099, 1166, 1233, 1238, 1239, 1240, 1313.

Berthoud (Berne), voir Burgdorf.

Besancon (France), 229.

Bex (Vaud), 1897, féte cant. de temper., p. Vieuxmaire. R, VII 188

Bex-Ollon (Vaud), s. d. (1883), travaux de rectification de la

Gryonne, jeton 1 cent. B, IX 163 méme even., jeton 2 cent. B, IX 163 -- même évén., jeton 10 cent. B, IX 163 -- même évén., jeton 20 cent. B, IX 163 même évén., jeton 1 franc. B, IX 163 8. d. (1885), même évén., jeton sans valeur. B, IX 163

Bienne (Berne), s. d. (1890), expos. agricole, prix, n. s. B, X 163 même expos., med. commém., p. Vieuxmaire. B, X 164

--- même expos., med. commem., n. s. B, X 163 1891, fête de musique, par Vieuxmaire. B, X 164 1892, tir de la Suisse occidentale, par Homberg. R, III 209 méme tir, par Vieuxmaire. R, 111 209 1894, fête fédérale d’artillerie, par Richard. R, IV 218

1899, tir fédéral au fusil flobert, par Lanz-Girod. R, IX 207 1902, régates du Schweizer Ruderverein, par Huguenin fr. R, XI 476

fête canton. bernoise de chant, par Joergum et Trefz. R, XI 486

1903, tir cantonal bernois, par Jergum et Trefz. R, XI 487 Bière (Vaud), 1890, rassemblement des cadets vaudois, n. 8.

B, X 164 1891, école de recrues d'artillerie, n. s. B, X 163 école de recrues d'artillerie de montagne, n. 8. B, X 164 1895, école de recrues d'artillerie de campagne, Defailly, édit. R, V 101 inauguration du chemin de fer Biére-Apples-Morges, par Vieuxmaire. R, cours de répétition, colonnes pare 1 et 2, par Vieux- maire. R, V 248 -— 8. d. (1895), cours de répétition, colonnes pare 3 et 4, par Vieuxmaire. R, V 248 Binningen (Bäle campagne), 1893, tir cantonal bälois, par Hom- berg. R, III 200

152.

eu IA =

Blanchet et Pittner, graveurs, La Chaux-de-Fonds, 882. Bloch, graveur à Bienne, 374, 375, 376, 377.

. Boecklin, Arn., peintre bälois, 1897, méd. à portrait, 70° anniv. de

naissance, par Huguenin fr. R, VII 219

. möme méd., par H. Kauffmann. R, VII 321 . Bonivard, Francois, patriote genevois, 1883, méd. à portrait, par

H. Bovy. B, II[ 25

Bopp, graveur. La Chaux-de-Fonds, 249.

Bovy, Antoine, graveur à Genève et Paris, 187, 352, 354, 355, 356, 357, 364, 365, 368, 373, 406, 407, 424, 425, 491, 574, 578, 579, 580, 581, 582, 583, 584, 585, 610, 1033, 1236.

Bovy, Hugues, graveur 4 Genéve, 66, 151, 152, 153, 154, 161, 243, 244, 245, 294, 322, 360, 363, 366, 367, 369, 370, 372, 403, 404, 405, 408, 423, 455, 476, 492, 495, 496, 497, 499, 500, 502, 530, 543, 683, 687, 700, 727, 747, 750, 864, 877, 945, 946, 947, 948, 949, 950, 951, 952, 953, 954, 955, 956, 957, 958, 959, 960, 961, 962, 963, 964, 965, 966, 967, 968, 969, 970, 971, 972, 973, 974, 975, 976, 977, 978, 979, 980, 981, 982, 983, 984, 985, 986, 987, 988, 989, 990, 991, 992, 983, 1007, 1008, 1009, 1010, 1011, 1012, 1013, 1014, 1015, 1016, 1017, 1018, 1019, 1020, 1021, 1022, 1023, 1024, 1025, 1026, 1027, 1034, 1045, 1046, 1143, 1153, 1157, 1158, 1173, 1175,1243, 1260, 1261, 1311, 1318, 1415, 1416.

Bovy-Guggisberg, Georges, graveur a Genève, 302.

Bovy, Marc-Louis, frappeur en méd. genevois, 8. d. (1890), mé- daillon uniface, par H. Bovy. B, IX 217

Brandt, graveur, La Chaux-de-Fonds, 891.

Brassus, le (Vaud), 1037, 1038.

. Bremgarten (Argovie), 1891, tir cantonal argovien, montre offic.,

DA H. Bovy. B, X 166 même tir, med., par H. Bovy. B, X 165

Brésil (République), 1900, "400° anniv. de la découverte par ‘Cabral,

par Frei. R, IX 337 Broc (Fribourg), 700.

. Brugg (Argovie), 1902, tir cantonal argovien, par Frei. R, XI 490

Bubenberg (A. de), 106, 107, 108, 860.

. Buenos-Ayres (Argentine), 1881, soc. suisse de tir, par Durussel,

B, 112

. 1892, tir fédéral suisse au Rio de la Plata, n. s. R, ll 219 . 8. d. (1895), soc. suisse de tir, par Hantz. R, VI 330 . Buochs (Unterw. Nidw.), 1895, tir du cinquantenaire de la soc. de

Buochs-Enetbürgen, n. 8. R, V 384 Burgen (Berne), 1891, tir cantonal bernois, montre offic., par H. Bovy. B, X 167

. même tir, méd., par Homberg. B, X 166 . même tir, méd., 0,033, par Vieuxmaire. B, X 168 . méme tir, méd., 0,023, par le même. B, X 168

. même tir, med., n. s., 0,033, type. B, X 168

166

LG.

168. Lou. 170. LTI.

348

Burgdorf (Berne), 1891, tir cant. bernois, medaille, n. s., 0,033,

2" type. B, X 168 Bussigny (Vaud), s. d. (1901), fabrique de chocolat Kohler, jeton 5 cent., n. s. (Hantz). R, X 348

8. d. (1901), même jeton 10 cent., n. s. (Hantz). R, X 348

8. d. (1901), même jeton 20 cent., n. s. (Hantz). R,X 348

8. d. (1901), mème jeton 30 cent., n. s. (Hantz). NR, X 348

s.d. (1901), même jeton 50 cent., n. s. (Hantz). R,X 348

Cabral, P.-A., navigateur portugais, 155.

Cahorn, A., numismate, graveur amateur, 494, 535, 536, 537, 538, 539, 540, 541, 542.

. Calvin, Jean, reformateur genevois, s. d. (1897), restitution d’une

med. satirique du xvi° siècle, par Hantz. R, VII 405

. Candolle, Alphonse de, botaniste genevois, 1894, med. & portrait, par G. Hantz, 1°" type. R, IV 381

même méd., par le même, type. R, IV 381

Capuccio, graveur, collaborateur de Johnson à Milan, 820, 821. Carmine, graveur, collaborateur de Johnson à Milan, 69, 899.

5. Carouge (Genève), s. d. (1901), blanchisserie des Epinettes, jeton

5 cent., n. 8. (Hantz). R, X 348

176. -— s.d. (1901), même jeton 10 cent., n. s. (Hantz). R, X 348 177. s.d. (1901), même jeton 1 franc, n. s. (Hantz) R,X 348 178. 1888, société des carabiniers, tir d’inauguration du stand, par C. Richard. B, VII 90

179. 1890, féte communale, par Vieuxmaire. B, X 169 ISO. 1896, tir à l’arbalète de Harmonie carougeoise, med. du roi, n. 8. R, XI 435

181. 1898, féte canton. de temperance, par Vieuxmaire. R, IX 194 182. 1902, soc. de tir au canon, tir du cinquantenaire, par Lamu- nière et Schoenenberger. R, XI 487

Cartaux, graveur à Paris, 426, 1262. 153. Carteret, Antoine, magistrat genevois, 1894, med. à portrait, par Hantz. R, IV 112 et 381 pl. suppl. Casinadi, graveur, collaborateur de Johnson à Milan, 694.

184. Caslano (Tessin), 1899, tir de district, n. s. R, XI 255 155. Cernier (Neuchatel), 1897, féte canton. de tempérance, n. s. (Hantz). R, VII 187

186 1899, fête canton. neuchät. de gymnast., par Vieuxmaire. R, IX 445

157, Chambéry (Savoie), s. d. (1881), méd. de récompense de la ville, par A. Bovy. B, VII 20

188, 8. d. (1896), prix Metzger de l’Acad. des sciences, belles- lettres et arts de Savoie, par Schlütter. R, VII 208

159. s. d. (1901), comptoir des Gourmets, jeton 2, n. s. (Hantz). R, X 336

140. méme jeton 5, n. s. (Hantz). R, X 336 191. Chamonix (Haute-Savoie), 1887, inaugur. du monum. de Saussure- Balmat, par Trotin. B, VII 67 pl. HI

192. 193.

194.

195. 196. 197. 198.

199. 200. 201. 202. 203. 204. 205. 206. 207. 208. 209. 210. 211. 212. 213. 214. 215. 216. 217. 218. 219. 220. 221. 222. 223. 224. 225.

226. 227. 228. 229.

230.

349

Chamonix Haute-Savoie), s. d. (1901), casino, jeton de service 10 cent., n. s. (Furet). R, X 333

8. d. (1901), mème jeton 30 cent., n. 8. (Furet). R,X 333

Chant, chanteurs, voir Musique.

Chaplain, graveur à Paris, 926.

Chasse, 1220.

Chauvet, Michel, 360.

Chaux-de-Fonds (Neuchatel), s. d., cercle du Sapin, jeton de socié-

taire. R, XI 244 8. d., même jeton, 3 déc. bière. R, XI 244 s.d., Guinand et Dupuis, jeton commercial 5. —R, XI 245 s.d., même jeton 10. R, XI 245 8. d., cuisines populaires, jeton '/s litre soupe, type.

R, XI 244

, même jeton '/s litre soupe, type. , même jeton 1 litre soupe.

., même jeton 2 litres soupe.

, même jeton 1 verre vin.

. même jeton ‘/: litre vin.

-- -— même jeton '/: litre vin.

même jeton 1 litre vin.

-—- même jeton I ration pain.

-— même jeton chocolat.

-- -— même jeton 1 ration viande.

même jeton 1 ration légume.

même jeton 2 rations légume.

-- même jeton cafe.

même jeton fromage.

même jeton de gratuité, 1°" type. même jeton de gratuité, type. -- compagnie des Tramways, jeton 5. méme jeton 8.

pharmacie Gagnebin, jeton 1 syphon. Charles Müller, Biermarke.

Richardet frères, jeton réclame. voiturage des vidanges, jeton 1. —- —. service des vidanges, jeton 5 cent. même service, jeton 10 cent.

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méme service, jeton 20 cent. XI 245 même service, jeton 50 cent. R, XI 245 1881, société française, 33° anniv. de fondat., par Klinger.

R, XI 235

exposit. nation. d’horlogerie, par Homberg. R, XI 235 1883, féte canton. neuchät. de gymn., n. s., 0,026. R, XI 236

—- même fête, n. s., 0,033. R, XI 236 1884, chemin de fer du Locle-Morteau-Besancon, par Jacot. R, XI 236

1886, tir cant. neuchàtelois, medaillon, p. Durussel. R, XI 236

par Durussel. B, X 82 pl. XIII, R, XI 236

232 méme tir, méd., par Lauer. R, XI 237 233. même tir, méd., par Waller. R, XI 237 234. même tir, med., n. 8. R, XI 237 235. fête centrale de la fédération des ouvriers monteurs de boîtes, n. s. R, XI 238

236. 1887, inaugur. du service des eaux, 1°" type, par Durussel. R, XI 238

37. -—- même événem., type, par Durussel. R, XI 238 238, 1892, chemin de fer Chaux-de-fonds-Saignelégier, n. s. (Maire). R, XI 240

239. congrès des sociétés italiennes de secours mutuels en Suisse, par Vieuxmaire. R, XI 239

240. fête cantonale neuchät. de chant, par Vieuxmaire. R, XI 240

241. 1893, féte feder. des sous-offic., par Richardet fr. R, XI 240 242. méme fète, n. s. R, Il 211, XI 240 243. 1894, centenaire de l’incendie de 1794, par H. Bovy, mé- daillon, projet. R, XI 241

244. 1899, méme événement, medaillon definitif. R, XI 241 245. même événement, médaille. R, IV 214, XI 241 246. 1895, fête cantonale neuchäteloise de tempérance, par Vieuxmaire. R, IX 198

247. 1895, course de chevaux, par Huguenin freres. R, XI 242 248. manceuvres des cadets, par Vieuxmaire. R, XI 242 249. 1900, féte fed. de gymnastique, par Bopp. R, XI 243 et 447 250. même fête, par Leschot. R, XI 448 251. même fête, par Waller. R, XI 243 et 449 252. même fête, par Wilhelm et Mayer. R, XI 449 253. même fête, n. s., 0,0387. R, XI 448 254. même fête, n. 8., 0,024. R, XI 243 et 448 255. même fête, n. s., 0,0315. R, XI 448 256. même fête, n. 8., 0,0332. R, XI 448 257. même fête, n. s., 0,034, type. R, XI 243 258. même fête, n. s., 0,034, type. R, XI 243 259. même fête, n. 8., 0,020. R, XI 448 60, 1902, assemblee générale de la société suisse de numisma- fique, par Huguenin freres. R, XI 489 et 506

261. Chöne-Bougeries (Genève), 1893, federation des musiques gene- voises de la campagne, par Schlütter. R, III 209

262. 1901, med. décernée au maire, Ch.-L. Empeyta, par Schlütter. 256

263. 1902, föte cant. genev. de gymn., par Schliitter. R, XI, 475

- 350

. Chaux-de-Fonds (Neuchatel), 1886 tir, cant. neuchätelois, medaille,

Chemins de fer, tramways, bateaux a vapeur, transports, 145, 215, 216, 229, 238, 266, 285, 286, 287, 288, 410, 411, 412, 415, 414, 592, 614, 615, 743, 744, 803, 1037, 1038, 1047, 1050, 1079, 1079 bis, 1175, 1233, 1348, 1349.

Se PO eae D

264.

265. 266.

267.

268. 269. 270. 271. 272. 273.

274. 275.

276.

278. 279.

280. 281.

351 -

Chéne-Bourg (Genève), s. d. (1900), cantine des ouvriers de la constr. de l’asile des aliénés de Bel-Air, 5 cent., s. d. R, X 331

1890, fête communale, par Vieuxmaire. B, X 169 1893, inaugurat. du monument de Louis Favre, par Richard. R, III 210

Chiasso (Tessin), 1902, tir du distriet, par Johnson. R, XI 485

Chiattone, sculpteur à Lugano, 831.

Clasens-Lunardi, graveur à Paris, 847.

Coire (Grisons), 1897, assemblée générale de la société suisse de numismatique, par Richard. R, VII 211

1900, tir cantonal grison, par Homberg. R, X 364

Colladon, Daniel, physicien genevois, 1894, möd. & portrait, par Hantz. R, IV 112 et 382, pl. suppl.

Colomb, Christophe, 351.

Colombier (Neuchätel), 1891, 600° anniv. de la Confédération, n. 8. (Vollenweider). B, X 142

école de recrues d’infanterie, par Vieuxmaire. B, X 169

1895, école militaire de sous-officiers, par Leschot. R, V 100

école militaire de recrues, par le même. R, V 100

1898, école militaire de recrues, n. 8. R, XI 435

Commerce, voir Industries.

Confédération suisse, 345, 838, 882, 883, 884, 885, 886, 887, 1056, 1057, 1058, 1059, 1060, 1099, 1236, 1409, 1410, 1411.

Congrès internationaux, 73, 74, 75, 76, 701, 702, 703, 704, 852,

1087, 1418. Côte-aux-Fées (Neuchâtel), 1901, fête cantonale neuchäteloise de tempérance, par Vieuxmaire. R, XI 461 Croix-Rou e (Convention de Genève), 290, 586.

Cuénoud, directeur de police à Genève, 1087.

. Cully (Vaud), 1891, fête canton. vaudoise de secours mutuels, par

Vieuxmaire. B, X 169

Curval, graveur à Genève, 378, 379.

Dassier, Jean, graveur à Genève, 495, 496, 497. |

Daubenmeyer et Meyer, graveurs à Zurich, 913, 1093, 1205, 1206, 1207, 1208, 1209, 1237, 1315, 1376, 1377, 1378, 1379, 1424.

Décorations, voir Ordres.

Defailly, éditeurs de médailles à Genève, 101, 113, 144, 293, 427, 456, 489, 505, 507, 508, 509, 544, 547, 663, 681, 682, 695, 717, 729, 732, 784, 785, 822, 854, 865, 892, 896, 900, 901, 904, 920, 921, 937, 1049, 1050, 1170, 1178, 1179, 1210, 1247, 1256, 1263, 1264, 1274, 1277, 1278, 1339, 1340, 1351, 1355, 1359, 1360, 1361.

Diaz, P., président du Mexique, s. d. (1898), med. à portrait, par

Huguenin fréres. R, VIII 332 Dolok (Annam), s. d. (1901), jeton de la maison (suisse), Sulger, 5 cent., n. s. (Hantz). R, X 334 même jeton, 10 cent., n. s. (Hantz). R, X 344

même jeton, 50 cent., n. s. (Hantz). R, X 344

284,

291.

292. 293. 294.

205.

. 352

2. Dornach (Soleure), 1899, 400° anniversaire de la bataille, n. s.

R, IX 339

. Dornbirn (Vorariberg-Autriche), 1902, tir pour l'élévation de la

localité au rang de ville, par Huguenin frères. R, XI 478 pl. II Droop, graveur & Genève, 510, 845. Droz, J.-P. ., graveur de La "Chaux-de-Fonds, 259. Droz, Numa, président de la Confédération suisse, 1900, plaquette à son buste, par Huguenin frères. R, X 355, XI 213 Dubois, Alphée, graveur à Paris, 289, 925, 1001. Dufey-Gex et Paris, editeurs de médailles à Lausanne, 724.

. Dufour, J.-E., magistrat genevois, 1893, médaille à portrait, par

Hantz, 0,037. R, III 349, IV 112 pl. suppl.

. 1891, "même méd., p. Hantz, 0,062. R, iil 349, IV 112 pl. suppl. . medaille à portrait, par Jamin, type. R, III 349

même médaille, par Jamin, type. R, III 349

289. Dumas, J.-B., chimiste francais (a habité Genève), 1882, 50° jubile

académique, par Alphée Dubois.

B, II 29 Dumont, graveur 4 Genève, 1248.

. Dunant, Henri, instigateur de la Croix-Rouge, genevois, 1896,

med. à portrait, par Lauer. R, VII 189

Dupuis, Daniel, graveur & Paris, 932.

Durouvenoz, graveur à Genève, 690, 691.

Durussel, graveur & Berne, 3, 68, 79, 80, 81, 82, 83, 84, 157, 230, 231, 236, 237, 312, 813, 314, 315, 316, 346, 380, 725, 726, 792, 793, 808, 809, 810, 811, 812, 876, 983, 1161, 1166, 1168, 1252, 1253, 1407.

Eaux-Vives (Genève), s. d. (1901), cuisines scolaires, jeton de

service, par Hantz. R, X 350 1899, féte cant. genev. de gymnast., insigne, n. s. R, IX 328 - möme féte, médaille, Defailly, ‘éditeur. R, IX 328 Ebnat-Kappel (Saint-Gall), 1891, tir cantonal saint-gallois, medaille par H. Bovy. B, X 170 même fête, montre offic., par Hantz. B, X 170

Education, 418, 419, 470, 477, 483, 572, 587, 662, 729, 730, 737, 746, 888, 889, 893, 1041, 1062, 1063, 1064, 1065, 1066, 1067, 1068, 1069, 1070, 1071, 1072, 1073, 1074, 1076, 1089, 1277, 1278, 1339, 1340, 1341, 1342, 1343, 1369, 1370, 1375, 1426, 1427.

. Einsiedeln (Schwytz), s. d. (1900), medaille-souvenir du pélerinage,

par J. Kauffmann. R, X 367

. Elisabeth, impératrice d’Autriche, 1898, son assassinat à Genève,

J. Féjer, éditeur. R, VII 343 Empeyta, Ch., à Genève, 262.

298. Engelberg (Unterwald-Obw.), 1899, tir cantonal unterwaldais, par

Huguenin freres. R, IX 336

299. Ennetmoos (Unterwald-Nidw.), 1898, tir cantonal unterwaldais,

par Zimmermann. R, IX 207 Escrime, 556.

_ _

_ 353

300. Esperanza da Santa (Argentine), s. d., société suisse de tir, n. 8,

301. Fee,

302.

303.

304.

305. 306.

307. 308. 309. 310.

R, III 219

1891, tir d’inauguration du stand de la société suisse de

Guillaume Tell, n. 8. R, III 218 Essais monétaires, 472, 480, 513, 514, 515.

Estienne, Robert, imprimeur genevois, 1885, médaille & portrait

par G. Bovy-Guggisberg. B, IV 58

Expositions, concours d’objets, 65, 89, 101, 102, 103, 104, 112,

130, 499, 511, 523, 535, 547, 559,

131, 500, 512, 524,

536, 548, 560,

132, 226, 501, 502, 513, 514, 525, 526, 537,

538, 549, 550, 561, 562,

303, 320, 366,

503, 504, 505, 515, 516, 517, 527, 528, 529, 539, 540, 541, 551, 552, 558, 727, 793, 856,

369, 403, 506, 507, 518, 519, 530, 531, 542, 543, 554, 555, 880, 917,

408,

455, 508, 509, 520, 521, 532, 533, 544, 545, 556, 557, 918, 926,

487, 510, 522, 534, 546, 558, 927,

928, 929, 930, 931, 1085, 1204, 1224, 1225, 1240, 1243, 1253, 1279, 1280, 1316, 1317, 1850, 1351, 1352, 1353, 1354, 1368, 1380, 1381, 1383, 1384, 1385, 1386, 1387, 1388, 1389, 1390, 1391, 1392, 1393, 1394, 1395, 1396, 1397, 1398, 1399. 1400, 1401, 1402, 1403, 1404, 1405, 1406, 1407, 1419.

Faido (Tessin), 1893, exposition agricole et industrielle de la Levantine, par Johnson. R, II 353

Féjer, Jos., éditeur de médailles & Budapest, 297.

Fe lenberg, E. de, éditeur de médailles 4 Berne, 1168.

Ferrier, S., graveur & Genéve, 571, 1276.

Festspiele, voir Fétes historiques.

Fétes historiques, anniversaires patriotiques, Festspiele, 32, 57, 61, 62, 63, 64, 90, 91, 92, 93, 94, 95, 96, 97, 98, 120, 121, 179, 243, 244, 245, 265, 271, 282, 283, 312, 314, 367, 368, 417, 491, 663, 686, 687, 688, 689, 745, 803, 804, 832, 836, 838, 839, 840, 841, 842, 857, 858, 876, 1101, 1102, 1103, 1104, 1105, 1106, 1107, 1108, 1109, 1110, 1111, 1112, 1113, 1114, 1115, 1116, 1117, 1118, 1119, 1120, 1121, 1122, 1123, 1124, 1125, 1126, 1127, 1128, 1129, 1930, 1131, 1132, 1133, 1134, 1135, 1136, 1137, 1138, 1139, 1140, 1141, 1142, 1143, 1144, . 1145, 1146, 1150, 1161, 1162, 1163, 1242, 1247, 1254, 1255, 1256, 1257, 1258, 1260, 1261, 1262, 1263, 1264, 1265, 1266, 1267, 1268, 1269, 1270, 1271, 1272, 1314, 1382, 1428, 1429.

Flawil (Saint-Gall), 1899, tir cantonal saint-gallois, 0,033, par Homberg. R, IX 208

möme tir, 0,045, par Homberg. R, IX 208

Fleurier (Neuchätel), 1893, föte cantonale neuchäteloise de gym-

nastique, n. 8. R, HI 208 1902, tir cantonal neuchätelois, par U. Jacot. R, XI 484 même tir, par Jergum et Trefz. R, XI 484

méme tir, n.s. R, XI 484

Flueckiger, F.-A., chimiste et pharm. bernois, s. d. (1902), med. & portr., prix de la soc. des pharm. suisses, p. Scharff. R, VI 336

REVUE NUM. T. XII. 23

311. 312. 313.

314. 315.

316.

317.

318. 319.

320.

321.

322. 323.

324. 325. 326. 327. . 328. 329. 330. 331. 332. 333. 334. 335. 336. 337. 338. 339. 340.

_ 954

Flue, Nic. de, ermite et patriote unterwaldais, s. d. (1881), méd. portrait, prix de la société suisse Pius Verein, n.s. R, III 96 1881, 400° jubilé de l’entrée de Fribourg et Berne dans la Confédération, par Durussel, 0,030. R. IH 97 même médaille, 0,047. R, HI 97 jubilé de Nicolas de Flue à Stanz, p. Durussel. R, III 97 fête féd. de musique à Fribourg, par Durussel. R, III 97 1887, 400° jubilé de sa mort, à Sachseln, par Hedlinger, revers par Durussel. R, III 98 s.d.(1898), med. en son honneur, p. J. Kauffmann. R, VII 346

Foffa, Paul, 1236.

Franc-Magonnerie, 1, 2, 571, 588, 589, 590, 690, 691, 741, 818, 1276.

France (République), 34, 35, 36, 37, 79, 225, 289, 318, 319, 837, 838, 839, 840, 841, 842, 374, 925, 926, 927, 928, 929, 930, 931, 932 1364, 1365, 1366.

1898, centenaire de l’Edit de Nantes, par Prudhomme.

R, IX 206

8. d. (1900), mödaille-insigne de la société des Anciens

frères d’armes de la légion étrangère, par Vernon. R, XI 436

Francfort s/M. (Allemagne), 1891, exposition internationale électro- technique, médaille-réclame de la fabrique suisse d’aluminium & Neuhausen (Schaffhouse), n. s. (Lauer). B, X 171

Franscini, Stephano, économiste et pédagogue tessinois, 1887, 50° anniversaire, dédiée par Ja société des Amis de l'éducation

populaire à Lugano, par Grazioli. B, VIII 45 pl. I Frauenfeld (Thurgovie), 1590, tir fédéral, médaille” officielle, par H. Bovy. B, IX 200 pl. XII et R, 1313 pl. XXIII tir fédéral, médaille de prix de la société de tir d’Italie, n. 8. (Johnson). B, IX 201 et R, 1315 pl. XXI tir fédéral, méd., par Schwerdt. B, IX 204 tir fédéral, med. par Vieuxmaire. B, IX 205 tir fédéral, méd. n. a., 0,025. B, IX 206 tir fédéral, méd. n. s., 0,026. B, IX 206 tir fédéral, méd. n. s., 0,028, type. ‚IX 204 -— tir fédéral, med. n. s., 0,028, type. , IX 205

tir fédéral, méd. n. s., 0,030 , IX 205

tir fédéral, méd. tir fedéral, méd. tir federal, méd. tir fédéral, med. tir fédéral, méd. n. 8., 0,042. tirféd., med. banale de tir, 0,027, 1°" type, n.8. tir fédéral, méme medaille, 2e type, n. 8. tir fédéral, même médaille, type, n. 8. B, IX 207 tir fédéral, médaille banale de champ de foire, n. M ‚0,027. ; IX 207

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n n n n tir fédéral, méd. n. 8., 0,033, type. n n n n

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341. 342.

343. 344.

345. 346.

347. 348.

349.

350.

351. 352. 353.

354. 355. 356. 3917.

358. 359.

360. 361.

BE

Frauenfeld (Thurgovie), 1890, tir federal, plaque de broche, 0,030. B, IX 208

tir fédéral, ruban offic. de fête, type. B, IX 208 tir fédéral, ruban offic. de fête, type. B, IX 208 tir fédéral, ruban offic. de fête de la compagnie des ca- rabiniers 5 ayant occupé Genève en 1865. B, IX 208 Frei, graveur à Bäle, 61, 62, 65, 106, 155, 156, 709, 715, 748, 749, 805, 929, 936, 1162, 1167, 1258, 1334, 1335, 1493, 1433. Frey, Emile, conseiller fédéral balois, 1893, med. à ‘portrait, par Hantz. R, III 348 Fribourg, 1881, tir fédéral, écu officiel, par Durussel. | B, II 105 et R, I 310 1883, fête cant. fribourgeoise de gymnastique, n.s. B, TI 127 1885, féte fédérale des sous-officiers, n. 8. (Wilhelm et

Mayer). B, IV 121 1896, congregation des Saints-Anges, au college St- Michel, par Schlüter. R, II 198

Voir aussi 860, 1051.

Fulpius, Elisab. (Mae Gross), graveur à Genève, 688.

Furet, frappeur en möd. à Genève, 34, 35, 36, '37, 192, 193, 994, 995, 996, 997, 998, 999, 1000, 1001, 1002, 1003, 1004, 1005, 1006, 1283.

Gama, V. de, 772.

Gavard, Alex., magistrat genevois, 1896, victoire électorale du 5 décembre 1906, par Richard. R, VI 366

Gel, 1412, 1413, 1414.

Génes (Italie), 1896, lancement du vaisseau Chr. Colomb, par

Schlütter. R, VII 208 Genève (ville et canton), 1881, donation des collections ‘Angrand au musée de Genève, par A. Bovy. B, IX 212 et 263 tir du 25° anniversaire de la fusion des exercices de l’Arquebuse et de la Navigation, par Mognetti et Richard. B, 1 12

8. d. (1881), prix de la société genevoise pour la protection des animaux, par A. Bovy. B, IX 24 pl. I 8.d.(1881), médaille d'identité d’officier de pompiers de la ville, par A. Bovy. B, VIII 11 1882, concours musical international officiel, par A. Bovy, 0,052. B, VII 185 concours musical international officiel, par A. Bovy, 0,050. B, VII 20 tir cantonal genevois, med. offic., par Richard. B, I 90

tir cantonal genevois, médaille commémorative, par Richard, éditeur Vettiner et C°. B, I 119 1883, donation Michel Chauvet au cabinet numismatique de la ville, par H. Bovy. B, 111 83 1884, monument du général Dufour, médaille du comité, par Richard. B, III 88, IV 11

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362. 363. 364.

365. 366.

367.

368. 369. 370.

371. 372. 373. 374.

375. 376. 377. 378.

379. 380. 381. 382.

383.

384. 385. 386. 387.

388. 389. 390. 391. 392. 393. 394. 395.

_ 35

Genève (ville et canton), 1884, monument du général Dufour, med. de primes du tir, par Richard. B, IV 10 s.d. (1884), prix du Vélo-Club de Genève, par H. Bovy et Schlütter. B, III 89 1885, concours de natation, prix, par A. Bovy, 0,035. B, VII 11 même concours, prix, par A. Bovy, 0,038. B, V 75 8. d. (1885), concours Galland, prix décernés, par H. Bovy.

B, X 21

1885, 350° anniversaire de la Réformation, par H. Bovy et Richard. B, IV 120 même anniversaire, par A, Bovy. B, IV 121

1886, concours Galland, prix décernés, p. H. Bovy. B, X 21 1887, tir fédéral, médaille officielle, par H. Bovy et Richard. B, VI 106, R, 1312

s.d. (1887), tir fédéral, montre officielle, par Hantz. B, VII 36, R, 1313 pl. XXII 1887, tir fedöral, mödaille de la commission des prix, par

H. Bovy et Hantz. B, VII 36

tir fédéral, médaille décernée à M Albert Dunant,

per A. Bovy. R, III 156

tir fédéral, med. commémorative, par Bloch, 1* type.

B, VII 39

tir fédéral, méd., par le méme, type. B, VII 39

-— tir fédéral, méd., par le même, type. B, VII 39

tir fédéral, méd., par le méme, type. B, VII 39

tir fédéral, méd. commémorative, par Curval, type. B, VIL38 _

tir fédéral, méd., par le même, type. B, VII 38

tir fédéral, méd. ‘commémorative, par Durussel .B, VII 41 tir fédéral, méd. commémorative, par Gerbel. B, VII 38 tir fédéral, méd. commémorative, par Jeckle-Schneider,

B, VII 37

tir fédéral, möd, commémorative, par Lauer, type. B, VII 39

tir federal, méd., par le möme, type. B, VII 40

tir fédéral, méd., par le méme, type. B, VII 40 tir fédéral, med. commémorative, n. 8., 0,018. B, VII 42 tir fédéral, med. commémorative, n. s., 0,022, 1” type.

B, VII 43 —. tir fédéral, méd., n. s., 0,022, type. B, VII 43 tir fédéral, médaille, n. 8., 0,022, type. B, VII 43 tir fédéral, méd. comm., n. 8.) 0,024, type. B, VII 42 —- tir fedéral, médaille, 0 ‚024, os type. B, VII 42 tir fédéral, méd. comm., n. 8., 0,025. B, VII 43 tir fédéral, méd. comm., n. s., 0 ‚028, type. B, VII 41 tir fédéral, médaille, 0,028, ge type. B, VII 40 tir fédéral, med. comm., n. s., 0,030, type. B, VII 40

957

396. Genève (ville et canton), 1887, tir fédéral, méd. n. s., 0,030, type. B

s VII 41 397. tir fédéral, médaille, 0,030, type. B, VU 41 398. tir fédéral, médaille, 0, 030, type. B, VII 42 399. tir fédéral, med. commömorative, n. 8., 0,032. B, VI 42 400. tir fédéral, méd. comm., n. 8., 0,040, je type. B, VII 38 401. tir fédéral, médaille, 0 ‚040, type. B, VII 37 402. tir fédéral, med. comm., n. s., 0,045. B, VII 37 403. concours Galland, prix décernés, par H. Bovy. B, X 21 404. 1888, inauguration des forces motrices du Rhöne, H. Bovy et Richard. B, VII 188 p i VII 405. concours Galland, prix décernés, par H. Bovy. B x 21 406. 38.d. (1889), prix de la société genevoise de photographie, H. Bovy, 0,037. B, IX 257 407. ss. d. (1889), même prix, 0,051. B, IX 257 408. 1889, concours Galland, prix décernés, p. H. Bovy. B, X 21 409. 1890, assemblée générale de la société suisse de numisma- tique, par Richard. B, IX 226 410. inauguration du tramway Genéve-Ferney et de la statue de Voltaire à Ferney, par Vieuxmaire, type. B, X 172 411. méme medaille, par le méme, revers Carnot, type. B. X 172 412. train de plaisir à Fribourg et Berne, par Vieuxmaire. B, X 171 413. train de plaisir à Neuchâtel et Chaux-de-Fonds, par le möme. B, X 172, R, XI 239 414. tour du lac sur le bateau Mont-Blanc, par le méme. B, X 172 415. banquet du 15 février de la société chorale la Muse, par le méme. B, X 172 416. féte du 2 mars de la même société, p. le même. B, X 173 417. -- fête de l’Escalade, par le même. B, X 174 418. fête des promotions des écoles, par Vieuxmaire, je type, B, X 174 419. méme fête, par Vieuxmaire, type. B, X 174 420. fête fédérative des typographes romands, par Vieux- maire. B, X 173 421. congrès vélocipédique de la fédération du Haut-Rhöne, n. 8. (Vieuxmaire). B, X 173 422. fête de la société de secours mutuels Les Allobroges, par Vieuxmaire. B, X 173 423. concours Galland, prix décernés, par H. Bovy. B,X 21 424. concours musical international, médaille officielle, par H. Bovy, 0,037. B, IX 191 425. même concours, med. offic., p. H. Bovy, 0,051. B, IX 191 426. méme concours, med. commem., p. Cartaux. B, IX 197 427. méme concours, méd., par Defailly. B, IX 193 428. möme concours, méd., par Lauer. B, IX 195 ©

429. 430. 431. 432. 433.

434. 435.

436.

437.

438. 439.

440.

441. 442.

443. 444.

445.

446.

441.

448. 449.

450.

451. 452. 453. 454. 455. 456. 457.

458.

459.

460. 461. 462. 463.

358

Genève (ville et canton), 1890, concours musical internat., méd.,

par Richard. B, IX 192 . méme concours, med. commémorative, par Vieuxmaire, 0,023. B, IX 195 méme concours, med. commémorative, par Vieuxmaire, 0,033, type. B, IX 194 même concours, médaille, par le méme, 0,033, "9° type. B, IX 196

méme concours, méd. commémorative, par Vieuxmaire, 0,046 B, IX 193 méme concours, med. comm., n. s., 0,019. B, IX 196 même concours, med. comm., n. 8., 0,022. B. IX 197 même concours, médaille comm., n. s., 0,023, type. B, IX 195

même concours, même médaille, n. s., 0,023, type. | B, IX 195

même concours, med. comm., n. 8., 0,024. B,IX 197 même concours, med. comm., n. 8., 0,026. B, IX 197

même concours, médaille comm., n. s., 0,027, type.

B, IX 198 même concours, même médaille, n. s., 0027, type. B, IX 197 même concours, med. comm., n. 8., 0,028. B, IX 194 même concours, med. comm., n. 8., 0,031. B, IX 193

même concours, médaille comm., n. s., 0,033, type.

B, IX 194 même concours, même médaille, n. s., 0,033, type.

B, IX 196 méme concours, möme medaille, n. s., 0,033, type.

B, IX 194 méme concours, méme médaille, n. s., 0,033, type.

B, IX 193 même concours, med. commém., n. s., 0,034. B, IX 196 méme concours, épingle de cravate, n. 8. B, IX 199 méme concours, décoration ronde carton, n. s. B, IX 199 méme concours, ruban de féte, n. s., 1°" type. B, IX 198 méme concours, ruban de féte, n. s., type. B, IX 198 même concours, ruban de fête, n. s., type. B, IX 199 méme concours, ruban de féte, n. s., type. B, IX 198

1891, concours Galland, prix décernés, p. H. Bovy. B, X 254

fete fédérale de gymnastique, par Defailly. B, X 175 méme fete, par Leschot. B, méme féte, par Rütishauser. méme féte, par Vieuxmaire, 0,033. B, X même fête, par le même, 0,046. B, X méme féte, n. s., 0,024, type. B, X méme féte, n. s., 0,024, type. B, X möme féte, n. s., 0,024, type. B, X

464. 465. 466. 467. 468. 469. 470. 471. 472. 473. -—

474. 475.

476.

477. 478.

479. 480.

481. 482.

483. 484.

485.

486. 487.

488. 489.

490. 491.

492. 493.

959

Genève (ville et canton), 1891, föte fédérale de gymnastique, n. s.,

0,027. B, X 176 même fête, n. s., 0,028, 1‘ type. B, X 175 même fête, n. s., 0,028, type. B, X 176

même fête, n. s., 0,028, type. B, X 176 même fête, n. s., 0,030. B, X 177

inauguration de l'institut électro-homæopathique A. Sauter, par Schlütter. B, XI 14

fête des promotions des écoles, par Vieuxmaire. B, X 174 1892, inaug. de hotel des postes fédér., p. Jamin. R, III 194 1893, imitation d’écu pistolet, réclame de l'usine de dögross. d'or, par Hantz. |. R, III 210 8. d. (1893), médaille au type de Saint-Georges, par Hantz. R, III 348 et IV 380

1893, banquet des sapeurs-pompiers de la ville, n. s. R, III 351 —. tir du 20° anniv. de l’école de tir des Amis du manne-

quin, par Richard. R, III 212 assemblée gener. de la soc. suisse de numismat., par H. Bovy. - R, III 347 fête des promotions des écoles, n. s. R, III 205 50° anniv. de la soo. savoisienne de secours mutuels, par Roty. R, III 203 même évén., par Oudiné. R, III 202 8.d. (1894), jeton, essai de frappe (Vénus et l’Amour), de l'usine de dégross. d’or, par Hantz. R, IV 213 1894, 50° anniv. de la soc. fédérale de secours mutuels, par Jamin. R, IV 218 30° anniv. de fondation de la soc. chorale la Cécilienne, par Vieuxmaire. R, IV 381 fête des promotions des écoles, n. s. R, IV 220 inauguration de la maison de l’Union chrétienne, par Richard. R, IV 379 8. d. (1894), jeton de présence de la compagnie d’assurances la Genevoise, type, par G. Hantz. R, IV 229

8. d. (1894), même jeton, type, par le même. R,IV 229 1894, exposition des produits de la Belgique, par Hantz.

R, IV 227 —— 1895, fête des promot. des écoles, par Vieuxmaire. R, V 103 —- banquet des sapeurs-pompiers de la ville, Defailly édit.

R, V 261 ss. d. (1895), 25° anniv. de fondat. de la société de la colonie italienne, par Vieuxmaire. R, VII 187

1896, med. décernée par l'Etat à Ami Girard pour son ini- tiative pour la restauration du monument de l’Escalade, coins

d’A. Bovy, R, VI 333 8. d. (1896), prix de la société nautique de Genève, refrappe, par H. Bovy et Schlütter, 0,037. R, VII 204

_8.d. (1896), même prix, par Schlütter, 0,054. R, VII 204

494.

360

Genéve (ville et canton), 1896, société de numismatique, inaugu- ration du local de la section de Genéve, par Cahorn. R, VI 338

495. assemblée génér. de la soc. suisse de numismat.. jeton offic., par H. Bovy et Schlütter. R, VII 210 496. möme assemblée, insigne de föte, par H. Bovy et Schlütter. R, VII 210 497. même assemblée, refrappe avec coin corrigé, par H. Bovy et Schlütter. R, VII 210 498. tir offert à la société Je Guidon genevois par M. de Lu- serna, par Richard. R, VI 173 499. exposition nationale suisse, med. offic. de récomp., 0,062, par H. Bovy et Hantz. A R, V1 338, VII 199 500. même exposit., med. offic. de récomp., 0,045, par H. Bovy et Hantz. R, VI 340 501. même expos., med. offic. de récomp., notes sur les pro- jets de concours. R, VI 340 502. (frappé en 1898), même expos., méd. offic. du capital de garantie, par H. Bovy et Hantz. R, VIII 335, X 343 503. mémeexpos.,insigne offic. des comités, p. Hantz.R, VI 344 504. même expos. insigne offic. dujury, par Hantz. R,VI 344 505. même exposition, jeton-réclame de Defailly, éditeur de médailles. R, VII 186 506. même exposition, jeton-réclame de Golay et Stahl, ae R, VII 350 507 même exposition, médaille commémorative, par Defailly, | 0 ‚033, type. R, VI 347 508. même exposition, médaille commémorative, par Defailly, 0,003; type. R, VI 347 509. méme expos., med. comm., p. Defailly, 0,040. R, VI 347 510. même expos., med. comm., par Droop. R, VI 345 511. même expos., med. comm. ‚par Hantz, 0,019. R, VI 344 512. même expos., med. comm., par Hantz, 0, ,020. R, VI 344 513. möme exposition, médaille commémorative, par Hantz, 0 ‚030, 1°” type. R, VI 349 514. même exposition, médaille commémorative, par Hantz, 0,030, type. R, VI 349 515. même exposition, médaille commémorative, par Hantz, 0,030, type. R, VI 349 516. -— même exposition, médaille commémorative, par Hantz, 0,040. R, VI 344 517. même exposition, médaille commémorative, par Hantz, 0,045. R, VI 349 518. même expos., med. comm., par Homberg. R, VI 350 519. même exposition, médaille commémorative, par Schlütter, type. . R, VII 206 520. même exposition, médaille commémorative, par Schlütter, type. R, VII 206 521. même expos., méd. comm., par Vieuxmaire. R, VI 347

522. . 523.

524. 525. 526. 527. 528. 529. 530.

531. 532.

533. 534.

535. 536. 537. 538. 539. 540. 541. 542. 543. 544. 545.

546. 547.

548. 549. 550. 551.

552. 553.

31

Genève (ville et canton), 1896, exposition nationale suisse, med.

commemorative, par Wilhelm et Mayer, 0,033. R, VI 346 méme exposition, médaille commémorative, par Wilhelm et Mayen 0,050. R, VI 346 même expos., med. comm., n. 8., 0,023. R, VI 346

même expos., med. comm., n. 8., 0,030. R, VI 346

même expos., méd. comm. n. 8., 0,033, 1°" type. R, VI346 même expos., méd. comm., n. 8., 0,033, type. R, VI 346 même expos., med. comm., n.8., 0,033, type. R, VI 346 même expos., médaille comm., n. 8., 0,036. R, VI 346 méme exposition, village suisse, tir à l’arbalète, par . Bovy. R, VI 355 même exp. vill. suisse, tir à l'arbal., p. Hantz. R, VI 355 méme exposition, village suisse, jeu de quilles, par Droop. R, VI 356 même exposition, village suisse, par Richard. R, X 354 même exposition, médaille uniface du projet original du 514, par Hantz. R, VI 349 même exposition, village suisse, banquet de la section genevoise de la société suisse de numismatique, médaille com-

+ He

mömorative, par Cahorn, type. R, VI 356 même médaille, type. R, VI 357 -- même médaille, type. R, VI 357

méme médaille, type. R, VI 357 méme médaille, type. R, VI 357 même médaille, type. R, VI 357 même médaille, type. R, VI 357 même médaille, type. R, VI 358 exposition nationale suisse, grand tir, médaille officielle,

par C. Roch et H. Bovy. R, VI 351 même exposition, grand tir, médaille commémorative,

par Defailly. R, VI 351 même exposition, grand tir, médaille commémorative, par Vieuxmaire. R, VI 352

même exposition, grand tir, med. com., n. 8. R, VI 352 même exposition, course vélocipédique de la fédération

du Haut-Rhöne, Defailly éditeur. R, VI 175 -- méme exposition, course vélocipédique de la fédération velocipedique, 0,023, n. s. (Vieuxmaire). R, VI 352 méme exposition, course vélocipédique de la fédération vélocipédique, 0,033, n. s. (Vieuxmaire). R. VI 352 même exposition, féte internationale de gymnastique, n. 8., 0,023. R, VI 352 même exposition, fête internationale de gymnastique, n. 8., 0,033, 1°" type. R, VI 352

‘même expos., même méd., n. 8., 0,033, type. R, VI 352 méme exposition, congrés des électriciens, insigne, par Hantz. R, VI 354

vu . méme soc., med. de prix, t., même coin. R, VII 209

554. Genève (ville et canton), 1896, exp. nationale suisse, assemblée de la société des höteliers suisses, par Richard. R, VI 353

555. même exposition, journée neuchâteloise, par Richardet frères. R, VI 356

556. même exposition, assaut international d’escrime, par Schoenenberger. R, VI 353

557. même exposition, savon Sunlight, jeton-réclame, La- vanchy-Clarke éditeur, type. R, VI 174

558. même exposition, même jeton, type. R, VI 355 559. même exposition, même jeton, type. R, VI 338 560. —. exposition internationale de timbres de la société phi- latélique de Genève, prix, par Hantz. R, VI 353

561. même exposition, med. comm., par Hantz. R, VI 353 562. exposition philatélique de l'Union philatélique suisse, prix, par Hantz. R, VII 201

563. s. d..(1897), brasserie centrale, jeton 5 cent. n. s. (Hantz). R, VII 221

564. méme établiss., jeton 20 cent. n. s. (Hantz). R, VII 221 565. café Rousseau, jeton 15 cent., n. 8. (Hantz). R, VII 221 566. même établiss., jeton 20 cent., n. s. (Hantz). R, VII 221 567. méme établiss., jeton 25 cent., n. s. (Hantz). R, VII 221 568. brasserie-restaur. de Milan, jeton 10 cent., n. 8. (Hantz). R, VII 221

569. méme établiss., jeton 20 cent., n. s. (Hantz). R. VII 221 570. 1897, prix de la section d’horlogerie de la soc. des arts, dé- cerné à Mare Thury, coin de Motta. R, VII 402

571. s. d. (1897), loge mac... la Fraternité (Gr. Or. de Fr.), bijou de membre, par Ferrier. R, VII 219

572. 1897, féte annuelle des écoles cantonales (promotions), par Vieuxmaire. R, VII 187

573. 8.d. (1897), soc. de musique l’Harmonie Nautique, insigne de membre, n. s. (Hantz). R, VII 203

574. 1897, vogue du faubourg St-Gervais, med. de prix et primes, par A. Bovy et Schlütter. R, VII 190

575. même évén, med. comm., par Vieuxmaire. R, VII 191 576. 8. d. (1897), société de tir le Guidon genevois, prix fondé par Pralon, par Hantz. R, VII 204

577. 1897, 1 tir des sapeurs-pompiers de la ville, par Jamin. R, VII 402

578. société de jeu de boules le Lilas, med. de prix, 1°" type, coin d’A. Bovy. R, VII 209

579. même soc., méd. de prix, t., même coin. R, VII 209 580. même soc., med. de prix, t., même coin. R, VII 209 581. méme soc., med. de prix, t., même coin. R, VII 209 582. même soc., med. de prix, t., même coin. R, VII 209 583. même soc., med. de prix, t., même coin. R, VII 209 584. même soc., med. de prix, t., même coin. R, 209

586.

587. 588. 589.

590. 591.

592. 593.

594. 595. 596. 597. 598. 599. 600. 601. 602. 603. 604. 605. 606.

607. 608.

609. 610. 611. 612. 613. 614. 615. 616.

363

Geneve (ville et canton), s. d. (1897), medaille commém. de la Convention de Genève pour secours aux blesses (Croix-Rouge),

par Richard. R, VII 406 1898, fête des promotions des écoles, par Vieuxmaire, R, IX 194 8.d. (1898), méd.-breloque pour francs-magons, par Jamin. R, IX 209 1898, inaugur. du temple maçonn. de la rue Bovy-Lysberg, par Hantz, type. R, IX 211 même évén., par le même, type. R, IX 211 8. d. (1898), AR de musique de la société l’Ondine genevoise, par Lauer. R, VIII 349 1898, tour du lac de Ja société l’Ondine genevoise, n. 8. R, IX 194 école de tir des Amis du mannequin, tir du 25° anniver- saire de fondation, par Richard, 1’° variété. R, IX 203 méme médaille, variété d'inscription. R, IX 203

même médaille, variété d’inscription. R,IX 203

3 méme médaille, variété d'inscription. R, IX 203 même médaille, variété d’inscription. R,IX 203 :— même médaille, variété d’inscription. R, IX 203 méme médaille, variété d’inscription. R, IX 203 méme médaille, variété d'inscription. R, IX 203 même médaille, variété d’inscription. R, IX 203 même médaille, 10° variété d'inscription. R, IX 203 même médaille, 11° variété d'inscription. R, IX 203

même médaille, 12° variété d'inscription. R, IX 203 même médaille, 13° variété d'inscription. R, IX 203 8. d. (1899), insigne du Piolet-Club, société d’alpinistes, par

Hantz. R, IX 201 1895, promotions des écoles, par Vieuxmaire. R, IX 198 vogue du faubourg Saint-Gervais, medailles de prix et

primes, tir et concours divers, par Schlütter. R, IX 198 vogue du faubourg Saint-Gervais, médaille commémo- rative, par Vieux maire. R, IX 197 -- tir de la caisse de réassurance mutuelle, méd. de primes, coin d’A. Bovy. R, XI 442 club du tir militaire cantonal, médailles de primes, par Richard. R, IX 201 s.d.(1900), Edouard Audeoud, numismate, jeton à ses armes, par Hantz. R, X 353 1900, médaille de prix de l’exposition de photographie du musée Marie, par Schlütter. R, X 354 s.d. (1900), bacs à hélice Triib et C°, jeton 10 cent., n. 8 (Hantz). R, X 351 bacs à hélice Trib et C*, jeton 25 cent., n. s. (Hantz). R, X 351

—. cercle de Notre-Dame, jeton de service, n. 8. R, X 338

= 964 =

. Genève (ville et canton), s. d. (1900), Forestier, coutelier, jeton de

service, n. 8. R, X 339 laiterie agricole, jeton de service, n. 8. R, X 336 Perrin, horloger, jeton de service, n. 8. R, X 337

maison J. Contat, jeton de contrôle, 5 cent., n.8. R, X 334 maison H. Jaquet et C°, jeton de contrôle, n. s. KR, X 331 maison Dailly, jeton de contröle, 30 cent., n. s. R, X 337 maison veuve Astruc cadet, jeton de contröle, 50 cent., R, X 337 maison L. Puaux, jeton de contr., 50 cent., n. 8. R, X 338 maison J. Mestrel, jeton de contr., 1 franc, n.8. R, X 338 maison G. Goy, jeton de contr., 50 cent., n. 8. R, X 336 maisou Aigroz, jeton de contr., 5 cent., ns. R, X 331 maison Aigroz. jeton de contr., 50 cent., n.8. R, X 331 maison P. Astruc ainé, jeton de contröle, 50 cent., n. 8. R, X 334 jeton banal 5 cent., de brasserie, n. 8. R, X 370 jeton banal 10 cent., de brasserie, n. 8. jeton banal 20 cent., de brasserie, n. 8. jeton banal 25 cent., de brasserie, n. 8. jeton brasserie du palais Electoral, 20 c., n. 8. jeton cafe-brasserie des Grisons, 5 cent., n, s. jeton café-brasserie des Grisons, 20 c., n. 8. jeton café-logis Au Soleil, n. 8. jeton café de la Tour-Eiffel, 5 cent., n. s. jeton café de la Tour-Eiffel, 20 cent., n, s., jeton café de la Tour-Eiffel, 40 cent., n. s. jeton brasserie Eberbach, 20 cent., n. s. jeton brasserie Eberbach, 30 cent., n. 8. jeton cafe de la Fusterie, 5 cent., n. 8. jeton café Kleiner, 5 cent., n. 8. jeton café Kleiner, 10 cent., n. 8. jeton kiosque des Bastions, glace, n. 8. jeton restaurant populaire, 15 cent., n. 8. jeton buffet gare Cornavin, 15 cent., n. s. jeton méme buffet, 20 cent., n. 8. jeton café Schlegel, 5 cent., n. s. jeton café Salchli, 25 cent., n. 8. jeton restaurant Garneret, 5 cent., n.s.(Hantz) R, X 345 jeton restaurant Garneret, 20 c., n. s. (Hantz). R, X 345 jeton brass. Jules Babel, 5 cent.,n.s. (Hantz). R, X 340 jeton brass. Jules Babel, 15 cent., n.s. (Hantz). R, X 340 jeton brass. Jules Babel, 20 cent., n. s. (Hantz). R, X 340 jeton brasserie de Milan, 5 cent.,n.s.(Hantz). R, X 350 jeton café-restaurant Vidoudez, 10cent., n. s. R, X 335 jeton café-restaurant Vidoudez, 15 cent., n.8. R, X 335 jeton café-restaurant Vidoudez, 50 cent., n.8. R, X 335 jeton Victoria-Hall, 50 cent., n. 8. R, X 335

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365

662. Genève (ville et canton), 1901, féte des promot. des écoles, par

Vieuxmaire, R, X 357

663. föte patriotique du juin, par Vieuxmaire, Defailly éditeur. R, XI 459

664. s. d. (1901), jeton de cuivre, Charles Hasler, n. s., 20 cent. R, XI 431

665. même jeton, 25 cent. R, XI 431 666. cuisines populaires Rive-Eaux-Vives, jeton 65 cent., n. s. R, XI 431

667. mêmes cuisines, jeton 50 cent., n. 8. R, XI 431 668. société d’escompte des commerçants réunis, jeton 5 cent., n. 8. R, XI 432

669. même société, jeton 10 cent., n. 8. R, XI 432 670. mémesociété, jeton 20 cent., n. 8. R, XI 432 671. usine genevoise de dégrossissage, jeton 1 franc, n. 3., (Hantz). R, XI 433

672. même usine, jeton 10 cent., n. s. (Hantz). R, XI 433 673. même usine, jeton 50 cent., n. s. (Hantz). R, XI 433 674. société coopérative de consommation la Fidélité, jeton 5 cent., n. 8. R, XI 430

675. même société, jeton 20 cent., n. 8. R, XI 430 676. même société, jeton 50 cent., n. 8. R, XI 430 677. même société, jeton I franc, n. 8. R, XI 430 678. même société, jeton 2 francs, n. 8. R, XI 430 679. 8. d. (1902), insigne de la section de Genève de la société des empl. féd., par Lamunière et Schoenenberger. R, XI 473

680. plaquette-réclame de Lamuniére et Schenenberger, graveurs en médailles, par eux-mémes. R, XI 473

681. 1902, 25° anniversaire de fondation de la société (abstinents) de la Croix-Bleue, par Defailly, 1°" type. R, XI 475

682. même anniversaire, par Defailly, type. R, XI 475 683. tir cantonal genevois 4 St-Georges, plaquettes officielles de primes, par C. Roch et H. Bovy. R, XI 478

684. méme tir, médaille, n. 8. R, XI 478 685. tir du centenaire de l’Escalade de la société des Amis du Mannequin, par Schoenenberger, médaille officielle

| primes. R, XI 479 686. centenaire de l’Escalade, médaille officielle, 0,0335, par Lamunière. R, XI 481 pl. I

687. même centenaire, médaille offic., 0,0595, par H. Bovy. R, XI 481 pl. XVI

688. même centenaire, méd. par Fulpius et Roch. R, XI 482 689. même centenaire, méd. p. Wilhelm et Mayer. R, XI 482 690. ss. d. (1902), congrès universel de la franc-maçonnerie, par Durouvenoz, 1* type. R, XI 488

691. 1902, méme congrés, par Durouvenoz, type. R, XI 488 692. Patek, Philippe et C'*, fabrique d’horlogerie, deviennent

société anonyme, par Hantz. R, XI 259

693,

694,

695.

696.

697, 698.

699.

100.

366

Genève, voir aussi: 66, 151, 152, 172, 173, 174, 175, 176, 177, 178, 179, 180, 181, 182, 183, 261, 262, 263, 264, 265, 266, 270, 285, 286, 287, 288, 289, 290, 291, 292, 293, 302, 350, 693, 710, 717, 718, 719, 836, 848, 849, 851, 852, 877, 940, 941, 942, 943, 944, 945, 946, 947, 948, 949, 950, 951, 952,

| 953, 954, 955, 956, 957, 958, 959, 960, 961, 962, 963, 964, 965, 966, 967, 968, 969, 970, 971, 972, 973, 974, 975, 976, 977, 978, 979, 980, 981, 982, 983, 984, 985, 986, 987, 988, 989, 990, 991, 992, 993, 994, 995, 996, 997, 998, 999, 1000, 1001, 1002, 1003, 1004, 1005, 1006, 1007, 1008, 1009, 1010, 1011, 1012, 1013, 1014, 1015, 1016, 1017, 1018, 1019, 1020, 1021, 1022, 1023, 1024, 1025, 1026, 1027, 1028, 1029, 1030, 1031, 1032, 1033, 1034, 1046, 1062, 1063, 1064, 1065, 1066, 1067, 1068, 1069, 1070, 1071, 1072, 1073, 1074, 1090, 1091, 1164, 1165, 1243, 1259, 1311.

Genthod (Genève), 1890, föte champétre du cercle démocratique,

0,024, n. s. (Lauer). B, X 173 Georges I°", roi de Grèce, 696, 697, 698. Gerbel, graveur à Genève, 381. Gimel (Vaud), 1050. Giornico (Tessin), 1900, tir de district; par Casinadis et Johnson.

R, XI 256

Girard, Ami, patriote genevois, 491. Glaris, 1896, tir cantonal glaronnais, Defailly éditeur. R, VI 175 -— voir aussi 876. Grazioli, graveur à Milan, 321. Grèce (royaume), s. d. (1900), médaille officielle de récompense

pour concours de sport, par Hantz, type. R, XI 444 même médaille, par le même, type. R, XI 444 même médaille, par le même, type. R, XI 444

Gremaud, J., numismate, 846. -

Grisons (canton), 1884, rassemblement de troupes VIII division,

n. 8. (Wilhelm et Mayer). B, IV 121

voir aussi 268, 269, 711, 1055.

Gruyères (Fribourg), voir 66.

1890, installations hydrauliques des eaux de Broc, par H. Bovy. B, IX 209 pl. XIII

Gryonne (Vaud), 124, 125, 126, 127, 128, 129.

Guillaume Il, empereur d’Allemagne, 73, 76, 795, 796, 797, 798.

Gymnastique, sports et fétes, 3, 4, 14, 186, 227, 228, 249, 250, 251, 252, 253, 254, 255, 256, 257, 258, 263, 292, 293, 306, 345, 347, 348, 456, 457, 458, 459, 460, 461, 462, 463, 464, 465, 466, 467, 468, 550, 551, 552, 716, 725, 726, 728, 751, 173, 784, 785, 786, 820, 821, 822, 823, 824, 825, 826, 827, 828, 829, 870, 871, 872, 873, 881, 912, 913, 916, 1092, 1148, 1149, 1151, 1237, 1274, 1315, 1372, 1373.

Hantz G., graveur è Genève, 17, 18, 159, 167, 168, 169, 170, 171, 172, 173, 174, 175, 176, 177, 183, 185, 189, 190, 270.

701. 702. 103.

704. 705.

706. 107.

708. 709.

710.

es ee

Hantz, G., graveur à Genève (suite), 279, 280, 281, 285, 286, 291, 295, 345, 371, 372, 472, 473, 480, 485, 486, 487, 499, 500, 502, 503, 504, 511, 512, 513, 514, 515, 516, 517, 531, 534, 553, 560, 561, 562, 563, 564, 565, 566, 567, 568, 569. 573, 576, 589, 590, 606, 612, 614, 615, 652, 653, 654, 655, 656, 671, 672, 673, 692, 696, 697, 698, 718, 719, 742, 743, 744, 745, 747, 751, 752, 753, 754, 755, 756, 757, 758, 759, 760, 761, 762, 763, 764, 765, 766, 767, 768, 769, 799, 823, 824, 837, 838, 848, 849, 861, 894, 911, 927, 928, 930, 931, 942, 944, 1028, 1029, 1030, 1031, 1053, 1054, 1056, 1057, 1058, 1080, 1159, 1160, 1164, 1165, 1169, 1193, 1194, 1195, 1196, 1216, 1241, 1250, 1251, 1254, 1255, 1275, 1284, 1285, 1286, 1287, 1288, 1289, 1290, 1291, 1292, 1293, 1294, 1295, 1296, 1297, 1298, 1299, 1300, 1301, 1302, 1303, 1304, 1305, 1306, 1307, 1308, 1309, 1310, 1319, 1352, 1364, 1365, 1366, 1418, 1430.

Hartwig, graveur à Offenbach, 85.

Haye, La (Hollande), 1899, conférence de la paix, plaquette, par Begeer. R, XI 442

même conference, méd., par Lauer, 0,033. R, XI 442 même conf., méd., p. Lauer, 0,050, type. R, XI 442 même conf, méd., p. Lauer, 0, ‚050, type. R, XI 442 Hedlinger, J.-C., graveur schwytzois, s d. (1882), méd. à portrait, par Lindberg. - B, I 15 816, 476.

Henri IV, roi de France, 318. Hergiswil (Unterwald Nidw. ), 1901, tir cantonal unterwaldais,

médaille officielle de primes, par Kauffmann. R, XI 460 Herzog, Hans, général argovien, 1889, 50° jubilé de service, par C. Richard. B, VIII 176 pl. VOI voir 136. Hofer, Fréd., de Berne, 1900, med. à portrait, P. Homberg. R, X 365 Holbein, Hans, le jeune, peintre bâlois, s. d. (1897), médaille à portrait, par Frei. R, VII 405

Hollande, 701, 702, 703, 704.

Holy freres, graveurs à Saint-Imier, 1081,1085.

Homberg, graveur à Berne, 10, 11, 19, 20, 31, 33, 51, 53, 75, 76,89, 91, 92, 99, 100, 107, 108, 112, 120, 121, 122, 134, 148, 162, 226, 269, 304, 305, 518, 708, 720, 791, 1078, 1081, 1100, 1152, 1218, 1219, 1238, 1239, 1240, 1245, 1246, 1313, 1336, 1350, 1371, 1374, 1383.

Horlogerie, 66, 218, 226, 570, 619, 692, 775, 788.

Hornung, Joseph, peintre genevois, s. d. (1882), médaille & por- trait, par Richard. B, II 75

Huguenin frères, graveurs au Locle, 49, 50, 138, 149, 247, 260, 278, 283, 284, 298, 714, 772, 776, "788, 789, 833, 834, 835, 895, 898, 914, 922, 1042, 1043, 1044, 1094, 1095, 1099, 1181, 1182, 1183, 1184, 1185, 1186, 1187, 1188, 1190, 1191.

711.

368

Huguenin frères, graveurs au Locle (suite), 1192, 1197, 1198, 1199, 1200, 1201, 1202, 1214, 1217, 1221, 1223, 1224, 1295, 1226, 1227, 1279, 1337, 1357, 1431.

Hunziker, associé de Durussel, graveur à Berne, 3.

Hygiène, voir Médecine.

Ilanz (Grisons), 1894, fête cant. grisonne de chant, n. s. R, VI 334

Imprimerie, 302, 420.

Indes, route des, voir 772.

Incendies, catastrophes, sapeurs-pompiers, 243, 244, 245, 355, 474, 489, 577.

Industries et commerces divers, 17, 18, 34, 35, 36, 37, 167, 168, 169, 170, 171, 175, 176, 177, 189, 190, 196, 197, 217, 218, 219, 220, 221, 222, 223, 224, 279, 280, 281, 320, 469, 505, 506, 557, 558, 559, 563, 564, 565, 566, 567, 568, 569, 614, 615, 617, 618, 619, 620, 621, 622, 623, 624, 325, 626, 627, 628, 629, 630, 631, 632, 633, 634, 635, 636, 637, 638, 639, 640, 641, 642, 643, 644, 645, 646, 647, 648, 649, 650, 651, 652, 653, 654, 655, 656, 657, 658, 659, 660, 664, 665, 666, 667, 668, 669, 670, 671, 672, 673, 674, 675, 676, 677, 678, 680, 742, 752, 753, 754, 755, 756, 757, 758, 759, 760, 761, 762, 763, 764, 765, 766, 767, 768, 769, 770, 790, 855, 943, 994, 995, 996, 997, 998, 999, 1000, 1001, 1002, 1003, 1004, 1005, 1006, 1250, 1251, 1283, 1284, 1285, 1286, 1287, 1238, 1289, 1290, 1291, 1292, 1293, 1294, 1295, 1296, 1297, 1298, 1299, 1300, 1301, 1302, 1303, 1304, 1305, 1306, 1307, 1308, 1309, 1310, 1364, 1365, 1366, 1376, 1377, 1378, 1379.

. Iseo (Tessin), 1894, tir de la société des tireurs de Sainte-Marie,

medaille primes, par Johnson. R, VI 433

Italie, 351.

Jacot, Ulysse, graveur au Locle, 307.

Jacot-Guillarmod frères, graveurs au Locle et à Genève, 229, 775, 1356.

Jæckle-Schneider, graveur à Zurich, 90, 382, 879, 1105, 1106, 1107, 1265. 1316, 1317, 1341, 1384, 1385, 1386, 1387, 1388, 1389, 1390, 1391, 1392, 1398, 1394, 1395, 1396, 1397, 1398, 1399, 1408, 1409, 1412, 1419.

Jamin, graveur à Genève, 287, 288, 471, 481, 577, 588, 1059, 1060, 1176.

Jeux divers (boules, quilles, golf, tennis, foot-ball), 532, 578, 579, 580, 581, 582, 583, 584, 585, 859, 1062, 1063, 1064, 1065, 1066, 1067, 1068, 1069, 1070, 1071, 1072, 1073, 1074.

Jobin, A., éditeur de médailles à Neuchâtel, 1061.

Jœrgum et Trefz, graveurs à Francfort s/M., 54, 109, 139, 140, 308, 902, 903, 1082, 1322.

Johnson, graveur & Milan, 59, 70, 71, 72, 267, 303, 323, 694, 712, 778, 774, 813, 818, 820, 821, 831, 832, 844, 850, 899, 915, 1035, 1039, 1040, 1055, 1092.

Kaufmann, H., graveur & Munich.

713.

114. 715. 716. 717. 118.

719.

720. 721.

722. 723.

124. 125.

726. 127.

728. 129. 130. 131.

132. 133.

369

Kauffmann, J., graveur & Lucerne, 21, 67, 296, 317, 706, 799, 800, 801, 802, 804, 846, 924, 1047, 1163, 1426, 1427.

Keller, Gottfried, homme de lettres zuricois, 1889, médaille & portrait, par Scharff. B, VII 123

Klinger, graveur & la Chaux-de-Fonds, 225.

Klingnau (Argovie), 225.

Kriens (Lucerne), 1899, tir cantonal lucernois, médaille primes,

par Huguenin freres. R, IX 336 et 439 Kuessnacht (Schwytz), 1902, tir canton. schwytzois, med. primes, par Frei. R, XI 488 Kyburg (Zurich), 1898, course des gymnastes du canton de Zurich, R, XI 436

Lachenal, Adrien, présid. de la Confed. suisse, 1892, son élection, par Defailly. R, III 196 même élection, par Hantz. R, III 196

Lamuniére, graveur & Genève, 39, 40, 41, 42, 43, 182, 679, 680, 686, 1032. Lancy (Genève), s. d. (1897), cercle de l’Union, jeton 15 cent., n. 8. (Hantz). R, VII 221 voir Plainpalais pour les tirs de l’Arquebuse et Navigation. Landry, Fr., gra veur à Neuchatel, 897, 1422. (

Langenthal (Berne), 1899, tir de la Suisse centrale, méd. primes,

par Homberg. R, IX 212 même tir, méd., par Wilhelm et Mayer. R, XI 440 méme tir, med., , par Vieuxmaire. R, XI 440

Langnau (Berne), 1895, tir franc de l’Emmenthal, n. s. R, "VII 207

Lanz-Girod, zraveur a Bienne, 137.

Lavanch Clarke, 557, 558, 559.

Lauer et Ci, graveurs à Nuremberg, 102, 103, 232, 290, 320, 383, 384, 385, 428, 591, 693, 702, 703, 704, 777, 794, 795, 796, 797, 798, 866, 890, 904, 1108, 1210, 1228, 1229, 1230, 1257, 1314.

Laui, voir Marti, Ressler et Laui.

Lausanne (Vaud), 1882, souv. de l’école de recrues, n. 8., Dufey-

Gex et Paris, édit. B, I 79 1887, féte à Sauvabelin de la soc. Amis gymnastes, par Du- russel. B, X 20 1888, méme féte, prix, par Durussel. B, X 20 1890, exposit. suisse de boulangerie, confiserie, etc., prix, par H. Bovy. B, X 177 -— 8. d. (1891), anniv. de fondat. des Amis gymnastes, n. s. (par Vollenweider). B, X 178 1891, inaugur. de l’Université, n. s. Defailly edit. B, X 178 méme évén., par Vieuxmaire. B, X 178 1894, tir canton. vaudois, méd. offic. primes, par Richard, R, IV 222

même tir, méd., par Defailly. R, IV 222 même tir, méd., par Vieuxmaire. R, IV 223

REVUE NUM. T. XIII. 24

370

134. Lausanne (Vaud), 1894, tir cantonal vaudois, med., par Wilhelm et Mayer. R, IV 223

135. même tir, décernée à Jules Dunand, n. s. RK, IV 378 736. fête des cadets vaudois, par Vieuxmaire. R, IV 224 737. 1895, féte des promot. des écoles, par Vieuxmaire. R, V 103 738. insigne dela soc. Lausanne-Velo, p. Sander. R, VII 206 739. fête cant. vaud. de tempérance, p. Vieuxmaire, type. R, V 102

140. même fête, par le même, type. R, VII 190 741. s. d. (1896), loge mac.-. Espérance et Cordialite, refrappe de l’insigne. R, VII 202

742. s. d. (1897), brasserie Tivoli, jeton 20 cent., n. s. (Hantz). R, VII 222

743. --- tramways lausann., jet. 10 cent., n. s. (Hantz). R, VII 220 744. tramways lausann., jet. 15 cent., n. 8. (Hantz). R, VII 220 745. 1898, centenaire cantonal de l’indépendanee, tir de l’abbaye des Grenadiers, par Hantz. R, VIII 349

746. 1895, féte annuelle des écoles, par Vieuxmaire. R,IX 195 747. 1900, tir du 75° anniv. de la soc. des carabin. de Lausanne, par H. Bovy et Hantz. R, X 359

748. méme tir, par Frei, 1" var. R, X 358 749. même tir, par le même, var. R, X 358 750. soc. de tir militaire les Dernières cartouches, prix par H. Bovy et Schlütter. R, X 861

151. 8. d. (1901), société de gymnastique des hommes, insigne, par Hantz. R, X 351

152. cuisines modernes, jeton pain, 5 cent., n. s. (Hantz). R, X 346

153. même etabliss., jeton soupe, légumes, fromage, 10 cent., n. 8. (Hantz). R, X 346

154. méme etabliss., jeton café, chocolat, salade, 15 cent., n. 8. (Hantz). R, X 346

155. même établiss., jeton café, chocolat, salade, 20 cent., n. 8. (Hantz). R, X 346

156. même etablissem., jeton viande, bouilli, 25 cent., n. s. (Hantz). R, X 346

157. même établiss., jeton viande, ragoüt, 80 cent., n. s. (Ilantz). R, X 346

158. même établiss., jet. viande rôtie, 40 cent., n. s. (Hantz). R, X 346

159. même établiss., jeton viande, 1 franc, n. s. (Hantz). R, X 346

160. mine établiss., jeton vin 2 déci, n. s. (Hantz). R, X 346 161. même établiss., jeton vin 3 déci., n. s. (Hantz). R, X 346 762. même établiss., jeton vin 5 déci., n. s. (Hantz). R, X 346 763. cuisines scolaires, jeton 5 cent., n. s. (Hantz). R, X 347 764. même établiss., jeton 10 cent., n. s. (Hantz). R, X 347

. même établiss., jeton 15 cent., n. s. (Hantz). R, X 347

371

. Lausanne (Vaud), 1894, cuisines scolaires, jeton 20 cent., n. 8.

(Hantz). R, X 347

. boulangerie sociale, jeton 10 c., n. s. (Hantz). R, X 345 . méme etabliss., jeton 20 cent., a s. (Hantz). R, X 345

même établiss., jeton 25 cent., n. s. (Hantz). R, X 345 maison Brouillet, jeton de service, n. 8. R, X 330 " Leschot, graveur à Neuchâtel, 250, 273, 274, 457, 883, 1180.

Lichtensteig (Saint-Gall), 1897, tir cant. saint-gallois, p. Wilhelm

et Mayer. R, VII 200 Lindberg, graveur suédois, 705.

. Lisbonne (Portugal), 1898, centenaire de la découverte des

Indes, par Huguenin frères. R, VIII 332 Littérateurs, poétes, 713, 924.

773. Locarno (Tessin), 1896, 11° féte cant. tessinoise de gymn., par Johnson. R, XI 434

774. 1900, tir d’inaugurat. du stand, par Johnson. R, XI 253 775. Locle, le (Neuchätel), 1888, inaugur. du monum. de Dan. Jean- Richard, par E. et A. Jacot-Guillarmot. R, VII 135

776. 1892, tir cant. neuchatelois, offic., p. Huguenin fr. R, I 312 777. même tir, med. comm., par Lauer. R, II 314 178. même tir, med. comm., 0,023, par Vieuxmaire, type. R, II 315

779. même tir, médaille com., 0,023, par le même, type. R, 11315

780. même tir, med. comm., 0,033, par le même. R, II 315 181. meme tir, n. 8., 0,027. R, II 314 782. même tir, n. s., 0,0335. R, 1 314 183. 1895, féte de la soc. italienne de secours mutuels. R, V 62 784. 1896, féte cant. de gymn., par Defailly, 0,023. R, VI 331 785. méme fête, par le même, 0,033. R, VI 331 186. même fête, n. s. . Rk, VII 188 787. 1897, fête cant. des chanteurs neuchätelois, n. s. R, VII 190 788. 1899, féte centrale des ouvriers faiseurs de pendants, par Huguenin freres. R, IX 210 et XI 441

789. 1902, visite des ateliers Huguenin fréres par la société suisse de numismatique, par Iluguenin frères. R, IX 489

voir aussi 238.

190. Lucerne (Lucerne), s. d., restaur. Flora, jeton 1 fr., n. s., R, XI 432 191. 1853 (1892), tir fédéral, méd. offic., imitation par Homberg. R, III 217

792. 1881, tir cantonal lucernois, par Durussel. B, I 12 793. exposition agricole, par Durussel. B, I 12 794. 1893, union suisse des vélocipédistes, fête fed., par Lauer, R, III 199

795. visite de l’empereur et de l’imperatrice d’Allemagne au Conseil fédéral, n. s. (Lauer), 0,027, variété. R, III 198

796. -- même visite, n. s. (Lauer), 0,027, variété. R, III 198 797. méme visite, n. s. (Lauer), 0,028. R, III 198

798.

79. 800.

801. 802.

803. 804. 805. 806.

807.

808.

809. 810. 811. 812. 813. 814. 815. 816.

817. 818.

819. 820.

821. 822. 823. 824. 825. 826. 827. 828. 829. 830. 831.

832.

372 :

Lucerne (Lucerne), 1893, visite de l’empereur et de l’impératrice

d' Allemagne au Conseil fedéral, n. s. (Lauer), 0,038. R, III 198 1894, tir cant. lucernois, par "Hantz et Kauffmann. R, IV 219 -- 1895, assemblée generale de la sociéte suisse de numismat.,

par Kauffmann, 1"° variété. R, V 382 méme médaille, variété. R, V 386 -- 8. d. (1896), corporation du Saffran, insigne officiel, par

Kauffmann. R, VII 336 1897, Fritschizug et inauguration de la gare, n. s. R, VII 195 1900, bal du Fritschizug, par Kauffmann. R, X 356

1901, tir fédéral, médaille officielle, par Frei. R, XI 460

tir fédéral, médaille commémorative, par Vieuxmaire, 0,024. R, XI 460

tir féd., med. comm. par Vieuxmaire, 0,033. R, XI 460

voir aussi : 67, 714, 847, 878, 938, 939, 1047, 1143, 1144, 1145, 1146, 1338.

Lugano (T essin), 1883, tir fédéral, &cu officiel de 5 francs, par

urussel. B, II 97, R, IX 310 tir fédéral, médaille, par Durussel, 0,027. B, II 132 même tir, médaille, par le même, 0 ‚028. B, II 132

méme tir, médaille, par le même, 0,047, 1"type. B, II 125 même tir, médaille, par le même, 0,047,2° type. B, II 125 même tir, méd., par Johnson, 0,038. B, II 133 même tir, méd., par Wilhelm et Mayer, 0,034. B, II 133 —- même tir, méd., n. 8., 0,025, texte italien. B, II 134 -— même tir, médaille, n. s., 0,033, texte italien et francais.

B, II 134 même tir, méd., n. 8., 0,034, texte italien. B, II 133 1883, loge maçonnique Il Dovere, insigne de membre, par

Johnson. R, IX 199 1888, tir de la société del Boglia, n. 8. R, XI 430 1894, féte federale de gymnastique, par Capuccio et Johnson,

0,035. R, IV 224 méme fête, par les mêmes, 0,045. R, IV 224 méme fête, par Defailly. R, IV 226

même fête, par Hantz, 0,040, 1"° variété. R

même fête, par le même, 0,040, variété. R, IV 225

-— même fête, par Müller.

méme fête, par Schwerdt. R

-- -- même föte, n. s., 0,036, type. R

même fête, D. 8., 0 036, type. R, IV 225

même fête, n. s., 0 ‚036, type. R, IV 225

1895, régates internat. du elub des canotiers. R, VII 195

1896, 25° anniv. de la société génér. de secours mutuels des ouvriers et 30° anniv. de fondat. de celle des menuisiers, par

Chiattone et Johnson. R, XI 434 1898, centenaire de l’independance cantonale, par Johnson. ‚XI 254

833. 834. 835. 836. 837. 838. 839. 840.

841. 842,

843.

844. 845.

846.

847.

373

Lugano (Tessin), 1902, kermesse de la soc. des ouvriers liberaux,

p. Huguenin fréres, 0,021. R, XI 476 méme évén., par le même, 0,027. R, XI 476 méme évén., par le même, 0,035. R, VII 476

Lullin, Ami, magistrat genevois, s. d. (1893), proclamation de l’in- dépendance de Genève en 1814, par Richard. R, IN 352 IX 214 et pl. II Lyon (France), s. d. (1897), tir international, montre offic., par Hantz. R, VII 202 Macon (Saône-et-Loire), 1894, conférences franco-suisses pour les relations commerciales, sceau offic., par Hantz. R, IV 390 fêtes franco-suisses, par Vieuxmaire, 0,023, type.

R, IV 227 mémes fêtes, par le même, 0,023, type. R, IV 227 mémes fêtes, n. s., 0,030. R, IV 227

tir des fétes franco-suisses, med. primes, n. s. R, IV 379 Meeder, éditeur de medailles & Saint-Gall.

Maire, graveur de médailles, La Chaux-de-Fonds, 238.

Manille (Philippines), s. d. (1895), soc. suisse de tir, med. de prix,

n. 8. R, VI 333

Marin (Neuchatel), 50.

Marti, Roessler et Laui, succ. de Durussel, puis Vollenweider, gra- veurs & Berne, 1172, 1173, 1174.

Maroggia (Tessin), 1900, tir franc, par Johnson. R, XI 452

Martigny (Valais), 1896, fate de la fédération des musiques du Bas-Valais, n. s. (Droop). R, VII 198

1900, assemblée générale de la société suisse de numismat., par Kauffmann. R, XI 446

Mayer, graveur & Stuttgard, voir Wilhelm et Mayer.

Médecine, sciences physiques et naturelles, hygiène, alimentation, 34, 35, 36, 37, 73, 74, 75, 118, 119, 167, 168, 169, 170, 171, 175, -176, 177, 181, 185, 189, 190, 198, 199, 200, 201, 202, 203, 204, 205, 206, 207, 208, 209, 210, 211, 212, 213, 217, 220, 221, 222, 223, 224, 236, 237, 246, 264, 276, 289, 290, 291, 297, 310, 469, 554, 563, 564, 565, 566, 567, 568, 569, 618, 620, 621, 622, 623, 624, 625, 626, 627, 628, 629, 630, 631, 632, 633, 634, 635, 636, 637, 638, 639, 640, 641, 642, 643, 644, 645, 646, 647, 648, 649, 650, 651, 652, 653, 654, 655, 656, 657, 658, 659, 660, 664, 665, 666, 667, 674, 675, 676, 677, 678, 681, 682, 727, 739, 740, 742, 752, 753, 754, 755, 756, 757, 758, 759, 760, 761, 762, 763, 764, 765, 766, 767, 768, 769, 790, 855, 919, 943, 994, 995, 996, 997, 998, 999, 1000, ‘1001, 1002, 1003, 1004, 1005, 1006, 1177, 1218, 1219, 1250, 1251, 1283, 1284, 1285, 1289, 1290, 1291, 1301, 1302, 1303, 1304, 1305, 1311, 1316, 1317, 1375, 1376, 1377, 1378, 1379.

Meggenhorn (Lucerne), 1888, inauguration de la chapelle du chäteau, par Clasens-Lunardi. R, II 322

sd

848. 849.

374

Meier, graveur & Zurich, voir Daubenmeyer et Meier.

Memmig, Be et frappeur à Bruxelles, 1109.

Mermillod, Gaspard, évéque de Lausanne, Genève et Fribourg, med. à portrait, par Hantz, type. R, IV 112, 213 et pl. suppl.

Le méme, médaille a portrait, par le méme, type. R, IV 213

Metzger, 188.

Mexique, 278.

Militaires (méd.), voir Armee et Service militaire à l'étranger.

Meerikoffer, graveur thurgovien, 1159.

Mogna, 1234.

Mognetti, graveur à Genève, 353, 863, 934,°1091.

. Molo, Vincent, évéque du Tessin, 1895, médaille offerte par les

catholiques ‘tessinois, par Johnson. R, XI 175 Monnaies anciennes, refrappes et imitations, 69, 77, 78, 472, 878.

. Monnier, Marc, homme de lettres è Genève, 1888, médaille &

portrait, par Richard. B, VIII 97 pl. IV

. Montet, Ed., prof. de théologie à Genève, 1891, méd. à lui décernée

par le congrès des orientalistes à Londres, n. 8. R, II 238

Montevideo ( (Uruguay), 1886, tir de la société suisse de tir, n. 8.

R, XI 254

i Dr (Valais), 1898, féte des fanfares du Bas-Valais, par

Defaill R, VII 349 3 Montreux (Vaud), s. d., S. Bouroff, coiffeur, jeton de service | 50 centimes, n. 3. R, X 339 . 1891, exposition d’horticulture, par Vieuxmaire. B, X 179 . 1898, fête des narcisses, par Vieuxmaire. R, VII 342 . 1899, föte des narcisses, par Vieuxmaire. R, IX 196

. 1901, club du Golf-Links, prix par Schlütter. XI 467 ) b P

Monuments historiques, statues, bâtiments officiels, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 58, 59, 99, 100, 106, 107, 122, 266, 484, 775, 1339, 1340, 1341, 1342, 1343, 1423, 1424, 1425, 1426, 1427.

. Morat (Fribourg), s. d. (1897), döfense de la ville par A. de Bu-

benberg en 1476, par Wilhelm et Mayer. R, VII 335

. Morel-Fatio, Arnold, numismate vaudois, medaille & portrait, par

Hantz, édit. par Stroehlin et C'*. R, III 58, 202 et 245

. Morges (Vaud), 1891, tir cantonal vaudois, montre officielle, essai

non adopté, n. 8. B, X 182

. mémetir, montre offic. (adopté), par Mognetti. B, X 182 . même tir, med. offic., par H. Bovy. B, X 181 pl. II .:— même tir, med. commém., par Defailly. B, X 183 . même tir, med. commém,, n. s. (par Lauer). B, . même tir, med. commém., par Vieuxmaire. B, . méme tir, med. commém., par le même. B, X 184 . même tir, med. commém., n. 8. B,

—- voir aussi 145. Morteau (France), 229. Motta, C., graveur à Genève, 570.

870. 871. 872.

873. 874.

875.

876.

877 | 878. 879. 880.

881. 882.

883. 884. 885. 886. 887. 888. 889. 890.

891.

892. 893. 894.

895.

5

Moudon (Vaud), 1890, fête canton. vaudoise de gymnastique, par

Vieuxmaire, 0,023, type. B, X 184 -— même fête, par le même, 0,023, type. B, X 184 même fête, par le même, 0,030. B, X 184

même fête, n. 8. B, X 184 Mulhouse (Alsace), 1898, centenaire de la réunion a la France,

par Vernon. R, IX 333 et 340 Mueller, E., graveur à Zurich, 825, 1110.

Muri (Argovie), 1888, tir cantonal argovien, n. 8. R, 1 273

Musées et collections, 352, 360, 1034, 1046, 1423, 1424, 1425.

Musique, musiciens, chant, fêtes, 13, 16, 44, 53, 54, 55, 56, 79, 113, 114, 115, 116, 117, 133, 139, 240, 261, 315, 356, ‘857, 415, 416, 424, 425, 426, 427, 428, 429, 430, 431, 432, 433, 434, 435, 436, 437. 438, 439, 440, 441, 442, 443, 444, 445, 446, 447, 448) 449, 450, 451, 452, 453, 454, 482. 573, 591, 592, 661, 711, 787, 845, 854, ‘890, ‘892, 920, 921. 1036, 1051, 1090, 1147, 1154, 1155, 1156, 1238, 1281, 1338, 1344, 1345, 1346, 1355, 1430, 1433.

Neefels (Glaris), 1888, 500° annivers. de la bataille, par Durussel.

B, VII 44 Naturelles (sciences), voir Medecine. Naville, Ernest, philosophe genevois, 1890, med. en son honneur,

avec portrait, par H. Bovy. B, X 6 Neuchatel (principauté), 1891, 8. d., 181, imitation du coin de 5 francs d'Alexandre Berthier, n. 8. B, XI 13 Neuhapsburg près Weggis (Lucerne), 1886, baptème de Maurice Ziegler-de Loës, par Jæckle-Schneider. B, X 249 Neuchâtel (Neuchâtel), 1890, exposition cantonale d'horticulture, par Vieuxmaire. B, X 185

fête cant. neuchat. de gymn., par Vieuxmaire. B, X 185 1893, féte federale de la société du Grütli, par Blanchet et

Pittner. R, III 207 méme fête, par Leschot. R, HI 207 même fête, par Vieuxmaire, 0,024. R, III 208 méme fête, par le même, 0,033. R, IH 208 méme fête, par Wilhelm et Mayer. R, II 207 même fête, n. s. R, III 207 fête des promot. des écoles, n. s. (Vieuxmaire).R, III 205 1894, féte de la jeunesse des écoles, n. s. R, IV 220

fète cantonale neuchät. de chant, par Lauer. R, IV 220 assemblée generale de la société suisse de numismat., par Hantz. R, IV 380 et R, XI 213 concours de musique, n. s. (Defailly). R, IV 379 1895, féte des promot. des écoles, par Vieuxmaire. R, V 103 -- 8. d. (1897), bouton de manchettes à armoiries, n. s. (Hantz). R, VII 202:

1898, 50° anniversaire de la république, médaille officielle, par Huguenin frères. R, VIII 327 et 337 pl. IV

896. 897. 898. 899. 900.

901. 902.

903. 904.

905. 906.

907. 908. 909. 910.

911. 912.

913.

914. 915.

916.

376

Neuchâtel (Neuchâtel), 1898, 50° anniversaire de la république,

medaille commémorative, par Defailly. R, VIII 338 tir fédéral, médaille officielle, par Landry. R, VIII 338 méme tir, montre offic., p. Huguenin frères. R, VIII 338 méme tir, medaille commémorative, par Carmine et

—-

mm -——

Johnson. R, VII 341 -- même tir, médaille commémorative, par Defailly, 0,024, 1” variété. R, VII 340

möme tir, möme méd., par le méme, var. R, VII 340 même tir, médaille commémorative, par Jœrgum et Trefz, 0,039, 1"° variété. R, VII 339 möme tir, méme med., par les mömes, var. R, VIII 339 même tir, med. commémor., par Lauer (Defailly edit). R, VIII 341

méme tir, méd. commém., par Vieuxmaire. R, VIII 340 méme tir, med. comm., par Wilhelm et Mayer, 0,0335. . R, VII 335

méme tir, méd. comm., par les mémes, 0,039. R, VIII 342

méme tir, méd. commém,, n. s., 0,026. R, VII 341 même tir, méd. commém., n. 8., 0,027. R, VII 341 même tir, insigne métall. émaillé, n. 8. R, VII 340

s. d. (1900), soc. naut., insig. de membre, p. Hantz. R, X 362 1902, föte canton. neuchAteloise de gymn., n. s. R, XI 472 Neuchatel (canton), voir 50, 185, 186, 194, 195, 196, 197, 198, 199, 200, 201, 202, 203, 204, 205, 206, 207, 208, 209, 210, 211, 212, 213, 214, 215, 216, 217, 218, 219, 220, 221, 229, 223, 224, 225, 226, 227, 228, 229, 230, 231, 232, 233, 234, 235, 236, 237, 238, 259, 240, 241, 242, 243, 244, 245, 246,

247, 248, 259, 260, 309, 555, 785, 786,

249, 250, 271, 272, 775, 776, 787, 788,

251, 273, 777, 789,

252, 258, 274, 275, 778, 779,

254, 276, 780,

1061, 1242.

255, 256, 284, 306, 781, 782,

257, 258, 307, 308, 783, 784,

Neuhausen (Schaffhouse), 320.

Neukirch (Schaffhouse), 1896, féte canton. schaffhous. de gymn., par Daubenmeyer et Meyer. R, VII 188

Nicolas Il, empereur de Russie, 701, 702, 703, 704.

Noces d’ar ent, 1061, 1234.

Noranco ( essin), 1902, société des tireurs de San Salvatore, tir d’inaugur. du stand, méd. primes, par Huguenin fr. R, XI 471

Novaggio (Tessin), 1902, tir de la soc. des jeunes carabiniere, par Johnson. R, XI 258

Numismatique, 360, 505, 518, 680, 705, 789, 932, 1164, 1165, 1259.

Numismatique (soc. suisse de), 49, 259, 268, 409, 476, 494, 495, 496, 497, 535, 536, 537, 538, 539, 540, 541, 542, 800, 801, 846, 891, 1159.

Nyon (Vaud), 1885, fête cantonale vaudoise de gymnastique, n. 8.

B, IV 122

917.

918. 919.

920. 921. 922. 923. 924.

925.

926. 927.

928,

929. 930.

931. 932. 933. 934. 935. 936.

937. 938.

939.

940. 941.

377

Nyon (Vaud), s. d. (1893), soc. d’horticulture de la Cöte, méd. de prix, par Richard, 0,043. R, II 351 méme soc., méd. de prix, p. le méme, 0,0621. R, II 351 fête de la soc. de sauvet. du lac Léman, p. Vieuxmaire. R, IV 219 1898, féte cant. des chant. vaudois, p. Defailly. R, VIII 348 kermesse de l'Union internat. , par Defailly. R, VII 337 Oehler et Jaeckle-Schneider, graveurs à Zurich, 1380, 1381. Oertel, graveur à Berlin, 73, 74, 75, 76. Olten (Soleure), 1897, tir canton. soleurois, med. offic., par Hu- guenin fréres. R, VII 193 même tir, med. comm., par Vieuxmaire. R, VII 194 Ordres et décorations, 45, 46, 47, 48. Ott, Arnold, homme de lettres zuricois, 8. d. (1901), méd. & portr., festspiel de Charles le Téméraire, par Kauffmann. R,X 362 Oudiné, graveur à Paris, 479. Paris, voir Dufex-Gex et Paris. Paris (France), 1891, 600° anniv. de fondat. de la Conféd. suisse, méd. offic. de la colonie suisse, par Alphée Dubois. B,X 244 1900, expos. univer., med. de récomp., p. Chaplain. R, XI445 méme exposition, village suisse, médaille commémora- tive officielle, par Hantz, 0,0295. R, X 360 méme exposition, village suisse, médaille commémora- tive officielle, par le mème, 0,037. R, X 360 méme exp. villagesuisse, méd. comm.,p.Frei. R, XI 459 méme exposition, village suisse, médaille de primes du tir, par Hantz, 0,0295. R, X 361 -- même exposition, village suisse, médaille de primes du tir, par Hantz, 0,037. R, X 361 congrès intern. de num. ., plaq., p. D. Dupuis. R, "XI 444 Patek, fabricant d’horlogerie, 692. Payerne (Vaud), 1884, tir canton. vaudois, par Durussel. B, III 61 -— même tir, par Mognetti. R, II 62 méme tir, n.8. B, III 63 Peintres, dessinateurs, sculpteurs, 50, 149, 150, 709, 7 10, 1167. Pestalozzi, Henri, pédagogue suisse, 1895, médaille en son hon- neur (monument d'Yverdon), par Frei. R, UI 170 1896, 150° anniv. de sa naissance, par Defailly. R, VI 173 Pfyffer, Max-Alph., colonel lucernois, 1890, médaille à portrait, par Wilhelm et Mayer, 0,035. B, X 181 même médaille, par les mêmes, 0,070. B, X 180 Philatelie, 560, 561, 562, 1415. Philippe, fabricant d’horlogerie, 692. Photographie, 406, 407, 613. Physiques (Sciences) voir Médecine. Pictet de Rochemont, Charles, magistrat genevois s. d., (1899), médaille à portrait, par Richard, 1°° var. R, IX 213 même médaille, par le méme, var. R, IX 213

942.

943. 944. 945.

946. 947. 948.

949. 950. 951. 952. 953. 954. 955. 956. 957. 958.

959. 960. 861. 862. 963. 964. 965. 966. 967. 968. 969. 970. 971. 972.

973.

974. 975. 976. 977. 978. 979,

378

Pisciculture, 1419.

Pittner, graveur, voir Blanchet et Pittner.

Plainpalais (Genève), s. d. (1900), exercices de l’Arquebuse et de la Navigation, jeton, par Hantz. R, X 345

cuis. économ. commun., jeton 35 cent., n. 8. R, X 333

-- Vélo-club de Plainpalais, insigne, par Hantz. R, X 352

1893, exercices de l’Arquebuse et de la Navigation, médaille

de primes, par H. Bovy. R, II 201 même soc., même méd., exemplaire pour la commission. R, III 201

même société, médaille de prix, par H. Bovy, exemplaire pour la commission. R, IU 201 même société, médaille de prix, sans nom gravé, par H. Bovy. , III 201

mémesoc., med. de prix, par le même, 1" var. R, III 201 méme soc., med. de prix, par le même, var. R, VII 212 même soc., med. de prix, par le même, var. R, VII 212 méme soc., méd. de prix, par le même, var. R, VII 212 méme soc., méd. de prix, parleméme, var. R, VII 212 méme soc., med. de prix, par le même, var. R, VII 212 méme soc., méd. de prix, par le même, var. R, VII 213 même soc., med. de prix, par le même, var. R, VII 213 même soc., med. de prix, par le même, var. R, VII 213 1894, exercices de l’Arquebuse et de la Navigation, médaille de primes, par H. Bovy. R, IV 213 même soc., med. de prix, p. H. Bovy, 1” var. R, IV 213 même soc., med. de prix, p. le méme, var. R, IV 213 même soc., med. de prix, p. le méme, var. R, IV 213 méme soc., med. de prix, p. le même, var. R —- -- méme soc., med. de prix, p. le même, var. R, IV 213 méme soc., med. de prix, p. le même, var. R —- même soc., méd. de prix, p. le même, var. R, IV méme soc., med. de prix, p. le même, var. R, IV 214 méme soc., med. de prix, p. le même, var. R, I méme soc., med. de prix, p. le même, 10° var. R, I méme soc., méd. de prix, p. le même, 11° var. R, IV 214 même soc., med. de prix, p. le méme, 12° var. R, IV 214 méme soc., méd. de prix, p. le même, 13° var. R, IV 214 1895, exercices de Parouebuss et de la Navigation, inaug. du stand de St- -Georges, med. de primes, par H. Bovy. R, V 260 exercices de l’Arquebuse et de la Navigation, médaille de PRA, par IL. Bovy, 1"° variété. R, VII 214 möme soc., med. de prix, p. le m&me, var. R, VII 214 méme soc., med. de prix, p. le même, var. R, VII 214 -- même sc. med. de prix, p. le méme, var. R, VII 214 même soc., méd. de prix, p. le même, var. R, VII 215 même soc., med. de prix, p. le même, var. R. VII 215 même soc., med. de prix, p. le même, var. R, VII 215

980.

981. 982. 983. 984. 985. 986. 987. 988. 989. 990. 991. 992. 993. 99.

995. 996. 997. 998. 999.

1000. 1001. 1002. 1003.

1004. 1005. 1006. 1007.

1008. 1009. 1010. 1011. 1012. 1013. 1014. 1015. 1016. 1017. 1018. 1019.

379

Plainpalais (Genève), 1895, exercices de l’Arquebuse et de la Navigation, méd. de prix, par H. Bovy, var. R, VII 215 -— même soc., med. de prix, p. le même, var. R, VII 215 mémesoc., méd. de prix, p. le même, 10° var. R, VII 215 méme soc., méd. de prix, p.le même, 11° var. R, VII 215 méme soc., méd. de prix, p.le même, 12° var. R, VII 215 même soc., med. de prix, p.le même, 13° var. R, VIL 215 même soc. méd. de prix, p. le même, 14° var. R, VII 215 mémesoc., med. de prix, p. le même, 15" var. R, VII 216 méme soc., med. de prix, p. le möme, 16° var. R, VII 216 mémesoc. , méd. de prix, p. le même, 17° var. R, VII 216 1896, mème oc. méd. de prix, p. H. Bovy, 1'° var. R, VII 216 même soc., "ned. de prix, p. leméme, var. R, VII 216 même soc., med. de prix, p. lem&me, var. R, VII 216 mémesoc., med. de prix, p. le même, var. R, VII 216 8. d. (1896), cuisines.populaires, jeton vin 1 litre, n. s. (Furet). R, VII 403

mémeétabl.,jeton vin 1/2litre, n.s. (Furet). R, VII 403 mémeétabil.,jeton vin 3 dec., n. s. (Furet). R, VII 403 mömeetabl.,jeton vin 2 déc., n. 8. (Furet). R, VII 403 mémeétabl., jeton vin 1 déc., n. s. (Furet). R, VII 403 méme établissement, jeton soupe 2 litres, 25 C., N. 8.

(Furet). . R, VII 403 même établissement, jeton soupe ou légumes, 2 rations,

55 c., n. 8. (Furet). | R, VII 403 -— même établissement, jeton soupe ou légume, 10 c., n. 8. (Furet). "KR, VII 403 méme établissement, jeton viande 1 ration, 25 c., n. 8. (Furet). R, VII 403 même établissement, jeton chocolat, 15 c., n. s. (Furet). R, VII 403

méme établ., jeton pain, 5 c., n. 8. (Furet). R, VII 403 -- mémeétabl. ‚jetonfromage, 10e., n.s.(Furet). R, VII 403 même établ., jeton café, 10 c., n.8. (Furet). R. VII 403 1897, exercices de l'Arquebuse et de la Navigation, médaille

de primes, par H. Bovy. R, VII 218 mêmesoc., méd. de prix, p. le même, 1” var. R VII 216 méme soc. méd. de prix, p.le même, var. R, VII 216 mémesoc., méd. de prix, p.le même, var. R, VII 216 mémesoc., méd. de prix, p. le même, var. R, VII 217 —' mémesoc., méd. de prix, p.le même, var. R, VII 217 mémesoc., méd. de prix, p.le même, var. R, VII 217 mémesoc., med. de prix, p. le même, var. R, VII 217 mémesoc., méd. de prix, p. le même, var. R. VI 217 mémesoc.,méd. de prix, p. le même, var. R, VII 217 -- mémesoc., méd. de prix, p. le même, 10° var. R, VII 217 mémesoc., méd. de prix, p.le même, 11°var. R, VII 217 mémesoc.,méd. de prix, p.le mème, 12*var. R, VII 217

+ > |

1020. 1021. 1022. 1023. 1024. 1025. 1026. 1027. 1028. 1029. 1030. 1031. 1032. 1033.

1034.

1035. 1036. 1037.

1038. 1039.

1040. 1041. 1042,

1043. 1044.

380

Plainpalais (Genève), 1897, exercices de l’Arquebuse et de la Navigation, méd. de prix, par H. Bovy, 13° var. R, VII 217 mémesoc., méd. de prix, p.le mèéme, 14°var. R, VII 218 mémesoc., méd. de prix, p.le même, 15° var. R, VII 218 -- —- mömesoe.,med. de prix, p.le même, 16°var. R, VII 218 1898, même soc., med. de primes, p. H. Bovy. R, IX 202 -- même soc., méd. de prix, par le même. R, IX 202 1899, méme soe., méd. de primes, p. le méme. R, IX 202 —- méme soc., med. de prix, par le même. R, IX 202 1900, même société, tir d’inauguration de l’hétel de la rue

du Stand, médaille de primes, par Hantz. R, X 367 même société, même tir, cible en faveur du monument Berthelier, par le même, 1°" var. R, X 368

même société, même tir, p. le même, var. R, X 369 méme société, même tir, p. le même, var. R, X 369 1902, méme société, tir d’escalade, plaquette de primes, par Lamunière et Schoenenberger. R, XI 480 Plan-les-Ouates (Genéve), 1893, société de tir, tir annuel, prix, coin d’A. Bov R, III 346 Plantamour, Philippe, astronome genevois, 8. d. (1899), donation faite de sa campagne à la ville de Genève, p. H. Bovy. R, IX 200 Politique suisse, 350, 693. Polleggio (Tessin), 1899, tir conservateur des trois vallées, par Johnson. R, IX 333 Pommerats, les (Berne), 1896, fète de musique et de chant des sociétés des Franches montagnes, par Vieuxmaire. R, VII 207 Pont, le Brassus (Vaud), 1899, inauguration du chemin de fer, par Vieuxmaire. R, IX 334 méme inauguration, p. Wilhelm et Mayer. R, IX 335 Ponte-Brolla (Tessin), 1900, tir de la société des carabiniers du Verbano, par Johnson. R, XI 453 Ponte-Valentino (Tessin), 1900, tir comm. du centen. "de l’en- tree du Val de Blenio dans la Confed., p. Johnson. R, XI 453 ROTEN EUN (Berne), 1899, fête fédérale de la société catholique

des étudiants suisses, par Vieuxmaire. R, IX 336 1902, exposition agricole et industrielle, p. Huguenin frères, lo type. R, XI 470

méme expos., par les mêmes, type. R, XI 470 même expos., par les mêmes, type. R, XI 470

Portraits (médailles a), 21, 39, 40, 41, 49, 50, 57, 66, 67, 149, 150, 151, 152, 155, 172, 173, 174, 183, 259, 268, 270, 278, 284, 285, 286, 287, 288, 289, 290, 310, 311, 312, 313, 314,

315, 316, 317, 318, 321, 346, 692, 702, 703, 704, 708, 709,

710, 717, 718, 772, 800, 801, 836, 848, 849, 877, 936, 937, 938, 939, 940, 941, 1034, 1046, 1047, 1056, 1057, 1058, 1059, 1060, 1099, 1167, 1241, 1311, 1312.

Portugal, 772.

Postes "i Télégraphes, 471.

1045.

1046.

1047.

34

Protestantisme, Reformation, 172, 319, 367, 368, 484, 661, 1215.

Prudhomme, graveur à Paris, 318.

Reber, Burckhardt, archéologue argovien, 1893, 25° jubilé de son entrée en pharmacie, p. H. Bovy et Schlütter. R, III 198, XI 117

Recordon, graveur à Vevey, 1266.

Reformation, voir Protestantisme. |

Religieuses (médailles) catholiques, voir Suints.

Revilliod, Gustave, homme de lettres genevois, s. d. (1893), do- nation de son musée Ariana et de sa fortune à Ja ville de Genève, par H. Bovy. R, III 212

Richard, graveur à Genève, 136, 178, 266, 268, 350, 353, 368, 359, 361, 362, 367, 370, 404, 409, 429, 475, 484, 498, 533, 554, 586, 593, 594, 595, 596, 597, 598, 599, 600, 601, 602, 603, 604, 605, 611, 707, 710, 731, 836, 851, 917, 918, 940, 941, 1111, 1144, 1177, 1204, 1348.

Richardet frères, gravours à la Chaux-de-Fonds, 241, 555.

Riggenbach, ingénieur bàlois (1900), s. d., médaillon placé sur son monument à Vitznau (Lucerne), p. Kauffmann. R, XI 444

Roch, Clotilde, sculpteur à Genève, 543, 683, 688.

Roessler, graveur à Berne, voir Marti, Ressler et Laui.

1048. Rolle (Vaud), 1895, tir de la ville, par Vieuxmaire. R, V 104

1049. 1898, féte canton. vaudoise de tempérance, par Defailly.

R, VIII 334

1050. inaugur. du tram. Rolle-Gimel, p. le même. R, VIII 334

1051. Romont (Fribourg), 1885, fète canton. des musiques, p. Wilhelm

et Mayer. B, IV 91

1052. Rosario-Santa-Fé (Argentine), s. d. (1882), société de tir suisse,

méd. de prix, n. 8. R, III 219

1053. 1895, tir fédéral des Suisses de l’Argentine, plaquette et

prix, par Hantz. R, VI 329

1054. möme tir, med. de prix, par Hantz. R, VI 329 Roty, Oscar, graveur & Paris, 478.

1055. Roveredo (Grisons), 1902, tir de district, par Johnson. R, XI 257

1056. Ruchonnet, Louis, Vaudois, président de la Confédération, 1893,

médaille a portrait, par Hantz, 0,037. R, III 350

1057-58. méme medaille, par le méme, 0,062. R, III 350

R, IV 112 et pl. suppl.

1059. 1893, médaille, par Jamin, 0,045, 1” var. R, II 350

1060. méme médaille, par le même, var. R, III 350

1061. Russ-Suchard, industriel neuchätelois, 1893, noces d’argent,

par Jobin, éditeur. R, III 197

1062

1063. 1064. 1065.

Russie, 1087, 1241.

Rutishauser, Ph., graveur à Genève, 458.

Saconnex, Petit (Genève), 1883, institution Thudichum, la Chä- telaine, prix de jeux, type. B, VIII 12

même institution, prix de jeux, type. DB, VII 12

méme institution, prix de jeux, type. B, VIII 12

8.d.(1893), même inst., prix de jeux,0,018, 1°"type. R, III 240

1066.

1067. 1068. 1069. 1070. 1071. 1072. 1073.

1074.

1075.

1076.

1077.

1078.

_ 389

Saconnex, Petit (Genève), s. d. (1893), institution Thudichum, la Châtelaine, prix de jeux, 0,018, type. R, III 204

méme instit., prix de jeux, 0,023, type. R, III 240 même instit., prix de jeux, 0,023, type. R, III 204 méme instit., prix de jeux, 0,027, 1°" type. R, III 204 même instit., prix de jeux, 0,027, type. R, III 204 méme instit., prix de jeux, 0,030, type. R, III 204 méme instit., prix de jeux, 0,030, type. R, III 204 8.d. (1900), brasserie Beaulieu, au Grand-Pre, jeton 5 cent., n. 8. R, X 334 même brasserie, jeton 10 cent., n. s. R, X 334

Sachseln (Unterw.-Obw.), 316.

Saignelégier (Berne), 238.

Saints, ecclösiastiques, médailles religieuses catholiques, 39, 40, 41, 42, 43, 296, 311, 312, 313, 314, 315, 316, 317, 349, 473, 719, 848, 849, 850, 1041, 1089.

Sainte-Croix (Vaud), 1894, féte cantonale vaudoise de tempé- rance, par Vieuxmaire. R, IV 217

voir aussi 1348, 1349.

Saint-Gall (canton), s. d. (1893), prix de l’Etat pour les examens Pr: “pen par Wilhelm et Mayer, éditée par Straehlin

R, IV 212

voir aussi 294, 295, 304, 305, 771, 1076, 1077, 1078.

Saint-Gall (ville), 1893, 30° anniversaire de la fondation du club alpin, n. 8., Mader éditeur à St-Gall. R, IV 211

1895, tir cantonal saint-gallois, par Homberg. R, V 101

Saint-Georges (Genève), localité se trouve le stand des exer- cices de l’Arquebuse et Navigation. Pour les médailles de cette société voir Plainpalais (Genève).

1079. Saint-Gothard (Uri), 1882, inauguration du chemin de fer du Gothard, par Wilhelm ei Mayer, texte allemand. B, 179

1079 big. méme inaugur., p. les mémes, texte italien. B,I 79 1080. Saint-Imier (Berne), 1900, tir cantonal bernois, medaille officielle, par Hantz. R, X 356 1081. même tir, médaille commémorative, par Holy frères et Homberg. R, X 357, XI 463

1082. même tir, med. comm., p. Jergum et Trefz. R, XI 455 1083. même tir, med. comm., n. 3., 0,0385. R, XI 455 1084. même tir, méd. comm,, n. s., 0,039. R, XI 455 1085. 1901, exposition et concours agricoles bernois, prix, par Holy frères. R, XI 462

1086. Saint-Jacques (Bâle), 1894, jubilé de la bataille, n.s. R, VII 196

1087. 1088.

Saint-Pétershourg, 1890, congrès pénitentiaire international, méd. décernée à Cuénoud, direct. de la police à Genève. B, X 115

San Geronimo ( Argentine), s. d. (1886), société de tir suisse, prix, n. 8. R, III 219

Sander, graveur allemand, 738.

Sapeurs-pompiers, voir Incendies.

1089.

1090. 1091.

1092. 1093. 1094. 1095. 1096.

1097. 1098.

1099.

1100.

1101.

1102. 1103. 1104.

1105. 1106.

1107. 1108.

_ 383

Sarnen (Unterw-.Obw.), s. d. (1892), médaille offie., souvenir pour

les el&ves du söminaire, par Schnyder. R, UI 200 Satigny (Genève), 1894, föte de la fédération des musiques gene- voises des campagnes, par Vieuxmaire. R, IV 224

Satigny, Dardagny, Russin (Genève). 1897, tir du 200° anniversaire de fond. de la soc. de tir des carab., p. Mognetti. R, VII 197

Saussure, de, 191. |

Sauter, pharmacien genevois, 469.

Savants, 174, 175, 191, 270, 289,321, 553, 877, 1100, 1166, 1311.

Savoie, 34, 35, 36. 37, 187, 188, 189, 190, 191, 192, 193, 422, 478, 479, 1234.

Saxe-Altenbou , duc de, 1382..

Schaffhouse (Sc affhouse), 1897, föte federale de RT par Johnson. R, VII 197

1901, 400° anniversaire de l’entrée dans la Confédération, par Daubenmeyer et Meyer. R, XI 465

méme anniv., par Huguenin frères, 0,035. R, XI 465

méme med., par les mêmes, 0,485. R, XI 465

möme anniv., p. Wilhelm et Mayer, 0,026. R, XI 465

même anniversaire, par les mêmes, 0,0332. R, XI 465

même anniversaire, par les mêmes, 0,033. R, XI 465

voir aussi 913, 1092, 1093, 1094, 1095, 1096, 1097, 1098.

Scharff, A., graveur à Vienne, 310, 713.

Scheit, graveur à Vienne, 1400.

Schenk, Karl, Bernois, conseiller fedéral, 1895, medaille & por- trait, par Huguenin freres. R, VI 328

Schiller, Fr. von, 32.

Schleuniger, J.-Nepom., professeur, de Klingnau (Argovie), 1895, méd. portrait, 25° anniv. de sa mort, p. Homberg. R, IX 332

Schluetter, V., graveur & Genève, 188, 261, 262, 263, 349, 351, 363, 469, 492, 493, 495, 496, 497, 519, 520, 574, 608, 613, 750, 859, 1045, 1175, 1203, 1220, 1231, 1232, 1234.

Schnyder, graveur a Lucerne, 1089, 1112.

Schœnenberger, graveur à Versoix et Genève, momentanément associé de Lamunière, 182, 556, 679, 680, 685, 1032, 1259.

Schwendimann, graveur lucernois, 800, 801.

Schwerdt, graveur à Stuttgard, 56, 93, 324, 826.

Schwytz (Schwytz). 1891, 600° anniversaire de la fondation dela Confédération, med. offic. , par A. Dubois. B, X 139 pl. I

même évén., ruban officiel des invités. B, X 143

même évén., ruban officiel des chanteurs. B, X 142

même évén., med. comm. éditée par Æppli et Dürrich.

B, X 195 même évén., médaille commémorative, par Jeckle- Schneider, 0,030. B, X 246

même évén., méd. comm. p.le même, 0,038. B, X 245 même évén., méd. comm. p.le même, 0,045. B, X 245 même évén., med. comm., par Lauer. - B, X 134

1109. 1110. 1111. 1112. 1113. 1114. 1115. 1116. 1117. 1118. 1119. 1120. 1121. 1122. 1123.

1124. 1125.

1126.

1127. 1128. 1129.

1130.

1131. 1132. 1133. 1134. 1135. 1136. 1137. 1138. 1139. 1140. 1141. 1142.

_ 984

Schwytz (Schwytz), 1891, 600° anniversaire de la fondation de la Confédération, med. comm., p. Memmig. B, X 246 R, II 371

même évén., med. comm., par E. Müller. B,X 142 méme évén., méd. comm., par Richard. B, X 133 pl. II méme évén., möd. comm., p. Schnyder. B, X 135 pl. II même &ven., méd. comm., par Vieuxmaire, texte alle-

mand, 0,024. B, X 136 méme évén., med. comm., par le même, texte allemand, 0,033 B, X 136 méme évén., med. comm., par le même, texte français, 0,024. B, X 136 -— méme évén., med. comm., par le même, texte français, 0,033. B, X 136 méme évén., méd.comm., par Wilhelm et Mayer, 0,040. B, X 140

méme évén., med. méme évén., méd. même évén., méd.

même &vön., med. méme évén., med. méme évén., méd. méme évén., méd. méme évén., méd. méme &ven., med. möme évén., med. méme évén., med. méme évén., méd. même évén., med. même évén., méd. même évén., med. même évén., méd. même évén., méd. même évén., med. même évén., med. même évén., méd. même évén., méd. même évén., méd.

comm., par les mêmes, 0,060, 1°" type. B, X 134 pl. II comm., par les mömes, 0,060, type.

B, X 245 comm., par les mémes, 0,060, type.

B, X 245 comm., n. 8.,0,023. B, X 139 comm.,n. 8., 0,026. B, X 139 comm., n. 8., 0,027, type. B, X 140 comm., n. 8.,0,027,2°type. B, X 141 comm., n. 8., 0,027, 3°type. B, X 141 comm.,n.8., 0,028, I type. B, X 137 comm., n. 8., 0,028, 2°type. B, X 137 comm., n. 8.,0,029. B, X 136 comm., n. 8., 0,030. B, X 140 comm., n. 8.,0,033, 1°" type. B, X 136 comm., n. 8., 0,033, type. B, X 137 comm. n. 8., 0,033, type. B, X 137 comm., n. 8., 0,033, 4*type. B, X 137 comm., n. 8., 0,033, type. B, X 138 comm., n. 8., 0,033, type. B, X 138 comm., n. s., 0,033, type. B, X 138 comm., n. 8., 0,033, type. B, X 138 comm., n. 8., 0,033, 9*type. B, X 139 comm. n. 8., 0,033, 10° type. B, X 139

même évén., med. comm., n. 8.,0,033, 11° type. B, X 139 même évén., med. comm., n. 8., 0,033, 12° type. B, X 139 méme évén., med. comm., n. 8., 0,039. B, X 140

voir aussi 296, 705, 715.

Secours mutuels, assurance, philanthropie, assistance, 15, 76, 198, 199, 200, 201, 202, 203, 204, 205, 206, 207, 208, 209, 210, 211, 212, 213, 214, 225, 235, 259, 277, 291, 420, 422, 478, 479, 481, 485, 486, 490, 610, 666, 667, 668, 669, 670.

1143.

1144. 1145. 1146.

1147.

1148. 1149. 1150. 1151. 1152.

1153. 1154. 1155. 1156. 1157.

1158. 1159.

1160.

1161.

fe ==. 005 a

Secours mutuels, assurance, philanthropie, assistance (suite), 674, 675, 676, 677, 678, 679, 752, 753, 754, 755, 756, 757, 758, 759, 760, 761, 762, 763, 764, 765, 766, 767, 768, 769, 783, 788, 831, 833, 834, 835, 919, 943, 994, 995, 996, 997, 998, 999, 1000, 1001, 1002, 1003, 1004, 1005, 1006, 1158, 1169, 1177, 1284, 1285, 1301, 1302, 1303, 1304, 1305, 1408.

Sempach (Lucerne), 1886, 500° jubilé de la bataille, médaille

officielle, par H. Bovy. B, V 68 même jubilé, med. comm., par Richard. B, V 76 même jubilé, méd. comm., n. s., 0,032. B, V 89 -— même jubilé, méd. comm. n. s., 0,030. B, V 76

Servet, graveur-estampeur, à Genève, 1358. Service militaire à l'étranger, 319. Sion (Valais), 1897, fête cantonale valaisanne de musique, n. s.,

par Vieuxmaire. R, VII 189 1899, inaugur. de la halle de gymnastique. R, IX 195 fête cant. valaisanne de gymnastique. R, IX 196

_s. d. (1900), médaille-souvenir, vue de la ville. R, XI 455 1901, fête cant. valaisanne de gymnastique. R, XI 455 Sissach (Bäle-Campagne), 1896, tir cantonal bàlois, médaille

officielle, par Homberg. R, VII 205 Sociétés diverses, 52, 194, 195, 553, 554, 616, 668, 669, 670,

674, 675, 676, 677, 678, 693, 719, 802, 1218, 1219, 1369, 1370. Soleure (Soleure), 1890, tir cantonal soleurois, médaille officielle,

par H. Bovy. B, IX 211 pl. XII 1893, fete föderale de musiques populaires et militaires, par Vieuxmaire, 0,023. R, III 203 même fête, par le même, 0,033. R, III 203 méme fête, n. s. R, III 203

1895, tir cant. soleurois, méd. offic., p. H. Bovy. R, V 247

8. d. (1900), fondation Allemandi, p. le même. R, X 353

1901, assemblée générale de la société suisse de numisma- tique, par Hantz. R, XI 467

Voir aussi 282, 922, 923.

Souverains étrangers en Suisse, 795, 796, 797, 798.

Speicher (Appenzell, Rh.-Ext.), 1897, société des tireurs militaires,

jeton de tir, n. s. (Hantz). R, X 340 Sport en général, 696, 697, 698. Sport hi pique, 247, 473, 1186, 1187, 1197, 1198, 1223. Sports d iver, voir Alpinisme.

Sports nautiques, 138, 364, 365, 492, 493, 830, 911, 1201, 1227, 1228, 1229, 1230.

Sport vélocipédique et automobile, 363, 421, 547, 548, 549, 738, 194, 944, 1170, 1172, 1173, 1174, 1176, 1188, 1193, 1203, 1217, 1220, 1221, 1231, 1232, 1273.

Stampfer, J., graveur suisse, 268.

Stanz (Unterw.-Nidw.), 1881, 400° anniversaire de la diéte de 1481, par Durussel. B, I 11

REVUE NUM. T. XIII. 95

116%.

1163.

_ 986

Stanz (Unter.-Nidw.), 1898, centenaire du massacre de 1798, par Frei. R, VIII 347

-- même centenaire, par Kauffmann. R, VIII 347

Sténographie, 1202.

Strasbourg (Alsace), 58, 59.

Stræhlin et C'°, (de 1892 à 1898), éditeurs de médailles, à Genève, 811, 1076

‘4. Streehlin (Paul-Charles), Genevois, numismate, s. d. (1895), jeton

personnel, par Hantz, état de coin. R, V 249

id. même jeton, état de coin. R, V 249 56. Studer, Bernard, Bernois, naturaliste, 1884, médaille à portrait

décernée par la ville de Berne, par Durussel. B, IV 4

iT. Stueckelberg, Ernest, Balois, peintre, 1901, médaille à portrait, par Frei. R, X 370

Suchard, 1291.

. Suisse (Confédération), s. d. (1881), médaille en bronze lacustre,

par Durussel, éditée par de Fellenberg. B, I 43 et 57

i). 1883, société espagnole de bienfaisance en Suisse, par Hantz. R, X 351

10). 8. d. (1889), union velocipedique de la Suisse romande, prix, par Defailly. B, X 159

. 8. d. (1890), union romande pour la protection des animaux, prix, par H. Bovy. B, IX 23 et pl. I

8. d. (1892), union suisse des vélocipédistes (S. V. B.), prix,

par Marti, Rössler et Laui, 0,030. R, III 197

3. méme société, prix, par les mêmes, 0,043. R, III 197

même société, prix, par les mêmes, 0,055. R, III 197 1894, inauguration du tunnel de l’Albis, par H. Bovy et

Schlütter. R, IV 215

s. d. (1894), federation vélocipédique suisse, prix, p. Jamin.

R, IV 214

1895, société de sauvetage (franco-suisse) du lac Léman, jubilé décennal, par Richard. R, V 104

| manœuvres du 1°" corps d'armée, par Defailly, 0,023.

R, V 249

. mémes manœuvres, par le même, 0,024. R, V 249 . mêmes manœuvres, par Leschot. R, V 249

. 8. d. (1896), médaille banale pour service militaire, Hugue-

nin freres, type, 0,043. R, VI 335

2. même med., par les mêmes, type, 0,043. R, VI 335 3. même med., par les mêmes, type, 0,034. R, VI 335

-— méme med., par les mêmes, type, 0,034. R, VI 335

O, même med., par les mêmes, type, 0,034. R, VI 335

médaille banale pour courses de chevaux, p. Huguenin frères, type. R, VI 334

même médaille, par les mêmes, type. R, VI 334 -— médaille banale pour sports cyclistes, par les mêmes.

R, VI 335

1189. 1190. 1191. 1192. 1193. 1194. 1195. 1196. 1197.

1198. 1199.

1200. 1201. 1202. 1203. 1204. 1205. 1206. 1207. 1208. 1209. 1210. 1211. 1212. 1213. 1214.

1215. 1216.

1217. 1218.

__ 397

Suisse (Confédération), s. d. (1896), médaille banale de tir, n. s. R, VII 187

1896, manceuvres militaires, corps d’armee, p. Huguenin freres, type. R, VI 332 mémes manœuvres, par les mêmes, type. R, VI 332 mémes manœuvres, par les mêmes, type. R, VI 332 8. d. (1896), touring-club suisse, 1°" insigne officiel, par Hantz. R, VI 334 8. d. (1897), société suisse des carabiniers, médaille de maitre tireur, par le möme. R, VI 337 club alpin suisse, insigne officiel, avec texte francais, par le méme. R, VII 203 méme club, insigne officiel, avec texte allemand, par le möme. R, VII 208 médaille banale pour sport-equital: avec saint Georges, 1°" type, par Huguenin fréres. R, VU 200 méme médaille, type, par les mêmes. R, VII 200

médaille banale, souvenir du service militaire, par les mömes, 0,043. R, VII 200 médaille banale, pour tir avec monuments de Tell et de Winkelried, par les mémes. R, VII 200 8. d. (1908), fédération suisse des sociétés d’aviron, prix, par les mêmes. R, IX 212 fédération sténographique de la Suisse romande, prix, par les mêmes. R, VII 332 s.d. (1898), union cycliste suisse Genève], médaille-prix, par Schlütter. R, X 353 1898, société nationale des chrysanthémistes suisses, prix, par Richard. R, IX 198 1899, manceuvres du 1°" corps d’armée, par Daubenmeyer et Meyer, 0,039, type. R, XI 437

même évén,, p. les mêmes, 0,039, type. R, XI 437

méme évén., p. les mêmes, 0,039, type. R, XI 437 méme évén., par les mêmes, type. R, XI 437 méme öven., par les mêmes, type. R, XI 437 méme évén., p. Lauer, Defailly éditeurs. R, XI 438 méme évén., n. s., 0,0302, type. R, XI 439 méme &ven., n. 8., 0,0302, type. R, XI 439 méme évén,, n. 8., 0,033. R, XI 439 8. d. (1900), médaille du club alpin suisse, par Huguenin

freres, 0,043. R, XI 452

unions chrétiennes intern., insigne offic., n. 8. R, X 333

8. d. (1901), société suisse de tempérance, insigne officiel, n. s. (Hantz). R, X 350 touring-club suisse, insigne officiel, par Huguenin freres. R, X1 457

société suisse des hôteliers, médaille-récompense pour services, par Homberg, 1°" type. R, XI 462

__ $98

Suisse (Confédération), s. d. (1901), touring-club suisse, médaille- récompense pour services, par Homberg, type. R, XI 462

. -— automobile-club suisse, prix, par Schlütter, type. R, X 352

21. s. d. (1902), médaille banale pour sport automobile, par Huguenin fréres. R, XI 468

. médaille banale pour chasseurs, par les mêmes, 0,042. R, XI 468

23. médaille banale pour sport hippique, par les mêmes, 0,050. R, XI 469

. médaille banale pour concours agricoles, par les mémes, 0,418, type. R, XI 468

. méme médaille, par les mêmes, type. R, XI 468

26. med. banale pour tirs, par les mêmes, 0,030. KR, XI 469

. médaille banale pour régates à l’aviron, par les mémes, 0,042, R, XI 469 . même médaille, par Lauer, 0,025, 1°" type. R, XI 470 . même médaille, par le même, 0,035, type. R, XI 470 . même médaille, par le même, 0,040, type. R, XI 470 . automobile-club de Suisse, prix, par Schlütter, type, 0,061. R, XI 436

32. même club, prix, par le même, type, 0,061. R, XI 437

Suisses à l'étranger, 157, 158, 159, 300, 301, 843, 853, 925, 1052, 1053, 1054, 1088.

33. Surbeck, Th., politicien suisse, 1896, assemblée à Aarau de la

fédération des chemins de fer, n. 8. R, VI 174 . Tardy-Mogna, famille savoisienne, 1894, noces d'argent, par Schlütter. R, VII 208

Tell, Guillaume, 1194.

. Tell, Guill., et Winkelried, s. d. (1895), médaille patriotique avec leurs monuments, n. 8. R, VII 195

Tempérance, abstinence, fétes et sociétés, 118, 119, 181, 185, 246, 276, 681, 682, 739, 740, 1049, 1075, 1216, 1249, 1347.

236. Tessin, 1873, medaille décernée par le corps des douaniers du

arrondissement à Paul Foffa, coin d’A. Bovy. B, VII 20

Tessin, voir aussi, 68, 69, 70, 71, 72, 184, 267, 303, 321, 694, 712, 773, 774, 808, 809, 810, 811, 812, 813, 814, 815, 816, 817, 818, 819, 820, 821, 822, 823, 824, 825, 826, 827, 828, 829, 830, 831, 832, 833, 834, 835, 844, 850, 914, 915, 1035, 1039, 1040, 1408.

237. Thalweil (Zurich), 1899, féte cantonale zurichoise de gymnastique,

8. Thoune(

par Daubenmeyer et Meyer. R, XI 441 Theätres, spectacies, 192, 193, 661. Theiler, graveur, à Einsiedeln, 4. Berne), 1890, féte fed. de musique, p. Homberg. B, X 185 . 1894, tir cantonal bernois, par le méme. R, VI 219 . 1899, exposition cantonale bernoise, medaille-prix, par le möme. R, IX 334

—_ 389

Thurgovie (canton), 33, 322, 323, 324, 325, 326, 327, 328, 329, 330, 331, 332, 333, 334, 335, 336, 337, 338, 339, 340, 341, 342, 343, 344, 1314.

Thury, Marc, 570.

Tirs et fêtes de tir, 10, 11, 12, 31, 33, 51, 68, 69, 70, 71, 72, 80, 81, 82, 83, 84, 85, 86, 87, 88, 105, 108, 109, 110, 111, 134, 135, 137, 140, 148, 153, 154, 156, 157, 158, 159, 160, 161, 162, 163, 164, 165, 166, 178, 180, 182, 184, 230, 231, 232, 233, 234, 267, 269, 283, 294, 295, 298, 299, 300, 301, 304, 305, 307, 308, 309, 322, 323, 324, 325, 326, 327, 328, 329, 330, 331, 332, 333, 334, 335, 336, 337, 338, 339, 340, 341, 342, 343, 344, 346, 353, 358, 359, 362, 370, 371, 372, 373, 374, 375, 376, 377, 378, 379, 380, 381, 382, 383, 384, 385, 386, 387, 388, 389, 390, 391, 392, 393, 394, 395, 396, 397, 398, 399, 400, 401, 402, 475, 498, 530, 531, 543, 544, 545, 546, 574, 575, 576, 577, 593, 594, 595, 596, 597, 598, 599, 600, 601, 602, 603, 604, 605, 610, 611, 683, 684, 685, 694, 695, 706, 712, 714, 715, 720, 721, 722, 723, 731, 732, 733, 734, 735, 747, 748, 749, 750, 7971, 774, 776, 777, 778, 779, 780, 781, 782, 791, 792, 799, 805, 806, 807, 808, 809, 810, 811, 812, 813, 814, 815, 816, 817, 819, 837, 842, 843, 862, 863, 864, 865, 866, 867, 868, 869, 875, 897, 898, 899, 900, 901, 902, 903, 904, 905, 906, 907, 908, 909, 910, 914, 915, 922, 923, 930, 931, 942, 945, 946, 947, 948, 949, 950, 951, 952, 953, 954, 955, 956, 957, 958, 959, 960, 961, 962, 963, 964, 965, 966, 967, 968, 969, 970, 971, 972, 973, 974, 975, 976, 977, 978, 979, 980, 981, 982, 983, 984, 985, 986, 987, 988, 989, 990, 991, 992, 993, 1007, 1008, 1009, 1010, 1011, 1012, 1013, 1014, 1015, 1016, 1017, 1018, 1019, 1020, 1021, 1022, 1023, 1024, 1025, 1026, 1027, 1028, 1029, 1030, 1031, 1032, 1033, 1035, 1037, 1038, 1048, 1052, 1053, 1054, 1055, 1078, 1080, 1081, 1082, 1083, 1084, 1088, 1091, 1152, 1153, 1157, 1160, 1189, 1194, 1200, 1226, 1239, 1244, 1245, 1246, 1313, 1318, 1319, 1320, 1321, 1322, 1323, 1324, 1325, 1326, 1327, 1328, 1329, 1330, 1331, 1332, 1333, 1334, 1335, 1336, 1337, 1356, 1357, 1358, 1359, 1360, 1361, 1362, 1363, 1367, 1371, 1374, 1416, 1417, 1431.

1241. Tolstof, comte Léon, littérateur russe, s. d. (1903), médaille à portrait, par Hantz. R, III 348

Tramways, voir Chemins de fer.

Travaux publics, 122, 124, 125, 126, 127, 128, 129, 236, 237, 264, 404, 700.

1242. Travers (Neuchätel), 1891, 600° anniversaire de la Confédération suisse, par Vollenweider. B, X 142

Trotin, graveur à Paris, 191.

1243. Turrettini, Théodore, Genevois, magisirat, 1898, médaille offerte par les exposants de l’exposition nationale de 1896 à Genève, par H. Bovy. R, VII 343

390

LEA (Appenzell, Rh.-Ext.), 1895, tir cantonal appenzellois, R, VII 207 Unterwald- Nidwald (canton), 160, 299, 706, 1161, 1162, 1163. Unterwald-Obwald (canton), 298, 311, 312, 313, 314, 315, 316, 317, 1089. Uri (canton), 17, 18, 19, 20, 21, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 28, 29, 30, 31, 32, 1079, 1080, 1235, 1333.

5. Uster (Zurich), 1900, tir cant. zuric., p. Homberg, 1°"type. R, X 364

i même tir, par le même, type. R, X 364 247. Valais, 1898, centenaire de l’indépendance du Bas-Valais, Defailly éditeur. ; R, VIII 336

. 1901, manœuvres de forteresse, par Dumont. R, X 369

Voir aussi, 845, 846, 854, 1147, 1148, 1149, 1150, 1151, 1247, 1248.

. Vallorbes (Vaud), 1899, féte cantonale vaudoise de temperance,

n. 8. (Vieuxmaire). R, IX 196

50. 8. d. (1901), buffet de la gare, jeton 15 cent., n. s. (Hantz).

R, X 349 . meme buffet, jeton 20 cent., n. s. (Hantz). R, X 349

52. Vaud, s. d. (1882), société vaudoise pour la protection des

animaux, prix, par Durussel. B, IX 25 pl. I

253. s. d. (1897), société d’horticulture du canton de Vaud, prix, (refrappe), par Durussel. R, VII 201

254. 1898, centenaire de la revolution vaudoise de 1798, par Hantz, ie type. R, VIII 343

D. même éven., par le même, type. R, VII 343 36. méme évén, par Defailly. R, VIII 345

. même évén., par Lauer. R, VII 344

. 1903, centenaire de l'indépendance du canton, plaquette par Frei. R, XI 490 pl. XVII

Vaud (canton), voir aussi 15, 16, 44, 49, 123, 124, 125, 126, 127, 128, 129, 141, 142, 143, 144, 145, 146, 147, 167, 168, 169, 170, 171, 277, 724, 725, 726, 727, 728, 729, 730, 731, 732, 733, 734, 735, 736, 737, 738, 739, 740, 741, 742, 743, 744, 745, 746, 747, 748, 749, 750, 751, 752, 753, 754, 755, 756, 757, 758, 759, 760, 761, 762, 763, 764, 765, 766, 767, 768, 769, 770, 855, 856, 857, 858, 859, 861, 862, 863, 864, 865, 866, 867, 868, 869, 870, 871, 872, 873, 916, 917, 918, 919, 920, 921, 933, 934, 935, 936, 937, 1037, 1038, 1048, 1049, 1050, 1056, 1057, 1058, 1059, 1060, 1075, 1249, 1250, 1251, 1260, 1261, 1262, 1263, 1264, 1265, 1266, 1267, 1268, 1269, 1270, 1271, 1272, 1273, 1274, 1275, 1276, 1277, 1278, 1279, 1280, 1281, 1282, 1283, 1284, 1285, 1286, 1287, 1288, 1289, 1290, 1291, 1292, 1293, 1294, 1295, 1296, 1297, 1298, 1299, 1300, 1301, 1302, 1303, 1304, 1305, 1306, 1307, 1308, 1309, 1310, 1339, 1340, 1341, 1342, 1343, 1344, 1345, 1346, 1347, 1348, 1349, 1350, 1351, 1352, 1353, 1354, 1355, 1356, 1357, 1358, 1359, 1360, 1361, 1362, 1363.

1259.

1260.

1261. 1262. 1263. 1264. 1265. 1266. 1267. 1268. 1269. 1270. 1271. 1272. 1273. 1274.

1275. 1276.

1277. 1278. 1279. 1280.

1281. 1282. 1283.

1284. 1285. 1286. 1287. 1288. 1289. 1290. 1291. 1292. 1293. 1294. 1295. 1296. 1297.

391

Vernon, graveur à Paris, 319, 874.

Versoix (Genève), s. d. (1900), ‘plaquette-réclame de H. Schonen- berger, graveur. R, XI 473

Vettiner et C'*, éditeurs de médailles à Genève, 359.

Vevey (Vaud), s. d. (1889), föte des vignerons, médaille officielle,

prix, par H. Bovy, 0,045. B, X 185 même fête, méd. offic., prix, p. le même, 0,050. B, X 186 même fête, méd. comm., par Cartaux. B, X 187

même fête, med. comm., p. Defailly, 0,024. B,X 189

méme fête, med. comm.,p. le même, 0,040. B,

même fête, méd.comm., p. Jæckle-Schneider. B,X

même fête, méd.comm., par Recordon. B,X

méme fête, méd.comm., par Vollenweider. B,X

même fête, méd.comm., n. s., 0,024, 1°" type. B,X 188

méme féte, méd.comm., n. 8.,0,024, type. B,X

même fête, med. comm. n. s., 0,026. B,X

méme fête, med. comm., n. 8., 0,028. B,X

mémeféte, med. comm. n.8., 0,034. B, X

1891, courses vélocipéd. internat., p. Vieuxmaire. B,X 189

1895, föte cantonale vaudoise de gymnastique, n. s.,

Defailly éditeur. R, V 102

s. d. (1896), club montagnard, insigne de membre, par Hantz. R, VII 334

s.d. (1897), loge maçonnique Constance et Avenir, insigne de membre, par Ferrier. R, VI 218

1898, fête annuelle des écoles, n. s., Defailly edit. R, VIII 334

1899, möme föte, n. s., Defailly éditeur. R, IX 195

1901, expos. cant. vaud., prix, p. Huguenin fr. R, XI 458

exposition cantonale vaudoise et exposition fédérale des beaux-arts, n. 8. R, XI 458

exposit. agricole de l’expos. vaudoise, n. s. R, XI 458

fête cantonale des chanteurs vaudois, n.s. R, XI 459

8. d. (1901), Ormond et C'°, fabricants de cigares, jeton 25 cent., n. 8. (Furet). R, X 332

soc. de consomm., jeton '/s litre, n. s.(Hantz). R, X 339

même société, jeton 10 cent., n. s. (Hantz). KR, X 339

usine von Auw fils, jeton 5 cent., n.s.(Hantz). R, X 341

la même, jeton 10 cent., n. s. (Hantz). R, X 341

la même, jeton 25 cent., n. s. (Hantz). X 341

. brasserie Pezzini, jeton 10 cent., n.s.(Hantz).

la même, jeton 15 cent., n. 8. (Hantz).

la même, jeton 20 cent., n. s. (Hantz).

la même, jeton 50 cent., n. s. (Hantz).

Eugene Blanc fils, jeton 5 cent., n. s. (Hantz).

le même, jeton 10 cent., n. s. (Hantz).

le même, jeton 20 cent., n. s. (Hantz).

le même, jeton 50 cent., n. s. (Hantz).

Jomini et C'*, jeton 5 cent., n. s. (Hantz).

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1299. 1300. 1301.

1302. 1303. 1304. 1305. 1306. 1307. 1308. 1309. 1310.

1311.

1312.

1315.

1314.

1515.

1316.

392

Vevey (Vaud), s. d. (1901), Jomini et C'®, jeton 10 cent., n. s.

(Hantz). ~ R, X 342 le même, jeton 20 cent., n. s. (Hantz). R, X 342 le même, jeton 50 cent., n. s. (Hantz). R, X 342 société coopérative la Ménagère, jeton 5 cent., n. s.,

(Hantz). R, X 343

méme société, jeton 10 cent., n. s. (Hantz). R, X 343 même société, jeton 50 cent., n. s. (Hantz). R, X 343 même société, jeton 1 fr., n. s. (Hantz). R, X 343

même société, jeton 5 fr., n. s. (Hantz). R, X 343

magasin Maillard, jeton 10 cent., n. 8. (Hantz). R, X 343

méme magasin, jeton 20 cent., n. s.(Hantz). R, X 343

méme magasin, jeton 50 cent., n. 8. (Hantz). R, X 343

Louis Emery, jeton 20 cent.,n. s. (Hantz). R, X 349

même sujet, jeton 50 cent., n. s. (Hantz). R, X 349

Vieuxmaire, graveur en médailles à Paris, 16, 28, 44, 104, 110, 111, 114, 123, 131, 133, 135, 145, 146, 147, 163, 164, 179, 181, 186, 239, 240, 246, 248, 265, 272, 276, 277, 325, 410, 411, 412, 413, 414, 415, 416, 417, 418, 419, 420, 421, 422, 430, 431, 432, 433, 459, 460, 470, 482, 488, 490, 521, 545, 548, 549, 572, 575, 587, 607, 609, 662, 663, 722, 730, 733, 736, 137, 739, 740, 746, 778, 179, 780, 806, 807, 839, 840, 856, 857, 858, 867, 868, 870, 871, 872, 880, 881, 884, 885, 888, 893, 905, 919, 923, 1036, 1037, 1041, 1048, 1075, "1090, 1113, 1114, 1115, 1116, 1147, 1154, 1155, "1249, 1273, 1323, 1324, 1344, 1347, 1349, 1353, 1417.

Vogt, Carl, Genevois, naturaliste, 1892, medaille - portrait, 75° anniversaire de naissance, par H. Bovy. B, XI 60

Vollenweider, successeur de Durussel, graveur à Berne, 271, 728, 1242, 1267.

Waldmann, Hans, Zurichois, homme d'Etat, 1889, médaille à por- trait, p. Wilhelm et Mayer, édit. p. Æppli et Durrich. B, IX 154 Waller, graveur en médailles, à la Chaux-de-Fonds, 233, 251.

Wangen a./Aar (Berne), 1896, tir franc et de sections, par Homberg. R, VI 176

Weinfelden (Thurgovie), 1898, centenaire de l'indépendance can- tonale, par Lauer. R, VIII 346

Wetzikon (Zurich), 1902, föte cantonale zurichoise de gymnastique,

ni Daubenmeyer et Meyer. R, XI 474 idmer, orfèvre à Berne, 94.

Wilhelm et Mayer, graveurs-estampeurs à Stuttgart, 22, 23, 24, 25, 26, 27, 32, 55, 57, 58, 59, 63, 64, 86, 93, 252, 348, 522, 523, 689, "699, 721, 134, 77, 814, 860, 886, 906, 907, 938, 939, 1038, 1051, 1076, 1079, 1080, 1096, 1097, 1098, 1117, 1118, 1119, 1120, 1312, 1362, 1368, 1369, 1382, 1401, 1402, 1403,.1404, 1405, 1406, 1421, 1425, 1428, 1429.

Winterthour (Zurich), 1839, exposition suisse de boulangerie et confiserie, par Jekle-Schneider, type. B, X 247

1317.

1318. 1319. 1320. 1321. 1322. 1323. 1324. 1325. 1326. 1327. 1328. 1329. 1330. 1331. 1332. 1333. 1334. 1335. 1336.

1337. 1338.

1339.

1340. 1341. 1342. 1343. 1344. 1345. 1346. 1347. 1348.

1349. 1350. 1351. 1352. 1353. 1354. 1355. 1356.

1357.

393

Winterthour (Zurich), 1889, exposition suisse de boulangerie et

confiserie, par Jekle-Schneider, type. B, X 248 -- 1891, tir cant. zurichois, med. offic., par H. Bovy. B, X 189 1899, tir fédéral, médaille officielle, par Hantz. R, V 253

méme tir, décoration offic. du comité, var. R, V 257 méme tir, décoration offic. du comite, var. R, V 257 méme tir, med. comm., p. Jergum et Trefz. R, V 254 méme tir, méd.comm., p. Vieuxmaire, 0,033. R, V 256 mòénetir,méd.comm., parle même, 0,033. R, V 256 même tir, méd.comm., n. 8.; 0,027, type. R, V 383 —- méme tir, méd.comm., n. 8., 0,027, type. R, V 254 mémetir,méd.comm,, n. 8., 0,028. R, V 254 méme tir, méd. comm., n. 8., 0,033, type. R, V 254 même tir, méd.comm., n. s., 0,033, type. R, V 254 méme tir, méd.comm,, n. 8., 0,033, type. R, V 254 mémetir, med. comm.,n. 8., 0,033, 4* type. R, V 254 méme tir, med. comm., n. 8., 0,036. R, V 254 même tir, méd. comm., n. 8., 0. ‚039. R, V 254 1902, tircant.zurichois ‚med. offic. D: Frei ,le"type. R, XI 477

méme tir., med. offic. ‚p- Frei ‚2° type. R, XI 477 pl. If Wohlen (Argovie), 1899, tir canton. argovien, méd. offic., par Homberg. R, IX 203 même tir, montre offic., p. Huguenin frères. R, XI 440 Wohlhusen (Lucerne), 1900, 50° jubilé de la soc. lucernoise de

chant, n. 8. R, XI 454 Yverdon (Vaud), 1890, inaugurat. du monum. de Pestalozzi, par

Defailly, type. B, X 190 méme événement, par le mème, type. B, X 191 même événement, par Jeckle-Schneider. B,X 191 méme événement, n. 8., 0,024. B, X 191 même événement, n. s., 0,028. B, X 191 1891, fête des chanteurs. vaudois, p. Vieuxmaire. B, X 192 -— même fête, n. s., 0,028. B, X 192

même fête, n. s., 0,030. | B fête fédér. de tempérance, par Vieuxmaire. B, X 192 1893, inauguration du chemin de fer de Sainte- Croix, par Richard. R, II 351 même événement, par Vieuxmaire. R, III 351 1894, exposit. cant. vaudoise, prix, p. Homberg. R, IV 220 méme exposit., med. commem., par Defailly. R, IV 221 mémeexposit., med. commém., par Hantz. R, IV 221 méme exposit., med. comm., p. Vieuxmaire. R, IV 222 même exposit., med. commémorative, n. s. R, IV 222 1898,fétecant. des musiques vaud.,Defailly edit. R, VIII 337 1899, tir canton. vaudois, med. offic., p. Jacot-Guillarmod. R, IX 204

8. d. (1899), même tir, méd. offic., projet non adopté, par Huguenin fréres. R, IX 205

ps famo © nS

1358.

1359. 1360. 1361. 1362. 1363. -

1364. 1365. 1366. 1367. 1368. 1369. 1370. 1371. 1372.

1373. 1374.

1375. 1376. 1377. 1378. 1379. 1380.

1381. 1382.

1383. 1384. 1385. 1386. 1387.

1388. 1389.

394

Yverdon (Vaud), s. d. (1899), tir cantonal vaudois, montre offic., par Servet. R, IX 206 méme tir, med. comm., Defailly éd., 0,0235. R, IX 328 même tir, med. comm., Defailly éd., 0,033. R, IX 328 même tir, med. comm., Defailly éd., 0,039. KR, IX 329 même tir, med. comm., p. Wilhelm et Mayer. R, TX 330 même tir, med. comm., n. s., 0,039. R, IX 329 Zæhringen, Berthold (comte de), 91, 92, 93. Zerdezas (Algérie), s. d. (1901), jeton d’exploitation, 25 cent.,

n. 8. (Hantz). R, X 340 méme jeton, 50 cent., n. s. (Hantz). - R, X 340 même jeton, 1 frane, n. 8. (Hantz). R, X 340

Ziegler de Lo&s, numismate, 847, 878. Zimmermann, graveur & Lucerne, 299. Zofingue (Argovie), 1886, tir cantonal argovien, n.s. R,1273 1892, exposition industrielle, par Wilhelm et Mayer,

Schnyder, édit. R, III 195 1893, 75° anniv. de fond. de la soc. d’étudiants de Zofingue, par Wilhelm et Mayer. R, III 346 -- même anniv. n. 8. R, III 347

1900, tir de la Suisse centrale, offic., p. Homberg. R, X 366 Zoug (Zoug), 1899, fête de gymnast. de la Suisse centrale, n. s., 1°" type. R, IX 339 méme fête, n. s., type. R, IX 338 1902, tir cantonal zougois, médaille officielle, par Homberg. R, XI 485

Zurich (Zurich), s. d., soc. des ouvriers coiffeurs, école de coif- fure pour dames, prix, n. s. R, V 101 hôtel Wanner, jeton 10 cent., n. 8. (Daubenmeyer et Meyer). R, IX 208 même jeton, 20 cent., n. s. (par les mêmes). R, IX 208 méme jeton, 50 cent., n. s.(par les mêmes). R, IX 208 même jeton,1 franc, n. s. (par les a R, IX 208 --- 1881, exposition canine suisse, prix, par Oehler et Jæckle, 1°" type. B, 142 méme exposit, prix, par les mêmes, type. B, I 43 8. d. (1882), médaille avec vue, au revers le duc de ‘Saxe Altenburg, par Wilhelm et Mayer. B, I 93 1883, exposition nation. suisse, med. comm., par Homberg. B, II 6

méme expos., med. comm., p. Jæckle-Schneider, 0,017,

type. B, III 4 méme expos., med. comm., par le même, 0,017, type. B, 1II 9

même expos., med. comm., p. le même, 0,019. B, III 4 -— méme expos., méd. comm., p. le même, 0,022. B, III 5 méme expos., med. comm., p. le même, 0,026. B, III 5 même expos., med. comm., p. le même, 0,030. B, III 1

1390.

1391. 1392.

1393. 1394.

1395. 1396. 1397. 1398. 1399.

1400. 1401.

1402. 1403. 1404. 1405.

1406. 1407.

1408. 1409.

1410. 1411. 1412. 1413. 1414. 1415.

1416. 1417. 1418.

395

Zurich (Zurich), 1883, exposition nation. suisse, méd. comm., par

Jæckle-Schneider, 0,033, type.

méme expos., med.

; Jeggli edit., 0 ‚016.

édit., 0,028.

édit., 0,033.

édit., 0,051.

—-

edit., 0,051. méme expos.,

Jæckle-Schneider.

même fête, n. s.

par H. Bovy.

n. s. (Hantz).

même expos., méd.

même expos., méd. même expos., med.

méme expos., med. möme expos., med. méme expos., med. méme expos., med. méme expos., med.

méme expos., med. möme expos., med.

méme expos., méd. méme expos., med. méme expos., med. möme expos., méd.

med. exposition suisse d’agriculture, medaille de prix de la société suisse d’agriculture, par Durussel. 1889, fête de la société tessinoise de secours mutuels, par ~

1891, fête socialiste du 1” mai, n. s. le lac gelé, par Jeckle-Schneider. même événement, n. 8., 0,028. même événement, n. 8., 0,039. 1893, exposition internationale de timbrologie, med. offic.,

B, III 5

comm., p. le méme, 0,033, Qe type.

B, III 6

comm., p. le méme, 0,033, type.

B, III 6

comm., p. le méme, 0,042. B, III 9

comm., p. le möme, 0,045, type

B, Il 126 et III 1

comm., p. le méme, 0,045, type.

B, HI 2

comm., p. le même, 0,045, type. B, HI

comm., p. le même, 0,045, 4 type.

IL 3

comm., p. le même, 0,045, type. B, III 3

comm., p. le méme, 0,045, type. B, IT 4

comm., par Scheit. B, III 6

commém., par Wilhelm et Mayer,

B, 111 9

comm., par les mémes, M. Jeggli B, III 8

comm., par les mémes, M. Jeggli B, HI 7

comm., par les memes, M. Jeggli B, II 8

comm., par les mêmes, M. Jæggli , HI 8

comm., par les mêmes. B, III 7

B, III 41 B, X 248

1890, fête fed. de la soc. du Grütli, par Jeeckle-Schneider.

B, X 248 B, X 193 B, X 194 B, X 193 B, X 194 B, X 193

R, IV 211

tir cantonal zurichois, med. offic., p. EL. Bovy. R, III 206 même tir, méd. commem., par Vieuxmaire. R, III 206 1894, congrès géologique international, méd. comm. offic.,

R, IV 379

306

1419. Zurich (Zurich), s. d. (1894), exposition de pisciculture, prix, par

Jæckle-Schneider. R, V 100

1420. 1895, fête de gymnast. de la soc. du Grütli, n. s. R, V 248 1421. 1896, 150° anniv. de la naissance de Pestalozzi, par Wilhelm et Mayer. R, VI 173

1422. 1898, tir cantonal zurichois, medaille officielle, par Landry. R, VIII 333, IX 199

1423. inauguration du musée national, médaille officielle, par Frei. R, VII 345

1424, méme inauguration, médaille commémorative, par Daubenmeyer et Mayer. R, VII 345

1425. même inauguration, médaille commémorative, par Wilhelm et Mayer. R, IX 200

1426. 8. d. (1899), inauguration du monument de Pestalozzi, par Kauffmann, type. R, IX 333 et X 372

1427. méme inaugur., par le même, type. R, IX 333 1428. 1901, 550° jubilé de l’entrée de Zurich dans la Confédéra- tion, par Wilhelm et Mayer, 0,0335. ~ R, XI 464

1429. -- méme évén., par les mêmes, 0,0502. R, XI 464 1430. 75° anniversaire de la fondation du Mænnerchor, par Hantz. R, X 361

1431. 1902, tir fédéral au fusil Flobert à Neumünster, officiel, par Huguenin fréres. R, XI 486

Zurich (canton), 713, 716, 924, 936, 937, 1237, 1245, 1246, 1312, 1315, 1316, 1317, 1318, 1319, 1320, 1321, 1322, 1323, 1324, 1325, 1326, 1327, 1328, 1329, 1330, 1331, 1332, 1333, 1334, 1335. 1432. Zwingli, Ulrich, Zurichois, réformateur, 1884, 400° annivers. de naissance, n. 8., 0,0245. | R, IV 37 1433. Zwyssig, Albert, musicien suisse, s. d. (1900), méd. à portrait, par H. Frei. R, XI 451

SOCIETE SUISSE DE NUMISMATIQUE

XXV° Assemblée générale de la Société suisse de numismatique, tenue à Fribourg le 3 septembre 1904.

La séance est ouverte à 11 heures, dans la salle du Grand Conseil, à l'Hôtel de Ville, mise obligeamment à notre disposition par les autorités du canton de Fribourg, sous la présidence de M. Paul-Ch. Strehlin, président de la Société.

Les membres dont les noms suivent assistent à la séance: MM. D’ Paul-Ch. Strehlin, Grossmann, Cahorn, Jarrys, Conchon, Dominiee, Dreyfus, Furet, Künzler et Walch, de Genève. Lang-Schneebeli, d’Argovie. D* Geigy, Lugrin, de Bale. D: Grunau, de Berne. Abbé Ducret, D" Holder, Sauser, de Fribourg. Haas, Kauffmann, Rudolph, de Lucerne. Gallet, Jobin, Michaud, Perrochet, Stierlin, Wavre, de Neuchàtel. Iklé, de Saint-Gall. Bally-Herzog, de Soleure. De Palézieux-du Pan, Meyer, Tissot, de Vaud. Bordeaux, de Paris. Seize membres se sont fait excuser. Sont en outre présents, MM. Schneuwly, archiviste d’Etat, de Fribourg; M. Max de Diesbach, président de la Société d’histoire de Fribourg ; M. le conseiller d’Ktat Cardinaux, représentant l'Etat de Fribourg ; M. le conseiller municipal Bielmann, reprösentant la Ville de Fribourg.

Après la lecture du procés-verbal de la dernière assemblée, qui est adopté, M. le président remercie la très nombreuse assemblée de sa presence et les autorités et societes fribourgeoises de leur accueil. Il constate l’importance de cette séance, destinée à comme- morer, dans la ville notre société a été fondée en 1879, le vingt- cinquiéme anniversaire de sa fondation.

On donne lecture des adresses et télégrammes de la Société fran- çaise de numismatique, de l’Académie d’Hippone a Böne, du Cercle numismatique de Milan, de la Société hongroise de numismatique et de la Société belge de numismatique, qui envoient & notre société toute leur sympathie en cet instant solennel et font des vœux pour notre prospérité.

398

Le président prend ensuite la parole pour la lecture de son rapport annuel, que nous nous contentons de résumer ici vu le peu de place disponible dans la Revue et en vertu des decisions ultérieures prises par l’assemblée generale de Berne en 1906. L’état un peu precaire de nos finances et l’abondance des mémoires nous font un devoir de restreindre au strict nécessaire toutes les communications et docu- ments qui jusqu’alors ont pris place în ertenso dans la Revue.

M. Strehlin retrace la fondation de notre société à Fribourg, le 14 avril 1879, sous la présidence de M. le D" Trachsel, de Lausanne, et montre, en faisant la part de chacun, le rôle des membres qui ont jeté les premières bases de cette association. Beaucoup de ‘ces amis de la première heure nous ont malheureusement quittés et ne sont plus pour voir la prospérité de notre groupement, qui a su se faire connaitre et apprécier dans un pays où, jusqu'alors, les numis- mates n'avaient pu arriver à se rencontrer que dans les réunions plus générales des sociétés historiques. Parmi ceux de nos membres qui ont le plus contribué à faire connaître notre société par leur activité, leurs travaux scientifiques ou leurs collections, il faut citer en toute première ligne le vénérable abbé Gremaud, notre ancien président, et Antonin Henseler, de Fribourg; Albert Sattler, de Bâle; Arnold Meyer, de Genève ; Morel-Fatio, de Lausanne, pour ne parler que des morts. Naturellement nous groupons dans nos rangs toutes les personnes s'intéressant de près ou de loin à la numismatique nationale et nous voyons un grand nombre de confrères étrangers se joindre à nous pour recevoir nos publications et leur apporter l'appui de leur science.

Le Bulletin, aujourd'hui disparu, et la Revue suisse de numisma- tique, qui lui a succédé, ont déjà rempli d'importantes lacunes dans la partie descriptive ou historique de notre numismatique nationale. Les autorités fédérales, cantonales ou municipales ont constamment montré leur intérêt pour notre société en appelant ses membres dans les commissions d'administration des musées et dans celles destinées a étudier des questions monétaires ou à procéder à l'élaboration de médailles nouvelles.

Les graveurs de médailles habitant notre pays ont, de même que les savants et les collectionneurs, compris notre but et se rattachent également à notre groupement. Le goût des collections, l'étude des trouvailles faites en terre, l'édition de médailles nouvelles, les publi- cations historiques illustrées de documents numismatiques et l’amélio- ration de l'installation des musées sont autant de domaines nous

399

voyons la trace bienfaisante de la création d’une Société suisse de numismatique.

Nous avons cependant encore beaucoup à faire, en Suisse, pour accomplir notre täche. Un des plus grands écueils a l’entreprise de travaux importants et au développement de nos publications est le nombre très restreint de personnes s’intéressant à la numismatique ci en comprenant l’utilite. Cette science cependant touche & tous les domaines et devrait étre à la portée de chaque citoyen suisse. Que . ceux qui ne peuvent collaborer a la partie scientifique ou artistique de notre programme veuillent donc bien, dans un esprit patriotique, nous aider de leurs cotisations. Nous pourrions ainsi entreprendre uni œuvre de durée, telle qu’un ouvrage descriptif contenant la repro- duction de toutes les monnaies et médailles suisses, ou intéressant cc pays, et mener à chef une histoire monétaire suisse dont les document: existent dans nos archives. De jeunes savants sont préts a nous donner leur collaboration, si nous pouvons rémunérer leurs efforts. Le budget extrêmement limité fourni par l'initiative privée de deux cents membres environ, payant une cotisation minimum de 10 franes par année, ne peut suffire même à la publication de notre petite Revue, dont l'illustration, planches et figures, est due à la générosité «e quelques collègues qui se sont chargés à plusieurs reprises de payer les déficits presque périodiques de notre caisse sociale.

Vous avez toujours tenu, Messieurs, à garder rigoureusement le principe de l'initiative privée et à ne pas demander de subvention: officielles pour ne pas abdiquer votre indépendance. C’est un mérite que vous avez sur d’autres sociétés analogues, mais il est extrêmement difficile d'atteindre notre but et de développer notre activité sans pouvoir compter sur un budget régulier et des subventions extra-budgétaires. Le comité devra donc s’efforcer à l'avenir d'envisager un mode de recrutement plus actif et surtout de faire connaître nos travaux dan: plusieurs cantons la société ne possède aucun membre.

En dehors de son activité littéraire et de son intervention dans la vie numismatique de notre pays, la Société suisse de numismatique i: constitué, par les dons de ses membres et les échanges faits avec les sociétés et périodiques analogues, une très intéressante bibliothèque. bien cataloguée et mise à la disposition des membres de la Societ«. ainsi que des collections de monnaies, médailles, estampes et docu- ments qui, par la suite, formeront un matériel important manquani jusqu'alors à notre pays.

400

Les vingt-cinq années écoulées montrent donc un progrès continuel dans le développement de notre société et font constater que, si elle venait à disparaître, elle laisserait une lacune sensible dans notre vie nationale. Le comité envisage donc l'avenir d'un œil serein. Nous continuerons à exister et à avancer lentement, si nous ne pouvons augmenter nos ressources, mais la vie même de notre confrérie n’est pas menacée et son utilité est dûment constatée.

La série des jetons distribués aux assemblées générales, depuis 1893, a aussi contribué à encourager bien modestement l'art de la. gravure dans notre pays. C’est surtout un appui moral que nous donnons à la gravure en médailles en Suisse en décrétant chaque année l'émission d’un de ces jetons. Ils permettent à tous ceux qui cultivent cet art de se manifester et forment en même temps le livre d'or de notre Société. Cette année nous avons cru bien faire en choisissant comme effigie du jeton annuel les traits de Leodegar Coraggioni de Lucerne ; le seul d’entre nous qui ait fait une œuvre d'ensemble sur la numismatique suisse, depuis la mort de G.-E. von Haller. Coraggioni, sans être un numismate de profession, a commencé par être un simple collectionneur et ses occupations de banquier le conduisirent naturellement à l’examen des espèces sonnantes de sa caisse. Il s’y intéressa peu à peu et, à un âge d’autres se reposent après une vie de travail, il a employé les loisirs de sa retraite à compulser les bibliothèques et les archives. Son œuvre, Die Münzgeschichte der Schweiz, n'est, il est vrai, qu’une compilation très sommaire, mais elle oriente celui qui veut étudier un point spécial et, par sa merveilleuse illustration, reproduisant sur cinquante planches en phototypie plus de onze cents types de nos monnaies, elle a montré la richesse de la numismatique suisse et attiré l'attention des amateurs sur ces espèces si variées ct typiques qui deviennent chaque jour plus rares.

Le président annonce ensuite que, pour commémorer notre premier quart de siècle et laisser un souvenir durable de cette réunion jubi- laire, un certain nombre de membres ont réuni, par souscription libre, un fonds de 1343 fr. 20 cent. destiné à la création d’un matériel de signes et caractères d'imprimerie spéciaux à la numismatique. Sur ce fonds la première base est formée par la collection de types grecs, celtiques et elzévirs, représentant une valeur de 618 fr. 30 cent., qui était la propriété de M. P.-Ch. Strehlin. Un achat de caractères onciaux, pour les légendes du moyen âge, vient aussi d'être fait à Paris, pour 388 fr. 40 cent. Le reste du fonds servira par la suite à la fabrication

_- MA

de signes spéciaux et degrevera ainsi notre budget. Tous ces caractères sont confiés aux soins de nos imprimeurs et collègues, MM. Jarrys et fils, à Genève, et réunis dans un meuble que nous avons acheté sur le même fonds. La somme ci-dessus continuera à s'augmenter de dons que nos collègues voudront bien lui faire et une comptabilité spéciale en conservera le souvenir sous le nom de : Fonds du malériel de numismatique.

Comme toutes les années, le président retrace, en quelques notes biographiques, l'activité des membres décédés depuis le dernier exercice, et l'assemblée, après avoir entendu cet exposé, se lève en signe de deuil !.

Ulysse Jucot, graveur en médailles et estampeur, au Locle, n’a fait partie que peu de temps de notre Société, mais s’interessait vivement à son développement et nous a toujours montré beaucoup de sym- pathie. Nous perdons en lui un graveur consciencieux qui a surtout fait des travaux pour l'horlogerie et dont la trace restera dans les fastes industriels des montagnes neuchâteloises.

Adolphe Hess, avocat à Zoug, avait été recu l’an dernier membre de notre Société et n’a pu, malheureusement, participer à aucune de nos réunions. Ceux qui ont eu le bonheur de le connaître l'ont apprécié comme un érudit qui, en dehors de sa profession juridique, étudiait avec le plus grand éclectisme notre civilisation suisse depuis l’origine de l’époque moderne. Il a recueilli de nombreux documents iconographiques et laisse quelques notes destinées à des communica- tions historiques qui ne verront probablement jamais le jour. Sa collection de monnaies de Zoug est particulièrement remarquable et il serait à désirer qu’elle soit conservée dans le pays et fasse l’ornement du musée de cette ville. Elle a été commencée il y a une vingtaine d'années par notre ancien collègue Weber, de Zoug. Après le décès de celui-ci, M. Hess acheta la collection en bloc et l’enrichit depuis lors de différentes pièces importantes. En dehors de cette série, M. Hess possédait aussi une belle suite de médailles historiques suisses et de pièces de tir.

Aloys Furger, de Coire, fut un des plus importants négociants de son pays cet, depuis bien des années, collectionnait les innombrables variétés de monnaies émises par les différents pouvoirs des trois

1 Nous snpprimons dans ce rapport Ja notice nécrologiqne W’Arnold Mever, celle-ci avant été publiée dans la Ferre suisse de nem. to MT, p. 312.

REVUE NUM. T. XI. 20)

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Ligues. Il était arrivé à former un très remarquable ensemble qui a été récemment dispersé par une vente aux enchères. Beaucoup de ces pieces sont restées au pays. Il est regrettable qu'avant de se décider a vendre sa collection, M. Furger n'en ait pas fait dresser par un spécia- liste un inventaire détaillé indiquant toutes les variétés et retouches des coins. Ce travail aurait été extrêmement utile pour notre pays. Aujourd’hui que cette collection est dispersée, il sera peut-être impos- sible de réunir une série aussi complète, do petites pièces surtout.

Maurice Himly, de Strasbourg, collectionneur de monnaies et médailles d'Alsace, d’une famille originaire du Wurtemberg et avant eu de nombreuses relations avec la Suisse, devait naturellement se rattacher à notre Société. Sans avoir jamais coHaboré à la Revue, il a rendu de nombreux services à notre rédaction et à ceux de ses collègues qui avaient besoin de se documenter sur les régions de l’Allemagne du Sud. Très complaisant et doué d’une excellente mémoire, il savait retrouver dans ses nôtes et souvenirs beaucoup de renseignements qui auraient nécessité de longues recherches. Les questions héral- diques et généalogiques l’ont aussi vivement intéressé.

Albert Rilliet, chimiste et professeur genevois, a continué de remar- quables collections qui se trouvaient dans sa famille et avaient été com- mencées il y a plusieurs siècles. Très riche bibliothèque protestante et genevoise, collection de placards, d’estampes, de portraits, de mon- naies et médailles, autographes et pièces d'archives: il y a de tout dans ce que nous pourrions appeler le musée-archives de la famille Rilliet. Cette illustre famille genevoise, qui a compté depuis la refor- mation de nombreux magistrats et professeurs, a toujours eu le goût de la documentation.

Après la lecture de ce rapport, l'assemblée désigne M. Bénassy- Philippe, de Genève, pour remplacer au comité M. le D' Ladé, démis- sionnaire. |

A l'occasion du XXV° anniversaire d'existence de la Société, le titre de membre honoraire est décerné à S. M. Victor-Emmanuel III, roi d'Italie; à MM. Alph. de Witte, à Bruxelles; D’Gohl, à Budapest, et Paul Bordeaux, ancien président de la Société française de numismatique.

M. le trésorier présente son rapport et M. Gallet celui des vérifica- teurs des comptes, puis l'assemblée décide de maintenir la cotisation à 10 fr.

On entend ensuite un travail de M. Schneuwly, archiviste de l'Etat

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de Fribourg, sur les monnaies ayant eu cours en cette ville au xırı? siécle, suivi de la liste des monnayeurs et inspecteurs de la Monnaie à Fribourg de 1435 a 1848 !. |

M. le D" Grunau présente diverses médailles de mérite, bernoises, du xix° siècle, notamment des graveurs Samuel Burger et Gruner, et M. Grossmann montre deux pièces soleuroises, dont l’une à l'effigie de Nicolas Schürchstein, ancien prieur de Thorberg (Berne), venu à Soleure après avoir embrassé le parti de la Réforme.

Lecture est donnée d’un travail de M. Léonhard Forrer sur une

médaille suisse conservée au British Museum et attribuée à Stampfer ?.

Les membres se rendent ensuite à l'hôtel du Faucon, a lieu le banquet officiel ; au dessert prennent la parole MM. Strehlin, l’abbé Ducrest, Cardinaux, conseiller d’Etat; Bielmann, conseiller commu- nal; P. Bordeaux, Künzler et Geigy.

M. Dreyfus, président de la Section de Genève, remet à M. Streehlin un diplöme et une médaille d’or en souvenir du XXV° anniversaire de notre Société et en gage de reconnaissance pour les nombreux servi- ces qu'il lui a rendus.

Au dessert, M. Grossmann distribue le jeton annuel, à l’effigie du numismatiste Leodegar Coraggioni d'Orelli, gravé par M. Jean Kauf- mann, de Lucerne.

L'après-midi est consacrée a la visite de la cathédrale et du cou- vent de la Maigrauge; le lendemain les sociétaires se rendent à Marly, en s’arrétant à Hauterive, pour revenir ensuite à Fribourg, un concert d’orgues les attendait.

La journée du lundi fut consacrée à la visile du château de Gruyeres, dont le propriétaire, M. FE. Balland, fit les honneurs aux numismatistes, qui garderont un excellent souvenir de cette excursion.

Rapport du tresorier pour l'exercice 1903.

MESSIEURS ET CHERS COLLEGUES,

Nous venons vous présenter le rapport financier pour 1903, en le comparant à celui de 1902 *.

! Voir Renue suisse de nun, t. NU, p. 5418 NITTO p. 125. ? Ibid. t. NUL. p. HS. 3 Voir le dernier rapport, bet. t. NI, p. 309.

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Bilan comparatif pour 1902-1903.

I. Dépenses 1902 1903 Impressions et illustrations . ........ Fr. 1938 65 Fr. 2271 80 Frais généraux. .......,....,,,.... » 592 70 » 383 70 Bibliothèque. .................... i ee Fonds spéciaux RE TT » 211 20 » ('aisso (solde débiteur). ............ » 1978 » 1913 65

Total... Fr. 4720 55 Fr. 4593 15

II. Recettes 1902 1903 ('otisations annuelles.............. Fr. 2000 Fr. 1960 (‘otisations arriérées. .............. » 40 » 20 Abonnements à la Revue........... » 197 25 » 163 50 Droits d'entrée..............,...., » 130 » 90 Vente de publications.............. » 184 75 » 12 75 "rappe de médailles. .............. » 24 30 » 301 40 Wat ce: EEE » 9 » 10 -— Intcrets (profits et pertes) .......... » 35 90 » 57 50 Caisse (solde de l'exercice précedent). . . . . . - - » 2099 35 » 1978

Total....... Fr. 4720 55 Fr 4593 15 Le solde actif se compose de..... Fr. 726 15 chez M. Boveyron, A e ARR a ees ee » 1187 50 en caisse. Soit....... Fr. 1913 65

Le fonds de reserve (fr. 1000), depose en titres divers chez \I. Boveyron, est resté le même, de sorte que notre avoir general a diminué de 64 fr. 35 depuis 1902. Ceci n'a rien d’inquiétant pour le moment, ces petites fluctuations sont inévitables; mais nous pré- voyons, pour les prochains exercices, une diminution très sensible de nos fonds, qui seront absorbés par les nombreuses publications com- mencées dans la Recue, et qu'il nous faut mener à bonne fin. Pour ne citer que celles déjà parues partiellement, nous rappelons à nos

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lecteurs : l'Inventuire des monnaies de (renève et VHistorwre monétaire de Veveché de Sion. Nous avons encore d’autres travaux très impor- tants que nous ne pouvons laisser plus longtemps en arrière.

Pour combler les lacunes produites dans nos rangs par décès ou démissions, il serait urgent de recruter de nouveaux membres, autrement nous nous verrons obligés de réduire nos publications quand nos fonds seront complètement absorbés.

Th. GRossMANN, érésorier.

Rapport des vérificateurs des comptes.

Moxsieur LE PRESIDENT er MESSIEURS.

Nous venons de pointer les écritures de notre Société et avons reconnu, après avoir vérifié les reçus et pièces à l'appui, le tout par- faitement juste.

La fortune de la Société, à fin décembre 1903, se composait de:

Huit obligations 3 °/o Genevois........... Wakes Sr "BULLE Deux obligations 3 '/2 °/o Chéne-Bougeries.......... » 200 Chez notre banquier............................. 726 15 Bice: Dire anime ess aus - 8 DO

A l'actif au 31 décembre 1903....... Fr. 2913 65

soit en diminution de 64 fr. 35 sur l’année 1902.

Nous sommes étonnés que notre société, à une époque l’histoire et les recherches archéologiques de tous genres fleurissent à l’envi, ne recrute pas plus de membres. Son but de fouiller le passé par les monnaies a pourtant un intérêt scientifique aussi bien que patriotique. Davantage de nos concitoyens, nous semble-t-il, devraient s'intéresser à la numismatique et le prouver en se faisant recevoir de notre société. Nous croyons que les nombreuses sociétés cantonales d’his- toire font quelque tort à la nôtre en publiant souvent bien des choses touchant à l’étude des monnaies. Peut-être les différentes sociétés s occupant d'histoire en général arriveront-elles un jour à se grouper avec nous, de façon à laisser à chacune une certaine autonomie. Ainsi, les travaux pourraient être publiés en commun dans un volume

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annuel ou semestriel ? Bien des frais généraux seraient ainsi évités et des travaux importants, parus avec l’aide de tous, seraient alors moins lents à voir le jeur.

Votre caissier, M. Grossmann, s’acquitte toujours de ses ingrates fonetions avec le möme zele. Nous vous prions de lui donner decharge avec remerciements sincères pour la façon dévouée dont il gère nos intérêts.

La Chaux-de-Fonds, 25 aoute L904. Georges GALLET.

Ponts-de-Martel, 30 août 1904. Charles Emerv.

XXVI° Assemblée générale tenue à Lausanne le 23 septembre 1905.

La séance, tenue dans un des auditoires du palais de Rumine, est présidée par M. Paul-Ch. Stræhlin.

Membres presents : MM. P. Stroehlin, Grossmann, Jarrys, Conchon, Dominicé, Dreyfus, Furet, Künzler, Mani, Walch, de Genève; Geigy et Lugrin, de Bale; Grunau, de Berne; Alex. Bovet, de Fribourg: Gallet, Michaud, de Perregaux, Perret, Perrochet, Wavre, de Neu- chätel; Iklé, de Saint-Gall; Bally-Herzog, de Soleure ; E. Lehr, Meyer, de Molin, de Palézieux-du Pan, Tissot, du canton de Vaud; J. Ham- burger, de Francfort-s/M.; P. Bordeaux, de Paris; Rappaport, de Berlin. Treize membres se sont fait excuser. Assistent encore à cette séance M. Cossy, conseiller d’Etat vaudois; M. Babut, viee-president de la Société frangaise; MM. Gruaz et Lador, professeurs.

M. le president remercic les organisateurs de la réunion, particu- liérement M. de Molin, ainsi que l’État et la Ville de ce qu'ils ont bien voulu honorer notre Société en se faisant représenter au banquet qui suivra.

Apres la lecture du procès-verbal, le president resume en quelques paroles l'activité de la Société pendant l’exercice écoulé: il rappelle tout d’abord le souvenir des membres décédés, dont nous donnons ci- après les notices biographiques :

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Henri Morin- Pons est décédé à l’âge de soixante-treize ans, a Lyon, il s’etait acquis une grande situation dans le monde des affaires, comme aussi dans les milieux scientifiques. |

C'est à l’âge de vingt-deux ans qu’il publia le livre qui le classa d’em- blée parmi les numismatistes érudits, la Numismutique féodale du Duu- phiné, Archevéques de Vienne, Évéques de Grenoble, Dauphins de Vien- nois (Paris, 1854, in-f°). Cet excellent ouvrage, écrit dans une langue élégante, sérieusement documenté et fort bien illustré, valut à son auteur plusieurs encouragements honorifiques, entre autres le titre de membre associé étranger de la Société d'histoire et d'archéologie de Genève.

On pouvait croire qu’une œuvre si bien comprise et traitée avec talent par un homme encore bien jeune, serait suivie, à courte échéance, par d’autres travaux de même envergure et d'aussi bon aloi. Mais Morin-Pons fut saisi, jeune encore, par les devoirs profes- sionnels et par les charges d’une haute situation financière. Ce n'est qu'un demi-siècle plus tard qu'il fit paraître son second et dernicr travail de fond, la Numismatique de l Académie des sciences, belles- lettres et arts de Lyon (Lyon, 1900, gr. in-4°).

Membre et président de l’académie de Lyon, c’est dans les Mémoires de cette société qu'il publia la plupart de ses autres travaux, d’une moins grande étendue et qui n’ont pas trait & la numismatique.

On peut encore citer de lui un article sur la monnaie d'or de Guil- laume Paléologue, marquis de Moniferrat, inséré dans la Revue belge de numismatique, en 1899, et une étude sur le sceau de Vautier Bonjour, chanoine de Genève, qui a paru dans cette Revue, en 1891- 1892.

Morin-Pons était membre de la Société suisse de numismatique depuis 1890.

Pour tous ceux qui l’ont connu, il restera le type achevé du savant consciencieux et aimable, de l’homme du monde accompli.

Le D Camille Reymond, a Sainte-Croix le 6 janvier 1857, suivit avec distinction le gymnase de Lausanne. En 1876, il commence, a Bale, ses études de médecine, pour les continuer à Zurich et les terminer à Genève. En 1882, il passe avec succès les examens fédéraux, à la suite desquels il s'établit quelques mois à Sainte-Croix. En 1883 nous le retrouvons interne à l'Hôpital cantonal de Lausanne et l’année suivante à Aubonne, il est nommé médecin de l’Infirmerie,

Il y reste six ans. puis s'étant décidé à se spécialiser, il entreprend

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un voyage à Francfort s./M., à Würzbourg et à Berlin pour étudier divers établissements consacrés à la gymnastique suédoise, à l’ortho- pedie et au massage. Il passe encore quelques semaines à l’Institut central de gymnastique de Stockholm puis, après un court séjour à Vienne en Autriche, il se fixe à Genève vers la fin de 1890. Il se fit rapidement connaître et apprécier comme un spécialiste habile.

En 1898, il fonde d’après le système Zander un institut médico- mécanique fort bien‘installé ; il le dirige pendant plusieurs années.

Devenu lui-même souffrant, il occupe durant une saison le poste de médecin des Bains d’Yverdon. Sa santé s’altérant de plus en plus et l'obligeant à suspendre toute espèce d'activité, il va chercher le repos à Sierre, en Valais, avec l’espoir que la douceur du climat lui rendra ses forces perdues. Son état s'étant sensiblement amélioré il revient a Genève pour reprendre quelques-unes de ses occupations, mais ce ne fut que pour peu de temps; le 18 mars 1905 il succombait au mal qui le minait.

Passons maintenant au rôle du D" Reymond en tant que numisma- tiste. Excellent gymnaste et habile tireur, il se mit à collectionner les medailles se rapportant à ses sports préférés, mais son goüt s’affinant, il se defit de ses médailles, qu'il considérait comme des objets de curiosité et se livra avec passion a l’étude de nos anciennes’monnaies suisses, dont il reunit en peu de temps un choix remarquable.

Les diverses séries genevoises, depuis le plus petit denier jusqu'à la piece d’or de grande valeur, furent pendant longtemps ses préférées.

L'étude des différentes variétés qu'il avait rencontrées le captiva a tel point qu'il réussit, aidé de quelques collègues de la Section de Genève, à en faire une description minuticuse.

Ses notes sont la base de l’Inventaire des variétés des monnuies de Geneve dont notre Revue a commencé la publication il y a un certain temps déjà, mais la seule notice sortie de sa plume se rapporte aux Pistoles de Genève de 35 florins ou pistoles de 10 livres, parue dans le tome VIII de notre périodique.

Reymond était un homme d’une grande activité et ne sachant rien faire à moitié. D'un commerce très agréable, cet excellent collègue était toujours prêt à rendre service.

L'année durant laquelle il prösida la Section de Genève de notre société se distingue par les multiples et très interessantes communi- cations qu'il sut provoquer.

Hermann Dannenberg. La numismatique allemande a fait une perte

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cruelle en la personnne de ce savant distingué, qui a fini sa carrière à Salzbrunu, en Silésie, à l’âge de quatre-vingt-un ans. Collectionneur dès son enfance, il avait réuni un nombre considérable de monnaie: allemandes qui servirent de base à l'étude qui fait son principal titre scientifique : Die deutschen Münzen der sächsischen und fränk:- schen Kaiserzeit (Berlin, 1876, 1894, 1898, 1905).

La Revue suisse de numismatique a publié de Dannenberg un mémoire étendu sur un sujet fort semblable : Die Münzen der deut- schen Schweiz zur Zeit der sächsichen und fränkischen Kaiser, suivi d’un supplément qui fut donné l'année suivante (t. XI, 1903, p. 337 t. XII, 1904, p. 5). Il faut également citer ses consciencieuses recher- ches sur la numismatique de Poméranie, Pommerns Münzen in Mitte! alter, Berlin, i864, et Miinzgeschichte Pommerns in Mittelalter, Berlin, 1893, puis un grand nombre d’autres mémoires qui traitent pour |: plupart de la numismatique du moyen âge et qui ont paru, soit dan- les Mémoires de la Société d'archéologie el de numismatique de Sain!- Petersbourg, soit dans la Zeitschrift für Numismatik, de Berlin.

Les liens qui nous unissaient à Dannenberg remontent à la fonılu- tion de notre Société, en 1879, date à laquelle il fut nommé membr: honoraire.

Robert Heiniger-lèuef vit le jour le 2 mai 1846, à Burgdorf. Apre» avoir suivi les écoles primaires de sa ville natale, il continua soi instruction à l'École cantonale à Berne. Ses goûts et sex aptitudes semblaient le destiner à suivre les études classiques, mais devant sv vouer au commerce et à l’industrie, il dirigea ses efforts de ce côté vi entrant à la section dite réale.

Devenu, par la suite, chef d’une importante maison, il trouva cepen dant le temps nécessaire pour s'occuper des affaires publiques. Pendar: de longues années. il fut membre du Conseil municipal, il reni. plissait, avec distinction, le poste de chef des travaux publics.

C'est sous sa direction qu'a été édifié le nouvel hôpital de distrie! construction remarquable pour laquelle il avait eu l'habileté de choisir un emplacement idéal. Pour pouvoir réussir dans cette opération il avait prendre à sa charge et à des conditions très onéreuses hi terrain primitivement désigné, mais qui se trouvait beaucoup trop exigu

Il fut aussi appelé, en sa qualité d’edile à s'occuper de la restauri tion du vieux chateau de Burgdorf; il fonda alors, pour aider la eon mune dans cette entreprise, une société spéciale du nom de Jtittersar Verein.

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Cette salle des chevaliers restaurée sert actuellement de musée local; il s’y trouve entre autres une très belle collection de céramique hernoise dont les beaux spécimens de Langnau, de Thoune, de Heim- herg ont été, soit donnés soit déposés à titre de prêt, par Heiniger-Ruef.

Fervent alpiniste, il avait contribué a la création de la section Burg- (orf du 8.A.C. ; il en fut longtemps le secrétaire.

Indépendainment de sa belle villa-chalet de Burgdorf, installée et meublée avec goüt et ornée d’objets suisses anciens, il possédait encore une jolie campagne au bord du lac de Thoune, il aimait a aller se reposer de ses fatigues.

En 1890, il devint membre de notre société. Longtemps aupara- vant, il avait reuni une remarquable collection de medailles suisses a l'exclusion des monnaies. La série bernoise et celle de l’ancien corps helvétique y étaient particulièrement bien représentées.

D'un commerce très agréable, il aimait à faire les honneurs de sa maison à ses nombreux amis qui y furent toujours reçus avec une amabilité et une cordialité exquises.

Une maladie trés douloureuse, que la science ne put qu’attenuer, le til souffrir pendant la dernière année de sa vie. Il mourut le 7 janvier 1905 pleuré de sa nombreuse famille et regretté sincérement de ses concitoyens.

Charles-Richard Holder est le 23 septembre 1865 à Berentz- weiler (Alsace), son père était instituteur. Le 10 août 1890, il fut ordonné prêtre. La même année, au mois d'octobre, il sc fit inserire à l'Université de Fribourg récemment fondée, comme élève à la faculté de philosophic, principalement pour les cours d'histoire.

En 1892, il passait son doctorat en philosophie et fut le premier docteur de VUniversité de Fribourg. Bientôt après, il devint adjoint du bibliothécaire cantonal, M. l'abbé Gremaud; a la mort de celui-ci, le 20 mai 1897, il fut nommé bibliothécaire en chef, et le 17 mars 1900, professeur extraordinaire de l'histoire de l'antiquité à l'Université de Fribourg. Au mois de septembre 1902 se déclarent les premiers symptômes du mal qui devait l'emporter, le 5 mai 1905, à l'âge ile quarante ans à peine. En 1901. il était nommé membre de l'Aca- démie des sciences, belles-lettres et arts de Besancon : peu de temps avant de mourir, il était proposé comme professeur ordinaire de droit canonique dans une université d'Allemagne.

Il avait l'amour des recherches scientifiques; son but était moins d'approfondir une question que de fournir à la science de nouveaux

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éléments en mettant au jour des documents nouveaux, des sources iné- dites: c'était un explorateur. Il avait de grandes connaissances bibliogra- phiques, parlait avec une égale facilité les deux langues française et allemande. Il fit à la Bibliothèque cantonale de Fribourg des innovations et améliorations importantes. Les quinze années qu'il passa à Fri- bourg ont été extrêmement fécondes. Il a recueilli et commenté de nombreux documents et laissé, en mourant, des manuscrits de valeur à la Bibliothèque cantonale.

Il n’a rien publié sur la numismatique, mais il s’intéressait beau- coup à cette branche auxiliaire de l’histoire.

La liste de ses travaux se trouve dans la Bibliographie fribourgeoise paraissant chaque année dans les Freiburger (reschichtsblälter, organe de la Société allemande d'histoire de Fribourg.

M. le président relate ensuite les travaux du comité, qui s’est occupé entre autres d'entretenir des relations d'échanges avec les sociétés similaires, puis a élaboré une circulaire destinée à faire connaitre notre Société et à lui amener de nouvelles adhesions. Il donne quel- ques détails sur la marche de la Revue et explique les difficultés que rencontre le comité pour assurer sa publication; en effet, le président, | absorbé par de multiples occupations, ne peut lui consacrer que peu de temps ct c'est qu'il faut chercher la cause de son irrégularité ; d'autre part, l'insuffisance de nos ressources financières empêche le comité de faire plus qu’il n’a fait jusqu'à présent et l’oblige à espacer les livraisons. En terminant, le président émet le vœu que nos collègues d’autres cantons étudient la possibilité de prendre la succes- sion du comité pour une nouvelle période.

L'assemblée approuve les rapports du trésorier et des vérificateurs des comptes, puis le secrétaire présente celui de M. Cailler, bibliothe- caire, empêché d'assister à la réunion !.

Suit une discussion, à laquelle prennent part MM. Geigy, Künzler. Lehr et Bovet sur l'insuffisance de nos ressources et les moyens d'assurer la publication de notre Revue. M. Grossmann démontre que nous dépensons plus que nos recettes ne nous le permettent ; en effet, chaque membre paie 10 francs de cotisation et reçoit pour 13 francs d’imprimes. En somme, l'assemblée est favorable à l’idée de diminuer les articles en petit texte et à faire paraître des fascicules plus restreints, mais à des intervalles plus rapprochés.

ı Voir p. 115.

419

On passe ensuite à l'élection du comité pour une nouvelle période 5 de trois années; sur la proposition de M. de Molin, appuyé par M. Geigy, a le comité sortant de charge est réélu, soit : MM. P.-Ch. Strehlin, Grossmann, Cailler, Benassy, Cahorn, Demole et Jarrys.

MM. Gallet et Michaud sont nommés vérificateurs des comptes.

On entend encore un travail de M. de Molin sur «les débuts du mon- nayage vaudois », après quoi on se rend à l'hôtel de France pour le diner, à issue duquel d’aimables paroles sont prononcées par MM. van Muyden, syndic; Mottaz, président de la Société vaudoise d'histoire ; de Palezieux-du Pan; Dreyfus et Künzler.

Le jeton commémoratif distribué aux membres présents reproduit l’effigie de l’archeologue Troyon; il a été gravé par notre collègue M. Hans Frei, de Bale, et frappe par nos collegues MM. Huguenin freres, au Locle. Quelques exemplaires spéciaux frappes par la Mon- naie de Paris sont vendus aux amateurs.

Ensuite, visite du palais de Rumine, sous la direction de M. Simon, à architecte cantonal, puis du Château, du Musée archéologique et du =. medaillier, dont M. Gruaz fait les honneurs, et enfin de la cathédrale, sa sur la restauration de laquelle M. Næf donne des renseignements. | Le soir, souper au cercle de l’Arc, M. le conseiller Cossy apporte les salutations et les vœux du gouvernement.

M. Michaud donne quelques explications sur les monnaies de l’Evö- ché de Bale, à propos de son travail publié dans la Revue |.

M. le D" Grunau fait l'historique de la Société économique du can-

ton de Berne et des médailles qu’elle fit frapper pour récompenser les 3 arts, les lettres, les sciences et surtout l'agriculture. i M. le prof. Ernest Lehr parle des thalers frappés à Ensisheim par les landgraves autrichiens et de leur fabrication speciale au moyen de = rouleaux portant cing tétes et cing revers, ce qui en explique la prodi- gieuse varieté de coins.

Enfin, M. Albert Nef présente un exposé très détaillé des fouilles entreprises dans l'église abbatiale de Romainmôtier; grace au plan, les diverses périodes sont marquées de teintes différentes, l'auditoire suit les transformations successives de cet édifice depuis sa fondation au vie siècle jusqu’à l’époque de la domination bernoise.

La soirée s’est terminée par l’exposition d’une partie de la collec- tion Wilmersdörfer, faite par M. J. Hamburger.

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! Les monnaies des princes-ereques de Role, dans la Merue suisse de num.,

t. NUE, p. 5.

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La journée du lendemain fut consacrée à la visite du chateau de la Sarraz, dont M. de Mandrot fit les honneurs, et & celle de Romain- mötier sous la conduite de MM. Nef et Chatelain.

——

Rapport du trésorier pour l'exercice 1904.

MESSIEURS ET CHERS COLLEGUES,

Nous venons vous soumettre le rapport financier de l’exereice elö- turé le 31 décembre 1904, qui ressemble, dans ses grandes lignes, a celui de 1903.

Bilan comparatif pour 1903-1904.

I. Dépenses 1903 1904 Impressions et illustrations......... Fr. 2271 80 Fr. 2981 75 Frais généraux ...........,....... » 383 70 » 504 50 Bibliothèque Release » 24 » 54 05 Caisse (solde débiteur)............. » 1913 65 » 1008 05

Total....... Fr. 4593 15 Fr. 4548 35

II. Recettes 1903 1904 Cotisations annuelles.............. Fr. 1960 Fr. 1880 Cotisations arriérées............... i 20 » 30 Abonnements à la Revue........... n 163 50 » 294 75 Droits d’entrée aan eee » 90 » 60 Vente de publications... ........... » 12 75 » 119 75 Frappe de médailles............... » 301 40 » 190 40 ANNONCES. LL... » 10 a ea Interets soe ieee ecw nana » 57 50 » 59 80 Caisse (solde de l'exercice précédent). . . . . . . » 1978 » 1913 65

Total....... Fr. 4593 15 Fr. 4548 35

Le solde disponible se compose de Fr. 785 95 déposés chez M. IL. Boveyron et de » 222 10 en caisse.

Fr. 1008 05

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La diminution très sensible de 905 fr. 65 de notre avoir disponible 1 prévue dans notre précédent rapport. Ce ne sont pas tant nos recettes qui diminuent, mais nos dépenses pour impressions et illus- lrations qui augmentent sans cesse. On peut même prévoir pour 1905 in disparition complète de nos fonds disponibles.

Par contre, le fonds de réserve, fr. 1000, déposé en titres divers chez M. IL Boveyron, n'a pas varié et nous n’y toucherons pas, à moins l'une autorisation spéciale de la part de la société.

Encore une fois, le trésorier adresse un pressant appel a tous les membres en les priant de faire autour d’eux une réclame intense pour amener de nouveaux sociétaires. Nos ressources réguliéres n'augmentant pas, ne nous permettront plus la continuation de la l'evue, ce qui serait profondément regrettable pour tous.

Geneve, 15 septembre 1905. Th. Grossmann, dresorier.

Rapport des verificateurs des comptes.

MESSIEURS ET CHERS COLLEGUES,

Nous avons a vous présenter un rapport sur les recettes et dépenses le notre société pendant l’exercice 1904. Nous avons pointé les coritures et avons constaté avec plaisir que notre trésorier met toujours l même soin à s'acquitter de sa tâche.

Notre situation financière n'est pas brillante et nous avons enre- vistré avec regrets an recul très sensible sur les exercices précédents.

Notre fortune au 31 décembre 1904 se décompose comme suit :

londs de réserve en 10 obligations diverves......... Fr 1000 (‘hey notre banquier, M. H. Boveyron.............. » 785 90 DIE UN: Cain ee. de 22210

Total........ Fr. 2008 05 I] était au 31 décembre 1903 de » 2913 65

Diminution....... Fr. | 905 60

Les recettes n’ont pas diminue sensiblement, par contre les dépenses ont subi une augmentation considérable, nécessitée par la publication de In Zeerzie. Y a-t-il lieu de supprimer les illustrations ? Pour notre rt, nous le regretterions sineerement. Nous ne pensons pas non plus

45 qu'il soit possible de recruter beaucoup de nouveaux membres; les sports à la mode, automobilisme, tir, foot-ball, ete., detournent de l'étude un nombre toujours plus considérable de personnes. Nous en arrivons à formuler à nouveau le vœu que nous émettions l’année dernière, de tàcher de nous allier à d’autres sociétés similaires, afin de diminuer les frais généraux, spécialement en ce qui concerne nos publications. Nous serions reconnaissants à notre comité de bien vou- loir étudier cette question.

Nous vous prions, chers collègues, de donner décharge à notre caissier avec sincères remerciements.

Ponts-de-Martel, le 19 septembre 1905.

Charles Emery. Georges GALLET.

Rapport du bibliothécaire.

MESSIEURS,

Obligé par notre règlement de vous présenter un rapport trisannuel sur l'état de nos collections, je m’acquitterai de ce devoir aussi brievement que possible. Je serai d'autant plus court que notre bibliothèque, la plus importante de ces collections, semblable en cela aux nations heureuses, n’a pas d'histoire.

Plat au ciel qu'elle en efit une, car ce serait la preuve que nous vivons d'une vie debordante et productive, alors que nous végétons, si nous devons en croire le peu de services que nous lui demandons.

Le nombre des périodiques qui nous sont adressés s'est augmenté de six et a diminué de deux. Nous échangeons donc notre Revue contre cinquante journaux divers, vy compris la Gazelle numismatique (belge), don de M. Ch. Dupriez, et la Zeitschrift für Numismatik, que notre président n'oublie jamais de nous envover. Les journaux qui ne nous parviennent plus sont le Numismatischer Anzeiger, qui a cessé de paraitre, et la Frankfurter Münzzeitung, que l'éditeur n’a plus voulu nous envoyer; nous recevons en revanche la Numizmatikai Közlöny, organe de la Société madgvare de numisma- tique, la Zeitschrift für Münz- und Medaillenkunde, nouvelle publi- cation de la Societe autrichienne pour la connaissance des monnaies et des médailles, le Bollettino di numismatica e di arte della medaglia, édité par le Cercle numismatique de Milan, la Jtasseyna numismatica,

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publice par M. Furio Lenzi; le Jahrbuch der historischer-anliquar- ischen Gesellschaft von Graubünden et enfin le Journal des Collec- tionneurs, dirige par MM. C. Muriset et P.-Ch. Streehlin.

Ces cinquante revues diverses sont le plus sür et le plus clair des accroissements de notre bibliothèque. A ce novau, dont l'importance n'est pas sans fluctuation, ainsi que vous venez de l’entendre, viennent s’ajouter les tirages a part d’articles de periodiques qui nous sont toujours envoyés en assez grand nombre et une certaine quantite d’ouvrages de valeur donnes par leurs auteurs afin que nous en rendions compte.

Cette facon de garnir nos rayons explique que, si nous sommes relativement riches pour telle branche de la numismatique, nous sommes absolument pauvres pour telle autre. Nous ne pouvons rien changer à cela, car nos très modestes ressources nous défendent le plus léger sacrifice au profit de nos-collections, ainsi que vous l’a laissé comprendre notre devoue trésorier.

De temps en temps, nous sommes cependant obligés de faire quel- ques reliures, pour préserver de la ruine certains ouvrages plus consultés que d'autres. Nous avons eu cette année, de ce chef, un peu plus de frais que précédemment, car un de nos meubles s’est subite- ment effondré, entrainant dans sa chute tous les volumes dont il était chargé. Un accident semblable n’est pas sans avoir quelques conséquences facheuses, qu’il a fallu réparer dans la mesure du possible.

Dans mon dernier rapport, je me suis assez longuement etendu sur le fait que nous recevions beaucoup de catalogues incomplets des listes de prix. Mes constatations à ce sujet n’ont obtenu aucun effet, ct ma voix est restée la vor clamans in deserto. C'est très regrettable, particulièrement pour quelques collègues qui n’ont, à cause de cela, pu trouver aupres de nous les renseignements qu’ils cherchaient.

Avec sa complaisance habituelle, notre president a tenté de remé- dier a la chose en faisant completer, par son secrétaire, certains cata- logues importants. Nous lui en exprimons toute notre gratitude.

Pendant les trois derniéres années, les donateurs de notre biblio- theque ont été si nombreux, que dans la crainte d'en oublier un scul, je me dispense de les enumerer ici. Leurs noms ont été d'ailleurs ponctuellement publiés dans la Revue. Par mon intermédiaire, le comité leur adresse encore à tous un cordial merci.

Avant de quitter ec qui concerne la bibliothèque, je desire rappeler à tous ceux qui l'utilisent que, dans la règle, les livres ne doivent

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sortir que pour une durée marima de trois mois. Dans le cas ce délai serait trop court, j'insiste pour qu'on veuille bien m’en aviser, en évitation de réclamations toujours désagréables et de frais de correspondance qui, si petits soient-ils, sont encore de trop.

Je n’ai rien de spécial a dire du médaillier, qui compte aujourd'hui 1475 pièces. La plus importante des augmentations dont il a bénéficié est due a notre collegue, M. Fred. Baur, de la Chaux-de-Fonds. En ontre, la société du Verbano, & Locarno, nous a fait don des coins obliteres de la medaille d’inauguration du stand de Locarno en 1900. Il est à souhaiter que cet exemple soit suivi par les nombreux comités de fêtes qui éditent des médailles. On empécherait ainsi de trop nom- breuses refrappes.

L'album des portraits de nos membres commence à présenter un certain intérét; il contient actuellement vingt-trois photographies, ce qui est encore bien insignifiant, eu égard à l'importance numérique de la société. A chacun de vous, Messieurs, de l’enrichir.

A côté de ces diverses collections dont il vient de vous entretenir, notre bibliothécaire est tenu de conserver le stock de nos publications qui grandit chaque année, alors que notre local ne s’elargit pas. Cet envahissement, qui n'est pas sans lui donner quelque souci, a pour seule cause le trop fort tirage de la Revue. A diverses reprises, j'ai soutenu cette thèse au comité. sans que les arguments qui m'ont été opposes aient modifié ma manière de voir.

En effet, après avoir prélevé ce que nous devons & nos correspon- dants et à nos sociétaires, nous avons encore, pour chaque volume, une centaine d’exemplaires environ qu’il s’agit d'écouler.

Il serait peut-être j’appuie sur l'adverbe il serait peut-être facile d’en tirer avantageusement parti si l’un de nous se faisait le courtier bénévole de la société en visitant les libraires et les asso- ciations scientifiques, non seulement de notre pays, mais aussi de l'étranger. Comme nous ne pouvons rien demander de pareil, il arrive que ces volumes, ne trouvant aucun amateur et aucun débouché, deviennent forcément de la maculature.

Pour remédier à cet encombrement, je conseille de réduire notre tirage de 50 ou 75 exemplaires, quitte à l'élever plus tard si besoin est. En plus de l'avantage cherché, notre Revue prendrait immé- diatement une certaine valeur de rareté. Pour des collectionneurs, ee ne serait certes pas à dédaigner.

A côté du stock énorme de notre Jterxe, nous avons encore en

REVUE NUM. T XIII. 27

MS

abondance le mémoire de M. le D" Imhoof-Blumer sur les Zydische Stadimiinzen et l'édition quasi-complète de celui de M. le Dr Lade sur le Trésor du Pas-de-! Échelle. Malgré la valeur incontestable et incontestée de ces deux travaux, ils sont et il est à craindre qu'ils y soient encore longtemps.

Nous possédons aussi un médaillon de plâtre de grand module, à l'effigie de Morel-Fatio. Nous pensions le céder au prix de 3 fr., ce qui nous aurait permis de réaliser un assez joli bénéfice, le malheur est qu'aucun acheteur ne s’est présenté jusqu'ici. Cette œuvre, qui fait honneur à notre collègue, M. H. Huguenin, est tout indiquée pour orner le cabinet de travail d’un archéologue ou d'un numismate... füt-il vaudois. A bon entendeur, salut !

De tout ceci il se dégage une leçon: c’est que la Société doit s’abstenir absolument des opérations commerciales, car elle n'est pas organisée pour les faire aboutir.

En terminant ce rapport, que je ne supposais pas devoir étre si long, je désire presenter la statistique des accroissements de nos diverses collections pendant la période 1902-1905.

Année | Année | Année 1902--1903 1903— 1901 : 190f—1908, .

Livraisons périodiques............ 229 199 220 | Livres ou brochures non périodiques. 58 64 | 76. Catalogues. ..... a EINE 44 32 57

MONNATES,: nan ee .. ° 16 22 2

| Médailles. ,... Habite Pr tee 53 48 i; 10

PA OMB es eng E RI na, DI 4 Livres sortis...,.............. eee Mouv. (73 v.) 50 ea. (76 v.)TGoar. (104 ¥.) Emprunteurs.......... basques UD 14 | 17

Cliché prêté à une personne... ..... 1 1 1

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La bibliothèque compte aujourd’hui approximativement quatre mille quatre cents volumes et brochures.

Genève, 20 septembre 1905.

IH. Can.ner, bibliothécaire.

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XXVII Assemblée générale tenue à Berne le 22 septembre 1906.

Participants : MM. P.-Ch. Stroehlin, Grossmann, Jarrys, Conchon, Dominicé, E. Dreyfus, Kiinzler, Furet, de Stoutz, van Muyden, de Ge- nève; Geigy et Lugrin, de Bale; Adrian, Girtanner-Salchli, D" Grunau, de Jenner, Lemp-Wyss, Le Roy, Nydegger, Thormann, de Berne; G. Gallet, Michaud, Perret, Perrochet, de la Chaux-de-Fonds; de Molin, Tissot, de Lausanne; Custer, du Locle; F. Haas, Kaufmann, Ribary, de Lucerne; A. Meyer, de Moudon; Jobin, Perregaux, de Neuchatel; Arthur Bally, de Schénenwerd; A. Ikle-Steinlin, Albert Steiger, de Saint-Gall; F. Engel, de Thoune; D* Imhoof-Blumer, de Wintherthour; Henrioud, d’Yverdon; A. Babut et P. Bordeaux, de Paris.

Invites participant à l'assemblée : MM. Blau (représentant de la Société des artistes bernois), de Büren, de Fellenberg, D' Jaggi, de Mandach, Sterchi, Türler (archiviste d’Etat), von Arx et Gerber (jour- nalistes). | |

La séance est ouverte à 9 heures du soir, dans la grande salle de l'hôtel du Pont, sous la présidence de M. P.-Ch. Stroehlin.

Après la lecture du procès-verbal de la dernière assemblée générale, le président passe en revue l'activité de la société pendant l'année.

Le comité a eu à enregistrer une augmentation de quatre membres contre une démission et un décès, celui de M. Ant. Benassy-Philippe, dont M. Strehlin retrace la carrière en quelques mots.

Antoine Bénassy-Philippe', en 1850, à Annonay (Ardèche), décédé à Genève le 12 mars 1906, était membre de la Société suisse de numismatique depuis 1893 et fut appelé à faire partie du comité en 1904.

Très assidu aux séances de la section de Genève, qu'il présida pen- dant une année, il y faisait fréquemment des communications intéres- santes, soit sur ses excursions ou ses trouvailles en Tunisie il possédait des propriétés -— soit sur les monnaies romaines ou gene- voises, qu’il collectionnait assidûment.

Par son mariage avec M' Philippe, il était devenu l’un des associés de la célèbre maison d’horlogerie Patek-Philippe et C'°, qui fut trans- formée plus tard en société anonyme, dont il présida jusqu’à sa mort Je

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1 Voir pl. XXI.

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conseil d’administration. Il donna une grande extension a cette impor- tante industrie, à laquelle il consacrait une partie seulement de son inlassable activite.

Bénassy-Philippe était un des membres les plus influents de la colonie francaise de Genève. Il fut fondateur de la Chambre de com- merce francaise et du Cercle francais et il apportait son active colla- boration A un grand nombre d’autres societes.

Il prit aussi une grande part à l’organisation de l’Exposition nätio- nale suisse de 1896 et fut un des initiateurs du projet de percement de la Faucille. En sa qualité de vice-président de cette association, il s'occupa surtout de la propagande & faire en France pour la réussite de cette grande ceuvre.

Il était conseiller du commerce exterieur et chevalier de la légion

d'honneur.

Le président donne ensuite quelques renseignements sur la marche de notre Revue, toujours entravée par les raisons énoncées dans ler rapports précédents, en particulier par le manque de ressources finan- eieres.

Pour le prochain fascicule, comportant la premiere partie d’un tra- vail sur les monnaies grecques et romaines de notre savant membre honoraire M. le 1)" Imhoof-Blumer, cet auteur a bien voulu collaborer financièrement à une partie des frais occasionnés par les planches illustrant son memoire.

Le comité espère pouvoir publier dans le t. XIV la fin du travail de M. de Palezieux-du Pan sur Za Numismatique de Pévéché de Sion, pour lequel près de deux cents clichés sont déjà prets. On possede également un grand nombre de reproductions de monnaies saint- galloises devant accompagner un article de M. Ikle, de Saint-Gall.

M. Strochlin s'est occupé de remettre sur pied l’Znventaire des mon- naies de Genève, commencé il y a quelques années par la section de Genève. En outre, plusieurs planches de médailles nouvelles sont tirées, en attendant que le texte explicatif puisse être livré à l'impression: une grande partie de ce manuscrit est préparée.

La rédaction des mélanges et comptes rendus bibliographiques devra être à l'avenir très écourtée, si ce n’est supprimée, tout d'abord par raison d'économie et ensuite par le fait que ce travail retombe exclusivement sur notre président, dont le temps est extrêmement limité, ainsi qu'il l’a déjà signalé lors de la dernière assemblée générale.

L’assemblée entend ensuite le rapport du tresorier et colui des véri- ficateurs des comptes, lu par M. Gallet. |

Ce dernier, en vue de sortir nos finances de l’état precaire dans lequel elle se trouvent, et proposant une cotisation supplémentaire facultative, la discussion est ouverte sur ce sujet.

MM. de Molin, de Stoutz et Kiinzler prennent la parole pour pro- poser de porter la cotisation 4 15 francs. M. Grossmann, tout en cons- tatant l’insuffisance du chiffre actuel, s’oppose à une augmentation; il se rallie plutôt à la proposition de M. Gallet de faire appel aux bonnes volontes.

Il n'est pas donné suite à une proposition de M. P. Bordeaux de faire payer aux membres honoraires l'envoi des publications de la société, et l'assemblée, par 15 voix contre 14, décide de porter à 15 francs le chiffre de la cotisation annuelle.

MM. Gallet et Michaud sont confirmés comme vérificateurs des comptes.

L'ordre du jour appelant la nomination d’un membre du comité en remplacement de M. Bénassy, décédé, l'assemblée désigne à l’unani- mité M. F. de Stoutz, de Genève.

M. le président remercie les organisateurs de cette réunion, particu- lièrement M. le D" Grunau, puis lève la séance à 10 heures 15.

On entend encore lecture d’un travail de M. Eug. Demole sur la photographie rapide des médailles, puis M. Grossmann présente des monnaies bernoises en or d’une grande rareté.

Cette séance administrative a été précédée d'une séance générale publique, tenue le matin dans la salle du Grand Conseil. On ya entendu une conférence de M. le Grunau sur l'origine des mon- naies, dont l’auteur fait remonter les premières frappes de 700 à 650 ans avant J.-C. dans l'Italie méridionale, la Grèce et l'Asie mineure. Cet exposé était appuyé d'exemples sous la forme d’un beau choix de monnaies apportées par le conférencier.

M. P.-Ch. Sstræhlin a parlé ensuite de l'importance de la numisma- tique, de son étude et de ses différents domaines, et plus spécialement de la numismatique suisse.

Un banquet réunissait ensuite les sociétaires à l'hôtel des Boulan- gers, de nombreux discours ont été prononcés.

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Rapport du tresorier pour l'exercice 1905.

MESSIEURS ET CHERS ÜOLLEGUES,

Eu vous présentant les comptes et Je résultat financier de l'année 140), Hous commencous comme d’habitude par les comparer a ceux lu l'exercice précédent.

Bilan comparatif pour 1901-1905.

I. Dépenses 1904 1905 Impressions et illustrations ......... Fr. 2981 75 Fr. 2620 30 PARP MONCTAUXK ae ess heroes » 504 50 ©» 529 50 Hibliothèque PR LS » 54 05 » 30 (‘uisse (solde débiteur). ............ » 1008 05 » BAT 45

Total....... Fr. 4548 35 Fr. 3727 25

II. Recettes 1904 1905 Cotisations annuelles..........,,,, Fr. 1880 Fr. 1910 (‘olisutions arriérées............... » 30 » 80 \honnements à la Revue........... » 294 75 » 172 50 I)roits d'entrée...............,.,.. » 60 » 80 Vente de publications... ............ » 119 75 » 240 25 Frappe de médailles............... » 190 40 » 149 60 Sh TARE E » » 30 BER ci Se » 59 80 » 56 85 Unisso (solde de l'exercice precedent). . . . .... » 1913 65 » 1008 05

Total....... Fr. 4548 35 Fr. 3727 25

Nous constatons avec regret une nouvelle diminution de nos sources disponibles; celles-ci n’étant plus, au 31 décembre 1905, jue ilo 547 fr. 45, ont par conséquent diminué de 460 fr. 60 sur l'exeroice 1904.

\ouus avions prévu le cas dans nos précédents rapports et, malgré ius appels pour étendre le cerele de nos relations, soit par l'admission le nouveaux membres actifs, soit par un plus grand nombre d'abonnés

leve, nous avons seulement maintenu nos positions.

Les nouveaux membres reçus ont cependant suffi pour combler les lacunes causées par les décès et les démissions survenues pendant le dernier exercice, et, par ce fait, nous ne nous trouvons pas dans tune plus mauvaise position que l’année dernière. Nous aurions cepentlunt préféré pouvoir sortir de cette impasse.

Nos réserves, sous forme de diverses obligations, n’ont pas varie ci représentent la même valeur d’un millier de francs, suivant l'uttes- tution de notre banquier, M. H. Boveyron, chez qui elles sont déposées.

En terminant, nous adressons un nouvel appel à tous nos membres pour qu'ils fassent connaître notre société et le but qu'elle poursuit.

Genève, 14 septembre 1906.

Th. Grossmann, (résorivr.

Rapport des vérificateurs des comptes.

MonsiEUR LE PRÉSIDENT ET MESSIBnURS,

Nous avons procédé au pointage des différents postes do la compiti bilité de notre société comme chaque année. Le tout a été reconnu parfaitement juste.

A la clôture de l'exercice, nous possédions :

Huit obligations 3 °/o Genevois.................... Fr. SUN

Deux obligations 3 '/s °/ Chene-Bougeries.......... » 200 Chez notre banquier its ea à 12 SU En ealsses ers semaine sp AMI

Total de l’actif au 31 décembre 1905, ...... Fr. 1547 45

Resultat peu brillant, car, comme le fait remarquer notre caissier. nos ressources ont diminué de 460 fr. 60 sur l’exercice 1904.

Nous nous demandons si notre société ne pourrait pas essiyer, pour augmenter ses ressources, de créer des cotisations supplemen- taires, mais fucultatives, pour un montant laissé libre à chaque membre. Ce moyen est employé dans quelques societes qui se feliciteni de l’avoir adopté. Nous trouvons du reste la cotisation actuelle lieu modeste pour tous les avantages que notre Société nous procure sous

tant de rapports.

427%

Nous terminons en remerciant notre dévoué caissier, M. Th. Gross- mann, pour tout le zèle qu'il met à remplir consciencieusement ses ingrates fonetions. Nous vous prions de lui donner décharge avec ruincreiements.

La Chaux-de-Fonds, 17 septembre 1906.

A. Micnaup. Georges GALLET.

Extrait des procés-verbaux du Comite.

Seance du 13 nocembre 1906. MM. Henri pe CASTELLANE, à Paris. iprésentè par MM. Bordeaux et Strehlin): Max SEILER, caissier de bunque, à Asnières, Seine (présenté par MM. Strwhlin et Jarrys), et \lfred Brunner, Dt med. à Winterthour (présenté par MM. Stræhlin ut Grossmann), sont admis au nombre des membres actifs.

XXVIII" Assemblée générale, tenue à Bâle les 19 et 20 octobre 1907.

Lia séance, convoquée au Schützenhaus, est ouverte à 6 heures, sous In présidence de M. Paul-Ch. Stroehlin.

Sont presents : MM. P.-Ch. Strehlin, president, et Th. Grossmann, trésorier, représentant le comité; MM. Babut, Bally-Herzog, Berga, Blumer-Egloff, Briiderlin, Conchon, Dominicé, Dreyfus, Frey, (in]let, Geigy, Grunau, Haas, Henrioud, Iklé-Steinlin, Imhoof-Blumer, Lugrin, Meyer, Michaud, van Muyden, Ribary, de Rivaz, Rellin, Ruegg, Sattler, Thilo-Schmidt, Walch, auxquels viennent s’adjoindre le len- demain MM. Geissler et Tissot. Au total, 31 membres.

Le president excuse M. Jarrys, secrétaire, empêché de se rendre à Bâle, et donne lecture des lettres d’excuse de MM. P. Bordeaux, Unhorn, Lehr et Lang-Schneebeli.

M. le president mentionne les pertes que la société a faites par le dees de quatre membres : MM. W. Bachofen', à Bale; Louis Le

Voir p. 430.

455

Roy. à Berne; Jules Meili, à Zurich, et Hans Riggauer, à Munich !. Ces trois derniers se sont signales par des travaux remarquables con- cernant la numismatique.

Quatre candidats sont ensuite reçus membres actifs de la société. Ce sont : MM. TuÙico-Scuminr, bureau technique, à Zurich (présenté par MM. Streehlin et Grossmann); Philippe Moricanp, a Paris (pré- sente par MM. Demole et Strehlin), et JAacoT-GuiLLARMOD, graveur à Genève (présenté par MM. Stroehlin et Grossmann). M. Thilo-Schmidt étant present à la séance, M. le président lui souhaite une cordiale bienvenue.

Le rapport du trösorier et celui des verificateurs des comptes sont lus et adoptés à l’unanimité.

La cotisation pour 1908 est maintenue au chiffre de 15 francs.

Messieurs les vérificateurs des comptes, ayant rempli leur mandat pendant trois années, demandent à être remplacés dans ces fonctions; l'assemblée désigne pour leur succéder MM. le D" G. Grunau et Charles Fontanellaz, tous deux à Berne.

Les villes de Vevey ou d’Yverdon sont proposées comme lieu de la prochaine assemblée générale. M. Henrioud fait valoir les avantages d’Yverdon et promet que la société y recevra le meilleur accueil; ce choix est ratifié par les membres présents.

M. F. Haas, de Lucerne, propose la création d’une carte de légiti- mation pour les sociétaires, de façon à leur faciliter l'accès des musées et cabinets de numismatique qu'ils pourraient être appelés à visiter. Cette proposition est appuyée par le président qui l’étudiera ct fera en sorte de soumettre un projet définitif lors de la prochaine réunion.

M. le président s'excuse du fait qu'aucune livraison n'a pu être envoyée aux membres dans le courant de l’année écoulée. IT déelare que ses travaux personnels l’absorbent toujours davantage et demande qu'on veuille bien lui adjoindre un ou plusieurs membres pour l'aider dans le travail de rédaction de la Revue. Cet appel reste sans écho parmi les membres présents.

M. Geigy, prenant la parole au nom de ses collègues de Bâle, souhaite la bienvenue aux membres présents: il regrette de n’avoir pu préparer un programme la numismatique ait la part prépondérante, car le cabinet des médailles de Bâle n’est pas visible en ce moment, pour cause de remaniements dans la classification. Les sociétaires devront

' Voir p. 133.

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se contenter de visiter les autres musées et les collections particu- lières.

La séance administrative est levée à 7 heures et l'on passe au souper. très animé, pendant lequel les participants sont heureux de retrouver d'anciennes connaissances et de former de nouvelles relations.

Il est procédé à la distribution du jeton gravé par M. Hans Frei et frappé pour l'assemblée; l’auteur reçoit des compliments bien mérités pour le petit « Erasme » qu'il a su rendre avec le talent que chacun connait.

Vient ensuite le tour des communications personnelles, avec cxpo- sition de pièces remarquables. M. Strehlin, entre autres raretés de premier ordre, présente un thaler de Bâle, de 1548, jusqu'ici inédit, qu'il a eu le privilège d'acquérir dans le courant de l’année. Il est donné lecture d’une note de M. Demole, concernant l'énoncé des légendes numismatiques. (Voir Revue Numismatique, 1907, p. xcvi.)

MM. Brüderlin et Geigy, qui ont chacun des trésors accumulés dans leurs cartons, se sont fait un plaisir d'apporter de magnifiques spéci- mens de la série bâloise, tant de la Ville que de l'Évêché. La soirée se prolonge ainsi agréablement jusqu’à minuit.

L'ordre du jour du dimanche, très charge, débuta par une visite chez M. Hans Frei, lequel fit les honneurs de son atelier moderne de graveur. On admira en détail la série de ses œuvres, dont la plupart ne sont pas dans le commerce. La réputation de cet artiste n'est plus à faire, aussi lui dirons-nous simplement un cordial « merci » pour l'heure délicieuse qu'il a fait passer à ses visiteurs.

Les sociétaires se rendent ensuite au Musée historique, au Barfüsser- platz, pour admirer les objets intéressants et précieux qui y sont ren- fermés, puis de à l'Hôtel de Ville, dans la salle du Conseil de bourgoisie, a lieu, à 11 heures et demie, la séance générale publique, dans laquelle on entend la lecture de deux intéressants mémoires, l’un de M. le Dr Alfred Geigy sur les Monnaies anciennes de la Suisse, mentionnées dans les mandats monétaires etrangers, et l'autre de M. le D" G. Grunau sur le Crime de fuux-monnayage et les pénalités qu'il encourail dans le passé. Le banquet officiel a lieu ensuite au Casino; les autorités de Bâle s’y firent représenter par M. le prof. Stückelberg.

L’aprés-midi fut consacrée à visiter les ruines romaines de Basel- Angst sous la conduite de M. Geigy, qui donna les explications les

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plus détaillées sur les fouilles entreprises par une société dont le siège est a Bale.

Apres une courte excursion dans la petite eite de Rheinfelden, les participants rentrerent à Bale et se séparérent en se donnant rendez- vous & Yverdon en 1908.

Rapport du trésorier pour l’exercice 1906.

MERSIEURS ET CHERS COLLEGUES,

Depuis plusieurs années votre trésorier n’a pu vous présenter que des comptes soldant régulièrement par un déficit, ce qui n'était pas normal pour la bonne marche des affaires de notre société. La der- niere assemblée générale, tenue à Berne a changé notre situation financière de telle sorte que nous pouvons vous annoncer une position bien différente :

Bilan comparatif :

I. Dépenses 1905 1906 Impressions et illustrations....... Fr. 2620 30 Fr. 1220 80 Frais généraux. ....,........... » 529 50 » 422 45 Bibliothèque dalai Ca a AL an Ue » 30 —- » —- Caisse (solde débiteur) .......... » 547 45 » 2022 95

TOUR ca when bs Fr. 3727 25 Fr. 3666 20

II. Recettes 1905 1906

Cotisations annuelles............ Fr. 1910 --- Fr. 1850

» arrierées ,.....,..... » SO » 40 Abonnements à la /Mteette.......... » 172 50 » bio Droits d'entrée ................. » 80 » 10 —- Cotisations volontaires extraordin . » » 761 -- Vente de publications ... ....... > 240 25 » 46 50 Annonces ..................... » 30 y 50 Interets 82.2. re] » 56 85 » 31 90 Frappe de médailles ............ » 149 60 » 188 35 Caisse (solde de l'exercice precédent) » 1008 0a » 547 45

Total. ....... Fr, 3727 25 Fr. 3666 20

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En examinant le bilan comparatif des exercices 1905 et 1906, nous trouvons que les recettes ordinaires ont encore diminué dans une faible proportion, mais par contre les dons généreux d’un grand nombre de nos sociétaires nous ont procuré un supplément de 761 fr. qui est suffisant pour nous sortir de tous nos embarras antérieurs. Nous disposons d’un solde actif de 2022 fr. 95 qui est très élevé, mais il ne faut pas oublier que nos dépenses ordinaires ont été extrêémement réduites, car nous n'avons dépensé pour nos impressions et illustra- tions que 1220 fr. 80, c'est-à-dire environ la moitié de la somme d’une année normale.

Il n'est pas de mon ressort de vous expliquer les causes de cette économie forcée, qui est certainement regrettable au point de vue de nos publications. Notre président vous a déjà donné les raisons qui sont la cause des retards dans la livraison de notre périodique ; espé- rons qu'il se trouvera bientôt une solution permettant de reprendre normalement l'envoi de nos publications. Nous n'avons rien à craindre pour l'avenir avec l’augmentation de la cotisation annuelle portée a 15 fr. à partir de l'exercice 1907, suivant décision de l’assemblée générale de Berne en 1906.

Nos fonds de réserve, sous forme de diverses obligations, sont restés les mêmes, soit un millier de francs déposés chez notre banquier, M. IL Boveyron, suivant l'attestation de ce dernier.

En terminant, nous adressons nos remerciements sincères à toux les membres qui nous sont restés fidèles et particulièrement aux généreux donateurs des contributions volontaires, qui nous ont permis de sortir de la crise, laquelle menacait de nous ruiner l’année dernière.

Genève, 7 octobre 1907.

Th. Grossmann, lrésorver.

Rapport des verificateurs des comptes.

MoNSIEUR LE PRÉSIDENT ET MEXSIEURS,

Les soussignés, nommés vérificateurs des comptes à la dernière réunion de notre société, à Berne, se sont acquittés de leur tâche le 12 octobre dernier.

Ils ont pointé les entrées ct sorties de la caisse, vérifié les postes du bilan et reconnu le tout parfaitement en règle. Ils vous proposent

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d'en voter la ratification et de donner décharge au caissier avec iles remerciements bien mérités pour ses bons services et le dévouement qu’il témoigne à la société depuis de longues années.

Ceci dit, permettez-nous, Messieurs, de vous faire remarquer que si nos comptes, pour cet exercice, bouclent par un boni, cela tient ii deux raisons : |

Un excédent de recettes sur les autres annnées, provenant de |: cotisation volontaire et qui a produit 761 fr. Remarquons en passant que cette jolie somme cst le produit de vingt souscripteurs seulement. Nous supposons que la souscription reste ouverte et nous espérons «ue les membres de la société qui ne l’ont pas encore fait verseront égalw- ment leur obole à la caisse.

Le boni provient également d’une diminution des dépenses, «lu fait qu'il y a eu une interruption de la publication de notre Revie, dont nous ignorons les causes. Nous espérons que, grace à l’augmenta- tion du chiffre des cotisations annuelles ainsi qu’au produit de |i souscription volontaire, nous pourrons reprendre d’une maniòre suivie notre publication. C'est avec plaisir que nous avons appris par une circulaire du comité que les chapitres consacrés dans notre Revue aux trouvailles et à la revue des périodiques seraient à l'avenir réduits au strict nécessaire. De cette façon nous opereruns une économie appréciable sans diminuer l'intérêt et la valeur de la Revue.

Nous concluons, Messieurs, en vous proposant l’adoption des com} tes qui vous sont présentés, avec remerciements au trésorier.

La Chaux-de-Fonds, le 12 octobre 1907.

Georges GALLET. MicHaun.

430

Nécrologie.

W. BACHOFEN-BURCKHARDT

Im Sommer des vergangenen Jahres ist ein Mitglied unserer Gesell- schaft aus den Reihen der Lebenden geschieden, das dieser seit den »rsten Jahren nach der Gründung angehört hat und das als Schöpfer einer der schönsten unter den bestehenden Sammlungen von alten Schweizerprigungen wohl einige Worte ehrenden Nachrufs in diesen llüittern verdient.

Wilh. BACHUFEN-BURCKHARDT, von Basel, geb. 1853, entstammte cinem Geschlecht, in welchem das Sammeln von Werken alter Kunst Au «len Familientraditionen gehört.

Sein Ur-Grossvater Herr J. Bachofen-Burckhardt und, ich dessen Tod, sein Grossvater Herr J.-J. Bachofen-Merian waren die Besitzer einer weit über die Grenzen Basel’s hinaus hokannten Gallerie von alten Gemälden, namentlich der holländischen Schule.

Ebenso war sein Vater, Herr W. Bachofen-Vischer, ein kenntniss- reicher Sammler, der die künstlerisch-vornehme Ausstattung der Itiume des « Weissen Hauses » am Rheinsprung durch umfangreiche rwerbungen aus allen Gebieten der Kleinkunst weiter ausgestaltete.

Die Besucher der « Historischen Ausstellung für das Kunstgewerbe », lie 1878 in Basel abgehalten wurde, werden sich einer Auslese von oıwa fünfzig Stück der interessantesten Prunkgefässe aus seinem Besitz, die damals zur Schau gelangten, erinnern teils alte Originale, teils Xnehbildungen solcher, letztere zumeist aus der Werkstätte des Hof- «ilberarbeiters Wollenweber in München.

kibenso gewählt war seine bei jenem Anlass nicht ausgestellte sammlung von Taschenuhren, die wertvollste Specimina aller Formen ul Zeiten vom dieken Nürnberger « Ei » des sechzehnten Jahr- hunderts bis zu den mit Emailminiaturen geschmückten zierlichen Arbeiten des achtzehnten Jahrhunderts enthielt.

Mine solche Umgebung war dazu angetan, frühzeitig in unserem verstorbenen Collegen das Verständniss und den Sinn für die Erzeug- lisse der Kunst vergangener Zeiten zu wecken und, noch in den Sehuljahren stehend, hat dieser denn auch den ersten, bescheidenen,

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Grund zu einer eigenen Sammlung, dem spiiter so gliinzende Dimen- sionen annehmenden numismatischen Kabinet, gelegt.

Dass sich der angehende Kunstliebhaber speziell dem numis- matischen Sammelgebiet zugewandt hat, mag wie er selbst zu sagen pflegte mit seinen Grund darin gehabt haben, dass er unter seinen Vorfahren mütterlicherseits die bekannten Basler Goldschmiede Handmann zählte, deren einer auch Stempel zu Basler Medaillen (H 1292, 1293) angefertigt hat.

Die ersten Erwerbungen von besseren Stücken machte Bachofen Ende der 1860er und Anfangs der 1870er Jahre bei Antiquar Woog, freundlichen Angedenkens, in Bern; zum Mitbewerb um die Raritäten der 1868 gleichfalls in der Bundesstadt zum Verkauf ausge- botenen Sammlung R. Jenni langte sein Taschengeld damals noch nicht !

In Basel selbst war zu jener Zeit wenig zu finden ; unserer späterer, verdienter, Präsident, Herr Alb. Sattler, hatte zwar bereits sein Münzengeschäft eröffnet, befasste sich aber in jener ersten Periode fast ausschliesslich mit der antiken Numismatik.

Es folgten die Jahre, in welchen der verstorbene Freund zu seiner geschäftlichen Ausbildung in Lyon, London und Mailand weilte.

In letzterer Stadt speziell scheint er eifrig dem Sammeln der interessanten italienischen Prägungen des fünfzehnten und sechzehnten Jahrhunderts obgelegen zu haben die weit wertvolleren Guss- medaillen aus der gleichen Zeit liess er, was er später oft bedauerte, ziemlich unbeachtet —; auch die zusanımengebrachten Suiten blieben jedoch nicht lange in seinem Besitz, indem er die ganze Reihe später gleichfalls ein Grund zur Reue nach seiner Rückkehr in die Heimat an ein Schweizerstiick (wenn ich nicht irre, den Doppelthaler von 1596 des Basler Bischofs Jacob Christoph Blarer von Wartensec) an Zahlung gab. |

Anfangs der 1880er Jahre nach Basel zurückgekehrt und Teilhaber im väterlichen Geschäfte geworden, war Bachofen nun in der Lage andere Beträge wie zur Schulzeit für die Vermehrung seiner Sammlung zu verwenden, und die Auctionen Garthe (1884), Graffenried von Burgistein (1884), Gutheil (1885), Missong (1885) lieferten ihre schönsten Schweizerstücke in die Cartons unseres Collegen.

Von der Mitte der 80er bis gegen Ende der 90er Jahre ging sodann kaum eine Versteigerung in Frankfurt und München vor sich, ohne ihren Tribut zur Ergänzung der prächtigen Serien des Bachofen’schen

AW

« Thalerkabinets » (Bachofen beschriinkte sich, nach dem Vorbild von Schulthess-Rechberg’s, bei seinen Erwerbungen von Silbermiinzen in der Hauptsache nur auf Stücke bis zum « Dicken », inclusive, hinunter) zu zollen.

Schliesslich entstanden Reihen, die namentlich, was die interes- santen Prägungen der Städte Bern, Freiburg und Solothurn, sowie der Urkantone, von der Wende des fünfzehnten bis um die Mitte des sechzehnten Jahrhunderts, und der « geistlichen Ilerren » betrifft beinahe lückenlos waren und die Sammlung in den vordersten Rang unter den damals in der Schweiz existirenden privaten Kabineten rücken liessen.

Seit Anfang der 90er Jahre, nachdem die Suiten der heimatlichen Stücke auf einem solehen Punkt der Vollzähligkeit angelangt waren, dass die Auetionen nur noch selten etwelche Bereicherung brachten, hatte Bachofen sein Sammelgebiet erweitert und auch die Serien der elsiissischen Münzberechtigten, der deutschen und oesterreichischen geistlichen Herren, sowie einige Spezialitäten, wie die Albrecht von Wallenstein’schen Stücke, in dasselbe einbezogen.

Auch diese Reihen weissen eine Fülle von Raritäten auf.

Bachofen’s Sammeltätigkeit beschränkt sich jedoch nicht auf sein numismatisches Kabinet.

Neben dem weiten Gebiet der Keramik, das in seinen Sammlungen namentlich durch einige exquisite Stücke deutscher Provenienz ver- treten war, war es besonders die den hohen Stand des schweizerischen Kunsthandwerkes während der ersten Hälfte des sechzehnten Jahr- hunderts so glänzend dokumentirende Glasmalerei, der er grosses Interesse entgegenbrachte und deren Erzeugnisse in einer ansehn- lichen Zahl der prachtvollsten Exemplare seine Gemächer schmückten.

Die Mehrzahl dieser Scheiben stammte aus wenigstens, was die erfolgreiche Sammeltätigkeit betrifft illustrem Vorbesitz.

So hat das Eingreifen unseres verstorbenen Collegen manch’ wertvolles Produkt schweizerischer Kunsttätigkeit vergangener Tage vor dem Verschleppen in's Ausland bewahrt, auch manch’ bereits verloren gewesenes Stück für die Heimat zurückerobert. Möge es uns nie an Mitbürgern fehlen, die reichen Mitteln ähnliche edle Verwendung geben! R. B.

ze AI 2

HANS RIGGAUER

M. le professeur D" Hans Rigygauer, conservateur du Cabinet de numismatique de Munich, est mort le 5 avril 1907, dans sa ville natale à Page de cinquante-huit ans. Il laisse plusieurs travaux estimés : Die Münzen und Medaillen des Fürstbisthums Preising, 1882; Die Minzen Friedrichs mit der leeren Tasche, 1899, et d’autres notices qui ont paru, pour la plupart, dans les Mettheilungen der Bayerischen numismatischen (resellschaft. Le travail le plus important auquel il ait attaché son nom est consacré & la numismatique de Baviere : Die Medaillen und Münzen des Gesamthauses Wittelsbach, 1897 a 1901.

Grâce à son érudition et à l’aménité de son caractère, Riggauer sera vivement regretté de ses collégues de la Société bavaroise de numis- matique, dont il fut l’un des membres fondateurs, comme aussi de tous ceux qui ont eu le privilege de correspondre avec lui. La Société

suisse de numismatique perd en lui un membre honoraire nommé dès le début, en 1879.

PAUL-CHARLES STR(EHLIN

Au moment de terminer ce fascicule, nous avons le profond chagrin d’annoncer la mort de celui qui fut a la fois Je fondateur de cette Revue et le président pendant dix-huit ans de la Société suisse de numismatique.

Streehlin incarnait à tel point notre Société et l'organe qu'il avait pris tant de peine à developper, que la perte que nous venons de faire nous parait immense.

Par l’étendue de ses connaissances et la sûreté de ses infor- mations, il était notre tête ; l’activité de son esprit et sa grande facilité de travail en faisaient notre bras droit; grâce à son iné- puisable bonté, nous avions en lui l’ami sûr, le confident de nos difficultés, le guide devoue sur lequel toujours nous pouvions compter... :

On comprendra qu’il nous soit impossible aujourd’hui de consacrer à la vie et à l’activité de notre ami une notice assez detaillee et qui soit digne de lui; elle paraitra dans notre prochain fascicule.

Le Comrré.

REVUE NUM. T. XI. 28

Bibliographie. Le Monete di Venezia descritte ed illustrate, da Nicolo PaPADOPOLI- ADOLBRANDINI, coi desegni di C. Kunz. Parte H, da Nicolò Tron a Marino Grimani (1472-1605). Venise, 1907, in-4° de 840 pages, avec

51 planches.

Nous avons rendu compte, en son temps !, de la première partie de cette importante publication qui a donné l’histoire du monnayage de Venise, des l’origine sous Louis-le-Pieux, jusqu’au regne du doge Christophe Moro (1462-1471). |

Depuis lors et pendant treize années, l’auteur a continué de patientes recherches, recherches d'archives surtout, car, pour ce qui est des monnaies, il les avait presque toutes sous la main, soit au Musée municipal de Venise, soit dans sa propre collection, une des plus complètes qui existent en monnaies venitiennes.

Aujourd’hui, il nous donne la seconde partie de cette publi- cation, qui s'étend de Nicolas Tron (1472-1474) à Marin Grimani (1595-1605). Le plan de cet ouvrage est connu. Pour chaque doge, M. Papadopoli donne l’histoire du règne, les principaux événements politiques qui l'ont signalé, puis les ordonnances monétaires, établis- sant le titre, le poids et parfois le type des monnaies décrétées, ainsi que la valeur relative des pièces les unes vis-à-vis des autres. Viennent ensuite les descriptions, où, pour chaque espèce de monnaie, on trouve le titre, le poids en grammes et en grains vénitiens. Le chapitre se termine par une liste bibliographique des ouvrages se trouvent mentionnées ou décrites les monnaies du règne par des auteurs précédents.

Après le chapitre final, on trouve parfois un cul-de-lampe sous forme d’une bulle ducale appartenant au doge dont on vient de traiter les monnaies.

Il y a donc autant de chapitres détachés qu'il y a de doges et, dans chacun d’eux, l’auteur reprend chaque monnaie traitée au chapitre précédent, en indiquant chaque fois le titre, le poids et, s’il y a lieu, les modifications qui y ont été apportées. Il en résulte sans doute quelques répétitions et obligation pour le lecteur qui suit les desti- nées d’une monnaie de chercher ce qui la concerne dans une foule d’endroits différents.

1 Rerue suisse de nronmismatique, année, 1894, p. 77.

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On comprend bien que l’auteur ne pouvait guère traiter autremeni son sujet. Il est vrai qu'il aurait pu briser les suites historiques au profit de l’histoire d’une même monnaie: il a préféré briser l’histoire de la monnaie et conserver intactes les suites historiques, et nous nv pouvons pas l’en blämer, d'autant plus que les tables de la fin «lu volume conduisent promptement aux endroits de l’ouvrage ui traitent successivement du même sujet.

Les renseignements que fournit cette belle étude sur les monnaies de Venise sont donc infiniment variés et précieux. Voici quelques notes, prises au cours d’une première lecture. Nous plaçons en regni) du nom du doge celui des nouvelles monnaies battues sous son règne. avec quelques renseignements sur la partie metrologique.

NıcoLas Tron (1472-1473). Le ducat, à '°°/1000, du poids de 3 gr. hi qui, dès l’origine jusqu’à Marin Grimani et plus tard encore, conserve le même titre et à peu près le même poids. On se rappelle que le premier ducat fut frappé en 1284 par Jean Dandolo, tandis que le premier florin avait été frappé à Florence en 1252 et la première monnaie d’or depuis Charlemagne, l'augustale, par Frédéric II, pour son royaume sicilien, avec le concours des graveurs anonymes d’Amalti, en 1231.

La lire ou trona d'argent et la demi-lire, à 0,948, du poids de 6 gr. 52 et 3 gr. 26.

Le soldino, de même titre, du poids de 0 gr. 326.

Le double-bagattino, de billon, du poids de 0 gr. 578.

Le bagattino, de cuivre, du poids de 2 gr. 58.

NicoLas MarceLLo (1473-1474). La demi-lire prend le nom il marcello et gardera par la suite cette dénomination.

Pierre MocenIGo (1474-1476). La ire se nomme mocenigo et gardera cette dénomination.

AUGUSTE BARBARIGO (1486-1501). Le quatirino-bianco, pour Veronn et Vicence, monnaie de billon, au titre de 0,156, du poil: de 0 gr. 621.

Le denier, pour Brescia, en billon, au titre de 0,156 et ili poids de 0 gr. 375.

Le denier, pour Vérone et Vicence, en Dillon, à 0,052. iu poids de 0 gr. 452. |

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Léoxarp LORÉDAN (1501-1521). Le demi-ducat, au même titre que le ducat, du poids de 1 gr. 753.

Les seize, huit et quatre-soldi, au titre de 0,948, du poids de 4 gr. 87, 2 gr. 44 et 1 gr. 22.

ANDRE Gritti (1523-1528). L’ecu d'or, au titre de 0,917, du poids de 3 gr. 40. Le demi-écu, au même titre, poids 1 gr. 70. Le dix-huit-soldé, à 0,948, du poids de 4 gr. 48. Le neuf-sold:, au même titre, poids 2 gr. 44. Le quatre-et-demi-soldi, au même titre, poids 1 gr. 22. Le sir-soll;, même titre, poids 1 gr. 625. Le guatre-soldi-nouveau et le deux-soldi- nouveau, au même titre et du poids de 1 gr. U8 et 0 gr. 541.

François Doxa (1545-1553). Le ducat prend le nom de sequin.

JÉRÔME FriuLi (1559-1567). Le nom de ducat désigne une monnaie d'argent, au titre de 0,948, du poids de 32 gr. 90; le demi- ducal, au même titre et du poids de 16 gr. 45; le quart-de- ducat, au même titre, du poids de 8 gr. 22.

Pierre Lorepan (1567-1570). Le quart-de-sequin, au même titre que le sequin, du poids de 0 gr. 873.

ALovs Mocenigo (1570-1577). Le double-sequin, au même titre que le sequin et du poids de 6 gr. 98. Le quarante-soldi, soit deux lires, premier type, au titre de 0,948 et du poids de 9 gr. 04. Second type, de Sainte-Justine, au méme titre et de méme poids.

SEBASTIEN VENIER (1577-1578). Le vingt-soldi, au type de Sainte- Justine, au titre de 0,948, du poids de 4 gr. 52.

NicoLas DE PoxTE (1578-1585). L'écu-de-huit-lires, au type de Sainte-Justine, à 0,948, du poids de 36 gr. 38. Le demi-écu, le quart-d’ecu, le huitieme-décu et le seizieme-d’ecu, du poids de 18 gr. 19, 9 gr. 09, 4 gr. 54 et 2 gr. 27.

L'écu-à-la-croix de six lires, même titre, du poids de 31 gr. 82; le demi-écu-à-la-croir, même titre, poids 15 gr. 91.

-Pascan Cicogna (1585-1595). Le trente-denrième-d'écu de six soldi, au type de Sainte-Justine, méme titre que ci-dessus et poids 18 gr. 13.

Marin Grimani (1595-1605). La guzetta, de deux soldi, au type de Sainte-Justine, titre 0,948 et poids 4 gr. 54.

Il nous faudrait encore parler des monnaies anonymes, dont la plus ancienne est un bagullino concave, sans initiale, mais qu'on attribue

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généralement à Christophe Moro (1462-1471), puis des series dont un grand nombre portent les initiales de l’intendant de la Monnaie, pièces frappées soit pour Venise et pour l'État entier, soit seulement pour les possessions de terre ferme et d’outremer.

Apres la partie numismatique proprement dite, viennent 180 pages de documents provenant des archives de l'État. Ces documents sont, pour la plupart, extraits des Registres du Conseil des Dix ou de ceux des délibérations du Senat. On trouve enfin des tables indiquant la valeur des monnaies d’argent et d’or, aux differentes époques, la liste des intendants de la Monnaie, le temps pendant lequel ils ont fonctionné et les lettres dont ils signaient les monnaies.

L’auteur a cru devoir terminer son livre en indiquant le prix actuel des monnaies de Venise, renseignements qui seront sans doute appré- cies des collectionneurs.

L'ouvrage de M. Papadopoli est superieurement illustré par 51 planches, gravées jadis par l’antiquaire C. Kunz. On ne saurait desirer mieux. L’impression typographique du texte, due a la librairie Emiliana, est fort soignée, et le reproche que nous adressions dans le temps a l’auteur, ou plutôt à son imprimeur, d’avoir assez faiblement rendu les légendes en caractères gothiques, n’est certes plus à faire aujourd’hui.

Remercions l’auteur, en terminant, pour le beau monument qu'il vient d’élever à sa patrie, ainsi qu’à la numismatique italienne, ct souhaitons-lui bon courage pour achever cette magistrale publication.

Euc. D.

Bibliothèque.

Ouvrages reçus de juin 1906 à fin mars 1907'. PÉRIODIQUES

ALLEMAGNE. Berliner Miinzbl., neue Folge. 1906, n°8 54— 60 ; 1907, n°5 61—64. Blätter für Münzfreunde, 1906, 5—12; 1907, n°5 1—5. Mittheilungen der bayer. numismatischen Gesellschaft, XXVE année,

1906-1907, in-8 de XII et 85 p. avec 1 carte et 6 pl.

Sitzungsberichte der numismatischen Gesellschaft zu Berlin, 1906. Berlin, 1906, br. in-8 de 34 p. avec fig. dans le texte. Extr. de la Zeitschrift für Numismatik, t. XXVI.

Zeitschrift für Numismatik, t. XXV, liv. 4. (AL Paul-Ch. Stroehlin.)

! Les envois doivent être adressés au local, rue du Commerce, 5, a Geneve.

_ 438

ANGLETERRE. Monthly numismatic Circular, t. XIV. 1906, liv. 163—168; t. XV, 1907, liv. 169—173.

Numismatic Chronicle (the), 1906, liv. 2—4.

AUTRICHE. Archiv für Bracteatenkunde, t. IV. Bogen 20 —22.

Jahrbuch der k. k. heraldischen Gesellschaft « Adler », nouv. série, t. XVI, in-4 de 202 p. avec 1 pl.

Mittheilungen der oesterr. Gesellschaft für Münz- und Medaillenkunde, 1906, liv. 5—12 ; 1907, liv. 1-2.

Monatsblatt der k. k. heraldischen Gesellschaft « Adler » in Wien, t. VI. n°8 6-13, 15—16. . Monatsblatt der numismatischen Gesellschaft in Wien, t. VII, n®® 6—14. Numismatische Zeitschrift,t. XXXVII, 1905, in-8 de XV et 263 p. avec 2 pl. Numizmatikai Közlöny, a magyar numizmatikai tirsulat meglizasabol,

1906, n°5 3-4; 1907, 1. | Zeitschrift für Münz- und Medaillenkunde, t. I, liv. 3—4. BELGIQUE. Revue belge de numismatique, 1906, liv. 3—4; 1907, liv. 1—2. Etats-Unis D'AMÉRIQUE. American Journal of archaeology, second series. The Journal of the archaeological institute of America, 1906, t. X, liv. 1—2, 4 et suppl. American Journal of numismatics and Bulletin of american numismatic and archaeological Societies, t. XL, liv. 4; t. XLI, liv. 1—2. Boston medical library. Twenty-sixth annual report. Boston, 1901, br. in-8 de 47 p. Twenty seventh and twenty-eighth annual report. Boston, 1904, br. in-8 de 19 p.

France. Administration des monnaies et médailles. Rapport uu ministre des finances. Onziéme année, 1906. Paris, 1906. in-8 de XXXIX et 411 p. avec 4 pl. (L’administration de la Monnaie.)

Bulletin de numismatique, t. XIII, 1906, liv. 3—8.

Correspondance historique et urchéologique (la), XIIl® année, liv. 148—156. Gazette numismatique francatse, 1905, liv. 3—4.

Revue numismatique, série, t. X, 1906, liv. 2—4.

Revue savoisienne, 1905, liv. 4; 1906, liv. 1—2.

HoLLanpe. Tijdschrift van het koninklijk Nederlandsch Genootschap coor munt- en penningkunde, XIVe année, 1906, liv. 3—4; XVE année, 1907. liv. 1.

ITALIE. Bollettino di numismatica e di arte della medaglia, année, 1906; liv. 5—12; 5* année, 1907, liv. 1—2.

Rassegna numismatica. année, 1906, n°° 2— 6. Rivista italiana di numismatica, X1X® année, 1906, liv. 2-4.

Suisse. Anzeiger für schweizerische Altertumskunde (Indicateur d’antiquites suisses) : neue Folge, t. VIII, 1906.

Archives héraldiques suisses, XX© année, 1906.

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Blätter für bernische Geschichte, Kunst- und Altertumskunde, 2. Jahrgang. 2. Heft. Bern, 1906, br. in-8 avec fig. et portrait.

Bulletin de la Société d’histoire et d’archeologie de Genève, t. III, liv. 1.

Jahrbuch für schweizerische Geschichte, t. XXXI, 1906.

Jahresbericht der histor.-antiquar. Gesellschuft von Graubünden, XXXV. Jahrgang, 1906. Chur 1906, in-8 de 199 p.

Journal des collectionneurs, organe mensuel consacré à l'étude des collec- tions historiques, documentaires et artistiques, année, 1905-1906, liv. 20—24; année, 1906-1907, liv. 25 —33.

Mémoires et documents publiés par la Société d'histoire de lu Suisse romande, série, t. VII, in-8 de XIX et 558 p.

Afittheilungen der antiquarischen Gesellschaft in Zürich, t. XXVI, liv. 4-5.

Musée national suisse à Zurich. XIV® Rapport annuel présenté au Département fédéral de l'Intérieur et rédigé au nom de la Commission par la direction, 1905. Zurich 1906, MES de 119 p: avec 1 portrait et 5 pl. (Direction du Musée.)

Musée neuchatelois, XLIII" année, juillet-décembre 1906; XLIV® année, janvier-avril 1907.

Quellen zur schweizer. Geschichte, herausgegeben von der allgemeinen Geschichtsforschenden Gesellschaft der Schweiz, t. XXV. Basel, 1906, in-8 de CXX et 641 p.

Revue suisse de numismatique, t. XIII, liv. 1, partie.

Taschenbuch der historischen Gesellschaft des Kantons Aargau für das Jahr 1906. Aarau 1907, in-8 de 160 p. avec 1 portrait.

OUVRAGES NON PERIODIQUES

Ambrosoli, Solone, Atlante numismatico italiano (Monete moderne). Milano, 1906, in-16 de XIV et 428 p. avec 1746 fig. (M. U. Hoepli, éditeur, Milan.)

Andorfer, Karl. Schiller-Medaillen. Zur Feier des 100. Todestages des Dichterfürsten. Zweite Abtheilung. Wien, 1907, br. in-8.

Bahrfeldt, Dr. Emil. Zur Anhaltischen Münzgeschichte. Wien, 1906, br. in-8 de 10 p. extr. de la Wiener Numismatische Zeitschrift, 1905. (L’auteur.)

Castellane, comte de. Le gros tournois de Charles d’Anjou et le gros tournois du roi de France uu chätel fleurdelise. Paris, 1904, br. in-8 de 20 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Revue numismatique, 1904. (L’auteur.)

Denier inedit des comtes de Saint- Pol. Paris, 1905, br. in-8 de 5 p. avec tig. dans le texte, extr. de la Revue numismatique, 1905. (L’auteur.)

Observations sur le classement des premiers florins pontificaux du comtat venaissin et d'Avignon. Paris, 1906, br. in-8 de 18 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Revue numismatique, 1906. (L’auteur.)

10

(inecchi. Francesco. Appunti di numismatica romana. LXXIV-LXXVI, LXXVII-LXXVIII, LXXX-LXXXI. Milano, 1906—1907. 3 br. in-8 avec pl. et fig. dans le texte, extr. de la Rivista italiana di numismatica, 1906 et 1907. (L'auteur.)

Gohl, Odin. Daciai és moesiai pénzek. Pôtlék az éjszukgérégorszagi okori penzek corpusakoz. Budapest, 1906, br. in-8 de 16 p. (L'auteur.)

Grunau, Gustav. Bernische Druck- und Verlagssignete. Bern, 1906, br. in-8 de 17 p., extr. des Blätter für bernische Geschichte, Kunst und Altertums- kunde. (L’auteur.)

Jonghe, vicomte Baudoin de. Monnaies de Reckheim. Bruxelles, 1906. br. in-8 de 10 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Revue belge de numis- matique, 1906. (L’auteur.)

Deux monnaies brabanconnes du XVII‘ siècle. Bruxelles. 1906. br. in-8 de 7 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Revue belge de numismatique, 1906. (L’auteur.)

Katalogus munt- en penningverzameling van het kon. Ned. Genvotschup voor munt- en penningkunde. Amsterdam, 1906, in-8 de VI et 65 p.

Kull, J.-V. Repertortum zur Münzkunde Bayerns. Dritte Fortsetzung. München, 1906, in-8. (Bayerische numismatische Gesellschaft.)

Lenzi, F., et Guicciardini, G. Un ripostiglio di quattrini a Monte San Savino. Orbetello, 1906, br. in 8 de 4 p., extr. de la Rassegna numisma- tica, 2 de 1906. (M. F. Lenzi.)

Meili, Julius. Die Werke des Medailleurs Hans Frei in Basel, 1894 —1906. Zurich, 1906, br. in-8 de 31 p. avec 6 pl. (L’auteur.)

Perini, Quintilio. Contributo alla sfragistica trentina. I. Un sigillo di Fer- dinando Castelletti, signore di Nomi. Rovereto, 1906, br. in-8 de 6 p. avec fig. dans le texte. (L’auteur.)

Famiglie nobili trentine. IX. La famiglia Busio-Castelletti di Nomi. Rovereto, 1906, br. in-8 de 43 p. avec 2 pl. et un tableau généalogique. extr. des Atti dell I. R. Accademia di scienze, lettere ed arti degli Agiati in Rovereto, serie III, t. XII, anno 1906. (L’auteur.)

Contributo alla medaglistica tridentina. Milano, 1906, br. in-8 de 4 p. (L’auteur.)

--- Della zecca di Merano e della imitazione del tirolino in Italia. Trento, 1906, br. in-8 de 16 p. avec fig. dans le texte. extr. de l’Archirio per Alto Adige, anno I, fase. I-II (L'auteur.)

Perini, Quintilio. Rinvenimento di monete longobarde e carolingie presso Ilunz. Milano, 1906, br. in-8 de 4 p., extr. de la Rivista italiana di numis- matica, 1906. (L’auteur.)

Francesco Betta dal Toldo. Rovereto, 1906, br. in-8 de 4 p., extr. du Messaggero, dei 12 settembre 1906. (L'auteur.)

Famiglie nobili trentine. X. La famiglia Pizzini di Rovereto. Rovereto, 1906, br. in-8 de 40 p. avec 1 pl. et un tableau généalogique, extr. des

AN eee

Atti dell’ I, R. Accademia di scienze, lettere ed urti degli Agiati in Rove- reto, série III, t. XII, 1906. (L’auteur.)

Perini Quintilio. Cesure Festi dei conti di Cumpobruno e Montepiano. Necrologiu. Rovereto, 1906, br. in-8 de 7 p. avec 1 portrait, extr. des Atti dell I. KR. Accademia di scienze, lettere ed arti degli Agati in Rovereto, serie III, t. XII, 1906. (L’auteur.)

Pietro car. Squlmero. Necrologia. Rovereto, 1906, br. in-8 de 6 p., extr. des Atti dell’ I. R. Accademia di scienze, lettere ed arti degli Agiati in Rovereto, série III, t. XII, 1906. (L’auteur.)

Le monete di Merano, Trento, 1906, br. in-8 de 35 p. avec tig. dans le texte, extr. de l'Archivio per l’Alto Adige, anno I, 1906. (L'auteur.) Rudolph, Ernst. Die Stlber- u. Kupfermünzen deutscher Staaten aus der Zeit 1806— 1873 von Auflösung des heiligen römischen Reiches un bis zur Wiederaufrichtung dex deutschen Reiches. Dresden. 1906, in-8 de XII et

313 p. (M. C. G. Thieme, éditeur.)

Storer, Horatio R. The medals, jetons and tokens, illustrative of obstetrics and gynaecology. Newport, 1887, br. in-8 de 14 p., extr. de New-Hugland medical monthly. (L’auteur.)

The medals of Benjamin Rusch obstetrician. Chicago, 1889, br. in-16, extr. du Journal of the american medical association, juin 1889. (L'auteur.)

Strehlin, P.-Ch. Repertoire de médaillistique, fiches 1501—1600. (L'auteur.)

Witte, Alphonse de. Trois médailles de Notre-Dame de Bon-Secours à Peruwelz. Bruxelles, 1906, br. in-8 de 8 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Revue beige de numismatique, 1906. (L’auteur.)

Quatre médailles de dévotion de Notre-Dame de Walcourt. Bruxelles. 1906, br. in-8 de 9 p. avec fig. dans le texte, extr. de la Rerue belye de numismatique, 1906. (L’auteur.)

MEDAILLIER

Jeton de présence à l'assemblée de la Société royale belge de numismatique, 1906. (La Société belge de numismatique.)

Jeton de présence à l’assemblée de la Société suisse de numismatique, Lau- sanne, 1905. Divers métaux. (La Société.)

Coins de l'avers et du revers du précédent, gravés par Hans Frei. (La Société.)

LISTE DES MEMBRES DE LA SOCIETE SUISSE DE NUMISMATIQUE

AU 31 DECEMBRE 1907!

I. Comité de lu Société.

STREHLIN, Paul-Ch., président, Genève. GROSSMANN, Théodore, trésorier, »

Jarrys, Henri, secretuire, » CAILLER, Henri, bibliothécaire, » CAHORN, Auguste, assesseur, » DEMOLE, Eugène, D", » » De Srourz, Fréd.. avocat, »

II. Membres honoraires.

BaBELON, Ernest, directeur du Cabinet des médailles de la Biblio-

thèque nationale, membre de l'Institut, à Paris. _ 1893 *BaurreLDr, Max, colonel, rédacteur de Numism. Literatur-Blait, à Gumbinnen, Prusse orientale. 1879 Borveaux, Paul, avocat, Neuillv s/Seine, France. 1905 DemoLe, Eugène, D* phil., conservateur du Cabinet de numismatique de la Ville de Genève, à Genève. 1890 *Evaxs, John, K. C. B., D.C. L., L. I. D., président de la Societe de numismatique de Londres, à Hemel Hempstead. 1879

*EyssEric, Marcel, ancien inspecteur de l'Université à Sisteron. 1879

Les noms des membres fondateurs de la Société sont précédés d'une astérisque. Les dates suivant Jes noms sont celles de Ta reception dans la Société ou de la nomination comme membre honoraire, Nos collègues sont instamment priés W’envover à la rédaction les reetifications aux erreurs qui pourraient se trouver dans cette liste.

GxkccHI, Ercole, officier de la Couronne d'Italie, vice-président de la Société italienne de numismatique, directeur de la ivista etaliana di numismatica, à Milan. 1893

GNECCHI, Francesco, commandeur de la Couronne d'Italie, vice- president de la Société italienne de numismatique, rédacteur de la Rivista italiana di numismatica, à Milan. 1893

Gour, D’, E., Conservateur du Musée historique, Budapest. 1904

Inuoor-BLuMER, Frédéric, D" phil., membre de l’Académie des sciences de Berlin, correspondant de l’Institut de France, à Winter-

thour. 1889 S. M. Vicror-Emmanurt III, roi d’Italie, à Rome. ‘1894 Liebenau, D’ Théodore de, archiviste d'État, à Lucerne. 1888 *LUSCHIN VON EbexaREUTH, Arnold, D* phil., professeur à l'Université, a Graz (Styrie). 1879 Wire, A. de, secrétaire de la Société royale belge de numismatique, Bruxelles. 1891

III. Membres actifs.

A. En Suisse.

Canton d’Argovie.

Gœ&LLLin, Henri, D' pharmacien, Baden. 1888 LanG-SCHNEEBELI, négociant, Baden. 1897 Rorn, Erhard, fabricant, Oftringen. 1880

Canton de Bäle.

BrUbERkLIN, Rodolphe, banquier, Bale. | 1883 ExGELMANN, Théodore, D" pharmacien, Bäle. 1887 Frei, Hans, graveur en médailles, Bale. 1899) Geiay, Alfred, D" phil., Bale. 1882 GESSLER-HERZoG, Charles-André, négociant, Bale. 1902 Kxürrı-Wanuten, Frédéric, employé de banque, Bale. 1899 Lucrin, Ernest, professeur au Gymnase des jeunes filles, Bale. 1902 MULLER-FANKHAUSER, J., négociant, Bale. 1902 RuEGü, M.-Albert, Bale. 1904 SATTLER, M™* veuve, négociante, Bale. 1903

THomMEN, Rodolphe, D* phil., Bale. 1895

x ae Canton de Berne. ES ADRIAN, Paul, directeur de la Monnaie fédérale, Berne. 1395 re Droz-Farny, Arnold, professeur de mathématiques, Porrentruy. 1888 _ Dtr, Manfred, commercant, Burgdorf. 1905 : ExaEL, Frédéric, bijoutier, Thoune. 1902 aL FoNTANELLAZ, Charles, négociant, Berne. 1903 is GIRTANNER-SALCHLI, Hermann, inspecteur des chemins de fer, Berne. A 1896 = Gruxau, Gustave, D" phil., imprimeur, Berne. | 1898 Hexzı, Gottfried, horloger-bijoutier, Burgdorf. 1906 lloLy FRÈRES, graveurs-estampeurs, St-Imier. 1904

HoxBERG, François, graveur et frappeur en médailles, Berne. 1897 *JENNER, Edouard, ancien custos du Musée historique, Berne. 1879

NEID EI 1 TDi RIT Dr AT PNR An. 12 + à vi PR NZ gi N Liga et

*K alseR, Jacob, D" phil., archiviste fédéral, Berne. 1879 KILCHENMANN, Charles-Jean, agronome, Saint-Nicolas, près Koppingen. i 1899 A KounLER, Adrien, avocat, Porrentruy. 1906 = Kuux, Ernest, libraire, Bienne. 1893 Be Schweizer, Rodolphe, fabricant, Wangen s/Aar. 1890 i SUCIETE BERNOISE DE NUMISMATIQUE. D" Plüss, president, archives 3 d’Etat, Berne. 1902 = WEBER, Albert, fabricant, Berne. 1900 > Canton de Fribourg. = =. BIBLIOTHÈQUE CANTONALE, Fribourg. 1904 n Bovet, Alexandre, conservateur des hvpothèques, Gruyères. 1900 x BRoLLIET, dentiste, Fribourg. 1904 a Ducrest, Francois, l'abbé, professeur au college Saint-Michel, conser- ee vateur du Cabinet des medailles du Musée cantonal, Fribourg. 2 1897 | Remy, Léon, ancien notaire, Bulle. 1902 | = Sauser, Leon, l’abbe, professeur au collège Saint-Michel, Fribourg. 5 1902. | 5 Canton de Genève. | 2 AUDEOUD, Edouard, conservateur-adjoint du Cabinet de numismatique Ri de la Ville, Geneve. 1891 = BiELER, Jacques, horloger, Genève. 1890

a aot

-_ P__ =

u

BLaxpIN, Francois, négociant, Genève. 1895 Cauorn, Auguste, architecte, Genève. 1889 CarLuer, Henri, négociant, Genève. 1890 Concuon, Francois, ancien négociant, Genève. 1890 Durour, Théophile, directeur honor. de la Bibliothèque publique,

Geneve. 1890 Darıer, Henri, banquier, Genève. 1893 Dominick, Adolphe, Genève. 1894 Dreyrus, Emile, antiquaire, Genève. 1894 DuxoYrr, Emile, opticien, Genève. 1897 EGGIMANN, Aug. et Ci, libraires, Geneve. 1894 Favre, Camille, colonel, président de la Société auxiliaire du Musée,

Genève. 1894 Furer, J.-Louis, frappeur en médailles, Genève. 1886 Goray, Etienne, D™ méd., Genève. 1891 GrossMANN, Théodore, négociant, Genève. 1893 GuiLLAUMET-VAUCHER, Jules, négociant, Genève. 1890 JACOT-GUILLARMOD, A., graveur, Genève. 1907 Jarrys, Henri, imprimeur, Genève. 1894 JARRYS, Louis, imprimeur, Genève. 1898 KUNZLER, Jean-Jacques, négociant, Genève. 1892 LorioL-Le Fort, Perceval de, D" ès-sc., naturaliste, Genève. 1890 Maxi, Charles-G., employé de banque, Genève. 1900 MuriseT-GicoT, commerce de timbres et antiquités, Genève. 1904 MUSÉE prs ARTS DECORATIFS DE LA VILLE DE GENEVE. M. Georges

Hantz, graveur en médailles, directeur, Genève. 1890 Nary, François, employé de banque, Genève. 1894

NAVILLE, Lucien, directeur de l’Agence des journaux, Genève. 1898 PANCHAUD, Louis, secrétaire de la mairie des Eaux-Vives, Genève. 1893

PERRON, Simon, Genève. 1890 SCHLÜTTER, Vasco-Laurent, graveur en médailles, Genève. 1893 *STREHLIN, Paul-Ch., D" phil., numismatiste, conservateur du Musée

épigraphique, Genève. 1879 STOUTZ, Frédéric de, avocat, Genève. 1883 USINF GENEVOISE DE DEGROSSISSAGE D'or. M. Ch. Desbaillets, direc-

teur, Genève. 1893 VAN BERCHEN, Victor, homme de lettres, Genève. _ 1891

van Muypen, Albert-Steven, antiquaire et dessinateur do médailles, Genève. | 1890

44

Vincent, Alex., négociant, Carouge. 1890 Wa cn, Ernest, directeur de banque, Genève. 1899 Wrır, Ferdinand, négociant, Genève. 1879

Canton des Grisons.

SOCIÉTÉ HISTORIQUE DI CANTON DES Grisons. M. le colonel IT. Caviezel, president, Coire. 1897

Canton de Lucerne.

BIBLIOTHEQUE DE LA VILLE. E. Heinemann, bibliothécaire, Lucerne, bj

1891

BRUNNER, Otto, D" med., Sempach. 1905 Haas-ZumBtn_, Franz, négociant, Lucerne. 1891 HzæreLi, Robert, propriétaire d’hötel, Lucerne. 1895 InwrLER, Adolphe, antiquaire, Lucerne. 1890 KAUFMANN, Jean, graveur en médailles, Lucerne. 1895 RupoLPH, Théodore, négociant, Lucerne. 1891 Rırary, Siegmund, employé, Meggen. 1905 Wooa, Louis, antiquaire, Lucerne. 1886

Canton de Neuchatel.

Baur, Frédéric, précepteur, Neuchatel. 1895 Custer, Henri, pharmacien, Locle. 1896 Emery, Charles, négociant, Ponts-de-Martel. 1894 GALLET, Georges, fabricant d’horlogerie, Chaux-de-Fonds. 1897 GUERRY, Charles, restaurateur, Chaux-de-Fonds. 1902 HUGUENIN FRÈRES, graveurs-estampeurs, Locle. 1897 JoBin, Anatole, Neuchätel. 1891 JEANNERET, Félix, D", avocat, La Chaux-de-Fonds. 1904 MicHaub, Albert, conservateur du Musée, Chaux-de-Fonds. 1881 PERREGAUX, Samuel de, directeur de la Caisse d’epargne, Neuchätel. 1884

PERRET, James-Antoine, fabricant et régleur d’horlogerie, Chaux-de- Fonds. 1894 *PeRROCHET, Edouard, avocat, Chaux-de-Fonds. 1879 STIERLIN, J.-B., droguiste, Chaux-de-Fonds. _ 1902

Wavre, William, professeur, conservateur du Musée historique, Neuchâtel. 1889

= hey

Canton de Saint-Gall.

*Dreiruss, Hermann, négociant, Saint-Gall. 1899 GRELLET, Jean, publiciste, Saint-Gall. 1882 IKLÉ-STEINLIN, Adolphe, fabricant, Saint-Gall. 1899 NÆGELi, C., D' méd., Rapperswyl. 1902 RŒLLIN, Jean, négociant, Uznach. 1882

SOCIÉTÉ HISTORIQUE DU CANTON DE NAINT-GALI. M. le professeur J. Egli, conservateur, Saint-Gall.

STEIGER, Albert, lieutenant-colonel, orfèvre-antiquaire, St-Gall. 1887

STURZENEGGER, Robert, fabricant, Saint-Gall. 1882

Canton de Soleure.

BaLLy-MARTI, Arnold, fabricant, Schénenwerd. 1889 Batiy-Herzog, Arthur, fabricant, Schönenwerd. 1883

Canton du Tessin.

Barni, Emilio, Locarno. 1886

Canton du Valais.

Le Haut-Erar pu Varaıs. Délégué : M. Charles de Rivaz, conser- vateur du Musée, Sion. 1894

Canton de Vaud.

BarBEy-DE Bupé, Maurice, licencié en droit, Pré-Choisi, sur Clarens.

1892

Henrioup, Emile, négociant, Yverdon. 1893 Leur, Ernest, D" jur., professeur de droit, Lausanne. 1894 Meyer, A., fils, négociant, Moudon. 1903 MoLin, Alois de, D" phil., professeur à l'Université, conservateur du Cabinet des médailles du canton de Vaud, Lausanne. 1891

Opot, Auguste, pharmacien, Lausanne. 1893 *PALEZIEUX-DU Pan, Maurice de, conservateur du Musée historique de Vevey, la Doge, Tour-de-Peilz. 1879

Rop, Emile, inspecteur telegraphiste, Lausanne. 1897 Trssor, Edmond, banquier, Lausanne. 1904 WAGNER, Gustave, pasteur, Aigle. 1903

*Weiss, Emile de, greffier au Tribunal fédéral, Lausanne. 1879

448 Canton de Zoug.

Wyss, Franz-Martin, Zoug. 1907

Canton de Zurich.

l'Lumer-EGLorr, Joh., Zurich. 1903 Iiuunner, Alfred, D" méd., Winterthour. 1906 l'rommuerz, Wilhelm, négociant, Zurich. 1893 (iyaoLz, Jean, négociant, Zurich. 1891 l'innno-Scnmipr, Fr. bureau technique, Zurich. 1907

B. À l'étranger.

Allemagne.

JAHRFELDT, Emile, D* phil., directeur de banque, rédacteur des

Berliner Miinz-Blitter, Berlin. 1902 baruy, Otto, conseiller de commerce, Säckingen (Baden). 1883 l'IBLIOTHÈQUE NATIONALE FT UNIVERSITAIRE DE STRASBOURG (Alsace).

1899 (‘sun, Adolphe-E., expert en médailles, Francfort 8/M. 1890 lano, Siegfried, changeur et banquier, Berlin. 1892 IIAMBURGER, Léo, expert en médailles, Francfort s/M. 1890 IlAMBURGER, Joseph, expert en médailles, Francfort s/M. 1904 IImı.BınG, Otto, expert en médailles, Munich. 1886 Iinss, Adolphe, les successeurs de, experts en médailles, Franc-

fort s/M. | 1882 Ilınscu, Jacob, D’ phil., expert en médailles, Munich. 1897 JosmpPu, Paul, rédacteur de la Frankfurter Münzzeitung, Francfort s/M.

1902 hEKoW, Gustave, entrepreneur, Berlin. 1892 \lERZBACHER, les successeurs du D’, experts en medailles, Munich. 1882 ltarPAPORT, Edmond, expert en médailles, Berlin. 1888 |LOSENBERG, Sally, expert en médailles, Francfort s/M. 1900 SenotT- WALLERSTEIN, Simon, expert .en médailles, Francfort s/M.

1899 “MLIGMANN, Eugène, expert en médailles, Francfort s/M. 1893

\VERNER, Goorges-A., de la maison Zschiesche et Kader, expert en médailles, Leipzig. 1896

449

Autriche.

APPEL, Rodolphe, caissier de banque, Vienne XII. EG6GER, Armin, expert en médailles, Vienne I. Fıscher, Emile, expert en médailles, Vienne I.

Perini, Quintilio, pharmacien, Rovereto.

Waka, Franz, D" phil., expert en médailles, Vienne I.

WinpiscH-GRAETz, le prince Ernest de, colonel, Vienne I.

Belgique.

CHAMOREL, Henri, banquier, Anvers. Durriez, Charles, expert en médailles, Bruxelles. JONGHE, vicomte Baudoin de, Ixelles-Bruxelles.

Canada.

Mac Lacrtan, W.-Robert, homme de lettres, Montréal.

France.

ANDRÉ, Ernest, notaire honoraire, Gray (Haute-Saöne). BaBUT, A., commandant, Paris.

Ba1LLArD, Cesar, notaire, Reignier (Haute-Savoie). BERGA, René, Versailles.

CASTELLANE, comte Henri de, Paris.

Davip, Fernand, fabricant, Paris.

DouviLLé, Henri, expert en médailles, Paris. Durran, Albert, Evian-les-Bains (Haute-Savoie). ENGEL, Arthur, homme de lettres, Auteuil, Paris. FLORANGE, Jules, expert en medailles, Paris. KELLER, Carlos, Paris.

KecaLin-CLAupon, Émile, Paris.

1892 1891 1890 1898 1896 1896

1898 1895 1891

1894

1900 1905 1882 1904 1906 1894 1894 1880 1890 1892 1896 1882

Martz, René, D" jur., conseiller à la Cour d’appel, Nancy (Meurthe-et-

Moselle).

1897

MAZEROLLE, Fernand, archiviste de la Monnaie, rédacteur de la

Gazette numismatique, Paris. Moricanp, Philippe, ingenieur, Paris.

PorTAL, Gaston, négociant, St-Jean-d’Angely (Charente-Infér.).

RicHeBÈ, Raymond, avocat, Paris. SEILER, Max, commis de banque, Courbevoie (Seine).

REVUE NUM. T. XII.

1890 1907 1896 1894 1906

24

450

TESTENOIRE-LAFAYETTE, Philippe, notaire, Saint-Etienne (Haute-

Loire). 1896 VALLENTIN DU CHEYLARD, Roger, Montélimar (Dròme). 1890 Vassy, Albert, pharmacien, Vienne (Isère). 1904 Vipart, Charles-Alfred, Divonne-les-Bains (Ain). 1894

Grande-Bretagne. l'orp, Rawlinson, avocat, Leeds. 1891 FORRER, Leonard, numismatiste, Kent. 1891 ’REVOST, sir Augustus, baronnet, ancien gouverneur de la banque

d'Angleterre, Londres. 1890 Seink, Samuel, de la maison Spink et fils, experts en médailles,

Londres. 1892

Gréce. |,AMBRoS, Jean-Paul, expert en médailles, Athènes. 1894 Italie.

l’APADOPOLI, comte Nicolò, sénateur, commandeur, membre de l'Institut

royal des sciences et des lettres, Venise. 1894 RraGero, Giuseppe, commandeur, général de réserve, Rome. 1891 SALINAS, Antonio, professeur, directeur du Musée national, Palerme.

1895 Pays-Bas. DOMPIFRRE DE CHAUFEPIÉ, H.-J. de, D" phil., directeur du Cabinet royal des médailles, La Haye. 1894 SCHULMAN, Jacques, expert en médailles, Amsterdam. 1894 Portugal. Du Roveray, Paul, négociant, Lisbonne. 1890 Suède.

l'AvauLi, Gustave, pharmacien, Sköfde. 1894

O ee IV. Sociétés correspondanten.

A. En Suisse.

Aarau. Société d’histoire du canton d’Argovie. BäLr. Société suisse d’héraldique. Berne. Société générale d’histoire suisse.

» Société d’histoire du canton de Berne. Cuire. Société d’histoire du canton des Grisons. GENÈVE. Société d’histoire et d’archéologie.

» Institut national genevois.

LAUSANNE. Société d’histoire de la Suisse romande. NEUCHATEL. Société d’histoire du canton de Neuchatel. Zurich. Société des antiquaires de Zurich.

» Musée national suisse.

B. A l'étranger.

AMSTERDAM. Société royale néerlandaise de numismatique. Annecy. Société florimontane. Bari. Giornale araldico. BERLIN. Berliner Münzblätter. Boston (U.S. A.). American Journal of numismatics. Bòne. Académie d’Hippone. BruxELLES. Société royale belge de numismatiquc. Bupapest. Société hongroise de numismatique. Cracovie. Société polonaise de numismatique. Drespe. Blätter für Minsfreunde. LoxbRES. Société de numismatique de Londres. LuxEMBOURG. Institut grand-ducal, section historique. Mıran. Société royale italienne de numismatique. » Cercle milanais de numismatique. MonTRÉAL. Société de numismatique et d’archéologie. Municu. Société royale bavaroise de numismatique. New-York. Société américaine de numismatique et d'archéologie. ORBETELLO (Italie). Rassegna numismatica. Paris. Société française de numismatique. » Correspondance historique et archéologique. » Gazette numismatique francaise. » Revue numismatique.

SrockioLm. Bibliothèque de l’Académie des belles-lettres, d'histoire et des antiquités. Vienne. Société impériale et royale de numismatique. Archiv für Brakteatenkunde. Société imperiale et royale d’heraldique « Adler ». Oesterreichische Gesellschaft fiir Minz- und Medaillenkunde. Zare. Société croate d’archeologie.

Le nombre des membres actifs, fondateurs de la Societe, le

It avril 1879, était de 39. Il ne reste plus actuellement que 8 de ces membres,

lu Société était formée au 31 décembre 1907 de 191 membres actifs, 14 » honoraires, soit 205 membres, se repartissant comme suit :

| Actifs Honor. Actifs | Honor. |

|

|

|

|

Argovie FE I Bale 4 Zu ee | !

Allemagne Autriche

Grisons

Lucerne

Neuchatel

Suint-Crall

Soleure Italie Pays-Bas Portugal

3 1 2 4 1 3 2

| reporter... Total... | 1

TABLE DES MATIERES

Imuoor-BLumer, F. Zur griechischen und römischeu Münz-

GaLLer, Georges. Une médaille de René, comte de Challant et seigneur souverain de Valangin en Suisse ...........,.. Le Roy, L. Un double-gros de Frédéric de Blankenheim, évêque d’Utrecht, 1393-1423 ...........,....,.......... MicHaun, Alb. Les monnaies des princes-évéques de Bâle... Rueca, M.-A. Ein unedierter Münzstempel des Gegenpapstes AE) Si APE RE SCHNEUWLY, Jos. Etude sur la monnaie à Fribourg ........ STREHLIN, Paul-Ch. Numismatique de la Croix-Rouge 1.. Médailles nouvelles. Répertoire alphabétique de toutes les médailles, etc., concernant la Suisse, décrites dans les publi- cations de la Société suisse de numismatique .............. VALLENTIN DU CHEYLARD, R. Découverte à Annonay (Ar- déche) de monnaies féodales, royales et étrangères. ........

MÉLANGES

Gazette numismatique belge..............,....,...,,..,.. Klub der Münz-und Medaillenfreunde. H.Ü.............. La loi italienne sur l'exportation des objets d’art et des mon-

naies anciennes. H. C............................... Enquête monétaire suisse de 1905. Résultats priueipaux....... Distinctions (F. Mazerolle, Paul Bordeaux, Huguenin frères,

A. Luschin von Ebengreuth, G.-A. Werner)............... Portraits sur des monnaies ....... aliena Nécrologie (Alphée Dubois) ............................,.

COMPTES RENDUS ET NOTES BIBLIOGRAPHIQUES

A. Engel et R. Serrure. Traité de numismatique du moyen dge. ==" Hrnést Lehr ses u ask Nicolò Papadopoli. Nicolo Tron e le sue monete (1471-1473).

Sebastiano Venier e le sue monete (1577-1578). H. C. Monete trovate nelle rovine del campanile di S. Marco. H.C.

279 281

ee = as à

454

Nicolò Papadopoli. Le monete di Venezia descritte ed illustrate. bug: Disease na Vicomte Baudoin de Jonghe. Sceuu-mairice de Robert de Bavay, abbé de Villers (1764-1782). LR........... Un denier noir frappé à Ypres par Gui de Dampierre, comte de Flandre. I R.....................,..., Les monnaies de Guillaume de Bronckhorst, baron de Gronsvela: ==> LS RL SANS ANA na A. de Witte. Un patugon de Charles II, roi d’Espagne, frappé à Tournai en 1667. 1. R......................... Une méduille de sainte Wivine, abbesse de Grand-Bigard. LR

-- Monnaie de Bruxelles. Exposition universelle et internatio- nale de Liège, 1905. La médaille en Belgique au XIX°

SER Os a waa. een wae Deur monnaies liegeoises inédites de la collection de S. A. S. le duc @ Arenberg. H. C......... lalla Rudolf von Höfken. Numismatische Denkmäler auf den Protes- tuntismus in Oesterreich. - H. C..................,

Lucien Naville. Monnaies inédites de l'empire romain. H. C. Solone Ambrosoli. Adlantino di monete papali moderne a sussidio

dei Cinaglin = M Bee Eugen Baron d’Albon. Die Affaire Marschall. H.C........ A. Droz-Farny. Notice historique sur une medaille jurassienne.

Karl Andorfer. Schiller- Medaillen. H. C................., H.-G. du Crocq. Kataloqus munt en penning verzameling van het kon. ned. Genootschap voor munt en penningkunde.

D: Emil Bahrfeldt. Zur Anhultischen Münzgeschichte. P.-Ch. S. F. Lenzi et G. Giucciardini. Un ripostiglio di quattrini a Monte SUE STINO Rai D: H.-J. de Dompierre-de Chaufepié. Koninklijk Kabinet van munien, penningen en gesneden steenen 's Gravenhage. SSO Sera ee heen dalia Dépouillement des périodiques. H. C.................... PEOUNANIOR 2er ee CRISTO

Pages

434

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~~ © 400

SOCIETE SUISSE DE NUMISMATIQUE

Pages Membres T6C08 us u 424 425 Communiqué du comité.......................,.......... 326 XXV° assemblée générale, Fribourg 1904................... 397 XXVI° assemblée generale, Lausanne 1905 ................. 406 XXVII° assemblée générale, Berne 1906.................... 419 XXVII assemblée generale, Bâle 1907................... » 424 Nécrologie. Ulysse Jacot...................,............. 401 == “Adolphe Hess. entire arte dut sites 401 >= CATOYS Bürgers. 401 =: Maurice Hin... ae ee 402 == Albert Rilliet oc suis uso 402 = Henri Monn-Pons ns. re ra 407 ==, ‘Camille: Reymond su. edile 407 = ‘Hermann Damenberg u... an te 408 Robert Heïiniger-Ruef................,.......,...... 409 Charles-Richard Holder ...... ....................., 410 Antoine Bénassy-Philippe...............,.....,,.,... . 419 W. Bachofen-Burckhardt....................,....... . 430 == Mans RIggauéer; sprint ian leali 433 =: ‘Paul<Ch.-Strehbi:; ica ae 433 Bibliothèque. Ouvrages recus.... LL... iii 329 437 Liste des Membres a es aa 442

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È TABLE DES ILLUSTRATIONS

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na PLANCHES HORS TEXTE

e Planches 2 Médaille de René, comte de Challant, seigneur souverain

È de Valangin en Suisse .......... TATE BRETT I

Re Monnaies des princes-évêques de Bale ................ I[-XV Ca Kleinasiatische Münzen. ........ re ine XW Mex & A Arnold Meyer (portrait) ..........,...........,..... XXI oe Antoine Bénassy (portrait).......................... XXII

COUR CL ENTRE

FIGUREN DANS LE TEXTE

2 CI

Pages Monnaies des princes-évéques de Bâle ................. 36—107 Double-gros de Frédéric de Blankenheim, évéque d’Utrecht... 108 Monnaies féodales découvertes A Annonay....... 136, 138 et 148 Unedierter Münzstempel des Gegenpapstes Felix V........... 338

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Tome XIII

REVUE SUISSE DE NUMISMATIQUE

ARNOLD MEYER (1827-1904)

Membre fondateur de la Société suisse de numismatique.

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