= LS FRS | SK an YA; = TE LD SES Ad (fl HÅ dem LIBRARY ON | De THENEW YORK BOTANICAL GARDEN : Hie Dry ADRINDIN GA à gr (a AV Ite ORCI f HD CU i TE HEN Un) Me Ann kn å Li dr i A PAT CRT En Arte L MON) "| Pin u Skrilter udgivne af Videnskabsselskabet 1 Christiania 1599 I. Mathematisk-naturvidenskabelig Klasse LIBRARY NEW YORK BOTANICAL GARDEN Med 17 Plancher Christiania I Kommission hos Jacob Dybwad A. W. Broggers Bogtrykkeri 1900 i a À | No, LIBRARY NEW YORK BOTANICAL GARDEN Indhold. Kr. Birkeland. Recherches sur les taches du Soleil et leur origine. . . H. Mohn. Das Hypsometer als Luftdruckmesser und seine Anwendung zur Bestimmung der Schwerekorrektion N. Wille. Om nogle Vandsoppe. (Med 1 Plañche) Alf Guldberg. Sur la theorie des solutions singulières des équations aux differentielles totales du premier ordre H. Mohn. Klima-Tabeller for Norge, V—XII . . . . . 2 . . I R. Collett. Contributions to the Knowledge of the Genus Todes Reinh, TEMEycodesteraciis, Vi Sars; (Med a NPlAncheT) Me oe A. Palmstrem, Ueber eine Classe unbestimmter Gleichungen . . . Alf Guldberg. Sur une classe particulière d’équations aux dérivées partiel- IGS Gi gangimnae Gimli RE 6 6 Oo IO oO Bo 6 BO a Dee L. Sylow. Mathematiske Meddelelser af Sophus Lie til Videnskabssel- skabet fra Aarene 1869—1871 Side 1— 173 I—69 1—14 1— 26 1— 36 I—22 I—IO I—17 I--15 Recherches sur les taches du Soleil et leur origine par Kr. Birkeland Videnskabsselskabets Skrifter. I. Mathem.-naturv. Klasse. 1899. No. i Udgivet for Fridtjof Nansens Fond Christiania En commission chez Jacob Dybwad Imprimerie de A. W. Brogger 1899 Present dans la séance du 24. Février 1899. Chap. I. Chap. II. Chap. III. Chap. IV. Chap. V. Chap. VI. Table des matières. Introduction. — Esquisse des méthodes employées Representation graphique de la position relative des taches solaires et des planètes dans quelques cas spéciaux Cumulation des taches solaires par rapport aux planètes Variations dans le cours du temps du nombre et de l'étendue des taches solaires comparées à celles des forces perturbatrices exercée sur le Soleil par les planètes Sur l'existence dans le Soleil d'un nucléus se comportant comme une masse solide . Résumé et conclusions I IO 126 149 Chapitre I. Introduction. — Esquisse des methodes employees. 1. La riche moisson d’observations dont on dispose depuis long- temps déjà en ce qui concerne les taches solaires, et l'énergie avec la- quelle on continue toujours a rassembler des materiaux a ce sujet, sont bien faits pour provoquer sans cesse de nouveaux efforts pour tirer au clair l’origine des taches et les lois auxquelles sont soumis ces phénomènes si importants à divers point de vue, même pour la météorologie terrestre. Mon but dans le présent mémoire est d'examiner par une méthode nouvelle, que j'appelle méthode de cumulation, s'il est possible de dé- couvrir une influence des planètes sur ces manifestations de l’activité solaire, et en second lieu s'il est possible de faire remonter l’origine de toutes les taches du Soleil à une configuration permanente de certains centres d'excitation («volcans») d'un nucléus supposé solide. Comme on le sait, on a fait de nombreuses tentatives pour expliquer la formation des taches du Soleil, ou au moins leur période dite un- décennale par quelque combinaison des mouvements planétaires. Les premières tentatives cherchaient toutes à prouver que Jupiter avec sa période de révolution de 11, 85 ans présidait a cette période de II ans, Carringion montra cependant déjà que la période des taches était plus courte que la période de révolution de Jupiter; mais, malgré cela, on n’a pas encore entièrement renoncé à l'idée que les planètes jouent un rôle décisif dans l’évolution des taches du Soleil. C’est spécialement De la Rue, Stewart et Loewy qui ont fait å ce sujet des études approfondies et prolongées, En étudiant les aires tachées du Soleil pour différents écarts angu- laires des planétes Jupiter et Vénus, Vénus et Mercure, Jupiter et Mer- Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No.1. 1 2 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. cure, ces savants sont arrivés à des résultats remarquables, tendant à indiquer qu'il y a influence des planètes sur l’activité du Soleil. En continuant leurs recherches, ils obtinrent ce résultat vraiment singulier que la grandeur moyenne des taches du Soleil a un maximum du côté du Soleil opposé à Vénus et Mercure, un minimum du côté tourné vers ces planétesl. Si maintenant l’on admet qu'il existe réellement une relation effective entre les taches solaires et les planètes, rien n’est plus naturel que d’en chercher la cause dans les perturbations de la seule force essentielle connue, agissant entre les corps célestes, la gravitation. Il ne faut pas nous laisser arrêter par le fait que les relations déjà trouvées semblent à première vue ne pas se laisser expliquer par la gravitation; justement alors, il importe de se livrer a une investigation systématique pour se rendre un compte bien clair des conséquences aux- quelles une telle hypothèse peut nous conduire. Il va sans dire qu'il ne faut pas procéder a ces recherches en s'imaginant que c'est la simple production de marées dans la masse solaire qui suffit pour donner lieu à des perturbations aussi énormes que celles dont les taches solaires sont certainement la manifestation, pour cela, les planètes sont trop petites et trop éloignées. Il faut admettre que vis-a-vis de ces forces perturbatrices, le Soleil est de façon ou d'autre d'une grande délicatesse de construction, de telle sorte qu’une action très-petite puisse y engendrer des effets énormes. 2. Aurores boréales et taches solaires. — Dans un mémoire inséré aux «Archives des sciences phys. et nat.» Genève, juin 1896, j'ai cherché à expliquer la relation existant entre les taches du Soleil d’une part, les aurores boréales et les perturbations magnétiques de l’autre. Dans mon hypothèse, le Soleil émet de longs faisceaux de rayons catho- diques qui sont en partie l’objet d'une succion dans l'atmosphère terrestre de la part des pôles magnétiques, chaque fois qu'un des faisceaux catho- diques en question frôle notre planète d'assez pres”. Si cette idée est, füt-ce même incomplètement, conforme à la vérité, il doit exister un lien entre ces faisceaux de rayons cathodiques et les taches solaires; il y aurait alors à expliquer convenablement cette relation, 1 Further Investigations on Planetary Influence upon Solar Activity. Proc. Roy. Soc. Vol. XX, p. 210, 1872. Tout récemment encore je croyais bien avoir la priorité de l'idée suivant laquelle le Soleil, outre sa lumière, émettrait aussi des rayons cathodiques, Je viens de recon- naître qu'il s'en faut de beaucoup, Dès l'année 1881, AZ. Goldstein, si célèbre pour ses recherches sur les rayons cathodiques, a, parait-il, dans un travail, que je n'ai Ue 1899. Nour: LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. et à voir si l’on ne pourrait même pas considérer les taches comme étant les points d'émission de la lumière cathodique. Eh bien! la plupart des hypothèses plus au moins fondées faites jusqu'ici sur la nature physique des taches sont d’accord pour admettre qu'elles se manifestent sous l’action de révolutions violentes et subites å la surface du Soleil. Il est assez naturel de comparer, mutatis mutandis, ces catastrophes aux éruptions volcaniques, telles que nous les connais- sons. Or, sur la Terre, toutes les grandes éruptions volcaniques sont accompagnées de violents orages électriques autour du centre d’éruption et ce à quoi j'attachais beaucoup d'importance, on peut admettre avec certitude que les couches supérieures de l'atmosphère, au droit du centre d’eruption, n’échappent nullement à l’action de ces perturbations élec- triques; dans ces couches, les décharges électriques ne donnent pas lieu a des éclairs, mais, dans certaines conditions, à des rayons cathodiques. Dans l’atmosphère solaire, il est fort peu probable d’ailleurs que l'équilibre électrique, une fois détruit, se rétablisse sous forme d’Eclairs: mais, là aussi, dans les couches supérieures de l’atmosphère, les décharges électriques seront assurément accompagnées de rayons cathodiques. Quoi qu'il en soit, voilà à peu près l’idée, peut-être bien hardie, que je me faisais de la façon dont ces longs faisceaux cathodiques pouvaient se former dans l’atmosphère solaire, au droit des taches, dans lesquelles je voyais des indices d'éruptions volcaniques: c’est alors qu'une observation faite sur la grande tache solaire de septembre 1898 vint fournir un point de départ à mes recherches concernant les taches. pas eu l’occasion de voir, exprimé l'opinion que le Soleil émettait des rayons catho- diques, qui contribueraient à expliquer certains phénomènes cosmiques, p. ex. la queue des cométes. Il admet aussi que ces mêmes rayons exercent peut-être certaines actions sur la Terre, sans cependant indiquer l’idée qu'il se fait de la nature de ces actions. Plus tard, en 1893, M. Deslandres a été conduit à des idées analogues par ses études d'analyse spectrale sur la chromosphère. Il trouva que les rayons cathodiques pré- sumés, émis à peu près normalement par la surface solaire, auraient leur intensité maximum aux endroits où la chromosphtre est la plus brillante, c’est-à-dire au droit des taches et des facules. Pour ma part, j'ai été conduit à la même idée par une voie toute autre en étudiant la succion des rayons cathodiques par un pôle magnétique, phénomène que j'ai, le premier, reconnu et étudié, (Voir «Archives» t. VI, Genève, Sept. 1898.) Comme on le sait, M. A. Paulsen a cherché dans différents mémoires importants à expliquer les phénomènes les plus frappants présentés par les aurores boréales en partant de cette hypothèse qu’elles sont dues å une luminescence de l'air provoquée par des rayons cathodiques. Peut-être d’autres physiciens ont-ils trouvé comme moi que la façon dont AZ. Paulsen explique la production des rayons cathodiques dans les couches supérieures de l'atmosphère est inacceptable. La théorie me semble bien plus satisfaisante, lorsque, conformément à mon hypothèse basée sur les phénomènes de succion, on admet que les rayons cathodiques proviennent de l’espace cosmique, 1* 4 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. Le vaste groupe des taches de septembre atteignit en effet son maximum d'étendue — environ 2300 millioniemes de l'hémisphère solaire, dont 1400 rien que pour la tache maitresse!, le 10 septembre, et il était constant qu'à cette époque, elle se trouvait juste en face d’une constellation où la Terre, Mercure et l’anti-Jupiter se trouvaient assez près les uns des autres”, 3. Evaluation de la force perturbatrice. — Il me vint alors à l'idée que cette coincidence n'était peut-être pas étrangère à la force excep- tionnelle avec laquelle ces planètes devaient à ce moment agir sur le Soleil pour y engendrer des marées. Comme on le voit sans peine, le rapport entre l’action perturbatrice des différentes planètes sur le corps central se trouve en calculant les valeurs de m; r3 où 7; est la masse et 7; la distance héliocentrique des différentes planetes. Dans le tableau ci-dessous les valeurs de _ sont calculées pour chaque planète au perihélie et à l’aphelie. Les valeurs des masses planétaires sont tirées des «Astronomical Constants» de Newcomb; ce sont celles qui lui servent à calculer les variations séculaires des éléments des orbites planétaires. L’incertitude existant en ce qui concerne la masse de Mercure est pourtant assez grande, et l’on pourrait, sans s’exposer à des objections, compter environ 15 % de plus. Comme unité de masse, nous prenons celle de la Terre, augmentée de celle de la Lune; comme unité de distance, la distance moyenne de la Terre au Soleil. | Mercure Vénus | Terre | Jupiter Mm 2 6 75 mas wy > 1.624 2.175 1.052 2.579 m . 5 za min 0. 0.405 2.087 0.958 1.931 1 Je dois à la grande bienveillance de M, Christie, astronome royal å Greenwich, des renseignements détaillés sur ce groupe de taches, 2 Pour abréger, j'appelle anti-planète d'une planète le point qui lui est symétrique dans l'espace par rapport au Soleil, 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 5 L'action des autres planètes est de peu d’importance comparée a å A m ; celle des quatre ci-dessus, la valeur extrême de 73 ne dépasse pour aucune d’elles 0.128, valeur s’appliquant à Saturne au périhélie. Toutefois les forces dont il s’agit sont très-faibles, comparées p. ex. a la force avec laquelle le Soleil provoque les marées sur la Terre, celle-ci étant en effet 3000 fois plus grande que l’action exercée par la Terre sur le Soleil. On peut calculer que la surface du Soleil monte et descend de quelques millimètres seulement pour chaque semi-période de rotation, même sous l’action perturbatrice maximum du système planétaire: résultat qui reste vrai même si le Soleil est supposé avoir une rigidité assez forte. Ce calcul est fait en partant de la théorie de l’équilibre des marées, où on a négligé l'effet de linertie. Il est difficile de se faire à priori une idée quelconque des effets que peut entrainer une pareille ondulation dans la masse entière du Soleil quand il se produit des ras-de-marée et des collisions; ils dépendront évidemment de l’état actuel de cet astre. Les observations faites sur la Terre montrent combien le phéno- mène des marées dépend de la position des barrières continentales arrêtant les eaux dans leur mouvement. Cet arrêt se traduit par des oscillations dans le sens vertical entre les limites de l’océan. Si la mer est petite, ces oscillations sont peu prononcées, mais elles peuvent acquérir bien plus d'intensité, quand on a affaire à de grands océans. Sans anticiper sur nos conclusions, disons de suite que nous avons considéré dans ces recherches la masse du Soleil à l’intérieur de la photosphère comme essentiellemeut solide, et comme renfermant de vastes cavernes remplies de matières en fusion. C'est dans ces laves que, sous l’action du système planétaire, il se produirait des mouvements analogues à ceux dont nous venons de parler. Nul ne sait quelles pressions énormes peuvent se produire en pareille occurrence. Il peut être bon de prévenir dès maintenant que le présent mémoire ne prétend pas prouver que les taches solaires soient wrwiquement dues à l’action de ces forces, productrices de marées; au contraire, ainsi qu'il ressortira des hypothèses émises dans mes conclusions sur l’état actuel de refroidissement du Soleil, mes recherches m'ont amené à conclure que ces forces perturbatrices ne jouent toujours pas le rôle principal dans la production des taches, qui, suivant moi, sont dues 6 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. à des éruptions analogues dans une certaine mesure à celles de nos «Geysers». Je pense donc qu'il se produirait des taches alors même que les forces susdites n’existeraient pas; seulement je crois que dans ce cas leur formation cesserait plus ou moins d'être soumise aux lois actuelles. 4. Pour arriver le plus rapidement possible à des conclusions provi- soires sur la probabilité de mon hypothèse sur l'action des forces perturbatrices des planètes sur le Soleil, j'ai tout d’abord relevé les positions de nombreux groupes de taches solaires relativement aux quatre planètes en cause à un moment précis, choisi spécialement pour chaque groupe, ainsi que je l’expliquerai au chap. II. Les planches I—III contiennent 36 de ces relevés. Les résultats ainsi obtenus ne peuvent évidemment en aucune façon être considérés comme probants, mais ils m'ont paru encourageants au premier abord. 5. Il y a deux manières principales de concevoir la relation possible existant entre les taches solaires et ces forces perturbatrices. Il était en premier lieu naturel de croire que, le cas échéant, les taches se dis- poseraient en moyenne d'une façon fixe autour du diamètre solaire coincidant à chaque instant avec la direction de la résultante maximum exercée sur le Soleil par le système planétaire. Pour reconnaître ce qu’il en est, il faut donc a) se rendre compte en grand détail de la position moyenne des groupes de taches. — Mais d'un autre côté, il était possible aussi qu’il existät un rapport entre les variations du nombre relatif des taches solaires et les change- ments de grandeur de la résultante maximum dont je viens de parler, sans pour cela qu’à chaque instant donné la position relative des taches dépendit nécessairement de celle des planètes. Pour tirer cette question au clair, il était donc nécessaire b) de se rendre compte des variations subies dans le temps par le nombre et l'étendue des taches comparées à celles des forces perturbatrices. Ce sont ces deux ordres de recherches auxquels je me suis livré dans les 4 premiers chapitres de mon travail, en appliquant les méthodes dont je vais de suite rendre un compte succinct. Dans les volumes paraissant chaque année des «Greenwich Spectros- copic and Photographic Results», on trouve tous les groupes de taches solaires enregistrés dans l'ordre où ils ont été observés sur le Soleil. 1899. No. I. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 7 Ils sont définis jour par jour par leurs paramètres caractéristiques, qui ont été mesurés avec une grande exactitude sur des photographies du Soleil prises soit a Greenwich, soit à Dehra-Dün dans Inde Anglaise, soit au «Royal Alfred Observatory» à Vile Maurice. La première des recherches indiquées plus haut a eu lieu à l’aide de l'outillage d'observations renfermé dans les 4 années 1892—1895 des «Greenwich Observations». 6. Recherches sur la position moyenne des taches. Méthode de cumulation. — Pour donner une idée de la méthode que j'ai employée dans mes recherches sur la posztion relative des planètes et des taches solaires, en employant les matériaux cités, je vais tout d'abord définir ce que j'entends par la cumulation des taches solaires par rapport à un point M de l’espace, décrivant une orbite quelconque autour du Soleil dans le plan de l’équateur solaire. Supposons que les matériaux d'observation à traiter ont été ras- semblés comme ceux des «Greenwich Observations»: seulement, nous admettrons pour plus de simplicité que les photographies dont on a déduit les positions des taches sont prises tous les jours å la même heure, p. ex. à midi. Pour chaque groupe dont nous pouvons suivre l’évolution par la mesure des photographies journalières, nous notons comme époque caractéristique le midi du jour où ce groupe a eu son maximum de croissance au cours des dernières 24 heures. (Voir plus tard aux chap. II & III). La longitude héliographique de tous les groupes à leur époque caractéristique est d’abord relevée sur les photographies en question. Les positions des groupes pour chaque jour de la période considérée sont représentées par des graphiques journaliers, où les groupes sont rapportés à l’aide des longitudes relevées et repérées le long d'un axe divisé représentant l’équateur solaire. Sur chacun de ces graphiques, on a également rapporté un point P, répondant au point de l’hémisphère vs:d/e du Soleil qui, au moment où on a pris la photographie pour le jour en question, se trouvait en face du point JZ ou de son antipode. Les différentes feuilles sont ensuite superposées les unes aux autres dans leur ordre de succession et de telle sorte que tous les points P se placent les uns au-dessus des autres, tandis que les lignes représentant l'équateur solaire se recouvrent en direction. J’appelle ? le point de coincidence des graphiques. ~ KR. BIRKELAND. M.-N. K 1 Si maintenant l’on compte partout le nombre total des taches par unité de longueur (arbitrairement choisie) de l'équateur situé à la base de la pile de graphiques (équateur sur lequel on rapportera ultérieurement toutes les longitudes), et si l’on élève pour chacune de ces unités une ordonnée proportionnelle au chiffre résultant du dénombrement, on pourra tracer une courbe 2, qui, dirons-nous, représente /a densité des taches solaires cumulées par rapport au point MA Si l’ordonnée de la courbe est prise non-plus proportionnelle au nombre des groupes de taches par unité de longueur, mais a da surface totale des taches cumulées, nous aurons une courbe S représentant d'une façon analogue /es aires tachées du Soleil, cumulées par rapport au point M. 7. En cumulant ainsi les groupes de taches par rapport à un point quelconque M de l’espace, décrivant une orbite arbitraire autour du Soleil, les courbes D et S obtenues auront généralement la forme de vagues s'étendant presque tout le long de l'équateur solaire. (Voir fig. 1 c.) Ceci vient de ce que pendant une demi-période synodigue du point mobile, les points P entrant dans la construction des courbes répondent aux points de la surface solaire situés en face du point mobile, et pendant l’autre demi-periode, à son antipode; et tous ces points P doivent être amenés a coincider. Si l'intervalle de temps considéré est assez long, la forme générale des courbes D et S sera dans ce cas a peu prés indépendante de la vitesse du point mobile et de sa position initiale, sauf toutefois dans certains cas particulier. 8. Les courbes D et S résultent, comme nous venons de le voir, de la cumulation directe des taches par rapport au point M: admettons maintenant qu'on cumule d'une manière analogue les mêmes taches par rapport å un point V se mouvant toujours dans l’équateur solaire à 90° en avant du point M: il en résultera des courbes 2, et S,, que nous appellerons par la suite courbes complémentaires de D et S. 9. Cas hypothétique. — Etudions maintenant la forme des courbes D et S, et celle de leurs courbes complémentaires 2, et S, dans quelques cas hypothétiques trés-simples, mais fort instructifs quant a l'application de la méthode cumulative. I En réalité on n'a pas besoin pour tracer la courbe D de faire toutes ces opérations graphiques: on les remplace par les opérations numériques correspondantes. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 9 Supposons que le point M gravite autour du Soleil, dans le plan de son équateur, avec une vitesse angulaire uniforme, et construisons les Coupes] Sy MES; 19 dans le cas où les groupes de taches, a leurs époques caracté- ristiques, se montrent toujours au voisinage immediat des points de coin- cidence P entrant dans la construction des courbes, et 20 dans le cas ou, dans le cours du temps considéré, ces mêmes groupes, aux mêmes époques, se répartissent régulièrement, tant comme nombre que comme aires, dans le quadrant de l'équateur solaire s'étendant à 45° de part et d'autre du point P, et nulle part ailleurs. Dans le premier cas, où on suppose que toutes les taches tombent autour des points P, il est clair que les courbes D et S auront une forme analogue à celle de la fig. 1a: les courbes affectent alors pour ainsi dire la forme d'une tour isolée. Le diamètre solaire passant par le point de la surface solaire correspondant au point culminant des courbes sera dirigé vers la position du point JZ au moment de la pre- mière photographie. Que seront, dans ce cas, les courbes complémentaires Ds Ce Sak Puisque, conformément a I'hy- pothèse, les taches se concentrent la toujours autour des points de la Sr has) © ENE o surface solaire situés en face du point JZ, ou de son antipode, il Ib est clair que les taches visibles de Ah la Terre se trouveront a environ 0 > 360 90° a droite ou å gauche des points de la surface solaire situés en face du point N ou à son anti- h ; = : : Pz 360 pode. Mais lorsqu’on fait la cu- mulation par rapport au point J, a tous les points P, correspondants doivent être amenés à se recouvrir les uns les autres. Les nouvelles courbes D, et 5, auront donc la forme indiquée fig. rb. Il y aura ainsi deux tours a peu près égales situées à 90° l’une à droite, l’autre à gauche des points P, (qu'on a amenés a coincidence), et répondant à la position du point MV au commencement de la période considérée. La surface comprise entre la courbe D, (ou S,) et l'axe représen- tant l'équateur solaire est, il va sans dire, égale à la surface de même nature enfermée par la courbe D (ou S). 10 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. Remarque: Une cumulation des taches faite par rapport à un point autre que M et se mouvant avec une vitesse différente, à la fois de celle de M et de celle de la Terre, donnera toujours lieu à des courbes allongées, comme celle de la fig. 1e, à supposer seulement que l’on con- sidère un temps suffisamment long: la surface comprise entre les courbes et l’axe des longitudes restera d’ailleurs la même pour toutes les courbes D d'une part, et pour toutes les courbes S de l’autre. — Dans le second cas, il est facile de voir que les courbes D et S formeront avec l'axe représentant l'équateur solaire à peu près un rec- tangle dont la base aura 90° de long. D'autre part, les courbes complémentaires 2, et S, formeront chacune avec le même axe deux rectangles ayant même base, mais une hauteur moitié moindre, et dont les médianes seront à 90° de part et d'autre de P,. Même remarque que dans le premier cas, en ce qui concerne la cumulation par rapport à des points autres que M. 10. Cas se rapportant à la réalité. Cumulation des taches par rapport aux planètes. — En réalité, comme nous le verrons, la cumu- lation par rapport a une seule de nos plandtes indiquera des relations moins simples que dans les cas hypothétiques ci-dessus. Si, par exemple, on voulait rechercher si Vénus est apte à provoquer des taches sur le Soleil, on trouverait que la cumulation, par rapport à cette planète, de toutes les taches observées donnerait pour résultat des courbes D et S qui, dans leur forme générale, différeraient très-peu des courbes allongées obtenues par cumulation relativement à un point arbitrairement choisi (fig. 1 c): c’est leurs particularités qu'il va falloir examiner de plus près. C'est ici que les courbes complémentaires D, et 5, vont nous fournir un excellent moyen de contrôle. Les particularités qu’une courbe 2 pourra devoir à l'influence de la planète en question vont en effet, dans ce cas, se retrouver en double dans la courbe D,, mais avec des amplitudes moindres et dans une po- sition retardant ou avangant de 90° sur le point correspondant à celui de la courbe D, où les mêmes particularités caractéristiques figuraient å l'origine. Ainsi les résultats obtenus par nous, savoir: que les courbes D et S, pour Mercure, Vénus, Jupiter et la force résultante (7,),,, (voir page 12) se montrent plus élevées que les courbes 2, et S, dans leur partie moyenne, tandis qu'au contraire ces dernières s'élèvent un peu plus 1890. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. II aux deux ailes, semblent indiquer que le système planétaire exerce une certaine influence sur les taches solaires, quant à leur position. 11. Recherches sur les variations de la force perturbatrice maxi- mum et celles des nombres relatifs de taches. — A côté de ces recherches sur la position des taches par rapport au système planétaire, jai, comme je le disais, fait aussi des recherches sur le nombre et l'étendue des taches du Soleil, en vue tout spécialement de trouver la cause de la période undécennale dans leur apparition. La méthode employée a essentiellement consisté à établir une com- paraison entre la grandeur, à chaque instant donné, de la résultante maximum des forces perturbatrices exercées sur le Soleil par les planètes, et le nombre et l'étendue des taches au même instant. Cette résultante maximum, tangente à la surface du Soleil, est d’abord calculée de 5 en 5 jours (7), pour les 4 années 1892—95. La fig. 1, pl. VII, représente graphiquement (7), en fonction du temps. La courbe ainsi construite m'a servi à rechercher s’il y existe une relation entre les changements de période relativement courtes (de quelques mois) qui surviennent dans l'allure des taches du Soleil, et l’action per- turbatrice des planètes sur le Soleil. Pour arriver de façon analogue à pouvoir comparer les résultats relatifs à la période undécennale des taches, le laps de temps pendant lequel la résultante maximum sera calculée devra être naturellement d'une beaucoup plus grande durée. Pour un espace de 96 ans, allant de 1800 à 1895 inclusivement, elle a été calculée de dix en dix jours, et les résultats représentés graphiquement de façons diverses (Pl. VII). On a alors comparé ces graphiques soit aux séries bien connues représentant le nombre relatif des taches et construites par M. R. Wolf, soit avec des courbes représentant les variations des aires tachées du Soleil au cours de temps. Une discussion des résultats obtenus par cette comparaison nous offre différents points présentant beaucoup d'intérêt. Quant au calcul de la résultante maximum dont j'ai parlé, on reconnait que son expression mathématique revêt une forme très-simple, pourvu qu'on admette que les orbites des planètes et l'équateur solaire coincident avec le plan de l’Ecliptique. 12 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. Designons par M et R la masse ct le rayon du Soleil, et par mi, Li, 7, les masses, les longitudes héliocentriques et les distances au centre du Soleil des différentes planètes (i étant successivement 1, 2...). Nous verrons plus tard que le maximum de la force perturbatrice 77, agissant normalement à la surface du Soleil, sera déterminé par la formule ci-dessous, lorsqu’on la rapporte à la valeur de la gravitation à la surface du Soleil: : 5, 3 R3/,/ 5 ; 2 I Å BE ee = 2 (YA En B + 3 0) ou M; . m; m A=)Y) — sin 24, B=} —} 0s 24, et c=)} ; 75 ré r; Si l’on désigne par Z, la longitude héliocentrique du point d’appli- cation de cette force, on a A tang 27, = 3 où sin 2Z, a toujours même signe que le numérateur. Le maximum de la force perturbatrice #, agissant tangentiellement sur la surface du Soleil est exprimé par == (Fomaz = >= = fa + 2° Si nous désignons par Z; la longitude du point d’application cor- respondant, on aura tang 2L, .tang2 u, = — 1, d'où Lo = Zu == 45° ’ ce qui montre que la force tangentielle aura toujours son maximum sur l'équateur solaire à 45° à droite et à gauche du point ou la force nor- male avait son maximum au même instant. Le maximum de la force totale sera toujours tel que Å pe = EE 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 13 12. Les taches peuvent-elles se rapporter par cumulation a une configuration permanente sur un nucléus situé à l’intérieur du Soleil? Cette question est traitée en détail au chap. V. Ici, il n'est plus question de cumuler les taches par rapport à un point donné de l'espace; mais il s’agit, suivant l'expression que j'ai adoptée ici, d’une cumulation par rapport à un certain mouvement de rotation. L'opération dont je parle s'exécute par une superposition des gra- phiques journaliers du Soleil, analogue à celle que j'ai déjà décrite. Seulement cette fois, leur point de coincidence P est déterminé autre- ment; pour chacun des graphiques, il répond au point d’intersection de la surface solaire avec le prolongement du rayon vecteur allant à un point déterminé, mais arbitrairement choisi, à l’équateur d'un nucléus solaire hypothétique, se mouvant avec une certaine vitesse angulaire. Si les taches du Soleil doivent leur origine à un système perma- nent de centres d’excitation sur un pareil nucléus solide, il est aisé de comprendre que, par une cumulation comme celle dont je viens de parler, on se rendra compte, d’une façon générale, de la position de ces centres d’excitation sur le nucléus. Supposons, pour simplifier, qu'il y ait un seul et unique centre d’excitation sur un nucléus solide à l’intérieur du Soleil, et que les taches soient dues à ce que des masses vomies par ce centre arrivent à émerger de la photosphère, pour la suivre ensuite dans sa rotation. Il est clair que, par une cumulatinn comme celle définie plus haut, on arrivera à condenser toutes les taches autour de leur centre d’exci- tation sur le nucléus. Ceci suppose toutefois qu'on ait choisi pour époque caractéristique des taches, leur moment d'apparition et qu'à ce moment chaque tache se trouve très-rapprochée du centre d’excitation. Si, dans le cas que je considère, on ignore quelle est la période de rotation du nucléus, on pourra en cumulant toute une série de fois en partant de vitesses de rotation de plus en plus grandes ou de plus en plus courtes du nucléus, arriver finalement par tätonnements à trouver quelle est la période de rotation du nucléus pour laquelle, par suite de la cumulation, toutes les taches sont amenées à se condenser autour d'un point unique. En realite, il va sans dire, qu’on ne procede pas a la mise en œuvre d’une pareille série de cumulations dans l’idée qu’on pourra réussir à condenser toutes les taches autour d’un point unique du nucléus sup- posé. Nos efforts n’ont pour but que de trouver par cumulation une répartition typique des taches autour de l’équateur du nucléus qui se 14 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. maintienne d’une façon permanente à travers les espaces de temps les plus différents. Par des recherches persévérantes exécutées suivant la méthode indiquée, je suis arrivé à la conviction qu'il existe dans l’intérieur du Soleil un nucléus solide tournant autour de son axe en 25) 148, valeur que j'estime correcte à quelques minutes pres. Pendant les essais faits en 1888 par le Dr. Wz/sing de l'Observatoire de Potsdam, pour trouver la période de rotation du Soleil à l’aide des facules, ce savant a trouvé que la période ainsi determinée était indé- pendante de la latitude des facules et égale en moyenne å 25) 2281. Il conclut de ses résultats que l’intérieur du Soleil qu'il admet gazeux a une vitesse #zigue de rotation, au contraire de ce qui a lieu pour la photosphère. La raison probable pour laquelle le Dr. Wilsing a trouvé une valeur plus grande que la mienne est qu'il n’a pas réussi à éliminer entière- ment par sa méthode l'influence de la vitesse de la photosphère. C'est ce que la discussion nous montrera au chap. V. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 15 Chapitre II. Representation graphique de la position relative des taches solaires et des planètes dans quelques cas spéciaux. 13. Lorsqu’on aborde la recherche des relations existant entre les positions des taches solaires et celles des planètes, la premiere idée qui se presente est de figurer leurs positions dans un grand nombre de cas spéciaux, pour voir si cet examen n'est pas susceptible de fournir des indications utiles. Toutefois, dès que nous entrons dans cette voie, nous nous trouvons en face d’une difficulté, qui va d’ailleurs dans une certaine mesure se représenter continuellement dans toutes les recherches qui vont suivre: elle consiste à établir une règle fixe, pouvant servir à trouver pour chaque groupe de taches l’époque caractéristique (critique), où il convient dans chaque cas de comparer les positions héliocentriques des taches avec celles des planètes. Et tout d’abord, pour des raisons pratiques, je me suis restreint dans le choix de ces époques à celles indiquées par les «Greenwich Observations» pour la prise des clichés photographiques journaliers du Soleil, ceux-là même dont on a déduit la position des taches. Sur ces époques, on a choisi comme spécialement caractéristique pour un groupe donné de taches, celle où ce groupe a eu son maximum de crois- sance au cours des dernières 24 heures. J'ai supposé que l’époque ainsi choisie répond bien à un moment où la force qui provoque les modi- fications dans la grandeur de la tache passe par un maximum. Il y a beaucoup de raisons justifiant le choix, comme époque carac- téristique, du moment où une tache se produit. )’y reviendrai plus tard. On comprendra aisément combien il est important de comparer les positions des taches et ceiles des planètes à certaines époques précises soumises pour tous les cas à une règle commune, si l’on se rappelle 16 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. avec quelle grande vitesse angulaire les taches se déplacent autour de l’axe du Soleil. Mais il convient encore de passer au crible les époques choisies suivant la règle en question. Il importe en effet d'être sur que l'époque choisie pour chaque groupe de taches répond bien å un maximum effectif de croissance du groupe et non pas seulement à un maximum apparent, comme par exemple, quand un groupe qui s’est formé sur l'hémisphère solaire invisible de chez nous est, par la rotation du Soleil, amené sur son bord oriental. Afin d'éviter de pareilles méprises, j’ai toujours usé de méfiance vis-à-vis des taches apparaissant au bord oriental du disque solaire, alors même que leur grandeur véritable est relevée de jour en jour par les «Greenwich Observations» à la suite de la mensuration sur les photo- graphies de leur «surface projetée» («projected area»). Peut-être ai-je été par trop prudent vis-à-vis de ces projections, en ne tenant nul compte d'un grand nombre de groupes déclarés ainsi douteux: mais les matériaux restants et considérés par moi comme 3275 ont été en nombre suffisant pour fournir bien des résultats. 14. Pour l'examen graphique de certains de ces cas dont il est question au présent chapitre, j’ai tout d’abord fait choix de 48 groupes de taches solaires, pris en quelque sorte au hasard dans les «Greenwich Observations» pour les années 1892—95. La seule règle qui m’ait en effet guidé dans ce choix, c'est le désir de trouver des groupes ayant eu pendant un temps assez court une croissance considérable, ou ayant eu assez peu de durée pour rendre très-facile le choix de leur «époque critique» conformément à la règle ci-dessus. Sur ces 48 cas, 36 sont représentés graphiquement aux planches I—III; on y lit sans peine la position relative des taches et des planètes aux époques choisies. Pour être complet, j'ai inscrit dans les tableaux suivants ceux des paramètres caractéristiques de chaque groupe pouvant présenter de l'intérêt à ce point de vue. L'étendue des groupes, leur longitude moyenne et leur longitude comptie à partir du méridien central sont empruntées jour par jour aux «Greenwich Observations». La longitude héliocentrique correspondant à chaque groupe à l'instant donné, et comptée à partir de l’&quinoxe, a été calculée en conséquence et inscrite en tête du tableau afférent à chaque groupe. Dans cet en-tête figurent aussi, d’après le «Nautical Almanach», les longitudes héliocen- triques simultanées de ia Terre, de Mercure, de Vénus et de Jupiter. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 17 15. Etendue et position heliographique de 36 groupes de taches empruntées aux „Greenwich Observations de 1892 å 1895: Le temps civil de Greenwich, auquel les photographies originales ont été prises, est exprimé par le mois, le quantième (calendrier civil) et la fraction décimale de jour, comptée à partir du minuit moyen de Greenwich. Les étendurs des groupes de taches sont exprimées en millionièmes de l'hémisphère visible du Soleil. La longitude moyenne d'un groupe s'obtient en multipliant la longitude héliographique répondant à chaque tache composant le groupe, prise séparément, par la surface de la tache, et divisant la somme de tous ces produits par la somme des surfaces de toutes les compo- santes. La longitude héliographique de chaque tache est comptée à partir d'un certain premier méridien, celui qui passait par le nœud ascendant au midi moyen du 1er janvier 1854; la période de rotation admise est de 25) 38. La colonne des Zongitudes comptes du méridien central donne la longitude hélio- graphique moyenne du groupe comptée à partir du méridien passant par le centre du disque solaire au moment de l'observation, les longitudes à l’ouest du centre étant comptées comme positives. = il ve 3 ü | oo v CS Su8| Sos. NM Son Bar Date. ge |=2:0| 225% Date. 29125201 2493 = ho | bags. = = ho H| MADE IE an Siena RE ga ST yey det ae 28 19951 9595 eee Cars ee |) SY SiGe) |) ES los | es | Soko A 0 0 Groupe 2490. Mai 23,401| 467 1,1} + 49 La figure 1 pl. I représente la position rela- » 24,410 fe) lig 18 tive des planètes et du groupe à l’époque 44 33 ; A 3 avril 23,457. » 25,497 293 1,7 Ar 33,2 Sea Van VER: 5 ee - 28 I 6,6 ae 49 7 9| +4 [1892] | » 27,327| 267 | 2,1| + 57,9 1892 å 0 0 » 28,301 | 240 17, I Avril 22,412| 26| 12,4| — 33,6 a ETES > 2 , 253 2, — 40); SRE ASR PE a Groupe 2639. 2 ONE 2 -- å A 47 DE, 5,4 Fig. 2 pl. I pour l’époque août 31,408. » 25,663| 178 AGS) SES a en GE sp Vader II = 160 = HU » 26,397) 141 | 146| + 21,2 re » 27,522| 06 | 14,2| + 35,7 » 28,430| 112 13,6| +4 47,2 » 26,445) 31 | 143,9| — 34,9 » 29,401| 70| 13,8| + 60,2 0 0 Août 25,516 12 | 143,1 | — 48,1 » 27,222 23 | 143,6| — 24,9 2 SOE EE 28,480| 20 | 146,6| — 5,4 » 29,348| 139 | 148,3| + 7,3 » 30,417 | 364 | 147,7| + 21,3 » 31,408| 745 | 147,3| + 34,0 Groupe 2530. Fig. 2 pl. I pour l’époque mai 22,443. ge 20 Bern Sl DT 23400. A 2 Sept. 1,410| 895 | 147,5 | + 47,4 Mai 21,460 47 iyi | — 20,8 » 2,493| 825 | 147,0| + 61,2 » 22,443] 421 1 | SS |. 3402|, (653 147,3) 47355 Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 1. 2 = 2 2 18 KR. BIRKELAND. | | | 3 3 3 2 = 2. 1%28|87 Fe EP Se Vv o o =] vo v = y = Å 5 € 5 . ; 5 € = : Date 3% |2a0| e224 Date. 26 | 2858| 3235 un mYV | MATE ER RO Hl TRADE 52 En EEE on en Eu BT | EN ENT GE RO GE Yo IAMESINMNSED He | aes Hobo Groupe 2730. Fig. 6 pl. I pour l’époque nov. 8,479. åg — 4615.06 —12800 0 OS re205 a Zr ER BO Nov. 6,253 | 34 202,7 | — 18,6 » 7,217| 159 | 292,3| — 6,2 » 8,479| 436 | 293,8| + 11,8 » 9,309) 448 | 294,5| + 23,5 » 10,484| 324 | 294,8| + 39,3 » 11,286] 299 | 294,2 | + 49,3 » 12,481| 281 | 297,0| + 67,9 » 13,502] 20I | 296,7| + 80,9 Groupe 2679. Fig. 4 pl. I pour l'époque sept. 28,417. 5557, 8 = 15506, 9 = 560,2, Armani: Sept. 26,464 64 76,6 _ 52,7 » 27,240| 342 | 75,1) — 43,9 » 28,417| 800] 75,7 | — 27,8 » 29,412| 724 | 75,2] — 15,2 » 30,463| 669 | 755| — 1,1 Oct. 1,192] 624 | 75,8| + 8,9 » 2,193) 444 | 77,3) + 23,6 » 3,396) 535 | 76,2| + 38,3 » 4417| 480 | 768| + 52,4 » ar 500 SÅ + 63,6 Groupe 2825. Fig. 7 pl. I pour l’époque févr. 1,278. & = 13207, 8 = 27706, Q = 259%1, Sn N [1893] 6 P Janv. 24,202 16 | 316,0| — 33,6 » 25,266] 155 | 314,8 | — 22,4 » 26,209| 289 | 315,4| — 9,3 » 27,230| 328 | 316,8) + 5,5 » 28,500) 188 | 318,0| + 23,4 » 29,330) 244 | 318,2 | + 34,6 » 30,298) 188 | 319,0| + 48,0 » 31,289) 209 | 319,6| + 61,7 Févr. 1,278! 405 | 314,8! + 70,0 2,205 | 378 | 308,1 | + 75,4 » 6189| 539 | 775| + 76,5 Groupe 2685. Fig. 5 pl. I pour l'époque oct. 3,396. å = 100,6, 8 = 177%3, Q = 640,2, No aa 0 Oct. 2,193 31 2,9| — 50,8 » 3,396) 444 3,9| — 34,0 » 4,417| 706 | 3,2] — 21,2 » 5,480! 655 | 3,6| — 9,0 » 6,189| 761 3,9| + 2,9 » 7,436| 1076 + 19,8 » 8,328| 1158 5,1| + 32,4 9,239 | 1059 6,5| + 45,8 » 10,338 | 883 77| + 61,6 > 11,501| 584 8,8 | + 77,9 » 12,436] 65 | 3599| + 81,3 > Ge Groupe 2859. Fig. 8 pl. I pour l'époque févr. 23,384. ö = 155°.0, 8 = 356%4, Q = 294%1, 2: = 32%% 2 == 109%9 0 Févr. 23,384 269,0 — 44,7 22 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 19 = + = 5 . el vo uv v 3 oA o =] oa . sa =! . . oa =, = Date. 3 ON ee Date. ao Heo] 9.27 BA | mo b| mad å BS | mo b| DATE ae | Be Besa | 55 |85_| SEETG + ¢ 3 © | + 3 Q 5 aa |Qe&s/4Hse3 | Ab |HES|HSES Groupe 3015. Fig. 12 pl. I pour l’époque juin 15,399. | | 5 = 26494, 8 = 13598, 9 = 113%0, Fig. 9 pl. I pour l’époque avril 3,457. = 420,3, I = 2760,9 5 = 19359 8 = 199°,9, Q = 35600, = Groupe 2912. JL = 28% Da Us. ; 0 0 Juin 13,477) 19 | 285,9| — 13,9 Avril 3,457 | 22 145.1 = 13,6 » 14,415] 60 | 286,7| — 0,7 » 15,399| 364 | 287,1| + 12,8 » 16,403| 585 | 286,9| + 25,9 » 17,428| 725 | 287,8| + 40,3 Groupe 2948. » 18,493 | 575 | 288,0| + 54,6 Fig. 10 pl. I pour l’époque mai 1,301. > 6 er 19,397 | 565 | 287,3| + 65,9 eee eo » 20,237| 368 | 286,5 | + 76,2 å 0 0 Avril 27,472 6 | 136,5 | — 65,1 Groupe 3037- » 28,487 12 | 134,2] — 54,0 | Fig. ı pl. Il pour l’époque juin 28,411. > 2 27 | 135,1| — 40,4 |O = 2769, 8 = 192%, Q = 13493, 9,444 7. 2035, 40,4 Gay een » 30,164| 168 | 134,2 31,8 ME gjor ge nede] Oude Juin 28,411 7 149,0 + 46,9 32 527201 2734 | 37,4 — 85 » 3,269] 580 | 137,9| + 13,0 » 4431| 643 | 138,6| + 29,0 Groupe 3059. 2 Fig. 2 pl. II pour l’époque juill. 7,457. EE oe » 6,430| 533 | 138,4| + 55,3 À = 440,3, I = 25795. » 7457| 145 | 1385| +689| . 0 0 » 8441| 158 | 136,5| +700 Juill. 7,457| 194 | 314,8| — 27,6 | » 8,472| 265 | 314,8| — 14,1 > 9561| 445 | 315,5) + LO » 10,384] 501 | 315,4| + 11,8 » 11,493] 670 | 314,9| + 26,0 Groupe 2979. Fig. 11 pl. I pour l’époque mai 22,413, 6 05, 8 = 3567, P= 7402, | * 12405| 772 | 3151| + 38,2 eee a » 13,252| 647 | 316,0! + 50,3 Mai 22,413 4 1, Å JE ER O77 22, 231, — 0,2 a > 15,333 | 441 | 315,6) 47755 2* 20 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. E aloe : ARE O u v T | © © weal D, we | 0 Date. | åg | HAR 288] oat. | Se | Be) ees es | Sb) DAGE oo 5505| Bass 25 80-| 686 29 60 :| 5658 Ah |YeEs|4sEes SE | Ses 4W48E8 Oct. 1,266| 873 | 322,8| + 34,4 Groupe 3087. » 2,466] 835 | 322,3 | + 49,8 Fig. 3 pl. Il pour l’époque juill. 25,436. % = 40206, GE OR eo Bel NY = 4509, 7 = 27196. » 4477| 765 | 321,3) 475,3 i 0 0 Juill. 25,436 7.| 7338| — 30,6 Groupe 3296. Fig. 6 pl. II pour l’époque nov. 30,190. 6 = 68%2, 8 = 8798, 9 = 210,6, Groupe 3106. Y = 570,4, 2 = 790,1 Fig. 4 pl. II pour l’époque août 6,454. à = 314°,1, 8 — 309°,2, Q = 197°,6, Nov. 50090 10 Sl = 472,00 2 = 297551- 0 Aott 2,373 50 | 293,9| — 65,6 » 3,493) 268 | 294,5 | — 50,2 Groupe 3346. 0 0 220,1 | + 10,9 Fig. 7 pl. Il pour l'époque janv. 4,183. » 4511| 785 | 293,8| — 37,5 | à = 103%, 8 = 236%0, 9 = 797 24 5,418} 1528 | 292,9| — 26,3 9 = 600,5, £ = 10200. er » 6,454} 2424 | 2890| — 16,5 | [1894] å : » 7,493] 2621 | 292,9| + 1,1 |Janv. aad 9 | 115,8| — 1,4 8,417 | 2316 | 293,5 | + 13,9 — » 9,430] 2327 | 292,6 | + 26,4 » 10,445 | 2149 | 292,3 | + 39,6 12,522 | 1631 | 291,9 | + 66,6 Groupe 3380. Fig. 8 pl. II pour l’époque janv. 26,542. » 11,426 | 1938 | 292,8| + 53,0 | 4 — 12606, 8 = 29909, ® = 113°,9, LES SNE Te 13,501 | 1090 | 291,6| + 79,3 Janv. 25,371 21 » 26,542| 182 Groupe 3206. » 27,515 |" 122 Fig. 5 p Oo = 00,5, 9 = 210%1, © A570, 7 010007 = 283),7, . II pour l'époque sept. 29,474. » 28,520 142 » 20,518] 133 En al | = » 30,478 99 Sept. 27,540 56 28,264| 157 321,5| — 6,5 | Févr. 1,468 0 321,2 | — 16,4 » 31,163] IOI » 29,474| 529 | 3219| + 99] » 2224| 73 30,478 | 805 | 322,0| + 23,2 » 3,506 45 0 155,4 156,3 157,8 158,9 159,1 159,7 160,0 160,4 160,3 160,0 0 — 42,9 — 26,6 — 12,2 + 2,2 + 15,5 + 28,7 + 38,1 + 55,6 + 65,5 + 82,1 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 21 E ARE ee alle, el DI roe Bus å | OR EE ES F Date MEGA | 28.8 Date. Sa | 250] £22 Å | BS | mob) RATE | 22 | Deu bass | 2e 80» SESE 20 BG 6808 | Ht |HÉT|IASES Wo | HET | yoko Groupe 3423. Fig. 9 pl. II pour l’époque févr. 24,504. Groupe 3661. Fig. ı pl. III pour l’époque août 9,305. 5 = 1559.9, 8 = 770,3, Q = 1600,9, | & = 31606, 8 = 160,9, Q = 650,5, À = 65,1, 7 = 1490,7. A = 7996, I = 333%1. 0 alee 0 0 Févr. 24,504 5 | 155,5| — 5,9 | Août 7,544 12 | 146,1| — 6,2 » 8242 112 | 1456| + 1,3 » 9305| 412 | 147,1 | + 16,8 Groupe 3509. » 10,609] 512 | 146,5| + 33,4 Fig. 10 pl. II pour l’époque mai 5,508. » 11,479| 453 | 147,0| + 45,5 6 = 22409, 8 = 33909, 9 = 27301, | > 12 ; EN 12,381| 409 | 147,4| + 57,8 | » 13,609| 302 | 146,5 | + 73,1 Mai 5,508 7 sao + 23,2 2 14,385 | 66 141,9 + 78,8 Groupe 3582. Fig. 11 pl. II pour l’époque juin 20,273. å = 2680,9, 8 = 2090,7, 9 = 34506, DL = Ve | | Juin Ee) 4 sas | + 12,6 Sept. 1,419 Groupe 3590. Fig. 12 pl. II pour l’époque juin 28,396. Groupe 3695. Fig. 2 pl. III pour l’époque sept. 1,419. Se y, 8 == ie, Qu DL = OG, Å = geht 0 0 5 | 166,6 | — 18,2 Groupe 3745. Fig. 3 pl. III pour l’époque oct. 14,226. å = 27696, 8 = 234°,0, Q = 358%5, | 6 = 200,9, 8 = 289,8, Q = 1720,3, 9 = 760,0, 7 = 27509. A = 850,3, 2 = 540,1. Juin 27,389 IO 323.1 - 15.0 Oct. 13,424 57 1301 + 22,7 » 28,396| 191 | 3244| — 0,4] » 14226| 241 12,5| + 32,7 » 29,424] 304 | 324,1| + 13,0] » 15,439] 382 | 12,4| + 48,6 » 30444| 227 | 3249| + 27,3] » 16,198} 337 | 11,8] + 58,0 Juill. 1,472) 136 | 325,2| + 41,2] » 17,294] 225 9,7| + 70,3 » 2,497| 61 | 3260| +55,6| » 18,209| 71 6,3| 1 79,0 w te KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. Date du groupe. | du groupe. comptée du méridien du groupe. central. Longitude moyenne Longitude comptée du méridien central Etendue du groupe, Longitude moyenne Longitude v Eu = c 2 - Groupe 3807. Groupe 3888. Fig. 7 pl. Ill pour l’époque févr. 2,205. Fig. I. III pour l’époque nov. 22,214. = g 4 P Pp cp q 4 ö — 133°,1, 8 = 22°,2, © — 349°,1, 5 = 59%, 8 = 119%,1, 9 = 235%,1, 2} = 880,6, 7 = 600,8. À = 94°, Me ate ee 1890,3. à ae: FER Nov. 21,308 38 | 186,2| — 11,5 Janv. 31,532 28 12.6 + 33.1 22,214| 386 | 186,5| + 08 | Févr. 1223 Me >» 23,529| 548 | 187,7| + 1931 , > 205! 242 | 13,8| + = 3 » 24,443 527 187,8 = 31,4 » 3,182 10227 17,3 + 72, >» 25507 | 535 | 188,2] + 45,8 - » 26,223] 494 | 187,8| + 54,9 » 2 508 | 188,7 | + 68,5 Groupe 3893. 28,203 | 108 | 184,8) + 78,0 fi ras a me gue = 940,9, 2 = 122,7. 2 0 | 0 Groupe 3810. Févr. 4,275 97 | 278,3| — 11,7 Fig. 5 pl. I pour l’époque nov. 23,529. » 5,445 119 278,6 + 3,8 å = 610,3, 8 = 12696, 9 = 07, | a a = 310,7. GE » 6,533) 146 | 278,9) + 18,3 BAR » 7,449| 157 | 280,6| + 32,1 Nov. 23,529 10 | 138,7 | — 20,7 | » 8446| 154 | 281,1| + 45,8 » 9265| 144 | 281,4| + 56,9 » 10,218| 127 | 281,6| + 69,6 Groupe 3827. Fig. 6 pl. III pour l’époque déc. 11,505. Groupe 3969. ro) = 79955, 8 — 204°,2, D = = 2650 7, 7 AL = 900,3, I = 950,4 Fig. 9 pl. III pour l’époque avril 9,450. 5 = 19993, 8 = 293,8, Q = 950,3, 0 0 A = 1009.3, å = 249°,8. Déc. 10,212 58 | 308,0| — 0,6 |— 0 0 » 11,505| 428 | 307,8| + 16,2 | Avril 6,125 3 AE + 6,5 » 12,264| 622 | 308,6| +27,0 | » 7,184 20 | 215,8| + 21,4 » 13,409| 1071 | 308,4| + 41,9] » 8,660 66 | 215,3 | + 40,4 » 14211) 1015 | 308,8| +529| » 9450| 176 | 214,8| + 50,3 » 15,431) 888 | 308,2| + 68,4 » 10,470) 167 | 214,7 | + 63,7 » 16,290] 850 | 3092| +80,7| > 11,443| 106 | 213,7| + 75,6 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 23 212,833 | 83.8 23 [mou | ©, à dv gon Date Be LS ES | 292 Date | 5 8 2588| 28284 Evt mb | wo b| mans AR | Sh | mo h| ass oa loou|lo5=3 25 |82=| 6525 Sra | Sas EE ro M MEME || hts) EE å 0 0 Juill 10,430| 754 | 48,7| + 20,8 Groupe 4000. » ı1,971| 828 | 48,1| + 33,9 Fig. 10 pl. III pour l’époque juin 16,448. » 12,423 920 48,9| + 47,4 ) = 6 0: A — Qu , = 0 , Å a på + aan 2 la RES 133397 48,5 | + 59,9 À » 14,488] 791 | 48,7 | + 74,4 join 15,406 |, 135 | 3466 — 12,51 > 15,679. 143 | 41,3 | 82,8 » 16,448) 425 | 3472| + Lol » 17,436] 514 | 347,3| + 15,1 » 18,440] 443 | 347,5 | + 28,6 Groupe 4234. » 19,144] 670 | 348,1 | + 38,5 Fig. 12 pl. II pour l’époque déc. 3,222. Joe Mon Sø 0-1 50,2, SE 8 Søg GEN » 21,402| 619 | 350,0| + 70,3 EVEN eae | gs er 22252110573. | 350-0) 2524 Déc. 2,477| 151 | 302,4| + 29,4 » 3,222| 321 | 303,0| + 39,9 » 4280| 239 | 3044| + 55,2 > 5,216 | 155 | 305,1| + 68,3 oo UL SI Groupe 4087. Fig. 11 pl. III pour l’époque juill. 9,419. 5 = 28609, 9 = 303%3, 9 = 24201, D} = 1070,9, I = 293,2. Juill. 8,426 74 46.2 8,3 » 9,419 | 422 | 48,1] + 6,7 16. Sur le cercle intérieur de chacune des figures répondant aux 36 cas des pl. I à III, la position du groupe de taches en question est rapportée, tous les longitudes / étant comptées à partir de l’équinoxe du printemps. Sur le cercle extérieur se trouve rapportée la position des quatre planètes à l’époque considérée. En examinant minutieusement tous les cas représentés, on conserve l'impression que la croissance de ces groupes a surtout atteint son maximum lorsque vus du centre solaire ils étaient au voisinage d’une constellation étroite de planètes. ® 24 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. On trouve, p. ex. que le groupe 2639 et les planètes 9 © 91 étaient compris dans un espace de 20° — 2912 — 589 — — de 240 1) — 2948 — ö 91 Dy — — de 16° — 3380 — 619 — — de 270 — 39827 = 599 — = de 16° — 4087 — à $ % — — de 179 et qu'en outre un ou deux groupes se trouvaient en même temps que 3 des 4 planètes ci-dessus dans un espace de moins de 300. Si l’on excepte le groupe 2972 qui ne dura qu’un jour, tous les autres groupes furent d’une durée relativement longue, et leur croissance à l’époque critique pour chaque groupe était des plus fortes, En regard des 6 cas signalés ici, il convient d’ajouter d’autre part que sur toutes les 48 constellations de taches et de planètes, il n’y en avait pas une seule autre où un groupe de taches se trouvât loin d’une pareille constellation de 3 planètes. — Au cas même où deux seulement des planètes se trouvaient excep- tionnellement rapprochées, le groupe de taches en question se trouvait souvent remarquablement près de cette constellation. Dans plusieurs cas où les planètes sont dispersées, on trouve le groupe en question près de la direction où le calcul indiquerait un maximum de la force perturbatrice. C'est le cas qui se présente fré- quemment dans ceux des 48 exemples qui ne sont point représentés aux pl. I—III. Les tables relatives aux changements des taches solaires dans les 36 cas représentés ici montrent souvent comment une croissance subite de l’étendue d'un groupe se manifeste lorsque par l'effet de la rotation solaire, le groupe atteint une longitude héliocentrique coincidant à peu près avec celle d'une planète isolée ou d'une constellation de deux planètes, ou en différant de 180°. Après avoir maintenant énuméré dans les cas spéciaux en question tous les faits qui militent en faveur de l'hypothèse d'une relation entre les taches solaires et les planètes, il est indispensable de signaler aussi qu'on peut trouver des taches solaires qui ne sont pas dans les mêmes positions relativement aux planètes que les 48 dont il vient d’être parlé. On peut en effet, p. ex. à une époque où 3 des 4 planètes ou anti- planètes dont il s’agit sont voisines les unes des autres, facilement trouver 1 Le signe d'une planète avec l'indice |, représente l’anti-planète. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 25 un groupe ou l’autre de taches dont la longitude heliocentrique est tout-à-fait différente de celle des planètes: mais il semble que ces cas soient moins nombreux. Quoique ces résultats fussent assez peu probants par eux-mêmes, j'ai cru cependant, qu’ils devaient m’encourager à persister dans mes recherches. 26 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. Chapitre III. Cumulation des taches solaires par rapport aux planetes. 17. Nous allons maintenant voir combien la methode de cumulation esquissée dans l’introduction va se montrer utile, lorsque nous rem: placerons les opérations graphiques qui nous ont servi dans notre dé- monstration par les opérations numériques correspondantes. Nous admettrons d’ailleurs pour plus de simplicité, lors de la cu- mulation des taches par rapport à une planète quelconque, que l'orbite de cette planète et l’équateur solaire sont dans le plan même de l’Eclip- tique. Les données relatives aux taches solaires servant de point de départ aux recherches qui vont suivre, sont exclusivement les longitudes hélio- graphiques des groupes à leurs époques caractéristiques, telles que nous les avons définies: les latitudes n’y entrent pas. Comme on s’en souvient, l'opération principale nécessitée pour la cumulation des groupes de taches par rapport à une planète donnée, consistait à superposer les uns aux autres certains graphiques journaliers, de façon telle que certains points P se trouvassent placés l’un sur l’autre (voir p. 9 et 10). Les longitudes héliographiques des groupes ainsi cumulés étaient ensuite rapportées sur l'axe représentant l'équateur solaire dans le premier graphique situé å la base de la pile de feuilles. | Il est clair que si l’on trouvait le moyen de calculer numériquement la longitude de chaque groupe par rapport à cet axe principal se rap- portant à l'époque caractéristique première, on construirait sans peine les courbes D et S, définies précédemment, Or, le calcul de ces valeurs s'effectue très-simplement quand on a trouvé pour chaque jour de l'intervalle considéré «/a réduction å l'époque 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 27 caractéristique première», c. a. d. langle ~ dont un diamètre fixe du Soleil, celui dans lequel la planète considérée se trouvait à cette époque première, s’est déplacé par rapport au rayon vecteur héliocentrique de la planète pendant le laps de temps écoulé jusqu'au jour en question. Cet angle ¢ est en effet la difference entre l'angle dont ledit diamètre solaire a réellement tourné pendant le temps écoulé, — la période de rotation étant prise égale a 25) 38 — et l'accroissement de longitude de la planète pendant le même temps. Si nous désignons le temps écoulé par ¢ et la longitude héliocen- trique de la planète à l’origine et à la fin de ce temps par /, et /, on a = SEE EE Les valeurs de /, et /, se tirent, p. ex. du «Nautical Almanach». La longitude héliographique de chaque groupe cumulé, comptée sur l'axe principal, s’obtiendra à l’aide de la longitude heliographique 2 du groupe avant cumulation, tirée des «Greenwich Observations», de la façon suivante: Si le point de la surface solaire auquel correspond le point P entrant toujours dans les opérations cumulatives se trouve en face de la planète par rapport à laquelle la cumulation s'effectue, la longitude en question est égale à À + y. Si au contraire ledit point se trouve en face de l’anti-planète, la longitude cherchée est égale å 1 + 9 + 180. Il va sans dire que ce cas ne se présentera jamais quand il s’agit de la Terre. 18. Dans les tables qui vont suivre (voir $ 22), les grandeurs Ar, Ay, Ay et A; représentent pour chaque groupe de taches figurant dans les «Greenwich Observations» pour les quatre années 1892--1895, les valeurs de A+ p répondant aux cumulations effectuées par rapport a la Terre, Mercure, Vénus et Jupiter. Rapportées sur l’axe principal, les longitudes héliographiques des groupes cumulés par rapport à ces quatre planètes seront donc, suivant les cas, égales A Ar, Ay, Ay et Ay, ou elles en différeront de 1800, à certaines époques, en ce qui concerne les trois dernières planètes. On verra plus tard pourquoi j’ai inscrit, dans la table du $ 22 les angles Ay, Ay et A, de préférence aux longitudes vraies. Voici un petit tableau indiquant, entre le 1° janvier 1802 et le 19 janvier 1896, les époques pour lesquelles il faut ajouter 180° aux valeurs de Ay, Ay et A, pour avoir les longitudes désirées. 28 KR. BIRKELAND, M.-N. KI. pour Mercure pour Venus du au du au 1892, janv. 23 mars 25 | 1892, janv. ı févr. 19 mai 31 juillet 14 déc. 1 1893, sept. 17 sept. 15 nov. 21 | 1894, juillet 11 1895, mai I 1893, janv. 3 mars Io mai 14 juin 26 aoüt 31 nov. 2 pour Fupiter déc. 16. 1894, févr. 22 du au 1894, avril 26 juin 8 | 1892, janv. 1 juillet 1 aoüt 15 oct. 14 | 1893, janv. 18 août 9 nov. 29 1895, févr. 6| 1894, févr. 23 sept. 15 1895, avril 7 mai 23 | 1895, mars 29 oct. 20 juillet 30 sept. 24 nov. 12 1896, janv. I Afin de simplifier autant que possible le calcul de tous les chiffres de la table du $ 22 sans nuire å la validité des résultats obtenus, j'ai admis que les photographies journaliéres du Soleil sont prises toutes à la même heure, le matin vers 9» 7m (temps civil de Greenwich). Cette heure est en effet la moyenne de toutes celles qui pour les différents jours de la période considérée, figurent dans les époques caractéristiques réelles des groupes de taches solaires. L'erreur ainsi commise peut atteindre pour certains jours jusqu’à + 30,5 sur les longitudes calculées. Dans tous les calculs relatifs aux tables, j'ai en outre choisi comme époque première l’heure o du 1° janvier 1892 (temps civil de Greenwich) et non pas, comme je le supposais d’abord pour simplifier mon raison- nement, l’heure de la première photographie journalière du Soleil. 19. Expression analytique de la force perturbatrice. — En dehors des résultats de la cumulation successive par rapport à la Terre, Mercure, Vénus et Jupiter, les tables qui vont suivre contiendront aussi les ré- sultats de la cumulation au point de vue de l’action perturbatrice maximum exercée sur le Soleil par l’ensemble du système planétaire. Pour se rendre compte de la façon dont cette force perturbatrice évolue autour du Soleil, avec des oscillations perpétuelles, il faut d’abord établir l'expression analytique de l’action perturbatrice des planètes sur le Soleil. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 29 Prenons pour axe des z l’axe de rotation du Soleil et supposons le plan des +z fixé au Soleil, dont la période de rotation est supposée égale à 25) 38. Désignons par M et R la masse et le rayon du Soleil et par m; et 7; les masses et les distances héliocentriques des différentes planètes (= 1, 2....). — Nous supposerons en outre que les planètes se meuvent dans le plan de l’équateur solaire, et désignerons par aq; leurs longitudes héliographiques owest comptees a partir du plan des xz. En un point © de la surface solaire ayant une longitude oest @ et une latitude 6, le potentiel de la force perturbatrice sera vr {ose XI Få cotta — 9) — Es) On s’assurera aisément de l’exactitude de cette équation en se re- portant aux developpements bien connus contenus dans les travaux de Kelvin et de G. H. Darwin sur les phénomènes des marées. dv La composante ouest de la force perturbatrice sera GETS et la composante nord sera tandis que la composante normale av Rdo , å la surface solaire et dirigée de dedans en dehors sera = En supposant le point © situé dans le plan de l’equateur solaire (9 =o), nous aurons pour la force perturbatrice 7, normale à la surface, et pour la composante tangentielle dirigée vers l’ouest /;, les valeurs suivantes rapportées à celle de la gravitation à la surface solaire, M G = 37: 3K y TA ODE ; — D) N Il conviendra maintenant de remplacer les longitudes héliographiques ouest par les longitudes héliocentriques ordinaires, comptées à partir de l’equinoxe du”printemps. En désignant par /; les longitudes heliocentriques des planètes et par Z la longitude du point ©, on aura a—®=/,—L 30 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. En portant ces valeurs dans les formules et en développant, il vient: K=2 fa sin 2Z + Bcos 2L + — 7°} a cos 2L — B sin 2L} en posant A=V Å sin 24, Vi Mi B <= >; 7,3 in» Mi; ee Nous rechercherons les valeurs maximum de 7, et de #, pour diffé- rentes valeurs de Z, et nous appellerons Z, et Z; celles de ces valeurs qui correspondront a ces deux maxima. En effectuant les calculs, on trouve: En = (fe +# +6) (a) Lane 22 = où sin 22, a toujours même signe que le numérateur. R3 Er (Fi) me = gg YA? + 2° (b) B tang 21, = — ae de sorte que tang 2L, . tang 2L; = — I et par conséquent Ly= Ly EE Les points d'application de la force (7), se trouvent donc å 45° å droite ou å gauche du point correspondant ou la force Æ, a son maximum au même instant. 20. A la table du $ 22 figurent, å la gme colonne, les différentes NZD ‘ grandeurs par lesquelles le produit 3R3 DE passe aux différentes époques. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 31 Ces grandeurs ont été à l’origine calculées conformément à la for- mule (b) de 5 jours en 5 jours pendant la période considérée; à l’aide des valeurs ainsi obtenues, il a été construit une courbe d’interpolation. Il a été procédé de même pour arrêter les chiffres insérés dans la colonne intitulée Zy. Ces chiffres indiquent les différentes longitudes héliocentriques succes- sives du point d'application de la (F,)maz - Pour faciliter le calcul des grandeurs (7), et Ly, on na d'abord tenu compte que des 4 planètes Terre, Mercure, Vénus et Jupiter. L'erreur ainsi commise est, comme il a été dit au $ 3, insignifiante au point de vue qui nous occupe. D'autre part, les sommes désignées par les notations Å et B, et entrant dans ces calculs, ont été trouvées en calculant chacune des 8 expressions - sin 2/, et ka a a cos 2/; (= 1, 2, 3, 4) de 5 en 5 degrés de l’orbite de chacune des planetes. Tant qu'une planète reste à moins de 20,5 de part et d’autre d'un de ces points fixes de l'orbite, pour lesquels on a calculé les grandeurs susdites, on a employé ces valeurs dans le calcul aux lieu et place des valeurs rigoureusement exactes. L'erreur ainsi commise n’exerce, elle non-plus, aucune influence sensible sur le résultat. Dans la construction de la courbe d’interpolation pour Z,, il se présente parfois des difficultés dont je vais parler. Nous avons vu que Z, est déterminé par la relation B ’ que A. Comme on le voit par l’équation (b), pour que (7) soit égal tans — où sin 22, a le même signe å 0, il faut que Å et B soient tous deux égaux à 0, et par suite Z, indéterminé. En réalité, les grandeurs A et B ne seront jamais simultanément tout-à-fait égales à zero, mais il arrive quelquefois qu’elles sont, prises isolément, égales à 0, à moins d'un jour ou deux d'intervalle: il en résulte alors des variations fort brusques de Z, Ce cas s’est présenté, pendant l'intervalle de 4 ans qui nous occupe, au 10 octobre 1894 et au 2 juin 1895. Les valeurs de Z, sautent en pareil cas d’un jour à l’autre avec une telle rapidité qu’il faut recourir à des calculs très- exacts et à intervalles fort rapprochés, pour s'assurer du tracé véritable des courbes interpolatoires. Il est bon alors de baser la discussion sur 32 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. des représentations graphiques des grandeurs A et B en fonction du temps. 21. Dans la dernière colonne de la table sont les valeurs de Ap correspondantes aux grandeurs År, Ay, Ay et Ar: seulement on a main- tenant supposé les groupes de taches cumulés non-plus par rapport à une planète prise isolément, mais par rapport à la direction de la force perturbatrice maximum. Nous avons toujours 28 yr et EB eng ATX, AL, étant l'accroissement de longitude de la direction de la force maximum pendant le temps écoulé. Les grandeurs À, ne sont pas calculées pour tous les groupes en- registrés dans les «G. O.» de 1892 à 1895 inclusivement. En effet, comme je lai déjà fait remarquer au commencement du chapitre II, j'ai usé de méfiance vis-a-vis des taches faisant leur apparition au bord oriental du disque solaire, voulant ainsi éviter de graves erreurs dans le choix de leurs époques caractéristiques (critiques). Les å, n’ont été calculés que pour les groupes pour lesquels il a été possible de fixer avec quelque certitude une véritable époque critique. En réalité, dans ce qui suivra, et sauf dans quelques cas spécialement signalés, il ne sera question, dans la discussion de nos résultats, que des valeurs de Ay, Ay, Ay et A, correspondantes aux valeurs inscrites de Ap. De même que nous avons vu précédemment que les grandeurs Au, Ay et A, ne représentaient pas toujours les longitudes héliographiques des groupes cumulés par rapport à Mercure, a Vénus et à Jupiter, mais pouvaient en différer de 180°, de même la grandeur år peut aussi différer de 180° des longitudes des groupes cumulés par rapport à la direction de la force perturbatrice maximum. Si l’on suppose qu'un diamètre solaire ayant cette direction révolue autour du Soleil de façon à ce que, de la Terre, on cesse de voir l’une des intersections de ce diamètre avec la surface solaire, tandis qu’en revanche l'extrémité opposée devient visible, il faut alors ajouter 180° å la valeur de år pour obtenir la vraie longitude héliographique en question. On voit ainsi, après examen, que A, doit être majoré de 180° pour les périodes suivantes: De 1893 juillet 16 à 1894 février 23 et depuis 1895 juin 2. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 33 22. Table des longitudes heliographiques des groupes de taches cumulées par rapport à la Terre, à Mercure, à Vénus, à Jupiter et à la direction de la force perturbatrice maximum. Les dates de la première colonne se rapportent aux époques caractéristiques des groupes de taches, Comme moyenne, ces époques tombent à gh 7m du matin aux dates inscrites. L'époque première à laquelle les longitudes sont rapportées est l'heure o du rer janvier 1892. Dans la seconde colonne figure /e numéro d’ordre N des groupes, le même sous lequel ils sont inscrits aux «Greenwich Observations». La colonne intitulée Æ contient /’étendue des groupes exprimée en millionitmes de l'hémisphère visible du Soleil. La 4me colonne comprend les longitudes héliographiques des groupes aux époques caractéristiques, tirées des «Greenwich Observations». Les 4 colonnes suivantes rendent compte des /ongitudes héliographiques des taches cumulées successivement par rapport à la Terre, à Mercure, à Vénus et à Jupiter. La colonne des (7), contient å un facteur constant pres les maximums de la force perturbatrice produite par les planètes tangentiellement à la surface du Soleil. La colonne intitulée Z„ contient les longitudes héliocentriques (aux époques considérées) du point d'application de la force perturbatrice maximum sur la surface solaire, La dernière colonne intitulée Åp, est consacrée aux longitudes héliographiques des taches cumulées par rapport à la direction de la force perturbatrice maximum, Date NME NE | MRA Ze Ze An | | 4 1891. Dec. 27 | 2372 26 | 112 51 76 54 46 31 76 | 342 40 32 34 32 31 - 79 | 263 99 91 93 91 90 - 80 47 49 41 43 41 40 - 82 21 32 24 26 24 23 - 84 | 155 24 16 18 16 15 1892. Janv. 1 77 | 280 | 142 | 147 | 146 | 147 | 147 4,4 153 | 147 - 83 80 32 37 36 37 37 = = 37 = 86 9 78 83 82 83 83 - - 83 2 8 | 121 as 1122 107 TP TS, 4,5 155 | 111 - 87 13 60 79 73 78 80 = = 78 4 - 11 63 | 108 93 | 106 | 111 4,7 159 | 105 5 88 11 | 330 28 9 26 32 4,8 161 24 6 88* 9 37 | 108 85 | 105 | 112 4,9 163 | 103 8 89 52 25 | 122 91 118 | 129 5,01 167 | 116 - 91 17 | 282 19 | 348 15 25 11 92 4 | 343 | 120 79 La 129 5,0 170 | 113 12 93 4 | 314 | 104 59 er We 5,0 171 97 14 96 90 | 202 18 | 327 10 30 - 97 | 412 | 189 5 | 314 | 357 17 15 95 | 199 | 208 38 | 344 30 51 - 98 15 | 190 20 | 327 11 32 Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 1. 3 34 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. Date | N | E | Pp as) Ay | A | ay eZ. I 1892. Janv. 15 16 176 | 56 18 178 | 41 : - | 136 19 179 | 143 - - | 68 20 179 | 120 21 180 | 55 3 - | 146 ; - | 154 22 180 | 98 23 181 | 78 = ¢ - | 185 2 - | 126 25 183 | 39 26 28 185 | 358 30 31 188 | 98 5 -| 3 Fevr. 1 188 28 3 189 | 43 : - | 63 5 6 189 | 158 -| 28] 18| 29] 149} 50] 128 | 182 - - | 149 24 4| 28} 147| 48] 126 | 180 - - | 147 19 | 264 | 3388| 124 | 21 | 101 | 159| 26 | 190 | 124 21 | 2955 | 257) 55| 811] 38| 91) 24 | 191] 67 11} 26| 126| 194] 19| 272| 955] 657 13 | 25| 529 | 240| 91] 340| 66| 181] 22 | 194] 98 - | 27| 191| 180| 82] 281 7| 7% - | 28] 874] 170 | 21] 270 | 356] 61 -| 29| 712] 1868| 10| 259 | 345 | 60 18| 80] 118 | 208| 120 | s60| 92 | 1665| 20 | 191| 181 -| 82| 55] 198] 560! 290| 22] 94 - -| 61 -| 883] 70| 86 8| 248 | 8355 | 47 - u eet) 19| 29] 5897| 157} 88| 826| 69 | 183 | 1,9 | 190 | 100 20| 841! 938 | 78| 22| 258 | 352 | 68 28 | 35| 14| 110| 94| 828 | 62| 142] 16 | 185| 117 LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 1899. No. 1. 35 Date NE ee OE © 1892. Fevr.24 | 2431 | 140 | 144 | 140 RA 20911" 195 | © FN CE EE 28 | 36 | 119| 321 | 11| 228 | 336 | 64 29 | 37| 36| 84| 147 1] 112] 201| 16 | 174 | 184 Mars 4| 38| 275 | 44| 159 2 | 122 | 217| 21 | 172 | 202 Gs FO ar 155 01 3490 a]. 21s| 23 | 174 | 198 -| 41| 14| 323 | 104 | 301 | 66 | 164 - - | 149 40 | 520 | 250 | 44] 9237 6| 1665| 2,4 | 174| 91 42 | 282 | 181 2 | 187| 321] 64 10 | 43| 46| 260| 9| 276) 54| 158| 24 | 175 | 142 12 | 454 9! 227 | 88| 261 | 46] 158| 23 | 177| 144 14 | 42) 28] 181) 181 182 | 384! 85 -| 45 | 80! 196) 82| 247| 39| 150) 20 | 180 | 128 15 | 44 AN al TRE as een 100 19 | 185) |: 118 16| 48) 284] 105 | 19| 178) 8334| 88 17| 46| 62| 237 | 164| 318 | 119| 233; 1,6 | 187| 207 >| 2) 7 | des 29 2391 44 159 - =| age) -| 50. 18| 142| 69] 218| 24| 188 - - | 112 - | 51) 443] 84] 11] 160] 326 | 80 18 | 52) 15] 185] 1285| 270] 79| 196] 1,50) 188] 167 20 | 47] 94| 144] 110| 244] 63] 183] 18 | 1733| 171 21| 53] 27] 56] 35] 164] 348| 109] 1,2 | 165 | 107 60 MW) Gn) 2 Ta 3522, Lie - - | 114 = |" 56) 15| 30 9 | 138 | 321| 82 23 | 54/1088) 34| 39 | 157 | 350 | 119] 1,14| 152 | 122 a4) 58) 16) 92 110) 226 10 G2| 1891 12 | 161 | 197 -| 59 |" 199 | 356 | 14; 128 | 325 91 25 | 57| 56| 37| 68| 177| 18| 146| 1,4 | 150 | 156 26| 60| 18| 45) 90| 193| 40| 169| 19 | 150 | 179 28 | 61| 53] 42| 113| 206| 61 | 193| 3,05 | 150 | 205 - | 63] 25] 29| 101 | 194 | 49] 181 - - | 192 29 | 62| 89] 314| 39 | 126 | 346 | 124| 35 | 151 | 129 - | 64 4| 14] 98| 186 | 46| 179 - - | 190 30| 65| 38| 313| 51| 132| 358 | 133| 3,8 | 153 | 140 81 | 67| 65| 251 2| 80| 308| 85 Avril 1| 68] 52| 259} 23| 97| 329| 107 a| 69] 21) 855 | 182) 200) | 217| 432] 160 | 218 Son 110 348°] 126 1951 41| 210 - - | 211 Ze ia NE GO 89!) 1580 34) 18 - - | -174 «| =) 10) 264] 41| 110| 346) 125 - - | 126 =| Wa 7 2654 38)| 102| 888 | 117 - - | 118 3* 36 KR. BIRKELAND, M.-N. Kl. o | a | a | à 8 = FF Date N E | vb | 1892. Avril 3 | 2473 10 | 285 4 74 9 | 277 76 | 141 20 | 161 4,4 162 | 160 81 | 142 25 | 168 4,5 164 | 164 53 | 114 | 357 | 139 - - | 136 13 71 | 317 | 101 94 | 148 36 | 181 4,7 168 | 176 62 | 116 5 | 150 = - | 144 12 65 | 314 | 100 41 78 | 340 | 133 4,7 175 | 120 107| 11| 166| 472 | 176 | 152 16| 22| 178] 47 | 177| 164 Eu Se Zr +» ı1| 124| 44] 212] 49 | 184] 192 98 | 111 | 31) 199 Å - | 179 79 | 91| 11| 180 5 - | 160 97| 108| 30| 200 | 492| 185 | 179 67| %| 3858| 170| 49 | 185| 148 75 | 8 6| 179 | 48 | 186| 157 - 93 18 41 | 109] 117 40 | 213 - = || 191 - 95 9 | 332 40 48 | 330 43 - - | 122 25 86 | 856 29 | 110 | 116 39 | 214 48 186 | 192 - 92 | 297 | 314 35 |. 41 | 325 | 140 - «I 117 41 44 | 331 147 | 47 187 | 125 129 | 126 57 | 237 4,7 188 | 218 38 34 | 325 | 147 4,7 189 | 122 25 17 | 310 | 136 150 | 142 76 | 261 4,75 | 191 | 234 36 28 | 321 | 147 - 5 120 Mai 2 98 | 504 | 211 3 1 7 | 304 | 131 | 121 56 | 243 4,7 191 | 216 4 4 8 | 208 48 37 | 333 | 161 4,7 192 | 183 5 2 | 145 | 268 | 122 | 108 45 | 235 4,7 192 | 207 - 3 27 | 218 72 58 | 355 | 185 - - | 157 - | 2496 6 | 241 94 81 18 | 208 - - | 180 - | 2505 21 | 229 83 69 6 | 196 - - 168 - 4 | 204 57 44 | 341 171 - - | 143 - 7 | 211 167 21 7 | 304 | 134 6 11 | 223 89 76 12 | 204 4,7 192 | 176 7 | 2496 | 356 | 252 | 132 | 115 54 | 247 4,66 | 192 | 218 - 87 | 168 70 - 88 3 50 22 89 2 56 89 74 11 | 204 - - 176 LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 1899. No. 1. 37 Date FEN SEE EE 1892. Mai 8|2507| 8| 155| 48| 30| 329| 164| 46 | 193 | 135 10| 15| 240| 146| 126 | 67 | 268 | 46 | 194| 233 us ms mel co! 360! 196| - - | 167 10| ıs| 17} 220] 139) 118} 60| 257 | 45 | 195| 228 -| 14] 29] 124] 43] 22] 33|14| - ee -| 15|1186| 86) 5| 344] 285 | 123 | 12} 28] 108| 40| 17| 320] 159| 45 | 195 | 129 18| 16] 40! 179] 125| 99| 44| 245| 446| 196 | 213 =| ml 4) av 17 | 92)| slet] | - | 206 14| 16] 124| 181 | 153| 123] 71 | 275| 43 | 198 | 24 Pas eo may, acl on 2840) - | 202 15| 151018 | | 69| 38| 346 | 191| 43 | 198 | 160 - | 19| 424] 50! 35| 4| 313| 158| - - | 125 -| 20| 6] 128| 113] a&| 30] 235| - - | 202 16| 21] 8| 99) 97| 64| 14] 221| 42 | 199) 186 17| 22| 28| 42] 58| 18| 329] 178] 415] 200] 144 18| 28| 4| | 382] 354] 307| 157] 41 | 200] 123 20} 25| 83] 95| 147| 105| 61| 274] 40 | 200| 239 =i a7) 4 19 © so sæl ar) - - | 168 -| 28| 128] 318| 5| sie | 278 | 131 | 21 | 26| 153 | 20| 84| 40| 358| 212 | 40 | 201 | 176 -| 29| 39] sol 115| m| 28| 248 | - - | 207 -| sıl al 328] 33| 349 | 306| 161| - - | 125 22| 20! 84] 48| 126| 80| 39| 255 | 389 | 201 | 220 -| 30| 421] 1] 79] 33] 352] 208 | - = as Deal sion ee), Au em - - | 181 28 | 24| 646| 342 | 73] 24] 345| 202 | 38 | 201 | 167 -| 38| 17| 298 | 24| 335 | 296 | 154| - 118 25| 35| 10| 340| 97| 43] ° 8| 228 | 3,7 | 202 | 193 -| s6| 11| 388 | 90| 36| 1| 222| - - | 186 es AE OT all ss] 1951 ,- - | 158 -| 38| 12| 275 | 32| 338] 3038 | 163] - - | 128 26| 40! 46| 247] 17| 321| 288 | 150 27 | 34/1532 | 267 | 51] 351 | 320] 183 | 343 | 203 | 148 -| 41| 34] 26 | 46| 347| 315| 179| - - | 142 28 | 42| 358| 218] 16| 314| 284 | 149 29 | 39 | 276 | 27 | 86| 21| 253 | 220 | 39 | 204) 183 -| 41| 31] 262] 73) 8| 241| 207] - 170 30 | 43| 354 | 197| 20 | 312 | 288 | 156 Juin 1| 44| 36| 187| 37 | 328 | 304| 175 | 4,08 | 206 | 135 Date 1892. Juin Juill, 69 76 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. 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No. 1. 39 Date nee ye | SPDs | AE | År | År |Dmae| Zn | år 1892. 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No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 43 ENN | ue | x ENE 1892. 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Dec. 6 |2778 | 351 | 268| m | 119 | 221| 15| 48 24 | 174 7| 79| 25| 198| 25| 65| 384| 329 | 4,2 26 | 128 8| 68| 115| 267| 107| 144 | 254) 52| 3,94) 28| 209 9| 62| 59| 279 | 132 | 168| 279 | "| 36 28 | 234 -| 80| 128| 184| 37| 67| 183 | 343 - - | 189 -| ‘82| 259 | 151| 4| 34| 150| 310 10 | 81| 132 | 272 | 188 | 165 | 284| 85| 3,3 29 | 240 3) 77| 171 | 281| 187| 148| 281| 87| 264| 31] 240 -| 78| 168 | 206 | 112 | 128 | 257| 62 - - | 215 16 | 88| 50| 112 | 58} 53| 200| 10| 25 28 | 171 17| 84 5| 1471 106| 96) 248 | 591 24 19 | 224 20| 86| 17] 180] 128| 104] 268| 84| 26 16 | 253 21| 85| 116] 56| 67| 38| 206| 24] 28 16 | 193 - | 87| 178 7| 19] 350) 158 | 335 22| 88| 82; 14| 39 6| 178} 357| 3,2 17 | 165 23 | 89| 34| 8| 121| 8| 259) 79 | 348] 17| 248 24 | 91| 102] 329| 20| 338 | 157| 339 - | 92] 696| 317| "8| 327 | 145| 327 25 | 85| 173] 59| 123| 78| 260| 83| 39 20 | 239 -| 98| 52| 15| 79| 34] 216] 39 - - | 196 26| 90| 365| 87| 165 | 116 | 301 | 126 | 4,0 21 | 291 27| 92] 927| 819) ,49| 857] 185] 11| 41 22 | 1% 29 | 96| 72| 257| 18| 315| 148| 3388| 42 24 | 141 30 | 97 4| 297| 66 5| 201| 32| 43 24 | 194 SI | 94| 39| 274| 57| 352 | 191| 23) 4,3 24 | 184 - | 98 4| 312| 95| 80) 228| 61 - - | 222 99 | 8383|) 280| 63| 3858| 196 | 29 - - | 190 - | 2800 | 29| 278 | 61, 856 | 194| 27 - - | 188 - 1 8 | 254| 38) 383 | 171 4 - - | 165 1898. 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Janv. 9 | 2812 35 | 239 | 142 54 | 269 | 115 4,3 40 | 262 10| 11| 506| 248| 164] A| 291 | 139] 42 40 | 284 =| 73] 244] 98] 13) 284 | 140 | 348 | Aes 97] 130 288 || 1391 549 PINS) 1 089 5| 275 | 132 | 339 | i EG 4| 193! 121| 30! 247| 97| 41 41 | 242 - 17 9 | 182 | 110 19 | 237 86 - - | 231 18 19 | 982 13 34 | 289 | 156 16 | 36 47 | 155 - 21 8 2 23 | 279 | 145 5 19 22 | 329 | 357 32 | 285 | 153 14 20 18 | 3 33 80 | 332 | 202 64| 35 49 | 202 21 20 | 35 64 | 123 14 | 244 | 109 | 3,4 51 | 246 = 23 72 | 340 40 | 290 | 161 25 = = {| ata 24 27 | 55 | 264 3 | 248 | 122 | 351 25 24 73 32 | 144 28 | 263 | 133 | 3,0 54 | 267 : 25 | 155 | 315 68 | 311 | 186 57 - SA EN - 28 18 | 279 31 | 275 | 150 20 = 154 26 29 | 386 | 282 48 | 289 | 165 | 37| 29 55 | 170 27 31 | 156 | 246 26 | 265 | 143 16 | 28 32 46 | 239 32 270i) 181 23 27 57 | 156 30 | 30 | 103 | 249 67 | 303 | 185 61| 24 59 | 191 : 33 9 | 260 79 | 313 | 194 72 = - | 202 = 34 11 | 267| 85 | 320 | 201 79 - - | 208 31 34*| 44 9253 85 | 318 | 199 19 | 22 60 | 208 Févr. 1 25 | 405 | 315 | 160 31 | 274 | 155 | 2,08 62| 282 = 26 | 1001 | 272 | 116 | 348 | 232 | 112 - - | 239 = 35 30 | 213 58 | 289 | 172 53 - - | 280 5 - 70 | 212 | 110 | 333 | 222 | 109 1,6 64 | 234 - 36 26 | 226 | 123 | 347 | 235 | 122 - - | 247 - 37 23 | 130 28 | 251 | 139 26 - - | 152 6 38 | 732 | 106 18 | 239 | 128 17 > 39 2121902101 322 | 212 | 101 1,49 65 | 225 8 41 96 | 185 | 122 | 338 | 232 | 123 1,0 68 | 245 9 40 | 115 | 213 | 163 18 | 273 | 165 0,8 70 = 42 60 85 36 | 250 | 145 38 - - | 158 - 43 | 241 71 21 | 236 | 131 23 11 44 18 60 36 | 246 | 145 41 0,60 71 | 153 12 45 20 | 129 | 118 | 326 | 226 | 124 0,5 92 | 224 - 47 | 265 24 13 | 222 | 122 19 13 48 5 85 87 | 293 | 195 94 0,5 | 107 | 174 46 KR. BIRKELAND. M.-N, KI. Date - | N | er A i aa EE Pam | 2 | tp 1898. Févr. 13 | 2849 10 | 28 | 31 237 | 138 87 | 0,5 107 | 117 14 38 | 873 | 108 | 124 | 327 | 231 131 | 0,5 120 | 199 I | - 42 107 | 98 | 109 | 312 | 216 | 116 - - 186 - 46 | 491 26 | 42) 245 150 50 | - | = 120 | | | 173 | 62 -| 54| 17| 283| 18| 208 | 121 | 31 | 22 55 | 38 316 | | 9257 | sol 92| 1,5 | 176 | 107 -| 88| 26 358 | 119 | 298 | 201 | al - | “| 149 28 | 56| 262 | 289 | 64| 289) 165| 79] 18 | 177| 98 -| | 22| 260| 44| 219| 145) | - | -| = 24| 60| 37| 305 | 93| 264| 198| 108 | 20 | 178 | 122 25 | 62| 11 321 122 | 290| 223 | 140| 21 | 179 | 152 26 | 63 | 70| 205 | 20| 188 | 119| 38 | -| 64| 3| 274 | 89| 252 | 188| 107| 214) 182| 116 28| 61| 426) 217) 57| 22 | 167 | al 2a | 191] » -| 65| 58| 324 | 165 | 320 208 | 185 | - - | 186 Mars 1| er| 181| 184| 87| 187| 186| 58| 21 | 195| 54 | 6 |. a | 176] 80 | 179 | 1281 al - -| 47 2| 57| ım| 266 | 138 278 | 231! 155| 20 | 200 | 146 -| 68| 15! 207] nl 219| 11| 96| - | -| 86 -| 66| 32| 267| 134 | 279) 252 | 166] - | =| 146 - | 68! sol 264| 121| 266| 218| 148| - | -| 18 -| | 4 | 204; 71| 216] 169| 93| - -| 84 s| 7 a! 218) 98! 239! 195! 121 | 1,89 | 208 | 110 B| m! sıl 161| 67| 198| 168] 92| 16 | 206| "8 «| | 8| 169} 75] 208| ml 100| - | -| 8 7| 67| sol 191) 124) 244) 219) ısı | 18 | 209! 34 8| | 184| 127| | 187| 167] 100] 117| 210| & «| 6! 108| 108 | 145) 267 | 288| 172) - | -| 164 «| 76] 17| 119] 66| el 169! ol - | -| © 9| m| 16| 94! 68| 168| 146] 81] 1,1 | 205] 10 -| | 104] 60! 9| 119] 102] 37 | 10| 78! 37| 106, 78| 188 | 171| 107} 1,0 | 191 | 108 «| 81| 657 | 40| 12| 116| 105 | 41 | | 18| 76 98 | 125| 187| 226 | 228 | 169| 1,17 | 178 | 187 -| 78) 28) 108| 120) 209| 211| 182| - - 17 LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 1899. No. 1. 47 Date En a, | ar NE NER 1893. Mars 13 | 2883 | 40/ 2| 14 | 102 | 105 | 46 14| 80) 53] 44| 69| 152| 160! 102| 14 | 173| 122 - 82 26 | 36 61 | 145 | 152 | 94 - = | el 16| 84| 12| 86| 188| 212 207 | 173} 20 | ım! 192 Sal Bs B| 8332| 2383| 97| 118 | 58 = See 17| 86| 2| 357| 62| 130| 150| 97| 24 | 1793 | 117 11087 2 ss) 22 ato) so 7 ; - |. 9 -| 88| 80| 324| 29| 97| 117] 64 5 -| 84 -| 90| 58] 304 9| m| 97| 44 : SEGA 19 | 91| 34) 355 | 86| 146| 1794 | 124| 31 | 179 | 148 20| 89| 103 | 304 | 48| 108 | 136| 87| 34 | 176| 104 - | 92| 265 | 291| 35 | 90| 122 | 4 5 =| 91 EE OG 58 - | 94] 17 | 3312| 77] 180 | 163 | 1141 34 | 176| 181 21| 95 5| ı8| 136 187| 223 | 175 | 37 | 177| 191 28 | 91| 16| 354 | 138| 181 | 223 | 179 | 4,16] 183 | 189 -| 97] 31] 293| m| 120| 168 | u8| - Seg 24| 98| 107| 210 7| 46| 91| 49 26 | 2900 | 194| 195] 18| sl 102| 62| 45 | 188| 99 1| 47| 226| 50/ 82| 1833| 93 | -| 2] WW] |" 98] 55 107| 66) ar | 2896 | 411 | 309 | 145 | 175 | 229 | 190 | 47 | 189 | 195 - | 2903 | 12 | 306, 142 | 172 | 285 | 187 - 2/198 = 4| 15| 259| 96| 125| 179 | 140 = - | 145 : 5 8| 231| 67| 97| 151| 112 : Sih su 29 1| 51] 226) 989] 112] 171] 1355| 49 | 192] 137 30 4| 20| 258| 134] 154] 215 | ısı | 50 | 193] 182 31 | 2809 | sı2 | 216 | 105 | 123 | 186| 188 | 51 | 194| 143 - [2907| 14] 148} 37| 5| 118| 8| - ENG Avril 1 5| 42| 235 | 187 | 152 | 217 | 186 | 5% | 195 | 186 A 6| 243| 182 | 85] 100| 165| 14 - = 2183 2 9 8| 181| '47| 59| 126| 97| 524| 197| 95 ST OA A PE CASE A I EPA ER = al 161| 90! 100! 169 | 141 : - | 139 a 22 145 02) Det Mass Lies.) - = eae ses sat] as ml 901.058 | 199). 8 6 8) 52; 133 | 101! 105 | 179) 155 | 53 | 200 | 150 ES SON 3 B 7| 15| 49| 78) 60| 61| 1386| 114 | 531 | 201 | 108 HE 410122412106 | 107 1883| 161| - - | 154 48 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. : F 20 > o 0 Ap | An | Ay | Ar | | u | 1893. 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No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 49 Date | N | dt 0 Aar Ian m A Ar 1893. 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Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 1. M.-N. KI. 50 KR. BIRKELAND. Date MEN HE | ay | 4 dm) Å | 4% 1893. Mai 26 | 2990 | 12 163 | 72 | 316| 118| 170| 46 | 233 | 136 - | 91] 19] 105| 14] 258| 59] 112 27| 87| 38| 150| 72| 313| 117] 171] 487| 284 | 136 - | 8| 69| 127| 49] 290] 94| 148 - -| 18 28 | 941, 98! 77| 12) 249) 57| 112 80| 80| 307| 209] 171| 38) 214] 272 | 5,3 | 237] 236 -| 93] 747| 77| 39| 86| 82] 140 - - | 104 31| 96| 245| 41| 16| 288] 59| 118 Juin 2| 92] 590) 91) 92| 304] 184] 197] 5,4 | 243 | 154 -| 98| 868| 76| 77| 289] 119| 182 - - | 139 -| 97| 26) 19| 21| 232| 62| 1% 8 | 98 3| 70) 5) 292| 126| 190| 5,3 | 245 | 145 4| 99| 280! 57| 85| 286| 125 | 190| 52 | 248 | 142 - | 3000 | 88| 54] 62| 283 | 123 | 188 - - | 140 - 1} 15] 88} 66] 267| 106) 172 - - | 124 5 | 2995 | 753 | 70| 111] 304| 150 | 218| 50 | 251 | 167 - | 3002 | 92 7| 48| 242| 87| 155 - - | 104 - 5 | 230 | 322 3| 196| 42| 110 6 4| 215| 326 | 20| 211| 59| 128 7 6| 68| 31| 99| 284] 187| 207] 4,5 | 256 | 152 8 8| 120 | 333 | 54| 288 | 91| 163| 42 | 259 | 105 9 7| 181| 310) 4| 218| 81] 154 | 39 | 260| 95 10 8 6| 37| 145] 314] 181| 255 | 3,7 | 262 | 198 - 9] 42| 809 | 57| 226| 93) 168 - - | 105 -| 10} 28| 802] 50| 219| 86| 161 - -| 98 12} 11| 47) 298] 72) 229) 107] 185] 30 | 266] 119 -| 12 9| 2838| 57| 214| 92 | 170 - - | 104 18| 13] 10] 3388| 125 | 279 | 159 | 238 | 2,7 | 268 | 170 - | 14 4| 833 | 121 | 274 | 155 | 234 - - | 166 14| 16| 54] 214] 15] 164] 48| 129 15| 15| 364| 287] 101 | 245] 183 | 216] 20 | 272 | 145 16 9| 165| 308 | 185 | 275 | 167] 251 | 1,70] 278) 179 -| 17] 61| 210] 87] 178| 69] 158 - KBL «| 19% 8] 290| 117| 257 | 149| 238 - - | 161 17| 19 6| 228 | 68| 204 | 100| 185| 1,5 | 273 | 118 18| 18] 66! 263 | 116] 249 | 147| 284] 1,2 | 272 | 168 19| 11] 157| 298 | 165| 294 | 195| 284 | 1,1 | 271| 218 -| 21 6| 245] 111| 240 | 141 | 230 - - | 159 «| 22] 14] 222 | 88| 217| 118| 207 - - | 186 -| 23] 15| 218| 80| 208 | 110| 198 - - | 127 LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 1899. No. 1. 51 4 | | Date N E A Ay HER AF) (EJ | 1893. Juin 20 | 3024 7| 1921 | 197| 101 | 102 | 10 | 271) 120 - | 95 7| 139 | 19 | 144| 48| 138 21 | 20! 378 | 224 | 117 | ass | 146 | 238 | 088 | 270 | 170 ER ten, Ge so 9700 189 |, = || Sea og | o7| al 207] 113] 2931] 141| 233] 08 | 267| 169 a3 | 22| 241 | 224] 143 | 258] 171 | 265 | 08 | 264! 208 - | 98] 13] 186 106 | 219 | 183 228 : | = || aes - | 29] al ır| 57| mı| 84] 179 Soh EHRE 25| 27] 19| 208| 153 | 262 | 180| 278| 07 | 257| 222 = sr (aro) 141 en 185) |) 113) Nat 1 SE - | 32! 414! 135| 80! 189 | 107 | 204 å -| 149 =| 34 5| "| 28| 182] 0 147 26 | 33 | 85| 135| 94| 200! 120 | 219| 0,67 | 254| 167 =| 85 29] Gal 2800 1891 04900 148 28 | 30 6| 106| 91| 192; 116| 218 | 06 | 245 | 176 SA Er 7| 149| 134] 235 | 159 | 261 : - | 219 Mass ll rl 97 17 101 203 : SE -1-39| 10| 82| 67| 168| 92 | 194 : - | 152 MONS NC ee 19 29 | 4 4| 64| 63| 161| 87| 190| o6 | 239 | 154 Jul aa ass" 00 8| 105| sı| 135 30| sı| 178| 139| 152 | 245 | 174 | 279! 06 | 235 | 247 - | 36] 138| 40! 52| 147| "5 | 180 i SVT Juil. 1| 43 | 11| 5| 80| 173 | 108 | 209| 054| 232 | 178 EA Tau Tal oase Gad 168 4 - | 138 2) 45 51 343 | 22) 112| 43| 152 3| 47| 920 | 322 | 14] 101| 35 | 145 4| 49 8| 359] 64| 150! 84| 196| 05 | 227| 171 5| 38| 126 | 90| 168| 252 | 187| 300| 05 | 236 | 277 -| 60! 372 | 309 | 27 | 116| 46| 159 At Gil 8| m| 155| 244] 174 | 2897| 05 | 226 | 264 NES Bol sep |) 47 186 | eg 279) = 2 6| 53] 15| 65; 156 | 243] 175 | 289 | 054 | 224 | 967 7| 55 4| 360 | 104] 189 | 122 | 288| 06 | 223 | 218 - | 56| 101 347| 92 | ı76 | 109 | 225 : - | 206 -| 57] 3! 345] 90! 175 | 108 | 224 : - | 204 -| 58| 20| 330| 75 | 160! 93! 209 i - | 189 Ze 591 315 || 60} 144 |? | 194 : St -| 60] 34| 295 | 39| 124] 57] 173 | - | 153 «| 8| 8| 856 | 101 | 180 | 119 | 235 - - | 215 4* 52 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. Date 4° Im du Ar Ar A | 2 | 1893. 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No. 1. 53 Date N | £E A An Ay kr å ENE An | 1893. Juill. 28 | 3094 16 35 58 | 98 62 | 210 | 23 206 | 210 : 95 34 16 39 80 43 | 191 = = || SE 30 | 83 10 89 | 138 | 176 | 141 | 292 | 24 206 | 291 = 96 58 9 58 95 61 | 212 = = |) Fi = 97 | 343 | 322 11 47 13 | 165 31 98 | 114 | 322 24 59 26 | 179 = 99 12 74 | 136 | 172 | 138 | 291 | 2,46 | 207 | 289 - | 3100 15 50 | 113 | 148 | 115 | 268 : 266 = 1 4 | 323 25 61 27 | 180 2 SÅ 6) = 2 31 | 319 21 57 23 | 176 - 3 | 223 | 313 16 51 180.170 Août 1 4 15 73| 148 | 181 | 150 | 304 | 25 207 | 302 2 8 67 | 281 10 40 10 | 166 3 | 3091 | 216 47 | 149 | 177 | 149 | 307 | 2,6 | 206 | 306 - | 3110 10 | 278 20 48 20 | 178 4 | 3100 24 50 | 165 | 192 | 164 | 323 | 26 | 206 | 323 - 9 | 168 | 300 55 82 54 | 213 = = || Be < 12 | 203 | 247 2 29 1 | 160 5 2 15 | 325 93 | 117 92 | 252 | 2,66 | 206 | 252 - 166 | 307 75 99 74 | 234 B - | 234 - 11 32 26 | 154 | 178 | 153 | 314 = 313 6 6 | 2424 | 289 70 92 69 | 231 | 27 206 | 230 - 7 | 568 | 294 75 96 73 | 234 = - | 235 7 8 8| 278 73 92 70 | 234 | 28 206 | 234 - 14 22 | 275 69 88 67 | 230 3 - | 230 - 15 84 | 226 21 41 18 | 182 - 16 | 204 | 225 20 40 17 | 181 8 17 70 | 243 51 67 48 | 223 | 29 206 | 212 - 19 22 | 343 | 151 | 167 | 148 | 313 = = || 312 - 20 6 | 309 | 118 | 134] 114 | 279 = =| Oe - 21 52 | 202 11 26 råere) 9 22 10 | 286 | 108 | 121 | 104 | 270 | 30 | 207 | 269 10 13 | 150 | 240| 75 85 7O| 238 | 3,10 | 207 | 237 = 18 | 588 | 213 47 58 43 | 211 å 210 - 23 9| 248 83 94 78 | 246 E - | 245 11 24 | 112 | 263 | 111] 118] 105 | 275 | 32 208 | 273 - 25 6 | 247 95 | 103 90 | 259 E =) |) 28% 12 26 16 | 170 28 36 24 | 196 | 32 208 | 194 - 27 | 34 | 146 8 12 | 360 | 172 13 28 18 | 247 | 122 | 124 | 115 | 285 | 33 209 | 285 54 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. Date | N | aa | hy [4 My |(Fdmaz) Zn | An 1893. Août 14 | 3125 43 | 248 | 136 | 134 | 128 | 303 3,4 209 | 300 = 29 13 | 218 | 106 | 104 98 | 273 = - | 270 - 31 | 335 | 120 7 6 | 360 | 175 15 32 19 | 142 43 38 84 | 211 8,45 | 210 | 207 16 34 ee) 24 16 15 | 193 3,6 210 | 189 - 36 29 99 13 4| 181 17 37 | 219 89 16 6| 185 18 30 | 179 | 168 | 109 94 99 | 279 8,8 212 | 274 - 89 | 129 | 110 50 36 41 | 221 - - | 216 19 38 38 88 41 22 31 | 213 3,9 213 | 206 20 35 | 680 | 100 67 44 56 | 239 4,22 | 214 | 232 - 40 | 177 65 32 9 20 | 204 = - 197 - 41 162 172 139 | 116 | 128 | 311 = = 304 - 44 9 IN 146 | 113 90 | 102 | 285 - - | 278 - 45 31 121 88 65 77 | 260 - - | 253 21 42 39 88 68 40 56 | 241 4,5 215 | 233 - 43 111 51 31 5 19 | 204 - - 196 22 47 66 38 31 | 360 19 | 205 4,7 216 | 196 23 46 | 251 141 147 | 110 | 134 | 322 5,0 217 | 312 - 48 15 52 59 22 45 | 234 - - | 224 24 33 | 314 | 106 | 125 85 | 112 | 301 5,1 219 | 290 - 50 14 58 78 38 64 | 254 - - 243 25 49 | 243 16 46 5 35 | 226 5,24 | 220 |: 213 - 51 35 129 162 | 118 | 148 | 339 - - 326 - 52 29 | 346 19 | 834 4 195 27 53 28 | 354 53 ı 359 38 | 232 5,3 226 | 213 28 55 | 651 302 15 | 315 | 358 | 194 - 56 | 773 | 293 6 | 306 | 349 | 185 29 52 21 346 72 7 55 | 251 5,2 231 228 - 57 2 7 93 23 76 | 273 - - | 249 - 58 7 | 882 58 | 353 41 | 238 - - | 215 30 54 | 1010 | 301 41 330 23 | 221 5,19 | 234 196 - 59 7 | 322 61 351 48 | 242 - - | 216 31 60 4 4 116 41 97 | 298 5,0 237 | 269 - 61 19 | 345 98 22 79 | 279 - - 250 Sept. 1 63 9 | 298 58 | 337 39 | 241 4,9 239 | 210 2 64 11 847 126 40 | 106 | 309 4,6 241 276 - 65 13 | 269 88 | 311 18 | 221 - - 188 3 66 14 281 73 | 341 53 | 257 44 243 | 222 4 67 17 | 328 | 134 37| 113 | 319 4,12 | 245 | 283 LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 1899. No. 1. 55 - - Date NE NPE | A 2) 1893. Sept. 5|3162 | 117| 257 | 75 | 333 | 54| 262 | 38 | 245 | 226 -| 63| 16| 289 | 108 6| 86| 294 3 - | 258 -| 68| se| 2a17| 35| 293| 14] 221 £ = 186 6| 69| 28| 280 | 112 5| 89| 299; 36 | 245 | 262 a 70 7| 286] 118] 11 96] 305 - - | 268 = 71 15 | 244 76 | 329 | 54| 263 | | = | 226 za Tall euer za 33 | 245 |- 177 -| 3 | 607| 171| ı6| 264 | 353 | 203 8| val 23| 220| 7] 322| 54| 267| 30 | 245 | 230 9 7 5| 179| 50| 289| 26| 240| 266 | 245 | 203 = 750013 0212 83. 822 |) 590 1273 = - | 236 11 | wi 254] 112] 10] 240 | 85 | 201 | 12| "| 56| 133| 43) 268| 118 | 236] 21 | 241 | 203 Sane 170.| g81| 305| 54| 273 : - | 240 aay") 8| 168| 79 | 308) 52| 271 å - | 238 -| 80 7| 137| 48 272 | 21| 240 : - | 207 13| 82| 927| 199| 123 | 343! 96| 316] 21 | 240 | 28 ul 6| 182 | 106 | 326 | 79 299 : - | 268 = 821% 13. || 106) 30.1 251 3 | 324 ON re 14| 81| 59| 105| 42| 259| 16! 236 2,06 | 239 | 206 15 | 85 8| 141| 91| 305| 63| 286| 21 | 238| 257 -| 86| 625 | 6ol 10! 224 | 343 | 205 | 18| 87| 208 | 47 | 37| 240 8| 235 | 22 | 235 | 209 - | 88| 30] 125| 115 | 318 | 95] 313 : - | 287 -| 89! 22] m| 68| 270| 38] 265 å - | 240 19| 90| 60| wol m! | 143| 12| 227| 2934] 347 20! 92| al 29| 46| 242] 15| 245| 24 | 234 | 221 ar | 93| 15| 15| 45| 238| 13| 245| 25 | 234| 221 22 | 94| 53! 351| 34] 225 1| 235 | 25 | 235 | 210 -| 95| 23] 111! 154] 345 | 122 | 355 : - | 331 -| 97| m|33| 20! 210] 347| 221 | 23 | 98 7| 331| 27| 215 | 354 | 229 | 24| 91| 277 | 52| 122 | 307 | 89| 325 | 262 | 235 | 299 -| 96| 73| 339 | 48| 258 | 15| 281| - | -| 228 oo ss ar oat age, 970 ais) = | = |: 288 - | 3200 | 35 | 347| 56| 241 | 23 | 259 EIN 020934 : 1| 94; 309| 18! 2083| 345) 221 | 25 | 4| 5| 61] 137| 317| 100] 338| 26 | 286 | 312 26 5 s 291| ar| 207| 352| 931 | 26 | 236 | 205 28 2| 1838| 306| 67| 243| 38| 274| 24 | 237 | 248 56 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl Pr a | Date N | Bil © [4 ER Car | VA Ae 1893. Sept. 29 | 3206 | 529 | 322 | 97 | 270| 61 305 | 2,32 | 237 | 278 30| 3 363 | 500! 89 | 260! 53| 297| 28 | 238 | 270 à 8| | 2m] 68 | 239 | 31 276 | å - | 249 -| 9) 40! 278 61| 232| “lm - - | 249 Oct. 2| 10) 71} 209} 25| 191| 346 237) 2,3 | 289 | 206 3| 11! 35 302| ıs0| 295] 91| 341 | 23 | 289| 312 -| 12] 9| 298| 121] 286] 83 | 332 2 - | 304 4) 1) 5| 229] | 288) 31| 283] 227] 240] 258 -| 15| 7| 196| 38] 200] 358 | 250 > - | 220 «| 16| 189 | 175| 17] 180| 338 | 229 5| 13| 125 | 225 | 79| 240| 39 292| 22 | 241! 262 -| 17| 41| 283 | 188| 299! 98] 351 : - | 320 «| 18] m| 192] 47| 208} 7 | 260 he ae - | 229 6| 10| 31) 210| 78| 239| 38| 292| 22 | 242 | 261 -| 19| 20| 187| 55| 214| 15| 269| - - | 288 -| 20! 12| 154] 22] 181| 341| 236 7| 17| 73| 285 | 166| 324| 125| 21| 21 | 243 | 349 -| 21] 13) 145| 26) 184] 344| 241 : - | 209 «| 22] 6| 170) 51| 209| 9] 266| - | -| 284 - | 24] 184] 180] 11] 169 | 829 | 225 9! 20! 31) 155| 62] 216] 20] 270 | 192 | 246 | 245 = 28 | 109| 136 | 43] 197 2 | 265 e - | 226 10; 25| 18| 128| 43| 195 1! 261] 1,9 | 246 | 226 -| 26] 26) 151] | 228 28 | 289 s - | 264 11| 27| 263| 86] 19| 169| 336 | 238 -| 9 7| 102| 386] 186| 352 | 254] 18 | 247] 219 | 28| 34] 170| 117| 267| | 836| 18 | 247| 301 «| sol 22} 99] 47| 196] 2| 265 2 - | 280 18| 31| sol sel 48| 194 8| 268 | 18 | 247| 232 - | 38] 26 | 175 | 185 | 282 | 91| 855 : - | 320 «| g5| 26! 74| 84] 180| 850 | 9264 : - | 219 14 | 84! 32| 174| 147| 292 | 102 | 8| 174 | 247 | 333 36 | 4| 168 | 142 | 286 97 | 2 : - | 327 - 97 | 292 | 87] 11] 156 | 826 | 281 «| 88| 40! 36] 9| 154| 824] 280 16| 32| 547| 52] 62! 198| 6| 275] 16 | 245| 242 -| 89 151 | 151! 292 | 106 | 14 “|: Re Ni Vo 29 | 99 | 170! 342] 251 , - | 218 18! 41! 7 88! 114| 261! 66] 388 | 1,4 | 242 | 508 42) A 16 | 102 | 240 | 55 | 327 - - | 297 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 57 x 0 „0 0 | 0 0 à 0 0 Date N E Å An | Ay Ay An Ce Ar 1893. Oct. 19 | 3243 | 642 | 338 17 | 153 | 329 | 242 - 45 2 | 353 32 | 168 | 344 | 258 1,29 | 240 | 230 46 | 245 | 330 9 | 145 | 321 234 20 47 3 73 125 | 259 77 | 351 1,2 237 | 327 - 48 3 70 | 123 | 257 74 | 349 = - 324 = 49 5 | 320 13 | 147 | 324 | 239 21 50 | 219 | 299 Del 1370231521232 22 44 | 1028 | 338 56 | 187 7| 285 1,1 232 | 265 - 51 4 | 328 47 | 177 | 357 | 275 - - 255 23 52 32 | 318 50 | 179 | 360 | 279 1,1 229 | 263 - 53 23 | 348 80 | 209 29 | 309 - - 292 - 55 67 | 290 22 | 150 | 331 251 24 54 | 519 | 290 35 | 162 | 345 | 265 1,09 | 228 | 251 £ 26 56 | 370 | 337 | 109 | 231 56 | 340 1,1 224 | 329 - 57 60 | 264 35 | 158 | 344 | 267 = - 256 30 60 23 | 211 35 | 150 | 341 271 1,2 218 | 266 31 58 | 132 | 286 | 124 | 236 69 | 360 1,2 216 | 358 = 59 25 | 275 | 112 | 224 57 | 348 - - 346 - 61 134 | 185 23 | 135 | 328 | 259 - 62 31 179 17 | 129 | 322 | 253 63 30 | 154 32 | 137 | 335 | 270 1,63 | 208 | 276 140 70 | 164 11 312 2,1 206 | 320 Nov. zw ep] co [er] oo 8 64 139 | 158 | 102 | 193 42 | 345 2,21 | 206 | 353 9 67 14 107 64 | 152 2 | 308 2,4 206 | 316 - 68 49 72 29 117 | 328 | 273 - - 281 = 69 | 990 60 16 103 | 315 | 260 10 65 62 | 142 | 112 197 50 | 357 2,6 206 5 11 71 95 | 149 | 132 | 214 70 18 2,8 206 26 - 73 28 39 61 132 | 357 | 310 - Senn - 74 84 30 52 124 | 347 | 301 - - | 308 - 77 52 | 102 | 124 | 196 60 13 - - 19 = 78 | 115 23 46 | 117 | 342 | 294 - - | 301 15 79 22 | 349 24 92 | 320 | 274 17 82 9 7 69 | 129 4 | 321 4,6 212 | 323 ’ 58 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. De || | Ar | An) Ar | ay (mas et ME 1898. Nov. 18 [8289 | mel sør] 47] 108 | s41 | 300 486 | 214 | 300 -| 84] al 8| 88| 189| 17| 356 | - - | 336 -| | 9! 30] 65| 120] 359 | 317| - - | 318 -| 86] 19] 340] 55] 111] 350| 308| - - | 309 19! 80| 96] 841] 68| 120] 3| 822] 51 | 215] 322 -| 81] 1522] 821] 49] 100] 342] 302] - - | 302 -| 87| 166| 328 | 57| 108| 350] 810| - 310 49 | 318 | 287 - - | 276 27 90 | 268 | 218 52 64 | 341 | 313 5,5 230 | 298 - 92 17 | 818 | 147 | 159 76 48 = - 33 - 96 10 | 229 | 103 99 30 6 - - | 347 - 97 | 224 | 136 10 6| 297 | 273 Dee. 1 95 | 745 | 148 35 25 | 321 | 299 4,7 236 | 278 - 98 | 301 | 129 16 7 | 303 | 280 99 24 | 123 23 309 | 288 | | 49 | 358 | 340] 38 | 288 | 318 47| 17| 8| 38 | 236] 348 5| 342] 334| 40 | 285 | 316 107| 84] 7 = 1 Bg 316 | 299 | 295 308 | 294 | 291 313 | 301 | 300 347 | 340 | 342 | 47 | 236 | 324 356 | 352 | 355 | 4,76 | 236 | 336 60) 56| 59 k -| 40 19 6| 131| 85] 98| 16| 14| 19] 49 | 297 | 360 292 | 290 | 295 286 | 286 | 293 21| 25] 35] 62 | 289] 14 808 | 308 | 317 à - | 296 804 | 308 | 318 6| 69| 79| 52 | 289] 58 822 | 327 | 336 - - | 815 55| 61) 72| 526| 289| 50 885 | 341 | 352 3 211 2881 805 | 322 | 334] 58 | 240] 811 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 59 Date RE | Ama As 2 az 1893. Déc. 24 | 3324 | 25 | 212| 41| 5807| 314] 327 | 53 | 240 | 304 25| 21] 74} 241| 84| 347| 356] 10| 5,3 | 2aı | 348 -| 25| 443 | 167 | 10| 273 | 282 | 296 26| 22] 403| 306 | 162]; 63| 74| 90| 54 | 243| 66 - | 26] 20| 237| 98 | 354 Gen - - | 357 -| 27) 42] 160| 15] 276 | 287 | 308 -| 28] 215 | 154 | 10| 271 | 282 | 298 27| 30] 101 | 306 | 175| 74) 87| 104 | 54 | 243| 79 Pee 81) | al 2520] 2200 1900 SE 49 - - | 24 - | 382] 16| 234 | 102 OMR ET Er - - 6 - | 33] 108 | 141| 101 269| 281 | 299 29 | 34| 13] 214| 109 41 20 | 40| 54 | 245| 12 - | 35) 10] 172| 67| 322 | 338 | 358 - - | 830 30 | 23 | 888| 190] 98 | 351 8| 30) 5,4 | 246 1 -| 2 7| 162 | 70| 323 | 340 1 - - | 333 - | 36| 114] 240] 148] 41] 58| 80 - ri -| 37] 17) 145] 53 |. 306 | 328 || 345 - - | 316 -| 88/78 | 114) 22| 275 | 292 | 313 -| 89) 15| 118| 22| 274| 291 | 318 - | 40| 82] 105| 14 | 266 | 283 | 305 =| 41 78/10 93 1 | 254 | 271 | 292 1894. Janv. 2 | 29| 454 | 156| 103| 351 | 12| 38| 53 | 250 7 - | 42 4| 224] 172] 59| 80| 106 - a 8| 43% 6| 145) 1066| 351| 18) 41] 5,8 | 252 8 - | 44| 25] 58| 19| 264 | 286 | 314 - | 45| 360/ 49] 11) 256 | 278 | 305 4| 46 9| 116) 90| 3885| 357 | 26| 58 | 254 | 351 = 40 16 Sal) 332% 8560 25 - - | 350 - | 48| 10| 67| 42 | 284 | 308 | 387 - - | 302 5| 43| 181| 85| 7 314| 338 9| 52 | 255 | 358 11,049 5| 124 | 112| 353] 18] 48 - -| 12 Bon 680 10 7| 248 | 273 | 304 6| 61| 45| 46| 47| 286| 312 | 3844] 52 | 256| 307 10 | 53 7| 76| 130 ES md 50 |. 259. 41 11| 55| 73] 337 | 44| 275 | 305 | 346 | 5,0 | 260 | 305 12| 57| 20| 346| 66] 295 | 327 9| 49 | 260 | 327 13| 52] 150| 3355| 67| 296 | 330| 12| 49 | 262 | 330 - | 58| 1890| 284 | 18| 245 | 278 | 321 14| 56| 457] 209 | 54| 281 | 316 | 360 | 4,8 | 263 | 317 - | 60| 451| 267 | 14| 2839| 274) 319 60 KR. BIRKELAND. M-N. KI. Date | N | > na | | år | 4 au | Zul "AR 1894. Janv. 15 | 3354 | 926 | 322 | 82 | 305 | 341) 27| 4,7 | 264 | 348 - | 59! 25| 323| 83 | 306 | 342| 28 - - | 344 -| 6L| 5) so| 70) 294] 830 | 16| - - | 332 «1 IG | 805 | 64; 288| 324 | 10 2: 1? 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No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 61 Date VENN | el oe (Amar Br, 1894. Févr. 10 | 3400 | 50| 343 | 85 | 246 | 330 | 55| 14 | 315 | 321 - 1 | 202 | 267 9 | 169 | 253 | 339 11 2| 226 | 265 | 20| 177 | 264 | 351 12 | 3398| 107 | 334 || 101 |,254 | 345) 74 | 11 | 331 | 326 - Gy HB EL a Stall 2 = - | 294 - | 3404] 73 | 315) 83| 285 | 325 | 54 = =) |) 3077 13 3 | 106 | 340 | 121 | 269 Bi GA] so} Be 1336 - 5| 12) 844] 195 | 273 7 | : 98 - - | 340 - 6| 13] 265 | A6| 194| 288] 19 - - | 261 15 Kuren 2332 DATE IE 1702 15282 15 | 08 1 |) 237 - 8| 450 | 202 10 | 150 | 249 | 344 16 D || 1 ee SIN ee) |) BB | ON O76| SET 661 - 10 SI 22332 |) av || Pasta) |) BEB 290 - = || Bl - 11 8| 233 | 54| 189 | 294 | 29 - = | Bel ENS CCE ENT AIN ESS 2550 ESS NT 37 | 295 - 16 | 96 151 12 | 133 | 250 | 350 20) TS ee 260s Nelo Sel er 1430 26 6 - 18 | 18] 195] 69| 185 | 306| 48] 08 46 | 224 = 19 5] 178 | 52] 168 | 290 | 31 - =) Boy - 21 By) | BEN || | ae : - | 190 21 12 17 | 188 | 73 | 184 | 312 | '54| 086 | 56 | 221 B 14 | 124] 261 | 148 | 259 | 25 128 23 2 | 225 | 266 | 179 | 280 | 56 | 161 | 08 65 | 319 24 | 20 | 289 | 173 | 100 | 193 | 334| 82] 0,7 70 | 236 | 2 v| 170 | 96| 189 | 331 79 = > | PER - 23 BI BGN ee TN er GS = = | Aal 25| 24) 54) 9871 38) 122 |) 2677| 16 26] 17] 181] 1438| 98] 178| 329) 79] O52] 83 | 221 - 25 163 | 116 | 201 | 350 | 101 = >| 2 - 26 8| 142) 95 | 180 | 329 | 80 = = || 220 - 27 || al ol | 263 13 Bun 282 EE | 323 060) 3251 277705 98 | 202 - 28* 10! 87| 583] 130] 286 | 38 - - | 164 Mars 1 29) sos ob 164) 327) 82) 06 | 129 178 - 30 11 85 77 | 147 | 310 65 - - | 161 DE EN GN EN CN 3100 | or W445) 1477 3.28. 26 | 126 | 145 | 204 | 16| 184) 088 | 159 | 199 CSS 480) 3551 40| søl 200 31 | 1,2 | 172 | - 85 - 34 | 16| 339 | 24 | "73 | 254 15 ol = 69 3522200 7325 9 | 59| 240 | 360 | 62 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. r | Ü | a ‘ 50 3 ; ll Date A E | Al An | dy | | 2 LO | De NE + 1894. 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No. 1. 63 Date IEEE Age |v Ay a Ay (A) NE 1894. 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No. 1. 65 Date Da EEE A AG AR EEE 1894. Juin 1 | 3535] 27| 348 | 114 | 250 | 291 | 186 | 3,41 | 284 | 132 -| 47 4| 344 | 111] 245 | 286 | 181 - - | 128 - | 48 9| 807| 74] 208 | 249 | 144 - > 1092 - | 49| 90| 265] 32| 166 | 207 | 102 - - | 50 2 ses 312193 | 2254 270), 165:| 3,1 | 285 | 112 -| 50! 10] 315] 95 | 226 | 270 | 166 - = ots -| 51] 10] 297| | 208 | 252 | 148 - -| 95 3] 52 | 12] 285) 78| 205| 252 | 150] 28 | 286| 96 -| 53] 119} 270] 63| 190} 238 | 135 - -| 81 4| 51] 23] 3800] 106 | 229 | 280 | 179 | 24 | 286 | 124 5| 56 9} 289 | 109 | 227! 281 | 182! 2,1 | 287 | 127 6| 55| 32| 209) 41] 157| 215 | 116| 187| 288| 61 -| 57| 30| 270 | 108 | 218 | 276 | 177 - - | 122 - | 60| 44] 178| 11] 125| 183| 85 Tee! 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Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 1. 66 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. Date Bi | E | = ir | hy i | 27 MENE VE 1894. Juin 20 85 | 177 21| 85! 84| 347| 19| 91] 182| 1065 | 3) 84] 11| 82] sol 158] 262| 178| 15 | 245 | 167 24 85 | 148 | 316 27 94 199 | 128 | 1,5 245 | 117 261 | 194| 16 | 246 | 182 ' =) — — © = — a «3 Do — © a Juill. 1 93 49 | 249 51 105 «| 95| 17! 309| 113| 165| 270 | 207| - - | 196 2| 96| | 272 | 89| 134| 245 | 185| 1,7 | 246| 174 -| 98] 151| 215 | 31| 88 189 | 129 - OT w | or | SE ~ = er = = © for] I = a S er » » > ~ pe 2 [er] - | 3600 3 | 277 | 108 | 158 | 262 | 205 å -| 194 «| a] 10! 261 | 92| 142| 247 | 189 - - | 178 å 2 4 | 230| 60! 110| 215 157 | - | 146 | 5 | 3599 | 332 | 186 42 87 | 196 | 141 2,0 245 | 131 - | 3607 39 | 152 9 54 | 163 | 108 | - 9 4| 195 | 65] 108 | 218 | 164 - - | 155 «| 10| 417| 186| 6| 49| 1589| 105 7| 3| 19| w| 78| 115| 227] 178] 22 | 244| 165 å 6| 107 | 208 | 86 128 | 289 | 187 å -| 178 -| n| 7] 188| e| 107| 219] 167| - - | 158 «| 12] 9| 140] 28] 64| 175] 128 8| 18] aası 124] 21] 62| 172] 122 | - 14 18 | 180 71 | 118 | 228 | 178 2,4 244 | 169 | 11| 16| 122| 89| 25| 59| 175| 129 | 282 | 295 | 26 | 245 | 226 11 | 185 | 191 | 155 | 271 | 22| - - | 216 | 187 176 «| 2] 9! 145 | 81| 116| 282 | 186 - = LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 1899. No. 1. 67 Date DONS AN OP TE MR | | 1894. Juill. 11 | 3621 | 25 | 140! 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BIRKELAND, M.-N. KI. Date We FP Net | Ag OT 4 ell IAE 1894. 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No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 69 Date ER å? | Am dig | hy) | MAG ENE 1894. Sept. 4 | 3698 | 21 | 205 | 149 | 340 | 263 | 301 | 2,88 | 288 | 253 - | 99| 26| 84| 28] 219| 142 | 180 - - | 132 5 |: 94) s9| 142| 99 |, 287 | 218 |! 252 | 27-| 288 | 204 6| 3702 | 252 | 42 | 12) 196| 125 | 166 - 4| 146] 35 5| 189] 117 | 158 8 1) 487) 41| 38| 216| 150] 195 | 25 | 286 | 148 - 6| 64| 155 | 152 | 330 | 264 | 307 - - | 262 - 8| 54| 45| 39| 218 | 152 | 195 - - | 150 - 9) 84) ne 18 191 | ‚125 | 168 9 DO ap MS ae ars Sm 1285) 147 10 7| 641 54] 76| 249! 187] 234 | 23 | 286 | 198 -| 10} 23] 107| 129 | 302 | 240 | 287 - - | 242 = AIT 9 8| 81] 204| 142 | 189 - - | 143 11| 12] 12] 92| 128 | 299 | 238 | 286 - | 287 | 240 -| 18 7| 28) 65| 235 | 174 | 223 - - | 17 - 14 12 | 343 19} 190 | 129 | 178 12 0 71 58 | 106 | 276 | 217 | 266 2,3 288 | 219 > 3 25 35 84 | 254 | 195 | 244 - - 197 = 15 32 79 | 128 | 296 | 238 | 287 - = 240 15 1 | 546 42 | 131 | 291 | 238 | 293 2,3 290 | 243 = 16 | 105 | 326 55 | 215 | 163 | 217 - - 172 = 18 39 | 344 73 | 233 | 180 | 235 - - 185 = 19 92 | 292 21 181 128 | 182 18 20 | 233 | 312 81 | 236 | 186 | 245 2,2 290 | 196 19 21 101 | 233 15 | 166 | 120 | 180 22 17 69 | 304 | 124 | 272 | 229 | 294 1,9 292 | 243 = 23 35 | 203 25 170 | 128 | 193 23 24 76 | 174 9 | 154 111 178 25 22 46 | 217 78 | 218 | 179 | 249 1,6 296 | 194 28 26 | 153 | 223 124 | 259 | 223 | 297 1,3 299 | 241 30 27 45 | 178 | 105 | 236 | 202 | 280 1,1 300 | 222 = 29 8 | 162 89 | 220 186 | 264 - - 206 2 28 | 360 oF 50 | 178 | 147 | 227 0,9 301 169 3 32 | 146 56 22 | 148 | 118 | 200 - 33 15 68 34 | 160 | 130 | 212 0,9 301 154 = 34 | 167 41 8 | 134 | 104 | 186 4 30 | 113 91 71 195 | 166 250 0,86 | 301 192 = 35 36 48 27 | 152 | 123 | 206 : - 36 11 40 20 | 144 | 116 199 5 31 | 2511 58 50 | 175 | 146 | 231 0,8 302 | 172 70 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. Date | N Ay | 4 MOE LP ARE 153 | 119 | 125 | 247 | 220 | 306 0,7 303 | 246 42 35 41 161 135 | 221 - - 161 1894. Oct. 6 | 3725 - 37 f 38 39 10 40 11 39 - 42 12 41 - 43 - 44 13 39 14 45 15 46 - 47 348 20 39 | 158 | 133 | 221 0,5 305 | 159 18 44 71 | 194 | 170 | 259 0,3 308 | 194 37 34 94 | 207 | 185 | 278 0,3 327 | 194 15 45 | 118 | 229 | 209 | 303 0,8 343 | 203 11 | 311 23 | 134 | 114 | 208 26 | 335 60 | 171 150 | 246 2 41 127 | 237 | 217 | 313 61 | 352 78 | 189 | 168 | 264 20 47 | 146 | 253 | 235 | 332 241 13 | 124 | 230 | 214 | 312 6 | 353 | 118 | 221 | 206 | 306 15 | 302 67 | 170 | 156 | 256 03 | 359 | 131 : -| 197 - - | 148 202 0,39 | 30 | 166 0,5 30 | 160 å 2, 300 = wo — = 18 48 8 | 335 | 140 | 237 | 226 | 331 0,6 31 183 - 49 10 | 316 | 121 | 218 | 207 | 312 - - 164 - 52 11 | 228 33 | 129 | 119 | 224 - - 76 - 53 5| 222 27 | 124| 113 | 219 19 55 2 | 299 | 116 | 211 | 202 | 309 - 56 | 196 | 200 18 | 113 | 103 | 210 - 57 44 | 199 17 | 112 | 103 | 209 20 51 35 | 305 | 136 | 229 | 221 | 329 - 54 | 171 | 210 41 133 | 126 | 234 - 58 80 | 313 | 144 | 137 | 229 | 337 21 61 49 | 176 20 | 110 | 104 | 214 22 50 59 | 309 | 166 | 254 | 250 1 0,68 | 32 161 08 32 | 181 - 59 60 | 200 57 | 144 | 141 | 252 3 - 102 - 60 14 192 48 | 137 | 134 | 245 - - 95 - 62 7 | 227 85 | 172 | 169 | 280 - - 130 24 63 11 222 | 105 | 188 | 186 | 302 25 61 84 175 72 | 151 154 | 270 - 64 18 | 162 59 | 138 | 141 | 256 - - 106 - 65 13 | 142 89 | 118 | 121 | 237 - - 86 27 66 8 | 236 | 160 | 238 | 240 | 859 1,9 35 | 209 - 68 22 | 155 79 | 152 | 159 | 278 - - 128 28 67 16 | 177 | 113 | 184 193 | 314 2,0 36 | 162 - 69 4 179 | 116 | 186 | 195 | 316 - - 165 - 70 | 428 72 9 79 89 | 209 29 72 12 168 | 112 | 180 | 192 | 814 - 73 1 157 | 107 | 174 | 186 | 310 211| 36| 168 . «| 167 LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 1899. No. 1. 71 Date NE UNSS ES 22 an SE | | 1894. Oct. 29|3775| 11| 65| 15| 82| 94| 216 | -| 7%] u6| | A| "| 84| 206! 30| al 76| 125| 88| 152| 167 | 290| 24 | 36| 139 31| wel al 17| 98 | 153) 171 | 996| 26 | 37) 144 Nov. 2| 77| 168 | 51| 52 | 106| 130| 258 | 31 | 39| 103 «| no! 6| m| "| 132| 156 | 284 å - | 129 «| so] 3] "| »s| 131| 155| 283 : - | 128 3| ®| al 68| s3| 132] 158] 289| 348| 42] 132 =a) et 1 5| 21] 70] 97| 227 -| | 17) 4| 20] 69| 96| 226 4| 81| 161! 17] 49! 91] 122] 253] 37 | 43| 95 5| 86] 269] 349| 31| 71] 106] 238] 41 | 45] 79 Manual ade) 157,1 190 | 2241 | - | 164 6| 88| ge! 42] 97] 184] ım| 306| 44 | 47| 144 -| I 12] al 59] 95| 134| 268| - - | 105 le aaa al ory il) day es Mot ss It = - | 173 8| | 13| 2| gal 111 157| 295 | 489| 52 | 128 -| 89] 468| so| 112] 139 | 185| 32 | - - | 156 = 80 is 780169 |) 18% 238) 10 - | =| 208 Seo) sui) go ais-Woreaisor|. <5 | =.|7185 10| 94] 5| 313| 61| w| 183| 273] 51 | 56| 103 11] 93] 190] 341] 103] 115 | 174 | 316! 52 | 59] 144 -| 95} 90] 288| 49] 61| 121| 262 L =, Fog 12| 96| 25| 344] ıs| 125] 189 | 3382) 53 | 61| 157 -| 97] 56] 20! 14] 21| 85| 228 | 13| 92; 19} 296] 83| 85| 154| 299| 537 63 | 122 -| 98 7| 348| 136] 188] 206 | 351 EN al 15| 99| 145] 218] 32| 21| 100] 248) 54 | 68| 67 17 | 3800 | 12] 208] 47| 29] u7| 267| 54 | | 82 18| 1] 109] 208| 61| 35| 128] 281| 537) al 92 - 2 2 | 2083| 56] 30] 123 | 276 | 19| 3| sol 155| 22| 350| 88| 242| 53 | 76 88 21| 5| 121 926] 119] 79| 184 | 341| 49 | 78| 150 male), Su sta. | 143 al 109) 14a 35. 356 | 101 | 280 - | 66 2 | 7| 386| 187| 93| 48| 158| 316| 46 | 79] 124 28m 9| 11] 148| 67] 17! 131) 291| 434| vol 9 -| 10] 10] 139] 58| 8| 122 | 282 : = || 90 | Aal 139] 132 | 63| 11| 129 | 290 | 42 | 79| 98 -| al 27] 166| 99| 45| 162| a) - - | 132 72 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. Date | N E EL ie 1594. Nov. 27 | 3813 123 | = 14 85 28 12 58 Déc. 1 16 24 - 18 20 2 17 68 - 19 128 3 20 62 - 21 123 4 15 156 5 22 38 - 23 16 6 12 170 8 24 169 > 25 89 9 18 124 10 26 122 11 27 104 12 28 74 17 29 38 18 30 33 - 31 85 20 32 30 21 33 11 23 34 91 25 35 44 = 36 12 26 37 94 27 38 70 = 39 27 28 40 94 1895. Janv, 1 43 130 2 46 40 - 48 64 : 49 53 3 50 88 4 52 42 - 53 22 5 51 139 - 54 167 LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 1899. No. 1. 73° Date | N | BA rl | Ady | A: Ze An 1895. Janv. 6 | 8855 | 27 1] 141 | 343 | 179 | 45| 51 | 108] -188 9] 56| 171 | 229) © 48 | 244) 851316 | 50-| 111 | 96 - | 57 34 |? 267) - 86 | 292 | 123 | 1.353 - = 182183 151210 2091/0437 10-3290) 172 | 46 | 507| 11201485 - | 59 1761 "a1 | 2180 757 | 290 15 | 62 239 | 137 | 320 | 170 | 49| 47 | 117 | 184 - | 63 174 | 72] 256 | 105 | 345 - = | 419 - | 64 140 | 39| 222) 72 | 311 - - | 86 16 | 60| 30| 145] 57| 237| 89 |1150 |? 4,5 -| 119 | 103 185 168 | 19 |) 1930 1181) 0 306, 1627 y Me MAS 7101 | 177 - | 69! 18] 189 | 127| 303| 158] 42 - =" | MTS 19| 61 | 47| 138 | 89 | 262 | 120 5| 42 | 122 | 185 =} 66)" 69: |" 92) |) 45 [7 216i) 73) 1/319 - - | 89 SE 6| 138 | 89| 263 | 120 6 - = Sb 20) 67 | 742) 80|° 42) 215 | 751 321] 42-| 1238 | 90 - | 70) 301.142 | 106 | 277 | 136 | 923 - - | 152 21 | 72) 248| 46| 23| 192| 53| 302 22 | 65| 38| 100| 89| 255 | 119 9| 402| 125 | 136 FINE 3 2130. eg 3014 GT od KES e127 | 184 - | 78| 20! 72| 7| 288 | 104 | 356 - - | 121 26 | 74| 118 | 16| 59| 218 | 86| 342 |! 3%-| 184) 101 -| 75 |. 8341 349 | 3L | 184| 59 |. 315 - MT -| %6| 10) 40| 83| 236| 110 6 - - | 124 aa 2a |i 22:99) | 355 - 2 INT 14 [as 5801001860 61 || 317 - -| 7% 27| "el 602! 50 106| 255 | 132| 30| 291 | 1857| 145 al | AG 7| 63| 212) 89| 347 - - | 102 sn ss Re 206 |) 179) «sole 2311 140% 192 - | 85 5| 30| 113| 255| 138| 39 - | 151 - | 86 332 | 54| 196 | 80 | 340 - =| 298 - | 87] 16| 321 | 44] 186 | 69 | 330 - - | 82 30 | 80| 212| 333| 68| 206| 93| 355 | 20 | 142 | 106 = | 82] 24] 329! 64| 208| 89| 351 - - | 102 31 | 89 #23445) 7930] 7226-7 119°) 210) 1,70 |, 144 129 Hewi) 84: 561 | 302 |! 62198088 | 353 |" 1,42 | 146| 99 2| 88 | 8| 301| 76| 202| 99 CoO elt) 108 = |" 88] 242] 14] 149] 274] 1724) 78 - - | 190 3| 90 9 | 325 | 114 | 235 | 186] 44] 0,7 | 136 | 163 el 5| 276| 65| 1866| 87 | 355 - - | 114 4| 93| 97| 278) 80| 196 | 102] 11) 0,5 | 130 | 134 KR. BIRKELAND. Date | N 1595. Févr. Mars 5 E 7 he på | Ay 2858 | 16 | 330 | 144 | 256 95 | 15| 317| 131 | 243 96 | 18 | 237 | 78 180 98 | 271 | 143| 10; 102 99 | 5| 169) 49| 135 3900 | 13) 155| 35 | 122 3897 | 44 196 | 90 169 9 | 381 | 237 | 142 | 218 94 | 215 | 232 | 138 | 214 8901 | %4| 1856| 41) 117 2| 18] 160 | 106 | 166 21 91 NS an | os 6| 101| 26) 11| 56 3| 20| 78| 70) 110 7 6| 55| 54| 98 8 8| 54| 6| 101 yl 47 71 | 102 10! 98| 354) 32| 59 5| 157) 50! 115 | 183 18| 128| 52| 117| 185 | ere Bl er): 8 15| 26! 326| 311 48 16 | 179 308 | 13| 31 12| 24 328| 44) 60 17| al 48| 126 | 141 18| 7| 3488| 66| 80 19| 19| 305 | 28| 37 ol 28| 346| | 88 21 | 6 | 826 | 57 | 68 11 | 246 | 334 78 | 8 22 | 87| 292| 48| 58 28 | 881 | 284 | 40| 45 24 | 80! 28) 154| 155 | 6 | 11 | 142| 148 27 8| 818| 83| 84 28 | 169 | 241 | 12| 18 26 30| 354 | 188| 186 29 | 79 | 849 | 159 | 151 80! 13| 8347| 158| 150 81 | 26) 243| 67 | 56 VA | Av hy | (2 Anz n | ÅR 166, 77| 04 | 128 | 208 188 || 64] | = - | 193 98 | 12| 04 | 116| 150 29 | 806 | 63) 346) 1, | 104 | 137 54, 33) - - | 193 107| 27| 1,41| 100 | 181 162 | 83| 1,6 | 102 | 234 | 77| - | -| 2 59| s41| - - | 181 122| 48| 17 | 116| 186 55 | 348 | 1,76| 120 | 117 26 316 86| 18| 1,5 | 130| 144 67 | 359 ; - | 126 79 | 12| 1,3 | 188] 135 84| 19] 1,07| 136 | 138 44 | 341 125 | 65| 05 | 169 | 151 127 | 67 ea) 288 m| 17 : - | 108 401 340 | - MN 66 23 | 323 56. 357 | 04 | 180 | 72 136 | 77 a es BR 76| 17 + | JG 32 | 333 | 86 | 29 0,39 | 191 | 93 66 9 3 | = 73 87 | 81] 05 | 200 | 89 58 8| 08 | 206| 55 co| 355 | - il 161 | 109 1,0 | 212) 158 149 | 98 ee 90 | 38 - - | .82 19 | 327 | 145| 94| 11 217) 180 164 | 116| 1,8. | 227 | 146 163 | 115 : - | 145 72| 25| 14 | 280| 61 LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 1899. No. 1. 75 Date | N | E je Ar | År VIE dh, | 1895. Mars 6 | 3933 | 306 | 182 19 5 23 | 338 - 34 | 289 | 173 9 | 356 14 | 328 7 | 35 7 | 240 | 90 75 93 50 | 15 235 71 8) 32 274) 18% 50 | 31 53 11 | 158| 238 | 29 9 36 29 | 145 21 1 24 | 348 10 | 37 9 | 236 | 125 | 103 | 127 88 | 17 | 240 | 104 = 40 || 271 | 117 7 | 344 8 | 329 11 38 | 124 | 199 | 102 76 | 104 65 | 18 | 242 80 12 39 | 107 | 197 | 113 86 |. 113 ne) 243 90 13 41 24 97 | 26 | 356 26 | 351 | 2,09 | 244 4 15 39 | 245 | 198 | 153 | 118 | 152 | 121 | 2,8 247. | 131 16 43 4 | 165 | 133 98 | 132 | 102 | 25 249 | 110 - 44 145 | 113 de 81 = = 90 - 45 5 | 108 76 41 75 45 : = 53 V7 Ava 2614831, 130 92 | 128 99 | 26 251 | 106 18 | 42 | 439 | 161 | 156 | 116 | 153 | 126 | 2,77 | 9253 | 131 - 48 6 99 94 55 91 64 = = 69 20 50 1) 12| 163] 120 159| 1385) 30 255 | 137 - 52 6 45 66 23 62 38 =: - 40 21 49 | 423 21 56 12 51 29 | 31 257 28 22 | 46 | 860 60 | 108 63 | 102 82 | 3,2 258 | 81 - 51 | 110 | 89] 137] 91| 131 | 111 2 110 23 53 8 26 86 38 81 61 | 3,29 | 260 | 58 24 55 44 | 307 21 | 331 15 | 357 25 54 | 29 81 | 168 | 116 | 161 | 145 | 34 261 | 140 26 56 37 | 213 53 | 359 45 30 | 3,5 262 25 28 57 | 269 | 290 56 | 359 48 35 | 3,58 | 264 29 - 58 | 107 | 284] 51] 353 42 30 = = 23 31 59 | 209 | 245 52 | 350 41 34 | 3,7 | 268 23 Avril 2 62 3 | 244 77 10 | 65 60 | 3,79 | 271 47 = 63 61 | 185 18 | 312 6 2 = 64 | 132 | 184 17 | 311 5 3 61 67 | 248 | 94 26 | 81 78 | 38 272 64 4| 65 5 | 285 | 144 75 | 132 | 130 | 38 273 | 115 5 66 46 | 229 | 101 29 87 87 | 38 273 72 - 67 6 | 225 97 | 26 84 84 Ê : 68 - 68 | 168 | 135 8 | 296 | 354.| 354 8| 60] 34] 199 | 108 32 94 99 | 39 | 276] 82 - 71 40 | 148 60 | 343 43 49 E 2 31 9 | 69 176 | 215 | 140] 60| 124 | 130] 3,9 ant | 12 76 KR. 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No. I. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 77 Date NIQUE | Ne le |< Age «(yeoman ER 1895. 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No. 1. 79 Date | VEN nn 2 | Ar | Ar | mar ZEN An 1895. Juill 9 | 4084 | 281 | 359| 46 46| 332 | 118| 40 96 | 288 Sara Ass 95 | 210) 167 - NET =|) 89 9 4| 52) 51] 337) 123 - = | 298 =" |, GOs ska 1; 49| 47| 333 | 119 - - | 289 -| 91] 77] 332) 20) 18| 304| 90 10| 92] 21| 87| 148| 145| R| 220| 40 97 | 29 12 | 85| 114| 355 | 8| 74 5| 156| 40 98 | 324 - | 94! 104| 295] 23] 14| 306 | 96 1800005 1 76 10205 0035 240 sk 1091 A, 99) 277 - 96 57 | 272 12 1 | 294 86 14| 86] 31| 349 | 103 | 89| 24| 178 | 41 | 100 | 344 15 |||) 993") 139" 3597| 127 || TION 479) 202 41° 101 7 17 97 4| 319 | 112 90 32 | 190 | 41 103 | 354 = | 98 4| 280! 74| 652) 354 | 152 - - | 815 > | ® 9 | 267| 61] 39| 340 | 138 - - | 302 20 | 4101 | 13 | 249 | 83| 50| 359 | 162 | 3,8 | 105| 325 22 0 | 213 | 303 | 163 | 124 19 | 245 3,6 105 47 23 2 5| 213| 86] 44 1| 1698| 35 | 105 | 331 - 3| 27| 199| "| 380] 347| 154 - = || Bil 27 4] 139| 127| 54| 355 | 326| 140] 3,5 | 104| 303 - 5| 31) 167| 93) 3 6 | 180 - - | 343 29 6| 141| 62! 15| 312 | 286 | 103 | 31 5| 38| 166| 145| 66] 55| 235) 3,88| 100, 43 - 7) 338 | 75| 55| 336| 325 | 144 - - | 812 Août 1 8 510) 102) 18) 11) 1938| 4,0 | .100 1 - ON aly | EN el 7| 360 | 182 - - | 350 a ae 07 3 9 | 280 | 278 | 100 4| 14| 315 | 339 | 11] 273 | 279 | 104 5| 15| 15 7| 52| 300 | 320 | 147| 5380| 103 | 312 6| 1011104| 23| 82| 331 | 348 | 177 | 56 | 105 | 340 =|) 11} 588 | 48| 107| 356| 18| 202 - - 5 Sa BG 8 | 66| 316| 332 | 161 - - | 824 u OG 7 9} 80 |" 327 | 347 | 177) 59-| 107 | 338 Bil 17 4| 25| 110| 351 | 15| 207| 61 | 109 6 D| i 5| 333 | 71 | 306 | 385 | 168 | 62 | 112 | 325 10| 14| 414| 339 | 91) 321 | 355 | 189| 629 | 114 | 344 1 | 18) 223 O| 125 | 349 | 28.1 2241-63 | 116 | 18 - | 20| 24) 265 | 30| 253 | 292 | 129 - - | 282 12a 20 a 2900 SØ BØ GOL 1392| GS IE 289 15 | 23) 968 | 198 | 15| 220 | 276 | 118 80 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. Date N||E | Po ie v Fae 2 2 1895. 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No. 1. 81 Date | Nr NE | AE iu | Ar | rare OR EZ A 1895. Sept. 14 | 4164 | 193 | 222 | 76 | ı98 | 318 | 205 | 264] 149 | 328 15 | 6 7| 261 | 128] 249] 10] 258) 26 | 149] 21 16| 58] 112| 286 | 137| 256] 18] 268] 25 | 150] 30 -| 66] 23] 259] 140] 259] 21] 2m - lee ZUR 4| 225 | 105 | 224 | 347 | 236 - - | 359 - | 68| 20| 203| 83 | 202 | 324 | 214 - - | 337 Seg 2| 194| 74| 193| 316 | 205 - - | 328 -| vo| 119 191] 72 | 190 | 313 | 202 - - | 395 -| 1] 396 | 130] 11] 130| 252 | 142 17| 72| 2| 206 | 101| 219] 341] 232 | 25 | 150 | 354 20! 73} 69] 179 | 112! 224 | 351] 247| 2,2 | 152 m ra ST | 163.1, er 1.198 1 7828: 117221 : =| 341 -| | 32| 113] 46] 158| 285 | 181 I AIME 22 | | 23| 69| 29| 137| 267| 165] 20 | 154| 283 23 | 78| 381 81| 54| 161| 291] 192| 1,9 | 155 | 309 24 | 9! 14| 148| 135 | 239 | 10! 272] 177| 156| 28 25 | 6! 15| 68| 67| 170| 303| 206| 1,7 | 157| 322 «| 77] 20! 119] 118| 121| 354| 257 - SURE: -| sıl 29| 88| 87| 190| 323 | 226 e - | 342 26| 84| 55 8| 21| 122| 256] 161 om | 82| 131| 53| 79] 178| 313 | 220 | 1,6 | 158| 334 =, 4086 8| 104] 130 | 229 4| 270 à NS 28 | 85| 913| 24| 64| 161| 297| 205| 1,6 | 158 | 319 29 | sol 3938 | 26| 77| 175 | 312 | 221 | 1,52 | 159 | 335 30 | 88 8 5| 7| 164| 308 | 214| 15 | 160| 325 Oct. 11 87| 246| 345; 64| 155 | 296 | 208| 1,4 | 161 | 319 2| 83 | 532 2 | 9| 184| 326 | 239] 12 | 163 | 349 -| 89| 333 | 305 | 37| 113 | 269 | 182 = - | 292 41 90! 10! 273| sıl 116] 261| 178] 0899) 166 | 285 5| 89| 402| 305 | 76| 159 | 306| 224 | 09 | 168 | 329 -| 91] 23] 296 | 67| 150] 297| 215 : - | 320 7| 92! 279| sıs | 111] 189] 339 | 261| 06 | 174 1 18| 93| 12] 278 | 142 | 208 7| 296 | 06 | 189 | 21 -| 94| 17| 262 | 126| 191| 351 | 280 2 = 5 = | 96| 14| 208| 72| 138 | 297 | 227 - Si 13 | 95| 43| 229 | 106 | 168 | 331 | 261| o6 | 192 | 343 -| 98| 16| 268| 145| 208| 10 |: 301 - -| 22 14| 97| 106| 156 | 47| 106| 270 | 203 | 0,73 | 195 | 282 - | 99| 35| 219| 110| 169 | 333 | 266 i - | 345 15 | 4200 | 50| 119} 23 | 79 | 246 | 180 Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 1. 82 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. | | Date KAT ge | a | x | à | a 0 Ly mar ap 1895. Oct. 21 | 4201 | 669 71 53 88 273 | 216 17 222 | 267 278 | 216 | 202 _ ao LI ao _ a > 2 > — = 19 16 14 | 140 | 145 46 | 348 | 334 3,2 286 | 325 20 27 21 81 99 | 357 | 801 | 289 3,2 286 | 280 - 28 13 71 89 | 347 | 291 | 279 - - | 270 92 | 359 18 | 275 | 219 | 208 122 14 | 322 | 312 93 | 330 15 | 267 | 216 | 207 9 0 98 | 339 | 296 | 298 808 | 270 | 278 252 | 217 | 223 ~ > 58538 a » «2 = | 35 | 285 | 284 37 | 287 | 262 2 > = ow o = — - D a à ~ = ms © v I w 2 vw — De. 1 - 3 22 38 16 51 | 236 | 178 22 4 1 88 84 | 115 | 304 | 248 1,9 224 | 297 - 6 | 332 25 21 51 | 240 | 184 - 7 | 267 23 18 48 | 238 | 182 24 2 32 70 93 | 115 | 311 | 258 2,35 | 230 | 302 - 8 | 760 | 354 16 38 | 235 | 182 - 9 17 | 357 19 41 | 237 | 184 26 5 | 381 24 71 85 | 290 | 240 2,9 237 | 278 - 7 | 178 25 74 87 | 291 | 241 - - | 279 27 6 | 265 25 87 95 | 303 | 255 3,2 240 | 290 30 11 | 325 | 288 29 20 | 243 | 200 4,0 251 | 223 Nov. 1 7 | 130 30 | 156 | 139 11 | 331 4,4 257 | 348 2 13 11 | 309 90 67 | 302 | 263 4,5 260 | 278 - 14 29 | 237 18 | 355 | 230 | 191 3 12 31 | 265 59 31 | 271 | 234 4,57 | 264 | 245 - 15 26 | 231 25 | 357 | 237 | 199 4 10 | 1057 | 325 | 133 98 | 344 | 308 4,5 266 | 318 15 12 | 229 89 35 | 298 | 268 3,97 | 276 | 268 12 17 19 | 140 53 | 340 | 259 | 236 3,4 282 | 230 13 16 56 | 141 68 | 351 | 273 | 251 3,36 | 284 | 243 - 18} 215 91 17 | 300 | 223 | 200 14 19 27| 119 59 | 338 | 264 | 243 3,3 284 | 235 - 20 71 75 14 | 294 | 220 | 199 16 22 28 | 148 | 113 25 | 318 | 300 3,2 285 | 291 17 16 12 | 140 | 119 27 | 322 | 307 3,2 286 | 297 - 21 | 305 70 47 | 316 | 258 | 236 - - | 227 - 23 18 | 143 | 122 30 | 325 | 309 - - | 800 - 24 17 | 106 85 | 352 | 288 | 272 - - | 262 - 25 24 97 76 | 343 | 279 | 263 - - | 253 LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 1899. No. 1. 83 Date | N | E | ar | A| AS: MEG 1895. Déc. % 4234 | 151 | 302 | 119| 347 | 313 | 320 | 3,9 | 288 | 310 3| 35| 84| 267 | 97 | 323 | 291 | 299 | 3,94 | 288 | 291 6| 36| 61| 177| 46| 266 | 288 | 251 | 44 | 288| 241 | 38 160 | 157 | 39| 257 | 251 | 245 | 47 | 288| 235 - | 39} 208 | 142 | 24| 242 | 215 | 230 8| 37| 12] 171 | 64) 282 | 257 | 285 | 486 | 289 | 262 - | 42] 55 | 182 | 17| 234 | 208 | 224 9| 40| 167 | 136 | 44] 259| 235 | 252 | 48 | 289 | 242 -| 41 | 891 | 121 | 29| 244 220| 287 - - | 227 - | 48| 185| 107 | 16| 230 | 206 | 223 10 | 44 9| 148 | 70| 282 | 260 | 279 | 46 | 291 | 265 GONE | 1861] 121 | 332 10310 380] 44 | 292 315 -| 45| 26] 190| 125 | 336 | 314 | 335 = - | 319 =| 46 M 19% 0135) 70 281") 259) ) 270 - - | 264 184 47| 153) 116) 64| 273 | 255 | 275 | 42 | 295 | 257 14 | 46 4 | 187 | 111] 817 | 299 | 324| 42 | 297 | 304 -| 48| 053 |" 65 |" 39) 245 | 226| 252 - - | 232 16| 43| 71| 108) 109 | 311| 295 | 323 | 43 | 298 | 208 - | 49 4100) Ol) 2952|, 2772305 - - | 285 - | 50| 289 | 15| 16| 218| 202 | 230 19| 5127| 531 |" 301 70| 267| 254 |" 287| 43 | 300 | 265 -| 52| 116| 16) 56| 253 | 241| 273 - - | 251 20 | 53 2| 53| 106 | 301 | 290 | 324 | 43 | 301 | 301 21| 54| 38| 353] 60| 253 | 242 | 278 | 42 | 302! 255 «| 55| 532 | 318| 25 | 218 | 208 | 244 -| 56} 796 | 304, 11| 204 | 194 230 22 | 57 6 6| 86| 278) 268 | 306| 42 | 303 | 282 23 | 54| 27| 359 | 92] 283 | 273 | 313 | 411 | 304 | 288 24 | 59 |" 17 || 289| 35 |, 228 | 216 | 257 | 40 | 305) 230 25 | 58 | 238) 15 M 1320318 | 812) 355 | 40 | 306 | 327 26| 60) 23| 251| 23| 208 | 208 | 247 «| 61} 34| 250| 22 | 206 | 202 | 246 21| 62| 241| 228| 14| 196 | 193 | 238 20, 63 | 26| 285] 47| 225 | 225 | 273 | 38 | 309 | 244 31| | 13 | 202 | 40| 212 | 218 | 268| 38 | 311 | 287 6* 84 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. 23. Discussion des résultats obtenus par la méthode cumulative. Les valeurs inscrites au tableau ci-dessus pour År, Ay, Ay, Ay et Ar vont nous servir de différentes façons lorsqu'il s'agira d’examiner dans quelle mesure les positions des taches solaires fournissent l'indication d'une influence planétaire sur l’activité du Soleil. Nous pourrons d’abord à l’aide des séries de valeurs de ces cinq grandeurs construire aisément pour chacune d’elles des courbes corres-. pondantes D, S, D,, S, conformes à la definition que nous en avons déjà donnée. Parmi ces courbes, les courbes D et S, appartenant à une planète donnée, indiqueront pour la période 1892—1895 comment les taches solaires se sont développées en nombre et en surface autour du diamètre solaire passant à chaque instant par la planète en question, tandis que les courbes D, et S, indiqueront comment les taches se sont développées autour d'un diamètre qui s’est déplacé dans le même plan que le premier, mais toujours à 90° en avant de lui. Toutefois il y a aussi grand intérêt à grouper les taches du Soleil de différentes autres façons. C’est ainsi que, dans ce qui va suivre, nous comparerons le nombre et l'étendue moyenne des taches solaires formées sur l’hemisphère solaire situé en face de la planète, avec le nombre et l'étendue de celles qui se sont formées dans des conditions symétriques sur l’hémisphère opposé. Cette comparaison peut avoir lieu directement à l’aide du tableau du $ 22. Comme je l'ai déjà signalé en passant dans l'introduction, De /a Rue, Stewart et Loewy sont arrivés à un résultat qui semble indiquer que l'étendue moyenne des taches du Soleil atteint un maximum du côté du Soleil opposé à Vénus et à Mercure, et un minimum du côté de ces deux planètes. Il va sans dire qu'il serait excessivement intéres- sant de pouvoir constater un phénomène analogue pour la période actuellement considérée, de 1892 à 1895. Nous pourrons ensuite, à l’aide des valeurs de Ay, Ay, Ay et Ar exa- miner si la densité des taches et leur étendue moyenne présentent des circonstances exceptionnelles autour des points d'application de la force perturbatrice maximum exercée par une planète sur le Soleil, tangente å sa surface et située dans son équateur. Ces points d'application sont au nombre de 4 et situés sur les deux diamètres placés à 45° de part et d'autre du rayon vecteur de la planète. Cette recherche aura lieu comme suit: les graphiques journaliers dont nous avons parlé au $ 6 sont superposés les uns aux autres de telle sorte que le point d'application le plus rapproché du rayon vecteur de la Terre corresponde au point de coincidence P des graphiques 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 85 superposés. De même que nous construisions précédemment les courbes D et S, nous formons ainsi des courbes 4 et , indiquant le développe- ment moyen des taches solaires, tant comme nombre que comme étendue autour des points d'application en question, Enfin, nous formerons de même des courbes 4, et ¥, analogues a 4 et Y, mais avec cette différence, que les 4 points d'application sont remplacés par 4 autres situés sur deux diamètres solaires, l’un coincidant avec le rayon vecteur de la planète, et l’autre perpendiculaire. 24. Réalisation pratique des opérations de cumulation. — L'éxé- cution pratique des opérations qui sont nécessaires avant qu'on puisse se livrer à la construction de toutes ces COUPE DNS NPD RES ET Pig Py GSE Fig. 2. des plus faciles, à la condition de procéder ee 5 vais le er À > Sue EG uppose le plan de l’équateur so- laire (toujours considéré comme coincidant VI ve À avec ceux des orbites planétaires) divisé | SN 4 en 8 secteurs égaux et numérotés, suivant toujours la Terre dans son mouvement. a E On dresse alors ($ 25) un tableau indi- ae quant entre quelles dates chaque planète ou la direction de la force perturbatrice maxi- O+ mum du systeme planétaire (Fy)maz se trouve dans chacun des secteurs en question. 25. Voici ce tableau pour Mercure, Vénus, Jupiter et (Ju pendant la période 1892— 1895. Secteur Secteur | Secteur Secteur Secteur Secteur Secteur Secteur V VI VII VII I IT III IV Mercure était dans chacun de ces secteurs jusqu’aux dates ci-dessous: | 7 janv. 92| 23 janv. | 17 févr. 6 mars 17 mars | 25 mars 4 avril | 19 avril 13 mai 31 mai 12 juin 20 juin 30 juin 14 juill, 6 août | 26 août 6 sept. | 15 sept. | 24 sept. 8 oct. 31 oct. 21 nov. 3 déc. | 12 déc. 21 déc. | 3 janv. 93| 26 janv. | 16 févr. I mars | 10 mars 19 mars | 1 avril 23 avril 14 mai 27 mai 5 juin 13 juin 26 juin 17 juill. | 8 août 21 août | 31 août 8 sept. | 20 sept. 10 oct. 2 nov. 17 nov. 26 nov. Budeos 16 déc. | 5 janv. 94 | 29 janv. 12 févr. | 22 févr. 3 mars 14 mars 2 avril | 26 avril II mai 20 mai 86 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. | Secteur Secteur Secteur Secteur Secteur Secteur Secteur Secteur V VI | VIT VIII I II III IV | | 24 août 3 sept. 29 mai 8 juin | 27 juin | 20 juill. | 5 août | 15 août 20 sept 14 oct. 31 oct, 10 nov. 19 nov, | 29 nov, 16 déc. | 10 janv.95 27 janv. 6 févr. | 15 févr, 25 févr. 13 mars | 7 avril | 24 avril 5 mai 13 mai 23 mai 7 juin 1 juill. 19 juill, | 30 juill, 8 août | 17 août 1 sept. | 24 sept. 14 oct, | 25 oct. 3 nov. | 12 nov. 27 nov. 20 déc. Vénus était dans chacun de ces secteurs jusqu'aux dates ci-dessous: | 19 févr. 92| 30 avril 9 juin | 19 sept. 1 déc. | 16févr. 93 | 2 mai | 9 juill, | 17 sept. 3 déc. |16févr. 94| 30 avril | 11 juill. | 18 sept. | 30 nov. 17 fevr.95 | 1 mai 8 juill, 19 sept. | 2 déc. | | Jupiter était dans chacun de ces secteurs jusqu'aux dates ci-dessous: 21 mars | 31 janv. 92 | 28 avril | 8 mars NM 1 déc, | 12 oct. 22 août | 1 juill, | 10 mai 4 juin 14 avril 23 févr. | 5janv.94 | 18 nov. | 29 sept. g août | 18 juin 10 juill. | 20 mai | 30 mars | 9 févr. 95 | 23 déc. 4 nov. 15 sept. | 26 juill, | 7 déc. | 19 oct. | 30 août La force (/n)maz était dans chacun de ces secteurs jusqu'aux dates ci-dessous: | 26 juin 19 mars | 17 févr. 92 | 5 juill. | 12 juill. 13 févr. 93 | 15 nov. I nov, 16 févr. 13 mars 23 mars | 2 mai 8 juin | 20 juin 30 oct, 14 oct. 16 juill. 30 juin | 11 févr. 94 16 févr. | 23 févr. 28 févr. 4 mars | 14 juin 10 oct, 1g juill, 13 oct. | 3 févr, 95 23 févr. 28 févr, | 2 juin 4 juin 16 oct. 5 nov 22 nov. 1 janv. 96 26. S'agit-il maintenant de construire les courbes D et S, il est facile de voir que les grandeurs Ay, År, Ar et Ar doivent être majorées de 180° toutes les fois que la planète considérée ou (Fy)maz sera située 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 87 dans les secteurs III, IV, V ou VI. De la sorte, le point de coin- cidence P aura même longitude que la planète ou que (A,)maz: Si l’on désire plus spécialement reconnaitre la répartition des taches autour des rayons vecteurs d’une planète et de son anti-planète, on n’aura qu'a traiter séparément les taches lorsque la planète est dans l’un des secteurs VII, VIII, I ou II, ou dans l’un des secteurs III, IV, V ou VI. Nous désignerons les courbes représentant graphiquement les ré- sultats obtenus suivant les cas par 2, et S,, D, et S;. Si l’on veut construire les courbes D, et S,, il faudra majorer de 1800 les grandeurs Ay, Ay Ar et Ar, lorsque la planète considérée ou (Hamar Se trouvera dans un des secteurs I, II, III ou IV; le point de coincidence des courbes aura alors une longitude en avance de 90° sur la planète ou sur (Æ,)mur- Pour ce qui est des courbes 4 et 3, il faudra majorer comme suit les valeurs de Ay, Ay, Ar et Ap. 0° quand la planète où (mars est dans les secteurs VII ou VIII 90° — — — Nou 180° — == == II ou IV 270° — as — V ou VI Le point de coincidence pour les courbes 4 et X aura alors une longitude avangant de 45° sur celle de la planète considérée ou sur (Fn)maz - | Enfin, s’il s’agit de 4, et X,, les valeurs de Aw, Ay, Ay et Ar seront å majorer comme suit: de 09 lorsque la planète ou (Z,)maz est dans VIII ou I 900 — — — IT ou II 1800 — — — IV ou V 2700 — — — VI ou VII toujours en admettant qu’on part de la direction du rayon vecteur de la planète ou de celle de (A,)maz, de telle sorte que le point de coin- cidence des courbes 4, et X, ait même longitude que la planète ou er: 27. Les tableaux suivants rendent compte des sommes des étendues et des nombres de taches, qui sont réparties de 3 en 3° de l’équateur solaire, après qu'on aura mené à bonne fin les opérations ci-dessus. Les colonnes D et S indiquent les ordonnées de la courbe de densité des taches solaires et de la courbe des aires tachées cumulées par rapport aux planètes. Je fais d’ailleurs remarquer que les courbes de cette espèce tracées aux planches IV, V et VI sont construites non 88 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. pas directement, mais après péréquation des chiffres, et calcul de chaque ordonnée par une formule de M. Galle: dj =F (a+ 464 904 12d + 9e+4f+ 2) Les autres colonnes nous donnent d’une façon analogue les ordonnées des courbes indiquées par l'en-tête. 28. Table des données numériques pour la construction des courbes DES Dre 81, 2,3, 25 et, 2. Les intervalles de 3° sont désignés par leur degré initial. La Terre Force perturbatrice (Fn)maz Ders| D | s DE | DE | 4 | z | 4, | 3, 0 | 1 14| 4 | 420 | 3 s | sıl 2 35 | 9 | 589 6 5 | 403] 4 | 167 9 1 sl 5 | ss| 5 | 615 12 1 el 56 | e2| 3 51 1 | 70 15 2 | sv) 5 | 1874|| 8 | ma 18 8 | os} 1 | 1841 4 | es 21 a | 671 8 | sel 8 | 908 Pvt pr a4 | 19 | 538| 8 | 247 av | 29 | 1746] 9 1490| 3 93 so || 37 | sm| 11 | 1065 | 1 59 ss | 37 | 5425] 7 | 1261] 4 | 1844 3 | 578 36 | 43 | 5850] 6 | 258 3 | 320 39 | 49 | 57s} 12 | 1171 | 3 | 718 42 | 45 | 5476] 7 | 508 4 | 488 45 | 40 | 6458| 16 | 2281 7 | 1250 48 | 42 | 12502] 17 | 3138 10 | 354 sı | 49 | 7477] 14 | 3441 | 10 | 358 54 | 38 8451] 25 | 2947 13 | 1979 57 | 43 | 3059 | 18 | 3348 | 15 | 1698 60 | 45 | 389 | 14 | 2641 | 14 | 2781 68 30 | 2688 18 | 609 1 58 1 58 16 | 1651 66 | 60 | 4895 | 14 | m | 15 | 792 69 | 44 | 7214] 14 | 1615 | 15 | 2548 m2 | 52 | 5255] 24 | 382 1 | 294 | 20 | 1095 7 | 49 | 5176] 18 | 656 18 714 1899. No, 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 89 La Terre Force perturbatrice (Fn)max Degres D S D S D, SÅ A 2 4, Big 78 45 5765 11 1240 1 8 1 8 12 2004 81 41 4573 31 4705 8 31 2 51 27 5398 84 45 2908 26 3538 3 114 4 160 30 4969 87 40 2603 22 3900 4 331 26 4337 90 37 5455 22 4257 1 265 2 279 18 3558 93 44 2906 21 2684 3 67 5 102 27 2664 96 40 3484 37 3634 6 393 11 1296 39 3197 99 27 1841 27 4882 6 1070 11 1465 36 5785 102 32 2702 28 2118 7 1310 12 1922 37 2923 105 37 3518 24 1507 6 729 11 2103 27 3092 108 34 6322 26 1826 8 4921. 9 676 24 3661 111 46 4532 34 3196 11 1825 19 2341 37 3272 114 22 3060 23 1090 12 893 20 1140 32 1317 117 31 3899 34 3920 12 1716 22 3206 43 5213 120 40 3716 38 4283 19 3783 30 4848 45 5162 123 42 4283 32 3905 15 1407 22 2673 36 4345 126 24 908 32 2032 12 680 18 933 36 1859 129 18 1705 31 4271 18 3166 30 4337 43 4325 132 24 3259 32 1921 13 686 20 1194 38 1761 135 27 1586 42 2644 22 1255 38 3496 49 3992 138 26 1672 33 4451 19 2849 36 5987 38 7182 141 15 1667 32 4263 19 1232 33 4673 35 6220 144 22 1794 40 6310 20 2508 45 5455 50 7398 147 23 2329 40 7250 22 4592 35 7935 39 9795 150 16 2538 39 5957 21 4028 35 6679 44 5774 153 15 1395 27 3367 19 2941 36 3492 31 3099 156 11 1790 26 2340 18 1706 32 2485 34 3479 159 13 1557 35 4307 23 3721 37 5336 34 3374 162 11 2173 34 3249 23 3027 46 3615 42 3388 165 11 1113 27 2588 18 1756 36 2412 26 2470 168 5 1301 40 5781 29 2767 39 3999 39 3003 171 4 462 19 4018 14 3905 45 8579 26 3444 174 1 101 32 3347 27 2984 49 6362 31 2042 177 2 570 29 1484 27 1455 45 5034 32 1608 180 19 2599 16 2193 36 6171 24 3312 183 22 2902 15 2398 | 31 4980 19 3297 186 25 2368 26 2604 52 4942 29 3334 189 17 1213 17 993 33 4410 14 735 192 29 2857 31 3418 47 3614 26 3505 90 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. La Terre Force perturbatrice (Fn)maxz Degrs| D s D Si ee Er” | = | 4 | % I | — — EN ee m 195 | 18 | 1127! 15 | 1767| 28 | un 16 | 1081 198 15 | 4346| 12 | 2699 | 29 | 4849 | 18 | 2695 201 15 | mul 20 | 942| 35 | 1797| 20 | 1468 204 11 | 313] 19 | 560! 22 | 510! 10 | 388 207 18 | 1329| 24 | 276| 36 | 3440| 18 | 1526 210 8 | 37 | 18 | 1381| 26 | 816| 12 | 561 213 14 | 2558| 17 | 2475 | 27 | sm12| 14 | 2804 216 10 | 661] 16 | 914| 30 | 2013 9 | er 219 15 | 1408| 27 | 2579 | 28 | 2513 | 12 | 1807 222 12 | 637! 19 | 1145| 31 | 1872] 9 | 832 225 5 | 642| 21 | 2873/1 25 | 2081| 8 | 500 228 8 | 1365 | 25 | 4603| 22 | 2967] 10 | 1418 231 6 | 227| 20 | 3668| 19 | 3258| 7 | 1353 234 6 | 1163| 31 | auo! 26 | 4965| 8 | 1048 237 8 | 1349| 21 | 4692! 26 | 4007| 7 | 449 240 8 | 581| 22 | sım! 26 | wol 3 | 5% 243 7 | 1057! 24 | 1608| 15 | 1483] 5 | 283 246 12 | 1915] 26 | 2689 | 20 | 254 | 3 | 758 249 14 | 1615 | 12 | 586 252 4 62|| 28 | 934| 16 | sul 1 4 255 18 | 656! 9 | el 1 60 258 8 | 168| 13 | 1895] 14 | el 8 | 18 261 a | al 38 | al 9 | 334] 1 | 102 264 2 sol 25 | 3504 489 267 3 | 240| 25 | 4140 590 270 21 | 3992 420 273 ı | 837] 19 | 2954| 10 | 9876 276 1 | 126| 32 | 2867| 5 | 298 279 1 sol 22 | sel 6 | 68 282 2 | sul 28 | mol 5 | 962 285 1 | 115! 19 | sol 4 | 849 288 18 | 1384] 4 | 931 291 1 | 865] 24 | 1736] 4 | 6% 294 11 | 197 297 21 | 2204| 3 93 300 19 | 500| 1 59 308 17 | 2498 | 4 | 1544 306 20 | 1352 309 | 18 | 1105 LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 1899. No. 1. OI La Terre Force perturbatrice (Fn)max Degrés | D | 5 D Se Ls A za 312 19 1235 315 1 225 21 1614 1 225 318 14 1602 321 13 3031 324 20 3802 327 18 2658 330 18 1929 333 8 426 336 8 629 339 12 586 342 1 294 12 516 345 9 832 348 11 1014 351 5 113 354 1 46 6 409 357 | | 2 321 6 350 Mercure Degris| DEE SD aD, | Se 4 | se | — - 0 4 | 673 2 87 7 | 840 | 3 13 | 1568 7 | 1063 | 4 | 354 5 636 6 19 | 1614 9 | 242 6 | 239 6 152 9 19 | 1521 9| 725 8| 531 5 569 12 12 | 2015 4| 816 8| 265 4 534 15 20 | 1565 10202930 4 | 188 10 281 18 10 | 836 5 | 430 8712397 10 | 1632 21 15 | 3014 8 | 1609 4 | 548 9 | 3058 24 15 | 3743 2766 3 55 10 | 3180 27 16 | 590 132 4| 125 15 981 30 17 | 2519 13 | 1945 7 888 18 | 1992 33 17 | 2265 7 | 1051 7 | 287 19 | 3470 36 26 | 3270 12 | 1438 3 | 509 19 | 2514 92 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. Mercure Digre 2 | Ls[[s[]s [2 Da D, no 51 4 2 4, | 2, 39 || 23 929 || 10 4911 42 | 20 | 1992 8 | 1417 209 1 352 352 | 18 | 1223 45 || 21 | 2701 8 | 1177 48 | 15 997 8 792 51 | 21 | 11141 10 | 369 54 | 20 | 1473 || 7 | 432 57 | 26 | 2318 | 11 | 980 60 | 24 | 2155 | 10 | 737 63 || 25 | 4312 | 12 | 2421 66 | 18 | 1875 | 10 | 1295 69 | 21 | 1426 | 7 | 829 72 || 20 | 653|| 9 | 288 75 | 32 | 2494 | 14 | 1024 78 | 31 | 2835 | 15 | 1104 81 | 26 | 1905 | 13 | 1080 84 | 23 | 2987 | 14 | 1553 1 | 747 87 | 27 | 4504 || 15 | 3520 90 | 28 | 5887 | 18 | 3857 93 | 33 | 3093 | 18 | 2114 96 | 25 | 4491 | 15 | 2172 99 || 23 | 4767 | 17 | 3671 102 | 28 | 1691 | 15 | 1052 105 || 25 | 2407 | 14 | 1127 108 | 37 | 4066 | 17 | 1335 111 | 24 | 2787 | 14 | 1751 ét 3 > ni ne ns ed ed bd bd oo IJH DOR - Om eo D SH © DW BESS BEE EE SKI EER5RB ER oo fF OS fF CO CS > —_ => wo own nwo m & Br SP - Or DOO m I me Da WKH Ww — ok ke ke Ok He O2 a on tre FS Où À 114 | 39 | 4635 | 26 | 3435 25 | 1886 | 40 | 5629 | 44 | 4283 117 | 30 | 2161 | 22 | 1948 16 | 1207 | 32 | 1797 | 36 | 2421 120 | 29 | 2510 | 15 | 1403 17 | 1541 || 34 | 4060 | 34 | 8511 123 | 81 | 6463 | 15 | 2467 22 | 4716 | 39 | 6981 | 37 | 5849 126 | 25 | 2582 | 11 | 895 18 | 2006 | 44 | 5276 | 37 | 3933 129 | 22 | 4342 | 9 | 265 19 | 4090 | 42 | 5002 | 28 | 1497 132 | 31 | 3020 | 18 | 1218 24 | 1678 | 43 | 8318 | 34 | 3536 135 | 23 | 1487 | 11 | 535| 1 28 | 19 | 1184 | 37 | 8740 | 26 | 1789 188 | 23 | 2234 | 14 | 1405 | 1 28 | 17 | 1725 | 28 | 2642 | 24 | 2152 141 || 38 | 3965 | 14 | 1265 | 1 3 || 31 | 3832 | 48 | 4725 || 27 | 4266 144 | 28 | 2730 | 14 | 1174 19 | 2084 | 37 | 3584 || 83 | 4046 147 | 19 | 2300| 10 | 687| 1 | 808 || 14 | 2010 | 36 | 8986 | 24 | 2330 150 | 22 | 1913 | 11 | 417 153 | 18 | 1848 | 10 | 651 = 81 | 21 | 2587 | 37 | 3415 | 19 60 | 21 | 1831 | 33 | 4637 | 26 "m. 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No. I. 93 Mercure Degres| D S Da Sa Dy Sb Dy \\ Sq A > ZN P5ii 156 | 19 | 3462 | 10 | 2624 6 | 1562 | 25 | 5010 | 28 | 4435 || 12 718 159 | 18 | 2930 | 10 | 2294 6 128 | 23 | 3099 | 30 | 3720 | 14 958 162 || 16 926 “if 232 3 561 20 | 1634 | 29 | 1360 | 21 | 2398 165 || 16 691 8 224 1 90 | 19 | 1089 | 39 | 2664 | 22 | 1910 168 || 20 | 2664 | 12 596 3 14 | 31 | 3736 | 41 | 4540 | 18 | 3172 171 14 | 1780 6 338 6 | 2559 || 27 | 6062 || 31 | 2555 | 11 140 174 || 19 | 2918 9 929 3 | 2959 | 28 | 5498 | 35 | 4455 9 | 2200 177. || 15 930 9 661 9 | 1285 | 29 | 3509 | 28 | 3342 | 12 | 2412 180 | 21 | 1375 | 14 535 2 586 || 25 | 2048 | 39 | 3293 | 18 | 2200 183 8 989 4 635 6 505 || 21 | 2557 | 25 | 2979 8 857 186 || 14 307 8 68 || 10 | 1372 | 33 | 1921 | 28 | 2729 | 10 | 1638 189 | 21 | 1435 | 13 904 | 10 796 | 40 | 2956 | 29 | 2119 8 162 1922 EGGENE abt 954 8 | 1199 || 31 | 3234 || 30 | 1555 tf 476 195 | 11 | 1048 7 860 || 10 635 | 31 | 2613 | 22 | 1479 4 142 198 | 16 | 3317 8 | 2920 406 || 26 | 4153 || 23 | 3788 3 423 201 9 692 5 144 1405 | 24 | 3706 | 15 | 1579 4 89 204 6 134 2 ug) 977 || 21 | 3877 | 20 | 2883 6 | 1049 207 | 10 | 1115 6 990 | 12 458 | 26 | 1705 | 24 | 2069 5 454 210 | 10 | 1251 3 363 574 | 27 | 3770 | 22 | 2220 4 777 213 | 11 998 4 711 1201 | 28 | 3263 | 20 | 2745 3 407 216 6 902 3 393 | 14 | 1832 || 32 | 4172 13 | 1478 1 307 219 7 294 4 165 | 14 320 | 30 | 1206 | 10 546 1 57 222 2 209 11 558 || 21 | 1849 9 | 1551 1 64 225 4 124 3 110 | 11 | 1498 | 25 | 2825 | 10 572 228 5 306 3 284 7 205 | 17 | 1246 | 12 838 281 3 606 2 189 | 11 745 || 22 | 1504 u 744 234 8 834 3 520 | 13 | 1041 | 26 | 2284 | 12 | 1480 237 6 60 2 22 15 | 1338 29 | 2330 12 644 240 2 355 14 | 1418 | 23 | 2215 8 713 243 Tf |) hiss) 3 201 12 | 1838 | 24 | 4104 91 | 1310 246 2 66 8 580 | 13 | 1153 4 180 249 2 33 14 597 || 16 850 4 60 252 6 | 1809 2 185 9 261 | 20 | 2259 7 | 1825 255 2 293 1 152 | 18 | 1470 | 27 | 2311 4 338 258 1 65 16 | 1731 | 23 | 2032 2 156 261 13 825 | 18 787 1 12 264 1 | 747 9 | 1434 | 19 | 2940 3 | 1403 1 747 267 11 653 13 | 2412 270 10 | 2030 | 18 | 1918 94 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. Mercure Degrés| D |s | Da | se | > | Ss | D, | 5, | 4 273 | 14 | 826 17 | 1990 276 9 | 2313 14 | 2422 279 1 7 | 1077 9 909 282 12 612 11 336 285 11 | 1280 11 431 288 20 | 2731 ‘4 471 291 9 | 1032 6 887 294 13 | 1200 14 | 2749 297 8 213 14 954 300 13 | 1105 12 969 303 16 | 3996 9 | 1747 306 14 | 1687 vf 576 309 12 | 4006 3 252 312 13 | 1807 7 | 1342 315 2 11 948 6 448 318 1 8 591 7 532 321 2 19 | 2700 4 138 324 9 | 1556 4 646 327 1 1613 6 598 330 5 2 10 | 1443 6 378 333 5 3 8 | 1192 2 145 336 8 2 8 512 2 114 339 7 1 8 636 2 38 342 5 2 9 694 1 16 845 5 4 8 467 2 45 348 12 9 8 | 2068 1 9 351 14 8 8 | 1442 1 12 354 11 8 10 | 1989 2 656 357 14 5 6 269 LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE, 1899. No. 1. 95 Venus Degrs| D| s By. SE |) dR In So ||| Zora Pap RNA 2 0 | 28 | 1269 | 16 | 736 22 | 1158 | 48 | 4379 | 34 | 1624 3 || 25 | 3044| 9 | 445| 2 26 | 23 | 2588 | 37 | 4167 | 21 | 2089 6 || 38 | 5713 | 17 | 4312 34 | 5636 | 51 | 7360 | 39 | 3215 SN a | GY 25) |e ol 14 || 21 | 755 || 38 | 2381 | 21 | 1462 12 | 25 | 2397 | 15 | 1582 | 3 | 550 | 26 | 2606 | 37 | 5564 | 28 | 4543 15 | 22 | 1295 | 9 | 489 | 4 | 140 | 24 | 1532 | 35 | 2183 | 19 | 977 18 | 14 982 9 171 5 874 || 21 | 1943 | 36 | 2222 | 16 718 21 | 20 | 1270 | 6 | 500! 5 | 1396 | 27 | 2550 | 36 | 2834 | 20 | 2777 24 | 18 | 1607 | 8 | 482 | 4 56 | 22 | 2011 | 41 | 4931 | 23 | 2750 27 | 18 | 1325 | 8 | 781| 2 68 | 21 | 977 || 42 | 4931 | 17 | 2420 30 | 22 | 1636 | 11 | 261 | 2 | 409 | 27 | 1781 | 34 | 1522 | 16 | 1516 33 | 12 | 1840 || 3 | 165 | 4 | 3248 | 16 | 4147 | 31 | 2316 | 16 | 1950 36 | 18 | 15441 7 | 804| 5 | 741 || 27 112433 || 37 | 3195 | 18 | 1651 39 | 18 | 2606 7 | 1282 6 426 | 28 | 4330 | 29 | 4228 | 17 | 1406 42 | 15 | 1095 | 6 | 679| 6 | 778 | 26 | 2076 | 33 | 4200 | 17 | 1217 45 | 18) 1797: 5) 5561 5 || 109) ||| 25010230 25 | 1175| 11 | 1847 48 || 12 | 882 | 5 | 301| 5 | 984| 22 | 2368 | 25 | 2667 | 10 | 2580 51 | 14 | 2935 | 8 | 602| 7 | 741 26 | 4135 | 26 | 3339 | 8 | 459 54 || 17 | 1580 | 11 | 1256 | 13 | 1243 | 35 | 3827 | 28 | 2850 | 9 | 1194 57 | 13 | 2033 | 5 | 849| 6 | 556 | 26 | 3034 | 29 | 3446 | 13 | 1343 60 | 12 | 1057 || 9 | 1031 | 5 | 103 | 28 | 2042 | 21 | 3862| 9 | "14 63 | 5 | 1383 | 3 | 1342 | 9 | 852 | 19 | 3917 || 17 | 3000 | 4 | 841 66 123 | 3 | 103 || 7 | 602 || 22 | 1105 | 15 | 1302 | 2 23 69 | 14 759 7 364 9 | 3128 | 32 | 5447 | 23 | 1446 uf 498 72 |: 6 | 822| 4 | 686| 7 | 870|| 23 | 3565 | 16 | 2824] 7 | 618 Ho Se se5 | on 213110102 210752 |.262 17230221 2162 171392. | 237 394 78 || 7 | 461| 3 CON CN 2.2227 OT | Sie 2155 128461 SE) SL | 12 | 1758 | 2 18 10 | 1537 | 31 | 4550 | 17 |2560| 1 58 zul 3602 72 | 10 | 776 || 21 | 2047 | 10 | 401 1 42 87 6 593 2 378 | 14 | 1113 | 32 | 3831 13 | 1315 a 101 90 6 1421 8 | 120| 13 | 1943| 32 | 3873 | 12 | 263 se 2 el 3 6| 8 | 731| 20 | 2188 | 8 | 1065 961 3 | 119| 3 | 119) 12 | 1430| 21 |1991| 8 | 344 Go BE 5|| 12 | 1531 || 24 | 2042 | 6 | 395 102 4 173 2 38 | 11 | 1779 | 18 | 3681 6 514 105 | 1 allel 7|| 13 | 1075 || 19 | 1189 || 6 | 301 108 1 | 1400 IN 1400| 8 | 298 | 25 | 1402 | 3 | 162 ni 2 542i) 1 36 || 11 | 1313 | 19 |2456 | 3 | 891 114 | 1 91 1 91 | 11 | 992 | 28 13799 | 5 | 475 96 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. Dégres| D mets] 5 | | s 117 62 120 | 3 | 663 123 89 | 2 126 129 132 | 1 | 102 135 138 | 1 | 404 141 1 | 60| 1 144 147 150 153 || 2 | 95 156 159 162 165 | 1 | 227 11 | 1832 1069 168 8 | 187 385 171 14 | 1460 804 174 13 | 1890 = 177| ı| 698| 1 698| 18 | 625 722 180 9 | 507 121 183 26 13 | 2445 482 186 148 | 1 | 148 | 16 225 189 188 174 | 9 | 300] 3 | 160 341 294 22 349 384 | 24 4 417 3290 | 3 | 42 983 889 | 2 | 118 || 10 | 688 219 1869 | 5 |1052| 8 | 818 145 — = = or or wore NN ND OX OÙ À OO I IF DW D 2 1 4 3 192 3 550 8 241 195 7 531 3 391 12 802 198 9 983 4 109 2 94 201 8 | 1629 3 233 || 12 325 204 8 788 4 732 8 | 1083 207 5 243 3 185 5 163 210 6 582 153 7 917 213 7 8 | 1633 216 9 { 12 2 222 | 12 | 1009 6 231 285 1 28 1 89 225 || 13 467 6 279 7 | 1202 1 | 1041 1 58 228 | 10 | 1686 5 702 7 581 5 195 231 | 12 | 1200 4 299 || 10 | 2329 4 735 à Au ae 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 97 Venus Degrés | D Ss Da | Sa Do Sy D, S4 A 2 AAA 234 || 18 | 2464 4 | 1062 6 286 1 225 5 379 237 || 13 901 6 284 8 | 1184 10 733 240 | 18 | 1016 | 11 759 2 26 1 31 1 31 | 12 | 1174 243 | 14 | 2544 4 | 1467 2 41 1 70 4 475 246 | 16 982 9 380 3 20 9 | 1241 249 | 18 | 3688 9 560 6 342 14 922 252 || 18 | 3019 8 | 1360 1 115 1 276 2 271 | 19 | 3246 255 | 18 | 1977 7 890 3 194 1 227 | 18 | 3244 258 | 17 | 410 4 141 3 212 14 | 2116 261 | 20 | 2794 9 | 1247 8 | 1467 18 | 3711 264 || 18 | 1911 7 | 1105 1 64 19 | 3320 267 | 27 | 3268 | 10 | 1793 3 73 1 30 2 728 | 26 | 2639 210 | 26 | 3231 | 10 | 967 3 22 || 26 | 3028 273 | 16 | 1605 5 122 3 577 2 26 | 26 | 3169 276 | 23 | 2371 | 10 937 5 499 5 647 | 26 | 5136 279 | 25 | 1992 | 11 425 2 230 4 178 8 366 | 31 | 1680 282 || 18 | 3923 7 | 2144 135 4 415 7 965 | 22 | 2500 285 | 21 | 1478 if 371 296 || 10 827 || 32 | 2334 288 | 31 | 1579 | 18 797 7 317 | 16 | 1300 | 39 | 2966 291 | 28 | 5239 | 12 | 3589 1 506 | 11 | 3325 | 19 | 4954 | 38 | 5923 294 | 36 | 5202 | 21 | 3760 9 | 1494 | 17 | 2282 | 40 | 4938 297 | 32 | 4338 9 | 1920 131 | 21 384 | 39 | 3558 300 | 23 | 1407 583 1 365 | 10 | 1104 | 16 | 1666 | 38 | 2752 303 | 26 | 1617 | 12 542 4 158 | 11 | 3448 | 31 | 4584 306 | 30 | 2475 | 12 | 1041 11 824 | 20 | 1713 | 39 | 3257 309 | 18 | 2102 6 | 1050 5 335 || 17 | 2204 | 31 | 5177 312 | 32 | 4270 | 12 | 1064 1 102 | 13 | 1138 || 25 | 2147 | 42 | 5171 315 | 25 | 2787 7 715 12 | 2368 | 25 | 2835 || 39 | 3146 318 || 24 | 3896 | 10 | 2423 1 404 | 11 | 2111 | 20 | 3597 | 32 | 3873 321 | 25 | 2356 | 11 | 1564 13 | 1952 | 25 | 3092 | 40 | 5356 324 | 26 | 5121 8 584 15 | 3626 | 33 | 6098 | 48 | 7500 327 | 29 | 2079 | 16 911 13 666 || 26 | 1567 | 32 | 2937 330 | 31 | 5060 | 12 | 2270 21 | 2255 | 39 | 3240 | 39 | 5245 333 | 26 | 2697 7 | 1880 2 95 | 15 | 1150 | 28 | 3624 | 39 | 5403 336 | 24 | 3437 | 12 753 16 | 2258 | 32 | 3240 | 36 | 3278 339 | 31 | 4285 | 12 | 2468 22 | 3593.| 40 | 8286 | 42 | 8312 342 | 33 | 4679 | 15 | 2627 23 | 2677 | 40 | 5420 | 31 | 4666 345 | 29 | 4916 | 14 | 3040 1 227 | 22 | 4074 | 39 | 5824 | 35 | 3807 348 | 21 | 3499 | 11 | 2194 13 | 3114 | 30 | 3524 | 29 | 2041 Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. KI. 1899. No. 1. 98 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. Venus Degrés 357 | 28 | 1613 | 12 950 Jupiter 5 39 | 18 | 1671 5 90 3 42 | 18 | 1155 9 351 2 45 | 16 | 1596 5 | 1325 2 48 | 18 556 9 139 2 51 10 | 3097 4 548 3 54 | 23 | 2578 6 236 2 57 | 15 | 1440 7 298 6 60 if 326 3 279 5 63 | 13 735 2 172 7 66 | 10 | 1588 3 140 4 69 9 621 4 252 2 72 8 550 2 368 6 75 | 12 694 4 277 4 78 8 | 1175 6 484 | 10 LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 1899. No. 1. 99 Jupiter Degrés| D S Da | Sa Do Sp ID IS 4 2 Ay || 22 81 || 16 | 2633 3 564 6 449 | 31 | 3548 | 28 | 3331 5 723 84 8 | 529 3 158 2 21 | 24 | 2490 | 18 | 2146 5 156 87 8 370 3 202 5 348 | 25 | 1492 | 16 | 1111 3 474 90 8 | 1116 4 764 | 11 | 4118 | 29 | 5521 | 19 | 1481 5 963 93 7 | 1304 4 760 8 371 | 36 | 3746 | 13 | 1882 1 58 96 tf 650 3 22 5 767 | 24 | 2061 | 14 894 2 193 99 6 255 7 317 | 30 | 1828 | 10 878 102 3 262 1 101 8 | 2032 | 23 | 2548 7 523 2 161 105 | 10 475 1 4 5 684 | 27 | 4455 | 13 645 1 4 108 2 95 1 80 7 257 | 18 864 6 350 111 6 280 1 101 7 | 1288 | 22 | 2341 9 582 114 4 139 3 127 | 14 524 | 24 979 5 399 117 2 72 1 15 6 | 1598 || 18 | 2012 2 72 120 4 408 350 | 20 | 2197 8 | 1514 123 2 27 12 711 | 21 | 1576 6 200 126 4 | 1084 1 365 5 83 | 16 | 2527 5 | 1359 129 1609 || 29 | 2522 132 2 54 11 | 1808 | 26 | 2013 3 54 135 2 390 4 743 | 17 | 2588 4 | 1459 138 1 506 1 506 | 18 | 3168 | 20 | 3322 3 585 141 2 369 1 345 8 675 | 16 | 2761 4 742 144 1 29 7 595 || 15 829 1 29 147 12 651 | 11 616 150 1 30 1 30 | 11 | 1577 | 18 904 1 30 153 11 | 2073 | 11 | 1384 156 13 | 1258 | 12 | 1987 159 17 | 2627 || 17 | 2350 162 13 | 1406 | 10 358 165 14 | 5277 | 12 | 4551 168 16 | 1239 7 555 171 20 | 1055 | 12 698 174 8 | 1382 | 10 | 1617 177 22 | 2147 8 741 180 19 | 1643 | 11 365 183 11 | 2030 6 578 186 13 887 7 | 244 189 20 | 2613 4 623 192 1 17 1 17 | 14 | 1350 4 261 195 3 | 1014 1 16 | 14 | 934 3 170 100 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. Jupiter EN HCAS AEA © 198 3 4 255 201 2 54 1 8 | 14 | 2980 3 302 204 6 | 460 3 354 9 | 1485 1 260 207 1 227 15 | 1540 210 8 | 744 3 622 | 12 | 1267 4 | 1106 213 3 | 260 2 51 9 | 2775 4 173 216 || 10 | 4926 4 | 3710 8 | 1395 1 275 219 || 10 | 1996 7 | 1893 ov 222 4 | 1308 5 117 1 58 225 6 733 2 603 7 69 2 | 1069 1 70 228 4 583 1 8 9 | 417 2 79 231 8 | 2764 5 | 2681 5 | 2526 2 | 373 234 | 14 | 1334 9 | 952 | 15 | 2300 1 1 237 | 18 | 2644 9 | 1292 6 568 8 819 240 | 20 | 3016 8 | 255 2 17 7 947 243 | 14 836 4 336 8 220 5 288 246 8 672 3 180 6 | 1379 7 936 249 | 17 | 1281 | 11 572 5 369 14 | 1398 252 | 16 | 1207 7 | 64 4 138 17 | 1675 255 | 14 786 4 60 5 131 8 301 258 | 25 | 1763 | -12 | 478 1 62 10 612 261 | 15 915 5 | 268 8 | 864 13 697 264 || 16 | 1961 | 10 | 1846 4 | 336 14 | 1580 267 | 17 | 1122 8 179 4 56 23 | 1188 270 | 22 | 4471 8 | 233 1 307 1 68 1 68 | 20 | 5100 273 | 29 | 2442 | 14 | 1383 3 | 544 26 | 3980 276 | 17 | 1411 7 | 404 4 | 628 14 883 279 | 24 | 1573 | 12 | 623 4 212 31 | 4211 282 | 21 | 2306 7 58 1 157 if 20 2 37 | 30 | 2998 285 || 19 | 4050 | 12 | 2850 8 141 2 70 | . 5 | 1084 | 31 | 5868 288 || 19 914 7 | 328 1 15 3 145 6 | 500 | 17 | 1294 291 | 18 | 2202 8 | 819 4 69 2 141 4 195 | 22 | 1761 294 | 26 928 | 11 396 6 88 || 12 548 | 38 | 2734 297 | 21 | 4041 | 10 | 1914 1 57 5 | 2101 6 | 2328 | 34 | 6785 800 || 21 | 3726 | 10 | 3302 2 147 4 | 1937 | 18 | 2681 | 40 | 4985 303 | 22 | 1664 6 767 2 27 3 115 6 | 376 | 28 | 3756 306 | 17 | 1525 7 | 327 2 | 280 6 82 | 15 | 5008 | 26 | 5216 809 || 35 | 4127 | 18 | 2098 6 | 1605 | 16 | 3601 || 40 | 5436 812 | 81 | 2995 | 17 | 1104 2 54 7 | 1036 | 11 | 2344 | 30 | 4026 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 101 Jupiter Degrés| D S Da Sa Do Sb DIS Å > ANNE" 315 | 22 | 4141 | 14 | 3270 1 379 7 | 1943 | 13 | 2676 | 30 |4369 318 | 32 | 4384 5 111 13 | 1568 | 17 | 2151 | 40 |4124 321 | 21 | 3738 7 | 1596 1 24 6 | 1346 | 15 | 4110 | 30 | 8727 324 | 21 | 1667 8 477 7 867 | 21 | 2201 | 47 | 4396 327 | 25 | 1277 9 377 14 661 | 32 | 3305 | 38 | 3770 330 || 24 | 2248 9 | 457 7 | 1374 | 27 | 4390 | 38 | 4369 333 | 22 | 3062 8 922 11 | 1678 | 25 | 2514 | 36 |3443 336 | 29 | 3267 | 13 | 1747 17 | 1280 | 25 | 1852 | 32 | 3786 339 | 35 | 4254 | 14 | 1336 17 | 1904 | 35 | 3185 | 37 | 3634 342 | 29 | 2692 | 12 | 1233 19 | 2334 | 35 | 3521 | 32 | 2402 345 | 27 | 6915 9 738 15 | 2364 | 29 | 3150 | 37 | 6619 348 || 27 | 1686 8 427 20 | 1131 | 45 | 2904 | 45 | 3366 351 | 37 | 2766 | 12 | 1664 24 | 2068 | 40 | 2983 | 50 | 4894 354 | 26 | 3158 | 15 | 1501 16 | 1541 | 32 | 3502 | 31 |3912 357 | 41 | 3974 || 12 646 32 | 3233 | 50 | 4355 | 39 | 3804 29. La Terre. — La fig. 1 (pl. IV) représente les courbes D (en pointillé) et S (en trait plein) pour la Terre. On voit que les taches cumulées se sont concentrées sur environ 180° de l'équateur solaire, comme on pouvait s’y attendre à priori, ces taches n'étant naturellement que celles que l’on aperçoit de la Terre. Ici les longitudes sont héliographiques et comptées à partir d’un certain premier méridien, celui qui au midi moyen du 1° janvier 1854 passait par le nœud ascendant; la période de rotation admise étant de 25) 38. Il est facile de voir que la longitude de ce premier méridien comptée a partir du nœud ascendant à notre époque premiere — l'heure o du 1 janvier 1892 — est de 2980 2. Maintenant langle entre 41 et V est de 74° 3; on aura donc la longitude d'un point de l’équateur, comptée å partir de l’équinoxe du printemps, en ajoutant aux longitudes héliographiques indiquées sur la figure et dans les tableaux 1295 + une petite correction, si l’on veut tenir compte de l’inclinaison de l’équateur solaire sur l’Ecliptique, ce que nous ne faisons pas ici. 102 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. Le 19 janvier 1892, à l'heure o, la Terre avait une longitude d'à peu près 100°, ce qui correspond à une longitude héliographique d’environ 879 5 sur la fig. 1, où sa position est indiquée par le signe habituel de la Terre. On reconnait aussitôt que les courbes D et S ne sont pas, même approximativement, développées symétriquement des deux côtés de la longitude 879 5. Les taches sont plus condensées à gauche qu’à droite. Il est facile en tout cas d’en saisir la principale raison. Comme nous l'avons déjà dit, un grand nombre de taches ont été négligées avec intention dans le travail de cumulation, attendu qu’elles étaient indubi- tablement formées sur l'hémisphère invisible du Soleil, et mises unique- ment en évidence au bord est du Soleil par suite de sa rotation. Si cependant on fait intervenir toutes les taches en leur attribuant une époque caractéristique répondant à la définition première donnée au $ 13, la cumulation donnera une courbe D semblable à la fig. 2 (pl. IV). (Les ordonnées représentent ici directement les nombres de taches de 3 en 3 degrés de l'équateur solaire, sans aucune peréquation). Sur cette courbe, on trouve à gauche une haute «tour» qui s'étend sur 30° entre 355° et 25° de longitude héliographique. Cette «tour» est clairement due a des taches formées a la face postérieure du Soleil, invisible de la Terre. Pour éviter un pareil entassement de taches, dont l’époque carac- téristique a été fixée plutôt par leur croissance apparente que par leur croissance véritable, j’ai, soit écarté completement les taches suspectes, lors de la cumulation definitive, (fig. 1) — soit tenu compte d’elles lorsque dans leur progrés sur le disque solaire elles ont plus tard mani- festé un paroxysme subit d’accroissement, permettant de fixer une seconde époque caractéristique. Certaines taches (peu nombreuses d’ailleurs) ont méme été de la sorte prises en considération deux fois, lorsqu’elles ont fait preuve de paroxysmes réitérés. C'est ce choix d’époques caractéristiques secondaires, aux lieu et place des époques douteuses parmi celles choisies en premier lieu, qui se traduit par les différences que l’on constate dans le trace général des courbes fig. 1 et fig. 2. Si maintenant la fig. 1 montre que le côté gauche des courbes D et S s’est plus fortement développé que le côté droit, cela tient sans nul doute å ce qu'un grand nombre des taches considérées ont malgré tout subi dans leurs époques caractéristiques l'influence de la croissance apparente des taches comme conséquence de la rotation du Soleil. La courbe originale D (fig. 2), dans la construction de laquelle on faisait intervenir toutes les taches, offre un intérêt spécial. Admettons 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 103 en effet que dans la direction de la Terre vue du centre du Soleil, il n’y ait pas eu formation plus abondante de taches que dans toute autre direction, c’est-à-dire qu’autour du méridien central du Soleil, vu de la Terre, il existe précisément la densité de taches que nous observerions avec nos moyens optiques a une distance comme celle de la Terre, sans tenir compte si la station d’observation est supposée être située sans l’espace, hors de notre planéte: dans cette hypothese, la fig. 2 nous montre que de la Terre nous apercevons au plus 40°, des taches qui se forment sur le Soleil, même en comptant toutes les taches formées a la face postérieure du disque solaire, mais que nous finissons par apercevoir en raison de la rotation du Soleil. Dans la méme hypothése, 60%, des taches du Soleil nous reste- raient cachées tant parceque nous ne voyons qu’un seul des hémis- phères du Soleil, que parceque nous voyons cet hémisphère en projection. 30. Mercure, Vénus et Jupiter. — Une comparaison directe de la forme générale des diagrammes D, S, D,, S,, 4, 3, 4,, 3, (fg. 1à8 pl. V et 1 à 4 pl. VI) correspondantes aux planètes Mercure, Vénus et Jupiter, n’accuse pas sans quelque difficulté une différence dans le mode suivant lequel les taches du Soleil se développent en face d’une planète, ou d'un point supposé se mouvoir dans l'orbite de cette planète å 909 en avance sur elle. Un examen minutieux de ces courbes fournit pourtant des indications qui peuvent être encore confirmées lorsqu'on remonte aux données numériques à l’aide desquelles les courbes sont construites. Si de la longitude héliocentrique des planètes au 1° janvier 1892 à Vheure 0, on retranche 12095, on obtient comme je l’ai déja dit, les longitudes héliographiques répondant au systeme de coordonnées ap- pliqué dans nos diagrammes. On trouve ainsi pour Mercure 103°, pour Vénus 329° et pour Jupiter 341°. La position des planètes est indiquée sur les diagrammes par les symboles ordinaires des planetes; et l’on trouve aussi sur chacun d’eux les points de coincidence P. Afin maintenant de pouvoir comparer d’une fagon satisfaisante les résultats représentés graphiquement par les courbes D et S avec ceux représentés par les courbes D, et S,, j'ai additionné le nombre des taches et leurs étendues pour un espace de 45° de part et d’autre du point de coincidence de chaque courbe. Ces sommes sont représentées plus bas par les notations (D), (S) etc. J'ai fait de même pour la comparaison des résultats représentés par les courbes 4 et 8, et ceux représentés par les courbes 4, et 2%), 104 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. seulement ici l’espace choisi n'est que de 220 5 de part et d’autre des points de coincidence. J'ai employé pour les sommes les notations (4) (2) ete. A l’aide de ces sommes, j’ai ensuite calculé l’etendue moyenne des groupes de taches (S): (2), (51) : (2,) ete. dans les limites des espaces indiqués. Le petit tableau ci-dessous indique ces résultats: || (s) |9:0) (51) [15:2 (| (2) (4 || 2 (2):(4,) Mercure |802|92119| 115 1769 |87060| 113 akan 104 ||625 73288 117 Venus 82297121) 118 ||749 (80961 108 596 59502| 100 |555 69341 125 | (Dy Jupiter \So5|gı506| 114 1778 187957 113 587 63340 108 570 03265) 111 | | Par la première moitié de ce tableau, on voit qu'au courant des 4 années 1892—1895, les taches du Soleil se sont développées un peu plus fortement, tant en nombre qu’en étendue, en face de chacune des planètes ici considérées, qu'en face du point toujours en avance de 90° sur chacune des trois planètes. Les courbes D et S se montrent en effet aussi plus hautes que les courbes D, et S,, autour de leurs parties médianes, tandis qu’en re- vanche ces dernières s'élèvent un peu plus haut que les autres sur les deux ailes. Nous reviendrons plus tard à la question de savoir si nous nous trouvons ici en face d'une vérité d'ordre général. La seconde moitié du tableau semble démontrer qu'aux époques critiques, l'étendue moyenne des groupes de taches solaires est moindre en face des 4 points d'application de la force perturbatrice maximum qu'en face des quatre points formant avec les 4 premiers les sommets d'un octogone régulier, Nous reviendrons plus tard aussi sur ce point. 31. Il nous reste encore à comparer la répartition des taches du Soleil autour du rayon vecteur d'une de ces trois planètes avec la ré- partition autour de celui de leurs anti-planètes. Les fig. 3—8 (pl. IV) montrent les courbes 2, et S,, D, et Sy pour Mercure, Vénus et Jupiter. Ces courbes sont construites comme celles D et S, sauf que les courbes 2, et S, ne concernent que les taches qui se trouvaient sur le Soleil pendant que la planète considérée était dans 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 105 les secteurs VII, VIII, I et II et D,, S,, que les taches observées lorsque les planètes étaient dans les secteurs III, IV, V et VI (voir $ 26). En outre la période considérée est choisie de telle sorte comme durée, que si la planète a parcouru un certain nombre de fois plus une fraction l’ensemble des 4 premiers secteurs, elle ait parcouru exactement le même nombre de fois plus la même fraction les 4 autres secteurs. Pour Mercure l’espace de temps ainsi choisi va du 1° janvier au 10 dé- cembre 1895, pour Vénus du I“ janvier 1892 au 12 juin 1895 et pour Jupiter, du ı° janvier 1892 au 11 mars 1895. Une comparaison directe des formes générales des courbes 2), Sa et Di, Sy, ne donne ici non-plus qu'une espèce d'indication. Il faut analyser les données numériques mêmes qui ont servi à la construction des courbes. Conformément au théorème déjà cité de De la Rue, Stewart et Loewy on serait a priori disposé à croire que l'étendue moyenne des taches solaires doit se montrer plus faible en face de Vénus, p. ex., qu’en face de lanti-Vénus. On voit cependant qu'il n’en est rien ici, où la grandeur relative des groupes de taches solaires est relevée à leurs époques caractéristiques. En effet, un dénombrement des taches solaires et une sommation de leurs étendues, d’une part, dans le cas où le rayon vecteur de la planète recoupe l'hémisphère visible du Soleil, et d’autre part, dans le cas où c'est le rayon vecteur de l’anti-planète qui recoupe cet hémisphère, donnent les résultafs ci-dessous: \ 2 Sb): (Dy | (Da) | (Sa) E72 (Do) | (Sb) |(S5):(25) | \ EN = Mercure 834 93487 112 784 92836 | 118 | 118 Vénus 697 82938 119 756 85490 | 113 118 Jupiter 645 70914 110 709 $7929 | 124 | 116 Ces nombres sont valables pour les différents espaces de temps qui viennent justement d'étre indiqués plus haut pour les 4 planétes. Or, ce temps est assez court relativement å la période synodique des planétes Vénus et Jupiter. En effet, Vénus parcourt les groupes de secteurs ci-dessus mentionnés environ 2,2 fois seulement et Jupiter seulement environ 2,9 fois pendant que Mercure a parcouru chacun de ces groupes 12,4 fois. On peut donc å bon droit objecter que l’espace de temps en question a été trop court pour qu'on puisse tirer des con- clusions quant au rapport entre les taches formée en face d'une de ces 106 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. deux planètes (Vénus et Jupiter) et celles formées en face de leurs anti- planètes. Il est clair, p. ex., que la période de onze ans peut avoir une influence singulièrement perturbatrice sur les grandeurs (Da) et (Sa), (Dr) et (Si). On peut aisément procéder à une correction approximative relative à l'influence de cette période sur le rapport (S,):(D,), en supposant le rapport (S,):(2,) gardé constant. On n’a pour cela qu’à tracer d’abord deux courbes rendant compte des variations lentes des groupes de taches du Soleil en nombre et en étendue pendant la période 1892—1895. A l'aide de ces courbes, on trouve le rapport entre le nombre et l'étendue des taches solaires observées, d’une part pendant que la planète en question parcourait les secteurs VII, VIII, I et II, et d’autre part pendant qu'elle parcourait les 4 autres secteurs, tel que ce rapport serait, s’il était uniquement dû aux changements périodiques lents des taches du Soleil. Nous pourrons ainsi débarrasser le rapport (S,):(D,) de l’in- fluence de la période de 11 ans. La colonne portant l'en-tête «(S,):(D,) corrigé» indique ces valeurs ainsi Corrigées. Si l’on avait recensé le nombre de groupes de taches et additionné leurs étendues pour les deux hémisphères du Soleil, l’un toujours en face de la planète considérée et l’autre en face de son anti-planète, ou si enfin au lieu de considérer ces hémisphères, on s’en était toujours tenu a des espaces de 90° en longitude, situés en face de la planète ou en face de l’anti-planète, nos résultats auraient encore été moins d'accord avec ce que nous nous imaginions d'abord en vertu des recherches de De la Rue, Stewart et Loewy. 32. Force perturbatrice maximum (7,),.. — Les figures 5—8 (pl. VI) donnent une représentation graphique des résultats atteints par la méthode cumulative, quand dans son application on suit la direction de la force perturbatrice (Ay)maz, au lieu du rayon vecteur d’une seule planète, comme nous le faisions précédemment. Les courbes D et S d’un côté, et celles D, et S, de l’autre, montrent ici une différence des plus marquées dans leurs allures générales. Il est évident que les taches observées dans l'espace de temps en question ont été bien plus fré- quentes sur la surface du Soleil aux environs de son intersection avec le diamètre parallèle à (F,)maz, que vers son intersection avec le diamètre perpendiculaire au précédent et situé dans le plan équatorial. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 107 Ici encore, le mieux sera de nous en tenir aux données numériques dont les courbes sont sorties, comme nous l’avons déjà fait remarquer quand il s'agissait des différentes planètes. La longitude héliographique du point de coincidence pour les courbes D et S est d'environ 140°, la même que pour la direction de (Z,)muz à l’époque premiere. Si nous procédons à une sommation, tant en nombre qu’en étendue, des différents groupes de taches, dans les mêmes espaces sur l'équateur solaire relativement à (Fy)maz que précédemment ($ 30) relativement aux rayons vecteurs des planétes Mercure, Vénus et Jupiter, nous obtenons les résultats suivants, en nous servant des mêmes notations. (4)| (2) (2,) leo) (5) sx 2, rl (S1) A stay (2,):(4,) 110 113 569 595 122 (Fr) max | | vn 110 646 6517 En Nous constatons donc ici la même chose que pour les planètes prises séparément: (2) et (S) sont plus grands que (D,) et (S,), et le rapport (8): (4) est plus petit que (¥,):(2,). La difference entre D et S dun coté et D, et S, de Vautre, est même encore bien plus considérable que la somme des différences cor- respondantes pour les trois planètes. Le fait que le rapport (X): (4) est plus petit que (8,):(4,) semble être l'indice d'une particularité dans l'orientation des taches, qui est peut-être accusée plus complètement par l’ensemble des 16 diagrammes 4, 2, 4, et ¥,. Il semble en effet résulter de ceux-ci que la densité des taches est reportée un peu plus à gauche des points de coincidence P dans les diagrammes 4 et % que dans ceux 4, et 31. Or, on reconnait @ priori qu'il y a plus de probabilité å ce que le côté gauche de tous nos diagrammes soit un peu plus élevé que le côté droit, qu’à ce que le contraire ait lieu. Cela tient à la façon même dont nos diagrammes sont établis à l’aide des graphiques journaliers (voir $ 6), qui, comme nous l'avons vu au $ 29, sont en moyenne tachés plus serré du côté gauche. Cependant ces circonstances ne suffisent pas à expliquer pourquoi la dyssymétrie des courbes 4 et X est d'une autre nature que celle de 4, et 3,1. 33. Nous avons vu plus haut comment les résultats obtenus par l'emploi de la méthode cumulative par rapport à (Aam confirme de la 108 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. façon la plus forte les résultats auxquels nous sommes parvenus par l'application de la methode par rapport aux planètes prises isolément. Seulement, il y a ici un point bien délicat; le tableau du 25 montre en effet que la direction de (Æ,)mar oscille toujours aux environs de celle du diamètre solaire passant à chaque instant par la Terre. Voici, p. ex., le résultat d'un dénombrement des jours où (,)maz (et à titre de comparaison, les planètes Mercure, Vénus et Jupiter) se sont trouvées dans les 4 combinaisons de secteurs. VIT et III VIII et IV Let. IT et VI (Fn)max .....- 197 jours 470 jours 531 jours 263 jours Mercure ...... 373 — 370 — 357) == 363 — Venus en 362 — 366 — 366 — Å tes Jupiter........ 351 — 350 — 378 — 382 — Rien qu’en raison de cette répartition irrégulière du nombre des jours, les courbes D et S pour (X,), doivent être plus hautes que les courbes correspondantes pour les autres planètes, qui en somme, sont restées des nombres de jours à peu près égaux dans le voisinage du diamètre passant par la Terre et dans celui du diamètre perpendiculaire. Par cumulation des taches par rapport aux planètes séparées, il vaut mieux toujours se tenir à un nombre entier de périodes synodiques de révolution de la planète considérée; c’est par un pur hasard que dans notre cumulation pour la période 1892—95, nous sommes dispensés d'ajouter de ce fait une correction aux courbes D, S, D, et S,. Si (Au)maz avait exactement suivi le rayon vecteur de la Terre, les courbes D et S eussent été plus hautes encore qu’elles ne sont; elles seraient identiques à celles tracées pour la Terre (fig. 1, pl. IV). Dans ce cas notre recherche pourrait être restée sans résultat, même au cas où en réalité la force perturbatrice exercée par le système plané- taire eût eu une influence absolument décisive sur la formation des taches du Soleil. Le fait que (Fu oscille ainsi au voisinage du diamètre passant par la Terre est très malheureux au point de vue de la force probante de notre dernière cumulation. J'ai cherché à trouver une forme probable de la courbe D, pour (Fama dans l'hypothèse où en réalité il y a tous les jours égale proba- bilité de taches à toutes les longitudes du Soleil, et où la courbe 2 pour la Terre (fig. 1 pl. IV) représente pour chaque jour la probabilité 1899. No. I. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 109 relative pour que des taches situées à différentes longitudes soient visiôles de la Terre. Jai en outre admis que le nombre probable de taches pour des jours consécutifs est indiqué par la courbe de taches égalisée et ne montrant que les variations a longue période (11 ans). Comme la construction exacte d’une pareille courbe probable D est chose excessivement laborieuse, je me suis contenté d’approximations, mais je crois cependant pouvoir dire que la cause des circonstances singulieres présentées par les diagrammes D, S, D, et S, ne doit pas être uniquement cherchée dans le fait que (Z,)» oscille dans un voisi- nage si constant du diametre solaire passant a travers la Terre. Il est toutefois nécessaire des prolonger ces recherches. J'ai songé a cumuler les taches du Soleil pour un laps de temps prolongé autour de Ja résultante des actions de Mercure, Vénus et Jupiter sans la Terre; car cette résultante ne peut pas osciller constamment autour du dia- mètre passant par la Terre, et nous serons ainsi délivrés de la difficulté ou nous sommes tombés bien malgré nous. De plus, il faudra poursuivre la cumulation par rapport a Venus seule pendant une période bien plus longue que nous ne l’avons fait ici. Au lieu de l’époque caractéristique que nous avons définie, il faudrait aussi essayer de faire entrer en lige de compte le premier jour où une tache s’est en réalité produite sur le Soleil. Il y a plusieurs circon- stances qui, au cours de nos recherches, m'ont donné lieu de croire que ce choix serait peut-être plus heureux que celui que nous avons fait. Cependant, pour la plupart des taches, le résultat sera le même. 110 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. Chapitre IV. Variations dans le cours du temps du nombre et de l'étendue x des taches solaires comparées à celles des forces perturba- trices exercées sur le Soleil par les planètes. 34. La période undécennale des taches solaires a depuis sa dé- couverte par Schwabe fait supposer à plusieurs savants que la formation des taches du Soleil était peut-être en connexion avec la planète Jupiter, cette planète géante ayant une période de révolution de 11,85 ans, c. a. d. à peu près la même que la période des taches. Toutefois les recherches de Carrington, de Wolf, de De la Rue, Stewart et Loewy ont prouvé que la période des taches est sensible- ment plus courte que la période de révolution de Jupiter, car, quoique la période des taches puisse ballotter entre 8 et 13 ans, sa valeur moyenne depuis longues années a été de 11,1 ans. Il est donc impossible que Jupiter seul soit cause des accès un- decennaux dont le Soleil est l’objet; car si, p. ex., c'était l’action per- turbatrice de la planète sur le Soleil, en vertu de la gravitation, qui fût en jeu, cette action aurait nécessairement son maximum quand la planète est près de son périhélie. Mais dans ce siècle Jupiter est passé au péri- hélie tantôt à peu près simultanément avec un maximum, tantôt avec un minimum des taches solaires. Il est donc impossible que cette action puisse à elle seule donner lieu à la période undécennale des taches. Alors même que, renonçant à invoquer une influence de Jupiter sur le Soleil basée sur la gravitation, on cherche à recourir à une force mystérieuse, encore inconnue, soumise à une loi quelconque de distance, l'hypothèse n’y gägne rien, car la force agissante devrait toujours avoir soit un maximum, soit un minimum, lorsque Jupiter est au périhélie, et nous venons de voir qu'à un pareil moment, les taches du Soleil peuvent avoir tantôt des maxima et tantôt des minima. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE, 111 On pourrait encore supposer que la planète Jupiter joue un rôle principal comme cause de la période undécennale, mais que p. ex. certaines particularités se représentant par intervalles dans la constellation des autres planètes pourraient donner lieu à l’intercalation d’une période nouvelle, pendant le temps nécessaire à 14 ou 15 révolutions de Jupiter, et dans ce cas, la cause presumée aurait précisément la période con- venable. Quoi qu’il en soit, il est hors de doute que les soulèvements et dépressions de la surface du Soleil, occasionnées directement par l’action de Jupiter ne peuvent avoir une action prépondérante sur la formation des taches; pour cela, comme je l’ai fait voir au début, l’action pertur- batrice de la planète est trop faible. Si les planètes interviennent dans l’activité du Soleil, cette inter- vention doit être d’une nature différente et bien plus subtile, On est obligé de supposer que le Soleil est d’une grande délicatesse de con- struction, de telle sorte qu'une action très-petite puisse engendrer des effets énormes. Les recherches dont je rends actuellement compte ont été faites avec l’idée maîtresse que dans le noyau du Soleil, supposé rigide, il y a des cavernes remplies de masses en fusion. Les actions perturbatrices des planètes imprimeraient à ces masses des petites vitesses parallèles à la surface solaire. On peut alors se représenter que les oscillations qui en résultent aient pour effet, dans certaines circonstances données, de briser les masses solides ambiantes dans lesquelles les laves se trouvaient en- kystées, et alors les masses dégorgées, et spécialement les vapeurs mises en liberté, pourraient arriver en partie jusqu’à la couche supérieure de la photosphère et s’y manifester sous forme de taches. Les taches devraient alors être considérées comme des accumulations de masses de vapeurs plus ou moins transparentes, venues de l’intérieur du Soleil, explication qui est actuellement reconnue plausible et a été mise en avant par plusieurs savants comme résultat de la spectros- copie des taches. Il est hors de doute qu'il doit aussi y avoir des circonstances internes spéciales donnant lieu à des recrudescences dans les taches. Il résulte en tout cas de mes recherches sur le rapport existant entre la force perturbatrice exercée par les planètes sur le Soleil en vertu de la gravitation, et le nombre et la grandeur des taches à chaque instant donné, que ces action externes ne suffisent pas à elles seules à expliquer les phénomènes connus, bien qu'il paraisse probable que 112 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. leur influence puisse être déterminante, Si l’on part de I'hypothése ici présentée sur la constitution du Soleil, l'explication la plus rationnelle de la cause interne présidant aux variations de fréquence et de force des éruptions sera la suivante: le refroidissement venu du dehors, et des circonstances spéciales dans le transport de la chaleur venant du dedans modifient successivement les tensions à la surface solide présumée du noyau solaire, de telle sorte qu’à une période de repos relatif doive succéder une période d'éruptions tendant à rétablir un certain équilibre. Nous connaissons, sur notre globe, des phénomènes de cette espèce dans nos geysers. Si la période des phénomènes solaires atteint une durée de ıı ans, c’est tout simplement que cette durée est en rapport avec les phénomènes gigantesques auxquels la période en question se rattache. D'après cela, le rôle qui joue l’action perturbatrice des planètes consiste en ce qu’elle donne le branle aux éruptions, et est cause qu’elles ont lieu suivant un certain rythme sur toute la surface du Soleil. 35. Des forces perturbatrices intenses entrainent-elles toujours un fort développement de taches solaires? — Je vais maintenant exposer les recherches que j'ai faites en vue de mettre en lumière le rapport existant entre la force perturbatrice dont je viens de parler, et la grandeur et le nombre des taches. Il est clair que si la force perturbatrice exercée sur le Soleil par le système planétaire influe sur la formation des taches, cette influence pourra se manifester par une recrudescence des taches chaque fois qu'il y aura recrudescence de cette force perturbatrice. Il faut donc tout d'abord examiner si une pareille coincidence existe. La fig. 1 (pl. VII) rend compte des variations de la force (Fymar depuis 1892 jusque 1895 inclusivement, calculées de 5 en 5 jours. La fig. 2 (pl. VII) rend compte des aires totales des taches du Soleil pour chaque jour de la même période; les données ayant servi à la construction de la courbe sont empruntées aux «Greenwich Obser- vations» pour les mêmes années. La courbe représentée fig. 3 a une signification analogue et indique la répartition de la superficie des taches de 5 en 5 jours pendant le même espace de temps. Les ordonnées de cette courbe ne représentent d'ailleurs pas directement ces sommes, mais les valeurs égalisées d'après la formule de Gad/e!, 1 Il eût peut-être été aussi rationnel d'opérer ici la peréquation d'une manière plus directe, mais j'ai choisi la formule en question pour ne pas trop perdre de vue les particularités les plus saillantes de la courbe fig. 2. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 113 La premiere des trois courbes en question (fig. 1) montre claire- ment comme quoi la force représentée a une période d’environ 4 mois répondant à la moitié de la période synodique ‘de révolution de Vénus, vue de Jupiter. La tache qui nous incombe principalement est donc de retrouver cette période dans les courbes fig. 2 et fig. 3. Un simple coup d'æil jeté sur ces dernières montre tout d’abord dans quelle mesure considérable les taches varient par chaque rotation du Soleil. Il y a ainsi dans l'apparition des taches une période appa- rente correspondante au temps de rotation du Soleil. Cette période apparente rend très-difficile toute comparaison entre les phénomènes représentés graphiquement par les courbes fig. I et 2. Il sera un peu plus facile d'obtenir cette comparaison en se servant des courbes fig. 1 et fig. 3. Ces diagrammes montrent dans leurs grands traits des coincidences bien curieuses. Ceci se voit surtout d'une façon frappante lorsqu'on fait rétrograder la fig. 3 le long de l’axe des temps de 25 jours pleins. Au cas où il existe un rapport de cause à effet entre les deux séries de phénomènes représentées en diagrammes, il devrait s’ensuivre que l'effet est de 25 jours en retard sur la cause. La différence la plus significative entre les traits généraux de ces deux courbes est celle-ci: partout où dans la fig. 1, il y a un «plateau» suivi d’un «pic», p. ex. dans l’intervalle du 23 mars au 8 novembre 1802, on trouve que la partie correspondante de la courbe fig. 3 est composée d’une seule éminence allongée, qui devra être considérée comme résultant du fusionnement de deux sommets, si l’on veut per- sister à alléguer un parallélisme entre les deux séries de phénomènes. Il est vrai aussi que nous avons sous la main une explication satis- faisante d’un tel fusionnement. En effet, la courbe fig. 3 représente les sommes «égalisées» de toutes les aires de taches observées sur le Soleil pour chaque série de 5 jours. Or, nous savons que les grandes taches persistent générale- ment pendant un temps assez long. Les temps nécessaires aux différents groupes de taches pour s'évanouir, empiètent donc les uns sur les autres, et il en résulte un effacement partiel du phénomène qui nous intéresse spécialement, c. a. d. des variations du nombre et de l'étendue des taches peu après leur production, Si nous avions pu observer simultanément et avec une égale facilité les taches solaires tout autour du Soleil, nous eussions au lieu de la courbe fig. 3, tracé une autre courbe qui nous indiquerait les surfaces tachées, p. ex. par périodes de 5 jours, de telle sorte que chaque tache Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 1. 8 114 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. ne fit comptée qu’une seule fois et avec l'étendue moyenne qu’elle atteint pendant le total de son existence. Nos connaissances n’embrassant, cela va sans dire, que moins de la moitié des taches du Soleil, la construction d’une pareille courbe, répon- dant à notre but, est évidemment bien difficile. Pour obtenir un résultat satisfaisant, le mieux serait probablement de traiter des matériaux se rapportant a plusieurs séries d’années et superposer le plus grand nombre possible de ces séries, en tenant compte de la période de 4 mois environ s'appliquant aux valeurs de (7), après quoi nous pourrons comparer les courbes obtenues par sommation. — En-dehors de l’espace de temps de 1892—95, je me suis borné a comparer les variations de (7), avec le développement des taches du Soleil, conformément à la série bien connue de Wo/f et les courbes données par De la Rue, Stewart et Loewy, représentant l'aire tachée du Soleil depuis 1862 jusque 1868. Dans la fig. 4 (pl. VII), j'ai construit le long de différentes parties de l’axe des temps, des courbes indiquant comment (/%)maz varie dans la suite du temps. Sans pourtant qu'on puisse dire que ces courbes suivent les ondulations de la courbe de Wolf, qui y est également représentée, on doit cependant reconnaitre qu’il y a ici aussi bien des coincidences singulières. Je ne sais pas jusqu’à quel point la courbe de Wolf, ou autres du même genre, peuvent être considérées comme exactes dans tous leurs détails; ses séries de nombres relatifs différent parfois plus qu'on ne s'y attendrait des séries relevées par les trois observateurs anglais et représentant les aires tachées du Soleil. La fig. 6 représente une partie de ces dernières séries avec la partie correspondante de la courbe de (Aymız- 36. Période undécennale des taches du Soleil. — Je vais main- tenant exposer les résultats d’une série de recherches ayant pour but d'examiner si la période undécennale des taches solaires peut s'expliquer par des variations correspondantes de la force perturbatrice exercée sur le Soleil par le système planétaire. A cette fin, j'ai d'abord calculé les valeurs de (ymar de 10 en 10 jours pour les années 1800 à 1895 d'après la formule de calcul comme je Vai déjà indiqué page 31. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 115 Dans la table ci-dessus figurent les differentes grandeurs par les- sv BAL pr ; quelles passe le produit 3Rå (Fm aux différentes époques de ces 96 années. Comme en-tête de chaque colonne, j'ai inscrit la première époque our l’année à laquelle se rapporte la colonne. A cette époque le P pog roduit en question est égal au premier nombre inscrit dans la colonne, P Gi tandis que les nombres suivants indiquent les valeurs successives de 10 en 10 jours. 8* 116 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. 2M Table des valeurs de 3R5 (F) max | 18 = | 10 = ol .o| .« Lalo ol. ‚Io lle bot l'es . | 2= alé lee =) =] AE ET Se 22/82/1821 82)/82/82) 82/82/82 \5 BE |BE|BE|BE| BEBE BEI BEBE BED | = = = = = _ = | = = 597 | 467 | 426 | 262 | 282 | 291 | 208 | 195 399 | 429 | 422 | 193 | 163 | 281 | 385 | 89 408 | 455 | 369 | 232 | 89 | 293 | 182 | 187 395 | 388 | 304 | 211 | 163 | 161 | 17 | 342 378 | 364 | 311 | 35 | 181 | 199 | 164 | 397 295 | 262 | 165 | 363 | 314 | 273 | 292 | 487 248 | 121 | 153 | 445 | 357 | 348 | 328 | 467 207 | 188 | 320 | 398 | 443 | 353 | 349 | 276 322 | 142 | 243 | 468 | 461 | 334 | 250 | 419 161 | 225 | 292 | 481 | 494 | 389 | 332 | 478 287 | 311 | 348 | 520 | 510 | 534 | 428 | 335 430 | 373 | 375 | 534 | 599 | 363 | 288 | 221 500 | 407 | 412 | 610 | 561 | 195 | 108 | 118 504 | 405 | 451 | 363 | 280 | 164 7 | 153 512 | 315 | 385 | 198 | 291 | 170 | 128 | 203 181 | 464 | 394 | 329 | 469 | 504 | 430 | 102 | 28 | 147 | 210 | 190 | 248 | 239 433 | 393 | 333 | 315 | 379 | 388 | 289 | 214 | 140 | 23 | 164 | 252 | 262 | 370 524 | 389 | 315 | 252 | 328 | 260 | 293 | 130 | 17 | 110 | 64 | 232 | 323 | 599 440 | 429 | 306 | 167 | 202 | 356 | 358 | 125 | 134 | 165 | 94 | 393 | 565 | 519 463 | 418 | 320 | 211 | 211 | 272 91 | 308 | 319 | 234 | 287 | 584 | 615 | 441 500 | 440 | 290 | 247 | 263 | 122 | 110 | 396 | 477 | 464 | 472 | 427 | 466 | 385 511 | 393 | 345 | 212 | 210 | 180 | 195 | 504 | 566 | 484 | 340 | 354 | 429 | 337 465 | 371 | 184 | 198 | 233 | 217 | 313 | 529 | 615 | 318 | 255 | 382 | 422 | 333 874 | 105 | 182 | 260 | 221 | 278 | 379 | 474 | 446 | 460 | 291 | 340 | 410 | 267 I 249 | 174 | 212 | 343 | 269 | 287 | 371 | 378 | 533 | 367 | 303 | 304 | 333 | 266 55 86 | 234 | 369 | 330 | 251 | 250 | 578 | 584 | 376 | 245 | 200 | 250 | 106 57 | 130 | 258 | 434 | 357 | 332 | 435 | 477 | 498 | 218 | 177 | 160 | 206 | 278 65 | 152 | 351 | 481 | 422 | 488 | 448 | 351 | 336 | 128 | 28 | 286 | 233 | 229 196 | 276 | 419 | 570 | 545 | 228 | 240 | 190 | 157 | 100 | 157 | 279 | 132 | 252 292 | 361 | 484 | 592 | 451 | 145 | 119 | 102 | 66 | 263 | 392 | 215 | 190 | 275 871 | 400 | 558 | 287 | 209 | 126 61 84 | 155 | 324 | 292 | 425 | 304 | 311 408 | 358 | 455 | 254 | 260 | 148 | 106 | 164 | 186 | 272 | 311 | 511 | 383 | 336 881 | 100 | 228 | 268 | 180 | 165 | 220 | 183 | 104 | 474 | 565 | 550 | 410 | 351 185 | 227 | 269 | 217 | 102 | 233 | 301 | 472 | 357 | 503 | 599 | 527 | 425 | 290 354 | 124 | 230 91 58 | 251 | 549 | 570 | 416 | 499 | 592 | 525 | 362 | 60 291 58 | 157 | 107 | 156 | 498 | 666 | 468 | 395 | 400 | 518 | 364 | 121 | 113 67 190 237 541 444 471 239 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 117 © (=) [ev = Q Do kon) Ko] - 10 - 1Q - st for) + > > = > = = > > = > > > 2 > a a is} a a is} a {>| [el a a is} eg a Bee S'ILS | Neue = Ne) Ss = & a S ri & co + 1G co = - ri 4 ri == — Q œ a Q a ov a Q EN PEPE 39 | 220 | 141 | 228 | 360 | 682 | 597 | 340 | 349 | 430 | 247 | 20 | 249 | 176 130 | 235 | 225 | 328 | 508 | 586 | 487 | 305 | 187 | 309 | 113 | 251 | 277 | 120 295 | 359 | 227 | 497 | 609 | 450 | 353 | 169 | 360 | 88 | 199 | 210 | 314 | 306 389 | 487 | 470 | 358 | 380 | 340 | 307 52 | 156 | 134 | 39 | 186 | 426 | 374 516 | 520 | 335 | 229 | 296 | 285 | 200 | 157 | 28 | 84 | 112 | 279 | 472 | 447 593 | 294 | 189 | 159 | 261 | 184 | 201 | 229 | 332 | 266 | 261 | 405 | 556 | 521 469 | 456 | 298 | 146 | 154 | 152 | 226 | 147 | 514 | 283 | 356 | 460 | 589 | 542 370 | 438 | 265 | 105 67 | 129 | 104 | 488 | 543 | 382 | 378 | 519 | 483 | 242 517 | 317 | 218 80 | 123 | 114 | 263 | 568 | 514 | 415 | 383 | 499 | 275 | 293 421 | 235 86 | 171 | 227 | 339 | 460 | 524 | 508 | 416 | 247 | 249 | 402 | 313 268 64 95 | 417 | 408 | 271 | 389 | 531 | 472 | 319 | 100 | 275 | 305 | 189 166 42 | 225 | 441 | 528 | 268 | 402 | 484 | 400 | 303 | 253 | 306 | 220 | 109 77 | 227 | 437 | 335 | 353 | 324 | 389 | 462 | 505 | 433 | 124 | 177 | 102 | 49 48 | 285 | 278 | 501 | 445 | 316 | 366 | 473 | 459 | 274 | 132 | 151 | 170 | 161 142 93 | 322 | 542 | 454 | 339 | 320 | 505 | 168 | 69 | 217 | 247 | 260 | 319 79 | 365 | 494 | 530 | 430 | 290 | 340 | 295 | 105 | 191 | 359 | 365 | 343 | 390 337 | 390 | 497 | 499 | 418 | 209 | 233 34 | 156 | 241 | 408 | 405 | 190 | 167 424 | 364 | 446 | 400 | 296 62 | 120 52 | 168 | 295 | 392 | 351 | 376 | 310 367 | 288 | 432 | 302 | 102 | 279 89 | 107 | 245 | 365 |.378 | 364 | 410 | 355 301 | 198 | 342 | 103 | 229 | 138 | 167 | 233 | 211 | 329 | 593 | 588 | 358 | 279 118 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. a | en © Ce] Le] Q i Q t- - © - > > > > > > > > > > > > Beurer Geier 141 384 | 459 | 329 | 239 | 108 177 318 | 423 | 300 | 150 | 324 232 180 | 304 | 107 | 117 | 385 289 140 | 226 | 174 | 348 | 347 446 146 | 163 | 238 | 363 | 416 340 311 | 174 | 185 | 294 | 464 121 142 | 110 | 252 | 378 | 492 144 383 | 301 | 345 | 429 | 504 97 528 | 421 | 391 | 430 | 513 81 583 | 456 | 377 | 444 | 408 163 568 | 457 | 324 | 410 225 524 | 379 | 228 | 161 | 185 360 405 | 115 | 72 | 98 565 311 | 178 | 94 | 156 416 367 | 318 | 61 | 132 | 123 354 325 | 154 | 251 | 217 | 230 444 51 | 141 | 347 | 323 | 345 365 157 | 330 | 471 | 432 | 414 356 279 | 384 | 544 | 488 | 218 291 292 | 472 | 523 | 416 | 297 187 332 | 457 | 382 | 349 | 322 190 297 | 403 | 535 | 508 | 277 193 300 | 372 | 528 | 369 | 111 140 416 | 550 | 440 | 267 374 Ä 345 | 422 | 272 | 103 | 165 430 42 | 244 | 132 | 93 | 845 469 107 | 128 | 52 | 123 | 376 473 88 | 59 | so | 245 | 284 420 190 | 93 | 68 | 159 | 489 365 | 153 | 157 | 263 | 172 | 170 | 225 | 198 | 213 | 246 | 549 226 | 136 | 114 | 238 | 42 | 148 | 330 | 269 | 477 | 424 | 519 400 | 228 | 163 | 95 | 106 | 284 | 470 | 521 | 392 | 390 | 456 237 | 33 | 273 | 204 | 268 | 370 | 687 | 561 | 314 | 302 | 352 68 | 187 | 420 | 314 | 378 | 541 | 488 | 419 | 262 | 238 | 221 155 | 949 | 485 | 486 | 424 | 538 | 470 | 428 | 268 | 137 | 104 254 | 460 | 547 | 479 | 218 | 347 | 470 | 450 | 206 | 40 | 89 474 338 407 402 32 1899. No. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 119 Ney = 10 a + a + co en co co > & > > > > > > > > > > = > > > > 21 ENE EN SE ENERETTEN /2|/2/2/2|2)2/2/2/2|8|8|2|8 537 | 599 | 522 | 184 | 321 | 357 | 327 | 105 | 80 | 57 | 49 | 327 | 424 | 546 563 | 541 | 339 | 271 | 304 | 333 | 240 | 150 | 160 | 236 | 249 | 386 | 515 | 571 513 | 345 | 315 | 252 | 227 | 203 | 164 | 136 | 158 | 418 | 287 | 421 | 538 | 542 370 | 475 | 422 | 114 | 171 | 142 | 125 | 247 | 478 | 438 | 336 | 392 | 526 | 522 360 | 418 | 258 22 72 88 83 | 521 | 535 | 424 | 350 | 383 | 434 | 229 410 | 195 | 155 | 183 | 148 | 318 | 407 | 468 | 477 | 389 | 316 | 279 | 340 | 326 251 18 94 | 304 | 205 | 361 | 332 | 420 | 472 | 360 | 231 | 159 | 200 | 268 115 | 101 | 217 | 508 | 542 | 203 | 285 | 431 | 473 | 287 | 176 | 188 | 247 | 67 126 | 185 | 314 | 540 | 374 | 300 | 286 | 413 | 409 | 274 | 242 | 172 | 166 | 58 243 | 245 | 448 | 393 | 481 | 383 | 317 | 400 | 404 | 337 | 144 | 228 | 191 | 181 214 | 251 | 322 | 553 | 545 | 388 | 317 | 354 | 459 | 63 | 132 | 344 | 267 | 356 249 | 277 | 433 | 615 | 572 | 387 | 277 | 328 | 350 | 149 | 310 | 397 | 370 | 383 312 | 484 | 527 | 540 | 513 | 286 | 207 | 213 | 73 | 183 | 375 | 467 | 424 | 319 583 | 376 | 441 | 478 | 461 92 | 138 | 113 | 30 | 171 | 376 | 489 | 401 | 292 516 | 261 | 320 | 360 | 293 | 212 | 245 95 | 86 | 248 | 414 | 427 | 319 | 444 338 | 155 | 169 | 192 | 154 | 275 | 114 | 238 | 146 | 291 | 379 | 496 | 560 | 317 316 | 120 50 | 125 | 231 | 112 | 242 | 338 | 248 | 312 | 409 | 637 | 437 | 203 240 | 116 26 | 137 | 133 | 323 | 402 | 436 | 290 | 412 | 550 | 409 | 317 | 35 235 | 183 71 | 175 | 159 | 414 | 434 | 493 | 396 | 441 | 473 | 254 | 182 | 88 163 78 | 136 | 338 | 315 | 489 | 537 | 516 | 413 | 166 | 251 | 201 | 130 | 240 90 | 410 | 469 | 402 | 353 | 522 | 576 | 427 | 186 | 89 | 225 | 97 | 155 | 362 201 | 507 | 496 | 406 | 415 | 493 | 552 | 255 | 163 | 145 | 134 | 64 | 230 | 262 410 | 479 | 476 | 408! 411 | 382 | 349 | 385 | 150 | 64 | 63 | 60 | 185 | 487 374 | 500 | 482 | 355 | 340 | 237 | 426 | 338 | 117 | 195 | 107 | 165 | 256 | 620 346 | 497 | 482 | 311 | 218 | 412 | 418 | 167 | 73 | 289 | 284 | 421 | 564 | 561 389 | 487 | 439 | 406 | 362 | 249 | 214 25 | 136 | 378 | 409 | 390 | 453 | 512 402 | 441 | 481 | 435 | 271 | 120 | 104 | 140 | 308 | 536 | 494 | 243 | 372 | 457 366 | 451 | 458 79 | 107 | 164 96 | 268 | 462 | 467 | 294 | 268 | 313 | 386 361 | 325 | 291 | 197 | 160 | 291 | 166 | 379 | 500 | 394 | 275 | 297 | 273 | 342 247 62 | 112 | 386 | 210 | 338 | 263 | 254 | 320 | 535 | 399 | 269 | 258 | 333 145 | 174 | 181 | 291 | 399 | 343 | 254 | 268 | 475 | 503 | 418 | 175 | 228 | 228 144 34 | 137 | 305 | 416 | 324 | 176 | 424 | 480 | 459 | 333 | 143 | 161 | 201 130 | 148 | 193 | 368 | 420 | 533 | 427 | 371 | 426 | 335 | 203 | 104 | 291 | 235 173 | 296 | 231 | 434 | 520 | 588 | 417 | 276 | 351 | 180 | 106 | 332 | 319 | 223 361 | 384 | 338 | 578 | 717 | 450 | 241 | 175 | 229 | 80 | 179 | 298 | 295 | 327 518 | 491 | 444 | 573 | 518 | 341 | 200 76 | 150 | 142 | 272 | 335 | 373 | 402 560 469 408 104 89 131 486 120 KR. BIRKELAND. M.-N. 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No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. (oo) ce @ a | ~~ | Q > Len Le] - [de] | 1Q 2 ESPEN SEN ENE ENE: a 357 379 382 221 123 144 95 181 633 | 622 | 430 404 508 208 21 150 234 | 277 | 420 | 553 547 | 381 405 393 52 87 335 275 | 424 | 479 | 470 | 488 | 320 180 158 102 242 471 427 | 225 298 | 446 | 442 | 290 89 BB 236 395 460 397 54 | 294 | 396 | 467 | 241 196 93 339 441 326 290 | 319 297 | 368 | 388 | 308 244 216 289 429 506 445 | 308 | 237 | 349 333 23 337 235 227 346 561 470 | 215 265 | 253 | 280 | 338 381 211 453 477 488 380 171 174 194 116 | 363 490 404 468 517 363 246 49 187 | 225 182 | 388 640 511 310 493 286 140 | 320 | 233 156 181 407 484 328 214 303 124 50 | 336 | 276 | 246 | 254 | 429 347 258 104 169 36 196 | 217 | 293 | 361 | 303 | 458 399 210 32 81 110 176 378 | 446 | 437 | 362 | 491 326 148 62 43 126 198 | 510 | 535 | 460 | 375 | 550 220 149 80 130 307 329 538 | 566 | 467 | 397 | 335 152 144 357 404 327 398 | 508 | 528 | 339 | 327 | 227 66 316 569 439 330 406 | 487 | 480 129 63 82 211 453 473 390 296 395 395 | 342 Baily! 153 43 441 538 448 358 248 327 | 220 | 330 195 56 160 299 377 464 368 107 210 | 223 | 379 64 136 | 276 288 437 485 334 200 184 284 145 185 | 318 | 439 371 | 471 | 466 | 386 | 202 | 281 | 176 | 22 | 330 | 423 | 587 | 396 | 479 | 474 | 355 | 114 | 288 | 370! 173 | 396 369 | 435 | 408 | 240 | 263 | 290 | 392 | 289 | 478 | 623 | 375 263 | 395 | 172| 59 | 264 | 311 | 315 | 305 | 387 | 456 | 561 154 | 267 | 67| 198 | 269 | 288 | 352 | 308 | 277 | 464 | 522 143 | 65| 46| 141 | 349 | 402 | 335 | 217 | 477 | 619 | 405 195 | 97| 83] 126 | 371 | 468 | 476 | 410 | $71 | 500 | 320 135 | 171 | 353 | 290 | 440 | 465 | 529 | 331 | 293 400 | 329 | 313 | 331 | 536 | 625 | 330 | 155 | 7a | 240 | 94 | 494 | 416 | 364 | 410 | 582 | 507 | 217 | 63 | 65!| 160 | 255 | 576 | 435 | 380] 449 | 320 | 253 | 158 | 56 | 195 | 63 | 317 | 583 | 492 | 358 | 334 | 235 | 281 | 165 | 149 | 224 | 156 | 207 563 | 522 | 111 | 73 | 207 | 193 | 152 | 267 | 238 | 131 | 400 485 | 332 | 253 | 227 | 141 | 147 | 182! 252 | 512 | 459 | 404 376 | 156 15 | 376 472 | 403 | ov or © on [er] @ oo rs = = or © 122 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. — Le] a pl a = Le] nn D on i a I = > > > > > | z > z > > > > = c a = c c = a da e c >} ga S/S) 8) 8 pepe AJ AJ se) 4) AA JE cs = 10 «© = ) a S pe a Er) = M] EE: | 8 | BERETTE ENE - | — - — — | nl - |. ec — - 272 | 405 | 520 | 443 297 | 408 | 648 | 488 476 | 662 | 526 | 419 564 | 612 | 451 | 308 887 | 438 | 332 | 255 286 293 | 212 | 145 218 | 265 | 198 | 217 134 | 239 | 183 | 246 85 | 108 55 94 105 19 | 311 | 444 275 | 297 | 319 | 472 504 | 436 | 319 | 501 438 | 319 | 384 | 459 347 | 320 | 326 | 430 462 | 372 | 314 | 359 501 | 422 | 335 | 361 |. 521 | 406 | 307 | 363 463 | 415 | 170 | 207 406 | 267 | 169 34 197 61 | 237 79 148 | 252 | 212 | 127 175 | 191 | 286 | 260 451 | 439 | 233 | 103! 116 | 135 | 203 | 209 | 422 | 349 362 | 379 | 234 65 | 147 | 150 | 204 | 357 | 504 | 468 319 | 284 | 221 76 | 284 | 279 | 321 | 445 | 604 | 600 224 | 296 70 | 195 | 403 | 279 | 358 | 501 | 637 | 594 ; | 283 | 209 | 231 896 | 430 | 356 | 388 | 553 | 482 | 315 223 | 136 | 327 | 463 | 470 | 383 | 351 | 462 | 352 | 447 297 | 178 | 265 | 451 475 | 360 | 179 | 240 | 452 | 369 177 | 166 | 302 | 468 | 430 | 265 | 312 | 342 | 308 | 283 254 164 | 328 | 440 | 380 | 361 | 243 | 308 | 129 | 210 364 | 253 | 328 | 411 | 543 | 408 69 | 146 70 85 | 327 | 489 | 375 446 | 296 | 348 | 408 | 397 | 211 | 139 | 123 | 116 | 131 | 571 | 531 | 369 500 | 337 | 408 | 555 | 164 80 | 166 | 252 | 229 | 374 | 411 | 420 | 400 491 841 | 321 295 | 139 | 184 | 360 | 391 | 310 | 430 | 432 | 472 | 417 411 295 90 | 134 98 | 216 | 456 | 862 | 180 | 229 | 514 | 535 | 455 52 77 310 421 | 109 ea 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR: ORIGINE. 123 37. La question est maintenant de savoir si dans les valeurs ci-dessus de (F%)maz On trouve une période moyenne de 11,1 ans. Si l’on prend les moyennes annuelles de ces chiffres, ces moyennes n'indiqueront pas une pareille période; mais par contre, une période un peu plus longue, correspondant à la période de révolution de Jupiter autour du Soleil. Il est toutefois loisible de penser que la force perturbatrice ne suffit pas pour mettre en branle une formation de taches solaires, avant d’avoir dépassé une certaine valeur; il y a alors lieu d'examiner si l’excédant des chiffres de notre table sur un certain nombre donné satisfait à une relation se traduisant par un parallélisme entre les variations de la force perturbatrice et celles des taches, conformément à la période undécennale. Ces «excédants» dépendent des «phénomènes» dans la constellation des planètes d’une année à l’autre. J'ai considéré l’excédant de la force (A;)naz sur la somme des forces perturbatrices exercées sur le Soleil par Vénus, Jupiter et la Terre, lorsque chacune de ces planètes est à son aphélie. Cette somme est assez exactement égale à 5, lorsqu'on la multiplie par le même factenr que les chiffres de notre table. Désignant cet éxcédant par Æ, j'ai calculé | kdt pour chacune des 96 années par une methode graphique approximative. Table des valeurs de far. Année — | rat Année f ae Année | | hdt Année f dt 1800 45 1813 214 1826 338 1839 316 1 0 14 | 245 27 247 40 201 2 412 15 131 28 | 73 41 297 8 419 16 0 29 | 281 42 524 4 56 17 158 30 | 333 43 383 5 292 18 | 220 31 756 44 64 6 688 19 996 32 | 535 45 | 841 7 322 20 nn 33 833 46 945 8 685 21 523 34 | 893 47 282 9 339 22 | 670 35 201 48 364 10 1009 23 181 36 | 240 49 | 36 11 383 24 486 37 4 0 12 380 25 188 38 175 51 | 124 124 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. Année | | kat L Année f hat Année | rar Année | kat 1552 63 JE 1863 815 | 1874 379 1885 54 53 240 64 66 75 297 86 403 54 316 65 234 76 158 87 44 55 916 66 194 77 304 88 86 56 481 67 725 78 568 89 137 57 668 68 689 79 917 90 693 58 695 69 782 80 553 91 1054 Då 51 70 894 81 740 92 409 60 240 71 88 82 912 93 653 61 166 72 104 83 339 94 377 62 583 73 21 84 328 95 379 38. La courbe fig. 5 (pl. VII) est construite avec les valeurs de | #dt comme ordonnées. C'est une courbe où les distances entre les maxima les plus hauts varient entre 9 et 15 ans. La fig. 4 (pl. VII) reproduit à la même échelle la courbe des taches solaires donnée par Wolf entre 1800 et 1895; dans cette courbe les distances entre les maxima sont aussi fort variables, comme nous le savons déjà. Entre ces courbes il y a, de 1850 à 1895, un parallélisme singulier et frappant: la courbe représentant fædt indique des valeurs considé- rables chaque fois que les valeurs relatives contenues dans le diagramme de Wolf passent d'un minimum à un maximum. On retrouve même ces coincidences en-dehors des grands traits des courbes en question, et pour des maxima secondaires. Toutefois l'apparence générale change complètement lorsqu'on fait aussi intervenir dans la discussion les parties des courbes correspondant aux années de 1800 à 1850. Lors du maximum de taches solaires survenu en 1816, on reconnait, par exemple, que fædt a ses plus grandes valeurs justement sur le déclin succédant à ce maximum de 1816. Nous voyons donc que la tentative faite par nous pour expliquer la période undécennale comme résultant uniquement d’influences plane- taires exercées sur le Soleil, donnent un résultat négatif. Il faut chercher d'autres causes pour expliquer cette période, et il ne saurait plus guère être question de chercher ces causes en-dehors du Soleil, 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 125 Remarquons en passant que le maximum de 1816, dont je parlais tout-a-l’heure, a été le moins marqué de tous ceux observés jusqu'ici. Lors du maximum très-prononcé de 1789, on trouve que les grandes valeurs de fædt sont sur le côté ascendant précédant le maximum de taches, tout comme pour le maximum très-prononcé aussi de 1870. Le résultat négatif auquel nous sommes arrivés en ce qui concerne la période undécennale n’a d’ailleurs aucune influence sur nos résultats, à l'égard des variations de courte période, et n’infirment donc pas l'hypothèse, suivant laquelle les forces perturbatrices exercées sur le Soleil par les planètes est à même de donner le branle à la production des taches et d’imprimer un certain rythme aux éruptions qui ont lieu sur le Soleil. 126 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. Chapitre V. Sur l’existence dans le Soleil d'un nucléus se comportant comme une masse solide. 39. Ce qui forme le fond de toutes les présentes recherches c’est, je lai déjà dit, l'hypothèse que l’intérieur du Soleil serait en somme composé d'une masse solide avec cavernes remplies de matières en fusion. Toutefois, il n’est pas besoin, en cette question, de considérer cette masse «solide» comme tout-à-fait invariable de forme et de consistance; savoir si ses propriétés se maintiennent sans variations sensibles pendant 1000, 100 ou 10 ans, est ici d'importance secondaire, lorsqu'il s’agit de justifier les hypothèses conformément auxquelles les recherches précé- dentes ont été faites: il suffirait même de prouver que les changements et déplacements du même ordre que ceux qui dans la photosphère exigent des jours et dans la chromosphère des minutes, prennent certainement des années dans le noyau central, Notre méthode de cumulation nous fournit un moyen de nous assurer si l’on a le droit de supposer les taches du Soleil comme con- sistant en masses vomies par un système invariable de cratères ou de fissures volcaniques et provenant donc d’un noyau rigide intérieur. Pour que notre recherche aboutisse, il suffira en tenant d’ailleurs compte de la fréquence des éruptions, que ces cratères ne soient pas régulièrement répartis dans deux zönes situées de part et d'autre de l'équateur solaire. En effet, admettons un instant pour plus de simplicité qu’il n’y ait sur le noyau central qu'un cratère seul et unique, ayant vomi de temps à autre des masses qui ont traversé la photosphère, pour flotter sur elle et la suivre pendant un certain temps dans son mouvement, et se mani- fester sous forme de taches solaires. Il y aurait lieu d'admettre qu’à la 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 127 longue, ces taches se répartiraient à peu près régulièrement le long d’un parallèle de la surface du Soleil. Mais comment les choses se passeraient-elles si toutes ces taches solaires se cumulaient par rapport au mouvement de rotation du nucléus solaire ? A supposer que les taches, au moment même où elles font leur première apparition sur la surface solaire, moment qui sera celui choisi ici pour époque caractéristique, soient à une faible distance du cratère, situé sur le noyau solide, auquel elles doivent leur origine, il est clair que par l'effet de la cumulation, ces taches vont s’entasser autour de ce cratère. Seulement, une pareille cumulation est rendue difficile par notre ignorance du temps de rotation du nucléus solaire. Mais il est évident que par tätonnements on pourrait arriver à savoir si la formation des taches du Soleil a eu lieu de la façon indiquée, et au cas où il en serait ainsi, à en conclure une valeur très-exacte du temps de rotation du nucléus. Il suffira pour cela de procéder à une série de cumulations succes- sives en supposant des temps de rotation du nucléus de plus en plus longs ou de plus en plus courts. Si pour l’un de ces temps de rotation, on réussit finalement à entasser toutes les taches autour d'un seul et unique point de la surface du noyau, la chose sera claire, et l’on aura du même coup déterminé le temps de rotation du noyau. Dans la cumulation, la réduction à l’époque caractéristique première — langle — sera (voir $ 17) exprimée par 60 ¢ oe a où /, et /, se rapportent maintenant à un point quelconque du noyau supposé solide. Comme on ne peut admettre que la vitesse de rotation du noyau soit très-différente de celle de la photosphére à l'équateur, 7, — 2, sera x , 607 3 å ; une grandeur d'ordre comparable å JEG mais de signe opposé. 25,38 = Avec le temps l’angle p croitra donc ici lentement relativement à ce qu'il faisait lors de la cumulation des taches par rapport à une planète. Dans ce qui précède, nous avons pour plus de simplicité, admis que les taches solaires devaient leur existence à un cratère unique. En réalité, il y a évidemment lieu pour l'examen de notre hypothèse de 128 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. supposer qu'il y a un système excessivement nombreux de cratères ou de fissures. Il ne s'agira donc plus d'amener par cumulation toutes les taches du Soleil à se condenser autour d'un point unique de la surface du nucléus, mais de tächer par ce procédé de ramener toutes les taches à un système de points de cette surface, qui d’une façon générale con- servent une configuration invariable d'une année à l’autre, ou même d'un decennium à l’autre, ou même si possible de siècle en siècle. Dans les recherches que j'ai entreprises l'angle y a successivement revêtu 27 valeurs allant de — 20° a + 20°, chacune de ces valeurs corres- pondant à une des 27 périodes choisies pour la rotation du nucléus, c. a. d. à une des valeurs du temps 4 nécessaire pour que /, — 4, aug- mente de 360°. Les limites entre lesquelles ont varié les périodes de rotation sup- posées pour le nucléus, ont été 23) 97 et 26i 70, ainsi qu'il résulte de la formule (a). 40. Réalisation pratique de la cumulation. — Lorsqu'on a à effec- tuer un travail aussi considérable que la série de cumulations dont il s'agit ici, il est évidemment de toute première importance de trouver un mode d'opération aussi clair et aussi simple que possible. Je me suis arrangé de la manière suivante: j'ai d'abord fait dresser des tables, une pour chacune des valeurs supposées de la période de rotation du nucléus, tables donnant la valeur de y en nombre entier de degrés pour chacun des jours du laps de temps considéré. Puis, pour les années de 1892 à 1895 inclusivement, chacun des groupes de taches entrant en ligne de compte fut rapporté sur une planche avec la longitude obtenue après cumulation et avec sa latitude primitive le long de deux lignes différentes représentant l'équateur solaire, Vane destinée à l'enregistrement des taches année par année, l’autre destinée à recevoir toutes les taches pour la période entière. Les taches entrant en ligne de compte furent celles dont le moment d'apparition se laissait déterminer avec une précision relativement grande. J'ai cru me garantir suffisamment à cet égard en ne prenant que des taches dont la longitude au moment de leur apparition, comptée à partir du méridien central, était entre — 60° et +900. Le nombre de ces groupes relevés pour les 4 années 1892—1803, et indiqués par les «Greenwich Observations» était de 1147. Sur chacune des 27 planches, répondant chacune à une des 27 valeurs choisies pour la période de rotation du nucléus, chacun de ces 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 129 1147 groupes a donc été rapporté deux fois à Vencre de Chine avec des points distincts, une fois pour contribuer à l’image des taches cumulées pour chacune des 4 années, et une fois pour contribuer à celle des taches cumulées pour la période entière. Le but de cette opération était de découvrir si les taches solaires se groupaient d’une façon spéciale autour de certains points ou de certaines lignes dans chacune des images relatives aux 4 années isolées, de telle sorte qu'on retrouvat d’une année à l’autre certaines configurations déter- minées. Mon idée était donc pour ainsi dire de construire les contours d'une carte des régions volcaniques sur le nucléus présumé. Cette analyse de détail du groupement des taches cumulées pour chaque année a toutefois échoué, quant au résultat positif que je pour- suivais. Mais les planches en question m'ont cependant été d’une grande utilité. En effet, en comparant sur chaque planche les images relatives aux différentes années, soit entre elles, soit avec les images correspondantes sur la planche immédiatement précédente et sur celle immédiatement sui- vante, rangées suivant les valeurs de g, il a été possible de décider si, même dans l'intervalle des valeurs primitivement admises pour l’angle p, il s’en trouvait qui donnassent lieu le long de l'équateur solaire à des accumulations ou à des raréfactions marquées des taches cumulées pour les 4 années. De pareilles accumulations ou raréfactions devaient, le cas échéant, se manifester sur l’image des taches cumulées pour 4 années de suite répondant à la valeur considérée de p, ces images montrant d’ailleurs en général une répartition à peu près régulière des groupes de taches le long de l'équateur solaire, et rappelant en quelque sorte une carte de la voie lactée, Je crois ainsi avoir tiré au clair par cette analyse la façon dont les groupes cumulés de taches solaires se répartiraient grosso modo pour une durée quelconque de la rotation du nucléus, comprise entre 233,8 et 27 jours. Je n'ai pas fait reproduire directement dans le présent travail les planches dont je viens de parler; je me suis contenté de tracer avec leur aide une série de diagrammes montrant comment les groupes cu- mulés se répartissent de 3° en 3° de l'équateur solaire, tant au-dessus qu'au-dessous de cette ligne, pour toute l’époque 1892— 1895. Les tables ci-dessous fournissent les éléments nécessaires à la con- struction de ces diagrammes, où les ordonnées sont proportionnelles à la Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 1. 9 130 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. somme des nombres de groupes rencontrés dans les intervalles de 3°, pris deux par deux. Comme il peut évidemment arriver que les groupes de taches rap- portés sur les planches primitives soient si denses qu’on ait peine å les distinguer tous, il y a dans le décompte des groupes sur certaines planches des erreurs d’ailleurs minimes et ne dépassant pas I 0/,, c’est-a- dire absolument sans inconvénient pour le but qui nous occupe. Les cumulations sont effectuées au nombre de 27 pour 1147 groupes et pour les années 1892—1895, au nombre de 7 pour les années 1880— 1886 inclus et pour un total de 1034 groupes, et enfin il en a été fait 1 pour 1858—1864 inclus et pour un total de 502 groupes. Les 502 groupes de la dernière série sont empruntés soit a Car- rington: «Observations of Solar Spots» soit à De la Rue, Stewart et Loewy: «Researches on Solar Physics». Les photographies du Soleil dont ces investigateurs ont déduit leurs constantes des taches du Soleil, n'ayant pas été prises pour chaque jour de l’espace précité, mais souvent à des intervalles relativement assez longs, il n’a été possible, pour les 7 années 1858—64, de trouver que 502 groupes dont le moment d'apparition se laissåt constater avec quelque précision. En raison du petit nombre des groupes de cette série, les ordonnées du diagramme correspondant (fig. 7, pl. XI) ont été prises proportion- nelles aux sommes de 4 intervalles consécutifs de 30 chacun. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 1899. No. I. Tables des résultats obtenus en cumulant les taches par rapport au 41. mouvement de rotation du nucléus solaire. 1892—95 Bz0'res% ap »ponpd ied 9g —= d 7 2 1 3 À 2 860163 ap pot ied Ws h 5 2| 6| 2| 4 812] 2) 5 OrT'egz op »ponad | ied 79g —= 4 5 3| 6 GOT: 9% ap eponod | ied og — = h 1} 6] 7 3| 6) 9| 5) 3 6| 6 5| 6] 5| 5] 3) 4 || 6| 5 Op& Ge ap aponpd | red 9% —-= Å 5 2 608 TS ap apoppd ied go] — = ggire% ap aponpd n) > Å 184798 ep apoupd red 0% = & 6| 4| 6 4) 7) 2] 9] 5] 5) 3) 5) 2) Å 1 5 899g, ap apoupd ied op = Å 5 2) 81 4) 3 8/10) 4) 7] 4) 41 1110| 2} 2] 4) 4 5 i 808194 ap eporsd red 99 = 4 4 7 5| SI 7 4] 7 81 7 9] 21 6] 6| 7 4) 7] 2) 7| 3) 4] 5) 6 pr6 te ep epousd ied 08 = 4 = “ego'r9z ap aponpd ed 901 = 4 988198 ep epoudd | red og1 = 4 „989% ap apoupd ed op] = 4 Hidadddd ded ada dowd cla da da di 7| 4| | 3) 4] 4) 6| 4 4) 61 6| 7| 3) 81 5} 91 41 51 4} | 8) 7 6| 8) 7 7 6110 11 5] 2) 9] OF 5] 2) 9 g0g‘r9% ep aporıpd qed 991 = Å 5 5 69'095 ep 2pousd ied 081 = 4 O6L‘'L9% 2p »porıpd red 50% = 4 6| 21 4) 5| 3) 61 51 41 41 6 7 312] 7 41 61 41 91 5] 81 3] 2] 1) 1] 4 7 1] 4| 4) 81 3) 3] 7 8 s2182q PEPE FP 31 0) 6] 6| 5| 6| 6| 2] 41 3) 3) 4| 61 6 6|| 1| 3) 6| 7 91 6| 5] 6| 6| 5 4] 5/10) 4| 4] 3| 6] 4] Gl 5} 3] 21 4] 5| 3| 6| 4 51 61 2| 4] 2| 7 2] 5] 5 12|| 4| 81 6110| 2| 9| 4/10] 5110| 2) 31 7) 4] 2) 3] 6| 5] 5) 0) 6| 9] 3| 11 3] 6] 2) 7 1] 4] 3) 41 8) 7 151 2| 41 2) 31 4) 51 3) 31 2) 21 61 7] 5) 7 6| 3] 2] 61 5} 7 0] 7 6| 7 O} 4] 1) 5 5] 6141 6] 9 5 181 4| 7| 1| 4] 3] 5| 3] 5] 2] 4] 3] 51. 7| 3] 4) 8] 3) 2] 6| 6 11| 4] 3| 2] 3| 41 6| 6] 3| 4| 2) 5] 3) 5 21 241 7| 7| 8110| 1| 51 3| Qi} 2| 51 6} 7 5) 8111] 6] 2] 7 6) 51 2] 9] 3) 7 5} 3] 5112| 7 4 4) 6] 1) 9 271 6| 4] 5) 5| 9 30 || 31111 3| 6 21 7| 1] 21 4) 3] 6| 9] 7| 5] 2| 31 21 6) 7/11] 2) 4] 3) 5] 1) 5] 4 33 || 41 8) 01 4 5) 8} 4) 4 4) 7] 4| 4] 7) 4] 7 4] 2) 3 4) 9) 2) 5] 5110| 0| 9 SL 5| 410] 7] 4) 4 36| 3] | 5| 6] 2| 41 5! 4| 2] | 6h10] 7 5] 4110 ol 11 7| el 4| 5) 8l 5 31.8 4 6| 6 391 6| 6) 1) 9 1] 116 3 9} 7 21 7 9) 7) 1/111) 6| 4] 7| 2) 5 5| 1| 6] 2] 8] 2] 5| 3110) 5| 3) 5| 3 42 || 4| 4] 5) 6] 2| 6] 8| 8] 2) 61 410111] 4] 5| 5] 7| 6] 6| 9] 5| 6) 3} 8] 2] 3] 3) 6] 3| 7 41 31 5 2 45 || 2] 4 5| 3] 2| 3] 2) 8] 81 8 8| 7| 4) 8] 4) 7 3) 81 41 4] 1111] 5} 7] 3) 2] 7 4] 1) 31 9] 1] 5) 6 48|| 3| 5] 6| 41 6| 61 8| 7 3) 6] 4) 6] 5| 6] 3| 6] 3| 1] 3) 7 1) 51 7 3] 2) 9 51 || 41 7| 3} 41 4| 4] 8] 4] 8) 9112) 31 6} al al 51 2] 71 4} 41 al 61 4| 6) 3/12] 4) 31 6) 41 7] 61 2] 3 54 || 3110| 6| 8] 0) 2] 3| 11 4) 5] 5] 5] 4) 1] 4| VILL 7 57|| 81 6| 4| 7| 2] 6| 2| 7 4) 6 4/10) 3) 5] 5} 7| 4) 8] 4! 61 2) 3) 3] 4 4 6011 6| | 5| 5112] 8] 6} 6] 4] 9] 8) 1] 4) 4] 5) 8] 6) 5) 6) 7] 3| 6] 3) 5 3) 4 4) 5110) 4] 4) 6 3) 2 63 | 2] 5] 5| 5] 5) 51 7| 4] 4) 3] 5) 7 3} 7] 2] 5] 6) 8] 2) Gi 5) 51 2] 5) 3) 51 3] 7] 8) 7 5] 3] 2] 1 66|| 3| 61 2| 4] 4! 7] 4110] 5| 4] 7 5] 3) 4] 6/10] 4) 6 3| 3] 2) 3) 1) 4) 5 69|| 5| 5] 5} 5] 3) 31 4| 5] 21 6] 8| 7] 2) 8] 4) 81 5| 8] 7| 6] 6) 41 2) 9] 2) 5] 5) 5] 1) 6] 5) 3] 7 2 72|| 4| 5110| 3] 5| 31 21 6] 8| 9] 7] 61 2) 3] 7| 5] 6} 7] 21 31 7 8] 1! 7] 2] 4 7| 6110| 3] 3) 8] 0! 7 75 || 3) 11 4| 7] 8} 3] 4/10] 6) 7] 6| 5 2] 7] 5] 41 3] 41 41 3] 4! 5] 11 6} 2) 5] 2] 6] 4) 7 11 3] 6 78|| 4) 8] 3] 6] 8} 6] 6110| 2) 4] 5| 5] 5] 5] 3] 41 3| 6] 7 7] 4] 6] 3} gil 4) 2] 5) 4] 4] 8] 3] 4] 7 3 SI 41 6) 7| 5) 5} 2] 1) 2] 6| 6] 2} 3] 6) 31 6110| 11 4] 0] 1) 5} 5] 2) 6] 3| 5] 8) 5] 8) 5) 4) 1 841 6| 4] 4| 5] 6| 6) 61111 6| 5] 4| 41 51 9] 0| 41 A| 7] 2) 5] 3| 8] 1) 2] 5) 5] 4) 4] 3) 8) 3) 3] 2] 2 87|| 41 2] 41 9] 5| 41 6} 6] 3] 81 4) 2] 4) 6] 5! 2] 41 5| 2) 41 3] 7 6| 7| SLN 71 7 511 3] 2] 6| 5 90 || 41 2 2) 4] 5} 6] 5) 2] 7 2] 2] 31 7 4] A| 51 5| 7 41 9] 7 2] 0) 41 4) 8] 2] 3] 5 93 || 4| 8) al al alu] al msi a] sl 4] al el al ai 31 al 4) dl al aa 7 sl 79 3 2 : 96|| 3} 5] 7 3] 3| 5] 41111 5} 6] 41 9] 4) 3] 3111) 5| 5] 2] gl 0! 2] 3] 6] 7 4) 5| 5 gr M.-N. 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No. 1. 1880—86 1892—95 LOGLFS ep epouad | OHR 19 DO = D @ dm po M MOT m mm HM D D A LH M on HO A 8) = SRE MO ee Sr M EE då er 820 LCR ap apoupd | ano © © EE © ao @ wa OS D) CD OÙ D om m wor S D ra um mm | edge — IS tommeremRonmnnrmoonodwtetmontmrereaarnnorna mo 860°C 93 ap pond | D © © 1 © SO D nm 0 S pr CO OÙ © em = CO 9 OO) D 2) 9) © mm 3 QD oO rd 6p— — D | © © Hop os Tu m © # 0 © OS, na Ta mm mm M mm RID 1 OPEreg ap apoupd Do aT OT oOoOKRSonsSgI0NQNSNRQANNMNANSGIPNROSIRDDS =m red fog — = 4 | SO D Ta M Ta SS NO Da TRASH a Ar Ho ne 69LLEZ ep apouad | DES OO 10 On Ee One IT OD ONONT A HN EC M SO TS DO M HN « erde ——= D | TOR RS mW AA @ TA © AO © 1 D Hi M a wow © À m | Ope'[Gg ep apoupd MON EN OST SO SH MONO sm OO mm ARE TKN DDN OD ww À rd 08 — = D || SD © sm KH MI HS © © © ms D TH © Hi naar M nO mM 10 M 608093 ep ‘apouad oe yo M Aa TO AS D a nm a M 20 qı DS m I ON LD x a m wer ed,I-—=d | SB ran © © BAT M D D Hy ra ir oa a non ata oO m ———mi mem | EEE OA6'[ EG ap aporıpd 00 wo m => a 9 © oo = © © © © ® ud Mø OM © = 17 m ap =x OW Oo red 008 — = & D RATES AHA TR 19 © OR © M Oh = D E © © E 1 © © © — © = ww “OLOC FS ap apoupd HN OO © 2 10 © yon ta © oO. © = 19 1 ı SO © © D a & & —m £ V = ned gog - = D | = © à nm on m So © E aA MMM aA @ RO m mn ttm DOOM m wor 408 | EN EN FSL LPF ap aporpd | © 5 © oot So D CO DE LD SO CD TOO -O a Tu © ©0510 = . 1 — red pI. — = D | mms ANSONRIMNRENRNRNINHTLSANPrRRQQRQgIAR OS 683 FS ap aporıpd || OS Co x oo em M = OL 1 © © © D S ~nmonws DO em Q _ GG LE 02900 9 rd GG —= Å NEO Ua LD D 1 ED 1 1 CD CD EP Da. a Ya OH mm rot RM À SH M 10 GGG LPG Sp pont) RCE RES I ES Suna Te TT TNO 16 m M D ES 15 5 M M & ON lei FAT TE TE M ena O0S'CF& Ap apoupd SEE SOSE ı DO OO TS Er en © M DR SO en = OTN O a a M m a © ied GYg[ — = Å D D © m1 1 6 D AK D MD © HA À E M M om mm am x GOOFS ep apouad | NO RO TO CD D D vwou OÙ a yo em HO LQ © m m D = Dog SJ Sue SS ET qed p[[ —= & OO 19 CD D 19 GO 9 19 =n =" MD © CD D OC ca X DE La mm DD © A OH D © E A = ? | & co a ao num Fe) Q A © D ta one Hy m oa a Lu ra nn 0 © leg 3 SR © 10 mm SC Oo MD HO NS CD 10 tT 10 HH DoW oO PI IGG ep À Hao © + © om Q D OO m + © + aponpd ied pg — = d 5 QKM OL M © DE mm NO MEW ROM sppnuma say ‘CG—%68I D © À Hrn SH © © DM On SH © © Fane å > > Sr S Ra co RR Q D m Ne - = = ==> === — Fl‘CSG ap apoupd sed MORH HHH HMM M M a am moon or rm m ‘ Seo re —=4 9-58 | mama — © n + © mn © © & ada mann « m HE © D 2 A @ 10 © = rom 2 A À nn D = À à 52152 D © A © © © © 1 0 st aaa D am m st 910559 SES EG Q © À M M M m nam mn nm m nm m nm m m m m m m m nm Q MN mn E à D & © nm © À Ho D HHO ODA +45 2 Pree ap D © LE © © @ @Q mt © 1 m OO Hi D 10 © SO + © HM OD ! attr ARO rm oo a m Gr) apoupd ed piyg — = Å å ‘4 Mr DHOMRHAMOHOHH D 19 ARAMA DOH DO sa[nwnd sally '98—088I RNSrFTARHDHARHDSCHOHBWMAM RR a 1 : Q m1 © À = à © D + D mm À m Q Mm — & ana H DO & u D A an von M aan © © FLTGZ ap © À À D 10 D M À A 1 AN © à D À ROH D À HO & å am + 10 Q Om © À À À m © © mm A emo - apouod ed Hug — = Å 7 Booman OH DNM © Dm OOF SG SN SG sppnund sory ‘CG6—G681I DO OS OSB DAMM ON onen en le nm © rm BE mm Or) aaa m D À m YL‘LG& ep apoupd id HARRAH HH mann a ao mm © 1 OHM RA rm c <3 > Pog—=% W881 | aaa I © — © © & «10 © & & & + + © — » HDR Q 19 D mm + E © M © © & 10 © mn HE © A © DR © s2183q Q © À CG M A A SH mn M À 1 © © © à rere oon o 3 aaa an aa ma a nd aa À À À an À À a a 140 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. 42. Resultats de la cumulation. — Dans les planches VIII, IX, X et XI, les 27 premiers diagrammes représentent graphiquement les résultats auxquels nous sommes arrivés par la cumulation de 1147 groupes de taches solaires pour les années 1892—95 inclus, en nous basant sur 27 mouvements de rotation différents du nucléus solaire. Sur tous ces diagrammes, on observe que, d’une façon générale, un fort développement de taches cumulées au-dessus de l'équateur est accompagné d'un développement analogue correspondant au-dessous de l'équateur. Le fait est que souvent, lorsque des taches sont observées sur le Soleil avec une certaine latitude nord, on en observe aussi avec une latitude sud et à peu près à la même longitude héliographique. Conformément à la façon dont nous considérons les choses, cela doit signifier qu'aux différents degrés de longitude, il y a simultanément au-dessus et au-dessus de l'équateur, dans le noyau solaire, des régions volcaniques d'intensité plus ou moins grande. S'il en est ainsi, le fait en question sera surtout saillant lorsque les taches du Soleil seront cumulées par rapport à un mouvement rotatoire de vitesse égale à celle que possèdent les cratères auxquels les taches sont supposées devoir leur origine. Un examen plus détaillé de tous les résultats graphiques auxquels nous sommes arrivés pour les années 1892—95 montre que les dia- grammes correspondants à 9 = — 3°, = — 4° et = — 5° par pé- riode offrent un intérêt particulier à ce point de vue spécial. Les planches construites à l’origine (voir p. 29) étaient très-significa- tives dans ces trois cas; je crus même voir que les configurations corres- pondantes de taches se couvriraient surtout bien pour 9 = — 30,4 par période. Je fis en conséquence la cumulation correspondante, et construisis des diagrammes pour le nombre et les aires des groupes de taches. Comme aire, j’attribuai à chaque groupe son étendue moyenne pendant le temps où il avait pu être observé de la Terre. Le diagramme correspondant aux aires des taches cumulées (tracé en pointillé, fig. 1, pl. X) a été tracé après une peréquation, comme celle j'ai déjà indiquée, des sommes des aires tachées du Soleil obtenues par cumulation de 3 en 3 degrés de l'équateur solaire. On trouve les chiffres non-égalisés correspondant à ce diagramme à la fin des tables § 41. Il convient peut-être, avant d'aller plus loin, de faire remarquer ici que, dans les diagrammes où interviennent les aires, une ou deux taches de grandeur exceptionnelle suffiront souvent pour influer considérable- 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 141 ment sur la forme des courbes. Par suite, je n’ai pas cru, dans la com- paraison des courbes, devoir attacher une tres-grande importance aux proéminences aigues ainsi produites. i On peut dire en somme qu’il convient de ne pas leur attribuer trop d’importance. Par les résultats figures graphiquement dans les 27 diagrammes en question, les groupes de taches solaires de 1892 à 1895 ont été rap- portés sur un nucléus solide hypothétique, avec la période de rotation inscrite à côté de chaque figure. Il ressort de ces résultats qu’une période de rotation du nucléus égale à 25i14 environ conduit å la répartition la plus marquée des groupes sur le nucléus supposé. Je ferai spécialement observer que par un pareil report des groupes sur un nucléus animé de ce mouvement de rotation, on reconnait l'existence de deux régions, situées à 180° l’une de l’autre sur l'équateur solaire, ou les groupes sont représentés d'une manière très-faible: par conséquent, dans ces régions, l’action volcanique supposée serait relativement peu considérable. Il y a de même deux maxima prononcés, distants aussi de 180°, 1 Il s’agit maintenant de savoir si cette répartition des taches cumulées persiste dans ses grands traits, lorsqu’au lieu de traiter les taches de 1892—95, on traite les taches de la même façon pour d’autres laps de temps où les groupes de taches sont en nombre suffisant pour permettre d'établir une comparaison utile avec nos résultats ci-dessus. Si on retrouvait à peu de chose de près la même répartition des taches, quand leurs groupes appartenant à des époques différentes sont reportés sur un nucléus solaire supposé solide, et avec une période fixe de rotation, et si les condensations ou les raréfactions marquées des taches cumulées se reproduisaient chaque fois à une même longitude héliographique, comptée sur un équateur tournant de conserve avec le nucléus solide, il serait démontré avec une évidence excessivement forte que les taches du Soleil sont dues à un système fixe de cratères sur un nucléus ayant la période fixe de rotation dont il vient d’être parlé. J'ai, comme je l’ai déjà dit, cherché à résoudre la question en cumulant les taches pour les années 1880—86 dans 7 hypothèses diffé- rentes quant à la période de rotation, voisines de 253,14, et pour 1858—64 pour une seule période précisément égale à 253,14. 1 Ce sont sans doute ces maxima qui expliquent l'observation faite par De la Aue, Stewart et Loewy que, dans un grand nombre de cas, une éruption de taches solaires est accompagnée de nouvelles éruptions visibles au bout de 13 à 14 jours, à l’autre extrémité du même diamètre solaire. Proc. Roy. Soc. XXI p. 402, 1873. 142 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. Ces cumulations, dont les résultats numériques se trouvent consignés dans les tableaux 41, ont été d’abord effectuées pour la première de ces séries avec le 1° janvier 1880 pour époque première, et, pour la seconde, en partant du 1° janvier 1858. Toutefois, pour pouvoir comparer tous ces résultats, il importe de les rapporter à une même époque initiale, et j'ai choisi à cet effet le 1 janvier 1892 dans la représentation graphique des diagrammes (fig. 1—7, pl. XII et fig. 7, pl. XI). J'arrive très-simplement à mon but par un déplacement le long de l'équateur. L’angle dont il convient de faire avancer les résultats de 1880—86 pour les rendre comparables directement avec ceux de 1892—95 lorsque les valeurs de y par période sont supposées égales a: 2570 __20 —30 —304 =p — 50 —60 sera comme on peut facilement s'en assurer, l’angle correspondant å 4383 jours, soit: 17302 34703 52204 59208 69805 87506 105307 Pour 1858—64, on trouvera de même que, pour pouvoir faire la comparaison, il conviendra de faire avancer d'un angle p = 1679% le diagramme correspondant à 9 = — 304 par période. Ainsi que je l’ai indiqué, ces transports sont déjà effectués pour les diagrammes en question, tandis qu'ils ne le sont pas pour les séries correspondantes de données numériques inscrites aux tableaux du 41. Il sera avantageux de faire la comparaison à laquelle nous allons maintenant procéder entre les résultats obtenus pour les deux périodes antérieures, en classant les diagrammes relatifs à ces deux époques suivant les valeurs décroissantes de l’angle g, et de telle sorte que les particularités correspondantes des courbes se placent justement les unes sous les autres. La pl. XIII, fig. 1—7, représente, rangés dans cet ordre, les dia- grammes correspondants aux valeurs de choisies comme précé- demment entre —1° et —6°, pour la série d’années 1892—95: on voit que le déplacement moyen des diagrammes a été de 24° pour chaque degré de variation dans la valeur de p par période. J'ai pris comme point fixe de comparaison le diagramme répondant à p = — 304, et j'ai placé les autres diagrammes de façon à les faire correspondre. On arrive de la sorte à voir très-nettement l'influence générale exercée sur ces courbes par des variations de l'angle y. Ce qui est frappant, c'est que sur une aussi longue série de dia- grammes, on retrouve les mêmes proéminences caractéristiques pour les différentes valeurs de V2 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 143 Cela tient d’ailleurs certainement a ce que ces pro@minences sont dues a des groupes de taches qui se sont produites pendant un temps relativement court, p. ex. de moins d'un an, dans une région donnée du Soleil. Ce phénomène est bien connu pour les époques de maximum des taches du Soleil. Maintenant, il est facile de comprendre que, si une proéminence particulièrement saillante dans l’un de nos diagrammes, répondant à une valeur donnée p, de p par période, est réellement due à une formation abondante de taches solaires dans un espace de temps relativement court, on devra donner a une valeur très-différente de y, pour arriver lors de la cumulation à la dispersion d’un pareil amas de groupes. Les fig. 8—14, pl. XIII, reproduisent les diagrammes correspondant pour 1880—86 aux valeurs choisies pour g entre —1° et —6°, classés les uns sous les autres comme il a été dit plus haut pour la période de 1892—95. Il est ici bien plus difficile que tout å l’heure de retrouver d'un diagramme à l’autre les mêmes proéminences caractéristiques. Cela tient évidemment à ce qu'ici les cumulations embrassent un espace de temps aussi long que 7 ans. C'est ce qui fait aussi que le transport nécessaire pour amener les particularités de nos diagrammes à se correspondre va être en moyenne bien plus grand pour chaque variation de 1° dans la valeur de p par période: cet angle sera ici de 76°. Comme les diagrammes pour 1892—95, ceux pour 1880—86 sont aussi rapportés à celui d’entre eux qui correspond a p = — 3°4 par période, mais toutefois, pour une raison que nous expliquerons tout- å-I'heure, après qu’on lui a fait subir un mouvement rétrograde de 10°. Dans les deux séries de diagrammes, ainsi rapprochés les uns des autres, afin de mieux pouvoir comparer nos résultats de cumulation pour les deux périodes en question, on constate immédiatement une simili- tude frappante dans l'allure générale des courbes. Ceci se voit avec toute la clarté désirable lorsqu'on construit deux diagrammes moyens, l'un ayant pour ordonnées les moyennes des ordon- nées correspondantes des 3 diagrammes fig. 3, 4 et 5, et l’autre répon- dant de même aux diagrammes fig. 10, 11 et 12. La fig. 15 (même planche) représente ces diagrammes moyens. La courbe en trait plein se rapporte à la période 1892—05, la courbe ponc- tuée à celle 1880—86. Comme, pour cette dernière, nous n'avons pris que 1034 groupes de taches, contre 1147 en 1892—05, j'ai pour faciliter 144 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. la comparaison, ajouté partout 11 % aux ordonnées de la courbe ponc- tuée, telle qu’elle résultait de l'opération indiquée ci-dessus. Ces deux diagrammes (fig. 15) constatent une similitude presque absolue de l’allure moyenne des différents diagrammes pour les deux séries d'années, répondant å des valeurs de p par période situées entre —3 et —4 Reste à examiner si, pour une de ces valeurs de p, la période de rotation du nucléus prend des valeurs telles que des parties congruentes des diagrammes se trouvent répondre à des régions iden- tiques du nucléus solide du Soleil. C'est là justement ce qui arrive. La pl. XII contient nos diagrammes pour la série 1880—86 rap- portés au 19 janvier 1892 comme époque premiere. En comparant ces diagrammes un à un avec les diagrammes cor- respondants pour 1892—95 (pl. IX et X) on voit que ce sont ceux répondant à @ = — 3°4 par période qui coincident surtout bien; mais la coincidence devient meilleure encore en faisant rétrograder d’environ 19 le diagramme correspondant aux années 1880—86. Ce recul de 19° permet de calculer que la période de rotation du nucléus doit être égale à T = 25i148 Il convient toutefois de contrôler cette valeur, attendu que pour certaines valeurs de p comprises, l’une entre o et —19, et l'autre vers — 69, les proéminences des deux séries de diagrammes, encore assez sem- blables quoique bien plus effacées, couvriraient aussi des parties iden- tiques du nucléus dont la période de rotation correspondrait aux valeurs en question de y. Le meilleur moyen d'opérer ce contrôle pourrait être de cumuler les groupes de taches pour une troisième série d'années, en prenant pour la période de rotation la valeur admise ci-dessus. Si l’on obtient ainsi un diagramme ayant même forme générale que les deux précé- dents, et qu'en le rapportant au 1° janvier 1892 comme époque pre- mière, on le fasse coincider avec les diagrammes pour nos deux premières séries d'années, nous en conclurons que la valeur trouvée pour 7 doit être exacte. Or, nous avons, je lai déjà dit, une pareille cumulation, pouvant servir de moyen de contrôle, faite sur les taches solaires de 1858—64, avec une valeur supposée de p = — 304 par période. A vrai dire, cette valeur de p n'est pas exactement celle qui répond à une période de rotation de 253148: mais cela ne joue qu’un rôle très- 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR :ORIGINE. 145 secondaire, dans la cumulation elle-même, seulement il faut que le trans- port au 1 janvier 1892 comme époque première ait bien lieu d’accord avec les valeurs exactes. La fig. 16, pl. XIII, montre le résultat de cette cumulation, la figure ayant, par un transport de 16269 le long de l'équateur solaire, été ra- menée au I janvier 1892 comme époque première, et une période de rotation de 253148 étant adoptée pour le nucléus. Le diagramme de 1858—64 a d’ailleurs évidemment moins de valeur que ceux de 1892—05 ou de 1880—86, attendu qu'il a été construit sur 502 groupes seulement, nombre auquel se bornent pour toute cette période de 7 ans les seuls groupes de taches dont nous puissions tirer utilement parti pour notre cumulation. Néanmoins, il est certain que, si l’on accorde qu'il y a similitude entre les diagrammes, il sera facile de reconnaître qu’il n’y a qu'une seule manière dont leurs particularités puissent être amenées à correspondre. Le déplacement qu’il faudrait faire subir au dernier diagramme pour obtenir une meilleure coincidence avec les deux précédents est dans tous les cas si minime qu’elle n’occasionnerait même pas de correction sur la troisième décimale de notre valeur 7 de la période de rotation, attendu qu’une correction de ojoo1 dans 7 correspond à un déplace- ment de 70. Lorsqu’au début du prochain siècle nous aurons des observations sur les taches du Soleil au voisinage de leur prochain maximum, nous aurons tout loisir de contrôler les résultats auxquels je viens d’arriver ici. Je suis convaincu que ma valeur de la période de rotation du nucléus solaire T = 25/148 sera reconnue exacte, sauf erreur ne dépassant pas 2 a 3 minutes. Pour terminer, je vais mentionner un remarquable travail du Dr. Wilsing a Potsdam, travail paru des 1888, et dont les résultats s’ex- pliquent de la façon la plus naturelle et la moins forcée par l’hypothese d’un nucléus solide dans le Soleil?. En mesurant le mouvement des facules sur le disque solaire, M. Wz/- sing a trouvé qu’elles se meuvent autour de l’axe du Soleil avec une ! Le meilleur moyen de constater cette similitude est de construire le diagramme fig. 16 sur papier a calque, et de le superposer à la fig. 15, 2 7. Wilsing, Ableitung der Rotationsbewegung der Sonne aus Positionsbestimmungen von Fackeln. Publ. des astrophysikalischen Observatoriums zu Potsdam 1888. Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 1. 10 146 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. vitesse de rotation sensiblement constante, à ce qu’il semble, et indépen- dante de la latitude héliographique des facules. Il déduit de ces mensurations une vitesse moyenne de rotation de 1402698 par jour, ce qui répond å une période de rotation de 2532281. M. Wilsing conclut de ses recherches que les facules d'une part, les taches et les protubérances métalliques de l’autre, sont des phénomènes primaires et secondaires dûs à une même excitation anormale sur le Soleil. A l'appui de sa manière de voir, il mentionne, en outre de sa propre découverte, les faits observés par le prof. Spôrer, montrant que, pour la plupart, les allongements des groupes de taches sont généralement dis- posés suivant des parallèles du Soleil, et qu’en général, les taches pro- duites ultérieurement se forment à l’ouest des groupes déjà existants. Il renvoie aussi à ce qui a été constaté par le P. Secchi relativement aux sauts caractéristiques dans le mouvement normal de rotation d’une tache solaire, et au fait que ces sauts ont principalement lieu dans la direction du mouvement de rotation. Ces faits se laissent expliquer par la différence de vitesse angulaire entre une tache et la facule indiquant le centre d’excitation. «A vrai dire, dit M. Wilsing, on n'obtient encore aucun renseigne- ment sur la cause de la loi particulière qui préside au mouvement des taches. On ne peut décider si leur ralentissement est dû à des courants verticaux, comme l'exige la théorie de Faye, ou à des courants con- traires horizontaux, comme ceux qui doivent se produire au moins dans les couches supérieures de l’atmosphère solaire, si l'on admet l’hypothèse de Siemens sur l'effet d’éventail («Fåcherwirkung») dans le Soleil —: tout ce qu'on peut dire, c'est que l’exactitude de cette loi doit être restreinte à une mince couche atmosphérique, tandis que la masse centrale du corps solaire obéit aux lois présidant au mouvement des corps solides. Dans tous les cas, il est assez difficile de se représenter une persistance un peu prolongée de centres locaux et limités d’excitation dans le corps solaire, si l’on continue à affirmer sa constitution exclusivement gazéi- forme». Eh bien! Dans le présent chapitre, j'ai justement cherché à prouver l'existence dans l'intérieur du corps solaire de centres locaux limités et d'une très-longue persistance. Un pareil résultat une fois admis, il ne pourra plus être question de défendre l'hypothèse qui veut que l’intérieur du Soleil soit gazeux, au moins au sens qu'on attache d'ordinaire à cet état d'agrégation. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 147 Il me semble que le meilleur moyen de concilier tout ce qu’on sait des taches et des facules du Soleil serait p. ex. de dire: Sur le nucléus intérieur du Soleil, qui est relativement solide, et aussi distinct de la photosphère que celle-ci l’est elle-même de la chromos- phère, il se trouve des «volcans» qui, de temps à autre, vomissent avec violence des masses surchauffées et explosives. Ces masses sont pro- jetées avec une énergie telle, que les parties de la photosphère situées devant elles sont soulevées, diminuant ainsi l'épaisseur de la couche absorbante située à l’exterieur de la photosphere, dont les parties sou- levées se manifestent par suite sous forme de facules. Mais les masses vomies perdent successivement leur énergie ciné- tique primitive et ralentissent leur vitesse ascendante à mesure qu’elles pénètrent dans la photosphère, et les parties qui ont pris la forme gazeuse sont obligées de suivre la photosphère dans son mouvement, tout comme la fumée sortant de la cheminée d’une locomotive suit la direction du vent quelque temps après avoir été lancée verticalement par la cheminée. Parfois ces masses de vapeur tourbillonnent à la surface de la photos- phere, où leur transparence plus ou moins grande est cause qu’elles se manifestent sous forme de taches. Les protubérances métalliques se produisent peut-être quand une partie des masses de vapeurs métalliques vomies par les «volcans» n’ont pas encore suffisamment perdu leur énergie cinétique temporaire et que celle-ci donne encore lieu à un déplacement vertical à travers la photosphère. Dans ces conditions, on s'explique très-simplement pourquoi le chiffre trouvé par Wz/sing pour la période de rotation des facules n'est pas entièrement d’accord avec celui que j’ai trouvé pour le nucléus solaire. En effet, en mesurant la vitesse de rotation moyenne des facules, Wilsing a en réalité calculé la vitesse angulaire moyenne des masses vomies par les «volcans», alors qu’elles possédaient encore la majeure partie de l'énergie cinétique qui les faisait se mouvoir verticalement en quittant le nucléus. Mais il est clair que cette vitesse angulaire doit être un peu moindre que celle du nucléus, et cela pour deux raisons. D'abord, dès le début, la photosphére, avec son mouvement ralenti, exerce une influence retardatrice sur les masses vomies, et en second lieu, la vitesse angulaire de ces masses doit diminuer aussi, par ce seul fait qu’elles s’éloignent de la surface du nucléus. 10° 148 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. Par ma méthode de recherches, j’élimine la mouvement propre de la photosphere, et je calcule le mouvement du nucléus lui-méme. D'après ce qui précède, il y a lieu de croire qu’une cumulation des facules donnera à peu près le même résultat que celle des taches, En se servant des facules, on aura d’ailleurs cet avantage qu'on n’éprouvera jamais de doute quant à leur «époque caractéristique». Si j'avais connu plus tôt le travail du Dr. Wilsing, avant d'avoir rédigé le présent chapitre, j'aurais assurément eu recours aux positions des facules dans mes cumulations, tant par rapport aux planètes que par rapport au nucléus. — La pensée que l’intérieur du Soleil est solide provoquera des protes- tations de la part de bien des personnes, car elle semble être en opposition absolue avec l’idée que nous nous faisons de l’état de la matière à des températures comme celles qui règnent assurément dans l’intérieur du Soleil. Vis-a-vis de l’affirmation qui veut que l’intérieur du Soleil soit »éces- sairement gazeux, parceque la température y dépasse les températures critiques de tous les corps que nous connaissons, le mieux est de con- tinuer tout tranquillement à cumuler facules et taches d’un décennium à l’autre. En attendant, on peut se contenter d’opposer à ces objections la x même réponse que G. H. Darwin oppose à ceux qui veulent que l'intérieur de la Terre soit aussi gazeux!: 7 «Les données nous manquent sur les propriétés mécaniques de la matière å des températures atteignant p. ex. 10000 Fahrht. et sous des pressions pouvant s'élever à bien des tonnes par pouce carré. N'est-il pas possible qu'un pareil «gaz» ait la densité du mercure, avec la rigidité et la ténacité du granite?» Comme on le sait, Kelvin et Darwin concluent de leurs recherches concernant l'existence de marées dans la masse terrestre, que la rigidité effective de la Terre doit être au moins comparable à celle de l'acier. 1 G. H. Darwin, On the stresses caused in the interior of the Earth by the Weight of Continents and Mountains, Phil. Trans., Vol, 173 Part I, p. 219 1882. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 149 Chapitre VI. Résumé et conclusions. 43. Nos études sur la constitution du Soleil nous ont, comme nous l'avons vu au chap. V, conduit å cette conclusion que, dans l’intérieur du Soleil, sous une photosphère relativement mince, révolue un noyau essentiellement solide, avec une période de révolution de 25i148. Suivant nous, c'est en premiere ligne les taches et les facules du Soleil qui témoignent de l'existence d’un pareil nucléus. On pourra trouver prématuré de vouloir dès maintenant essayer de tirer les conséquences de ce résultat, tant qu’on n’aura pas eu l’occasion de le contrôler après quelques maxima de taches, peut-être en 1906 et en 1918. Une semblable réserve semble d’autant plus motivée, qu'il semble bien difficile de concevoir comment, dans l’hypothèse d’un pareil noyau — même avec une température des plus élevées — entouré d’une masse gazéiforme comme la photosphère et la chromosphère, on peut expliquer le fait d'un rayonnement comme celui du Soleil, fournissant une force de 14 chevaux-vapeur par cm? de sa surface depuis bien des millions d'années. D’après les recherches de Kelvin et d’Helmholtz, on est en effet forcé de renoncer à l’idée qu’une notable portion de ce rayonnement puisse être compensée par la chaleur engendrée par influx météorique dans l'atmosphère du Soleil. Et si la chaleur n’est pas regeneree sur le Soleil par une action quelconque venant du dehors, elle devrait être sans cesse puisée à un puissant réservoir intérieur; mais ce qui semble bien énigmatique, c’est la façon dont ce transport de chaleur pourrait être effectué avec une rapidité suffisante du nucléus solide a la photosphere. 150 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. Il est vrai qu'un examen attentif de la marche du refroidissement dans un globe solide incandescent suspendu dans l'espace et entouré d'une enveloppe gazeuse, n’est actuellement pas réalisable; la question se soustrait à l'analyse mathématique; mais il est cependant possible de reconnaitre qu'un nucléus solaire solide doué d’une capacité calorifique moyenne, et qui, rien qu’en cédant sa chaleur interne, pourrait subvenir au rayonnement permenent de notre Soleil, devrait avoir une température de tant de millions de degrés et une conductibilité, mesurée en fonction de sa capacité calorifique par unité de volume, tellement supérieure à celle de l'argent, que bien des physiciens se croiront le droit de révoquer en doute la simple possibilité de l'existence d'un pareil nucléus, ou de la déclarer en contradiction avec toutes les analogies naturelles. Mais, dans notre appréciation, nous n’avons pas tenu compte de la | contraction du nucléus par suite de son refroidissement; et si l’on veut rendre les calculs applicables, il est nécessaire de faire entrer en ligne de compte l’equivalent-Joule du travail effectué dans les masses soumises à la contraction par suite de la gravitation réciproque de leurs différentes parties. Or, ce travail est si énorme, qu’il suffira assurément pour changer du tout au tout les résultats suspects de l’appréciation ci-dessus. La grandeur du travail effectué par contraction d’un dixième %o sur le diamètre du Soleil, si l’on suppose sa densité partout uniforme, sera, comme Helmholtz Va prouvé, près de 12000 fois plus grande que la quantité de chaleur rayonnée annullement par le Soleil, si l’on suppose la «constante solaire» égale à 3 calories. Mais même au cas où, vis-à-vis de l'hypothèse d'un nucléus solide dans le Soleil, des considérations théoriques conduiraient à certaines singularités, il importe de se bien rappeler que nous ne savons jusqu’à présent rien des propriétés de la matière sous des pressions de centaines, ou même de milliers de tonnes par cm? et sous des températures comme celles que nous avons signalées. Les lois naturelles que nous connaissons, et qui touchent à des questions comme celles qui se présentent ici, n’ont pas des racines assez profondes pour qu'il y ait lieu d'admettre que leur application en pareil cas puisse nous fournir à beaucoup près une idée même approximative du véritable état des choses. Le parti le plus prudent auquel on puisse pour le moment s'arrêter dans la circonstance, est d'attendre au commencement du prochain siècle pour voir si les taches et les facules qui apparaitront alors se Jaissent reporter au même nucléus hypothétique auquel j'ai ramené 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 151 les taches du Soleil pour les périodes 1858—64, 1880—86 et 1892—95 de telle sorte qu'on en tire l’image d'une configuration s’accordant dans ses grands traits avec celle que j’ai déduite de mes recherches. En tout cas, ma méthode fournira un résultat certain et décisif. Si donc ce résultat futur est conforme à celui trouvé par moi, il faudra, comme nous avons déjà si souvent dü le faire, modifier l’idée que nous nous faisions des propriétés de la matière, de façon à la mettre d'accord avec les nouveaux faits. En ce qui me concerne, je suis convaincu que la vérité se cache derrière les résultats auxquels nous sommes déjà arrivés dans le chapitre précédent; il me parait donc qu’il y a tout lieu d’en tirer les consé- quences les plus immédiates, d'autant plus qu’elles permettent d'expliquer d'une façon satisfaisante un des phénomènes les plus grandioses de la nature — les étoiles a éclat variable. 44. Les étoiles variables et à apparition subite. — Si l’on examine les différentes hypothèses qui ont été mises en avant au sujet des étoiles variables, il semble que celle qui veut qu'on cherche la cause principale des variations si singulières de leur éclat dans leur état phy- sique même, soit celle qui réunisse le plus de partisans. Cependant, aussitôt qu’il s’est agi d'expliquer de plus près l’état physique des étoiles, qui pour certaines d’entre elles se traduit par des variations périodiques de leur éclat, on ne peut pas dire que les tenta- tives faites dans ce but aient été couronnées d’un succès indéniable. Dans cet ordre d’idées, une des tentatives les plus connues est celle de Zöllner (hypothèse des scories). Dans son ouvrage, «Photometrische Untersuchungen», Zöllner exprime Yopinion que les phénomènes offerts par les étoiles variables sont dus à la rotation de pareils soleils, où la formation de scories est déjà en pleine activité. L'expérience montrant que la courbe des variations lumineuses d’une étoile monte bien plus rapidement vers ses maxima qu’elle ne descend vers ses minima, indique suivant l'opinion en question l'existence d'une certaine relation entre les formations de scories, et le sens de la rotation des étoiles variables. Grâce à une hypothèse bien ingénieuse assurément, mais qui ne laisse pas d’être assez artificielle, Zöllner réussit à fournir l'explication du fait précité. Les étoiles à apparition subite sont dues suivant lui à de violentes éruptions sur d’anciens soleils obscurcis. Si, pendant une pareille éruption, 152 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. une partie seulement du corps céleste obscur se trouve inondée par les masses incandescentes, il se produit alors une étoile nouvelle qui sera en même temps variable, en raison de sa rotation. «Il se peut d’ailleurs aussi, lorsque la croûte n'est pas encore trop épaisse, que de pareilles éruptions se réitèrent à intervalles assez rap- prochés, et qu’il en résulte alors des étoiles à éclat très-irrégulier, comme l'étoile nouvelle du Cygne en 1600, Mira de la Baleine, ou 7 d’Argus.» Comme on le voit, Zöllner explique ici la variation régulière de l'éclat d'une certaine façon, et les variations irrégulières d’une façon tout-à-fait autre, en admettant des éruptions fréquemment réitérées, dont l'existence n'est d’ailleurs nullement motivée: l’hypothèse semble donc être faite essentiellement pour les besoins de la cause. Une autre théorie visant à l'explication des phénomènes des étoiles à éclat variable a été émise par Klinkerfues dans un mémoire «Über den Lichtwechsel der Veränderlichen», dans les «Göttinger Nachrichten» de 1865. Il invoque dans ce travail la possibilité d’expliquer les variations lentes d’éclat dans les étoiles variables rouges appartenant en général à la 3ème classe spectrale, comme étant dues à l’action de marées qui peuvent se produire dans les étoiles doubles, en raison d'attractions mutuelles de leurs atmosphères réciproques. Cette hypothèse a pendant longtemps attiré assez peu l'attention, et surtout parceque lon a n’a pas jugé assez plausible l'existence d'étoiles doubles suffisamment rapprochées. Mais maintenant que l’on explique d'une façon satisfaisante tous les phénomènes présentés par Algol en admettant que c’est une étoile double, où les centres des deux étoiles sont excessivement rapprochés, on peut dire que cette objection à l’hypothèse de Klinkerfues se trouve levée du même coup. En partant de cette hypothèse, et en l’appliquant au cas le plus simple, celui où la trajectoire du satellite couperait la ligne joignant le centre de l'étoile principale à l'œil de l’observateur, la variation d'éclat tiendrait à ce que l'épaisseur totale de la couche absorbante est plus grande à la conjonction, et plus faible à la quadrature. Il semble cependant impossible de comprendre comment l'on expli- quera, dans cette hypothèse, la croissance rapide de l'éclat aux approches d'un maximum, et sa réduction lente aux approches d'un minimum. Il ne semble pas non-plus qu’elle puisse rendre suffisamment compte de changements d'éclat aussi considérables, p. ex., que dans y du Cygne, passant de la 4ème å la 13ème grandeur, ou aussi lents que dans l'étoile du Navire. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 153 En se basant sur la théorie de X/inkerfues sur les étoiles variables, M. Wilsing a émis une hypothèse pour expliquer la formation d'étoiles nouvelles +. Il admet que ces dernières doivent aussi leur apparition à l’existence d'un «satellite». «En admettant que lors de son passage au périhélie d’un satellite se mouvant suivant une trajectoire très-excentrique, l'atmosphère de l'étoile soit l’objet d’une déformation d'un ordre de grandeur comparable à sa hauteur même, une partie de la surface de l'étoile se trouvera mise à nu, et il en résultera par suite un éclaircissement considérable du spectre continu». Afin pourtant d'expliquer certains résultats spectroscopiques dis aux recherches de M. Vogel sur l'étoile nouvelle du Cygne (Berichte d. Berl. Akademie, 1877) Wilsing admit, outre la disparition de la couche atmos- pherique absorbante sur certaines parties de l'étoile, la production de violentes éruptions de masses gazeuses incandescentes provenant de l'intérieur de l'étoile, et suivant lui ces éruptions seraient également imputables à l’action du satellite. Je ne sais pas si M. Wilsing s'est rendu un compte quelconque de la rigidité colossale qu’il faudrait supposer à l’intérieur d'une pareille étoile, pour qu'il ptt être question de provoquer dans l'atmosphère stellaire, grâce à ces forces perturbatrices, des effets de marée suffisants pour mettre à découvert une partie de la surface interne de l'étoile. En réalité, l'hypothèse de Klinkerfues est même tout-à-fait inad- missible, aussi longtemps qu’on prétendra que l'intérieur des étoiles est fluide. Outre ces deux hypothèses, il y en a encore plusieurs autres. C'est surtout depuis la découverte de l'étoile nouvelle du Cocher (1892) qu'on a émis de nouvelles hypothèses sur la formation de «nouvelles étoiles», hypothèses dont aucune cependant ne parait propre à expliquer d'une façon tout-à-fait satisfaisante tous les beaux faits relevés par divers observateurs à l’aide de l’analyse spectrale, faits qui d’ailleurs, dans la circonstance, forment un ensemble des plus compliqués ?. Le spectre de cette étoile prouvait cependant avec une complète certitude qu'on avait ici affaire å deux corps célestes au moins, se 1 Wilsing: «Ueber den Lichtwechsel Algols» etc. Astr. Nachr. Vol, 124, p. 121 — 1890. 2 Vogel, dans son mémoire «Ueber den neuen Stern im Fuhrmann», Abh. der k. Akad. d. Wiss. zu Berlin 1893, rend compte des observations qu’on a faites et des hypothèses qu'on a émises, 154 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. mouvant l’un vers l’autre avec une vitesse relative formidable. Nous reviendrons plus tard sur les faits relatifs à cette étoile. Ce qui semble jusqu'ici être la règle générale dans toutes les tenta- tives faites en vue d'expliquer les phénomènes relatifs aux étoiles nou- velles ou variables, c'est qu'on attribue à des éruptions survenant à leur surface un rôle plus ou moins décisif dans la marche des phénomènes, Quel est d’ailleurs l’état physique spécial aux étoiles, et propre à occasionner ces éruptions périodiques si violentes, c'est ce que personne encore n'a réussi à nous dire. Il est du reste malaisé de comprendre comment une explication serait possible, aussi longtemps qu'on érigera en dogme que le Soleil et probablement aussi, par conséquent, toutes les étoiles lumineuses, sont nécessairement et de part en part, fluides ou gazéiformes, et se trouvent à peu près en équilibre convectif de température. Chose bien significative, tous les savants qui ont essayé de recourir au calcul exact pour traiter les différentes questions relatives au Soleil et aux étoiles, ont admis que la matière constituant une étoile, se comporte comme un gaz parfait en état d'équilibre convectif. Les choses se passeraient bien différemment, si l’on voulait admettre qu'au moins certaines étoiles ont un noyau d’une température immensé- ment élevée, et qui est pourtant solide par suite de la pression. Dans de pareilles circonstances, des éruptions périodiques deviennent une nécessité. Jusqu'ici, il est vrai, on n'a pas de faits expérimentaux prouvant directement que sous l'effet de la pression, les corps puissent prendre l'état solide à une température quelconque. On est plutôt porté à dire que l'expérience prouve le contraire. Toutefois notre expérience se borne à des faits où la pression est excessivement basse comparée à celles dont il peut s’agir sur le Soleil et les étoiles, et il est donc imprudent de proclamer, en se basant sur elle, l'impossibilité d'un nucléus solide dans le Soleil ou les étoiles. Dans l'équation de v. 2. Waals sur l'état des corps liquides, il fait entrer en ligne de compte l'hypothèse que le volume d'un liquide ne peut descendre au-dessous d'une certaine limite sans qu'en même temps la mobilité des parties se trouve supprimée; ce volume limite est sup- posé de plusieurs fois supérieur au volume total de toutes les molécules du corps considéré. La pression nécessaire pour amener une quantité donnée de liquide à ce volume limite, serait suivant v. d. Waals, infiniment grande; il admet, en d'autres termes, que ce volume limite ne peut jamait être atteint. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 155 Peut-être n'est-il, somme toute, pas téméraire d’admettre que, pra- tiquement parlant, cette limite puisse étre atteinte, si l’on pouvait dis- poser de pressions suffisamment élevées. Lorsqu’en effet, dans ce qui précède, nous disions que le nucléus solaire doit être solide, nous avons seulement entendu dire par la, (c'est un point sur lequel nous avons insisté plusieurs fois) que la matière du nucléus conserve la même répar- tition et des propriétés à peu près invariables pendant des séries d'années. — Si une pareille pression limite existe, pratiquement parlant, elle doit probablement dépendre de la température et s’accroitre avec elle. Comme on le sait, la température de fusion de la plupart des corps, notamment de tous ceux qui augmentent de volume lors de la fusion, subit un accroissement connexe à celui de la pression. Dans sa théorie thermodynamique, James Thomson a admis que cet accroissement est proportionnel à celui de la pression. Notre hypothèse voudra donc dire, quant à ces corps, que chez eux, la température de fusion croît bien plus rapidement que ne le veut la loi de Thomson, lorsqu'il s’agit de pressions énormes. Et pour les corps qui normalement se contractent par la fusion, notre hypothèse veut dire qu'ils se comportent normalement comme le feraient les pre- miers sous des pressions suffisamment élevées. Si de telles hypothèses étaient admissibles, bien des faits inexpliqués jusqu'ici, relatifs au Soleil et aux étoiles en général, deviendraient bien autrement faciles à interpréter. Si nos conclusions antérieures relativement au nucléus solaire se vérifient, la pression doit être déjà suffisamment forte à une faible pro- fondeur au-dessous de la surface pour que les masses contenues à l'inté- rieur aient pris la forme solide. Il ne peut dès lors plus être question d'un équilibre à peu pres convectif de température, avec transport de chaleur par des courants allant des parties centrales du Soleil vers sa surface. Le seul mode à nous connu, suivant lequel, en ce cas, la chaleur puisse être transmise de l’intérieur du nucléus vers sa surface, est néces- sairement la conductibilité. Mais on peut se représenter aussi la possi- bilité d’un transport de chaleur par d’autres voies dans des matières présentant une pareille constitution. Si, en supposant que le chaleur soit exclusivement propagée par la conductibilité du nucléus, et en ne tenant compte d’aucun travail de contraction, on cherche à se rendre compte par le calcul de toute la quantité de chaleur qui rayonne dans l’espace, après avoir été émise 156 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. par la surface du Soleil, en admettant que cette chaleur provienne de l'intérieur, on sera forcé de conclure que la température moyenne du nucléus est énormément supérieure à celle de la photosphère, et son pouvoir conducteur immense. — Supposons tout d’abord que nous ayons affaire à une étoile éteinte dont la surface soit recouverte d’une couche obscure, en raison de ce que son rayonnement vers les espaces cosmiques, pendant sa période lumineuse, est devenu supérieur à la quantité de chaleur transmise du nucléus solide de l'étoile a sa photosphère, alors qu'il y en avait une. On comprendra aisément que ce nucléus peut pourtant encore avoir eu une température moyenne extraordinairement élevée, si l’on se re- porte aux calculs et aux considérations publiés par Kelvin, en ce qui concerne le globe terrestre, dans son célèbre ouvrage: «On the secular cooling of the Earth». D'après lui, en supposant que l’intérieur d'un globe solide comme la Terre ait été à l’origine porté à une température de plusieurs milliers de degrés, puis que ce globe ait été exposé au refroidissement par rayonnement vers les espaces cosmiques, p. ex. pendant un milliard d'années, les masses dont la profondeur est supérieure a 1000 kilom. n'auraient pourtant encore perdu alors qu'une partie insignifiante de leur chaleur. Voici maintenant comment on peut s’imaginer qu'a eu lieu l’extinc- tion de l'étoile dont nous parlions tout-a-l’heure. Après que l'écorce extérieure du nucléus primitivement solide est refroidie jusqu'à une profondeur suffisante pour qu'il puisse s’y déposer des masses figées provenant de la photosphère, masses qui par suite de la pression, ne seraient pas restées solides à cette profondeur, aux températures existant plus avant vers l’intérieur du nucléus, le réservoir intérieur de chaleur se sera trouvé de mieux en mieux protégé contre les pertes vers le dehors, à mesure que la solidification des masses photos- phériques a progressé, et plus cette isolation est devenue parfaite, plus toute la photosphère s'est rapidement figée, l'étoile devenant obscure, et sa surface se refroidissant de plus en plus. Mais la chaleur provenant du réservoir intérieur de chaleur se pro- pagera de plus en plus de dedans en dehors et échauffera de plus en plus les couches extérieures, jusqu'au moment où celles-ci ne pourront plus garder l'état solide. Admettons d'abord, pour plus de simplicité, que l'étoile soit com- posée de couches régulières et concentriques, de telle sorte que toutes 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 157 ses constantes physiques soient des fonctions du rayon vecteur seul. Dans ce cas, il se produira donc une fusion régulière du dedans vers le dehors des couches comprises entre le nucléus toujours solide, et la croûte extérieure figée; peu à près ces masses fondues réclameront plus de place et peut-être au début se borneront-elles à provoquer et à remplir quelques fissures dans la croûte solide. Mais un jour vient, où cette croûte est devenue trop mince pour rester flottante sur les masses fondues: une catastrophe va se produire et on va voir apparaître une «étoile nouvelle». Toutefois, celle-ci ne pourra pas briller longtemps, les quantités de chaleur émises par rayonnement étant trop considérables. La quantité de chaleur, p. ex., rayonnée annuellement par le Soleil, équivaut à la chaleur latente qui serait développée par la solidification, sous forme de basalte, d'une mer de lave d'environ 6000 kilom. d'épais- seur, recouvrant toute la surface du Soleil. La catastrophe à laquelle nous faisions allusion, se traduisant par l'apparition d'une étoile nouvelle, pourrait évidemment être précipitée par diverses causes. Il est permis de penser que des forces perturbatrices émanant d’un corps céleste voisin peuvent causer un dérangement assez grand pour donner le branle à une éruption. Il en résultera, cela va de soi, des marées dans la lave fondue, et lorsque que le flot rencontrera des barrières solides, la catastrophe se produira bien plus vite qu’elle ne lett fait sans cette intervention de forces perturbatrices venant du dehors, Pour la dernière étoile nouvelle du Cocher, il est certain, comme nous l’avons déja signalé que le moment de «l'allumage» a été précipité par une grande étoile assez obscure qui a passé avec une vitesse énorme à une distance relativement faible de l'étoile «nouvelle». Je m’appuie ici principalement sur l'hypothèse émise par Hug-gins relativement à cette étoile, et basée sur ses recherches spectrales qui ont prouvé qu'au moment en question un corps céleste s’eloignant de nous et émettant des lignes lumineuses, s’est trouvé à proximité d’un autre corps se rapprochant de nous et émettant un spectre continu avec des bandes obscures. Les objections qu’on a opposées à l’hypothèse d’Huggins, suivant lesquelles les forces perturbatrices exercées réciproque- ment par les deux corps célestes l’un sur l’autre n’ont pu, par suite de leur vitesse immense, provoquer de marées notables que pendant quelques heures, ces objections sont réduites à néant, si la cause de l’éruption a été celle supposée par moi. Dans ce cas, il n’est pas même nécessaire que les deux corps célestes aient été si rapprochés qu’on l’a admis jusqu'ici our que la q q » P 158 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. catastrophe ait pu être déchainée par l’action perturbatrice réciproque des deux corps. Dans le cas que nous venons d'examiner, nous avons considéré une étoile déja éteinte, et nous pouvons maintenant, en raisonnant dans l'hypothèse d’un nucléus solide, mais excessivement chaud, dresser en quelque sorte son horoscope. Après avoir fait sa réapparition, elle finira par s'éteindre de nouveau, pour revenir plus tard sous forme d'étoile nouvelle et ainsi de suite. Je crois parfaitement possible qu'il lui faille des milliards d'années pour arriver au repos complet, mais le temps qui s'écoulera entre deux apparitions deviendra de plus en plus long et se comptera peut-être finalement par centaines de mille ans. Nous avons supposé qu'une étoile s’éteignait parce qu’elle émettait sa chaleur rayonnante plus vite que son nucléus solide, son réservoir de chaleur, ne pouvait la lui fournir; par suite, la photosphère se solidifiait en formant une couche relativement isolante autour du nucléus. Il est clair d’ailleurs qu'une pareille solidification de la photosphère peutétre partielle, sans que l'étoile s'éteigne nécessairement. En effet, lorsque l'étoile, alors que sa photosphère n'est figée dans aucune de ses parties, laisse rayonner plus de chaleur qu'il ne lui en est apporté de l’intérieur, une partie de la photosphère devra nécessairement se solidifier et se déposer sur le nucléus solide: mais comme, en raison de cette inter- calation d’une couche isolante, la photosphère extérieure rayannante va recevoir encore moins de chaleur qu'auparavant, elle se figera de plus en plus, et le pouvoir lumineux de l'étoile ira en diminuant. Cependant les couches déposées recommenceront à fondre sous l'influence de la chaleur émise en abondance par le noyau, chaleur qui ne se communique maintenant que faiblement à la photosphère. La solidification des couches vers l'extérieur sera donc suivie de leur fusion par le dedans. Et suivant que cet apport de chaleur sera plus ou moins rapide, il faudra à la fusion un temps plus ou moins grand pour l'emporter sur la solidification. Cela devra finir un jour par une catastrophe, qui brisera la croûte, les couches inférieures surchauffées de la photosphère se mélant alors aux couches supérieures refroidies, et l'étoile ne tardera pas à briller de son plus vif éclat. Le rayonnement moyen de l'étoile pendant toute une période sera alors approximative- ment égal à la chaleur qui lui est apportée du dedans pendant la même période, Dans ce qui précède, nous avons, pour plus de simplicité, admis que l'étoile se compose de couches concentriques homogènes. Mais il va 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 159 sans dire que rien ne s'oppose a ce qu'on puisse appliquer les mêmes raisonnements a des cas moins symétriques. Si, par exemple, la photosphère reçoit la chaleur du nucléus plus lentement dans certaines parties que dans d’autres, il parait clair que les masses figées se concentreront de préférence autour des premières de ces parties. Il n'est pas dit non-plus que Zoxzes les croutes ainsi formées soient destinées à se briser et à s’immerger simultanément sur toute la surface de l'étoile: il est probable cependant que les révolutions principales se produiront par groupes, à la suite du dérangement considérable qui a lieu dans l’équilibre de la photosphere, une fois qu'il y a eu rupture et immersion d’une grande étendue de croûtes. De plus, lorsque de grandes perturbations de cette nature ont com- mencé à se produire, la photosphère redevient pendant un certain temps si brülante, que les croûtes cessent de s’y former, tandis que les croûtes restantes, non-encore fracassées, s'amincissent de plus en plus par fusion du côté de l’intérieur. Dans ce cas, il se pourra que les changements aient un caractère moins prononcé que nous ne l’admettions tout-à-l’heure, dans le cas ou l'étoile serait composée de couches concentriques homogènes; mais il y aura toujours des alternatives continuelles. Si l’on conçoit les étoiles variables comme je viens de le faire, il est facile de comprendre comment il se fait que leur éclat augmente plus rapidement vers les maxima, qu'il ne diminue au voisinage des minima. On voit aussi sans peine pourquoi les variations d’éclat de pareilles étoiles peuvent être irrégulières, en effet, au moins lorsque les phéno- mènes ont une évolution lente, une grande place est laissée au hasard, en ce qui concerne le moment précis où il y aura dislocation de la croûte obscure. Très-probablement, les étoiles variables à période régulière ont un satellite décrivant autour d’elles une trajectoire un peu excentrique: la catastrophe se produit alors lorsque le satellite se trouve au plus près de l'étoile. Cette hypothèse est d'ailleurs justifiée, maintenant que l'astronomie connait des milliers d'étoiles doubles. On peut d’ailleurs supposer aussi que les catastrophes successives d'une étoile a variations fréquentes d'éclat peuvent se suivre à termes assez réguliers, en raison de causes internes, et qu’il n’est pas nécessaire d'admettre qu'il y a un déchainement dû à des circonstances extérieures, Si l'hypothèse qui vient d’être faite sur la constitution intime des étoiles est correcte, il s’ensuivra que les étoiles à variations considérables 160 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. sont, à n'en pas douter, des étoiles séniles, ce qui semble bien con- firmé par la couleur rouge qu’ont la plupart d’entre elles. Passons maintenant à notre propre Soleil, pour essayer de voir si les circonstances de la période undécennale ne se laissent pas expliquer d'une façon analogue à celle exposée plus haut pour les étoiles variables. Quoique la preuve n’en soit pas faite, on doit considérer comme probable que les changements périodiques qui ont lieu à la surface du Soleil sont accompagnés de variations simultanées de la chaleur émise par sa surface. L’exactitude avec laquelle on a pu jusqu'ici mesurer cette chaleur n'est en tout cas pas assez grande pour que cette possibilité soit exclue. La variation d'éclat étant donc en somme peu considérable, il ne doit toujours pas, suivant notre conception, se produire actuellement solidification simultanée des masses de la photosphére sur foute la surface du nucléus solide. De pareilles formations de croûtes ne doivent avoir lieu que sur de faibles étendues de ce nucléus, celles où par suite de circonstances locales et spéciales, la chaleur apportée de l’intérieur est relativement inférieure a la moyenne. Mais si des concrétions ont commencé à se former dans une région donnée, elles devront avoir une tendance à se continuer, les couches formées établissant une isolation toujours meilleure contre la chaleur venant de l'intérieur. Toutefois, tout comme nous l'avons déjà exposé pour les étoiles variables, l'intérieur du nucléus finira par envoyer aux couches solidifiées de la photosphère une chaleur qui ne les laissera plus conserver l’état solide, même sous les pressions qui règnent. Il se forme ainsi des cavernes sans cesse croissantes, remplies de matières en fusion. Finalement, l'écorce entourant extérieurement ces cavernes se brise, et elle est submergée, tandis que les masses photosphériques de formation nouvelle, et qui sont surchauffées, montent avec violence, en partie sous forme de vapeurs. Voilà donc nos centres d’eruption, ces volcans que nous nous re- présentions dans les recherches précédentes comme produisant les facules et les taches. Il est clair que la délicatesse de construction de pareils volcans doit être si grande, que des marées même assez minimes de ces masses enkystées doivent pouvoir suffire à déchainer les éruptions. Et du moment où on conçoit ainsi les choses, rien n’est plus naturel que d'admettre que notre système planétaire exerce une influence sur la 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR: ORIGINE. 161 - formation des taches solaires, ainsi que j'ai cherché à l’etablir dans la première partie de ce travail. Les résultats auxquels nous sommes alors arrivés sont de nature telle qu'ils ont besoin d’être confirmés; il est donc indispensable de continuer ces recherches, et certainement ma méthode va pouvoir aboutir à des résultats décisifs. Pour ce qui est de la période undécennale, ses causes ne peuvent faire l’objet d'aucun doute, si l’on admet les opinions développées précé- demment: elles remontent pour une part essentielle à des faits concernant l'intérieur du Soleil. Voici probablement comment les choses se passent: la catastrophe une fois commencée dans certaines grandes régions plus spécialement volcaniques, elle se produira dans d’autres, soit immédiatement, par suite du dérangement provoqué dans les masses par ces perturbations violentes, soit, et surtout, au bout de quelque temps, lorsqu’en raison des masses surchauffées vomies en abondance, le dépôt de masses soli- difiées cesse d’avoir lieu à proximité des autres volcans, chez lesquels l’eruption ne tardera pas a se produire aussi, puisque au-dessus d’eux la croûte solide continue toujours à s’évider. Quand toutes les cavernes auront ainsi sauté, il n’y aura plus, pendant un certain temps, formation de croûtes solidifiées. Mais bientôt l'émission de chaleur rayonnée du Soleil vers l’espace est telle que la formation des croütes recommence et que le même processus est remis en train pour une période nouvelle. L’explication de l’origine des taches solaires donnée dans le présent travail ne permet pas immédiatement de saisir la raison pour laquelle les taches se forment dans deux zônes parallèles au voisinage de l’Equa- teur. J’avouerai même que pour l'instant, je ne vois pas d'explication plausible de ce fait. On réussira peut-être à la fournir, lorsqu'on aura résolu le problème consistant à calculer la profondeur en chaque point d’une masse gazéiforme soumise à un mouvement de rotation, comme la photosphère autour du nucléus solide considéré comme un sphéroïde de révolution, avec une période de 251148. Il n'est pas non-plus défendu de croire que le phénomène en question peut provenir de courants verticaux dans la photosphère ou d’une influence planétaire. Nous avons, dans ce qui précède, décrit la forme des centres d’eruption du nucléus solaire qui, suivant nous, donneraient naissance aux taches du Soleil. On peut admettre aussi, dans les conditions existantes, qu'il peut y avoir une autre espèce de centres d’éruptions; je veux parler de centres qui seraient analogues à nos geysers. Vid.-Selsk. Skrifter. Hist.-filos. Kl. 1899. No. 1. 11 162 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. Dans des cavités à étroite embouchure existant dans un sous-sol infusible, il peut en effet y avoir accumulation de masses relativement très-fusibles qui, étant surchauffées par une source interne, peuvent donner lieu à de véritables explosions geysériennes. Pour finir, quelques mots sur l'avenir probable du Soleil. Si les opinions émises dans mon travail sur la constitution de Soleil sont exactes, il semble possible qu’en continuant pendant des siècles l'étude du Soleil avec ses taches et ses facules, nous tirerons finalement dans une certaine mesure l’'horoscope de cet astre. En répondant à des questions comme celles-ci: L’aire totale des taches solaires augmente-t-elle dans la suite des siècles? La période de 11 ans voit-elle augmenter sa durée? «La constante du Soleil» est-elle variable? etc. on finira assurément par avoir la clef d’énigmes impor- tantes, Dans quel avenir plus ou moins éloigné le Soleil est-il destiné à devenir une étoile variable, avec variations considérables dans son éclat? Nous pourrons peut-être apprendre beaucoup par l'étude compa- rative de notre Soleil et des étoiles à éclat variable. Lorsqu'on connaîtra les variations séculaires de ces dernières et les lois présidant à l'émission de lumière et de chaleur par notre Soleil, on sera certainement bien près de pouvoir répondre à cette question. 45. Sur la formation de l'écorce terrestre. — Les conclusions et les hypothèses auxquelles nous avons été conduits en ce qui concerne les étoiles et le Soleil, en supposant qu'il existe un nucléus solide à l’inte- rieur de ce dernier, vont jusqu’à un certain point pouvoir s'appliquer å la Terre, pourvu que nous remontions suffisamment haut dans son histoire. Newton demandait déjà: «Le Soleil et les étoiles fixes ne sont-ils pas des grandes Terres véhémentement chaudes» etc.? — et toutes les recherches faites depuis lors ont répondu par l’affırmative. Nous supposerons donc que la Terre, elle aussi, avant de devenir solide à la surface, a eu un noyau intérieur solide d’une température moyenne énormément supérieure à celle des masses fluides de la surface. La Terre ayant ensuite commencé à avoir une croûte solide refroi- die, celle-ci a plus tard été brisée un très grand nombre de fois et ses débris noyés dans des masses éruptives venues de l’intérieur, éruptions qui ont cependant de plus en plus perdu de leur violence. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR .ORIGINE. 163 Les influences perturbatrices exercées sur la Terre par la Lune et le Soleil ont certainement déchainé chaque fois de pareilles éruptions dans une période relativement reculée, et elles auraient ainsi diminué con- sidérablement de violence; de sorte qu'il faut admettre que des révo- lutions complètes embrassant l’ensemble de la Terre ont cessé de se produire à des époques bien antérieures à nos périodes géologiques. Depuis que ces périodes ont commencé, c. a. d. depuis le début de de notre ère géologique, il y a eu sur la Terre, à plusieurs reprises, des éruptions volcaniques considérables, mais sur la question de savoir sil y a une périodicité quelconque dans ces éruptions, ou si, en tout cas, elles reviennent toujours à certains intervalles, les géologues ne se sont, que je sache, pas encore mis d’accord. M. Marcel Bertrand, p. ex., affirme qu'on peut constater une certaine périodicité régulière des éruptions, se rattachant à une certaine suite progressive dans les plissements de l'écorce terrestre. M. Hégbom exprime nettement qu'il croit å des éruptions volcaniques se représentant périodiquement sur la Terre; — tout comme les volcans ordinaires ont leurs périodes de variations avec alternances de repos relatif et d'activité intense, il lui semble que notre globe, pris dans son ensemble, ait manifesté à certaines époques géologiques une activité volcanique plus générale et plus grande, tandis que d'autres époques ont été marquées par une quiétude relative des forces volcaniques. ! Peut-être une expérience future, plus approfondie, de la formation des continents sera-t-elle propre à nous permettre de voir plus clair dans l’histoire de la Terre, en ses phases les plus reculées, et à nous fournir ainsi des matériaux d'appréciation sur les dislocations pério- diques de vieilles lignes de rupture accompagnées d’éruptions violentes. Signalons spécialement à ce point de vue les phénomènes présentés par le continent américain. Si les recherches géologiques conduisaient réellement à ce résultat général, qu'il y a eu effectivement, dans l’histoire de l’évolution terrestre, des périodes volcaniques toujours nouvelles, on peut dire que nous avons déjà une explication sous la main. Car, une fois admis qu’il s’est formé une croûte solide sur la Terre, le nucléus intérieur étant encore si chaud, que dans certaines couches superficielles, à supposer que le transport de la chaleur ait uniquement lieu par conductibilité, la température ait pu devenir supérieure au point de fusion des couches intéressées, il doit nécessairement s’étre produit ‘ Hügbom, Svensk kemisk tidskrift. T. VI, 1894. 164 KR. BIRKELAND. M.-N. KI. des éruptions réitérées pendant tout le cours du refroidissement progressif de la Terre, tout comme nous l’avons vu pour les étoiles nouvelles. Plus tard, il y a lieu d’admettre que ces éruptions ont pris un carac- tere de plus en plus local, et qu’elles n’ont plus eu lieu qu’en des points de l'écorce terrestre où par suite de circonstances naturelles, il y a avait encore une adduction suffisante de chaleur interne. Il est fort probable d’ailleurs que ces périodes de l’histoire terrestre, où il s’est produit des révolutions totales ou d’une très-grande étendue, et qui par suite sont plus aptes à servir ici de termes de comparaison, en vue d'éclairer ma théorie, se soustraient å nos investigations, faute de connaissances géologiques assez approfondies; car la roche fonda- mentale \a plus ancienne que nous connaissions n’a assurément rien de commun avec la croüte terrestre originale. En revanche, il est permis de croire que la géologie pourra nous renseigner sur une certaine périodicité dans les éruptions de nature relativement locale, comme celles qui ont contribué 4 donner aux diffé- rentes parties de notre Terre actuelle leur caractère spécial. Nos volcans actuels sont probablement situés au dessus de pareilles parties de la Terre, où se trouvent encore des réservoirs locaux de cha- leur ayant encore une température assez haute pour pouvoir provoquer une série d’éruptions sur une petite échelle, du genre de celles décrites plus haut. Il y a d’ailleurs encore sur notre Terre des phénomènes tendant A prouver qu'il existe une certaine mobilité dans certaines masses considé- rables situées dans l'intérieur et non-loin de la surface, mobilité qui se trouve peut-être en relation avec les phénomènes dont il est ici question. Je parle ici des soulèvements et des affaissements de diverses con- trées, se traduisant par les changements des lignes de côte. Pour ce qui est de la Norvège, ce phénomène a été étudié par plu- sieurs savants, en dernier lieu par M. Helland), et leur résultat peut être résumé comme suit: Les deux lignes de rivage qui ont un grand développement dans la préfecture de Tromsö et dans le fjord d’Alten, plongent sous la mer; pour ce qui est de la ligne supérieure, les vieux horizons sont partout et dans chaque localité, inclinés d’environ 3° par rapport à l'horizon actuel, tandis que pour la ligne inférieure, les vieux horizons sont en chaque point inclinés d'environ 1’ sur l’horizon actuel. ‘ Amund Helland, Strandlinjernes fald. «Norges geologiske undersøgelse» 1898. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR: ORIGINE. 165 La ligne de plus grande pente varie toujours de direction pour une de ces lignes comme pour l’autre, de façon à être à peu près perpendi- culaire å la ligne de rivage depuis le N. O. à l'O. jusqu’au N. à l'O. Il semble donc que le continent ait été soulevé à deux reprises, et qu'il ait pivoté plus ou moins autour de la ligne de rivage. Les recherches faites dans le sud du pays semblent prouver que cette partie du pays s’est affaissée pendant la période glaciaire, mais qu’elle a commencé à remonter, au fur et à mesure que rétrogradait la limite inférieure des glaces. La façon dont les phénomènes ont eu lieu est donc telle qu'on pourrait croire que la contrée ait nagé, pour ainsi dire, sur un substra- tum visqueux. Si un pareil substratum existe, ce ne peut assurément pas être pour l’instant une couche de bien grande épaisseur. Par les recherches si connues, auxquelles a procédé Lord Kelvin pour créer une base physique aux spéculations sur l’âge de la Terre, il a admis que l’état calorifique de la Terre, à l’époque où la croûte était justement en train de se se former, devait être à peu près comparable à celui d'une sphère solide, portée primitivement à une température de plusieurs milliers de degrés, puis exposée brusquement à des actions superficielles ayant à tout jamais ramené la surface à une autre tempé- rature donnée. Si, dans l’intérieur de la Terre, en raison de la pression énorme, il a existé un nucléus solide à température excessivement élevée, et que le refroidissement ait eu lieu de la façon admise dans le présent travail, l'hypothèse de Kelvin ne pourrait donc pas servir comme fondement à des appréciations concernant l’âge de la Terre. Si donc, en 1906, on trouve que mon hypothèse relative au Soleil se trouve vérifiée, il faudra essayer de nouveau de résoudre le problème important, mais excessivement difficile, consistant à évaluer sur des bases physiques la durée du temps depuis lequel des êtres vivants ont pu séjourner sur la Terre. 43. De la période de rotation du nucléus solaire comparée avec la période possible de certains phénomènes terrestres. Les taches du Soleil exerçant sans aucun doute une influence sur les aurores boréales, sur les phénomènes magnétiques, et probablement sur d’autres phénomènes de météorologie terrestre, il est assez naturel d’exa- 1 Thomson & Tait. Natural Philosophy, z2ième partie p. 475, 1883. 166 KR. BIRKELAND, M.-N. Kl. miner — et c'est ce qui a souvent été fait — s'il y a une rela- tion entre la période de rotation du Soleil, et celles des phénomènes terrestres. Jusqu'ici toutefois la période de rotation du Soleil n'était pas repré- sentée par un chiffre précis, mais seulement par un chiffre moyen fondé sur les différentes vitesses de rotation des masses de la photosphère autour de l’axe du Soleil. Mais du moment où l’on réussit à constater qu'il y a dans Vinté- rieur du Soleil un nucléus solide évoluant en 25/148, et que les taches et les facules sont dues a des centres d’éruption existant sur ce nucléus et conservant pendant de longs espaces de temps un caractére perma- nent, toutes les recherches faites å ces fins entrent dans une nouvelle phase. Si, en effet, les phénomènes terrestres dont il s’agit ont un rapport avec les éruptions solaires, les phénomènes en question doivent avoir une période de 27/008 — qui est le temps synodique de rotation com- mun aux centres d’eruption, mesuré de la Terre, Quand nous disons qu’un phénomène a une certaine période, au point de vue en question, nous voulons dire que si les valeurs numéri- ques caractérisant un phénomène donné pendant un long espace de temps se classent par séries avec une période de 27i008, et qu'avec ces rangées de chiffres pour point de départ, on construise un diagramme rendant compte de l’évolution moyenne du phénomène pendant lesdits 271008, ce diagramme accusera une certaine relation qu'il sera possible de préciser avec le diagramme des taches solaires cumulées sur le nucléus aux mêmes époques. Tout comme le diagramme des taches cumulées conserve la même forme d’une période à l’autre, de même la diagramme se rapportant au phénomène terrestre considéré aura, lui aussi, un caractère permanent. Comme on le sait, la manière de procéder, quand on veut établir la «période» des phénomènes terrestres, consiste à ranger les matériaux dont on dispose par périodes de différentes longueurs choisies. On établit sur ces bases une représentation de la marche du phénomène considérée pendant ces différentes périodes. Celle de ces images qui donne lieu à la plus grande «amplitude» dans la marche du phénomène, est alors supposée correspondre à la période cherchée, La plupart des amplitudes de ce genre, trouvées par différents sa- vants, ne sont cependant pas plus grandes qu'on ne devait s'attendre å les trouver, rien qu’en vertu de la loi des chances. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR, ORIGINE. 167 Dans un travail récemment publié, M. Schuster! a montré le danger qu'il y aurait à accorder trop de confiance à des conclusions tirées de pareilles recherches, et il est bien certain que les résultats contra- dictoires obtenus par les différents investigateurs indiquent clairement qu'il n’y a aucun rapport rationnel entre la qualité des méthodes appli- quées et l'extrême précision des résultats auxquels certains savants prétendent être arrivés. 47. L'état électrique de la Terre. — Au $ 2 de l'introduction, j'ai brièvement exposé l'hypothèse par laquelle j'ai cherché à expliquer la relation existant entre les taches du Soleil d’une part, les aurores boré- ales et les perturbations magnétiques de l’autre. J'ai admis que les parties supérieures de l’at- | mosphère solaire, surtout celles situées au dessus de taches, envoient dans les espaces cosmiques de puissants faisceaux de rayons cathodiques qui, lorsqu'ils ont une di- rection convenable vers notre Terre, sont l’objet d’une succion de la part des pöles magnetiques de la Terre, de telle sorte qu'ils ont leur maximum d'intensité dans ce qu’on appelle la ceinture maxi- mum des aurores boréales. Au debut, j’ai fonde cette opinion sur la re- marque faite par moi à la fin de 1895, que les rayons cathodiques peu- vent être «aspirés» par un pôle magnétique. ! A. Schuster, On the investigation of hidden periodicities with application to a sup- ‚osed 26 day period of meteorological phenomena, Terrestrial Magnetism, 1898. I YE g 168 KR. BIRKELAND, M.-N. KI. La fig. 3 ci-dessus rend compte d'une de mes premières expériences dans ce sens; c'est la reproduction de la photographie des phénomènes lumineux qui se produisent dans un tube de Crookes, lorsque ce dernier est disposé comme l'indique la figure par rapport à un électro-aimant cylindrique. M. Poincaré a traité ce phénomène au point de vue théorique! et a montré comment, conformément à la théorie des rayons cathodiques établie par Crookes, on peut expliquer la concentration des rayons telle qu’elle a été observée: il a démontré comme quoi, sous l'influence d'un pôle magnétique, chaque rayon doit, pour obéir à la théorie, suivre une ligne géodésique sur un certain cône de révolution. J'ai eu depuis lors occasion de reprendre la question et de la pour- suivre tant expérimentalement que théoriquement. ? J'ai ainsi réussi à montrer comment la théorie de Crookes suffit pouir expliquer complètement toute une série de phénomènes intéres- sants, qui peuvent être observés dans différents tubes de décharge, où les rayons cathodiques se développent sous l'influence magnétique précitée. Je suis actuellement occupé à contrôler mon hypothèse relative aux aurores boréales à l’aide de l’analyse mathématique, en considérant le Soleil comme centre d'émission des rayons cathodiques. Mes calculs visent à expliquer les propriétes pour ainsi dire géométriques des phé- nomènes auroraux savoir: 10, pourquoi les aurores boréales se produisent surtout dans une ceinture entourant le pöle magnétique, et qu’on appelle la ceinture maximum. 20, pourquoi elles se produisent surtout en nappes trés minces s’etalant dans la direction d’est en ouest (arcs d’aurore boréale). 30. pourquoi ces nappes se déplacent de nord en sud perpendicu- lairement à leur direction longitudinale, et 4°. pourquoi les aurores boréales ont une période diurne fortement marquée. Pour le moment, nous essaierons seulement de nous représenter quelle influence peut avoir sur l'état électrique de la Terre prise dans son en- semble une pareille succion des rayons cathodiques par les pôles magné- tiques terrestres, comme la suppose mon hypothèse sur les aurores boré- 1 Comptes Rendus 123, p. 930, 1896. 2 Archives des sciences phys, et nat, T. VI, p. 205, Genève 1898. 1899. No. 1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 169 ales, et d'examiner comment cette hypothèse s'accorde avec certains points difficiles subsistant encore dans la théorie de l'électricité atmosphérique. Quelles actions électriques de pareils rayons cathodiques aspirés des espaces cosmiques vont-ils exercer sur la surface de la Terre? C’est ce qui dépendra naturellement de la profondeur à laquelle ils atteindront dans l’atmosphère. Voici pour se représenter ces phénomènes une hypothèse qui aura l'avantage de nours suggérer aussitôt une voie nouvelle pour y pousser nos rechesches expérimentales. Nous pouvons supposer que lorsqu'il y a des aurores boréales dans la ceinture maximum, et grace à l'influence du magnétisme terrestre, les rayons en question, ou en quelque sorte leur continuation électrique, atteignent très-souvent la surface de la Terre. Que la lueur aurorale ne pénètre que fort rarement si bas dans Vair, c'est lå un fait qui n’a assurément rien de contradictoire; seulement pendant les aurores zéni- thales, la conductibilité de l’air très de la surface terrestre doit néces- sairement accuser la présence de ces rayons, s’il y en a. Des recherches sur ce point seront faites pendant l'hiver 1899—1900 par l'expédition norvégienne peur l'étude des aurores boréales. Si l'hypothèse émise plus haut est bien fondée, il faudra s’attendre à ce que les rayons aspirés chargent la Terre entière d'électricité néga- tive, tout-a-fait comme, dans l’expérience de M. Perrin, un faisceau de rayons Cathodiques pénétrant par un trou dans une capsule métallique creuse, où il rencontre un conducteur isolé, charge celui-ci d'électricité négative. Le courant de particules chargées négativement, dont on peut sup- poser théoriquement les rayons cathodiques constitués, doit probable- ment se manifester sous la forme d'un courant électrique vertical par- tant de la surface de la Terre et s’en éloignant. Comment ces suppositions s’accordent-elles avec les faits? C’est un fait expérimental acquis déjà par les premiers observateurs, que la Terre est, relativement à l’atmosphère, fortement chargée d’élec- tricité négative. Pendant la durée des aurores boréales dans les régions polaires, on a toutefois fréquemment observé que la chüte positive ordinaire de po- tentiel dans l’atmosphère a parfois diminué rapidement, et même cédé la place à une chüte négative de potentiel. Ce genre de phénomènes a 1 J. Perrin, Comptes Rendus, 1895. 170 KR. BIRKELAND. M.-N. Kl. été observé en 1882—83 par l’expedition polaire suédoise au cap Thord- sen (Spitzberg) et au Grönland par M. Vedel. Ces circonstances s'expliquent d’une façon naturelle, en supposant que dans leur course vers la Terre, dans les régions polaires, des rayons cathodiques chargent plus ou moins les couches mêmes de l’atmosphère d'électricité négative, et parfois si fortement, qu’elles deviennent néga- tives même par rapport à la surface de la Terre. Pour ce qui est de l'existence d'un courant électrique vertical de bas en haut pendant les aurores boréales, on peut dire que de pareils courants ont été constatés, tant directement qu’indirectement. Je citerai d’abord ici un passage du rapport sur l'expédition danoise de 1882—83, d'où il semble résulter que les aurores boréales dans les regions polaires sont accompagnées de courants verticaux ascendants: «M. Vedel a fait des observations magnétiques dans l'île de Danemark (g = 70° 27") À = — 26° 10’), dans le Scoresby Sound. Nombre de fois, M. Vedel a vu de petites draperies aurorales se mouvant avec une grande vitesse du sud au nord magnétique en dépassant le zénith de l’observatoire. A l'apparition d'un tel phénomène, M. Vedel a toujours observé l'aiguille. Les observations montrent que l'aiguille a constamment dévié vers l’ouest aux approches de l'aurore. Au moment où le phénomène dépassait le zénith, Vaiguille faisait des oscillations autour de la position qu'elle avait prise avant l'apparition de l’aurore, pour dévier à l’est quand l'aurore s'éloignait vers le nord. M. Vedel a fait une vingtaine d'observations sur l'effet de ces formes d’aurore sur l'aiguille, et ces expériences ont tou- jours donné le même résultat. Ces observations montrent que les rideaux auroraux sont parcourus par des courants électriques dont la direction est de bas en haut.» ! Le même résultat peut être tiré d'un tableau sur les perturbations dans la déclinaison de l'aiguille aimantée à différentes latitudes dressé par M. Wijkander, qui entre autres travaux, faisait des observations magné- tiques à Polhem au Spitzberg en 1872—73. Si l’on partage ces perturbations en perturbations occidentales ct orientales, on aura pour des 1 Adam Paulsen. Sur la nature et l'origine de l'aurore boréale p. 3—4. 1899. No.1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 171 Stations de latitude Perturbations occidentales Perturbations orientales moyenne Max Min. Max Min. Kewanee rape eels å 7h—14h 20h—22h 280 6b 16h TG MN 8h 20b—23h 22h sh—ı5h Philadelphie." 6h 20" 20h 8b— 14h Nertschinsk . . .. 8h_yoh 1gb—ıh » Å BÉRIN RME NME gb—_ııh 23b 2h » Stations de latitude septentrionale Port Kennedy . . .| 23b 24h 5h 20h gh—14» 20b—4h Point Barrow . . .| 24h 7h_j7h 8h 16h Polhem (Spitzberg) . 19 3h—r å 6h 18b—20h Les heures sont comptées de 0 à 24, suivant le temps de chaque station. L'opposition existant entre les perturbations, suivant que la latitude est septentrionale ou moyenne, est évidente. Ces déviations opposées de l'aiguille magnétique s'expliquent sur- tout facilement si l’on admet qu'entre les points d'observation situés å des latitudes moyennes, l’atmosphère a été parcourue par des courants électriques verticaux. Si maintenant, nous tenons compte de ce que le plus grand nombre d’aurores boréales dans la ceinture maximum se produisent à peu près entre 18" et 24h, il s’ensuivra qu’elles seront accompagnées de pertur- bations occidentales de la déclinaison, lorsque la latitude est septentrio- nale, et de perturbations orientales, lorsque la latitude est moyenne, et que par suite les courants supposés dans l'atmosphère doivent avoir été en s’eloignant de la Terre et avoir été dirigés de bas en haut. Ce qui semblerait militer contre l’hypothèse d’un pareil courant dans l'atmosphère, ce sont quelques remarquables expériences de M. Lemström. En 1882—83, M. Lemstrom établit à Sodankylä, au sommet d'une montagne, un système de pointes qui se trouvaient reliées les unes aux autres par conductibilité, tandis que le système ne communiquait avec le sol par conductibilité que par une plaque de retour au pied de la montagne. Un galvanomètre placé dans la conduite entre la terre et 172 KR. BIRKELAND, M.-N. KI. l'appareil à pointes constate l’existence d’un courant dirigé en général de l'atmosphère vers la terre. Dans des circonstances spéciales ce courant, pouvait être accompagné de colonnes lumineuses au-dessus de la place où l'appareil à pointes était établi. Ce qu'il y avait de remarquable dans le phénomène, c'était la force électromotrice minime avec laquelle le courant fonctionnait; un seul élé- ment de Daniell, placé convenablement, suffisait en effet souvent pour le retourner. Les expériences de Lemström semblent surtout prouver que dans les régions polaires et à de grandes altitudes, l'air a un pouvoir con- ducteur considérable; il semble douteux que ces courants aient plus de rapport avec les aurores boréales que n’en a p. ex. le feu Saint-Elme. Je reviendrai plus tard sur cette question, d'autant plus que comme chef de l'expédition norvégienne des aurores boréales pour 1899— 1900, ayant sa station sur la montagne de Haldde, près de Bossekop, à environ 1000" au dessus du niveau de la mer, j'aurai l’occasion de me livrer moi-même à des expériences à ce sujet. Revenons maintenant à notre hypothèse pour poursuivre encore l'idée que la Terre est chargée négativement par les rayons cathodiques aspirés des espaces cosmiques dans les régions polaires. Les charges négatives que la Terre peut recevoir dans ces régions, à différents moments et sur différents points, se répandraient en donnant lieu å des courants telluriques, la Terre et l'atmosphère formeraient un condensateur, le pouvoir conducteur des couches atmosphériques élevées ayant pour effet de produire une couche d'électricité positive au-dessus de la couche d’air isolante de densité maximum contigue à la Terre, tandis qu’il se formerait une couche sphérique correspondante à électri- cité négative aux limites extrêmes de l'atmosphére et vers le vide isolant des espaces cosmiques. Il existe réellement une pareille couche d'électricité positive au voisi- nage immédiat de la Terre, à en juger par les résultats obtenus dans ces derniers temps par des recherches aéro-électriques en ballon ou dans des observatoires de montagnes. En effet, la chüte de potentiel devient déjà presque insensible dès une hauteur d’un peu plus de 3000™ au- dessus du niveau de la mer, mais ne redevient pas négative à des alti- tudes plus grandes. Ceci n'est naturellement pas en désaccord avec les conclusions tirées de notre hypothèse, et suivant lesquelles, aux limites extrêmes de l'atmosphère, vers les espaces sidéraux, il y aurait une forte 1899. No.1. LES TACHES DU SOLEIL ET LEUR ORIGINE. 173 charge négative, car celle-ci, étant en état d'équilibre, ne serait apte å produire aucune action électrique vers l’intérieur. Jusqu'ici, aucune hypothèse n'avait réussi à rendre compte de la charge négative à la surface de la Terre, mais en la prenant pour point de départ, on pourra en conclure qu'il y aura, à titre secondaire, une tendance constante à la diminution de la chute de potentiel å la surface de la Terre par dissipation dans Vair de l'électricité négative du sol. Cette dissipation s’opére-t-elle avec l'assistance des vapeurs aqueuses contenues dans l'air, à peu près comme dans l'hypothèse de M. F. Exner, ou bien est-elle d’origine photo-électrique, ainsi que l’admettent MM. Arrhenius, Elster et Geitel ou est-elle encore produite d’une autre façon, c'est ce dont il est impossible de décider, tant qu’on n’aura pas exécuté de recherches plus exactes sur le pouvoir conducteur de lair. Si l’idée que j'ai émise est conforme a la réalité, la couche négative extrême entourant la Terre doit naturellement de façon ou d’autre, pro- bablement par les rayons cathodiques, se décharger dans l’espace, attendu qu’on ne peut admettre une accumulation prolongée. L Etat norvégien a généreusement accordé les ressources nécessaires pour construire deux petits observatoires sur la montagne de Haldde près de Bossekop, å I000™ environ au-dessus du niveau de la mer; il y a envoyé une expédition chargée de faire des observations sur l’électricité atmosphérique à des altitudes grandes et petites, en même temps qu'elle observera les aurores boréales et fera des observations magnétiques et météorologiques. Son but est essentiellement de rassembler des maté- riaux permettant de juger du bien fondé des idées que j'ai émises dans les pages précédentes. En terminant ce travail, je suis heureux de pouvoir témoigner ici ma plus vive reconnaissance à plusieurs jeunes étudiants, et tout spécialement å mon ami M. Helland-Hansen, pour l'assistance énergique et fidèle qu'ils m'ont prêtée pour le calcul de tous les chiffres qui ser- vent de base aux conclusions du présent mémoire. Imprimé le 31 janvier 1900, Errata. Pour simplifier les écritures dans le tableau de la page 116, tous les chiffres y sont multipliés par 100, ce qui par suite d’un oubli n’a pas été signalé dans le texte. Les nombres du tableau de la page 123 sont exprimés dans une unité arbitrairement choisie. re Fig. 1. Groupe 2409 2 Fig.4. Groupe 2679. Fig. 7. Groupe 2825. mp Fig. 2. Groupe 2530. 5 v Fig.5. Groupe 2685. Fig. 8. Groupe 2859. ? Fig.11. Groupe 2979. BT pica Fig. 3. Groupe 2639. É fig. 6. Groupe 2730. Fig. 9. Groupe 2912. ? Fig. 12. Groupe 3015. 5 EE 18 p Q 2 € 44 Q 24 Fig. | Groupe 3057. Fig. 2.Groupe 3059 Fig. 5.Groupe 3087. ? ee 9 2. | qp Q P ö ? 2 2 2} Se Fig.Groupe 3100. Fig.d. Groupe 3200. Fig.0. Grottpe 3290. 8 9 | ©, 2 ar à ? Fig.’7. Groupe 3340. Fig.S. Groupe 3380. QL Fig.10. Groupe 3509. Fig.M.6roupe 3582. Fig. 12. Groupe 3590 Fig.1.Groupe 3661, å 8 og Fig.4.6roupe 3807. Fig.7.0roupe 3888. Fig.10. Groupe 4060 3 PLM 5 u Zug 3 Fig 2.Groupe 3695. Fig.3. Groupe 3745. 2 Ea p 2 Ô a5) Fig.5.Groupe 3810. Fig. 0. Groupe 3827. 8 Ô Gp a ee Fig.8. Groupe 3893. Fig. 9. Groupe 3969. 5 g 2 8 Sp an 6 ca Fig. 11. Groupe 4087. Fig 12. Groupe 4784. PL IV Fig. 1. Diagrammes D et S pour la Terre. Fig. 2. Fig. 3. Diagrammes D, et S, pour Mercure. Fig. 4. Diagrammes D, et Sy, pour Mercure, Fig. 5 Diagrammes D, et S, pour Venus. a 2500 ae Fig. 6. Diagrammes D, et Sy pour Venus. Fig.7 Diagrammes D, et S, pour Jupiter Fig.8. Diagrammes D et Sy pour Jupiter Fig.8. Diagnmmes Ajet 3, pour Venus. Å, Petra lith Gif, Gartens 2500 25. ren 25. Lens 25, Less [124 Åre Sa P To NSS) Fig.5.Diagrammes D et S pour (FE) „ax. (Fu Imax. wen Fig. 8. Diagrammes A,et E, pour (FE, )yax J Ter th OG Onsaan 180|p j SSS Bro, Fig. 7 Diagrammes À et 2 25, : | (max: = = Vig 180 > __210 EE -e Dyna ras re i 7 Ko à PI VI \ | i ae ce = Diagramme représentant les es aires tachées du Soleil de 1892 Pl VI à 1895 en comparaison avec la i force perturbatrice (A)... Tar fou (Gull [ra cars va [ons [onu [eur rue re zz Dan (94 |u Fler |tMara [ent (rer jenen TT ET ren [ré tan wos [15607 [are pre = re (roe —. ee + Diagramme représentant les nombres relatifs des taches solai- res de 1800 a 1895 en com- paraison avec la force pertur- batrice a le Melos JIA ps Bl I + 1892-95. PI VII 0 90 190 270 360 Fig. 15 20 parpéricde de 26 d790 2 en ae 270, 360! Fig. 2. P= 18 parperiode de 26/40. 2 a 79.3. 9= 169 par pertode de 26/0508. lo 90 150 270 360) Fig. 4. 9- 14 °par période. de 260367. 2 Ze LE 270 360| Fig. 5. Yo 12°parperiode de 200226 300! Fig. [20 = 10 par période de 26,0, 085. o 20 180 270 260| Fig. 7. De 8 par période de 2650948. er å då x ET SE 1892-95 PL ihe n o 37 270 270) 360 Fig. BD 6? par période I 90 180 270 360! Fig. 2. VP 4°nar periode de 25,9662. 5 90 190 270 360! Fig. re 2° par période de 250521. NAN 360| Fig Rz 0° par période de 259 380. 5 m be io 564 Fig. 5. p=-1° par période de 25,9 509. lo 20 180 270 LO Fig ER 2°par période de 250240 N o 90 180 270 _ 360) Fig. 7p 3° par période de 259, 169. en PL ie Fig. 1.9= = 3% par période de 250740. Fig. = — 4’parperiode de 25 Joos Fig 3.97 - 5° par periode de 25 do2s. 360! Fig. > = -b°par période de 240957 o 20 180 270 360 Fig. 5. =- 8°par periode de 24 96. 0 90 180 -- 8 12 260| Fig. GP =— 9 spar période de 247710. Fig. APE - 11 par pemode de 24.0605, IR = rs A Off Einsam 1892 — 95. k å a a AMG UN \m a ee LT #70, = 360| Fig. CPE -12 95 par période A de 24,4500. 360! Fig. 2. 9=-14°par période de 24 Pos. PRE Mye! UA, a 8 360! Fig.3. iP = -1595 par perio ae | de 24/2389. lo 20 140 _ 270 _ 300! Fig. ND -17 “par periode de 24.0; 184. Fa. 5 p= -1895 par période de 24 Doré. =-209 par période de 23 a SE —4190 __ 270 _360| Fig. 7. p= -3° 4 par période de 25 2740. i L Fors Lå OG Gastums 7880 - #6. Å 20 780 270 360] Fig. PT Sparpenorle de 25.4508. ANN = 180 270 360 eg. 2.9 =-2 par période de 25 / 230. EX P-—3 harperiode de 25 d 163. å 200 Fig 4 (a 3 °spurpenode de 259730. Fig. 5.9 =-2%arperode de 25008. :g.6.P= 5 par période de 25.8028. ne 1 var sony, 7 p=-6°parpériode nf À ae 2405) o 9p 180 270 a I Fehr toh Off Ohostaons PIX. | ‚ | 1892-05. 1880-86. Pig : 0 r P= 924 par pe Me 25/190. N 294 : 2 2 pride 188 270 på m. dte 25/00. are {ri 14 1858 — 64. Mer re ae == Ing sa ke Du Das Hypsometer als Bortdmuckmesser und seine Anwendung zur Bestimmung der Schwerekorrektion Von H. Mohn Videnskabsselskabets Skrifter. I. Math.-naturv. Klasse. 1899. No. 2 Christiania In Kommission bei Jacob Dybwad A. W. Bröggers Buchdruckerei 1399 Vorgelegt in der Sitzung der math.-naturwiss. Sektion am 25. Nov. 1898. Das Hypsometer als Luftdruckmesser und seine An- wendung zur Bestimmung der Schwerekorrektion. Von H. Mohn. Das angenommene Maass für den Luftdruck ist die senkrechte Höhe einer Quecksilbersäule, welche ein bestimmtes specifisches Gewicht hat. Letzteres ist, genauer bestimmt, der Druck einer entsprechenden Kubik- einheit reinen Quecksilbers auf eine horizontale Quadrateinheit bei einer Temperatur von 0° C. und bei der Normal-Schwere. Da die Schwere an verschiedenen Orten auf der Oberfläche der Erde verschieden ist, muss man, um ein richtiges Maass für den Luft- druck zu erhalten, die beobachtete Barometerhöhe reducieren sowohl auf die Höhe, welche sie bei 0°, als auf die Höhe, welche sie unter der Wirkung der Normalschwere haben würde. Die Schwere, welche durch ihre Acceleration, gewöhnlich durch g bezeichnet, gemessen wird, ist, wie bekannt, von der geographischen Breite und von der Meereshöhe abhängig. Sie ist in der Vertikallinie eines und desselben Ortes um so geringer, je höher man kommt. An der Meeresfläche oder in derselben Niveaufläche ist sie, abgesehen von gewissen Unregelmässigkeiten, unter dem Aequator am geringsten und wächst mit der geographischen Breite nach einem bestimmten Gesetz, indem ihr Zuwachs dem Quadrate des Sinus der Breite proportional ist. Die Normalschwere wird definiert als die Schwere unter 45° Breite am Meeresspiegel. Dies ist indessen keine genaue Bestimmung, da die Schwere, nach den Messungen der neueren Zeit, an Orten, die unter demselben Breitengrad liegen, sich merklich verschieden zeigen kann. Es wird daher nothwendig sein, durch internationale Uebereinkunft eine Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 2. = 4 H. MOHN. M.-N. Kl. bestimmte Zahl als Ausdruck für die Normalschwere festzusetzen. Bis auf weiteres kann in der Meteorologie zu diesem Zwecke derjenige Werth der Schwere unter 45° Breite am Meeresspiegel benutzt werden, welchen Helmert aus zahlreichen Pendelbeobachtungen in verschiedenen Breiten berechnet hat!. In der Meteorologie wurde früher im Allgemeinen nicht Rücksicht genommen auf die Schwerekorrektion für die Quecksilberbarometerhöhen. Die Nothwendigkeit sie in Rechnung zu ziehen, wenn man ein richtiges Maass für den Luftdruck haben will, geht daraus hervor, dass sie am Aequator und an den Polen bis zu fast 2 Millimetern steigt, und dass die Unterlassung der Reduktion auf die Normalschwere schon innerhalb des norwegischen Stationsnetzes einen absoluten Fehler von fast 0.8 mm in der Angabe des Luftdruckunterschiedes zwischen zwei Stationen er- zeugen kann?. Von der Meteorologenkonferenz in München 1896 wurde folgende Resolution angenommen: «Es wird allen Meteorologen empfohlen, die Barometerstände sobald als möglich, spätestens aber mit Beginn des Jahres 1901 sämmtlich auf Normalschwere zu reduciren und stets in allen bezüglichen Tabellen und Karten bestimmt anzugeben, ob die Re- duction auf die Normalschwere bereits stattgefunden habe. Am Kopfe der Tabellen soll die Grösse der angewendeten Schwerecorrection ange- geben werden, damit man selbe sogleich mit einer Sicherheit von min- destens + 0.1 mm denselben entnehmen kann». Die Einführung der Schwerekorrektion ist in den folgenden Jahren nach und nach allgemeiner geworden sowohl in den meteorologischen Jahrbüchern als in den Wettertelegrammen. Die benutzten Werthe der Schwerekorrektion sind den Internationalen Meteorologischen Tabellen entnommen, in welchen der erste Theil S. A. 32, B. 30 und C. 32 Auf- schlüsse über die angewendeten Formeln und Koefficienten giebt, und der zweite Theil S. 176—181 die Tabellen für die Reduktion. Diesen zu Grunde liegen die vom Dr. O. 3. Broch berechneten Werthe für die Aenderung der Schwere mit der Breite und Höhe®. Wird die Accele- ration der Schwere für die Breite p an der Meeresfläche gy genannt und die Normalschwere g45, so ist nach Broch Ey = &45 (I — 0.00259 cos 2p). 1 Helmert. Die mathematischen und physikalischen Theorien der höheren Geodäsie. IL, 5 241, 2 Met. Zeitschr. 1891. S. 249. 3 Travaux et Mémoires du Bureau international des Poids et Mesures. T. I. S. A 4—15. 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 5 Ist 5 die gemessene, auf 0° und das Normalbarometer reducierte Barometerhöhe, B der wahre Luftdruck, C die Schwerekorrektion, so ist nach Broch, im Meeresniveau: Sy B=6 > == Z (1 — 0.002 OS 29 £45 ( 59 cos ) C= B — 6 = — 0.00259 cos 29.06 Helmerts Berechnung aus 122 Pendelbeobachtungen giebt die Formel £y = 9.7800 (1 + 0.005310 . sin? y) Meter woraus £45 = 9.805967 Meter und £p = 845 (I — 0.00264797 . cos 209) C = — 0.00265 cos 2p.6. Am Aequator und an den Polen und fiir 760 mm Barometerstand ist die Schwerekorrektion nach Helmert um 0.044 mm grösser als nach Broch. Diese Grösse liegt nicht unter der Genauigkeit, welche die Messung der Barometerhöhe erreichen kann. Es konnte also in der Meteorologie fraglich sein, ob man Helmerts Formel statt derjenigen Brochs anwenden sollte. Hiezu ist zuerst zu bemerken, dass der Unterschied zwischen den nach beiden Formeln be- rechneten Schwerekorrektionen kleiner ist als die mit gewöhnlichen Stationsbarometern zu erreichende Genauigkeit, und zweitens, dass fort- gesetzte und genauere Pendelversuche den Koefficienten der Formel so weit modificieren dürften, dass das Ergebniss neuerer Bestimmungen demjenigen der älteren vorzuziehen wäre. Indem wir indessen den Ergebnissen der Pendelversuche näher treten, werden wir zu der Betrachtung der Frage unter einem anderen Gesichtspunkt geführt. Helmert’s Formel giebt einen Durchschnittswerth für die Oberfläche der ganzen Erde. Die Bestimmungen der Grösse der Schwere, sowohl die älteren als die neueren, zeigen für jeden ein- zelnen Ort lokale Abweichungen von der nach der Formel berechneten Schwere: Die wirkliche Schwere ist verschieden von der berechneten. Es ist die wahre Schwere an einer Station, welche die Meteorologen nöthig haben um die Schwerekorrektion zu berechnen. Es zeigt sich nun, dass die wahre Schwere eines Ortes eine Schwerekorrektion geben kann, welche von der nach den obengenannten Formeln berechneten merklich verschieden ist, und dieser Unterschied kann den Unterschied zwischen dem, was die Formeln geben, um Beträge übersteigen, welche mehrere Male grösser sind als die Genauigkeit, mit welcher eine Baro- meterhöhe beobachtet werden kann. 6 H, MOHN. M.-N. Kl. Ist die Acceleration der Schwere an einem Orte g, die Normal- schwere g45, so hat man: pf. =. £45 C= a (Z-1)=: £ 50 245 245 Setzt man, nach Helmert, 245 = 9.805967 Meter, und 6 = 760 mm, so wird Creo = 77.503 (£ — £45) mm. Die folgende Tabelle giebt einige Beispiele, welche zur Erläuterung dieser Verhältnisse dienen können. Ore ET Sane Mayen Gjesvår Christiania Beobachter ENE Gratzl1 Schiötz? Schiötz? Brete EN Ls a arene eee 70° 50’ 7196! 590 55° Meereshohe sa meen ane ee II 5.5 27 m Beob. g am Meeresspiegel. . 9.82858 9.82711 9.81958 m WabrerCrg re ern 1.752 1.638 1.055 mm Helmers Mk Gre 1.578 1.590 1.00I » Broch SLN 1.544 1.555 0.979 » K'orektonnur Zn FAE + 0.174 + 0.048 +0:054 » = PB es Wis Ad za +0083 +0.076 » FE BOR ee NE + 0.034 + 0.035 + 0.022 » Die Insel Jan Mayen, welche wie andere oceanische Inseln eine verhältnissmässig grosse Schwere hat, hat eine Schwerekorrektion für eine Barometerhöhe von 760 mm., welche die nach Helmert und nach Broch berechnete um resp. 0.174 mm und 0.208 übersteigt. Sowohl im nördlichen wie im südlichen Norwegen finden sich Orte, deren Schwere- korrektionen die berechneten um mehr als 0.05 mm übersteigen. Wollen wir den Luftdruck an einer meteorologischen Station mit einer Genauigkeit von 0.1 mm bestimmt haben, so sind wir offenbar genötigt von dem bisherigen Verfahren abzuweichen, bei welchem man den wahren Luftdruck durch die Barometerhöhe und die berechnete Schwerekorrektion findet, und eine genauere Methode zu suchen um den wahren Luftdruck zu erhalten so wie derselbe von der wirklichen Schwere des Ortes bedingt ist. ! Schwerebestimmungen im hohen Norden. S. 28 (Mitth, d, k. u. k. geogr. Inst, XI. 1892). 2 Resultate der im Sommer 1893 in dem nördlichsten Theile Norwegens ausgeführten Pendelbeobachtungen (Videnskabsselskabets Skrifter 1894). 1890. No: 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 7 Die wahre Schwerekorrektion wird mit Leichtigkeit gefunden, wenn man die Grösse der Schwere kennt, wie oben gezeigt. Die beste und wo es Genauigkeit gilt, bisher ausschliesslich angewendete Methode um die Grösse der Schwere zu finden, ist die Beobachtung der Schwingungs- zeit eines Pendels. In der neueren Zeit sind an vielen Orten solche Pendelversuche ausgeführt worden, und für solche Orte hat man damit auch die nothwendigen Zahlen um die wahre Schwerekorrektion zu berechnen. Die Genauigkeit, mit welcher die Schwere jetzt durch absolute und durch relative Pendelversuche bestimmt wird, ist so gross, dass ihre Unsicherheit gar keine praktische Unsicherheit in die Bestimmung der Schwerekorrektion einführt. Da c=(£ > 1) ze 545 545 und für 4 = 760 mm GG — 77,503) ae dC = 0.01 mm entspricht dg = 0.000129 m = 0.129 mm HE =e à » dg — 0.000645 » — 0.645 » Man giebt die Schwere in fünf Decimalen des Meters an oder in Hundertsteln des Millimeters, und darf wohl den Zehntheil des Milli- meters als sicher ansehen. Man kann also aus Pendelversuchen die Schwerekorrektion genau bis auf ein oder zwei Hundertstel Millimeter erhalten, eine Genauigkeit, welche selbst mit den besten Barometern schwierig zu erlangen ist. An solchen Orten wo die Geodäten den Meteorologen ihre will- kommene Hilfe leisten können, sind wir im Stande die gesuchte Schwere- korrektion mit aller gewünschten Genauigkeit zu finden. Aber die meteorologischen Barometerstationen werden immer zahl- reich sein im Vergleich mit den Pendelstationen, und für die Stationen, welche den Vortheil von Pendelbeobachtungen nicht geniessen, muss man sich nach anderen Mitteln umsehen, um die Schwere oder die Schwerekorrektion zu finden. Man könnte sich ein Land so reichlich mit Pendelstationen besetzt denken, dass man eine Karte desselben zeichnen könnte mit Linien gleicher Pendelschwere oder Linien für gleich grosse Abweichungen der berechneten Schwere von der wirklichen. Oder, um auf das Feld der Meteorologie überzugehen, eine Karte mit Linien für gleich grosse Unter- schiede zwischen der berechneten und der wahren Schwerekorrektion für eine gewisse Barometerhôhe. Aus dieser Karte könnte man dann für jede Barometerstation, wo die Schwere nicht bestimmt war, den genannten 8 H. MOHN. M.-N. KI. Unterschied entnehmen und damit aus der berechneten Schwerekorrektion die wahre berechnen. Dies würde aber, glaube ich, etwas gewagt sein. Es scheinen mir viele Zeichen darauf zu deuten, dass in der Vertheilung der Schwere eine solche Kontinuität nicht statt hat, dass obiges Verfahren erlaubt wäre gegenüber der Genauigkeit, welche man in der Angabe des Luft- druckes wünscht. Eine direkte Bestimmung der Schwere oder der Schwerekorrektion oder des wahren Luftdrucks an Ort und Stelle wird vorzuziehen sein, falls sie mit der geforderten Genauigkeit erlangt werden kann. Ein Gedanke, welcher diese Richtung einschlägt, ist schon im Jahre 1866 vom Freiherrn von Wüllerstorf-Urbair ausgesprochen worden in einer Abhandlung: «Das Aneroid als Instrument zur Messung der Aende- rungen der Schwere»t. Das Aneroidbarometer folgt, wenn es richtig justiert ist, in seinen Bewegungen dem wahren Luftdruck und könnte also, wenn seine Konstanten bekannt wären, dazu dienen, um diesen zu finden. Aber die Erfahrung hat gezeigt, dass das Aneroidbarometer wenig geeignet ist, seine Konstanten unverändert zu erhalten. Es verhält sich wie eine andere Federwaage, deren Theile ihre Elasticität mit der Zeit ändern, zumal während Transport auf Reisen. Im Anfang der Soer Jahre machte Mascart Versuche um die Schwerekorrektion mittels eines Heberbarometers zu bestimmen, dessen kurzer Arm geschlossen war und eine konstante Gasmasse (Stickstoff) enthielt. Bei einer und derselben Temperatur hatte diese Gasmasse dasselbe Volum und übte denselben Druck aus. Je grösser die Schwere, um so kürzer die Barometerhöhe, welche diesem Druck entspricht. Auf diese Weise konnten die Aenderungen der Schwere von einem Orte zum anderen verfolgt werden. Der Apparat wurde von Mascart bis zur Breite von 69° 39° (Tromsö) geprüft. Es zeigte sich indessen, dass die Reduktion auf konstante Temperatur so viele praktische Schwierigkeiten darbot, dass die gewünschte Genauigkeit nicht zu erlangen war. Zu Höhenmessungen auf Reisen ist das Hypsometer schon seit längerer Zeit benutzt worden. Das Hypsometer ist ein Thermometer, mittels dessen man den Siedepunkt des Wassers beobachtet. Beim Siedepunkt ist die Maximumspannkraft der Wasserdämpfe gleich dem Luftdruck, wenn die Dämpfe sich frei in die Luft ausbreiten können, Nach den von den Physikern aufgestellten Tabellen über die der Tempe- 1 Zeitschr. d. österr, Ges. f. Meteorologie Bd. I. 1866, S. 97. 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 9 ratur des Wasserdampfes entsprechende Maximumspannkraft wird der Luftdruck aus dem bei der Beobachtung sich ergebenden Siedepunkt berechnet. Man hat also in der Beobachtung des Siedepunktes reinen Wassers ein Mittel um den Luftdruck zu finden. Und dies ist der wahre Luftdruck, der von der wahren Schwere des Ortes bedingt ist. Beobachtet man gleichzeitig mit dem Siedepunkt ein Quecksilber- barometer, so erhält man die Barometerhöhe. Der Unterschied zwischen dem aus dem Siedepunkt bestimmten wahren Luftdruck und der Baro- meterhöhe ist die Schwerekorrektion für die gefundene Barometerhöhe am Beobachtungsorte. Die Anwendbarkeit dieser Methode, um den wahren Luftdruck und die Schwerekorrektion zu finden, beruht auf der Genauigkeit, mit welcher der Siedepunkt und die Barometerhöhe bestimmt werden können. Mit einem guten Barometer kann man die Barometerhöhe auf 0.05 mm bis 0.02 mm bestimmt erhalten. Bis vor einigen Jahren waren die Hypso- meter derart konstruiert, dass sie den Siedepunkt auf Hundertstel Grad geben konnten. Einer Aenderung von 0901 im Siedepunkt entspricht nach den Tabellen bei 1002 oder 760 mm Druck eine Aenderung im Luftdruck von 0.27 mm, bei 050 oder 646 mm eine von 0.24 mm. Die entsprechende Aenderung der Meereshöhe beträgt etwa 2 Meter. Diese Genauigkeit war in den meisten Fällen hinlänglich für Höhenbestim- mungen auf Reisen. Um mit dem Hypsometer eine Genauigkeit zu erreichen, welche der Genauigkeit entspricht, mit der man die Barometerhöhe finden kann, muss das Thermometer die Siedetemperatur mit einer Genauigkeit geben können, welche einigen Hundertsteln des Millimeters im Quecksilber- drucke entspricht. Bei 760 mm Druck entspricht 0.1 mm Druck 0.0037, also 0.01 mm 0.000037. Bei 650 mm Druck entspricht 0.1 mm 0.°005 und 0.01 mm 0.000050. Um den Luftdruck mit einer Genauigkeit von 0.05 mm zu erhalten, wird folglich vom Hypsometer gefordert, dass es die Temperatur bis auf 0.0002 gebe, und 0.025 mm erfordert 0.0001. Um dem Barometer gleichgestellt zu werden, muss also das Hypsometer den Siedepunkt mit einer Genauigkeit von ı bis 2 Tausendsteln eines Grads Celsius geben können. Nach den Fortschritten, welche die neuere Thermometrie gemacht hat, namentlich durch die Arbeiten des internationalen Bureau des Poids et Mesures in Breteuil bei Paris, und in Anbetracht der Kunstfertigkeit, mit welcher besonders die französischen Thermometerfabrikanten zuver- lässige Thermometer geschaffen haben, erschien es mir als eine Mög- lichkeit, mittels des Hypsometers den Luftdruck mit einer gleichen 10 H. MOHN. M.-N. KI. Genauigkeit wie mit dem Barometer zu erhalten. Falls die Methode sich praktisch brauchbar zeigte, würden es die Meteorologen in ihrer eigenen Hand haben, die Schwerekorrektionen an ihren zahlreichen Sta- tionen zu finden ohne andere Hülfe der Geodäten als Pendelbeobach- tungen an einigen wenigen Normalstationen. Wie oben gezeigt, scheint die Lösung der Aufgabe von der theore- tischen Seite leicht zu sein. Eine andere Sache wäre es, wie das Resultat der Beobachtungen sich in der Praxis stellen würde, namentlich ob man auf Reisen von der einen Station nach der anderen und bei Beobach- tungen an diesen die Instrumente so beobachten und die Beobachtungen berechnen könnte, dass das Endresultat mit der erwünschten Genauigkeit herauskåme. Nur die in der Praxis durchgeführte Methode könnte die Schwierigkeiten zu Tage kommen lassen, welche sich ihrer Anwendung entgegenstellen, und die Mittel zeigen, durch welche diese Schwierig- keiten überwunden oder ihre Wirkungen auf ein Minimum herabgedrückt werden könnten. Im folgenden gebe ich den Bericht von meinen Studien über die Anwendung der Hypsometer zu der Bestimmung des Luftdruckes und die dadurch erreichten Ergebnisse. Im Jahre 1895 erhielt ich von Tonnelot in Paris zwei Hypsometer- thermometer, No. 11 368 und 11 369 (unten als Hypsometer No. 68 und 69 bezeichnet), beide von derselben Form und Grösse. Die Länge des Behälters ist 45 mm, Dicke 10 mm. Die Thermometerröhre ist 4 mm dick. Sie trägt auf dem Glase eine Eintheilung von 95.04 bis 101.06, Jeder Grad ist 30 mm lang und in 50 Theile getheilt. Der Zwischen- raum zwischen zwei Theilstrichen ist also 0.6 mm, und ein Zehntheil einer Theilung ist 0.06 mm. Der Siedeapparat besteht im wesentlichen aus Kessel, Lampe und Dampfraum. Der Kessel ist ein Cylinder aus Messing, Durchmesser 32 mm, Höhe 45 mm, Kubikinhalt 36 cm®. Unter dem Kessel steht eine kleine Spirituslampe mit einem 3 mm dicken Docht. Die Höhe des Dochtes ist gewöhnlich 7 mm. Seine untere Kante steht 15 mm unter dem Boden des Kessels, und die Flamme reicht bis an diesen hinauf. Der Dampfraum besteht aus einem teleskopischen Rohr, dessen untere Kante mit Friktion auf und um den obersten Rand des Kessels gesetzt wird. Die zwei oberen Theile sind auf und ab verschiebbar. Die Rohrwände sind dampfdicht. Unten hat also das Dampfrohr denselben inwendigen 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. IT Durchmesser wie die Aussenfläche des Kessels. Die obere Oeffnung des Dampfrohres hat einen Durchmesser von 20 mm. Diese Oeffnung wird von einer Kautschukplatte, 3 mm dick, dampfdicht gedeckt. In diese sind Löcher gebohrt, durch welche die Thermometerröhren dampf- dicht hineingesteckt werden, und in welchen sie hängen. Gleich unter der oberen Kante des Dampfrohres sind in der Seitenfläche desselben zwei kreisrunde Ausströmungsöffnungen für den Dampf ausgeschnitten, jede 3 mm im Durchmesser. Diese geben also einen Ausströmungs- querschnitt von 14 mm”. Sie stehen in einem Abstand von etwa 70° der Rohrperipherie von einander. Die Thermometer hängen im Dampfraum so, dass ihr unteres Ende zu Anfang des Kochens 27 mm über der Wasserfläche ist, und dass ein ganz kurzer (ca. 2 mm) Quecksilberfaden, eben hinlänglich für be- queme Ablesung, aus der Kautschukplatte hinausragt. 1895 bis 1897 hingen beide Thermometer gleichzeitig zusammen im Dampfraume. 1898 nur ein Thermometer auf einmal. Um den unteren Theil des Siedeapparates wird ein cylindrischer Pappmantel gestellt, 130 mm hoch und 70 mm im Durchmesser. Er reicht mit seiner oberen Kante über die Oberkante des Kessels herauf und dient dazu die Flamme vor dem Flackern zu schützen. Die Thermometer werden mit Fernrohr abgelesen. Dieses steht auf einem Stativ und wird in gleiches Niveau mit dem herausragenden Ende des Quecksilberfadens gestellt. Sein Objektiv hat eine Oeffnung von 20 mm und steht in einem Abstand von 484 mm von den Thermo- metern, und da seine Länge 350 mm ist, kommt das Okular in einen Abstand von 834 mm von ihnen. Die Vergrösserung des Fernrohres ist eine solche, dass man durch dasselbe einen Zehntheil von einer Theilung oder 0.0002 unter einem Gesichtswinkel von 4.1 Bogenminuten sieht. Man kann also sehr wohl einen Tausendtheil des Grades unter- scheiden. Mit dem Fernrohr erreicht man, dass man der Parallaxe beim Ablesen entgeht. Um eine gute Beleuchtung, was von Wichtigkeit ist, zu erlangen, wird die Absehenslinie gegen ein Fenster gerichtet, und hinter den Thermometern wird ein durchscheinendes Papier (Pauspapier) angebracht. Der Siedeapparat und das Fernrohr werden auf einen Tisch gesetzt, so dass die Thermometerbehälter etwa in dieselbe Höhe wie das untere Niveau des Barometers kommen. Die Lampe wird mit Weingeist gefüllt und der Docht auf die gewöhnliche Höhe, 7 mm, reguliert. Der Kessel wird über die Lampe gesetzt, und mit reinem Wasser bis an den Rand gefüllt. Nach einer vorläufigen Ablesung des Barometers — man hüte 12 H. MOHN. M.-N. Kl. sich das Thermometer desselben zu erwärmen — wird der dem Luft- druck entsprechende Siedepunkt aus der Tabelle über die Spannkraft des Wasserdampfes entnommen. Die Thermometer werden in der Kautschukplatte so reguliert, dass der dem Siedepunkt entsprechende Theilstrich ein Paar Millimeter über die Kautschukplatte kommt. Dem- nächst wird die Länge des Dampfrohres so reguliert, dass das untere Ende des Thermometerbehälters etwa 27 mm über das untere Ende des Dampfrohres kommt. Das Dampfrohr wird auf den Kessel gesetzt, mit den Ausströmungsöffnungen zur Seite oder vom Beobachter weg ge- wendet Es muss wasser- und dampfdicht an dem Kessel schliessen. Die Erfahrung hat mir gezeigt, dass wenn Wasser zwischen dem Dampf- rohr und dem Kessel herauskommt und unter den Boden des Kessels herabfliesst, das Kochen dadurch unregelmässig und der Stand der Thermometer wechselnd wird. Die Thermometer werden in das Dampf- rohr so hinabgelassen, dass sich ihre Theilung gegen das Fernrohr wendet und dass sie ganz frei im Dampfrohr hängen. Die Lampe wird angezündet. Der Mantel wird um die Lampe und den Kessel gesetzt. Das durchscheinende Papier wird hinter dem herausragenden Theil der Thermometer angebracht. Die Höhe des Fernrohrs wird so reguliert, dass seine Absehenslinie in horizontaler Lage die Theilstriche trifft, welche zur Ablesung kommen. Sein Abstand von den Thermometern wird so reguliert, dass man die Theilung scharf sieht. Ungefähr 5 Mi- nuten nachdem die Lampe angezündet, fängt das Wasser an zu kochen. Das Ende des Quecksilberfadens erscheint über der Kautschukplatte. Wenn es eine constante Stellung erreicht hat, wird seine Höhe über der Kautschukplatte auf das normale Maass gebracht, z. B. 2 mm. Sobald ich im Fernrohr sehe, dass der Quecksilberfaden in Ruhe ge- kommen ist, klopfe ich mit einem leichten Holzstab und mit sanften vertikalen Schlägen an das obere Ende der Thermometer. Dadurch wird eine gewisse Trägheit oder Friktion der Quecksilberkuppe über- wunden, und die richtige Einstellung derselben befördert. Die Wirkung dieses Klopfens mag ein Paar Zehntel einer Theilung oder 0.0004 er- reichen. Die Thermometer werden in Zehnteln oder Zwanzigtheilen einer Theilung abgelesen und Grad, Zehntel, Hundertstel und Tausend- theil Grad notiert. Zur Kontrole wird eine neue Beobachtung genommen, nachdem die Lampe eine kurze Zeit ausgelöscht und aufs neue angezündet, oder die Kautschukplatte mit den Thermometern emporgehoben und wieder herabgesetzt worden ist, und die Thermometer geklopft sind, sobald sie zur Ruhe kommen. 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 13 99 3 Da die Röhre der Thermometer nur einige wenige Grade in der Nähe von 1009 umfasst und nicht bis 09 herabreicht, können ihre Xo7- rektionen auf die wahre Temperatur nicht durch die Bestimmung ihrer Kaliberkorrektionen, Nullpunkt und Siedepunkt gefunden werden. Das Hypsometer repräsentirt für den Meteorologen ein Barometer, welches die Eigenschaft hat, den wahren Luftdruck zu zeigen. Es gilt also den wahren Luftdruck als Funktion der Hypsometerablesung zu finden. Dies kann geschehen durch gleichzeitige Beobachtungen beider Instru- mente an einem Orte oder an Orten, deren Schwere bekannt ist, und ihre Berechnung. Werden solche Beobachtungen bei verschiedenen Werthen des Luftdrucks oder des Siedepunkts ausgeführt, so erhält man die nöthigen Daten zur Aufstellung einer Gleichung oder einer Tabelle, numerisch oder graphisch, welche den Luftdruck als Funktion der Hyp- someterablesung oder umgekehrt ausdrückt. Diese Gleichung gilt für das Barometer, so wie es beobachtet und auf das Normalbarometer reduciert ist, und für das Hypsometer, so wie es während der Beobachtung behandelt worden ist. Indem sie voraus- setzt, dass beide Instrumente bei jeder Vergleichung auf dieselbe Weise behandelt worden sind, giebt sie aus der Hypsometerbeobachtung den Luftdruck so, wie er aus der Beobachtung des zu Grunde gelegten Normalbarometers und der wahren Schwerekorrektion hervorgehen würde. Der Unterschied zwischen dem hypsometrisch gefundenen Luftdruck und der auf das Normalbarometer reducierten Barometerhöhe ist die wahre Schwerekorrektion. Diese kommt also heraus unabhängig von dem mög- lichen Unterschied zwischen dem angenommenen und dem absolut rich- tigen Normalbarometerstand, und unabhängig von dem möglichen Unter- schied zwischen dem gefundenen und dem physisch absolut richtigen Siedepunkt. Die Voraussetzung ist nur, dass die beiden Instrumente immer auf gleiche Weise behandelt werden. Um dieses zu erreichen, muss man zuerst dafür sorgen, dass das Kochen bei jedem Versuche soweit möglich auf dieselbe Weise geschieht. Erfahrung und Experimente haben mich im Laufe der Jahre über diese Frage folgendes gelehrt. Indem die Wasserdämpfe während des Kochens aus dem Dampf- rohr durch die zwei Oeffnungen an dessen Oberkante ausströmen, haben sie im Inneren des Rohres einen höheren Druck als den der äusseren Luft, welchen das Barometer misst. Dieser Ueberdruck ist freilich ganz klein, und ist für uns von Bedeutung nur insofern, als er bei verschie- denen Versuchen verschieden sein kann. Direkte Versuche mit meinem Siedeapparat haben mir gezeigt, dass der beobachtete Siedepunkt oder 14 H. MOHN. M.-N. Kl. der Dampfdruck merklich grösser wird, wenn das Kochen mit einer ungewöhnlich grossen Flamme geschieht, und wenn, bei der gleichen Flamme, der Querschnitt der Ausströmungsöffnung vermindert wird. Dagegen wird der Siedepunkt niedriger, wenn der Dampf, ausser durch die gewöhnlichen Seitenlöcher, auch durch ein 4 mm Loch in der Kautschukplatte zur Ausströmung gelangt. Da sämmtliche Beobach- tungen des Siedepunkts, welche zur Berechnung der Korrektionen des Hypsometers oder des Luftdrucks benutzt worden sind, mit konstantem Ausströmungsquerschnitt gemacht worden sind, das heisst den zwei Seitenlöchern im Dampfrohr, welches oben von der Kautschukplatte dampfdicht geschlossen ist, so bleibt nur die Frage nach der Wirkung der Grösse der Flamme oder nach der Wärmemenge, welche in der Zeiteinheit dem Kessel zugeführt wird. Sämmtliche Beobachtungen sind in einer umgebenden Temperatur von der Höhe der gewöhnlichen Zimmertemperatur gemacht, so dass die Abkühlung nach aussen keine schädliche Wirkung haben könnte, wenn sie überhaupt eine solche hat}. Wie oben angeführt, habe ich in der Regel die Höhe des Dochtes auf 7 mm reguliert in der Absicht dadurch eine konstante Wärmezufuhr zu erhalten. Aber die Erfahrung scheint mir zu zeigen, dass die Absicht nicht immer nach Wunsch erreicht wird. Während der Verbrennung dehnt sich -der Docht oft aus und giebt eine grössere Flamme, deren Grösse zu regulieren ich nicht in allen Fällen im Stande war. Es ist wahrscheinlich auch ein Unterschied zwischen der Wirkung eines neuen und eines längere Zeit gebrauchten Dochtes, und zwischen der Wirkung eines langen, den Boden der Lampe deckenden und eines kurzen knapp in den Weingeist hinabreichenden Dochtes. Bisweilen, wenn das Auf- kochen langsam ging und die Flamme mir klein erschien, habe ich ver- sucht dies zu regulieren durch Breitermachen des Dochtes mittels me- chanischer Mittel, eine Regulierung, welche in einigen Fällen zu stark ausgefallen sein mag. Bei der Füllung des Kessels, während die Lampe unten stand, hat es sich ereignet, dass etwas Wasser in den Docht hin- abgetröpfelt ist und diesen dazu gebracht hat, mit zu wenig Kraft zu wirken. Zu schwache Flamme giebt indessen offenbar eine zu schwache Dampfausströmung, und die Stärke der Ausströmung habe ich stets ver- sucht in einem nach Augenmaass abgefassten Maass zu halten, so dass sie ein gewisses Minimum immer überstieg. In der Regulierung der 1 Siehe J. Y. Buchanan: «On the determination of the temperature of saturated steam». Journal of the Scottish Meteorological Society. Third Series. Nos. XIII and XIV, S. 42. Die Abhandlung enthält interessante Bemerkungen über die Bestimmung des Siedepunktes des Wassers, 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. TE Wärmezufuhr sehe ich die grösste Schwierigkeit bei einem Kochen, welches einen nach den Umständen richtigen Dampfdruck geben soll. Es mag zweckmässig sein, die Lampe mit einer regulierenden Schraube zu versehen. Durch den besprochenen Pappmantel ist die Flamme gegen Luft- ströme geschützt, so dass sie ruhig brennt. Die Bewegungen des Be- obachters haben also keine schädliche Wirkung auf die Gleichmässigkeit des Kochens. Während der Verbrennung des Spiritus setzt sich im Laufe der Zeit Russ unter dem Kessel an, was die Wärmewirkung der Lampe hindert. Die untere Bodenfläche des Kessels muss metallisch rein gehalten werden. Von Zeit zu Zeit habe ich nachgesehen, ob sie rein war, und wenn nicht, sie abgeputzt. Das zum Kochen gebrauchte Wasser kann gewöhnliches Trinkwasser sein. Es hat keinen merklichen Einfluss auf die Temperatur des Dampfes, ob das Wasser nicht ganz chemisch rein ist!. Die Höhe der Thermometerbehälter über dem Wasser im Kessel hat, nach den Versuchen, welche ich gemacht habe, keinen merklichen Einfluss, der 0.000053 übersteigt, innerhalb der bei meinen Beobachtungen fraglichen Grenzen. Während des Kochens sinkt das Wasserniveau, indem die Dämpfe sich entwickeln, das Sinken ist aber ohne Bedeutung. Der verschiedene Druck, welchen die Wasserdämpfe auf das Ther- mometer bei höheren und tieferen Siedepunkten ausüben, ist in dem Koefficienten für die Abhängigkeit der Thermometerkorrektion von der Temperatur enthalten. Die Ablesung der Thermometer geschieht an dem Theil der Thermo- meterröhre, welcher über die Kautschukplatte hinaufragt. Dieser Theil befindet sich in einer niedrigeren Temperatur als der übrige von dem Dampf umgebene Theil des Thermometers, welcher dessen Temperatur ganz annehmen kann. Die Frage nach der Wirkung der Länge des herausragenden Quecksilberfadens zur Verminderung des Thermometer- standes habe ich versucht durch direkte Experimente zu lösen. Diese wurden mit dem Hypsometer No. 68 gemacht an einem Tage, da der Luftdruck sehr ruhig war. Die angeführten Zahlen für den beobachteten Thermometerstand sind auf unveränderten Luftdruck reduciert worden. 1 Buchanan Op. cit. S. 46 unten. 16 H. MOHN. M.-N. KI. Herausragende Quecksilbersäule Thermometerstand über Kautschukplatte. Beobachtet. Berechnet. O. — B. 2 mm 100.0 1480 100.0 1483 — 0.90003 2 84 83 -H I 2 81 83 — 2 3 86 76 + 10 3 63 76-- 0 13 6 63 58 Zr 5 6 58 58 o 10 29 40 — 11 12 45 33 Zu 12 14 39 28 + 11 16 10 24 — 14 17 08 23 — 15 23 100.1436 23 + 0.0013 Diese Beobachtungen führen zu der Gleichung: Beobachtete Temperatur = 100.0 1497 — 0.00007 588 . d + 0.000001899 . d? wo d die Länge des über der Kautschukplatte herausragenden Queck- silberfadens in Millimetern ist. «Berechnet» giebt die Werthe der Formel und O.—B. die Abweichung der beobachteten von den berechneten Werthen. | Man sieht, dass die Wirkung des herausragenden Fadens sich be- merklich macht. Von 2 bis 23 Millimetern verursacht er ein Sinken von 09006. Unter 2 mm giebt die Formel einen Zuwachs pr. Millimeter von 0°.00077, von 2 bis o mm von 0.0016. Die mittlere Abweichung einer einzelnen Beobachtung von dem berechneten Werth ist + 0.000085. Dies giebt uns das erste Maass der Genauigkeit einer Hypsometerbeob- achtung unter günstigen Umständen. Um die erreichbare Genauigkeit zu gewinnen, muss man die Höhe des Quecksilberfadens über der Kautschuk- platte so regulieren, dass sie nicht mehr als ein Millimeter von der normalen Höhe abweicht. Diese kann passend auf 2 mm gesetzt werden. Da das Herausragen des Quecksilberfadens zu niedrige Werthe für den Sıedepunkt giebt, während der Oberdruck im Dampfraume zu hohe Werthe giebt, tritt hier eine gewisse Kompensation ein, welche den beobachteten Siedepunkt dem wahren, dem gegenwärtigen Luftdruck entsprechenden, näher bringt. Es ereignet sich, dass im Laufe der Zeit sich kleine Quecksilber- theile als Flocken in der Thermometerröhre absetzen. Das Volum von 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 17 diesen kann einen beträchtlichen Theil eines Zehntels Millimeter aus- machen, und sie müssen daher mit dem Faden in Verbindung gebracht werden. In dem Falle, dass die Flocken sich nicht weit von dem Ende des Fadens am Siedepunkt befinden, kann man sie dadurch entfernen, dass man den Behälter ins kochende Wasser hinabschiebt. Der dadurch bewirkte Zuwachs des Druckes treibt die Quecksilbersäule in der Röhre in die Höhe, so dass sie die Flocken verschlingen kann. Eine grössere Wirkung erhält man durch das Herabsenken des Thermometerbehälters in kochendes Salzwasser. Eine andere und vielleicht die beste Weise ist, das Thermometer bei gewöhnlicher Temperatur umzukehren, so dass der Behälter nach oben kommt, und mit leichten vertikalen Stössen etwas Quecksilber in die Röhre herabzubringen, so dass es die Flocken aufnimmt, und dann das Thermometer wieder umzukehren. Sollte während des Transportes — was beim Transport von Paris nach Christiania sich ereignet hat, auf meinen Reisen in Norwegen aber nicht — die obere Erweiterung der Thermometerröhre theilweise oder ganz mit Quecksilber gefüllt sein, so muss dieses selbstredend in die Röhre und den Behälter hinabgeschafft werden. Falls es nicht willig mittels leichter vertikaler Stösse geht, kann man den oberen die Erweiterung umschlies- senden Theil des Thermometers vorsichtig erwärmen, z. B. im Dampf- raum des Siedeapparats (Behälter oben) oder über einer Lampe unter stetiger Umdrehung, und dann das Thermometer rasch nach der ge- wöhnlichen Stellung (Behälter unten) umkehren. Die Barometer, welche ich benutzt habe, sind das Normalbarometer des norwegischen meteorologischen Instituts Wild-Fuess No. 214 und das Reisebarometer Wild-Fuess No. 270. Das erste hat einen Röhren- diameter von 11 mm und der mit Feinschraube versehene Nonius giebt 0.05 mm direkt an. Das andere hat eine Röhrenweite von 8 mm, und der mit freier Hand zu stellende Nonius giebt o.1 mm. Bei beiden wurde 0.01 mm nach Schätzung notiert. An beiden Barometern wurde sobald die Rohrwände sich schmuzig zeigten oder die Quecksilberkuppe ungewöhnlich gewölbt, das kurze Rohr immer mit einem Wischer aus reiner Leinwand gereinigt, und dasselbe sowie die Kapsel mit ge- reinigtem Quecksilber wieder gefüllt. Das Vakuum wurde an jeder Station geprüft durch Beobachtung mit grösserem und kleinerem Vakuum, Es zeigte sich immer befriedigend. Grosse Vorsicht wurde angewendet, um das Thermometer des Barometers von der Wirkung fremder Wärme- Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 2. 2 18 H. MOHN. M.-N. KI. quellen frei zu halten. An den Stationen ausserhalb Christiania wurden die Beobachtungen erst eine Stunde nach dem Aufhängen des Baro- meters angefangen. Im Falle, dass das untere Niveau des Barometers mehrere Decimeter von demjenigen des Hypsometerbehälters verschieden war, wurde dies notiert, und die nöthige Korrektion an der Barometer- höhe angebracht. Das Normalbarometer Fuess No. 214 hat eine Korrektion auf das Kew Normalbarometer von + 0.12 mm. Diese ist durch Vergleichungen mit Stationsbarometern von Adie, welche mit ihren Kew-Korrektionen für das Institut angeschafft worden sind, wiederholte Male verificiert worden. Die Korrektionen des Reisebarometers Fuess No. 270 auf das Normalbarometer +0.12 mm und die aus den Vergleichungen hervor- gegangene Genauigkeit der Barometerbeobachtungen ist aus der folgen- den Tabelle ersichtlich. Normal Fuess No. 214 + 0.12 mm minus Fuess No. 270. 1396. Anzahl der Beob. Korr. f. 270. M. A. Mai 12.—27. 23 + 0.010 mm + 0.034 mm Mai 30.—Juni 1. 8 + 0.005 0.028 Juni 5.—9. 22 + 0.002 0.020 Juli 17.—29. 15 — 0.014 0.022 Aug. 27.—31. 9 —+- 0.003 0.030 Summe und Mittel 2 77 , + 0.001 | + 0.027 1897. Mai 22.—29. 14 + 0.045 + 0.028 Juni 1.—4. 6 + 0.040 0.020 Juni 11.—19. 17 + 0.119 0.046 Juni 20.—30. 16 + 0.091 0.030 Sept. 1.—10. 26 + 0.115 0.019 Summe und Mittel _ 2 7 + 0.029 Zwischen Juni 4. und 11. (Inspektion der Station Eidsvold) ist die Korrektion gestiegen von 40.04 mm bis auf +o.12 mm. Für Juni 8. und 9. (Eidsvold) ist sie zu -+- 0.08 mm gerechnet. 1898. Mai 7.—31. 21 + 0.139 + 0.019 Juni 2.—20. 13 + 0.120 0.019 Aug. 24.—27. 10 + 0.135 0.019 Summe u. Mittel 44 + 0.131 m" 0.019 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 19 Mit den gefundenen Korrektionen ECO 5 a 6 0.00 mm 1897 . . . +004 mm, + 0.08 mm, + 0.11 mm 1898 . . . 40.3 mm sind die Beobachtungen mit Fuess No. 270 berechnet worden. Die mittlere Abweichung (M. A.) einer einzelnen Vergleichung von dem Mittel der Korrektionen einer Reihe ist im Mittel sammtlicher 200 Beobachtungen +0.025 mm. Angenommen, was von der Wahrheit nicht besonders abweichen diirfte, dass die beiden Barometer sich mit gleicher Genauigkeit beobachten lassen, erhalten wir als durchschnitt- lichen Fehler einer einzelnen Barometerbeobachtung + 0.025 V2 oder vielleicht ein bischen weniger für das Normalbarometer, ein bischen = + 0.018 mm mehr für das Reisebarometer. Die Vergleichungen sind am Institut gemacht worden, wo die äusseren Bedingungen die günstigsten sind sowohl mit Rücksicht auf die Temperatur der Barometer als auf die Beleuchtung bei der Einstellung. Auf den Stationen sind in der Regel nicht so gute Bedingungen zu erhalten. Wir werden unten Zeichen davon sehen, dass die Vergleichungen zwischen Hypsometer und Baro- meter in Christiania etwas genauer ausfallen als an den Stationen, was wahrscheinlich auf Rechnung des Barometers gesetzt werden muss. Sämmtliche Beobachtungen in Christiania sind mit dem Normalbarometer gemacht, die an den anderen Stationen mit dem Reisebarometer. Die Korrektionen der Hypsometer habe ich auf folgende Weise zu bestimmen gesucht. Die beobachteten Barometerhöhen sind auf 0° re- duciert worden nach den Tabellen in den /nternationalen Meteorologi- schen Tabellen WU. S. 122—139, und auf das Normalbarometer (Kew). Die Schwerekorrektion ist berechnet nach der Formel De ET La "gs $45 wo à die Barometerhöhe (reduciert auf Kew), g die Schwere des Ortes und g4 die Normalschwere ist. Die letzte setze ich nach Helmert gleich 9.8059671 Meter. Die benutzten Werthe von g sind die vom Professor O. E. Schiötz nach der Sterneck’schen Methode bestimmten. Einen Theil von diesen hat Prof. Schiötz publiciert, nämlich für die Stationen 9% 30 H. MOHN. M.-N. KI. Christiania (Sternwarte), Hamar (Disen), Koppang1, Tromsö, Alten (Bosse- kop), Vadsö, Gjesvær?, Oxö und Bergen”. Die übrigen bisher zur Ver- öffentlichung noch nicht gelangten hat Prof. Schiötz die Güte gehabt mir brieflich zukommen zu lassen. Wo es nothwendig war, habe ich Prof. Schiötz’s Werthe auf das Niveau meines Barometers reduciert. Nach der Breite geordnet, sind die Stationen, deren beobachtete Pendelschwere ich benutzt habe, die folgenden: Station € Station £. O6 2 50 SR GS 86, Domaas … . . « = 9.819870. Christiania . . . . 9.81948 Aalesund ; +02 020082120 Bergen . . . . . 9.81950 ROC 09819050 Hamar . > . . . 9.81945 Christiansund . . . 9.82200 Lærdal . . . . . 9.81966 Trondhjem . . . . 9.82180 Lillehammer . . . 9.81955 TOMCAT 082503 Koppang . > ++ 9.81951 | „alten. GE Gene RESr EG a & a 19:82005 Vadso 7, 222 4, 45) 082622 Die Barometerhöhe plus die Schwerekorrektion giebt den wahren Luftdruck. Den entsprechenden Siedepunkt habe ich aus IViebe's* Tafeln, II, genommen. Ich habe diese den Tafeln Broch’s® vorgezogen, da sie auf neueren Untersuchungen beruhen®. Für 760 mm geben beide Tafeln denselben Werth, 100°, für den Siedepunkt. Bei 680 mm giebt Brochs Tafel 96°.9243, und Wiebes 96°.9157, also ein Unterschied von 00.0086, welcher grösser ist als die Genauigkeit, mit welcher man das Hypsometer ablesen kann. Da indessen der Siedepunkt nur als Zwischen- glied benutzt wird, um den Luftdruck als Funktion der Hypsometer- Videnskabsselskabets Forhandlinger 1892. Oversigt S. 27. Resultate der im Sommer 1893 in dem nördlichsten Theile Norwegens ausgeführten Pendelbeobachtungen. Videnskabsselskabets Skrifter 1894. I. Math.-naturv. Klasse, Resultate der im Sommer 1894 in dem südlichsten Theile Norwegens ausgeführten Pendelbeobachtungen, Videnskabsselskabets Skrifter. I. Math.-naturv. Klasse, 1395. No. 4. * Tafeln über die Spannkraft des Wasserdampfes zwischen 76 und 101.5 Grad. Auf Grund der Ergebnisse neuer Versuche berechnet und herausgegeben von H. F. Wiebe, 1894. 5 Travaux et Mémoirs du Bureau international des Poids et Mesures, T.I. III. A, 46. — Tables météorologiques internationales. Il S. 254. 6 Von seinen Tabellen sagt Broch (S. A. 32): «Comme, en outre, les observations pa- raissent être sujettes à certaines groupes d'erreurs constantes, nous nous sommes arrêtés provisoirement aux résultats contenus dans la formule (8) et à la Table suivante, basée sur cette formule, tout en reconnaissant la necessité de recherches ultérieures, tant par répétition des experiences de M. Regnault avec toute l'exactitude que la con- struction des instruments de précision peut actuellement rendre possible, que par = des calculs plus complets». 1890. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 21 ablesung oder umgekehrt zu finden, ist es hier gleichgültig, welche Tafel man benutzt, wenn nur dieselbe Tafel dazu benutzt wird um den Siede- punkt aus dem Luftdruck oder den Luftdruck aus dem Siedepunkt zu finden. Der Unterschied zwischen dem berechneten Siedepunkt und der Ab- lesung des Hypsometers ist dessen Korrektion. Es ist indessen zweckmässig diese Korrektion in zwei Theile zu trennen. Der eine Theil ist die Kaliberkorrektion. Der andere wird, wenn der erste angebracht worden ist, praktisch genommen, eine lineäre Funktion des Thermometerstandes, bei den wenigen Graden, um welche es sich handelt, und für welche die Ausdehnung des Quecksilbers der Aenderung der Temperatur proportional gesetzt werden darf. Die Wirkung des Druckes auf das Volum des Thermometers ist in dieser Korrektion enthalten. Hr. Docent 7. Tornoe hat die Güte gehabt, die Kaliberfehler der Thermometer zu bestimmen. Die daraus folgenden Korrektionen sind: Hypsometer No. 68 Hypsometer No. 69 bei 96° 0.0000 00.0000 96.5 AN 05 = 69 97 — 07 — 26 97.5 — I I — 26 98 + 02 — 41 08.5 + 12 — 38 99 Hug 25 6 99.5 == OG Sr AS 100 — 03 — 25 100.5 — 04 — 12 101 0.0000 0.0000 Die mittlere Abweichung zwischen Beobachtung und Berechnung ist für No. 68 +09.00017 und für No. 69 +0°.00023 Nach den gefundenen Zahlen wurde eine Kurve für die Kaliber- korrektionen jedes Thermometers aus freier Hand gezeichnet, und aus den Kurven wurden die Korrektionen für die beobachteten Thermometer- ablesungen entnommen. Der Unterschied zwischen dem aus der Barometerbeobachtung be- rechneten Siedepunkt und der wegen Kaliberfehler korrigierten Thermo- meterablesung wurde als lineäre Funktion der letzteren aufgestellt. Ist diese 4 und die Korrektion bei derselben c;, so wird gesetzt bo we H. MOHN. M.-N. KI. Ct = C100 + I (100° — 2) oder = cr + y (1 —9 wo co die Korrektion bei 100° und cr die Korrektion bei 7° ist. Um diese Korrektionen und namentlich den Faktor y mit der nöthigen Genauigkeit bestimmt zu erhalten, sind Beobachtungen sowohl bei höherem als bei niedrigerem Luftdruck erforderlich. Dies habe ich zu erreichen gesucht durch Beobachtungen an Stationen, deren Pendel- schwere bekannt ist, in verschiedenen Meereshöhen. Glücklicherweise gehören zwei von unseren höchsten Barometerstationen, Domaas und Röros, ausser einigen in mittleren Höhen, zu den Pendelstationen des Prof. Schiötz. Die Pendelstationen, welche am Meere liegen, geben während der Reisen Gelegenheit zu einer stetigen Kontrolle der in Christiania gefundenen Korrektionen, was sich, zumal im ersten Jahre, als eine dringende Nothwendigkeit erwiesen hat. Zu der Berechnung der Konstanten cıoo oder cr und y wurden die Beobachtungen zuerst in Gruppen gesammelt, nach dem Barometerstand vertheilt. Die längeren Beobachtungsreihen in Christiania konnten für einen Zeitraum mehrere solche Gruppen geben. Die Beobachtungen an den anderen Stationen konnten für jede Station und für jedes Mal, wann ich die Station besuchte, in eine einzelne Gruppe gesammelt werden. Da die Korrektionsfunktion lineär ist, gilt das Mittel der Korrektionen für das Mittel der Temperaturen. ; Die einzelnen Beobachtungen sind am Schluss dieser Abhandlung in Tabellen zusammengestellt zu finden. Nach den Gruppenmitteln wurden die Konstanten der Formel für c durch die Methode der kleinsten Quadrate aus den Beobachtungen berechnet, welche gemacht wurden, seit die Thermometer ihre Korrek- tionen unverändert behielten. Letztere Bemerkung ist dadurch veranlasst, dass beide Hypsometer in der ersten Zeit der Beobachtungen in Christi- ania und auf Reisen 1896 und 1897 steigende Siedepunkte zeigten. Die Konstante cıoo, welche negativ war, wurde allmählich grösser und grösser. Der Faktor y, welcher den Werth eines Theiles der Skala re- präsentiert, darf als unverändert angesehen werden. Mit dem später ge- fundenen Werth von y können die Beobachtungen auf co reduciert werden, und auf diese Weise habe ich die folgenden Resultate erhalten. 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 23 Hypsometer No, 68 Hypsometer No. 69 Station t ct C100 zt ct C100 1895. Juni und Juli | Christiania 99.988 0.045 avert 99.857 0.016 Ky 1896. April » 100.299 78 77 || 100.266 43 42 » Mai » 100.132 81 80 || 100.099 48 48 » » » 99.797 79 80 || 99.765 48 49 » Juni ı. » 99.867 81 82 || 99.834 48 49 » » 5.9. » 99.832 80 81 | 99.798 46 47 » NER Oxö 100.206 83 82 || 100.174 51 50 » » 18,—22. | Bergen 100.084 85 85 || 100.050 SI SI » » 22.—23. » 99.925 84 84 || 99.891 50 50 » » 25. Florö 100.086 87 86 || 100.053 54 53 » » 27.--28. | Aalesund 99.963 85 85 || 99.930 52 52 » » 29.—30 Christiansund| 99.939 86 86 || 99.905 52 52 » Juli 2.—3. Trondhjem 99.832 91 92 || 99.799 57 58 » » 17.—19. | Christiania 100.017 89 89 || 99.985 57 57 » Aug.27.—31. » 99.913 |—0.089 |—0.089 || 99.879 |—0.055 |—0.056 Man sieht, dass beide Hypsometer bis Anfang Juli 1896 (Trondhjem) gestiegen sind. Von dieser Zeit an bis Ende August können ihre} Kor- rektionen als unverändert angesehen werden, indem cjo0, berechnet aus Beobachtungen an 10 Stationen, sich für Hypsometer No. 68 zwischen — 00.0916 und — 00.0890 hält und für No. 69 zwischen — 00.0581 und — 00.0564. Zur Berechnung der Konstanten cıoo oder cr und y hatte ich für das Jahr 1896 die folgenden Gruppenmittel. Hypsometer No. 68. 1896 Beob. Beob. Berechn. Station t ct ct O.—B. 0 0 0 0 1. Alten 100.139 — 0.0914 — 0.0905 — 0.0009 2. Vadsö 100.079 900 92 + 02 3. Christiania, Juli 100.017 890 898 + 08 4. » Aug. 99.913 887 893 + 06 5. Trondhjem 99.832 907 889 — 18 6. Hamar . 99.641 871 879 + 08 7. Lillehammer 99.452 861 868 + 07 8. Koppang 98.931 841 843 + 02 9. Domaas 98.092 811 801 — 10 10. Röros 97.789 781 786 + 05 Mittel 99.3885 — 0.08664 + 0.00075 24 å H. MOHN. M.-N. KI. Zur Berechnung der Unbekannten cr und y in der Gleichung er + » T-)=u nach der Methode der kleinsten Quadrate haben wir also 10 Gleichungen. In den Endgleichungen [aa] cr + [ad] y = [acı] [ad] er + [88] » = [de] werden, wenn cr gleich dem Mittel der 10 Werthe von c,, und 7 gleich dem Mittel der 10 Werthe von 7 gesetzt wird, [aa] = 10; [aa] cp = ro Hl = pe] [28] =[7—4 =o; [ac] = [er]; [6] = (To) (79); [Cee] = (Te). folglich 10.07 = [c;] . (7—794 ¥ = (7—4 à]. T = 990.3885 cr = — 0°.08664 3) .0.,0325724 I= 6.430207 — 0.0050656 © = — 00.08664 + 0.0050656 (99°.3885 — 2) C100 = — 0°.08664 — 09.00310 = — 0°.08974 ce = — 0.08974 + 0.0050656 (100° — 2). Die nach dieser Formel berechneten Werthe von c sind in der obigen Tabelle aufgeführt worden zugleich mit ihren Abweichungen (O.—B.) von den beochachteten. Aus diesen letzten berechnet sich die mittlere Abweichung zu +0.°00075 für ein einzelnes Stations (Gruppen)- Mittel. Hypsometer No. 69. 1896 Beob. Beob. Berechn. Station t ct ct 0,—B. 0 0 0 0 Alten. 222 PPT OOTOS — 0.0576 — 0.0574 — 0.0002 Vadsö . = FENG. 042 550 571 + 21 Christiania, Juli. . . 99.085 566 569 + 03 » AUS... 00070 551 564 + 13 rondhjem 777 222209709 569 561 — 08 Hamar 10 "06 000 Ørn 573 552 — 21 Lillehammer. . . . 99.420 542 543 + ol Koppang. . . . « 95.000 540 521 — 19 Domaas . . . « « 98,000 495 484 — II ROE 2 100.038 97: 756 — 0.0447 — 0.0470 ++ 0.0023 Miele 00, 99.356 — 0.05409 + 0.00122 = on. 05409 + 0.004434 (990.356 — 2). = --.00.05694 + 0.004434 (1000 — 2). 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. = 25 Im Jahre 1897 besuchte ich keine höher liegende Pendelstation, Im Mai und Juni waren die Korrektionen der Hypsometer wieder andere als im August 1896, wie unten näher besprochen. Die Hypsometer stiegen bis am 27. Juni, von welchem Tag an die Beobachtungen in geringen Höhen an den Pendelstationen Christiania, Bergen und Lærdal zeigten, dass die Hypsometer ihre Korrektionen sehr gut bewährten, Das Ergebniss derselben war Hypsometer No, 68. 1897 Beob. Beob. Berechn. Station Z ct ct oO. —B. Bergens Wa [a4 100.1 13 — 0.0934 — 0.0926 — 0:0008 Christiania, Juni . . . 100.086 925 925 00 » Septemb. . 100.084 918 925 + 07 » » . 99.504 906 895 — IT LEE aa Teo ME oo — 0.0888 —0.0899 + II Mittel? 22 2 se 1s 99,8734. — D 09142 + 0.00074 Mit dem Faktor y von 1896 & = — 09.09142 + 0.0050656 (990.87 14 — 2). & = — 0°.09207 + 0.0050656 (100° — 2). Da cıoo in 1896 —09.08974 war, ist das Hypsometer No. 68 von 1896 bis 1897 um 0.0023 gestiegen. Hypsometer No. 69. 1897 Beob, Beob. Berechn, Station t ct ct O.—B. 0 0 0 0 Bergen «© . . . . 100077 —0:0576 —00576 0.0000 Christiania, Juni . . . 100.051 571 575 + 04 > Septbr. . . 100.049 574 575 + or > > ++ 99.469 554 So EE 105 Lærdal Aug... . . °99:538 551 552 + or Mee 98 366 — 0.05652 +0.00022 Ce = — 0°.05652 + 0.004434 (99°.8366 — Å). C = — 0°.05724 + 0.004434 (1000 — 2). ce war in 1896 = — 00.056994. Der Unterschied von 1897 ist nur 0°.00030, was von keinem Belang ist. Im Herbste 1897 hatte ich das Missgeschick, dass beide Thermo- meter zersprengt wurden. Da nur die Behälter zerschellt wurden, die 26 H. MOHN. M.-N. KI. Röhren aber unbeschädigt waren, frug ich beim Herrn Baudin in Paris (No. 176 Rue St. Jaques) an, ob es möglich wäre, neue Behälter an die Röhren zu machen, eine Anfrage, auf welche Hr. Baudin in der liebens- würdigsten Weise mir in Wort und That antwortete, Die neuen Thermo- meter wurden von Baudin auf die Weise getempert, dass sie 72 Stunden lang auf 448° und darnach 72 Stunden lang auf 100° gehalten wurden. Meine Beobachtungen zeigen, dass die Absicht erreicht worden ist. Beide Hypsometer haben sich im Laufe des Sommers unverändert erhalten. Um ihre Konstanten zu bestimmen machte ich Beobachtungen ausser in niedrigeren Höhen auch in Röros, und an der 850 Meter hoch liegenden Station Opset. An dieser Station ist die Pendelschwere zwar nicht bestimmt worden, aber ihre bedeutende Höhe macht sie mit der nach Helmert berechneten Schwerekorrektion brauchbar, auch wenn diese etwas von der wahren abweichen sollte. Die späteren Berech- nungen geben einen Unterschied von 0.03 mm. Ich habe jedoch die Beobachtungen von Opset nur mit halbem Gewicht benutzt. Die Thermometerablesungen sind nach Tornöe’s Kaliberkorrektionen berechnet worden. Diese scheinen durch das Anschmelzen von neuen Behältern nicht geändert worden zu sein. Die Beobachtungen von Christiania mit dem Hypsometer No. 69 sind in 7 Gruppen getheilt worden, jede von 10 Beobachtungen, nach dem Barometerstand. Hypsometer No. 68. 1898 Beob. Beob. Berechn. Station t ct ct 0. —B. Opset (1/2 Gewicht). . 97.221 + 0.0826 -+ 0.0800 + 0.0026 Roros 722 eee Oo og 680 701 — 21 Christiania, Juni. . . 99.535 553 556 — 03 » Aug,. . == 99.828 532 526 + 06 Bergen . . . . . . 100.070 + 0.0502 + 0.0500 - 0.0002 Mittel . . 99.1569 eee 0.05964 + 0.00116 61 = + 0°.05964 + 0.010536 (999157 — 2). c = + 0°.05076 + 0.010536 (100° — /). 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 27 Hypsometer No. 69. 1898 Beob, Beob, Berechn. Station £ ct ct 0,—B. Opset (4/2 Gewicht). . 97.2 19 + 0.0533 + 0.05 29 + 0.0004 IRQS 6 =. o OST 04 469 483 — 14 Ostsee. 5 à o © So 446 428 + 18 » EN. 000636 416 414 02 » EN 90712 409 AIO — OI OMS 000730 430 409 + 21 Christana 993706 407 406 + OI ronde 6 6 5 OU OZ 421 400 + 21 CIS SN 00 033 307 400 — 03 » De chute TOO 389 OS 06 Bergen See te 100007 370 393 — 23 (Christianiassee TOO 212 + 0.0368 + 0.0385 — 0.0017 Mittel r (CO 5640 71004164 + 0.00112 61 = + 00.04164 + 0.004747 (090.585 — 2). & = + 0°.03967 + 0.004747 (100° — 2). Um die Genauigkeit der Beobachtungen und der daraus berech- neten Resultate zu untersuchen habe ich die folgenden Berechnungen gemacht. Aus den Tabellen auf S. 18 fanden wir den durchschnittlichen Fehler einer einzelnen Barometerbeobachtung 4, = +0.018 mm = +0°.00066. Die letzte Zahl drückt die der Luftdruckänderung entsprechende Aenderung im Siedepunkte bei 755 mm Luftdruck aus. 4, ist der Mittelfehler einer Barometerbeobachtung, welcher aus Beobachtungsfehlern bei der Einstellung und Ablesung der Quecksilber- höhe und der Ablesung des Thermometers folgt. _Äussere Umstände, die auf das Barometer Einfluss haben können, sind bei den Verglei- chungen zwischen beiden Barometern für beide Instrumente gemein- schaftlich und kommen im Unterschiede zwischen beiden nicht zur Wirkung. Während der Versuche haben beide Hypsometer sich unter iden- tischen oder fast identischen Umständen im Siedeapparat befunden. Behandeln wir die gleichzeitigen Hypsometerbeobachtungen auf dieselbe 28 H. MOHN. M.-N. Kl. Weise wie die Barometervergleichungen, das heisst, nehmen wir den Unterschied zwischen den gleichzeitigen Ablesungen der Hypsometer bei jedem Siedeversuch, beide von Kaliberfehler befreit, und für jede Gruppe das Mittel aus diesen Unterschieden, sowie die Abweichung der einzelnen Differenzen von diesem Mittel, so erhalten wir als Mittel von diesen eine Zahl, welche den Mittelfehler einer Vergleichung zwischen den zwei Hypsometern repräsentiert. Die erstgenannten Unterschiede zwischen den zwei Hypsometern sind zwar von der Temperatur ab- hängig, und deshalb theoretisch nicht konstant, aber innerhalb einer einzelnen Gruppe kann praktisch genommen die Konstanz gelten. Wir erhalten also den Mittelfehler einer Vergleichung der zwei Hypsometer dy —t, = +0°.00118 = +0.032 mm (269 Beob.) Der Mittelfehler einer einzelnen Hypsometerablesung wird dann A= ait fa +0°,00084 = 0.023 mm. V2 Ein Zehntel einer Theilung am Hypsometer beträgt 09.002. Es ist also gelungen, durchschnittlich weniger als die Hälfte dieser Zahl zur Beobachtung zu bringen, Der mittlere Beobachtungsfehler am Hypso- meter ist sehr wenig grösser als am Barometer (0°.00066), aber er ist unter einem Tausendtheil des Grades. S. 16 fanden wir +0°.00085. Für die einzelnen Gruppen wurde gefunden Jahr Ort Beob, Øy 4, Jahr Ort Beob. 4 4 1896 Christiania, Juni 23 +0.00220 1897 Christiania . . 7 +0.001 10 OCR ET 07 094 Bergen? . 228 104 Bergen, Station 12 063 Baerdal m arg 034 » Sternwarte 7 og! Christiania. . 7 047 Florö 5 = 70 080 » + + 19 0.0075 Aalesund . . 12 063 | Summe und Mittel 51 +0.00073 Christiansund . 11 132 Trondhjem . . 8 ee 2 09° | 1898 Christiania . . 10 +0.00115 Rörøs, vi Ser 107 2 Bement zy inl. 0 175 Koppang . . 10 145 i KRorose mr 12 175 Hamar 4 KN 067 Opel 12 199 Domaas. . . 9 102 a age ; MOnseb sy ©. er 169 Christiania, Juli 15 126 - Vadsö . . .10 142 Summe und Mittel 47 +0.00168 ten. Go . TE 148 Christiania, Aug. 9 0.00057 Summe und Mittel 171 +0.00119 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 29 Für 1898 wird, wie man sieht, der Mittelfehler etwas grösser als in den vorhergehenden Jahren. In 1898 hatte ich nur ein Hypsometer auf einmal im Siedeapparat, so dass die Umstände für beide nicht absolut identisch waren. Es verstrich jedoch nur eine oder zwei Minuten zwischen den Beobachtungen der beiden Hypsometer. Bei der Vergleichung zwischen Barometer und Hypsometer kann man also die Wirkung der reinen Beobachtungs- resp. Ablesungsfehler auf den gefundenen Unterschied zwischen beiden Instrumenten, auf das- selbe Mass reduciert, setzen Io = +42 + 42 = + 0.029 mm = + 09.00107. Nimmt man, für jede Gruppe, das Mittel der Korrektion c und berechnet die Abweichung der einzelnen Beobachtungen von diesem Mittel und dann das Mittel dieser Abweichungen ohne Rücksicht auf Vorzeichen, so erhält man den Mittelfehler (7,) einer einzelnen Ver- gleichung zwischen Barometer und Hypsometer so wie er aus den Be- obachtungen an einem und demselben Orte (Gruppe) unter den dort vorliegenden Umständen hervorgeht. Bei dieser Berechnung habe ich nicht Rücksicht darauf genommen, dass c; nicht konstant ist, sondern etwas veränderlich mit der Temperatur. Innerhalb einer einzelnen Gruppe variiert indessen die Temperatur nur wenig, so dass das be- nutzte Verfahren als praktisch zulässig angenommen werden kann. A; 1896 Beob. Hypsom. 68 Hypsom. 69 Hrendnene à 0 ao 0 Mi +0.0022 0.0027 IROTOS PR Mee i) sey 08 17 KOPPALO 5 5 6 g go WO 16 17 amar \ ky.) end MG 16 17 Talea men 16 07 Domads EE te 9 28 26 Christiania Juli 3). rs 19 17 » NURSE u 5 4 © 19 13 Wadcomer! fa MS TO 20 15 Alfenp Se VIZ 29 2 Summe und Mittel . . . 94 +0.00201 0.00202 EN 0 0 Christiania, jun! 2 | | 7 +0.0013 +0.0015 Bergson see 129.8 22 28 Bærdalm CORRE 0) 20 19 Cheisbana sep sa. 08 07 » » > HEG) 14 18 Summe und Mittel . . . 51 +0.00154 +0.00174 30 H. MOHN. M.-N. KI. Hypsometer 68 Hypsometer 69 1898 Beob. A, Beob. 4, Cheistantae a 6 +0.0018 10 +0.0008 » RCE 10 08 » EN Ye 10 13 » SES FADE 10 12 » RC 2 10 07 > i DER 10 10 » Se ER 10 12 10 10 irondhjemerse ze: 5 14 Tromsø lin 10 10 Opsete u: et | II 17 14 II Perceni an. 6 13 6 07 Rorosyr. ordre 12 17 12 13 Summe und Mittel . 45 0.00155 117 +0.00107 1896—98 zusammen 190 +0°.00178 262 +0.00155 und im Mittel von beiden Hypsometern 4, = +0°.00164 = +0.044 mm. Da 421 = +0°.00107 = +0.029 » so ergiebt sich daraus, dass wahrend der Beobachtungen innerhalb einer Gruppe neben den eigentlichen Beobachtungsfehlern äussere Umstände eintreten, auf welche die Beobachtungen selbst nicht Rücksicht nehmen können und welche den Mittelfehler des Resultats grösser machen als die reinen Beobachtungsfehler. Hier ist zuerst zu bemerken, dass wir mit zwei verschiedenen Instrumenten zu thun haben, deren Beobach- tungen zusammengestellt werden. Äussere Umstände, die auf das eine wirken, wirken nicht oder in anderer Weise auf das andere, und diese Umstände entziehen sich der Beobachtung und der entsprechenden Be- rechnung ihres Einflusses auf das Resultat. So weit meine Erfahrung reicht, kann ich als solche störende Umstände die folgenden nennen. Das Thermometer des Barometers kann eine andere Temperatur angeben als die Temperatur des Quecksilbers und der Skala. Ein Zehntel Grad entspricht einer Aenderung in der Barometerhöhe von 0.01 mm. Der Unterschied zwischen der wahren Temperatur des Barometers und derjenigen des Thermometers kann von der einen Beobachtung bis zur anderen wechseln. Die Kapillaritåt im Barometerrohr kann möglicherweise von der einen Beobachtung zur anderen variieren. 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 31 Beim Hypsometer kann die Grösse der Flamme bei den einzelnen Beobachtungen verschieden, und damit auch der Dampfdruck im Dampf- rohre im Verhältniss zum Luftdruck veränderlich sein. Ein Theil der Unregelmässigkeit kann auch daraus seinen Ursprung haben, dass der herausragende Quecksilberfaden nicht bei allen Ver- suchen dieselbe Länge gehabt hat. In der Regel ist die Einstellung des Barometers und die Ablesung der Hypsometer als gleichzeitig zu rechnen, indem die erstere zwischen den zwei Ablesungen der letzteren gemacht worden ist, das heisst, während die ausgelöschte und wieder angezündete Lampe das Wasser zum zweiten Mal zum Kochen bringt. Hier treten wir der Frage näher, ob das Barometer und das Hypsometer gleich willig sind sich nach dem Luftdruck einzustellen oder nicht. Zur Erörterung dieser Frage habe ich die folgenden Berechnungen gemacht. An den unten genannten Stationen habe ich, mit konstanten Hyp- sometern, eine Reihe Vergleichungen zwischen beiden Instrumenten im Laufe eines Tages vorgenommen. Aus diesen Beobachtungen habe ich die Aenderung des Barometers in einer Stunde berechnet. In der Regel ist diese stetig gewesen, steigend oder fallend und gleichmässig. Ihren durchschnittlichen Werth für eine Station habe ich zusammengestellt mit der Differenz Beob. c; minus Berechn. c (Tabellen S. 23—27) nach dem Vorzeichen und dem Betrag derselben, wie die nachfolgende Tabelle zeigt. Steigendes Barometer. Barometer Beob. c, — Berechn. c, Var. pr. Stunde Hyps. 68 Hyps. 69 Mittel Röros 1896 . . . 024mm + 0.0005 +- 0.0023 I 0.0014 Bergen 1898. . . + 0.04 2 02 — 23 = 105 Opse ee Oe + 26 + 4 + 15 Mittel . . . . . -+o1smm 00011 00001 + 0.00062 Fallendes Barometer. Trondhjem 1896 . —0.27mm — 0.0018 — 0.0008 — 0.0013 Koppans ar om + 02 — IQ — 085 Hamar. . . . . —0.20 + O8 — 21 — 065 Domaas . . . . —0.14 — IO — II = 105 Christiania, Juli 1896 — 0.14 + O8 + 03 + 055 WAGE). 5 x 3 a 0710 + o2 + 21 - II5 Alan 0 u ONTO — 09 — 02 — 055 Lærdal NO + I I +- OI + 06 Röros 1898 . . . —0.09 — 21 — 14 — 175 Mittel . . . . . —015mm —0,00030 — 0.00056 | O © Q oO ‚I Q we we H. MOHN. M.-N. Kl. Durchschnittlich entspricht einem steigenden Barometer ein positiver Werth der Abweichungen Beob. c,— Ber. c und einem fallenden Baro- meter ein negativer Werth, beide fast gleich gross für dieselbe Baro- metervariation. Da Barometer (Siedepunkt)—Hypsometer = Beob. &, so sollte ein positiver Werth von Beob. 4— Ber. c einem zu hohen Barometerstand entsprechen und vice versa. Dies bedeutet, dass, wenn der Luftdruck steigt, das Barometer im Verhältniss zum Hypsometer zu hoch beob- achtet wird und umgekehrt, wenn der Luftdruck sinkt, d. h. dass das Barometer dem Luftdruck rascher folgt als das Hypsometer. Indessen sind die Beträge der Hypsometervariationen, um die es sich handelt, nur klein, und, wie die Tabelle zeigt, findet sich Uebereinstimmung in dem Vorzeichen der Zahlen für die zwei Instrumente nur in 15 Fällen von 24 (62.5 %) und Nichtübereinstimmung in 9 Fallen (37.5 %). Es ergiebt sich also kein starkes Zeugniss für die grössere Empfindlichkeit des Barometers. Bei einigen Gelegenheiten, wenn das Barometer im starken Fallen, __ über 1 mm in der Stunde, — begriffen war, habe ich gefunden, dass dasselbe relativ allzu hoch beobachtet wurde, und die Beobachtungen wurden als unbrauchbar angesehen. Das entgegengesetzte, d. h. das Barometer zu niedrig bei starkem Steigen, hat sich mir nicht so deutlich gezeigt wie das erstere. Eine Aenderung von ı mm in der Stunde entspricht einer Aenderung von 0.017 mm in der Minute, eine Grösse, die derjenigen der Beobachtungsfehler schon nahe kommt. Bei starken Aenderungen im Luftdruck sind diese überhaupt so ungleichmässig, dass man in solchen Fällen am besten thut, die Beobachtungen auf ruhigere Zeiten aufzuschieben. Solche erhält man am besten in anticyklonischer Wetterlage. Nach diesen Untersuchungen glaube ich als Bedingung für gute Resultate festhalten zu müssen, dass die Einstellung des Barometers und die Ablesung des Hypsometers so gleichzeitig als möglich geschehen. Die zwei Instrumente dürfen nicht weit von einander entfernt sein. Hat man sie in zwei verschiedenen Zimmern, so muss während der Beob- achtung die Thür zwischen diesen offen gehalten werden. Es empfiehlt sich, die Fenster geschlossen zu haben, um dem Luftzuge zu entgehen. Hat man einen Barograph, so kann man nach diesem beurtheilen, ob der Luftdruck ruhig oder nicht ist. Ist die Barographkurve gezackt, so hat man darin eine Warnung vor dem Anstellen von Versuchen mit dem Hypsometer. 1899. No, 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. (os) Oo Nach dieser Digression kehren wir zu unserer Betrachtung) der Fehler bei den Vergleichungen zwischen Barometer und Hypsometer zurück. Unter allen Umständen ist es wahrscheinlich, dass eine Ver- änderlichkeit im Luftdrucke während der Beobachtungen in einer Gruppe eine entsprechende Veränderlichkeit in dem Unterschied zwischen den Angaben des Barometers und des Hypsometers herbeiführen kann. Der Betrag der durch äussere störende Umstände hinzukommenden Wirkung innerhalb einer Gruppe kann gesetzt werden gleich +y4ı? — 42 , = +0.034 mm = +0°.00124. Nimmt man für die einzelne Beobachtung den Unterschied Beob. c, — Berechn. ¢, so ergiebt sich (in derselben Weise wie /ı) die mittlere Abweichung (42) einer einzelnen Beobachtung von dem schliesslich be- rechneten Werth für Hypsometer No. 68 aus 190 Beobachtungen +0°.00189 und » » » 69 » 262 » +0°.00179 und im Mittel fiir beide Ag = +0°.00184 = +0.050 mm Da A,_4 = #£0°.00107 = +0.029 » so ergiebt sich eine störende Wirkung von äusseren Umständen im Be- trage von +43 — 4? , = +0.0405 mm = +0°.00150 Dies ist eine grössere Wirkung als diejenige, welche innerhalb einer Gruppe statt hatte. Dies scheint auch ganz übereinstimmend mit dem, was wir erwarten können. Während innerhalb der einzelnen Gruppe die Beobachtungen in demselben Zimmer ausgeführt sind, wechselt das Lokal von der einen Station zur anderen, von Gruppe zu Gruppe. In demselben Lokal findet zwar von der einen Beobachtung zur nächsten ein Wechsel in den Fehlern bei der Bestimmung der Temperatur des Barometers und des Hypsometers u. s. w. statt, aber die Fehler halten sich grösstentheils konstant. An den verschiedenen Stationen dagegen treten solche von den äusseren Umständen bewirkten Fehler mit ihrer vollen Wirkung hervor. Die der Methode eigenthümlichen Fehler wieder- holen sich immer, haben aber keine Bedeutung, da nur von relativen Bestimmungen die Rede ist. Da 42 = +0.05 mm, so ergiebt sich daraus, dass die Methode im Stande ist eine einzelne Vergleichung zwischen Barometer und Hypso- meter mit einer Genauigkeit von einem halben Zehntel des Millimeters zu liefern. Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 2 3 M.-N. Kl. 34 H. MOHN. Da eine Anzahl von 452 einzelnen Beobachtungen auf 47 Gruppen vertheilt ist, kommen durchschnittlich 9.62 Beobachtungen auf jede Gruppe. Nach der Wahrscheinlichkeitsrechnung sollte demnach das Gruppenmittel einen Mittelfehler (43) haben, welcher dreimal kleiner wäre als der aus den Beobachtungsfehlern herrührende Mittelfehler (4, _,) der einzelnen Beobachtung Da d, 1= +0.029 mm = +0°.00107 sollte ds =+0010 » = +0°.00036 Berechnet man das Mittel (44) der Mitteiwerthe für die Gruppen der Differenzen Beob. c;— Berechn. c, (Seite 23—27) so erhält man für Hypsometer No. 68 44 = +0°.000815 und » » » 69 Ja = +0°.000825 im Mittel A4 = +0°.000820 = +0.022 mm. 44 ist etwas grösser als 43 und schliesst eine Störung ein, deren Betrag ist +V4? — 4% = +0.020 mm = +00,00074 Eine andere Rechnungsweise ist die folgende: A2 = +0.050 mm = +0°%.00184 À = — +0.017 » = +00.00061 Ja = +0.022 » = +0.00082 1 Die zwei letzten Werthe kommen einander sehr nahe und geben, als Maass der Genauigkeit, mit welcher durch eine Reihe von etwa 9 Beobachtungen im Laufe eines oder mehrerer Tage der Unterschied zwischen dem Barometer und dem Hypsometer, beide auf gemeinschaft- liches Maass reduciert, nach unserer Methode bestimmt werden kann, å = +0.02 mm = +0°.00074 Ich gehe nun dazu über, die gefundenen Korrektionen für die Hyp- someter dazu anzuwenden, um die Schwerekorrektion derjenigen Stationen zu finden, an welchen Pendelbeobachtungen nicht gemacht worden sind. Die Barometerbeobachtungen wurden auf 0° und auf das Normal- barometer reduciert. Die Hypsometerablesungen wurden von Kaliberfehlern korrigiert und mittels der Standkorrektionen ¢ auf den wahren Siedepunkt reduciert. I Für Christiania Z, = f. No. 68: +0°,00054; für No. 69: +00,00062; im Mittel =00,00058. Siehe oben S. 19 Mitte, 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 35 Aus diesem wurde nach Wiebes Tafel I der entsprechende Luftdruck berechnet. Dieser minus die Barometerhöhe giebt die Schwerekorrektion bei der respektiven Barometerhöhe. Aus den durch die einzelnen Be- obachtungen gefundenen Werthen der Schwerekorrektion für den Ort und aus den entsprechenden Barometerhöhen wurden die Mittel ge- nommen. Die Abweichungen der gefundenen Schwerekorrektionen vom Mittel wurden berechnet, und aus diesen Abweichungen wurde ohne Rücksicht auf das Vorzeichen das Mittel genommen. Dies ist der Mittel- fehler einer einzelnen Beobachtung. Die Berechnung ist für jedes Hyp- someter besonders ausgeführt worden. Wie oben (S. 22) bemerkt, waren die Korrektionen der Hypsometer zu Anfang meiner Reisen 1896 (Aabogen bis Trondhjem) und 1897 (Aas, Eidsvold) nicht konstant. Indessen sind die Aenderungen derselben ziem- lich gleichmässig vor sich gegangen und sind so klein, dass sie der Zeit proportional gesetzt werden können. Vor und nach jeder neuen Station sind Kontrolbestimmungen an einer Pendelstation gemacht, und ich habe also aus den Bestimmungen an der vorhergehenden und der nachfol- genden Pendelstation für die zwischenliegende Station den Mittelwerth nehmen können. Die einzelnen Beobachtungen habe ich in den Tabellen am Schluss dieser Abhandlung gegeben. Hier folgen die für jede Station gefun- denen Mittelwerthe. C ist die Schwerekorrektion. M. F. ist der Mittel- fehler einer einzelnen Bestimmung der Schwerekorrektion. 7 ist die Anzahl der Beobachtungen. Aabogen. 09 Hyps. 68 09 Hyps. 69 Christiania 1896, Mai 12.—17. . . . . — 0.0804 — 0.0482 » » 2130: 32, fae, 11,822 — gp Mittel — 0.0813 — 0.0487 Aabogen, Mai 28. u. 29, Hyps. 68: «+ = —0°.0813 + 0.00507 (100° — 2). —00,0487 + 0.00443 (100° — 2). » » DN » 69: Ct | Korr. f, Kal, C4 Siedepunkt Luftdruck Bar. @ M. F. n mm mm 0 0 0 mm mm Hyps. 68 99.5301 —0.0789 99.4512 745.21 744.27 +0.94 +0.044 10 » 69 99.4984 — 0.0465 99.4519 745.23 744.27 + 0.96 +0.042 10 Mittel 744.27 + 0.95 36 H. MOHN. M.-N. Kl. Færder. joop Hyps. 68 cm Hyps. 69 0 0 Christiania 1896, Mai 30.—32. . . . . —0.0822 — 0.0492 » » Juni 5.—9. er. 0812 — 471 Mittel — 0.0817 — 0.0482 Færder, Juni 2.—3., Hyps. 68. . c = — 00.0817 + 0.00507 (100° — 2). » > > » 69. . © — — 00.0482 + 0.00443 (100° — 2). Korr, f. Kal. CA Siedepunkt Luftdruck Bar. C M. F. mn mm mm Hyps. 68 100.1166 — 0.0821 100.0345 760.94 759.93 + 1.01 +0.041 IO » 69 100.0834 — 0.0488 100.0346 760.94 759.93 + 1.01 +0.027 10 Mittel ae a 759.93 + 1.01 Mandal. C0 Hyps. 68 4199 Hyps. 69 0 0 Christiania 1896, Juni 5.—9. . . . . . —0.0812 — 0.047 I Oxö » » LE — 821 — 500 Mittel — 0.0817 — 0.0486 Mandal, Juni 11. ı2., Hyps. 68: & = —0®.0817 + 0.00507 (100° — 2). > aa » 69: ct = — 09.0486 + 0.00443 (100° — 4). Korr. f. Kal, cg Siedepunkt Luftdruck Bar. Cc MF n mm mm mm Hyps. 68 100.0041 — 0.0817 99.9224 757.80 756.90 + 0.99 +0.035 12 » 69 99.9701 — 0.0485 99.9216 757.86 756.90 + 0.96 +0.033 12 Mittel 756.90 + 0.97 Skudenes. Goo Hyps. 68 €00 Hyps. 69 0 0 Ox, 1806, Juni 13: Fem 0.0821 — 0.0500 Bergen » >. 18-07 ee 2850 — 511 Mittel — 0.0835 — 0.0505 Skudenes, Juni 15, 16. Hyps. 68: & = — 00.0835 + 0.00507 (100? — 4). 69: cp = — 0.0505 + 0.00443 (1000 — 2). 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER 37 Korr. f. Kal. cy Siedepunkt Luftdruck Bar. €: Wh JANG 0 0 0 mm mm mm mm Hyps. 68 100.1635 — 0.0843 100.0792 762.16 761.14 + 1.02 +0.039 12 » 69 100.1303 — 0.0511 100.0792 762.16 761.14 + 1.02 +0.050 12 Mittel 761.14 + 1.02 Für die folgenden Stationen gelten in 1896 die Gleichungen: Hyps. 68: rc = — 00.0897 + 0.00507 (100° — 2). » 69: 4 = — 00.0569 + 0.00443 (100° — 2). Tonset. 1896, Juli 6. Korr. f. Kal. cg Siedepunkt Luftdruck Bar. C ME n Hyps. 68 98.5072 0.0821 08.4251 718.21 717.23 + 0:98 +0.030 7 » 69 98.4731 — 0.0501 98.4230 718.16 717.23 +093 +0.028 7 Mittel 717.23 —+ 0.96 Rena. 1896, Juli 8, 9. Hyps. 68 99.4002 — 0.0867 99.3135 741.54 740.54 + 1.00 +0.045 8 » 69 99.3700 — 0.0542 99.3158 741.60 740.54 + 1.06 +0.061 8 Mittel 740.54 + 1.03 Listad. 1896, Juli 13. Hyps. 68 99.3508 — 0.0865 99.2643 740.23 739.28 + 0.95 +0.032 5 » 69 99.3207 — 0.0540 99.2667 740.29 739.28 + 1.01 +0.050 5 Mittel 739.28 + 0.98 Elvenes. 1896, Aug. 5. Hyps. 68 99.9738 — 0.0897 99.8841 756.86 755.51 + 1.35 +0.040 5 » 69 99.9406 — 0.0568 99.8838 756.86 755.51 + 1.35 +0018 5 Mittel 755.51 + 1.35 Vardö. 1896, Aug. 11.—13. Hyps. 68 100.2861 — 0.0912 100.1949 765.31 763.78 + 1.53 +0.052 II » 69 100.2536 — 0.0581 100.1955 765.33 763.78 + 1.55 +0.047 II Mitte] 763.78 + 1.54 38 H. MOHN. M.-N. Kl. Im Mai und in der ersten Hälfte des Juni 1897 waren die Korrek- tionen der Hypsometer nicht konstant. Für die Beobachtungen an den Stationen Aas und Eidsvold mussten sie daher interpoliert werden, nach den vorhergehenden und nachfolgenden Bestimmungen in Christiania. Aas. Go Hyps. 68 co Hyps. 69 0 0 Christiania, 1897, Mai 22.—29. . . . . — 0.0822 — 0.0478 » >» JUN IA: GE 00842 — 489 Mittel — 0.0832 — 0.0483 Aas, Mai 30. 31, Hyps. 68: «4 = — 00.0832 + 0.00507 (100° — 2). » u YES » 69: 6 = — 00.0483 + 0.00443 (1000 — 2). Korr. f. Kal. cg Siedepunkt Luftdruck Bar. [& M.F. n 0 0 0 mm mm mm mm Hyps. 68 100.0689 — 0.0835 99.9854 759.60 758.55 + 1.05 +0.045 10 » 69 100.0333 — 0.0484 99.9849 759.59 758.55 + 1.04 +0.051 10 Mittel 758.55 + 1.05 Eidsvold. Goo Hyps. 68 499 Hyps. 69 0 Christiania 1897, Juni 1.—4 . . . . . —0.0842 — 0.0489 DAR » 2 DT 0 aes 837 | Pb | Mittel — 0.0839 — 0.0492 Eidsvold, Juni 8. 9., Hyps. 68: ¢, = — 00.0839 + 0.00507 (1000 — 2). » >» >» » » 69: © = — 00.0492 + 0.00443 (100° — 2). Korr. f. Kal, 4 Siedepunkt Luftdruck Bar. C WERL 0 0 inom mm m mm Hyps. 68 99.4554 — 0.0811 99.3743 743.16 742.26 + oc +0.046 8 » 69 99.4185 —0.0465 99.3720 743.11 742.26 + 0.85 +0.024 8 Mittel 742.26 + 0.88 In Christiania wurde gefunden d. 20.—26. Juni, nach der Reinigung des Normalbarometers Hyps. 68 c100 = — 0.0860 69 co = — 00.0509 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 39 Nachdem die Hypsometer am 27, Juni von Flocken gereinigt waren, wurden die Seite 25 angeführten Korrektionen gefunden, welche sich den Sommer hindurch konstant hielten. Für die folgenden Stationen sind daher zur Anwendung gekommen die Korrektionen: für Hyps. 68: c = — 00.09207 + 0.00507 (100° — 2). » » 69: & = — 00,05724 + 0.00443 (100° — 2). Dalen. 1897, Juli 3.—5. Korr, f. Kal. CF Siedepunkt Luftdruck Bar. (& M. FF On mm 0 0 0 mm mm mm Hyps. 68 99.3987 — 0.0890 99.3097 741.44 740.53 +091 + 0.020 9 3 69 99.3633 — 0.0543 99.3090 741.42 740.53 — 0.89 + 0.028 9 Mittel 740.53 + 0.90 Ullensvang. Op, June 31% Hyps. 68 100.0145 — 0.0922 99.9223 757.90 756.90 + 1.00 +0.060 II » 69 99.9770 — 0.0570 99.9200 757.84 756.90 + 0.94 +0.060 1 Mittel 756.90 + 0.97 Balestrand. 1897, Aug. 11.—14. Hyps. 68 100.0077 — 0.092I 99.9156 757.72 756.70 + 1.02 +0.050 II » 69 99.9730 — 0.0570 99.9160 757.72 756.70 + 1.02 +0.063 11 Mittel 756.70 + 1.02 Granheim. 1897, Aug. 25. Hyps. 68 98.7941 — 0.0860 98.7081 725.58 724.56 + 1.02 +0.024 7 > 69 98.7584 — 0.0515 98.7069 725.55 724.56 + 0.99 +0043 7 Mittel 724.56 —+ 1.00 Tonsaasen. 1897, Aug. 26. 27. Hyps. 68 98.1509 — 0.0827 98.0682 709.02 708.11 + 0.91 +0.049 9 69 98.1158 — 0.0490 98.0668 708.99 708.11 + 0.88 +0.048 9 Mittel 708.11 + 0.89 4o H. MOHN. M.-N. Kl. Ausser an den oben genannten Barometerstationen habe ich im Jahre 1897 Beobachtungen gemacht bei Grungedal in Telemarken, mit dem folgenden Resultat: Grungedal. 1897, Juli 6. 7. Korr. f. Kal, 4 Siedepunkt Luftdruck Bar. G M.F, n 0 0 0 mm mm mm mm Hyps. 68 97.6555 — 0.0803 97.5752 696.48 695.63 + 0.85 +0.040 4 » (9 97.6252 — 0.0467 97.5785 696.55 695.63 + 0.92 +0.042 4 Mittel 695.63 + 0.88 Im Jahre 1898 waren die Korrektionen der Hypsometer mit der Zeit unverändert. 1898. Hyps. 68: ¢ = + 0°.05076 + 0.010536 (100° — 4). » 69: & = + 0°.03967 + 0.004747 (100° — 4). Da ich am Anfang der Inspektionsreise nur eine geringere Anzahl Beobachtungen zur Bestimmung der Korrektionen des Hypsometers No. 68 erhalten hatte, wurde dieses während des ersten Theiles der Reise nicht benutzt. Stenkjær. 1898, Juli 3. Korr. f. Kal. [7 Siedepunkt Luftdruck Bar. C MM R Hyps. 69 99.6670 4+ 0.0412 99.7082 752.10 751.02 + 1.08 +0.037 6 Brönnö. 1898, Juli 6. 7. Hyps. 69 99.6850 + 0.0411 99.7261 752.59 751.33 + 1.26 +0.055 10 Bodo. 1898, Juli 8.—11. Hyps. 69 100.1801 + 0.0387 100.2188 765.97 764.54 + 1.43 +0.041 9 Svolveer. 1898, Juli 12.—14. Hyps.69 995353 + 0.0420 99.5773 748.58 747.18 + 1.40 +0.045 11 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 41 Opset. 1898, Aug. 9.—12. Korr, f. Kal. cy Siedepunkt Luftdruck Bar, (et Me En mm 0 mm mm mm Hyps. 68 97.2207 + 0.0800 97.3007 698.58 688.82 + 0.76 +0.056 12 » 69 97.2193 -+-0.0529 97.2722 688.88 688.06 + 0.82 +0.029 14 Mittel 688.44 + 081 Tônset. 1898, Aug. 22. Hyps. 68 98.4681 —+-0.0668 98.5349 721.07 72002 + 1.05 +0.044 7 » 69 98.4867 + 0.0469 98.5336 721.03 720.02 + 1.01 +0.047 7 Mittel 720.02 + 1.03 Für Tönset haben wir also 4 Bestimmungen der Schwerekorrektion: 1806, Juli 6. Hyps. 68: C=--0.98 mm » » » » 69: 0.93 » 1898, Aug. 22 » 68: 1.05 » » » DR 69: 1.01 » Mittel ge + 0.99 mm Der Mittelfehler einer einzelnen Bestimmung ist +0.038 mm, die grösste Abweichung vom Mittel ist 0.06 mm. Diese Zahlen sind beide grösser als 44 oder +0.022 (S. 34). Die je zwei in demselben Jahre gefundenen Schwerekorrektionen sind indess nicht unabhängig von ein- ander, da sie auf denselben Barometerbeobachtungen beruhen. Wir haben eigentlich nur 2 von einander unabhängige Bestimmungen, für 1896: C=-+0.95 mm und für 1898: C=-+ 1.03 mm. Die halbe Differenz ist 0.04 mm und der Mittelfehler des Mittels kann gleich +0.04 : y2= +0.028 mm gesetzt werden. Die Berechnung des Unterschieds zwischen den 2 Mittelwerthen der Schwerekorrektion, welche die 2 Hypsometer an jeder Station gegeben haben, ergiebt: Cos — Coo für Mandal + 0.03 mm Aabogen —0.02 mm Færder 0.00 mm Tônset 5 Rena 6 Skudenes O » 4 Listad 6 Elvenes 6) Eidsvold 5 Vardö 2 Balestrand o Aas I Opset 6 Dalen 2 Grungedal — 0.07 Ullensvang 6 Granheim 3 Tonsaasen + 0.03 Summe (9) + 0.32 (6) i — 0.29 (4) 0.00 Mittel + 0.036 — 0.048 0.000 42 H. MOHN. M.-N. Kl. Die algebraische Summe, durch 19 (die Zahl der Stationen) dividiert, giebt + 0.002 mm. Die totale algebraische Summe aller Abweichungen, dividiert durch die Anzahl der Beobachtungen (172), giebt + 0.007 mm. Die Summe der Abweichungen, ohne Rücksicht auf Vorzeichen, giebt im Mittel +0032 mm. Diese Zahl ist identisch mit 4,-.,, Seite 28. Die Hypsometerbeobachtungen haben also an den Barometerstationen, welche nicht Pendelstationen sind, dieselbe Genauigkeit wie an diesen, Dasselbe kann auch für die Barometerbeobachtungen gelten. Der Mittel- fehler einer Bestimmung der Schwerekorrektion für eine einzelne Station, als Mittel von etwa 9 Beobachtungen, ist also gleich +0.02 mm zu setzen. An den Stationen, wo zwei Hypsometer beobachtet worden sind, mag das Mittel der zwei Bestimmungen einen etwas kleineren Fehler haben, doch kaum viel weniger als +0.02 mm, da die beiden Bestimmungen auf denselben Barometerbeobachtungen beruhen. Ist man im Besitz von einem Hypsometer, mit welchem der Luft- druck mit einer Genauigkeit von einigen wenigen Hundertsteln des Milli- meters sich bestimmen lässt, so kann man, an den Stationen, deren wahre Schwerekorrektion bekannt ist, das Stationsbarometer eben so genau verificieren, das heisst, seine Korrektion auf das Normalbarometer finden, wie mit einem Quecksilber-Reisebarometer. Beobachtet man an einer Station, deren Schwerekorrektion nicht bekannt ist, das Hypsometer und das Stationsbarometer, so findet man die totale Korrektion des letzteren auf den wahren Luftdruck bei dem stattfindenden Barometerstand. Diese Korrektion setzt sich zusammen aus zwei Theilen: der sogenannten konstanten Korrektion oder der Re- duktion auf das Normalbarometer und der Schwerekorrektion. Was wir in der Meteorologie gebrauchen, ist die totale Korrektion. Die Schwere- korrektion ist von dem Barometerstande abhängig, resp. diesem pro- portional, und die konstante Korrektion kann auch bei verschiedenem Barometerstande verschieden sein. Die Aenderung der Schwerekorrektion mit dem Barometerstande kann mit hinlänglicher Genauigkeit aus der berechneten Schwerekorrektion hergeleitet werden. Berechnete Schwerekorrektion = C’ = (— a cos 2 p — pH) 6, wo (nach Helmert) « = 0.00265, und Å = 0.000000196, p die Breite und 77 die Meereshöhe in Metern sind. Also dC’ = (— a cos 2 p — PH) ab. Die Aenderung der Reduktion aufs Normalbarometer mit dem Barometerstand findet man durch Vergleichung mit einem Normalbaro- 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 43 meter. Man kann sie freilich auch durch Vergleichung mit einem Hypso- meter finden. Für die norwegischen Stationsbarometer sind diese Kor- rektionen von dem Kew-Observatorium gegeben worden. Mit einem Hypsometer, dessen Konstanten man kennt, lässt sich also die Verifikation der Stationsbarometer am Orte eben so genau ausführen wie mit einem Reise-Kontrol-Barometer. Und das Hypso- meter hat den unbestreitbaren Vortheil, mit weit grösserer Bequemlichkeit und mit kleinerem Risico transportiert werden zu können als das schwere und zerbrechliche Quecksilberbarometer. Es könnte auch die Frage sein, ob sich auf Reisen das einfache Hypsometer nicht leichter in un- verändertem Zustand erhalten lässt als das aus mehreren verschiedenen Theilen zusammengesetzte Barometer. Wie von dem Direktor des Kew-Observatoriums Herrn C. Chree! hervorgehoben worden ist, dürfte das Hypsometer das beste Instrument sein, um die Normalbarometer der verschiedenen Statsinstitute zu ver- gleichen. In der folgenden Tabelle habe ich die Schwerekorrektion bei”760 mm Barometerhöhe der Stationen zusammengestellt, so wie sie berechnet sind nach Broch’s Formel (8), nach Helmerts Formel (7) und nach der beobachteten Schwere (0), sowie die Unterschiede zwischen den wahren und den berechneten Schwerekorrektionen. Die Stationen sind nach der Breite geordnet. Die Pendelstationen sind mit einem p markiert. Sämmtliche Pendelstationen des Prof. Schiötz sind aufgenommen worden sowie Jan Mayen und Cap Thordsen auf Spitzbergen (nach Gratzl). g ist die Breite und Z die Meereshöhe in Metern. Von den 48 norwegischen Stationen haben 27 einen Werth von O. — B. gleich oder grösser als +0.05 mm. Es wird also für Norwegen dringend nothwendig sein, ein neues System für die Schwerekorrektionen einzuführen. Die Anwendung der neubestimmten wahren Schwerekorrektionen auf die norwegischen normalen Barometerhöhen ? giebt mir eine etwas bessere Vertheilung des Luftdrucks, gleichmässigere Gradienten, als die nach Broch berechneten. Indess finde ich es rathsam, die fortgesetzten Pendelmessungen des Prof. Schiötz, zumal im Nordland, abzuwarten, ehe ! Philosophical Magazine, March 1898, p. 305. ? Klima-Tabeller for Norge. IL Lufttryk. Videnskabsselskabets Skrifter. I. Math.- naturv. Klasse. 1396. No. ı. 44 H. MOHN. M.-N. Kl. Station p h if B H | [0 O—B | O—H 0 m | 1. Mandal, , 58 02 17 0.86 0.89 0.97 + 0.11 | + 0.09 ZEOZONE ea p 58 04 11 0.87 0.89 092 | + si+ 3 3. Flekkefjord , p 58 17 17 0.88 0.90 0.94 | + 6|+ 4 ARE © mien ces pP 58 43 23 0.90 0.95 100 | + 10|+ 7 5. Stavanger. . . . p 58 58 II 0.92 0.95 0.98 | + 6|+ 3 6. Fredriksværn . . p 59 00 10 0.92 0.95 100 | + S|<+ 5 7. Færder ins) cur 59 02 13 0.92 0.95 1.01 + 9|+ 6 8: Skudenes ses 59 09 4 0.93 095 1.02 + 9|+ 7 gar 59 27 103 0.94 0.96 0.92 |— 2|— 4 CARE Gå 59 40 92 0.95 0.97 105 | + 10|[+ 8 11. Grungedal , . . . 59 42 560 0.86 0.88 0.96 |+ 10|+ 8 12 RÉUNIE. a p 59 47 22 0.97 0.99 1.05 + S|+ 6 13. Christiania . . . p 59 55 25 0.98 1.01 105 | + 7|+ 4 14. Aabogen . 2. . G 60 07 147 0.97 0.99 0.97 o|— 2 15. Ullensvang . . . . 60 20 30 1,00 1.03 0.98 |— 2|— 5 16. Eidsvold , AE 60 22 190 0.98 1.00 0.90 — $|— Io GP GP ao pP 60 23 17 1,00 1.03 1.05 + 5|+ 2 18 1Opset 2. GENENE 60 43 852 0.90 0.92 0.89 | — 1|— 3 KOMHamade Na Le p 60 48 141 1.01 1.03 1.04 + 3/+ 1 20. Tonsaasen are 60 49 628 0.94 0.97 0.95 | + 1|— 2 21. Skjerjehavn . . . p 60 56 5 1.04 1.06 ri |+ 7i+ 5 22. Lærdal 9% 3, p 61 06 5 1.05 1.07 106 |+ 1|— 1 23.1Granheim, . 0. 61 06 400 0.99 1,01 1.05 ı+ 6|+ 4 24. Lillehammer, p 61 07 190 1.02 1.04 105 |+ 3/+ 1 ASANTE TI ie os 61 08 230 1.02 1.04 1,06 + 4/+ 2 26. Balestrand 61 13 15 1.05 1.07 1.02 |— 3 |— 5 2H Leader 50. 61 32 277 1.03 1.06 lor |— 2|— 5 28. Koppang . p 61 33 367 1.04 1.06 1.06 |+ 2 o 20 Blorb eae, 61 36 8 1.08 1.10 1.16 | + 8i+ 6 30. Domaas. . . . . p 62 05 649 1,01 1,03 104 |+ 3/+ ı 31. Ténset er 62 17 498 1.05 1.07 1.05 o|[— 2 32. Aalesund. . . . p 62 28 ran ere 1.15 147 |+ 5 |+ 2 33. Veblungsnes. . . p 62 35 5 1.13 1.16 1.17, |) 7 S| te 34. Röros SA p 62 34 630 1.04 1.07 1.04 o|— 3 35. Christiansund . . p 63 07 16 1 16 1.19 124 |+ 8S|+ 5 36. Trondhjem . p 63 26 II 1.18 1.21 123 | + 5|+ 2 37 Stenkjer 2 2. 64 or 8 1.21 1.24 1.09 |— 12|— 15 BS; Brönnor fv Gs 65 28 11 1.29 1.32 1.28 — r|— 4 20000. ce 67 17 7 1.38 1.41 142 |+ 4|+ 1 40, Svolvær ..... 68 14 4 1.43 1.46 1.42 | — 1|— 4 41. Troms}. . . . . p 69 39 12 1.49 1:52 1.55 + 6|+ 2 42. Elvenes, . Li, 69 40 20 1.49 1.53 1196) MT == na ATEN. al ee p 69 58 13 1.50 1.54 1.54 + 4 o De ET Et “<1 pP 70 04 45 1,51 1.55 1,56 + 5|+ 1 ANA) ns 70 22 10 1.52 1.56 153 | + 1|— 3 46. Hammerfest . . ‘. p 70 40 14 1.53 1.57 160 | + 7|+ 3 47. Mehavn 534) 71 OI 10 1.55 1.59 1.04 + ol + 5 48. Gjesvær D 71 06 6 1.55 1.59 164 | + 9|+ 5 49. Jan Mayen . . . p 71 00 11 1.55 1.59 1.75 + 20|+ 16 50. Cap Thordsen. , p 78 28 52 1.80 1.84 77 |— 3|= 4 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFIDRUCKMESSER. 45 ich das neue System mit den wahren Schwerekorrektionen einführe. Vielleicht wäre es am besten, damit bis zum Anfang des neuen Jahr- hunderts zu warten. Die Vertheilung der Differenzen 0—2 oder O—H, in eine Karte eingezeichnet, zeigt an den Küsten Norwegens einen Ueberschuss der wahren Schwere über die berechnete und an einigen Orten im Inneren ein Deficit. Die Vertheilung scheint gar nicht so gleichmässig zu sein, wie die des Luftdrucks selbst oder diejenige der Gradienten. Eine Karte wie die genannte zeigt die ungleiche Vertheilung der Schwere in den verschiedenen Theilen des Landes. Auf die geodätischen und geologi- schen Fragen, welche diese Vertheilung hervorzurufen scheint, kann ich mich hier nicht einlassen. Meine Absicht mit dieser Abhandlung ist, meinen Kollegen zu zeigen, wie ich es versucht habe mittels des Hypso- meters eine praktische Frage in der Meteorologie zu lösen. Mit dem Hypsometer ist es also möglich, auf einer Landstation die Schwerekorrektion mit einer Genauigkeit von einigen Hundertsteln des Millimeters zu finden. Von dem grössten Interesse würde es sein, ob man auch auf dem Meere die Schwerekorrektion finden könnte. Die bezüglichen Beobachtungen müssten selbstredend gemacht werden, wenn das Meer ganz ruhig ist. Dies aber findet nur sehr selten statt. Selbst wenn die Meeresoberfläche glatt ist, giebt es fast immer eine Dünung, welche den Luftdruck in dem sich auf und ab bewegenden Schiff zum Schwanken bringt. Es lässt sich freilich denken, dass man an Bord ein Hypsometer beobachten kann, aber sein Stand würde den Dünungen folgen. Einen brauchbaren Mittelwerth einer Reihe von Beobachtungen könnte man jedoch vielleicht erhalten. Schwieriger stellt sich die Be- obachtung des Barometers. Um die von der Dünung verursachten Schwankungen auf ein Minimum herabzudrücken, hat das Seebarometer eine sehr enge Röhre. Dies macht indess das Barometer sehr träge. Bei steigendem Luftdruck zeigt es zu niedrig, bei fallendem zu hoch, und die Wirkung dieser Trägheit ist so gross, dass sie bis auf mehrere Zehntel des Millimeters steigen kann. Aus meinen Beobachtungen bei der Norwegischen Nordmeer-Expedition! fand ich, dass, während der wahrscheinliche Fehler einer einzelnen Vergleichung in Christiania zwischen einem Seebarometer und dem Normalbarometer gleich +0.06 mm war, ! Den norske Nordhavs-Expedition 1876—78. Meteorologi. S. 31. 36. 46 H. MOHN. M.-N. Kl. der wahrscheinliche Fehler einer Vergleichung an Bord zwischen einem Aneroidbarometer und dem Seebarometer gleich +0.17 mm betrug. Nach dieser und ähnlichen Erfahrungen aus Nansens Polarexpedition mit der «Fram» dürfte der wahrscheinliche Fehler einer einzelnen Beob- achtung mit einem Seebarometer in ruhigem Wetter auf dem Meere kaum unter +0.1 mm zu setzen sein. Die Wirkung der Trägheit des Seebarometers müsste man dadurch zu eliminieren suchen, dass man gleich viele Beobachtungen bei steigendem wie bei fallendem Luftdruck nimmt, und bei durchschnittlich gleich raschem Steigen und Fallen. Man könnte auf diese Weise möglicherweise korrespondierende Mittel aus synchronen Hypsometer- und Barometerbeobachtungen erhalten, welche brauchbare Werthe für die Schwerekorrektion liefern könnten. Welchen Grad von Genauigkeit man erreichen könnte, lässt sich nicht im Voraus berechnen. Nur Versuche in der Praxis können die Frage entscheiden. Höchst interessant ist es, dass Scott Hansens Pendel- beobachtungen bei der Nansen'schen Expedition und Prof. Schiöts's Berechnungen derselben für das Sibirische Eismeer Werthe der Schwere gegeben haben, welche mit denen nach Helmerts Formel berechneten übereinstimmen. Aus dem wahren Luftdruck und der Barometerhöhe kann man die Schwere berechnen. EE EE Da er istg=7 S45 - Wird der wahrscheinliche Fehler dieser Grössen mit einem 4 be- zeichnet, so erhält man at 2 B 2 Jg = + £45 iC 15) + © 7) = 1, so erhalten wir Setzen wir, angenähert, JB = 46, und = SB 5 , dg = + 5 V2. 46 und mit gy; = 9.806 m und 46 = 760 mm, Ag =0.01290 Jb. Wird Jå = +0.02 mm gesetzt, so erhalten wir 4g = +0.000258 m = +0.258 mm. 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 47 Diese Genauigkeit könnte an einer Landstation vielleicht erreicht werden. Sie ist aber weit geringer als diejenige, welche man durch Pendelbeobachtungen (+0.1 mm) erhalten kann. Ob man auf dem Meere eine solche Genauigkeit erreichen kann, dass man durch diese Methode brauchbare Aufschlüsse über die Grösse der Schwere daselbst erhält, darüber können nur praktische Versuche entscheiden. 48 H. MOHN. M.-N. Kl. Beobachtungs-Tabellen. Christiania. | Hypsometer 68 Hypsometer 69 Luft- Siede- Abge- Korr. f. Korr. Abge- Korr. f. Korr, 1896 druck punkt lesen Kal. lesen Kal. mm 0 0 0 0 0 0 0 Mai 26 1p | 769.43 100.3453 | 100.428 100.4276 —0.0823 | 100.399 100.3976 — 00523 Je) 5p | 68.11 100.2972 | 100.378 100.3776 804 | 100.348 100.3465 493 » 25 ıp| 66.36 100.2333 | 100.316 100.3156 823 | 100.286 100.2843 510 » 27 5p| 6576 100.2113 | 100.294 100.2936 823 | 100.260 100.2582 469 » 13 10a 60.12 100.0044 | 100.086 100.0857 813 | 100.060 100.0586 542 » 12 10a 58.44 99-9425 | 100.024 100,0237 812 99.994 99.9914 489 » 23 5p| 58-44 99.9425 | 100.021 100.0207 782 | 99.993 99.9904 479 » 18 2p | 58.24 99.9352 | 100.018 1000177 825 99.986 99.9834 482 » 12 Ip), 57.10 99.8931 | 99.974 99.9737 806 | 99.942 99.9392 461 » » 2p| 56.79 99.8816 | 99.964 99.9637 821 | 99.932 99.9212 396 » 16 2p| 56.56 99.8731 | 99.953 99.9527 796 | 99.923 99.9202 471 Mittel | 761.39 100.0509 100.1320 — 0.0811 100.0992 — 0,0483 Mai ı2 5p | 756.35 99.8653 | 99.947 99.9467 — 0.0814 | 99.918 99.9152 — 0.0499 » 13 5P| 55-79 8446 929 9287 S41 900 8971 525 » >» » | 55.76 8435 | 924 9237 802 896 8931 496 » 16 Sp] 55.68 8406 920 9197 791 890 8870 464 » 22 5p| 54.59 8003 880 8797 794 850 8470 467 » 15 2p| 52.28 7147 | 793 7927 780 764 7606 459 » 21 5p| 51.79 6964 779 7787 823 748 7444 480 » 15 10a | 50.53 6496 725 7247 751 699 6954 458 » Ig Ip 50.29 6406 720 7197 791 692 6884 478 » 14 104 | 49.23 6012 681 6802 790 651 6467 455 » 20 5p| 48.35 5683 | 644 6437 754 618 6142 459 » 14 5P| 47-84 5494 628 6277 783 600 5964 470 Mittel | 752.37 99.7179 99.7972 — 0.0793 | 99.7655 — 0.0476 Mai 30 11a | 753.95 99.7765 | 99.860 99.8597 — 0.0832 | 99.828 99.8249 — 0.0484 » » 12,30] 54.50 7970 | 880 8797 827 850 8470 500 » » 3p| 54.40 7933 | 874 8737 804 844 8410 477 » > Sp | 54-53 7981 880 5800 819 849 8460 479 > » 7P| 55.19 8225 | 905 9047 822 857 8720 495 vage ‘pil, SAIS 7851 866 8657 806 838 8350 499 » » 6p| 52.81 7343 | 815 8147 804 785 7818 475 Juni 1 1a | 54.03 7795 | 860 8597 802 830 8269 474 Mittel | 754:20 99.7858 | 99.5672 — 0.0814 99.8343 — 0.0485 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 49 Christiania (Fortsetzung). Hypsometer 68 Hypsometer 69 1896 Luft- Siede- Abge- Korr. f. Korr. Abge- Korr. f. Korr. druck punkt lesen Kal. lesen Kal. ; mm 0 0 0, 0 0 0 0 Juni 5 3p | 752.77 99.7328 99.811 99.8107 —- 0.0779 99.781 99.7776 — 0.0448 » > 5p| 53-38 7555 834 8337 782 804 8008 453 » 6 10a 55.16 8214 900 8992 778 868 8650 436 » » Ip] 54.00 7784 858 8577 793 825 8218 434 » » 5p 53.64 7651 840 8397 746 810 8068 417 » » 5.20| 53.87 7736 860 8597 861 830 8269 533 > » 6.45) 53.02 7420 816 8157 737 785 7718 298 » » 7p| 53.10 7450 830 8297 847 788 7848 398 STAGE CPAS 7254 794 7937 683 764 7606 352 » » 10a 52.58 7258 708 7977 719 768 7646 388 yy dE 52.44 7206 S12 8117 git 782 7787 581 » » 12 52.36 7176 804 8037 861 775 7717 541 es) rn 52.29 7150 800 7997 847 768 7646 496 » 8 8.30] 51.90 7005 784 7837 832 756 7520 515 » » 10a 51.82 6975 780 7697 722 750 7457 482 > 03 ITA 51.37 6809 764 7637 828 734 7292 483 » » 2p| 51.81 6972 778 7777 805 747 7431 459 » » 5p| 52.13 7090 791 7907 817 760 7560 470 » » 7p 52.70 7302 S11 8107 805 780 7768 466 » 9 8.20] .55.98 8517 938 9377 860 906 9032 519 D CN MO 55.71 8417 924 9237 820 894 8911 494 CE TS ©) 55.54 8354 920 9197 843 889 8862 508 ee Ip 55-41 8307 912 9117 810 880 8768 461 Mittel 753.29 99.7519 99.8323 — 0.0804 99.7981 — 0.0462 Juli 17 5p | 760.03 100.0011 | 100.089 100.0892 —-0.0881 | 100.060 100.0576 — 0.0565 » » 6 59.75 99.9908 080 0797 889 049 0466 558 aes 7 59.62 9860 077 0767 907 046 0431 571 » » 8 59.55 9835 074 0737 902 043 0406 571 >» re Sa 58.09 9270 o1g 0187 917 99.988 99.9854 584 » 3» 9.30) 57.84 9204 008 0077 873 980 9774 570 TT 57.92 9233 012 O117 884 984 9814 581 » » 12.25) 57.76 9211 | 100.006 100,0057 846 976 9734 523 NE) 8964 | 99.981 99.9807 843 951 9483 519 27027 NT DU 55:37 8292 | 99.918 99.9177 S85 386 8831 539 a 25h) Sa 57-83 9200 | 100,008 100.0077 877 980 9774 574 » » 10a 57-78 g182 010 0097 915 980 9774 592 >» » 3P 57.67 9141 006 0057 916 974 9713 572 » » 6 57.58 9108 | 100.004 100.0037 29 972 9693 585 » 29 8a| 56.88 8850 | 99.974 99.9737 887 944 9432 582 Mittel 758.06 99.9284 100.0174 — 0.0890 99.9850 — 0.0566 Aug.27 1.30| 745.72 99.4701 | 99.558 99.5578 — 0.0877 | 99.528 99.5238 — 0.0537 » » 4.30| 47.08 5210 606 6057 847 576 5720 510 » 28 10a | 52.03 7053 794 7937 854 764 7606 553 » » 12.30| 5193 7016 792 7917 901 763 7596 580 » » 5p | 52.82 7346 820 8197 857 790 7808 522 » 29 I0a| 57.15 8950 984 9837 887 953 9498 548 » » 3p! 56.16 99.8583 | 99.950 99.9497 914 | 99.919 9167 584 >» 30) Sip 65.18 100.1902 | 100.280 100.2792 891 | 100.246 100.2442 540 2) .30.270)3 69.29 100.3401 | 100.433 100.4327 926 | 100.400 100.3986 585 Mittel 755.26 99.8240 99.9127 — 0.0887 99.8791 — 0.0551 50 H. MOHN. M.-N. Kl. Oxö. | Hypsometer 68 Hypsometer 69 1896 Luft- Siede- Abge- Korr. f. Korr. Abge- Korr, f. Korr. druck punkt lesen Kal, lesen Kal, , mm 0 0 0 0 0 0 0 Juni 13 12 | 763.60 100.1322 | 100.213 100.2127 —-0.080$ | 100.184 100.1820 — 0.0498 Bye Ip | 63.53 1297 214 2137 840 182 1800 503 DE. 2 63.46 1271 210 2097 826 180 1780 509 » > 3 63.44 1264 209 2087 823 179 1770 506 > > 4 63.33 1224 206 2077 853 176 1740 516 » > 5 63.11 1141 200 1997 856 169 1670 529 >» > 6 63.01 1106 192 1917 Su 162 1600 494 Mittel 793-35 100.1232 100.2063 — 0.0831 100.1740 —0.0508 Bergen (Meteorologische Station). Juni 18 6p | 759.73 99.9901 | 100076 100.0757 — 0.0856 | 100.046 100.0436 — 0.0535 EE ME 59.76 99.9912 080 0797 885 048 0456 544- » 19 10a | 61.55 100.0570 143 1427 857 | it 1088 518 “7 61.57 0578 144 1437 859 | t12 1098 520 sy a 212 61.86 0684 153 1527 343 | 122 1198 514 ss. 56 61.10 0404 126 1262 858 094 og18 514 » » 6.35) 61.15 0422 127 1262 840 | 093 0903 481 » 20 12 60.27 100.0099 | 096 0957 858 | 064 0617 518 » » Ip| 5997 99.9989 084 0837 848 | 052 0496 507 a 2 58.74 9536 040 0397 861 | 100.098 100.0055 519 x 6 58.16 9322 | 100.017 100.0167 845 | 99984 99.9814 . 492 » 22 10a) 55.69 8409 | 99925 99.9247 858 | 99.893 99.8901 492 Mittel 759.96 99.9986 | 100.0840 — 0.0854 100.0499 — 0.0513 Bergen (Sternwarte). Juni 22 ıp | 754.66 99.8029 | 99.386 99.8857 — 0.0828 99.856 99.8530 — 0.0501 » > 5 55.61 8380 920 9197 817 889 8861 481 2043 16 55.75 3431 927 9267 335 395 5921 490 >» » 7 55.67 8402 926 9257 855 896 8931 529 » 23 10a | 56.05 5542 938 9377 835 906 9031 489 3» MH 56.08 8554 940 9397 843 908 9051 497 a. >) 312 56.01 8528 939 9387 859 906 9031 503 Mittel 75569 99.8409 99.9248 — 0.0839 | 99.8908 — 0.0499 Florö. Juni 25 10a | 759.53 99.9827 | 100.071 1000707 — 0.0880 | 100.040 100,0376 — 0.0549 is OE 59.69 9886 074 0737 S51 044 0416 530 „iu, 2 59.80 9927 080 0797 870 | 050 0476 549 I) 1p | 59.88 9957 082 0817 860 050 0476 519 » » 1.25) 59.98 9993 086 0857 864 | 054 0516 523 » » 3.35! 59.94 99.9978 087 0867 889 056 0536 555 » » 4 60.10 100 0037 092 0917 880 060 0570 539 » > 6 60.30 0110 096 0957 847 064 0616 506 » » 7 60.61 1000225 110 1097 $72 080 0777 552 Mittel 759.98 99.9993 100,0861 — 0,0868 100.0529 — 0.0530 1809. Nos2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. SI Aalesund. Hypsometer 68 Hypsometer 69 1806 Luft- Siede- Abge- Korr, f, Korr. Abge- Korr. f. Korr. druck punkt lesen Kal, lesen Kal. mm 0 0 0 0 0 0 Juni 27 9a | 759.03 99.9864 | 100.074 100.0742 — 0.0878 | 100.044 100.0416 —0,0552 a. 3.2170 59.26 9764 060 0597 833 030 0276 512 > » 1140| 59.13 9680 058 0577 897 026 0236 556 » 3. 12:37 38:72 9528 040 0397 869 | 100.009 100.0066 538 » » 1.30| 58.27 9363 | 100.024 100 0237 874 99.993 99.9905 542 » > 5p} 57-13 8942 | 99.978 99.9777 835 947 9443 501 » » 6 56.95 8875 973 9727 852 942 9393 518 > > 7 56.55 8728 960 9597 869 928 9252 524 » 28 10a 53-03 7424 824 8237 813 | 796 7928 504 » » Ip 53.95 7765 860 8597 832 830 8269 504 EE 5397 7773 860 8597 824 830 8269 496 >» » 4 53-62 7643 848 8477 834 818 8148 505 Mittel 750.68 99.8779 99.9630 — 0.0851 99.9300 — 0.0521 Christiansund. Juni 29 12 | 755.64 99.8391 | 99.924 99.9237 — 0.0846 | 99.893 99.8901 — 0.0510 » » rh] 56.09 8557 944 0437 880 912 9092 535 2 56.32 8642 950 9497 855 920 9172 530 » » 5.301 57.44 9056 | 99.994 9937 881 964 9615 559 DS 7 57.60 9115 | 100,000 9997 882 966 9635 520 » 30 10 56.55 8727 | 99.960 9597 870 928 9252 525 Fie i « her 56.03 8535 940 9397 862 908 9052 517 aa 2 55.82 8457 930 9297 840 900 8971 514 JE 2 55.44 8317 919 9187 870 886 8830 513 » » 5 54.75 8065 889 8887 822 859 8560 495 ON OR 54-47 7959 880 8797 338 349 8460 501 Mittel 756.01 99.8529 99.9388 — 0.0859 99.9049 — 0.0520 Trondhjem. Juli 2 10a | 755.26 99.8251 99.920 99.9197 — 0.0946 | 99.890 99.8870 — 0.0621 » 3 12 54.95 8137 904 9037 900 873 8700 563 » » Ip] 54.29 7892 880 8707 905 848 8449 557 » > 4.30] 53.78 7793 860 8597 394 828 8249 546 » » 5.30| 53.61 7640 860 8597 957 828 8249 609 », » 6.30| 53.52 7606 858 8577 971 826 8229 623 a 3 rola 52.41 7195 807 8067 872 778 7747 552 2» AT 52.17 7106 Soo 7997 897 770 7666 560 » >» Ip} 51.64 6909 780 7797 888 750 7466 557 >» » 4 50.93 6644 750 7502 858 722 7185 541 5 50.58 6515 740 7397 882 708 7044 529 Mittel 753.01 99.7417 99.8324 — 0.0907 99.7986 — 0.0569 Röros. Juli 4 7p | 697.17 97.6025 97.081 97.6804 — 0.0779 97.651 97.6480 — 0.0455 » » 8 697.14 6013 681 6804 791 651 6480 467 al is 8.30| 700.28 7253 804 8036 783 772 7685 432 » >» 9.30| 00.37 7288 809 8086 798 780 7765 477 » >» 12 00.99 7537 830 8297 765 800 7969 432 » 3 Ip] 0129 7652 844 8437 785 814 8104 452 po LS: 4:20| 02,21 8014 879 8788 774 847 8432 418 Mittel 699.92 97.7112 97.7893 — 0.0781 97-7559 — 0.0447 4% 52 H. MOHN. M.-N. Kl. Koppang. Hypsometer 68 Tlypsometer 69 1896 Luft- Siede- Abge- Korr. f. Korr. Abge- Korr. f. Korr. druck punkt lesen Kal. lesen Kal. mm 0 0 0 0 0 0 0 Juli 7 11a| 729.57 98.8606 | 98.942 98.9446 — 0.0840 | 98.920 98.9145 -- 0.0539 » » 12 29.27 8491 933 9356 865 910 9046 555 JE) Ip 29.10 8426 922 9245 819 900 8996 570 » » 2 28.94 8365 | 918 9205 840 893 8876 zıı » > 4 28.53 8209 | 901 9035 826 878 8726 517 TJEN 28.47 8187 902 9045 858 880 8746 559 » » 7 28.54 8213 goo 9025 812 879 8736 523 » > 8 28.76 8297 910 9126 829 888 8826 529 » 8 Sal 30.47 8949 978 9806 857 954 9484 535 arose 0 30.36 8907 975 9775 868 952 9464 557 Mittel 729.20 98.8465 98.9306 — 0.0841 98.9005 — 0.0540 Hamar. Juli 9 6p | 749.54 99.6127 | 99.700 99.6997 -— 0.0870 | 99.673 99.6693 — 0.0566 » » 7 49.43 6086 694 6937 851 666 6623 537 >.» 8 49.15 5982 685 6847 865 660 6562 580 » 10 9.30] 47.20 5255 612 6117 862 586 5820 565 » » 10.35, 46.88 5136 604 6037 gol 578 5740 604 » » 11.35) 46.80 5105 600 5997 892 574 5700 595 » » ıp | 46.66 5053 592 5907 854 566 5620 567 Mittel 747:95 99.5535 99.6406 — 0.0871 99.6108 — 0.0573 Lillehammer. Juli 10 7p | 740.38 99.2698 | 99.356 99.3568 — 0.0870 | 99.330 99.3252 — 0.0554 IR: 40.46 2729 358 3558 859 332 3272 543 » II gal 44.24 4148 506 5059 QI 1 480 4756 608 » 2 Ip| 4472 4327 516 5159 832 490 4857 530 UE OR 44.88 4387 522 5219 832 491 4862 475 Mittel 742.94 99.3658 99-4519 — 0.0861 99.4200 — 0.0542 Domaas. Juli 14 10,30! 708.56 98.0499 | 98.134 98.1348 — 0,0849 | 98.106 98.1020 — 0.0521 » » 1130| 8.26 0385 122 1227 842 097 0929 544 » » 12.30) 8.31 0405 | 124 1247 842 098 0939 534 “hb 1.40| 8.11 0327 110 1106 779 084 0799 472 EE | 4.15] 7.30 98.0010 o81 0816 806 054 0499 489 "MR 5.20 7.06 97.9916 | 068 0686 770 040 0364 448 » » 6.30| 6.83 9826 | 060 0606 780 034 0299 473 >» » 7.30| 6.88 9845 | 063 0636 791 035 0309 464 15 » 8.10| 6.67 9763 060 0601 838 030 0269 506 Mittel | 707.55 98.0108 | 98.0919 — 0.0811 98.0603 — 0.0495 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 53 Vadsö. Hypsometer 68 Hypsometer 69 1896 Luft- Siede- Abge- Korr. f. Korr. Abge- Korr. f. Korr. druck punkt lesen Kal. lesen Kal. mm 0 0 0 om om 0 0 Aug. 4 1.35| 756.26 99.8620 | 99.950 99.9497 —0.0869 | 99.918 99.9152 —0.0532 » » 230| 55.93 8498 940 9397 899 906 9031 533 » » 3.30) 55.73 8424 934 9337 gil goo 8971 547 » » 4.20] 55.48 99.8332 | 99.924 99.9237 905 | 99.890 99.8870 538 » 6 2p | 60.47 100.0173 | 100.106 100.1057 884 | 100.074 100.0717 544 » » 2.45) 60.54 0199 112 1117 g18 080 0777 578 » » 3.501 60.67 0247 110 1097 850 080 0777 530 » 7 9.30| 63.58 1315 222 . 2227 912 190 1880 565 » » 3.45| 64.12 1513 244 § 2437 924 211 2091 578 » » 4p | 64.18 1536 247 2467 931 21] 2091 555 Mittel 759.70 99.9886 100.0786 — 0.0900 100.0436 — 0.0550 Alten. Aug. 18 10.30| 763.63 100.1333 | 100.220 100.2197 -— 0.0864 | 100.186 100.1840 — 0.0507 Dr xs] 63:84 1410 238 2377 967 204 2020 610 » » 5.20; 63.58 1315 220 2197 882 189 1870 555 » 19 9,20] 62.70 0992 195 1947 955 165 1629 637 » ean 62043 0893 182 1817 924 151 1489 596 » » 12 62.37 0871 184 1837 966 152 1499 628 » » 4.30] 61.84 0676 158 1577 gor 127 1248 572 » » 5.301 61.75 110.0643 152 1517 874 120 1198 555 » 20 11.20) 59.18 99.9698 060 0597 899 026 100.0241 543 » » 12.45| 58.45 9428 033 0332 904 | 100.002 99.9989 561 » » 1.30) 58.31 9378 027 100.0267 889 | 99.997 9944 566 » >» 5.30) 57-43 9052 000 99.9997 945 966 9633 581 Mittel 761.28 100.0474 100,1388 — 0.0914 100.1050 — 0.0576 M.-N. KI. MOHN, HG 10'1 + +6'094 9+£o'oo1 +£go'oor 101 + +6'og£ StE0'001 9911°001 £6°6SL | PHI torr 9465 116666 96£0 zto Ce: zL'6S L6g6'66 Lilo zLo zL'gG | of S « « zo’ı $0'09 0$00'001 91$0 +So L6'o £0'09 L100°001 L£go bgo 9065 tb € « go’ ot'og 6t10 9£90 990 or I zt+'o9 LSıo LL60 g6o zE'6$ £ € « 101 89°09 £Szo ıtLo LLo 86'0 $909 1tzo Z90I 901 L9'65 dz Cr ZO'I 0609 bz£o Ligo tgo tor! 2609 9££o LS11 gir 8865 |ota « « 66:0 zz 19 6tto LE60 960 10'1 tz’1g 9Sto Llzi gul £z'o9 Soar ONE g6'0 zt19 6zSo g101 tor 96'0 ot*19 91$0 Leer HEr I tt'og NaSon | FER 00"'I So'19 6090 g6o1 zıı TO" I L9'19 £190 Lebr bhi $9'09 | of 6 « we 660 7$'19 6$$0 stor Loı Sor 8$'19 SgSo Lott ıbı | eSt0ge i Eg ga t6'0 + gå 198 6Fgo"001 g£r1'o01 911001 06'0 + L6'0 + görhgl gzgr'oor zhez'ooı 9£z'oor tor + to'Sol 6tg1'001 L69z'0or 047'001 10't94 zi Sr tunf A = "SJUIPNYS > å 96'0 + og: LSL 912666 10L6 66 66:0 + 6g'LSL bzz6'66 IFO0'001 06'981 PHIL = 86'0 86'09 o9£o LSgo 880 ZO'I 70*19 zL£o L611 ozı 00°09 II « « = €6'0 04:09 1970 LSLo glo to'r SL'09 Elzo L601 Orr 11:65 or « « = 96'0 8£'09 zt10'001 9£90'001 990'001 So: Lt'0o9 Flio'oor 1*660:001 OO! O01 zb-6S ee) et « © £6°0 gels t£06:66 £156:66 + 5666 96°0 LS zbo0'66 LS96'66 986:66 St-9S SEL « « 2 66'0 OE LS to06 Egh6 156 To'I TELE 7106 Lzg6 £36 18:98 og « « > L6'o CIE +£6g €1t6 tt6 66'0 trLs £r6g LSL6 L6 61'958 G « « = Lot SS:LS S606 SLS6 096 to'r GLE 7806 L686 066 gt'9s t « « en 06'0 S8'95 SEgg z1£6 F£6 980 18'95 Ezsg L£96 +96 S6:SG dr « « Å O0"1 FL-9S 96.8 zLz6 of6 ZO'I 94:98 bogs L196 796 HL'SS CAT « L6'0 t9:98 zgls g£z6 Lz6 Sor zL:9S Fels L6S6 096 Lo:S$ UT: « 10°1 at'9$ 9698 zLı6 026 00'1 StS t698 LoS6 156 Sh-Sss OI « « torr + 6t-oSL 9048:66 781666 176'66 00'1 + ACTA t698:66 LoS6:66 16:66 SPSSL e6 11 ıunf 0 0 0 0 0 0 ur TU UT TT UT TAUX TO Ur å ppund uaso] und uasa] 3 «XS 4pnpyng pas "ey J OY -adqy MS onpynT -apaıs ey] Joy -adqy ua 9681 2 69 18jauosdAr | 89 Jayauosd Azz 5.15] 43.55 3890 480 4800 910 450 4456 566 » 3 10.5 | 42.66 3555 446 4462 907 418 4135 580 » » 1.45) 44.99 4429 530 5298 889 500 4953 524 » » 4.57| 45.06 4455 536 5358 903 504 4993 538 > 4 8:5 | 49.83 6235 717 7167 932 683 6794 559 DE 505 49.20 6001 694 6937 936 662 6583 582 » >» 5.50| 48.30 5665 660 6597 932 628 6242 577 » 5 12,50) 42.31 3425 | 432 4323 898 | 401 3967 541 » 6 10.15) 41.43 3093 400 4004 gir 370 3653 560 » >» 5.10| 40.71 2823 370 3706 883 340 3352 529 » 7 10.30| 40.17 2619 350 3508 889 320 3151 532 » » 5.15| 41.03 2943 382 3826 883 352 3472 529 » §8 10.15! 45.75 4712 562 5618 906 530 5263 551 » >» 5.10| 46.30 4919 580 5797 878 549 5449 530 Mittel 744.22 99.4138 99.5044 — 0.0906 99.4692 — 0.0554 Sept 9 10.20| 753.44 99.7577 | 99.850 99.8497 — 0.0922 99.818 99.8148 — 0.0571 » > 10.40| 53.52 7606 854 8537 931 822 8188 582 » 5P| 55:49 99.8335 | 99.924 99.9237 902 | 99.892 99.8891 556 » 10 8.10| 63.37 100.1238 | 100,216 100.2157 919 | 100.184 100.1820 582 » > 125 64.10 1506 242 2417 git 210 2081 575 2102 3p | 64.22 1550 248 2477 927 215 2131 5S1 » » 5 64.39 1612 253 2527 915 220 2181 569 Mittel 759.79 99.9918 100.0836 — 0.0918 100.0492 — 0.0574 Bergen. Aug. 3 6p | 767.47 100.2738 | 100.368 100.3677 —- 0.0939 | 100.334 100.3334 — 0.0596 » 4 10.50) 66.55 2402 339 3387 985 304 3023 621 » » ILS | 66.53 2395 335 3347 952 301 2993 598 » 5 10.20) 62.63 100.0967 | 100.192 100.1917 950 | 100.159 100.1570 603 » 6 10.45) 56.57 99.8735 | 99.964 99.9637 D 3932 29.9292 557 «3 » 11.10) 56.48 8702 964 9637 935 930 9272 570 » 7 11.10| 56.86 8842 976 9757 915 942 9393 551 >» 9 10.35] 51.14 6760 766 7657 "897 732 7286 516 Mittel 700.53 100.0193 100.1127 — 0.0934 100.0769 - — 0.0576 60 H. MOHN. M.-N. KI. Lærdal. Hypsometer 68 Hypsometer 69 1897 Luft- Siede- | Abge- Korr. f. Korr. | Abge- Korr. f. Korr. druck punkt | lesen Kal, lesen Kal. mm 0 0 0 0 | 0 0 0 Aug.21 12.10) 747.21 99.5259 | 99.014 99.6137 — 0.0879 | 99.584 99.5800 -- 0.0541 » » Ip] 46.76 5090 | 600 5997 907 | 570 5660 570 » » 1.30) 46.72 5075 600 5997 922 | 570 5660 555 » » 440) 45.47 4608 | 552 5517 909 522 5178 570 » » 5.45) 45.20 4507 539 5397 880 509 5048 541 » 3 7-5 | 4518 4500 | 541 5407 907 511 5068 568 » 22 Toa! 45.99 4503 570 5697 394 540 5358 555 Vege 1.20] 46.28 4911 | 579 5782 871 548 5439 528 » » 4.35). 45.86 4754 502 5617 863 533 5289 535 * > 5.55] 45.35 4750 | 560 5597 347 531 5269 519 Mittel 746.05 99.4826 99.5714 — 0.0858 99.5377 — 0.0551 61 DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 1899. No. 2. Sg'o + 11 er/, ozl€ 66 Sgıt'66 06'0 + or Etl Et LE'66 £SSt'66 gz zbl PHU Lg'o S6-Et 068€ SSEeh ott tg'o oS EF okge 1g9b got sg'zh ofr « « 98'0 LEED oL6E 96€+ bbb tg'o SL'Et 996€ oglt glt 16:zt ob'zı € « 6g'o gg'Et orot oktt zSt S6:o F6:£t gtor oSgt Sgt 66:zt obit « « I8'0 £6:EP o£ot gott FSP Lego 66:Et gtot oggt ogt La Gia oSoı 6 « Lg'o ob zh ogtg tr6E 66€ £6:0 ze rost bier IEt 6S'1t OLT « zg'o Etzt oLté 143013 got 88'0 or zh bore roet ogt Ig 1h ofc « « 69° Eh’zt oltre PE6E 968 S6:o öt'zt bore bott oft bS' ut of « « bg'o + ot A 17 ogt£:66 tt6£-66 66£:66 46'0 + 6S-zbl 6zS$£*66 6££+r'66 ££+'66 zog tbl ofoı g ımf "PIOASPIH bor + 65664 6t 86:66 £££0'001 Sor + 09 654 tEg6'66 6890'001 Ses PHU Lot t6'g$ 609666 +600 zıo So:r ZO'g$ £096:66 LEto tro Lg:LS ofS « « 00'I 80'09 o£00'001 9150 rSo L6'0 $0'09 1700'001 LSgo 980 g0'65 oft « « ZO"I 08:09 OI IO 9660 790 ZO"'I o£'o9 0010 L£60 t60 87:66 or « « er £6'09 ot£o Lego Sgo E1'1 £6'09 6££o Llrr GI I og'6$ of'nr « « Lor ££'19 o6to gL60 oor or I 9£'19 goto LEEI FEI 97'09 Sror « « TI 'I ££'19 06to'001 8460 OOI Grid 9£*19 00$0'001 LEE rer 1709 Sons « 10'1 LL:gS oS 56:66 $£00'001 900'00I So'1 I8'8$ £oS6:66 L6£o oto ol LS dl « « ZO"'I ot'es z1+6 S6g6'66 76666 90"'I tt'gs tzt6 LSzo gzo g£'LS ofr « « b6'o 67'g$ 1L£6 $S96 gg6 g6'0 EC 96 Sg£6 L170'001 ZZO'OO1 Se-Ls og*1 « « L670 + ESLSL 160666 £LS6'66 09666 zor + gS'LSL 901666 L£66:66 +66°66 9S°9SL e6 of ww 0 0 0 0 0 0 UIT TI UT tur Urol TI UT pund uasa] [und uasa] eg] MS yourpyn'yT pas Ey Y UoOy -25qv W'S HPMIPYNT -2pAIS ‘EM J'HOM -adqy L6g1 69 12jauosd£p 89 19jauosdAp ‘Sey M.-N. 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ALS HYPSOMETER DAS 1899. No. 2. 660 + SS'SzL 690L°96 tgS4's6 zo'1 + gS'Sz/ 1802'86 ır62:96 | gsbzL | PH = = 00'I S6:Sz Seal otLL 6LL £0'1 g6'S7 gez £608 Log S6'bz | or « « 16:0 of Sz 9669 1164 954 86'0 Eb'Sz zzoL ANA ogå Sb'bz as « « r6'o oz Sz L£69 (AY LA os å o0'1 9z'Sz z969 AAA ogå gz'bz oS « « 96'0 £C'6z 9869 1062 SSL 00°1 LE'Sz zoo! zggl rol LE'bz OCTO NT 00"! 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No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 65 Christiania. Hypsometer 68 1898 Luft- Siede- Abge- Korr. f. Korr. druck punkt lesen Kal. mm 0 0 OMG, 0 Juni2r 11a | 751.48 99.6850 99.634 99.6338 ++ 0.0512 ara» Ip | 51.20 6745 620 6198 547 » 22 1.30| 48.28 5658 509 5089 569 » 23 Ip! 45.07 4460 390 3894 566 » 24 1.30] 48.54 5754 520 5199 555 » 25 12 49 16 5986 540 5398 588 748.96 00.5909 99.5353 + 00556 Hypsometer 69 Mai 7 12 760.15 100.0055 99.970 99.9674 + 0.0381 » >» Ip | 60.05 100.0018 965 9624 394 ge | 59.54 99.9831 947 9443 388 ey 59.06 9875 950 9473 402 » 8 12.30] 56.70 8783 840 8374 409 » » 2p | 55.70 8413 803 7993 420 » 9 102 !| 45.92 4777 439 4351 426 » >» 11.40) 45.39 4578 418 4134 444 ». » 12.45) 44.78 4350 396 3914 436 > » 1.5 44.59 4278 386 3813 465 » 10 10.35) 43.01 3687 329 3241 446 3 3 up OS 3551 315 3101 450 DE 22 2.33 3432 304 2992 440 » 13 104 | 41.24 3022 262 2569 453 "RATER Ip 42.16 3367 296 2912 455 a ENT 43:78 3975 355 3532 443 » 14 2.30| 52.80 7339 696 6924 415 » » 5.301 54.39 7929 756 7526 403 A Sean 55.23 99.8240 788 7847 393 Deus ga 60.05 100.0018 964 9613 405 » 16 2p! 54.60 99.8007 762 7586 421 » 17 2.40} 60.19 100.0069 | 99.970 99.9674 395 » » 5.40| 61.40 0515 | 100.016 100.0135 380 » 18 ga 67.19 2636 229 2271 365 a 67.19 2636 229 2271 365 Sia? Ip 67.29 2673 230 2283 390 » » 2.30 | 66.95 2549 219 2171 378 Df £97 05 66.44 2362 203 2010 352 » 19 94 | 69.38 3435 309 3078 357 » » 12.30) 68.67 3176 282 2803 373 » » 1.50} 68.28 3035 268 2662 37 » 20 102 | 68.95 3278 292 2903 375 » » ıp | 67.96 2917 258 2567 350 » >» 5 66,02 2208 184 1820 388 » » 7 65.42 1989 162 1599 390 » 21 IP | 61.91 100,0702 | 100,032 100.0206 406 » 3» 5.30) 59.95 99.9982 | 99.960 99.9573 409 ») (29 2.30| 56.31 8639 827 8239 400 » 24 12 53.99 7780 742 7386 394 DDE Ip | 52.63 7276 688 6844 432 » 26 10a| 51.83 6979 660 6563 412 » > SP| 50.11 6340 598 5941 399 » 28. -Ip | 54.30 7896 751 7476 420 SR 49.68 6180 580 5761 419 Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 2 > H. MOHN. Christiania (Fortsetzung). M.-N. KI. Juni zus uw Wu. uv CCR surrer we ue Hypsometer 69 Hypsometer 69 | 1897 Luft- Siede- Abge- Korr. f. Korr. druck punkt lesen Kal. mm 0 0 0 0 | 2 Ip| 53.10 99.7450 | 99.706 99.7024 + 0.0426 4 1.30) 5424 99.7874 | 99-748 99.7446 428 7 1.30; 63.90 100.1432 | 100.107 100.1045 384 | II 1.30) 59.43 99.9799 | 99.940 99.9373 427 13 12 59-72 999807 955 9523 374 15 1.30) 60.38 1000140 979 9764 370 17 1.301 55.33 99.8461 808 8048 413 20 1.30| 51.13 719 635 6312 407 25 2p) 49.30 6038 | 567 5630 ao 27 10a | 52.78 7332 | 697 6934 398 » II | 52.43 7202 | 682 6784 418 | >) 12 52.34 7169 | 679 6754 415 » 1.30) 51.92 7012 | 662 6583 429 | 28 10a | 52.02 7049 | 665 6618 431 a2 12 51.96 7027 664 6602 425 | 29 Ifa} 55.49 8335 795 7918 417 | Abge- | lesen | Hypsometer 68 å 24 12.20| 753.43 99.7573 | 99.705 99.7047 +0.0526 | 99.720 » 2.10 53.36 7547 702 7017 530 720 » 5.30) 52.98 7406 688 6877 529 704 25 10.15) 57.76 9174 866 8657 517 882 » 12.30! 57.81 9193 868 8677 516 884 » 5-15) 57.93 99-9237 870 S697 540 888 26 11.10| 60.72 100.0260 975 9747 513 989 » 2.15 59.57 99.9542 929 9287 555 947 » 5.35) 58.95 9613 907 9067 540 924 27 10.15) 55.37 8292 | 775 7747 545 | 792 Trondhjem. 1 ı1a| 759.31 99.9746 | | 99.936 » 11.25) 59.43 9790 | 939 » 4.50) 59.21 9710 | 930 2550] 5925 9723 | 930 2 10a 56.61 8750 | | 832 | 758.76 99.9543 | Tromsö. 15 7P | 756.79 99.8816 99.844 16 9.15| 355.70 8413 | 802 » 10.30) 55.47 8328 | | 794 ME) | 55.22 8236 | 754 » 1.40] 54.95 8136 | 775 » 4.50 54:45 7952 | 755 » 6 54.33 7997 | 750 » 710) 54.02 7792 740 17 9,20) 5001 6303 590 » 12,10) 49.90 6262 585 | 754.08 99.7815 | | Korr, f. Kal, 0 99.7165 7165 7004 8790 S$10 8851 9864 9443 9212 7887 99.9333 9363 9272 9352 8292 99.9122 99.5409 7985 7997 7807 7717 7516 7466 7366 5861 5811 99.7395 Korr. 0 + 0.0408 332 402 354 353 356 396 399 401 405 + 0.0413 427 438 371 458 + 0.0421 + 0.0407 425 421 429 419 436 441 426 442 451 — 0.0430 1899. No. 2. DAS HYPSOMETER ALS LUFTDRUCKMESSER. 67 Bergen. Hypsometer 68 Hypsometer 69 1897 Luft- Siede- Abge- Korr. f. Korr. Abge- Korr. f. Korr. ; druck punkt lesen Kal. lesen Kal. mon: 0 0 0 0 0 0 0 Aug. 15 10.20| 763.57 100.1311 | 100.080 100.0796 + 0.0515 100.096 100.0937 + 0.0374 » » 3.45| 63.58 1315 080 0796 519 096 0937 378 » » 4.55, 63.75 1377 087 0866 SII 102 0998 379 » 16 10.45 62.96 1087 059 0586 501 075 727 360 » » 12.35 62.99 1098 064 0636 462 076 0737 361 » » 4p | 62.77 1018 052 0516 502 063 0657 361 | 763.27 100.1202 100.0700 -+ 0.0502 100.0832 ++ 0.0370 . Röros. Aug.19 6p | 712.65 98.2096 | 98.140 98.1408 -+ 0.0688 | 98.162 98.1580 + 0.0516 7 5 201278 2135 146 1468 667 172 1680 455 20 Ira 13.94 2597 192 1923 669 216 2121 476 DD ae AR GR 2477 180 1808 669 207 2031 446 » oo» 1.30| 13.49 2422 171 1718 704 200° 1960 462 » » 4.20 12.97 2220 152 1528 692 180 1760 460 » » 5.20] 12.75 2135 142 1428 707 170 1660 475 » >» 6.30| 12.81 2158 150 1508 650 175 1710 448 TOO) 2.12.09 2616 195 1958 658 219 2151 465 I FØL ENG 2485 181 1818 667 205 2010 475 » » 1.35) 13.28 2340 164 1648 692 190 1860 480 > » 4.35] 12.48 2029 132 1327 702 160 1560 469 713.20 98.2308 98.1628 + 0,0680 98.1839 + 0.0469 68 H. MOHN. M.-N. KI. Stenkjær. Hypsometer 69 1898 Bar. Abge- Korr. f. Kal, Siede- Luftdruck SE lesen punkt mm mm | mm 0 0 0 Juli 3 10a 751.29 99.680 99.6764 99.7171 752.34 + 1.05 » » 12.30 50.80 665 6613 7029 51.97 Kul » GE 50.64 656 6523 6940 51.73 1,09 ag > OS 50.77 659 0553 6970 51.81 1.04 » » 625 51.14 678 6744 7131 52.24 1.10 » » 7.25 51.48 686 6824 7237 52.52 1.04 751.02 99.6670 99.7082 752.10 + 1.08 Brönnö. NER | 755.85 99.850 99.8474 99.8872 756.95 + 1.10 > 2.10 55.54 846 8429 8833 56 84 1.30 » » 710| 5462 S12 SoSS 8494 55.92 1.30 » FBI AS | 49.14 608 6041 6457 50.42 1.28 » » 10.35 49.20 609 6051 6467 50.45 1.25 p » 11.40 49.22 611 6071 6487 50 51 1.29 » » 1.30 | 49.55 622 6182 6597 50.80 1.25 » > 5.15 | 50.00 636 6322 6737 51.18 1.18 » » 5.40 | 4991 640 6362 777 51.29 1.38 » » 6.40 | 50.27 651 - 6477 6890 51.59 1.32 STE | | 751.33 99.6850 99.7261 752.59 + 1.26 Bodo. juli 5 5.40 759-79 100,005 100.0025 100.0422 761.15 + 136 ’ » 7 | 60.11 | 022 0196 0592 61.60 1.49 » » 7.15 60.46 | 030 0276 0672 61.82 1.36 , 9 10.30 67.01 272 2702 3087 68.43 1.42 . » 11.10 67.19 280 2783 3167 68.04 1.45 » » 1.40 | 67.45 | 287 2858 3239 68.85 1.40 » » 5.40 67.56 304 3023 3403 69.2 1.43 » 10 12.50 | 68.2 318 3164 3543 69.67 1.44 » 11 9.40 | 6274 | 120 1178 1568 64.37 1.53 -| | | 764.54 100.1801 100.2188 765.07 + 1.43 Svolvær. Juli 12 10.40 | 747.33 99.549 99.5449 99.5868 748.85 + 1.52 ye 31.25 47:19 539 5349 5769 48.58 1.39 » » 1.10 46.43 512 5078 5498 47.56 143 020445 45:87 487 4827 5248 47:18 1.31 » » 6.15 45.70 485 4807 5227 47.12 1.42 » 13 1035 | 47.26 545 5409 5828 45.74 1.48 » 9 1155| 47-40 545 5439 5858 48.82 1.42 an 1,30 47:43 545 5439 5858 48.82 1.39 * oe 5.5 47-57 551 5469 5888 48.90 1.33 » 3 6.30 47:47 549 5449 5868 48.84 1.37 » 14 10.10 49.37 621 6171 6556 50.76 1.39 747.18 99.5353 99.5773 748.58 + 1.40 DAS HYPSOMETER AIS LUFTDRUCKMESSER. 1899. No. 2. 101 + E0'171, og £5'86 Logt'g6 Sor + Lo’ızl HLES 96 ıg9b'96 zo'ozl, | PHN vort Sz'0z E£05 £ost ogt bo'ı TT'OT SzoS Set ver 1761 | SS-g « « ZO'I Lz'oz Eros ELSE 19F ZO'I Lz'oz thos zLer get Sz'61 SEG Tait L6'o ge'oz LLoS Loot tot g6°0 LE*07 bgoS zıtt Itt 6£:61 ost & « for 19:07 1336 £oot okt tol ZS'07 ztıS (4A 14 ott gt'61 ot'g « « orl to'1z LLSS zo1S bıS err Lotz 6LSS zı6t co bS'oz or’I “ou Lor 06'17 1/99 zozS tes 6o:1 76'IT sLgS z10S 008 £g'oz Au : 06:0 + 1f"zz gzgS:g6 19£S'96 ob$*g6 601 + oS-zzl 968586 z£zS'g6 zzS's6 ıh'1zL (Où iz PSUQL zgio + 98'889 zzlz'L6 £61z'L6 glo + 85689 Loog:L6 Lozz'L6 PUN zg'o de) zogt PLET oft 1L'o 0:6 stet sgot got 6b-£6 Sie « « £g'o ot +6 zS6h pebt ott gg'o 15:t6 sg6h sgrt ozt £9'£6 OTv'TI « a 6g'o zbo LSgt Og Et LET glo oto gogt gzot tot F£°£6 CUT CO AAC glo 66'£6 £oLr ther Let SL'o 66:€6 OS Lt gL6€ 66€ £z'£6 of6 ar « glo 60°16 Logt E90£ Iie FS'o Lg:06 Egse 68Lz 087 ££'06 Sto & « og'0 6z'06 obzE Eglz 6Lz ÿLio £z'06 Loz£ oltz ghz 6b:6g Sg Our £g'o tl'gg zlgz zbız Liz zg'o £L'es tggz 0981 Lgı 16:49 dz II « £g o F6'rg obit £190 too FL'o Sshg TILT z6z0 ofo ııhg L & « Sg'o IL'Sg LSt1 £z60 S60 EL'o OS'Sg gobı z6So 090 og'tg S$ “oa bg'o 90:98 L6S1 £got 601 LL'o 66'S9 8981 zSLo glo zz'Ss Sir CRUE Sg'o 66:58 LoSt efor 901 og'o h6"Sg LES z£Lo klo LA DT CT: og'o 68'58 LzSı £660 zor Sg'o + t6°589 LbS1°L6 z£Lo'L6 tLo'L6 60:58 Gent 4 LL'o Lz'Sg 6Lz1 £tLo'L6 LLo:L6 oS tg of6 or « og‘o + of £99 £6bo'L6 £566'66 866'96 oS'789 ofl 6 ‘sny 0 0 0 0 0 0 Uru Tu TI UT taut TU pund uasa] pund uasa] YS »pmıpynT -apaıs ext y ‘MON aq CIS HONIPINT -2PAIS EY I Moy -asqy BE 8681 69 12}9wosdA 89 19jou osd4Fy 9sdg Gedruckt ı2. April 1899. Om nogle Vandsoppe Af Dr. N. Wille (Hermed 1 Planche) Videnskabsselskabets Skrifter. I. Math.-naturv. Klasse. 1899. No. 3 3-5 Christiania I Kommission hos Jacob Dybwad A. W. Broggers Bogtrykkeri 1899 Fremlagt i Selskabets Mode den gde December 1898. Om nogle Vandsoppe. Af Dr. N. Wille. (Hermed ı Planche.) Under mine i Aarenes Leb foretagne Studier af Ferskvands- og Salt- vandsalger har det ved forskjellige Leiligheder indtruffet, at Vandsoppe (tilhørende Chytridiacee og Saprolegniaceæ) har kommet mig for Øie. Dette har som oftest indtruffet paa Reiser, da hverken den fornødne Litteratur eller de for en indgaaende Undersøgelse nødvendige optiske Hjælpemidler havdes forhaanden; naar jeg troede at se noget for Viden- skaben nyt, har jeg dog i Almindelighed ved Hjælp af Tegneprismet ud- kastet en Skitze af vedkommende Organisme, selv om det mere indgaaende Studium viste sig umuligt at gjennemføre paa Grund af ovennævnte Mangler. I Tidernes Løb er vistnok flere af disse blevne fundne af andre, mere eller mindre indgaaende beskrevne og afbildede, men naar jeg gjennemser mine gamle Tegninger, finder jeg dog, at de endnu indeholder enkelte Ting, som maa ansees for nyt, eller iallefald for en Udvidelse af den hid- tidige Kundskab om allerede beskrevne, men lidet kjendte Former. Jeg har derfor efter adskillig Tvivl besluttet mig til at offentliggjøre efter- følgende Meddelelser, hvilket imidlertid sker uden Fordring paa Fuldstæn- dighed, og væsentlig for at henlede Opmærksomheden paa disse eiendom- melige og endnu lidet kjendte Former, som jeg neppe selv vil faa Anled- ning til yderligere at undersøge. ; Vid.-Selsk. Skrifter. Math.-naturv. Kl. 1899. No. 3. iz 4 N. WILLE. M.-N. KI. I; Rhizidium (?) Contervæ n. sp. Sporangier udvendige, ovale, i Spidsen tvært afskaarne kronet af en afsmalnende Kant, der i optisk Længdesnit faar Udseende af to spidse, enkle Tender. Sporangierne aabne sig med et rundt Laag. Intramatri- calt Mycelium med subsporangial Blære er ikke seet, men er rimeligvis forhaanden. Paa Conferva bombycina (Ag.) Wille. Denne Cytridiace fandt jeg i Stockholm 22 Novbr. 1883 paa en gammel Kultur af Conferva bombycina (Ag.) Wille, hvis Celler den udsugede. Rimeligvis har den intramatrikalt Mycelium og subsporangial Blære, men med de utilstrækkelige optiske Hjælpemidler, som jeg da var i Besiddelse af, kunde dette ikke med Sikkerhed afgjores, saameget mere som min Opmærksomhed heller ikke dengang var henvendt paa dette, senere som vigtigt ansede Forhold. Det ovale Sporangium (Fig. 1) var i den ydre Ende tvært afskaaret og bar her en udadtil afsmalnende Krave, saaledes at det i optisk Længde- snit fik Udseende af to convergerende Horn. I Indholdet fandtes enkelte smaa, lysbrydende Korn (maaske Cellekjærner). Naar Sporangiet aabner sig, losner hele den afskaarne Ende, indenfor Kraven, som et Laag (Fig. 2), saaledes at kun en lidet fremtrædende Ringliste her bliver igjen. De udtraadte Svaermesporer har jeg ikke seet, men vel hvorledes de fæste sig paa friske Confervatraade (Fig. 3), hvis Vægge de maa bore sig igjennem for at faa Næring. Paa Grund af den mangelfulde Kjendskab til det intramatrikale Myce- lium kan det selvfolgelig ikke være udelukket, at denne Art kunde tæn- kes at tilhore Slægten Rhizophidium Schenk, men dette er dog ikke sandsynligt, da den med sin eiendommelige Krave udenfor Sporangiets Aabning nærmest slutter sig til Gruppen: »dentata« af Slegten Rhisidium (A. Br.) Fischer, hvor der findes et Antal Tænder udenfor Sporangiets Aabning. Hos enkelte af disse f. Ex. Rk. Zygnematis (Rosen) Fischer viser endog disse Tender tydelig en Tendens til at smelte sammen til en tandet Kravel, hvilket altsaa er helt gjennemført hos Rh. Confervæ, som saaledes vistnok bør danne en egen Gruppe, der maaske kan betegnes 1 F. Rosen, Ein Beitrag zur Kenntniss der Chytridiaceen, (Cohn's Beiträge zur Biologi der Pflanzen B. IV. Breslau 1886. Tab. XII, Fig. 8, 11, 12). 1899. No. 3. OM NOGLE VANDSOPPE. 5 med Navnet: »annulata«. Hos Slægten Rhizophıdium er Rh. Brebissonii Dangeard den eneste, som har Tender omkring Sporangieaabningen og disse vise en helt anden Karakter, end hos Ræisidium-Arterne, saa der synes mig forelobig ikke at foreligge nogen Grund til, at den heller burde henregnes til denne Slægt. IN, Olpidium Dicksonii (Wright). var. Striariæ n. var. Under et Ophold ved Mandal, ner Norges Sydspids, i den sidste Halvdel af Juli og ferste Halvdel af August 1889, sysselsatte jeg mig med Studiet af forskjellige Saltvandsalgers fysiologiske Anatomi. Blandt de undersogte Alger var ogsaa Striaria attenuata Grev var. fragilis J. Ag. hvis Topcelletilvæxt jeg ønskede nærmere at undersøge. Dette havde imidlertid sine ikke uvæsentlige Vanskeligheder; thi den viste sig i den Grad at være angreben af en parasitisk Chytridiace, at det næsten ikke var muligt at finde en eneste normal Grenspids. Jeg henvendte af denne Grund ogsaa min Opmærksomhed paa Parasiten, som jeg afbildede i forskjellige Udviklingsstadier, men da jeg paa Reisen selvfølgelig ikke havde kunnet føre med mig den for Chytridiaceens Bestemmelse nedven- dige Litteratur, forblev det mig indtil Hjemkomsten ubekjendt, at denne Plante rimeligvis maatte henføres til en allerede kjendt Art, nemlig den af E. P. Wright! beskrevne Rhizophydium Dicksonii. Parasiten fremtraadte først som en liden opsvulmet S#zaria-celle (Fig. 4), hvis Indhold manglede de ellers hos Siriaria forekommende Chromatophorer, men isteden var fyldt med et ensartet graaligt, kornet Protoplasma. Parasiten, som i dette Stadium manglede egen Membran, vokste nu stærkere ud og S#zaria-cellen hvælvede sig mere frem (Fig. 5) og dens Indre syntes nu i sit graalige Indhold at besidde et stort Antal glindsende Korn, som maaske vare Cellekjærner; sikkert kan jeg ikke af- gjøre dette, da jeg ikke havde med de herfor nødvendige Tinktionsmidler. Tilslut hvælver nu Parasiten sig helt frem fra Striariaen (Fig. 6), som ofte faar en Knæk ved Parasitens Angreb. Da ofte to eller flere Celler af Striaria attenuata nær ved hverandre angribes af Parasiten (Fig. 6), 1 E. P. Wright, On a Species of Rhizophydium Parasitic on Species of Ectocarpus, with Notes on the Fructification of the Ectocarpi (Transactions of Roy. Irish Academy. Vol. 26 Dublin 1877.) 6 N. WILLE. M.-N. Ki. vil Traaden dervedsvækkes saa meget i sin Sammenhæng, at den let rives over, især naar Parasiten har udtemt sine Zoosporer. Dette var Grunden til, at det var saa vanskeligt at finde nogen hel og uskadt Striaria med sine Endeforgreninger ; thi som jeg allerede har nævnt, var næsten alle Gren- ender angrebne af nævnte Parasit. I disse store, fremragende Zoosporangier, som nu faa sin særskilte Membran, dannes saa et stort Antal Zoosporer (Fig. 6), som det synes ved succedan Deling af Indholdet. Det modne Zoosporangium er af meget forskjelligformet Udseende (Fig. 7—10) og aabner sig med 2—4 runde eller ovale Aabninger, som ofte forekomme paa en lidt fremboiet Hals, saa det faar Udseende af et Næb. I Almindelighed er Zoosporangierne lidt flade, hvilket fremgaar af Fig. 9 og Fig. 10, som viser det samme Zoosporangium forfra og fra Siden, men ofte er de ogsaa heist uregelmæssigt formede, af meget vex- lende Størrelse og Udseende. Zoosporerne ere runde, naar de ligge fuldt færdige i Zoosporangiet (Fig. 11), men i sværmende Tilstand er de lidt ægformede med en eneste Cilie og 1 tydelig Cellekjærne. Det forekommer mig ikke at kunne være nogen Tvivl om, at Zoo- sporerne trænge sig ind i Værtplantens Celler ved at gjennembore Celle- væggen, thi paa anden Maade kan ikke et saadant Stadium, som det omtalte (Fig. 4), tænkes at være fremkommet. Noget intramatrikalt Mycelium forekommer altsaa utvivlsomt ikke; dette bestyrkes yderligere ved det Forhold, som 2 spirende Zoosporer i et forøvrigt udtømt Zoospor- rangium med 3 Aabninger (Fig. 13) viste. De have formodentlig havt endel Rester af organisk Substans at ernære sig ved, thi de vare voksede endel i Størrelse og havde antaget en lidt uregelmæssig Form, og havde formodentlig paa Grund af den abnormale Fremkomst dannet tidlig Celle- membran, men nogen Antydning til Mycelium fandtes ikke, kun paa det ene Individ et Par smaa Membranfortykkelser paa den ene Side. Der kan saaledes ikke være Tvivl om, at denne Parasit paa Striaria attenuata Grev. var. fragilis J. Ag. mangler intramatricalt Mycelium og kun bestaar af en eneste Celle, nemlig Zoosporangiet; den kan saaledes heller ikke henføres til Ordenen Mycochytridine Fisch., hvortil Slægten Rhizo- phydium hører, men den maa henregnes til Ordenen Myxochytridinæ (Gobi) Fisch. og herunder altsaa til Familien Monolpidiacee Fisch. hvor! »der ganze Vegetationskörper verwandelt sich holocarpisch in ein einziges kugeliges oder längliches Zoosporangium.« I A. Fischer, Phycomycetes (Dr. L, Rabenhorsts Kryptogamen-Flora von Deutschland Oesterreich und der Schweiz, 2 Aufl, Die Pilze, IV, Abth, Leipzig 1892. S. 4). 1899. No. 3. OM NOGLE VANDSOPPE. 7 Desværre har jeg ved Undersogelsen af det friske Materiale 1889 ikke været opmærksom nok paa Forholdet mellem Parasitens og Værtcellens Membran ; men om man sammenligner Fig. 5, hvor Parasiten endnu er forholdsvis liden og ligger indenfor Modercellens Membran, med Fig. 7— 10, da giver det Indtryk af, at Værtcellens Membran tilslut maa blive sprængt, saaledes at det her er Parasitens egen Membran, som fremtræder og danner Udtrædelsesaabningerne; dette bekræftedes ogsaa ved en nylig foretagen Ffterundersøgelse paa tørret Materiale, hvorved det utvivlsomt viste sig, at Parasiten, naar den har udviklet sin selvstændige Membran, lidt efter lidt sprænger den som det syntes forslimende Membran af Strz- aria-cellen, saa denne kun sees som en Krands nede ved Basis af Zoo- sporangiet. Da Zoosporangiet af Parasiten har sin særskilte Membran, kan man, naar dette er modent, ved Tryk eller et Par Naale befri det fra Værtplantens Cellevæg, saa det kan komme til at ligge fuldstændigt løst i Vandet (Fig. 9, 10). Det synes efter ovenstaaende Beskrivelse klart, at denne Parasit maa henføres til Slægten O/pidium (A. Br.) Fischer, uagtet den afviger dels derved, at den tilslut sprænger Værtcellens Membran, saa den bliver fri, dels derved, at den har flere Udførselsaabninger (1—4) for Zoosporerne, medens Slægten O/pidium kun angives at have 1, sjelden 2 saadanne. Disse Karakterer synes mig dog imidlertid at være for ubetydelige til at kunne begrunde nogen Slægtsforskjel. Det synes utvivlsomt, at Wright har henført sin Risophydium Dicksonit til Slægten Rhizophydium kun af den Grund, at Zoosporangierne som Regel har flere Aabninger, da han udtaler.! «There is some little difficulty in deciding to which of the now numerous genera of the Chy- tridiaceæ this new species should be referred. Braun’s genus Phlyctidium has been now limited to those forms in wich the spores escape by a single aperture; and Schenk has etablished the genus Rhizophydium for those forms in which the spores escape by two or more apertures, as in Rhizophydium laterale, found on Ulothrix sonata; and here I would venture provisionally to place my new species — only provisionally however — because; though the discharge of the zoospores often does take place by means of two slightly oblong apertures, yet I have seen specimens on which the whole of the spores managed to escape trough a single opening.« Fischer følger Wright iat stille denne Form under Slægten Rhizo- phydium, men tilfeier dog i en Anmerkning?): »auch scheint ihr Verhal- P. Wright, On Chytridia S, 373. A. Fischer, Phycomyceten S, 104. 1 2 8 N. WILLE. M.-N. Kl. ten zur Wirthzelle noch neuer Untersuchung zu bedürfen. Nach Wrigth’s Bildern scheinen die Sporangien zum Theil auch zz den Zellen zu sitzen.« Som det fremgaar af det foregaaende, er denne af Fischer fremforte Tvivl fuldt berettiget. Mellem den af Wright fundne og den norske Form af Olpidium Dicksonii er der ikke synderlig Formforskjelligheder, derimod findes der enkelte andre Forskjelligheder, som dog vistnok ikke ber tillegges saa særdeles megen Betydning. De to Former forekomme nemlig, som det synes, paa ulige Aarstider og sikkert paa forskjellige Værtplanter. Wright! skriver saaledes: »Parasitic in the cells of Zetocarpus granulosus, and occurring in great numbers; gathered at Howth, near Dublin, during the Winters of 1876, 1877.« Det samme synes at være konstateret af Hauck,? som har fundet den i Adriaterhavet:« Es dürfte von Interesse sein, dass dieses Rhzzophydium auch in der Adria und sogar sehr häufig vorkommt und von mir mehrere Jahre hindurch in den Monaten Februar bis Mai auf Ectocarpus confervoides, crinitus und pusillus beobachtet wurde, jedoch bis jetzt nur an Lokalitäten mit verunreinigtem Meerwasser, wie z. B. im Hafen von Triest bei der Militär-Schwimmschule». Den norske Form fandt jeg derimod udelukkende paa Striaria attenuata Grev. var. fragilis J. Ag. og aldrig paa de sammesteds fore- kommende Ectocarpaceer, desuden vegeterede den om Sommeren (Juli, August) og kun, hvor der var friskt Vand, men ikke som Hauck angiver i forurenset. Da imidlertid ikke Hvilestadierne endnu er kjendte hos nogen af disse Former, kan jo forelobig ikke den Muelighed være udelukket, at disse mueligens kunne opvise Artsforskjelligheder, men efter hvad der for- tiden foreligger, finder jeg det kun berettiget at opstille den norske Form som en Varietet, der bedst benævnes efter Værtplanten, altsaa Opidium Dicksoni (Wright) var. Striarie. Inden Slægten O/pidium kommer denne Art til at staa temmelig isoleret paa Grund af sine flere korthalsede Udforselsaabninger for Zoo- sporangierne og Sprængningen af Værtcellens Membran. Nærmest turde den vistnok slutte sig til O/pidium tumefaciens (Magn.) Fisch., hvorom Magnus? angiver: »wuchs in den Wurzelhaaren und den jungen Stamm- zellen von Ceramium flabelligerum und Ceramium acanthonotum bei ı P, Wright, On Chytridia S. 374. 2 F. Hauck, Notiz über Ahisophydium Dicksonii Wright. (Oesterreichische botanische Zeitschrift. Jahrg. 28. Wien 1878. S. 321.) 8 P. Magnus, Die botanischen lirgebnisse der Nordseefahrt vom 21, Juli bis 9, September 1872 (II. Jahresbericht der Kommission zur Untersuchung der deutschen Meere in Kiel. Berlin 1874. S. 76). 1899. No. 3. OM NOGLE VANDSOPPE. 9 Fisherrow bei Edinburgh«, om hvilken han! yderligere meddeler: »die Chytridien füllen häufig die Nährzelle fast ganz aus, so dass sie der Sei- tenwand derselben ringsum dicht anliegen,« »Um die Zoosporen zu entlassen, entsendet jedes Chytridium ein oder zwei Fortsätze, die die Wand der Wirthzelle durchbohren (Taf. I. Fig. 11 u. 12, sowie 6 u. 10), sich aussen öffnen und zu Ausführungsgängen der Zoosporen gestalten. Schwärmende Zoosporen wurden nur zwei Mal beobachtet und gelang es einmal zu sehen, wie eine Zoospore sich aussen an die Wand ansetzte, die Wand durchbohrte und durch dieselbe ihr Plasma in den Inhalt der angegriffenen Zelle hinein glitt.« Det synes, som om de paa Saltvandsalger parasiterende O/pidium- Arter ere nær beslægtede og tilhøre en og samme Udviklingskreds, men som divergerer i forskjellige Retninger; Spidsen af en saadan Udviklings- gren indtages vistnok af Olpidium Dicksonii, som aabenbart maa ansees for at være videre differentieret end 0. tumefasciens (Magn.) Fisch., som formidler Overgangen til de øvrige Olpidium-Arter paa Saltvandsalger. II. Aphanomyces norvegicus n. Sp. Under et Ophold paa Fæfor Sanatorium i Gudbrandsdalen Sommeren 1895 bemærkede jeg, at forskjellige Ferskvandsalger, i en liden Fjeldbæk med sagte og grundt Leb, circ. 3000. o. H., frembød tydelige Sygdoms- tegn, de blev forst gulgronne, derpaa delvis hvidagtige. En nærmere Undersogelse viste, at de vare stærkt angrebne af en Saprolegniace, som nærmest overensstemte med Aphanomyces phycophilus de By., men dog afviger fra denne i flere Henseender, saa den ber opstilles som egen Art. De Bar y angiver saaledes for A. phycophilus?:« Ich fand sie zunächst in Fäden von Spirogyra lubrica Kg. und Sp. nitida Kg., gesellig mit Pythium reptans. Die von dem Parasiten bewohnten Fäden sind meistens gänzlich abgestorben und eigenthümlich verändert: die Primordialschlauche collabirt, und sammt dem Inhalt missfarbig oft dunkel violett und braun gefärbt, die Zellmembranen, besonders die Seitenwand, gallertartig aufgequollen, häufig von gelöstem violettem Pigment durchdrungen. Die Schläuche des Parasiten kriechen innerhalb der Zellen in ziemlich geradem 1 P, Magnus |. c. S. 76, ? A. de Bary, Einige neue Saprolegnieen (Jahrbücher f. wiss. Botanik, Hg. von N. Prings- heim, B. 2. Berlin 1860, S. 179). 10 N. WILLE. M.-N. Kl. Verlauf der Längsaxe des Fadens nach» — — —. I denne Henseende afviger imidlertid den norske Art ganske betydeligt. Den angriber nem- lig alle Slags Conjugater: Spirogyra-, Zygnema- og Mougeotia-Arter, som den i Almindelighed slynger sig om i lange Spiraler (Fig. 14), ja endog Desmidiaceer, som den til at begynde med omspinder omtrent som Lavhypher omspinder sine Gonidier (Fig. 25). Herved er dog at mærke, at Parasiten sender en eller flere Haustorier ind i Værtplantens Celler (Fig. 14, 16,) og disse Haustorier soge fortrinsvis ind mod Chromatopho- rerne, hvor Haustoriet ofte danner korte Grene. Undertiden kan disse Forgreninger bryde sig gjennem Tværvæggen til en næste Celle og der opstaar da et intramatricalt Mycelium, som dog ikke synes at gaa ud til extracellulare Grene, undtagen til Dannelse af Kjensceller. Det almindelige, extracellulære Længdemycel danner her og der næ- sten lodret udlebende Grene, som gjerne forgrene sig rigt og tjene til at indfange andre Algetraade, som saa ogsaa omslynges; paa denne Maade kan et Mycelium sætte sig i Forbindelse med en hel Mengde Algetraade af de forskjelligste Slags. Saavidt jeg med mine utilstrækkelige Underso- gelsesmidler kunde finde, var iallefald en Grenende af Haustorierne aaben (Fig. 16) i den mod Chromatophoren vendende Ende, saaledes at der var aaben Communikation mellem Værtplantens og Parasitens Protoplasma. Værtplantens Indhold blev selvfølgelig ødelagt ved Parasitens Angreb, men ikke paa samme Maade, som de Bary beskriver for Aphanomyces phycophilus, da Chromatophorerne bibeholdt sin grønne Farve meget lenge, medens de forandrede sin Form, idet de afrundede sig (Fig. 16) noget. Værtplantens Cellemembraner bibeholdt ogsaa sit normale Udseende helt indtil Forraadnelsesfænomener traadte til, efter at Parasitens Zygoter alle- rede vare uddannede. De Bary har hos sin Aphanomyces phycophilus ikke kunnet finde Zoosporangier. Da jeg gjentagne Gange saa fritsvemmende Zoosporer, sogte jeg omhyggeligt efter at finde Zoosporangierne og dette lykkedes da ogsaa tilsidst, men de afvige saa lidet fra de vegetative Celler, at det er meget vanskeligt at faa Øie paa dem, naar de ikke tilfældigvis ligge saaledes, at man ser dem i Profil. Zoosporangiet (Fig. 16) bliver ved en Cellevæg, hvortil paa den bæ- rende Celles Side synes at slutte sig en eiendommelig Fortykkelse (af Cellulose?), skilt fra det øvrige Mycelium. Saadanne Celluloseproppe saaes ogsaa undertiden ellers, rimeligvis som Følge af ydre Indgreb, der nødven- diggjorde en Afgrændsning af det levende Indhold. Hvorvidt det (Fig. 16) afbildede Zoosporangium var intercalært, kan jeg ikke med Sikkerhed afgjøre, da det var afrevet under Præparationen, men det synes sandsyn- 1899. No. 3. OM NOGLE VANDSOPPE, I I ligt, da der ellers ikke var nogen Grund til, at det skulde have en side- stillet Aabning for Zoosporernes Udtræden, hvilket her aabenbart er tilstede; som det sees indeholder Zoosporangiet endnu en Zoospore, der bevægede sig svagt, men ikke var istand til at trænge igjennem Aabningen. Zoosporerne var rundagtige (Fig. 16, 17) og indeholdt 1 Cellekjærne, men hvorledes Cilierne forholdt sig, kunde jeg ikke afgjøre paa Grund af manglende optiske Hjælpemidler. Naar de spire, omgive de sig først med en Cellevæg og fra denne kugleformede Celle vokser saa ud et Mycelium, som snart forgrener sig. Hvis de spire frit i Vandet (Fig. 18), standser vistnok Tilvexten snart af Mangel paa Næring, men hvis de spire paa en Algetraad (Fig. 19, 20), danne de snart Haustorier ind til Algecellens Chromatophorer og have da alle Betingelser for at kunne vokse videre. Under visse Omstændigheder kan ogsaa dannes Conidier (Fig. 21), nemlig naar Grene løbe frit ud i Vandet uden at træffe paa nogen Alge, som de kunne hæfte sig fast ved. Conidiet opstod paa en kort Sidegren, havde en oval Form, en ganske tyk Membran og et af Reservestoffe kornet Indhold. De synes at forekomme meget sjeldent, formodentlig beroende paa, at de allerfleste Grene med Lethed finde Algetraade at parasitere paa. Conidiernes Spiring har jeg ikke havt Anledning til at iagttage. Oogoniernes Dannelse overensstemmer idetheletaget med, hvad De Bary angiver om Aphanomyces phycophilus: »die Oogonien sitzen auf dem Ende ganz kurzer, ins Freie tretender Seitenzweige«; »Sehr selten finden sich Oogonien im Innern der Spirogyrazellen«. Saavidt jeg kunde se, udspringer de oogoniebærende Hypher som Sidegrene fra Haustorierne (Fig. 22—25); dette kan ogsaa forklare, hvorfor de undertiden blive liggende inde i Værtplantens Celler uden at kunne række saa langt, at de gjennembryde dennes Væg (Fig. 25—27), men klart frem- traadte dette Forhold ikke, da Værtplantens Chlorophyl og det udenpaa Cellerne krybende Mycelium hindrede en fri Oversigt. Oogoniet faar allerede meget tidligt begyndende stjerneformede Fremspring (Fig. 22) og disse udvikles yderligere, naar Oosphæren holder paa at differentiere sig (Big 235125): Antheridierne afvige derimod i flere Henseender fra de Barys Beskri- velse af dem, som forekomme hos A. phycophilus: »Niemals fehlen die Antheridienzweige, welche, zu 1—3 aus den benachbarten Släuchen entspringend, sich um den kurzen Tragfaden des Oogoniums winden und mit ihrem etwas verbreiterten, zur Antheridie sich abgliedernden Ende an jenes anlegen (Fig. 21, 22).« I Modsætning hertil viste Antheridiet hos Aphanomyces norvegicus et ganske vexlende Forhold, snart manglede det 12 N. WILLE. M.-N. Kl. (Fig. 22, 24), snart lignede det paafaldende (Fig. 23) Antheridiet hos A. phycophilus, men i Almindelighed var det hoist uregelmæssigt krummet og klæmte sig ind imellem Oogoniets stjerneformede Fremspring (Fig. 25, 26), hvorved dets Forholde blev meget vanskelige at iagttage. Jeg iagttog kun en kugleformet Zygote i hvert Oogonium. Den modne Zygote (Fig. 24, 26, 27) var kugleformet med et ligeformet kornet Indhold og en tyk, mørk, næsten sortagtig, glat Membran. Paa denne Tid er Oogoniets Vag, som ofte har et heist uregelmæssigt Udseende (Fig. 24, 26, 27,) forholdsvis tynd og har en lysebrun Farve, som stikker nok- saa skarpt af fra Zygotemembranen. Zygoternes Spiring lykkedes jeg ikke at iagttage. Som Artsdiagnose for denne nye Art kan opstilles følgende: Aphanomyces norvegicus: n. Sp. Myceliet parasitisk udenpaa, sjelden kortere Stykker inde i Conjuga- ter, omkredsende Værtplanten iLængderetningen og indsendende Haustorier til Værtplantens Chromatophorer med forgrenede Myceltraade til andre Alger. Fructificationsorganerne ere almindelig extramatricale, sjelden intramatricale. Zoosporangierne ere traadformige, med sidestillet (alltid ?) Udtrædelsesaabning for Sværmesporerne. Sværmesporerne ere runde. Ved deres Spiring dannes først en extramatrical Kugle, som sender ud Spiresække, der dels trænge ind i Algecellen, dels forgrene sig extramatricalt udenfor. Conidier, som dannes paa frit fremspringende Grene, ere ovale. Oogonierne ere almindelig extramatricale, sjelden intramatricale, rund- agtige eller ovale med talrige korte, kegleformede Udposninger, morgen- stjerneformede eller uregelmæssige; Oogoniemembranen uden Porer, brunfar- vet. Antheridierne paa Enden af Sidegrene, i Almindelighed uregelmæs- sigt krummede. Zygoten er enkel, kugleformet, med glat, næsten sort Membran; Spiring ukjendt. Parasitisk paa Conjugater; i Høifjeldet (circ. 3000’ o. H.) i det centrale Norge. 1899. No. 3. OM NOGLE VANDSOPPE. 13 Figurforklaring. Samtlige Afbildninger ere tegnede med Camera lucida og 480 Gange forsterrede. Fig. Fig Fig Fig. 1—3. Rhizidium (2) Confervæ n. sp. . I. Et næsten modent Zoosporangium. . 2. Et udtemt Zoosporangium, hvor Laaget ligger skjævt i Aab- ningen. 3. Tre Zoosporer, som spire paa en Traad af Conferva bomby- cina (Ag.) Wille. . 4—13. Olpidium Dicksonii (Wright) var. Striariæ n. var. . 4. Nogle Celler af en Grenende af Striaria attenuata Grev. ß fragilis J. Ag. de fleste ere normale og vise uforandrede Chromatophorer, kun en Celle er angreben af Parasiten og har begyndt at svulme ud. . 5. Et mere fremskredent Stadium; den af Parasiten angrebne Celle er svulmet vældigt op. Parasitens Protoplasma har endnu ikke dannet nogen særskilt Cellemembran. Chromatophorerne ere ikke tegnede i S#zaria-Cellerne paa denne og de 3 følgende Afbildninger. ; . 6. Grenende af Striaria attenuata Grev. B fragilis J. Ag. med to Celler angrebne af Parasiten, som har hvælvet sig stærkt frem og holder paa at danne Zoosporer. . 7, 8. Udtomte Zoosporangier med to Udtrædelsesaabninger for Zoosporerne. Zoosporangierne har sin særskilte Membran og har sprengt Værtcellens Membran, der kun sees som svage, uty- delige Rester ved Basis af Zoosporangiet. . 9, 10. Et Zoosporangium med 2 Aabninger, som ved Tryk er klemt ud fra Værtcellen, seet fra Fladen og fra Siden. . 11. Zoosporer fra et delvis udtømt Zoosporangium. . 12. Fritsvømmende Zoospore. g. 13. Et Zoosporangium med 3 Udførselsaabninger for Zoosporerne. 2 Zoosporer have spiret inde i Zoosporangiet og omgivet sig med en Zellevæg; de unge Planter have en afrundet, lidt uregelmæssig Form og have et kornet Indhold med en enkelt Cellekjærne. N. WILLE. OM NOGLE VANDSOPPE. M.-N. Kl. 1899. No. 3. Fig. . 14— 27. Aphanomyces norvegicus n. sp. g. 14. En Celle af Mougeotia omslynget udvendigt af Parasiten, som paa et Sted har sendt ind et Haustorie til Værtplantens Chromatophor. ig. 15. En Cosmarium omslynget af Parasitens Fangarme. ig. 16. En Zygnema angreben af Parasitens paa begge Sider langs- gaaende Mycelium, der sender Haustorier ind til Chromatopho- rerne; z et Zoosporangium med sidestillet Aabning og en til- bagebleven Zoospore. ¢ Celluloseprop, som afgrændser Zoospo- rangiet fra den evrige Del af Myceliet. . 17. En Zoospore, som indeholder en liden Cellekjærne. . 18. En Zoospore, som spirer frit i Vandet, uden at træffe nogen Værtplante. . 19, 20. Zoospore, som spirer paa en Zygnema-Celle. g. 21. Myceltraad, som løber frit ud i Vandet og paa Enden af en Forgrening danner et ovalt Conidie (co). . 22. Begyndende Dannelse af et Oogonium paa Enden af korte Grene, som skyde ud fra Myceliet i det Indre af Zygnema- Cellen. . 23. Et lidt videre kommet Oogonium, hvor Oosphæren holder paa at differentiere sig. Oogoniets Pigge ere voksede betydeligt. a en krummet Antheridiegren; udenpaa Zygnema-Cellerne sees en extramatrical, langsgaaende Mycelgren. . 24. 3 Zygnema-Celler med korte Mycelforgreninger og et næsten modent brunt Oogonium, som indeholder en moden Zygote, med mørk, glat Membran. ‘ig. 25. 3 Zygnema-Celler, som indeholde et extra- og et intramatri- calt Oogonium, som endnu ikke ere befrugtningsmodne. I den midtre af Værtplantens Celler sees flere korte Myceliegrene, som danne et Neste. a Antheridium. 26, 27. z intramatricale, modne Oogonier af uregelmæssig Form; de frigjores ved at Værtplantens Celler destrumeres. a Anthe- ridium. Trykt 18de Februar 1899. Sur la théorie des solutions singulières des équations aux différentielles totales du premier ordre AIf Guldberg Videnskabsselskabets Skrifter. I. Math.-naturv. Klasse. 1899. No. 4. Udgivet for Fridtjof Nansens Fond A Christiania En commission chez Jacob Dybwad Imprimerie A. W. Brögger 1899 Fremlagt i medet d. rode marts 1899. Sur la théorie des solutions singulières des équa- tions aux differentielles totales du premier ordre. Par Alf Guldberg. LE but de la présente communication est l'étude des solutions singulières des équations aux différentielles totales du premier ordre de la forme > P(%, Ir Day ag ag 44 dy? des — 0 ; Sa, =% où les P sont des fonctions analytiques données de x, y, 4, les a des nombres entiers, dont la somme constante z désigne le degré de l’équa- tion donnée, Si l'équation donnée est »on-integrable, nous appelons solution singulière une relation entre les variables x, y, z, qui satisfait à l’équa- tion donnée. Si l'équation donnée est complètement intégrable, nous appelons solution singulière une relation entre les variables x, y, z, qui satisfait a l'équation donnée, et qui ne se dérive pas de son intégrale générale, quand on donne à la constante arbitraire une valeur constante. Les géomètres n'ont guère fixé leur attention sur les solutions sin- gulières des équations aux différentielles totales. D'un côté on n'a pas, autant que je sache, fait ressortir que les équations aux différentielles totales non-intégrables admettent des solu- tions singulières, de l’autre on n’a pas non plus mis en évidence à l'égard des équations aux différentielles totales complètement intégrables Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 4. lé 4 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. les differentes manieres de determiner une solution singuliere, soit de l'intégrale générale, soit de l'équation différentielle elle-même. Avant d'aborder ces questions, nous ferons une petite digression. Quand une équation aux différentielles totales du premier ordre et de degré quelconque est donnée, il est toujours important de pouvoir décider si l'équation donnée est complétement intégrable ou non, c'est à dire si l'équation donnée se dérive d'une équation entre les variables, contenant une constante arbitraire ou non. Pour les recherches ici indi- quées, cette question est fondamentale. Nous établirons donc d’abord les bases extrêmement simples d'un principe général qui réduit le problème indiqué à un certain procédé d'élimination et de différentiation 1, Ce principe établi, nous considérerons en premier lieu les équations aux différentielles totales complètement intégrables. Nous montrerons d'abord comment la solution singulière se tire de l'intégrale générale de l'équation donnée. Cela fait, nous démontrerons sans difficulté que la solution singulière se tire de l’équation différentielle elle-même sans intégration. Quelques propositions d’une nature générale termineront cette partie de nos recherches. A la fin, nous traiterons des équations aux différentielles totales non-intégrables, en nous bornant principalement aux équations aux différentielles totales du premier et du second degré. Sur les conditions d'intégrabilité d'une équation aux différenti- elles totales du premier ordre et de degré quelconque. Soit donnée l'équation aux différentielles totales du premier ordre et du zm degré: ME NE Ÿ, Bay ag ag Pa dytt de" = 0 . Se=s où les P sont des fonctions analytiques de x, y, 2. Nous chercherons les équations de condition qui doivent exister entre les fonctions P (x, y, 2), si l'équation (1) admet une intégrale contenant une constante arbitraire. 1 Jusqu'ici on s'est contenté, comme on le sait, de développer les conditions d'intégrabilité pour des équations linéaires aux différentielles totales. 1899. No. 4. SUR LA THEORIE DES SOLUTIONS ETC. 5 Soit a= f(%, J, a) cette intégrale. En differentiant cette équation, on aura: Substituant cette valeur de dz dans l’équation donnée (1), l'équation (1) prendra la forme: Jømpdhdk=o , Span - på A ; ER oz ou les Q sont des fonctions entiéres en 3 et —. = L'indépendance de x et y exige cependant que les coefficients de dx et dy dans cette équation soient égaux à zéro. On obtiendra ainsi un systeme de 2 + 1 équations aux dérivées partielles: BEER oz» DE 5) =°. C= 159 3 nn). La fonction z, déterminée par ce systeme, satisfera à l’équation (1). Il faut done pour que l'équation (1) soit complètement intégrable, que les équations aux dérivées partielles (2) soient compatibles, et comme la fonction z contiendra une constante arbitraire, il faut que les condi- tions de compatibilité soient vérifiées identiquement. La détermination de ces conditions de compatibilité n’exige qu’un certain procédé d’élimi- nation et de différentiation. Comme premier exemple, considérons l’&quation linéaire aux diffé- rentielles totales: R(x, 9, ads + Ol, y, )dy + Plz, y, dx = o, (a) où À, Q, P sont des fonctions données de x, y, 2. En ce cas, le système d'équations aux dérivées partielles (2) prendra la forme: oz Poe 6 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. d'où l'on tire, comme condition d’intégrabilité pour l’équation (a), la for- mule bien connue: ap 0) © = (22 pa RE UA Ev ed 7 lan Considérons ensuite l’&quation aux différentielles totales du second degré: Adz? + Bdy? + Cds? + 2Ddydz + 2Edxds + 2Fdxdy =0 (b) où les A, 2, C... F sont des fonctions données de x, y, 3 Le système d'équations aux dérivées partielles (2) se mettra alors sous la forme: Les conditions de compatibilité sont: ABC + 2FED — AD? — BE? — F?C=o | are ES ee | (2) : à 3 aye oz CH : où l’on obtient la première équation en éliminant ae et ay entre les trois équations du systéme donné, et la seconde équation en substituant les oz 02 . : 2 : valeurs de 37 & 7 tirées de la premiere et de la seconde équation du systeme donnée, dans l’&quation de condition En ae Le système (3) étant identiquement vérifié, l'équation aux différen- tielles totales (b) est complètement intégrable. Nous nous contenterons d’avoir indiqué ces deux exemples très simples du principe énoncé; le cas où m= 3 ne donne lieu à aucune difficulté, mais le calcul se compliquera un peu. Sur la dérivation de la solution singulière de l'intégrale géné- rale d'une équation aux différentielles totales du premier ordre com- plètement intégrable. Soit donnée l'équation aux différentielles totales du premier ordre complètement intégrable: 1899. No. 4. SUR LA THEORIE DES SOLUTIONS ETC. 7 (1) DE on tg ag 2471 AY? den — 0 ; Sa =n ou les P sont des fonctions analytiques données de x, y, z Soit (2) z= f(#, J; 4) l'intégrale générale de l’equation (1), æ désignant la constante arbitraire. En différentiant l'équation (2), on aura: (3) ds = de +L En éliminant la constante arbitraire a entre les équations (2) et (3), on obtiendra l’équation (1), multipliée par une certaine fonction de 4%, I, & La question que nous allons aborder est la suivante: existe-t-il une relation entre les variables x, y, 3, qui satisfait a l'équation (1), et qui ne se dérive pas de lintégrale générale (2), quand on donne à la con- stante arbitraire @ une valeur particulière constante? Comme nous avons supposé que l'équation (1) est obtenue par élimination de la constante æ entre les équations (2) et (3), il est clair que l’on obtiendra la même équation (1), a étant considéré pendant l'élimi- nation soit comme une constante, soit comme une fonction variable. Considérons a comme une fonction de x et y en l'équation (2); nous aurons donc: BE CALE Seo EN (A) En différentiant cette équation, on aura: de dx+T-dy+ da... (9 Le résultat de l'élimination de a(x, y) entre les équations (3 a) et (4) n'est cependant équivalent au résultat de l'élimination de æ entre les équations (2) et (3), que quand les équations (2) et (3) sont équivalentes aux équations (3 a) et (4), et cela a seulement lieu quand: OE pe 2 a fa = ©. Cette condition est remplie, soit pour C0 CA no soit pour 8 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. Mettre da = 0, c'est supposer a = constant, ce qui est contraire à notre hypothèse. Il nous reste donc seulement la supposition: af . TF SE ie ee iad a et ee 35 (5) L'équation (2) définit donc encore une intégrale de l'équation (1), si l'on considère a comme une fonction de x et y, déterminée conformé- ment a l'équation: a supposer que l'équation (2) et l'équation (3) soient encore définies pour ces valeurs de a}. D'après notre definition nous appelons une pareille intégrale une solution singulière de l’équation (1). Exemple. Soit donnée l'équation aux différentielles du second degré: 22dx? — zxdy2 + xd + 2ydxdy — (2x2 + y2)dxdz + yxdyds = 0, dont l'intégrale générale est: 2 — ay + ax. L’équation (5) prendra ici la forme: of — =y + 24x = 0; da a, déterminé conformément à cette équation, et substitué dans l'intégrale générale, donne la solution singulière: 4x2 + #2 = 0. Il y a cependant quelque remarques å faire relativement au déve- loppement ci-dessus. Remarque 1. Il est clair que le procédé indiqué pour trouver des solutions singulières peut aussi mener à des intégrales particulières. Car rien n'empêche que l'équation of “~ — 0 ea soit satisfaite par des valeurs constantes de a. Exemple. L'équation aux différentielles totales du troisième degré: (2 — y)? dad + dyd — død + 2x (2 — y) drtdy — 2x (2 — y)dx°de + xdx dy? — 2x? dxdyds + + dx di? + 3dyds? — 3dsdy? = 0 I Ce qui n'est ordinairement pas le cas; l'intégrale générale == /(x, y, a) étant donnée dans un certain domaine S, la fonction å n'a pas en général de valeurs égales å O a dans la méme domaine $. 1899. No. 4. SUR LA THEORIE DES SOLUTIONS ETC. 9 possède l’integrale générale: z= y + a2(x — a). L'équation (5) prendra ici la- forme: of — = a(2x — 3a) =0, a qui s'annule pour a=0 et pour a= — 2. La valeur a = 0, substituée dans l’integrale générale, donne l’integrale z — y= 0, qu 2 est une intégrale particulière de l’&quation donnée. La valeur a = 3% donne la solution singulière: 272 = 27y + 423. Remarque 2. Il n'est pas non plus nécessaire qu'une valeur variable de a, tirée de l'équation: hl oa å conduise å une solution szzgulzcre de l'équation donnée. Exemple. L'équation aux différentielles totales du troisième degré: 8 (5 — y} an? — dy? + død + 4 (3 — y)x durdy — 40 (2 — y) dx2dz + 3dy2dz — 3dyde? =o admet comme intégrale générale: z= y + ale — a). L’équation (5) se mettra donc sous la forme: af au = (x — a) (æ — 3a) =0, en or é qui s'annule pour a = x et a=. La valeur variable @ = x donne cependant, comme 3 on voit, l'intégrale farticulière: 2 — y =o de l'équation donnée. Remarque 3. Le cas se présente aussi où @ n'est déterminé ni comme une fonction de x, y, ni comme une constante, conformément à l'équation (5); mais l'équation (5) détermine a comme une constante dépendante de x et y. Exemple. L'équation linéaire aux différentielles totales: ads + xdy — (2+ y) log (s + y)4x = 0 possède l'intégrale générale: g=—y+ er. L’equation (5) s’écrit donc: 10 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. laquelle s'annule, si æ est réel, fini et négatif, pour a = + ©, si æ est réel, fini et posi- tif, pour a——. En substituant ces valeurs dans l'intégrale générale, on obtiendra l'équation s+ y — 0, qui satisfera à l'équation donnée. Cette intégrale n'est pas au sens ordinaire une intégrale particulière de l'équation donnée; il faut la regarder plutôt comme une solution singulière, déterminée en donnant à la constante arbitraire une valeur constante dépendante. Il ressort de notre développement que toutes les solutions singulières obtenues contiennent la variable z. Mais comme il est facile de donner des exemples d'équations aux différentielles totales qui admettent des solutions singulières où z ne figure pas, il faut trouver un procédé qui détermine ces solutions singulières. En effet, nous n'avons qu’à faire un changement de variable dé- pendante. Nous avons jusqu'ici regardé z comme la variable dépen- dante, mais comme c'est un choix tout a fait arbitraire, nous pouvons aussi bien choisir x ou y comme variable dépendante. Nous n'avons donc qu'à répéter textuellement la raisonnement fait ci-dessus, au cas nouveau où x ou y figure comme variable dépendante, et nous trouverons toutes les solutions singulières qui contiennent x ou y. Un exemple suffira pour fixer les idées. Exemple. Soit donnée l'équation linéaire aux différentielles totales: Vat y ds + dr + dy = 0, qui possède l'intégrale générale: ze=a—Va+y. L'équation (5) ne determine pas ici la constante arbitraire 4. Regardons cependant y comme la variable dépendante, l'intégrale générale s’écrit alors: y=(2—0)—x=p(2, 2 a). Nous n’avons donc qu'à former = =o et A substituer la valeur de a, déterminée a par cette équation, dans l'intégrale générale, pour avoir la solution singulière cherchée. On trouve: agp en AUS da qui s’annule pour a =z; cette valeur de a, substituée dans l'intégrale générale, donne la solution singulière: y+2=0, qui, comme on voit, ne contient pas 2. Nous avons jusqu'ici considéré l'intégrale générale de l'équation (1) comme résolue par rapport å une des variables, que nous avons choisie comme variable dépendante. Il faut cependant ajouter quelques mots sur le cas où l'intégrale générale est donnée sous une forme implicite. 1899. No. 4. SUR LA THEORIE DES SOLUTIONS ETC. IT Soit: (2, y, 2; a) =0 l'intégrale générale de l'équation (1); supposons d’abord que Ø est un polynome en x, J, 2, a. Il est maintenant très simple, d’après ce que nous avons dit, de dériver les conditions nécessaires et suffisantes pour une solution singulière de l'équation (1). En differentiant l’équation Ø =o, en supposant que æ soit une fonc- tion de x, y, 2, on aura: oD oD aD oD een HER dex FI} - Q 9 ae : L’equation (5) % =o ou =o, qui determine la valeur de z, pour laquelle une solution singulière est définie, prendra ici la forme: og de 2a da 238 3e Quand l'intégrale générale est résolue par rapport à y ou x, les 2 E oy ox Å en équations correspondantes, > et apr s écrivent 1c1: ag aD dy da dx oa = — = (OR —= = (0), da oD da oP oy ox On voit ainsi qu'une solution singuliére exige que: oD 5 ea oD pat R . v . , Nr . La valeur de a, tirée de l'équation — =o, substituée dans l'équation ca Ø =o, donnera donc une solution singulière de l’Equation (1). Les remarques faites ci-dessus au cas où l'intégrale générale était résolue par rapport å z, s'appliquent directement ici. Si ® n'est pas une fonction entière en x, y, 2, a, les expressions ad WW 0 da da. da 1 3 Ib 2h 28 30 * 36 * 26 peuvent s’annuler aussi quand les expressions agi? By Nag ag y 9% deviennent infinies, condition qu'il ne faut pas négliger. 12 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. Nous n’entrerons cependant pas dans les details du cas present; seulement nous insistons sur ce point, qu’il faut toujours en cas de doute revenir aux cas déjà examinés. Avant de terminer ces remarques, nous dirons quelques mots sur l'interprétation géométrique de la solution singulière. L'intégrale générale 2=/(% J, a) de l'équation donnée (1) définit un systeme de surfaces S simplement infini, et le résultat de l’élimination de a entre les deux équations 3=—=/(%, y, a) et T=o définit donc l’enveloppe des surfaces S si elle existe. La solution singulière détermine ainsi l'enveloppe des surfaces particulières, définie par l'intégrale générale. Comme il a déjà été mis en évidence, la surface obtenue peut coin- cider avec une des surfaces particulières, ou se composer de différentes parties des différentes surfaces particulières. Elle peut aussi, comme on le sait, définir le lieu géométrique des courbes singulières des surfaces parti- culières, elle ne définit en ce cas aucune solution de l'équation donnée. Sur la dérivation directe de la solution singulière de l’équation aux différentielles totales complètement intégrable. Nous partirons d'abord d'une équation linéaire aux différentielles totales de + Qdy + Pdx =o, (1) où P et Q sont des fonctions données de x, y, 2. Soit 2=/(% J, a) (2) l'intégrale générale de l'équation (1). L’équation (1) est définie comme le résultat de l'élimination de a entre l'équation (2) et l'équation : af 2 ; a ag 08 4 ay dy, (3) c'est à dire que l’&quation (1) est équivalente à l’&quation (3), en sup- posant que a soit regardé comme une fonction de x, y, 4, déterminée par l'équation (2). 1899. No. 4. SUR LA THEORIE DES SOLUTIONS ETC. 13 Nous allons maintenant établir une relation entre l'équation diffé- rentielle (1) et son intégrale générale (2), de façon à pouvoir suivre l'effet produit par la constante arbitraire a, définie conformément à l'équation Y =o, sur l’équation différentielle (1). En effet, nous aurons: 2(dz) __ (dz) 4, ga _ ade) og ae dans (1) = SG dans (3) oF dans (De fe ou: og d|— (dz) _ y d8\ , 02 a Of CT mor da ou enfin: Ada) og rd ee équation qui existe, å supposer que la valeur du premier membre soit dérivée de l'équation (1), et la valeur du second membre de I'équation (2). Nous savons qu'une solution singulière de l’équation (1) exige que la constante a se détermine conformément à l’équation ag da rs 22 re > Nous n'avons donc qu'a mettre rs dans l’équation développée (A), pour étudier l'effet d'une solution singulière sur l'équation différen- tielle (1). Avant de traiter la question au point de vue général, nous ferons une hypothèse spéciale sur la forme de l'intégrale générale (2). Nous CAS supposerons que 37 ait la forme: 22 m da == Oz, J; a) [a == w (x, »)] , ou # est un nombre positif, © une fonction de x, y, a, qui ne devient ni nulle ni infinie pour a= w(z, y). L’équation (A) se mettra ainsi sous la forme: a =d log {0 [a — wie, DW. ; d'ou y 20 mår 20 m Ox oy dy 2) Ÿ I © NY | mt || & + ©| | | | Ÿ 14 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. On voit ainsi que la valeur a = w(x, y), qui annullera a C'est-å- dire la valeur de a qui détermine une solution singulière de l’&quation (1), rend infinis les coefficients de dæ et dy dans l'expression = dérivée de l'équation (1). å On observe aussi que si la valeur de æ ne dépend que d'une des variables, par exemple de x, c'est le coefficient de dæ, qui deviendra Erz a, ; 3 infini; et si = s’annule pour une valeur constante de a, ni le coefficient de dx ni celui de dy ne deviendront infinis. Nous concluons de cela qu’une solution singulière de l'équation (1) donnera des valeurs infinies à au moins un des coefficients de dx et dy dans l'expression = dérivée de l’équation (1), tandis qu'une intégrale particulière laisse ces coefficients finis!. Le contraire n'a pas lieu; une relation pour laquelle les coefficients de dx et dy dans l'expression > deviendront infinis, ne définit pas en général une solution singulière de l'équation (1). En effet, soit m négatif, dans l’expression supposée, pour _ la valeur a = w(x, y) rend encore infinis les coefficients de dx et dy dans l'expression a À Q ok: : mais cette valeur de a, n’annulant pas = ne definit aucune solution singulière de l’Equation (1). Exemple. Soit donnée l'équation linéaire aux différentielles totales: dz —Vi2 2 — (x — kdy + (x — kjdr=0, où les A et Æ sont des constantes données. . O(dz) En formant l'expression ———, nous trouverons: I 92 Le coefficient de dy devient infini pour la relation: 2+(c—M=1%, 1 Nous avons vu, il est vrai, qu'une valeur variable de a peut aussi conduire aux intégrales particulières de l’&quation (1), mais ce ne sont que des cas très exceptionnels, et l'intégrale particulière possède donc, en général, la propriété caractéristique de la solution singulière, celle d'être l'enveloppe des surfaces du système S, définies par l'intégrale générale de l'équation donnée. 1899. No. 4. SUR LA THEORIE DES SOLUTIONS ETC. 15 cette relation, satisfaisant à l'équation donnée, est une solution singulière, ce qu’on vérifie facilement par l'intégrale générale de l’équation, qui est: 2+ (2 — 22+ (y—aP=P, ou a désigne la constante arbitraire. Les coefficients de dx et dy deviendraient cependant aussi infinis quand 2 = 0, mais cette relation, ne satisfaisant pas à l'équation donnée, ne définit aucune solution de I'équation. Nous avons jusqu'ici fait une hypothese spéciale a propos de la forme de l'intégrale générale, il faut donc se débarrasser de cette suppo- sition et donner une démonstration rigoureuse de la proposition énoncée. Partons de l'équation (A) et représentons, pour plus de netteté, = par w(x, 7, a), l'équation (A) prendra donc la forme: (de) _ og =d log w (x, I; a) EN log w(« + 4x, = log w(x, 7, a) oe + Lim SE VA It In Tes BE I) ay, Considérons d’abord le coefficient de dx. Nous prétendons que ce coefficient deviendra infini pour une solution singulière. En effet, pour une solution singulière, on a w(%, y, a)=0, ce qui a lieu pour des valeurs déterminées de x, y, a; par conséquent, la fonction w (x + 4x, y, a) n'est pas nulle pour une série de valeurs de 4x, quelques petites qu’elles soient; log v(x+ 4%, y, a) ne prend donc pas continuellement les valeurs de log w(%, y, a) c’est-à-dire la valeur — ©. Le numerateur de la fraction sous le signe limite est donc égale à une différence entre une valeur finie et une valeur infinie, ce qui a lieu aussi à la limite, c’est-à-dire, que le coefficient de dx sera infini pour la solution singulière, définie par la valeur de a, tirée de l'équation wy(x, y, a) =o; à supposer que cette valeur de a dépende de x. Le même raisonnement, répété littéralement, montre aussi que le coefficient de dy deviendra infini pour la solution singulière. Nous avons donc la proposition: Une solution singulière de l'équation linéaire aux différentielles totales : de + Qdy + Pdx =o, dérivée de son intégrale générale: Ba, Js a), 16 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. en donnant à la constante arbitraire a une valeur variable, conforme à l'équation: af 5 aa rend infini un au moins des coefficients de dx et dy dans l'expression = tirée de l’equation donnée. Comme je lai déjà fait remarquer, le contraire de cette proposition n'a pas lieu. Comme nous sommes partis d'une forme de l'intégrale géné- rale, qui demande, à ce que les solutions singulières obtenues contiennent la variable z, il s'ensuit que, si les coefficients de dx et dy dans l'expres- e(d2) og z, on ne peut plus rien conclure. Or nous savons qu’il existe des solu- sion deviennent infinis, en raison d'une relation ne contenant pas tions singulières qui ne contiennent pas z: il faut donc trouver un pro- cédé pour déterminer ces solutions singuliéres. Rien n'est plus facile; il ne faut que changer de variable dépen- dante. Il ne sera pas cependant nécessaire de répéter au cas où nous considérons y ou x,comme variable dépendante, ce que nous avons dit au cas où z était la variable dépendante; un exemple suffira pour mettre ce point en lumière. Exemple. Soit donnée l'équation linéaire aux différentielles totales: 2 x + y d£ + dy + dx = 0. 2(d2) po Si l’on forme l’expression , on ne trouvera rien; tandis que dans l'expression (dy) ——, qui prendra la forme: le coeffieient de dz deviendra infini pour la relation: r+y=0, laquelle satisfait å l’&quation donnée; la solution singulière cherchée est donc x == 1 q g 7 qui est indépendante de z. Maintenant la question peut se poser comme suit: les relations qui satisfont à Véquation donnée, et qui rendent les coefficients de dx et dy } å aldz) 4 b : 4 = à \ de l'expression ae infinis, sont-elles des solutions singuliéres, d’apres la définition admise? 1899. No. 4. SUR LA THÉORIE DES SOLUTIONS ETC. 17 Une discussion, que nous supprimerons ici pour ne pas trop entrer dans les détails, montre en réalité, que nous ne trouverons, par le pro- cédé indiqué que des solutions singulières déjà définies. Nous nous sommes bornés jusqu'ici aux équations linéaires aux différentielles totales. Mais comme toute équation aux différentielles totales complètement intégrable de la forme: (I) F(a, JE dx, dy, dz) = WAG Jy a, da da ane dy? da” =0 De —N est équivalente à un produit d'équation linéaires aux différentielles totales, les résultats obtenus s'appliquent a toute équation aux différentielles totales de la forme (1). Il est cependant important dans certains cas de déterminer la solu- tion singulière d'une équation donnée (I) sans avoir résolu l’equation donnée en un produit d'équations linéaires. Nous montrerons donc comment on peut toujours déterminer la solution singulière qui définit l'enveloppe des surfaces particulières. En effet, l'enveloppe des surfaces particulières, définies par l'intégrale générale, est le lieu géométrique des points où deux valeurs de ds, en général distinctes, se confondent. Il suffit donc, pour trouver la solution singulière cherchée, d'éliminer ds entre les deux équations: oF Soit ; Mee gå 2) da dy? =o Fal ease le résultat de l’élimination; cette équation ne peut pourtant pas exister, å cause de l’indépendance de æ et de y, à moins que les coefficients de dx et dy ne s’annulent. Une relation: p(x, 7 2)=0 pour laquelle les coefficients de dx et dy s’annulent, et qui satisfait å l’equation donnée, est donc la solution singulière cherchée. Exemple. Soit donnée l’équation aux différentielles totales du second degré: F= da? — sæd? + 22 + zyddy — (202 + y?) dæde + yırdydz = 0, qui donne: Elie 242dg — (2.02 + y?) de + yædy =o. a(dz) ü Le résultat de l'élimination de zz entre ces deux équations est: 9 y2 2 a, 9) I 2 — (402 + 9?) — da? + (402 + 39) — drdy — (402 +32) — dh? — 0, 4x2 2% 4 Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 4. - 18 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. dont les coefficients s’annulent pour la relation 423 + y? = 0, laquelle, satisfaisant à l'équation donnée, est la solution singulière cherchée. Nous avons ici supposé que la solution singulière contient 3; si donc la relation pour laquelle les coefficients de dx et dy s'annulent ne contient pas z, nous ne pouvons rien affirmer par rapport à la relation trouvée. Pour trouver cependant les solutions singulières, qui ne con- tiennent pas z, nous n'avons, comme auparavant, qu'à changer la vari- able dépendante et répéter mot pour mot, au cas où y ou x sera regardé comme la variable dépendante, ce que nous venons de dire au cas où z était la variable dépendante. Un exemple suffira pour fixer les idées. Exemple. Soit donnée l'équation aux différentielles totales du second degré F= (1 — æ — y) de? + dy? — (x + y) d2 + 2drdy — 2(x + y) dude = 0. 7 L'élimination de dz entre les équations #=o et =o ne donne aucun résultat; tandis - que l'élimination de dy entre les deux équations: F=0 et BF dx + 24; o — ei —— = 2 2 = (ay) % donnera, comme résultat d’élimination, I'équation: (x + y)du + 2(c + y)dvde + (x + 3) de? — 0, dont les coefficients s’annulent pour la relation «+ y=0, qui, satisfaisant à l'équation donnée, est la solution singulière cherchée; elle est, comme on voit, indépendante de 2. Avant de terminer ces recherches sur les solutions singulières des équations aux différentielles totales complètement intégrables, nous dé- montrerons quelques propositions, qui se rattachent à ce sujet. A. Une équation linéaire exacte aux différentielles totales nadmet pas de solution singulière. Soit (m Ny op GE dz + op Er 2) pa 2 CE NE l'équation linéaire exacte aux différentielles donnée, et soit 2= f(x, 9) une solution supposée singulière. Cela étant, l'intégrale générale de l'équation donnée: p(x, » 2) =a 1899. No. 4. SUR LA THEORIE DES SOLUTIONS ETC. 19 doit, en y substituant z= f(x, y), déterminer a comme une fonction de æ et y, mais pas comme une constante. Soit / (x, y) cette valeur de a. Nous aurons donc: F(a, 9) = (a, J, 2) d’où, en differentiant: oF (a, y) oF (x,y), __Sp(x, I, 2) op (a, J, 2) RIND) _,. ox qe oy as ay ae dy Dirks Fa mais l’équation: era, J) OF (a, ¥) „— exige, a cause de l’indépendance de æ et y, que: OF, 7) _, of (a, EE SEE: Oye ei c'est-à-dire que F = const. B. Une solution singulière d'une équation linéaire aux différentielles totales complètement intégrable rend infini le facteur d'intégration de l'équation donnée. Soit: Xdu + Ydy + Zds=0 . . . . . . . (a) l'équation linéaire donnée, les X, Y, Z étant des fonctions de x, y, 2; et soit u un facteur d'intégration. L’equation: pe (Xde Vdyt Zao)=o...... eb) est donc une équation linéaire exacte aux différentielles totales. Une solution singulière de l'équation (a) annule l'équation (a), mais, d’après ce que nous venons de dire, elle n’annule pas l'équation (b); ceci n’a lieu que quand en même temps la solution singulière rend le facteur d'inté- gration y infini. Exemple. Soit donnée l’équation linéaire aux difiérentielles totales: Va? +32 + 2dz+ ade + ydy + 2dz = 0. Soit le facteur d'intégration Vettre u o% 20 ALF GULDBERG. M.-N. KI. qui est rendu infini par la solution singulière a? +y?+2?=o. De plus l'équation liné- aire exacte: dx + ydy + zdz de eo Ya+yp+2 n'est pas satisfaite par la solution singulière 4? + y? + 2 =o. On voit ainsi, que si l’on connait un facteur d'intégration d'une équation linéaire aux différentielles totales, l'équation donnée peut tou- jours être préparée de telle sorte qu’elle n'admette plus une solution sin- gulière. On peut cependant généraliser cette proposition. En effet, le théorème suivant se démontre sans difficulté. C. Une équation linéaire aux différentielles totales peut toujours être transformée de telle sorte qu'elle n'admette plus une solution singulière donnée. Soit Xdx + VYay+Zde=o ....... (© l’equation donnée, et soit u = (x, J, 2)=0 une solution singulière de l’équation (c). Transformons l'équation (c) en substituant aux variables a, y, 2 les nouvelles variables a, y, #. L'équation (c) prendra la forme: du = Q(x, y, u) dy + P(x, y, u)dx . . . . (d) L'équation (d) sera satisfaite ou non par «=o. Si «=o n’annule pas l'équation (d), la proposition est démontrée. Si au contraire «=o satisfait à l'équation (d), il faut que P et Q contiennent # comme facteur à une certaine puissance positive, que par exemple Q=u"Qle, y, u) et P=«fP, (x, 7, u), où OM a

ı demande- rait que sidi fût infini pour #4 —0, ce qui est contraire a notre suppo- sition quant à Q,. En divisant l'équation (e) par x* nous aurons: u “du—=Q, dy + ut *p, da ou I re du "= Q, dy + uf ep, da, équation qui n'est plus satisfaite par la relation «=o. Exemple. Soit donnée l’équation linéaire aux différentielles totales: [22 — (42 + 9?) + y Vaxe + À] da + ly — æ V4æz + À] dy + 20dz =o, qui admet la solution singuliere: u = 402 + y2 — 0. En choisissant comme des variables nouvelles æ, y, #, l’&quation donnée prendra la forme: — yu (Ya — y) dx — Va ady + Le 0, 2 et en divisant cette équation par Va, nous aurons l'équation : d Yu = (yu — y) dx + xdy, qui n'est plus satisfaite par la relation #4 — 0. D. La valeur de dz, tirée de l'équation aux différentielles totales: F (x, 9, 2, dx, dy, de) = 0, où F est un polynome homogène en dx, dy, dz, se mettra, en général, pour une solution singulière, définissant l'enveloppe des surfaces parti- culières, sous la forme indéfinie = En effet, en différentiant l’équation donnée: F (x, y, 2, dx, dy, de) = 0 et en supposant z la variable dépendante, nous aurons: or oF oF OF rer yrs, nee (@) oF oF oF = dx + 3 dy + a dz az = Le oF de) 22 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. et å Å oF : ; 5 TU Pour une solution singulière, on a ada) 0, mais de l’équation («), il suit que: oF oF oF Cette proposition montre donc que le contact de l’enveloppe avec une surface particuliére n’est en général pas du second ordre. Nous avons ici supposé que la solution singulière contient 2; si cela n'a pas lieu, il suffit de changer de variable dépendante, comme il a été indiqué ci-dessus pour des cas analogues. Sur la détermination des solutions singuliéres des équations aux différentielles totales non-intégrables. Nous considérerons d’abord une équation linéaire aux différentielles totales non-intégrable: Pax + Qdy + Rds=0, ....... (1) où P, O0, R sont des fonctions données de x, y, 2. Nous appellerons solution singulière une relation quelconque gE= AC AS DURS NE (2) qui satisfait à l’équation donnée. En différentiant l’&quation (2), nous aurons: En substituant les valeurs de ø et dz, tirées des équations (2) et (3), dans l’équation (1), on aura: (4). Pu m +L. RA a, | da + [our 2 N+Z. RS 2] dy =o. Si l’equation (2) satisfait a l’équation (1), il faut que l'équation (4) soit une identité; cela exige, à cause de l’ind&pendance de x et de y, que: Pio n+ ZRF, 2, 9) =0 à 5 Q(A % 7) + RU. % y) =0 Mais ces deux équations aux dérivées partielles ne sont compatibles que quand; FIRG EN = ace a ee a, n=2. (ae 7, 7 6) CO) A ICE) °° 1899. No. 4. SUR LA THEORIE DES SOLUTIONS ETC. 23 Si donc il existe une fonction z= f(x, y), qui satisfasse aux équa- tions aux dérivées partielles (5) et (6), elle définit une solution singulière de l’équation donnée (1). Éliminons cependant les dérivées partielles = et = entre les équa- tions aux dérivées partielles (5) et (6), nous aurons une équation de la forme: LGR OBS A) SO SE EEG) et nous pourrons donc énoncer la proposition suivante: Toute fonction f, tirée de l'équation (7), qui satisfait aux équations aux dérivées partielles (5), définit une solution singulière de l'équation donnée (1). Exemple. Soit donnée l'équation linéaire aux différentielles totales non-intégrable: (2 —yx — y) du + (2? — aye — x) dy + dr — 0. Les équations aux dérivées partielles (5) s’écrivent ici: Yast y+) ox af 2 V=_p+y+e oy l’equation (6) prendra donc la forme: af Be; af - D or Ve SIREN © of ; ; siete 6) : ; L’équation (7), qu’on obtiendra en éliminant = et 55 entre ces trois équations, se ax y ' mettra sous la forme: Ray + 1) f+ (ay? + ye = 0, dont les racines sont: f= yu + y et f= yu. La fonction / — ya, qui satisfera aux équations aux dérivées partielles (a), définit donc la solution singulière cherchée de l'équation donnée; et on voit, en effet, que l’équation donnée est satisfaite par z= yx. Considérons maintenant l'équation aux différentielles totales du second degré non-intégrable: Ada? + Bd? + Cd? + 2Ddedy + 2Ededx + 2Fdydx — 0 où les A, B, C ... F sont des fonctions données de æ, y, 2. Soit 2 = f(x, y) 24 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. une solution singulière de l'équation donnée. En différentiant cette équation, on aura: ae dt, dy Substituant ces valeurs de z et dz dans l'équation donnée, elle prendra la forme: [+28 x +e(Z) Jart+fr+ DE +E + 03 dg] day +[2+20 4 +¢(3) | a= d’où suivront, à cause de l'indépendance de x et de y, les équations aux dérivées partielles: 4+25%+c[Z) => reo esh rch Lao | 0 B+2D + C c(%) => qui ne sont cependant compatibles que quand / satisfait aux équations: ABC + 2FED— AD? — FE? — CF? =o | a [-E+VE—AC] 3 [-D+VD-—30 | 6) te | S'il existe donc une fonction 2— f(x, y), qui satisfasse aux équations (a) et (b), elle définit une solution singulière de l'équation donnée. CRE En éliminant ag 3y entre les équations (a) et la seconde équa- tion (b), nous aurons une équation: Vu (x, YS) = 0, % et nous pouvons énoncer la proposition suivante: Toute fonction f, déterminée par les équations: ABC + 2FED — AD? — BE? — CF?=0o pa yf) =0, qui satisfait aux équations aux dérivées partielles (a), .definit une solu- tion singulière de l'équation donnée. 1899. No. 4. SUR LA THEORIE DES SOLUTIONS ETC. 25 Exemple. Soit donnée l’&quation aux différentielles totales du second degré non-intégrable: (@—y — 8 — 1) de? + (ex — y) dy? + de? — di dy — dx dy =o. Les équations aux dérivées partielles (a) deviendront : Ge RR EN = à (br) oe et les équations (b) seront: (f—x—y)*—1(f—x“x2—y)=0 | 1 ER dy Ox | (b) ryitety—f YıtaaztyN) Pour l'équation y, on trouve ainsi: 1—Vitaty—/ peal ae ee!) Yıtautaty-N alıtary-/ On voit que la première des équations (b) et l'équation (g) s’annulent toutes les deux pour /— x + y, qui satisfait aussi aux équations aux dérivées partielles (a): la solution sin- gulière cherchée est donc: 2 — y + x. Esquissons maintenant le cas général. Soit donnée une équation aux différentielles totales du n"° degré: a a ov Du dy de®—=0, , Ya=n où les P sont des fonctions données de æ, y, 2. Soit = fe y) une solution singulière de l’&quation donnée. En differentiant cette équa- tion, on aura: Sjå af ag dy 26 ALF GULDBERG: SUR L. THEORIE DES SOLUT. ETC. | M.-N. Kl. 1899. No. 4. Substituant ces valeurs de ø et dz dans l’équation donnée, et se rappelant l'indépendance de æ et y, on trouvera (7 + 1) équations aux dérivées partielles: (O2 Q (2 WS a) 0, i=1,2...2-+1. ax” y où les Q sont des polynomes en = et 2 En cherchant les conditions de compatibilité de ces équations aux dérivées partielles, on trouvera certaines équations (0) définissant la solu- tion singulière cherchée, si elle existe. Inprimé le 22 août 1899. Klıma-labeller for Norge V — XII H. Mohn Videnskabsselskabets Skrifter. I Math-naturv. Klasse 1899. No. 5 Udgivet for Fridtjof Nansen Fond Christiania I Kommission hos Jacob Dybwad A. W. Broggers Bogtrykkeri 1899 Fremlagt i den mathematisk-naturvidenskabelige Klasses Mode 27de Januar 1899, Klima-Tabeller for Norge. V. Midlere maanedlige Minima og Maxima af Lufttemperatur. VI. Antal Dage med Frost. VI. Skydakke. VIII. Antal Dage med Nedbør, Sne, Hagel, Taage, Klart, Overskyet, Torden. IX. Absolut Nedborsandsynlighed. X. Antal Nedbor-Timer i en Nedbor-Dag. XI. Nedbor-Hoide i en Nedbør-Dag. XI. Nedber-Heide i en Nedbør-Time. De folgende Tabeller ere beregnede af det meteorologiske Instituts Observationer ved Cand. N. J. Foyn, Cand. Aa. Grärud, Cand. P. S. Nissen og Froken Louise Mohn. Vidensk.-Selsk. Skrifter. M-N. Kl. 1899. No. 5. 12 “aa € var: i & AU LE ch ue dl 1 > I f uae uv ON EF Er ¢ å 4 L 7 | 10% Ni 4 Den geografiske Beliggenhed af de i de folgende Klima-Tabeller opferte Stationer sees af den nedenstaaende Tabel. : Bredde. | Længde. | Hoide, ; Bredde, | Længde, | Hoide, Siden E. år. Meter. Dan: N. E. Gr. | Meter, Røros 629 34' | 110 23' | 630 | Torungen 580 25 80 48' 15 Tonset bog OS 496 | Valle . . 5O) 12 ee 317 Jerkin 62 14 © AG 963 | Eg 58 10 7 59 22 Domaas 62 5 Ge 644 | Oxo ) 58 4 8 4 II Wang Gs. .. 61 8 8 32 | 471 | Bjelland . 58 23 | 1) Granheim . . .| 61 6 8 58 | 400 | Mandal. . DS GÅ OF) 17 Frydenlund . 60 56 G 2ÿ 435 | Lindesnes 57059 7 3 19 Tonsaasen . 60 49 9 38 | 629 | Lister Å 58 6 6 34 8 Listad 61 34 9 56 | 277 | Soggendal . 58 19 6, my 8 Lillehammer . 61 7 | 10) 28 190 | Stavanger 58 58 DA 21 Rena . 61 Sn | ieee) 230 | Skudenes 59 9 5 26 4 Elverum (OMIS) NET 190 | Udsire. 59 18 4 53 50 Biri 60158 MONTE 128 | Røldal 59 44 6 52 | 430 Hamar . . 60 48 | rx 4 140 | Ullensvang. 60 20 6 40 30 Eidsvold Go 22 | ys 190 | Espeland 60 35 6 49 | 345 Aabogen 60 12 7 147 | Vossevangen. 60 38 6) 125 56 Sveingaard 60 40 8 2 | 810 | Kleivene. Cor 6 56 | 700 Fjeldberg . 60 31 7 50 | 996 | Bergen . 60 23 G 2 17 Hole . Go ON 102 | Stumdal . 60 50 Gt Di (yee Ullensaker. 60 14 | 11 12 | 200 | Helliso 60 45 4 43 19 Christiania. Qn ER |) 1On ag 25 | Flesje. 61 10 6 32 5 Aas OK. 59 40 | 10 46 go | Balestrand . or 13 6 34 15 Holmestrand. 59, 29) 10, 719 3 | Sogndal . 61 14 7 7 2 Moss a2 59 26 | 10 40 20 | Lerdal . . < .| 61 6 i 20) 5 Sitskogen . Efe) it [ee 70) 180 | Indre Holmedal 61 18 5 45 Girl rite å 59, 20) || mx 29 120 | Aalhus 61 32 6) 9) 0218 Stremfos CO TON 21, 40 113 | Florø . 61 36 Ne en 8 Krappeto . . SOON LIE 77 107 | Dombesten 61 53 5) 40 II Fredrikshald. sj) GP NE 2 | Tonning. 61 53 6 40 5 Færder . 50 || Sie) ge 13 | Aalesund 62 28 6 10 14 Sandøsund 59 5 | 10 28 8 | Ona Må 62052 609038 9 ea Soto nlite) Zen 18 | Christiansund 6317 7 45 16 Vestfjorddalen .| 59 53 8 40 189 | Trondhjem po ro 22 11 Siljord . 59 30 8 38 100 | Ytterøen. a en A 76 Rauland. 59 43 8 o | 712 | Stenkjær. 64 i rn 230 8 Dalen FO 7 58 103 | Villa . 64 33 | 10 41 10 Kragerø . 58 53 9 24 13 | Presto 64 44 | II 7 10 Egeland. . 58 48 9 6 47 | Nordeerne . 64 48 | 10 33 - 31 Tvedestrand . Ge EG 8 56 31 | Bronne . OG ØRA HE II 6 H. MOHN. M.-N. Kl. Fortsættelse. SER Bredde. | Længde. | Hoide, : Bredde, | Længde, Heide. Station, E, Gr. | Meter, Station. | N, E. Gr. Meter. Hatfjelddalen. .| 650 34’ | 149 1‘ | 230 | Andenes . . .| 69° 20' | 169 8: 6 Sannessjoen . .| 66 Na 27 bi Tromsø. ++.) 69) Bo 18) 58 15 Ranen (Hemnes) 66 12 | 13 28 13 | Koutokeino . .| 69 o 23 3 264 Bode’. 2... «| 167 e071) 1a wea maken. cys. «| OD) eho EE ON 13 Skomvær . . .| 67 24 | 11 54 20 | Fruholmen . .| 71 64123050 16 Rost, ae. 2167 STE 8 | Gjesvær. . . .| 71 AR 22 7 Vera Re c|I67 (aba zen 10 | Karasjok . . .| 69 ı7 | 25 35 | 129 Keine. 11671 On| NS 13 |) Kastrand i. . „| 70 226 12505 10 Svolvær, »....1,08. 14 1004 Zar 7 | Berlevaag . . 7 50 | 29 10 7 Lødingen . . .|:68 24 | 16 I Tt vara 26 70 2203 8 10 Fagernes. . . .| 68 27 | 17 25 8 | Sydvaranger . .| 69 40 | 30 10 20 V. Middel-Minimum og Middel-Maximum af Luftens Temperatur for hver Maaned. Disse Tabeller, ligesom de under No. VI, høre egentlig til Klima- tabellerne over Luftens Temperatur, men de vare ikke beregnede, da Temperaturtabellerne udkom i 1895, hvorfor de meddeles her som Tillæg til disse. De i Tabellerne opførte Middel-Minima og Middel-Maxima ere Middel- tallene af de i hver Maaned observerede laveste og heieste Lufttempe- raturer. Det var først i 1875, at Minimumthermometret indførtes paa vore Stationer. I Regelen ere de til Tabellerne benyttede Observationer tagne kun fra den Tid af, at Minimumthermometret var taget i Brug. Ved nogle faa Stationer, der ikke havde Minimumthermometer, og som op- hørte før eller ved 1875, er der benyttet de noterede laveste Tempe- raturer. Christiania har havt Minimumthermometer fra December 1866 af. De benyttede Maximumtemperaturer ere i Regelen de i hver Maa- ned ved Terminobservationerne (8a, 2p 8p) noterede høieste Tempera- turer. De falde selvfølgelig aller hyppigst paa Observationstiden 2 p. Stationerne Christiania, Trondhjem, Aas, Eg og Bjelland have observeret Maximumthermometre, og det er de høieste Temperaturer, som disse have registreret, der ere benyttede for disse Stationers Vedkommende. Den følgende Tabel giver en Oversigt over de benyttede Observa- tionsrækker. 1899. No. 5. KLIMA-TABELLER FOR NORGE, 7 Station. Minima. Maxima. Røros. . . 1875 Oct. — 1895 Dec. 1871 Juli — 1895 Dec. TERRE, of Gd Ge 1878 Febr. — 1889 Juni 1878 Febr. — 1889 Juni » 1890 Juli — 1895 Dec. 1890 Juli — 1895 Dec, Jerkin 1891 Juli — 1895 Dec. 1891 Juli — 1895 Dec. Domaas NE cose Okt 31805; Dec. 1864 Aug. — 1895 Dec. Vans ke 1887 Jan. — 1895 Dec. 1887 Jan. — 1895 Dec. Granheim: 1875 Okt. — 1895 Dec. 1870 Juli — 1895 Dec. Tonsaasen 1881 Juli — 1882 Mai 1881 Juli — 1882 Mai » 1885 Jan. — 1895 Dec. 1885 Jan. — 1895 Dec. Listad ; 1891 Juli — 1895 Dec. 1891 Juli — 1895 Dec, Lillehammer. . 1891 Juli — 1895 Dec. 1891 Juli — 1895 Dec. Renard Lu 1890 Juli — 1895 Dec. 1890 Juli — 1895 Dec. Elverum 1869 Juli — 1873 April 1869 Juli — 1873 April Biri 1876 Dec. — 1895 Dec. 1876 Dec. — 1895 Dec. Hamar... 1883 Mai — 1886 Dec. 1883 Mai —- 1886 Dec. Sue AN 1889 Sept. — 1895 Dec. 1889 Sept. — 1895 Dec. Eidsvold 1875 Okt. — 1894 Dec. 1870 Aug. 1894 Dec. » 1895 April — 1895 Dec. 1895 April — 1895 Dec. Aabogen 1890 Juli — 1895 Dec. 1890 Juli — 1895 Dec. Hole er 1877 Jan. — 1883 Marts 1877 Jan. — 1883 Marts Christiania, . 1866 Dec. — 1895 Dec. 1866 Dec. — 1895 Dec. FAAS Binns de. Les 1885 Jan. — 1805 Dec. 1885 Jan. — 1895 Dec. Holmestrand, 1888 Mai — 1891 Aug. 1888 Mai — 1891 Aug Sitskogen . 1884 Okt. — 1887 April 1884 Okt. — 1887 April Krappeto . 1884 Okt. — 1895 Dec. 1884 Okt. — 1895 Dec. Færder . 1885 Nov. — 1895 Dec. 1885 Nov. — 1895 Dec, Sandosund 1875 Nov. — 1885 Sept. 1861 Jan, — 1885 Sept. AVAL PENSE 1884 April — 1889 Aug. 1884 Marts — 1889 Aug Dalens 3 1889 Aug. — 1895 Dec. 1889 Aug. — 1895 Dec. Torungen . . . 1875 Juli — 1895 Dec. 1867 Juli — 1895 Dec. VEGA 1872 Sep. — 1875 Dec. 1872 Sept. — 1875 Dec. Eg. 1885 Marts — 1895 Dec, 1885 Marts — 1895 Dec. Oxo 1875 Nov. — 1895 Dec, 1869 Nov. — 1895 Dec. Bjelland. . 1887 Juli — 1895 Apr. 1887 Juli — 1895 Apr. Mandala 4 1875 Nov. — 1895 Dec. 1861 Jan. — 1895 Dec. Lindesnes. 1867 Dec. — 1875 Nov. 1867 Dec. — 1875 Nov. Lister oe ae RR ih — 1877 Aug. 1867 Juli — 1877 Aug. Skudenes . . . 1876 Jan. — 1895 Dec. 1861 Jan. — 1895 Dec. Udsire 1875 Dec. — 1895 Dec. 1867 Nov. — 1895 Dec. Reldal . . 1883 Juli — 1895 Dec. 1883 Juli — 1895 Dee. Ullensvang 1875 Nov, — 1895 Dec. 1871 Okt. — 1895 Dec. Vossevangen. . . . .| 1885 Juli — 1895 Dec. 1885 Juli — 1895 Dec. Bergen: =. 1876 Jan. — 1895 Dec. 1861 Jan. — 1895 Dec. ÉCOLE Ne 1875 Okt. — 1895 Dec. 1867 Sep. — 1895 Dec. HTESJER A en: 1875 Nov. — 1888 Sept. 1868 Sept. — 1888 Sept. Sogndal3 . . . 1875 Nov. — 1891 Juni 1869 Aug. — 1891 Juni Lærdal . 1875 Nov. — 1895 Dec. 1875 Sep. — 1895 Dec. NET MEN A EE 1869 Aug. — 1872 Dec. 1869 Aug, — 1872 Dec. Flore. 1875 Juli = 1895 Dec, 1869 Aug. — 1895 Dec. Dombesten ..... 1875 Aug. — 1882 Aug. 1873 Okt. — 1882 Aug. Tonning 1869 Aug, — 1873 Marts 1869 Aug. — 1873 Mart Aalesund mann 1875 Okt. — 1895 Dec. 1861 Jan. — 1895 Dec. Or AA 1875 Aug. — 1895 Dec, 1868 Jan. — 1895 Dec. Christiansund 1875 Aug -- 1895 Dec. 1861 Jan. — 1895 Dec. TORRES 02 1885 Juli — 1895 Dec. 1885 Juli — 1895 Dec, Ytteroen 1867 Okt. — 1876 Dec. 1867 Okt. — 1876 Dec. Stenkjær 2. . 02: 1883 Dec. — 1895 Dec, 1883 Dec, — 1895 Dec. Villa . 1876 Jan. — 1890 Juni 1867 Juli — 1890 Juni Brest 1875 Sept. — 1888 Mai 1872 Juli — 1888 Mai 1 Ufuldstændig 4 å 6 Aar. 2 — IT å 13 Aar — 162 21 Aar, 3 = 8 à 12 Aar — 13 à 16 Aar, 8 H. MOHN. M.-N. Kl. Fortsættelse. Station, Minima Maxima, så —= === Nordeerne, 4 . ...'. 1891 Jan. — 1891 Jan. 1895 Dec. Branng ees oe FR) 1875 Nov. — 1869 Aug. — 1895 Dec. Hatfjelddalen .| 1884 Jan, 1884 Jan. — 1895 Dec. Ranen (Hemnes) . . .| 1875 Juli _ 1871 Jan, — 1889 Juni Bodo er RS 75 PUP 1867 Dec, 1895 Dec. Skomvær «GLA 1890 Aug. 1890 Aug, — 1895 Dec. Rest) 1 4 Fag NO 1875 Jan, — 1875 Jan. — 1877 Dec. ER Me . .| 1880 Sept. — 1880 Sept, — 1889 Juli Vanier: 1870 Marts — 1870 Marts — 1880 April She ER: 1886 Marts — 1886 Marts — 1888 Marts D EN 1889 Juli — 1889 Juli — 1895 Dec. Lødmpen NL 27070 1875 Juli — 1873 Jan. — 1884 Marts Fagernes SAN 20 1875 Sept. — 1872 Sept. — 1895 Dec. Andenes, å 1875 Aug. — 1867 Juli — 1895 Dec. Tromsø? . hr 1875 Okt. -- 1867 Sept. — 1895 Dec. Koutokeino . . . . . 1889 Marts — 1889 Marts — 1895 Dec. Alten . .| 1875 Aug, — 1871 April — 1895 Dec. Fruholmen . .| 1867 Sept. — 1867 Sept. — 1877 April Gjesvær JEF 1877 Juli — 1877 Juli — 1895 Dec. Karasjolkee on 1877 Jan. — 1877 Jan. — 1895 Dec. Kistrand Se of © 18T Jan == 1876 Jan. — 1895 Dec. Berlevaag? ..... 1883 Nov. — 1883 Nov, — 1886 Juni Varie se TR 1875 Okt. -- 1867 Juli — 1895 Dec. Sydvaranger. . . . . | 1875 Aug. 1871 Aug, — 1895 Dec. Va. Midlere maanedlige Minima af Lufttemperatur. a 3 vet = AE En FE a|#2|=|< | | Roros . .|-33:3l -31.9| -30.7| -18.3] -8.0 0,3 | -0.7| -5.0|-15.9| -26.0| -31.3 Tonset . «| 35.0] -34.3| -30.1| -16.4| -7.7 0,2 | -0,3 | -5.1 | -16.9| -27.8| -34.3 [erkin a» 1, Sur -24.2| -25.9| -16.1| -11.9| -6.3 LO | -0.9| -4.9|-12.5| -15.2) -18.2 Domaas .| -23.2| -22.1| -20.0| -12.5| -6.3 1.8 | 0.6| -4.0|-12.1| -18.9| -21.9 Wang's Gite en, -21.3 -20.1| -19,6| -10.0| -1.8 5.6 | 2.7] -0.5|- 8.0] -14.0] -17.1 Granheim .| -26.2| -26,2| -23.0| -12.6| -4. 3.3 1.8] -2.5|- 9.1] - 17.9] -25.4 Tonsaasen «| -21:2| -22,0] -20.4| -13.5| -5.7 2.1 | 0.0| -3.7| -11.9) -16.9| -20.2 ICE GLEN -26.1! -27.0| -15.9| - 7.5| -4. 5.8 | 2.1] -1.9|-10.7| -14.7| -21.1 Lillehammer | -25.0| -23.1| -14.6| - 7.1| -1.0 7.2 | 3.6| -0,8|- 8.7| -13.6| - 19.0 EM AP Fife: - 33.7 -33-0| -24.6| -12.9| -4.6 1.9 | 08] -3.9 | -13.8] -20.8| -27.7 Elverum .| -27.9| -30.2| -21.7| - 6.1 i 9.5 3.2 | -1.9|- 6.4] -19.2| -32.3 Bias Ate -20,0| -26.2| -22.8| -14.2| -5. 4.3 3.4 | -1.5 | - 8,5|-14.6| -24.3 Hamar .| -24.1) -24.2| -19,9| - 7.8] -2.6 5.2| 2.7| -2.2|- 8.6) -15.5| -20.4 Eidsvold , | -20.4! -20.4| -18,4| -10.0) -3.2 4.5 2.7| -2.2|- 7.4| -12.7| -18.7 Aabogen . . . .|-27.4| -26,8] -20.0| - 9.0| -3.1 4.8 | 2.3| -2.4 | - 9.2| -16.9| -21.6 Hole .| 23.0) -21,8] - 18,4) -10.4| -3.4 6.5 5.0| -0.1|- 7.3] - 16,1] -21.5 Christiania , , .|-16.5) -15.9| -13.4| - 5.6] -0.5 7.9 5.9! 0.7] - 4.5] -10,2| -15.6 Bass NE ae -18.6| - 19.3] -16.5| - 6.4) -1.6 6.0 | 4.2] -1.0|- 6.9) -13,3| -16.8 Holmestrand , ‚| -10.6) -ı1,9| -14.3! - 3.9) 1. 73| 6.2] 2.4] - 3.2] -12.3] -11.7 Sitskogen. . . .|-23.4| -24.2| -20,5| - 9.1] =5.6 | 2.1 0.5) -4.2| - 7.4] -14.3| -21.0 23 Aar for Max. 1 2 3 Ufuldstendig 13 Aar. 4 Ufuldstændig 3 å 8 Aar. 0 å 3 Aar. 1899. No. 5. KLIMA-TABELLER FOR NORGE. Fortsættelse, & 3 2 = ao = : = 3 Å 8 = = = 2 = 2/3 | |=| 2|8 Krappeto. . . .|-20,5| -20.4| -19.1| - 7.2|- 1.7| 2.0 3.9| -1.4 | - Færder . . . .|- 9.1|-10.2|- 7.7| - 2.2 Se] 10.7| 7.0 Sandesund. . .|-11.3| -11.8| - 9.8|- 4.7| 0.8] 6.9 8.8| 5.0 Léna AO -12.3| -14.5| -13.3| - 4.6] o.2| 6,7 6.9] 3.3 Dalene 206 46 -17.4| -16.7| -13-2|- 5.1] 0.7] 3.6 5.2| 1.4 Torungen . . .|- 9.9|-10.3|- 8.1|- 2.8| 2.2| 6.6 9:0| 5.4 Vale: -18.5|-15.0| -15.9| - 2.6| 1.1) 6.8 7.8| 1.0 OR -12.2| -12.8| -10.9] - 4.0] 0.4 3-5 5.6| 2.0 GE o\ SC = 8.8 - 9.31 = 7:5|- 2.0] 2.2] 5.8 9.1 5.8 Bjelland . . . .| -21.2| -22.5| - 18.6] - 9.3] - 3.3] -0.1 2.1) -3.1 : å Mandal »| -11.2|-11.3|- 9.3|- 3.2] 1.2| 5.0 76| 3-4 6.3 d Lindesnes Ss Klo Gale Gal Gal ER 783 zul Ga 3.5| - 8.0 ste: - 6.2|- 7.9] - 5.9|- 0.2] 3.0] 7.2 å 10.6| 6.4 4.3| - 8.7 Skudenes. . . .|- 6.0] - 6.7) - 5.9] - 1.8} 1-9] 5.0| 8.1 8.1| 5.6 2 NES Udsren. . - 4.7|- 5.7) - 4.6 1.9) 5.2| 8.8| 8.6) 6.4 1.6] - 4.4 Roldal. . -15.4| -16.8| -14.6 Beall 225 5:5 4.0| -0,2 8.3| -T4.3 Ullensvang . . .|- 8,3] - 8.7| - 7.2 1.9) 5.4| 8.1 TOME 5.3| - 8.2 Vossevangen . .| -21.4| -21.2| -18.4 me 222) | 426) 2.61.02 0.4] - 19.0 Bergen - 7.9| - 8.5| - 7.0 eS AS er 6.8| 3.7 4.7| - 8.1 Hellisø. . . - 4.5) - 5.5} - 45 : 2.1} 5.4| 8.5] 8.2) 5.9 1.9) - 4.5 IIS 6 5 6 = 8.2) - 7.9) - 7:6|- 3.5) 0.8) 15.2) 7.4 PLO 330. 5.9| - 9.1 Sogndal . . 11.9) 12.31 -11.5|- 5-1) 1.00 47| 7-4 6.0| 2.5 3.9| - 9.3| - 11.6 Lærdal -13.3| -12.5| -10.7| - 3-4| 1-5) 5.4| 7.8 627 NO 3.9| - 9.2| -13,0 Aalhus. . . . .|-14.6| -16.3| -10.1|- 3.4) 2.0) 6.2| 90| 7.4] 2.2|- 2.4|- 6.2) -15.5 Elorer NN ENG) EO EG EE 6 ro | Avail 72 7722| As 0.9| - 3.8| - 6.3 Dombesten . . .|- 8.1] - 8.5|- 80|- 4.7|- 1.4] 3.9| 6.1 5.5) 2.9 2.7| - 6.3| - 8.1 Tonning . . . .|-11.4| -12.7| - 7.8] - 3.3] 2.4] 6.4] 10.4] 7-1| 0.8|- 4.8|- 7-9] -15.7 Aalesund. . Sels EO Este NO an 73 6:9 Aal 030 2.81 4.9 Oma oe og ES STO Ore ze Christiansund . .|- 6.2|- 7.6|- 6.2|- 2.4| 06 4.1| 7.3 7.0| 4.0|- o.1|- 3.2|- 5.3 Trondhjem . . .| -10.6| -17.0| -15.1| - 6.8| - 0.3] 2.3| 5.1| 4.4] 0.8|- 5.8| - 9.5 å Miieroens ee 2727| 09:8| = 3:51 2-0 5:21, 9:3 4.8) 2.4 2.0| - 8.0 Stenkjer. . . .|-21.3| -20.0| -17.8| - 7.8) - 1.7] 1.6] 4.3 3.4| 0.4 Å Willa Ys ve is -10.6| -11,1| -10.2] - 5.9) - 0.6] 2.9] 6.5 6.8| 3.6 Preston. -10.0| - 8.3|- 8.4|- 4.3 - 0:8| 29| 6.5 75 44 Nordøerne . . .|- 9.2|-ı7.8|- 5.8|- 3.1] 06 3.7| 65| 5.6 3.5 Brønne | 9.1 -10.0|- 8.8) - 4.9] - 0.8| 3.2| 6.1 5-9] 3.1 Hatfjelddalen . .| -32.6| -30.9| -21.2| -17.8| - 6.7! "2.4! 0.0 Dell) 24.2 Ranen (Hemnes) .| -15.5| -15.7| -15.3| - 8.8) - 3.5| 2.7) 5.5| 4-7] 09 Boden, or. -11.9| -12.0| -10,5] - 7.01 - 2.3| 2.7| 5.0| 5.0) 1.3 Skomvær. «| - 6.4|- 8.4] - 6.7| - 3.5) - 0.3] 3.5] 55 5:5| 2.3 Rosen... rt says = 8.61 - 8.4) - 727] - 5.:9|- 1.6] 4.2] 7.2] 6.5] 2.9 Waste hes, eg es al Ol = oa 4 Oral) 4.711 SON 73 22 Svolvær . . . .|- 8.7] -10.1/- 9.4] - 5-9|/- 0.8] 3.0! 4.9] 5.2] 1.8 Ä Lødingen. . . .| -11.4| -11.1| -Io.2|- 9.0|- 4.1] 2.2| 5.9| 5.0] 09 3.9} Fagernes. . . .|-13.9| -13.6] -12.8|- 9.5|- 4.1] 1.9] 4.7| 3.7| -0.7|- 5.7 Andenes. . .|- 9.8] -10.1| -10.1 Å Øre Fe Aa 4:7| 1.4 3.8 Tromsø . «| =12.3| -12,8| -11.7 AR Ne: GE Koutokeino. . . -34.3| -34-7| -31.4 8.0] -0.9| 0.0|- 1.1] -6.9 | -21.7 Alten . | -22.2| -22.4| -20.0 6.7) 0.61 4.0 2,2| -2.3 | -12;0 Fruholmen , . .| -ı1.4| -11.7| -10.3 SO AS A San 3.4 Gjesvær . . -13.0| -12.9| -12.0 MONET NN TIC 5.6 Karasjok . . . .| -41.0| -40.8| -34.9 10.2| -1.4| 0,8|- 1.0| -6.3 | -22.7| Kistrand . . . .|-17.2| -16.3| -14.4 4.3) 0.6 || 4.3 4.0] -0.1 | - 7.5 Berlevaag. . . .| -19.5| -15.6| -13.5 8.9] -1.5| 21 1.0) -6.6 Made en, -14.7| -14.2| -12.7 4.8] -0.4| 2.4] 3.5) -0.2|- 6.3 Sydvaranger .| -28.6! -29.7! -25.6 8.9] -0.5| 2.6] 2.5] -3.0|-12.5| 10 H. MOHN. M.-N. Kl. Vb. Midlere maanedlige Maxima af Lufttemperatur. a Sse | | | | Rørasvaa ocr ws 2,30} ey 4.6| 8.2| 16.2| 22.2| 22.4| 21.1| 16.6] 10,3| 4.0| 2.3 Tøpset 20% . 2.5 | 3.5 | 6.4| 11.1} 18.6| 24.4| 23.7 | 22.3| 17.3| 11.4] 5-4] 3.9 Jerkınn as -1.9 | -0,4 4.1| 8.1| 12.3| 18.1| 20,2| 18.0| 13.3] 10.6| 5,0| 1.5 Domaas 2.6 | 2.5 | 48| 8.9] 15.8] 22.3| 22.1| 20.7| 160 | 10.7] 4.7| 3.5 Vang . . - . «| 43 300 6.01710,3| 16.2) 21.5| 22.4| 19.6] 15.7] 11-5) 64| 5.8 Granheim . . .| 4.6 | 4.7 | 7.5] 11.0| 17.5 | 23.8| 23.6| 21.9| 16.9| 12.2| 68| 4.8 Tonsaasen . . 2.11) NA 6.5| 9.7! 17.1| 22.9| 21.8| 19.2] 15.3| 10.4| 3.9| 2.8 Listad . . 1.6 |! 2:9:1158.9 10X522| 18.3 25.0 | 25.8 | 22.6| 18.0| 14.4| 7.3| 6.3 Lillehammer . .| 1.5 | 2.7 | 8.6| 14.0| 18.7| 25.6| 26.4 | 22.6 | 18.4] 13.9] 7.3] 5.4 Rena 2 OS 8.9| 13.9| 20.2| 26.0| 25.5 | 22.1) 18.3 | 12.4) 5.7| 3:3 Elverum . . . .| 2:8 | 25 | 7.6| 12.9| 21.1| 25.3| 27.7| 25:0| 20.1 | 14.9| 5.5| 3.8 Bure carat ere 3.8 | 4.8 | 9.5| 12.4| 19.8 | 27.2| 26.1) 25.6| 19.7| 13.1] 7.9| 4.4 Hamar. Ge: 28 | 47 | 7.3| 12.7 | 20.0| 24.3 | 25.5 | 22.2] 18.1 | 13.7| 7.5| 4.8 Eidsvold . . . .| 3.6 | 44 | %7.8|12.3| 20.1 | 25.4| 24.9| 22.7 | 18.7| 13:4|. 7.01 4.5 Aabogen . . . .| 2.0 | 4.1 8.5 | 14.4| 20.4| 25.6| 24.8 | 22.2| 18.3| 13.2| 7.3| 5.2 HO 6.5 | 7.4 | 9.2| 13.8 | 20.0| 27.2| 25.5| 24.9| 20,0| 13.8| 7.6| 6.2 Christiania . . .| 5.3 | 7.1 | 10.6 | 16.0| 23.1 | 28.9| 28.8 | 26.3 | 21.6| 15.8] 9.2| 6.5 AB's EN nl 4.8 | 6.3 | 10.5 | 15.0] 22.1| 26,6| 26.3) 23.0| 20.1 | 15.0| 9.2| 7.2 Holmestrand . .| 7.2 | 8.0 | 10.5| 14.5 | 23.3| 29,1) 26.0| 23.5 | 20.4| 14:5| 9.0! 6.6 Sitskogen 3.1 | 4:6 | 9,5| 13.8 | 19.9] 24.1| 26.5| 22.6| 18.3 | 13-51 9,2| 4.0 Krappeto. . . .| 3.7 | 5.0] 9.1| 13.0| 20.3| 24.9| 24.6| 21.8| 18.2] 14.2] 8.7| 6.1 Færder 5.0 | 45 | 6.1] ıro| 17.5| 22.6| 22.7| 19.9) 17.5 | 14.1] 92| 7.3 Sandøsund . . .| 5.1 | 6.1 | 7.6| 13.0| 18.6| 23.4 | 23.6| 23.0 | 18,6| 14.4] 9.2| 6.8 Rarvikivs ee 6.4 | 5.0] 9.3) 13 8| 20.4| 25.3| 25.8| 21.8 | 18.4! 14.9] 9.4| 7.0 Dalen . .. .| 4.8 | 6.1 | 10.3| 14.9| 20.6| 262| 26.6| 22.7| 19.4] 15.3] 3.1] 8.1 Torungen , «| 67 | 6.7 | 8.7| 11.8| 17-0] 22.5 | 23.4 | 21.8 | 18.6| 14.5] 100 | 7.6 Walle ere 5.6 | 6.5 | 8.9| 13.6| 14-9 25.0 | 25.7 | 20.9| 17.4| 11.6| 7.6| 5.9 FRANS Be 7.8 | 7.3 | 11.0| 15.6 | 21-5} 26.8, 26,4| 22.6| 20.0| 15.1| 11.0| 8.8 (CE CAE ON 6.2 | 5.9 | 7.9| ı1.5| 16.9| 22,4| 22.7 | 21.1 | 18.5 | 14.4 | 10.1 | 7.6 Bjelland . . . .| 5.7 | 6.2 | 90| 14.3] 21-2| 26.3 | 25.7| 22.7 | 20.0| 14.7| 9:21 7.9 Mandal . . . .| 6.3 | 6.4 | 9.6) r4.8 | 19.5| 24.3| 24.8 | 23.1| 19.3| 14.4] 9.8| 7.4 Lindesnes . . .| 6.1 | 5.5 6.9| 9.6| 14:4| 18.9| 21.2| 20.41 16.4] 13:2| 9.9| 7.2 Lister seanser 6.1 | 60 | 7.7| 11.4] 16.2| 21.6| 21.9 | 21.8| 17.9| 13.6| 10:1| 7.6 Skudenes . -| 6.7 | 6.2 | 8.0| 12.7| 16.8| 20.8 | 21.2 | 20.7| 18.0] 14.2] 10.1| 8.0 drekk ce 6.3 | 5.8 | 6.9! 10.2! 14.9! 18.7| 19.9] 19.6] 17.0] 12.9] 96| 7.4 Røldal. .... 271 3:81 54| 93 16:6 | 23.8 | 24.6 | 20.7| 16.6| 12.5| 6.2| 4.9 Ullensvang . . .| 7.8 | 7.3 | 8.7] 13.3| 19:2| 23.4 | 23.7| 21.5 | 17.1| 14.3 | 10.6] 7.9 Vossevangen . .| 67 | &2 | 8.7| 14.0] 20-7] 27.6 I 27.3 | 23.9| 18.7| 14.9| 10.6| 7.9 Bergen: see 74 | 7.6 | 9.7| 14.4 | 19:2| 23.3 | 23.3| 21.9| 18.9| 15.0| 10,5 | 8.4 OUT EMEA 7.0 | 6.8 7.8 | 11.9| 16.6] 198 | 21.5 | 20.4| 17.7| 13.8| 9.8] 7.9 Benea 100 7.0 | 7.0 | 81! 13.1 | 18.6| 24.0| 23.9| 22.6| 18.9| 14.3| 9.6) 6.9 Sogndal 6,9 | 6.7 8.6| 13.6| 21-4| 26.4 | 25.6] 23.8| 19.4| 14.1] 9.3] 7.5 Lerdal, , 4 3 = 8.2 | 7.2 | 8.8) 13.5 | 19:0| 24.3 | 24.8| 22.0| 18.5 | 15.6| 11.4| 8.0 Aalhus , . . .| 5.5 | 8.0 | 9.4| 14.3| 23:0| 24.8| 27.7 | 24.2 | 18.5 | 14.2| 79| 70 Klore sighs ot 7.4 | 7.3 | 9-3] 12.9] 17.9] 21.1 | 21.9| 20.7] 17.9] 14.4] 10.2| 8.2 Dombesten . . .| 84 | 7.7 | 8.2| 11.2] 17.2] 21.4] 21.3] 21.3] 16.9] 13.4] 10.1] 7.9 Tonning . . 8.0 | 8,5 | 12.6] 14.5 | 21-7 | 23.5 | 25.5 | 22.2| 18.1] 15.4 | 10.5 | 9,6 Aalesund 8.9 | 9.0 | 10,3 | 13.0 | 16.5 | 19.5 | 20.9| 20.4| 18.4| 15.4] 11.2] 9.3 Opal: 74 | 7.5 | 8.3| 10.7] 14:0| 16.8) 18.5 | 18.2 | 16.3 | 14.1 10.5 | 8.2 Christiansund . 77 | 78 | 92| 128} 17:0| 21,2) 22.1 | 21.3 | 18,0| 14.6 | 10.2 8.6 Trondhjem . . .| 6.4 | 6.4 | 8.7| 14.3| 19:8| 24.6 | 24.6| 22.4| 17.5| 15.0| 9.3] 7.3 Ytteroen . . . «| 5.6 | 4.5 1 11.8| 17-8) 25. 3| 26.8| 23.5 | 18.6| 12.4] 6.5| 5.5 Stenkjer, . . .| 42 | 5.5 | 6.9| 13.1] 18.4] 23.3| 24.9| 21.4| 16,9| 13.8| 8.1] 5.8 Alan utse 6,7 | 6.3 | 7.5| 12.0| 16.9] 21.8) 24.3| 22.4| 18.5 | 13.2| 8.6| 6.6 Preston oss +s 5.8 | 5.7 | 6.2] 9.6| 14-5] 20.3] 22.2] 20.0] 17,0] 12.3) 85] 5.8 Nordøerne . . .| 5.1 | 5.4 | 5.9] 9.1! 14-3| 18.5] 19.3] 17.7| 13,0] 12.8] 8.1] 6.6 Bronno ... .| 5.9 | 6.0 za 11.9! 16.9) 22,0| 24.4| 22.2| 17.8| 13.6| 8.5] 6.5 Hatfjelddalen . .| 3.7 | 3.9 | 6.2| 10,4 | 16.9| 23.6 | 24.9| 21.6| 17.0| 11.8| 5.9| 4.2 Ranen (Hemnes).| 5.4 | 4.4 | 6.2| 9.1 15.3 | 22.2 24.2| 21.7| 16.5| 11.2| 7.2| 4.8 Bade: 571 50| 6,0| 10.1| 15.2 | 21.21 23.4| 21.4] 1661 11.8] 7.6] 5.9 1899. No. 5. KLIMA-TABELLER FOR NORGE. II Fortsættelse. S 3 4 Te = = = ey || å 5 I 22 | BL EEE NE WS | cee | & ri alelsfalale|ileley Skomveer 5-0 | 5.1 | 4.8 | 6.9 9:4| 14.3] 15.8] 15.1 11.5] 10.4] 8.0) 6.5 Rost: 5 63) 523) 3:09 | 7-6 || 90 14.3 x6.r| 16.2 13:3)! ron | 7.9) || 06:3 Var. as: 6.0621..6.0. GONGAR |, 10:3 | 17.2. | 18:5 | 16.5, re Ga Ad] Sole ss. 32 | 27 5.0 |) 96 | 15.7 | 20,1 | 21.3)! 19,6 13.8| ır.4 | 825°) 15.7 Lodingen ge 2122 AL BOP AE cs 07) EG] 0) Fagernes. . . .| 5.6 | 48 | 5.7 | 8.5 | 14.9| 20,3 | 23.0| 21.2 | 15.8| 11.5| 7.9 | 6.2 Andenes. . . ol 7.62.02, 6:7. Euro) 16.8 18.2 | 17.511 12.8.1.9.7| 64147 Tromso 4.4 | 4.1 | 4.6 | 6.5 | 12.1] 18.5] 20.1] 19.2] 14.2] 9.9] 6.3 | 5.0 Koutokeino. . .|-2.3 |-0.7 | 1.6 | 5.8 | 14.5} 21.4| 22.4| 19.4| 13.0] 8.5] 2.4 | 0.7 AMIGA N ee 3.80 3.8, Ber | 7.3 13.9) 20.4 | 23.81 21.0 15.3] 9.8| 5.4 | 4.0 Fruholmen . . .| 5.3 | 4.7 | 4.8 | 6.9 | 11.7] 20,7| 20.8| 18.7 | 14.2| 9.2|.5.6 | 4.7 Gjesvær 9 22] 25 a4 | 4.7 | 6:5 13.3 20:3)| 22.1 || 21.7 | 74-70 | 09.575.946 Kérasjo eo 10. 3.320.716: 1023:81 123.011 24 3219] 10.2.1 9:3) | 3.22 | 2:8 Leiner Sy al) sep or er) ro ol 28.011792 1.7327), 8:3,|1,4.22 73:0 Berlevaag ele SEES ER 8.1 | 16,2 | 20.6| 18.2] 14.2 Gre NE Varden 3. 1.5| 1.8 | 27 | 4.9] 9.0] 14.0 17.8) 16.4| 12.9] 7.3| 3.5 | 2.0 Sydvaranger Alena 9022 E47 | Olan) 133 || 20.8 24081 f2r | 15.00] 73) |) 3.1 rez VI. Antal Dage med Frost. Som Dage med Frøst regnes de Dage, da Minimumthermometret (corrigeret) har vist under 0°. De benyttede Observationer gaa fra Oc- tober 1875, eller for senere oprettede Stationer fra samme Begyndelsestid som for de midlere maanedlige Minima af Lufttemperatur, og til De- cember 1895. Midlere Antal Dage med Frost. JE ae a lee aut Sealine = {5} 2 = = 3 £ D Ole EE ee Roeros. 2 00.2: 31.0 | 28.0 | 30.4 | 26.1 | 17.7] 3.7 | 0.7 | 1.5 | 8.7 | 21.7 |27.7 | 30.5 | 228 Mensen nr 30.6 | 27.5 | 30.0 | 24.2 | 17.1 | 3.5 | 0.8 | 1.1 | 8.8122.2|27.1 | 30.4 | 223 Herkimer .| 31.0 | 28.2 | 29.0|24.0|16.2| 4.8 | 0.4 | 1.6 | 10.8 | 22.0 | 29.4 | 30.6 | 228 Domaas. . . . .|30.2|27.4 | 29.7 |24.0|13.6| 2.1 | 0.2 | 0.7 | 6.0| 20.6) 26.6) 30.1 | 211 Nene et Fame 28.9|24.7 | 26.9118.6| 5.6] - - - 1.4 | 13.1 | 23.0|29.0| 171 Granheim . . . .|30.0 | 27.4 | 29.1 | 22.9 | 10,3 | 0.4 : 0.4 4.0 | 17.1 | 25.5 | 30.0} 197 Tonsaasen .| 30.6 | 28.0 | 30.4 | 26.2 | 13.7 | 3.0 | 0.1 | 1.0 | 8.5] 21.9] 28.5 31.0] 223 istader 0 27.012821128:8 113.5 | 6.20 = - | 0,2 | 4.0| 15.4 | 24.6 | 29.8 | 182 Lillehammer. . .| 31.0 | 28.2 | 27.3 |14.2| 48| - - - 1.8 | 13.0 | 22.6 | 29.4 | 173 Rena ØRER 31.0 | 28.2 | 30.6 | 24.0 | 13.2| 1.4 - | 0.5 | 6.7| 18.3 |25.2|29.8| 209 Bir neon .|31.0| 27.0 | 29,4 | 26.0| 7.3 | 0.2 - - 2.0 | 15.0 | 24.5 | 29.1 | 192 Hamar Gi: 30.3 | 28.0 | 27.5 |16.8| 4.3| - - - | 2,0] 13.1 |21.3 | 20.0 || 172 Eidsvold . . +130.2|26.428.6|19.5 | 6.2| 0.2 - | 0.1 | 2.9|13.7 | 22.6| 29,0| 179 Aabogen . . . .|30.8|27.8|29.2|ı9.6| 6.0| o. - - 3.5 | 15.5 | 21.2] 27.8] 182 Hole 02041233 | 25.3 |200| 720 - 2 - | 0.8] 12.5 | 21.6] 27.0] 169 Christiania, . . .|27.2|25.0|24.7|11.6| 2.0; - | - | - | 0.6] 8.6] 19.3] 26.8 | 146 Bose BARS ass ||P 2 = - 1.7 | 12.0 | 18.6 | 26.8 | 157 Krappeto . . . .|26.4 | 24.7 | 25.5 |17.5| 4.5 | 0-2 - - 2.1| 10.5 | 16.7 | 24.3 | 152 Færder . .| 20.6] 21.4] 19.5] 4.2| - - - - - | 0.7| 6.6|14.7| 88 Sandesund . . .|22.7|19.7 |22.0| 8.1| 09] - - = - | 2.9|13.4|21.7| III ILES 5 Alo AG 22.6 | 22.6 | 24.0|12.7| 1.0| - - - - | 5.2 | 14.6|20.8 | 124 Dalene 22229,81120:0) 23.81 10201, 1:31 = - o.1| 9.6| 18,7 |28.1 | 149 Torungen .|21.5[19,7|204| 6.5) 0.4) - - - = | 2.4 | 10.0 | 16.2|_ 97 EP EE 22. 23.5 229 | 80 1.4| - - - SA Gere 19.7 US 12 H. MOHN. M.-N. Kl. Fortsættelse. OSET 19.2|18.0|18.9| 5.4| 0.3 3 Bjelland. . . .. 27.0 | 29.1 | 25.6} 16.4] 8.3 } Mandal. .... 20.0 | 18.5 | 18.4| 6.5] 0.5 - Ns Skudenes . . . .|12.8/13.0| 15.3] 3.8] 0.4 - - i Gäste era, 113.3113.7|15.2| 2.5] 0,4| - - - | - | 09| 3.6] 9.7| 59 Rolle. 27 no 29.0|26.3/27.4|19.5| 4.4| 0.1 - - | 0.6} 10.4 | 20,3 | 27.0 | 165 Ullensvang . . .|20.2|19.2|19.3| 5.1] O41] - - - | OF] 4.3|12.3|18.5| 99 Vossevangen. . .|25.9|25.3 22.7 |14.2| 3.0| 02 | - - 1.9 | 10,7 | 16.1 | 21.6 | 140 Berpeni ui 17.4 | 16.9| 18.2] 4.8| 0.4] - - - -11 351 9,2) 46.11] 87 Hellisø te 2; 12.5 | 12.2/13.6] 3.1] 0,3| - - - - | L4| 4.4] 10.1) 58 TS rn 21.3 | 20.0] 20.4| 6.3] 0.7] - = - - | 3.9) 11.4 | 19,3 103 Sogndal . .]22.4|21.8|21.6| 9.1) Ir] - - - o1| 7.1 | 13.9) 17.7 | 115 Lærdal > u... 23.1 |21.4|21.5| 6.9| 0.4] - - - 8! 7.6 15.1] 22.5 | 119 KA BER 14.3 | 15.2 | 17.1| 64| 0.7) - | - |.- - | 30| 7.0113.6| 77 Dombesten . . .|18.0|18.4|21.0| 9.7| 2.9| - - - - | 6.9|12.3 | 17.0 | 106 Aalesund . . . .|14:3|14.9|16.4| 5.2| o8| - - - 71 2.0] 6,1.113.2 1973 Oma GJE |11.9|12.2|13.6| 48| 06| - | - | - - | 1.5| 4.0| 99| 59 Christiansund . .|15.6|13.7|17-5| 7.4| 1.2] - | - - - | 2.4| 6.7|13.7| 78 Trondhjem . . .|25.8|23.2|22.6|13.3| 1.3| - | - VA 0.4| 8.0|14.5 | 24.3 | 133 Stenkjær . . . .|28.224.3|24.6|15.4| 3.3|0.3 | - | - | o.8| 9.1|16.8|24.6 | 147 VE CORRRREO gare 23.1 | 22.9] 23.2) 11.7] 2.4| - - - | - | 55]14,3 | 24.1 | 127 Presfø lie 19.1 | 19.4 |19.3| 9.2] 1.7| 0.1 | - - - | 4.0] 12.3] 20,2 | 105 Nordøerne, . . .|25.4|17.0|23.0| 7.0| 1.41 - | - - - | 40| 8.0| 14.4 | Tor Brønner 2. 5. | 21.3} 19.8 | 22.3 | 11.6] 2.4] - - - | = | 5.8! 12.1) 19.6] 115 Hatfjelddalen . .| 29.8 | 25.9| 29.0} 23.2 | 13.5! 4.3 | 0.8 | 1.8 | 7.3) 19.1] 21.6 | 27.6 | 204 Ranen (Hemnes) .|25.0 23.7| 26.1| 13.6| 5.7 - - - | 0,6| 10,4 | 20.1 | 25.1| 150 BOOS ie sm: | 25.6 | 23.2 | 26.0 | 16.5| 40! - - - | 0.4| 8.3|16.4 23.3 | 144 Skomvær .| 19.6 | 16.6; 20.6| 8.8| 1.2| - - - | -| 3.5| 5.8|10.3| 86 Rost be) ee 18.8 | 16.6 | 19.1 |10.6| 2.8| - 2 - | o.1| 4.4] 10.8) 14.8] 98 SVOINEÆE a, 24.0|21.6|25.4|14.4| 24| - | - - - | 7.1] 10,7 | 19.0 | 125 Lødingen . . . .|25.1|23.7|27.2|20.0| 7.8] - | - - 1.1| 9.4] 20.3 | 24.7 | 159 Fagernes «| 28.4 | 25.7 | 28.7} 23.6] 8.21 - - - 1.8 | 13.4 | 22.3 | 26.4 | 179 Andenes «| 25.1 | 22.6 | 26,6/ 19.5] 6.7| 0.2, - - | 06] 9.,9| 17.0 | 22.6 | 151 Tromsø 4 fue» |27-5 |24.9|28.6|22.5| 9.4| 0.4 | - - 1.6 | 16.6 | 21.0 | 26.0 | 179 Koutokeino . . .|31.0 | 28.2 | 30.9 | 28.6 | 18.7| 4.3 | 0.9 | 1.0 | 14.6 | 24.0 | 29.6 | 30.9 | 243 AE tea ots | 30.2 | 26.8 | 29.7 | 25.5 | 13.0] 0.8 | - | 01 | 4,0) 19.2 26.8 | 30.2 | 206 Gjesvær. . . . .| 29.2 | 25,8 | 28.2 |23.7|12.8| 1.4 | - - | 1.6] 14.5|22.9| 28.2 | 188 Karasjok 31.0 | 28.2 | 30.3 | 28.0| 18.5 | 3.6 | o.1 | 2.7 | 13.1 | 23.1 | 28.6 | 30.8 | 238 Kistrand . . . .|30.8 | 26.8 | 29.2 | 260 | 13.2| 1.9 | - - | 3.3 | 17.8 | 26.9 | 29.7 | 206 Dale ak | 30.4 | 27.7 | 20.4 | 25.1 | 17.6| 27 | - | - | 2.0|15.0|25.3 | 29.8 | 205 Sydvaranger . . .|30.8 | 27.9 | 30.4 | 26.8 | 18.8| 27 | - - 5.2 | 20.8 | 28.1 I 30.9 | 222 Skydækket er betegnet ved: o=klart til 10 = overskyet. De benyttede Observationsaar ere anførte i nedenstaaende Tabel. Af Rubriken »Antal Aar« sees, paa hvilke Stationer der er Huller i Observationsrækkerne. F. Ex. Karasjok begynder med 1876 og ender med 1805, et Tidsrum af 20 Aar, medens der kun er 12 Observationsaar i dette. 1899. No. 5. KLIMA-TABELLER FOR NORGE. 13 | Forste| Sidste | Antal Forste | Sidste | Antal | Aar | Aar | Aar Aar | Aar | Aar ROTOS EE Re i hen ve 1871 | 1895 | 25 | Hellise . . . . . . .| 1892 | 1895 | 28 Lonsethe ne 25 lee a Se ENE lese EN 68 89 | 20 ICE Had ne Gu SSE KS Balestrand gı 95 5 Womiaas! er ad ed: 64 | 95 ae | Sok Sk ok 69 go 15 Manpg og ste å 87 95 8 Eærdal JAMIE 75 95 20 Granhemm en ne. 70 oly Fe Albus SE "6 75 5 Monsaasen En 81 95 II Blorøsud sn an: 7 69 Oy || 2 ILE ese See) Ga SG 91 GEMINI ETC ER ee: 61 95 | 35 Lillehammer 5 ol) oe OSM ees Ona re Bu tall Lk 95 | 28 REES 90 95 6 Christiansund . , . . 61 95 35 BINT eee 76 82 69 | Erondhjem ur 85 95 II lamang 2 NS ae || Mare oa 16 76 9 Eidsvold LE ; 70 op ee 0 Stenkjær aan m 83 95 12 Aabosene ee ee 90 95 Gy Vlas LS Å BE er 89 | 23 Holen magne ES 77 83 SMEETS 2 88 | 16 Christiania. . . = =. 66 952 0229 IE Nordeernesr tse 91 95 5 Aase ae 85 95 ide Brenno Se oo 69 CENT KTÉDPETON 5 6 Go oe 84 95 II Hatfjelddalen . . . . 84 95 12 Rerderte ee cae | eee 85 95 TOME Ranens EE 71 89 19 Sandesund. . . . . . 61 Ss 2521 Boden 2 a 5%. å 2 67 95 | 28 Tanvika era ci os à 84 89 SMIFSKOMVÆET A nn. 2 90 95 6 Dalen JE 89 95 TRES SE entre 75 88 12 Hioruneenie oo oo 67 95 200 Rene EN mi 68 71 3 WEN As ae 72 75 3 Syolyar- ears kun are 86 95 9 FD ET 85 Ont rel odineen | ee o. 73 84 | 11 Oo A ae ee | 69 95 26 Ragsemesar 72 95 24 Biellande 6.4 oo no | 7 Oy |) ise || AGENCE nen. 67 95 | 29 Mandal 64 Gis MO | RG Go 5 8 oe 67 95 | 25 LÉHUESNES 4 5 5 6 a 6 67 74 3 | Xoutokeino) kN NE 89 95 7 Testen RE EU | 66 77 10 ATTEND å de å ss 71 95 25 Skudenes ao de | 61 95 35 WErubolmen Ses): 67 95 7 WGK: 685 arena 163 og SE Gjesvær a ae 77 95 19 Real EE bea © 83 95 12 M) ERATASIOR EE REC 76 95 12 LENS TARDE 71 os Ne MEET CERN 76 95 | 20 Vossevangen . . . . .| 85 os error | | Varden a a mar 95 | 28 Bergen sm i | 65 95 | 31 | Sydvaranger. . . . .| 71 95 | 24 De i den følgende Tabel givne Medier for Skydækket ere beregnede efter Formelen M=4 (8a + 2p + 8a). Midlere Skydække. ne fe | | . EEE ENE EE EGGE EE EG I | | Røros 2.0: 6.2|5.8| 5.8] 5.8 | 62 | 6.1 | 6.7 | 6.8 | 68 | 67] 6.7 | 6.1 | 6.3 Tønset oa oj OG | HEV KØ SES GO OS GE Ge OE Jerkin 4.9 | 4.4 | 5-1 | 5.4 | 5.6 | 5.4 | 5.8 | 6.5 | 5.6 | 5.6 | 5.4 | 4.9 | 5.4 Domaas. 6.1 | 5.6 | 5.4 | 5.9 1 6.1 | 6.0 | 6.6 | 6.8 | 6.5 | 6.5 | 6.4 | 6.0 | 6.2 Veng. ... 6:7) | 5.4 16.2 | 6:0 | 5.8. 175.6, 16,70 es 60014616 | 6.9 | 6.7 | 6.4 CNE NON EN VS iis ness | 55) || 650 (9613) | 5.9) 1,013, 110.7 | 6.0! 519 Tonsaasen. . . Gar eH I ee Go) CCR 5.2 ee) | 6:54 Sea OSS 15:60 | 5:7 Listad 6.8 | 5.4 | 6.1 | 5.7 | 5:9 | 5-8 | 6.4 1 5.0 | 5.2 | 6.4 | 6.5 16.1 | 5.9 Lillehammer. . .| 6.7 | 5.4 | 6.4 | 5.8 | 6.0 | 5.7 | 5.8 | 6.6 | 5.8 | 6.4 | 6.5 | 6.1 | 6.1 Rena fie 3 5-4 | 4.9 | 5.2 | 5.2 | 5.5 | 4.8 | 5.4 1 6.2 | 5.2 | 6.5 | 6.7 | 5.6 | 5.6 Elverum . . . .| 7.8 | 6.9 | 5.4 | 4.3 | 4.8 | 4.8 | 5.1 | 4.3 | 5.7 | 7-5 | 7-1 | 6.3 | 5.8 Bree NAS 40 3:90 4:38 | 4.8. |15:41174-70 1 5:721,5-7125:8: |, 6.00 0557 M.-N. Kl. H. MOHN. Fortsættelse. EN VAD ÅS AA + AS ACS HESS VG Å HAAS MS 0 OO MO DO D HØY MO VS HSV AY NØS SS RØYS RO RANG RO 1922 EEE On ON TE OA O l'O KG EC CON UN EN IE NO OG eg Pep iy UO OG Ua Stat OO RSs GL ERENTO re LS ER OW EERO HOO HO RHEE eRe rod OO NHO KUK ANNO NAD 10 AO 00 FO MOOS HOV NOV 0 En 0 © NO NO IQAON NORD LS OG Op EIN Eu NO RE OCR OE GO Es: OD ER PRE ae SR tse Our RO DE PET BLN REEL EN EL FANE) 200 OND GR S D RO D 0 UCSC HOS HER KS RO HØV SYV MAO UNS RO RO HUD 9 19 00 KRARS HASSS PAS 0 6 15 PR PO 0 140 EE le ISERE UT ON Oy es TES NOVICE Est USES UG rs a Ea BO NO RE AC PE REN PAC A TN EN TEN SE © NY SG AASS ME RDS RO D NANSS 00 D D À OS DES LD FO MO 0 DO DO PO RØY RO DT ERERRS EE — [0 nf A TU 00 MAO 69 60 «7 M Da m0 Q HH 949 THEA NDAD HANMMY OMA A MMAAgTTMMINIgQuTAgaas MOOOMHTMMNNHNTOO PWNMMTNMEMNMS NY JOY NHVEOOOCOSO KTO MO FOO FO En0 10 10 MEMO NO MO SO mıD tunf DNDODNPEMMENTDNO MAN DUNMAUQ NET TFFMAN TEEN NO 94 OTE m m0 00 FM AV TES NO À MO + TU rey MOOD ADMO AN TAMAMO OD RH DMs MOTE TON AMEN SH EN LA ON MO © A TO HOMME TAN EN MO MORK MMO OW Pe A eae fee ee ee er i oe CORES Ser) See eg eel ene et ON er RCS eee nr eG! ele Ve Le Se) he. > ee SM ert Ha WIS 2 | WAT: || SRS NS EG NAS NR SAO Ue Orr ass I! Vi MMO «UA WA UA ANS OO + AS VAS Ö O Aa FO AA UM UND TOWOUOO VNR NNNNNY NOV ED 0 10 0 SOD NO = 0 © DO og | TS Ny an re NN ar Sn nr ae iat ters Pr A er NE NN Mn dy ER gen WR pe VOR Te PR JE ia Wa er Te ea : . HEN NOV nn UN TF NN ND VB MAUD JV MO MO MMO NO YS Nm NND 0 DON AR TG AS 00 0 0 0 0 RAV SØ AS 9 19 06 m0 0 0 JenIqay ONO Em OMO Mmm mm ROA TH Tt TINDW OH DANO IG RON MMS THM FO OO HN AQ 0 © 0 PRO n = Oo Jenuef | 19 ON" Et 0 20,0 0100 no naar 010 10 8 09,19 1909 CN 100 ALTO hn Ot HUND ONE QD MAE QI RO ve CERN RUN RØY RARARR RS DID Du RO D HOO FERRO KNØYYSV RV KO TO Lee Er 0 9 0 0 © MO 0 © no REC 5: - EN TEEN STENE SNES aN N SR OM GE BOTEN IR = Nr XG nee AN SE ETE = So eee EN EE ET Ga nn ee EN ig Øv da eg > 3 s bo Le] © av S os EE a = MOTIF Ct = ME ra ie at go 8 .u OB = NI er VÆR ig BU. u. + + A OR «u Et ue. Jus She LSBs ene. &.. due GER Dogue 2 Seee ., Das. pillen BCE Å Ro M'E "00% .S8 Er FR RL 39085 5 Puy "QU au ob abS Sonos ewaan Be Sek, SESE SEY pS 222080 Eg mS m0 EPERS JESUS EP ESeSkeectagukssegcsvs SSE SSR RETR SS UR SSSR EO GES DRS SRISTSAESESESESSRZSBESSSESZEDSESS La un 1899. No 5. KLIMA-TABELLER FOR NORGE. 15 VIII. Antal Dage med Nedber, Sne, Hagel, Taage, Klart, Overskyet, Torden. De benyttede Observationsaar for Tabellerne VIlla, VIIIb og VIlIc ere anførte i nedenstaaende Tabel. Det første Aar er 1876. Det er fra den Tid, at Nedboren blev noteret paa den senere fulgte fuldstændigere Maade. Forste | Sidste | Antal Forste| Sidste | Antal Aar | Aar | Aar Aar | Aar | Aar IRETOS dm one ne 1876 |-1895 20 Skudenes cia eee 1876 |-1895 20 Mansete ve i Ware 78 95 ashe | Udsirer HEN EEE 760105 20 Hjerkin ar or Å OI 95 Se Rø dale EEE 83 95 13 Bonaasse se ete en 76 95 | 20 | Ullensvang . . . . 76. | 95 20 VEUT OCR ONE 87 95 Quel Espeland ee see SE OS tr Granheim- © a 76 95 20 Vossevangen .... 85 | 95 II Monsaasene ce) sete 86 95 To) uli Kleivenet. run 85 | 95 Il stades rye (cp or 95 SANIkBersen NO 95 | 20 Lillehammer... .| OI 95 Qu) SENS 010088 95 8 Renae ey ia rer 5 go 95 6 elliSomamrem ra a des 76 95 20 BIT aes, tsa ci suce ce 77 82 6 | Flesje (og re 76 95 | 20 Hamar . 89 95 malsosmdalun... 5 - 5 76 go 15 Eidsyald 5 A aa a 6 76 95.7 20), ES CIE Oe 81 95 15 AIDES 5 oh blo à 90 95 6 | Indre Holmedal . . . 85 95 II Syeingaard. ....» 85 95 I I Bose es 76 95 20 Bgeldbergr å ME 85 95 I I Dombesten . : 2 .. 76 20 ELLER see N. 76 Ge eo Aalesund a. me 76 95 | 20 Üensaken 2 . 4.2 21, 235 SNL Ona el, 78 95 | 20 Chnisttaniaae 2 200. 74 95 22 Christiansund FE, 76 95 20 HEG A » er 85 95 11 Trondhjem 2. 5 2 5 85 95 11 Holmestrand . . . . . 88 95 || Maen Bi, GR GO 9 INTOSS NE ee ead es ve 87 95 gMitStenkjærs 070 "0 84 | 95 12 Gao ENE eel 284 GRS TEE EEE 76 90 | 15 Strømios suc: cance 84 og || wa des Se Bb TOM | 22 Krappetovis 0 ol 84 95 12. I Nordøeme (2 4. 2 = 91 | 95 5 Fredrikshald . . . . . 83 95 1308 Brenno one 76 95 | 20 PER ON SEEN 85 95 II Hatfjelddalen aa: 84 95 12 Sandøsund 1 7 85 | 20 | Sannesjøen .....| 85 GRY 10 Taryıkı i. eo ee 84 89 om Ranens Ha 76 89 14 Vestfjorddalen Mata 85 95 nt ISBN 5 4,9 6 006 76 95 20 SU URSS 85 95 II SUE GC eee go 95 6 Ranlande se. 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Mængder, medens andre lagttagere kun have noteret Nedbør, naar denne har faldt i forholdsvis mere merkelige Mængder, savner Tallene i denne Tabel den onskelige Ensartethed. I de to folgende Tabeller VIIIb og VIII c er der søgt tilvejebragt en paalideligere Ensartethed. VIIIa. Midlere Antal Dage med Nedbør. | | | a REA REA LES SSE 2/5|8| 8/8 185 EIT Ss 2 Sia] 4 © 2 Å = Røros) 2. I 2% 12 | XI | 13 9 | 11 16: | 12 | 030055 Tøneet . 1005 10 6 8| 6 9 12 Ce LANG Jerking TE 7 3 RS 8 6| 6 6| 85 Domaas 10 81220817811. X0 13 | 12 772 0226 Vader has Nl 12 3 |r 9 | 11 12 | Xx | 12000440 Granheim . . . .| 17 | 10 | ıı 9 | 11 12 | 12 | (x2 1050 Tonsaasen, . . „| AS To Nrz Enr 72 15 | 13 | 13 | 159 EEG II 5 8 5 9 8 8 9 | 114 Lillehammer. 15 9| 10 | 10 | 14 TA | 12 1163 Renas Fo 15 gene 9 | 13 13 || 12 | 10010153 amar) zes 27 or D) 3 Li 6 le 16 17 | 14 | 13 | 179 Eidsvold ....| 8 | 8| 8 Zul 9 11 | 10 | 10 118 Aabopen 5... 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KLIMA-TABELLER FOR NORGE. 17 Fortsættelse. | nm a P [> sie || else lee ee et ee ||: a & a = =} = =) a a > [2] Seele ae Stumdal Er 7 9 5 8 6 BØN AN nae |) 0) 9 | 116 Hellses 7 127, 150 1.16 ON 8 13 | 15 | 17 | 18 | 19 | 170 Flesje (og Bale- Stand) era Tee ES Soy) ON 0 172 rs | ay 7 Soendal.. =. . .| 12 9 | 10 6 9 op Era 2 2 2 NE 2) Pærdalet. 44) 1 7 9 6 8 Cy) 232 E52 ers | FO 9 | 122 Indre Holmedal .| 18 | 14 | 18 | 14 | 15 | 13 | 20 | 2r | 22] 19] 19 | 20 213 PZ 5 5 on oll Ba] WO Ton) re) Nr 276, Er ot z 08 20% rop 1205 Dombesten . . .| 14 | II | 12 FJ pik OVI) sere | rere) aa zu EN ENTE KE Aalesund LON Kr ES exon le az) |) rin | 135 rc ER Oro ON 72 OE te Bos Lees LON | 9, rire ra, |) Lone ze | rer 07 (268 Ghushansund de ES ES EZ i Tan TS) 1a) | Le |) zul Tone 20) iG) TN 03 Airondhjem 2... 20) |) ON) 77210. 172|, 19, || 19,0 22023) | 24 er 18 | 20 | 236 Maar a, el ee |) a) | | a || | | Senker CONT Tan er ASS 2000.19, 0.165 re) 0187 Ve 94 | | ee SM CE Co restos a alt ae | | lee | | an bales? 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No. 5. KLIMA-TABELLER FOR NORGE. 19 Fortsættelse. ne ea ENNEMI EN 3 u BE = os i=} = 5 = Ss |) © œ ee, ee Altena oe ch Of 7 6 6 7 6 6 9| 10 | 10 8 8 6 | 89 Kistrand 4 5 4 3 5 5 6 7 8 7 5 4 | 63 Karasjok 9 9 | 10 oe ee 18] ET | Gjesvær co a 0 oll UL] ron OS TEP rs eee) to I) ON UG} |) wey Sydvaranger . . .| 4 5 5 5 6 8 9 8 | 10 8 6 5 79 VIII c. Midlere Antal Dage med Nedbør = eller > 1 mm. = & lo EB - = 5 Å H SEE EE ENE ENE EEE AE 2/3/3 Seen ul EE EN En RØrost 2 å å JE 5 5 5 3 6 GER HE Fao) 8 6 6 | 84 Wet a fo et RO) 3 4 3 6 6 | 10] 10 8 8 6 6 | 76 [estas à 6 Bi Si Gis SEG EN GN EN EN EE Domaas. 6 4 5 4 5 70 TT) © 7 8 7 7| 8ı Vang. Ne er 5 8 6 8 Su |) es |] 9 9 8 7 | 101 Granheine 2. 37, 6 6 5 6 GÅ Hey 72 9 8 8 8 | 97 Tonsaasen. 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Sidste Antal Første Antal | Første | Sidste Aar | Aar | Aar Aar | Aar | Aar | ROTOR ase ent 1871 | 1895 | 25 |Ullensaker. . . 1885 | 1885 11 Tente, 78 op 8 0) Choshacia 2, e 66 95 | 29 Jeranser a Rene gı 95 CAN CT RP RE RING 85 95 11 Doms TE 64 95 32 |Holmestrand . . . . . 88 05 8 Nagle? os re de 87 CVG | eee TES CT SAN, ANE 87 95 9 Granheid 2 Gi et: 70 95 AG TIO SEE 84 95 12 Tonsaasen 2 200 86 95 10 |Stromfos. 84 95 | 12 16 sr le 91 95 xp | kranpeto ns 84 95 12 Lillehammer 91 95 5 [Fredrikshald . , . . . 83 95 | 13 OE GT is 90 95 oe DO ol pee 85 95 11 1 er 0 77 82 6 |Sandøsund. . . . 61 85 | 25 RATE eee ee : 89 95 | EN EN AS |e me avs, x00 te 84 89 6 Eidsvold «| 71 95 | 25 | Vestfjorddalen . 85 95 11 BRDOcH ea en | 90 OSs Bo Slljordr. ....... beeen 85 95 | 11 Sveingaard, . . . 85 95 oe Rauland. .. .2, 85 95 | 11 Fjeldberg Eos 85 95 ut, On TE NE A 89 95 7 HOLE ve ewe. a) + be 77 83 6 |Kragero..... 85 95 | 11 1899. No. 5. KLIMA-TABELLER FOR NORGE. 21 Fortsættelse. Forste| Sidste | Antal Forste| Sidste | Antal Aar | Aar | Aar Aar | Aar | Aar DENISE . .| 1889 | 1895 7 Ona M 08082 SG Hvedestrand 1 2. > 85 95 II Christiansund . . . . 61 95 35 Morungenøe. . ts 2): 67 95 20 (Trondhjem NN 85 95 Bog TT 85 05 II Vitteroen 0 0 0 °c 67 76 9 OX sde PONTS 69 GR || 26 1] Sioalsese 0 5 å ses 6 84 | 9 12 Bjelland 87 95 9 Villa, Eee 67 89 | 23 Mandal 15 rs 61 95 35 ETES RER 5 72 90 19 ILC CSCS G A rer 68 75 8 Nordeerne Sr 91 95 5 LSU Sa gee NOUS 67 77 II Brenner. curse eee 69 95 24 Sossendal. . 2... 76 95 20 Hatfjelddalen . . . . 84 | 95 12 Stayanger,. a...» 83 95 13 | Sannessjøen ..... 85 95 IT Skudenes 61 95 35 Ranen JA JE 71 | 89 19 Ute Sie Gl 5 6 68 OS, || se |) tiene oo ao a Al 8 67 95 | 28 Roda 83 95 | 13 SHOMNES® 26 5 2 6 « go 95 6 Ullensvang ..... 71 95 2 Røst: a ee FI 89 12 Espeland 85 95 II Svolvær a TE 86 95 10 Vossevangen . . . . 85 95 II LODEL NP 73 84 II Bever 85 95 II RGIS 6 Gu go c 72 95 | 24 Bergene u. 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No. 5. KLIMA-TABELLER FOR NORGE. 23 Fortsættelse. - = —— — - - . SE LEN SNE EE Eee a a 5 2 = 3 Q © 5 | >; ee | Fruholmen . . .| 14.9 | 15.6 | 17.0 16.7 | 12.7| 3.1| 0.1| 0.3] 5.7] 8.9|16.6 | 17.0| 129 Kustrand ey eee EE SOS RSS OG 1) 5.77 | 2.4, 0.2 PO) Sa GE Sel) (ee Karasjok .. . .| 9:7| 9.2] 10.9] 9.0) 9.0} 3.0) 0.3| 0.2 4.1) 9,5 | 12.7 |11.4| 89 Gjesvær. . . rs lies 1305 | 11.6) 8.2 4.0 | 0.1] 0.2] 2.8| 8.7|10.5|10.9| 94 Verde 02281122 4m 70:91 78.4 1 257 | (0-1 ||) On|) 80 "9! 9) 12277) 03:40 ON Sydvaranger . . .| 10.2 | I1.0|12.1 [10.0] 8.7| 3.1| 0.1| o.1| 1.2| 9.1|11.0|10.4| 87 Ville. Midlere Antal Dage med Hagel (Graupel). Sel ie | eis | S| EE See fs ee Pa | a onlay ve ROrose M. ra. aller - = 70:22 80122 kom 10:25 1021102 - - STE: Monsen el = - 2 70:00 Oz" |L0:4211 0.2. lo m Noix RON SE Jenkins SNE - Sen 02-2 60:5 - - - - - - | 0.8 Domaası AEE = - NO: NO 210.3 So: - = SER Manga sc 5 = || ox || Reha |) Toy. - - - - = 2 111023 Srankeinesr ar oll = - MC 410 01 Fo TO) I) CH Nor | 10:22 10:22 72-065 Monsaasen. 3 = =|) = - - | 0.3 | 0.8 | 0.6 | 0.3 | 0.2 | 0.2 | 0.2 = = | 216 MAS an TEE - - - | 0.2 | 0.8 | 0.6 || cowl - - =) |#2%0 Lillehammer . . .| - - - | 0.8 | 1.5 | 0.2 - - - | 0.4 = - | 29 Renan ter - - = 10:2) - | 0.2 Ore - = = 70:6 Biere = =| 0.2 - | 0.4 | 0.2 | 0.3 - - - = - |! Hamar > > .. - | 0.3 | 0.2 | 08 | 1.2 | 0.7 | 0.3 | 0.2 | 0.1 | 0.3 | 0.3 - | 4.4 Eidsvold EINE - == 10:2 = Meg ope | Chel) erie 5 - - | 0.9 Napopenw =. 0:2 - = 00:62 10.24 WW rope, |K0:37 50:32 Ko:2; = Sar Sveingaard .. 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MOHN. M.-N. Kl. Fortsættelse. Februar Marts Juli Aug Septbr. Octbr Stavanger. . . .| 2.7 | 0.8 | 0.3 | 0.2 | 0.5 | 0.1 | 0.1 | 0.3 2 1.4 | 2.3 Skudenes . . . .| 21 | 1.4 | 1-7 | 0.8 | 0.7 | 0.1 | 0.1 | 0.2 3 1230] 20 Jefe Bee 1.2 | 0.7 | 0.9 | 0.3 | 0.2 | 0.2 - [oı 4 1.9 | 1.9 | I. 9.1 Røldal 3:39 at. 0.3 - - - == 1.0.1 - - i - | 0.1 - 0.6 Ullensvang . . .| 0.1 | 0.2 | 0.1 - | OF - - - - | 0.2 | 02 | 09 Espeland . . . .| - - - - - - = = - = ees - Vossevangen. . .| - - - - Ooh = NI PO - - =3100:3 Kleivene . : . .| - - - 120,1 - - | 0.1 = 10,7 - | 0.3 Bergene 77: 1.1 | 0.7 | 0.3 | 0.3 | 0.6 | 0.3 | 0.2 | 0.2 | 0.2 | 0.7 | 0.9 | 1.0 | 65 Stumdaly 22020 0.4 - - | 0.1 = 10:5 - - - = - 0.6 Hellsos. 6 > Corn DANN OA. = - - | 0.8 | 0.8 | 0.8 | 5.5 Flesje (og Bale- strand) . . . .1 02| 021 > - 10.2 | 0.1 = | 0.1 - - = 110.0,8 Sorudalır . 24 å - - - - - - - - - - - - Tærdal 22 4 - - | or | o.r | 0.1 - - - 0.1 - - 0.4 Indre Holmedal 1.3 | 0.9 | 0.3 | 0.9 | 09 | 0.5 - | 0.2 | 03 | 0.3 | 0.6 | 09] 7.1 Florø. . . ... 1.0 | 0.4 | 0.4 | 0202 | - | - | og 199 106 (ogee Dombesten . . .| 0.4 | 0.2 | 0.1 | 0.2 | 0.1 - - = 10,1: 10.0 |10:3 11003 1013 Aalesund . . . | 06 | o.r |-0.3 | 0,4 | 0.4 | or | - - | 0,4 | 0.7 | 0.9 | 0.9 | 48 ODA PRE 1.3. 102 08,0 | 0.8 | 0.9 | 0.5 = ox | 2:0) |) 25 10230 161032 Christiansund . .| 1.1 | 1.5 | 0.8 | 0.5 | 04 | 0.2 | 0.1 | 0.1 | 04 | 1.7 1.6 | 1.6 | 10.0 Trondhjem . . >| 23 10129020 2.5 | 1.11 0.2.0.2 177.5 13.521 2,75 72210207 Ytterøen . . . .| 0.4 | 0.4 | 0.2 | 0.4 | 0.7 | 0.7 = - |03 !o.ı | o.1 | 0.6 | 39 Stenkjær . . . .| - | 0.2 | 0.2 | 0.2 | 0,8 | 0,8 | 0.2 | 0.1 | 0.2 | 0.3 - - 3.0 Masern 1.8 | 1.9 | 2.1 | 1.8 | 1.5 | 0.6 | 0.1 | 2:01] 1.021.252 | 1.8 16.7 Prestø'e 21. > 1.7 | 0.5 | 0.6 | 0.3 | 1.1 | 0.8 | 0.1 | 0.1 | 09 | 1.2 | 0.9 | 0.8 | 9.0 Nordeerne. . . .| 2.4 | 3.0 | 3.4 | 2.2 | 2.0 | 0.4 - | 0.2 | 0.8 | 3.0 | 2.2 | 1.6 | 21.2 Brenne . . . . . LO | 12 | 1.0 | 0.7 | 0.6 | 0,5 | - | 01 | 0.5 | 1.3 | 1.1] 1.0] 90 Hatfjelddalen . .| - |o.r | - NE | - = 4 pe So Sannessjøen . . .| 1.7 | 1.9 | 1.9 | 2.0 | 2.5 | 1.1 | O1 | 0.1 | 1.5 | 3.0 | 2.0 | 2.5 |20.3 Ranens Å 0.9 | 0.9 | 0.6 | 0.3 | 0.4 | 0.1 | - - 103!08|06|08| 5.7 Bodø. 03103 104 - |03|02| = - | 0.4 | 0.7 | 0.2 | 0,5 | 3-3 Skomvær 0.2 | 1.6 | 0.6 | 0.2 | 0,4 | 0.2 - - | 22008 10210054 Røst sara dl 0.1 - lo2| - | or - - - - 10.5 | 0.3 | 0.1 | 13 DOVES EE 0.4 | 101 - | 0,5 | 0.3 | 0.2 I 0.1 = |} 0:35) 0:1 = | 0.1 1026 Lodingen . . . .| 2.4 1.6 | 1.9 | 0.8 | 1.6 | 0.7 | - | o.1 | 0.6 | 0.9 | r.o | 1.5 | 3.1 Fagernes , =~ -| = | O18 | = | - - - - - | - | 0.1 - - | 10.2 Andenes . . . .| 0.6 | 0.7 | 0.6 | 0.3 | 0.5 | 0.3 - - | 08 | 0.6 | 0.6 | 0,5 | 55 Tromsø. += 20040003 «Or |) 0,2 | 0: - - OL 10: - LI Koutokeino . . .| - - - - | 0.4 | 0.1 - - | 04| - - - | 09 Biens. 5 - - - - | o1 - - - - - |oı| 02 Fruholmen . . .| 0.6 | 0.4 | 0.8 | 0.1 | 0.7 | o.1 - = | x7 | nøl 120 030078 Kistrand . . . .| - - = | On "0.7.1102 - - | 0.2 | o.r | 0.1 - | 08 Karasjok . . . .| 0.1 - | 0.1 | 0.3 | 1.5 | 0.9 | 0.5 | 0.2 | 0.9 | 0.4 - - 4.9 Genet ct sires > 0.9 | 0.7 | 0.7 | 0.5 | 0.2 | 0.4 | 0,2 | 0.2 | 1.1 | 1.3 | 0.6 | 0.7 | 7:5 NAIM er oy. ba - - | o.1 | 0.1 | OF - - | Or | 047003 = 170.206 Sydvaranger . . .| - = - 2110.38 os 100.0 =. || 6.3, Jor 02 1 0@ ayy VIII f. Midlere Antal Dage med Taage. gd | S/ 2B El el alels| |e] 4] 2141 SJØENS I ABE eT a ey 24 6 8.3 | 5.8 | 2.9 | 1.8 a 0.4 | 0.6 | 2.1 | 4.8 | 5.0 | 6.2 | 7.9 | 46.3 TONNES, mn 1,0 | 1.3 | 0,8°]'0921 041 0.5 10.4 | 4.1 0.21 5.1 | 3.8 | 3.1 | 28.3 Jerkin 02 | 0.2 =, 11034 - | 0.3 | 0.2 | 0,2 | 0.4 | 1.0 | 0.4 106 3.8 Domaasg’ i. a 5. | 1.7 | 0:7-| 0.3 | 0.4 | 0.7 | 09 | 2.1 | 3.0 |-2.3 | 2.6 | 2.6 | 1.8 | 19.1 1899. No. 5. KLIMA-TABELLER FOR NORGE. 25 Fortsættelse. SE cel al sae A EEE ENE 3 a, et =) > 3] JB Vario ao sa AOF BEE NC: - SET Gs] Gr | CHS |] hey) 55 Granheimy Aes es eZ ||) Kea || 2 es 008 | Mol 301,45 |) ash | ote Tonsaasen. . = «|| 2.9 | 1.2 || 3.0 | 2.4 | 2:5 | 1.01 1.6 | 3.1 | 4.7 6.3 | 4.6 | 2.0 136:5 Listad oi pay leone = 70:2 || 0,2).|.0.2 || 0.2 .6 || 2.4 | 2581028: | 0:2 170.2 | 17,0 Lillehammer. . .| 1.2 | 0.5 | 1.2 | 3.8 | 0.3 | 02 | - | 0.4] 2.6] 2.0 | 2.0 | 1.8 | 16.0 Rena NO GMT ON I 12 || - - = | 0.3 | 1.7| 1-7 | 2:0 | 1.2 103 MS 65-6 0 6 ol OR - - - - - - 10,5 - = | 0.5 - 1.3 Hamann 22 21383020 18:| 2.8 | 03 - - - 3.6| 3.7 | 4.9 | 3.6 | 28.5 BRON IN ON CAM NI Teal AE |) ro) || 2.4. NS SEE Ton | 7.48 143.5 Aabogen . . . .| 1.6 | 1.4 3201104 on | 0:3. 2:00 ES On |E3:22 12525 Dole 25 | 201 LØ 10:31 | 0:2. 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ES GE Eindesnes 2.176.060 05:6 | 730 7743 aa 38 13.3 3-40 EC 3:0, 15305 WATS sg 96 al) BHC) ||) SB ASA GO ES 72:92 12:02 |, 7:01 17 2.0.| 7.5 (70:82 |) ts) EEG) Skudenes "MO 105,3 | 5.4 | 5.3 16:3 || 6.4 "6.7 |) 4.6 || 404.3 || 4.6 | 3.8 | 0x.7 Udsire 6.7 | 6.3 | 6.9 | 6.4 | 6.9 | 8.4 | 6.4 | 4.1 | 4:2| 3.7 | 3.3 | 4.7 | 68.0 Roldal 0.1 | 0.4 | 0.3 | 0.5 | 0.6 | o.r | 02 | 0.9 | 0.7) 0.2 | 0.4 | 0.4 | 4.8 Ullensvang EA oe 10:8. ep eg ES | Glo ne Ed LENE |) 12 PER Vossevangen. . . 0.92 170.3. 77.07 Og OD 70:72|70.5 1027 4.3| 2.2 | 2.4 | 1.3 | 14-1 Bergen rs 02272 |62.22 72:32 3:02 03:50 3:8. 27 172.9 1:82 Era os, 12808 Hellisør rn... 7:82 0.1.62 SG | eats ER ES 03.30 [02:82 2 742 ro Re Era | ais Flesje - - - - - - - - 0.4 |.0.1 | 0.2 | 0,1 | 0.8 Sogndal. 20172170 00:94 kors Kom 10:21 KOSA AES SÅ Ke Ola KOONS 03 Berdal: or2 ors oxo 13 0.7 red | 07 | 06.0.9077 | 0.6.|709.3 More ee | 0.4 | 0.4 | 0.5 | 0.5 | 0.9 | 1.5 | 1.3 | 1.7 | 1.2| r.o | 0.8 | 04 | 10.6 Dombesten Roos fore oo Sr 2:4 ||) 223) || 2:0)|.7.4 No 88 No 13:3 EE 65 dEA GA EGEN 22.0 [03:52 [73.72 22:90 FN OR OE Er OG Ona SEN 0:3) os 10:62 EE reg It Eiko) 02.7. 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Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No.5 26 H. MOHN. M.-N. Kl. Fortsættelse. = 5 n e se Le w ha = = 3 = = = = bn A A 2 = = = u a = & Ss | Ei = _ > o 5 äl2|3]8|2)2|=|82|5|8|23|3|° == === = == = - Karasjok . 02 | 1.7 | 22 3.8034 12.4 1 m] 208 Gjesvær. delle 2.6 | 6.2 | 4.8 | 1.3 | 02 | - - | 16.2 Vardø. Gobo Fe 3.5 | 6.3 | 5.4 | 1.0 | 0.4 | - - | 18.6 Sydvaranger. . . 0,5.| 1.1 | 1.4 | 1.5 | 23 | 1.0 | 0-7 | 110 Som klare Dage ere regnede de, paa hvilke Summen af Sky- dækket for alle tre daglige Observationstider er mindre end 6. Som overskyede Dage ere regnede de, paa hvilke Summen af Skydækket for alle tre daglige Observationstider er storre end 24. VIII g. Midlere Antal klare Dage. s|:le a| = als|#3|3|; el als SJETNE EVNENE == a wo latte Rodal 2 ee å 4 4 5 6 4 4 2 3 2 3 3 | 4 | 44 Tønset ..... 4 5 5 6 4 4 2 2 1 2 2 2 | 39 Jerkm JE Dea SO) BL Son 14 OO ET BS | 7 | 59 Domaas. Le 0. 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KLIMA-TABELLER FOR NORGE. 29 Fortsættelse. | N ee EE SE BE Vi JE EN BENENE elle SE JE BBA Mantel = = = = So EKDA re = | oF - NER: Granheim , . . .| - - - or Pe xe 107.2 = - - = 6.4 Tonsaasen. . . .| - - - - 10,2 | 0.8 | 1.2 | 0.6 | 0.1 - - - 2,9 Éistade 0 le - - - = 310) 2.8 On Onno - - 8.2 Lillehammer . . = = = Pro) 820 SN - - i oy Renal ane) oe, 4, for cil = - = - Kos || 1.5, |) 1.04) 0:5 - - - | 3.8 Bile ce soi wl! = = = = | 0.4 | 1.2 | 0.3 | 0:3 - - - - 2.2 Hama ce = = - - 108 | 3.0 | 2.8 | 1.3 | 0.4 | o:1 - - | 84 Eidsvold . . . .| - - - 23107702 220 73:22 [01250 009, - - - 8.3 Mabogenaer „0a = - SEES 3.0) |) 207 | 128 OG Ro - - | 10.0 Holes mys: =: = = SI 20:22 161.42 3-30 13:8, ON KO - - | 10.4 Christiania. . . .| - = =| 1102 71.0 | 2.22| 3:7, 2.4 0.6) | orn 0:1 - [10,2 DES 5 5 å dell > - = | 0.2 | 1.0 | 0.9 | 1.7 | 1.5 | 0.5 | 0.4 | 0.2 - | 6.4 LEON CLONES IE = = - | 0.2 | 0:7 | 0.4 | 0.3 | 0.1 - - - 1.7 Herden cn - = = - | 0.5 | 0.8 | 0.9 | 1.8 | 0.5 | 0.3 | 0.1 - | 4.9 Sandøsund o ail = = = - | 0.3 | 0.8 | 1.6 | 1.3 | 0.5 = - - 4.5 Lamas. al = = = - | 0.5 | 0.8 | 0.6 | 1.2 | 0.4 | 0.4 - - 3.9 Malene: - = - 229127202 GE 1.2472 RO Onn 10:4 - - 3.8 Morungen I = ere 72.2 ES | ONE Hot Ga Eras AE ES 0:2 - Sailor - | 06 | 08 | 0.1 | 0.1 = - 2.0 OKON en alle = = =) [70:5 72.2 | 2.4 | 1.9 | 0.92 0.5. | 0.3 - Dam Bjelland ©. = «| 032 (0:3 |) Cop 70:9, 1,2165 173.32 | 4.00 re OG) - | 0.3 | 14.3 Mandal - - = 70:25 or organ 018 70:32 om or 42 Tindesnes 2. =| Ont) | (0-1 - - | 0.4 | 0.6 | 0.8 | 1.6 | 1.0 | 0.8 - - 5-4 Bister: ono cc 0.2 - Sora Kom eg 52:22 17.2.22 170:9211110:521110:02L0:22 12827 Skudenes . . . .| 0:2 Sor Ro 10.4. oa 10.3. 11:2. 11/10.) 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I td = og SEE EEE SEE ENE = = = = = je] © En SIE | os le le les Rostand PEN RE RIRE Or 02 | 0:14) += GE EN EGG Karasjok ul. Sg - - - hs: | 3.4 | 1:X - - - | 3.3 Gers en! o.1 | 0,1 - - - | 0.1 | 0.3 | 0.2 | 0.1 - = - | og Vador: - - - - - |o:1 | 04 | o2| - - - | - 104 Sydvaranger . , .| «© | OF - =00:22 150,82 | 2.31] 1.2 - - - - | 46 I Videnskabsselskabets Forhandlinger 1888 No. 12 har jeg med- delt »Studier over Nedborens Varighed og Tæthed i Norge«. De fol- gende Tabeller ere af lignende Indhold som de i 1888 givne, men omfatte flere Stationer og længere Observationsrækker. Beregningerne ere udforte efter det meteorologiske Instituts Observationsskemata, i hvilke der i en særskilt Rubrik noteres Nedber, som er faldt ved de faste Observations- tider (8 a, 2p og 8p), og efter Xeppens Methode!. Denne er følgende: Er — for et bestemt Tidsrum — x det samlede Antal Observationer, 7 Antallet af Observationer med Nedbør (Regn, Sne, Slud, Hagel), M An- tallet af Timer, Å Antallet af Dage med Nedbør og h Nedbørhøjden, Saa er 4 den absolute Nedbor-Sandsynlighed T N den sandsynlige samlede Varighed, i Timer, af Nedbør eller An- tallet af Timer med Nedbør Nedbørens gjennemsnitlige Varighed i Timer i en Nedbør-Dag eller JIN RT det gjennemsnitlige Antal af Nedbor-Timer i en Nedbør-Dag den gjennemsnitlige Nedbør-Høide i en Nedbør-Dag n N I I den gjennemsnitlige Nedbor-Hoide i en Nedbør-Time. NID ale Nedbor-Sandsynligheden er i de folgende Tabeller givet i Tusinde- , dele, altsaa = 1000. 1 Oester, Zeitschrift für Meteorologie f, 1880 og Meteorologische Zeitschrift f. 1885, 1899. No. 5. KLIMA-TABELLER FOR NORGE. 31 Da der er 3 Observationstider om Dagen og Dagen har 24 Timer, bliver, hvor der ikke er Huller i Observationsrækkerne, N': 7 = 24 : 3 —=8 r KEN) ie 12 h EM d DD TON SE Om Virkningen af større eller mindre Nojagtighed ved lagttager- nes Notering af Nedbør ved Observationstiderne kan jeg henvise til den første Afhandling. De Stationer, for hvilke de følgende Tabeller ere beregnede, og de Aargange, som ere benyttede, findes opførte i den følgende Tabel. Station Station Røros . . . .| 1876 Jan. - 1895 Dec. 20 |Udsire . . . .| 1876 Jan. - 1895 Dec. 20 Monseti 1... 78 Juni = 95 Dec, 18 |Røldal . . .. 83 Juli - 95 Dec. 13 Jerkin 2 or Juli - 95 Dec. 5 |Ullensvang , . 76 Jan. - 95 Dec. 20 Domaas ... 76Jan. - 95 Dec, 20 | Bergen . . . . 76 Jan. - 95 Dec. 20 Vangie aoe). 86 Nov. - 95 Dec. 10 | Espeland . . . 84 Nov. - 95 Dec. 12 Granheim. . . 70]Jau. == 95 Dec. 20 |Garın . 12 84 Dec. - 88 Dec. 4 Frydenlund , . 92 Nov. - 95 Dec. 8 |Kleivene . . . S4 Dec. - 95 Dec. 11 Tonsaasen , . 83 Oct. - 87 Feb. 5 |Stumdal . 5 . 83 Apr. - 95 Dec. 13 » 89 Sept. = 95 Dec. 7 |Hellisø. . . . 76 Jan. - 95 Dec. 20 Eistade er. Sr il > cn Dee, 15 NESE 406006 76 Jan. - 86 Oct. ur Lillehammer, . gr Juli - 95 Dec, 5 |Balestrand, . . 86 Nov. - 95 Dec. 10 Renae rt). go Juli - 95 Dee. 6 |Sogndal ... 76 Jan. - gt Oct, 16 Birds Sak: ane 82 Dee Gil Erdal 76 Jan. - 95 Dec, 20 Hamars 83/0ct =) | 187, Bebo Elore MOE 76Jan. - 95 Dec. 20 » 89 Sept. - 95 Dec. 7 | Dombesten . . 76 Jan. - 82 Sept. 7 Eidsvold . . . 96 Jan. - 94 Dec. 9 |Aalesund. . . 76 Jan. - 95 Dec. 20 » Oye - CE DEC FOM $ 6 ER 76 Jan. - 95 Dec, 20 Aabogen . . . go Juli. - 95 Dec, 6 |Christiansund . 76 Jan. - 95 Dec. 20 Sveingaard , . 88 Jan. - 95 Dec. 8 | Trondhjem . . 85 Juli - 95 Dec. 11 Fjeldberg. . . 84 Nov. - 95 Dec, 12 | Stenkjær . . . 83 Dec. - 95 Dec. 12 HOlC å aa å 76 Jan. - 78 Dec. Villar AP. 76 Jan. - 90 Juni 15 » 79 Apr. - 81 Juni Presto ue 76 Jan. - 88 Mai 13 » 81 Aug. - 82 Mai Meme 82 Marts - 85 Sept. 4 » 82 Sept. - 83 Apr. Nordøerne . . Hr jan. - 95 Dec. 5 Christiania . . 76 Jan. - 95 Dec. 20 |Brønnø. . . . 76 Jan. - 95 Dec. 20 ASIE Ar 85 Jan. - 95 Dec, 11 | Hatfjelddalen . 84 Febr. - 95 Dec. ı2 Holmestrand , 8SApr. - 91 Aug, 4|Ranen.... 76 Jan. - Sg Juni 14 Sitskogen, . . SaOctas Sn Apr si Bodø a. 5. 76 Jan. - 95 Dec. 20 Krappeto . . . 84 Oct. - 95 Dec. 12 | Skomvær . . . go Aug. - 95 Dec. 6 Werder... . Be Obin > CBWE uh Rest 76Jan. - 89 Dec. 4 Sandøsund , , 76Jan. - 85 Sept. 10 |Svolvær . . . S6 Febr. - 95 Dec. 10 karakarı.n a; 84 Marts- Sg Dec. Lødingen. . . 76 Jan. - 84 Marts 9 » 90 Juni - go Aug. Fagernes . . . 76 Jan. - 95 Dec. 20 » 91 Juni - gr Aug. ANdEnES 76 Jan. - 95 Dec. 20 » 92 Jan. - 95 Dec. Dromse ge. 76 Jan. - 95 Dec. 20 DFU. ru: 89 Aug. - 95 Dec. 7 |Koutokeino , . Sg Marts - 95 Dec. 7 Torungen. . . Henan 2.05, Dee zon Alten SE 76 Jan, - 95 Dec. 20 Bd hete la 85 Marts- 95 Dec. 11 IKistrand . . . 77 Jan. - 95 Dec. 19 OXer sur ess 76 Jan. - 95 Dec. 20 | Karasjok , . . 76 Febr. - 95 Dec. 20 Bjelland . .. 89 Marts- 95 Apr. 6 |Gjesvær ..., 57 Juli - 95 Dec. 19 Mandal. . . . 76.jan22=- 2095 Dec. 201] Varde 5025 56 Jan. - 95 Dec. 20 Soggendal. . . 76 Jan. - 95 Dec. 20 |Sydvaranger. . 76 Jan. - 95 Dec. 20 Skudenes. . . 76 Jan. - 95 Dec. 20 32 H. MOHN. M.-N. Kl. IX. Absolut Nedbør-Sandsynlighed. — 1000 «| 5 E Elsle|ls|® S|A|S| 46] 5 re |" | "aroma eee ROME sees ee es 142] 148] 148] 110] 122] 129] 146] 153| 160| 170| 140| 150| 143 Toner nae 52] 49] 51]. 41] 66] 54] 71] 80| 60} 87} 89] 72) 64 Teton 59| 98| 72| 47| 91| 56|127| 114] 98| 65| 80| 77| 82 Domaas, . . .. 8o| 77| 81] 63| 81] 87| 98| 103] 93] 128| 109| 109| 92 Vanp JE 149| 105| 136| 90| 87| 93] 158| 169| 124| 140| 158| 132 | 128 Granheim . . . .| 115 | 120| 115| 82] 71] go] ııı | 108| 95] 108 | 120| 125 | 105 Frydenlund . . .| 269| 155| 179| 70|147| 78| 195| 138| 85| 97) 156| 161 | 144 Tonsaasen , . .| 211| 150| 147| 151 | 150| 126| 139| 150| 135| 174| 155| 169| 155 Listad Lars ts he 170| 77| 124| 61] 103| 83] 131| 163 | 102| 91 | 109| 131| 112 Lillehammer. . .| 175| 97| 135| 75| 105| 89| 104| 120| 107| 127| 131| 127| 116 Renas å 202| 80|172| 71| 118] 78| 140| 167| 109| 117| 169| 129| 129 Birken 122 | 158] 102| 81] 96| 112] 163 | 130| 122 | 133| 156| 177| 129 Hamar an... 139| 92| 105| 90| 84| 79| 91] gı| 82] 110| 116| 115 | 100 Eidsvold . . . .| 119| 132] 105| 96| or | So} 115] 102| 134] 124| 145| 139| 115 Aabogen . . . .| 183| 104| 168| 73] 110] 62| 73| 81] 94] 138| 137| 143 | 114 Sveingaard . . .| 210| 155 | 210| 167 | 198| 154| 355 | 328 | 237| 236| 287| 206 | 229 Fjeldberg . . . .| 186| 155 | 183| 139| 126| 108 | 166| 2ı8 | 202 | 148 | 176| 216| 169 Hole. . . . . .| 106] 127| 97| 60| 85| 98|195| 180| 156] 138| 170| 155 | 131 Christiania. . . |175| 169] 165| 126| 95| 98| 134| 116] 130] 156| 171 | 177| 143 KES ic Bee aL 188} 153] 173] 135] 115 | 82] 130| 158] 138] 187 | 181] 189| 152 Holmestrand. . .| 204 | 107] 219] Igı | 92] 70] 126] 150] 55] 153] 170| 184 | 143 Sitskogen . . . .| 224] 130] 104] 141] 1490| 107| 87] 156] 111 | 169 | 123] 180] 139 Krappeto . . . .| 115| 97| 111] 81| 66] 55] 78] 86] 87] 109) 94] 110| gı Færder on: 21. 128| 62] 113] 107} 71] 47| 85 | 99| 66] 126] 95| 116| 93 Sandøsund , . .| 94| 121| 110} 79| 65] 57] 73] 83] 96] 100! 142] 135] 96 Barker sy ssh 219] 196| 187] 151| 128] 79| 152| 153] 153 | 201 | 168| 177| 164 Dalen: ks 186| 128| 174} 108| 84| 61] 109] 129 | 103 | 200| 210| 146| 137 Torungen . . . .| ı51| 165 | 146| 107 | 95| 78) 119| 107 | 111 | 142 | 177 | 178 | 131 Eee re 190] 140 | 157 | 114| 93| 53| 84] 101 | 89 | 169 | 169 | 184} 129 Ore Weer ARE 140| 132 | 1317 91] 75] 51] 79} 80) 97) 128] 149} 154] 109 Bjelland 274 | 187| 223 | 154| 97| 56|-142| 150| 137| 243 | 228| 231 | 177 Mandal. . . . . 109 | 113| 103| 58| 53| 33| 67] 69| 78] ro7| 109| 110| 84 Soggendal. . . .| 103| 118| 82] 48| 65| 49| 82] 100| 78] 124| 127| 123| 92 Skudenes . . . .| 192 | 199| 202 | 113 | 110 | 102| 145| 178 | 178 | 232 | 213 | 220 | 165 Use 231| 202| 239| 111 | 136| 106| ıgı | 217 | 235 | 303 | 280 | 267 | 210 ROMA Le 317| 250| 246| 137| 174| 131] 158| 221 | 252| 208 | 256| 302| 223 Ullensvang . . .| 222| 190| 175| 92] 132 | 118 | 166 | 195 | 229| 194 | 216| 222| 179 Bergen FN 283 | 230| 234| 131 | 180| 148| 199| 225 | 271 | 255 | 269 | 260| 224 Espeland . . . .| 387| 289| 321 | 224 | 235 | 232| 378| 421 | 456| 311 | 365 | 379| 333 Garin... , . «| 226| 142 | 177| 133 | 125 | 154] 226| 270| 308 | 310| 213 | 294| 215 Kleivene . . . .| 427| 321 | 336| 217 | 247 | 259 | 402 | 478| 470| 352 | 353 | 433 | 360 Stumdal, . . . 240 | ı85 | 207| 138 | 165 | 138 | 254] 345 | 304 | 238 | 244 | 234 | 224 Helliso , . . . .| 347 | 315 | 304 | 168 | 164 | 129] 186| 219] 287 | 336 | 358 | 342 | 263 Fiene were Are 282 | 250| 245 | 133 | 178| 148] 205 | ı81 | 239 | 217 | 2590| 267 | 217 Balestrand . . «| 291 | 230| 251 | 166| 114| 89| 146| 259| 254| 260 | 242 | 242 | 212 Sogndal. . . . > 143 | 129| 108| 52| 70| 78| 123} 102| 130| 141 | 147| 166| 116 Lærdal 2 006 86| 77| 74| 26| 51| 69| 74| 69| r1o1| So| 82|,80| 72 Mora, 2 DER 237 | 212| 209| 114| 123| 92] 131] 145 | 200| 243| 244 | 241 | 183 Dombesten . . .| 232| 217| 217 | 108| 177] 119| 181 | 171] 237 | 206| 248| 192] 192 Aalesund . . . .| 199| 171| 173 | 116] 126| 105 | 141 | 158] 231 | 200| 201 | 204 | 169 GLE Gene 262| 221 | 233 | 156| 136| 114] 157| 153 | 213 | 236| 232 | 252 | 197 Christiansund , .| 158| 142] 15$| 120| 108| 85 | 117| 112| 189 | 184 | 166| 143 | 140 Trondhjem . . .| 224] 183 | 2t1| 218| 161 | 158| 191 | 188| 251 | 222 | 197| 220| 202 Stenkjær . . . .| 273| 215| 254| 205, 183 | 181 | 171 | 205 | 319| 285 | 244 | 263 | 233 vile get er 214| 156| 168| 130| 127 | 114| 112] 115 | 165 | 170| 203 | 177| 154 Preste or ns 304 | 236] 249] 160} 205 | 161 | 169| ı72| 280| 277 | 332] 274 | 235 Lene ee 175| 116| 198 | 118 | 136] 128 | 139] 118 | 153 | 134] 117 | 174 | 142 Nordoerne, , . .| 1811 206! ıgı | 142] 881 80] 69] 138 | 209] 2221 2191 208 | 163 1899. No. 5. KLIMA-TABELLER FOR NORGE. Mai Aug. Septbr Octbr. Novbr Fortsættelse. BS es = en Brenne. 2... 229 | 176 | 189 Hatfjelddalen 242 | 253 | 229 PAN enh hs eue 207| ı61 | 168 Bodgis 5 as =! 167 | 150| 134 Skomvær 262 | 265 | 245 NE son a 175 | 161 | 157 Svolvær sot a 6 172| 265 | 206 Lodingen . . . .| 289| 220| 219 Fagernes . . . .| 106| 116 | 102 Andenes . . . .| 392 | 420 | 397 romsøme ne. 217 | 227 | 209 Koutokeino 50| 47| 40 Altena 85.82) 812 8o| 82] 77 Kistrand 129| 138] 145 Karasjok 76| 96| 118 Gjesyarı a 142| 168 | 176 Vardø to 253| 249 | 288 Sydvaranger . . .| 144 | 169 | 177 125 222 102 99 124 80 161 141 150 243 133 95 gI 119 164 113 131 168 204 | 193 | 201 305 | 272 | 314 à 181 | 178 | 191 168 | 169 | 198 276 | 267 | 278 134 | 164 | 180 295 | 233 | 230 204 | 216 | 228 153 | 115 | 120 397 | 359 | 441 201 | 191 | 191 61| 108| 56 96| 93| 92 124 | 156 | 142 135 | 147 | 126 162 | 185 | 155 204 | 265 | 296 171 | 193 | 183 X. Midlere Antal af Nedber-Timer i en Nedbør-Dag. SEN Eee le SS) 8) 2 )-2) 21% le EG sl ala EEE Reras each: 8.7| 8.9| 8.7| 8.4 | 8.2 FRA TE Vie) Sr Soll Sul Ber Danse... Bion fe GEN Bø leh | Ge 3.8] 4.5] 4.2] 5.2] 6.8] 4.9] 4.8 Jerking er 6.8 | 11.5] 7.4| 6.8] 8.2 8:3 7.4.1841 7511) 9.6117.9:91| 8-2 IDOE A A A io 5:9} 6.7] 6.1] 5.6] 5.7 AA ON AIN GA ON GE GO Nangis et 9.6} 8.9| 9.7| 7.3| 6.4 8.2| 6.8| 8.2| 8.5|107| 8.9) 8.3 Crabe” 7:00 Ser 07:81 MOSS: : 4.6| 4.51 5.01 6.5| 7.2 7.71 6:3 Erydenlund ~~~ 2|10.4 | 87| 9:81 5.8167 | 21| 7.51 4.2.5.9| 6:2)| 13.2|17.7 | 7.9 Ronsaasen . . | oh gu 22.41 991991 8:31 GS 6.77 7.5 [9.2 93 | 9.4 9.7 SAI a: 72.7 670,42 1075| ES Ea 05:61 GEN GEN GONE GEN ORE Lillehammer , 8.7| 7.5|10.0| 5.5| 5.7 | 5.2| 49| 5.2| 6.0] 6.7 | 83] 81] 6.8 Rena an. 9.8| 6.0|10.7| 6.0| 6.6 | 4.9| 6.4| 6.1| 6.0] 6.3|10.1| 9.6| 7.4 Bir eae ALES 10.6 | 13.7| 9.9|11.2| 9.0 | 8.5] 9.4] 9.2] 9.6] 10.7 | 10.6 .1 | 10.4 Hamare, an. 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Gras le S77 GEK 5,501 459,10 0,311. 72311 3.5 7-1 aS) Soe) 70:8) ob 12/0107 | 7A | 764) || 7.4 8.0)! 9.2 || 10.5, 71,4 9.8 Holmestrand. . .| 9.1] 6.3|10.4| 8.9| 5.7 | 4.7| 5.0| 5:4| 3.9| 6.9| 9.0 7.2 Sitskogen . . . .| 13.6 | 10.8 | 11.6 | 10.6 | 8.0 | 10.1] 8.0|10.5| 9.4| 9.9| 9.8 10,5 Krappeto Re NS 2167 a 563 || C8) | 5.311 5-311 0:9) 7.6| 7.0 6.9 Herden . re ee 9:2|, 6.5 99 9.u| 6:3 || 5.5| 6.41 67 Gu 7:31 7.5 7.5 Sandøsund 8.1 | 8.4| 9.3 |10.7| 6.2 | 5.0] 5.2| 5.5| 6.4| 8.3| 8.9 77 arie. 12.5 | 12.1 | 13.3 | 12.3 | 8.7 | 7.5 |10.1 | 9.5 | 10.2 | 10.7 | 11.9 11.0 Walenta a eu 8.5 90| 9.3] 7.5|5.0| 3.9| 5.1]. 5.2| 6.2| 8.8 | 10.8 72 Torungen 8.411 92| 811 7.2 | 6:1 | 64) 6.51 5.61 5.9) 7.6) 3-1 7.3 Ss tah asian å og San og 8.4 16.5 | 5.2 5.5 (Se 500) 8:71 9-1 7.6 OR ahi te mas 7.3 mal Fol §.6 4-7 4.8 2.6 5:6. 6.6.| 7-5 6.4 Vidensk.-Selsk. Skrifter. M.-N. K 5. Aar 54 H. MOHN. M.-N. KI. Fortsættelse. 25 23|2|82 =|2|2[2|2|%|; an SE BEER Bjelland. .:. . . 9.1| 7.6| 87] 6.2| 4.2| 3.0] 5.7| 5.0| 5.6| 8.1] 7.6| 8.4] 6.6 Mandal) eas 7.8| 8.4| 7.8) 6.2) 5.6) 3.6] 5.5] 4.7] 5.7|.6.8) 6.7)1° 7,0] 6.3 Soggendal. . . .| 55] 7:0] 4.7] 3.91 3.9) 3.5] 3:9] 4.1| 3.7] 5.0] 5.3] 521 4.6 Skudenes . å . .| 7.5| 8.3] 7.61 6.5] 5.5] 6.1] 6.6] 7.1] 6.7] 8.1| 8.0| 7.5] 7.1 Være se x 11.9 | 10.9 | 11.8 | 10.0] 10,0] 8.9| 10.9 | 11.1 | 10,6 | 12.6 | 12.2 | I 1.7 | 11.1 RelA. star 13.4 | 14.3 | 13.5 | 11.4 | 1.2 | 11.1 | 0.8 | 10,7 | 12.4 | 12.6 | 13.4 | 13.6 | 12.3 Ullensvang . . .|10.9|11.2 |11.6| 8.2| 8.4] 7.9| 7.6| 8.7] 9.5|10.2 |10.6|11.4| 9.7 Bergen „2.00. 5 11.5 | 10.5 |10.2| 8.0| 8.7| 8.8| 8.7| 9.3 |10.2| 10.6 | 10,4 | 10.2 | 9.8 CISD) „2% 14.9 | 14.1 | 14.4 | 12.7 | I 1.0 | 11.4 | 11.7 | 12.2 | 13.4 | 14.3 | 14.3 | 13.5 | 13.2 13 (2) | vør +- La 13.0| 13.7 |12.6| 9.6|10.0| 9.2| 9.1| 9.1 | 10.6 | 11.6 | 12,7 | 12.2 | 11.1 Balestrand. . , .|10.6| 9.5|108| 8.7| 5.6| 5.4| 6.6| 8.5| 8.7| 9.8| 9.1] 9.8] 8.6 Sogndal, . = . = 9:81 (8.7 | 8012601 153] 6.01 58], 6.1] 701 791 So] S71) 70 eral! sae 6.6] 7.2} 6.5| 3.8] 5.1| 5.6] 4.4] 4.0] 5.9| 5.6] 6.4] 6.7| 5.7 Blows ni sik % 9.0! 9.1] 8.8] 6.7] 6.2] 5.5] 6.0] 6.2] 7.2] 9.0] 89] 9.2] 7.7 Dombesten . . .| 12.6] 13.1] 13.0] 1¢.9] 11.9] 9.8 | 12.3 | 11.7 | 12.6 | 12.4 | 13.7 | 13.2 | 12.3 Aalesund . . . .| 9.5} 10.3] 9.6] 8.7] 7.6| 7.0] 8.0] 7.7] 9.6] 9.0] 9.4] 7.6] 8.7 SONA eh eis se ts 11.2|10.6|11.1| 9.5] 9.2] 9.2] 11.0} 8.6] 9.5 | 10.3 | 10.3 | 10,8 | 10.1 Christiansund , .| 6.7] 7.1} 7.0] 6.5] 5.2] 4.8] 5.6] 4.9] 7.0] 7.0] 7.3] 6.4] 6.3 Trondhjem . . .| 85] 7.8] 9.1| 9.4| 6.2| 6.0] 6.4] 6.1] 7.5] 7.8] 7.8] 8.3] 7.6 Stenkjær . . . .|12.0|11.6|12.6|11.8| 9.5] 9.2] 8.4] 8.6] 11.2] 11.2 | 10.7 | 11.4 | 10.7 Mas He 9.2| 8.8| 8.0] 8.0] 6.9| 7.3| 6.3| 7.1| 8.7| 84] 8.8| 89] 8.0 Presten sas akse 13.5 | 12.1 | 12.5 | 10.7 | 11.0 | 10,1 | 10.5 | I 1.5 | 12.7 | 13.2 | 14.7 | 13.5 | 12.2 Terne" sw 8.4| 8.3| 9.6] 7.5| 6.2| 5.4| 5.5| 4.5| 5.8| 6.0| 6.5| 7.3| 6.8 Nordøerne. . . .| 8.7| 9.2| 9.4| 8.7| 7.1| 7.4| 6.1| 6.9| 7.8| 9.3| 9.6| 8.8| 8.3 Brenne . . . . . 10.3| 9.7| 9.3| 8.6| 8.1| 7.8| 7.1| 6.5| 9.1| 8.9] 8.7| 9.6| 8.6 Hatfjelddalen . .|11.0| 12.9 | 11.9 | 11.8 | 10.6 |10.7| 8.0] 9.6| 11.6 | 12.4 | 13.3 | 12.4 | 11.4 kranene ad: 8.6| 7.9| 8.5| 7.1| 7.0| 5.8| 5.1| 5.7] 7.9| 8.7| 8.9| 8.2| 7.5 Boden "en Le 79| 7.7| 6.8| 6.7] 6.2| 6.1] 5.61 541 6.8) 4,8) 8.3| 8.2| 70 Skomvær . . . .| 9.3| 96| 9.7| 8.3| 80] 5.3| 6.2| 6.1| 8.9| 8.3| 9.3| 9.1] 8.2 Røst Kea = 7.9| 8.8| 8.9| 9.0] 8.5| 7.7| 6.8| 7.8] 9.4| 8.7 | 7.7| 8.1| 8.3 Svolvær. . . . 79|11.2|10.0| 9.7| 9.9| 9.4| 9.8| g.o!11.1| 9.6| 9.2| 7.9| 9.6 Lødingen . . . .|10,0| 8.9| 9.5| 9.2| 8.3] 7.4| 6.7| 6.2| 8.6| 9.0| 8.9| 9.6] 8.5 Fagernes . . . .| 9.2| 9.2| 9.4] 9.0] 8.4] 8.3| 8.0| 8.0| 8.7| 8.7| 9.0| 8.3| 8.7 Andenes . . . .|16.5|16,9| 16.0 | 14.7 | 13.9 | 14.3 | 13.4 | 14.3 | 16.1 | 16.3 | 17.5 | 16.5 | 15.5 Tromsø. (24 8 9.7| 9.7| 9.7| 8.6| 7.6] 7.0] 61] 7.5} 8.2| 8.4| 8.1| 9.0| 3.3 Koutokemo F<. .| 620 620 0.7| 6.01 7.211. 4.70105:31.4:911,.5.2.10.8,9)1.5:81 OISE Alten se ep 7.4} 7.4| 7.2| 6.5| 6.8) 5.9| 8.2| 5.9| 6.0| 7.1| 6.7| 6.4| 6.8 Kistrand . . . .|11.3|12.1 | 12.5 | 12.2 | I 1.5 | 10.9 | 12.4 | 10.7 | 10.5 | 11.2 | 11.9 | 11.6 | 11.6 Karasjok ea] 5-7| 6.1| 7.6| 8.0] 6.3| 5.0| 5.4] 68] 5.6] 7.5| 6.4| 5.0| 6.3 CSVETS aa 11.3 | 10,5 | 12.3 | 13.3 | 11.7 | 11.6 | 9.7 | 12.4 | 11.2 | 12.8 | 11.1 | 11.6 | 11.6 Made «tet > 13.1 | 12.5 | 13.5 | 12.1 | 10.7 | 10.3 | I 1.2 | 9.9 | 10,5 | I 1.5 | 13.2 | 12.4 | 11.7 Sydvaranger. . .| 10.6 | 10.0 | 10.9 | 11.7 1 10.81 10.5 I 9.91 9.91 8.9110.2 | 11.1 | 11.1 | 10,5 XI. Midlere Nedbørhøide mm. i en Nedbør-Dag. h d | å e|=|»/2/15/2|5|3 2 5 A = » SE STP PS Boris, Ek 41: 1.8 | 1500 2.5.1 2202 BEN Sr | 470 34002 Tønset 170.522; 201 2.0 | 2.8 | 22012201 3:0) | 4:8 | 4.6 | 3,5 | 2 TE å 201 431 3212 SNB 4 7.0 | 70 320103 Domass.ar 4 6 0) 207 124 2 KON 72271 8.6 | 3,70] 251102 Wares sk à Zit 1 2.9138 |. 30010477 1:70], 59] 5:2 | 5304 35 KLIMA-TABELLER FOR NORGE. 1899. No. 5. Fortsættelse. LA AMINA FES MO ch eh eh LA FUD NING NHO WMA Rind in AN + Å m NA ++ HAND WMA EM HU N ad D) 6 USE IE DARIN T DASEIN Bee AG FAR RO SO eg 1999( ME HN + NS Md min A+ HE HANS mø Won oO À 5000 DO QM A MHD N PO ITA FF PO QK TMH OM AU MAN HAR À HI TTY AMO DO ‘IQAON mm mA han +G AG + AS HAAG NH DH 0 6 6 © DO 0 0 O AO HAS + +HN0 DYVI MONO HO À HN pan = UR NO ++OmMEO REN ADTHS ON 9040 4 TO MO MH 949 149 PA DE FM NNN ON 0 NA 19190 + Le + FOS ØP + + HIS MHD ARY M AO NARA O À AH A+ mod DO MO 110 O ano mo MANA BANENE Benea Fe NINH OO FH $A AG Ho MOO AH AK H OA MO toa O HO HUN JE EAN A EE IO I ‘1qdes HUM Find Hod FO FG MSG NOG GS 04 1 +46 MI 0 HANN THO FO HO NME AMINO FA en = = = Eee te ‚any MIO Fun AO ARG + + HA RØ ERRANG AN +08 no 140 MO +40 M Dan Ty FNH Fin tn END 90M = 5 a nf mn I AA+ TO FS HAHMUACHUMNAGHOS HOO + Pio OO FR OS FA tend trae Ho NFFS SAN DNNMAMT HE TN O 0 M DOM A MH #00 0 AG H 949 MMAR DO NN ATH MO 09 Mon HEAR Ar EN HtMAt+ S$ PUMA FON + LA i 4 FG 11 mm AN mm I IN DNG D ME O MTA EP ED SP FO SE M FO PE À a A OO OH WI 00% © TH 1909, DO NM TNO MUNIE +H wa rQ09 09.09 DAW IAS TO ya m 19 0,09, 0 1909, 2 judy Qc + De + ta hdd dA AMMMMMMTO MA OMA MOG NNtTAOMINTON TTT TE mine = tn DN Dog = 9 c9 1900 9 DAWG MO H HA HOY AA MO MOUTETMAONQNDMEO MN HE FRONT MP SHEIN Agate = + ON AN on © + + + eh ch HO + + OO +9 00 DIR 00 SO An SE ÈS MMM CO EN ST OO O À K = HO ON" TRH DE ONE +10 +00 OO HAN TRAAANRNHWONDA FT OH AO AA MAL À" EM MOU ENGL Add amamd mH An AH Mind ch + mt tA GO MO SHAW NAS un + À NEO MA MEMMO ON À = = TODO mm AH OM AHO HTH NO MTINO MINA MON NO MO OO DAY OO ee Tess qenuef ; Ad MaAmMaAMA INA TH tA A Minto MHD NWO AG å DANG mo NTT TITOV LH MEO mom A À Li - = 1 URSS EU TC RO M Ei BEINE CE A On ETS ED Ol FO Oe D AL ONE CDN LMD, DE OD OLA TEN TE 0 UN oc ACT Ch et HR CERCLE RECRUE ECS CRC en Fe CURE Y DO» Ont 000 oO) bet. a Sie anse al ne OS ol ONG Tenet Tala Ne LT pe Wallen Heol 0 seat eg nn mes ee an SP EZ nn Se a a ieee Christiansund Trondhjem . Stenkjær .. Nordøerne, . Brønnø . . . Hatfjelddaten Lodingen Fagernes Tromse . Koutokeino Alten Karasjok Sydvaranger Holmestrand Aalesund . ‘Christiania Sitskogen . Krappeto . Færder . . Mandal Soggendal . Skudenes , Roldal , Ullensvang Dombesten Lillehammer, Aas Tonsaasen. , Listad Rena, , Hamar . Eidsvold Granheim Frydenlund . Bir ya 36 H. MOHN. KLIMA-TABELLER FOR NORGE. M.-N. KI. 1899. No. 5. XII. Midlere Nedberheide i en Nedbor-Time. | S$ =) = 8 | a S|È Reros:.. 27. 0.20 | 0,18 | 0,17 | 0.14 | 0.32 | 0.54 | 0.71 | 0.63 | 0.45 | 0.28 | 0.21 | 0,21 | 0,34 HO PG AAR 0.52 | 0.38 | 0.34 | 0.45 | 0.58 | 0.93 | 1.26 | 1-01 | 0.84 | 0.54 | 0.29 | 0.37 | 0.63 Jerkin < 0,30 | 0.39 | 0.43 | 0.42 | 0.41 | 0.66 | 0,85 | 0.95 | 0.38 | 0.44 | 0.23 | 0.25 | 0,47 Domass GE 0.46 | 0.36 | 0.35 | 0.30 | 0.45 | 0.55 | 0.81 | 0.74 | 0.44 | 0.35 | 0.30 | 0.33 | 0.45 Wane ies) fd 0.33 | 0.32 | 0.39 | 0.49 | 0.74 | 0.71 | 0.72 | 0.76 | 0.65 | 0 57 | 0.44 | 0.41 | 0.54 Granheim . . . .| 0.34 | 0.29 | 0.29 | 0.42 | 0.79 | 0.95 | 1.14 | 1.11 | 0.91 | 0,65 | 0.49 | 0.41 | 065 Frydenlund . . .| 0,23 | 0.27 | 0.30 | 0.64 | 0.67 | 1.31 | 0.61 | 1.04 | 0.93 | 0.48 | 0.25 | 0.21 | 0.58 Tonsaasen. . 0.36 | 0.30 | 0.37 | 0.47 | 0.54 | 0.64 | 1.03 | 0.88 | 0.76 | 0.81 | 0.57 | 0.51 | 0.60 Lısta Soa 52 9% 0,17 | 0.31 | 0.16 | 0.39 | 0.50 | 0.78 | 0.89 | 0.55 | 0.57 | 0.51 | 0.31 | 0.20 | 0.45 Lillehammer 0.38 | 0.41 | 0.38 | 0.74 | 0.87 | 0.79 | 1.14 | 1.08 | 0.80 | 0.72 | 0.62 | 0.61 | 0,71 Renae Sheet ct dn 5 0.32 | 0.50 | 0.38 | 0,76 | 0.65 | 0.89 | 1.01 | 0.96 | 0.84 | 0.97 | 0.45 | 0.48 | 0.68 Bias. 0.35 | 0.23 | 0.43 | 0.42 | 0.60 |095 | 1.11 | 0.94 | 0.89 | 0.61 | 0.58 | 0.36 | 0.62 Hamarıı.. 2100: 0.27 | 0.28 | 0.32 | 0.44 | 0.93 | 1.20 | 1.36 | 1-43 | 0.84 | 0.66 | 0 42 | 0.34 | 0.71 Eidsvold 0.52 | 0.46 | 0.54 | 0.60 | 0.76 | 1.10 | 1.20 | 1.27 | 0.92 | 0.82 | 0.63 | 0.57 | 0.78 Aabogen 0.32 | 0.27 | 0.32 | 0.67 | 0.88 | 1.22 | 1.46 | 1-60 | 1.21 | 0,82 | 0.54 | 0.48 | 0.82 Holen a sa 0.22 | 0,25 | 0.42 | 0.41 | 0.57 | 0.78 | 0.47 | 0-46 | 0.60 | 0.46 | 0.34 | 0.33 | 0.44 Christiania. . . .|0,20 | 0.19 | 0.21 | 0.33 | 0.66 | 0.76 | 0.89 | 0.94 | 0.78 | 0.56 | 0.44 | 0.26 | 0.52 Te IE 5 0.38 | 0.26 | 0.30 | 0.50 | 0.57 | 0.71 | 0.95 | 0.94 | 0.71 | 0.69 | 0.58 | 0.45 | 0.58 Holmestrand. . .|0.41 | 0.30 | 0.43 | 0.39 | 0.81 | 0.42 | 1.24 | 1-06 | o 80 | 1.01 | 0.83 | 0.28 | 0.67 Sitskogen . . 0.35 | 0.35 | 0.34 | 0.55 | 0.51 | 0.63 | 1.02 | 0-73 | 0.70 | 0.54 | 0 55 | 0.42 | 0.56 Krappeto . . . .| 0.76 | 0.66 | 0.54 | 0.79 | 1.08 | 1.30 | 1.47 | 1-63 | 1.20 | 1.09 | 0.83 | 0.73 | 1.01 Barden...» | 0.30 | 0,34 | 0.36 | 0.55 | 0.90 | 0.99 | 1.28 | 1:17 | 1.26 | 1.09 | 0.84 | 0.48 | 0.80 Sandosund 0.43 | 0.41 | 0.33 | 0.52 | 0.94 | 1.19 | 1.53 | 1:30 | 1.56 | 1.08 | 0.62 | 0.43 | 0.86 Tarik på Sst 0.40 | 0.36 | 0.41 | 0.43 | 0.48 | 0,73 | 0.92 | 1.03 | 0.87 | 0.72 | 0.68 | 0.61 | 0.64 Talen. ne iets latte 0.51 | 0.40 | 0.47 | 0.64 | 0.86 | 0.06 | 1.33 | 1.44 | 0.98 | 1.00 | 0.70 | 0.57 | 0.82 EG er 0.91 | 0.57 | 0.74 | 0.78 | 0.98 | 1.23 | 2.02 | 1.91 | 1.75 | 1.31 | 1.30 | 0.91 | 1.20 Oxe - «| 0.74 | 0.62 | 0.55 | 0.72 | 1.01 | 1.29 | 1.61 | 2-03 | 1.43 | 1.47 | 1.16 | oO 92 | 1,13. Byelland Sl. 0e 0.62 | 0.34 | 0.56 | 0.46 | 0.81 | 1.29 | 1.36 | 1-44 | 1.27 | 1.25 | 0.90 | 0.78 | 0.92 Mandal. . . . . 1.46 | 1.14 | 1.18 | 1.68 | 1.75 | 2.31 | 2.38 | 3-01 | 2.44 | 2.33 | 2.24 | 1.87 | 1.98 Soggendal. . . .|1.56 | 1.44 | 1.32 | 1441 | 1.43 | 1.80 | 1.89 | 2.08 | 2.19 | 1.84 | 1.59 | 1.53 | 1.67 Skudenes . 0.69 | 0.63 | 0.60 | 0.57 | 0.71 | 0.73 | 0.85 | 0-98 | 0.97 | 0.92 | 0.81 | 0.72 | 0.77 Roller. 0.62 | 0.47 | 0.45 | 0.43 | 0.49 | 0.68 | 0.78 | 0-83 | 1.10 | 0.93 | 0.68 | 0.69 | 0.68 Ullensvang 0.98 | 0.93 | 0.89 | 0.63 | 0.60 | 0.64 | 0.59 | 0.66 | 0.88 | 1.01 | 0.94 | 1.02 | 0.81 Bergen å orde le 0.83 | 0.88 | 0.78 | 0,82 | 0.81 | 0.93 | 1.06 | 1-19 | 1.21 | 1.19 | 0.99 | 1.02 | 0.97 Hiesje Ad ke 0.81 | 0.87 | 0.60 | 0.54 | 0.58 | 0.70 | 9.55 | 0:61 | 0.78 | 0.80 | 0.83 | 1.01 | 0.72 Balestrand 1.09 | 1.04 | 0.71 | 0.61 | 1.12 | 1.25 | 1.20 | 1-21 | 1.49 | 1.20 | 1.20 | 1.14 | 1.11 Sogndal 2.2.5 1.15 | 1.03 | 0.97 | 0.80 | 1.01 | 0.79 | 0.82 | 0-74 | 1.11 | 1.14 | 0.94 | 1.17 | 0.97 Kesrdali > 2... > 0.84 | 0.75 | 0.69 | 0.73 | 0.76 | 0.73 | 1.09 | 1-28 | 0.94 | 0.86 | 0.83 | 0.85 | 0.86- IG 1.17 | 1.03 | 1.02 | 1.01 | 1.16 | 1.43 | 1.51 | 1-74 | 1.74 | 1.28 | 1.25 | 1.18 | 1.29 Dombesten 1.19 | 1.26 | 1.2 | 0.54 | 0.92 | 0.92 | 0.80 | 0-98 | 1.05 | 1.07 | 1.29 | 1.41 | 1.05 Aalesund . . . .| 0.85 | 0.70 | 0.63 | 0.66 | 0.66 | 0.63 | 0.73 | 0-94 | 0.96 | 0 97 | 0.82 | 0.74 | 0.77 Christiansund . .|0.89 | 0.77 | 0.74 | 0.64 | 0.81 | 0.84 | 0.85 | 1-17 | 0.99 | 1.05 | 0.86 | 1.06 | 0.89 Trondhjem . 0.58 | 0,51 | 0,55 |0 40 | 0.42 | 0.46 | 0.53 |.0:65 | 0.63 | 0.79 | 0.61 | 0.66 | 0.57 Stenkjær 0 40 | 0.37 | 0.35 | 0.28 | 0.34 | 0.43 | 0.58 | 0-55 | 0 43 | 0.43 | 0.44 | 0.44 | 0.42 Nordoerne 0.46 | 0.46 | 0.50 | 0.49 | 0.52 | 0.52 | 0.70 | 0-80 | 0.87 | 0.55 | 0,53 | 0.61 | 0,58: Brenne , . . . . 0.46 | 0.46 | 0.43 | 0.46 | 0.58 | 0.66 | 0.74 | 0:80 | 0.82 | 0.75 | 0.78 | 0.53 | 0.62 Hatfjelddalen 0.54 | 0.55 | 0.56 | 0.38 | 0.31 | 0.42 | 0.60 | 0-56 | 0.55 | 0.44 | 0.54 | 0.61 | 0,51 Ranen uud say la 0.80 | 0.76 | 0.66 | 0.70 | 0.65 | 0.84 | 0.95 | 0-85 | 0.99 | 0.94 | 0.95 | 0.89 | 0.83. Boder Mad Bs. le 0.51 | 0.67 | 0.63 | 0.61 | 0.65 | 0.77 | 0.96 | 0:94 | 0.87 | 0.84 | 0.83 | 0.64 | 0.74 Skomvær . . . .|0.15|0.20 |0.14 | 0.17 | 0.23 | 0.33 | 0.51 | 0°30 | 0.40 | 0.30 | 0.29 | 0.22 | 0.27 Rost. ... .|0.50 | 0.41 | 0.43 | 0.42 | 0.38 | 0.52 | 0.60 | 0:59 | 0.76 | 0.58 | 0.71 | 0.61 | 0.54 Se 0.98 | 0.76 | 0.54 | 0.52 | 0.65 | 0.66 | 0.69 | 0-58 | 0.85 | 0.89 | 1.01 | 0.94 | 0.75 Lødingen . . . .| 0.64 | 0.58 | 0.50 | 0.46 | 0.49 | 0.68 | 0.69 | 0-69 | 0.63 | 0.79 | 0.72 | 0.76 | 0.64 Fagernes | 0.37 | 0.35 | 0.32 | 0.33 | 0.41 | 0.54 | 0.65 | 0.68 | 0.65 | 0.53 | 0.53 | 0.44 | 0.48 Tromsø. . . . .| 0.65 | 0.70 | 0.64 | 0.55 | 0.49 | 0.59 | 0.79 | 0.77 | 0.80 | 0.71 | 0.77 | 0.79 | 0.69 Koutokeino . . .|0.22 | 0.09 | 0.10 | 0.15 | 0.30 | 0.58 | 1.25 | 1.26 | 0.81 | 0.34 | 0.29 | 0.37 | 0.48 Alten rer. 0,31 | 0.30 | 0.27 | 0.23 | 0.30 | 0.45 | 0.59 | 0.67 | 0-48 | 0.42 | 0.39 | 0.37 | 0.40 Karasjok . . . .10.38 | 0.35 | 0.20 | 0.23 | 0.35 | 0.69 | 0.85 | 0.54 | 0-54 | 0.38 | 0.30 | 0.34 | 0.43. Sydvaranger. . .!0.16!0.14! 0.12! 0.11! 0,16! 0.25 | 0.50 ! 0.45 10.39 0.28! 0,16! 0.15 10.24, Contributions to the Knowledge of the Genus Lycodes, Reinh. II Lycodes gracilis, M. Sars by R. Collett (With 3 Plates) Videnskabsselskabets Skrifter. I. Mathematisk-naturv. Klasse. 1899. No. 6 Udgivet for Fridtjof Nansen Fond Christiania Sold on Commission by Jacob Dybwad A. W. Brogger, Printers 1399 Contributions to the Knowledge of the Genus Lycodes, Reinh. II. Lycodes gracilis, M. Sars. by R. Collett. I 1898, I published some observations made of a hitherto little known species of Arctic Deep Sea Fishes, Zycodes sarsii, originally de- scribed, in 1871, from a very young specimen (of a total length of 44 mm.) which was caught at a depth of 100 fathoms in the Hardanger Fjord (Norway), September 1869. I there endeavoured to explain the changes in colouration and other external characters which this species undergoes from its youth, till it becomes capable of propagation!, The chief materials connected with this species, were gathered during the practical scientific investigations which were undertaken in the Ska- gerak, in 1897 and 1898, under the guidance of Dr. Petersen, and in the Christiania Fjord under that of Dr. Hiorth. There is now to hand a series of specimens of a Zycodes, obtained from these combined expeditions, illustrating the more advanced stadia of a species which, under the name Zycodes gracilis, procured in the Christiania Fjord, was described in 1866 by Prof. Sars, sr. The type specimen was a very young individual, caught in Dröbak Sound, 1865; it was not subsequently met with in this Fjord, whilst a few young specimens of this species have been obtained in the Trondhjem Fjord. The specimens of Zycodes gracilis to hand, represent this species from its youth up to the period it is capable of propagation. Although this is on the whole an unbroken series, the dealing with it, nevertheless, - presents several difficulties. 1 Vid. Selsk. Skrifter Christiania 1898. Math.-Naturv. Klasse No. 1 (Christiania 1898). The specimen was found in 1869, not in 1870, as therein stated, Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 6. 1% 4 R. COLLETT. M.-N. Kl. For the first, it is possible that Z. gracilis has already been de- scribed under some other name; and there are to hand two such forms, both infantile (like the type specimen of Z. gracilis), and exhibiting insufficient specific characteristics to allow of their being properly defined, viz., L. perspicillum, Kr. 1844, from Greenland, and Z. rossi, Malmgr. 1864 from Spitsbergen. In the second place, the specimens to hand, obtained from Scandi- navian waters, although fully capable of propagation, do, possibly, not represent the extreme limit of development that this species can attain to, and Z. gracilis may, possibly, reach a greater size, and then be of different appearance to the above mentioned individuals from our shores. It is possible that one may at last rediscover it in some or other previously recognised form (from Greenland) whose youthful stages have, hitherto, been unknown. Scarcely sufficient materials have come to hand as yet, to allow of a final settlement of these questions. As it is presumed that every contribution to the knowledge of this remarkable genus (of which hardly one of the many described species can, as yet, be said to be known in its entirity) will be of interest, I have endeavoured to describe that, which at present, must be regarded as certain facts connected with the Scandinavian form of this species, the typical «Z. gracilis»; and, in the present treatise, I have treated the species as if other doubtful synonyms did not exist. In the following pages I shall mainly endeavour to point out the changes undergone by L. gracilis during its growth, from infancy up to the time when the power of propagation has commenced. As above mentioned, the materials to hand have been principally obtained during trawling operations off the south coast of Norway, in the Cattegat and Skagerak, which were undertaken with a practical scientific object in view, under the leadership of Dr. Petersen and Dr. Hiort, and by these gentlemen kindly placed at my disposal. From my investigations it appears, that the transverse bands down the body, on which the original characteristics are mainly based, are chiefly representative of youth, and wholly or almost disappear in the somewhat older fish. As similar markings are probably found on several species of Lycodes only during youth, it is clear that satisfactory specific characteristics can hardly be obtained within this genus, except from more matured specimens. 1899. No. 6. LYCODES GRACILIS. 5 1866. 1874. 1878. 1880. 1880. 1886. 1898. 1864. 1880. 1895. 1895. 1878. 1880. 1886. 1895. 1805. 1898. Lycodes gracilis, M. Sars 1866. Lycodes gracilis, M. Sars, Forh. Vid. Selsk. Chria. 1866, p. 40, Pl. I, Fig. 1—3 (Chria. 1867). Dröbak Sound. L. gracilis, Coll., Norges Fiske, Tillægsh. til Forh. Vid. Selsk. Chria. 1874, p. 100 (Chria. 1875). L. gracilis, Coll., Forh. Vid. Selsk. Chria. 1878, No. 14, p. 62 (Chria. 1879). L. gracilis, Coll., Den Norske Nordhavs-Expedition 1876—78. I. Zoologi, Fiske, p. 106. With woodcut. (Chria. 1880). L. gracilis, Lütken, Vidensk. Medd. Naturh. Foren. Kbhvn. 1879—80, p. 323 (Kbhvn. 1880). L, gracilis, Lütken, Dijmphna-Togtets Zool.-Bot. Udbytte. Kara- Havets Fiske, p. 134 (Kbhvn. 1886). L. gracilis, Lütken, Den Danske Ingolf-Expedition, 2 B. I. Det Ichthyologiske Udbytte, p. 21 (Kbhvn. 1898). Davis-Strait. Doubtful Synonymy. L. Rossi, Malmgr. Ofv. Kgl. Vet. Akad. Förh. 1864, p. 576 (Stockh, 1865). Spitsbergen. L. rossi, Coll, Den Norske Nordhavs-Expedition 1876—1878. I. Zoologi, Fiske, p. 107 (Chria. 1880). L. reticulatus, Rossi, pt. Smitt, Scandin. Fiskar, 2 Uppl. p. 612, Fig. 148 (Stockh. 1895). L. vahlii, Smitt, pt. Scandin. Fiskar, 2 Uppl. p. 615, fig. 150 (Stockh. 1895). L. pallidus, Coll, Forh. Vid. Selsk. Chria. 1878, No. 14, p. 70 (Chria. 1870). Spitsbergen. L. pallidus, Coll., Den Norske Nordhavs-Expedition 1876—1878. I. Zoologi. Fiske, p. 110, Pl. III, Fig. 26—27 (Chria. 1880). L. pallidus, Lütken, Dijmphna-Togtets Zool.-Bot. Udbytte. Kara-Havets Fiske, p. 134, Tab. XVII, Fig. 1—3 (Kbhvn. 1886). Kara Sea. L. pallidus, Goode & Bean, Oceanic Ichthyology, p. 306 (Washingt. 1895). L. zoarchus, Goode & Bean, n. sp., Oceanic Ichthyology, p. 308, Fig. 276, 276 A, 283 C (Washington 1895). Nova Scotia. L. zoarchus, Jordan & Evermann, Fishes North America (Part III), p, 2464 (Washington 1898). 6 R. COLLETT. M.-N. KI. History. As previously mentioned, the main object of this short treatise is to give a description of the form of Zycodes that is spread along the shores of Scandinavia, and which was first known, in 1866, by the name of Z. gracilis, and indicate the changes which take place in this form, from its infancy to the period at which it is capable of propagation. It appears that the same form occurs, apparently unchanged, also in the true Arctic seas, as isolated individuals have also come to hand from Iceland and Greenland. Whether Z, gracilis is identical with Z. ossi, Malmgr., and L. pallidus, Coll., both from Spitsbergen, is a question which can only be solved with certainty from more abundant materials than those at present available. The resemblance between the type specimen of Z. gracilis, and the type specimen of Z. rossi is very considerable; and this is likewise the case between the type specimen of Z. pallidus and an equally large specimen of Z. gracilis. As I, nevertheless, believe that I can indicate some differences between Z. gracilis and the other mentioned species, which may possibly prove to be constant, I have deemed it better for the present to keep these species apart, and it will therefore be a matter for future research, when a connected series between all these is to hand, to, possibly, classify them all under one species (Z. rossi. Mgr. 1864). In 1866, M. Sars! published a description and drawing of «a new Fish, Lycodes gracilis», caught, in 1865, at a depth of 50 to 60 fathoms of water, in Dröbak Sound. It was an infantile specimen, of a total length of 43 mm., characterised by 10 saddle-shaped transverse bands on a whitish ground, and a naked (scaleless) body. The pectoral fins had 17 rays; the height of the body was 3.5 to 4 mm. More than 20 years passed before Z. gracilis was again found on the shores of Norway. In July 1888, 4 young Z. gracilis were caught at Bynæsset in the Trondhjem Fjord, at a depth of about 70 fathoms, by Dr. Storm, which I, through his kindness, have had an opportunity of examining. Their total length varied from 97 to 137 mm. In the Summer of 1894, during trawling operations in the Trondhjem Fjord, under the guidance of Dr, Storm, a still younger L. gracilis was obtained, whose total length was but 47 mm., and which 1 Forh. Vid. Selsk. Chria, 1866, p. 40 (Chria. 1867). 1899. No. 6. LYCODES GRACILIS. 7 was thus but a trifle larger than the type specimen from the Christiania Fjord. Like the latter, it possessed the youthful characteristic transverse bands down the body, which in the above mentioned specimens, from 1888, had already become indistinct. The chief materials respecting the Scandinavian Form of this species, came, however, first to hand in 1897 and 1808. In July 1897, Dr. Petersen! obtained a score of specimens of a Lycodes from various parts of the Skagerak; and in July and August of that year, Dr. Hjort also obtained specimens of the same species from the Christiania Fjord, especially in the deep waters off Aasgaardstrand, as well as near to, and to the north of Dröbak, up to and between the islands off Christiania. In going through all these materials, it appeared that they formed (together with those from the Trondhjem Fjord) an uninterrupted series, from the infantile up to the mature specimens of L. gracilis, In the Summer of 1808, Z. gracilis was again obtained, during the continued practical scientific investigations of the South Coast of Norway under the leadership of Dr. Hjort, at other parts of the mouth of the Christiania Fjord, such as the Laurvik Fjord and Lange- sunds Fjord. The materials gathered by Dr. Petersen in 1897, were obtained, partly from the Læsö Channel in the Cattegat, partly from other places off the Scaw, some specimens being also caught in the Gullmar Fjord, as well as near Hallö Lighthouse off the coast of the Bohuslehn. A couple of the last individuals which I have had an opportunity of examining, were of a length of 175 to 178 mm., the greatest length I have met with in specimens from the Scandinavian coasts. Both of these were males; the first (Gullmar Fjord 31st July 1897, 60 fathoms, eel net) had swollen testicles, and was very dark in colour; the other largest (Hallö, 29th July 1897, 95 fathoms) possessed, on the other hand, very small testicles. This specimen was, too, somewhat of one colour, and had no side spots or bands. In 1891, I had, moreover, received a young specimen of a Lycodes from Dr. Gröndal of Reykjavik, which had been caught off Iceland that year. It proved to be in all respects identical with equal sized speci- mens of Z. gracilis from the Christiania Fjord (See Fig. 10). The total length of this individual (a female) was 125 mm., length of head 28 mm. 1 Head of the Danish Biological Station. a R. COLLETT. M.-N. Kl. Of late years Z. gracilis is only mentioned, as having been redis- covered, by one author. Amongst the materials collected by the «Ingolf Expedition» to the shores of East Greenland, were two individuals caught in Davis Straits at a depth of 88 fathoms, the 11th July 18961. These specimens which I, through the courtesy of Dr. Liitken, have had an opportunity of examining, appeared to agree in all respects with those from the Skagerak and shores of Norway. Their measurements were as follows: a. Total length 143 mm.; length of head 28 mm. Height above the anus 14 mm. b. Total length 244 mm.; length of head 49 mm. Height above the anus 26 mm. Remarks on the Synonyms. 1. L. perspicillum, Kr. 1844. Originally 2 young specimens were known, whose total lengths were 39 and 65 mm., but of these only one now exists (Copenhagen Museum). The markings resemble those of Z. rossi and L. gracilis, but the lateral line is medio-lateral, and the body already covered with scales. In 1898, I advanced the assumption? of Z. perspicillum being the young stadium of Z. reticulatus, Reinh. 1834—35, a conclusion which also other authors have considered reasonable. Notwithstanding it having been stated that Z. perspicillum on several occasions had been rediscovered in young specimens, the uninterrupted series between these and the mature species has not been obtained as yet, and the species must thus be regarded as being problematical. 2. L. rossi was described in 1864, by Malmgren, from two very young specimens, the larger of them, of a total length of 32 mm., having been obtained by the first Swedish Polar Expedition in 1861, at Treurenberg Bay (on the north side of Spitsbergen). Of these, but one still exists, and is preserved in the Riks Museum at Stockholm. Through the kindness of Professor Smitt I have had an opportunity of making a direct comparison between the type specimen of Z. rossi 1 Den Danske Ingolf-Expedition, Vol, 2 (Det Ichthyologiske Udbytte) p. 21 (Kbhvn. 1898). 2 Forh. Vid. Selsk. Chria, 1878, No, 14, p. 61 (Chria, 1878). 1899. No. 6. LYCODES GRACILIS. 9 and the type specimen of Z. gracilis. As the two specimens were of unequal size, and there only as yet exists the one infantile specimen of Z. rossi (total length 32 mm), no fully decisive satisfactory results could be drawn from this comparison. L. vossi has 8 broad dark transverse bands on its yellowish white ground colouring. Its skin was (still) naked. The foremost of these transverse bands was separated from the forehead by an inconsiderable lighter band (nuchal band), the adjoining position of the forehead being darkly tinged. All the transverse bands cross the median line of the body, but it is the 6th that first extends quite down to the anal. The transverse bands were, besides, more of the nature of rings, being dark at the edge, lighter in the middle. These edges also con- tinued their course up the dorsal (in its foremost portion). Amongst its other characteristics, it was noticeable that the angles of the mouth extended to the front margin of the lens; a lateral line was not developed. M. B. 6. The total length was 32 mm., that of the head 8 mm. The distance from the end of the snout to the anus was 15 mm., the vent itself being situated below the front margin of the 3rd transverse band}. It will thus be seen that the anus lies somewhat in front of the centre of the L. rossi, Malmgr. 1864. Type specimen, Spitsbergen 1861. body (the ante-anal portion being con- tained 2.13 times in the total length). The number of rays is stated by Malmgren to have been: D. 87, iN (den 15 16) The two specimens of Z. rossi and L. gracilis unquestionable agree in all their main features. That the number of transverse bands in Z. rossi were two less than in Z. gracilis, is of no importance, as other young specimens of L. gracilis own only 8, like Z. rossz, Traces of a light nuchal band are observable in both specimens, somewhat more defined in the infantile Z. rossi than in the other. Whilst the type specimen of Z. gracilis had 2 black spots on the fore part of the dorsal, such were not to be seen on the little Z. FOSST; but it has subsequently appeared that a number of L. gracilis from the Christiania Fjord were also without such spots. 1 A drawing of Z. rossi (twice its size) was published by Professor Smitt, in 1895, in Scandin, Fiskar. 2 Uppl. p. 612 (Stockholm, 1895). ; 10 R. COLLETT. M.-N. Kl. On the other hand the head is, certainly, comparatively larger in L. rossi than in L. gracilis, which will be seen from a comparison of all the youngest individuals to hand. L. rossi. Total length 32 mm.; length of head 8 mm. (4.00) Type. L. gracilis. — 43 > — 9 » (4.77) Type. = = Ae Zi 9 » (5.22). as ee — 12 » (5.00) It thus may be possible that the greater length of head is not exclu- sively ascribable to the excessively young age of the fish, as the same feature is observable also in the form which possibly represents the more advanced stadium of Z. rossi, viz., L. pallidus. Up to the present Z. rossi has not been again met with in the locality where it was first found; and so far as is known this species has not been mentioned under the above name by subsequent authors, except as a doubtful synonym under L. reticutalus!. A unbroken series between this type specimen and other Lycodes from those waters has thus, as yet, not been obtained. 3. L. pallidus. This species was described by the Author in 1878, from the materials procured by the Norwegian North-Atlantic Expedition which contained two specimens, caught in August 1878, in Spitzbergen waters at depths ranging to 459 fathoms. The larger individual was a male (with well-developed testicles), of a total length of 164 mm. In both, the colouring was pale greyish yellow; the body of the larger specimen had no distinct markings, but a row of brownish black patches were visible on the hinder portion of the dorsal. The younger specimen (total length 93 mm.) was more deeply coloured, and had a row of dark shadings, like indications of broad bands down the body, and very distinct black band-like spots on the hinder portion of the dorsal. In the foremost parts of the dorsal the patches were indistinct, but, nevertheless, visible (especially the front ones). In its dentition, number of rays in the pectoral, scale-covering, and in the course of the lateral line, Z. pallidus (which in 1878, when the species was discovered, could not be assigned to any then described form) is, mainly, like Z. gracilis. On the other hand, the length of the head is, throughout, less in Z. gracilis than in the two type specimens of Z. pallidus. In the 1 Collett, Forh. Vid, Selsk, Chria. 1878, No. 14. p. 63 (1878); Collett, Den Norske Nordshavs-Expedition 1876—78, I. Zoologi, Fiske, p. 107 (1880). Smitt, Scandin, Fiskar, 2 Uppl, p. 611—612, (Stockh. 1895). 1899. No. 6. LYCODES GRACILIS. II latter, the length of the head is contained 4.42 and 4.43 times in the total length. These proportions I have but exceptionally met with in a few males of Z. gracilis, whilst the head in most of the males of this species is contained about 4.6 to 4.7 times in the total length (the females, as above mentioned, 5 times or more). A colouration, exactly similar to that of the two type specimens of Z. pallidus, I have not found in some 60 specimens of Z. gracilis from Scandinavia, Iceland and Greenland, which I have hitherto examined. The intensely dark spots which deck the hinder portions of the dorsal fin, (especially, the younger specimens of the first mentioned species), have not appeared in Z. gracilis, even if there may be indications of such (see Fig. 5). Finally, it appears, that all specimens of Z. gracilis are covered with scales over the entire belly, and along the base of the dorsal and anal, extending occasionally, almost quite out to the edges of these fins. The fins of the two type specimens of Z. pallidus were scaleless, and the middle of the belly was also naked. As above stated, I have therefore considered that, for the present, L. pallidus (together with its probable infantile form, Z. vossz) ought to be regarded as a separate species, until more certain connecting links between the two species can be discovered. It is stated that Z. pallidus was refound by the Danish Dijmphna- Expedition 1881—82, in the Kara Sea. These specimens were described and drawn by Lütken in the account of the Expedition. In these specimens, too, the length of the head, throughout, is relatively greater than in Z. gracilis (according to Lütken 4.0— 4.5 times in the total length). Besides, most of the young individuals were far more deeply coloured than Z. gracilis, the transverse bands on the dorsal being more sharply defined, and, in some, the bands of the body too (remains of the infantile dress). Other individuals were, on the other hand, of a more uniform colour, and, in colouration, did not appear to differ greatly from some specimens of Z. gracilis from the Christiania Fjord. One of these specimens was presented by Dr. Lütken to the Christiania Museum. It was a female (with half developed roe). Its total length was 140 mm.; length of head 34 mm. The length of the head was thus contained 4.1 times in the total length. So great a length of head I have not ever met with in any specimen of Z. gracılis from more southern waters. 12 RISCOLLETT. M.-N. KI. It is also stated that a number of Z. pallidus were obtained by the Danish Ingolf-Expedition in July and August 1896, from several places north of the Faroë Islands, about Iceland, and south of Jan Mayen Island 1, The specimens, the largest of which was of a total length of 245 mm., were caught at considerable depths, or between 293 and 957 fathoms, and from icy cold water (bottom temperature down to —1.1° Celsius). No special description has as yet appeared concerning these spe- cimens. 4. L. zoarchus, Goode & Bean. In 1895, a couple of specimens of a Lycodes were described under this name which were obtained by the «Albatross Expedition» (of late years) from a depth of 130 to 190 fathoms, off Nova Scotia. The largest of these individuals was of a total length of 366 mm. It appears from the detailed descriptions, given by the above named authors, and the accompanying illustrations, that Z. zoarchus does not appear to differ in any important point from the Scandinavian L. gracilis, Diagnosis. Body tolerably elongated; the height is contained (above the anus) g.5 to 10.5 times in the total length. In the males the head is contained about 4.5, and in the females about 5 times in the total length. The tail is longer than the head and body eee The body proper is contained about 2.5 times in the total length. Colouration changes with age. Young ones have 8 to 10 broad, dark, and closely situated cross bands down the body. These bands disappear completely, as a rule, in adults; the ground colour is light greyish brown with irregular patches which can form annular stripes along the body, or the body is of one uniform dark greyish brown colour throughout. Most (light and uniformly coloured) specimens have a row of dark greyish brown spots running along the median line of the body. 1 Den Danske Ingolf-Expedition, Vol. 2, No. 1. Det Ichthyologiske Udbytte, p. 22 (Kbhvn. 1898). 2 Goode & Bean. Oceanic Ichthyology, p. 308, fig. 376, 376 a, 383 c (Washington 1895). 1899. No. 6. LYCODES GRACILIS. 13 At the commencement of the dorsal most specimens exhibit ı or 2 brownish-black spots. Size. Capable of procreation when of a total length of 125— 150 mm. The greatest length hitherto observed in Scandinavian spe- cimens is 178 mm. (in Greenland specimens 244 mm.). Scale Covering. Small young ones naked; at a total length of about 60 mm. the scales begin to appear. When full grown the scales cover the entire body with the belly up to the head, as well as the base of the dorsal and anal. Lateral Line ventral (incomplete). Teeth normal; present in the jaws, on the palatine bones, and vomer. M. B. 6. Pectoral Rays 17 to 18, rarely 19. Habitat: Cattegat, Skagerak, Norway, Iceland, Greenland. Description. Szze. The largest Norwegian specimens were of a length of 170 mm, to 178 mm., but it is probable that the species can be not inconsiderably larger. A specimen from Greenland has a length of 244 mm.t. The power of propagation exists long before this size is attained. The youngest pregnant female I have examined was of a total length of 120 mm. The male, most probably, arrives at puberty somewhat later. I have seen swollen testicles in males of a total length of 153 mm. Measurements in millimètres. EE 8 SS - NE MERE Ee Eh, bo | bo |boå | bo se |s 2 u a a a laslan| à |E SSIES j 3) j j |as 2/8 (a8lasls |f8l28)e |e legia|s 25 Se els] å laglae| as | À [E2| à | & (Le Total length . . . . | 97| 104 | 109 | 124 | 137 | 142 | 145 | 150 | 153 | 160 | 163 | 165 | 170 Length of head. . . .|18.5| 22|20.5| 24| 28| 28| 31] 34| 34 34 | JE ES 22 End of snout to anus | 36| 40| 42| 47| 521 54| 57| 62| 60| 64| 63| 65| 64 | Height above anus . . | 11| 1o| 11] 13| 12| 10| 15| 16| 16| x4| 15 | 16| 16 1 Provided Z. zoarchus, Goode & Bean. 1895, from the sea off the coast of the North American States (Nova Scotia), is identical with this species, the species attains at least a length of between 300 and 400 millimètres, 14 R. COLLETT. M.-N. KI. Structure of the Body. The length of the head is greatest in the males, in which it is con- tained 4.4 to 4.7 times in the total length!. It is comparatively lesser in the females (especially in the largest individuals), and is contained occasionally 4.7, but as a rule 5 to 5.3 times in the total length. The height of the body is least in males, greatest amongst the females. Measured over the anus it is about equal in both sexes, and in average sized exemplars is contained 9.5 to 10 times, and in large specimens from 10 to 10.5 times in the total length. The tail is considerably longer than the head and body together (which is contained from 2.4 to 2.6 times in the total length), Anus thus lies considerably nearer the end of the snout than the caudal. In the very young, the proportions of the body are about the same as in old individuals; viz.: Total length 43 mm.; length of head 9 mm.; end of snout to anus 16.5 mm. Total length 47 mm.; length of head 9 mm.; end of snout to anus 17 mm. Total length 60 mm.; length of head 12 mm.; end of snout to anus 22 mm. In these three specimens, the length of the head is thus contained in the total length from 4.7 to 5.2 times, and the body’s ante-anal portion 2.6 to 2.7 times. Colouration. a. Fry: unknown. b. Very young individuals. Two specimens examined were of a total length of 43 to 47 mm. (Dröbak 1865; Trondhjem Fjord 1894). The colour is whitish, with 8 to 10 almost quadratic (or, down- wards, somewhat pointed) cross bands, the first immediately behind the neck, the last forming a trifling dark point on the tail. In colour, these cross bands are dark greyish brown, darkest in the margins which can be almost black, lightest in the centre. Two belong to the body proper, the others to the tail portion. The fore- most bands stop at the median line, the hindermost run down to or beyond the anal. 1 In a young male, of a total length of 137 mm. the head is contained 4.89 times in the total length. 1899. No. 6. LYCODES GRACILIS. 15 All the transverse bands continue more or less distinctly across the dorsal. Two distinct black patches at the commencement of the dorsal, Between the foremost cross band and the front is a lighter stripe of the ground colour (almost imperceptible). The number of the transverse bands vary, independently of the body. In the type specimen, the anus is placed under the beginning of the third transverse band, in the other, under the hind margin of the second (Fig. 1—2). c. Larger young ones. ı specimen examined, total length 60 mm. (Dröbak, Aug. 1897). The transverse bands still distinct, but somewhat paler than in the former (the number in this specimen, 9, of which 7 on the tail). Two intensely black patches are found on the dorsal above the two foremost (body) stripes. No trace of a nuchal band (Fig. 2). d. Individuals of medium size. Numerous (about 60) specimens examined, of a total length of go to 140 mm. (Christiania Fjord, Skagerak, Cattegat, Trondhjem Fjord 1888—08). The transverse bands of the young disappear rapidly, and are but rarely still faintly visible in specimens of medium size. This was the case in a few young individuals caught in the Trondhjem Fjord during the summer of 1888, whose total lengths were from 97 to 137 mm. In all of these the transverse bands (which numbered 8 to 9) could be faintly seen, but appeared to be almost annular, as in the centre they were but slightly darker than the ground colour}. Most of the specimens are thus without these transverse bands. Above the median line the body is, as a rule, of a light or dark greyish brown colour, below the median line, lighter and greyish yellow (less coloured). In those individuals, in which the last traces of the brownish trans- verse stripes are still visible, these (as mentioned above) as a rule consist of but a semi-circle which is open at the top on the dorsal, and with a somewhat dark margin. The interior is of the same tint as the ground colour, or slightly darker than it. In other specimens, these markings appear as irregular stripes or patches, generally but slightly defined. Below the median line, traces of these markings are seldom seen. 1 When preserved in spirits for some time, they almost entirely disappear. 16 R. COLLETT. M.-N. Kl. In other specimens, the patches are almost entirely absent; these are mostly of a uniform colour, dark greyish brown, over the whole body. Young individuals of a total length of but 103 mm., may have this colouring as well as those of the largest size. As a rule, these uniformly coloured individuals are males (Fig. 3, and Fig. 7). A number of specimens exhibit a characteristic marking, as there runs along the median line a more or less connected row of dark greyish brown, and often somewhat strongly defined small spots (of the size of the eye or less). These may be traced from the sides of the head out to the very end of the tail. In many individuals these side patches form the most distinct markings of the body (see Fig. 8 and Fig. 10). In most individuals two more or less intensely black spots will be found at the commencement of the dorsal. These two spots occasionally (but not always) form the front margin of the continuation of the two body bands across the dorsal; but they often occur as separate spots without any direct connection with the bands below it. These spots are often retained even after the transverse bands have disappeared, and they are usually darkest in the uniformly coloured variety. Occasionally there is but one such spot; occasionally both are but slightly indicated, or absent altogether. In many individuals the dorsal has besides (especially its hinder portion) darker patches, like traces of the vanished transverse bands (se Fig. 6), but these are rarely very strongly marked, and most often absent}, Mature Individuals (capable of breeding). Total length 142 to 178 mm. Several specimens examined (Christiania Fjord and Skagerak, 1897—1898). Only quite occasionally do these specimens retain traces of the trans- verse bands, mostly in the form of open and broken rings (see Fig. 9). The colouration on the whole, chiefly as in specimens of medium I A young individual which I had for some time in a living state, was of the almost uniformly coloured variety, without distinct patches, and with the last faint traces of bands (total length 110 mm), When living, the anal was whitish in front, but the hinder portion was greyish brown, like the back; yet the whole of the outermost fringe was colourless. The belly was whitish; the margins of the anus, blue, The iris was skyblue, the surroundings of the eye somewhat lighter than the other portions of the upper part of the head. The foremost black dorsal patch was most distinct, the other less so. Neither of them appeared to have any connection with the stripes below. The specimen proved to be very tenacious of life, and lived, at last, in a little flat saucer for about an hour in pure fresh water, before it died. 1899. No. 6. LYCODES GRACILIS. 17 size. The old males are often somewhat dark in colour, several being of one uniform greyish-brown tint over all; others had lighter bellies, and the rows of the characteristic patches along the median line run right to the end of the tail. Stripes, or other markings, are more rarely present. The black spots at the commencement of the dorsal are often indistinct, and occasionally quite wanting. Nuchal patches are absent, À special pairing dress has not been observed (in the Scandinavian specimens that have been obtained). Males have been taken with swollen testicles, and females with roe, which are almost entirely of an unspotted greyish-brown colour; other pregnant females possessed lighter, and more typical colours, with faint patches on and above the median line. Difference between the Sexes. There is no distinct difference in the colouration of the sexes. Strongly coloured females, with very distinct side spots, are often met with, presenting an exactly similar appearance to many of the males. Almost unspotted individuals (of a uniform greyish-brown colour) are to be found as often amongst the males as amongst the females. The old males are, however, possibly, as a rule, more uniformly coloured than females of the same stage usually are. On the other hand, the head, as before mentioned, is comparatively longer in adult males, and the height of the body (measured over the belly) somewhat less than in the females. The cheeks are also broader and bigger in the males than in the females. In both, the mouth runs back to the centre, or hind margin of the lens, As a rule, it is thus easy to distinguish the males from the females by the comparatively longer and broader head; but this difference is not always present, and there are males with small heads like the females (see p. 14, foot-note). The Teeth. The dentition is similar to that of most Lycodes. In the inter- maxillaries, the foremost form a double row, the others a single row. Those in the lower jaw are similar to those in the intermaxillaries. They likewise form a single row in the palatine bone (its length being somewhat less than that in the intermaxillary). The Vomer has 2 to 4 single, long, teeth (the longest of all). bo Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899, No. 6. 18 R. COLLETT. M.-N. KI. The Number of Rays. The number of Rays in the dorsal and anal are, as a rule, of little significance in distinguishing the species in this genus. In one specimen in which I endeavoured to count the rays, the dorsal appeared to contain. about 120. There are 17 to 18 rays in the pectorals, more rarely 19. (The number is here also somewhat arbitrary, on account of the fineness of the innermost rays). The Scale Covering. The scales of Z. gracilis begin to appear when the individuals are between 50 and 60 mm. in length. The type specimen, a very young individual of a total length of 43 mm., was naked. A somewhat larger specimen, 47 mm. in length, was also naked. The scales on a young specimen, of a total length of 60 mm., were just out. The greater part of its body was covered with scales, but portions of the tail were still naked. A large young specimen, whose total length was 86 mm. had not yet completed its scale covering, but the scales were still in the process of developement on portions of the tail. In a young individual, of a total length of 97 mm., all the scales had appeared. In adults, the scale covering clothes the entire body to the neck and ventrals, the belly, and the bases of the dorsal and anal. The lateral line is infero-lateral (ventral). In most specimens it is but distinct at the beginning of its course, where it proceeds from a little arch above the upper flap of the gill covering, running thence in in a slanting direction down towards the anus, and may occasionally be discerned a little way along the tail somewhat above the anal. Depth. The depth at which Z. gracilis has been taken is, in the Christiania Fjord, as a rule, about 30 fathoms, occasionally 60 fathoms. It has not been met with in shallower water. In the Skagerak, Dr. Petersen has obtained specimens at depths of 80 to 106 fathoms. It is probable that it occurs at even greater depths. 1899. No. 6. LYCODES GRACILIS. 19 Food. From the examination of a number of individuals, obtained from the Christiania Fjord and from Throndhjem Fjord, it appears that the food chiefly consists of small crustaceans and mollusks. Almost all contained chiefly Cumacea in greater or lesser numbers. The specimens examined thus contained the following!. 1. Dröbak Aug. 1894. Kelliella miliaris, Diastylis serrata, Philome- dusa brenda, as well as an Amphipode, which could not be identified. 2. Dröbak Aug. 1897. The carapace of an Hippolyte. 3. Dröbak Aug. 1897. Kellzella miliaris, Diastylis cornuta, an Amphipode (indefinable), and small young ones of Pecten abyssorum. 4. Dröbak Aug. 1897. Kelliella miliaris, Diastylis cornuta, Dia- stylis serrata, Leucon nasicus, Cardium minimum, Yoldia lucida. 5. Dröbak Aug. 1897. Diastylis cornuta, Diastylis serrata, Dia- stylis biplicata, Leucon longirostris, Campylaspis verrucosa, Philomedes brenda, Yoldia frigida. 6. Dröbak Aug. 1897. Parts of a Crangon; one Foraminifer (Sacca- mina), 7. Dröbak Aug. 1897. Diastylis resima, Diastylis lucifera, Leucon nasicus, Leucon brevicornis, Aceros phyllonyx, Philomedusa brenda, Macro- stylis spinifera. 8. Brevik Fjord Nov. 1898. Kelliella miliaris, Philomedusa brenda, an Amphipode; Cardium minimum, Yoldia lucida, Yoldia pygmaea. 9. Bolærerne Sept. 1897. Kelliella miliaris; Foraminiferes (8:/0- culina). 10. Langesund Fjord Sept. 1898. Young of a Carcinus. 11. Trondhjem Fjord July 1888. An Amphipode (indefinable); Yo/dia lucida. In a specimen from Iceland (1891) was found: Pontophilus norvegicus, Diastylis edwardsii, Leucon nasicus, and parts of the ray of an Ophiura. Parasites. Several of the young individuals had Amchorellae attached to the dorsal (especially on its foremost portion). One young specimen (Dröbak, Aug. 1897) which was slightly damaged (the end of the tail being want- ing, but;the specimen was otherwise perfect) had 6 Anchorellae fastened 1 These species have been determined by my friend Professor G. O. Sars. 2* 20 R. COLLETT. M.-N. KI. to the dorsal, besides 1 to the pectoral. Some of these had long egg strings (the rest being young). A little Distomum was found intermingled with the food in the ventricles of many individuals. Propagation. In most ofthe females, caught in July, the eggs were in a state of developement, generally a number of them being half grown; others were still small. Females with roe ready to be spawned were more rarely met with. One such female, caught off Hallö Lighthouse (Bohuslen) on the 2gth July 1897, contained 48 large ova. In other individuals I have counted between 30 and 40 (most often nearer 40). One specimen ob- tained near Haaöen off Dröbak on the 7th Sept. 1897, was clearly in the middle of spawning. The eggs were enormous, 4 mm. in diameter, and filled up almost the entire cavity of the belly. (When caught they numbered but 27, but it must be presumed that some had already been spawned (see Fig. 6). The spawning, however, takes place quite irregularly, and several individuals, even at the beginning of September, contained somewhat unripe ova. The spawning season thus probably lasts from July till September and October. As before mentioned, the eggs begin already to develope when the females have reached the commencement of being of an medium size. The smallest specimen (with half matured roe) that I have examined, was of a total length of 120 mm.; when they have attained a length of 125 to 130 mm,, all the females may be said to be pregnant. I have examined males of a total length of 153—160 mm., that had large and swollen testicles. Distribution. 1. Norway. From the Christiania Fjord there are to hand, in addition to the type specimen of Z. gracilis (caught in Dröbak Sound 1865), a series of specimens caught during the years 1897 and 1898, at the following places: The Fjord off Christiania (Lysaker Fjord); Dröbak Sound, as well as neighbouring stretches of the Fjord; the Fjord off Aasgaardstrand; Bolærerne (off Tönsberg); Laurvik Fjord; Langesund Fjord, as well 1899. No. 6. LYCODES GRACILIS. 21 as the outer portions of this Fjord in the direction of Jomfruland (Chri- stiania Museum). A few specimens of Z. gracilis were obtained in the Trondhjem Fjord (at Bynæsset) in 1888 and 1894 (Throndhjem and Christiania Museums). It is probable that it will be found off the greater part of the Nor- wegian coast, when suitable apparatus are employed. 2. Skagerak and Cattegat. A series of specimens of L. gracilis were caught in 1897 by Dr. Petersen off the coast of Bohuslen down to Læsô Channel (Copenhagen and Christiania Museums). 3. Iceland. One specimen of Z. gracilis is to hand, caught in 1891 (Christiania Museum). 4. Greenland. A couple of specimens of Z. gracilis were caught by the Ingolf-Expedition, in Davis Straits, 1896 (Copenhagen Museum). 5. Nova Scotia. A couple of specimens (type specimens) of L. zoarchus, Goode & Bean 1895, were caught by the Albatross Expe- ditions of late years (Washington Museum, U. S. A.). to te Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. Fig. R. COLLETT. LYCODES GRACILIS. M.-N. Kl. 1899. No. 6. 1. Lycodes gracilis. Ÿ œN Que N | | 10. Lycodes gracilis. PL I-III. Very young individual. (7ype Specimen); Dröbak 1861. Young. Dröbak 1897. Young Dröbak 1897. Young. Dröbak 1897. Young Female. Trondhjem Fjord 1888. Female. Dröbak 1897. Male. Dröbak 1897. Male. Laurvik Fjord 1898. Female. Laurvik Fjord 1898. Female. Iceland 1891. Printed 5th June 1899, Vid. Selsk. Skr. I. M.-N. Kl. 1899, No. 6. ‘0987 sug ‘A ‘SOUS sepooÂT M.LYNG'S LITH.ANST. CHR. Vid. Selsk. Skr. I. M.-N. KI. 1899, No. 6. IT. ‘9987 SBS "W ‘sıploe1Ld sepoofy M.LYNG'S LITH.ANST. CHR. Vid. Selsk. Skr. |. M.-N. KI. 1899, No. 6. III. "9981 9185 MN 'St[1o818 sepooÂ7 AT te SN AK ah: EE mé ? cma å i i PE EE ee Ueber eine Classe unbestimmter Gleichungen A. Palmström Videnskabsselskabets Skrifter. I. Mathematisk-naturv. Klasse. 1899. No. 7 Christiania In Kommission bei Jacob Dybwad A. W. Bröggers Buchdruckerei 1899 Vorgelegt in der mathematisch-naturwissenschaftlichen Klasse 26. Mai 1899 Ueber eine Classe unbestimmter Gleichungen von A. Palmström. In einer Abhandlung: Über die Auflösbarkeit einiger unbestimmten Gleichungen (Det kongelige norske Videnskabsselskabs Skrifter 1896) hat Herr Axel Thue gezeigt, wie man die unbestimmte Gleichung: Br» Bora: PSOE OM WObDE LP DO On 10, 1 Imeareshomezenerkiune- tionen der »-Grössen 21, v2, . . . . &, sind, auflösen kann. Er setzt: aı Pı = az Oı az Pa = a3 Qe An—1 Pret —=101 OS ’ wobei aı, as, .... a, _ irgend welche ganze Zahlen ohne gemeinsamen Theiler sind, und sucht diejenige ganzzahligen Werthe von zı, æg . . - . &n_1, die diese homogenen, linearen Gleichungen befriedigen. Diese Methode kann auf eine allgemeinere Classe unbestimmter Gleichungen erstreckt werden. Es sei gegeben die Gleichung: Puy Pye . ‘ . . 5 . 4: n—1 ath ones AP =o, (D) an ee ee GR Eeg n—1 Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 7. 13 4 A. PALMSTRÖM. M.-N. Kl. wobei Py), ..... Pa-1,n-ı homogene, lineare Functionen der »-Grössen TN LE He a, sind. Es giebt dann für jedes Werthsystem 21, a, . . .. 2, durch welches die Gleichung (I) befriedigt ist, m— 1 ganze Zahlen ay, as,... a, ı ohne gemeinsamen Theiler, so dass die Glei- chungen: a Pa taPa + . . . . Hans Pin-1 =0 a Pan + 42 Pa + : : . . + 4 Pan-1 =0 (II) ai Pn-ı,1 + av Pu-1,2 + DAS + ay. Py in-1=0. bestehen, und umgekehrt, wenn diese Gleichungen befriedigt sind, ist auch die Gleichung (I) befriedigt. Man erhålt sodann: Ti __dJı Lx An und darf also setzen: a = 241 Le = k A9 CET 443 wobei & so zu wählen ist, dass alle x ganze Zahlen werden. a,, a,,.. . 4.1 müssen solche Werthe ertheilt werden, dass nicht alle Deter- minanten 4,, Sa, +++ A, verschwinden, können aber sonst beliebig gewählt werden. Das Verschwinden sämmtlicher Determinanten 4,, day «+++ In zeigt an, dass die Gleichungen (II) nicht von einander unabhängig sind, Auch in dem Falle kann die Aufgabe gelöst werden. Sind für gewisse Werthe von a,, &,,.... dy-1 nurp der Gleichungen (II) von einander unabhängig, kann man, wenn diese Werthe eingesetzt werden, x — fp — I der Zahlen x,, x,, .... x, beliebige Werthe ertheilen und erhält dann zur Bestimmung der übrigen p + 1 unbekannten eine Reihe von p Glei- chungen ersten Grades. Diese Gleichungen können durch bekannte 1899. No. 7. UEBER EINE CLASSE UNBESTIMMTER GLEICHUNGEN 5 Methoden gelöst werden. Es gilt übrigens für diese Gleichungen das- selbe wie für die Gleichungen, die in dem Falle auftreten, wo Pu, Pr, . : . Py_1,n—1 lineare, aber nicht homogene Functionen später näher behandelt werden. Als Beispiel betrachten wir die folgende Gleichung: I I I I stat... + T1 In sind, und die Die Aufgabe, diejenige ganzzahligen Werthe von 7, 43, . . . m_ı zu finden, die diese Gleichung befriedigen, ist von Herrn A. Thorin in l’Intermédiaire des Mathématiciens, tome II, 1895 gestellt worden. Sie lässt sich bei der oben angegebenen Methode ganz einfach lösen. Die Gleichung lässt sich schreiben: | — Z9 % —%% O % 0 (0) Co) Bae —m OO O % == 00 00060 SET Bp %ı — % I % % o ob MO ÉRIC | Es giebt dann für jedes Werthsystem 2, 2, . . . die Gleichung befriedigt ist, #— I ganze Zahlen ay, as, so dass die Gleichungen: — 44 292 + år x3 — 0 — a4 %2 + 430 = 0 — 1202 + 4% = 0 — 01% - An—1 Tn =O . , für weiches aı (a — 20) + aoa + az ay -t tere + @—1%1 =0 bestehen und umgekehrt. Wir setzen somit: y= kay CAVE ee An—1 fi) = ACER 9 à 0 < ani (a +ae+..... + a, 1) 3 =P slå GRØA 9 5 9 GRP Gea oo NC + a,-1) Yn = #83 ....an 2(m+a+..... + an 1). 6 A. PALMSTRÖM. M.-N. Kl. 4j, Ay, +++. An 1 können beliebige Werthe ertheilt werden, Å muss so gewählt werden, dass alle æ ganze Zahlen werden, ist aber sonst beliebig. Sind vary on Ao P,—1, n—1 lineare, aber nicht homogene Func- tionen, so nehmen die Gleichungen (II) folgende Form an: Ay™ å Eu Ar To ES Se ee + a zn + Ay ie =o A A os ee Be de (II) FN 2 == ae x + ls jon am, In er et) = Für diese Gleichungen gebe ich der folgenden Behandlungsweise, die, wie ich glaube, neu ist, den Vorzug. Aus den Gleichungen (III) folgt: De, + Da, =D" Dr, + D, m = DE (IV) in—1) ns hee; ey) Dabei ist: 20-40 TER a mane EE DD ga De eae D, = (n) (n—1) An. far NE ene TU TE LT Å Me | NE ME a PRE EET > 1) D, = (n—1) | A, 40 2 RE 2 1899. No. 7. UEBER EINE CLASSE UNBESTIMMTER GLEICHUNGEN. 77 (m+1) (2) (n—1) 4 Ay 5 “Shay, Bene Gå 4 AST 1) A are 2 2 DE et moin 18) Lier mer SRE Ne 2 D) = — (m+1) ,(2) (n—1) Lobe i An 3 = = q x 0 © © 2 D An (1) (m+1) ,) (n—1) Ame alae ner NG AY “aoe 20 ze) 2 a 2 Set et TA 2 DA = — (en | (n +1) (3) (n—1) Aa A An © PG ET Fe SE Ei oe An us. W (1) (2) =i AE Ok ON OO RE EE 1 an ) 20 AP A 1) D — (1) (2) (n—1) ben A og Dk et TC at TER A Kann man a,, &,,.... a, solche Werthe ertheilen, dass D und D, keinen gemeinsamen Theiler haben, so kann man für diese æ unendlich viele ganzzahlige Werthe von x, und x, finden, die die Gleichung Du, + Dy m =D“ befriedigen. Die übrigen Gleichungen (III) geben dann auch ganzzahlige Wertes ve Te Mans hat 7 Br: D D ET, D ID) DDE D DE DD = D. Es ist aber: (2) (1) DDR DD (n) (n) (n) = — (A; Dy +42 Dy +... + An--1 Da—1,1) (n +1) On +1) (n+1) - (Ai Die + Ag Dog +... + An—1 D) 8 A. PALMSTRÖM. M.-N. Kl. in) (n) AT Dig agg ee RD: (n+1) (Ay (n+1) (n +1) Dy + 4g Du +..-+ 41 Das); wobei 2,,, die Unterdeterminante von An in D ist. Man erhält somit: (2) 1} in) ,(n+1) DD —DD = DATA (Dis Dy — Dy Dhs) (nm) ,(n+1) IDEE wobei À,,, die Unterdeterminante von | (1) (2) A, A, 1 2 A AS in D bedeutet, Es ist also: 2 DD = DD +1) 3 = PE en NAT 1 3 = OO EE le ee D (n+D (mn) ,6) (n—1) Aes Ag DEE ale DR. =D.R und somit: x R à da == ne — eine ganze Zahl. Wenn D und D, einen grössten gemeinsamen Theiler » > ı haben, wird man selbst in dem Falle, wo m Theiler von Då ist, und die erste der Gleichungen (IV) somit ganzzahlige Lösungen hat, nicht immer x, als eine ganze Zahl finden können Es seien in diesem Falle a,’ und Zn" zwei solche ganze Zahlen, dass die Gleichung DD... ad i at m befriedigt ist. Es ist dann: ; 1800. No. 7. UEBER EINE CLASSE UNBESTIMMTER GLEICHUNGEN. 9 (1) ae, Tn = — 2 = kg m ‘" as m (1) D 2 me LE m m wobei ¢ irgend welche ganze Zahl ist. Es ist hiernach: (1) D D, Re (2) — ‘ D,D 4 D; D, Ri 72] 42 (=e en (Re! + D® 2,’ —D, ) Mi und also: Ren an. Di Ly = 5 == —- nt oder auch: (2) TOR a= IO) = hen ID) TE Diese Gleichung wird in dem Falle durch keinen ganzzahligen Werth von x, befriedigt, wo #7 und D, einen gemeinsamen Theiler #, haben, (2) - - 5 > se und Rz,/-+ Da,’ sich durch diesen nicht theilen lässt. Man kann diese Bedingung anders aussprechen. Es ist: D 1772 (ra au Das!) Ep Wir können zwei Fålle unterscheiden: De (2) 1. ist nicht durch #, theilbar. Wenn dann Rx, + D x,‘ sich nicht durch m, theilen lässt, kann auch D” nicht durch m, theilbar sein. Umgekehrt, wenn #, nicht Theiler von DA ist, kann er auch nicht Ra + D°x,' theilen. In diesem Falle haben D und D, einen gemeinsamen Theiler, der nicht Theiler von D ist, und die Gleichung Dr, + Dy = på hat dann überhaupt keine Lösungen. Es kann übrigens bemerkt werden, dass immer, wenn D und D, einen gemeinsamen Primzahl- 10 A. PALMSTRÖM. UEBER UNB. GLEICHUNGEN. M.-N. KI. 1899. No. 7. theiler haben, der nicht Theiler von De ist, diese Zahl dann auch ein Theiler von »z ist. Dies folgt aus der Gleichung: (2) 1 DD" — DM" = DR. DE ; å ; (2) 2. — ist durch m, theilbar. mm, ist dann auch Theiler von D . Soll m 3 (2) 2 à dann m, Nichttheiler von Xx/ + D x,‘ sein, so kann R nicht durch m, theilbar sein. Umgekehrt sieht man, dass wenn m, Theiler ; : Å ; 2 von De und = Nichttheiler von R ist, dann ist Ra,’ + D ER, nicht durch »z, theilbar. Denn nach der Gleichung D ‘ D; ‘ =e = =I mr + om Im sind m, und x,‘ in diesem Falle relativ prim. Was hier von x, gesagt ist, kann ohne weiteres auf x,, . . . . m übertragen werden. Der Fall, dass die Gleichungen (III) nicht alle von einander unab- hängig sind, bietet nach dem vorher gesagten keine Schwierigkeiten. Gedruckt ı1. August 1899 Sur une classe particuliere d'équations aux dérivées partielles du premier ordre par Alf Guldberg Videnskabsselskabets Skrifter. I. Math.-naturv. Klasse. 1899 No, 8 Christiania En commission chez Jacob Dybwad Imprimerie A. W, Brogger 1399 Sur une classe particulière d'équations aux dérivées partielles du premier ordre par Alf Guldberg. Di ses recherches sur les solutions singulieres des &quations différentielles ordinaires, Lagrange a traité un problème qu'il énonce de la manière suivante: »Si les équations primitives singulières ont moins d'étendue que les équations primitives proprement dites, parce qu'elles ne renferment aucune constante arbitraire, on peut les regarder, sous un autre point de vue, comme plus générales que celles-ci, parce qu’une même équation primitive singulière peut répondre à une infinité d’equa- tions dérivées: et c'est un probleme indéterminé de trouver une équa- tion dérivée, qui ait une équation primitive singulière donnée, Comme ce problème est curieux, et qu’il peut être utile dans plusieurs occa- siones, nous allons en donner ici une solution, pour servir de complé- ment à notre théorie des équations primitives singulières. « 1 En traitant ce problème Lagrange est conduit à une classe inté- ressante d'équations différentielles ordinaires, dont l'intégration n'exige que différentiations et éliminations. ; Le but des lignes qui suivent sera d’étendre les résultats obtenus par Lagrange, aux équations aux derivées partielles du premier ordre. En suivant le procédé du grand géometre, nous espérons rendre assez clairs les résultats de nos recherches. I. Considérons une famille de surfaces représentée par l'équation VE 5 60 då DEG (1) où les trois paramètres a, 4, c sont liés par une relation. Ø (a, b, c)=0. (2). 1 Oeuvres de Lagrange, tome X, p. 220. Vid.-Selsk. Skrifter. M.-N. Kl. 1899. No. 8. 4 ALF GULDBERG. M.-N. KI. De l'équation (1), on tire en supposant a, å et c constants = av R en désignant par / et g les dérivées partielles 2 et 3 L’élimination | de a, 6 et c entre les équations (1), (2) et (3) conduit, en général, å une seule équation: F (x, 9, 2, p, 7) =0, (4), qui constitue une équation aux dérivées partielles du premier ordre a laquelle satisfont toutes les surfaces représentées par les équations (1) et (2). Cette élimination peut cependant être effectuée en tirant des équa- tions (1) et (3) les valeurs de a, Å et c en fonctions de x, y, 2, p et g, et en désignant ces valeurs par p (2,9; 2, p, 2), yw (4,7, 2,2,9) 0 (%, 7 2,2, 9), on aura l'équation aux dérivées partielles (4), en substituant ces fonctions à la place de a, 6 et c dans l'équation: D (a, b, c) = 0. Ainsi l'équation (4) se présente sous la forme: D (pP (4,9,2,0,2), W(49,2,2,9), 9 (4,942, 9) =O. Réciproquement toute équation aux dérivées partielles de cette forme aura pour intégrale complète : VZ y, 2, a, 0,06) —=10 où les trois constantes a, 6, ¢ sont liées par la relation: DZ 010) —0; et l’on aura en même temps: a=p (29,22, b=W (BIZ, PO, C=O (43, 2p, 9): Toute valeur de z en x et y qui satisfera à la même équation: D (p, W, Ø)=0, 1899. No.8. SUR UNE CLASSE PARTICUL. D’EQUATIONS ETC. 99 et qui ne résulte pas de V (x, y, 2, a, 6, c)—=o, quand on donne des valeurs constantes à a, Ö, c, ou ce qui revient au même, ne rendra pas les fonctions p, w et © constantes, est comme on voit une solution sin- guliére. Soit maintenant: = (ba, 7) une solution singulière donnée, on en tire: _ (4%) _ F(%, 2) tee 1 y af af En substituant / (x, y) au lieu de z, 5 et g dans les fonc- , dr oy tions y, w et @, elles deviendront des fonctions de # et y; en éliminant x et y entre ces trois équations on aura une équation entre a, à et c, qu'on prendra pour l'équation, ® (a, 6, c)=0. Ainsi l’équation z=/f (2, y) satisfera à l’équation aux dérivées partielles donnée: ® (9, y, 8) =0 à cause de la relation: D (a, 6, c)=0, mais ne rendant par les fonctions , w, @ constantes, elle ne sera pas comprise dans l'intégrale complète, et ne sera, par conséquent, qu’une solution singulière. Voila donc la règle suivante: Soit Z=/ (4 9) la sulution siguliere donnée. Prenons une équation quelconque zen 0, <4) =0 A entre x, y, z et les trois paramètres a, d, c. De l'équation (A) et les équa- tions dérivées: av WV av ov ae a eye ae we on en tirera les valeurs de a, 6, c en fonctions de x, y, 2, p, g, soit 6 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. a=0 (2,7, 2,2; 2), b=y (2,9, 3,P, Øh c—0 (4,9, 2, p, 9) af af ba’ By a la place ces valeurs. On substituera dans ces fonctions / (4, y), de s, p et g, on aura donc trois équations qui, par élimination de x et y, donneront une équation en a, 4, c que nous représenterons par D (a, 6, c)=0. Si maintenant on substitue dans cette équation à la place de a, b, ¢ leurs premières valeurs en fonctions de x, y, z, p et g, on aura l'équa- tion aux dérivées partielles du premier ordre. D (y, y, 6) —0, dont la solution singulière sera: s=f (%, 9) et dont l'intégrale complete sera donnée par les équations V (x, y, 2, a, 6, c)=0 D (a, 6, c)=0, Exemple. Cherchons à déterminer une équation aux dérivées partielles qui possède comme solution singulière le paraboloïde elliptique: 7 ar (a) Choisissons comme intégrale complète: s=ax-+ by + co d'où l’on tire: p=a, a=; De ces trois équations on tire: a=), b=4, c=58— CP — xg. (b) De l'équation (a) on dérive d'autre part SIS (c). ” # als GE å % % .. ; . Substituant les valeurs de z, Å tirées des équations (a) et (c) dans les équations x à à (b), on aura les équations: = 4 Ben ——-——=¢ x A d B 2A a8 1899. No.8. SUR UNE CLASSE PARTICUL. D PONS ETC. 7 d’où, en éliminant x et y entre ces équations, on aura l’équation: — == — 0: (d). Substituant dans cette équation les premières valeurs de a, 4, c en fonctions de x, y, 2, d, g, On aura l’Equation aux dérivées partielles cherchée: BR = — f+ Sk å =0, qui possède la solution singulière: et dont l'intégrale complète est: 2= ax + by + c, où les constantes a, 4, c sont liées par la relation: a? å? c Ha Tach was On observe en outre que la relation (d) représente justement l’&quation du parabo- loide elliptique: »Ecrite« dans les coordonnées du plan, On obtient donc ainsi une manière tout à fait géné- rale d’»écrire« une surface donnée dans un autre système de coordonnées données. En prenant d’autres équations en x, y, 3, a, 6, c et en opérant de la même manière, on trouvera autant d'équations aux dériveés partielles du premier ordre qu’on voudra, dont la même équation. sera la solution singulière, On voit aussi que la même équation en a, 4, c pourra donner telle solution singulière qu'on voudra, suivant la relation, qu’on établira entres les constantes a, 6, c. Remarque. Il arrive cependant que l'élimination de x et y entre les équations: a =, 6= Ww, c— 0 où l’on a remplacé z, p et g par leurs valeurs en x et y, tirées de la solution singulière donnée, ne conduit pas à une relation, mais à deux relations entre les constantes a, 6 et c. On aura donc deux équations aux dérivées partielles du premier ordre, dont la solution singulière sera la solution singulière donnée et dont l'intégrale complète sera l’équa- tion V (x, y, 2, a, 6, c)=0, où les constantes a, Å, c sont liées par les deux relations trouvées. 8 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. 2. Considérons maintenant d'une manière plus générale une équa- tion défissinant z en fonction dem variables x, x, . . . x, et de (#+-1) paramètres : V (8, 4%, «11 Hy Gy oa )=0, (5) où en outre les (7 + 1) paramètres sont liés par une relation: D(& a ...4a,,;)—0o. (6) Si on attribue à ces paramètres des valeurs constantes, on déduit de l'équation (5): av av ; ae nere Bann) (7) ag ve où on pose ig Pr L’elimination de a, . - . 4,41 entree les (z + 2) équations (5), (6) et (7) conduit en général à une seule équation ED . p,)=0. (8) Ce résultat d’élimination s’obtiendrait aussi en tirant les valeurs des (z + 1) paramètres a, .. en fonctions de 5, 4,...%, p,.-+Dy nz n +1 des (7 + 1) équations (5) et (7); désignant ces valeurs par a, =; (2, x, 2) (=1,2...n+4:1) on aura l'équation (8) sous la forme: D (p, (2; Xp Pr pa Hd) +: Png (Er SD) =O : . (8) dont l'intégrale complète est donnée par les deux équations (5) et (6). Toute valeur de z en x, ... x, qui satisfera å l’&quation (8 et qui ne rend pas les fonctions , (3, x, p) constantes, est donc une solution singulière de notre équation. Soit maintenant s=/(% ...x) une solution singulière donnée; on en tire: (=1ı,2...n 1899. No.8. SUR UNE CLASSE PARTICUL. D'ÉQUATIONS ETC. 9 = : of : En substituant f (4, . . . #,) = au lieu de z, p, dans les fonctions n Ox. i t p,(2, %, 2,), elles deviendront des fonctions de x, . . . #,, et en éliminant les x, ...x, entre ces (7 + 1) équations, on aura en général une équa- å ; BEN. FR tion entre @,...@,, 4, quon prendra pour l’équation: Ø (a, a ...4a,,,)—=0. L’equation Fe (x, v,) satisfera donc à léquation aux dérivées partielles: D (p (2, xP) - . - p, (5, 4, 2) =0 à cause de la relation: D (a a,) = 0, “HMS MONO mais, ne rendant pas les fonctions p, (2, x, p,) constantes, elle ne sera qu'une solution singulière. Nous pouvons donc énoncer la règle suivante: Soit 2=f (4 - > - 4) une solution singuliere. Prenons une équation quelconque VG EN 2 )=0 (B) entre 2, 4, . . . x, et les (7 + 1) paramètres a, . . . a,,,; de l'équation (B) et des 7 équations dérivées: ov av å = — = =— PA ie au, + Le sam ll n on tirera les valeurs de a, ...a en fonctions de 2,%,...% n+ 1 1 n Pi soient a; =; (2, x, 2) j=% Bora GES Å : Å, ces valeurs. On substituera dans ces fonctions / (x, . . . %,), Pk la ; place de 5, #,; on aura donc x + ı équations qui par élimination de 10 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. Hj... 7 donneront en général une équation en 4 ...4,,, que nous représenterons par: Dla,...a,,)=0. Si on substitue dans cette équation à la place de a, ... a, ,, leurs IR 5 : ; premières valeurs en £, x, ... ær Dy >> po, on aura l'équation aux dérivées partielles du premier ordre: D (9, (5, 2) + ++ Pnrı 9 % DJ) =0, dont la solution singuliére sera: z=/(%-.:%) et dont l'intégrale complète sera donnée par les équations: Vs Fee ey Ay oss 2, =O @ (a, 4,... 4, ,)=0. Remarque. Comme nous l’avons déjà observé dans le cas d'une équation å 3 variables, il peut arriver que l'élimination de x, .. . %, entre les (7 + 1) équations a, = p, (¢=1, 2... .. #41), où z et les , sont remplacés par leurs valeurs en x, . . . x, tirées de la solution sin- gulière donnée, ne conduira pas à une relation, mais à # relations di- stinctes entre les constantes a, a,.. . 4,,, Nous aurons donc un systéme de # équations aux dérivées partielles du premier ordre, dont l'intégrale complète sera donnée par l'équation V (2, x, a) =o et les & relations trouvées entre les (7 + 1) constantes, et qui admet la solution singulière donnée. 3. Les équations jusqu'ici considérées forment une classe d'équations aux dérivées partielles assez intéressante; d’un côté elles admettent tou- jours une solution singulière, de l’autre côté leur integration n'exige que des opérations algebriques.! I En effet soit D (94 (2, xs 2) Pa (5 Xp Pi) + + Qu a ap 1) = 0. («) une équation de la forme considérée, et soit: )=o V (5 x. Xp 4... Oy ay 1899. No.8. SUR UNE CLASSE PARTICUL. D'ÉQUATIONS ETC. IT Il ne doit donc pas être sans intérêt d'examiner les cas où une équation aux dérivées partielles soit de la classe ici traitée. Considérons d’abord, pour fixer les idées, une équation aux dérivées partielles du premier ordre à trois variables, Soit donnée une famille de surfaces V (& 3 5 6 0 GO, qui constitue l’integrale complete de l'équation aux dérivées partielles du second ordre: RAS s-- 0 .7-- US MV, urt (O) ou À, S, 7, Vet V sont des fonctions de x, y, 2, p, g, et où on a posé: dz a 2 =u 3% ey — — F, ——— ax” axoy ay” Si l’on tire les valeurs de a, 0, c en fonctions de 2, x, y, p, g de l'équation Vo et des équations dérivées: on aura les trois intégrales intermédiaires distinctes: a= (x, I, 2, Ps 2), b= wiz, 4, I; D; 2 c=0 (2, % Is Ps 9) de l'équation (9), et vice-versa, si l’on a trouvé trois intégrales inter- médiaires distinctes Ø, w, V de l'équation (9), elles sont des fonctions de 9, w et ©. le résultat de l'élimination de /4, Øy . . p, entre les (2 + 1) équations: n a, =p; (& Xi Dj)» DET l'équation (a) se transformera donc à cause de Y=o et des dérivées av av ; 5 — .— = O BE, ob CPR en l'équation: P(a ag... 44 4)=9, donc l'intégrale complète de l'équation (a) est donnée par: Vs x ..4, & ...48,11)=0 D (a 49 +++ 41) =0. 12 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. Mais la condition pour que trois fonctions p, w, @ soient des inté- grales intermédiaires d'une équation aux dérivées partielles du second ordre de la forme (9) est qu'elles satisfassent identiquement pour toutes les combinaisons å l’équation: CREER NE AE 0z/ op ox 0z/ 8z oy 0z/ Og ELI (1 oy ez/ og Å donc trois fonctions p, w, @ qui satisfont identiquement aux équation: [p, wl=0, [9 8] =0, [y, 8] —=0 (10) doivent être considérées comme des intégrales intermédiaires d'une équa- tion de la forme (9), dont l'intégrale complète s'obtient en éliminant Å et g entre les trois équations: a= (2, 2, 2, 9), 6=y (2, 2,9, ?, q), c=0 (2, 2,9, 2, 9)... Nous pourrons donc énoncer le théorème suivant.! Toute équation de la forme: D (9; y, 6) =0, ou pp W, O sont des fonctions de 2, x, y, p, g, qui satisfont identique- ment aux équations (10), wexige pour son intégration que des opérations algebriques. Exemple, Soit donnée l'équation de Clairaut généralisée: 2 = pa + gy +f (?, 9). Si on pose: P=3—- PU —gyı v=A Ø=g ! On voit que le théorème ici énoncé est tout à fait analogue à celui qui vaut pour les équations différentielles ordinaires. En effet on a le théorème: L'intégration d'une équation différentielle ordinaire de la forme: D (p (x, » ID y (* », y) = 0 n'exige que des opérations algébriques, quand et y satisfont identiquement à l'équation: ey A +) oy (& 4 =) ow Mr: (Ber Spe ae Oy) or 1899. No.8. SUR UNE CLASSE PARTICUL. D'ÉQUATIONS ETC. ig on verra que ces trois fonctions satisfont identiquement pour toutes les combinaisons de P y et © à l'équation (I). En posant 5 — Pr — gy=2, => g=%, on aura donc en éliminant # et entre ces trois équations, comme intégrale complete: z=4ax byte où les constantes a, 4, c sont liées par la relation: c=/ (a, 0). Un exemple plus général est donnée par l'équation: F (1 —px—49, p, 9) =o, dont l’intégrale complète sera: z=ac + byte, où les constantes a, 4, c sont liées par la relation: 77 (4 2 Me 4. Des équations très-voisines de la classe que nous venons de con- sidérer, sont les équations aux dérivées partielles de la forme: D (FUD) BE 2, D, 9), 2 JR (x, Ds 4 D,; q))— ©; (a) où f et /, satisfont identiquement à l'équation (I). Comme on sait, l’équation (I) exprime aussi que les valeurs de » et g tirées en fonctions de x, y, 4, a, 6 des équations. SF (29, 2, Pi g)= a, Å (GN 2, p, =F rendent l'équation aux différentielles totales : de = pådx + gdy complètement intégrable. Soit V (th & 6 6 C=C lintégrale générale de cette dernière équation, l'intégrale complete de l'équation (a) sera donc: Pa; J); 4 4, å, c)=0 où les constantes a, 5 sont liées par la relation: D (a, 6)=0. 14 ALF GULDBERG. M.-N. KI. Exemple. Soit donnée l’&quation: 2 — pq =$f (p —y). Si on pose: P= ses p=p—J on verra que l’&quation (I) est identiquement satisfaite. En tirant les valeurs de #2 et g des équations: z — pq = a, p—y=b et en substituant ces valeurs dans l’&quation : ds = pdx + gay, on aura l’&quation aux différentielles complètement intégrable: Ni dz = (y + >) a Fr ch dont l'intégrale générale est: (sø — a) = (y + 4) (x +0. L'intégrale complète de léquation donnée est donc: z—a=(y + à) (c+ 0) où l'on a: a=/ (6). 5. Considérons maintenant le cas où nous avons deux équations aux dérivées partielles: ®, (9, y, 8) —0 Ø, (g, y, Ø)=0 où øp, y, @ sont des fonctions de x, y, 4 DP, 9, qui satisfont à l'équation (1). La détermination de leur intégrale complète n’exige aussi dans ce cas que des opérations algebriques. En effet, comme il ressort du caractère de notre système d'équations nous n'avons qu'à mettre: p=4a, y=b, O=,, et le résultat d'élimination de p et g entre ces trois équations nous donne l'intégrale complète de notre système donné où les constantes a, 6, ¢ sont liées par les deux relations: Ø, (a, 4, c)=0, Ø, (a, 4, c)=0. Exemple. Considérons le systéme:! D, (bg å —pu—qy)=0, Dy (fs 9, å — på — gy)=0 I cfr, Goursat: Leçons sur l'intégration des équations aux dérivées partielles du premier ordre, p. 166, 1899. No.9. | SUR UNE CLASSE PARTICUL. D’EQUATIONS ETC. 15 on voit aussitôt que les trois équations: p=P =? O—s—px—9y satisfont à l'équation (I), En posant: p=4, g=b, 3 — Pr —gqy=c et en éliminant / et g entre ces trois équations, on aura comme intégrale complète de notre système: s=ax+ byte, où les constantes a, J, c vérifient les deux relations: D, (a, 6, c)=0, , (a, b, c)=0. 6. Considérons maintenant d'une manière plus générale l'équation: D (p, (& 2, x), p, (% 2 D) - > Pu+1 (2, x; 2)) —0, où les sont des fonctions de 4, x, . .. x, p, . . . 2, obtenues en ré- solvant les (7 + 1) équations: ACTE PEER y a... ,,)=0 av av à — >= =0 = acier AU 92 par rapport aux (# + 1) constantes 4, ... 4,11 Un raisonnement tout pareil à celui qui a été fait plus haut nous permet d’énoncer le théorème suivant:1 L'intégration de toute équation aux dérivées partielles de la forme: D (FA (2 a, LP sa (2 a, 2), dte 7 +1 (2, x, 2) où les fonctions f satisfont identiquement å l'équation: =: fee JF GF, Fer, aF, i > 2 (+? ag , IF D. G I Pi =) =<: i=1 pour toutes les combinaisons de f. et f,, exige seulement des opérations algebriques. ! Pour le cas #—3 voir l’interessante mémoire de M. Vivanti Mathematische Annalen t. 48 p. 490. 16 ALF GULDBERG. M.-N. Kl. Considérons comme exemple l’&quation: F (2 — fy % — Pa Ta — Py Cyr Py Par +++ Py) =O on reconnait aussit6t que les fonctions: i=n A=2—%2,2, fe = Pa ++ In+ı Ay il satisfont pour toutes les combinaisons å l'équation (II); l'intégrale complète de l'équation donnée sera donc: z= 1 + 49% +... +ax, + 4441 où les constantes vérifient la relation: F (a+ a, a... a,)=0. Si on a une équation: D (4 (4 4p)... - (8 x, PJ) =0 où les satisfont encore identiquement å l’&quation (I), on reconnaît comme plus haut, que l'intégration de cette équation exige outre des opérations algébriques l'intégration d'une équation aux différentielles totales à m variables complètement intégrables. 7. Soit enfin donné un système d'équations aux dérivées partielles: D, Wh: ny = 0 EA ARE Sete où les f sont des fonctions de 2, x «Dy 2, Qui satisfont De identiquement pour toutes les combinaisons de f, et /, à l'équation (Il). D'une façon analogue å ce que nous avons montré au cas d’un système à trois variables, on voit facilement que la détermination de l'intégrale complete de notre système n'exige que des opérations algebriques. Avant de terminer ces lignes, nous ne manquerons pas de remarquer que les résultats ici obtenus sur les équations aux dérivées partielles du premier ordre dont l'intégration n'exige que des opérations algé- briques se déduiraient aussi de la théorie générale des équations aux déri- vées partielles de Jacobi, et que nos résultats en partie sont déjà aussi 1899. No.8. SUR UNE CLASSE PARTICUL. D'ÉQUATIONS ETC. 17 données explicitement autre part (voir p. ex. l’excellent livre de M. Gour. sat: Leçons sur lintégration des équations aux dérivées partielles du pre- mier ordre, Chapitre VII). Mais nous croyons pourtant que le procédé ici employé mérite quelque attention, d’un côté comme généralisation directe du procédé employé pour les équations différentielles ordinaires, et d’un autre côté comme s’appliquant avec facilité aux équations aux dérivées partielles d’ordre supérieur, et enfin comme une preuve nou- velle de ce que les problèmes posés par lillustre géomètre Lagrange sont toujours propres à une grande généralisation. Imprimé le 29 décembre 1899. å LA SA CR '9 på im = Sa ae ony LE : å ur Mathematiske Meddelelser af Sophus Lie til Videnskabsselskabet fra Aarene 1869—1871 L. Sylow Videnskabsselskabets Skrifter. I. Math.-naturv. Klasse. 1899. No.9 ne, Christiania I Kommission hos Jacob Dybwad A. W. Broggers Bogtrykkeri 1899 Fremlagt i Modet den 24de November 1899 I den mathematisk-naturvidenskabelige Klasses Møde den 24de No- vember 1899 meddelte Selskabets Generalsekretær, at Professor Fr. Engel i Leipzig havde opfordret ham indtrængende til at bevirke offentliggjort de Meddelelser som vor afdøde store Kollega Sopkus Lie ved Begyndelsen af sin videnskabelige Bane i Aarene 1869—1871 havde gjort Selskabet. Klassen sluttede sig til dette af Zze’s mangeaarige og selvopofrende Med- arbeider udtalte Ønske, og overdrog Undertegnede at besørge Udgivelsen. Jeg har da forelagt de fire Skrivelser for Fru Lie, som beredvillig har givet sit Samtykke til at de trykkes i Videnskabsselskabets Skrifter. De gjengives ordret i de følgende Blade, og for at gjøre deres Indhold til- gjængeligt ogsaa for ikke skandinaviske Mathematikere, vedføies en tydsk Oversættelse af de i Brevene forekommende videnskabelige Meddelelser. L. Sylow. Mathematiske Meddelelser af Sophus Lie til Videnskabsselskabet fra Aarene 1869-1871. Meddelt af L. Sylo w. 1: I: tillader mig herved at tilstille Videnskabs-Selskabet vedlagte videnskabelige Arbeide?. Jeg formener i samme at paavise, at — og hvorledes — enhver plangeometrisk Sats gjennem Imaginærerne kan opfattes som Special- Tilfælde af en stereometrisk Dobbeltsats. Denne Ide er formentlig fremsat af Wallis; i vort Aarhundrede vides Mathematikere som Argand, Poncelet, Grassmann, Hamilton etc., at have beskjæftiget sig med samme uden at naa Maalet. Aarsagen hertil maa formentlig sages i at Begrebet »Linie-Congruence«, som er fundamentalt i mit Arbeide, forst fornylig er indfort i Videnskaben. Christiania, Marts 1869. Ærbødigst M. Sophus Lic Cand. real. I Arbeidet er trykt i Selskabets Forhandlinger Aar 1869 Side 16—38. 1899. No. 9. MATHEMATISKE MEDDELELSER 1869-71. 5 2» Til Videnskabs-Selskabet i Christiania! Jeg tillader mig herved at tilstille Videnskabs-Selskabet en sammen- trængt Fremstilling af en Deel videnskabelige Ideer, som ere nær beslægtede med Fundamental-Ideerne i det Arbeide, jeg for nogen Tid siden tilsendte Selskabet. Det er mit Ønske paa denne Vis om muligt at sikre min Prioritet ligeoverfor Tanker, som efter mit Skjon ere frugtbare, og som jeg har Grund til at anse for nye. Christiania, 2den April 1869. Ærbødigst M. Sophus Lie Cand. real. 1. Man kan give Plangeometriens Imaginærer Representation ved at fremstille Planets Imaginærlinie som Rumlinie. Denne Repræsentation kan opfattes som kun i formel Henseende forskjellig fra den af mig før givne. 2. Man kan fremstille Planets Tmaginærlinie ved et Plan af Belig- genhed i Rum og en vis Vægt. 3. Man kan repræsentere Planets Imaginærpunkt ved en Rumlinie. De to sidste Repræsentationer kunne opfattes som kun i formel Hen- seende forskjellige. De to, ovenfor angivne, væsentlig forskjellige Repræsentationsmethoder ere beslægtede gjennem Læren om rumlig Reciprocitæt. Samtlige fire Repræsentationsmethoder omfatte (eller kunne opfattes som omfattende) den sædvanlige Repræsentation, naar Tingene ere reelle. Man kan se hele denne Theori fra et høiere Synspunkt, ved at op- fatte z = ((— 1)? som Nagle. Jeg har udviklet en parallel Theori, som anvender Neglen »: 6 SOPHUS LIE M.-N. KI. Den herpaa baserte Theori kan opfattes som en reent geometrisk, dobbelt- perspectivisk Methode. Christiania 2den April 1869. å M. Sophus Lie. Cand, real, Modtaget og nedlagt i Videnskabs-Selskabets Archiv den 2den April 1869. F. Stang M. 3. Monrad Præses. Secretair. Til Videnskabsselskabet i Christiania. Jeg tillader mig at tilstille Selskabet felgende videnskabelige Med- delelser i Øiemed om muligt at sikre min Prioritet. I. Gjennem mine Imaginær-Theorier har jeg fundet en geometrisk Transformation, som overfører en descriptiv Sætning om rette Linier i en vedrørende Kugler. Herved svarer til to rette Linier, som skjære hin- anden, to Kugler som berøre hinanden. 2. Heraf har jeg udledet, at det altid er muligt gjennem algebraiske Operationer at tilbageføre Bestemmelsen af en Flades Hoved-Tg.-Curver til Bestemmelsen af en anden Flades Krumnings-Curver, ligesom omvendt. 3. Kummers Flade af 4de Orden og 4de Classe har algebraiske Hoved-Tangent-Curver af 16de Orden og 16de Classe. Hermed er selv- følgelig ogsaa sagt, at nævnte Curver ere algebraiske paa Bølgefladen, den Plückerske Complex-Flade etc. 4. Paa en Linieflade, hvis Generatricer tilhøre en linear Complex, kan Hoved-Tangent-Curverne bestemmes gjennem Qvadratur. 5. Alle Minimal-Flader kunne paa tvende distinkte Maader beskrives ved Translations-Bevægelse af en imaginær Curve af Længde o. 6. Naar en Minimal-Flade A glider paa en Minimal-Flade B, beskriver hvert med A fast forbundet Punkt en 3die Minimal-Flade. (Nævnte Gliden forudsættes at være en Translations-Bevægelse). 1899 No. 9. MATHEMATISKE MEDDELELSER 1869- 71. 7 7. Være F(xy2)=0 [den] almindelige Cartesiske Ligning for en Minimal-Flade. Flade-Familien F (log x, log y, log z) =o frembyder en speciel Interesse ved Studiet af den Reyeske Linie-Complex. Herhen hører de Flader, som jeg har behandlet i min Afhandling »Uber die Reciprocitäts-Verhältnisse des Reye'schen Complexes; Göttingen. Samtlige der anførte Betragtninger har sit Analogon ved Studiet af nævnte Flade-Familie. Paris, ste Juli 1870. Ærbødigst M. Sophus Lie. Cand, real, Fremlagt i Videnskabs-Selskabets alm. Møde d. 3ote Sept. 1870. Christ. Boeck. M. 3. Monrad. Til Videnskabs-Selskabet i Christiania! Jeg tillader mig at tilstille Videnskabs-Selskabet et kort Resumé af mine Undersøgelser vedrørende den almindelige Krumnings-Theori for et Rum med # Dimensioner. Jeg ønsker herved om muligt at sikre min Prioritet. Med Hensyn til Terminologien henviser jeg til mine tidligere Arbeider. I. I R, betragter jeg oo! Kugler og alle 0" Configurationer €, der skjære samme orthogonalt; om? c generere stedse en #,_ 1, hvis Hoved- Configurationer af ene System de ere. Den fundne Mangfoldighed kan tilhere et Orthogonal-System i R,, og altsaa kan Darboux’s Methode (Comptes rend. Aug. 1869) anvendes paa samme. Stottende mig hertil kan jeg t. Ex. angive ubegrændset mange, væsentlig forskjellige, Ortho- gonal-System, der indeholde en given Flade (eller en given M, med n—1 Skarer Hoved - M, 3) II. Den Operation, som jeg har angivet i Göttinger Nachrichten 1871, besidder den Egenskab, naar den anvendes paa to Mangfoldigheder My og Mn 4, der besidde samme sphæriske Billed, da at give Mang- 8 SOPHUS LIE M.-N. KI. foldigheder med samme spheriske Billed. Herved er at bemærke, at man stedse kan angive en Mangfoldighed, (Aug/en nemlig) som besidder samme sphæriske Billed som en given. III. Af Kleins Theorier følger, at naar i et Kugle-Rum R, et Orthogonal-System kjendes, saa kan man angive &* algebraiske Flader med algebraiske Krumningslinier, samt * algebraiske Rørftader med algebraiske Krumningslinier. Den første Deel af denne Theori har jeg 1 Göttinger Nachr. generaliseret til 2 Dimensioner; den anden Deel kan ogsaa generaliseres. Anvendes denne nye Theori t. Ex. paa et Orthogonal- System i R., saa finder man paa den ene Side i À, æ* Orthogonal- System, dannet af to Skarer Rørflader i Forbindelse med en 3die Flade- Skare; paa den anden Side ot algebraiske Flader med algebraiske Krumningslinier, blandt hvilke ingen er circulere. Heri ligger Opstil- lingen af to nye Operationer, af hvilke den sidste i en vis Forstand er ligeberettiget med den, jeg før har givet. Man kan gaa videre og opstille ubegrændset mange Operationer, hvilke samtlige tjene til, af en given Mangfoldighed i R,, paa hvilken Darboux's Methode kan anvendes, at udlede Mangfoldig heder i Ry», paa hvilke ligesaa Darboux's Operation kan anvendes. IV. Enhver partiel Differentialligning: C]) Fe, DE In 9X CEA ) EN SNS oz, 32, ur hvis Charakteristiker ere Hoved-Configurationer, staar i et simpelt geome- trisk Forhold til et vist Kugle-System i R,. Det er af Interesse at under- søge Betingelsen for at to saadanne Ligninger /, =o, F, =0 tilfreds- stille den Jacobiske Ligning (F, F,)=0. (Sammenl. min sidste Ath. i Selsk. Skrft.). V. Naar mani X, + | kjender et Orthogonal-System F (x, x, «++ 4n + 1 À) =o af den Art, at naar samme velges til Coordinat-System, saa tager Distanz-Udtrykket Os? = 0x + 942 4 +++ 9441 Formen (A, — Ås) (Ay — Ås)» (di — dn +1) fU,) st = Mie) OA + 1899. No. 9. MATHEMATISKE MEDDELELSER 1869—71, 9 saa kan man (efter en privat Meddelelse af Klein) opstille oo! partielle Differentialligninger, Ligninger af oven angivne Slags; (7 —1) af disse Ligninger besidde stedse >! fælles Integraler, der findes ved Qvadratur. Jeg har bevist, at Darboux’s Methode kan anvendes paa de fundne Mangfoldigheder. VI. Ovenangivne Form for Distanz-Udtrykket tilkommer som be- kjendt det Jakobiske System; det samme gjælder Systemet: xy x; I Anfe ei ——— ee OMG 2 hue Ar =0, eee ren au ae og endvidere samtlige Systemer, som udledes af det Jacobiske gjennem Darboux's Operation. Endelig har jeg fundet et Orthogonal-System (alge- braisk) med samme sphæriske Afbildning som det Jacobiske, der giver den omtalte Form. VII. Man kan for ethvert Rum A, løse det Problem, der svarer til følgende: at angive alle Flader, hvis samtlige Krumningslinier ere plane. De Formler, som Darboux angiver i Comptes rend. tome 67, pg. 1102, 1103, har sit Analogen for À,. Den Tanke, at den almindelige Krumnings-Theori lader sig generali- sere til R,, synes i de sidste Par Aar at have frembudt sig for flere Mathematikere, og man maa vel indrømme, at dette Skridt ei har været synderlig vanskeligt, efter at Jacobi havde generaliseret den metriske Geometri (det vil sige for et algebraisk Synspunkt). Den ovenomtalte Generalisation faar en eiendommelig Interesse der- igjennem, at der for en Mangfoldighed Synspunkter existerer en note Sammenhæng mellem to conscecutive Rum R,-1, og Rus Krumnings- Theori. Darboux tilkommer Fortjenesten af først at have angivet et vig- tigt Exempel herpaa; min ovenciterte Note saavel som flere Nummere i nærværende Meddelelse give betydelige Bidrag i samme Retning. Disse Theorier have en fælles Charakter. Man giver Noget i R,, man anvender visse Operationer og erholder Noget i À, -v Nerverende Notes første Nummer giver et første og som det synes mig overmaade vigtigt Exempel paa at en Operation, udført paa noget givet i Ry ., kan give noget af SOPHUS LIE M.-N. Kl. 10 Interesse i R,. Det bliver her naturligt at stille sig følgende Spørgsmaal: Kan ei Combinationen af alle disse Theorier fere til Lesningen af det celebre Problem: at angive alle Orthogonalsystemer ? Christiania 26de September 1871. Sophus Lie. Indleveret til Undertegnede den 28de Sept. 1871. M. 5. Monrad p. t. Videnskabs-Selskabets Secretair, Mathematische Mitteilungen von Sophus Lie an die Gesellschaft der Wissenschaften gerichtet in den Jahren 1869—1871. I. 1. Man kann den Imaginären der Plangeometrie eine Repräsentation geben, indem man die imaginäre Linie der Ebene als Raumlinie darstellt: Diese Repräsentation darf aufgefasst werden als nur in formeller Rücksicht verschieden von der von mir früher gegebenen. 2. Man kann die imaginäre Linie der Ebene durch eine Ebene, die eine gewisse Lage im Raume und ein gewisses Gewicht hat, darstellen. 3. Man kann den imaginären Punkt der Ebene durch eine Raumlinie repräsentiren, Die zwei letzten Repräsentationen können als nur in formeller Hin- sicht verschieden aufgefasst werden. Die zwei oben angegebenen, wesentlich verschiedenen Repräsentations- methoden sind durch die Lehre von der räumlichen Reciprocitåt verwandt. Man kann diese ganze Theorie von einem höheren Gesichtspunkte sehen, dadurch dass man 2 = ((— 1)? als Schliissel auffasst. Ich habe eine parallele Theorie entwickelt, die von dem Schlüssel » Gebrauch macht: v —((1)}, Fi. Die hierauf gegründete Theorie kann als eine rein geometrische, doppel- perspectivische Methode aufgefasst werden. Christiania, 2. April 1869. 12 SOPHUS LIE M.-N. Kl. 1. Durch meine Imaginärtheorien habe ich eine geometrische Trans- formation gefunden, die jeden descriptiven Satz über gerade Linien in einen anderen überführt, der Kugeln betrifft. Hierbei entsprechen zweien geraden Linien, die sich schneiden, zwei Kugeln, die sich berühren. 2. Daraus habe ich abgeleitet, dass es immer möglich ist durch alge- braische Operationen die Bestimmung der Haupttangentencurven einer Fläche auf die Bestimmung der Krümmungscurven einer anderen Fläche zurückzuführen, wie auch umgekehrt. 3. Die Kummer’sche Fläche vierter Ordnung und vierter Classe hat algebraische Haupttangentencurven von sechzehnter Ordnung und sech- zehnter Classe. Es ist hierdurch selbstverständlich, dass die entsprechenden Curven der Wellenflåche, der Pliicker'schen Complexfläche u. s. w. auch algebraisch sind. 4. Die Haupttangentencurven einer Linienfläche, deren Erzeugende einem linearen Complexe angehören, können durch Quadratur bestimmt werden. 5. Alle Minimalflächen können durch Translationsbewegung einer imaginären Curve von der Länge Null auf zwei verschiedene Weisen erzeugt werden. 6. Wenn eine Minimalflåche A auf einer anderen Minimalfläche 3 gleitet, beschreibt jeder mit A fest verbundene Punkt eine dritte Mini- malflåche. (Das erwähnte Gleiten wird als eine Translationsbewegung vorausgesetzt). 7. Es sei F(x,p,2)=0 die allgemeine Cartesische Gleichung einer Minimalfläche. Das Flichengeschlecht Æ (log x, log y, log 2) =o bietet ein specielles Interesse dar bei dem Studium des Reye’schen Liniencomplexes. Es gehören dazu die Flächen, die ich in meiner Abhandlung: »Über die Reciprocitäts-Verhältnisse des Reye’schen Complexes, Göttingen«, behandelt habe. Sämmtliche dort angeführte Betrachtungen haben ihr Analogon bei dem Studium des genannten Flächengeschlechts. Paris, 5. Juli 1870. 1899. No. 9. MATHEMATISCHE MITTEILUNGEN 1869-71. 13 III. 1. In À, betrachte ich ' Kugeln und alle &"—1 Configurationen c, die dieselben orthogonal schneiden; >" c erzeugen immer eine 4, à, deren Haupt-Configurationen des einen Systems sie sind. Die gefundene Mannigfaltigkeit kann zu einem Orthogonalsystem in R, gehören, und folglich kann die Methode Darboux (Comptes rendus Aug. 1869) darauf angewendet werden. Mich hierauf stützend kann ich z. B. undegrenzt viele wesentlich verschiedene Orthogonalsysteme angeben, die eine gege- bene Fläche enthalten (oder eine gegebene M,_; mit (n —1) Scharen Haupt - M,,-2). 2. Die Operation, die ich in den Göttinger Nachrichten von 1871 angegeben habe, besitzt die Eigenschaft, auf zwei Mannigfaltigkeiten M, 1 und M,„-ı angewendet, die dieselbe sphärische Abbildung haben, wieder Mannigfaltigkeiten mit derselben sphärischen Abbildung zu geben. Hierbei ist zu bemerken, dass man immer eine Mannigfaltigkeit angeben kann (die Kugel nämlich), die dieselbe sphärische Abbildung hat wie eine gegebene. 3. Es folgt aus Klein’s Theorien, dass, wenn in einem Kugelraume R, ein Orthogonalsystem bekannt ist, man immer * alge- braische Röhrenflächen mit algebraischen Kriimmungslinien. Den ersten Teil dieser Theorie habe ich in den Göttinger Nachrichten auf z Dimen- sionen verallgemeinert; der zweite Teil kann auch verallgemeinert werden. Wendet man diese neue Theorie z. B. auf ein Orthogonalsystem in R. an, so findet man auf der einen Seite in À, ©" Orthogonalsysteme, die von zwei Scharen von Röhrenflåchen in Verbindung mit einer dritten Flächenschar gebildet werden; auf der anderen Seite findet man co* alge- braische Flächen mit algebraischen Krümmungslinien, von denen keine ein Kreis ist. Hierin liegt die Aufstellung zweier neuen Operationen, von welchen die letzte in gewissem Verstande gleichberechtigt ist mit der von mir früher gegebenen. Weiter gehend kann man unbegrenzt viele Operationen angeben, welche sämmtlich dazu dienen, aus einer gegebenen Mannig- faltigkeit in R,, auf welche Darboux Methode anwendbar ist, Mannig- faltigkeiten in R„-, abzuleiten, auf welche man ebenso Darboux Operation anwenden kann. 4. Jede partielle Differentialgleichung : 0%, OF OM, Ba 2.54 u * as a ee dx, 94, 4-1 14 SOPHUS LIE M.-N. Kl. deren Charakteristiken Hauptconfigurationen sind, steht in einem einfachen geometrischen Verhältnisse zu einem gewissen Kugelsystem in R,. Es ist von Interesse die Bedingungen dafür zu untersuchen, dass zwei solche Gleichungen, F,=0,F,=0 der Jacobi'schen Gleichung (F,,F,)=0 genügen. (Vergl. meine letzte Abhandlung in den Schriften der Gesellschaft). 5. Wenn man in À, +1 ein Orthogonalsystem F (x, x, ...4, : 11) —0 von der Art kennt, dass wenn man dasselbe als Coordinatsystem benutzt, der Distanz-Ausdruck: as! — da? +22? +... +92, die Form: HN 1. u) | a a Qi = tn tag gy KJE. fay t+ | annimmt, so kann man (nach einer privaten Mitteilung von Klein) & partielle Differentialgleichungen von der oben angegebenen Art aufstellen; (2 — 1) von diesen Gleichungen besitzen immer oo’ gemeinsame Integrale, die durch Quadratur gefunden werden. Ich habe bewiesen, dass die Methode Darboux’ auf die gefundenen Mannigfaltigkeiten angewendet werden kann. 6. Die oben angegebene Form des Distanz-Ausdruckes kommt, wie bekannt, dem Jacobi’schen Systeme zu; dieselbe gilt auch für das System 2 ser 2 A Zu, =0; #+43+..-+4%52=0 a, + À, a, + Å, an +2+å poe = a und weiter fiir alle Systeme, die durch Darboux’ Operation aus dem Jacobi’schen abgeleitet werden können. Endlich habe ich ein Orthogonal- system (ein algebraisches) mit demselben sphirischen Bilde wie das Jacobi'sche gefunden, das die erwähnte Form giebt. 7. Man kann für jeden Raum X, das Problem lösen, das dem fol- genden entspricht: alle Flächen anzugeben, deren sämmtliche Krümmungs- linien eben sind. Die Formeln, die Darboux in den Comptes rendus tome 67, S. 1102, 1103 angiebt, haben ihr Analogon für R,. 1899. No. 9. MATHEMATISCHE MITTEILUNGEN 1869—71. 15 Der Gedanke, dass die gewöhnliche Krümmungstheorie sich auf X, verallgemeinern lässt, scheint sich in den letzten Jahren mehreren Mathe- matikern dargeboten zu haben, und man wird wohl gestehen, dass dieser Schritt nicht besonders schwer gewesen ist, nachdem Jacobi die metrische Geometrie verallgemeinert hat (das heisst von einem algebraischen Gesichts- punkte aus). Die obenerwähnte Verallgemeinerung bekommt dadurch ein eigen- tümliches Interesse, dass für eine Menge von Gesichtspunkten ein enger Verband besteht zwischen den Krümmungstheorien zweier consecutiven Räume, R, 1 und R,. Herrn Darboux gebührt das Verdienst zuerst ein wichtiges Beispiel hierfür angegeben zu haben; meine oben citirte Note, sowie mehrere Nummern der gegenwärtigen Mitteilung, geben be- deutende Beiträge in derselben Richtung. Diese "Theorien haben einen gemeinsamen Charakter. Man giebt etwas in R, man wendet gewisse Operationen an, und erhält etwas in Ry 1. Die erste Nummer der ge- genwärtigen Note giebt ein erstes und, wie mir scheint, sehr wichtiges Beispiel dafür, dass eine Operation, auf etwas in R, 1 gegebenes an- gewendet, etwas von Interesse in R, liefern kann. Man stellt sich hier natürlich die Frage: Kann die Combination aller dieser Theorien zur Lösung des berühmten Problems führen: alle Orthogonalsysteme anzugeben? Christiania, d. 26. September 1871. Trykt 22. Febr. 1900. Dur Soy SE ee a ‘ + fi a ie, ~ T o rer +: New York Botanical Garden Libra: LIT ‘ # se _ kn Q $ a a a Fr å , Å 7 å & 3 N + åa - K = A ; « ge 7 s y pr F 5 fa LA > oye # : 1 kor 3 5 ær" x . A à Se « å à 4 ille Ae ar 5 ‘ : PE > Qi 4 RARE 3 2 AN #4 + £ ’ ; 2 > ~ * h . a ty p » 4 * ” ® a 9 4 à PI ms te å 5 z - å $ - de. ? 4 4 “ p b va . J ” LU ve V & k x! Å på 7 . . ei ae 4 £ 7 AW we